ation française était-elle la nation de l’Europe qui avait le plus de
grâce
, de goût et de gaieté La gaieté française, le
r les destinées de la France, étaient dépourvus de toute apparence de
grâce
dans l’expression et de brillant dans l’esprit :
d’ambition on trouvait en France à se distinguer par le charme de la
grâce
et de la gaieté, et nous saurons pourquoi ce pays
eur avec la servitude, ils essayaient de se courber sans s’avilir. La
grâce
était, pour ainsi dire, dans leur situation, une
pports exigeaient une grande finesse dans l’esprit ; il fallait de la
grâce
dans le monarque, ou tout au moins dans les dépos
re les uns aux autres, et l’on multipliait les moyens d’y réussir. La
grâce
et l’élégance des manières passaient des habitude
isance et de la facilité. La gaieté piquante, plus encore même que la
grâce
polie, effaçait toutes les distances sans en détr
gâter le goût de toutes les nations de l’Europe, nuisit d’abord à la
grâce
française ; mais l’esprit, en s’éclairant, revint
furent les écrivains les plus naturels, et se montrèrent doués d’une
grâce
inimitable. Les Italiens et les Espagnols étaient
eul moyen d’obtenir les places éminentes du pouvoir. Non seulement la
grâce
et le goût servaient en France aux intérêts les p
onstances très rares, la puissance est de bon goût, le crédit a de la
grâce
, et les heureux sont aimés. La classe qui dominai
, mais les manières qui peuvent décider de la réputation ! Toutes les
grâces
forcées, toutes les prétentions vaines, sont d’in
étude qu’on parvenait au pouvoir en France : un bon mot, une certaine
grâce
, étaient souvent la cause de l’avancement le plus
il sera bien prouvé alors que ce qu’on appelait l’esprit français, la
grâce
française, n’était que l’effet immédiat et nécess
, et qui la suit de si près qu’on dirait qu’elle la précède. C’est la
grâce
de l’opinion publique, c’est le miracle de la mul
homme n’a plus rien en soit qui s’appartienne, Quand de ta volonté ta
grâce
a fait la sienne, Le corps est mort,
ela me convienne, et si vous jugez qu’il me soit utile, faites-moi la
grâce
d’en user pour votre gloire ! mais si vous prévoy
je ne vous ôte rien du vôtre, parce que c’est de moi que vient toute
grâce
excellente et tout don parfait. Si je vous envoie
ntre ce que le philosophe appelle la nature et ce que Dieu appelle la
grâce
, c’est-à-dire le don intellectuel conquis par l’h
le Maître, observez bien les mouvements opposés de la nature et de la
grâce
. À peine peuvent-ils être discernés, si ce n’est
s filets et les séduit ; elle n’a jamais d’autre fin qu’elle-même. La
grâce
, au contraire, marche avec simplicité, et fuit ju
ênée, ni domptée, ni abaissée, ni soumise volontairement au joug : la
grâce
, au contraire, porte à la mortification, à résist
opre intérêt et considère quel avantage elle peut tirer d’autrui : la
grâce
, au contraire, examine, non ce qui lui est utile
urs. La nature aime à recevoir des honneurs et des respects ; mais la
grâce
est fidèle à renvoyer à Dieu tout honneur et tout
et toute gloire. La nature craint la confusion et le mépris ; mais la
grâce
se réjouit de souffrir des opprobres pour le nom
nom de Dieu. La nature aime l’oisiveté et le repos du corps ; mais la
grâce
ne peut être oisive, et elle embrasse le travail
et de beau, et elle a horreur de ce qui est vil et grossier ; mais la
grâce
se plaît aux choses simples et abjectes, ne dédai
riste d’une perte, s’irrite de la moindre parole injurieuse ; mais la
grâce
envisage les biens éternels, ne s’attache point a
e ; elle aime les choses en propre et pour son usage particulier : la
grâce
, au contraire, est charitable et communique ce qu
propre chair, pour les vanités et pour les courses oiseuses ; mais la
grâce
porte à Dieu et à l’exercice des vertus, renonce
voir quelque consolation extérieure pour contenter ses sens ; mais la
grâce
cherche à se consoler en Dieu seul, et à mettre t
qu’on fasse grand cas de ce qu’elle fait et de ce qu’elle donne : la
grâce
, au contraire, ne recherche aucun avantage tempor
ds, elle flatte les riches, elle applaudit à ses semblables : mais la
grâce
aime jusqu’à ses ennemis, et ne s’enfle point du
t bientôt de ce qui lui manque et de ce qui lui fait de la peine : la
grâce
supporte constamment la pauvreté. La nature rappo
le-même, elle ne combat et ne dispute que pour ses intérêts : mais la
grâce
rapporte toute chose à Dieu, qui en est la source
es qui puissent lui attirer des louanges et de l’admiration : mais la
grâce
ne se soucie point d’apprendre des choses nouvell
ous ses dons, comme celui qui les répand tous par pure charité. Cette
grâce
est une lumière surnaturelle et un don spécial de
ent spirituel. Plus donc la nature est assujettie et vaincue, plus la
grâce
se répand avec abondance ; et chaque jour, par ce
ntent soi-même : mais cette conduite est contraire à la nature, et la
grâce
seule peut y parvenir. La nature a toujours pour
enir. La nature a toujours pour fin de se satisfaire elle-même, et la
grâce
nous porte toujours à nous faire violence. La nat
La nature ne veut ni mourir, ni se captiver, ni être assujettie ; la
grâce
, au contraire, fait que l’âme se captive, se reti
e plus contraire. La nature veut toujours dominer sur les autres ; la
grâce
fait qu’une âme s’humilie sous la main toute-puis
our son propre intérêt, pour se contenter et pour s’établir ; mais la
grâce
ne travaille que pour l’intérêt de Dieu, et veill
aît à l’estime et aux louanges des hommes, qu’elle croit mériter : la
grâce
fait qu’on s’en croit toujours indigne, et qu’on
hique et sainte de Gerson dans cette opposition entre la nature et la
grâce
. Mais il y a deux choses qu’on ne sent pas avec l
té et l’onction ; la vérité, qui est la force ; l’onction, qui est la
grâce
des paroles. Donnons-en quelques exemples : La
moment, par notre négligence, ce qu’à peine avons-nous acquis par la
grâce
, avec un long travail. Que sera-ce donc de nous à
qui est de vous, ne l’imputez qu’à vous. Rendez gloire à Dieu de ses
grâces
, et reconnaissez que n’ayant rien à vous que le p
ls redescendent vers l’homme : Soyez donc reconnaissant des moindres
grâces
, et vous mériterez d’en recevoir de plus grandes.
ait ou qu’il permet tout ce qui nous arrive. Voulez-vous conserver la
grâce
de Dieu, soyez reconnaissant lorsqu’il vous la do
s des hommes. Le fils. Seigneur, il est vrai. Qu’il me soit fait, de
grâce
, selon votre parole. Que votre vérité m’instruise
Ô Père des miséricordes et Dieu de toute consolation ! je vous rends
grâces
de ce que, tout indigne que j’en suis, vous voule
t doux que vous éprouvez quelquefois est l’effet de la présence de la
grâce
, et une sorte d’avant-goût de la patrie céleste ;
eprenez un courage plus grand dans l’espérance d’être soutenu par une
grâce
plus forte ; et gardez-vous surtout de la vaine c
s l’âme toute la rigueur d’un Spartiate, eut dans l’esprit toutes les
grâces
d’un Athénien. Cette grâce, cette expression douc
n Spartiate, eut dans l’esprit toutes les grâces d’un Athénien. Cette
grâce
, cette expression douce et légère qui embellit en
a Fontaine presque seul eut dans ses vers (car Racine connut moins la
grâce
que la beauté) ; dont aucun de nos écrivains en p
, ni cet instrument facile et souple qui la peut rendre ; enfin cette
grâce
, ce don si rare et qu’on ne sent même qu’avec des
s dans la Grèce le caractère général des arts. Depuis peu de temps la
grâce
avait introduit dans les ouvrages des artistes ce
plaît dès qu’on peut la connaître. Il s’était ouvert une école où la
grâce
adoucissait les beautés sévères que la correction
ses ouvrages, sur le Cupidon de Thespis, sur la Vénus de Gnide, cette
grâce
inimitable qui faisait le caractère de son génie.
de, cette grâce inimitable qui faisait le caractère de son génie. Les
grâces
dans le même temps avaient, au rapport des ancien
ante pureté de la nature qui enchante sans le savoir, qui fait que la
grâce
glisse légèrement sur les objets et les éclaire c
lon. On trouve dans tous les deux la même douceur de style, les mêmes
grâces
, des vues de politique profondes, l’amour des loi
ec Socrate ; mais celui-ci travailla quelque temps, et fit même trois
Grâces
qui furent longtemps célèbres, et parce qu’elles
tère, il mêla partout la philosophie à la légèreté, et la satire à la
grâce
. Parmi la foule de ses ouvrages, on a de lui un é
ut, d’un certain temporel, d’une vie, et de cette fortune et de cette
grâce
qui consiste à être malheureux d’une certaine sor
tte ouverture laissée au destin, ce jeu, cette ouverture laissée à la
grâce
, ce désistement de soi, cet abandonnement au fil
une race neuve, dans tant d’innocence et tant de pureté, dans tant de
grâce
et de désarmement, dans cette moelle et dans cett
ée quelle est donc cette vertu profonde ; et surtout quelle est cette
grâce
profonde. N’est-ce pas la vertu même et la grâce
out quelle est cette grâce profonde. N’est-ce pas la vertu même et la
grâce
du désarmement de l’ombre. N’est-ce pas la grâce
la vertu même et la grâce du désarmement de l’ombre. N’est-ce pas la
grâce
même du détendement de la nuit. Les lettres ne so
e. C’est d’avoir une âme habituée. On a vu les jeux incroyables de la
grâce
et les grâces incroyables de la grâce pénétrer un
oir une âme habituée. On a vu les jeux incroyables de la grâce et les
grâces
incroyables de la grâce pénétrer une mauvaise âme
a vu les jeux incroyables de la grâce et les grâces incroyables de la
grâce
pénétrer une mauvaise âme et même une âme pervers
qui était habitué. Les cures et les réussites et les sauvetages de la
grâce
sont merveilleux et on a vu gagner et on a vu sau
défauts de l’armure de l’homme, les défauts de la cuirasse par où la
grâce
peut pénétrer dans la cuirasse de la dureté de l’
ché même sont précisément les points d’articulation des leviers de la
grâce
. Par là elle travaille. Par là elle trouve le poi
rai un phénomène du même ordre se produit dans l’administration de la
grâce
. Ou plutôt je dirai : Cette différence, cette div
u’on est dans la physique du poids, de la quantité, l’abondance de la
grâce
coule comme une abondance. Elle coule même, on pe
elle baigne, elle pénètre. Tout homme qui a quelque expérience de la
grâce
, en lui-même, dans le prochain, connaît ces irrés
viennent tant de manques que nous constatons dans l’efficacité de la
grâce
, et que remportant des victoires inespérées dans
e éternellement mal fermée. Ils ne présentent point cette entrée à la
grâce
qu’est essentiellement le péché. Parce qu’ils ne
ale ne sera pas essuyé. Les « honnêtes gens » ne mouillent pas à la
grâce
. C’est une question de physique moléculaire et
qu’on nomme la morale est un enduit qui rend l’homme imperméable à la
grâce
. De là vient que la grâce agit dans les plus gran
un enduit qui rend l’homme imperméable à la grâce. De là vient que la
grâce
agit dans les plus grands criminels et relève les
s’ils sont malheureusement enduits de morale, sont inattaquables à la
grâce
, inentamables. C’est qu’elle commence par ne pas
on comme ce qu’on nomme la morale. La morale enduit l’homme contre la
grâce
. Et rien n’est aussi sot, (puisque rien n’est aus
is. On peut presque dire au contraire que tout ce qui est pris par la
grâce
est pris sur la morale. Et que tout ce qui est ga
ela même recouvert de cet enduit que nous avons dit impénétrable à la
grâce
. (C’est la même maladie que de mettre ensemble la
ropriété. La morale nous fait propriétaires de nos pauvres vertus. La
grâce
nous fait une famille et une race. La grâce nous
de nos pauvres vertus. La grâce nous fait une famille et une race. La
grâce
nous fait fils de Dieu et frères de Jésus-Christ)
ue l’on disait quand on savait parler français quand on disait que la
grâce
touche les cœurs. Ce qui implique aussi et par là
œuvre d’effectuer. C’est une œuvre de nature et ensemble une œuvre de
grâce
. C’est une œuvre de vie intérieure et ensemble de
ute la philosophie antique. Toute la sagesse aux prises avec toute la
grâce
(et comme il a bien montré qu’en effet de tout ce
y a dans le monde c’est la sagesse qui est la plus impénétrable à la
grâce
). Et aussi tout le secret de la légation du monde
c’est la formule de l’attaque, de l’atteinte, de la pénétration de la
grâce
. Mais elle implique si l’on veut que celui qui y
Il est une proposition de l’histoire ou plutôt de la chronique de la
grâce
. Il est une proposition de monument, de reconnais
ce qui arrive, de ce qui se produit dans la réalité de l’usage de la
grâce
. Je veux dire doublement de l’usage que nous en f
C’est l’histoire d’un martyr et d’un saint. C’est la floraison de la
grâce
et c’est la fructification du sang. Notre malheur
re de ce qui n’est pas même pécheur. Corneille nous montre comment la
grâce
agit, comment elle surprend, comment elle saisit,
pas. Corneille triomphe. S’il s’agit de considérer les ravages de la
grâce
, tout est merveille. Et tout sera émerveillement.
s de Corneille est gracieux lui-même. Il s’agit de montrer comment la
grâce
opère. Notre pauvre propos au contraire, et au co
. Il est disgracieux. Il s’agit malheureusement de montrer comment la
grâce
n’opère pas. Tant qu’on est du côté de la grâce c
de montrer comment la grâce n’opère pas. Tant qu’on est du côté de la
grâce
ce ne sont que merveilles et éblouissements. Il r
e malheureusement à se demander pourquoi tout n’est pas du côté de la
grâce
. Je me rends bien compte moi-même, qu’on le croie
arle pas seulement de son génie qui fut un don unique et lui-même une
grâce
unique dans l’histoire du monde. Je parle de la m
leure part. Il a pris tout un monde avant le premier éclatement de la
grâce
. Ou plutôt il s’est donné le monde (car c’est tou
ère toujours le même monde). Corneille s’est donné le printemps de la
grâce
. Et même cette première aube du printemps qui pas
Il s’est donné ce premier éclatement dans le monde du bourgeon de la
grâce
. Il s’est donné le monde avant le premier éclatem
e la grâce. Il s’est donné le monde avant le premier éclatement de la
grâce
, et il n’avait plus qu’à nous représenter ces mer
ntraint à examiner les limitations c’est-à-dire les manquements de la
grâce
. Corneille prenait le monde si je puis dire avant
orneille prenait le monde si je puis dire avant le commencement de la
grâce
. Il avait donc tout à gagner. Et rien à perdre. I
sent pour toujours. Ce qui revient à dire, et très simplement, que la
grâce
même, comme entrante dans le monde, comme s’intro
traite aux conditions générales de l’homme et du monde et que pour la
grâce
aussi et pour la révolution chrétienne c’est le c
e et peut-être et sans doute incluse, loyalement et sans tricherie la
grâce
a été faite temporelle et historique, loyalement
fondes, sur les difficultés centrales et axiales de ce problème de la
grâce
qui est sans doute lui-même le plus profond probl
lui-même le plus profond problème chrétien. Dans ce problème de la
grâce
Corneille s’est réservé, Corneille s’est donné la
roblème de la grâce Corneille s’est réservé, Corneille s’est donné la
grâce
même et il ne nous a malheureusement laissé que l
malheureusement laissé que la disgrâce. Il s’est donné la part de la
grâce
et il ne nous a malheureusement laissé que la par
part de la disgrâce. Il s’est attribué la merveilleuse démarche de la
grâce
, il ne nous a laissé que les disgrâces et les ing
la liaison profonde, la triple liaison profonde de la liberté avec la
grâce
et avec la vie. Et qu’il y a une gratuité commune
ment de l’habitude qui empêche désormais l’âme d’être mouillée par la
grâce
. Toute la matière spirituelle pour ainsi dire, to
mémoire, de l’habitude, du vieillissement, du durcissement à la mort.
Grâce
à Bergson et grâce à la pensée bergsonienne quand
i rend, qui finit par rendre une âme impénétrable aux infusions de la
grâce
. C’est dire que par là et en cela nous connaisson
là et en cela nous connaissons le mécanisme de cette limitation de la
grâce
, ou enfin de l’action de la grâce, qui est devenu
mécanisme de cette limitation de la grâce, ou enfin de l’action de la
grâce
, qui est devenu, qui fait présentement l’objet de
Et ici nous retrouvons, nous rejoignons cette profonde liaison de la
grâce
et de la liberté, du gracieux et du gratuit, cett
du gracieux et du gratuit, cette mutuelle exigence irrévocable de la
grâce
et de la liberté. Du bois mort est du bois extrêm
y a plus un atome de place ; pour la liberté et conjointement pour la
grâce
. C’est une âme où il n’y a plus un atome vacant.
(spirituelle) qui soit libre pour la liberté et conjointement pour la
grâce
. Une âme morte est une âme qui a succombé sous l’
mort. Elle est la source et le germe. Elle est le jaillissement et la
grâce
. Elle est le cœur de la liberté. Elle est la vert
oute naissance spirituelle. Elle est la source et le jaillissement de
grâce
, car elle est celle qui constamment dévêt de ce r
innombrables. Elle est l’agent toujours jeune de la création et de la
grâce
. Elle est donc l’agent le plus direct, le plus pr
es moisiraient. Une seule n’a rien reçu, que d’être celle sans qui la
grâce
vieillirait dans le monde. Et on peut presque dir
e des Apôtres. Il n’est même pas chargé de formuler une théorie de la
grâce
. Et il n’est même pas chargé d’avoir découvert la
ns de montrer, et vraiment sans le faire exprès, que la théorie de la
grâce
et du jaillissement, hermétiquement articulée dan
eut-être pas besoin de se rappeler, quand il veut décerner une grande
grâce
de pensée, qu’il y a toujours là, et qu’il a touj
vons les ressources du langage bergsonien, Corneille s’était donné la
grâce
. Et il ne nous a laissé que l’habitude. Il s’étai
t il ne nous a laissé que l’habitude. Il s’était donné le monde de la
grâce
. Et il ne nous a laissé que le monde de l’habitud
n inhabitué à Dieu ; et les immenses et les incroyables ravages de la
grâce
dans un monde inhabitué. Il nous a laissé un mond
ssé un monde habitué à Dieu et les incroyables manques de prise de la
grâce
dans un monde habitué. Quand on connaît un peu
prise de la grâce dans un monde habitué. Quand on connaît un peu la
grâce
, quand on en a quelque expérience, fût-elle histo
t-elle je dirai littéraire, le problème n’est pas dans l’action de la
grâce
. Il est dans son inaction. Il est dans les limita
es preuves des autres. Pour qui a quelque idée de ce que c’est que la
grâce
, le véritable problème n’est pas de la grâce. Le
e de ce que c’est que la grâce, le véritable problème n’est pas de la
grâce
. Le véritable problème est de la disgrâce et de l
à-dire des limitations et des inactions et des manques de prise de la
grâce
. C’est comme les célèbres preuves de l’existence
ction de Dieu. Deux limitations, deux manquements (de l’action) de la
grâce
. Ou plutôt la volonté de Dieu a créé, s’est créé
ellement jeune la liberté de l’homme s’articule hermétiquement sur la
grâce
pour la vie éternelle et pour le salut. Le résult
end sur la nouveauté, sur la liberté de l’homme est pris ainsi sur la
grâce
et prépare l’amortissement et la mort. Tout cet e
lissement empêche de jouer la libre articulation de la liberté sur la
grâce
et ainsi il empêche, et d’autant, la grâce de pre
ation de la liberté sur la grâce et ainsi il empêche, et d’autant, la
grâce
de prendre sur la liberté. (Dans toutes les pen
tant de causes, avait gardé une certaine loyauté de jeune homme et de
grâce
, une certaine naïveté native incroyable. Et qu’il
monde même de la liberté. Et ainsi que ce serait le monde même de la
grâce
. Jamais l’Allemagne ne referait une France. C’est
st une question de race. Jamais elle ne referait de la liberté, de la
grâce
. Jamais elle ne referait que de l’empire et de la
y ait dans cette malheureuse liberté un grand secret. Une vertu. Une
grâce
. Une force merveilleuse. Un (autre) ordre. Je ne
vigueur propre, un jaillissement, une espérance et pour tout dire une
grâce
et un secret de destination. De tout temps les de
ation du salut et qui s’articule hermétiquement sur la gratuité de la
grâce
. (Dieu veut être aimé librement). Il y a cette ju
ne paraissent pas dans le secret du monde marqués pour une si grande
grâce
. Dans l’éternel débat de ceux qui sont vainqueurs
feu. Elle est, elle reste différente, marquée aux yeux de tous par la
grâce
auguste du combat. Un hasard en est cause : l’hér
Elle pensait trouver un roi de baronnage et de courtoisie, un roi de
grâce
et de chevalerie, un roi de croisade et de chréti
t elle trouva un roi de tremblements. Elle était venue vers un roi de
grâce
. Et elle trouva un pauvre négociateur. Elle était
stante comparaison de beauté. Une immense et constante comparaison de
grâce
et de force. Le combat de Rodrigue et du comte ét
e ses avantages naturels qui sont les avantages de sa nature et de sa
grâce
. Ce n’est pas lui qui a peur que Dieu ne soit pas
l n’a pas des brèches. C’est le total dévêtement et désarmement de la
grâce
. Il n’en met pas quand même. Il n’est peut-être p
ffit point d’abaisser la nature pour s’élever dans la catégorie de la
grâce
. Il ne suffit point d’abaisser le monde pour mont
obale qui fait le parti dévot. Parce qu’ils n’ont pas la force (et la
grâce
) d’être de la nature ils croient qu’ils sont de l
force (et la grâce) d’être de la nature ils croient qu’ils sont de la
grâce
. Parce qu’ils n’ont pas le courage temporel ils c
i dévot Corneille a été merveilleusement et totalement gardé, par une
grâce
unique, dans tout Polyeucte. Nulle part et en auc
. Ni le saint ; ni le martyr ; ni Dieu. Ni l’homme. Ni la foi ; ni la
grâce
; ni Dieu. Nul ne sera diminué pour que les autre
e. Rien de monstrueux. Rien qui ne soit français et chevaleresque. La
grâce
s’élèvera de toute sa hauteur au-dessus de la nat
ur chrétienne, le maximum de la nature au point de vue de recevoir la
grâce
, le maximum du héros (et du martyr) au point de v
t un homme habitué à tout ; et par conséquent qui ne mouille pas à la
grâce
; et sur qui la grâce n’a aucun point de prise. S
out ; et par conséquent qui ne mouille pas à la grâce ; et sur qui la
grâce
n’a aucun point de prise. Sévère est un homme hab
tration. C’est le seul point par lequel nous puissions espérer que la
grâce
puisse passer jamais. C’est ainsi aussi notre seu
e des plus fréquentes, et une des essentielles, de l’éclatement de la
grâce
. Si l’habitude est ce qui introduit l’amortisseme
de la grâce. Si l’habitude est ce qui introduit l’amortissement de la
grâce
, le scandale à l’envers, le scandale dans le bon
scandale dans le bon sens est tantôt le point d’éclatement même de la
grâce
, tantôt le point de pénétration que pour on ne sa
e le zéro de mémoire, le zéro de flétrissure, le zéro d’habitude. Une
grâce
totale. Une grâce neuve. Et si je puis le dire un
re, le zéro de flétrissure, le zéro d’habitude. Une grâce totale. Une
grâce
neuve. Et si je puis le dire une grâce jeune. Car
abitude. Une grâce totale. Une grâce neuve. Et si je puis le dire une
grâce
jeune. Car l’éternité même est dans le temporel.
grâce jeune. Car l’éternité même est dans le temporel. Et il y a des
grâces
neuves et des grâces qui seraient comme vieillies
ternité même est dans le temporel. Et il y a des grâces neuves et des
grâces
qui seraient comme vieillies. Ou si l’on veut enc
dans la catégorie du bonheur, qui est la même que la catégorie de la
grâce
. Comme saint Louis, il ne se bat qu’aux frontière
du monde chrétien, qui fut ce que j’ai nommé comme une jeunesse de la
grâce
. Il n’eut affaire qu’à cette naissance du monde q
ureuse. Et dans la catégorie de l’honneur. Et dans la catégorie de la
grâce
. Et c’est pour cela qu’il faut mettre ensemble Po
rées. Les uns, Polyeucte et saint Louis, ont été tellement comblés de
grâces
qu’ils n’ont jamais souffert autrement et ailleur
e d’Arc, Jésus ont été tellement comblés en plus d’une autre sorte de
grâce
, d’une sorte de grâce de disgrâce, qu’ils ont sou
tellement comblés en plus d’une autre sorte de grâce, d’une sorte de
grâce
de disgrâce, qu’ils ont souffert aussi, qu’ils on
ureux. Car toute guerre étrangère ne sort point de la catégorie de la
grâce
. Mais dans toute guerre civile il y a un point de
st sainte. Elle est dans la catégorie du bonheur, de l’honneur, de la
grâce
. Sa souffrance n’est ni monstrueuse, ni affreuse,
tellement dans la catégorie d’être heureux et dans la catégorie de la
grâce
que l’on pourrait presque dire que déjà ils ne so
oit le ciel autant que le saint Louis et autant que le Polyeucte. Une
grâce
inouïe, une grâce singulière, une grâce plus qu’é
que le saint Louis et autant que le Polyeucte. Une grâce inouïe, une
grâce
singulière, une grâce plus qu’éminente, une grâce
autant que le Polyeucte. Une grâce inouïe, une grâce singulière, une
grâce
plus qu’éminente, une grâce outreplacée, outrepos
e grâce inouïe, une grâce singulière, une grâce plus qu’éminente, une
grâce
outreplacée, outreposée, outresituée a été donnée
est tout de suite la mort. Et même il ne se le propose pas. C’est une
grâce
qu’il reçoit, et instantanément un couronnement d
s. C’est une grâce qu’il reçoit, et instantanément un couronnement de
grâce
: Du premier coup de vent il me conduit au port.
l est pour lui l’événement. Et c’est un événement immédiat. C’est une
grâce
qui lui vient. Et qui lui vient instantanée. Il a
saire, puisque seule elle s’articule exactement sur la gratuité de la
grâce
, eût été liée pour un seul homme et que ce fût po
, mais uniquement et éminemment dans le commun royaume de la gratuite
grâce
et de la gratuite liberté. En un mot c’est de l’o
loi sur l’ancienne loi, du monde chrétien sur le monde antique, de la
grâce
sur la nature, des Évangiles sur les prophéties n
ous remercie. — Peut-être même sur une contradiction. — Je vous rends
grâces
. — D’ailleurs le texte de l’histoire du petit po
t pas peur de verser dans toutes les ornières, de se risquer avec une
grâce
incomparablement audacieuse et… heureuse sur les
haleine, sauve les défauts d’une composition encore malassurée par la
grâce
des détails, qui sauve toujours tout ; car nos li
ve toujours tout ; car nos livres ressemblent à nos âmes, et c’est la
grâce
surtout qui donne le Paradis De la grâce ! elle e
lent à nos âmes, et c’est la grâce surtout qui donne le Paradis De la
grâce
! elle en a ici comme elle en avait là-bas, — à l
à la Vie Parisienne ; mais puisque je suis en train de critiquer, sa
grâce
d’ici n’est que la moitié de sa grâce de là-bas.
suis en train de critiquer, sa grâce d’ici n’est que la moitié de sa
grâce
de là-bas. C’est la grâce attendrie et mélancoliq
r, sa grâce d’ici n’est que la moitié de sa grâce de là-bas. C’est la
grâce
attendrie et mélancolique qu’elle avait aussi à l
t au plus délicat du cœur ; mais malheureusement ce n’est plus ici la
grâce
gaie, qui effleurait, sans se cabrer, les choses
e et mieux prouver sa force… Mais la force, chez les femmes, c’est la
grâce
, et pour avoir toute leur grâce il leur faut les
s la force, chez les femmes, c’est la grâce, et pour avoir toute leur
grâce
il leur faut les deux bras… Que dis-je ? Il les l
mant. Il n’y avait qu’une femme qui, après lui, pût y mettre d’autres
grâces
et d’autres élégances. Il n’y a que des femmes qu
rle Vanloo Il y a deux tableaux de ce maître. On voit dans l’un Les
Grâces
enchaînées par l’Amour ; dans l’autre L’Aîné des
ds six pouces de haut sur six pieds, trois pouces de large. Les trois
Grâces
l’occupent presque tout entier. Celle qui est à d
ésente de face. Ah ! mon ami, quelle guirlande ! quel Amour ! quelles
Grâces
! Il me semble que la jeunesse, l’innocence, la g
s un bouton de rose ? Le peintre n’a pas connu ces beautés. Celle des
Grâces
qui occupe le milieu de sa composition, et qu’on
ieu de cette taille élégante et légère qui convenait à son âge, cette
Grâce
est toute d’une venue. Sans s’entendre beaucoup e
e vue de soutenir ce coloris un demi-quart d’heure. Je vous dirai des
Grâces
de Vanloo ce que je vous disais, il y a deux ans
sonne agréable et distincte qui nous le peignît avec vivacité et avec
grâce
, et qui ne peignît que cela. Il serait facile de
de Caylus elle-même ne fut pas sans tenir de ce grand aïeul : sous sa
grâce
de femme et sous son air d’ange, elle a l’esprit
, on se dit qu’il n’est rien de tel encore qu’une race forte quand la
grâce
s’y mêle pour la couronner. Née en 1673, dans le
c’est-à-dire avec goût, avec exactitude et en perfection. Toutes ces
grâces
négligentes et un peu légères, qui auraient couru
i touchant, si parlant, jamais une fraîcheur pareille, jamais tant de
grâces
ni plus d’esprit, jamais tant de gaieté et d’amus
ant ensemble la dévotion, les bienséances, la liberté d’esprit et les
grâces
de la société, dans cette parfaite et un peu conf
sément, de beaux yeux où éclatent l’agrément et l’esprit : en tout la
grâce
et la distinction même. Que dirai-je encore ? cet
ait des plaisanteries, s’il daignait faire un conte, c’était avec des
grâces
infinies, un tour noble et fin que je n’ai vu qu’
messied nécessairement, et tout ce qui est peiné ne saurait avoir de
grâce
. » Voilà ce que disaient les Quintilien et les Gé
pour mieux rendre cette joie de l’esprit et cette pure ivresse de la
grâce
qu’on ressentait insensiblement près d’elle. Car,
t La Fontaine. Je n’insisterai pas pour démontrer plus longuement ces
grâces
légères de l’auteur dans le petit livre de Souven
illets écrits d’une chambre à l’autre), déployer tout ce qu’elle a de
grâce
et de gentillesse pour fléchir sa tante, pour l’a
ne et environne sa quenouille en l’envoyant : Que n’ai-je toutes les
grâces
d’un esprit léger pour introduire dans votre soli
intenon, n’avait cessé de faire valoir son amie, depuis sa rentrée en
grâce
auprès de sa tante ; elle varie ses louanges sur
littéraires et politiques, de l’audace sans mesure, de la gaieté sans
grâce
, et de la vulgarité avilissante qu’on a voulu int
tout le naturel, toute la simplicité nécessaire à la perfection de la
grâce
, n’empêchait pas de veiller avec une attention co
atiques, quelque remarquables qu’elles soient par la perfection de la
grâce
; leur despotisme entraînerait de graves inconvén
Partie de cet ouvrage toutes les causes qui ont donné naissance à la
grâce
française ; il n’en est aucune qui subsiste maint
uppose admet la liberté et l’égalité politique. Les modèles pleins de
grâce
que nous avons dans la langue, pourront servir de
fine et juste, qui seule donne aux écrits, dans le genre léger, cette
grâce
de convenance et ce mérite de goût tant admiré da
s, et n’inspirent pas ces habitudes de tous les jours, qui font de la
grâce
et du goût votre propre nature, sans que la réfle
plus de simplicité, et ne risque point, pour ranimer l’attention, ces
grâces
maniérées que réprouve le goût naturel. Un tour d
ailleurs il faut, pour réussir dans ce genre dangereux, qui réunit la
grâce
des formes à la dépravation des sentiments, une f
tact le plus délicat est nécessaire pour donner à l’immoralité cette
grâce
, sans laquelle les hommes même les plus corrompus
e son rang même, que ne développe pas l’éducation de l’égalité. Cette
grâce
, tout à la fois imposante et légère, ne doit pas
moins en littérature aux objets qui appartiennent exclusivement à la
grâce
des formes. Ce que notre destinée a eu de terribl
ces de l’espèce humaine, ils ont négligé d’en raconter les mœurs, les
grâces
, les élégances, les ridicules, si bien que c’est
siècle heureux ! À son tour, il a prodigué la faveur, l’autorité, la
grâce
et le charme. Il a rempli l’Univers de ses armes,
ils sont des hommes ! » Pis que des hommes, ils étaient des paysans.
Grâce
à Dieu, grâce au soleil fécondant de 4789, et grâ
age, dans ces pages où son souvenir apparaît, à chaque ligne, avec la
grâce
et le charme que nous trouvons encore à contemple
hoses impossibles, tant nous étions habitués à ne pas douter de cette
grâce
inépuisable et de cette jeunesse éternelle ! Elle
ançais dont elle était la gloire et l’orgueil, cette femme de tant de
grâce
, d’élégance et d’esprit, qui était restée parmi n
ces de la grande comédie. Adieu aussi à l’esprit un peu maniéré, à la
grâce
, à la recherche de Marivaux, dont cette femme éta
anach que la blancheur de ces belles dents, la vivacité du regard, la
grâce
de la démarche, et toutes les jeunesses extérieur
it, s’en est consolée bien vite en redoublant de jeunesse et de bonne
grâce
. Elle a été si longtemps ce qu’on appelle une jeu
ent les années de cette femme, et qui ne lui tiennent compte ni de sa
grâce
, ni de son esprit, ni de son élégance, ni de son
l y avait en effet à son ombre, une beauté naissante, un sourire, une
grâce
, une promesse, quelque chose qui lui ressemblât,
dre que nous sachions ce que tu as vécu. L’esprit, le génie, la bonne
grâce
et l’éclat de l’esprit, la verve, et la passion,
ure ; elle a attendu longtemps sa beauté, son esprit, sa jeunesse, sa
grâce
, son charme enfin. Pendant très longtemps, ce mêm
même dans sa vie ; celui-là bienveillant, aimable, charmant, plein de
grâce
, d’élégance et d’abandon. — L’un qui soutenait ma
nde qui aient eu le plus d’esprit, il y en ait une seule qui pour les
grâces
, les élégances et l’art intime du beau dire, ait
le monde, comme l’entendait, comme la faisait Molière, ont-ils trouvé
grâce
et faveur parmi les partisans les plus dévoués de
lle Mars revint sous la cornette, sous la robe toute simple, sous les
grâces
naïves et contenues de Lisette. — Elle avait lais
s pour la dernière fois ! Hélas ! il y avait tant de calme et tant de
grâce
dans son jeu, elle avait si bien réuni, en un seu
ique de ce temps-ci un aspect tout nouveau, une forme inattendue, une
grâce
inespérée. — Elle a fait, mademoiselle Mars, de l
s, les fautes, les défauts, les impuissances, elle s’est attachée aux
grâces
, aux beautés, aux promesses que fait le présent à
l ! Elle avait appelé à son aide tout ce qui lui restait de force, de
grâce
, de charme, de beauté ! Jamais son esprit n’avait
nement, qui obéissent à toutes les règles du goût, du bon sens, de la
grâce
, du sentiment. À coup sûr, ce n’était pas là un a
tant de pitié et tant de terreurs. Elle a emporté avec elle sa belle
grâce
, ses élégances et les ressources infinies d’un es
teur aime le repos et le contraste), où se fait sentir, dans toute sa
grâce
et dans tout son charme, le repos rustique ! Cett
ait charmante », ou : « elle était vertueuse », ou : « elle avait une
grâce
infinie ». Mais, quand on ne grasseye ou qu’on ne
re quel était ce charme, quelle était cette vertu, quelle était cette
grâce
, qui faisaient de Madame Récamier : « Madame Réca
me Récamier : « Madame Récamier », parmi tous les charmes, toutes les
grâces
et toutes les vertus ! Il fallait montrer que par
t moins et plus que l’esprit, qui était le tact de l’âme à travers la
grâce
corporelle. Ainsi elle fut aimée de cette ardente
cet autre diamant de la poitrine, mais un peu de bonté dans un peu de
grâce
, et en voilà assez pour le ravissement de l’human
mait mieux la blessure. Enfin, toujours, toujours, elle approchait la
grâce
si près de la vertu, que son ami Mathieu de Montm
e, le buste, le portrait, sont peut-être impossibles à faire ; car la
grâce
est une ondoyance et le mouvement ne se fixe pas.
. Quand il est fixé, il n’est plus ! Telle elle était, cette femme de
grâce
immortelle, charmante en cheveux blancs et aveugl
était joli, on se consolerait peut-être, mais le pied n’est plus ; la
grâce
, la beauté, la figure de la femme qui faisait cro
sens profond quand la réflexion l’analyse. La jeunesse de tout est la
grâce
de l’être. Tout le monde l’aime, tout le monde lu
l’aime-t-on ? pourquoi lui sourit-on ? C’est que la jeunesse est une
grâce
, c’est qu’elle est une espérance, disons plus, c’
s, c’est qu’elle est une promesse. Si la jeunesse reste éternellement
grâce
, elle ne sera jamais force ; si elle reste éterne
le entre Hamilton, Saint-Évremond et Alfred de Musset ; cœurs de même
grâce
, esprits de même sève, philosophes de même insouc
etagne. L’amitié solide, l’amour respectueux, la liberté d’esprit, la
grâce
de l’entretien, l’oisiveté d’habitude, le travail
e du bonheur passé. Saint-Évremond avait naturalisé la légèreté et la
grâce
françaises en Angleterre. Il lui avait appris à b
t-Évremond, disaient les éditeurs aux auteurs, nous vous payerons ces
grâces
sans poids au poids de l’or. » Cinq volumes multi
dans les bibliothèques ; c’est un malheur pour l’esprit français. Les
grâces
indéfinissables de ce style sont ensevelies dans
i a du grec l’atticisme. Il y soulève les idées métaphysiques avec la
grâce
d’un enfant d’Athènes jouant sous les portiques a
x osselets, pendant que Platon y pérore ou qu’Alcibiade y promène ses
grâces
pour séduire les Athéniens. En recherchant bien d
si vous n’aviez pas le caractère, vous n’auriez pas le livre. Car la
grâce
est un don gratuit de la nature. Les poètes de ce
, ce ne fut pas par ignorance, mais par cette indolence qui n’est une
grâce
que parce qu’elle plie. Ce succès éclatant à la f
mé nous-même. Nous ne l’avons jamais vu remplacé ; c’était une de ces
grâces
dont on ne peut se passer, une de ces inutilités
son esprit. Molle atque facetum ! XIV Cette faiblesse, cette
grâce
, cette adolescence perpétuelle de caractère étaie
servé, dans sa corruption précoce et malfaisante, quelque chose de la
grâce
et du parfum de son innocence. Don Juan, en un mo
avire de chavirer dans le roulis des vagues. Son âme, qui n’était que
grâce
, flexibilité et souplesse comme son talent, s’inc
Musset désirait mourir ; il disait à son excellent frère, homme d’une
grâce
aussi tendre, mais d’une raison plus saine que lu
de Byron, de Heine, de Musset ? Une foule d’imitateurs grimaçant des
grâces
, naturelles chez ces grands artistes, affectées c
e ! un jeu, en un mot, au lieu d’un talent ! un effort, au lieu d’une
grâce
! un caprice, au lieu d’une âme ! une profanation
ges de ton poète favori, pour apprendre de lui comment on délire avec
grâce
, et déchires-en ensuite plus de la moitié, pour a
de conserver la paix avec les hommes, mais Voltaire avait bien de la
grâce
pour se soucier de Nicole, lui qui ne croyait ni
entier, être, réflexion, liberté, n’existe que sur le piédestal de la
grâce
, de même (littérairement), il ne vit que par elle
t), il ne vit que par elle, dans un autre sens. Les œuvres dénuées de
grâce
ne durent pas, — et, comme les ossements arides n
usement il peut faire du bien à quelques âmes Il a le charme, il a la
grâce
, — ce rien de la grâce que n’avait pas Nicole, et
u bien à quelques âmes Il a le charme, il a la grâce, — ce rien de la
grâce
que n’avait pas Nicole, et avec lequel on solde t
ète lui-même, auteur d’idylles et d’épigrammes amoureuses remplies de
grâce
ou de flamme, il réunissait toutes les conditions
de Léonidas. Platon est resté fidèle à son grand goût jusque dans la
grâce
de ses épigrammes ; par exemple : Laïs consacre
voit vengé, car il a suffi d’une ou de deux saisons pour lui ôter sa
grâce
première : « Tu te souviens sans doute, tu te so
sser respirer de ses maux ce mortel de tant de douleur. » Il demande
grâce
pour le héros torturé, tant il prend au sérieux l
e ; se tenant à son métier jusqu’à l’aurore, elle parcourait avec les
Grâces
le stade de Minerve, dévidant d’une main tremblan
de la bonne Platthis, qu’il a accompli et « parcouru en compagnie des
Grâces
le stade de Minerve ! » III. Pourtant, si Léonida
e chérie, ô Terre ! Il se plaisait avant tout au commerce délicat des
Grâces
, et il était dans la mémoire de tous, Aristocratè
i s’adresse au voyageur, l’avertit de prendre garde te renseigne avec
grâce
: « Ne bois pas, ô Passant ! l’eau chaude et vas
brebis à longues laines, accordez à Clitagoras, de par la Terre, une
grâce
légère mais bien douce, faites-le par égard pour
le tertre funéraire. Il y a même pour les morts, il y a de ces bonnes
grâces
mutuelles, et qui sont chères encore à ceux qui n
rendez, rendez, hélas ! Par Cybèle et Cérès, et sa fille adorée, Une
grâce
légère, une grâce sacrée. Naguère, auprès de vous
élas ! Par Cybèle et Cérès, et sa fille adorée, Une grâce légère, une
grâce
sacrée. Naguère, auprès de vous, elle avait son b
te d’or en secouant ses jabots de dentelle, qui a tout ensemble de la
grâce
, de l’impertinence et de la grandeur. Si les homm
avons été dupes d’une mystification combinée, c’est par le ton, cette
grâce
suprême, que l’auteur de ces Mémoires nous a pipé
Volupté a-t-il bien vu et pouvait-il bien voir, sous son extérieur de
grâce
patricienne, cette femme qui répugne au pastel et
tourné sur les hauts talons de ses mules, et tous ceux qui aiment la
grâce
même dans l’impertinence, lui auraient pardonné.
i aiment la grâce même dans l’impertinence, lui auraient pardonné. La
grâce
et le bon sens, précieux et trop rare alliage abs
uelques lettres et quelques billets ! Souvent nous avons vu un peu de
grâce
faire passer par-dessus beaucoup de folie, mais q
ire passer par-dessus beaucoup de folie, mais que dire de beaucoup de
grâce
consacrée à nous faire aimer beaucoup de bon sens
e parfaitement convertie, qu’il s’inquiète peu de nous la voiler avec
grâce
comme pécheresse. L’avouerai-je ? en le lisant, j
s ; qui n’a renoncé ni au désir de plaire ; ni aux élégances, ni à la
grâce
, dernière magie de la beauté ; qui se contredit p
rie. Je ne le lui reproche pas ; je l’en loue, tout en le regrettant.
Grâce
à lui, on sait maintenant à point nommé le dessou
s alors moins de trente-sept ans ; elle les déguise avec art sous une
grâce
divine que les femmes mêmes sont forcées d’admire
habites-tu la province ? Pourquoi la retraite nous enlève-t-elle tes
grâces
, ton esprit ? Tes succès ne t’appellent-ils pas à
grâces, ton esprit ? Tes succès ne t’appellent-ils pas à Paris ? Tes
grâces
, tes talents y seront admirés comme ils doivent l
tes talents y seront admirés comme ils doivent l’être. On a peint ta
grâce
enchanteresse191, mais qui peut peindre ce qui te
ire : Un pinceau savant peignit ta danse, tes succès sont connus, tes
grâces
sont chantées comme ton esprit, et tu les dérobes
première jeunesse, et devenait un composé original d’élévation et de
grâce
. Sa plume, comme sa personne, avait de la magie.
si vif de la contenter qu’il fallait bien qu’on parvînt à s’entendre…
Grâce
à ce manège, elle parvint à exciter dans le comme
plais du moins à noter ce procédé-ci à titre de bon goût et de bonne
grâce
. 15 septembre 1849 189. La Revue des Deux Mon
sages réintroduits dans le texte ou des lettres retrouvées : c’est la
grâce
de la femme chez Mme Roland. Elle n’était ni une
faveur et à son avantage ; ils sont tous d’accord sur le charme et la
grâce
: nous n’avons qu’à les écouter. M. Beugnot, tout
x blonds, les yeux bleus et bien ouverts. Sa taille se dessinait avec
grâce
, et elle avait la main parfaitement faite. Son re
. Elle relevait encore l’harmonie de sa voix par des gestes pleins de
grâce
et de vérité, par l’expression de ses yeux qui s’
ucherie, parce que ce qui est simple et naturel ne saurait manquer de
grâce
. Je me souviens que la première fois que je la vi
parfaite. Esprit, bon sens, propriété d’expression, raison piquante,
grâce
naïve, tout cela coulait sans étude entre des den
u’il est des plus jolis. On ne peut mieux nous donner l’idée de cette
grâce
correcte et parfaite, non pas affectée ni étudiée
yr, de se jouer ensuite dans l’urbanité légère et de se permettre les
grâces
négligées. Un homme qui n’est pas suspect quand i
femme, il faut en convenir, joignait un esprit supérieur à toutes les
grâces
de son sexe ; elle avait tout l’art nécessaire po
oiqu’elle, ne perdît pas un mot. Sa modeste parure n’ôtait rien à ses
grâces
, et quoique ses travaux fussent d’un homme, elle
ile, très ardente et nullement circonspecte, elle y revenait avec une
grâce
déplacée, une beauté dangereuse, une intelligence
it pas moins par une supériorité féminine et bruyante de beauté et de
grâce
, une reine capable, énergique, rigide et dissimul
lui qu’elle choisit cette fois n’a ni la faiblesse de Darnley, ni les
grâces
de salon d’un Riccio : c’est le comte de Bothwell
t ligués de fait et par écrit, s’offrirent à elle et, pour rentrer en
grâce
, lui firent entrevoir le moyen de se débarrasser
nous sommes ici les principaux de la noblesse et du Conseil de Votre
Grâce
, et nous trouverons bien le moyen de vous délivre
rie Stuart) soit un peu moins scrupuleux pour un protestant que Votre
Grâce
ne l’est pour une papiste, je suis sûr qu’il rega
, l’égarement de celle dont il avait célébré le premier mariage et la
grâce
première ; il consacra son indignation par une no
aculté d’espérance, qui l’a tant de fois trompée, lui devient ici une
grâce
d’état et une vertu. Elle émeut le monde entier d
u, pour mieux dire, d’un homme. L’humanité, la pitié, la religion, la
grâce
poétique suprême, toutes ces puissances invincibl
obéit, le caractère, l’expression sera celle de l’affabilité et de la
grâce
, de la douceur, de l’honneur, de la galanterie. S
, les petits becs pincés et mille autres puériles afféteries, avec la
grâce
, moins encore avec l’expression. Que votre tête
dans la femme, dans l’enfant : caractère de jeunesse, principe de la
grâce
. Un trait déplacé de l’épaisseur d’un cheveu, emb
seur d’un cheveu, embellit ou dépare. Sachez donc ce que c’est que la
grâce
, ou cette rigoureuse et précise conformité des me
t ne la prenez point pour celle de l’acteur ou du maître à danser. La
grâce
de l’action et celle de Marcel se contredisent ex
mparaisons, d’allusions aux objets de leur culte. C’est le souris des
Grâces
, c’est la jeunesse d’Hébé ; ce sont les doigts de
laquelle nous devrions la naissance, l’incarnation du Sauveur, et la
grâce
de notre rédemption. Nous nous servons cependant
voluptueuses, agréables qui missent les sens et les passions en jeu ?
Grâce
à Raphael, au Guide, au Baroche, au Titien et à q
touffé ! Il est délicat, il est gracieux, il n’est pas fort ; il a la
grâce
d’Omphale ; il n’a pas la force d’Hercule. C’est
s femmes, ne connaissait pas, et que n’avait point Marivaux, dont les
grâces
étaient incolores, mais qui s’en vengeait par l’e
ression et le mouvement. Pourquoi M. Deltuf n’aurait-il pas, lui, des
grâces
irisées, ayant le mot brillant par-dessus le mouv
lle qu’il a tout simplement appelée Scepticisme, — on trouve, avec la
grâce
vive et subtile de Marivaux, une couleur aussi év
âce vive et subtile de Marivaux, une couleur aussi éveillée que cette
grâce
. Alfred de Musset, cet épervier de la fantaisie,
nd son parti de tout, mais l’avoir prouvé une fois de plus avec cette
grâce
, avoir fait tenir tant de sanglot étouffé dans ta
l’une que le génie de l’art a douée en naissant, et qui, entre mille
grâces
naturelles, a celle du crayon et du pinceau ; l’a
tude. Saint-Simon, si amer quand il blâme, trouve, pour la louer, des
grâces
qui semblent inspirées par elle ; Dangeau la fait
beaux de son visage. Elle a soutenu cette marche et ces lumières avec
grâce
et modestie. Nous sommes enfin arrivés dans sa ch
s manières pour vous mander ce qu’il m’en semble. Elle a la meilleure
grâce
et la plus belle taille que j’aie jamais vue, hab
; mais c’est de l’air modeste et du bon effet qu’il produit, et de la
grâce
qui en dépend. Pour tout le reste, il est impossi
e Montargis un éclair de préoccupation morale au milieu de toutes les
grâces
extérieures et de toutes les parfaites convenance
défauts et de ces irrégularités, ajustées, attachées par la main des
Grâces
, il résultait je ne sais quelle harmonie de la pe
je n’y puisse parvenir. Elle demandait son pardon avec tant de bonne
grâce
et de soumission par lettre, avec tant de gentill
le n’était pas une enfant de onze ans, elle n’avait pas seulement les
grâces
, elle avait l’élévation morale, le vrai mérite et
ne s’excluent ni dans la nature ni dans cette autre nature qu’est la
grâce
. Ni dans la nature ni dans cette deuxième et supé
re ni dans cette deuxième et supérieure nature qu’est la nature de la
grâce
. Homère, qui est la plus grande clarté, n’est-il
sont de la même nature, du même règne que ceux qui sont bons pour la
grâce
. Et la grâce et le péché sont deux opérations du
ême nature, du même règne que ceux qui sont bons pour la grâce. Et la
grâce
et le péché sont deux opérations du même royaume.
une immense tourbe qui ensemble n’est bon ni pour le péché ni pour la
grâce
. Car le péché ensemble et la grâce sont les deux
st bon ni pour le péché ni pour la grâce. Car le péché ensemble et la
grâce
sont les deux opérations du salut, hermétiquement
intellectuels ou les intellectualistes dans l’ordre du péché ; de la
grâce
; du salut. Je suis convaincu qu’il en est de mêm
it. C’est une question de nature ou de factice. C’est une question de
grâce
ou de disgrâce. Les arbres de théâtre ne sont pas
ombien elle est parallèle à la théorie chrétienne et catholique de la
grâce
, à ce que nous avons le droit de nommer le mécani
e la grâce, à ce que nous avons le droit de nommer le mécanisme de la
grâce
. Comme il faut que l’expérience vienne au devant
parfaitement parallèle il faut que la liberté vienne au devant de la
grâce
. L’homme aussi est cette ville assiégée. Le péché
e ville assiégée. Le péché aussi est ce blocus parfaitement réglé. La
grâce
aussi est cette armée royale qui vient au secours
e manque à deux. La faute de l’homme fait manquer Dieu même. Quand la
grâce
ne trouve pas la liberté venue au devant d’elle,
la liberté venue au devant d’elle, la liberté aussi ne trouve pas la
grâce
. Le manquement est forcément double. Quand l’homm
e et même des coups d’ordre. Dans ce qui est fatigué il n’y a plus ni
grâce
ni jaillissement. De tout ce qu’il peut y avoir d
se, on doit croire leur témoignage, ils ont effacé ensuite toutes les
grâces
et toutes ces vertus de la Grèce, et ont laissé s
a plus de doute que dans leur plus familier entretien, il n’y eut des
grâces
négligées et des ornements sans art que les docte
ne innocence spirituelle… Ils recevaient le soir dans le cabinet, les
grâces
qu’ils avaient rejetées le malin sur le tribunal
es grâces qu’ils avaient rejetées le malin sur le tribunal ; mais les
grâces
n’étaient chez eux ni affectées, ni licencieuses
a majesté ; elles l’ajustaient de façon à en tempérer l’aspect. « Ces
grâces
, madame, et cette majesté, se séparèrent à la fin
. « Ces grâces, madame, et cette majesté, se séparèrent à la fin. Les
grâces
parurent encore sous les empereurs, mais elles pa
Jollain l’amour enchaîné par les
grâces
. imaginez l’amour assis sur une petite éminence a
s. imaginez l’amour assis sur une petite éminence au milieu des trois
grâces
accroupies ; et ces grâces n’en ayant ni dans leu
ur une petite éminence au milieu des trois grâces accroupies ; et ces
grâces
n’en ayant ni dans leurs attitudes, ni dans leurs
personne, s’y tempérait d’un fonds visible de vertu. La modestie, la
grâce
, une grâce simple et ingénue, un air de pudeur qu
s’y tempérait d’un fonds visible de vertu. La modestie, la grâce, une
grâce
simple et ingénue, un air de pudeur qui gagnait l
le soleil de votre justice soit levé. Aussitôt que l’aurore de votre
grâce
commencera à poindre, je commencerai d’agir et de
ne religieuse et passe présentement pour avoir beaucoup d’esprit : la
grâce
fait plus que la nature, et les effets de l’une l
ieu, je suis transportée. Je me sens vivement pressée de répondre aux
grâces
qu’il me fait, et de m’abandonner absolument à lu
tre de Mme la duchesse de La Vallière, qui vous fera voir que, par la
grâce
de Dieu, elle va exécuter le dessein que le Saint
ivin, que je ne puis y penser sans être en de continuelles actions de
grâces
: et la marque du doigt de Dieu, c’est la force e
lle, Mlle de Blois, qui épousa le prince de Conti, était un modèle de
grâce
; c’est d’elle que La Fontaine a dit, pour peindr
i lui était bien plutôt une humiliation, avec une modestie, une bonne
grâce
et une décence accomplie, qui ont été fort célébr
nt ni creusés, ni battus ; cet habit si étrange n’ôte rien à la bonne
grâce
, ni au bon air ; pour la modestie, elle n’est pas
lu d’Auguste. Et toutefois peut-on nier quelle force de naturel et de
grâce
, quelle perfection animée la poésie allait prendr
ns par les bords du nuage qui la couvre. De là ces traits de feu, ces
grâces
ravissantes jetées çà et là dans les chants du po
riants pâturages et passent les fleuves rapides. Tant, saisie par ta
grâce
et les douces amorces, toute nature animée te sui
s dons ! Accorde d’autant plus à mes paroles, ô déesse, une éternelle
grâce
. « Fais, dans l’intervalle, que sur les mers et p
ions, d’admirables couleurs ; il épuisera tour à tour l’énergie et la
grâce
. Mais, destructeur des idoles sans rien adorer à
us infime esclave. Ajoutez encore les inventeurs de la science et des
grâces
; ajoutez les amis des Muses, entre lesquels Homè
sparu, quand l’harmonie s’est envolée ; et toutefois, on y sent cette
grâce
naturelle, cette vérité vive qui charmait Fénelon
’aux plus impurs souvenirs ; et cependant le poëte connaît toutes les
grâces
, même celle de la pudeur. « Sans toi, dit-il177,
que en action ; et nulle part, à nos yeux, elle n’aura montré plus de
grâce
noble et naïve. Rappelez-vous ce que Pindare aima
arme de ce petit livre, c’est qu’il est franchement féminin : il a la
grâce
, la légèreté et, dans son manque apparent d’unité
’on ne fabrique pas ces pensées-là avec des procédés et des formules.
Grâce
, finesse et bonté, indulgence sans illusions, phi
Diane, c’est un délice. Mme Sarah Bernhardt dans Théodora … La
grâce
, le charme, la lumière, ou plutôt l’attrait malsa
une souplesse surprenantes, et il a répandu sur son maigre visage une
grâce
inquiétante de bohémienne, de gypsy, de touranien
s ses rôles, non seulement toute son âme, tout son esprit et toute sa
grâce
physique, mais encore tout son sexe. Un jeu aussi
de matière et lui ayant donné l’aspect d’une princesse chimérique, sa
grâce
idéale et légère sauve toutes ses audaces et les
souplesse qu’on ne lui voit pas chez les autres femmes, et comme une
grâce
et une dignité de costume historique. Et le jeu d
qu’ils payeront fort cher pour vous entendre. Tâchez de sauver votre
grâce
et de nous la rapporter intacte. Car j’espère que
er sous mes yeux. Mais, pensai-je alors, tant de délicatesse, tant de
grâces
, cette peinture si attachante de mœurs qui nous d
le de calme et de bonheur. Les arbres les plus élégants, mariant avec
grâce
leurs flexibles rameaux courbés sous le poids des
érilleuse épreuve, ordonne toi-même au dieu des airs de se jouer avec
grâce
dans les plis de mes vêtements, et de les enfler
fils par la main, s’avance avec une timidité pleine de crainte et de
grâce
: « Ô roi », dit-elle, « les temps sont accomplis
faon nous a fait déjà parcourir un immense espace ; vois avec quelle
grâce
il incline de temps en temps sa souple encolure p
iers, depuis que les rênes ne retiennent plus leur élan, portent avec
grâce
en avant leurs fumants poitrails ; la poussière q
e. (Elle y court.) Preyamvada. Chère Sacountala, oh ! Repose-toi, de
grâce
, quelques instants à son ombre. Sacountala. Eh !
comme s’il était uni à une liane élégante, en acquiert encore plus de
grâce
. Sacountala. Es-tu plus digne de ce nom gracieux
points où voltige cet insecte léger, plus légère que lui, avec quelle
grâce
elle le chasse sans relâche ! Mais si c’est par u
ière elle tout en courant.) Comment ! Il me poursuit encore ? Ah ! De
grâce
, délivrez-moi de son importunité. Douchmanta , s
i règne entre vous s’accorde admirablement avec votre jeunesse et vos
grâces
! Preyamvada , bas à Anousouya. Ma chère, quel
nez », dit-il en vers aux compagnes de la jeune fille, « épargnez, de
grâce
, votre belle amie ! elle doit être déjà assez fat
élicieusement son sein ; le nœud charmant qui emprisonne avec tant de
grâce
les fleurs de siricha dont son oreille est ornée,
he. « Ne dirait-on pas que c’est la nouvelle lune qui, éprise de la
grâce
et de la blancheur de ce bras charmant, a abandon
scène de Daphnis et Chloé, où la simplicité et la candeur luttent de
grâce
. Je regrette de ne pas la reproduire ici. Douchma
us mystique dans ses peintures ; l’autre a plus d’enjouement, plus de
grâce
, avec beaucoup moins de goût et de correction. To
my Le Daphnis français dit : Suis-moi sous ces ormeaux, viens, de
grâce
, écouter Les sons harmonieux que ma flûte respire
é des plus heureuses qualités de l’harmonie, de la sensibilité, de la
grâce
, les traces de l’affectation et de faux goût. [La
nes et Joubert avaient lu ses manuscrits. Le goût pur de Fontanes, la
grâce
attique de Joubert s’étaient laissé séduire à la
que ce dernier poème soit indigne de l’auteur par le talent et par la
grâce
de certains tableaux ; mais Parny se trompa quand
se trompa quand il se dit, en traitant un sujet de cette nature : La
grâce
est tout ; avec elle tout passe. Un tel poème, q
rance et l’outrecuidance de quelques prétendus savants, la clarté, la
grâce
et l’esprit sont un obstacle plutôt qu’un avantag
igne, beaucoup de science nous ramène au sentiment des beautés ou des
grâces
domestiques ; et alors l’élégie de Parny, vue à s
nce et atteinte de sécheresse. Parny s’en sert avec élégance, pureté,
grâce
, mais une grâce qui n’est pas la divine et la sup
de sécheresse. Parny s’en sert avec élégance, pureté, grâce, mais une
grâce
qui n’est pas la divine et la suprême. En un mot,
Parny, demi-Tibulle, écrivit mollement Des vers inspirés par les
Grâces
Et dictés par le sentiment. Le mot est juste
énelon eût osé davantage, au moins dans les portions de naïveté et de
grâce
simple : La Fontaine cheminait, mais d’instinct s
omparable poésie proclamée si unanimement un modèle de grandeur et de
grâce
, on peut aller très-loin, beaucoup plus loin qu’o
s, mais aussi que la multitude d’efforts, de souplesses de tour et de
grâces
de langue qu’il faudrait retrouver ou acquérir en
eté dans le sentiment et dans l’expression, qui se joint si bien à la
grâce
et qui ajoute aussi au pathétique et à la grandeu
e sacrée des Muses, et toi, babillarde Sirène, ô Bacchylide, et vous,
grâces
éoliennes de Sapho ; pinceau d’Anacréon ; toi qui
sé avec les Muses, et ma première course s’est faite en compagnie des
Grâces
Ménippées. Que je sois Syrien, qu’y a-t-il d’éton
e distique de Méléagre, dont voici le sens, privé du rhythme et de la
grâce
concise : « Si je regarde Théron, je vois l’Unive
ur d’imagination hardie et vive. C’est lui qui a dit : « Il y a trois
Grâces
, il y a trois Heures, vierges aimables ; et moi,
en arracher, et souvent il y faut employer les ongles, ce qui gâte la
grâce
. On peut dire encore de ces courtes et vives sail
’ont donné en partage, ô Zénophila, le sceptre des Désirs ; les trois
Grâces
t’ont donné leurs dons. » Et il explique de toute
qui darde le désir, ce charme surtout qui l’arrête : beauté, muse et
grâce
. Il va cueillir les images les plus fraîches et l
ment le doux langage, la voix pareille à un chant ; elle possédait la
grâce
enchanteresse et cette Persuasion ou séduction (P
l’image et aussi pour le sentiment à cette autre d’Asclépiade : « De
grâce
, ô Couronnes, restez-moi là suspendues à cette po
l respecta la décence ; chantre de l’Amour, il n’effaroucha point les
Grâces
. Ses goûts s’annoncèrent dès son enfance ; il par
galante. Il composa pour elle une foule de petits ouvrages remplis de
grâce
et de fraîcheur. On n’y voit point le poëte court
éger dans cette enceinte en même temps que son bienfaiteur. Comblé de
grâces
et de faveurs, M. Laujon avait acquis une fortune
primait avec cette pureté de langage était l’asile de l’esprit et des
grâces
; le pays qui produisait de pareils chefs-d’œuvre
mite que les ridicules et les vices, sans en emprunter l’éclat et les
grâces
; enfin, le noble se dégrade, et le bourgeois ne
à l’esprit d’observation ; le précieux, au naturel ; la manière, à la
grâce
. Des esquisses agréables, des miniatures charmant
tirer d’une de ces difficultés dont il triomphe toujours avec tant de
grâce
. Le jugement, d’ailleurs, vu hors du cadre, et si
cane les vers cités, on en conteste la langue ; rarement on leur fait
grâce
. Et qui, dans l’Académie, prend donc la défense d
été dits il y a beau jour. Mais vivant, mais brillant d’esprit et de
grâces
, on l’aimait, on jouissait de lui jusque dans ses
eu de la malice du dernier ; mais il en avait aussi l’innocence et la
grâce
. Il était fort bien fait, et aimait assez à voir
cile, spirituel aux endroits difficiles, correct en général, et d’une
grâce
flatteuse à l’oreille ; mais la belle peinture de
ysique, chimie, etc. Tout ce qu’on saurait imaginer de ressources, de
grâces
, de facilité, de hors-d’œuvre et de main-d’œuvre
le plus piquant des portraits24 : « … Rien ne peut se comparer ni aux
grâces
de son esprit, ni à son feu, ni à sa gaieté, ni à
ez semblable à l’abbé Delille. Elle peignait tout avec une singulière
grâce
, les personnes, les cascades, d’après nature ou d
plaisantes ; ils échangèrent leurs tabatières40 ; ce fut un assaut de
grâce
; du coup, un bourgeois, là présent, eut presque
mince et poli, Que le grand homme est devenu joli. Ainsi masquant de
grâces
fantastiques Le noble auteur des douces Géorgique
ette image et ce vers tout poétique, tournure imprévue, concise et de
grâce
suprême, comme André Chénier fait souvent ; oubli
couronnes. Ainsi il alla gardant et multipliant en quelque sorte ses
grâces
incorrigibles jusque sous les rides49. Cette sémi
tirer d’une de ces difficultés dont il triomphe toujours avec tant de
grâce
. Le jugement, d’ailleurs, vu hors du cadre, et si
cane les vers cités, on en conteste la langue ; rarement on leur fait
grâce
. Et qui, dans l’Académie, prend donc la défense d
ni grande ni large ; que souvent même elle est froide et pénible. La
grâce
paraît être son caractère distinctif, mais c’est
pénible. La grâce paraît être son caractère distinctif, mais c’est la
grâce
plus ingénieuse que naturelle de Boucher. Souvent
éocrite ; elle se trouve ainsi comme encadrée entre la grandeur et la
grâce
, et celle-ci, pour en être à faire les honneurs d
ieux poëte du seizième siècle (Pontus de Thyard), ayant à définir les
Grâces
, l’a fait en des termes qui reviennent singulière
en des termes qui reviennent singulièrement à ma pensée : « Des trois
Grâces
, dit-il, la première étoit nommée Aglaé, la secon
Euphrosyne. Aglaé signifie splendeur, qu’il faut entendre pour celle
grâce
d’entendement qui consiste au lustre de vérité et
nqueur, dont aucun n’est vaincu. J’allais dire que rien n’égale cette
grâce
de la sixième idylle, mais Théocrite lui-même l’a
échange et un entrelacement de toute sorte de bon vouloir et de bonne
grâce
. Tout enfants qu’ils sont encore, ils parlent d’a
’élance d’un cœur que pénètre le culte du talent, de la poésie et des
grâces
. Il est une idée qui naît à ce propos et qu’on ne
nt à ta manière, je ne la puis rendre. On trouverait de ces traits de
grâce
amoureuse dans presque toutes les idylles de Théo
trouvé une occasion de raillerie dans cette irrégularité qui est une
grâce
. Nous en sommes au moment où Delphis prend la par
hôte Nicias et d’en être fêté en retour, — Nicias, rejeton sacré des
Grâces
à la voix aimable ; et toi, ô Quenouille, toute d
r on se dira l’un à l’autre en te voyant : « Certes il y a bien de la
grâce
, même dans un petit présent ; et tout est précieu
qui appartient bien certainement à Théocrite encore, est intitulé les
Grâces
ou Hiéron. Cette expression de Grâces était très-
ocrite encore, est intitulé les Grâces ou Hiéron. Cette expression de
Grâces
était très-générale et très-large chez les Grecs
très-large chez les Grecs ; elle signifiait à la fois les actions de
grâces
qu’on rend, les bienfaits qu’on reçoit, et aussi
de grâces qu’on rend, les bienfaits qu’on reçoit, et aussi ces autres
Grâces
aimables qui ne sont pas séparables des Muses. D’
bité dans l’ingrate bourgade. Oui, bien souvent, comme il le dit, ses
Grâces
, qu’il envoyait dès l’aurore tenter fortune le lo
resse et son roi. Il fut poëte autrement qu’Eschyle et Tyrtée. Par la
grâce
naïve, par l’inspiration spirituelle et tendre, p
jour De chaînes de roses Amour ; Et, pour le garder, le donnèrent Aux
Grâces
et à la Beauté, Qui, voyant sa desloyauté, Sur Pa
devient un écueil. La brièveté de l’idée originale fait partie de sa
grâce
; et chaque chef-d’œuvre ne contient, pour ainsi
n puisse dire : A la rose, qu’il entrelace, Vois-tu combien donne de
grâce
Ce lys éclatant de blancheur ? On entrelace le l
bé et ne put cacher son enthousiasme pour sa beauté corporelle et les
grâces
de son gentil esprit. Pelletier composa, à cette
chimériques d’un Benserade, lorsque ce rimeur prenait pour thème les
grâces
de la célèbre et vertueuse Julie d’Angennes, gloi
notre belle poétesse. Il l’aima avec emportement sinon toujours avec
grâce
. Car il est vrai qu’il chansonna le mari sans goû
Herme, de Cypre, et du sein de l’Aurore, Des rayons du Soleil, et des
Grâces
encore, Ces attraits et ces dons, pour prendre ho
oète, mort à la fleur de l’âge, était plein de mérite. Il joignait la
grâce
de la naïveté et la pompe des ornements. Lisez so
elle poétesse mêlait sa douce voix aux sons des instruments, avec une
grâce
divine. Puis on dissertait, tout en faisant colla
; Tant que ma main pourra les cordes tendre Du mignart Lut, pour tes
grâces
chanter ; Tant que l’esprit se voudra contenter D
r sa jeunesse et son esprit accompagnés déjà de plusieurs et diverses
grâces
et faveurs de la fortune. Suit un subtil éloge du
, d’en mettre en lumière un autre qui soit mieus limé et de meilleure
grâce
. Dieu vous maintienne en santé. » Cette épître e
ts et la trousse ? Ici le ciel libéral me fait voir En leur parfait,
grâce
, honneur et savoir, Et de vertu le rare témoignag
Espagne est vassale Et ce qui fit priser Pétrarque le mignon C’est la
grâce
des vers qu’il prit en Avignon. Vauquelin de la
Et qui m’ouvris la fantaisie De trouver quelque poésie Qui peust tes
grâces
contenter ?… Nous avons mieux pour confirmer l’
s délicat chez Mellin. Voici un dizain de sa façon qui n’est pas sans
grâce
: Près du cercueil d’une morte gisante, Mort et
me fleur du printemps, En un temps Perdit la vie et la
grâce
… Puis le poète prédit au futur Roi que menant le
gochronien : Certes je les dirais du sang Valésien, Qui de beauté, de
grâce
et de lustre ressemble Au Lys qui naist, fleurit
t si on ne dit absolument que le jugement lui manque, c’est lui faire
grâce
de se contenter de dire que, dans la plupart de s
deux boutons que leur châsse environne. De Junon sont vos bras, des
Grâces
votre sein ; Vous avez de l’Aurore et le front et
e couleur, Quand l’aube de ses pleurs au point du jour l’arrose ; La
grâce
dans sa feuille, et l’amour se repose, Embaumant
lay, il ne faut pas en penser tant de mal. Il y a dans ces vers de la
grâce
, et déjà le style y met de la décence dans la nou
r, les paroles divines, L’habit qui ne tient rien de l’impudicité, La
grâce
, la jeunesse et la simplicité, Me desgoutent, Bou
rfum adoucy De l’enfant de la Cyprine, Quand par la troupe divine Des
Grâces
il danse aussi… Un ancien a dit : « La rose ne
age D’un beau cep favorisé, D’un beau cep qui l’entortille, Et qui de
grâce
gentille A son tige éternisé ; Et, prenant l’hal
uleur en qui se représente Le fard qui rajeunit les ans, Lors que les
Grâces
par la prée Troussent leur robe diaprée Des honne
Printemps. Couleur, dont jamais ne s’efface Le teint verdoyant ny la
grâce
, Peignant l’air de son lustre beau, Qui n’affaibl
Jodelle Jacques Tahureau chanta Estienne Jodelle, en jouant avec
grâce
sur l’anagramme de son nom : Quand tu nasquis en
le. Mais, bien qu’il surpassât la plus parfaite image, Qu’il eust la
grâce
douce et le visage beau, Le teint frais et douill
d, si tu as sçeu par tout le monde espandre L’amitié, la douceur, les
grâces
, la fierté, Les faveurs, les ennuys, l’aise et la
re perfection n’imite que les Dieux. J’estime la grandeur une céleste
grâce
; Ce don n’est rien, s’il n’est d’autres dons d
si la rose… Certes, les sonnets amoureux de Ronsard sont remplis de
grâce
, et ses belles chansons montent à tire-d’aile. Ce
composée En un corps chaste, où vertu reposa, Est en ce lieu, par les
grâces
posée, Parmi ses os, que beauté composa. O terre
ler comme le vin nouveau, après avoir mis son cœur en sûreté. Mais la
grâce
et le charme captivant abondent dans l’œuvre de l
Dames des Roches : A UNE AMIE Las ! où est maintenant ta jeune bonne
grâce
Et ton gentil esprit plus beau que ta beauté ? Où
e l’envieux Mellin de Saint-Gelais ; nous l’avons entendu célébrer la
grâce
de ce pin de Bourgueil, de cette belle Marie, et
dure Notre jeune printemps. Ce Gilles Durant est vraiment plein de
grâce
, de finesse, de sage mélancolie. Il est maître de
nourri fleurisse vigoureux, Qu’elle songe que peut la fraîcheur de sa
grâce
… Et s’elle vient à voir quelque fleur fanissante
, Soit son fils le maistre des dieux ! Le jeu sans vous n’a point de
grâce
, Et sans vous, Grâces, le plaisir Ne peut plaire
istre des dieux ! Le jeu sans vous n’a point de grâce, Et sans vous,
Grâces
, le plaisir Ne peut plaire en aucune place, Ny co
n petit vase de miel roux. Afin qu’il vous plaise d’espendre Tant de
grâce
en mes petits vers, Que Marguerite puisse prendre
coulant est bridé de la glace, Et que le champ demeure orphelin de sa
grâce
, Et les bois d’alentour sont des vents abattus, Q
reçue et à la religion du prince (Dieu ne m’avait pas encore fait la
grâce
de me recevoir au giron de son Eglise), Clitiphon
Deux Sosies, il y a un prologue fort gracieux, et des vers émus avec
grâce
dans le rôle d’Alcmène ; les scènes comiques sont
a pas moyen, pour Corneille, lorsqu’il se trompe de se sauver par la
grâce
, et que la séduction de Racine ne connaît pas d’o
nu plus puissant et plus fort Que la raison ; cet ordre accompagné de
grâces
, Ne laissant rien de libre au cœur ni dans l’espr
e chaque quartier. C’est ainsi que le surintendant obligeait avec une
grâce
extrême ; et le poète ne manqua point de goûter l
bon tour, Avec l’infante enlève à la Castille Les Jeux, les Ris, les
Grâces
, et l’Amour. Vous connaissez l’Épitaphe d’un par
ins pour moi tu te surpasses ; Clarice est en mon âme avec toutes ses
grâces
; Je m’en fais des tableaux où tu n’as point de p
rétien. En cela je plains son zèle ; Et ne sais au par-dessus Si les
Grâces
sont chez elle ; Mais les Muses n’y sont plus. S
eurs, sur le genre, ses théories, et il les coulait en rimes : Si la
Grâce
ne l’assaisonne, Malgré tout l’éclat d’un bon mot
a gente naïveté. On quitte parfois la Beauté, Jamais on ne quitte les
Grâces
. L’Épigramme est plus qu’un bon mot ; Or, si de
es effeuillée dans ses cheveux aux boucles folles. C’est une nouvelle
grâce
qui se révèle et qui semble, même avec ce petit s
licat et si joliment animé par toutes les coquetteries du cœur, de la
grâce
et du goût !… » Et ce qui suit, car ils n’en ont
le devine aisément, pour peu qu’on l’observe. Ses gestes ont tant de
grâce
, ils sont si naturels et si parfaitement d’accord
ssade. Je n’ai sûrement pas réussi, quoiqu’on ne m’ait montré que des
grâces
. Je crois qu’en tout elle aura été assez contente
ançaise, à la veille du jour où tout allait se confondre et s’abîmer.
Grâce
à elle et malgré les souvenirs de licencieuse jeu
âtées, y aidaient plutôt (car on la savait d’une expérience suprême),
grâce
donc à la maréchale de Luxembourg, l’ancienne soc
nité elle-même, comme l’ont dit MM. de Goncourt, était faite toute de
grâce
. Elle donnait l’exemple, en même temps que le pré
e même dans les choses légères, et qu’on ne professe ni le tact ni la
grâce
. La maréchale de Luxembourg aurait désavoué une p
é par le goût, par l’autorité, par la concision ornée et une sorte de
grâce
imposante, comme une autre maréchale de Luxembour
ssivement, on le vit d’ailleurs porter le même esprit de légèreté, de
grâce
, d’étourderie spirituelle. Sa vie ressemble à une
l’avait au plus haut degré, et une riche dentelle qu’il revêtait avec
grâce
était pour lui un sujet de satisfaction et de tri
es, fuyant peut-être ses créanciers, et croyant suivre un rayon de la
grâce
. On a l’agréable relation de son voyage et de ses
éjà quel est ce genre d’esprit vif, badin, curieux, étourdi, plein de
grâce
, et se faisant beaucoup pardonner quand on rappro
pression de l’abbé de Choisy est gaie, légère, et a quelque chose des
grâces
de l’enfance. Son esprit et sa plume semblent avo
sure qu’il approche du lieu de sa mission, Dieu lui fait de nouvelles
grâces
et lui donne de nouveaux talents. Car enfin, nous
. » Choisy est modeste, il ne se fait point valoir, et c’est une des
grâces
de son esprit de ne jamais prétendre à plus qu’il
. Duclos l’a bien défini un écrivain agréable, et dont le style a les
grâces
négligées d’une femme. Choisy a, de plus, cette e
l’Église, en onze volumes in-4º, se prit à dire pour dernier mot : «
Grâce
à Dieu, mon Histoire est faite, je vais me mettre
raison, qui faisait le péril, il opposa fortement les doctrines de la
grâce
et de la Providence. Par l’une, il soumettait à D
aine admettait une coopération mystérieuse de la liberté humaine à la
grâce
divine dans l’œuvre du salut332, Jansénius333 sup
ut332, Jansénius333 supprimait le libre arbitre pour donner tout à la
grâce
, et enseignait la prédestination, qui sépare les
evés334 et servirent d’asile aux solitaires, aux hommes saints que la
grâce
avait touchés, et qui, sans se lier par aucuns vœ
se résigne à ne pas lever, qu’ils ont élevé la toute-puissance de la
grâce
sur les ruines du libre arbitre ; leur doctrine e
, et enfin l’insoluble mystère — psychologique ou théologique — de la
grâce
amenèrent la crise définitive : cette nuit du 23
ient un signe de son élection : il les redoublait, croyant aider à la
grâce
et collaborer à la miséricorde de Jésus. Il s’ing
tre premières Provinciales traitent de la censure d’Arnauld, et de la
Grâce
: puis Pascal élargit le débat, et va à l’essenti
ar il est certain que la vie chrétienne est le but, et le dogme de la
grâce
un moyen. Mais alors, ne peut-on chicaner Pascal
r de croire n’est pas croire : on ne croit pas à volonté ; il faut la
grâce
. En attendant qu’on l’ait, et qu’on croie, on se
s habitudes ne fassent pas obstacle aux mouvements de l’âme, quand la
grâce
l’inclinera. Ces discours montrent qu’il peut y a
les l’option entre les systèmes qui concilient le libre arbitre et la
grâce
, celui de saint Thomas, où domine la grâce, et ce
ent le libre arbitre et la grâce, celui de saint Thomas, où domine la
grâce
, et celui du jésuite Molina, où domine la liberté
, lorsque je vois un critique aborder sur ce ton des œuvres toutes de
grâce
et d’élégance, j’entre aussitôt en une méfiance e
n un mot, M. remy paraît ne tenir aucun compte chez les Anciens de la
grâce
, de la légèreté et de la finesse. L’Oaristys, qui
que amant des loisirs studieux Chercher quelle fut cette belle : La
grâce
décorait son front et ses discours, Et comme elle
ité littéraire. » Quel style, et au moment où l’on se fait juge de la
grâce
elle-même ! Le critique veut absolument imiter ic
rencontré ici un moins bon style : cela porte malheur de médire de la
grâce
. Le critique, en voulant rapprocher, sans justice
légères, dans ce tour sévère et accompli qui achève la couronne de la
grâce
elle-même, qu’avait-on, depuis longtemps, à citer
et c’est pour l’illustre Dioclès qui s’est appliqué à ce souvenir de
grâce
. Il y a entrelacé beaucoup de lis d’Anyté et beau
une situation moins extrême, la jeune fille de Chénier se plaint avec
grâce
surtout, comme une cadette aimable, comme pourrai
les jours en plus de confusion qu’il n’y en eut jamais à Babylone. —
Grâce
à Dieu, répondit peu galamment don Louis (je ne m
était jeune, belle, de beaucoup d’esprit, avec beaucoup de monde, de
grâce
et de langage. » Elle recourut à la protection de
ement noble, quelque chose de majestueux en tout son maintien, et des
grâces
si naturelles et si continuelles en tout, jusque
t bien venir de ses nouveaux sujets et chérir du peuple espagnol. Les
grâces
et l’esprit de cette reine enfant n’y auraient pa
me des Ursins fut de savoir en si peu de temps tirer si bon parti des
grâces
et de l’affabilité de la reine, qu’elle la rendit
une victorieuse qui avait raison de ses ennemis. On la vit comblée de
grâces
et de marques de distinction « comme pas une suje
les en qui la joie de plaire et le sentiment du succès redoublent les
grâces
. Ce léger éblouissement qu’elle éprouvait peut-êt
rendait en mille étincelles. Louis XIV lui-même fut séduit et par la
grâce
et par la capacité. Il s’était attendu, d’après t
ne veut être malade ; mais ici, m’a-t-on assurée qu’elle a fort bonne
grâce
et devient plus belle que n’a été Mlle d’Angoulêm
e qu’à son avis la princesse avait tenu tout ce propos plus par bonne
grâce
et par manière de conversation que par créance :
il me semble, au contraire, qu’il y a ici croyance à la fois et bonne
grâce
, convenance de la femme délicate et de l’âme pieu
voir fait attendre quelquefois les religieux qui s’y prêtent de bonne
grâce
. Ainsi s’écoule le temps sans que personne croie
Nicolette, il dut y avoir aussi toutes les délicatesses et toutes les
grâces
qu’on peut désirer en causant. Mais, à prendre le
’agréables vers souvent cités : Qui pense finement et s’exprime avec
grâce
Fait tout passer, car tout passe ;
ermain. Voire s’il peut, sans attendre à demain, Il vous priera d’une
grâce
lui faire, Qu’une heure avant eût désiré de taire
c sa pensée : Esprits charmants et légers qui fûtes de tout temps la
grâce
et l’honneur de la terre de France ; qui avez com
t noble de l’astronomie, l’ingénieux auteur de systèmes défendus avec
grâce
, avec goût, et où lui-même il mêle un sourire. Ba
la gaieté moins libre commençait à lui céder l’empire. Il retrouva la
grâce
, la légèreté qui sont inséparables de notre natio
loger d’emblée en Sibérie : J’ose toujours, monsieur, vous demander
grâce
pour les brachmanes. Ces Gangarides, qui habitaie
nheur de cet à-propos et qui en profita, n’y donna d’ailleurs qu’avec
grâce
, légèreté, et en homme tout à fait d’esprit. Il i
ommencé par inventer ces emblèmes ingénieux de Vénus, de l’Amour, des
Grâces
, en sachant que ce n’étaient que des emblèmes, ab
crédit. Bailly entrait dans la plaisanterie et répondait avec bonne
grâce
: Permettez-moi de vous observer que le Tartare
de la chronologie des Indiens, ses discours écrits et prononcés avec
grâce
se faisaient écouter avec plaisir. Il en était de
hnis, pour y retrouver, comme dans une petite épopée finale, toute la
grâce
, toute la tradition, la fleur suprême, en un mot,
eur avec une complaisance et un détail explicatif qu’il faut toute sa
grâce
et le passeport de l’Antiquité pour faire excuser
fait est celle que nous a rendue si souvent le pinceau de Prud’hon :
grâce
, vénusté, une douceur un peu moelleuse ; innocenc
hi : précaution légère et pourtant assez marquée, qui semble demander
grâce
pour la fiction elle-même, et qui est de nature à
souffle antique a respiré une dernière fois dans sa pureté et dans sa
grâce
, avant de s’exhaler. Un jour (c’était un an avant
avertissent que j’ai affaire, malgré toutes les Nymphes et toutes les
Grâces
, à un niveau de civilisation inférieure et dure.
bien voir le mérite de composition, de la peinture des caractères, la
grâce
, la finesse, enfin toutes les qualités du poème,
é, par de certains airs frivoles qui se rejoignent insensiblement aux
grâces
sérieuses, tiennent assez bien le milieu entre le
Chambre des lords, dont le cadre convenait mieux peut-être à la bonne
grâce
, à la finesse et à l’urbanité de son éloquence. I
te, et si Chesterfield, dans le cas particulier, insiste tant sur les
grâces
des manières et sur l’agrément à tout prix, c’est
découragé, inépuisable à semer sur ce sol ingrat les élégances et les
grâces
. Non pas que ce fils, objet de tant de culture et
des témoignages plus justes, que M. Stanhope, sans être un modèle de
grâce
, avait tout l’air, en réalité, d’un homme bien él
ira vos manières, il vous poussera à chercher et enfin à acquérir les
grâces
. » Mais, sur ce dernier point, il se montre exige
is, sur ce dernier point, il se montre exigeant et sans quartier. Les
grâces
, c’est à elles qu’il revient toujours, car sans e
ion est intéressée. Si vous voulez gagner en particulier les bonnes
grâces
et l’affection de certaines gens, hommes ou femme
es, et elle captivera les chevaucheurs de nuées et de chimères par la
grâce
imprévue et troublante de ses travestis, évoquant
lugubre salon Sur le blond fils de l’Aigle a refermé ses portes. Une
grâce
de femme est dans ces trois enfants : C’est que t
nfants : C’est que tous trois sont faits, vaincus ou triomphants, Des
grâces
de Sarah qui fait toutes les femmes. Et Phèdre e
nnaissons bien Mme de Sévigné. En parlant d’elle, on a à parler de la
grâce
elle-même, non pas d’une grâce douce et molle, en
En parlant d’elle, on a à parler de la grâce elle-même, non pas d’une
grâce
douce et molle, entendons-nous bien, mais d’une g
, non pas d’une grâce douce et molle, entendons-nous bien, mais d’une
grâce
vive, abondante, pleine de sens et de sel, et qui
ais elle peut en être rapprochée sans injure pour l’esprit et pour la
grâce
. La marquise de Courcelles, née Sidonia de Lenonc
releva jamais. Réfugiée à Genève, elle put séduire un moment, par sa
grâce
et son hypocrisie charmante, nobles, bourgeois et
rande dame, tandis que la pauvre Sidonia, avec tout son esprit et ses
grâces
, a fini comme une aventurière. Encore une fois, s
es deux figures sont de chair ; mais elles n’ont ni l’élégance, ni la
grâce
, ni la délicatesse qu’exigeait le sujet. L’Amour
sse dans le caractère de la tête ? je demande si cela y est. Toute la
grâce
possible dans les bras et dans leur action ? je d
est simple ; sa taille élégante et légère. Ce sont l’innocence et la
grâce
même. Le vieil évêque a le caractère qu’il doit a
t un mauvais drôle De rendre ainsi les pauvres femmes folles. La
grâce
, quel mot divin en tous sens : dans la grâce, il
vres femmes folles. La grâce, quel mot divin en tous sens : dans la
grâce
, il y a le don et la volupté du don. Mais elle es
n fait le don de soi à la lumière, pour s’accomplir et non perdre. La
grâce
est une source d’amour, partant de la joie. La gr
t non perdre. La grâce est une source d’amour, partant de la joie. La
grâce
est sans salaire. Si la beauté est un chant, la g
de la joie. La grâce est sans salaire. Si la beauté est un chant, la
grâce
en est l’harmonie. La grâce est le sourire, jusqu
ns salaire. Si la beauté est un chant, la grâce en est l’harmonie. La
grâce
est le sourire, jusque dans les pleurs et la méla
tout bienfait. La beauté se distingue de l’admire. Sans s’offrir, la
grâce
se propose et l’on ne saurait plus la quitter. Da
se propose et l’on ne saurait plus la quitter. Dans un être plein de
grâce
, un doux conquérant donne la main à je ne sais qu
est comblé. Que cette générosité sans borne est merveilleuse ! Que la
grâce
est donc du génie, et qu’elle est vraiment gratui
t à ce qu’ils font volontiers : ils ne se sont pas encore élevés à la
grâce
. On a trop affaibli ce mot céleste ; pour moi, il
e une enveloppe spirituelle. Il promet la tendresse et la volupté. La
grâce
est la sérénité visible. Musique Jeunes fill
ante générosité. Elles meurent en même temps et du même coup que leur
grâce
de pressentiment. Les hommes meurent aussi à ving
oire du vulgaire où tout est enchaîné. La poésie est le royaume de la
grâce
. Rien n’est plus vrai que les peintures et les an
leur choix. Eux et elles, cette idée les venge ensemble des maris. La
grâce
de Shakespeare me semble faite de ce don adorable
otre amour comme le Sire de la Triste Figure saluant la princesse des
Grâces
dans une fille de ferme et l’impératrice de toute
oulevard Barbès pour t’installer dans cette rue Ravignan dont le nom,
grâce
è toi, gardera une saveur spéciale dans la mémoir
it sa place, il perdit Léonie, sa maîtresse, puis il fut frappé de la
Grâce
et ne quitta plus le ciel qui, après un court séj
rd : Ici l’orgie funèbre secoue ses chaînes d’or Et pourri sous la
grâce
de tes Jupes curules, Hétaïre, en ces caves, per
Filmsaq. — Paul Dermée (Esprit Nouveau). — Voilà un livre curieux.
Grâce
à lui, tout le monde pourra constater que les « c
iste datent notamment Celui qui se débat. Hymne à Kleist (1911) et La
Grâce
d’un printemps (1912). (NdE) bi. August Stramm (
eux poésies dans le monde, — la poésie de la Force et la poésie de la
Grâce
. Or, si l’une est la plus belle, l’autre est la p
charmante. Poétiquement, Jules de Gères appartient à la poésie de la
Grâce
. Il a dans sa manière bien plus de la gazelle que
uscle de la Force peut saillir tout à coup dans le doux contour de la
Grâce
, et créer alors cet hermaphrodisme divin dont les
cet hermaphrodisme harmonieux qui vient de la Force saillant dans la
Grâce
, mais il n’en appartient pas moins exclusivement
de rougissant, même de farouche dans la timidité, qui est souvent une
grâce
de plus, et je trouve cette timidité de gazelle d
le métier même. Il l’applique d’abord au plus triste des sujets, à la
Grâce
. C’est par où il débute, dans un temps qu’il se c
le beau monde par le succès d’Œdipe. Le bon sujet Racine, poète de la
Grâce
et non des Grâces, reçu à l’Académie des Inscript
le succès d’Œdipe. Le bon sujet Racine, poète de la Grâce et non des
Grâces
, reçu à l’Académie des Inscriptions dès 1719, éta
ent d’eux-mêmes. Les vers de Racine, au contraire, et son poème de la
Grâce
, si longtemps retardé, et son poème de la Religio
; mais il n’y a rien de bien vif ; jamais une vraie gaieté, une vraie
grâce
. Quoi ! pas une grâce ? me dira-t-on, et ce portr
e bien vif ; jamais une vraie gaieté, une vraie grâce. Quoi ! pas une
grâce
? me dira-t-on, et ce portrait, donc, d’une de se
père ! « … Il n’est pas possible d’être plus dénué de toute espèce de
grâces
que l’était Racine le fils. Il avait l’air d’une
s toutes ces pièces, et avec des qualités différentes d’énergie ou de
grâce
, d’élévation ou de tendresse, le poète ne fait au
Elle est ! elle est à Dieu qui la dispense au monde, Qui prodigue la
grâce
où la misère abonde : Rendons grâce à lui seul du
s, qui ont analysé et décrit psychologiquement les divers états de la
grâce
. s’accordent à reconnaître, jusqu’à un certain po
e triste ? Voilà ce que se demande le poète à une de ces heures où la
grâce
est en défaut, et où nous tombons dans le délaiss
un déclamateur oisif qui se tourmente pour des sons, avide de petites
grâces
et de faux ornements, plein de mollesse dans son
les plaisirs d’Athènes, un peuple facile, un caractère brillant, les
grâces
jointes à la valeur, la volupté mêlée quelquefois
. Un autre grand mérite de cet orateur, c’étaient des finesses et des
grâces
de style ; or, ces finesses et ces grâces tiennen
étaient des finesses et des grâces de style ; or, ces finesses et ces
grâces
tiennent ou à des idées ou à des liaisons d’idées
le bienfait de la lumière du soir, mais, quand elle paraît, de rendre
grâces
. Quel est l’auteur de cet hymne qui retentit lors
ateurs de Dieu, Christ Jésus, lait céleste répandu des mamelles de la
grâce
divine, c’est-à-dire des sources de la sagesse !
» Et alors s’élevait cet hymne de reconnaissance : « Nous te rendons
grâces
, Seigneur, Dieu des vertus ! de nous avoir jugés
chrétien, et même un Ménandre chrétien, par une pieuse imitation des
grâces
de langage, et de la tendresse naturelle au style
emble parfois s’étonner la langue grecque, et qui lui vient comme une
grâce
nouvelle, étrange et un peu sauvage. Sous l’influ
pliant à ces nouveautés étranges pour lui, et les parant encore de sa
grâce
poétique ? Ainsi, dans des hymnes sans exemple, r
lents hexamètres, peut n’avoir été que la prière propre, l’action de
grâces
solitaire de l’ancien évêque, au lever du jour, d
roi. « Ô Père, sois-moi propice, pour me faire trouver miséricorde et
grâce
. À toi la gloire et la reconnaissance, à travers
es ses douleurs, n’étaient que des occasions de culte et d’actions de
grâces
. C’est ainsi que, dans les nombreuses poésies de
Christ qui vois tout, mon humble prière ; accorde à ton serviteur la
grâce
de la parole céleste. Il peut porter ses pas jusq
repentir, sans désaveu secret, pour le brillant orateur si touché des
grâces
de la parole et si puissant par elles. À quelques
ace de son langage, partout elle est élégante, neuve, singulière avec
grâce
, pleine du sentiment de la nature, et çà et là de
de Dieu, magnificence des villes ! Arrière, malédictions charmantes,
grâces
funestes, par lesquelles la terre attire l’âme sé
dées par Molière, en l’an d’esprit, de génie et de grandeur : l’an de
grâce
1666 ! Au moment où j’écris ces pages funèbres, d
nt petits, ses jambes étaient grêles, sa tête était énergique et sans
grâce
; son visage… ni grec, ni romain. — Il ressemblai
ataire. Il se rappelle Damas, intelligent et plein de zèle, mais sans
grâce
et sans goût, poussant le travail jusqu’à la grim
t pas tout à fait dans son emploi, Dazincourt y mettait plus de bonne
grâce
que d’abandon. On voyait qu’il n’avait pas cherch
, tant que ces interprètes sont à l’œuvre, n’en puissent affaiblir la
grâce
, l’intérêt et la grandeur ! Ses ruines même ont u
ffaiblir la grâce, l’intérêt et la grandeur ! Ses ruines même ont une
grâce
ineffaçable. En vain, la misère et le haillon env
burlesques, quelquefois éloquentes, à cette malice sans fiel, à cette
grâce
sans art ; facile et fugitive conversation d’un b
trésors inestimables : la joie et l’esprit, la gaieté, le hasard, la
grâce
et la faveur des Bohémiens, ils en ont l’insoucia
l’a parte de la Comédienne. Lucile. Vous pouvez faire aux miens la
grâce
tout entière Monsieur, et m’épargner encor cette
rme, en ce temps-là, le théâtre n’était pas ce qu’il était en l’an de
grâce
1840. Il n’avait entendu parler ni du prix de ver
ria l’acteur. Ah ! vraiment vous ne connaissez guère Melchior Zapata.
Grâce
à Dieu, je n’ai point un esprit à contre-poil. J’
s. » Voilà certes de la gaîté, de l’esprit, de l’abandon, de la bonne
grâce
, de la belle humeur la plus jeune et la plus limp
sée, aussitôt le comédien reparaît, et à force de naturel et de bonne
grâce
, il vous a bientôt fait oublier les embarras du p
n’est pas sans charme, dont les brusques mouvements ne sont pas sans
grâces
! Heureux s’il n’avait pas entendu parler d’un po
ans un siècle où chacun parle partout et toujours ! y pensez-vous ? —
Grâce
à tant de progrès proclamés chaque jour, maître P
peste à Florence, description si terrible que même avec toutes leurs
grâces
, leur éclat printanier, leur adorable et amoureus
ajesté. Alors Gillette s’adresse à chacun de ces jeunes gens avec une
grâce
et une coquetterie charmantes. — Monseigneur, dit
ble de Marivaux, de Molière et de Beaumarchais. Il avait l’esprit, la
grâce
, et le sourire, et le bon mot. Il était fin, lége
en cet instinct est chose fragile ! Monrose ne vit plus ; il rêve… De
grâce
et par pitié ne le réveillez pas ! Respectez ce c
vains français, des preuves plus signalées de zèle, d’amitié de bonne
grâce
que M. le docteur Blanche, expiré dans cette mais
t sans pitié pour les humiliations méritées, autant il était plein de
grâce
et de bienveillance paternelle pour l’artiste déc
alerte comme son esprit ! Personne, mieux que lui, ne comprenait les
grâces
du style, les finesses du dialogue ; pour qu’il f
t un sauve-qui-peut général, mais c’est l’alerte sauve-qui-peut de la
grâce
, de l’esprit et de la bonne humeur. Pourtant il y
duite en vers, par un poète de Rouen, M. Édouard Neveu, mort, l’an de
grâce
1852, à l’Hôtel-Dieu, sur le lit même de Gilbert.
à coup sûr, le rôle le plus charmant qui soit sorti, tout paré de ses
grâces
naturelles, du cœur et de la tête de Molière. La
aille, à la jeunesse, à la gaîté de mademoiselle Brohan, la vie et la
grâce
et la charme de cette génération nouvelle de jeun
ingénuité hardie à la défense et prompte à la réplique ; avec quelle
grâce
et quel naturel parfait elle écoutait ces folies
veilleuse ! A-t-on jamais vu, je vous prie, une fantaisie où la bonne
grâce
et l’éclat se rencontrent, plus complètement, en
laisamment devant Molière. Il faudrait leur donner aussi l’esprit, la
grâce
, l’abandon, la politesse de ces belles époques ;
t haut cette gaieté correcte et retenue en ses plus vifs excès, cette
grâce
élégante qui fait tout accepter, ce vers ingénieu
its de tous les temps. Toutefois, quelles que soient l’urbanité et la
grâce
décente de notre poète, vous n’empêcherez pas qu’
ent on se rend maître absolu de ses emprunts et comment on copie avec
grâce
; homme nécessairement médiocre et sans invention
Tout ce personnage de l’affranchie amoureuse est ainsi conçu avec une
grâce
, une décence, une réserve inconnues aux Romains.
ce jeune Chrémès, pour sa bonne humeur, pour sa vivacité et sa bonne
grâce
, est bien un enfant de Térence. Cette jeune fille
-la-moi rencontrer, ô mon cher Parménon ! » Tout ce passage est d’une
grâce
infinie ; Molière n’a pas mieux fait, n’a pas mie
de réserve, qui nous défend de toucher à certains chefs-d’œuvre d’une
grâce
délicate et étrange, débris respectables, parfum
vil comédien va se poser en magistrat ; le poète, car il a toutes les
grâces
de l’invention, toute la verve intarissable, tout
Écoutez ! c’est l’amusant murmure, c’est l’atticisme, c’est la bonne
grâce
, c’est la malice sans cruauté. Ainsi riait Alcibi
e un créancier sans le payer. Voilà Strepsiade au comble de ses vœux.
Grâce
aux leçons de Socrate, le bourgeois se débarrasse
ier, qui pourrait nous dire, aujourd’hui, la moins cachée des petites
grâces
minaudières du siècle passé ? Voici une bonne scè
édie athénienne était riche, parée, et bien vêtue ; elle portait avec
grâce
même les haillons, elle appelait à son aide la da
riosité, l’agrément ; il y manque le murmure et le bruit du salon, la
grâce
des jeunes gens, la beauté des jeunes femmes, le
nze siècles de distance, un princesse de Saxe charmerait ainsi par sa
grâce
et par sa fécondité toute française, ces mêmes pe
arquis Acaste. Ainsi cette belle veuve de tant d’esprit et de tant de
grâces
, qui recevait dans son antichambre les plus jeune
ngts ans, ne fut pas plus fière de l’abbé de Châteauneuf, que l’an de
grâce
et d’esprit 1696 ne dut être fier de Regnard. — O
poètes, même les plus charmants, renier les divinités poétiques, les
Grâces
et l’Amour, et se repentir publiquement d’avoir c
lic du Misanthrope et des Femmes savantes accepte, avec tant de bonne
grâce
et de si grands éclats de rire, Le Légataire univ
es emphatiques pour celle-ci, des paroles dédaigneuses pour celle-là.
Grâce
à cette femme et à sa hotte infernale, le brin de
nous montrer plus charmant que jamais, l’aimable amant d’Angélique !
Grâce
à la gaîté de Regnard, Le Joueur de Frédéric Lema
i cachait toutes choses, et même le bon sens, sous un vernis plein de
grâce
et d’atticisme ; ce n’est pas M. de Boissy qui fe
reux pour vous. Quant au reste de l’assaisonnement, je vous en fais
grâce
. Toujours est-il qu’à ces traits vulgaires, à cet
bâtard de Lovelace ou de M. de Richelieu. L’auteur n’a pas même fait
grâce
du duel à ce mari à bonnes fortunes. Cet homme a
it qui ose tout, c’est l’ironie qui se permet toutes choses, c’est la
grâce
un peu effrontée, c’est véritablement la femme li
éussir ainsi, même auprès des femmes les plus faciles, tant de bonnes
grâces
, tant d’esprit et de politesse, n’a encore dit qu
nce et de passion, perdu de dettes et de débauches, libertin plein de
grâces
, qui est capable de tout pour plaire aux femmes,
e et des duels au premier sang. Il faut aimer d’Ancourt pour sa bonne
grâce
, pour sa leste humeur, pour son esprit impétueux,
e sourire ; on jouait la comédie sans trop d’art, mais avec autant de
grâce
et de naturel que faire se pouvait. En ce temps-l
es cinq actes ; il a indiqué toutes sortes de minauderies, de petites
grâces
, de mignardises, ici une manchette à déchirer, là
essieurs et ces dames déployaient à l’envi, dans ces deux pièces, les
grâces
, l’esprit, et les souvenirs d’un siècle qui n’est
mant poëme qui commence au Premier Soupir et qui finit par Actions de
Grâces
, il est clair que le poëte, sur ces cordes de la
ant des choses, un inexprimable adieu à la jeunesse qui s’enfuit, aux
grâces
enchantées que rien ne répare ; la paternité à la
hantées que rien ne répare ; la paternité à la place de l’amour ; des
grâces
nouvelles, bruyantes, enfantines, qui courent dev
il n’a plus en lui, pour l’épandre à grands flots, Sur des œuvres, de
grâce
et d’amour couronnées, Le frais enchantement de s
humain ! Et pourtant il s’était écrié autrefois, dans les Actions de
Grâces
rendues au Dieu qui avait frappé d’abord, puis ré
ion par laquelle la Renaissance, échappant aux creux pastiches et aux
grâces
bâtardes, atteignit l’invention originale et la s
ticulières qu’elle poursuivait, les dépassant, se complaisait dans la
grâce
de son libre jeu, ou se réalisait en formes d’une
ssance a été de ranimer chez nous la poésie aristocratique. L’art, la
grâce
, la beauté sont reçus d’abord comme choses souver
d’orner les salons et d’amuser les cours, et qui n’aura guère que la
grâce
d’un bibelot ou la beauté d’un ajustement. Pendan
age de Ronsard, et, tandis qu’avec Desportes la poésie retournait aux
grâces
étriquées de la mondanité spirituelle, Malherbe f
ux de Gresset, de d’Aguesseau, de Vauvenargues, sont touchés avec une
grâce
parfaite, et comme enlevés avec légèreté. Le tabl
éloge pouvait s’appliquer à M. Villemain lui-même. Sans perdre de ses
grâces
d’autrefois, son talent a gagné une teinte de mél
’étude si compliquées et parfois si sombres, il n’avait connu que les
grâces
de la vie, et il n’en avait recueilli que les app
s du chemin, mais aussi pour de certains faibles qui ne sont pas sans
grâce
. Cet esprit de nette et rapide justesse, dont un
ut appeler la philologie française, et il l’a passionnée en naissant.
Grâce
à lui désormais, une foule de détails qui semblai
geste réglé, jusqu’à lui accorder, contre l’avis de quelques-uns, la
grâce
de l’élocution : on trouva de la politesse dans s
ittéraire auquel continuait de sacrifier le talent de Fénelon dans sa
grâce
restée adolescente ; il n’était pas homme, même a
plus paternel des évêques. Il écrit au chancelier pour solliciter la
grâce
d’un pauvre berger qui a été homicide par malheur
était indulgente, plus on devait s’exciter à l’amour pour mériter ses
grâces
et parvenir à la vraie conversion. Ce discours ét
ifiant, nous dit Le Dieu, et M. de Meaux l’a prononcé avec toutes ses
grâces
, et aussi avec une voix nette, forte, sans tousse
s depuis quelques années déjà, était la pierre : Le Dieu ne nous fait
grâce
d’aucune particularité. Cette maladie, toujours c
ieux en ces matières, qu’il nous a mis à tous la puce à l’oreille. »
Grâce
à tant de soins et d’efforts et à une direction s
angage, dans le courant et la suite de l’entretien, des libertés, des
grâces
, des familiarités et des effusions plus vives enc
dez-vous de mieux ? elle vous reviendra comme à nous tous, mais d’une
grâce
plus ample et plus négligée, c’est-à-dire plus be
demander merci à genoux. Il s’humilie, et il le fait de la meilleure
grâce
dont il est capable : « Je ne pensais pas que vo
le a tous les avantages du fond et de la forme, de la raison et de la
grâce
, menace de temps en temps de se renouveler entre
s de Sévigné est un aimable étourdi, d’un cœur excellent, qui a de la
grâce
de sa mère, et non de sa solidité qu’il a laissée
eurs attentifs ces qualités de cœur et d’art ménagées dans toute leur
grâce
. Deux éditions ont suivi, dans lesquelles l’auteu
leurs d’or. Sous un air de gentillesse parfois adolescente et de pure
grâce
, ce volume de Marie annonçait donc une qualité tr
force réelle, de force contenue et bien apprise, pour atteindre à une
grâce
nette, souple, déliée, à un tour découpé et décis
irent la publication de Marie, visita beaucoup ce pays de force et de
grâce
, comme il l’appelle ; il le visita d’abord en com
ous, brave homme, Des chanteurs de Tréguier vous le chef et le roi. «
Grâce
à Jean, disait-on, sans tes vers point de fête. A
ité. Voltaire écrivant à l’abbé d’Olivet disait :« Je vous demande en
grâce
, à vous et aux vôtres, de ne vous jamais servir d
ure unique entre les femmes qui ont régné par leur beauté et par leur
grâce
; un salon s’est fermé, qui avait réuni longtemps
e qu’on disait, qui n’était pas seulement de complaisance et de bonne
grâce
, mais qui témoignait d’un intérêt plus vrai. Le r
dotte pour elle ; il ne la connaissait point auparavant. Il obtint la
grâce
du père. Ce qui est dit dans le Mémorial de Saint
rritait plus qu’elle ne croyait, elle ressemblait à la plus jeune des
Grâces
qui se serait amusée à atteler des lions et à les
é autant que possible, et qu’elle acquiert tout son liant et toute sa
grâce
. C’est ainsi qu’une femme, sans sortir de sa sphè
e vivra autant que la société française, a été peinte avec bien de la
grâce
par Gérard dans sa fraîcheur de jeunesse. Son bus
de quinze ans la chevelure est belle, Elle est de l’arbre en fleur la
grâce
naturelle, Le luxe du printemps et son premier am
n pas le jeu piquant d’une boucle enlevée, Mais sur un jeune front la
grâce
préservée. « J’étais, me dit un jour un ami voyag
main éclore au pays du soleil. Elle avait jusque-là très-peu connu sa
grâce
; Elle oubliait son heure et que l’enfance passe
eur impuissance créatrice qui entraîne ces esprits à se développer en
grâce
fine et sournoise. Un toucher subtil ne rend pers
n amusent les transforment en petits bavards polis et qui se font des
grâces
. Seulement, par instants, la petite fille tremble
rester bien sages. « Il avait fait un effort immense pour donner une
grâce
tranquille à cette tirade » dit Henry Bordeaux d’
style bibelot » : l’effort immense et ridicule pour maintenir en une
grâce
tranquille les reflets d’idées brutales ; pour pa
n des procédés les plus commodes et les plus rapides pour parer d’une
grâce
tranquille les phrases mortes de ces livres morts
criture massive et rugueuse blesse dans les pages qui veulent sourire
grâce
et douceur. À condition de lire très vite, elle p
ompera personne, se trompe elle-même, se voit princesse, et, avec des
grâces
et des respects, elle se salue. Les livres sérieu
, il l’a loué par une jolie pièce latine dans laquelle il célèbre ses
grâces
ingénues, son naturel nu et simple, son élégance
phes l’ont tiré à eux comme s’il était l’un des leurs, et il a trouvé
grâce
devant ceux mêmes qui voulaient écraser ce qu’il
e qui l’était, et il savait mettre en chaque chose un ton, un tour de
grâce
, une onction qui faisait tout passer, même les pr
, ainsi que dans toute sa personne, c’était la finesse, l’esprit, les
grâces
, la décence, et surtout la noblesse. Il fallait e
d’invisible dans ces opérations du dedans, même à ce qu’on appelle la
grâce
; laissons sa part au vénérable duc de Beauvillie
ssions un peu vives et un peu hasardées, du détail desquelles je fais
grâce
ici. Pour s’en éclaircir, elle consulta un autre
monie, je ne sais quelle douce lenteur, je ne sais quelle longueur de
grâces
qu’aucune expression ne peut rendre. » C’est Chac
le plus tendre, une perfection mignonne de bon sens, de prudence, de
grâce
et de gentillesse : Mme de Stainville, à peine â
tyre de cette préférence, mais, à la fin, elle s’est soumise de bonne
grâce
; elle a gagné un peu dans son esprit, et l’on cr
ant la teinture du sentiment, et qu’il reste toujours à savoir si ses
grâces
séduisantes ne sont pas le fruit de l’usage du mo
, qui allaient au-devant de lui et de ses moindres désirs par tant de
grâces
et de bienfaits ? Il était encore à Rome, et dans
ins, est métamorphosé à l’instant en un boudoir enchanté. Cette bonne
grâce
fit un moment la nouvelle de tout Paris (novembre
intéressant aux femmes et aux gens du monde qui l’écoutaient, par les
grâces
de son style, par la finesse de sa critique, et p
ans l’érudition, et un affaiblissement élégant de l’Antiquité par les
grâces
mondaines. Il était trop favorisé en ces années p
gent de leurs ombrages. » Le geste est élégant, le mouvement plein de
grâce
, en tout digne du sexe qui d’instinct sait trouve
agenouillée dans la partie centrale du temple, continue son action de
grâces
dans les chapelles latérales. Connaissant ses aut
es limites de cette poésie. Menus tableaux de vivante fraîcheur et de
grâce
, qui nous entretiennent des réalités immédiates,
sité rigoureuse pour la production. Tout à l’heure nous observions la
grâce
de tel tableau. Ici, c’est l’émotion intime qui s
i l’anime, par le prestige du pinceau qui l’a fixé, vivant tableau de
grâce
, de pudeur contenue, d’ardeur couvant sous la cen
pensée, elle la transforme et la transpose, en l’avivant d’un accent
grâce
auquel s’évoque le souvenir de celui qui tout d’a
coulées celle-ci reconquit sa vitalité, quand je pris contact avec la
Grâce
Mirbel de Mme Henri de Régnier. Il me devenait im
Henri de Régnier est assurée d’un rang qui ne saurait être médiocre :
Grâce
Mirbel n’est pas seulement une statue vivante, de
que nous goûtons dans ce roman : Esclave. Un minimum de personnages :
Grâce
Mirbel, qui subit une première fois le despotisme
qui viennent préciser et vivifier le décor d’un drame tout intérieur.
Grâce
Mirbel est la trouvaille de Mme Henri de Régnier,
de ses rimes, ressuscitèrent chez sa fille en valeur d’émotion, d’où
Grâce
Mirbel tire sa vivante poésie. Vous sentez le méc
uoi d’ailleurs instituer des comparaisons et des rangs ? J’ai dit que
Grâce
Mirbel m’apparaissait la trouvaille de Mme Henri
sir de mourir lentement sous son regard. » Beauté pliante et soumise,
Grâce
Mirbel est de la race des premières. Des pieds à
affabulation du roman nous marque un conflit, une lutte dans l’âme de
Grâce
Mirbel, lutte où nous savons trop que la malheure
celle-ci. Il est clair que, si la société comptait un grand nombre de
Grâce
Mirbel, les rapports sexuels, réglés en vue du ma
se répondent l’une à l’autre, comme un écho dans la forêt. En face de
Grâce
Mirbel, Mme Henri de Régnier ne pouvait que nous
e son type littéraire, quand ses yeux, traduisant son désir, disent à
Grâce
, après trois années d’abandon : « Eh bien oui, je
quée, Antoine déclare sa passion à celle qu’il croit être une amie de
Grâce
, vêtue des mêmes dominos et des mêmes capuchons r
onclusion dans la plus farouche des haines, et nul doute qu’avant peu
Grâce
Mirbel n’arrive à détester celui qu’elle envelopp
autre… surtout l’accent ; mais la psychologie foncière est identique.
Grâce
Mirbel, qui pourtant lutte, mais d’avance est vai
face à face les deux adversaires, c’est pour Antoine seul que tremble
Grâce
Mirbel, et c’est dans ses bras qu’elle s’effondre
en le soulignant avec intention pour qu’on s’y arrête, ce portrait de
Grâce
Mirbel, à l’époque où Antoine la revoit, découvre
x étaient beaux. Vert sombre ou clair, ou grisâtre, selon l’humeur de
Grâce
ou le temps, ils contrastaient si bien avec sa ch
ui pour la première fois s’ouvre à l’amour. C’est la révélation de la
grâce
, de la beauté féminine, du charme puissant et dou
fort, qui triomphera dans la passion qui l’anime. Antoine Ferlier ou
Grâce
Mirbel, Augustin de Chanteprie ou Fanny Manolé, p
l à quoi l’on attache un prix infini, il paraît bien que ce furent la
grâce
indécise et la beauté fuyante de cet âge où le je
psychologique. 6. J’ai parlé plus haut de trouvaille, en commentant
Grâce
Mirbel. Ce n’est pas qu’on ne rencontre, dans not
is par trop de mollesse et de rondeur : mais il a au degré suprême la
grâce
suave et la vénusté. Denne-Baron a dans son talen
e et la vénusté. Denne-Baron a dans son talent quelque chose de cette
grâce
, et il est dommage qu’il ne l’ait pas su davantag
la maturité ; il accorde que le Temps triomphe, et qu’il renverse les
grâces
fragiles comme il change et détruit tout ce qui s
de ce que trouve le talent et de ce qui naît sans peine et comme une
grâce
; une strophe bien venue sur une fleur, sur un co
es vierges touchées de la même pudeur. Nous ne demandons qu’une seule
grâce
, disent-elles, ô vierge de Délos ! que le bois ne
e sur un lit de fleurs d’Hybla. Elle-même prononcera les arrêts ; les
Grâces
l’assisteront. Hybla, épandez toutes les fleurs q
et retouchées à des époques diverses. Quelques parties conservent une
grâce
antique : le reste a pris le faux goût de chaque
t ! et, à la voix de Polla, obtiens, je t’en supplie, un jour, par la
grâce
des dieux infernaux… loin d’ici la mort ! ici la
tait par sa position et son caractère un intercesseur et un canal des
grâces
; homme affectueux et sensible qui pratiquait la
t de la reine, ne laissez pas faire une telle chose. Parlez, demandez
grâce
. — Vous ne savez pas ce que ce sang-là coûterait.
vos mains et je vous conjure pour cette auguste mère si bonne, que la
grâce
vienne d’en haut et qu’elle soit prompte. Ma priè
est vrai que quand il s’agissait d’implorer pour d’autres et de crier
grâce
, elle ne s’y épargnait pas. « Elle n’y va pas de
qu’elle avait reçu de la nature ou du ciel une vocation et comme une
grâce
spéciale pour la délivrance et le service des pri
; mais, mon bon Félix, nous n’avons pas de dot pour nos anges ; et la
grâce
, l’esprit, la sagesse, qu’est-ce que cela pour l’
rre. En parler est au-dessus de mes forces. Dieu me fera peut-être la
grâce
de la comprendre. — Ah ! Camille, je suis bien in
réfugiés dans l’église de Saint-Bonaventure, et criaient à genoux : «
Grâce
! grâce ! » — Le respect même du lieu saint n’en
dans l’église de Saint-Bonaventure, et criaient à genoux : « Grâce !
grâce
! » — Le respect même du lieu saint n’en sauva pa
à ces habiletés merveilleuses, l’harmonie et l’éclat de la parole, la
grâce
et la force du langage, la véhémence de la passio
einte rubiconde des buveurs. » À sa suite heureuse, il entraînait les
grâces
, les élégances, les beautés, les jeux et les fête
ïve, toute blanche, heureuse, qui récite avec beaucoup d’esprit et de
grâce
les vers incisifs de Molière, avec beaucoup de ta
Grange, Ducroisy, et ces belles comédiennes dont on répète encore les
grâces
et les amours : mademoiselle du Parc, mademoisell
s, sa parole son ton de voix, sa façon de réciter, mais il demande en
grâce
qu’on lui laisse le reste ! Voilà comment devait
s le ridicule qui est quelque part, il faut l’y voir, l’en tirer avec
grâce
et d’une manière qui plaise et qui instruise. »
utriusque linguæ , disait Horace) : « Ne paraissez pas si savant, de
grâce
; humanisez votre discours et parlez pour être en
eligieuse, qui ne tournât au profit de ces messieurs et de ces dames.
Grâce
à cette excommunication permanente, on leur pardo
nication permanente, on leur pardonnait de bon cœur leur esprit, leur
grâce
, leur beauté, leur succès. Le moyen d’être jaloux
ait des plaisanteries, s’il daignait faire un conte, c’était avec des
grâces
infinies, un tour noble et fin que je n’ai vu qu’
évérences, plus ou moins marquées, mais toujours légères, avaient une
grâce
et une majesté incomparables… Il était admirable
ble, et qu’il puisse réserver toute son attention pour la dépenser en
grâces
avec les hôtes de son salon. Un pareil train ne v
me carrière, et avec les mêmes armes, qui sont la parole flexible, la
grâce
engageante, les insinuations, le tact, le sentime
la main de sa mère à sa toilette. Une caresse est rare et semble une
grâce
; d’ordinaire, en présence des parents, les enfan
rements dorés ; ils baisent les mains des jeunes demoiselles avec une
grâce
de petits-maîtres. Une fillette de six ans est se
’est pourquoi c’est déjà la grande affaire pour les enfants. Avec les
grâces
de l’attitude et du geste, ils ont déjà celles de
relever en regardant alors modestement la personne et en jetant avec
grâce
tout le corps en arrière : tout cela plus fin, pl
positions, des circonstances, et peut-on entourer un duel de plus de
grâces
Il n’y a pas de situation épineuse qui ne soit
tous les détails de la parole et de l’action pour les transformer en
grâces
, qui impose à l’homme, non la servilité et le men
e de plaire ! Que d’aisance dans le port et dans la démarche ! Quelle
grâce
piquante dans la toilette et le sourire, dans la
dansant de lumière ; elle voltige au-dessus de toute chose et pose sa
grâce
sur le moindre objet. VI. La gaieté au dix-hui
nt pour donner une bonne prononciation, l’assurance convenable et les
grâces
du maintien. En effet le théâtre alors prépare l’
pas la constance et l’austérité de la vieille Rome ; elle n’a pas la
grâce
et la mollesse de l’Italie moderne ; elle n’a pas
lui-même. IV Et qu’est-ce encore que l’esprit ? L’esprit est la
grâce
du bon sens. Nous ne pouvons pas non plus trouver
elle de l’esprit. Le méchant n’en a pas, car la méchanceté n’a pas de
grâce
. Le Français en a, car il est essentiellement bon
tiquité, le janséniste de la religion comme du style, dont toutes les
grâces
et tous les amours n’étaient que des contrefaçons
éritablement un écrivain de premier ordre dans la force comme dans la
grâce
. Il a même des sensibilités qu’on ne rencontre ja
ndare ; il y avait aussi de l’Horace. Il y avait de plus une certaine
grâce
juvénile et gauloise qui charmait l’esprit sans d
es et pour amuser un autre Auguste : on se trompait. Le lyrisme et la
grâce
, le molle et facetum , manquaient à la ressembla
mbarras des rues de Paris n’est qu’une boutade sans originalité, sans
grâce
et sans sel. Celle qui suit commence par de très
de tous les critiques, il se releva dans ses épîtres, non jamais à la
grâce
, mais à la perfection de sens et de versification
sans longévité, la flexibilité assouplie et l’habile négligence, ces
grâces
du génie au repos. La première, au Roi, a des acc
les conteurs arabes, dans les espaces, jamais dans la boue. Aussi la
grâce
, l’amour, l’héroïsme, le pathétique même, qui ple
de plus de l’exquise justesse de son jugement. La Fontaine avait des
grâces
enfantines de langue et des hasards heureux de po
heureux de poésie qui devaient engouer longtemps la France ; mais les
grâces
enfantines s’évaporent avec la jeunesse et ne sur
n grand respect, recherchant, avant tout, l’ornement, la parure et la
grâce
du discours. — À quoi bon, dira-t-on, et n’est-ce
-là, certes, ce serait une duperie assez grande de leur prodiguer les
grâces
du style ; et le tribun qui attaque, et le rhéteu
ommée honteuse de ce bandit, la gloire usurpée de ce voleur autant de
grâces
, autant de violences, autant de tonnerres et d’éc
bas monde, et sachez vous en servir habilement, honnêtement. C’est la
grâce
que je vous souhaite et à moi aussi ! Nous voilà,
able ; il est cent fois plus dangereux ; il a en partage l’esprit, la
grâce
, la repartie, le courage, l’épée, la main blanche
ands seigneurs pour l’esprit, pour le tact, pour l’éloquence, pour la
grâce
, le courage et le bon goût. — Au contraire, en fa
bourgeois lettrés tout autant que messieurs les bourgeois de l’an de
grâce
1852. Ce n’est pas de ceux-là qu’on peut dire qu’
onspués ; un drame où tout abonde de ce qui est le vice, l’ironie, la
grâce
, l’éloquence, l’art, la passion, le plaisir, la f
in de Pierre sans la statue ; oui, mais il faut répéter qu’en l’an de
grâce
1665, la statue a tout fait passer. Toujours est-
e plus puissant des Dieux ! Vous voyez d’ici l’esprit, l’ironie et la
grâce
, et l’abondance de cette comédie allégorique ! Ce
plus profitable pour être assaisonnée de gaieté, de bienveillance, de
grâce
, d’enjouement. Il y a dans ce Plutus un chœur… L’
villageois se mettent en marche, en chantant un cantique d’actions de
grâces
et… Ici s’arrêtent les strophes du chœur, le rest
e grand siècle, jouait son rôle d’esprit, de bonne humeur et de bonne
grâce
? Sur ces programmes, je retrouve tous les grands
is, visiblement, que pour être la force et la parure du ballet par la
grâce
de leur figure et l’excellence de leur danse, ave
illustre compagnie de jeunes gens et de jeunes dames : « Formés à la
grâce
, à l’adresse, à tous les exercices, au respect, à
avait pas vraiment de divertissement qui fût possible. Avec une bonne
grâce
assez rare, M. le duc de Saint-Simon en convient,
les divertissements du Bourgeois gentilhomme ; il apporterait plus de
grâce
dans la danse, plus de variété dans le chant ; il
arrivé jusqu’à nous, presque chaste, tant il y avait de poésie et de
grâce
dans ces amoureuses faiblesses ; le voilà, dans u
des poètes, elle était la muse, elle était le sourire, elle était la
grâce
et la récompense. Elle a été le bon génie, elle a
lle se vit remplacée dans ce poste éminent par une de ses protégées, (
grâces
pleurez ! pleurez amours) ! par la veuve du bonho
issait son heure et l’heure du roi. On a la disposition prochaine, la
grâce
, oui, mais il faut entretenir ces saintes disposi
ivin, que je ne puis y penser sans être en de continuelles actions de
grâces
, et la marque du doigt de Dieu, c’est la force et
chie expirante, — entre mademoiselle Augustine Brohan, l’esprit et la
grâce
en personne, — le charme, — et mademoiselle Rache
s qui viennent de l’enfer. Eh quoi ! ce damné meurt sans avoir crié :
Grâce
! pitié ! merci ! Il meurt sans avoir courbé la t
Pierrot ! La scène suivante, quand vient Charlotte, est encore d’une
grâce
achevée ; mais le beau rôle, à qui est-il ? Le be
e, mademoiselle Rachel, et la comédie légère, mademoiselle Brohan. De
grâce
, ne séparons pas ce que Molière a réuni, laissons
devoir fleurir, sera dotée malgré nos vœux d’une expression et d’une
grâce
toutes chrétiennes. Les paroles de Jésus, sa doct
er sa pensée selon des coutumes surannées ou de donner à son style la
grâce
futile, troublante et gracieuse des temps jadis,
étroite, corrigée par le jet élancé de sa tige, il apprend comment la
grâce
se marie à la dignité, comment la douceur se reha
es, où sur un ton enjoué, il traite d’importantes pensées, sont d’une
grâce
et d’un genre tout voltairiens. Mais sa méthode é
ies et de badinages, ils aimèrent la Vie et la préférèrent à la Mort.
Grâce
à leur méthode, ils parvinrent même à la passion.
me il faut admirer aussi l’exquise puissance de l’art ! Par l’extrême
grâce
des attitudes, ces gens nous évoquèrent la multip
alentour, et il lui sembla charmant d’exprimer toute la nature par la
grâce
de sa structure. Par la suite on se lassa de ce
ssionna aussi pour la pompe héroïque et rude, le geste démesuré et la
grâce
barbare des Légendes rhénanes. Mais la littératur
accueils rustiques dans nos promenades campagnardes qui surpassent en
grâce
divine la Cène chrétienne et le Banquet platonici
de ses gestes ne doit demeurer caché, mais il doit les déployer avec
grâce
et éloquence Car ses belles actions persistent da
Naturisme que tous attendent et que nous annonçons. Certes, avec une
grâce
éleusiaque et élyséenne, il nous offrit des sensa
iètres, acceptèrent cette doctrine, elle demeure pourtant formidable.
Grâce
à lui, le trésor des lettres s’est enrichi de plu
’objet qu’il célèbre : « Car un hymne est un élément de la Nature. Sa
grâce
est l’effet de son eurythmie. Il lui est docile c
d’un seul, mais impersonnel. La rose chantée par le poète surpasse en
grâce
toute rose, elle est la rose véritable et réelle,
que les Parnassiens, qu’il offensa par la liberté, l’ingénuité de sa
grâce
, ces messieurs ne peuvent le revendiquer. * * *
a, littérairement, de l’influence romantique et parnassienne, pour la
grâce
impressionniste et le charme réaliste de son œuvr
e Maïa, et pour avoir ouï les chênes de Dodone, il comprit comment la
grâce
éblouissante des formes peut se transsubstantier
bienfaits de l’aurore. Certaines de ses pages m’ont fait penser à la
grâce
héroïque de Monticelli. D’autres sont nobles comm
ns où Rousseau refuse précisément à Mme d’Épinay quelques-unes de ces
grâces
et de ces mollesses voluptueuses. La voilà donc à
jatte de lait sur laquelle on a jeté des feuilles de rose. » Je fais
grâce
du reste de la peinture de Diderot. Cette Mlle d’
inasse, mais avec charme, jeunesse et tendresse. Il entre de la bonne
grâce
, de la finesse et de l’esprit, il entre du goût d
oute son essence, et la pratiquait dans toute sa hardiesse et dans sa
grâce
. Enlevée brusquement à la fleur de l’âge, elle n’
émancipa : Oh ! que vous êtes heureusement née ! lui écrivait-il. De
grâce
, ne manquez pas votre vocation : il ne tient qu’à
m, que Mme d’Épinay devint tout à fait elle-même. Cet esprit plein de
grâce
et de finesse acquit par lui toute sa trempe ; il
, et d’en tirer parti pour ce qui l’entourait, avec affection et avec
grâce
. Elle mourut le 17 avril 1783, à l’âge de cinquan
tout genre. Le prodige est qu’en très peu de temps la dévotion et la
grâce
en firent un autre homme, et changèrent tant et d
: on voit Pallas qui le couvre de son égide ; en même temps les-trois
Grâces
sèment son chemin de fleurs ; Apollon, suivi des
on ! Fénelon ne craint pas de les nommer ; cet esprit de charme et de
grâce
n’en a pas l’air, mais il est moralement plus har
enne plaisir à aimer les hommes et à se faire aimer d’eux, toutes les
grâces
de l’esprit et du corps viendront en foule pour l
rintemps fait éclore ! qu’il aime les doux jeux de l’esprit ! que les
grâces
soient sur ses lèvres ! que la sagesse de Minerve
stote, en l’élevant, sut en user. Sénèque échoua pour Néron. Fénelon,
grâce
sans doute et surtout au christianisme et aux moy
école, non plus chez elle et dans les douceurs du chez-soi, dans les
grâces
légères de l’insouciance et du loisir, mais en ma
musicalement parlant, sachant plaire toutefois, ne négligeant pas la
grâce
, cherchant et trouvant agréablement ce qu’Auber t
on. Il n’était pas orateur ; son débit, d’une extrême lenteur et sans
grâce
, impatientait l’auditoire et donnait même le chan
laire assez marqué, mais justifié à l’instant même et de la meilleure
grâce
; de la fertilité, de l’enjouement ; d’heureuses
profil : il était en train de le faire avec bien de l’esprit et de la
grâce
. Je n’ai pas du tout approuvé, dans l’Éloge du ba
e et ornée, même gracieuse : les beaux-arts ne se séparent jamais des
grâces
; — être l’homme d’un art peut-être, mais surtout
ne même mission, qui est de purifier les hommes et de contribuer à la
grâce
du monde. » La Poésie Nationale. « Le monde to
ent inconnues ? Ne nous permettent-ils pas de voir Dieu face à face ?
Grâce
à leurs saintes révélations, tour à tour la belle
te sorte, ils n’ont pas besoin de créer : ils n’ont qu’à découvrir la
grâce
qui décore tout. Lorsque des poètes chantent une
s-unes de leurs stances ne sont-elles pas un peu comme des actions de
grâce
? Serait-il excessif ou faux de dire que les poèt
ne sont-ils pas plus riches en serments religieux que les actions de
grâce
les plus dévotes du monde ? Est-il possible de di
mois d’un pareil régime valent mieux que Vinache. Je vous rends mille
grâces
de vos nouvelles ; le marquis17 a vu avec douleur
à son chapeau. Cela ne l’empêcha pas de demander en partant d’autres
grâces
: On me presse de partir, écrit-il à la dernière
es sceaux un mémoire, par lequel je demande, avant que de partir, des
grâces
distinguées qu’il est aisé de deviner : et le 19,
Dieu, en lui laissant le temps de se reconnaître, lui faisait plus de
grâce
qu’au maréchal de Berwick, qui venait d’être empo
relever, agrandir même un sujet qui semblerait périlleux par trop de
grâce
. Les très-nombreuses notices biographiques consac
des maris qu’on trompait pour les rendre heureux, et qu’on priait en
grâce
d’être un peu plus jaloux que de coutume… » Au no
is et qui demeure. Si touchés que les contemporains aient pu être des
grâces
vives et naturelles de Parny, et de ses traits de
n parfum. La forme même des traits change, ce qui était le nerf de la
grâce
devient aisément maigreur, la finesse du sourire
onscience d’elles-mêmes. Théocrite, dans sa belle pièce intitulée les
Grâces
ou Hiéron, a dit : « C’est toujours le soin des f
nt sous l’aurore azurée accueillera dans sa maison avec tendresse mes
Grâces
qui s’envolent vers lui, se gardant bien de les r
iéron ; mais Parny, lui, n’eut point à se repentir d’avoir envoyé ses
Grâces
frapper à la porte du cabinet de Français (de Nan
t, si l’on s’empresse d’ajouter que le poëte vous dut ces soins d’une
grâce
parfaite, ces attentions du cœur qui ne se sépare
ve un hommage, de la part de ceux-là même qui eussent le moins trouvé
grâce
devant lui. 1er décembre 1844. 163. Ou De Forge
i, sans ton espoir, sans ta promesse, sans ta possession enfin et tes
grâces
abandonnées. Tu souris trop peu à nos amours que
e : Parny, demi-Tibulle, écrivit mollement Des vers inspirés par les
Grâces
Et dictés par le sentiment. 190. La date de l’
ours tirer à soi. Ce sont les nobles de cour, qui vivent à portée des
grâces
, exercés dès l’enfance à demander, obtenir et dem
r abbesses des demoiselles. Un seul détail pour montrer l’étendue des
grâces
: j’ai compté quatre-vingt-trois abbayes d’hommes
ncore outre cela 40 000 livres de pension » Parfois les motifs de la
grâce
sont admirables. Il faut consoler M. Rouillé de n
du tort qu’on lui a fait par la vente d’Orange, et 500 000 livres de
grâce
. » « M. le duc d’Orléans avait ci-devant 50 000 é
engagés dans des dépenses ruineuses pour être de la cour ; ainsi les
grâces
ne leur étaient pas dues comme aujourd’hui… La co
mme assez considérable pour les charges de sa maison, ses dons et les
grâces
de ses serviteurs, ainsi que pour ses plaisirs, q
e de son argent, il donne à qui lui plaît, et tous ses choix sont des
grâces
. « Votre Majesté sait mieux que moi, écrit l’abbé
mais, pour dédommager la faveur et l’arbitraire, il a remis à la pure
grâce
du roi, ou plutôt des ministres, la nomination de
faits annuels à la maison de Noailles Le roi a oublié que toutes ses
grâces
sont meurtrières ; car « le courtisan qui obtient
nces et d’interdictions seront levées pour lui, dussent même quelques
grâces
d’Agnès y disparaître. Aux abords de l’ordre soci
Il est arrivé de là qu’une œuvre si pleine de puissance et souvent de
grâce
, mais où ne circule aucun zéphyr mûrissant, a par
ourant caché. Mais il y a bien des passages dans Lélia où toutes les
grâces
du talent ne sont employées qu’à nuancer et à rev
nstances, il a, dans le caractère et dans l’expression, la mesure, la
grâce
, la nuance qu’on aime et qui attire tout lecteur
çais au xviiie siècle, c’est ce mélange de monde, de philosophie, de
grâce
, qui peu à peu sut s’allier avec bon sens et bon
? La singulière douceur de cette philosophie tout horatienne demande
grâce
, un moment, pour la légèreté qui s’y mêle encore,
ntain, lorsque nous nous abandonnons avec lui aux distractions et aux
grâces
humaines du voyage. Dans l’action, il pourra avoi
le mettre en belle humeur ; et Bernis répond par une lettre pleine de
grâce
et de sens : Notre secrétaire (celui de l’Académ
u’une politique superficielle. » Il redira cette même pensée avec une
grâce
et une vigueur nouvelles, et en résumant sous for
ant il continuait de représenter la France à Rome avec grandeur, avec
grâce
et magnificence. Tous les voyageurs qui ont eu à
l’autre chargée d’un excellent dîner… Le cardinal nous reçut avec une
grâce
dont rien ne peut donner l’idée. Il avait alors s
pu dire d’elle, en changeant quelque chose au vers du poëte : Et la
grâce
elle-même attendit la beauté. Au sortir de Saint
e. Pour elle, elle ne songeait qu’à obtenir, à force de démarches, la
grâce
de son mari, ou du moins le maintien des biens en
r la Bulle, et au plus vif de ses propres inquiétudes pour obtenir la
grâce
impossible de son mari, Mme de Pontivy rencontra
croissante, dans les traits un peu pâlis de sa beauté, redoublait la
grâce
. Le printemps venait de l’emmener dans une terre
à sa voix, et balbutia toute troublée. — « J’arrive, lui dit-il ; la
grâce
absolue a été bien loin rejetée. Le bannissement
r vous convaincre. » — « Eh bien ! je tâcherai, lui dit-elle avec une
grâce
attendrie, et je vous permets. A ce soir donc, ch
l puisait avec vérité dans sa profondeur. Elle recevait tout avec une
grâce
plus clairvoyante, avec un sourire plus pénétré,
e nul, en fait, ne lui contestait à cette heure et ce que cette bonne
grâce
en elle relevait singulièrement. Elle manifestait
iculières qui les distinguaient, surent garder, eux aussi, leur bonne
grâce
et toutes leurs qualités d’esprit, plume en main,
petite-fille d’un illustre chancelier : D’Aguesseau de Ségur, par la
grâce
d’amour, L’ornement de Paris, l’ornement de la co
’avait dû qu’à lui-même, à cet heureux accord de décision et de bonne
grâce
qui ne se rencontre qu’aux meilleurs moments, de
ait assez droit à son but ? Comment conjurer sans offense cette bonne
grâce
imminente et son charme menaçant ? Chaque après-m
assé avec lui de citer, parce que cette causerie plaît surtout par sa
grâce
courante et qu’elle s’insinue plus qu’elle ne mor
rité sécularisée, se souvenant et se rapprochant de son étymologie de
grâce
, telle qu’il l’avait entrevue dans sa jeunesse ch
e, et François Ier lui doit peut-être les plus solides de ses titres.
Grâce
à l’amitié qu’il garda constamment à sa sœur, on
incipal mérite des récits qui touchent au licencieux, je veux dire la
grâce
et la délicatesse qui en déguisent les traits les
par les deux meilleurs écrivains du même temps, Comines et Villon. La
grâce
et la délicatesse sont, au contraire, le trait or
une quantité d’idées délicates, d’observations fines, exprimées avec
grâce
, et beaucoup de créations charmantes dans la lang
j’aime mieux ce que Marguerite ne doit qu’à elle-même, et qui est une
grâce
de l’esprit français. C’est ce fonds de philosoph
t de moines appartenant à l’ordre des cordeliers. C’est là une de ces
grâces
où l’esprit français se reconnaît sans pouvoir le
quelette ; puis se félicitant d’avoir sauvé sa pel par une requête en
grâce
faite à propos, montre beaucoup de verve et d’ori
vie ; mais, à dix-neuf ans, ce n’est qu’un piquant de plus et qu’une
grâce
. En parlant si librement de Bettina, j’ai presque
t le rajeunissaient agréablement. C’était un être nouveau et plein de
grâce
, qui venait s’offrir à son observation de poète e
e, dans le talent comme dans la personne, se marie très bien avec les
grâces
, non pas avec les grâces tendres ou naïves, mais
ans la personne, se marie très bien avec les grâces, non pas avec les
grâces
tendres ou naïves, mais avec les grâces sévères e
les grâces, non pas avec les grâces tendres ou naïves, mais avec les
grâces
sévères et un peu réfléchies : « Ami, lui dit-ell
« Ami, lui dit-elle encore avec passion, je pourrais être jalouse des
Grâces
; elles sont femmes, et elles te précèdent sans c
out de la race gauloise, d’un livre où il entre tant de fantaisie, de
grâce
, d’aperçus élevés, de folie, et où le bon sens ne
maine, devient capable de l’imiter, de reproduire jusqu’à son accent.
Grâce
à de la correspondance entre les mouvements et le
ins conventionnels qui constituent le langage des gestes et des sons.
Grâce
à ces signes, tout le dedans de nous-mêmes, qui p
s désagréables, a des lignes anguleuses et rigides, — et l’immortelle
grâce
d´une statue lumineuse dressant, sa torche, sorte
autres rapports : une plume de fer, qui ne manque pas d’une certaine
grâce
quand on la voit courir légèrement sur le papier,
e de la loi ; le beau est ou le règne de la nature, ou le règne de la
grâce
, car la nature, c’est la solidarité imparfaite, m
car la nature, c’est la solidarité imparfaite, mais déjà réelle ; la
grâce
, c’est la solidarité parfaite et réelle, soit ent
out à fait universel, serait éternel ; et étant l’amour, il serait-la
grâce
. C’est dans la négation de l’égoïsme, négation co
rabin. Ne croyez pas, du reste, qu’il n’y ait là que de l’énergie. La
grâce
y est encore bien plus. La grâce y est si grande
u’il n’y ait là que de l’énergie. La grâce y est encore bien plus. La
grâce
y est si grande qu’elle y peut remplacer la tendr
là, elle est à bien des places dans ces Poésies de Joseph Delorme. La
grâce
, la grâce, qu’on aime peut-être mieux dans la lai
st à bien des places dans ces Poésies de Joseph Delorme. La grâce, la
grâce
, qu’on aime peut-être mieux dans la laideur que d
Cicéron, le Cicéron sans reins, est vaincu. Et ce n’est pas tout. La
grâce
du Joseph Delorme, cette grâce sur laquelle nous
, est vaincu. Et ce n’est pas tout. La grâce du Joseph Delorme, cette
grâce
sur laquelle nous avons tant insisté, où est-elle
éservoir, Je leur dis : « Prenez-moi dans vos bras, je veux voir ! »
Grâce
, il faut l’avouer, très-particulière et très-piqu
t, serait déplorable. Notre danse est si supérieure à celle-là par la
grâce
, par l’esprit, par la décence ! La danse de chez
robatie savante et délicieuse, qui n’éveille en nous que des idées de
grâce
, de douceur, de légèreté surnaturelle. Un corps d
leurs mouvements est si parfaite que, si vous espérez jamais voir une
grâce
plus précise unie à une force plus souple … inuti
presque tous vos religieux. J’avois espéré, mon Révérend Père, que la
grâce
que vous m’aviez faite de m’appeler à Paris pourr
e receviez de même un bref qui vient de la même source. Faites-moi la
grâce
de m’écrire un mot à Amiens, sous cette simple ad
affectueux, aimable et obligeant de l’abbé Prevost se développe avec
grâce
. On rentre ici dans les tons qui lui sont habitue
autre moitié du monde, auprès de laquelle il comptait si bien trouver
grâce
. Au reste, Jordan n’est pas en défense contre l’é
dit avec un mélange de satisfaction et d’humilité qui n’est pas sans
grâce
: « On se peint, dit-on, dans ses écrits ; cette
! Quand je dis toutes…, rassurez-vous : M. Jacquinet a fait un choix.
Grâce
à ses bonnes habitudes littéraires, il a su appor
e… Voici, en revanche, deux perles fines, deux fleurs de malice et de
grâce
: Mme de Caylus, si vive, si espiègle et si bonne
c une lyre. Et cependant nous songeons qu’elle fut dans son temps une
grâce
, un charme, un esprit, que cela est vrai, que cel
t l’enthousiasme, l’éloquence, l’abondance intarissable. Ont-elles la
grâce
? C’est une autre affaire. Avez-vous remarqué ? c
ifficile à définir, car où commence l’invention ?) n’est pas tout. La
grâce
d’une Caylus ou d’une La Fayette est quelque chos
, dans les moindres mouvements de sa sensibilité et de sa pensée, une
grâce
d’un charme si pénétrant que, si je ne puis l’app
vie non moins remplie, une vie de grand épicurien. Prenez le mot, de
grâce
, au sens le plus favorable. Épicure, tout le prem
es dieux lointains de son antique patrie lui ont donné la finesse, la
grâce
, le bien dire, la joie de vivre, l’équilibre des
nt assez de ses amies, pourvu qu’elles aient quelque bonté et quelque
grâce
et que leur vénalité ne leur interdise pas tout c
ernier prêtre de l’amour. La cité qu’il rêve serait la république des
grâces
et des jeux ; le courage même y serait un fruit d
e Grammont, voilà ce qui reste, et ce que la fée a touché de toute sa
grâce
. La manière en semble faite exprès pour expliquer
anière en semble faite exprès pour expliquer le mot de Voltaire : La
grâce
en s’exprimant vaut mieux que ce qu’on dit. Le f
sent. Bref, il savait faire toutes sortes de personnages avec tant de
grâce
et d’agrément, qu’il était difficile de se passer
à sa muse (ce sont des noms solennels qui ne lui vont pas), mais à sa
grâce
d’écrivain : Elle avait, dit-il, le front ouvert
st là un conseil qui vaut mieux qu’on ne l’attendrait de Voisenon. La
grâce
, je le sais, ne se conseille pas, elle ne s’appre
t ce qu’il faut rejeter avec dégoût, on ne peut méconnaître autant de
grâce
que de passion, lorsqu’il s’adresse à la jeune fi
tion grecque un symbole où apparaissaient, à leur plus haut degré, la
grâce
, l’enthousiasme et le génie de la femme. Par là m
e élégant de la pensée dont Catulle avait égalé la force, mais non la
grâce
, et que voici, dans la lettre morte de la prose :
la beauté des jeunes vierges, fait avancer Aphrodite sur le char des
Grâces
entouré du chœur des Amours, attache avec une tig
ui qui doit le cueillir ». Tout cela, si nous l’avions encore dans sa
grâce
originale, serait pour nous un modèle de goût et
ne sais quoi, que je ne sais comment exprimer (avouait d’assez bonne
grâce
cette estimable fille), qui fait qu’un honnête ho
e dit Mlle de Launay, à instruire et à documenter quelqu’un sur les
grâces
. La jeune Indienne , comme il l’appelait, lui du
lui sied mal ne le saurait bien jouer, et qui se défie d’avoir de la
grâce
ne l’a jamais bonne. » « Pour bien faire une chos
que c’étoit la bienséance de ce temps-là, ce n’est rien à dire ; les
grâces
d’un siècle sont celles de tous les temps. On s’y
ettement dans ce passage. Oui, le monde ne fait que tourner, mais les
grâces
, et surtout les bienséances, restent-elles les mê
urait se soutenir, à moins d’être entiché ; et, s’il est de certaines
grâces
naturelles et vraies qui, après des éclipses de g
nnent éternellement belles et restent jeunes toujours, sont-ce de ces
grâces
comme il l’entend, lui le bel-esprit et le raffin
mier pour cette fleur ! De quels éléments est-elle donc pétrie, cette
grâce
suprême et dernière qui n’a qu’un point et un mom
ésenter plus respectueusement et pour offrir mon service de meilleure
grâce
. — C’est bien fait, me dit-il, et je me doute que
ue ces façons ne tendoient qu’à vaincre plus-sûrement et de meilleure
grâce
. Sitôt que tout le monde fut assis : La conversat
ez que je vous écrive, madame, et vous me l’avez commandé de si bonne
grâce
et si galamment, que je n’ai pu vous le refuser…
sens, pour être effectivement vertueux, au moins pour l’être de bonne
grâce
, il faut savoir pratiquer les bienséances, juger
ut et fait tout passer ; c’était sentir d’avance comme Voltaire : La
grâce
, en s’exprimant, vaut mieux que ce qu’on dit. Qu
yeux de sa découverte ? Voilà une page assez naïve… oui, mais dans sa
grâce
enfantine elle ne manque pas d’un certain charme
allemand, en anglais, en quelque langue étrangère qui lui donnait une
grâce
inattendue, une force inespérée. Est-ce mourir ce
se de Noailles, vieille et dévote, et bel esprit à la Noailles, d’une
grâce
exquise et d’une suprême insolence, qui ameutait
s n’eussent pas été en effet une comédie pleine de gaieté, de sel, de
grâce
et d’atticisme, une comédie, en un mot, digne de
omme d’un goût exquis, d’une beauté fine, d’une philosophie pleine de
grâce
et de malice. Elle aimait Molière comme elle aima
toute cette petite cour qui lui était livrée avec tant de goût et de
grâce
, par le roi lui-même, et dont il fit une si franc
etourne aux beautés impérissables, aux choses toujours vivantes, à la
grâce
éternelle, à l’esprit qui ne peut pas mourir, au
ans tout son éclat, l’esprit dans toute sa verve, le dialogue dans la
grâce
et dans le naturel inimitable qui donne une si gr
s ! Il ne songeait qu’à s’amuser de chacun et de tous ; le reste à la
grâce
de Dieu ! Le reste (dix chefs-d’œuvre !) ne resse
hasard, convenez-en ; mais que de verve et que d’esprit, que de bonne
grâce
! Dans cette esquisse folle, plus voisine du trét
omédie, qui n’est pas une comédie (seulement, c’est déjà le style, la
grâce
, le dialogue, l’esprit, la verve, l’animation, l’
Je ne connais guère de comédie écrite avec plus de vivacité, plus de
grâce
et d’énergie. Voltaire a grand tort d’appeler Le
la défense de l’œuvre originale. On ne saurait croire la finesse, la
grâce
, et toute la délicatesse de ce dialogue. C’était
tout ce grand bruit de l’orateur se peut-il comparer à l’esprit, à la
grâce
, à l’innocente épigramme, à la douce raillerie du
aître tout ce qu’il y avait de bon goût et de bon ton, d’esprit et de
grâce
dans cette admirable brusquerie d’Alceste ? Vous
de dévouement ; Éliante, plus vraie, le reçoit simplement et avec une
grâce
toute unie. À peine arrivé, Alceste n’a rien de p
que même en l’absence de tous les modèles du bon goût et de la bonne
grâce
du dernier siècle, dont M. le prince de Talleyran
olière quand la galande rentrait trop tard ; il était dans les bonnes
grâces
de la vieille Laforêt, dont il faisait valoir les
raité M. de Lauzun, M. de Lauzun était à la Bastille. Mais en l’an de
grâce
1666, M. de Lauzun était le favori du roi, il éta
troisième acte est un chef-d’œuvre auquel je ne crois pas que pour la
grâce
, pour l’esprit, pour l’infinie variété des détail
cette colère, mais cette fois rien n’y fait ; elle y perd sa dernière
grâce
, son dernier sourire, le charme est détruit ! C’e
re : Je vous aime ! sans lâcheté, pour revoir ce sourire adoré, cette
grâce
sans égale, toute cette beauté infidèle, qu’il av
de tous les beaux de la cour, hélas ! de toutes ces femmes de tant de
grâce
, de verve et d’esprit, élégants représentants de
amais absente, on ne peut parler qu’à ceux qui l’ont vue, avec quelle
grâce
et quel charme elle jouait ce rôle d’Elmire expos
Elmire que Célimène, et vraiment, en dépit de sa coquetterie et de sa
grâce
, il y avait encore chez la femme de M. Orgon trop
, semblables en ceci à quelque patois de village ; au village il a sa
grâce
et son parfum, vingt pas plus loin ce patois des
u langage d’autrefois. Hélas ! ces mœurs d’une race évanouie et d’une
grâce
exquise ; ces passions à fleur de peau, cette faç
lles le comprenaient à merveille ; elles le disaient avec beaucoup de
grâce
, et si parfois ces belles dames de la poésie exot
du nuage qu’elle éclaire, et contentons-nous de l’esprit, des belles
grâces
et des charmants remplissages, qui en sont la men
ns sa cachette pendant trois jours, se découvrit à la fin et reçut sa
grâce
comme ayant assez souffert par le spectacle dont
iégeait d’acclamations le palais de Laurent. Il demanda généreusement
grâce
pour ses ennemis. Le peuple entendit, admira, app
iers, bravoure modèle, goût de tous les arts, passion pour la poésie,
grâce
pour les femmes, discrétion dans ses amours, tel
e mon dessein, suppliant le ciel de m’accorder dans cette occasion la
grâce
de faire tout ce que chaque citoyen doit être prê
ents et d’idées, qui firent encore une fois revivre la douceur et les
grâces
de Pétrarque. » Si l’on ajoute à ces témoignages
es siècles de barbarie, te rend aux danses légères paré de toutes tes
grâces
, et brillant d’une jeunesse nouvelle ? « Le temps
Ainsi Landino, ce digne émule de la gloire des anciens, t’a rendu ta
grâce
et les doux accords de ta lyre ; tel on te vit so
rtolommeo Scala. C’était une beauté ravissante, aussi célèbre par ses
grâces
que par ses talents. Mais Alessandra lui préféra
re de petites pièces galantes, prouvent qu’il subissait d’assez bonne
grâce
la mode italienne. Desportes, plus âgé de huit an
s, exprimées d’un style piquant, il y en a en beaucoup d’endroits. La
grâce
y est plus rare ; j’entends par là l’expression n
Desportes qu’il essaya d’imiter. Fol qui n’avisois pas que sa divine
grâce
, Qui va cachant son art d’un art qui tout surpass
parée N’offrit plus rien de rude à l’oreille épurée. Les stances avec
grâce
apprirent à tomber ; Et le vers sur levers n’osa
es jointures les plus cachées dans ses fausses délicatesses, dans ses
grâces
spécieuses ; demandant compte à chaque mot de sa
des mots, ou par la délicatesse apparente des pensées, rien ne trouva
grâce
devant le réparateur de la langue. L’histoire de
e triste, cette majesté sans affectation, ce grand air que tempère la
grâce
, sont d’un poëte qui n’a prétendu régler que la m
songeait Boileau en écrivant ce vers si expressif : Les stances avec
grâce
apprirent à tomber ; certaines paraphrases des P
d’une éducation vulgaire, suivant la remarque de l’auteur, aiment les
grâces
qui attirent, les yeux qui préviennent, le sourir
ns la courbure de son profil, dans la finesse de ses cheveux, dans la
grâce
de son cou, dans la largeur de ses blanches épaul
pour produire cette combinaison de traits purs et nobles, toutes ces
grâces
quasi royales qui se trahissaient lentement, comm
rrive à son chevet. Ce songe si détaillé, et qui semble d’abord d’une
grâce
si ingénieuse, n’ajoute rien au dramatique de la
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