Essai sur la société des
gens
de lettres et des grands, sur la réputation, sur
faiblir, je doute qu’il ait le bonheur de plaire à tout le monde. Les
gens
de lettres du moins me sauront gré de mon courage
applaudiront, et vous m’en aimerez mieux. Essai sur la société des
gens
de lettres et des grands, sur la réputation, sur
Aussi rien n’a-t-il égalé leur reconnaissance pour ce monarque ; les
gens
de lettres comme le peuple, tiennent compte aux p
intrigues. Enfin Louis XIV parut, et l’estime qu’il témoigna pour les
gens
de lettres donna bientôt le ton à une nation acco
souvent plus intéressées que sincères. Arrachés à leur solitude, les
gens
de lettres se voient emportés dans un tourbillon
mes voient à peu près les mêmes choses, je ne doute pas que plusieurs
gens
de lettres n’aient fait les mêmes observations qu
urprenant que la société des grands ait une espèce d’attrait pour les
gens
de lettres. L’utilité réelle ou apparente qu’ils
il ne soupçonne ce qui pourra le choquer. Le premier avantage que les
gens
de lettres trouvent à se répandre dans le monde,
a d’esprit, plus on est mécontent de ce qu’on en a ; j’en appelle aux
gens
d’esprit de tous les temps et de toutes les natio
n’ont pas été les plus mal partagés. Je ne crains point que ceux des
gens
de lettres qui ont pris la peine de descendre que
l’estime et l’accueil des grands sont si recherchés de la plupart des
gens
de lettres. On suppose que l’éducation qu’ils ont
e de ses approbateurs. Telle est l’utilité vraie ou prétendue que les
gens
de lettres croient retirer pour leur réputation d
t enfin à la multitude ce qu’elle doit croire. C’est surtout dans les
gens
de lettres, c’est même uniquement parmi eux que c
n porter un jugement sain, ce n’est qu’autant qu’ils seront eux-mêmes
gens
de lettres dans toute la rigueur Rarement un simp
le-même ? Pour répond re à cette objection, je remarque que parmi les
gens
de lettres qui courent une même carrière, comme i
entes classes ; ces classes sont d’elles-mêmes assez marquées, et les
gens
de lettres par une espèce de convention tacite le
s sociétés et de tribunaux où les grands génies sont déchirés par des
gens
qui ne sont pas dignes de les lire. Si la philoso
e n’avait eu la faiblesse d’en faire mention dans un de ses vers. Les
gens
de lettres d’un certain ordre s’avilissent en rép
avec leurs ouvrages et leurs personnes, est quelquefois pour bien des
gens
un phénomène extraordinaire, qu’ils ne tentent pa
re aussi de ce que cela n’est pas vrai. Je ne prêcherai point ici aux
gens
de lettres tous ces lieux communs sur le mépris d
ar des manœuvres inutiles et basses. Écrivez, peut-on dire à tous les
gens
de lettres, comme si vous aimiez la gloire ; cond
être lus, sont aussi plus mal jugés. Elles sont moins nécessaires aux
gens
de lettres qui s’occupent des sciences exactes, e
et de tant d’autres ; mais on ne remontait pas jusque-là ; combien de
gens
pour qui ces grands hommes n’ont jamais existé !
comme une classe particulière qui mérite d’être observée, et dont les
gens
de lettres cherchent aussi à tirer parti pour cet
usages, ni les intérêts, ni les ridicules, ni la frivolité. C’est aux
gens
de lettres, il faut l’avouer, que la nation angla
tte précieuse liberté de penser dont la raison profite, dont quelques
gens
d’esprit abusent, et dont les sots murmurent. Aus
oductions. Prenons garde qu’elle ne surpasse bientôt ses maîtres. Nos
gens
de lettres qui ont tant contribué à la manie et a
principes d’après lesquels on peut apprécier cette réputation que les
gens
de lettres croient acquérir dans la société des g
ivent s’en prendre ; qu’ils cessent de prodiguer leurs hommages à des
gens
qui croient les honorer d’un regard, et qui sembl
Ulysse assez habile pour l’en tirer ; mais où sont les Ulysses ? Les
gens
de lettres qui font leur cour aux grands, forment
n valait pas la peine, nous a laissé un écrit assez énergique sur les
gens
de lettres qui se dévouent au service des grands.
rône élevé, environné de précipices, et autour d’elle une infinité de
gens
qui s’empressent d’y monter, tant ils sont ébloui
n autre plus réel que les titres doivent aux talents. Mais combien de
gens
de lettres pour qui la société des grands est un
eigneurs les plus affables, il en est peu qui se dépouillent avec les
gens
de lettres de leur grandeur vraie ou prétendue ju
commencé par dispenser. Aussi le commerce intime des grands avec les
gens
de lettres ne finit que trop souvent par quelque
r les talents, et du plaisir réel qu’ils trouvent dans la société des
gens
de lettres. En effet, cette société est réellemen
utre, et il faut convenir (malgré les reproches fondés qu’on fait aux
gens
de lettres) que non seulement ils sont supérieurs
à ces deux noms ceux de Molière et du grand Corneille. Mais enfin les
gens
de lettres se distinguèrent en cette occasion, et
Denys-le-Tyran, disait, qu’on me ramène aux carrières ; combien de
gens
de lettres arrachés à leur obscurité, et tombés t
courage de le souffrir. Parmi les grands qui paraissent faire cas des
gens
de lettres, ceux qui ont quelques prétentions au
rale dont se glorifie notre siècle philosophe, il est encore bien des
gens
, et bien plus qu’on ne croit, pour qui la qualité
on peu relevée qu’on se forme communément dans le monde de l’état des
gens
de lettres, il suffira de faire attention à l’esp
moyen de le séparer de la personne. C’est ce qui fait que le rôle des
gens
de lettres est, après celui des gens d’église, le
’est ce qui fait que le rôle des gens de lettres est, après celui des
gens
d’église, le plus difficile à jouer dans le monde
le ; l’autre entre l’orgueil et la bassesse. Faudra-t-il donc que les
gens
de lettres renoncent tout-a-fait à la société des
ulières obligent encore de la modifier et de la restreindre. Ceux des
gens
de lettres à qui le commerce du monde ne peut êtr
commerce du monde est donc absolument nécessaire à cette portion des
gens
de lettres. Mais il serait à souhaiter du moins q
se préserver de cette contagion ; mais il est très singulier que les
gens
de lettres, faits pour étudier, pour connaître, e
uste. Un des principaux inconvénients de la société des grands et des
gens
de lettres, et pourtant un des principaux moyens
surpris de voir son nom si souvent profané, et le ton rampant que les
gens
de lettres prennent avec ceux qui le portent ? Ho
le bien sensible de ce que nous disions plus haut, que l’autorité des
gens
de lettres l’emporte à la longue : c’est à leur s
lle satisfaction le public se plaît à casser les arrêts des prétendus
gens
de goût ; c’est presque une chute sûre pour un ou
i jusqu’à présent parlé que des amateurs qui se bornent à appuyer les
gens
de lettres de leur puissant crédit et de leur fai
ôté-là, et que les ennemis chassent bientôt les protecteurs. Mais les
gens
de lettres s’imaginent peut-être qu’ils trouveron
des avis utiles, l’était assez en même temps pour trouver bon que des
gens
plus éclairés que lui s’en tinssent à leurs propr
Dans les pays où la presse n’est pas libre, a licence d’insulter les
gens
de lettres par des satires n’est qu’une preuve du
ceux qui écrivent ; ces hommes orgueilleux et vils, qui regardent les
gens
de lettres comme des espèces d’animaux destinés à
u progrès des sciences et des arts par leurs bienfaits. Je plains les
gens
de lettres à qui leur fortune rend nécessaire une
t : du pain et des spectacles ; qu’il serait à désirer que tous les
gens
de lettres eussent le courage de dire : du pain e
dernière, on est bien loin des deux autres) voilà trois mots que les
gens
de lettres devraient toujours avoir devant les ye
. Quand je dis que la pauvreté doit être un des mots de la devise des
gens
de lettres, je ne prétends pas qu’ils soient obli
après ce même principe de la dépendance prétendue ou doivent être les
gens
de lettres, qu’on a vu s’établir dans quelques cé
is il faut savoir être dupe quelquefois, et il se trouve toujours des
gens
assez bien nés pour l’être. Le cardinal de Richel
seraient ni l’un ni l’autre. Il n’imaginait pas qu’un jour certaines
gens
dussent être choqués de se voir dans l’Académie F
les grands talents, de remplir à la longue ces sociétés illustres de
gens
médiocres à qui le titre d’académicien est nécess
nt que cette conduite introduirait (du moins pour un temps) parmi les
gens
de lettres, serait à mon avis un plus grand mal q
sensé qui fit brûler la bibliothèque de Constantinople, parce que les
gens
de lettres de son Empire avaient de la dévotion a
est une véritable guerre qu’on fait aux talents. Heureux au moins les
gens
de lettres, s’ils reconnaissent enfin que le moye
dre. Quelques grands seigneurs l’ont honoré de leurs éloges, quelques
gens
de lettres l’ont déchiré. Les premiers n’y ont vu
tte mer orageuse, que je n’ai fait qu’entrevoir, puisse-t-il dire aux
gens
de lettres avec autant de fruit que de vérité !
et oublier que j’écris à un philosophe. L’accueil que vous faites aux
gens
de lettres ne leur laisse point apercevoir la sup
ait en 1752 à un homme dont la mémoire doit être précieuse à tous les
gens
de lettres qui l’ont connu, à feu M. le marquis d
ez les talents, et qui seule peut rendre la société des grands et des
gens
de lettres également digne des uns et des autres.
que les jugemens du public l’emportent à la fin sur les jugemens des
gens
du métier L’experience confirme le raisonnement
confirme le raisonnement que je viens de faire. Il faut bien que les
gens
du métier se trompent souvent, puisque leurs juge
s avons retenuës seront chantées par la posterité. Les fautes que les
gens
du métier s’obstinent à faire remarquer dans les
dent bien leur succès, mais elles ne l’empêchent point. On répond aux
gens
du métier qu’un poëme ou un tableau peuvent avec
mauvaise grace, trouvent la porte du coeur fermée. Les décisions des
gens
du métier, bien que sujettes à toutes les illusio
ouvrage par ceux qui le connoissent, ils peuvent empêcher beaucoup de
gens
de le connoître en les détournant de l’aller voir
emps. En second lieu, le public prévenu en faveur du discernement des
gens
du métier, pense durant un temps qu’ils aïent mei
Racine parvenir si promptement à une grande réputation. Quoique les
gens
du métier n’en puissent pas imposer aux autres ho
rage vienne à être connu generalement, le prejugé que la décision des
gens
du métier a jetté dans le monde, balance le senti
un tableau sur la foi d’autrui, aiment mieux en passer par l’avis des
gens
du métier, elles aiment mieux le repeter, que de
métier, elles aiment mieux le repeter, que de redire le sentiment de
gens
qui n’ont pas mis l’enseigne de la profession à l
ssent ébloüir par une raison qui peut beaucoup sur eux. C’est que les
gens
du métier doivent avoir plus d’expérience que les
éculatifs. La vanité contribuë encore à nous faire épouser l’avis des
gens
du métier, préferablement à l’avis des hommes de
u moins durant un temps leur propre sentiment pour adopter l’avis des
gens
du métier. Elles rougiroient d’oser être d’un avi
productions assez tristes et assez maussades, — comme, du reste, les
gens
malades, malsains ou mal faits le sont presque to
athénées ou les cours publics les bons vivants ne remplacent pas les
gens
graves, s’appellera « les Dîners littéraires du x
tout d’abord sourire ou rire, sans malice, comme ont fait beaucoup de
gens
bienveillants et doux, lesquels n’ont pas manqué
ants et doux, lesquels n’ont pas manqué de dire : « Eh ! pourquoi des
gens
de talent et d’esprit, fatigués d’écrire, appesan
s un peu ?… » Et nous-même nous nous serions surpris à dire comme les
gens
bienveillants et doux, si l’exorbitante prétentio
urs le résultat d’une compression. Le Romantisme, qui n’eut jamais de
gens
d’esprit à son service (il n’eut que des gens de
me, qui n’eut jamais de gens d’esprit à son service (il n’eut que des
gens
de talent), le Réalisme, qui n’a ni les uns ni le
miracle auquel ne croient pas les Écossais, ni lui non plus, tous les
gens
d’esprit de France et de Navarre qui l’entendent,
lait le ranimer par des expériences culinaires, faites sur le vif des
gens
de lettres de tous les étages. Il s’est dit qu’au
lu quelque part qu’autrefois on avait soupé ou dîné à Auteuil, entre
gens
de lettres et de génie, et qu’au dessert chacun d
el fragment d’œuvre a jailli de cette serre chaude d’un dessert entre
gens
de bonne humeur et qui se conviennent ? L’expérie
856. Note de M. Sainte-Beuve au sujet des encouragements à donner aux
gens
de lettres. Cette pièce, écrite de la main de M.
aussi une démocratie, elle l’est devenue. La très-grande majorité des
gens
de lettres sont des travailleurs, des ouvriers d’
littérature est assez fidèlement représentée par la Société dite des
Gens
de Lettres. Cette Société, dans laquelle est admi
, quiconque a publié un volume, se compose de la presque totalité des
gens
de lettres en activité. La Société des gens de le
e la presque totalité des gens de lettres en activité. La Société des
gens
de lettres est régie par un Comité qui, jusqu’ici
ent à connaître le malheur. Par cela seul que ce Comité se compose de
gens
de lettres plus en renom, ou ayant assez de loisi
des auteurs dramatiques, qui diffère par son titre de la Société des
gens
de lettres, n’en est guère qu’une branche plus sp
de l’empereur se portait sur cette classe de travailleurs appelés les
gens
de lettres, comme il s’est porté sur d’autres cla
attendant. — Et d’abord, comme dans les infortunes et les misères des
gens
de lettres l’amour-propre et la mauvaise honte jo
que la littérature sente qu’elle l’obtient aussi à son tour ; et ces
gens
de lettres, qui hier encore se décourageaient ou
sert, on sent qu’on n’en est pas. De tout temps, on l’a observé, les
gens
de lettres n’ont pas été des mieux et n’ont pas f
c ceux qu’ils ont servis ; on l’a remarqué des plus grands écrivains,
gens
de fantaisie ou d’humeur, de Chateaubriand, de Sw
vers quarante ou quarante-cinq ans, c’est-à-dire à l’âge où bien des
gens
dans d’autres professions ont déjà fait leur fort
53. Autrefois, disait Duclos dans son livre des Considérations, les
gens
de lettres livrés à l’étude et séparés du monde,
e avec eux. Et dans le même ouvrage, à un autre endroit, parlant des
gens
à la mode et montrant l’inconvénient de cette pré
’envoyer tout enfant à Paris pour y faire ses études, ce que bien des
gens
de qualité ne faisaient pas pour leurs fils et ce
éclat de rire, et se refuse d’abord à croire à la duperie de tant de
gens
plus ou moins considérables qu’on a nommés : Il
ez un avocat au Conseil ; mais surtout il hante les cafés et voit les
gens
de lettres. Deux cafés se partageaient alors l’ho
ours et où je ne trouve jamais le mot pour rire. » Les portraits des
gens
de lettres qui terminent le fragment trop court d
pas le faire ministre, aux seigneurs d’être plus grands que lui, aux
gens
de son état d’être plus riches. Il regarde la lib
t si rapide et quelquefois si dépourvue de grâce qu’il perd, avec les
gens
médiocres qui l’écoutent, ce qu’il gagne avec les
perd, avec les gens médiocres qui l’écoutent, ce qu’il gagne avec les
gens
d’esprit qui l’entendent. À ce portrait où perce
permettait les propos les plus imprudents contre les ministres et les
gens
en place. Je l’entendis un jour dire après dîner,
vrages qui se seraient faits en collaboration dans ce petit cercle de
gens
de qualité et de plaisir. Voisenon, dans sa note
ymie morale, dignes d’être loués par Beauzée. Les chapitres sur « les
gens
de fortune » et sur « Les gens de lettres » sont
s par Beauzée. Les chapitres sur « les gens de fortune » et sur « Les
gens
de lettres » sont de vraies descriptions de mœurs
ies descriptions de mœurs et excellents de tout point. En parlant des
gens
de lettres, il est à la fois orgueilleux et modes
croissante de son ordre : « Cependant de tous les empires, celui des
gens
d’esprit, dit-il, sans être visible, est le plus
-il, sans être visible, est le plus étendu. Le puissant commande, les
gens
d’esprit gouvernent, parce qu’à la longue ils for
es ces remarques faites au milieu du siècle, dans la pleine vogue des
gens
de lettres et avant toute expérience, témoignent
être détachés, et qui sont faits pour circuler comme des proverbes de
gens
d’esprit : L’orgueil est le premier des tyrans o
rer les peintures avec la nature, il faut un amour du vrai que peu de
gens
possèdent, et là se présente un écueil difficile
hie mise à part, ce qui est apprécié le plus sainement par le plus de
gens
, c’est le paysage. Les gens non artistes ne conna
apprécié le plus sainement par le plus de gens, c’est le paysage. Les
gens
non artistes ne connaissent pas la valeur fragmen
re curieux. Ce sont eux qui sont parvenus à persuader à nos peintres,
gens
crédules, de ne jamais produire que des visions,
que artificielle ont frappé l’école contemporaine d’impuissance ; les
gens
qui ont reculé devant leur propre époque, et qui
qu’ils n’ont pas vu, que le présent ou ils vivent et se meuvent, ces
gens
-là ne peuvent être absous de leur inintelligence
ontraire, et comme ces êtres-là sont aussi vivants et colorés que les
gens
du moyen âge et de la cour de Louis XV, et vous v
housiasme ; c’était un libérateur, c’était un envoyé de Dieu pour les
gens
fatigués d’admirer Racine ; ils trouvaient dans s
-horrrible et de l’extraordinaire-monstrueux. Que peut-on attendre de
gens
qui vous disent des choses comme celles-ci : « I
où Shakespeare donne à manger sa chair et à boire son sang », que de
gens
qui ont des échéances difficiles, d’ouvriers qui
erait dangereuse. Sait-on de quoi serait capables des poètes affamés,
gens
mal raisonnants de nature ? Aussi me paraît-il ex
serait injuste cependant de ne pas dire un peu de bien de ces pauvres
gens
; je crois donc les honorer aux yeux du monde en
, d’après le Manuel du parfait Poète, le moyen de les distinguer, aux
gens
qui les voudraient fréquenter pour en tirer vanit
d’écrivains l’ont mise dans leurs livres : aussi tous les jours, des
gens
qui crient contre le Réalisme admirent sans le sa
e et littéraire, en sont sortis, se sont élevés fort au-dessus de ces
gens
-là et ont excité ainsi des haines que l’amour-pro
été sincères et le public a l’idée très claire d’un poêle. Il y a des
gens
qui de ce poêle auraient fait un petit temple gre
quelles on puisse faire des œuvres. On hue, sans grands efforts, les
gens
qui prennent les vieux chemins qui ne mènent plus
be de chambre, et il semble qu’on vient les dépouiller quand quelques
gens
courageux les secouent un peu et les forcent à ro
t le monde est réaliste : chaque jour dans la conversation, parmi les
gens
bien élevés ou parmi les gens naïfs, il se fait d
ue jour dans la conversation, parmi les gens bien élevés ou parmi les
gens
naïfs, il se fait des récits très remarquables de
à poser devant le public selon la tradition. Écrire, pour beaucoup de
gens
qui n’ont pas la volonté de se débarrasser des ma
ntre, au sculpteur, au public. Le sens critique n’existe que chez les
gens
de bonne foi qui cherchent le vrai et n’ont pas h
e passions, que de rancunes et en même temps que d’ignorance chez ces
gens
dont c’est devenu le métier de juger de tout suiv
des lettres, et voilà ce qui le fait mépriser, en effet, de bien des
gens
sains d’esprit. L’esprit de critique qui fait ape
e le commande ; mais le rire est faux, et rien n’est triste, pour des
gens
qui ne rient que rarement et de bon cœur, comme d
des gens qui ne rient que rarement et de bon cœur, comme de voir des
gens
qui rient sans savoir pourquoi et parce qu’il doi
acile à concevoir mais triste à souffrir des grands airs de 1830. Des
gens
qui n’ont jamais touché une plume et par conséque
ût-elle commune, veulent juger les livres, les pièces de théâtre. Des
gens
qui ne savent pas au juste avec quoi on fait de l
ans son petit coin personnel, et si on est vrai, si on représente les
gens
dont on est entouré, les tenants et aboutissants
ue de vérité, de choses qu’il puisse comprendre. Le plus souvent, les
gens
qui ont été élevés selon toutes les règles de l’U
t qu’ils les suivront malgré leurs excellences de forme, car ils sont
gens
« à gilet de velours et ventre de son ». Edmond
n en a plus ou moins, chacun prétend s’en servir, chacun discute. Les
gens
de lettres doivent, ou plutôt devraient en avoir
é. Il est un genre de roman dont les savants ne veulent pas, dont les
gens
raisonnables veulent moins encore ; c’est le roma
e nous enveloppe, plus il est utile à ceux qui le lisent. Beaucoup de
gens
prétendent voir ce qui se passe autour d’eux sans
interroge, pense, et rassemble ce qui n’apparaît qu’épars aux autres
gens
préoccupés par leurs professions et leur situatio
mi trouvait le roman une chose si facile à faire, et pourquoi tant de
gens
ont réussi par son moyen à se creuser un petit tr
t plongés. Mais tant de têtes, bon Dieu ! tant d’influences ! tant de
gens
qui ne lisent pas Balzac parce que Balzac ne les
ts, soit dans l’industrie, ne sont admises de prime abord que par les
gens
très érudits ou par les ignorants, les deux extrê
la plus malsaine et la plus dangereuse parce qu’elle s’adresse à des
gens
timides, au grand nombre. C’est l’école du juste
a même, depuis quelque temps, trouvé moyen d’augmenter le nombre des
gens
privilégiés qui gagnent notre argent avec les tal
ils n’ont d’autres raisons d’existence que l’habitude pour certaines
gens
de se trouver aux premières représentations, pour
tâchent de vous intéresser avec des histoires de revenants, sont des
gens
qui ont la plaisanterie facile. Ceci une fois con
Tandis que vis-à-vis de ceux qui marchent selon le sens naturel, les
gens
sont pour la plupart comme le bourgeois gentilhom
es drames, un grand mouvement de groupes formés par les relations des
gens
entre eux, et se rencontrant sur tous les terrain
Cette société m’a semblé s’exprimer par les différences d’habit ; les
gens
qui portent la blouse, le tablier, ont des idées,
j’en ai pour quatre jours de mauvaise humeur et de colère contre les
gens
qui barbouillent les toiles, depuis les plus célè
faut qu’on les en console par des fictions. Ce sont ordinairement des
gens
très gros, très gais, mangeant bien, buvant bien,
s n’emploient pas ces choses, ce ne sont plus des réalistes, mais des
gens
qui ne savent ce qu’ils veulent et qui n’ont jama
es, ces écrivains acarus sont excellents pour la santé littéraire des
gens
auxquels ils s’attachent, et qui auraient tort de
des pies, picorant comme ceux-ci dans les épis d’autrui. Ces pauvres
gens
qui n’arrivent à rien et sont toujours en agitati
si l’on n’a mis l’enseigne de poète ; de mathématicien, etc. Mais les
gens
universels ne veulent point d’enseigne et ne mett
as la question. Je ne me reconnais plus au milieu des affirmations de
gens
qui partent de sentiments contraires aux nôtres,
ns importance, le vulgaire, le prosaïque, le bas, le moins. Or peu de
gens
aimant à réfléchir, le choix n’est pas douteux. C
tter avec cette exactitude, cette vérité historique, comme disent les
gens
qui ne connaissent ni la vérité, ni l’histoire. —
arcy, est une pièce vulgaire faite par un esprit vulgaire. — Tous les
gens
qui font des vers, à Paris, feignent d’admirer, p
va avoir plus de succès que lui ! » — Que fait donc M. Ponsard à ces
gens
-là ? d’où leur vient ce dédain pour lui ! Mais, s
nciennes. Il est possible qu’on préfère et qu’on trouve plus nets les
gens
qui disent que le beau est la splendeur du vrai,
. Tandis que ces natures vulgaires de réalistes veulent rabaisser les
gens
aux choses qui se passent souvent. Mais il y en a
en desquelles on a cherché à se reconnaître au milieu de la foule des
gens
qui se sont fait un nom, je ne vois que deux mani
r l’histoire même de l’art, qui est plutôt une histoire de fous et de
gens
faibles qu’une histoire de gens raisonnables et f
est plutôt une histoire de fous et de gens faibles qu’une histoire de
gens
raisonnables et forts : le Tasse, Raphaël, Racine
musique complexe ou harmonie. La mélodie est surtout réussie par les
gens
naïfs, l’harmonie ne peut être faite que par des
par la vue ; de plus, l’action explique la musique qui pour bien des
gens
a besoin d’être expliquée. Pour apprécier la gran
s défauts de nos romans et de nos drames ; leurs personnages sont des
gens
forcés à raconter leur histoire ; ils la brodent,
s qu’ils n’ont jamais eues, mais qui les dissimulent. Défiez-vous des
gens
qui vous racontent leur histoire par force, tout
e comme à la bourse ; seulement nous voulons la vérité et bien peu de
gens
la cherchent. D’ailleurs il n’est pas plus bas d’
r et parler, il y a contradiction entre le caractère et l’action. Les
gens
d’imagination tombent toujours dans ce défaut. On
ve à deviner ou découvrir les tendances, le but, les secrets même des
gens
qu’on étudie. Par une observation constante et ra
housiasme ; c’était un libérateur, c’était un envoyé de Dieu pour les
gens
fatigués d’admirer Racine ; ils trouvaient dans s
d-horrible et de l’extraordinaire-monstrueux. Que peut-on attendre de
gens
qui vous disent des choses comme celles-ci : « I
où Shakespeare, donne à manger sa chair et à boire son sang », que de
gens
qui ont des échéances difficiles, d’ouvriers qui
t autour de ces pauvres vieux : « Elle corrompt et elle tue. » Que de
gens
elle berce cependant. Il n’y a pas assez de mépri
jusque dans les entrailles ? Pourquoi être obligé d’attaquer tant de
gens
sincères vis-à-vis d’eux-mêmes, mais non vis-à-vi
ls n’ont pas vécu assez simplement, assez silencieusement. Combien de
gens
par eux dédaignés, des marchands, des industriels
t pas à avoir du génie et à agiter leur tunique de pourpre devant les
gens
pour les étonner, qu’ils ne pensent qu’à ce qu’il
nt chanter comme font les poètes ! mais combien savent voir comme les
gens
de cœur ? De petits poètes ont continuellement de
sentiment pontmartiniste là-dessus c’est qu’Adolphe et René sont des
gens
comme il faut, que leur âme est supérieure à cell
out en dehors, il a livré des trésors de puérilité et de ridicule aux
gens
plus timides. Balzac peut très bien passer pour f
gens plus timides. Balzac peut très bien passer pour fou aux yeux des
gens
sincères. C’était un homme avide qui a voulu tout
la nature avec l’émotion qui naît en moi de ses spectacles. » Peu de
gens
ont le droit de parler ainsi. « Le grand défaut
is de Claude, en voyant ma prétention, hausseront les épaules. » Les
gens
qui faisaient des sujets du moyen-âge lui paraiss
n de plus triste, dit Bacon, que d’entendre donner le nom de sage aux
gens
rusés.” Les maniéristes sont des peintres rusés,
on manque son coup, le mail s’enfonce profondément dans la terre. Les
gens
qui sont étrangers à ce jeu sont continuellement
ésente avec tant de faste, ne lui paraît, de près, se composer que de
gens
mal armés, maladroits, rouillés par une longue pa
ntraire qui arrive. Des deux côtés sont des traîtres, ou du moins des
gens
qui se ménagent à double fin, Saint-Pol du côté d
t précisément l’inverse de ce qu’on avait décidé dans le Conseil. Les
gens
du roi étaient retranchés au pied du château derr
seul homme ne saurait prétendre donner ordre à un si grand nombre de
gens
! Commynes en conclut que s’estimer jusque-là, ce
il le nomme ; mais il le juge : « Il étoit assez puissant, dit-il, de
gens
et d’argent, mais il n’avoit point assez de sens
Et il nous initie au procédé de Louis XI, à sa manière de gagner les
gens
, de les pratiquer, de ne se point rebuter d’un pr
rtrait selon Holbein ou Albert Dürer. Il étoit naturellement ami des
gens
de moyen état et ennemi de tous grands qui se pou
pouvoient passer de lui. Nul homme ne prêta jamais tant l’oreille aux
gens
, ni ne s’enquit de tant de choses… Il connoissoit
lle aux gens, ni ne s’enquit de tant de choses… Il connoissoit toutes
gens
d’autorité et de valeur qui étoient en Angleterre
hant, caustique ; il ne pouvait se tenir de lâcher un bon mot sur les
gens
, quand il ne les craignait pas. Mais, le bon mot
se mettre à couvert, et périt d’une mort misérable. « J’ai peu vu de
gens
en ma vie, dit Commynes, qui sachent bien fuir à
ans son tous les jours ; il a en horreur les avanies, habituelles aux
gens
de guerre d’alors, même en pays ami, et il compre
a guerre frappaient sur les nobles bien plus que sur le peuple et les
gens
des communes. Il attribue cette modération jusque
ale, ne le font que par des motifs personnels, parce que, n’étant que
gens
frivoles et propres à conter fleurette dans l’ore
oient plus tard ; et leur mort en seroit plus regrettée et de plus de
gens
, et moins désirée… L’équivalent de Tacite ne se
la comédie de caractère, le bon rire des bourgeois au fin sourire des
gens
de cour ? Molière y avait pourvu. Molière corrige
perfectionnait Molière. Il avait pris, tour à tour, à la volonté des
gens
, les nobles traits d’Alceste, la mine d’aigrefin
Bourdaloue, dans une peinture éloquente des ravages du jeu, parle de
gens
« que la nécessité des temps force d’apporter que
ervation juste, sinon profonde, les font par moments ressembler à des
gens
de connaissance. On dirait une joyeuse mascarade
eu de ses joyeux convives, riant du bon rire des gros mangeurs et des
gens
replets, et je préfère involontairement à ce qui
par l’habit, aux autres hommes ; mais le cœur est resté le même. Ces
gens
-là pensent tous, comme Turcaret, que l’argent don
l’homme. Celui qui n’estime que l’argent mérite de vivre au milieu de
gens
qui ne pensent qu’à lui voler le sien. La morale
timent inévitable du travers de Turcaret, c’est d’avoir affaire à des
gens
qui entendent bien lui reprendre une partie de ce
de comédie larmoyante est du temps. Larmoyer n’est pas pleurer ; ces
gens
-là le sentaient bien. La Chaussée lui-même ne se
actère. Trissotin est le Tartufe du bel esprit. Il s’insinue chez les
gens
par de petits vers, comme l’autre par la dévotion
dans la bouche d’un méchant. Aussi ne s’inquiète-t-on guère pour les
gens
qui ont affaire à Cléon. Que craindre d’un méchan
s Cléon assez méchant, il ne s’ensuit ni qu’il fût plein de méchantes
gens
, ni que les lettres corrompent les mœurs. Le publ
était, à la place des valets de convention de la farce italienne, les
gens
de connaissance qu’on venait de voir dans les Fâc
era la comédie sérieuse. Joignez-y les parents à tous les degrés, les
gens
de tout état, célibataires, maris, veufs, orpheli
t que les spectateurs soient troublés, incertains, éperdus, comme ces
gens
qui, dans un tremblement de terre, voient les mur
, il eût fallu qu’il se trouvât ridicule. N’en demandons pas tant aux
gens
. Le juge du parterre ne se retrouvera donc pas da
par sa simplicité la profondeur d’astuce de Tartufe. Il a trouvé ces
gens
-là dans la vie, côte à côte, sous le même toit. O
e Père de famille, le père et le commandeur. Quel dommage que tant de
gens
sachent par cœur les « petites idées et les antit
ue par le style, et quel drame s’est élevé jusqu’au style ? D’habiles
gens
qui s’y sont fait applaudir l’ont si bien senti q
ame se renie lui-même, et devient malgré lui la tragédie. Je vois des
gens
qui s’impatientent de ces noms de tragédie et de
uer court, par mots entrecoupés de points, est à la portée de plus de
gens
que le dialogue à tirades éloquentes, où se répan
actères. Il est vrai que ces caractères ne sont pas aimables. Ce sont
gens
qui pensent avant tout à faire leurs honneurs, et
à Figaro. Que vous semble de ce mot d’une fiancée à son fiancé ? Ces
gens
là n’ont rien à s’apprendre ; leur père ne leur a
semble des individus et des types, et nous les tenons à la fois comme
gens
de notre espèce et comme gens de notre pays. Pour
pes, et nous les tenons à la fois comme gens de notre espèce et comme
gens
de notre pays. Pour parler d’Almaviva, on en trou
celui de faire des traits, qui est de les saisir au vol. Au milieu de
gens
si pétillants, je suis comme un provincial parmi
; et sauf Figaro, qui déjà met trop de prix à tout ce qu’il dit, les
gens
y parlent plus simplement. La pièce est moins spi
invention dramatique et le style. Il y a, dans toutes ses pièces, des
gens
honnêtes par lesquels il épanche tous ses bons se
oïste. Le voilà condamné à s’aimer tout seul. Plaignez-le. Il y a des
gens
qui se tuent pour en avoir été réduits là. Tant q
utumé, dans l’intervalle, à la vie de Paris et à la fréquentation des
gens
de lettres. C’était l’époque des cafés et de leur
re vogue ; ils étaient hantés par ce qu’il y avait de mieux parmi les
gens
d’esprit. Il y avait alors deux cafés qui étaient
s que La Faye. Mais La Motte, que Duclos appelle le plus aimable des
gens
de lettres, ne s’éloignait guère, et pour cause,
se distraire de ses maux dans la conversation de plusieurs savants ou
gens
de lettres qui s’y rendaient à certaines heures.
Il est clair qu’on n’en a pas toujours eu cette opinion, puisque des
gens
du mérite de M. de La Motte et de M. de Pons n’on
storiettes vivantes du passé, représentons-nous bien les lieux et les
gens
comme ils étaient. La Motte qui demeurait rue Gué
ont de plaisir qu’à frapper, qui n’entrent en lice que pour jeter les
gens
par terre, et à qui l’on peut opposer ce beau mot
t de ces défauts qui est l’objet de la bonne critique. La plupart des
gens
croient avoir donné une haute idée de leur goût l
mais qui ne méritent pas d’être rapportés. j. [1re éd.] puisque des
gens
du mérite de M. de La Motte et de M. Pons n’ont p
ou trouver des répondants, « il n’y a plus, dit un intendant, que des
gens
absolument inconnus ou dangereux ; dans ce nombre
des villes, aventuriers, apprentis renvoyés, fils de famille chassés,
gens
sans asile et sans aveu. L’embaucheur, payé à tan
dans la classe qui l’attaque, paysans foulés, vagabonds emprisonnés,
gens
déclassés, ; endettés, désespérés, pauvres diable
ur qu’ils répandaient offusqua la délicatesse du prince. « Ces braves
gens
, dit-il un peu trop haut, sentent diablement le c
ction locale. La province subit les événements de la capitale ; « les
gens
n’osent bouger, ils n’osent pas même se faire une
t, en vue de se faire élire aux États Généraux, se sont mis après les
gens
du Tiers-état, sous prétexte de les soutenir et d
faires du royaume, que le Tiers, en choisissant ses députés parmi les
gens
de robe, aurait le droit et la force de primer, d
t accorder au Tiers-état tout ce qu’il voudrait, parce que les curés,
gens
du Tiers, étant convenus de se détacher du haut c
s les assemblées de bailliages et de sénéchaussées ont été farcies de
gens
de robe qui absorbaient les opinions et voulaient
vis propres à exalter leurs têtes et à déterminer leur choix pour des
gens
du palais. » — « Dans la sénéchaussée de Lectoure
Section 25, du jugement des
gens
du métier Après avoir parlé des jugemens du pub
ic sur un ouvrage nouveau, il convient de parler des jugemens que les
gens
du métier en portent. La plûpart jugent mal des o
l des ouvrages pris en general, par trois raisons. La sensibilité des
gens
du métier est usée. Ils jugent du tout par voïe d
ens generaux qu’ils portent pour plus qu’elle ne vaut. Sous le nom de
gens
du métier, je comprens ici, non-seulement les per
uvrages, et qui distingue le grand homme du simple artisan. Ainsi les
gens
du métier jugent mal en general, quoique leurs ra
pareille à celle de Malherbe et de Moliere. Nous avons avancé que les
gens
du métier étoient encore sujets à tomber dans une
e que je viens de dire ici, je l’ai dit des jugemens generaux que les
gens
du métier portent sur un ouvrage. Que les peintre
désir de la considération et l’estime ; car c’est un prix auquel les
gens
de lettres aspirent, ils mentent quand ils affect
s enviée et la plus paisible. C’est principalement de cette partie de
gens
de lettres que nous devons prévenir les reproches
n-être, et la crainte de le voir troubler. Quel mal vous ont fait les
gens
de lettres, me diront ces zélés citoyens, pour vo
n riant à de pareilles déclamations. Si c’est se montrer l’ennemi des
gens
de lettres, que de leur parler avec intérêt des p
t à l’homme ; que depuis que les savants ont paru, on ne voit plus de
gens
de bien ; ils ne manqueraient pas d’attribuer cet
un moment cette imputation aussi fondée qu’elle est injuste ; si les
gens
de lettres sont en effet coupables du désordre do
acerait avec les couleurs de l’éloquence les malheurs essuyés par les
gens
de lettres, il faudrait bien se garder, pour ne p
s, destinées à renfermer des insensés ou des imbéciles, avec quelques
gens
raisonnables qui les gardent, et qui ne suffisent
persuader que les vrais ouvrages d’agrément sont aussi rares que les
gens
vraiment aimables. Tant pis pour vous cependant,
plaindre des autres ? Et là-dessus il s’emporta en satires contre les
gens
de lettres, en invectives contre les protecteurs,
ec assez peu d’équité, et avec encore moins de respect. J’excusai les
gens
de lettres, je passai condamnation sur les protec
n me fait grand plaisir. Tu me prêches sur la nécessité de plaire aux
gens
que l’on voit, et de faire des frais pour cela ;
’a dit. Si Dieu m’a créé bourru, bourru je dois vivre et mourir… Les
gens
d’esprit sont souvent très singuliers ; ils croie
elles. Il ne paraît point d’abord sous le charme ni des lieux, ni des
gens
; les souvenirs d’enfance lui reviennent et lui f
on saura à Tours, écrivait-il à sa femme, que nous avons à Paris des
gens
qui pensent à nous, on nous laissera tranquilles…
ernement le moins possible, faisant des sorties contre la Cour et les
gens
de cour toutes les fois qu’il y a lieu, méconnais
ne raison supérieure d’agir, ils ne la trouveront pas, et qu’à telles
gens
il faut une religion politique, un souvenir ou un
ropriétaires, elle fait, selon lui, d’honnêtes gens, c’est-à-dire des
gens
intéressés à l’ordre, à la paix, à la justice. Je
e avec vos voisins, que voyez-vous ? Rappelez-vous La Fontaine et ces
gens
du bourg dont il a dit : Ô gens durs, vous n’ouv
s ? Rappelez-vous La Fontaine et ces gens du bourg dont il a dit : Ô
gens
durs, vous n’ouvrez vos logis ni vos cœurs ! Voy
, jure qu’on ne l’y prendra plus. Ce serment, comme celui de tous les
gens
possédés d’un démon, faillit être vain, et sa jol
t en tournant le feuillet : Mais quoi ! je vous le dis : ce sont les
gens
de cour, Dont l’imaginative enfante chaque jour C
et de ces prétextes rustiques pour en faire des malices exquises aux
gens
d’en haut, il y avait en France un autre vrai lab
larité politique, de mettre ainsi un talent d’Athénien au service des
gens
de La Minerve, et d’avoir pu dire sérieusement, d
la langue courtisanesque, pour user de ce mot italien, mais celle des
gens
avec qui je travaille à mes champs, laquelle se t
omis, toutes ces révélations curieuses ne l’ont pas brouillé avec les
gens
en question, dès que leurs intérêts sont redevenu
a société récemment fondée à l’occasion même du débat, la Société des
Gens
de Lettres, après avoir posé le principe général,
pourraient s’entrevoir déjà. Rien de plus légitime assurément que des
gens
de lettres s’associant pour s’entendre sur leurs
dent rien du tout. On conçoit cependant, je le répète, une Société de
gens
de lettres s’entendant de leur mieux pour s’assur
ux de France, comme les appelle le président actuel de la Société des
Gens
de Lettres dans une lettre récemment publiée135 ;
es attroupait pas non plus autour de ses misères. Mais la Société des
Gens
de Lettres nous paraît recéler d’autres inconvéni
a ? Voilà donc une Société qui recevra tous ceux qui s’offriront pour
gens
de lettres, et qui les aidera, et qui les organis
il se serait plaint, en plaisantant, d’avoir affaire à deux sortes de
gens
les plus indisciplinables du monde, les comédiens
rtes de gens les plus indisciplinables du monde, les comédiens et les
gens
de lettres. Le propos eût été leste, et je ne pui
t cela sans rire. Il n’est donc peut-être plus permis de dire que les
gens
de lettres sont, non pas indisciplinables, mais t
s. Au reste, nous parlons d’autant plus à l’aise de cette Société des
Gens
de Lettres, que, le grand nombre nous en étant pa
toutes les gentillesses de la requête ; il ne ressemble pas à tant de
gens
insatiables, dit-il, il ne veut plus rien demande
à qui dites-vous cela, Sire ? à moi qui ai affaire aux deux sortes de
gens
les plus indisciplinables, les comédiens et les g
x deux sortes de gens les plus indisciplinables, les comédiens et les
gens
de lettres ! » 137. Tout ceci est sensiblement i
emain de sa démission, il ne fût universellement regretté de tous les
gens
de lettres. Le directeur de la Librairie, par sa
; amours-propres de gens du monde, de grands seigneurs, de dévots, de
gens
de lettres surtout, il avait affaire à tous ensem
oint à voir écrire sur la politique, le commerce, la législation. Les
gens
de lettres pensent de même sur la critique littér
péchait plutôt par l’indulgence, il réussissait à mécontenter tant de
gens
: « C’est que je refuse très peu de choses, mais
re qu’il n’y avait guère, au fond, à compter sur la censure ; que des
gens
d’esprit, dans un ouvrage de longue haleine, vien
t ce n’est pas le mien ; je suis chargé d’une police qui concerne les
gens
de lettres, les savants, les auteurs de toute esp
e lettres, les savants, les auteurs de toute espèce, c’est-à-dire des
gens
que j’aime et que j’estime, avec qui j’ai toujour
onsieur, voyez quelle est ma situation, je peux imposer des gênes aux
gens
de lettres, contraindre leur génie, me plaindre d
’ai reçu dix fois plus de plaintes que je n’en ai reçu contre eux des
gens
de bien. » Les gens de bien, c’est-à-dire les gen
us de plaintes que je n’en ai reçu contre eux des gens de bien. » Les
gens
de bien, c’est-à-dire les gens du bord de la rein
eçu contre eux des gens de bien. » Les gens de bien, c’est-à-dire les
gens
du bord de la reine et du Dauphin ; et, en effet,
qui s’était entremis dans cette affaire, et il lui disait : Pour les
gens
de lettres, l’expérience m’a appris que quiconque
une autre occasion, aux boutades et aux espèces d’accès auxquels les
gens
de Lettres sont sujets ; je ne m’en offense jamai
de Malesherbes, dépositaire de l’autorité, dans ses rapports avec les
gens
de lettres de son temps ; combien il les aima et
ustre entre vos mains ? Les éloges que vous me proposez de donner des
gens
de mérite et que le public regrette, seront pour
chez lui le soir, cause avec ses amis, et s’amuse à leur peindre les
gens
qu’il a vus, les caractères qu’il a observés, les
cins, et tous les officiers publics ; puis les bourgeois, les petites
gens
, les bêtes de bas étage, « la racaille qui n’a ni
ses populacières. Ce n’était pas la peine de discuter avec de petites
gens
qui ont l’impertinence de vouloir vivre. Elle ne
», si bon et si grand qu’il soit né, finit par se dire que choses et
gens
ne sont faits que pour le servir. En 1710, je cro
t le visage qu’il fallait prendre. Je définis la cour un pays où les
gens
, Tristes, gais, prêts à tout, à tout indifférents
tre, On dirait qu’un esprit anime mille corps : C’est bien là que les
gens
sont de simples ressorts.42 Mais il faut quelqu
s’arrangent pour installer le futur défunt au plus haut du ciel. Ces
gens
ont « bravement crié. » Mais l’embarras est de tr
’a trouvée en chemin : les âmes pieuses ont tout bonheur. Il a vu des
gens
« experts et savants », et sait pourquoi Sa Majes
sont les sources de l’humeur sarcastique. Quand il ne flatte pas les
gens
, il les persifle, et paye tranquillement les serv
gon. « Il n’a pas envie de faire crever le monde, il n’invite pas les
gens
pour les assassiner à force de mangeaille. » Le
trop d’esprit ! » Mais on leur rend bien leurs adulations. Tous les
gens
querelleurs, jusqu’aux moindres mâtins, Au dire d
n traînant, avec de grosses railleries, et une façon de congédier les
gens
qui n’appartient qu’à lui. Il répond aux aménités
re un ours. » Et promptement il tranche la controverse en mettant les
gens
à la porte. « Te déplais-je ? Va-t’en, suis ta ro
alier de l’étiquette. Il doit « complaire à son maître », chasser les
gens
mal vêtus, les mendiants, tout ce qui n’est point
dieux ne plaise ! Insolence contre les choses, insolence contre les
gens
. Malgré sa politesse, le gentilhomme ne peut parl
ne très bien, comme aussi sa famille, chiens, chevaux et valets, tous
gens
bien endentés. » Cela l’égaye et il s’humanise, i
papelardie. Le rat paye en prières, et, cet impôt acquitté, met les
gens
à la porte. La Fontaine a voulu peindre tout au l
res religieuses. La ville capitale a pris pour elle la pensée, et les
gens
de cour l’élégance. L’administration, par sa régu
nt des larmes. » N’importe, les maris sont trop contents de se croire
gens
de guerre. Ils se sont monté la tête avec leur pr
rateurs de se taire. Voilà les vrais braillards. Mais laissons là ces
gens
. Vous m’entendez, je vous entends, Il s
me le Giton de La Bruyère, mais toujours sot et brutal. Ces sortes de
gens
se croient capables de mener l’Etat parce qu’ils
s de, citoyens : La république a bien affaire De
gens
qui ne dépensent rien ! Je ne sais d’ho
dire mot en chemin, nous vous porterons ; mais nous rencontrerons des
gens
qui vous parleront, vous voudrez leur répondre, e
ans l’avoir mis à terre. » C’était le roi des ours. Au compte de ces
gens
, Le marchand de sa peau devait faire fortune. Ell
qu’un opérateur, et la bourgeoisie devient peuple. Quand on voit les
gens
du peuple tels qu’ils sont, on les admire à peu p
ntre ayant chez eux « fortes femelles et d’assez bon aloi pour telles
gens
qui n’y raffinent guères. » Chacun d’eux vante la
ui de l’âne ou du maître est fait pour se lasser ? Je conseille à ces
gens
de le faire enchâsser. Ils usent leurs souliers e
e qui puisse peindre une pareille hutte. Il faut avoir vu les pauvres
gens
qui vont faire du bois pour entendre ce mot : cou
grands. En cela surtout consiste la différence des inventeurs, et des
gens
d’esprit ordinaires, celle qui sépare Molière de
Fut fait savoir à ses vassaux Que chaque espèce en ambassade Envoyât
gens
le visiter, Sous promesse de bien traiter Les dép
e très-bien ; ainsi fait sa famille ; Chiens, chevaux et valets, tous
gens
bien endentés. 79. Mémoires de du Maurier cités
tre Seigneur, et disait en pleurant : « Beau sire Dieu, garde-moi mes
gens
! » et je crois vraiment que ses prières nous fir
ais si bel homme armé ne vis, car il paraissait au-dessus de tous ses
gens
, des épaules jusqu’à la tête, un heaume doré en s
ils ont fort à faire pour résister à ces vilains Turcs et à d’autres
gens
du pays (de vrais vilains et paysansw) qui les vi
t pont que Joinville défendait si bien, il en vit passer, et bien des
gens
de grand air, qui s’enfuyaient effréement, « lesq
but se déclare : Et il venait tant de chair morte aux gencives à nos
gens
, qu’il convenait que les barbiers l’enlevassent p
mâcher et d’avaler. C’était grand pitié d’ouïr crier dans l’armée les
gens
à qui l’on coupait ces chairs ; car ils criaient
e faire passer pour le cousin du roi, afin qu’on l’épargne lui et ses
gens
. Joinville se prête au léger mensonge. Un bon Sar
jà chacun ne songe plus qu’à bien mourir : « Il y avait tout plein de
gens
qui se confessaient à un frère de la Trinité » là
’amuse parfois à le mettre aux prises avec Robert de Sorbon et autres
gens
de scienceak ; puis il intervient à la conclusion
ent à faire venaient lui parler, sans embarras d’huissier ni d’autres
gens
. Et lors il leur demandait de sa bouche : « Y a-t
bouche. Je le vis aucunes fois en été que, pour rendre justice à ses
gens
, il venait au jardin de Paris, vêtu d’une cotte (
ettre aux siècles futurs les pensées et les actes de leur époque… Les
gens
du métier seulement transcrivaient ce qu’on voula
oi me tomba sur le visage ak. [1re éd.] avec Robert Sorbon et autres
gens
de science al. [1re éd.] qui ait procès am. [1r
encore par excès de vanité, nous volons ce plaisir à la malignité des
gens
dont nous avons excité l’envie. Mais fabriquer un
Geoffroy, Marmontel, et au mépris de tous les critiques. Ces pauvres
gens
, impuissants à créer, prétendent à l’esprit, et i
é-là. Aristophane au contraire entreprit de faire rire une société de
gens
aimables et légers qui cherchaient le bonheur par
’œuvre de Molière, j’ai fait part de mon observation à une société de
gens
d’esprit : ils m’ont dit que je me trompais. Quin
cet qu’il sait bien avoir déchiré sans qu’on l’ait lu. J’ai dit à mes
gens
d’esprit qu’on n’avait ri que cette seule fois au
il n’y a plus de cour, ou je m’estime autant, pour le moins, que les
gens
qui y vont ; et en sortant de dîner, après la bou
la bourse et la politique, et les haines des partis, il faut que des
gens
passionnés se trompent, sous mes yeux, d’une mani
e Regnard, Lesage et. Dufrény, n’a aucun rang en littérature ; peu de
gens
l’ont lu. Il en est de même de Scarron et Hautero
i en ce moment) : “Je suis las de frapper et ne saurais plus tuer des
gens
qui ne se défendent point.” Lors l’on commença à
De même au sac de Louviers (1591), où toute la ville fut pillée, des
gens
du pays qui étaient parmi les vainqueurs, et qui
maréchaux de logis, il entre dans la ville, lui, toute sa cour et les
gens
de guerre, « tout ainsi que si elle n’eût point é
i ce brave courage se trouva tellement touché, qu’il accorda tant aux
gens
de guerre qu’aux habitants quasi tout ce qu’ils v
laireurs et d’enfants perdus ; il le plaça, lui, avec sa compagnie de
gens
d’armes à son aile droite, et, l’emmenant un mome
sauver la vie ? » — « Comment ! répliqua Rosny, vous parlez comme des
gens
qui ont perdu la bataille. » — « Est-ce tout ce q
ul seulement ; mais par-dessus, pour parade des plus magnifiques, vos
gens
avaient fait étendre les quatre casaques de vos p
risonniers venaient le surplus des domestiques, puis la compagnie des
gens
d’armes et les deux compagnies d’arquebusiers, ou
tête d’une armée. » À quoi il vous répondit : « Voilà un discours de
gens
qui ont peur ; je ne l’eusse pas attendu de vous
ordant, vous criâtes : “Pardieu, sire, nous venons de voir passer des
gens
qui semblent avoir dessein de vous préparer une c
y ne tua pas le monstre, mais il lui rogna les ongles et le mata. Les
gens
de finances qui redoutaient en lui un collègue vi
e en province avec autorité de destitution et de remplacement sur les
gens
de finance. Il fallut de la ruse, même au roi, po
digne de remarque. Il n’est point de revers particuliers attachés aux
Gens
de Lettres, & s’ils sont poursuivis par la ha
crivains sentent comme moi. Mon but a été aussi de rendre hommage aux
Gens
de Lettres, & d’éclairer certains hommes sur
r leur être utiles. La mode est venue de calomnier les Arts & les
Gens
de Lettres, & l’on se dispense ainsi de l’adm
les vertus & les talens. On ne confondra peut-être pas parmi les
Gens
de Lettres qui méritent ce nom, ceux qui l’usurpe
jambon de mon pays. Le sentiment de l’intimité saisit promptement les
gens
qui fréquentent cette brasserie : on est près les
st une sorte de mauvais lieu et que ces messieurs sont de singulières
gens
. Je crois qu’ils n’ont pas beaucoup d’argent et n
s odes et on buvait des sonnets ; aussi y avait-il plus de fous et de
gens
maigres. J’ai une grande tranquillité à l’égard d
peu près tout entière : E. D. [Lettre] Laissez donc crier les
gens
et marchez ! Il y en a qui vous appelleront imbéc
ui vous appelleront imbéciles, ennuyeux, pédants, allez toujours, les
gens
garderont vos idées dans leur cerveau sans s’en d
l’art et de la littérature. Du reste ici, comme en France, il y a des
gens
que cela bouleverse et met en colère. Un vieux ho
un homme d’un jugement profond et sûr, qui se rend compte de tous les
gens
et de tous les faits autour de lui, a plus de cha
is encore qu’une petite lingère et cela les dégoûterait. « Il y a des
gens
dont la vanité se mêle de tout ce qu’ils font, mê
vrais auteurs et se donnant le triste plaisir d’aboyer le talent, des
gens
vendus au mensonge, à la partialité la plus révol
t utile et même indispensable. Le pays a une influence réelle sur les
gens
qui l’habitent, c’est une observation faite depui
ation faite depuis longtemps ; les montagnards ne ressemblent pas aux
gens
des plaines, les hommes des pays riches et cultiv
cultes. Donc l’aspect d’un paysage peut donner une idée des mœurs des
gens
qui l’habitent. Un paysage, quelque simple qu’il
se représente ses gestes, sa démarche, le son de sa voix. J’ai vu des
gens
aimer ou détester sincèrement certains hommes apr
est attiré violemment vers ce remueur, il faut s’occuper de lui ; les
gens
naïfs qui croient à la sincérité des autres s’éme
du ciel, etc., mots connus, généralités de conversation à l’usage des
gens
qui n’aiment pas. Il dira aussi à sa maîtresse :
eaux sont perdus ; mais on sait comment ils étaient faits. Il y a des
gens
pour qui la moindre compensation suffit. * * *
vanité, dans leurs choix. * * * TROP PARLER NUIT… Avis à certaines
gens
que nous connaissons et qui se connaissent eux-mê
sée ! bel et bon enterrement ! Il y a un grand repas commandé par les
gens
affligés. * * * Une terrible vengeance littérai
essivement les auteurs de Joconde, de Péril en la demeure, des Jeunes
Gens
, de Je dîne chez ma mère, du Médecin des Enfants.
re bon d’imposer. Ne pourront être admis aux débats critiques que les
gens
qui sont en état de produire. On verra tout de su
ents, pleins de sentimentalité, et pleurant de ne pouvoir dévorer les
gens
. Des critiques qui continuent pour leur plus gran
lir « chez les grands ». Mais cela fait bon effet aux yeux des braves
gens
. * * * Dans ce même pays de la littérature, on
s de la littérature, on voit se démasquer tous les jours une foule de
gens
vertueux que la calomnie, l’injure, la médisance
ais bien prendre une plume à la fin ! — Je voudrais qu’on les vît ces
gens
-là, qu’ils fussent exposés pendant une heure à to
velles comme si c’était la même. Maintenant, au nom de la morale, ces
gens
qui ont passé leur vie à envier, à détester ceux
François Hugo, traduction qui contient des œuvres inédites, un de ces
gens
… d’esprit comme il y en a toujours a écrit en tou
te-drapeaux ? Des hommes flétris du nom de bohèmes, sans famille, des
gens
communs, mal tournés, sans usages, voulant faire
our éviter les embûches des jaloux et des impuissants ! On accuse les
gens
arrivés d’entraver la jeunesse laborieuse, quelle
lle, tout y découle comme dans la vie, et cela doit plaire à tous les
gens
que l’humanité intéresse. Le grand mérite de ce l
rs hésitations, leurs timidités, les doutes, ces grands tourments des
gens
qui aiment, tourments qui paraissent si futiles q
croit reconnaître ; l’auteur a décrit un monde inconnu à beaucoup de
gens
, une société de jeunes artistes enthousiastes et
avions épousées ; nous regardons comme un comique spectacle tous ces
gens
qui perdent leurs cheveux de bonne heure pour ama
es convictions, avoué tous ses moyens avec une franchise que bien des
gens
croiraient dangereuse : « Le tempérament, voilà
ens. La chasse à la succession est fréquente en province ; il est des
gens
qui sont successeurs comme d’autres sont notaires
antôt au commencement, tantôt à la fin, M. Le Camus faisait subir aux
gens
qui désiraient traiter avec lui des tortures form
en cire qui tournent dans les vitrines des perruquiers ; il aime les
gens
extravagants, il a donné dans beaucoup d’utopies,
toutes choses et pour chacun. Auparavant on voyait des choses et des
gens
assez divers ! une fois entrés dans la poésie, on
on leur met un uniforme couleur lis et azur ; de là vient l’ennui des
gens
qui n’aiment pas la monotonie. C’est ce même espr
’il y a une sorte de compromis là-dessous. Je suppose que beaucoup de
gens
s’assemblent et conviennent de faire un jeu d’esp
n. D’un autre côté, il n’est pas facile d’être charlatan. Beaucoup de
gens
considéreraient certainement cela comme au-dessus
consisté en procédés bien définis, et c’est ce qui a permis à tant de
gens
d’apprendre le métier, comme on apprend à être me
atigue de l’Opéra, et plus j’ai soif de vrai. Je sais que beaucoup de
gens
spirituels préfèrent l’Opéra à la nature ; mais p
des moyens de suprématie matérielle et intellectuelle ; et il y a des
gens
qui verraient dans Jersey une sorte de Sainte-Hél
e bonnes petites médisances, quelquefois de grosses calomnies que les
gens
malintentionnés colportent et que les critiques p
vait produire sur son esprit ardent la vue des succès obtenus par des
gens
moins bien doués et qui l’écrasaient de leur supé
s doutent quelquefois de la moralité de celui qui les possède. » Les
gens
qui attaquent la moralité de Balzac sont donc des
ossède. » Les gens qui attaquent la moralité de Balzac sont donc des
gens
qui ne comprennent pas sa force et croient que le
ettres, et tant pis pour ceux qui n’aiment pas le gros sel ; bien des
gens
préféreront le Tourangeau quoiqu’on l’appelle ave
sentiment ? Vous êtes égoïste si vous ne vous sacrifiez pas pour les
gens
qui ne se sacrifieraient pas pour vous. Je revien
qui n’en ont pas ; réussir contre vent et marée, ce qui contrarie les
gens
qui ne réussissent pas. Je lui vois un courage et
pas mathématiques, absolues comme le dessin, ils trouvent beaucoup de
gens
qui, dans leurs livres, se contentent de l’intent
beau. — Ceci explique le succès du vers alexandrin. Le vulgaire, les
gens
étiolés, les pédants admirent la richesse de la r
simple. » (Or justement si Balzac a étonné et éclairé bon nombre de
gens
en dépit de ses complications, il n’a pas fait be
masserez par fragments les phrases de votre lettre. Ainsi beaucoup de
gens
m’ont déjà reproché de manquer d’esprit. C’est qu
x parleurs déplaisants et ennuyeux ? Ah ! vous n’avez pas le tact des
gens
; c’est chez vous que ni la passion ni le sentime
de l’homme et qui est pour moi comme une symphonie charivarique. Les
gens
du peuple aiment toutes les musiques, les justes
les deux tiers sont contestés, et vous voulez que j’accepte tous les
gens
qui ont écrit pendant une période de cinquante an
et qu’on n’imite pas assurément dans le temps présent. » Si tous les
gens
, pris à part, aux heures de sincérité, voulaient
tage avec des plats d’or ou d’argent vides. Lorsqu’on a vécu avec des
gens
intelligents et raisonnant, on prend en mépris le
ficelles. Tous ces petits moyens sont inutiles et même nuisibles aux
gens
de talent, les médiocrités seules s’en servent. O
mancier et le public vivent dans le même monde, fréquentent les mêmes
gens
, il est impossible que l’on décrive un type que l
e on le voit, ont un bien petit rôle ; tout est dans l’induction. Les
gens
à imagination procèdent d’une tout autre manière
n que vous ne devez qu’à mon habitude d’extrême complaisance pour les
gens
qui ne sont pas de mon avis ; nous allons tenter
uel et original, et M. Michelet un livre bien écrit. Mais les pauvres
gens
qui n’ont pas leur haute intelligence et qui voie
rteau pour forger du fer. * * * Je ne serai jamais poli qu’avec les
gens
qui ont l’esprit propre ; la bonne tenue des main
opinion d’un peintre qui à deux pouces de distance confond ainsi les
gens
; je comprends bien pourquoi force lui a été de r
ants se moquent de nous.Que j’en ai vu de ces bossus qui trouvent les
gens
droits contrefaits ! * * * « Quand nous reviend
l a ressuscité la spécialité des formidables spadassins qui tuent les
gens
avec un quatrain. Il porte sur lui, en guise de s
oux pour faire du train et réjouir les esprits enfantins. — Voilà des
gens
qui ne sont pas sérieux, par exemple. * * * Tr
je considère cela comme une défense suffisante. Tout a été remué. Les
gens
au-dessous de trente ans, avec la gaieté de l’imp
ttéraire des exemples d’engouements inouïs, incompréhensibles. Que de
gens
, complètement oubliés aujourd’hui, ont eu des suc
résence de certaines teintes contraires à leur tempérament. Voilà des
gens
naïfs, spontanés, des esprits non historiques et
Louis XIV et Jupiter, comme des frères jumeaux ou au moins comme des
gens
du même monde. Aie soin d’enlever à leur visage t
u’ils aient des passions de héros et de dieux. Ne connaissant que des
gens
pareils à nous, nous ne savons comment s’exprimen
neuvième siècle, en les représentant, par exemple, comme étant un peu
gens
de pierre ou de bois, tu éviteras la trivialité,
ies officielles, celles qui remplissent les livres des bavards et des
gens
qui aiment à parler sur des thèmes tout faits. Ô
z de toutes les conditions de la vie ordinaire et active pour que les
gens
qui veulent s’y adonner se trouvent tout gênés, t
, le sang, les scènes cruelles et sans variété, aux mille aspects des
gens
joyeux, originaux, amusants qu’on voit dans certa
aux son mépris et ses répugnances d’homme du monde envers les petites
gens
, les gens communs. Les habitués des cabarets de T
pris et ses répugnances d’homme du monde envers les petites gens, les
gens
communs. Les habitués des cabarets de Teniers ne
nty. Notes Idéal. — Sur quel droit a pu se baser l’étrange jury des
gens
qui ont déclaré que telles peintures étaient supé
e musicale n’est-elle pas la quintessence de l’harmonie parlée ?… Ces
gens
qui veulent à toute force chanter des idées me fo
illet n’étaient rien à côté de ces précieux modernes. Et pourtant ces
gens
d’esprit ont lu Molière !… C’est l’école des cabr
i d’étranges généalogies et de singuliers titres de parenté entre les
gens
de 1856 et les plus décriés des précieux. Quelque
Maîtres Peintres, nous aurions ouvert deux ou trois sentiers pour les
gens
qui n’aiment pas à se tromper de chemin ou à marc
t qui est très bonne pour distiller la sottise ou la mauvaise foi des
gens
: magnétiseurs, feuilletonistes des journaux trop
— Les bibliothèques. — Les concours de toute espèce. — La Société des
gens
de lettres et une petite histoire des discours ac
x, assistant silencieusement aux dîners qui se donnaient chez lui aux
gens
de lettres et aux savants. On essayait, raconte-t
avoir présente cette maxime, qu’elle avait coutume de répéter : « Les
gens
d’esprit font beaucoup de fautes en conduite, par
soin continuel. Elle n’embrassa pas seulement dans sa sollicitude les
gens
de lettres proprement dits, mais elle s’occupa de
aire la liaison des uns aux autres. Le mercredi, c’était le dîner des
gens
de lettres : on y voyait d’Alembert, Mairan, Mari
autres à la suite de Mlle de Lespinasse, avait perdu presque tous les
gens
de lettres. Le salon de Mlle de Lespinasse, à par
nasse, à part cinq ou six amis de fond, n’était lui-même formé que de
gens
assez peu liés entre eux, pris çà et là, et que c
îners et soupers licencieux de Mlle Quinault, de Mlle Guimard, et des
gens
de finances, les Pelletier, les La Popelinière. V
ttes ». S’étant de bonne heure posée en vieille femme et en maman des
gens
qu’elle reçoit, elle a un moyen de gouvernement,
es artistes et les auteurs, et elle fait la cour à un petit nombre de
gens
pour avoir le crédit d’être utile à ses protégés.
jamais changer cette laitière. Voilà le rare et le délicat. Bien des
gens
eussent été capables de donner une vache ou même
let d’elle à David Hume, comme échantillon de sa façon de bourrer les
gens
quand elle en était contente ; je n’y supprime qu
voulez vous donner celui d’être modeste. Mme de Tencin appelait les
gens
d’esprit de son monde ses bêtes ; Mme Geoffrin co
uns maltraitent les messagers. Le roi alors prend un grand parti. Les
gens
comme il faut n’ont pas voulu se rendre à son app
u se rendre à son appel ; eh bien ! ce seront les premiers venus, des
gens
recueillis sur les places et les carrefours, des
igoristes devaient être très surpris. Elle comptait dans son sein des
gens
qu’un juif qui se respectait n’eût pas fréquentés
s mosaïques, en étaient venus à se croire souillés par le contact des
gens
moins sévères qu’eux ; on touchait presque pour l
es docteurs criaient au scandale. « Voyez, disaient-ils, avec quelles
gens
il mange ! » Jésus avait alors de fines réponses,
ines réponses, qui exaspéraient les hypocrites : « Ce ne sont pas les
gens
bien portants qui ont besoin de médecin 521 » ; o
ue préjugé, était mal vu de la société 526 Il préférait hautement les
gens
de vie équivoque et de peu de considération aux n
que leur donnaient des filles de joie, devait être sanglant pour des
gens
faisant profession de gravité et d’une morale rig
res que leur nom. Il y a plus de choix dans le Tableau historique des
gens
de lettres, par M. l’Abbé de Longchamps, 1767. qu
regne de Louis XIV. C’est plûtôt un recueil d’éloges historiques des
gens
de lettres, des savans & des artistes du dern
à son livre un frontispice qui promet plus qu’il ne donne. Il y a de
gens
sortis d’un sang obscur qui usurpent hardiment de
avec le catalogue de leurs écrits. Les notices qu’on y donne sur les
gens
de lettres, sont quelquefois inexactes ; mais ce
res qu’ils publient tous les ans, renferme les éloges historiques des
gens
de lettres & des artistes morts dans l’année.
compare ses façons aux moeurs régulières, réfléchies et sérieuses des
gens
d’alors. Ce naturel est gaulois, trop gaulois, di
munications, l’envie manquait ; on n’essayait pas d’imiter Paris. Les
gens
restaient dans leur ville, s’arrangeaient une mai
des nôtres. Sa fable est une mascarade, et ce simple déguisement des
gens
en bêtes égaye tout sujet, fût-il lugubre. On ne
oisir de lancer en passant des traits contre les nobles « mangeurs de
gens
», contre les « volereaux » qui font les voleurs,
Quoique distrait et indifférent à ses propres affaires, sitôt que des
gens
affligés venaient le consulter, « non-seulement i
ui-même. »14 Sa sincérité est naïve ; il pense tout haut, montre aux
gens
qu’ils l’ennuient. Il est crédule jusqu’au bout,
ensés n’entrent jamais, qui n’est ouvert qu’aux simples d’esprit, aux
gens
un peu fous, aux rêveurs. Il n’avait pas besoin d
éels, il se perdait dans l’admiration et dans la louange, élevait les
gens
jusqu’au ciel, les y installait à demeure. « Save
’aperçoit plus sa basse condition, ses moeurs irrégulières ; bien des
gens
ne changeraient pas son coeur ni sa vie contre le
leur beauté corporelle. Sans le mélange dont je viens de parler, les
gens
de qualité de Perse seraient les plus laids homme
ire: il était ordonné que cela arrivât. C’était l’opinion de bien des
gens
en Europe, il y a vingt à vingt-cinq ans, et des
e grand mouvement, et dans les entreprises douteuses et pénibles. Ces
gens
-là sont les plus grands dépensiers du monde, et q
être encore plus qu’ailleurs, pleins de haine et de fureur contre les
gens
qui ne professent pas leurs sentiments, vous trou
mains et fort justes sur la religion, jusque-là qu’ils permettent aux
gens
qui ont embrassé la leur de la quitter et de repr
cherchent dans leurs maladies et en d’autres besoins, la dévotion des
gens
de différentes religions, chose que j’ai vu prati
us ordinaires de leur pauvreté. On appelle en Perse, les paresseux et
gens
sans emploi, serguerdan, qui est le participe du
e, quelque emportement qui leur arrive et parmi quelques débauchés ou
gens
perdus que ce soit, le nom de Dieu est toujours s
des morts, comme les Romains faisaient par le génie des vivants. Les
gens
d’épée et les gens de cour jurent communément par
es Romains faisaient par le génie des vivants. Les gens d’épée et les
gens
de cour jurent communément par la tête sacrée du
mêmes bouches sont aussi des sources d’où il sort mille ordures. Les
gens
de toute sorte de conditions sont infectés de ce
Puisses-tu servir de victime aux chiens des Francs ! C’est parmi les
gens
de toute sorte de conditions, comme je l’ai obser
29, un gentilhomme de Mingrélie y vint de nuit avec une trentaine de
gens
et y mit tout en pièces. Il découvrit presque tou
nt vingt-cinq esclaves et huit cents écus ; il leva cela sur tous les
gens
qui s’y étaient retirés. De chaque famille où il
tié esclaves et le reste Turcs. Je n’y avais laissé embarquer tant de
gens
qu’afin de me pouvoir défendre des corsaires qui
rier le plus tôt qu’ils peuvent, et en leur enfance même. Les pauvres
gens
surtout marient les leurs de bonne heure, et quel
nd de l’orient à l’occident. Elle a quinze mille maisons, au dire des
gens
, car je ne les ai pas comptées. Elle est ceinte d
t bien et fort vite par le moyen de la transpiration continuelle. Des
gens
qui veulent boire frais et délicieusement ne se s
es et des portiques comme les trois autres. Ce sont les logements des
gens
d’Église, des régents et des étudiants qui vivent
u contraire, de la place dans le salon, on ne saurait reconnaître les
gens
. Le roi y étant entré sur les neuf heures, et tou
eur fut forcé de descendre. Il mit donc pied à terre avec deux de ses
gens
, qui le suivaient à cheval, savoir: son interprèt
aux arabes. Il pensa arriver alors une plaisante bévue: c’est que les
gens
qui avaient été chargés le jour précédent du prés
es lâchèrent sur de jeunes taureaux qu’on tenait assez proche, et les
gens
qui gouvernent les boucs et les taureaux dressés
ongue énumération « des bons traitements qu’on avait faits à tous les
gens
de la Compagnie et en faveur de leur commerce, de
ix limité, et on les donne plus ou moins riches, selon la qualité des
gens
. Il y en a qui contiennent tout l’habillement, ju
et un turban, qui est la coiffure du pays. Celles qui se donnent aux
gens
de considération, comme des ambassadeurs, valent
lent d’ordinaire quatre-vingts pistoles ; les autres, qu’on donne aux
gens
de moindre condition, ne valent que la moitié. On
llait mal et les défigurait. Le roi donna congé ensuite à quantité de
gens
étrangers et du pays, qui étaient venus à la cour
. L’habitude de mentir n’est qu’un calcul malhonnête pour tromper les
gens
ou pour s’en faire estimer plus qu’on ne vaut. Ta
reste de pointes italiennes, il fallait substituer la conversation de
gens
exprimant naïvement leurs sentiments et leurs pen
al, aujourd’hui Palais-Royal47, je ne vois point là de Parisiens. Ces
gens
-là ne sont d’aucun pays, ils sont faits de tête ;
ndait sa voix. Dans la comédie de caractère, le poète disparaît ; ces
gens
-là ne lui appartiennent pas ; chacun a son visage
e sa joie ce qui en déborde. C’est le vin qui attendrit les méchantes
gens
. L’ivresse a rendu Sganarelle compatissant. Le so
t admirer celui qui les souffle. Dans la comédie de caractère, si les
gens
ont de l’esprit, c’est sans qu’ils s’en doutent ;
s au poète des beaux esprits qui ne parlent que pour parler, mais des
gens
naïfs, qui remplissent tout le caractère qu’ils p
sez d’effet ; il l’a quelquefois chargée pour la faire applaudir. Les
gens
d’un goût délicat voulaient qu’il n’eût plus beso
sait pas même respecter celui qu’elle préfère. Il vient chez elle des
gens
de cour, ou simplement de bonne compagnie, non ép
appris, tient le milieu entre l’esprit de Sganarelle et l’esprit des
gens
de cour ; il ne voit pas beaucoup plus loin que S
partialité en plaidant leur cause, ils ne peuvent parler pour eux, en
gens
d’esprit qu’ils sont, sans répandre çà et là des
tre sentencieux, ils sont penseurs ; ou plutôt c’est l’expérience des
gens
d’esprit qui coule de leurs lèvres sans effort, e
acile, à toutes leurs pensées. Leurs discours sont à la fois ceux des
gens
les plus occupés de ce qui les regarde, et des mo
ner à penser à des spectateurs. Molière l’a dit de son public : « Ces
gens
-là ne s’accommoderaient nullement d’une élévation
. C’est la pièce où il a mis le plus de feu. Il y a d’autres vilaines
gens
dans son théâtre, et il ne les a pas ménagées ; m
te crédit qu’on accorde à la foi sincère peut donner à de malhonnêtes
gens
l’idée de s’accréditer par la fausse piété, saven
libéralité sans exemple, écrivant pour la cour et la ville, pour les
gens
capables de tirer profit des plaisirs du théâtre
font la cour ; tout ce qui sent la haine des méchants, le mépris des
gens
à la fois malhonnêtes et ridicules, l’amour du bi
nt pour son archaïsme et pour la rudesse naïve de quelques tours. Les
gens
de goût y reconnaissent l’expression la plus parf
!… 45. Acte I, sc. vi. 46. Ce qui fait dire à, son valet : Les
gens
que vous tuez se portent assez bien. (Acte IV, sc
quarts, toujours par le même calcul. Voilà ce qui arrive toujours aux
gens
douillets ; ils sont comme les menteurs : à force
our l’aider à se venger de tous ses ennemis, c’est-à-dire de tous les
gens
honnêtes, et pour se servir de tout le crédit qu’
avaient pas, tout accourut, et le cabinet se trouva bientôt rempli de
gens
qui désiraient savoir des nouvelles du roi et n’a
rder l’appel des entrées et à occuper physiquement le roi d’elle. Les
gens
de son parti voyaient, comme elle, impossibilité
le maréchal. Il voulait suivre le même plan ; mais il avait affaire à
gens
qui connaissaient toutes ses prétentions, qui se
e Dubarry et de ses vils sectateurs n’était en général composé que de
gens
honnêtes, il se bornait à désirer tout ce qui pou
ester. M. de Bouillon vint à mon secours et dit la même chose, et les
gens
qui étaient sortis, nous voyant rester, rentrèren
plus que personne de cette facilité que l’on admirait en lui pour les
gens
qui l’approchaient, et qui n’était que l’effet de
été filiale ait excité aussi peu qu’il l’a fait l’intérêt public. Les
gens
qui en parlaient se contentaient de dire que c’ét
s répétèrent qu’il était bien préparé, citant cinq ou six exemples de
gens
de soixante-dix ans qui avaient eu la petite véro
oûté plus délicieusement aucun plaisir que celui d’inquiéter tous les
gens
qui l’entouraient sur leur santé, de leur annonce
le voir environ huit jours par an quand il était en santé. Il y a des
gens
qui sont nés valets ; je crois que, sans calomnie
aient fort aidé à cette philosophie. On ne voyait point dans Paris de
gens
inquiets courir, s’empresser, s’arrêter, pour sav
pas être un de ces hommes qui attaquent les choses ridicules que les
gens
bien nés sont convenus de laisser passer sans mot
és, lesquels se constituent tout à coup en juges, bien impartiaux, de
gens
qui prêchent un nouveau culte opposé à celui dont
ions, les honneurs, les places de censeurs, etc., etc. La conduite de
gens
ordinairement si prudents pourrait rappeler, il e
tient pour peu qu’on ait de savoir-faire et de souplesse. Ces pauvres
gens
allèguent le prétexte gothique et peu académique,
sidération dont elle jouit eût pu recevoir quelque atteinte parmi les
gens
qui ne s’occupent, que de Rentes et d’argent, et
e place ; rien en France ne dispose mieux au respect. Comment tant de
gens
s’empresseraient-ils pour ne voir qu’une chose en
donc il y a inconvenance à les lire en petit comité, et surtout entre
gens
de fortunes égales. » Ah ! répondis-je, le Consti
: j’ai tâché que le mien convienne aux enfants de la révolution, aux
gens
qui cherchent la pensée plus que la beauté des mo
n, aux gens qui cherchent la pensée plus que la beauté des mots ; aux
gens
qui, au lieu de lire Quinte-Curce et d’étudier Ta
rtes de discussions, fort difficiles, M. Viennet, par exemple, et les
gens
qui ne veulent pas comprendre, demandent à grands
lui ont donné le conseil d’intriguer ; il va voir, dès le matin, des
gens
puissants ; mais il intrigue avec toute la maladr
e avec toute la maladresse du génie ; il effraie par ses discours les
gens
considérables qu’il va solliciter. Le résultat de
écomptes, et plus que tout le mortel dégoût de passer sa vie avec des
gens
qui ne prisent au monde que l’argent et les cordo
saisir, tellement difficile, que j’hésite presque à vous la dire. Les
gens
d’esprit qui ont eu des succès par des tragédies
nus par un autre chemin à cette vérité de si mauvais goût, disent les
gens
d’Académie, ou qui y prétendent : le vers alexand
er soir fin courant ? » Car il me semble que, lorsqu’on rencontre des
gens
tellement différents de nous, il y a péril à enga
t été romantiques de leur temps. C’est un siècle après leur mort, les
gens
qui les copient au lieu d’ouvrir les yeux et d’im
sions dont il a besoin, et par conséquent d’enlever les suffrages des
gens
qui pensent par eux-mêmes. La Tempête de Shakspea
ient lui dire : ce que vous admirez est absurde. À ce mot beaucoup de
gens
sincères avec eux-mêmes, et qui croyaient leur âm
honnête, digne d’être aimée, et il sent qu’il a un cœur. Beaucoup de
gens
âgés sont classiques de bonne foi : d’abord ils n
il l’est encore plus de se laisser avilir à ce point, et par quelles
gens
encore ? Qu’auraient fait les ministres si vingt
is ! En un mot, ce fut un beau triomphe pour l’honneur national ! Les
gens
sages se disaient : Pourquoi venir à un théâtre d
auvre littérature éprouve le malheur qu’il y a d’être à la mode ; les
gens
pour qui elle n’est pas faite veulent à toute for
ma vanité. J’ai voulu non seulement être lucide, mais encore ôter aux
gens
de mauvaise foi l’occasion de s’écrier : Grand Di
uffer si haute renommée. Lebrun. Je trouvais drôle que plusieurs
gens
d’esprit s’imaginassent donner au public une théo
de la comédie ; en France, sous Louis XIV et sous Louis XV, tous les
gens
voyageant par la diligence avaient les mêmes inté
places, ou celui-ci : Le Coureur d’héritages ? Toutes les classes de
gens
ridicules n’ont-elles pas des protecteurs naturel
. « L’Académie Française restera-t-elle indifférente aux alarmes des
gens
de goût ?… Le premier corps littéraire de la Fran
les de ces places qui deviennent vacantes que sur la présentation des
gens
âgés qui travaillent dans la même partie. Le fana
écisait l’idée que l’Église perdait la religion du Christ, et que les
gens
d’Église perdaient l’Église. On s’habituait à sui
et l’âme du tiers état, et la science des docteurs. De là ces petites
gens
qui entourent Philippe le Del, Charles V et, tant
gistes, ces secrétaires, ces conseillers, ces « marmousets », petites
gens
aux noms vulgaires, qui travaillent de l’esprit,
nce de la patrie. C’est dommage que le génie manque même à ces braves
gens
. La poésie artistique cependant n’a pas disparu :
tre tous, la ballade sera la forme maîtresse de la poésie, chérie des
gens
du métier (Eustache Deschamps en compose 1374), p
e même de son génie. Il méprise le peuple, les bourgeois, les petites
gens
; il fait pis, il les ignore. Leurs besoins, leur
ue des quatre premiers Valois, un pauvre écrivain, montre les petites
gens
faisant déjà le succès d’une bataille, tandis que
ont on lui sait gré malgré tout, lui était facile : il écrit pour des
gens
qui ne reconnaissent que la chevalerie, et qui se
isait le brave Gascon : mais j’avais plus d’argent, aussi avaient mes
gens
, quand je faisais guerre pour le roi d’Angleterre
r les preux raconter leurs prouesses ; sa méthode, c’est d’amener les
gens
à lui faire voir les choses et de les faire voir
laisir à considérer le magnifique néant de la chevalerie, les petites
gens
faisaient de bonne besogne, et pour la littératur
yauté même, dans la seconde partie du siècle, se mit avec ces petites
gens
. C’est l’honneur des Valois, même les plus fous e
, et les marques solides de cette laveur. Il a en aversion encore les
gens
de finance, pour leur avarice oppressive, un peu
eur arracher ses gages. Je ne sais combien de choses, du reste, et de
gens
il a en aversion : grogner est la disposition hab
et la finance entre un sincère amour du peuple ; la pitié des pauvres
gens
, qu’on vexe, qu’on tond, et qu’on méprise, est pe
dramatique narration de la procession des écoliers bousculés par les
gens
du sire de Savoisy, pour reconnaître qu’en nomman
u courant public qui l’emmenait ailleurs. Le goût régnant portait les
gens
du côté du bel esprit, de l’éloquence, des règles
t moqueuse, toujours légère et faite pour des esprits fins, comme les
gens
de ce pays-ci. Vingt vers leur font comprendre vo
isement ; la fable elle-même n’est pas autre chose. C’est railler les
gens
que de leur mettre sur le dos une peau de bête, d
vaut le roi lion, quelles sont les vertus des courtisans mangeurs de
gens
», mais croit que les choses iront toujours de mê
nous ne pourrions vivre. Nous ne savons pas nous associer, comme les
gens
d’Outre-Manche, poursuivre un but avec conduite,
ts accomplis », nous finissons même par admirer le succès et rire des
gens
battus, surtout quand le bâton a été promené sur
admirable ! il loue la trahison politique : « Le sage dit, selon les
gens
: Vive le roi ! Vive la Ligue ! » Cette morale es
que des « discours un peu tristes », dans Arnauld et Nicole que des «
gens
d’esprit, bons disputeurs. » Etranges sentiments
Les sots croient ou font semblant de croire que la conversation des
gens
d’esprit est toujours grave, sérieuse, guindée. P
jours grave, sérieuse, guindée. Pourquoi ne supposent-ils pas que les
gens
d’esprit ont de l’esprit aussi naturellement que
ans le vers suivant ! V. 81. Je suis bien bon, dit-il, d’écouter ces
gens
-là. Le despotisme n’est jamais si redoutable que
et que d’ailleurs l’exécution en est très-agréable. V. 4. Volontiers
gens
boiteux, etc…. La répétition de ce mot volontier
n de ce mot volontiers est pleine de grâces ; et ce vers : Volontiers
gens
boiteux haïssent le logis, fait voir comment La F
n se sert de pourvoyeur lui-même. V. 42. En ceux qui sont mangeurs de
gens
. Il fallait s’arrêter là. La réflexion que La Fo
rtions consacrées aux usages les plus rebutans ? V. 4. Le roi de ces
gens
-là…. Les défauts des sujets ont servi à peindre
peu de liaison entre cette idée et la précédente. V. 49. Le moins de
gens
qu’on peut à l’entour du gâteau. Cette attention
stoire de législation ; 3° Un professeur d’institutions du droit des
gens
; 4° Un professeur des Institutes de Justinien ;
diants prendront les leçons du professeur d’institutions du droit des
gens
et celles du professeur des Institutes de Justini
is principes sur toutes les espèces de contrats qui sont du droit des
gens
; c’est la raison et l’équité qui les a dictés, i
faires étrangères que l’émérite dans le droit naturel et le droit des
gens
? Que peut-on faire de mieux que d’introduire dan
i lui manque par les observations et les conseils de tous les habiles
gens
répandus dans les différentes contrées de l’Europ
au matin, par la flamme mourante d’un cierge. 16 janvier Peu de
gens
connaissent ce grand bonheur de regarder des dess
il en était sorti, lui fit cette belle réponse : « Ce ne sont pas des
gens
comme il faut. Non seulement la femme, mais même
anteaux de voyageurs de malle-poste. Ils sont restés debout comme des
gens
qui ne savent pas s’asseoir, les mains dans les p
rases d’art comme des sentences d’argot. Sur leur figure au teint des
gens
mal nourris, et noire d’une barbe non faite, on l
c’est le nombre des lâches qu’il doit y avoir dans le monde. Tant de
gens
passent devant vous avec de mauvaises têtes, et q
ujours cependant dans sa parole, la rédaction de ces formules sur les
gens
et les choses, les définissant et les résumant en
du romantisme et de la tour de Babel, la table d’hôte d’une mêlée de
gens
de toutes nationalités, dont le maître de la mais
, lequel naturellement, au nom de la civilisation, a donné raison aux
gens
du pays, et a défendu la représentation que la tr
rmentante carrière, de s’oublier un instant, et de bêtifier comme des
gens
qui ne font pas métier d’avoir de l’esprit ! Hier
tc., etc., etc. Lundi 14 août Déjeuner où la princesse parle de
gens
qu’elle voudrait marier, entre autres de Taine, p
la princesse s’emporte, et avec une sorte de colère, soutient que les
gens
de talent ont le temps d’attendre, qu’il ne faut
oyions, dans la princesse, une maîtresse de maison plus attentive aux
gens
qu’elle invite, et les distinguant plus délicatem
olument les mêmes idées, les mêmes sympathies et antipathies pour les
gens
, la même optique intellectuelle. 30 août C’
pas reçue. Ces histoires coupées d’esquisses drolatiques par Got des
gens
passés et présents du Théâtre-Français, et qui co
en la tenant au-dessus de sa tête. Pour Carpeaux comme pour tous les
gens
de talent et d’avenir de ce temps-ci, il n’y a pa
que jour apporte sa petite dose de poison : c’est la vie au milieu de
gens
pleins de doute, prêtant au succès d’une pièce le
euilles mortes du jardin des Tuileries, sans vision des choses ni des
gens
, de l’amertume plein la bouche. 15 septembre
forcé, un procès. 25 septembre Nous sommes dans la situation de
gens
qui font effort, pour tuer le temps, l’anéantir,
temps en temps, il supplie Dieu, de le faire mourir. Aux paroles des
gens
qui le réconfortent, aux discours du médecin il a
l y a de vieux monuments d’histoire, il se rencontre plus de vieilles
gens
qu’ailleurs : les centenaires s’abritent aux viei
ion, pudeur, convenance sociale. Je ne sais quoi de blessant pour les
gens
bonnement constitués, s’échappe de cette sèche et
brodés : l’air moitié bourreau, moitié Ojibewas. Il cause hygiène des
gens
de lettres. Il dit que, dans notre métier, « il f
mangeons et buvons pour une trentaine de francs, absolument comme des
gens
qui ont devant eux cent représentations. Pas la m
s par jour, remercier ici et là, lire tous les journaux, recevoir les
gens
qui viennent vous voir, rouler en coupé une parti
de la bohème à l’égard de tous les travailleurs propres, de tous les
gens
de talent qui n’ont pas traîné dans les caboulots
s les gants ! » Car c’est surtout cela cette cabale, et peut-être les
gens
qui la trouvent drôle, parce qu’elle n’atteint qu
t et de littérature… 26 décembre Quelle chute ! Dans la rue les
gens
qui se rencontrent, dans les restaurants, les gen
! Dans la rue les gens qui se rencontrent, dans les restaurants, les
gens
qui causent ; tout Paris parle de nous dans nos o
mbéciles ! Le plus grand signe du succès serait-il l’enthousiasme des
gens
bêtes ? 29 décembre Toute la journée, le ve
des surprenantes déformations que l’écrivain opère, des milieux, des
gens
, des mœurs qu’il entreprend passionnément de décr
é, d’intérêt, de gaieté, et qui s’émeut ainsi sans cesse et, pour des
gens
autrement constitués, sans raison. Si cette vue e
nches de rosbif, les pipes allumées, de bonnes faces rouges de braves
gens
devisant et chantant, l’auteur jubile, sa manière
rde, de prendre la parole lui-même pour dire ce qu’il faut penser des
gens
qu’il produit, leur aspect moral se trouve excell
rt particulier de délinéation conversationnelle. S’il s’attaque à des
gens
moyens, ni ridicules ni surprenants, mais simples
êtres moyens, raisonnables et bons, invariablement manqués ; quelques
gens
plus complexes et plus semblables par là aux homm
l’homme ; ce sont des êtres outrés, imaginaires, qui ameuteraient les
gens
en rue, qu’on s’empresserait de mettre à la porte
e à trouver un grand homme ou une femme séduisante, ou simplement des
gens
bien élevés. Son domaine est circonscrit au grote
sion ou d’aversion que l’artiste désire susciter, souvent à propos de
gens
qui ne sont ni ridicules, ni haïssables ; il faut
ridicules, ni haïssables ; il faut donc que la représentation de ces
gens
qui doit être véridique, soit en même temps défor
caricatures de l’esprit de positivisme, de la grossièreté de cœur des
gens
pratiques. Ailleurs Dickens livre à la risée les
créatures inintelligentes selon le monde, ce pauvre enfant malade de
gens
riches, le petit Paul de Dombey, qui, avec une âm
’il entreprend de décrire, et qui sait nous montrer les choses et les
gens
, mais les montrer comiques, haïssables, monstrueu
t compte fait, mais dans l’occasion même où il les considère. Que les
gens
soient sans éducation, sans capacités, sans carac
ches, les hommes de professions libérales, la classe gouvernante, les
gens
de négoce, tous ceux qui, animés d’un égoïsme viv
pourtant utile des workhouses, les mauvaises écoles, la rapacité des
gens
de loi, l’insolence des bureaucrates, tous les vi
vie, et la honte qu’il en conserva lui dicta peut-être, à l’égard des
gens
bien nés, cette sorte de réserve pointilleuse qu’
culture et d’idées, il est un excellent exemplaire de cette sorte de
gens
qui sont en somme les grands parleurs et les gran
luie d’or pour récompenser l’assiduité de leurs familiers et de leurs
gens
, soit qu’ils la gardent en larges réservoirs pour
ers de bouche sans compter les garçons pour la table du roi et de ses
gens
, et « le premier maître d’hôtel jouit de 84 000 l
r à leurs peines. Ils sont ses familiers, les hôtes de son salon, des
gens
de race comme lui, ses clients naturels, les seul
quart n’est pas entré au Trésor royal : le reste a été dévoré par les
gens
de la cour ; on évalue ce qu’il a donné au comte
ns avides qui toujours s’ouvrent et ne se croient jamais pleines, ces
gens
insatiables qui ne semblent nés que pour tout pre
satiables qui ne semblent nés que pour tout prendre et ne rien avoir,
gens
sans pitié comme sans pudeur ». — Et ce jour-là l
s se font la part trop grosse, et ne donnent rien ou presque rien aux
gens
qui ne sont pas de leur monde. Contre eux, depuis
a mieux géré que beaucoup d’autres. De plus, autour de lui, nombre de
gens
experts, vieux conseillers de famille, rompus aux
e Marc-Aurèle, et il est un seigneur, un homme du monde semblable aux
gens
de sa cour, encore plus mal élevé, plus mal entou
sa naissance. Il y a vingt ans, les fils des ducs, des ministres, des
gens
attachés à la cour, les parents et protégés des m
qu’il tombe, c’est une débâcle d’argent déversé par millions sur les
gens
de cour. Même de son temps, le roi s’est laissé a
voie, il donne, il achète, il bâtit, il échange, il vient en aide aux
gens
de son monde, le tout en grand seigneur, c’est-à-
quis d’Argenson, Mémoires, 9 décembre 1751. « La dépense que font les
gens
de cour pour avoir deux habits neufs et magnifiqu
nce (1789), 2. 124. Doléances sur les surcharges que supportent les
gens
du Tiers-État, par Gaultier de Biauzat (1788), 23
lire lui-même en haussant les épaules de pitié : Ce sont de pauvres
gens
, écrivait-il à son frère (26 septembre 1741), que
ire des relations et des critiques judicieuses pour l’instruction des
gens
de guerre. J’ai eu part à tant de négociations et
ffaires très secrètes de tous les États ennemis de la France, que des
gens
de cabinet trouveraient au moins de quoi s’amuser
ées et assez extraordinaires, que personne ne sait que moi, ou peu de
gens
qui ont intérêt qu’on les mette en oubli. De plus
Bonneval ? Ma paresse s’oppose à un pareil travail, outre que tant de
gens
écrivent ce qui se passe dans le monde, qu’on le
ation de Monseigneur le duc de Vendôme, fût sujette à la révision des
gens
de plume, et plutôt que de m’y soumettre, je la p
ts au roi, il me paraît que vous ne voulez éviter de compter avec les
gens
de plume que parce qu’ils savent trop bien compte
s avez pris la peine de m’écrire, où vous me mandez que je crains les
gens
de plume parce qu’ils savent trop bien compter. J
e faites, j’irai au service de l’empereur, où tous les ministres sont
gens
de qualité et savent comment il faut traiter leur
la gloire des armes. Ses sœurs sont mariées, et même richement, à des
gens
de condition ; elle les trouve très bien établies
un égard les routes les plus courtes, pourvu que ce soient celles des
gens
de bien, quand on y devrait chiffonner sa perruqu
édentes et des généraux de son temps. Je ne sais ce qu’en pensent les
gens
du métier : on dit que le duc de Wellington estim
rois fois plus que son devoir pour le faire passablement. Malheur aux
gens
tièdes ! Et en même temps qu’il donne ces consei
Dictionnaire encyclopédique. » J’ai noté (car j’aime jusque dans les
gens
aimables à saisir les côtés élevés ou sérieux) ce
en avait bien assez sans y songer. « Même dans les écarts, il y a des
gens
à qui tout va, parce qu’ils ont de la grâce et du
rce qu’ils ont de la grâce et du tact. » Il fut de bonne heure de ces
gens
-là. Jusqu’à la fin il aura le désir de plaire : «
si dire, ces saisons successives de l’homme aimable : Je connais des
gens
, dit-il, qui n’ont d’esprit que ce qu’il leur fau
. S’il n’y a pas du trait, du neuf, du piquant, de l’originalité, ces
gens
d’esprit sont des sots à mon avis. Ceux qui ont c
rgueilleux. Que tout soit bien habité. Que l’on rencontre beaucoup de
gens
, n’importe de quelle espèce ils soient. Enfin to
gens, n’importe de quelle espèce ils soient. Enfin toutes sortes de
gens
, même des bêtes, pourvu que ce ne soient pas des
ects reculés ou désolés ; mais les amateurs restés gens du monde, les
gens
de goût, et d’un noble goût, touchés en effet de
n d’être en une condition où l’on a, dès le matin, un grand nombre de
gens
qui viennent de tous côtés pour ne leur laisser p
es actions vaines ne prennent pas moins de place. Les affaires et les
gens
vous assiègent, vous cherchent, vous poursuivent.
ont peut-être retrouvé leur philosophie dès le soir même. Je sais des
gens
de goût qui ont pu ressentir l’amertume, mais qui
faisant collection de tous les noëls moqueurs où l’on chansonnait les
gens
. La plus belle disgrâce ministérielle que l’on pu
i en sont victimes. Le nombre diminue de plus en plus, même parmi les
gens
de lettres, de ceux qui peuvent dire comme d’Alem
timental. Surtout je ne puis, pour mon compte, avoir grande pitié des
gens
auxquels il n’est arrivé d’autre malheur inconsol
quelques égards, moins modelée sur l’ancienne, et qui, aux mains des
gens
de talent, aura elle-même son originalité. Telle
s qui croient ou qui crient à l’invasion du Moyen Âge : eh bien ! des
gens
qui croiraient de ces choses dix ans de suite, n’
u comment les ailes de pigeon leur poussent. Et je le vérifie sur des
gens
qui se piquaient d’être graves et intelligents av
çaise a reçues en 1760 pour le concours On voit tous les jours des
gens
d’esprit, et même des gens de goût, qui ayant été
le concours On voit tous les jours des gens d’esprit, et même des
gens
de goût, qui ayant été dans leur jeunesse enthous
oit d’attendre d’un ouvrage couronné par le jugement d’une société de
gens
de lettres. Chacun des concurrents en particulier
utes parts, et surtout par cette espèce de connaisseurs qu’on appelle
gens
de goût par excellence, gens de goût tout court,
tte espèce de connaisseurs qu’on appelle gens de goût par excellence,
gens
de goût tout court, qui jugent de tout sans rien
matière de plaisir protègent les anciens usages. Malheureusement ces
gens
de goût, qui déclameraient le plus contre la nouv
s ces principes, et d’après le témoignage presque général de tous les
gens
de lettres, j’ai bien de la peine à croire qu’Hom
hoix, parce que, pour obéir à l’Assemblée nationale, ces deux pauvres
gens
ont dressé le tableau des impositions, ou quand,
u. Contre tous ses chefs naturels, contre les grands, les riches, les
gens
en place et revêtus d’autorité, sa défiance est i
la barrière de l’Étoile, a insulté de la façon la plus effrayante les
gens
qui passaient en voiture ; des misérables montaie
ndiants et vagabonds Apparition des brigands Le peuple de Paris.
Gens
sans aveu, réfractaires de tout genre, gibier de
res qui témoignent de l’excès du mal760 : « Sont réputés vagabonds et
gens
sans aveu, et condamnés comme tels, ceux qui, dep
la façon de remplir les dépôts, la police est turque à l’endroit des
gens
du peuple ; elle frappe dans le tas, et ses coups
chemins, écrit l’intendant, sont infestés de vagabonds dangereux, de
gens
sans aveu et de véritables mendiants que la maréc
trop, on ne saurait où les mettre. Et d’ailleurs comment empêcher des
gens
à l’aumône de demander l’aumône Sans doute l’ef
é l’ouvrier ne gagne que douze sous par jour772 ; croyez-vous que ces
gens
-là se résigneront à mourir de faim ? Autour de Ro
e l’écraser ou de le mutiler dans les rues… Aucune commodité pour les
gens
de pied, point de trottoirs. Cent victimes expire
e quoi parler de lui. On voulait plus encore de Rousseau. Beaucoup de
gens
l’avaient pris au mot, et le sommaient de réalise
de décembre 1790, l’Assemblée constituante lui votait une statue. Les
gens
de lettres préparaient des inscriptions pour le p
renfermées les dépouille » des princes et des souverains. Beaucoup de
gens
croyant qu’il s’était tué, Bouilly avait fait tou
belles parties qu’il conserve beaucoup d’admirateurs, soit parmi les
gens
qui pardonnent tout au talent, soit parmi ceux qu
le bien qu’il voudrait mettre à la place. Il raisonne comme certaines
gens
qui, en lisant un auteur, s’imaginent avoir toute
comme une sorte d’ivresse dans laquelle il oublie ce que commande aux
gens
de bien l’honnêteté qui vient du cœur. Après lui
xpresses ou tacites qui ont formé le lien des premières sociétés. Les
gens
de bon sens expliquent la chose naturellement. Se
4. » Qui donc croit-il en dégoûter en y mettant cette condition ? Les
gens
de bon sens, oui : ceux-là disent tout bonnement
ait Socrate, se glissant à travers tous les obstacles, va trouver les
gens
de bien et les unit. » De même l’amour véritable
i vit honorablement des soins qu’il donne aux enfants d’autrui. Entre
gens
bien élevés, les choses se passent de façon que l
; notre caractère seul nous apprend les hommes tels qu’ils sont. Les
gens
que Rousseau connaît le moins, ce sont ceux qui t
las ! le piège, c’est son caractère. Sa défiance finit par rendre les
gens
défiants. Ils croient s’être mépris, et ils se re
en 1791. Rousseau allait être fait dieu. Je ne sache qu’une espèce de
gens
qui puissent être jaloux de ressembler au Roussea
c’est en général une fureur de perfection absolue, où s’emportent les
gens
incapables du bien qui est à la portée de tous. C
engagé ou s’y enfonçait plus avant. Il n’est que le plus éloquent des
gens
qui ne veulent point se gêner, et qui rêvent tout
qu’elle a endurcis, d’honnêtes gens dont elle a fait des fripons, des
gens
sociables qu’elle a métamorphosés en misanthropes
déchaîné, font encore des croyants au Contrat social, même parmi les
gens
qui ne le lisent pas. C’est une maladie. Autrefoi
s qui ne sont que la plus chère des délectations de l’orgueil. Que de
gens
qui se sont pris pour le centre du monde ! Par ma
lité réveille. Ce n’est pas que je me repente de les avoir lues ; les
gens
du métier trouvent encore à profiter et à glaner
lia avec les fils du duc de La Rochefoucauld (l’auteur des Maximes),
gens
d’esprit eux-mêmes. On sait d’ailleurs très peu d
out le reste. Je vois bien que ce seyait folie de faire venir ici mes
gens
… Cependant je suis ruiné ici. On ne trouve rien d
ne sont, ma belle dame, que de fort méchants titres pour obliger les
gens
à faire quelque chose qui choque, de fort loin se
est à Rouen, Trivelin prince est ici ; ce sont là des farces que les
gens
de bon sens doivent bien mépriser ; mais il faut
s manuscrits des chansons historiques, c’était là le ton habituel des
gens
de la meilleure société dans le Grand Siècle. Ne
ut faire la part de l’aversion bien connue du noble écrivain pour les
gens
de peu, redoublée de celle qu’il avait pour les p
pas déplaisante, dit-il, quoique je ne fusse pas du premier ordre des
gens
bien faits, mes manières, mon humeur, et mon espr
était doux, faisaient un tout qui plaisait assez au monde, et peu de
gens
, en y entrant, ont été mieux reçus… Voilà commen
ial de musique, la distribution solennelle des prix de la Société des
gens
de lettres. La séance, ouverte à deux heures sous
ve, au nom du jury d’examen pour les prix proposés par la Société des
gens
de lettres, et lu dans la séance publique du jeud
du concours qu’une disposition généreuse, transmise à la Société des
gens
de lettres par un de ses membres73, lui a permis
els de MM. Théodore de Banville et Philoxène Boyer, de la Société des
gens
de lettres. Des mentions toutes particulières ont
t cette nouvelle dont l’auteur est M. Louis Fortoul de la Société des
gens
de lettres, déjà connu par des écrits qui intéres
champ du Bourbonnais. L’auteur est M. Oscar Honoré, de la Société des
gens
de lettres. — La nouvelle qui a obtenu le second
et de sensibilité. L’auteur est M. Charles Deslys, de la Société des
gens
de lettres. Tel est, messieurs, le produit assuré
nquer à aucun devoir. Pour moi, qui suis de ceux à qui la Société des
gens
de lettres avait fait l’honneur de les appeler da
du monde. Ces jugements ne peuvent être dès lors rédigés que par des
gens
superficiels, en notes courtes sans valeur et san
ne de leurs gazettes en prélevant un impôt sur la soif de vedette des
gens
qui écrivent. Et ils ont établi le système des ré
eur bonne volonté. L’inconscience souriante avec laquelle on voit des
gens
inconnus et improductifs accepter du jour au lend
ettré, maître d’un feuilleton périodique, pouvait faire du bien à des
gens
de talent et même leur ouvrir un avenir. Aujourd’
iques. « C’est à devenir fou ! me disait un jour un ami. Pourquoi les
gens
achètent-ils plutôt un livre qu’un autre ? Parce
homme pour que, commençant son office le samedi dans une feuille, les
gens
s’en remettent, dès le dimanche, à son opinion, a
u’au vieux temps. Et la réclame payée ne le tue pas, car, même si les
gens
se doutent que l’éloge qu’ils lisent a coûté deux
unetière qui, il y a cinquante ans, eût déformé les idées de bien des
gens
selon les siennes propres. Les sectaires s’en von
mes, eut pendu les voleurs et ceux qui leur donnaient assistance, des
gens
de tous les pays accoururent. La sécurité, la bon
rangers, disent les vieux auteurs, « et fit un seul peuple de tant de
gens
de natures diverses. » Ce ramassis de barbares, d
yent quarante-sept marcs d’amende ; si le mort est Anglais, c’est aux
gens
du lieu d’en faire la preuve par le serment de qu
aient tout l’argent, les biens, la terre97. » Par exemple, « tous les
gens
du pays bas avaient grand soin de paraître humble
eindre ; cette chronique s’arrête un siècle après la conquête102. Les
gens
qui ont assez de loisir et de sécurité pour lire
t les opprime. Encore au quinzième siècle104 plusieurs de ces pauvres
gens
s’emploient à cette besogne ; le français est le
fermiers, sur les navires avec les matelots ; car ce ne sont pas ces
gens
grossiers, tout enfoncés dans la vie corporelle,
lorsqu’il entra le dimanche des Rameaux. » Il décrit les Éthiopiens,
gens
qui n’ont qu’un pied, mais si large qu’ils peuven
’ils peuvent s’en servir comme d’un parasol. Il cite une île où « les
gens
sont hauts de dix-huit ou trente pieds de haut, e
lus souvent dans l’assistance, sont les yeomen, fermiers, forestiers,
gens
de métiers, ses compatriotes, hommes musculeux et
n main leurs intérêts. Croyez-vous qu’on néglige le mécontentement de
gens
comme celui que voici ?138. » « Un vigoureux rust
d’esprit, à tourner autour des obstacles, et n’ayant qu’à toucher les
gens
du bout du doigt pour les faire tomber dans le pa
seizième siècle, il avait encore son jour de fête, chômé par tous les
gens
des petites villes et des campagnes. L’évêque Lat
nous ne pouvons vous entendre, c’est le jour de Robin Hood ; tous les
gens
de la paroisse sont au loin à couper des branches
c’est le héros national : Saxon d’abord, et armé en guerre contre les
gens
de loi, « contre les évêques et archevêques », do
atissant d’ailleurs et bon envers le pauvre monde, recommandant à ses
gens
de ne pas faire de mal aux yeomen ni aux laboureu
joyeux, nous étions trois hommes joyeux. » Comptez, de plus, que ces
gens
-là, dans chaque paroisse, s’exercent tous les dim
nlevant les dames et les demoiselles, mutilant, tuant, rançonnant les
gens
jusque dans leurs maisons, comme si c’était en pa
Par les tailles, la gabelle, les impôts sur le vin, les logements des
gens
de guerre, elles sont réduites à l’extrême misère
s et de la tête des bêtes tuées pour les nobles et les marchands… Les
gens
d’armes leur mangent leurs volailles, tellement q
e cela, le peuple de ce pays n’est point dans une telle pénurie ; les
gens
n’y sont point non plus maltraités dans leurs per
selon la loi du pays et devant les juges susdits… C’est pourquoi les
gens
de ce pays sont bien fournis d’or et d’argent et
que, dans les ballades, le héros populaire, Robin Hood, ordonne à ses
gens
d’épargner les yeomen, les gens de travail, même
populaire, Robin Hood, ordonne à ses gens d’épargner les yeomen, les
gens
de travail, même les chevaliers, s’ils sont « bon
goût français y sont visibles ; il n’en saurait être autrement ; les
gens
d’en bas ne peuvent jamais se défendre tout à fai
gens d’en bas ne peuvent jamais se défendre tout à fait d’imiter les
gens
d’en haut ; et les plus francs des poëtes populai
. « Tous ces grands maîtres ont Dieu à la bouche, ce sont les pauvres
gens
qui l’ont dans le cœur168 », et c’est le cœur, c’
ament, car il a pleine autorité, et il est ouvert à l’entendement des
gens
simples dans les points qui sont le plus nécessai
brulent, ny ne démolissent les édifices, et tombe la fortune sur les
gens
de guerre, et par espécial sur les nobles. » 17
s, ici le principal plaisir est de régner dans le cercle brillant des
gens
à la mode456. » Tandis qu’en Angleterre ils s’ent
st l’art du dix-huitième siècle et l’art d’écrire. On s’adresse à des
gens
qui savent très bien la vie et qui, le plus souve
ncore autre chose. Je compare le dix-huitième siècle à une société de
gens
qui sont à table ; il ne suffit pas que l’aliment
erté. Il semble qu’il parle toujours devant un petit cercle choisi de
gens
très fins et de façon à leur donner à chaque inst
ble par lui-même, auprès duquel les autres, fabriqués par les simples
gens
d’esprit, ne sont que des mannequins bien habillé
sarcasmes, les duretés de toute espèce qu’il adresse aux grands, aux
gens
à la mode et aux femmes, son ton raide et trancha
ar rencontre et par génie. Dans une société tout artificielle, où les
gens
sont des pantins de salon et où la vie consiste à
tonne point si elle fait attendre d’heure en heure ses chevaux et ses
gens
, si, à quatre heures du matin, elle ordonne de dé
tes que Rousseau s’est trouvé si fort. Il faisait voir l’aurore à des
gens
qui ne s’étaient jamais levés qu’à midi, le paysa
Florian, Dupaty, Mercier, Mme de Staël ; au-dessous de Voltaire, les
gens
d’esprit vif et piquant, Duclos, Piron, Galiani,
naissance, contre l’arbitraire des ministres, contre l’incapacité des
gens
en place, bien mieux, résumer en un seul personna
es livres, on le considère comme renonçant également à la société des
gens
qui gouvernent et des gens qui rient… À la vanité
comme renonçant également à la société des gens qui gouvernent et des
gens
qui rient… À la vanité littéraire près, la vie de
de la cour, des courtisans et du grand monde gâté, opposé aux petites
gens
qui ont conservé la bonté primitive, villageois e
Préface. Nous publions ici le discours auquel la Société des
gens
de lettres a décerné, dans sa séance publique du
en fait de poésie légère, ce siècle-là avait du bon, et que certaines
gens
tournaient assez bien alors un conte en vers ou u
e l’émancipation est plus marquée. Les aèdes, les homérides, sont les
gens
de lettres de cette poétique époque : nous y voyo
; voici Versailles. Les bénéfices, les pensions royales assurent aux
gens
de lettres une modeste aisance. Honorés plus qu’e
on. La société en masse réalisa le doute méthodique de Descartes. Les
gens
de lettres, auteurs de ce mouvement, le gouvernen
ser les sots inutiles, qu’il leur donnât le droit de gouverner. » Les
gens
de lettres n’auront pas toujours cette insolente
e qui fait qu’on le respecte. Les savants examinent la question ; les
gens
instruits apprécient les savants ; le vulgaire su
yeusement à sa caricature. Tel est, selon nous, le nouveau maître des
gens
de lettres. Examinons les faveurs qu’ils peuvent
ns une époque de commerce tout devient marchandise. De tout temps les
gens
de lettres ont pu tirer de leurs travaux un légit
uccès serait peut-être de moins rechercher le petit. Nous sommes trop
gens
de lettres, nous ne songeons pas assez à être hom
doit vivre. S’il est bon, sincère, affectueux, il trouvera, chez les
gens
de lettres qui lui ressemblent, de tendres et dél
’honorer et le grandir aux yeux de la postérité, j’entends auprès des
gens
sensés de tous les régimes et de tous les temps.
er lecteur. Je n’ignore pas que c’est pédanterie aux yeux de bien des
gens
; mais j’ai un faible pour les Grecs et les Romai
Procope, voisin du district des Cordeliers, il dira, par allusion aux
gens
d’esprit qui y venaient au xviiie siècle : « On
s suivre avec ma lanterne et d’éclairer tous vos pas. Lorsque tant de
gens
s’évertuent à faire des motions dans l’Assemblée
res, les beautés solliciteuses, portiers, valets de chambre, avocats,
gens
du roi, pour tous les gens de rapine ! Nuit désas
ses, portiers, valets de chambre, avocats, gens du roi, pour tous les
gens
de rapine ! Nuit désastreuse pour toutes les sang
’abbé Maury ou de Mirabeau-Tonneau. Il est très amusant sur certaines
gens
, mais il en est un trop grand nombre sur lesquels
ves, captaient sa confiance pour le pousser ensuite à tout briser ; «
gens
pour qui toute loi est onéreuse, tout frein insup
oi est onéreuse, tout frein insupportable, tout gouvernement odieux ;
gens
pour qui l’honnêteté est de tous les jougs le plu
comité, avec les jeunes époux. On sait ce qu’ils devinrent. Tous ces
gens
de la noce (excepté Mercier, qui n’échappa à la m
prés, des vergers, des maisons et des écus en abondance, car tous ces
gens
arrivant d’Allemagne, de Suisse, de Russie, de Po
is un temps de prospérité pareille ! On voyait aussi descendre là des
gens
de la ville, qu’on avait connus dans le temps pou
n de la rue, en donnant des poignées de main à droite et à gauche aux
gens
qui les reconnaissaient, sa figure changeait ; il
auche de la route, dépassaient à peine les montagnes de neige, et les
gens
, tout le long des murs, jusqu’au bout du village,
de la chance… il tomberait par terre en soufflant dessus… Il y a des
gens
qui naissent sous une bonne étoile ! » Mais tout
! Il leur faut tout ! Qu’ils viennent donc aussi nous prendre ! » Les
gens
se réunissaient, et le boucher Sépel, qui découpa
s tournâmes le coin du café Hemmerlé, et nous entrâmes chez nous. Les
gens
nous regardaient de leurs fenêtres et se disaient
ut voir de pire, dit la tante ; ça montre bien la scélératesse de ces
gens
. » Et s’animant de plus en plus, elle criait : «
is conseil ! dit-elle ; vous êtes donc aussi pour faire massacrer les
gens
, vous ? — Non, répondit-il, je n’aime pas les gue
. J’étais déjà sur la place, au milieu des Italiens et d’une foule de
gens
qui criaient et pleuraient en reconduisant leurs
a tête, nous marquions le pas, pour avoir l’air de vieux soldats. Les
gens
venaient à leurs petites fenêtres, ou s’avançaien
ement, nous avions le droit de nous asseoir au coin du feu ; mais les
gens
nous donnaient aussi place à leur table. Presque
pensai : « Tu n’es pas entièrement abandonné sur la terre… De braves
gens
songent à toi ! Tu n’oublieras jamais leurs bons
yant cela, je fus attendri et je pensai : « Il y a pourtant de braves
gens
sur la terre ! » J’ôtai mes bas. Comme les ampoul
tout s’agitait : on entendait passer des chevaux, des voitures et des
gens
. Mes pieds me faisaient encore un peu mal, mais c
enir les anciens rois et les anciens nobles, pensait pourtant que ces
gens
avaient assez souffert dans les pays étrangers, p
e pour une fois. Nous resterons donc ici jusqu’à nouvel ordre. Si des
gens
raisonnables me disent que j’ai bien fait d’écrir
t-il, est l’objet de l’ambition secrète ou avouée de presque tous les
gens
de lettres, de ceux même qui ont fait contre elle
si imprévus, aussi étendus que possible, et sans s’interdire même les
gens
de lettres proprement dits, spéciaux, isolés, cél
mêle, qu’elle espace et distance (sont-ce des mots académiques ?) les
gens
de lettres par des choix d’une littérature moins
es hommes distingués et lettrés du monde politique ; il viendrait des
gens
de lettres médiocres s’attroupant en bloc, se coa
is que l’Académie mette du temps et grande réserve à trier. Pour les
gens
de lettres eux-mêmes, s’ils en valent la peine, i
ruine des procédés et à travers les violations courantes du droit des
gens
dans les lettres, une certaine politesse, une con
ses amis, Fontanes notamment dans le Journal de l’Empire. Beaucoup de
gens
aujourd’hui vous parlent à l’oreille de cet ouvra
dant que Troie était en flammes, écrit l’auteur en commençant, peu de
gens
ont imité le pieux Énée ; pour moi, moins heureux
n’ennoblit pas, où la politique devient l’emploi des déclassés et des
gens
de troisième ordre, où les récompenses de la vie
Richelieu et Louis XIV regardaient comme un devoir de pensionner les
gens
de mérite du monde entier ; combien ils eussent m
bien ils eussent mieux fait, si le temps l’eut permis, de laisser les
gens
de mérite tranquilles, sans les pensionner ni les
ertain. Il faut que la raison sache se résigner à être primée par les
gens
qui ont le verbe tranchant et l’affirmation hauta
s les formes de gouvernement, ne soit pas plus insupportable pour les
gens
d’esprit que les états sociaux mieux garantis que
ime démocratique borné est, nous le savons, facilement vexatoire. Des
gens
d’esprit vivent cependant en Amérique, à conditio
x nécessités ou utilités humaines, double source du droit naturel des
gens
25. 12. Le sens commun est un jugement sans réfle
ce aux nations pour déterminer la certitude dans le droit naturel des
gens
. On arrive à cette certitude en connaissant l’uni
e toutes les idées qu’on s’est formées jusqu’ici du droit naturel des
gens
; droit qui, selon l’opinion commune, serait sort
rons dans cet ouvrage de tâcher de démontrer que le droit naturel des
gens
naquit chez chaque peuple en particulier, sans qu
es preuves philologiques les plus concluantes en matière de droit des
gens
; les Romains ont surpassé sans contredit tous le
grecques, ils sont pour nous deux grands trésors du droit naturel des
gens
considéré chez les Grecs. Cette vérité et la préc
l a été ordonné par la divine Providence. 105. Le droit naturel des
gens
est sorti des mœurs et coutumes des nations, lesq
é, établit que la Providence est la législatrice du droit naturel des
gens
, parce qu’elle est la reine des affaires humaines
blissent que la Providence a été la législatrice du droit naturel des
gens
. Les nations devant vivre pendant une longue suit
les trois principaux auteurs, qui ont écrit sur le droit naturel des
gens
, se sont égarés comme de concert dans la recherch
. ad Atticum, lib. II (Note du Traducteur). 25. Le droit naturel des
gens
a, dans Vico, une signification très entendue. Il
axiome placé ici à cause de son rapport particulier avec le droit des
gens
, s’applique généralement tous les objets dont nou
l’avons mis en cet endroit, c’est qu’on voit mieux dans le droit des
gens
que dans toute autre matière particulière, combie
arlé de cette actrice. Voilà comment la république romaine païoit les
gens
de théatre. Macrobe dit que Jules Cesar donna vin
gestes, on ne doit pas être étonné qu’ils fissent un si grand cas des
gens
de théatre. Seneque le pere dit dans l’avant-pro
te profession. Quoique les loix romaines eussent exclu la plûpart des
gens
de théatre de l’état de citoïen, on avoit néanmoi
urd’hui en Italie. Nous sçavons par des faits que l’apprentissage des
gens
de théatre, qu’on choisissoit apparemment avec de
se faire entendre. De tout temps un peu de vision fut l’appanage des
gens
de théatre. Mais les visions mêmes de Neron et de
Elle cueille toutes les fleurs, elle laisse les feuilles. Alors, les
gens
se plaignent et disent : voilà ce qu’ont fait les
Telle chanson, comme la Mal Mariée, révèle le pessimisme résigné de
gens
qui sentent que la vie est mauvaise, et mauvaise
r violette Est encore la plus belle. Entrant à la maison, Salut, les
gens
de la noce, Ô beau rossignolet, Entrant à la mais
gens de la noce, Ô beau rossignolet, Entrant à la maison, Salut, les
gens
de la noce. Non pas la mariée, Car je la devrais
eau rossignolet, Il rentra dans sa chambre Et se coupa la gorge. Les
gens
de la noce disent : Grand Dieu ! quelle triste no
oce disent : Grand Dieu ! quelle triste noce. Ô beau rossignolet, Les
gens
de la noce disent : Grand Dieu ! quelle triste no
Après tout, si cette indulgence peut paroître excessive aux yeux des
Gens
de goût, l'ouvrage n'en fait pas moins d'honneur
de ses procédés, & par les services multipliés qu'il a rendus aux
Gens
de Lettres. Tant de titres étoient plus que suffi
ustice & de goût, pour lui préférer le grand Rousseau. Les autres
Gens
de Lettres ont été plus reconnoissans. On feroit
se aventure. » On ne paye que si l’on peut et quand on peut, même les
gens
de la maison, les fournisseurs de la table, les s
n Devant ce débiteur qui manifestement devient insolvable, tous les
gens
qui, de près ou de loin, sont engagés dans ses af
rés des affaires, causent et s’amusent. — Sans doute ils s’amusent en
gens
de goût et causent en gens de bonne compagnie. Ma
t s’amusent. — Sans doute ils s’amusent en gens de goût et causent en
gens
de bonne compagnie. Mais la difficulté ne sera pa
nds est éteint ; on donne cinquante-six mille livres de pension à des
gens
qui ont été dans les grands postes où ils ont ama
es armes, et des armes plus tranchantes qu’il n’en a besoin. Pour des
gens
qui veulent contrôler le pouvoir et abolir les pr
contre les propositions déraisonnables. Autour de lui, ce ne sont que
gens
échauffés, exaltés à propos de rien, jusqu’au gro
et une clarté rouge jaillit à travers les vitres. — « Non, disent les
gens
d’en haut, ils n’auraient garde de mettre le feu
dit à sa mère : « Encore quelques jours et je détesterai si fort ces
gens
-là, que je ne saurai plus que faire de ma haine
ne. Ce qui le prouve évidemment, c’est que ce sont les bourgeois, les
gens
de lettres, les gens de finances, enfin tous ceux
évidemment, c’est que ce sont les bourgeois, les gens de lettres, les
gens
de finances, enfin tous ceux qui jalousaient la n
es regles de la Thérapeutique. Au contraire, on les regarde comme les
gens
qui rendent la santé, qui inoculent la raison ; o
e de régler les rangs* ! Voilà d’abord les Magistrats réformés : les
Gens
de guerre vont commencer par essuyer des anathême
, chap. 14. ? On pourroit dire cependant au Philosophe, qu’autant les
gens
sages sont prêts à condamner les guerres d’ambiti
phes aient démérité de toutes les classes de la Société, sur-tout des
Gens
de Lettres* qui tiennent aux principes du vrai go
si haute opinion de leur excellence ? Seroit-ce dans l’admiration des
Gens
de goût, ou dans le suffrage des Littérateurs étr
res* non moins absurdes, ne méritent pas une réfutation sérieuse. Les
gens
éclairés ne peuvent en avoir été dupes : à traver
e je m’étois proposé dans la premiere. J’honore, en général, tous les
Gens
de Lettres ; j’ai respecté & je respecterai t
ec quel mépris les Philosophes du siecle parlent des Grands & des
Gens
en place. L’Auteur du dernier Discours couronné à
n’empêchent pas que les Philosophes ne trouvent des Grands & des
Gens
en place qui les protegent, qui les honorent, qui
, pour le déshonorer plus sûrement. Ce tour de Pirate a trompé peu de
gens
, & la Suite prétendue des Trois Siecles est r
’orthographe, et la prononciation. L’orthographe a causé, parmi les
gens
de lettres, un véritable schisme. Quelques-uns on
s de dignité & d’énergie à la prononciation ? Est-il vrai que les
gens
qui parlent bien prononcent les mots terminés par
sçavoir à quoi s’en tenir c’est d’aller à la source, de consulter les
gens
de cour, & les gens de lettres. En général, i
r c’est d’aller à la source, de consulter les gens de cour, & les
gens
de lettres. En général, il nous manque un bon tra
vet, qui n’est encore qu’un très-petit essai. Il est ridicule que des
gens
instruits d’ailleurs se fassent un crime de la mo
ce tourne-bride du monde tout entier, dans lequel il s’est trouvé des
gens
de talent, mais avec d’autres, a vécu dans les gr
a voyons-nous dans ces revues où passent les uns après les autres des
gens
d’esprit, des gens de science, des gens d’infinim
ces revues où passent les uns après les autres des gens d’esprit, des
gens
de science, des gens d’infiniment d’agrément, qui
les uns après les autres des gens d’esprit, des gens de science, des
gens
d’infiniment d’agrément, qui viennent tous déball
ce, et, il faut bien le dire, c’est Janin. Les autres, très nombreux,
gens
d’esprit, de talent, — et il y en a même peut-êtr
u son indignation, tant il est sensible, exquis et prompt ! Aussi les
gens
de goût sont-ils les hauts justiciers de la litté
ente ou quarante têtes incorruptibles qui se taisent ; ce silence des
gens
de goût sert de conscience aux mauvais écrivains
us de haine : ce qui prouve évidemment que ce sont les bourgeois, les
gens
de lettres, les gens de finances, et enfin tous c
prouve évidemment que ce sont les bourgeois, les gens de lettres, les
gens
de finances, et enfin tous ceux qui jalousaient l
le dans les villes, et les paysans dans les campagnes. Il montre les
gens
d’esprit, les gens riches trouvant la noblesse in
et les paysans dans les campagnes. Il montre les gens d’esprit, les
gens
riches trouvant la noblesse insupportable, et si
t pour eux un nouveau genre de supplice, ils étaient des anoblis, des
gens
nobles, mais ils n’étaient pas gentilshommes… Les
S’il est vrai que les conjurations soient quelquefois tracées par des
gens
d’esprit, elles sont toujours exécutées par des b
vérité, ajoute-t-il en se redressant, se recommandent quelquefois aux
gens
de lettres comme les impies invoquent les saints
par exemple : « Pendant la guerre des parlements et des évêques, les
gens
raisonnables ont beau jeu, et vous aurez le loisi
serez les maîtres. J’ai dit qu’à la mort de Montesquieu l’armée des
gens
de lettres n’était pas encore debout ni enrégimen
; il y pousse d’Alembert et ses amis. L’Encyclopédie, qui rallie les
gens
de lettres, lui paraît une excellente occasion ;
traité en gentilshommes et en gens du monde, non en procureurs ni en
gens
de chicane. De votre côté, vous êtes incapable d’
ces embellissements qu’à chauffer la ville de Genève. » Cependant les
gens
d’affaires qui sont sur les lieux, le notaire M.
ire un inventaire et une reconnaissance de la terre. Au moment où les
gens
d’affaires vont commencer cette reconnaissance, V
de, il chicane, il crie tout d’abord, le tout pour ne point payer aux
gens
du Domaine le demi-droit de mutation. Il en écrit
aisser être méchant impunément ? Ce sont, au contraire, ces sortes de
gens
-là qu’il faut châtier. Je ne le crains pas ; je n
eur. Notez que ces calomnies secrètes et dites à l’oreille de tant de
gens
n’empêchèrent pas, cinq ans après, Voltaire renou
d’un style que beaucoup d’entre nous peuvent vérifier en pensant aux
gens
qui fréquentaient le salon paternel aux années de
, dit-on, toute une génération d’hommes vivant encore. J’ai connu des
gens
qui s’indignaient de bonne foi de ne pas voir Cha
Je sais que c’est jouer un assez vilain rôle que de venir déclarer au
gens
qu’ils ont eu tort de s’amuser ou de s’attendrir
nsulté les calotins : cela est mauvais, dis-je, mauvais symptôme, ces
gens
-là sont inintelligibles au-delà du détroit, au-de
les Bas-bleus, Pastorales, Histoire ancienne, les Bons Bourgeois, les
Gens
de Justice, la journée de M. Coquelet, les Philan
posé un livre d’images qui s’appelle Le Monde à l’envers ? Il y a des
gens
superficiels que Grandville divertit ; quant à mo
égendes de ses dessins, et quelquefois très-entortillées. Beaucoup de
gens
préfèrent Gavarni à Daumier, et cela n’a rien d’é
tier latin avait subi l’influence de ses étudiants, comme beaucoup de
gens
s’efforcent de ressembler aux gravures de mode. T
eur sui generis, un goût fin qui se distingue de tous autres pour les
gens
qui ont le palais fin. Un jour, Trimolet fit un t
un enfant de douze ans, qui était depuis longtemps entre les mains de
gens
durs, avec lesquels il avait souffert ; et il éta
nt tournés tout autrement, mais je parle aux foules, où il y a peu de
gens
d’esprit. Si c’était à recommencer, je ne choisir
ier de l’année 1673, âgé de cinquante-trois ans, regretté de tous les
gens
de lettres, des courtisans et du peuple. Il n’a l
là, vous dis-je, et courez vous cacher. PHILINTE. Mais on entend les
gens
au moins, sans se fâcher. ALCESTE. Moi, je veux m
e ne puis souffrir cette lâche méthode Qu’affectent la plupart de vos
gens
à la mode ; Et je ne hais rien tant que les conto
, dans ces vices du temps, Morbleu ! vous n’êtes pas pour être de mes
gens
; Je refuse d’un cœur la vaste complaisance Qui n
ans le cœur. Serait-il à propos, et de la bienséance, De dire à mille
gens
tout ce que d’eux on pense ? Et, quand on a quelq
contre les mœurs du temps Vous tourne en ridicule auprès de bien des
gens
. ALCESTE. Tant mieux, morbleu ! tant mieux, c’est
tre ; Et ses roulements d’yeux et son ton radouci N’imposent qu’à des
gens
qui ne sont point d’ici. On sait que ce pied-plat
, Témoigner l’amitié que pour vous a mon cœur. Hier, j’étais chez des
gens
de vertu singulière, Où sur vous du discours on t
s éclats, Madame, eut le malheur qu’on ne la loua pas. Cette foule de
gens
dont vous souffrez visite, Votre galanterie, et l
. En un lieu, l’autre jour, où je faisais visite, Je trouvai quelques
gens
d’un très-rare mérite, Qui, parlant des vrais soi
e ? Elle est à bien prier exacte au dernier point ; Mais elle bat ses
gens
, et ne les paye point. Dans tous les lieux dévots
arder soi-même un fort long temps Avant que de songer à condamner les
gens
; Qu’il faut mettre le poids d’une vie exemplaire
is-je mais des soins qu’on ne va pas vous rendre ? Si ma personne aux
gens
inspire de l’amour, Et si l’on continue à m’offri
Et corrigez un peu l’orgueil de vos appas, De traiter pour cela les
gens
de haut en bas. Si nos yeux enviaient les conquêt
ême Il prend, pour mon honneur, un intérêt extrême ; Il m’avertit des
gens
qui lui font les yeux doux, Et plus que moi six f
qui l’on se confie, Déshonore l’autel où leur cœur sacrifie. Mais les
gens
comme nous brûlent d’un feu discret Avec qui, pou
il était alors dans une de ces plénitudes de cœur si connues par les
gens
qui ont aimé, il céda à l’envie de se soulager et
mais, pour moi, je crois qu’il n’y a qu’une sorte d’amour, et que les
gens
qui n’ont point senti de semblable délicatesse n’
rants tout trouvés pour opposer à ceux d’Arsinoé. Celle-ci a cité des
gens
de vertu singulière ; celle-là cite des gens d’un
noé. Celle-ci a cité des gens de vertu singulière ; celle-là cite des
gens
d’un très-rare mérite. Chacune d’elles a essayé d
rdiesses mimiques de Gros-Guillaume, tout méprisés qu’ils étaient des
gens
doctes et d’un goût difficile, n’en avaient pas m
taliens. La tendance qu’avait Gros-Guillaume à singer les travers des
gens
finit, comme on sait, par le perdre. Il imita tro
missaire et un sergent, qui viennent demander la taille à ces pauvres
gens
, et, à faute de payer, veulent exécuter. La femme
ès ; aussi fait le mari, qui leur demande qui ils sont. — Nous sommes
gens
de justice, disent-ils. — Comment ! de justice !
de qui cela se pourrait dire avec encore plus de fondement. Plusieurs
gens
font monter le nombre de ses habitants à onze cen
Europe. On y trouve toujours une telle foule dans les bazars, que les
gens
qui vont à cheval font marcher devant eux des val
singulières, l’une que les femmes, en Perse, hors celles des pauvres
gens
, sont recluses et ne sortent que pour affaires, o
é perdu huit jours durant, fut trouvé dans sa chambre dans l’état des
gens
qu’on enlève violemment. Les parents de l’enfant,
gai et de bonne humeur, leur dit en souriant: « Allez le punir. » Ces
gens
, emportés de fureur, n’entendirent point railleri
n un instant l’ordre du roi avec la rage qu’on peut s’imaginer en des
gens
irrités comme ils l’étaient: car c’est ainsi que
nt, comme l’opération avait été faite avec un gros couteau et par des
gens
acharnés qui ne se souciaient pas de la bien fair
maine, et enfin à celle de premier ministre d’État. L’histoire et les
gens
de son temps assurent qu’il n’y en a jamais eu de
fut de bonne heure au palais, et, tirant à part ce qu’il y trouva de
gens
qu’il savait être ennemis du grand vizir, entre l
e, et les pria de l’accompagner. Ils prirent encore avec eux d’autres
gens
de leur cabale qu’ils rencontrèrent sur le chemin
de malheurs, et a fait périr tant de grands seigneurs infiniment plus
gens
de bien que toi ! » Et, en disant cela, il cria a
présent, voilà ma soif apaisée. » Il mit ensuite une garnison de ses
gens
dans le palais du vizir, comme s’il eût eu un ord
grands seigneurs, mais encore tous les particuliers qu’il savait être
gens
riches, à construire quelque édifice public pour
raconte une chose admirable d’une mule que cet épicier avait (car les
gens
de cette condition, en Perse, montent la plupart
sorte d’art et chaque sorte de denrée y a son quartier à part, et les
gens
du pays savent y trouver chaque chose, comme dans
ui marcherait dessus serait puni. Toute la porte même est sacrée. Les
gens
qui ont reçu quelque grâce du roi vont la baiser
t élevé, qu’en regardant de là dans la place, on ne reconnaît pas les
gens
qui passent et ils ne paraissent pas grands de de
rent donc mis hors de la ville, à la réserve des missionnaires et des
gens
des Compagnies d’Europe, qui étant, en quelque fa
dages bas et tapissés, au devant de l’entrée des jardins, beaucoup de
gens
qui prennent du tabac, et beaucoup de beau monde
visions ? Pensez-vous que les autres grands veuillent passer pour des
gens
sans loi et approuvent vos suffrages ? Croyez-vou
ellent exemple. Henri Duvernois Je fus critique littéraire. Les
gens
me disaient : — Comment, monsieur, vous lisez tou
vres qui paraissent ! Quel courage ! Je suis critique dramatique. Les
gens
me disent : — Alors vous allez à toutes les répét
aux cabrioles, à l’esbroufe du Théâtre sont, aux yeux de beaucoup de
gens
, les plus graves indices d’une mauvaise santé mor
suppléments de L’Illustration. Mais c’est bien l’opinion unanime des
gens
qui savent ce que c’est qu’un livre et qu’une œuv
équentés. Il ne pourrait remplacer le goût de la lecture que chez les
gens
qui lisent pour se divertir, sans aucune préoccup
re, parce que le bruit d’un cœur battant est étouffé par le bruit des
gens
qui marchent. Sur la scène personne ne peut demeu
ine. Toutefois, il offre cette indiscutable supériorité : obliger les
gens
à être sincères. Le snobisme peut faire admettre,
dustrie plutôt qu’un art. En notre temps plus encore que naguère. Les
gens
les plus dépourvus de littérature, d’idées généra
lle lecture n’ait aucun attrait. « Aujourd’hui comme hier, il y a des
gens
capables de lire et de comprendre, mais à conditi
terribles : le premier, c’est qu’une bonne pièce plaît à beaucoup de
gens
, ce qui est la preuve évidente de sa médiocrité ;
dit J.-H. Rosny. Cette « basse curiosité est, aux yeux de beaucoup de
gens
, le plus grand indice d’une mauvaise santé intell
t du théâtre ne pourrait remplacer le goût de la lecture que chez les
gens
qui lisent pour se divertir, sans aucune préoccup
c plus d’ordre et de méthode ses pensées. De nos jours, des amateurs,
gens
d’esprit, ont continué sous une autre forme cette
ts réels. Pourtant, que ceux qui, à l’exemple de M. Payen, sentent en
gens
d’esprit et admirent si bien Montaigne, daignent
ien de se croire né dans la pire des époques. Il ne ressemble pas aux
gens
préoccupés et frappés qui, mesurant tout à leur h
elicta non bene parmula ») ? Ne nous hâtons pas de prendre au mot ces
gens
de goût qui ont horreur de se surfaire. En fait d
que les chefs des partis alors en présence, les trois Henri, étaient
gens
de renom et considérables à divers titres : Henri
qui sévissait alors dans le pays, frappait surtout parmi ces pauvres
gens
, Montaigne apprend d’eux la résignation et la pra
on et la pratique de la philosophie. Regardons à terre : les pauvres
gens
que nous y voyons épandus, la tête penchante aprè
de ces conseils qu’il adresse à ceux qui, comme moi et comme bien des
gens
de ma connaissance, subissent les tourmentes poli
ris. Ici, on voit d’Aubigné se détourner de son chemin et suivre les
gens
qui savent, pour apprendre d’eux ce qu’il écrira
ui manquait aux guerres civiles était qu’estimant les probités de ses
gens
à la sienne, il pensait les choses faites quand e
le reste de votre vie, et vous fera roi ou rien. Vous êtes circuit de
gens
qui grondent et qui craignent, et couvrent leurs
il ne change sur l’heure de religion : Gardez-vous bien de juger ces
gens
-là sectateurs de la royauté pour appui du royaume
core qu’il participe à cette démangeaison de Henri Estienne et de ces
gens
d’esprit pétulants qui se donnent avant tout la s
Qu’il dise que c’est la vertu de la vieille phalange huguenote et de
gens
qui de père en fils sont apprivoisés à la mort. »
taire, qui est l’aumône en argent, semble devoir être plus facile aux
gens
qui en ont beaucoup, ceux-ci, à mérite égal — et
ont singulièrement plus assurés de la reconnaissance publique que les
gens
de condition médiocre ou petite, et, ainsi, ne ma
eur bonne volonté. En sorte qu’on pourrait recommander la charité aux
gens
exceptionnellement millionnaires comme un « sport
spirituel et, quelquefois, un compliment ironique. * * * Je prie les
gens
très riches qui peut-être liront ceci, de ne poin
u, des Nicole, des Bossuet, &c. Mais il y a aujourd’hui plusieurs
gens
de Lettres, non moins éloquens & plus utiles
ins frivole & paroître encore plus attachante. C’est l’office des
gens
de bien, dit Montagne, de peindre la vertu la plu
ats, suivront le sort de la Philosophie, & l’on peut voir que les
gens
sans études & sans Lettres, se polissent &
mp; qui instruit souvent mieux que les livres. Quelqu’un a appelé les
gens
de lettres estimables, les substituts de la Magis
e leurs personnes, voudroient, s’il leur étoit possible, humilier les
gens
de lettres comme des rivaux qui occupent à leur d
bouches de la Renommée. Ils ont imaginé en conséquence de rendre les
gens
de lettres responsables en corps de toutes les so
un homme de lettres, on crie sur les toîts. Il faut observer que les
gens
de lettres ne forment point un corps, & consé
antaisie de donner ici la liste complette des inévitables ennemis des
gens
de lettres ; on verra qu’ils sont en nombre &
sera-t-il permis de faire une réflexion qui ne doit pas offenser les
Gens
de Lettres, parce qu’ils sçavent que les dons son
rs qui ont fait des ouvrages lus & estimés, sont certainement des
gens
d’esprit ; mais est-il démontré manifestement qu’
ne ressemblent à rien de ce qu’on connoît. Ce n’est plus le style des
Gens
de Lettres, c’est mieux, c’est le leur ; il attac
ce qu’il n’est pas en état de comprendre. Oui, je crois qu’il est des
gens
qui ont l’intelligence si profonde & si vive,
lesse de ses épaules, & l’on peut le juger ; or, presque tous les
Gens
de Lettres qui touchent à la cinquantaine, ont en
ravaux aussi nobles, aussi désintéressés. Quand on veut rabaisser les
Gens
de Lettres, on parle encore de leurs querelles vi
ès qu’on la méprise, dit Tacite. Après tout, on ne peut reprocher aux
Gens
de Lettres que ce qu’on peut reprocher à tous les
ilité que les autres hommes ?(28) Mais, en condamnant les débats des
Gens
de Lettres, le Public fait l’hypocrite ; il y tro
ée. J’ai entendu là-dessus des débats vraiment incroyables, & les
gens
sensés m’accuseroient ici d’avoir controuvé à pla
comme on a salué l’arrivée de l’Esprit des Loix, &c. Heureux les
Gens
de Lettres qui ne connoissent point cette déplora
onne toujours moins que la victime couverte de blessures. Heureux les
Gens
de Lettres qui ne connoissent que cette dispute c
lgré les phrâses des Journalistes, les cris aigus & plaintifs des
Gens
de goût, & les arrêts des Académies, la Philo
avec les personnages de leurs pièces comme certains plaisans avec les
gens
de leur connoissance ; qui, pour prouver leur esp
La pédanterie a un enthousiasme ridicule, assurément digne d’elle Les
gens
de Lettres avancés en âge & non Philosophes,
autres peuples. (2). La calomnie ardente s’est surtout attachée aux
gens
de Lettres ; on les a peints comme perturbateurs
Le mépris que certains hommes opulens ou en place, affectent pour les
gens
de Lettres, vient moins de vanité, que d’une prof
ns droit de nous mépriser, à ceux que nous méprisons injustement. Les
gens
de Lettres sont loin de faire attention au pronon
sion, Il est simple, dira-t-on. D’accord ; mais pourquoi le style des
gens
de Cour est-il simple ? Par une bonne raison ; c’
absoudre les Financiers ; on les plaint, on les justifie. Les pauvres
gens
, dit-on ! ils ne gagnent que la moitié de ce qu’i
viendra-t-il à m’empêcher de lire ceux d’autrui ? Il faudroit que les
Gens
de Lettres renonçassent à l’orgueil de publier le
’est ce qui arrive ; le Public casse le plus souvent les jugemens des
Gens
de Lettres, les laisse déclamer, & s’attache
ai ma confession ; j’ôserai dire ce que je pense au milieu de tant de
Gens
de Lettres, qui taisent leur façon de penser &
ils soient les ennemis de l’Etat, de la liberté publique, des honnête
gens
de la Littérature ; & il est beau alors de le
nt ; la haine s’envenime, & l’Etat est divisé en deux classes, en
gens
avides & insensibles, & en mécontens qui
ailles de Peintures pleines de feu & de gaité. On ordonna que les
gens
de Justice ne porteroient plus que des habits cou
urs ; mais point d’Opéra, & pour cause. Aux portes du Palais, des
gens
affidés versoient du caffé à tous venans ; &
l’Institut, aux décorations, aux traitements, à la considération des
gens
sérieux. Et pendant ce, la vie augmente, double,
t au public des corps d’ouvrage solides et compacts, où il revoit des
gens
qu’il a déjà vus, où il entend des choses qu’il s
é de lui, et je l’entends lui dire : « Je ne sais plus quels sont les
gens
qui en font maintenant partie… et vrai, je ne con
tient à une chose, c’est que le sens artiste manque à une infinité de
gens
, même à des gens d’esprit. Beaucoup de gens ne vo
, c’est que le sens artiste manque à une infinité de gens, même à des
gens
d’esprit. Beaucoup de gens ne voient pas. Par exe
manque à une infinité de gens, même à des gens d’esprit. Beaucoup de
gens
ne voient pas. Par exemple, sur vingt-cinq person
monde visible existe. 2 mai Il y a encore dans les cafés des
gens
qui s’intéressent aux naufragés de La Méduse !
coton, pour mettre au jour du grand, du tourmenté, du dramatique. Les
gens
qui se dépensent trop dans la passion ou dans le
re, servait lui-même en personne, et dans de la vraie argenterie, aux
gens
dont il estimait le goût culinaire, servait un ha
donienne. 15 juin Nous allons voir des voisins de campagne, des
gens
aimables, accueillants… Ça ne nous pousse pas à f
rnies, et cependant nous y sommes dépaysés et mal à l’aise, comme des
gens
déportés dans une colonie, dont les colons n’aura
e patte, peignant, couvrant de pâte colorée, un morceau. Rien que des
gens
adroits, des malins volant le succès par le chemi
commerce et les négoces heureux : — dernière représentation de cette
gens
, de cette clientèle amie et dévouée qui faisait à
ouver dans son mari. 20 août Me voilà en plein rêve de bien des
gens
, à la campagne, de l’argent dans ma poche, avec u
as permis au faiseur de mémoires de faire les portraits physiques des
gens
qu’il dépeint, d’après son optique personnelle —
lques Ouvrages utiles sur la Langue Françoise, ses querelles avec des
Gens
de Lettres de toutes les classes, ont donné à son
t tous les mercredis une assemblée, qu’il appeloit sa Mercuriale. Les
Gens
de Lettres, tant Nationaux qu’Etrangers, s’y rend
par le Cardinal Mazarin & par M. Colbert, de donner la liste des
Gens
de Lettres qui pouvoient mériter des récompenses.
avait souffert réellement, qu’il intéressa moins : l’imagination des
gens
ordonnés et aisés, qui ont le moyen de s’installe
me, d’égoïsme mâle et de lâcheté morale qui répugne. Et cependant les
gens
ordonnés rient et se divertissent. De quoi donc r
le travail utile », qu’ils s’attendrissent. Cette fin lamentable des
gens
qui les mystifiaient ou les exaspéraient en leur
ses convenues, et où l’on étudie impitoyablement la valeur exacte des
gens
et des idées, puisque d’autre part, l’artiste, ju
’est pas inhérente au fait d’être mai nourri et mal vêtu : il y a des
gens
qui, avec de la fortune, sont bohèmes, parce qu’i
xaspéré, la vanité de serrer des mains célèbres, de figurer parmi les
gens
de lettres, et de passer pour un martyr de l’idéa
n tous cas ils eussent dû depuis longtemps battre les mondains et les
gens
« de bon sens » sur leur propre terrain en se mon
e représentée, on savait si l’on allait voir des gens du monde ou des
gens
du peuple, des bouffons ou des sénateurs, des élé
daignait regarder, si on consentait à l’entendre. Il y avait même des
gens
au parterre, des moralistes comme vous, qui disai
le roi venait d’écrire le nom de Molière sur cette glorieuse liste de
gens
de lettres et de savants, honorés des libéralités
bé Cottin tout vif dans Les Femmes savantes ; il ne faut pas tuer les
gens
à coups de massue, un petit coup d’épingle, à la
esprits, disait souvent que les grands admirateurs étaient de sottes
gens
, et La Bruyère, qui se plaignait, puisque les gra
ions du cerveau de nos marquis de Mascarille. J’enrage de voir de ces
gens
qui se conduisent en ridicules, malgré leur quali
ces gens qui se conduisent en ridicules, malgré leur qualité ; de ces
gens
qui décident toujours et parlent hardiment de tou
ngez qu’en ne disant mot, on croira peut-être que vous êtes d’habiles
gens
! » Voilà qui est bien parler, et que celui-là e
és d’être de l’avis des autres pour avoir la gloire de décider. » Ces
gens
-là, si l’opinion publique s’exprime avant qu’ils
comédie ainsi qu’ils feraient un bâtiment. « Vous êtes de plaisantes
gens
avec vos règles dont vous embarrassez les ignoran
ur de Grotius a mis aussi en françois le Droit de la nature & des
gens
, par Puffendorff, in-4°. deux volumes. Cet écriva
porter le même jugement des Principes du Droit de la nature & des
gens
, traduit par M. Formei du latin de Wolff, in-4°.
ntraire. L’ouvrage le plus récent sur le droit de la nature & des
gens
, est celui de Mr. Burlamaqui, considérablement au
ulé mortellement, et çommencha moult à espandre de sanc. Et quant ses
gens
virent ce, si se commencierent moult à esmaier et
nt. Et il perdi moult de sanc, si se commencia à pasmer. Et quant ses
gens
virent que il n’ayoient nulle ayue de lui, si se
mort et li marchis Montferrat ot la tieste cooupée. Et envoierent les
gens
du pays le chief à Johannis, et che li fu une des
guère changer, même pour perfectionner, sans péril ; et le trait des
gens
du marquis, « qui commencèrent à laisser leur che
abiloine avoit mainte fois essaie d’ont le flum venoit, et y envoioit
gens
qui portoient une manière de pains que l’en appel
llectuel ; elle était, dit Froissart, « aussi lie (douce) aux aultres
gens
qu’elle ert (était) à moi. » Elle se maria. Frois
iers du moyen âge parlassent de leurs exploits plus sobrement que les
gens
de guerre d’aujourd’hui. La paix ne faisait pas s
accuser Froissart de n’avoir pas aimé, jusqu’à se mettre mal avec les
gens
, la vérité, qu’il lui était presque impossible de
n ne oncques pour passion ne le fist plus haut ; estoit égal à toutes
gens
, et bénigne en respondre ; tard à promettre, et p
nnoit au prix de l’homme. À tout temps avoit sens propre, et à toutes
gens
propres manières sage en conseil, froid en conclu
, en sorte qu’il commença à jeter beaucoup de sang. Ce que voyant ses
gens
, ils commencèrent fort à prendre de l’émoi, à se
dit beaucoup de sang, et ne tarda pas à tomber en pâmoison. Quand ses
gens
virent qu’ils ne pouvaient plus compter sur lui,
emeurèrent avec lui furent tués et le marquis eut la tête coupée. Les
gens
du pays envoyèrent la tête Joannis, et ce lui fut
s offre encore, et qui frappa si vivement non pas le public, mais les
gens
du métier et les esprits attentifs de son temps.
répète, qu’il se trouva en mesure dès 1814, à une date où bien peu de
gens
l’étaient. En musique, en peinture, en littératur
e pas, dit-il, du vulgaire né pour admirer le pathos de Corinne ; les
gens
un peu délicats ont ce malheur bien grand au xixe
nais, ou Parisien du bon temps ; quand il se trouve dans un cercle de
gens
qui l’entendent, et de la bienveillance de qui il
grenadiers du monde pour prendre des redoutes à la baïonnette, et les
gens
les plus amusants. L’Italie n’a point de Collé et
ouvelles, qu’ils seraient devenus classiques, ou plutôt « ce sont les
gens
qui les copient au lieu d’ouvrir les yeux et d’im
ce qu’il croit avoir observé qu’à minuit sonnant, les ennuyeux ou les
gens
d’habitude vident régulièrement le salon ; il ne
itude vident régulièrement le salon ; il ne reste plus qu’un choix de
gens
aimables et de ceux qui se plaisent tout de bon.
endant l’existence de ces Mémoires était un épouvantail pour bien des
gens
qui s’y savaient maltraités, eux et les leurs, et
Le grand moraliste La Rochefoucauld a défini la gravité de certaines
gens
, « un mystère du corps inventé pour cacher les dé
ur ces derniers, une autre manière bien autrement vraie de saisir les
gens
et les personnages en scène, de les fouiller et d
uer impitoyablement. Demandez ce secret et cet art de déshabiller les
gens
et de les retourner du dedans au-dehors, bien moi
igations, ne saurait imposer « celle de ne pas voir les choses et les
gens
tels qu’ils sont ». Cela dit, et se croyant en me
t un véritable esprit religieux s’y mêle ; car, de cette multitude de
gens
qui en sont les acteurs, remarque-t-il, « s’ils e
fait ; il sent trop vivement pour cela : On est charmé, dit-il, des
gens
droits et vrais ; on est irrité contre les fripon
peu d’agitation de leur corps. Des changements de posture, comme des
gens
peu assis ou mal debout ; un certain soin de s’év
se vend pas, le livre de Drelincourt, et, par surcroît, confirmer les
gens
, dans leur foi en persuadant qu’il revient des âm
contenues. Pour cadeau de noces, elle obtient la grâce des mauvaises
gens
qui l’ont maltraitée. « Je mis mes bras autour de
ence, sans importance, résister à des hommes, à des vieillards, à des
gens
établis, considérés, à toute sa famille, cela est
ntures, finissent par former la plus joyeuse musique. Tous ces braves
gens
se battent bien, marchent bien, mangent bien, boi
ns. Ainsi déshabillés, les instincts ont une tournure grotesque ; les
gens
s’avancent gravement, la canne à la main, et pour
tracés à grands traits et d’un élan, d’une couleur plus saine. Si les
gens
réfléchis comme Allworthy restent effacés dans un
ôt qu’on le contredit, il devient rouge, il écume, il veut rosser les
gens
: « Défais ton habit1076… » Il faut même l’empoig
ne des passions à longue portée n’a de prise sur lui. Il embrasse les
gens
que tout à l’heure il voulait assommer. Tout disp
sérieux et tragique aigrit, tandis que le style comique « dispose les
gens
à la bienveillance et à la bonne humeur1082. » Bi
soit à la condition de n’en rien supprimer. Un point manque dans vos
gens
si bien membrés, la finesse ; les rêveries délica
des hommes ; les gentlemen bien élevés, comme Peregrine, sanglent les
gens
à coup de fouet. Ayant trompé un mari qui refuse
efuse de lui demander satisfaction, Peregrine le fait prendre par ses
gens
et tremper dans un canal. Dénoncé par un vicaire
es atroces, les mâchoires cassées, les coups de bâton assénés sur les
gens
abattus par terre, la hargneuse dureté des conver
y en a deux qu’il tire plus volontiers que les autres. Comme tous les
gens
qui ont des nerfs, il est sujet aux attendrisseme
d’orties, les environnent de toutes parts. Sterne, ainsi que tous les
gens
dont la machine est surexcitée, a des appétits ba
préparer lui-même pour l’autre vie, et, afin d’être utile à autant de
gens
qu’il pourra, il veut en même temps exhorter les
mposait son opinion doctoralement, impétueusement, et brutalisait les
gens
qu’il réfutait. « Monsieur, je m’aperçois que vou
rme autour du lit magistral ; il y a toujours à son lever quantité de
gens
distingués, même des dames. Ainsi entouré, il « d
ant les grâces. Si vous lui parlez d’une méthodiste qui convertit les
gens
, il vous dira qu’une femme qui prêche est comme u
il a des scrupules. — Tout cela est bien étrange. Nous demandons aux
gens
ce qui peut leur plaire dans cet ours bourru, qui
ons plaisent, et ces Essais sont des sermons. Nous découvrons que des
gens
réfléchis n’ont pas besoin d’idées aventurées et
ns à la porte nos répugnances, et regardons les choses comme font les
gens
de ce pays, non par le dehors, mais par le dedans
’oser être Montagnard : Di meliora piis ! Il y a, dans le moment, des
gens
qui disent ces choses et qui n’y croient guère :
qui n’y croient guère : ce sont les ci-devant royalistes. Il y a des
gens
qui en ont peur réellement et qui se gardent bien
, qui dans les Chambres et dans les Conseils pèsent encore sur nous ;
gens
qui font les capables et les prudents ; sans phys
lus un pouce de terrain à notre virile et patriotique jeunesse. A ces
gens
-là, tous les souvenirs historiques sont tournés e
prendre la parole ici sans remuer les plus hautes questions. Or, les
gens
qui lisent mal m’ont accusé de ne pas savoir ce q
rissait la tolérance : mais il voulait faire mettre à la Bastille les
gens
qui n’étaient pas de son avis. C’est pour des dif
ent tout cela, de n’être pas des hypocrites, d’être d’abord de braves
gens
, des hommes de bonne volonté. Ce qui prépare le m
utuellement. Soyons bons. » S’ils n’ont pas tous le crâne, les braves
gens
ont tous le cœur fait de même et arrivent, sur l’
même n’y sont pas oubliés. Célèbres, au même titre que la plupart des
gens
, grâce au hasard qui les fit naître assistés d’un
ille et aller à la messe. — Retenir d’une exposition les tableaux des
gens
qu’on rencontre dans le monde. — Éviter le solenn
endre la vie à la blague. » * * * Étrange société où connaître les
gens
qui font « la fête » suffit pour conférer un titr
étudiants, par ses farces funambulesques et sa manie de mystifier les
gens
.
Je passe l’été près de Perros, au milieu d’un hameau de très pauvres
gens
; notre petite aisance doit leur paraître de la r
illeur à ma manière ; j’ai donné quelques secousses électriques à des
gens
qui auraient mieux aimé dormir. Je n’ai pas manqu
is de leurs économies de pensée ; je suis reconnaissant à ces pauvres
gens
qui m’ont procuré, par leur sobriété intellectuel
le secret de notre jeunesse. Nous sommes prêts à vivre, quand tant de
gens
ne parlent que de mourir. Le groupe humain auquel
sans païer, l’assemblée y dégeneroit en une véritable cohuë pleine de
gens
sans attention, et par consequent toujours prêts
ont pas dramatiques comme il s’assembloit chez les anciens. Ainsi les
gens
du métier peuvent mieux favoriser, ils peuvent mi
un si long délai pour le condamner, quelque effort que la plûpart des
gens
du métier fassent pour soutenir sa réputation. Qu
la pucelle de Chapelain parut, elle avoit pour elle les suffrages des
gens
de lettre étrangers et françois. Les bienfaits de
e connaître, pour savoir ce que je vaux, il faut me plaire : avec les
gens
qui ne me sont pas sympathiques, je me referme et
en pu être poursuivie. — Un morceau écrit, paraît-il bien, il y a des
gens
qui soutiennent que cela tient à ce que l’écrivai
usait style, et l’on parlait de l’impuissance de bien écrire chez les
gens
qui parlent plusieurs langues. Pour ces gens, les
de bien écrire chez les gens qui parlent plusieurs langues. Pour ces
gens
, les mots ne gardent plus leur particularité, leu
t rêver toute la nuit… Nous sommes cependant, n’est-ce pas, nous, des
gens
du même métier, des gens de plume… Eh bien, hier,
us sommes cependant, n’est-ce pas, nous, des gens du même métier, des
gens
de plume… Eh bien, hier, dans Madame Caverlet, qu
salle, qu’ils auraient éprouvé le même sentiment… et Flaubert, et les
gens
qui étaient dans la loge, ne l’ont pas éprouvé ce
tenue dans l’homme ou la femme représentée. * * * — Ne croyez pas aux
gens
qui disent aimer l’art, et qui, pendant toute la
; je me sentais heureux, et je me trouvais dans le temps et avec les
gens
que j’aime… mais je me suis juré de reprendre mon
, Liouville faisait remarquer le nombre d’incomplets, d’estropiés, de
gens
avec un lobe cérébral trop développé et un membre
magination, les courses que je fais, la nuit tombée, avant dîner. Les
gens
qu’on coudoie, on ne voit pas leurs figures ; le
ême… et ce sont les petits fonctionnaires qui la font aller… oui, ces
gens
qui ont la probité, qui sont travailleurs, et qui
nous tire du parterre, nous mène dans les coulisses, nous montre les
gens
débarrassés du fard que les peintres et les poète
tellement qu’il fallut la ramener en cet état à Versailles. Tous les
gens
des équipages le virent, et ne s’en turent pas. »
n se divertissait de la mettre en colère, et qui chantait pouille aux
gens
à ces dîners-là pour faire rire, mais quelquefois
ici ceux qu’on prit avec la princesse d’Harcourt. On répondra que ces
gens
s’ennuyaient, que ces mœurs étaient une tradition
duc d’Orléans ayant fait Law contrôleur général, voulut consoler les
gens
de la cour : « Il donna 600,000 livres à la Fare,
courtise ma fille, mettez-le à la Bastille. Sire, un tel a battu mes
gens
, ordonnez-lui de me faire réparation. Sire, on m’
« ce long règne de vile bourgeoisie. » Il hait les ministres, petites
gens
que le roi préfère, chez qui les seigneurs font a
tes de choses : tout cela écrasait, nobles et roturiers, seigneurs et
gens
d’église, sans que ce qu’il en revenait au roi pû
ontrastes ; il faut marquer les qualités distinctives pour rendre les
gens
visibles ; notre esprit est une toile unie où les
on de l’artiste est si complète que son œuvre offre des matériaux aux
gens
de tout métier, de toute vie et de toute science.
erbe unit tout ; que les bourgeois épurent leur style, prudemment, en
gens
soumis à l’Académie, il traîne le sien dans le ru
rès leur marmite. Dans les salles trottent les valets envoyés par les
gens
de la cabale contraire, qui questionnent d’un œil
discernement : mais il faudrait qu’un autre agît. Quand je vois des
gens
d’esprit se lancer dans la vie active par saillie
’un honnête homme : l’état qui est entre deux n’est fait que pour les
gens
médiocres. » En attendant, la guerre ayant recom
méchant homme du monde, s’il n’était pas le plus faible. Esclave des
gens
qui sont en faveur, tyran de ceux qui dépendent d
ffaire, soit qu’il soit question de l’État, de sa famille ou d’autres
gens
; il est toujours conduit par quelque sorte d’int
t qu’il explique avec tant de grâce et de netteté qu’il n’y a que les
gens
qui ont de bons yeux et qui l’approfondissent ave
de plaire quand elles sont plutôt senties que pensées : « Il y a des
gens
qui ne pensent qu’à proportion de ce qu’ils sente
leur esprit ne sert qu’à démêler ce qui se passe dans leur cœur : ces
gens
-là, qui sont toujours vrais, ont quelque chose de
ement. La supériorité blesse trop pour aimer à passer sa vie avec des
gens
qui en ont beaucoup sur vous ; les vues d’intérêt
, parce qu’elles le sont à leur égard, et dont cependant de certaines
gens
n’ont aucune envie ; les mauvais offices qu’ils t
cet hiver sur ce pied-là… La quantité des pauvres surpasse celle des
gens
qui peuvent vivre sans mendier… et les recouvreme
a dès sept heures du matin… On avait retranché les vivres aux pauvres
gens
qui sont à Bicêtre, au point que, de trois quarte
mendient aujourd’hui leur pain. On ne trouve point à travailler. Les
gens
riches se retranchent à proportion comme les pauv
où il faut qu’ils se nourrissent : et de quoi ?… Je vois les pauvres
gens
y périr de misère. On leur paye quinze sous ce qu
int-Antoine depuis le 20 janvier jusqu’au 20 février, que les pauvres
gens
expiraient de froid et de faim dans leurs grenier
pour ébaucher un rire cruel et une sorte d’impatience féroce Et ces
gens
-là payent la taille ! et l’on veut encore leur ôt
e, qui t’enverrait, toi et ton système, copier de la musique chez ces
gens
-là aurait bien durement répondu à ton discours. »
, par vente forcée ou volontaire, entre les mains des financiers, des
gens
de plume, des négociants, des gros bourgeois. Mai
25. Gaultier de Biauzat, Doléances sur les surcharges que portent les
gens
du Tiers-état, etc. (1789), 188. — Procès-verbaux
à, ait le pouvoir d’inspirer de tels ressentiments dans une classe de
gens
. Jeudi 4 janvier Carrière m’entretient de s
e, naturel, est un monsieur distingué, qu’on sent en rapport avec les
gens
du vrai monde. Dans sa causerie sur la peinture,
pectacle, aux bains de mer ! » Daudet soutenait que les locutions des
gens
sont, la plupart du temps, en rapport avec la nat
part du temps, en rapport avec la nature de leurs facultés. Ainsi les
gens
qui ont le don de la vision des choses, disent to
blait, vous savez, à l’acte d’Antigone, où devant le Temple, sont ces
gens
faisant de grands appels de bras. » Lorrain est i
n’avoir jamais passé de pareille dans ma vie, et où l’on comprend les
gens
qui se jettent par la fenêtre. Dimanche 1er av
par le froid, et à préparer le chocolat, le thé, le café, que peu de
gens
, dit-il, connaissent encore en France, — et enfin
d’un homme de qualité qui vit à l’auberge, paye la nourriture de ses
gens
, et se sert d’un carrosse de remise. Son valet de
eut dépenser, tant pour sa chambre garnie que pour le logement de ses
gens
, et pour sa pension et nourriture, un écu par jou
nol, Don Quichotte. Dimanche 15 avril On parle de la marche des
gens
et c’est pour Raffaëlli, l’occasion d’une causeri
nt d’un navire. Et la marche de Thaulow amène Raffaëlli à peindre ces
gens
du pôle, si peu assimilables à notre race, et qui
aussi jolie qu’on le dit, il me répond qu’il n’en sait rien, que ces
gens
du nord, avec leur blondeur de chanvre, ont quelq
s ou de femmes, passant tout le temps de l’exposition, à regarder les
gens
qui entrent. Partout du monde demandant à être re
je demande le chemin de l’Hôtel du Conservatoire. À ce nom, tous les
gens
du café et le patron lèvent la tête, me regardent
là revenu à ma fête, éclairée à giorno… Mais non, ce ne sont plus les
gens
du casino de la journée, ce n’est plus le même mo
ette ces portraits, je lui dis : — Eh bien, là-dedans, quels sont les
gens
qui se disent heureux ? — Tenez, voilà Camille Do
elligent, travaillant à se faire une tête, cherchant l’étonnement des
gens
par une parole axiomatique, une comédie de concen
se. Jeudi 31 mai L’affaire Turpin. Dans les autres siècles, les
gens
en vedette étaient des créateurs, aujourd’hui ce
du travail m’est venu… et seulement, quand j’ai été encouragé par des
gens
, dont j’estimais au plus haut degré le talent… qu
anche, que soufflent les voleurs dans une chambre, pour engourdir les
gens
, et les voler en toute sécurité, comme l’a été Sa
res, dans la rapidité volante des bicycles, dans la ruée affairée des
gens
, dans le coudoiement brutal des passants, ne m’es
de la chaleur à une société, à défaut d’affections de cœur entre les
gens
, ce sont les affections cérébrales, nouées entre
le rédacteur me dit que je ferais bien de quitter Lyon, parce que des
gens
, ayant l’air de méchants garçons, indignés de cet
est autant au-dessus des autres hommes par son cœur, qu’au-dessus des
gens
de lettres par son esprit. » Cette phrase doit êt
a vérité ne veut être la satire de personne, sont très supérieurs aux
gens
dont je parlais plus haut, imitateurs superficiel
a nature accomplit ses créations. Il faut bien croire que beaucoup de
gens
s’en doutaient autour de Buffon ; car dès l’appar
’un ton d’envie, à cause des grâces qui la tempèrent. S’il oblige les
gens
, son premier mouvement est de faire montre de son
pas toujours qu’on le loue, il s’en charge lui-même ou il y aide les
gens
: le tout avec du tact, de la mesure, de charmant
ents, et par la vertu purifiante des lettres, que ressentent même les
gens
qui en ont plutôt le goût que le génie, capable d
pal, il aime mieux, dit-il, décrire le peuple d’ecclésiastiques et de
gens
d’épée qui attendent comme lui à la porte du cabi
oignait l’élévation morale. Il est très vrai qu’après l’avoir lu, les
gens
de bien ont plus de plaisir à rester honnêtes, ma
s de bien ont plus de plaisir à rester honnêtes, mais aux malhonnêtes
gens
il ne fait pas assez honte de ce qui leur manque.
nonce qu’il se distinguera d’eux par son style, et « qu’il rendra les
gens
éloquents par sa façon de leur enseigner l’éloque
nd en homme du métier, sans en demander pardon, comme Quintilien, aux
gens
frivoles, sans soupçonner que ce soient de petite
fait cette singulière distinction qui, de nos jours, a paru à tant de
gens
une nouveauté et un progrès. Il n’y a pour lui qu
sérieux, à Buffon d’être trop savant ; qui persuadera à bon nombre de
gens
que tout ce qui les amuse est bon, et que le genr
d’en tracer des peintures satiriques, plus propres à y opiniâtrer les
gens
qu’à les en corriger, c’est par d’aimables descri
en qu’elle possède et qui ne demanderait qu’à se partager. Il y a des
gens
qui ne conçoivent pas le bonheur sans faveur exce
s heureux ; est-ce une raison pour ne pas s’élever ? Oui, ces pauvres
gens
seront plus malheureux, quand leurs yeux seront o
que et arrive à dire froidement : il a fallu qu’il y eût aussi de ces
gens
-là 160. Du reste cette réhabilitation d’outre-tom
le christianisme, dont nous reconnaissons n’avoir plus besoin, à des
gens
qui en ont besoin pour notre repos. De quel nom a
x-neuf vingtièmes des crimes punis par la société sont commis par des
gens
privés de toute éducation et pressés par la misèr
qu’elle est claire comme le jour, qu’il faut avoir la mauvaise foi de
gens
intéressés pour s’y refuser, qui répète tous les
c bien reconnu que ceux qui se refusent à éclairer le peuple sont des
gens
qui veulent l’exploiter et qui ont besoin de son
numérique. Car la majorité est souvent formée ou du moins appuyée de
gens
fort nuls, inertes, soucieux de leur seul repos,
e n’entend pas, celui de la raison. Comment voulez-vous que de telles
gens
, s’ils se mêlent de parler à la multitude, n’enco
tique. Le peuple est bien plus indulgent pour les grands que pour les
gens
de classe moyenne qui sont instruits et éclairés.
s : la liberté est violée. Croyez-vous donc que ce seront ces pauvres
gens
qui résoudront le problème ? Nous usons la force
s’il est mauvais. S’il y avait une classe légalement définissable de
gens
qui ne pussent faire ce discernement, il faudrait
probable que ceux qui crient à la liberté violée ne sont pas tant des
gens
qui, possédés par le vrai, souffrent de ne pouvoi
, possédés par le vrai, souffrent de ne pouvoir le divulguer, que des
gens
qui, n’ayant aucune idée, exploitent à leur profi
es, Aspidiques, etc., etc. En avez-vous assez ? Eh bien ! il y a des
gens
qui admirent cela : « Comment, s’écrie M. Onésim
ire que « la moitié d’une ville était occupée à amuser l’autre. » Ces
gens
-là ont la passion du long. ; ils n’ont pas l’idée
s bientôt la jalousie engendre la haine. Un jour, que les deux jeûnes
gens
jouaient ensemble aux échecs, Judas triche, une q
fortune en Judée. Il connaît Pilate de réputation : « Pilate aime les
gens
hardis et rusés ; je serai son homme », se dit Ju
Il ne s’agit pas de l’émotion actuelle, momentanée, produite sur les
gens
d’alors par ce colloque émouvant de la mère et du
e temps-là, c’est-à-dire de grands enfants. Cela semble fait pour des
gens
qui ne restent pas jusque la fin, qui n’en auront
jusque la fin, qui n’en auront pas le temps, pour des artisans et des
gens
de métier. Ils en emportent ce qu’ils peuvent : i
oix de fausset, ses fins paradoxes, ses humoristiques silhouettes des
gens
; Karr, toujours accompagné de l’inséparable Gata
eur, il serait le premier à l’appuyer. Nous attendions, ainsi que des
gens
menacés de la justice d’une chambre correctionnel
V et d’un char d’opérateur. Jamais si triomphante voiture ne mena des
gens
en police correctionnelle. Et le maître de la voi
et, pris d’une espèce de furie d’éloquence, nous représenta comme des
gens
sans foi ni loi, comme des sacripants sans famill
de ces messieurs… vous savez, les magistrats, c’est si vétilleux, ces
gens
-là… Au reste, je les crois dans une mauvaise voie
ujet de l’homicide d’un petit crabe, écrasé par moi sur la plage. Les
gens
de Veules ont choisi un endroit sur la falaise po
à plat, une vieille dormichonne, brinqueballant de la tête comme les
gens
sommeillant en voiture. Puis une chambre assez gr
lecteurs et leurs juges, même à la Cour. Dans le Mémoire de quelques
gens
de lettres vivants en 1662, dressé par ordre de M
goût et par la manière à la société de l’hôtel de Rambouillet, et aux
gens
de lettres de la première Académie dont il était
parce qu’il y a toujours compagnie chez elle ; que c’est un réduit de
gens
d’esprit et de qualité ; qu’on y parle toujours d
er de jeu et de comédie, qui sont les plus ordinaires occupations des
gens
du siècle qui n’ont rien de meilleur à faire. C’e
; l’abbé Goussault, dans cet écrit où il recommande « les réduits de
gens
d’esprit et de qualité », ne fait qu’imiter Fléch
uvergne une cour, vulgairement appelée des Grands Jours, composée des
gens
de haute probité et d’une expérience consommée, p
tive avec ses collègues les commissaires, qui restent obstinément des
gens
de robe et de palais jusqu’au sein de cette commi
contre elle, lorsqu’elle a bien entrepris de les toucher. Je sais des
gens
qui voulaient bien en faire l’épreuve. Ces gens-
toucher. Je sais des gens qui voulaient bien en faire l’épreuve. Ces
gens
-là ne sont autres que lui-même. N’allons pas fair
lui relever son chapeau, ou qu’il le mènerait incontinent devant des
gens
qui lui en feraient nettoyer l’ordure. Jamais il
ent dans nos diocèses. Il est difficile de s’assurer pour l’avenir de
gens
aussi corrompus et aussi furieux que l’étaient ce
s du bon moment, L’inconstante aussitôt à leur désir échappe. Pauvres
gens
! je les plains ; car on a pour les fous Plus de
urs, les devineresses, les faiseurs d’horoscope, les astrologues, les
gens
qui lisent notre destinée ou qui prétendent la li
avant, Peut servir de leçon à la plupart des hommes. Parmi ce que de
gens
sur la terre nous sommes Il en est peu qui fort s
souffleurs5 tout d’un temps ; Vous ne méritez pas plus de foi que ces
gens
. Vous savez que ce ne sont pas là banalités phil
la seconde ; Une troisième suit ; elle sonne à la fin. Au dire de ces
gens
, la bête est toute telle. « L’objet… (la chose ex
omme et l’esprit, comme entre l’huître et l’homme Le tient tel de nos
gens
, franche bête de somme ; Voici, dis-je, comment r
omme et l’esprit, comme entre l’huître et l’homme Le tient tel de nos
gens
, franche bête de somme… Ce n’est pas un éloge ba
sont des imbéciles, « comme entre l’huître et l’homme est tel de nos
gens
, franche bête de somme ». Voilà la hiérarchie ; v
blés. « Notre erreur est extrême, Dit-il, de nous attendre à d’autres
gens
que nous. Il n’est meilleur ami ni parent que soi
ès que vous verrez que la terre Sera couverte, et qu’à leurs blés Les
gens
n’étant plus occupés Feront aux oisillons la guer
force d’être outrancière. Il a respecté Corneille. Vous savez que les
gens
de génie ont quelquefois le flair critique, encor
cela me fait passer pour un homme singulier dans le bien, et bien des
gens
qui ne me connaissent que d’imagination me prônen
dans toutes ces intrigues de cour. Les imprudents se battent, et les
gens
sages viennent à profiter de l’objet du combat qu
est qu’un tissu ; je ne dirai pas que j’aie comblé de biens certaines
gens
, mais j’ai rendu des services gratuits ; je me su
voilà l’aliment de mes succès, et si je vivais tout de suite avec des
gens
dont je sentisse l’approbation continuelle et pas
ela avec les inférieurs, ce qui est la suite de ce caractère chez les
gens
véritablement généreux ; au contraire, il y porte
. Cependant voilà le malheur du Français : on prend pour médecins des
gens
d’imagination (Silva), et pour ministres les robi
; mais mon père et mes aïeux ont toujours passé dans leur temps pour
gens
francs, nobles, courageux et dignes de l’ancienne
n manquaient le plus : « On ne voit, dit-il énergiquement, que de ces
gens
aujourd’hui dont le cœur est bête comme un cochon
dès le premier jour. On parlait depuis longtemps d’Homère, et peu de
gens
le lisaient. Sa réputation était une sorte de mys
ntendaient pas le grec (et c’était alors l’immense majorité, même des
gens
réputés instruits), La Motte s’en était servi à l
oi, monsieur, disait-il, un compte exact des divers jugements que les
gens
de lettres ont portés de la nouvelle Iliade ; je
éril ne court pas aujourd’hui le meilleur livre ! Je connais bien des
gens
qui allient comme vous, monsieur, à un goût sûr u
stupides érudits qui ont prêté serment de fidélité à Homère ; de ces
gens
sans talents et sans goût, qui ne savent pas suiv
le public ait si longtemps servi cette même illusion… Combien peu de
gens
savent la langue grecque ! La divine Iliade n’éta
s dont l’avait gratifié Gacon, il se contentait de dire : Il y a des
gens
à qui le reproche des défauts naturels est très d
it-il, n’a pas blessé la morale dans ses tragédies ; je vois bien des
gens
qui les envisagent comme des poèmes favorables au
ue faire ? J’ai fait de tout, j’ai abusé de tout. Vendre des mots aux
gens
d’esprit du journalisme ? Ma collection est épuis
monsieur Poupardot ! Je m’en rapporte à vous. Vous n’êtes pas de ces
gens
… (Poupardot se rengorge.) Passez-moi donc votre n
t Saturet) accoutré comme il l’est ! Il faut se mettre à la place des
gens
, aussi. Monsieur Saturet, voici ma cravate. B
llent leur paletot et leur gilet.) Saturet. Vous êtes de braves
gens
. Merci ! Finette embrasse ces messieurs. Ce sont
Alcide Dusolier I Nos
gens
de lettres, leurs caractères et leurs œuvres [I].
s, 16 juillet 1864.] Le livre très distingué d’Alcide Dusolier : Nos
gens
de lettres, leur caractère et leurs œuvres 25, pr
ique littéraire en Dusolier, qui a débuté par un ouvrage intitulé Nos
gens
de lettres, un peu trop aimable pour nous tous, m
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