ensée, laissa toutes ses idées s’épanouir sans contrainte à la pleine
joie
du soleil. M. de Régnier, de plus en plus penché
ies ? Hélas jamais ne les atteignit personne. YELDIS. La gloire et la
joie
sont de les poursuivre. L’allégresse, c’est la fo
eurs. YELDIS. Crois en toi-même et prouve-toi par tes actes. Toute la
joie
est éparse à tes pieds ; qu’importe qu’autour de
les choses soient vaines, si ton idée de chacune d’elles contient la
joie
d’un acte où ton être encore va grandir ! LA GARD
i la vie offre de graves motifs à la Douleur elle en offre aussi à la
Joie
et, en son résultat, doit toujours être saluée co
e et vaut de vivre » chante un poème, comme pour compléter le vers de
Joies
: « la vie est croulante, lustres sur lustres ».
êter à M. Vielé-Griffin, je pourrais achever et formuler ainsi : « La
Joie
c’est la libre expansion. La Douleur, c’est ce qu
la vie, aime et agis pour être selon toi-même ; aime et agis pour la
Joie
d’être. » Pour M. de Régnier rien n’est que les I
se résout en un songe gouverné par le Destin. L’homme s’agite dans la
Joie
et dans la Tristesse mais tout effort tenté selon
ymne de vie, étonne et séduit par sa virilité et son exaltation de la
joie
. Celle de M. de Régnier se caractérise par son fa
les et plastiques. M. Vielé-Griffin s’éclaire à la haute flamme de la
Joie
, mais M. de Régnier s’appuie à la stature de la D
d’être celui de cette heure, non celui d’hier. Il proclame, avec une
joie
fière et un peu ricaneuse : « Mon présent réfute
neuse : « Mon présent réfute mon passé. » Le lion rugit : Vis dans la
joie
de ce moment ! Affranchir l’individu ne suffit pa
Encore une fois, dont le sens est : Dans toute éternité ! » Car toute
joie
se veut elle-même et, se voulant, elle veut toute
urse éperdue est dirigée vers le renouvellement par l’âpre effort des
joies
qui veulent revenir les mêmes au même point. Les
pre effort des joies qui veulent revenir les mêmes au même point. Les
joies
victorieuses rythment le monde. « Toute joie veut
êmes au même point. Les joies victorieuses rythment le monde. « Toute
joie
veut l’éternité, — veut la profonde éternité. » E
ressuscité aux vagissements de l’enfant. Nous ne vivons plus pour la
joie
de l’instant, mais pour nous « surmonter », pour
écraser de terreur ou paralyser d’indifférence, peut aussi exalter de
joie
ivre. C’est dans les manifestations de cette joie
ut aussi exalter de joie ivre. C’est dans les manifestations de cette
joie
qu’éclate surtout la puissante originalité de Nie
ou lui ont souri pour son harmonie. Lui, le veut éperdument, pour la
joie
de maintenant, pour la joie d’hier, pour celle de
armonie. Lui, le veut éperdument, pour la joie de maintenant, pour la
joie
d’hier, pour celle de demain. L’instant et l’éter
enne. Une danse ! La danse est pour lui le plus intense symbole de la
joie
et le rythme le plus exact de la vérité. Il écrit
tion utilitaire de la solidité précise des découvertes et non pour la
joie
de voir l’esprit marcher d’une allure noble. Il f
trement. Alors, il protesta contre les habitudes prosodiques, pour la
joie
de protester ; il inventa des rythmes bizarres et
ernel. Pourtant, ses plus pénétrants chefs-d’œuvre sont des chants de
joie
douce et de lumière attendrie : Ni brume, ni sol
hanson, Sagesse, Amour, Bonheur. La Bien-Aimée lui donna une heure de
joie
; la Foi lui donna des heures de joie. Le bonheur
en-Aimée lui donna une heure de joie ; la Foi lui donna des heures de
joie
. Le bonheur le plus largement tranquille, c’est d
protégé contre ses propres faiblesses de malheureux à qui il faut des
joies
quelles qu’elles soient ; contre les faiblesses d
eureux, mais, là, promptement, tout de suite ! Que de larmes ! Quelle
joie
! On a osé comparer à Villon notre Verlaine sans
core créé et qu’il ne créera probablement plus : le grand Poète de la
Joie
que Verlaine serait devenu à si bon marché. [J
jésuite pour dire « non » proprement. D’ailleurs on ne se refuse pas
joie
de railler un vaincu définitivement brisé. M. Cop
ressemble quelquefois aux femmes de Chéret et vous donne une sorte de
joie
presque physique. Il marche, élégant, léger, envo
sont pas plus malheureux que les autres, les pauvres ! Ils ont leurs
joies
comme les riches, et leur poésie. En plein air, i
il semblait à l’homme que toutes les choses créées étaient bonnes, la
joie
n’était pas dans le rire. Aucune peine ne l’affli
quelque apparence de vérité. Mais il faut d’abord bien distinguer la
joie
d’avec le rire. La joie existe par elle-même, mai
rité. Mais il faut d’abord bien distinguer la joie d’avec le rire. La
joie
existe par elle-même, mais elle a des manifestati
un symptôme, un diagnostic. Symptôme de quoi ? Voilà la question. La
joie
est une. Le rire est l’expression d’un sentiment
— Le rire des enfants est comme un épanouissement de fleur. C’est la
joie
de recevoir, la joie de respirer, la joie de s’ou
s est comme un épanouissement de fleur. C’est la joie de recevoir, la
joie
de respirer, la joie de s’ouvrir, la joie de cont
issement de fleur. C’est la joie de recevoir, la joie de respirer, la
joie
de s’ouvrir, la joie de contempler, de vivre, de
est la joie de recevoir, la joie de respirer, la joie de s’ouvrir, la
joie
de contempler, de vivre, de grandir. C’est une jo
e de s’ouvrir, la joie de contempler, de vivre, de grandir. C’est une
joie
de plante. Aussi, généralement, est-ce plutôt le
primitif qui se rapproche beaucoup plus de la vie innocente et de la
joie
absolue que le rire causé par le comique de mœurs
re garde. Au point de vue de l’absolu définitif, il n’y a plus que la
joie
. Le comique ne peut être absolu que relativement
me et de développer chez le spectateur, ou plutôt chez le lecteur, la
joie
de sa propre supériorité et la joie de la supério
ur, ou plutôt chez le lecteur, la joie de sa propre supériorité et la
joie
de la supériorité de l’homme sur la nature. Les a
uvient de ce qu’on vient de voir, on emporte un rayon, un espoir, une
joie
, une paix. À l’exception de ses théories monacale
ence ! J’ai tout donné, je veux qu’on me rende tout, dit le Seigneur,
joie
et douleur ! La preuve la plus évidente que vous
âme, dit l’homme, tu ne pourras trouver une pleine consolation ni une
joie
parfaite qu’en Dieu, qui est le consolateur des p
que ton entretien soit d’avance dans le ciel ! Je souffrirai avec une
joie
intérieure tout ce qui me sera départi de souffra
n ce qu’on appelle bien et ce qu’on appelle mal, douceur ou amertume,
joie
ou tristesse, et rendre grâce également de tout,
l, et sans combat point de victoire. Rien donc ne doit donner tant de
joie
à celui qui vous aime et qui connaît la valeur de
attu ; je peux en un moment vous soulager et changer votre chagrin en
joie
. Cependant je suis juste et très digne de louange
en réjouir, m’en remercier, et regarder même comme un sujet unique de
joie
, quand je vous afflige sans vous épargner. J’ai e
es autres créatures, mais en Dieu seul. Vous devez tout souffrir avec
joie
pour l’amour de Dieu ; travaux, douleurs tentatio
point des paroles les plus dures, parce qu’elle met son trésor et sa
joie
dans le ciel, où rien ne périt. La nature est avi
resse plus à l’homme innocent qu’à l’homme puissant ; elle partage la
joie
de l’homme sincère, et non celle du trompeur, et
nt les enfants de Dieu !… Oh ! que les humbles possèdent la véritable
joie
!… Gloire aux derniers ! heureux ceux qui pleuren
rs, vous pourrez contempler les choses du ciel, et goûter souvent les
joies
intérieures. L’âme se console de n’être pas con
du dedans, selon ce qu’il est au-dedans de lui-même. S’il est quelque
joie
dans le monde, le cœur pur la possède. Et s’il y
ous envoie-t-il des peines et des châtiments, recevez-les encore avec
joie
: car c’est toujours pour notre salut qu’il fait
plus en plus à comprendre les secrets du ciel ! Heureux ceux dont la
joie
est de s’occuper de Dieu, et qui se dégagent de t
ous descendrez dans mon cœur, toutes mes entrailles tressailliront de
joie
. Vous êtes ma gloire et la joie de mon cœur. Vous
utes mes entrailles tressailliront de joie. Vous êtes ma gloire et la
joie
de mon cœur. Vous êtes mon espérance et mon refug
de toutes les créatures. Celui qui aime court, vole ; il est dans la
joie
, il est libre et rien ne l’arrête. Il donne tout
s ce que c’est que d’aimer. Il faut que celui qui aime embrasse avec
joie
tout ce qu’il y a de plus dur et de plus amer, po
ordera ce que votre cœur demande. Si vous voulez goûter une véritable
joie
et des consolations abondantes, méprisez toutes l
ondantes, méprisez toutes les choses du monde, repoussez toujours les
joies
terrestres ; et je vous bénirai, je verserai sur
ers de poème me frappait d’un étonnement qui espère, d’une attente de
joie
. La richesse chaotique et passionnée de Bretonne,
plus mélancoliques gazouillent, naïve et inconsciente de sa causer la
joie
d’un complet et original épanouissement. L’archit
nte, ricane en s’efforçant au plaisir superficiel ; mais tout autour,
joie
et douleur, profondeur et poésie et noblesse faro
la robe glauque de la mer ». C’est à la mer aussi que sourient leurs
joies
et ils comparent l’étrangeté de ses trésors vivan
passionnément. Elle est, inconnue comme il convient et réservée à la
joie
des rares qui sont dignes de la beauté originale,
s. Je devrais conseiller seulement d’aller respirer sur place tant de
joie
odorante. Je ne puis résister au plaisir égoïste
de qui voit son lit en feu ». Il a trop cherché, le pauvre dément, la
joie
qui n’existe pas, « le baiser qui pense ». Il cro
ochain printemps, et que toute souffrance réelle est le creuset d’une
joie
de bientôt. Mais il faut rejeter les douleurs ima
poète et la bien-aimée vont regardant dans leurs yeux le reflet de la
joie
des choses et oublieux de l’humanité mauvaise et
gile et que l’heure est enfin sonnée où doit régner la religion de la
joie
. La foule ne comprend pas ; elle s’irrite. Et des
lement renouvelée ? Et le condamné fait sa partie dans le concert des
joies
. Mais la femme se lamente, dit que leur pitié eut
is en cueillir tout un bouquet dans chaque page. Je relis, pour cette
joie
, l’hymne aux cloches qui chante au commencement d
ète en vers — non pas même le génial Verhaeren, — auquel je doive des
joies
aussi complètes, aussi nobles et aussi pénétrante
ruyants d’une kermesse, des flirts subtils et griffants. Et voici des
joies
sensuelles relevées de sourires ironiques et de f
percevra, se confondant, s’unifiant, prometteuse d’il ne sait quelles
joies
pour les futures destinées : l’enfançonne dont le
rder et parce que, toutes petites, elles éveillent, en moi qui eus la
joie
des paysages, de vastes souvenirs. Je ne les clas
faut s’arrêter longuement, comme au sommet d’une montagne et, en une
joie
puissante, tourné vers le chemin parcouru, contem
r un signe précis que notre destination est atteinte. Ce signe est la
joie
. Je dis la joie, je ne dis pas le plaisir. Le pla
s que notre destination est atteinte. Ce signe est la joie. Je dis la
joie
, je ne dis pas le plaisir. Le plaisir n’est qu’un
la vie ; il n’indique pas la direction où la vie est lancée. Mais la
joie
annonce toujours que la vie a réussi, qu’elle a g
le a gagné du terrain, qu’elle a remporté une victoire : toute grande
joie
a un accent triomphal. Or, si nous tenons compte
ns cette nouvelle ligne de faits, nous trouvons que partout où il y a
joie
, il y a création : plus riche est la création, pl
e, il y a création : plus riche est la création, plus profonde est la
joie
. La mère qui regarde son enfant est joyeuse, parc
qu’il ressent, mais elles lui apportent des plaisirs plutôt que de la
joie
, et ce qu’il goûte de joie vraie est le sentiment
ui apportent des plaisirs plutôt que de la joie, et ce qu’il goûte de
joie
vraie est le sentiment d’avoir monté une entrepri
reprise qui marche, d’avoir appelé quelque chose à la vie. Prenez des
joies
exceptionnelles, celle de l’artiste qui a réalisé
dire que ces hommes travaillent pour la gloire et qu’ils tirent leurs
joies
les plus vives de l’admiration qu’ils inspirent.
loire, parce qu’il est créateur, parce qu’il le sait, et parce que la
joie
qu’il en éprouve est une joie divine. Si donc, da
r, parce qu’il le sait, et parce que la joie qu’il en éprouve est une
joie
divine. Si donc, dans tous les domaines, le triom
ère l’époux est une sainte Anne dont le visage ridé est l’image de la
joie
. À côté de la sainte Anne, derrière la Vierge est
r de sang-froid son semblable à coups de fouet, un fou s’offrant avec
joie
à tous les tourments qu’on lui montre et défiant
e son linceul. Son visage est l’image de la mort que les traits de la
joie
et de la reconnaissance viennent d’animer. Ses pa
oit élevé où ils sont placés. Ils sont transportés d’étonnement et de
joie
. L’artiste a prosterné les deux sœurs aux pieds d
enet. Quelle vie ! Quels regards ! Quelle force d’expression ! Quelle
joie
! Quelle reconnaissance ! Un assistant lève le vo
ressuscité portée vers le ciel et distraite des assistants, rendra la
joie
et l’étonnement de ceux-ci énergiques ? Il ne les
un qui se soit avisé de faire pleurer une des sœurs du ressuscité, de
joie
; pas un des parents qui tombe en faiblesse ! Qu’
même encore, on avait montré l’effort des hommes pour augmenter leurs
joies
vainement orienté vers ce but irréel. Délivré de
ous l’aiguillon d’un désir inassouvi et qui ne se peut procurer de la
joie
que par l’intermédiaire de la douleur et de la pr
dinaire, les hommes ne parviennent pas à cette attitude sereine où la
joie
du spectacle qu’ils ont institué leur compense le
ntérêt d’un spectacle dont la cruauté même se trouve justifiée par la
joie
du spectateur qui se repaît de sa vue. Cet ensemb
plications déduites par les autres hommes de ses découvertes, fait sa
joie
du seul fait de connaître, du seul spectacle de t
semblent les inventions d’un Edgard Poë fumiste. Mais sa plus grande
joie
, c’est d’être un mâle et de le montrer. Ses Cares
n drame qui est un conte des Mille et une Nuits : Nana-Sahib. Il a la
joie
suprême de monter en personne sur les planches et
les marges de la société et aussi leur besoin d’oubli, d’ivresse, de
joie
, et ces oublis de tout, ces ivresses épouvantable
se, de joie, et ces oublis de tout, ces ivresses épouvantables, cette
joie
que nous trouvons grossière, crapuleuse, et qui e
es, cette joie que nous trouvons grossière, crapuleuse, et qui est la
joie
pourtant, la belle joie au rire épanoui, aux yeux
trouvons grossière, crapuleuse, et qui est la joie pourtant, la belle
joie
au rire épanoui, aux yeux trempés, au cœur ouvert
, la belle joie au rire épanoui, aux yeux trempés, au cœur ouvert, la
joie
jeune et humaine, comme le soleil est toujours le
innocente et sans signification comme chez les bêtes ; il s’y mêle la
joie
d’une perversité et d’une protestation contre l’o
mes de lettres, cela va bien ; nous pouvons nous intéresser à leurs «
joies
», à leurs « tristesses » et à leurs « gloires ».
fum, sans éclat, sans fruit et sans couleur, sans force créatrice. La
joie
physique et mutuelle étant le cœur même de l’exis
se mille sensations variées, profondes ou fugitives, de douleur et de
joie
, où chaque impondérable molécule de chair est, à
des prématurées d’un visage que n’éclaira jamais aucun rayon de saine
joie
. Regardez s’avancer vers vous ce distingué spéci
pas moins vrai que celui qui vit dans le monde sans faire dépendre sa
joie
ou ses larmes exclusivement de son cerveau, qui c
, nous continuons à préférer franchement aux plaisirs solitaires, les
joies
solidaires ? II Réponse à M. Panizza Pous
resque toujours. L’être entier, d’abord illuminé par une espérance de
joie
sexuelle, s’obscurcit bientôt lorsque cette joie
par une espérance de joie sexuelle, s’obscurcit bientôt lorsque cette
joie
lui est refusée. On peut mieux encore observer la
te des hymnes, Mes membres se gonflent de force pour tout travail. La
joie
, la radieuse prospérité reposent en tout. Il n’es
iques, « Certes, dit-il, c’est un grand sacrifice que de renoncer aux
joies
de la paternité. Mais, pour grand que soit le mal
tte appellation leur convient, mais ce sont à coup sûr des héros sans
joie
. Ils ont gardé, jusque dans leur plus mystérieux
ments augmentent votre beauté lorsqu’ils vous environnent : enfin, la
joie
est l’état véritablement de votre âme, et le chag
’à personne du monde. » Ninon écrivait encore à Saint-Évremond : « La
joie
de l’esprit en marque la force. » L’auteur de ces
à composer son image, nous paraissait ainsi une personne chez qui la
joie
, une joie qui n’exclut nullement la sensibilité,
r son image, nous paraissait ainsi une personne chez qui la joie, une
joie
qui n’exclut nullement la sensibilité, est compag
s loin, paradis parfumé, Où sous un clair azur tout n’est qu’amour et
joie
, Où tout ce que l’on aime est digne d’être aimé !
qui, avant de saisir le point de son assiette définitive, se donne la
joie
de tâtonner un peu. Établissement souverain et ap
voie, tenir sa partie, suivre sa route, accomplir sa journée. Quelle
joie
vaut celle d’acquiescer à cette ineffable cérémon
e la journée finie, c’est la paix : La paix, pour qui la connaît, la
joie
Et la douleur y entrent pour des parts égales100.
, la ville des hommes s’étend autour de moi Afin que je connaisse la
joie
et qu’ils reçoivent de moi l’assistance137. Mais
ble du monde. De plus, le salaire promis au travail, en supprimant la
joie
et la liberté, a dissous tous les liens entre les
attraction de la matière ; c’est en elle que nous avons cherché notre
joie
, en elle que nous avons placé notre récompense, c
usser le présent divin qui nous est fait ? Qui préférera sa mort à la
joie
de vivre en Christ ? « Par notre union au Chris
missant160, nous voilà réintégrés dans la communion et régénérés. La
joie
nous est donnée de posséder Dieu, de goûter à sa
ns son cœur ses fruits dans l’expansion de ses branches166. Dans une
joie
merveilleuse il grandit sur la terre, qu’il bénit
st dans un perpétuel transport qu’elles vivent et meurent. Car : « la
joie
éternelle n’est pas loin de nous ». Ce n’est pas
omme le soleil dans la vision de qui toute chose Dans l’ivresse de la
joie
et dans l’exultation du témoignage Invente sa for
vive : Certes j’ai toujours pensé que c’était une bonne chose que la
joie
. Mais maintenant j’ai tout ! Je possède tout sous
Hymne de la Pentecôte.) La Jeune Fille Violaine s’achevait dans la
joie
. À la fin de Partage de Midi, c’était avec un déb
un débordant espoir qu’Ysé et Mesa entraient dans la mort. Mais cette
joie
, par quelles routes longues et pénibles192, par
’est tue. De même que chaque poème monte peu à peu vers l’éclat de la
joie
, de même, à travers l’œuvre entier de Claudel, la
l’éclat de la joie, de même, à travers l’œuvre entier de Claudel, la
joie
, comme une parole de plus en plus distincte et so
urs parole ou son, pause ou sens, Rien qu’un cri, la modulation de la
Joie
, la Joie même qui s’élève et qui descend, Ô Dieu,
e ou son, pause ou sens, Rien qu’un cri, la modulation de la Joie, la
Joie
même qui s’élève et qui descend, Ô Dieu, j’entend
n puissante, ces giclements… ils traduisent tout ce qu’il y a dans la
joie
d’ampleur et de générosité. * * * Mais dans le
joie d’ampleur et de générosité. * * * Mais dans les Hymnes, de la
joie
s’exprime surtout la jalousie. La joie est une pa
* Mais dans les Hymnes, de la joie s’exprime surtout la jalousie. La
joie
est une passion exclusive. À mesure qu’elle monte
ue, comme un pasteur sur le Carmel qui regarde un petit nuage206. La
joie
distingue comme le feu. Elle tient séparé. Dans l
i à mon dernier jour209 ! De cette âpreté et de cette solitude de la
joie
, on trouve l’expression dans la forme même des Hy
semble que les Hymnes soient faites avec cette lumière cruelle de la
joie
. Tous les éléments en sont éblouissants de dureté
t composer d’elle-même son maintien extérieur et qu’elle accepte avec
joie
un visage tout fait, ainsi que les acteurs des tr
ivrance de découvrir enfin ténébreuse, infinie, chargée de mort et de
joie
, la parole tant désirée. Les dernières mesures de
et vague. Sa flottante subtilité, si d’abord elle nous surprenait de
joie
, c’est tant elle était exacte. Des sentiments inc
distinct des plateaux, s’élève une allégresse pleine de mémoire, une
joie
cadencée pareille à la consolation des plus ancie
issent à leur tour, frappés de rêve. Assauts profonds et sauvages. La
joie
qui les ébranle monte en eux comme un songe bruta
. Elle a une bonne conscience. Comment la douleur empêcherait-elle sa
joie
? Elle a une sorte de gaîté qui est l’activité mê
invente de courtes histoires précipitées. Elle est affairée comme la
joie
, elle « a le temps, mais juste217 ». Puis elle s’
el secret chemin tu nous menas du rire aux pleurs et de la plus naïve
joie
à l’exigence de la vertu233 ! Ou bien elles lais
deux livres, quelle différence d’écriture ! Je lis le second avec une
joie
transformée : plus de caresses, plus de ces phras
pas se mêler un peu au désespoir de sa noblesse ? N’y a-t-il pas une
joie
secrète dans sa pudeur et dans son déni ? Ô l’ém
larité subtile du matin. Les Nourritures Terrestres chantent cette
joie
: tenir sa vie en soi, la connaître, la toucher,
l’habitude de séparer chaque instant de ma vie, pour une totalité de
joie
, isolée — pour y concentrer subitement toute une
i dilate l’âme davantage, qui accentue son élargissement308. Après la
joie
, la joie. Michel surprend Moktir en train de le v
l’âme davantage, qui accentue son élargissement308. Après la joie, la
joie
. Michel surprend Moktir en train de le voler : M
e en secret. L’écartement de son âme devenue démesurée le déchire. La
joie
qui ne s’apaise pas en lui, est si pure qu’elle l
nconnues de ses compagnons : Je sais à peine exprimer cette sorte de
joie
que je ressentais auprès d’eux : il me semblait s
er de la douceur. Ce n’est qu’apaisement, apprivoisement de la grande
joie
intérieure qui tournoyait en lui : il aime encore
e encore chercher ici ? — Peut-être, ainsi qu’un corps brûlant trouve
joie
à se plonger nu dans l’eau froide, mon esprit, dé
lui révèle les longs plaisirs de l’âme. Alissa trouve à se priver une
joie
plus certaine qu’à se satisfaire ; à mesure qu’el
érieurement de son avancement délicat. L’héroïsme d’Alissa, c’est une
joie
secrète et inavouée. Dans son effort pour se dépa
e elle a connu au fur et à mesure le prix, elle a longuement goûté la
joie
. Il ne fut en elle si spontané que parce qu’il ét
uel dans mon cœur ; sur les routes les plus arides m’accompagnait une
joie
infatigable. J’étais si bien donné au monde que j
nte ans. Je contemple celui qu’aucune défaite n’a touché. De là cette
joie
terrible dont il est possédé et qui fait que s’éc
dé et qui fait que s’écartent de lui tous les gens blessés. Il y a la
joie
qui nous vient d’obtenir une chose très désirée.
e ; elle ne commence qu’avec ce que l’on nous accorde. Mais une autre
joie
est celle de l’homme qui sent dans le silence tou
à leur place et le jeu secret de chacun et sa fine articulation ; la
joie
de l’homme qui tient son âme avec toutes ses idée
tout présent ; il n’apaisera pas ce bonheur indompté. C’est de cette
joie
que Gide est empli, c’est elle qui l’accompagne p
pouvoir contraindre à se taire. Rien n’est plus défendu qu’une telle
joie
. Il faut l’étouffer pour vivre comme il convient,
’Immoraliste, qui est un grand livre. Mais moi, que ferai-je si cette
joie
interdite, parfois je la ressens ? Je ne peux pas
la est magnifique344. Je loue Gide d’avoir osé l’expression de cette
joie
. Nietzsche sans doute avant lui l’avait enseignée
chez lui une inquiétude muette du meilleur345, le pressentiment d’une
joie
plus pure. Il est mal content de son contentement
arras qu’elle lui donnait, l’hésitation dont elle l’emplissait, et la
joie
qu’il éprouve à la présenter sans sacrifices, ave
avenir lui promet. Ces combats sont retranchés de ta gloire. Quand la
joie
habitera-t-elle dans Selma ? Quand la douleur sor
eur cœur. Il allait combattre : l’ennemi disparaissait. La paix et la
joie
revenaient avec lui. Le père ne pleura point la p
éros ! peut-être j’entendrai sa voix, peut-être alors un sentiment de
joie
renaîtra dans mon cœur. XI Ossian pleure
de Cathmor : que tes chants montent vers son ombre et la comblent de
joie
! XII Malvina, veuve d’Oscar, fils d’Ossi
au milieu de ma demeure ; elles touchaient la harpe pour rappeler la
joie
dans mon âme ; mais les larmes coulaient toujours
d’hui dans mon palais. » On prépare la fête. Les harpes résonnent. La
joie
règne dans les palais ; mais cette joie bruyante
ête. Les harpes résonnent. La joie règne dans les palais ; mais cette
joie
bruyante ne fait que couvrir la douleur qui habit
ordonne à son fils et à Toscar de partir. Nous étions transportés de
joie
en traversant les flots : nos mains impatientes s
o. » Elle nous suivit : sa démarche développait toutes ses grâces. La
joie
reparut sur son beau visage ; ainsi quand, au pri
à son palais : on y prépara la fête. Le vieillard faisait éclater sa
joie
. Il ne se lassait point de regarder les armes de
rt de mon âme. Mes aïeux les entendront dans leurs palais aériens. La
joie
brillera sur leurs faces obscures ; ils se penche
e Comhal, que Fingal, ce roi fameux par ses exploits ? Il revoit avec
joie
ses collines : il ordonne à ses bardes de chanter
quis sur l’étranger. La fête fut préparée et la nuit se passa dans la
joie
. « Où est Clessamor, dit Fingal, où est le compag
et je ne lève que des lances légères. « Ah ! quand ressentirai-je la
joie
que j’éprouvai à la première vue de l’aimable fil
moïna ! alors je ne pleurerais plus sur Morven, j’accompagnerais avec
joie
mon amant dans son nuage. La nuit dernière, j’ai
n souriant sur les bords de l’horizon. Les vagues se rassemblent avec
joie
autour de toi et baignent ta radieuse chevelure.
ulez sur moi, tristes années ; et, puisque vous ne m’apportez plus de
joie
, que la tombe s’ouvre et reçoive Ossian ; car ses
tion : une brûlure au doigt contracte les traits du visage ; une vive
joie
ou une vive inquiétude nous fait nous agiter, par
nsité du sentiment, quelle qu’en tut d’ailleurs la nature : une forte
joie
comme une forte douleur met en branle le corps en
ure, se manifeste toujours par une énergie de mouvement : on danse de
joie
, dit Spencer, comme on piétine de colère ; on ne
d’abord par une contraction et diminution d’activité motrice. Dans la
joie
, les divers organes ne font que reproduire et aid
pansive, la volonté plus bienveillante. En un mot, l’expression de la
joie
est une expression générale de liberté et, par ce
e expression générale de liberté et, par cela même, de libéralité. La
joie
, d’ailleurs, n’est pas toujours pure. Si elle est
duit donc un choc trop violent qui peut avoir son côté pénible : « La
joie
fait mal, la joie fait peur. » Mais ce sont là de
trop violent qui peut avoir son côté pénible : « La joie fait mal, la
joie
fait peur. » Mais ce sont là des effets dérivés d
ion préalable et de la résistance que rencontre alors l’émotion de la
joie
; cette résistance est une peine, qui s’oppose to
mais ce qui intéresse le psychologue, c’est ce grand principe que la
joie
est une expansion libre, la peine une lutte qui s
ont effort pour se délivrer de ce qui les irrite. La souffrance et la
joie
sont inséparables de l’aversion et du désir. Le m
e d’aspect selon la nature des objets et du contact possible. Avec la
joie
et la souffrance, l’aversion et le désir, on a le
leur expression corporelle, les sentiments agréables ou désagréables,
joie
, estime, crainte, douleur, mépris, se manifestent
dans son livre. Si le chien fait onduler son corps pour manifester sa
joie
, c’est que cette joie, plus vive que celle du cha
chien fait onduler son corps pour manifester sa joie, c’est que cette
joie
, plus vive que celle du chat, qui est moins affec
; il fait des pauses, il est lent, il est vif : c’est un cœur que la
joie
enivre, un cœur qui palpite sous le poids de l’am
colie. Le chant est aussi souvent la marque de la tristesse que de la
joie
: l’oiseau qui a perdu ses petits chante encore ;
bruit des cloches de son lieu natal, de ces cloches qui frémirent de
joie
sur son berceau, qui annoncèrent son avénement à
ieux d’alentour la sainte allégresse de son père, les douleurs et les
joies
encore plus ineffables de sa mère ! Tout se trouv
d’une autre source ; et, dans une sainte douleur qui approchait de la
joie
, j’espérai me rejoindre un jour à l’esprit de mon
elle me serra dans ses bras avec un mouvement qui ressemblait à de la
joie
, comme si elle eût été heureuse de me quitter ; j
e me transportais par la pensée au milieu des scènes de douleur et de
joie
qu’elles éclairaient, et je songeais que, sous ta
nque des cordes, et où nous sommes forcés de rendre les accents de la
joie
sur le ton consacré aux soupirs. « Le jour, je m’
uelque chose de plus tendre. Hélas ! mon cœur se rouvrit à toutes les
joies
; comme un enfant, je ne demandais qu’à être cons
eul, j’entendais la voix de ma sœur, j’éprouvais un tressaillement de
joie
et de bonheur. Amélie avait reçu de la nature que
ain, commence l’Office des morts ; de jeunes vierges le continuent. Ô
joies
de la religion, que vous êtes grandes, mais que v
our moi plusieurs choses que je n’avais pu comprendre ; ce mélange de
joie
et de tristesse, qu’Amélie avait fait paraître au
lénitude de mon chagrin, et je m’aperçus, avec un secret mouvement de
joie
, que la douleur n’est pas une affection qu’on épu
courir après la perdue, et, quand il l’a trouvée, il la rapporte avec
joie
sur ses épaules 522 » ; ou bien : « Le fils de l’
de n’avoir pas suivi le bon exemple que leur donnaient des filles de
joie
, devait être sanglant pour des gens faisant profe
ne affectation extérieure, ni montre d’austérité. Il ne fuyait pas la
joie
, il allait volontiers aux divertissements des mar
sur son passage 533. Quand il descendait dans une maison, c’était une
joie
et une bénédiction. Il s’arrêtait dans les bourgs
n effet, dans sa divine spontanéité, dans ses naïfs éblouissements de
joie
, qui prenait possession de la terre. Tous croyaie
olation est encore d’en recueillir le parfum affaibli. Jamais tant de
joie
ne souleva la poitrine de l’homme. Un moment, dan
issance du théâtre I. — Les Fêtes Dionysiaques à Athènes. — Leurs
joies
et leurs deuils. — Antagonisme de Bacchus et d’Ap
des illusions, versant, pêle-mêle, à pleine coupe, l’irritation et la
joie
, la ferveur et la fureur, le délire et l’inspirat
n rayonnante les ramenait sous le soleil, magnifiquement rajeunis. La
joie
ou la tristesse instinctives que tout homme éprou
mpressions naturelles qui se dégageaient de leurs phénomènes. Dieu de
joie
, il était aussi un dieu de douleur. Tiré de flanc
ir, haïssait la flûte turbulente, aussi propre à faire extravaguer la
joie
que le deuil, dont les cris aigus emportaient com
our lui la charge des douleurs du dieu, laissant au chant comique ses
joies
en partage. Des Satyres, moins gais que leurs com
consolant. Tout passage de la maladie à la santé évoque, en effet, la
joie
. J’appelle maladie l’état du vivant, né homme, do
ayons. Nui doute ne demeure plus au fond de son être renouvelé par la
joie
de vivre. Il est amant, il est père, il est homme
les tendresses mystiques de son adolescence, tout plein de l’austère
joie
de se sentir élu, dans la fière sincérité de son
l constituerait son existence future : des sens en éveil, une aube de
joie
de vivre, une tendance à exercer la fonction inte
honte et d’alarmes, pour en chasser à jamais toute franchise et toute
joie
. Elle empoisonne de scrupule et d’angoisse toute
t inquiet, de dominer la vie et les vivants, dont les douleurs et les
joies
lui demeurent inconnues. L’un des plus grands bie
que de la tartuferie. Le monde devrait accueillir avec indulgence et
joie
les égarés qui lui reviennent. La famille humaine
, des énergies, des sensations, un cerveau. N’en ressens-tu pas de la
joie
? N’as-tu pas la fierté de ta puissance d’homme ?
air et le pain de la pensée dans la lumière, dans la force et dans la
joie
%100 ». L’influence du prêtre sur notre époque,
e ; mais si tu choisis la guerre, je saisis ma lance et mon épée ; ma
joie
sera d’être au milieu des combattants, et mon âme
nc abandonné au jour de la tempête ? Fergus, le premier à partager la
joie
de nos fêtes ? « Fils de Rossa, bras de la mort,
r de votre roi ; fermes comme nos rochers, qui attendent l’orage avec
joie
et opposent les noires forêts qui les couvrent à
oix, et fais entendre à mon oreille les chants de Tura, ces chants de
joie
dont retentit mon palais, lorsque Fingal assistai
enir les regards du héros et s’enfuirent. Cependant les accents de la
joie
se font entendre ; les harpes frémissent et rende
ra jamais. Connal, mon âme s’enflamme dans le danger et tressaille de
joie
au bruit des combats. Je suis de la race des brav
n, fils de Matha, répondit Cuchullin, non, je ne te quitte point : ma
joie
est de combattre à forces inégales, dans le péril
ouchés sans vie sur cette plaine ! Les chefs d’Inisfail, ceux dont la
joie
éclatait dans la salle de nos fêtes ! Je ne renco
ieu de la tempête des combats et des lances que son âme s’épanouit de
joie
. » « Je vis des larmes couler sur les joues de la
mots, il ouvrit la salle où était la belle Evirallina : à sa vue, la
joie
fit palpiter nos cœurs sous l’acier, et nous fîme
rurent les enfants du désert : toujours ses guerriers étaient émus de
joie
aux accents de sa voix ; souvent il les avait con
a ; les mouvements de sa lance étincelante réglaient notre marche. La
joie
s’épanouit sur le visage d’Oscar : ses joues se c
de mes enfants, que tu étais terrible ! Mon âme éprouvait une secrète
joie
, lorsque je voyais son épée étinceler sur les enn
iflamme, le brillant étendard du roi : l’âme des héros tressaillit de
joie
en le voyant se jouer dans les vents ; il était p
les morts que ta lance a données. Souvent Bragela, faisant éclater la
joie
dans ses beaux yeux bleus, alla au-devant de son
aul, et toi, Ossian, accompagnez le frère d’Agandecca, et rappelez la
joie
dans son âme attristée. Et vous, Oscar, Fillan et
vue, entende du moins ta voix dans sa demeure… Il se lèvera plein de
joie
, et ses mains errantes chercheront son fils. « —
l’un à l’autre seulement. Alors ne fut du désir, de l’aspiration, des
joies
et du malheur d’amour aucune fin ; monde, puissan
trouver l’irruption qui au cœur ouvrît la voie en la mer de l’infinie
joie
d’amour. Vainement ! impuissant se réaffaisse le
exténuation, à l’œil brisé poinde le pressentiment de la plus sublime
joie
de la possession : c’est la joie du mourir, du ne
le pressentiment de la plus sublime joie de la possession : c’est la
joie
du mourir, du ne-plus-être, de la dernière rédemp
rillement de bénédiction, répandant sur tout ce qui vit et souffre la
joie
de grâce de la Rédemption par l’Amour. À lui, qui
éprouvé ; il fut ton garde, ton serviteur, ta force, ta splendeur, ta
joie
, lui qui presque blasphème, et qui se perd, l’aff
eigneur ! des prestigieuses jouissances, miséricorde ! Seigneur ! des
joies
, et des joies absolument désirables, miséricorde
prestigieuses jouissances, miséricorde ! Seigneur ! des joies, et des
joies
absolument désirables, miséricorde ! miséricorde,
achs, et plus tard on le retrouve quand Walther, débordant de la même
joie
qu’Eva, refuse la chaîne d’or des maîtres. Motif
cas, 44, il prend la signification de la fête de la Saint-Jean, de la
joie
et des espérances qui y sont attachées : « Das sc
rofondément sage de Richard Wagner, ce motif populaire, célébrant les
joies
de la cité, marque aussi la confiance de l’artist
écond et riche de la cité allemande ; il ne contient pas seulement la
joie
de la fête, il marque la fierté civique des bourg
main, comme pour l’Etre universel que cette utilité s’exprime dans la
joie
de connaître : tous les efforts de l’homme, pour
e plus universel possible, c’est-à-dire combiné de telle sorte que la
joie
de l’un ne contrarie plus la joie de l’autre. Sou
-dire combiné de telle sorte que la joie de l’un ne contrarie plus la
joie
de l’autre. Sous ce double aspect passionnel et m
ue ou esthétique. C’est elle enfin qui, avec le fait passionnel de la
joie
esthétique, rend possible la connaissance et la c
aut donc reconnaître que, pour la plus grande part de l’humanité, les
joies
et les souffrances attachées à la sensation et à
pliquent tous les efforts tentés pour augmenter et fixer les états de
joie
, pour diminuer et abolir les états de souffrance.
, puis une mère, et se cloîtrant peu à peu dans une étroite sphère de
joies
et soucis domestiques, — ou les périodes diverses
se, le sentiment de tension spirituelle, les élans et les arrêts, les
joies
et les défaillances que l’auteur put éprouver. À
le mécompte de l’écrivain et donne au lecteur le droit d’être sûr, la
joie
de la création et de l’existence, la joie de la p
eur le droit d’être sûr, la joie de la création et de l’existence, la
joie
de la perception de la force se ranime sans cesse
dont il ressent les affections, les crises, les deuils et toutes les
joies
. Nul comme cet auteur ne suscite sans cesse la se
. Le sentiment d’aise est profond à lire cette merveilleuse idylle de
joie
, de grâce, de gaieté, d’opulence, de bonté vraie
Otradnoé ; la sympathie, le plaisant et réconfortant intérêt pour la
joie
de ces bonnes gens, seront profonds et bienfaisan
eu personnel qui réveillent en lui la force de vivre et d’espérer. La
joie
, l’ambition, le ressaisissement ; il se mêle aux
née française il est témoin de la forte certitude, de la foi et de la
joie
qui animent les masses populaires et les armées ;
réalité est aussi riche en corruption qu’en pureté, en douleur qu’en
joie
, en cruauté qu’en bonté ; les carnages et les déb
sent l’abîme qui se creuse entre l’auteur et son domaine. C’est sans
joie
, sans le cri de l’enfantement que jaillit son liv
tolérablement amère. Tolstoï ne pouvait hausser son intelligence à la
joie
ou à l’illusion des explications métaphysiques. I
, de la certitude de ceux qui ont cru à jamais ; l’air noble et d’une
joie
austère, de la joie de ceux qui sont affermis dan
ceux qui ont cru à jamais ; l’air noble et d’une joie austère, de la
joie
de ceux qui sont affermis dans leur foi. Cette at
ents, des mêmes émotions ; que les sentiments agréables d’élation, de
joie
, d’acquiescement, suivent plus particulièrement l
ur de la vie, du soleil, des odeurs, des violences, des douleurs, des
joies
et des rêves. Pour qu’une œuvre poétique puisse a
le cri strident de mon désir. …………………………………………… La nature qui fut ma
joie
et mon domaine Respirera dans l’air ma persistant
mour, et sentir peu à peu mourir en soi tout ce qui constituait notre
joie
d’exister. Mais, intenses, ces douleurs sont fugi
… ……………………………………………………………………………………… Une âme orientale, faite pour la
joie
presque inconsciente, des pays de Soleil et qui a
le évoque, suggère, plus qu’elle ne décrit, elle indique, insinue une
joie
, une douleur plus qu’elle ne la clame, et cette d
vie : J’ai pris la grande route et ne puis m’arrêter. Ayant connu la
joie
et le mal du voyage, Je ne puis jamais plus être
le plaisir de ciseler une image un peu étrange est pour le poète une
joie
supérieure aux réelles délices de la tendresse. C
ir offerte à la virilité, Femme, amphore profonde et douce où dort la
joie
, Toi que l’amour renverse et meurtrit, blanche pr
umain seul ne peut plus apaiser ce cœur si pesant « de jeunesse et de
joie
», elle veut à nouveau jaillir d’elle-même et se
e plaie divine qui s’épanouit comme une rose, c’est la poésie. Quelle
joie
orgueilleuse de comprendre qu’on est bien seul en
de vie où je suis enfouie, Perdue en vos soupirs, vos spasmes, votre
joie
. Alors c’est le désir de se perdre dans cette, n
Notre chair et notre âme immensément déçues ; Elle doit exister cette
joie
frénétique Que vous nous désignez, si vaguement p
douces comme des cous de cygnes, ne lui semblent être que l’ombre des
joies
qu’elle rêve : alors, tout se fait amertume, et c
, harmonieux comme une caresse graduée vers l’étouffement final de la
joie
: il recrée l’état inquiet du désir, et cette « p
a muse française a trouvé le beau courage de chanter à haute voix les
joies
, les bonheurs et les tristesses d’amours secrètes
dans ces vers : Pour Aphrodite, j’ai dédaigné l’Erôs, Car je n’ai de
joie
et d’angoisse qu’en elle. Je ne change point, ô V
sière, et, sur les lits épars, Tes voiles oubliés sont témoins de nos
joies
. Mais voici l’aube, les lys se sont fanés et les
, et plus de grâce ; ce sont les mêmes serments d’éternité, les mêmes
joies
, les mêmes regrets, les mêmes larmes, les mêmes d
t toutes les amours sont normales qui assurent à deux êtres l’état de
joie
physique nécessaire au bon fonctionnement de leur
sence cachée de l’amour en toutes choses, dans les peines et dans les
joies
de la vie quotidienne, que cette Muse avoue : Je
les émotions de sa vie, il n’y a pas de poésie sans cela. On a cette
joie
en lisant les poèmes de Cécile Sauvage, de voir q
ille encor Ses arbres consumés crachent des feuilles d’or… Devant la
joie
neuve du printemps, Cécile Sauvage aura le même s
que la Terre tourne, l’emportant vers la mort, la poétesse chante sa
joie
et sa douleur et, sachant que sa fonction de femm
nt : rappelle-toi : Une abeille rôdait dans la chambre, obstinée, La
joie
et l’abandon m’avaient fermé les yeux, Le soleil
s ? Qui je suis ? Je ne sais plus… silence. D’un poème intitulé : la
Joie
, j’extrais ces quelques vers, qu’elle adresse à s
me faut désormais, Un seul manteau, un seul joyau, un seul abri : ma
joie
. Laurent Évrard On est étonné, après tant
cience n’est en somme que l’inscription inconsciente) redemande de la
joie
, du sommeil, de l’amour, comme tous les jours. Es
ns un langage parlant, animé, échauffé jusqu’à la furie, palpitant de
joie
ou de colère, et qui n’est autre souvent que celu
Le peintre abonde et surabonde ; il nage et s’en donne partout à cœur
joie
. Il n’a pas la discrétion de la ligne, et en cela
é et d’attention sur eux-mêmes pour cacher leur élargissement et leur
joie
. En disant qu’il suffisait d’avoir des yeux pour
’Hippocrate ne sait pas garder son sang-froid ; il laisse échapper la
joie
qu’il y prend et à quel point sa curiosité se dél
ut dégradé le duc du Maine (26 août 1718). Là aussi il ne dort pas de
joie
durant les nuits qui précèdent, dans l’attente où
épeindre lui-même et nous confesser l’ivresse presque sensuelle de sa
joie
: Contenu de la sorte, dit-il, attentif à dévore
sur mon siège, compassé de tout mon corps, pénétré de tout ce que la
joie
peut imprimer de plus sensible et de plus vif, du
sait plus comment lui donner. Elle ne peut suffire à porter toute sa
joie
et toute sa fougue. Restons-en sur l’incroyable a
d’esprit : « Réjouissez-vous, écrit-il à ses parents, mais non d’une
joie
de primitif, à la façon des Boches, d’une joie cr
arents, mais non d’une joie de primitif, à la façon des Boches, d’une
joie
critique. » Un autre jour, voulant indiquer la mo
ays, ciel, forêt et scènes humaines, tout est si beau, si beau que la
joie
de la contemplation est constamment la plus forte
on, puis la mobilisation. J’aurais voulu que vous puissiez voir notre
joie
, à nous juifs qui, d’après vous, Monsieur, n’ont
gné au Paris-Lyon-Méditerranée. Ma mère pleurait et mon père riait de
joie
en ayant malgré tout une larme au coin de l’œil.
i j’ai dit au revoir, sans me douter que c’était un adieu, avaient la
joie
au cœur à l’idée de reprendre cette Alsace dont n
pleine de la piété terrienne d’un israélite alsacien : Avec quelle
joie
je m’en irai du côté de l’Alsace et quels souveni
irectement à te rendre ton berceau natal sera pour moi une bien douce
joie
et comme un complément à notre vie si unie et si
gard, comme jamais le plus bel objet d’art ne le caressera. C’est une
joie
plein la poitrine, une de ces joies, de première
t d’art ne le caressera. C’est une joie plein la poitrine, une de ces
joies
, de première communion littéraire, une de ces joi
trine, une de ces joies, de première communion littéraire, une de ces
joies
qu’on ne retrouve pas plus que les joies du premi
union littéraire, une de ces joies qu’on ne retrouve pas plus que les
joies
du premier amour. Tout ce jour-là, nous ne marcho
[Bibliographie] Fleurs de neige (1894). — L’Art parjure (1894). —
Joies
grises (1895). — Georges Rodenbach (1894). — Le S
ode que celle — supérieure — de ses chants. L’adolescent Narcisse des
Joies
grises, l’androgyne déchu de l’Art parjure, est d
ne facture plus savante… Seulement, ici, il nous faut dire adieu à la
joie
de vivre… M. Charles Guérin est un désenchanté ;
pre penchant à la simplicité et par de longs séjours aux champs. Dans
Joies
déjà, la chanson populaire lançait sa note claire
attristé par sa rêverie, il relève pourtant le front, s’exalte de la
joie
d’être et dit ce qu’il a vu et compris. Or, en ce
toute la vie, même la beauté de la douleur et nous commande là saine
Joie
. Têtu et songeur comme les Bretons dont il descen
al pour les pieds de la Fiancée et cela, combats, trésors, gloires et
joies
, eût formé le poème de son âme tout entière, — pu
s de la Beauté morale au moins autant que de la Beauté plastique ; la
joie
de l’Acte est belle en soi, pour l’un, et, pour l
homme en tant qu’être sensitif et agissant, voué à la douleur et à la
joie
et tenant en ses mains la force qui fait créer. M
t des axiomes tels que ceux-ci : « la douleur est plus artiste que la
joie
; la pureté n’offre guère d’intérêt non plus que
é, ici, dans ta tristesse Il me semble l’entendre ailleurs et dans ta
joie
Et plus l’obscurité de la chambre est épaisse, Mi
attendons. 30. Il s’agit, bien entendu, des livres les plus récents (
Joies
, les Cygnes et la Chevauchée) comme à tous les en
que chose de méprisable ». Elle est d’avis que tous les âges ont leur
joie
, et, tout en sentant ce qu’elle a perdu, elle n’e
note comparable entre les réflexions sensées de ce tiède hiver et les
joies
folâtres de ce jeune printemps : Avant dîner, no
amment décrit et que nous croyons avoir vu. Oh ! ce n’est plus ici la
joie
de Plombières, ce n’est plus le mouvement, la dan
vertueuse, dans un bal auquel elle assistait, exprimait à une amie sa
joie
d’être délivrée enfin de cette jeunesse qui oblig
ec le corps ; il a déposé le plus lourd de son fardeau ; il bondit de
joie
, et me tient toutes sortes de discours sur la vie
ns. À chaque âge, à chaque étape de la vie, une hôtesse nouvelle, une
joie
proportionnée à la saison, et possible encore, no
. Tout m’amuse et tout me plaît. Je trouve qu’à chaque jour suffit sa
joie
, et je suis plus que jamais convaincue que notre
oup de choses se sont envolées des âmes, la sincérité, la candeur, la
joie
, l’imagination, le sentiment vif de la vérité : M
vril (1885). — Les Cygnes (1885-1886). — Ancæus, poème (1886-1887). —
Joies
(1889). — Les Cygnes, nouveaux poèmes (1890-1891)
encore à l’auteur, reconnaissance puérile et honnête, quelle sereine
joie
j’emporte toujours avec moi, ne me séparant guère
extérieurs son allégresse préférable ou son souci. Son pays modela sa
joie
, il exprime la joie de son pays ; le décor offrit
resse préférable ou son souci. Son pays modela sa joie, il exprime la
joie
de son pays ; le décor offrit au poète le don et
êtres animés ne forment qu’un concert dont la note universelle est la
joie
de vivre. C’est le bruissement de la vie animale
ance, au mariage, au sacrifice, à la mort de tous les enfants d’Adam.
Joie
et larmes deviennent des hymnes dans sa voix. Le
s, ses mères, l’armée victorieuse traduit instinctivement en chant sa
joie
et son cri de salut. Aucune victoire n’est complè
. Je ne manquais jamais de me mêler à ces rondes, et je bondissais de
joie
naïve et précoce, en tenant par mes deux mains le
e à la fin de l’air, poussait un de ces grands cris de triomphe et de
joie
qui sont l’évohé rustique de ces fêtes de village
leurer seule dans la grange ; mais cette fois c’étaient des larmes de
joie
. XIV Le lendemain, la couturière Nicette a
s des arbres comme un souffle de tempête, tempête de sentiments et de
joie
dans un cœur d’adolescent, qui se communiquait pa
Didier qui remplissait le fond de la vallée d’un tonnerre roulant de
joie
, tout le monde se leva pour l’apercevoir de plus
e ? Allons ! mon pauvre Didier, rentre dans ton bon sens et ravale ta
joie
et ta chanson ; tu ne seras jamais que le jouet d
besoin de chanter, quand l’âme est émue jusqu’à l’enthousiasme par la
joie
, est un instinct inné de l’homme chez le paysan c
et triste… Et le potier, devenu songeur, brise sa coupe. Tout est
joie
, tout est beauté dans la nature. Le rêve du poète
gorge prudente… Oh ! qu’il sache, entraînant d’un geste surhumain La
joie
de ta beauté vers l’éternel demain, Lever le ryt
e activité, principe de tout, ne saurait s’exercer sans dégager de la
joie
, car à toute fonction en exercice s’attache un pl
à toute fonction en exercice s’attache un plaisir. Aussi bien, cette
joie
que procure le sentiment en nous de la vie qui s’
ne, car elle est encore une puissance d’être et se confond avec cette
joie
sacrée, latente, intuitive qui bande perpétuellem
e et lâche, sa négation : Car la Vie est belle et sainte, La Vie est
joie
et douleur et mystère, Et pour mourir, ainsi que
he l’idée est un concept ; chez le poète elle devient amour ou haine,
joie
ou douleur, affection, désir. Ces trois caractère
ci un bleu qui chante, un rouge pervers », et son âme tressaillira de
joie
. Dès l’abord un musicien écoute des sons, s’entho
rs rouant des gloires de saphyr, Des textes graves et des légendes de
joie
Aux banderoles brusques de pourpre de Tyr ! Le G
é sculpter des faunes, des centaures, des nymphes, indiquant ainsi la
joie
de la création artistique. Tandis que je taille a
’hui s’étaient armés d’espoir, Qu’il sache avec quel violent élan ma
joie
S’est, à travers les cris, les révoltes, les pleu
une esthétique basée sur la notion de vie. Fort, son panthéisme et sa
joie
. IV. — Fort et la sensibilité française. Son clas
urant à créer une même mentalité collective. Ce m’est précisément une
joie
, à chaque nouveau poète analysé, de me heurter à
sera-ce au milieu de ces Villes tentaculaires aux cris déchirants de
joie
furieuse, aux halètements de forges, aux heurts c
siècle, fut d’abord l’éclosion d’un grand souffle de liberté. Quelle
joie
, pour nos poètes, de respirer loin des sentiers b
aut le reconnaître, il y eut quelque confusion dans ces mots, tant la
joie
de découvrir l’univers enchanté poussait les poèt
ir de mon cœur, de tes lignes, de tes matières impérissables avec mes
joies
, ces rêves, et ma vie, ces douleurs, — qu’avec mo
u sens où l’entendait Guyau, se résume en ces mots : la lumière ou la
joie
. Il est curieux, en effet, de remarquer combien l
itant, s’est achevé, grâce aux symbolistes, sur un vigoureux hymne de
joie
. Le pessimisme d’un Chateaubriand, d’un Hugo ou d
aire jouer ses membres et fonctionner ses organes constitue autant de
joies
. Dans notre participation à la vie de l’univers,
re de livres aux titres exultant : Les Heures claires, Clarté de Vie,
Joies
, Entrevisions, etc., etc. Ainsi les symbolistes,
er la sérénité, qui est le procédé positiviste, pour aller jusqu’à la
joie
. Ils ont tiré du panthéisme autre chose que le st
nthétisé le jeu des forces de l’univers dans cet instinct lyrique, la
joie
ou la libre expansion de nos puissances. Ainsi
issonnent les notes frêles de clochettes aériennes : Voici le don de
joie
et de pensée altière que verse aux fronts humains
ecté. » C’est assez dire que l’enfant commença à se chercher dans une
joie
studieuse. Mais comme la solitude et l’isolement
bien, ce goût un peu fantasque, cet air de ne pas avoir l’air, cette
joie
amusée de contempler ses propres pirouettes, est
oi permettant de se mettre à côté des choses pour mieux les regarder.
Joie
de vivre au milieu de la mobilité des formes, de
nassouvies, Et d’identifier l’essence de nos vies, Et d’en pleurer de
joie
, et de mettre en commun Le sang, l’être, l’amour,
aux sources de l’Imitation, la critique catholique ait dû saluer avec
joie
ce livre d’art, conçu dans une extase religieuse,
e petites harmonies mystérieuses, impossibles à nombrer, d’où naît la
joie
suggestive du poème58. Enfin, le rythme et la bea
sés ». Elle est « l’ivresse de totaliser, le délire des ensembles, la
joie
de la synthèse ». Les chefs-d’œuvre de l’architec
tant de choses et qui danse devant l’immortel Atlantique, pour l’âpre
joie
seulement d’élancer des lignes chargées de souven
ssion de sa méthode et de ses preuves, « maître de sa pensée et de sa
joie
», Mithouard éprouve l’une et l’autre à Venise, m
yeux » ne fut mieux accueilli. Et notez que le mouvement, la vie, la
joie
n’ont pas ici d’autre fin qu’eux-mêmes. Ah ! que
il et riche de substance. La fin du volume célèbre le bonheur et la
joie
d’être, l’ivresse de se laisser emporter au fil d
s seins pointent et ton genoux vers la côte, Du même élan dont bat la
joie
des ailes, Victoire ! Vers l’attente, debout au r
ces, coupe de soleil, Alléluia, alléluia, Coupe de soleil et coupe de
joie
. Ô fleur royale, Gloire de siècles éternels ! C
nt avec les plaisirs et les souffrances des sens non plus qu’avec les
joies
et les peines suscitées positivement chez une per
de l’âme. Le poète jouit de sa jouissance et aspire pour se donner la
joie
de se sentir dans l’exaltation. Dès lors se compr
s de paysages et de lacs ne conviennent. À ces minutes de songe et de
joie
indéterminés l’être ne voit rien : il palpite com
s nomades, Entrevisions, etc. D’où ce désir de « tout sentir », cette
joie
de vie, ce besoin d’émotions multiples, ce perpét
la poésie moderne. Que de beautés sommeillent sur la terre ; que de
joies
! écrit Mockel. Prends garde qu’une seule d’entre
», qui n’est autre qu’un idéalisme des sens, une ivresse d’être, une
joie
de tout sentir, une contemplation passionnée. Ver
Poésie que nous voulons chercher est plus que tout cela, elle est la
joie
ineffable et vivifiante, où la raison, le cœur et
le de sensations qui s’écoulent et fuient sans fin. Pour communier la
joie
des choses, ce vaste continu animé qu’est l’unive
t ; celle de Griffin est un élan vers l’action, l’effort se colore de
joie
. Mockel a bien résumé ces deux attitudes en faisa
it impossible que la poésie ne transformât ses modes d’expression. La
joie
de la lumière, de la vie, du mouvement orienta le
rès d’ajouter : « La plus faible sensation atteint à nous fournir une
joie
considérable si nous en exposons le détail à quel
ui faire rendre son maximum de vibrations, apprendre à s’étonner avec
joie
, curiosité du désir en perpétuel recommencement,
vent la spontanéité. On oubliait que l’ordre consiste à accepter avec
joie
ses limites nécessaires et à trouver dans cette n
à y regarder de près, notre auteur ne fait que chanter l’action et la
joie
. L’inquiétude et le désir, synonymes de plus d’êt
n tracées, plantées d’arbres géométriques ; quelques-uns mettent leur
joie
à se tailler un sentier dans la brousse ; l’ombre
icate vierge qui place son effort dans le renoncement, qui y donne sa
joie
et qui s’accuse même de trouver du bonheur dans s
un plaisir immédiat un intérêt plus durable. Le chrétien sacrifie la
joie
terrestre à un bonheur éternel. Et l’acte d’amour
il le reprend vivement de l’autre, et alors nous le voyons exalter la
joie
et les sens avec quelle intensité ! II Une
us piquer d’un fin aiguillon. Il n’y a là aucun mauvais goût, mais la
joie
plutôt de se sentir au-dessus de son travail, de
nous le devons remercier, de nous avoir donné le goût des espaces, la
joie
des pays neufs, l’ardeur de la conquête sur nous-
e fastidieuse étude, — désirs de brises et de musiques, qui dirait ma
joie
lorsque enfin, après avoir marché longtemps comme
du Voyage d’Urien. Et toutes les Nourritures terrestres clament cette
joie
de lumière, ce perpétuel accroissement de notre ê
euse jeune fille s’est immolée pour rien. L’Immoraliste, parvenu à la
joie
et à la possession de ‘ses transports, se prend à
point faible du système. Il est faux que tout effort soit pénible. La
joie
réside au contraire dans l’action et, sans nous l
les formes de la vie ; celles des poissons et des plantes. Sur toutes
joies
des sens j’enviais celles du toucher. … À cet âge
de en fonction des sens ; elle ne sert qu’à les mieux diriger vers la
joie
, aussi doit-elle se dépouiller de toute théorie q
Elle doit être condamnée dans la mesure où elle est un obstacle à la
joie
, une barrière à la manifestation du divin à trave
e, l’action, l’effort nous apparaissent comme les vrais mobiles de la
joie
. La puissance de caractère et la belle possession
entière déchaîne de l’enthousiasme, est conçue selon la plus intense
joie
, a pour fin d’évoquer la vie totale. Que dis-tu
une énorme génération qui monte, qui monte tout armée, tout armée de
joie
vers la vie. Une telle doctrine de vie suppose
sceptible de nous enseigner le bonheur. On est chacun l’artisan de sa
joie
; les conseils d’autrui ne sauraient nous sollici
comme l’oiseau, pour s’envoler, quitte son ombre. Ah ! Michel, toute
joie
nous attend toujours, mais veut toujours trouver
la seule, et qu’on arrive à elle comme un veuf. — Ah ! Michel ! toute
joie
est pareille à cette manne du désert qui se corro
ir notre faim et notre soif, nous rassasier et partant nous priver de
joies
neuves, est condamné. Anathème contre celui qui r
es. Des deux attitudes contraires dont l’une consiste à accepter avec
joie
ses limites, et à trouver de l’exaltation dans ce
conséquent dans l’impossibilité d’exprimer » le mystère des bois, la
joie
des matins clairs, le parfum particulier de tel s
On ne saurait rien retirer de profitable de Tristan, ni goûter aucune
joie
à la musique de Debussy sans une longue initiatio
atin avec ses brumes et ses fraîcheurs, la forêt avec son mystère, la
joie
et la douleur dans leur spontanéité vivante et le
des misères individuelles ou collectives ; l’historien est tout à la
joie
de faire sortir des vieilles chroniques, dans tou
sifiés, des analystes et des historiographes. Michelet eut une grande
joie
en 1831 : il fut nommé chef de la section histori
aux qui peuvent servira écrire cette histoire : on entend ses cris de
joie
, de douleur, d’amour, de haine, d’espérance, de d
nd Michelet écrit son moyen âge (1833-1843). Il s’abandonne, avec une
joie
d’artiste, comme il l’a dit, à l’impression des d
ue de l’Idée et le contact de Dieu : il mettra en eux son amour et sa
joie
. Il sera toujours avec les plus effrénés chrétien
qui toujours, du reste, avait été la religion de son intelligence, la
joie
de ses sens. Il fixe ses impressions, ses visions
oup de nos contemporains, est pour Michelet une inépuisable source de
joie
, de force et de foi : il y renouvelle sa vie mora
trembler les apparences. Jamais, en le regardant, nous n’avons eu la
joie
de dire : Ecce homo ! La victime était faite de l
riche, vite réalisé ». Soyez remerciée, Mélusine, pour les profondes
joies
que vous m’avez données. Votre critique d’aujourd
gré tous ses défauts, j’aime votre livre. Il donne à qui sait lire la
joie
du plus merveilleux des spectacles : l’allure lib
frances ou rugit les plus extrêmes colères, ses harmoniques disent la
joie
de ne point parler bourgeoisement. Le parnassien
dance généreuse. Il a la cruauté, l’ironie calculée. Il n’a jamais la
joie
des larges mouvements et de l’irrésistible puissa
liste, ô gracieux Renanet, tu as plus de vanité intellectuelle que de
joie
intellectuelle. Frôleur d’idées, faiseur d’idées
de est belle. Seules, les nobles constructions équilibrées donnent la
joie
qui dure. Tu es incapable de construire. Tu es le
ère blessure. Il a sur la fête de Noël une lettre à Kestner pleine de
joie
, de cordialité, de sentiment pittoresque, et auss
rock, et demandai un crayon et du papier, et je dessinai, à ma grande
joie
, le tableau entier aussi chaud qu’il se représent
aussi chaud qu’il se représentait dans mon âme ; tous partagèrent ma
joie
sur ce que j’avais fait, et leur approbation me r
adeau, et je m’endormis en remerciant les saints dans le ciel pour la
joie
d’enfants qu’ils ont voulu nous accorder pour la
J’ai exécuté hier des rondes de danse. J’ai encore d’autres sujets de
joie
que je ne puis pas dire (Ne serait-ce point l’idé
ce n’est pas le désespoir, c’est plutôt l’ivresse bouillonnante et la
joie
qui président à la conception de Werther ; c’est
s imaginez pas comment il est. Mais il nous causera encore de grandes
joies
, quand son âme ardente se sera un peu calmée. » C
de grandes joies, quand son âme ardente se sera un peu calmée. » Ces
joies
ne furent que lointaines et telles que les peut p
ndamentale avec Chateaubriand, le sentiment cordial et domestique, la
joie
d’enfants à cette veillée de Noël. 56. [NdA] Il
ugir jusqu’au lobe délicat de ses oreilles, il a dit dans Hespérus la
joie
du renoncement et annoncé l’Évangile de l’enfance
ème volume, surtout les heureusement si nombreux poèmes d’amour et de
joie
? Cette prédilection me vient-elle de ce que, moi
e ne se perd et des abréviations d’une saveur aiguë. On y trouve avec
joie
des élans lyriques. Le lyrisme dispose d’effets s
e verger de la bonne soif. Autant que la Faute de l’abbé Mouret ou la
Joie
de vivre, le Roi vierge fit saisir aux mains acti
le veut contraire à sa course victorieuse. Il entraîne. Il pleure de
joie
. Il excite. Il répand et il embrasse. Il brandit
out… Vous avez vu avec quel entrain, quel zèle, je dirai aussi quelle
joie
, les artistes de l’Odéon se sont voués à l’œuvre
une réalité par le succès, c’est mieux encore ; et je ne cache pas la
joie
que j’éprouve à entendre applaudir un drame qui n
que l’œuvre dont je dois parler aujourd’hui, et je n’en cache pas ma
joie
… Non que le métier en soit absent, car le drame e
sujets, la surabondance de l’esprit, la grâce alerte et piquante, la
joie
, la frénésie, l’éloquence, la gaîté, la bouffonne
assemblée, que je dois être ravi en extase s’il me parle, pleurer de
joie
s’il me sourit, avoir le cœur brisé s’il me négli
Nous comprenons maintenant l’adoration, les tendresses, les larmes de
joie
, les génuflexions des courtisans auprès de leur m
obtenir des distinctions de honte : les bâtards simples du roi ont la
joie
de draper à la mort de leur mère, au désespoir de
où le bâtard est dégradé est une « résurrection. » « Je me mourais de
joie
, j’en étais à craindre la défaillance. Mon cœur,
er les hommes à leurs affaires, pour leur imposer ses douleurs et ses
joies
, il faut une surabondance de douleur et de joie.
ses douleurs et ses joies, il faut une surabondance de douleur et de
joie
. Le papier est muet sous l’effort d’une passion v
es fureurs de haine, des ricanements de vengeance ; des transports de
joie
, des folies d’amour, des abattements de douleur,
cipitation de sa plume, si prompt à la haine, si vite enfoncé dans la
joie
, si subitement exalté par l’enthousiasme ou la te
cœur et l’esprit ; on y voit le suprême bonheur de toute une vie, la
joie
délicieuse avalée à longs traits et savourée jusq
rfs peuvent porter, plus il peut faire ; sa capacité de douleur et de
joie
mesure le degré de sa force. La misère des scienc
sa fougue, le personnage entier lui semble pétillant, entouré par la
joie
d’une sorte d’auréole. Nul ne voit plus vite et p
aintives, éclatantes, d’une âme qui cherche à exprimer sa douleur, sa
joie
, son cantique à son Dieu ? Qui n’a pas passé des
lyre ; les notes tremblantes montèrent jusqu’au ciel en inspirant les
joies
célestes. Il chanta d’abord Jupiter, qui abandonn
Bacchus toujours jeune et beau. Voici venir en triomphe le dieu de la
joie
! Sonnez les trompettes, et que le tambour résonn
ent ! il vient ! Bacchus, toujours jeune et beau, créa le premier les
joies
de l’ivresse. C’est le trésor de Bacchus, le plai
ne vivant aux bourgeois, aux grands et aux princes. La naïveté de ses
joies
ou de ses peines, selon que l’enfant est plus ou
Il faut donc que je convainque le monde. Et ce n’a pas été une petite
joie
et un mince triomphe pour moi que d’entendre un v
nous présenter chez Son Éminence. Le cardinal en témoigna une grande
joie
, disant que Wolfgang parlait bien l’italien. Au m
mort prochaine. Si je te connais, je n’ai à attendre de toi que de la
joie
, et c’est ce qui me console de ton absence, laque
est ce qui me console de ton absence, laquelle me ravit la paternelle
joie
de t’entendre, de te voir, de t’embrasser. Vis do
endre, et qui ne sentent pas avec moi ce que je joue ; je perds toute
joie
, tout honneur à jouer. J’ai plus tard tout racont
e, et que nous passions le reste de nos jours dans la paix et dans la
joie
. » XV Cette paix et cette joie, qu’il aima
s jours dans la paix et dans la joie. » XV Cette paix et cette
joie
, qu’il aimait à voir en perspective, se changèren
e jours après en larmes éternelles et en complet isolement : la seule
joie
de sa solitude, sa mère, malade de tristesse et d
u chœur des instruments. Aussitôt après la fin j’allai dans ma triste
joie
au jardin du Palais-Royal. Je dis le chapelet, co
douleur, et, très sagement, même avec la folie. Sous son regard, une
joie
étrangement savoureuse sans cesse germe et fleuri
. L’homme a dans ses rêves des refuges splendides, dans son amour des
joies
inépuisables. Le rêve et l’amour sont à tous ! Qu
t comment on s’affranchit des accidentelles douleurs en en faisant la
joie
du souvenir ou l’ombre du lumineux bonheur… Eh bi
t le triple don qu’ils viennent faire à l’Enfant, le triple don de la
joie
, de la douleur et de la divine intelligence. Il f
es puissances inconnues sont venues faire le triple don. Ce don de la
joie
sans quoi point d’idéal puisque point de désir. C
puisque point de désir. Ce don de la douleur qui double le prix de la
joie
et lui prête un caractère auguste. Ce don enfin d
re auguste. Ce don enfin du génie et de la gloire. Il souffrira de sa
joie
impossible et la réalisera dans son rêve par le v
de sa douleur où il puisera une nouvelle intensité de vie ; et de sa
joie
et de sa douleur il parviendra par la mort à la g
e qu’elle en sait assez désormais pour se diriger seule à travers les
joies
et les douleurs de la vie. Ce pas ne se franchit
evait à l’autre. Il change seulement de caractère. Il avait chanté la
joie
de vivre : il célèbre la volupté de souffrir. C’e
ure, dans la perfection de ses facultés individuelles et sociales, la
joie
religieuse dont les cultes anciens n’offraient qu
t le rôle du rite, ce sera le rôle de l’art par la dispensation de la
joie
. Il intéresse le sentiment, cette force qui, non
ent sans pécher contre l’humanité sacrée, mais qu’il faut saluer avec
joie
au terme du chemin. La mort, c’est l’infini lumin
louit de sa clarté, Se rembelliront dans un suprême prodige De par la
joie
d’être à l’heure d’avoir été ! Descends alors su
fais luire sur nous la lumière de ta face. « Tu as mis ainsi plus de
joie
dans mon cœur que dans le cœur de ceux dont tu mu
oleil), comme un nouvel époux sortant de sa couche, s’élance, ivre de
joie
, pour parcourir sa carrière. « Il part du bord de
te la vie ! Le soir les larmes entrent dans sa demeure ; le matin, la
joie
! « Dans tes mains je couche ma vie ! « Approchez
e. Les plaines du désert en débordent, les collines sont enceintes de
joie
, les prés sont couverts d’agneaux, les vallées vê
t couverts d’agneaux, les vallées vêtues de moissons ; on est dans la
joie
et on chante ! « Lorsque vous vous reposez entre
e terre nue ! « Ceux qui sèment dans les larmes moissonneront dans la
joie
. « Il s’en allait devant lui et pleurait en march
es chants de Sion, votre patrie, nous disaient, en nous commandant la
joie
, les oppresseurs qui nous retenaient en captivité
mis de rendre sur la terre à cet instrument de douleur, de larmes, de
joie
ou d’adoration ! Voilà la poésie sanctifiée à sa
t les brebis d’Isaïe, son père. C’étaient ces sons, ces horizons, ces
joies
du ciel et ces tristesses de la terre qui l’avaie
nom d’Adonaï ; L’aigle effrayé lâcha sa proie, Et je vis palpiter de
joie
Deux ailes sur le Sinaï ! ………………………………... …………………
is si longtemps perdue, j’obéirai non seulement de bon gré, mais avec
joie
, comme si l’ordre me venait d’elle ; et tandis qu
t jusqu’à mon dernier âge, ajoutent le plaisir au devoir, me font une
joie
de te rendre de tels honneurs que le peuvent mes
unirent ses pensées, il paraît avoir eu bien des heures de gaieté, de
joie
, et de la plus gracieuse sociabilité ; il excella
ue le médecin craignit que cette brusque transition du désespoir à la
joie
n’amenât à son tour une crise nouvelle. — « L’hom
près midi. Cowper, en causant avec ce jeune homme, rencontra avec une
joie
inexprimable une âme nourrie des plus vives notio
ne prière en commun. Cette vie à demi monastique s’accordait avec une
joie
intérieure et une allégresse véritable ; elle éta
t plaisir de quoi que ce soit dans ma vie : si j’ai une impression de
joie
, elle va à l’extrême. » Il commençait aussi à écr
t, lui a ouvert le chemin vers cette aurore où tout se rajeunira : la
Joie
. Ce mot suffirait pour indiquer le rang magnifiqu
Ce mot suffirait pour indiquer le rang magnifique du poète : il a la
joie
! [La Littérature de tout à l’heure (1889).] G
ques et littéraires (1er décembre 1893).] Émile Besnus C’est la
Joie
lyrique, immense, ivre encore, on dirait, du vin
humanité retiendra le nom du divin poète qui chanta dans un jardin de
joie
, Erynna, le Festin des Dieux et l’Âme de Coelio,
Poète dont la voix tour à tour grave et douce Disperse le sourire, la
joie
et la lumière, Banville, sois béni entre les die
les pour son plaisir et combinait des luttes de peuples pour la seule
joie
de son imagination. Voilà de quoi choquer José-Ma
faire s’évanouir dans mon esprit toute l’espérance humaine. Sur toute
joie
, pour l’étrangler, j’ai fait le bond sourd de la
faut une autre exaltation de tout son être, et c’est dans la suprême
joie
de l’activité passionnée qu’il la cherche désesp
nt à les faire dévier un peu de leur sens habituel, et ce lui est une
joie
de les employer à neuf, en quelque sorte. De là p
reconstituer tout un roman d’amour qu’on imagine mêlé de larmes et de
joie
, qui dut enfin se résoudre en amère tristesse :
de la Sulamite, elle passe, reine d’Orient. Sa présence est toute la
joie
, toute la gaieté. Mais, loin d’elle, l’exil est l
sons, des imprécations, de la pluie et du soleil, des larmes et de la
joie
, tout cela entre dans cette synthèse. Mais il fal
agrément exquis à ce mélange de deux inspirations disparates… Jeu et
joie
de lettré très subtil ! Peut-être des considér
Cet amour de la vie, de la nature, il le pousse à l’extrême et cette
joie
même de son imagination affriandée a quelque chos
epuis le temps, peu éloigné pourtant, des Flamandes. C’était alors la
joie
de vivre qui l’enchantait, une sorte de félicité
; n’y a-t-il pas en elle quelque chose de meurtrier ? Elle tue toute
joie
, elle flétrit toute félicité. Sournoise, elle s’i
vaines « de tailler en drapeaux l’étoffe de sa vie » !… Ah ! sa seule
joie
, sa dernière joie, amère et douce : savourer l’ex
r en drapeaux l’étoffe de sa vie » !… Ah ! sa seule joie, sa dernière
joie
, amère et douce : savourer l’excessive torture, s
aires »77, des heures sereines, des heures d’amour, la bonne chanson.
Joie
merveilleuse et parfaite extase, amour infini de
es claires sont des variations harmonieuses sur le thème unique de la
joie
. Tout est calme et tout est beau. La Nature, autr
n toc, et le brocantage du soleil ! La foule se rue à ces trafics, la
joie
dans les yeux, la folie au cœur… Ici, les spectac
t clairvoyante résignation la domine, et l’abandon définitif de toute
joie
lui donne une sérénité triste : La joie, hélas
’abandon définitif de toute joie lui donne une sérénité triste : La
joie
, hélas ! est au-delà de l’âme humaine, Les main
l s’est senti gagné par cette universelle ardeur ; il en a tiré de la
joie
et de l’espérance. L’œuvre d’Emile Verhaeren, sa
qui est le tout de ce qui est, et il participa frénétiquement à cette
joie
féconde. Le poème de malédiction devint un hymne
res personnelles, mais plutôt le souvenir de ces tristesses et de ces
joies
, éveillé par le paysage, dans les douceurs d’auto
ffit qu’à le contempler l’âme ait trouvé l’oubli d’elle-même et cette
joie
du détachement que donne l’Art. … Un rêve. Dans
entendre l’âme même, oui, sans intermédiaire, immédiatement, l’âme en
joie
, l’âme en détresse, l’âme en folie, l’âme éperdue
oute, « masques qui furent ma vie », antiques symboles de la terre en
joie
. N’es-tu la fauve odeur des antiques satyres pa
, emblème surgi du fond obscur d’elle-même, figure de tristesse ou de
joie
. De ce dédoublement naît le symbolisme essentiel
se contente pas des enivrantes sensations de nature, de soleil et de
joie
délicieuse, mais la veut vêtir du manteau de scie
es, elle la Nue et la Capricieuse, dont le sort est de participer aux
joies
de l’universelle vie… Les Roseaux de la Flûte,
our. Mais, le vivant, plus taciturne, ne sait rien des gaietés et des
joies
; il ignore l’aurore et les treilles mûres, et si
s préoccupations sociales et s’efforceront d’associer le peuple « aux
joies
de l’art » ; lui non, et dans un véhément poème i
et fraîche, une poésie primesautière, de belle ardeur et de confiante
joie
: J’errais en un pays sans nom, parmi des fleur
n pays sans nom, parmi des fleurs, Sans rêve et sans passé, joyeux de
joie
étrange, Enfantin et riant des sons et des coul
a formule propre, qui est celle du vers libre. Le recueil intitulé
Joies
, qui parut en 188998, s’ouvre sur cette déclarati
s nouveaux son véritable mode d’expression, ainsi que le prouvent les
Joies
. C’est à la poésie populaire que Vielé-Griffin e
oésie populaire que Vielé-Griffin est allé redemander le secret de la
joie
, qu’avaient perdu les lettrés. Il s’est, à plusie
est l’âme même qui chante ici et elle ne se divertit point de quelque
joie
particulière, mais toute joie humaine est en elle
et elle ne se divertit point de quelque joie particulière, mais toute
joie
humaine est en elle et l’exalte, en dehors du tem
èmes, de même que dans les âmes successivement émues de douleur et de
joie
, de même aussi que s’obscurcissent ou s’éclairent
oive là, et l’âme est un reflet du monde. Elle s’embellit de juvénile
joie
lorsqu’à l’aurore délicieuse, dans la gloire irra
es, elle éprouve, elle aussi, ce trouble délicieux et « s’attriste de
joie
»… Il n’y a pas, dans ce mélange de sentiments, u
licité d’émois n’est pas inharmonieuse. Les tristesses s’unissent aux
joies
dans la ferveur de l’âme exaltée, car tout cela,
e esthétique. Mais l’allégresse juvénile s’est apaisée et, à la belle
joie
toute spontanée et vive, la patiente réflexion s’
ternatives de torpeur et de ferveur que l’âme traverse. Et, comme les
Joies
, c’est donc ici encore la spontanéité même de la
et de l’Amante y est à la fois douloureux et passionné ; à côté de la
joie
y apparaît la détresse et à la volupté l’amertume
ole est clair et se développe en pleine lumière, aventure d’amour, de
joie
et de rêve… Le lyrisme de Francis Vielé-Griffin
ans La Clarté de Vie112 . Ces poèmes unissent au charme descriptif de
Joies
la profondeur de pensée des Cygnes, et ils doiven
he des moissons sublimes et l’ivresse des hommes qui participent à la
joie
des choses, elles sont là toutes deux, tantôt gra
la Mort s’est pâmée ! L’Amour et la Mort donnent à ces poèmes leur
joie
et leur mélancolie. Mélancoliques et joyeux tout
émané de ces yeux, le songe est entré dans l’âme de Pan… Dans les
Joies
, les Cygnes, la Clarté de vie, la pensée de Vielé
n, Par Myrtis, une femme d’Anthédon… … Je pleure ! ce doit être de
joie
. Et enfin il revient auprès de Lassos d’Hermion
s et des plus nobles ; certains ont un superbe éclat de lumière et de
joie
… Mais Phocas est le chef-d’œuvre dramatique de G
ers la fin de la journée, étendu sous un figuier, voilà qu’il rêve de
joies
que son père n’avait pas prévues, et des velléité
u retenu ton coussin au cirque ? Luxure, lâcheté !… Adieu, bien de la
joie
, bien de la joie ! » La violence de Johannès exa
sin au cirque ? Luxure, lâcheté !… Adieu, bien de la joie, bien de la
joie
! » La violence de Johannès exaspère Phocas. Il
tes princesses somnolentes. Elles se sont endormies, faute de quelque
joie
qui entretînt en elles la ferveur de la vie. Mais
parer, dans les villes et les campagnes, l’avènement de l’universelle
joie
de vivre, afin que des labours, des fermes et des
n incessante et pacifique voix, c’est l’appel de tous à l’universelle
joie
; cela chante et retentit dans le bruissement des
sont aussi ceux qui vivifient l’âme frémissante des choses. Une même
joie
de renaissance éveille, au printemps, l’universel
ergeronnette chante sous les capucines vermeilles, Aiguë et douce, la
joie
des jours dans les futaies Et la paix des nuits
une grave beauté biblique ; elle est capable d’exprimer à la fois la
joie
de la vie vraie, l’amère pensée « qu’on se bat au
ont pareilles à nous, souffrantes ou heureuses. » Il participe à leur
joie
et compatit à leur douleur ; une étroite fraterni
ssible de concevoir que le monde soit organisé sur un plan tel que la
joie
n’y doive pas régner. Alors, plutôt que de généra
onté, ces oiseaux, qui devraient mourir dans cette cage, chanter de
joie
, mon Dieu, comme une pluie d’orage. Même, il lui
de la froideur et de didactiques intentions ; au lieu qu’il y a de la
joie
, de la passion et de la vie à travers ces poèmes
ut, au milieu de l’immense Nature, il se réjouit et il s’enivre de sa
joie
. Il n’y a guère d’œuvre poétique aussi complètem
, tantôt sifflant, tantôt chantant, et aux aguets toujours de quelque
joie
qui, des feuilles, de l’herbe, des vagues, des nu
s existences éperdues au milieu de trop vastes horizons, de la grosse
joie
des jours de bordée, de la tristesse des prochain
dieuse Nature, indifférent à tout le reste, comme un vagabond pris de
joie
, il s’est mis à chanter. Une évocation de la
tifs. Les bacchantes, thyrses levés, se précipitent. Bacchus hurle de
joie
; les faunes le suivent, les Ménades sont folles…
aumé, du soleil délicieux. Il a des émerveillements et des peurs, des
joies
, — et de mauvais moments à passer : ainsi, lorsqu
erie séculaire, — le dimanche d’inaction, de contemplation dévote, de
joie
et d’un peu d’ennui. De vieux refrains se mêlent
rrière les vitres, les lampes s’allument, et sur les places la grosse
joie
s’ébroue : fêtes publiques et rondes de chevaux d
Il célèbre la Flandre, avec ses sanctuaires et ses cloîtres, avec la
joie
de ses travaux, et ses chansons et ses fêtes. De
rès ces fêtes vertes ! Dorénavant, cœurs simples, mains ouvertes,
Joie
, pureté et toutes les vertus Pour Madame de Mont
« A voir telles les choses qui nous entourent, nous éprouverons de la
joie
, de la confiance et du bonheur », — de la sympath
t, et de ceux qui prient, et de ceux qui souffrent, bénédiction de la
joie
et de la douleur, bénédiction de toute la vie… E
ys clair, Bâtons usés, gourde sèche et besace vide, Mais l’âme en
Joie
, Seigneur, et le cœur intrépide. Ces poèmes, ai
semaine trois livres de bas-bleus : Mater gloriosa, de Paul Georges ;
Joie
morte, de Jean Laurenty ; Un vicaire parisien, de
ante, peu éblouie, repousse titre et fortune. Elle cède pour la seule
joie
de céder. Puis, elle se venge en brûlant le châte
arbey d’Aurevilly, Henry Gréville ou Cherbuliez, le font parader avec
joie
, parce que, paraît-il, sa psychologie ondoyante s
bres et les heures tristes. Ne vous désintéressez pas de votre propre
joie
. » Il faut « vivre dans une atmosphère de joie ».
ez pas de votre propre joie. » Il faut « vivre dans une atmosphère de
joie
». Mais cette atmosphère, on doit la créer soi-mê
es pensées poétiques de Mme Daudet, s’appuient sur des souvenirs. Les
joies
d’imaginations sont des oiseaux qui ont besoin, p
mble sur le point de briser la frêle barque. Toujours, d’ailleurs, la
joie
de Max Lyan a quelque chose de contradictoire. La
olide margelle. Il semble que, sur un ton qui reste mélancolique, les
Joies
psalmodient le retour voulu à la foi de l’enfance
urs il voit l’indifférence. . …………………….. Il chasse d’un sourire et la
joie
et le rêve. Quelle poésie ou même quelle vie pou
us son nom » cet Éternel Pierrot. Lisons un ou deux vers, et, pour la
joie
de voir sourire telle délicieuse « bouche de coli
onie, quand je rencontre : Sa bouche est la margelle de mon puits de
joie
où tombent les cailloux de ses éclats de rire. L
n ami, regarde au loin la belle vie, j’aurai du rose aux joues, de la
joie
dans les yeux, car, bien sûr, tes baisers me rend
adémie. Parce que j’aime tous les sentiments vrais, je soufflète avec
joie
les masques de noblesse. Mon admiration attendrie
des fleurs sur notre terre Pour embellir les fronts heureux. Oui, sa
joie
et sa grâce avec sa vie écloses Sont à mes yeux a
ieux d’aimer plus qu’il ne se le proposa, et il ne pardonne point des
joies
trop grandes, en dehors de son programme. Le traî
es vivres d’abord et bientôt deux millions. Ce succès me comble d’une
joie
d’autant plus vive que l’aimable garçon, malgré s
elle mêle l’abstrait et le concret avec une inconscience qui fait ma
joie
: « Le conducteur était rentré de l’hôtel et de s
a fermeté voisine sur qui on s’appuie d’ordinaire. Mais les profondes
joies
de la femme sont des joies de disciple : elles co
n s’appuie d’ordinaire. Mais les profondes joies de la femme sont des
joies
de disciple : elles consistent à suivre, à obéir,
gtemps triomphant, est enfin puni. Et l’auteur, sans doute étourdi de
joie
, de confondre assassin et victime et de s’écrier
animal résiste d’un poids vainqueur et immobile, elle s’effare en une
joie
religieuse, se prosterne sur toutes les faces, le
élargit béat, elle a des larmes dans les yeux, et elle s’agite en une
joie
sensuelle, sous une attaque de panthéisme hystéri
es délices. Elle regarde, avec des larmes qui lui semblent excuser sa
joie
, « éclater le crâne comme une grenade trop mûre o
c une coquetterie en deuil, se déclare « vieillotte ». On trouve avec
joie
, dans ces pages, de la vie saisie en son mouvemen
le où, n’ayant pas le courage de bien lire, je demande au théâtre des
joies
passives que je puisse croire presque littéraires
ntent est aux anges d’épouser l’ex-amant d’une grande dame, délire de
joie
à l’idée de « succéder à une princesse ». L’espri
beauté triomphante. J’étais heureux de voir deux êtres « ravis de la
joie
simple de respirer le même air ». Je jouissais de
harmonieuse dans les cris de volupté, puis dans les apaisements où la
joie
et les fleurs « n’exhalaient plus qu’une senteur
nt sa rivale à accepter le bonheur, invitant l’infidèle à cueillir la
joie
et se déclarant, elle, puisqu’ils étaient content
e française et de la Société d’Encouragement au Bien. Elle mérite ces
joies
par l’honnêteté de ses sujets, par le gris abstra
u printemps ». Ces pages ressemblent à je ne sais plus quelle fraîche
joie
qui fait dire à l’héroïne : « C’était comme le pr
*** Les premières pages que j’ai lues de J. de Tallenay me furent une
joie
noble et inquiète. Sa pensée me semblait platonic
res qui mériteraient de longs éloges. Journées de Femme m’a donné les
joies
exquises qu’on attend de toute œuvre de Mme Alpho
eut-être des talents féminins d’aujourd’hui. *** Après cette dernière
joie
, je passe indifférent, sans vouloir les remarquer
toyablement ce qui m’a paru nul ou médiocre ; mais j’ai exalté en une
joie
la beauté des vraies œuvres rencontrées. Et mon e
nées ou anonymes, que souleva ma critique franche me furent autant de
joies
. Mais, parmi les approbations qui me vinrent, nom
leurs vains bavardages. S’ils font du bruit, ces échos, ils auront la
joie
vaine des éloges payés, et la joie vaine des élog
du bruit, ces échos, ils auront la joie vaine des éloges payés, et la
joie
vaine des éloges de camarades, et la joie vaine d
ine des éloges payés, et la joie vaine des éloges de camarades, et la
joie
vaine des éloges équivoques des lâches. Leur chât
Personne n’a dit, en termes plus doux et plus pénétrants, les petites
joies
et les grandes douleurs des petites gens. Le recu
nçaise (1895).] Henri Roujon Nous l’aimons parce qu’il verse la
joie
. Assez de poètes ont mis et mettront encore leur
de clairvoyance que les élégiaques pessimistes quand il déclarait les
joies
vivantes et réelles, à l’égal des douleurs. On so
qu’autant que leur sensibilité est encore affectée par eux : quelque
joie
à considérer les formes et les couleurs leur rend
humaines leur permet seule de connaître les passions humaines. Cette
joie
de curiosité affirme encore et maintient l’existe
’empare, pour le fixer, du reflet des objets. Si l’on retranche cette
joie
, comme étrangère à l’acte même de la connaissance
a haute dignité et l’éclat de la chevalerie qui servit ses chefs avec
joie
pendant toute leur vie. « Et voilà que Kriemhilt
une belle vierge, faite à souhait, par qui il éprouva depuis bien des
joies
et bien des calamités. « Sa beauté démesurée étai
lle le voyait, celle qu’il portait dans son âme, grande en eût été sa
joie
; si ses yeux avaient pu la voir, je puis l’affir
jeunes filles qui font l’orgueil de la Burgondie. « Quelle serait la
joie
de l’homme et quel serait son bonheur, s’il n’y a
salue : c’est pour vous faire honneur. » « Le chef en ressentit de la
joie
en son cœur. Il portait en son âme tendresse sans
on d’été, ni aux jours de mai, jamais il ne sentit en son âme tant de
joie
et si vive que celle que lui fit éprouver la main
grande affection on servait le guerrier. « Et il y avait chaque jour,
joie
, plaisir et grand bruit devant la salle de Gunthe
pées, suivant l’ordre de la vierge, le brave Dancwart devint rouge de
joie
. « Maintenant joutez comme vous voudrez, dit l’ho
terait la peine, ou que lui, Hagene, ne se livrerait plus jamais à la
joie
. » XIV Hagene, le fougueux chevalier, réso
eigneur Sîfrit, avec mille de ses hommes, partit chevauchant plein de
joie
. Il pensait qu’il allait venger l’offense reçue p
tit en ce moment le premier coup de la douleur. Par cette mort, toute
joie
était chassée loin d’elle, sans retour. « Elle s’
iers de Sîfrit du Nibelung-lant. La triste nouvelle leur enleva toute
joie
. Mais ils n’y crurent point, avant d’avoir entend
e mit à s’installer, et les noces du roi commencèrent au milieu de la
joie
générale. « Tous ne purent se loger dans la ville
mps, la reine enfanta un fils ; jamais le roi Etzel n’eut plus grande
joie
. « Elle ne cessa de renouveler ses instances jusq
i aussi à ma sœur. Je suis heureux que le roi et ses hommes vivent en
joie
, car ce n’était pas sans inquiétude que j’avais d
ienvenus. » « Gîselher les mena auprès de la princesse. Elle vit avec
joie
les messagers du Hiunen-lant et elle les salua af
it se faire qu’elle vous vît souvent, croyez bien que pour elle nulle
joie
au monde ne serait plus grande. » « La reine parl
outes les offres de service qu’on lui faisait ; il en devint rouge de
joie
. « Quand la reine apprit que ses frères viendraie
êr. Je suis attachée à Hagene, c’est un bon guerrier. Mon cœur bat de
joie
à l’idée de le voir parmi nous. » « La reine alla
fin que ce que je désirais tant va s’accomplir. « — Ta volonté est ma
joie
, dit alors le roi ; non, jamais, mes propres pare
hné d’André Chénier me laissa l’impression d’une douce bucolique à la
joie
innocente, mais la Daphné de M. Signoret m’a fait
riserait bien Syrinx et si douce ; parfois, qu’elle ferait pleurer de
joie
les choses. [L’Ermitage (1895).] Alcide Bonnea
uté qui, dans la pire détresse matérielle, invente encore, pour notre
joie
, des formes magnifiques et charmantes. [Mercure d
ur nous présenter en fin de compte, sous le nom de bonheur idéal, les
joies
mêlées, les joies terrestres que nous connaission
en fin de compte, sous le nom de bonheur idéal, les joies mêlées, les
joies
terrestres que nous connaissions déjà) ; il se to
hommes pourtant, et si bienfaisante quelquefois. Et quant aux autres
joies
dont je parlais tout à l’heure, songez que ce son
dont je parlais tout à l’heure, songez que ce sont presque toutes des
joies
spéciales, des aubaines individuelles, et que l’i
comme Boileau. Ce vaste poème sur le bonheur est sans volupté et sans
joie
. Il y a plus de bonheur senti dans tel hémistiche
t désespéré d’un poète triste et lucide pour exprimer l’ivresse et la
joie
. Le poème du bonheur devient le poème du désir im
nheur idéal. Faustus, après le parfait contentement de ses sens, a la
joie
plus haute de connaître la vérité. Quelle vérité
en foudre, en aimant. Soleil ! gloire à toi, le vrai père, Source de
joie
et de beauté, D’énergie et de nouveauté, Par qui
pèse, parce qu’il ne l’a pas assez méritée. Une chose lui manque : la
joie
, la fierté de l’effort et du sacrifice accompli.
de France aux Boches. Voilà une lettre qui va donner à papa une telle
joie
que c’est encore cela qui me paraît le meilleur.
égionnaire aussitôt d’écrire à son père : « C’est en pensant à votre
joie
et en remerciant Dieu de ce grand bonheur qu’il n
iers plus encore qu’à ses affaires. En développant celles-ci, il a la
joie
de penser qu’un plus grand nombre d’honnêtes gens
e reste debout… Si la tâche est rude, vous ne pouvez vous imaginer ma
joie
et ma fierté. (Juillet 1915, lettres communiquées
Qu’est-ce à dire qu’une telle gaieté ? Comment faut-il entendre cette
joie
, dont le simple écho pour nous est déchirant ? «
es martyrs. Mais leurs visages terriblement graves attestent que leur
joie
ne les empêche pas de souffrir. Il semble que not
rieur, dont leur âme était avide, qui les soulève et les dilate. Leur
joie
sans nom, vous la trouverez décrite et analysée d
terre sacrée dont il est le petit soldat. Il souffre. N’importe ! Sa
joie
intérieure est si forte qu’elle tient en échec le
ces beaux champs pour lesquels je donne ma vie, je vous le jure, avec
joie
. J’ai appris à aimer cette terre française, ces p
la même abondance quand il faut peindre des peines mêlées de quelques
joies
. Cependant cette aurore qu’il trouve au sortir du
erveilles, pendant que le Saint-Esprit nous représente si vivement la
joie
triomphante de la céleste Jérusalem par la bouche
ndront jamais : mais vous vous réjouirez, et votre âme nagera dans la
joie
durant toute l’éternité dans les choses que je cr
ment : et moi-même je me réjouirai en Jérusalem, et je triompherai de
joie
dans la félicité de mon peuple219. » Voilà de que
ple219. » Voilà de quelle manière le Saint-Esprit nous représente les
joies
de ses enfants bienheureux. Puis, se tournant à c
ec elle, ô vous qui l’aimez !, réjouissez-vous avec elle d’une grande
joie
, et sucez avec elle par une foi vive la mamelle d
Quel cœur serait insensible à ses divines tendresses ? Aspirons à ces
joies
célestes, qui seront d’autant plus touchantes qu’
ce divine, rayonner l’immortalité rémunératrice à travers les fausses
joies
et les faux triomphes d’un scélérat de plaisir. E
es indignations et ces malédictions des victimes du sort, ce sont ces
joies
courtes, malignes et ironiques du vice triomphant
a Providence vengeresse qu’il voulait faire prédominer sur toutes ces
joies
, sur toutes ces douleurs et sur tous ces défis du
meur, se promène au milieu de ses nombreux convives qu’il excite à la
joie
. Le thème à six-huit et en mi-bémol majeur, sur l
ère avait profondément attristé Mozart ; il ne savait à qui offrir la
joie
de ses triomphes ; il reportait sur sa femme, Con
urs qui m’avait entendu et qui, jetant un grand cri de surprise et de
joie
, s’écria en parlant à mes autres sœurs : C’est lu
heures de nuit, j’entendis à la porte de la maison des hurlements de
joie
, des voix confuses qui appelaient à grands cris :
couvrirent littéralement des pieds à la tête en poussant des cris de
joie
. Dans ce tumulte de tendresse, pendant ce temps,
nom, de peur d’attrister, par quelques douloureuses réminiscences, la
joie
de ce beau jour. Mais un nouveau soupir échappé d
étaient avec nous à présent, s’écria-t-il, quelle ne serait pas leur
joie
et la nôtre ? ” Nous pleurâmes ensemble, lui ses
unes de mes anciennes amies de jeunesse, qui m’accueillirent avec une
joie
et une courtoisie tendre, pareille aux sentiments
de charmes, où une douleur céleste et indicible remplit mieux qu’une
joie
infinie toutes les espérances semées sur la terre
s comme le Cymbalum lui servirent de leçons ; il savait la vigoureuse
joie
de son Pantagruel odieuse à Genève autant qu’en S
naptitude métaphysique : une autre encore, la confiance en la vie, la
joie
invincible de vivre. Au fond, en effet, Rabelais
L’homme a le droit, le devoir d’être le plus homme possible. Voyez la
joie
dont Gargantua saine l’imprimerie inventée, l’ant
outer, pour être juste, que de ce même culte de la vie, de cette même
joie
d’être sortira une égalité sereine de l’âme. Les
gnation stoïque. Ainsi se fondera le pantagruélisme, « vivre en paix,
joie
, santé, faisant toujours grandchère » : dispositi
lutte ne sont pas à ses yeux imperfection et souffrance ; il n’y a de
joie
que là, parce que là seulement il y a vie. De là
et apprécier par le plaisir même qu’ils nous causent. A la racine des
joies
les plus hautes comme des plus humbles, on trouve
la pensée, cause un déplaisir, un choc intellectuel. Le sentiment de
joie
lié à la vérité objective n’est guère que la joie
el. Le sentiment de joie lié à la vérité objective n’est guère que la
joie
liée à l’intellection même, à l’acte du sujet int
alistes. Elle représente la liberté de la passion : l’apothéose de la
joie
de vivre. Représenter la beauté, glorifier la bea
ire la passion, c’est-à-dire le mal. Jouissance sensuelle et égoïste,
joie
de se distinguer et d’être distingué, volonté d’i
iduation et de suprématie, ferment d’orgueil, d’envie et de rivalité,
joie
égoïste du rêveur oisif et contemplatif, oublieux
et des obligations sociales, appel à la liberté de la passion et à la
joie
de vivre, la Beauté est tout cela et par tout cel
it d’union des âmes ; il est une bénédiction sociale avant d’être une
joie
individuelle. Il est le serviteur de la vie, c’es
olitesse et de toutes les délicatesses qu’on voudra. Il y avait de la
joie
en elle. Elle vérifiait de sa personne le mot de
la joie en elle. Elle vérifiait de sa personne le mot de Ninon : « La
joie
de l’esprit en marque la force. » Elle était de c
sements augmentent votre beauté lorsqu’ils vous environnent. Enfin la
joie
est l’état véritable de votre âme, et le chagrin
rt, qui reluit en plein soleil. Il faut noter pourtant une nuance. Sa
joie
si réelle n’était pas pour cela à tout propos ni
la compagnie de son aimable cousin de Coulanges : « Pour avoir de la
joie
, écrivait-elle, il faut être avec des gens réjoui
le bourreau. « Ah ! voici le bourreau ! Nous allons faire un feu de
joie
et danser autour des cendres de nos amours ! » I
le velours des sofas : on en fait du foin, que les bœufs mangent avec
joie
en cognant contre la crèche l’anneau qui attache
oyeusement sur les palmes jetées. Des mendiants amers sanglotaient de
joie
, en le suivant, parce qu’ils avaient la foi… De m
s pensées et les arrête et les fixe douloureusement ; mais il y a une
joie
dans la vue de la beauté, qui, à certaines heures
tisfactions de la vanité et du civisme, il enseignerait volontiers la
joie
toute simple d’être un brave animal. Les plaisirs
volonté de dire quelque chose de nouveau. Le thème fondamental est la
joie
de vivre, d’être un homme libre, fier, qui ne son
oueuses et les plus spirituelles. On voudrait, pour la sécurité de la
joie
, ignorer que ces masques couvrent des visages ; m
gré tout impressionnant. M. Huysmans vivisectait les peintres avec la
joie
d’un chat de gouttière dévorant une souris vivant
jardinier viendra cueillir nos têtes prêtes, Le jardinier aux yeux de
joie
, aux pas de fête, Il brisera sous le soleil les
que peu de camomille. Mais n’est-ce point charmant de se prédire les
joies
d’un maternel hôpital, par imitation, par amour p
rbure un peu forte des significations, un art : « Elle est l’ancienne
joie
de l’humanité et elle participe de l’art et de no
lie dominante, un peu affligée, un second air plus vif qui disait les
joies
de l’idéalisme, de la liberté retrouvée, de l’idé
de plus stupide, aux yeux d’un socialiste, que le renoncement à toute
joie
tangible d’une créature qui se voue au soin de vi
nt semblent des enfants blancs en robes de baptême… … ma douce sœur
Joie
et son frère Innocence s’en sont allés cueillir,
ain, sous des oiseaux chantants les fleurs du romarin.. Le jour de
joie
est arrivé, cœurs, faites maison neuve, soyez bon
lui parle avec une haine de peuple, non profonde, mais jaillie de la
joie
de voir souffrir une princesse, une beauté hérédi
milieu plus favorable ne s’est offert à un poète décidé à chanter les
joies
de l’avenir. Si M. René Ghil n’avait pas faussé c
r s’adoucit des vapeurs Odorantes de buissons fleuris d’azalées… Les
joies
qu’il n’a pas trouvées dans le monde extérieur, i
u reconnaisses en moi le battement inconscient de ta vie… Ah ! que ma
joie
ne te paraisse pas puérile !… je t’en supplie… Ta
ur, haine ou amour, est une malédiction pour l’homme. L’amour est une
joie
empoisonnée ; la fatalité veut que ce qui est le
, sans gestes, sans parade, sans larmes : sa peine est adoucie par la
joie
d’être belle. Il y a sans doute, dans la Dame en
vers le même temps, le poète eut des heures heureuses, des moments de
joies
et d’espoir : Joyeuses, sur les claires ondes D
ns la douce venelle, Tandis qu’au loin des voix éprises Proclament la
joie
éternelle. Et ceci, tiré de l’Ile Heureuse : D
e M. Pierre Quillard, avec un mysticisme supérieur, « la vanité de la
joie
et de la douleur », et il devait goûter également
aussi que le rôle du critique est de nous signaler des beautés et des
joies
, non des imperfections et des causes de tristesse
nre, le roman de l’ironie comique, de l’amertume exhilarante : que de
joies
il nous eût données ! C’était un homme de talent
decins font des plaies les plus sales ; avec pitié, avec dédain, avec
joie
, ― toujours avec cette supériorité aristocratique
: un jour viendra où le souvenir même des agonies ne sera plus que la
joie
de comprendre la nécessité fugitive de la douleur
upont et la calotte de M. Vianey, il souhaiterait de plus répugnantes
joies
: par un côté, la vénération des reliques se rapp
sant effet de cet art nouveau. Nous avons tous éprouvé à souffrir une
joie
plus aiguë, parce qu’il a plu à Wagner de suivre
et prestigieuse qu’elle évoque en lui, désormais, une extraordinaire
joie
. « L’essence des choses se révèle à lui, apparais
; et le Graal trois fois saint, par lui regagné, sera la bienheureuse
joie
de l’action, l’Apparence enfin recréée. Mais le M
isses nous trouvons désormais, plus intense et plus magnifique, notre
joie
. II. L’Art wagnérien : la peinture (Revue w
laisir. Et la Vie que nous avions créée, créée afin de nous donner la
joie
créatrice, a perdu son caractère premier. Il faut
e. Ce sont alors les émotions, la passionnante angoisse et la fébrile
joie
, états suprêmes et rares de l’esprit ; elles sont
ses dents, et de sa sombre chevelure dénouée, révéla qu’elle était la
Joie
: elle enseignait les tendresses parfumées, la dé
d’où je viens. Seriez-vous donc de charmes si divers, la Vertu et la
Joie
? Vertu et joie, n’est-ce donc point même chose ?
Seriez-vous donc de charmes si divers, la Vertu et la Joie ? Vertu et
joie
, n’est-ce donc point même chose ? Et si j’ai vert
s temps ont bien exagéré la monogamie de nos opinions. La Vertu et la
Joie
ont été séparées : on a même payé des philosophes
upérieure et plus réelle d’une vie artistique, y transposant, avec la
joie
du libre pouvoir, les éléments fournis par la vie
ertaines âmes affinées connurent la tristesse alanguie et la brûlante
joie
de maintes syllabes ; elles y trouvèrent la notat
mots, sans égal pour nous suggérer, par des liaisons de syllabes, la
joie
harmonieuse d’une émotion vivante. Ainsi une litt
écit la forme musicale de la poésie. Il exprimera les douleurs et les
joies
par des agencements sonores et rythmiques de syll
e — demain, demain matin ! — où un sage tyran comprendra que seule la
joie
des artistes a quelque raison d’être ; où il écar
e envahit tout l’être, et les paroles cessent, comme les notions ; la
joie
ou l’angoisse étreignent l’âme : c’est la triomph
s sons n’ont pu davantage, à l’origine, signifier les douleurs ou les
joies
, que les mots n’ont pu signifier les notions qui
e des images devient plus rapide : les rythmes rapides ont désigné la
joie
, d’abord pour les paroles, puis pour le chant, qu
émotions deviennent plus subtiles, à chaque moment correspondent des
joies
, des douleurs spéciales. De là, pour la musique,
de sa fiancée émeuvent délicieusement, comme les échos d’une élégante
joie
. Ces deux artistes admirables, et maints autres,
er rêve consolant, et, malgré le souvenir parfois du mal, la discrète
joie
s’affermit : des ondées scintillent ; rappel d’he
et recréées parfaitement, toutes les douleurs, les espérances et les
joies
de la nature humaine. VI Pendant que la mus
udes conquises ; elle est bénie, elle flotte en un doux fleuve. Belle
joie
, elle s’efface : « Car je suis un pécheur misérab
erche de la vérité qu’il goûtait ses plus conscientes, ses meilleures
joies
. Il voulut donc, dans ses poèmes, recréer les joi
s, ses meilleures joies. Il voulut donc, dans ses poèmes, recréer les
joies
de la recherche spéculative, et il voulut, pour l
r la dire, mais parce qu’il ne pouvait faire sentir d’autre façon ces
joies
philosophiques, ces joies suprêmes, qu’il voulait
l ne pouvait faire sentir d’autre façon ces joies philosophiques, ces
joies
suprêmes, qu’il voulait exprimer. La philosophie
t joyeuses lorsque nous les connaissons engendrées de nous. Inondante
joie
de la création, délice du poète arraché aux intér
à celui qu’a d’abord accompli le poète. Le lecteur n’aura la complète
joie
de l’art que s’il refait complètement l’œuvre de
bon cela ! Elle doit être, la Poésie, éloignée, un autel sacré de la
joie
dernière. La musique n’est point comprise — certe
ls doivent déchiffrer lentement ses partitions, avant d’en revivre la
joie
?) Le sujet apparaît clairement, sous les modulat
rame. Mais à qui offert ? — À tous ! répond M. Mallarmé. La meilleure
joie
étant la compréhension du monde, cette joie doit
M. Mallarmé. La meilleure joie étant la compréhension du monde, cette
joie
doit être donnée à tous. L’œuvre d’art suprême se
car les hommes sont égarés dans les intérêts vils, et détournés de la
joie
artistique, — le Poète, du moins, doit écrire ce
qui crée aussi un monde différent, mais de façon instinctive, sans la
joie
consciente de se connaître créateur. La folie de
lleure. Elle lui permet d’éprouver le plaisir de l’action suprême, la
joie
de se savoir, de se faire un « différent » ! M. M
de se faire un « différent » ! M. Mallarmé, sans doute, connaît cette
joie
. Par-delà nos vaines agitations, calme et sourian
œuvres polluées par l’admiration avilissante des niais. Et il aura la
joie
entre toutes sainte et délicieuse : il verra touj
ns arrêt ses fantaisies, toujours les vivant, toujours ressentant les
joies
d’une existence princière. Il sera un halluciné :
e enchanté où il séjourne, pour déformer, pour vendre ses plus chères
joies
? Il méditera sans cesse des plans gigantesques,
d’autres : nous nous sommes astreints à ne créer que celles-là. Et la
joie
naturelle des libres créations s’est pour nous pe
périeure des jeunes amants évanouis. Ils sont morts avec l’incessante
joie
des espoirs, avec les illusions infinies, que tou
lusions infinies, que toute réalisation eût brisées. Ils ont connu la
joie
suprême des désirs continus, et la mort leur a do
la vanité suprême des désirs : dans la mort ils vont goûter la seule
joie
, dans une heureuse mort aux bras l’un de l’autre.
ent, au monde funèbre de l’impersonnalité, ils auront la bienfaisante
joie
de leurs âmes, tandis qu’à jamais dormira ce mauv
visions. Il a éprouvé, de façon régulière et ininterrompue, les deux
joies
suprêmes du mépris et du libre rêve. On m’a conté
ans cette République, goûter, éternellement, la délicieuse et vivante
joie
! À Ischia, sous le volcan terrible, les cigales
xercent heureusement aux luttes gymnastiques. Ceux-là ont pour unique
joie
la résistance aux bêtes cruelles, la défense du b
te suprême des Artistes et des Sages. Ceux-là vivent dans l’ineffable
joie
de la création consciente. Ils ont, à leur portée
ption qu’il nous en a donnée. Mais, pour provenir d’autres causes, ma
joie
n’en était pas moins vive à lire ces premiers ess
habite depuis dix ans les ruines d’un vieux prieuré, où il goûte les
joies
parfaites du repos et de l’ignorance, dans la seu
ont subtils et doux, offrant à leurs très rares amis une incomparable
joie
: des livres qui ne sont point conformes aux règl
ômes ? — Tu te retourneras aux réalités immortelles, mon enfant ! Une
joie
, cela est positif, réel, apodictique. Recherche d
t positif, réel, apodictique. Recherche donc les vraies, les durables
joies
! Si la science, si l’action ne te donnent pas un
nsolées, tant d’inquiétudes et de souffrances qu’il a changées en une
joie
profonde, par la seule grâce de son miraculeux so
la santé aux corps, et qui répand dans les âmes la tranquillité et la
joie
. Saint François d’Assise l’appelait, « mon frère
’étais de ce conseil ; j’y entendis parler don Christophe et, pour la
joie
de ma vie, je fus de ceux qui l’encouragèrent à p
la misère, et qui cherchent des devoirs à remplir comme d’autres des
joies
à prendre ? Ceux-là demanderont, au contraire, au
ussi bien qu’une reine, une âme en marche, à travers la douleur et la
joie
, vers une éternité. Elle a quitté le monde pour s
coles, mêlées à toutes les misères, à toutes les peines, jamais à nos
joies
, qu’elles n’ont pas l’air de nous envier. Et cela
sion avait partout une parenté émouvante, et c’était la jeunesse, une
joie
enfantine, facile et pleine, qui déborde comme le
e pas, pour un entraînement d’imagination, sa jeunesse, sa beauté, sa
joie
et sa vie ; on ne s’enferme pas dans un couvent a
: « C’est toi que je veux, tu vas vivre ! » Et ils viennent, dans la
joie
. Tout livre qui n’aurait point ces profondes raci
d-tantes auxquelles il fallait rendre une visite annuelle, et tant de
joies
auxquelles rien n’a ressemblé depuis, et tant de
é infernale d’avoir été la préférée d’un homme célèbre et sa fille de
joie
, — car le mot y est : meretrix, et M. Oddoul l’a
lus doux pour mon cœur, celui de votre CONCUBINE et de votre fille de
joie
, espérant que bornée à ce rôle j’entraverais moin
« Quelle femme, quelle reine et quelle princesse n’ont pas envié mes
joies
et mon lit ? Votre nom volait de bouche en bouche
sé de traces, sœurs gracieuses qui avaient pris pour elles toutes les
joies
nuptiales, etc., etc., etc. » Et M. Oddoul contin
é infernale d’avoir été la préférée d’un homme célèbre et sa fille de
joie
, — car le mot y est, meretrix, — et M. Oddoul l’a
lus doux pour mon cœur, celui de votre CONCUBINE et de votre fille de
joie
, espérant que bornée à ce rôle, j’entraverais moi
« Quelle femme, quelle reine et quelle princesse n’ont pas envié mes
joies
et mon lit ? Votre nom volait de bouche en bouche
sé de traces, sœurs gracieuses qui avaient pris pour elles toutes les
joies
nuptiales, etc., etc., etc. » Et M. Oddoul contin
grouillent dans notre cœur quand nous n’y prenons pas garde ! Quelle
joie
de passer et de n’être rien, puisque les autres ê
châtiment de l’incessant désir ; Du fier renoncement de ton âme à la
joie
Goûte la joie austère et le sombre plaisir… Je n
l’incessant désir ; Du fier renoncement de ton âme à la joie Goûte la
joie
austère et le sombre plaisir… Je n’ai voulu que
te : les « Filles de la Nuit » auraient noirci sa lumière et glacé sa
joie
. En revanche, leurs privilèges sinistres étaient
festins, et que nous ne porterions jamais les vêtements blancs de la
joie
. Mais quand un meurtrier domestique a frappé l’un
me de l’exécuteur. On se figurait donc que les Érynnies mettaient une
joie
méchante à poursuivre et à torturer les coupables
[Bibliographie] Les 24 coups de sonnets (1877). — Les Rimes de
joie
(1884). OPINIONS. J.-K. Huysmans Les
ue des lettres (18 février 1877).] J.-K. Huysmans Les Rimes de
joie
, de M. Théodore Hannon, un poète de talent. [Cert
préjugés traditionnels, il a assisté avec indifférence, presque avec
joie
, à la chute de la vieille société. Après avoir ét
e confession fidèle, nous ait transmis la note et la couleur de cette
joie
passagère, de cette ivresse où l’imagination eut
e chaque gaîté, la flamme de chaque punch. Sous le premier Empire, la
joie
était redevenue une pure joie, une joie naturelle
haque punch. Sous le premier Empire, la joie était redevenue une pure
joie
, une joie naturelle, pétillante, sans arrière-pen
h. Sous le premier Empire, la joie était redevenue une pure joie, une
joie
naturelle, pétillante, sans arrière-pensée, la jo
ne pure joie, une joie naturelle, pétillante, sans arrière-pensée, la
joie
du Caveau et des enfants d’Épicure ; mais après 1
nt cette lutte écœurante et sauvage, tel il demeurait après. J’eus la
joie
de n’apercevoir sur son énergique visage et dans
’humanité vient les cueillir, ces fleurs, pour en faire les gerbes de
joie
de son futur affranchissement. Aussi, est-ce avec
les traducteurs viennent d’offrir à notre curiosité, dirai-je à notre
joie
? Et, maintenant que je l’ai lu, ce livre, je ne
nnent jamais rien, nous n’éprouverions jamais la si douce et si forte
joie
qu’il y a à confesser ce par quoi une œuvre d’art
comparer Wilde à Shakespeare, ni à aucun de ces génies qui firent la
joie
et l’excuse de l’humanité. » Je le veux bien. Mai
es dit. Je m’arrête devant les fleurs où il s’arrêta. Et je revois la
joie
de ses yeux, je revois la joie de ses mains, de s
fleurs où il s’arrêta. Et je revois la joie de ses yeux, je revois la
joie
de ses mains, de ses vives et souples mains qui t
e douloureux et harassant métier des lettres, votre amitié m’a été la
joie
la plus pure, et la plus haute fierté de ma vie.
e, légitimement jaloux de ses prérogatives de critique, le soin et la
joie
de dire toute l’émotion où il m’a ravi. Mais une
s de troubles, pas de malaises, il n’y a que du contentement et de la
joie
. Les ouvriers sont de braves gens, qui comprennen
pensum, au lieu qu’ils soient l’exaltation libre, ardente, pleine de
joie
, de l’individu en contact avec la beauté. Parmi l
encore, qui sera horrible peut-être, et peut-être sanglante… c’est la
joie
immense d’un avenir nouveau, la certitude d’une v
dit que nous ne les expulsions pas pour nous refaire une force et une
joie
toutes neuves ?… D’ailleurs, maladie du doute : n
t fini du mauvais désir… C’est, tout à coup, l’apaisement, presque la
joie
. Je ne veux pas déflorer ce magnifique dénouement
i étrangement suggestive, si claire et si blanche, est faite de cette
joie
et de cette terreur mêlées. Joie mélancolique par
re et si blanche, est faite de cette joie et de cette terreur mêlées.
Joie
mélancolique par cette terreur ; terreur sérénisé
es. Joie mélancolique par cette terreur ; terreur sérénisée par cette
joie
!… Le Règne du silence, Le Voyage dans les yeux,
surés de trouver en Rodenbach, comme en Mallarmé, un réconfort et une
joie
. Il nous venait de ces deux nobles esprits une ém
sprit, sur l’idéal de toute une jeunesse ardente, pleine de foi et de
joie
et qui avait compris que ce n’est pas dans la phi
illeuse. Il offre à la nature, non comme un sacrifice, mais comme une
joie
, l’effort de son âme et de son corps, vit, crée,
de son enthousiasme. Je ne l’en blâme pas, puisqu’il y trouve tant de
joies
… Mais est-ce une raison suffisante pour affirmer,
s sur lui-même. Il dit cependant : Je l’aimai comme la vie, et toute
joie
, Me sentant naître d’elle comme un fils Pour quel
tu sais !… — Et toi, donc ?… fis-je en essayant de méridionaliser ma
joie
pour la mettre au même ton que la sienne… Mais qu
, en dehors des réalités de la vie… qui vont toujours cherchant de la
joie
ou de la douleur, du comique ou du tragique, du r
et dans les âmes… Faux sublime, fausse farce, fausse douleur, fausse
joie
, faux rire du romantisme mort et du symbolisme mo
n, elles étaient là, tout entières… Eh bien, cette phrase, j’ai eu la
joie
— après les phrases analogues de Mme Rachilde — d
pe, le brave garçon !… Ô mystère des cafés-concerts !… Et pour que ma
joie
soit complète… voici que M. Albert Guillaume se m
us êtes très heureux que nous soyons à l’apaisement… à l’éponge… à la
joie
universelle… Allez… mais… vous savez… n’y revenez
il réorganisé, dans le travail devenu, enfin, ce qu’il doit être, une
joie
d’homme libre, au lieu de rester ce qu’il fut tou
ire finale, jusqu’à l’apothéose de la petite ville transformée par la
joie
, réconciliée dans la richesse, sans rien qui puis
urvues de tout le confort moderne. Partout, il ne rencontre que de la
joie
, de la richesse, de l’abondance, de l’amour… Auto
geant pas toujours à sa faim, privé plus qu’aucun autre de toutes les
joies
, de tous les plaisirs, de toutes les fêtes qu’il
se de paille des réunions publiques !… Nous aurons, cette semaine, la
joie
très douce et très forte, non d’aimer davantage M
t pas encore, puisqu’elle n’a point été livrée au public, avec quelle
joie
je voudrais exprimer tout ce que j’ai ressenti de
és des pédants et les railleries des sots, de représenter, pour notre
joie
, les principaux chefs-d’œuvre d’Ibsen. Cela soit
et ardente, comme la sienne, et à un aussi grand cœur que le sien, de
joies
et de douleurs encore inéprouvées. Dans La Prince
, Pelléas et Mélisande, à qui, autrefois, vous m’aviez fait la grande
joie
d’associer mon nom, et cette rouge et superbe Mon
énétiquement, comme une victoire. Voilà une grande et noble et triple
joie
que nous vous devons, en attendant toutes celles
eux qui aiment encore la lecture. Comme moi-même, ils y goûteront des
joies
rares, ils y sentiront une émotion nouvelle et tr
c’est que, pour ne pas trop m’attendrir sur moi-même, je goûtais des
joies
amères à me répéter souvent que je n’étais pas le
ie (1857-1908) [Bibliographie] Rythmes pittoresques (1890). —
Joies
errantes (1894). — Folle de son corps (1896).
u’une femme pousse la versification jusqu’à sa dernière licence ! Les
Joies
errantes sont jolies, capricantes comme des chèvr
ythme comme parlé des strophes berce et entraîne de l’inquiétude à la
joie
, du rêve au baiser. Le poète s’est émerveillé de
ivre en mots qui le confessent délicat et doux, ayant la pudeur de sa
joie
, la reconnaissance d’aimer ; ce livre est une par
t transparaître, magnifiées, les défaillances, les souffrances et les
joies
du créateur ; et elle n’a de valeur que si elle e
le pédagogue civilisé et précieux qui nous enseigna les douloureuses
joies
de notre propre agonie, le dilettante de la morti
Stendhal, le plaisir de l’analyse n’est pas, pour Maurice Barrès, une
joie
suffisante. Il subsiste en lui un souci de désinv
cuistre dans les bibliothèques et ce quatrième courra les maisons de
joie
. Sur ces allures extérieures, n’allez pas classer
pour nous y exalter parmi ces Édens charnels, ces idylles rouges, ces
joies
peut-être grossières, mais farouches, violentes,
rhétoriques dépérissantes. Le plaisir littéraire disparaît devant une
joie
supérieure. * * * Cette poétique barbare et pri
de minimes détails dans des visions monstrueuses ! Où sont les saines
joies
d’autrefois ? la Nature est donc elle-même une ch
avec une façon spéciale de frissonner. Tout l’espoir qui anime de sa
joie
, le monde nouveau, vibre dans l’âme du poète et l
t pas complu dans le nihilisme métaphysique. C’est un annonciateur de
joie
et le poète de la Vie et de l’Action. Ce débarqué
le grand optimiste d’Amérique, son aïeul et son maître, il a clamé la
joie
de vivre. C’est pourquoi de ces poètes l’un est m
contrées. Aussi ses ritournelles ont-elles des refrains de brise. Sa
joie
est toute précieuse, et il lui arrive de parler c
vi le galop de la belle Yeldis ! Les échos ont sonné de nos hymnes de
joie
. Mais un soir nous avons éprouvé combien il était
ne perpétuelle succession d’automnes et de printemps, de deuils et de
joies
et jamais le romancier n’intervient pour l’illumi
é de ses frissons. Il n’exprima point d’idées, mais ses pleurs et ses
joies
, les plus fugitives de ses impressions s’essoraie
oureur met toute sa gloire à creuser un sillon, et le potier toute sa
joie
à caresser la glaise, à la polir, à l’arrondir. L
but du Banquet. Mais trois ou quatre sont puissantes, douces comme la
joie
des dieux. » Il faudrait un Diogène de Laërte po
et de grâce mélancolique. Une enfance, une adolescence, les premières
joies
et les premières tristesses de la Chair, décrites
Véritable poète, les minutes fugitives d’amour, de souffrances et de
joies
de nos enfances et de nos vingt ans, aujourd’hui
C’est un long cri ensoleillé et fleuri, un cri adorant éperdu vers la
joie
; l’émanation harmonieuse et durable du jour, bén
Critique (5 septembre 1898).] Charles Maurras Il y a dans cette
joie
, dont l’expression semble exagérer la vivacité, i
93). — La Mer, poésie (1894). — Mes Paradis, poésie (1894). — Vers la
Joie
, conte en 5 actes (1894). — Flamboche, roman (189
ntenant guetter le Courrier français. Un de ces jours, nous aurons la
joie
de constater l’éveil du sentiment religieux chez
ure, c’est toute l’indépendance, toute la Chimère, la Vie libre et la
Joie
, en un mot la Poésie totale. Illusion attendrissa
ennent vingt ans après des filles qu’ils engrossèrent. Respectons les
joies
simples des simples et ne médisons pas des albums
force à de lointaines et peu dangereuses bravoures, pour se donner la
joie
des lâches raffinés, la joie de trembler et de co
dangereuses bravoures, pour se donner la joie des lâches raffinés, la
joie
de trembler et de conchier son pantalon. Cette in
ciles dont l’oreille fermée aux hommes est faite pour recueillir avec
joie
les échos, les bavardages des perroquets, les baf
mmation. » L’autre phrase est particulièrement basse et, joyeux d’une
joie
de latrines, vous avez souligné vous-même deux fo
cret dans ce qui ressemble le plus au bonheur, le premier amour ; les
joies
permises qui ne laissent guère plus de paix à l’â
s permises qui ne laissent guère plus de paix à l’âme humaine que les
joies
défendues. La première qui s’inquiète du mal inco
de Virginie perdant la sérénité et le sourire, gaie tout à coup sans
joie
et triste sans chagrin, n’osant plus arrêter ses
vaient en même temps les dernières terreurs du péril et les premières
joies
de la délivrance. Non seulement le mal de René n’
eur que de ses ennemis. Je ne vois guère, dans les Mémoires, d’autres
joies
que celles de la raillerie ou de la vengeance. Tr
d’autres joies que celles de la raillerie ou de la vengeance. Tristes
joies
! Virgile les a placées à la porte des enfers. El
les a placées à la porte des enfers. Elles s’appellent les mauvaises
joies
de l’âme, mal a gaudia mentis. L’histoire des ouv
ndes de vie où nous sommes plongés, liaison intime des cœurs humains,
joie
et justice, telle est sa profession de foi panthé
ffirme avec la plus intense énergie que toute grandeur humaine, toute
joie
, toute beauté, tout contentement, et tout équilib
s cette lumière héroïque que le bonhomme Luther a nommée noblement la
Joie
». Pour lui l’homme, au cours des longs siècles
ances de l’instinct, non pas s’anéantir, tristes, mais se vivifier de
joie
et de gloire dans la fécondité des paroxysmes, —
parcelles de nature et d’humanité recèlent un monde de douleur et de
joie
, de vérité profonde et d’insondable idéal ? Mépri
tion religieuse. Il n’y a aucun orgueil dans ce sentiment ; il y a la
joie
profondément vitale de se sentir infiniment lié à
que celui qu’a lentement constitué la communauté des douleurs et des
joies
. Mais à côté de cet attachement, nous admettons m
sa vie matérielle, sans ouvrir son âme et l’inonder de lumière et de
joie
, sans un rayon du ciel ni un retour vers Dieu ? P
ces et des images gracieuses, l’amour, le regret tendre, l’espoir, la
joie
contenue et la douleur aussi ; car l’une et l’aut
ple chantait en montant les degrés du temple : « Oh ! voici venir la
joie
et la douceur d’habiter ensemble, comme des frère
, ravie au-dessus d’elle-même, épuise le dernier degré de douleur, de
joie
, d’amour, qu’il lui soit possible d’atteindre san
était le langage que le zèle de la religion, l’amour de la patrie, la
joie
de la victoire et de la délivrance, mettaient dan
nsole ; tous mes ennemis ont entendu mes douleurs ; et ils ont grande
joie
, ô Dieu, que tu m’affliges ainsi. « Ne portez pas
s les rues d’Ascalon. Que les filles des Philistins n’en aient pas la
joie
! qu’elles ne triomphent pas, les filles des inci
Gérardy, Paul (1870-1933) [Bibliographie] Pages de
joie
(1893). — Roseaux (1898). OPINIONS. Stuar
Stuart Merrill M. Gérardy nous tend ses délectables Pages de
joie
. J’ai dit toute l’admiration que je sentais pour
a faute du mari, proverbe en vers (1850). — Lady Tartufe (1853). — La
Joie
fait peur, comédie (1853). — Le Chapeau de l’horl
Ce qui restera de Mme de Girardin, avec les deux petites pièces… (La
joie
fait peur et Le Chapeau d’un horloger), ce sont q
plus consommé. Notre siècle est curieux avec délices. Sa gloire et sa
joie
, c’est de comprendre et de ressusciter l’âme des
rand Tout, dont la vie un moment nous distingue, et, en attendant, la
joie
immobile de contempler de splendides tableaux san
pacieux et nouveau à l’imagination plastique et, en même temps que la
joie
de la révolte, nous donne celle de reconstruire e
rien ne sert à rien et que toute passion apporte plus de peine que de
joie
; et pénétrez-vous de cet hymne lugubre : Une pl
nts de mélancolie fataliste. Après Marathon et Salamine, une sorte de
joie
héroïque les transporte, et leur génie s’épanouit
isée. Or la sérénité de leur fatalisme, de leurs révoltes et de leurs
joies
, et tout ce qu’il y a d’humain dans leurs mythes
pesant sinistrement sur celui-ci, enlevant aux hommes la bonté et la
joie
, effarant les justes et les faisant aussi durs qu
erre et ta surface ment : Au fond de tes fureurs comme au fond de tes
joies
Ta force est sans ivresse et sans emportement22.
« beauté turbulente » qui concentre la physionomie ardemment avide de
joie
, et les passions à subites sautes, de celle dont
ée de l’asile Saint-Anne. Nana, Pot-Bouille, le Bonheur des Dames, la
Joie
de vivre, sont de même brossés en larges scènes,
chacun une énorme tranche de la société, dont une Page d’Amour et la
Joie
de vivre détaillent un point. Que l’on observe, e
ssier, le courtisan, le louche coquin autant que le ministre. Dans la
Joie
, Pauline est détaillée des secrets de sa chair au
ille ; Denise pousse à bout la raison vertueuse ; et l’héroïne de la
Joie
de vivre est de même une fille sensée, forte et s
e d’Adèle dans sa mansarde, aboutissent à ces pages magistrales de la
Joie
où Pauline, sainement instruite des mystères sexu
ayante, c’est sur son visage un mélange d’espérance, de douleur et de
joie
qui me confond. Ce malade donc et les deux figure
’un cadavre, lui arracher les yeux de la tête en battant les ailes de
joie
? Où attendrais-je des scènes d’horreur, des imag
s yeux arrachés de la tête, des corneilles qui battent leurs ailes de
joie
. Un cadavre n’a rien qui dégoûte, la peinture en
ntes du bec de l’oiseau vorace. Cet oiseau cruel battant les ailes de
joie
est horriblement beau. Quel doit donc être l’effe
qu’il y a une image plus rare, celle de l’oiseau qui bat les ailes de
joie
. Aussi cette image est-elle présentée la dernière
ton cadavre, t’arracher les yeux de la tête, en battant les ailes de
joie
. Regardez bien, mon ami, et vous sentirez que c’e
le façon l’écrivain russe Tolstoï représente un homme dans un état de
joie
extrême : il fait sa première visite à sa fiancée
ur Levine une impression si vive qu’il se prit à rire et à pleurer de
joie
. Après avoir fait un grand tour par la rue des Ga
it tout, mais il était plein d’allégresse et s’efforçait de cacher sa
joie
. Levine sentit une nuance nouvelle à son bonheur
substitue une riche analyse, qui montre la révolution produite par la
joie
dans tout le domaine de l’intelligence et de la s
qu’elle est faite et qui lui donnera, elle en est sûre d’avance, des
joies
supérieures ; bref, « son homme. » Et l’homme sen
de pensées violentes. Je revenais de l’albergo… J’étais inondé d’une
joie
céleste que votre vue m’a fait perdre. Il faut qu
qu’à peine avertis. Ce par quoi elles étaient, au fond, des bêtes de
joie
et de tristesse, — nous était discrètement dérob
oursuivent eux aussi, mais sur terre et douloureusement, un infini de
joie
. Ils s’aiment plus voracement sur la cendre des m
nnées mêmes qui sont pour toute jeunesse celles de la légèreté, de la
joie
et de la première fleur, durant ces trois ans et
d un jour elle fit part aux personnes de son intérieur de sa première
joie
d’épouse et de ses futures espérances. Un an aprè
omprendre Mme la duchesse d’Angoulême, tout ce qui s’appelle fleur et
joie
première, cet aspect enjoué et enchanté sous lequ
t été saturé d’agonie dès sa tendre jeunesse, à une pure et véritable
joie
? Il est difficile, malgré tout, qu’elle n’en ait
es plus sérieuses. Même à travers l’habitude des peines, une sorte de
joie
enfin surnageait comme il arrive aux âmes austère
rrêté, a-t-on fini sa tâche, et ne reste-t-il qu’à se reposer dans la
joie
de l’effort qui vient d’aboutir ? Non ; il reste
oir pour ce qu’on fait, au moment où on le fait, est passée, quand la
joie
de produire, qui aveugle si facilement l’amour-pr
ue à ce point de vue, et Le Mauvais Jardinier, Le Mensonge donnent la
joie
des choses décisives, pour jamais stables. Puis i
célèbre, dans la forme la plus ravissante, les pensées d’amour et de
joie
, rimées en français sur le mode anacréontique. [P
éâtre libre un drame joué entre des êtres qui se nomment Cœur, Haine,
Joie
, Silence, Souci, Soupir, Peur, Colère et Pudeur !
uement jeté dans une forêt dédalienne ; il retrouve son chemin, et sa
joie
de cueillir des fleurs nouvelles se double de la
n chemin, et sa joie de cueillir des fleurs nouvelles se double de la
joie
de cueillir des fleurs familières. Le temps tris
Vielé-Griffin soit un poète joyeux ; pourtant, il est le poète de la
joie
. Avec lui, on participe aux plaisirs d’une vie no
pâles hyacinthes, Une femme surgit… dont les yeux sont des abîmes de
joie
, d’amour et d’épouvante où l’on voit se réfléchir
ement et tes désirs et tes amours, tu te présentes ému par les seules
joies
charnelles et tu souffres, car ces joies, tu ne l
présentes ému par les seules joies charnelles et tu souffres, car ces
joies
, tu ne les sens vraiment que vaines, mais Si tu
e s’enivrer : dilettante d’espèce supérieure, quand il aura épuisé la
joie
des navigations, quand il aura choisi sa demeure
par son œuvre et par l’influence de son œuvre, que subissent et avec
joie
les meilleurs d’entre les écrivains et les artist
, de belles phrases et de beaux gestes et pour qui l’argent est de la
joie
qu’on jette, comme des fleurs, sous les pas des f
oilà qui doit être, pour l’auteur de l’Ecornifleur, un juste motif de
joie
et une raison très forte d’être, moins que tout a
briqués pieusement par sa haine, il se lève, ivre, mais non repu, des
joies
futures. Paul Adam L’auteur du Mystère des
térature admissibles pour ceux dont l’esprit, mal fait, se refuse aux
joies
, moins rares, du lieu commun et de la morale conv
, — et leurs rêves les plus romantiques, elles les réaliseraient avec
joie
si elles ne se trouvaient arrêtées par l’indiffér
ulation légitime ? L’immoralité absolue, pour les mystiques, c’est la
joie
de vivre. Le moyen âge ne connut pas nos hypocris
bles ou de délicieuses et que (pour ma part) je relirai toujours avec
joie
, dans les Cantilènes, mais puisque M. Moréas, aya
main Me terrassa plus forte que moi — Une voix me dit : C’est pour ta
joie
. Dilectus meus descendit in hortum… mais ici le
iatures, qu’elle fut lue sous les galeries de l’Odéon, et avec quelle
joie
! par de timides jeunes gens enivrés, de l’odeur
écemment alors époux et père, y chantait ses délices nouvelles et ses
joies
: « Si vous n’avez pas d’enfants, ayez-en d’abor
exil. Lorsque l'enfant rit, le ciel rit : tout est sérénité, lumière,
joie
. On devient calme, on devient fort, on devient bo
es nuages, au-dessus des douleurs. Enfant ! source de consolation, de
joie
, de vie ! On lui donne la naissance, et il vous l
seau joyeux, il semble lui donner des ailes. Profond mystère, féconde
joie
, réciprocité de la vie : le fils régénère le père
ôt que le jour luit. Lorsqu’on vous l’apporte sur votre lit, c’est la
joie
qu’on vous apporte. Lui, coquettement, se laisse
tendu sur son sofa comme Gray, en se disant qu’on avait mieux que les
joies
du Paradis ou de l’Olympe ; le temps où l’on se p
ntérieur que celui qu’il trace de cette famille patriarcale et de ses
joies
du coin du feu : Ajoutez au ménage trois sœurs
ces châtaignes si savoureuses et si douces, le cœur nous palpitait de
joie
. Je me souviens aussi du parfum qu’exhalait un be
res, ses camarades ; il nous fait sentir et aimer ses privations, ses
joies
d’écolier, ses triomphes. Quatre ou cinq camarade
mon triomphe, toutes les mères du voisinage étaient instruites de sa
joie
; nos bonnes religieuses en rendaient grâces au c
tait plus facile de me suffire à moi-même dans le chagrin que dans la
joie
. Dès que mon âme est triste, elle veut être seule
rmente ; elles sont libres de cette liberté qui est la compagne de la
joie
, et sans laquelle il n’y eut jamais de pure et du
n collier plus beau et plus doucement caressant. Délivre mon corps de
joie
; délivre mes rêves d’amour : tous les songes lib
son âme et son esprit aux jeunes gens ne soient que des repos et des
joies
, le Maître avait raison d’employer le mot travail
j’ai tâché d’avoir très peu de besoins et je me donne pour ma propre
joie
à ceux qui m’achètent. Beaucoup ne me paient poin
ais et au Journal. OPINIONS. Maurice Bouchor Pour avoir la
joie
d’écrire un nom qui m’est cher et qui, je pense,
Toi qui soupes d’un rêve et d’une fleur déjeunes, Toujours l’âme à la
joie
et la lèvre au cruchon, Nul barde, dans la gloire
a dépouillent des sécheresses de l’Abstraction et l’achèvent dans les
joies
du Rêve ? — du Rêve, c’est-à-dire de cet Au-delà
ls ont même l’amour de l’Unité — signe divin — et ne cachent pas leur
joie
de voir sous leurs mains empressées les sciences
r la Vérité et la Beauté, dans cette union désirée de la Foi et de la
Joie
, de la Science et de l’Art. — Cette union que le
e Église : celle-ci est le spectre funèbre de celle qui vécut dans la
joie
de sa gloire. Et de cette vie comme de cette mort
e sommeil de la mort. Nous croirons alors et avec quelle enthousiaste
joie
nous crierons hosannah ! Mais, pour l’heure, notr
le d’or éternel que nous gardait encore leur sein avare ; et quand la
joie
de la foi ébranlera d’enthousiasme nos âmes, nous
e de la foi ébranlera d’enthousiasme nos âmes, nous célébrerons cette
joie
mystique par les Sacrifices et les Fêtes de l’Art
stique par les Sacrifices et les Fêtes de l’Art. À quelques-uns cette
joie
viendra d’une intuition du génie en face de la Na
s sont les ordonnateurs des fêtes sacrées de la Vérité et de la juste
Joie
. Cette joie, qui peut parfois sourire à l’esprit
rdonnateurs des fêtes sacrées de la Vérité et de la juste Joie. Cette
joie
, qui peut parfois sourire à l’esprit en son sens
oltaire ricane, Rousseau larmoie. Voltaire est une contre-façon de la
Joie
, Rousseau une contre-façon de la Douleur. Pourtan
hrétienne qu’exige la Contrition, cette tristesse qui se moissonne en
Joie
, cette tristesse qui n’abaisse l’homme que pour l
l en garda, comme un châtiment, la tristesse première et en perdit la
joie
définitive. Le désespoir se sert de but à lui-mêm
omplit sans cesse, dans son âme, ce péché contre l’Amour et contre la
Joie
. Mais encore — cela est si hors nature ! — pourqu
ont dans leur bile ou dans leurs nerfs. Ils n’ont pas de rêve, pas de
joie
. Ils sont tristes, tristes ! — d’une tristesse pa
oëtes, — pourtant suprêmes, — dont je vais maintenant parler avec une
joie
respectueuse, ne fait lever en nous cette admirat
n un seul large et vivant fleuve de Beauté réunie à la Vérité dans la
Joie
le courant mystique et le courant scientifique. —
Mystère. Elle avait, du même trait, biffé les mots : Beauté, Vérité,
Joie
, Humanité. C’est ce que le Naturalisme a bien pro
rarement de son silence pour écrire avec une sorte d’amère et sauvage
joie
— une joie qui n’est pas l’ironie cruelle du dése
son silence pour écrire avec une sorte d’amère et sauvage joie — une
joie
qui n’est pas l’ironie cruelle du désespoir car l
les, de la tristesse de Sénancour. Il n’avait pas su choisir entre la
joie
sentimentale d’agir et l’austère bonheur de vivre
terre, je m’entretiens avec le chœur des astres, qui prend part à mes
joies
et à mes douleurs. » — À cette magnifique intuiti
aient à divorcer, l’âme en croix entre la Religion de la Croix et les
joies
de la Beauté pure et libre, de n’avoir pas deviné
s rêves de bonheur, il devait en effet se maintenir dans le deuil des
joies
que la vie nous refuse et qu’il ne pouvait encore
t, lui a ouvert le chemin vers cette aurore où tout se rajeunira : la
Joie
. Ce mot suffirait par indiquer le rang magnifique
e mot suffirait par indiquer le rang magnifique de ce Porte : il a la
Joie
! — la joie des idées, la joie des couleurs et de
ait par indiquer le rang magnifique de ce Porte : il a la Joie ! — la
joie
des idées, la joie des couleurs et des sons, la j
rang magnifique de ce Porte : il a la Joie ! — la joie des idées, la
joie
des couleurs et des sons, la joie suprême des Rim
a la Joie ! — la joie des idées, la joie des couleurs et des sons, la
joie
suprême des Rimes et de l’Ode. M. de Banville a m
’on a faite mauvaise mais dont l’essence est pleine de surprise et de
joie
, apparaît, intuitif et raisonné, servi par un esp
te aussi, parce que cette heure de la sagesse, qui sera l’heure de la
joie
, n’a pas encore sonné que ce Poëte aime tant sa M
lia de décembre 1886 à juillet 1887), et pour des conversations où la
joie
est d’écouter, que M. Mallarmé est le Poëte, entr
Théodore de Banville rend à l’Art son véritable caractère, qui est la
Joie
, assigne à la Poésie sa règle dans l’Ode et sa ré
dans cet instant où les formes atténuées vont s’affirmer, gardent la
joie
de comme encore un futur, effacent de tout esprit
ins spirituel, sans doute, en franchirait les bornes souvent, vers la
joie
des sensations. C’était le premier désir : la pen
de syllabes, — je m’étonne et je regrette que ces yeux enivrés par la
joie
des couleurs se croient obligés de pleurer. Au li
tes ces Funérailles, j’imagine que ce chanteur va me dire des vers de
joie
, de victoire et de fête et que j’y vais applaudir
ent le très jeune homme qui les a faits est un poëte et je salue avec
joie
cette allégorie ancienne de l’Art comparé à un te
oit ne font qu’un : intrangressible, imprescriptible. C’est ta propre
joie
(et, par ainsi, tu symbolises à miracle les devoi
, où s’épanouirait ton cœur, où s’accomplirait ton esprit : ta propre
joie
. Mais n’oublie pas, puisque tu te sers d’un instr
telligence, — que tu es obligé à la noblesse intellectuelle et que ta
joie
doit être cérébrale. Sinon, combien mieux que tou
les esprits qui t’ont suivi soient récompensés de leurs peines par la
joie
tremblante d’une découverte qu’ils croiraient fai
s lignes et les couleurs, et ta vie intime est entrée en communion de
joie
avec le sens vital exprimé par les signes de l’Ar
un reportage, ou même d’une enquête passionnelle et psychologique. La
Joie
de l’art n’est pas la gaieté. La Joie est grave,
ssionnelle et psychologique. La Joie de l’art n’est pas la gaieté. La
Joie
est grave, s’harmonise avec toutes les manifestat
n interdisait quelqu’une, ce serait plutôt le rire que les larmes. La
Joie
a des ailes, elle plane, — mais non sans laisser
e, loin sous ses ailes et belle elle-même de tout l’espace reculé. La
Joie
vibre de la Lumière à la Vérité, lieu commun de l
u commun de l’une et de l’autre, participant de toutes deux. Enfin la
Joie
est idéalement humaine dans les conditions spirit
ans l’Art ! Elle en est l’objet et le but. Elle donne de l’essor à la
Joie
, à condition de pouvoir lui briser les ailes, et
l’essor à la Joie, à condition de pouvoir lui briser les ailes, et la
Joie
ne voudrait pas la Femme autre qu’elle est, s’app
propres profondeurs, que l’âme s’y libère de toutes entraves pour la
joie
et pour l’intelligence du monde et d’elle-même :
de sécurité physique et de privation, puis de liberté sensuelle et de
joie
, puis de sécurité spirituelle et de douleur, — et
tera la Religion du Beau, le culte de la liberté spirituelle et de la
Joie
. Et l’Art, au Poëte admis à cette contemplation,
non pas « doit » — rester l’heure de départ du Poëme : car il y a une
joie
à voir le beau Rêve sortir du temps et le dépasse
e : « L’Art est une délivrance. » Ce qu’il faut, c’est communiquer la
joie
de cette délivrance ; c’est éployer ces ailes par
ble. — En esthétique, pour ainsi dire, pratique c’est l’atmosphère de
joie
où s’ébat l’esprit vainqueur d’avoir réduit l’irr
artine, qui se complaît, lui, en des visions de bonheur, et fût-ce de
joie
mélancolique, mais qui, sans doute, se contente a
e avant d’être artiste ; pour lui, vivre c’est agir, regarder est une
joie
puissante, puisqu’en l’action, puisqu’en les imag
nflit de sentiments humains. En ce livre qui parut peu de temps avant
Joies
, on discerne malaisément le poète instinctif et l
, la voyant rire en rappelant sans doute Quelque doux jour mort de sa
joie
un soir de mai, Je songeai que, peut-être, pour a
punément ne goûte. ……………………………………………………… Ce qu’annonçaient ces vers,
Joies
nous l’apporte bientôt, au moins en grande partie
s vers, Joies nous l’apporte bientôt, au moins en grande partie. Avec
Joies
— l’un des plus beaux livres de M. Vielé-Griffin,
jà revient vers elle pour régler de nouveau son pas sur le sien. Dans
Joies
se trouve quasi réalisée la strophe souhaitée par
r, ou les fleurs, ou les hirondelles, Ou ton âme à toi, subtile en sa
joie
? Déjà, à certaines places, il est vrai, le ryth
’est point nouvelle : il y a quelques années déjà, dans une étude sur
Joies
26, je reprochais à la préface de ce livre de com
ipé, qui nous faisait, avouons-le sans fausse pudeur, nous récrier de
joie
. J’écrivais à un ami : « Je vous en supplie, lise
mique prédicatrice n’exclut pas chez Adam la désinvolture du tour, la
joie
du mot. Et c’est par un triple charme, la fantais
li d’une notion expérimentale : que notre plaisir ne peut susciter la
joie
d’autrui, — et dans la négligence d’une vérité pl
et les statistiques sont dénuées de sens. — L’agitation divine de la
joie
traduit une satisfaction supérieure : il n’est de
lléluia par sa souveraine onction et son glorieux éclat, nous rend la
joie
, la confiance, l’espérance, et nous laisse comme
es qu’il pose généralement à son imagination, faire naître en lui une
joie
vraie dans un attristement réel, grâce à l’entraî
ses dents, et de sombres chevelures dénouées, révéla qu’elle était la
Joie
; elle enseignait les tendresses parfumées, le dé
cole d’où je viens. Seriez-vous, de charmes si divers, la Vertu et la
Joie
? N’est-ce donc point même chose, la Vertu et la
la Vertu et la Joie ? N’est-ce donc point même chose, la Vertu et la
Joie
? Et si j’ai vertueusement occis, tout à l’heure,
et les temps ont exagéré la monogamie de vos opinions. La Vertu et la
Joie
ont été séparées : on a même gagé des philosophes
upérieure et plus réelle d’une vie artistique, y transposant, avec la
joie
du libre pouvoir, les éléments fournis par la vie
ertaines âmes affinées connurent la tristesse alanguie et la brûlante
joie
de maintes syllabes : elles y trouvèrent la notat
recrée leurs actes et leurs visions : il éprouve les angoisses et les
joies
de leurs émotions. Et, comme tous les aristocrate
cit, la forme musicale de la Poésie. Il exprimera les douleurs et les
joies
par des agencements sonores et rythmiques de syll
e — demain, demain matin ! — où un sage tyran comprendra que seule la
joie
des artistes a quelque raison d’être : où il écar
ntrer trop de dédain pour nos prairies bien aimées. Ne gâtons pas nos
joies
en ce monde par des comparaisons stériles. » C’e
qu’un voyageur, longtemps absent et longtemps seul, retrouve avec une
joie
d’enfant un langage qui répond aux secrètes émoti
21 août 1848.) — La vie d’un voyageur est une étrange alternative de
joies
et de peines, de regrets et d’oublis, d’élans imp
et plus ils s’efforcent de se rapprocher au moins par la mémoire des
joies
perdues. « Aimer davantage c’est aimer autrement
de les voir, il trouve à les sonder, à les rouvrir, je ne sais quelle
joie
triste qui l’anoblit. « C’est aux instants de las
x. « Pour moi, dans les plus vives souffrances et dans les plus vives
joies
, je retrouve les mêmes pensées. Si mon âme est vi
t d’appui, et plus il s’appliquera à ses travaux avec tranquillité et
joie
, en toute assurance. Quelque chose de la sérénité
tes écartent l’idée de la souffrance, de la haine, du sang versé ; la
joie
et la paix y respirent ; c’est là que des peuples
rtir et que j’aie raison de le vouloir, il me semble que je pars sans
joie
et que jamais plus je ne m’en irai aussi loin. Ce
que). Plus on vit sous ce ciel d’Athènes, plus on a besoin d’y vivre.
Joies
et souffrances, chaque souvenir est un lien. Il v
erchons toujours : c’est l’art et c’est la vie ; et grâce à Dieu, les
joies
de l’effort, si sévères qu’elles soient bien souv
effort, si sévères qu’elles soient bien souvent, valent mieux que les
joies
passagères et stériles du succès. » Quelle digne
élas ! il fallut obéir. Les enfants sans souci se séparèrent, plus de
joie
et plus de gaîté, plus de folie et plus rien que
la joyeuse et la folle, adieu la rieuse et l’accorte, adieu à toi la
joie
française libre comme l’air, et si doucement avin
de nos murs, mais non pas de nos mœurs, la comédie qui avait fait la
joie
antique. L’arrêt qui brisa le vieux théâtre en fa
on criait : Joubert ! bravo Joubert ! Et c’était des trépignements de
joie
! on revoyait Joubert. Quand par hasard les chand
, et cette fois, pour tout de bon ils se lavaient les mains dans leur
joie
; les marionnettes, humiliées et dolentes, restai
, et qu’il faut reconnaître à son fruit à peine formé, ce sont là des
joies
qui tiennent à des joies saintes. Le printemps es
re à son fruit à peine formé, ce sont là des joies qui tiennent à des
joies
saintes. Le printemps est en jeu et le soleil ; l
vrai qu’il jouait encore mieux le rôle d’Ésope à la cour, à la grande
joie
des bossus de son temps. Ésope et l’empereur Augu
a tête aux pieds. Vie austère et lugubre ! — Pour cette femme, pas de
joie
et pas de repos, pas un sourire, tant elle avait
r Bobèche. Galimafré, au contraire, était le représentant de la vraie
joie
, de cette bonhomie sans façon toujours prête à ri
n avancement d’hoirie un grande quantité de trésors inestimables : la
joie
et l’esprit, la gaieté, le hasard, la grâce et la
dien qui se repose ? où est le comédien qui renonce tout à fait à ses
joies
, à ses transes, à ses délires ? où est le comédie
ur ! Vous avez là un bel habit ! Tout ceci, la douleur ou le rire, la
joie
ou les larmes, l’exclamation ou l’abattement, app
res diables des deux sexes qui n’ont pas d’autre métier que d’être la
joie
de leurs semblables. Il n’a manqué à ce digne Bru
u’il ne fût pas oublié à cette place où j’écris, au milieu de tant de
joie
et de tristesse, l’histoire littéraire de ce temp
amuser une heure, va se rappeler, par une illumination soudaine, les
joies
de sa jeunesse, et ses amours, et ses délires, à
abominable de sa raison absente il va chanter sa plus vive chanson de
joie
et d’amour. N’est-ce pas, en effet, que c’est cho
rtout. Il aimait l’esprit, il le cherchait avec art, il appuyait avec
joie
sur tout ce qui lui paraissait un bon mot ; il ét
s écrit sur son genou ; rien ne l’étonne, ou plutôt il se revoit avec
joie
dans ce monde idéal qui est pour lui le véritable
t les hardiesses même sont correctes. Plaute, à coup sûr, s’enivre de
joie
d’avoir rencontré — dans un sujet scabreux, tant
ives. Elle plut aux jeunes gens de la ville éternelle, jeunes gens de
joie
et de malice, qui mêlaient la danse au chant ; mé
itoyable d’un enfant des faubourgs ; il n’est pas, tant s’en faut, la
joie
de la populace et de la canaille d’Italie ; en re
emps à autre, un certain aiguillon d’ironie qui la fait accepter avec
joie
. Ce parasite-là servira plus tard de contenance e
i est la saveur d’une langue bien faite ; le peuple y retrouvait avec
joie
ses vieux mots, précieusement enchâssés dans les
eux lorsqu’au retour des fêtes de Bacchus, dans ce théâtre rempli des
joies
et des délires de la comédie satirique, notre hom
hrysostome, cet aigle chrétien, ce Bossuet de l’Orient, il faisait sa
joie
des comédies de ce pendard d’Aristophane ; même i
vivant, un langage plus élevé, plus grave, plus austère, même dans sa
joie
, et plus digne de la comédie sérieuse. Voilà pour
nieuse et piquante ; malheureusement, depuis qu’Aristophane a fait la
joie
de ce peuple, sans rivaux dans les arts du goût e
tard, en effet, après les guerres et les tyrannies, fut supprimée la
joie
extérieure de la comédie grecque ; le peuple d’At
rit était à la gêne : il vivait d’épargnes ; il n’avait plu : d’autre
joie
que de manger des pois chiches et de lésiner dan
ns… et pourquoi donc comptez-vous cette supériorité incontestable… la
joie
ineffable et charmante, inconnue à la comédie gre
le… la joie ineffable et charmante, inconnue à la comédie grecque, la
joie
inépuisable des jeunes amours ? La Malade i m
à pleines mains comme l’esprit ! Quelle profusion presque insensée de
joies
, de paradoxes, de divertissements, de poésies de
mme, vêtu de noir, et dont les petits enfants avaient peur. — Vive la
joie
autour du nouveau venu ! Vive le vin, la bonne ch
r de la licence poétique, de la vie facile, des amours vulgaires, des
joies
de la taverne et des amours débraillés. Pour tout
de pensums, plus de bonnets d’âne, plus de bon sens, mais toutes les
joies
accumulées de la semaine des trois jeudis, de cet
n. Il a ri d’un rire intrépide, il s’est abandonné sans réserve, à sa
joie
et le plus souvent cette joie est une gaîté convu
, il s’est abandonné sans réserve, à sa joie et le plus souvent cette
joie
est une gaîté convulsive. Suivez-le, si vous voul
devine pas la rage étouffée d’Araminte, l’indignation de Cidalise, la
joie
de Léonore, la stupeur de Pasquin, la moquerie de
tuellement trahies, de les comparer avec les trois à quatre filles de
joie
, mises en scène par le comédien Baron. Ceux qui o
en bon père de comédie. Une fois bénis, les voilà mariés, et vive la
joie
! L’Hôtel de Bourgogne leur donnera tout ce qui l
eureux camarades, les vices heureux, les faciles plaisirs, les folles
joies
, toutes les licences permises, tout ce qui a fait
ne comparaison avec les vers de Despréaux : Tout respire chez toi la
joie
et l’allégresse, Y peut-on manquer de plais
et une gaîté qui chatouille, qui enveloppe, qui emporte ; c’est de la
joie
, de la joie philosophique. [Le Journal (1899).]
qui chatouille, qui enveloppe, qui emporte ; c’est de la joie, de la
joie
philosophique. [Le Journal (1899).]
is, toute petite, d’une voix tremblante, quelque sainte oraison ? Les
joies
de l’enfance et les joies de Dieu dans un même cœ
ix tremblante, quelque sainte oraison ? Les joies de l’enfance et les
joies
de Dieu dans un même cœur ! (Une voix tonnante, q
e, les chemises et les draps. Elle me remercia avec des transports de
joie
et s’écria : “Celui qui est heureux ne croit pas
ssi reprendrai-je seul ce sentier, pour ne plus jamais le revoir avec
joie
. « En disant ces mots, il remit les rênes entre l
nte dans la maison de la mère d’Herman. Herman cache son secret et sa
joie
dans son cœur. Il veut porter, au retour de la fo
e celle du jour et les ténèbres de la nuit. Herman avait entendu avec
joie
la dernière question que lui avait adressée la je
n ne la respecte pas assez. Elle avoue son penchant pour Herman et sa
joie
secrète quand elle l’a vu revenir près d’elle à l
ous se donnent le baiser de paix et pleurent en silence des larmes de
joie
. Le pasteur échange les anneaux et bénit les aman
▲