tte splendide jeunesse, un trésor, un bien pour toujours ; témoin les
jeunes
classes, où déjà l’on distingue la France de dema
éjà l’on distingue la France de demain. Depuis deux ans et demi, nos
jeunes
soldats reçoivent les leçons de la guerre, et sou
que la France fleurisse de ces carnages, et par elle l’humanité. Le
jeune
Alfred-Eugène Cazalis, fils de pasteur, étudiant
à Lyon, qui va mourir pour la France à dix-neuf ans, écrit à son plus
jeune
frère : … Mon plus grand réconfort, dans les mo
e l’idéalisme… (Lettres publiées par Henri Brémont, chez Bloud.) Le
jeune
Antoine Boisson, né d’une famille de soldats, à L
ueil, sans pouvoir dire pourquoi. Je suis fier d’être soldat, d’être
jeune
, de me sentir brave et plein d’entrain ; je suis
ent des classes 14, 15, 16, 17 à mesure que la patrie les appelle. Un
jeune
gradé, chargé en novembre 1914, de l’instruction
s sublimes, ces accents s’accordent. Autant de pages j’arracherai aux
jeunes
carnets de guerre, autant de variantes d’un même
re, naissant, flexible. Regardons vivre, respirer et se nuancer leurs
jeunes
sensibilités, et de jour en jour, en lisant leurs
sser soudain le lièvre de Cowper et les perdrix de Francis Jammes. Le
jeune
guerrier les accompagne d’un regard d’enfant bien
ourmente… Cette familiarité avec la nature, très fréquente chez nos
jeunes
soldats, est bien émouvante. Ils retrouvent là un
de tendresse qui circule dans une maison heureuse, loin d’alanguir ce
jeune
cœur, l’affermissent. Un enfant naît dans la fami
l’affermissent. Un enfant naît dans la famille ; Léo Latil écrit à la
jeune
mère : Je vous félicite. Comme le poilu est un
ée lorraine prend sa plus profonde douceur, et, dans le même mois, le
jeune
héros accomplira son destin. Si vous aviez vu n
ons en pèlerinage après la guerre », avant qu’il meure, prenons de ce
jeune
Provençal une dernière image dans la campagne de
’Annecy et les deux demoiselles charmantes. Ici l’herbe est pleine de
jeunes
héros, et ce sont des gamins de Lorraine qui « ho
» les mirabelliers. Une minute encore ; jamais nous n’aurons de ces
jeunes
morts trop d’esquisses, recueillons de celui-ci h
que je demande qu’à l’étranger on retienne comme le portrait type du
jeune
Français. Ceux qui en goûteront la mesure et la p
tout à fait singulière, mais où fermente l’ardeur commune à tous ces
jeunes
soldats de créer une France plus belle. Ma préo
pour l’humanité. Je songe sans cesse à la France de demain, à cette
jeune
France qui attend son heure. Il faut qu’elle soit
premiers ? Et le voilà qui, pour concilier ses chances noires et sa
jeune
ardeur à la vie, décide qu’il vaincra, que par-de
est le grand secret. Mais je crois entendre avec émerveillement cette
jeune
bouche d’ombre. L’existence, nous dit-elle, peut
it créé dans son intérieur. La vie éternelle, si je comprends bien ce
jeune
lévite mystérieux, n’est pas un repos ; ébauchée
après la mort, les hommes continuent le noble labeur de la terre. Les
jeunes
soldats tombés pour la France travailleront encor
vois et j’admire combien la discipline de la guerre a vaincu dans les
jeunes
cœurs les ferments d’anarchie auxquels nous trouv
ir ». Je copie de telles pages, je m’attache à la respiration de ces
jeunes
héros, je ne mets pas d’autre ordre dans leurs pe
petits compagnons de guerre, il aime la vie. Au milieu du péril, ces
jeunes
êtres font leur déclaration d’amour à la lumière,
l’espérance ; mais ils préfèrent la France, et Jean Rival écrit à une
jeune
parente une lettre où le chant du départ, l’étern
tant écoutez le cri que jette, de ces lieux de douleur et de mort, le
jeune
garçon au jour de Pâques 1915 : Joyeuses Pâques
rang ! Où puise-t-il ce génie de générosité ? Écoutez la missive d’un
jeune
chevalier français, au cœur pur : Ma chère J… C
ne seule pensée personnelle. Combien s’embrume l’éclatante chanson du
jeune
Sophocle, à Salamine, auprès de cette flamme qu’a
t ! à la baïonnette pour les Françaises nos sœurs », répond le cri du
jeune
Bernard Lavergne. Que dit-il, celui-là ? Au 23 ma
quelques cigarettes, et aussi pour être franc, quelques sourires à de
jeunes
Alsaciennes… c’est tout. N’aie pas peur de la dam
es, il dit : « Tout est prêt. » Et voici alors la lettre suprême à sa
jeune
confidente : Ma chère J…, demain à la première
u, que votre volonté soit faite ! Pour faire connaître, aimer cette
jeune
nature si tendre et si forte, j’aurais pu me born
u me borner à transcrire ces ultima verba, et simplement je crois, ce
jeune
salut « à la beauté, à la jeunesse, à la vie », m
re sainte d’Alsace. Je m’arrête, avec quel regret ! Une multitude de
jeunes
soldats sont les égaux de ceux que je viens de dé
ien » (Lettres publiées par Dom Hébrard sans adresse d’éditeur). — Le
jeune
Alfred Eschiman (qui va mourir pour la France), s
sont la gloire de notre race humaine. » (Le Semeur d’août 1915.) — Le
jeune
volontaire Paul Guieysse (tombé depuis au champ d
que mon émerveillement va plus loin. Quel génie religieux dans cette
jeune
génération ! Ils ne sont pas tous au même étage,
ent sans la troubler à la surface de leur être ! Sont-ce vraiment nos
jeunes
frères ? Ils naquirent deux fois : de la terre de
isagez-vous une façon plus sage et plus efficace de venir en aide aux
jeunes
écrivains ? Nous avons reçu les réponses qu’on va
par des pensions et des dons faits sur sa cassette, venir en aide aux
jeunes
écrivains. Il n’y a plus que des députés et des é
formant une sorte d’aristocratie qui peuvent, par des prix, aider les
jeunes
écrivains : l’Académie, Les Dix, la Vie heureuse.
éraires sont excellents ; ils sont un des très rares moyens qu’ait un
jeune
écrivain de faire lire son livre par le public, e
envisageais une façon plus sage et plus efficace de venir en aide aux
jeunes
écrivains. Malheureusement, je n’en vois aucune…
ènes. Mais… mais le principal but des prix étant de venir en aide aux
jeunes
qui promettent surtout, comment faire ? Les juges
Quant aux moyens plus… propres et plus élégants de venir en aide aux
jeunes
écrivains, je crois qu’il n’y en a qu’un. Ce sera
a l’Académie, un prix Maillé Latour Landry, fondé pour encourager un
jeune
écrivain, auquel il paraît utile de donner une ma
on. Quant à une façon plus sage et plus efficace de venir en aide aux
jeunes
écrivains !… Est-ce que ces prix sont jamais venu
eunes écrivains !… Est-ce que ces prix sont jamais venus en aide à de
jeunes
écrivains ? Cheveux blancs, poches argentées, sal
x littéraires. Il y a sans doute d’autres façons de venir en aide aux
jeunes
écrivains. Qu’on les recherche et qu’on les appli
eurs écrivains ravis de disposer de quelque influence auprès de leurs
jeunes
confrères, aucune condamnation portée en vertu de
. Quant à « une façon plus sage et plus efficace de venir en aide aux
jeunes
écrivains », elle est possible, sans doute. On po
nnant une somme relativement maigre, puisse exercer une action sur la
jeune
littérature. On irait presque jusqu’à juger désir
brité publiques. Au surplus, ces prix échoient de temps en temps à un
jeune
écrivain de talent, tandis qu’un échec de cet ord
, dans le bois sacré, les plus basses mœurs électorales. Pour tant de
jeunes
, il n’y a pas de maîtres, ni de talents : rien qu
dante, et ne demandant pas qu’on lui vînt en aide. Ce ne sont pas les
jeunes
qui ont besoin de secours, mais les vieux qui tom
ités de tous les groupes et qui s’adjoindraient des représentants des
jeunes
, — un tel prix pourrait sacrer plus justement un
ement un lauréat national. Et peut-être vaudrait-il mieux laisser les
jeunes
à leur jeunesse, à l’espoir, à l’ambition, à l’or
le et sain de fonder un prix de découragement. Pour venir en aide aux
jeunes
écrivains, je ne conçois pas d’autre moyen que d’
ribuer périodiquement une récompense « au plus méritant » d’entre les
jeunes
écrivains, sachons bien que nous aurons, du même
». Et puis il y a cette vérité, qu’il faut toujours rappeler aux plus
jeunes
: La littérature (celle dont il est question ici)
u’artiste véritable, j’entends. Quand on aura mieux compris cela, les
jeunes
écrivains n’auront plus besoin que leurs confrère
assistons). Une façon plus sage et plus efficace de venir en aide aux
jeunes
écrivains ? Vous voulez dire, sans doute, aux jeu
enir en aide aux jeunes écrivains ? Vous voulez dire, sans doute, aux
jeunes
écrivains de talent ? Ce qu’il faudrait inventer,
gnes hommes et de plus beaux livres que tous les prix Goncourt. Si un
jeune
écrivain, capable de la dignité de se suffire san
rt toujours faussé qu’est le suffrage plus ou moins universel ? Si le
jeune
écrivain, le jeune musicien, le jeune peintre a q
qu’est le suffrage plus ou moins universel ? Si le jeune écrivain, le
jeune
musicien, le jeune peintre a quelque chose en lui
plus ou moins universel ? Si le jeune écrivain, le jeune musicien, le
jeune
peintre a quelque chose en lui, son génie ou son
out à fait vraies. Il faudrait cependant venir, en effet, en aide aux
jeunes
écrivains puisque, moins renseignés et moins auda
dans un site où les promenades et les sports les solliciteraient, nos
jeunes
écrivains, réunis ensemble, mais chacun parfaitem
de constater que si l’Académie Goncourt, par exemple, a élu quelques
jeunes
talents (un bon point pour Marc Elder), elle a au
e les prix tendent, selon votre expression, à avilir la mentalité des
jeunes
. Ce sont des primes à l’arrivisme. On fait son bo
si vrai qu’on tend à reculer la limite d’âge et qu’on a couronné des
jeunes
approchant la quarantaine et ayant déjà un bagage
n notoirement estimé devrait les obtenir sur sa seule demande pour un
jeune
au sujet duquel il apporterait les éléments d’une
peu. Vraiment le plus pressant de nos devoirs est encore de dire aux
jeunes
: « Vous avez choisi cette carrière, vous la croy
x Goncourt de cette année vient à point pour illustrer ma thèse. Deux
jeunes
écrivains étaient en présence et se partageaient
e parce qu’ils entravent la liberté du génie. Ils sont faits pour les
jeunes
et ils doivent fatalement influencer des jeunes.
s sont faits pour les jeunes et ils doivent fatalement influencer des
jeunes
. On travaille aujourd’hui non pour produire une œ
res parus d’un bout de l’année à l’autre et les lire ! Les livres des
jeunes
ne sont pas tellement nombreux (une centaine, au
un prix… Un prix !… Comme un bon élève !… Il paraît que c’est ça la «
jeune
littérature » !… La « vieille littérature » a d’a
votre deuxième question : la façon la plus sage de venir en aide aux
jeunes
écrivains est de les empêcher d’écrire. Conc
Frantz Jourdain). Est-ce que ces prix sont jamais venus en aide à de
jeunes
écrivains ? (Ernest La Jeunesse). Ces trois remar
e neuf ans. On rapporte qu’au moment où son père venait d’expirer, le
jeune
duc s’approcha de Mme Servien, femme de l’ambassa
gréable que la porte de corne qui seule donne passage à la vérité. Le
jeune
duc de Savoie apprenait vers ce temps que sa mère
sévérité dont à peine elle s’est relâchée depuis quelques mois… » Le
jeune
prince en était dès lors à éprouver pour sa mère
échapper un signe non équivoque de son animosité contre la France. Un
jeune
Piémontais, âgé de quinze ans, le comte de Frine,
es agresseurs en duel. Ce qu’apprenant Victor-Amédée, il fit venir le
jeune
comte dans sa chambre, lui ôta son épée, en lui d
égence expirait légalement le 14 mai 1680. La veille de ce jour où le
jeune
duc avait ses quatorze ans accomplis, l’Académie
r, après avoir exalté toutes les vertus de la mère, y célèbre dans le
jeune
prince — « Le rayon divin qui brille avec tant d’
n groupe fort beau et fort charmant. Vis-à-vis de la princesse est le
jeune
prince, beau comme un ange, d’après nature aussi,
naturel fermé de si bonne heure et de cette précoce dissimulation du
jeune
duc, et quand on lui parlait des variations de ph
crains également le chagrin et la gaieté de M. le duc de Savoie. » Le
jeune
prince, une fois majeur, n’eut plus qu’une pensée
e put s’empêcher de se plaindre de n’avoir pas été prévenue. Seul, le
jeune
duc garda un visage impassible, écouta avec calme
duchesse mère en frémissait elle-même et s’en révoltait tout bas. Le
jeune
duc, seul de toute sa Cour et de tout son peuple,
out son peuple, semblait impassible. Louvois, moins confiant en cette
jeune
âme d’ambitieux, faisait représenter à sa mère qu
ce mariage si désiré d’elle, si craint et abhorré des Piémontais. Le
jeune
duc, dans les derniers temps, paraissait soumis,
imple contretemps ? Jamais maladie n’était venue plus à point pour le
jeune
duc qui, malgré son secret désir, en semblait for
Majesté a pour lui. » Tant que l’ambassadeur Cadaval fut à Turin, le
jeune
duc semblait aller de mal en pis. Les médecins ne
e lasse, fort mécontent et exhalant son mépris. Trois jours après, le
jeune
duc était en pleine convalescence : cette fièvre
de la tutelle où il était, et lui offrait pour cela ses services. Le
jeune
duc écouta l’émissaire de Pianesse, se fit remett
Pianesse était détesté à Turin comme l’homme de la France. Lorsque le
jeune
duc reparut dans sa capitale pour la première foi
çait à connaître à qui elle avait affaire désormais en la personne du
jeune
duc. Voici le portrait confidentiel que traçait d
iolence, peu de tendresse et de sûreté… » Mais, à ce même moment, le
jeune
duc déjouait sa mère par une tactique hardie et h
Et Louis XIV, touché à l’endroit chatouilleux, s’adoucissait pour le
jeune
prince, dont les effusions lui arrivaient par le
a maturité furent dignes d’une telle enfance. Si Louis XIV, voyant ce
jeune
couple de dix-huit ans et de quinze régner en Sav
, il se préparait du mécompte. Comme premier signe d’émancipation, le
jeune
duc se montra assez détaché de la duchesse son ép
la police de l’Europe. » Une autre fois, le prince Eugène, cousin du
jeune
duc et déjà au service de l’Empereur, fait un voy
isse, aux yeux de tous, ce qu’il est bien réellement quand il ose, un
jeune
prince glorieux, fier et obstiné. Catinat, à la t
on. M. Michelet n’a pas été injuste, et je lui en sais gré, envers ce
jeune
prince qui aurait eu bien de la peine à devenir u
trente-huit ans, lorsque le duc de Beauvilliers, nommé gouverneur du
jeune
prince et chargé en chef de son éducation (1689),
lecteur ; et le reste choisi à l’avenant. L’œuvre était difficile. Le
jeune
prince qu’il s’agissait d’élever n’était pas une
détails encore plus significatifs sur les fougues et les passions du
jeune
prince, ses instincts précoces de libertinage, se
s tout à fait comme M. Michelet qui veut chercher dans les parents du
jeune
prince, et jusque dans les mystères de la générat
n, c’est que lorsque Fénelon reçut entre les mains, pour l’élever, ce
jeune
prince âgé de sept ans, il en fut effrayé à premi
Fénelon, soupçonner quelque chose du naturel équivoque et menaçant du
jeune
prince. Voici un portrait que son précepteur a fa
moquer demain sans se corriger. » Il était difficile de présenter au
jeune
prince un portrait de lui en laid plus saillant e
fin si horrible. Les uns et les autres conviennent qu’il s’agit d’un
jeune
prince éblouissant, qui promettait beaucoup, et d
ans les projets d’études et les plans de lectures qu’il trace pour le
jeune
prince, Fénelon n’oublie pas de dire : « S’il s’e
core d’une parole douce, d’un toucher de main délicat. Un jour que le
jeune
prince, en récitant sa leçon de Virgile ou d’Ovid
dans ses propres vers latins, Fénelon l’avertissait par la fable : Le
jeune
Bacchus et le Faune. Un Faune malin écoute le jeu
par la fable : Le jeune Bacchus et le Faune. Un Faune malin écoute le
jeune
Bacchus, que Silène instruisait, pendant qu’assis
Nymphes du bois souriaient aussi. A la fin, Bacchus impatienté dit au
jeune
Faune : « Comment oses-tu te moquer du fils de Ju
’au réveil, après une nuit d’été où avait éclaté un violent orage, le
jeune
prince, les yeux encore tout endormis, était de m
ient, l’un ses anciens malheurs, l’autre ses plaisirs, aperçoivent un
jeune
berger qu’ils n’avaient point vu encore, et à l’i
imable qu’il est fier. » Alors Philomèle continua seule : « Que ce
jeune
héros croisse en vertu, comme une fleur que le pr
le que Voltaire ; c’est quelque chose, mais c’est trop peu. Napoléon,
jeune
, cherchait avidement autour de lui, et il ne trou
ssionnez toute la nature. » Quand le démon était près de ressaisir le
jeune
furieux, c’est avec du Virgile qu’il le calmait,
aucoup trop particuliers ; mais, en jugeant un prince qui est mort si
jeune
et qui n’a laissé que des espérances, il n’est qu
rs de la distribution des prix du lycée Louis-le-Grand 7 août 1883
Jeunes
Élèves, C’est sans doute le voisinage de notre vi
s forte proportion que votre supériorité s’accentue. Que de couronnes
jeunes
élèves ! Quelle ardeur, quel goût du travail elle
ctif, comme un bloc aurifère non exploité. Tenez donc pour décisives,
jeunes
élèves, les années où vous êtes, et que trop souv
risés par le sort que ceux qui vous ont précédés ? Tout au contraire,
jeunes
élèves. Ne dites jamais, comme les mécontents don
mille raisons de vous porter envie, non seulement parce que vous êtes
jeunes
et que la jeunesse est la découverte d’une chose
que moi vous prémuniront contre la part d’illusion que suppose votre
jeune
ardeur. Ils vous annonceront des déconvenues ; il
u à la mode de médire, je l’ai trouvée bonne et digne du goût que les
jeunes
ont pour elles. La seule illusion que vous vous f
d sourds aux plaintes pusillanimes des découragés, est donc légitime,
jeunes
élèves. Ne vous reprochez pas devons y abandonner
pâle soleil qui l’éclairé et le rivage glacé qui la termine. » Non,
jeunes
élèves ! C’est trop triste. Le soleil n’est jamai
ien éloquent auprès d’une mère qu’on aime. Vous verrez le XXe siècle,
jeunes
élèves. Ah ! voilà, je l’avoue, un privilège que
s souvent, que justice. On reproche à l’opinion sa mobilité ; hélas !
jeunes
élèves, ce sont les choses humaines qui sont mobi
du vrai à chercher, une patrie à servir et à aimer. Venez maintenant,
jeunes
élèves, recevoir les récompenses que vous avez si
de l’âme cette contre la brutale agression des Germains… Heureux les
jeunes
qui prennent part à ces luttes formidables !… J
rial d’infanterie. Cette lettre avec sa belle finale, « Heureux les
jeunes
!… » met d’une manière vivante sous nos yeux le s
aditionalisme ». François Baudry, neveu du peintre célèbre, était un
jeune
savant de vingt-quatre ans. Né à Versailles, il s
t d’esprit profondément religieux pour donner toute sa vérité à cette
jeune
figure et montrer les sources de sa vertu. Mais c
le déléguée par la population de Carency délivré offrit un bouquet au
jeune
officier. Le vieux maire d’Ablain-Saint-Nazaire,
nt de vous féliciter, lieutenant, je dois vous dire : Merci. » Et le
jeune
légionnaire aussitôt d’écrire à son père : « C’e
ierre de Rozières, et de laisser croire à quelque infatuation chez un
jeune
héros qui aimait la gloire, pour ce qu’elle a de
la société souffre, s’énerve et s’anémie. Qu’on ne fasse pas grief au
jeune
laboureur que je suis, s’il travaille encore un s
de se relier étroitement aux générations du passé et de l’avenir, ces
jeunes
patriotes devaient tout naturellement nouer des a
e critique des Idées et des Livres était rédigée par une trentaine de
jeunes
écrivains, qui ne se fussent pas contentés que la
ls ont parlé de Racine et de Stendhal ! Pleins de goût et de feu, ces
jeunes
doctrinaires formaient une société d’une espèce r
dans ce dénombrement, plusieurs noms qui déjà brillaient. Nul de ces
jeunes
morts qui ne mérite son portrait, une étude, son
e illusion qui, dans ces journées fiévreuses d’août 1914 masquait aux
jeunes
saint-cyriens le vrai caractère et l’horreur de l
insignes de la gloire vos âmes soient exaltées ! Le bel adieu d’un
jeune
Français aux Lettres, quand il ferme sa cantine d
puissante sérénité Joseph Hudault et Pierre de Rozières, et dont les
jeunes
écrivains de la Revue Critique travaillaient à co
thousiasmaient Henri Lagrange. Mais à l’énergie large et calme de ses
jeunes
aînés, cet enfant substitue une violence sacrée.
. Pensée nette, pensée dure, où la sagesse a le ton tranchant de la
jeune
inexpérience. J’aime infiniment ce feu et cette d
y a de plus insaisissable et de plus secret dans les mouvements d’une
jeune
âme. Ses violences contiennent un élément de doul
n de ses compagnons d’émeute, le chansonnier Maxime Brienne. Les deux
jeunes
soldats étaient là au repos avec leurs régiments,
a lumière lunaire en exagérait la pâleur, et les lignes si fortes, si
jeunes
et si mâles, de sorte qu’à l’image tragique du hé
èles sont nouveaux, mais son ardeur renouvelle celle des innombrables
jeunes
Français qui voulurent avant lui ne vivre que pou
ent. Parfois il revenait sur ses luttes épiques d’avant guerre et, si
jeune
, il revisait ses actes et ses pensées. En apprena
s Cassagnac jusqu’à moi-même… » Et cette autre note encore : « Que de
jeunes
juifs auxquels je refusais absolument la solidari
r la tempête que leurs ainés, en grand nombre, niaient. De toute leur
jeune
voix, ils ont crié pour qu’on s’y préparât ; ils
i qui défends l’accès du territoire. C’est drôle quand on y pense. Si
jeune
, avoir à soi 75 mètres de frontière. J’en suis tr
ès d’Arras, le 22 septembre 1916, à l’âge de 23 ans, ne sont que d’un
jeune
être qui a dans le sang toute la tradition. Je ne
ière et spiritualisée. Un enfant veut être digne de sa famille, de sa
jeune
dignité de chef, de son drapeau ; l’idée de l’hon
nt librement leurs feux. Nous repartons en première ligne, écrit le
jeune
soldat, en date du 24 mai, près d’Arras ; nous av
luire. Jacques de Laumont nous remet en pleine simplicité. Les autres
jeunes
traditionalistes nous ont dit leurs méditations,
souillures du monde qu’il vient racheter. Jacques de Laumont est le
jeune
Français qu’aurait le plus complètement aimé Déro
ent annoncer sa découverte. « — Lève-toi, Cuchullin, lève-toi, dit le
jeune
guerrier, je vois les vaisseaux de Swaran ; Cuchu
de soleil qui luit sur la colline dans un jour d’orage ! As-tu vu le
jeune
Caïrbar ? As-tu rencontré cet aimable guerrier su
comme la tempête. « — Il n’est donc plus, le fils de Torman ! dit sa
jeune
amante, les yeux pleins de larmes. Il est donc to
ante, les yeux pleins de larmes. Il est donc tombé sur la colline, ce
jeune
et beau guerrier ! Il était toujours le premier à
mar : je sens dans mon sein le froid de l’acier. Rends mon corps à la
jeune
Moïna ; Ducomar était l’objet de ses songes. Elle
ses de Morven ; penche ta belle tête sur les flots. Il est tombé, ton
jeune
amant, il est tombé pâle et sans vie sous l’épée
ne amant, il est tombé pâle et sans vie sous l’épée de Cuchullin. Son
jeune
courage ne montrera plus en lui le digne rejeton
vaient faite sur la colline avant d’en descendre pour combattre. Cent
jeunes
guerriers amassent la bruyère : dix héros exciten
e lieu jusqu’à ce que l’aurore, se levant sur mes États, couronnée de
jeunes
rayons, vienne m’éclairer pour donner la mort à C
de cette nation ennemie. Caïrbar, le premier des mortels, et Grudar,
jeune
et beau guerrier, s’y trouvèrent ; ils avaient lo
a leur fureur. « Ils combattirent sur le gazon des rives du Lubar. Le
jeune
et brillant Grudar tomba. Le farouche Caïrbar vin
soupirait des chants de douleur. Elle chantait les actions de Grudar,
jeune
objet des sentiments secrets de son cœur. Elle dé
ite : pâle, éperdue, elle vole au champ de bataille ; elle trouve son
jeune
amant baigné dans son sang ; elle expire, à cette
e la beauté ; mais son cœur était l’asile de l’orgueil : elle aima le
jeune
fils de Daman. « — Caïrbar, dit-elle, donne-moi l
Je poussai un soupir profond ; je levai le tranchant de ma lame : le
jeune
Ferda tomba sur la terre, Ferda, le premier des a
eureuse est la main de Cuchullin, depuis qu’elle a donné la mort à ce
jeune
héros. « Ton récit, ô chef des guerriers, est tri
jeunes filles. Elles souriaient aux grâces épanouies sur le visage du
jeune
héros ; mais la mort était dans ses mains : il ét
e ressentiment ; il méditait au fond de son âme ténébreuse la mort du
jeune
vainqueur, car jamais, jamais nul autre que Finga
tre renommée puisse pénétrer jusqu’aux demeures secrètes où habite la
jeune
Agandecca. » « Le roi des Neiges méditait leur mo
plaît à l’oreille comme une musique agréable. Elle voit, elle aime le
jeune
héros. Il fut l’objet des soupirs secrets de son
rs. Garde-toi de cette forêt où t’attend la mort : mais souviens-toi,
jeune
étranger, souviens-toi d’Agandecca. Roi de Morven
’Agandecca. Roi de Morven, sauve-moi de la fureur de mon père. » « Le
jeune
héros, sans crainte et sans émotion, s’avance acc
des flots en courroux et cherche l’Esprit des vents, tandis que trois
jeunes
matelots gouvernent la barque agitée, il est debo
Fingal aperçoit le fils de Starno, et se rappelle Agandecca. Swaran,
jeune
encore, avait donné des pleurs à la mort de sa sœ
cs, et ses pensées se promenaient sur le passé. Près de lui était mon
jeune
, mon cher Oscar, penché sur sa lance ; il admirai
t de ses actions. « Fils de mon fils, dit le roi, Oscar, l’honneur du
jeune
âge, j’ai vu briller ton épée, et je me suis enor
aible s’est reposé derrière les éclairs de mon épée. « Oscar, j’étais
jeune
comme toi lorsque la belle Fainasollis s’offrit à
beauté, lui dis-je avec douceur, d’où viennent tes soupirs ? Puis-je,
jeune
encore, puis-je te défendre, fille de la mer ? Mo
erre cette belle infortunée et son cruel amant. « Tel je fus dans mon
jeune
âge ; mais toi, Oscar, imite la vieillesse de Fin
le bouclier de Cormac ; trois fois sa lance se rompit sur le mien. Ô
jeune
et malheureux amant ! je lui tranchai la tête : c
elliqueux : « Enfant des climats où naissent les coursiers généreux ;
jeune
roi des lances, toi dont le bras est ferme dans l
roi ; soyez attentifs à ses ordres. Gaul, bras invincible de la mort,
jeune
Oscar, qui croîs pour les combats ; vaillant Conn
ouclier est à ses côtés et sa lance s’élève comme un arbre du désert.
Jeune
inconnu, es-tu des ennemis de Fingal ? « — Je sui
montrer à son fils et allumer dans son cœur l’amour de la guerre. « —
Jeune
infortuné, lui dit Fingal, pourquoi, par ces tris
? Il vient un jour où il faut que les guerriers meurent, et que leurs
jeunes
enfants voient leurs armes oisives et suspendues
et Fingal, attendri, se penche sur le héros expirant. Il appelle ses
jeunes
guerriers : « Oscar, Fillan, mes enfants, élevez
hants. Fillan, Oscar, Ryno, volez sur la plaine. Où donc es-tu, Ryno,
jeune
enfant de la gloire ? Tu n’as pas coutume de répo
oint les ombres de ses aïeux, les ombres de Trathal et de Trenmor. Le
jeune
Ryno n’est plus ; son corps inanimé est étendu su
ère a-t-il eu le temps de te connaître. Ah ! pourquoi faut-il que, si
jeune
, tu sois déjà tombé ? Repose en paix sur Lena, Fi
nt le nom de Fingal et les pierres parleront de sa gloire ; mais toi,
jeune
Ryno, tu as péri, et les bardes n’ont point encor
coulaient sur les joues de Fingal ; il pleurait son fils, son fils si
jeune
et déjà si redoutable dans les combats ! « Quel e
revêtues de mousse marquer ici la sombre demeure de la mort. Que mon
jeune
Ryno dorme à côté de lui, qu’il repose auprès du
ui furent ainsi que lui à cheval sur deux siècles, ce fut d’être plus
jeune
dans la seconde moitié de sa vie que dans la prem
it à quelqu’un qui vieillit est de lui dire qu’il n’a jamais été plus
jeune
. Ce n’est pas en ce sens banal de complaisance et
plus de ceux qui, en effet, sont restés et n’ont jamais cessé d’être
jeunes
d’esprit, de vivacité, de goûts, comme on l’a dit
it tout de bon. Ce n’est pas une verte vieillesse qu’il eut, mais une
jeune
, une allègre vieillesse. Le phénomène moral qu’il
ourens, Sénèque s’y est surpassé : « Je suis vieux, écrivait-il à son
jeune
ami Lucilius, je suis plus que vieux, ce mot de v
ilius, je suis plus que vieux, ce mot de vieillesse est lui-même trop
jeune
pour moi, pour ce que je suis avec cette machine
n se rappelant leur temps passé, disent naturellement : Quand j’étais
jeune
… lui, il disait naturellement : Quand j’étais vie
d j’étais vieux. M. Rossi, qui savait si bien son Bonstetten, et qui
jeune
, et dans ses années de séjour à Genève, avait été
it du vieux sénat cantonal. En France, vers le même temps, combien de
jeunes
héritiers de la noblesse se comportaient plus ou
de l’esprit nouveau. Bonstetten fut au dehors de la France un de ces
jeunes
nobles, et des plus précoces, que l’esprit du xvi
se des mœurs domestiques, et à la grossièreté des mœurs scolaires, le
jeune
Bonstetten, vers l’âge de quatorze ans, fut placé
étrangers illustres et des visiteurs de haute distinction. Bonstetten
jeune
, aimable, instruit déjà et surtout curieux d’inst
ten, qui avait horreur d’un maître, avait grand besoin d’un guide. Sa
jeune
tête était enflammée. J’estimerais peu un jeune h
de principes, eut à entreprendre cette cure délicate sur l’esprit du
jeune
Bonstetten que l’enthousiasme de Rousseau avait s
nts à longs et silencieux corridors, des solitaires en robe noire, de
jeunes
seigneurs travestis en moines à bonnets carrés, p
epartie du récit de Bonstetten, le témoignage de Gray lui-même sur ce
jeune
ami, et un témoignage tout vif donné dans le temp
ne finît par quelque dérangement d’esprit. Au moment du départ de son
jeune
ami pour la France, il écrit à leur ami commun Ni
ns l’agitation du matin au soir. À huit heures je suis éveillé par un
jeune
bonnet carré (un étudiant), avec lequel je me met
Chapitre V. Le mouvement régionaliste. Les
jeunes
en province La littérature provinciale n’était
es compatriotes étaient les premiers à faire payer, par le mépris, au
jeune
provincial son outrecuidance d’écrire et de se vo
et La France d’Oc. À Toulouse, L’Effort (1896), fusion des Essais de
Jeunes
et des Pages d’Art (Voir les Écoles et les Manife
9-1901) ; — La Terre Nouvelle (1900-1901) de M. Aurenche, et La Revue
Jeune
de M. José Colb eurent un destin éphémère — et on
0 ; — L’Aube Méridionale publiait (avril 1899), un numéro spécial des
Jeunes
Poètes du Midi. Le Titan, de MM. H. Rigal et M. L
s Pyrénées et Occitania. À Rennes, l’Hermine de Louis Tiercelin et la
Jeune
Bretagne. À Carcassonne, la Revue Méridionale de
Chronique mondaine. Voici, à titre d’exemple, le programme d’une ces
jeunes
revues63 : celle-ci « prétend refléter l’âme nouv
raisons plus grandes d’aimer les arts et d’aimer aussi sa région. Les
jeunes
revues provinciales ont eu une influence littérai
mme, a du moins préparé un terrain d’entente entre un grand nombre de
jeunes
écrivains et cela seul lui eut mérité déjà d’être
angue française. À Bruxelles : L’Art Moderne, Le Thyrse, Durendal, le
Jeune
Effort, L’Idée Libre, La Belgique Artistique et L
, etc… À Liège : Vallonia, etc… Sans compter les revues disparues, La
Jeune
Belgique, Le Coq Rouge, Comme il vous plaira, etc
ns soldats ont presque toujours la tête chez eux. Ecoutez ce cri d’un
jeune
protestant, le sous-lieutenant André Cornet-Auqui
t entre cette vie et la suite. » (Lettre communiquée.) Eh bien ! ces
jeunes
soldats aussi, dans leur allégresse, ont besoin d
ent en groupements plus étroits. Des amis ! Voilà le premier cri des
jeunes
et des vieux. Là-dessus, les lettres des tranchée
. Là-dessus, les lettres des tranchées sont pressantes et claires. Un
jeune
soldat a pu rencontrer un aumônier, et puis d’aut
ns notre solitude presque complète. » (Bulletin de l’A. J. C. F.) Le
jeune
Gustave Escande, protestant, écrit dans son journ
anuel général de l’Instruction primaire.) De l’Argonne, Roger Cahen,
jeune
israélite, libre penseur, écrit : « Le manque de
hez les hommes d’un certain âge, joyeux jusqu’à la gaminerie dans les
jeunes
classes et chez les petits officiers, remplissent
leur rend ce témoignage : « Mêlés à leurs camarades dans le rang, les
Jeunes
Catholiques ont certainement exercé par leurs dis
avec fierté une phrase effroyable, il dit : « Il est trop vrai que la
jeune
génération catholique est enterrée dans les tranc
ins de Savouré, dont la pension relevait du collège de Lizieux, où le
jeune
enfant devait achever ses études… Pendant l’année
mais qui n’est pas désagréable, la nature de l’homme étant donnée. Le
jeune
Étienne est si naturellement le centre de tout ce
é, avait de la fortune et possédait une jolie habitation à Meudon. Le
jeune
enfant y fut livré à lui-même pendant la Terreur
que là. Ce livre a fait à M. Delécluze le plus grand bien auprès des
jeunes
générations d’artistes ou de curieux d’art avec q
un soin dont je lui sais gré, la situation des ateliers où entra, le
jeune
Étienne ; il nous donne l’état des lieux : c’est
: voilà de la vérité. Avant d’entrer dans l’atelier même de David, le
jeune
Étienne fut admis, par manière de stage, dans cel
à se rendre compte de tout par lui-même : « Malgré l’inexpérience du
jeune
élève, cette journée passée dans l’atelier des Ho
ons pour les arts19 : Elle avait vingt-six-ans, il en avait seize. Le
jeune
Étienne va-t-il devenir amoureux de sa belle cama
entiments suggère ou supplée celle des manières. Un jour pourtant, le
jeune
; Étienne eut, à l’occasion de la charmante dame
rentrée, lui l’ancien jacobin, l’ancien terroriste ! Étienne, dans sa
jeune
tête, avait peine à concilier tout cela : « Ce c
avait suggérées, et il lui sembla voir tomber la jolie tête de cette
jeune
femme. Ce ne fut même qu’en faisant un grand effo
dans le cabinet. II. Le premier chapitre du livre ne nous montrait le
jeune
Étienne que dans l’atelier de Moreau, autrement d
ne, s’il l’avait vu plus avancé et peignant déjà : « Toi, tu es bien
jeune
, mais je vois déjà ta disposition : quand tu veux
, Forbin, Saint-Aignan, Granet ; plus loin et toujours ensemble, deux
jeunes
Lyonnais fort réservés et qu’on disait religieux,
eune homme faisant secte à part, Maurice Quaï, un ami de Nodier, mort
jeune
, noble penseur, véritable type olympien ; et quel
t d’un air timide, mais où perçait un sourire plein de joie, ces deux
jeunes
artistes remercièrent leur généreux camarade de m
e supposition, et que David, faisant son tour d’atelier, et arrivé au
jeune
Etienne, lui dit un jour en effet : « Ah ! tu es
aude semaine du mois de juillet, en Italie. Nous allions chercher, ma
jeune
femme et moi, les sites pittoresques et la fraîch
chions à nous abriter nous-mêmes, sous son toit de feuilles. Ces deux
jeunes
et aimables étrangers, nous dit le pâtre, étaient
nous nous séparâmes pour ne plus nous revoir. La princesse Charlotte,
jeune
, mince, grêle, flexible comme un roseau qui n’a p
i n’a pas encore ses nœuds, était plus semblable à un enfant qu’à une
jeune
femme. On n’entrevoyait sa puissance d’attraction
cette princesse ; elle devait tuer un jour, bien involontairement, le
jeune
peintre qui aurait pu devenir le Raphaël de son s
opold fréquentait surtout le palais de la princesse Charlotte ; cette
jeune
femme s’essayait sous sa direction à dessiner, à
. XII Une si vive imagination ne pouvait cependant se sevrer si
jeune
d’amour. Il était évident que son cœur était asse
urs scènes ; la princesse Charlotte les gravait sous l’inspiration du
jeune
maître. Rien n’était plus innocent que ces rappor
nous l’avons dit, la physionomie ingrate et le caractère concentré du
jeune
artiste ne laissaient ni prévoir en lui, ni éclat
és du char. Il nous a semblé reconnaître, dans le visage d’une de ces
jeunes
femmes, le portrait un peu idéalisé de la princes
a princesse Charlotte. XXI Un homme d’un âge plus mûr, quoique
jeune
encore, est assis, les jambes pendantes, sur la c
lle écoute cependant aussi la zampogna, mais comme un souvenir de ses
jeunes
années, ou plutôt elle la fait écouter à son enfa
lus classique à la fois que ces buffles, ce bouvier, ce gendre, cette
jeune
femme, ce vieillard, ce serviteur, ces glaneuses,
de leur famille, redevenue la patrie de leur exil. Enfin ils étaient
jeunes
, et les révolutions sont l’instinct de la jeuness
’impatience est le défaut, mais aussi la vertu de la jeunesse. Il fut
jeune
; la mort l’en punit : c’était une grande dureté
ent simples et accueillantes. Mais figurez-vous la situation de cette
jeune
veuve qui vient de faire une perte si cruelle ! L
ce qui rend sa position si intéressante. Vous me demandez pourquoi ce
jeune
prince Napoléon se trouvait avec les insurgés. C’
ous, aimant l’étude et fort instruit. Quand la fatalité amena ici son
jeune
frère, qui avait été renvoyé de Rome comme suspec
lattait-il d’être aimé un jour ! L’isolement et les malheurs de cette
jeune
et intéressante princesse, poursuivie par la poli
ant la main de son camarade pour y enlacer ses doigts : l’autre, plus
jeune
encore, mais d’un visage plus réfléchi, tourne et
es regards du quai et les plonge dans le lointain pour ne pas voir sa
jeune
épouse et son nouveau-né, qui sont debout aussi s
voyante, jette le même frisson sur tous ces visages, à l’exception du
jeune
adolescent ; celui-là n’a sur la figure que la mâ
-là, pour voir une dernière fois l’embarquement de son mari et de ses
jeunes
enfants ; elle les recommande à Dieu de ses lèvre
on la regarde. XXXVI À côté d’elle, mais debout, est une toute
jeune
femme, sa fille sans aucun doute ; elle tient sur
ntiment ; on voit, dans la mère malade, le tombeau ; on voit, dans la
jeune
femme et dans l’enfant, la future indigence. Nul
e la princesse Charlotte ne se retrouve dans le charmant visage de la
jeune
mère. La main ne peut pas s’abstraire du cœur ; q
La princesse n’avait donné qu’une tendre amitié au fidèle artiste. Un
jeune
et héroïque étranger, d’un grand nom, exilé comme
pareil aveu ; cet aveu ne se fait jamais que par l’événement à un ami
jeune
et passionné, qui regarde toujours comme dérobé à
evant les bœufs du tableau de la Madonna dell’Arco, à la figure de la
jeune
épouse transie des frissons du départ, pressant s
le soc luisant ; il y en a qui, comme les deux Lehmann, dont le plus
jeune
, dans sa Graziella écoutant le livre qu’on lui li
du jour qui se repose et l’obéissance des animaux heureuse d’obéir au
jeune
bouvier qui caresse de sa main distraite leurs ru
l’homme à la réception des dons de Dieu. — Que dit le visage de cette
jeune
et belle moissonneuse, regardant de loin les musi
ce le destin de lui ravir sa jeunesse et son bonheur. — Et que dit la
jeune
mère, debout sur le char, son nouveau-né dans les
noir d’où la mort peut tomber avec le vent. — Et que dit le visage du
jeune
fils qui déplie si majestueusement les filets, sa
tion de la jeunesse qui ne peut pas croire à la mort. — Et que dit la
jeune
mariée, debout, son nouveau-né dans le pli de son
les ennemis (1789) Le Jeu de Paume, à David, peintre (1789). — La
Jeune
Captive, publiée le 20 nivôse an III dans la « Dé
ve, publiée le 20 nivôse an III dans la « Décade philosophique » ; La
Jeune
Tarentine, dans le « Mercure » du 1er germinal an
un parallèle entre l’auteur de ce livre et le malheureux poète de la
Jeune
Captive . Dans tous les deux mêmes originalités,
d’être proposés comme modèles, sans restriction, aux étrangers et aux
jeunes
esprits dont le goût n’est pas encore entièrement
erreur… Maintenant, voici quelques strophes de sa dernière élégie (La
Jeune
Captive), écrite la veille de son supplice, pour
x pastiche, un pseudo-Anacréon d’une fausse antiquité, l’élégie de la
Jeune
Captive avait l’accent vrai, grandiose et pathéti
la porte de sa prison sur l’échafaud, avait changé le diapason de ce
jeune
Grec en diapason moderne. L’amour et la mort sont
devenue du pathétique. Voilà le secret de cette élégie tragique de la
Jeune
Captive, qui ne ressemble en rien à cette famille
st allé butiner, toutes les ruches ou il est allé piller son miel. Un
jeune
admirateur de Chénier s’est de bonne heure voué à
ale et qui apporte avec elle bien des délices. M. Becq de Fouquières,
jeune
officier, avait conçu cette idée d’homme de goût
rd : il établit très bien qu’André Chénier n’a pas été un inconnu, un
jeune
poëte ignoré dont il était réservé à notre siècle
tait, en quelque sorte, intercalé chez lui, entre le poëte aimable et
jeune
qu’on se figure et le poëte iambique et vengeur d
rla ensuite de lui, dans des notes et notices incomplètes, comme d’un
jeune
poëte riant, presque blond, idyllique, printanier
, mais en tout, il était mûr et en pleine virilité. Ce n’était pas un
jeune
cygne au tendre duvet, et duquel on pouvait dire
vec sentimentalité ou plutôt sensiblerie : « Il est si beau de mourir
jeune
! Il est si beau d’offrir à ses ennemis une victi
faisait partie de la brillante société de Luciennes. Enfin, une autre
jeune
femme de la même société, Fanny, la dernière, la
ais celles de sa dernière manière, les élégies lyriques à Fanny, à la
Jeune
Captive, l’ode à Charlotte Corday, les Iambes, ne
désormais attaché son nom d’une façon inséparable à la destinée d’un
jeune
dieu. Quelques défauts dans sa manière de dire et
pain de seigle de la chaumière. Regardez les bras demi-nus de belles
jeunes
demoiselles à moitié vêtues, écartant d’un geste
C’est là que je vivais à quinze ans entre un père militaire, une mère
jeune
encore et belle comme la mémoire mal voilée de so
asse ou Cervantes pouvaient également les chanter. IV Un de ces
jeunes
émigrés arriva alors dans la maison de mon père,
s. M. de Surville était, nous disait M. de Davayé, un très-bel homme,
jeune
encore, d’une taille haute et imposante, d’une ph
, mère de Pulchérie de Vallon, donna sa fille à Bérenger de Surville,
jeune
gentilhomme du même pays, engagé à la cause royal
e Vessau aux bords de l’Ardèche. Elle y était entourée d’un groupe de
jeunes
amies lettrées et belles parmi lesquelles on rema
de jeunes amies lettrées et belles parmi lesquelles on remarquait une
jeune
Italienne du nom de Rocca, sa plus tendre amie. L
à son mari pendant ses absences, entraîna l’un vers l’autre ces deux
jeunes
amants. Clotilde le suivit même au camp de Charle
VI au Puy-en-Velay, au milieu de cette cour militaire composée de la
jeune
noblesse française. Sa beauté et ses talents poét
ca ; Rosé de Beaupuy s’était retirée dans un cloître après la mort du
jeune
de Liviers son amant ; Louise d’Effiat avait épou
il ne reste que des fragments. Après avoir donné l’hospitalité à deux
jeunes
Écossaises qu’elle accueillit dans son château, e
ée. Jeanne de Vallon, le dernier descendant de son petit-fils, mourut
jeune
d’une maladie de langueur. Ce fut elle qui, penda
mémoire. XI Après avoir entrelu quelques rondeaux, chansons des
jeunes
et érudites amies de Clotilde qui ouvrent le volu
es comme la voix et la sensation. Quel tort ne faisait-on pas à cette
jeune
inspirée d’un chaste amour de la comparer à Sapho
her enfantelet, etc. Quant te voyra cestuy dont az receu la vie, Mon
jeune
espoulx, le plus beau des humains ? Oui, desjà cu
malgré leurs belles et touchantes images, n’égalent cette naïveté de
jeune
mère, encore jeune fille, n’adorant dans son fils
jeune fille, n’adorant dans son fils que le visage et l’amour de son
jeune
mari absent, et lui tendant ces bras qu’elle a fo
fois inséparable à son cœur. Il ne faut pas oublier en lisant que ce
jeune
époux, ou plutôt ce jeune amant, était alors au P
ur. Il ne faut pas oublier en lisant que ce jeune époux, ou plutôt ce
jeune
amant, était alors au Puy en Velais, guerroyant,
se complaist en son char de saphyrs ; Songe à Tython, quand veoit la
jeune
roze S’espandyssant aux souffles des zéphyrs… De
sette et les pipeaulx légiers, Vist bientost qu’aux despends de leurs
jeunes
compagnes, De ces volages cœurs triomphent sa bea
du sien ; Car est Ismene encor malade, Et ma Chloé se porte bien. Un
jeune
chevalier calabrais, nommé Colamor, parut ensuite
oit fendant. Ores, entour, querroy la belle amye Qu’avoit ouvert mon
jeune
aage aux plaizirs ; Ores cuydoye infernale lamye
doit s’imaginer l’impression que de pareils vers éclos du cœur d’une
jeune
femme et retrouvés sur les lèvres d’une grand’mèr
tour un flambeau » : si elle daigne ou si elle ose, la vieille ou la
jeune
vous chantera, version flamande214 : « Ils étaien
i, viens, viens et nage vers moi ! Ainsi fit le fils du roi, il était
jeune
. « Une vieille femme le vit, bien mauvaise mégère
e le vit, bien mauvaise mégère. Elle alla souffler les lumières et le
jeune
brave fut noyé. — Ô mère, mère chérie, ma tête me
« Ô fille, ma fille chérie, seule tu n’iras point là, mais éveille ta
jeune
sœur, qu’elle aille se promener avec toi. — Ô mèr
eille ta jeune sœur, qu’elle aille se promener avec toi. — Ô mère, ma
jeune
sœur est encore une si jeune enfant, elle cueille
aille se promener avec toi. — Ô mère, ma jeune sœur est encore une si
jeune
enfant, elle cueille toutes les fleurs qu’elle tr
e, ô ma fille chérie, seule tu n’iras point là, mais éveille ton plus
jeune
frère, qu’il aille se promener avec toi. « Ô mère
ton plus jeune frère, qu’il aille se promener avec toi. « Ô mère, mon
jeune
frère est encore un si jeune enfant ! Il court ap
ille se promener avec toi. « Ô mère, mon jeune frère est encore un si
jeune
enfant ! Il court après tous les oiseaux qu’il tr
touchaient le fond. En un instant, il pêcha le fils du roi, il était
jeune
. « Que retira-t-elle de sa main ? Une bague d’or
mme le jour, A qui trois capitaines Ont voulu faire l’amour. Le plus
jeune
des trois La prit par sa main blanche : — Soupez,
n porter au marché la peau, et avec le prix s’acheter un mari neuf et
jeune
. C’est partout la candeur et la férocité de la bê
terminée, un pauvre brahmane reçoit par charité, dans sa maison, deux
jeunes
vaincus et leur mère, qui cherchent à se dérober
turages, apportaient chaque jour à l’homme le tribut de leur lait. Le
jeune
roi, doué d’un courage héroïque, aussi habile à m
le cri sauvage des éléphants, une foule de femmes, brûlant de voir le
jeune
héros dans tout l’appareil de sa grandeur, se pré
nger ; elle reconnaît le roi. Sacountala était dans le costume d’une
jeune
religieuse indienne consacrée au culte de la divi
sous la direction du saint vieillard. La beauté presque divine de la
jeune
vierge éblouit et enlève le cœur du roi. — « Qui
tre de notre union, engage ta parole royale de lui donner le titre de
jeune
roi, et à le faire reconnaître par tes peuples co
e et de grâce : « Ô roi », dit-elle, « les temps sont accomplis où un
jeune
enfant, fruit de notre légitime union, doit être
e drame. La scène représente une forêt au bord du fleuve Malini ; le
jeune
prince Douchmanta, monté sur un char conduit par
un écuyer, apparaît dans le lointain l’arc à la main, et chassant un
jeune
faon qui fuit devant ses coursiers. « Vois », di
s au pied des arbres, ces grains de riz consacré, échappés du bec des
jeunes
perroquets encore dépourvus de plumes, au moment
l’ingoudi, dont elles viennent de servir à broyer les fruits ; là, de
jeunes
gazelles, habituées à la voix de l’homme, ne se d
es d’eau distillées des vases nouvellement purifiés ? Vois encore ces
jeunes
arbres, dont les racines sont abreuvées par des c
u Gesner, ce Théocrite des Alpes : « Chère Sacountala », dit une des
jeunes
compagnes de la fille de Canoua, qui arrose les p
u jardin de l’ermitage ; « chère Sacountala, ne dirait-on pas que ces
jeunes
arbustes, ornements de l’ermitage de notre père,
re que je prends tous ces soins ; je t’assure que je ressens pour ces
jeunes
plantes l’amitié d’une sœur. (Elle les arrose.)
pour ces jeunes plantes l’amitié d’une sœur. (Elle les arrose.) Une
jeune
compagne de Sacountala. Mais, mon amie, les plant
ent s’unir dans de tendres embrassements ! Ne dirait-on pas que cette
jeune
plante ait mis à dessein, sous la protection de c
moi ! » Voilà, je t’assure, la pensée qui occupe en cet instant notre
jeune
amie. Sacountala , souriant. Allons, petite fol
ersonne ici n’est coupable d’une action criminelle : seulement, notre
jeune
amie se défendait contre une abeille obstinée à l
, qui vient visiter le saint ermite ; il s’informe habilement par les
jeunes
amies de Sacountala de la naissance étrange de ce
t par les jeunes amies de Sacountala de la naissance étrange de cette
jeune
beauté, et des causes de sa résidence dans cette
u soleil de cet ermitage sacré. Il leur vante la beauté céleste de la
jeune
cénobite dont il a été enivré ; puis, comme se re
clarée par des signes certains, au moment de son départ avec ses deux
jeunes
compagnes. « Voyez », leur disait-elle en faisan
X Deux ermites, compagnons du saint, paraissent, et aperçoivent le
jeune
chasseur. Ils s’entretiennent un moment des avant
os le fils du roi, roi lui-même. « Je ne m’étonne pas », lui dit son
jeune
compagnon, « si ce bras, solide et noueux comme l
és de la tige maternelle, conservent encore tout leur éclat ; par ces
jeunes
branches dont la sève laiteuse qui en découle tra
e avec lui, et que son fils sera roi. « Tu m’oublieras », lui dit la
jeune
fiancée. « Moi, t’oublier ! » répond le héros. «
ivinités même invisibles y apportent leur tribut. Les compagnes de la
jeune
mère s’écrient : « Nous apercevons, flottant aux
i et le gouvernement de son vaste empire, il remettra sa puissance au
jeune
héros que tu lui auras donné, tu reviendras alors
celui des mathématiques supérieures) chacun de ses poèmes, depuis la
Jeune
Parque, a été salué comme un événement. Nous somm
côté la question de savoir si Valéry écrit facilement. (Il a écrit la
Jeune
Parque péniblement, l’a tirée peu à peu d’un mond
t au moins à 80 %. Cette proportion est bien dépassée chez Valéry. La
Jeune
Parque est assonancée et allitérée avec autant de
ignifiée par l’apparence de la conscience. C’est aussi le thème de la
Jeune
Parque. Dans la Pythie, ce dualisme hostile et so
he existe-t-il ? Et comment cette tête si petite, et serrée comme une
jeune
pomme de pin, peut-elle engendrer infailliblement
é et Valéry sont allés le plus loin possible dans cette direction. La
Jeune
Parque, l’Ebauche d’un serpent peuvent s’appeler
e revint à la poésie que vingt ans après, en 1917, quand il publia la
Jeune
Parque. De 1918 à 1922, il écrivit les poèmes de
de ces solitudes décoratives ce qu’elles comportaient de nouveau, de
jeune
, d’aigu, les abandonnaient avec la satisfaction d
et arrivons à la seconde poésie de Valéry, celle qui commence avec la
Jeune
Parque, après une interruption de vingt ans. * *
e avec la Jeune Parque, après une interruption de vingt ans. * * * La
Jeune
Parque passe pour le poème le plus obscur de la p
cie de la trouée qu’a faite son maître. En second lieu il y a dans la
Jeune
Parque un singulier contraste entre l’obscurité d
Sous l’éclat des images et la musique des vers, nous sentons dans la
Jeune
Parque d’abord, la passion la plus jalouse et la
ur. Mais la prose de Valéry, et plus encore ses poèmes, et surtout la
Jeune
Parque, donnent le sentiment d’organes intérieurs
ur ne signifie pas ici monde moral. Nous ne sommes pas chez Amiel. La
Jeune
Parque, où le poète a voulu exprimer ce qui exist
tre la faculté de notre âme de ne rien comprendre à notre corps. » La
Jeune
Parque figure un effort poétique pour écarter cet
ts d’un être certain qui est l’univers, le Tout. Quand nous lisons la
Jeune
Parque, nous songeons d’abord à l’Hérodiade de Ma
ère à l’extrême attentive ! C’est cette sœur, cette nouvelle et plus
jeune
Parque qui parle dans l’admirable tirade en itali
ne sait. La musique seule (qui n’est pas étrangère à la genèse de la
Jeune
Parque, écrite sous l’influence de Glück) relayer
qu’il est l’a donc fait se créer et se peindre mille masques » et la
Jeune
Parque figure non expressément l’un de ces masque
la trace Cessera-t-il longtemps de ne songer qu’à soi ? Et toute la
Jeune
Parque n’est en effet qu’un songe de soi, — mais
Salut ! Divinités par la rose et le sel, Et les premiers jouets de la
jeune
lumière, Iles !… Ruches bientôt quand la flamme p
rrière cette larme des yeux, qui la signifie, rendra-t-elle donc à la
Jeune
Parque, purifiée par la conscience, cet état d’id
us est prêté, qui n’est ni nous ni à nous, cela se peut-il ? Voici la
Jeune
Parque dans une profondeur qui ne connaît pas la
ière massive et totale reparaît-elle. Les trois dernières pages de la
Jeune
Parque ramènent les thèmes de la Soirée avec M. T
amertume du poème ne fait plus qu’une vieille réalité dépassée Et ce
jeune
soleil de mes étonnements, Me paraît d’une aïeule
s les espèces d’or d’un sein reconnaissant. On pourrait voir dans la
Jeune
Parque le seul poème métaphysique de notre langue
r un drame moral, sur la chute et la rédemption. Dans le Satyre et la
Jeune
Parque ces éléments figurent bien accessoirement,
me « symbolise » avec la métaphysique du romantisme allemand, dans la
Jeune
Parque avec la métaphysique bergsonienne. Et cela
’elle permet de poser que pour elle-même. Et pourtant le Satyre et la
Jeune
Parque s’annexent au moins autant de musique que
. Et on aura trouvé sans doute (comme moi-même) que mon analyse de la
Jeune
Parque ressemblait fâcheusement à un de ces progr
Faune, et comme il serait bien naturel qu’elle le reprît un jour à la
Jeune
Parque. Quand je parle de poème métaphysique, je
l’autre, des sens assez différents. Mais il ne semble pas que dans la
Jeune
Parque Valéry se soit proposé une matière de poés
a quinte-essence. Soit. Mettons que ce sont des rêves. Mettons que la
Jeune
Parque soit un rêve. Mais la poésie qui revient o
et du non-être, soit moins simple que le sens commun ne croit. Et la
Jeune
Parque, comme, plus ou moins, toute poésie, nous
’un jeu de lumière ménagé par un illusionniste transcendant. * * * La
Jeune
Parque demeure au centre et au massif de l’œuvre
t, et que réunit Charmes, reprennent à peu près tous les motifs de la
Jeune
Parque, mais la lumière y est tamisée, retenue pa
e que Valéry a rêvé un long poème de Narcisse qui ferait pendant à la
Jeune
Parque, un monologue métaphysique, et non seuleme
n enchantement, Il craint jusqu’au frisson d’une plume qui plonge La
Jeune
Parque commençait par des vers qui semblent indiv
lui paraît inexplicable, tranchant le nœud gordien il la supprime. La
Jeune
Parque ne comportait qu’un être, en lequel tout l
et son reflet. Mais cette dualité suffît pour que Narcisse, comme la
Jeune
Parque, se pose un problème d’existence : lequel
ans ses deux recueils la place de l’amour, ce sont deux Dormeuses. La
Jeune
Parque elle aussi figure dans une partie du poème
corps endormi, soustrait aux hommes comme celui de Narcisse et de la
jeune
Parque, — le corps éveillé dans les gestes qui mo
rait l’emploi. Chacun des grands poèmes de Valéry ressemble, comme la
Jeune
Parque, à un hiéroglyphe, condense un regard inte
Serpent reproduit en partie, sous forme d’ode, les thèmes mêmes de la
Jeune
Parque. Comme las de son pur spectacle Dieu lui-
r son passage la trace aiguë d’un moment. Mais ce néant comme dans la
Jeune
Parque prend une figure positive par le désir, et
ellement vrai, mais elle dépasse le poétique, et l’ode prend comme la
Jeune
Parque une figure de vie cosmique. Origines heure
e sa mémoire le même univers, inconscient et heureux que suscitait la
Jeune
Parque, et qui pour elle n’existe plus, depuis qu
Mais les dernières stances reproduisent les derniers mouvements de la
Jeune
Parque. L’âme vient habiter et agiter le corps qu
e. Le thème dépasse le poétique et se lie au cosmique ; comme dans la
Jeune
Parque. J’ai déjà rappelé à cette occasion le Sat
de moi-même, de ma vie. Nous reconnaissons toujours les thèmes de la
Jeune
Parque : Tu n’as que moi pour contenir tes crain
metière marin, la lumière massive et substantielle (comme celle de la
Jeune
Parque), — et tout le parti du stable — ils nient
images mêmes et tout l’être poétique des trois dernières pages de la
Jeune
Parque, sonnent une vraie « marche » bergsonienne
ntique : car le mythe de Narcisse se tient au centre de sa poésie, la
Jeune
Parque le continue, la plupart de ses grands poèm
la plupart de ses grands poèmes sont des épreuves diversifiées de la
Jeune
Parque. Mais lui-même ne figure, répétons-le, que
emier quatrain de la Dormeuse : Quels secrets dans son cœur brûle ma
jeune
amie, Ame par le doux masque aspirant une fleur ?
btenir un vers tout racinien. Quels secrets dans son cœur brûlent ma
jeune
amie ? (si les héroïnes de Racine avaient, au li
ve ici que cet objet est le même : à savoir un corps féminin, vivant,
jeune
et beau, exprimé en fonction du feu intérieur, de
s des papes et du catholicisme de ce côté des Alpes. Jacques V mourut
jeune
, en prophétisant à sa fille au berceau une destin
le plus possédant des deux, tant ce sortilége de la passion d’un roi
jeune
pour une femme de cinquante ans était le miracle
e vingt-cinq ans. » L’éducation toute lettrée et tout italienne de la
jeune
Écossaise achevait, en effet, tout ce qu’avait en
émule future de beauté et d’empire. Diane chérissait de plus dans la
jeune
Écossaise une rivale ou une victime échappée à ce
Madame ma bonne amie, on me vient de donner la relation de la pauvre
jeune
reine Jeanne Cray, décapitée à dix-sept ans, et n
lle avait préparé sa retraite et où elle vieillit dans les larmes. La
jeune
Marie d’Écosse fut couronnée avec son mari Franço
, en confondant les armoiries des deux nations sur les écussons de la
jeune
reine. Ils signalèrent leur attachement à la caus
on adorateur, le grand Ronsard, en apprenant ce prochain retour de la
jeune
reine en Écosse : Comme le ciel s’il perdoit ses
se de ses charges, il voulut y être perpétuellement représenté par un
jeune
gentilhomme de sa maison, du Chatelard, afin d’êt
plaisant pays de France, Ô ma patrie La plus chérie, Qui a nourri ma
jeune
enfance ! Adieu, France, adieu, mes beaux jours !
s, le respect pour l’hérédité légitime et l’espoir de façonner une si
jeune
reine à d’autres idées l’emportèrent sur ces prév
r Catherine de Médicis de France, massacrer ses ennemis. VII La
jeune
reine, sentant qu’il fallait compter avec un tel
ne, par son caractère et par son esprit, de la confiance de sa sœur ;
jeune
, beau et éloquent comme elle, il avait de plus qu
nds politiques. Un tel frère était un favori donné par la nature à la
jeune
reine. Tant qu’il fut seul, il popularisa en effe
sa mort tragique, se nommait David Rizzio. VIII Rizzio était un
jeune
Italien d’une naissance infime et de condition pr
n des seigneurs français qui avait escorté Marie Stuart en Écosse, la
jeune
reine l’avait demandé à ce seigneur pour conserve
’abord inaperçue, éclata en passion et bientôt après en scandales. La
jeune
et superbe reine d’Écosse était trop tendre pour
auvre insensé ! Cet insensé était le page du maréchal de Damville, ce
jeune
du Chatelard, resté, comme on l’a vu, à Holyrood
à la politique se mêlait à l’amour pour corrompre les félicités de la
jeune
reine. L’Angleterre, par droit de parenté, exerça
rt ; puis la jalousie l’avait retenue ; elle reporta sa faveur sur un
jeune
Écossais de la maison presque royale des Lenox, d
ne éternelle amitié et serait agréable à la fois aux deux nations. Le
jeune
Darnley, fils du comte Lenox, exclurait les princ
onnes. Ce conseil, de plus, ne pouvait qu’être bien accueilli par une
jeune
reine dont le cœur devait précéder la main, car l
illi par une jeune reine dont le cœur devait précéder la main, car le
jeune
Darnley, à la fleur de son adolescence, était un
s grâces de leur figure et de leur personne les yeux et le cour d’une
jeune
reine. Rizzio aurait été le seul obstacle peut-êt
isit, reconquit et posséda plus que jamais les yeux et le cœur de son
jeune
époux. Dès le 12 mars, c’est-à-dire lorsque le sa
s progrès que les blandices de Marie Stuart font dans la confiance du
jeune
roi bercé d’espérances, de sa résolution de reven
, à une heure avancée de la soirée, n’était pas une coquetterie de la
jeune
maîtresse de ce beau lieu, c’était un prétexte su
suscité par la mère et par le mari de madame Récamier pour dérober la
jeune
femme à l’empressement insatiable de la foule imp
esse en quelques semaines de curiosité passionnée. Elle devait rester
jeune
jusqu’à la mort. Sa mission était un éternel sur
de devoir à l’intrigue ce qu’elle ne pouvait obtenir de la nature. Sa
jeune
amie, devenue lady Élisabeth Forster, vivait en t
’aristocratie anglaise. Le vieux duc mourut en se taisant encore ; le
jeune
duc, fils présumé de la belle Élisabeth, avait un
ent aux droits des héritiers légitimes. Un arrangement intervint : le
jeune
duc prit l’engagement écrit de ne jamais se marie
ais parlé d’amour ! Un frisson en courut sur ma peau ; j’étais encore
jeune
, et le souvenir d’une voix pareille, depuis peu à
; elle avait autant d’harmonie que le visage. Elle n’était plus très
jeune
à cette époque, mais on ne songeait pas non plus
figure, cent hommes célèbres lui ont porté leur encens. Je suis trop
jeune
encore pour la voir avec indifférence ; elle a ét
ratie, la reconnaissance de l’Église, l’enthousiasme confidentiel des
jeunes
républicains. Nul homme n’a plus soigné les coule
de. Seulement ma mère, élevée dans une cour, transportée ensuite très
jeune
dans un noble chapitre de chanoinesses, mariée pe
ée d’église, tout cela justifiait l’hallucination de ma mère et de ma
jeune
sœur ; nous allions voir une Maintenon plus belle
avais été recherché avec bonté par l’altière duchesse, à cause de mon
jeune
royalisme, comme un enrôlé de l’aristocratie ; je
; la fine et gracieuse figure de madame de Montcalm, retenue, quoique
jeune
encore, sur son canapé, y présidait avec un accue
n dans ses éloquents Souvenirs, je n’y fus jamais reçu ; j’étais trop
jeune
et trop inconnu pour y avoir place ; je doute que
ait là le temple d’une véritable idolâtrie pour M. de Chateaubriand ;
jeune
encore, madame de Duras était, dit-on, le machini
t une bien plus grande place. La maîtresse de la maison, quoique très
jeune
et très gracieuse, ne permettait pas à l’esprit d
ille d’un premier lit de M. de Sainte-Aulaire. Les amis politiques du
jeune
favori de Louis XVIII prédominaient dans cette so
ne et la presse en France. Ils se rencontraient dans ce salon avec la
jeune
aristocratie libérale, mais non factieuse. M. Vil
secte au lieu d’une religion : voilà, avec un grand nombre de femmes
jeunes
, belles, lettrées, et élégantes, ce qui composait
Récamier, avait été aussi liée d’amitié avec M. de Chateaubriand plus
jeune
; c’était une intelligence très supérieure à sa r
Leroy (depuis madame Pelaprat), compatriote de madame Récamier, plus
jeune
qu’elle et aussi accomplie en charmes. La puissan
taient les Abdéritains de l’Europe. C’est au sein de ces fêtes que la
jeune
Lyonnaise luttait involontairement de beauté avec
du Directoire. Madame Lenormant, en nièce scrupuleuse, affirme que sa
jeune
tante ne fréquenta jamais les salons suspects de
t à l’envi la faveur d’une respectueuse intimité dans la maison de la
jeune
femme célèbre ; même quand le cœur n’espère pas d
orter la douce chaleur qui émane de ce foyer vivant qu’on appelle une
jeune
femme. Ne fût-ce que comme la belle image d’un be
ient l’oubli, les autres la patrie. Presque toute cette société était
jeune
, car le supplice en ce temps avait raccourci la v
ait la cour de la richesse, seule royauté qui restât à la France ; sa
jeune
femme était la reine de cette cour : elle restaur
en Bonaparte, Fouché, Masséna, Bernadotte, Moreau, Camille Jordan, le
jeune
Beauharnais ; des hommes de monarchie, tels que l
ulle, et citer de lui quelques mouvements d’une poésie ravissante. Ce
jeune
Romain, formé aux deux écoles des Grecs, nourri d
out bassement obscène ; et il semble que la probité fière et libre du
jeune
patricien, revenu de Bithynie sans emploi et sans
is une simple liturgie chantée par deux chœurs de jeunes filles et de
jeunes
garçons. « Nous sommes au service de Diane176, j
unes garçons. « Nous sommes au service de Diane176, jeunes filles et
jeunes
adolescents ; jeunes garçons et jeunes filles, ch
sommes au service de Diane176, jeunes filles et jeunes adolescents ;
jeunes
garçons et jeunes filles, chantons Diane. « Ô fil
s’éloigne ; avance, nouvelle épouse. « Cesse de pleurer178. Pour toi,
jeune
vierge ! il n’est pas à craindre que femme plus b
tendue. Il est temps de vous lever et de quitter ce riche banquet. La
jeune
vierge va venir ; le dieu d’hymen va s’avancer. A
s’avancer. Accours, ô Hymen ! accours, ô dieu de l’hyménée ! CHŒUR DE
JEUNES
FILLES. « Voyez-vous, ô vierges, ces jeunes gens
u de l’hyménée ! viens à nous ; Hymen, ô dieu de l’hyménée ! CHŒUR DE
JEUNES
HOMMES. « Une palme facile, ô amis, ne se prépare
u de l’hyménée ! viens à nous ; Hymen, ô dieu de l’hyménée ! CHŒUR DE
JEUNES
FILLES. « Astre du soir ! quelle flamme se lève p
u de l’hyménée ! viens à nous ; Hymen, ô dieu de l’hyménée ! CHŒUR DE
JEUNES
GENS. « Astre du soir, quel feu brille au ciel pl
eu de l’hyménée ! viens à nous, Hymen, ô dieu de l’hyménée ! CHŒUR DE
JEUNES
FILLES. « L’astre du soir, amies, a ravi l’une de
, dans ton retour, tu surprends les mêmes sous un autre nom. CHŒUR DE
JEUNES
HOMMES. « Il plaît aux jeunes filles de te poursu
u de l’hyménée ! viens à nous ; Hymen, ô dieu de l’hyménée ! CHŒUR DE
JEUNES
FILLES. « Telle qu’une fleur solitaire est née da
imable aux yeux des adolescents, ni chère aux jeunes filles. CHŒUR DE
JEUNES
HOMMES. « Telle une vigne qui naît isolée dans un
s d’un fils premier-né, pour jouir sans contrainte des attraits d’une
jeune
marâtre. La mère sacrilège, se prostituant à son
istophe Colomb, secrétaires de cardinaux, et une mère comédienne ; ce
jeune
abbé, qui débute fraîchement comme Faublas et Ché
fessées de la sorte peu après l’arrivée de M. de Bougainville, ou les
jeunes
Zélandaises, le soir du départ de l’Astrolabe. Co
ut haut, malgré les fréquents arrêts, la rougeur et la honte de cette
jeune
personne, et aux grands éclats de rire de tous le
écoliers de son frère. Pour qu’il fût plus aisé à Bettine de tenir le
jeune
Casanova propre, on avait coupé à celui-ci ses ch
-il. Il se peut que la lecture de plusieurs soit la perte de bien des
jeunes
personnes ; mais il est certain que la lecture de
l’initia au savoir-vivre exquis et à une honnête corruption. Aussi le
jeune
abbé, sous un tel maître, fut-il promptement au f
e de coutume, le trouva trop tendrement engagé dans son salon avec la
jeune
Thérèse, dont lui-même était épris, et dut y mett
e, et la présentation n’eut pas lieu. Il y a aussi vers ces débuts du
jeune
abbé à Venise et aux environs, une jolie figure e
son avec dona Lucrezia, avec Bellino-Thérèse, avec madame F., avec la
jeune
comtesse A. S., avec la belle Henriette, avec ces
e quelque idylle d’un érotique grec. Et comme Lucrezia avait une plus
jeune
sœur, qui, s’apercevant de son amour, la blâmait
r, la blâmait et la plaignait ; comme cette sœur, qui n’aimait pas le
jeune
abbé, allait se marier et se fixer à Rome, la bel
s. » Casanova connut aussi dès son arrivée dans la capitale, M. Patu,
jeune
poète, qui, s’il avait vécu, aurait suivi de près
. Il était parvenu à triompher d’eux tous au moment de la majorité du
jeune
roi qui se déclara pour lui : devenu à son tour p
son élévation. L’intérêt de don Juan était de retarder le mariage du
jeune
roi ; un premier mariage avec une archiduchesse a
s et sur le rapport de quelques seigneurs qui avaient vu en France la
jeune
princesse. Don Juan aurait bien voulu que la négo
de don Juan, déjà presque à l’agonie. On attendait avec impatience la
jeune
reine. Cependant la reine mère était revenue de s
en de la tendresse et bien des larmes entre la mère et le fils. » Ce
jeune
roi, qui n’était ni bon ni méchant, était nul, fa
on confesseur, et il en eut jusqu’à sept en cinq ans. Au moment où la
jeune
arrivait, toutes les créatures de don Juan étaien
ière, s’appliqua à l’instant même à établir son empire, à assiéger ce
jeune
esprit d’inquiétudes, à le remplir de préventions
ls dans l’île des Conférences, célèbre par le traité des Pyrénées, la
jeune
princesse, fille de cette aimable Madame, Henriet
er ministre (le duc d’Ossuna) à proposer. Dès les premiers pas que la
jeune
reine fit en Espagne, elle était donc tombée dans
de conseil. Croyait-on qu’elle n’en eût pas besoin en Espagne ? » La
jeune
reine échappa d’abord au danger, au moins en part
lus dans l’esprit du roi cette idée que « la reine étant une personne
jeune
et vive, élevée dans les manières libres de Franc
ère me disant, comme la veille, beaucoup de choses obligeantes, et la
jeune
reine me paraissant fort aise de me voir. Je fis
ion, et qui est attaché au palais. Vous aurez peine à imaginer qu’une
jeune
princesse, née en France, et élevée au Palais-Roy
nouveau vînt y apporter quelque remède et quelque rajeunissement. La
jeune
reine vécut peu d’années dans cette vie d’étouffe
impression ; mais quand ce fut le tour de sa première femme, de cette
jeune
reine qu’il avait tant aimée, quand il revit ce v
ation littéraire, adolescente au Consulat, coupée par l’Empire, assez
jeune
encore au début de la Restauration, mais qui eut
aux dernières soirées du Directoire, essayant leur premier essor aux
jeunes
soleils du Consulat, et croyant déjà à la plénitu
rivée et qui ne parut au collège que dans les classes supérieures. Le
jeune
Nodier suivit pourtant à Besançon les cours de l’
romancés nous les rendent d’autant mieux. Les premiers sentiments du
jeune
Nodier le poussèrent tout à fait dans le sens de
artagea le lit d’un aide de camp. Cette excursion fut féconde pour sa
jeune
âme ; mille tableaux s’y gravèrent, mille couleur
re, alla habiter Novilars, château à deux lieues de là ; il emmena le
jeune
Nodier avec lui. C’était un savant, un sage, une
ait foi. M. Duméril confirma depuis cette opinion, ou même, selon son
jeune
et jaloux devancier, s’en empara : il y eut récla
çaient à rentrer ; il se lia avec ceux d’entre eux qui étaient encore
jeunes
, et tourna au royalisme en combinant ses nouvelle
n rappel sonore du pâtre matinal aux échos de la montagne : le Nodier
jeune
et puissant était retrouvé ! Les soirs même de di
Cloître, 1803. Le dernier Chapitre de mon Roman, 1803. Essais d’un
jeune
Barde, 1804. Les Tristes, ou Mélanges tirés des
ant ces divers écrits, en tâchant, s’il se peut, pour les Essais d’un
jeune
Barde et pour les Tristes, de ressaisir l’édition
anisé, vaporisé, werthérisé. Il a lu aussi les dernières Aventures du
jeune
d’Olban, publiées en 1777, et il s’en ressent d’u
manière sensible. Mais qu’est-ce, me dira-t-on, que les Aventures du
jeune
d’Olban ? Avant 89, il y avait en France un très-
uctions et les préfaces de Le Tourneur, celles de Bonneville. Tout un
jeune
public, contre lequel tonnait La Harpe, y réponda
l’Académie des Sciences, et historien si éminent des Pyrénées, Ramond
jeune
, nourri dans Strasbourg, sa patrie, des premiers
ue passion malheureuse, il publia à Verdun, en 1777, les Aventures du
jeune
d’Olban qui finissent à la Werther par un coup de
lsacien ; mais c’est le même fonds de sentimentalité. Les Essais d’un
jeune
Barde sont dédiés par Nodier à Nicolas Bonneville
l avait dû d’être initié au théâtre allemand. Bonneville avait débuté
jeune
par des poésies originales où l’on remarque de la
Nodier, si fait pour pratiquer ces voies et pour les suivre, et qui,
jeune
, en savait mieux que les noms, ne les hanta, pour
-t-il pas réhabiliter Cyrano ? il appellera Perrault un autre Homère.
Jeune
, deux choses entre autres le sauvèrent et permire
ité ?… Rien n’est doux et brillant comme de regarder à distance nos
jeunes
années malheureuses à travers ce prisme qu’on app
ux. On voit par combien de points vifs devaient se toucher d’abord le
jeune
secrétaire et le vieux maître. L’association ne d
aigreur ne suivit en lui ces mécomptes du talent et de la gloire. Les
jeunes
essais, qui désormais rejoignent ses espérances b
trompe, sur Han d’Islande ; il découvrit vite, au langage vibrant du
jeune
lyrique, les dons les plus royaux du rhythme et d
lles, pour qu’on y puisse voir sans malice une leçon insinuante à ses
jeunes
amis. En homme revenu et sage, il se faisait tout
’étude et d’apprêts, L’enlace, vive et familière, Comme les bras d’un
jeune
lierre Un orme géant des forêts ; Si la manière
thousiaste, encourageant, désintéressé, redevenu bien souvent le plus
jeune
de tous par le cœur et le plus sensible. Si on l’
e Saint-Point que nous vîmes s’avancer, quelque temps après, un autre
jeune
poète, encore inconnu à lui-même et aux autres. I
, s’appelait Alexandre. Il a donné, depuis, son nom et son cœur à une
jeune
femme accomplie de beauté, d’éducation et de vert
s. Il y vit aimé, indépendant, studieux, dans ce délicieux loisir des
jeunes
années, repos d’une union formée par le cœur, lun
raindre qu’un peu de célébrité poétique, répandu mal à propos sur mon
jeune
nom, ne me fît rejeter comme un intrus de toute c
envoie à mon réveil le billet ci-joint ; je vous l’adresse pour votre
jeune
ami, afin que le plaisir que cette impression du
e autre planète, la planète du bon sens. XII C’est ainsi que le
jeune
poète dont je parle vient de faire sa modeste app
tout ce qui s’aime ; voilà ce qu’il se chante tout bas à lui-même, ce
jeune
Homère de l’Iliade du cœur ! Quel sujet pour qui
la famille ! » Mais je laisse avec confiance une si belle épopée à ce
jeune
espoir des poètes. Il a le cœur, l’imagination et
haute montagne boisée, à quelques lieues de la plaine habitée par le
jeune
poète breton. Je demande pardon au lecteur de ces
une des montagnes de l’Attique ; qu’on se représente en même temps un
jeune
poète d’Athènes, moins oublieux que ses compatrio
estre. Il reprend le lendemain, au lever du jour, aux sons du cor des
jeunes
chasseurs réveillés pour courir le renard ou le l
ace, Vient vibrer jusqu’à moi, puis se prolonge et passe. Auprès des
jeunes
fleurs souriant aux vieux murs Des beaux livres r
des auréoles : La poésie et l’art enlaçaient leur beauté. Ô vers, ô
jeunes
fleurs, qui mêlaient leur couronne ! Idéale union
aisie, Humer, à pleins poumons, l’air et la poésie. XVI Ici le
jeune
pèlerin de Saint-Point se souvient d’une petite a
ait une nombreuse tribu de famille et d’amis de la famille, plusieurs
jeunes
nièces avec leurs petits enfants. Par un beau soi
al à un noisetier, pour m’asseoir sur la mousse avec mes convives. Le
jeune
poète se trouvait apparemment là, et voilà commen
ndeur et leur solidité. Nous l’admirons et nous le regrettons. Que le
jeune
poète ne s’y trompe pas : ce qu’il faut aux vers,
en de moins plaisant qu’un syllogisme, fût-il en beaux vers. Que leur
jeune
ami, M. Alexandre, sache bien qu’une opinion, que
n adolescent ? Cette jeune fille lui ressemblait, comme une sœur plus
jeune
à son frère : elle, aussi belle que lui, lui, moi
flasque des essais poétiques de l’enfance ou de l’imitation sous une
jeune
main ; ils étaient tout nerfs, tout émotion, tout
stère dans cette grâce ; je compris que j’étais en face d’une sœur du
jeune
Pic de la Mirandole, quand cette intelligence sur
jouer son rôle d’héritier opulent et faire impression sur la belle et
jeune
voyageuse, ne parle que de dépenses folles, de pl
lètement déshérité. La légataire universelle du feld-maréchal est une
jeune
chanoinesse du nom d’Amélie Moldaw, qui n’était p
pold, d’une façon fort comique, de lui souscrire quelques actions. La
jeune
voyageuse, sans se faire attendre, donne sa signa
ue le second acte commence, l’attention est parfaitement éveillée. Le
jeune
comte n’est pas parti, et il se trouve en présenc
plaide contre la chanoinesse de Moldaw, et il a choisi pour avocat le
jeune
fou des deux premiers actes, qui, ramené par le r
orable. Léopold, apprenant de Conrad, avant d’avoir vu Amélie, que la
jeune
chanoinesse est loin de mener une vie exemplaire,
ière fois, voir assez clairement le fond de son cœur. Depuis quand le
jeune
comte de Vurzbourg est-il amoureux d’Amélie de Mo
ngleterre. Le maréchal Marmont y était invité ; il fut prévenu que le
jeune
prince désirait y causer avec lui. Et en effet, l
dis, et quelquefois les mercredis, des conférences régulières avec le
jeune
prince, depuis onze heures du matin jusqu’à une h
ombats. Quand Marmont eut raconté tout d’une suite et d’une teneur au
jeune
prince l’histoire de son père jusqu’à la fin de l
ans ses deux extrémités les plus décisives et les plus glorieuses. Le
jeune
prince comprit à l’instant les grandeurs et les f
’Austerlitz, d’Iéna, de Wagram, de Russie : il recommanda vivement au
jeune
prince, pour cette dernière, l’Histoire de M. de
spèce de cours par un récit des événements de 1830. Les réflexions du
jeune
prince se mêlaient sans cesse à celles du marécha
lier pour plaire quand il le voulait. Le maréchal continua de voir le
jeune
prince de temps en temps ; il lui donnait de bons
jeune prince de temps en temps ; il lui donnait de bons conseils : le
jeune
prince, en plus d’un point, les aurait devancés.
cien aide de camp du maréchal, M. de La Rue, était allé à Vienne ; le
jeune
prince s’entretenait avec lui et lui faisait raco
ndre ses ordres pour Paris. Mais ici la méfiance, déjà propre à cette
jeune
nature, se marqua à l’instant ; sa physionomie se
nt, comme à toutes les personnes avec qui il parlait de la France, le
jeune
prince exprimait l’idée qu’il ne devait, dans auc
; mais, comme il en parlait à une personne de la Cour, il sut que le
jeune
prince avait été informé par elle de cette conver
s dissemblables ne cesse d’apporter jusqu’à la fin aux esprits restés
jeunes
et généreux. La puissance de Méhémet Ali en Égypt
informations pour se prononcer et conclure. Marie-Antoinette, arrivée
jeune
en France et après des efforts bien sincères pour
puis, malgré tout, m’empêcher tristement de sourire quand je vois de
jeunes
écrivains venir aujourd’hui se faire forts de la
nt de franchir la frontière de l’empire, probablement à Augsbourg, la
jeune
princesse écrit à son auguste mère une lettre rem
s bornes que je vous porte. « Adieu, mes frères et sœurs, pensez à la
jeune
Française et aimez-la ; — j’offre tous mes baise-
irs à la Cour sera de visiter la maison de Saint-Cyr. La montre de la
jeune
Dauphine retardait sur Versailles d’au moins cinq
agisse si peu dignement et si à côté ! Louis XV aimait beaucoup cette
jeune
belle-fille qui lui arrivait avec toute sa naïvet
uable, l’ensemble est du plus vif agrément. Elle avait au front cette
jeune
fierté qui sera de la dignité bientôt, mais qui d
d’horribles accidents qu’on a à enregistrer. Le cœur bienfaisant des
jeunes
époux en est tout contristé jusqu’à rester quelqu
lque temps inconsolable. Ce fut un autre malheur et très réel pour la
jeune
Dauphine que le renvoi et l’exil de M. de Choiseu
uisses et qui ressemblent encore. Ces premières impressions d’une âme
jeune
sont restées justes. La glace a bien réfléchi les
l’égard de la Dauphine, tantôt froides et piquantes, surtout la moins
jeune
(Madame Adélaïde) : « Ma tante Adélaïde m’intimi
incier et une maison. Marie-Antoinette, par ses soins autour de cette
jeune
âme, supplée autant qu’elle le peut la tendresse
e d’espièglerie, sont esquissés à merveille : « M. de Provence, tout
jeune
qu’il est, est un homme qui se livre très peu et
elle cherche des auxiliaires de son âge ; elle compte un peu sur ses
jeunes
belles-sœurs, quand elles lui viennent, Madame de
ce. » La Dauphine essaye donc de se faire une petite société gaie et
jeune
dans ce vaste ennui de Versailles ; elle se montr
Gascon, qui s’était marié le matin, donna un grand coup de poing à sa
jeune
femme, le soir de ses noces. La femme pleurait, e
; il leur lance au visage des impertinences du plus gros calibre. Ce
jeune
célibataire a, sur elles, les opinions d’un vieux
voici venir une amie de madame Leverdet, madame Jane de Simerose, une
jeune
et charmante femme, dont M. de Ryons s’institue à
tous les torts. Il faut que ces torts aient été bien graves ; car la
jeune
femme refuse, d’un ton qui ne permet pas l’insist
cide qu’il braque sur elle, comme un pistolet. Quoi qu’il en soit, la
jeune
femme lui accorde un rendez-vous, le soir même, e
eint de sortir ; car M. de Ryons, qui est toujours là, le montre à la
jeune
femme embusqué, comme un satyre aux aguets, derri
comment admettre qu’à peine revenue de cette scabreuse expérience, la
jeune
femme recherche si vite une nouvelle épreuve. Com
en bon diable, il voit clair dans cette âme troublée, il sait que la
jeune
femme n’a pas cessé d’aimer son mari, et, par cur
peine le balbutier à sa mère, entre deux sanglots. C’est celui d’une
jeune
vierge entrant dans la chambre nuptiale, voilée d
r un carabin goguenard. — Adieu, Mademoiselle », dit M. de Ryons à la
jeune
femme, en lui promettant de la ramener à son mari
t un mystère difficile à croire que celui de la pureté immaculée d’un
jeune
interne de vingt-quatre ans, qui a du sang dans l
s yeux. Aussi conçoit-on l’indifférence un peu sèche avec laquelle le
jeune
Camille lui apprend qu’il en aime une autre. Ils
pects. Celle qui va engager l’action ne fait qu’y paraître. C’est une
jeune
femme inconnue, qui se promène, depuis quelques j
s’enfuir. L’enfant s’est évanoui, Camille est accouru aux cris de la
jeune
femme. Exalté par son émotion, attendri par le no
s déclamations éloquentes qu’elle fulminait contre les résistances du
jeune
Valmoreau. C’était donc un experimentum in anima
r, cette mère charmante, Me léguant à regret la flamme qui tourmente,
Jeune
, à son jeune enfant tendit longtemps sa main, Com
charmante, Me léguant à regret la flamme qui tourmente, Jeune, à son
jeune
enfant tendit longtemps sa main, Comme pour le sa
nouir ton sort ? Veux-tu remonter le bel âge, L’aile au vent comme un
jeune
oiseau ? — « Pourvu qu’il dure davantage. Oh ! ou
se aussi de l’hiver ? Tes frais chemins et tes colombes, Les veux-tu
jeunes
comme toi ? — « Si mes chemins n’ont plus de tomb
e m’as jamais trompée Lorsque tu m’as dit : Au revoir ! Tu nourris le
jeune
platane Sous ma fenêtre sans rideau, Et de sa tê
oi pur sur la France Où m’attendent de chers absents ; A mon fils, ma
jeune
espérance, Rappelle mes yeux caressants ! De son
Ici aucun tourment. Il n’y a d’image un peu hasardée que celle de ce
jeune
platane qui, de sa tête diaphane, fait un bandeau
ssionnément occupés de lui que de nos cabotins les plus illustres. Ce
jeune
Empereur a déjà fait un certain nombre de choses
r ses forces en faisant chez lui l’expérience de la démocratie. Et le
jeune
autocrate, dans sa bonne volonté, songeait : « Ma
pas être. Sûrement, il y a autre chose… » Le second acte original du
jeune
Empereur, ç’a été de briser l’homme qui représent
ais pacificateur par la crainte et la compression, qui eût dit que le
jeune
Empereur, jadis son élève favori, oserait y touch
ctes de la Révolution française. Que se passe-t-il donc dans l’âme du
jeune
Empereur ? Qu’il m’apparaît différent de la plupa
s’en reconnaissent d’autres que ceux de très hauts fonctionnaires. Le
jeune
Empereur pense bien autrement. Il vit sous l’œil
premier coup, avec sérénité. Cela n’arrivera donc jamais, jamais ? Le
jeune
Empereur peut fonder la paix du monde. Aura-t-il
. Il voulut que le roi, alors âgé de 16 ans, se rendît à l’armée ; le
jeune
prince fit les campagnes de 1653, 1654, 1655, à M
n n’a été frappée du récit de ces fêtes somptueuses et magiques où le
jeune
roi n’était pas simple spectateur et qu’il embell
e négligeaient pas de diriger l’esprit et les premières affections du
jeune
roi. Ils prirent à tâche de le prémunir contre le
tes propres à l’exalter. Soit qu’elle voulut éveiller les passions du
jeune
roi, soit qu’elle voulût satisfaire son propre pe
Motteville qui fait cette remarque. La reine-mère trouvait bon que le
jeune
roi fréquentât la maison de la comtesse de Soisso
n de la comtesse de Soissons, sachant bien que Marie Mancini, la plus
jeune
des trois sœurs, attirait son attention, mais per
certain des progrès de la séduction exercée par Marie Mancini sur le
jeune
monarque. Enfin Mazarin osa proposer sa nièce à l
ui fit parcourir tout Paris le lendemain de la prise de la Bastille ;
jeune
, il traversa l’Empire ; homme mûr, il a assisté a
t ses parents à lui faire suivre le cours des études classiques. Trop
jeune
encore (il avait huit ans) pour entrer au collège
milieu de la confusion des idées qui se succédèrent dans l’esprit du
jeune
écolier, deux circonstances produisirent une fort
mme politique du peintre, et ceux surtout qui, comme Étienne, étaient
jeunes
et ne voyaient en lui que l’auteur des Horaces et
ompe et la nouveauté des ornements qui caractérisaient cette fête, le
jeune
Étienne fut frappé du contraste qu’offrait l’exp
tte occasion, le talent et la gloire, fit une telle impression sur le
jeune
enfant, que depuis ce jour il redoubla d’efforts
mment. Telle fut la triste et mémorable occasion qui fit connaître au
jeune
Étienne celui qui, deux ans après, devait l’admet
s dans son esprit par quelques conversations qu’il avait eues avec de
jeunes
dessinateurs plus âgés que lui et instruits du ch
r un concours de circonstances qui ne peuvent être rapportées ici, le
jeune
élève en peinture reprit le goût des études class
ans qu’il fût exposé tout à coup au danger de se trouver au milieu de
jeunes
élèves dont la conduite fort peu réglée n’était s
uses saletés qu’elles renfermaient encore vers 1786 et 97, lorsque le
jeune
Étienne pénétra dans ces lieux obscurs pour la pr
uelque nature que soit un début, il cause toujours de la timidité. Le
jeune
arrivant balança quelques instants avant d’ouvrir
par monosyllabes et en s’aidant du geste, il parvint à désigner à son
jeune
condisciple la place qu’il devait occuper pendant
u, mourant en pressant la cocarde tricolore sur son cœur ; c’était le
jeune
Viala. Mais si ces tableaux attiraient vivement l
ns de David et de Moreau, son élève, près duquel devait travailler le
jeune
Étienne. Enfin le complément de ce meuble était u
uvelles pour beaucoup de gens, mais qui le parurent bien davantage au
jeune
Étienne, qui ne connaissait que la maison paterne
urope son fanatisme pour l’antiquité, ce monde était déjà fort, et le
jeune
Étienne allait être adopté par lui. Malgré l’inex
le jeune Étienne allait être adopté par lui. Malgré l’inexpérience du
jeune
élève, cette journée passée dans l’atelier des Ho
e costume élégant et fort convenable alors n’eût aucunement étonné le
jeune
élève, si cette toilette, dans cette dernière occ
Charles Moreau mit toute la bonne grâce imaginable pour montrer à son
jeune
élève, qui cependant n’était encore que faible de
on disciple de venir voir où en était son tableau de Virginius, et le
jeune
écolier attendait ce jour avec une impatience ine
en résumant ses observations sur l’ouvrage excitèrent l’attention du
jeune
écolier. « Il faut te mettre en garde contre la r
ce par le maître, et furent applaudies à tout rompre par les quarante
jeunes
artistes qui s’étaient étourdi le cerveau avec la
lleurs que ses appartements étaient décorés des tableaux de plusieurs
jeunes
peintres de l’école nouvelle. Mais quelles pouvai
venir se mettre sous sa direction, et quand Étienne vit Moreau et sa
jeune
élève en présence l’un de l’autre, l’écolière par
se trouver habituellement dans une sorte d’intimité amicale avec une
jeune
et jolie femme de vingt-sept à vingt-huit ans, ay
confiance et la jaserie devenaient plus entières et plus actives. La
jeune
artiste de l’atelier des Horaces arrivait chaque
Mme de Noailles, il vit arriver David à l’atelier des Horaces, où la
jeune
dame, Charles Moreau, Alexandre et Étienne étaien
mpu aux affaires, ne pouvait être que bien faiblement accompli par un
jeune
élève en peinture, que son imagination vive et mê
avait suggérées, et il lui sembla voir tomber la jolie tête de cette
jeune
femme. Ce ne fut même qu’en faisant un grand effo
s mémoires, et l’on ne tardera pas à comprendre pourquoi la vue de la
jeune
artiste fit renaître tout à coup des images si fu
ule, fut même obligé de s’arrêter quelques instants, ce qui permit au
jeune
enfant d’observer plus en détail les traits de qu
lques-unes des victimes. Sur le devant d’une des charrettes était une
jeune
et belle femme. Ses mains attachées aux ridelles
ion digne et calme faisaient un contraste déchirant avec l’état de sa
jeune
compagne, sur laquelle elle semblait jeter un reg
aces. C’était le goût nouveau qui régnait dans les arts ; c’était une
jeune
femme à la mode, dont le père avait péri sur l’éc
uvaient manquer de faire une profonde impression sur l’imagination du
jeune
Étienne. Aussi son séjour à l’atelier des Horaces
us de l’escalier en bois si bruyant, sous lequel se tenaient les plus
jeunes
élèves, dessinant d’après la bosse, et parmi lesq
mme, car il l’était, faisait la police dans l’atelier. Quand les plus
jeunes
élèves n’étaient pas d’accord et élevaient trop l
ant à ceux dont il venait de s’occuper ; quant à vous, et c’était aux
jeunes
dessinateurs d’après l’antique qu’il s’adressait
oureux silence. Aussi, à peine David fut-il dehors, que l’un des plus
jeunes
dessinateurs, placé près de la porte, regarda par
e chercher quelle était la constitution de cette petite démocratie de
jeunes
peintres, on fera connaître les noms de quelques-
blia en l’an XII de la république (1804), sous le titre d’Essais d’un
jeune
barde. On y trouve une espèce d’éloge ou plutôt d
uve une espèce d’éloge ou plutôt de glorification de Maurice et de la
jeune
femme d’un des sectaires, qui, en effet, par la p
vilipendait, ainsi que la pensée heureuse qu’il eut de découvrir à de
jeunes
artistes une source de beautés nouvelles au moins
ce de beautés nouvelles au moins pour eux, séduisit et entraîna leurs
jeunes
âmes. Cette scène eut toutefois un résultat impor
t d’un air timide, mais où perçait un sourire plein de joie, ces deux
jeunes
artistes remercièrent leur généreux camarade de m
sans y prendre une part active. Achevons donc le dénombrement de nos
jeunes
héros, en peignant par quelques traits rapides le
ès vêtu simplement, comme à la fin de ses jours ; et dès ce temps où,
jeune
encore, son teint peu coloré, sa figure calme, so
t dont la plaisanterie habituelle était de répéter à ses camarades si
jeunes
et si fous : « Messieurs, amusez-vous bien, mais
e, que la résolution de Roland en fut d’abord ébranlée. Mais comme le
jeune
colon avait vu frapper les noirs à la Martinique,
nce d’une menace. À compter de cette époque, s’il se trouva encore de
jeunes
élèves qui fissent les commissions des peintres,
en d’autres demeurent tristes et sombres dans la mémoire ! Vermay, ce
jeune
enfant si turbulent, si gai, si spirituel, et don
ec ce dernier. Relativement à ses condisciples, Duqueylar n’était pas
jeune
, il avait au moins vingt-cinq ans et s’est toujou
x autres. Il avait contracté, à l’atelier, une amitié tendre pour son
jeune
camarade Mendouze, qui, bien qu’assez habile élèv
econnaître la puissance des idées et quelquefois des raisonnements du
jeune
fou. Timide dans l’exécution, mais très-avide de
re les conduisit à faire sur la statuaire antique, donnèrent aux deux
jeunes
amis une certaine connaissance de l’archéologie q
rt de David et de ses élèves une considération particulière. Des deux
jeunes
amis, ce fut le plus âgé et certainement le plus
lle préoccupait à l’atelier tout ce qu’il y avait d’élèves déjà moins
jeunes
et qui se distinguaient par leurs dispositions. E
ies, d’enthousiasme d’espérances, d’énergie et de faiblesse, dont ces
jeunes
artistes ont fourni tant d’exemples, suffiront po
après, son père, qui faisait le commerce du fer, fut tué en duel. Le
jeune
Louis David, resté orphelin à l’âge de neuf ans,
la leçon, se saisit de son cahier, et, y découvrant une marine que le
jeune
David avait dessinée, lui dit en faisant une doub
arder aujourd’hui comme une prédiction, ne fut sans doute, lorsque le
jeune
David se le sentit appliquer, qu’une petite humil
de l’Académie de peinture, dont Vien était devenu membre en 1750. Le
jeune
David présenta à son nouveau maître quelques dess
suite du fameux jugement, Sedaine ayant été deux jours sans voir son
jeune
voisin en conçut de l’inquiétude, se rendit à la
l fit aussi un portrait de Mlle Guimard, dont la générosité envers le
jeune
artiste fut aussi noble que délicate, procédé pou
al assez curieux. C’est le dessin de deux têtes. L’une est celle d’un
jeune
sacrificateur couronné de lauriers. Celle-ci, cop
qu’il se liait avec celui que venait d’obtenir l’année précédente le
jeune
élève de David, J. G. Drouais, qui, à l’âge de di
pe. Les choses en étaient arrivées à ce point vers 1750, lorsque deux
jeunes
Allemands, tout occupés de grec et de latin, se r
temps, étonné du nombre et de la variété des livres que demandait un
jeune
savant, lecteur assidu de la bibliothèque, voulut
rtraits de Lepelletier de Saint-Fargeau et de Marat, et de la Mort du
jeune
Viala, les seules productions19 de David pendant
iversel du dimanche 9 février 1792, on lut l’article suivant : « Deux
jeunes
jumeaux natifs du département de la Drôme, déjà d
t, l’Assemblée m’a chargé d’enseigner les principes de mon art à deux
jeunes
enfants que la nature semble avoir destinés à êtr
propres enfants, on annonça à la Convention un trait d’héroïsme d’un
jeune
tambour de l’armée de la Vendée. Barra, âgé de tr
rti considérable de chouans qui le sommèrent de crier Vive le roi. Le
jeune
enfant, ayant répondu par le cri de Vive la répub
mps après que David exécuta cette charmante ébauche qui représente le
jeune
Barra laissé nu sur la terre et serrant contre so
vienne une école importante, et à la vue des productions du génie, le
jeune
Français sentira naître en lui la disposition pou
rmidor il était question de présenter un plan de fête nationale. Plus
jeune
encore que le tambour Barra, dont il a déjà été p
le Serment du Jeu de Paume, Lepelletier de Saint-Fargeau, Marat et le
jeune
Barra, quatre compositions où la simplicité de l’
t plus marqué, qu’il n’a pas été provoqué par un système préconçu. Le
jeune
tambour, mourant en portant la cocarde tricolore
use de nos armées, et surtout la savante intrépidité avec laquelle un
jeune
soldat à peine sorti de l’adolescence, Bonaparte,
pénétra pour la première fois. David achevait de tracer au crayon la
jeune
femme qui monte sur une pierre pour montrer son e
meura muet. David s’en aperçut et adressa quelques mots obligeants au
jeune
élève, de manière à lui faire sentir que son sile
nfessionnal des pénitents noirs d’Anne Radcliffe adressa la parole au
jeune
Étienne lorsqu’elle sut qu’il avait vu les Sabine
e 1795, travaillait alors à sa Psyché. Quoique extrêmement pauvre, ce
jeune
artiste, fort de son mérite, doué d’une belle fig
disait-elle, de celui des deux qui avait fait le plus de progrès. Le
jeune
artiste connaissait à peine la nouvelle société q
lle bourgeoisie parisienne. Ce ne fut donc pas sans étonnement que le
jeune
peintre vit, en entrant dans les appartements de
èrent dans l’atelier les deux dames de Bellegarde et Garat. Les trois
jeunes
dames s’accostèrent, parlèrent à la fois et assez
tention, car toutes deux, aussitôt que Mme de Noailles eut indiqué le
jeune
artiste comme élève de David, vinrent vers Étienn
les reprirent et s’achevèrent les jours suivants ; mais Étienne, tout
jeune
et tout inexpérimenté qu’il était alors, s’aperçu
e talent excitait alors une admiration universelle, et adressée à une
jeune
femme qui ne manquait pas de vanité, fut très-bie
é de tout ce qui se rapportait à l’antiquité, que la complaisance des
jeunes
beautés grecques qui s’étaient présentées à Apell
jour qu’Alexandre avait dîné avec la famille d’Étienne, il invita son
jeune
camarade à faire une promenade après le repas. Ét
eneurs se mirent en marche. Arrivé aux Tuileries, Alexandre dit à son
jeune
compagnon : « Ah ! j’oubliais que David m’a charg
les entendre, appuyant surtout sur la recommandation qu’il fit à son
jeune
compagnon de ne point en parler à ses parents. Il
Après une suite de victoires qu’il serait superflu d’énumérer ici, le
jeune
Bonaparte, le général en chef de l’armée d’Italie
s diverses à lui seul. Chacun d’eux se flatta d’attirer à sa cause le
jeune
général, et ce concours d’espérances contraires d
tentir avec plus d’enthousiasme et de reconnaissance encore le nom du
jeune
Bonaparte, qui était sur le point de faire son en
donnée, et admirèrent également l’ouvrage et l’intention présumée du
jeune
artiste. Non-seulement le tableau fut constamment
savante tendaient tous à en faire ressortir l’excellence et ceux des
jeunes
élèves de David, les penseurs, sur qui ces opinio
l et enfin frappé par la petite vérole. Les souvenirs qu’a laissés ce
jeune
artiste sont touchants. Adoré de sa famille, né a
; cependant cette qualité, qui avait quelque chose d’excessif chez ce
jeune
artiste, n’est pas toujours d’un favorable augure
t témoin du massacre de Basseville à Rome. Les lettres écrites par le
jeune
artiste à cette époque sont doublement intéressan
de son atelier, sans qu’on vît paraître aucune œuvre importante. Les
jeunes
élèves qu’enseignait alors David reprochaient éga
s pouvaient avoir, non-seulement pour Girodet lui-même, mais pour les
jeunes
peintres qui, séduits par sa manière, cherchaient
d’une mère italienne attachés à l’ambassadeur de France, on l’envoya
jeune
encore à Paris, pour y étudier l’art de la peintu
de Rome par Girodet en date du mois de juin 1791, on apprend que son
jeune
camarade était revenu dans cette ville pour y che
n maître, dans le tourbillon des idées révolutionnaires, quoique bien
jeune
alors, il était dans sa vingt-troisième année, on
Serment du Jeu de Paume entraînèrent momentanément dans cette voie le
jeune
Gérard, que la nature de son esprit et l’aménité
eurs à l’exposition suivante. Quoique bien pauvre, Gérard écoutait sa
jeune
âme, qui lui disait qu’à tout prix il fallait lut
lorsque tant de gens autour d’eux manquaient encore du nécessaire. Le
jeune
artiste n’aurait peut-être pas même exécuté son t
connaître tout ce qu’il y avait de distingué, d’éminent même, dans ce
jeune
artiste écoutant avec tant de respect et d’attent
ar David. Le portrait fut même conduit jusqu’à l’ébauche complète. La
jeune
beauté, vêtue d’une simple robe blanche, avec le
e Récamier, et que, dominée par une impatience assez commune chez les
jeunes
femmes, elle eut recours au pinceau de Gérard, dé
ection accordée à ceux qui entraient dans la carrière, il mettait les
jeunes
esprits en relation directe avec ses anciens amis
rodet et de Gérard ; maintenant voici celle de Gros. Il était le plus
jeune
de la première couvée d’élèves de David. Né à Par
, Gros (Antoine-Jean), issu d’une famille sans fortune, s’adonna tout
jeune
à l’art de la peinture. Ses progrès furent aussi
dement et avec timidité devinrent pour lui une cause de succès, et le
jeune
Gros, dont la figure était belle et prévenante, d
lieu de toutes les opinions qui agitaient alors ses contemporains. Le
jeune
Gros avait donc pu, grâce à son obscurité, se ten
nçaise, conduite par Bonaparte, vint conquérir l’Italie, en 1796. Le
jeune
peintre français était avec l’armée, près d’Arcol
austère de l’art antique. Dans les ateliers de peinture, et parmi les
jeunes
élèves, cette peinture de Gros fut prise comme un
val en satin blanc, ne laissa pas de tourner la tête du public et des
jeunes
artistes. David lui-même ne craignit pas de dire
d’Égypte était encore fraîche dans tous les esprits, et la gloire du
jeune
artiste, qui consacrait le souvenir d’un événemen
en camarade, regrettant que Girodet ne fût plus là pour maintenir les
jeunes
artistes par son exemple. « Que ne le remplacez-v
hangea complétement. En sa qualité de peintre de l’armée d’Italie, le
jeune
artiste recevait sans cesse des visites d’officie
tteintes du mal dont il devait mourir, et près de lui sa femme et son
jeune
fils inquiets et cherchant les moyens de le soula
uvaient l’aider à perfectionner. Malgré sa pauvreté, Prudhon se maria
jeune
, et le malheur voulut que sa compagne, loin de l’
argé de famille sans pouvoir se reposer sur sa femme des soins que de
jeunes
enfants réclamaient, il resta seul avec eux. C’es
ttachement inviolable, l’ange sauveur de l’artiste et de ses enfants.
Jeunes
encore, ceux-ci réclamaient les soins journaliers
de. Ils quittèrent la maison paternelle. Déjà Mlle Mayer n’était plus
jeune
. Parvenue à cet âge où les femmes, perdant de leu
i se plaisait à voir les dessins et les gravures à l’eau-forte de son
jeune
page d’abord, puis de son gentilhomme de sa chamb
alors l’adoption66. Sous le Directoire, Denon, lié intimement avec le
jeune
Eugène Beauharnais, s’attacha à la fortune de Bon
rs idées, donnaient cependant de si brillantes espérances, sont morts
jeunes
. Tel fut le sort de Maurice, le chef des penseurs
s avons déjà fait connaître. Ordinairement, dans les écoles, les plus
jeunes
élèves se font un point d’honneur d’imiter les pl
des primitifs eut pris tout son développement : Maurice eut parmi les
jeunes
dessinateurs un imitateur ou plutôt un singe, qui
ie au Théâtre-Français, dans l’emploi des grandes livrées, Monrose le
jeune
était attaché comme danseur au théâtre des Jeunes
livrées, Monrose le jeune était attaché comme danseur au théâtre des
Jeunes
Artistes68, et il en était là quand des dispositi
s à la vue de cet incendie menaçant, mirent la main sur le collet des
jeunes
bardes, que l’on conduisit à la préfecture de pol
ux figures accessoires, telles que le compagnon de Léonidas, les deux
jeunes
soldats décrochant leurs armes suspendues à un ar
, recevait les observations, profitait d’un bon conseil donné par ses
jeunes
hôtes, et cela avec une simplicité qui n’appartie
i en ont été témoins n’ont pas besoin qu’on les leur rappelle, et les
jeunes
générations en ont sans doute lu le récit. Un seu
e que n’en avait réellement celui à qui le maître l’avait donnée, les
jeunes
Russes regardèrent Étienne avec la même curiosité
s, et Étienne n’éprouva pas un médiocre étonnement en voyant les deux
jeunes
officiers s’exprimer en français de la manière la
as à être placées dans les écoles militaires ; elles rappelleront aux
jeunes
élèves les vertus de leur état. » Cette visite d
David. Bientôt le fils aîné de l’artiste fut nommé préfet, et le plus
jeune
obtint le grade de chef d’escadron dans les cuira
e dernier de ceux de David qui ont eu de l’influence sur l’esprit des
jeunes
artistes qui en ce moment s’apprêtaient à faire u
rs contemporains, Étienne a connu la plupart de ces artistes lorsque,
jeunes
encore, ils étaient dans l’ivresse de leurs premi
ment classique, lassèrent, non sans quelque raison, la patience de la
jeune
génération d’artistes à qui la présence du maître
fut contestée, puis niée, et devint enfin un sujet de sarcasmes. Les
jeunes
peintres se révoltèrent contre la longue tyrannie
le, tant recommandée par ce maître, tout cela n’était dans l’idée des
jeunes
restaurateurs de l’art qu’un matérialisme païen i
pe qu’il serait à propos de substituer à celui que l’on rejetait, ces
jeunes
artistes, fiers de leur indépendance et impatient
l’âge et les maladies, il n’aurait pu résister à cette attaque. Plus
jeunes
et soutenus encore par l’opinion publique, Girode
qu’avaient déjà les sujets anecdotiques, et le Radeau de la Méduse du
jeune
Géricault74. On ne parle pas ici de la vogue extr
ent des Bourbons distribuait ses faveurs, et la réaction violente des
jeunes
artistes qui voulaient détrôner David et renverse
toutes les espérances de réforme artistique rêvées jusque-là par ses
jeunes
confrères. Dans le Radeau de la Méduse, il dévelo
ur maître, il arriva que la Méduse de Géricault, mise en avant par la
jeune
école comme l’expression la plus nette et la plus
nna une levée de boucliers contre le peintre exilé. De ce moment, les
jeunes
artistes se ruèrent dans la carrière avec l’impét
les jeunes artistes se ruèrent dans la carrière avec l’impétuosité de
jeunes
soldats montant à la brèche. Au fond, Géricault n
e Jouvenet, en sorte que l’on est amené à conclure que l’effort de ce
jeune
peintre fut dirigé dans un sens rétrograde, et qu
Walter Scott, avaient préparé les voies en effaçant de la mémoire des
jeunes
générations toutes les idées qui y avaient été le
sés, mais d’accord au moins pour mettre l’antiquité hors de cause, la
jeune
école se sentit assez forte pour jeter définitive
s des nations septentrionales, devint l’artiste de prédilection de la
jeune
école française, qui, à l’instar des jeunes peint
iste de prédilection de la jeune école française, qui, à l’instar des
jeunes
peintres allemands, traita des sujets modernes et
re Faust, Marguerite, le Vieux chevalier pleurant sur le corps de son
jeune
fils. Enfin la tendance mystique de son esprit, q
its du poëte anglais. Comme son modèle, mais plus souvent que lui, le
jeune
artiste français se permit des productions bizarr
ène romantique que des athlètes de la force et du mérite de ces trois
jeunes
peintres, le danger n’eût été ni de longue durée
et du désordre profond qui régnait dans l’esprit de la plupart de ces
jeunes
artistes. Mais le public, malgré son amour des no
nir de leur talent. C’est ainsi que la partie était engagée parmi les
jeunes
peintres de la nouvelle école, lorsque les ouvrag
r le dernier rejeton brillant de l’école de David, y était entré fort
jeune
, en 1796, et s’y était fait remarquer, dès ses pr
ne à concevoir comment elle put trouver grâce auprès de cet essaim de
jeunes
artistes livrés alors à tout le dévergondage de l
s, en fournissaient des preuves irrécusables. Quant aux peintres plus
jeunes
que ceux-ci, formés par David, la plupart, on l’a
t, jusqu’à un certain point, le besoin impérieux que ressentaient les
jeunes
peintres de produire des choses absolument différ
in, statuaire. Taunay, sculpteur. Vinaché, aîné, ingénieur. Vinache,
jeune
. Vincent (F. P.) Valois, statuaire ¤. Vallin (Mme
amemnon est le résumé de celle du temps où il a vécu, car il est mort
jeune
, et sa fin a coïncidé avec celle des saturnales o
mode chez nous la délivrance de ce malheureux pays, que l’on vit les
jeunes
Parisiens qui s’occupaient des lettres et des art
si peu de bons résultats, séduisent encore périodiquement toutes les
jeunes
têtes, à chaque génération. Le comique de la chos
lier en est avare. On appela les jeunes hommes les méditateurs et les
jeunes
femmes les dormeuses, parce que la méditation mêm
se précipita du haut des tours de Notre-Dame en 1804 ou 1805. 5. Le
jeune
Vermay, dont il a déjà été question, avait tant f
Il l’y reçut de nouveau par l’intervention d’Étienne en faveur de son
jeune
camarade. 6. Boucher (François), né à Paris en 1
coin du feu. Nous causerons, lui dit-il, poésie, littérature, et des
jeunes
et des vieux, des nouveaux d’aujourd’hui et de ce
gre lascif qui dans ses bras infâmes A son repaire affreux porte sept
jeunes
femmes ; Renaud de Montauban, illustre paladin, L
t où elles sont nées, a pour moi du charme ; il nous offre un Gautier
jeune
, enfant, « sous une blonde auréole d’adolescence
-théologique, semi-fashionable », une galanterie et une diablerie. Un
jeune
beau de la ville de Leyde, un jeune peintre qui c
e galanterie et une diablerie. Un jeune beau de la ville de Leyde, un
jeune
peintre qui croit posséder la plus ravissante maî
divorce entier ne s’opéra jamais, il resta peintre avec sa plume. Les
Jeunes
France, publiés en 1833 et au fort de la seconde
pelait, lui, Augustus Mac-Keat, à l’écossaise. C’était à qui, dans ce
jeune
monde, donnerait à son nom comme à son costume un
uté citoyenne, et lui faisant la nique, était le quartier général des
jeunes
France. Braves gens, vous haussez les épaules et
héophile Gautier lui-même. Il a peint sur place et d’après’nature les
jeunes
France ; il les a pris sur le vif, il les a tirés
re tableaux la physiologie du genre. Son Daniel Jovarcl notamment, ce
jeune
classique bourgeois pudibond, converti d’un tour
le et libre moisson, la Bohême de Murger. On aurait entre elle et les
jeunes
France de 1833 à noter plus d’une différence52. L
s dagues de Tolède et des yatagans damasquinés de 1833. Ici, chez les
jeunes
France, on prenait même par ton des airs féroces
en le rappelant cette fois à la nature non distincte de l’art ! A UN
JEUNE
TRIBUN. Ami, vous avez beau, dans votre austérité
qui recommencent sans cesse comme dans une monodie. Théophile Gautier
jeune
s’est mis là tout entier. Il n’avait que vingt-ci
e ce volume, une note sur l’effet que produisait dans sa nouveauté un
jeune
France : devant ce 93 romantique, les Lameth et l
ec l’orage Et la feuille échappée aux arbres du rivage ! Maintenant,
jeune
encore, et souvent éprouvé, J’ai plus d’un souven
illeurs, nous nous sommes dit qu’écrire ces détails sur un homme bien
jeune
encore, sur un poëte de vingt-neuf ans, à peine a
re physionomie d’un lieu peu remarqué alors, désormais insigne. Cette
jeune
vie s’harmonisait déjà par des rapports anticipés
é d’un saule dans la cour de la maison ; il jouait là autour avec son
jeune
camarade Delon, depuis frappé d’une condamnation
flottent dans la fantaisie ébranlée de l’enfance. De 1809 à 1811, le
jeune
Hugo demeura en France avec ses frères et sa mère
igilant, et de l’éducation qu’il lui dicta envers ses fils, envers le
jeune
Victor en particulier. Un incident presque merve
tte inaction prolongée qui le dévorait, était de s’entretenir avec le
jeune
Victor, de le prendre sur ses genoux, de lui lire
uelle impression profonde et amère durent jeter dans l’âme ardente du
jeune
enfant de l’Empire, et les discours du mécontent,
ça de connaître et d’aimer cette autre Pepita non moins charmante, la
jeune
enfant qui, plus tard, devint sa femme. Au printe
inquiéta pas d’y substituer une croyance pour ses fils. Tous deux, le
jeune
Victor surtout, avaient rapporté de l’Espagne, ou
mir Delavigne, Saintine et Loyson y débutèrent également. La pièce du
jeune
poëte de quinze ans se terminait par ces vers :
aise n’en avait eu précédemment, et M. Soumet écrivait de Toulouse au
jeune
lauréat : « Vos dix-sept ans n’ont trouvé que des
ène et Victor, qui en étaient les rédacteurs assidus. L’un et l’autre
jeunes
, à peu près obscurs, livrés à des convictions ard
Le parti dit royaliste arrivait aux affaires dès cette époque ; Hugo
jeune
, non envié encore, caressé de tous, eût pu aiséme
; ces sucreries expirèrent à l’écorce contre la verdeur et la séve du
jeune
fruit croissant. Et puis la dissolution de la cot
disant : « Je crois cependant que c’est surtout quand Napoléon était
jeune
, et tant que sa force croissait, qu’il a joui de
ussent données, sinon à des adolescents, du moins à des hommes encore
jeunes
. Je ne pus m’empêcher de lui rappeler quelques Al
ont dans leur vie une seconde puberté, mais les autres hommes ne sont
jeunes
qu’une fois. — Chaque âme est un fragment de l’ét
e n’ai pas du tout à me plaindre de stérilité ; mais ce qui, dans mes
jeunes
années, me réussissait tous les jours et au milie
un accompagnement de flûte traversière d’un son clair. On appelle le
jeune
Goethe ; il sort, revient presque aussitôt, et co
er à la représentation ; déjà à midi il n’y avait plus de billets. Le
jeune
Goethe alors met fin au dîner en disant à son pèr
s les autres et restez avec moi, nous bavarderons encore un peu. » Le
jeune
Goethe cherchait à renvoyer la compagnie pour pré
vous en aller ? me dit-il en me regardant tout étonné. — Oui, dit le
jeune
Goethe ; Eckermann a aussi quelque chose à faire
pas. » Nous montâmes dans les chambres du haut avec Mlle Ulrike ; le
jeune
Goethe resta en bas pour préparer son père à la t
uva la grande-duchesse mère à son château d’été de Wilhelmsthal ; les
jeunes
princes étaient en Russie. — Goethe partit bientô
, marchent dans les mêmes voies que moi… » Il voulait continuer ; une
jeune
dame qui entra l’interrompit et se mit à causer a
es les délices et toutes les souffrances du cœur. Elles sont pour les
jeunes
poètes, désireux d’apprendre comment on se représ
qu’il venait de perdre, Goethe s’y complaît : « Il était alors très
jeune
, et nous faisions un peu les fous. C’était comme
et Seckendorf ne me paraissent pas mal dessinés du tout, ainsi que le
jeune
prince, alors dans la sombre impétuosité de sa vi
de la régente actuelle, des grandes espérances que faisait naître le
jeune
prince5, et se répandit avec une prédilection vis
ettes, aisées, sereines. — Mademoiselle Gay, madame Tastu et d’autres
jeunes
femmes auteurs nous firent également grand plaisi
issait à Goethe sur la nouvelle vie de la littérature française ; les
jeunes
poètes le vénèrent et l’aiment comme leur chef sp
t Goethe. Et il lui envoya le dessin. Il ne manqua pas son effet : le
jeune
Goethe arriva bientôt, plein de joie, disant que
rangé sur une table, les uns près des autres, tous les médaillons des
jeunes
poètes de la France. Il parla encore du talent ex
s. « David, dit-il, m’a par cet envoi préparé de belles journées. Les
jeunes
poètes m’ont occupé déjà toute cette semaine, et
n artistique et dans ma bibliothèque. » On voyait que cet hommage des
jeunes
poètes de France remplissait Goethe de la joie la
t l’organisation physique de Napoléon se ressentit heureusement de la
jeune
et fraîche énergie de ses parents. Après lui, ell
être né le premier ou le dernier, d’avoir pour père et mère des êtres
jeunes
et vigoureux, ou bien vieux et débiles. Je m’info
» Il y a quelque temps, Goethe a exprimé une idée du même genre ; un
jeune
sculpteur lui avait envoyé le modèle de la Vache
z elles, elles pensèrent aux paroles de madame de Reck. « Nous sommes
jeunes
, nous sommes jolies, se dirent-elles ; voyons don
ec bonne foi, on change sa manière de voir sur ce grand homme. Goethe
jeune
n’était pas Goethe. C’était une nature vigoureuse
ux jusqu’à son dernier jour. En politique, il commence par suivre son
jeune
souverain dans sa première campagne de Prusse en
ue temps entre les idées de la révolution française qu’il a respirées
jeune
à Strasbourg, où il avait achevé son éducation, e
se contente d’abord, après un espoir si longtemps stérile, de voir la
jeune
reine déguignonnée, dût-elle n’avoir la première
n sens de la grande souveraine, s’adressant dans l’intimité à la plus
jeune
de ses filles qu’elle voit entourée de périls et
c’était, je le répète, le seul défaut de Louis XVI vis-à-vis de cette
jeune
princesse : il avait d’ailleurs toutes les bonnes
ayant à guider de loin, à conseiller dans toutes ses démarches une si
jeune
dauphine, puis une si jeune reine, qui trouve si
nseiller dans toutes ses démarches une si jeune dauphine, puis une si
jeune
reine, qui trouve si peu d’aide auprès de soi, mê
ns de bien minces détails ; qu’elle traite la dauphine, et bientôt la
jeune
reine de France, comme elle ferait une petite fil
stinguer ; qu’à la table, au jeu, vous ne vous entretenez qu’avec vos
jeunes
dames, en leur parlant à l’oreille, en riant avec
livres sérieux que l’abbé de Vermond s’était chargé de procurer à la
jeune
princesse, et qui, on le sait aujourd’hui par les
même douter de la bonté de votre cœur ; pour complaire à cinq ou six
jeunes
dames ou cavaliers, vous perdriez le reste. Ce dé
t respirent la joie avec l’espérance. Tout retentit de la louange des
jeunes
souverains ; elle en est heureuse et comme transp
es difficultés se prononcent. Marie-Thérèse voudrait à la fois que la
jeune
reine eût de la discrétion et de l’influence, qu’
ion de suivre les modes modérément, mais de ne jamais les outrer. Une
jeune
jolie reine, pleine d’agréments, n’a pas besoin d
’est nullement estimé et que vous partagez ainsi ses torts. Il est si
jeune
, si étourdi ; passe encore pour un prince ! mais
es respecter et aimer en même temps. Je ne crains pour vous (étant si
jeune
) que le trop de dissipations. Jamais vous n’avez
e sévère ; mais à qui la faute ? La jeunesse n’a plus le temps d’être
jeune
: les dieux qui lui faisaient ses loisirs ont dis
glaise, — Siao sin, — « Rapetisse ton cœur. » Formé par ce dicton, le
jeune
Chinois acquiert bientôt cette souplesse d’échine
quise moins par le talent que par le savoir-faire. Elle inculque à sa
jeune
âme les soucis et les prudences des vieillards ;
n ridicule. En apprenant l’affront fait à sa sœur, Philippe redevient
jeune
: il s’indigne, il s’emporte, il a du sang dans l
de l’avoué Joulin. Ce tabellion, bonhomme au fond, vient proposer au
jeune
avocat une affaire superbe. Il ne s’agit pas moin
. En prenant d’une main sa charge, Philippe épousera, de l’autre, une
jeune
personne ornée d’une dot de cent mille écus. Cett
ppe ? La sagesse d’Athènes vaut bien celle du Danube. En revanche, la
jeune
Cyprienne est un modèle de grâce décente et austè
t presque aussi blancs que la plume qu’il porte à l’oreille. Elle est
jeune
après tout, elle est jolie, elle a du sang dans l
à gagner les douze mille francs de revenu du ménage ; de l’autre, la
jeune
femme qui se dissipe au dehors en bals, en specta
’est la foi qui perd. Seule Thérèse, sa pupille, une sage et sérieuse
jeune
femme qu’il a élevée, qu’il a mariée, et qui l’ai
re en maraude. Le second acte nous conduit chez M. Léon Lecornier, un
jeune
avocat, le mari de cette sage Thérèse que nous av
it ; plus de doute, son mari la trompe, il a une maîtresse ! Alors la
jeune
femme pleure et s’indigne ; il y a de l’amertume
empaillés. Mais madame Chariot, la revendeuse de la comédie, est trop
jeune
pour le métier qu’elle exerce. Une marchande à la
uis il tend les bras à Léon, en l’appelant son ami, son fils. Mais la
jeune
femme pousse le cri de la pudeur morale révoltée
nt, outrageusement indélicat dans tout son procédé à l’égard de cette
jeune
femme, et qui se conduisit avec elle de telle sor
e finance au milieu du xviiie siècle18. Mme d’Épinay était alors une
jeune
personne jolie, spirituelle, sensible et intéress
endant pas laide. Je suis petite, maigre, très bien faite. J’ai l’air
jeune
, sans fraîcheur, noble, doux, vif, spirituel et i
agues, quand elle vit un jour entrer chez elle M. de Francueil, homme
jeune
, aimable, élégant, amateur de musique comme elle,
iiie siècle, ce n’est plus la vieille Macette, mais une Macette plus
jeune
et plus fine d’esprit, plus fraîche de joue, c’es
e, c’est Mlle d’Ette qui remplit exactement le même rôle auprès d’une
jeune
femme du monde. La corruption de tous les temps s
nature : mais la première, dans laquelle elle arrache le secret à la
jeune
femme et l’excite à aller plus avant, passe toute
avant, passe toutes les autres. La situation précise est celle-ci. La
jeune
Émilie, nouvellement relevée de couches, triste d
e ne pouvais plus y tenir. Dans cet état de vague et de langueur, la
jeune
femme s’excuse auprès de son amie : « Je crois qu
e cachez rien, c’est l’ennui ; ce n’est pas autre chose. Et comme la
jeune
femme voulait entrer dans quelques explications :
» — « Hélas ! lui dis-je, j’ignore moi-même ce que je pense. » Et la
jeune
femme expose les contradictions de son propre cœu
t adroitement à piquer, à effaroucher, à rassurer et à enhardir cette
jeune
âme, à l’incliner vers les fins qu’elle se propos
e sa brutalité avec finesse, s’accommoderait très volontiers de cette
jeune
femme enjouée, spirituelle et vive ; il passerait
Mme d’Épinay, et où il fait subir un interrogatoire au précepteur du
jeune
d’Épinay, à ce pauvre et grotesque M. Linant, duq
us occupe, était Allemande, d’une famille originaire du Palatinat. Le
jeune
Ramond participa intellectuellement de cette doub
respirent dans ses premiers ouvrages, dans Les Dernières Aventures du
jeune
d’Olban, fragments des amours alsaciennes (Yverdo
uand il n’avait que dix-huit à vingt ans. Les Dernières Aventures du
jeune
d’Olban sont une imitation et une sorte de contre
e, quoiqu’il n’inspire pas le dégoût. Par malheur, l’intérêt dans Le
Jeune
d’Olban ne répond pas à la théorie. Ce d’Olban, q
78, la lettre suivante, qui accompagnait l’envoi de ses Élégies : Le
jeune
auteur d’un drame auquel M. Dorat a accordé une p
même Journal des dames (avril 1778), sous ce titre : Les Amours d’un
jeune
Alsacien. Dorat leur avait rendu le même service
andes inexpériences de style et d’harmonie. Ici, pas plus que pour Le
Jeune
d’Olban, l’heure de la transplantation n’était ve
ces vallons, ces palais, ces chaumières , etc. Et encore, lorsque le
jeune
Alsacien s’écrie dans une pièce intitulée Le Soir
oûte éternelle, Holocauste échappé des flammes de l’amour ! quand le
jeune
Ramond chante ainsi, il semble préluder, quarante
vivement l’attention des curieux et qui commencèrent la réputation du
jeune
Ramond. « Ce traducteur, disait La Harpe, est un
re et pendant la vogue de l’abbé Raynal, annonce, encore mieux que Le
Jeune
d’Olban et que les Élégies, combien Ramond appart
fiance et d’initiation qui peut entraîner même les plus éclairées des
jeunes
âmes : ici, il est presque fasciné par Lavater, i
ulé, de la Révolution, sa dame d’honneur, sa favorite et son amie. La
jeune
princesse en avait fait sa sœur ; elle n’avait ri
ille qui avait fait grand bruit dans le monde. L’aînée de ses filles,
jeune
personne très-jolie et très-intéressante, avait é
tions suffisantes. Peu de temps après son arrivée dans le château, la
jeune
femme avait appris que son mari n’avait désiré en
tion, de peur des entreprises de son mari pour recouvrer sa femme. La
jeune
veuve de ce mari vivant vécut ainsi plusieurs ann
x que j’aie connus, avec lequel je suis resté lié jusqu’à présent. Le
jeune
et spirituel Cazalès, fils du célèbre orateur riv
t assidûment dans cette maison. Il était camarade des pages et ami du
jeune
Raigecourt ; Raigecourt devait être riche et pair
le fils de Raigecourt. IV La Restauration fut ingrate envers le
jeune
Cazalès. Un tel nom n’aurait jamais dû être oubli
ples. Cazalès, après 1830, hésita longtemps entre le mariage avec une
jeune
personne très-aimable, mais très-indécise comme l
me en uniforme ; l’enharnachement du cheval, la coiffure militaire du
jeune
prince, sa taille souple et élevée, l’ondulation
n se reflétait sur cette belle figure. On confondait les vieux et les
jeunes
militaires dans la même admiration. Les mousqueta
r la mort de son frère. Il avait épousé mademoiselle de Sérent. Cette
jeune
femme était morte bientôt après son mariage, brûl
se d’un séminaire. La salle à manger et les salons étaient remplis de
jeunes
ecclésiastiques ou aspirant à le devenir, pleins
e 1850. Sous ce titre, un écrivain peu connu encore, et que je crois
jeune
d’après la nature de quelques-unes de ses idées,
erie de Légendes françaises. Le titre de légende indique assez que le
jeune
écrivain n’a pas prétendu tracer de Rabelais une
res dont le savoir n’est que bêterie. On met Gargantua en présence du
jeune
Eudémon, enfant de douze ans, qui s’adresse à lui
, avec une noble pudeur qui ne nuit pas à l’aisance. À tout ce que ce
jeune
page lui dit d’aimable et d’encourageant, Gargant
s le cas présent, l’intention n’est pas douteuse. On vient de voir le
jeune
Gargantua livré aux pédagogues de la vieille écol
ance la méthode de Montaigne, qui veut qu’on fasse d’abord trotter le
jeune
esprit devant soi pour juger de son train. Ponocr
esprit devant soi pour juger de son train. Ponocrates laisse donc le
jeune
Gargantua suivre quelque temps son train accoutum
ucation mal dirigée. Je résumerai cette éducation en un seul mot : le
jeune
Gargantua se conduit déjà comme le plus cancre et
nouvelles, qui toutes dépendent de l’arithmétique et des nombres. Le
jeune
Gargantua fait de la sorte ses récréations mathém
compte. Nous avons dans ce cours d’éducation et d’étude à l’usage du
jeune
Gargantua le premier modèle de ce qu’ont représen
ophique et plus logique, me semble beaucoup moins rabelaisienne1 Le
jeune
auteur de la brochure dont j’ai parlé en commença
à la mesure en finissant ; Voltaire nous y aidera. Il avait commencé,
jeune
, par mordre très peu à Rabelais. Il raconte qu’un
eur, aumônier de l’armée, M. Gounelle, a perdu son fils. Pensant à ce
jeune
héros et à ses camarades, il écrit dans une lettr
Cité par M. Raoul Allier, « Avec nos fils sous la mitraille ».) Et le
jeune
Gustave Escande, de la Fédération Universelle des
us nous sommes composé : “Faire le Christ Roi”. » Mais la voix de ces
jeunes
lévites du droit n’est nulle part mieux persuasiv
ouchait, mais n’avait pas de sens pour nous. Ailleurs, dans la vie du
jeune
Escande, nous lisions que privé de voir l’aumônie
ueillement. Et là encore, une minute, nous cherchions à distinguer ce
jeune
chrétien dans son ombre… Aujourd’hui, nous compre
Je cite des textes de Rigal, il en est de Latil, de vingt autres. Les
jeunes
protestants se rattachent aisément aux idées qu’a
ds alors qu’il était prisonnier et sans défense. Voir ses émotions de
jeune
officier qui prend le contact de l’âme guerrière
volume composé pour un cercle de parents et d’amis.) 10. C’était un
jeune
soldat de vingt-deux ans à peine, nommé Gaston Ve
e encore cette lettre en date du 15 juin 1915, six jours avant que le
jeune
soldat tombe sur la tranchée de Calonne : « L’â
e sentir sur ces sujets la plupart des natures droites et saines, des
jeunes
âmes écloses du milieu de notre société et formée
e pourtant que ce ne fut que dans les hautes classes que le talent du
jeune
Casimir se révéla : jusqu’à l’âge de quatorze ans
Un matin qu’on avait donné quelque version de Perse ou d’Anacréon, le
jeune
écolier trouva plus facile de traduire en vers fr
t l’empêcher qu’il ne ferait jamais autre chose que des vers. » Et le
jeune
Casimir lui ayant été présenté, il le reçut comme
sur l’étude, pour ce brillant concours de 1817 d’où sortirent tant de
jeunes
noms. Il résultait parfois de ce partage d’occupa
s, puis parurent en public avec un succès prodigieux. Toutes les âmes
jeunes
, vives, nationales, naturellement françaises, y t
rouverait aucun représentant plus irrépréhensible et plus pur, en ces
jeunes
années d’essai, que Casimir Delavigne : en sincér
ibliothèque. La vogue des Messéniennes devait porter naturellement le
jeune
auteur vers d’autres applaudissements : Casimir D
er ma prédilection toute particulière pour des portions du Paria : le
jeune
auteur y trouvait dans l’expression de l’amour de
s Comédiens je veux pourtant relever ce personnage de Victor, type du
jeune
auteur dramatique tel que le rêvait le poëte, et
it vu entouré de cierges et paré de ses beaux habits, au moment où un
jeune
frère, dans sa naïve ignorance, s’approchait du m
fit précéder sa pièce, à l’impression, d’une charmante dédicace à son
jeune
fils, et qui rappelle pour le ton ces autres vers
nérailles immenses du simple homme de lettres, ce cortége mené par le
jeune
fils orphelin, et où se pressaient les représenta
non le moins significatif. Et nous verrons dans quelles conditions un
jeune
écrivain de vingt-cinq ans débutait dans ce milie
ue sur eux. La guerre de 1870 a modifié les conditions des débuts des
jeunes
écrivains autant qu’elle a imprimé de directions
ne s’imagine pas la puissance de cette formule sur une imagination de
jeune
Français. En France, un jeune homme instruit et p
eune homme : « Ah ! si vous aviez connu le Paris de 1885 ! » Donc, un
jeune
débutant qui, amené par quelque parrain du monde
s, par les marches et les contremarches. Il y avait, dans la vie d’un
jeune
débutant de cette époque, une heure entre toutes
e vous savez. Le Gaulois et le Gil Blas étaient très accueillants aux
jeunes
littérateurs, dont quelques-uns avaient déjà fait
de la salle de rédaction. Au bout de cinq minutes que j’étais là, un
jeune
rédacteur du Gaulois, que je sus depuis être M. A
leur mari ou leur femme, leur mère et leurs enfants. L’existence d’un
jeune
écrivain à ses débuts dans ce décor parisien de 1
lettres ou la nécessité de gagner leur vie. Je me liai avec quelques
jeunes
écrivains de ma génération, dont plusieurs sont d
consacra une étude dans la Revue Bleue et marqua tout de suite cette
jeune
notoriété du boulevard du sceau de la haute criti
re supérieure. C’est cela qu’il faut noter avec soin chez beaucoup de
jeunes
écrivains de cette époque : le mélange d’une véri
ques. Je fis encore la connaissance, pendant cette période, d’un très
jeune
écrivain, M. Fernand Vandérem, qui débuta au Gaul
oin de vous rappeler la brillante carrière. Dans un autre journal, un
jeune
polytechnicien apportait ses premières nouvelles
ne expression neuve des sentiments et des caractères. Supposons qu’un
jeune
écrivain d’aujourd’hui, après quelques essais, ob
quelques essais, obtienne tout à coup le succès prodigieux de Fromont
jeune
et Risler aîné ou de l’Assommoir qui furent les d
me à une course de taureau. Telle est l’aventure qui attend demain ce
jeune
triomphateur. Restera-t-il un homme de lettres à
ente ans environ, dans la publicité et le journalisme des milliers de
jeunes
bourgeois sans fortune, instruits et mécontents,
s innombrables boîtes de la Butte ; elle voit jouer la comédie par de
jeunes
personnes de son âge et elle pense : − Ce n’est p
; elle a trop de curiosité de la vie ; elle se sent trop fine et trop
jeune
pour risquer tout cela dans cette aventure. Et el
rents qui, eux, sont d’une époque de moindre civilisation ? Car notre
jeune
personne n’a pas l’intention d’abandonner le foye
ir exprimé ma gratitude, de vous parler comme un ancien camarade à de
jeunes
camarades retrouvés dans la plus cordiale des cir
s avons commencé notre carrière ! Jamais, je crois, une génération de
jeunes
Français n’a montré moins d’allégresse à son dépa
rtent dans un but, mais l’association naturelle et comme spontanée de
jeunes
esprits et de jeunes talents, non pas précisément
is l’association naturelle et comme spontanée de jeunes esprits et de
jeunes
talents, non pas précisément semblables et de la
seuls exemples domestiques, ainsi à Gœttingue, en 1770, le groupe de
jeunes
étudiants et de jeunes poètes qui publient l’Alma
ques, ainsi à Gœttingue, en 1770, le groupe de jeunes étudiants et de
jeunes
poètes qui publient l’Almanach des Muses, Bürger,
ie intellectuelle d’un peuple et d’une époque, il est plutôt dans ces
jeunes
enthousiastes qui se réunissent pour échanger leu
de la Muse française en 1824, le Cénacle en 1828. Aucun des talents,
jeunes
alors, qui ont séjourné et vécu dans l’un de ces
récié que dans son plein ou dans ses œuvres dernières ; qui ne l’a vu
jeune
, à son premier moment d’éclat et d’essor, ne s’en
plus douce pour le critique que de comprendre et de décrire un talent
jeune
, dans sa fraîcheur, dans ce qu’il a de franc et d
et à l’occasion, avertira les nouvelles générations ignorantes et les
jeunes
insolents, qu’ils ont affaire en nous à un vieil
de dire à quelqu’un qui vieillit : « Jamais votre talent n’a été plus
jeune
. » Ne les écoutez pas trop, ces flatteurs ; il vi
Il est de ceux qui ont eu non pas une, mais au moins deux carrières.
Jeune
ou vieux, il n’a cessé de se peindre, et, ce qui
ns de son temps ; le roman est un genre essentiellement contemporain.
Jeune
, on lit tout naturellement les romans de sa jeune
romans, nouvelles, commence à vous échapper, surtout venant d’auteurs
jeunes
, et, une fois le fil perdu, on ne le rattrape pas
ès la première représentation, le général en chef dépêcha l’un de ses
jeunes
aides de camp à un dessinateur de ses amis2, pour
’âge raisonnable. Clotilde est belle, de sa pleine et entière beauté,
jeune
encore, trente-quatre ans et demi, pas davantage
petite chambre ! Quoi de plus ravissant au monde que la chambre d’une
jeune
femme distinguée, honnête et un peu coquette ? Pa
deur dans le mariage ? Ainsi, chez leur cher auteur, il y a de toutes
jeunes
femmes qui exilent un mari de leur lit dès le pre
les et plus développées, dont Dalila est la plus forte, le Roman d’un
Jeune
Homme pauvre la plus triomphante, et Sibylle la p
tout entier dans les rapports, à peine entamés, de l’artiste et de la
jeune
dame. Un hasard a fait connaître à celle-ci le ju
éables. Mais pendant le bal et dans cette scène si bien amenée, où la
jeune
femme, qui n’a rien de grave, après tout, à se re
émue enfin de tendresse, et transformée par la passion, se déclare au
jeune
amateur artiste et en vient à lui offrir son cœur
Le premier cheveu blanc n’y est même pas. Mais qu’est-ce ? cet homme,
jeune
encore d’air et d’années, est assis devant vous,
e. M. de Musset rappelait, à ce propos, les vers que M. de Lamartine,
jeune
, avait adressés à lord Byron prêt à partir pour l
yron eût-il accueilli, je vous prie, une avance du poète Keats, de ce
jeune
aigle blessé qui tomba sitôt, et qu’il traite par
et le cœur sont disponibles, à la jeunesse, ou aux hommes qui étaient
jeunes
hier et qui sont mûrs aujourd’hui, à ceux qui vou
resse endormie, et protégeant, comme l’ange, son sommeil : Le voilà,
jeune
et beau, sous le ciel de la France… Portant sur l
e la jeunesse d’il y a plus de dix ans. Alors on récitait tout de ces
jeunes
poèmes, maintenant on commence peut-être déjà à f
nger, me disait un jour : « Vous autres, vous avez tous commencé trop
jeunes
et avant la maturité. » Il en parlait à son aise.
ieux réussi. Les autres, un peu plus tôt, un peu plus tard, tous très
jeunes
, quelques-uns encore enfants, sont donc entrés en
dans ses jugements sur la poésie. J’ai parlé tout à l’heure, dans les
jeunes
générations, de ceux qui, les premiers, ont admir
e boudoir a renchéri sur l’École de droit. Quand on est d’un âge très
jeune
, d’une certaine date très récente, c’est par Muss
onseille pas encore la lecture à sa fille ; le mari le fait lire à sa
jeune
femme dès la première année de mariage. Je crois,
et légère. Il a eu plus que jamais le suffrage des gens du monde, des
jeunes
femmes ; il a mis en colère des critiques grotesq
Émile Augier : Un Homme de bien 1er décembre 1845. Les générations
jeunes
, celles qui ont vingt-cinq ans plus ou moins et q
ière, la Ciguë, une espèce de petit proverbe athénien. Cette fois, le
jeune
auteur a voulu tenter la comédie proprement dite
s, Perdant ainsi, pour feindre un peu d’expérience, La douceur d’être
jeune
et d’avoir confiance ! C’est là du bon style ; m
n mari, et Juliette reste assez mal mariée avec son douteux amant. Le
jeune
et spirituel auteur a (c’est tout simple) beaucou
u’on se le dise), mais de vivre, de se répandre hors du cercle de ses
jeunes
contemporains, de voir le monde étendu, confus, d
t rang, le monde actuel tel qu’il est, de le voir, non pas à titre de
jeune
auteur déjà en vue soi-même, mais d’une manière p
ubirent — et dont profitèrent, peut-être — mes amis intellectuels les
jeunes
écrivains, j’avais espéré, dis-je, que de nouvell
ue sans autres titres que ma connaissance familière des œuvres de ces
jeunes
écrivains, je me sens poussé par l’indignation en
s poètes les mieux doués de notre littérature contemporaine. Pour les
Jeunes
dont nous nous occupons c’est d’ailleurs un « anc
èrement pour être avec Paul Verlaine, l’un des deux « maîtres » de la
jeune
littérature, est tout simplement un poète très pe
ingue par son vers « parnassien » et à dessein un peu guindé des plus
jeunes
d’entre ces poètes chez qui la réaction contre le
d’Apaisement, de Sites, suite de sonnets délicats ; c’est un des plus
jeunes
poètes du groupe et l’un de ceux qui promettent l
aître bien connu, qui savait parfaitement le grec, M. Planche ; et le
jeune
Villemain dut au secours qu’il rencontra, d’acqué
iversité, ou mieux encore les exercices de MM. Le Peletier fils et du
jeune
abbé de Louvois. Émerveillé de ce qu’il venait d’
t, et il en a le droit plus que personne, l’importance durable de ces
jeunes
et antiques études, de ces études qu’avaient, en
à toujours, l’accès direct et perpétuel d’Euripide et de Pindare. Le
jeune
Villemain, indépendamment de ses exercices à la p
ne et philosophique, de Garat, Ginguené, Chénier, il présente avec le
jeune
et facile rival qui, pour coup d’essai, le détrôn
l’arène, comme fait le taureau noblement jaloux, qui cède le champ au
jeune
vainqueur. Retiré dans sa province méridionale où
le avec le cardinal Maury, et il ne faisait que quitter M. Suard. Son
jeune
rival, qui depuis ce temps avait beaucoup vu et e
losophiques et de l’enthousiasme politique, par où débutèrent tant de
jeunes
esprits d’alors, ne lui arriva point. Bien des an
amitié ; chez lui, chez la princesse de Vaudemont, dans ce monde, le
jeune
écolier qu’on savait si docte, qu’on trouvait de
puritaine de l’École normale, les Jouffroy, Dubois, etc… ; ainsi plus
jeune
nous-même, à la suite de nos amis, avons-nous fai
paraisons et de rapports ; elle a percé enfin, elle se sécularise. Le
jeune
panégyriste de Montaigne, disions-nous, débuta sa
ni de pesanteur. Le Discours sur la Critique montre à quel degré le
jeune
écrivain en avait déjà le génie pour toute la par
el pour prendre un excellent exemple, comme doivent faire et font les
jeunes
et savants professeurs qui, succédant dans la car
à ces générations mixtes, brillantes, excitées en tous sens, à cette
jeune
croisade empressée d’érudition hâtive et renaissa
s applaudissements inextinguibles solennisèrent ce moment, où tant de
jeunes
yeux brillaient d’étincelles et de larmes ; c’éta
ntanes, tout est oublié, tout se ravive ; l’admiration refleurit plus
jeune
. Il dirait volontiers, comme Pline : « Mais ne se
s inutile de noter quel fut le rapport exact de M. Villemain avec les
jeunes
écoles dites romantiques, qu’il côtoya sans trop
ns vrai pour cela : « Il faut avoir connu Villemain dans le temps où,
jeune
, il avait tout son succès, où il sentait qu’il co
gouvernement de Louis XVIII. Il avait épousé et amené à Florence une
jeune
et belle Danoise, la fameuse Ida Brown, devenue c
, Tendres fruits qu’à la lumière Dieu n’a pas laissés mûrir ! Quoique
jeune
sur la terre, Je suis déjà solitaire Parmi ceux d
Et son regard semble dire : « Vous aime-t-on comme moi ? » C’est une
jeune
fiancée Que, le front ceint du bandeau, N’emporta
leur ermitage ou de leur grotte de rocher au soleil, et souriant aux
jeunes
femmes et aux enfants qui leur demandaient de les
rrêtai comme frappé d’une apparition soudaine : c’était une figure de
jeune
femme, bien plus semblable du moins à une jeune f
. J’avais une gourde dans mon havresac, j’en voulus faire goûter à la
jeune
mère ; elle y trempa ses lèvres avec complaisance
vres. — Oh ! nous l’avons été, s’écria la mère. — Oh ! oui, reprit la
jeune
femme, nous l’avons été ; tenez, regardez ce cham
ré, au fond du ravin à gauche, qui nourrit deux vaches, et ce bois de
jeunes
châtaigniers et de lauriers sauvages, qui descend
er le rocher qui nous nourrit tous. LVIII — Cinq ? dis-je à la
jeune
femme, mais je n’en vois que quatre en comptant l
à qui nous laissons sa place vide autour de la table. À ces mots, la
jeune
mère se leva, pressa son enfant contre son cœur d
, parlons-en, à moins que cela ne vous fasse trop d’angoisse. Je suis
jeune
encore, mais j’ai toujours aimé, dès mon enfance,
olontairement un coup d’œil à la dérobée sur l’angélique figure de la
jeune
mère, qui était allée donner le sein à son enfant
ces quatre âges de la vie sous un même arbre : l’aïeule, le père, la
jeune
épouse, l’enfant à la mamelle ; ces pauvres anima
rop, dit la vieille femme. — Ah ! moi, je n’oserais pas, je suis trop
jeune
pour tout savoir et trop innocente pour savoir bi
cs, qui lui tombaient de son front sur les yeux. Que voulez-vous, mon
jeune
monsieur, je l’ai entendu dire à mon père et au p
dus, dans le temps des guerres des Pisans contre les Florentins, d’un
jeune
officier toscan prisonnier des Pisans, qui s’étai
our nous avertir de son approche, dit l’aïeule. Le père soupira ; la
jeune
sposa ne dit rien, mais elle se leva de table et
s vertes lisières du bois de lauriers. Lui et son frère, qui est mort
jeune
, et qui était mon mari, s’occupaient l’hiver, com
-ci un certain nombre d’esprits ardents, studieux, intelligents, qui,
jeunes
, après avoir passé déjà par des phases diverses,
e on n’en avait pas encore vu de si gaiement improvisé, de mémoire de
jeune
France. Le dernier mois s’était passé aux querell
e sujet, on nous, permettra de citer ici quelques vers laissés par un
jeune
saint-simonien mort, Bucheille ; le sentiment qu’
tait maintenu plus longtemps à cet état vague de petite église, si le
jeune
Bucheille lui-même avait plus vécu, il est possib
nvincible essor ! Assez pour ton passé de deuil et de silence ! à ton
jeune
avenir renais et chante encor. Sur tes liens dét
t voir fumer le toit où l’on fut abrité ! L’Aquilon te soulève, ô ma
jeune
hirondelle, Et l’horizon lointain abaisse ses som
, ce nom de Sand m’ayant tout d’abord alléché. Cyprien est une de ces
jeunes
et ardentes âmes, comme Bucheille, que le mal soc
c le public. Il s’est formé, depuis deux ou trois ans, une société de
jeunes
peintres, sculpteurs et poètes, dont plusieurs an
it tort à leur pensée. Nous estimons trop le cœur et la portée de ces
jeunes
artistes pour ne pas leur parler avec franchise.
ollaborateur M. A. Claveau sur « l’Humanisme »a ayant vivement ému la
jeune
école littéraire qui s’inspire de cette doctrine,
les humanistes, — et sous cette dénomination on peut ranger tous les
jeunes
poètes qui ne sont pas à proprement parler parnas
tre eux comptent d’anciennes et précieuses amitiés. Il n’est guère de
jeune
poète qui n’ait d’abord voisiné avec eux dans la
hés de toutes les vieilles croyances, un certain nombre de penseurs «
jeunes
et hardis » se bornent maintenant à prêcher et à
manisme. Qu’est-ce que l’humanisme ? Évidemment, dans l’esprit de ces
jeunes
philosophes, c’est le contraire du déisme ; c’est
J’y saluerais d’abord l’homme qui s’est fait dieu. Vous le proclamez
jeune
et hardi, il m’apparaît très racorni, très timide
; mais on ne vous en veut pas pour cela. Si votre religion n’est pas
jeune
, vous êtes jeunes vous-mêmes et « la jeunesse est
s en veut pas pour cela. Si votre religion n’est pas jeune, vous êtes
jeunes
vous-mêmes et « la jeunesse est présomptueuse ; e
librement détaché. Mais il proclame, lui aussi, avec toutes les âmes
jeunes
et hardies de notre temps, cette doctrine de l’hu
eu, ceux qui y voient autre chose que le noble plaisir d’entendre une
jeune
tragédienne de talent et de rapprendre, grâce à e
et éternel sujet du drame depuis Phèdre jusqu’à nous. Cosima est une
jeune
femme de Florence qui a un mari bourgeois, marcha
ue sa plume au vent et son manteau, que déjà elle l’aime, comme toute
jeune
femme, même la plus pudique, aimera, si elle n’y
eune femme, même la plus pudique, aimera, si elle n’y prend garde, le
jeune
étranger, est-ce moral ? dira quelqu’un. Celui-là
e portugaise, jusqu’à l’amante du Giaour ; celui-là n’a jamais voyagé
jeune
en des pays lointains, et n’y a jamais cueilli su
fait aimer pourtant de Cosima, parce qu’il est beau, parce qu’il est
jeune
, parce qu’il est inconnu, parce qu’il a en réalit
uteur et reproduit par lui en plus d’un endroit ; c’est un Ralph plus
jeune
et plus gracieux. Il a de la pâleur au front, com
en face de telles vérités et qu’il fallût toujours une certaine dose
jeune
premier dans l’amoureux. Quelle est la dose préci
oser ici. Nous laissons donc, sans plus de commentaires, la parole au
jeune
chef des « naturistes » : La jeunesse contemporai
ues profits que celles-ci en ont retirés. En effet, nul doute que les
jeunes
écrivains eussent tout à fait pris goût à ces jeu
nt l’apathie. Cependant on peut discerner dans les poèmes de quelques
jeunes
auteurs un caractère de véhémence qui dénonce ass
Zola garantit la véracité de ce désir. C’est un fait constant que les
jeunes
poètes sont passionnés d’énergies. Ils en possède
vinces. Je ne désire pas insister sur l’esprit poétique qui anime les
jeunes
écrivains. Il semble qu’un culte nouveau soit prè
es, la joie auguste et le charme solennel. Dans la pensée de quelques
jeunes
poètes, les travaux quotidiens de l’homme paraiss
. Aussi le sommes-nous, en effet. La littérature à laquelle plusieurs
jeunes
auteurs se sont voués demeure infiniment violente
ait pu imaginer, et on peut dire que, s’il est suivi par la foule des
jeunes
poëtes déjà vieillissants, il mène le deuil avec
out haut sur cette perte dès vingt-cinq. Tant qu’on est encore un peu
jeune
, cela va bien et a l’air d’une agréable plaisante
entir, oh ! alors, les soupirs se changent en cris amers, et comme la
jeune
Captive qui ne veut pas mourir encore, on crie :
ser. Si le soleil les a fanées, Elles refleuriront ailleurs ! Notre
jeune
siècle poétique et lyrique, par cela même qu’il n
a paru, mais elle a été altérée. 39. M. Vacquerie est le frère de ce
jeune
époux de la fille de Victor Hugo, qui a péri, l’a
le de Victor Hugo, qui a péri, l’année dernière, en voulant sauver sa
jeune
femme.
a scène. On sait la donnée de la comédie de M. Augier. Clinias est un
jeune
Athénien, du temps de Périclès, blasé et désabusé
ur en finir, le poison dans une dernière coupe, lorsque l’amour d’une
jeune
captive rallume son cœur éteint et le fait renaît
sur les bords d’un fleuve et s’y bâtit un ermitage. Après six ans de
jeunes
inouïs, de macérations affreuses, de méditations
ageur entrant un jour, à Yeddo, dans une école japonaise, entendit de
jeunes
garçons réciter, en chœur, un alphabet rythmique
s processions triomphales, apparaît l’image et rapide et voilée d’une
jeune
femme blessée par une douleur mystérieuse : — « E
rséphone, qui lui tend la main : — « Celui que les dieux aiment meurt
jeune
. Le plus heureux, je le dis, ô Parménon ! c’est l
ercle infini et insupportable. L’homélie de saint Jean Chrysostome au
jeune
Stagyre, que le mal de l’aboulia consumait, sembl
ans la strophe, un fin et pur détail des mœurs antiques. A voir cette
jeune
et svelte poésie aborder la Grèce d’une allure si
laissa faire, comme le dieu, et répandit une odeur d’ambroisie sur sa
jeune
suppliante. A la Ciguë succéda Véline ou l’Homme
ne vierge héroïque, une femme forte de la Bible calviniste. Diane est
jeune
encore, et pourtant la gravité de la matrone asso
front résigné. Son père, avant de mourir, a remis entre ses mains son
jeune
frère Paul. De ce lit de mort, la jeune fille s’e
rge de Parnajon. Mais Diane la fait tomber d’un geste, et, prenant sa
jeune
protégée par la main, elle se remet, avec elle, s
e, sous la sauvegarde des gentilshommes. A ces paroles, l’honneur des
jeunes
fous se dégrise et se réveille ; leurs fronts se
oursuivie. Tandis que Diane console et rassure la belle affligée, son
jeune
frère revient de ses esclandres. La sœur gronde,
relever l’outrage et étrenner son premier amour du premier coup de sa
jeune
épée. Il provoque M. de Cruas. M. de Pienne sera
, à part M. de Lamartine qui l’avait ouverte, ces autres poëtes, plus
jeunes
, n’étaient pas arrivés à leur expansion définitiv
espèce de Bion chrétien, de Synésius artiste, en nos jours troublés ;
jeune
poëte alexandrin qui a maintenant rêvé sous les f
ve admirables en toute rencontre, et qui effrayent de la part d’un si
jeune
poëte. M. Alfred de Musset n’a guère plus de ving
ès cette suavité première, succède aussitôt la grandeur : l’entrée du
jeune
inconnu dans l’église, sans respect et aussi sans
bements, de trivialités et d’archaïsmes. En somme, il y avait dans ce
jeune
talent une connaissance prématurée de la passion
une pourpre, et devant son chemin La flûte et les flambeaux, comme au
jeune
Romain ! Dans Don Paez enfin, en parlant de Juan
sa chevelure brune ! Sous la tresse d’ébène on dirait, à la voir, Une
jeune
guerrière avec un casque noir ! Ce sont là, à mo
Lèvres, une charmante petite comédie en deux actes, A quoi rêvent les
Jeunes
Filles, et enfin un soi-disant conte oriental, Na
se heurtent, Telles par l’ouragan les neiges flagellées ? Poëte si
jeune
d’ans et qui pourriez être si mûr, pourquoi ne pa
eppo avait déjà eue, je crois. L’adorable drôlerie, A quoi rêvent les
Jeunes
Filles, imbroglio malicieux et tendre qu’on peut
nt ; le ciel poétique de la France se peuple. A chaque heure, de plus
jeunes
étoiles lèvent le front ; d’autres, qui n’étaient
sévère que nous : « Musset a un merveilleux talent de pastiche : tout
jeune
, il faisait des vers comme Casimir Delavigne, des
alu ; il nous a peint des lieutenants de la vieille armée espions, de
jeunes
fils de famille bonapartistes grossiers ; et sa s
re les pensées, les étonnements, les sympathies, les espérances de ce
jeune
héros d’Israël au milieu des soldats et des paysa
a quelque chose de douloureux et d’attachant dans cette destinée d’un
jeune
esprit qui regarde le monde et la vie exclusiveme
qui va de l’attente douloureuse au joyeux appétit du sacrifice ? Un
jeune
juif nous donne une réponse à ces grandes questio
rmes qui annoncent le grand talent, elles respirent la confiance d’un
jeune
intellectuel qui, parlant à sa famille, à des ami
pirituelle. Ce sont autant de petites méditations où l’on voit que le
jeune
soldat ne cherche et ne rencontre que lui-même da
ne comprends pas qu’on ne s’y prête pas avec reconnaissance… Un des
jeunes
amis à qui il adresse ces belles lettres cherche
C’est vrai qu’il est différent, mais comment le lire sans l’aimer, ce
jeune
intellectuel, mort à vingt-cinq ans pour la Franc
x qu’à côté de lui il y ait eu Péguy, Psichari, Marcel Drouet, et les
jeunes
Léo Latil, Jean Rival Cazalis, enfants tout lumin
d’amateur qui fut celle, vis-à-vis de la vie, d’un nombre immense de
jeunes
lettrés. Leurs domaines imaginaires furent submer
n elles les âges divers, les étapes, la formation d’un personnage, le
jeune
intellectuel juif, qui joue un grand rôle depuis
s qui paraissent vidées de leur tradition religieuse… Là-dessus, un
jeune
officier israélite, industriel lorrain, qui a été
e reconnaissance, il pénètre dans le village de Bezange-la-Grande. Un
jeune
paysan lui conseille « de faire demi-tour ». Il r
ecin aide-major au 1er groupe du 39e d’artillerie, écrit à la mère du
jeune
Charles Halphen, lieutenant au 39e d’artillerie,
it point à perdre ses récits ni ses jolis mots. Voici l’histoire : le
jeune
employé était peu exact à son bureau ; il n’arriv
lle s’est déjà montée la tête pour l’auteur. Mais il se trouve que ce
jeune
auteur, ami du père de la jeune personne, est un
ur l’auteur. Mais il se trouve que ce jeune auteur, ami du père de la
jeune
personne, est un vieillard de soixante ans qui a
u négociant-poète est là tout auprès, fort amoureux d’elle ; c’est un
jeune
officier à demi-solde, qui a fait la guerre et qu
es mois après sa mort, La Décade philosophique avait publié de lui La
Jeune
Captive ; M. de Chateaubriand, dans une note du G
uvres d’André Chénier avec la famille, dirent qu’ils connaissaient un
jeune
littérateur qui saurait prendre tous les soins né
aurait prendre tous les soins nécessaires à une première édition ; ce
jeune
littérateur, âgé de trente-quatre ans déjà, était
le disait dans le monde des purs classiques et de Marie-Joseph, à un
jeune
poète intéressant, qui promettait beaucoup et qui
ait du printemps, par exemple, qu’il représentait sous la figure d’un
jeune
enfant : De ses chiots teints de pourpre, il tou
être autrement, puisqu’il venait de Mme de Duras. Le héros aimait une
jeune
femme, en était aimé, et il s’éloignait pourtant,
re fortune et tristement inconnu, autour de l’enclos dont on a été le
jeune
et orgueilleux possesseur ? Et si personne ne l’h
es, car on ne saurait donner un autre nom à l’épisode de Jenny, cette
jeune
protestante qui meurt après s’être prise de passi
pu la recueillir ! si j’avais pu la déposer sur le front de mon plus
jeune
enfant ! Ici l’auteur de circonstance, le romanc
qu’il introduisit André Chénier. Un matin, il lui arriva du Berry une
jeune
compatriote, aux yeux noirs pleins de génie, au f
les nouveaux venus ; il eut des avances toutes particulières pour les
jeunes
talents, pour Musset, pour Gautier, pour Hégésipp
ont anachronisme. C’est faire remonter bien haut le républicanisme du
jeune
employé des droits réunis. Tout l’article de M. P
s aux soins d’un frère qui était conseiller au parlement de Dijon. Le
jeune
Bossuet, qui demeurait dans la maison de son oncl
onnu son père à Metz et qui étendait sa bienveillance sur le fils, le
jeune
Bossuet y fut conduit un soir pour y prêcher un s
ndaient dans cette province. En un mot, Bossuet se conduisit comme un
jeune
lévite militant qui, au lieu d’accepter tout d’ab
ieu me l’a inspiré », dit Bossuet en le terminant, a quelque chose de
jeune
, de vif, de hardi, par endroits de hasardé et pre
on et par une brusque saillie qui peut sembler d’une érudition encore
jeune
, Bossuet s’en prend à l’hérésie des marcionites q
bizarre ; selon le mot de Chateaubriand, on voit « l’écume au mors du
jeune
coursier ». Le premier point du discours où l’ora
il l’a saisie, il l’a appréhendée au corps et en l’âme. Étudions la
jeune
éloquence de Bossuet, même dans ses hasards de go
oquence de Bossuet, même dans ses hasards de goût, comme on étudie la
jeune
poésie du grand Corneille. Je sais qu’on doit êtr
leur fureur et leur désespoir ?… Ici encore il me semble que Bossuet
jeune
excède un peu ; et de même que, dans la première
ue qui est accordée aux poètes, a su apercevoir distinctement Bossuet
jeune
, adolescent, Bossuet à l’âge d’Éliacin, avant mêm
la fleur de la vie, jetez-y le voile de la jeunesse, rêvez un Bossuet
jeune
et adolescent, mais ne vous le décrivez pas trop
écoce et le plus formé des esprits sérieux, et il se retrouve le plus
jeune
à cinquante. M. Charles de Rémusat est né à Paris
aînent. Nous avons dit et montré ailleurs quelle était sa mère200. Le
jeune
enfant grandit auprès d’elle dans une liberté aim
as inégaux, sa sœur aînée qui lui fait signe et qui l’attend. Pour le
jeune
Rémusat, le salon précéda le collège. Il y entend
nt renoncé dans l’intervalle, il semble avoir conservé contre elle sa
jeune
et chevaleresque ardeur. C’est que M. de Rémusat,
tout une haute destination de l’homme201. Mais, si précoce que fût le
jeune
Rémusat, nous l’avons un peu devancé. Un jour il
l parcourt sa vie passée et note déjà ce qu’il appelle ses âges . Sa
jeune
veine a, pour tous les événements qui l’émeuvent,
re esprit se verra forcé de se livrer à tous dans tout son talent. Le
jeune
Rémusat était encore au collège qu’une autre voca
e manière plutôt abstraite, en la généralisant et en l’étendant à ses
jeunes
amis d’alors et à ses contemporains ; il a évité
mettre ses principes au-dessus des dynasties et des gouvernements, le
jeune
démocrate philosophe savait s’interdire l’espéran
touré de leur amicale bienveillance, prenant part à leur intimité, le
jeune
Rémusat, bien que poussé par sa nature à se cherc
e titre : De l’influence du dernier ouvrage de madame de Staël sur la
jeune
opinion publique ; il était précédé de quelques l
ous avons dit que cette influence se ferait surtout sentir dans cette
jeune
génération, l’espoir de la France, qui naît aujou
t du bruit, et même un peu de scandale, dans les cercles où vivait le
jeune
auteur. Il y avait à cela plusieurs raisons, et n
i connaît : Je ne le relirai pas , et se retournant aussitôt vers le
jeune
Rémusat : Je vous ai relu, monsieur 210 . Chacun
. de Rémusat garda, comme on peut croire, sa propre originalité. Bien
jeune
, il apportait des idées et même des convictions d
ttes de la seconde moitié et qui fut, vers la fin, un des chefs de la
jeune
garde militante, combattit aussi dans la période
Dessoles, qui fut le plus libéral de tous ceux de la Restauration. Le
jeune
Rémusat y devint ministériel, et ce fut son seul
nts ou avec les rêves, avec un faux imprévu qui déjoue. Lorsqu’on est
jeune
, qu’on a l’esprit élevé comme le cœur, et qu’on c
sous une autre, elle est notre contemporaine toujours. M. de Rémusat,
jeune
, luttait contre de semblables idées, et, toutes l
t vers des dieux plus indulgents : Je le sens trop, les jours de mon
jeune
âge A de faux dieux étaient sacrifiés ; Deux ans
ant sur un sujet si bien connu de lui, M. de Rémusat retrouverait ses
jeunes
impressions, ses premières flammes, et il les sau
trois pelotons , comme il les appelle, qui formaient le corps de la
jeune
milice : 1° M. Thiers et son ami Mignet, ne faisa
e combattants, qu’ils étaient moins populaires que les uns , que les
jeunes
historiens de la Révolution française, il a raiso
vie… » Voilà des accents. Ils trouvaient alors écho dans toutes les
jeunes
âmes. C’était un moment plein de solennité que ce
libertin chante tout plein d’ivresse et de folie, le maître se lève,
jeune
aussi et beau, mais au front pâle : « Folâtre jeu
s mains une rare brochure, un petit poëme (Lysis) censé trouvé par un
jeune
Grec sous les ruines du Parthénon, et dont M. J.
mença le 20 novembre, et celui du maréchal Ney le 21. — Le refrain du
jeune
Rémusat était presque le même que celui de Bérang
’avoua vaincu. Le doyen du groupe ne sentit pas autrement que le plus
jeune
initié. 211. Voici le titre exact : De la Libert
es printemps envolés. « Ici sont les reliques des poésies de mes plus
jeunes
ans ! » disait un vieux poète au frontispice de s
ît, parce qu’il a conservé le souvenir, le respect et la fidélité des
jeunes
années. L’homme est changé, l’esprit est le même
issante ; il sut entourer de ses encouragements et de ses conseils la
jeune
tragédienne encore ignorée et qui s’ignorait elle
ppliquer au feuilleton de 1830 ; M. le duc de Saint-Simon félicite le
jeune
roi Louis XIV, parmi les rares bonheurs qui atten
argé de la haine publique. Délivré de cette tutelle insupportable, le
jeune
roi avait juré, bien haut, de ne pas appeler l’Ég
dévouée aux vieux usages, à la vie correcte et réglée ; il y avait la
jeune
cour, folle, amoureuse, prodigue, avide de mouvem
ent et de plaisirs. À la tête de ce mouvement se faisait remarquer le
jeune
roi qui bâtissait Versailles ; du parti de la rés
elle avait jeté son manteau aux orties, où il resta jusqu’à ce que le
jeune
abbé de Châteauneuf, qui avait dix-sept ans, l’eû
e ce royaume qui appartient à son fils ! Richelieu faisant égorger le
jeune
duc de Montmorency, et se jetant aux genoux de la
par mépris pour Mazarin ; les autres le protégeaient parce que leurs
jeunes
passions y trouvaient leur compte, parce que le j
arce que leurs jeunes passions y trouvaient leur compte, parce que le
jeune
Versailles, donnait ainsi un démenti formel à la
jouer le rôle d’Elmire, dans ses plus beaux atours. À la fin donc, le
jeune
roi, curieux de tout savoir, amoureux comme il l’
aux sons du violon, au bruit du canon. Aussitôt, en l’absence de ces
jeunes
fous qui se battaient là-bas de si bon cœur, le v
dernière scène, ce même parterre avait applaudi à outrance l’éloge du
jeune
roi qui lui faisait ces loisirs. Voilà comment Mo
eux qu’en lui empruntant ses bons mots ! Par cet éloge bien mérité du
jeune
monarque, l’œuvre de Molière était dignement acco
de Molière, ni de Racine, ni de Corneille ; seulement, quand il était
jeune
, il s’était fait une idée métaphysique d’une bonn
nné en poète, à ce ravissant métier de l’acteur comique, quand il est
jeune
, quand il est beau, quand il est entouré de sincè
trouva jamais : Sganarelle, Orgon, Scapin, les uns vieux, les autres
jeunes
, espiègles, imbéciles, ivrognes, amoureux, pendar
urge : Don Juan ! puis quel charmant peintre de genre ! Allez voir la
jeune
Agnès ! Agnès, charmante enfant, presque aussi to
jeune Agnès ! Agnès, charmante enfant, presque aussi touchante que le
jeune
Arthur de Shakespeare : Ne brûle pas mes pauvres
orsque, déjà sur le retour du bel âge, il associait à sa destinée une
jeune
femme élégante et coquette, avide de bruit et de
re… à qui la faute ? et d’ailleurs que pouvait-elle comprendre, cette
jeune
femme, à ce sublime rêveur, à cet enchanteur taci
en 1673, le roi se portait bien, à coup sûr ; toute cette cour était
jeune
et brillante, et dans ce double enivrement de la
hasarder à une pareille tentative, il faut s’adresser à des hommes si
jeunes
, si forts, si bien portants, si complètement inac
espèce de tréteau que son esprit changeait en théâtre, était-il assez
jeune
, assez beau, assez enivré des plus violentes espé
passion d’un amour vif et bien senti, cette gaieté surabondante d’un
jeune
poète, sûr de plaire, et qui pourtant avait tout
is à Lyon en 1653, à Paris cinq ans plus tard. Le sieur de La Grange,
jeune
et beau, représentait l’amoureux Lélie ; mademois
e ; mademoiselle de Brie, grande, bien faite et très jolie, qui resta
jeune
à cinquante ans, s’appelait Célie ; mademoiselle
me qui est morte depuis, madame Menjaud ! Ce soir-là, madame Menjaud,
jeune
encore, prenait congé du Théâtre-Français, après
vit, au courant de la plume, cette curieuse comédie, il était le plus
jeune
, le plus amoureux et le plus heureux des hommes.
plir sa sottise, n’y met plus d’obstacle. Il lui laisse épouser cette
jeune
Dorimène, si galante et si bien parée, fille du s
ux et jaloux, retient cachée dans sa maison une belle fille, Isidore,
jeune
esclave grecque, car Molière a inventé avant Byro
ort d’un œil et veille de l’autre. Cependant, sous les fenêtres de la
jeune
Grecque se promènent le jeune Adraste et son escl
tre. Cependant, sous les fenêtres de la jeune Grecque se promènent le
jeune
Adraste et son esclave Ali, comme se promènent so
e entre ces deux amour ?, grand Dieu ! entre ces deux confidents ! Le
jeune
Adraste est naïvement amoureux de la belle Isidor
ur servi avec tant de zèle, de dévouement et de fracas. Parlez-moi du
jeune
Adraste, parlez-moi d’Ali son humble esclave ! Vo
C’est maintenait, s’il veut approcher de sa maîtresse, qu’il faut au
jeune
Adraste un peu d’esprit et beaucoup d’amour. Or A
est un tapageur qui fait plus de bruit que de besogne. Pendant que le
jeune
Adraste se met en quête de sa ruse amoureuse, not
re n’a représenté avec plus de goût les innocentes coquetteries d’une
jeune
et belle femme d’esprit. Isidore se défend non pa
s’y fait, malgré tout le mouvement qu’on s’y donne, rien n’avance. Le
jeune
Adraste en fait plus, en un tour de main, que Fig
se. Il entre donc chez son jaloux. Or cette entrée d’Adraste, chez sa
jeune
maîtresse, est cent fois préférable à l’entrée du
Figaro, qui jettent quelque chose de si triste sur cette histoire des
jeunes
passions ; je laisse de côté, la comparaison le t
la dernière scène du Sicilien, quand don Pèdre va se plaindre chez ce
jeune
sénateur tout occupé de danses, de concerts, de p
irs de toutes sortes ; aimable censure dirigée, sans fiel, contre les
jeunes
successeurs éventés et élégants d’Omer Talon et d
ilinte sait très bien que, dans une conversation de jeunes gens et de
jeunes
femmes, dans ces médisances de vingt ans, les abs
fatigable de cette charmante et élégante famille de jeunes gens et de
jeunes
femmes qui jouent, dans ses compositions faciles,
tes, pour rivaux tous les fats de la cour ; Alceste représenté par un
jeune
fourrier de la garde nationale de Marseille ! Cel
out éperonnés, le chapeau sur la tête et le fouet à la main, comme le
jeune
roi Louis XIV entrant au Parlement. Quant à Phili
l’a dit quelque part en prose aussi bien qu’il le dit en vers : « Ma
jeune
femme est sensible au plaisir de se faire valoir,
ainsi les plus jolis vers qui se pussent placer dans la bouche d’une
jeune
femme ? L’instant d’après, toujours à propos de c
nder plus d’une fois, s’il n’avait pas eu tort d’épouser une femme si
jeune
, et si parée, et s’il n’eût pas été plus heureux
s, Molière connaît le cœur humain ; il sait que tant qu’une femme est
jeune
et belle, on la peut livrer sans peur à la vengea
uchesse de Bourgogne. Alceste l’honnête homme, perdu au milieu de ces
jeunes
fats, aux pieds de cette coquette, se sera trompé
nel toi descend et ne remonte pas, la plus ancienne dit toi à la plus
jeune
, et la plus jeune lui dit vous), figure-toi, ma c
ne remonte pas, la plus ancienne dit toi à la plus jeune, et la plus
jeune
lui dit vous), figure-toi, ma chère, qu’ils y ont
x : Un jeune homme à l’humeur douce, aux tendres manières, aimait une
jeune
demoiselle pour sa beauté, pour sa sagesse ; surt
nous envoyer, tout brillant d’antiquité, de poésie et de bon sens le
jeune
auteur de Lucrèce, d’Ulysse et de Charlotte Corda
se formèrent de leurs débris. » Qu’une élégie à Camille ou l’ode à la
Jeune
Captive soient plus flatteuses que ces plans de p
à qui l’on a dû de connaître d’abord l’étoile poétique d’André et la
Jeune
Captive 55, a rempli comme à plaisir la comparais
sa jolie épigramme traduite d’Évenus de Paros : Fille de Pandion, ô
jeune
Athénienne, etc.58 ; et cette autre épigramme d’
voulait encadrer l’image ainsi : « On peut faire un petit quadro d’un
jeune
enfant assis sur le bord de la mer, sous un joli
divine ! En l’indiquant, j’y vois comme un défi que quelqu’un de nos
jeunes
peintres relèvera62. Ailleurs, ce n’est plus le g
s et des gémissements. Il s’avance, il voit au bord d’un ruisseau une
jeune
femme échevelée, tout en pleurs, assise sur un to
qui lit sur la tombe cette épitaphe. Alors il prend des fleurs et de
jeunes
rameaux, et les répand sur cette tombe en disant
urs et de jeunes rameaux, et les répand sur cette tombe en disant : Ô
jeune
infortunée… (quelque chose de tendre et d’antique
ragments : donnons une pièce inédite entière, une perle retrouvée, la
jeune
Locrienne, vrai pendant de la jeune Tarentine. A
entière, une perle retrouvée, la jeune Locrienne, vrai pendant de la
jeune
Tarentine. A son brusque début, on l’a pu prendre
s André aime ces entrées en matière imprévues, dramatiques ; c’est la
jeune
Locrienne qui achève de chanter : « Fuis, ne me
sor. Vos vierges, aujourd’hui riches de pourpre et d’or, Ouvrent leur
jeune
bouche à des chants adultères. Hélas ! qu’avez-vo
ses ris ingénus, Ses chansons, sa gaieté, sont bientôt revenus. Un
jeune
Thurien67, aussi beau qu’elle est belle (Son nom
plus il y aurait besoin, pour animer et dorer la scholie, de tout ce
jeune
amour moderne que nous avons porté à André. On ne
es imitations à triple suture. Son Bacchus, Viens, ô divin Bacchus, ô
jeune
Thyonée ! est un composé du Bacchus des Métamorph
stin, fut comme l’André Chénier de la science ; et, dans la liste des
jeunes
illustres diversement ravis avant l’âge, je dis v
eterre : elle-même avait directement connu le poëte. — La pièce de la
Jeune
Captive avait été déjà publiée dans la Décade le
n moment de l’antiquité avec mes lecteurs, pour donner un regard à la
jeune
France poétique d’aujourd’hui. Ces deux livres so
n’était pas sûr de retrouver en rentrant ceux qu’on laissait, encore
jeunes
et sains, à la maison en gage à la contagion invi
es tombes. Boccace raconte comment quelques jeunes hommes et quelques
jeunes
femmes, se rencontrant un matin sous les cloîtres
s écorcés dans les vergers ; on voit les jardiniers, les bergers, les
jeunes
vachères, tirer les seaux du puits, emporter les
aient à distance sur la pelouse, rapportant de temps en temps à leurs
jeunes
mères les beaux insectes à cuirasse de bronze et
l’ombre, les pieds au soleil, les cheveux au vent, dans les poses des
jeunes
poètes et des jeunes femmes de Boccace, épars à l
soleil, les cheveux au vent, dans les poses des jeunes poètes et des
jeunes
femmes de Boccace, épars à l’abri des pins paraso
ticien et discinctus de Charles Nodier. L’un de ces artistes était le
jeune
Allemand Liszt, ce Beethoven du piano, pour qui l
es eaux. Dans les cabanes émerveillées de la plus haute montagne, les
jeunes
garçons et les jeunes filles ouvraient les volets
tait M. de Laprade. Sa seule physionomie me l’aurait nommé ; il était
jeune
, grand, élancé, la tête chargée de modestie, un p
peut se servir de cette expression, c’est-à-dire la physionomie d’un
jeune
solitaire qui écoute des voix célestes entendues
e autant et plus que nous, donnait son assentiment à ces paroles. Les
jeunes
femmes et les jeunes filles, assises en silence a
nt je comprenais le sens, le vif désir d’entendre, de la bouche de ce
jeune
et pâle poète, quelques-uns de ces vers qu’elles
comme deux ailes d’inspiration sur son front. On eût dit d’un Ossian
jeune
, avant que l’âge eût blanchi sa barbe et aveuglé
bénit ton être Pour le divin repos qu’à tes pieds j’ai goûté. Dans un
jeune
univers, si tu dois y renaître, Puisses-tu retrou
famille ; Non loin de ses genoux chargés de mes enfants, S’assied la
jeune
mère aux regards triomphants ; Tandis qu’avec les
us la liberté ! » Ce sont là de ces vers vertueux qui retrempent les
jeunes
âmes dans le goût de l’honnête, de l’antique, du
CXLIV Mais je vis bien vite que je m’étais trompée, quand un beau
jeune
paysan de Saltochio, son fiancé ou son frère, dét
s sœurs des deux familles, puis les petits enfants sur les genoux des
jeunes
mères, puis les vieilles femmes aux cheveux d’arg
sière de la route jusque sur leurs sabots vernis de cire jaune par le
jeune
bouvier ; ils regardaient à droite et à gauche, d
nant avec un air de contentement vers son fiancé et vers ses vieux et
jeunes
parents qui regardaient tout émus du haut du char
haut du timon et qui me fit passer par-dessus les ridelles. — Monte,
jeune
pifferaro, dirent-ils tous en me faisant place, i
issement ma zampogne et me demandait qui est-ce qui m’avait appris si
jeune
à faire jouer des airs si mélodieux à ce morceau
hé à cette peau de bête. Je me gardai bien de lui dire que c’était un
jeune
cousin nommé Hyeronimo, là tout près dans la mont
nts dans la métairie : moi je suis le frère du nouveau marié, le plus
jeune
des garçons ; celui-ci est notre père, celle-là e
famille depuis leurs propres noces à elles-mêmes. Ces autres hommes,
jeunes
et vieux, et ces femmes qui tiennent des fiasques
r mangeoire quand je les ferme à l’étable. CXLIX Ces récits du
jeune
bouvier, qui m’avaient laissée d’abord distraite
autres. L’œil des maisons, c’est la vieillesse, à ce qu’on dit ; les
jeunes
n’en sont que les pieds et les mains. CLI —
leur faire fête ; les fenêtres étaient garnies de jeunes filles et de
jeunes
garçons qui jetaient des œillets rouges sur les p
us auriez fait ! ne pus-je m’empêcher de m’écrier, en entendant cette
jeune
paysanne emprunter naïvement une si charmante ima
st déjà l’éternité ! CLXIX — Quel philosophe, que cette pauvre
jeune
femme qui ne sait pas lire ! me dis-je tout bas c
-là, poursuivit-il en passant devant la loge silencieuse d’une pauvre
jeune
femme en costume de montagnarde, qui allaitait un
que ce que son père lui a appris. Elle était nouvellement mariée à un
jeune
brigand de Radicofani, poursuivi par les gendarme
er, à tout risque, le voisinage ; ils furent aperçus d’en haut par le
jeune
bandit. — Sauve-toi, en te courbant sous les myrt
sé de la maison paternelle par le second mariage de son père avec une
jeune
Vénitienne de dix-huit ans, que son père épouse e
sse l’obsèdent. Il croit leur échapper par une autre liaison avec une
jeune
et belle princesse napolitaine fugitive de la mai
rtune d’un philosophe, d’un amoureux et d’un poète. La peinture de la
jeune
hôtesse allemande qui l’accueille, et dont il dev
e à l’aide d’un dictionnaire allemand-italien, où le doigt muet de la
jeune
veuve et du jeune poète marquent les mots qui rév
ctionnaire allemand-italien, où le doigt muet de la jeune veuve et du
jeune
poète marquent les mots qui révèlent leur inclina
ieuse halte et à chercher des ressources dans son talent poétique. La
jeune
hôtesse lui offre en vain sa bourse et son cœur,
eine de tabac de Séville devant moi. En ce temps-là, poursuit-il, une
jeune
et belle personne de seize ans, que je n’aurais v
la sonnette sur ma table, et la belle Allemande, semblable à la plus
jeune
des muses, j’écrivis pour Mozart le drame de Don
son premier amour. « Mademoiselle Aloïse Weber, dit Scudo, était une
jeune
et jolie cantatrice de grand talent que Wolfgang
orta la partie indécise de son affection sur Constance Weber, la plus
jeune
des sœurs d’Aloïse. C’est ainsi que les vrais poè
vivait d’amour conjugal et d’amour paternel comme il avait vécu, plus
jeune
, d’amour filial et d’amour fraternel ; il n’avait
me de régularité et de piété. D’Aponte enlève à Trieste le cœur d’une
jeune
et belle Héloïse, fille d’un négociant anglais :
élices et les surprises du retour que je me promettais, je laissai ma
jeune
et belle compagne de voyage seule à Castelfranco,
vait nourri, et qui m’avait donné l’aliment de la vie pendant tant de
jeunes
années, je fus pris d’un tremblement de tous mes
rchés de la saison pour le déjeuner et pour la collation du jour. Mes
jeunes
sœurs, leurs maris, les enfants de celles qui éta
roupe d’anges du paradis que d’habitants mortels de ce bas monde. Ces
jeunes
femmes, mes sœurs, étaient toutes charmantes de v
s sœurs, étaient toutes charmantes de visage ; mais Faustina, la plus
jeune
de ces sept sœurs, était un véritable ange de bea
venu seul de Londres revoir mon pays ; j’ai amené avec moi une belle
jeune
femme qui a dansé comme vous sur ce théâtre, et q
compenserait un peu les pertes de famille que nous avions faites (sa
jeune
femme). « Nous revînmes insensiblement à la gaiet
is d’emmener avec moi au-devant d’elle, dans ce petit voyage, la plus
jeune
de mes sœurs, Faustina, et mon plus jeune frère,
ns ce petit voyage, la plus jeune de mes sœurs, Faustina, et mon plus
jeune
frère, Paulo, qui avait connu autrefois ma femme
lle que toi ! ” avait-il dit à Faustina. Nous montâmes les degrés, ma
jeune
femme et moi ; comme elle portait un voile qui lu
parvenu à l’âge littéraire ; il y meurt donc de misère, mais toujours
jeune
à quatre-vingt-dix-sept ans ! C’est la résipiscen
e sévérité rayonnante d’un visage humain ; mais Raphaël devait mourir
jeune
, et Goethe devait mourir vieux, après avoir passé
tomber arrivait sourdement jusqu’à moi. Tout ceci éveillait dans mon
jeune
cœur d’incertains désirs et un besoin de solitude
le nom de Klopstock. L’ami contristé s’éloigna ; mais la mère, encore
jeune
, de Goethe l’arrêta, à l’insu de son mari, dans l
s faites sous l’œil de son père, le talent poétique se révéla dans le
jeune
adolescent par le premier amour, ce révélateur du
rgs de Francfort. C’est dans une de ces tavernes, fréquentées par ces
jeunes
corrupteurs de son adolescence, qu’une jeune fill
une fille servait à boire, dans la maison de sa tante, à ses cousins,
jeunes
débauchés amis de Goethe. La première fois qu’il
cher ; que lui voulez-vous ? « — Nous n’avons plus de vin, dit un des
jeunes
buveurs ; tu serais bien aimable si tu voulais al
de vent qui en disperse les illusions et les parsème sur le sol : le
jeune
Goethe, réprimandé par ses parents et compromis p
ans les lettres ; il commença lui-même à s’y faire connaître comme un
jeune
écrivain et comme un futur poète d’un immense ave
éenne qui a bouleversé pendant plus d’un demi-siècle les imaginations
jeunes
et fortes de l’Occident. La Corinne de Mme de Sta
déjà olympienne et d’une célébrité déjà entrevue, était à Wetzlar. Le
jeune
Jérusalem, fils d’un prédicateur renommé de l’All
ur plus longtemps, et il apprit, sur les bords du Rhin, le suicide du
jeune
Jérusalem. Il en attribua, peut-être imaginaireme
u’avait éprouvé Jérusalem en contemplant le bonheur paisible de cette
jeune
femme unie à son fiancé. XIV Goethe alors
e, d’une brune Espagnole à Naples, rappellent-ils que le voyageur est
jeune
, beau, poète ; ces frissons ne vont pas jusqu’à l
irant par tous les pores. Méphistophélès, c’est un personnage que les
jeunes
écrivains et les poètes de ces derniers temps en
e désespéré du doute ; il n’a ni la bouffonnerie ni la grimace de ces
jeunes
saltimbanques de la philosophie et de la poésie ;
queur du beau, se fait entendre de loin dans tous les livres de cette
jeune
école. Heine lui a donné l’accent allemand à Pari
mes sens viennent de tressaillir à ce signe ! Je sens tout à coup la
jeune
et sainte sève de la vie bouillonner dans mes ner
e Faust, apparaît tout à coup sous forme humaine derrière le poêle du
jeune
docteur. Ceci est évidemment de la part de Goethe
oit combien Goethe, tout esprit sceptique qu’il était, avait compris,
jeune
, que l’extrême scepticisme était l’extrême forme,
le désespoir. Dans la scène suivante, Méphistophélès, transfiguré en
jeune
et brillant gentilhomme, pervertit de plus en plu
se parant. « Je voudrais bien savoir, murmure-t-elle, quel était ce
jeune
seigneur d’aujourd’hui. Il est bien beau et il do
s bien à rester plus longtemps, mais on est si méchant ici ! Et notre
jeune
couple ? Méphistophélès. Enfuis là-bas dans l’all
confraternité, pour présenter un tableau sincère et précis de cette «
jeune
littérature » dont on parle tant et qu’on connaît
yle ou de pensées ?… Ce livre sur des jeunes hommes est écrit par des
jeunes
. À nous deux, nous avons à peine l’âge de M. Frap
à peine l’âge de M. Frapié que l’Académie Goncourt appelle encore un
jeune
. On nous pardonnera donc parfois la vivacité de n
Il n’y avait pas lieu de tomber dans cette erreur qui fait appeler «
jeunes
» des écrivains illustres et âgés de plus de cinq
e demain. Ce soin néanmoins ne nous a pas fait négliger la gloire des
jeunes
maîtres ou des écrivains déjà notoires. C’est à c
Aliza (suite) Chapitre VI (suite) CLXXXII À ces mots, la
jeune
Maremmaise poussa son amant à gauche, dans un sen
ien plus longtemps, dit-il, en regardant, au fond d’une loge, un beau
jeune
garçon vêtu des habits rouges des galères de Livo
je ne le sais pas ; il devait être bien excusable, car il était bien
jeune
accouplé, par une chaîne au bras, à un autre vieu
— Celui qui est là, dit-il plus bas en indiquant de l’œil le beau
jeune
forçat tout triste contre ses barreaux, celui qui
s rien dire, sa beauté et sa bonté. Elle, de son côté, sachant que le
jeune
était plein d’égards et d’obéissance pour le vieu
années, avait conçu involontairement une vive reconnaissance pour le
jeune
galérien ; elle le regardait, à cause des soins p
our ne pas priver son vieux père des douceurs qu’il trouvait dans son
jeune
camarade de chaîne, et pour qu’on ne punît pas le
t de la fille du vieux galérien, séduite par sa reconnaissance, et du
jeune
forçat séduit par la liberté et par l’amour. Ici
isait pas à allaiter par suite du chagrin qui la consumait, la pauvre
jeune
mère ! CLXXXVII — Mais quand tu seras seul
ire dans le dernier cachot, au fond de la cour ; bien qu’il soit bien
jeune
et qu’il te ressemble quasi de visage, on dit que
olontairement, en écoutant la femme du bargello. Il est pourtant bien
jeune
pour mourir ! — Oui, reprit-elle, mais n’était-il
bien jeune pour mourir ! — Oui, reprit-elle, mais n’était-il pas bien
jeune
aussi pour tuer, faudrait-il dire ? et si on le l
figures l’étonnement et la consolation que leur causait un visage si
jeune
qui, au lieu de reproche à la bouche, roulait des
on vous en enlèverait sans doute la consolation. — Oh ! Dieu, dit la
jeune
mère, serait-on bien assez barbare ! Mais vous av
curieux. J’y passais mon temps à prier Dieu, et à apprivoiser la plus
jeune
des colombes. Il ne m’avait pas fallu beaucoup de
pensions jamais en voir la fin. Vous savez, monsieur, quand on est si
jeune
et que l’on compte si peu de mois dans la vie pas
de sbires, et si l’on savait quelque chose du sort qu’on réservait au
jeune
montagnole ; qu’on lui avait répondu qu’il serait
abonds, mendiants ou autres, si l’on avait vu tendre son écuelle à un
jeune
et beau pifferaro des montagnes ; c’est en vain q
gée de figurer son image, apparaissait le pâle et frêle fantôme de la
jeune
morte, revenue à la vie rêveuse du drame et de la
e désir. Un étranger n’aurait jamais deviné une courtisane dans cette
jeune
femme au pur profil, aux silencieuses attitudes.
e sentier glissant de la perdition. Il faut dire aussi qu’elle mourut
jeune
et que la jeunesse la plus souillée, choisie par
e leur jeunesse et qui s’attachent, en rampant, à la fortune de leurs
jeunes
rivales. A Paris, toutes les reines de la galante
dont leurs maîtresses gaspillent la vendange. Tant que celles-ci sont
jeunes
, brillantes, adulées, celles-là rampent à leurs p
ains pleines. Telle est cette Prudence, telles sont ces femmes que le
jeune
et implacable poète de la Dame aux Camélias vient
frissonnantes de leur nudité. Marguerite a eu autrefois pour amant un
jeune
comte qui est resté « un ancien ami à elle », com
il a la flamme, il brille et il brûle, il éblouit et il réchauffe. Le
jeune
poète pleure comme il raille, avec la spontanéité
arboré, sa réputation est prise. Un conseil après la louange. Que le
jeune
poète ne reste pas dans ce lazaret des mœurs délé
rofession ? Ceci dit, la pièce reste, en bien des endroits, une œuvre
jeune
et vivante, étincelante d’esprit et de larmes, dé
stre, dont les fiers prétendants étaient plus nombreux que ceux de la
jeune
Tyndaride, et moissonnaient ses grâces et ses car
ce se serait battue pour elle comme pour Hélène. » — « Sur combien de
jeunes
cœurs tu as régné ! — dit à Laïs une autre épigra
rds. Au premier acte, nous sommes dans l’atelier de M. Paul Aubry, un
jeune
peintre de talent, en train de gagner son nom et
le râle d’un grand artiste asphyxié par la fumée d’un pot-au-feu. Le
jeune
Paul n’en est pas encore là. Dieu merci ! et il c
Cependant, arrive un de ses amis de collège, M. Maximilien de Ternon,
jeune
premier de la diplomatie galante, dandy fat et bo
e Lys, suivie de son amie Marceline, fait son entrée. C’est un don du
jeune
poète de la Dame aux Camélias de savoir, tout d’a
t presque impérieuse de la comtesse est déconcertée par la réserve du
jeune
artiste. Il ne comprend rien, d’abord, à ses ques
ent dans ce vif ensemble : c’est le rôle de moraliste que s’arroge le
jeune
peintre vis-à-vis de la femme qu’il va entraîner,
l est des contre-coups bizarres à de longues distances. M. remy, qui,
jeune
, ne trouva pas à ouvrir sa voie dans les tentativ
’avoue, un rôle tout autre pour un homme de l’école moderne, de cette
jeune
école un peu vieillie, qui se serait mis sur le r
ont jugé à la légère : M. e Chateaubriand, qui a publié le premier la
Jeune
Captive ; M. illemain, qui a consacré une leçon à
, Mais qui revêt chez moi, souvent entrelacée, Mes images, mes tours,
jeune
et frais ornement ; Tantôt je ne retiens que les
en dénoncer un dans les vers qui terminent cette adorable pièce de la
Jeune
Captive : Ces chants, de ma prison témoins harm
ncore la forme d’une pensée légère, de peur de jeter une ombre sur le
jeune
front souriant94. Le châtiment d’un jugement si f
oins de vingt-cinq ans après sa mort (redoutable épreuve !), il était
jeune
encore, il était plus jeune que jamais ; la sourc
sa mort (redoutable épreuve !), il était jeune encore, il était plus
jeune
que jamais ; la source longtemps recélée jaillit
tte quarantaine obscure de vingt-cinq années de laquelle il est sorti
jeune
et encore très-contemporain ; vous voulez en plus
s mille brins d’élégie d’Anacréon… Le bluet foncé de Polyclète… et le
jeune
troëne d’Antipater n’y manquent pas…, ni surtout
d’être proposés comme modèles, sans restriction, aux étrangers et aux
jeunes
esprits dont le goût n’est pas entièrement formé.
Ce qu’on pourrait faire, ce serait de comparer le sentiment de cette
Jeune
Captive qui ne veut pas mourir à l’Antigone de So
r et la gloire de l’homme de combattre pour son pays, ses enfants, sa
jeune
épouse, contre l’ennemi. La mort viendra, le jour
plus grand parmi les hommes, la plus belle gloire à remporter pour le
jeune
guerrier. Une force publique pour la cité, pour l
rasse, il est percé de coups par devant. « Sur lui gémissent ensemble
jeunes
et vieux ; et toute la ville, dans un douloureux
la mort somnolente, et, vainqueur, emporte l’honneur du combat, tous,
jeunes
et anciens, le vénèrent : et, après de grandes jo
sa dignité ni dans son droit. Dans les assemblées, tous ensemble, les
jeunes
et ceux qui sont du même temps, lui cèdent la pla
mendier errant, avec une mère chérie, un vieux père, des enfants, une
jeune
épouse, c’est plus déplorable des misères. Celui-
tombé au premier rang, un vieillard soit gisant à terre, en avant des
jeunes
, avec une tête blanchie, une barbe grise, exhalan
ains les blessures sanglantes, hideuses, de son corps à nu : mais aux
jeunes
tout sied bien, tant qu’ils ont la fleur brillant
’ennemi, la poignée du glaive ou la longue lance à la main ! Et vous,
jeunes
vélites, çà et là tressaillant sous vos boucliers
e jésuite sur l’athlète si souvent vainqueur. Il apprend que c’est un
jeune
pensionnaire très-heureusement né pour la poësie,
e, & dont on a des choses surprenantes pour son âge. En effet, le
jeune
Arrouet avoit déjà, dans le collège, la réputatio
t-elle formée, que celui-ci fut banni de France. Tout le fruit que le
jeune
Arrouet avoit espéré d’en tirer s’évanouit. Mais
mporta sur un concurrent de ce mérite. Le sujet d’Œdipe ayant paru au
jeune
poëte digne d’être traité de nouveau, il se hâta
mit entr’eux la plus grande division. Rousseau ne pardonna jamais au
jeune
poëte de l’avoir éclipsé, & de lui avoir fait
es qu’il apprenoit avoir été versées à plusieurs chefs d’œuvre de son
jeune
antagoniste, lui causoient des larmes de rage. Ma
896 et qui réussit à mettre en lumière toute une brillante pléiade de
jeunes
écrivains. Ils ont bien voulu m’assurer que ma pe
tte galerie de grotesques ou d’odieux, n’a rien qui puisse tenter les
jeunes
écrivains, soucieux de leur dignité. * * * Dans
tance. La première, c’est de veiller au développement sentimental des
jeunes
auteurs, de les aider dans la recherche de leurs
D. Je parlerai dans ma prochaine chronique de différents ouvrages de
jeunes
. M. L. La Parade littéraire II. « Chair », pa
pté la plus forte et la passion la plus profonde. Vous connaissiez ce
jeune
auteur, vous aviez lu de lui Sylvie ou les Émois
les chanter. Chair ! Ce pourrait être la confidence d’un tempérament
jeune
, fiévreux et véhément, assoiffé, possédé d’amour,
ar d’aussi odieuses insinuations. Il ne me reste qu’à souhaiter à ces
jeunes
organisateurs de la Victoire, qui me semblent avo
15 juillet 1898. Sous ce titre superbe, la Chanson des Hommes, un
jeune
poète de vingt ans, M. Maurice Magre vient de nou
nter ? Elle est assez typique, et la voici en quelques phrases. Trois
jeunes
écrivains belges, unis d’une étroite amitié, s’en
est, sachez-le, bien grande à vous voir ainsi et à causer. Des trois
jeunes
Belges, vous êtes celui que je préfère, que j’adm
e promenade ; et M. Paul Fort prit tour à tour, en a parte, les trois
jeunes
écrivains belges. Je suis sûr, mon cher Deschamps
de revue, et, après avoir raconté l’histoire abracadabrante de trois
jeunes
Belges à Paris (histoire qui prouverait l’extraor
mpte de M. Fort des histoires autrement probantes que celle des trois
jeunes
Belges à Paris, car je crois, ô traîtrise ! que M
le faire de lui le guide premier de nos esprits. Cette niaiserie d’un
jeune
provincial ne trouvera guère de partisans. Chacun
plus profonde » ? Il nous a enterrés si souvent de son geste noble de
jeune
croque-mort, qu’il devrait nous laisser à la paix
ui, au souvenir de ses propres débuts, ne tienne à faciliter ceux des
jeunes
apprentis de lettres. Il n’en est pas un qui ne m
bien compter sur votre reconnaissance12, furent un jour traités de «
jeunes
imbéciles » par vous, Monsieur, précisément. Cela
u’ils réalisent. J’ai précisément sur ma table différents ouvrages de
jeunes
et je me propose d’en parler aujourd’hui. Cela me
eproduise dans tout son charme d’églogue ou son horreur tragique. Les
jeunes
romanciers semblent donc tout à fait décidés à no
ssaye de se résigner. Et c’est vraiment très pathétique de voir cette
jeune
femme, chaque jour, dès qu’elle est seule, courir
rgement réalisé. * * * Il me faut interrompre ici cette analyse des
jeunes
auteurs. Comme on le voit, les théoristes naturis
dans les collections des Documents sur le Naturisme, l’Effort, l’Art
jeune
, la Revue Naturiste, que les exégètes futurs devr
s avoir critiqué les tendances égotistes de notre élite nationale, le
jeune
et érudit critique se préoccupe longuement de la
omme le premier d’une famille nouvelles de poètes, et il sait gré aux
jeunes
écrivains naturalistes d’avoir rendu justice à ce
e, qu’il devise sur les arts ou qu’il discute sociologie, toujours le
jeune
auteur se dresse menaçant contre les vestiges de
e où le symbolisme allait l’entraîner. Cette tâche était réservée aux
jeunes
écrivains de la génération naturiste, qui agissen
romane, M. Moréas ne s’est pas développé, pas plus d’ailleurs que ses
jeunes
disciples, tels que M. Lionel des Rieux qui vient
lemment discutée. On y met même de la passion, et je sais quantité de
jeunes
auteurs qui assistent indifférents à l’élection d
t récente aurait-elle désagréablement chatouillé l’amour-propre de la
jeune
école dont vous êtes le champion, ou bien la fréq
e sont là, paraît-il, des préjugés d’un autre âge et la gloire de nos
jeunes
arrivistes se mesure maintenant au nombre de scal
din de Saint-Pierre, apprenant qu’en l’an de grâce 1897, un groupe de
jeunes
poètes relève pieusement les autels qu’ils décorè
été celui dont les modes d’émotion se rapprochent le plus de ceux des
jeunes
Naturistes. Il aura compris la nature sous son as
nt nés les vivants. Il faut que tous les adolescents, que toutes les
jeunes
femmes sensibles lisent et relisent les œuvres de
éon Dierx, enseignement plus précieux encore à une époque où certains
jeunes
auteurs interprètent d’une façon absolument fauss
violent, terrible et doux, nous avait donné le brûlant itinéraire du
jeune
héros contemporain qui, du trouble héréditaire et
es réalisations. L’heure de l’apostolat semble devoir sonner pour ses
jeunes
adeptes : « Par-dessus toutes les religions, s’éc
des jaillissements adorables du cœur. Il faudra qu’ils trouvent, ces
jeunes
apôtres, des mots sans sanglots et des paroles d’
qui a vécu avec amour, et procréa dans la santé toute une famille de
jeunes
garçons blonds et de belles filles roses, peut-êt
e où vous me faites « prendre, tour à tour, en a parte (?), les trois
jeunes
écrivains belges » ; cette phrase semblerait indi
it à la fois la grandeur et la simplicité des maisons paternelles. Un
jeune
valet de chambre, qui l’avait suivi dans son voya
s des preux, fière, gracieuse, accentuée, sans demander quel était ce
jeune
gentilhomme, et sans se souvenir de lui. III
au collége chez les Jésuites. Je fus ébloui, mais non convaincu. Tout
jeune
que j’étais, cela me fit l’effet d’un beau thème
n rentrant curieux des bords escarpés du Rhône à la ville. C’était un
jeune
gentilhomme qui ne sortait d’aucune école que de
de celle de la mer, des forêts vierges du nouveau monde. On le disait
jeune
comme les prodiges qui n’ont point d’ancêtres, sa
s uns mûris par les vicissitudes de la Révolution ; les autres restés
jeunes
parmi tant de tombeaux. Les uns et les autres lui
rme d’un talent informe, mais magistral. — Laissez cela, dit-il à son
jeune
disciple, vous portez secours au vainqueur, faite
e, qui pétrissait dans ses mains un monde nouveau. Fontanes amena son
jeune
ami au futur empereur ; c’était lui amener, dans
, comprenant le passé et le réconciliant avec l’avenir. Tandis que le
jeune
écrivain travaillait courageusement à corriger so
ntre à chaque ligne dans cette Lettre. Nous n’avons plus affaire à ce
jeune
et sincère désabusé qui a écrit l’Essai en toute
ment le commensal et l’ami de tous ces jeunes hommes et de toutes ces
jeunes
femmes que visitait le premier consul. Sa répugna
, ils mêlent encore leurs vieilles chansons aux airs nouveaux de leur
jeune
postérité. « Les femmes qui accompagnaient la tro
que de la simplesse. Mais à côté se trouve le touchant tableau de la
jeune
mère indienne ensevelissant et berçant son enfant
emi vaincu, souvent au soleil d’Espagne, dans l’école militaire de sa
jeune
noblesse ou parmi les pages de sa cour exotique,
’aux Orientales ! La riche variété des tons lyriques élancés de cette
jeune
âme se rapportait cependant à quelques sources pr
aient été souvent heureuses les hardiesses d’imagination de ce talent
jeune
et libre, alors qu’on le voyait, comme il l’a dit
role élégante de Longfellow, comme il éclata dans quelques vers de la
jeune
Maria Davidson. Ne négligeons pas ce reflet de la
n témoignage de l’influence qu’y prenait l’esprit français. Olavidez,
jeune
magistrat de la ville de Lima dans le Pérou, avai
loi nouvelle et inexorable, comme en portent parfois les républiques.
Jeune
encore, mais infirme et malheureux, le poëte succ
séjour autant que par l’étude. Alors, en effet, brillait à Madrid une
jeune
femme dont la renommée ne s’est pas affaiblie ave
gnole. Élevée dans ce séjour colonial, sans école et sans théâtre, la
jeune
Gomez s’instruisit et s’inspira seule par la lect
ès l’enfance, elle fit des vers pour célébrer ce qu’elle voyait. Très
jeune
, elle perdit son père. Lorsqu’elle n’avait encore
ue accoutumée aux cieux éclatants et aux nuits lumineuses de Cuba. La
jeune
Gomez languit longtemps de ce mal du pays plus se
pendant, touchée de l’attachement profond que ressentait pour elle un
jeune
et célèbre député des cortès, élevé par la révolu
on en strophes de forme inégale qu’en avait faite à vingt-deux ans la
jeune
Gomez ; et un des beaux chants de Victor Hugo, tr
rne en pensée pour répandre des pleurs sur un tombeau et célébrer son
jeune
devancier déjà mort, le poëte Heredia, elle met p
Foulon de Vaulx, André (1873-1951) [Bibliographie] Les
Jeunes
Tendresses (1895). — Les Floraisons fanées (1895)
. OPINIONS. Antony Valabrègue Ce volume d’un débutant, Les
Jeunes
Tendresses, qui mérite d’exciter l’intérêt, est p
, est présenté au public par M. Gabriel Vicaire, qui a écrit, pour le
jeune
poète, une préface des plus courtoises et des plu
rme. [L’Année des poètes (1895).] Gaston Deschamps Le poète des
Jeunes
Tendresses souffre de cette barbarie de la coutu
pourtant, et avait toujours nombreuse compagnie de jeunes gens et de
jeunes
personnes. Il lisait, et surtout écrivait dès lor
ait étroitement de sa mère. De retour à Lyon après le 9 thermidor, le
jeune
Ballanche eut à subir une convalescence très-long
l’autre âme sous l’enveloppe obscure1 Dans la Vision d’Hèbal, de ce
jeune
Écossais que je crois être tout à fait à M. Balla
d’harmonieux, de lyrique, d’élégiaque. » Retournons donc, s’écrie le
jeune
auteur, retournons, il en est temps, aux idées re
onvient de remarquer, comme un délinéament d’avenir, l’opinion que le
jeune
auteur exprimait au sujet des chartres, ainsi qu’
e de calamité et de tristesse. Dans les entretiens du Vieillard et du
Jeune
Homme, publiés en 1819, le vieillard qui, par un
dame de Chateaubriand, il est question, comme dans le Vieillard et le
Jeune
Homme, d’une conversation entre un jeune mélancol
omme dans le Vieillard et le Jeune Homme, d’une conversation entre un
jeune
mélancolique qui repousse toute science, toute te
ronnement. Une petite brochure, publiée sous le titre de Lettres d’un
jeune
Lyonnais à un de ses amis 5, témoigne de cette se
é l’Empereur. Le meurtre du duc d’Enghien avait tout à fait séparé ce
jeune
cœur religieux d’un pouvoir impudemment despotiqu
ion d’un pèlerinage au Mont-Cindre près Lyon, relation écrite par une
jeune
Languedocienne de seize ans. Cette personne disti
i mourut le 14 août 1823, fit ce pèlerinage, vers 1808, avec un guide
jeune
et prudent, qui était l’un des amis de son père e
igne sous le nom de M. Pierre Simon. En s’élevant sur la montagne, la
jeune
personne à l’imagination sensible et pieuse remar
et et d’autre action qu’un pèlerinage à la Iung Frau entrepris par un
jeune
Suisse Norfrank, et par trois jeunes filles à lui
nstitutions et dans les écrits qui suivirent, dans le Vieillard et le
Jeune
Homme, publié en 181910, dans l’Homme sans nom, p
et l’Homme sans nom, M. Ballanche publia, en 1819, le Vieillard et le
Jeune
Homme, enseignement philosophique plein d’autorit
Girardin, citait récemment les consolations de Jean Chrysostome à son
jeune
ami Stagyre, comme s’appliquant à bien des âmes d
une ami Stagyre, comme s’appliquant à bien des âmes d’aujourd’hui. Le
Jeune
Homme de M. Ballanche est atteint d’un mal tout à
bon d’y opposer l’avertissement ; et ce que M. Ballanche disait à son
jeune
désespéré de 1819 pourrait s’adresser fructueusem
e désespéré de 1819 pourrait s’adresser fructueusement à beaucoup des
jeunes
néophytes qui embrassent les siècles et l’univers
nche, par la promptitude de cet instinct qui fait deviner de loin aux
jeunes
âmes les émanations fraternelles. Il s’écrie dans
enne enfin un jour ce qu’elle a promis. Sans doute il est beau d’être
jeune
, de n’avoir que des songes gais du matin dans le
orale et recueillie en dedans du vieillard ; car s’il est beau d’être
jeune
, s’il est beau d’être mûr, il est peut-être plus
; le front élargi qui contient en science tout ce que les fronts plus
jeunes
contiennent en illusions ; les tempes creusées pa
rer avec les primeurs de la vie qui ne vivent qu’un jour, sont choses
jeunes
de leur nature. Il y a une strophe d’un poète per
liciet cadum. VI Rien n’est donc de plus légitime quand on est
jeune
, spirituel, oisif, amoureux, libre de soucis et d
ente pas le plaisir, mais l’ordure ; il enivre, mais en infectant. La
jeune
école littéraire du réalisme qui s’évertue aujour
versaires. Son bon sens l’avait rangé de bonne heure dans le parti du
jeune
roi Louis XIV, de la reine-mère et de l’habile mi
de ses facétieuses ripostes au parti des princes et du parlement. Le
jeune
roi l’aimait comme il aima plus tard Molière et B
s mon bonheur dans moi-même pour qu’il ne dépendît que de ma raison :
jeune
, j’ai évité la dissipation, persuadé qu’un peu de
martine vieilli qui me traite en enfant. Hélas ! nous avons tous été
jeunes
! et je voudrais bien qu’Alfred de Musset eût reç
Chaulieu, Voltaire, l’avaient pris en commençant. Il se dit : je suis
jeune
, je suis nonchalant, je suis enjoué, je ne crois
mérite était de ne ressembler à rien dans la langue française. Si ce
jeune
poète n’eût pas été doué par la nature d’une orig
que la France demandait une autre musique de l’âme ou des sens à ses
jeunes
poètes, ne songea pas un seul instant à nous imit
Camille Desmoulins, ces dieux rieurs de la facétie, n’ont surpassé ce
jeune
Allemand dans cet art méchant d’assaisonner le sé
il fut également malheureux dans ses premières tendresses de cœur. Un
jeune
écrivain aussi délicat de touche qu’il est accomp
monde en souffrit avec elles. Il y a deux éducations pour tout homme
jeune
qui entre bien doué des dons de Dieu dans la vie
aël pour la Fornarina ; elle semblait digne d’exhausser le génie d’un
jeune
poète jusqu’à la hauteur idéale et sereine où l’a
jeune homme pour l’empêcher de regarder jamais ailleurs. Ils étaient
jeunes
, ils étaient libres, ils étaient beaux, ils étaie
rappeler. » M. de Sainte-Beuve a raison ; du jour, en effet, où ce
jeune
poète cessa de croire à la sainteté de l’amour et
, de léger dans la main, d’incohérent, de sardonique, d’éternellement
jeune
, et par conséquent de souvent puéril et de quelqu
saine que lui : « Je suis le poète de la jeunesse, je dois m’en aller
jeune
avec le printemps. Je ne voudrais pas passer l’âg
ges s’est transformée en paternité. On attend le retour des deux plus
jeunes
fils du comte de Thommeray, revenant de l’armée,
Depuis un an déjà, il est rentré au château. Sa mère l’a fiancé à une
jeune
orpheline dont elle a fait sa fille adoptive. Ell
crassée. Jean de Thommeray l’a suivie, il est devenu son amant, et le
jeune
sauvage apprivoisé hume déjà, avec convoitise, le
intéressé de grisette ; elle prend ses vers et refuse ses bijoux : ce
jeune
Turcaret trouve une Manon Lescaut pour l’aimer. L
core, au passage, deux très jolies scènes : une querelle attendrie du
jeune
Reynold avec son père, résistant d’abord, bientôt
n coup, au moment où M. Caverlet et madame Merson vont se séparer, le
jeune
Reynold accourt, radieux de la bonne nouvelle qu’
elle croit encore posséder ; elle a résolu que sa fille épouserait le
jeune
baron de Ratisboulois, fils du préfet, — l’état a
ui. Sa tête avance sur son coeur, l’idée d’être baronne chatouille sa
jeune
vanité. Elle a sacrifié, sans trop de regret, son
s, si l’enfant prodigue retourne au bercail, c’est avec un appétit de
jeune
loup alléché par la brebis étrangère qui vient d’
x dans leur réclusion. Bernard est un enfant naturel ; sa mère, toute
jeune
, a été séduite par le fils d’une maison où elle d
Le quatrième acte a une scène délicieuse, celle de la conversion d’un
jeune
cœur, ramené à l’amour vrai que les faux attraits
era son mari. Tout ce morceau est d’une grâce exquise : on y voit une
jeune
âme recouvrer la vue sous les mains amies qui l’o
ite. On jasait par la ville des empressements de Léopold auprès de la
jeune
créole admise dans la maison de son père : de cet
l’honneur de mademoiselle Letellier par les galanteries malséantes du
jeune
Fourchambault ; il lui demande un rendez-vous, Lé
e couronner une mauvaise pièce d’un petit Sabatin Langeac, pièce plus
jeune
encore que l’auteur, pièce dont on fait honneur à
nt des oies a donné lieu à une scène assez vive entre Marmontel et un
jeune
poëte appellé Chamfort, d’une figure très-aimable
s de concourir : elles se réduisent ordinairement à sept ou huit. Les
jeunes
auteurs de ces esquisses, peintres ou sculpteurs,
de sculpture. Il y avait trois bas-reliefs de la première force. Les
jeunes
élèves qui les avaient faits, et qui ne doutaient
e. l’élève injustement couronné parut ensuite. Les plus échauffés des
jeunes
élèves s’attachent à ses vêtemens, et lui disent
ns, bien contrits, bien humiliés, l’un, les bras liés sur le dos ; un
jeune
israélite est occupé à lier les bras des deux aut
a malheureusement appris à aimer le repos et à mépriser la gloire. Le
jeune
Falconnet avait concouru ; les prix étaient expos
ge de Cormac, couvert de ses horribles blessures ; le pâle fantôme du
jeune
héros apparaît dans l’obscurité : le sang coule d
ur sa lance. Dermid laisse flotter son épaisse et noire chevelure. Le
jeune
chasseur du Moruth, Fillan, bande son arc. Mais q
la joie revenaient avec lui. Le père ne pleura point la perte de son
jeune
fils ; le frère ne donna point des larmes à la mo
rosée de la nuit. Cher amant, je fleurissais en ta présence comme un
jeune
arbrisseau ; mais la mort, comme un vent brûlant,
enu avec ses rosées bienfaisantes et ne m’a point fait refleurir. Mes
jeunes
compagnes me voyaient dans un morne silence au mi
u palais de Tor-Thoma ; mon père se plaisait à entendre ma voix : les
jeunes
guerriers suivaient des yeux ma démarche gracieus
Il lève deux lances affilées. Sa terrible épée pend à son côté. Trois
jeunes
guerriers portent ses arcs polis : cinq dogues lé
venez de Selma, du palais antique de Fingal, choisissez trois de vos
jeunes
guerriers pour aller lui porter des nouvelles de
lera sur l’épée d’Uthal, et la gloire de Finthormo s’élèvera comme un
jeune
arbre, l’honneur du vallon. » « Non, jamais, répl
r au loin comme des pelotons de brouillards. Tu veux que trois de nos
jeunes
guerriers aillent annoncer à Fingal que son peupl
a beauté, je ne pus retenir mes larmes. « Tu es tombé, m’écriai-je, ô
jeune
arbre, et ta beauté est flétrie. Tu es tombé dans
un tombeau à ce couple malheureux, et je chantai : « Reposez en paix,
jeunes
infortunés, reposez au murmure de ce torrent. Les
otre renommée s’étendra dans les contrées lointaines. Dormez en paix,
jeunes
infortunés, dormez au murmure de ce torrent. » No
haut du rocher de Morven sur la vaste étendue des mers. Elle vit nos
jeunes
guerriers s’avancer, couverts de leurs armes bril
Ryno ! Quand la voix de l’aurore viendra-t-elle te dire : « Lève-toi,
jeune
guerrier ! les chasseurs sont déjà dans la plaine
lus ta voix ; les cerfs bondissent sur sa tombe. La mort environne le
jeune
Ryno ; mais je marcherai sans bruit, ô mon héros
reposes. Minvane se couchera en silence à côté de son cher Ryno. Mes
jeunes
compagnes me chercheront, mais elles ne me trouve
a tombe avec Colgul. Les ombres de Morven ouvriront leurs salles à la
jeune
étrangère, lorsqu’elles te verront approcher. Au
mmée s’élèveront sur Morven. Roscana, tu as donc gémi à cause de moi.
Jeune
arbre de Moi-ura, tes branches vertes sont-elles
tude, et son âme regretta toujours son cher Connal. N’était-ce pas un
jeune
et beau guerrier ? Ullin vit couler les pleurs d’
Près d’eux, la fille de Vinval, Crimora, brillait sous l’armure d’un
jeune
guerrier ; ses blonds cheveux flottaient négligem
vents, indiquent à l’œil du chasseur le tombeau du puissant Morar. Ô
jeune
Morar ! il est donc vrai que tu n’es plus ! Tu n’
rtisanes, des pas des danseuses, et des scintillements des yeux de sa
jeune
épouse Leïla, ces lueurs du ciel de l’âme, un de
ts. Tu peux m’entrer au ventre…… Un poète spiritualiste, surtout un
jeune
poète aurait dit : tu peux m’entrer au cœur, mais
Paez leva le bras. Cette seule ébauche du paysage trahissait dans la
jeune
main un vrai poète. Cela n’égale pas en grâce, ma
sa chevelure brune ! Sous la tresse d’ébène on dirait, à la voir, Une
jeune
guerrière avec un casque noir ! Son voile déroulé
ps et la jouissance ont usé chez lui l’amour ; cet amour est toujours
jeune
et brûlant dans le cœur de la danseuse. Il faut r
la satiété. Un vieux seigneur a épousé la belle vénitienne Portia. Un
jeune
cavalier aime Portia, il en est aimé. Dalti, c’es
èbres Croisaient en chancelant leurs feux dans les ténèbres. Quand le
jeune
étranger s’arrêta sur le seuil. Sa main n’écarta
Glissait, par le zéphir lentement balancée, La légère chaloupe où le
jeune
Dalti… Agitait en ramant le flot appesanti. Longt
pût croire Certain, ayant vécu, d’avoir une mémoire Où son souvenir,
jeune
et bravant le trépas, Pût revivre une vie, et ne
eau, d’amour environnée, Avait vécu comtesse ainsi qu’elle était née,
Jeune
, passant sa vie au milieu des plaisirs. Elle avai
détourna la tête, et lentement S’inclina tout en pleurs jusqu’à son
jeune
amant. — Songez bien, dit Dalti, que je ne suis,
endre tout à coup une note triste dissoner par moment dans la voix du
jeune
Anacréon et trahir quelque chose qui ressemble au
sont les vers adressés par Alfred de Musset à Ulric Guttinger, poète
jeune
, tendre et pathétique alors comme Musset lui-même
les eaux ; Toi si plein, front pâli sous des larmes de femme ! Moi si
jeune
, enviant ta tristesse et tes maux ! La Ballade
nge éternellement, Du sein des flots émus sort l’astre tout-puissant,
Jeune
et victorieux, — seule âme des deux mondes ! L’Oc
ur. Amour ! Torrent divin de la source infinie ! Ô Dieu d’oubli, Dieu
jeune
, au front pâle et charmant ! Toi que tous ces bon
dort sous ces épais rideaux, Une enfant de quinze ans, — presque une
jeune
femme ; Rien n’est encor formé dans cet être char
emplit de parfums, d’amour et de murmure, Comme le lit joyeux de deux
jeunes
époux. Le Poëte. Pourquoi mon cœur bat-il si vit
mes bras ? Ah ! je t’ai consolé d’une amère souffrance ! Hélas ! bien
jeune
encor, tu te mourais d’amour. Console-moi ce soir
s proscrits, Vous souvient-il encor qui les avait écrits ? Vous étiez
jeune
alors, vous, notre chère gloire. Vous veniez d’
ont immenses, Et que l’immensité ne peut pas être à deux. J’ai connu,
jeune
encor, de sévères souffrances ; J’ai vu verdir le
e ton luth en parcourant la gamme, A changé tout à coup la clef de ta
jeune
âme, Et fait rendre à l’esprit le son du cœur hum
dressé par un bon bourgeois de Paris du xive siècle, à l’usage de sa
jeune
femme. Ce livre nous introduit dans un riche ména
t, et pendant quelques années on ne s’occupa que de l’éducation de la
jeune
princesse. Mme de Maintenon s’y appliqua avec tou
; mais, à ne voir que celui-là, on prendrait peut-être du moral de la
jeune
princesse une idée trop flattée, ridée de quelque
page des plus mémorables de Saint-Simon. Un jour, douze ans après, la
jeune
princesse était devenue l’ornement et l’âme de la
e, tout empressée, et qui annonça au roi que, par suite du voyage, la
jeune
femme était en danger d’une fausse couche. Je tra
e partie de ces billets est adressée à Mme de Maintenon. On y voit la
jeune
princesse se repentir du malheureux goût qu’elle
rt. La duchesse de Berry, fille du futur Régent, n’était pas la seule
jeune
femme d’alors à qui il arrivât de s’enivrer. La d
able et polie, se tenait selon son rang, et ne souffrait plus que les
jeunes
dames se familiarisassent avec elle, en trempant
duchesse de Bourgogne eut-elle des faiblesses de cœur ? Adorée de son
jeune
époux, et sachant prendre en main ses intérêts en
ions surtout être guéris de nos jours. À ce même Fontainebleau, où la
jeune
duchesse de Bourgogne arrivait à l’âge de onze an
n étais pas), — n’a-t-on pas vu arriver, il n’y a pas quinze ans, une
jeune
princesse, désirée à son tour et fêtée, également
eine possession de lui-même, il se fit de toutes parts, dans tous les
jeunes
esprits, un mouvement qui les poussait avec ardeu
ombattaient : « Pour agir sur le siècle, se dirent de bonne heure ces
jeunes
lévites, il faut l’avoir compris. » Des noms, j’e
clésiastique, avaient alors cela de commun, de représenter la tête du
jeune
clergé intelligent et studieux : M. Gousset, aujo
famille, et y resta à étudier. C’est là qu’un jour il vit arriver un
jeune
élève de l’École normale, Jouffroy, de deux ans p
nce et avec l’auréole au front, ne dédaigna point de discuter avec le
jeune
séminariste de province : il le combattait sur le
nt invoqué alors et bientôt ruiné, du fameux Zodiaque de Denderah. Le
jeune
séminariste, mis en présence du monument inconnu,
tianisme. Le Mémorial catholique, à peine fondé, piqua d’honneur les
jeunes
écrivains du camp philosophique. On l’imprimait d
de M. de La Ferronnays, l’ancien ministre des Affaires étrangères. Le
jeune
comte Albert de La Ferronnays avait épousé une je
s étrangères. Le jeune comte Albert de La Ferronnays avait épousé une
jeune
personne russe, Mlle d’Alopaeus, de la religion l
e vingt-quatre ans, et semblait arrivé au dernier période, lorsque sa
jeune
femme, à la veille d’être veuve, se décida à embr
jolie petite scène en vers, qu’il destinait, il y a peu de jours, aux
jeunes
pensionnaires du Sacré-Cœur d’Amiens, et dans laq
ir du collège des Grassins avant qu’il eût terminé sa philosophie. Le
jeune
Nicolas portait alors le costume d’abbé, le petit
ie en vers, et songeait au concours de l’Académie française. Tous les
jeunes
auteurs d’alors commencent à peu près de même : c
s de même : c’était la voie tracée. La petite comédie de Chamfort, La
Jeune
Indienne, représentée à la Comédie-Française le 3
oncevoir quelque espérance de l’auteur ; mais voilà tout ». Betty, la
jeune
Indienne, a été rencontrée dans une île sauvage,
s une île sauvage, « dans un climat barbare », par un jeune homme, un
jeune
colon anglais de l’Amérique du Nord, Belton, qui
l’intéressante Betty, En habit de sauvage, en longue chevelure. La
jeune
actrice qui faisait Betty, pour jouer plus au nat
teurs ni lui n’y entendaient pas tant de malice : M. de Chamfort est
jeune
, disait le plus fin critique de ce temps-là (Grim
oins son Marchand n’annonce rien du tout, et ne tient pas plus que sa
Jeune
Indienne ne promettait autrefois. Ce jugement me
en des égards, la justesse même. Chamfort avait alors vingt-neuf ans.
Jeune
, pauvre et fier, il ne présageait pourtant en rie
le à observer me rappelle un mot de Diderot, parlant, en 1767, d’un «
jeune
poète appelé Chamfort, d’une figure très aimable,
, à Fontainebleau (le 1er et le 7 novembre 1776), sous les yeux de la
jeune
reine Marie-Antoinette. On dit que Louis XVI, à c
, tout ce beau monde, les Grammont, les Choiseul, la reine, voyant un
jeune
poète qui promettait par ses œuvres et qui payait
deviner cet orgueil de Satan dans le sensible et anodin auteur de La
Jeune
Indienne, ou dans le peintre tragique si adouci d
enée dans la capitale, et faisant aux Tuileries la partie de whist du
jeune
Barnave ? » Quant à lui, le ci-devant jeune poète
ies la partie de whist du jeune Barnave ? » Quant à lui, le ci-devant
jeune
poète favorisé de la reine, le récent secrétaire
s cette ville du Midi, toute fervente encore des passions de 1815, le
jeune
avocat libéral était fort protégé et encouragé pa
couronner le vrai talent, eût achevé d’établir à Aix la réputation du
jeune
avocat, si M. Thiers n’était parti vers ce temps-
extrait de cet Eloge de Vauvenargues et les principaux points que le
jeune
auteur y avait touchés ; Montaigne, La Rochefouca
, dans ce dernier sens. Vers le même temps où se mettait en marche ce
jeune
esprit, assurément le moins rêveur, un autre gran
dans une page d’album écrite de sa main sous ce titre : Arrivée d’un
jeune
méridional à Paris ; c’est une description de ses
832-1834) concernant les embellissements de Paris. Les impressions du
jeune
Marseillais dans ce monde nouveau qui s’ouvrait à
titutionnel, et il laissait surtout bien loin derrière lui toutes ces
jeunes
recrues si naturellement traînantes, les Bodin, L
ès-mesurés, très-apparents, respirent dans l’excellent article que le
jeune
publiciste, par une forme anticipée, convertit vo
de ce que j’appellerai la vérité sociale, éclate dans ces pages où le
jeune
écrivain, si prononcé pour les choses, ne se mont
t c’est la conscience de cette vérité qui développait et doublait les
jeunes
talents, occupait les jeunes passions, et leur do
e vérité qui développait et doublait les jeunes talents, occupait les
jeunes
passions, et leur donnait tout leur emploi dans u
r ce qu’ils finissent ensuite par bien savoir. C’est ce qui arriva au
jeune
écrivain pour le salon de peinture de 1822, dont
généreux conseils à Horace Vernet22 et une page commémorative pour le
jeune
Drouais ; Drouais, ce premier élève de David, « q
ait surtout et il n’a jamais perdu le culte de ces beaux noms, de ces
jeunes
gloires, de ces victimes à jamais couronnées : hi
usat, vers ce temps des nobles luttes commençantes : « Nous sommes la
jeune
garde23. » Cette étincelle sacrée, qui l’anime co
illeurs. Les Tablettes furent la première tentative d’union entre les
jeunes
générations venues de bords différents, celle des
ts, celle des proscrits de l’Université (Jouffroy, Dubois, etc.), les
jeunes
doctrinaires, fleur des salons sérieux (M. de Rém
prennent l’Assemblée constituante et presque toute la législative, le
jeune
historien débute, on le voit bien ; il n’a pas en
avis et de le combattre : le digne homme d’État se plaisait à voir un
jeune
esprit net et ferme s’exercer ainsi à la discussi
chose de la doctrine générale de la fatalité tant reprochée aux deux
jeunes
historiens de la révolution. On a tant parlé en t
immortels de liberté, de grandeur et d’espérance ! » Malheur à qui,
jeune
et né dans les rangs nouveaux, n’a pas senti un j
e, financière, « à cette œuvre de réorganisation, est-il dit, dont le
jeune
général faisait son occupation constante, dont il
15 janvier 1845. 21. Revue française, novembre 1829. 22. « Il est
jeune
, favorisé de la fortune et de la gloire, entouré
l’article de M. de Rémusat sur M. Jouffroy, les belles pages sur les
jeunes
générations en marche vers 1823. (Revue des Deux
ne tanière, il était couvert de haillons ; aujourd’hui, l’ours est un
jeune
monsieur qui paie des actrices, qui hante l’Opéra
it, accusée de mensonge. Pour exemple, imaginez que dans un salon une
jeune
et jolie femme de vingt-sept ans, soit originalit
ue vingt-quatre. — Vingt-sept ans, c’est comme cela, répond l’entêtée
jeune
femme. — Eh bien soit ! vingt-sept ans, répondent
nesse et de bonne grâce. Elle a été si longtemps ce qu’on appelle une
jeune
femme, qu’elle se moquait bien fort du calendrier
elle Mars ! nous n’en voulons plus, elle n’est plus, pour nous, assez
jeune
! Ainsi crient-ils ; demandez-leur cependant, à c
sprits blasés, aux beautés hors d’âge, ils se figurent qu’ils restent
jeunes
, parce que nul ne s’amuse à compter leurs cheveux
amuse à compter leurs cheveux blancs. Que ces gens-là soient vieux ou
jeunes
, beaux ou laids, vivants ou morts, qu’importe41 ?
ourront avant moi ! Que me reprochez-vous, enfin ? de n’être plus une
jeune
femme ! Eh qu’importe, barbares, si mon talent es
tre plus une jeune femme ! Eh qu’importe, barbares, si mon talent est
jeune
, et si rien, dans mon art, ne se fait attendre :
rire, le talent, la gaîté ? Est-ce ma faute à moi, si je ne suis plus
jeune
, et pourquoi donc comptez-vous ma persévérance, m
a passion, l’inspiration et l’amour, quoi d’étonnant, quand vous êtes
jeune
, quand tout chanteau fond de votre âme, quand tou
au-delà de cet horizon que vous appelez l’infini ! Tant que vous êtes
jeune
, vous êtes au-dessus des rumeurs qui s’attachent
tes les adorations humaines, au-dessus de tous les blâmes ! Vous êtes
jeune
, que vous importe ce qu’on raconte de votre talen
rassez-la, qu’elle vous aime, vous encourage et vous console ! On est
jeune
, on est tout ; on est roi, on est reine, hélas ju
autel de feu ! Donc honneur à l’artiste habile qui peut cesser d’être
jeune
, impunément ! Honneur à la durée en toutes choses
vie et le combat de mademoiselle Mars ; nous autres, qui étions plus
jeunes
qu’elle (aujourd’hui ce n’est pas beaucoup dire),
and on a le regard vif et perçant, la voix fraîche et pure, la taille
jeune
, la main d’une femme comme-il-faut. — Me voilà !
es heureuses misères de leur vie, et leur théâtre fermé. La femme est
jeune
, belle, intelligente, s’il en fut, et grande et b
t debout, occupés à la contempler. Et enfin, tout d’un coup, voilà la
jeune
femme qui se prosterne vivement, qui s’empare de
e de grave et d’ingénu tout à la fois, quelque chose de sérieux et de
jeune
en même temps auquel il eût été bien difficile de
peu philosophe, un peu poète. Sa mère jouait la comédie, et aussi sa
jeune
tante dont la beauté était célèbre dans un temps
e enfant, était enfermée une jeune fille de quinze ans, — l’âge de la
jeune
débutante ! Ces deux enfants étaient nées à Versa
mpereur Napoléon, dans tout l’éclat de sa grandeur, qui appelle cette
jeune
femme en aide à ses victoires, cet entassement de
u’elle avait aujourd’hui cinquante ans… et la suite. Ordinairement un
jeune
clerc de notaire apportait cette quittance, cruel
tz. L’évêque de cette ville était pour lors un Montmorency-Laval ; le
jeune
Merlin, bien recommandé, fut nommé de sa chapelle
de la décence : « J’y vis pour la première fois M. l’abbé Grégoire,
jeune
curé, depuis évêque et député à l’Assemblée const
doctrine. Il lui parle de la religion d’une manière à fort étonner un
jeune
séminariste encore novice et très sincère : il ne
e touche originale. Il ne se borna point, dans sa confiance envers le
jeune
séminariste, à des préceptes de vie facile ; il n
cèrent point et eurent des suites. Rentré à son séminaire de Metz, le
jeune
Merlin, toujours croyant, mais ému et très ébranl
ès ébranlé, avait bientôt conçu ou cru concevoir une passion pour une
jeune
pensionnaire qu’il apercevait de sa fenêtre dans
istait à recevoir les hôtes, se trouve très heureux de s’adjoindre le
jeune
arrivant pour l’aider dans cet office. Ainsi, Mer
re, se dressait devant son imagination effrayée. » Sa passion pour la
jeune
personne qu’il espérait toujours revoir ne laissa
pas d’être aussi un préservatif. Enfin le prieur, dom Le Noble, homme
jeune
encore, qui l’avait pris en amitié, eût achevé de
uentin, deux vieillards octogénaires, et dom Lucien, aide-sacristain,
jeune
encore, mais à peu près stupide, demander des sup
de quarante ans, et ceux-ci les confrères au-dessous de trente ; les
jeunes
erraient pour la plupart seuls, craignant de se c
ologie ; les vieux m’exhortaient à partager leur sort, tandis que les
jeunes
, croyant que je devais entrer au noviciat, me reg
ieux d’avoir le sentiment des Maîtres actuels sur les tendances de la
jeune
littérature, sur sa valeur et sur son avenir : qu
e. Et puis venaient des sévérités : Vous me demandez mon avis sur la
jeune
littérature. Je voudrais, en vous répondant, pron
te, n’ont fait que la montrer à la terre. Ils étaient singuliers, ces
jeunes
poètes et ces jeunes prosateurs ! On n’avait enco
montrer à la terre. Ils étaient singuliers, ces jeunes poètes et ces
jeunes
prosateurs ! On n’avait encore rien vu de pareil
visites en trois groupes. » ..................A les bien prendre, nos
jeunes
poètes sont des mystiques. Je rencontrais tantôt
effleurant, M. Anatole France achevait sa lettre par ces conseils aux
jeunes
écrivains : Soyons simples, enfin. Disons-nous q
ature de tout à l’heure, votre sentiment sur la direction des efforts
jeunes
vers le beau, — quelle que soit sa nature. Vous m
nouvelle, mais je ne sache pas qu’il ait avoué aucun disciple. Et ces
jeunes
poètes eux-mêmes que vous traitez de mystiques —
reins et dans ses entrailles, il y avait en France un groupe d’hommes
jeunes
, professant en philosophie, en histoire, en litté
n était nécessairement, et tout d’abord, en pays de Cocagne. Quant au
jeune
groupe dont nous voulons parler, et qui se compor
eux ans, sans entrer dans la lice de la politique proprement dite, ce
jeune
philosophe et publiciste a labouré en tous sens,
tout ce fortifiant spectacle n’a cessé de se dérouler aux regards des
jeunes
intelligences que la vue seule du présent pouvait
érite du fond et cette opiniâtreté d’étude et de recherche dont, bien
jeune
encore, rien ne l’a jamais détourné, M. Lerminier
t l’individualité brillante et aventureuse de M. de Chateaubriand, le
jeune
écrivain arrive à l’homme le plus constant et le
ière, et, quant à la substance même c’est l’ouvrage d’un enfant. D’un
jeune
provincial infiniment estimable et aimable par sa
, quelle carrière choisir ? Voilà, très exactement le problème que le
jeune
Breton se pose et propose à sa sœur. Toute sa pré
dépourvu. C’est un problème délicat, mais d’économie domestique. Le
jeune
Ernest Renan, quand il acceptait l’idée d’une vie
tte correspondance pose avec une ingénuité émouvante le problème d’un
jeune
garçon du peuple, empêché par sa condition précai
es, ne saurait y être viable. Cet enfant de vingt-trois ans et cette
jeune
femme sont admirables en ce que jamais, au cours
ssant. Cette mesquinerie d’habitudes où se plaisait dans ses rêves le
jeune
Renan et qu’acceptait Stendhal ne paraît pas acce
, n’est-ce pas assez tôt ? (Elle se lève.) Je suis pourtant encore si
jeune
, si jeune ! et déjà mourir ! J’étais belle aussi,
pas assez tôt ? (Elle se lève.) Je suis pourtant encore si jeune, si
jeune
! et déjà mourir ! J’étais belle aussi, et ce fut
ie dévora notre pauvre petite ville, il y a vingt ans. » Le pasteur,
jeune
et modeste ecclésiastique, l’honneur de la ville,
n répond avec embarras « qu’il a songé longtemps, en effet, à la plus
jeune
de ces trois filles, mais que, sa timidité nature
enant, dit-il à ses compagnons de route, et allez vous informer si la
jeune
exilée est vraiment digne de la main que je lui p
eurs le rassurent en vain ; ils lui proposent de sonder le cœur de la
jeune
étrangère. « Herman a à peine écouté ces paroles
à prévoir les détours du chemin. Quand j’accompagnais à Strasbourg le
jeune
baron, nous étions habitués à sortir en voiture,
nsuite dans la vigne et cheminent dans l’obscurité. Herman conduit la
jeune
étrangère le long des escaliers aux degrés rustiq
illantes ; mais, bientôt voilée entièrement de nuages, elle laisse le
jeune
couple dans une complète obscurité. « Herman sou
rman et leurs deux amis s’étonnent de la taille et de la beauté de la
jeune
étrangère, qui s’accorde si bien avec celle d’Her
lin et Dresde, était la résidence d’une cour athénienne. Goethe, très
jeune
encore à l’époque où son nom avait éclaté tout à
ope, avait eu la bonne fortune de rencontrer sur les bords du Rhin le
jeune
prince héréditaire de Weimar, le duc Charles-Augu
n le jeune prince héréditaire de Weimar, le duc Charles-Auguste. Deux
jeunes
amis de Goethe, avec lesquels il voyageait alors,
lèbres eux-mêmes depuis, avaient présenté leur compagnon de voyage au
jeune
duc de Weimar. Ce coup d’œil décida de la vie ent
connaître au duc de Weimar le plus grand homme de l’Allemagne dans un
jeune
écrivain à peine entrevu par une première ébauche
ar une étrange et heureuse coïncidence, la duchesse Amélie de Weimar,
jeune
encore et qui voyageait avec son fils, parut part
jamais entre la princesse, le prince et le poète. La beauté morale du
jeune
favori transperçait à cette époque à travers la b
e promettant une éternelle réunion à Weimar quand l’heure du règne du
jeune
duc serait sonnée. Ce sont ces années d’attente q
Section 9, des obstacles qui retardent le progrès des
jeunes
artisans Tous les génies se manifestent bien, m
s la peinture qu’il nous donne des inquiétudes et des transports d’un
jeune
poëte tyrannisé par une foiblesse qui lutte contr
use que l’autre. Elle fait perdre beaucoup de temps, et met encore un
jeune
artisan hors d’état de faire un bon usage de celu
comme le succès ne sçauroit répondre toujours à la précipitation d’un
jeune
peintre, il peut bien se dégoûter de temps en tem
e la durée même de ce travail. Quand la force du génie ramenera notre
jeune
peintre à une étude plus sérieuse de son art, par
durera point long-temps. Il est donc heureux pour la societé, que les
jeunes
poëtes soient déterminez par leur fortune à un tr
rencontrer quelle est la situation où l’on peut souhaiter que soit un
jeune
poëte, dans un bon mot de notre roi Charles IX. I
s charges qui alors comme de nos jours donnent l’opulence. Ce père du
jeune
Horace était un homme qui ne vivait que pour son
contrées plus pures ; c’est grâce à ces surveillances assidues que le
jeune
Horace, enfant d’une beauté précoce, dut la puret
des parents que m’avaient accordés la bonté des dieux. » V Le
jeune
Horace étudiait ainsi à Rome à seize ans, pendant
isit, pour achever ses études, en Grèce. Athènes était alors pour les
jeunes
Romains la ville universitaire du monde latin, ce
it sentir plus qu’à un autre la passion de la supériorité sociale. Le
jeune
Horace se lia à Athènes avec le fils de Cicéron ;
emment de ne pouvoir le grandir ; il y contracta aussi amitié avec le
jeune
Bibulus et avec le fils de Messala, tous les deux
é Tiron, affranchi de son père, nous donne une idée de la vie que ces
jeunes
Romains menaient à Athènes. Ils tenaient plus sou
divin de la liberté romaine ; il y connut Horace dans la société des
jeunes
Bibulus, Cicéron, Messala, ses amis. Il y disting
me, de la philosophie, de la vertu stoïque. Brutus emmena avec lui le
jeune
poète en Macédoine avec les fils de Caton, de Cic
camps. Son talent, sa gaieté, sa figure faisaient de lui l’idole des
jeunes
compagnons de Brutus ; les historiens font un cha
, mais qui poussait toujours son sophisme jusqu’au sang. XI Le
jeune
Horace, son compagnon d’armes, son poète et son a
le. L’espérance est aussi une poésie comme le désespoir. Horace était
jeune
; il tournait depuis quelque temps à la philosoph
aux grands noms du parti d’Octave. C’est à ces rancunes politiques du
jeune
tribun des soldats de Brutus contre ses vainqueur
e, le portait plutôt à la poésie gracieuse et anacréontique. Il était
jeune
, il était beau de visage, il était paresseux et b
courtisanes telles que Phryné, Laïs, à Athènes, étaient en général de
jeunes
esclaves grecques ou syriennes affranchies dans l
la vertu de la chasteté, cette dignité de la femme. Telles furent les
jeunes
étrangères dans la société desquelles Horace cher
alent, redouté pour ses épigrammes, il était le modèle et l’envie des
jeunes
débauchés de Rome, une espèce d’Alcibiade latin,
es odes qu’il avait cherché à s’attacher par un lien plus durable une
jeune
et belle esclave affranchie, digne d’un attacheme
ns presque toutes ses odes, comme dans celle-ci, adressée à un de ses
jeunes
hôtes à la campagne : « Tu vois comme le mont So
trop de souci, et jouis à la hâte du jour que le destin te prête. Si
jeune
encore et si loin de la grondeuse vieillesse, ne
ce qui sera vaincue n’est ici que la force toute morale du talent. Un
jeune
et brillant génie, une âme d’artiste, un second M
te dans ses fantaisies, froide de cœur, n’a pas de peine à enlever le
jeune
et fragile artiste : ce n’est rien de lui avoir j
ur ne l’impose pas ; et si l’on veut à toute force conjecturer que le
jeune
artiste au cœur trop faible, s’il avait écarté di
hommage rendu à Dalilci, rien ne nous sépare plus de Sibylle ; car le
Jeune
Homme pauvre (qui aurait dû s’intituler plutôt le
certainement cousine de la petite Marguerite. Le drame d’ailleurs du
Jeune
Homme pauvre, tout en poussant à la vogue du livr
ts. Notons pourtant ce fait considérable et singulier : le Roman d’un
Jeune
Homme pauvre est peut-être le plus grand succès d
aime fort à courir seule les bois : la rencontre qu’elle y fait d’un
jeune
peintre qui a nom Raoul et qu’elle surprend à des
es ? Et ici je désire être bien compris : j’admets tout à fait qu’une
jeune
femme, une jeune fille merveilleusement douée, es
aison à un homme estimable, retrouve après des années celui que toute
jeune
elle préférait et de qui elle aurait aimé à faire
ylle, tout inexpérimentée qu’elle est en pareille matière, donne à la
jeune
femme, son amie, le seul conseil droit et sage :
des fruits dans leur première fleur, qui s’efface si vous appuyez. La
jeune
princesse d’Angleterre, élevée en France pendant
aison, fut destinée à épouser Monsieur, frère du roi, aussitôt que le
jeune
roi eut épousé l’infante d’Espagne, et vers le te
réservé à aucune femme du monde ». À côté de Monsieur, il y avait un
jeune
seigneur qui, en ce temps-là, était son favori :
t, hardi, fier, avec un certain air avantageux qui ne déplaît pas aux
jeunes
femmes, et qui accomplit à leurs yeux le héros de
et ce moment durera jusqu’à sa mort ; elle donne le ton à toute cette
jeune
cour, dispose de toutes les parties de divertisse
s mains quelques-uns des fils qui agitaient et mêlaient entre eux ces
jeunes
cœurs : le roi plus touché qu’un beau-frère ne do
qui sont des traîtres, c’est l’éternelle histoire de tous les groupes
jeunes
et amoureux, livrés à eux-mêmes dans les loisirs
eux poètes, comme Corneille, le favorisait et l’enhardissait chez les
jeunes
, comme Racine ; elle avait pleuré à Andromaque, d
cine ; elle avait pleuré à Andromaque, dès la première lecture que le
jeune
auteur lui en fit : « Pardonnez-moi, madame, disa
uefois par ses désobéissances, appartenait déjà à cette génération de
jeunes
femmes qui aimaient démesurément le plaisir, le j
mourir, génie plus romain que grec, n’a pas emporté son marteau ; de
jeunes
émules rêvent le beau moderne sur sa tombe, et le
châtel, et tout en déjeunant je m’informai négligemment, auprès de la
jeune
et belle hôtelière au costume bernois et aux long
ont restées secrètes. L’hôtesse me dit qu’elle avait logé en effet ce
jeune
étranger peu de jours avant celui de mon arrivée
à finir par deux petites filles et trois petits garçons dont le plus
jeune
était encore pendu, comme la dernière grappe, à l
i régnait alors en France comme réformateur de la peinture, permit au
jeune
apprenti de venir dessiner d’après ses tableaux f
ique de David, proscrit comme régicide en Belgique en 1816, ramena le
jeune
artiste, sans maître et sans patrie, dans la mais
ide nécessaire pour aller étudier son art dans la patrie de l’art. Le
jeune
artiste accepta sans hésitation, des mains de l’a
onsommés des différentes cours de l’Europe. On retrouvait là tous les
jeunes
artistes du matin, confondus, comme du temps de L
regards de Dieu et des hommes. XXIII Cette transfiguration du
jeune
artiste français et suisse en peintre, en poète,
n amateur de Neuchâtel de commander l’exécution de ce même sujet à un
jeune
peintre de ses montagnes ; c’était une grande aud
zia leur était un sauf-conduit parmi ces montagnards. Thérésina, plus
jeune
, aussi belle, mais autrement belle que Maria Graz
r honorer la madone. Le caractère méditatif, recueilli et sauvage du
jeune
peintre étranger se complaisait dans la contempla
n dialecte des Abruzzes ou des Calabres, l’épopée des brigands et des
jeunes
Sonniniennes à un auditoire rustique comme lui. C
es ou tendres des situations des poèmes qu’il récite. Les figures de
jeunes
matelots, de pasteurs, de femmes ou de filles qui
C’est d’abord, assis sur le même banc de rocher, à côté du poète, un
jeune
lazzarone de seize ans, qui se destine sans doute
nspirations du poète et du chanteur. Au pied de l’écueil ce sont deux
jeunes
matelots ; l’un est accoudé nonchalamment sur la
du récitatif. Enfin, derrière le rocher où s’assied le chanteur, une
jeune
mère, assise à distance, presse son nourrisson am
e, on s’enchante aux chants de ce poète avec ces jeunes hommes et ces
jeunes
femmes, doucement ivres de poésie et de musique,
famille de la Chaux-de-Fonds ; il appelait à Rome, auprès de lui, son
jeune
frère Aurèle Robert, devenu son élève, son émule
és dans les États romains, dans le royaume de Naples, et elle mourut,
jeune
encore, à la suite du bandit, laissant la tête de
ieur, si intimement mêlé à la vie, aux œuvres, au génie, à la mort du
jeune
Robert, ce Werther des peintres. Nous allons retr
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