de nature I. Variabilité. — II. Différences individuelles. — III.
Genres
polymorphes. — IV Espèces douteuses. — V. Les esp
e station, sont les plus variables. — VI. Les espèces des plus grands
genres
varient plus que les espèces de genres moins impo
I. Les espèces des plus grands genres varient plus que les espèces de
genres
moins importants. — VII. Beaucoup d’espèces des p
de genres moins importants. — VII. Beaucoup d’espèces des plus grands
genres
ressemblent à des variétés en ce qu’elles sont ét
, au contraire, si l’on suit d’autres règles d’observation. III. Des
genres
polymorphes. — Il existe un phénomène, en connexi
nces individuelles, très difficile à expliquer. Je veux parler de ces
genres
qu’on a nommés protéiques ou polymorphes. Les esp
ur celles qu’on doit ranger parmi les simples variétés. Tels sont les
genres
Rubus, Rosa, et Hieracium, parmi les plantes, plu
nt les genres Rubus, Rosa, et Hieracium, parmi les plantes, plusieurs
genres
d’insectes et plusieurs genres de mollusques Brac
ieracium, parmi les plantes, plusieurs genres d’insectes et plusieurs
genres
de mollusques Brachiopodes. Dans la plupart des g
es polymorphes, quelques espèces ont un caractère fixe et défini. Les
genres
qui sont polymorphes en une contrée sont aussi po
ns extérieures. Pour moi, j’incline à croire que nous voyons dans les
genres
polymorphes des variations de structure qui, n’ét
e espèces par certains botanistes, et il a entièrement omis plusieurs
genres
polymorphes. Dans les genres qui comprennent les
stes, et il a entièrement omis plusieurs genres polymorphes. Dans les
genres
qui comprennent les espèces les plus polymorphes,
s avec les autres, et plus particulièrement aux représentants du même
genre
et de la même classe qui ont à peu près les mêmes
era l’espèce dominante de sa classe. VI. Les espèces des plus grands
genres
varient partout plus que les espèces de genres mo
spèces des plus grands genres varient partout plus que les espèces de
genres
moins riches. — Si l’on divise en deux séries les
sont décrites dans sa flore, plaçant dans l’une tous les plus grands
genres
et dans l’autre tous les genres de moindre import
açant dans l’une tous les plus grands genres et dans l’autre tous les
genres
de moindre importance, un nombre supérieur d’espè
s très communes et très répandues se trouvera du côté des plus grands
genres
. On aurait encore pu le présumer d’avance : ce se
présumer d’avance : ce seul fait qu’un grand nombre d’espèces du même
genre
habitent une même contrée, montre qu’il y a quelq
nséquemment, il était à prévoir qu’on trouverait dans les plus grands
genres
, c’est-à-dire parmi ceux qui renferment le plus g
mes tables montrent même une faible majorité du côté des plus grands
genres
. Je ne veux mentionner ici, en passant, que deux
u’elles occupent et n’a que peu ou point de rapport à la grandeur des
genres
auxquels ces espèces appartiennent. De plus, des
là encore il n’existe aucune relation nécessaire avec la grandeur des
genres
. Nous reviendrons sur la cause de la grande expan
n définies, je fus conduit à supposer que les espèces des plus grands
genres
en chaque contrée doivent aussi présenter un plus
nter un plus grand nombre de variétés que les espèces des plus petits
genres
; car, partout où un grand nombre d’espèces étroi
ù un grand nombre d’espèces étroitement alliées, c’est-à-dire du même
genre
, ont été formées, beaucoup de variétés ou espèces
endre à trouver beaucoup de jeunes plants ; où plusieurs espèces d’un
genre
se sont formées par voie de variation, c’est que
en deux masses à peu près égales, plaçant les espèces des plus grands
genres
d’un côté et celles des plus petits genres de l’a
es espèces des plus grands genres d’un côté et celles des plus petits
genres
de l’autre. Il s’est invariablement trouvé une pr
une proportion supérieure d’espèces variables du côté des plus grands
genres
. De plus, parmi les espèces des grands genres qui
du côté des plus grands genres. De plus, parmi les espèces des grands
genres
qui présentent des variétés, le nombre moyen de c
ablement supérieur à celui que renferment les espèces des plus petits
genres
. Ces résultats restent encore les mêmes selon une
s selon une autre division, c’est-à-dire lorsque tous les plus petits
genres
qui ne renferment qu’une à quatre espèces, sont r
tes et bien tranchées : car, partout où de nombreuses espèces du même
genre
ont été formées, c’est-à-dire partout où les caus
t clairement qu’en règle générale, partout où beaucoup d’espèces d’un
genre
se sont formées, les mêmes espèces présentent un
santes au-dessus de la moyenne. Ce n’est pas cependant que tout grand
genre
soit actuellement très variable et en train d’acc
n train d’accroître ainsi le nombre de ses espèces, ou qu’aucun petit
genre
ne soit en voie de variation et d’accroissement.
hose fatale à ma théorie ; car la géologie nous apprend que de petits
genres
se sont considérablement accrus dans le cours des
ont considérablement accrus dans le cours des temps, et que de grands
genres
sont arrivés à leur période maximum, puis ont déc
écessaire de constater, c’est que, partout où beaucoup d’espèces d’un
genre
ont été formées, beaucoup se forment généralement
our nous un solide argument. VII. Beaucoup d’espèces des plus grands
genres
ressemblent à des variétés en ce qu’elles sont ét
est encore d’autres rapports importants entre les espèces des grands
genres
et les variétés qui en dépendent. Nous avons vu q
armi les plantes, et Westwood parmi les insectes, que dans les grands
genres
la somme des différences entre les espèces est pa
confirmé ces résultats. Sous ce rapport, les espèces des plus grands
genres
ont donc plus de ressemblance avec des variétés q
genres ont donc plus de ressemblance avec des variétés que celles des
genres
plus pauvres. On peut retourner la formule en lui
tourner la formule en lui donnant un autre sens, et dire que dans les
genres
les plus riches, où un nombre de variétés ou d’es
différence au-dessous de la moyenne. De plus, les espèces des grands
genres
ont entre elles les mêmes rapports que les variét
ces espèces. Aucun naturaliste ne prétend que toutes les espèces d’un
genre
soient également distinctes les unes des autres ;
r espèce mère, est beaucoup moins grande qu’entre les espèces du même
genre
. Mais lorsque nous en viendrons à discuter le pri
à deux formes le rang d’espèces est complétement indéfinie. Dans les
genres
qui possèdent un nombre d’espèces au-dessus de la
sus de la moyenne, en quelque contrée que ce soit, les espèces de ces
genres
renferment un nombre de variétés aussi supérieur
t un nombre de variétés aussi supérieur à la moyenne. Dans les grands
genres
, les espèces sont susceptibles d’être étroitement
xtension restreinte. Sous ces divers rapports, les espèces des grands
genres
présentent de fortes analogies avec les variétés.
pèces les plus florissantes, c’est-à-dire dominantes, des plus grands
genres
dans chaque classe qui, en moyenne, varient le pl
nt à se convertir en espèces nouvelles et distinctes. Les plus grands
genres
ont ainsi une tendance à devenir plus grands enco
s phases successives de ce mouvement d’accroissement, les plus grands
genres
tendent aussi à se briser en des genres moindres.
ccroissement, les plus grands genres tendent aussi à se briser en des
genres
moindres. C’est ainsi que les formes vivantes à t
econnaissance soit un plaisir. Ce plaisir varie de qualité selon les
genres
: dans la comédie, c’est le rire. Dans la tragédi
que Manco-Capac ? Au troisième degré sont les lois particulières des
genres
. Tous les genres que Boileau énumère ont cela de
? Au troisième degré sont les lois particulières des genres. Tous les
genres
que Boileau énumère ont cela de commun, que leur
l’épigramme, le rondeau, le madrigal, la satire, la chanson, tous ces
genres
dont quelques-uns sont si minces, ne sauraient se
e, qu’est-ce que le vers dans une Fable, ou dans un poème didactique,
genre
dont Boileau n’a pas parlé non plus, malgré les r
personnelles qu’il eût pu avoir de le faire ? Le vers, dans les deux
genres
, n’est qu’un ornement, et si peu nécessaire que P
ant pour lui-même que pour son ami. Des préceptes qui ont rapport aux
genres
, les uns sont purement formels, et se rattachent
versification ; ce sont les conventions qui lient et soutiennent les
genres
, et limitent la liberté du poète dans le choix ou
eux qui croient que le sujet est tout. Puis il y a une hiérarchie des
genres
, mais chaque genre a son idéal, sa perfection pro
le sujet est tout. Puis il y a une hiérarchie des genres, mais chaque
genre
a son idéal, sa perfection propre, absolue en soi
et pour juger d’un ouvrage, il ne faut pas le comparer à d’autres de
genre
différent, mais le rapporter seulement au type dé
t, mais le rapporter seulement au type déterminé par la définition du
genre
. En sorte qu’un sonnet parfait n’a rien à envier
rchait. Mais tandis que dans la poésie antique, en Grèce surtout, les
genres
se définissaient essentiellement par les mètres q
oir qu’il y a là deux principes très différents de classification des
genres
, et que des poèmes à forme fixe tels que la balla
s idées et tous les sentiments de tout ordre, ne sont pas du tout des
genres
comparables à l’élégie ou à la tragédie, ni à tou
r et de la ville, et nous divertit de leur exacte peinture. La loi du
genre
est de faire rire, comme celle de la tragédie est
x dépens du bon sens gardez de plaisanter. Voilà donc les limites du
genre
comique ; il exclut les héros et le peuple, les l
ème. La comédie de caractère est supérieure à la farce, mais, en son
genre
, Scapin vaut Alceste, et comme disait Diderot, il
ranchise de verve et cette intensité de couleur qui sont la poésie du
genre
. Il excluait l’élément pathétique de la comédie
douleurs. Entre la tragédie et la comédie, il ne concevait point de
genre
intermédiaire. On sait que l’événement lui a donn
giques et comiques, le rire et les larmes. La distinction absolue des
genres
et la détermination rigoureuse de leur nombre son
c Boileau. Cependant il serait aisé de montrer que la distinction des
genres
n’est pas moins fondée en raison que celle des ar
trouvons plus grand intérêt à réclamer ni à pratiquer le mélange des
genres
. Ils nous paraissent subsister en eux-mêmes, et t
ns états d’âme et à certains moments de la civilisation, il y ait des
genres
qui naissent, comme il y en a qui périssent ; par
sociale qui semble avoir mis la tragédie hors d’usage. Il en est des
genres
comme des langues : ce qui se fixe, c’est ce qui
genres comme des langues : ce qui se fixe, c’est ce qui meurt, et les
genres
ne vivent que par une adaptation, c’est-à-dire un
apparence avec ce qu’elle remplace. On ne concevra point non plus les
genres
comme des systèmes fermés, sans rapport et sans d
rmes de la poésie les effets de la musique, on peut aussi passer d’un
genre
à l’autre, et mêler dans une certaine mesure l’él
e méconnaisse point les lois essentielles et l’objet propre de chaque
genre
, et qu’on ne fasse point retomber l’ouvrage dans
xviie siècle, sans perdre pour cela sa structure intime, de même les
genres
peuvent subsister dans leur essence, et la voiler
i le pressent, le précèdent ou le continuent, pour l’exprimer dans un
genre
rigoureusement déterminé. Nous demandons que l’ar
i riches couleurs une si pauvre étoffe. On ne peut donc conserver aux
genres
la rigoureuse unité et l’absolue simplicité où il
diction sont marques de réalité. Et enfin il y a si longtemps que les
genres
servent dans notre littérature vieillie, nous en
e marque de sincérité : il nous semble que l’artiste qui bouscule les
genres
et leurs lois doive nous étaler la nature toute p
ive nous étaler la nature toute pure et toute nue. La distinction des
genres
, que nous estimons trop absolue aujourd’hui, a po
effet de l’obliger à se représenter le propre et l’essence de chaque
genre
: et l’on peut s’assurer, à propos de l’ode, que
définir la poésie lyrique : il n’a pas vu que presque tous ces petits
genres
, qu’il énumérait un peu minutieusement dans son s
Il se trouve en présence d’une forme que nulle autre poésie ni aucun
genre
d’éloquence ne lui présentent. Aussi définira-t-i
n discours ni une dissertation ni une narration d’histoire, et que ce
genre
a son ordre, sa clarté propres et d’un caractère
d’un caractère tout spécial. Boileau y arriva par la distinction des
genres
. Indépendamment des lois générales de la langue e
lois générales de la langue et du vers et des lois particulières des
genres
, la création poétique, de quelque nature qu’elle
ouvrages de Boileau, qu’il s’agisse de littérature générale, ou d’un
genre
spécial, ou d’un ouvrage particulier, il se renco
par les moyens de l’art, et les couler dans la forme propre à chaque
genre
. C’est le vers, c’est le style, c’est la beauté d
s objets et des signes aptes à produire le plaisir essentiel à chaque
genre
, c’est tout cela, et rien que cela, qui constitue
Chapitre premier. Le problème des
genres
littéraires et la loi de leur évolution Dans s
poques : primitive, antique et moderne ; il distingue également trois
genres
littéraires successifs : la poésie lyrique, l’épo
qui reviendront presque à chaque page. C’est d’abord la question des
genres
littéraires. M. Benedetto Croce s’est élevé avec
lusieurs reprises, contre la vieille école qui croit à la réalité des
genres
littéraires. Les genres, dit-il, sont des abstrac
e la vieille école qui croit à la réalité des genres littéraires. Les
genres
, dit-il, sont des abstractions, non des réalités
re à l’existence de ces catégories, que de parler d’une évolution des
genres
, et que de prétendre en fixer les lois. — Or, nul
Pourrais-je me mettre d’accord avec lui sur la façon de concevoir les
genres
littéraires ? J’en ai quelque faible espoir1. — D
és d’une manière aussi absolue, aussi irrémédiable, sur la valeur des
genres
littéraires… Il est certain que nos abstractions,
omplètent et s’expliquent l’une l’autre. Aristote ayant distingué les
genres
lyrique, épique et dramatique, en faisant à leur
amenaient à des lois, on s’ingénia à perfectionner son système. Aux «
genres
tranchés » on ajouta des genres intermédiaires, d
ia à perfectionner son système. Aux « genres tranchés » on ajouta des
genres
intermédiaires, des sous-genres, auxquels corresp
gles et les formes ont bel et bien fini par remplacer les lois et les
genres
, l’esprit paresseux de l’homme préférant toujours
t ce que M. Croce me semble faire à plus d’une reprise ; il étend aux
genres
littéraires et à leurs conditions psychologiques
ritique méritée par les formes et par les règles. Quand je parle de «
genre
» lyrique, ou épique, ou dramatique, c’est, à mon
u’on conçoit ainsi ces trois modes essentiels, il est clair que les «
genres
intermédiaires », innombrables autant que légitim
? La question semble paradoxale et ne l’est pas. Les problèmes de ce
genre
abondent, dès qu’on distingue nettement, non pas
isparue ; il faut donc en tenir grandement compte pour l’histoire des
genres
littéraires qui sont en rapport intime avec le dé
de mon étude. Nous verrons aussi que la succession logique des trois
genres
est souvent troublée par des influences littérair
nation paraît avoir une aptitude spéciale pour l’un ou l’autre de ces
genres
, qui répond le mieux à son génie particulier et q
a classification rigide encore en usage) que la satire n’est pas un «
genre
», pas plus que l’idylle, ou le poème héroï-comiq
ois, ces combinaisons (celles-là surtout qu’on essaie de grouper en «
genre
didactique »), sont tout simplement des œuvres de
orme ; et l’on verra quelles se rattachent, ne fût-ce que de loin, au
genre
lyrique, ou épique, ou dramatique. Mais, j’y insi
. Laissons de côté l’idylle, le poème héroï-comique, et ce « nouveau
genre
d’épopée » que la subtilité de Chapelain découvra
aquelle on a voulu monopoliser certaines formes, et dont on fait un «
genre
» bien à tort. L’homme et la société sont suffisa
s L’Ennemi du Peuple. Donc, écrire l’histoire de la satire comme d’un
genre
littéraire, dans le sens habituel du mot, c’est o
dans le sens habituel du mot, c’est ou bien composer un florilège de
genres
très divers dans leur inspiration, ou bien s’atta
iments, ce n’est pas la haine, c’est la foi. — La satire n’est pas un
genre
au sens vrai du mot, elle n’est qu’un élément ; p
s semblables en histoire littéraire. Je n’arrive pas à concevoir un «
genre
» didactique. Il ne suffit pas d’exprimer en styl
historique. C’est ainsi qu’il faudrait encore réviser notre notion du
genre
dramatique. Ce genre est le plus continu des troi
si qu’il faudrait encore réviser notre notion du genre dramatique. Ce
genre
est le plus continu des trois, pour des raisons t
ntions qui sont souvent très peu littéraires. 3. Un problème du même
genre
se pose à propos de la nouvelle, que sa forme ext
esse de transformation. — Il est à remarquer aussi que les espèces de
genres
distincts et de classes différentes ne paraissent
le silurienne ne diffère que très peu des espèces vivantes de ce même
genre
, tandis que la plupart des autres mollusques et t
is que les espèces isolées. — Les groupes d’espèces, c’est-à-dire les
genres
ou les familles, suivent les mêmes règles général
mment existé pendant une suite continue de générations des espèces du
genre
Lingule depuis les couches Siluriennes les plus a
duellement à décroître. Si l’on représente le nombre des espèces d’un
genre
ou des genres d’une famille par une ligne vertica
décroître. Si l’on représente le nombre des espèces d’un genre ou des
genres
d’une famille par une ligne verticale variable en
, indiquant par là le décroissement et bientôt l’extinction finale du
genre
ou de la famille. Cette multiplication graduelle
tement d’accord avec ma théorie, selon laquelle les espèces d’un même
genre
et les genres d’une même famille ne peuvent se mu
rd avec ma théorie, selon laquelle les espèces d’un même genre et les
genres
d’une même famille ne peuvent se multiplier que l
e ne semble donc gouverner la durée de l’existence des espèces et des
genres
. Il y a seulement quelques motifs de croire que l
teintes ; mais cette différence est compensée par les pertes d’autres
genres
; car nous savons que le nombre total des espèces
oche-alliées de cette espèce, c’est-à-dire les autres espèces du même
genre
, seront les plus exposées à être exterminées. C’e
elles, descendues d’une seule espèce antérieure, arrivent à former un
genre
qui supplante un autre genre plus ancien apparten
espèce antérieure, arrivent à former un genre qui supplante un autre
genre
plus ancien appartenant à la même famille. Mais i
rence de leurs ennemis. Ainsi, une seule espèce de Trigonia, l’un des
genres
de mollusques les plus répandus des formations se
nt identique ; mais elles appartiennent aux mêmes familles, aux mêmes
genres
et aux mêmes sections de genres, et sont même que
iennent aux mêmes familles, aux mêmes genres et aux mêmes sections de
genres
, et sont même quelquefois caractérisés par les mê
entre eux un curieux accord dans le nombre des espèces de chaque même
genre
, cependant les espèces elles-mêmes diffèrent d’un
ous aident à remplir les lacunes considérables qui existent entre les
genres
, les familles et les ordres actuels, car, si nous
imaux paléozoïques, bien qu’appartenant aux mêmes ordres, familles ou
genres
que ceux qui vivent actuellement, n’étaient cepen
ssiles devraient être placées entre des espèces vivantes, et quelques
genres
éteints entre nos genres actuels, et même parfois
cées entre des espèces vivantes, et quelques genres éteints entre nos
genres
actuels, et même parfois entre des genres apparte
es genres éteints entre nos genres actuels, et même parfois entre des
genres
appartenant à des familles différentes. Le cas le
e chapitre. Nous pouvons supposer que les lettres numérotées sont des
genres
, et que les lignes pointées qui s’en écartent en
ées qui s’en écartent en divergeant sont les espèces de chacun de ces
genres
. La figure se trouve ainsi trop simple, en ce qu’
ure se trouve ainsi trop simple, en ce qu’elle représente trop peu de
genres
et trop peu d’espèces ; mais ceci est sans import
u-dessous de la ligne supérieure seront supposées éteintes. Les trois
genres
vivants, a14, q14, p14 formeront une petite famil
, m14 une troisième famille. Ces trois familles, réunies aux nombreux
genres
éteints qui ont formé les diverses lignées généal
, deviendraient moins distinctes l’une de l’autre. Si par exemple les
genres
a1, a5, a10, f8, m3, m6, m9, étaient retrouvés, c
ertains Pachydermes. Cependant l’on aurait droit de contester que ces
genres
éteints fussent intermédiaires en caractères entr
que ces genres éteints fussent intermédiaires en caractères entre les
genres
vivants des trois familles qu’ils seraient ainsi
nus relier entre elles ; car ils ne seraient intermédiaires entre les
genres
vivants que d’une façon indirecte, et seulement p
x autres familles, c’est-dire a14 à f14, comprenant actuellement cinq
genres
, et o14 à m14, resteraient encore distinctes. Cep
inctes l’une de l’autre qu’elles ne l’étaient avant la découverte des
genres
fossiles. Si, par exemple, nous supposons que les
couverte des genres fossiles. Si, par exemple, nous supposons que les
genres
vivants de ces deux familles diffèrent les uns de
aractéristiques ; à l’époque ancienne indiquée par la ligne n° VI ces
genres
différaient par un moins grand nombre de leurs ca
es caractères du commun progéniteur de l’ordre. C’est pourquoi divers
genres
éteints sont souvent en quelque chose intermédiai
réelle à la vérité de cette loi générale que de lui opposer quelques
genres
qui semblent faire exception. Par exemple, les Ma
vants, pour donner une explication suffisante de certains faits de ce
genre
, ils ne peuvent donc fournir d’objection valable
es marines ; mais il résulte de la grande extension de la plupart des
genres
de mollusques qu’elle n’apparaît pas dans cette c
ne faut pas oublier que d’après ma théorie toutes les espèces du même
genre
descendent d’une espèce unique ; de sorte que, si
te que, si l’on trouve, dans une formation géologique quelconque, six
genres
ayant chacun huit espèces, et dans la formation s
s ayant chacun huit espèces, et dans la formation suivante six autres
genres
alliés ou représentatifs ayant chacun le même nom
miers, nous en pouvons conclure qu’une espèce seulement de chacun des
genres
les plus anciens a laissé des descendants modifié
nciens a laissé des descendants modifiés qui forment les six nouveaux
genres
. Les sept autres espèces comprises dans les ancie
x nouveaux genres. Les sept autres espèces comprises dans les anciens
genres
ont dû périr sans laisser de postérité. Mais il s
ore que deux ou trois espèces, de deux ou trois seulement des anciens
genres
, eussent servi de souche aux six genres nouveaux
u trois seulement des anciens genres, eussent servi de souche aux six
genres
nouveaux ; et que les autres espèces ou genres en
ervi de souche aux six genres nouveaux ; et que les autres espèces ou
genres
entiers eussent été complétement exterminés. Dans
mplétement exterminés. Dans des ordres en voie de décadence, dont les
genres
et les espèces décroissent peu à peu en nombre, c
pour les Édentés de l’Amérique du Sud, un plus petit nombre encore de
genres
et d’espèces doivent avoir laissé des descendants
une seule variété subsiste, l’espèce mère peut renaître ; tant que le
genre
a des représentants, l’ancêtre du genre peut acci
e peut renaître ; tant que le genre a des représentants, l’ancêtre du
genre
peut accidentellement se reproduire, quoique plus
s. Le secret de la plaisanterie est, en général, de rabattre tous les
genres
d’essor, de porter des coups de bas en haut, et d
r les individus et les hommes. Ainsi donc Candide et les écrits de ce
genre
qui se jouent, par une philosophie moqueuse, de l
espérance. Il existe sans doute, dans les ouvrages d’esprit, un autre
genre
de gaieté que celle qui tient presque uniquement
sublime modèle de ce talent supérieur. Voltaire n’a pu produire en ce
genre
aucun effet théâtral, quelque piquante que soit l
différentes modifications de la société. Les ridicules de ce dernier
genre
doivent être en beaucoup moins grand nombre dans
par le ridicule. L’on ne peut avoir ni le talent, ni l’occasion de ce
genre
de gaieté légère dans un gouvernement fondé sur l
tront nos effets ? Il en doit sortir de très inattendus de ce nouveau
genre
. On n’a cessé, par exemple, de nous présenter au
aut, on doit chercher à se rendre compte de la différence de ces deux
genres
. Cette différence ne consiste pas, je le crois, u
s de braver l’adversité. Le principe de l’utilité se retrouve dans ce
genre
comme dans tous les autres. Ce qui est vraiment b
té. La pièce de Fénelon est fondée sur un fait qui est entièrement du
genre
du drame : cependant il suffît du rôle et du souv
ilées, les sentiments contenus, les convenances ménagées supposent un
genre
de talent très remarquable ; mais les passions ne
pièces anglaises et allemandes qu’il faut imiter ; mais ce serait un
genre
de beautés nouvelles pour nous, et pour les étran
es bornes de l’art sans choquer le goût. On n’égalera jamais, dans le
genre
des beautés idéales, nos premiers tragiques. Il f
s’accroître que par la philosophie et la sensibilité : mais, dans ce
genre
, il n’a point de bornes ; car la douleur est un d
es vers en lui-même, et si elles augmentent souvent l’impression d’un
genre
de beautés, elles mettent des bornes à la carrièr
s la repousse. Il y a donc nécessairement une profondeur de peine, un
genre
de vérité que l’expression poétique affaiblirait,
rir une nouvelle source d’émotions théâtrales, il faudrait trouver un
genre
intermédiaire entre la nature de convention des p
les esprits. Le génie français n’a jamais été très remarquable en ce
genre
; et maintenant on ne peut ajouter aux effets de
aut étudier les modèles de l’antiquité pour se pénétrer du goût et du
genre
simple, mais non pour alimenter sans cesse les ou
t les imiter ; mais il serait impossible de créer comme eux dans leur
genre
. Pour les égaler, il ne faut point s’attacher à s
approuve et comprenne ce que l’enthousiasme fait aimer66. Un nouveau
genre
de poésie existe dans les ouvrages en prose de J.
romain, et de l’invasion des peuples du Nord. Dans cette période, le
genre
humain eut besoin de l’enthousiasme et de l’austé
e acte des Vénitiens, ont introduit sur la scène française un nouveau
genre
d’effet très remarquable, et qui appartient plus
public français accueille difficilement au théâtre les essais dans un
genre
nouveau ; admirateur, avec raison, des chefs-d’œu
nance naturelle aux spectateurs français, pour ce qu’ils appellent le
genre
anglais ou le genre allemand, l’on doit veiller a
spectateurs français, pour ce qu’ils appellent le genre anglais ou le
genre
allemand, l’on doit veiller avec un scrupule extr
66. Delille, Saint-Lambert et Fontanes, nos meilleurs poètes dans le
genre
descriptif, se sont déjà très rapprochés du carac
de nos jours, soit en France, soit en Angleterre, ont excellé dans le
genre
des romans, parce que les femmes étudient avec so
nne a commencé sous les auspices des princes ; car les moyens de tous
genres
, indispensables pour les premiers progrès, dépend
bation des princes, étaient plus éloignés que dans tout autre pays du
genre
d’indépendance nécessaire à cette philosophie. Un
Italie a marché progressivement, et fourni son tribut aux lumières du
genre
humain, examinons dans chaque branche de l’entend
d’une religion positive. Cependant ce pays n’offre rien de bon en ce
genre
, tandis que la France peut se glorifier des plus
curiosité par l’invention et le récit des aventures particulières. Le
genre
romanesque s’est introduit par deux causes distin
iés et plus féconds que les romans de chevalerie. On a réuni les deux
genres
en Italie ; l’invasion des peuples du Nord a tran
nouement, que la curiosité ne peut se satisfaire à l’avance par aucun
genre
de probabilité, et que tout est surprise dans les
yal, appuyant la superstition, étouffa ces germes heureux de tous les
genres
de gloire. Ce qui a empêché l’Italie d’être une n
rages, il n’y resterait rien ; tandis qu’en corrigeant les défauts du
genre
espagnol, l’on arriverait à la perfection de la d
mmédiats avec les Grecs de Constantinople ; elle tira de l’Espagne le
genre
oriental, que les Maures y avaient porté, et que
ux ouvrages d’un même peuple. Le Boyard, qui est le premier auteur du
genre
que l’Arioste a rendu si célèbre, a beaucoup d’an
èreté des sentiments ; et l’Arioste est le plus charmant modèle de ce
genre
national. Le Tasse emprunte aussi de l’imaginatio
lie, et l’un de ceux qu’on y admire le plus, a commencé ce malheureux
genre
d’antithèses et de concetti dont la littérature i
le des sentiments du cœur ; et néanmoins c’était souvent avec le même
genre
d’esprit qu’on disputait à Constantinople, sur la
à la langue, au climat, à l’imagination, à des circonstances de tout
genre
qui ne peuvent se transporter ailleurs, tandis qu
elle blase sur la vérité même dont elle imite l’accent. Dans quelque
genre
que ce soit, tous les mots qui ont servi à des id
ses poésies une exagération trop romanesque, Boccace se jeta dans un
genre
tout à fait contraire. Il composa les contes les
que cependant, et quelques poètes célèbres qui ont écrit dans le même
genre
, méritent d’être lus, par le charme de leur langu
néanmoins que des mots aussi sonores soient un avantage pour tous les
genres
de style, ni même pour tous les genres de poésie.
ient un avantage pour tous les genres de style, ni même pour tous les
genres
de poésie. Le bruit retentissant de l’italien ne
mœurs sont trop licencieuses pour pouvoir graduer aucun intérêt de ce
genre
. Leurs comédies ont beaucoup de cette gaieté bouf
main, comme dans les comédies françaises. L’observation poussée en ce
genre
jusqu’à la plus parfaite sagacité, est un travail
sérieux. Leurs opinions sont, dans le fond, assez opposées à tous les
genres
d’autorité auxquels ils sont soumis ; mais cet es
sciences physiques, n’ont jamais pour but l’utilité ; et dans quelque
genre
que ce soit, ce but est nécessaire pour donner au
ions, c’est-à-dire les espèces dominantes appartenant aux plus grands
genres
de chaque classe, qui varient le plus. Selon moi,
ette figure, chaque lettre de la ligne supérieure peut représenter un
genre
renfermant plusieurs espèces ; et tous les genres
peut représenter un genre renfermant plusieurs espèces ; et tous les
genres
de cette ligne peuvent former une même classe, ca
conséquemment ont dû hériter quelque chose en commun. Mais les trois
genres
groupés sur la gauche doivent, en vertu du même p
ls forment une sous-famille, distincte de celle qui comprend les deux
genres
qui suivent vers la droite et qui ont divergé d’u
n commun parent depuis la cinquième période généalogique167. Ces cinq
genres
ont cependant aussi beaucoup de caractères commun
uns, et forment une famille distincte de celle qui comprend les trois
genres
qui suivent encore plus loin vers la droite et qu
et qui ont divergé depuis une époque encore plus reculée. Et tous ces
genres
descendus de A forment un ordre distinct de tous
tous ces genres descendus de A forment un ordre distinct de tous les
genres
descendus de I. De sorte que nous avons ici beauc
i beaucoup d’espèces descendues d’un seul progéniteur est groupées en
genres
; ces genres sont eux-mêmes groupés en sous-famil
espèces descendues d’un seul progéniteur est groupées en genres ; ces
genres
sont eux-mêmes groupés en sous-familles, familles
tème naturel. — Les naturalistes s’efforcent de disposer les espèces,
genres
et familles de chaque classe d’après ce qu’ils ap
, sous une autre, tous ceux qui, dans les mammifères, sont communs au
genre
Chien ; et enfin, en en ajoutant une seule propos
ple ce fameux aphorisme de Linné : « Les caractères ne donnent pas le
genre
; mais le genre donne les caractères. » Je crois,
horisme de Linné : « Les caractères ne donnent pas le genre ; mais le
genre
donne les caractères. » Je crois, en effet, que n
presque toutes. » Dans un autre ouvrage, il dit encore que les divers
genres
des Connaracées « diffèrent les uns des autres en
e pense, cet aphorisme de Linné, que les caractères ne donnent pas le
genre
, mais que le genre donne les caractères. Car cet
sme de Linné, que les caractères ne donnent pas le genre, mais que le
genre
donne les caractères. Car cet axiome scientifique
Jussieu, « le plus grand nombre des caractères propres à l’espèce, au
genre
, à la famille, à la classe même, s’effacent, disp
n vit pas moins avec sagacité, ainsi que l’observe de Jussieu, que ce
genre
n’en devait pas moins rester parmi les Malpighiac
espèces, tels que les ordres, sous-ordres, familles, sous-familles et
genres
, elle semble avoir été, au moins jusqu’à présent,
idérés d’abord par les naturalistes expérimentés que comme de simples
genres
, et que depuis on a élevés au rang de sous-famill
prime en rangeant la série entière des formes connues sous différents
genres
, familles, sections ou ordres. Le lecteur compren
Nous supposerons que les lettres depuis A jusqu’à L représentent des
genres
alliés, qui vécurent pendant l’époque silurienne,
ode antérieure inconnue. Certaines espèces appartenant à trois de ces
genres
(A, F et 1) ont transmis jusqu’aujourd’hui des de
usqu’aujourd’hui des descendants modifiés, représentés par les quinze
genres
(a14 à z14) de la ligne horizontale supérieure. T
les, descendues de A, ne sauraient non plus être rangées dans le même
genre
que leur commun ancêtre, ni celles qui descendent
genre que leur commun ancêtre, ni celles qui descendent de I avec ce
genre
primitif. Mais on peut supposer que le genre enco
descendent de I avec ce genre primitif. Mais on peut supposer que le
genre
encore vivant, F14, ne s’est que légèrement modif
nt modifié, et par conséquent il pourrait toujours être rangé avec le
genre
primitif F dont il est issu. C’est ainsi que quel
égard de quelques-uns des organismes vivants. Tous les descendants du
genre
F, pendant toute la durée de leur lignée généalog
que, sont censés ne s’être que peu modifiés, et ils forment encore un
genre
unique. Mais ce genre, bien que très isolé, occup
être que peu modifiés, et ils forment encore un genre unique. Mais ce
genre
, bien que très isolé, occupera toujours la positi
re ; car originairement F était intermédiaire en caractères entre les
genres
primitifs A et I ; et les divers genres qui en so
iaire en caractères entre les genres primitifs A et I ; et les divers
genres
qui en sont descendus doivent avoir hérité jusqu’
pes ont subies doit s’exprimer par leur arrangement en ce qu’on nomme
genres
, sous-familles, familles, sections, ordres et cla
anthus et Catasetum), qui d’abord avaient été considérées comme trois
genres
distincts, étaient quelquefois produites sur la m
à leur insu les naturalistes dans le classement des espèces dans les
genres
, et des genres dans des groupes plus élevés, bien
s naturalistes dans le classement des espèces dans les genres, et des
genres
dans des groupes plus élevés, bien qu’en pareil c
ue peut aussi parfois rendre quelques services dans le classement des
genres
très nombreux en espèces et très répandus, c’est
espèces et très répandus, c’est parce que toutes les espèces du même
genre
, qui habitent une région distincte et depuis long
apillons qui habitent la grande vallée de l’Amazone, les espèces d’un
genre
, et même les variétés de ces mêmes espèces, revêt
mêmes espèces, revêtent souvent la parure d’espèces appartenant à des
genres
complétement distincts, ou même à des sous-famill
escendants modifiés d’espèces dominantes, appartenant aux plus grands
genres
, tendent à hériter des avantages qui ont rendu le
es, ce qui implique encore de nombreuses extinctions entre elles. Les
genres
Ornithorynque et Lépidosirène, par exemple, n’en
z rare qu’une telle richesse de formes spécifiques soit l’apanage des
genres
aberrants. Or, on ne peut rendre compte de ce fai
insi, d’après M. Waterhouse, de tous les Rongeurs, la Viscache est le
genre
plus proche-allié des Marsupiaux, mais les points
actères jusqu’à certain point intermédiaires entre les espèces et les
genres
actuels, ou que les Rongeurs et les Marsupiaux pr
de la figure. Les lettres depuis A jusqu’à L peuvent représenter onze
genres
de l’époque silurienne, dont quelques-uns ont pro
ifiés. On peut supposer que chaque forme intermédiaire entre ces onze
genres
et leur ancêtre primitif, ainsi que toutes les fo
construire, est généalogique en son arrangement, et que les termes de
genres
, de famille, d’ordre, etc., n’expriment que les d
à une phase avancée de la vie de l’animal : ainsi des oiseaux du même
genre
, ou de genres proche-alliés, ont souvent leur pre
vancée de la vie de l’animal : ainsi des oiseaux du même genre, ou de
genres
proche-alliés, ont souvent leur premier et même l
organisation qu’ils ne l’étaient à l’état de larves. Mais en quelques
genres
la larve, en acquérant des organes sexuels, devie
forme de leur bec, qu’ils seraient, sans aucun doute, rangés dans des
genres
distincts, s’ils s’étaient produits à l’état de n
dont l’un est sinon prouvé vrai, du moins, assez probable. Prenons un
genre
d’oiseaux ; qui, d’après ma théorie, descend d’un
orrespondant, que les jeunes individus des nouvelles espèces de notre
genre
supposé tendront d’une façon manifeste à se resse
des organes rudimentaires : ainsi on connaît des Coléoptères du même
genre
, et mieux encore de la même espèce, qui se ressem
développées à l’âge adulte, et ont sécrété du lait. De même, chez le
genre
Bos la mamelle unique présente quatre mamelons dé
différences acquises s’expriment par les termes de variétés, espèces,
genres
, familles, ordres et classes. En partant de ce mê
pitre me semblent établir si clairement que les innombrables espèces,
genres
et familles d’êtres organisés, qui peuplent le mo
héâtres de la Foire : le réalisme de l’opéra-comique. — 4. Comédie de
genre
: satire des mœurs mondaines. Essais de polémique
ciété étaient l’objet de piquantes satires479. Marivaux porta dans ce
genre
la fantaisie originale de son esprit : il attaqua
ans son cadre de féerie, est une comédie d’analyse, et nous mène à ce
genre
où Marivaux est sans rival. Ne songeons pas que M
e Agnès 481. Malheureusement il s’appliqua surtout au grand, au noble
genre
de la comédie de caractère : il y fut parfaitemen
cessaire pour faire comprendre la naissance, le succès, la valeur des
genres
sérieux issus de la comédie, et qu’on a nommés co
i. Voltaire, si classique, et qui se moquait de La Chaussée et de son
genre
bâtard, se mit à faire des comédies larmoyantes48
Dans les vives polémiques qui s’engagèrent, les partisans du nouveau
genre
et ses ennemis ne le comparaient pas ordinairemen
reilles à celles où nous nous trouvons tous les jours. Si bien que ce
genre
, qui se détache de la comédie, aspire à remplacer
ussée encourage les imitateurs ; et, aux environs de 1750, le nouveau
genre
semble sérieusement établi. Mais il ne produit pa
ie et les Deux Amis, s’il n’avait créé Figaro ? Le meilleur modèle du
genre
sérieux, c’est le Philosophe sans le savoir de Se
e d’une poétique sentimentale, qui fausse la destination naturelle du
genre
dramatique. Selon cette conception, le drame, ce
il n’est pas de parti pris ennemi du classique. Il n’en veut pas aux
genres
constitués : il les établit dans les définitions
ui sont leur raison d’être. Mais il ; reconnaît autour d’eux d’autres
genres
dramatiques, et voilà la liste qu’il dresse : Com
l n’y a pas d’objection sérieuse à faire à cette liste. Chacun de ces
genres
se caractérise par des conditions d’imitation j e
naître. Il a raison aussi d’insister sur la capacité philosophique du
genre
dramatique : plus la forme devient réaliste, plus
odrame), pour être une espèce fixe et viable, le drame devait être un
genre
réaliste, d’un réalisme extérieur et sensible. Or
qui semble rester, c’est un peu plus de largeur dans la conception du
genre
, et le droit de pousser l’impression jusqu’au sen
ent illustres, Regnard, Lesage, Piron, Dominique, Vadé, Favart492. Un
genre
s’y créa, l’opéra-comique, comédie à ariettes, tr
Comédie-Italienne, quand Duni, Grétry, Monsigny eurent transformé le
genre
en développant la partie musicale, quand il devin
a-comique dans le vaudeville à couplets, qui demeura je n’ose dire un
genre
littéraire, mais enfin ne devint pas un genre mus
emeura je n’ose dire un genre littéraire, mais enfin ne devint pas un
genre
musical. 4. Comédie satirique Revenons à la
l. 4. Comédie satirique Revenons à la comédie sans épithète, au
genre
de Molière, de Lesage et de Dancourt. Comme il es
ire était l’effet unique et nécessaire de la comédie. Piron maudit le
genre
sérieux en y revendiquant sa part de paternité :
es mœurs. Le Cercle de Poinsinet (1771) est le type le plus fameux du
genre
: on ne saurait mieux exprimer le vide absolu des
éguisés et reconnaissables sous leurs baroques déguisements. Tous les
genres
que j’ai nommés, anciens et récents, déformations
res sexuels secondaires sont très variables. — X. Les espèces de même
genre
varient d’une manière analogue ou reviennent à d’
rupède, mieux armé, mais plus petit. Il se peut que le progéniteur du
genre
Autruche ait eu des habitudes analogues à celle d
décrit parfois ces insectes comme en étant privés. En quelques autres
genres
ils existent, mais dans un état rudimentaire. Che
ieurs chez l’Ateuchus, et leur état rudimentaire chez quelques autres
genres
, comme résultant d’un long défaut d’exercice chez
ment défectueuses qu’ils n’en peuvent faire usage ; et que sur les 29
genres
qui sont particuliers à cette île, non moins de 2
eugle se soit accoutumé aisément à vivre dans une caverne82. Un autre
genre
d’insectes aveugles, l’Anophthalmus, présente une
climatation. Comme il est extrêmement commun chez les espèces du même
genre
d’habiter des contrées très chaudes ou très froid
s, s’il est vrai, comme je le crois, que toutes les espèces d’un même
genre
soient les descendants modifiés d’un parent commu
est impossible. Avec beaucoup plus de raison on cite encore tous les
genres
de Haricots comme s’étant refusés jusqu’à présent
développés chez une espèce, en comparaison des antres espèces du même
genre
, sont très variables. — Il y a plusieurs années q
es remarquablement développées par rapport aux autres espèces du même
genre
. Elle est encore d’une grande valeur à l’égard dè
ortance, et elles diffèrent extrêmement peu, même dans les différents
genres
; mais, dans les diverses espèces du genre Pyrgom
même dans les différents genres ; mais, dans les diverses espèces du
genre
Pyrgoma, ces valves présentent une étonnante dive
rtants organes, que ne font dans la même famille certaines espèces de
genres
distincts. Comme les oiseaux dans une même contré
chez une espèce quelconque, en comparaison des autres espèces du même
genre
, on peut en conclure que cet organe a subi une so
puis l’époque où cette espèce s’est détachée du progéniteur commun du
genre
. Cette époque est rarement fort reculée, puisque
our expliquer ce que j’entends par là. Si quelques espèces d’un grand
genre
de plantes ont des fleurs bleues et que d’autres
portance physiologique que ceux qui servent communément à classer les
genres
. Cette explication n’est que partiellement et ind
rquoi un organe très différent chez deux ou plusieurs espèces du même
genre
serait-il plus variable que les organes qui sont
. Les points communs de ressemblance que toutes les espèces d’un même
genre
ont entre elles, et les points communs de dissemb
ts communs de dissemblance qui les distinguent des espèces des autres
genres
, constituent ce qu’on appelle leurs caractères gé
dissemblance qui distinguent les unes des autres les espèces du même
genre
constituent leurs caractères spécifiques ; et com
lement les mêmes organes par lesquels les différentes espèces du même
genre
diffèrent les unes des autres. Je donnerai deux e
ommun à des groupes entiers de formes spécifiques ; mais, en certains
genres
, la nervation diffère chez chaque espèce, et pare
renant pour moi. Partant du principe que toutes les espèces d’un même
genre
sont aussi sûrement descendues d’un progéniteur c
es caractères qui distinguent les unes des autres les espèces du même
genre
sont moins fixes que les caractères qu’elles poss
is caractéristiques des sexes et des espèces. X. Les espèces de même
genre
varient d’une manière analogue ; les variétés d’u
ent, la racine du Navet suédois et celle du Rutabaga, deux plantes du
genre
Brassica que plusieurs botanistes rangent comme d
, d’après ma théorie, il faut supposer que toutes les espèces du même
genre
descendent d’un parent commun, il faut aussi s’at
aires de constitution. On peut encore prévoir que les espèces du même
genre
manifesteront de temps en temps leur tendance con
ce que ses variétés miment en quelque sorte d’autres espèces du même
genre
. On pourrait dresser un immense catalogue de form
mportant, mais en ce qu’il se présente chez plusieurs espèces du même
genre
, en partie à l’état domestique et en partie à l’é
tantes. Venons aux effets du croisement entre les diverses espèces du
genre
Cheval. Rollin assure que la Mule commune, proven
s différents faits ? Nous voyons plusieurs espèces très distinctes du
genre
Cheval qui deviennent, par simple variation, rayé
lle qui approche le plus de la couleur générale des autres espèces du
genre
. L’apparition des rayures n’est accompagnée par a
s. Ainsi que nous l’avons vu tout à l’heure chez plusieurs espèces du
genre
Cheval, les rayures sont plus apparentes et plus
des analogies frappantes avec les faits observés chez les espèces du
genre
Cheval ? Quant à moi, j’ose en toute confiance re
de plusieurs souches sauvages92. Lorsqu’on admet que chaque espèce du
genre
Cheval a été séparément créée, il faut admettre a
présenter souvent les rayures qu’on observe chez d’autres espèces du
genre
; et qu’elles ont toutes été douées d’une forte t
rayures, non pas à leurs propres parents, mais aux autres espèces du
genre
. Or, admettre une pareille manière de voir, c’est
qui caractérisent et séparent les unes des autres les espèces du même
genre
. Les conditions extérieures de la vie, telles que
qui sont arrivés à différer depuis que les diverses espèces d’un même
genre
se sont séparées de leur souche commune, sont plu
ut entier ; car dans un district où coexistent plusieurs espèces d’un
genre
quelconque, et où, par conséquent, il s’est accom
même espèce et les différences spécifiques entre les espèces du même
genre
. Tout organe qui atteint une grandeur extraordina
par une série considérable de modifications depuis que s’est formé le
genre
. C’est ce qui nous explique pourquoi il est encor
de nombreuses espèces assez tranchées sous ce même rapport en chaque
genre
. En effet, les Gallinacés, les Cerfs, les Moutons
nombre d’espèces n’existe pas, on peut être à peu près certain que le
genre
a déjà souffert beaucoup d’extinctions. (Trad.)
même serait descendu d’une ou de plusieurs autres espèces sauvages du
genre
. J’ajoutais : « Il est beaucoup plus supposable q
joutais : « Il est beaucoup plus supposable que toutes les espèces du
genre
cheval descendent d’un progéniteur commun qui éta
d’un progéniteur commun qui était zébré et qui a été le prototype du
genre
. De cette première souche seraient sorties deux f
, Ménandre non moins vrai que varié dans ses caracteres, donnaient au
genre
comique l’agrément, le sel & l’utilité qu’il
bornait aux graces du sentiment ; Salluste jettait dans l’Histoire un
genre
d’éloquence, une force de jugement qu’elle ne con
tous, en effet, de se la disputer. Le Tasse & l’Arioste, dans un
genre
opposé, prouverent que la Poésie Italienne s’éten
enre opposé, prouverent que la Poésie Italienne s’étendait à tous les
genres
. Pétrarque & le Dante avaient déja commencé c
it un des sept de la Pleyade. Oh estime particuliérement ses Sonnets,
genre
de Poésie emprunté des Italiens, & que Saint-
eurs les accompagnaient avec leurs instrumens. Le regne de ce nouveau
genre
dura plusieurs siecles ; mais il finit par des ab
Duryer fait regretter que ce Poëte ait si peu connu la difficulté du
genre
. Mairet, qui fut célebre dans un âge où c’est bea
fut plus contraint de mesurer sa marche sur celle d’autrui. Quant au
genre
comique, on a vu quelle fut son origine en France
Roman satyrique & licencieux fit encore des imitateurs d’un autre
genre
. Il est devenu presque inintelligible aujourd’hui
s une sorte de révolution dans l’Architecture ; mais, sans toucher au
genre
, on outra la réforme. L’ancienne Architecture got
ertations rejettées à la fin de l’ouvrage, tout ce qui regarde chaque
genre
, & que le texte ne pouvait offrir. J’ai eu l’
s différentes que les Arts, les Sciences & les Lettres offrent de
genres
différens : mais chaque troupe eût voulu avoir le
aut & Lafontaine, également surpris qu’il n’eût pas même parlé du
genre
où ils devaient être cités comme des modeles à su
dans l’autre siecle. Eh ! quel autre, en effet, réunit jamais dans ce
genre
tant de justesse à tant d’élévation, tant d’éléga
acine, le terrible de Crébillon. Il reçut encore plus d’éloges sur un
genre
de mérite qui lui est propre : c’est d’avoir jett
uteurs ne s’arrêtaient à propos a-4. Alors, le Génie qui préside à ce
genre
éleva la voix. Ce fut pour prédire la décadence p
nce pour l’Auteur du Glorieux & du Philosophe marié ; Comédies du
genre
le plus noble & du ton le plus élevé, sans qu
médies du genre le plus noble & du ton le plus élevé, sans que le
genre
comique y perde rien de son vrai caractere. L’Aut
rien dire, la Pupile & le Rendez-vous ; deux petites Pieces d’un
genre
& d’un ton bien opposés, mais également faits
de l’Oracle, des Graces, du Sylphe, des Hommes, &c, ouvrages d’un
genre
neuf & qui sera difficilement imité. Ce n’est
que le firent envisager comme le restaurateur & le créateur de ce
genre
. Celui qui perfectionne, & qui produit tant d
le ton de la bonne Comédie, & que la Chaussée en avait étendu le
genre
. Thalie, ajouta le Dieu, se permet quelquefois d’
t l’Auteur de l’Oracle & des Graces d’avoir enrichi la scene d’un
genre
fait pour elle & qui lui manqua toujours avan
it dans un traité méthodique & même dépourvu de méthode. C’est un
genre
nouveau ; mais ce qui vaut mieux encore, c’est un
ode. C’est un genre nouveau ; mais ce qui vaut mieux encore, c’est un
genre
utile. Cette supplique fut accueillie, ainsi que
d’inventeur. C’est à moi, disait-il, que la France est redevable d’un
genre
de spectacle qui n’existe chez aucune autre natio
e discours. La Mothe, qui, à peu de chose près, égala Quinaut dans le
genre
que celui-ci avait perfectionné, & qui en cré
Pollux, chef-d’œuvre peut-être supérieur à tout ce qui existe dans ce
genre
: tous, enfin, s’accorderent à reconnaître Quinau
gens à étendre, à perfectionner les vues nouvelles qu’on avait sur ce
genre
, & qui ne tendaient qu’à la perfection du gen
u’on avait sur ce genre, & qui ne tendaient qu’à la perfection du
genre
même. Quant à ce qui regarde l’état présent de l’
eu jetta ensuite les yeux sur un assez grand nombre de Pieces dans un
genre
nouveau pour nous ; genre dont notre scène lyri-c
sur un assez grand nombre de Pieces dans un genre nouveau pour nous ;
genre
dont notre scène lyri-comique s’est si bien trouv
avaient fourni toutes les occasions de le déployer. Les Auteurs d’un
genre
, peut-être, d’abord trop accueilli & aujourd’
de la Chercheuse d’Esprit, &c, fut loué pour avoir jetté dans ce
genre
& plus de finesse, & plus d’agrément, &am
voir été jusques-là. Il ne rejetta ni l’un ni l’autre de ces nouveaux
genres
; par la raison que tout genre de littérature est
ta ni l’un ni l’autre de ces nouveaux genres ; par la raison que tout
genre
de littérature est admissible quand il est bien t
le seul qui eût mérité ce reproche, & le Génie, qui préside à ce
genre
, eut soin de les bien désigner. Il prescrivit mêm
es rangs, & tous avaient droit de s’y présenter. On dirait que ce
genre
est devenu le langage naturel du Français. Le Gén
s, & de les lui faire partager. Plus d’une autre production de ce
genre
, & de nos jours, obtint & mérita le même
Cependant, on jugea qu’il eût mieux valu ramener le siecle au ton du
genre
, que de plier le genre au ton du siecle. Les Orat
’il eût mieux valu ramener le siecle au ton du genre, que de plier le
genre
au ton du siecle. Les Orateurs du Barreau suivaie
rmi nous. Il cessa de le croire à l’aspect d’un autre ouvrage du même
genre
, plus étendu, plus varié, plus utile quand il ne
gloire de notre Nation qui a créé, & surtout perfectionné tant de
genres
différens, que de transmettre à la postérité, &am
nnut, il approuva l’équité de cette décision. D’autres écrits du même
genre
& de divers Auteurs, lui prouverent que chaqu
retter la briéveté des siens. La Comtesse d’Aunoi abrégeait encore ce
genre
. Elle intéressait dans Hippolyte par les faits, &
. Deux de nos Héroïnes littéraires s’applaudissaient d’avoir épuré ce
genre
. Le Génie reconnut facilement & celle qui ren
pas reconnaître(a), essuya quelques reproches pour avoir abandonné un
genre
qui pouvait lui mériter tant d’éloges. Le brillan
, je ne le suis point assez pour le dire…. On trouva qu’en général ce
genre
avait acquis de nos jours plus de consistance &am
plus grande prédilection pour les Essais sur Paris (b), ouvrage d’un
genre
neuf & d’une exécution supérieure au genre. O
aris (b), ouvrage d’un genre neuf & d’une exécution supérieure au
genre
. On parut un peu embarrassé de la volumineuse His
ls furent suivis par un plus grand nombre de Physiciens dans tous les
genres
. Les Astronomes s’arrogerent le droit de parler l
ux employait toutes les ressources de ses lumieres pour l’avantage du
genre
humain. Enfin, l’on reconnut que si les Géometre
udicieux & caustique Salo, reclamait la gloire d’avoir inventé ce
genre
qui a fait tant d’imitateurs. Cette gloire ne lui
pas, comme vous, le droit de tout écrire. Le Génie, qui veille sur ce
genre
, car ce genre a son génie comme les autres, exhor
s, le droit de tout écrire. Le Génie, qui veille sur ce genre, car ce
genre
a son génie comme les autres, exhortait les Criti
e. Il opposait, en même tems, au gracieux Santerre, des morceaux d’un
genre
encore plus gracieux & plus séduisant que sa
ui ne fut guere que portraitiste, admirait les talens du sien dans un
genre
bien supérieur. Parossel cachait ses tableaux de
tout ce que le regne passé offrait de plus sublime dans le plus haut
genre
de la Peinture. Là était Vanloo qui réunissait le
and honneur d’avoir de pareils disciples Chardin, qui s’était fait un
genre
à part, copiait la nature sans l’arranger ; mais
es fleurs avaient aussi leurs Peintres. Fontenai, qui perfectionna ce
genre
, ne trouvait pas que de nos jours il fût déchu de
Moine justement célebre par ses travaux & ses succès dans le même
genre
(b) ; Pigal, qui dans un seul ouvrage éternise la
Dieu des arts. Enfin, plusieurs Architectes offraient dans tous les
genres
, des projets non effectués, mais qui prouvaient q
ouveaux progrès, qu’on distinguait mieux le caractere propre à chaque
genre
, & que même plus d’un genre avait, depuis peu
it mieux le caractere propre à chaque genre, & que même plus d’un
genre
avait, depuis peu, acquis un caractere a-30. Un a
& il avertit les Anciens de n’en pas trop murmurer a-31. Un autre
genre
de spectacle attira mon attention. C’était un mêl
tenue de Dupré, à la danse pittoresque & brillante de Vestris, au
genre
mâle & imposant de Gardel. Lani & Dauberv
reprise, est l’Hercule de la Fable : on lui doit l’apothéose. Mais le
genre
humain n’eut pas souvent cet honneur à décerner.
cle vit éclore, parmi nous, une foule de chefs-d’œuvre dans différens
genres
, & ne produisit rien de supportable dans celu
en lui cédant, paraît digne de l’avoir combattu. Tels ont été dans le
genre
Epique les principaux efforts de nos Poëtes. On a
du pinceau de le Brun présageaient déja ses batailles d’Alexandre. Un
genre
inférieur à l’Epopée, le Poëme héroïcomique, avai
éunissent l’effet & le jeu du tableau. L’un & l’autre sont du
genre
érotique ; genre déchu parmi nous depuis que l’am
& le jeu du tableau. L’un & l’autre sont du genre érotique ;
genre
déchu parmi nous depuis que l’amour a quitté le t
on. Il ne le serait pas aujourd’hui. Nous avons, cependant, toléré le
genre
Poissard. Il m’en coûte pour citer ici la Pipe ca
oissard. Il m’en coûte pour citer ici la Pipe cassée. Mais, enfin, ce
genre
a un objet d’imitation, & le burlesque n’imit
te Idylle. &c. Par-tout, il s’éleve ou s’abaisse à proportion du
genre
dont il parle. Il en prend & il en donne le t
t son Poëme du Geste à l’Art Poétique. Notre siecle a vu appliquer ce
genre
à de plus grands objets. Le Poëme de la Religion
partir d’un défaut de vocation. La trempe de son génie, le portait au
genre
didactique. Il est plutôt fait pour combattre les
relle, qu’il parlait si éloquemment. Revenons aux Poëtes Français. Le
genre
didactique s’est donc soutenu parmi eux ? Il a mê
é, de nos jours, de plus grands objets que dans le dernier siecle. Ce
genre
est précieux à conserver. Il rend intéressant pou
ption ; d’autres qui donnent tout au sentiment. C’est dans ce dernier
genre
qu’Anacréon composa les siennes. Horace fit aussi
en ce moment, raisonner & sentir. L’Ode, j’entends celle du haut
genre
, fut peu cultivée dans le dernier siecle. Malherb
amp; lumineux. Despréaux qui avait tracé d’excellentes leçons sur ce
genre
de Poésie, comme sur tous les autres, les pratiqu
d’autres morceaux isolés, mais justement accueillis, prouvent que ce
genre
n’est pas entiérement abandonné. Il pourrait même
, Et lui ravit un trône où volaient tous les cœurs. Que deviendra le
genre
anacréontique ? Le goût national pourra le mainte
national pourra le maintenir. Quelquefois il résiste à l’opinion. Ce
genre
existe & se soutient encore. On peut même dir
niere très-anacréontique. Une foule d’autres Ecrivains ont cultivé ce
genre
avec toute la délicatesse qu’il exige. On chanter
imiter Corneille qui était pour lui inimitable. Il connut bientôt le
genre
qui lui était propre, & dès ce moment il ne s
Crébillon ; il est tous les trois ensemble. Il réunit leurs différens
genres
& y joint un caractere qui lui est propre. Nu
liberté à cette contrée, ont fourni le sujet d’un Drame neuf dans son
genre
. M. de Sauvigni dans ses Illinois nous a peint le
é sa forme constitutive. Ils ont produit des chefs-d’œuvres dans leur
genre
; mais ils n’ont pas épuisé le genre. Corneille é
uit des chefs-d’œuvres dans leur genre ; mais ils n’ont pas épuisé le
genre
. Corneille éleve notre ame : Racine pénetre nos c
a plus d’une fois mis en question quel était le plus difficile ou du
genre
comique, ou du genre tragique. Ce qu’on peut répo
s en question quel était le plus difficile ou du genre comique, ou du
genre
tragique. Ce qu’on peut répondre, c’est qu’il fau
à la bonne Comédie. Ce Vieillard avait-il par lui-même l’idée du vrai
genre
, ou l’ouvrage de Moliere lui fit-il naître cette
& de saillie qui le distingue de tous nos Comiques. Il soutint le
genre
, mais il n’y ajouta rien. Il faut l’envisager com
prouve, autant que ses ouvrages, qu’il n’avait pas même l’idée du bon
genre
de la Comédie. Il nous reste de cet Auteur la Fil
e des Fácheux de Moliere est à scenes détachées, c’est-à-dire dans le
genre
épisodique. Elle eut des imitateurs. L’Esope à la
r, & le Mercure Galant, deux Pieces de Boursaut sont dans le même
genre
, & peuvent, à bien des égards, soutenir la co
stouches éleva le ton de la Comédie, sans, toutefois, rien dérober au
genre
. Il l’enrichit de nouveaux caracteres dans un tem
t fourni à M. de Lachaussée le sujet du Préjugé à la Mode, Comédie du
genre
le plus noble, le plus théatral & le mieux so
éservé à bien peu d’Ecrivains. S’il n’est pas entiérement créateur du
genre
pathétique, si ce genre est un dérivé de l’ancien
vains. S’il n’est pas entiérement créateur du genre pathétique, si ce
genre
est un dérivé de l’ancienne tragi-comédie, au moi
dans le chef-d’œuvre dont nous avons d’abord parlé. Mélanide est d’un
genre
neuf & intéressant. La Gouvernante a mérité s
sommes en partie redevables de ceux qui ont paru depuis dans le même
genre
, & qui peuvent l’emporter sur les siens. Tel
la barriere pourrait être encore fermée. D’autres, sans s’éloigner du
genre
établi par Moliere & Regnard, ont quelquefois
l faut savoir estimer sans vouloir les prendre pour modeles. Un autre
genre
également inconnu dans le dernier siecle, a fait
de Saint-Foix ne s’est pas même borné à décorer la scene comique d’un
genre
nouveau. Il a eu des succès brillans & mérité
d’un genre nouveau. Il a eu des succès brillans & mérités dans le
genre
établi. Le Sylphe, l’heureuse Epreuve, le Rival s
veaux. L’Oracle donna naissance à Zéneïde, petite Piece dans le même
genre
. C’est le propre de ceux qui inventent que d’avoi
morale, était pour un spectacle moral & philosophique. Ce nouveau
genre
s’est introduit sous nos yeux. M. Diderot en donn
imiterent ce changement dans leurs tableaux. Ils éleverent le ton du
genre
, parce que le ton du monde s’était élevé. Moliere
nce qui distingue nos Comédies modernes. De-là aussi cette variété de
genres
presque tous accueillis, mais qu’on eût rejettés
s accueillis, mais qu’on eût rejettés un demi-siecle auparavant. Tout
genre
est bon lorsqu’il remplit son objet. Un cultivate
d’être secondé par Quinaut. Cet illustre Poëte fit bientôt prendre au
genre
Lyrique une forme nouvelle. On trouve dans ses de
’il conserve en partie. Notre scene Lyrique avait besoin d’un nouveau
genre
. Lamothe imagina l’Opéra Bellet, & en donna l
ope Galante. On applaudit à la forme & au mérite de l’ouvrage. Ce
genre
, très-agréable par lui-même, prête beaucoup à la
cependant, qu’il est Lyrique. Il a maintenu longtems avec honneur ce
genre
de Poésie aujourd’hui trop négligé, j’ajouterai m
opos, les ressorts les plus frappans de ce spectacle, unique dans son
genre
& dans ses moyens. J’avoue que le sujet fourn
e offre même une marche nouvelle, moins uniforme & plus propre au
genre
que celle de nos anciens Ballets. La danse y fait
t, où l’intérêt est toujours moins pressant que dans une Tragédie. Le
genre
Lyrique eût donc aussi parmi nous des vicissitude
à Quinaut. De-là ces innovations qui ont étendu & perfectionné le
genre
. Il a pris, avec le tems, une forme qu’il ne pouv
vit éclore ne méritait aucune attention. C’est le Sage qui a créé ce
genre
. Le théatre de la Foire, peu estimé jusqu’alors,
arrivée des Bouffons Italiens y donna entrée aux ariettes. Ce nouveau
genre
fit négliger l’ancien & fut presqu’aussitôt p
dans son plus beau jour. Il a saisi avec la même aptitude le nouveau
genre
. Ses Pieces mêlées d’ariettes ont dans l’expressi
Vaudeville, & réunissent une délicatesse de pensée que le premier
genre
n’admet pas toujours. Isabelle & Gertrude en
que tous les siens sont des chefs-d’œuvres. Il n’a rien écrit dans le
genre
nouvellement accrédité ; mais le Magasin des Mode
’autres Auteurs ont également contribué à établir & à soutenir ce
genre
. Le Peintre amoureux de son modele, le Médecin d’
i ne saurions-nous gagner d’un côté sans perdre de l’autre ? Ces deux
genres
ont chacun leur agrément particulier. On s’est be
raison ; mais le raisonnement ne tiendra jamais contre le plaisir. Ce
genre
séduit ceux-mêmes qui le frondent. Il faut se prê
vons rien de ce qui peut nous plaire. Nous avons acquis deux nouveaux
genres
de spectacle inconnus à nos prédécesseurs. Conser
qu’elle même y fait de ses crimes ; quelques autres morceaux de même
genre
. C’était le cas de déployer toutes les ressources
usique instrumentale, il doit être envisagé comme l’instituteur de ce
genre
parmi nous. C’est lui qui, le premier, dans les a
les que l’usage avantageux des dissonances : en un mot, il donna à ce
genre
une consistance qu’il n’avait pas encore. Il déco
ntraignait quelquefois son génie. Son goût paraît l’entraîner vers le
genre
Italien. Peut-être n’y aurait il aucun mal d’adop
pêcha Terpandre d’ajouter une septieme corde à sa lyre. Je passe à un
genre
qui depuis quelques années s’est fort accrédité e
té. On a combattu long-tems, parmi nous, pour & contre ce nouveau
genre
de Musique, & on a fini par l’applaudir génér
le goût Italien au goût Français, & s’est fait, par ce moyen, un
genre
qui lui appartient ; genre qui doit nécessairemen
ançais, & s’est fait, par ce moyen, un genre qui lui appartient ;
genre
qui doit nécessairement plaire, sur tout en Franc
urd’hui ceux de cet Auteur. C’est qu’ils sont faciles, sans être d’un
genre
commun. Ils intéressent l’auditoire & ne fati
t aussi heureux promet encore de plus grands succès pour l’avenir. Ce
genre
de Musique est pour nous une acquisition nouvelle
est pour nous une acquisition nouvelle, digne d’être conservée. Tout
genre
est bon, excepté l’ennuyeux, dit un Auteur célebr
es qu’on lui attribue sont le plus ancien modele qui nous reste en ce
genre
. C’est la source ou Phedre a puisé. C’est dans ce
définir : tel est la Fontaine. On sait qu’il s’essaya d’abord dans un
genre
de Poésie qui n’était pas le sien. Patru, que les
beaux génies du tems consultaient, essaya de le détourner du nouveau
genre
qu’il allait choisir. Il ne croyait pas que notre
amp; de naïveté. Richer mit dans les siennes des agrémens relatifs au
genre
, de la variété jointe à un heureux naturel. On le
estime des connoisseurs & qui ne peuvent manquer de l’obtenir. Ce
genre
n’offre pas à l’imagination les mêmes ressources
nir. Ce genre n’offre pas à l’imagination les mêmes ressources que le
genre
Dramatique. Il est infiniment plus borné dans ses
plus. Quelle piquante ingénuité ! Quel heureux naturel ! Pourquoi ce
genre
si agréable est-il presque toujours si dangereux
e nos Poëtes à qui il ne soit échappé quelque historiette en vers. Ce
genre
n’est donc pas abandonné. Cependant il est borné
ouvait être plus agréable. M. de Voltaire, qui a écrit dans tous les
genres
, n’a pas oublié celui du Conte. Ceux qu’il nous a
eure de l’Anthologie des Grecs. On fait qu’ils ont peu réussi dans ce
genre
, cultivé plus avantageusement par les Romains. No
emment Que d’y penser toute sa vie. Mais nul n’a porté aussi loin ce
genre
que notre célebre Rousseau. Le tour, la mesure &a
rte de Poëme. On ne doit pas dissimuler que Rousseau abusa souvent du
genre
; mais il a une foule d’Epigrammes que tout le mo
a sœur. On redoute l’une : on fait accueil à l’autre. C’est encore un
genre
devenu commun à presque tous nos Poëtes. Parmi ce
. Il n’est pas jusqu’aux Inscriptions qui ne soient enfin devenues un
genre
pour notre Poésie. Celles qui existent reclament
n-11 L a Grece n’eut qu’un Anacréon, & Rome ne vit éclore dans le
genre
léger que certaines Poésies d’Horace & de Cat
qu’il mit le premier dans ses vers la douceur & l’harmonie que ce
genre
exige. Mais il est plus disert que fécond, plus g
n’a rien perdu encore de sa célébrité. C’est un chef-d’œuvre dans son
genre
, & qui plus est, le premier qu’on ait fait da
dans son genre, & qui plus est, le premier qu’on ait fait dans ce
genre
. Bachaumont y eut, dit-on, quelque part. C’est, a
muse : Elle serait Thétis & le jour finirait. L’ardeur pour ce
genre
de Poésie s’affaiblit au bout de quelque tems. Le
supérieur à tous ceux qui jusqu’alors avaient le mieux réussi dans ce
genre
. C’est par-tout & du véritable esprit, &
s ouvrages plus étendus, qui ne se soient exercés avec succès dans le
genre
agréable. Ce sont leurs tableaux de Chevalet. Ce
succès dans le genre agréable. Ce sont leurs tableaux de Chevalet. Ce
genre
n’est donc pas abandonné. Il a même acquis de nos
les peuvent y figurer l’une & l’autre, mais toujours en raison du
genre
de l’ouvrage & du ton qu’exige ce genre. Celu
ais toujours en raison du genre de l’ouvrage & du ton qu’exige ce
genre
. Celui de l’Epître & du Discours en est parti
se montraient dignes de ses leçons. Rousseau porta aussi très-loin le
genre
de l’Epître en vers. On regrette seulement qu’il
loris. Il faut que l’expression des personnages soit proportionnée au
genre
de vie qu’on leur suppose. Mais souvent dans ce
lus grand Poëte que Rome ait vu fleurir, Virgile, n’a pas dédaigné ce
genre
. Ce fut même à ses Eglogues qu’il dut la bienveil
as soutenu ? C’est qu’il lui manque l’art d’intéresser : c’est que le
genre
, lui-même, a perdu pour nous une partie de son in
de blâmer, mais qu’on cessera encore plus tard de lire. Au reste, ce
genre
paraît, en quelque sorte abandonné. Ce qu’il faut
ne se borne pas au simple rôle de spectateur, propose à nos Poëtes un
genre
au-dessus de l’Eglogue ordinaire. C’est, dit-il,
ent du moins exempts des soins qui consument les nôtres…Ainsi dans le
genre
que l’on propose ici pour faire variété, au lieu
çonnons pas même l’existence. Ne renonçons pas, toutefois, à l’ancien
genre
. Il a ses agrémens, & c’est une raison pour l
e de vers si naturelle à Racine, & des images proportionnées à ce
genre
de Poésie qu’il ne traitait que par occasion. Il
e génie, d’accord avec le goût, est bientôt familiarisé avec tous les
genres
qu’il embrasse. Celui de l’Idylle a fort peu occu
gere, Et lui rend ainsi chaque jour Cette langue moins étrangere. Ce
genre
, au surplus, est encore un de ceux que notre mani
çonné dans la Fontaine le talent propre à l’Elégie. Il y a loin de ce
genre
à celui du Conte. Cependant, celle que ce Poëte c
un véritable succès. On s’y est peu exercé depuis cet Auteur. Mais ce
genre
a fait place à un autre, inconnu au dernier siecl
peu le lecteur. Est-ce la faute de notre Langue ? Est-ce la faute du
genre
même de l’Eglogue ? Un Poëte connu par d’autres s
ténébreux qui la couvrait depuis si long-tems. La premiere est d’un
genre
qui ne fut jamais connu des Anciens. On ne prêcha
e lui en faire écouter d’autre. Il n’en est pas moins vrai que chaque
genre
a son style, & qu’un temple n’est point un ly
est l’objet. Ce fut encore le dernier siecle qui vit perfectionner ce
genre
d’éloquence. Mascaron s’y distingua des premiers
On fait, d’ailleurs, que le grand nombre d’excellens ouvrages dans un
genre
, est un obstacle à de nouvelles productions de la
ultiver. Celui qu’on regarda quelque tems comme le restaurateur de ce
genre
d’Eloquence, le célebre Antoine le Maître, ne fut
pprimer l’abus. Il est vrai qu’il y joint toute l’érudition propre au
genre
, & que chez lui Virgile ne fait point taire J
Il bannit, d’ailleurs, de ses discours les citations étrangeres à ce
genre
d’Eloquence, & réduisit la sienne à son vérit
nent eux-mêmes des modeles d’éloquence. Nous avons dans ces différens
genres
une foule de chefs-d’œuvres. Omer & Denis Tal
L’illustre Daguesseau, si bien loué de nos jours, a su conserver à ce
genre
d’éloquence toute sa majesté, & l’enrichir de
ensuite & discuta à fond le caractere du style dans les différens
genres
de littérature. C’est un grand Peintre qui trace
ue sont abstraits comme le sont & le seront tous les écrits de ce
genre
; mais on y remarque une force de pensée & d’
sacrifia soixante ans de travaux qu’il pouvait employer au profit du
genre
humain. Nicole y fut lui-même entraîné par ses li
e qu’il dit & peu touché de ses discours. Il est difficile que ce
genre
de Romans se multiplie, attendu la difficulté mêm
le que ce genre de Romans se multiplie, attendu la difficulté même du
genre
. On vient d’applaudir aux instructions que le vie
ux autres. Il existe encore d’autres ouvrages estimables dans le même
genre
, & un bien plus grand nombre de faibles imita
même genre, & un bien plus grand nombre de faibles imitations. Le
genre
ordinaire offre à peu près la même alternative. J
térature. L’Auteur veut instruire : le lecteur veut être instruit. Le
genre
le plus léger prend une sorte de consistance. Le
e instruit. Le genre le plus léger prend une sorte de consistance. Le
genre
profond devient plus moral & plus utile. Nous
s de l’Astrée. Le Roman de Zaïde, par Madame de la Fayette, ramena ce
genre
au ton qui lui est propre. C’est le premier Roman
il s’agit dans cette lettre ; & c’est à un autre ouvrage du même
genre
que Boileau fait allusion dans sa dixieme Satire,
n de ce qu’il suppose n’est physiquement impossible. C’est un nouveau
genre
de fiction qui agite fortement notre ame ; ce son
en, toutefois, l’Histoire de Manon l’Escaut, Roman tout neuf dans son
genre
, qui intéresse malgré le vice des caracteres, &am
naturelle & pourrait ne sembler que ridicule dans tout autre. Ce
genre
d’ouvrage a pris encore un ton différent chez deu
mp; battue. Les Lettres Péruviennes de Madame de Grafigni tiennent du
genre
des Lettres Persanes, & de celles de la Marqu
is de Créci, & de Fanni Butler, par Madame Riccoboni, sont, en ce
genre
, de nouveaux modeles. Sentimens développés, intér
ier ; celle qui le distingue le plus essentiellement du Drame. Chaque
genre
a son objet & ses moyens. Les confondre, c’es
suite que l’art puisse, ou ne puisse pas, les retracer à nos yeux. Ce
genre
ne fut pas inconnu au dernier siecle. Hamilton s’
a cette licence en faveur du motif. J’ajouterai, sans intérêt, que le
genre
du Conte me paraît avoir acquis toute sa perfecti
p; l’estime pour sa Nation s’y font remarquer de toutes parts ; autre
genre
de mérite qui ne devient que trop rare parmi nous
arque, sur-tout, dans son Histoire des Croisades. Maimbourg connut le
genre
& la marche de l’Histoire ; mais son style es
e P. d’Orléans était dans l’état religieux. Il eut pour émule dans ce
genre
historique l’Abbé de Vertot, Ecrivain très-élégan
le que ses meilleurs ouvrages. On n’a point abandonné de nos jours le
genre
des révolutions. Feu M. du Port du Tertre en a do
age ne la soutient. On placera au rang des meilleurs morceaux dans ce
genre
l’Histoire dee Révolutions de Russie, par M. de l
en vingt Volumes. Elle est diffuse & n’est éloquente que dans un
genre
étranger au style de l’Histoire. La révolution qu
dont la premiere fut toujours si fatale, & la seconde si utile au
genre
humain. L’Auteur suit leur marche pas à pas ; &am
oute obscurité. Voilà, en raccourci, un état de nos richesses dans le
genre
historique. Tout nous annonce que la source n’en
qu’on traduirait encore mieux aujourd’hui les ouvrages de Pline. Son
genre
d’éloquence est plus analogue à celle de notre si
l n’ait pas traduit ce Poëme en entier. Il avait le génie propre à ce
genre
de travail, & c’est dire que ce travail exige
Orientaux, & c’est l’imagination qui doit, surtout, présider à ce
genre
d’ouvrages. Notre siecle n’a pas été lui-même dép
rit sur la Navigation des Anciens & sur l’Origine des Romans. Nul
genre
de littérature n’était étranger à ses lumieres, n
toute l’Europe, & qui, dans ses travaux a pour objet l’utilité du
genre
humain. L’on connaît le prix du riche monument qu
ts du systême général de l’univers. Il faut savoir oser dans tous les
genres
. C’est à la hardiesse de ses tentatives que l’esp
on Newtoniene, adopte l’impulsion, le point de contiguité, & deux
genres
d’élémens, les uns élastiques, les autres non éla
; qu’il assujettit à une même construction tous les problêmes de même
genre
. L’application qu’il fit de l’Algebre à la Géomét
ouvent qu’une plus grande contrariété d’opinions ; mais les abus d’un
genre
ne doivent point pour cela le faire proscrire. Il
e ne doivent point pour cela le faire proscrire. Il faut conserver le
genre
& rectifier les abus. C’est parmi nous que le
endre raillerie. M. l’Abbé de la Porte se rendit célebre dans le même
genre
, & c’est avec regret que le public l’a vu y r
mble de talens qui caractérise le grand Peintre. Il semblait qu’aucun
genre
de Peinture ne lui fût étranger. Il peignait Loui
l rend exactement la nature ; mais il est rare qu’il la choisisse. Le
genre
de l’Histoire fut soutenu par deux freres célebre
s. Case & Bertin se sont tous deux fait un grand nom dans ce même
genre
de Peinture. De Troy fils s’y distingua par les p
i au-dessus de leur talent. Il est donc vrai que la Peinture du grand
genre
n’a point perdu son éclat, & c’est tout ce qu
ir. Aux Peintres d’histoire, on peut allier les Peintres de bataille,
genre
qui exige la même faculté d’imaginer &, peut-
Française. On reconnaîtra facilement ici M. Greuze. Il s’est fait un
genre
& une maniere qui lui sont propres. Tout est
l’exécution. Au commencement de ce siecle Wateau se distingua dans un
genre
qui a quelque rapport avec celui-ci. Il a aussi c
ui elle est plus recherchée, &, toutefois, moins intéressante. Le
genre
des Marines & du Paysage semblait avoir été p
hant & marqué. D’autres Artistes contribuent encore à soutenir ce
genre
, un des plus agréables de la Peinture. Celui du P
les que ceux d’Oudri les avaient précédés. Ceux de M. Chardin dans un
genre
analogue au précédent, & dans quelques autres
eurement rendus par M. de Machi à qui nous devons la perfection de ce
genre
de Peinture. Il trouve un digne émule dans M. Rob
représentation de son fameux Crucifix. On voit, enfin, dans plusieurs
genres
de Peinture, nos Artistes se jouer, en quelque so
Carmélites du Fauxbourg Saint-Jacques ; un grand nombre de Crucifix,
genre
dans lequel Sarrasin n’a pas eu de rivaux ; les f
faisait du talent des Artistes, en fit éclore une foule dans tous les
genres
. On comptera toujours parmi nos excellens Sculpte
la supériorité de ces deux Artistes. Le premier se pliait à tous les
genres
. Il exprimait aussi facilement la naïveté que la
le de Rheims, & le mausolée du Maréchal de Saxe. La différence du
genre
l’exigeait ; mais le génie seul peut bien saisir
sorte l’esprit & le caractere de nos grands hommes dans tous les
genres
. C’est pour eux un second moyen d’arriver à l’imm
Artiste du même nom(a) est également célebre par des preuves du même
genre
. Les nombreuses productions de MM. Adam l’aîné &a
de Camp, égale tout ce que l’antiquité a produit de plus beau dans ce
genre
. Les Places publiques unirent la régularité à la
fut un temps où la France empruntait à l’Italie des Artistes en tout
genre
; aujourd’hui le reste de l’Europe rend le même h
les Lépicié, les Dupuis ne laissent rien à desirer dans le plus grand
genre
de cet Art. On sait avec quelle ame, & quelle
c éclat dans la même route, & a su, quelquefois, allier plus d’un
genre
dans un seul ouvrage. Sa magnifique estampe, d’ap
ait se soutient aujourd’hui dans sa perfection. Nos graveurs, dans ce
genre
, ne le cedent ni pour le nombre, ni pour le talen
p de force, d’exactitude & d’érudition. L’héroïque est plutôt son
genre
que le gracieux. C’est, au contraire, celui de M.
e a pris une sorte de milieu entre ces deux Artistes. M. Grendtz a un
genre
qui lui paraît propre & qu’il fera bien de co
server. D’autres Emules entrent avec succès dans la même carriere. Ce
genre
est pour la Gravure un supplément de secours &
r s’attache moins à nous surprendre qu’à nous toucher, & c’est un
genre
de succès dont il jouit toutes les fois qu’il se
l étonnait l’esprit par ses savantes combinaisons. Il s’était fait un
genre
qui ne ressemblait à nul autre & qui faisait
tire un parti si étendu & si varié. Cet Artiste a sçu se faire un
genre
qui les réunit tous, & qui, par cette raison,
tion la plus pafaite, au tact le plus léger & le plus délicat, un
genre
qui séduit même ceux qui voudraient le blâmer. Il
reviennent en foule applaudir aux talens de son jeune successeur. Le
genre
de M. le Grand tient de celui de Calviere ; parce
Grand tient de celui de Calviere ; parce que Calviere avait prévu le
genre
qui nous manquait. M. Séjan, très-jeune encore, p
riter une dans le nôtre. Je ne puis citer ici tous les Artistes de ce
genre
, qui mériteraient d’y trouver place. J’en omets p
toute la noblesse & l’intérêt dont ils sont susceptibles.(b) Le
genre
comique a, comme la Tragédie, son genre de déclam
ls sont susceptibles.(b) Le genre comique a, comme la Tragédie, son
genre
de déclamation. Elle s’éloigne peu du ton de la c
talent peut seul bien saisir & bien rendre. Jusqu’à quel point ce
genre
fut-il porté par les sujets du dernier siecle ? C
ne. On citera toujours l’Acteur qui le porte comme un modele dans son
genre
, & même dans plus d’un genre. Quelle gaieté d
ui le porte comme un modele dans son genre, & même dans plus d’un
genre
. Quelle gaieté dans les Crispins ! quelle finesse
e surpassée par trois Actrices, qui se disputent le prix dans ce même
genre
(*). Quant au genre léger il a été porté de nos jo
is Actrices, qui se disputent le prix dans ce même genre(*). Quant au
genre
léger il a été porté de nos jours aussi loin qu’i
tif presque intolérable. On commence à rectifier cet abus. Le nouveau
genre
qui s’introduit dans notre Musique achevera aussi
les grands efforts ; & sans efforts, peu de progrès dans quelque
genre
que ce puisse être. Scene lyri-comique. n-
t pas fin à ces dissentions ; mais elles n’empêcherent pas ce nouveau
genre
de se naturaliser parmi nous. On vit paraître à l
ere moins, ce fut de voir les Acteurs de ce théatre saisir ce nouveau
genre
avec la même facilité que le Vaudeville. Mais Mad
aussi de la faveur du public, & il est à croire que l’agrément du
genre
permettra difficilement qu’on le néglige. Celui d
cution. Elle parvint à former un spectacle complet ; elle embrassa le
genre
de la Tragédie & de la Comédie. C’était de la
on doit regarder ce Danseur comme un des plus grands modeles dans le
genre
noble. Il devait beaucoup à la nature ; il y joig
prit. Il s’est introduit depuis environ quinze ans à l’Opéra un autre
genre
de Danse, très-goûté du plus grand nombre des spe
mule(*). Quelques autres jeunes sujets nous promettent de soutenir ce
genre
; mais n’espérons pas qu’il puisse être porté plu
ce genre ; mais n’espérons pas qu’il puisse être porté plus loin. Le
genre
noble eut aussi des Danseuses d’un talent rare &a
réunit tous les suffrages. Elle fixa l’idée qu’on devait avoir de ce
genre
de danse. La célebre Lany (aujourd’hui Mde Gélin)
célebre, le groupe de Pigmalion, d’autres ouvrages dans le plus haut
genre
de la Sculpture. (c). Le Mausolée du célebre Cur
dant, lorsque plusieurs variétés ou même plusieurs espèces de ce même
genre
sont plantées les unes près des autres, il est pr
plantes, des espèces, non seulement de la même famille, mais du même
genre
, qui sont les unes, hermaphrodites, et les autres
entement détruites. Or, c’est dans l’eau douce que nous trouvons sept
genres
de poissons Ganoïdes, seuls restes actuels d’un o
oitement alliées, les variétés de la même espèce, les espèces de même
genre
ou de genres voisins, et plus généralement tous l
iées, les variétés de la même espèce, les espèces de même genre ou de
genres
voisins, et plus généralement tous les individus
t les variétés bien marquées de la même espèce et les espèces du même
genre
. Ainsi que je l’ai toujours fait dans les questio
e a démontré qu’une même étendue du même sol, ensemencée de plusieurs
genres
d’herbes très distincts, produit un plus grand no
oduite, ne diffère pas autant de l’espèce mère que des espèces ou des
genres
distincts le feraient entre eux, cependant sa for
de vie, nourrissait vingt espèces de plantes, appartenant à dix-huit
genres
et à huit ordres, ce qui montre combien ces plant
nes contre les autres, appartiennent, en règle générale, à différents
genres
et même à différents ordres. La même loi s’observ
turalisation, les flores gagnent proportionnellement beaucoup plus de
genres
que d’espèces. J’en donnerai une seule preuve. Da
soixante plantes naturalisées qui appartiennent à cent soixante-deux
genres
. On voit donc que ces plantes naturalisées sont d
lles diffèrent surtout des indigènes : car sur les cent soixante-deux
genres
naturalisés, il n’y en a pas moins de cent qui n’
rée, de sorte qu’une augmentation proportionnellement considérable de
genres
en résulte pour les États-Unis. Si l’on considère
sons que les lettres depuis A jusqu’à L représentent les espèces d’un
genre
très nombreux en espèces dans une certaine contré
les lettres sont placées à inégales distances. J’ai dit à dessein un
genre
très nombreux en espèces, parce que nous avons vu
tionnellement, un plus grand nombre d’espèces varient dans les grands
genres
que dans les petits, et que les espèces variables
s genres que dans les petits, et que les espèces variables des grands
genres
présentent un plus grand nombre de variétés. Nous
e, variable, très répandue dans une vaste station et appartenant à un
genre
largement représenté dans la contrée. Le petit év
participeront également à ces avantages plus généraux qui ont fait du
genre
auquel elles appartiennent un genre nombreux en e
ges plus généraux qui ont fait du genre auquel elles appartiennent un
genre
nombreux en espèces dans cette même région. Et no
odifiés d’une espèce commune, très répandue et appartenant à un grand
genre
, tendront à participer aux mêmes avantages qui on
mode naturel de la multiplication des espèces et de la formation des
genres
. Mais, dans un grand genre, il est probable que p
cation des espèces et de la formation des genres. Mais, dans un grand
genre
, il est probable que plus d’une espèce varie. Sur
es, indiquées par les lettres n14 à z14, seront formées. Dans un même
genre
, ce sont les espèces déjà très différentes par le
velles variétés et à de nouvelles espèces. Les neuf autres espèces du
genre
originel que nous considérons, peuvent continuer
on plus loin. Nous avons supposé que les espèces originelles de notre
genre
se ressemblent les unes aux autres inégalement, a
r possédé quelque avantage sur la plupart des autres représentants du
genre
. Or, leurs quatorze descendants modifiés à la qua
nt très différentes et pourraient constituer un sous-genre ou même un
genre
distinct. Les six descendants de I formeraient de
scendants de I formeraient de même deux sous-genres ou peut-être deux
genres
. Mais comme l’espèce originelle I différait beauc
ndues de I et les huit procédant de A devront être rangées comme deux
genres
très distincts, ou même comme deux sous-familles.
procédé de descendance modifiée longtemps continué, deux ou plusieurs
genres
peuvent dériver de deux ou plusieurs espèces d’un
ou plusieurs genres peuvent dériver de deux ou plusieurs espèces d’un
genre
unique, et les deux ou plusieurs espèces mères pe
s espèces mères peuvent descendre elles-mêmes d’une seule espèce d’un
genre
antérieur. Cette ramification généalogique se tro
e éteinte et peut-être inconnue serait la souche unique de nos divers
genres
ou sous-genres nouveaux. Arrêtons-nous un instant
, qui, bien qu’appartenant généralement aux mêmes ordres, familles ou
genres
que ceux qui vivent actuellement, sont cependant
nt d’être exposé, soit nécessairement limité à la seule formation des
genres
. Si dans la figure nous supposons que la somme de
uées par les lettres a14 à p14, b14 et f14, o14 à m14 formeront trois
genres
très distincts. Nous aurons aussi deux genres dis
4 à m14 formeront trois genres très distincts. Nous aurons aussi deux
genres
distincts descendus de I ; et comme ces deux dern
ssi deux genres distincts descendus de I ; et comme ces deux derniers
genres
, par suite de la divergence longtemps continuée d
leurs types héréditaires distincts, seront très différents des trois
genres
descendus de A, ces deux petits groupes de genres
ifférents des trois genres descendus de A, ces deux petits groupes de
genres
formeront deux familles, ou même deux ordres, sel
x nouvelles familles, ou ordres, seront descendues de deux espèces du
genre
originel ; de même que ces deux espèces mères ser
deux espèces mères seront elles-mêmes dérivées d’une seule forme d’un
genre
encore plus ancien et peut-être inconnu. Nous avo
avons vu que dans chaque contrée ce sont les espèces des plus grands
genres
qui présentent le plus souvent des variétés ou es
éologiques, la terre peut avoir été peuplée d’un nombre d’espèces, de
genres
, de familles, d’ordres ou de classes aussi consid
ssons, par exemple, quelques naturalistes placent au premier rang des
genres
tels que les Requins (Squales), parce qu’ils appr
ne puis examiner ici. Je dirai seulement que, si deux espèces ou deux
genres
étroitement alliés produisent un grand nombre d’e
s pour être, par le fait de cette ressemblance, classées dans le même
genre
. Il en résulterait que ces deux genres se seraien
emblance, classées dans le même genre. Il en résulterait que ces deux
genres
se seraient ainsi fondus en convergeant dans un s
ouvelles ne forment pas au moins deux sections bien tranchées dans ce
genre
supposé unique78. XVI. Multiplication indéfinie
alent les différences plus profondes qui séparent les espèces du même
genre
, ou même les genres distincts. Nous avons vu que
es plus profondes qui séparent les espèces du même genre, ou même les
genres
distincts. Nous avons vu que ce sont les espèces
dans de vastes et nombreuses régions, et appartenant aux plus grands
genres
de chaque classe, qui varient le plus. D’autre pa
troitement alliées que possible entre elles, puis les espèces de même
genre
moins étroitement et plus inégalement alliées. Le
e genre moins étroitement et plus inégalement alliées. Les espèces de
genres
distincts sont beaucoup moins proches encore, et
spèces de genres distincts sont beaucoup moins proches encore, et les
genres
plus ou moins semblables forment des sous-famille
s diverses, peuvent représenter ces ordres entiers, ces familles, ces
genres
qui n’ont aujourd’hui aucun représentant vivant,
Ceux-ci ne nous parlent que des Poëtes qui ont écrit dans un certain
genre
, ou qui n’ont paru que dans un pays particulier.
s, à Paris 1735. in-4°. peuvent être très-utiles à ceux qui aiment ce
genre
de littérature. L’auteur écrit agréablement, &
des allusions malignes, il est peut-être trop négligé par un certain
genre
de lecteurs. Quelques Ecrivains modernes l’ont cr
édies, que dès qu’il parut sur la scène, il fut décidé qu’il avoit un
genre
à lui. C’étoit un homme de génie, ainsi que Corne
débiter des maximes dont parle M. de la Dixmerie, a infecté tous les
genres
. Racine n’a peut-être pas un vers sententieux ; i
ette piéce sans voir tout d’un coup la prodigieuse supériorité que ce
genre
a sur tous les autres, & sans s’y livrer enti
itionne toutes les espêces de gloire, a voulu aussi s’exercer dans le
genre
comique ; & si ses Comédies ne sont pas parfa
e nos grands maîtres, on a cherché à ranimer son goût par de nouveaux
genres
. M. de la Chaussée s’est fait un nom par une espê
faire ce que Quinault a fait. Personne n’a jamais mieux écrit dans le
genre
lyrique. Tout chez lui est vif, concis, touchant,
as moins réussi. La Motte, l’ami de Fontenelle, fut son rival dans le
genre
lyrique. L’Europe galante, Issé, le Carnaval &
Pellegrin, trop décrié de son tems, tems de richesse du moins pour le
genre
lyrique, brilleroit de nos jours où nous sommes r
e mien (si tant est que j’en aie un) n’est point fait du tout pour le
genre
lyrique. Aussi je lui mandois, il y a quelque tem
’aurois rempli des canevas. Ce n’est pas assurément que je méprise ce
genre
d’ouvrage ; il n’y en a aucun de méprisable ; mai
iment. On peut donner les mêmes avis aux auteurs des Opéra comiques :
genre
d’ouvrage dont nous dirons un mot en passant. C’e
ole de certains spectateurs. La gaieté de son caractère le porta à un
genre
singulier, dont il fut le créateur. Il saisit ave
p; la Motte. Le premier a été cité par Boileau, comme un modèle en ce
genre
; mais c’est un modèle que bien peu de gens de le
irgile. Mais il ne faut pas pour cela les dédaigner. C’est un nouveau
genre
pastoral qui tient un peu du roman. L’Astrée d’Ur
lle. La Motte a laissé vingt Eglogues, précédées d’un discours sur ce
genre
, où l’on trouve des idées neuves. Quant aux Eglog
les fait parler. Les Idilles françoises peuvent être rangées dans le
genre
pastoral. Personne n’a mieux réussi que Madame de
de saisir tout ce qui peut rendre ses adversaires ridicules. Il a un
genre
d’ironie & de plaisanterie qui n’est qu’à lui
& de plaisanterie qui n’est qu’à lui ; mais il sort souvent de ce
genre
. Il se permet les personnalités les plus odieuses
le sage, à l’éclairer, à le consoler. Celui qui a le plus approché du
genre
de la Motte est M. de la Visclede, Secrétaire de
uvelles qu’il publia en 1766. in-12. Il a très-bien connu l’esprit du
genre
lyrique. La magnificence du style & l’audace
ses meilleurs ouvrages, &c. &c. Les chansons rentrent dans le
genre
de l’ode. Le nombre en est immense, & nous en
èles des unes & des autres. Le style & la versification de ce
genre
d’épîtres, doivent être énergiques sans être durs
§. X. Poëtes élégiaques. NOs anciens Poëtes cultiverent ce
genre
de poésie ; mais aucun ne mérite d’être nommé. Me
lard par M. Colardeau, a tourné beaucoup de nos jeunes Poëtes vers ce
genre
, qui demande beaucoup de chaleur dans l’ame &
re héroïque ; mais il est à craindre que la facilité apparente que ce
genre
promet à un génie médiocre, ne dégoûte le public
e que ce genre promet à un génie médiocre, ne dégoûte le public de ce
genre
qui demande une ame très-sensible & un goût t
ointe est assez piquante. Racine avoit un talent particulier pour ce
genre
, mais nous n’avons qu’une très-petite partie des
& si l’on excepte Marot, son modèle, il n’a point d’égal dans le
genre
de l’épigramme. Une expression forte & énergi
re mis au nombre de nos fabulistes. La Motte ne voulant laisser aucun
genre
que sa Muse n’eût essayé, a produit cent fables i
mmiste le Brun des fables d’un style plus simple & plus propre au
genre
, mais en général foibles & médiocres. Richer
aturel, de la naïveté même, & cet air de facilité qui convient au
genre
, forment le caractère de ses fables. M. le Duc de
it tant de poésies légeres qu’une plus longue liste des auteurs de ce
genre
pourroit ennuyer. L’Abbé Regnier des Marais, Pavi
i se piquoit du même talent ; de M. Robé qui a travaillé dans le même
genre
. Mais la pudeur est trop allarmée par la plus gra
Section 8, des differens
genres
de la poësie et de leur caractere Il en est de
res de la poësie et de leur caractere Il en est de même de tous les
genres
de poësie, et chaque genre nous touche à proporti
caractere Il en est de même de tous les genres de poësie, et chaque
genre
nous touche à proportion que l’objet, lequel il e
peindre et d’imiter, est capable de nous émouvoir. Voilà pourquoi le
genre
élegiaque et le genre bucolique ont plus d’attrai
est capable de nous émouvoir. Voilà pourquoi le genre élegiaque et le
genre
bucolique ont plus d’attrait pour nous que le gen
e élegiaque et le genre bucolique ont plus d’attrait pour nous que le
genre
dogmatique. Ainsi les vers que soupiroit Tibulle
us, et quand la memoire devance les yeux dans cette lecture. Ces deux
genres
de poësie nous font entendre des hommes touchez,
du milieu ; et la tragique sur les tons les plus bas. Voilà les trois
genres
de melopée, qui peuvent se subdiviser en plusieur
difference qui se rencontre entre des melopées comprises sous le même
genre
. Telle est la melopée des vers tendres qui compre
melopée, comme la comique, mais qui peuvent se ranger sous les trois
genres
dont il vient d’être parlé, quoique chacune espec
à l’égard du ton que les melopées peuvent être divisées en differens
genres
; car si par rapport à ce ton elles se partagent
lopée. " les melopées peuvent à plusieurs égards être divisées en des
genres
differens. Il y en a qui sont diatoniques, d’autr
ou nomique, et qui par consequent partage aussi les melodies en trois
genres
de même nature. Comme le dit Aristides Quintilian
e et la melodie son effet. Il devoit par conséquent y avoir autant de
genres
de melodie qu’il y avoit de genres de melopée. Dè
t par conséquent y avoir autant de genres de melodie qu’il y avoit de
genres
de melopée. Dès qu’on lit avec quelque reflexion
eu, supposé que quelques-unes des melopées qui étoient les especes du
genre
tragique, composassent des chants proprement dits
mais une simple déclamation. Ainsi il n’y avoit peut-être pas dans le
genre
des melopées tragiques, aucune espece de melopée
gue, lorsqu’elles les faisoient publier. Je crois donc que des trois
genres
dans lesquels se divisoit la melopée considerée p
oit en le lisant, que la musique des anciens divisoit d’abord en deux
genres
toutes les operations que la voix peut faire. L’a
Martianus Capella dit : " le son de la voix se peut diviser en deux
genres
de sons… etc. " or, comme nous le dirons plus bas
ses oeuvres mathematiques : voici ce que dit Bryennius. " il y a deux
genres
de chant ou de melodie… etc. " il seroit inutile
’Italie. Il resulte donc de ce qui vient d’être exposé, que des trois
genres
de melopée, il y en avoit une, sçavoir la dithira
ourdaloue, de La Rue et de Massillon. Est-il vrai que dans tous les
genres
il n’y ait qu’un certain nombre de beautés marqué
celui de la nature même, et qu’ainsi il ne doit y avoir, dans chaque
genre
, d’autres bornes que celle du talent. Cependant l
est la raison ? Tout homme qui le premier s’applique avec succès à un
genre
, le choisit et l’adopte, parce qu’il est analogue
qu’il est analogue à son esprit et à son âme ; c’est lui qui fait le
genre
et en constitue le caractère. Ceux qui viennent e
es beautés de tous les temps et de tous les lieux, il y a pour chaque
genre
, des beautés analogues au climat, au gouvernement
nflue nécessairement et sur l’artiste et sur le juge. Lors donc qu’un
genre
a été traité par quelques grands hommes dans un p
èbres, et qui, avec de grands talents, n’ont cependant obtenu dans ce
genre
que la seconde place. De ce nombre est le célèbre
un esprit plus souple et une âme plus sensible, réussit mieux dans le
genre
des éloges funèbres ; il était en même temps poèt
c de Bourgogne et de Fénelon marchent ensemble à l’immortalité, et le
genre
humain reconnaissant ne sépare plus deux âmes ver
ne bataille, je l’ai prise et je l’ai gagnée. » L’autre, qui avait un
genre
de mérite tout différent, était ce maréchal de Bo
us célèbres artistes pour élever des mausolées. Mais ses succès en ce
genre
ne soutinrent pas sa réputation. Cet orateur, si
tant il est vrai que les plus grands talents ont des bornes dans les
genres
qui se touchent. On a de lui les éloges d’un prin
du grand dauphin et celui de la duchesse d’Orléans sont dans le même
genre
; mais celui de Louis XIV a un caractère un peu d
Suite du précédent. — Seconde cause : les anciens ont épuisé tous les
genres
d’histoire, hors le genre chrétien. À cette pre
de cause : les anciens ont épuisé tous les genres d’histoire, hors le
genre
chrétien. À cette première cause de l’infériori
es hommes, les règnes de Tibère et de Néron, firent naître le dernier
genre
de l’histoire, le genre philosophique. Les causes
Tibère et de Néron, firent naître le dernier genre de l’histoire, le
genre
philosophique. Les causes des événements qu’Hérod
s, au reste, que ces grands historiens brillent exclusivement dans le
genre
que nous nous sommes permis de leur attribuer ; m
ssez beaux talents ; malheureusement ce fougueux Jésuite déshonora un
genre
de littérature dont le premier mérite est l’impar
yle à ces génies immortels, qui, par diverses causes, se sont créé un
genre
à part ; genre qu’eux seuls pouvaient soutenir, e
s immortels, qui, par diverses causes, se sont créé un genre à part ;
genre
qu’eux seuls pouvaient soutenir, et qu’il est pér
ant parmi nous, on auroit tort de l’en regarder comme l’inventeur. Ce
genre
de gloire, quand même il lui appartiendroit réell
Chaussée, c’est qu’il est le premier qui ait présenté avec succès ce
genre
bâtard sur notre Théatre. L’accueil fait au Préju
travers ; son génie créateur, capable d’inventer ou de réhabiliter ce
genre
, s’il eût été dans l’ordre, rejeta toujours ce ca
ctere très-accueillies ; mais on n’en peut rien conclure en faveur du
genre
. L’homme éclairé, l’homme de goût, le sage Littér
Tragédie véritable. » Quoique M. de Voltaire ne fasse pas loi dans le
genre
comique, par le peu de succès de toutes ses Coméd
taines, Piron, Palissot, & mille autres, n’ont reconnu qu’un seul
genre
de Comédie, qui consiste dans l’exposition des vi
vers ; les préférer à tout ce qu’on a fait de plus supportable en ce
genre
depuis lui, en soutenant toujours que ce genre es
plus supportable en ce genre depuis lui, en soutenant toujours que ce
genre
est condamnable, & que les Prosateurs qui ont
des faits, et la faculté de sentir et de peindre la nature sont deux
genres
d’imagination absolument distincts : l’une appart
e progression qui appartient à toutes les vérités morales, de quelque
genre
qu’elles soient : lorsque les poètes s’attachent
ux mœurs des peuples voisins : ils ont un caractère à eux dans chaque
genre
; leur poésie n’est semblable qu’à celle des Fran
ombre : je pourrais y joindre Downe, Chaucer, etc. Les essais dans ce
genre
ont encore plus mal réussi aux Anglais qu’aux aut
pays, soit le meilleur de tous ; les hommes supérieurs, dans tous les
genres
, doivent être des hommes consacrés et sacrifiés m
artager le trouble de l’âme. Les Anglais peuvent se permettre en tout
genre
beaucoup de hardiesse dans leurs écrits, parce qu
écrits comme ceux de la nature, et non comme ceux de l’art. Il est un
genre
d’ouvrages d’imagination, dans lequel les Anglais
incipale cause de l’inépuisable fécondité des écrivains anglais en ce
genre
. Les rapports des hommes avec les femmes se multi
rquables les exemples qu’elles donnent. Elles seules choisissent leur
genre
de vie ; les autres sont forcées de se résigner à
ôtent aux romans tout leur charme ; et le petit nombre de ceux de ce
genre
que nous possédons en français, ont à peine eu qu
ces romans sont faits pour être lus par les hommes qui ont adopté le
genre
de vie qui y est peint, à la campagne, en famille
re ont été composés par des femmes, donnent parfaitement l’idée de ce
genre
d’ouvrages dont l’intérêt est inexprimable. Les a
nées obscures peuvent trouver des motifs d’exaltation, et se créer un
genre
d’héroïsme. Il règne dans ces écrits une sensibil
ons aussi importantes que solides sur les productions romanesques. Ce
genre
d’ouvrages a souvent changé de forme. La mode inf
rtant des choses dans l’ouvrage d’Urfé qui sont dans la perfection du
genre
pastoral ; mais il y en a aussi qui demanderoient
eur forme. Madame de Villedieu fut celle qui se signala le plus en ce
genre
. Ses Romans firent perdre le goût des ouvrages de
aite une réputation par le Siége de Calais. Il y a peu d’écrits de ce
genre
aussi compliqués. Les surprises en sont bien ména
rs l’an 1730. quelques écrivains, nés avec beaucoup de talent pour ce
genre
, le réveillerent. Ils firent même supporter les l
es. L’auteur du Nouveau Dictionnaire historique lui a assigné dans le
genre
romanesque la même place que Crebillon a obtenu d
a plûpart y font très-peu de chose. Parmi les derniers ouvrages de ce
genre
, on vante avec raison les ouvrages suivans. Juli
ui perce même dans les moins bonnes lettres de ce Roman unique en son
genre
. Un autre Roman épistolaire justement estimé, est
la, Clarisse, Grandisson, ont été regardés chez nous comme un nouveau
genre
qui fournit beaucoup au touchant & au pathéti
s & ne coûtent guéres à leurs auteurs. Aussi tout a donné dans ce
genre
jusqu’aux Abbés : genre à la fois méprisable &
s à leurs auteurs. Aussi tout a donné dans ce genre jusqu’aux Abbés :
genre
à la fois méprisable & dangereux, lorsqu’on n
r le chapitre des Romans, il faut dire un mot des contes en prose. Ce
genre
est fort à la mode depuis qu’un homme de beaucoup
étoit curieux de connoître toutes les pauvretés qu’on a écrites en ce
genre
, il pourra consulter le Catalogue des Romans que
ivent à la gloire et au pouvoir en 1830. Parmi les réflexions de tout
genre
que le centenaire de 1830 pourrait suggérer, n’ou
a critique littéraire. En principe, ce n’était pas une innovation. Le
genre
avait abondé au xviiie siècle et au xviie siècl
u présent, et que le seul critique qui soit resté le classique de son
genre
, Sainte-Beuve, était un journaliste, de professio
plus loin que la critique n’est pas autorisée à donner des règles aux
genres
littéraires. Or, la critique représente un genre
nner des règles aux genres littéraires. Or, la critique représente un
genre
littéraire. Elle se fera toujours un malin plaisi
œil torve, nous lui ferons observer, pour la rasséréner, que tous les
genres
ont évolué ainsi, et qu’ils vont tous de la parol
e pensa de ces images bovines, mais il s’aperçut bientôt que les deux
genres
de critique étaient incompatibles. Ayant fait dan
tradition, certaines pentes dangereuses. Brunetière, qui fixe sur ce
genre
de critique le regard le plus soupçonneux, celui
ne. Mais pour que Corneille et Racine aient existé, il fallait que le
genre
tragique eût été un genre vivant, que des centain
e et Racine aient existé, il fallait que le genre tragique eût été un
genre
vivant, que des centaines de tragédies eussent ét
sage qu’elle prend dans les humanistes de la Renaissance, à suivre le
genre
au cours d’une évolution qui a beaucoup plus la f
ichelieu, l’année du Cid, voulut imposer à l’Académie un métier de ce
genre
, qu’elle fit avec répugnance et où elle ne récidi
lqu’un qui connaît les règles. Et les règles de quoi ? Les règles des
genres
. Celles que Chapelain connaissait le mieux, c’éta
s que Chapelain connaissait le mieux, c’étaient, paraît-il, celles du
genre
épique, et l’on sait qu’il ne voulut laisser à pe
a critique professionnelle porte originellement sur des règles et des
genres
. Et je sais bien qu’elle aura le temps, après Cha
dre conscience de la nature, des limites et des règles des différents
genres
, et de donner aux écrivains la conscience claire
ents genres, et de donner aux écrivains la conscience claire de leurs
genres
, comme on donne à un artilleur ou à un cavalier l
r la mémoire de ce qui a été professé. Jusqu’alors il n’y avait qu’un
genre
qui s’accommodât de cette situation, de cette tec
que des lectures ou des explications de textes pour les étudiants. Ce
genre
de la leçon de vulgarisation, de la conférence, q
de professeur, la critique faite par un homme qui obéit aux lois d’un
genre
. Et ce genre tire son origine du sermon. Brunetiè
, la critique faite par un homme qui obéit aux lois d’un genre. Et ce
genre
tire son origine du sermon. Brunetière s’est donn
mpte à quel point précis de son développement en est l’évolution d’un
genre
; elle seule peut dire à quelles conditions devra
d’air salubre !). Le critique professionnel a décrit l’évolution des
genres
dans l’histoire littéraire. Très bien. Et nous ti
, je puis vous dire à quel point vous en êtes de l’évolution de votre
genre
. Spencer fait tenir la morale en cette maxime : s
l’univers. Vous, soyez des agents conscients dans l’évolution de vos
genres
. Et si vous désirez savoir comment vos genres évo
dans l’évolution de vos genres. Et si vous désirez savoir comment vos
genres
évoluent, venez me trouver. Je vous dirai à quell
du nouveau, et du nouveau qui s’engrène dans la tradition même de son
genre
. Derrière ma chaire il y a un cabinet de consulta
r continuer, en artistes conscients et organisés, l’évolution de leur
genre
. Brunetière a presque eu un disciple en la person
es étoiles, Hervieu s’embarqua avec confiance dans l’évolution de son
genre
, ayant Brunetière pour pilote, et je n’ai pas bes
tradition est tellement invétérée qu’elle semble presque inhérente au
genre
lui-même. Les trois grands professeurs de la Rest
le, qui est d’enchaîner, d’ordonner, de présenter une littérature, un
genre
, une époque à l’état de suite, de tableau, d’être
par le génie à la fois abstrait et précis d’un Voltaire ; ce sont les
genres
, ces personnes logiques qu’une critique intégrale
de profession à profession, de nature d’esprit à nature d’esprit, de
genre
de critique à genre de critique. Aucun critique p
fession, de nature d’esprit à nature d’esprit, de genre de critique à
genre
de critique. Aucun critique professionnel, aucun
fort parentes des lois de la création naturelle, et fort opposées au
genre
de séquences imaginées par l’auteur de l’Évolutio
osées au genre de séquences imaginées par l’auteur de l’Évolution des
Genres
. Ce qui fait matière proprement critique, c’est l
Le beau ne perdrait rien de son prix quand il serait commun à tout le
genre
humain ; il en serait plus estimable. La rareté e
vieux livres », demeure l’œuvre-type du roman de critique, du premier
genre
de roman que peut écrire et qu’aime à écrire un c
e de roman que peut écrire et qu’aime à écrire un critique (le second
genre
étant la confession personnelles, du type Volupté
(rare dans le monde littéraire) mais du génie profond et vivant d’un
genre
, d’une époque, d’une religion. Ce n’est pas un ha
Souvenons-nous des lignes de Sainte-Beuve lorsqu’il fait remonter ce
genre
de critique à Diderot et qu’il en voit le caractè
, à la conscience de l’évolution de la critique et de l’évolution des
genres
, à Brunetière, — comme le génie des Treize abouti
ur ont paru le jeu transcendant de la pensée littéraire. Le génie, le
genre
, le Livre. Le génie, c’est à lui que sont consacr
orte, ce sont ces formes de l’élan vital littéraire qu’on appelle les
genres
. Brunetière a eu raison de voir là le problème ca
ir là le problème capital de la grande critique, dont une théorie des
genres
doit rester la plus haute ambition. Son tort a ét
énéficier utilement les auteurs présents. Mais il est certain que les
genres
sont, vivent, meurent, se transforment, et les ar
orment, et les artistes, qui travaillent dans le laboratoire même des
genres
, le savent encore mieux que les critiques. « L’ép
t d’une sottise de copiste ou d’un caprice de tyran. Nul danger de ce
genre
à présent. Désormais, l’insaisissable règne. Rien
s, au cours d’une même génération, impliquent bien des services de ce
genre
. Nombreux sont les écrivains qui sont lancés par
mporain et l’ordre local. Le premier se construit autour de l’idée de
genre
, le second autour de l’idée de tradition, le troi
tique classique, en France, s’est formée à l’occasion du problème des
genres
, qui a tenu en critique, jusqu’au xixe siècle, u
e du moyen âge. Aussi considérable et de même nature. Le problème des
genres
, c’est le problème des universaux, et même le pro
ophies ne font que rajeunir. Celui qui ne se pose pas le problème des
genres
n’est pas plus un critique que n’est un philosoph
xviiie siècle on appelle critique, en France, un homme pour qui les
genres
existent. Vous êtes d’autant meilleur critique qu
qui les genres existent. Vous êtes d’autant meilleur critique que les
genres
existent plus réellement pour vous. Voici ce que
avoir dans son imagination autant de modèles différents qu’il y a de
genres
. Le critique subalterne est celui qui, n’ayant pa
leau : le critique est l’homme qui connaît la nature propre de chaque
genre
, les règles que ce genre doit inspirer, les condi
homme qui connaît la nature propre de chaque genre, les règles que ce
genre
doit inspirer, les conditions auxquelles l’œuvre
e puisse, par un biais, s’embrancher sur la vérité vivante. L’idée de
genre
est une idée régulatrice inséparable de la critiq
ien, au contraire, de plus dangereux pour l’artiste. La croyance à un
genre
épique, à des règles du genre épique, a empoisonn
gereux pour l’artiste. La croyance à un genre épique, à des règles du
genre
épique, a empoisonné la littérature française dep
nous-mêmes, c’est-à-dire quand elle est faite. Il en est de même des
genres
littéraires. Créer dans un genre, c’est ajouter à
le est faite. Il en est de même des genres littéraires. Créer dans un
genre
, c’est ajouter à ce genre. Ajouter à ce genre ce
même des genres littéraires. Créer dans un genre, c’est ajouter à ce
genre
. Ajouter à ce genre ce n’est pas se conformer à c
téraires. Créer dans un genre, c’est ajouter à ce genre. Ajouter à ce
genre
ce n’est pas se conformer à ce qu’il était avant
est l’homme ajouté à la nature, la création c’est l’artiste ajouté au
genre
. Le génie immanent de l’artiste, au lieu de dirig
mmanent de l’artiste, au lieu de diriger sa main à la ressemblance du
genre
, la dirigerait plutôt à sa dissemblance. Le genre
la ressemblance du genre, la dirigerait plutôt à sa dissemblance. Le
genre
, il est derrière l’artiste ; il n’est pas devant
de ces traits généraux qu’il constitue ces être généraux que sont les
genres
. Marmontel dit que la critique n’apparaît que lor
itique n’apparaît que lorsqu’il y a plusieurs productions dans chaque
genre
; que nous nous habituons à les classer ; que nou
habituons à les classer ; que nous élisons, pour en faire l’idéal du
genre
, dans chacune d’entre elles, les qualités les plu
ne sont jamais réunies en une seule. C’est avouer, en somme, que les
genres
ne sont que des êtres de raison, créés par les cr
es critiques, et utiles à la critique. La formation psychologique des
genres
chez le critique est analogue à la formation des
nnel. Il a chance de mieux se mouvoir que l’artiste dans ce monde des
genres
. L’artiste, quand il parle de genres ou plutôt de
que l’artiste dans ce monde des genres. L’artiste, quand il parle de
genres
ou plutôt de son genre, les trois quarts du temps
onde des genres. L’artiste, quand il parle de genres ou plutôt de son
genre
, les trois quarts du temps c’est de lui-même et s
m Shakespeare entre ses deux glaces. De très bonne foi il enferme son
genre
dans les limites de son œuvre. Quand Lamartine ou
ie et transforme spontanément les habitudes de son génie en lois d’un
genre
. L’impérialiste didactique qui sommeille au cœur
nt du dedans. Et quand il voit, par exemple, que la définition de son
genre
par M. Bourget romancier aboutirait à déclasser l
rche bien la même chose, à savoir des clartés et des théories sur les
genres
. Le grand mérite de Brunetière est peut-être d’av
etière est peut-être d’avoir restauré, après Nisard, cette notion des
genres
, liée à la critique classique, et que Sainte-Beuv
l’ombre. C’est un fait que la littérature du passé est distribuée par
genres
; c’est aussi un fait que si un Flaubert triomphe
nous puissions créer la vie même. » En second lieu elle a cru que les
genres
étaient des réalités fixes, alors que les genres
u elle a cru que les genres étaient des réalités fixes, alors que les
genres
évoluent. Et Brunetière parle justement. Mais l’e
s il peut renseigner les auteurs sur la nature et les limites de leur
genre
, sur les modèles à imiter (Balzac pour le roman),
eur moyen d’en continuer l’évolution. D’autre part, son évolution des
genres
littéraires Brunetière l’a accrochée à une théori
xciter à reprendre d’après de nouveaux termes le problème éternel des
genres
, comme on reprend aujourd’hui dans tous les domai
ces corps généraux, à la fois abstraits et artificiels, que sont les
genres
littéraires. On peut voir pareillement de véritab
ion utile, mais artificielle. J’ai commencé moi-même un travail de ce
genre
; j’ai pu sentir combien mes divisions s’appliqua
t bien que mal, la fixer. * * * La critique, qui construit ses Idées,
genres
, suites, générations, peut-on dire qu’elle constr
littérature germanique ? Oui, dans la même mesure à peu près que les
genres
, les chaînes et les générations. C’est aujourd’hu
quatre antinomies de Kant, en Idées statiques, qui seraient celle de
genre
et celle de pays, et Idées dynamiques, qui seraie
teur, sa construction est créatrice, et la critique, comme les autres
genres
littéraires, ne grandit, ne demeure que par son é
nie analogue au sien, des êtres vivants comme les siens. Les idées de
genre
littéraire, de chaînes, de générations et de pays
inuée, et les deux dernières appartiennent, dans une bonne mesure, au
genre
de la critique. Laissons l’imitation de côté. C’e
re de la critique. Laissons l’imitation de côté. C’est par elle qu’un
genre
, une œuvre littéraire, affirment leur fécondité,
ressemblance ni de rapports avec l’imitation, mais elle en a avec ce
genre
de déformation qui s’appelle la parodie. Celui qu
encore nous ne connaissons qu’une exception heureuse. De même que le
genre
du dialogue a réellement cessé après Platon, auss
genre du dialogue a réellement cessé après Platon, aussi bien que le
genre
de la tragédie après Racine, ne traînant jusqu’à
ante critique philosophique et poétique retrouvant un mouvement de ce
genre
. Mais l’élan vital, la force de synthèse permise
agédies de Racine. On le vit s’ouvrir une nouvelle carrière, créer un
genre
dont on n’avoit point d’idée. L’ambition, la poli
a délicatesse des sentimens. L’écrivain qui s’éleva le plus contre le
genre
de Racine fut le célèbre abbé Villiers. Ses Stanc
plus d’amour, plus d’amour. S’il en faut encore, que ce soit un autre
genre
d’amour ; comme l’amour paternel, l’amour filial,
es, pendant qu’ils ne font que le respirer dans la plupart des autres
genres
. Ils ont pris exemple d’Homère, leur grand modèle
ue sur des sujets terribles, l’esprit des spectateurs étoit plié à ce
genre
de spectacles. La seconde, c’est que, leurs femme
le père, comme on le croit communément : les Romains avoient connu ce
genre
. Dans l’Hécyre de Térence, il n’y a qu’un personn
user à la Chaussée la gloire d’avoir introduit, sur notre théâtre, ce
genre
de comédie, de l’avoir développé, & perfectio
ès-vive & très-importante, qui dure encore. Les uns condamnent le
genre
qu’il a suivi ; les autres l’admettent, & ne
, est que nos grands comiques François ne s’étoient point douté de ce
genre
; que ce n’est point celui de Molière & de Re
a comédie, qui est de représenter les ridicules des hommes. Or, si le
genre
attendrissant a lieu, l’objet du véritable comiqu
l’ancien goût, par la facilité & l’abondance du nouveau. Ainsi le
genre
comique au lieu de faire des progrés, rentrera da
nvenable. On les réfuta par le succès prodigieux & constant de ce
genre
; par l’intérêt vif qu’y prenoient les femmes ; p
s de tout Paris, pouvoit-elle n’être pas en droit de plaire ? Plus ce
genre
de spectacle est critiqué, plus il est juste, s’é
t passer rapidement du rire aux larmes, & des larmes aux rire. Le
genre
du comique larmoyant étoit comparé à celui du pas
e l’autre. On en appelloit à la physique, pour démontrer que ces deux
genres
ne sçauroient exister ensemble ; que l’effet prop
, M. de Voltaire expose les raisons qu’il a eues d’adopter le nouveau
genre
de comédie. Il ne veut exclure aucun genre : il l
eues d’adopter le nouveau genre de comédie. Il ne veut exclure aucun
genre
: il les trouve tous bons du moment qu’ils plaise
ine, la charmante comédie de Nanine, fut encore un essai dans le même
genre
. Si elle n’obtint pas d’abord tous les applaudiss
ns les Lettres Péruviennes. L’Écossaise est le dernier essai, dans ce
genre
, qui ait paru sur notre théâtre. La satyre qu’ell
es comédies larmoyantes des tragédies bourgeoises ; mais ce sont deux
genres
qu’il ne faut pas confondre. Tel qui admet les un
de dignité qu’on remarque dans les véritables tragédies. Il traite ce
genre
d’espèce bâtarde, de monstre né de l’impuissance
fit une, comme on l’en a prié quelquefois ; peut-être aurions-nous un
genre
de plus, celui-là même que M. Diderot a manqué.
èrent à divertir de même la nation. Elle se passionna pour ce nouveau
genre
d’amusement. La parodie dramatique, chez les Grec
adémie, croyoient alors « que, pour bien écrire raisonnablement en ce
genre
, il suffisoit de dire des choses contre le bon se
la bonne plaisanterie. Peut-être même les avons-nous effacés dans le
genre
dont ils nous ont donné l’idée. Quelle critique f
des rats & des grenouilles, nous fournit un exemple de ce dernier
genre
. Nous en avons encore un autre dans le fameux poë
s travestissemens nocturnes. La Mothe s’est élevé fortement contre ce
genre
de plaisanterie. Sa raison en fut révoltée, quoiq
ttent au rang des bagatelles : mais cette bagatelle a, comme tous les
genres
, ses principes, ses règles, ses difficultés, ses
intéresser pour des scélérats ; c’est la faute du poëte & non du
genre
. Il est peu de tragédies où l’on ne trouve à s’in
nt encore bornez ordinairement à n’exceller que dans quelques-uns des
genres
dans lesquels cette profession se divise. il est
mpossible, dit Platon, que le même homme excelle en des ouvrages d’un
genre
different… etc. . Ceux des peintres qui ont exce
pour les fables, qu’il a traitées avec une érudition enjoüée, dont ce
genre
d’écrire ne paroissoit pas susceptible. Quand La
eura toûjours le plus fort. On sçait la destinée de ses opera. Chaque
genre
de poësie demande un talent particulier, et la na
ent important aux nobles artisans, dont je parle, de connoître à quel
genre
de poësie et de peinture leurs talens les destine
poësie et de peinture leurs talens les destinent, et de se borner au
genre
pour lequel ils sont nez propres. L’art ne sçauro
ion aveugle, qui lui a fait entreprendre de se rendre habile dans des
genres
de la peinture, pour lesquels il n’étoit point né
re, pour lesquels il n’étoit point né, et qui lui a fait négliger les
genres
de la peinture ausquels il étoit propre. Les ouvr
e appercevoir les bornes du génie d’un artisan, que des ouvrages d’un
genre
, dans lequel il n’est point né pour réussir. L’ém
Discours Sur l’origine, les progrès & le
genre
des Romans. I l faut presque remonter à l’or
; les Romains du beau siecle de Rome & de la Grece aient connu ce
genre
; au moins il n’en existe aucune preuve. Nous n’a
ion la base de leurs écrits. Dès lors, entre autres productions de ce
genre
, on vit éclore les fables milésiennes. Ces fables
ité Romaine, qui d’abord avoit semblé devoir proscrire de son sein le
genre
des Romans, ne les en exclut pas pour toujours. O
ar les Sybarites avoient aussi, à l’exemple des Milésiens, cultivé un
genre
de fables obscenes. Ce genre étoit bien digne d’ê
i, à l’exemple des Milésiens, cultivé un genre de fables obscenes. Ce
genre
étoit bien digne d’être né parmi eux, mais étoit-
encore essayé d’en faire. Il seroit donc possible qu’elle nous dût le
genre
qu’on prétend que nous lui devons. Au moins ne do
. Ce furent, en effet, nos Troubadours Provençaux qui instituerent le
genre
de poésie perfectionné depuis eux, mais adopté ch
ût quand il ne le corrompt pas. Le Roman est peut-être aujourd’hui le
genre
de littérature que les Anglois cultivent le plus
sieurs siecles. Le onzieme vit éclore, entre autres productions de ce
genre
, Tristan, Lancelot du Lac, Artus, Merlin, Perceva
’aurois dû placer avant cette derniere production un autre Roman d’un
genre
très opposé, & qui lui est antérieur. C’est l
as tout-à-fait le même génie ; car, quoi qu’on en puisse dire, chaque
genre
a le sien. L’ouvrage de Furetiere fut goûté dans
c une facilité bien rare jusqu’ alors. Il en devina le génie dans son
genre
, comme Pascal & la Bruyere l’avoient deviné d
ns son genre, comme Pascal & la Bruyere l’avoient deviné dans des
genres
différents. Un autre Ecrivain, non moins bel espr
& très vivement peinte. Celles d’une Duchesse à un Duc sont d’un
genre
plus tempéré. On demandera, peut-être, pourquoi l
tremêler à des écrits solides & sérieux quelques productions d’un
genre
léger & agréable. Telles sont les Lettres d’O
uvent être placées nulle part. M. de Voltaire, qui n’a dédaigné aucun
genre
de littérature, a bien voulu nous donner aussi qu
*, les Lettres du Marquis de Roselle **, quelques autres écrits de ce
genre
, prouvent que notre siecle a ses La Fayette, auxq
la multiplicité des détails. Je n’ai pas compris dans ce Discours le
genre
du Conte ; autrement je n’eusse oublié ni ceux de
d’en suivre tant d’autres. Bornons-nous aux détails précédents sur le
genre
romanesque, & ajoutons ici quelques réflexion
genre romanesque, & ajoutons ici quelques réflexions sur ce même
genre
. Le célebre M. Huet, Evêque d’Avranches, l’homme
; mais quelques nouvelles productions de la Germanie, dans différents
genres
, peuvent servir à prouver que le génie est de tou
son Fils et l’Âne, etc., etc., tout excellents qu’ils sont dans leur
genre
, ne seront jamais mis par moi au même rang que la
ins difficile ou élevé comme art, comme composition ; elle oublie les
genres
, elle ne voit plus que le trésor moral de sagesse
ention, si vite déjouée ou moqueuse, on demande surtout aux poètes ce
genre
d’imagination et de fertilité qui n’occupe que pe
étaient fournis par la tradition, ne sort pas d’abord des limites du
genre
. Son premier livre est un essai ; on y voit la fa
vec le sujet. Ainsi conçue, le dirai-je ? la fable me paraît un petit
genre
, et assez insipide. Chez les Orientaux, à l’origi
d’Auguste, mais qui est classique du moins par son exacte pratique du
genre
conçu dans toute sa simplicité et son élégance, e
Pourquoi donc La Fontaine a-t-il su être un grand poète dans ce même
genre
de la fable ? C’est qu’il en est sorti, c’est qu’
dans sa préface, reconnaît lui-même qu’il est un peu sorti ici du pur
genre
d’Ésope, « qu’il a cherché d’autres enrichissemen
si habituel et si touchant. Ses Deux Amis sont le chef-d’œuvre en ce
genre
; mais, toutes les autres fois qu’il a eu à parle
grand siècle. Je vous répondrai d’abord qu’il ne goûtait pas assez le
genre
dans lequel ce conteur charmant excella. Il trait
ulait voir aucun dans ses appartements. C’est à une antipathie de ce
genre
qu’il faut rapporter l’anathème lancé par M. de L
ût noble, celui de l’harmonie régulière et des grandes lignes en tout
genre
. Et de plus M. de Lamartine représente une poésie
e, à divers moments, des tentatives pour introduire et naturaliser le
genre
élevé, romanesque, sentimental ; mais toujours ce
aturaliser le genre élevé, romanesque, sentimental ; mais toujours ce
genre
, après une vogue passagère, a plus ou moins échou
temps de d’Urfé, un essai de roman qui rappelle à quelques égards le
genre
métaphysique et analytique moderne. Cet essai a c
La Fontaine, que la forme préférée d’un génie bien plus vaste que ce
genre
de poésie », a dit M. Vinet. 65. [NdA] Récréatio
ou banales. Il est donc furieusement honorable pour notre temps qu’un
genre
si difficile y fleurisse : apparemment, si nous é
ne époque de grande expérience, mais aussi d’habileté extrême en tout
genre
. Nos contemporains sont adroits comme des singes.
adroits comme des singes. Or, les « maximes et réflexions », c’est un
genre
connu, qui a ses procédés. Une pensée, cela s’éla
l est des cas… Nous appellerons cela la pensée paradoxale. Après le
genre
tranchant, fendant, le genre suave, poétique, idé
ons cela la pensée paradoxale. Après le genre tranchant, fendant, le
genre
suave, poétique, idéaliste. On avise quelque sent
délicat, pour un bel homme, à respecter la femme de son ami. Comme ce
genre
supporte et même suppose une psychologie très fin
jouter sans le diminuer par là même ! Nous appellerons cela la pensée
genre
Vauvenargues ou genre Joubert. Celles que je vien
r par là même ! Nous appellerons cela la pensée genre Vauvenargues ou
genre
Joubert. Celles que je viens de produire sont du
la Royer-Collard. Pour conclure, les « pensées et maximes » sont un
genre
épuisé et un genre futile. Un genre épuisé ; car
Pour conclure, les « pensées et maximes » sont un genre épuisé et un
genre
futile. Un genre épuisé ; car ce ne sont jamais q
es « pensées et maximes » sont un genre épuisé et un genre futile. Un
genre
épuisé ; car ce ne sont jamais que des observatio
e peut indéfiniment et qu’on y peut mettre sa marque personnelle). Un
genre
futile ; car, pourvu qu’on ait un peu lu, qu’on a
négligence ne valent pas le diable. Il prétend nous démontrer que ce
genre
littéraire a peut-être bien ses procédés, comme l
e avec laquelle elle pille souvent, sans le savoir, les classiques du
genre
et invente de nouveau ce qui a été dit longtemps
Sarah Bernhardt est éminemment, par son caractère, son allure et son
genre
de beauté, une princesse russe, à moins qu’elle n
nge. Pourquoi ne veux-tu pas t’asseoir aussi parmi les précepteurs du
genre
humain, les consolateurs des maux de la vie, les
ntre d’histoire est infiniment plus difficile que celui du peintre de
genre
. Il y a une infinité de tableaux de genre qui déf
ile que celui du peintre de genre. Il y a une infinité de tableaux de
genre
qui défient notre critique ; quel est le tableau
bataille qui pût supporter le regard du roi de Prusse ? Le peintre de
genre
a sa scène sans cesse présente sous ses yeux ; le
uit l’effet des unes par les autres. Il me semble qu’il y a autant de
genres
de peinture que de genres de poésie : mais c’est
es autres. Il me semble qu’il y a autant de genres de peinture que de
genres
de poésie : mais c’est une division superflue. La
s pas le portrait. C’est que cela est trop difficile. Les peintres de
genre
et les peintres d’histoire n’avouent pas nettemen
n quand ils n’ont pas porté ce mérite au dernier degré. Le peintre de
genre
de son côté regarde la peinture historique comme
peintre de genre de son côté regarde la peinture historique comme un
genre
romanesque, où il n’y a ni vraisemblance ni vérit
édie gaie. Il me semble que la division de la peinture en peinture de
genre
et peinture d’histoire est sensée, mais je voudra
ture des choses dans cette division. On appelle du nom de peintres de
genre
indistinctement et ceux qui ne s’occupent que des
mans, Greuze, Chardin, Loutherbourg, Vernet même sont des peintres de
genre
. Cependant je proteste que le Père qui fait la le
ligne était tracée de toute éternité : il fallait appeler peintres de
genre
les imitateurs de la nature brute et morte ; pein
n laissant aux mots les acceptions reçues, je vois que la peinture de
genre
a presque toutes les difficultés de la peinture h
imagination peut-être, une autre poésie plus étrange ; la peinture de
genre
, plus de vérité ; et que cette dernière peinture,
de tous ceux qui ont cultivé, après lui, & même de son temps, ce
genre
de Poésie où il est si difficile de réussir. Sans
ans être naturel & tendre comme celui de Phédre, il s’est fait un
genre
particulier qu’il ne doit qu’à lui-même, & il
nre particulier qu’il ne doit qu’à lui-même, & il excelle dans ce
genre
. En vain chercheroit-on dans ses Tragédies une ve
avec amertume, de légeres imperfections, presque inévitables dans le
genre
tragique, celui de tous qui offre le plus à une c
e, & que M. de Crébillon, en se livrant au sien, étoit digne d’un
genre
de gloire, auquel il ne pouvoit prétendre lui-mêm
ts ? C’est renverser les notions du goût, que de vouloir dégrader les
genres
pour lesquels on n’a nulle disposition ; & c’
e. Les phénomènes de conscience. Ier Ordre : Affections sensitives.
Genre
I. Sensations corporelles. Genre II. Émotions men
Ier Ordre : Affections sensitives. Genre I. Sensations corporelles.
Genre
II. Émotions mentales. IIe Ordre : Opérations i
enre II. Émotions mentales. IIe Ordre : Opérations intellectuelles.
Genre
I. Percevoir. Genre II. Concevoir. Genre III. Cro
ntales. IIe Ordre : Opérations intellectuelles. Genre I. Percevoir.
Genre
II. Concevoir. Genre III. Croire (juger). Genre I
Opérations intellectuelles. Genre I. Percevoir. Genre II. Concevoir.
Genre
III. Croire (juger). Genre IV. Raisonner. IIIe
. Genre I. Percevoir. Genre II. Concevoir. Genre III. Croire (juger).
Genre
IV. Raisonner. IIIe Ordre. Volitions. Genre I.
re III. Croire (juger). Genre IV. Raisonner. IIIe Ordre. Volitions.
Genre
I. Relatives aux corps. Genre II. Relatives à l’e
IV. Raisonner. IIIe Ordre. Volitions. Genre I. Relatives aux corps.
Genre
II. Relatives à l’esprit. Nous ne le suivrons p
êche ? Les transactions commerciales de toute sorte attestent un même
genre
de confiance. Un marchand tire sur son banquier u
, ont à compter avec lui. Tous sont importunés de cet idéal de chaque
genre
que leur présente Boileau, et de cet autre idéal
de cet autre idéal d’une langue parfaite, d’obligation pour tous les
genres
, sans laquelle il ne s’écrit rien de durable. De
la grandeur de l’esprit français ; car n’est-ce pas dans l’intérêt du
genre
humain qu’il s’en est imposé les difficultés redo
tous ces ouvrages en vers ? Le langage du temps les divisait en deux
genres
: le galant et le soutenu. Le soutenu comprenait
a faveur de Henri IV, de Richelieu et de Louis XIV, n’ont pu faire un
genre
durable. C’est le détail de tous ces Amours, que
liçaient. Les petites pièces courtisanesques rentraient aussi dans ce
genre
; c’étaient des billets en vers, des demandes de
. Il y était précédé par la renommée d’éclatants succès dans tous les
genres
de poésie connus, sauf l’épopée et le poème drama
s de poésie connus, sauf l’épopée et le poème dramatique, et dans des
genres
sans nom dont il était à la fois l’inventeur et l
dans la nouveauté selon les règles de l’épopée, et le meilleur en son
genre
qui sortira jamais en public81 ! » Plus tard il m
aiblesses de Malherbe pour la mode italo-hispanique donne une idée du
genre
de poésie auquel Boileau allait avoir affaire. Le
nt de poésies de toutes sortes, depuis celles qui portent des noms de
genres
, jusqu’à ces jeux d’esprit, sans nom et sans nomb
épigrammes aux poètes à la mode, qu’avait portés, disait-il, vers le
genre
nouveau « un calcul qui leur a réussi ; car, dans
difficilement, d’après la nouvelle discipline, pouvait s’en tenir au
genre
facile et aimable, dans lequel il donnait quittan
t faite. » Je ne conteste pas la maxime qu’il ne faut disputer ni des
genres
ni des goûts. Il est pourtant certaines productio
res qui ont eu leur jour, et dont il est impossible de dire ni à quel
genre
elles appartiennent, ni quels goûts ont pu s’en a
it à corriger ; c’étaient comme autant d’armes appropriées à tous les
genres
de combat qu’il allait livrer. Parmi tant de gens
fait tous ses vices », il rappelle le temps où son esprit A tout le
genre
humain sut faire le procès, Et s’attaqua lui-même
ue le travers secret de certains poètes, ou qu’il continuât d’être un
genre
à la mode qu’on pouvait cultiver sans s’en cacher
nt que des manières diverses d’appliquer la raison à la diversité des
genres
, et de rechercher le vrai qui convient à chacun.
Est-elle assujettie à quelque système, ou circonscrite à de certains
genres
d’écrire ? Lequel a-t-elle exclu ? Boileau a-t-il
-elle exclu ? Boileau a-t-il seulement exprimé une préférence pour le
genre
dans lequel il excellait ? Quelle est la poésie s
nds cœurs donnez quelques faiblesses, Si l’on regarde la variété des
genres
, Boileau en a-t-il borné le nombre, lui qui admet
des genres, Boileau en a-t-il borné le nombre, lui qui admet quelques
genres
morts avec le vieil esprit gaulois ? Le rondeau,
hardiesses où son esprit ne pouvait s’élever. A la vérité, invention,
genres
, style, il veut que tout se subordonne à la raiso
rtu ? Ces principes de la raison et du vrai, Boileau les applique aux
genres
dont les règles particulières ne sont que les con
les règles particulières ne sont que les conditions imposées à chaque
genre
pour être conforme à la raison. Boileau n’a raffi
é, que les convenances mêmes de notre esprit. Quand le poète mêle les
genres
et confond leurs limites, il fait pis que violer
s l’écrivain qui veut lui faire cette violence. La raison pour chaque
genre
, consiste à se conformer à la disposition d’espri
tion. On l’a si bien senti, qu’il est d’usage de dire : la vérité des
genres
. Or, qu’entend-on par là, sinon la conformité de
érité des genres. Or, qu’entend-on par là, sinon la conformité de ces
genres
, ou de la manière dont ils sont traités, avec la
est pas marqué de cette ressemblance, je le juge hors de la vérité du
genre
. Qu’on me donne à lire une ode, je m’attends à qu
e ou qui les confond. Boileau n’entre pas dans cette métaphysique des
genres
: ce n’était ni dans son plan, ni propice aux dév
Mais quiconque n’interprète pas de cette façon ses préceptes sur les
genres
, les vives descriptions qu’il en fait et les limi
devant la raison plaider contre la rime125 . Une irréflexion du même
genre
a fait blâmer ce vers qui termine l’excellente de
eur de Boileau a voulu le justifier par une raison de chronologie. Le
genre
, du sonnet, remarque-t-il, étant encore très popu
sentir, par un exemple si vif, le prix de la perfection dans tous les
genres
; ensuite, pour n’avoir pas omis le genre du sonn
a perfection dans tous les genres ; ensuite, pour n’avoir pas omis le
genre
du sonnet. C’est la discipline assurée, sans rien
ties de l’art. Chacun donnait, ou son sentiment, comme auteur, sur le
genre
qu’il cultivait, ou son jugement, comme lecteur,
sur le genre qu’il cultivait, ou son jugement, comme lecteur, sur les
genres
que traitaient ses amis. Molière et Racine révéla
ateur de toutes choses, La Fontaine, indiquait le délicat de tous les
genres
; Boileau ramenait tout à la raison et au vrai. L
de direction et d’objet qui leur fit chercher et atteindre, dans les
genres
très divers où chacun d’eux est le premier, la pe
itique désintéressée de Cotin. La neuvième satire, le chef-d’œuvre du
genre
, fait définitivement passer tous les rieurs du cô
d’autant plus mal les fonctions, qu’il se connaissait peu propre à ce
genre
de travail. C’est le temps de ses plus belles épî
sieurs endroits de ses ouvrages. Ici il le nomme parmi les modèles du
genre
satirique ; là il le loue d’avoir connu le mieux,
herbe, il se range à des règles qu’il n’approuve pas, et il traite un
genre
sans le porter à sa perfection. Si, au contraire,
perfection l’art d’écrire en vers et donné des modèles dans tous les
genres
qu’il a traités. Cet empire dont j’ai parlé tout
imer dans la satire, dans le poème didactique et dans l’épître, trois
genres
si unis quoique si différents. Le vrai qui fait v
C’est ce qui m’explique pourquoi tous les esprits excellents en tous
genres
dans notre pays sont d’accord sur Boileau, et com
du talent poétique au dix-huitième siècle : ce sont des défis du même
genre
qui nous ont valu des poèmes sur le trictrac et s
diamants avec des grains de verre. On trouve plus d’un diamant de ce
genre
dans Boileau, et quelquefois, la matière n’y vaut
, et surtout par ses satires. Il se peut dire que c’est en ce dernier
genre
qu’il a excellé, quoique ce fût un des meilleurs
itre XIV. De la plaisanterie anglaise On peut distinguer différents
genres
de plaisanterie dans la littérature de tous les p
que l’assentiment général doit se réunir sur les chefs-d’œuvre en ce
genre
comme sur tous les autres. La gaieté, qu’on doit
nt, sans mesure comme sans vraisemblance, des immoralités de tous les
genres
. Ces tableaux sont sans conséquence pour une nati
tre l’une ou l’autre, pour obtenir les succès du talent dans ces deux
genres
. Or la disposition commune à la plupart des Angla
binaisons avec lesquelles on produit de la gaieté ; et, dans tous les
genres
, les efforts de la pensée vont très loin, quoiqu’
ndom, mais surtout les ouvrages de Sterne, donnent l’idée complète du
genre
appelé humour. Il y a de la morosité, je dirais p
de son auteur51. Les Anglais ont très rarement admis sur la scène le
genre
d’esprit qu’ils nomment humour ; son effet ne ser
mitation sied particulièrement mal aux Anglais ; leurs essais dans le
genre
de grâce et de gaieté qui caractérise la littérat
ts de notre Foi. 85. M. Harris, dans son Hermès, a remarqué que le
genre
masculin, attribué à la mort par Milton, forme ic
k his dart, une partie du sublime disparaissait. La mort est aussi du
genre
masculin en grec, θάνατος. Racine même la fait de
t aussi du genre masculin en grec, θάνατος. Racine même la fait de ce
genre
dans notre langue, La mort est le seul Dieu que
nt d’ignorer que la mort, death en anglais, pouvait être à volonté du
genre
masculin, féminin ou neutre ? car on lui peut app
t its. Voltaire n’est pas plus heureux sur le mot sin, péché, dont le
genre
féminin le scandalise. Pourquoi ne se fâchait-il
, qui sont (ainsi qu’en latin et en vieux français) si bizarrement du
genre
féminin ? En général, tout ce qui a étendue, capa
loi. De là Milton a pu et dû, en personnifiant le péché, le faire du
genre
féminin. 86. Nous empruntons la traduction de
prix tout poète met à ses vers. Quand on juge les ouvrages d’un autre
genre
, on a affaire aux recherches d’un auteur, à ses r
rien laisser d’intact dans les traditions du passé, tous les anciens
genres
se poursuivent et trouvent encore des disciples e
t de l’aborder, s’est rendu compte de toutes les objections contre le
genre
, et en a pesé les difficultés. La fable fleurit,
crire sur la fable et les fabulistes en 1852. De même pour les autres
genres
. Et, par exemple, on chante encore au Caveau : la
hez qui la chanson prend bien des formes, M. Louis Festeau. Ainsi les
genres
ne meurent pas ; ils peuvent s’éclipser, se laiss
en présente, des cadres et des points d’appui tout préparés. Dans les
genres
qui se rapportent plus particulièrement aux tenta
e du Carmel. Ce sont des vers aimables et bien nés. Un des plus vieux
genres
restaurés par l’école moderne, le sonnet, a produ
e cinquantaine de sonnets qui attestent le commerce des maîtres en ce
genre
. Mais M. Évariste Boulay-Paty, en publiant avec l
ec amour et avec une curiosité infinie, tient aujourd’hui la palme du
genre
. Dans un tableau complet de la poésie en 1852, il
et de forts jolis, je vous jure. Un des plus habiles ciseleurs en ce
genre
est M. Auguste Desplaces, auteur d’un recueil int
orporelle et de la matière vivante ; c’est le luxe et la floraison du
genre
porté au dernier degré de l’épanouissement. Dans
’accent particulier et qui distingue. On adopte de propos délibéré un
genre
, on en outre tout, et l’on n’est qu’imitateur et
t (j’en demande bien pardon au jeune auteur) le ton, les formes et le
genre
de boutades de Mardoche. M. Paul Deltuf, dans des
u théâtre. M. Barthet, par son Moineau de Lesbie, y a réussi. Dans un
genre
plus uni et plus simple, j’aime aussi à noter une
le poème d’atteindre tout son objet ; et l’objet de tout poème de ce
genre
est de faire aimer ce qu’on chante. Aujourd’hui,
x qui, dans les langues anciennes ou dans la nôtre, ont écrit dans le
genre
de l’éloge. Les langues italienne, espagnole, ang
nglaise et allemande, ne nous offrent presque rien de célèbre dans ce
genre
. En Italie, on a une foule de panégyriques de car
pour son pays, qui développe les talents et crée les efforts en tout
genre
. Chez un peuple qui n’est pas libre, ou ne l’est
re pays, une révérence ou un geste de plus. En Espagne, on connaît le
genre
des oraisons funèbres, mais nous ne connaissons p
is nous ne connaissons point d’orateurs qui s’y soient distingués. Ce
genre
serait né en Allemagne, s’il n’avait point été in
, poète, faisait des lis, et gagnait des batailles. En Angleterre, le
genre
des éloges est peu connu ; la constitution même,
titution même, qui partout dirige la pente des esprits, s’oppose à ce
genre
de littérature. Comme tous les pouvoirs y sont ba
res panégyriques en vers. Leurs fameux poètes se sont exercés dans ce
genre
. Dryden en a consacré un à une Anglaise célèbre p
suprême avait versées dans ton âme ; oh ! regarde en pitié ce faible
genre
humain que tu viens de quitter ; élève l’esprit d
tte un devoir ; elle rend ce qu’elle doit à la vertu, à la patrie, au
genre
humain, à la nature immortelle et souveraine qui
s de cet éloge ; on y trouvera cette teinte de poésie qui convient au
genre
, et encore plus à un peuple à peine civilisé, où
? Ne croirait-il pas ou que son absence a duré des siècles, ou que le
genre
humain s’est réuni pour créer en si peu d’années
Appendices I. — M. Benedetto Croce et les
genres
littéraires Sans avoir jamais vu M. Benedetto
aire. La guerre à outrance que M. Croce a déclarée à la théorie des «
genres
littéraires » est une conséquence logique de son
firmation de l’activité humaine. La poésie est la langue naturelle du
genre
humain ; les premiers hommes furent, de par la na
la science, l’individuel à l’universel. Ainsi s’explique l’erreur des
genres
littéraires, « che ancora corre nei trattati e pe
ne del sentimento da quella delle cose 41. » Dès lors les « lois des
genres
» ne sont plus qu’une illusion des théoriciens ;
t Brunetière a commis une lourde erreur en étudiant « l’évolution des
genres
». — Ailleurs (Estetica, p. 507 ss.) M. Croce rac
e de la technique, des limites prescrites aux différents arts, et des
genres
littéraires. Je crains qu’il n’ait pris trop au s
e. J’insiste sur la forme adéquate ; elle nous mènera au problème des
genres
littéraires. Évidemment, il n’y a qu’une façon de
plète. Restreignons-nous à la littérature. Pour prouver l’inanité des
genres
littéraires, M. Croce demande très plaisamment qu
utres distinctions, « plus raffinées, d’aspect plus philosophique » :
genre
subjectif et genre objectif, lyrisme et épopée, œ
« plus raffinées, d’aspect plus philosophique » : genre subjectif et
genre
objectif, lyrisme et épopée, œuvres de sentiment
même ici, dans cette espèce de corollaire ajouté à la réfutation des
genres
« vie domestique, chevalerie, idylle », etc., les
n n’a-t-il pas vu lui-même la différence profonde qu’il y a entre les
genres
lyrique, épique, dramatique d’une part, et la vie
ciens se sont plu à inventer, pour telles créations personnelles, des
genres
et sous-genres nouveaux, si enfin on s’est habitu
enres nouveaux, si enfin on s’est habitué à confondre les sujets, les
genres
et les formes les uns avec les autres, ce sont là
ien contre l’idée que je défends ici. On comprend que L’Évolution des
genres
de Brunetière ait souvent exaspéré M. Croce. Ce s
les interprète autrement que lui. Son erreur a été de croire que les
genres
sont en quelque sorte des êtres doués d’une vie p
êtres doués d’une vie propre ; il a voulu montrer « la façon dont un
genre
naît, grandit, atteint sa perfection, décline, et
outit à un procédé purement mécanique, parce qu’il n’a pas vu que les
genres
ne vivent que par les individus, ou, plus exactem
genres ne vivent que par les individus, ou, plus exactement : que les
genres
ne sont que la manifestation littéraire des princ
chaque individualité est une combinaison particulière, unique en son
genre
et passagère, de certains éléments généraux et du
artiste D’Annunzio a le droit de refaire la Bible, pourvu que, en son
genre
, il fasse une œuvre d’égale valeur artistique. —
re très inférieure au sobre récit de Matthieu. Un autre exemple, d’un
genre
différent : au milieu des atrocités, souvent sadi
se répète trop souvent. — On dira : Qu’importe votre distinction des
genres
, si l’œuvre est belle ? — La beauté de certains f
ne au succès bruyant et éphémère. III. — La tragédie, une forme du
genre
dramatique En parlant des conventions du théâ
son cas est exceptionnel. De nos jours on a vu quelques essais de ce
genre
; pourquoi pas ? Quand le sujet s’y prête, et qua
oques ? — Et les principes directeurs offrent une probabilité du même
genre
: le christianisme, qui fut un élément essentiel
ire littéraire de la France, 1911, p. 1 et s.). 45. L’Évolution des
genres
, p. 13. Et notez que le « genre » dont il s’agit
, p. 1 et s.). 45. L’Évolution des genres, p. 13. Et notez que le «
genre
» dont il s’agit ici est la Tragédie, laquelle, s
’agit ici est la Tragédie, laquelle, selon moi, n’est qu’une forme du
genre
dramatique. 46. « Un homme de lettres italien. M
i une confirmation aux idées que j’ai développées sur l’évolution des
genres
; je garde cet exemple, et bien d’autres encore,
. Tous les individus de la même espèce, et toutes les espèces du même
genre
ou même les groupes encore plus élevés doivent pr
accidentels de transport. À l’égard des espèces distinctes d’un même
genre
, qui habitent des régions isolées et très distant
rrait trouver dans la grande extension de certaines espèces d’un même
genre
est en quelque chose amoindrie. Comme, d’après la
r nous avons des motifs de croire que seulement quelques espèces d’un
genre
subissent des changements, tandis que les autres
variétés de la même espèce, et grave encore entre les espèces du même
genre
; mais la lutte peut exister souvent entre des êt
e comment il se fait que, dans toute région où plusieurs espèces d’un
genre
ont été produites et où elles florissent actuelle
e des espèces à l’état naissant. De plus, les espèces des plus grands
genres
, qui contiennent le plus grand nombre de variétés
nt les unes des autres par de moindres différences que les espèces de
genres
moins nombreux. Les espèces étroitement alliées d
enres moins nombreux. Les espèces étroitement alliées des plus grands
genres
paraissent aussi plus limitées dans leur extensio
qu’aux différences plus grandes qui caractérisent les espèces du même
genre
. Des variétés nouvelles et plus parfaites supplan
de rayures sur les épaules et sur les jambes de plusieurs espèces du
genre
Cheval ou de leurs hybrides ? Combien, au contrai
tères spécifiques, c’est-à-dire ceux par lesquels les espèces du même
genre
différent les unes des autres, seraient-ils plus
e fleur serait-elle plus sujette à varier dans certaines espèces d’un
genre
, si les autres, qu’on suppose avoir été créées sé
ent, ont des fleurs de couleurs diverses, que sitoutes les espèces du
genre
n’ont que des fleurs de même couleur ? Si les esp
gane développé d’une manière anormale chez une espèce quelconque d’un
genre
et conséquemment de grande importance pour cette
omme inaccoutumée de modifications depuis que les diverses espèces du
genre
se sont séparées de leur ancêtre commun ; et nous
ter des effets d’une longue habitude. Si toutes les espèces d’un même
genre
sont descendues d’un même parent et ont hérité be
autre côté, des espèces nouvelles et particulières de Chauves-Souris,
genre
au contraire doué de la faculté de traverser les
ent comment il se fait que les affinités mutuelles des espèces et des
genres
de chaque classe soient si complexes et si tortue
depuis peu la croyance qu’une multitude d’espèces admises dans chaque
genre
ne sont pas de vraies espèces, mais que d’autres
. En somme, nous aurons à traiter les espèces, comme sont traités les
genres
par ceux d’entre les naturalistes qui les regarde
us de la même espèce, et toutes les espèces alliées de la plupart des
genres
, sont descendus d’un commun ancêtre à une époque
organisés nous montre que le plus grand nombre des espèces de chaque
genre
n’ont laissé aucun descendant, mais se sont entiè
duire les embranchements, puis les classes, puis les ordres, puis les
genres
, comme les fibres ligneuses d’un même arbre, d’ab
i déterminées par les lois de la nature elles-mêmes sont au moins les
genres
de nos systématistes actuels, et que les groupes
apparence des poètes de ce temps-là ne rêve jamais. La rêverie, comme
genre
, est inconnue au dix-septième siècle. Il s’en gli
re des temps modernes, et certainement de notre pays. Unique dans son
genre
, en France comme en Europe, il n’a point excité d
cette popularité. Il y en a de plus sensibles pour tout le monde : le
genre
même de la fable, la forme que La Fontaine lui a
dre. Je ne ferai point de dissertation sur la fable. A regarder ce
genre
trop en savant, on se jette, comme Lessing, dans
nna naissance à l’apologue ; je me borne à remarquer qu’on a goûté ce
genre
dans des pays et dans des temps fort divers, et q
fort divers, et que de toutes les conventions littéraires qu’on nomme
genres
, il n’en est aucune dont s’accommode un plus gran
utes ces propriétés à la fable, nous avons involontairement en vue le
genre
tel que La Fontaine l’a traité. Cependant Ésope,
la Fontaine que par l’orthographe. L’art de développer un sujet ou un
genre
par son propre fonds leur était inconnu. Les anim
Esope et Phèdre, avaient plutôt indiqué qu’exploité les richesses du
genre
. Les propriétés des animaux, les ressemblances de
taine est un théâtre où nous voyons représentés en raccourci tous les
genres
de drame, depuis les plus élevés, la comédie et l
et si en passant, qu’on est tenté de le prendre pour une des lois du
genre
. Tel est le privilège du génie ; la physionomie m
e personne, l’humeur, l’abandon, y paraissent armant de conditions du
genre
. A des formes si variées l’uniformité d’un mètre
attentifs. Les autres poètes, soit dessein, soit par la loi de leurs
genres
, semblent vouloir exciter l’attention ou la tenir
domine plus en paraissant nous obéir. Il est vrai qu’il n’y a pas de
genre
d’ouvrage qui s’accommode mieux que la fable à no
profit ne s’y annonce pas, il s’y glisse sous le plaisir. Les autres
genres
nous tendent plus ou moins l’esprit ; c’est même
éranger. Est-ce bien de la fable que je parle, ou de La Fontaine ? Le
genre
et le poète se confondent. Quand je crois analyse
aine ? Le genre et le poète se confondent. Quand je crois analyser le
genre
, c’est le poète que je contemple. § IV. De la
mplement qui instruit sans rien prescrire. Pour La Fontaine, tous les
genres
lui sont bons ; il est friand de toutes lectures
des préceptes d’Horace sur les genres90. Enfin, averti que c’était au
genre
même qu’on en voulait, et que plus il était confo
stitions auxquelles ils se sont livrés, ont arrêté parmi eux tous les
genres
de progrès aimables ou sérieux ; et l’esprit pare
il fallait qu’il fortifiât son autorité sur les nobles par un certain
genre
de flatterie pour la noblesse. L’arbitraire dans
lsion des vertus publiques, dans les monarchies la cour influe sur le
genre
d’esprit de la nation, parce qu’on veut imiter gé
qu’aux femmes : ce sont toutes les passions des hommes et tous leurs
genres
de vanité qu’il faut savoir ménager, lorsque la c
gie des actions ; mais elle développait dans l’esprit des Français un
genre
de perspicacité singulièrement remarquable. Leurs
s lui quelques autres comiques, sont des hommes supérieurs, dans leur
genre
, à tous les écrivains des autres nations. Les Fra
la monarchie laissait à la plupart des hommes distingués en tous les
genres
, était nécessairement très favorable au perfectio
seulement permis, mais souvent utile, une nation doit atteindre en ce
genre
à ce qu’il peut y avoir de plus parfait. On ne ve
rement enivré de son sujet qui va hors de mesure et qui chancelle. Ce
genre
de critique de détail me plaît peu ; mais comment
de Désaugiers à ceux qui ne l’ont qu’entrevu ? Comment, dans un autre
genre
, vous raconter Romieu, le pâle et sérieux visage
nu, on arrive à se faire une idée fort juste de sa personne et de son
genre
d’originalité. Né à Paris en 1709, d’un père proc
apital dans la biographie de Collé, et il s’accommoda longtemps de ce
genre
de vie. Lors même qu’il y eut renoncé, il garda t
ettres, Duclos, n’eût point entendu de cette oreille et eût trouvé ce
genre
de grâce au-dessous de son caractère. Duclos se f
d’eux ses dieux et ne se considérant que comme leur écolier dans son
genre
, il manqua de bonne heure à Collé l’ambition du t
qu’il pouvait mieux et plus pour qu’il s’avisât de s’élever jusqu’au
genre
de proverbes et de petites comédies où il a excel
s cet ouvrage qui vise à être une pièce de caractère et dans le grand
genre
, on ne reconnaît plus que faiblement le joyeux Co
hefs-d’œuvre qui ont quelques traits de commun, des ornements du même
genre
légèrement portés. Collé, d’ailleurs, dégoûté pas
é, dans les situations un piquant et un osé qui font de ce tableau de
genre
un des témoins historiques et moraux du XVIIIe si
ns le vin, c’est mieux qu’un conte de Crébillon fils : c’est dans son
genre
, La Farce de Patelin du XVIIIe siècle. Tout bibli
il et le cœur aux choses nationales, n’a garde de se confiner dans le
genre
érotique et bachique, la chanson de Collé ne fait
emi de l’anglomanie, de la musique italienne, des innovations en tout
genre
, ennemi des dévots et des Jésuites, il ne pouvait
éperditions de toute espèce et des infirmités et maladies de tous les
genres
à attendre : belle perspective ! Dieu eût dû mett
ette prétendue amertume de Collé, et sur les autres imputations de ce
genre
auxquelles la publication de son Journal avait do
pas, dans la suite, des motifs de conduite, en d’autres termes, si le
genre
de lectures ne modifie pas le caractère ; on pour
littératures, l’analyste se sera mis en possession d’un type moyen du
genre
qu’il examine, — nous prendrons pour exemple le r
es plus pathétiques, à user des modulations les plus plaintives ; les
genres
les plus élevés dans l’estime publique sont les g
aintives ; les genres les plus élevés dans l’estime publique sont les
genres
tragiques ; les plus grandes œuvres que l’art hum
ensemble de moyens d’expression extérieurs, identiques dans tous les
genres
, employés par tous les écrivains, et d’une série
vons dit, le dehors, la forme d’un roman et de tous, et ne tient à ce
genre
, au sujet, aux spectacles, aux idées qui en forme
ions notamment qu’on a coutume d’y introduire, n’appartiennent pas au
genre
. L’émotion produite par un roman dépend du décor
de l’œuvre. Il est facile d’appliquer ces moyens d’analyse à tous les
genres
et aux autres arts. Le récit historique, l’épopée
tions esthétiques. En étendant ce point de vue à toutes les œuvres du
genre
didactique, il conviendra de considérer le plus a
on que de son Voyage aux Pyrénées ou de ses Notes sur Paris. Reste le
genre
poétique par excellence, le genre lyrique. Ici l’
ou de ses Notes sur Paris. Reste le genre poétique par excellence, le
genre
lyrique. Ici l’examen des effets émotionnels deme
mployés, soit par ce qu’ils expriment, tout ce que nous avons dit des
genres
littéraires sera facilement adapté à la peinture,
. Appliquée à un grand nombre de monuments de chaque art et de chaque
genre
, l’analyse artistique telle que nous la concevons
comprend au même titre le roman feuilleton et le roman d’analyse, les
genres
supérieurs et bas ; elle s’applique aussi bien à
ins hommes la vue ou l’audition d’une œuvre d’art qui lui répugne. Le
genre
d’émotion que ressent un classique à propos d’un
la carrière est devenue d’autant plus dangereuse, que la plupart des
genres
de poésie semblent successivement passer de mode.
avons mise plus à son aise en lui permettant la prose ; c’est le seul
genre
de talent que nous ayons craint de décourager. Ce
avec justice, parce qu’il est ou qu’il passe pour le créateur de son
genre
: mais dans un petit genre tel que le sien, où ce
est ou qu’il passe pour le créateur de son genre : mais dans un petit
genre
tel que le sien, où celui qui invente, épuise, l’
que ce langage est inventé depuis près de trois mille ans, et que le
genre
d’idées qu’il renferme est devenu fastidieux. En
ils en font justice sous un autre nom. Il en est de même de plusieurs
genres
de poésie. Le genre pastoral, par exemple, peut e
ous un autre nom. Il en est de même de plusieurs genres de poésie. Le
genre
pastoral, par exemple, peut encore nous plaire su
les danses. Mais dépouillé de ces ornements, et réduit à lui-même, ce
genre
est devenu bien froid sur le papier. Théocrite, V
se refroidissant sur l’églogue, semble-t-il se refroidir aussi sur le
genre
le plus opposé au bucolique, sur le genre de l’od
l se refroidir aussi sur le genre le plus opposé au bucolique, sur le
genre
de l’ode ? Le même dégoût pour les peintures et l
maintenant, pour certaines époques caractéristiques et pour quelques
genres
littéraires, les influences et les modes auxquels
nt un certain nombre d’ouvrages qui, par les nécessités mêmes de leur
genre
, doivent échapper à toute bizarrerie, et ne préte
e Fontaines et qu’il appela Conseils à un ami. Mais il est surtout un
genre
dans lequel cette fantaisie des titres s’était to
tard, on n’a plus qu’une véritable déformation, une caricature de ce
genre
. Sainte Thérèse avait d’ailleurs montré la voie a
bés galants et dont deux portent des noms tout à fait réussis dans ce
genre
: la Tabatière spirituelle pour faire éternuer le
ue ce furent de simples parodies. D’ailleurs, vers la même époque, du
genre
mystique et religieux, cette habitude de prendre
tres s’introduisit dans la littérature lorsque, au xviiie siècle, un
genre
qui, jusque-là, n’avait eu qu’un développement mé
érature du temps prouve une extraordinaire sensibilité. Les titres du
genre
larmoyant en portent la marque. C’est Laurence St
lias le Bibliophile Jacob — réussissait particulièrement bien dans ce
genre
: la Danse macabre, histoire fantastique du xve
ue je ne sache pas que l’on ait alors même rien fait de mieux dans ce
genre
que l’Âme noire du Prieur blanc, de notre contemp
elon les époques et les mœurs, mais reflètent toujours fidèlement les
genres
et les habitudes littéraires. Quand nous voyons c
entaire collige les conversations que lui a tenues un homme célèbre —
genre
toujours pratiqué depuis Platon pour Socrate et E
’auteur s’est trouvé insensiblement engagé à en composer dans le même
genre
un plus grand nombre qu’il n’avait projeté d’abor
valeur de ces études, presque toutes dirigées sur des contemporains,
genre
de critique qu’on est assez porté dans le monde l
s avantages compensaient les gênes nombreuses et les inconvénients du
genre
. Quand on étudie quelque grand écrivain ou poète
and ne se perd dans la mémoire des hommes. » On m’a souvent opposé ce
genre
de raisons sévères, et ce que je viens de dire y
s celle de Hœlly par Voss ; je ne parle pas des autres ouvrages en ce
genre
plus considérables. Mais dans ces charmants écrit
cuse et m’a du moins été un dédommagement pour les inconvénients d’un
genre
qui touche à tant de sensibilités vivantes ; car
je suis loin, selon toute apparence, d’avoir terminé. Décidément, ce
genre
de Portraits que l’occasion m’a suggéré, et dont
e ; sous le second, à l’éloquence des passions. C’est dans le premier
genre
, c’est par la description animée des objets extér
loppe et s’étend chaque jour à des objets nouveaux. Les siècles en ce
genre
sont héritiers des siècles ; les générations part
de même de la poésie, elle peut atteindre du premier jet à un certain
genre
de beautés qui ne seront point surpassées, et tan
vilisation : la jeunesse du poète ne peut suppléer en tout à celle du
genre
humain ; il faut que ceux qui écoutent les chants
d’eux, consacraient l’élégance et la beauté des formes dans tous les
genres
de tableaux. Cette même religion était aussi d’un
iales simplifiées par le commerce, ne peuvent se peindre en vers d’un
genre
élevé. Rien n’est moins poétique que la plupart d
qu’ils le peignaient, est une maladie, un sort jeté par les dieux, un
genre
de délire, qui ne suppose aucune qualité morale d
national d’Athènes ont influé sur le rapide développement de tous les
genres
de littérature. On ne saurait nier que la législa
en eux le goût des arts et des belles-lettres. Il vaut mieux pour le
genre
humain que les lumières soient généralement répan
ûts et ses habitudes. Il aimait la liberté, comme assurant à tous les
genres
de plaisirs la plus grande indépendance ; mais il
peut attribuer quelques-uns des caractères de la poésie des Grecs au
genre
de succès que se proposaient leurs poètes. Leurs
ne révolution dans les lettres, et donner aux règles du goût, en tout
genre
, la plus grande latitude. Rien n’est plus contrai
de toutes les distinctions sociales. On voulait cependant établir un
genre
d’égalité ; c’était celle qui met extérieurement
ent encore à cette avilissante gaieté. Ces esprits forts d’un nouveau
genre
se vantent de leur honte, et se croient d’autant
s’agrandissent ; mais par un bizarre contraste, c’est surtout dans le
genre
licencieux et frivole qu’on a voulu profiter de l
laisanterie. Dans un pays où subsistera l’égalité politique, tous les
genres
de mérite seront admis, et il n’existera point un
licat, à la nuance fine et juste, qui seule donne aux écrits, dans le
genre
léger, cette grâce de convenance et ce mérite de
viennent encore du temps passé, toutes les tentatives nouvelles en ce
genre
corrompent le goût littéraire en France, et nous
acrés ne retiendraient plus. D’ailleurs il faut, pour réussir dans ce
genre
dangereux, qui réunit la grâce des formes à la dé
e temps fera disparaître les hommes qui sont encore des modèles en ce
genre
, et l’on finira par en perdre le souvenir ; car i
elle. Il faut renoncer à tout ce qui ne peut s’apprendre que par tel
genre
de vie, et non par des combinaisons générales, qu
par tel genre de vie, et non par des combinaisons générales, quand ce
genre
de vie n’existe plus. Un homme d’esprit disait :
onnelles, il faut se préserver avec bien plus de scrupule de tous les
genres
de fautes. Si l’on porte la moindre atteinte à sa
es la considération dont ils ont dispersé tous les éléments. Un autre
genre
d’impolitesse peut caractériser encore les hommes
oileau immole, ce sont les maîtres de la littérature précieuse, leurs
genres
et leur goût : les froides épopées avec Chapelain
histoire littéraire, l’étude du développement des littératures et des
genres
, l’examen des conditions et des milieux, qui dans
sulte nécessairement de ce rigorisme dogmatique. Boileau a séparé les
genres
avec trop de précision. On est revenu aujourd’hui
de lui reprocher des omissions : dans son Art poétique, il parle des
genres
poétiques, de ceux où le vers est essentiel, et q
t-il de la Fable ? il l’omet comme le conte, comme l’épître, comme le
genre
didactique, qui tous peuvent se traiter également
tudes poétiques sont spécialisées pour l’un ou l’autre des principaux
genres
: on est épique, ou élégiaque, ou dramatique. Si
naturel, sans le déformer, de l’esprit du lecteur. Puis il passe aux
genres
: les genres, subdivisions des arts, sont comme e
s le déformer, de l’esprit du lecteur. Puis il passe aux genres : les
genres
, subdivisions des arts, sont comme eux des conven
tères naturels pour en mettre quelques-uns en lumière. Les règles des
genres
se tirent de leurs définitions ; et l’imitation d
imitation de la nature se détermine, en sa manière, par les règles du
genre
que l’auteur élit. Chez les anciens, les genres s
ère, par les règles du genre que l’auteur élit. Chez les anciens, les
genres
se distinguaient par la forme, par le mètre : che
orie ancienne et l’idée moderne. Boileau définit un certain nombre de
genres
fixes, où la couleur, l’impression peuvent varier
semble avoir la dévotion d’un précieux, ou d’un Parnassien. D’autres
genres
, surtout les grands genres, sont définis par le c
’un précieux, ou d’un Parnassien. D’autres genres, surtout les grands
genres
, sont définis par le caractère intellectuel et se
coupe en actes, qu’il ne se donne pas la peine d’indiquer. Les grands
genres
, où Boileau s’arrête en son 3e chant, sont l’épop
es gains de la littérature française au dix-huitième siècle. Dans les
genres
qui semblent plus particulièrement les facultés d
à cette méprise du dix-huitième. Ses prescriptions ne touchent qu’aux
genres
et aux soins de la langue. Elle ne dit rien de l’
dans Balzac, qui font l’orateur. L’Art poétique enseigne au poète les
genres
et leurs conditions, comme des limites où il l’en
it-là ne regarde en face ni lui ni les autres. Je ne m’informe pas du
genre
de ses fautes ; le moins qu’il ait été, c’est un
seraient des satires, si les satiriques ne réclamaient. L’épître, ce
genre
aimable, où le poète, devenu moins chatouilleux s
t entière, mais assez pour qu’elle ne soit pas à autre chose. Dans le
genre
familier, l’Ode à une veuve, quoique bien dure po
i trace l’Art poétique, et qu’elle nous est apparue non comme le seul
genre
« ou le poète soit poète de profession36 », mais
lqu’un lui eût dit qu’en écrivant une épopée il s’était donné le même
genre
de tort que Chapelain, et qu’au jugement des conn
vers, n’est-ce pas pour préparer le public à une transaction du même
genre
au profit de ses tragédies ? Qu’il y ait dans la
ses interprètes. Dès qu’il descend des hauteurs de l’épopée dans des
genres
où non seulement il ne messied pas à la personne
nuire à autrui pour avoir tout leur talent ? Non : c’est la faute du
genre
, et un peu la faute de Chapelain et de Fréron. Da
on ne se rappelle rien de meilleur et l’on ne regrette rien. C’est un
genre
charmant, et Voltaire en est le modèle. Que dire
es modèles antiques le guidèrent où le poussait son instinct, dans ce
genre
si difficile, surtout en France, où l’amour est s
confondre avec la galanterie. L’idylle et l’élégie existaient, comme
genres
, avant André Chénier ; mais c’est à lui que nous
leurs poésies que l’archaïsme de leur langue. Pour l’élégie, dont le
genre
était si cultivé au dix-huitième siècle, en est-i
. La théorie du drame romantique : abolition des unités ; mélange des
genres
. Histoire et symbole : disparition de la psycholo
dre Dumas (11 février 1829). « Je ne me déclarerai pas fondateur d’un
genre
, parce que, effectivement, je n’ai rien fondé. MM
resserré de la catastrophe d’une intrigue ». Plus de distinction des
genres
: « des scènes paisibles sans drame, dit Vigny, m
ais il n’y a pas grand’chose en tout cela de nouveau : le mélange des
genres
, des styles, nous connaissons cela par Diderot et
d’une pièce : souvenez-vous seulement de Beaumarchais. Il y a même un
genre
qui réalise toutes les conditions requises par le
par sa prose tour à tour triviale ou boursouflée, par le mélange des
genres
, par les sujets modernes ou exotiques, par l’expl
héorie du drame romantique un double caractère : 1° les barrières des
genres
dramatiques sont retirées ; tragédie, comédie, dr
édie, comédie, drame, tout se mêle ; 2° les barrières qui séparent le
genre
dramatique des autres genres, sont abattues aussi
e mêle ; 2° les barrières qui séparent le genre dramatique des autres
genres
, sont abattues aussi ; et l’épique, le lyrique, l
ra le drame philosophique, un autre le spectacle historique. Tous les
genres
reparaîtront, en vertu de leur essentielle distin
l a inventé, ou exploité plus qu’on n’avait fait avant lui un certain
genre
de pathétique : celui qui naît d’une angoisse phy
es types et des situations. Sous le premier empire, le grand homme du
genre
est Picard809 qui dessine avec quelque verve d’as
édie Française retiennent cette forme ; l’œuvre la plus célèbre en ce
genre
est l’École des vieillards de C. Delavigne (1823)
ntique ; qui veut s’en assurer lira les comédies de Mme Ancelot. A ce
genre
se rattachent, dans l’œuvre de Dumas et de Scribe
de C. Delavigne Don Juan d’Autriche (1835) est un compromis entre ce
genre
et le drame romantique : c’est un mélange de scèn
s les Saltimbanques (1830) de Dumersan et Varin, autre type fameux du
genre
.
s la Bible, il donne de beaux modèles d’éloquence religieuse, dans un
genre
auquel le siècle classique devra un de ses chefs-
laquelle il a droit. Je ne m’arrêterai pas aux controversistes : leur
genre
aura plus tard des chefs-d’œuvre, il n’en est qu’
é du sens commun et de la vérité moyenne. Il consacre le triomphe des
genres
antiques, l’élargissement de la langue, et ferme
point pâlir. Ces rapprochements disent la valeur de Régnier. Dans ce
genre
de la satire, qu’il a préféré aux stances, aux od
poésie, et, par l’autre, la philosophie et la théologie resteront des
genres
littéraires. Sous la pression des tristesses mora
ale de la Renaissance est passée dans les faits : la substitution des
genres
gréco-romains aux vieux genres français est défin
e dans les faits : la substitution des genres gréco-romains aux vieux
genres
français est définitivement acquise, et notre lit
âge, va se relier à l’antiquité. Alors se déterminent la plupart des
genres
et des formes importantes de notre art classique.
be règle ce qui peut subsister de lyrisme. Dans la prose, deux grands
genres
se laissent discerner : le discours moral et l’él
ci s’attache le roman. En revanche nous assistons à l’avortement d’un
genre
qui fut considérable dans l’antiquité : c’est l’h
’une masse de documents, qui rejette les esprits littéraires vers les
genres
où l’invention est plus libre, vers l’observation
e et de l’homme. Deux œuvres mettent alors en lumière l’avortement du
genre
historique : d’abord l’admirable corps d’Histoire
e, ne s’insinuera dans notre littérature que sous la forme d’un autre
genre
et comme incidemment. Elle sera utilisée par la t
oires personnels et des Dissertations érudites. Il est curieux que ce
genre
tout impersonnel de l’histoire ne devait arriver
écrivain. Les peuples libres ont un esprit de propriété pour tous les
genres
de gloire qui illustrent leur patrie ; et ce sent
te espèce de critique. Il y a dans Shakespeare des beautés du premier
genre
, et de tous les pays comme de tous les temps, des
s l’Italie, les pays où elles arrivèrent ensuite imitèrent d’abord le
genre
italien. Le Nord a été plus vite affranchi que la
genre italien. Le Nord a été plus vite affranchi que la France de ce
genre
recherché, dont on aperçoit des traces dans les a
o et Juliette ; mais comme le poète anglais se relève de ce misérable
genre
! comme il sait imprimer son âme du Nord à la pei
l’ai déjà dit, une désagréable impression sur les hommes de goût. Le
genre
noble veut des nuances ; mais des oppositions tro
e plus atroce encore. Cependant qu’y a-t-il de plus difficile dans le
genre
noble, de plus voisin du ridicule, que l’imitatio
’est pas la pensée, ce sont les sens, qui se refusent à l’effet de ce
genre
d’imitation. Enfin l’un des plus grands défauts d
oètes anglais, Addison excepté, ont fait des tragédies toutes dans le
genre
de Shakespeare ; et son génie a presque trouvé so
ec la plaisanterie française : ses études ne le conduisaient pas à ce
genre
d’observations ; il aurait pu encore moins, par d
la guerre, il embrasse dans un même désir sa conservation et celle du
genre
humain. Dans toutes ces circonstances, l’homme es
uverné, à l’insu des hommes, et souvent malgré eux, la grande cité du
genre
humain. Quoique ce monde ait été créé particulièr
n qu’elle se propose, laquelle fin n’est autre que la conservation du
genre
humain ? Voulons-nous que ces preuves deviennent
a enseigné également à toutes les nations, savoir : le sens commun du
genre
humain, déterminé par la convenance nécessaire de
nvenance qui fait toute la beauté du monde social). C’est pourquoi le
genre
de preuve sur lequel nous nous appuyons principal
se gouvernèrent par la certitude de l’autorité, par le sens commun du
genre
humain (critérium de notre Critique métaphysique)
t établi leurs principes de justice sur la certitude de l’autorité du
genre
humain, et non sur l’autorité des hommes déjà écl
ium est la maxime suivante : ce que l’universalité ou la pluralité du
genre
humain sent être juste, doit servir de règle dans
critique ont enfanté de censures contre lui. Ses succès dans quelques
genres
, lui ont procuré des suffrages qu’il ne méritoit
, la Tragédie, la Comédie, l'Opéra, l'Ode, la Poésie légere, tous les
genres
de Poésie ont été de son ressort. Dans la Prose :
. de Voltaire, en s'efforçant de prouver qu'elle ne comportoit pas ce
genre
d'ornement. Quand les raisons qu'on apporte, sero
oésie, que la Henriade entiere, moins approchante de l'Epopée, que du
genre
historique. Pourquoi les admirateurs du Chantre d
ng, après ces deux Peres de la Tragédie ; on sait qu'il s'est fait un
genre
qui paroît lui être propre : mais les Esprits jud
sprits judicieux & éclairés savent en même temps qu'il ne doit ce
genre
qu'aux Tragiques qui l'avoient précédé, sans en e
ritiques, qu'il n'est alternativement que leur Copiste, sans avoir de
genre
qui lui soit véritablement particulier. Quoi qu'i
pu se concilier les suffrages du Public. On convient que l'esprit du
genre
comique lui est totalement inconnu ; qu'il n'a pr
mp; des Rousseau, avec aussi peu de succès dans l'un que dans l'autre
genre
. Ses Drames lyriques sont de la plus pauvre inven
je ne m'appercevois pas que le mien n'est point fait du tout pour le
genre
lyrique ». Quant à ses Odes, il suffit de les li
baisser, après avoir fait de vains efforts pour les suivre. Le seul
genre
où il est véritablement incomparable, est celui q
tingue, à travers les prestiges du pinceau qui les enlumine, tous les
genres
altérés ; l’illusion, substituée à la vérité ; le
tres titres pour la faire sentir. Nous ne parlerons pas du Tableau du
Genre
humain, de l’Histoire du Parlement, de la Philoso
ores qu’il consigne à la Renommée, pour préconiser son mérite en tout
genre
. S’il s'est prodigué les éloges, il n’a pas négli
u : que si la gloire du génie n'appartient qu'à ceux qui ont porté un
genre
à sa perfection, il est déjà décidé qu'il ne l'ob
de sa fausse raison ! Entraîné par l'amour de la gloire à tous les
genres
, &, par une vive sensibilité, à toutes les pa
on l'eût vu le modèle & le défenseur des vrais principes, en tout
genre
, si l'intérêt de sa vanité eût pu s'accorder avec
erait avec raison les premiers le sens, les seconds l’intelligence du
genre
humain. On peut dire de l’espèce ce qu’Aristote d
s choses les meilleures sont celles qui concernent le bien de tout le
genre
humain ; les premières s’appellent divines, les s
a-t-elle été appelée divinité. Nous verrons dans la suite que dans ce
genre
de sagesse, les sages furent les poètes théologie
fut attribuée aux hommes célèbres pour avoir donné des avis utiles au
genre
humain ; tels furent les sept sages de la Grèce.
ouvelle pourra devenir une histoire des idées, coutumes et actions du
genre
humain. De cette triple source nous verrons sorti
équence la métaphysique doit essentiellement travailler au bonheur du
genre
humain dont la conservation tient au sentiment un
un paysan d’Athènes ; et l’histoire de ce paysan est presque celle du
genre
humain. Dans un pays où l’on est plus frappé d’un
loges, pour venir à ceux de Fontenelle ; sa grande célébrité, dans ce
genre
, est aussi méritée que connue. On a de lui près d
e ou de faiblesse. On a beaucoup parlé de l’esprit de Fontenelle ; ce
genre
d’esprit ne paraît nulle part autant que dans ses
trui, est une flatterie adroite pour son lecteur. Je sais bien que ce
genre
d’esprit a trouvé des critiques ; mais sans l’exc
ontenelle que ces beautés fines et délicates. On en trouve aussi d’un
genre
plus relevé, et faites pour contenter le goût le
eux qui, du temps de Fontenelle, ou après lui, ont écrit dans le même
genre
; ce détail serait immense, et peu utile. Si le p
gens de lettres et des savants, sans parler encore d’un ouvrage de ce
genre
, qui porte à la fois l’empreinte d’une imaginatio
s, ce qu’ils n’ont pas senti ; ceux-là goûtent des beautés d’un autre
genre
. Plus heureux cependant, ceux qui ont reçu de la
est écrit, il a paru des éloges d’un mérite distingué dans différents
genres
, et justement accueillis du public. Nous n’en par
rts poétiques, fut et reste encore le plus sublime des poètes dans le
genre
le plus sublime, dans le genre héroïque ; et la t
ore le plus sublime des poètes dans le genre le plus sublime, dans le
genre
héroïque ; et la tragédie qui naquit après fut to
admire dans ses ouvrages l’incomparable vérité, se rapportèrent à ces
genres
créés par l’imagination (generi fantastici), dont
s qu’on pouvait y rapporter, en considérant chaque caractère comme un
genre
. Au caractère d’Achille, dont la peinture est le
uple encore stupide, pour qu’il les rangeât dans l’un ou dans l’autre
genre
. Ces deux caractères, ouvrages d’une nation tout
L’imitation, l’émulation et l’industrie étant partout au comble, les
genres
et les manières qui pouvaient sembler les plus ré
ittérature entière est déclassée. Il n’est donc rien de tel en chaque
genre
, pour se sauver et triompher décidément, que l’es
as qui veut. Non pas que je prétende, en faisant fi de la dignité des
genres
, que tous reviennent au même pour l’homme d’espri
omédie semi-sentimentale du Gymnase, où il est proprement créateur de
genre
; 3° la comédie française en cinq actes enfin, à
courait encore à la légère et non dénaturé ; la démarcation même des
genres
l’avait sauvé dans son humble liberté sans préten
uelle il faut compter pourtant M. Saintine, un homme qui, en bien des
genres
, a fait preuve d’un vrai talent. Mais déjà, à tra
offrir à lui pour l’éprouver ; entre la grande et haute comédie et un
genre
sans brodequins et moins littéraire, il n’eut pas
trait beaucoup moins strict qu’on ne l’a vu depuis sur la dignité des
genres
. On se retranchait moins habituellement dans l’an
y a contre tout homme de talent au moment où il change de lieu et de
genre
; on commence par lui dire non. Vers le même temp
ion, monde depuis fort dérangé. Le moment d’entière fraîcheur pour le
genre
ne dura que tant que Madame donna au théâtre son
n nom. On dira, et on l’a dit, qu’il n’y a rien de littéraire dans le
genre
, qu’il ne saurait y avoir rien de sérieusement vr
J. Janin, a semblé depuis quel-temps déclarer une guerre si vive à ce
genre
de comédie, que c’est pour elle encore un succès.
des intrigues improvisées ? Pas d’hypocrisie ; parlons franc. En tout
genre
, les personnages célèbres morts ne sont-ils pas d
es d’éclipser même la haute comédie. Sachons gré à M. Scribe, dans le
genre
qui lui appartient et qu’il augmente, de s’en êtr
du dernier lien du bon sens, du dernier fil de la réalité. Lorsque le
genre
que l’on choisit autorise tout, voyons ! on est b
elle poésie du monde moderne ! En d’autres termes, sans être dans son
genre
un lord Byron, Erckmann-Chatrian a-t-il senti la
e dans les nouveaux Contes, — quand il aura passé sur les tableaux de
genre
, pour lesquels il nous semble fait, l’ombre enfum
me ce frénétique, sombre et froid d’Edgar Poe ; comment ce peintre de
genre
littéraire, attendri souvent malgré sa gaîté, et
qu’il fallait renouveler, comme Edgar Poe, quand on ose toucher à ce
genre
de fantastique ; La Montre du Doyen, qui n’est qu
ble subtil tel qu’on le rencontre dans les maîtres du fantastique, ce
genre
d’horrible impondérable qui vous donne la sensati
des paysages allemands vus par la fenêtre d’un cabaret, ce peintre de
genre
encore trop heurté de couleur et qui attend comme
, comme le souvenir est lui-même, par essence, une connaissance de ce
genre
, puisqu’il n’a plus d’objet, on ne peut trouver e
us percevons, et l’inconscient joue dans les deux cas un rôle du même
genre
. Mais nous éprouvons beaucoup de peine à nous rep
dant de près, on verrait que nos souvenirs forment une chaîne du même
genre
, et que notre caractère, toujours présent à toute
mmeil, naturel ou artificiel, provoque justement un détachement de ce
genre
. On nous montrait récemment dans le sommeil une i
l’individu qui la limitait, devient, par là même, représentative d’un
genre
. Au lieu de considérer chaque genre comme compren
par là même, représentative d’un genre. Au lieu de considérer chaque
genre
comme comprenant en acte, une multiplicité d’obje
utant de qualités qu’il retiendrait prisonnières, une multiplicité de
genres
. Mais la question est précisément de savoir si de
ndividuelles comme elles l’étaient d’abord, et si, pour les ériger en
genres
, une nouvelle démarche de l’esprit n’est pas néce
partons de la perception d’objets individuels. La première compose le
genre
par une énumération ; la seconde le dégage par un
ales est un raffinement de l’intelligence. La conception parfaite des
genres
est sans doute le propre de la pensée humaine ; e
débutions ni par la perception de l’individu ni par la conception du
genre
, mais par une connaissance intermédiaire, par un
s (nous n’allons pas jusqu’à dire : pensées comme des qualités ou des
genres
), sont les seules données immédiates de sa percep
tion par laquelle se dégagent les ressemblances et se constituent les
genres
? Mais nous ne rejetons rien dans l’inconscient,
que l’acide démêle entre les espèces les traits caractéristiques d’un
genre
? Or, il n’y a pas de différence essentielle entr
nt et de la mémoire, la perception des individus et la conception des
genres
, — la mémoire greffant des distinctions sur les r
ontant de la sphère des mouvements vers celle de la pensée. Mais, des
genres
ainsi esquissés mécaniquement par l’habitude, nou
de réflexion accompli sur cette opération même, à l’idée générale du
genre
; et une fois cette idée constituée, nous avons c
elle il discerne des individus, l’autre par laquelle il construit des
genres
, exigent le même effort et progressent avec une é
at mental antérieur, c’est incontestable ; mais une affirmation de ce
genre
ne nous renseigne pas sur le mécanisme de l’assoc
parent deux images, on trouvera toujours, en remontant assez haut, un
genre
commun auquel elles appartiennent, et par conséqu
rme d’habitude motrice, pour la faire servir à des situations du même
genre
. Transportons-nous maintenant, d’un seul bond, à
t bien que ces lois existent, et qu’il y a des rapports stables de ce
genre
. Nous savons, par exemple, quand nous lisons un r
uons-le en passant : si l’on refuse d’attribuer quelque attente de ce
genre
aux souvenirs récents, et même relativement éloig
eint, ce sont les régions sensorielles et motrices correspondant à ce
genre
de perception, et surtout les annexes qui permett
éer quand on trouve un modèle d’accord avec ses idées habituelles. Le
genre
humain s’applique de préférence à perfectionner,
histoire, un esprit républicain ; mais pour analyser avec justesse le
genre
distinctif de ces trois époques, il faut examiner
ère plus lente et plus mesurée, fixe davantage l’intérêt sur tous les
genres
d’avenir : les lumières philosophiques sont néces
nation ; et néanmoins Térence conservait dans ces sujets étrangers le
genre
de décence et de mesure qu’exige la dignité de l’
s, par des systèmes extraordinaires, par d’inutiles sophismes, par un
genre
de vie bizarrement philosophique23. Ce qui pouvai
ports entre les idées, et qu’ils approfondissaient davantage tous les
genres
de réflexion. Leurs progrès dans les idées philos
, et que les efforts individuels tendent tous à perfectionner un seul
genre
, au lieu de se diriger vers celui pour lequel cha
l’un des beaux-arts que cultivait ce peuple, enthousiaste de tous les
genres
de célébrité. À Rome, la philosophie avait été ad
i prætextas, vel qui docuere togatas. Nos poètes n’ont laissé aucun
genre
sans l’avoir essayé ; et ils ont mérité beaucoup
races des Grecs, et célébrer des événements domestiques, soit dans le
genre
tragique, soit dans la comédie. Je ne sais à qu
oit dans le genre tragique, soit dans la comédie. Je ne sais à quel
genre
d’ouvrage ni à quelle époque de la littérature la
eilles une exception à la règle générale ; mais une observation de ce
genre
se fonde sur un très grand nombre d’exemples ; et
Chapitre IV Le roman Le développement du
genre
au xviiie siècle. — 1. Lesage ; son caractère. L
e Héloïse. Le roman à la fin du xviiie siècle. Le roman est le seul
genre
d’art qui soit en progrès au xviiie siècle. Les
i avait toujours eu la faveur des gens du monde, devînt un des grands
genres
. L’élément proprement romanesque, la particularit
s et satiriques : entre les deux se trouvait le roman vrai. Partie du
genre
héroïque, Mme de la Fayette achemina le roman ver
ans de nouvelles aventures, dans un monde plus relevé : le tableau de
genre
s’agrandit en tableau d’histoire. Gil Blas devien
Lesage est un réaliste, uni des grands artistes que nous ayons en ce
genre
. Il est exquis de vérité pittoresque, en peignant
r aux intérêts de sa propagande. Pour gagner les gens du monde, aucun
genre
ne convenait mieux. La recette du roman philosoph
que. On peut dire que Montesquieu dans ses Lettres persanes a créé le
genre
. L’Orient, Turquie, Perse, Inde, Chine, deviendra
œuvre et le système du philosophe. Mais, au point de vue seulement du
genre
et de la forme d’art, la Nouvelle Héloïse est con
par là Rousseau découvre à ses successeurs une puissance nouvelle du
genre
. Sous l’influence de Rousseau, à qui on laissera
s de M. d’Artagnan, d’où sont sortis les Trois mousquetaires. Au même
genre
doivent se rapporter les Mémoires de la comtesse
traduits, ou imités, ou inspirés de l’espagnol, et divers recueils de
genres
très mêlés. En 1743, il se retira à Boulogne-sur-
quelques caractères individuels de tous les autres phénomènes du même
genre
, incapable par conséquent de bien représenter ce
able par conséquent de bien représenter ce qu’ils ont de commun ou le
genre
tout entier. Retranchez d’un son la hauteur, l’in
tifs sont les qualités qui se rencontrent le plus fréquemment dans le
genre
, c’est-à-dire des qualités particulières, hétérog
st-à-dire des qualités particulières, hétérogènes aux qualités que le
genre
n’exclut pas, mais admet plus rarement. La chose
nouis, et les roses flétries. Mais, dira-t-on, les individus, dans un
genre
, sont plus ou moins typiques, plus ou moins génér
, plus ou moins génériques ; il y en a qui caractérisent nettement le
genre
; d’autres sont attachés au genre par un lien moi
en a qui caractérisent nettement le genre ; d’autres sont attachés au
genre
par un lien moins étroit ; les premiers sont le g
ont attachés au genre par un lien moins étroit ; les premiers sont le
genre
proprement dit, sans épithète ; les autres font p
nt le genre proprement dit, sans épithète ; les autres font partie du
genre
sous la réserve d’un caractère spécifique qui leu
caractère spécifique qui leur est propre et grâce auquel ils sont un
genre
dans un genre, une espèce originale. Le genre ros
cifique qui leur est propre et grâce auquel ils sont un genre dans un
genre
, une espèce originale. Le genre rose, par exemple
râce auquel ils sont un genre dans un genre, une espèce originale. Le
genre
rose, par exemple, comprend les roses blanches et
retirer en partie ; on ne lui ouvre pas toutes grandes les portes du
genre
; on la fait entrer comme à regret, sous conditio
ement déterminative, elle est restrictive. Le sens commun conçoit les
genres
un peu autrement que ne fait l’histoire naturelle
our le psychologue et pour le sens commun, les espèces font partie du
genre
à des degrés divers, les unes plus les autres moi
plus les autres moins ; ces degrés disparaissent si l’on envisage les
genres
et les espèces du point de vue du naturaliste et
le représente un individu-type de cette variété, elle sera l’idéal du
genre
; une telle image, bien qu’éminemment individuell
lle image, bien qu’éminemment individuelle, sera le signe légitime du
genre
tout entier : car, dira-t-on, autour de l’individ
genre tout entier : car, dira-t-on, autour de l’individu parfait d’un
genre
donné se groupent naturellement dans l’esprit tou
l’humanité révèle par ses créations cette tendance à représenter les
genres
par des types individuels parfaits, et ce langage
ni un vieillard ; c’est un homme tel qu’après l’avoir classé dans le
genre
humain on ne peut être tenté de le parquer dans u
e genre humain on ne peut être tenté de le parquer dans un coin de ce
genre
au moyen d’une épithète restrictive. La beauté co
n son moyen, d’un homme ordinaire, d’une rose commune ; l’ensemble du
genre
, comprenant des individus plus ou moins semblable
l’image, est inégalement représenté par elle. Tout signe analogue au
genre
est inégalement analogue aux individus qui compos
ogue au genre est inégalement analogue aux individus qui composent le
genre
; les représentant inégalement, il représente mal
mposent le genre ; les représentant inégalement, il représente mal le
genre
tout entier. Tout au contraire, un signe conventi
alement dénué de tout rapport d’analogie avec chacun des individus du
genre
, les représente également, et, par suite, est pro
r suite, est propre à bien représenter leur ensemble, c’est-à-dire le
genre
, comme une unité intellectuelle. Les mots son, ho
ils n’ont pas de sympathie particulière pour telle ou telle partie du
genre
; chargés de le représenter tout entier, ils s’ac
iques appellent l’harmonie imitative. L’exemple le plus curieux en ce
genre
est peut-être le vers d’Homère : […]267 « la for
plus qu’un signe arbitraire, et il possède toutes les qualités de ce
genre
de signes ; ou bien il éveille, avec l’idée de l’
gitime du contenu d’une idée générale est double, avons-nous dit : un
genre
comprend des individus différents composés eux-mê
otal, alors l’idée n’est pas purement générale, elle est à la fois un
genre
et un exemple. L’inexactitude n’est pas moindre s
s images particulières deviennent pour lui les attributs constants du
genre
tout entier ? Illustrer par des exemples une erre
mal un roquet qui jappe et n’aboie pas ; désormais aucune variété du
genre
n’étant spécialement visée par le nom et n’attira
elle l’attention, ce qu’il y a de commun entre tous les individus du
genre
sans exception recevra, à chaque conscience de l’
individu ou une espèce, soit pour un des éléments empiriques dont le
genre
est composé. VI. Comment s’expriment d’elles-m
es langues ; entendons-nous par là un être physique individuel, ou le
genre
commun d’une série d’apparitions éphémères ? La p
idération des faits cités dans les deux notes qui précèdent. 296. Ce
genre
d’oubli n’est pas sans avoir été remarqué par que
ences peu connues successivement développées chez les espèces de même
genre
et de même origine121. Presque tous ceux qui ont
ngulier que, dans certaines espèces de Lobélies ou de quelques autres
genres
, il se rencontre des sujets qui peuvent beaucoup
l’égard de l’Hippéastrum avec ses sous-genres, et à l’égard d’autres
genres
encore, tels que les Lobélies, les Passiflores et
à la valeur de nos classifications systématiques, c’est-à-dire si les
genres
zoologiques sont aussi distincts les uns des autr
es genres zoologiques sont aussi distincts les uns des autres que nos
genres
botaniques, nous pouvons inférer des faits consta
), deux espèces si différentes qu’on les range généralement comme des
genres
. distincts, se sont souvent reproduits en nos con
éro absolu de la fécondité, le pollen des différentes espèces du même
genre
déposé sur le stigmate de l’une de ces espèces pr
. On voit même les deux cas opposés se présenter dans un seul et même
genre
: tel est, par exemple, le genre Dianthus (œillet
és se présenter dans un seul et même genre : tel est, par exemple, le
genre
Dianthus (œillet). La fécondité, soit des premier
avec la plus grande facilité. On peut trouver dans la même famille un
genre
, tel que les Dianthus, dont beaucoup d’espèces cr
Dianthus, dont beaucoup d’espèces croisent très aisément, et un autre
genre
, tel que les Silènes, dont les efforts les plus p
même entre les espèces les plus semblables. Dans les limites du même
genre
, on rencontre les mêmes différences. Ainsi, les d
nt peut-être donné lieu à de plus nombreux croisements que tout autre
genre
; mais Gærtner a trouvé que la N. acuminata, qui
remarquable à se croiser avec d’autres ; certaines espèces d’un même
genre
ont le don particulier de léguer leur ressemblanc
absolument dépendant des affinités systématiques. Quoique beaucoup de
genres
distincts dans la même famille aient été greffés
ent été greffés l’un sur l’autre, en d’autres cas des espèces du même
genre
se refusent à une semblable opération. La Poire p
p plus aisément greffée sur le Coing, généralement considéré comme un
genre
distinct, que sur la Pomme, qu’on regarde comme u
re distinct, que sur la Pomme, qu’on regarde comme une espèce du même
genre
. Même les diverses variétés de la Poire ne prenne
vie, sans que sa fécondité diminue ; et de même, certaine espèce d’un
genre
peut quelquefois produire des hybrides d’une féco
ture ; également nul ne peut dire, avant preuve, si deux espèces d’un
genre
produiront des hybrides et si ces hybrides seront
’à l’heure où nous sommes ce qui a été jusqu’à ce jour l’éclairage du
genre
humain pâlit, et que le vieux flamboiement va dis
rvéable, du prolétaire, du paria. Le bâillon casse entre les dents du
genre
humain. Le genre humain en a assez de la voie dou
taire, du paria. Le bâillon casse entre les dents du genre humain. Le
genre
humain en a assez de la voie douloureuse, et ce p
erminée. Ils ont été glorieux, certes, mais d’une gloire fondante. Ce
genre
de grands hommes est soluble au progrès. La civil
i s’appelle les finances. Longtemps on a ignoré le prix d’achat de ce
genre
de gloire. Il y avait, pour dissimuler le total,
, l’imbécillité. Ils ont une autre excuse encore : l’état cérébral du
genre
humain lui-même au moment où ils apparaissent ; l
uer les crises climatériques de la civilisation, et faisant monter le
genre
humain par des échelons de dates niaises, docte e
s de Virgile et Tacite au-dessus de Bossuet, c’est que, la veille, le
genre
humain aura été délivré ; c’est que toutes les fo
st. Joseph de Maistre l’ajoute, divinement, au roi. En Angleterre, ce
genre
d’histoire s’appelle l’histoire « loyale ». L’ari
paye, le peuple ne paye point. Voilà à peu près tout le secret de ce
genre
d’histoire. Elle a, elle aussi, son tarif d’indul
anienbaum ? Pas d’autre question. Il n’y a rien d’intéressant pour le
genre
humain hors de ces dix ou douze maisons, dont l’h
ra le revers. Urbain VIII sera l’envers de Galilée. Le vrai profil du
genre
humain reparaîtra sur les différentes épreuves de
où se prendre. Il ne sera plus réduit à se faire des questions de ce
genre
: Pourquoi, à la même minute, vénère-t-on dans Lo
osés poseront bien la conscience. Une bonne lumière viendra, douce au
genre
humain, sereine, équitable. Nulle interposition d
yer du mot là où la chose est rassurante. La même loi qui veut que le
genre
humain n’ait pas de propriétaires, veut qu’il ait
sent tentés de la faire irrégulière, en se flattant d’obtenir pour le
genre
romantique, en faveur de sa nouveauté, des permis
eautés naturelles. Si nous avons jamais le bonheur de réunir nos deux
genres
de spectacle en un seul, nous serons aussi avancé
e. Par leurs chefs-d’œuvre, par l’influence de ceux de Molière sur un
genre
si voisin du sien, et par les immortelles leçons
let du machiniste. Ces transfigurations appartiennent à un tout autre
genre
de spectacle. Il n’est pas dans mes conditions de
positions les plus longues et les plus pénibles ? précisément dans le
genre
romantique. Celle du Walstein de Schiller est une
ucoup d’égards, on en peut dire autant d’Alzire. Goethe aussi, car le
genre
romantique n’a point encore de théorie constante,
arterre français, excitera plus vivement son attention. C’est même un
genre
d’effet dont la tragédie a peut-être besoin ; il
sser l’échafaud ou la potence sur le théâtre ; c’est la perfection du
genre
. Mais quels sont donc, je vous prie, vos spectate
et Jane Shore. Je demanderai seulement si, en passant de l’un de ces
genres
à l’autre, on ne transporte pas dans le plus hard
e nombre de leurs heureux essais ou même de leurs chefs-d’œuvre en ce
genre
, ne l’ont point, à beaucoup près, épuisé. Ce n’es
p d’œil, pourrons-nous assigner les différences qui séparent les deux
genres
? D’une part, l’enfance de l’art ; de l’autre, la
trine plus commode et plus féconde, et de cesser enfin de cultiver un
genre
épuisé par tant de productions célèbres. Quoi ! l
hysique et morale , c’est à elle aussi que nous devons, dans tous les
genres
d’écrire et dans tous les arts, les chefs-d’œuvre
stote, on a dû abjurer en même temps ses principes de littérature. Le
genre
romantique est si vague de sa nature, que nous ne
al, l’auteur qui écrit avec le plus d’esprit et de grâce en faveur du
genre
romantique, ne nous apprend point d’où il vient,
dire le mot romanesque ; il s’applique à des histoires fabuleuses du
genre
de celles qu’on écrivait, au moyen âge, dans les
n qui pouvait être, dans ces Mémoires, charmant ou puissant, selon le
genre
d’esprit de l’auteur, s’il avait pénétré tout ce
les Mémoires d’une femme de chambre, c’est-à-dire de la femelle de ce
genre
d’animal dont on a dit le mot resté proverbe : «
ances démocratiques les plus vives aux esprits qui sont friands de ce
genre
de jouissances… Il n’y avait que dans un pareil l
ait au moins un esprit hardi, pénétrant, riche en expériences de tout
genre
, amères ou bouffonnes, consommé dans l’observatio
pituite du petit alinéa et il le crachotte. Son livre n’a pas même le
genre
d’esprit qui dit : « Je me moque de tout, pourvu
romanesque que j’ai laissé là, de dégoût, mais le roman lui-même, le
genre
de roman introduit en ces Mémoires, et qui n’est
s, il faut le dire, beaucoup plus propre que le pamphlet ! V Ce
genre
de roman est, en effet, la déjection dernière de
de chambre : d’abord le pamphlet qui s’y est embusqué, et ensuite le
genre
même du roman qu’on a voulu écrire. Mais le roman
ux lyriques furent ceux qu’on appelait melici, ceux qui écrivirent ce
genre
de vers que nous appelons arie per musica ; le pr
appelons arie per musica ; le prince de ces lyriques est Pindare. Ce
genre
de vers dut venir après l’iambique, qui lui-même,
l’époque de la plus haute splendeur de Rome ; et chez les Italiens ce
genre
de poésie n’a été connu qu’à l’époque où les mœur
. Dans la satire dramatique, on voyait paraître, selon Horace, divers
genres
de personnages, héros et dieux, rois et artisans,
Aussi a-t-on lieu de conjecturer que la tragédie a tiré son nom de ce
genre
de déguisement, plutôt que du bouc Τράγος, qu’on
réellement la littérature française de l’époque actuelle ? Par quels
genres
de compositions se fait-elle surtout remarquer ?
tre gloire littéraire dans les époques précédentes, et quels sont les
genres
où nos hommes de génie ont excellé. Or, c’est pré
aine, le plus poète de tous, avec ses fables et ses contes. Voilà des
genres
de poésies dans lesquels trois grands hommes ont
ure à toutes les littératures anciennes et modernes dans trois autres
genres
, et fort heureusement pour les poètes du siècle a
es genres, et fort heureusement pour les poètes du siècle actuel, ces
genres
sont : l’Épique, le Lyrique et l’Élégiaque, c’est
ttératures puisent comme dans un fleuve, a cherché sa gloire dans les
genres
qui n’en découlent pas nécessairement, et a pris
avec quelle habileté ces trois jeunes poètes ont approprié ces trois
genres
aux besoins et aux exigences du siècle ! M. Alfre
se de la hauteur de leur talent que parce qu’ils l’ont appliqué à des
genres
dont notre langue n’offrait point d’exemples ou d
ublier : il n’a fait que des chansons, qu’importe ! il n’y a point de
genres
secondaires pour un talent du premier ordre. M. B
plusieurs autres poètes qui cultivent avec un juste succès les quatre
genres
que nous venons de citer ; mais ceux d’entre eux
; certes, nous avons des écrivains distingués qui traitent encore des
genres
si admirablement traités par nos grands maîtres,
hui, sont à cent lieues de ce que nos hommes de génie faisaient en ce
genre
il y a cent ans. Ils ont tort quand ils ne convie
supériorité relative et absolue de notre siècle, dans tous les autres
genres
. Ils ont raison quand ils veulent que nos anciens
et beaucoup mieux qu’on ne sent. Or, la poésie n’est pas seulement un
genre
de littérature, elle est aussi un art, par son ha
Enfin, toute la belle et large prose de M. Victor Hugo, dans tous les
genres
, et ce grand roman historique de Cinq-Mars, qui e
emble, il nous a fallu avouer son évidente infériorité dans les hauts
genres
de poésie, qui n’ont été réellement cultivés que
acteurs tragiques, il ne peut espérer de vogue que par l’attrait d’un
genre
et d’un système de pièces entièrement neufs sur n
Viennent ensuite des ballades de mon invention et des poésies de tout
genre
et de toute dimension, depuis l’ode jusqu’au rond
raconter. Le défaut de Beyle comme romancier est de n’être venu à ce
genre
de composition que par la critique, et d’après ce
ourage d’aller la cueillir sur les bords d’un précipice affreux. » Ce
genre
brigand et ce genre romain est bien saisi dans L’
eillir sur les bords d’un précipice affreux. » Ce genre brigand et ce
genre
romain est bien saisi dans L’Abbesse de Castro ;
se de Castro ; cependant on sent que, littérairement, cela devient un
genre
comme un autre, et qu’il n’en faut pas abuser. Da
ngt balles chacun », tant on avait peur de manquer le maître. Dans le
genre
plus classique de Didon et d’Ariane, dans les rom
licates, les nuances de sentiment ; quand on a poussé à bout l’un des
genres
, on passe volontiers à l’autre pour se remettre e
donné à quelques personnes la plus grande idée de son talent dans ce
genre
. Le début est plein de grâce et d’un vrai charme.
à sa manière, du marivaudage italien. L’affectation et la grimace du
genre
se marquent de plus en plus en avançant. Au sorti
naturellement, ce me semble, en fait de compositions romanesques, au
genre
français, ou du moins à un genre qui soit large e
fait de compositions romanesques, au genre français, ou du moins à un
genre
qui soit large et plein dans sa veine ; on demand
oser à rester en chemin par bien des œuvres incomplètes. Beyle eut ce
genre
de courage. En 1825, il y avait une école ultra-c
s ces pistes qui s’entrecroisent, peut-être l’homme de talent dans le
genre
trouvera la sienne. Plusieurs écrivains dans ces
Je n’ai parlé que du théâtre ; mais c’est que le théâtre est le seul
genre
de littérature auquel puissent être appliqués des
urs années. L’épopée et le roman, l’ode et la satire, tous les autres
genres
, n’ont pas un pareil choix à faire ; ils n’ont pa
éraire, n’est autre chose qu’une question dramatique. Tous les autres
genres
ont sans doute participé à cette révolution, mais
i les mêmes excuses que le romantisme teutonique. Les partisans de ce
genre
s’appuient sur une haute considération morale et
adversaires l’emploi des formes antiques ? Nous avons vu que, dans le
genre
dramatique, ils les adoptent eux-mêmes, et nous n
ls les adoptent eux-mêmes, et nous ne voyons pas que, dans les autres
genres
, ils en aient imaginé de nouvelles. Les blâment-i
bourgeois de Londres sous la reine Élisabeth. En conclurai-je que le
genre
romantique est plus essentiellement faux dans ses
re romantique est plus essentiellement faux dans ses peintures que le
genre
classique ? non. Je dirai seulement aux partisans
e nouveaux moyens pour une fin nouvelle ; il ne l’a pas enrichie d’un
genre
ignoré jusqu’à lui ; et, dans les genres connus,
; il ne l’a pas enrichie d’un genre ignoré jusqu’à lui ; et, dans les
genres
connus, il n’a introduit aucun changement qui en
t d’une littérature arrivée au terme de son entier développement. Les
genres
ont été reconnus et fixés ; on ne peut en changer
dirigés par un heureux instinct, nos grands écrivains ont, en chaque
genre
, ouvert ou suivi le chemin qui conduit à la perfe
ercher maintenant dans les actions et dans les situations. Certes, ce
genre
de comique se rencontre assez facilement dans la
il fait tout sauter. Je ne sais si ce jouet est très ancien, mais le
genre
d’amusement qu’il renferme est certainement de to
pour l’arrêter net d’un coup de patte, se donne un amusement du même
genre
. Passons alors au théâtre. C’est par celui de Gui
jamais dire que ce qu’il pense, dût-il « rompre en visière à tout le
genre
humain », cela n’est pas nécessairement comique ;
ncore lorsque la bille, après des tours, détours, hésitations de tout
genre
, revient à son point de départ. En d’autres terme
elle belle-mère. Quand on songe à l’intensité et à la fréquence de ce
genre
de comique, on comprend qu’il ait frappé l’imagin
ose, cet aspect des événements humains qui imite, par sa raideur d’un
genre
tout particulier, le mécanisme pur et simple, l’a
sur le cours changeant de la vie. L’expérience nous présente déjà ce
genre
de comique, mais à l’état rudimentaire seulement.
e la situation se retourne et que les rôles soient intervertis. De ce
genre
est la double scène de sauvetage dans Le Voyage d
t une image que nous savons drôle. Elles viendront se classer dans un
genre
où figure un type de comique officiellement recon
antes que la fantaisie de Daudet ait tracées. Beaucoup d’incidents du
genre
héroï-comique se décomposeraient ainsi. La transp
dans l’exacte mesure où elle produit naturellement des effets du même
genre
, et par conséquent dans l’exacte mesure où elle s
e partie de notre étude. Mais nous devons d’abord analyser un certain
genre
de comique qui ressemble par bien des côtés à cel
dans le geste, les attitudes et même les traits de la physionomie. Ce
genre
de raideur s’observe-t-il aussi dans le langage ?
e l’image en choisissant une relation de parenté incompatible avec le
genre
des termes que cette parenté doit unir : vous aur
tre terrasse sous mes pipes ? » Mais il est inutile d’insister sur ce
genre
d’esprit. On en multiplierait trop aisément les e
forme très frappante. Elle a donné naissance au poème héroï-comique,
genre
un peu usé, sans doute, mais dont on retrouve les
ant ainsi la formule commerciale : « Votre honorée du 3 courant. » Ce
genre
de comique peut d’ailleurs atteindre une profonde
t de près le comique de situation et vient se perdre, avec ce dernier
genre
de comique lui-même, dans le comique de caractère
e prétendait engendrer. La métaphysique se livre à un travail du même
genre
, mais plus subtil et plus conscient de lui-même,
pour superposer à la vérité scientifique une connaissance d’un autre
genre
, qu’on pourra appeler métaphysique. Dès lors tout
e l’éparpillement de l’attention l’a décomposé. Une comparaison de ce
genre
fera comprendre, dans une certaine mesure, commen
eurs l’intelligence se découpe dans l’esprit par un processus du même
genre
, elle est accordée sur cet ordre et cette complic
t que la matérialité consiste précisément dans une interruption de ce
genre
. On comprendra ainsi que notre science soit conti
ée de désordre. Les deux formes opposées de l’ordre : le problème des
genres
et le problème des lois. Le désordre et les deux
rdre, et que ces deux ordres soient deux contraires au sein d’un même
genre
. Supposons aussi que l’idée de désordre surgisse
et de la variabilité des formes qu’elles prennent. L’ordre du second
genre
pourrait se définir par la géométrie, qui en est
es d’inertie, de passivité, d’automatisme. Quant à l’ordre du premier
genre
, il oseille sans doute autour de la finalité : on
dans la direction du volontaire. On pourrait donc dire que ce premier
genre
d’ordre est celui du vital ou du voulu, par oppos
ilité même. Mais c’est par exception seulement que l’ordre du premier
genre
revêt une forme aussi distincte. En général, il s
ts dans le même groupe, est à nos yeux le type même du générique, les
genres
inorganiques nous paraissant prendre les genres v
ême du générique, les genres inorganiques nous paraissant prendre les
genres
vivants pour modèle. Il se trouve ainsi que l’ord
l’existence de lois dans le domaine de la matière inerte et celle de
genres
dans le domaine de la vie. Que d’ailleurs cette c
ous paraît pas douteux. En effet, la généralité des lois et celle des
genres
étant désignées par le même mot, subsumées à la m
l’on se plaçait, la généralité des lois était expliquée par celle des
genres
, ou celle des genres par celles des lois. Des deu
énéralité des lois était expliquée par celle des genres, ou celle des
genres
par celles des lois. Des deux thèses ainsi défini
a nature se soumet à des lois, mais pourquoi elle s’ordonne selon des
genres
. L’idée de genre correspond surtout à une réalité
à des lois, mais pourquoi elle s’ordonne selon des genres. L’idée de
genre
correspond surtout à une réalité objective dans l
t un fait incontestable, l’hérédité. Il ne peut d’ailleurs y avoir de
genres
que là où il y a des objets individuels : or, si
corps dessine, c’est-à-dire, comme on l’a montré ailleurs 84, par les
genres
virtuels qui aspirent à se constituer : genres et
é ailleurs 84, par les genres virtuels qui aspirent à se constituer :
genres
et individus se déterminent donc ici l’un l’autre
les choses. Néanmoins, les anciens n’hésitèrent pas à mettre tous les
genres
sur le même rang, à leur attribuer la même existe
er la même existence absolue. La réalité devenant ainsi un système de
genres
, c’est à la généralité des genres (c’est-à-dire,
éalité devenant ainsi un système de genres, c’est à la généralité des
genres
(c’est-à-dire, en somme, à la généralité expressi
être vivant qui grandit, et à réaliser ainsi pleinement l’essence du
genre
pierre 86. Si cette conception de la loi physique
ivers physique exprimeraient des rapports de parenté réelle entre des
genres
réels. On sait quelle physique sortit de là, et c
es deux termes est interverti, que les lois ne sont plus ramenées aux
genres
, mais les genres aux lois, et que la science, sup
t interverti, que les lois ne sont plus ramenées aux genres, mais les
genres
aux lois, et que la science, supposée encore une
vec l’absolu. C’est un fait remarquable que l’éclipse du problème des
genres
dans la philosophie moderne. Notre théorie de la
issance roule à peu près exclusivement sur la question des lois : les
genres
devront trouver moyen de s’arranger avec les lois
d’une confusion arbitraire entre la généralité des lois et celle des
genres
. S’il faut une intelligence pour conditionner des
erme, l’expérience nous présentait aussi des termes indépendants, les
genres
vivants étant tout autre chose que des systèmes d
re, au second sens du mot, est parfait. Mais c’est l’ordre du premier
genre
que j’attends, l’ordre que met consciemment dans
ntingent, et ne pouvant plus l’être par rapport à un ordre d’un autre
genre
, je croirai nécessairement que l’ordre est contin
’en rechercher l’origine que d’en prévoir la fin. Une hypothèse de ce
genre
est aussi irréfutable qu’elle est indémontrable ;
née que l’entendement pratique, à un moment donné, dans un flux de ce
genre
, et ce qui est mystérieux quand on compare entre
processus simple, une action qui se fait à travers une action du même
genre
qui se défait, quelque chose comme le chemin que
faut tenir compte des régressions, des arrêts, des accidents de tout
genre
. Et il faut se rappeler, surtout, que chaque espè
nous ayons relevé leurs principaux caractères et les rapports de tout
genre
qui existent entre ces expressions de l’esprit na
ipe l’imitation des auteurs de la Grèce et de Rome ; il maintient les
genres
littéraires créés par eux ; il prescrit l’emploi
ment, suivons-y la veine aristocratique. Les mots de la langue et les
genres
littéraires sont divisés en nobles et en roturier
issent et peignent à merveille les gens des hautes classes ; tous les
genres
tenant à la vie du monde se développent ; la poés
la façon dont on conçoit alors l’histoire. Que rencontrons-nous en ce
genre
? Ou bien de vastes généralisations comme celle q
qui l’étaient vers 1650. Fontenelle continue, en le transformant, le
genre
précieux et galant prolongé par Benserade. Les sc
r le reste, faut-il classer les auteurs par groupes ou les œuvres par
genres
? Cela dépend. Il y a des époques qui ont respect
respecté avec un scrupule superstitieux ces cadres qu’on appelle des
genres
littéraires. Au temps de Boileau, par exemple, il
l semble que l’historien doive dans chaque époque, jeter en avant les
genres
qui ont alors le mieux réussi. C’est encore un mo
avoir droit aux deux premiers rangs, et ce rapprochement seul de deux
genres
qui se ressemblent si peu, qui sont même, à certa
politique aura son tour de primauté. Chaque époque a de la sorte son
genre
ou ses genres de prédilection qui révèlent sa nat
ra son tour de primauté. Chaque époque a de la sorte son genre ou ses
genres
de prédilection qui révèlent sa nature. Mais il y
vèlent sa nature. Mais il y a aussi des moments où la distinction des
genres
est presque entièrement abolie. Notre siècle a mê
z-vous donc aux principaux. Ceux qui se sont le plus distingués en ce
genre
sont M. M. Regnier Desmarais, Buffier, Girard, Re
Abbé Regnier fut le Jésuite Buffier, qui avoit composé un livre de ce
genre
. Sa Grammaire Françoise lue à plusieurs reprises
; mais il n’a rien oublié pour rendre son Dictionnaire complet en son
genre
, & pour qu’il fût imprimé correctement. Je te
e l’orthographe des différentes terminaisons des noms par rapport aux
genres
& aux nombres & des verbes par rapport au
ichi de notes critiques, & de remarques sur l’étymologie & le
genre
des mots, la conjugaison des verbes irréguliers,
s, qui n’ont pas eu les mêmes secours dans leur éducation, font en ce
genre
les fautes les plus grossieres. M. d’Olivet a ren
s & burlesques, la prononciation des mots les plus difficiles, le
genre
des noms, le régime des verbes avec les termes le
parut pour la premiere fois, c’étoit ce qu’on avoit vu de mieux en ce
genre
; mais nous avons aujourdhui des Dictionnaires &a
nce, à la poésie, & aux différens styles qu’exigent les différens
genres
d’écrire. On n’y trouve aucune regle pour la bonn
. Ce qui distingue ce grand ouvrage de tous ceux que nous avons en ce
genre
, c’est qu’il renferme généralement tous les mots
es bons écrivains ont publiées. Celui qui se signala le premier en ce
genre
fut Vaugelas, dont les Remarques sur la Langue fr
parler extravagantes, & quelquefois incompréhensibles. Ce nouveau
genre
de pédantisme a été poussé si loin qu’un livre, c
t avant la fin du XIIIme. siécle. Mais on n’eut rien de parfait en ce
genre
jusqu’en 1694. Ce fut cette année que parut le Di
aller plus loin, et dire que la conscience nous révèle entre ces deux
genres
de souvenir une différence profonde, une différen
t vouloir rêver. L’homme seul est peut-être capable d’un effort de ce
genre
. Encore le passé où nous remontons ainsi est-il g
’enregistrement, par la mémoire, de faits et d’images uniques en leur
genre
se poursuit à tous les moments de la durée. Mais
emble au processus déjà connu de l’habitude, on aime mieux pousser ce
genre
de souvenir au premier plan, l’ériger en souvenir
10, les sujets déclaraient précisément éprouver une impression de ce
genre
. On faisait apparaître à leurs yeux, pendant quel
e, ils sont amenés, bon gré mal gré, à supposer qu’un mécanisme de ce
genre
était dès le début au fond de l’image et que le c
enirs 20. À vrai dire, c’est dans des hypothèses physiologiques de ce
genre
que viennent se perdre, bon gré mal gré, toutes c
reconnaissait rien et n’arrivait pas à s’orienter. Des faits du même
genre
ont été observés par Fr. Müller 22 et Lissauer 23
ions sensibles ? Aucun observateur ne s’étant posé une question de ce
genre
, nous serions fort en peine d’y répondre si nous
s si ce sont précisément les habitudes ou lei ; correspondances de ce
genre
qui se dissolvent dans certaines formes de la céc
i renvoyant soit sa propre image, soit quelque image-souvenir du même
genre
. Si l’image retenue ou remémorée n’arrive pas à c
eu raison ; mais on n’a pas assez expliqué comment une analyse de ce
genre
est possible, ni par quel processus nous arrivons
la couleur et la vie. Reste à savoir comment un accompagnement de ce
genre
pourrait se produire, et s’il se produit toujours
6e formes de Lichtheim), qui paraissent impliquer une relation de ce
genre
. Ainsi, dans un cas observé par Lichtheim lui-mêm
réfléchisse pourtant aux étranges conséquences d’une hypothèse de ce
genre
. L’image auditive d’un mot n’est pas un objet aux
us parle de l’image auditive du mot comme si c’était une entité ou un
genre
: ce genre existe, sans aucun doute, pour une mém
l’image auditive du mot comme si c’était une entité ou un genre : ce
genre
existe, sans aucun doute, pour une mémoire active
nous semble-t-il, la différence interne. Dans les amnésies du premier
genre
, qui sont presque toutes consécutives à un choc v
ns vouloir nous prononcer trop catégoriquement sur une question de ce
genre
, nous ne pouvons nous empêcher de trouver une ana
uisent les hypnotiseurs 65. — Tout autres sont les aphasies du second
genre
, les aphasies véritables. Elles tiennent, comme n
à force de prononcer l’initiale 68. — Ainsi, dans les faits du second
genre
, c’est la fonction qui est atteinte dans son ense
fonction qui est atteinte dans son ensemble, et dans ceux du premier
genre
l’oubli, plus net en apparence, ne doit jamais êt
le avec l’interlocuteur, variable avec la langue qu’il parle, avec le
genre
d’idées qu’il exprime et surtout avec le mouvemen
tement d’établir entre les images des rapports et des nuances de tout
genre
? Dira-t-on que chacun de ces mots exprime et évo
e est là, qui nous avertit que la totalité des souvenirs d’un certain
genre
peut nous échapper alors que la faculté correspon
région des images », si elle existe, ne peut être qu’un clavier de ce
genre
. Certes, il n’y aurait rien d’inconcevable à ce q
H, article cité, p. 73). 12. Ne serait-ce pas quelque chose du même
genre
qui se passe dans cette affection que les auteurs
isme, sentiment et pittoresque ; destruction du goût, des règles, des
genres
: refonte générale de la littérature et de la lan
littéraire. Ces règles étaient de trois sortes : les définitions des
genres
nettement séparés entre eux et sans communication
arés entre eux et sans communication ; les lois intérieures de chaque
genre
, qui faisaient prévaloir l’unité du type sur la d
ainsi dire l’inspiration et éliminent l’originalité : en brisant les
genres
, les règles, le goût, la langue, le vers, il reme
t du siècle chercheraient librement les lois d’une reconstitution des
genres
, des règles, du goût, de la langue, du vers. En d
dans sa Préface de 1826, où il fait une sortie contre les limites des
genres
, revendique le nom de romantique, attaque l’imita
la vérité, à la vie. Il démolissait les lois du goût, les règles des
genres
, leur division surtout et leur convention, tout c
Il insistait sur la nécessité de l’aire du nouveau, en cultivant les
genres
où les classiques étaient restés inférieurs, l’ép
entiments qu’elle enfermait dans certains actes de la vie et certains
genres
de littérature, ont inondé toute la vie et toute
a fait les Proscrits (1802), le Peintre de Salzbourg (1803), dans le
genre
allemand sentimental, les Essais d’un jeune barde
Chapitre XXXVIII et dernier. Du
genre
actuel des éloges parmi nous ; si l’éloquence leu
actuel des éloges parmi nous ; si l’éloquence leur convient, et quel
genre
d’éloquence. En suivant l’histoire des éloges,
s et les Grecs jusqu’à nous, on a pu remarquer les changements que ce
genre
a éprouvés, les temps où il était le plus commun,
, ou le génie lui ont données. On a vu des siècles où c’était le seul
genre
; et ces siècles étaient ceux de l’oppression ou
e plus les croire. Mais la même raison qui a dû faire tomber tous ces
genres
d’éloges déclames ou chantés, écrits ou parlés, o
vertus à nos mœurs, ou de grands talents à notre faiblesse. Aussi ce
genre
est aujourd’hui plus commun qu’il ne l’a jamais é
’éloges ne soient utiles ; mais on peut demander comment et dans quel
genre
ils doivent être écrits. Des hommes estimables pe
re siècle est généralement tourné vers l’esprit de discussion ; et ce
genre
d’esprit, occupé sans cesse à comparer des idées,
te qui a corrompu tant de talents ; ou par l’ignorance de ses forces,
genre
de modestie qui est quelquefois le vice d’un gran
te, du statuaire et du peintre. Consultez les hommes de génie en tout
genre
, voyez les grandes compositions dans les arts. Un
e. Vues générales sur l’importance d’une analyse exacte dans tous les
genres
de la littérature. Messieurs, Chargé d’entrep
rand revers, que vous reste-t-il ? — Moi. Mille autres beautés de ce
genre
, sans parler des vérités abstraites et métaphysiq
ttérature a comme elles son exactitude, ses classifications, dont les
genres
sont les premiers chefs sous lesquels se rangent
éceptes les suffrages capricieux que l’ignorance accorde à de mauvais
genres
en tel temps ou en tel lieu ? Revenons aux vrais
y rester de désordre ? Plan de l’ouvrage. 1º Classifier chaque
genre
, en marquer l’origine, l’essence, le caractère, e
r les espèces qui en dérivent, et les ranger dans les classes de leur
genre
. 3º Classer ceux des genres primitifs qui ne peuv
nt, et les ranger dans les classes de leur genre. 3º Classer ceux des
genres
primitifs qui ne peuvent participer d’aucun autre
que leurs espèces bien différenciées entre elles. 4º Reconnaître les
genres
qui peuvent rentrer les uns dans les autres, et d
incipes d’examen. Les convenances de style, ou élocution, suivant les
genres
et les espèces d’ouvrages, nécessiteront de parei
inductions que j’en aurai pu tirer. Cette méthode veut qu’on passe du
genre
simple au composé, de celui-ci au plus composé en
ord la marche qu’a suivie l’esprit humain dans la création de tant de
genres
, que nous classifierons en détail, pour en écarte
Ces deux points observés sont les deux extrêmes du ton convenable aux
genres
opposés dans la poésie : tous les autres en sont
les intermédiaires. Nous les trouverons pareillement dans les divers
genres
de la prose. Mais le perfectionnement et l’euphon
s dorés de Solon et de Pythagore, nous sont restés en monuments de ce
genre
, qui n’a pour objet que la gravité de la morale,
dont les vers ne sont qu’une suite de sentences purement énoncées. Ce
genre
fut le type du poème didactique, dont le but est
t des fontaines, succédèrent les mimes qui laissèrent leurs noms à un
genre
de dialogues satiriques. Ces deux sortes de jeux
t ce double art si compliqué, l’art dramatique, qui se divise en deux
genres
bien distincts, la tragédie, et la comédie. On ve
nt aussi leurs points opposés de régularité parfaite, et que tous les
genres
de drames en sont les intermédiaires. Les convena
défini, l’éclat du bon, et que nous nommons l’idéal. Analogies des
genres
en poésie et en prose. Un seul coup d’œil sur
seul coup d’œil sur le tableau de la littérature, révèle que tous les
genres
principaux dans la poésie ont presque leurs genre
évèle que tous les genres principaux dans la poésie ont presque leurs
genres
correspondants, en nombre égal, dans la prose ; d
loin, mais suspendons-les, et remarquons seulement que, dans tous les
genres
, la prose retrace le réel, et que les vers le tra
compositions en prose ont leurs analogues en poésie, j’ai dit que les
genres
sérieux et touchants avaient leurs contrastes dan
que les genres sérieux et touchants avaient leurs contrastes dans les
genres
satiriques et badins. En effet l’esprit humain po
ue ce bien-là, ne serait-elle pas assez salutaire ? Contrastes des
genres
en littérature. Par ces raisons, l’imitation q
besoin de désigner ce qui les sépare ; mais il n’en est pas ainsi des
genres
qui gardent quelque ton conforme entre eux. On ne
e monstre d’Athènes. Il possédait si bien la force et l’étendue de ce
genre
d’éloquence, qu’on eût dit un moment que lui seul
ir ceux qui écrivent des traités d’instruction. Tous deux sont, en ce
genre
, les meilleurs prosateurs : l’éloquence magnifiqu
our éviter le désordre, et se bien pénétrer de la substance de chaque
genre
, il faut donc apprendre à la bien discerner : san
vident que, dans la plupart de leurs productions, les différences des
genres
leur ont échappé. On intitule tous les jours des
ecs, et non les Égyptiens ou les Perses, restèrent les précepteurs du
genre
humain après une longue suite de siècles, c’est q
’incompréhensible. L’objet de mes efforts dans une classification des
genres
et des espèces que contiennent leurs classes, est
ce philosophe qui a répandu la source de tant d’instructions en tout
genre
, et vers qui toujours il faut remonter, dès qu’on
Sa rhétorique est le plus ancien modèle de raisonnement sur les trois
genres
d’élocution oratoire, démonstratif, délibératif,
de tout son travail, nous posséderions le meilleur traité des divers
genres
de poésie chez les Grecs : l’attention qu’il port
vers d’une autre mesure. Nous n’avons que l’alexandrin pour les deux
genres
, et les anciens marquaient ainsi toutes les diffé
que les exemples d’un tel maître, illustré par tant de succès dans un
genre
qu’Aristote plaçait au-dessus du genre épique ! N
tré par tant de succès dans un genre qu’Aristote plaçait au-dessus du
genre
épique ! Ne nous étonnons pas de ce jugement : il
u’en passant. Son traité ne suffirait donc pas à l’examen de tous les
genres
, et c’est en cela seulement qu’il nous laisse enc
t dans la suite de prouver ce que j’avance, quand je considérerai les
genres
en détail. Vous-même réfuterez les erreurs de La
mélange avec la littérature. Ce ne fut pas seulement un code sur les
genres
d’écrits, et sur les lois du goût, qu’il projeta,
souvent l’exemple dans des œuvres peu philosophiques, et même dans le
genre
licencieux de Catulle. Les acclamations qui accue
de l’imagination espagnole et portugaise nous révéleront de nouveaux
genres
; et, pour apprécier la riche littérature italien
lir les lacunes de leur travail. Je décomposerai les formes de chaque
genre
et de chaque style qui leur convient. On pourrait
oésie et ses sujets, comme ce savant le fit en prose. L’invention des
genres
, leur décomposition élémentaire, les modèles mult
es, parfaitement claire en toutes ses parties, depuis les plus petits
genres
jusqu’à ceux qui remplissent les vastes capacités
n de l’analyse à l’art théâtral ; exposition et classification de ses
genres
et de ses espèces tragiques et comiques. Messi
que j’ai faite dans mon Introduction, d’établir la classification des
genres
en littérature ; si vous vous souvenez aussi comm
ément. Notre intérêt d’honneur national m’engage à traiter d’abord le
genre
littéraire où le génie français a déployé le plus
l’art dramatique. En faisant abstraction momentanément des autres
genres
de littérature, pour traiter isolément le genre t
ntanément des autres genres de littérature, pour traiter isolément le
genre
théâtral, la manière dont je l’analyserai vous do
entrées latérales d’un bâtiment fait apercevoir aux connaisseurs son
genre
et ses appartenances : tout ce qui contrarie ce j
sibles, fixes, et attestées par les expériences ? Les succès dans les
genres
barbares ou imparfaits, sont des exceptions qui t
la charlatanerie ne démentent les axiomes d’une vraie doctrine. Du
genre
tragique, et de ses espèces. Exposons première
tragique, et de ses espèces. Exposons premièrement le tableau des
genres
dramatiques, et nous en traiterons après les règl
eprésentation des malheurs et des passions des grands personnages. Ce
genre
a trois espèces : la tragédie fabuleuse, la tragé
i leur fable était romanesque ; et ce qui leur conserve la gravité du
genre
, est de placer leur intrigue, ou leurs personnage
nstruire une action larmoyante et homicide pour avoir atteint le vrai
genre
de Melpomène. Nous expliquerons ceci plus ampleme
nt. Tragédie lyrique divisée en quatre espèces. Il est un autre
genre
tragique, la tragédie lyrique, vulgairement nommé
héâtre comprend les régions imaginaires de l’olympe et de l’enfer. Ce
genre
s’abstient des développements politiques et raiso
t ce qui cesse d’émouvoir, d’éblouir, et d’étonner, est étranger à ce
genre
brillant, qui, par la réunion des moyens de tous
pare de la seconde par le rang et le ton noble de ses personnages. Ce
genre
peut atteindre à une exquise délicatesse : il est
i. Au drame héroïque correspond l’opéra héroïque ou drame lyrique,
genre
mélangé du noble et du familier : il est en posse
cipe de composition, mais corrigé. Le drame pastoral. Parmi les
genres
sérieux et nobles se trouve encore le pastoral, q
asse, ou des Idylles de Gessnero. L’opéra villageois se rapporte à ce
genre
: j’en aurais mille exemples charmants à citer, s
n l’admirant, nous ne payons que notre dette à ce grand homme. Du
genre
comique, et de ses espèces. À ce tableau de la
re comique, et de ses espèces. À ce tableau de la série des quatre
genres
nobles et doux, va succéder celui des drames plai
, va succéder celui des drames plaisants, bourgeois et satyriques. Le
genre
supérieur en cette classe, le plus difficile, le
es, en exposant leurs travers de façon à les corriger par le rire. Ce
genre
a six espèces : la satire allégorique dialoguée o
frage me donne le droit de dire que La Harpe a critiqué en aveugle ce
genre
extraordinaire : il le juge suivant les règles de
distincts dans l’originalité de leurs formes. La tendance de ce haut
genre
s’arrête à faire rire l’esprit, et à corriger le
mœurs les circonstances qui déterminent les faits. L’habileté dans ce
genre
consiste à rendre les complications claires, à dé
ment esquissé cette division des espèces de comédie. « Laissons à ce
genre
, ai-je écrit, toute son aisance, le sa vérité, sa
grand esprit, est de ne rechercher qu’en lui les divers exemples d’un
genre
qu’il a embrassé dans toute son étendue. Exemp
nt leur origine aux Latins, que notre auteur sut copier en maître. Ce
genre
, le plus facile de tous, fut pourtant dédaigné de
me de la comédie à caractère. Voici le premier exemple du mélange des
genres
, dont le double effet ne nuit point à leurs quali
retrouve entre la comédie et l’opéra-comique, ou comédie lyrique : ce
genre
a deux espèces, l’opéra sérieux et gai alternativ
s ; l’étendue de l’action, mais non sa conduite, sont conformes en ce
genre
à ce que renferme la comédie. Le gracieux opéra d
imprévus, opéras imbroglio, correspondent à la comédie d’intrigue. Ce
genre
admet peu de développements, et n’est jamais meil
, sont dans la comédie. Éléments du drame domestique. Entre le
genre
tragique et le comique, ou, pour mieux dire, aprè
par son infériorité sensible, vint le drame domestique ou bourgeois,
genre
qui se rapproche des deux premiers, par le mélang
aine, et la touchante Eugénie, ont signalé longtemps le pouvoir de ce
genre
sur la scène. Vainement la censure d’un goût rigo
ous plaire. Quels arguments si forts a-t-on répétés contre lui ? « Ce
genre
dégrade le ton tragique ; il dénature la vraie co
es infortunes de nos maisons et à nous en faire pleurer ; l’effort du
genre
comique est au contraire de nous porter à rire. S
opper. Il frappe l’âme par des objets graves et touchants que l’autre
genre
n’a pas même la permission d’admettre ; et qui, s
ent il se gâte. Les chefs-d’œuvre que j’ai cités dans les deux grands
genres
sont, pour les écrivains jaloux d’un peu de gloir
reconnaître, d’un sentiment unanime, la supériorité des deux premiers
genres
traités par les auteurs les plus célèbres. Notre
u mauvais goût, comment craint-on de la lui ouvrir, en accueillant un
genre
intermédiaire, plus facile à traiter pour les tal
que l’ignorance, enthousiaste des effets naturels et puissants que ce
genre
a sur la foule, peut le leur préférer ; mais l’ig
ic et le temps la placeront toujours au-dessus du plus beau drame. Ce
genre
mérite bien que nous en classions convenablement
ticipe de la comédie héroïque, et de la comédie de mœurs ; c’est à ce
genre
que nous devons le joli ouvrage de la Partie de c
unique dans le monde, fut d’avoir été l’ami de son peuple. C’est à ce
genre
qu’il appartient, de caractériser les grands homm
e prouverait que le plus grand talent n’a que les facultés propres au
genre
pour lequel il est né : or il est nécessaire de l
ce vers charmant : « Le Français, né malin, créa le vaudeville. Ce
genre
tient aussi sa place au théâtre : il a deux espèc
esseurs, dont Laujon fut l’Anacréon par son esprit et par son âge.
Genre
des parodies bouffonnes. Outre le vaudeville f
parodie, on compte les parades, et parodies bouffonnes dialoguées. Ce
genre
, relégué chez nous sur les tréteaux ambulants, a
qu’on ne doit pas déprécier jusque-là. Je descends jusqu’à ce dernier
genre
pour suivre l’exemple d’Aristote, dont la poétiqu
rce, intitulée le Roi de Cocagne, parut le plus risible exemple de ce
genre
. À travers les extravagances du plus étrange cane
rtes, dont l’éclat rivalise les grotesques peintures de Jordaenst. Ce
genre
n’est soutenable que par une surabondance de verv
on goût. Veuillez rappeler en vos esprits la récapitulation de ces
genres
nombreux, et comptez de plus les essais de quelqu
dernes. À la table sommaire des diversités d’espèces qui composent le
genre
dramatique, il faut joindre maintenant celle des
le vol hasardé de son inspiration méconnue. Quatrième séance. Du
genre
tragique, de ses espèces, et du nombre de ses règ
ditions. Messieurs, L’exposition que j’ai tâché de vous faire des
genres
dramatiques, et de leurs espèces, dans la séance
duit présentement à vous définir les qualités constitutives de chaque
genre
. De la tragédie selon Aristote. Commençons p
ments à ceux des principaux acteurs. Tel est le premier exemplaire du
genre
que nous étudierons sur d’autres beaux modèles. O
s hommes. Rien ne marque mieux que ce premier exemple le haut rang du
genre
tragique. On y aperçoit déjà les éléments dont il
De tels moyens secondent puissamment l’imitation idéale convenable au
genre
; et l’on s’imagine faussement que l’art a pu gag
qu’ils perdent en élévation épique ; et, par là, conviennent mieux au
genre
. Son dialogue et ses sentiments étonnent moins l’
toujours incapables de concevoir à quelle sublimité monte parfois le
genre
dramatique. Aux premières règles d’une action uni
ner au public toutes les émotions qu’il a le droit d’attendre du vrai
genre
tragique. Différences des systèmes tragiques
goût national. Il en est d’autres que ce même goût doit proscrire du
genre
et abandonner à celui des poètes lyriques. La dis
seule fournir matière à l’étude des principes qui se rapportent à son
genre
. Enfance de l’art dramatique chez les moderne
Arrêtons-nous un moment pour considérer les nouvelles qualités que le
genre
dramatique, après les travaux de ses fondateurs i
Trissin porta dans l’imitation qu’en fit Mairet, quelque empreinte du
genre
dont elle fut le naissant honneur en France. Ré
ant aux conseils de sa raison élevée, il devint créateur d’un nouveau
genre
, et le soumit habilement aux règles déjà reçues d
historique : et certes les Athéniens, qui manquaient d’exemples en ce
genre
, n’auraient pu, sans surprise et transport, assis
comble à la catastrophe, sans dégrader, par son excès, la noblesse du
genre
; les couleurs et les nuances du style doivent s’
s ; 11º La fatalité du destin ; 12º La fatalité des passions ; 13º Le
genre
des passions : deux espèces ; principales, et sec
elques-uns des préceptes qui s’y attachent imprime aux ouvrages de ce
genre
les défauts qui les rejettent dans la classe infé
s dignes éloges sont vos larmes. Infatigable conquérant dans tous les
genres
littéraires, on entrevoit l’ambition irascible et
die fut l’objet de ma leçon précédente, et l’idée que vous avez de ce
genre
me dispense de vous redire ce qu’il est ; vous le
s circonstances qui élèvent la tragédie de Philoctète à la hauteur du
genre
, et qui rendent son sujet digne de figurer dans l
la mesure ordinaire, sans y rien obscurcir. Il fit un prodige dans le
genre
opposé, en donnant l’étendue de cinq actes à la c
la licence que prit son génie ne l’a conduit qu’à une imperfection du
genre
. Ajoutez que, dans une longue durée de temps, mil
des tragédies de l’Eschyle anglais. J’estime que l’aspect de ce haut
genre
de beauté, quelque informe qu’elle soit, peut com
que l’examen de l’Œdipe grec et d’Athalie, modèles aussi purs dans le
genre
tragique, que le sont le Laocoon et l’Apollon du
aire et le vraisemblable. Les quatrième et cinquième conditions du
genre
sont le vraisemblable et le nécessaire, qu’Aristo
rs, Nous en sommes à l’examen des conditions les plus importantes du
genre
tragique, la terreur, la pitié, et le mélange de
de tous les habitants d’une contrée les citoyens d’une patrie, et du
genre
humain une grande famille, toujours prête à resse
me proposais de vous offrir un parfait modèle. Rien ne surpasse en ce
genre
le tragique monologue qui suit les adieux de l’am
e, dont nous jugeons mieux la langue, sembla les avoir égalés dans ce
genre
de perfection. Il ne se contente pas de nous émou
dans ses vers les passions de l’amante d’Énée. Ce fut en imitant ce
genre
de beauté que Voltaire fit dire à l’époux de Joca
peuvent exciter l’attention ou l’horreur, est un coup de maître en ce
genre
. L’esprit du lecteur est merveilleusement bien di
, pour la gloire de l’art et pour la nôtre, je veux pourtant qu’en ce
genre
il cède encore, ainsi que tous les auteurs dramat
ange continu de la terreur et de la pitié concourt à la perfection du
genre
, puisque la seule pitié, sentiment trop mou et tr
ter lui-même, dans la pièce d’Eschyle, nous a déjà donné l’idée de ce
genre
qu’on nomme admiratif. La piété vertueuse d’Antig
ts en moments l’élévation du sujet. Nul poète, et Voltaire même en ce
genre
, ne saurait soutenir le parallèle avec Racine. Le
ible et palpable en cet endroit : Voltaire ne lutte quelquefois en ce
genre
que dans ses immortelles pièces de Brutus, de Mér
ragédie parfaite. Nous allons donc traiter cette dixième condition du
genre
. Fondement naturel des péripéties. Les rever
nopinés sont peu frappants, et manquent d’une importante condition du
genre
. « Notre esprit n’est jamais plus vivement frapp
t à sa tendresse. Cette reconnaissance est une des mieux faites en ce
genre
, et décèle toute l’habileté d’un noble imitateur
buleuse. De la fatalité des passions dans la tragédie historique : du
genre
de passions généralement propres à la tragédie.
us grand idéal ; qualité qui les rend très favorables à la majesté du
genre
tragique. En effet dépouillez les fables théâtral
naît la fatalité qui les accompagne, condition indispensable au grand
genre
dramatique. Dans les personnes qui n’éprouvent qu
beau dans l’imitation, si habiles à choisir le convenable en tous les
genres
, se plurent à multiplier dans leurs drames les pe
, à la fatalité du destin, dans la tragédie fabuleuse. 13e Règle.
Genre
de passions convenables à la scène. L’amour n’
s son égalité naturelle la plus attachante et la plus belle moitié du
genre
humain. Une partie de cette séance, consacrée à l
se sa pièce de faibles amours que leur tendresse légitime exclut d’un
genre
qui n’admet que les passions fortes et coupables.
des passions théâtrales, puisque nos mœurs l’élèvent à la dignité du
genre
. La seule précaution à prendre est de ne point l’
aux grands maîtres de nos siècles qu’il faut demander le secret de ce
genre
de supériorité. Corneille et Racine le possèdent
r largement les physionomies historiques et passionnées dans tous les
genres
. Les esprits judicieux qui prendront le soin de n
axiome, il faut entendre clairement ce qu’on appelle les mœurs en ce
genre
, et pourquoi leur observation doit être scrupuleu
eilleures pièces dramatiques ! Les ouvrages anciens et modernes en ce
genre
, même ceux auxquels on ne présume d’autre objet q
e l’esprit attique. Est-ce le sage de Genève, l’ami le plus ardent du
genre
humain, qui doit, en sa vanité d’écrire des chose
attendrir. Aristote pense que les dénouements heureux participent du
genre
comique, et qu’ils ne sont tolérés dans le tragiq
l’ordre est la loi universelle à qui sont soumis nos travaux en tous
genres
, nos habitudes, nos usages, nos soins domestiques
, parce qu’il doit correspondre à la dignité des graves sujets que le
genre
commande. Le style tragique a deux espèces : il e
es, bien développés, sont les éléments uniques de l’éloquence dans ce
genre
. Ce qui produit la clarté. Le style est cla
i n’avons, ainsi que je l’ai remarqué, que l’alexandrin pour les deux
genres
, comment distinguerions-nous le style propre au t
igueur. Une tragédie n’aura donc point encore le mérite attaché à son
genre
, si les idées en sont bien convenables et la cons
e furieux. Désormais il prend le style descriptif, et la pompe de ce
genre
lui demande des nombres plus égaux. « Son front
qu’un tel artifice sied mieux aux magiques opéras qu’à la gravité du
genre
déclamé : toutefois il ne faut pas négliger la pu
e la symétrie. Cette condition délicate ne saurait être omise dans le
genre
que nous traitons. La symétrie théâtrale est de d
dernière séance. Application des vingt-six règles qui constituent le
genre
tragique, méthodiquement faite à l’Athalie de Rac
Tel fut le premier point d’où je partis : je classifiai d’abord les
genres
et les espèces, je me saisis après de l’un d’eux,
abord les genres et les espèces, je me saisis après de l’un d’eux, le
genre
dramatique. Je fis abstraction de ses diversités,
donnai par là un essai de mes formules, applicables à tous les autres
genres
littéraires. Quelques personnes, surprises de la
en petit nombre, si l’on en excepte les lyriques, et ce n’est pas ce
genre
dont il est question. Les pièces de Trissin, de M
nserve lui seul par sa sublime grandeur la dignité qui caractérise le
genre
, au milieu d’un monstrueux mélange où le terrible
le titre qui les décore, et ne passeront pour des modèles que dans le
genre
intermédiaire, proprement nommé le drame. Sera-ce
igé d’y revenir. : Présence des passions irrésistibles et fatales.
Genre
de passions propres au sujet. Jusqu’ici quelle
de mon cours littéraire finit à cet exposé de ma méthode appliquée au
genre
tragique. Je crois utile d’avertir qu’il serait d
à leur vanité le plaisir de deviner les modeles. C’est dans ces deux
genres
qu’Aristophane triompha tant de fois à la honte d
forme honnête & décente qu’elle a conservée depuis. C’est dans ce
genre
que fleurit Ménandre, poete aussi pur, aussi élég
rendent intéressantes ; de-là le comique attendrissant. De ces trois
genres
, le premier est le plus utile aux mœurs, le plus
peintres de caractere, & ce que Moliere, ce grand modele en tout
genre
, possédoit éminemment ; c’est ce coup d’oeil phil
r d’où vient qu’on rit de la chûte imprévûe d’un passant. C’est de ce
genre
de plaisanterie que Hensius a eû raison de dire :
s sensiblement : c’est du moins l’opinion de Corneille. Mais comme ce
genre
ne peut être ni soûtenu par la grandeur des objet
ù l’on pleure dès le premier acte. Quelque critique pour condamner ce
genre
, a osé dire qu’il étoit nouveau ; on l’en a cru s
nne beau jeu à l’effronterie & à l’ignorance. Tels sont les trois
genres
de comique, parmi lesquels nous ne comptons ni le
imitation burlesque, l’action la plus noble & la plus touchante :
genres
méprisables, dont Aristophane est l’auteur. Mais
ouchante : genres méprisables, dont Aristophane est l’auteur. Mais un
genre
supérieur à tous les autres, est celui qui réunit
ale. Cet article est de M. de Marmontel. COMIQUE Comique,
genre
de la comédie Comique, pris pour le genre de
OMIQUE Comique, genre de la comédie Comique, pris pour le
genre
de la comédie, est un terme relatif. Ce qui est c
ais le dénouement ; tant mieux pour l’auteur & pour l’ouvrage. Le
genre
comique François, le seul dont nous traiterons ic
uelle on ne sauroit faire un pas dans la carriere du haut comique, ce
genre
présente un obstacle qui lui est propre, & do
ique grossier : celui-ci consiste dans la maniere ; ce n’est point un
genre
à part, c’est un défaut de tous les genres. Les a
maniere ; ce n’est point un genre à part, c’est un défaut de tous les
genres
. Les amours d’une bourgeoise & l’ivresse d’un
On peut la considérer sous deux points de vûe généraux : l’une est ce
genre
d’étude à laquelle nous devons la restitution de
ue deviendroit cette foule épouvantable de faiseurs d’élémens en tout
genre
, ces prolixes démonstrateurs de vérités dont pers
libéraux ou les beaux Arts. Tout homme qui produit un ouvrage dans un
genre
auquel nous ne sommes point préparés, excite aisé
devenons admirateurs difficiles que lorsque les ouvrages dans le même
genre
venant à se multiplier, nous pouvons établir des
c avoir dans son imagination autant de modeles différens qu’il y a de
genres
. Le critique subalterne est celui qui n’ayant pas
devant le Guide. Bien plus, les Forces du Guide, malgré l’analogie du
genre
, ne seront point une regle sûre pour critiquer le
onnoissances & de goût que se forme un critique supérieur dans le
genre
historique : que seroit-ce si le même homme préte
ême tems la partie de l’Eloquence & celle de la Morale ? Ces deux
genres
, soit que renfermés en eux-mêmes, ils se nourriss
autre & s’animent mutuellement, soit que répandus dans les autres
genres
de littérature comme un feu élémentaire, ils y po
n feu élémentaire, ils y portent la vie & la fécondité ; ces deux
genres
dans tous les cas, ont pour objet de rendre la vé
nvariables de l’équité naturelle. Quelle que soit la difficulté de ce
genre
de critique, elle seroit bien compensée par son u
ci : combien le modele de la Poésie en général n’embrasse-t-il pas de
genres
différens & de modeles particuliers ? Bornons
rs respectable en ce qu’il comprend les meilleurs juges dans tous les
genres
, dont les opinions préponderantes l’emportent, &a
sentiment dans tout ce qu’il a pû produire ? Qu’on ne dise pas que le
genre
de ses oeuvres n’en étoit pas susceptible. Le sen
herche de la vérité, & il n’a pû s’empêcher de s’y livrer dans le
genre
d’écrit où il étoit le plus dangereux de la suivr
elui-ci l’emporte sur le critique ignorant. Ce que celui-ci sait d’un
genre
, est à son avis tout ce qu’on en peut savoir ; re
qui arrivera sur-tout, lorsque le beau, le grand, le sérieux en tout
genre
, n’ayant plus d’asyle que dans les bibliotheques
! Pour concevoir comment un usage qui nous paroît si choquant dans le
genre
noble & pathétique a pû jamais s’établir chez
s a échappé en parlant de la Tragédie, & qui est commune aux deux
genres
. C’est que par la même raison qu’un tableau desti
e parvient à l’oreille des spectateurs. Voilà dans l’un & l’autre
genre
la seule exagération qui soit permise ; tout ce q
la descente de croix du Carrache, sont des morceaux sublimes dans ce
genre
. Ces grands maîtres ont laissé imaginer & sen
l’être l’action dont elles retracent le lieu. Un homme célebre en ce
genre
en a donné au théatre lyrique, qui seront long-te
derniers expliquent strictement & séchement chaque chose par son
genre
& sa différence : ainsi ils définissent l’hom
ût vengée, & que l’autre fût puni. Si l’on prouve que c’est là le
genre
de tragédie, non-seulement le plus utile, mais le
mbe le crime & où l’innocence triomphe, sans prétendre exclure le
genre
opposé. V. Tragédie . Le dénouement de la comédi
fférence que le changement qu’elle cause est toûjours heureux dans ce
genre
de Comédie, & que dans la Tragédie il est sou
ets badins, mais encore pour les matieres les plus graves. Du premier
genre
sont les dialogues de Lucien, & du second ceu
r que ce ne soit un auteur original qui a parfaitement réussi dans ce
genre
d’écrire. Lucien se mocquoit des hommes avec fine
ues ; mais parmi les modernes, personne ne s’est tant distingué en ce
genre
que M. de Fontenelle, dont tout le monde connoît
nt de ces traits, qui l’embellissent sans la déguiser. Il n’est aucun
genre
de narration où le discours direct ne soit en usa
les sont les moeurs des bergers pris dans l’état d’innocence. Mais ce
genre
est peu vaste. Les Poëtes s’y trouvant à l’étroit
rénice de Racine . . . . . qu’il ne seroit pas moins insipide dans le
genre
pastoral . . . . . . & qu’il ne doit y entrer
? pourquoi donner le nom d’églogues à des scenes de tragédie ? Chaque
genre
a son degré d’intérêt & de pathétique : celui
us les objets que la nature peut offrir aux yeux des bergers, sont du
genre
de l’églogue. Mais la Motte a raison de dire, que
teres, l’action même de ces bergeries s’éloignent de la simplicité du
genre
pastoral. L’Aminte & le Pastor-fido, ces poëm
te. Or l’intérêt ne peut augmenter à un certain point, sans sortir du
genre
de l’églogue, qui de sa nature n’est susceptible
ens mystérieux. L’églogue en changeant d’objet, peut changer aussi de
genre
; on ne l’a considérée jusqu’ici que comme le tab
hétique, & sur-tout leur bonté morale ? Ceux qui panchent pour ce
genre
naturel & vrai, se fondent sur ce principe, q
leur noble simplicité & dans leur aisance tranquille. Le premier
genre
sera triste, mais la tristesse & l’agrément n
ciels, espece de critiques qu’on ne doit jamais compter pour rien. Ce
genre
, dit-on, manqueroit de délicatesse & d’élégan
ntielle de l’églogue : mais comme il a les mêmes regles dans tous les
genres
de poésie, voyez Dialogue. Article de M. Marmonte
il est vraissemblable que si ce vers n’a pas eu la préférence dans le
genre
élégiaque, comme dans le dramatique, c’est que l’
timent ; c’est cependant, depuis la renaissance des Lettres, l’un des
genres
de poésie qu’on a le plus négligés : on y a de pl
ractere par quelques traits plus marqués, nous la diviserons en trois
genres
, le passionné, le tendre, & le gracieux. Dans
la même raison, le tendre, le passionné, le gracieux, ne sont pas des
genres
incompatibles dans l’élégie amoureuse ; mais dans
es, &c. (Lib. II. el. 7.) En général, le sentiment domine dans le
genre
passionné, c’est le caractere de Properce ; l’ima
s : c’est ainsi qu’elles regnent dans l’élégie tendre, & c’est le
genre
de Tibulle. C’est pour avoir donné à un sentiment
Deshoulieres aux moutons, aux fleurs, &c. modele d’élégie dans le
genre
gracieux ; les vers de M. de Voltaire sur la mort
nieuses, telles que la rage en inspire trop souvent, sont de tous les
genres
de satyre le plus noir & le plus lâche. Il y
du fleuve essuyant sa barbe, y choque la décence. Virgile a dit d’un
genre
de poésie encore moins noble, sylvoe sint consule
esse. Nous ne traitons point ici de l’origine & des progrès de ce
genre
de poésie : la partie historique en a été dévelop
épondent à la beauté des peintures ; & si dans l’un & l’autre
genre
Lucain passe quelquefois les bornes du grand &
& la vertu seules sont au-dessus des révolutions ; & c’est un
genre
de merveilleux qu’il est bon de réserver pour ell
epoids : tout l’art consiste à charger à propos la balance ; & ce
genre
de mécanisme exige une connoissance profonde de l
u hasard, comme dans nos poésies libres, mais appliqués aux différens
genres
auxquels leur cadence est le plus analogue. Par e
iner la partie des images ; mais comme elles sont communes à tous les
genres
de poésie, & que la théorie en exige un détai
que nous avons faites ailleurs sur l’art des extraits, appliquées au
genre
dramatique, comme à celui de tous qui est le plus
imitateurs. Les plus sages, effrayés des difficultés que présente ce
genre
de critique, ont pris modestement le parti de ne
dire des ouvrages dramatiques, peut & doit s’appliquer à tous les
genres
de Littérature. Voyez Critique . Cet article est
tête de ses fables, il démêle en philosophe l’artifice caché dans ce
genre
de fiction : il en a bien vû le principe & la
riels, que le poete fait agir & parler à notre maniere : c’est le
genre
le plus étendu, & peut-être le seul vrai genr
maniere : c’est le genre le plus étendu, & peut-être le seul vrai
genre
de la fable, par la raison même qu’il est le plus
ître plus particulierement les anciens qui se sont distingués dans ce
genre
de poésie, on peut consulter l’article Fabuliste
le doit avoir différentes qualités, les unes particulieres à certains
genres
, les autres communes à la Poésie en général. Voye
ue, Unité , &c. Voyez pour les qualités particulieres, les divers
genres
de Poésie, à leurs articles. Sur-tout comme il y
e que le ridicule est à la comédie. Or on demande s’il est bon que ce
genre
de spectacle ait dans un état bien policé des thé
entre les différens traits qu’elle assemble, qui constitue les quatre
genres
de fiction que nous allons distinguer ; savoir, l
ner un spectacle riant, gracieux, ou pathétique. On a prétendu que ce
genre
de fiction n’avoit point de regle sûre, par la ra
é plus facile de l’exagérer que de l’embellir ; & de-là le second
genre
de fiction que nous avons annoncé. L’exagération
ion des sirenes, de la chimere, des centaures, &c, & de-là le
genre
monstrueux. Il est à présumer que les premiers ho
les plongeurs l’idée des tritons, &c. Considéré comme symbole, ce
genre
de fiction a sa justesse & sa vraissemblance
toit le mélange des especes voisines ; le second est l’assemblage des
genres
les plus éloignés & des formes les plus dispa
er un composé bien ridicule, mais ce composé n’est encore que dans le
genre
monstrueux ; c’est bien pis dans le fantastique.
s & les peintres n’ont pas dédaigné de faire, a été d’employer ce
genre
extravagant à la décoration des édifices les plus
un rameau, un sanglier qui court sur des filets de pampre, &c. Ce
genre
n’a pas été inventé par les modernes, il étoit à
cne. Le grotesque de Calot n’est pas ce que nous avons entendu par le
genre
fantastique. Ce grand maître, en même tems qu’il
tre le singe d’un homme original ; ce goût n’est pas moins éloigné du
genre
fantastique. Messonier en évitant sa symmétrie, a
ymmétrie & Contraste . De ce que nous venons de dire des quatre
genres
de fiction que nous avons distingués, il résulte
fiction qui se dirige au parfait, ou la fiction en beau, est le seul
genre
satisfaisant pour le goût, intéressant pour la ra
st la gloire des talens supérieurs, appliqués au malheur du monde. Le
genre
de merveilleux le plus funeste, mais le plus frap
it pour eux seuls. La patrie d’un sage est la terre, son héros est le
genre
humain. Qu’un courtisan soit un flateur, son état
Section 14, qu’il est même des sujets specialement propres à certains
genres
de poësie et de peinture. Du sujet propre à la tr
pour la poësie ; mais il est encore des sujets plus propres à chaque
genre
de poësie et à chaque genre de peinture, qu’aux a
t encore des sujets plus propres à chaque genre de poësie et à chaque
genre
de peinture, qu’aux autres genres de poësie et de
à chaque genre de poësie et à chaque genre de peinture, qu’aux autres
genres
de poësie et de peinture. Le sacrifice d’Iphigeni
ur qu’ils nous inspirent. Nous pouvons craindre des fatalitez du même
genre
que celles qui arrivent à Pyrrhus dans l’Andromaq
nt une manière de romantique. Il a très bien compris que, si certains
genres
poétiques, ou demi-poétiques plutôt, comme le dra
, sont, en leur fond, œuvres d’observation et de logique, tels autres
genres
, comme la poésie lyrique, sont, en leur fond, œuv
naturel. Et le naturel comporte des qualités très diverses selon les
genres
. Il consiste à être vrai, logique et touchant dan
ébranlé et exalté dans la poésie lyrique. Il consiste, dans tous les
genres
, à n’être ni guindé, ni prétentieux, ni emphatiqu
s VI, duc de La Rochefoucauld, prince de Marcillac, et contempteur du
genre
humain, un livre très agréable5, sans parti pris,
n comprendre ils s’anéantiront. Quelle vue splendide de l’avenir ! Le
genre
humain tel que le voyait La Rochefoucauld était d
coutumiers les naturels de ce pays-là. L’alexandrinisme n’est pas un
genre
, c’est un état d’esprit, c’est, à ce qu’il me sem
les rapports et les différences entre eux et lui, et les poètes de ce
genre
obligent, pour être connus, à connaître tous ceux
st assez curieux de le rapprocher de quelques fantaisies tout du même
genre
citez nos poètes modernes, par exemple de la Vie
ences. Théocrite amplifie, Racine abrège, marques assez frappantes du
genre
propre à chacun d’eux. — De même ailleurs Théocri
-même qui sonne faux et c’est rentrer dans son pays qui dépayse. — Ce
genre
de dissonances est extrêmement fréquent chez les
les-mêmes, sur le moment brillant de leur histoire, et cela fait deux
genres
différents d’humanisme, un humanisme internationa
u’à imiter discrètement les grands auteurs du xviie siècle dans les
genres
où ils avaient brillé , quitte, du reste, si l’on
neri doloso ; mais il me semble bien qu’Horace est un humaniste d’un
genre
unique, ou à peu près. Un humaniste est quelquefo
e très grand mérite qui ont leur source première dans un défaut de ce
genre
, défaut assez précieux, sans aucun doute, qui con
de talent du reste, qui en était honoré et affligé. Mais remarquez le
genre
très particulier aussi de gloire qui s’attache à
elle, la gloire classique. Le grand auteur classique a, lui, un autre
genre
d’originalité. Son originalité c’est surtout sa s
alité. Son originalité c’est surtout sa supériorité. Il est, dans son
genre
, un héros de l’humanité, un de ces hommes où l’hu
crit un grand poème philosophique ou scientifique, ne sont arrivés au
genre
épique, indirectement, d’ailleurs, et s’y essayan
il y a des rapports. Oui, l’exotisme est dans une certaine mesure un
genre
d’alexandrinisme, un genre d’humanisme. Ille remp
l’exotisme est dans une certaine mesure un genre d’alexandrinisme, un
genre
d’humanisme. Ille remplace. Il a les mêmes origin
t ce caractère. C’est un document historique absolument unique en son
genre
. Aussi, s’il n’est pas très raisonnable de cherch
es de l’orgueil étant assez vives ; mais on se lasse assez vite de ce
genre
de satisfaction, quand il coûte une certaine pein
bon sens moyen, et c’est ainsi qu’on rétrécit le champ d’activité du
genre
humain. Il faut semer plus largement. Une partie
n surcroît. Il n’y a pas de plus grand éloge à faire d’un livre de ce
genre
que d’en dire que, tout en étant magistralement r
une conclusion pessimiste, être sérieux qu’insignifiant même dans le
genre
de littérature réputé le plus frivole. Victor
tenu moins qu’aux précédents est celui de la prééminence de certains
genres
sur certains autres. En cela, il était encore for
remières sources lointaines du classicisme. La distinction des grands
genres
littéraires et des petits n’est point de l’invent
coup ri des formules de La Harpe : « Écrivain de premier rang dans un
genre
de second ordre ; écrivain secondaire dans un gen
mier rang dans un genre de second ordre ; écrivain secondaire dans un
genre
supérieur ; écrivain supérieur dans un genre seco
ivain secondaire dans un genre supérieur ; écrivain supérieur dans un
genre
secondaire, etc. » L’erreur ici est, en effet, de
ond des choses est vrai, et il faut tenir compte de la hiérarchie des
genres
, surtout à une époque où le mépris, sincère ou co
uvent servi d’excuse aux demi-talents. Qu’on oublie la hiérarchie des
genres
quand il est question d’un homme comme La Fontain
nres quand il est question d’un homme comme La Fontaine, qui, dans un
genre
évidemment un peu inférieur se montre un grand po
te, j’en suis d’avis ; et encore est-il bon de faire remarquer que ce
genre
, en s’y illustrant et en l’illustrant, il l’a déf
nt là une confirmation précisément de la théorie de la hiérarchie des
genres
, puisque, si un grand poète s’empare d’un genre i
de la hiérarchie des genres, puisque, si un grand poète s’empare d’un
genre
inférieur à son génie, il le tue ? Preuve, sans d
inférieur à son génie, il le tue ? Preuve, sans doute, qu’aux grands
genres
il faut de grands génies, aux petits genres des t
sans doute, qu’aux grands genres il faut de grands génies, aux petits
genres
des talents, et que donc il y a une différence na
talents, et que donc il y a une différence naturelle entre les grands
genres
et les petits. S’il est vrai, comme on l’a racont
cette boutade, a fait une proclamation énergique de la hiérarchie des
genres
. Elle existe. Il y a, à égalité de talent, du res
e des genres. Elle existe. Il y a, à égalité de talent, du reste, des
genres
qui demandent plus d’effort, plus de patience, pl
e concentration d’esprit, plus de réflexion : et il y a, surtout, des
genres
qui demandent plus de talent que n’en demandent l
, mais qui est toujours difficile. Cette théorie de la hiérarchie des
genres
est de bon sens, d’abord, et elle est assez facil
ité ou d’impersonnalité que l’écrivain met dans son œuvre. Les petits
genres
sont ceux où l’écrivain peut naturellement, sans
er ou déconcerter, mettre beaucoup de sa propre personne ; les grands
genres
sont ceux qui repoussent en quelque sorte, nature
ophique en vers, une histoire, un traité philosophique, etc. Le petit
genre
est donc celui où l’on peut faire impunément de l
l’on peut faire impunément de la littérature personnelle, et le grand
genre
celui où il est dangereux, sinon ridicule, d’en f
reux, sinon ridicule, d’en faire. — À un autre point de vue, le petit
genre
sera celui qui, sans autoriser par lui-même, par
une fable, dans une nouvelle, dans une impression de voyage. Le petit
genre
est donc celui ou qui autorise ou qui n’a pas la
cause de cela, M. Brunetière tient à la distinction, entre les grands
genres
et les petits, n’ayant pas pour la littérature pe
précède, que la littérature personnelle, si elle s’empare d’un grand
genre
, même quand elle est en compagnie du génie, ne la
se le mot, la poésie lyrique au rang de l’élégie. Ils ont dénaturé un
genre
. Qu’importe ? dira-t-on. — Peut-être importe-t-il
te ? dira-t-on. — Peut-être importe-t-il, parce que, en dénaturant un
genre
, on en compromet les destinées futures. Depuis le
is non sans sévérité, veillons donc à la distinction entre les grands
genres
et les petits, et tout en reconnaissant qu’encore
tout en reconnaissant qu’encore vaut-il mieux avoir du talent dans un
genre
secondaire, que cultiver sans talent un genre sup
avoir du talent dans un genre secondaire, que cultiver sans talent un
genre
supérieur, n’oublions pas de rappeler aux artiste
de bien garder ce respect, qu’il a du reste, naturellement, pour les
genres
de difficile accès, et de ne pas s’abandonner au
ergie, la fougue précise et la maestria avec lesquels il a raison. Ce
genre
particulier d’éloquence, dont M. Brunetière a don
é ou d’enthousiasme. Et, en effet, c’est un enthousiasme d’un certain
genre
que celui-ci. C’est le plaisir de se sentir dans
de votre pensée. Les philosophes, quand ils sont des orateurs, ont ce
genre
d’enthousiasme, et M. Brunetière, qui est critiqu
ention. On entend bien que je parle de la doctrine de l’évolution des
genres
. D’après M. Brunetière les genres littéraires son
e de la doctrine de l’évolution des genres. D’après M. Brunetière les
genres
littéraires sont des espèces dans le règne littér
ans le règne animal, et, comme les espèces en histoire naturelle, les
genres
littéraires subissent une loi d’évolution. Ils na
demeure et la forme se perd. Ainsi font les espèces, ainsi font les
genres
littéraires. Quand un genre disparaît, regardez à
Ainsi font les espèces, ainsi font les genres littéraires. Quand un
genre
disparaît, regardez à côté, sachez regarder : vou
à côté, sachez regarder : vous verrez que vient de s’élever un autre
genre
, qui semble avoir détourné et comme soutiré à son
le avoir détourné et comme soutiré à son profil les forces intimes du
genre
qui a disparu ou qui languit. À étudier la littér
times du genre qui a disparu ou qui languit. À étudier la littérature
genre
par genre, il y a donc toujours deux choses à fai
enre qui a disparu ou qui languit. À étudier la littérature genre par
genre
, il y a donc toujours deux choses à faire : d’abo
sa disparition, à travers ses phases d’accroissement et de déclin, le
genre
que l’on considère, — et cela, c’est étudier prop
nsuite, quand il vous échappe, quand on perd sa trace, s’inquiéter du
genre
dans lequel il a pu comme se perdre et s’absorber
de conséquence, plus encore pour se rendre compte de la naissance des
genres
nouveaux, que de la mort des anciens. Car, qu’un
naissance des genres nouveaux, que de la mort des anciens. Car, qu’un
genre
meure, cela s’explique, et n’étonne point ; il ét
uvait donner ; il en était à l’imitation de lui-même, etc. Mais qu’un
genre
naisse, comme il arrive (songez à l’explosion du
aux forces naturelles répandues à peu près également partout. Mais un
genre
nul, ou à bien peu près, pendant deux siècles, pa
t, ou ne s’explique qu’en supposant qu’il a recueilli l’héritage d’un
genre
voisin qui n’est plus et attiré à lui les forces
-même, les principaux traits de la célèbre théorie de l’évolution des
genres
. On sait, ou l’on peut deviner assez vite, les ob
e (sens moyen âge), soit à la métaphore. « Quoi donc ! a-t-on dit, un
genre
est donc un être vivant, réel, qui existe par lui
onne ? Il a donc un état civil ? Qu’est ceci ? Avez-vous jamais vu un
genre
? Un genre est une pure création de notre esprit,
donc un état civil ? Qu’est ceci ? Avez-vous jamais vu un genre ? Un
genre
est une pure création de notre esprit, une classi
mprenons que nous sommes en présence de métaphores bien conduites. Un
genre
naît, meurt et se transforme, cela veut dire qu’à
faisons-nous, tout d’abord, la question essentielle : qu’est-ce qu’un
genre
? Remarquez qu’un genre littéraire n’est pas auta
rd, la question essentielle : qu’est-ce qu’un genre ? Remarquez qu’un
genre
littéraire n’est pas autant que vous le croyez un
ttéraire n’est pas autant que vous le croyez une pure abstraction. Un
genre
est, au commencement des choses, une tendance de
ent assez uniforme. C’est une tendance de l’esprit qui est devenue un
genre
, et c’est un genre qui a pris ses lois ; mais il
C’est une tendance de l’esprit qui est devenue un genre, et c’est un
genre
qui a pris ses lois ; mais il reste toujours en s
ndance de l’esprit. À côté de lui, une autre tendance a créé un autre
genre
: celle de pleurer sur ses malheurs, par exemple,
s, par exemple, a créé l’élégie ; ainsi de suite. Mais ces différents
genres
littéraires sont des tendances permanentes de l’e
upe et même une foule d’âmes qui pensent, qui sentent, qui vivent. Un
genre
est l’être représentatif de tous les êtres qui ép
mple tristesse à une sorte d’exaltation religieuse », celui qui parle
genres
littéraires dira : « L’élégie, en ce pays-là, se
peu en méditation religieuse. » Et voilà un exemple d’évolution d’un
genre
. Rien de scolastique donc dans l’histoire des évo
un genre. Rien de scolastique donc dans l’histoire des évolutions des
genres
littéraires ; et faire cette histoire, c’est tout
uis à une certaine autre. Maintenant, avec le nouveau procédé, chaque
genre
littéraire important étant considéré comme une te
ré comme une tendance particulière de l’âme humaine, quand on voit un
genre
tomber, disparaître, c’est avec plus de sûreté qu
on elle-même. Puis, jetant les yeux tout autour, et s’avisant que tel
genre
, plus ou moins voisin, semble avoir profité des d
e tel genre, plus ou moins voisin, semble avoir profité des débris du
genre
disparu et se les être assimilés, l’historien lit
tend à revivre, mais avec un nouveau caractère indiqué par le nouveau
genre
qui commence à la représenter à son tour. Suppose
s les lettres du temps, pour se prouver ce dont la transformation des
genres
ne lui a donné que le premier signe ; mais ce sig
ir, en effet, un signe et de vouloir en tenir compte. L’évolution des
genres
, les genres littéraires considérés comme des espè
, un signe et de vouloir en tenir compte. L’évolution des genres, les
genres
littéraires considérés comme des espèces qui se t
loyer à tout propos. Ce sera un jeu de montrer la transformation d’un
genre
en un autre, n’ayant avec celui-là que des rappor
et j’ignore si c’est la sienne, — que ce ne sont que les très grands
genres
littéraires, fortement constitués, très nettement
e que seuls ils sont des tendances générales de l’esprit devenues des
genres
littéraires. Qu’il dise bien qu’il faut, avec un
ut, avec un soin rigoureux, savoir et déterminer de quels éléments un
genre
est formé, pour bien voir si c’est bien de ceux-l
ien voir si c’est bien de ceux-là ou de quelques-uns de ceux-là qu’un
genre
nouveau hérite à un moment donné : car ici l’erre
ser froidement comme étude psychologique et morale. Voilà pourquoi ce
genre
de sujet est si difficile. M. Paul Margueritte, a
jamais rien. Il me semble que la seule connaissance d’un amour de ce
genre
, et le fait de s’en apercevoir, ternit un peu et
ns, si l’on veut, qu’il a de la chance. Je souhaite une maladie de ce
genre
, une maladie assagissante, venant très à propos,
pas regret au regard d’ensemble qu’ils nous ont amenés à jeter sur ce
genre
littéraire, en vérité tout nouveau chez nous. Il
date chez nous que d’un peu plus d’un siècle et est véritablement un
genre
tout récent, dont l’évolution n’en est encore, en
avertissement » : « Choisir les morceaux les plus beaux, soit dans le
genre
émouvant, soit dans le genre satirique, comparer
es morceaux les plus beaux, soit dans le genre émouvant, soit dans le
genre
satirique, comparer les discours et les orateurs,
ue chose de plus fabuleux qu’un livre tout composé d’aphorismes de ce
genre
très sérieusement exprimés ; c’est son succès. Il
te excellent. Disons tout, et reconnaissons les difficultés de divers
genres
contre lesquelles il eut à lutter. Qu’est-ce que
lyrique déjà éclectique. Chez les modernes, au Moyen Âge, il y eut un
genre
lyrique vrai, naturel et vivant. Les troubadours
e des idées et des sentiments se fait aussitôt sentir ; le factice du
genre
apparaît ; cet auteur qui, de propos délibéré, en
n de sentiments, un tel accord sympathique n’a guère lieu que dans le
genre
de la chanson, à table et au dessert. Le sublime
l a envoyée aux Délices. Il sera toujours difficile de répondre à ce
genre
de plaisanterie, et même de n’y pas prendre part,
lien Chiabrera, le type des modernes Pindares. Cela dit, acceptons le
genre
comme un genre littéraire artificiel, et voyons-y
le type des modernes Pindares. Cela dit, acceptons le genre comme un
genre
littéraire artificiel, et voyons-y Le Brun. Ses p
tion et pour l’objet de son culte. Il avait compris que « de tous les
genres
de poésie, c’était l’ode sûrement qui avait le pl
’élévation de ses idées et la hauteur de son style ». La solennité du
genre
devient en quelque sorte une convenance naturelle
des nuits, non les Furies, mais les Muses. Un second coup d’un autre
genre
qu’il éprouva et qui acheva de rompre ses projets
igramme. Sa vraie, son incomparable supériorité était dans ce dernier
genre
. Il en a trop fait ; mais on tirerait des siennes
rs défauts ou de leurs vices. On éprouve une impression pénible de ce
genre
à propos de Le Brun. Cette élévation qu’il n’avai
ement tempérés comme les désire et comme au besoin les combinerait le
genre
académique, dont le triomphe, pour une bonne part
nt et prudent qui se pourrait détourner sans effort pour qualifier le
genre
de beauté propre à cette poésie séduisante. Mais
e d’élégante abondance. Son morceau sur Lesueur doit se classer en ce
genre
comme le chef-d’œuvre de sa maturité. Quant à ses
ppement historique un peu vrai et un peu profond, on se jeta dans des
genres
intermédiaires, on louvoya, on fit des proverbes
représentation exactement présumable et sa vivante vraisemblance. Ce
genre
-là, tel que je me le définis, c’est une espèce de
l eut d’ailleurs la justesse de reconnaître tout d’abord que, dans ce
genre
mixte, où l’auteur n’est ni franchement poëte dra
es Tite-Live. Or, c’est un inconvénient toujours de s’exercer dans un
genre
qui, n’étant que la lisière d’un autre ou de deux
s le prouveraient. Ajoutons qu’il n’a pas moins montré tout ce que le
genre
intermédiaire pouvait rendre, et qu’il l’a poussé
Chapitre XVI. Des sophistes grecs ; du
genre
de leur éloquence et de leurs éloges ; panégyriqu
de lier rapidement des idées ; des méditations profondes sur tous les
genres
de sentiments et de passions ; beaucoup d’idées g
’art de ces orateurs ; mais pour savoir quel était ou pouvait être le
genre
de leur éloquence, il faut considérer tout ce qui
i naît de la faiblesse jointe au souvenir de la force. Qu’on pense au
genre
d’éloquence qui devait naître d’une telle situati
erté. D’ailleurs la douceur et la mollesse du climat avait produit un
genre
d’éloquence amolli comme les habitants. Il semble
e villes et d’empereurs. Il nous en reste un sur Trajan, mais dans un
genre
tout à fait différent de celui de Pline. L’auteur
stime. Ce qui prouve qu’il n’était pas médiocre, c’est qu’il avait un
genre
d’éloquence à lui, et que comme les peintres célè
n panégyrique ; elle nous a été conservée dans un autre ouvrage de ce
genre
, prononcé cent cinquante ans après. On doit estim
pas été de provoquer sur la première scène française la création d’un
genre
exclusivement moral, qui ne s’attacherait à prése
des exemples vertueux, et à en tirer directement des leçons : un tel
genre
a été tenté en d’autres temps et n’a produit bien
urir le plus possible avec la première scène française dans les mêmes
genres
à la fois dramatiques et littéraires, n’eût point
sentées, sans qu’on fût obligé de les comparer avec des ouvrages d’un
genre
et souvent d’un ordre tout différent. La Commissi
vice. Ici l’enseignement peut être plus direct et plus en relief ; le
genre
vertueux, pour le nommer par son vrai nom, peut ê
mpensaient les invraisemblances d’ailleurs admises ou exigées dans le
genre
, et que ces qualités ici n’étaient point compromi
& honnêtes, qui fournissoient des vues utiles pour l’avantage du
genre
humain, on en voyoit aussi qui ne servoient que l
lens. Il seroit à souhaiter que quelqu’un de nos Ecrivains du premier
genre
eût mis en françois tous les discours de ce céléb
ieusement M. de Querlon, peut s’appliquer à toutes les versions de ce
genre
; je dirois volontiers des meilleures : que seroi
uence grecque & latine, si dignes elles-mêmes d’en servir en leur
genre
, soit pour la fidélité de l’interprétation, soit
vrages originaux pour ceux qui savent apprécier les difficultés de ce
genre
, & ce qu’il en coûte en les surmontant, pour
ès-lors à quelle gloire il étoit destiné. Nous n’avons de lui dans le
genre
oratoire, que son Panégyrique de Trajan. Quoique
que de l’abondance du cœur, nous n’avons rien de ce qu’il fit dans ce
genre
qui puisse être placé au premier rang. La même ra
s sujets, & faire de chaque Sermon un petit traité complet en son
genre
. Il a encore ce ton aisé, cet air simple & in
u’ont possédé Fléchier & Bossuet dans leurs Oraisons funèbres. Ce
genre
d’ouvrage n’étoit, avant eux, que l’art d’arrange
séparément en trois vol. in-12., montrent beaucoup de talent pour ce
genre
, qui tient à l’Oraison funèbre, & qui demande
s in-8°. Quoiqu’on ne cesse de nous annoncer la décadence de tous les
genres
de littérature, & en particulier celle de l’é
mônier de M. le Duc d’Orléans, est un Orateur distingué dans tous les
genres
d’éloquence. L’usage qu’il fait de l’Ecriture sai
res. Les jeunes Jurisconsultes y trouveront des modèles pour tous les
genres
d’affaires dont ils peuvent être chargés, des poi
n effet les beaux Arts élévent l’ame ; la culture de l’esprit en tout
genre
anoblit le cœur. L’aventure, à jamais mémorable d
s être celui d’un discours oratoire, ils appartiennent cependant à ce
genre
d’éloquence que les Latins appellent Tempéré. Le
hilosophiques, dit M. d’Alembert, sont l’ame & la substance de ce
genre
d’écrits ; tantôt on les entremêlera au récit ave
du naturel, quand il ne plaît pas, est au moins d’obtenir grace. Son
genre
d’écrire lui appartient absolument, & ne peut
toujours original & simple, ne peut représenter fidélement que le
genre
d’esprit qu’il avoit reçu de la nature, & ne
utre. Or le style n’est agréable qu’autant qu’il est l’image naïve du
genre
d’esprit de l’auteur, & c’est à quoi le lecte
pièces mêmes de théâtre, il a, une ou deux fois, essayé d’un certain
genre
qui passe, avec raison, pour plus noble, plus sér
l et lui-même tout entier, à son vrai point naturel ; il ressaisit le
genre
de son talent dans la direction la plus ouverte e
’il étonnait par moments, on se dirait : C’était comme cela alors. Le
genre
Régence couvre tout. Le Louis XIV même s’y confon
mble remue et vive et amuse, c’est bien assez. Quoi qu’il en soit, ce
genre
en vogue, qui contribue à défrayer bien des théât
n rafraîchir l’idéal, étaient encore ce qu’on en retenait le plus. Le
genre
régnait ; on ne savait où le prendre. M. Dumas vi
l'y lancer avec verve et largeur : cela a passé sans faire un pli. Le
genre
a fait son entrée dans la personne de son héros l
nos espérances d’alors, il semblait que, pour l’entier triomphe d’un
genre
plus vrai et des jeunes talents qui s’y sentaient
ce sujet, de lieux communs et de fadaises (Melpomène, la dignité des
genres
, la Maison de Molière, etc.), que l’envie me pren
? Cela est encore plus fort en irrévérence que la Belle Hèlene. — Les
genres
dits nobles et élevés ne leur imposent pas le moi
ue de temps en temps et qu’on fait semblant de ressusciter contre les
genres
vivants et modernes ; ils disent : « Il est perm
des curieuses, approfondies, fouillées, qui sont des merveilles en ce
genre
de monographie descriptive. Leur prose rivalise a
s plus légers, les plus piquants, les plus analogues aux peintures de
genre
. Mme d’Épinay et Galiani les ont plus attirés que
re dans la prose. On hésite, quand on lit ceux qui sont maîtres en ce
genre
excessif, à venir protester contre de si savants
leur sens même et avec l’intelligence de leur direction. Eh bien ! le
genre
admis, il y a excès. J’en veux citer un exemple.
l’autre est sensible. Et cependant, c’est grâce à cette méthode, à ce
genre
de procédé, il faut bien le reconnaître, que j’ob
où il atteint son effet. Voici une page que je trouve parfaite en son
genre
: lisez haut, lisez bien, accentuez et scandez ch
t pour son monologue de Pygmalion, et vous sentirez quelle est, en ce
genre
du pittoresque écrit, l’habileté de MM. de Goncou
, à temps comme Rivarol, dans l’expression de la non-croyance ; en ce
genre
ils n’affichent rien : « Lorsque l’incrédulité de
ion de passer en revue tous les arts, toutes les sciences et tous les
genres
littéraires : architecture, sculpture, peinture,
her s’il n’y a pas quelque explication rationnelle de la richesse des
genres
et de la beauté des œuvres, en dehors et à côté d
s très inégales ; qu’il y a pour une langue, et qu’il y a pour chaque
genre
des points de perfection qui sont atteints à des
de l’autre. Ainsi le français n’a point été toujours apte à tous les
genres
. Ronsard et ses imitateurs ont été bientôt décrié
ages ». Bertaut, Malherbe, Lingendes et Racan rencontrèrent « dans le
genre
sérieux le vrai génie de la langue française, qui
sont en quelque sorte de meilleurs terrains de culture pour certains
genres
. Ainsi ni l’épopée, ni l’éloquence, ni l’histoire
upérieurs aux Latins » ; et aussi pour le vaudeville. Il y a même des
genres
de poésie que les Latins n’ont pas connus, comme
avait jamais regardé les œuvres littéraires que dans leur relation au
genre
, sorte de type analogue aux idées platoniciennes,
ychologiques qui se cachent derrière ces abstractions, une langue, un
genre
: il n’y vit point les expressions de ces conscie
, la perfection et la décadence de ces formes organiques qui sont les
genres
, représentent la succession des états d’âme, la d
s morales des divers groupes de l’humanité. Quand Boileau eut mis les
genres
en relation avec les langues, il s’arrêta : là, e
rapporte toutes les espèces particulières qui appartiennent à chaque
genre
; ce sont pour emprunter le langage de l’école, d
res. Les langues vulgaires se composent de paroles qui sont comme des
genres
relativement aux expressions particulières dont s
es formes et les propriétés des sujets, ces universaux poétiques, ces
genres
créés par l’imagination (generi fantastici), fire
us haute civilisation, prirent des philosophes l’idée de ces derniers
genres
et les personnifièrent dans leurs comédies. (Vico
e même publication les portraits des Hommes illustres dans les divers
genres
et en n’accordant pas plus de place dans ses noti
lles, se confondent même volontiers. Il ne s’agit pas de déplacer les
genres
, d’échanger les procédés, de transporter un art d
noms d’auteurs ceux qui peuvent le plus prétendre en notre temps à ce
genre
de mérite, qui pourra-t-on citer de préférence à
voués à la production féconde, à la rénovation de l’art dans tous les
genres
, et dont la naissance, remontant aux premières an
je le devrais pourtant, car il a le goût, le génie, l’invention en ce
genre
. « Personne, me disait un des amateurs qui connai
arer du sujet, je dois remarquer encore qu’il a fait révolution en ce
genre
au théâtre et dans les bals costumés. C’est lui q
et, distinct, le plus à envier de tous pour l’artiste. La dignité des
genres
, comme la noblesse des conditions, n’existe que p
quelque chose d’à part et de neuf. Or, Gavarni est devenu le nom d’un
genre
; il est arrivé, sans le chercher, à cette soluti
commença le Journal des Gens du monde, recueil hebdomadaire, dans le
genre
de l’Artiste, et dont il ne parut qu’une vingtain
Gavarni l’ordre civil et moral, régulier ou irrégulier dans tous les
genres
, la femme et tout ce qui s’ensuit, à tous les deg
’étendre et à se ramifier. On assiste à la création ingénieuse de son
genre
. III. Comment analyser de telles séries ? Comment
biographe que pour le public. Comme Gavarni n’est qu’un amateur en ce
genre
, qu’il n’écrit pas pour écrire, mais pour se fair
d ils composerent leurs pieces, la comedie étoit à Rome un poëme d’un
genre
nouveau, et les grecs avoient déja fait d’excelle
s en parlant de leurs poësies dramatiques ont confondu quelquefois le
genre
avec l’espece. Je crois néanmoins devoir tâcher d
lement. La poësie dramatique des romains se divisoit d’abord en trois
genres
qui se subdivisoient en plusieurs especes. Ces tr
en trois genres qui se subdivisoient en plusieurs especes. Ces trois
genres
étoient, la tragedie, la satire et la comedie. Le
le Soque, comme ceux qui répresentent les comedies des trois premiers
genres
. Les grecs donnent le nom de mimes à cette quatri
té trop servilement les opera des italiens de qui nous empruntions ce
genre
de spectacle, sans faire attention que le goût de
oient la musique prise dans le sens que nous venons de dire, en trois
genres
, sçavoir, le genre diatonique, le genre chromatiq
se dans le sens que nous venons de dire, en trois genres, sçavoir, le
genre
diatonique, le genre chromatique et le genre enar
ous venons de dire, en trois genres, sçavoir, le genre diatonique, le
genre
chromatique et le genre enarmonique. Ce qui const
rois genres, sçavoir, le genre diatonique, le genre chromatique et le
genre
enarmonique. Ce qui constituoit la difference qui
armonique. Ce qui constituoit la difference qui étoit entre ces trois
genres
, c’est que l’un admettoit des sons que l’autre n’
s anciens divisoient encore leurs compositions musicales en plusieurs
genres
par rapport au mode ou au ton dont elles étoient,
ères profanes n’apparaîtront vraiment que dans l’extrême décadence du
genre
, entre 1548 et 1508, quand l’interdiction du Parl
on ne trouve ni un homme, ni une œuvre. Et il n’y a pas à dire que le
genre
ait gagné par cent ans de vogue et de fécondité :
entellement ou régulièrement, jouent des scènes dialoguées, et divers
genres
de pièces. Il y en a deux à Paris, qui se sont fa
de farces. Une habitude s’établit de composer le spectacle des trois
genres
de pièces. Vers le milieu du xve siècle, les Con
, qui sont toutes également traitées en lourdes allégories. Ce fut le
genre
favori des grands rhétoriqueurs : et leur froide
ue devant ou les Gens nouveaux, qui sont les plus agréables pièces du
genre
, sont qualifiées de farce morale ou bergerie mora
rnes ont usé de la presse. Cette politique donna un moment d’éclat au
genre
, du reste assez obscur, de la sottie. En 1511, au
fabliaux, pour qu’on puisse conclure sur le rapport qui unit les deux
genres
. La prudence ne permet de rien dire de plus sur l
de la farce. Mais ce qui ne laisse aucun doute, c’est le caractère du
genre
. Toutes les œuvres conservées, si diverses qu’ell
nsemble homogène. La farce n’est pas « de la littérature » : c’est un
genre
entièrement populaire, et que l’esprit du peuple
d’être dupe, avec une instinctive sympathie pour les dupeurs en tout
genre
. C’est le type inférieur de l’esprit français dan
thème fondamental de la farce, c’est l’antagonisme du ménage : en ce
genre
, on a depuis longtemps cité, et on a eu raison de
lons. Mais, et précisément pour cette raison, il ne faut pas juger du
genre
de la farce par Patelin qui est resté unique, qui
il s’y confina et s’y confit. Il se laissa faire ; il s’y choisit un
genre
de vie délicieux, mais énervant, qui rappelait, e
dessus : une trop exacte mesure ! Mais le discours académique est un
genre
vivant qui transforme, qui embellit, qui a pour o
odestie pour son propre compte, mais avec une sorte de fierté pour le
genre
: il avait eu le bon goût de paraître étonné et c
tonnement du récipiendaire et à justifier l’Académie. Le roman est un
genre
vague, mal aisément défini ; il touche à tout, il
e. À travers les charmants et bien mérités éloges auxquels prêtait ce
genre
de réponse toute personnelle, j’ai regretté, je l
eux aussi et dignes de notre intérêt ; c’est vers les monuments de ce
genre
, vers les travaux et les manuscrits relatifs aux
nt à la France. Ce n’est pas à dire pourtant qu’aucun manuscrit de ce
genre
, si l’on venait à en rencontrer, dût être négligé
l a pu y avoir des essais de philosophie en langue française, dans le
genre
des traductions et commentaires que Louis Leroy a
s de notre langue, et la culture qui s’est développée dans les divers
genres
de composition, à partir du xie siècle jusqu’au
Les chroniques en vers, qu’il faut distinguer des romans, et dans le
genre
du Rou ou du Brut, vous offriraient une valeur hi
ifiques, comme l’Image du monde ; aux grands ouvrages allégoriques du
genre
du Roman de la Rose ; aux grands apologues, aux b
la langue, composés dans ces siècles, si vous en découvriez. Dans les
genres
de moindre étendue, et dont les pièces ne se trou
l n’avait pas en propre, comme M. Dubeux, son ami et son maître en ce
genre
, la faculté philologique saillante. La facilité q
les déduire, à les expliquer l’une par l’autre. Il n’avait pas, en ce
genre
de recherches, le flair et la piste ; il ne savai
tait même sur le point de s’essayer à l’Odéon par une bluette dans le
genre
d’Andrieux, une petite comédie anecdotique (Racin
pire et des bêtises de Montansier. M. Scribe parut et créa un nouveau
genre
, la comédie-vaudeville. « A la même époque, la v
othèque, et l’on sait qu’il n’est rien de tel ni de plus aigre en son
genre
que les haines de bibliothécaires, c’est-à-dire d
éniques sous toutes les formes : ici il est dans son élément, dans un
genre
qu’il a une fois effleuré comme auteur, qu’il a d
es, étrangères à l’œuvre présente, la seule qui fût en cause. Dans ce
genre
de critique pratique et contemporaine, M. Magnin,
-on saisir et soupçonner quelque continuité obscure dans les plus bas
genres
? quels sont les premiers indices, les premiers t
s autres. Pour apprécier la finesse et l’utilité de ses travaux en ce
genre
, il faut avoir lu, il faut avoir eu besoin de lir
utile ! M. Magnin nous fait observer, comme à la loupe, l’origine des
genres
. A défaut du grand et du beau, on assiste par lui
ne le surfait pas du moins ; il nous le montre le meilleur produit du
genre
, non l’unique. Combien d’œuvres spirituelles et d
oujours curieux jusqu’à être subtil, se pique de distinguer entre des
genres
bien voisins, de reconnaître les farces qui étaie
en tout ce qui est du goût. Il nous fait apprécier comme la perle du
genre
des Enfants sans souci une petite farce, une para
ures, oubliant trop qu’aujourd’hui il ne se fait plus de livres de ce
genre
sans gravures à l’appui. C’est une lacune. Et mai
it alors, non loin de lui, des savants, des convertis aussi dans leur
genre
, qui faisaient de leur religion grand bruit et qu
ts sur les personnes nous dirigent plus sûrement que ses lois sur les
genres
. Vainement a-t-on essayé de les casser, d’abord p
e qui équivaut à un commencement de gloire131. Je ne parlerai que des
genres
et ne nommerai que les morts. Je m’en tiendrai, p
ème siècle. S’il n’y a pas eu progrès de la poésie française dans les
genres
où ce siècle a atteint la perfection, il y a eu d
taient comme ajustés, par la conformité de leur tour d’esprit avec le
genre
choisi par eux. Rester sévèrement renfermé dans l
eux. Rester sévèrement renfermé dans les limites et les caractères du
genre
, c’était là le goût. Il semble qu’ils se soient p
poésies ne sont plus des peintures de l’homme dans des cadres appelés
genres
. Il n’y a qu’un genre, sous divers titres particu
s peintures de l’homme dans des cadres appelés genres. Il n’y a qu’un
genre
, sous divers titres particuliers ; c’est le genre
res. Il n’y a qu’un genre, sous divers titres particuliers ; c’est le
genre
lyrique. Le poète parle en son nom de tout ce qui
ttes de la tribune et les improvisations de la presse, ont inspiré un
genre
d’histoire qu’on pourrait appeler l’histoire des
de l’Angleterre par les Normands, un critique si éminent a signalé un
genre
d’injustice d’ailleurs si rare, qu’il y a du méri
arée. J’ai peut-être des raisons personnelles pour ne pas mépriser ce
genre
; j’en ai plus encore pour le trouver difficile e
x. Il y a une autre sorte de critique qui ne se pique point d’être un
genre
, et qui en refuserait l’éloge. L’art de lire les
oman. Elle est l’âme de tous les ouvrages ; elle est mêlée à tous les
genres
. Appliquée à l’histoire des beaux-arts et au juge
u génie. L’oubli pour une tragédie a presque l’air d’une punition. Le
genre
si français de la comédie légère s’est personnifi
hilosophique, ne séparant jamais la cause de la France de la cause du
genre
humain. Enfin, dans les éloges que j’ai donnés au
voyer le lecteur. J’y explique ce que ce titre même : L’Évolution des
Genres
dans l’Histoire de la Littérature, a sans doute d
m’a paru seulement qu’avant d’aborder le problème de l’évolution des
genres
, il était nécessaire de montrer comment la critiq
y suppléer, de celui que nous demandons. Un autre ouvrage, d’un autre
genre
, n’intéresserait pas-moins l’histoire de la litté
ées par leur médiocrité d’être presque capitales pour l’histoire d’un
genre
, flottent-elles dans une incertitude entière du v
écrire ; et, reculant à un autre temps la question de l’Évolution des
Genres
, si je n’étudierais pas d’abord celle de l’Influe
ela qu’il convienne de faire une place et une part dans l’histoire du
genre
à un d’Aubignac pu à un P. Bouliours, non seuleme
ieurs, Je me propose d’étudier avec vous, cette année L’Évolution des
Genres
dans l’Histoire de la Littérature ; et, comme ce
u dans celle de la littérature, les grandes lignes de l’histoire d’un
genre
, ou celles de l’évolution de l’art même. Théoriqu
ule ; dont le pouvoir unique se divise ; et qui partage avec un autre
genre
l’empire, les honneurs et la popularité. Vous sav
toire. Encore un peu mêlés ensemble dans l’Ecole florentine, les deux
genres
se séparent et se distinguent dans l’École véniti
ut donc en faire aussi le portrait. Et c’est ainsi que la Peinture de
genre
peut être conçue comme s’étant dégagée d’abord et
ure est Religieuse, ou Mythologique ou Historique, ou Iconique, ou de
Genre
, ou de Paysage, ou de Nature morte — et chacune d
la Chimère qu’on les lit. Les Amadis sont du xvie siècle : un autre
genre
les remplace avec le xviie siècle naissant, dont
ela, sinon le Roman de mœurs qui commence à poindre ? je veux dire ce
genre
de romans dont l’intérêt n’est plu dans l’invrais
toute fortuite ? Si les circonstances l’eussent voulu, la Peinture de
genre
aurait-elle pu précéder la Peinture religieuse ;
e l’introduction naturelle, et même nécessaire, d’une recherche de ce
genre
est une Histoire sommaire ou une Esquisse de révo
pouvons, si nous ne le savons, aborder ce problème de L’Évolution des
genres
, tel à peu près que je vous l’indiquais tout à l’
trer dans les appartements, et traiter la question de L’Évolution des
genres
. Elle en comprend, si je ne me trompe, au moins c
ne me trompe, au moins cinq autres, que voici : 1° De l’Existence des
genres
: c’est-à-dire, les genres ne sont-ils peut-être
autres, que voici : 1° De l’Existence des genres : c’est-à-dire, les
genres
ne sont-ils peut-être que des mots, des catégorie
’infinie diversité l’accablerait de son poids ; ou, au contraire, les
genres
existent-ils vraiment dans la nature et dans l’hi
artistes ? Ce sera la première question. 2° De la Différenciation des
genres
. Supposé que les genres existent, et, même a prio
emière question. 2° De la Différenciation des genres. Supposé que les
genres
existent, et, même a priori, je ne vois guère com
ge n’est pas une Statue ; — supposé donc qu’ils existent, comment les
genres
se dégagent-ils de l’indétermination primitive ?
uccessive des variétés, des races, des espèces. 3° De la Fixation des
genres
. Mais, de même que dans la nature, et pour peu qu
incapables de quelque permanence et de quelque stabilité, de même les
genres
aussi se fixent, au moins pour un temps. Observon
rières infranchissables. Troisième question, celle de la Fixation des
genres
, ou des conditions de stabilité qui leur assurent
avec un commencement, un milieu et une fin. 4° Des Modificateurs des
genres
. Toutefois, et par cela seul que nous la comparon
us la comparons à l’existence humaine, cette existence historique des
genres
n’est pas éternelle. De même encore que dans la n
re que dans la nature, il arrive donc un moment dans l’évolution d’un
genre
, où la somme des caractères instables l’emporte s
influences ? ou, en d’autres termes, quels sont les Modificateurs des
genres
! Quatrième question, la plus complexe peut-être
erons dans cette seconde partie du cours. 5° De la Transformation des
genres
. Nous chercherons ici s’il y a des lois du phénom
me on serait d’abord plutôt tenté de le croire, l’évolution de chaque
genre
ayant ses lois à elle, il n’y a pas de loi généra
yant ses lois à elle, il n’y a pas de loi générale de l’évolution des
genres
. Pour cela, nous devrons recourir aux exemples, d
Le premier nous sera fourni par L’Histoire de la tragédie française :
genre
illustre, s’il en fut, genre fameux, aujourd’hui
ar L’Histoire de la tragédie française : genre illustre, s’il en fut,
genre
fameux, aujourd’hui mort et bien mort ; né d’aill
otif, exemple admirable, pour ne pas dire unique, de la façon dont un
Genre
naît, grandit, atteint sa perfection, décline, et
et enfin meurt ! Nous étudierons, dans un second exemple, comment un
Genre
se transforme en un autre ; et, pour cela, j’essa
ne me trompe, vous verrez là, comment, quand le temps en est venu, un
Genre
se forme du débris de plusieurs autres ; comment,
otre recherche. 1° Sur la première question, celle de l’Existence des
genres
, et pour décider si les genres existent ou non, n
ère question, celle de l’Existence des genres, et pour décider si les
genres
existent ou non, nous montrerons qu’ils doivent e
o les Chansons de Béranger. 2° Sur la deuxième question : Comment les
genres
se différencient, c’est à la doctrine de l’évolut
division elle-même de la question. Sans doute, la différenciation des
genres
s’opère dans l’histoire comme celle des espèces d
3° J’en dis autant de ce qui regarde la Fixation ou la Stabilité des
genres
. Et toutefois, dès à présent, dans cette seule qu
quels signes l’épuisement, la décrépitude, et la mort prochaine d’un
genre
? Mais surtout — puisque, comme vous le savez, c’
roverse, —à quels signes reconnaît-on la perfection ou la maturité du
genre
? et que faut-il penser du mot de La Bruyère, que
dra commencer par distinguer les uns des autres les Modificateurs des
genres
. J’entends par là les forces mal connues qui agis
genres. J’entends par là les forces mal connues qui agissent sur les
genres
, soit pour en renforcer d’ailleurs, soit au contr
lité. A. En premier lieu, c’est l’Hérédité ou la Race, qui fait qu’un
genre
, comme l’épopée, toujours naturel, toujours prêt
es qualités ou des défauts, qui font qu’un individu est unique en son
genre
, qu’il introduit ainsi dans l’histoire de la litt
trine de l’évolution que d’insister sur cette cause modificatrice des
genres
, puisqu’à vrai dire, selon L’Origine des Espèces,
llélisme, nous examinerons enfin, sous le titre de Transformation des
genres
, s’il se rencontre, dans l’histoire de la littéra
nné par la manière même dont nous avons posé la question : Comment un
Genre
naît, grandit, atteint sa perfection, décline, et
ue sous la loi de l’évolution. Passons au second exemple ; Comment un
Genre
se transforme en un autre. C’est, avons-nous dit,
emble-t-il ; et nous aurons vu vraiment, non pas métaphoriquement, un
genre
se transformer en un autre. Cela fera, si j’ai bi
la tragédie, nous essayerons d’abord de déterminer l’objet propre du
genre
et le point de sa perfection dans l’histoire de n
e plus souple, le plus ondoyant, et avec cela, cependant, de tous les
genres
, le plus facile à reconnaître, à déterminer et à
s entier, mais une théorie générale du style, mais une esthétique des
genres
, mais des règles, mais des lois. Vous ne trouvere
ois reconnu, vient former un trait de la définition que l’on donne du
genre
. La tragédie produit en nous une impression de gr
e je vous disais : la tendance à transformer en lois ou en règles des
genres
les observations qu’on a faites sur le genre de p
n lois ou en règles des genres les observations qu’on a faites sur le
genre
de plaisir dont l’Ode ou la Tragédie pouvait être
’elle nous représente surtout, c’est donc un moment de l’évolution du
genre
dramatique. Espagnols et Anglais, longtemps avant
yez ; toujours cette idée fausse que, les chefs-d’œuvre dans tous les
genres
étant conformes aux règles — puisqu’elles en sont
mêmes ; et, dans les œuvres qu’elle examine, à découvrir les lois des
genres
. Malheureusement, c’est ici que Chapelain allait
ncore trop souvent, et confondre les « règles » avec les « lois » des
genres
. De ce que nous connaissons, par exemple, les loi
n’est pas tout encore ; et il nous reste à montrer l’extension de ce
genre
de critique aux œuvres de la prose, ou, comme on
ains bien qu’en réalité ce ne soit là qu’une apparence, et que, de ce
genre
de comparaisons, l’auteur des Dialogues ne se ser
voici l’abomination. Les exigences particulières ou personnelles des
genres
, si je puis ainsi dire, ne l’inquiètent nullement
in. Il est d’ailleurs bien entendu que, pas plus que des exigences du
genre
, il ne se soucie du temps, ni du milieu, ni de la
lui, contribuerait beaucoup à faire connaître, ayant attrapé dans le
genre
sérieux le vrai génie de la langue française, qui
par Saint-Gelais, et par d’autres, non seulement leurs ouvrages en ce
genre
ne sont point tombés dans le mépris, mais ils son
définirait-on mieux ce que nous appelons aujourd’hui l’évolution des
genres
? comment, l’évolution même des genres ? et comme
ns aujourd’hui l’évolution des genres ? comment, l’évolution même des
genres
? et comment, par quels exemples établirait-on pl
se de langue et en justesse d’expression… Je montrerais qu’il y a des
genres
de poésie, où non seulement les Latins ne nous on
les surpasser dans l’ode ou dans la comédie. Puisque nous avons des «
genres
» qu’ils n’ont point connus, d’autres sans doute
du milieu physique et celui du moment, voilà deux « modificateurs des
genres
» dont l’abbé Dubos a essayé l’un des premiers de
a disposition n’en est pas très heureuse ; et ses classifications par
genres
, en brouillant systématiquement l’ordre chronolog
des leçons de Rousseau, il n’y a plus de modèle idéal ou de type des
genres
; il n’y a donc plus de recettes ou de procédés p
vous donner le spectacle de la superstition des règles. Unique en son
genre
, je n’en sache pas qui soit sous ce rapport plus
se sont graduellement développées par les ouvrages illustres en tout
genre
, qui ont été composés depuis Homère jusqu’à nos j
sie romantique et se glorifie des chefs-d’œuvre qu’elle possède en ce
genre
. Je n’examinerai point ici lequel de ces deux gen
lle possède en ce genre. Je n’examinerai point ici lequel de ces deux
genres
de poésie mérite la préférence : il suffit de mon
e aussi, ne l’oublions pas, — ni sur la question enfin du mélange des
genres
ou des trois unités, la Préface de Cromwell ne co
llades. L’auteur de ces Odes ignore profondément ce que c’est que le
genre
classique et le genre romantique. Selon une femme
es Odes ignore profondément ce que c’est que le genre classique et le
genre
romantique. Selon une femme de génie qui, la prem
d’un idéal aussi universel, et conséquemment aussi arbitraire en son
genre
, que celui du classicisme lui-même. Il y a dans C
’autrefois Grimm ou Meister, si vous le voulez, dans l’« évolution du
genre
». Nisard, lui, est un tout autre homme, un écriv
generis mores tibi nosse volenti, Sufficit una domus… C’est dans ce
genre
de critique — anatomique, physiologique ; et mora
n digne de ce nom de différent de tous les autres, et d’unique en son
genre
. La contradiction eût été trop flagrante. Aussi,
asse, lie les différencie déjà qu’à peine comme représentants de leur
genre
ou de leur espèce. A plus forte raison, ne peut-o
celle des œuvres sur les œuvres. Ou nous voulons rivaliser, dans leur
genre
, avec ceux qui nous ont précédés ; et voilà comme
e et de l’art. A la surface de l’homme sont des mœurs, des idées, un
genre
d’esprit qui durent trois ou quatre ans : ce sont
dépaysé… Les variations de la toilette mesurent les variations de ce
genre
d’esprit : de tous les caractères de l’homme c’es
is heureux, avec M. Taine, de voir renaître l’ancienne hiérarchie des
genres
. Mais, en vérité, lorsque passant à l’application
tère » que les œuvres manifestent ? Le principe de la distinction des
genres
ou de la classification des œuvres est situé plus
— cela veut dire que, pour qu’une œuvre atteigne la perfection de son
genre
, il faut que l’on y trouve, premièrement, le cara
« le monde ne fût dévoré par la superstition et la crédulité en tout
genre
». Les charlatans alors deviendraient les maîtres
de la fine fleur de pantagruélisme. Je pourrais citer encore, dans ce
genre
-là, Un Animal dans la lune, l’Astrologue qui se l
us voulez, comme la Vieille et les Deux Servantes, et lesfables de ce
genre
-là qui, du reste, sont des contes et non pas des
spécial, si lui-même, si nouveau, ce La Fontaine qui s’emparait d’un
genre
, je vous l’ai fait remarquer, pour l’altérer, pou
fable, alors qu’il nommait le rondeau, le triolet, qu’il nommait des
genres
littéraires infiniment inférieurs ? » Je vous dir
ondeau, et il n’a sans doute pas considéré la fable comme vraiment un
genre
poétique, ni par son importance puisque, jusqu’à
orer. La fable qui, jusqu’à La Fontaine exclusivement, n’était pas un
genre
marqué, ni par son fond peu important ni par sa f
difficile de reprocher à un homme d’être trivial et familier dans un
genre
aussi familier que la fable. On dirait, vraiment,
l’Escarbot, etc. Mais peut-être faut-il accepter cette vieille loi du
genre
qui nous vient de l’antiquité, car La Fontaine n’
éraires, n’y tenait pas beaucoup, qui ne tenait pas beaucoup, dans ce
genre
de discussions, à son opinion, Voltaire sourit, f
é, souple et original. Remarquez qu’il a exploité absolument tous les
genres
poétiques ; tous les genres poétiques ont été cul
quez qu’il a exploité absolument tous les genres poétiques ; tous les
genres
poétiques ont été cultivés par lui. J’irais plus
lui. J’irais plus haut peut-être comme homme de mémoire, Si dans un
genre
seul j’avais usé mes jours. Mais il ne l’a pas f
phique, il a touché à tout cela avec infiniment de talent dans chaque
genre
. Il a eu un talent supérieur dans tous les genres
e talent dans chaque genre. Il a eu un talent supérieur dans tous les
genres
, excepté dans la tragédie, abandonnée du reste si
e, abandonnée du reste si vite par lui ; et il a eu du génie dans les
genres
qui sont le conte et la fable. Ses deux originali
ent d’une façon relativement précise, mais enfin assez précise, trois
genres
littéraires, ou plutôt trois mentalités littérair
op vieillir pour bien juger les romans de son temps ; le roman est un
genre
essentiellement contemporain. Jeune, on lit tout
: mur, on peut ne pas perdre de vue et suivre encore avec intérêt ce
genre
agréable chez ceux qui mûrissent avec nous et qui
aste qui manquent à quiconque ne se tient pas dans tout le courant du
genre
, à qui ne vit pas en plein milieu. Pourquoi y a-t
ris de force ? Pourquoi de vaillants essais (moi qui les aime en tout
genre
), de consciencieuses et fermes études de M. Ferdi
de vue ; un mouvement si compliqué, si divers, si fécond, et dans un
genre
indéfini qui menace de devenir la forme universel
scènes pareilles, ayant même tendance, justifie ce qu’un bon juge du
genre
me disait en parlant de l’auteur : « Il met ses
paravant n’avaient pas nui à y préparer par leurs tableaux d’un autre
genre
. M. O. Feuillet a discrètement profité des licenc
parce qu’il a déclaré en vouloir au bon Dieu, ressemble fort dans son
genre
à Sibylle repoussant impitoyablement, pour pareil
ourtant impossible de ne pas voir dans de telles productions d’art un
genre
de conte moral comme chez Marmontel, ou même de c
M. Pariset lui-même. Je dirai, à cette occasion, quelques mots et du
genre
et de ceux qui l’ont mis en honneur parmi nous. J
enre et de ceux qui l’ont mis en honneur parmi nous. J’entends ici le
genre
de l’éloge académique en tant qu’il s’applique un
Nous surprenons là chez Vicq d’Azyr ce que j’appellerai le goût ou le
genre
Louis XVI en littérature, et qui n’est déjà plus
ouis XVI en littérature, et qui n’est déjà plus celui de Louis XV. Le
genre
Louis XVI, qui régna jusqu’en 91, est essentielle
Carême à leur usage, et une voix intérieure me dit que je ferai en ce
genre
ce qu’on n’a jamais fait, de vraies conversions a
e abonde et afflue sur ses lèvres, mais il ne la ménage pas assez. Le
genre
tempéré a aussi ses écueils et comme ses excès. C
x qui n’y prennent pas garde et qui s’abandonnent à la facilité de ce
genre
« courent risque de tomber dans un style lâche et
Ce n’est pas tant à Pariset que je fais le procès en ce moment qu’au
genre
académique lui-même, qu’il est temps, surtout dan
l’histoire littéraire des documents précieux. Voilà l’idée vraie du
genre
exprimée avec modestie par un homme supérieur qui
académique bien traitée, avec tact, avec sobriété et justesse, est un
genre
délicat, susceptible d’agrément, mais d’un agréme
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