pitre II.Les directions divergentes de l’évolution de la vie.Torpeur,
intelligence
, instinct. Idée générale du processus évolu
eulement les formes de la vie, mais les idées qui permettraient à une
intelligence
de la comprendre, les termes qui serviraient à l’
isé, unité féconde, d’une richesse infinie, supérieure à ce qu’aucune
intelligence
pourrait rêver, puisque l’intelligence n’est qu’u
nie, supérieure à ce qu’aucune intelligence pourrait rêver, puisque l’
intelligence
n’est qu’un de ses aspects ou de ses produits. Ma
fleurs. Les grandes directions de l’évolution de la vie : torpeur,
intelligence
, instinct Ainsi, par des chemins différents, n
deux voies divergentes dont l’une allait à l’instinct et l’autre à l’
intelligence
. Torpeur végétative, instinct et intelligence, vo
instinct et l’autre à l’intelligence. Torpeur végétative, instinct et
intelligence
, voilà donc enfin les éléments qui coïncidaient d
nt et comment elles s’opposent. Il s’agit maintenant de montrer que l’
intelligence
et l’instinct, eux aussi, s’opposent et se complè
l’une à l’autre, ni auxquelles on puisse assigner des rangs. C’est qu’
intelligence
et instinct, ayant commencé par s’entrepénétrer,
s les trouvons mêlées ; c’est la proportion qui diffère. Ainsi pour l’
intelligence
et l’instinct. Il n’y a pas d’intelligence où l’o
qui diffère. Ainsi pour l’intelligence et l’instinct. Il n’y a pas d’
intelligence
où l’on ne découvre des traces d’instinct, pas d’
d’instinct, pas d’instinct surtout qui ne soit entouré d’une frange d’
intelligence
. C’est cette frange d’intelligence qui a été caus
qui ne soit entouré d’une frange d’intelligence. C’est cette frange d’
intelligence
qui a été cause de tant de méprises. De ce que l’
que l’instinct est toujours plus ou moins intelligent, on a conclu qu’
intelligence
et instinct sont choses de même ordre, qu’il n’y
s l’instinct étant de sens opposé à ce qu’il y a d’intelligent dans l’
intelligence
. On ne s’étonnera pas si nous insistons sur ce po
ue nous voulons définir de l’instinct ce qu’il a d’instinctif et de l’
intelligence
ce qu’elle a d’intelligent, alors que tout instin
u’elle a d’intelligent, alors que tout instinct concret est mélangé d’
intelligence
, comme toute intelligence réelle est pénétrée d’i
ors que tout instinct concret est mélangé d’intelligence, comme toute
intelligence
réelle est pénétrée d’instinct. De plus, ni l’int
omme toute intelligence réelle est pénétrée d’instinct. De plus, ni l’
intelligence
ni l’instinct ne se prêtent à des définitions rig
faudra pas oublier que, dans le présent chapitre, nous considérons l’
intelligence
et l’instinct au sortir de la vie qui les dépose
la diversité de cet effort qui nous frappe dans l’instinct et dans l’
intelligence
, et si nous voyons dans ces deux formes de l’acti
en objectif de les distinguer. En revanche, elle ne nous donnera de l’
intelligence
en général, et de l’instinct en général, que la p
i va suivre qu’un dessin schématique, où les contours respectifs de l’
intelligence
et de l’instinct seront plus accusés qu’il ne le
. Mais que, si c’étaient des hachettes, on fût bien en présence d’une
intelligence
, et plus particulièrement de l’intelligence humai
ût bien en présence d’une intelligence, et plus particulièrement de l’
intelligence
humaine, personne un seul instant n’en douta. Ouv
stant n’en douta. Ouvrons, d’autre part, un recueil d’anecdotes sur l’
intelligence
des animaux. Nous verrons qu’à côté de beaucoup d
animaux qu’on classe tout de suite après l’homme au point de vue de l’
intelligence
, les Singes et les Éléphants, sont ceux qui saven
nard, qui sait fort bien qu’un piège est un piège. Sans doute, il y a
intelligence
partout où il y a inférence ; mais l’inférence, q
nd elle se matérialise en un instrument fabriqué. C’est là que tend l’
intelligence
des animaux, comme à un idéal. Et si, d’ordinaire
exécute sur les instincts fournis par la nature. En ce qui concerne l’
intelligence
humaine, on n’a pas assez remarqué que l’inventio
nous présentent comme la caractéristique constante de l’homme et de l’
intelligence
, nous ne dirions peut-être pas Homo sapiens, mais
dirions peut-être pas Homo sapiens, mais Homo faber. En définitive, l’
intelligence
, envisagée dans ce qui en paraît être la démarche
ition de l’instinct, comme celle que nous donnons provisoirement de l’
intelligence
, détermine tout au moins la limite idéale vers la
nsidérer que les cas limites où l’on assiste au triomphe complet de l’
intelligence
et de l’instinct, on trouve entre eux une différe
aculté d’utiliser et même de construire des instruments organisés ; l’
intelligence
achevée est la faculté de fabriquer et d’employer
en plus loin et la fait de plus en plus libre. Mais cet avantage de l’
intelligence
sur l’instinct n’apparaît que tard, et lorsque l’
ge de l’intelligence sur l’instinct n’apparaît que tard, et lorsque l’
intelligence
, ayant porté la fabrication à son degré supérieur
haut dans le passé, on trouverait des instincts plus rapprochés de l’
intelligence
que ceux de nos Insectes, une intelligence plus v
incts plus rapprochés de l’intelligence que ceux de nos Insectes, une
intelligence
plus voisine de l’instinct que celle de nos Verté
intelligence plus voisine de l’instinct que celle de nos Vertébrés :
intelligence
et instinct élémentaires d’ailleurs, prisonniers
être développé indéfiniment dans les mêmes organismes l’instinct et l’
intelligence
. Mais tout paraît indiquer que cette force est fi
, le fabriquera lui-même en façonnant la matière inorganique. De là l’
intelligence
et l’instinct, qui divergent de plus en plus en s
stinct le plus parfait de l’Insecte s’accompagne de quelques lueurs d’
intelligence
, ne fût-ce que dans le choix du lieu, du moment e
s pour s’adapter à ces conditions nouvelles 62. Mais, d’autre part, l’
intelligence
a encore plus besoin de l’instinct que l’instinct
l’intelligence a encore plus besoin de l’instinct que l’instinct de l’
intelligence
, car façonner la matière brute suppose déjà chez
tous les Vertébrés, à la recherche plutôt qu’à l’épanouissement de l’
intelligence
. C’est encore l’instinct qui forme le substrat de
e l’instinct qui forme le substrat de leur activité psychique, mais l’
intelligence
est là, qui aspire à le supplanter. Elle n’arrive
t préhistorique : c’est le congé définitif que l’instinct reçoit de l’
intelligence
. Il n’en est pas moins vrai que la nature a dû hé
mporté, ici encore, du côté où était le plus gros risque. Instinct et
intelligence
représentent donc deux solutions divergentes, éga
des différences profondes de structure interne entre l’instinct et l’
intelligence
. Nous n’insisterons que sur celles qui intéressen
ue sur celles qui intéressent notre présente étude. Disons donc que l’
intelligence
et l’instinct impliquent deux espèces de connaiss
entre la représentation et l’action. On peut dès lors présumer que l’
intelligence
sera plutôt orientée vers la conscience, l’instin
vements automatiques. Au contraire, le déficit est l’état normal de l’
intelligence
. Subir des contrariétés est son essence même. Aya
isfaction nouvelle crée de nouveaux besoins. Bref, si l’instinct et l’
intelligence
enveloppent, l’un et l’autre, des connaissances,
ns le cas de l’instinct, plutôt pensée et consciente dans le cas de l’
intelligence
. Mais c’est là une différence de degré plutôt que
ui est, au point de vue psychologique, la différence capitale entre l’
intelligence
et l’instinct. Pour arriver à la différence essen
voir apprises. Maintenant, si nous envisageons du même point de vue l’
intelligence
, nous trouvons qu’elle aussi connaît certaines ch
ment des choses que l’animal ne comprendra jamais, et qu’en ce sens l’
intelligence
, comme l’instinct, est une fonction héréditaire,
e l’instinct, est une fonction héréditaire, partant innée. Mais cette
intelligence
innée, quoiqu’elle soit une faculté de connaître,
i celle d’un objet déterminé, que c’est de l’instinct et non pas de l’
intelligence
. L’intelligence n’apporte donc la connaissance in
et déterminé, que c’est de l’instinct et non pas de l’intelligence. L’
intelligence
n’apporte donc la connaissance innée d’aucun obje
me il arrive dans les langues rudimentaires qui n’ont pas de verbe. L’
intelligence
fait donc naturellement usage des rapports d’équi
i naturel. Disons donc que si l’on envisage dans l’instinct et dans l’
intelligence
ce qu’ils renferment de connaissance innée, on tr
mots consacrés par l’usage. Nous donnerons de la distinction entre l’
intelligence
et l’instinct cette formule plus précise : l’inte
ion entre l’intelligence et l’instinct cette formule plus précise : l’
intelligence
, dans ce qu’elle a d’inné, est la connaissance d’
chercher fortune dans le monde. Elles ont abouti à l’instinct et à l’
intelligence
. Tels sont donc les deux modes divergents de conn
ls sont donc les deux modes divergents de connaissance par lesquels l’
intelligence
et l’instinct devront se définir, si c’est au poi
plique. L’instinct est donc la connaissance innée d’une chose. Mais l’
intelligence
est la faculté de fabriquer des instruments inorg
es circonstances, varier sa fabrication. La fonction essentielle de l’
intelligence
sera donc de démêler, dans des circonstances quel
tions très générales, véritable étoffe que l’activité propre à chaque
intelligence
taillera en relations plus particulières. Là où l
irement sur des rapports. Mais cette connaissance toute formelle de l’
intelligence
a sur la connaissance matérielle de l’instinct un
aussi qu’il ne s’imagine le faire. Le caractère purement formel de l’
intelligence
la prive du lest dont elle aurait besoin pour se
cherche. La différence que nous allons signaler entre l’instinct et l’
intelligence
est celle que toute notre analyse tendait à dégag
ndait à dégager. Nous la formulerions ainsi : Il y a des choses que l’
intelligence
seule est capable de chercher, mais que, par elle
rait ; mais il ne les cherchera jamais. Fonction primordiale de l’
intelligence
Il est nécessaire d’entrer ici dans quelques d
d’entrer ici dans quelques détails provisoires sur le mécanisme de l’
intelligence
. Nous avons dit que l’intelligence avait pour fon
provisoires sur le mécanisme de l’intelligence. Nous avons dit que l’
intelligence
avait pour fonction d’établir des rapports. Déter
rapports. Déterminons plus précisément la nature des relations que l’
intelligence
établit. Sur ce point, on reste encore dans le va
este encore dans le vague ou dans l’arbitraire tant qu’on voit dans l’
intelligence
une faculté destinée à la spéculation pure. On es
qu’elle est plutôt que tout autre chose. Ainsi, l’on enseignera que l’
intelligence
est essentiellement unification, que toutes ses o
et qui n’en dit pas davantage. De plus, on pourrait se demander si l’
intelligence
n’aurait pas pour fonction de diviser, plus encor
ait pas pour fonction de diviser, plus encore que d’unir. Enfin, si l’
intelligence
procède comme elle fait parce qu’elle veut unir,
auraient pu, sans doute, être tout autres qu’elles ne sont. Pour une
intelligence
autrement conformée, autre eût été la connaissanc
ne intelligence autrement conformée, autre eût été la connaissance. L’
intelligence
n’étant plus suspendue à rien, tout se suspend al
u’il nous donne. Cette connaissance devient relative, du moment que l’
intelligence
est une espèce d’absolu. Au contraire, nous tenon
e l’intelligence est une espèce d’absolu. Au contraire, nous tenons l’
intelligence
humaine pour relative aux nécessités de l’action.
lative aux nécessités de l’action. Posez l’action, la forme même de l’
intelligence
s’en déduit. Cette forme n’est donc ni irréductib
aissance dépende d’elle. La connaissance cesse d’être un produit de l’
intelligence
pour devenir, en un certain sens, partie intégran
nsée, et que nous commettons une pétition de principe en expliquant l’
intelligence
par l’action, qui la présuppose. En quoi ils aura
ns alors dupes d’une illusion comme celle de Spencer, qui a cru que l’
intelligence
était suffisamment expliquée quand on la ramenait
de la matière : comme si l’ordre inhérent à la matière n’était pas l’
intelligence
même ! Mais nous réservons pour le prochain chapi
lle méthode, la philosophie pourrait tenter une genèse véritable de l’
intelligence
en même temps que de la matière. Pour le moment,
us demandons quelle est la portion du monde matériel à laquelle notre
intelligence
est spécialement adaptée. Or, pour répondre à cet
du sens commun. Partons donc de l’action, et posons en principe que l’
intelligence
vise d’abord à fabriquer. La fabrication s’exerce
re que le solide : le reste se dérobe par sa fluidité même. Si donc l’
intelligence
tend à fabriquer, on peut prévoir que ce qu’il y
a de proprement vital dans le vivant lui échappera tout à fait. Notre
intelligence
, telle qu’elle sort des mains de la nature, a pou
l’on passait en revue les facultés intellectuelles, on verrait que l’
intelligence
ne se sent à son aise, qu’elle n’est tout à fait
e décomposition actuellement donné, de le tenir pour seul possible. L’
intelligence
ne se représente clairement que le discontinu. D’
é par tel ou tel incident survenu en route. De la mobilité même notre
intelligence
se détourne, parce qu’elle n’a aucun intérêt à s’
é même, et l’immobilité n’est jamais qu’apparente ou relative. Mais l’
intelligence
est destinée à tout autre chose. A moins de se fa
bles), se justifie sans peine quand on se reporte à sa destination. L’
intelligence
, à l’état naturel, vise un but pratiquement utile
Bornons-nous à dire que le stable et l’immuable sont ce à quoi notre
intelligence
s’attache en vertu de sa disposition naturelle. N
re intelligence s’attache en vertu de sa disposition naturelle. Notre
intelligence
ne se représente clairement que l’immobilité. Ma
pèce de matière de la forme de l’objet conçu. En d’autres termes, une
intelligence
qui vise à fabriquer est une intelligence qui ne
çu. En d’autres termes, une intelligence qui vise à fabriquer est une
intelligence
qui ne s’arrête jamais à la forme actuelle des ch
les os, en suivant les articulations dessinées par la nature 63. Une
intelligence
qui procéderait toujours ainsi serait bien, en ef
ntelligence qui procéderait toujours ainsi serait bien, en effet, une
intelligence
tournée vers la spéculation. Mais l’action, et en
C’est une représentation qui symbolise la tendance fabricatrice de l’
intelligence
humaine. Mais ce point ne nous arrêtera pas pour
ne nous arrêtera pas pour le moment. Qu’il nous suffise de dire que l’
intelligence
est caractérisée par la puissance indéfinie de dé
système. Nous avons énuméré quelques-uns des traits essentiels de l’
intelligence
humaine. Mais nous avons pris l’individu à l’état
réalité, l’homme est un être qui vit en société. S’il est vrai que l’
intelligence
humaine vise à fabriquer, il faut ajouter qu’elle
aut ajouter qu’elle s’associe, pour cela et pour le reste, à d’autres
intelligences
. Or, il est difficile d’imaginer une société dont
ées. Certes, le langage n’eût pas donné la faculté de réfléchir à une
intelligence
tout à fait extériorisée, incapable de se replier
tout à fait extériorisée, incapable de se replier sur elle-même. Une
intelligence
qui réfléchit est une intelligence qui avait, en
e de se replier sur elle-même. Une intelligence qui réfléchit est une
intelligence
qui avait, en dehors de l’effort pratiquement uti
virtualité passe à l’acte. Il est présumable que, sans le langage, l’
intelligence
aurait été rivée aux objets matériels qu’elle ava
la représente, c’est-à-dire à l’idée. Ainsi va s’ouvrir aux yeux de l’
intelligence
, qui regardait dehors, tout un monde intérieur, l
e exacte de leur objet, qui le dépassent, et qui permettent ainsi à l’
intelligence
un travail supplémentaire, c’est-à-dire désintére
ce un travail supplémentaire, c’est-à-dire désintéressé. Du jour où l’
intelligence
, réfléchissant sur ses démarches, s’aperçoit elle
tion pratique. Voilà pourquoi nous disions qu’il y a des choses que l’
intelligence
seule peut chercher. Seule en effet, elle s’inqui
le mot est mobile, parce qu’il chemine d’une chose à une autre, que l’
intelligence
devait tôt ou tard le prendre en chemin, alors qu
le mot, en couvrant cet objet, le convertit encore en chose. Ainsi l’
intelligence
, même quand elle n’opère plus sur la matière brut
éments sont plus légers, plus diaphanes, plus faciles à manier pour l’
intelligence
que l’image pure et simple des choses concrètes ;
eption même des choses, mais la représentation de l’acte par lequel l’
intelligence
se fixe sur elles. Ce ne sont donc plus des image
qui est tout autre chose. Ainsi, toutes les forces élémentaires de l’
intelligence
tendent à transformer la matière en instrument d’
trie de l’être vivant. Telle est la tâche qu’elle assigne d’abord à l’
intelligence
. C’est pourquoi l’intelligence se comporte invari
t la tâche qu’elle assigne d’abord à l’intelligence. C’est pourquoi l’
intelligence
se comporte invariablement encore comme si elle é
t-il de la continuité ? L’aspect de la vie qui est accessible à notre
intelligence
, comme d’ailleurs aux sens que notre intelligence
accessible à notre intelligence, comme d’ailleurs aux sens que notre
intelligence
prolonge, est celui qui donne prise à notre actio
ie. La vérité est que cette continuité ne saurait être pensée par une
intelligence
qui s’abandonne à son mouvement naturel. Elle imp
le terrain où s’exerce notre industrie, et par conséquent aussi notre
intelligence
. De même que nous séparons dans l’espace, nous fi
De même que nous séparons dans l’espace, nous fixons dans le temps. L’
intelligence
n’est point faite pour penser l’évolution, au sen
posons d’approfondir dans un chapitre spécial. Disons seulement que l’
intelligence
se représente le devenir comme une série d’états,
e cherche toujours à reconstituer, et à reconstituer avec du donné, l’
intelligence
laisse échapper ce qu’il y a de nouveau à chaque
nt déterminé, calculable en fonction d’eux, voilà qui satisfait notre
intelligence
. Qu’une fin déterminée suscite des moyens détermi
ompose avec du connu et, en somme, à de l’ancien qui se répète. Notre
intelligence
est là à son aise. Et, quel que soit l’objet, ell
, qui est pourtant le point de départ de l’industrie elle-même, notre
intelligence
n’arrive pas à la saisir dans son jaillissement,
e, en éléments connus ou anciens, arrangés dans un ordre différent. L’
intelligence
n’admet pas plus la nouveauté complète que le dev
ectuel : il suffirait d’en considérer les résultats. On verrait que l’
intelligence
, si habile à manipuler l’inerte, étale sa maladre
à notre aise que dans le discontinu, dans l’immobile, dans le mort. L’
intelligence
est caractérisée par une incompréhension naturell
e même de la vie, au contraire, qu’est moulé l’instinct. Tandis que l’
intelligence
traite toutes choses mécaniquement, l’instinct pr
s à analyser l’instinct complètement. La raison en est qu’instinct et
intelligence
sont deux développements divergents d’un même pri
témoigne d’une incompatibilité radicale et de l’impossibilité pour l’
intelligence
de résorber l’instinct. Ce qu’il y a d’essentiel
Or l’instinct, lui aussi, est une connaissance à distance. Il est à l’
intelligence
ce que la vision est au toucher. La science ne po
. La science ne pourra faire autrement que de le traduire en termes d’
intelligence
; mais elle construira ainsi une imitation de l’i
cédé, de nouveaux perfectionnements. Tantôt en fait de l’instinct une
intelligence
dégradée : l’action jugée utile par l’espèce ou p
n pareil miracle. Sous une forme ou sous une autre, on fera appel à l’
intelligence
. On supposera que c’est par un effort plus ou moi
lyse qu’à moitié 72. Mais, parce que l’instinct est faillible comme l’
intelligence
, parce qu’il est susceptible, lui aussi, de prése
ce que nous voulons traduire la science de l’Hyménoptère en termes d’
intelligence
. Force nous est alors d’assimiler le Sphex à l’en
en mécanismes construits pièce à pièce, comme ceux que combine notre
intelligence
. Je veux bien que la science soit ici dans son rô
ne analyse réelle de l’objet, une traduction de cet objet en termes d’
intelligence
. Mais comment ne pas remarquer que la science ell
nilinéaire, si elle nous montrait la vie tout entière évoluant vers l’
intelligence
et passant, pour cela, par la sensibilité et l’in
rétendre les faire tenir, sans les déformer, dans les cadres de notre
intelligence
. Mais un des résultats les plus clairs de la biol
de deux de ces lignes, — les deux principales, — que nous trouvons l’
intelligence
et l’instinct sous leurs formes à peu près pures.
e devant un insondable mystère. Mais, pour n’être pas du domaine de l’
intelligence
, l’instinct n’est pas situé hors des limites de l
nous-mêmes, sous une forme bien plus vague, et trop pénétrée aussi d’
intelligence
, quelque chose de ce qui doit se passer dans la c
, des éléments qui se compénétraient à l’origine. Plus précisément, l’
intelligence
est, avant tout, la faculté de rapporter un point
nerveux de la Chenille, nous ne l’atteignons, avec nos yeux et notre
intelligence
, que comme une juxtaposition de nerfs et de centr
t intelligible, je veux dire entre l’assimilation de l’instinct à une
intelligence
« tombée » et la réduction de l’instinct à un pur
un pur réflexe, le second quand il dit que c’est autre chose que de l’
intelligence
, même tombée dans l’inconscience. Qu’est-ce à dir
re cherchée dans une tout autre voie, non plus dans la direction de l’
intelligence
, mais dans celle de la « sympathie. » L’instinc
, elle nous donnerait la clef des opérations vitales, — de même que l’
intelligence
, développée et redressée, nous introduit dans la
s introduit dans la matière. Car, nous ne saurions trop le répéter, l’
intelligence
et l’instinct sont tournés dans deux sens opposés
ens opposés, celle-là vers la matière inerte, celui-ci vers la vie. L’
intelligence
, par l’intermédiaire de la science qui est son oe
objet une connaissance comparable à celle que la science a du sien. L’
intelligence
reste le noyau lumineux autour duquel l’instinct,
Mais, à défaut de la connaissance proprement dite, réservée à la pure
intelligence
, l’intuition pourra nous faire saisir ce que les
ligence, l’intuition pourra nous faire saisir ce que les données de l’
intelligence
ont ici d’insuffisant et nous laisser entrevoir l
compléter. D’un côté, en effet, elle utilisera le mécanisme même de l’
intelligence
à montrer comment les cadres intellectuels ne tro
ttre à la place des cadres intellectuels. Ainsi, elle pourra amener l’
intelligence
à reconnaître que la vie n’entre tout à fait ni d
que, création indéfiniment continuée. Mais si, par là, elle dépasse l’
intelligence
, c’est de l’intelligence que sera venue la secous
t continuée. Mais si, par là, elle dépasse l’intelligence, c’est de l’
intelligence
que sera venue la secousse qui l’aura fait monter
venue la secousse qui l’aura fait monter au point où elle est. Sans l’
intelligence
, elle serait restée, sous forme d’instinct, rivée
la théorie de la connaissance doit tenir compte de ces deux facultés,
intelligence
et intuition, et comment aussi, faute d’établir e
t intuition, et comment aussi, faute d’établir entre l’intuition et l’
intelligence
une distinction assez nette, elle s’engage dans d
et l’autre relèvent alors de l’expérience. D’une part, en effet, si l’
intelligence
est accordée sur la matière et l’intuition sur la
s, d’autre part, si la conscience s’est scindée ainsi en intuition et
intelligence
, c’est par la nécessité de s’appliquer sur la mat
rientait ainsi soit dans le sens de l’intuition, soit dans celui de l’
intelligence
. L’intuition, au premier abord, semble bien préfé
telligence. L’intuition, au premier abord, semble bien préférable à l’
intelligence
, puisque la vie et la conscience y restent intéri
st tout de suite fermé. Au contraire, la conscience se déterminant en
intelligence
, c’est-à-dire se concentrant d’abord sur la matiè
séquences d’une invention à l’invention elle-même. Nous disions que l’
intelligence
est modelée sur la matière et qu’elle vise d’abor
est vrai, sa direction. Tout se passe enfin comme si la mainmise de l’
intelligence
sur la matière avait pour principal objet de lais
e, a cherché une issue dans la double direction de l’instinct et de l’
intelligence
— elle ne l’a pas trouvée avec l’instinct, et ell
l’a pas trouvée avec l’instinct, et elle ne l’a obtenue, du côté de l’
intelligence
, que par un saut brusque de l’animal à l’homme. D
s deux directions que nous avons à suivre se trouvent marquées dans l’
intelligence
d’une part, dans l’instinct et l’intuition de J’a
incomplète qu’elle soit encore, nous laisse déjà entrevoir comment l’
intelligence
s’est constituée par un progrès ininterrompu, le
leur sont faites. De là devrait résulter cette conséquence que notre
intelligence
, au sens étroit du mot, est destinée à assurer l’
a, en effet, une des conclusions du présent essai. Nous verrons que l’
intelligence
humaine se sent chez elle tant qu’on la laisse pa
e logique est surtout la logique des solides, que, par là même, notre
intelligence
triomphe dans la géométrie, où se révèle la paren
évèle la parenté de la pensée logique avec la matière inerte, et où l’
intelligence
n’a qu’à suivre son mouvement naturel, après le p
si pour la matière brute. Elle avait commencé par nous montrer dans l’
intelligence
un effet local de l’évolution, une lueur, peut-êt
’Inconnaissable. Mais c’est vraiment, après beaucoup d’orgueil pour l’
intelligence
humaine, un excès d’humilité. Si la forme intelle
imaux que notre imagination découpe dans le nuage qui passe. Mais une
intelligence
tendue vers l’action qui s’accomplira et vers la
objet pour en recevoir à chaque instant l’impression mobile, est une
intelligence
qui touche quelque chose de l’absolu. L’idée nous
intes extérieures ni se reconquérir sur elles-mêmes, comme l’a fait l’
intelligence
humaine, mais qui n’en expriment pas moins, elles
prochant les unes des autres, en les faisant ensuite fusionner avec l’
intelligence
, n’obtiendrait-on pas cette fois une conscience c
évanouissante ? On dira que, même ainsi, nous ne dépassons pas notre
intelligence
, puisque c’est avec notre intelligence, à travers
i, nous ne dépassons pas notre intelligence, puisque c’est avec notre
intelligence
, à travers notre intelligence, que nous regardons
intelligence, puisque c’est avec notre intelligence, à travers notre
intelligence
, que nous regardons encore les autres formes de l
conscience. Et l’on aurait raison de le dire, si nous étions de pures
intelligences
, s’il n’était pas resté, autour de notre pensée c
ux dépens de laquelle s’est formé le noyau lumineux que nous appelons
intelligence
. Là résident certaines puissances complémentaires
t. D’autre part, une théorie de la connaissance, qui ne replace pas l’
intelligence
dans l’évolution générale de la vie, ne nous appr
entreprise commune, elles nous feraient assister à la formation de l’
intelligence
et, par là, à la genèse de cette matière dont not
de l’intelligence et, par là, à la genèse de cette matière dont notre
intelligence
dessine la configuration générale. Elles creusera
es d’évolution que la vie a parcourues à côté de celle qui menait à l’
intelligence
humaine. L’intelligence se trouve ainsi replacée
e a parcourues à côté de celle qui menait à l’intelligence humaine. L’
intelligence
se trouve ainsi replacée dans sa cause génératric
ne pensée également faible. L’âge, en fortifiant les membres, mûrit l’
intelligence
et augmente la vigueur de l’âme. Ensuite, quand l
et très difficile6. Que le cerveau soit l’organe de la pensée et de l’
intelligence
, c’est ce qui paraît suffisamment attesté par le
uise mécaniquement de la nourriture dans son bec. Enfin il perd toute
intelligence
, toute perception, toute volition, toute action s
onctions intellectuelles, il semble naturel que l’on puisse mesurer l’
intelligence
des différentes espèces animales en comparant leu
nce précise qui assure la supériorité d’un cerveau sur un autre, de l’
intelligence
d’une espèce sur l’intelligence d’une autre espèc
orité d’un cerveau sur un autre, de l’intelligence d’une espèce sur l’
intelligence
d’une autre espèce. On est d’abord conduit à pens
série animale, et à comparer cette échelle de poids avec l’échelle d’
intelligence
des différentes espèces. Or, cette comparaison ne
. Lorsque l’on pèse des cerveaux pour y chercher une indication sur l’
intelligence
respective des animaux, doit-on se contenter du p
lus de cerveau comparativement à la masse de son corps aura le plus d’
intelligence
. Cette méthode, employée je crois, pour la premiè
nction. Mais quelle relation y a-t-il entre la taille corporelle et l’
intelligence
? Deux animaux ayant, par hypothèse, une même mas
sphères cérébraux en particulier, ne sont pas seulement des organes d’
intelligence
, et qu’ils sont aussi en rapport avec les sensati
oyée au gouvernement de la vie matérielle, il en restera moins pour l’
intelligence
. Je comprends et j’apprécie la valeur de cette co
que très-peu de moyens d’apprécier ce qui reste pour l’exercice de l’
intelligence
. Quoi qu’il en soit, la méthode du poids relatif,
ification si douteuse, on a proposé un autre critérium pour mesurer l’
intelligence
par son appareil organique On a dit qu’il fallait
entants un même type de cerveau, devrait être absolument supérieur en
intelligence
à tous les autres embranchements où le cerveau, q
à fait semblable à celui de l’homme, en revanche, nous dit Lyell, « l’
intelligence
extraordinaire du chien et de l’éléphant, quoique
que le type de leur cerveau s’éloigne tant de celui de l’homme, cette
intelligence
est là pour nous convaincre que nous sommes bien
oin de comprendre la nature réelle des relations qui existent entre l’
intelligence
et la structure du cerveau » 12. M. Lélut combat
lement que ces circonvolutions paraissent liées au développement de l’
intelligence
. Un naturaliste distingué, Desmoulins, a essayé d
oulins, a essayé d’établir cette loi : que l’étendue et la force de l’
intelligence
sont en raison du nombre des circonvolutions ; qu
or on ne conteste pas qu’ils ne soient très inférieurs aux autres en
intelligence
. « Pour la forme générale, pour le nombre et l’ét
l établit, contre l’opinion reçue, que le degré du développement de l’
intelligence
, loin d’être en raison directe de l’étendue relat
, et les saïmris presque entièrement. Or, ces petites espèces ont une
intelligence
au moins égale à celle des grands singes, si l’on
s, le cabiai a le cerveau plissé : or il n’est nullement supérieur en
intelligence
aux autres rongeurs ; mais il l’emporte sur eux p
as éloigné d’affirmer que les petites espèces ont, en général, plus d’
intelligence
que les grandes, comme si la nature, en les priva
, à ce qu’il paraît, aussi affirmative ; et cette corrélation entre l’
intelligence
et la petitesse de l’animal paraît mériter confir
e, ils le dépassent. Or nous savons par Frédéric Cuvier que l’ordre d’
intelligence
chez les mammifères est précisément celui que nou
ire sur la forme du crâne dans son rapport avec le développement de l’
intelligence
(Bulletin de l’Académie de médecine, 9 avril 1839
de la surface du cerveau dans son rapport avec le développement de l’
intelligence
. — Bulletin de l’Académie de médecine, 1845. — An
I.De la signification de la vie.L’ordre de la nature et la forme de l’
intelligence
. Rapport du problème de la vie au problème
de la matière en corps inorganisés est relatif à nos sens et à notre
intelligence
, et que la matière, envisagée comme un tout indiv
dans notre second chapitre que la même opposition se retrouve entre l’
intelligence
et l’instinct, celui-ci accordé sur certaines dét
là modelée sur la configuration de la matière brute. Mais instinct et
intelligence
se détachent l’un et l’autre, ajoutions-nous, sur
verselle. Par là nous faisions entrevoir la possibilité d’engendrer l’
intelligence
, en partant de la conscience qui l’enveloppe. Le
qui l’enveloppe. Le moment serait donc venu de tenter une genèse de l’
intelligence
en même temps qu’une genèse des corps, — deux ent
tives l’une de l’autre, s’il est vrai que les grandes lignes de notre
intelligence
dessinent la forme générale de notre action sur l
ar psychologie, cosmologie et métaphysique commencent par se donner l’
intelligence
dans ce qu’elle a d’essentiel, au lieu qu’il s’ag
ommencer par la psychologie, il ne faut pas croire qu’elle engendre l’
intelligence
quand elle en suit le développement progressif à
mêmes objets reliés entre eux par les mêmes rapports, de sorte que l’
intelligence
animale, quoiqu’elle ne forme pas de concepts pro
les pense ; du moins ce jeu dessine-t-il déjà en gros le schéma de l’
intelligence
humaine 77. Expliquer l’intelligence de l’homme p
t-il déjà en gros le schéma de l’intelligence humaine 77. Expliquer l’
intelligence
de l’homme par celle de l’animal consiste donc si
intelligents. Mais, du moment qu’on pose la direction, on se donne l’
intelligence
. On se la donne aussi, comme on se donne du même
ant ainsi la configuration générale de la nature et se déterminant en
intelligence
. Mais comment ne pas voir qu’on suppose l’intelli
déterminant en intelligence. Mais comment ne pas voir qu’on suppose l’
intelligence
dès qu’on pose les objets et les faits ? A priori
ière, c’est-à-dire, en somme, au fur et à mesure que se constituait l’
intelligence
. Il est douteux que les animaux construits sur un
in de percevoir des objets, il suffit de distinguer des propriétés. L’
intelligence
, au contraire, même sous sa forme la plus humble,
plement en fragments coexistants et distincts, c’est de ce côté que l’
intelligence
regardera. Et, plus elle s’occupera de diviser, p
oques. Ainsi, le même mouvement qui porte l’esprit à se déterminer en
intelligence
, c’est-à-dire en concepts distincts, amène la mat
es mêmes que suivra notre action, se donne par avance, toute faite, l’
intelligence
qu’elle prétendait engendrer. La métaphysique se
, quand elle déduit a priori les catégories de la pensée. On presse l’
intelligence
, on la ramène à sa quintessence, on la fait tenir
y a mis en puissance. Par là, on montre sans doute la cohérence de l’
intelligence
avec elle-même, on définit l’intelligence, on en
ans doute la cohérence de l’intelligence avec elle-même, on définit l’
intelligence
, on en donne la formule, mais on n’en retrace pas
en réalité. Spencer part de la réalité extérieure et la recondense en
intelligence
. Mais, dans un cas comme dans l’autre, il faut qu
ans un cas comme dans l’autre, il faut qu’on commence par se donner l’
intelligence
, ou contractée ou épanouie, saisie en elle-même p
se, degrés d’intensité dans la seconde. Une fois ce principe admis, l’
intelligence
devient aussi vaste que le réel, car il est incon
’il y a de géométrique dans les choses est entièrement accessible à l’
intelligence
humaine ; et, si la continuité est parfaite entre
ions (corrélatives et complémentaires) que la nature est une et que l’
intelligence
a pour fonction de l’embrasser en entier. La facu
sur la valeur du résultat : pour les uns, c’est la réalité même que l’
intelligence
étreint, pour les autres ce n’en est que le fantô
autres ce n’en est que le fantôme. Mais, fantôme ou réalité, ce que l’
intelligence
saisit est censé être la totalité du saisissable.
éter et de se perfectionner, est la philosophie que nous réclamons. L’
intelligence
humaine, telle que, nous nous la représentons, n’
re qui s’accomplit et le sillon qui se creuse, voilà la fonction de l’
intelligence
humaine. Pourtant un fluide bienfaisant nous baig
ns cesse quelque chose, et nous sentons que notre être, ou du moins l’
intelligence
qui le guide, s’y est formé par une espèce de sol
ie ne peut être qu’un effort pour se fondre à nouveau dans le tout. L’
intelligence
, se résorbant dans son principe, revivra à rebour
icieux. En vain, nous dira-t-on, vous prétendez aller plus loin que l’
intelligence
: comment le ferez-vous, sinon avec l’intelligenc
er plus loin que l’intelligence : comment le ferez-vous, sinon avec l’
intelligence
même ? Tout ce qu’il y a d’éclairé dans votre con
lligence même ? Tout ce qu’il y a d’éclairé dans votre conscience est
intelligence
. Vous êtes intérieur à votre pensée, vous ne sort
tre pensée, vous ne sortirez pas d’elle. Dites, si vous voulez, que l’
intelligence
est capable de progrès, qu’elle verra de plus en
nd de choses. Mais ne parlez pas de l’engendrer, car c’est avec votre
intelligence
encore que vous en feriez la genèse. L’objection
il y a une espèce d’absurdité à vouloir connaître autrement que par l’
intelligence
; mais, si l’on accepte franchement le risque, l’
vantage le point de vue où nous nous plaçons. Nous avons montré que l’
intelligence
s’est détachée d’une réalité plus vaste, mais qu’
e indistincte qui en rappelle l’origine. Bien plus, nous comparions l’
intelligence
à un noyau solide qui se serait formé par voie de
spéculer aussi intelligemment que vous voudrez sur le mécanisme de l’
intelligence
, vous n’arriverez jamais, par cette méthode, à le
t. Il faut brusquer les choses, et, par un acte de volonté, pousser l’
intelligence
hors de chez elle. Le cercle vicieux n’est donc q
ocablement rendues. La science positive, en effet, est oeuvre de pure
intelligence
. Or, qu’on accepte ou qu’on rejette notre concept
ntelligence. Or, qu’on accepte ou qu’on rejette notre conception de l’
intelligence
, il y a un point que tout le monde nous accordera
igence, il y a un point que tout le monde nous accordera, c’est que l’
intelligence
se sent surtout à son aise en présence de la mati
e la matière brute sont si près l’une de l’autre. Maintenant, quand l’
intelligence
aborde l’étude de la vie, nécessairement elle tra
de valeur, aucune distinction à faire entre les résultats auxquels l’
intelligence
aboutit en appliquant ses catégories, soit qu’ell
étendu éviter le cercle vicieux apparent qui consisterait à user de l’
intelligence
pour dépasser l’intelligence, on tournera dans un
ux apparent qui consisterait à user de l’intelligence pour dépasser l’
intelligence
, on tournera dans un cercle bien réel, celui qui
us trouverons que le premier entre naturellement dans les cadres de l’
intelligence
, que le second ne s’y prête qu’artificiellement,
oupe et dont il a dû se détacher. Et, comme la matière se règle sur l’
intelligence
, comme il y a entre elles un accord évident, on n
l’autre. Un processus identique a dû tailler en même temps matière et
intelligence
dans une étoffe qui les contenait toutes deux. Da
tement, à mesure que nous nous efforcerons davantage de transcender l’
intelligence
pure. De la possibilité d’une genèse simultané
e. De la possibilité d’une genèse simultanée de la matière et de l’
intelligence
. Géométrie inhérente à la matière. Fonctions esse
igence. Géométrie inhérente à la matière. Fonctions essentielles de l’
intelligence
Concentrons-nous donc sur ce que nous avons, t
ù ils nous replacent absorbe l’intellectualité en la dépassant. Car l’
intelligence
a pour fonction essentielle de lier le même au mê
r le même au même, et il n’y a d’entièrement adaptables au cadre de l’
intelligence
que les faits qui se répètent. Or, sur les moment
faits qui se répètent. Or, sur les moments réels de la durée réelle l’
intelligence
trouve sans doute prise après coup, en reconstitu
i la matière n’est aussi complètement étendue dans l’espace que notre
intelligence
et nos sens se la représentent. Nous avons traité
croyons-nous, dans une tout autre voie que celle où Kant s’engage. L’
intelligence
, telle que Kant nous la représente, baigne dans u
r songé, — d’abord parce qu’il ne pensait pas que l’esprit débordât l’
intelligence
, ensuite (et c’est, au fond, la même chose) parce
igne que l’espace. Cette solution consisterait d’abord à considérer l’
intelligence
comme une fonction spéciale de l’esprit, essentie
sisterait ensuite à dire que ni la matière ne détermine la forme de l’
intelligence
, ni l’intelligence n’impose sa forme à la matière
dire que ni la matière ne détermine la forme de l’intelligence, ni l’
intelligence
n’impose sa forme à la matière, ni la matière et
ni l’intelligence n’impose sa forme à la matière, ni la matière et l’
intelligence
n’ont été réglées l’une sur l’autre par je ne sai
par je ne sais quelle harmonie préétablie, mais que progressivement l’
intelligence
et la matière se sont adaptées l’une à l’autre po
e entreprise infiniment difficile, et qui passe les forces de la pure
intelligence
. Il ne suffit plus, en effet, de déterminer, par
a présence d’une réalité vraie. Mais il ne faut pas oublier que notre
intelligence
, qui constate cet ordre et qui l’admire, est diri
re une diminution de réalité positive. Toutes les opérations de notre
intelligence
tendent à la géométrie, comme au terme où elles t
à notre représentation de l’espace, qui est le grand ressort de notre
intelligence
et qui la fait marcher. On s’en convaincra en con
n s’en convaincra en considérant les deux fonctions essentielles de l’
intelligence
, la faculté de déduire et celle d’induire. Commen
ndeur sont les premières qui se posent à notre activité, celles que l’
intelligence
extériorisée en action résout avant même qu’ait p
l’intelligence extériorisée en action résout avant même qu’ait paru l’
intelligence
réfléchie : le sauvage s’entend mieux que le civi
isager les choses de ce biais vient de ce que le travail logique de l’
intelligence
représente à leurs yeux un effort positif de l’es
verse, celle de la matérialité. Ce qui apparaît, du point de vue de l’
intelligence
, comme un effort, est en soi un abandon. Et tandi
un effort, est en soi un abandon. Et tandis que, du point de vue de l’
intelligence
, il y a une pétition de principe à faire sortir a
uction, retrouve. Cet ordre, auquel notre action s’adosse et où notre
intelligence
se reconnaît, nous paraît merveilleux. Non seulem
yse la matière serait, nous semble-t-il, la géométrie même. Certes, l’
intelligence
admire a bon droit, ici, l’ordre croissant dans l
out, une interruption ou une inversion partielles. Comme d’ailleurs l’
intelligence
se découpe dans l’esprit par un processus du même
t fonctions les uns des autres. Pour effectuer ce prolongement, notre
intelligence
n’a d’ailleurs qu’à se prolonger elle-même, car e
ement en une comparaison ; elle n’a de réalité objective que pour une
intelligence
qui se représente en même temps plusieurs termes.
intelligence qui se représente en même temps plusieurs termes. Cette
intelligence
peut n’être pas la mienne ni la vôtre ; une scien
raire entre la généralité des lois et celle des genres. S’il faut une
intelligence
pour conditionner des termes les uns par rapport
eux espèces d’ordre et qu’il est fait de leur combinaison. Mais notre
intelligence
passe outre. Par un simple sic jubeo, elle pose u
rospective est, comme nous l’avons montré, la fonction naturelle de l’
intelligence
et par conséquent de la conscience distincte. Pou
ain chapitre, l’origine de cette illusion. Elle est naturelle à notre
intelligence
, fonction essentiellement pratique, faite pour no
l’organisation. Cette organisation prend pour nos sens et pour notre
intelligence
la forme de parties entièrement extérieures à des
grégat de faits. La raison s’en trouverait dans la structure de notre
intelligence
, qui est faite pour agir du dehors sur la matière
on oeuvre aussi. Essayons de voir, non plus avec les yeux de la seule
intelligence
, qui ne saisit que le tout fait et qui regarde du
aussi à des biens précieux. La conscience, chez l’homme, est surtout
intelligence
. Elle aurait pu, elle aurait dû, semble-t-il, êtr
t pu, elle aurait dû, semble-t-il, être aussi intuition. Intuition et
intelligence
représentent deux directions opposées du travail
travail conscient : l’intuition marche dans le sens même de la vie, l’
intelligence
va en sens inverse, et se trouve ainsi tout natur
médiaires possibles, correspondant à tous les degrés imaginables de l’
intelligence
et de l’intuition. Là est la part de la contingen
faisons partie, l’intuition est à peu près complètement sacrifiée à l’
intelligence
. Il semble qu’à conquérir la matière, et à se rec
ute son attention sur elles, enfin se déterminât plus spécialement en
intelligence
. L’intuition est là cependant, mais vague et surt
mais qui n’en perce pas moins l’obscurité de la nuit où nous laisse l’
intelligence
. De ces intuitions évanouissantes, et qui n’éclai
l’intuition est l’esprit même et, en un certain sens, la vie même : l’
intelligence
s’y découpe par un processus imitateur de celui q
e la reconnaît qu’en se plaçant dans l’intuition pour aller de là à l’
intelligence
, car de l’intelligence on ne passera jamais à l’i
plaçant dans l’intuition pour aller de là à l’intelligence, car de l’
intelligence
on ne passera jamais à l’intuition. La philosophi
conscience, quand la conscience affirme la liberté humaine, — mais l’
intelligence
est là, qui dit que la cause détermine son effet,
elle : cette adaptation est ce qu’on appelle l’intellectualité ; et l’
intelligence
, se retournant vers la conscience agissante, C’es
. Ainsi, aux yeux d’une philosophie qui fait effort pour réabsorber l’
intelligence
dans l’intuition, bien des difficultés s’évanouis
, une philosophie qui méconnaît la fonction et la portée réelles de l’
intelligence
. 80. Bastian, Le cerveau, Paris, 1882, vol. 1,
es qui se posent dans la vie intellectuelle. — Origine et genèse de l’
intelligence
. — Antinomie de l’intuition et de la notion. — L’
de soumission intellectuelle ? — Impossibilité d’une orthodoxie. — L’
intelligence
est-elle un principe de sociabilité ? — L’individ
at de société. La vie spirituelle, considérée sous son triple aspect,
intelligence
, sentiment, volonté, est-elle réductible aux infl
up de sentiments et réprime beaucoup de désirs ? Nous considérerons l’
intelligence
à trois points de vue : 1º Dans ses origines et d
nce de deux séries de doctrines. Les unes, sociologiques, regardent l’
intelligence
comme un produit social et assignent à la connais
ement ou essentiellement sociales. Elles subordonnent à tous égards l’
intelligence
à la sociabilité. Dans cette hypothèse, il ne peu
é dans l’ordre de la connaissance. De ce point de vue, on regardera l’
intelligence
comme originairement individualisée par la physio
du ; on fera consister la vérité non dans le consentement unanime des
intelligences
, mais dans l’évidence d’une intuition individuell
es et les fourmis. Nous ne voyons pas que ces espèces manifestent une
intelligence
supérieure à celle d’autres espèces animales où l
contraire, ces êtres, si merveilleux par leur instinct, n’ont aucune
intelligence
individuelle, ne sont susceptibles d’aucune innov
ent futur de la société sont exactes, c’est à l’annihilation de toute
intelligence
différenciée et individualisée que marcherait l’h
animales, ce qui, d’après M. Draghicesco, explique l’apparition de l’
intelligence
individualisée. Mais il s’agit de savoir où est i
prendre l’effet pour la cause quand il affirme que la complexité des
intelligences
individuelles provient de la complexité croissant
part et d’autre part le degré de perfectionnement et d’affinement des
intelligences
. Mais il n’y a pas de commune mesure entre ces de
e commune mesure entre ces deux choses. Les formes et les nuances des
intelligences
individuelles sont trop délicates et trop subtile
tiraillées en sens divers et divisées par elles ; mais chacune de ces
intelligences
a sa façon personnelle de solutionner les conflit
e social infiniment grossier et surtout inharmonique et incohérent. L’
intelligence
est seule capable de concevoir l’unité ; seule el
le de l’introduire dans le monde social. Ce besoin d’unité propre à l’
intelligence
s’explique bien plutôt par cet appareil nerveux p
, superficiels et sans avenir. Seule, d’après lui, la race unifie les
intelligences
. Mais pour M. Draghicesco qui est un niveleur far
chées. Il n’en reste pas moins que l’action de la physiologie sur les
intelligences
est tout aussi considérable qu’autrefois. Aujourd
a pensée sociale. — Nous répondrons que s’il y a des individus dont l’
intelligence
n’est en effet qu’un reflet de la mentalité socia
res éléments (physiologie, hérédité, race) capables d’influer sur son
intelligence
, on conçoit qu’il puisse se produire une désharmo
tiennent à une adaptation incomplète, à une évolution inachevée de l’
intelligence
individuelle. Plus tard, quand l’évolution sera a
telligence individuelle. Plus tard, quand l’évolution sera achevée, l’
intelligence
individuelle se sera résorbée intégralement dans
istes. En résumé et en conclusion, la thèse qui consiste à faire de l’
intelligence
un produit des influences sociales et pédagogique
faire aucune part aux différenciations congénitales de l’individu. L’
intelligence
tout entière se ramènerait à l’éducation et au la
ne ne songe à contester l’importance du langage dans l’évolution de l’
intelligence
comme instrument d’élucidation des idées. Mais l’
dans le langage. * * * Considérons en effet non plus la genèse de l’
intelligence
, mais les modes suivant lesquels elle s’exerce. N
ntre l’individualité et la socialité. Les deux modes selon lesquels l’
intelligence
s’exerce sont l’intuition et la notion. On les a
apable d’assumer un rôle social : celui d’un principe unificateur des
intelligences
, d’un principe de discipline intellectuelle et de
’établir l’existence d’une vérité objective susceptible d’unifier les
intelligences
. À première vue, l’existence d’une vérité objecti
ait bien toute seule les faire valoir. * * * Après avoir considéré l’
intelligence
dans son origine et dans sa genèse, puis dans son
vons entre la sociabilité et l’individualité. En un sens assurément l’
intelligence
est altruiste ou orientée vers l’altruisme. Elle
moi en nous faisant concevoir l’impersonnel. Mais en un autre sens, l’
intelligence
est isolante, personnelle ; si elle unit les homm
peut édifier une théorie d’égotisme intellectuel. Certaines formes d’
intelligence
sont asociales ou antisociales de propos délibéré
avec les débris des pensées et des croyances. Ces deux aspects de l’
intelligence
sont réels. Les philosophes, suivant la pente de
té sur l’un ou sur l’autre. Un Auguste Comte subordonne entièrement l’
intelligence
à la sociabilité. Il s’oppose de toutes ses force
faire cesser l’anarchie des pensées et des croyances. D’après lui, l’
intelligence
est orientée, de par sa constitution même, dans l
es à le persuader de plus en plus de la nécessaire subordination de l’
intelligence
à la sociabilité. La science est une enseigneuse
érence morale et de nihilisme social24 ? A-t-elle vraiment unifié les
intelligences
? On a répété à satiété le mot connu : la science
une attitude de moindre pensée. Aux théories qui prétendent mettre l’
intelligence
au service de la sociabilité s’oppose l’individua
nciation et de l’originalité intellectuelles. C’est une altitude de l’
intelligence
individuelle en tant qu’elle se différencie de la
ginalités humaines ; il s’interdit d’établir une hiérarchie entre les
intelligences
d’après leur puissance, leur étendue ou leur prof
ement abstraction des effets sociaux bons ou mauvais de l’emploi de l’
intelligence
. Stirner représente le parfait égotisme intellect
ellectuel, d’un logicien absolutiste qui, sous prétexte d’émanciper l’
intelligence
, fait le vide en elle, qui supprime non seulement
re quelle est faite en grande partie d’imitation et que même dans les
intelligences
les plus originales la part de l’imitation l’empo
cet élément éternel, irréductible de l’esprit humain : l’unicité de l’
intelligence
individuelle ; c’est la revendication en faveur d
nsidérations. Car comment établir des différences de valeur entre les
intelligences
et entre les pensées, sinon par des considération
ine, une vérité sociale et morale capable de rallier et d’unifier les
intelligences
C’est là l’éternelle histoire du Chatterton de Vi
elle et de contemplation esthétique. Chez le penseur spectaculaire, l’
intelligence
s’est résorbée tout entière dans le sens esthétiq
détachement social, un renoncement de la volonté aux fins sociales. L’
intelligence
spectaculaire soutient avec la sociabilité un rap
lité un rapport différent de celui que soutient avec cette dernière l’
intelligence
critique. L’intelligence critique n’est pas forcé
de celui que soutient avec cette dernière l’intelligence critique. L’
intelligence
critique n’est pas forcément antisociale. Si en u
qu’on remplace une source de foi épuisée par des sources nouvelles. L’
intelligence
critique n’est donc que relativement antisociale,
igence critique n’est donc que relativement antisociale, tandis que l’
intelligence
spectaculaire est irréductiblement asociale. Dans
ue l’intelligence spectaculaire est irréductiblement asociale. Dans l’
intelligence
spectaculaire, l’instinct de connaissance s’est c
é intellectuelle ; 4º Antinomie entre les théories qui subordonnent l’
intelligence
à la sociabilité et les théories d’individualisme
igions, et de ce que certaines sont encore, est bien humiliant pour l’
intelligence
humaine. Quel tissu d’aberrations ! L’expérience
ur des beaux livres de M. Lévy-Bruhl tirera d’eux la conclusion que l’
intelligence
humaine a évolué ; la logique naturelle n’aurait
les institutions, le langage et les mœurs. Leur ensemble constitue l’
intelligence
sociale, complémentaire des intelligences individ
s. Leur ensemble constitue l’intelligence sociale, complémentaire des
intelligences
individuelles. Mais nous ne voyons pas comment ce
mples qui s’unissent dans une combinaison chimique, a fait surgir une
intelligence
collective dont certaines représentations déroute
n faisant de l’homme un « animal politique », aurait-elle disposé les
intelligences
humaines de telle manière qu’elles se sentent dép
es facultés s’appliquent à des personnes ou à des choses, selon que l’
intelligence
est immergée ou non dans le milieu social. Pourta
dangers de l’activité intellectuelle sans compromettre l’avenir de l’
intelligence
? L’observation nous fournit la réponse. Aujourd’
écrouler devant une expérience : rien ne résiste aux faits. Si donc l’
intelligence
devait être retenue, au début, sur une pente dang
’action. Une expérience systématiquement fausse, se dressant devant l’
intelligence
, pourra l’arrêter au moment où elle irait trop lo
nature. Dans ces conditions, on ne s’étonnerait pas de trouver que l’
intelligence
, aussitôt formée, a été envahie par la superstiti
lu à l’instinct et qui le serait, sans doute, chez un être dépourvu d’
intelligence
. Disons provisoirement que c’est de l’instinct vi
ent rapporter à un besoin vital les fictions qui se dressent devant l’
intelligence
, et parfois contre elle, si l’on n’a pas détermin
s que la science est venue combler le vide, dangereux en effet, que l’
intelligence
laissait entre sa forme et sa matière ? Ne serait
’abord ces caractères à l’état d’implication réciproque : instinct et
intelligence
, qui atteignent leur point culminant aux extrémit
composés ensemble mais constitutifs d’une réalité simple sur laquelle
intelligence
et instinct ne seraient que des points de vue. Te
té, peu importe : l’homme présente toujours deux traits essentiels, l’
intelligence
et la sociabilité. Mais, du point de vue où nous
t le sociologue. Ils appellent d’abord une interprétation biologique.
Intelligence
et sociabilité doivent être replacées dans l’évol
dant et se complètent. Mais on en dirait autant de l’instinct et de l’
intelligence
, qui les caractérisent respectivement. Replacés d
pour obtenir certaines choses de la matière brute, et qu’instinct et
intelligence
, pris à l’état achevé, sont deux moyens d’utilise
n encore l’invention, vous retrouverez un à un tous les éléments de l’
intelligence
, car sa destination explique sa structure. Mais i
il ne faut pas oublier qu’il reste une frange d’instinct autour de l’
intelligence
, et que des lueurs d’intelligence subsistent au f
e une frange d’instinct autour de l’intelligence, et que des lueurs d’
intelligence
subsistent au fond de l’instinct. On peut conject
haut dans le passé, on trouverait des instincts plus rapprochés de l’
intelligence
que ceux de nos insectes, une intelligence plus v
incts plus rapprochés de l’intelligence que ceux de nos insectes, une
intelligence
plus voisine de l’instinct que celle de nos verté
de se continuer par des individus auxquels est dévolue alors, avec l’
intelligence
, la faculté d’initiative, l’indépendance, la libe
telligence, la faculté d’initiative, l’indépendance, la liberté. Si l’
intelligence
menace maintenant de rompre sur certains points l
la société doit subsister, il faut que, sur ces points, il y ait à l’
intelligence
un contrepoids. Si ce contrepoids ne peut pas êtr
être l’instinct lui-même, puisque sa place est justement prise par l’
intelligence
, il faut qu’une virtualité d’instinct ou, si l’on
ou, si l’on aime mieux, le résidu d’instinct qui subsiste autour de l’
intelligence
, produise le même effet : il ne peut agir directe
produise le même effet : il ne peut agir directement, mais puisque l’
intelligence
travaille sur des représentations, il en susciter
la représentation du réel et qui réussiront, par l’intermédiaire de l’
intelligence
même, à contrecarrer le travail intellectuel. Ain
et organes de tout corps vivant. Mais c’est à un épanouissement de l’
intelligence
, et non plus à un développement de l’instinct, qu
ague autour du noyau, pleinement éclairé on plutôt lumineux, qu’est l’
intelligence
. Désormais la réflexion permettra à l’individu d’
t travaillé pour l’espèce, automatiquement, somnambuliquement. Doté d’
intelligence
, éveillé à la réflexion, il se tournera vers lui-
s philosophes, encore moins le commun des hommes. La vérité est que l’
intelligence
conseillera d’abord l’égoïsme. C’est de ce côté q
n dieu protecteur de la cité, lequel défendra, menacera, réprimera. L’
intelligence
se règle en effet sur des perceptions présentes o
ne contrefaçon de souvenir assez précise, assez frappante, pour que l’
intelligence
se détermine par elle. Envisagée de ce premier po
une réaction défensive de la nature contre le pouvoir dissolvant de l’
intelligence
. Mais nous n’obtenons ainsi qu’une figuration st
u’à soi. C’est donc bien une réaction défensive de la nature contre l’
intelligence
. D’autre part, l’idée de responsabilité individue
du, puisqu’il arrêtait net des actes intelligents sans s’adresser à l’
intelligence
, il était rationnel en tant qu’avantageux à la so
ar des tabous. Mais, justement parce qu’il n’était pas fait appel à l’
intelligence
individuelle et qu’il s’agissait même de la contr
aussi déraisonnables. — Mais a-t-il conservé sa forme originelle ? L’
intelligence
des « primitifs » ne diffère pas essentiellement
le était en tout cas temporaire, dans des sociétés en mouvement, où l’
intelligence
finirait par apercevoir derrière l’interdiction u
rtaine ligne d’évolution l’instinct a cédé une partie de sa place à l’
intelligence
, qu’une perturbation de la vie peut s’ensuivre et
ensuivre et que la nature n’a d’autre ressource alors que d’opposer l’
intelligence
à l’intelligence. La représentation intellectuell
a nature n’a d’autre ressource alors que d’opposer l’intelligence à l’
intelligence
. La représentation intellectuelle qui rétablit ai
ir, il est convaincu qu’il mourra lui-même. La nature, en le dotant d’
intelligence
, devait bon gré mal gré l’amener à cette convicti
vie après la mort 6 ; cette image, lancée par elle dans le champ de l’
intelligence
où vient de s’installer l’idée, remet les choses
t une réaction défensive de la nature contre la représentation, par l’
intelligence
, de l’inévitabilité de la mort. A cette réaction
orienté dans la direction de la mythologie. A son point de départ, l’
intelligence
se représente simplement les morts comme mêlés au
gée dans cette voie, il n’est guère d’absurdité où ne puisse tomber l’
intelligence
. La fonction fabulatrice travaille déjà assez bie
ous posons une certaine activité instinctive ; faisant surgir alors l’
intelligence
, nous cherchons si une perturbation dangereuse s’
rétabli par des représentations que l’instinct suscitera au sein de l’
intelligence
perturbatrice : si de telles représentations exis
igieuses élémentaires. Ainsi, la poussée vitale ignore la mort. Que l’
intelligence
jaillisse sous sa pression, l’idée de l’inévitabi
dents la vie humaine n’est-elle pas exposée ! L’application même de l’
intelligence
à la vie n’ouvre-t-elle pas la porte à l’imprévu
à l’acte qu’il se propose d’accomplir. Mais il est de l’essence de l’
intelligence
de combiner des moyens en vue d’une fin lointaine
tirant l’imprévu. Sans doute, en théorie, cela ne devrait pas être. L’
intelligence
est faite pour agir mécaniquement sur la matière
jamais réalisé et de servir tout au plus de stimulant au travail de l’
intelligence
. En fait, l’intelligence humaine doit s’en tenir
ir tout au plus de stimulant au travail de l’intelligence. En fait, l’
intelligence
humaine doit s’en tenir à une action très limitée
orant l’intervalle. De cette anticipation il faut pourtant bien que l’
intelligence
ait connaissance. Une représentation va en effet
des puissances amies, s’intéressant à notre réussite, la logique de l’
intelligence
exigera que nous posions des causes antagonistes,
des réactions défensives de la nature contre la représentation, par l’
intelligence
, d’une marge décourageante d’imprévu entre l’init
frapper, lui et non pas un autre, c’était illogique au regard de son
intelligence
spontanée. En faisant intervenir la « mauvaise ch
mauvaise chance », il eût manifesté mieux encore la parenté de cette
intelligence
spontanée avec la mentalité primitive. Une représ
devine plus raisonnable, mais qui exigerait un plus grand effort de l’
intelligence
et surtout de la volonté. Dans bien des cas une s
tranger à notre civilisation, c’est lui demander beaucoup plus qu’une
intelligence
comme celle de la plupart d’entre nous, plus même
intelligence comme celle de la plupart d’entre nous, plus même qu’une
intelligence
supérieure, plus que du génie — c’est vouloir qu’
sive de la nature contre un découragement qui aurait sa source dans l’
intelligence
. Cette réaction suscite, au sein de l’intelligenc
t sa source dans l’intelligence. Cette réaction suscite, au sein de l’
intelligence
même, des images et des idées qui tiennent en éch
ouve d’imprévisible, s’il s’en tenait à la représentation que la pure
intelligence
lui en donne. Mais telles sont aussi les deux con
inconsciemment. C’est ainsi que le monde matériel apparaît à la pure
intelligence
. La conception scientifique du tremblement de ter
pourrait certes pas se modifier, elle reste ce qu’elle était ; mais l’
intelligence
, sous la poussée de l’instinct, transforme pour e
y aurait d’exagérément et surtout de prématurément intelligent dans l’
intelligence
. Mais les deux méthodes se prêteront un mutuel ap
tique de l’hérédité ! Mais il y a encore un autre orgueil, celui de l’
intelligence
, qui ne veut pas reconnaître son assujettissement
le rattachait pas à un besoin de l’espèce ; mais une fois arrivé à l’
intelligence
, adieu la nature ! adieu la vie ! l’intelligence
une fois arrivé à l’intelligence, adieu la nature ! adieu la vie ! l’
intelligence
serait ce qu’elle est « pour rien, pour le plaisi
ndépendance est limitée en fait : elle s’arrête au moment précis où l’
intelligence
irait contre son but, en lésant un intérêt vital.
où l’intelligence irait contre son but, en lésant un intérêt vital. L’
intelligence
est donc nécessairement surveillée par l’instinct
instinct, ou plutôt par la vie, origine commune de l’instinct et de l’
intelligence
. Nous ne voulons pas dire autre chose quand nous
’instincts intellectuels : il s’agit de représentations formées par l’
intelligence
naturellement, pour s’assurer par certaines convi
perception des choses, des événements, de l’univers en général. Que l’
intelligence
soit faite pour utiliser la matière, dominer les
tout entier finit par prendre la forme d’un mécanisme aux yeux d’une
intelligence
qui se représente idéalement la science achevée.
enons, nous voyons comment elles s’expliquent par le jeu combiné de l’
intelligence
et de l’instinct, comment elles ont dû répondre à
un entre la magie et la science. Nous venons de voir, en effet, que l’
intelligence
primitive fait deux parts dans son expérience. Il
le peut ne pas s’expliciter, mais, pour savoir ce qu’implicitemeut, l’
intelligence
pense, il suffit de regarder ce qu’elle fait. Mai
. La pression de l’instinct a fait surgir en effet, au sein même de l’
intelligence
, cette forme d’imagination qu’est la fonction fab
s’ensuit nullement que les opérations magiques dérivent d’elles. Si l’
intelligence
primitive avait commence ici par concevoir des pr
ogique du corps, prolongement du désir, qui s’exerce bien avant que l’
intelligence
lui ait trouvé une forme conceptuelle. Voici par
e universel. Ce progrès s’accomplit d’ailleurs par un effort de notre
intelligence
, qui est faite pour diriger notre action sur les
ous entourent, et quoique telle ait été la destination primitive de l’
intelligence
, néanmoins, comme la mécanique de l’univers est p
à chacune de ses parties, il a bien fallu que l’homme naquit avec une
intelligence
virtuellement capable d’embrasser le monde matéri
que la nature avait sans doute rendue possible en nous octroyant une
intelligence
dont la forme dépasse la matière, mais qui allait
elle a sa raison d’être. Elle calme provisoirement l’inquiétude d’une
intelligence
dont la forme dépasse la matière, qui se rend vag
n emprunte sa plus grande efficacité. Si l’on admet, avec nous, que l’
intelligence
primitive croit apercevoir autour d’elle, dans le
entirait perdu, si l’effort pour vivre ne projetait aussitôt dans son
intelligence
, à la place même que cette perception et cette pe
termédiaire, fait pour soutenir la volonté plutôt que pour éclairer l’
intelligence
, sont sorties par dissociation, vers le bas et ve
au dynamique, par une conversion analogue à celle qu’exécuta la pure
intelligence
quand elle passa de la considération des grandeur
e a pris à nos yeux une dignité éminente. Nous le caractérisons par l’
intelligence
, et nous savons qu’il n’y a pas de supériorité qu
r l’intelligence, et nous savons qu’il n’y a pas de supériorité que l’
intelligence
ne puisse nous donner, pas d’infériorité qu’elle
riorité qu’elle ne sache compenser. Il n’en était pas ainsi lorsque l’
intelligence
n’avait pas encore fait ses preuves. Ses inventio
hain chapitre. La première était destinée à écarter des dangers que l’
intelligence
pouvait faire courir à l’homme ; elle était infra
le mouvement en avant ; l’homme a été posé alors globalement, avec l’
intelligence
par conséquent, avec les dangers que cette intell
ement, avec l’intelligence par conséquent, avec les dangers que cette
intelligence
pouvait présenter, avec la fonction fabulatrice q
enue à l’homme individuel et social : du même coup vous vous donnez l’
intelligence
fabricatrice et par suite un effort qui se poursu
e existe, c’est que le même acte par lequel était posé l’homme avec l’
intelligence
fabricatrice, avec l’effort continué de l’intelli
l’homme avec l’intelligence fabricatrice, avec l’effort continué de l’
intelligence
, avec le danger créé par la continuation de l’eff
, quand elle s’applique à des matières qui ne relèvent pas de la pure
intelligence
. Mais il y a autre chose encore dans le sacrifice
nné à l’intérêt général. Cette double imperfection est la rançon de l’
intelligence
. L’homme ne peut pas exercer sa faculté de penser
de l’ordre normal, naturel. Et pourtant c’est la nature qui a voulu l’
intelligence
, qui l’a mise au bout de l’une des deux grandes l
’ait pas pris ses précautions pour que l’ordre, à peine dérangé par l’
intelligence
, tende à se rétablir automatiquement. Par le fait
matiquement. Par le fait, la fonction fabulatrice, qui appartient à l’
intelligence
et qui n’est pourtant pas intelligence pure, a pr
abulatrice, qui appartient à l’intelligence et qui n’est pourtant pas
intelligence
pure, a précisément cet objet. Son rôle est d’éla
ur l’individu, et de dissolvant pour la société, dans l’exercice de l’
intelligence
. Terminons par deux remarques, pour prévenir deu
é des deux principales lignes d’évolution ainsi tracées se trouvent l’
intelligence
et l’instinct. Justement parce que l’intelligence
acées se trouvent l’intelligence et l’instinct. Justement parce que l’
intelligence
est une réussite, comme d’ailleurs l’instinct, el
plein effet. Cette tendance forme avec elle, comme avec tout ce que l’
intelligence
présuppose, un bloc indivisé, qui se divise au re
sé, qui se divise au regard de notre faculté — toute relative à notre
intelligence
elle. même — de percevoir et d’analyser. Revenons
replace l’homme dans l’ensemble de la nature, si l’on considère que l’
intelligence
serait un obstacle à la sérénité qu’on trouve par
e, qui est celui de la genèse et non plus de l’analyse, tout ce que l’
intelligence
appliquée à la vie comportait d’agitation et de d
la main et que nous pouvons mettre ensemble. L’un est l’Histoire de l’
intelligence
, — de l’intelligence in se, comme disent les Alle
ouvons mettre ensemble. L’un est l’Histoire de l’intelligence, — de l’
intelligence
in se, comme disent les Allemands. Livre grave, q
r, bien entendu), est encore, sous une autre forme, une histoire de l’
intelligence
, mais de l’intelligence en acte, puisqu’il s’agit
core, sous une autre forme, une histoire de l’intelligence, mais de l’
intelligence
en acte, puisqu’il s’agit des systèmes et des plu
pauvre grabat d’idées la malheureuse se sent mourir. L’Histoire de l’
intelligence
, de M. Doublet, a été faite suivant une méthode,
s on n’a été tenté… et trahi par un plus beau sujet : l’Histoire de l’
intelligence
. Quel titre pétillant d’ambition et d’orgueil ! C
le respect qu’on a pour son génie, M. Doublet a voulu le faire pour l’
intelligence
, et le psychologue, qui n’était pas Bichat, a eu
nt, en effet, répondre à ces deux grandes questions : qu’est-ce que l’
intelligence
? qu’est-ce que la vie ? Sur ce terrain, il n’y a
e son esprit individuel, M. Doublet s’est imaginé que l’histoire de l’
intelligence
était écrite en nous, dans quelque repli de notre
obablement contre les conclusions de sa philosophie, l’historien de l’
intelligence
essaie de s’abriter sous l’opinion (d’ailleurs ré
à qui elle appartienne, l’idée d’une vie antérieure pour expliquer l’
intelligence
actuelle de l’homme peut être un système, mais n’
. Nous le prédisons. Telle est, en quelques mots, cette histoire de l’
intelligence
. Tel est le fond de ce livre dans lequel un espri
y avait qu’un moyen d’arriver à une solution dans cette question de l’
intelligence
, mais ce moyen, dont un philosophe ne se serait j
ilosophie. En place de l’homme individuel qui n’arriverait jamais à l’
intelligence
s’il était seul, il fallait saisir toute la perso
ce ou dans la mémoire le fait primitif fondamental et qui constitue l’
intelligence
humaine, il fallait en prendre le germe mystérieu
erait pas ! Il fallait prouver que la plus haute source de mémoire, d’
intelligence
, de bonne volonté, d’acquisition, c’est la famill
Doublet n’en dit pas un mot. Il est curieux de voir l’historien de l’
intelligence
s’abstraire de l’histoire tout en critiquant l’ab
apparition de la liberté. L’homme tombe ; il perd Dieu, la lumière, l’
intelligence
. Qui peut lui rendre ce Dieu perdu ?… L’éducation
litif, selon qu’il résulte de l’exercice des sens, de l’exercice de l’
intelligence
, de l’exercice de la volonté. Le plaisir causé pa
ntre des objets qui paraissaient d’abord tout dissemblables cause à l’
intelligence
le plaisir d’apercevoir l’un dans le multiple. Un
L’instinct logique et scientifique, qui se ramène à une attente de l’
intelligence
, n’est que l’anticipation de la réalité même par
est, en définitive, la force accumulée par les succès antérieurs de l’
intelligence
, soit dans l’individu, soit dans la race. Le dési
ons vu, est le commencement du vouloir et du mouvoir. C’est grâce à l’
intelligence
que nous pouvons, en exerçant notre volonté, épro
des sentiments intéressés ou désintéressés, égoïstes ou altruistes. L’
intelligence
, en effet, a deux pôles, parce qu’elle est orient
x idées, celle du moi individuel et celle du non-moi universel. Pas d’
intelligence
sans la conscience, qui est le sujet ; point d’in
el. Pas d’intelligence sans la conscience, qui est le sujet ; point d’
intelligence
, d’autre part, sans un objet auquel elle s’appliq
t adéquat que quand il est conçu comme le tout. La volonté, grâce à l’
intelligence
, prend donc nécessairement deux formes et deux di
lle, est, déjà une forme d’activité et de volonté en même temps que d’
intelligence
. Par cela même aussi peuvent naître les émotions
tiennent comme les cellules d’un organisme. L’habitude, servie par l’
intelligence
et l’imagination, introduit parmi eux une discipl
Bref, un être intelligent agit sur lui-même par l’intermédiaire de l’
intelligence
. Mais, de ce que c’est par des voies rationnelles
Il faut parce qu’il faut. » Dès lors, le travail auquel s’employait l’
intelligence
en pesant les raisons, en comparant les maximes,
d’ailleurs que quelques instants, le temps que brillerait l’éclair d’
intelligence
. Au dernier de ces instants, alors que l’instinct
tinct, reprenant le dessus, la ramènerait de vive force à sa tâche, l’
intelligence
que va résorber l’instinct dirait en guise d’adie
taine latitude fût laissée au choix individuel : elle aura fait que l’
intelligence
obtînt ici des résultats comparables, quant à leu
un point dont nous nous sommes occupe ailleurs, disons simplement qu’
intelligence
et instinct sont des formes de conscience qui ont
plus particulièrement des Hyménoptères ; au bout de la seconde est l’
intelligence
humaine. Instinct et intelligence ont pour objet
tères ; au bout de la seconde est l’intelligence humaine. Instinct et
intelligence
ont pour objet essentiel d’utiliser des instrumen
ale est ainsi immanente, comme un vague idéal, à l’instinct comme à l’
intelligence
; cet idéal trouve sa réalisation la plus complèt
iétés humaines n’étaient en quelque sorte lestées de variabilité et d’
intelligence
. C’est un instinct virtuel, comme celui qui est d
atrice et utilisatrice de l’outil, inventive par conséquent, qu’est l’
intelligence
. Reportons-nous sans cesse à ce qu’eût été l’obli
e domaine de la vie quand elle exige, pour réaliser certaines fins, l’
intelligence
, le choix, et par conséquent la liberté. On allég
ire, d’abord éparpillée en préceptes généraux auxquels adhérait notre
intelligence
mais qui n’allaient pas jusqu’à ébranler notre vo
eulement parce que l’émotion est un stimulant, parce qu’elle incite l’
intelligence
à entreprendre et la volonté a persévérer. Il fau
ement, et c’est à elle qu’on pense quand on oppose la sensibilité à l’
intelligence
ou quand on fait de l’émotion un vague reflet de
e se présente chez elle avec un moindre développement, ce n’est pas l’
intelligence
, c’est la sensibilité. Il s’agit, bien entendu, d
l’esprit est de ne pas voir où est précisément la différence entre l’
intelligence
qui comprend, discute, accepte ou rejette, s’en t
e a été défini une longue patience. Il est vrai qu’on se représente l’
intelligence
à part, et à part aussi une faculté générale d’at
le, plus ou moins développée, concentrerait plus ou moins fortement l’
intelligence
. Mais comment cette attention indéterminée, extér
telligence. Mais comment cette attention indéterminée, extérieure à l’
intelligence
, vide de matière, pourrait-elle, par le seul fait
e, vide de matière, pourrait-elle, par le seul fait de se joindre à l’
intelligence
, en faire surgir ce qui n’y était pas ? On sent b
éterminé, est unique comme la représentation. C’est elle qui pousse l’
intelligence
en avant, malgré les obstacles. C’est elle surtou
erce à la composition littéraire a pu constater la différence entre l’
intelligence
laissée à elle-même et celle que consume de son f
tat solide. Dans le second, il semble que les matériaux fournis par l’
intelligence
entrent préalablement en fusion et qu’ils se soli
ne les âmes et les ouvre à une certaine conception des choses. Mais l’
intelligence
reconnaîtrait-elle la supériorité de la morale qu
ie de plus, à mettre avec celles que nous connaissons ? Même si notre
intelligence
s’y rallie, nous n’y verrons jamais qu’une explic
s règles nouvelles de conduite, il y aura loin de cette adhésion de l’
intelligence
à une conversion de la volonté. Mais la vérité es
adopter et surtout pratiquer la morale, ni la morale, envisagée par l’
intelligence
comme un système de règles de conduite, ne rendra
n élan du côté de la volonté, et en représentation explicative dans l’
intelligence
. Posez, par exemple, l’émotion que le christianis
ue. Métaphysique et morale expriment la même chose, l’une en termes d’
intelligence
, l’autre en termes de volonté ; et les deux expre
issant des sentiments plus étroits qu’on embrassera l’humanité. Notre
intelligence
a beau se persuader à elle-même que telle est la
ération réelle de la vie et l’aspect qu’elle prend pour les sens et l’
intelligence
qui l’analysent, est-il étonnant qu’une âme qui n
as l’image, plus pâle et plus froide encore, qui en est restée dans l’
intelligence
ou qui s’est déposée dans le langage. La morale c
e elle a voulu les sociétés de fourmis et d’abeilles ; mais puisque l’
intelligence
était là, le maintien de la vie sociale devait êt
: intelligent, en ce que chaque pièce pouvait en être remodelée par l’
intelligence
humaine, instinctif cependant en ce que l’homme n
la nature avait prévu une certaine extension de la vie sociale par l’
intelligence
, mais une extension limitée. Elle ne pouvait pas
cation des individus ; elle n’avait donc pas prévu, en nous donnant l’
intelligence
, que celle-ci trouverait aussitôt le moyen de cou
sa sociabilité étant calculée pour aboutir à de petites sociétés, son
intelligence
étant destinée à favoriser la vie individuelle et
destinée à favoriser la vie individuelle et la vie du groupe. Mais l’
intelligence
, se dilatant par son effort propre, a pris un dév
le est relativement facile à formuler, mais non pas la seconde. Notre
intelligence
et notre langage portent en effet sur des choses
ent, chez l’homme, à certains instincts de l’animal ; il est moins qu’
intelligence
. Celui-ci est aspiration, intuition et émotion ;
lui équivaloir, toute l’intellectualité qu’on voudra ; il est plus qu’
intelligence
. Entre les deux, il y a l’intelligence même. Là f
qu’on voudra ; il est plus qu’intelligence. Entre les deux, il y a l’
intelligence
même. Là fût demeurée l’âme humaine, si elle s’ét
’à l’autre, cette demi-vertu qu’est le détachement. Nous parlons de l’
intelligence
pure, se renfermant en elle-même et jugeant que l
aurions affaire à la morale de tout le monde, si nous considérions l’
intelligence
en tant que simplement élaboratrice ou coordinatr
ion intérieure à laquelle ils avaient demandé une plus grande force d’
intelligence
et de volonté, et qui avait consolidé leur domina
re pour que l’individu déployât, dans l’intérêt même de la société, l’
intelligence
dont elle l’avait pourvu.. Telle est la constatat
l’obligation, et lors même que nous trouverions en elle tout ce que l’
intelligence
y a inséré pour l’enrichir, tout ce que la raison
de l’âme, se projettent sur le plan intermédiaire, qui est celui de l’
intelligence
. Elles seront désormais remplacées par leurs proj
s recommandations en vue de la poursuite intelligente d’une fin que l’
intelligence
pourrait aussi bien rejeter, elles sont happées p
essité avec laquelle on discute, et qui s’accompagne par conséquent d’
intelligence
et de liberté. La nécessité, d’ailleurs, est anal
la fourmilière et chaque cellule d’un tissu pour l’organisme. Mais l’
intelligence
intervient, avec la faculté de choisir : c’est un
tion inhibitrice ou régulatrice sur leurs causes. Que va donc faire l’
intelligence
? C’est une faculté que l’individu emploie nature
gent doit laisser leur part à tous les autres égoïsmes. Et si c’est l’
intelligence
d’un philosophe, elle construira une morale théor
s nous sentirions encore obligés. Nous sommes obligés cependant, et l’
intelligence
le, sait bien, et c’est pourquoi elle a tenté la
a de proprement obligatoire dans l’obligation ne vient donc pas de l’
intelligence
. Celle-ci n’explique, de l’obligation, que ce qu’
que l’instinct se trouvait en avoir momentanément besoin, une lueur d’
intelligence
. Pour peu que l’intelligence ait dérangé l’instin
avoir momentanément besoin, une lueur d’intelligence. Pour peu que l’
intelligence
ait dérangé l’instinct, vite il faudra qu’elle s’
n peu solide, et que l’obligation préexistait dans toute sa force : l’
intelligence
a simplement fait obstacle à un obstacle qui vena
erait sans doute à attribuer un rôle positif, et non pas négatif, à l’
intelligence
. Ainsi ont fait le plus souvent les théoriciens d
ue c’étaient des intellectuels qui craignaient de ne pas concéder à l’
intelligence
assez de place, soit plutôt parce que l’obligatio
ellement par une résistance, on conçoit que la résistance vienne de l’
intelligence
, la résistance à la résistance également, et que
que l’hypothèse introduite peut tout au plus justifier aux yeux de l’
intelligence
(et justifier bien incomplètement) une obligation
e qu’il s’est trouvé des hommes de génie pour reculer les bornes de l’
intelligence
, et qu’il a été concédé par là à des individus, d
e ; ils ont ensuite dû attribuer à telle ou telle représentation de l’
intelligence
la puissance d’entraîner la volonté : comme si un
ions dont les unes sont au-dessus et les autres au-dessous de la pure
intelligence
! Rétablissons la dualité d’origine : les difficu
it, dans le détail, les diverses applications. C’est sur le plan de l’
intelligence
, et sur celui-là seulement, que la discussion est
autres comme avec soi-même. Mais si un enseignement qui s’adresse à l’
intelligence
est indispensable pour donner au sens moral de l’
’intention marque une direction de la volonté autant et plus que de l’
intelligence
. Comment aura-t-on prise sur la volonté ? Deux vo
s ou que l’on considère plus particulièrement, dans l’homme social, l’
intelligence
. Tout s’éclaire au contraire, si l’on va chercher
I. Rapport du plaisir et de la douleur à la représentation et à l’
intelligence
. Théories de Leibniz et de Herbart. Le sentiment
lligence. Théories de Leibniz et de Herbart. Le sentiment est-il de l’
intelligence
confuse ? — Théorie de Hartmann. Les plaisirs et
maintenant déterminer les rapports du plaisir et de la douleur avec l’
intelligence
et avec la volonté ; question importante, dont la
ne nous sera pas enlevé d’avance. Les rapports de la sensibilité à l’
intelligence
ont donné lieu à deux systèmes principaux. Selon
nt donné lieu à deux systèmes principaux. Selon Leibniz et Herbart, l’
intelligence
est le fond même de la sensibilité, les plaisirs
nes sont des idées ou des rapports entre les idées. Selon Hartmann, l’
intelligence
est si peu le fond de la sensibilité que les plai
ués de qualités distinctives ; la qualité est l’apanage exclusif de l’
intelligence
et des idées. I Dans l’antiquité, Pythagore,
ertains rapports ». C’est là se tirer d’affaire par un mode occulte d’
intelligence
, le « raisonnement inconscient » ; c’est recourir
u se contredire : il en résultera d’abord des états particuliers de l’
intelligence
même, tels que l’indécision, le doute, la croyanc
mes et non comment les choses sont. Le souvenir est nécessaire pour l’
intelligence
proprement dite, qui implique comparaison, mais i
hauer, notamment de Hartmann, le plaisir et la douleur empruntent à l’
intelligence
les qualités qu’ils semblent avoir, mais, en eux-
lles-mêmes. À notre avis, la qualité n’est pas l’objet exclusif d’une
intelligence
insensible, elle n’a pas cette indifférence essen
différence, même d’intensité ? Nous n’avons pas d’un côté une froide
intelligence
qui contemplerait indifféremment les qualités des
aisirs, et leur langage est celui des demi-teintes. Originairement, l’
intelligence
n’a pas d’autre objet que les différents plaisirs
uel est, selon nous, le vrai rapport du plaisir et de la peine avec l’
intelligence
. En premier lieu, nous l’avons vu, le sentiment n
u’on peut retirer des systèmes qui ont voulu réduire le sentiment à l’
intelligence
jugeant les rapports des objets entre eux ou leur
on intellectuelle », parce qu’elle est d’autant plus développée que l’
intelligence
elle-même est plus développée. « Tel traumatisme
veux produit à la fois une plus grande sensibilité et une plus grande
intelligence
: ils ne prouvent nullement que la sensibilité so
intelligence : ils ne prouvent nullement que la sensibilité soit de l’
intelligence
, ils prouveraient aussi bien que l’intelligence e
sensibilité soit de l’intelligence, ils prouveraient aussi bien que l’
intelligence
est de la sensibilité. 45. V. Beitraege zur Theo
qui s’interpose entre notre conscience et nous. Voilà aussi ce que l’
intelligence
et les sens eux-mêmes nous montreraient de la mat
intéressée. Mais, préoccupée avant tout des nécessités de l’action, l’
intelligence
, comme les sens, se borne à prendre de loin en lo
t, par là même, immobiles. La conscience, se réglant à son tour sur l’
intelligence
, regarde de la vie intérieure ce qui est déjà fai
ord. Elle tient, comme la première, aux habitudes statiques que notre
intelligence
contracte quand elle prépare notre action sur les
’est dire qu’ici encore le plein succède toujours au plein, et qu’une
intelligence
qui ne serait qu’intelligence, qui n’aurait ni re
in succède toujours au plein, et qu’une intelligence qui ne serait qu’
intelligence
, qui n’aurait ni regret ni désir, qui réglerait s
oitié. On ne voit pas non plus que, si l’affirmation est un acte de l’
intelligence
pure, il entre dans la négation un élément extra-
symbolisent des concepts, est chose relative à la vie sociale et à l’
intelligence
humaine. Que je dise « le sol est humide » ou « l
tiquement dans la sensation et d’envoyer une vague représentation à l’
intelligence
hébétée. L’intelligence affirmera donc encore, en
ion et d’envoyer une vague représentation à l’intelligence hébétée. L’
intelligence
affirmera donc encore, en termes implicites. Et,
er soi-même, n’étaient de l’essence même de l’affirmation. Mais cette
intelligence
passive, qui emboîte machinalement le pas de l’ex
inexistence de l’inexistant ne s’enregistre pas. Pour qu’une pareille
intelligence
arrive à nier, il faudra qu’elle se réveille de s
es transmettra comme des représentations plus ou moins distinctes à l’
intelligence
. En ce sens, la négation de l’humidité serait cho
lait obtenir. Notre vie se passe ainsi à combler des vides, que notre
intelligence
conçoit sous l’influence extra-intellectuelle du
par un détour : il faut s’installer en elle d’emblée. C’est ce que l’
intelligence
refuse le plus souvent de faire, habituée qu’elle
t à penser le mouvant par l’intermédiaire de l’immobile. Le rôle de l’
intelligence
est, en effet, de présider à des actions. Or, dan
schéma, aspirés, en quelque sorte, par le vide de ses interstices. L’
intelligence
ne représente donc à l’activité que des buts à at
sente, immobile, le résultat de l’acte qui s’accomplit, il faut que l’
intelligence
aperçoive, immobile aussi, le milieu où ce résult
nt profondément. L’artifice de notre perception, comme celui de notre
intelligence
, comme celui de notre langage, consiste à extrair
connaissance. Pour que l’action soit toujours éclairée, il faut que l’
intelligence
y soit toujours présente ; mais l’intelligence, p
clairée, il faut que l’intelligence y soit toujours présente ; mais l’
intelligence
, pour accompagner ainsi la marche de l’activité e
rait, en effet, de renoncer aux habitudes cinématographiques de notre
intelligence
. Quand nous disons « l’enfant devient homme », ga
et sa conception du devenir. Platon et Aristote. Pente naturelle de l’
intelligence
C’est ce que firent sans ménagement les philos
ophie des Idées quand on applique le mécanisme cinématographique de l’
intelligence
à l’analyse du réel. Mais, dès qu’on met les Idée
s, puisque nous venons de décrire le mécanisme cinématographique de l’
intelligence
, il importe que nous montrions à quelle représent
ir pour une fantaisie de philosophe. Elles dessinent la vision qu’une
intelligence
systématique se donnera de l’universel devenir qu
premier : c’est du premier que la spéculation devrait partir. Mais l’
intelligence
renverse l’ordre des deux termes, et, sur ce poin
termes, et, sur ce point, la philosophie antique procède comme fait l’
intelligence
. Elle s’installe donc dans l’immuable, elle ne se
ser en logique tout ce que le physique avait de réalité positive. Son
intelligence
, faisant abstraction de la matérialité qui disten
nous apparaît, complète et toute faite, dès que nous remettons notre
intelligence
à sa vraie place, corrigeant l’écart qui la sépar
n’est donc pas une construction humaine. Elle est antérieure à notre
intelligence
, indépendante d’elle, véritablement génératrice d
-dire par ce qu’il y a d’essentiel, et pourtant d’inconscient, dans l’
intelligence
humaine. Le nous poiètikos est la Science intégra
us poiètikos est la Science intégrale, posée tout d’un coup, et que l’
intelligence
consciente, discursive, est condamnée à reconstru
ndrins, vision toujours virtuelle, jamais actuellement réalisée par l’
intelligence
consciente. Dans cette intuition nous verrions Di
ir en Idées. C’est elle qui « fait tout 101 », jouant par rapport à l’
intelligence
discursive, en mouvement dans le temps, le même r
pour remonter jusqu’à l’origine des choses, le mouvement naturel de l’
intelligence
. A vrai dire, les philosophes anciens ne l’ont ja
ne métaphysique qui est, croyons-nous, la métaphysique naturelle de l’
intelligence
humaine. On aboutit à une philosophie de ce genre
ne nous paraît pas contestable. Mais un irrésistible attrait ramène l’
intelligence
à son mouvement naturel, et la métaphysique des m
mment aussi elle répond aux exigences, avant tout pratiques, de notre
intelligence
. La science moderne, comme la science antique, pr
ans l’intervalle, la science ne s’en préoccupe pas plus que ne font l’
intelligence
commune, les sens et le langage : elle ne porte p
us, que leurs positions actuelles pourraient être relevées, et qu’une
intelligence
surhumaine pourrait, en soumettant ces données à
a nature, elle contrariera même certaines aspirations naturelles de l’
intelligence
; mais, si elle réussissait, c’est la réalité mêm
s une définitive étreinte. Par là, on ne compléterait pas seulement l’
intelligence
et sa connaissance de la matière, en l’habituant
le même sens que celle de l’univers et inverse de la matérialité. A l’
intelligence
enfin on adjoindrait l’intuition. Plus on y réflé
durée efficace, l’assimilation de l’univers à une chose donnée qu’une
intelligence
surhumaine embrasserait tout d’un coup, dans l’in
éder selon la méthode cinématographique, méthode si naturelle à notre
intelligence
, si bien ajustée aussi aux exigences de notre sci
l’état psychologique, qui se représente la possibilité, pour quelque
intelligence
surhumaine, de lire dans le cerveau ce qui se pas
entre deux ou plusieurs termes. Un rapport n’est rien en dehors de l’
intelligence
qui rapporte. L’univers ne peut donc être un syst
stème de lois que si les phénomènes passent à travers le filtre d’une
intelligence
. Sans doute cette intelligence pourrait être cell
ènes passent à travers le filtre d’une intelligence. Sans doute cette
intelligence
pourrait être celle d’un être infiniment supérieu
re d’aller aussi loin, et, pour l’effet qu’il s’agit d’obtenir ici, l’
intelligence
humaine suffit : telle est précisément la solutio
ensible la physique de Galilée. Il est vrai que, lorsqu’il parle de l’
intelligence
humaine, ce n’est ni de la vôtre ni de la mienne
nne entre la matière de la connaissance et sa forme. En voyant dans l’
intelligence
, avant tout, une faculté d’établir des rapports,
iats, que la connaissance n’est pas entièrement résoluble en termes d’
intelligence
. Il réintégrait dans la philosophie, mais en le m
’absolu ? Comme d’ailleurs, au cours de cette opération, on verrait l’
intelligence
surgir d’elle-même, se découper dans le tout de l
ère extra-intellectuelle, il croyait cette matière ou coextensive à l’
intelligence
, ou plus étroite que l’intelligence. Dès lors, il
cette matière ou coextensive à l’intelligence, ou plus étroite que l’
intelligence
. Dès lors, il ne pouvait plus songer à découper l
que l’intelligence. Dès lors, il ne pouvait plus songer à découper l’
intelligence
en elle, ni par conséquent à retracer la genèse d
e acceptés tels quels, tout faits. Entre la matière présentée à notre
intelligence
et cette intelligence même il n’y avait aucune pa
tout faits. Entre la matière présentée à notre intelligence et cette
intelligence
même il n’y avait aucune parenté. L’accord entre
n’y avait aucune parenté. L’accord entre les deux venait de ce que l’
intelligence
imposait sa forme à la matière. De sorte que non
is la matière même de cette connaissance semblait trop triturée par l’
intelligence
pour qu’on pût espérer l’atteindre dans sa pureté
ns différents et peut-être opposés, l’un conforme à la direction de l’
intelligence
, l’autre contraire. Il n’y a pour lui qu’une expé
ligence, l’autre contraire. Il n’y a pour lui qu’une expérience, et l’
intelligence
en couvre toute l’étendue. C’est ce que Kant expr
rait une intuition du psychique, et plus généralement du vital, que l’
intelligence
transposerait et traduirait sans doute, mais qui
erait et traduirait sans doute, mais qui n’en dépasserait pas moins l’
intelligence
. Il y aurait, en d’autres termes, une intuition s
ment du sens de la première), et si c’est du côté de la seconde que l’
intelligence
se porte naturellement, il n’y a pas de différenc
e porte naturellement, il n’y a pas de différence essentielle entre l’
intelligence
et cette intuition même. Les barrières s’abaissen
et propre) s’engendrer l’une l’autre par une adaptation réciproque, l’
intelligence
se modelant sur la corporéité et la corporéité su
, l’intelligence se modelant sur la corporéité et la corporéité sur l’
intelligence
. Mais cette dualité d’intuition, Kant ne voulait
épurée, je veux dire dégagée, là où il le faut, des cadres que notre
intelligence
a constitués au fur et à mesure des progrès de no
pondance entre l’esprit et la matière ? Spencer a raison de définir l’
intelligence
par cette correspondance. Il a raison d’y voir le
mposition, tel que nous l’apercevons aujourd’hui, on se donne aussi l’
intelligence
, telle qu’elle est aujourd’hui, car c’est par rap
tant l’Insecte, en tant qu’intelligent, a déjà quelque chose de notre
intelligence
. Chaque être décompose le monde matériel selon le
oposerait de rechercher par quel modus vivendi graduellement obtenu l’
intelligence
a adopté son plan de structure, et la matière son
n’avaient pas seulement sauvé leur vie ; ils avaient sauvé aussi leur
intelligence
et leur mémoire ; ils avaient transmis aux patria
e que le travail humain avait déjà transformé le globe. Il divinise l’
intelligence
ou ce qu’il appelle la sagesse de l’homme. « Il
ur à la lumière. « Mais où trouver la sagesse ? où est le séjour de l’
intelligence
? « L’homme ignore son prix ; elle n’habite pas l
s plus précieux. « D’où vient donc la sagesse ? où est le séjour de l’
intelligence
? « Elle est cachée aux yeux des mortels, elle es
homme : Craindre le Seigneur, voilà la sagesse ; fuir le mal, voilà l’
intelligence
. » Par une réminiscence naturelle, un retour sur
u quand je jetais les fondements de la terre ? Dis-le-moi, si tu as l’
intelligence
. « Qui en a établi les mesures ? le sais-tu ? qui
ici ? « Qui a prescrit des lois à sa marche irrégulière ? qui donne l’
intelligence
à des météores ? « Qui peut compter les nuées et
inutile ; « Car Dieu l’a privée de la sagesse et ne lui a pas donné l’
intelligence
. « Mais, lorsqu’il en est temps, quand elle élève
erveilles que je ne comprenais pas, des prodiges qui surpassaient mon
intelligence
. Inspirez-moi, et j’oserai parler ! Laissez-moi v
n’est que du vent, et c’est la seule inspiration de Dieu qui donne l’
intelligence
……… « Je dirai donc à regret : Écoutez-moi à mon t
composée de trois facultés distinctes et évidemment immatérielles, l’
intelligence
, le sentiment et la conscience. L’intelligence c
ment immatérielles, l’intelligence, le sentiment et la conscience. L’
intelligence
comprend et pense. Le sentiment aime ou abhorre.
ense. Le sentiment aime ou abhorre. La conscience juge et gouverne. L’
intelligence
seule est une faculté froide, qui, semblable au r
atériel, voit le feu sans s’embraser. Il n’y a point de mérite dans l’
intelligence
seule ; il n’y a qu’un don : elle n’est pas libre
e réfléchit forcément la création que Dieu lui présente à regarder. L’
intelligence
est de sa nature immobile ; elle resterait pendan
éateur de juger et de gouverner l’âme. C’est de cet équilibre entre l’
intelligence
et le sentiment, équilibre rompu sans cesse par l
XIV Qu’est-ce qui dit tout cela en vous ? me demande-t-on. C’est l’
intelligence
. Et que vous dit de plus cette intelligence sur s
me demande-t-on. C’est l’intelligence. Et que vous dit de plus cette
intelligence
sur sa propre existence ? sur le monde intérieur
ue vos sens matériels le perçoivent. XV Que conclut de plus mon
intelligence
en se repliant sur soi-même ? Elle conclut, parce
sse à l’affranchissement et à la vie. Voilà, dans l’âme, le rôle de l’
intelligence
pure : elle voit, elle pense, elle apprécie sa si
de cause, et qui s’engendre de soi-même. Cela dépasse la portée de l’
intelligence
des hommes, des anges, et vraisemblablement de to
aisemblablement de tous les êtres créés dans les règles logiques de l’
intelligence
. L’effet sans cause, ou Dieu, est absurde, et, si
reconnaître, par le même acte de foi et d’humilité, que notre sublime
intelligence
n’est cependant pas infinie, et que, toute vaste
n’est cependant pas infinie, et que, toute vaste qu’elle soit, cette
intelligence
a une borne, et que cette borne est Dieu. Mais il
ne saurait avoir d’égal. C’est le sort de l’âme considérée comme pure
intelligence
. XVI Mais si l’âme n’était qu’intelligence,
onsidérée comme pure intelligence. XVI Mais si l’âme n’était qu’
intelligence
, elle serait sans activité, sans moralité, et par
ntact par ses sensations avec la matière, si inférieure cependant à l’
intelligence
. C’est par là que cette âme souffre, qu’elle joui
une activité organique qu’elle n’aurait pas eue si elle n’eût été qu’
intelligence
, il lui fallait, pour diriger et juger cette acti
ger cette activité, une troisième faculté d’une nature supérieure à l’
intelligence
et au sentiment. Cette troisième faculté de l’âme
ment notre âme, car elle lui donne ce que les deux autres facultés, l’
intelligence
et le sentiment, ne lui donnent pas : la moralité
e Dieu innée en nous, d’autant plus sainte qu’elle n’est pas libre. L’
intelligence
peut se tromper, le sentiment peut s’égarer ; la
et chimère à Dieu. Mais nous ne pouvons raisonner et sentir qu’avec l’
intelligence
, le sentiment et la conscience que Dieu nous a do
, il fallait qu’il y eût combat méritoire et à armes égales entre son
intelligence
et ses passions ; il fallait que sa conscience fû
maginer, de sentir, de penser, d’aimer, plus il est froissé, dans son
intelligence
et dans sa sensibilité, par ce milieu humain où r
oca affirme que le degré de capacité des crânes correspond au degré d’
intelligence
des différentes races. Ainsi tous les auteurs ont
La race mongolique est supérieure à la race noire, et dans celle-ci l’
intelligence
du nègre d’Amérique ou d’Afrique est encore supér
veau s’arrête plus tôt, fait très favorable à l’hypothèse qui place l’
intelligence
dans la partie frontale du cerveau ; mais ceci to
ccroît encore est dans une. condition meilleure pour l’éducation de l’
intelligence
qu’une tète plus grande dont le développement est
que Gratiolet était très opposé à la méthode qui tendrait à mesurer l’
intelligence
des hommes, et surtout des hommes supérieurs, par
ment, que la méthode des pesées soit si incertaine ! Nous aurions des
intelligences
de 1000 grammes, de 1500 grammes, de 1800 grammes
rsitaire ne prouve pas nécessairement le génie. On peut déployer de l’
intelligence
d’une autre manière que dans les sciences. Les ho
ces derniers que chez les autres hommes. A ceux qui prétendent que l’
intelligence
réside dans la partie antérieure du cerveau, M. L
ngée, qui, depuis Vésale, est généralement attribuée à une plus forte
intelligence
. Ces trois propositions sont au nombre des plus i
atériels, cette chose impalpable, légère et ailée, que l’on appelle l’
intelligence
. N’oublions pas une dernière circonstance par laq
par laquelle on a cherché à expliquer la diversité et l’inégalité des
intelligences
, à savoir la composition chimique du cerveau, qui
pensée ». Le phosphore est devenu le grand agent de la pensée et de l’
intelligence
, le stimulant universel, l’âme elle-même. Un célè
inge et chez l’homme. On trouve en effet que l’animal qui a le plus d’
intelligence
, à savoir le singe, est précisément celui qui se
arant le singe aux races inférieures de l’humanité, en montrant que l’
intelligence
va en se dégradant toujours dans les diverses rac
à ma première question : le singe étant si inférieur à l’homme par l’
Intelligence
, comment lui est-il si semblable par l’organisati
s cette Histoire de la circulation du sang, vous avez l’Instinct et l’
intelligence
des animaux, une question qu’un fils de Buffon, c
livrés de M. Flourens, celui-là qu’il a intitulé : de la Vie et de l’
Intelligence
, et sur lequel je crois nécessaire de m’arrêter.
à la philosophie générale. Eh bien ! c’est ce livre de la Vie et de l’
Intelligence
qui fait le mieux mention de ces services. Philos
ieuses et très concluantes, et la seconde, c’est la localisation de l’
intelligence
dans le cerveau, dont il prouva physiologiquement
t ce second coup mortel et qui en finissait, fut la localisation de l’
intelligence
dans le cerveau ! Rien de plus curieux que la dém
s, rapportée avec beaucoup de détails dans le livre de la Vie et de l’
Intelligence
, et avec cette clarté qui est le don de son talen
matérialistes, il montra que le cerveau était le siège exclusif de l’
intelligence
; que l’ablation d’un de ses tubercules détermina
t cérébral, et que la sensibilité n’était et ne pouvait jamais être l’
intelligence
, pas plus que l’idée, la sensation. Contrairement
bilité n’existant que dans les nerfs et dans la moelle épinière, et l’
intelligence
étant le cerveau, où n’est pas la sensibilité. Et
es adversaires (car c’était une preuve physiologique) de l’unité de l’
intelligence
, concluant que la physiologie répétait le témoign
e sait, Bossuet n’en était pas plus petit. L’auteur de la Vie et de l’
Intelligence
n’est donc pas moins fort, parce qu’il est gracie
les principes de la tradition avec les recherches érudites dites et l’
intelligence
historique du génie divers des peuples » ; et, bi
ace petite. Je ne trouve pas que nous ayons l’esprit trop large, ni l’
intelligence
trop ouverte. On est confondu de la petitesse des
tique littéraire. Le goût a ceci d’original, qu’il est subordonné à l’
intelligence
, mais à l’intelligence à l’état vague, non pas à
ût a ceci d’original, qu’il est subordonné à l’intelligence, mais à l’
intelligence
à l’état vague, non pas à telle ou à telle notion
igence à l’état vague, non pas à telle ou à telle notion précise de l’
intelligence
. La brute, l’idiot n’ont point de goût ; mais le
et homme poli ou mieux encore cette femme aimable, qui se sert de son
intelligence
sans savoir comment, de même qu’elle respire sans
ogique ; il n’est ni absolument libre, ni esclave ; il est soumis à l’
intelligence
, comme à un joug nécessaire, si aisément porté qu
r que les progrès du goût sont directement en proportion de ceux de l’
intelligence
, et que, plus l’intelligence s’agrandit, plus le
t directement en proportion de ceux de l’intelligence, et que, plus l’
intelligence
s’agrandit, plus le goût se perfectionne. Mais vo
ction a quelque chose d’antihumain. Elle a si peur de n’être pas tout
intelligence
, de conserver la moindre apparence d’âme, de part
Taine De l’
Intelligence
. [Le Constitutionnel, 20 avril 1870.] I Je
] I Je ne crois pas que par ce livre, d’un titre écrasant : De l’
Intelligence
, Taine, ce Paradol de la philosophie, à qui la re
des gros messieurs de la philosophie et de la science, ce livre De l’
Intelligence
, qui a pour visée de nous dire de quoi elle est f
écrit, — ou plutôt il les fait décrire aux autres ; car ce livre de l’
Intelligence
n’est que le livre de la mémoire. Il est construi
t pas : « Sensation et image, — dit-il en commençant, — voilà toute l’
intelligence
humaine ! » Ainsi, la grande réserve de Leibnitz,
e de Leibnitz, qui disait que tout était dans la sensation, excepté l’
intelligence
elle-même, est envoyée paître, et c’était à Taine
dance de la sensation et de l’image à renaître. » Et si c’est toute l’
intelligence
que cela, c’est aussi tout le livre. Le reste n’e
qu’elle devienne. Or, je sais où la sensation, affirmée comme étant l’
intelligence
elle-même, peut nous mener, et ceci me suffit pou
é philosophique, assez dénuée aujourd’hui dans l’auteur du livre De l’
Intelligence
, pour qu’il me fasse l’effet d’être nu comme un p
distinction absolue est illusoire. Sensations, sentiments, instincts,
intelligence
, tout cela constitue un monde à part, mais qui so
t impossible de dire à un certain moment de la série : Ici commence l’
intelligence
. » Si du savant qui poursuit ses recherches avec
tion ; et si, finalement, nous remarquons que chacune des phases de l’
intelligence
, énumérées ici, se fond dans les voisines par des
’on ne peut effectuer de séparation précise entre les phénomènes de l’
intelligence
et ceux de la vie en général. » L’autre base de
les phrases. On est donc conduit à cette conclusion nécessaire, que l’
intelligence
n’a pas de degrés distincts, qu’elle n’est pas fo
que puissent paraître les oppositions entre ces diverses formes de l’
intelligence
, elles ne peuvent être rien autre chose que des m
mment à l’unité. La forme sérielle est donc le caractère spécial de l’
intelligence
. « Une série continue de changements étant ainsi
les uns les autres d’une manière particulière, l’existence même de l’
intelligence
en est un témoignage. Le problème consiste donc à
à déterminer leur ordre », c’est-à-dire à déterminer a loi même de l’
intelligence
. L’intelligence, comme la vie, consiste dans une
ur ordre », c’est-à-dire à déterminer a loi même de l’intelligence. L’
intelligence
, comme la vie, consiste dans une correspondance.
les de cohésion. Pour que la correspondance se réalise, il faut que l’
intelligence
reproduise aussi tous ces degrés. Aux séquences e
ernes qui les représentent, et ainsi de suite. En un mot, la loi de l’
intelligence
peut se formuler ainsi : « La force de la tendanc
rnes qu’ils représentent. » « Dire cependant que c’est là la loi de l’
intelligence
, ce n’est nullement dire qu’elle est remplie par
l’intelligence, ce n’est nullement dire qu’elle est remplie par toute
intelligence
de nous connue. C’est la loi de l’intelligence in
est remplie par toute intelligence de nous connue. C’est la loi de l’
intelligence
in abstracto et les intelligences existantes la r
ce de nous connue. C’est la loi de l’intelligence in abstracto et les
intelligences
existantes la remplissent à des degrés plus ou mo
existantes la remplissent à des degrés plus ou moins imparfaits. » L’
intelligence
considérée dans son fond se réduit donc à l’assoc
e faisceau de cette division144. » Après avoir déterminé la loi de l’
intelligence
, examinons maintenant les phases successives de s
inct, non comme le fait le vulgaire pour désigner toutes les sortes d’
intelligence
autres que celle de l’homme, mais en le restreign
chose de plus élevé. » De là résulte la mémoire. Ces deux modes de l’
intelligence
se transforment l’un dans l’autre. De même que l’
stique, n’arriveraient-ils pas à un degré égal et à une même espèce d’
intelligence
? Comprise sous sa forme courante, l’hypothèse ex
M. Herbert Spencer, c’est qu’il existe entre tous les phénomènes de l’
intelligence
une unité de composition149. Il y a identité de n
t le plus général. » Nous allons défaire pièce à pièce l’édifice de l’
intelligence
humaine, en commençant par le faîte. Nous enlèver
t la géométrie, dans tout raisonnement quantitatif quel qu’il soit, l’
intelligence
parcourt une série d’identités. Les rapports qu’i
nécessairement les premiers matériaux rassemblés dans la genèse de l’
intelligence
. Et comme, durant la vie, ces impressions sont co
és au dernier terme de notre analyse. Le rapport le plus simple que l’
intelligence
puisse percevoir, c’est un rapport de séquence ou
nce ; le deuxième acte, la perception d’une ressemblance. Dès lors, l’
intelligence
est constituée. Assimiler et différencier, voilà
cience simplement comme les images traversent un miroir, alors aucune
intelligence
n’est possible, si longtemps d’ailleurs que dure
ence n’est possible, si longtemps d’ailleurs que dure le processus. L’
intelligence
ne peut naître que par l’organisation, l’arrangem
us importantes, qui constituent le progrès mental. Chaque fois qu’une
intelligence
développée découvre quelque distinction entre des
ne différenciation d’états de conscience. Et chaque fois aussi qu’une
intelligence
développée reconnaît comme étant essentiellement
raison, d’autre part sentiment et volonté. Si maintenant, prenant une
intelligence
humaine adulte dans le plein exercice de ses facu
la conscience des peuples ; c’est que ce livre est écrit par une des
intelligences
non complètes (il n’y en a point de complète deva
a Providence, qui a seule le mot des événements), mais par une de ces
intelligences
les plus lumineuses, les plus précises, les plus
enant dans le sens honnête, les plus correspondantes à la moyenne des
intelligences
, dont un écrivain ait jamais été doué par la natu
arrête plus en eux qu’à la mort ; hommes qui grandiraient toujours en
intelligence
, en sagacité, en talent, si Dieu n’avait pas mis
pour nos opinions m’empêchassent d’admirer de plus près une si belle
intelligence
, et qu’un tel homme vécût à quatre pas de moi san
toire et de revendiquer pour lui seul le mérite du grand historien, l’
intelligence
. Nous n’en croyons rien : la jalousie est une pet
en lui une théorie de circonstance. Ce système qui rapporte tout à l’
intelligence
est l’homme même. Tel historien, telle histoire.
et je dis tout de suite que, dans mon opinion, cette qualité, c’est l’
intelligence
. « Je prends ici ce mot dans son acception vulgai
du nom d’esprit, parce que le brillant y manque, mais qu’on appelle l’
intelligence
, parce que celui qui en paraît doué saisit sur-le
de rien, quoique souvent affligé de tout. C’est là ce qui s’appelle l’
intelligence
, et bientôt, à la pratique, cette simple qualité,
s de l’esprit, le génie excepté, parce qu’il n’est, après tout, que l’
intelligence
elle-même, avec l’éclat, la force, l’étendue, la
ne l’expérience, née de la pratique. En effet, avec ce que je nomme l’
intelligence
on démêle bien le vrai du faux, on ne se laisse p
tions, a su tenir son cœur au niveau du bon, du beau et du grand. « L’
intelligence
est donc, selon moi, la faculté heureuse qui, en
ents qui nous ont touché et il pourra enfanter des chefs-d’œuvre… « L’
intelligence
complète des choses en fait sentir la beauté natu
it… Pour les rendre que faut-il ? Les comprendre… « C’est la profonde
intelligence
des choses qui conduit à cet amour idolâtre du vr
. » Et M. Thiers termine par ce beau résumé cette glorification de l’
intelligence
en faisant de l’intelligence et de la justice une
ce beau résumé cette glorification de l’intelligence en faisant de l’
intelligence
et de la justice une même qualité dans l’historie
e Dieu dans la main des hommes ! » IX Cette belle théorie de l’
intelligence
, comme qualité première et fondamentale de l’hist
en reconnaissions pas la justesse. Cependant l’histoire n’est-elle qu’
intelligence
? M. Thiers ne le dit pas, mais il fait tellement
Thiers ne le dit pas, mais il fait tellement prédominer ce culte de l’
intelligence
dans sa théorie, comme l’intelligence prédomine e
lement prédominer ce culte de l’intelligence dans sa théorie, comme l’
intelligence
prédomine en lui et dans son livre, que cette qua
it pour le sentir dans le cœur et pour le juger dans la conscience. L’
intelligence
, faculté pour ainsi dire neutre et indifférente,
tes empruntées à sa propre surface, nous dirons que c’est rabaisser l’
intelligence
que de l’assimiler à un miroir inerte. Une glace
l’intelligence que de l’assimiler à un miroir inerte. Une glace est l’
intelligence
de la matière. Dans l’ordre matériel, le miroir d
cette condition qu’il fait penser, sentir, juger son lecteur. Avec l’
intelligence
seule il est une glace ; avec la pensée, le senti
ang qu’il aurait réfléchis dans sa métallique et immorale limpidité d’
intelligence
. Ce n’est pas là la pensée de M. Thiers, nous le
e savons bien, mais c’est là où conduirait sa théorie historique de l’
intelligence
supérieure à tout dans le récit des événements hu
ntelligence supérieure à tout dans le récit des événements humains. L’
intelligence
, selon nous, n’est ni supérieure ni inférieure da
conscience qui fait juger, ne sont ni plus ni moins nécessaires que l’
intelligence
. Avec l’intelligence seule vous avez le fait, que
uger, ne sont ni plus ni moins nécessaires que l’intelligence. Avec l’
intelligence
seule vous avez le fait, que M. Thiers semble pré
eule vous avez le fait, que M. Thiers semble préférer à tout ; avec l’
intelligence
, l’émotion, la pensée, la conscience et le talent
ieux ; c’était Richepanse, qui joignait à une bravoure audacieuse une
intelligence
rare, et qui rendit bientôt à Moreau, dans les ch
s considérations n’échappent pas toutes à M. Thiers lui-même. Sa vive
intelligence
se colore, comme on va le voir, des impressions d
la fierté de son âme, sa bravoure à la fois audacieuse et calme, son
intelligence
prompte et sûre, en faisaient sur les champs de b
conquis par nos armes. Son esprit solide et profondément cultivé, son
intelligence
de la guerre, son application à ses devoirs, son
on l’appelle le noumène, c’est-à-dire ce qui est purement conçu par l’
intelligence
, ou l’intelligible. Par ce mot d’intelligible, il
ntendre le compréhensible, ni même une chose vraiment saisissable à l’
intelligence
par quelque moyen que ce soit : c’est, au contrai
par quelque moyen que ce soit : c’est, au contraire, ce qui dépasse l’
intelligence
proprement dite, ce qui est en dehors d’elle et d
ssable ; c’est tout ce qui est phénomène ou loi de phénomènes. Mais l’
intelligence
en vient à se demander s’il n’y a pas de l’inconn
ité inconnaissable non seulement pour nous, mais en soi et pour toute
intelligence
, une réalité qui existerait parce qu’elle exister
une idée toute problématique, mais qui n’en agit pas moins sur notre
intelligence
et notre volonté. L’action de cette idée sur notr
notre intelligence et notre volonté. L’action de cette idée sur notre
intelligence
consiste en ce qu’elle excite la spéculation à re
n Quand on applique l’idée d’infini à une qualité, par exemple à l’
intelligence
, à la puissance, au bonheur, non plus seulement à
à soulever, peut être également plus ou moins intense. De même, notre
intelligence
peut s’appliquer à une quantité d’objets plus ou
ainsi l’idée d’une béatitude infinie, d’une puissance infinie, d’une
intelligence
embrassant tout dans sa science infinie, etc. Les
vons des diverses qualités positives. Nous disons, par exemple, que l’
intelligence
est quelque chose de positif, parce qu’elle conna
joie, laquelle est une affection de notre sensibilité. Nous jugeons l’
intelligence
bonne, parce que nous jouissons de connaître et d
us trouvons en nous-mêmes, le côté négatif de notre bonheur, de notre
intelligence
, de notre puissance ; le reste est donc constitué
issance et l’acte, et je conçois alors le suprême degré d’activité, d’
intelligence
, de béatitude. La pensée de la personnalité parfa
s un seul moi, doué d’attributs qui se distinguent par leurs effets :
intelligence
, sensibilité, volonté. En réunissant ces attribut
es éléments sans pensée, ou du moins sans volonté, et qu’en ce sens l’
intelligence
, ou plutôt la volonté, doit être innée à elle-mêm
rte qu’on appellerait avec raison les premiers le sens, les seconds l’
intelligence
du genre humain. On peut dire de l’espèce ce qu’A
e de l’espèce ce qu’Aristote dit de l’individu : Il n’y a rien dans l’
intelligence
qui n’ait été auparavant dans le sens ; c’est-à-d
que les sens ne lui aient donné auparavant occasion de comprendre. L’
intelligence
, pour remonter au sens étymologique, inter legere
nce, pour remonter au sens étymologique, inter legere, intelligere, l’
intelligence
agit lorsqu’elle tire de ce qu’on a senti quelque
a deux parties constituantes, l’esprit et le cœur, ou si l’on veut, l’
intelligence
et la volonté. La sagesse doit développer en lui
deux puissances à la fois, la seconde par la première, de sorte que l’
intelligence
étant éclairée par la connaissance des choses les
es divines, c’est-à-dire la métaphysique, qui cherchant à connaître l’
intelligence
de l’homme par la contemplation de Dieu, doit ten
enseignera tout. >Eschyle. J’avais depuis longtemps l’idée que l’
intelligence
humaine s’est maintenue, à travers les siècles, i
n universelle admise par les esprits scientifiques. Si tout évolue, l’
intelligence
doit évoluer aussi, et si tout évolue vers un éta
te simplicité. Mais je me suis toujours appliqué à dissocier l’idée d’
intelligence
en ses deux éléments fondamentaux : la faculté in
l’autre part son soutenu, la notion. Si l’on compare grossièrement l’
intelligence
à une éponge, on comprendra fort bien que cette é
u, ou vide, sèche, sans que sa capacité soit augmentée ou diminuée. L’
intelligence
humaine a, quelque jour, atteint son maximum de c
français d’aujourd’hui. Si, maintenant, nous songeons au contenu de l’
intelligence
, si nous mesurons la notion comparativement dans
ui à notre disposition ne semble pas avoir la moindre influence sur l’
intelligence
même. C’est un fait d’expérience vulgaire, à qui
s toutes les classes de la société, qu’il n’y a aucun rapport entre l’
intelligence
et l’instruction. Après vingt ans et trente ans d
Cafre reste un Cafre. Le vulgaire confond toujours l’instruction et l’
intelligence
: il y a des illettrés fort intelligents ; seulem
ntelligence : il y a des illettrés fort intelligents ; seulement leur
intelligence
ne s’exerce que sur un petit nombre de notions us
st armé d’une carabine à répétition. Il faut donc considérer à part l’
intelligence
et contenu de l’intelligence. Je me souviens ici
tition. Il faut donc considérer à part l’intelligence et contenu de l’
intelligence
. Je me souviens ici de ces vers de Gray, dans le
r séquanien. Il dut, sous peine de mort, reculer. C’est alors que son
intelligence
lui fit découvrir le feu. On peut imaginer cette
e conquête, un tel animal est déjà profondément intelligent, et d’une
intelligence
incomparable. Dire que l’homme a découvert le feu
pour combler une lacune thermique, préjudiciable à son activité : son
intelligence
ne lui permettait pas d’accepter la vie ralentie
urs, plus aptes que les produits ordinaires à manier et à conserver l’
intelligence
. Il semble que l’on puisse essayer ici une applic
les mêmes circonstances se rencontrent. Ainsi, les possibilités de l’
intelligence
humaine sont toujours à un niveau constant. Quand
au constant. Quand la civilisation égyptienne dépasse les forces de l’
intelligence
égyptienne, l’intelligence grecque vient, qui pro
isation égyptienne dépasse les forces de l’intelligence égyptienne, l’
intelligence
grecque vient, qui produit l’effort nécessaire ;
ffort nécessaire ; quand c’est la civilisation grecque, qui déborde l’
intelligence
grecque, voici surgir l’intelligence romaine ; qu
ilisation grecque, qui déborde l’intelligence grecque, voici surgir l’
intelligence
romaine ; quand c’est la civilisation romaine qui
nd c’est la civilisation romaine qui échappe à ses créateurs, voici l’
intelligence
celto-germanique. Les mêmes mouvements ont eu lie
métaux. On peut habiter une caverne et être doué de sensibilité et d’
intelligence
; Moïse et Mahomet vécurent sous la tente et n’en
; il peut s’adonner à jouir de toute sa sensibilité et n’exercer son
intelligence
qu’à varier ses plaisirs : il sera, tout autant q
ives ses sont présentées, non pas avec des aptitudes supérieures, une
intelligence
plus vaste, mais chacune avec une intelligence to
tudes supérieures, une intelligence plus vaste, mais chacune avec une
intelligence
toute neuve, avec une curiosité plus naïve et plu
par un groupe nouveau, hier encore profondément ignorant, mais d’une
intelligence
égale à celle du groupe précédent, demeuré en éta
uvée par la dégradation même, par la disparition même, des races où l’
intelligence
se manifesta le plus anciennement. En effet, si l
et ce qui n’est pas admissible. Ce n’est pas admissible, parce que l’
intelligence
humaine est un produit de la physiologie humaine
conditions des origines8. » Je pense que cette loi est applicable à l’
intelligence
; je pense que l’intelligence est particulièremen
pense que cette loi est applicable à l’intelligence ; je pense que l’
intelligence
est particulièrement tributaire du « haut fonctio
mmuables, la physiologie est constante ; produit de la physiologie, l’
intelligence
est constante. Cette constance ne doit pas, bien
xistence du groupe humain, les manifestations du plus haut degré de l’
intelligence
humaine sont possibles. Ajoutons que, non seuleme
luxe, religion, poésie, peinture, danse, et cet usage somptuaire de l’
intelligence
, la pensée. L’homme des cavernes n’est pas une br
euves de son génie. Comment ne pas lui reconnaître, avec une certaine
intelligence
quotidienne, cette sorte de sensibilité sans laqu
intelligence quotidienne, cette sorte de sensibilité sans laquelle l’
intelligence
elle-même est impossible ? Il était d’ailleurs, d
la France scientifique, n’a pas encore la place qu’il mérite dans les
intelligences
et les admirations13. Ses travaux avaient prouvé
omme n’a pas été nécessairement à l’origine l’homme intelligent ; son
intelligence
ôtée, l’homme blanc d’aujourd’hui n’en serait ni
certaine, c’est que l’homme, animal tropical, s’il a pu vivre sans l’
intelligence
antérieurement aux périodes glaciaires, n’a pu tr
cela n’est arrivé. L’homme fut sauvé par un autre moyen : il acquit l’
intelligence
. De là l’invention du feu, des vêtements, des mai
cher sous les tropiques la seule vie que puisse vivre un primate sans
intelligence
. La cause du génie de l’homme est donc une cause
iers nés parmi les mammifères. Rien cependant ne permet de dire que l’
intelligence
n’aurait pu tomber sur une espèce plus récente, e
un jour ou l’autre. L’hypothèse d’une nouvelle espèce animale douée d’
intelligence
n’est pas anti-philosophique. L’humanité actuelle
res, et ces excitants nécessaires lui sont en même temps dangereux. L’
intelligence
, d’autre part, cultivée à l’excès, transforme la
ontraire qu’il y fleurissait avec abondance. Des diverses formes de l’
intelligence
, le génie fut peut-être la plus primitive. Chau
mazones ; ici commence la barre de fer qui sera le « Dreadnought ». L’
intelligence
humaine fut toujours, en son essence, pareille à
pécialisation très forte, il n’est pas primitif, il coïncide avec des
intelligences
capables d’abstraction, d’idées générales. L’idée
tion est liée à celle du génie considéré comme primitif et opposé à l’
intelligence
signe d’évolution. C’est une question que j’essai
a été analysée jusqu’ici, semble rentrer dans les manifestations de l’
intelligence
plutôt que du génie. En suivant les faits tels qu
usa, Copernic, Kepler, Galilée, Newton se réunissent pour maintenir l’
intelligence
humaine au niveau primitif ; ils en prouvent la c
la primitivité du génie, considéré comme une forme particulière de l’
intelligence
. Le génie se rapproche de l’instinct, en ce qu’il
telligence. Le génie se rapproche de l’instinct, en ce qu’il est de l’
intelligence
spécialisée, mais il s’en éloigne, en ce qu’il es
Le génie participe de l’inconscience instinctive, mais également de l’
intelligence
consciente. L’instinct est fixe dans l’individu c
l’instinct ; lui aussi, en une mesure très notable, il participe de l’
intelligence
consciente. Les animaux à métier ne construisent
de l’instinct, en même temps qu’elle montrerait ces deux formes de l’
intelligence
, bien plus que l’on ne les voit d’abord, pénétrée
t d’abord, pénétrées, vivifiées par la conscience d’agir. Finalement,
intelligence
, génie, instinct, ne présenteraient peut-être plu
t est un fait qui ne se discute pas, on conçoit que la constance de l’
intelligence
ou la constance du génie chez les animaux échappe
le lecteur une émotion du même ordre que celle qui les a dictées31. L’
intelligence
générale, le travail, la connaissance approfondie
omme ignorant, sans lecture, sans expérience, et, point capital, sans
intelligence
générale, produit en se jouant, et presque sans y
itif ? Entre l’homme très intelligent et les autres hommes de moyenne
intelligence
, il y a toute une série de dégradations. On passe
e surgit, on ne sait où le caser. L’homme de génie n’a souvent qu’une
intelligence
générale très limitée, une intelligence qui, du m
e de génie n’a souvent qu’une intelligence générale très limitée, une
intelligence
qui, du moins, n’est pas en rapport logique avec
grands sculpteurs, de grands musiciens à peu près dépourvus de vraie
intelligence
. Leur génie s’exerçait comme s’exerce l’instinct,
énie du calcul n’est pas très rare. Il coïncide très souvent avec des
intelligences
enfantines : des mathématiciens illustres, qui n’
e, mais, en général, l’homme de génie est un enfant. Cette forme de l’
intelligence
a donc totalement échappé à l’évolution. Elle se
oint de vue, que la loi de constance universelle est un postulat de l’
intelligence
, au même titre que l’espace et que le temps. Elle
difient la civilisation et la civilisation modifie les tendances de l’
intelligence
; ainsi s’accomplit l’évolution intellectuelle. E
ûr ; mais le cerveau est peu développé et il y aurait déchéance, si l’
intelligence
était autre chose qu’un moyen de défense contre l
. Notre état de civilisation est le produit momentanément final d’une
intelligence
qui, invariable en son principe, se diversifie pa
ésistance, il l’attribue déjà au mouvement. Boscovich était une belle
intelligence
, à laquelle il n’a peut-être manqué que de pouvoi
autres animaux ; bien que les fourmis et les abeilles manifestent une
intelligence
très remarquable, on n’a jamais songé à classer à
mme ; un génie n’en est pas moins un homme : et cependant, si c’est l’
intelligence
que l’on considère, quelle distance entre eux ! D
s cependant le remercier, ce créateur inconnu, puisque, grâce à notre
intelligence
, nous nous repaissons aussi des agneaux, ce qu’un
qui nous sépare des oiseaux. N’oublions jamais, d’ailleurs, que notre
intelligence
n’est qu’un accident heureux. Le grand humoriste
ujourd’hui, M. Bergson, tient toujours pour l’opposition absolue de l’
intelligence
et de l’instinct. Je crois au contraire que l’ins
et de l’instinct. Je crois au contraire que l’instinct n’est que de l’
intelligence
automatique. Un homme qui s’observe, au bout de q
L’instinct analysé montrerait presque toujours au moins des traces d’
intelligence
. Mais l’intelligence, dans les actes des animaux,
ontrerait presque toujours au moins des traces d’intelligence. Mais l’
intelligence
, dans les actes des animaux, n’intervient que si
considérer l’instinct comme absolument fixe et comme irréductible à l’
intelligence
, mais les faits qu’il a observés avec tant de soi
tinct, je le reconnais, difficilement explicable par l’évolution de l’
intelligence
. C’est le plein mystère, et qui devient encore pl
opéenne qui, pendant dix-huit cents ans, a cru qu’il était la suprême
intelligence
? D’ailleurs, nous ne savons à peu près rien de s
ents émus et même pleurards. Guillaume, bien supérieur à son frère en
intelligence
et en talent, se laissa rarement attendrir. Un Di
ut le dire, méritaient cet honneur, par la hardiesse, le courage et l’
intelligence
de leurs montagnards. M. Lefébure, qui leur doit
propre intérêt, sont quelquefois curieuses. Pourtant, je crois que l’
intelligence
du chat est plutôt un air qu’une réalité. Il est,
t question que d’un tour de jardin, et il ne bougeait pas. C’est de l’
intelligence
. Les jeunes chiens dans leurs jeux sont presque a
colley, qui pourtant n’avait été soumis à aucun dressage, était d’une
intelligence
remarquable : il reconnaissait, au pas, à l’odeur
ifestait une réelle impatience. Le chat ne va pas si loin. Son acte d’
intelligence
le plus caractérisé est de savoir associer l’idée
écider l’homme à les ouvrir. C’est un commencement de conversation. L’
intelligence
des animaux, dégagée de la légende et des mauvais
tudier. Elle aide singulièrement à mieux comprendre le mécanisme de l’
intelligence
des hommes. A mon avis, toute bonne psychologie h
savoir observer un animal domestique et prendre plaisir aux lueurs d’
intelligence
qui se manifestent dans ses actes. M. Régismanset
fournir. Ils sont des hasards malheureux et terribles comme l’extrême
intelligence
ou l’extrême bonté sont des hasards heureux et bi
ur prêtant des vices qui n’ont pu se développer en nous que grâce à l’
intelligence
et au mauvais usage que nous en faisons. J’avoue
astres, la conception la plus judicieuse et la plus raisonnable que l’
intelligence
antique ait jamais imaginée. » J’aime qui aime Ep
ment à certains de ces faits, mais elle n’est pas vérifiable. Voyez l’
Intelligence
des animaux, par Romanes, préface d’Edm. Perrier,
e, nos fourmis blondes domestiquent les noires, etc., etc. Un degré d’
intelligence
de plus et nous arrivons aux premiers faits humai
er au hasard ? N’est-ce point, en insistant sur l’emploi absurde de l’
intelligence
naissante, nier la valeur même de cette intellige
loi absurde de l’intelligence naissante, nier la valeur même de cette
intelligence
? La magie a passé et le génie inventif est resté
é. Je tente d’esquisser ici l’histoire de ce qui est permanent dans l’
intelligence
humaine. Mon reproche, d’ailleurs, s’adresse en p
entraîne un certain nombre de thèses secondaires : dépréciation de l’
intelligence
naturelle et d’une manière générale de tous les d
e rigoureux, tout ce qui peut provoquer outre mesure l’initiative des
intelligences
sera proscrit63. » Ainsi donc, il y aura d’après
enti : ou point de vue du développement intellectuel, en soumettant l’
intelligence
à une discipline pour laquelle elle n’est pas fai
t égale pour tous reposent sur une méconnaissance de la diversité des
intelligences
. Tout ne peut être enseigne à tous sans danger et
out ne peut être enseigne à tous sans danger et sans dommage pour les
intelligences
soumises à ce régime. « L’intelligence, dit M. R.
nger et sans dommage pour les intelligences soumises à ce régime. « L’
intelligence
, dit M. R. de Gourmont, qui a une forme générale
re en chaque homme. Comme il y a plusieurs mémoires, il y a plusieurs
intelligences
, et chacune de ces intelligences modifiée par les
plusieurs mémoires, il y a plusieurs intelligences, et chacune de ces
intelligences
modifiée par les physiologies propres, détermine
ue tout puisse être avec fruit enseigné à tous, il semble bien qu’une
intelligence
donnée ne peut recevoir sans danger pour sa conte
de l’intérêt du groupe de tenter d’uniformiser et de discipliner les
intelligences
par l’instruction ; mais l’intérêt social ne coïn
Il y a une manière d’enseigner l’esprit critique qui donne un pli à l’
intelligence
et tout aussi difficile à détruire que celui que
n coïncident avec une personnalité vigoureuse, une volonté forte, une
intelligence
pénétrante, une sensibilité vive et originale ; m
que les moyens de se mettre en harmonie avec les besoins nouveaux des
intelligences
. La première partie du siècle appartient à Villem
voilà le mal qu’on peut dire de Sainte-Beuve857 . C’est, au reste, l’
intelligence
la plus fine, la plus souple, la plus curieuse, l
ustifier. Il n’est guère capable de tenir rigueur à ce qui exerce son
intelligence
. Malgré ses allures de dilettante, il a couvert s
s masses principales : philosophie, critique, histoire. Le livre de l’
Intelligence
parut en 1870 : il y avait vingt ans que Taine l’
faisait de la faculté d’abstraction l’unique faculté qui distingue l’
intelligence
humaine de l’intelligence des animaux, et engendr
bstraction l’unique faculté qui distingue l’intelligence humaine de l’
intelligence
des animaux, et engendrait toutes les idées, l’id
e est un des grands esprits de ce siècle : il a eu au suprême degré l’
intelligence
et la volonté. La faculté d’abstraction était sa
se ; c’est peut-être en lui-même qu’il a trouvé qu’elle était toute l’
intelligence
. Appliquant à la science des facultés de métaphys
18 ; Am. De Margerie, H. Taine, Paris, 1984, in-8. 859. Préface de l’
Intelligence
. 860. Ibid. 861. Préface de l’Intelligence. 86
in-8. 859. Préface de l’Intelligence. 860. Ibid. 861. Préface de l’
Intelligence
. 862. M. Binet 863. Préf. de l’Intelligence. 8
bid. 861. Préface de l’Intelligence. 862. M. Binet 863. Préf. de l’
Intelligence
. 864. Refait en 1860. 865. Préface de la Littér
ance qui couvre la société… Ils ont le sentiment de leur mission et l’
intelligence
de leur époque ; ils comprennent ce que leurs pèr
, eux autrefois si ardents ; on se pose, comme une énigme, ces belles
intelligences
en partie infructueuses. Mais parmi celles qui mé
ère distinctif, à lui par-dessus tous, est encore la compréhension, l’
intelligence
. S’il est exact, comme il le dit quelque part, qu
et fait un spectacle spacieux dans son âme comme dans sa Prunelle. L’
intelligence
à un degré excellent, l’intelligence en ce qu’ell
on âme comme dans sa Prunelle. L’intelligence à un degré excellent, l’
intelligence
en ce qu’elle a de large, de profond et de recuei
développement continu et régulier de sa parole. Je comparerais cette
intelligence
à un miroir presque plan, très-légèrement concave
trop concentriques, d’où naît bientôt la flamme. Car il y a aussi des
intelligences
trop vives, trop impatientes en présence de l’obj
ne, il recompose. Il y a plus de longanimité dans le seul emploi de l’
intelligence
; il ne faut nul ennui des préliminaires et d’un
l qui, quelquefois aussi, semble bien lent. A l’égard des objets de l’
intelligence
, on peut se comporter de deux manières. Tout espr
u chez lui une application plus prompte, c’est dans le miroir, dans l’
intelligence
et l’exposition des choses, qu’il s’est par degré
lieu de la chaleur naturelle et de la vie. Il y a ainsi à dire que l’
intelligence
exclusivement étalée décolore le monde, en refroi
ons et idées qui s’en détachent comme des ombres. Il y a à dire que l’
intelligence
, si fidèle qu’elle soit, ne donne pas tout, que s
dont nous avons parlé, se réfléchissent assez peu et tiennent dans l’
intelligence
contemplative moins de place qu’ils n’ont réellem
êlée, Or, M. Jouffroy, dans ses lucides et placides représentations d’
intelligence
, en est venu souvent à ne pas tenir compte de l’a
un coin de l’énigme que nous nous posions plus haut, au sujet de ces
intelligences
si supérieures à leur action et à leur œuvre. Qua
n même fait diversement exprimé ; car cette étendue si précoce, cette
intelligence
ouverte et traversée, qui se laisse, faire et acc
êtres supérieurs à lui…, et de son propre droit, de l’autorité de son
intelligence
qu’on qualifie d’infirme et de bornée, il a l’aud
t le gagner comme organe à elle ; mais elle y avait des alliés et des
intelligences
. M. Leroux, M. Magnin, et celui qui écrit ces lig
lébéien, condescendant, explicatif et affectueux, qui s’accommode aux
intelligences
, qui, au sortir d’un paradoxe presque outrageux,
commun. Mais si la science et le sens commun sont ici d’accord, si l’
intelligence
, spontanée ou réfléchie, écarte le temps réel, ne
dans le mouvement soit dans le changement. S’agit-il du mouvement ? L’
intelligence
n’en retient qu’une série de positions : un point
igne, disparaisse dans l’infiniment petit. Rien de plus naturel, si l’
intelligence
est destinée surtout à préparer et à éclairer not
commodément que sur des points fixes ; c’est donc la fixité que notre
intelligence
recherche ; elle se demande où le mobile est, où
ité indivisible. Mais comme un certain espace aura été franchi, notre
intelligence
, qui cherche partout la fixité, suppose après cou
ême. Ce changement est indivisible, il est même substantiel. Si notre
intelligence
s’obstine à le juger inconsistant, à lui adjoindr
entes au mouvement et au changement, tels que se les représente notre
intelligence
. À surmonter, à tourner par un travail intellectu
sens il figure de toute éternité, à l’état de possible, dans quelque
intelligence
réelle ou virtuelle. En approfondissant cette ill
cette date s’efface aussitôt, en vertu du principe, ancré dans notre
intelligence
, que toute vérité est éternelle. Si le jugement e
entelle et acquise ? Ne viendrait-elle pas tout bonnement de ce que l’
intelligence
a contracté des habitudes nécessaires à la vie pr
uitive. — En quel sens elle est claire. — Deux espèces de clarté. — L’
intelligence
. — Valeur de la connaissance intellectuelle. — Ab
à l’intuition, parce qu’ils ont plus ou moins opposé l’intuition à l’
intelligence
, on pouvait croire que nous appliquions la même m
culté supra-intellectuelle d’intuition. Mais, comme ils ont cru que l’
intelligence
opérait dans le temps, ils en ont conclu que dépa
’intelligence opérait dans le temps, ils en ont conclu que dépasser l’
intelligence
consistait à sortir du temps. Ils n’ont pas vu qu
emps. Ils n’ont pas vu que le temps intellectualisé est espace, que l’
intelligence
travaille sur le fantôme de la durée, mais non pa
ans l’éternel s’en tient à l’intellectuel. Aux concepts que fournit l’
intelligence
elle substitue simplement un concept unique qui l
ant un sens fondamental : penser intuitivement est penser en durée. L’
intelligence
part ordinairement de l’immobile, et reconstruit
moment abstrait, instantané pris par notre esprit sur une mobilité. L’
intelligence
se donne ordinairement des choses, entendant par
tuition l’essentiel est le changement : quant à la chose, telle que l’
intelligence
l’entend, c’est une coupe pratiquée au milieu du
nouvel ordre, des idées élémentaires que nous possédions déjà. Notre
intelligence
, ne trouvant alors dans le nouveau que de l’ancie
otions emmaganisées dans le langage ! Ces idées ont été formées par l’
intelligence
au fur et à mesure de ses besoins. Elles correspo
prêtes et des phrases déjà faites : science, langage, sens commun, l’
intelligence
entière est à son service. La critique d’une phil
té d’abstraire et de généraliser, au jugement et au raisonnement, à l’
intelligence
. Partie jadis des mathématiques pures, elle conti
rmules, si abstraites soient-elles, auxquelles on aboutit, comme si l’
intelligence
était obligée de transposer le psychique en physi
u’elle revient à la matière inerte, la science qui procède de la pure
intelligence
se retrouve chez elle. Cela n’a rien d’étonnant.
e intelligence se retrouve chez elle. Cela n’a rien d’étonnant. Notre
intelligence
est le prolongement de nos sens. Avant de spécule
. Bien avant qu’il y eût une philosophie et une science, le rôle de l’
intelligence
était déjà de fabriquer des instruments, et de gu
corps sur les corps environnants. La science a poussé ce travail de l’
intelligence
beaucoup plus loin, mais elle n’en a pas changé l
us inspirer pleine confiance dans la science positive et aussi dans l’
intelligence
, son instrument ? Si l’intelligence est faite pou
science positive et aussi dans l’intelligence, son instrument ? Si l’
intelligence
est faite pour utiliser la matière, c’est sur la
la structure de la matière, sans doute, que s’est modelée celle de l’
intelligence
. Telle est du moins l’hypothèse la plus simple et
Nous devrons nous y tenir tant qu’on ne nous aura pas démontré que l’
intelligence
déforme, transforme, construit son objet, ou n’en
difficultés insolubles où la philosophie tombe, la contradiction où l’
intelligence
peut se mettre avec elle-même, quand elle spécule
contradictions où il est naturel que nous aboutissions en effet si l’
intelligence
est spécialement destinée à l’étude d’une partie,
pas assez dire. Il est impossible de considérer le mécanisme de notre
intelligence
, et aussi le progrès de notre science, sans arriv
le progrès de notre science, sans arriver à la conclusion qu’entre l’
intelligence
et la matière il y a effectivement symétrie, conc
ons mathématiques, et d’autre part les facultés essentielles de notre
intelligence
ne fonctionnent avec une précision absolue que lo
tantané. Bref, nous pourrions croire à un écart entre la matière et l’
intelligence
si nous ne considérions de la matière que les imp
ions superficielles faites sur nos sens, et si nous laissions à notre
intelligence
la forme vague et floue qu’elle a dans ses opérat
u’elle a dans ses opérations journalières. Mais quand nous ramenons l’
intelligence
à ses contours précis et quand nous approfondisso
l’intérieur de sa structure, nous trouvons que les articulations de l’
intelligence
viennent s’appliquer exactement sur celles de la
les replaçons 5. Nous reconnaissons d’ailleurs que les cadres de l’
intelligence
ont une certaine élasticité, ses contours un cert
degré en degré vers la matière et se spatialiser. Il suit de là que l’
intelligence
, quoique tournée vers les choses du dehors, peut
superficiels, systématiquement vague du côté de la matière, puisque l’
intelligence
du métaphysicien a dû desserrer assez ses rouages
a science le pouvoir d’approfondir la matière par la seule force de l’
intelligence
, elle se réserve l’esprit. Sur ce terrain, qui lu
us la comprenons. L’intuition ne se communiquera d’ailleurs que par l’
intelligence
. Elle est plus qu’idée ; elle devra toutefois, po
egarder les choses, la science parut, elle aussi, s’insurger contre l’
intelligence
; l’« intellectualisme » d’alors recomposait l’ob
Elle devait le devenir, du moment qu’elle était vraie, car matière et
intelligence
sont modelées l’une sur l’autre, et dans une scie
s une science qui dessine la configuration exacte de la matière notre
intelligence
retrouve nécessairement sa propre image. La forme
ribue à la matière vivante des propriétés spéciales, imitatrices de l’
intelligence
, ou bien enfin qu’on se rallie à quelque hypothès
ruments tout faits comme ceux des insectes par exemple, lui a donné l’
intelligence
, c’est-à-dire le pouvoir d’inventer et de constru
ées générales que nous avons énumérées, surtout de la dernière, notre
intelligence
tient ce que nous appelions l’idée générale d’idé
cause ; et si nous nous arrêtons quelque part, ce n’est pas que notre
intelligence
ne cherche plus rien au-delà, c’est que notre ima
du vide. Mais dès que nous avons aperçu intuitivement le vrai, notre
intelligence
se redresse, se corrige, formule intellectuelleme
d des eaux l’épave que l’aviateur a signalé du haut des airs, ainsi l’
intelligence
immergée dans le milieu conceptuel vérifiera de p
doctrine que certains avaient jugée attentatoire à la Science et à l’
Intelligence
. C’était une double erreur. Mais l’erreur était i
ente à nos langues, et formulée une fois pour toutes par Aristote : l’
intelligence
a pour essence de juger, et le jugement s’opère p
dicat à un sujet, du stable au stable, nous suivons la pente de notre
intelligence
, nous nous conformons aux exigences de notre lang
des habitudes contractées dans l’action. Ce qu’un laisser-aller de l’
intelligence
avait fait, un effort de l’intelligence pouvait l
. Ce qu’un laisser-aller de l’intelligence avait fait, un effort de l’
intelligence
pouvait le défaire. Et ce serait pour l’esprit hu
soit, entité vide, simple mot. L’intuition nous donne la chose dont l’
intelligence
ne saisit que la transposition spatiale, la tradu
, faire l’économie de plusieurs années de recherche. Mais comme notre
intelligence
n’était pas différente de celle des autres hommes
cience, et pour le reproche qu’on nous fit de la combattre. Quant à l’
Intelligence
, point n’était besoin de tant s’agiter pour elle.
n de tant s’agiter pour elle. Que ne la consultait-on d’abord ? Étant
intelligence
et par conséquent comprenant tout, elle eût compr
et que nous voulions définitivement écarter. Qu’est-ce en effet que l’
intelligence
? La manière humaine de penser. Elle nous a été d
La nature nous ayant destinés à utiliser et à maîtriser la matière, l’
intelligence
n’évolue avec facilité que dans l’espace et ne se
é primitive étant croyance et tradition. Le développement normal de l’
intelligence
s’effectue donc dans la direction de la science e
d’une matière que l’une pense et que l’autre manipule. De ce côté, l’
intelligence
finirait, en principe, par toucher un absolu. Ell
e l’esprit prête à la matière. Comment donc l’esprit serait-il encore
intelligence
quand il se retourne sur lui-même ? On peut donne
e, à ce que la connaissance de l’esprit par l’esprit s’appelle encore
intelligence
, si l’on y tient. Mais il faudra spécifier alors
nom une fonction qui n’est certes pas ce qu’on appelle ordinairement
intelligence
? Nous disons que c’est de l’intuition. Elle repr
à l’intuition la connaissance de l’esprit, nous ne retirons rien à l’
intelligence
, car nous prétendons que la métaphysique qui étai
telligence, car nous prétendons que la métaphysique qui était œuvre d’
intelligence
pure éliminait le temps, que dès lors elle niait
issance toute négative de l’esprit, nous la laisserons volontiers à l’
intelligence
si l’intelligence tient à la garder ; nous préten
tive de l’esprit, nous la laisserons volontiers à l’intelligence si l’
intelligence
tient à la garder ; nous prétendons seulement qu’
nt qu’il y en a une autre. Sur aucun point, donc, nous ne diminuons l’
intelligence
: nous ne la chassons d’aucun des terrains qu’ell
s ainsi, d’une part, la science et l’art mécanique, qui relèvent de l’
intelligence
pure : de l’autre, la métaphysique, qui fait appe
ociale ne peut pas ne pas conserver sa structure originelle. Est-elle
intelligence
ou intuition ? Je veux bien que l’intuition y fas
e finesse, et l’esprit de finesse est le reflet de l’intuition dans l’
intelligence
. Je veux bien aussi que cette part si modique d’i
matière, pour moyen l’expérimentation, pour idéal la mathématique ; l’
intelligence
arriverait ainsi au complet approfondissement de
sociale, l’intuitif au lieu de l’intellectuel. Entre l’intuition et l’
intelligence
ainsi intensifiées le langage devait pourtant dem
e philosophie ; il n’en continue pas moins à accomplir sa fonction. L’
intelligence
, qui se confondait d’abord avec lui et qui partic
’autant plus parfaite que l’activité sociale est plus intelligente. L’
intelligence
générale, faculté d’arranger « raisonnablement »
onvenablement les mots, doit donc concourir à la vie sociale, comme l’
intelligence
, au sens plus étroit, fonction mathématique de l’
lligent se mêlât de trancher les questions scientifiques, alors que l’
intelligence
précisée en science devient esprit mathématique,
losophie, alors que les questions posées ne relèvent plus de la seule
intelligence
. Mais non, il est entendu que l’homme intelligent
. C’est contre quoi nous protestons d’abord. Nous mettons très haut l’
intelligence
. Mais nous avons en médiocre estime l’« homme int
effectivement que deux ou trois problèmes. En contestant à la pure «
intelligence
» le pouvoir d’apprécier ce qu’il fait, il se pri
culté générale de connaître les choses sans les avoir étudiées, une «
intelligence
» qui n’est ni simplement l’habitude de manier da
, nous paraît tout aussi digne d’estime tant qu’il résout par la pure
intelligence
les problèmes qui ne dépendent que d’elle : dans
cole. On est trop porté à n’y voir qu’un délassement. On oublie que l’
intelligence
est essentiellement la faculté de manipuler la ma
oins ainsi, que telle était l’intention de la nature. Comment alors l’
intelligence
ne profiterait-elle pas de l’éducation de la main
e, pour qu’il perfectionne le toucher au point d’en faire un tact : l’
intelligence
remontera de la main à la tête. Mais je n’insiste
, son attitude, sa démarche ? Bien lire à haute voix est cela même. L’
intelligence
viendra plus tard y mettre des nuances. Mais nuan
st répétition ; le monde extérieur obéit à des lois mathématiques une
intelligence
surhumaine, qui connaîtrait la position, la direc
telle n’est pas l’opinion de la plupart des philosophes, c’est que l’
intelligence
humaine est justement faite pour prendre les chos
st justement faite pour prendre les choses par l’autre bout. Je dis l’
intelligence
, je ne dis pas la pensée, je ne dis pas l’esprit.
ligence, je ne dis pas la pensée, je ne dis pas l’esprit. À côté de l’
intelligence
il y a en effet la perception immédiate, par chac
a loi plus mathématique. Toutes ces fonctions sont constitutives de l’
intelligence
. Et l’intelligence est dans le vrai tant qu’elle
ique. Toutes ces fonctions sont constitutives de l’intelligence. Et l’
intelligence
est dans le vrai tant qu’elle s’attache, elle ami
ffort indéfiniment rénovateur de la nature. L’erreur commence quand l’
intelligence
prétend penser un des aspects comme elle a pensé
eu à peu en prenant à tout instant des formes inattendues. Mais notre
intelligence
s’en représente l’origine et l’évolution comme un
ndue concrète n’est pas l’espace infini et infiniment divisible que l’
intelligence
se donne comme un terrain où construire. L’espace
ien, si elle représente quelque chose, elle traduit un mouvement de l’
intelligence
qui va d’un objet à un autre, préfère celui qu’el
i est perçu par nous comme une succession d’états est conçu par notre
intelligence
, une fois le brouillard tombé, comme un système d
r bon nombre d’idées générales en essences éternelles, immanentes à l’
Intelligence
divine ! étrange négation de la réalité des corps
science est l’auxiliaire de l’action. Et l’action vise un résultat. L’
intelligence
scientifique se demande donc ce qui devra avoir é
pensée commune, telle qu’elle résulte de la structure des sens, de l’
intelligence
et du langage, est plus voisine de l’attitude de
ire l’impression que les choses font sur nous et la réaction de notre
intelligence
, de notre sensibilité et de notre volonté sur les
, c’est toujours dans une perception qu’elle a son point de départ. L’
intelligence
combine et sépare ; elle arrange, dérange, coordo
il faut procéder pour cela à un renversement du travail habituel de l’
intelligence
. Penser consiste ordinairement à aller des concep
tique du réel. Mais il ne faut pas oublier que le travail normal de l’
intelligence
est loin d’être un travail désintéressé. Nous ne
mesure que nous tâcherons de déterminer, à la science positive. Notre
intelligence
, quand elle suit sa pente naturelle, procède par
der cette mathématique, c’est-à-dire de déterminer ce que doit être l’
intelligence
et ce que doit être l’objet pour qu’une mathémati
ncore l’expérience comme destinée à nous apporter des faits bruts : l’
intelligence
, s’emparant de ces faits, les rapprochant les uns
sérer. » Nous dirons : « La nature est ce qu’elle est, et comme notre
intelligence
, qui fait partie de la nature, est moins vaste qu
querait l’ensemble des choses matérielles et morales. C’est que notre
intelligence
est éprise de simplicité. Elle économise l’effort
et nous nous exprimerions d’une tout autre manière. Tandis que notre
intelligence
, avec ses habitudes d’économie, se représente les
lui-même, — de l’homme tout entier, volonté et sensibilité autant qu’
intelligence
, — va s’en trouver accrue ! L’univers que notre r
é faire peu de chose et occuper peu de place : ce qu’il accorde à son
intelligence
, il le retire à sa volonté. Surtout, ayant attrib
me traduisible en idées pures. Sa sensibilité ne saurait éclairer son
intelligence
, dont il a fait la lumière même. La plupart des p
e matière indéfinie. Dominée par la sensation, comme l’est au début l’
intelligence
humaine, elle ne connut pas d’autre intuition que
lation à laquelle on soumet ces éléments, on reste dans l’abstrait. L’
intelligence
, émerveillée de la simplification qu’elle apporte
dans une société à tendance déjà démocratique, une aristocratie de l’
intelligence
. Quelques salons privilégiés étaient le rendez-vo
. Un contact fréquent avec tant d’hommes supérieurs devait agir sur l’
intelligence
comme un stimulant. Il faudrait tenir compte auss
é, nous trouvons plus que la connaissance du texte, plus encore que l’
intelligence
de la doctrine : une adhésion du cœur en même tem
rapprochera le plus de la géométrie, mais ce qui parlera le mieux à l’
intelligence
, ce qu’il y aura de plus expressif : l’animal ser
ts, des généreux. Cette philosophie, avant même d’être pensée par des
intelligences
supérieures, avait été vécue par des cœurs d’élit
es siens, ayant conservé jusqu’au bout toute la lucidité de sa grande
intelligence
. L’histoire de la philosophie nous fait surtout
rmonie sensible au cœur, des termes peut-être irréconciliables pour l’
intelligence
. La langue qu’elle parle, quand elle emprunte la
issance, par l’esprit, de ce qu’il y a d’essentiel dans la matière, l’
intelligence
étant sans doute faite avant tout pour manipuler
d, par un souci croissant de précision, à distinguer plus nettement l’
intelligence
de l’intuition, comme aussi la science de la méta
ticulièrement scientifique la connaissance de la matière inerte par l’
intelligence
pure. Cela ne nous empêchera pas de dire que la c
re, la conscience prit cette fois, comme dans un moule, la forme de l’
intelligence
fabricatrice. Et l’invention, qui porte en elle l
ention, qui porte en elle la réflexion, s’épanouit en liberté. Mais l’
intelligence
n’était pas sans danger. Jusque-là, tous les viva
sur le bord ; ils avalaient le reste par surcroît, sans l’avoir vu. L’
intelligence
, elle, regardait jusqu’en bas. Car l’être intelli
aut pas compter sur la réflexion pour soutenir ce désintéressement. L’
intelligence
, à moins d’être celle d’un subtil philosophe util
eur qui s’est traduit par l’apparition de notre espèce a donné avec l’
intelligence
humaine, à l’intérieur de l’intelligence humaine,
notre espèce a donné avec l’intelligence humaine, à l’intérieur de l’
intelligence
humaine, la fonction fabulatrice qui élabore les
l’élan, dans la direction d’où l’élan était venu ? Ce n’est pas par l’
intelligence
, ou en tout cas avec l’intelligence seule, qu’il
n était venu ? Ce n’est pas par l’intelligence, ou en tout cas avec l’
intelligence
seule, qu’il pourrait le faire : celle-ci irait p
ités, elle ne touche pas une réalité. Mais nous savons qu’autour de l’
intelligence
est restée une frange d’intuition, vague et évano
quelques âmes prédisposées un effort pour aller chercher, par-delà l’
intelligence
, une vision, un contact, la révélation d’une réal
e force, une nouvelle tentative pouvait ne s’arrêter que plus loin, l’
intelligence
se trouvant rejointe en un point plus avancé d’un
t déjà des visions, des extases, suspendant la fonction critique de l’
intelligence
. Telle a dû être, par un côte au moins, la signif
et cette prédication se présente au premier abord comme un appel à l’
intelligence
, les trois doctrines ne différant que par leur de
ongénères, il emploie nécessairement son effort à se la procurer, son
intelligence
est justement faite pour lui fournir des armes et
onsisterait à intensifier si bien le travail intellectuel, à porter l’
intelligence
si loin au-delà de ce que la nature avait voulu p
nts de la religion s’adressent en effet, comme tout enseignement, à l’
intelligence
, et ce qui est d’ordre intellectuel peut devenir
nal et ineffable, dans une religion préexistante formulée en termes d’
intelligence
, tandis qu’il sera difficile de faire admettre l’
Sa théologie sera généralement conforme à celle des théologiens. Son
intelligence
et son imagination utiliseront, pour exprimer en
ée et la chose. Pour qui ne voit dans les idées que des produits de l’
intelligence
sociale et individuelle, il n’y a rien d’étonnant
ur mener à bien le travail de fabrication qui est l’objet propre de l’
intelligence
humaine, nous devons fixer par la pensée des stat
ressenti, à certains moments, d’une tension extrême et prolongée de l’
intelligence
et de la volonté ; beaucoup d’hommes de génie ont
e s’était analysée pour se matérialiser, l’instinct de l’insecte et l’
intelligence
de l’homme. L’instinct était intuitif, l’intellig
l’insecte et l’intelligence de l’homme. L’instinct était intuitif, l’
intelligence
réfléchissait et raisonnait. Il est vrai que l’in
. Mais de même qu’autour de l’instinct animal subsistait une frange d’
intelligence
, ainsi l’intelligence humaine était auréolée d’in
ur de l’instinct animal subsistait une frange d’intelligence, ainsi l’
intelligence
humaine était auréolée d’intuition. Celle-ci, che
osent même pas : illusions d’optique interne dues à la structure de l’
intelligence
humaine, elles s’effacent et disparaissent à mesu
n, l’inspiration : en ce point siégeait une indivisible émotion que l’
intelligence
aidait sans doute à s’expliciter en musique, mais
iter en musique, mais qui était elle-même plus que musique et plus qu’
intelligence
. A l’opposé de l’émotion infra-intellectuelle, el
sera de plus en plus l’intuition mystique pour l’exprimer en termes d’
intelligence
. Il peut n’être pas musicien, mais il est général
nrichie. Mais ce ne sera qu’un accroissement du revenu de l’année ; l’
intelligence
sociale continuera à vivre sur le même fonds, sur
Chapitre II :L’
intelligence
I « En traitant de l’intelligence, dit l’
Chapitre II :L’intelligence I « En traitant de l’
intelligence
, dit l’auteur dans sa préface, j’ai abandonné la
voit la loi générale, fondamentale, cette propriété irréductible de l’
intelligence
, en vertu de laquelle nos idées s’attirent et s’e
c’est ainsi qu’on en est arrivé à distinguer ces divers aspects de l’
intelligence
qu’on appelle jugement, raisonnement, abstraction
nages qui tantôt s’accordent, tantôt se querellent, et forment dans l’
intelligence
une petite république ; on ne voit point ce qu’il
a théorie nouvelle, au contraire, montre que les divers procédés de l’
intelligence
ne sont que les formes diverses d’une loi unique
oi d’association, examinons d’abord les propriétés fondamentales de l’
intelligence
. Cet examen préalable est, au fond, une étude ana
caractère anesthétique. Les attributs primitifs et fondamentaux de l’
intelligence
sont : la conscience de la différence, la conscie
scrimination est le fondement de l’association par contraste. Quand l’
intelligence
s’est éveillée à la vie en saisissant une différe
. Spencer. Voyons-en les conséquences. La propriété fondamentale de l’
intelligence
ou discrimination implique la loi de relativité q
aste ? c’est qu’il y voit moins une forme de la loi fondamentale de l’
intelligence
, que la condition inhérente à tout acte de connai
sonnable est un fractionnement apparent produit par la réflexion de l’
intelligence
, qui, elle, a l’idée de plusieurs lignes de condu
aux sensations, perceptions et idées, ces faits de discernement ou d’
intelligence
. Les impulsions purement sensitives constituent l
nature de l’acte volontaire. Les unes l’expliquent par l’action de l’
intelligence
sur les appétitions, qui résultent elles-mêmes du
actère. Les autres l’expliquent par un pouvoir spécial différent de l’
intelligence
et des appétitions, différent même du caractère,
caractère, état et direction des inclinations, état et direction de l’
intelligence
. La première théorie, à son tour, qui explique la
mière théorie, à son tour, qui explique la volition par l’action de l’
intelligence
sur les inclinations, peut se subdiviser selon qu
sur les inclinations, peut se subdiviser selon qu’on considère dans l’
intelligence
même : 1° l’action de l’image sensitive ; 2° l’ac
ns seulement grandir en nous, au point même qu’il obscurcit parfois l’
intelligence
et nous enlève tout pouvoir d’agir. — C’est, répo
ndrons-nous, que le désir proprement dit n’est pas l’action même de l’
intelligence
, qui le trouve déjà formé et croissant sans elle
ve déjà formé et croissant sans elle ; au contraire, la réaction de l’
intelligence
sur le désir a nécessairement conscience de soi e
ensibles et d’autant plus déterminé qu’il est plus intelligent, car l’
intelligence
est la détermination même. — Le désir, dit-on enc
-on enfin, est en raison inverse du sentiment que nous avons de notre
intelligence
et de notre action propre ; au contraire, la forc
force de la volition n’est autre chose que le sentiment même de notre
intelligence
et de la puissance d’action qui appartient à l’id
ntraîner soi-même à l’action, quoique selon les lois déterminées de l’
intelligence
. On comprend de même qu’un désir excessif enlève
d’elle-même et d’avoir pour condition préalable une intervention de l’
intelligence
, si rapide soit-elle. La décision dite spontanée
icipée d’un acte et de son rapport avec notre sensibilité, avec notre
intelligence
, avec notre volonté. Or, la représentation d’un a
sont en harmonie ou en désaccord avec la direction générale de notre
intelligence
, avec toutes nos habitudes intellectuelles. Si, a
ion, peut en éveiller une multitude d’autres. Agir avec les yeux de l’
intelligence
ouverts, c’est être au centre d’une multitude de
rop souvent calculés pour le plaisir des yeux. Pénible à suivre par l’
intelligence
dans ses contours saccadés, ce style ciselé, comm
d’une émission difficile ; elle est d’une audition laborieuse pour l’
intelligence
comme pour l’oreille des assistants. L’ancien sty
incipe, celle de l’instrument sur la volonté, celle des organes sur l’
intelligence
, celle des procédés sur l’inspiration, celle des
ouveraineté accordée aujourd’hui partout aux éléments inférieurs de l’
intelligence
et de l’État, la prépondérance de l’outil sur la
ue comme agent du perfectionnement moral. L’action des arts sur notre
intelligence
et notre volonté, les moyens de la rendre plus ef
uvons le même besoin vis-à-vis du beau. Il serait indigne de la noble
intelligence
de l’homme de n’apporter dans les arts qu’un aveu
usent, tout comme sur les opérations les plus désintéressées de notre
intelligence
. En un mot, il nous est nécessaire de déterminer
me la peinture voulait lutter avec la poésie dans le monde de la pure
intelligence
. Après l’excès des formes abstraites dans le styl
ble de leur développement historique, et suivre en même temps, dans l’
intelligence
pure, toutes les transformations de l’idée ration
est surtout de servir de contre-épreuve aux règles que découvre notre
intelligence
en les déduisant des idées rationnelles. C’est ai
réalité existante par elle-même, domine toutes les autres dans notre
intelligence
; toutes les opérations de notre esprit se rappor
ir un but étranger à cet être. Relativement à lui, tout acte de notre
intelligence
a nécessairement une de ces deux fins : d’abord l
nombre d’exprimer le même immuable infini. En outre, il s’adresse à l’
intelligence
finie des hommes, c’est-à-dire à leurs sens diver
e du chant, l’expression du mouvement et de la vie, liée à celle de l’
intelligence
. Deux groupes rivaux se posaient vis-à-vis l’un d
, les maîtres d’un art particulier, ce sont comme les fondateurs de l’
intelligence
humaine émancipée, les précepteurs de toute une c
x qui fondent les modèles éternels de l’esprit humain, c’est donc une
intelligence
indépendante, mais toujours respectueuse vis-à-vi
ment musical se passe de toute émotion étrangère, de tout écho dans l’
intelligence
et le sens moral. Il ne suppose l’intervention d’
ne saurions voir dans le monument qui les manifeste le produit d’une
intelligence
isolée. Des enseignements si neufs et si féconds
de l’expérience, et dont les idées attestent plutôt la souplesse de l’
intelligence
que l’action souveraine de la raison. Nous appelo
temps un génie plus vrai, plus complet, que celui de Ballanche. Toute
intelligence
suffisamment préparée qui aborde ses écrits y rec
et engendre cet esprit exclusif qu’on pourrait appeler l’égoïsme de l’
intelligence
. Entouré d’amis illustres, Ballanche vécut au cen
possédé le premier attribut du génie, la sincérité. Chaque œuvre de l’
intelligence
devrait s’offrir comme un fruit nécessaire de l’e
les doctrines mystérieuses, il aimait à réserver son enseignement aux
intelligences
suffisamment préparées. Il sentait si bien lui-mê
ns philosophiques qui rendent la poésie moins accessible à toutes les
intelligences
. Un rapprochement qu’il serait intéressant de pou
e qu’un contrat et qu’elle a son principe dans elle-même. De ce que l’
intelligence
émancipée de l’homme de nos jours peut modifier s
, il s’ensuit que ce signe exerce un ascendant moins nécessaire sur l’
intelligence
humaine, c’est-à-dire que la pensée commence à se
écrites en dehors de la parole traditionnelle, c’est aussi l’âge où l’
intelligence
peut posséder la lettre des choses sans en posséd
’Élégie. Le vieillard de Ballanche cherche à détourner une jeune
intelligence
du culte acharné des idées vaincues, à l’arracher
chaque homme l’origine et la sanction du pouvoir politique ; dans son
intelligence
le criterium suprême de la vérité. En ce qui touc
itif engendre donc dans la société tout un ordre d’événements, dans l’
intelligence
tout un ordre de doctrines, dont l’influence se t
it, en constatant tout ce que le présent doit au passé, tout ce que l’
intelligence
doit à la tradition, de vouloir transporter dans
en dehors de l’initiation, et l’initiateur lui-même embrasse dans son
intelligence
un plus grand nombre de vérités. Cette doctrine
bilitation de l’homme doit donc provenir de la volonté, plus que de l’
intelligence
. L’essence humaine est enfermée dans des organes
opre, à laquelle elle a droit par son essence même. Partout où il y a
intelligence
, il doit y avoir un degré quelconque de liberté ;
ntion passionnée que la grandeur des intérêts politiques commande à l’
intelligence
du penseur comme au cœur du citoyen, il resta pou
ychologique très remarquable. Pour qui s’est fait une juste idée de l’
intelligence
de notre théosophe, il n’y a rien d’étonnant à vo
tinée future, pour se créer lui-même dans la vertu. Un petit nombre d’
intelligences
reçoivent seules la mission d’engendrer le beau,
y a pas seulement différence de degré, mais de nature ; comme entre l’
intelligence
et la raison, comme entre l’énergie native du pri
de tel art spécial, est souvent exclusif d’une certaine étendue de l’
intelligence
, d’une certaine grandeur morale. N’est-ce pas dan
sie lyrique. Quand, plus tard, la raison elle-même fut détrônée par l’
intelligence
, ou, comme on l’appelait alors, par la sensation
, la même différence existe que la saine philosophie constate entre l’
intelligence
et la raison. L’intelligence est une faculté pers
ue la saine philosophie constate entre l’intelligence et la raison. L’
intelligence
est une faculté personnelle, incertaine, éminemme
s choses et qui n’est accordée qu’à un petit nombre d’élus. Quoique l’
intelligence
et la raison soient des forces également immatéri
té d’essence entre la raison et le génie : confondre la raison avec l’
intelligence
mène à confondre le génie avec le talent. La même
t, quelquefois même jusqu’à l’hallucination et la douleur. Dans toute
intelligence
les idées peuvent s’associer à des objets matérie
e toute figure que dans les esprits cultivés. Entre la soumission des
intelligences
neuves ou débiles aux objets extérieurs et cet ac
’association des idées aux images qui s’accomplit comme à l’insu de l’
intelligence
et qui la domine. Sitôt qu’une image vient s’offr
enchaîner la faculté de créer, les artistes, les poètes, les hommes d’
intelligence
créatrice, ne se révoltent pas de ces anathèmes l
le géomètre, considèrent le monde des images comme non avenu ; pour l’
intelligence
des enfants, des sauvages, pour l’inculte imagina
u’à la défaillance le contrecoup des choses visibles. Il y a bien des
intelligences
plus fortement ébranlées que la sienne par les im
érieuse qui en toute chose a pétri la forme avec de l’idée, a donné l’
intelligence
pour support nécessaire à la matière ? C’est là l
nt son idée ; aucun trait n’est ferme ; ses couleurs sont pâles ; son
intelligence
elle-même s’est couverte d’un nuage. Il lutte des
e auront toujours le privilège d’exciter la curiosité des plus nobles
intelligences
, et l’esprit des nations modernes ne cessera jama
ment de l’infini, dans les philosophies de la Grèce qui ont préparé l’
intelligence
humaine au culte du Verbe ; il est dans ce monde
aint Augustin, aux doctrines de l’Académie le mérite d’avoir convié l’
intelligence
à la recherche de la vérité incorporelle 1. Lorsq
dore, à qui elle a prêté ses faiblesses, mais aussi son héroïsme, son
intelligence
et sa beauté, que sont-ils dans leurs incarnation
vants symboles, en formules assez radieuses pour illuminer toutes les
intelligences
. C’est pourquoi la reconnaissance et la curiosité
avait de grandeur morale, dans Cicéron tout ce qu’il y avait de haute
intelligence
à cette époque, s’appuyant, pour refaire sa fortu
res de l’homme que vous offre le monde grec ; à vous de gouverner les
intelligences
par la puissance impersonnelle et divine de la vé
ble de l’art. Le sentiment du sublime tient à celui de l’infini, et l’
intelligence
humaine, sous peine de se détruire, ne peut préte
ograde pour l’art grec, d’autre part que du développement normal de l’
intelligence
et du goût et de la maturité de la raison. Je sen
e l’infini et le sublime ne peuvent pas faire le régime habituel de l’
intelligence
, pas plus qu’ils ne sont la règle de l’art. Sopho
artistes, non plus seulement les jouissances et les consolations de l’
intelligence
mûre, mais la nourriture même que doit s’assimile
gâte le sentiment de l’infini par celui de l’inachevé. Pour peu que l’
intelligence
prenne alors en nous le dessus sur le sentiment,
ent, tout entier, sans rien laisser désirer à la raison, sans tenir l’
intelligence
dans une hésitation douloureuse ; et, pour n’avoi
christianisme, voilà les deux sources éternelles où doivent puiser l’
intelligence
et le cœur. L’homme moral ne saurait exister en c
ie. Les manifestations du cœur humain agrandi par le christianisme, l’
intelligence
enrichie par mille ans d’investigations, ont alor
ront encore ; le cœur s’est enrichi de mille fibres plus délicates, l’
intelligence
a franchi mille horizons nouveaux dans le monde d
ciseau d’Homère et de Phidias. Allez nourrir votre âme de la vie de l’
intelligence
et du cœur aux sources sacrées de l’Évangile ; ma
eur, s’élance instantanée comme la lumière et, à peine échappée d’une
intelligence
, se communique en quelques heures à plusieurs mil
ar une suite de fautes. L’homme est né dans la pleine possession de l’
intelligence
; mais cette division qui s’est opérée plus tard
d’une pièce ; il n’y avait pas moyen de parler en lui séparément à l’
intelligence
, à l’imagination ou au cœur ; il fallait, pour ag
oncrète qui saisissait l’homme à la fois par son imagination, par son
intelligence
et par ses sens. Dès l’origine, l’élément parlé d
e l’harmonie ; mais seulement leurs qualités abstraites, celles que l’
intelligence
perçoit sans qu’elles émeuvent les sens, celles q
majesté la pensée de Dieu, l’idée religieuse, en un mot tout ce que l’
intelligence
humaine s’est appropriée de cet infini. L’archite
mité de leur rythme que les objets se ressemblent poétiquement. Notre
intelligence
ne peut s’assimiler et retenir que ce qui est con
et qu’ils puissent adhérer par leurs contours. Toute idée dont notre
intelligence
s’empare et qu’elle retient fortement ne s’assimi
de notre esprit, avec les lois de la raison éternelle. Si donc notre
intelligence
s’imprègne plus facilement du langage poétique, s
t que celui du vers, moins approprié surtout à l’état actuel de notre
intelligence
et de nos rapports avec la nature, puisque la pro
de la nature visible. Aux signes conventionnels qui ne parlent qu’à l’
intelligence
, l’image poétique ajoute des couleurs et des form
ous les grains de sable qui composent ces mondes, sont des idées de l’
intelligence
divine, sont des mots et des syllabes d’un langag
la poésie en vers, conserverait toujours sur le plus grand nombre des
intelligences
une action supérieure ; outre son harmonie plus s
s abondamment avec l’infini. Les facultés de son corps, celles de son
intelligence
, agissent en vain si rien n’aboutit au cœur ; l’h
t un sentiment avant d’être une idée, un acte du cœur plutôt que de l’
intelligence
. L’intelligence toute seule ne reçoit que des not
vant d’être une idée, un acte du cœur plutôt que de l’intelligence. L’
intelligence
toute seule ne reçoit que des notions ; le corps
d dans une faculté par excellence, dans l’aspiration, dans l’amour. L’
intelligence
est la connaissance sans désir, sans amour ; la s
ure, par le besoin et le désir ; enfin par le sentiment, mélange de l’
intelligence
et du désir. Les rapports matériels de l’homme av
oin de objets extérieurs, il a avec eux des rapports intellectuels. L’
intelligence
de l’homme a en outre des relations directes avec
l. La région de l’âme que la science intéresse immédiatement, c’est l’
intelligence
; la science réagit ensuite sur nos besoins physi
r, sans attrait, sans amour, il n’y a pas de volonté, pas d’action. L’
intelligence
de l’homme construit donc, à part de son cœur et
cœur, et que nous nommons la science. Le propre de la science et de l’
intelligence
pure, c’est de se suffire à elles-mêmes, de se pa
science. La langue nécessaire à la science, celle qui doit parler à l’
intelligence
pure, sera plus parfaite à mesure qu’elle aura mo
sens et du cœur, troubleraient le froid et paisible laboratoire de l’
intelligence
. Au lieu d’être, comme la langue de la poésie, sy
mesure. Or cette langue qui s’adresse directement, exclusivement à l’
intelligence
, c’est le type de la prose. Dans toutes les œuvre
ique qui ne parle ni à l’imagination ni au cœur, et qui s’adresse à l’
intelligence
toute seule. IX Revenons au point de départ
’ailleurs un noble, un immense attribut, celui d’être le langage de l’
intelligence
pure. La prose est donc une fonction de l’âme qui
nent bien vite pour but la seule satisfaction des désirs matériels. L’
intelligence
toute seule n’atteint pas le grand côté des chose
domaine de l’utile. Le langage de la prose, en tant qu’il émane de l’
intelligence
toute seule, ne nous apprend donc rien du véritab
onde de la nature. La fonction de la prose est de faire connaître à l’
intelligence
, le plus directement et le plus nettement possibl
arer de ses sens. C’est à l’être tout entier et non pas seulement à l’
intelligence
que s’adresse la poésie. Le poète réunira donc da
être créé à l’image de Dieu et destiné à s’unir à lui. Il est dans l’
intelligence
et dans l’art une région où s’agitent d’autres se
i creuse le grand problème rencontre à la fin le bien et le beau. Ces
intelligences
adonnées à l’observation du ridicule et du diffor
que et moral, bases de l’ordre social ; surtout enfin à l’inégalité d’
intelligence
, de dévouement et de liberté morale avec lequel l
ption des mots, la poésie et la prose sont les deux revers de la même
intelligence
, les deux faces nécessaires de la nature des chos
s son essence, la prose est le langage des vérités abstraites et de l’
intelligence
pure, comme la poésie est celui de l’âme humaine
les moins respectables. L’ironie, comme état habituel du cœur et de l’
intelligence
, est mortelle à la poésie comme à la religion. Lo
re tout ce que le genre humain a vénéré, qu’il semble que l’armée des
intelligences
soit organisée tout entière comme pour une batail
révolution. Cette unité, cette discipline dans une pareille mêlée des
intelligences
a certainement sa grandeur. À côté de la négation
, celle de la poésie et du style, ne sont pas les seules gloires de l’
intelligence
; quand le dix-huitième siècle, qui n’a été ni ar
ait être un instrument si admirable pour les opérations logiques et l’
intelligence
pure, il ne fallait que des qualités abstraites,
ie comprend toutes les tendances de l’âme, toutes les opérations de l’
intelligence
, tous les besoins ; elle établit entre eux une hi
eurs doctrines, les adversaires qui se disputent le droit de former l’
intelligence
des jeunes générations restent d’accord et sur le
t au même degré tout ce que présente la déplorable façon de traiter l’
intelligence
, le cœur et le corps des enfants, depuis la fonda
du jugement sont les qualités les plus essentielles à cultiver dans l’
intelligence
du jeune homme ; peut-être, est-ce le plus grand
tutions est identique, au fond, comme celle à laquelle on soumet leur
intelligence
. Partout c’est la même vie claustrale ; et la plu
d’exercice corporel, de cette surexcitation, nous ne disons pas de l’
intelligence
, mais du mécanisme intellectuel, quel effet peut
que les jeux favorables à l’enfance sont le plus encouragés et que l’
intelligence
, moins surchargée de travail matériel, conserve l
peut être ici question que de leur valeur relative comme aliment de l’
intelligence
, et en particulier comme moyen d’éducation. Chacu
part qui doit être faite à l’imagination et au cœur dans la vie de l’
intelligence
, c’est se rendre suspect à ceux qui pensent que l
mille nuances, de mille complications, de mille contradictions, que l’
intelligence
rigide des géomètres. Dans le domaine de la physi
i donc il fallait répudier les lettres comme premières nourrices de l’
intelligence
, j’aimerais mieux, même au seul point de vue du b
rtoisie, mais il est de leur devoir de ne pas se dessaisir des jeunes
intelligences
, dont l’expérience de tous les siècles et la natu
enseignée, disons mieux, révélée à un enfant, dépend le niveau de son
intelligence
et même de son sens moral. L’homme destiné au min
re raison. Les qualités de la langue d’un peuple et les qualités de l’
intelligence
nationale sont identiques. Félicitons-nous, d’avo
le des vies ; elles n’ont pas cessé un instant de parler à toutes les
intelligences
cultivées, à tous les grands esprits. Si l’on dis
é encore plus éminent. C’est un aliment approprié à toutes les jeunes
intelligences
, comme le lait à tous les nouveau-nés. En même te
onc pas l’admiration du vieux, mais du naturel4. » C’est parce que l’
intelligence
de l’enfant doit, comme son corps, être nourri de
l’esprit d’ironie ; mais, si nous demandons qu’en dressant les jeunes
intelligences
on leur apprenne surtout l’admiration du beau ; l
me, comme tout ce qui est véritablement fort. Le fruit que les jeunes
intelligences
recueilleront des lettres antiques est donc celui
sophistes ; c’est par elle qu’il ouvrait et qu’il excitait les jeunes
intelligences
. Une discussion mélangée de doute et de fine moqu
il cesse d’être esclave. Quand on oublie de surveiller la partie de l’
intelligence
dont on a livré le domaine à l’ironie, cette flam
entre les âmes. Le persiflage, la moquerie, le sarcasme, isolent les
intelligences
; ils séparent les hommes de tout ce qui est en c
adies morales, supprimez le scepticisme, cette grande difformité de l’
intelligence
, supprimez les iniquités sociales les plus choqua
contraires à ceux que le christianisme a développés dans le cœur et l’
intelligence
de l’homme. C’est à notre siècle qu’il était rés
e à connaître un but auquel nous devons tous concourir ; d’acquérir l’
intelligence
et l’amour d’une de ces missions qui font la gran
e même que le corps humain est une réunion d’organes au service d’une
intelligence
, de même une nation est un grand corps physiqueme
ines n’a préparé un organe plus souple et plus docile à l’harmonieuse
intelligence
de toutes les idées, à l’universelle sympathie po
intimes affinités morales ; les autres races sont venues doter notre
intelligence
, celle-là nous a transmis son cœur. Le peuple de
il n’est pas seulement fils de ses œuvres, il peut citer des aïeux. L’
intelligence
française représente d’une manière abstraite et g
ventionnelles, elle servirait mal une imagination sans culture. Nulle
intelligence
ne la façonne à son gré et ne la domine, le génie
e plus ou moins spécialement à l’une de ces deux natures, selon que l’
intelligence
du peuple qui l’a façonnée pour son usage est plu
r c’est sous la forme la plus analogue à la poésie que se manifeste l’
intelligence
divine. Dieu a réalisé sa pensée dans une œuvre d
indétermination et au vague, elle se prête difficilement à servir une
intelligence
où domine le sentiment de l’infini ; son génie se
on, Rousseau et Diderot. Voltaire, l’expression la plus complète de l’
intelligence
nationale au dix-huitième siècle, Voltaire n’appa
et des facultés spéculatives ; ils s’adressent sans intermédiaire à l’
intelligence
et au sentiment, comme conduisant plus vite à leu
Car c’est par des échappées du cœur que nous entrevoyons l’infini ; l’
intelligence
et le raisonnement ne nous apprennent rien du mon
, ne cessons pas d’étudier les œuvres qui charmaient, qui élevaient l’
intelligence
de nos pères ; ne fût-ce que pour apprendre à con
tent ; mais concevez une action possible à l’adresse, à la force, à l’
intelligence
de l’individu exposé au choc de deux convois lanc
’y sentir dans la liberté d’un esprit qui crée. Il faut que ce soit l’
intelligence
, l’imagination de l’ouvrier qui dirige l’outil do
ne subissent pas seuls la domination humiliante que font peser sur l’
intelligence
et la liberté tous ces engins nouveaux dont nous
achines en général. Au lieu de faire ressortir l’adresse, la force, l’
intelligence
, en un mot la valeur personnelle de celui qui l’e
ertes, nous ne demandons pas mieux qu’on nous prouve la supériorité d’
intelligence
, de moralité, de bien-être de la population manuf
réhabilitée. Rétablissons en nous-mêmes la souveraineté légitime de l’
intelligence
, de l’idée religieuse, de l’activité morale, et n
ur du beau, du sentiment de l’honneur, de la philosophie, alors que l’
intelligence
et le cœur jouissaient, au moins en droit, de leu
le amour de la popularité, que nous avons vu abaisser les plus hautes
intelligences
, a été le grand levier de cette révolution. Par e
ettre avec elles l’industrie sur un pied d’égalité dans le monde de l’
intelligence
. L’industrie se soucie fort peu de philosophie, d
e et d’humanité, que nous avons vu détruire ces édifices de paix et d’
intelligence
et violer avec une fureur sauvage jusqu’à l’innoc
e cette faculté de dédoublement si remarquable dans le caractère et l’
intelligence
de notre nation. Les passions et les actes les pl
té. La grande parole, la grande pensée qui domine dans ce concert des
intelligences
, le roi de l’éloquence, c’est un docteur chrétien
s doute à la nature même de l’esprit français, ils ont obtenu sur les
intelligences
une action que ne conservent au même degré ni Cor
tit qu’à des négations. Le penseur le moins chimérique, la plus ferme
intelligence
politique de ce temps, Montesquieu lui-même, a-t-
rès ces grandes secousses, quand la paix et la liberté permettent à l’
intelligence
française de se recueillir, le spiritualisme rent
ui m’ont fait éprouver les joies de l’admiration. Entre ces élus de l’
intelligence
que notre génération saluait avec tant d’amour, l
rencontré aussi éclatant. La France recueillait dans le domaine de l’
intelligence
les fruits inestimables dont s’étaient couronnés
oltaire et l’abbé Prévost, semblent prêter tour à tour à cette habile
intelligence
les richesses qui peuvent le moins s’emprunter. S
s problèmes de nos destinées ! À travers les indécisions d’une loyale
intelligence
, jamais un cœur plus affamé de la vérité ne s’est
e par son histoire. (2) En étudiant ainsi le développement total de l’
intelligence
humaine dans ses diverses sphères d’activité, dep
nt mutuellement : la première est le point de départ nécessaire, de l’
intelligence
humaine ; la troisième, son état fixe et définiti
rès sensible, quoique indirecte, en considérant le développement de l’
intelligence
individuelle. Le point de départ étant nécessaire
ntestable, si on l’applique comme il convient à l’état viril de notre
intelligence
. Mais, en se reportant à la formation de nos conn
et la fin de tous les phénomènes, soient précisément celles que notre
intelligence
se propose par-dessus tout dans cet état primitif
que, si la philosophie positive est le véritable état définitif de l’
intelligence
humaine, celui vers lequel elle a toujours tendu
’avant de renoncer aux unes pour employer exclusivement les autres, l’
intelligence
humaine a dû se servir de conceptions intermédiai
conscience de leur siècle, de méconnaître la destination finale de l’
intelligence
humaine pour les études positives, ainsi que son
rapports capitaux, le plus grand et le plus pressant besoin de notre
intelligence
: tel est, j’ose le dire, le premier but de ce co
int de pouvoir occuper à elle seule l’activité permanente de quelques
intelligences
. C’est à cette répartition des diverses sortes de
l’excessive particularité des idées qui occupent exclusivement chaque
intelligence
individuelle. Ce fâcheux effet est sans doute iné
nt cet aveu il est déjà bien petit dans le monde savant le nombre des
intelligences
embrassant dans leurs conceptions l’ensemble même
mense développement, que les métaphysiciens livrés à l’étude de notre
intelligence
n’ont pu espérer de ralentir la décadence de leur
du service éminent qu’ils ont rendu en soutenant l’activité de notre
intelligence
, à l’époque où elle ne pouvait avoir d’aliment pl
possible et nécessairement fort imparfaite, même pour les plus hautes
intelligences
placées dans les circonstances les plus favorable
es différentes sciences dont elle se compose, présentées à toutes les
intelligences
comme les diverses branches d’un tronc unique, so
é est la première condition d’un véritable ordre social. Tant que les
intelligences
individuelles n’auront pas adhéré par un assentim
ctuelle de la société en disant simplement que le désordre actuel des
intelligences
tient, en dernière analyse, à l’emploi simultané
e comme éminemment chimériques, même quand elles sont tentées par les
intelligences
les plus compétentes. Je crois que les moyens de
ns la famille, et la famille ne peut exister que dans la société. Son
intelligence
, comme lui-même, ne peut naître que dans la famil
firmer que si l’homme a besoin de la société pour développer en lui l’
intelligence
et le sentiment moral, il est démontré, par cela
elle de l’homme dans la parole ; en désignant les animaux dépourvus d’
intelligence
, ils emploient cette expression : les animaux mue
its ; car, sans le secours de ces signes écrits, par quels moyens des
intelligences
humaines pourraient-elles embrasser tout le systè
ui-même à imaginer tout à coup la manifestation la plus complète de l’
intelligence
et de tous les sentiments moraux, puisque le verb
le à l’homme, dans l’origine, comme il lui a donné ses autres sens. L’
intelligence
de l’homme, dans quoi aurait-elle été contenue, o
oi aurait-elle été contenue, ou quel aurait été l’instrument de cette
intelligence
? Certains philosophes matérialistes, qui n’ont p
s donné immédiatement la parole à l’homme, du moins il l’a doué d’une
intelligence
telle, que l’homme a d’abord pensé, et qu’ensuite
formes, et qui sont la preuve du plus haut déploiement possible de l’
intelligence
humaine. Cela même est si vrai que la faculté de
arce que les lois du langage sont fondées sur la forme primitive de l’
intelligence
, ce qui, au fond, serait mettre un mystère à la p
ujours à expliquer comment s’est faite la première manifestation de l’
intelligence
humaine. Enfin si je demandais pourquoi il ne se
donc été faites tout d’une pièce par des hommes en qui la force de l’
intelligence
aurait fait prévoir les besoins futurs de la pens
hommes qui ont inventé les lois du langage ont donné du repos a notre
intelligence
pour jusqu’à la fin du monde ; car certainement l
s hommes ; car les inventeurs du langage seraient les inventeurs de l’
intelligence
humaine elle-même. Des savants ont établi et prou
opées ; les signes des mains, l’expression de la figure, aidaient à l’
intelligence
de ces émissions de la voix. Ce langage rude et g
mirent à perfectionner ensemble les premiers rudiments du langage. L’
intelligence
humaine fut créée par ces hommes merveilleux, don
timent, des méthodes sévères à la raison, des guides infaillibles à l’
intelligence
? Ainsi les premiers instituteurs du langage n’au
et je ne refuserai pas de l’admettre, pourvus de vastes et profondes
intelligences
; mais enfin ils ne furent doués que d’intelligen
tes et profondes intelligences ; mais enfin ils ne furent doués que d’
intelligences
humaines. Platon marchait par un plus court chemi
est impossible de découvrir par les sens la propriété physique dont l’
intelligence
peut dépendre. Car il dit expressément : « L’état
irréguliers et morbides, et enfin à l’agonie, on voit très souvent l’
intelligence
se déployer d’une manière extraordinaire et inatt
faire remarquer que, dans tous ces cas, c’est la moindre partie de l’
Intelligence
qui est excitée : les sens, la mémoire et l’imagi
magination représentative. Ces facultés fournissent des matériaux à l’
intelligence
, mais ne sont point l’intelligence ; c’est l’inte
ltés fournissent des matériaux à l’intelligence, mais ne sont point l’
intelligence
; c’est l’intelligence animale et mécanique ce n’
tériaux à l’intelligence, mais ne sont point l’intelligence ; c’est l’
intelligence
animale et mécanique ce n’est pas l’intelligence
telligence ; c’est l’intelligence animale et mécanique ce n’est pas l’
intelligence
de l’homme. Rien de tout cela n’est le génie. Un
e, et même une imagination très vive, et être destitué complètement d’
intelligence
. 2° On nous cite bien un certain nombre de cas où
e de cas où la maladie aurait amené un développement extraordinaire d’
intelligence
, et où l’imagination serait devenue créatrice. Ma
aordinaires. En outre, quand on s’attend à une extinction totale de l’
intelligence
, on est d’autant plus frappé de son réveil. C’est
autres termes, le génie et la folie sont les deux pôles extrêmes de l’
intelligence
. Il est donc très vraisemblable, autant qu’on peu
st impossible d’aller plus loin. Lorsqu’il se présente un homme d’une
intelligence
supérieure, il faut, pour expliquer cette supério
roles d’énergumènes, autant de clameurs fanatiques et qui humilient l’
intelligence
. Toutefois, qu’on ne l’oublie pas, l’intelligence
et qui humilient l’intelligence. Toutefois, qu’on ne l’oublie pas, l’
intelligence
n’est pas ici seule en jeu, il s’agit de la réali
it de la réalité phénoménale qui d’ailleurs conditionne, on l’a vu, l’
intelligence
. Or si absurde qu’apparaissent toutes les affirma
comme but, comme principe directeur et comme terme de comparaison, l’
intelligence
ne saurait rencontrer en effet aucun motif ration
puisqu’on le voit accompli, d’un pouvoir antérieur au fait même de l’
intelligence
et qui crée l’intelligence avec le phénomène ; il
, d’un pouvoir antérieur au fait même de l’intelligence et qui crée l’
intelligence
avec le phénomène ; il est corrélatif et contempo
défini et de l’instable, qui fixe et matérialise, sous le regard de l’
intelligence
, quelque état du mouvement, ce pouvoir se représe
siècle a ». Le moment est-il bien choisi pour combattre, au nom de l’
intelligence
, un siècle qui, jusqu’ici, n’était maltraité que
es philosophes comme Claude Bernard, comme Auguste Comte, de suprêmes
intelligences
comme Ernest Renan, — et combien d’autres princes
tiques, enchâssé l’âme humaine ; nous risquons de n’être plus que des
intelligences
. Intelligere, comprendre : il est plus grand de c
istoire de France. N.-B. — Je vois que vous traitez Renan de suprême
intelligence
. Ah ! non. J’aime beaucoup Renan et je lui dois b
même de la conversation, nourri des plus riches études. Mais suprême
intelligence
, Montfort, vous allez fort ! Qu’est-ce que vous d
t tous apportent le concours ingénieux de leur sensibilité et de leur
intelligence
pour constituer l’originalité variée d’un siècle
gnifie que jamais autant qu’au dernier siècle, on ne vit de si belles
intelligences
ni de si grands poètes asservis à de si mortelles
de ce siècle me paraissent avoir été guidés et soutenus, moins par l’
intelligence
que par le lyrisme du sentiment et du moi. À forc
siècle du transformisme, etc., etc., etc., est un grand siècle par l’
intelligence
, par l’art, par la science… Quant à lui assigner
risés à juger le xixe siècle et à le condamner ? Et cela au nom de l’
intelligence
? N’avons-nous pas tout simplement perdu le sens
’est par réaction immédiate qu’on le déclara « stupide ». Au nom de l’
intelligence
. Quelle intelligence ? Une intelligence d’assez r
édiate qu’on le déclara « stupide ». Au nom de l’intelligence. Quelle
intelligence
? Une intelligence d’assez récente invention, une
lara « stupide ». Au nom de l’intelligence. Quelle intelligence ? Une
intelligence
d’assez récente invention, une intelligence opéra
Quelle intelligence ? Une intelligence d’assez récente invention, une
intelligence
opérant par méthode de déduction. Et encore plutô
ulte renouvelé de la logique formelle. Si bien que les partisans de l’
intelligence
doivent plus aux scolastiques qu’aux réalistes du
u xviie siècle. Ceux qui disent stupide le xixe siècle, au nom de l’
intelligence
, ne savent pas que l’intelligence seule n’est rie
tupide le xixe siècle, au nom de l’intelligence, ne savent pas que l’
intelligence
seule n’est rien. Même en mathématiques. Les enne
s, qui peuvent devenir les excitateurs de leur sensibilité ou de leur
intelligence
. Ne furent-ils pas des crétins ou des fous, d’eff
contre du xixe siècle ne tendent rien moins qu’à l’avilissement de l’
intelligence
et de la littérature. Les hauts esprits qu’ils at
Le Nôtre ou M. Corpechot. Enfin, que signifie ce nouveau critérium. L’
intelligence
? Ainsi que le formule M. Léon Werth, « littérair
ntelligence ? Ainsi que le formule M. Léon Werth, « littérairement, l’
intelligence
seule n’est rien, même en mathématiques ». Elle n
Et puis, de quel droit s’ériger soudain en détenteurs exclusifs de l’
intelligence
? Jules Lemaître qui vivait au xixe siècle était
. Enfin n’est-il pas un peu naïf de se réclamer aussi bruyamment de l’
intelligence
quand on ne trouve à opposer aux fortes œuvres d’
qui a suivi. Nous pourrions, à la rigueur, rayer ce souvenir de notre
intelligence
, mais non pas de notre volonté. Ainsi notre perso
ure. Je n’y trouverais pas d’autres éléments en l’analysant. Mais une
intelligence
, même surhumaine, n’eût pu prévoir la forme simpl
s les points de l’univers avec lesquels on le suppose en rapport. Une
intelligence
surhumaine calculerait, pour n’importe quel momen
l’originalité et de l’imprévisibilité absolues des formes toute notre
intelligence
s’insurge. Notre intelligence, telle que l’évolut
ibilité absolues des formes toute notre intelligence s’insurge. Notre
intelligence
, telle que l’évolution de la vie l’a modelée, a p
a pensée, faire violence à l’esprit, remonter la pente naturelle de l’
intelligence
. Mais là est précisément le rôle de la philosophi
e, passé, présent et avenir seraient visibles d’un seul coup pour une
intelligence
surhumaine, capable d’effectuer le calcul. Aussi
enre. Laplace la formulait déjà avec la plus grande précision : « Une
intelligence
qui, pour un instant donné, connaîtrait toutes le
de actuel reposait potentiellement dans la vapeur cosmique, et qu’une
intelligence
suffisante aurait pu, connaissant les propriétés
même postulat, avec cette seule différence que, dans la course de nos
intelligences
finies le long de la succession toute apparente d
concertent pour le plus grand bien de l’ensemble et s’organisent avec
intelligence
en vue de cette fin. Telle est la conception de l
étendre trop loin l’application de certains concepts naturels à notre
intelligence
. Originellement, nous ne pensons que pour agir. C
s ne pensons que pour agir. C’est dans le moule de l’action que notre
intelligence
a été coulée. La spéculation est un luxe, tandis
nous ne sommes géomètres que parce que nous sommes artisans. Ainsi l’
intelligence
humaine, en tant que façonnée aux exigences de l’
aine, en tant que façonnée aux exigences de l’action humaine, est une
intelligence
qui procède à la fois par intention et par calcul
qui se répète, c’est tel ou tel aspect que nos sens et surtout notre
intelligence
ont détaché de la réalité, précisément parce que
écisément parce que notre action, sur laquelle tout l’effort de notre
intelligence
est tendu, ne se peut mouvoir que parmi des répét
ce qui se répète, uniquement préoccupée de souder le même au même, l’
intelligence
se détourne de la vision du temps. Elle répugne a
ns pas le temps réel. Mais nous le vivons, parce que la vie déborde l’
intelligence
. Le sentiment que nous avons de notre évolution e
présence qui nous permet d’affirmer que le noyau est un noyau, que l’
intelligence
toute pure est un rétrécissement, par condensatio
é dans le passé : à cet instant précis elle tombe sous le regard de l’
intelligence
, dont les yeux sont éternellement tournés en arri
ion puisse paraître, avoir plié la volonté à imiter le mécanisme de l’
intelligence
. Au contraire, une conduite vraiment nôtre est ce
ment nôtre est celle d’une volonté qui ne cherche pas à contrefaire l’
intelligence
et qui, restant elle-même c’est-à-dire évoluant,
évoluant, aboutit par voie de maturation graduelle à des actes que l’
intelligence
pourra résoudre indéfiniment en éléments intellig
itement la science universelle. Mais cette croyance est naturelle a l’
intelligence
humaine, toujours préoccupée de savoir sous quell
oluant dans la direction des Vertébrés en général, de l’homme et de l’
intelligence
en particulier, la Vie a dû abandonner en route b
totalité de ces éléments que nous devrons rechercher et fondre avec l’
intelligence
proprement dite, pour ressaisir la vraie nature d
par tout autre concept obtenu en composant entre eux des fragments d’
intelligence
. Nous nous plaçons en un des points d’aboutisseme
nous ne prenons pas tout ce qui s’y trouve, car nous ne retenons de l’
intelligence
qu’un ou deux des concepts où elle s’exprime : et
st que ce ne serait pas trop, ce ne serait pas assez ici de prendre l’
intelligence
entière. Il faudrait encore rapprocher d’elle ce
vie, dans son mouvement et dans son intégralité, procède comme notre
intelligence
, qui n’est qu’une vue immobile et fragmentaire pr
peu. Elle est trop large et trop étroite. En expliquant la vie par l’
intelligence
, elle rétrécit à l’excès la signification de la v
’intelligence, elle rétrécit à l’excès la signification de la vie ; l’
intelligence
, telle du moins que nous la trouvons en nous, a é
vision simple. Mais, d’autre part, justement parce qu’elle déborde l’
intelligence
, faculté de lier le même au même, d’apercevoir et
causes finales ne va pas assez loin quand elle se borne à mettre de l’
intelligence
dans la nature, et elle va trop loin quand elle s
séquence de la première, qui pèche par défaut. Il faut substituer à l’
intelligence
proprement dite la réalité plus compréhensive don
à l’intelligence proprement dite la réalité plus compréhensive dont l’
intelligence
n’est que le rétrécissement. L’avenir apparaît al
re envisage comme une fin autant et plus que comme un résultat. Notre
intelligence
a le droit de le considérer abstraitement de son
autour de lui, aux symboles juxtaposés par lesquels nos sens ou notre
intelligence
nous le représentent, plus généralement à des élé
voir dans l’œuvre du maître un effet de mosaïque. Ou supposons notre
intelligence
ainsi faite qu’elle ne puisse s’expliquer l’appar
iser avec des points, il faut un travail d’assemblage et il faut de l’
intelligence
, au lieu que le mouvement simple de la main ne co
e, n’étant que l’un des arrangements possibles : cet arrangement, une
intelligence
surhumaine aurait pu l’apercevoir d’avance parmi
ers ; et il n’est dans aucune langue aucun mot de race sur lequel une
intelligence
lucide ne puisse bâtir un traité de psychologie,
Quinton1 ne vont plus permettre d’en douter. Il devient certain que l’
intelligence
humaine, loin d’être le but de la création, n’en
es végétations parasites nées d’un excès de nutrition. Les phénomènes
intelligence
, conscience morale, et tous les titres de nobless
ectionnements, un animal ; la série des oiseaux ne semble pas, pour l’
intelligence
, supérieure à la série des mammifères, où l’homme
re à titre d’inexplicable exception. On ne pourrait donc considérer l’
intelligence
comme une finalité que si chacune des espèces ani
oduit un homme, l’humanité était immuable. Il est donc possible que l’
intelligence
humaine, au lieu d’être un accident, une dérogati
ectuelle des forces créatrices ? L’opinion la plus probable est que l’
intelligence
est une excroissance comme la galle du chêne ; qu
secte qui nous a fait cette piqûre ? Nous ne le saurons jamais. Que l’
intelligence
soit, comme le croyait Taine, un produit normal d
par ceci : excellent instrument pour les combinaisons aprioristes, l’
intelligence
est, spécialement, dirait-on, inapte à percevoir
tes ; il faut aller plus loin, il faut détruire, il faut incendier. L’
intelligence
est un instrument excellent de négation ; il est
omme civilisé. L’homme primitif, dont les nerfs vibrent peu et dont l’
intelligence
est passive, ressent la souffrance, quoique amort
interroger un Gœthe, un Taine ou un Nietzsche, les hommes chez qui l’
intelligence
a enfin vaincu, par son excès même, et repoussé l
ntimentales de la justice. Si l’idée d’immortalité était née dans une
intelligence
supérieure, elle n’aurait différé que par plus de
ndant l’interrègne de l’humanité, elle fit de telles hécatombes que l’
intelligence
manqua de périr. En l’an 960, le fils d’un serf d
surément, le public des théâtres était, en 1677, bien supérieur comme
intelligence
, instruction et goût, au public moyen d’aujourd’h
matière d’art, à l’opinion de la sensibilité s’oppose l’opinion de l’
intelligence
. La sensibilité ne se soucie que du plaisir ; qu’
concordance entre nos sensations présentes et l’état général de notre
intelligence
. Cela est surtout sensible pour la vérité, qui es
surtout sensible pour la vérité, qui est bien une sensation que notre
intelligence
ne contredit pas ; mais telle autre intelligence
sensation que notre intelligence ne contredit pas ; mais telle autre
intelligence
la contredit, ou se trouve contredite par des sen
augmenter son plaisir et son avancement spirituel, la culture de son
intelligence
. Elle sert au grand-paon à mieux faire l’amour ;
elle est moins belle ! On pourrait supposer que c’est dans la région
intelligence
que le courant émotionnel s’est diffusé, formant
ant émotionnel s’est diffusé, formant ainsi ce mélange d’émotion et d’
intelligence
qui nous donne le sens esthétique. L’intelligence
ange d’émotion et d’intelligence qui nous donne le sens esthétique. L’
intelligence
est un accident ; le génie est une catastrophe. I
les catastrophes seraient impossibles et les accidents très rares. L’
intelligence
humaine est certainement la conséquence de ce que
hez lesquels les émotions arrêtées à moitié chemin se transforment en
intelligence
, en goût esthétique, en religiosité, en moralité,
moins et on apprend de plus en plus. La sensibilité capitule devant l’
intelligence
. J’ai vu rire de qui regardait avec attention et
instruction ? Quelle sorte de supériorité cela peut-il conférer à une
intelligence
moyenne ? L’instruction, si elle est parfois un l
ue serait un grand bienfait, un grand réconfort pour n’importe quelle
intelligence
; mais l’on confond dans ce raisonnement la matiè
ce ; mais l’on confond dans ce raisonnement la matière et la forme. L’
intelligence
, qui a une forme générale et commune, en a une pa
re en chaque homme. Comme il y a plusieurs mémoires, il y a plusieurs
intelligences
; et chacune de ces intelligences, modifiée par l
lusieurs mémoires, il y a plusieurs intelligences ; et chacune de ces
intelligences
, modifiée par les physiologies propres, détermine
ue tout puisse être avec fruit enseigné à tous, il semble bien qu’une
intelligence
donnée ne peut recevoir, sans danger pour sa cont
quantité de cette instruction se réduirait à rien, car la plupart des
intelligences
sont incultivables. Du moins par les procédés act
un ensemble d’acquisitions mnémoniques, purement abstraites et dont l’
intelligence
est incapable de faire la projection sur le plan
mais seulement ceci : que rien n’est plus mauvais pour la santé d’une
intelligence
moyenne que le jeu des mots abstraits, que cette
sseur n’ait émis à ce sujet que des appréciations acceptables par une
intelligence
saine, de quelle utilité peut bien être une telle
es forces qui conservent la force vitale, il permet en même temps à l’
intelligence
de mieux jouir et de soi-même et de la vie sensit
aïvement Leibnitz et ce que répètent avec lui tous les esprits dont l’
intelligence
est le vautour : « Il n’est pas nécessaire de viv
ne sait jamais où l’ivresse de cette liqueur violente peut mener une
intelligence
qui n’est pas très forte ou très sceptique. Mise
tarir cette source d’excitation, des esprits de bonne volonté, mais d’
intelligence
malsaine, c’est-à dire sans contact avec la réali
e de certains gestes intellectuels. Elle sera le bâton de voyage de l’
intelligence
; mais offerte à un cerveau médiocre, dirigée ver
clenchement vers le doute. Mais elle n’exerce d’influence que sur des
intelligences
en mouvement ou en puissance de mouvement ; elle
ent ; elle ne détermine pas, elle incline. Surtout elle ne crée pas l’
intelligence
. Nous avons constamment sous les yeux des exemple
une d’elles. Cet ordre importe peu en une étude où il s’agit non de l’
intelligence
qui reçoit, mais de l’intelligence qui donne, de
en une étude où il s’agit non de l’intelligence qui reçoit, mais de l’
intelligence
qui donne, de l’extérieur et non de la vie psycho
et si lentement peut-être qu’il n’atteindrait jamais la limite de son
intelligence
pratique. S’il était possible d’assigner au langa
ils ont paru, le génie n’était plus religieux. Les trois maîtres de l’
intelligence
au xvie siècle évoluent au-dessus de la religion
. L’idée du libre arbitre est essentiellement une idée de malade. Une
intelligence
bien portante n’a pas le temps de tirer du confli
té propre. Un homme sans volonté, s’il est bien portant et de moyenne
intelligence
, est apte à presque toutes les besognes, à presqu
cultivé, plus il se regarde avec complaisance. Il semble aussi que l’
intelligence
, qui est fort variable, se maintienne dans un cer
ux. Pascal englué, il le travailla, l’amollit, lui enleva sa foi en l’
intelligence
et sa confiance dans la volonté. Tout aux mains d
s vers leur obscure destinée, il ne faut pas être trop intelligent. L’
intelligence
est un don qui ressemble a un fardeau ; son poids
ce qui est ; il a montré qu’entre la chose et nous il y a toujours l’
intelligence
, et que par conséquent elle ne peut jamais être c
logiques de ces aphorismes sont nettes : on ne connaît que sa propre
intelligence
, que soi, seule réalité, le monde spécial et uniq
me, pour qu’il pourvoie les imbéciles de bonnes muselières, car, sans
intelligence
, l’homme mord. La vie sociale étant écartée, il r
c’est aux intellects rudimentaires à se développer et non aux larges
intelligences
à se rétrécir pour permettre à l’œil distrait de
i n’est pas esthétique. C’est en vain qu’il chercherait le Vrai que l’
intelligence
seule peut connaître, ou le Moral que la conscien
règne, tant espéré, de la Justice et de la Bonté, de l’Amour et de l’
Intelligence
, — de l’Esprit, en un mot, lequel est tout cela e
avec la Cause, — et l’on se demande avec terreur si les plus humbles
intelligences
ne sont pas les privilégiées de l’Esprit, — et si
à de la mauvaise qui, satisfaisant leur sensibilité, souillerait leur
intelligence
. L’esprit aussi a sa pudeur. Ces femmes courageus
; franchise et gaieté (11) ; femme d’intérieur, bonne ménagère (8) ;
intelligence
, jugement, curiosité d’esprit (7). On voit qu’ell
à Shakespeare, à Racine, à Chateaubriand ? N’est-ce point un signe d’
intelligence
et de haute spiritualité que de se plaire en ces
uche que la sensibilité n’est jamais de l’art. Ce qui ne touche que l’
intelligence
n’est pas de l’art non plus. Tenez-vous-en à l’ex
e jeu intellectuel est impossible. Il semble bien que cela soit par l’
intelligence
qu’on les dompte bien plus que par le sentiment.
est tout à fait bonne qu’entourée d’un fossé profond. La culture de l’
intelligence
consiste à faire creuser ce fossé par l’intellige
La culture de l’intelligence consiste à faire creuser ce fossé par l’
intelligence
elle-même. Ce sera un fossé, ou ce sera une murai
ul but est d’exalter la religion et la morale. Ainsi on incorpore à l’
intelligence
les notions qui lui sont le plus étrangères. La m
né des modèles d’amour ; la vie des poètes leur donnera des modèles d’
intelligence
. Corneille n’enseigne-t-il pas le sacrifice ? Ne
e les roses qui commencent à se faner par la pointe des feuilles. Une
intelligence
cuirassée assure la défense de l’organisme tout e
lle jeune fille à la gorge émue et aux yeux inquiets. On dirait que l’
intelligence
n’a été donnée à la femme que comme le don du mie
ctions caractérisés par des différences sensibles. Dans le monde de l’
intelligence
on se meut librement, sans mot d’ordre que celui
! Oui, mais l’action de l’esprit sur le castor n’est pas perçue par l’
intelligence
du castor, et sitôt que son poil retombe, sitôt q
elle se résoudra en lumière. Mais, que nous importe l’avenir, et si l’
intelligence
est vraiment sans action, si ceux qui devraient ê
et qui serait, dit-on, l’unification, selon la moyenne, de toutes les
intelligences
et de toutes les forces. Idéal (si l’on ose dire)
apparence formelle, sous l’illusion d’un contour précis, et c’est à l’
intelligence
de lui donner sa forme vraie, c’est-à-dire sa des
à titre provisoire, ces diverses notions, véritables intruses dans l’
intelligence
occidentale. Suivons l’exemple du catéchisme qui
a aucune importance, pourvu que les mœurs soient libres, pourvu que l’
intelligence
demeure intacte. On verrait ensuite ce que l’on p
s la Wiener Randschau du 1er mai 1899. 2. On peut ainsi concevoir l’
intelligence
comme une forme initiale de l’instinct. L’intelli
si concevoir l’intelligence comme une forme initiale de l’instinct. L’
intelligence
humaine serait destinée à se cristalliser en inst
destinée à se cristalliser en instinct, comme cela est advenu pour l’
intelligence
des autres espèces animales La conscience dispara
rticulé, ou entièrement perdue, ou profondément altérée ; cependant l’
intelligence
demeure saine, dit-on ; les organes vocaux sont d
jeune fille qui, malgré son état d’aphasie, avait conservé toute son
intelligence
et répondait si bien par oui et non, et par ses g
fficile de séparer rigoureusement le domaine du langage et celui de l’
intelligence
. Nous inclinons donc à nous ranger à l’opinion de
oviser. Dans la plupart des cas cités par M. Trousseau, on voit que l’
intelligence
était très-atteinte. Quant aux cas contraires cit
atifs. Il est bien difficile de juger d’une manière exacte du degré d’
intelligence
d’une personne qui a perdu le moyen de s’exprimer
u attribuer des sièges différents au mouvement, à la sensibilité, à l’
intelligence
, mais l’intelligence elle-même, et les facultés a
s différents au mouvement, à la sensibilité, à l’intelligence, mais l’
intelligence
elle-même, et les facultés affectives, n’ont pas
en suspens, ou, pour mieux parler, l’unité du cerveau, comme organe d’
intelligence
et de sentiment, peut être considérée comme le fa
côté (jusqu’ici du moins) ne s’était levée, pour en finir, une de ces
intelligences
supérieures qui ferment les débats sur une questi
mme nous ne le prévoyions bien, du reste, il vient d’être dit par une
intelligence
chrétienne. M. Saint-Bonnet ne serait pas chrétie
crivains qui ont discuté l’influence de la littérature ancienne sur l’
intelligence
des générations modernes, M. Saint-Bonnet ne s’es
sprit, de l’inutilité des charges à fond exécutées par les meilleures
intelligences
contre la Révolution dans les systèmes qu’elle a
les d’une fausse philosophie, c’est la confusion de la Raison et de l’
Intelligence
, qu’il faut si sévèrement distinguer. La Raison,
nous est resté du rayon divin après la grande rupture de la Chute ; l’
intelligence
, c’est la puissance de l’homme, le résultat, soit
mène, du variable, du relatif, du fini, que lui transmet sans cesse l’
Intelligence
recueillant le produit des sens, et d’empêcher qu
s destinées d’une question posée et en litige encore. Il ralliera les
intelligences
fortes. Il fera la lumière par en haut. Seulement
serait infiniment désirable que la masse du genre humain s’élevât à l’
intelligence
de la science ; mais il ne faut pas que la scienc
ins exigeante qu’en littérature, les ouvriers y déploient souvent une
intelligence
supérieure à celle de la plupart des lettrés. L’h
toutes les autres ambitions, voyons quelle direction vont prendre les
intelligences
. Que faut-il pour devenir riche ? Être savant, sa
ultiver sont celles qui servent à la richesse, l’esprit industriel, l’
intelligence
pratique. Or ces facultés sont de très peu de val
La ploutocratie est donc peu favorable au légitime développement de l’
intelligence
. L’Angleterre, le pays de la richesse, est de tou
s pays civilisés le plus nul pour le développement philosophique de l’
intelligence
. Les nobles d’autrefois, croyaient forligner en s
êmes, enfin quand un système complexe de représentations occupe notre
intelligence
, nous sentons que nous pouvons prendre deux attit
nd vient le moment du rappel, nous ne recourons pas exclusivement à l’
intelligence
ni exclusivement à l’automatisme : automatisme et
terprétation de l’image visuelle était exclue de l’acte de vision : l’
intelligence
était maintenue sur le plan des images visuelles.
ns se dégage de lui-même pour l’oreille, en quelque sorte, sans que l’
intelligence
s’en mêle. L’objet est d’obtenir de la mémoire le
les parties simultanées. Dans une page bien connue de son livre sur l’
Intelligence
, Taine a analysé cette aptitude, d’après les indi
des questions banales, la réponse succédant à la question sans que l’
intelligence
s’intéresse au sens de l’une ou de l’autre. C’est
entre eux, et composer ainsi des phrases qui se tiennent, sans que l’
intelligence
proprement dite s’en mêle. Dans ces exemples, l’i
s, toujours ce sont des perceptions ou images qui sont présentées à l’
intelligence
pour être traduites par elle en relations, comme
ns l’ensemble et par leur lien avec les autres mots de la phrase. Une
intelligence
qui irait sans cesse du mot à l’idée serait const
ans toutes ses sinuosités la courbe spéciale de la route que suivra l’
intelligence
. Je ne puis aborder ici le problème de l’attentio
leurs harmoniques sensorielles. On conçoit que cette indécision de l’
intelligence
se continue en une inquiétude du corps. Les sensa
ectuel. C’est pourquoi nous avons cru pouvoir expliquer l’effort de l’
intelligence
sans sortir de l’intelligence même, par une certa
ons cru pouvoir expliquer l’effort de l’intelligence sans sortir de l’
intelligence
même, par une certaine composition ou une certain
présentation, soit dans l’intervention d’une « force » extérieure à l’
intelligence
. Mais ni cet accompagnement affectif ni cet indéf
li son oeuvre. L’image aux contours arrêtés dessine ce qui a été. Une
intelligence
qui n’opérerait que sur des images de ce genre ne
ecomposer dans un autre ordre, par un travail de mosaïque. Mais à une
intelligence
flexible, capable d’utiliser son expérience passé
ands calculateurs et joueurs d’échecs, Paris, 1894. 72. TAINE, De l’
intelligence
, Paris, 1870, t. I, p. 81 et suiv. 73. Matière
on se pique d’originalité et l’on prétend penser des choses qu’aucune
intelligence
humaine n’ait encore pensées. Les idées neuves so
ne sont pas indissolublement liés à la langue et au mètre, et dont l’
intelligence
n’exige pas une forte préparation archéologique.
lecture n’est pas profitable. Elle entre dans la mémoire, non dans l’
intelligence
. Il faut se mêler pour ainsi dire à sa lecture, j
’est pas rare non plus chez les hommes. Il ne vient pas d’infirmité d’
intelligence
, ni de paresse. Il a sa source dans les sentiment
e dans nos lycées et plus encore dans l’enseignement primaire, dont l’
intelligence
est restée naïve et comme vierge, ont un respect
era-t-on point passif ? Comment la fera-t-on vraiment passer dans son
intelligence
? M. Brunetière, dans un remarquable morceau1, a
t les goûter sans idolâtrie, autrement que sur parole, par une claire
intelligence
de leur profonde vérité. Toujours par quelque côt
superficielle que soit une pensée, si elle est une conquête de notre
intelligence
, elle est précieuse : car elle crée une habitude,
sing, de Schlegel sur nos classiques, sont d’excellents appuis pour l’
intelligence
, qui en tirera des principes pour penser autremen
5 à 1821, règne la doctrine la plus opposée au panthéisme, celle de l’
intelligence
, comme enfermant la conscience et la personnalité
alité ; en sorte qu’il faut choisir entre un Être premier, dépourvu d’
intelligence
, s’il est sans personnalité et sans conscience, c
ystèmes : son école est ouvertement éclectique. L’éclectisme, c’est l’
intelligence
en histoire, c’est le discernement assuré du vrai
s semblent menacer sa propre existence. Pour se défendre, l’homme a l’
intelligence
et la liberté. Il ne se soutient, il ne vit, il n
s observer, à mesurer leur portée et à calculer leur retour. Avec son
intelligence
, il prend connaissance de ce monde ; avec sa libe
d’hui. Les sciences mathématiques et physiques sont une conquête de l’
intelligence
humaine sur les secrets de la nature : l’industri
et, regardez autour de vous, vous apercevrez partout l’empreinte de l’
intelligence
et de la liberté humaine. La nature n’avait fait
forme de sa personne, les a élevées à des simulacres de liberté et d’
intelligence
, et par là leur a communiqué une partie de la val
d’y déposer et d’y faire briller sans cesse davantage la liberté et l’
intelligence
dont il est doué. L’industrie, je me plais à le r
idée à laquelle puissent se ramener toutes les idées qui sont dans l’
intelligence
, le seul côté par lequel l’homme considère toutes
actuel de l’industrie relativement au monde primitif de la nature. L’
intelligence
humaine va encore au-delà. C’est un fait incontes
t le monde de l’industrie. Comme les deux autres, il est l’œuvre de l’
intelligence
et de la liberté de l’homme, travaillant, ici sur
; mais ce ne peut pas être là le dernier degré du développement de l’
intelligence
humaine. En présence du symbole, l’homme, après l
religion, l’art, l’État, l’industrie, un besoin spécial et réel de l’
intelligence
, un résultat nécessaire, non du génie de tel ou t
out élément étranger ; elle est le plus haut degré de la liberté de l’
intelligence
. L’industrie était déjà un affranchissement de la
ment amie de l’harmonie et de la paix. En effet, la philosophie est l’
intelligence
et l’explication de toutes choses. La philosophie
oissant ; donnez-vous-y le spectacle instructif de la liberté et de l’
intelligence
humaine marchant à la conquête et à la domination
faîte de vos études, vous trouverez dans la vraie philosophie, avec l’
intelligence
et l’explication de toutes choses, une paix suprê
est la philosophie ; c’est dans cette distinction qu’est toute vraie
intelligence
de l’âme humaine et de l’histoire. Non seulement
t aussi pures et une capacité tout aussi haute, et qui y joignait une
intelligence
admirable du temps présent, lui répondait : « Si
humain débute par l’abstraction33 ; que d’abord il ait en lui-même l’
intelligence
claire et parfaite des rapports abstraits des nom
aite des rapports abstraits des nombres, et qu’ensuite, armé de cette
intelligence
, il détermine les rapports des objets sensibles e
es traverse successivement pour acquérir de soi une conscience et une
intelligence
complète. Or cette conscience et cette intelligen
conscience et une intelligence complète. Or cette conscience et cette
intelligence
d’elle-même, elle ne l’acquiert que dans la philo
a capitale une personne42 qui représentait pour ainsi dire en petit l’
intelligence
de son époque, ait pu dire avec vérité : « Le suc
ncevoir leurs rapports secrets, leur ordre véritable, et qui puisât l’
intelligence
de cet ordre à sa source unique, dans la connaiss
sens et par l’expérience, et que nous ne débutons pas non plus par l’
intelligence
toute seule, de même l’esprit humain ne débute ni
dées fondamentales de l’histoire. Récapitulation. Des idées dans l’
intelligence
humaine. — Des idées dans l’intelligence divine.
pitulation. Des idées dans l’intelligence humaine. — Des idées dans l’
intelligence
divine. — Du vrai caractère de l’intelligence. —
ine. — Des idées dans l’intelligence divine. — Du vrai caractère de l’
intelligence
. — Réponse à quelques objections. — Passage de Di
à l’univers. De la création. — De l’univers comme manifestation de l’
intelligence
divine et des idées qui la constituent. Que ces i
e l’histoire. Rappelez-vous les conclusions de la dernière leçon, l’
intelligence
, à quoi que ce soit qu’elle s’applique, ne peut r
utre, sans autre rapport que celui d’être aperçus en même temps par l’
intelligence
; le rapport qui les lie est tout autrement essen
qui l’y rapporte sans cesse, sont les trois éléments intégrants de l’
intelligence
. Il n’est pas au pouvoir de la raison, dans ses a
accorder que les idées ne sont que des conceptions de la raison, de l’
intelligence
, de la pensée, si on veut bien s’entendre avec mo
si on veut bien s’entendre avec moi sur la nature de la raison, de l’
intelligence
, de la pensée. La raison est-elle purement humain
son ; son sujet véritable est la raison universelle et absolue, cette
intelligence
incorruptible dont la nôtre est un fragment. C’es
remarquez qu’en faisant des idées les manières d’être de l’éternelle
Intelligence
, vous donnez à cette intelligence ce qui lui est
les manières d’être de l’éternelle Intelligence, vous donnez à cette
intelligence
ce qui lui est nécessaire pour être une vraie int
ez à cette intelligence ce qui lui est nécessaire pour être une vraie
intelligence
, c’est-à-dire pour se connaître ; car le propre d
aie intelligence, c’est-à-dire pour se connaître ; car le propre de l’
intelligence
n’est pas seulement de pouvoir connaître, mais de
ir connaître, mais de connaître en effet. À quelle condition y a-t-il
intelligence
pour nous ? Il ne suffit point qu’il y ait en nou
ence pour nous ? Il ne suffit point qu’il y ait en nous un principe d’
intelligence
, il faut que ce principe se développe et se prenn
principe se développe et se prenne lui-même comme objet de sa propre
intelligence
. La condition nécessaire de l’intelligence, c’est
e comme objet de sa propre intelligence. La condition nécessaire de l’
intelligence
, c’est la conscience56, c’est-à-dire la différenc
lui-même : c’est là se connaître, c’est là se comprendre, c’est là l’
intelligence
: l’intelligence sans conscience est la possibili
là se connaître, c’est là se comprendre, c’est là l’intelligence : l’
intelligence
sans conscience est la possibilité abstraite de l
ce : l’intelligence sans conscience est la possibilité abstraite de l’
intelligence
, non l’intelligence réalisée, et la conscience im
sans conscience est la possibilité abstraite de l’intelligence, non l’
intelligence
réalisée, et la conscience implique la diversité
science implique la diversité et la différence. Transportez ceci de l’
intelligence
humaine à l’intelligence absolue, c’est-à-dire ra
sité et la différence. Transportez ceci de l’intelligence humaine à l’
intelligence
absolue, c’est-à-dire rapportez les idées, j’ente
ées, j’entends les idées au sens de Platon et de Leibnitz, à la seule
intelligence
à laquelle elles puissent essentiellement apparte
ement appartenir, vous avez, si je puis m’exprimer ainsi, la vie de l’
intelligence
divine, vous avez cette intelligence avec les élé
is m’exprimer ainsi, la vie de l’intelligence divine, vous avez cette
intelligence
avec les éléments divers et harmonieux qui lui so
nts divers et harmonieux qui lui sont nécessaires pour être une vraie
intelligence
. Résumons-nous. Il y a dans la raison humaine deu
, et constituent une unité indécomposable. Quelle est cette unité ? L’
intelligence
divine elle-même. Voilà jusqu’où, sur les ailes d
’où, sur les ailes des idées, pour parler comme Platon, s’élève notre
intelligence
; voilà le Dieu trois fois saint que reconnaît et
n voudra bien ne pas m’accuser de confondre avec le monde l’éternelle
intelligence
qui, avant le monde et l’humanité, existe déjà de
e qui serait absolument incompréhensible n’aurait nul rapport à notre
intelligence
, et ne pourrait être admis ni même soupçonné par
que nous serait un Dieu qui n’aurait pas donné à sa créature assez d’
intelligence
pour que cette pauvre créature pût s’élever jusqu
e christianisme croie l’explication de l’essence divine interdite à l’
intelligence
humaine, puisqu’il la fait enseigner au plus humb
que nous produisons. Et si Dieu est pour nous l’unité de l’être, de l’
intelligence
et de la puissance, avec la variété inhérente à c
a-t-il pas autre chose dans la conscience ? Oui, en même temps que l’
intelligence
saisit le moi comme fini dans son opposition au n
ni ne vous suffit pas, et elle vous suggère celle de l’infini. Dans l’
intelligence
développée, dans les langues, qui sont ce que l’i
. Dans l’intelligence développée, dans les langues, qui sont ce que l’
intelligence
les a faites, le fini suppose l’infini, comme l’i
sayez de les nier, vous n’y réussissez pas. Mais je vous demande si l’
intelligence
commence par une négation. Non certes, car une né
enser sans avoir voulu penser ? Transportez-vous au premier fait de l’
intelligence
, car l’intelligence a dû avoir son premier fait,
lu penser ? Transportez-vous au premier fait de l’intelligence, car l’
intelligence
a dû avoir son premier fait, avant lequel vous ig
oir son premier fait, avant lequel vous ignoriez que vous fussiez une
intelligence
, l’intelligence ne prenant connaissance d’elle-mê
fait, avant lequel vous ignoriez que vous fussiez une intelligence, l’
intelligence
ne prenant connaissance d’elle-même que par ses a
et vous l’ignoriez absolument. Eh bien, quand pour la première fois l’
intelligence
s’est manifestée, il est clair qu’elle ne s’est p
ns l’avoir voulu, vous vous retrouverez ainsi au point de départ de l’
intelligence
, et vous pourrez observer avec plus ou moins de p
cision ce qui se passa et dut se passer dans le premier fait de votre
intelligence
, en ce temps qui n’est plus et ne peut plus reven
chose de meilleur à quoi nous rapportons et nous-mêmes et le monde. L’
intelligence
aperçoit naturellement tout cela, mais elle ne pe
du genre humain. Quel est celui qui, dans l’exercice spontané de son
intelligence
, ne croit pas à lui-même, et ne croit pas au mond
s tous ses membres, car dans tous ses membres est le rayon divin de l’
intelligence
, et il y a entre nous tous une confraternité esse
, mais il ne change point essentiellement ; sa nature est donnée, son
intelligence
est donnée, sa constitution physique est donnée a
ec ses bornes nécessaires. Nous avons vu qu’il ne peut y avoir dans l’
intelligence
humaine que trois idées. La réflexion, appliquée
différence. Ainsi l’homme, qui au fond et dans l’élan spontané de son
intelligence
est identique à lui-même, ne se ressemble plus da
de lui, quelque chose d’intellectuel et d’intelligible, Dieu étant l’
intelligence
dans son essence même et dans ses moments fondame
t absolument rien dans l’histoire, où la passion doit faire place à l’
intelligence
. D’ailleurs, quand on s’emporte si violemment con
Winckelmann et M. Quatremère de Quincy l’ont aisément surpassé dans l’
intelligence
des arts de la Grèce. MM. de Schlegel, que Herder
phes sans être versé dans les questions philosophiques. Ici surtout l’
intelligence
historique est en raison directe de l’intelligenc
ues. Ici surtout l’intelligence historique est en raison directe de l’
intelligence
scientifique. Il suit de là que, dans toute époqu
mprend, sans rejeter entièrement l’élément intérieur, la liberté et l’
intelligence
, il considère plus particulièrement l’élément ext
circonstances, attention, comparaison, raisonnement ; elle devient l’
intelligence
et même la volonté ; elle devient la conscience,
a physiologie, où éclate plus que partout peut-être la présence d’une
intelligence
bienfaisante, a eu sa philosophie, matérialiste.
ition la plus minutieuse, de la critique la plus circonspecte et de l’
intelligence
à la fois la plus pénétrante et la plus flexible.
sistible, réunira peu à peu tous les esprits et tous les cœurs dans l’
intelligence
et l’amour de cette Charte qui contient à la fois
es milliers de mondes semés dans les déserts animés de l’espace ; son
intelligence
, dans leurs lois harmonieuses ; enfin ce qu’il y
comme une puissance essentiellement intelligente n’a pu créer qu’avec
intelligence
, comme une puissance essentiellement sage et bonn
é suprême, sans les limites qu’imposent à ma nature la passion et une
intelligence
bornée. La liberté divine ne connaît pas les misè
ienne, ses troubles, ses incertitudes ; elle s’unit naturellement à l’
intelligence
et à la bonté divine. Dieu était parfaitement lib
e, mais en vertu de sa sagesse même, et qu’ainsi dans ce grand acte l’
intelligence
et l’amour dirigèrent la liberté. » Fragments de
’il est la raison et la bonté mêmes. Dans celui où tout est infini, l’
intelligence
, la bonté et la liberté sont également infinies,
e se trahit par la discorde et le trouble. Les différents pouvoirs, l’
intelligence
, la bonté ou l’amour, et la libre activité sont d
conformément à la nature infinie, sans effort et sans combat. Ôtez l’
intelligence
divine, la conception du plan de ces innombrables
e ; l’homme capable d’aimer a un père qui aime aussi ; l’homme doué d’
intelligence
atteste une intelligence suprême. Cette induction
er a un père qui aime aussi ; l’homme doué d’intelligence atteste une
intelligence
suprême. Cette induction si simple et si solide,
nd il nie la liberté divine, et cela par la confusion déplorable de l’
intelligence
et de l’action. Il voit bien que Dieu a nécessair
, mais élevés à l’infini. Il possède une liberté infinie jointe à une
intelligence
infinie ; et comme son intelligence est infaillib
une liberté infinie jointe à une intelligence infinie ; et comme son
intelligence
est infaillible, exempte des incertitudes de la d
attribut, nulle qualité, et même qu’il soit dépourvu de science et d’
intelligence
… » Ibid., p. 124 : « À force de vouloir affranch
absolu possède l’unité absolue, sans aucun doute, comme il possède l’
intelligence
absolue ; mais, encore une fois, l’unité absolue,
ute l’auteur du monde, mais surtout c’est le père de l’humanité ; son
intelligence
, c’est la nôtre, à laquelle on ajoute la nécessit
s un moteur, une cause, il n’est pas non plus, en tant qu’infini, une
intelligence
; il n’est pas non plus une volonté ; il n’est pa
i est infini ; il en manifeste, mais il en voile aussi la grandeur, l’
intelligence
, la sagesse. L’univers est l’image de Dieu, il n’
ns qu’il n’a donné, et n’ait lui-même ni personnalité, ni liberté, ni
intelligence
, ni justice, ni amour. Ou Dieu est inférieur à l’
? Et il se répond avec une clarté parfaite : L’être premier, c’est l’
intelligence
, et la nature ne vient qu’après160. Et dans le mê
dans le même endroit et partout ailleurs, il établit fermement que l’
intelligence
est à la fois principe premier de mouvement et pr
le disciple s’accordent parfaitement sur l’attribut fondamental de l’
intelligence
première, à savoir de se connaître soi-même. L’in
ntal de l’intelligence première, à savoir de se connaître soi-même. L’
intelligence
première de Platon et d’Aristote n’attend pas l’h
ême est dépourvu d’amour ? Quel Dieu qu’un Dieu sans conscience, sans
intelligence
, sans liberté, sans amour ! Qu’est-ce que ce Dieu
gré de l’être, sa perfection est la plus haute liberté, la plus vaste
intelligence
et l’amour le plus tendre comme le plus désintére
priétés dont cette substance est douée, la sensibilité, la volonté, l’
intelligence
. L’être que je suis je ne l’atteins qu’indirectem
être doué de toutes les perfections de l’être, et par conséquent de l’
intelligence
, de la liberté et de l’amour, qui sont en moi dan
ents de mon âme, les résolutions de ma volonté, les poursuites de mon
intelligence
, mes travaux, mes élans, mes angoisses, mes misèr
phie, ou qu’on n’a pas soi-même passé par les divers états d’âme et d’
intelligence
qui produisent l’un et l’autre. En général, tout
Cette théorie de la conscience, comme étant la forme nécessaire de l’
intelligence
, transportée ici, selon notre procédé constant, d
jugement que l’esprit prononce sur les idées une fois apparues : « L’
intelligence
, dit M. Ravaisson, une notion se présentant à ell
s bas degré, le cerveau peut lier des impressions indépendamment de l’
intelligence
, sinon indépendamment d’une sourde sensibilité et
ue degré, émotionnellement, mais sans avoir été alors remarquée par l’
intelligence
. Parfois aussi, les termes intermédiaires entre d
contiguïté, dont la similarité d’impressions est une conséquence ; l’
intelligence
ne connaît guère que la similitude, dont la conti
fférence. Cette conscience suppose une réaction de la volonté et de l’
intelligence
par rapport aux sensations qui nous arrivent, et
ntré, qu’entre des termes déjà donnés par un pur automatisme ; mais l’
intelligence
n’en a pas moins, en premier lieu, le pouvoir d’a
déjà commencée par la simple coïncidence de temps. En second lieu, l’
intelligence
finit par prendre intérêt aux ressemblances et di
a loi propre, conséquemment sa tendance normale. Cette loi est pour l’
intelligence
la loi même de conservation et de progrès. Aussi,
lieu intérieur qui est la conscience même, sous les trois formes de l’
intelligence
, de la sensibilité, de la volonté. Les idées de l
s de l’intelligence, de la sensibilité, de la volonté. Les idées de l’
intelligence
, les sentiments et surtout les appétitions entren
ne répétant plus, il n’y a plus de mémoire ni de liaison d’images. L’
intelligence
n’est pas à part, reliant par une action exclusiv
la plus française, la plus conforme à l’initiative, à la clarté, à l’
intelligence
qui sont caractéristiques de la race. Malheureuse
es. Et le public ne saurait les confondre. Ainsi, l’aristocratie de l’
intelligence
sera sauvegardée et c’est la vraie tâche du criti
intelligent. Il avait donc le droit de s’inquiéter de l’avenir, de l’
intelligence
. Mais l’intelligence aujourd’hui n’est plus libre
t donc le droit de s’inquiéter de l’avenir, de l’intelligence. Mais l’
intelligence
aujourd’hui n’est plus libre. L’argent l’asservit
sur quiconque tient une plume. Devenue le génie sauveur de la cité, l’
intelligence
se sera sauvée elle-même de l’abîme où descend no
ur ronger les os, se rouler au niveau des chiens. » Et pour sauver l’
intelligence
, il faut d’abord que l’intelligence veuille brise
u des chiens. » Et pour sauver l’intelligence, il faut d’abord que l’
intelligence
veuille briser ses chaînes, qu’elle revienne à ap
ence, contient sur l’Esthétique de Stéphane Mallarmé, des pages d’une
intelligence
singulière, sa dernière « Étude », De Watteau à W
avec tout ce qu’il contient de faux et d’outré sévit encore dans nos
intelligences
… il corrompt et brûle le sang de notre race… L’ar
Nul n’a plus que M. G. Polti, — avec une éducation très complète de l’
intelligence
scénique, — le sens de la continuité, de l’influe
anarchistes universitaires, nous devons nommer M. Henri Dagan dont l’
intelligence
large, éclairée, précise, le sens esthétique, l’e
uté, à des écarts de goût qui faussent les jugements et troublent les
intelligences
. « Conservons, pour modèle unique, la vie, et pou
st alors en pleine harmonie avec la vraie situation initiale de notre
intelligence
, en un temps où l’esprit humain est encore au-des
été de plus en plus écartées comme radicalement inaccessibles à notre
intelligence
, qui s’est graduellement habituée à y substituer
or continu des spéculations humaines, en dégageant spontanément notre
intelligence
du cercle profondément vicieux où elle est d’abor
e des principes théologiques, sans lesquels on doit assurer que notre
intelligence
ne pouvait jamais sortir de sa torpeur initiale,
sans l’énergique stimulation inhérente à de telles études, où tant d’
intelligences
mal cultivées persistent encore à chercher la plu
sable à l’essor préliminaire de notre sociabilité qu’à celui de notre
intelligence
, soit pour constituer primitivement quelques doct
’état métaphysique proprement dit à l’évolution fondamentale de notre
intelligence
, qui antipathique à tout changement brusque, peut
Cette longue succession de préambules nécessaires conduit enfin notre
intelligence
, graduellement émancipée, à son état définitif de
mot, la révolution fondamentale qui caractérise la virilité de notre
intelligence
consiste essentiellement à substituer partout, à
nce directe et permanente est néanmoins incontestable chez toutes les
intelligences
: elles y constituent la première stimulation ind
pes indépendants de nous. Dans son aveugle instinct de liaison, notre
intelligence
aspire presque à pouvoir toujours lier entre eux
scréditer radicalement une telle entreprise, désormais abandonnée aux
intelligences
mal cultivées. Une judicieuse exploration du mond
e de la condition humaine, qui nous force d’appliquer une très faible
intelligence
à un univers très compliqué. Mais, cette incontes
ation : concevoir toutes nos spéculations comme des produits de notre
intelligence
, destinés à satisfaire nos divers besoins essenti
de la sociabilité humaine, en tant du moins que celle-ci dépend de l’
intelligence
, dont l’influence capitale, quoique nullement exc
ante stimulation continue, sans laquelle l’inertie naturelle de notre
intelligence
la disposerait souvent à satisfaire ses faibles b
grande révolution mentale qui aujourd’hui élève définitivement notre
intelligence
du régime théologique au régime positif. Non seul
ncompatibilité des deux philosophies doit éclater chez la plupart des
intelligences
, trop peu touchées d’ordinaire des simples dissid
sa constante consécration aux recherches vraiment accessibles à notre
intelligence
, à l’exclusion permanente des impénétrables mystè
qu’une vraie philosophie générale n’aura pas suffisamment rallié les
intelligences
. À l’insu des pouvoirs actuels, cette résistance
ers cette étude finale, autant de préambules indispensables, où notre
intelligence
acquiert à la fois les habitudes et les notions s
lus notre humanité de la simple animalité, c’est-à-dire, d’une part l’
intelligence
, d’une autre part la sociabilité, facultés nature
à la famille, etc., ne sont presque jamais émanées ni accueillies des
intelligences
pleinement émancipées, malgré leurs lacunes fonda
tre eux, quoique sa haute moralité fût vraiment digne de son éminente
intelligence
, a été entraîné à la sanctionner essentiellement,
ndu système laisse subsister la difficulté tout entière à l’égard des
intelligences
affranchies, dont la propre moralité se trouve ai
doute, espérer de jamais rendre suffisamment accessibles à toutes les
intelligences
ces preuves positives de plusieurs règles morales
fondément, non seulement les esprits d’élite, mais aussi la masse des
intelligences
, qui toutes devront plus ou moins participer à ce
envisage. Si l’idée de société semble encore une abstraction de notre
intelligence
, c’est surtout en vertu de l’ancien régime philos
aloir, autant que possible, l’attribut humain, ou la combinaison de l’
intelligence
avec la sociabilité, sur l’animalité proprement d
rtout parmi les géomètres, développe la vraie positivité, chez chaque
intelligence
, seulement envers une faible portion du système m
eine d’avortement, y avoir toujours en vue l’entière universalité des
intelligences
. Dans l’état normal que ce mouvement doit prépare
n aspect plus intime et plus durable, cette inclination naturelle des
intelligences
populaires vers la saine philosophie, on reconnaî
nce mentale des diverses fonctions sociales propres aux deux ordres d’
intelligence
, d’après le caractère respectif de leurs travaux
, des considérations encore plus puissantes détermineront surtout les
intelligences
populaires à seconder aujourd’hui l’action philos
sque avec l’élan spontané de l’esprit positif chez les plus vulgaires
intelligences
, comme le confirme encore, sous nos yeux, l’obser
tous les éléments de nos spéculations réelles, permet enfin à chaque
intelligence
de renouveler à son gré l’histoire générale de l’
comparaisons ou la facilité des transitions. Dans l’état présent des
intelligences
, l’application logique de cette grande formule es
e on n’a que trop l’occasion de constater aujourd’hui, chez de hautes
intelligences
, une irréparable lacune, qui a quelquefois neutra
écution, Pellerin qui espère toujours susciter le don par un effort d’
intelligence
, qui supplée au talent par l’accoutrement, par le
tion de sa sensibilité, il l’est aussi d’une fausse conception de son
intelligence
. Il s’est enthousiasmé d’un idéal d’art et de lit
ui-même n’a d’autre conséquence que de faire de lui un fruit sec de l’
intelligence
aussi bien que de la sensibilité. *** Au lieu des
ur prendre le change sur la nature et le degré de sensibilité, de son
intelligence
ou de sa volonté. Il est aisé de distinguer dans
me ou de lu comédie, qu’ils montrent une tare de la sensibilité, de l’
intelligence
ou de l’énergie, tous ces personnages de Flaubert
n de l’irréel, qui le contraint à concevoir, hors de la portée de son
intelligence
et le ses sens, un au-delà dont la perspective s’
oit autre qu’il n’est, quant à la qualité et quant à la portée de son
intelligence
: cette fausse conception de lui-même où il se fi
lisations antérieures. Mais le pouvoir créateur et la capacité de son
intelligence
ne se sont pas accrus dans les mêmes proportions
ans la partie du domaine de la connaissance qui a clé aménagée pour l’
intelligence
vulgaire ils se croient aptes à s’engager dans se
symbole plus élevé et d’un pessimisme en apparence plus définitif. L’
intelligence
humaine, la faculté de comprendre elle-même, devi
ue la nature même de l’esprit se refuse à concevoir et, qu’en fait, l’
intelligence
scientifique n’atteint jamais. Toutes les science
cée l’analyse de l’écrivain, si quelque savant doué par surcroît de l’
intelligence
philosophique, à la manière d’un Claude Bernard,
ns son entier. Elle s’exprime en un Bovarysme de la cause première. L’
intelligence
est dupe ici de ses procédés : elle prend pour un
rté implique nécessairement, outre l’élément d’activité, un élément d’
intelligence
; elle implique une causalité d’ordre intellectue
ce ; elle implique une causalité d’ordre intellectuel ; là où cesse l’
intelligence
, c’est l’abîme, c’est la nuit, l’insondable et l’
ssi, pendant la délibération, un sentiment de puissance inhérente à l’
intelligence
même. Notre pouvoir conscient de comparer les mot
a base du sentiment de liberté. Le rapport du sujet aux objets dans l’
intelligence
est une nouvelle explication de l’idée de liberté
t ne paraît jamais lui-même complètement expliqué par les objets de l’
intelligence
. Ajoutons que le sujet conscient ne se voit pas s
st qu’une aggravation, puisqu’elle la transporte dans le domaine de l’
intelligence
même, c’est-à-dire là où elle est le moins à sa p
Soit qu’on pût ou non prévoir les choses, soit qu’il y eût ou non une
intelligence
capable de les calculer, soit qu’elles fussent ou
capable de les calculer, soit qu’elles fussent ou non accessibles à l’
intelligence
, le déterministe soutient que, sous le rapport de
e la liberté avec une réelle suspension du déterminisme réclamé par l’
intelligence
? Les deux partis adverses raisonnent chacun selo
oit un idéal capable d’exercer un attrait sur l’être raisonnable. Une
intelligence
qui conçoit l’univers et l’identification volonta
ous avons naturellement et de notre puissance personnelle et de notre
intelligence
impersonnelle, comment n’en résulterait-il pas un
dans la volonté une indétermination échappant à toute prévision de l’
intelligence
. Nous touchons au point où l’inintelligible pénèt
ison composée de toutes les causes internes et externes saisies par l’
intelligence
, plus les mobiles subconscients et inconscients.
ire de la liberté. C’est donc abusivement qu’on oppose la liberté à l’
intelligence
, alors qu’elle est l’intelligence exerçant son ac
ivement qu’on oppose la liberté à l’intelligence, alors qu’elle est l’
intelligence
exerçant son action sous l’idée de sa propre caus
re universel. On n’est pas libre par l’affranchissement des lois de l’
intelligence
, mais, tout au contraire, par leur entier accompl
de placer la liberté idéale dans la plénitude et l’universalité de l’
intelligence
; leur tort fut de ne pas voir que le moi, en se
rter cette indétermination au sein de nous-mêmes et jusque dans notre
intelligence
, sous prétexte de nous rendre libres, voilà l’err
s même si vous étiez seuls responsables de cet inquiétant abandon des
intelligences
, c’est l’affaiblissement chez la plupart d’entre
n Démosthènes ou un Cicéron ne suffit pas au large développement de l’
intelligence
. Pour se rendre maître de ces modèles, il faut, i
us fraîches et ses plus naïves émotions et témoigner à ces pères de l’
intelligence
autant d’amour filial que de respectueuse fidélit
s par une théodicée plus sublime, et qui sollicitent l’essor de notre
intelligence
vers un idéal qui n’est pas de ce monde. Mais pou
e l’admiration ; alors seulement vous entrerez dans le monde avec une
intelligence
accessible aux conceptions les plus hautes, avec
our se livrer à plus grand que lui. Cette abnégation si favorable à l’
intelligence
, croyez-vous qu’elle soit stérile pour le cœur ?
e citations en locutions, opposé à « fond », « forme », « raison », «
intelligence
», émergeant au cœur d’un paysage de Camargue ou
; celle de l’engagement politique enfin. L’apologie d’un « Parti de l’
intelligence
», l’antiasiatisme de Massis, les menées de l’Act
identification rigoureuse des valeurs en présence. L’exaltation de l’
intelligence
rationnelle est brandie contre les avant-gardes :
NRF avec Breton, avec Artaud sur cette question de la préséance de l’
intelligence
logique et de la raison— défend l’idée d’une unio
et de la raison— défend l’idée d’une union sacrée des militants de l’
Intelligence
. Or le contentieux n’est pas réglé à l’égard des
Mais qui mieux que Monsieur Teste pouvait incarner les prestiges de l’
intelligence
pure ? L’essai s’ouvre par une critique de La Cri
l cherche le vice d’origine : l’identification de l’esprit à la seule
intelligence
logique, à la raison, la survalorisation des vale
pontanéité victorieux des pièges sentimentaux et des méchancetés de l’
intelligence
, quel moyen d’accepter les calembredaines et syll
e la franc-maçonnerie individualiste, dans les piètres banlieues de l’
intelligence
, par milliers se multiplièrent les sordides cahut
n jour le seul mépris répond à toutes leurs patelinades, si certaines
intelligences
proclament bien haut qu’elles ne consentent plus
dres agréables, divertissements et plaisirs destinés à celer ce que l’
intelligence
risquerait de découvrir de plus ou moins contrair
ou moins grande prospérité matérielle, ne désigne point l’état d’une
intelligence
révoltée contre le bluff d’un monde arbitrairemen
s au cours des siècles d’économie triste, dans leur trouille devant l’
intelligence
dès qu’elle ne consent plus à jouer les utilités,
nsi à la raison son véritable rôle qui est de contrôle. Adjudant de l’
intelligence
, ses attributions l’empêchent de voir large, d’al
isme, n’a plus laissé indifférent quiconque a le goût des choses de l’
intelligence
. Et même ceux qui, trop faibles pour accepter la
garo du 19 juillet 1919 un manifeste maurassien, « Pour un parti de l’
intelligence
», en réponse à la Déclaration de l’indépendance
la civilisation européenne, désormais caduque, et la prééminence de l’
intelligence
. Ce n’est donc pas sans humour que Crevel fait to
n abrégée de Littérature n°20, en août 1921, emploie, lui, le terme d’
intelligence
. Crevel, dans l’intérêt de sa démonstration lui s
l’apparente complaisance amicale, se conforte la thèse de Crevel : l’
intelligence
peut être lyrique si elle consent à abandonner se
ctif uni à Dieu. Ainsi sont liés, dans la pensée de l’homme, dans son
intelligence
, dans ses affections, le présent, le passé, le fu
es idées innées et la doctrine qui ne permet à l’homme d’enrichir son
intelligence
, d’orner son esprit, de perfectionner son âme que
peuple. Les bornes des sens de l’homme, pour voir l’univers ; de son
intelligence
, pour en connaître les lois ; de ses facultés, po
elles sont les limites de la parole, considérée comme expression de l’
intelligence
ou de la pensée. Comme expression du sentiment mo
l’histoire de l’homme, le tableau de ses rapports avec Dieu, avec les
intelligences
supérieures, avec ses semblables, dans le passé,
e la liberté de l’homme, de ses facultés, de ses prérogatives, de son
intelligence
, sont moins restreintes par l’état de déchéance ;
s exactement, par celui qui enferma les mers dans leurs bassins, et l’
intelligence
humaine dans la parole. Selon Strabon, la prose e
a fois noble, élégante et positive. Positive, elle est plus utile à l’
intelligence
qu’à l’imagination ; élégante, elle reconnaît pou
nous, et que si le génie de cette langue est celui qui s’applique à l’
intelligence
plus qu’à l’imagination, il en résulte que la lan
u chez les Français ; il attend encore un poète. Bossuet eut la vaste
intelligence
qu’il fallait pour une telle composition : on ne
ype de l’homme et de ses facultés fut d’abord appliquée seulement à l’
intelligence
, et ensuite étendue aux sentiments moraux ; c’est
souvenirs ; par contre, l’activité même de ces formes sensuelles de l’
intelligence
se sera ordinairement développée aux dépens de so
là le cas des réalistes coloristes. Ces dispositions sensuelles de l’
intelligence
auront ailleurs pour effet, d’accroître énormémen
Leur art, à l’exemple de la nature muette, s’adresse aux sens et à l’
intelligence
, pour provoquer par elle l’émotion que les artist
et de les coordonner, au moyen d’une reconstruction hypothétique de l’
intelligence
dont ils donnent pour ainsi dire le tracé. Il s’a
dira : ces faits mentaux, déduits de faits esthétiques, émanent d’une
intelligence
inconnue, dont ils déterminent la nature ; il res
ls déterminent la nature ; il reste à préciser quelle doit être cette
intelligence
pour réaliser à la fois les lois de la psychologi
départements les moins explorés, celui des fonctions supérieures de l’
intelligence
, auquel ne contribue ni la psychophysique qui occ
’homme. 9. Spencer, Principes de psych., IV, 10. (NdA) 10. Taine,
Intelligence
, IV, 3. (NdA) 11. Il convient de rappeler à ce p
e Hennequin, surtout développée en France par Taine en 1870 avec De l’
Intelligence
. Selon la formule célèbre, l’esprit, dans la pers
sation, contribua sans doute aussi à agrandir ses vues et à mûrir son
intelligence
politique. Ce qui est certain, c’est que, quand G
umettre ses actes et jusqu’à ses impressions. Sa volonté dominait son
intelligence
et sa manière de sentir : « Pourquoi voulez-vous
x qu’on devient grand et qu’on persévère dans la pratique active. Les
intelligences
qui s’élargissent passivement en tous sens et fon
glacée qui réfléchit habituellement chaque objet et chaque nuage, ces
intelligences
, belles peut-être comme miroirs, n’ont jamais le
ut sentir à la fois, la volonté hésite et, pour ainsi dire, bégaie. L’
intelligence
des grands hommes d’action est subordonnée à leur
faire abstraction totale : et ce qu’il avait décidé, il le tint. Son
intelligence
, sa sensibilité, étaient comme une algèbre exacte
n dit le moins possible ; il compte sur ce qu’ajouteront d’attentives
intelligences
aux brèves indications qu’il donne, et il a raiso
l’atrophie graduelle de la volonté par le développement excessif de l’
intelligence
. M. Tourguénef est revenu trois fois sur ce point
l’abondance de ses points de vue le perd ; la désarticulation que son
intelligence
a subie dans son commerce avec la dialectique all
t le premier obstacle je tomberai en poussière. La domination sur les
intelligences
vides est aussi peu durable qu’inutile. »« Il n’e
, c’est cette atrophie particulière de la volonté, qui provient d’une
intelligence
trop exclusivement développée, trop nourrie d’idé
nte, lui donne des étourdissements, et finit par l’alanguir. Mais son
intelligence
lui démontre sans cesse la beauté du parti qu’il
qu’il comprend, mais il est triste aussi parce qu’il comprend. Si son
intelligence
lui dit les causes nécessaires de tout le mal, el
connus intimement et confusément comme penché sur eux de trop près, l’
intelligence
de leurs erreurs, la tristesse de leurs fautes, l
à comprendre ni l’arrangement ni le but, ni l’infinie petitesse. Son
intelligence
savait qu’il y a un problème de l’existence, péné
pensées dernières lui répugnaient comme les visions lucides. Avec une
intelligence
très belle, une âme très noble, des sens non pas
e que si certains rapports précis et certains étaient trouvés entre l’
intelligence
et le cerveau, la doctrine spiritualiste fût par
et d’une manière infaillible certaines relations rigoureuses entre l’
intelligence
et le cerveau. Mais enfin, tout cela admis, n’y a
n la circonstance décisive qui serait la cause directe et unique de l’
intelligence
? Dire que cette circonstance est le poids ou le
ne ressort pas des faits actuellement connus qu’il n’y a rien dans l’
intelligence
qui ne soit le résultat d’un certain mode du cerv
ience n’ait rien établi jusqu’ici sur les rapports du cerveau et de l’
intelligence
? Et qui pourrait soutenir qu’il n’est pas démont
us ne pouvons pas éviter d’en venir à examiner ce grand problème de l’
intelligence
humaine, ou plutôt la nature de l’instrument qui
a été donné pour la production et la manifestation des actes de notre
intelligence
. Je n’aurai point la prétention de le résoudre ;
ltat nécessaire de la forme même, si l’on peut parler ainsi, de notre
intelligence
: les langues seraient alors comme un ensemble de
’association naturelle de leurs idées, et par la forme intime de leur
intelligence
, que les lois ne peuvent être faites par l’homme,
cation, telle que je la conçois. Il me reste donc à établir que notre
intelligence
, successivement affermie, a pu s’avancer vers un
sont restés fidèles que parce que c’était dans la forme même de leur
intelligence
, dans la manière dont s’opère en eux le phénomène
sont venus à comprendre qu’il s’est opéré un grand changement dans l’
intelligence
humaine, et que ce changement a pénétré dans le s
st pas une histoire. Naturaliste avant tout, M. de Humboldt n’a pas l’
intelligence
de ce qui dépasse les limites ordinaires de la na
’accroître si on ne s’en repent déjà, et si on ne lui préfère, avec l’
intelligence
de la haine, l’étouffement lâche du silence. S’il
agit, dans l’histoire de ce grand Colomb, bien moins de supériorité d’
intelligence
que de vertu et bien moins de génie que de sainte
e le savoir, mais, quoi qu’il en puisse être, il a choisi Colomb avec
intelligence
, et pour les plus hautes et les plus péremptoires
t entré dans cette voie. Mais qu’est-ce que Washington Irving ? — une
intelligence
grêle, un esprit efflanqué qui a parfois de la gr
dt, mais pour y répondre. Tout en maintenant la force supérieure de l’
intelligence
de Colomb, prise au sens humain, et qu’il aurait
à la manière des philosophes. Il a le respect des faits, et il en a l’
intelligence
. Ses connaissances sont étendues. Excepté d’avoir
es et sages figures, en regard, que celles de ces grands bourgeois, d’
intelligence
juste et modérée, — il faut toujours en revenir à
nnels, de ne pas exagérer la valeur représentative de leurs travers d’
intelligence
, s’ils en ont. Leur œuvre se rattache bien à de v
ur publication le prouvent. Je suis persuadé, étant donné le manque d’
intelligence
critique, constant chez les deux frères et surtou
Taine après 1870 I C’est un des signes des temps que le mot d’
Intelligence
passe et repasse indéfiniment dans les programmes
s de 1789 avaient, eux, comme premier principe, le culte non pas de l’
Intelligence
, mais de ce qu’ils appelaient la Raison. Ils ente
tendent penser un pays a priori au lieu de le comprendre d’abord. Par
Intelligence
, nous entendons nous, précisément cette acceptati
ttre pour les améliorer, nous résumons cette discipline dans ce mot d’
Intelligence
. Jamais l’Intelligence ne prononcera le vers du p
, nous résumons cette discipline dans ce mot d’Intelligence. Jamais l’
Intelligence
ne prononcera le vers du poète, traduction sublim
du désastre de 1870, aperçu nettement cette fonction réparatrice de l’
Intelligence
. L’un et l’autre surpris par la soudaineté de l’i
tion de noms dont le disparate atteste la merveilleuse fécondité de l’
intelligence
française à cette époque ? C’est que Renan avait
veut la vérité avec violence. Il est saisi par la noble ivresse de l’
Intelligence
, et cette fièvre d’esprit le travaille d’aller à
s de la sensibilité, instabilité de l’équilibré interne, travers de l’
intelligence
et de la volonté, idées fixes et idées fausses. C
gnement de Taine et celui de Renan. Ce dernier était, avant tout, une
intelligence
cosmique5, et qui voyait les choses par grands en
s lire, et reconnaissons dans leurs auteurs deux bons serviteurs de l’
Intelligence
. Mai 1920. IV. L’Âme étrangère I L’Â
on l’a dit, de la Volonté, mais, — on ne le dira jamais trop, — de l’
Intelligence
. Juin 1921. V. Pour l’intelligence française
ne le dira jamais trop, — de l’Intelligence. Juin 1921. V. Pour l’
intelligence
française I Les symptômes se multiplient
t ou de gloire que lui-même en peut tirer, mais un accroissement de l’
intelligence
nationale, si bien que cette intelligence nationa
mais un accroissement de l’intelligence nationale, si bien que cette
intelligence
nationale apparaît — pour parler la langue mathém
apparaît — pour parler la langue mathématique — comme fonction de ces
intelligences
individuelles. Atteindre celles-ci, c’est atteind
n travail, du revenu que lui procure ce travail. Dans son Avenir de l’
intelligence
, M. Charles Maurras a fortement marqué combien ce
producteurs, a créé chez nous la plaie de la vie chère, atteignent l’
intelligence
d’une autre façon. Nous assisterons, si ce phénom
conquérir une amélioration de leur sort, ils l’empirent. Tant vaut l’
Intelligence
d’une société, tant vaut cette société. Diminuez
l’Intelligence d’une société, tant vaut cette société. Diminuez cette
intelligence
, et les inventions se feront moins nombreuses, mo
i, c’est bien une frontière française que l’on défend, en défendant l’
intelligence
française, et ceux qui travaillent de leur tête,
individus est aussi l’intérêt de la collectivité. Elle a besoin de l’
intelligence
, et le procédé le plus sûr n’est-il pas d’aller c
igence, et le procédé le plus sûr n’est-il pas d’aller chercher cette
intelligence
là où elle est, pour humble que soit la condition
s, entre autres à celui-là même qu’elle prétend favoriser le plus : l’
intelligence
. II Encore ici, des exemples sont nécessair
Sand, est-il, oui ou non, un homme intelligent ? Il l’est, mais d’une
intelligence
qui n’a rien d’intellectuel. Retournons à plus de
rière-petit-fils, tout le prouve. Il était donc très intelligent. Son
intelligence
et celle de son glorieux descendant étaient-elles
ement intellectuel n’était-elle pas le secret travail préalable d’une
intelligence
toute pratique, toute pragmatique, toute, baignée
d’une autre loi non moins vitale, celle du milieu, qui veut que toute
intelligence
soit d’autant plus bienfaisante qu’elle se dévelo
ceux qui le pratiquent. III Ce préjugé consiste à croire que l’
intelligence
professionnelle est de qualité inférieure et que
elle fortifie, combien elle affranchit l’homme qui la possède, cette
intelligence
professionnelle, en lui assurant la maîtrise dans
on de ce problème. Elle aide à mieux comprendre le chemin suivi par l’
intelligence
d’outre-Rhin et comment s’est produite une déviat
ez les citoyens qui le composent une somme de qualités précieuses : l’
intelligence
chez les chefs, la discipline chez les subordonné
ais comment délimiter ces vérités sans indiquer aussi le point où ces
intelligences
supérieures ont erré ? La démonstration qu’il n’y
lemande, cette diplomatie allemande, cette guerre allemande, et cette
intelligence
allemande qui réclame Goethe parmi ses patrons. I
chair frémissante du patient endormi. Derrière ce regard, il y a une
intelligence
, une sensibilité. Comment fonctionne cette pensée
e de l’exécution et sa rapidité. C’est la saisissante audace de cette
intelligence
servie par ces impeccables doigts, et jusqu’à cet
r. Tant il est vrai qu’à travers la diversité des objets l’unité de l’
intelligence
demeure constante attestant ainsi, même à l’occas
la crise d’épilepsie, les délires, un affaiblissement progressif de l’
intelligence
et de la mémoire, des troubles circulatoires et n
ar l’adulation. Ils travaillaient patiemment, humblement, avec quelle
intelligence
, quelle noblesse aussi, l’événement l’a manifesté
’orgueil, fils du bonheur, fatal à son père », — et d’abord fatal à l’
intelligence
. Les propos du professeur Ostwald dénoncent avec
la Société quelques vertus, portées à leur plus haut degré. Vertus d’
intelligence
: le penser médical n’est ni le penser mathématiq
par quel processus l’idée de travail s’est dégradée peu à peu dans l’
intelligence
d’abord, puis dans la sensibilité, enfin dans la
cette Société, sous cette forme immédiate et accessible à toutes les
intelligences
parce qu’elle l’est à tous les cœurs, qui est la
que toutes les familles ne sont pas à la même étape. Les unes, par l’
intelligence
, par l’économie, par la chance, sont arrivées à s
les grèves. Cela s’écrit, s’imprime, s’affiche. Cela se parle. Aucune
intelligence
n’a vraiment pensé cette formule extravagante. On
la sécurité d’une fortune trop assise laissait s’endormir : vertus d’
intelligence
, vertus de courage et d’activité, vertus d’autori
r la propriété du travail. Si cette conception était rectifiée dans l’
intelligence
prolétarienne, bien des sophismes révolutionnaire
activités. Ainsi posé, le problème apparaît comme si complexe, qu’une
intelligence
, dressée aux méthodes scientifiques, — et de notr
nt proclamé la célèbre Déclaration des droits, cet homme n’est qu’une
intelligence
et qu’une volonté. Nous apercevons, nous, par-des
elligence et qu’une volonté. Nous apercevons, nous, par-dessous cette
intelligence
et cette volonté conscientes, tout un « moi » qui
a pas très loin et qu’il se formera dans le prolétariat un parti de l’
intelligence
. C’en sera fini alors du mythe et de sa nocivité.
raillé avant sa suppression, n’était funeste ni au développement des
intelligences
, ni, la diversité de ces noms le démontre, à leur
ux esprit de réforme soient suivis d’autres plus importants, et que l’
intelligence
française tire de tant d’essais avortés la confir
), viennent au même moment de poser une question qui hante beaucoup d’
intelligences
à notre époque. Mais combien peu osent la regarde
des Francs date de 256, — ce magnifique édifice d’ordre, de paix et d’
intelligence
commençait de chanceler, pour s’écrouler tout ent
porte sur l’importance accordée ici à cet élément économique, dont l’
intelligence
contemporaine semble engouée à l’excès et depuis
sibilité, qui le fait sans cesse agir à l’encontre de ses intérêts, l’
intelligence
qui poursuit la vérité inutile et trop souvent l’
oi, l’activité intelligente, la personnalité vigoureuse et féconde. L’
intelligence
, je viens d’écrire le mot suprême dans lequel se
e la sensation dans notre conscience tout entière, surtout dans notre
intelligence
et dans notre volonté16. Notre conscience, selon
rmonieuse, dont la volonté saisit immédiatement l’intensité et dont l’
intelligence
perçoit immédiatement l’harmonie. Dans tout senti
étique ; mais ce sentiment ne devient vraiment esthétique que quand l’
intelligence
perçoit spontanément l’harmonie même qu’il envelo
à une certaine fin, ordonné pour cette fin, apporte par cela même à l’
intelligence
une satisfaction et acquiert ainsi quelque degré
ensemble de moyens bien ordonnés pour cette fin ; il satisfait donc l’
intelligence
et la volonté, et il peut aussi, dès à présent, s
certaine vie. Donc, pas d’émotion esthétique en dehors d’un acte de l’
intelligence
par lequel on anthropomorphise plus ou moins les
de théorèmes d’algèbre. Ce que nous y admirerons, ce ne sera pas une
intelligence
purement dépouillée et nue, mais une intelligence
ce ne sera pas une intelligence purement dépouillée et nue, mais une
intelligence
suivant une direction, se proposant un but, faisa
r ce côté qu’elle est esthétique ! Un exercice purement abstrait de l’
intelligence
, sans un éveil correspondant du désir et de toute
collective de la vie sous toutes ses formes conscientes (sensibilité,
intelligence
, volonté) ; maintenant, de quelle manière définir
pour base la division de l’esprit généralement reçue en sensibilité,
intelligence
et volonté, on peut se demander si ce qui est gag
éperdition nerveuse. Une vie consacrée tout entière à la culture de l’
intelligence
doit être accompagnée d’un affaiblissement généra
lement sous l’aiguillon des fins spéciales qu’il poursuit. Une grande
intelligence
universelle n’est pas souvent unie à une riche se
des caractères, la triple division de l’esprit en volition, émotion,
intelligence
. 1° La source de la volition, comme nous l’avons
dus, Fox, Mirabeau, Alfieri, etc, 3° Un troisième type est celui où l’
intelligence
prédomine. Nous ne suivrons pas M. Bain dans l’ex
t Racine286. Mais nous ne les mettrons plus aux prises, et leur bonne
intelligence
sera peut-être le prélude d’une amitié solide ent
s créatrices que la métaphysique platonicienne faisait résider dans l’
intelligence
divine. Quant aux idées claires des poêles critiq
us profonde qu’elle échappe davantage à la mesure et à la portée de l’
intelligence
commune ; s’ils se bornaient à cela, certes il fa
à saluer en lui l’égal de Corneille et de Racine, que du jour où son
intelligence
s’est affranchie de toutes ces fausses notions. C
te, dépendant non de telle ou de telle notion particulière, mais de l’
intelligence
même d’Uranie, de son intelligence tout entière,
lle notion particulière, mais de l’intelligence même d’Uranie, de son
intelligence
tout entière, avec sa richesse de connaissances e
du Marquis, peuvent se traduire en idées ; car, puisque c’est dans l’
intelligence
que ces sentiments ont leur source, il n’y a, dan
faire, c’est d’accepter franchement la société et la suprématie de l’
intelligence
. — Uranie a aimé Shakespeare, elle a goûté Le Mis
e croira pas avoir raison contre lui. Car elle sait qu’il faut plus d’
intelligence
pour pénétrer jusqu’au beau que pour s’arrêter au
t d’idée du beau. Il n’y a point d’idée de la poésie. Mais il y a des
intelligences
qui comprennent diversement la poésie, le comique
iées, justes et frappantes, plus elle aura d’action à la longue sur l’
intelligence
des hommes savants qui l’écoutent et la contredis
edisent. Or, c’est là tout ce qu’elle peut espérer. C’est un défaut d’
intelligence
, il faut bien le reconnaître, qui tient caché aux
e particulier de beauté exprimé dans les comédies de Molière. Si leur
intelligence
est capable de s’agrandir et de se compléter, pou
ir sa demeure dans une sphère qui est au-dessus des sens et même de l’
intelligence
; c’est communiquer avec ce Dieu inconnu qui écha
urope un avantage, vous goûtez Aristophane ; vous le goûtez à force d’
intelligence
et de science ; car j’ose dire que ce n’est plus
’élévation et de profondeur. Seulement vous n’êtes point libre. Votre
intelligence
est embarrassée de formules, de définitions et de
t une routine, mais une routine d’un ordre supérieur, pour laquelle l’
intelligence
est indispensable, la science nécessaire, et le s
soin de se rendre compte de toutes ses opinions, jointe à une force d’
intelligence
suffisante pour satisfaire plus ou moins ce besoi
supérieur. On peut se représenter la science comme une lutte entre l’
intelligence
et les choses. Suivant que l’intelligence est vic
nce comme une lutte entre l’intelligence et les choses. Suivant que l’
intelligence
est victorieuse ou vaincue, elle est satisfaite o
de vue. Il en est une espèce, qui constitue la vie intellectuelle ou
intelligence
. Cette intelligence est faite pour aller à la vér
ne espèce, qui constitue la vie intellectuelle ou intelligence. Cette
intelligence
est faite pour aller à la vérité. Les règles auxq
notre corps ; sur l’intérieur, par la simple volonté, dirigeant notre
intelligence
, exerçant notre pensée, etc. Le groupe qui a ce c
ble de ces états de conscience et la faculté correspondante forment l’
intelligence
. Nous distinguons donc trois facultés principal
la sensibilité ou faculté d’éprouver du plaisir et de la douleur ; l’
intelligence
ou faculté de connaître. Pour déterminer ces troi
en même nous ne penserions pas, nous aurions le pouvoir de penser une
intelligence
virtuelle. Ce qui prouve que la faculté n’existe
Enfin toutes les facultés de l’âme, suivant Spinoza, se réduisent à l’
intelligence
. Mais nous avons montré que ces différents groupe
ité est caractérisée par l’action. La sensibilité par la passivité. l’
intelligence
, par la représentation. Il y a un autre écueil à
donne des demeures distinctes : il met le [en grec dans le texte], ou
intelligence
raisonnable, ce qu’il croit être la partie immort
ts moyens de circonscrire le domaine du sentiment. — A. Bain. Sens et
Intelligence
. Introduction. Bain confond ici bien des choses :
sa raison première dans un instinct, une inclination, une passion. L’
intelligence
n’est pas une source d’activité. Toute activité s
nce n’est pas une source d’activité. Toute activité suppose un but, l’
intelligence
ne nous fournit jamais que des constatations. Ell
Non localisés Émotions Leçon 10 Théorie de la connaissance L’
intelligence
est la faculté de connaître. L’acte propre de L’i
nce L’intelligence est la faculté de connaître. L’acte propre de L’
intelligence
est l’idée. Ce qui la caractérise, c’est d’être r
nous avons une idée plus générale, inséparable de la nature de notre
intelligence
, qui est celle d’espace. Cette espace nous entour
ria. La force que nous sommes est donnée en outre de sensibilité et d’
intelligence
. Il est évident qu’aucun des phénomènes que nous
à ce que serait notre âme si elle avait en moins la sensibilité de l’
intelligence
, comme une force inconsciente. Ce sont ces forces
pas besoin de l’étendue pour agir. Notre volonté peut agir sur notre
intelligence
. Cela se passe en dehors de l’étendue. Il en est
t donné à notre réflexion une impulsion consciente, le mouvement de l’
intelligence
continue inconsciemment. On cherche une citation
s facultés, puisque cet objet se compose des états de conscience de l’
intelligence
, de la mémoire, de la volonté, de la sensibilité.
ère d’universalité aux propositions nécessaires, c’est que toutes les
intelligences
humaines ne sont qu’un reflet de ce monde idéal q
es comme les modifications d’un être, d’une réalité indépendante de l’
intelligence
existant par elle-même et qu’on appelle la substa
s en former une idée concrète, il faut que l’expérience nous montre l’
intelligence
délibérant en vue d’un but à atteindre. Alors, ou
dmet pas dans les choses, il faut supposer en dehors de l’univers une
intelligence
analogue à la nôtre, disposant les choses en vue
ne faculté spéciale, la raison. Chacun apporte toutes faites dans son
intelligence
ces idées, et les jugements qui en découlent. Mai
l’action réflexe. À mesure que le système nerveux se perfectionne, l’
intelligence
augmente, s’élève, grandit. Les modifications se
s extérieurs existent, mais dans un monde qui dépasse les bornes de l’
intelligence
, c’est-à-dire un monde transcendental. Si l’on ad
la mémoire. Jointe à l’association des idées, la mémoire joue dans l’
intelligence
le rôle de l’habitude dans l’activité. Nous verro
rvation ; en outre, elle tend d’elle-même à se reproduire. De même, l’
intelligence
a, dans la mémoire, la faculté de conservation. M
l y en a deux essentielles : ou bien c’est l’objet qui attire à lui l’
intelligence
, produit l’attention, sans presque que notre volo
vidus observés. Nous voyons que tous les hommes ont la sensibilité, l’
intelligence
, l’activité, et nous en faisons des idées général
certains phénomènes auxquels concourent à la fois la sensibilité et l’
intelligence
. Ce sont les phénomènes psychiques relatifs au be
motions. De l’autre, l’unité, qui est donnée par la passion. — Dans l’
Intelligence
, la multiplicité est produite par les sensations,
ien prouvé aujourd’hui que les animaux, au moins supérieurs, ont de l’
intelligence
, peuvent s’organiser en sociétés. Voici d’ailleur
fluence de l’habitude, notre activité sensible devient plus intense.
Intelligence
. Notre intelligence est surtout active ; cependan
e, notre activité sensible devient plus intense. Intelligence. Notre
intelligence
est surtout active ; cependant, tout au bas de l’
plus s’apercevoir que cette chaleur est anormale. Mais plus souvent l’
intelligence
est active ; et dès lors, l’habitude exalte les p
dès lors cette étude plus agréable. Plus que toute autre faculté de l’
intelligence
, la mémoire dépend de l’habitude : l’habitude, fa
. Or, la liberté suppose au contraire la pleine conscience, la pleine
intelligence
des raisons pour lesquelles on agit. En second li
toire, nos actions sont guidées par nos motifs, qui dérivent de notre
intelligence
, des accidents de la vie, de notre caractère, de
biles, qui viennent de la sensibilité ; les motifs, qui viennent de l’
intelligence
. Ainsi, l’amour de nos semblables est un mobile q
le. Comme le désir, l’idée n’a pas seulement pour domaine le réel : l’
intelligence
ne peut agir sur la volonté qu’en suscitant des m
e ne s’occupe que d’une catégorie déterminée d’états de conscience, l’
intelligence
, ne connaît qu’une faculté de ce moi que la psych
récède nécessairement la science pratique. Il faut savoir ce qu’est l’
intelligence
avant de chercher à s’en servir. De plus, l’intel
ce qu’est l’intelligence avant de chercher à s’en servir. De plus, l’
intelligence
n’est pas une faculté isolée dans le moi, agissan
vers esprits ne le reconnaissent pas également. Mais la diversité des
intelligences
ne va pas jusqu’à la contradiction : or les jugem
tait notre seule faculté, il n’y aurait pas d’erreur possible. Mais l’
intelligence
est déviée de sa direction normale par la volonté
Quant à l’observateur, il doit présenter quatre qualités : attention,
intelligence
, exactitude, impartialité. Dire qu’un observateur
soit fructueuse, il faut encore que l’observateur soit doué d’assez d’
intelligence
pour démêler les faits importants de ceux qui le
e pas. Pour qu’autrui ne se trompe pas, il faut d’abord qu’il ait une
intelligence
générale suffisante : nous ne saurions nous fier
i accompagnent nos phénomènes psychologiques. De plus, nous avons une
intelligence
. En nous en servant, nous remarquons que certains
langage nous a été donné spontanément à l’origine. Aussitôt que notre
intelligence
s’est éveillée nous avons parlé — aussi simplemen
s, c’est qu’ils les ont reçues toutes faites, car il faudrait moins d’
intelligence
pour perfectionner une langue que pour la créer (
se, il suffit qu’il ne soit pas en contradiction avec les lois de mon
intelligence
. Il n’est pas nécessaire pour cela que je le nomm
On pourrait il est vrai ne considérer dans cet individu fictif que l’
intelligence
par exemple, sans s’occuper des diverses manifest
C’est la théorie que développe M. Taine dans le premier chapitre de L’
Intelligence
. Nous ne croyons pas que cela soit possible, parc
et état d’isolement hypothétique que nous imaginons, développer notre
intelligence
, notre sensibilité, notre activité. En nous tuant
tenant les devoirs de l’homme envers son âme, c’est-à-dire envers son
intelligence
, sa sensibilité, son activité. 1. Intelligence. L
’est-à-dire envers son intelligence, sa sensibilité, son activité. 1.
Intelligence
. La fin de l’intelligence étant la vérité, le pre
elligence, sa sensibilité, son activité. 1. Intelligence. La fin de l’
intelligence
étant la vérité, le premier de nos devoirs envers
’intelligence étant la vérité, le premier de nos devoirs envers notre
intelligence
sera le devoir de véracité. Le mensonge est ainsi
autres ou soi-même. Mais ce n’est pas assez que de ne pas détourner l’
intelligence
de son but naturel : il faut encore l’y conduire.
turel : il faut encore l’y conduire. Pour cela il faut développer son
intelligence
, sans scrupule et sans limites. Plus un homme est
ut ce qui est en nous sans crainte d’être immoraux. Si nous avons une
intelligence
, ce n’est pas pour que nous restions stationnaire
l’homme envers sa sensibilité sont analogues à ses devoirs envers son
intelligence
. Là aussi nous devons développer notre être, notr
ance. Il doit d’abord obéir à ses parents parce qu’il n’a pas assez d’
intelligence
pour bien comprendre comment il doit agir pour su
: c’est un sentiment essentiellement niveleur. Deux hommes d’inégale
intelligence
peuvent être amis : leur amitié en fait des égaux
des devoirs de justice envers l’âme d’autrui, c’est-à-dire envers son
Intelligence
, sa Sensibilité, son activité. La parole, qui a é
la brutalité, il y a place pour le juste milieu de la politesse. 2.
Intelligence
. Respecter l’homme dans son intelligence c’est le
milieu de la politesse. 2. Intelligence. Respecter l’homme dans son
intelligence
c’est le laisser penser et produire librement ses
alité d’autrui, et par conséquent de ne pas entraver la marche de son
intelligence
. Non seulement la tolérance nous est recommandée
ur l’âme, nous distinguerons encore les trois facultés : sensibilité,
intelligence
, activité. Pour la première, la politesse que nou
pour rester conforme aux devoirs de charité, la bienveillance. Pour l’
intelligence
, non seulement nous ne devons pas étouffer par l’
morale les idées d’autrui, mais encore travailler à développer cette
intelligence
. Nous devons répandre et communiquer aux autres h
pas venir mettre de terme au développement de notre nature sensible.
Intelligence
. Nous avons besoin de la vérité, nous la cherchon
nfini, et la limite que la mort assignerait au développement de notre
intelligence
. Activité. La vie d’un homme ne suffit pas non p
verainement bon. On comprendrait alors qu’un être infini en bonté, en
intelligence
, et en pouvoir n’ait pas fait de créations contra
eut fort bien ne nous sembler tel qu’à cause de la faiblesse de notre
intelligence
qui ne voit qu’une partie des choses. Peut-être s
i semblent ne pouvoir s’expliquer que si l’on admet l’existence d’une
intelligence
qui ait disposé le monde en vue d’une fin. 1. La
ment il implique qu’il y a eu un dessein, et par conséquent aussi une
intelligence
concertant les chœurs harmonieusement en vue d’un
ligence concertant les chœurs harmonieusement en vue d’un but ; cette
intelligence
c’est Dieu. On peut rattacher à cette preuve cell
a-t-elle été refusée aux autres ? Ce choix implique l’existence d’une
intelligence
accompagnée d’une volonté, d’une personne suprême
non comme une force qui engendre fatalement son effet, mais comme une
intelligence
qui agit librement. 4. L’unité de cette cause se
dicalement résolu. Suivant lui, ce n’est pas à une fin conçue par une
intelligence
ordonnatrice qu’est due l’harmonie que nous repré
tent de là pour établir que ce rapport n’a pu être établi que par une
intelligence
. Les mécanistes affirment que ce rapport a pu se
finalistes croient ne pouvoir expliquer que par l’intervention d’une
intelligence
supérieure, les mécanistes croient l’expliquer sa
o-théologique assimile le monde à une œuvre d’art, et sa finalité à l’
intelligence
de l’artiste, qui a conçu et réalisé l’ordre actu
. Mais tout d’abord, quel grand avantage y a-t-il à ne pas supposer l’
intelligence
de Dieu analogue à celle des hommes ? Si on la co
thropomorphisme qui donne à Dieu comme à l’homme une sensibilité, une
intelligence
, une volonté. Tout en rejetant cette méthode, la
ose, nous nous trompons souvent, notre force a des bornes comme notre
intelligence
; mal que tout cela, mal des plus douloureux. Le
mal moral c’est le péché : pourquoi Dieu ne nous a-t-il pas donné une
intelligence
assez droite, une volonté assez ferme pour voir l
Lemoine 5. Expérience sur les hallucinations, Foucher. Taine, De l’
Intelligence
, vol. I. p. 398. 6. Cf. chapitre XV, Sec. C (p
ne. Je m’imagine pourtant que nulle part peut-être cette faculté de l’
intelligence
avide, cet appétit du savoir et de la découverte,
’Encyclopédie, d’un bout à l’autre. Rien n’échappait à sa curiosité d’
intelligence
; et une fois qu’il avait conçu, rien ne sortait
e 89. Si son caractère intimidé se déconcertait et faisait faute, son
intelligence
gardait son audace. Il eut foi, toujours et de pl
gloire : singulière alternance de facultés et de produits dans cette
intelligence
féconde, qui s’enrichit et se bouleverse, se retr
uvelle étude survenante, qui fît, en quelque sorte, révulsion sur son
intelligence
. En tête d’un des nombreux projets d’ouvrages de
t de recherches sur les phénomènes aussi variés qu’intéressants que l’
intelligence
humaine offre à l’observateur qui sait se soustra
la volonté réhabilitée joue le principal rôle, c’est l’admission de l’
intelligence
, de la raison, distincte comme faculté, avec tout
opre, ce semble, entre M. de Tracy et M. de Biran à intervenir avec l’
intelligence
121, et à remeubler ainsi l’âme de ses concepts l
e, alla et dériva au flot de l’idée. A travers ce domaine infini de l’
intelligence
, dans la sphère de la raison et de la réflexion,
i qu’il en soit, en s’efforçant constamment de classer les faits de l’
intelligence
selon l’ordre naturel, M. Ampère en vint aux quat
ans sa description et son dénombrement des divers groupes de faits, l’
intelligence
humaine leur semblait tout autrement riche et peu
ou tard à travers ces détours. On se sentait bien avec lui en pleine
intelligence
humaine, en pleine et haute philosophie antérieur
u’à soixante et un ans M. Ampère, dans toute la force et le zèle de l’
intelligence
, eût usé un corps trop faible. Parti pour sa tour
s sous les yeux, des preuves frappantes de cette large part faite à l’
intelligence
, qui corrigeait tout à fait le point de vue profo
me étendue. Ainsi ce début qu’on trouve à un Plan d’une histoire de l’
intelligence
humaine : « L’homme, sous le point de vue intelle
t les causes. On doit donc diviser tous les phénomènes que présente l’
intelligence
en quatre systèmes : le système sensitif, le syst
es les plus sublimes que la force de son désir et la faiblesse de son
intelligence
, comparées à l’infini, puissent prêter à l’homme
uvement sans impulsion, puis de quelques membres rudimentaires qu’une
intelligence
sourde et obtuse dégageait successivement de la b
puis un instinct emprunté à une sourde puissance végétative, puis une
intelligence
empruntée au temps qui développe et qui détruit t
radation et une expiation de l’espèce humaine ; que les ténèbres de l’
intelligence
se seraient épaissies alors sur ses yeux, en ne l
qui, comme nous, ne se font point l’illusion des progrès indéfinis en
intelligence
et en bonheur sur la terre, sont convaincus que l
re, droit, le génie indien a tenté toutes les grandes directions de l’
intelligence
. De son propre aveu, ce sont les Védas qui ont in
On voit qu’en sens inverse du matérialisme moderne, qui fait naître l’
intelligence
des sensations brutales de la matière douée d’org
raffiné des sages de l’Inde fait naître les phénomènes matériels de l’
intelligence
. Et ces hymnes sacrés des Védas se chantaient dan
iptibles où l’on entend de tels accents dans de telles ivresses, où l’
intelligence
bornée se précipite et se conjoint à l’intelligen
es ivresses, où l’intelligence bornée se précipite et se conjoint à l’
intelligence
infinie dans ce murmure extatique des lèvres, pui
tique, appelant, cherchant, trouvant, embrassant son Dieu à travers l’
intelligence
, la vertu, le martyre et la mort, dans l’ineffabl
nous devons compte à notre Père commun, comme des êtres supérieurs d’
intelligence
et de force doivent compte des êtres inférieurs q
out ce qui sent, entre tout ce qui aime ici-bas dans la mesure de son
intelligence
et de sa destinée. Je conclus que le poète indien
ée, le fer par la rouille ; c’est dans les sens, dans le cœur, dans l’
intelligence
pervertie, qu’il se plaît à travailler l’homme et
ériels, mais l’âme est bien plus admirable : l’âme est au-dessus de l’
intelligence
; mais qui est au-dessus de l’âme ? Combats ton e
ion finale qui l’émancipe de la nature animale, ceux-là entrent par l’
intelligence
dans l’état des êtres. » Vous voyez que cette su
l’on en doit trouver les principes dans les modifications mêmes de l’
intelligence
humaine. Cela admis, tout homme qui réfléchit, ne
isqu’il est leur ouvrage ? Cette erreur est venue de l’infirmité de l’
intelligence
humaine : plongée et comme ensevelie dans le corp
tion n’a cru à l’existence d’un Dieu tout matériel, ni d’un Dieu tout
intelligence
sans liberté. Aussi les Épicuriens qui ne voient
, semblables en ceci aux Spinosistes, reconnaissent pour Divinité une
intelligence
infinie animant une matière infinie et soumise au
e ce siècle sont de retrouver et de réunir les titres de famille de l’
intelligence
humaine. Pour condamner sans appel ce retour des
aux travaux de géologie et d’ethnographie modernes ; mais le lien des
intelligences
ne se brise pas au gré des sympathies individuell
et la vigueur, l’harmonie et l’unité perdues. Et plus tard, quand les
intelligences
profondément agitées se seront apaisées, quand la
t la science, longtemps séparés par suite des efforts divergents de l’
intelligence
, doivent donc tendre à s’unir étroitement, si ce
tel renoncement a bien ses amertumes secrètes ; mais la destinée de l’
intelligence
doit l’emporter, et si la poésie est souvent une
ssance. C’est alors seulement que l’idée de la beauté reparaît dans l’
intelligence
et l’idée du droit dans l’ordre politique. En mêm
erai donc au monde de l’art. La poésie est trois fois générée : par l’
intelligence
, par la passion, par la rêverie. L’intelligence e
fois générée : par l’intelligence, par la passion, par la rêverie. L’
intelligence
et la passion créent les types qui expriment des
peuples, heureusement pour les luttes morales et les conceptions de l’
intelligence
. Je ne crois donc pas qu’il soit absolument impos
é en ceci d’une façon incurable. Ni ses yeux, ni ses oreilles, ni son
intelligence
, ne percevront jamais le monde divin du Beau. Rac
. Celle-ci, à peu d’exceptions près, se recrute communément parmi les
intelligences
desséchées, tombées avant l’heure de toutes les b
al. La poésie a ses bas-fonds, ses bagnes particuliers, où beaucoup d’
intelligences
mal venues ou perverties riment perpétuellement,
férence et le mépris de l’Idéal s’installent victorieusement dans les
intelligences
même lettrées, et, à plus forte raison, dans la m
it charmer, et n’a charmé en effet, à un égal degré, la multitude des
intelligences
paresseuses, ennemies de la réflexion et des rech
croit. Son irresponsabilité ne fait pas doute. Imagination abondante,
intelligence
douée de mille désirs ambitieux et nobles, mais c
des Orientales à la Légende des Siècles, Victor Hugo s’impose à toute
intelligence
compréhensive comme une force vivante, à la fois
es, mérite toute la gratitude des poètes et tout le respect des rares
intelligences
qui aiment et comprennent encore le Beau. C’est u
nt à l’expression de sa pensée une profondeur concise qui trouble les
intelligences
peu averties ; il ne leur manque guère, pour être
endant soixante années, a ébloui, irrité, enthousiasmé, passionné les
intelligences
, dont l’œuvre immense, de jour en jour plus abond
un d’eux. Si la nature obéit aux lois inviolables qui la régissent, l’
intelligence
a aussi les siennes qui l’ordonnent et la dirigen
mais réfractaire en beaucoup de points à l’indépendance légitime de l’
intelligence
comme aux formes nouvelles qui sont l’expression
tre, de croire, de penser des hommes disparus appelle l’attention des
intelligences
élevées, nos grands poètes ont rarement tenté de
omission que par jeunesse, et s’il montra un talent moins sûr que son
intelligence
, c’est que toutes les facultés de l’âme n’atteign
teignent pas à la même heure leur complet développement ; chez lui, l’
intelligence
avait fleuri la première et attiré à soi la meill
fleuri la première et attiré à soi la meilleure partie de la sève. L’
intelligence
et le talent, voilà, je crois, une distinction qu
t-Chéron a pris consistance dans beaucoup d’esprits. Elle a gagné des
intelligences
dignes de la vérité et qu’elle fausse. Nous, les
testantisme et du catholicisme, n’ont plus pour représentants que des
intelligences
de bas degré qui les exagèrent, comme Maeheineke
lling. Le Roi de Prusse actuel ne l’ignore pas. Certes ! s’il y a une
intelligence
digne de présider aux plus nobles transactions en
a vécu, ont été moins grands que leur situation, et ont manqué d’une
intelligence
à la hauteur de leurs devoirs ; c’est que nul d’e
nécessaire de l’esprit humain, dans cette période de sa durée, qu’à l’
intelligence
et à l’activité des Papes ? De tous, Innocent III
ience, en vertu des plus naturels, des plus harmonieux instincts de l’
intelligence
et du caractère. Aucune circonstance ne faussa ce
qualités très réelles d’Innocent, ni sophisme de parti pris, ni même
intelligence
plus profonde des nécessités de ce temps n’y fero
omplice par l’indulgence, par le silence. S’il avait été ce colosse d’
intelligence
que l’école ultramontaine veut qu’il soit, il n’e
agéré diminua la force de son pontificat ; il y fit échec aussi par l’
intelligence
, par l’absence d’une juste pénétration. Donner le
s porte-sceptre, des autorités. M. Renan est de cette race des hautes
intelligences
; c’est une intelligence aristocratique, royale a
ités. M. Renan est de cette race des hautes intelligences ; c’est une
intelligence
aristocratique, royale au sens de Platon, et même
gaulois, mais ce demi-gaulois trouvait de quoi répondre, même à cette
intelligence
d’une élévation constante et qui sait y allier ta
encore à ses yeux qu’une expression ; il semble prêter décidément à l’
intelligence
, à la justice indéfectible et sans bornes, une ex
enre humain. M. Renan, qui a le sentiment de toutes les époques a une
intelligence
très-profonde et très-vive du Moyen-Âge entre aut
en-Âge où, derrière les mille entraves et sous leur abri peut-être, l’
intelligence
des forts s’exerçait et se développait avec plus
haut Moyen-Âge a pu être si favorable au développement vigoureux de l’
intelligence
individuelle, à moins que ce ne soit dans le même
bonne grâce envers un adversaire généreux. Ces deux talents, ces deux
intelligences
diversement aristocratiques, d’une hauteur à l’au
t la sensibilité, l’homme a la faculté de connaître, l’entendement, l’
intelligence
, la raison, peu importe le nom, au moyen de laque
. Voilà où nous en sommes. Mais pouvons-nous nous arrêter là ? Dans l’
intelligence
humaine, telle qu’elle est aujourd’hui développée
s admettre cette vérité ? On l’aperçoit alors par la seule vertu de l’
intelligence
qui nous a été départie et qui entre spontanément
us à ce conceptualisme du moyen âge qui, concentrant la vérité dans l’
intelligence
humaine, fait de la nature des choses un fantôme
l’intelligence humaine, fait de la nature des choses un fantôme de l’
intelligence
, se projetant partout hors d’elle-même, triomphan
ns comme indépendants de nous ; ils nous paraissent s’imposer à notre
intelligence
par la force de la vérité qui est en eux. Ainsi,
rt de nier et impuissance de le faire ; mais avant toute réflexion, l’
intelligence
saisit spontanément la vérité, et dans l’apercept
himérique, extravagant, au-dessus ou plutôt au-dessous de toute vraie
intelligence
, de toute raison digne de ce nom ; car c’est dema
gence, de toute raison digne de ce nom ; car c’est demander que cette
intelligence
, que cette raison, cessent d’avoir conscience d’e
e d’elles-mêmes, tandis que c’est là précisément ce qui caractérise l’
intelligence
et la raison29. Kant veut-il donc que la raison,
Non, Dieu lui-même ne peut rien connaître qu’en le sachant, avec son
intelligence
et avec la conscience de cette intelligence. Il y
u’en le sachant, avec son intelligence et avec la conscience de cette
intelligence
. Il y a donc de la subjectivité dans la connaissa
a est trop ridicule, si la conscience que Dieu a de l’exercice de son
intelligence
n’entraîne pas pour lui le scepticisme, la consci
i le scepticisme, la conscience que nous avons de l’exercice de notre
intelligence
, et la subjectivité attachée à cette conscience,
opre. Ce sont les lois fondamentales de la croyance qui constituent l’
intelligence
, et comme elles découlent de la même source, elle
essentielles. Nous avons justifié les principes qui dirigent notre
intelligence
, nous nous sommes assures qu’il y a hors de nous
sont par elles-mêmes, hors des choses où elles se rencontrent et de l’
intelligence
qui les conçoit ! La vérité n’est alors qu’une ab
, que dans le monde invisible elle produit directement la vérité et l’
intelligence
. » Qui peut produire directement d’un côté le sol
ectement d’un côté le soleil et la lumière, de l’autre la vérité et l’
intelligence
, sinon un être réel ? Mais tout doute disparaît d
dmirablement Platon dans le Sophiste, participe à l’auguste et sainte
intelligence
42. Il est donc assuré que, dans la vraie théorie
s sont éternelles et toujours les mêmes : elles sont contenues dans l’
intelligence
divine ; et sans être sujettes à la naissance et
raisons des choses à créer et des choses créées sont contenues dans l’
intelligence
divine, et s’il n’y a rien dans l’intelligence di
sont contenues dans l’intelligence divine, et s’il n’y a rien dans l’
intelligence
divine que d’éternel et d’immuable, les raisons d
Traité de la connaissance de Dieu et de soi-même 54. Chap. iv, § 5. L‘
intelligence
a pour objet les vérités éternelles qui ne sont a
sien : Bossuet y démontre que l’âme connaît par l’imperfection de son
intelligence
qu’il y a ailleurs une intelligence parfaite. Dan
connaît par l’imperfection de son intelligence qu’il y a ailleurs une
intelligence
parfaite. Dans le § 9, Bossuet met de nouveau en
le-même toujours présente à tous les esprits, et la vraie source de l’
intelligence
. C’est de ce côté qu’elle voit le jour, c’est par
es Principia philosophiæ seu Theses in gratiam principis Eugenii. « L’
intelligence
de Dieu est la région des vérités éternelles et d
serait incompréhensible sans la vérité. La vérité est placée entre l’
intelligence
humaine et la suprême intelligence, comme une sor
rité. La vérité est placée entre l’intelligence humaine et la suprême
intelligence
, comme une sorte de médiatrice. Au dernier degré
e la raison, et c’est une témérité incroyable, dans ce désespoir de l’
intelligence
, de rêver une communication directe avec Dieu. Ce
outes les sensations agréables qui viennent du corps. Il semble que l’
intelligence
ait aussi son organe intime, qui souffre ou jouit
ait aussi son organe intime, qui souffre ou jouit, selon l’état de l’
intelligence
. Nous portons en nous une source profonde d’émoti
instinct, là celui de la vraie science. Le sentiment qui accompagne l’
intelligence
dans toutes ses démarches présente les mêmes phén
la législation commune de tous les êtres intelligents. Il n’y a pas d’
intelligence
qui ne conçoive quelque vérité universelle et néc
le quiétisme64. Le quiétisme endort l’activité de l’homme, éteint son
intelligence
, substitue à la recherche de la vérité et à l’acc
iaire du inonde visible, et sans l’intermédiaire plus sur encore de l’
intelligence
et de la vérité. Mais il est temps de passer à un
et à la sienne, il les constitue en tant qu’elles sont lui-même. Son
intelligence
les possède comme les manifestations d’elle-même.
stations d’elle-même. Tant que la nôtre ne les a point rapportées à l’
intelligence
divine, elles lui sont un effet sans cause, un ph
attribut, nulle qualité, et même qu’il soit dépourvu de science et d’
intelligence
; car l’intelligence, si élevée qu’elle puisse êt
ité, et même qu’il soit dépourvu de science et d’intelligence ; car l’
intelligence
, si élevée qu’elle puisse être, suppose toujours
ent et de l’objet intelligible. Un dieu dont l’absolue unité exclut l’
intelligence
, voilà le dieu de la philosophie mystique. Commen
r Idée, et s’élève ainsi aux Idées, comme aux seuls vrais objets de l’
intelligence
, pour s’élever encore de ces Idées, qui s’ordonne
admirable hiérarchie, à la première de toutes, au-delà de laquelle l’
intelligence
n’a plus rien à concevoir ni à chercher. C’est en
table en tant qu’il est avec elles 74. Il possède l’auguste et sainte
intelligence
75. Il a fait le monde sans aucune nécessité exté
un attribut d’un être absolu, ou une abstraction, une conception de l’
intelligence
humaine ? ce n’est plus rien que la raison puisse
absolu possède l’unité absolue, sans aucun doute, comme il possède l’
intelligence
absolue ; mais, encore une fuis, l’unité absolue
écrivain qui en deux ou trois coups de crayon trace une analyse de l’
intelligence
agréable et simple mais sans profondeur, et de l’
lois universelles qui régissent les corps, celles qui gouvernent les
intelligences
, les grands principes qui contiennent et engendre
y trouvera encore de la beauté, tant qu’on y trouvera quelque ombre d’
intelligence
, je ne sais quoi qui du moins éveille en nous que
qui ne sont pas matérielles, et elle suit des lois qui attestent une
intelligence
partout présente. L’analyse chimique la plus subt
es regardons-nous pas comme des manifestations d’une puissance, d’une
intelligence
et d’une sagesse admirables ; et, pour ainsi parl
nce, l’histoire, la philosophie sont assurément de hauts emplois de l’
intelligence
; elles ont leur dignité, leur éminence que rien
des formes qui la fassent briller évidente et manifeste aux yeux de l’
intelligence
! Ce serait soi-même trahir sa cause que de négli
recte et naturelle n’est ni sur l’imagination représentative ni sur l’
intelligence
; elle est sur le cœur : c’est un assez bel avant
e un sentiment distinct, une idée à la fois profonde et déterminée. L’
intelligence
avance à chaque pas, et le cœur s’élance à sa sui
ans l’art aussi bien qu’en métaphysique. Mais comme en métaphysique l’
intelligence
de tous les systèmes et de la part de vérité qui
d est encore l’homme, et que ce que l’homme a de plus grand c’est son
intelligence
, et surtout son cœur ; qu’ainsi c’est ce cœur qu’
ésentation des rites chrétiens, ouvrage des plus hautes facultés de l’
intelligence
et de l’âme, et où l’intelligence et l’âme trouve
vrage des plus hautes facultés de l’intelligence et de l’âme, et où l’
intelligence
et l’âme trouveront à jamais un sujet inépuisable
veut pas tant plaire aux sens et flatter l’imagination qu’agrandir l’
intelligence
et émouvoir l’âme. L’autre, amoureuse de la natur
’admiration sont des sentiments, mais des sentiments qui tiennent à l’
intelligence
et enveloppent un jugement182. L’admiration est u
quelquefois sur eux une autorité indirecte. La volonté dirige aussi l’
intelligence
, bien qu’elle ne soit pas l’intelligence. Vouloir
e. La volonté dirige aussi l’intelligence, bien qu’elle ne soit pas l’
intelligence
. Vouloir et connaître sont deux choses essentiell
phénomène a une cause, etc. Cependant la volonté peut beaucoup sur l’
intelligence
. C’est librement et volontairement que nous trava
s choses ; par conséquent c’est la volonté qui développe et accroît l’
intelligence
, comme elle pourrait la laisser languir et s’étei
y a en nous un pouvoir suprême qui préside à toutes nos facultés, à l’
intelligence
comme à la sensibilité, qui s’en distingue et qui
n’est dans la volonté de Dieu que parce qu’elle a sa racine dans son
intelligence
et dans sa sagesse, c’est-à-dire dans sa nature e
est intelligente et libre ; et elle est responsable de l’usage de son
intelligence
et de sa liberté. Une chose n’a point de dignité
e devoir sacré de respecter ce qui fait ma personne, c’est-à-dire mon
intelligence
et ma liberté, je n’aurais pas le droit de la déf
n au contraire, de cela seul qu’il est doué de liberté, comme aussi d’
intelligence
, je conclus qu’il ne peut, sans faillir, dégrader
lus qu’il ne peut, sans faillir, dégrader sa liberté pas plus que son
intelligence
. C’est un coupable usage de la liberté que de l’a
ce n’est pas envers moi comme individu, c’est envers la liberté et l’
intelligence
qui font de moi une personne morale. Il faut bien
à la dignité morale, parce qu’ils diminuent la liberté et troublent l’
intelligence
. La prudence est une vertu éminente. Je parle de
-même que l’homme est grand. L’homme doit s’occuper avant tout de son
intelligence
. C’est en effet l’intelligence qui seule nous peu
homme doit s’occuper avant tout de son intelligence. C’est en effet l’
intelligence
qui seule nous peut donner la vue claire du vrai
acultés. C’est tantôt en domptant son corps, tantôt en gouvernant son
intelligence
, surtout en résistant à ses passions, qu’on appre
isissant toutes les occasions de s’y livrer, en appelant à son aide l’
intelligence
elle-même ; car, plus bu connaît le beau et le bi
ien, et plus on l’aime. Le sentiment ne fait en cela qu’emprunter à l’
intelligence
ce qu’il lui rend avec usure. L’intelligence trou
en cela qu’emprunter à l’intelligence ce qu’il lui rend avec usure. L’
intelligence
trouve à son tour, dans le cœur, un rempart contr
tre en rapport avec les autres hommes226. Tant qu’il conserve quelque
intelligence
et quelque liberté, l’idée du bien demeure en lui
tre intelligent et libre de toute obligation envers sa liberté et son
intelligence
. Dans la solitude la plus profonde, il est toujou
s la puissent recevoir ; mais enfin la vérité est le bien propre de l’
intelligence
; et c’est pour moi un devoir étroit de respecter
n homme au profit d’un autre homme. L’esclave ne développé un peu son
intelligence
que dans un intérêt étranger : ce n’est pas pour
s autres, que nous n’avons ni contraint leur liberté, ni étouffé leur
intelligence
, ni maltraité leur corps, ni attenté à leur famil
égalité. Si les hommes sont inégaux par les forces physiques et par l’
intelligence
, ils sont égaux en tant qu’être libres, et par co
une certaine mesure, de veiller à leur bien-être, de développer leur
intelligence
, de fortifier leur moralité, dans l’intérêt de la
où la charité incline au despotisme. On ne peut donc réclamer trop d’
intelligence
et de sagesse dans l’emploi d’un pouvoir nécessai
mais élevés à l’infini. Il possède une liberté infinie, jointe à une
intelligence
infinie ; et, comme son intelligence est infailli
ne liberté infinie, jointe à une intelligence infinie ; et, comme son
intelligence
est infaillible, exempte des incertitudes de la d
de facultés meilleures ; il faut l’accoutumer à venir au secours de l’
intelligence
au lieu de la troubler par ses fantômes. Reconnai
et le bien ne sont que les manifestations diverses d’un même être. L’
intelligence
humaine, interrogée sur toutes ces idées qui sont
ssi l’auteur du monde, mais c’est surtout le père de l’humanité ; son
intelligence
, c’est la nôtre à laquelle on ajoute la nécessité
tipliée, infini et vivant, immuable et principe du mouvement, suprême
intelligence
et suprême vérité, souveraine justice et souverai
les faits primitifs, on méconnaît également la constitution de notre
intelligence
et le but de la philosophie. Expliquer un fait, e
que la conscience est la condition ou plutôt la forme nécessaire de l’
intelligence
. Voyez plus bas, leçon v ; Premiers essais, p. xv
des plus hautes, il est aussi une des meilleures et des plus solides
intelligences
qui furent jamais ; et ce grand conciliateur a bi
t-on si facilement que dans la réalité le mouvement, la vie, l’âme, l’
intelligence
ne conviennent pas à l’être absolu ? que cet être
’il demeure immobile, immuable, sans avoir part à l’auguste et sainte
intelligence
? — Théétète. Ce serait consentir, cher Éléate, à
bien étrange assertion. — L’Étranger. Ou bien lui accorderons-nous l’
intelligence
en lui refusant la vie ? — théétète. Cela ne se p
se peut. — L’Étranger. Ou bien encore dirons-nous qu’il y a en lui l’
intelligence
et la vie, mais que ce n’est pas dans une âme qu’
pourrait-il les posséder autrement ? — L’Étranger. Enfin que, doué d’
intelligence
, d’âme et de vie, tout animé qu’il est, il demeur
n générale à l’histoire de la philosophie, leçon v : « Le propre de l’
intelligence
n’est pas de pouvoir connaître, mais de connaître
r connaître, mais de connaître, en effet. À quelle condition y a-t-il
intelligence
pour nous ? Il ne suffit point qu’il y ait eu nou
ence pour nous ? Il ne suffit point qu’il y ait eu nous un principe d’
intelligence
; il faut que ce principe s’exerce et se développ
pe s’exerce et se développe, et se prenne lui-même comme objet de son
intelligence
. La condition nécessaire de l’intelligence, c’est
ui-même comme objet de son intelligence. La condition nécessaire de l’
intelligence
, c’est la conscience, c’est-à-dire la différence.
s s’aperçoit lui-même. C’est là connaître et se connaître, c’est là l’
intelligence
. L’intelligence sans conscience est la possibilit
-même. C’est là connaître et se connaître, c’est là l’intelligence. L’
intelligence
sans conscience est la possibilité abstraite de l
nce. L’intelligence sans conscience est la possibilité abstraite de l’
intelligence
, ce n’est pas l’intelligence réelle. Transportez
cience est la possibilité abstraite de l’intelligence, ce n’est pas l’
intelligence
réelle. Transportez ceci de l’intelligence humain
telligence, ce n’est pas l’intelligence réelle. Transportez ceci de l’
intelligence
humaine à l’intelligence divine, c’est-à-dire rap
l’intelligence réelle. Transportez ceci de l’intelligence humaine à l’
intelligence
divine, c’est-à-dire rapportez les idées, j’enten
s de Platon, de saint Augustin, de Bossuet et de Leibnitz, à la seule
intelligence
à laquelle elles puissent appartenir, vous avez,
ssent appartenir, vous avez, si je puis m’exprimer ainsi, la vie de l’
intelligence
divine…, etc. » 82. T. II de la IIe série, Esqu
esses approche de la grandeur avec laquelle il se manifesta jadis à l’
intelligence
d’Homère ; mais, dans les traits de l’Apollon du
leçons de M. de Laromiguière. 185. Sur la différence du désir, de l’
intelligence
et de la volonté, voyez plus haut, Ire partie, p.
pas penser qu’il a démérité, c’est-à-dire mérité une punition. Dans l’
intelligence
, à l’idée d’injustice correspond celle de la pein
un moteur, une cause ; il n’est pas non plus, en tant qu’infini, une
intelligence
; il n’est pas non plus une volonté ; il n’est pa
conscience, les phénomènes de la sensation ou de la volition ou de l’
intelligence
, sans qu’à l’instant même nous les rapportions à
ent affecté. Enfin, la conscience, cette condition indispensable de l’
intelligence
n’est-elle pas le sentiment d’un être unique ? C’
divine providence. Oui, il y a un Dieu, un Dieu qui est une véritable
intelligence
, qui par conséquent a conscience de lui-même, qui
s milliers de mondes semés dans les déserts infinis de l’espace ; son
intelligence
, dans leurs lois harmonieuses ; enfin, ce qu’il y
cès de force matérielle, et depuis lors il ne l’a plus retrouvée. Son
intelligence
s’est élargie, sa science s’est accrue ; il a étu
plus difficile à rencontrer aujourd’hui qu’une volonté au sein d’une
intelligence
, une conviction, une foi. Ce sont des combinaison
squ’à la dépraver ou à l’abolir. Elle l’abolit dans le sein même de l’
intelligence
qui se glace en s’éclaircissant, qui s’efface, s’
ont bientôt : c’est une manière d’épicuréisme sensuel et raffiné de l’
intelligence
. On ne s’y livre pas d’abord de propos délibéré ;
confondant intimement avec la sensibilité, compose l’amour, et avec l’
intelligence
n’est autre chose que la foi, dépérit, s’épuise,
té acquise. On voit alors, spectacle douloureux ! de vastes et hautes
intelligences
se souiller : l’amour des places, de l’or, de la
ns le sens intime de l’antique sagesse ; ils ne nous offrent plus des
intelligences
servies par des organes, mais des intelligences q
nous offrent plus des intelligences servies par des organes, mais des
intelligences
qui mentent à des organes qui les trahissent. Qu’
xemple de cette union consubstantielle et sacrée de la volonté avec l’
intelligence
sous le sceau de la foi, de celui dont l’esprit e
dans la rude voie où la Grâce l’a glorifié ; c’est un trappiste de l’
intelligence
: l’application opiniâtre de la pensée catholique
t nous avons dit strictement ce qu’il était nécessaire de dire pour l’
intelligence
de notre sujet. Tout ce que nous avons demandé au
s uns sur le front des autres, le sceau dont est marquée la tribu des
intelligences
. Ce sont là de bonnes dispositions, et pour les l
haut des idées religieuses et sociales qui sont le fonds même de son
intelligence
; mais il peut se rendre le témoignage qu’autant
t et leur donnent ce caractère pénétrant qui les fait entrer dans les
intelligences
. La littérature française a, plus que toutes les
ents prophétiques, qui ont presque la précision de l’histoire, tant l’
intelligence
humaine a de clairvoyance, lorsqu’elle se place d
l’essor de la civilisation, et l’avait peinte comme une ennemie de l’
intelligence
humaine, afin que l’intelligence humaine la trait
’avait peinte comme une ennemie de l’intelligence humaine, afin que l’
intelligence
humaine la traitât en ennemie. L’attaque avait po
s, attendaient, dans un doute douloureux, cet aliment dont toutes les
intelligences
ont besoin, et qui leur manquait ; car si elles a
tuelles et morales, et replanter la croix sur toutes les avenues de l’
intelligence
humaine où elle avait été abattue ; et ce fut là
s. Qu’on se représente ce cadre majestueux, rempli par un homme d’une
intelligence
supérieure, déjà éprouvé par tant de vicissitudes
octrines du dix-huitième siècle, sur le vide profond des cœurs et des
intelligences
, et alors vous comprendrez l’effet que produisit
cher les balances de ce juge inébranlable. Cette fermeté de cœur et d’
intelligence
lui permet d’émettre sur les causes, la nature, l
tait devenue une maîtresse d’égarements philosophiques ; la reine des
intelligences
avait corrompu les intelligences. Les enseignemen
ements philosophiques ; la reine des intelligences avait corrompu les
intelligences
. Les enseignements lui arrivent d’autant plus sév
hie qui, au lieu de chicaner la Providence, s’efforce de s’élever à l’
intelligence
de ses desseins, et prend l’humanité telle qu’ell
es événements qu’il poursuit comme le sujet le plus digne d’occuper l’
intelligence
humaine que Dieu a créée à son image, mais en mêm
d’incliner l’impuissance de son esprit devant la toute-puissance de l’
intelligence
et de la justice divine, s’il ne réussit pas dans
la manière de l’écrivain, qui s’emprisonne et emprisonne avec lui les
intelligences
dans un champ mesuré et borné d’avance avec une r
e définition que M. de Bonald a donnée de l’homme : « L’homme est une
intelligence
servie par les organes. » Elle est un peu superbe
re philosophique devant la postérité. « La solution du problème de l’
intelligence
, dit M. de Bonald, peut être présentée sous cette
a fois éminemment sage et éminemment bon, les vérités nécessaires à l’
intelligence
humaine se trouvaient comprises dans cette révéla
trument de cette éducation, c’est le langage. Tout se passe entre une
intelligence
que Dieu a créée capable de recevoir et de former
ble de recevoir et de former les idées, surtout par la parole, et les
intelligences
qui la lui transmettent comme elles l’ont elles-m
ui fût révélée, et par qui lui aurait-elle été révélée, sinon par une
intelligence
supérieure, c’est-à-dire par Dieu ? Cette grande
peu absolu, et c’est là en général le défaut d’une des qualités de l’
intelligence
de ce grand philosophe. C’est, en effet, pousser
ècle dans les institutions, continuèrent à faire leur chemin dans les
intelligences
, d’où elles descendirent plus tard dans les lois,
il pousse trop loin la recherche des analogies ; qu’il y ait dans son
intelligence
une tendance trop prononcée à dogmatiser et à tou
même, à la fin de son ouvrage, convient, avec l’honorable candeur des
intelligences
supérieures, qu’il peut s’être trompé sur plusieu
nce devant les événements ; mais les semences ont été jetées dans les
intelligences
, elles y fructifieront. La réaction d’idées qui a
bien les deux attitudes que l’on trouve chez la plupart des hommes d’
intelligence
de cette époque. On demandait au métaphysicien Si
hilosophie du sensualisme dont il était l’adepte15. Puis venaient des
intelligences
appuyées sur les principes religieux et monarchiq
on principe et de plus tempéré, qui puisse supporter le voisinage des
intelligences
libres et des caractères indépendants. La dictatu
n homme de bonne compagnie un savoir solide, un sens juste, un tour d’
intelligence
vif et prompt, et cette facilité de pensée et de
qu’il faisait, devint donc un royaliste rationnel ; le travail de son
intelligence
, qui cherchait par quelle porte on pourrait faire
ument d’une théorie toute-puissante dont l’origine plaisait peu à son
intelligence
et dont l’avenir lui inspirait des doutes. Il se
de Locke, et qui renversait ce système : Non, tout ce qui est dans l’
intelligence
ne vient pas des sens, car l’intelligence n’en vi
Non, tout ce qui est dans l’intelligence ne vient pas des sens, car l’
intelligence
n’en vient pas. C’est avec d’autres mots la même
t à la sensation et précédant le jugement, est une opération de cette
intelligence
qui, selon Leibnitz, n’est pas contenue dans la s
la science philosophique et dans les sciences physiques, devant notre
intelligence
si faible et si courte, sans doute pour nous rapp
les faits primitifs, on méconnaît également la constitution de notre
intelligence
et le but de la philosophie. Expliquer un fait, e
est le plus dangereux de tous les orgueils, s’attaque aux plus hautes
intelligences
; la soif de tout comprendre et de tout expliquer
qui vient aboutir à Condillac. Descartes, cette grande et audacieuse
intelligence
, avait fait une chose téméraire et dont les consé
ce de la matière, va tout à l’heure devenir impuissante à dominer les
intelligences
saturées de scepticisme, et qui se sont préparées
sentiment de la faiblesse de l’esprit humain, et le sens commun. Aux
intelligences
fourvoyées à la suite de tant de systèmes, il ens
er à l’esprit, s’impose. Il reconnaissait ainsi les grandes lois de l’
intelligence
, qui règlent tout et qui n’ont pas de règles, qui
rt était placé plus près de l’homme, et en particulier moins loin des
intelligences
qu’il fallait faire sortir du sensualisme. Sans d
e pas reconnaître que M. Royer-Collard faisait faire un grand pas aux
intelligences
, et qu’il rendait un service signalé à la société
au grand jour, ces luttes oratoires séduisaient, enivraient la jeune
intelligence
qui se penchait avec un sentiment d’envie vers le
eprésentatif que l’esprit des affaires. Bédoch, c’était la prose de l’
intelligence
; M. Villemain en était la poésie. Ce qu’il y a d
l a enseigné les vérités les plus hautes auxquelles puisse s’élever l’
intelligence
humaine. Le ministre de la police insiste pour qu
x plus charmantes fleurs qui se soient épanouies plus tard dans cette
intelligence
féconde, Atala et René, M. de Chateaubriand compo
sprit et échauffe le cœur. Ses premières années révèlent chez lui une
intelligence
ardente ; une disposition marquée à cheminer à so
grands écrivains religieux, qui remplissaient les autres rayons, son
intelligence
se trouva assez saine pour préférer l’antidote au
ieu d’une armée passionnée pour la gloire : c’est Paul-Louis Courier,
intelligence
nourrie dans le commerce de l’antiquité grecque,
07 et 1808, lui ouvrirent une voie plus conforme aux tendances de son
intelligence
et de son caractère ; il partagea son temps entre
ce de cette fierté rationnelle qui est un des traits distinctifs de l’
intelligence
de M. Guizot. M. Stapfer lui ouvrit l’entrée du s
rester sans aliment, passe alors de la sphère du fait dans celle de l’
intelligence
. Ce changement allait donner une importance inacc
n’est qu’une victoire ! » Songe-t-on aussi à ce que devaient dire aux
intelligences
et aux cœurs les contrastes du présent avec le pa
raires profondément opposés, allaient se disputer l’ascendant sur les
intelligences
. Parmi les influences hors ligne appelées à avoir
oire de l’Europe à notre désastre : tout contribuait à jeter dans les
intelligences
le germe d’un mécontentement qu’il ne s’agissait
i quelques résultats principaux du livre De l’Allemagne. D’abord, les
intelligences
se trouvaient préparées par cet ouvrage d’une lec
ce qu’elles ont de conforme aux types gravés par le Créateur dans les
intelligences
créées ; et c’est bien là le cas de dire, avec Té
exercent sur l’esprit de leur siècle l’ascendant de la parole et de l’
intelligence
voulût introduire la philosophie allemande dans n
ord Byron, qui reflétait les diverses situations où peut se trouver l’
intelligence
humaine lorsqu’elle a rompu les liens qui l’attac
aire entrevoir les résultats fâcheux de son influence littéraire. Une
intelligence
maladive, puisant une partie de ses moyens d’acti
: il contribua à envenimer une maladie qui devait attaquer les jeunes
intelligences
de ce siècle et dont les effets furent mortels. D
s dans ces luttes vous sont apparus. D’abord vient le premier ban des
intelligences
, celui des écrivains qui ont pris part aux débats
1768, a quarante-six ans, il est dans toute la force de l’âge et de l’
intelligence
; M. Frayssinous est de la même année ; M. de Bon
le, appartient presque à la même époque. Puis vient le second ban des
intelligences
, la génération qui date des dernières années de l
tis de familles sans fortune ; mais, doués de cette vive et puissante
intelligence
et de cette merveilleuse aptitude au travail qui
allées dont on a à peine dépassé les premiers arbres, il y a dans les
intelligences
un mouvement, une surabondance de vie, une exubér
haine ou dédain, en jaillissait à la fois. L’ébranlement imprimé aux
intelligences
par les événements aussi extraordinaires qu’impré
en outre, une de ces révolutions poétiques qui frappent vivement les
intelligences
et les satisfont, en les aidant à sortir du conve
nération se lamenter dans ces Méditations où le doute, ce vautour des
intelligences
, attaché à son immortelle proie, lui arrachait un
vient, plusieurs pages remarquables contre le paganisme poétique. Son
intelligence
, éminemment chrétienne, tout en admirant les gran
ses premiers vers, il n’avait ni système ni prétention ; c’était une
intelligence
où tout était instinct. Il écrivait en vers, parc
M. de Lamartine n’était point le fruit de l’étude et du travail ; son
intelligence
avait quelque chose de vif et de spontané ; elle
r chrétien, amour épuré aux feux du spiritualisme, douce harmonie des
intelligences
, union mystérieuse des âmes. Ne cherchez plus la
omme cesse un moment de s’appuyer sur l’ancre de la foi qui empêche l’
intelligence
de dévier vers l’écueil. Une imagination qui n’es
il. Une imagination qui n’est pas toujours maîtresse de son élan, une
intelligence
qui ne contient pas toujours sa pensée, et qui, a
nté littéraire de tous les esprits élevés qui conduisent le chœur des
intelligences
. Le général Foy applaudit avec enthousiasme aux v
poëte, on entend comme un retentissement lointain des angoisses de l’
intelligence
humaine au sein d’une époque sur laquelle la nuit
dans ces sphères transcendantes de la métaphysique religieuse où les
intelligences
rêveuses, celles qui ont éprouvé ou qui éprouvent
nt agité l’esprit humain dans tous les âges viennent tourmenter notre
intelligence
à son tour. Mais après les avoir regardés en face
s les profondeurs enflammées de l’Etna, le vertige finit par gagner l’
intelligence
. C’est ainsi qu’on trouve dans les Harmonies quel
ces exceptions indiquent que le trouble peut s’introduire dans cette
intelligence
et que la rectitude des pensées du poëte incline
la restauration n’avait point la faiblesse d’esprit de croire que les
intelligences
ouvertes par l’étude des lettres sont fermées aux
entière sous une lassitude universelle, et de l’affranchissement des
intelligences
rendues à elles-mêmes, après avoir été contrainte
tion de leurs enfants à la compagnie de Jésus. On peut dire que cette
intelligence
nourrie par l’Université impériale, qui faisait à
re, la paix était le besoin de l’époque ; les hommes d’État avaient l’
intelligence
de cette vérité, les peuples en avaient l’instinc
et méprisé des honnêtes gens, il jette dans la région supérieure de l’
intelligence
un ébranlement et un désordre dont les conséquenc
uteur, on le voit, compose lentement et avec le scrupule d’une de ces
intelligences
d’élite qui écoutent longtemps la voix intérieure
Rien n’était plus propre à donner une idée du mouvement général des
intelligences
, sous la restauration, que le tableau de la renai
ts locaux, est cependant une liberté chère à tous ceux qui honorent l’
intelligence
et, en outre, elle est comme la garantie des autr
aux dépens de la monarchie qu’il aimait, cette double faculté de son
intelligence
. Ce fut une nouvelle face de son génie. Il devint
uait, dans l’éloquence parlementaire, la forme la plus éclatante de l’
intelligence
nationale. IV. Écrivains polémiques de l’école
mettant la vanité humaine à bout, nous enseigne combien les dons de l’
intelligence
eux-mêmes deviennent méprisables, quand l’élévati
ar son éducation, comme par la nature de son talent, à cette classe d’
intelligences
indisciplinées et indisciplinables. C’était un de
ce caractère d’opposition et de dénigrement. Paul-Louis était, par l’
intelligence
, citoyen de cette ville d’Athènes d’où l’on exila
s négatives, admirables dans la critique et nulles dans l’action, ces
intelligences
duellistes qui vivent l’épée à la main, sont d’in
siècle ; au pamphlétaire, cette âcreté de génie et cette malignité d’
intelligence
qui étincelle dans tous ses écrits. En effet, Cou
mporte d’ajouter que, si le talent de l’écrivain était remarquable, l’
intelligence
de l’homme était rétrécie par la vanité. Si l’on
vanité. Si l’on voulait examiner de près les fautes qui ont perdu les
intelligences
les plus élevées de ce siècle, il faudrait remont
a première communion lui est-elle apparue dans ce moment suprême où l’
intelligence
de l’homme, à demi penché sur les gouffres de l’é
festations fugitives. Le journal, ce dialogue de chaque matin entre l’
intelligence
de l’écrivain et celle des lecteurs, cette conver
u’à sept ans. Il a dans ce moment cinq ans et demi. Il est doué d’une
intelligence
supérieure à son âge, et il aurait besoin de pass
olie. De quelque côté qu’il tourne ses regards, des abus frappent son
intelligence
vive et prompte ; pour qu’il les ressente plus pr
et cela n’est vrai que dans une certaine mesure, — l’on reçoit avec l’
intelligence
des virtualités de sentir et de mûrir qui ne perm
esprit, en formules d’une généralisation savante, il n’ait révélé une
intelligence
extraordinairement précoce, et ouverte à un degré
nt est que, comme il arrive fatalement aux natures compliquées, cette
intelligence
est restée passive, en ce qu’elle a reçu et démêl
de vitalité intense, au souci qu’ils accusent du cas compliqué et à l’
intelligence
qu’ils révèlent de la difficulté sentimentale. Qu
e nulle gloire n’en soit néanmoins revenue aux passionnés militants d’
intelligence
, ce serait évidemment trop prétendre. Il est mani
is sincèrement regretté de n’avoir pas su être un apôtre, et de cette
intelligence
, honnête jusqu’à souffrir de n’en jamais assez di
si bien M. France, en même temps qu’un imaginatif mitigé, mais dont l’
intelligence
du rapport domine le système, par cela même est u
ou du moins avec le goût de la profession, et dès lors aussi avec son
intelligence
. Et qu’il aurait aimé le reconnaître si un peu de
t laquelle est des cabotins et des reîtres, de cette morale qui est l’
intelligence
facultative du mal et la science du présentable ;
e faible gloire d’avoir ajouté cette branche nouvelle au domaine de l’
intelligence
. Mais je dis que les germes de tout ce qui a suiv
réunir en une harmonie et une beauté égales ces deux extrémités de l’
intelligence
humaine. C’est un privilège dont elle seule a jou
même que cette autre force qui conserve et répare notre organisme ? L’
intelligence
et la nutrition sont-elles soumises à une seule e
l’ont fait plus tard de grossiers systèmes. Les erreurs de ces hautes
intelligences
diffèrent au moins par la forme de celles du vulg
e développant avec lui, se flétrissant et mourant avec lui. Quant à l’
intelligence
proprement dite, elle donne si peu le mouvement,
n principe impassible », tout divin, tout indestructible qu’il est. L’
intelligence
même ne pense, ne sent, n’aime, ne se souvient, q
donne par quatre facultés diverses : la nutrition, la sensibilité, l’
intelligence
, la locomotion. Partout où l’on voit l’une de ces
irement la sensibilité, comme celle-ci suppose la nutrition. Enfin, l’
intelligence
implique toutes les facultés inférieures. Je n’in
is c’est bien mal comprendre la loi qui préside au développement de l’
intelligence
humaine. C’est exiger de l’enfance ce qu’on ne do
se sent réservée à des destinées toutes différentes8. Cette vie de l’
intelligence
et de la sagesse que la philosophie assure à l’âm
ps a provoqué l’âme, il n’a donc plus rien à faire dans le monde de l’
intelligence
. L’âme y est seule avec les Idées qu’elle compren
nes qui, sans elles, demeureraient parfaitement incompréhensibles à l’
intelligence
, parce qu’ils seraient sans lois. Il faudra donc
ensée, il affirme, avec une certitude désormais inébranlable, que son
intelligence
, qui ne s’est point faite elle-même, vient d’une
que son intelligence, qui ne s’est point faite elle-même, vient d’une
intelligence
supérieure à elle ; il affirme que son intelligen
même, vient d’une intelligence supérieure à elle ; il affirme que son
intelligence
agit sous l’œil de son créateur, et qu’elle doit
mbattu son modèle, et félicitons notre siècle d’avoir fait naître une
intelligence
et une vertu dignes de nous avoir rendu, dans Ari
très supérieur à Pline, très supérieur à Buffon, égal à Cuvier ; une
intelligence
presque divine appliquée à la nature organisée ;
t d’utopiste, mais on vient à son aide, l’on prouve qu’il en est de l’
intelligence
comme d’un fleuve et que de trop nombreuses saign
aimant la beauté, en jouissant de tous les plaisirs des sens et de l’
intelligence
, et cela sans mesure, sans hypocrisie, avec une f
nc ? Ce ne fut pas certainement l’arrivisme tout pur. Il y a dans une
intelligence
jeune une originelle noblesse qui répugne à livre
l’idéalisme sentimental : M. Barrès a certainement dégrossi bien des
intelligences
. D’autres disciples allèrent plus loin dans la co
à s’enfermer dans la prison d’une idée forte. Ensuite, il en est des
intelligences
personnelles comme de ces intelligences collectiv
forte. Ensuite, il en est des intelligences personnelles comme de ces
intelligences
collectives qu’on appelle des civilisations : apr
rait quelque chose de désobligeant : on ne défend pas les droits de l’
intelligence
, puisqu’ils sont absolus. Il reste que M. Barrès,
e a sa beauté ; l’inquiétude n’est pas laide. Elle est le signe d’une
intelligence
particulière, celle de l’abeille quêteuse, en opp
les ; il a touché à tout et tiré parti de tout ce qu’il a touché. Son
intelligence
est pure ; cela veut dire qu’elle n’est pas sensu
et il la commente ; il est simplificateur, parce que les modes de son
intelligence
sont successifs. Cela lui permet de tenter des an
t cogitationes rerum, qui tire toute sa valeur de la valeur même de l’
intelligence
qui le proféra. Or, et voici où l’éloquence triom
nesse ; cette charge lui convient, mais il l’exercera mieux quand son
intelligence
, moins avide de toutes les idées, de toutes les f
cisme sans Dieu et, entre ces deux extrêmes, plusieurs nuances où les
intelligences
jouent à sauter de branche en branche, comme les
ment mais par son attitude, elle en défend l’entrée à tout ce qui est
intelligence
, originalité, poésie, art, libération. Les écriva
Il n’y eut là aucun phénomène de dédoublement ou de rénovation : une
intelligence
naturellement réaliste s’adaptait à des fonctions
qui, selon la vanne remontée ou descendue, coule par ici ou par là. L’
intelligence
n’est libre que dans les limites des lois dynamiq
pas la peine de recommencer. Les commencements épouvantent certaines
intelligences
: mais ce sont celles-là qui ont le sens de la co
és inférieures en soi, comme il n’y a pas de matière méprisable, et l’
intelligence
peut s’exercer aussi bellement à gérer le bien te
porel des écrivains qu’à rédiger des écritures. L’important est que l’
intelligence
soit : dès qu’elle est, elle agit ; et partout où
ste ; le monde évolue, du germe à la plénitude, de l’inconscience à l’
intelligence
, de l’instinct à la loi, du droit au devoir, ― ve
enue de plus de justice, de plus de bonté, de plus d’amour, de plus d’
intelligence
; en bas, des esprits simples croient à la venue
al comprendre et son originalité s’éteint souvent sur le seuil de nos
intelligences
comme un fanal allumé à la pointe des récifs par
art appartient en grande partie au domaine de l’inconscient, de cette
intelligence
obscure et magnifique qui rêve en certains cervea
e obscure et magnifique qui rêve en certains cerveaux privilégiés ; l’
intelligence
ordinaire, active et visible, ne doit avoir en ar
un des besoins spirituels de l’homme. Or, dès que l’homme a un peu d’
intelligence
, de sensibilité, de goût pour les jeux de l’espri
l’influence d’une santé chétive sur les tendances et les goûts d’une
intelligence
. Nous ne savons rien de précis ni rien d’utile su
l’incroyance au divin est analysée avec une belle sûreté de main et d’
intelligence
; presque partout, on sent un esprit maître de so
omission que par jeunesse, et s’il montra un talent moins sûr que son
intelligence
, c’est que toutes les facultés de l’âme n’atteign
teignent pas à la même heure leur complet développement ; chez lui, l’
intelligence
avait fleuri la première et attiré à soi la meill
fleuri la première et attiré à soi la meilleure partie de la sève. L’
intelligence
et le talent, voilà, je crois, une distinction qu
être compris, à l’heure où ils éclosent, de la charitable glose d’une
intelligence
amie. Malheureusement, la critique influente, si
de ceux qui, élevés au-dessus de la basse vie, n’y inclinent que leur
intelligence
et n’y mettent pas les mains. Tous leurs romans s
quoi l’orgueil engendre les ténèbres : l’orgueil est un écran entre l’
intelligence
humaine et l’intelligence divine ; l’orgueil se c
s ténèbres : l’orgueil est un écran entre l’intelligence humaine et l’
intelligence
divine ; l’orgueil se contemple lui-même et se co
voyant ne se trompe jamais humainement sur l’essence des âmes ou des
intelligences
; son regard pénètre les écorces et les carapaces
rvée dans un bocal à Saint-Sulpice. On dirait qu’il veut décourager l’
intelligence
, mais il n’a vraiment qu’un dessein : étaler sa f
e l’humilité. Il accepte l’absurde avec ostentation ; il déprécie son
intelligence
avec fierté. Il se donne à croire des choses dont
royant et humble ; Si je suis un être d’élection, ce n’est ni par mon
intelligence
ni par mon amour : l’infini m’a élu au-dessus des
u de puissance dans les réalisations, de continuité dans l’énergie, d’
intelligence
méthodique. Les mots ne parviennent pas à s’incar
ons, ni les raffinements de la culture et des mœurs, ni les dons de l’
intelligence
. Rester soi, pour une nation comme pour un indivi
c’est un fait, qui tombe sous le sens et qu’il suffit d’un rudiment d’
intelligence
et de sincérité pour apercevoir. Il nous paraît d
lque inquiétude. Mais néanmoins une chose est indéniable : la somme d’
intelligence
répandue dans le monde latin est plus considérabl
non seulement par la splendeur des extériorités, mais par la somme d’
intelligence
en elle accumulée. Les esprits larges, souples, c
enne, le bloc. Une nation est forte lorsqu’elle possède une moyenne d’
intelligence
médiocre, plutôt lente et fruste, mais riche d’én
s et de traditions, un cerveau tyran nique et fossile ? La pléthore d’
intelligence
est surtout créatrice d’inaction, de dissolution,
par ce mot de « stupidité » ce qui nous apparaît tel à nous autres, d’
intelligence
prépondérante et exclusive. J’excepte, bien enten
ulait exprimer lorsqu’il disait à Eckermann : « Les Français ont de l’
intelligence
et de l’esprit, mais ils n’ont pas de fond et pas
frustes et inférieurs. Il serait également dangereux de confondre «
intelligence
» au sens large, normal et droit de ce mot, avec
émoignent pourvus d’une faculté que l’on est bien contraint de nommer
intelligence
. C’est alors la nature qui se charge de remettre
ans que nous en ayons d’ailleurs tiré aucun profit — du triomphe de l’
intelligence
saine et méthodique sur l’intense spiritualité ?
? C’est que l’« esprit », je le répète, est parfois le contraire de l’
intelligence
. La nation qui, sûre de sa légendaire supériorité
t pas d’être transgressées. Il faut généralement dans ce monde plus d’
intelligence
, c’est à dire de compréhension et d’interprétatio
e que les plus spirituels du monde, de nous estimer, du fait de notre
intelligence
spéciale, au-dessus des réalités, provient nature
où, chaque jour davantage, la victoire appartiendra à la logique, à l’
intelligence
pratique, à une juste compréhension des réalités,
que de mettre au même niveau les peuples de vrai courage et de vraie
intelligence
et ceux qui se témoignent respectueux de la servi
es et des sentiments nouveaux. L’opération devrait être tentée par l’
intelligence
, l’intelligence pure et simple. Une intelligence
ents nouveaux. L’opération devrait être tentée par l’intelligence, l’
intelligence
pure et simple. Une intelligence toute-puissante,
it être tentée par l’intelligence, l’intelligence pure et simple. Une
intelligence
toute-puissante, celle d’un homme ou d’un comité,
comité, peu importe : mais elle exigerait une sorte de dictature de l’
intelligence
. Nous constations tout à l’heure que les peuples
t, graduel, intense renouvellement intérieur. Elle nécessiterait de l’
intelligence
et de l’énergie plutôt que de la poudre et des hu
sensibilité » comme au xviiie siècle, dont nous parlons, mais par l’
intelligence
. Le prix du rachat ne serait pas le sang versé ri
veur », formulé par tous les partis de réaction. Cette dictature de l’
intelligence
, ce serait la lutte du cerveau conscient contre l
refonte méthodique et scientifique d’une race sous la direction d’une
intelligence
nette et réaliste, impitoyable et sûre d’elle-mêm
ple, si admirable, des fourmis : suppléons au manque d’instinct par l’
intelligence
. Il faudrait que les mères considérassent comme l
de cette science, et qu’à cet effet on leur fît sentir leur devoir. L’
intelligence
devrait être une part de l’amour en matière de ma
concours seraient organisés et des primes instituées, par lesquels l’
intelligence
des mères serait mise en valeur et recevrait des
sociaux. Vers ce point d’importance fondamentale, une bonne part de l’
intelligence
nationale et du souci social devrait converger. C
erait à l’enfant et à l’adolescent que s’adresserait l’attention de l’
intelligence
réformatrice. Ici la besogne devient plus complex
qui le contrecarre, ou, en termes plus clairs, le droit de fausser l’
intelligence
de l’enfant. Il en résulte que la liberté de l’en
spiritualisme et de littérature en général médiocre, au point que les
intelligences
en demeurent pour toujours étouffées, incapables
n appelle, non sans une inconsciente ironie : « façonner le cœur et l’
intelligence
de la jeunesse », « préparer des hommes »… D’où l
iles commentaires, ce n’est pas là « former », mais bien déformer les
intelligences
, — en plus que préparer, par l’absence de culture
e, qu’ils ne seraient pas comme des ferments de santé, d’énergie et d’
intelligence
? Rien ne s’oppose à une tentative de ce genre, q
ne le pense, à condition que l’entreprise soit menée avec énergie et
intelligence
, sans précipitation, ni à-peu-près, ni coups de t
e telle tentative comportât des chances de succès, il faudrait qu’une
intelligence
et un tact rare y présidassent. La rude et froide
plus haut point une œuvre de solidarité humaine, les mieux pourvus d’
intelligence
et de bonne volonté tendant aux simples, jusque-l
d’ailleurs sur ce point, que supposer au pouvoir cette dictature de l’
intelligence
, c’est admettre un peuple déjà réformé qui l’y au
nt une dose de courage, d’endurance, de volonté, de persévérance et d’
intelligence
dont il reste à savoir si nous sommes encore capa
e, c’est la répugnance extrême qu’éprouve le tempérament latin pour l’
intelligence
simple et allant droit au but. En pays catholique
l’intelligence simple et allant droit au but. En pays catholiques, l’
intelligence
toute pure, le souci de méthode, de logique et de
caines, Scandinaves, fuyant le sentimentalisme, recherchant surtout l’
intelligence
et la force. De ce contact elle est sortie transf
sés. Le Latin n’opérera pas de lui-même son salut. Il n’a pas assez d’
intelligence
ni de volonté pour cela. Il faudra qu’il y soit c
is, également forcé d’émigrer, apporte à la société où il se fixe son
intelligence
très déliée et y rend des services considérables.
emble bien valoir la perspective d’user chez soi son bon vouloir, son
intelligence
et ses nerfs, sans la moindre assurance d’un reno
s, elle aurait pu être comme la synthèse vivante des deux mondes. A l’
intelligence
et à la droiture septentrionales, elle aurait uni
rsonnes (personas) et les emblèmes110. — Incapables de se créer par l’
intelligence
des formes abstraites, ils en imaginèrent de corp
vinrent les âges de civilisation avec les gouvernements populaires, l’
intelligence
s’éveilla dans ces grandes assemblées112. Les dro
s abstraits et généraux furent dits consistere in intellectu juris. L’
intelligence
consiste ici à comprendre l’intention que le légi
plus haute importance. Premièrement les droits étant éternels dans l’
intelligence
, autrement dit dans leur idéal, et les hommes exi
es avons établis plus haut. Concluons : l’homme n’étant proprement qu’
intelligence
, corps et langage, et le langage étant comme l’in
c’est moins faiblesse de réflexion, légèreté d’attention, gaucherie d’
intelligence
, l’ignorance du sens des mots qu’ils ont lus. Et
capacité d’exprimer l’idée. Enfermée dans un cercle étroit de mots, l’
intelligence
est à la gêne, ne peut pas développer ses pensées
n d’exprimer sa pensée soit aussi ample, aussi riche que possible : l’
intelligence
même y trouvera son compte. La pensée en sera plu
ngue, avoir dans le cerveau un dictionnaire assez complet, pour que l’
intelligence
puisse concevoir toutes les idées et profiter de
Et d’abord, de quel instrument disposons-nous pour cette conquête ? L’
intelligence
de l’homme, pour nous restreindre, l’intelligence
cette conquête ? L’intelligence de l’homme, pour nous restreindre, l’
intelligence
du savant n’est-elle pas susceptible d’une infini
impossible de démontrer qu’elles ne le sont pas. Cette harmonie que l’
intelligence
humaine croit découvrir dans la nature, existe-t-
aine croit découvrir dans la nature, existe-t-elle en dehors de cette
intelligence
? Non, sans doute, une réalité complètement indép
faits d’ordre littéraire également mortels à plus d’une faculté de l’
intelligence
, et qui doivent, dans un temps donné, ruiner l’in
ulté de l’intelligence, et qui doivent, dans un temps donné, ruiner l’
intelligence
tout entière. Mais que nous le disions, nous, ici
, que nous disions tristement, car c’est une chose fort triste, que l’
intelligence
de tout un pays est en danger de s’atrophier sous
’enivre depuis trente années, et que déjà ce qu’il y avait dans cette
intelligence
de plus charmant, de plus fin et de plus sonore,
me de l’évolution, tels que Spencer, ont le tort de trop considérer l’
intelligence
comme une sorte de table rase, où viendraient pas
nt également les idéalistes, préoccupés des formes préétablies dans l’
intelligence
, et que l’intelligence, selon eux, imposerait ens
stes, préoccupés des formes préétablies dans l’intelligence, et que l’
intelligence
, selon eux, imposerait ensuite à la nature. Ils s
ré au hasard ne serait pas seulement incompréhensible pour l’œil de l’
intelligence
: nous n’y pourrions subsister, car, en répétant
stances, nous ne produirions plus le même effet ; non seulement notre
intelligence
, emportée comme par un vertige, serait perpétuell
re constitution psychique. Nous rattachons ainsi la première loi de l’
intelligence
à la nature radicale de la volonté, ou plutôt à s
el, est la projection dans les choses de ces procédés essentiels de l’
intelligence
, — classification et raisonnement. Cette projecti
Cette projection est naturelle et nécessaire pour plusieurs motifs. L’
intelligence
étant au fond, nous l’avons vu, volonté intellige
une analyse et une critique approfondies des lois ou conditions de l’
intelligence
, on en devait venir à se poser ce problème : tout
éternellement insondables opposeraient leur barrière aux rayons de l’
intelligence
. Ce serait quelque chose d’inintelligible et pour
Mais comme ce fond, ainsi conçu, échappe par définition même à notre
intelligence
, nous n’avons pas besoin de nous en occuper au po
rions le domaine de la volonté, soit que nous considérions celui de l’
intelligence
. Nous voulons persévérer dans l’être, et nous avo
ve déjà dans la volonté par le seul fait de son développement, dans l’
intelligence
par le seul fait de son exercice. C’est le proces
science même, dans le courant subjectif, qui est à la fois volonté et
intelligence
. La succession uniforme des antécédents et conséq
d’expérience, mais une loi de l’expérience, c’est-à-dire une loi de l’
intelligence
ou, plus profondément encore, de la volonté. Comm
es formes, de la comprendre totalement dans un immense embrassement d’
intelligence
, s’est détourné de soi, s’est repris au monde ave
résumés, par rapports de dépendance en lois, comme les concevrait une
intelligence
philosophique moins soucieuse de leur reproductio
eu les âmes, que vieillissent ou pubèrent les esprits et les corps, l’
intelligence
du lecteur, s’emplissant de tout un monde d’image
et tandis que cet emmêlement d’hommes et de choses s’insinue dans son
intelligence
et se projette au loin dans le monde vide de l’es
sont représentés tous les âges, toutes les humeurs, tous les ordres d’
intelligence
et de moralité, les grands événements et les peti
finales. Tolstoï échoue de même et se récuse devant les passions de l’
intelligence
; l’ambition, l’amour de l’or, de la domination,
n artiste. Cessant graduellement d’être comme le voyant, le miroir, l’
intelligence
de toutes les formes de l’âme humaine, se réduisa
ltés inversement froissées ; chez Tolstoï, le sentiment triompha de l’
intelligence
. Au cours de sa carrière de grand observateur, ce
cord intime entre les penchants de l’écrivain et le spectacle que son
intelligence
était forcée à contempler, sans pouvoir l’aimer o
se suivre, est intolérablement amère. Tolstoï ne pouvait hausser son
intelligence
à la joie ou à l’illusion des explications métaph
be, dédaigner les véritables solutions par mépris et impuissance de l’
intelligence
et en venir comme le dernier des prédicants et co
nonçant à ses habitudes, à ses appétits, à l’exercice de sa puissante
intelligence
, s’est retiré du monde, de l’art, de la jouissanc
au saisissement, à l’attraction qui s’en dégagent. Maintenant qu’une
intelligence
ainsi douce pour la perception, le souvenir, la d
forme pratique du genre de vie de chacun, dans le renoncement à cette
intelligence
qui le torturait, à formuler enfin du fond de sa
s et nous, l’avait emporté sur la forme seconde de la connaissance, l’
intelligence
, et en avait suspendu l’exercice. Il semblera inu
t un plaisir. C’est en exerçant notre goût que nous développons notre
intelligence
. C’est en appliquant les règles du bon sens à l’e
toutes les têtes à se courber. C’est le lit de Procuste appliqué à l’
intelligence
. Comment procèdent la plupart des cours ou traité
la persévérance et le travail pour le développement des facultés de l’
intelligence
. On y trouve le secret de triompher des obstacles
te, il est des beautés si universelles, si éternelles, que toutes les
intelligences
peuvent les comprendre et les admirer. Comme le s
n vain, et qu’il est des beautés éternelles qui brillent à toutes les
intelligences
, comme le soleil à tous les yeux. Ainsi, dans l’a
moduler des sons par les organes de la voix nous a été donnée avec l’
intelligence
, avec la vie : la parole est un don de Dieu. L’ar
débit oral est-il autre chose que l’application des facultés de notre
intelligence
au perfectionnement de l’instrument du langage et
de l’homme, il lui a du moins permis d’en approcher, en lui donnant l’
intelligence
et la volonté. Par malheur, cette intelligence n’
cher, en lui donnant l’intelligence et la volonté. Par malheur, cette
intelligence
n’est pas toujours juste, cette volonté n’est pas
riture n’a fait depuis aucun progrès à cet égard. Tout est laissé à l’
intelligence
et au sentiment du lecteur pour captiver l’esprit
livre ouvert ! La lecture à haute voix, qui n’a pour se guider que l’
intelligence
du lecteur, offre donc encore plus de difficultés
né une langue littéraire, propre à tous les usages de son universelle
intelligence
, depuis la chaire sacrée jusqu’à la tribune, depu
de son esprit empêchèrent l’ennui de germer dans les eaux vives de l’
intelligence
française. Les polémistes et les historiens venus
journalisme il créa cette puissance moderne de la multiplication de l’
intelligence
d’un seul dans l’esprit de tous ; il créa le dial
les êtres de la création, toute pleine pour eux d’évidence divine, d’
intelligence
animale et d’amour universel. Mais c’est que Buff
e individuelle, elle avait fait une caste pensante, un parlement de l’
intelligence
, une sorte d’église laïque, trois choses bien con
car quelle que soit la supériorité relative des hommes élus à titre d’
intelligence
dans un corps intellectuel, c’est une loi de la n
voit clairement dans la conduite des choses humaines : le niveau de l’
intelligence
s’y abaisse en proportion exacte du nombre des dé
s créations ; il se forme ce qu’on appelle en géométrie une moyenne d’
intelligence
et de volonté qui est la résultante du nombre des
académies nuisent à la formation de ces phénomènes toujours isolés d’
intelligence
qui deviennent les lustres des peuples sur la nui
r la mort. L’abandon dans lequel la nation laisse les ouvriers de son
intelligence
et de sa gloire est un opprobre pour le pays des
humaine devait élever par tous les degrés son temple à la souveraine
intelligence
. Le livre avorta ; mais, malgré cet avortement, i
Chapitre III Madame de Staël 1. Caractère et esprit.
Intelligence
cosmopolite. Médiocrité du sens artistique. — 2.
pour comprendre les formes d’esprit de ces quatre nations : ils ont l’
intelligence
naturellement cosmopolite. C’est le trait commun
écondes, voilà ce que Mme de Staël nous offre : son style, c’est de l’
intelligence
parlée. 2. La politique et la religion de Mme
hez elle le foyer et le centre de l’action gouvernementale. Sa souple
intelligence
est comme paralysée par ses sympathies et ses amb
ttérature, fut de comprendre, et de faire comprendre. S’adressant à l’
intelligence
de ses contemporains, elle l’oblige à s’instruire
t, à correction, y trouver à s’éclairer ou se réjouir. Avec sa lucide
intelligence
, elle parle des Anglais et des Allemands comme pe
aime surtout ce qui est complexe, ce qui alimente la pensée, exerce l’
intelligence
en émouvant l’âme : le sentiment imprégné de phil
el exemple du rôle joué par la sensibilité dans le développement de l’
intelligence
. Mais il y a une réponse meilleure qu’on peut fai
econd moment de l’évolution. Nous assistons alors à l’apparition de l’
intelligence
proprement dite, qui semble coïncider d’une maniè
res qui établissent des relations entre les diverses cellules ; or, l’
intelligence
porte surtout sur des relations : elle doit avoir
sultant de l’appétit qui est le premier ressort, le primum movens ; l’
intelligence
en est le substitut progressif et l’abréviation.
sont un automatisme façonné peu à peu par la sensibilité même, par l’
intelligence
, par la volonté, pour les suppléer et accomplir s
science ne s’élimine sous un mode, — tel que l’effort volontaire ou l’
intelligence
réfléchie, l’émotion pénible ou même agréable, —
ivantes des états de conscience rudimentaires, non sous la forme de l’
intelligence
réfléchie, mais sous celle de la sensibilité spon
qu’elles sont maintenant. Étant donnés les éléments d’un problème, l’
intelligence
le résoudrait avec autant de précision que les ce
utrement compliquée que le plus difficile de tous les problèmes que l’
intelligence
peut résoudre »87. L’œuf se souvient à sa manière
ière de la loi selon laquelle il doit évoluer, lex imita ; de même, l’
intelligence
porterait en soi son « Discours de la Méthode » à
e brillante Minerva où Charles Maurras a publié d’abord l’Avenir de l’
Intelligence
. Par une confiance qui m’émut et ne laissa pas de
is philologiques, va nous montrer ce que peut une délicate et précise
intelligence
unie à une riche culture et au plus vif sentiment
a liberté dans l’art. Son sentiment était sans doute anarchiste : son
intelligence
, dans le temps même où elle s’efforçait de justif
ses ouvrages d’imagination — vient au contraire de la subtilité d’une
intelligence
en perpétuel travail et toujours occupée à s’aigu
de finesse et il n’est possible qu’avec la plus parfaite culture des
intelligences
: c’est à la préparer que se destinent les autres
Remy de Gourmont, avaient servi à parer et à armer en même temps son
intelligence
et à l’acheminer vers cet « état de noblesse déda
le procédé qui ne laisse subsister aucune supercherie et qui libère l’
intelligence
de tous les fantômes métaphysiques. M. Remy de Go
ivains de sa génération. Devenue inaccessible au préjugé religieux, l’
intelligence
affranchie se plaît dès lors à le découvrir sous
ont ravagé la France aux premières lueurs du xxe siècle. Cependant l’
intelligence
ainsi libérée et parvenue à ce scepticisme supéri
aire que M. Emile Faguet a montré non moins soucieux d’affranchir son
intelligence
que de garantir l’ordre et la continuité dans la
prendre le latin chez les jésuites. M. Remy de Gourmont et les libres
intelligences
qui partagent ses idées n’ont pas le mérite d’avo
utrui. Ce qu’il y a de positif, et en même temps d’utilitaire, dans l’
intelligence
de M. Faguet, le porte à écrire des exposés aussi
de se dire scolaires et qui soient aussi bien faits pour exciter les
intelligences
, pour animer la curiosité et pour communiquer la
parentes rigueurs, il n’a que tendresses ; c’est Bayle que son tour d’
intelligence
nous rappelle surtout. Même goût des idées origin
es qui exigent de la reconnaissance. Tous ceux que son travail et son
intelligence
ont obligés et qui savent quels services demander
ême un peu en deçà de son génie, il atteste son goût pour un art où l’
intelligence
a plus de part que la sensibilité. Il a écrit sur
c’est une poésie abstraite, savante, un peu recherchée et où domine l’
intelligence
. C’est ici qu’il faut dire quelques mots de la fo
-il voulu être nettement rangé parmi les ouvriers de ce bon travail ?
Intelligence
, information, verve, rien ne lui manquait pour ré
ne moindre part que Baudelaire et qu’Eliphas Lévy à ce naufrage d’une
intelligence
. Une organisation plus délicate et plus complexe
btiendrons peut-être une idée assez nette des états successifs de son
intelligence
et de sa sensibilité. Dans ce livre d’impressions
qu’a eu Maurice Barrès de transformer toute émotion en mouvement de l’
intelligence
. Circonscrire puis goûter un site, c’est pour lui
as chez Barrès, plus nerveux et plus attentif aussi. Rare succès de l’
intelligence
et que vient achever un art supérieur. La nouve
Maurice Barrès a analysé cette âme de nihiliste avec une fraternelle
intelligence
. On s’étonne un peu, par endroits, qu’il ne disti
arrès. Cet enrichissement qui s’est fait avec la collaboration de son
intelligence
n’a pas été accompagné par de moindres progrès de
Monneron, fils de paysans de l’Ardèche, distingué à l’école pour son
intelligence
, instruit aux frais de l’État et poussé jusqu’à l
n livre, mais il a dû constamment penser que, sous l’ancien régime, l’
intelligence
d’un Monneron n’eût pas été perdue et que, pas pl
montré celle-ci, à l’opposé des autres, ne gagnant le cœur qu’après l’
intelligence
. Visiblement ce cas le passionne. M. Bourget y a
depuis les influences héréditaires jusqu’à l’amour : non moins que l’
intelligence
et la volonté, en effet, le cœur a une part dans
omte avait confiance dans les « orages de l’avenir » pour rallier les
intelligences
à sa vaste synthèse. Il semble que sa prévision c
uste Comte alarment à leur tour d’importantes fractions du monde de l’
intelligence
française. Il y a eu, certes, à toutes les époque
ce mysticisme, ce trouble de l’âme et des sens, cette corruption de l’
intelligence
, qu’allait introduire le musicien vagabond, diffé
ques Rousseau l’enveloppait d’un art qui devait trouver le chemin des
intelligences
du siècle. D’une part, il a son style, qui est «
sensibilité, a, tout à la fois, dénaturé les sentiments et vicié les
intelligences
. II On a tenté bien des fois de donner des
sement contester. C’est ce que M. Lasserre conteste. (« Qu’un poète d’
intelligence
essentiellement désorientée puisse rencontrer des
recherchent cette lecture comme une excitante secousse. La mort de l’
intelligence
est à la fin de ces excitations. III À l’ai
e singulièrement troublée, rien n’a prévalu contre l’équilibre de son
intelligence
, contre son rare sens du normal. Il était touché
leur valeur. Croyez bien qu’un roi qui parle en maître, soutenu par l’
intelligence
, la force et le respect d’un pays, est un plus be
d tout le monde est chef, et je dois ajouter aussi qu’il n’y a plus d’
intelligence
… » Après de semblables maximes, des dialogues, la
et, cette charmante et fine personne, avec toutes ses qualités et son
intelligence
, finit par se rendre un peu pesante à Tellier et
ls disaient vrai ; elle était morte dans leurs âmes, morte dans leurs
intelligences
, morte en eux et autour d’eux. Par un sûr et prop
l inquiet, protestaient seuls contre cet arrêt de mort de l’âme, de l’
intelligence
et de la poésie, Mme de Staël et M. de Châteaubri
elle seule, conspiration vivante, aussi capable d’ameuter les hautes
intelligences
contre cette tyrannie de la médiocrité régnante,
’âme ; c’était assez pour tourmenter le sommeil des geôliers de notre
intelligence
. Par je ne sais quel instinct de leur nature, ils
gloire, de talents et d’ardeur, et qu’une vaste et sublime mêlée des
intelligences
, couvrirait la France et le monde du plus beau co
as seulement la langue de l’enfance des peuples, le balbutiement de l’
intelligence
humaine ; elle est la langue de tous les âges de
mais l’écho profond, réel, sincère, des plus hautes conceptions de l’
intelligence
, des plus mystérieuses impressions de l’âme. Ce s
a décadence de l’humanité. Je ne vois aucun signe de décadence dans l’
intelligence
humaine, aucun symptôme de lassitude ni de vieill
sera les montagnes, élèvera les vallées, nivellera les inégalités des
intelligences
, et ne laissera bientôt plus d’autre puissance su
; elles ont été une note au moins de ce grand et magnifique concert d’
intelligence
que la terre exhale de siècle en siècle vers son
sclaves. L’idée est mûre, les temps sont décisifs ; un petit nombre d’
intelligences
appartenant au hasard à toutes les diverses dénom
poète romain ait reçu plus de marques de sympathie, plus de signes d’
intelligence
et d’amitié de la jeunesse de son temps que je n’
ait donné quinze jours à la lecture des poétiques : l’activité de son
intelligence
s’est portée d’un autre côté, et l’événement a pr
nsée, lui a donné peut-être une plus grande activité. En exerçant son
intelligence
sur un plus petit nombre d’objets, il est arrivé
e donner comme siennes les pensées qui n’étaient pas écloses dans son
intelligence
, sans prendre la peine de se les assimiler. Si le
à par eux-mêmes une force créatrice, lorsqu’il tombe en partage à des
intelligences
privées de toute fécondité, ne sert qu’à les abus
veulent connaître à fond le génie moderne et comprendre tout ce que l’
intelligence
ajoute à la douleur, ont créé sous nos yeux toute
ontaine prête à ses acteurs est empreint d’une telle naïveté, que les
intelligences
vulgaires se croiraient volontiers capables de l’
ermis de demander à une bacchante un amour qui relève du cœur et de l’
intelligence
en même temps que des sens ; le nom païen que Bér
. La malice se cache sous la bonhomie avec un art si parfait, que les
intelligences
vulgaires, en lisant cette chanson, peuvent s’éto
plus persévérant l’apparence de l’improvisation, n’appartient qu’aux
intelligences
d’élite. Pour masquer si habilement l’étude qui a
ans doute plus qu’il n’a voulu. Sans fatiguer ses yeux, sans user son
intelligence
dans la lecture des philosophes, sans pâlir sur l
s scènes les plus attendrissantes dont j’aie gardé le souvenir. Cette
intelligence
, presque sauvage, qui s’éveille à la poésie en éc
mpé, il est curieux de voir comment il se trompe ; car l’erreur d’une
intelligence
comme la sienne est toujours féconde en enseignem
s facultés puissantes qu’il a reçues du ciel. L’oisiveté agit sur son
intelligence
comme le dérèglement sur son cœur. L’ennui le dév
amartine d’avoir sondé, d’une main hardie, la plaie qui dévore tant d’
intelligences
. Il a montré dans l’analyse du mal une habileté c
ternelle ne lui laisse pas le temps de former un souhait, mais dont l’
intelligence
ne reconnaît d’autres vérités que celles qui peuv
la raison peut comprendre, tout ce que les sens peuvent enseigner à l’
intelligence
, Julie, pour contenter son mari, se résigne à l’é
de ces idées ; elle accepte comme vrai tout ce qui est accepté par l’
intelligence
de son mari, et accorde à ses leçons une confianc
qui se révèlent dans toutes ses paroles, l’union inexpliquée de cette
intelligence
qui n’a ni âge ni sexe et de ce cœur plein de jeu
e. Cette jeune femme qui, depuis dix ans, a vécu de la seule vie de l’
intelligence
, qui n’a compris, qui n’a cherché le bonheur que
rme et se rajeunit dès qu’elle aime, et l’attendrissement ouvre à son
intelligence
tout un monde nouveau, le monde des idées morales
la vérité. Le passage de l’incrédulité à la foi, la leçon donnée à l’
intelligence
par le cœur ; sont racontés par M. de Lamartine a
es récits, à toutes les descriptions, une singulière monotonie. Notre
intelligence
est ainsi faite, nous ne comprenons pas la variét
es moindres particularités de sa vie passée, il finira par fermer son
intelligence
au mouvement des hommes et des choses qui s’agite
r le pouce pour tourner les feuillets inachevés, je la tiens pour une
intelligence
très exercée, éprouvée par des études très variée
pas. Je ne peux pas mesurer précisément le développement qu’a reçu l’
intelligence
de mademoiselle Reine, je ne sais pas à quels liv
ion. S’il se rencontre par hasard quelques esprits chagrins, quelques
intelligences
mesquines, qui font du savoir la première conditi
sa parole, la délicatesse de l’analyse et la splendeur des images à l’
intelligence
, aux exercices dialectiques de ses élèves. Étant
a plupart des ouvriers de notre pays, sont préparés à la lecture, à l’
intelligence
de Milton. Je veux bien accorder que Milton, par
les événements avec plus ou moins de sagacité, selon la mesure de son
intelligence
, nous ne pouvons pas exiger de lui une pénétratio
onne à tous le droit d’attendre une œuvre absolument nouvelle. Si les
intelligences
éprouvées déjà par de nombreuses déceptions ne se
de unique. Or, cette condition si impérieuse semble avoir échappé à l’
intelligence
de M. de Lamartine. L’auteur de Geneviève, au lie
les esprits attentifs de nombreux sujets d’étude ; et si les grandes
intelligences
ne se comptent pas par milliers, il y a toujours
rables exagérations. Pour mieux caractériser la nature lyrique de son
intelligence
, il amoindrissait à son insu toutes les facultés
, comme on pourrait le croire, par l’incontestable supériorité de son
intelligence
comparée à celle de ses anciens compagnons d’escl
sir des yeux à l’enseignement, à l’émotion, qui a oublié le cœur et l’
intelligence
, reconnaît qu’il a fait fausse voie. Si cette pen
s pour le spectacle et aujourd’hui abandonnées, oubliées, parce que l’
intelligence
et le cœur demeuraient inoccupés en les écoutant
s’accorde avec son caractère. Un moine dont les leçons ont tiré son
intelligence
des ténèbres, qui a fait de l’esclave un homme, l
ssance du consulat, Bonaparte n’est pas un blanc, mais un homme d’une
intelligence
supérieure, d’une volonté inébranlable, d’une sag
olérance et la superstition, ce n’est pas à lui qu’il faut demander l’
intelligence
impartiale de l’histoire ou du génie poétique. Po
xclut pas l’abondance. Les images peuvent se multiplier sans lasser l’
intelligence
, pourvu qu’elles présentent la donnée primitive s
i rare parmi les poètes modernes, n’exerce une action puissante sur l’
intelligence
. Plus les mots sont ménagés avec avarice, plus la
que chose de magistral qui indique chez le poète l’élargissement de l’
intelligence
. Les plus belles méditations n’offrent rien de pa
du avec éloquence. Si la précision manque parfois, c’est à peine si l’
intelligence
du lecteur trouve le temps de s’en apercevoir, ta
t hymne harmonieux et sincère des redites sans nombre qui fatiguent l’
intelligence
la plus patiente. Telle idée qui, mise à sa place
étude des corps céleste, avait besoin d’un complément pour offrir à l’
intelligence
une idée précise ; un corps ne s’éclipse pas lui-
acrés à l’expression du même sentiment, appartiennent cependant à une
intelligence
douée de la même sève, de la même force. Des Médi
maine dans ses manifestations diverses, à comparer les monuments de l’
intelligence
aux différents âges de l’histoire, savent bien à
; je me borne à constater ce qui ne peut être mis en doute par aucune
intelligence
sérieuse, qu’il n’y a pas dans le recueil entier
par une évidence qui ne laisse rien à désirer. Dans les Harmonies, l’
intelligence
la plus complaisante ne peut signaler rien de par
la rigueur de la reine n’est pas admissible ; si étroite que soit son
intelligence
, Marie de Neubourg doit craindre, en proposant à
our les souiller, pour les couvrir de boue. Il traite son cœur et son
intelligence
comme des haillons peuplés de vermine, et célèbre
re. Le bras qui n’a jamais de poids à soulever s’énerve bien vite ; l’
intelligence
qui ne rencontre jamais la contradiction sur sa r
tes les antithèses qu’il baptise d’un nom humain sont des hommes. Son
intelligence
n’est plus qu’un chaos ténébreux, où s’agitent pê
taisie, et il traite avec tant de dédain, tant de mépris le cœur et l’
intelligence
de la foule, que ses mélodrames sont plutôt des s
n nous, grand tort de se mesurer avec Virgile, car il est séparé de l’
intelligence
de l’antiquité par un espace incommensurable. Quo
grand, l’Iliade plus merveilleuse, comme si le bonheur agrandissait l’
intelligence
. Un des principaux mérites de cette pièce, c’est
en que la Soirée en mer une idée vraie ; personne ne contestera que l’
intelligence
de la nature, la faculté de jouir de la splendeur
ments accomplis, malgré les innombrables tâtonnements imposés à notre
intelligence
, est assurément une des joies les plus grandes de
lheur, nous rapproche de plus en plus de la vérité, et, puisque notre
intelligence
est avide de connaître, ce serait folie de déplor
ses avant devoir la lumière éclatante et pure ; mais il n’y a pas une
intelligence
, amoureuse de savoir, qui ne se résigne facilemen
nt pas. Et comment pourraient-ils pénétrer jusqu’au sanctuaire de ton
intelligence
? Tout fruit contient une racine, toute racine un
ement relèvent également d’une faculté plus générale, qui s’appelle l’
intelligence
. C’est pourquoi le poète, aussi bien que le natur
. Je vois dans les Consolations l’épanouissement spontané d’une riche
intelligence
qui jusque-là n’avait pas encore révélé toute sa
s idées, les images naissant des images, portent la persuasion dans l’
intelligence
, sans jamais la troubler ou la lasser. Le poète p
de ces thèmes n’est développé de façon à prendre possession de notre
intelligence
. Pour justifier ce que j’avance, pour ne laisser
nçue. Hors de là, il n’y a qu’une ébauche de sentiment, une ébauche d’
intelligence
, une ébauche de volonté. Il n’est donc pas sans i
r à toute heure, en toute occasion, ne laisse ni au sentiment, ni à l’
intelligence
, ni à la volonté le temps de se développer. L’égo
ter jusqu’à la vie morale, quand nous tentons de ressaisir l’amour, l’
intelligence
, la volonté, trop souvent nous échouons dans cett
e, de trois épreuves capitales, représentées par trois femmes, dont l’
intelligence
et le caractère offrent trois types très divers.
s, bonnes ou mauvaises, n’entrent pour rien dans les résolutions de l’
intelligence
divine à mon égard, ma liberté n’est qu’un leurre
on sens le voulait ainsi ; car l’idée de Dieu, telle que la conçoit l’
intelligence
humaine, sans autre secours que l’idée de cause e
pas à les oublier. La philosophie est aussi nécessaire à la vie de l’
intelligence
que l’air aux poumons. Il n’est pas plus facile d
s large, plus conforme à la nature du sujet. Il s’est trop défié de l’
intelligence
et de l’attention de ses lecteurs ; il a craint d
ublié il y a vingt-trois ans, révèle chez l’auteur une rare finesse d’
intelligence
et un goût ardent pour l’érudition. Cette époque
e lui-même admet certaines localisations ; il distingue l’organe de l’
intelligence
ou le cerveau de l’organe de la sensibilité, qui
coordination des mouvements n’appartiennent à l’âme aussi bien que l’
Intelligence
. La pluralité des organes n’est donc pas contrair
ns la partie antérieure du cerveau45. D’ailleurs la localisation de l’
intelligence
dans les lobes antérieurs soulève de graves objec
disparaître ou être plus faibles chez les mammifères inférieurs et l’
intelligence
rester au moins égale, puisque c’est la partie po
e M. Flourens, et il y trouve la preuve physiologique de l’unité de l’
intelligence
. On a fait observer, à l’appui de la phrénologie,
plus, il admet dans le cerveau des départements distincts, non pour l’
Intelligence
, mais pour les sensations, les nerfs olfactifs, g
e, quand nous avons renoncé pour un temps à l’activité réfléchie, à l’
intelligence
raisonnable, à la conscience ; nous avons abdiqué
: « On met en question s’il peut y avoir, en cette vie, un pur acte d’
intelligence
dégagé de toute image sensible ; et il n’est pas
lebranche sur la voie du platonisme en ce qui concerne la nature de l’
intelligence
. Tels sont les antécédents de son système30. Mal
bien comprendre. Il amende lui-même ses premières formules : « Notre
intelligence
, dit-il, tant que le mot propre ne fixe pas l’obj
avec la pensée : cette maxime de Laromiguière : « Toute la force de l’
intelligence
réside dans l’artifice du langage », et, en génér
est donc se parler à soi-même… Toutes les opérations par lesquelles l’
intelligence
se forme et se développe » sont faites au moyen d
os semblables nous instruisent par la parole extérieure. » Ainsi, « l’
intelligence
doit toute sa force et les immenses développement
init ainsi son rôle : « Elle tire la pensée du sanctuaire obscur de l’
intelligence
, où elle était confondue dans la foule de toutes
ée de M. Fournié : Le langage est nécessaire pour que l’activité de l’
intelligence
soit aisée, régulière et progressive ; à cela se
léments d’un langage intérieur ; le sourd-muet pense et développe son
intelligence
au moyen d’une mimique intérieure, et, quand il l
lle sans fin des transmigrations, / Tous les degrés de l’être et de l’
intelligence
»), puis les deux tercets qui commencent par le v
e taire quand il le faut, discours vivant et animé (qui réside dans l’
intelligence
) du savant, et dont le discours écrit n’est que l
ment rien sans image’« et poursuit (passage cité par Egger) : « Notre
intelligence
, selon l’état de la vie présente où elle est unie
ension, chez les anciens, du sens du mot grammaire aux exercices de l’
intelligence
, du double sens du mot logos, enfin de quelques e
nous ferait connaître mieux que toute autre chose les opérations de l’
intelligence
humaine. » Ainsi, pour Leibnitz, l’étude des mots
tacte (Annales médico-psychologiques, mai 1877). 117. Les sens et l’
intelligence
(trad. Cazelles) [A noter : l’ouvrage d’Alexander
Alexander Bain (1818-1903), traduit par Emile Cazelles, Les sens et l’
intelligence
, est publié chez Germer Baillière en 1874 (éditio
18. Page 313. 119. Pages 297-298. 120. Dans la première partie de L’
intelligence
[Hippolyte Taine (1828-1893), De L’Intelligence,
première partie de L’intelligence [Hippolyte Taine (1828-1893), De L’
Intelligence
, Paris, Hachette, 1870.], livres I et II, la paro
ent, suivies de recherches sur le développement de l’instinct et de l’
intelligence
dans leurs rapports avec le phénomène du sommeil
il était un avorton aux yeux des hommes, le fut aussi jusque dans son
intelligence
. Avec des facultés très fortes, de l’acuité d’obs
bâtard ? Fait, comme tout homme qui vient en ce monde, de mémoire, d’
intelligence
et de volonté, le bâtard, si loin qu’il recule en
est point tout. Qui sait exactement la distance entre la volonté et l’
intelligence
, entre la théorie et l’action ; avec quelle viole
este. V Vignette fatale dans la mémoire, coup de sifflet dans l’
intelligence
, corruption dans la volonté fourvoyée, le bâtard
eçues devaient donc surtout attester, dans cette dépravation de toute
intelligence
, cet orgueil qui se vante quand il n’y a pas de q
va très bien. Il arpente son terrain d’un pied sûr et le fouille avec
intelligence
. Les quinze années qu’il a choisies pour en racon
nage d’une âme qui chauffe la nôtre, ou bien cette âpre froideur de l’
intelligence
qui finit, comme la neige, par brûler autant que
est de puiser à des sources pures, et son mérite, de se servir, avec
intelligence
, de tout ce qu’il y a puisé. C’est le mérite de M
s, même les plus passionnés, même les plus suspects, pour la complète
intelligence
de la réalité historique, et on conçoit nettement
puissent donner. Nulle appréciation plus profonde n’en jaillit pour l’
intelligence
et ne l’arrache au joug doux et léger des jugemen
ccasion Développe le vrai caché sous l’apparence ; Je ne suis point d’
intelligence
Avecque mes regards peut-être un peu trop prompts
eur. Car où en veut venir l’auteur ? A cette conclusion qu’il y a des
intelligences
supérieures à nous, et que, de ces intelligences
lusion qu’il y a des intelligences supérieures à nous, et que, de ces
intelligences
sublimes à l’animal le plus bas dans l’échelle de
e, il y a une gradation, il y a une échelle. Tout en haut, il y a des
intelligences
qui nous dépassent même infiniment ; ici, où nous
qui nous dépassent même infiniment ; ici, où nous sommes, il y a nos
intelligences
; un peu plus bas, il y a des intelligences rudim
ù nous sommes, il y a nos intelligences ; un peu plus bas, il y a des
intelligences
rudimentaires qui sont celles des hommes qui n’on
t pas de culture et qui ne sont pas capables d’en recevoir ; il y a l’
intelligence
du sauvage, il y a l’intelligence du primitif ; p
s capables d’en recevoir ; il y a l’intelligence du sauvage, il y a l’
intelligence
du primitif ; plus bas, il y a l’intelligence des
ce du sauvage, il y a l’intelligence du primitif ; plus bas, il y a l’
intelligence
des animaux supérieurs ; plus bas encore, il y a
a l’intelligence des animaux supérieurs ; plus bas encore, il y a les
intelligences
des animaux placés tout à fait au dernier degré d
mme d’esprit, ironique, sarcastique, il y a là une petite merveille d’
intelligence
poétique, et Dieu sait si je voudrais que tous no
vers comme le dernier vers de ce sonnet, ne bénéficient pas de cette
intelligence
générale et innée. Aucune Chloé ne les ferait dev
e honnêteté de cœur, mais qu’on ne peut pas nier en vraie honnêteté d’
intelligence
. Elle transpose les valeurs naturelles en valeurs
ur et d’obtenir de son amour tout ce qui dépend de sa volonté, de son
intelligence
, de sa pitié ? Quand parurent les Fleurs du Mal e
cuir chevelu dont Baudelaire était atteint), et le parangon de haute
intelligence
et de froide rectitude que le lecteur est prié d’
ation correspond à une réalité, elle fait partie chez Baudelaire de l’
intelligence
de son âme et de son art. Il voyait comme Flauber
ontologique : le péché originel. Le péché n’est ni une faiblesse de l’
intelligence
, ni un instinct de la chair, mais un mal de la vo
nous séduit pas : la Vénus de Milo, qui, en marbre, traîne toutes les
intelligences
après soi, vivante n’y traînerait pas tous les cœ
tidien. Il est fait enfin de la séduction qu’exerce sur un Français l’
intelligence
critique unie à la flamme poétique : comme Boilea
ardente de l’amour, Fromentin sentait s’éveiller en lui le goût et l’
intelligence
de l’art sous toutes ses formes. Il était à la fo
restent dès lors un peu flottants, se développeront dans le sens de l’
intelligence
, de l’analyse et de la critique beaucoup plus que
capables, incidemment, de cette création, chez eux toujours à base d’
intelligence
, pour que leur analyse soit nourrie d’expérience
souhaitons trouverait pour résoudre son problème historique le plus d’
intelligence
et de lumières. En peinture Fromentin a pris avec
avec un sentiment passionné que les choses qui sont fixes. » Mais son
intelligence
de critique dépasse de beaucoup ses moyens et sa
ordre, c’est-à-dire l’équilibre entre une sensibilité fraîche et une
intelligence
instruite. Ce mélange d’indications de peintre, d
e, comme Paul Delaroche. Expert dans les deux arts, il appliquera son
intelligence
à les bien distinguer, à tirer de tous deux, sur
anément sa description, est une question abstraite, une attitude de l’
intelligence
: c’est le problème des frontières et des rapport
gager, quand il le faut, des images, pour arriver à l’expression de l’
intelligence
pure. Un Été dans le Sahara (certainement supéri
la lumière moins pour la peindre que pour la comprendre, en obtenir l’
intelligence
et en créer l’idée. Il nous fait penser à un gran
ces noms forment vraiment une école orientaliste française, à base d’
intelligence
, en face de laquelle un Loti est seul. On y disce
t d’âme, un état d’âme qui trouve son équilibre en devenant un état d’
intelligence
. Et l’originalité de cette fleur consiste dans le
ieuse d’une conquête ; en accord avec cette prise de possession par l’
intelligence
française, qui aboutit à la création d’une France
c’est encore cela, mais c’est aussi et surtout d’arriver à un point d’
intelligence
où se trouve le principe qui explique à la fois d
ique littéraire ou artistique. Poussés à leurs extrémités logiques, l’
intelligence
et le jugement s’excluent : une critique à forme
es le rôle d’un Dandin de comédie. La critique ne peut que tempérer l’
intelligence
et le jugement l’un par l’autre sans aller au bou
ar l’autre sans aller au bout ni de l’un ni de l’autre. Et l’effort d’
intelligence
chez Fromentin marche de pair avec l’effort du ju
bleau le plus éloquent du monde et voyez ce qu’a su y démêler la fine
intelligence
analytique de Fromentin : « Le Christ est mourant
te question de « sujet » se ramène à la question des rapports entre l’
intelligence
et l’art, ou, plus exactement, entre la littératu
goureuse de Fromentin : il lui eût fallu plus de foi en la force de l’
intelligence
, une façon franche d’aborder cette « pensée » qui
nique, comme les trois autres volumes de Fromentin, est l’œuvre d’une
intelligence
. Le livre ne donne qu’une autobiographie partiell
Dominique se définit comme une vie repensée et mise à sa place par l’
intelligence
. Fromentin appelle Dominique « un esprit dont la
est souvent incorporée l’illusion sur lui-même. Fromentin, qui a eu l’
intelligence
socratique et classique de se mesurer et de se co
de se connaître exactement, a écrit dans Dominique le roman de cette
intelligence
, appliquée à une aventure d’amour analogue à cell
e est close, où elle appartient à un passé étendu en tableau pour une
intelligence
. Il figure une cristallisation d’art qui a invest
à tant de soin d’établir ? » Cette identité de lui-même que la vie, l’
intelligence
, la conscience de soi ont donnée à Dominique, l’a
littérature : ceux à qui manque la flamme du génie, mais qui par leur
intelligence
, par leur connaissance d’eux-mêmes, par la sagess
du manuscrit entier, s’il y portait la souplesse psychologique d’une
intelligence
à la Sainte-Beuve, les verrait probablement s’org
ur sert de confesseur, c’est-à-dire de Journal intime. Cet homme de l’
intelligence
, qu’affinent la pratique de la vie spirituelle et
e Genève idéale est faite pour lui de neutralité et d’impartialité, d’
intelligence
et d’indépendance. Le 28 octobre 1870, en pleine
ture est proportionnelle à la quantité de catégories dont dispose une
intelligence
», implique un acquis scientifique solide, et « l
te chair nécessaires pour former une critique bien vivante. Et puis l’
intelligence
n’est qu’une moitié de la critique. Son autre moi
Son autre moitié c’est le goût. Ou plutôt une division par tiers : l’
intelligence
, le goût, sensible, ou sensuel, et enfin un cadre
tre en l’immortalité ; mais, comme M. Bergeret, comme les hommes de l’
intelligence
, il se contenterait d’être éternel. Il possède la
rançais, parce qu’une langue nous fait malgré tout une patrie sinon d’
intelligence
, du moins de style, les Français l’ont jugé du po
tuer le vieil homme en lui », de s’anéantir « avec sa volonté et son
intelligence
», de ne plus rester « ainsi tout seul, dans le d
e », de ne plus rester « ainsi tout seul, dans le désert glacé de son
intelligence
, à regretter l’illusion, le mensonge, le divin am
, l’âme encore plus endolorie qu’à l’arrivée, avec son cœur mort, son
intelligence
froide, ne gardant qu’une immense pitié pour le m
nier lambeau de sa foi » n’ayant sauvé du naufrage que sa douloureuse
intelligence
. A Paris, troisième et dernière étape. Trois ans
xercices de piété qui enserrent le prêtre comme dans un réseau où son
intelligence
, sa volonté, toute son âme est prise », ne peuven
mais une simple figure dans la pâle multitude des gens d’église. Ni l’
intelligence
ni l’instinct ne vivent plus en lui d’une vie ass
vivre. Ces nobles et doux avertissements de la vie qui, compris par l’
intelligence
dans toute la profondeur et l’étendue de leur sig
perpétuellement en laisse par l’Église, malade de corps, de cœur et d’
intelligence
, le prêtre nous apparaît donc, parmi l’espèce hum
t constant. Les grandes actions ont leur répercussion jusque dans les
intelligences
; et quoi d’étonnant à ce que des événements qui
ualisme qui les encombraient. Ainsi nous avons acquis intuitivement l’
intelligence
des Races et de la Cité. Cette direction d’idées,
, guidées par les poètes, au son des lyres, elles s’avancent vers les
intelligences
, qu’elles y pénètrent par la puissance du Verbe !
ne peut avoir lieu sans une révolution préalable dans les mœurs, les
intelligences
et la sensibilité. C’est ainsi qu’un système harm
animaux et chez l’homme dans ses rapports avec le développement de l’
intelligence
. Le premier volume, qui traite des animaux, est d
, mais notre ignorance sur le siège et les conditions organiques de l’
intelligence
humaine. 2. Outre son livre classique, Recherch
lusieurs ouvrages qui se rapportent à notre sujet : De la vie et de l’
intelligence
, De l’instinct et de l’intelligence des animaux,
à notre sujet : De la vie et de l’intelligence, De l’instinct et de l’
intelligence
des animaux, De la phrénologie et études vraies s
re, plus facilement pénétrables, accessibles à un plus grand nombre d’
intelligences
. Croire que M. Barbier ait voulu rayer l’ambition
du talent, il y a l’inspiration d’une conscience élevée, généreuse, l’
intelligence
impartiale et désintéressée de l’histoire ; celui
Les difficultés que présente la satire lyrique s’effacent devant une
intelligence
où se trouvent réunies l’imagination et la sagaci
même du poète. Tout entière à la douleur qu’elle tente d’exprimer, l’
intelligence
ne s’aperçoit pas que les objets grandissent sous
nombreux et moins attentif. Quand les yeux sont fixés sur la scène, l’
intelligence
n’est guère menacée de distraction ; mais le poèt
ût pas été écouté ; car si l’on excepte un petit nombre de puissantes
intelligences
qui vivaient par elles-mêmes, et d’une vie indépe
il commente la campagne romaine, de façon à satisfaire le regard et l’
intelligence
. Par une transition naturelle, il va des ruines r
ate sous les dents du renard dérobé ; le corps demeure debout, mais l’
intelligence
tombe en ruines, et l’orgueilleux devient fou. C’
llèges. Sans empiéter sur le domaine de la science, il peut frapper l’
intelligence
de la foule par le tableau des souffrances que la
points, et dont les seuls matériaux ne peuvent être rassemblés par l’
intelligence
la plus active et la plus pénétrante, dans un tem
sant, un livre capable d’apprivoiser, de séduire au christianisme les
intelligences
les plus indifférentes, et on ne peut pas dire qu
ême l’oubli, de considérer, comme non avenus, tous les monuments de l’
intelligence
antérieurs au moyen âge. Nous pensons que tous le
on durable, celle qui marque un moment déterminé dans l’histoire de l’
intelligence
, est séparée de l’imitation par un intervalle imm
qu’il a livré était un combat suprême, si la guerre était close, si l’
intelligence
n’avait pas le privilège de réveiller éternelleme
ès qu’on veut entamer la démonstration d’un point déterminé. Hormis l’
Intelligence
divine, nulle intelligence ne peut savoir et ense
monstration d’un point déterminé. Hormis l’Intelligence divine, nulle
intelligence
ne peut savoir et enseigner qu’à la condition d’i
mmer tout le monde ; il a voulu prouver qu’il sympathise de cœur et d’
intelligence
avec les espérances, avec les idées les plus nouv
ne nos oreilles sans aucun profit pour la pensée de Milton, ou pour l’
intelligence
des lecteurs français. Quelquefois, quand il a so
’Essai sur les révolutions et les Études historiques, a-t-il élargi l’
intelligence
du passé ? Ce n’est pas à nous qu’il appartient d
cité remarquable. Assurément ce livre ne pouvait être produit par une
intelligence
vulgaire ; mais dans cette suite de mémoires, d’a
mot qui indiquât la connaissance des origines de cette philosophie, l’
intelligence
du mouvement que la France continuait, mais n’ava
, un homme qui se vante de diriger non seulement les affaires, mais l’
intelligence
du pays, se devait à lui-même d’expliquer netteme
es conditions une question beaucoup plus importante que les lois de l’
intelligence
humaine. Les salons appliquaient, mais ne continu
historiques, dans le sens politique du mot, une valeur indigne de son
intelligence
. Il a tort sans doute, mais ce tort est facile à
ivre sans relâche l’application des vérités devenues évidentes pour l’
intelligence
, c’est là, certainement, une destinée digne d’env
elle a de chances pour réussir auprès de la foule. M. Scribe doit à l’
intelligence
parfaite de cette vérité la meilleure partie de s
œuvre tous les systèmes anatomiques et physiologiques aperçus par son
intelligence
. Nous ne voulons pas comparer M. Vitet à Georges
es qui écrivent pour la scène voient chaque jour s’éloigner d’eux les
intelligences
élevées. Voyons maintenant quelle est la division
t de la douleur, loin d’être une violation de la vérité, n’est qu’une
intelligence
plus parfaite, une manifestation plus complète de
nécessairement l’enfance de l’art dramatique. Cette intervention de l’
intelligence
libre et clairvoyante dans la double lutte des ac
chacun de ces détours, loin d’être une distraction puérile, prépare l’
intelligence
de l’auditoire à mieux comprendre le dénouement r
ue assidu de l’homme avec sa pensée exalte parfois jusqu’à la folie l’
intelligence
imprévoyante, cependant le poète qui débute est f
s une clarté singulière. Le mouvement de la conversation entraîne son
intelligence
au milieu de régions imprévues, et pose devant lu
t lui l’expérience vivante de la poésie, le spectacle intérieur d’une
intelligence
aux prises avec l’inspiration. L’étude vigilante
entive des monuments de la poésie antique et moderne peut révéler aux
intelligences
sérieuses bien des secrets de composition, et dév
ffrir en échange de la question qu’ils viennent de résoudre. Ces deux
intelligences
, qui s’épient et se guettent, non par ruse, mais
xion désintéressée doit contempler avec une sollicitude fraternelle l’
intelligence
du poète penchée sur son œuvre comme l’aigle sur
eur amitié repose sur un mutuel respect, c’est-à-dire sur la mutuelle
intelligence
des services qu’ils ont reçus et rendus. Alors il
dieuse se rappelle les heures paisibles que je raconte, il n’a plus l’
intelligence
assez sereine, assez désintéressée, pour restitue
mis lui suffisait ; il était heureux de réunir autour de lui quelques
intelligences
associées à ses projets par une sympathie sérieus
annoncé sa venue qu’ils méritent d’être nommés dans les annales de l’
intelligence
humaine. Et qu’on ne dise pas que j’exagère à pla
t à l’amitié. Dès que l’égalité fraternelle a cessé, dès que les deux
intelligences
, unies autrefois par une intimité de tous les ins
plus, ils ne reconnaissent plus tout leur être. Ils se réduisent à l’
intelligence
, comme si l’homme n’était que cela ; ils appellen
notre vie est une, nous le sentons ; qu’elle nous soit révélée par l’
intelligence
ou par la force, par la pensée ou par l’acte ; qu
é en l’homme, et elle tend perpétuellement sous le triple aspect de l’
intelligence
, de l’activité et de l’amour, à s’éclairer, à pro
accordent bien d’entrer en rapport avec le non-moi par la pensée et l’
intelligence
; d’en connaître et d’en réfléchir les lois, d’en
gne entre le monde et nous, et dans notre propre individu entre notre
intelligence
et notre puissance. Ce n’est certes pas à dire qu
deux tendances opposées que nous avons déjà rencontrées en étudiant l’
intelligence
. L’une sociologique qui insiste sur la part prépo
jà vu que la culture intellectuelle est impuissante à uniformiser les
intelligences
. Comment réussirait-elle à uniformiser les sensib
que les physiologistes la nature de la sensibilité et son rapport à l’
intelligence
. Ils regardent la sensibilité comme une forme inf
ligence. Ils regardent la sensibilité comme une forme inférieure de l’
intelligence
: comme une raison confuse et enveloppée (Leibnit
lles. Ils oublient encore que la sensibilité déborde les limites de l’
intelligence
; qu’il y a une logique des sentiments indépendan
▲