Chapitre II. Des idées
générales
et de la substitution simple Sommaire. I. Nom
e. I. Noms propres et noms communs. — Importance des noms communs ou
généraux
. — Ils sont le premier terme d’un couple. — Le se
er terme d’un couple. — Le second terme de ce couple est un caractère
général
et abstrait. II. Conséquences. — L’expérience de
’image sensible et de l’idée pure. III. Formation actuelle d’une idée
générale
. — Ce qui se dégage en nous, après que nous avons
e expressif. — Exemples contemporains. — Exemples anciens. — Nos noms
généraux
sont des résidus de sons expressifs. — Il n’y a e
e sons expressifs. — Il n’y a en nous, quand nous pensons une qualité
générale
, qu’une tendance à nommer et un nom. — Ce nom est
. — Ce nom est le substitut d’une expérience impossible. IV. Une idée
générale
n’est qu’un nom pourvu de deux caractères. — Prem
lasse et de cette classe seulement. — Par ces deux propriétés, le nom
général
correspond exclusivement à la qualité générale et
deux propriétés, le nom général correspond exclusivement à la qualité
générale
et devient son représentant mental. — Utilité de
entant mental. — Utilité de cette substitution. V. Formation des noms
généraux
chez les petits enfants. — La faculté du langage
oms abstraits aux noms collectifs. — Le nom qui désignait une qualité
générale
désigne un groupe de qualités générales. — Exempl
nom qui désignait une qualité générale désigne un groupe de qualités
générales
. — Exemples. — Le nom devient alors le substitut
usieurs autres noms et le représentant mental d’un groupe de qualités
générales
. — Ce sont ces substituts que nous appelons idées
isent très bien qu’un nom commun, comme arbre ou polygone, est un nom
général
ou abstrait. — Il est général parce qu’il convien
un, comme arbre ou polygone, est un nom général ou abstrait. — Il est
général
parce qu’il convient à un genre ou groupe d’objet
nes, etc. — On voit la liaison de ces deux caractères du nom ; il est
général
parce qu’il est abstrait ; il convient à toute la
ssible de l’imaginer, même coloré et particulier, à plus forte raison
général
et abstrait. Si lucide et si compréhensive que so
espondant exact, et qu’y a-t-il en moi lorsque, par le moyen d’un nom
général
que j’entends, je pense une qualité commune à plu
ntends, je pense une qualité commune à plusieurs individus, une chose
générale
, bref un caractère abstrait ? III Pour cela
ets semblables, nous en retirons mentalement une qualité ou caractère
général
que nous notons par un nom abstrait. Le lecteur a
les vêtements, les types, les expressions, les attitudes, le coloris
général
; on trouve quelque trait principal et saillant p
asse en nous lorsque de plusieurs perceptions nous dégageons une idée
générale
, nous ne trouvons jamais en nous que la formation
IV Le lecteur voit maintenant comment nous pensons une qualité
générale
; quand nous avons vu une série d’objets pourvus
e ou qu’on prononce. Nous n’apercevons pas les qualités ou caractères
généraux
des choses ; nous éprouvons seulement en leur pré
t, dans notre langage artificiel, à tel nom. Nous n’avons pas d’idées
générales
à proprement parler ; nous avons des tendances à
utres tout énoncés et figurés. Partant, de que nous appelons une idée
générale
, une vue d’ensemble, n’est qu’un nom, non pas le
ouvons apercevoir ni maintenir isolées dans notre esprit les qualités
générales
, sortes de filons précieux qui constituent l’esse
Nous faisons un détour ; nous associons à chaque qualité abstraite et
générale
un petit événement particulier et complexe, un so
er que nous atteignons. — Pareillement, quand il s’agit d’une qualité
générale
dont nous ne pouvons avoir ni expérience ni repré
contre en lui par contrecoup. — Par cette équivalence, les caractères
généraux
des choses arrivent à la portée de notre expérien
onstruit. V On peut assister de près à la naissance de ces noms
généraux
; chez les petits enfants, on la prend sur le fai
souvent de l’appeler aussi papa. Le nom était individuel, il l’a fait
général
; pour vous, il ne s’appliquait qu’à une personne
on, qu’une tendance distincte, correspondante à ces quatre caractères
généraux
et que nous n’éprouvons point, s’était formée et
pondant à des idées, partant à des classes d’objets, à des caractères
généraux
, à des tendances distinctes qui chez nous ont dis
ées de la même façon que les nôtres, correspondantes à des caractères
généraux
comme chez nous, mais à des caractères moins géné
des caractères généraux comme chez nous, mais à des caractères moins
généraux
que chez nous, bref aboutissant à des noms sembla
x ou trois noms dominants perdre leur prépondérance absolue, les mots
généraux
limiter leur sens trop vaste, préciser leur sens
qu’il y a de commun dans ces objets, c’est-à-dire à quelque caractère
général
, à quelque qualité abstraite, à un extrait de ces
onsiste la supériorité de l’intelligence humaine. Des caractères très
généraux
y éveillent des tendances distinctes. En d’autres
e multiplient, se circonscrivent, se subordonnent, comme les qualités
générales
qu’ils représentent ; et la hiérarchie des choses
marquons et, partant, nous nommons un plus grand nombre de caractères
généraux
dans un même objet. Son nom, qui d’abord désignai
é abstraite, mais à un groupe de qualités abstraites ; il n’était que
général
, il devient collectif. Considérons un animal quel
de de tendances distinctes, lesquelles correspondent à des caractères
généraux
également distincts, et laissent place à côté d’e
nque, moral ou physique ; l’opération serait pareille ; tous les noms
généraux
se remplissent de la même façon. — Ordonnés les u
es, tous représentants mentaux de caractères abstraits et de qualités
générales
, tous évoqués par des tendances distinctes, tous
Chapitre premier. Les caractères
généraux
et les idées générales. Sommaire. Les caract
Chapitre premier. Les caractères généraux et les idées
générales
. Sommaire. Les caractères généraux. — Exempl
ctères généraux et les idées générales. Sommaire. Les caractères
généraux
. — Exemples. — Ils sont l’objet des idées général
e. Les caractères généraux. — Exemples. — Ils sont l’objet des idées
générales
. § I. Idées générales qui sont des copies. I. Rô
raux. — Exemples. — Ils sont l’objet des idées générales. § I. Idées
générales
qui sont des copies. I. Rôle des caractères génér
es. § I. Idées générales qui sont des copies. I. Rôle des caractères
généraux
dans la nature. — Un groupe de caractères générau
ôle des caractères généraux dans la nature. — Un groupe de caractères
généraux
communs à tous les moments d’une série d’événemen
ne série d’événements constitue l’individu. — Un groupe de caractères
généraux
communs à plusieurs individus constitue la classe
x communs à plusieurs individus constitue la classe. — Les caractères
généraux
sont la portion fixe et uniforme de l’existence.
re esprit. — Leur efficacité dans la nature. — Ils sont plus ou moins
généraux
. — Plus ils sont généraux, plus ils sont abstrait
té dans la nature. — Ils sont plus ou moins généraux. — Plus ils sont
généraux
, plus ils sont abstraits. II. À ces extraits géné
— Plus ils sont généraux, plus ils sont abstraits. II. À ces extraits
généraux
correspondent en nous des idées générales et abst
bstraits. II. À ces extraits généraux correspondent en nous des idées
générales
et abstraites. — Ces idées sont des noms accompag
est le correspondant mental de leur portion commune et se trouve idée
générale
. — Mécanisme de cette liaison exclusive. — Observ
it les mots, mais crée leur sens. III. Adaptation graduelle des idées
générales
aux choses. — La recherche scientifique. — Aux ca
s générales aux choses. — La recherche scientifique. — Aux caractères
généraux
dont le groupe constitue une classe nous en ajout
Cette addition n’a pas de terme. — Corrections apportées à notre idée
générale
par nos additions. — Exemples en zoologie et en c
en chimie. — Perfectionnement de nos classifications. IV. Caractères
généraux
qui appartiennent aux éléments des individus clas
anchement des caractères accessoires et passagers. — Résumé. — L’idée
générale
s’ajuste à son objet d’abord par addition, puis p
son objet d’abord par addition, puis par soustraction. § II. — Idées
générales
qui sont des modèles. I. Idées générales dont les
soustraction. § II. — Idées générales qui sont des modèles. I. Idées
générales
dont les objets ne sont que possibles. — Nous les
emples. — Nos nombres sont des cadres préalables. Il Toutes les idées
générales
que nous construisons sont des cadres préalables.
ne. — Symboles commodes par lesquels nous représentons ces caractères
généraux
. — Surface de tableau ou du papier, lignes et poi
tuts et des doigts ou des cailloux de l’arithmétique. — Dernière idée
générale
introduite dans la géométrie, l’idée du mouvement
sections coniques. — Nombre indéfini de ces constructions. — Aux plus
générales
de ces constructions mentales correspondent des c
ture des surfaces, des lignes et des points en mouvement. — Aux moins
générales
de ces constructions mentales correspondent appro
és sur les éléments des choses. — Leurs éléments doivent être le plus
généraux
qu’il se pourra. — Leurs éléments doivent être co
naissance que nous en prenons ; il nous reste à considérer les choses
générales
et les idées que nous en avons. Car il y a des ch
hoses générales et les idées que nous en avons. Car il y a des choses
générales
: j’entends par là des choses communes à plusieur
, de même il y a en nous des pensées qui correspondent aux caractères
généraux
; on les nomme idées générales ; elles forment en
ensées qui correspondent aux caractères généraux ; on les nomme idées
générales
; elles forment en nous des couples, des séries,
ns il correspond à l’édifice réel et naturel des choses. § I. Idées
générales
qui sont des copies I C’est un grand rôle
ont des copies I C’est un grand rôle que celui des caractères
généraux
dans la nature. D’abord, et si fort que soit ce p
abord, et si fort que soit ce paradoxe apparent, il faut un caractère
général
pour constituer un individu, une chose particuliè
é, une raie jaune. — On voit par tous ces exemples que les caractères
généraux
sont non seulement les habitants les plus répandu
ion. Maintenant il faut remarquer qu’ils ne sont point tous également
généraux
. Les uns le sont davantage, les autres moins ; ch
le sont davantage, les autres moins ; chacun d’eux est d’autant plus
général
qu’il est moins complexe et d’autant moins comple
al qu’il est moins complexe et d’autant moins complexe qu’il est plus
général
. — En effet, considérons d’abord le groupe de car
chaque individu des autres ont été laissés de côté et puisque le type
général
obtenu par ce retranchement n’est qu’un reste. —
omprendre tous les corps imaginables et réels. — Ainsi les caractères
généraux
s’ordonnent par étages, les uns au-dessus des aut
écourté, à un reliquat plus écourté, et, en même temps, d’une donnée
générale
à une donnée plus générale. À tous les degrés, le
s écourté, et, en même temps, d’une donnée générale à une donnée plus
générale
. À tous les degrés, le caractère général est un c
générale à une donnée plus générale. À tous les degrés, le caractère
général
est un caractère abstrait, d’autant plus abstrait
éral est un caractère abstrait, d’autant plus abstrait qu’il est plus
général
, et d’autant plus général qu’il est plus abstrait
rait, d’autant plus abstrait qu’il est plus général, et d’autant plus
général
qu’il est plus abstrait. II À ces extraits
en nous des pensées d’une espèce distincte et que nous appelons idées
générales
et abstraites. — On a déjà dit en quoi consistent
abstraites. — On a déjà dit en quoi consistent ces idées79. Une idée
générale
et abstraite est un nom, rien qu’un nom, le nom s
inachevées et avortées. — Mais cette représentation n’est pas l’idée
générale
et abstraite. Elle n’en est que l’accompagnement,
rmation des noms qui sont des substituts. Comment naît en nous un nom
général
et abstrait, et par quel mécanisme contracte-t-il
aussi par la seconde, et désormais il correspond à un caractère très
général
et très abstrait. — Tout ce qui distingue l’homme
plus le caractère auquel correspond l’idée, c’est-à-dire le nom, est
général
et abstrait ; plus ce caractère est général et ab
c’est-à-dire le nom, est général et abstrait ; plus ce caractère est
général
et abstrait, plus il occupe de place et relie d’i
ts communs entre des choses très dissemblables, former des idées très
générales
, isoler des qualités très abstraites, toutes ces
; dans un cerveau d’enfant, il s’associe à la présence d’un caractère
général
, qui désormais n’a qu’à reparaître pour l’évoquer
he scientifique. — Cette fois, il s’agit de faire coïncider nos idées
générales
non plus avec les idées générales d’autrui, mais
s’agit de faire coïncider nos idées générales non plus avec les idées
générales
d’autrui, mais avec les caractères généraux de ch
non plus avec les idées générales d’autrui, mais avec les caractères
généraux
de choses. Sitôt que nous sommes pris de ce désir
ns d’une espèce, d’un genre, bref d’une file quelconque de caractères
généraux
, ne comprend jamais et ne peut jamais comprendre
ordres et pour les trois embranchements supérieurs de Cuvier, l’idée
générale
acquise correspond à une chose effectivement géné
Cuvier, l’idée générale acquise correspond à une chose effectivement
générale
, c’est-à-dire à un groupe de caractères qui s’ent
les l’un d’eux est donné. IV À présent, par-delà ces caractères
généraux
, il y en a de plus généraux encore, qui appartien
IV À présent, par-delà ces caractères généraux, il y en a de plus
généraux
encore, qui appartiennent aux éléments des indivi
les régulateurs du reste. — Il suit de là que, entre toutes les idées
générales
, celles qui leur correspondent sont de beaucoup l
es. — On atteint ces caractères, comme les autres, en prenant un type
général
déjà connu, duquel on retranche par degrés beauco
survivant. D’autres caractères ou groupes de caractères, encore plus
généraux
, se rencontrent, sous le nom de propriétés chimiq
chimiques où il peut entrer. Tel est le progrès par lequel nos idées
générales
se forment et s’ajustent aux choses générales. Ce
ès par lequel nos idées générales se forment et s’ajustent aux choses
générales
. Ces idées passent par deux états. D’abord l’idée
rt, elle est incomplète et vague ; en d’autres termes, les caractères
généraux
qu’elle note ne sont ni assez précis ni assez nom
, d’abord par addition, ensuite par soustraction. § II. Les idées
générales
qui sont des modèles I Une autre classe d
ées générales qui sont des modèles I Une autre classe d’idées
générales
présente d’autres traits et se forme par un autre
e n’est, comme toute aptitude, propriété et capacité, qu’un caractère
général
de l’objet, et ce caractère peut être dégagé, ret
orps, caractère isolé par abstraction, considéré à part, et, de plus,
général
, c’est-à-dire commun à beaucoup de corps, ou, pou
ticulières, mais qui remplacent des limites tout à fait abstraites et
générales
, de même que tout à l’heure en arithmétique des c
r, nous voyons naître tout le tableau solide. — De cette construction
générale
, passons aux particulières. Soient deux points ;
D’autres éléments, calqués comme les précédents sur des caractères
généraux
des objets naturels, se combinent avec les précéd
égagée, isolée par une fiction de l’esprit, devient ainsi tout à fait
générale
et abstraite. À cet état de pureté, elle n’est dé
se retrouveront dans la nature. — Il faut ensuite qu’ils soient très
généraux
et, s’il se peut, universels ; car, plus ils sont
oient très généraux et, s’il se peut, universels ; car, plus ils sont
généraux
, plus le nombre d’individus ou cas où ils se retr
les classes d’objets, nous rencontrons et nous isolons des caractères
généraux
capables d’être combinés les uns avec les autres.
s qui vivent autour de nous, nous sommes frappés d’une certaine forme
générale
qui leur est propre ; nous remarquons à un plus h
qu’il aime, c’est-à-dire par sympathie, très rarement en vue du bien
général
, abstraction faite de son intérêt ou de ses sympa
nt tout le dîner, toutes les personnes qui s’y trouvaient réunies. Le
général
était à un balcon seul, lorsque je suis entré che
de. Je vais au général Lasalle, et voici notre conversation : moi. —
Général
, j’ai l’honneur de vous saluer. lasalle. — Monsi
vous saluer. lasalle. — Monsieur, vous allez à Madrid ? moi. — Oui,
général
. lasalle. — J’ai laissé, il y a trois jours, le
d j’ai passé à ……, le commandant est venu à ma voiture et m’a dit : «
Général
, je ne vous laisserai point partir sans une escor
de votre escorte. » — J’ai passé, n’ai rien vu, et me voilà. moi. —
Général
, il faut vous garder pour la campagne qui commenc
he, ensuite le général Thiébault, qui était dans une autre pièce. le
général
thiébault. — Tu n’emmènes donc pas ta femme avec
oi pas, si elle le veut ? Mais elle est toute changée, ma femme ! le
général
thiébault. — Elle était en Espagne à la bataille
la dame de charité tout à fait ; elle est actuellement poltronne. le
général
thiébault. — Comment la laissais-tu aller comme ç
n ; je n’y pensais pas, puisque je n’avais pas peur pour moi. moi. —
Général
, c’est pour arriver sain et sauf aux grandes aven
auf aux grandes aventures qu’il faut vous préserver des brigands. le
général
thiébault. — Je te donnerai sûrement une escorte
ire son chemin, sa fortune ; eh bien ! j’ai trente-trois ans, je suis
général
de division. (En s’approchant de moi, à voix bass
st assez. Moi, je puis mourir demain. — Un aide de camp vient dire au
général
qu’on le demande. Il sort. Je passe avec le génér
prend la conversation avec M. Lagarde. M. Lagarde m’a rapporté que le
général
lui avait dit qu’on traitait les Espagnols avec u
n continua quelques moments sur le même texte et sur le même ton. le
général
thiébault en riant, à moi. — Il en dit plus qu’il
ous les attendons pour dîner. lasalle. — Il faut dîner sans eux. le
général
thiébault. — Il faut bien qu’ils dînent. lasalle
lt. — Il faut bien qu’ils dînent. lasalle. — Ils n’ont pas faim. le
général
thiébault. — Où sont-ils logés ? lasalle. — Ils
iébault. — Où sont-ils logés ? lasalle. — Ils ne sont pas logés. le
général
thiébault. — Mais tu veux partir après dîner ! l
pour cela qu’il ne faut pas les attendre. Ils dîneront ailleurs. le
général
thiébault. — Je ne ferai pas servir qu’ils ne soi
général Lasalle, et, au milieu, M. de Vidal, adjudant. SOUPER. le
général
thiébault. — Ma foi, messieurs, vous ferez mauvai
e. — Je n’étais pas pressé : j’avais déjeuné avant de me coucher. le
général
thiébault. — Il est arrivé ici à quatre heures du
es du maréchal Mortier. J’ai cessé un moment d’être à la conversation
générale
, parce que M. Buot, mon voisin, m’a parlé du sièg
iège, la cloche avait beau sonner, il ne venait plus personne100. le
général
thiébault. — Mon ami, tu ne partiras pas ce soir.
en retard depuis six semaines. l’aide de camp du coëtlosquet. — Mon
général
, nous ne gagnerons rien à partir ce soir. lasall
gure la position et le mouvement d’un homme à cheval qui galope.) le
général
thiébault. — Ne nous parle pas de ce plaisir-là,
ensuite m’en donner le reste de la route, je resterais en chemin. le
général
thiébault. — Je veux que tu aies quatre dragons.
n montés et te suivront aisément. lasalle. — Je n’en veux point. le
général
tbiébault. — Ils se trouveront sur la route quand
va trop doucement. Les Espagnols ne sont pas comme les Allemands. le
général
thiébault. — Tu vas les voir, ces bons Allemands.
e. lasalle. — Oui, dans six mois d’ici, quand nous y reviendrons le
général
thiébault. — Te souviens-tu de la bonne vie que n
nque ? lasalle. — Pardieu, oui ! c’était à notre premier voyage. le
général
thiébault, à moi. — Il avait là une belle à qui i
me voir arriver avec de la musique sous ses fenêtres. Je lui dis : «
Général
, ce n’est pas pour vous, c’est pour Madame ! » El
it : « Mais, monsieur, il fait jour ! — Madame, raison de plus. » le
général
thiébault, à moi. — Ils avaient formé une société
nt quand je suis parti. l’aide de camp du coëtlosquet. — Mais aussi,
général
, comme vous avez été reçu à la poste ! lasalle.
. — Vous ne me chargez de rien pour Madame ? buot. — Si vous voulez,
général
, l’embrasser pour moi… lasalle. — J’ai déjà cett
l dispose de tant de forces que ce n’est plus la même difficulté. le
général
thiébault. — Oui ; mais il fait de si grandes cho
tres en une matinée. Je n’aurais pas réussi dans cette carrière. — Le
général
donne des ordres pour son départ ; je me retire.
ire. fin du récit de roederer. Ainsi partait à toute bride le jeune
général
, pour arriver à temps au terme glorieux de sa des
Deuxième leçon Exposition du plan de ce cours, ou considérations
générales
sur la hiérarchie des sciences positives. I.
nt sous le point de vue que nous avons fixé. Cette seconde discussion
générale
est indispensable pour achever de faire connaître
ont été proposées successivement depuis deux siècles, pour le système
général
des connaissances humaines, envisagé dans toute s
qu’ici. Je n’ai pas besoin de faire observer que, depuis le discrédit
général
dans lequel sont tombés les travaux de cette natu
es parties sont enfin devenues homogènes. D’un autre côté, la théorie
générale
des classifications établie dans ces derniers tem
que cette classification soit elle-même l’expression du fait le plus
général
, manifesté par la comparaison approfondie des obj
ains sont, ou de spéculation, ou d’action. Ainsi, la division la plus
générale
de nos connaissances réelles consiste à les disti
la formule très simple qui exprime, d’une manière exacte, la relation
générale
de la science et de l’art, en prenant ces deux ex
ce qu’il y a sous ce rapport d’incomplet et d’étroit dans la tendance
générale
de notre époque, l’intelligence humaine, réduite
ométriques. » Il est donc évident qu’après avoir conçu d’une manière
générale
l’étude de la nature comme servant de base ration
nceptions spéciales destinées à servir de bases directes aux procédés
généraux
de la pratique. Au degré de développement déjà at
éométrie descriptive, qui n’est réellement autre chose qu’une théorie
générale
des arts de construction. J’aurai soin d’indiquer
ribuer à la formation systématique de cette philosophie, les théories
générales
propres aux différents arts principaux doivent, a
phénomènes, deux genres de sciences naturelles : les unes abstraites,
générales
, ont pour objet la découverte des lois qui régiss
l’apercevoir très nettement en comparant, d’une part, la physiologie
générale
, et d’une autre part, la zoologie et la botanique
physique abstraite, mais qu’elle exige même la connaissance des lois
générales
relatives à tous les ordres de phénomènes. Ainsi,
ilosophie positive, réduire nos considérations à l’étude des sciences
générales
, sans embrasser en même temps les sciences descri
sez développée pour motiver la manière dont j’ai circonscrit le sujet
général
de nos considérations. Ainsi, en résultat de tout
théoriques ou les sciences proprement dites, se divisant en sciences
générales
et sciences particulières, nous devons ne considé
tablir, relativement à l’exposition de nos connaissances, un principe
général
dont j’aurai plus tard à présenter de fréquentes
ire, que tous ces travaux particuliers ont été refondus en un système
général
, pour être présentés suivant un ordre logique plu
eul convenir à l’état perfectionné de notre intelligence. Le problème
général
de l’éducation intellectuelle consiste à faire pa
iproques, et enfin que tous ont été étroitement liés au développement
général
de la société humaine. Ce vaste enchaînement est
e des découvertes dont elle se compose, qu’en étudiant, d’une manière
générale
et directe, l’histoire de l’humanité. C’est pourq
lative à l’étude des phénomènes sociaux, en traitant du développement
général
de l’humanité, dont l’histoire des sciences const
. Ainsi, par exemple, il me semble incontestable que, dans le système
général
des sciences, l’astronomie doit être placée avant
ielle de l’échelle encyclopédique que je vais proposer, sa conformité
générale
avec l’ensemble de l’histoire scientifique ; en c
e compliquent le moins des autres, sont nécessairement aussi les plus
généraux
; car ce qui s’observe dans le plus grand nombre
s à chaque cas séparé. C’est donc par l’étude des phénomènes les plus
généraux
ou les plus simples qu’il faut commencer, en proc
verge exactement avec toutes les précédentes, les phénomènes les plus
généraux
ou les plus simples, se trouvant nécessairement l
oute, les idées ne sont pas encore suffisamment fixées sur la manière
générale
de concevoir les phénomènes des corps vivants. Ma
il reste toujours vrai, même dans cette hypothèse, que les phénomènes
généraux
doivent être étudiés avant de procéder à l’examen
de développer, dans ses diverses parties essentielles, la comparaison
générale
entre les corps bruts et les corps vivants, qui s
der à l’étude de la physique organique qu’après avoir établi les lois
générales
de la physique inorganique. (3) Passons maintena
en deux sections distinctes, suivant qu’elle considère les phénomènes
généraux
de l’univers, ou, en particulier, ceux que présen
à celle de la précédente. Les phénomènes astronomiques étant les plus
généraux
, les plus simples, les plus abstraits de tous, c’
es phénomènes de la physique terrestre, on observe d’abord les effets
généraux
de la gravitation universelle, plus quelques autr
insi qu’on peut le concevoir, que des modifications de la gravitation
générale
produites par la figure et par la disposition mut
nc la distribution rationnelle des principales branches de la science
générale
des corps bruts. Une division analogue s’établit,
Une division analogue s’établit, de la même manière, dans la science
générale
des corps organisés. Tous les êtres vivants prése
ue abstraite, la seule dont il s’agisse ici. La connaissance des lois
générales
de la vie, qui doit être à nos yeux le véritable
in la physique sociale. La première considère les phénomènes les plus
généraux
, les plus simples, les plus abstraits et les plus
t, ainsi que leur dépendance successives. Telle est l’intime relation
générale
que la véritable observation philosophique, conve
nt, il faudrait maintenant, après l’avoir envisagée d’un point de vue
général
, l’examiner relativement à chaque science fondame
ette leçon, où notre esprit doit se maintenir au point de vue le plus
général
de la philosophie positive. V. Néanmoins, p
ications continuelles, je dois signaler rapidement ici ses propriétés
générales
les plus essentielles. (1) Il faut d’abord remarq
veloppement des sciences antérieures, relatives à des phénomènes plus
généraux
, plus abstraits, moins compliqués et indépendants
réellement, sans y avoir égard, l’histoire de l’esprit humain. La loi
générale
qui domine toute cette histoire, et que j’ai expo
ème encyclopédique, ce qui tend à jeter sur la vérification de la loi
générale
une obscurité qu’on ne peut dissiper que par la c
intime. Il est aisé de sentir, en effet, que plus des phénomènes sont
généraux
, simples et abstraits, moins ils dépendent des au
u’on en peut faire, c’est de déterminer directement le véritable plan
général
d’une éducation scientifique entièrement rationne
nt à faire observer que, s’il est éminemment applicable à l’éducation
générale
, il l’est aussi particulièrement à l’éducation sp
n’ont pas d’abord étudié l’astronomie, au moins sous un point de vue
général
; les chimistes qui, avant de s’occuper de leur s
ve des phénomènes sociaux, sans avoir d’abord acquis une connaissance
générale
de l’astronomie, de la physique, de la chimie et
compliquée des phénomènes correspondants. Relativement à l’éducation
générale
, cette condition est encore bien plus nécessaire.
l’enseignement scientifique comme incapable de réaliser les résultats
généraux
les plus essentiels qu’il est destiné à produire
trine. Sous ce nouveau point de vue, une exécution convenable du plan
général
d’études que nous avons déterminé doit avoir pour
térogènes, il doit nécessairement en résulter que la Méthode positive
générale
sera constamment modifiée d’une manière uniforme
qui constitue le principal moyen d’exploration. De même, tel précepte
général
, qui fait partie intégrante de la méthode, a été
ipaux sous lesquels j’ai dû m’attacher à faire ressortir l’importance
générale
de la classification rationnelle et positive, éta
les sciences fondamentales. VI. Afin de compléter l’exposition
générale
du plan de ce cours, il me reste maintenant à con
rement consacrée à la détermination exacte de son véritable caractère
général
, et par suite à la fixation précise de son rang e
n, je dois indiquer ici sommairement, par anticipation, les résultats
généraux
de l’examen que nous entreprendrons dans la leçon
la mathématique concrète, qui se compose, d’une part de la géométrie
générale
, d’une autre part de la mécanique rationnelle. La
que les phénomènes géométriques et mécaniques sont, de tous, les plus
généraux
, les plus simples, les plus abstraits, les plus i
ble point de départ de toute éducation scientifique rationnelle, soit
générale
, soit spéciale ce qui explique l’usage universel
le même principe de classification qui vient de nous fournir la série
générale
des sciences.
1889. La mer est grosse ; le bateau est durement secoué. C’est que le
général
n’a plus son étoile. Il débarque à Jersey par une
e le poète des Châtiments et l’auteur des lettres au duc d’Aumale. Le
général
murmure : « Des mots ! des mots ! » Mais il reste
tobre. Défection publique et définitive de M. Vergoin. Il reproche au
général
de manquer d’austérité. 17 octobre. Défection d
térité. 17 octobre. Défection de M. Terrail-Mermeix. Il reproche au
général
de manquer de sérieux. 18 octobre. Défection de
uer de sérieux. 18 octobre. Défection de M. Turquet. Il reproche au
général
de manquer de sens artistique. 20 octobre. M. P
m des gens du monde ». 22 octobre. M. Édouard Hervé découvre que le
général
a fait peu de chose, lorsqu’il était au ministère
exclusivement littéraires et comprises de lui seul. 15 novembre. Le
général
ne reçoit ce jour-là que trois lettres. Ce sont d
16 novembre. MM. Rochefort et Dillon sont venus de Londres voir le
général
. Les trois complices passent leur journée à se di
rès dîner, les exilés jouent au whist, avec un mort. Rochefort dit au
général
: « C’est vous le mort. » Et les trois proscrits
Il s’ennuie. Il va à Bruxelles. Il s’ennuie. Alors il va à Monaco. Le
général
voudrait bien y aller aussi ; mais l’exil à Jerse
25 novembre. L’Intransigeant publie un article de M. Rochefort où le
général
est traîné dans la boue. 30 novembre. Le généra
M. Rochefort où le général est traîné dans la boue. 30 novembre. Le
général
parcourt les journaux de Paris. Il constate avec
destin, comme un exemple unique de l’artifice des renommées. Mais le
général
ne veut pas être consolé et pleure tout seul dans
le Père la Victoire en lui servant son déjeuner. À une observation du
général
, le vieux domestique marmonne entre ses dents :
donc, panné ! 1er avril 1890. Une Compagnie de Londres propose au
général
une place d’agent d’assurances. 2 avril. Le pro
veautés à Bruxelles lui propose une place d’inspecteur. 3 avril. Le
général
hésite. 4 avril. Il quitte Jersey. 5 avril. O
marquèrent la fin du parti boulangiste. « On ignore ce que devint le
général
après son échauffourée. Il est impossible, faute
Le Général Franceschi-Delonne : Souvenirs militaires, par le
général
baron de Saint-Joseph.72 Lundi 8 Juin 1868. M
Moselle et de Sambre-et-Meuse, le firent remarquer de ses chefs, les
généraux
Debelle et Kléber, qui le proposèrent à l’avancem
’une vocation qui lui était plus spéciale. Apprécié de bonne heure du
général
de division Soult dans la période républicaine, a
comparable campagne de 1805. Lui aussi, il était nommé cette année-là
général
de brigade, dans la même promotion que Franceschi
icier de cavalerie légère, nul n’y surpassa Franceschi. Le voilà donc
général
de brigade au lendemain d’Austerlitz ; tout lui a
ples pour l’Espagne. Il emmena avec lui Franceschi. La jeune femme du
général
avait résolu d’y suivre son mari et de partager t
risonnier, lui rendait justice en ces propres termes : « Monsieur le
général
, dans cette retraite, j’ai été plus content de vo
énéral, dans cette retraite, j’ai été plus content de vous que de mon
général
de cavalerie ; vous n’aviez que 600 chevaux, lui
Il s’agissait d’aller à Madrid expliquer au roi Joseph et à son major
général
, le maréchal Jourdan, le mouvement qu’il se propo
int-Joseph, aide de camp du maréchal Soult. On avait passé Zamora. Le
général
n’avait pas voulu d’escorte : il n’avait qu’un gu
ne étions-nous arrivés à nos logements, que plusieurs officiers de ce
général
vinrent nous prier de sa part d’accepter à dîner
’accepter à dîner avec lui. Le futur lord Wellington fit placer notre
général
à sa droite, et, en présence du commandant des gu
plus haut ; mais il n’osa faire davantage ni accéder à la demande du
général
d’être considéré comme prisonnier des Anglais et
roide y conduisait ; nos chevaux y passèrent, non sans danger, et le
général
, M. Bernard et moi, fûmes embarqués les premiers.
nt que leur proie allait décidément leur échapper. Ils arrachèrent au
général
une dernière dépouille, sa giberne : il consentit
ortefeuille renfermant papier, crayon, canif. Le crayon fut offert au
général
qui, revenant à ses premiers goûts, se mit à trac
chambre des aides de camp était transformée en cabinet de lecture. Le
général
, souvent seul dans la sienne, s’occupait, lorsque
e roi Joseph, par les maréchaux Soult et Suchet, échouèrent. Quand le
général
eut compris que cette chance unique lui était ref
-il. — « Nous partons ! » m’écriai-je aussitôt en me jetant au cou du
général
et lui remettant, sans l’ouvrir, une lettre de ma
), dont j’avais reconnu l’écriture. — « Vous partez seul », me dit le
général
en me la rendant. Ces mots brisèrent mon âme, ma
u’on vint me chercher pour partir, lorsqu’il fallut me séparer de mon
général
, de mes compagnons d’infortune, leur faire mes ad
e mes adieux, les forces m’abandonnèrent ; je tombai dans les bras du
général
, je pressais son cœur contre le mien, je le baign
aversai les portes de l’Alhambra, et je me trouvai sous la croisée du
général
. Ce malheureux ami, mes camarades, tendaient leur
leine insurrection quand ils arrivèrent. On eut peine à soustraire le
général
à la fureur populaire. La foule criait : Mort à F
ieuse. Les matelots et le capitaine avaient perdu la tête : ce fut le
général
et son aide de camp qui montèrent sur le pont et
tant point à m’apercevoir que les chagrins minaient insensiblement le
général
; il ne mangeait presque plus, se plaignait sans
e pénétrer dans la prison des consolations, des secours d’argent : le
général
les partagea avec tous les prisonniers. On recomm
arrivé des côtes d’Afrique apporta les germes de la fièvre jaune. Le
général
, déjà affaibli, se sentit atteint, du premier jou
être entendu : « Il est perdu : déjà les extrémités sont mortes. » Le
général
avait saisi les fatales paroles, et, avec le sour
de temps à autre dans notre prison, témoignèrent le désir de voir le
général
, à ses derniers moments, approcher des sacrements
de venir, et je le conduisis moi-même auprès du lit de notre ami… Le
général
sourit, accueillit on ne peut mieux le bon ecclés
on, me tira à part et me dit ceci : « Quel homme, monsieur, que votre
général
!… Je serais bien garant, d’après l’entretien que
entendre de la bouche de ce bon prêtre. Deux heures avant sa mort, le
général
m’appela auprès de lui ; il voulut se mettre de n
Trois volumes sont publiés. 77. Sur Stengel, « le parfait modèle du
général
d’avant-poste », qui fait la transition de l’anci
chi au Dépôt de la Guerre contient un extrait de l’acte de mariage du
général
, daté du 15 février 1808 ; mais il s’y remarque u
e : « … Se sont présentés M. Jean-Baptiste-Marie Franceschi de Lonne,
général
de brigade, etc., âgé de trente-deux ans cinq moi
rancher quelques années : il m’en coûterait de penser que le brillant
général
ait voulu esquiver toutes les qualifications ouvr
ne s’y tromperont jamais… » — Franceschi, qui n’avait que le grade de
général
de brigade en France, était général de division a
schi, qui n’avait que le grade de général de brigade en France, était
général
de division au service du roi Joseph, son premier
de de camp et l’un de ses écuyers, etc. 80. Souvenirs du lieutenant
général
comte Mathieu Dumas, tome III, page 399. 81. Ce
ire. 82. Palafox était un trop gros morceau pour le lâcher contre un
général
, même très distingué, de brigade. Napoléon, qui l
Première leçon Exposition du but de ce cours, ou considérations
générales
sur la nature et l’importance de la philosophie p
caractérisant dès l’origine le sujet à considérer. La circonscription
générale
du champ de nos recherches, tracée avec toute la
osophie positive, il est indispensable de jeter d’abord un coup d’œil
général
sur la marche progressive de l’esprit humain, env
méthode positive. De là, trois sortes de philosophies, ou de systèmes
généraux
de conceptions sur l’ensemble des phénomènes, qui
ans l’état métaphysique, qui n’est au fond qu’une simple modification
générale
du premier, les agents surnaturels sont remplacés
on établie entre les divers phénomènes particuliers et quelques faits
généraux
dont les progrès de la science tendent de plus en
au lieu de différentes entités particulières, une seule grande entité
générale
, la nature, envisagée comme la source unique de t
vers phénomènes observables comme des cas particuliers d’un seul fait
général
, tel que celui de la gravitation, par exemple.
due de ce cours, je dois me borner à une indication rapide des motifs
généraux
les plus sensibles qui peuvent en constater l’exa
par tous ceux qui ont quelque connaissance approfondie de l’histoire
générale
des sciences. Il n’en est pas une seule, en effet
aces très sensibles de ces deux états primitifs. (3) Cette révolution
générale
de l’esprit humain peut d’ailleurs être aisément
ommes au niveau de leur siècle. (4) Mais outre l’observation directe,
générale
ou individuelle, qui prouve l’exactitude de cette
ette dernière considération est indispensable pour compléter l’aperçu
général
de la grande loi que j’ai indiquée. On conçoit sa
dans une discussion spéciale qui serait déplacée en ce moment, la loi
générale
du développement de l’esprit humain, tel que je l
en citer l’exemple le plus admirable, nous disons que les phénomènes
généraux
de l’univers sont expliqués, autant qu’ils puisse
des carrés de leurs distances ; tandis que, d’un autre côté, ce fait
général
nous est présenté comme une simple extension d’un
chaleur. Elle nous offre la vérification très sensible des remarques
générales
précédentes. En effet, dans ce travail, dont le c
ctérisé, aussi exactement qu’il m’est permis de faire dans cet aperçu
général
, l’esprit de la philosophie positive, que ce cour
ut. Ainsi, les phénomènes astronomiques d’abord, comme étant les plus
généraux
, les plus simples et les plus indépendants de tou
étant ainsi exposé, il est aisé de comprendre son second but, son but
général
, ce qui en fait un cours de philosophie positive,
rs, je dois faire observer que les deux objets, l’un spécial, l’autre
général
, que je me propose, quoique distincts en eux-même
us un nouveau point de vue, propre à achever d’en éclaircir la notion
générale
. Dans l’état primitif de nos connaissances il n’e
nt désormais en elle la véritable base fondamentale de l’organisation
générale
du monde savant, il est impossible, d’un autre cô
r beaucoup de la relation de ces travaux particuliers avec le système
général
des connaissances positives. Hâtons-nous de reméd
permanente de lier chaque nouvelle découverte particulière au système
général
, on n’aura plus à craindre qu’une trop grande att
je conçois la destination de la philosophie positive dans le système
général
des sciences positives proprement dites. Tel est,
qu’il m’a été possible de le faire, dans ce premier aperçu, l’esprit
général
d’un cours de philosophie positive, je crois devo
leau tout son caractère, signaler rapidement les principaux avantages
généraux
que peut avoir un tel travail, si les conditions
exposée par de Blainville dans la belle introduction de ses Principes
généraux
d’anatomie comparée. Elle consiste en ce que tout
actes qu’il a déjà acquises, ce qui constitue essentiellement l’objet
général
de la philosophie positive, ainsi que je l’ai déf
sance des lois logiques. Telles sont évidemment les deux seules voies
générales
, complémentaires l’une et l’autre, par lesquelles
aux aient été absolument sans aucun résultat relativement aux progrès
généraux
de nos connaissances, indépendamment du service é
ns intellectuelles, et, par suite, la connaissance précise des règles
générales
convenables pour procéder sûrement à la recherche
hie positive définie dans ce discours, c’est de présider à la refonte
générale
de notre système d’éducation. En effet, déjà les
indre leur but principal, la régénération fondamentale de l’éducation
générale
. Car la spécialité exclusive, l’isolement trop pr
es branches de la philosophie naturelle, afin de se former un système
général
d’idées positives, il sera obligé d’étudier sépar
océder serait donc tout à fait chimérique, relativement à l’éducation
générale
. Et néanmoins celle-ci exige absolument un ensemb
les combinaisons humaines ; qui doit, en un mot, constituer l’esprit
général
de nos descendants. Pour que la philosophie natur
s sciences peut devenir, parmi nous, la base d’une nouvelle éducation
générale
vraiment rationnelle. Qu’ensuite à cette instruct
aux diverses éducations spéciales qui doivent succéder à l’éducation
générale
, cela ne peut évidemment être mis en doute. Mais
ion, si elles ne reposaient sur la base préalable de cet enseignement
général
, résultat direct de la philosophie positive défin
e cette immense exception ? Ne tiendrait-elle pas à ce même caractère
général
, propre à tous les corps organisés, qui fait que,
, et qui doit sans doute lui mériter plus que toute autre l’attention
générale
, puisqu’elle est aujourd’hui la plus importante p
roposition, en la développant dans toute son étendue. Mais l’esquisse
générale
du grand tableau que j’ai entrepris d’indiquer da
ont pas adhéré par un assentiment unanime à un certain nombre d’idées
générales
capables de former une doctrine sociale commune,
t en décadence. Que ce soit à tort ou à raison, peu importe ; le fait
général
est incontestable, et il suffit. On peut le déplo
ne de ne se livrer qu’à des spéculations illusoires. Cette révolution
générale
de l’esprit humain est aujourd’hui presque entièr
Descartes et par Galilée, construisons directement le système d’idées
générales
que cette philosophie est désormais destinée à fa
osophie positive, pour servir de complément essentiel à la définition
générale
que j’ai essayé d’en exposer VII. (1) Avant
es naturels, il était loin de ma pensée de vouloir procéder à l’étude
générale
de ces phénomènes en les considérant tous comme d
’en rattachant tous les phénomènes naturels à la loi positive la plus
générale
que nous connaissions, la loi de la gravitation,
ves. Tout en tendant à diminuer, le plus Possible, le nombre des lois
générales
nécessaires à l’explication positive des phénomèn
naturelle, je compléterai, dans la leçon prochaine, ces prolégomènes
généraux
en passant à l’exposition du plan, c’est-à-dire à
t à la langue, du xiie au xvie siècle. — Qu’entend-on par les idées
générales
? — § II. Dans quelle mesure l’esprit français, a
ns quelle mesure l’esprit français, au moyen âge, a-t-il eu des idées
générales
? — Des philosophes et des théologiens. — De la s
édit d’un sermon de Gerson. — § IV. Si les clercs ont eu plus d’idées
générales
que les écrivains en langue vulgaire, pourquoi le
t à la langue, du XIIe au XVIe siècle. — Qu’entend-on par les idées
générales
? Nous avons épuisé la liste des écrivains qui
, ont laissé des noms durables. Il convient d’apprécier d’une manière
générale
les progrès de cet esprit et de cette langue dans
’un l’esprit humain, et rendre l’autre universelle. Ce sont les idées
générales
, c’est-à-dire les vérités de l’ordre philosophiqu
ans une autre forme de société, avec d’autres dieux. Les autres idées
générales
ne sont que les développements de cette idée prem
e contentieuse. J’entends tous les états de l’âme, et ce qu’il y a de
général
dans ces états. C’est la matière du beau vers de
nous offre-t-elle donc des époques déshéritées où l’on vit sans idées
générales
, où celle qui les comprend toutes, l’idée de l’hu
le plus grossier, ne peut pas être un seul jour sans avoir des idées
générales
, et sans que chacun reconnaisse confusément l’hum
ctions et de pièges ! A quelles conditions un peuple a-t-il des idées
générales
en assez grand nombre et assez clairement pour en
du xiie au xvie siècle. Notre nation n’a pas été un jour sans idées
générales
et sans une certaine notion de l’humanité. Dans q
ns quelle mesure l’esprit français, au moyen âge, a-t-il eu des idées
générales
? — Des philosophes et des théologiens. — De la s
er jusqu’à quel point les écrivains en langue latine ont eu des idées
générales
. Si l’idée de l’humanité a été conçue et exprimée
gue vulgaire, et les mettait en quelque sorte sur la voie des vérités
générales
. Après eux et leur successeur immédiat, saint Tho
ique, c’est à peine si l’on rencontre quelques indications de vérités
générales
. L’homme n’est guère considéré que dans l’état th
es de l’esprit ne peuvent naître que dans une société qui a des idées
générales
, à l’expression desquelles la langue nationale su
la langue nationale suffit. Quand une société n’a pas encore d’idées
générales
, faute d’avoir passé par les épreuves qui en sont
chèrent, dans la société ancienne et dans les traditions d’une langue
générale
, une matière à l’activité de leur esprit ; et la
e, il n’analyse pas. Ainsi, et c’est une preuve de plus que les idées
générales
font seules faire des progrès aux langues, toutes
et celle de la théologie. § IV. Si les clercs ont eu plus d’idées
générales
que les écrivains en langue vulgaire, pourquoi le
rcherait donc vainement dans les grands clercs du moyen âge des idées
générales
nées de la connaissance profonde du passé et de l
aison du passé avec le présent. Les matières dont ils s’occupent sont
générales
; mais une mauvaise méthode n’en tire que des jeu
oins incompétent pour le nier que pour l’assurer. Mais pour les idées
générales
de l’ordre littéraire, pour celles qui seules dév
ou comme Villon fuyaient l’école. Mais ceux-ci n’ont pas plus d’idées
générales
que les clercs. Nous en avons toutefois reconnu d
ent à ses charmants récits mais là composition est elle-même une idée
générale
d’un ordre supérieur. Elles ont dans quelques pag
ges en vers, les seules choses qui paraissent vivantes sont des idées
générales
. C’est le Faux-Semblant du Roman de la Rose, qui
aimable ou de vive satire dans Villon. La principale source des idées
générales
a manqué à tous ces écrivains. Ils ne connaissent
emblent comme pris de vertige. Il en a été du premier effet des idées
générales
au moyen âge, comme du premier effet des pièces d
n, plus le romanesque s’affaiblit, et plus l’esprit satirique devient
général
. Ce progrès n’a pas été particulier à la France,
pable de concevoir à son tour et d’inspirer à ses écrivains des idées
générales
. Jusqu’à l’avènement de ces idées, l’esprit franç
e à la prose, en proportion de ce que la poésie a plus besoin d’idées
générales
de types, d’idéal, que la prose. Si d’ailleurs le
e ou de la vie. B. Les effets (Synthèse des moyens) 1° Effet
général
exaltant, par : a) Richesse, éclat du style (l°)
ur des lieux (6° b c) e) Simplicité des personnages (6° d) ; f) Art
général
des développements ascendants g) Ton (4°) h) Su
t e′) f) Obscurité des lieux (6° b, c) g) Ton (4°) h) Prédilection
générale
pour les sujets et les situations où l’imaginatio
e) Nullité fréquente des sujets (6° c a′, b′ et c′) f) Prédominance
générale
de l’expression sur l’exprimé 5° Émotion générale
′) f) Prédominance générale de l’expression sur l’exprimé 5° Émotion
générale
de suspens et de surprise par : a) Antithétisme
5° Émotion générale de suspens et de surprise par : a) Antithétisme
général
b) Recherche du bizarre (6° a, 4°, 6° da***) 6°
mot comprend un abstrait d’images absolument tranché : L’antithétisme
général
(des mots seulement pouvant être opposés). La syn
à-dire par le fait qu’un mot n’exprime qu’un petit nombre d’attributs
généraux
vagues d’une classe d’objets : L’aperception immé
détaillement. Simplicité des personnages. Humanitarisme et idéalisme
général
optimiste Époques et lieux connus verbalement Suj
Beauté des lieux et des milieux. Développements ascendants. Caractère
général
de tension. Insouciance du sujet. 6° Par le fait
public lettré. (Étranger, 1830-1888) Insuccès et inintelligence
généraux
, sauf en Angleterre, où un disciple, Swinburne, e
chez les lettrés, en tant que les plus admirateurs. Caractère verbal,
général
de toute la littérature poétique, française, cont
rs : Verbalisme, les caractères absolus et bornés du mot ; irréalisme
général
du public des théâtres et des auteurs-poètes dram
aires et socialistes verbales encore, et impratiques. Conclusions
générales
De 1830 à 1888, la plupart et les mieux doués
sse ; les auditeurs théâtrals : une atonie et une infériorité mentale
générale
, marquée par un irréalisme, une inexpérience et u
ique : le groupe romantique ; le groupe des romantisants ; phénomènes
généraux
du verbalisme national. 22. Les chiffres entre
Vie militaire du
général
comte Friant, par le comte Friant, son fils7
vit en deux temps, chef de bataillon d’aborden 93, puis immédiatement
général
de brigade en 94. Il ne s’agissait plus que de ju
l Gouvion-Saint-Cyr, de bien étonnants détails sur les nominations de
généraux
, et même de généraux en chef, qui se faisaient al
de bien étonnants détails sur les nominations de généraux, et même de
généraux
en chef, qui se faisaient alors ; il y a surtout
commander son avant-garde ; et quand peu de temps après Friant passa
général
, il lui apprit sa nomination en ces termes tout e
du peuple Gillet vient de rendre justice à ton mérite ; il t’a nommé
général
de brigade. Tu en recevras ta commission demain o
de dire : Friant a fait toujours son devoir étant sous mes ordres. Le
général
de division, Championnet. P. S. : Tu seras sous
Tâche de connaître la force de la Chartreuse8. Même avec ce titre de
général
de brigade, Friant, à l’armée du Rhin, commandait
sont écrites encore du style républicain et sur le pied d’égalité. Ce
général
qui devait devenir roi fut de ceux qui conservère
lui répondit aussitôt, en lui montrant les retranchements ennemis : «
Général
, c’est là-haut qu’il faut aller ; la victoire ou
Haute Égypte, en établissent bien le caractère et donnent le ton des
généraux
entre eux. Après le départ du général Bonaparte,
ons conseils. Le général Menou avait pourtant nommé Friant lieutenant
général
de l’armée d’Orient, pour en remplir les fonction
e sera facile à connaître : le général Menou fut nommé par vous notre
général
en chef9 ; il avait votre estime, il eut votre co
il n’avait pu empêcher. Bonaparte lui répondit : J’ai connu, citoyen
général
, les efforts que vous avez faits pour empêcher le
aires qui amenèrent l’évacuation de la conquête. Il fait à chacun des
généraux
la part de critique, et l’une de ses observations
Napoléon. Après avoir rempli quelque temps les fonctions d’inspecteur
général
de l’infanterie, Friant fut appelé au commandemen
taille de la Moskowa, et quand il venait d’être chargé, comme colonel
général
, du commandement des régiments à pied de la vieil
ment blessé près de lui à la Moskowa, un voltigeur lui disait : « Mon
général
, voilà quatorze ans que je suis sous vos ordres ;
le gâtera assez tôt. » L’impératrice entre alors ; même mouvement du
général
et de l’empereur qui, cette fois, dit au blessé :
, monsieur, disait l’empereur à un officier qui croyait apercevoir ce
général
dans un groupe et qui s’approchait pour le demand
fut choisi pour le remplacer, non par Bonaparte absent, mais par les
généraux
d’Égypte réunis en conseil, et à titre d’ancienne
s 1793, mit l’Espagne au défi : Charles IV, entraîné par le mouvement
général
, ne se contenta pas de se défendre, il voulut êtr
nce elle-même, et que le génie de la Révolution possédait. Le premier
général
français qui commandait à Perpignan en l’absence
périr à Paris sur l’échafaud. Il avait sous lui près de lui, un autre
général
à physionomie singulière, à caractère original, e
n livre et de le montrer ici. Chacun appelait alors Dagobert le vieux
général
: il l’était de services et d’aspect ; il avait d
que chacun y mettait sa tête pour garant des paroles, répondait à ses
généraux
et à ses représentants : « Vous demandez du lait
naître, le seul service qu’il pût rendre : il profita des lenteurs du
général
espagnol pour former un camp retranché sous Perpi
rtout par sa bonne position et son tir infatigable, déconcertèrent le
général
ennemi qui donna le signal de la retraite. C’en é
oit et sensé, contraria peu Dagobert, qu’il se plaisait à appeler mon
général
, supporta ses humeurs et ses paroles parfois un p
ctions, le peuple appelle à grands cris à la tête des troupes le seul
général
populaire par ses succès, le vainqueur de la Cerd
n genre, » a dit Napoléon. Dagobert a son genre ; il est un admirable
général
de guerre distincte et circonscrite, il n’est pas
; il ne sautait l’être surtout dans les conditions d’alors, avec des
généraux
de division indisciplinés et des représentants du
os, le général en chef espagnol, fit, vers cette époque, un mouvement
général
en arrière ; l’armée victorieuse (chose étrange !
ontent. Il écrivait à la fin d’un de ses rapports au ministre : « Les
généraux
sont malades ou absents, les canons me font faux
-il utile de continuer l’expédition de Catalogne ? » un seul officier
général
sur dix-neuf présents, Dagobert, répondit : « Non
à Paris, il va nous présenter l’exemple, peut-être unique alors, d’un
général
dénoncé et suspendu, qui se justifie, trouve grâc
mier au feu, je fais plutôt le caporal de grenadiers que le métier de
général
, les représentants me déclarent une guerre implac
ires aux armées. Elle donna presque une entière satisfaction au vieux
général
qui, dans une saillie d’orgueil peu ordinaire aux
ieil officier gentilhomme devenu le plus allègre et le plus jeune des
généraux
républicains ; uniquement voué au drapeau, à la p
son monde et obtenu des prodiges ; : et quand Doppet (un bien triste
général
) vint prendre la succession de Dagobert en Cerdag
son récit du siège de Toulon, après avoir parlé des choix ineptes de
généraux
en chef qui avaient précédé : « Le vœu du soldat
Anglais y entrèrent, il perdit tous ses biens. Il était employé comme
général
de brigade à l’armée d’Italie, lorsque les Piémon
d’artillerie qui le secondait si bien. Demandant pour lui le grade de
général
de brigade, il écrivit au Comité de salut public
e de Toulon, et imprimait de lui la plus haute idée dans l’esprit des
généraux
et officiers qui, depuis, passèrent de l’armée d’
ncore Napoléon qui nous l’apprend. Dugommier le traitait déjà, simple
général
de brigade, comme on traite un gouvernement. Voil
Napoléon demeuré à jamais reconnaissant envers Dugommier, le premier
général
digne de ce nom qu’il ait rencontré, et qui ait d
prendre l’idée et l’exécution d’une action de guerre, on n’est pas un
général
: on reste un critique ; l’essentiel est de l’êtr
menaçaient nos frontières. Après avoir essayé sans succès des autres
généraux
et même de Vendôme, on leur opposa Villars (1709)
evant d’une telle vigueur le choc de ces énormes forces combinées des
généraux
alliés, et leur mettant plus de trente mille homm
out temps et tel qu’il est encore. Il savait autant et mieux qu’aucun
général
comment il faut prendre le soldat et toucher en l
ur dissiper une mutinerie commencée, il eut l’idée de faire battre la
générale
. Les séditieux, en entendant l’appel accoutumé, c
sa ville natale. Il en eut tant de honte qu’il se dénonça lui-même au
général
, offrant sa tête, en expiation, renvoyant sa croi
e la donner, et d’autant plus haut qu’il se doutait bien que Berwick,
général
flegmatique et froid, était chargé de tempérer ce
de la campagne de 1710 en ces termes, si avantageux à Villars : « Ce
général
sauva, pour la deuxième fois, la France ; peut-êt
au hasard d’un événement douteux, n’eût dicté les ordres du roi à son
général
, et si le général lui-même n’eût été retenu et pa
nement douteux, n’eût dicté les ordres du roi à son général, et si le
général
lui-même n’eût été retenu et par la crainte des r
taient les troupes. « Ces motifs, peut-être autant que l’habileté des
généraux
ennemis, contribuèrent à leurs succès. Ils furent
cieux Villars savait donc se comporter, quand il le fallait, comme un
général
très-prudent. La campagne de 1711 ne fut encore q
détail : l’historien des Mémoires militaires, qui a suivi de près le
général
dans ses moindres mouvements et dans ses lettres
ur les frontières du royaume, mais aussi les vastes projets que leurs
généraux
avaient formés pour celle-ci, il est difficile de
nglais, comme on dit, branlaient au manche, devait désirer une action
générale
prochaine où il les aurait encore pour alliés et
notre affaire. D’autres projets de défense, conçus par des officiers
généraux
de l’armée de Flandre, s’élaboraient autour du gé
prince Eugène, n’ayant pu déterminer le duc d’Ormond à un engagement
général
, se résolut à faire un siège ; il assiégea d’abor
erre, dépend de l’occasion et du moment. Personne, dans les officiers
généraux
de l’armée, ne paraît avoir cru cette attaque pra
Eugène et lui masquerait sa marche pendant un temps suffisant. L’idée
générale
, suggérée très sensément par Louis XIV et sur laq
chose : lui qui avait recommandé la prudence et d’éviter une affaire
générale
tant que la négociation se poursuivait avec l’Ang
effet, d’ordinaire si porté à l’offensive, reculait devant une action
générale
engagée avec le prince Eugène dans ces conditions
près les ordres réitérés de Sa Majesté, les plus fortes réflexions du
général
doivent être pour bien faire ses dispositions et
ut ; on prit milord d’Albemarle qui commandait, avec quinze officiers
généraux
et dix-sept bataillons. Il y eut beaucoup de tués
e en arrière. Mais il ne cessa point d’être le général en chef, et un
général
intrépide, celui qui entrait dans les retrancheme
onne la soumission du duc d’Albemarle et des sept ou huit lieutenants
généraux
de l’empereur ; il avait le droit d’écrire au min
puis trop me louer des troupes. Je n’ai point donné de ces batailles
générales
qui mettent le royaume en peine ; mais j’espère,
que Montesquieu a pensé lorsqu’il a dit : « Quand on veut abaisser un
général
, on dit qu’il est heureux. Mais il est beau que s
oint la plaine d’au-delà de la Sambre aussi défavorable à une affaire
générale
que le disait Villars. 40. Le récit du maréchal
age45. « Les vérités universelles et nécessaires ne sont pas des lois
générales
que notre esprit tire par voie d’abstraction des
ns dont tout triangle pourrait s’accommoder. Analysant ces propriétés
générales
et ces constructions générales, j’en ai extrait u
s’accommoder. Analysant ces propriétés générales et ces constructions
générales
, j’en ai extrait une vérité ou rapport universel
ne vérité ou rapport universel et nécessaire. J’ai retiré le triangle
général
compris dans le triangle particulier ; ce qui est
retiré un rapport universel et nécessaire contenu dans les propriétés
générales
de la construction générale ; ce qui est encore u
t nécessaire contenu dans les propriétés générales de la construction
générale
; ce qui est encore une abstraction. Pour découvr
s lettres ; nous les transformerons ainsi en quantités indéterminées,
générales
et abstraites : A ouvriers font H mètres ; combie
science, de deux abstractions ayant pour effet de produire deux idées
générales
, et d’une analyse ou abstraction pratiquée sur ce
donnée plus complexe substance. Par abstraction, je dégage deux idées
générales
, l’idée de qualité, et l’idée de substance. J’ana
. Hégel a prouvé que les exceptions apparentes rentrent dans la règle
générale
. Et il faut bien qu’elles rentrent dans la règle
ns la règle générale. Et il faut bien qu’elles rentrent dans la règle
générale
, puisque le sens unique et toute la force du verb
gent. De cet objet, substance limitée, on tire par abstraction l’idée
générale
de substance. Cette idée étant générale convient
n tire par abstraction l’idée générale de substance. Cette idée étant
générale
convient à toutes les substances ; donc ses propr
éral ; de cette conception je dégage encore par abstraction cette loi
générale
qu’une seconde unité tout à fait semblable à la p
ition parmi ses conséquences. Ici encore l’abstraction forme une idée
générale
, en tire une loi générale, et par cette loi produ
es. Ici encore l’abstraction forme une idée générale, en tire une loi
générale
, et par cette loi produit en nous l’idée d’un inf
bstraction, appliquée sur une opération particulière, a dégagé l’idée
générale
du dividende et du reste ; puis, de cette idée, e
le du dividende et du reste ; puis, de cette idée, elle a tiré la loi
générale
qui, au quotient, répète toujours les mêmes chiff
omme infini. Et cette analyse portera comme précédemment sur une idée
générale
, puisqu’elle portera sur l’idée d’une limite quel
l’idée d’une étendue limitée quelconque. Vous avez maintenant l’idée
générale
d’étendue, et, par abstraction aussi, vous découv
partie d’être continuée par sa voisine. Vous avez formé ainsi l’idée
générale
d’une partie quelconque. Analysant cette idée, vo
habitudes court droit aux faits sitôt qu’on lui propose une question
générale
; il en choisit un particulier et contingent ; il
rmes que nous apercevons ; et il ne remarque pas que cette loi, étant
générale
ou abstraite, peut se tirer par abstraction de la
Chapitre III. Le lien des caractères
généraux
ou la raison explicative des choses Sommaire.
ividu. — Exemples. — En ce cas, l’intermédiaire est un caractère plus
général
que l’individu et compris en lui. — Propositions
lui. — Propositions dans lesquelles la première donnée est une chose
générale
. — Ce cas est celui des lois. — L’intermédiaire e
corps. — Ici encore l’intermédiaire explicatif est un caractère plus
général
et plus — abstrait inclus dans la première donnée
le cas précédent. — L’intermédiaire est alors une série de caractères
généraux
successifs. IV. Lois où l’intermédiaire est une s
x successifs. IV. Lois où l’intermédiaire est une somme de caractères
généraux
simultanés. — De la composition des causes. — Loi
étique et en géométrie. — En ce cas, l’intermédiaire est un caractère
général
répété dans tous les éléments de la première donn
ructifs. — Résumé. — La raison explicative d’une loi est un caractère
général
intermédiaire, simple ou multiple, inclus directe
t les propriétés des facteurs ou éléments primitifs qui sont les plus
généraux
et les plus simples de tous. — L’analyse doit don
ence de construction, — la dernière raison de la loi est un caractère
général
inclus dans les éléments de la première donnée de
de ces sciences et des sciences mathématiques. — Leurs lois les plus
générales
correspondent aux axiomes. — Elles énoncent comme
ans les sciences expérimentales moins avancées. — Leurs lois les plus
générales
énoncent aussi des propriétés de facteurs primiti
facteurs primitifs peuvent être observés. — La zoologie. — Caractères
généraux
des organes. — Loi de Cuvier. — Loi de Geoffroy S
e Cuvier. — Loi de Geoffroy Saint-Hilaire. — L’histoire. — Caractères
généraux
des individus d’une époque, d’une nation ou d’une
ne époque, d’une nation ou d’une race. — La psychologie. — Caractères
généraux
des éléments de la connaissance. — Tous ces carac
tères généraux des éléments de la connaissance. — Tous ces caractères
généraux
sont des intermédiaires explicatifs. — Ils sont d
t plus explicatifs qu’ils appartiennent à des facteurs primitifs plus
généraux
et plus simples. — L’explication s’arrête quand n
et des géologues. — Idées de Darwin. — Vues des historiens. — Théorie
générale
de l’évolution. — Lacunes. — Progrès journalier q
e premier membre est un objet individuel, particulier, déterminé, non
général
. — De plus ; ces objets sont soumis à des lois co
’objet individuel la propriété énoncée est le premier terme d’une loi
générale
: si Pierre est mortel, c’est qu’il est homme et
Mais homme est un caractère inclus dans Pierre, extrait de lui, plus
général
que lui ; de même, perpendiculaires à une troisiè
e est un caractère inclus dans nos deux lignes, extrait d’elles, plus
général
qu’elles. — D’où l’on voit que, dans le cas des o
opriété énoncée est un caractère inclus en lui, plus abstrait et plus
général
que lui, commun à lui et à d’autres analogues, et
riété à un objet individuel, mais de relier une propriété à une chose
générale
. En d’autres termes, après l’explication des fait
ste. Il avait donc dégagé des deux groupes une propriété abstraite et
générale
, plus abstraite et plus générale que chacun d’eux
x groupes une propriété abstraite et générale, plus abstraite et plus
générale
que chacun d’eux, contenue dans chacun d’eux comm
qui le constituent, un caractère inclus en lui, plus abstrait et plus
général
que lui, bref un extrait à extraire. — Suivons la
gagerait dans le corps qui gravite un caractère plus abstrait et plus
général
encore que la gravitation, une propriété toute mé
ité où elles sont de se propager, propriété incluse en elles, et plus
générale
qu’elles, puisqu’elle se rencontre ailleurs, par
elà, jusqu’aux centres cérébraux, propriété incluse en elles, et plus
générale
qu’elles, puisqu’elle se rencontre ailleurs, nota
l’intermédiaire explicatif, stable ou instable, est un caractère plus
général
, compris avec d’autres dans l’antécédent, et qu’i
s, trois données intermédiaires qui, chacune, prise à part, sont plus
générales
que l’antécédent total, et qui, incluses en lui,
ne somme de caractères inclus dans la première donnée du couple, plus
généraux
qu’elle si on les considère à part, accessibles à
r de la masse centrale, et l’intermédiaire qui les lie est une donnée
générale
commune non seulement à toutes les planètes, mais
us complexe que lui, et il est plus abstrait qu’elle, par suite, plus
général
. D’autre part, cet intermédiaire contient la dern
complexe qu’elle, et elle est plus abstraite que lui, par suite, plus
générale
. — Ainsi la première donnée de la loi contient l’
tre point de vue encore, la seconde donnée est plus abstraite et plus
générale
que l’intermédiaire, qui lui-même est plus abstra
générale que l’intermédiaire, qui lui-même est plus abstrait et plus
général
que la première. — Cela posé, associons les trois
on, telles que nous les avons constatées, on peut dresser une méthode
générale
d’enquête. Examinons cette méthode tour à tour da
ents primitifs, lorsqu’ils sont aussi simples, aussi abstraits, aussi
généraux
que possible : de leurs lois dérivent les lois de
ue possible : de leurs lois dérivent les lois de leurs composés moins
généraux
et moins abstraits, et ainsi de suite, d’étage en
lie au parallélogramme ou à la sphère une des siennes, énonce une loi
générale
. Or, dans ce composé, comme dans le parallélogram
hacune des sciences que nous avons nommées, il y a quelques lois très
générales
qui correspondent aux axiomes ; comme les axiomes
endant que des découvertes ultérieures leur superposent des lois plus
générales
et les fassent passer du premier rang au second.
leur explication et leur démonstration dans des lois de plus en plus
générales
que l’on atteint ensuite, et qui énoncent les pro
qui déterminent tout le détail de ses idées, marquer les inclinations
générales
qui déterminent le sens de toutes ses actions, br
s éléments, expliquer les propriétés du composé, et, de quelques lois
générales
, déduire une foule de lois particulières. C’est c
t d’un mammifère119 « dont les membres étaient construits sur le plan
général
que nous retrouvons aujourd’hui dans toutes les f
nées, la plus ancienne de toutes, primitive, a établi le type le plus
général
, commun à tous les animaux de tout l’embranchemen
page, et la sagacité des savants démêle quelque portion de la pensée
générale
. C’est ainsi que depuis quinze ans l’on a retrouv
er l’espèce, il y avait une condition fixe, la transmission d’un type
général
plus ancien, et des conditions changeantes, les c
iculières, comme pour les lois proprement dites ou couples de données
générales
; il y a une raison pour la chute de cette feuill
masses s’attirent, c’est en vertu d’un caractère plus simple et plus
général
, inclus dans le groupe des caractères qui constit
e présente tels ou tels caractères, c’est en vertu de caractères plus
généraux
et plus simples qui appartiennent à ses éléments,
oiqu’il se dérobe à nos prises ; mais encore il est un caractère plus
général
et plus simple que la première donnée du couple,
essous des autres d’après le degré de leurs équations, des lois moins
générales
expliquées par des lois plus générales, quantité
eurs équations, des lois moins générales expliquées par des lois plus
générales
, quantité d’autres traits non moins essentiels et
nd plus compliqué. Nous tenons compte tour à tour de cette adaptation
générale
et de cette différence subsidiaire. Nous démêlons
posé, droite ou ellipse géométrique ; alors, en vertu de l’adaptation
générale
, nous les attribuons provisoirement au tracé du b
ue nous connaissons, ce serait folie d’affirmer le règne d’aucune loi
générale
ou spéciale, et que, si un homme habitué à l’abst
re connaissance correspond aux choses. — Elle se compose de jugements
généraux
qui sont des couples d’idées générales. Les idées
— Elle se compose de jugements généraux qui sont des couples d’idées
générales
. Les idées générales elles-mêmes sont des signes
jugements généraux qui sont des couples d’idées générales. Les idées
générales
elles-mêmes sont des signes présents dans l’espri
Enfin les signes qui les résument et les remplacent forment des idées
générales
et, par suite, des jugements généraux. — Tels son
s remplacent forment des idées générales et, par suite, des jugements
généraux
. — Tels sont les matériaux de notre esprit, et te
s : sa forme idéologique I. Introduction au chapitre. — II. L’idée
générale
comme moyen du Bovarysme des collectivités. — III
nne et déjà constituée la fascination du modèle étranger. La question
générale
que l’on traite ici exige que l’on considère sous
se conçoivent à la ressemblance d’une activité différente est l’idée
générale
et ce fait mis en lumière devra à son tour éclair
faire voir sous quelles conditions et dans quelles proportions l’idée
générale
doit être acceptée par une société pour y être la
’elle a pour mission d’agir sur la moralité, prend l’aspect de l’idée
générale
. Sous cette forme l’influence étrangère parvient
faut donc se rendre un compte exact de ce qu’est en réalité une idée
générale
pour comprendre quel en est le mode d’action, que
e et de l’équivoque que comporte cette dénomination même ; car l’idée
générale
ne possède le caractère d’universalité auquel ell
à qui ces expériences réussirent, ou pour un groupe pareil. Une idée
générale
est toujours une idée abstraite, et il n’existe p
sensibilité de quelque collectivité humaine particulière. Toute idée
générale
a donc été à l’origine façonnée en vue d’un être
éterminé acceptent, sous le couvert et sous le commandement de l’idée
générale
, un ensemble d’attitudes et de manières d’être di
e pour un groupe social, à adopter par la vertu persuasive d’une idée
générale
, peu importe qu’elle se réclame du dogme, du lieu
née, se propose, détachée de sa racine, sous le déguisement de l’idée
générale
, comme une vérité, religieuse d’abord, puis ratio
ut distinguer bien des nuances et jusqu’à des contrastes. D’une façon
générale
, il apparaît que l’idée qui, dans sa pureté, alla
haque physiologie sociale semble bien vouloir se modeler sur une idée
générale
, détachée d’une attitude d’utilité autre que la s
e vérité d’ordre général. Or, on va voir que sous le masque de l’idée
générale
, l’idée humanitaire telle qu’elle est conçue par
fre donc un exemple très typique de ce Bovarysme à rebours, où l’idée
générale
, aux prises avec un égoïsme puissant, est ravalée
ilité, dénaturée et bafouée. Le cas inverse se réalise lorsque l’idée
générale
parvient à s’implanter dans un milieu social moin
ire saisir, le danger qu’il y a pour un peuple à être dupe d’une idée
générale
, il n’est pas même besoin de faire entrer en lign
, social organisé et anciennement constitué, l’acceptation d’une idée
générale
façonnée par un autre groupe. Ce groupe ancien, p
a-t-il donc se passer si ce groupe ancien adopte, sous couleur d’idée
générale
, les freins fabriqués par un groupe étranger ? Le
insi la même idée qui nous désarme le laisse armé. Au moyen de l’idée
générale
, on nous suggère de diriger nos efforts vers des
i se laissent prendre au déguisement d’un intérêt particulier en idée
générale
. La France actuelle offre encore ici un exemple d
ttitude de défense s’est dissimulée sous le masque de cette même idée
générale
dont on vient de montrer l’origine dans le princi
récise et plus concrète le groupe particulier pour lequel cette idée,
générale
est, en tout temps et en tout lieu, une altitude
e race israélite à se rallier en toute circonstance autour d’une idée
générale
qui est pour eux profitable. C’est ainsi que d’un
ouveau-venus, juifs ou étrangers, usent, sciemment ou non, d’une idée
générale
comme il en faut user c’est-à-dire en la déforman
éfavorables. Tout ce qu’une collectivité entreprend au nom d’une idée
générale
qu’elle n’a pas composée elle-même en vue de son
e l’un de ses intérêts, elle l’entreprend contre elle, car cette idée
générale
ne peut être autre chose que le travestissement d
nçoit différente d’elle-même pour avoir subi la suggestion d’une idée
générale
inventée par un groupe étranger. Il convient de s
pour l’homme sa réalité la plus immédiate, il apparaît que les formes
générales
et impératives — dogme religieux, loi écrite, et
sir, n’osa prendre sur lui l’événement contre l’avis de ses officiers
généraux
, qui, la plupart, lui firent et pour la seconde f
t à qui il écrivait Mon frère, Louis XIV n’entendait pas que même son
général
le prît sur un autre ton que celui du respect. Le
ée de ces contributions entre le roi et l’électeur, et aussi entre le
général
du roi et les officiers de l’électeur, devint une
e vue surtout politique et prudent, se fût bien gardé d’autoriser son
général
à une entreprise qui dépassait à ce point les hor
al à une entreprise qui dépassait à ce point les horizons connus. Les
généraux
d’état-major savants et modestes qu’il consultait
r dans le Tyrol se perdaient six semaines après dans une insurrection
générale
des paysans. Villars, espérant peu désormais de M
, et dans sa propre armée (où il avait des jaloux parmi les officiers
généraux
), et à Versailles, en user comme après Friedlinge
ment à Sa Majesté que l’on pouvait lui pardonner d’avoir manqué à son
général
, puisque le bonheur d’être le premier à annoncer
ccord en tout avec l’électeur, et au gré des troupes et des officiers
généraux
, et très éloigné de brigandage. » Si Marcin eut d
e s’en sert-on pas, de ce Feuquières ? Je vous le donne pour officier
général
très entendu et des meilleurs. Je sais qu’il aura
roi que l’on soit méchant ? Vous trouverez les qualités du plus grand
général
du monde dans un homme cruel, avare, perfide, imp
Qu’est-ce que tout cela fait ? J’aimerais mieux, pour le roi, un bon
général
qui aurait toutes ces pernicieuses qualités, qu’u
qui devenait une complication fort maligne à cette heure d’une guerre
générale
extérieure. « On envoie un empirique, disait-il g
ntant à soixante-et-onze mille livres par an, et cela jusqu’à la paix
générale
, se devant contenter, pour ses dépenses, de son t
emercia Villars et n’accepta point. Chamillart, à titre de contrôleur
général
, lui répondit avec esprit : Cependant, comme il
serait pas juste que vous eussiez fait voir de l’argent au contrôleur
général
des finances sans qu’il vous en coûtât quelque ch
nnemis et de Saint-Simon lui-même, une campagne digne des plus grands
généraux
. L’hiver durait encore, qu’il visita avec grand s
et à Thionville, veille de tous côtés, fortifie au besoin les autres
généraux
s’ils sont menacés, soit secouru d’eux s’il leur
l attendait l’arrivée du prince de Bade et du corps de troupes que ce
général
avait détaché de l’armée du Rhin. Plusieurs jours
que l’armée du roi, restait toujours dans l’inaction. Entre les deux
généraux
en chef rivaux, les procédés d’ailleurs étaient s
e compromettre en rien le succès glorieux qu’il avait obtenu : Leurs
généraux
, écrivait-il au roi parlant des ennemis, sont per
xemple ; n’étant pas militaire, Louis XIV demandait quelquefois à ses
généraux
des choses impossibles. Villars, très prudent qua
’une défensive heureuse. Villars en souffrait ; il n’était pas de ces
généraux
pour qui c’est assez d’être et de subsister. Il r
ndant justice et se retirant, il y eut un mouvement dans le choix des
généraux
, et Villars fut désigné par Louis XIV pour servir
» Villars répondit avec respect, en homme sensé et ferme, et comme un
général
qui ne veut pas se placer dans une position fauss
blir et déterminer en traits précis cette figure sympathique du jeune
général
, sans lui faire tort et sans la surfaire. Je n’ai
core qu’au rôle militaire et au début des grades supérieurs. Joubert,
général
de brigade à vingt-six ans, au moment de l’entrée
de Cosseria et à la prise des hauteurs de Biestro ; Lanusse, adjudant
général
, décidant de la victoire du 15 à Dego ; Lannes fa
reculé de trente pas. Cet assaut n’a pas réussi ; nous y avons eu un
général
et un adjudant-général tués ; mais l’ennemi, inti
consolé de ma blessure en entendant mes chasseurs crier : Vive notre
général
! Le lendemain de cet assaut, dans une lettre ad
uire deux armées et forcer un roi à la paix. Je me ressens du bonheur
général
: j’ai huit chevaux, une collection de sucre et d
on singulière me sera toujours présente à l’esprit. Figurez-vous deux
généraux
, qui guerroient depuis un mois, qu’on vient prend
nommée du Piémont, qui se trouvent au milieu de tout un état-major de
généraux
et officiers ennemis, qui faisaient entre eux plu
connu, je craignais qu’on ne nous retînt pour l’échange des officiers
généraux
pris aux Piémontais. Je communiquai mes craintes
n France. Nous en fûmes quittes pour la peur. Nous dînâmes avec trois
généraux
, quatre colonels. Rien ne fut plus gai. Nous ne
isais celle du général Augereau, attaquant le centre de l’ennemi. Les
généraux
divisionnaires ont encore tout eu pour eux : Sic
rectoire (13 novembre 1796) : tous nos officiers supérieurs, tous nos
généraux
d’élite sont hors de combat ; tout ce qui m’arriv
disait Bonaparte, sans avoir éprouvé, par deux ou trois affaires, le
général
qui doit la commander. » Joubert avait eu ses tro
ol, et sa retraite a dégénéré un moment en déroute. Joubert est nommé
général
de division pour le remplacer (22 novembre 1796).
lendemain (le 15), écrit : « Je vous apprends avec plaisir, mon cher
général
, que le général Augereau a attaqué hier l’ennemi,
arte, dans son rapport du 15 avril au Directoire : « Déjà l’intrépide
général
de brigade Joubert, grenadier par le courage et b
intrépide général de brigade Joubert, grenadier par le courage et bon
général
par ses connaissances et ses talents militaires,
t toutes ses campagnes, qu’il gagna tous ses grades, jusqu’à celui de
général
de division et au commandement en chef d’un corps
t, cette immortelle et quadruple campagne terminée, quel fut le jeune
général
que Bonaparte choisit entre tous pour envoyer au
ément et lui demandait de se distinguer, d’avancer toujours. Le jeune
général
, même après ses victoires et son élévation, ne ce
u’en 1792, dans l’armée du Midi, commandée par le général Anselme. Ce
général
, chargé d’envahir le comté de Nice et de défendre
ai-je me présenter dans l’intérieur avec la note infamante d’officier
général
réformé ?… Mais, ajoute-t-il avec fierté, mes cam
forme, écrit-il encore, dans un moment où, honoré de la confiance des
généraux
, je commandais le point essentiel de la première
les qualités civiles. Le plan de Schérer, admirablement servi par les
généraux
divisionnaires, a réussi ; la victoire de Loano,
uvent dans sa relation de Loano, dut à sa belle conduite d’être nommé
général
de brigade. Il eut un moment d’hésitation avant d
out est derrière moi. J’avais eu des scrupules d’accepter le grade de
général
de brigade ; mais mes camarades et les généraux,
d’accepter le grade de général de brigade ; mais mes camarades et les
généraux
, le représentant Ritter lui-même, m’ont paru si c
ntelligent, si actif et si infatigable, hésite à accepter le grade de
général
de brigade qu’il vient de mériter et de gagner, a
Et bientôt, quand il sera nommé par Bonaparte, à la veille de Rivoli,
général
de division, ce sera bien pis ! Son premier mouve
demander s’il doit ou non accepter. « Je ne saurai trop vous répéter,
général
, écrit-il à Bonaparte lui-même, qu’une division d
nge dans la nuit de perplexité qui précéda la glorieuse mort du jeune
général
. Joubert se rendait compte mieux que personne de
ai donc sur les faits pour embrasser tout le caractère. Ainsi, simple
général
de brigade quand il se définissait de la sorte la
nd il se définissait de la sorte la responsabilité, à peine sera-t-il
général
de division qu’il dira (22 novembre 1796) ; Avec
. Un soldat se bat dans tous les rangs. Dans une république, on n’est
général
qu’un temps. J’ai sous mes ordres le brave Dumas,
ment, et dans la juste application à notre sujet. Le malheur du jeune
général
que nous verrons sortir si brillamment victorieux
lendemain de la victoire de Loano, il se trouve dépourvu de tout. Ce
général
de brigade, qui vient de prendre les chariots et
Chapitre III. Des idées
générales
et de la substitution à plusieurs degrés Somma
substitution à plusieurs degrés Sommaire. I. Certains caractères
généraux
ne produisent pas en nous une impression distinct
la série ou quantité infinie par sa formule. IV. Résumé. — Nos idées
générales
sont des noms substituts d’expériences impossible
ui consiste à distinguer l’idée du nom. — Effets singuliers, et cause
générale
de cette illusion. — Il est naturel que les signe
signe ; admettons pour ce signe le mot ordinaire, deux. Voilà un nom
général
; nous serons tentés de le prononcer, comme dans
imaginer distinctement trente-six ensemble. La propriété abstraite et
générale
d’être deux, trois ou quatre, peut éveiller en no
ance et, par suite, un nom correspondant ; au contraire, la propriété
générale
et abstraite d’être trente-six ou tout autre nomb
s ne remplaçons plus tout d’abord par un mot le caractère abstrait et
général
du groupe mis en expérience, car le groupe en que
es éléments, se déduisent. Ce que nous apercevons, c’est un caractère
général
du dividende et du reste. Dès la première divisio
nt semblable à lui-même. Nous posons, comme tout à l’heure, cette loi
générale
que la grandeur en question se continue hors d’el
infinie en trois sens qu’on nomme l’espace. Car, partant du caractère
général
seul présent en nous, nous pouvons imaginer aussi
e là des illusions singulières. Nous croyons avoir, par-delà nos mots
généraux
, des idées générales ; nous distinguons l’idée du
ingulières. Nous croyons avoir, par-delà nos mots généraux, des idées
générales
; nous distinguons l’idée du mot ; elle nous semb
e même office dans un autre domaine et nous rend présentes les choses
générales
, comme l’image nous rend présents les individus.
. — Cette erreur de conscience est très fréquente et dérive d’une loi
générale
. Dans une impression ou groupe d’impressions qui
s avons en nous-mêmes lorsque nous pensons les qualités et caractères
généraux
des choses, ce sont des signes, et rien que des s
sauf en ceci qu’elles sont correspondantes aux caractères et qualités
générales
des choses et qu’elles remplacent la perception a
Souvenirs militaires et intimes du
général
vicomte de Pelleport, publiés par son fils51. L
a prétention ou la gloire des tableaux, des histoires et descriptions
générales
. Qu’il dise ce qu’il sait, rien que ce qu’il sait
ui en fait le sujet principal, est donc l’histoire d’un régiment ; le
général
duc de Fezensac avait déjà fait avec succès parei
x familles de guerriers, dont je n’indique que la physionomie la plus
générale
, il en est une autre bien essentielle et qui, dan
du 21 janvier, il s’attache à constater les sentiments de réprobation
générale
que cet événement fit éclater dans tout le Midi,
dévouement patriotique ». À la manière dont il parle de la mort de ce
général
et de sa tombe « pareille à celle du pauvre », on
’ont bien mené dans la carrière. C’est ainsi que parlant plus tard du
général
de division Legrand sous lequel il a servi et don
d’Empire, est de ceux qui paraissent compter le moins sur le nouveau
général
, « cet intrigant, disait-il, qui ne s’appuie sur
u’elle a un chef comme elle n’en a jamais eu encore ; les plus braves
généraux
sentent qu’ils ont aussi le leur. Dans une occasi
oupe. La République cisalpine accorda une gratification aux officiers
généraux
et chefs de corps. Celle de Fugières, notre chef
même de trop se demander où l’on va et dans quel but. Les paroles du
général
font une impression profonde sur les imaginations
s, qui, dans ces mêmes lieux, avaient mangé leurs sacs de peau. » — «
Général
, ils n’en portaient pas, vos Romains », lui répon
lité pour les manœuvres ; les officiers inférieurs et supérieurs, les
généraux
eux-mêmes qui venaient de faire la guerre, avec u
les porter sur le terrain qu’ils devaient occuper dans la disposition
générale
. Par la manière dont il traite en Égypte les vie
au milieu d’une de ces périodes à effet comme il savait les faire, le
général
lui dit : « Rappelez-vous, Pelleport, et vous ête
on reprit son cours ordinaire, et je me promis bien de désobéir à mon
général
. » De retour en France, Pelleport continue sa mar
ant une revue du 3e corps, Ney lui propose Pelleport pour le grade de
général
de brigade ; l’empereur répondit : « Après la cam
agnon d’honneur et d’infortune, M. de Fezensac, alors colonel du 4e.
Général
de brigade en 1813, Pelleport fait les campagnes
ablies avec la barrière. Quel spectacle ! un maréchal de France, deux
généraux
luttant avec 300 jeunes conscrits pour la défense
le, que de voir des Français refuser de recevoir chez eux un officier
général
mourant pour la patrie. Après avoir reçu d’un épi
s divers régimes, la ligne de conduite de Pelleport, nommé lieutenant
général
et de plus vicomte à la suite de l’expédition d’E
if secret de cette préférence est l’impossibilité d’obtenir une image
générale
. Nous faisions tout à l’heure du clic-clac en soi
ra-t-il ? Le son en général n’est pas un son, car il aurait un timbre
général
, une hauteur générale, une intensité générale : a
énéral n’est pas un son, car il aurait un timbre général, une hauteur
générale
, une intensité générale : autant de non-sens ; en
car il aurait un timbre général, une hauteur générale, une intensité
générale
: autant de non-sens ; en d’autres termes, il aur
ccompagne la conscience du mot son a une hauteur moyenne et non point
générale
; on voudrait pouvoir dire qu’elle a aussi une in
us mal l’ensemble des qualités hétérogènes. Ainsi, l’image soi-disant
générale
est toujours une image particulière ; ses élément
est celle d’une rose épanouie et de couleur rose ou rouge. Or l’idée
générale
d’homme comprend les femmes, les vieillards et le
tants inférieurs du même type ; le type idéal est une véritable image
générale
; sans doute, l’idéal n’est pas l’idée, mais il l
ages de l’analogie ceux de la généralité. Il y aurait donc des images
générales
, et ces images seraient des signes, des signes te
le des images qui correspondent aux différentes sensations ; une idée
générale
embrasse dans son unité deux sortes de diversités
une idée particulière est aussi difficile à bien exprimer qu’une idée
générale
. On peut même ajouter que les mots, par cela même
mieux l’élément sonore, soit d’une idée particulière, soit d’une idée
générale
, que son élément visuel-tactile, qui, d’ordinaire
més. IV. Avantages du signe arbitraire pour l’expression des idées
générales
. La métaphore a le défaut d’augmenter l’hétéro
défaut d’augmenter l’hétérogénéité ou la diversité interne de l’idée
générale
: aux éléments légitimes dont cette idée se compo
est-à-dire dirigée par la notion a priori de l’essence, dégage l’idée
générale
de ces additions qui l’obscurcissent, et, du même
t, et, du même coup, lui associe un nom conventionnel. Mais si l’idée
générale
est telle qu’un signe analogique soit possible po
ne arbitraire. La diversité interne et légitime du contenu d’une idée
générale
est double, avons-nous dit : un genre comprend de
mages différentes et irréductibles ; on peut donc décomposer une idée
générale
soit en idées concrètes individuelles, soit en gr
é, etc., ait dans la conscience, au moment de la conception de l’idée
générale
, une intensité débordante, qu’il sorte des rangs,
n pleine lumière sur le groupe total, alors l’idée n’est pas purement
générale
, elle est à la fois un genre et un exemple. L’ine
d’images, comme les visa ou les sons. De telles idées, imparfaitement
générales
, trompent l’esprit qui s’en sert : les éléments g
arfaitement générales, trompent l’esprit qui s’en sert : les éléments
généraux
et particuliers rattachés à un même nom et simult
s forment un tout, et ce tout est entendu par l’esprit comme une idée
générale
; quoi d’étonnant alors si les images particulièr
ne faut pas croire, rappelons-le, que l’onomatopée représente un cri
général
; tout au plus serait-ce le cri moyen ou le plus
res, les sons au détriment des visa-tacta, et donne à tort une valeur
générale
à une image particulière. C’est que le signe, lui
rit. En même temps et par les mêmes causes, l’idée deviendra vraiment
générale
; oua-oua désignait fort mal un roquet qui jappe
rbitraire est donc nécessaire pour maintenir la généralité d’une idée
générale
. V. Résumé : double utilité des signes arbitra
ps serait l’instrument. Ensuite, ils peuvent seuls exprimer les idées
générales
comme telles, sans équivoque entre le tout et la
ns aucune langue ; on le nomme par définition, en accouplant des noms
généraux
; mais il a un signe plus immédiat que sa définit
images, qui, d’ordinaire, est l’image visuelle, tandis qu’une pensée
générale
, groupe relativement homogène de pensées particul
que, entre les pensées les plus particulières et les pensées les plus
générales
, il y a continuité ; les degrés inférieurs de la
rbitraire croît avec la généralité des idées. Or, plus une pensée est
générale
, plus l’activité de l’esprit a eu de part à sa fo
nstitutifs, est un simple datum de l’expérience, tandis qu’une pensée
générale
est une œuvre de l’esprit. Une pensée donnée a do
impartialité est, en effet, pour l’image qui sert de signe à une idée
générale
, la condition d’une parfaite indépendance ; dans
, ce privilège ne peut s’étendre à aucune autre ; mais, dans une idée
générale
, il y a presque toujours un certain nombre d’imag
st imparfaite sans des figures tracées sur un tableau ; d’une manière
générale
, on n’instruit bien que si l’on parle aux yeux en
ccordons. Enfin, comme les idées que la parole exprime sont des idées
générales
, et que, la plupart du temps, les mots dont elle
partial, mais alors seulement, pour maintenir la généralité des idées
générales
, nuisible dans le cas contraire ; il n’existe auc
faits d’expérience ne pourraient, sans les mots, se grouper en idées
générales
. Ce qui est vrai, c’est que, au sein d’un groupe
ion commencée dès les origines de la pensée. En même temps, les idées
générales
deviennent plus nombreuses dans chaque esprit, et
iquer l’harmonie naturelle qui relie les signes arbitraires aux idées
générales
; à mesure qu’il prend mieux possession de son en
tenu que le rôle du langage dans la pensée consiste à fixer les idées
générales
: les éléments semblables, séparés des groupes co
re leurs anciens associés pour reformer des groupes concrets ; le mot
général
permettrait à l’esprit de lutter contre cette ten
e, l’attention les dédaigne comme étrangers à la généralité de l’idée
générale
; ils restent donc très faibles, et rien ne saura
ais confondus et indiscernables, ne peuvent plus être séparés. L’idée
générale
, une fois formée, peut s’accroître par l’adjoncti
seulement, s’il est impartial, il assure la pureté logique de l’idée
générale
en fixant à ses éléments la hiérarchie qu’ils doi
les caractères individuels ont été affaiblis au profit des caractères
généraux
, et si, parmi les caractères généraux, ceux qui s
aiblis au profit des caractères généraux, et si, parmi les caractères
généraux
, ceux qui se trouvaient primitivement plus vifs q
s autres ont été destitués d’un privilège immérité [§ 3 et A], l’idée
générale
, purifiée par ces trois effets de l’habitude néga
tive ; il faut aussi que l’énergie de l’attention soit, d’une manière
générale
, toujours suffisante pour raviver au besoin l’idé
ntreprise est d’ordre spéculatif, des idées purifiées et parfaitement
générales
sont nécessaires ; si elle est d’ordre pratique,
instantanément. Souvent, dans la société, un bon mot éveille un rire
général
; un des assistants reste impassible ; le silence
lapsus memoriæ qui n’ont pas d’autre explication ; voici leur formule
générale
: un jour j’éprouve un état A, assez fort ; quelq
ntion qui n’a pas été préparée de longue date et réglée dans sa forme
générale
par de longs efforts d’assimilation patiente et d
ts sont inégalement distincts. 2° représente une idée particulière ou
générale
, exprimée par un de ses éléments ou par un signe
l’opinion nominaliste et condillacienne que « les idées abstraites et
générales
ne sont que des dénominations » et que nous penso
sans toutefois l’anéantir ; nous sommes très familiers avec les idées
générales
, et « l’habitude dissimule ce qu’elle établit » ;
ales, et « l’habitude dissimule ce qu’elle établit » ; mais les idées
générales
sont toujours faiblement conscientes sous les mot
comme on l’a vu, telle est chez lui la source du langage et des idées
générales
; il est parmi eux ce que serait un grand et fin
individuel. L’objet désigné par le son n’est pas encore un caractère
général
; cependant je crois que le pas a été franchi (do
uelles qu’elles soient. Bébé signifie donc pour elle quelque chose de
général
, ce qu’il y a de commun pour elle entre tous ces
lage intérieur, a dû la frapper singulièrement. Voilà son premier mot
général
: la signification qu’elle lui donne n’est pas ce
s avons fourni le mot, nous n’avons pas fourni le sens ; le caractère
général
que nous voulions faire saisir à l’enfant n’est p
ler de l’aptitude à saisir les analogies ; là est la source des idées
générales
et du langage. On lui a montré sur les murs d’une
ucation produit un effet sur lequel on ne comptait pas ; le caractère
général
saisi par l’enfant n’est pas celui que nous vouli
’expression supérieures. Par cette délicatesse il est capable d’idées
générales
. — Nous ne faisons que l’aider à saisir ces idées
te opération. Comme les peuples primitifs, ils sont enclins aux idées
générales
et vastes ; les linguistes nous disent que tel es
ent et pour quelques jours. Jusqu’au dix-septième mois, point de mots
généraux
et compris comme tels. — Ils n’ont apparu que du
nt désigné d’abord un objet individuel et dans cet objet un caractère
général
; Loulou (nom du chien, l’enfant l’a très vite ap
l donne ce nom à des mouches mortes, à des insectes immobiles. L’idée
générale
s’est restreinte et remplie autrement ; dans ce g
nction est véritablement surprenante ; à cet âge, avec si peu de mots
généraux
et des notions si restreintes, distinguer l’appar
férence des deux objets, il a dit lune-papier. — L’aptitude aux idées
générales
est tout à fait développée, et en effet, pendant
mposent évoquent non des représentations sensibles, mais des concepts
généraux
; à ce titre, on l’appelle rationnel, parce que l
ce que la raison est la faculté de « former et de manier ces concepts
généraux
». « Il n’y a pas de langue, même parmi les sauv
e les mots les : plus concrets eux-mêmes sont fondés sur des concepts
généraux
, et dérivés de racines qui expriment concepts gén
r des concepts généraux, et dérivés de racines qui expriment concepts
généraux
. Il y a dans toute langue une couche de mots qui
festes, et personne ne peut soutenir qu’ils reposent sur des concepts
généraux
. Mais, si nous défalquons cette couche inorganiqu
né à des racines, et chacune de ces racines est le signe d’un concept
général
. Telle est la plus importante découverte de la li
peu près de 500 à 600181. — Toutes ces racines expriment des concepts
généraux
et manifestent un mode de connaissance propre à l
ctère momentané et concret », pour l’isoler et en former un caractère
général
. « Comment s’exécute cette œuvre spéciale de l’in
ens spécial, tandis que dans les racines le son est défini et le sens
général
. Néanmoins les interjections et les imitations so
ciales devinrent les représentations phonétiques définies de concepts
généraux
. « Par exemple, il dut y avoir beaucoup d’imitati
un mouvement rapide, la racine pat devint apte à signifier le concept
général
du mouvement rapide, et cette racine, par sa végé
e supériorité, on la trouvera dans une plus grande aptitude aux idées
générales
. Si l’on en cherche la condition physiologique, o
Nous avons expliqué (p. 44) pourquoi il n’y a pas de concept, ou idée
générale
, sans un signe. C’est qu’une idée générale n’est
a pas de concept, ou idée générale, sans un signe. C’est qu’une idée
générale
n’est qu’un signe doué de sens, je veux dire capa
pays différents, plus il devient difficile de ramener à des principes
généraux
et à des lois communes tant d’écrits nés dans des
re littéraire vraiment belle doit avoir pour fond « certaines vérités
générales
exprimées dans un langage parfait ». Ce qui touch
llement beau. D’ailleurs, il ne s’agit pas de toute espèce de vérités
générales
; les vérités purement abstraites, dans lesquelle
que littéraire, celle-ci ne devant s’attacher qu’à ce qui est humain,
général
et vrai. En cela, elle n’a qu’à suivre les indica
é ; mais à côté de ces fausses beautés il y en avait d’autres vraies,
générales
, durables, qui ont subsisté. C’est à faire ce par
s donne les raisons pour lesquelles elles ont succombé. Cette théorie
générale
du beau littéraire, dont je néglige tous les déve
la diversité des genres. Cette réserve faite, le principe des vérités
générales
me paraît un excellent critérium pour distinguer
scipline, la tradition, la règle, l’autorité. Le principe des vérités
générales
cède la place à un nouveau principe : « la prépon
rd, le sens propre au sens commun, la raison individuelle à la raison
générale
, car d’où vient le sens commun, si ce n’est de la
is cette foule elle-même, je le demande, où a-t-elle pris cette somme
générale
de vérité et de raison que l’écrivain supérieur v
nt et se concilient comme elles peuvent, se forme peu à peu la raison
générale
, le sens commun. Ce que vous appelez d’ailleurs l
vaient le droit de se considérer comme les représentants de la raison
générale
, de la raison commune, contre ce sens propre et i
toujours appliquer le même : c’est d’une part le principe des vérités
générales
, et de l’autre le principe de la discipline. Quan
Chapitre VI. Du raisonnement. — Nécessité de remonter aux questions
générales
. — Raisonnement par analogie. — Exemple. — Argume
bien le problème, en termes nets et précis. Tantôt on dégagera l’idée
générale
du fait particulier : quand Bossuet, écoutant les
ire ; mais le fait, que l’on reconnaît, enferme toujours une question
générale
qu’il faut en extraire ; il n’y a vraiment pas de
minutes. » Il essaye d’échapper, par le fait particulier, à la thèse
générale
: « Tout retard est punissable. » Cinq minutes ne
n de moi. » Il crée un conflit de devoirs : ici apparaît une question
générale
. Jules Favre, en posant le fait, fait tomber la t
On ne saurait trop s’attacher, en tout sujet, à discerner la question
générale
parmi les circonstances particulières. Ainsi ont
culiers, innombrables, réels et possibles, qui rentreront dans le cas
général
qu’on aura examiné. Les grands esprits et les esp
es de Mme de Sévigné, les Fables de la Fontaine abondent en questions
générales
légèrement discutées et délicatement résolues. Po
nt résolues. Pour décider sur un fait particulier ou sur une question
générale
, vous pouvez chercher des cas dont la solution so
logie à l’égard du fait particulier est exemple relativement à la loi
générale
. Fontenelle, censurant la légèreté des hommes qui
nt de ce genre, un fait particulier imaginé pour démontrer une vérité
générale
où il rentre, ou un autre fait particulier auquel
. » Ne voulant pourtant rien prendre sur lui sans avoir consulté ses
généraux
de division, il les assembla, leur fit part des n
c empressement. Avant de quitter Essonne, il eut soin d’expliquer aux
généraux
à qui il laissait le commandement, Souham le plus
toute hâte d’Essonne, lui apprit que, contrairement à ses ordres, les
généraux
avaient mis les troupes en mouvement vers les lig
un si fâcheux moment, avait été provoqué par une sorte de panique des
généraux
Souham et autres. L’Empereur avait envoyé dans la
e à Essonne pour mander Marmont à Fontainebleau, ou en son absence le
général
commandant à sa place. Craignant que l’Empereur n
mpereur n’eût été informé des négociations précédemment entamées, les
généraux
avaient pris sur eux de se soustraire à sa colère
ela à Versailles, apprend en chemin cette sédition furieuse. Tous les
généraux
lui conseillent de rétrograder : il n’en fait rie
l pensa qu’il valait mieux tout couvrir, ne pas laisser peser sur ses
généraux
une responsabilité accablante ; il voulut absoudr
st une lettre du général Bordesoulle à lui adressée, par laquelle les
généraux
s’excusent d’avoir exécuté ce mouvement du 4 au 5
e durant les deux Restaurations, et il me suffit de dessiner sa ligne
générale
de conduite et d’opinion. En mars 1815, à la nouv
gardes (ce qu’il avait été en 1814) et devient l’un des quatre majors
généraux
de la Garde royale, faisant service chacun par qu
momentanée et une défense de paraître à la Cour. En 1820, comme major
général
de la Garde royale, il faisait vigoureusement son
1830, il était le matin à Saint-Cloud, où il avait couché comme major
général
de service ; il se disposait à venir à Paris pour
nsulter l’état moral de l’ensemble, ou de tenir compte de ces données
générales
qu’on dirige et qu’on modifie ensuite, mais qu’on
es chefs étaient absents. La Garde royale comptait quatre lieutenants
généraux
, et tous les quatre se trouvaient absents de Pari
t de réponse. À neuf heures, ayant réuni en conseil aux Tuileries les
généraux
de la Garde, le maréchal leur exposa son plan, et
ans une affaire si mal engagée, était la seule solution possible. Les
généraux
et les troupes de la Garde (je ne parle pas des a
ore, lui dit : « Monsieur le maréchal, nous venons nous adresser à un
général
qui a le cœur français, pour lui demander de fair
ard, puis-je agir autrement ? — Non, c’est vrai, répondirent les deux
généraux
. Passant alors dans la pièce voisine où étaient
ne pouvoir mieux profiter d’un travail qui m’est communiqué par M. le
général
de La Rue, ancien aide de camp du maréchal, et où
t des gardes emporta l’épée à la main. Catinat, même plus tard devenu
général
, se montra toujours d’une rare intrépidité person
i l’épée à la main77. Louis XIV lui donna, en 1676, l’emploi de major
général
de l’infanterie dans son armée de Flandre. On rap
le roi, lui avait dit pour l’en détourner : « On peut faire de lui un
général
, un ministre, un ambassadeur, un chancelier, mais
e y voir quelque chose de la même intention d’ironie qu’un inspecteur
général
employait un jour à l’égard d’un officier disting
e qu’exige de qualités cet emploi de major et, qui plus est, de major
général
d’une armée, et, interrogé un jour par le duc de
ves de la charge, il répondait avec esprit : « Monseigneur, le major
général
est un distributeur d’ordres, le porte-voix du gé
neur, le major général est un distributeur d’ordres, le porte-voix du
général
, sans aucune autorité que celle qu’il emprunte de
propos, et les troupes supposent qu’il en a reçu l’ordre. Si le major
général
est réduit à sa charge, et que l’estime, l’amitié
tié, l’amour de la patrie et de la gloire ne l’unissent point avec le
général
, la machine ne se meut que lourdement, et la prés
, on ne peut remédier aux accidents parce qu’on ignore l’intention du
général
. Les officiers généraux sont les supérieurs du ma
ux accidents parce qu’on ignore l’intention du général. Les officiers
généraux
sont les supérieurs du major général ; mais il de
ntion du général. Les officiers généraux sont les supérieurs du major
général
; mais il devient en effet leur supérieur lorsqu’
éral ; mais il devient en effet leur supérieur lorsqu’il est l’ami du
général
. S’ils demandent des détachements, il doit les fo
doit les fournir sans autres ordres, sauf à lui d’en rendre compte au
général
; mais pas un ne lui en demandera s’il possède sa
r d’une manière plus particulière. S’il fallait que le major ou major
général
, pour avoir action, fût tellement en rapport d’es
a Feuillade. Louis XIV, satisfait des services de Catinat comme major
général
dans l’armée de Flandre pendant la campagne de 16
toue. De gouverneur de Saint-Ghislain, Catinat redevint en 1678 major
général
dans l’armée du roi aux sièges de Gand et d’Ypres
cier de guerre, si elles n’en devaient pas faire précisément un grand
général
. 74. Voir surtout, dans le IIIe et le IVe volum
Francis Lacombe De l’organisation
générale
du travail. [Revue du Monde catholique, 15 avril
mment de l’importance actuelle du sujet qu’il traite : l’Organisation
générale
du travail, Francis Lacombe est catholique, et la
les changements profonds introduits par le Christianisme dans la vie
générale
des peuples et dans la condition humaine. Maîtris
la raison qui a dicté à l’auteur le titre de son livre : Organisation
générale
du travail. Elle est générale, en effet, le but d
ur le titre de son livre : Organisation générale du travail. Elle est
générale
, en effet, le but de l’auteur étant plutôt d’indi
également et fraternellement, en réunions particulières, les besoins
généraux
de leur industrie… Ces cahiers des ouvriers, ains
yndicat chargé de représenter chaque profession au sein de la société
générale
; de surveiller officiellement l’éducation des ap
de la part du premier envers le dernier soit frappé d’une réprobation
générale
et flétri par le stigmate du déshonneur ; de veil
dément catholique, préservé par une étude supérieure de l’abaissement
général
des esprits, l’auteur de l’Organisation générale
eure de l’abaissement général des esprits, l’auteur de l’Organisation
générale
du travail ne devait-il pas nettement repousser,
réunis dans des ateliers sociaux, où les bénéfices de l’exploitation
générale
seront également répartis entre les ouvriers, et
hicane. Il en fait assez pour que l’on consente à entendre à une paix
générale
: « Je fis savoir à la Cour (c’est-à-dire au quar
t, avec la plupart de tout le parti, plutôt que de n’obtenir une paix
générale
; qu’il était dangereux d’ôter tout espoir de sal
t le titre qu’on y donna), obtint en ce qui le concernait l’abolition
générale
et l’oubli du passé : il obtint de plus qu’on lui
selon qu’on le stipulerait. La politique de Venise convenait à Rohan,
général
plein de réflexions et de vues, et qui, en fait d
ne aristocratie que de conseils bourgeois ou populaires. Il fut nommé
général
des troupes de la république, avec pension et tou
isons, le 4 décembre 1631, il y fut fort bien reçu et bientôt déclaré
général
des trois ligues. Il semblait qu’il n’y eût plus
re on craignait que ce coup d’autorité ne fût le signal d’une rupture
générale
, et on reculait. Tout cela, est fort soigneusemen
ntraire qu’il faut dire : on y retrouve une manière d’exposition plus
générale
qu’il n’est habituel à Rohan ; il y a aussi plus
nière soumission en Languedoc, le reçut avec bienveillance. La guerre
générale
qui se déclara en 1635 permit enfin d’employer au
qu’on lui donnait présentement à conduire avec le titre de lieutenant
général
était plus considérable ; il n’en devait garder q
situation était celle-ci : en face, du coté du Milanais, Serbelloni,
général
des Espagnols, était sur la frontière avec une ar
sur la frontière avec une armée ; à dos, du côté du Tyrol, Fernamond,
général
des impériaux, se disposait à forcer les passages
, insista vivement pour l’attaque. Après un conseil de guerre, Rohan,
général
très consultatif, s’y résolut, et le 27 juin se l
on ne changeait pas essentiellement, malgré tous ces succès. Un autre
général
de l’empereur, le comte de Schlick, venant du côt
s à la fois. Au sortir de là, Rohan, bien qu’il eût titre toujours de
général
de l’armée du roi, se retira à Genève et refusa d
chef-d’œuvre de nerf et d’ironie49. Habile capitaine plutôt que grand
général
, sa mesure à cet égard est difficile à prendre, e
mène à en concevoir l’unité essentielle et intime, à y dégager l’idée
générale
, le sentiment universel, c’est-à-dire le lieu com
qu’on lui propose, et cela consiste précisément à en extraire l’idée
générale
. Si vous avez l’esprit suffisamment meublé, au pr
s avez l’esprit suffisamment meublé, au premier contact de cette idée
générale
, des idées, des sentiments qui ont de l’affinité
en, ni en rhéteur. Dégageant des circonstances particulières la thèse
générale
, il n’a pas examiné la question historique et la
question particulière d’histoire romaine a fait place à une question
générale
, qui de nouveau a reçu une forme particulière des
aux yeux du spectateur, et à faire oublier Octave. Éclairé par l’idée
générale
, on sait dans quelle catégorie d’idées et de sent
uivre, des limites où se contenir sont fixées à l’imagination. L’idée
générale
guide la pensée dans l’invention du détail partic
ui le retient toujours sur la véritable trace. De l’étendue de l’idée
générale
dépend la profondeur du détail particulier qui s’
’ils extraient de l’examen superficiel d’œuvres littéraires sont trop
générales
et trop peu précises pour être considérées comme
tés, à certains mots plus vibrants, à la fréquence de certaines idées
générales
, quelles sont les sympathies et les antipathies d
Il y a donc, entre l’artiste imitateur et son maître, une similitude
générale
d’organisation intellectuelle. Cette organisation
cette organisation est similaire : il existe des faits psychologiques
généraux
à la base du romantisme, du réalisme, de la peint
us cohérentes. Tout ce que les exemples précédents ont de vague et de
général
disparaîtra quand l’analyste pourra baser ses con
peut prendre. III Pratique de l’analyse psychologique ; faits
généraux
. — Nous venons de voir en vertu de quels principe
esprit, en tant qu’esprit humain, est constitué par le même mécanisme
général
de sensations, d’images, d’idées, d’émotions, de
mme esprit individuel et surtout comme esprit supérieur, ce mécanisme
général
est affecté de certaines altérations particulière
artistes en général, en tant que tel artiste. Les exemples d’analyse
générale
que nous avons donnés, d’autres qui seront publié
à son tour, peut être exprimée en une altération définie du mécanisme
général
de l’entendement. On sait aujourd’hui, grâce aux
cette intelligence pour réaliser à la fois les lois de la psychologie
générale
et causer les manifestations particulières du cas
la critique scientifique reçoit de précieux secours de la psychologie
générale
. Mais cette dernière profitera des travaux auxque
t la psychologie des grands hommes d’action rendront à la psychologie
générale
les mêmes services que la pratique de la dissecti
t adopter. Le talent serait une surexcitation partielle et morbide ou
générale
et normale, mais faible, des fonctions psychiques
e, mais faible, des fonctions psychiques ; le génie une surexcitation
générale
extrême, avec maintien d’un équilibre parfait. La
éments indispensables d’un nouveau système indivisible de philosophie
générale
, graduellement préparé par le concours spontané d
samment, pour ceux, du moins, qui en auront bien compris le vrai sens
général
. Quoique d’abord indispensable, à tous égards, le
alors surgir. Quelque sommaires que dussent être ici ces explications
générales
sur la nature provisoire et la destination prépar
ation graduelle des diverses entités particulières à une seule entité
générale
, la nature, destinée à déterminer le faible équiv
ement réductible à la simple énonciation d’un fait, ou particulier ou
général
, ne peut offrir aucun sens réel et intelligible.
mploie ne sont plus eux-mêmes que de véritables faits, seulement plus
généraux
et plus abstraits que ceux dont ils doivent forme
cette fixité absolue que les métaphysiciens ont supposée. Or, la loi
générale
du mouvement fondamental de l’Humanité consiste,
à étudier ce qui est afin d’en conclure ce qui sera, d’après le dogme
général
de l’invariabilité des lois naturelles2. Ce princ
omme ne pouvant elles-mêmes constituer pour nous que de simples faits
généraux
, qu’il faut toujours tendre à réduire au moindre
ant besoin qu’aucun autre d’être réglé d’après une saine appréciation
générale
. Longtemps habitué à une sorte d’unité de doctrin
récier la nature, il faut d’abord recourir à la lumineuse distinction
générale
ébauchée par Kant entre les deux points de vue ob
ion nous est essentiellement interdite. Telle est donc la disposition
générale
qui doit finalement prévaloir dans la philosophie
à leur portée effective, si d’avance on n’avait reconnu, en principe
général
, l’impossibilité de jamais rendre l’art purement
ngtemps permis l’essor partiel de l’esprit positif malgré l’ascendant
général
de l’esprit théologique, et même, à beaucoup d’ég
, même avant le temps où la nouvelle philosophie serait devenue assez
générale
pour prendre un caractère vraiment organique, en
ience avec la théologie a dû se manifester aussi sous une autre forme
générale
, spécialement adaptée à l’état monothéique, en fa
à l’esprit, fondamental de la philosophie positive, dans la relation
générale
entre la spéculation et l’action. Si, d’une part,
e activité continue. Le concours spontané des diverses considérations
générales
indiquées dans ce discours suffit maintenant pour
verses significations conviennent également à la nouvelle philosophie
générale
, dont elles indiquent alternativement différentes
ar sa nature, non à détruire, mais à organiser. Les quatre caractères
généraux
que nous venons de rappeler la distinguent à la f
a nature fondamentale des connaissances réelles, que sa considération
générale
ne tardera pas à se lier intimement aux divers as
rdre quelconque de phénomènes. En effet, les seuls principes vraiment
généraux
que l’on puisse établir à cet égard se réduisent
lus précieuses comme matériaux ultérieurs d’une nouvelle, philosophie
générale
que par leur valeur directe et spéciale, la plupa
ut philosophique de l’élaboration fondamentale, à la fois spéciale et
générale
, que j’ai osé entreprendre dans le grand ouvrage
rit métaphysique, seul actif pendant ce long préambule, la présidence
générale
du mouvement de réorganisation. Quand une expérie
ement que des institutions provisoires, tant qu’une vraie philosophie
générale
n’aura pas suffisamment rallié les intelligences.
evenir suffisamment philosophique que d’après une exacte appréciation
générale
de ce qui constitue surtout cette amélioration co
airement la haute efficacité sociale propre à la nouvelle philosophie
générale
. Sa valeur, à cet égard, dépend surtout de sa ple
établissant, à l’abri des impulsions passagères, des règles vraiment
générales
pour l’ensemble de notre existence, personnelle,
lle s’est ainsi trouvée directement réduite à la formation des règles
générales
, dont l’application particulière était dès lors e
devenue nécessairement funeste à la morale, sous un troisième aspect
général
, en s’opposant à sa solide reconstruction sur des
comme autant d’inévitables corollaires, les règles de conduite, soit
générales
, soit spéciales, les plus conformes à l’ordre uni
ts, dans notre siècle, à une insurmontable aversion contre toute idée
générale
, et à l’entière impossibilité d’apprécier réellem
roprement dite, l’école positive ne saurait trouver d’autre ressource
générale
que d’organiser un appel direct et soutenu au bon
autant que l’exigerait la formation ultérieure de saines conceptions
générales
. Mais il n’en peut plus être ainsi quand une tell
lui quand il considère ces études dans leur destination abstraite et
générale
, comme seule base rationnelle de l’ensemble des c
tuation transitoire, l’organisation nécessaire d’un tel point d’appui
général
pour l’ensemble des travaux philosophiques devien
partie, ces dangereuses conséquences d’un absurde système d’éducation
générale
. Ce système ayant été, depuis la fin du Moyen Âge
eaucoup d’importance normale, d’après la systématisation des rapports
généraux
qui doivent exister entre ces deux éléments extrê
t honorablement remplies et raisonnablement acceptées. La philosophie
générale
qui en résulte représente l’homme ou plutôt l’Hum
condition sociale des prolétaires. On peut les résumer en cet aperçu
général
: il n’a pu exister jusqu’ici une politique spéci
spoir, sans doute, d’y obtenir quelques améliorations de sa situation
générale
, mais non d’après des vues et pour un but qui lui
dont le pouvoir doit être exercé pour mieux atteindre sa destination
générale
, principalement relative, chez les modernes, à la
féconde et salutaire appréciation des divers devoirs essentiels, soit
généraux
, soit spéciaux. Tel est le principe spontané de l
que sociale vers la sage amélioration continue de sa propre condition
générale
. Les chimériques espérances inhérentes à l’ancien
i fondamentale d’évolution qui sert de base à la nouvelle philosophie
générale
. Un tel ordre doit, par sa nature, remplir deux,
ns le grand ouvrage ci-dessus indiqué, et dont elle détermine le plan
général
. Elle consiste à classer les différentes sciences
, en outre, sous le rapport actif, y ajoute cette importante relation
générale
, que les phénomènes deviennent ainsi de plus en p
n ne connaît suffisamment l’agent spécial qui les opère, et le milieu
général
où ils s’accomplissent. De là résulte donc la div
ble d’une pleine positivité, soit en tant que caractérisant le milieu
général
de tous nos phénomènes quelconques, et manifestan
, des spéculations purement numériques qui étant, de toutes, les plus
générales
, les plus simples, les plus abstraites, et les pl
permet enfin à chaque intelligence de renouveler à son gré l’histoire
générale
de l’esprit positif, en passant, d’une manière pr
es doctrines relatives aux divers phénomènes moins compliqués et plus
généraux
, de manière à ne pouvoir suffisamment connaître n
stitue nécessairement la base systématique de la nouvelle philosophie
générale
. La terminaison de ce long Discours, où le vérita
ivent d’abord puiser les vraies notions élémentaires de sa positivité
générale
, en acquérant les connaissances qui servent de ba
développer d’abord envers les phénomènes les plus simples et les plus
généraux
, dont la régularité et la grandeur supérieures no
er office fondamental qui doive lui être propre dans le développement
général
de la raison humaine, qui, une fois parvenue chez
faire subir à tout le régime des entités. 2. Sur cette appréciation
générale
de l’esprit et de la marche propres à la méthode
Muséum d’Histoire naturelle Cours de Physiologie
générale
Leçon d’ouverture1 Sommaire : Inauguration
le Leçon d’ouverture1 Sommaire : Inauguration de la physiologie
générale
au Muséum — Raisons du transfert de ma chaire de
une science expérimentale. — Définition du domaine de la physiologie
générale
. — Initiation de la France. — Développement de la
saine critique expérimentale. En commençant le cours de physiologie
générale
au Muséum d’histoire naturelle, je crois nécessai
les circonstances qui m’y ont amené. L’introduction de la physiologie
générale
dans l’établissement célèbre qui abrite les scien
is l’année 1854, époque à laquelle fut créée la chaire de physiologie
générale
dont j’ai été le premier titulaire. En 1867, M. D
me demanda d’exposer, dans un rapport, les progrès de la physiologie
générale
en France, et d’indiquer les améliorations qui po
prédécesseur ; j’inaugure en réalité l’enseignement de la physiologie
générale
que je professais depuis seize ans dans la Sorbon
veloppement. Il sera nécessaire de faire bien comprendre le mouvement
général
qui s’accomplit sous nos yeux et qui tend à l’éma
s déductions de l’anatomie comparée3. Avant la création de l’anatomie
générale
, on ne connaissait pas les éléments microscopique
ants rentrent dans les lois ordinaires de la physique et de la chimie
générales
. Ce sont des actions chimiques (combustion, ferme
ais non les expliquer. D’un autre côté, Bichat, en fondant l’anatomie
générale
et en rapportant les phénomènes des corps vivants
t établir la vraie base solide sur laquelle est assise la physiologie
générale
; non pas que les propriétés vitales des tissus a
qui résiderait dans une partie du corps, mais simplement le consensus
général
de toutes les propriétés des tissus. Après Lavois
logie la méthode expérimentale, nous devons terminer par une remarque
générale
. Grâce aux moyens nouveaux d’étude et aux progrès
die. — On peut caractériser la vie, mais non la définir. — Caractères
généraux
de la vie : organisation, génération, nutrition,
rdination. Il importe aujourd’hui de nettement dégager la physiologie
générale
des illusions qui l’ont pendant longtemps agitée.
r sont opposées. Ces idées d’antagonisme entre les forces extérieures
générales
et les forces intérieures ou vitales avaient déjà
l’aide des hypothèses. Examinons maintenant quels sont les caractères
généraux
des êtres vivants. On peut les ramener à cinq, sa
al et très complexe, mais qui n’en obéit pas moins aux lois chimiques
générales
du groupement de la matière. Les propriétés vital
lques heures il a satisfait, non seulement à la régularité du travail
général
sur toutes les parties du cristal, mais au rétabl
s parties, sa constance, qui ne souffre pas d’arrêt, en font un signe
général
de la vie, que quelques physiologistes ont employ
double mouvement interne de composition et de décomposition à la fois
général
et continu. » Cuvier s’exprime de la même manièr
tre programme. Nous sommes ainsi arrivé, croyons-nous, aux deux faits
généraux
les plus caractéristiques des êtres vivants ; mai
me l’expression d’une force spéciale, ou comme le résultat des forces
générales
de la nature. Nous devons nous hâter de déclarer
e Démocrite et d’Épicure rapporte tout à la matière, qui par ses lois
générales
constitue à la fois les corps inorganiques et les
e-même, qu’elle ne peut agir qu’en empruntant le ministère des forces
générales
de la nature et qu’elle est incapable de se manif
é isolément, chaque phénomène de l’économie est tributaire des forces
générales
de la nature, pris dans ses rapports avec les aut
on matérialiste que la vie ne serait qu’une expression des phénomènes
généraux
de la nature. Quoi qu’il en soit, ce que nous sav
but de toute science expérimentale et de ses moyens d’action est donc
générale
; elle appartient à la physique et à la chimie et
dées vitalistes qu’elles contiennent. Bichat émet en effet cette idée
générale
, lumineuse et féconde, qu’en physiologie comme en
; il n’est ni en contradiction ni en lutte avec les forces cosmiques
générales
; bien loin de là, il fait partie du concert univ
ent sur sa sensibilité, sur le système nerveux, qui est le régulateur
général
des fonctions de la vie organique et de la vie an
agents physico-chimiques sur l’organisme. Il est vrai, d’une manière
générale
, qu’en élevant la température on exalte l’activit
voit la température s’exalter, d’abord localement, puis d’une manière
générale
; c’est l’expérience que j’ai réalisée chez les c
sement de pression compense l’accroissement. C’est là une proposition
générale
importante qui résulte des travaux de M. Paul Ber
voulu montrer que la formation des réserves est non seulement la loi
générale
de toutes les formes de la vie, mais qu’elle cons
. Conclusion Nous avons examiné successivement les trois formes
générales
sous lesquelles la vie apparaît : vie latente, vi
n et création organiques. — Cette division caractérise la physiologie
générale
et embrasse dans sa généralité toutes les manifes
y, Saussure, Dumas et Boussingault, Huxley, Tyndall. — III Réfutation
générale
des théories dualistes de la vie entre les animau
a théorie de la dualité vitale. — La dualité vitale et la physiologie
générale
. — Unité des lois de la vie ; variété des manifes
er cette division et de montrer qu’elle sert de base à la physiologie
générale
. Nous ne considérons ici les caractères de la vie
semble la meilleure de celles que l’on puisse proposer en physiologie
générale
. Elle est à la fois la plus vaste et la plus conf
oin de présenter cette généralité. Une classification, en physiologie
générale
, doit répondre aux phénomènes de la vie, indépend
d’énoncer et qui forme, nous le répétons, l’axiome de la physiologie
générale
, plusieurs théories célèbres ont affirmé que les
où il y a à la fois synthèse et destruction organique. La physiologie
générale
doit examiner ces manières de voir dans leurs ori
e division fondamentale que nous avons introduite dans la physiologie
générale
, il est nécessaire d’exposer d’abord les théories
’absence d’appareil digestif chez les plantes comme un caractère très
général
qui pouvait servir à les distinguer des animaux.
nclusion est contradictoire au principe fondamental de la physiologie
générale
, à savoir que les deux phases de l’action vitale,
pliqués de la vitalité sont résumés, a dit M. Tyndall, dans cette loi
générale
: le végétal est produit par l’élévation d’un poi
stituerait la dualité dynamique des êtres vivants. III. Réfutation
générale
des théories dualistes de la vie La physiologi
éfutation générale des théories dualistes de la vie La physiologie
générale
peut faire à ces théories des objections de princ
nomènes cosmiques qui l’entourent : le règne minéral est le réservoir
général
; les végétaux travaillent pour les animaux, et l
t les conséquences, ainsi que nous le montrerons plus tard, de la loi
générale
de la lutte pour l’existence, d’après laquelle la
eux ou détruits par eux. Telle est la loi. En résumé, la physiologie
générale
, qui ne considère la vie que dans ses phénomènes
nérale, qui ne considère la vie que dans ses phénomènes essentiels et
généraux
, ne nous permet pas d’admettre une dualité des an
seule physiologie pour tous les êtres vivants : c’est la physiologie
générale
qui conclut à l’unité vitale dans les deux règnes
e toutes les existences, jamais la loi fondamentale de la physiologie
générale
que nous avons énoncée n’est violée. Jamais la vi
en exhalant de l’acide carbonique. Au point de vue de la physiologie
générale
, nous ne considérons pas seulement les fonctions
nécessaire à la vie ; nous considérons, au contraire, les phénomènes
généraux
et communs qui sont indispensables à l’existence
luxe. L’étude des êtres inférieurs est surtout utile à la physiologie
générale
, parce que chez eux la vie existe à l’état de nud
t que des résultats partiels dont on ne peut pas tirer de conclusions
générales
. MM. Regnault et Reiset ont fait bien sentir cett
rganisme. Le physiologiste doit s’appuyer sur ces résultats chimiques
généraux
; mais il ne doit pas s’en contenter, il doit hea
s phénomènes de l’organisme vivant. Conclusion De la discussion
générale
qui précède, nous pouvons conclure que malgré la
t création organique, comme justifiée et comme établie en physiologie
générale
. Cette division nous servira de cadre dans les le
enberger, etc. Nous avons proposé, discuté et établi en physiologie
générale
, la division des phénomènes de la vie en deux gra
ons où nous traçons une sorte d’esquisse ou de plan de la physiologie
générale
, de résoudre les questions ; il importe d’abord d
e nom de fermentation. On a dit, dans ces derniers temps, d’une façon
générale
, que ce nom s’appliquait à toutes les réactions o
d, quant à leur nature essentielle, différentes des actions chimiques
générales
; toutes, en effet, sont représentées dans le règ
fermentatif sont extrêmement nombreuses ; elles sont en effet le type
général
des actions vitales de destruction ; beaucoup ne
tose, etc. Il suffit que l’on comprenne qu’il s’agit ici d’un procédé
général
employé par la nature pour opérer le dédoublement
s chimiques de l’être vivant, bien qu’ils se passent suivant les lois
générales
de la chimie, ont toujours leurs appareils, leurs
anismes, et la production d’acide carbonique, qui est un phénomène si
général
dans les manifestations vitales, est le résultat
urités, nous nous bornerons à déduire de cette leçon un seul résultat
général
: La putréfaction comme la combustion se rattache
somme à des fermentations. La fermentation serait le procédé chimique
général
, pour tous les êtres vivants, et même il leur ser
on des membranes de Pinel, que Bichat inaugura ses travaux d’anatomie
générale
. En face de l’anatomie headriptive, cultivée jusq
ion du tout. Ce sont autant de machines particulières dans la machine
générale
qui constitue l’individu. Or, ces machines partic
ou dans les mêmes parties de divers animaux. De là, le nom d’Anatomie
générale
donnée à leur étude. Ces 21 tissus étaient : 1° t
e-là au microscope. En résumé, il est établi maintenant d’une manière
générale
, grâce aux travaux accumulés des histologistes, q
rouvent de petites masses granuleuses45. Hæckel accepte comme un fait
général
l’existence de ces plastidules. Il les regarde co
nvertébrés. Plus tard, lorsque nous nous occuperons de la morphologie
générale
des êtres vivants et de la genèse de leurs tissus
sont point résolus. Nous pouvons néanmoins nous arrêter à ce résultat
général
que les matériaux de l’édifice vivant représenten
logiques ou naturels, bien qu’ils rentrent dans les lois de la chimie
générale
, ne ressemblent pas nécessairement à ceux que les
ion des grains de chlorophylle dans le protoplasma qui forme la masse
générale
du corps, en dehors du tube digestif et de la par
ui se produisent dans les parties vertes. C’est en effet une tendance
générale
des chimistes d’admettre ce retour inverse, sembl
relativement aux procédés de la synthèse organique indiquent le sens
général
dans lequel l’esprit actuel conçoit les phénomène
s avons maintes fois insisté sur cette idée que les lois de la chimie
générale
ne sauraient être violées dans les êtres vivants,
localisé. III. De la synthèse glycogénique Le résultat le plus
général
des études que nous avons faites à ce sujet est d
leur nutrition respective. Ce résultat est d’accord avec le principe
général
que nous avons posé au début de nos études, à sav
tre la substance organisée et le milieu ambiant est donc un caractère
général
de la vie organique aussi bien que de la vie anim
le plus simple dans le protoplasma. C’est l’irritabilité. D’une façon
générale
, l’irritabilité est la propriété que possède tout
és. Le problème de la sensibilité des êtres vivants et, d’une manière
générale
, celui des propriétés vitales des êtres organisés
Bordeu (1742) distinguait une propriété vitale unique, la sensibilité
générale
, qui d’ailleurs les comprenait toutes. Première o
que l’animal n’en avait aucune perception. » Outre cette sensibilité
générale
, dont le fond est le même pour toutes les parties
pour son contingent à l’ensemble de toutes les fonctions et à la vie
générale
; chacune enfin a sa vie etses fonctions distinct
propriété du muscle appelée contractilité ne sont point des attributs
généraux
de toute matière vivante, mais plutôt des réactio
vante. Ce sont des propriétés spéciales et non des propriétés vitales
générales
. Lorsque l’on examine attentivement le fond des c
tés ne sont que des déterminations particulières d’une propriété plus
générale
, l’irritabilité. C’est ainsi que pensait Broussai
utes ces manifestations particulières sont dominées par une condition
générale
; elles sont les modes divers d’une faculté uniqu
milieu extérieur d’autre part ; la faculté la plus simple et la plus
générale
de la vie dans les animaux comme dans les plantes
ent cellulaire en particulier. Mais pour nous en tenir aux conditions
générales
, essentielles, nous dirons qu’elles sont les même
ien d’essentiel à ajouter à ce que nous avons déjà dit, d’une manière
générale
, à propos des conditions de la vie latente, de la
pression. Or nous avons trouvé que cette action des anesthésiques est
générale
, qu’elle ne s’adresse pas seulement à ce phénomèn
se. Mais ici nous voulons démontrer que l’anesthésie est un phénomène
général
dans tous les tissus, et nous devons en donner la
e à tous les éléments ; il atteint, suspend ou détruit l’irritabilité
générale
de leur protoplasma. Il fait disparaître l’irrita
ve engourdie. Si maintenant nous voulions résumer dans une conclusion
générale
toutes nos expériences faites sur l’homme, sur le
al à certains, êtres, mais qui se ramènerait cependant à un phénomène
général
plus simple, l’irritabilité. Broussais, nous l’av
défaut, nous ne pouvons plus rien affirmer. Ainsi, l’élément le plus
général
, et par conséquent le plus important de la sensib
s que nous pourrions citer. Nous devons nous borner à des indications
générales
sur un sujet qui demanderait de très grands dével
ie s’exerce. Au fond, tous ces mécanismes sont soumis à une condition
générale
et commune : l’irritabilité. L’expérimentation co
est distincte de la constitution chimique des êtres. — I. Morphologie
générale
. — Quatre procédés : 1° multiplication cellulaire
s savons que l’analogie ne s’arrête pas à cette première ressemblance
générale
; les faits de rédintégration cristalline signalé
ultiplication des cellules est ce que nous appellerons la morphologie
générale
. Le groupement de ces cellules et la configuratio
s êtres vivants constituent la morphologie spéciale. I. Morphologie
générale
La constitution du protoplasma en un élément a
différenciation des cellules. Ce procédé de division est le plus
général
de tous. Le plus grand nombre des éléments végéta
former une cellule nouvelle. Tels sont les procédés de la morphologie
générale
, par lesquels une cellule sort d’une autre cellul
mais la reproduction sexuée est le procédé génétique par excellence,
général
, et suffisant à lui seul à assurer la perpétuité
n en tant que masse protoplasmique à noyau, sont des faits absolument
généraux
applicables à tous les animaux, depuis les protoz
ppement de ces diverses parties. Il nous suffit d’en saisir le dessin
général
. Chez les vertébrés, le type se marque et se cara
Les particularités distinctives des divers vertébrés, et d’une façon
générale
des divers groupes, n’apparaissent que graduellem
nts : « Plus deux animaux adultes se ressemblent par leur structure
générale
, plus leur forme embryonnaire reste longtemps ide
s résumer les résultats précédents et les comprendre dans une formule
générale
, nous dirons après Baër : « L’être vivant provie
en plus à mesure que le développement avance. C’est la forme la plus
générale
, celle de l’embranchement, qui se manifeste la pr
s-uns de ces animaux n’est pas un fait primitif, pas plus qu’il n’est
général
. D’ailleurs, Kölliker lui-même, à une époque déjà
rs de ses phénomènes actuels et liée seulement à l’équilibre cosmique
général
. Il faudrait changer le système planétaire tout e
l’influence, une action primitive qui est liée à un ensemble cosmique
général
que nous sommes impuissants à atteindre. Il en ré
soit devenue tout à fait inutile. Nous ferons à ce sujet une remarque
générale
qui sera développée ultérieurement dans des étude
de la finalité particulière sont rigoureuses, les lois de la finalité
générale
sont contingentes. La conception de finalités par
n reste pas moins obscure. C’est, nous le répétons, cette morphologie
générale
de l’être vivant avec les morphologies particuliè
priétés. — III. Conception de la science physiologique. — Physiologie
générale
et headriptive. — Physiologie comparée. — Problèm
t comme un principe particulier, soit comme une résultante des forces
générales
de la nature, c’est-à-dire aux deux conceptions,
par lui-même, et, au contraire, emprunterait le ministère des agents
généraux
, physiques et chimiques. La doctrine matérialiste
a doctrine matérialiste est tout aussi inexacte, en ce que les agents
généraux
de la nature physique capables de faire apparaîtr
conditions et à donner les caractères du conflit vital d’une manière
générale
. Le conflit vital engendre deux ordres de phéno
s avons proposée, doit, suivant nous, servir de base à la physiologie
générale
. Tout ce qui se passe dans l’être vivant se rappo
de destruction, puis celle des phénomènes de création. En physiologie
générale
cette division, seule légitime, doit être substit
phénomènes de destruction et d’organisation avec les mêmes caractères
généraux
. Ces deux ordres de phénomènes peuvent être étudi
t c’est de cette étude que nous avons tracé le plan et les linéaments
généraux
. Dans la leçon IV, nous nous sommes occupés des p
res ; c’est elle qui constitue le véritable domaine de la physiologie
générale
. Les rouages de tout organisme vivant nous représ
e qu’elle a d’universel, c’est-à-dire tracé le plan de la physiologie
générale
. En résumé, le protoplasma est la base organique
’un ancêtre. Nous ne pouvons agir sur les manifestations de cette vie
générale
, attribut du protoplasma, qu’en réglant les agent
uperficielles, en quelque sorte, de la vie, tandis que la physiologie
générale
comprend l’étude de ses conditions fondamentales.
lexes, qui sont les espèces animales ou végétales, dépend d’une façon
générale
des conditions d’être de la matière vivante ou pr
’origine de cette formation cellulaire, en traitant de la morphologie
générale
, dans la leçon précédente. On la trouve pourvue,
ents anatomiques et de leur subordination à l’ensemble. — D’une façon
générale
, nous pouvons dire que l’élément est autonome en
urrissent, respirent de la même façon et possèdent les mêmes facultés
générales
, celles de l’homme. Mais chacun a son métier, ou
ache à la vie proprement dite, ce qui forme l’objet de la physiologie
générale
, est identique d’un bout à l’autre du règne organ
ation particulières, il est légitime de l’étendre. Jusqu’ici les lois
générales
de l’organisation n’ont pas été établies claireme
pathologiques ou toxiques ne sont au fond que des actions cellulaires
générales
ou spéciales. Les anesthésiques, par exemple, inf
lui sont nécessaires et dont nous avons indiqué précédemment les plus
générales
. Dans cette vie des cellules associées qui consti
st l’image virtuelle d’un organisme élevé. Elle possède une propriété
générale
, l’irritabilité. Par cette expression abstraite o
manifestations de la vie. C’est le but que se propose la physiologie
générale
. La vie est véritablement dans les éléments organ
formes simples jusqu’aux plus compliquées, au moyen de deux principes
généraux
, le principe de la différenciation et le principe
vions en germe dans la cellule et dans son protoplasma les propriétés
générales
qui s’exaltent ou se spécialisent progressivement
illégitime et erronée. En un mot, ce principe est vrai en physiologie
générale
; sujet à erreur en physiologie comparée. Il supp
oint le même travail. Au contraire, toutes les fois qu’en physiologie
générale
on a nié le principe de la division du travail, o
science est encore trop vaste et doit être subdivisée en physiologie
générale
et physiologie headriptive, soit spéciale, soit c
physiologie headriptive, soit spéciale, soit comparée. La physiologie
générale
nous donne la connaissance des conditions général
ée. La physiologie générale nous donne la connaissance des conditions
générales
de la vie qui sont communes à l’universalité des
unité de ses conditions ; celle-ci nous est donnée par la physiologie
générale
, c’est à elle que nous sommes toujours obligés de
s diverses qu’elle anime. L’étude de ces machines comprend une partie
générale
et une partie spéciale. Il faut connaître les pro
de sa condensation. Cette première étude correspond à la physiologie
générale
, lorsqu’il s’agit des machines animées. D’autre p
les conclusions de l’une à l’autre s’il n’envisage que les propriétés
générales
; — il ne peut conclure légitimement s’il envisag
ntre eux et même aux plantes pour tout ce qui concerne les propriétés
générales
de la vie. Il ne peut plus rien dire pour les méc
r et à remplir toutes ses fonctions vitales. Cependant les propriétés
générales
du nerf facial sont les mêmes chez le cheval que
opriétés qui appartiennent aux éléments et qu’enseigne la physiologie
générale
, et les fonctions qui appartiennent aux mécanisme
rop souvent cours dans les sciences, mais comme la conclusion la plus
générale
des découvertes accomplies depuis cinquante ans.
ée à tout ce qui provient d’elle est le caractère intrinsèque le plus
général
de la vie et la seule chose qui nous paraisse mys
vie d’un être, on a vu que la nutrition en était le caractère le plus
général
et le plus constant. Mais la nutrition, c’est-à-d
ion. Paris, 1878. 14. Voyez à ce sujet : Problème de la physiologie
générale
. (Revue des Deux Mondes et la Science expérimenta
érimentale. Paris, 1878). — Rapport sur les progrès de la physiologie
générale
. Paris, 1867. 15. Voyez Introduction à l’étude
ecine expérimentale, 1865, p. 115. 16. Introduction de son Anatomie
générale
. 17. Voyez mon article dans la Revue des Deux-M
37. Voyez, à ce sujet, mon Rapport sur les progrès de la physiologie
générale
, 1867. 38. Robin, Anatomie et physiologie cellu
Phijsiologie, t. X, 1870. 53. Voyez mon Rapport sur la physiologie
générale
, 1867, p. 222. 54. Voy. le résumé de mes Recher
dicamenteuses. Paris, 1857. 74. Voy. mon Rapport sur la physiologie
générale
, 1867 ; et Les Problèmes de la Physiologie généra
ur la physiologie générale, 1867 ; et Les Problèmes de la Physiologie
générale
in La Science expérimentale. Paris, 1878. 75. L
drapeau dont la Convention fit présent à l’armée d’Italie, par un des
généraux
qui ont le plus contribué aux différents succès d
lités qui distinguent les guerriers. Grenadier par le courage, il est
général
par le sang-froid et les talents militaires. Il s
nsidère le terme fatal et si prochain de sa destinée, que le brillant
général
n’ait pas été compris dans ce glorieux exil et dé
hé, et par la comparaison des pièces produites dans cette vie même du
général
, que Joubert, plus ou moins en garde d’abord cont
la main et en approuvait l’esprit. Il était alors le plus en vue des
généraux
et sur le premier plan politique. Fouché, nommé p
but ! » — « Je lui parlai alors de Joubert, ajoute Fouché, comme d’un
général
pur et désintéressé, que j’avais été à portée de
l entendait la tête d’un côté, — c’était lui, — l’épée de l’autre, un
général
quelconque : combinaison abstraite et de cabinet
nne charmante, sa belle-fille32, avait fait impression sur le cœur du
général
, et allait devenir sa femme. Comment résister à u
Paris ! il est curieux, de voir ce qu’ils ont bientôt fait d’un jeune
général
en renom qui leur arrive, comme ils l’enlacent et
otisme de vouloir assister et prendre part à la bataille que le jeune
général
était pressé de livrer. Saint-Cyr, qui commandait
sistant auprès du général en chef en ce sens de la temporisation, les
généraux
divisionnaires l’assurèrent de leur zélé concours
tir. Enfin, sur le soir, il parut décidé à la retraite ; il dit à ses
généraux
qu’ils pouvaient se rendre près de leurs troupes,
taille le moins possible. Ainsi mourut à l’âge de trente ans ce jeune
général
, aimé, regretté de tous, succombant, on peut le d
dédommager par son intrépidité de grenadier de son irrésolution comme
général
. Six semaines après, le 30 septembre, Bonaparte,
elle est encore fort complexe ; elle comprend la recherche de l’effet
général
que doit produire la représentation et la détermi
minutieux des répétitions, car on se propose d’arriver à une harmonie
générale
et à un ensemble, qui souvent, à défaut d’acteurs
’Ésthétique théâtrale, c’est-à-dire l’étude des principes et des lois
générales
ou particulières qui régissent la représentation
ve pour la première représentation. J’ai préféré le second, qui va du
général
au particulier et qui, des principes généraux, dé
éré le second, qui va du général au particulier et qui, des principes
généraux
, déduit les lois particulières. Le premier aurait
un certain nombre de chapitres et à relier le tout au moyen des idées
générales
qui naissent du groupement des faits. Cette métho
tout d’abord la question de la mise en scène dans ses termes les plus
généraux
, ce qui me permettra de formuler des lois général
es termes les plus généraux, ce qui me permettra de formuler des lois
générales
d’où il sera ensuite plus facile de déduire les r
t que nous cause sa reprise. Qui ne sait même, à un point de vue plus
général
encore, combien nous sommes exposés à gâter nos p
, le plaisir que l’on cherche à procurer au spectateur est un plaisir
général
et total qui se compose de la somme de toutes ses
ssaire à un directeur de théâtre. — Établissement théorique des frais
généraux
de mise en scène. — L’art dramatique exigerait de
on. Il doit, en outre, interdire aux comédiens de troubler l’harmonie
générale
de l’œuvre en grossissant trop sensiblement l’eff
’attention du spectateur. Nous nous en tiendrons à ces considérations
générales
, en évitant d’entrer dans les détails d’une analy
re à l’art de la décoration théâtrale, en se tenant à un point de vue
général
et en laissant de côté toute explication mathémat
at de l’action. Chapitre XI La décoration doit avoir une valeur
générale
et non particulière à un moment déterminé. — Modé
dans le mouvement, soit dans le ton des choses inanimées, en relation
générale
avec l’action et non en relation spéciale avec un
il l’était antérieurement au moment choisi. C’est donc une impression
générale
que doit s’attacher à produire le décorateur ; et
objets de mise en scène de la première catégorie n’ont qu’un rapport
général
avec faction, tandis que ceux de la seconde ont a
. Tout ce que son œil juge peint et sans réalité n’a qu’une influence
générale
et faible sur son esprit ; il ne lui accorde, ave
e chapitre précédent. Puisque le décor ne doit avoir qu’une influence
générale
sur l’esprit du spectateur, il est nécessaire qu’
téristiques, perd de son importance si elle se rattache à une méthode
générale
de mise en scène, et si l’amplification porte sur
mise en scène des soins de plus en plus minutieux, et à descendre du
général
au particulier dans la représentation de la réali
xcès dans la mise en scène ne modifiera pas sensiblement le caractère
général
qu’elle doit conserver, et nous ne serons pas ten
images remémorées et associées. En se plaçant à un point de vue très
général
, on peut dire qu’il y a deux sortes d’imagination
. La diction elles gestes doivent, eux aussi, concourir au même effet
général
, s’écarter de la logique dans les limites du comp
ilieu social. — La mise eu scène se modifie comme la société. — Types
généraux
de l’ancienne comédie. — Le Tartufe. — Complexité
tuelles. Tandis qu’il n’y avait jadis qu’un petit nombre de divisions
générales
, il y en a aujourd’hui une infinité, et nous assi
celui-ci ne ressemblera pas à celui d’une femme galante. Dans l’effet
général
, qui est celui que doivent produire la décoration
gée de suivre en cela l’esthétique, qui ne se contente plus des types
généraux
de l’humanité. Dans les comédies de Molière, les
utre banquier, celui-ci est militaire, celui-là est avocat, procureur
général
, magistrat, etc. Nos auteurs modernes partent d’u
cation de la loi au matériel figuratif. Après avoir établi les lois
générales
de la mise en scène, nous avons, dans les chapitr
e façon, dans la disposition du banquet des fiançailles. La règle est
générale
et on en trouvera l’application dans toute mise e
e et aux collections de papillons. Mais ce n’est là qu’une impression
générale
due au premier aspect. Sitôt que l’œil examine la
e tout temps, mais pour la diversité de la toilette. Dans chaque mode
générale
chaque femme se taille une mode particulière ; et
t du vraisemblable. — De la couleur locale. — Prédominance des traits
généraux
. — Les romantiques. — Le Ciel et Bajazet. — Le th
, un peu chinois pour nous. Si donc on se demande quelle est la règle
générale
qui doit présider à la mise en scène d’une pièce
nous dirons que cette règle consiste dans la prédominance des traits
généraux
sur les traits particuliers, aussi bien dans les
soit la distance ou quel que soit le temps, d’ailleurs, on descend du
général
au particulier en proportion de la connaissance q
à cette époque, on s’était contenté de marquer le moyen âge de traits
généraux
, ceux-ci auraient conservé le privilège de nous l
hétique, il devra son éternelle jeunesse à la prédominance des traits
généraux
sur les traits particuliers, ce qui est remarquab
purement humains, uniquement revêtus, s’ils sont étrangers, de traits
généraux
suffisants à les faire reconnaître pour tels. Ajo
de de 1830. C’est qu’avec le temps, on ne s’attache qu’aux caractères
généraux
et qu’on néglige les différences, pourtant consid
idée qui se forme en nous des costumes d’une époque est d’autant plus
générale
qu’elle repose sur un plus grand nombre d’exempla
e que nous avons du style d’une époque, que nous avons traversée, est
générale
et non particulière, et que, lorsqu’il s’agit de
ans la décoration, dans l’ameublement et dans les costumes cette idée
générale
qui est seule intelligible pour notre esprit et q
es des contemporains, se changeant peu à peu en idées de plus en plus
générales
à mesure que leur point de départ s’enfonce dans
rumes du passé, il arrive un moment où elles se fixent dans des types
généraux
désormais invariables, au moins dans les prévisio
er telle ou telle époque passée. Ce sont donc, dans ce cas, ces types
généraux
et invariablement fixés dont le théâtre nous doit
istoire pour laquelle le temps a fait son office, en créant des types
généraux
qui sont aujourd’hui à peu près fixes, sont plus
soi-même et insensiblement, pour des époques plus anciennes, un type
général
qui eût le caractère du temps sans être le person
offrir un certain nombre de caractères communs et fournir les traits
généraux
du type à réaliser. En tout cas, ce dont il falla
p de personnes restreignent la vérité à la particularité. Or une idée
générale
n’est pas moins vraie qu’une idée particulière ;
otre imagination seule crée la mise en scène tragique. — Du caractère
général
de la décoration et des costumes. — La mise en sc
ratives : c’est ainsi qu’il y a quelques années on avait une tendance
générale
à jouer dans des décors de style pompéien les tra
er d’effacer les traits particuliers et s’en tenir aux grandes lignes
générales
, se contenter d’une architecture simple et grande
antique est en nous le résultat d’une synthèse qui a combiné en types
généraux
tous les éléments divers qui se sont tour à tour
à que j’eusse choisie. J’en profiterai pour agiter quelques questions
générales
à mesure qu’elles se présenteront. Pour mettre un
érable et agit alors fatalement sur le jeu des acteurs et sur l’effet
général
du drame. Les quelques réflexions que nous inspir
surtout si on ne perd pas de vue l’essentiel, c’est-à-dire l’harmonie
générale
. On peut dire toutefois qu’à notre époque l’art d
tre beaucoup d’autres, qui nous a permis de mettre en lumière une loi
générale
de la mise en scène, relative au costume. Iphigén
elques-unes des dispositions scéniques, en les rattachant à une étude
générale
. Chapitre XXVIII Des salles de spectacle. —
ans les profondeurs de la salle. Posons maintenant quelques principes
généraux
de statique théâtrale. Dans toute péripétie ou da
— Des figurants de tragédie. — Règles à observer. À un point de vue
général
, la figuration est soumise aux lois qui règlent l
iser en parties harmoniques, de telle sorte qu’elle produise un effet
général
où s’efface toute individualité. Sur la scène de
ivent se succéder sans interruption pour se fondre dans une sensation
générale
et totale. L’esprit du spectateur est donc obligé
ols, anglais et allemands, à la condition qu’on respectât la division
générale
et qu’on n’altérât pas l’intégrité de chaque acte
aux coups d’aile de l’imagination poétique. J’ajouterai une remarque
générale
pour clore ce chapitre. Les directeurs ont le déf
ont pour y atteindre, ils ne doivent pas être dirigés par une méthode
générale
et un ensemble de règles suffisamment précises. C
caractères particuliers, mais se ressembleront dans leurs caractères
généraux
. Par suite, la synthèse de ces diverses représent
ur ont causée volontairement ; tous enfin ont vu les mêmes phénomènes
généraux
se reproduire dans des conditions extrêmement var
omène suprême, et qui pour chacun de nous est la même dans ses traits
généraux
et ne peut différer que par un certain nombre de
qu’il évoque devant toute une salle est semblable dans ses caractères
généraux
à l’idée que chacun se fait de la mort, les quinz
es et toutes les manies ? Non pas ; mais il cherchera dans une visite
générale
à rassembler dans sa mémoire les traits communs q
cène et l’acteur doivent donc s’attacher à bien déterminer les traits
généraux
des êtres dont ils doivent exposer aux yeux du pu
si les traits dont il revêt ses imitations ont bien tous le caractère
général
qui sera pour tous les spectateurs la marque de l
e résume donc en deux points : premièrement, détermination des traits
généraux
de l’image qui est la synthèse idéale d’un ensemb
ition d’un trait particulier ne l’élève pas à l’importance d’un trait
général
. Ce deuxième point est extrêmement délicat, car i
ien, dont l’erreur a uniquement consisté à lui attribuer un caractère
général
qu’il n’avait pas, et par conséquent à évoquer au
e tort de relever un trait particulier ne s’accordant pas avec l’idée
générale
que se forme le public de deux hommes qui se jett
te a consisté dans la substitution d’une image particulière à l’image
générale
qui seule répondait à l’idée que se faisaient du
ières de voir n’est autre chose que la possession commune d’une image
générale
identique. Dans le code du monde, par exemple, un
la main sur lui et il se battra pour venger son honneur. Voilà l’idée
générale
. Cependant il y aura des hommes qui ne se sentiro
éâtre ne peut en toute sûreté aborder que la représentation de l’idée
générale
, de telle sorte que, si le cas particulier devait
de conversation criminelle, euphémisme qui n’est en somme qu’une idée
générale
, très suffisante dans l’espèce, et qui répond par
très suffisante dans l’espèce, et qui répond par conséquent à l’image
générale
, la seule dont le théâtre nous doive la représent
trait particulier à l’acte simple qui est la représentation de l’idée
générale
. On pourrait citer un plus grand nombre d’exemple
t à dessiner l’image du chagrin, parce que ces différents traits sont
généraux
et se retrouvent à peu près dans l’expression de
semblables remarques au sujet de l’expression de la joie, où l’image
générale
suffit, sans qu’on y ajoute les images disgracieu
ères communs, dériveront toutes d’une même image plus lointaine, plus
générale
, hiérarchie d’images absolument semblable à la hi
e d’images absolument semblable à la hiérarchie des idées. Ces images
générales
constituent en quelque sorte des personnalités co
e par conséquent son aspect, son image a quelque rapport avec l’image
générale
de laquelle se déduisent les images initiales d’u
et au timbre de la voix, à l’expression du regard et à la plasticité
générale
. Dans la mise en scène, la distribution des rôles
ousse les artistes dans la voie de l’analyse. Les images ou idées, de
générales
qu’elles étaient, se décomposent en images ou idé
dessiner l’image du financier. Aujourd’hui cette image, beaucoup trop
générale
pour nous, s’est décomposée et nous fournit les i
c. Ce qui distingue ces personnalités, issues d’une personnalité plus
générale
, ce sont, non des différences essentielles, mais
a peu à peu l’art descendre des hauteurs morales où règnent les idées
générales
, s’abaisser de plus en plus à mesure que les imag
ers que le personnage dont il revêt la personnalité est un type moins
général
. En suivant le développement historique du théâtr
simplifier à mesure qu’on remonte dans le passé. Plus les types sont
généraux
, et c’est le cas de la tragédie et de l’ancienne
la tragédie et de l’ancienne comédie, plus les images initiales sont
générales
. Pour traduire sur la scène les personnages class
s et de grandes infortunes dans la tragédie, des vices et des travers
généraux
dans la comédie, qui demandent à être traitées sy
dépendance de la passion dont ils prennent le langage ou du caractère
général
aux impulsions duquel se plie l’action dramatique
page dans tout le système nerveux, et qui détermine en nous des états
généraux
identiques à ceux que nous éprouvons dans la tris
r prêtaient les acteurs, les personnages de théâtre étaient des types
généraux
que la nature ne nous offre jamais et que l’espri
qualité visible ou tangible, et, ne s’élevant pas aux classifications
générales
, ne s’intéressent aux êtres et aux objets que par
des personnages, mais à l’acte qu’ils accomplissent ; non à la vérité
générale
qu’ils représentent, mais aux traits particuliers
éalement humaines et vraies, mais dont les personnages sont des types
généraux
tout à fait en dehors de notre expérience personn
lus ignorées. L’auteur dramatique ne fait donc qu’obéir à la tendance
générale
quand il fouille les plis les plus cachés de l’âm
en soi, qui obéit à ses lois propres et relatives, dérivées des lois
générales
et absolues. Par suite, le problème dramatique se
les visées réalistes, est uniquement une œuvre dont l’idéal est moins
général
et moins élevé, et que son infériorité seule rapp
, ou que du moins elle ne nous laisse qu’une impression d’autant plus
générale
que la figure du personnage humain prend plus d’i
tation d’un phénomène. La Comédie-Française a donc dû chercher l’idée
générale
du décor au-delà des causes formelles de la pensé
se lève dans l’âme purifiée de Valentin. On voit donc combien l’effet
général
du décor répond mieux à l’idée poétique que les e
ancienne conception décorative qui ne recherche qu’un effet simple et
général
. Et cela pour deux raisons d’ordre supérieur. La
ature n’agit donc dans la mise en scène que par ses effets simples et
généraux
, n’engendrant chez les spectateurs que des sensat
endrant chez les spectateurs que des sensations initiales, simples et
générales
. Nous arrivons ainsi, par un autre chemin, à la m
main. L’art, parti du particulier et du relatif, doit donc aboutir au
général
et à l’absolu ; et par suite le poète, après avoi
données relatives que celui-ci assurera à ses productions une valeur
générale
et une portée psychologique universelle, et leur
ent la richesse des premiers tableaux, et peu à peu revêtir un aspect
général
qui puisse s’harmoniser avec ce qu’a d’absolu et
la succession des phénomènes morbides, par la prédominance des effets
généraux
et par l’effacement des traits particuliers. Or,
et il est connu et apprécié par l’Empereur ; mais seulement quelques
généraux
, initiés aux secrets des grandes opérations de l’
nce fait lacune. Ney demandait pour son chef d’état-major le grade de
général
de division. Il serait curieux de savoir en quels
de tenir les chefs d’état-major des corps dans la dépendance du major
général
. Une lettre de Jomini, écrite sous le coup de cet
us-lieutenants devenus rois, et des officiers très-ordinaires devenus
généraux
en six ans !… Ce qu’il y a de plus terrible dans
? Il faut un concours inouï de circonstances pour amener un officier
général
à rendre un service pareil ; et Dieu sait qu’en d
i entièrement levé le masque et a pris les armes contre sa patrie. Le
général
de brigade Jomini, chef de l’état-major du prince
er auteur, en aucun temps, qui ait tiré des campagnes des plus grands
généraux
les vrais principes de guerre et qui les ait expr
igible langage. » C’est le témoignage que lui rendent à leur tour les
généraux
américains de la dernière guerre, les tacticiens
eux dans la position des choses, c’est le peu de confiance qu’ont les
généraux
en eux-mêmes : les forces de l’ennemi leur parais
tier général « antimilitaire » s’il en fut. L’Autriche avait un grand
général
, l’archiduc Charles ; elle se gardait bien de l’e
s avec Jomini54, lui exprima son désappointement : « Hélas ! mon cher
général
, nous avons fait tous les deux une sottise ; si j
x une sottise ; si j’avais pu m’attendre à devenir le conseiller d’un
général
autrichien, je n’aurais certes pas quitté l’Améri
officiellement à l’état-major de Schwartzenberg, en lui donnant Toll,
général
russe, pour adjoint ; mais la volonté du puissant
refusa formellement. Ces refus auxquels se heurtait Jomini auprès des
généraux
autrichiens devenaient journaliers. L’occasion lu
Le mot était vif et toucha l’épiderme. Alexandre fit un mouvement : «
Général
, je vous remercie de votre zèle, mais c’est à moi
njecturer, deviner, commencer à se décider de son chef ; que le major
général
Berthier interprétait lui-même un peu les ordres
les armées campaient réunies sous la tente, il eût été le plus grand
général
de bataille de son siècle, parce qu’il aurait tou
on propre nom, Jomini a écrit : « Les qualités qui distinguent un bon
général
d’arrière-garde ne sont pas communes. Le maréchal
rer de plus parfait en ce genre. » C’est qu’en effet, dans ce rôle de
général
d’arrière-garde, on ne perd pas de vue l’ennemi u
Chapitre IV. Services
généraux
que doivent les privilégiés. I. Exemple en An
sans prendre part au gouvernement local, servir dans le gouvernement
général
. Ainsi fait un lord, un baronnet, un squire, même
représentants de la nation. — Rien de semblable en France. Les États
généraux
sont tombés en désuétude, et le roi peut avec vér
inq, tous les évêchés106. Sur quatre abbés commendataires et vicaires
généraux
, ils en fournissent trois. Si, parmi les abbayes
e. De ce genre, sont en province les trente-sept grands gouvernements
généraux
, les sept petits gouvernements généraux, les soix
nte-sept grands gouvernements généraux, les sept petits gouvernements
généraux
, les soixante-six lieutenances générales, les qua
les sept petits gouvernements généraux, les soixante-six lieutenances
générales
, les quatre cent sept gouvernements particuliers,
porte 35 000 livres, outre les accessoires ; une médiocre lieutenance
générale
, comme celle du Roussillon, 13 000 à 14 000 livre
t également inutiles et pour la montre. De même les trois lieutenants
généraux
: chacun d’eux « reçoit, à tour de rôle et tous l
. De toutes parts les curés se confédèrent » pour n’envoyer aux États
généraux
que des curés, et pour exclure, « non seulement l
ues. En effet, sur trois cents députés du clergé, on compte aux États
généraux
deux cent huit curés, et, comme la noblesse de pr
i du roi ; car, dans cet état-major de nobles héréditaires, il est le
général
héréditaire. À la vérité son office n’est pas une
seil du roi, trois fonctionnaires superposés, au centre le contrôleur
général
, dans chaque généralité l’intendant, dans chaque
our ne la dépenser qu’en œuvres d’utilité publique. Un ancien fermier
général
, homme d’esprit et sans préjugés, écrit sérieusem
septembre 1753, 17 octobre 1753, 26 octobre 1755. — Prudhomme, Résumé
général
des cahiers des États généraux. 1789 (Cahiers du
3, 26 octobre 1755. — Prudhomme, Résumé général des cahiers des États
généraux
. 1789 (Cahiers du clergé). — Histoire des églises
uit ainsi ces diverses places (Waroquier, II, 467) : 18 gouvernements
généraux
à 60 000 livres, 21 à 30 000, 114 gouvernements p
ulouse. 111. Archives nationales, O1, 738 (Rapports faits au bureau
général
des dépenses de la maison du roi en mars 1780, pa
reine. — 8 700 000 pour acquisition de l’Isle-Adam. 117. Cf. Compte
général
des revenus et dépenses fixes au 1er mai 1789. (I
politique et grand ennemi de la cour ». (I, 206). — Cahiers des États
généraux
de 1789, résumé général par Prudhomme, t. II, pas
de la cour ». (I, 206). — Cahiers des États généraux de 1789, résumé
général
par Prudhomme, t. II, passim. 120. Éphémérides
ril 1789.) — Archives nationales, Procès-verbaux manuscrits des États
généraux
, t. 148, 245 et 257, Mémoires des curés de Toulou
nçue, non comme un résumé de faits acquis ou comme un système d’idées
générales
au sujet de l’histoire universelle, mais comme un
cience de l’histoire de J. G. Droysen, s’exprimait ainsi : « En thèse
générale
, les traités de ce genre sont forcément à la fois
nt contentés d’énoncer des remarques, en passant, dans leurs ouvrages
généraux
ou dans des écrits de circonstance16 ; les autres
sés, si ces inventaires étaient munis de tables ou si des répertoires
généraux
(alphabétiques, systématiques, etc.) en avaient é
es collections incomplètes ; il n’en existe nulle part de répertoires
généraux
. Cet état de choses est très fâcheux. En effet, l
de l’histoire dépendent en grande partie des progrès de l’inventaire
général
des documents historiques, qui est encore aujourd
naires attachés aux dépôts de documents. L’avancement de l’inventaire
général
des documents historiques en a été, sans doute, r
uter par ses missionnaires, dans diverses bibliothèques, un Catalogue
général
des documents hagiographiques, et l’Académie impé
n personnel compétent, convenablement dirigé, l’histoire du Catalogue
général
des manuscrits des bibliothèques publiques de Fra
t l’opportunité de pousser vivement, dans tous les pays, l’inventaire
général
des documents historiques soient clairement conçu
es ont sans doute, au même degré que celle-là, un caractère d’utilité
générale
. Mais les érudits et les historiens ont souvent b
les répertoires à l’usage des érudits et des historiens est, en règle
générale
, vieilli dès le lendemain du jour où il a été ach
us les outils nécessaires… J’en dirai autant des idées philosophiques
générales
… Un très grand nombre de branches d’études pourra
ématiques ». Et il ajoute : « sur ces objets cependant, l’instruction
générale
, celle qu’on doit supposer commune à tous les hom
ire qu’ils travaillent49. Il semble donc qu’il n’y ait pas de réponse
générale
à la question posée au commencement de ce chapitr
* * Livre II. Opérations analytiques Chapitre I. Conditions
générales
de la connaissance historique Nous avons déjà
rés. — Essayons d’en esquisser d’abord, très sommairement, les lignes
générales
et les grandes divisions. I. On peut distinguer d
ments par analogie dont les majeures sont empruntées à la psychologie
générale
, à se représenter les états psychologiques que l’
langue ou en telle autre, de telle date ou de telle autre. La théorie
générale
de la restitution conjecturale se réduit donc à c
rale se réduit donc à ce qui précède, et il n’y a pas d’apprentissage
général
de cet art. On apprend à restituer, non pas n’imp
car la restitution conjecturale d’un texte suppose, outre des notions
générales
sur le processus de la dégénérescence des textes,
ie-Madeleine. — Nous sommes ici en présence d’une des formes les plus
générales
, et en même temps les plus tenaces, de la créduli
s les cas ne serait pas raisonnable. Mais voici quelques observations
générales
. II. Distinguons le cas de l’historien qui classe
« voulaient faire une exception pour les textes relatifs à l’histoire
générale
d’un pays, et sans doute de l’Empire ; en 1845, Z
ce, il rejeta même les exceptions proposées par Egger pour l’histoire
générale
d’une province, et crut devoir s’en tenir à l’ord
pacité à cet égard ne serait qu’une manifestation de leur imbécillité
générale
; ou s’ils n’avaient jamais subi d’apprentissage
es virtuoses ne s’attachent pas à relier leurs travaux à quelque idée
générale
, par exemple à critiquer systématiquement tous le
ce qu’on en peut tirer pour l’histoire. Ainsi on arrive à cette règle
générale
de méthode : l’étude de tout document doit commen
épisode d’un récit ; l’analyse devra indiquer, non seulement le sens
général
du texte, mais, autant que possible, le but et la
n texte, il faut d’abord en connaître la langue. Mais la connaissance
générale
de la langue ne suffit pas. Pour interpréter Grég
ne interprétation historique spéciale pour adapter cette connaissance
générale
au latin de Grégoire de Tours. La tendance nature
e sens habituel. L’interprétation grammaticale, fondée sur les règles
générales
de la langue, doit être complétée par l’interprét
mot et chaque phrase non pas isolément, mais en tenant compte du sens
général
du morceau (le contexte). C’est la règle du conte
ls, les chartes et les récits historiques. Dans tous les cas la forme
générale
du document permet de présumer qu’il est écrit au
lles pour que l’art de les déterminer puisse être ramené à des règles
générales
. On ne peut guère formuler qu’un principe univers
ptions de l’auteur, les images qu’il avait dans l’esprit, les notions
générales
au moyen desquelles il se représentait le monde.
que par une analyse. Ainsi la critique interne aboutit à deux règles
générales
: 1° Une vérité scientifique ne s’établit pas par
s. 1° On connaît souvent par la critique de provenance les conditions
générales
où l’auteur a opéré. Il est probable que quelques
ttirée d’avance. Le seul procédé est donc de dresser un questionnaire
général
des causes d’incorrection. On l’appliquera aux co
ire général des causes d’incorrection. On l’appliquera aux conditions
générales
de composition du document pour découvrir celles
les conditions de provenance sont bien connues, — que des indications
générales
insuffisantes pour la critique, car elle doit tou
position des documents. Les renseignements que ne fournit pas l’étude
générale
de l’auteur, on peut les chercher dans la connais
emplir deux questionnaires, — l’un pour se représenter les conditions
générales
de composition du document d’où résultent les mot
itions générales de composition du document d’où résultent les motifs
généraux
de chaque affirmation d’où dérivent les motifs sp
de ses amis, défavorable de ses adversaires. Ce sont des dispositions
générales
qui agissent sur toutes les affirmations d’un aut
seignements, soit par des comparaisons, qu’un auteur a une propension
générale
à ces genres d’erreur. Il y a plus de chance de r
ent pas ; — s’il lui a manqué l’expérience spéciale ou l’intelligence
générale
pour comprendre les faits ; — s’il a mal analysé
incorrections probables d’un auteur on peut avoir des renseignements
généraux
; on peut en examinant son œuvre voir comment il
ement de l’auteur, elles reproduisent les affirmations d’un autre. Le
général
, même en racontant la bataille qu’il vient de dir
observateur ; l’observation reste anonyme. Alors se pose une question
générale
. Comment faire la critique d’une affirmation anon
prise. Il ne lui reste d’autre procédé que d’examiner les conditions
générales
du document. — On peut examiner s’il y a un carac
des Grecs sur les Scythes au temps d’Hérodote. De toutes ces enquêtes
générales
la plus utile porte sur la transmission des affir
dans ces conditions favorables, on peut donc dresser un questionnaire
général
; on p. 155 l’appliquera à chaque fait particulie
’il n’ait eu aucune tentation de le déformer ? C’est le cas des faits
généraux
, usages, institutions, objets, personnages, que l
guerre, l’usage de tout un peuple) ? — 3° Est-il exprimé en termes si
généraux
qu’une observation superficielle ait suffi pour l
océder à l’examen critique. On commence par réunir les renseignements
généraux
sur le document et sur l’auteur, avec la préoccup
; on les rassemble en suivant mentalement son questionnaire critique
général
; mais on doit se les assimiler d’avance, car on
lir sont surtout des faits étendus et durables (appelés parfois faits
généraux
), usages, doctrines, institutions, grands événeme
é et le moyen âge la connaissance historique est restreinte aux faits
généraux
par la pénurie de documents. Dans la période cont
n d’indiquer comment elle se pose pour les historiens180. La croyance
générale
au merveilleux a rempli de faits miraculeux les d
* Livre III. Opérations synthétiques Chapitre I. Conditions
générales
de la construction historique La critique des
ent à des degrés de généralité très différents, depuis les faits très
généraux
communs à tout un peuple et qui ont duré des sièc
s particuliers et travaillent méthodiquement à les condenser en faits
généraux
. Pour former des groupes il faut ramener les fait
enance). Cette nécessité de localiser est inconnue aussi aux sciences
générales
; elle est limitée aux sciences descriptives qui
enter leurs deux armées, il aura soin de ne rien conclure de l’aspect
général
sous lequel il se les imagine ; il devra raisonne
habitudes de conduite. On peut donc les prévoir dans un questionnaire
général
qui servira pour tous les cas. Comme la critique
Mais ces différences sont enfermées entre les limites des conditions
générales
de la vie humaine ; elles ne sont que des variété
hacun formera une branche spéciale d’histoire. Ce cadre de groupement
général
fournira l’échafaudage de la construction histori
ut les condenser en formules pour essayer d’en dégager les caractères
généraux
et les rapports. C’est la quatrième opération ; e
é et de la Renaissance n’en ont pas pratiqué d’autre. — Dans ce cadre
général
les subdivisions sont taillées suivant le même pr
n étudiant l’ensemble des activités humaines ; c’est le questionnaire
général
dont il a été parlé au chapitre précédent. Le tab
tre précédent. Le tableau suivant est une tentative de classification
générale
des faits historiques192, fondée sur la nature de
, de particulier, de passager, ou dans ce qu’ils ont de collectif, de
général
et de durable. Dans la première conception l’hist
ers des gouvernants où il est très difficile d’apercevoir aucun trait
général
. — Dans les histoires spéciales, au contraire (sa
sauf celle des littératures), les documents ne montrent que des faits
généraux
, une forme de langage, un rite religieux, une règ
u d’un groupe donné à un moment donné. Dans un cadre réduit aux faits
généraux
de la vie politique il n’y aurait pas place pour
ible. Ainsi l’histoire est obligée de combiner avec l’étude des faits
généraux
l’étude de certains faits particuliers. Elle a un
tion puérile : si l’histoire est un art ou une science. III. Le cadre
général
donné plus haut peut servir de questionnaire pour
on peut essayer de faire l’histoire. Mais avant d’appliquer ce cadre
général
à l’étude d’un groupe quelconque d’habitudes hist
’histoire ne peut être une science, car toute science a pour objet le
général
. — L’histoire est ici dans la même condition que
èces animales ; elle n’est pas la connaissance abstraite des rapports
généraux
entre les faits, elle est une étude explicative d
itiques), on aura construit une histoire concrète commune, l’histoire
générale
, qui reliera les différentes histoires spéciales
lution littéraire dépend, non d’événements littéraires, mais de faits
généraux
. L’histoire générale des faits uniques s’est cons
end, non d’événements littéraires, mais de faits généraux. L’histoire
générale
des faits uniques s’est constituée avant les hist
ches spéciales se sont créées et s’en sont détachées. Comme les faits
généraux
sont surtout de nature politique et qu’il est plu
t plus difficile de les organiser en une branche spéciale, l’histoire
générale
est restée en fait confondue avec l’histoire poli
iens politiques ont été amenés à se faire les champions de l’histoire
générale
et à conserver dans leurs constructions tous les
toire générale et à conserver dans leurs constructions tous les faits
généraux
(migrations de peuples, réformes religieuses, inv
) nécessaires pour comprendre l’évolution. Pour construire l’histoire
générale
il faut chercher tous les faits qui peuvent expli
i ancien que l’histoire. On en a besoin non seulement dans l’histoire
générale
, mais dans les histoires spéciales, dès qu’on étu
pèce et l’histoire spéciale est obligée de les emprunter à l’histoire
générale
. Pour l’histoire générale, les périodes doivent ê
e est obligée de les emprunter à l’histoire générale. Pour l’histoire
générale
, les périodes doivent être découpées d’après l’év
e le raisonnement en forme ; dans un raisonnement faux la proposition
générale
est d’ordinaire assez monstrueuse pour faire recu
faire l’objet d’un livre205. On se bornera ici à indiquer les règles
générales
du raisonnement et les précautions à prendre cont
plus ordinaires. Le raisonnement repose sur deux propositions : l’une
générale
, tirée de la marche des choses humaines ; l’autre
ue : Salamine porte un nom phénicien. Puis on cherche une proposition
générale
: La langue d’un nom de ville est la langue du pe
conclusion soit sûre il faut donc deux conditions. 1° La proposition
générale
doit être exacte ; les deux faits qu’elle suppose
opérer qu’avec une proposition détaillée. 2° Pour que la proposition
générale
soit détaillée, il faut que le fait historique pa
il ; car c’est après l’avoir établi qu’on cherchera une loi empirique
générale
nécessaire pour raisonner. On devra donc commence
ble. Ainsi dans le raisonnement historique il faut 1° une proposition
générale
exacte, 2° une connaissance détaillée d’un fait p
taillée d’un fait passé. — On opérera mal si on admet une proposition
générale
fausse, si l’on croit, comme Augustin Thierry par
est évidemment fausse, on s’en apercevra aussitôt ; si elle est trop
générale
on verra quelles conditions nouvelles il faut y a
Phéniciens en Grèce. * * * Chapitre IV. Construction des formules
générales
I. Si on avait classé dans un cadre méthodiqu
une précision si différente ? — Les faits connus seulement par un mot
général
et vague, on ne peut les amener à un degré moins
t par un mot général et vague, on ne peut les amener à un degré moins
général
et plus précis ; comme on ignore les détails, si
nnus en détail, il est toujours facile de les réduire à un degré plus
général
en mutilant les détails caractéristiques ; c’est
nce quels éléments doivent y entrer. Il faut ici distinguer les faits
généraux
(habitudes et évolutions) et les faits uniques (é
udes et évolutions) et les faits uniques (événements). III. Les faits
généraux
consistent dans des actes souvent répétés communs
e. Puis, comparant l’ensemble des variations, on construira la marche
générale
de l’évolution. La formule d’ensemble indiquera o
l reste à chercher les rapports entre eux ; — ce sont les conclusions
générales
. L’histoire, à cause de l’infirmité de son mode d
aissées par les documents. Il est facile, en suivant le questionnaire
général
de groupement, de constater sur quelles espèces d
es faits et l’ensemble de la tradition avant tout essai de conclusion
générale
. VII. Les formules descriptives donnent le caract
, la quantité ou l’importance. En formant des groupes de plus en plus
généraux
, on laisse, à chaque degré nouveau de généralité,
’humanité. — Le résultat est de condenser en une formule le caractère
général
d’un ordre de faits, une langue, une religion, un
avant d’en avoir cherché les causes par analyse, on supposa une cause
générale
permanente qui devait résider dans la société ell
terminer l’évolution commune qu’on devrait rapporter à une même cause
générale
. Ainsi se sont fondés la linguistique, la mytholo
les causes des accidents particuliers que celles des transformations
générales
, car elle trouve le travail déjà fait dans les do
il déjà fait dans les documents. Pour rechercher les causes des faits
généraux
, la construction historique est réduite à l’analo
ore été bien faite220, nous nous bornerons ici à des indications très
générales
pour la période antérieure à la seconde moitié du
n peuple ; il n’y eut dans l’antiquité que quelques essais d’histoire
générale
. Comme l’historien se proposait de plaire ou d’in
odèles. D’ailleurs ces professeurs contribuèrent à débrouiller l’idée
générale
, confuse, que les philosophes avaient de la « civ
entifiques d’exposition historique, en harmonie avec cette conception
générale
que le but de l’histoire est, non pas de plaire,
guerons d’abord : 1° les monographies ; 2° les travaux d’un caractère
général
. 1° On fait une monographie quand on se propose d
t l’auteur n’a jamais lieu d’en rougir. 2° Les travaux d’un caractère
général
s’adressent soit aux hommes du métier, soit au pu
’adressent soit aux hommes du métier, soit au public. A. Les ouvrages
généraux
destinés surtout aux hommes du métier se présente
té tout ce qui est du domaine de l’appréciation et les considérations
générales
. S’agit-il de faits mal datés, ou simultanés, qui
récit des événements qui ne se sont produits qu’une fois et des faits
généraux
qui dominent l’ensemble des évolutions spéciales,
le, cette macédoine, pour la rendre plus attrayante, avec des « idées
générales
» et des grâces extérieures. La tentation est d’a
d’établir des détails, ils s’abandonnent dans l’exposé des questions
générales
à leurs penchants naturels, comme le commun des h
des conditions où se produisirent les faits passés et l’intelligence
générale
des conditions où se produisent les faits humains
s faits d’une époque passée, et en leur appliquant des questionnaires
généraux
fondés sur l’étude du présent. Les opérations qu’
s, afin de les combiner d’une façon scientifique en des constructions
générales
. — Et si de ces travaux ressortaient avec évidenc
idée claire, ni de sa raison d’être, ni de son rôle dans l’éducation
générale
, ni des procédés techniques nécessaires pour le d
ils caractéristiques et en les résumant sous les expressions les plus
générales
et par conséquent les plus vagues. Il ne restait
la rédaction et du résumé. II. Dans ces dernières années le mouvement
général
de réforme de l’enseignement, parti du Ministère
ertie inconnue dans les Facultés ; — et le baccalauréat, cet obstacle
général
à toutes les réformes, est particulièrement nuisi
de formuler ces questions dans un tableau méthodique. 1° Organisation
générale
. — Quel but peut se proposer l’enseignement de
s spéciales (art, religion, coutumes, vie économique) et à l’histoire
générale
? Aux institutions ou aux usages et aux événement
épisodes dramatiques ou à l’étude des enchaînements et des évolutions
générales
? Quelle place doit-on faire aux noms propres et
dés d’enseignement . — Faut-il donner d’abord à l’élève des formules
générales
ou des images particulières ? Le professeur doit-
pas trop d’un traité spécial243. On n’indiquera ici que les principes
généraux
sur lesquels l’accord semble être à peu près fait
-être n’est-il pas superflu d’indiquer ici, une fois de plus, le sens
général
et la logique interne du mouvement auquel nous as
nt d’exiger des étudiants qu’ils fassent la preuve ? De connaissances
générales
? De connaissances techniques et d’aptitudes aux
e dans les pays de langue française, depuis l’origine. Un aperçu plus
général
et plus complet (bien que très sommaire encore) d
ues les plus ingénieuses, les plus topiques ; et de la portée la plus
générale
sur la méthode des sciences historiques, ont été
t là, du reste, que la manifestation la plus grossière d’une tendance
générale
contre laquelle il faut toujours être en garde :
es recherches. Le bibliothécaire mit à leur disposition des histoires
générales
et des brochures… » 39. Ces considérations ont é
caractère commun d’avoir été imprimés. 99. J. P. Waltzing, Recueil
général
des inscriptions latines (Louvain, 1892, in-8), p
s problèmes d’érudition, se refusa toujours à entreprendre un recueil
général
des diplômes royaux mérovingiens que ses admirate
e synthèse, par les synthèses incorrectes, par les apparences d’idées
générales
», et par les artifices littéraires. 130. Les sc
les cinq premiers siècles de Rome. Ce procédé, malheureusement encore
général
, contribue à empêcher l’histoire de se constituer
ugement d’approbation ou de réprobation, soit au nom d’un idéal moral
général
ou particulier (idéal de secte, de parti, de nati
u avec l’indication précise de l’endroit où il a été publié. La règle
générale
est de mettre le lecteur en état de savoir exacte
titre des documents, de s’y référer par une cote ou par l’indication
générale
du recueil où ils sont imprimés, qui n’apprennent
a place dans une « Histoire » scientifique ; c’est l’étude des faits
généraux
qui ont dominé l’ensemble des évolutions spéciale
monarchie. Il paraissait croire que, s’il avait été nommé contrôleur
général
, il n’y aurait pas eu de révolution, et il en a t
endant qu’il guérit. » — M. de Meilhan avait un frère qui fut fermier
général
et qui avait les mœurs du jour ; une des paroles
énéral et qui avait les mœurs du jour ; une des paroles de ce fermier
général
à sa femme est restée comme peignant l’immoralité
c’était le chemin par lequel on était en passe de devenir contrôleur
général
. Il se destinait à ce dernier rôle avec beaucoup
fut appelé à une place de création extraordinaire, celle d’intendant
général
de la guerre et des armées du roi. Le prince de M
se posait devant l’opinion comme candidat au ministère et au contrôle
général
des finances. M. Necker était alors dans tout l’é
nt des finances de François Ier, et l’abbé Terray, dernier contrôleur
général
sous Louis XV, il s’applique à prouver que Franço
t été ajoutés dans la seconde édition, en 1789, à la veille des États
généraux
, contiennent des idées d’avenir, notamment sur la
et au déclin. Dès les premières pages, il nous rend bien le caractère
général
de cette époque, ce qu’il a appelé le « caractère
, les extraits, les dissertations critiques ont formé un dictionnaire
général
d’idées, de résultats, de jugements où chacun peu
ins M. de Meilhan que son moment de société, c’est que dans ce regret
général
qu’il exprime de voir les caractères s’effacer de
rité de l’ouvrage de M. de Meilhan consiste surtout dans cette nuance
générale
, relative à son moment. Nul plus que lui n’a le s
sciences seules pourront servir d’aliment à l’esprit ; mais l’inertie
générale
ne permettra pas une grande application. Dans cet
té par M. de Meilhan était un mot même de son frère Sénac, le fermier
général
, parlant à sa femme ; c’était un mot de famille.
litique ou les formes politiques dans lesquelles s’incarne la volonté
générale
(État, gouvernement) ou encore les forces politiq
tique. Les idéologies démocratiques : souveraineté du peuple, volonté
générale
, solidarisme, etc., sont, par essence et par défi
s et divergents sur certains points, de même en politique, la volonté
générale
n’est pas autre chose qu’une entité verbale. — La
e n’est pas autre chose qu’une entité verbale. — La prétendue volonté
générale
est au fond celle de l’oligarchie dirigeante ; to
a une volonté à lui ne se reconnaît jamais dans la prétendue volonté
générale
. Et peu lui importe au fond que le groupe qui l’o
aux dirigés et aux dirigeants, constitue précisément cette « volonté
générale
» dont se réclame l’idéologie démocratique. S’il
qu’il emploie, le but reste le même. La loi, expression de la volonté
générale
, est tyrannique comme cette volonté elle-même. Mo
mauvaise, injuste et oppressive. Après avoir considéré les principes
généraux
de l’idéologie politique, disons un mot des forme
ment, corps de l’État, dans lesquelles s’incarne la prétendue volonté
générale
). L’antinomie de l’individu et de l’État est une
Mill, la marche évidente et irrésistible vers un état “de similitude
générale
parmi les hommes ». (R. de Gourmont, Épilogues, t
t porté sur cette frontière à un degré qu’on a peine à se figurer. Un
général
comme Catinat qui veut qu’il y ait discipline dan
iat, la victoire de La Marsaille ne parut guère rien changer à l’état
général
des affaires, l’effet moral fut produit. Cette ba
lui amena le démembrement de la ligue et, par suite, la pacification
générale
de Ryswick. Il n’est pas moins vrai que Catinat,
retranche despotiquement. Je vous avoue que tout cela ne tente pas un
général
à hasarder l’honneur des armes du roi, et que, po
avait fait son arrangement ; la ligue était fort malade, mais la paix
générale
n’était pas conclue encore. Louis XIV jugea à pro
s’agissait pour Catinat de se concerter avec le prince de Vaudemont,
général
pour le roi d’Espagne notre allié, et de plus d’ê
relle et par le fond de son tempérament, se montre plus que jamais le
général
embarrassé qu’on a précédemment entrevu ; il tâto
eptions hardies et neuves. Catinat a trouvé son maître ; c’est un bon
général
qui a affaire à un grand capitaine. La méthode qu
’être peu satisfait ; son armée d’Italie avait perdu confiance en son
général
et n’était plus conduite : « Je vous avais mandé
es, c’est que j’en connais les grandes conséquences pour les affaires
générales
de l’État ; la perte de mes biens me laisserait p
crivait encore à son frère le lendemain 23, après avoir vu le nouveau
général
arrivé de la veille au soir : « Je vous ai déjà
l continuait d’ailleurs de conférer et de s’entendre en tout avec les
généraux
et vivait sur le meilleur pied avec eux. Le 13 no
tes et n’est occupé qu’à se précautionner en cas d’insuccès. C’est un
général
résigné. Les stimulants de la Cour n’y font rien.
e Catinat baisse, et il est déjà couché. On s’explique peu de voir un
général
de cette réputation être témoin, sans rien tenter
aillés, et il se faisait un plaisir de les donner. Ce côté de Catinat
général
consultant, a été mis en pleine lumière depuis la
lon, en décembre 1708, énumérant toutes les qualités nécessaires à un
général
qui eût commandé une armée sous le duc de Bourgog
’a pas compris, et nous attribue ce que son esprit fermé à toute idée
générale
, lui a fait croire ou entendre. En ce qui me conc
n’ai pas lus. Tout cela, mon doux Jésus ! pour la divulgation d’idées
générales
du penseur, d’idées générales que tout le monde a
oux Jésus ! pour la divulgation d’idées générales du penseur, d’idées
générales
que tout le monde a entendu développer par lui à
ut le monde a entendu développer par lui à Magny et ailleurs, d’idées
générales
, toutes transparentes dans ses livres, quand elle
ans ses livres, quand elles n’y sont pas nettement formulées, d’idées
générales
dont il aurait, j’ai tout lieu de le croire, reme
que des esprits plus humbles, des gens comme moi, manquant « d’idées
générales
» vénèrent encore, et nul n’ignore qu’il y a une
tions terrestres, il ne désavouerait pas devant le public « ses idées
générales
» de cabinet particulier. Un dernier mot. Je me s
fidèle à la règle de ne nommer les choses que par les termes les plus
généraux
. Du reste, il annonce des Mémoires inédits de Dum
haute idée de la capacité prodigieuse et de l’infatigable activité du
général
proscrit. De nombreux écrits de circonstance adre
ance. On lui offrit vingt mille livres de traitement comme lieutenant
général
en retraite ; et il préféra demeurer dans l’exil.
otisme politique, c’est l’accueil hostile et outrageux qu’elle fît au
général
éminent qui avait tenté de relever, en y inscriva
spirateur. M. de Metternich fit même arrêter Batiste, aide de camp du
général
; et celui-ci n’eut que le temps de s’enfuir à Be
a majesté très chrétienne, fut chargé de nouer la négociation avec le
général
. Une correspondance s’engagea, et l’on parut s’en
t il en demanda la raison, en disant qu’il avait été nommé lieutenant
général
par Louis XVI. Le prince répondit que les nominat
Chapitre II. Les couples de caractères
généraux
et les propositions générales Sommaire. [Intr
Chapitre II. Les couples de caractères généraux et les propositions
générales
Sommaire. [Introduction.] I. Les caractères
opositions générales Sommaire. [Introduction.] I. Les caractères
généraux
forment des couples. — Deux caractères généraux a
.] I. Les caractères généraux forment des couples. — Deux caractères
généraux
accouplés font une loi. — Penser une loi, c’est é
une loi. — Penser une loi, c’est énoncer mentalement une proposition
générale
. II. Exemples de ces caractères accouplés. — Util
ur que le second soit aussi donné. — Rien d’étrange si les caractères
généraux
ont, comme les faits particuliers, des antécédent
gnons ou des conséquents. — La difficulté est d’isoler les caractères
généraux
. — Deux artifices de méthode pour tourner la diff
s. § I. Lois qui concernent les choses réelles. I. Premiers jugements
généraux
de l’enfant. — Mécanisme de leur formation. — Pas
ion. — Passage du jugement animal au jugement humain. — Les jugements
généraux
se multiplient. — Ils sont le résumé et la mesure
es de caractères réels. — Nous croyons aujourd’hui que tout caractère
général
est le second terme d’un couple. — Admission prov
sont que probables au-delà du cercle de notre expérience. — Les plus
générales
sont découvertes le plus tard. II. Le caractère d
uvons concevoir un cas où ces propositions soient fausses. — Les plus
générales
sont formées les premières. — Parmi les plus géné
es. — Les plus générales sont formées les premières. — Parmi les plus
générales
, il en est quelques-unes, nommées axiomes, d’où d
— Il y a une liaison intrinsèque et forcée entre les deux caractères
généraux
qui correspondent à ces deux idées. — Il reste à
correspondent à ces deux idées. — Il reste à savoir si ces caractères
généraux
se rencontrent effectivement dans les choses. — I
Introduction] I Jusqu’ici, nous n’avons étudié dans les idées
générales
que les idées générales elles-mêmes et la manière
Jusqu’ici, nous n’avons étudié dans les idées générales que les idées
générales
elles-mêmes et la manière dont elles se forment,
oit noter, soit que, ayant dégagé et pensé à part certains caractères
généraux
très simples, nous combinions entre elles les idé
s reste une seconde recherche à faire. Dans la nature, les caractères
généraux
ne sont pas détachés les uns des autres ; quel qu
ple s’appelle une loi. Penser une loi, c’est lier ensemble deux idées
générales
; en d’autres termes, c’est former un jugement gé
e deux idées générales ; en d’autres termes, c’est former un jugement
général
; en d’autres termes encore, c’est énoncer mental
en d’autres termes encore, c’est énoncer mentalement une proposition
générale
. Nous allons chercher comment nous parvenons à li
Voilà des lois ; chacune d’elles consiste en un couple de caractères
généraux
et abstraits qui sont liés. D’un côté la propriét
oins deux : il est visible que toutes ces données sont des caractères
généraux
, c’est-à-dire communs à un nombre indéfini d’indi
ver des compagnons, des précurseurs et des successeurs à un caractère
général
, que d’en trouver à un individu particulier ou à
ous conduisent au but. Nous avons distingué deux sortes de caractères
généraux
. Les premiers sont réels, et les idées générales
sortes de caractères généraux. Les premiers sont réels, et les idées
générales
qui leur correspondent, par exemple celles du fer
s par voie inductive. Les seconds ne sont que possibles, et les idées
générales
qui leur correspondent, par exemple celles du tri
min, notre point de départ est l’acquisition déjà expliquée des idées
générales
. En effet, l’enfant de quinze mois, qui répète et
t, l’enfant de quinze mois, qui répète et applique déjà quelques noms
généraux
, n’a qu’à en associer deux pour faire une proposi
s noms généraux, n’a qu’à en associer deux pour faire une proposition
générale
, et c’est le cas lorsqu’un objet qui évoque en lu
façon, il énonce mentalement ou tout haut ses premières propositions
générales
et ses premières propositions abstraites. — Peu à
t d’une certaine classe, il ne portait sur lui qu’un de ces jugements
généraux
; bientôt il en porte deux, trois, quatre, puis d
; chacun d’eux finit par évoquer un nombre considérable de jugements
généraux
, et chacun d’eux peut en évoquer un nombre indéfi
t il en donne la mesure, parce qu’il en est le produit. Des jugements
généraux
de cette sorte et de cette provenance suffisent p
rselle. — Peu à peu, grâce à des corrections pareilles, nos jugements
généraux
s’adaptent aux choses. Au couple d’idées abstrait
lusieurs cas. En outre, d’ordinaire, plus la loi ainsi découverte est
générale
, plus il nous faut de temps pour y arriver, car e
t limitée. II Tels sont les traits distinctifs des propositions
générales
dans lesquelles les idées composantes, formées pa
ntes, formées par extraction et graduellement ajustées aux caractères
généraux
des choses réelles, sont tenues de correspondre à
eur objet. — Tout autres sont les traits distinctifs des propositions
générales
dont les idées composantes, formées par construct
oute séparation. — En outre, parmi ces propositions, ce sont les plus
générales
qui sont découvertes les premières, car c’est par
découvertes les premières, car c’est par elles qu’on prouve les moins
générales
. Au point de vue géométrique, l’idée de solide es
ns générales. Au point de vue géométrique, l’idée de solide est moins
générale
que celle de surface, et celle de surface moins g
de est moins générale que celle de surface, et celle de surface moins
générale
que celle de ligne, puisque le solide est constru
ord établir celles qui concernent les lignes. — Enfin, parmi les plus
générales
de ces propositions, il en est quelques-unes, nom
ires ; peu d’idées, mais fécondes, s’il se peut ; poser les principes
généraux
ou tirer les grandes conséquences et négliger les
’enseigner qu’à quelques-uns ; nul égard ni à l’utilité plus ou moins
générale
des connaissances, ni à l’ordre des études qui de
valeur du terme ; mais cet impertinent était considéré. L’admiration,
générale
qu’il obtint sans la mériter soutint le désir de
capacité moyenne des esprits. Précaution importante. Si le plan
général
est au-dessus des ressources du moment, attendre
attente qui se remarquent, et entre les mains du propriétaire un plan
général
auquel, à la reprise du bâtiment, on se conformer
st que la porte des compagnies ou communautés est fermée à la lumière
générale
qui fait longtemps d’inutiles efforts contre une
ssent. Quelle sera la seconde ? Celle qui, d’une utilité un peu moins
générale
, conviendra au nombre de ceux qui me resteront. E
ais cette vue qui est vaste et grande, excellente dans une exposition
générale
de nos travaux, serait insensée si on l’appliquai
dre de l’enseignement prescrit par l’âge, par l’utilité plus ou moins
générale
des élèves, le seul qui soit praticable dans une
ment, lui désigne une place, et que la raison d’utilité plus ou moins
générale
lui en fixe une autre. Mais heureusement cette co
seul cas où nous nous soyons permis de nous écarter de notre principe
général
, la raison d’utilité. Après ces observations théo
Les enfants ne sont pas tous en état de marcher au même âge. Plan
général
de l’enseignement d’une Université. Première
e. L’anatomie. 6e classe. La logique. La critique. La grammaire
générale
raisonnée. 7e classe. La langue russe et ce
peinture. de sculpture et d’architecture. Réduction de ce plan
général
. De ce plan général je supprime le quatrième c
et d’architecture. Réduction de ce plan général. De ce plan
général
je supprime le quatrième cours des exercices, par
imie. L’anatomie. 6e classe. La logique, la critique. Grammaire
générale
raisonnée. 7e classe. La langue russe et la
nt d’en garder plus facilement le souvenir. Tel est le rôle des idées
générales
, et des relations générales, purs artifices desti
nt le souvenir. Tel est le rôle des idées générales, et des relations
générales
, purs artifices destinés à soulager la mémoire. L
il ne laissait de côté le détail pour s’en tenir aux aspects les plus
généraux
. Mais les schèmes qu’il construit ainsi ne corres
Or, ce qui est le plus homogène à l’esprit, c’est l’élément simple et
général
. L’idée générale, le concept, au lieu d’être rega
e plus homogène à l’esprit, c’est l’élément simple et général. L’idée
générale
, le concept, au lieu d’être regardé comme une sim
ion, où est donné le concret, l’individuel, et l’idée, qui exprime le
général
, il y a une solution de continuité. La première n
s ces affirmations optimistes viennent se heurter à un sentiment très
général
et très fort et dont elles ne peuvent triompher :
. Enfin et surtout il a eu le très grand mérite d’appliquer ces idées
générales
à un ordre particulier de phénomènes, je veux dir
gue analyse ? A dire que la poésie est l’art de transformer les idées
générales
en petits faits sensibles, et de rassembler les p
sensibles, et de rassembler les petits faits sensibles sous des idées
générales
; de telle sorte que l’esprit puisse sentir ses p
posons-la à une fable philosophique, qui ne sait qu’aligner des idées
générales
, et à la fable primitive qui ne sait qu’entasser
e ce qu’il a de commun avec les autres, et ainsi le change en un être
général
; elle ne l’observe complexe et particulier que p
ral ; elle ne l’observe complexe et particulier que pour l’apercevoir
général
et abstrait ; elle n’agit que pour altérer, dénat
elle-même ? Que doit-elle être pour se transformer dès l’abord en loi
générale
et en règle abstraite ? Aussi abstraite et aussi
bord en loi générale et en règle abstraite ? Aussi abstraite et aussi
générale
que possible. Elle cessera aisément d’être partic
olorés et sans substance, ils laisseront briller à travers eux l’idée
générale
qu’ils renferment ; plus ils seront vides, plus i
poétique lui est opposée. Si le poëte reçoit du philosophe des idées
générales
et abstraites, c’est pour les transformer en être
détails, et, ainsi, le change en chose complexe ; elle rend à l’être
général
ce qui lui appartient en propre, et ainsi le chan
en propre, et ainsi le change en être particulier. Elle ne l’observe
général
et abstrait que pour le rendre particulier et com
ur rendre ce qui leur appartient. On ajoutera aux vices et aux vertus
générales
les traits particuliers qui leur sont propres : l
imagination ou de son âme. Il ne reste plus rien maintenant des idées
générales
et abstraites ; les voilà dénaturées deux fois. E
ôle de l’appétition et de la motion dans la généralisation. Les idées
générales
. — IV. Rôle de l’appétition et de la motion dans
on de la pensée n’en est pas moins déterminée ; elle l’est par l’état
général
de la conscience et de l’appétition à un moment d
es de le lier pour un moment d’une manière déterminée avec le contenu
général
qui prévaut alors dans la conscience de soi qu’a
son établie non seulement entre telle représentation et la conscience
générale
, mais encore entre telle représentation et la con
’association cherchée se produit spontanément, par l’effet d’un désir
général
de trouver dans telle direction ; en s’étendant d
somption par lequel nous rangeons un objet donné sous un concept plus
général
: l’or est un métal. — C’est toujours revenir à l
ffirmation est l’affirmation d’une chose qu’on croit (au sens le plus
général
du mot), l’objectivation d’une croyance intérieur
oyance corrélative. La croyance est la conscience réfléchie de l’état
général
où se trouve notre intelligence, avec toutes ses
. Mais il ne suffit pas, avec Galton et Huxley, d’expliquer les idées
générales
par la fusion d’images particulières dans une ima
Des images génériques ne sont pas encore équivalentes à des concepts
généraux
, car une image confuse est, en elle-même, aussi p
ier. De là la conclusion du système nominaliste, qui réduit les idées
générales
, en ce qu’elles ont de distinct des images, d’abs
nd à se propager et se propage toujours à quelque degré. Le caractère
général
dépend de ce fait que l’image est sentie non seul
ns de la sub-conscience. Ce n’est pas tout ; ce qui achève le concept
général
, c’est le sentiment de la similitude qui relie l’
ensée un moyen de mouvement et non de repos, elle acquiert une valeur
générale
. En un mot, une image commune et un nom commun so
édiaires tout naturels entre les images particulières et les concepts
généraux
: l’espace et le temps, qui sont comme la plurali
temps, nous avons une perspective indéfinie sur le passé. Le concept
général
, comme celui d’homme, est une image particulière
alité n’est pas dans la matière même de la pensée, dans quelque objet
général
que la pensée saisirait ou concevrait, car il n’y
t général que la pensée saisirait ou concevrait, car il n’y a rien de
général
, conséquemment d’indéterminé, ni dans les sens, n
t sentis à l’état naissant et comme dans leur source vive. Le concept
général
est une image qui sert de point d’intersection à
dans le sujet pensant. Aucun objet de la pensée ne peut être vraiment
général
; mais ce qui est général, c’est le pouvoir d’act
un objet de la pensée ne peut être vraiment général ; mais ce qui est
général
, c’est le pouvoir d’action et de mouvement dont j
uvement avec telle ou telle représentation particulière105. Les idées
générales
, comme celles de famille, de patrie, d’humanité,
sprit résultant de cette comparaison, j’arriverai à cette proposition
générale
: le feu brûle. Quoique plus compliqué, mon acte
ifférences et de considérer les ressemblances pour obtenir un concept
général
, qui est un total de ressemblances ; et je n’ai b
on de la non-influence du temps et de la similitude, puis affirmation
générale
. Le principe de l’induction, que les mêmes donnée
ue par induction, sans pouvoir la déduire d’autre lois physiques plus
générales
. On savait que ces deux phénomènes s’accompagnent
Nous sommes obligés de poser par induction des faits de plus en plus
généraux
, pour pouvoir ensuite en déduire logiquement tous
d’expérience. Tantôt enfin nous pensons soit des choses abstraites et
générales
, soit des choses en apparence toutes spirituelles
ner que les choses. En outre, plus les idées deviennent abstraites et
générales
, plus elles rendent possible, par opposition à la
t l’instrument et l’esclave docile de mon intelligence, qui seule est
générale
, c’est-à-dire non bornée dans son exercice à un p
ion financière. — Conseiller au parlement de Metz. — Député aux États
généraux
. — Ses travaux à la Constituante. — Explication a
a Constituante. — Explication avec Mirabeau. — Il est nommé procureur
général
syndic. — Moment de l’expérience ; épreuve de la
des intendants que sortait et s’élevait le plus souvent le contrôleur
général
. Ses études approfondies en économie politique et
de M. Necker, sur les questions relatives à la convocation des États
généraux
. En novembre 1788, sous le titre : De la députati
énéraux. En novembre 1788, sous le titre : De la députation aux États
généraux
, il publiait une brochure où il exposait ses prin
était déjà l’homme en Roederer quand il fut envoyé par Metz aux États
généraux
, non pas dès les premiers jours, mais à une rééle
trop longue pour être rapportée) de se bien rendre compte du courant
général
, immense, qui entraînait alors la nation. La mépr
en 1793 de mon opinion, par l’expérience que j’acquis comme procureur
général
syndic du département de Paris. Dans mes rapports
arbitraires et d’une comptabilité compliquée, et d’établir un système
général
de contributions de manière à en distribuer le po
tuante, Roederer nommé par le collège électoral de la Seine procureur
général
syndic de ce département se trouva, comme adminis
e la démocratie organisée. Son désabusement commença. Comme procureur
général
syndic, il était le représentant, l’homme d’actio
sence du gouvernement et la volonté de chacun substituée à la volonté
générale
; en 1792, il y avait une volonté générale, unani
un substituée à la volonté générale ; en 1792, il y avait une volonté
générale
, unanime ; il y avait une organisation terrible p
Paris avaient leurs orateurs ; la tribune nationale servait de tocsin
général
du parti. C’était là, assurément, une machine mon
besoin, qui ne pouvait les payer que par du papier avili. La détresse
générale
aidait puissamment à échauffer la multitude contr
fut pas assez apprécié. En même temps, comme il prévoyait une guerre
générale
prochaine, il observait de près le caractère des
une guerre générale prochaine, il observait de près le caractère des
généraux
de l’empire, qu’il connaissait déjà depuis son pr
et vous en jugerez sur ce que je leur ai ouï dire de celui des autres
généraux
: — Les uns, disent-ils, parvenus aux dignités à
in qu’on l’envoya, à l’armée d’Allemagne, où Catinat commandait comme
général
. Villars s’était marié dans l’intervalle, pendant
nt-général de Vault et publiés de nos jours avec grand soin par M. le
général
Pelet9. Là, on trouve non seulement la suite méth
nts pour former un jugement solide sur son caractère et son mérite de
général
. Les méchants propos de Versailles ne sont plus q
u l’un des beaux exemplaires de la nature humaine. Catinat est de ces
généraux
si parfaits et si purs dans leur disgrâce, qu’on
e, et qu’on ne voudrait pas la leur ôter. Venant de parler des autres
généraux
en vogue et en renom, et de Villars même, qui éta
d’armée, erreur en partie volontaire, qui consiste à prétendre que le
général
a plus de troupes sous le drapeau qu’il n’y en a
stimule autant qu’un roi majestueux comme Louis XIV peut stimuler un
général
d’armée : … Je vois néanmoins que vous ne vous p
opiniâtre. Cet homme-là était trop philosophe pour être longtemps un
général
selon le génie de la nation. Villars paraît, et l
es, et, inférieur en nombre, livra et gagna, le 14 octobre, contre le
général
le plus renommé alors de l’émpire, la bataille de
ille, et qu’on l’a gagnée dans des circonstances difficiles et par un
général
nouveau qui se déclare, il est fâcheux de ne la p
ns l’attaque. Il redonna aux troupes (et moins aisément aux officiers
généraux
qu’aux soldats) l’entrain qu’on avait perdu depui
s de Versailles, tant celles des courtisans que de quelques officiers
généraux
, il crut devoir se justifier auprès du ministre d
non pour augmenter le zèle, il est toujours égal, mais pour que votre
général
ait l’esprit plus libre, le cœur satisfait, et qu
ici ce post-scriptum, qui n’est plus d’un homme qui badine, mais d’un
général
: Sur ce que vous me faites l’honneur de me dire
sychologie de l’association. La loi dissociation est pour lui la plus
générale
qui régisse les phénomènes psychologiques. « Ce q
e fait dernier, auquel tout se ramène ; le mode d’explication le plus
général
, et l’instrument le plus puissant de l’école expé
nécessaires. Remarquons d’abord qu’il y a deux sortes de propositions
générales
: les unes qui, de l’avis de tout le monde, naiss
re la déduction comme l’opération fondamentale, parce qu’elle part du
général
, ne voit dans l’induction qu’une opération qui s’
ous pouvons conclure du particulier au particulier sans passer par le
général
, mais nous ne faisons presque jamais autrement. »
is des années se passent avant que nous apprenions l’usage des termes
généraux
. L’enfant qui, ayant brûlé son doigt, se garde de
feu, a raisonné et conclu, bien qu’il n’ait jamais pensé au principe
général
: « Le feu brûle » il ne généralise pas ; il infè
particulier au particulier que par l’intermédiaire d’une proposition
générale
. « On a remarqué avec quelle admirable sûreté les
its aux faits nouveaux, sans se préoccuper d’établir les propositions
générales
correspondantes. » Les propositions générales son
tablir les propositions générales correspondantes. » Les propositions
générales
sont de simples registres des inférences déjà eff
induction, en effet, est le mode d’inférence qui va du particulier au
général
, du connu à l’inconnu. « Elle peut se définir une
ou bien encore « le moyen de découvrir et de prouver des propositions
générales
. » Son fondement n’est pas, comme l’ont prétendu
arriver, avoir conçu les uniformités particulières dont l’uniformité
générale
est la résultante et la synthèse. Quel est donc l
le des effets et réciproquement, nous passons ainsi du particulier au
général
. « Le procédé inductif est essentiellement une re
l’emploi du syllogisme n’est en réalité que l’emploi des propositions
générales
dans le raisonnement. » Or, une proposition génér
es propositions générales dans le raisonnement. » Or, une proposition
générale
n’est qu’un mémorandum, une « condensation » d’un
joute Herbert Spencer (et ceci s’expliquera plus tard par sa doctrine
générale
), et il y a encore dans la race certaines intuiti
’aurai prouvé que leur relation constante est un effet d’une loi plus
générale
, je l’aurai expliquée. En attendant cette « réduc
cessaires, toutefois, tant qu’elles ne sont pas déduites de lois plus
générales
, ce sont des lois en instance plutôt que des lois
riés, ou même par un cas unique, si j’ai pu la déduire d’une loi plus
générale
, elle appartient à la science. Que les phénomènes
une idée, il faut à l’organisme humain un certain degré de perfection
générale
, autre chose prouver que certaines modifications
moins obscures et moins incertaines ? Indépendamment de ces remarques
générales
, une circonstance vient affaiblir encore, s’il es
ation, une explication véritable. Comment et en vertu de quelles lois
générales
le fait d’avoir un cerveau brachycéphale entraîne
de molécules tels qu’ils produisent fatalement, en vertu de lois plus
générales
antérieurement connues, la combinaison d’idées qu
ue chose dans la facilité avec laquelle nous admettons, d’une manière
générale
, la maîtrise des systèmes sur les faits ? D’aille
ple, comment certaines conditions sociales devaient, suivant les lois
générales
de la formation des idées, amener les esprits des
uement que nous les imitons. Mais si nous adoptons certaines théories
générales
ou repoussons certaines autres, cela ne s’expliqu
ins phénomènes déterminés, montre aussi comment, suivant quelles lois
générales
, ces phénomènes peuvent contribuer au succès de c
rée comme science, p. 326. 39. V. Topinard, Éléments d’anthropologie
générale
, p. 200-215. 40. Essai sur l’inégalité des race
une âme sous ses actions et sous ses œuvres ; comment, sous le vieux
général
, au lieu d’un ambitieux vulgairement hypocrite, o
n peut le suivre depuis sa ferme et ses attelages jusqu’à sa tente de
général
et à son trône de protecteur, dans sa transformat
ns de l’homme intérieur et invisible ont pour causes certaines façons
générales
de penser et de sentir. Quand, dans un homme,
nes mélodies, une cause plus large que son effet, je veux dire l’idée
générale
du vrai culte extérieur que l’homme doit à Dieu ;
ures et de tous les dehors. Elle-même provient d’une autre cause plus
générale
, l’idée de la conduite humaine tout entière, inté
n morale. Cette seconde idée, à son tour, dépend d’une troisième plus
générale
encore, celle de la perfection morale, telle qu’e
e du Nord, sa structure de caractère et d’esprit, ses façons les plus
générales
de penser et de sentir, cette lenteur et cette fr
e et incessante répétition de leur effort ; en sorte que la structure
générale
des choses et les grands traits des événements so
s idées humaines, et ce système a pour moteur premier certains traits
généraux
, certains caractères d’esprit et de cœur communs
pratique, selon que ces représentations aboutissent à une conception
générale
ou à une résolution active. Voilà tout l’homme en
sentation varie, tout le développement humain varie. Si la conception
générale
à laquelle elle aboutit est une simple notation s
out entier prend un tour positiviste. Si, au contraire, la conception
générale
à laquelle la représentation aboutit est une créa
ses et les enthousiasmes du genre humain. Si maintenant la conception
générale
à laquelle la représentation aboutit est poétique
une échelle graduée d’idées régulièrement classées et de plus en plus
générales
; d’autres, par exemple les germaniques, opèrent
de. Certainement, à chacun de ces deux points extrêmes, la conception
générale
n’a pas changé ; c’est toujours le même type huma
s, nous voulons aujourd’hui nous former quelque idée de nos destinées
générales
, c’est sur l’examen de ces forces qu’il faut fond
de la loi. Pareillement dans une race, selon que l’aptitude aux idées
générales
sera différente, la religion, l’art et la philoso
composent un système où tout changement local entraîne un changement
général
, en sorte qu’un historien expérimenté qui en étud
traits des transformations humaines, et commencer à chercher les lois
générales
qui régissent non plus des événements, mais des c
ion quelques traits de son développement ultérieur. VIII. Problème
général
et avenir de l’histoire. Méthode psychologique. V
pour les autres, et, une branche seule a bourgeonné dans la stérilité
générale
. Ce sont ces règles de la végétation humaine que
rales37 § 1. ― Comment passer des faits particuliers à des vérités
générales
? Rien de plus simple, en apparence. « Généralise
les à la coupe classique. On est, par suite, amené à cette conclusion
générale
: que fia richesse de la rime et la régularité de
sûr et le plus fécond en résultats, soit par une application de lois
générales
ou universelles déjà découvertes, ce qui exige be
d’un grand nombre de faits particuliers permet d’aboutir à des faits
généraux
, de même le rapprochement de plusieurs causes ind
hement de plusieurs causes individuelles amène à constater des causes
générales
. Ainsi l’examen de leur œuvre et de leur vie nous
lors dans l’espace et dans le temps. Il remarque que le mouvement est
général
, qu’il se produit au Nord comme au Midi de l’Euro
roses ; les hommes n’ont pas été doués d’un sens nouveau. Cette cause
générale
doit être une cause sociale. L’historien regarde
u’en rapprochant plusieurs effets particuliers on constate des effets
généraux
. Je crois inutile d’insister sur les applications
de l’esprit français est la langue française. — § VI. Des différences
générales
entre ta langue française et les langues littérai
r le sens du mot littérature, et de se mettre d’accord avec l’opinion
générale
sur l’objet de cette histoire. Les mots les plus
l’acception la plus élémentaire, si ce n’est l’expression de vérités
générales
dans un langage parfait, c’est-à-dire parfaitemen
ent dans une langue qui change tous les jours. Le peu qu’il a d’idées
générales
, il les a apprises et les exprime dans la langue
angue savante, la langue des clercs, le latin. Il ne se pense rien de
général
et d’éternel en français, du moins dans cet ordre
iquer à la foule dans la langue vulgaire ce qu’ils ont appris d’idées
générales
dans la langue savante, et par cet instinct de l’
ence de ses monuments. L’esprit français conçoit à son tour des idées
générales
. Dans son ardeur pour les exprimer, il emprunte d
st durable. La France a son art ; elle exprime à son tour des vérités
générales
dans un langage définitif. Enfin, à une certaine
une définition incomplète que de le borner à l’expression de vérités
générales
dans un langage définitif. Il y faut comprendre d
nde époque où l’art paraît, et où l’esprit français exprime des idées
générales
dans un langage définitif. Nos pères ont donné à
langue, de l’instrument qui servira quelque jour à exprimer des idées
générales
. Ce sont nos origines intellectuelles, qui peuven
ormer l’introduction naturelle. Si l’art est l’expression des vérités
générales
dans un langage définitif, les vérités de cet ord
a liberté, ce devoir imposé à l’écrivain d’être l’organe de la pensée
générale
, cette subordination de l’individu à tout le mond
pour l’écrivain, elle cède sa place. La littérature y est donc moins
générale
qu’individuelle : et dès lors comment l’esprit de
littéraires modernes, la rendent la plus propre à exprimer des idées
générales
. Il suffit de considérer à quelles conditions, en
l pas à la merci des hommes et, des choses ? § VI. Ces différences
générales
entre les langues littérales du midi et du nord d
nt de vue de l’écrivain, force l’écrivain à se placer au point de vue
général
. C’est ainsi que les choses se passent dans notre
privilégiée, dominante, chargée pour ainsi dire de faire les affaires
générales
de l’esprit humain et d’exprimer les grandes idée
avec plus d’avantage. Ils se convenaient réciproquement. Auprès d’un
général
plus tacticien (un Soult, un Davout) Jomini eût m
s les campagnes de 1806-1807 éveilleront surtout la jalousie du major
général
, qui ne perdra aucune occasion dès lors de rabais
ndre ses ordres, et en même temps raisonner avec lui sur les affaires
générales
de l’Europe. Il croyait à la guerre prochaine ave
ils sont peu aguerris. » — « Oui ; mais ils ont les souvenirs et des
généraux
expérimentés du temps du grand roi. Enfin nous ve
ne put prévaloir contre la méconnaissance de ces principes. Les vieux
généraux
de la guerre de Sept Ans, exhumés après tant d’an
mme celle d’Ulm, « devait servir de modèle un jour pour apprendre aux
généraux
l’art de réunir à propos leurs forces, et de les
de garder son rang. Les premiers maréchaux nommés en 1804 étaient des
généraux
de la République : la transition était brusque. E
x officiers de s’appeler Monsieur : et quelques années plus tard, les
généraux
républicains devenaient eux-mêmes maréchaux, ducs
cution de pareils ordres ! Pour moi en particulier, aide de camp d’un
général
qui ne s’était pas informé un instant si j’avais
ait qu’à l’Empereur généralissime ? On avait vu pour ce seul fait des
généraux
traduits devant un conseil d’enquête. » Le colon
pereur de sa marche et de l’attaque qu’il poussait vivement contre le
général
prussien Lestocq : « C’est la plus importante mi
euse ville à offrir le plus horrible aspect. Je trouvai chez le major
général
un reste de souper que dévoraient ses aides de ca
à cheval, et l’affaire s’engagea. Au premier coup de canon, le major
général
m’ordonna de retourner auprès du maréchal Ney, de
1800, en qualité d’adjoint au ministre de la guerre et à l’état-major
général
. Il fut chargé d’organiser 21 bataillons, et de l
ordres donnés à temps, il concluait que « ce sont de ces choses qu’un
général
peut ordonner, mais qu’il ne peut pas forcer. » I
lars. J’en dois l’idée à l’un de mes confrères à l’Académie, au noble
général
historien M. de Ségur, qui lui-même en avait été
père, qui avait poussé assez loin sa fortune, jusqu’à être lieutenant
général
et ambassadeur, avait eu à souffrir des reviremen
rmain le maréchal de Bellefonds ; mais, pressentant la disgrâce de ce
général
et guidé par son étoile, il se détermina « à se t
te guerre légère de harcèlement et d’escarmouches, bien des officiers
généraux
, quoique braves, se trouvent ensuite fort embarra
f, à un mouvement que faisaient les ennemis, la plupart des officiers
généraux
qui étaient autour du prince crurent qu’ils fuyai
our le brillant et le hardi comme pour le bonheur. À défaut d’affaire
générale
et de bataille, il y eut des escarmouches, des pa
é : « Quand une place comme Maastricht est secourue sans bataille, le
général
doit être content, et, pour satisfaire un jeune c
es astres et de l’univers s’occupe d’eux, — change et incline l’ordre
général
pour eux. Je passe sur ces quatre occasions consi
cteur de Bavière à le détacher de l’empereur, dont il s’était fait le
général
, et à le ramener vers la France où sa sœur était
illeurs hommes d’État, de ceux qu’il aura plus tard à combattre comme
généraux
. Villars joua cette partie diplomatique avec beau
se terminèrent qu’à la paix de Riswick, Villars, d’abord commissaire
général
de la cavalerie, puis maréchal de camp, puis lieu
r et de mouvements, qui trahit dans le corps des armées une lassitude
générale
et une diminution dans les talents militaires de
essentiellement personnel, ne saurait donner, à l’analyse, de formes
générales
, ou que tout au moins, le génie d’un peintre, par
s matières différentes, mais présentant toujours les mêmes caractères
généraux
essentiels. Un de ces caractères, celui qui se fa
t en somme, ici, d’une nouvelle satisfaction particulière d’un besoin
général
, non voulue expressément puisqu’elle était inconn
dont la réalisation pourra donner une satisfaction spéciale au désir
général
de manger un mets savoureux qui préexistait à ell
t que l’incarnation nouvelle, pour ainsi dire, d’une vieille tendance
générale
. C’est ce qui se passe aussi chez le créateur d’u
acts, ils seraient tout de même « vrais », d’une vérité symbolique et
générale
. L’un indique la préparation lente de l’invention
e la tendance intellectuelle spéciale, greffée sur des tendances plus
générales
à l’observation et à l’interprétation des phénomè
et la contagion2. Parfois — et nous verrons plus tard à quelle vérité
générale
ceci se rattache — c’est un hasard manifeste qui
ntion va faire prendre une forme spéciale nouvelle sont des tendances
générales
moins conscientes, des désirs plus vagues, des di
e problème comporte plusieurs solutions très différentes, la tendance
générale
peut s’incarner, se préciser en des systèmes de f
ciles à distinguer ; ce sont simplement les habitudes et les qualités
générales
de l’esprit de M. Daudet, son amour de l’observat
ondes ; et en faisant de la botanique, en étudiant un peu la biologie
générale
, je voyais bien que l’individu vivant jouait le r
rs combinaisons et leurs heurts, leur effort vers une systématisation
générale
où les systèmes déjà formés ne peuvent entrer ens
C’est un caractère de l’invention, un caractère non pas absolument
général
, mais très fréquent, et, si l’on y regarde de prè
ditions ordinaires de l’idée créatrice, et les lois de la psychologie
générale
permettaient de le prévoir. D’une part les tendan
sez fréquemment. L’illusion artistique est un cas particulier du fait
général
que j’indique. On connaît assez la lettre de Flau
s des œuvres scientifiques ou littéraires, nous étudions un fait très
général
, mais sous ses formes les plus hautes, les mieux
d nous étudierons comment l’invention se développe. L’idée directrice
générale
intervient pour choisir, pour accepter ou rejeter
lampe d’or dans la nuit d’un tombeau. « Reste toujours l’opposition
générale
: ombre et lumière, vie et mort. » Voici un autr
l’esprit. Au début la tendance intellectuelle reste vague, abstraite,
générale
, et c’est par la combinaison de cette tendance gé
e, abstraite, générale, et c’est par la combinaison de cette tendance
générale
avec quelques détails précis que se forment tout
ce primitive. Au fond, elle est toujours une disposition abstraite et
générale
, une sorte de possibilité permanente de tel ou te
ée abstraite. La tendance mise en jeu se manifeste par une expression
générale
. C’est ce qui arrive souvent aussi pour les tenda
i l’instinct littéraire se traduit tout d’abord parfois par des idées
générales
, il s’intéresse à des abstractions réunies et plu
fois, c’est une anecdote qui sert d’excitant ; en ce cas la tendance
générale
préexistait bien, mais ne se manifestait pas à la
doué, aurait pris pour symbole une impression abstraite, une formule
générale
, peut être un accord ou un rythme. Il y a déjà un
contrôlés et maintenus par l’orientation de l’esprit suivant une idée
générale
qui les empêche de trop vagabonder. Ils suscitent
ne produit pas toujours une œuvre d’art ou de science. Elle est plus
générale
et plus commune. Pourtant qui pourrait dire où co
able à elle-même dans tous les cas, au point de vue de la psychologie
générale
et abstraite. Si les résultats sont si différents
nt proportionnel à la nouveauté des idées, à leur « non-conformisme »
général
. La nouveauté est un élément nécessaire de l’idée
s et des adaptations de l’esprit. Elles aussi supposent des tendances
générales
et des occasions qui les mettent en jeu. L’acte t
e doctrine, en modifient d’autres et parfois en transforment l’esprit
général
; c’est, à un degré moindre, le cas du vulgarisat
long ouvrage où l’imprévu fait souvent défaut si ce n’est dans l’idée
générale
et dominante qui a systématisé autour d’elle tous
dans cet essai, de la détermination des types, mais de la psychologie
générale
de l’invention. De ces deux conditions du génie,
lle. C’est là, en effet, la partie la plus originale de la conception
générale
de Darwin, celle qui peut être regardée comme le
r lesquelles certaines de ses parties et quelquefois sa signification
générale
se modifient plus ou moins. Sans doute ces différ
vons tirer de l’analyse des faits peuvent suggérer des synthèses très
générales
, des vues d’ensemble, que j’espère reprendre aill
opres à créer l’effet en question. » Ayant ainsi expliqué le procédé
général
, Poë en montre une application dans la genèse de
êter définitivement le rythme, le mètre, la longueur et l’arrangement
général
de la stance, ainsi que graduer les stances qui d
M. Zola imaginant un roman, dit M. Toulouse, part toujours d’une idée
générale
. Il se propose d’étudier un milieu, un mouvement
hose qu’un soliloque que l’auteur tient avec lui-même. Il pose l’idée
générale
qui domine l’œuvre, puis, de déduction en déducti
ne corrige… Peu à peu les personnages se dessinent, déduits des idées
générales
; quelques-uns cependant sont observés, mais aucu
t compléter un système ébauché déjà. Elles n’en modifient pas le sens
général
; au contraire, elles contribuent à en fixer, à e
sfaire et amener déjà à un état plus concret la tendance abstraite et
générale
, cause primordiale et permanente de l’invention,
chimiques, qui se ressemblent les uns aux autres par leurs caractères
généraux
, et l’on a pu rapprocher aussi, à de certains éga
es personnages, etc., mais nous savons cependant que certaines formes
générales
, qu’une allure à peu près déterminée lui seront i
guère déterminer celle des œuvres de Mozart qui parle en termes très
généraux
, elle est appréciable cependant. Chez Lamartine o
it ne ressemblant aux produits précédents que par des caractères très
généraux
, et où ce qui importe le plus et lui donne le car
bien savoir si mon sujet est complètement mûr. J’en vois bien le sens
général
, j’ai l’idée principale et quelques-unes des idée
et la lente construction de l’œuvre, toute semblable, dans ses traits
généraux
, pour l’œuvre littéraire et pour l’œuvre scientif
statations seront les mêmes. Les matériaux différeront, mais la forme
générale
reste abstraitement identique. L’idée naîtra et s
s compliquées, mais elles y sont plus obscures, et quoique le procédé
général
paraisse s’y retrouver, nous n’avons plus aucun m
ier ailleurs l’évolution à un point de vue plus philosophique et plus
général
, je m’en tiens ici à ce qui regarde le développem
ement déterminée et réglée à l’avance, au point de vue de la finalité
générale
de l’œuvre. Ce germe est semblable à un germe viv
s nombreux, la marche plus indécise. Supposons que le lien du système
général
se relâche encore, que la vie indépendante, le ca
s un second système qui vient succéder au premier, c’est une anarchie
générale
qui se produit. Résultat et expression de l’absen
difice. « Mais, continue M. Legouvé, après quelques essais d’ébauche
générale
où je la trouvais hésitante et incertaine, elle s
r place. C’est cette évolution nouvelle qui alors dirige le mouvement
général
et devient l’évolution de l’œuvre, où l’élément d
ient encore qu’une place subordonnée. Parfois aussi c’est la tendance
générale
qui inspira l’invention, parfois encore c’est la
ne porte que sur des détails, elle paraît négligeable, mais la forme
générale
même de l’œuvre s’altère souvent. On pourrait peu
une certaine corruption (en prenant le mot en son sens psychologique
général
). Il y aurait, je crois, quelque chose de fondé d
rait téméraire d’attribuer à des observations personnelles une valeur
générale
. Je crois pourtant que le procédé de composition
ns le mécanisme de l’invention toujours identique avec ses conditions
générales
toujours les mêmes. Ce qui s’oppose au développem
tous les exemples que j’ai donnés on retrouve aisément ces caractères
généraux
. Et pareillement l’arrêt de développement ou l’av
psychologie de l’invention, et nous n’avons à retenir ici que le fait
général
: la nécessité de la routine et de l’imitation, e
res raisons encore autorisent à croire. Livre III. Considérations
générales
Chapitre I. L’invention et la vie Nous a
ment la continuité des choses, le génie est peut-être le fait le plus
général
de la vie intérieure. » Guyau rapproche aussi l’a
néral, c’est que ces éléments s’opposent et luttent et que l’harmonie
générale
y résulte de quelques conflits. Ceci nous aide à
ivité peut être une condition favorable à l’invention au sens le plus
général
du mot, à la nouveauté des phénomènes qui se prod
La maladie peut donner de l’originalité en transformant le caractère
général
des éléments de l’esprit, en leur imprimant le ca
ssions, des sentiments comme des idées, seulement, ici, d’une manière
générale
, la part de l’instinct et de l’imitation paraît p
faut pas trop généraliser cette remarque ; le besoin de coordination
générale
des idées est très variable, et compensera chez t
t. XIV, p. 206). 40. J’ai étudié, au point de vue de la psychologie
générale
la question des rapports de l’intelligence et des
us utile que celle-ci dans la pratique. Car, on peut établir des lois
générales
pour les marées, et fonder sur ces lois des prévi
s métaphysiciens, allemands ou autres, ceux qu’il appelle, d’un terme
général
, les philosophes à priori. Le débat entre le phil
le pense qu’on peut le résoudre en lois plus simples et en faits plus
généraux
; et qu’on peut découvrir le procédé suivi par l’
arfait, ramène les faits à des lois et celles-ci à d’autres lois plus
générales
; la seconde, dont l’analyse chimique est le type
la vie pratique, qui suppose, comme science première, la connaissance
générale
des phénomènes de l’esprit. Toute science, dès qu
ve avec vérification79. La psychologie a pour objet les lois les plus
générales
de la nature humaine : l’éthologie a pour objet l
qui détermine le genre de caractère, produit conformément à ces lois
générales
par un ensemble quelconque de circonstances physi
’ont que la valeur précaire de lois empiriques : et les lois les plus
générales
sont trop générales et embrassent trop peu de cir
récaire de lois empiriques : et les lois les plus générales sont trop
générales
et embrassent trop peu de circonstances, pour exp
omplexes et aussi concrets que ceux de l’éthologie. Ainsi une science
générale
, abstraite, fondée sur l’observation et l’expérie
re, que Loutherbourg et Vernet sont grands. Le ciel répand une teinte
générale
sur les objets. La vapeur de l’atmosphère se disc
bres et des lumières qui ôtera ou donnera à toute la scène son charme
général
. Qu’il s’élève une vapeur qui attriste le ciel, e
de plus ou de moins ajoutée à votre technique. Ainsi que la couleur
générale
d’un tableau, la lumière générale a son ton. Plus
re technique. Ainsi que la couleur générale d’un tableau, la lumière
générale
a son ton. Plus elle est forte et vive, plus les
le site, l’état du ciel, le lieu de la lumière qui en rendent le ton
général
fort ou faible, triste ou piquant. Celui qui étei
ncipes ! Heureux le temps où ils seront populaires ! C’est la lumière
générale
de la nation qui empêche le souverain, le ministr
l est un art de faire les fonds, surtout aux portraits. Une loi assez
générale
, c’est qu’il n’y ait au fond aucune teinte qui co
Chapitre I Vue
générale
1. Caractères généraux du xviie siècle littér
Chapitre I Vue générale 1. Caractères
généraux
du xviie siècle littéraire. — 2. Caractères géné
1. Caractères généraux du xviie siècle littéraire. — 2. Caractères
généraux
du xviiie siècle littéraire. Contraste et contin
nous en rendre compte, il faut nous remettre sous les yeux les traits
généraux
de l’une et l’autre époque464. 1. Le dix-septiè
n forme d’art. La vérité, scientifique ou philosophique, est toujours
générale
. La nature, qui est la même dans l’antiquité et d
e se fonde l’imitation des anciens), ne peut être aussi qu’une nature
générale
. Et ainsi l’exceptionnel, le particulier, est, en
es, les forces, les états de l’âme ; d’autres construisent les formes
générales
qui contiennent et classent l’infinie diversité d
ester à la tête du mouvement, l’attaque devient plus violente et plus
générale
. Toutes les forces révolutionnaires — les forces
la survie des individus qui continuaient à se consacrer à des tâches
générales
. Il a été ainsi nécessité à changer de direction.
c’est s’il y a correspondance entre le fait considéré et les besoins
généraux
de l’organisme social et en quoi consiste cette c
rouver la part qui lui revient dans l’établissement de cette harmonie
générale
. II Ces deux questions distinguées, il nous
es lois sociologiques ne pourront être qu’un corollaire des lois plus
générales
de la psychologie ; l’explication suprême de la v
n’est pas seulement à la base de ces grandes doctrines de sociologie
générale
; il inspire également un très grand nombre de th
uveautés qui se sont successivement produites au cours de l’évolution
générale
des choses ? Quelles différences y a-t-il entre l
me et de ses facultés. Il est clair, au contraire, que les caractères
généraux
de la nature humaine entrent dans le travail d’él
et transforme. Leur contribution consiste exclusivement en états très
généraux
, en prédispositions vagues et, par suite, plastiq
ue ethnique. S’il en est ainsi, c’est que l’apport psychique est trop
général
pour prédéterminer le cours des phénomènes sociau
ne peut manquer de sentir fortement combien ces interprétations trop
générales
sont impuissantes à rejoindre les faits ; et c’es
diaire, en ne demandant à la science de l’individu qu’une préparation
générale
et, au besoin, d’utiles suggestions77. III
u’il nous a servi à traiter non pas seulement la question encore très
générale
qui faisait l’objet de cette étude, mais beaucoup
du mot. Pour elle, un fait est primaire simplement quand il est assez
général
pour expliquer un grand nombre d’autres faits. Or
s ou moins toutes les fonctions. Ce que nous venons de dire du milieu
général
de la société peut se répéter des milieux spéciau
n de ces milieux particuliers ne saurait avoir l’importance du milieu
général
; car ils sont soumis eux-mêmes à l’influence de
ilosophie de l’histoire s’est uniquement attachée à découvrir le sens
général
dans lequel s’oriente l’humanité, sans chercher à
61. Nous ne voudrions pas soulever ici des questions de philosophie
générale
qui ne seraient pas à leur place. Remarquons pour
tre déduite de la nature individuelle. Or, seules les formes les plus
générales
de l’organisation sociale peuvent, à la rigueur,
, mais un simple croquis, suffiroit pour nous indiquer la disposition
générale
, les lumières, les ombres, cette ligne de liaison
vez plus que vous ne dites. Vous avez senti la différence de la chose
générale
et de la chose individuelle jusques dans les moin
il faut remarquer que ce que notre Platon moderne appelle ici l’ idée
générale
, le Platon ancien l’appellait la vérité ou le pre
istantes dans l’entendement de Dieu. Ainsi la vérité, le type, l’idée
générale
de la beauté n’existe pas dans la nature ; le Pla
dans les assemblées, à la promenade, n’est qu’une émanation de l’idée
générale
, de ce que Platon appelait vérité. Ainsi chaque o
vérité. Ainsi chaque objet existant a son type, sa vérité ou son idée
générale
. Or notre philosophe prétend que c’est jusqu’à ce
ée générale. Or notre philosophe prétend que c’est jusqu’à cette idée
générale
, jusqu’à cette vérité qu’il faut que le peintre s
u ne serait qu’une chose du troisième rang, après la vérité ou l’idée
générale
et la chose individuelle qui en est une émanation
nvenez-vous pas que cette altération n’affecte pas seulement la masse
générale
; mais qu’il est impossible qu’elle affecte la ma
a masse générale ; mais qu’il est impossible qu’elle affecte la masse
générale
, sans affecter chaque partie prise séparément ? N
orme des parties dures ? Ne convenez-vous pas que cette influence est
générale
sur tout le système ? Ne convenez-vous pas qu’ind
frances. Voilà le premier pas qui n’a proprement réformé que la masse
générale
du système animal, ou quelques-unes de ses portio
ues. Il y a des poèmes lyriques. Il est évident que, sauf ce précepte
général
de lire avec attention et réflexion continuelles,
aujourd’hui. Ainsi se dessinent dans votre esprit les idées les plus
générales
de votre penseur, celles qu’il a eues avant toute
on par exemple, vous croyez bien vous apercevoir que la première idée
générale
qu’il a eue, c’est l’horreur de la démocratie ath
her chez un penseur, qui est le plaisir de penser. J’ai parlé d’idées
générales
dont l’auteur est parti et qui ont fait naître de
ticulières. Vous remarquerez toujours que, quand il s’agit d’une idée
générale
d’où l’auteur est parti, cette idée est un sentim
de la démocratie, c’est le culte de Socrate. Mais j’ai parlé d’idées
générales
où l’auteur est arrivé, peu à peu en ramassant un
r. Vous avez pensé ; il a gagné la partie. Et encore il y a des idées
générales
qui viennent dans le cerveau du penseur après tou
les sont parties. Nous rencontrons dans Montesquieu cette grande idée
générale
: influence des climats sur les tempéraments, et
sans doute, et pour mon compte j’en suis persuadé : les grandes idées
générales
dérivant toujours des sentiments, il est probable
en branle et on se contenta de prendre pour guides certains principes
généraux
qui ont précisément pour objet de nous dispenser
rincipe de moindre action. L’application de ces cinq ou six principes
généraux
aux différents phénomènes physiques suffit pour n
avons que cette transmission doit se faire conformément aux principes
généraux
de la Mécanique et cela nous suffit pour établir
r à leur généralité même un degré éminent de certitude. Plus ils sont
généraux
, en effet, plus on a fréquemment l’occasion de le
énoncé avait en même temps je ne sais quoi de plus précis et de moins
général
que sous leur forme actuelle. C’est la Physique M
vain ; et nous reconnaissons dans la science d’aujourd’hui les traits
généraux
de l’esquisse qu’ils avaient tracée.
aleur d’une formule égalitaire, nous la rapportons à un certain idéal
général
que nous avons une fois admis, et qui nous sert d
ns diffèrent avec les organisations ; c’est en vertu de ces jugements
généraux
que nous déclarons juste et bon que les biens soi
rs elle habite dans tous les hommes ; c’est en vertu de ces jugements
généraux
que nous déclarons juste et bon que les mêmes dev
e justifier ces affirmations mêmes en les déduisant des lois les plus
générales
de l’univers ; nous voulons établir qu’elles sont
nce, même lorsqu’un système les formule en propositions plus ou moins
générales
et les enchaîne logiquement, n’impliquent pas le
ins et de ces moyens ? — Pour les fins, c’est évidemment de nos idées
générales
sur ce qui est essentiellement bon, désirable ou
nt, et d’autre part à prouver, en dérivant ce rapport de vérités plus
générales
, qu’il est autre chose qu’une coïncidence, alors
e pensée ?) nous séparent de M. Durkheim, il y a, entre les principes
généraux
de ces deux sociologues et les nôtres, une éviden
ouvent dans la loi de Wundt et, à plus forte raison, dans la loi plus
générale
de l’équivalence des forces. C’est surtout le sys
e replier, mais il se redressait presque aussitôt. Outre l’excitation
générale
des centres cérébraux, des nerfs ganglionnaires,
lation et de la nutrition, l’émotion produit une excitation également
générale
des nerfs moteurs et des muscles. Selon Spencer,
le début, se manifestent l’un comme l’autre par un même accroissement
général
d’activité. Selon Spencer même, la douleur est es
ines tendances à une surexcitation ou à un affaissement de l’activité
générale
, selon l’approche ou le départ des objets avantag
s. On peut ajouter, avec Schneider, que l’accroissement de l’activité
générale
, même en l’absence de système musculaire, se mani
espondre, chez les animaux rudimentaires, aux divers modes d’activité
générale
, accompagnés de mouvements généraux d’expansion e
ires, aux divers modes d’activité générale, accompagnés de mouvements
généraux
d’expansion et de contraction. Nous aurons alors
d’activité au-delà de l’état normal, plaisir et mouvement d’expansion
générale
qui en devient le signe ; 2° approche de l’objet
ctivité au-dessous de la normale, douleur et mouvement de contraction
générale
qui en devient le signe. Faites un pas de plus da
e et le désir. Telles sont les émotions primitives, avec le mouvement
général
du corps qui les exprime au premier moment. Nous
organes ne font que reproduire et aider, pour leur part, le mouvement
général
d’expansion : les traits se dilatent, les sourcil
bienveillante. En un mot, l’expression de la joie est une expression
générale
de liberté et, par cela même, de libéralité. La j
emier moment, l’affaissement d’activité s’exprime par un affaissement
général
de force motrice. « Les lèvres sont relâchées, di
e banqueroute ». Quant aux larmes, elles semblent rentrer dans la loi
générale
. Selon Darwin, les pleurs « sont des vestiges rud
irritants ; les impressions pénibles de la vue, puis les impressions
générales
de tristesse, même morale, se sont liées peu à pe
ées par la psychologie. Tout se ramène, en définitive, à un mouvement
général
de la volonté vers les objets ou à l’opposé des o
u cerveau, agite bientôt la masse entière et lui imprime un mouvement
général
de concentration : la terreur est la panique inte
naître tous les éléments du problème ; elle n’en a pas moins ses lois
générales
bien établies. On ne confondra jamais une physion
sif, mais seulement produit par les effets réflexes liés au mouvement
général
de concentration. C’est aussi l’opinion de Mosso.
ppel et ne paraissait-il pas au rendez-vous que lui assignait la voix
générale
, celle de la curiosité à la fois et de la bienvei
leurs propres soldats, les Mercenaires, qui avaient servi sous leurs
généraux
en Sicile. C’est cette guerre qui ne dura pas moi
sont comme celles-ci, confuses et ramassées de toutes parts. Giscon,
général
carthaginois, gouverneur de Lilybée, chargé du co
r le gros de l’affaire, on convint de s’en remettre à Giscon, ce même
général
qui avait commandé les étrangers en Sicile, qui s
vices et leurs exploits, et qui avait plus de prise sur eux qu’Hannon
général
de l’intérieur. Giscon était près de réussir dans
et un esclave, fut marquée par toutes sortes de vicissitudes. Hannon,
général
carthaginois peu capable et qui n’eût été bon qu’
ses premiers succès, Hamilcar s’étant joint avec Hannon, puis avec le
général
qui succédait à ce dernier, reperdit ses avantage
pour cette orgie soldatesque les jardins même d’Hamilcar leur ancien
général
, alors absent de Carthage et pour le moment peu e
on délivre les esclaves d’Hamilcar. Spendius, qui sera un des futurs
généraux
des Mercenaires, est du nombre. A peine introduit
qui sont conservées dans un temple, et qu’on leur refuse. Giscon, le
général
carthaginois, est obligé de venir en personne, à
. Dans la seconde partie, on a d’abord décrit le mécanisme et l’effet
général
de leur assemblage, puis, appliquant la loi trouv
ances, depuis celle des choses individuelles jusqu’à celle des choses
générales
, depuis les perceptions, prévisions et souvenirs
x aliénistes et aux physiologistes, ont permis d’expliquer le procédé
général
d’illusion, et de rectification dont les stades s
i. — On a pu alors entrer dans l’examen des idées et des propositions
générales
qui composent les sciences proprement dites, prof
sans développements ni preuves suffisantes, pose que toutes nos idées
générales
se réduisent à des signes ; la seconde, sur l’ind
nces considérées comme des illusions métaphysiques2, sur le mécanisme
général
de la connaissance, sur la perception extérieure
t qui reçoit d’eux les nouvelles locales, leur envoie les injonctions
générales
, et ne diffère d’eux que par son organisation plu
es, qui, semblables à la formule d’une courbe, concentrent en une loi
générale
une multitude indéfinie de lois particulières. No
itude indéfinie de lois particulières. Nous traitons de même ces lois
générales
, jusqu’à ce qu’enfin la nature, considérée dans s
ces psychologies particulières ; j’aborde aujourd’hui la psychologie
générale
. Pour l’embrasser tout entière, il faudrait à la
éjeuner qui termine la fête, au dessert, il improvise en l’honneur du
général
des couplets qui jappellent les refrains patrioti
ste est remplissage, tiré par les cheveux, détestable ; mais le vieux
général
pleurait, et il est venu m’embrasser. C’est payé
différentes, un petit ouvrage de lui, Aperçu sur l’art militaire. Le
général
se prend de goût et d’amitié pour ce lieutenant d
ssance de la petite princesse venue au jour à Blaye. Il accompagne le
général
dans le voyage qu’il fait jusqu’à Palerme pour y
i n’est pas encore arrivé au sommet de la hiérarchie. Les conceptions
générales
, les grandes vues viendront après, s’il y a lieu
plaindre du peu d’égard qu’on avait à Paris pour les propositions des
généraux
en chef et gouverneurs, et de ne pas approuver la
généraux en chef et gouverneurs, et de ne pas approuver la politique
générale
, avant tout conciliante et accommodante, qui prés
assage à Paris chez le général Pajol, dont le fils est son ami : « Le
général
, dit-il, croit à la guerre, mais pas avant le pri
que, là où il est, on aime peu le gouverneur. Ces dissidences de nos
généraux
d’Afrique sont à peine indiquées dans la correspo
il fait son apprentissage de commandant en chef : « Si jamais je suis
général
, j’arriverai tout formé. » Dans les expéditions q
les constellations », c’est-à-dire dans les étoiles de l’épaulette de
général
. Le maréchal a obtenu pour Saint-Arnaud le grade
ment de la subdivision d’Orléansville, qui est en réalité un poste de
général
, voilà des occupations nouvelles et brillantes (n
l y est enchaîné » ; c’est une bonne école ; il se fait petit à petit
général
: « Je m’aperçois avec plaisir qu’en face des cir
es premières impressions avantageuses sur Saint-Arnaud comme officier
général
de grand avenir et comme homme de nerf à employer
périeur de Constantine (janvier 1850). Tandis qu’en France les autres
généraux
illustres de la première génération africaine s’e
e de soumission et d’hommage au général Saint-Arnaud. Les gouverneurs
généraux
de l’Algérie se succèdent ; le général d’Hautpoul
et décisifs, il couronne sa carrière d’Afrique et mérite d’être nommé
général
de division comme il convient de le devenir, c’es
s plus belles expéditions qui se pussent faire ». Cette nomination de
général
de division qui lui arrive en même temps que la n
t s’empêcher d’aimer : Cher enfant, tu es admissible, et moi je suis
général
de division. Nous avons fait tous deux un pas de
ose, de frapper un grand coup ; mais je sens cela mieux que vous, mes
généraux
aussi, mes soldats aussi, tout le monde ; mais j’
été maîtres du feu et hors de danger qu’à trois heures du matin. Les
généraux
Thiry, Bizot, Martimprey, le colonel Lebeuf et bi
ou moins efficaces qu’il proposait ; je ne fais qu’indiquer la ligne
générale
de Roederer en ces années. Dans un écrit : Des fu
e la censure, ce que pourrait être la satire en des temps de calamité
générale
, et ce qui fait qu’à de pareilles époques l’arme
le général Bonaparte) n’admettait dans sa maison que les savants, les
généraux
de sa suite, et quelques amis : Regnault de Saint
chez Talleyrand-Périgord. Talleyrand, après dîner, me nomma à lui. Le
général
me dit : « Je suis charmé de faire votre connaiss
cle que vous avez fait contre moi il y a deux ans. » — « Contre vous,
général
? je ne me rappelle pas… » — « Si fait, c’est au
le grand changement survenu dans les rapports du gouvernement et des
généraux
. Depuis les victoires de Bonaparte en Italie, il
victoires de Bonaparte en Italie, il était évident, en effet, que les
généraux
et leurs troupes, au lieu de dépendre du gouverne
e du gouvernement. Le sens de l’article était donc : Prenez garde aux
généraux
qui maintenant alimentent le Trésor public ; et v
t assez imbu des doctrines philosophiques courantes, rappela alors au
général
plusieurs points, d’ailleurs incontestables : que
re tête et pour nous donner les moyens de les comparer, etc., etc. Le
général
en convint, mais il avait dit sur le fond de la q
nnages du gouvernement, de l’armée, de l’Institut, affluaient chez le
général
et lui déféraient en quelque sorte le pouvoir :
pouvoir : Je joignis, dit Roederer, l’expression de mes vœux au vœu
général
. Quand Bonaparte me demanda si je ne voyais pas d
n. Dans les quinze jours qui précédèrent le 18 Brumaire, il voyait le
général
tous les soirs et avait avec lui un entretien par
vous parlez bien ; vous êtes capable de faire face au Tribunat. » — «
Général
, je ferai ce que je pourrai pour le succès de la
ne sont pas le résultat de l’instruction, et par conséquent du désir
général
. Si l’imagination, justement frappée des crimes d
vers sentiments peuvent rappeler, l’on a recours du moins à des idées
générales
, à des motifs tirés du bonheur des nations, à des
nts de la science ne sont point fixés. Ce que nous appelons des idées
générales
, ne sont que des faits particuliers, et ne présen
ues pays, des institutions conformes à la raison ; mais les principes
généraux
de la politique n’y seront pas fixés, l’applicati
t dans la tête des hommes, dès qu’on leur a donné la forme d’une idée
générale
. Les contradictions se concilient par une sorte d
simplifier ; ils ne se faisaient nulle idée de la nature des vérités
générales
. Ces vérités se composent de chaque fait et de ch
vengeance, les victimes qu’on avait immolées sous le prétexte du bien
général
, renaissent de leurs cendres, se relèvent de leur
jours aux hommes réunis en masse, elle est fondée sur une combinaison
générale
, et par conséquent abstraite ; mais la morale aya
écessaire pour forcer la politique à respecter, dans ses combinaisons
générales
, le bonheur des individus. La morale doit diriger
ie, on ne peut affirmer qu’il n’y ait point d’exception à cette règle
générale
. Or, si vous voulez soumettre ces exceptions aux
fait inattendu a été prévu par ceux qui lui ont présenté des maximes
générales
sur la conduite qu’il devait tenir ? Les règles d
lgamés et fondus, c’est d’eux que nous tenons la plupart de nos idées
générales
. Darwin surtout — plus mal compris à mesure qu’il
pas cherché à élargir leur popularité par la séduction des hypothèses
générales
et des vastes perspectives systématiques. Des plu
ur le darwinisme925, d’où nous sortons mieux renseignés sur la valeur
générale
de la doctrine. Il y a un point où l’histoire se
pécial — nous fait voir dans ses expressions artistiques le mouvement
général
des civilisations anciennes, et saisir la vie mêm
ychologiques de la sainteté ou de la dévotion. Puis, d’une façon plus
générale
, il nous a encouragés à ne pas nous arrêter dans
culière nature. À tous, littérateurs ou autres, il nous a donné cette
générale
leçon, d’avoir trouvé la paix de la conscience et
de toute qualité : hommes et femmes, civils et militaires, soldats et
généraux
, c’est à qui nous rendra, plus ou moins complète
xpérimentale, 1878. 928. Renouvier (né en 1815) : Essais de critique
générale
, 4 vol. in-8, 1854-64. — Th. Ribot : Psychologie
nn Lévy, 1890, in-8 ; Averroès et l’averroïsme, 1852, in-8 ; Histoire
générale
et système comparé des langues sémitiques, 1855,
es (1877), l’Eglise chrétienne (1879), Marc Aurèle (1881) et un index
général
(1883) : 8 vol. in-8 ; Calmann Lévy. Histoire du
in-8, 1879-1880. Lettres, 1881, in-8, Calmann Lévy, 2. vol. 944. Le
général
baron de Marbot (1782-1834) : Mémoires, 4 vol. in
Essais. Caractère de Montaigne ; sa vie ; son temps. — § V. Caractère
général
des Essais. Pourquoi Montaigne a-t-il un goût par
rte la date de 1605, on est surpris du peu qu’ils ont exprimé d’idées
générales
. Sauf dans un petit nombre de pièces qui ont tiré
époque. Non que les poëtes ne sentissent vaguement la vertu des idées
générales
, témoin la typographie d’alors qui les enfermait
ifficile à fixer, et qui ne peut recevoir sa perfection que des idées
générales
. Voilà pourquoi les poëtes ne sont pas des penseu
ra demain. Ceux des poëtes de cette période qui ont exprimé des idées
générales
, satisfaisaient moins leur raison qu’ils ne cares
adressent éternellement à la raison. C’est par cette rareté des idées
générales
que s’expliquent et la stérilité de la poésie au
out entier, parce que là seulement il exprime un grand nombre d’idées
générales
. Après Rabelais et Calvin, elles continuent d’ent
remière culture de l’antiquité, pouvait concevoir et exprimer d’idées
générales
, et qu’en traduisant un des écrivains de l’antiqu
spèce d’adresse que donnait aux auteurs les plus médiocres l’habitude
générale
au xvie siècle d’écrire en vers ; outre que, dan
Montaigne, fit perdre au grec la faveur publique, tenait à des causes
générales
. Le grec avait été la langue de l’hérésie ; or, l
urs la même que celle des écrits de ses devanciers. Ce sont les idées
générales
, les vérités toujours vraies ; et, à cet égard, i
aïssable, comme Calvin, en lui immolant la liberté. § V. Caractère
général
des Essais. — D’où vient le gout de Montaigne pou
nt à Dieu, dont ils sont les créatures privilégiées. Toutes les idées
générales
sont dans le livre des Essais ; toutes les vérité
esprits faibles s’y laisseront prendre. Il y a d’ailleurs des causes
générales
de ce goût de Montaigne pour les auteurs des époq
amine les définitions et en rapporte les exemples tirés de l’histoire
générale
ou anecdotique ; si c’est une maxime générale, il
les tirés de l’histoire générale ou anecdotique ; si c’est une maxime
générale
, il réfute ou approuve, en les faisant valoir tou
uisse ; premières liaisons avec la Russie. — Raccommodement ; Jomini,
général
de brigade. — Retraite de Russie. Dans cette bat
de colonel et ne pouvait être chef d’état-major, vu que tous étaient
généraux
. Cependant la demande directe de Ney à l’Empereur
ue le maréchal a demandé, dès le mois de février dernier, le grade de
général
de brigade pour le colonel Jomini, son chef d’éta
avoir d’ordre écrit, faillit amener un duel entre lui et le brillant
général
de cavalerie Colbert à la veille de son glorieux
ph pour lui venir en aide contre Wellesley (Wellington), au cas où ce
général
, qui avait pris pied en Portugal, se porterait de
ière ligne et en chef, il se voyait rejeté à la suite de l’état-major
général
, réduit à l’inutilité, ayant à prendre les ordres
commandement lui était spécialement réservé en sa qualité de colonel
général
des Suisses, — après n’avoir éprouvé de sa part q
nissime le Prince de Neuchâtel et de Wagram, Vice-Connétable, Colonel
général
des Suisses, etc., etc. Monseigneur, Votre Altess
décret de l’Empereur, qui porte la date du 7 décembre, nommait Jomini
général
de brigade ; il ne l’apprit que dix jours après :
général Eblé, peu content de l’adjonction qu’on lui avait faite d’un
général
son cadet, et qui n’était pas de son arme, partit
tée concernant Jomini, avait eu soin pourtant de l’adoucir un peu. Le
général
n’y était désigné que par une initiale J… Au lieu
assano, écrite de Viazma (29 août 1812) : « J’ai donné ordre au major
général
de placer le général Jomini ailleurs. — Parlez fo
fit partie du camp de Tournoux, qui fermait la vallée de l’Arche. Les
généraux
le distinguèrent ; il eut son premier combat à Ma
isation régulière, dit Marmont, Junot attaché comme aide de camp à un
général
qu’on ne voulait pas reconnaître, et Bonaparte, s
argesses et à la libéralité. Dans le beau portrait qu’il a tracé d’un
général
qui remplit toutes les conditions du commandement
outes les conditions du commandement, il n’oublie pas celle-ci : « Un
général
doit être aussi magnifique que sa fortune le lui
assiégés, s’empare du drapeau des chevaliers de l’Ordre. Il est fait
général
de brigade pour ce fait d’armes à vingt-quatre an
és et porté plutôt à devancer l’avenir qu’à le retarder et à le nier.
Général
en chef de l’armée de Portugal, c’est lui qui, en
, dit Napoléon à son tour, se firent avec tant d’intelligence par les
généraux
d’artillerie Gassendi et Marmont, que la marche d
comme le signal à la charge soudaine de Kellermann, nous le montrent
général
d’artillerie consommé, et aussi résolu qu’ingénie
de ses succès. Il le citera toujours ensuite comme un exemple de ces
généraux
plus heureux qu’habiles, et qui ont eu pour eux l
t universel, et un désir immodéré de rentrer en France de la part des
généraux
; une artillerie détruite en entier, et point de
dignité : « Spectacle imposant, dit-il, de cette entrée en pompe d’un
général
d’armée mutilé sur le champ de bataille, porté av
uivre, et, après les questions militaires, il en aborde d’autres plus
générales
, comme il faisait souvent. Il se plaint de ses al
ît, et vous n’en avez point pour les pauvres ? Les termes abstraits,
généraux
, collectifs, ne disent pas grand’chose souvent à
que de la mémoire, ces mêmes esprits pensent avec des mots abstraits,
généraux
, collectifs : les ayant pensés et exprimés, ils s
s les formes de bâtiments que le vocabulaire lui a fournis : au terme
général
, flotte, il a substitué les mots particuliers, do
ceptible, elle oscille entre deux limites : la recherche du caractère
général
, qui remet l’objet dans une série, dans un genre,
ue ou d’Amérique. En un mot, c’est le désert ; Buffon saisit le trait
général
, il l’appuie, l’enfonce, faisant abstraction de t
. Cette description est aussi particulière que celle de Buffon était
générale
; elle est faite des mêmes éléments, elle n’ajout
re que le morceau me donne, j’isolerai pourtant de quoi former l’idée
générale
du désert (assez vide, assez désolé, etc. ; solei
umineuse, d’un paysage où se localisent avec précision les caractères
généraux
du désert. Enfin dans les deux descriptions j’ape
atteindre, dans le domaine des sciences historiques, quelques vérités
générales
. D’ailleurs, c’est ici le cas de rappeler cette p
les noms suivants : Nansouty. — Fils du major de Château-Trompette.
Général
de division en 1803 ; colonel général des dragons
du major de Château-Trompette. Général de division en 1803 ; colonel
général
des dragons en 1813, commandant de la cavalerie d
riale, premier écuyer de l’Empereur, etc. Gudin de La Sablonnière. —
Général
de brigade (1799), général de division (1800), co
Empereur, etc. Gudin de La Sablonnière. — Général de brigade (1799),
général
de division (1800), comte de l’Empire (1808). Tué
celui-ci à Paris, fit presque toutes les campagnes et mourut officier
général
. » La Colombière. — Émigré en 1793, passe au ser
n au ministère de la guerre (1805). Sous-gouverneur des pages (1806).
Général
de brigade (1811). Bonnay de Breuille. — Command
Boisgérard. — Chef de bataillon en 1793, employé contre les Vendéens,
général
de brigade en 1796, tué dans l’expédition de Napl
Spire, demandé par Bonaparte pour servir à l’année d’Italie (1797) ;
général
de brigade (1800). Tué à Marengo. Napoléon se cha
lshommes » des autres promotions, on retrouve le maréchal Davout, les
généraux
Desaix, de Tugny, d’Hautpoul, etc. Notons aussi q
« C’est une espèce de Sarrasin, disait Michelet, — C’est un mauvais
général
, hasardait Lanfrey. — C’est un garnement ! criait
Baptiste Galeazzini, maire de Bastia, fut nommé, en 1803, commissaire
général
de l’île d’Elbe, et demeura huit années dans ce p
à la victoire, vienne se rappeler à l’honneur de votre souvenir. Oui,
général
consul, j’ai le même cœur, le même courage, la mê
, plus haut, comme pour joindre l’exemple au précepte, l’épitaphe des
généraux
morts pour la patrie ou assassinés par les chouan
, était forcée d’obéir au maréchal marquis de Vioménil, au lieutenant
général
duc de Gramont, au lieutenant-général comte de Bé
le trône ; — Richelieu, évêque de Luçon, prenant la parole aux États
généraux
de 1614, afin de « présenter le cahier de son ord
tie professionnelle. Son premier soin fut de solliciter la venue d’un
général
de son arme, « qui pût, ne fût-ce que par son gra
bornes. Hoche, sous lequel il servit quelque temps, le nota ainsi : «
Général
sans-culotte ». Brave homme au demeurant, bon com
rras, qui affirme, dans ses Mémoires, qu’elle rédigeait les ordres du
général
. Barras prétend même qu’un jour elle signa, par m
dans un rapport officiel), remit de l’ordre dans cette confusion. Les
généraux
surtout causaient du souci à l’artilleur Bonapart
généraux surtout causaient du souci à l’artilleur Bonaparte. Ah ! ces
généraux
! Non seulement ils se disputaient entre eux, mai
militaires de l’armée regardent l’artillerie. Toutes les fois que les
généraux
voudront… s’en mêler… j’en instruirai le ministre
ppris et ce que l’on n’a jamais fait. » Il priait qu’on empêchât les
généraux
de s’emparer capricieusement des chevaux de l’art
l’on admire combien la Convention fut sage, en plaçant, auprès de ses
généraux
, une autorité permanente, qui était chargée, selo
nt se récusa. Puis, on vit arriver au quartier général d’Ollioules le
général
Dugommier, le papa Dugommier, vieux soldat de la
ime, d’affection et d’amitié que nous a données ce brave et intrépide
général
. Ensuite, l’exilé, comme si cette vision d’une a
nseil de guerre du 20 mars 1804 avait jugé par ordre. Dans l’Histoire
générale
de MM. Lavisse et Rambaud, on lit ceci : « Les p
ent, un faux témoin. C’est lui qui, sans succès d’ailleurs, offrit au
général
de brigade Lenormand cent mille écus et le grade
énéral Dumouriez, un complot contre la sûreté de l’État. Le duc et le
général
avaient été vus ensemble à Ettenheim… Suivaient d
garanties du droit des gens, dans la nuit du 15 au 16 mars 1804. Les
généraux
Caulaincourt, Levai, Ordener et Fririon, assistés
ouvernement, affirmant, sans preuves, que l’accusé était coupable. Le
général
et les colonels ne pouvaient détacher leurs yeux
le dernier. La condamnation fut prononcée à l’unanimité. Aussitôt le
général
, président du conseil de guerre, chercha un moyen
est chargée d’opprobre. Et pourtant, ils n’étaient pas méchants ! Le
général
président du conseil de guerre de Vincennes a fai
s… L’ordre d’exécution ne pouvait être régulièrement donné que par le
général
gouverneur de Paris… Rentré dans Paris, j’aurais
positions il pouvait noter brusquement, dans ce spectacle inouï : les
généraux
de la Convention, agenouillés devant les dignitai
ques du « signor Chiaramonti », pape, quel chemin parcouru ! Le petit
général
de vingt-six ans, si étriqué sous sa cape bleue,
é, par les historiens, au rang des plus abominables émeutes. Il était
général
en second de l’armée de l’intérieur, un sous-Barr
La dame ne paraissait pas trop pressée de rentrer chez elle. Le jeune
général
se plut à écouter son bavardage et à regarder sa
lle parlait avec une sympathie convenable, avait été député aux États
généraux
, président de la Constituante, général en chef de
it, dans tous les sens, la douceur d’une griserie inconnue. « Citoyen
général
, dit-elle en se retirant, j’espère avoir le plais
faut) la réputation actuelle du quartier Notre-Dame-de-Lorette. Le «
général
en second de l’armée de l’intérieur », soutenant
il allait, chaque jour, inspecter les troupes de la Convention, le «
général
en second de l’armée de l’intérieur » respirait a
nt des Carmes, avaient procuré à Joséphine le plaisir de connaître un
général
héroïque et charmant, Lazare Hoche, ancien sergen
maigre, portant, sur ses épaules étriquées, une paire d’épaulettes de
général
, qui semblaient mal affermies et qui ne tenaient
arrivé en Italie, culbute, par des manœuvres foudroyantes, les vieux
généraux
autrichiens, podagres, méthodiques et fourbus. Il
man, que je ne crois pas cela, mais ce qu’il y a de sûr, c’est que le
général
est très affecté. Cependant, il redouble d’amabil
e l’autre11… Cette admiratrice enthousiaste essayait de détourner le
général
des devoirs sacrés de la fidélité conjugale. Elle
génie à une petite insignifiante créole, indigne de l’apprécier… Le
général
montrait ces lettres, en haussant les épaules, à
Fille de ce M. Jacques Necker, banquier genevois, qui fut contrôleur
général
des finances sous Louis XVI, elle avait sincèreme
ces effusions. Mme de Staël saluait, elle aussi, dans la gloire d’un
général
républicain, l’aurore d’une ère nouvelle. On croy
assistait à cette fête, ayant mission de présenter au Directoire les
généraux
Joubert et Andréossy, porteurs d’une oriflamme où
inistre de la Guerre qui nous présentera Bonaparte. Ce n’est point le
général
, c’est le négociateur de la paix, c’est surtout l
». Il se présenta, sans faste, dans l’uniforme sévère et puritain des
généraux
de la Convention (l’habit bleu, presque bourgeois
e précoce le nom de Bonaparte. Il insista sur les goûts champêtres du
général
. Il s’espaça sur les charmes de la poésie. Il par
andi aux yeux des multitudes. Un des témoins de cette scène, le futur
général
(alors commandant) Paul Thiébault, a noté, fort e
a noté, fort exactement, l’effet produit par l’entrevue solennelle du
général
victorieux et du Directoire déconsidéré : Le gén
par son armée durant ses campagnes d’Italie. Ambassadeurs, ministres,
généraux
et officiers supérieurs de terre et de mer, tout
t des chevaux pour apporter, à franc étrier, au ministre de la Police
générale
, des billets comme celui-ci : Ne laissez pas app
que leur compatriote l’amiral comte Ver Huell était nommé inspecteur
général
des côtes de la mer du Nord. Le conquérant s’ingé
d’État ? — Sire, je préférerais autre chose. — Eh bien ! je vous fais
général
de brigade. » Les diplomates sont habitués à port
l épingla, sans se faire prier, la cocarde tricolore à son chapeau de
général
. Ses compatriotes lui donnaient l’exemple d’une a
foyer se concentrait à Paris. Le baron de Gelder devint naturellement
général
français, comme les ducats et les rixdales devena
f devant les tentes impériales ; je m’approchai du groupe d’officiers
généraux
de la maison de Napoléon. Un morne silence régnai
n ton machinal : « Il faut voir ce qu’il sera à vingt-cinq ans. » Les
généraux
lui obéissaient à peine. Quelques-uns le trompaie
ns l’adversité. On voit tout cela, tragiquement, dans les Mémoires du
général
baron de Gelder. X Le genre littéraire que
lmy. La garde impériale, dont les régiments étaient commandés par des
généraux
, montrait avec orgueil les grenadiers du baron Pe
alerie légère de Lefebvre-Desnouettes. Le duc de Dalmatie était major
général
. Le bon Radet, terreur des traînards en maraude,
s de 20 000 sabres. Enfin, il crut pouvoir compter sur la fidélité du
général
comte de Bourmont, ancien chouan, parvenu au comm
it-il advenu si l’Empereur, au lieu de Soult, avait choisi pour major
général
le comte Belliard ou Bailly de Monthione ? Je n’e
al Bazaine, après avoir réuni les maréchaux Canrobert et Le Bœuf, les
généraux
Ladmirault, Frossard, Coffinières et Soleille, co
oupier brave, déjà vieilli (comme le furent, hélas ! trop souvent nos
généraux
d’armée), égoïste, esclave de ses habitudes et de
érial ou d’un de ces représentants de la Convention, qui menaient les
généraux
, de gré ou de force, à la victoire. Son malheur f
atifs, la faiblesse des effectifs, le vide des magasins. L’état-major
général
ne connaissait pas les mouvements de l’ennemi. On
, un incroyable laisser-aller, du « flottement » partout. Ces pauvres
généraux
, sauf de rares exceptions, étaient décidément tro
et de vastes pensées. Jamais la victoire n’a fait bon ménage avec les
généraux
âgés. Napoléon est mort à cinquante et un ans, et
mposer l’obéissance, invitant au lieu d’ordonner, se plaignant de ses
généraux
en leur absence, n’osant les réprimander ou les p
vant d’être paralysée, énervée, anéantie par la mauvaise volonté d’un
général
qui, après sa honteuse capitulation, s’enfuit tou
vre, M. André Chevrillon, qui est aussi enclin à la liaison des idées
générales
qu’à la notation des faits particuliers, résolut
n sait que, dans ces pays, les premiers rôles semblent appartenir aux
généraux
et aux avocats. Les présidents, les ministres, le
fourreau de sabre qui traîne sur le pavé. Parfois, il arrive que deux
généraux
se battent entre eux, car là-bas les armées serve
caravaniers de Cook, aux convoyeurs de Lubin, aux pilotes de la Revue
générale
des sciences ! Leurs exodes, leurs tournées, leur
géographie sans effaroucher ni dépayser nos manies casanières. Règle
générale
: il y a toujours, après chaque Exposition, une r
ou shintoïstes. Nous voulons conformer notre religion aux directions
générales
de la civilisation moderne. Nous ne voulons pas ê
l Gautier. 1 vol. in-8, v-422 p. Paris, Plon, 1903. 12. Mémoires du
général
baron de Dedem de Gelder (1774-1825), avec un por
es, c’est-à-dire les genres ou les familles, suivent les mêmes règles
générales
que les espèces elles-mêmes dans leur apparition
ions de groupes organiques sont tout à fait exceptionnelles. La règle
générale
est au contraire que, par un accroissement gradue
ls que MM. Élie de Beaumont, Murchison, Barrande, etc., dont les vues
générales
aboutissent pourtant logiquement à de semblables
nde et au nouveau seraient retranchées de l’ensemble, le parallélisme
général
des autres formes successives de l’organisation,
lus ou moins locales et temporaires, mais qu’elles dépendent des lois
générales
qui gouvernent le règne animal tout entier. » On
ée des mêmes formes vivantes dans le monde entier, prise dans un sens
général
, s’accorde parfaitement avec le principe selon le
ent que nous devons trouver en l’une et en l’autre la même succession
générale
des formes de la vie ; mais les espèces peuvent b
plus récentes. Barrande a montré de même qu’il existe un parallélisme
général
très frappant dans les dépôts siluriens successif
pourraient s’arranger dans un même ordre, d’accord avec la succession
générale
des formes de la vie, et cet ordre semblerait fau
e filiation généalogique. Plus une forme est ancienne, plus, en règle
générale
, elle diffère des formes vivantes. Mais, comme Bu
ins parfaites que si nous les combinons ensemble dans un seul système
général
. En ce qui concerne les vertébrés, on pourrait re
et il serait difficile de prouver que cette proposition est de vérité
générale
; car, çà et là, on trouve un animal vivant, tel
formes actuelles. Il ne faudrait cependant pas considérer le principe
général
de la divergence des caractères comme une loi néc
de l’histoire de la terre doit être intermédiaire dans ses caractères
généraux
entre celle qui l’a précédée et celle qui l’a sui
térieures, ce n’est pas une objection réelle à la vérité de cette loi
générale
que de lui opposer quelques genres qui semblent f
arées. M. Pictet en donne un exemple bien connu, dans la ressemblance
générale
des restes organiques des divers étages de la Cra
éologiques fourniront des preuves plus décisives de la loi de progrès
général
. Le problème est de toute façon extrêmement compl
ion plus spécialisée. C’est ce qui peut rendre compte de ce sentiment
général
et mal défini qui porte beaucoup de paléontologis
n certainement une décadence pour les individus. N’est-ce pas une loi
générale
dans la nature organique que la vigueur, la force
arrive fréquemment que l’esprit comprenne par avance, sous un concept
général
, une intuition particulière qui n’en dépend que d
ublic sous ce double jour : chacun de ceux-ci subsume sous un concept
général
, représentatif de la qualité et de la quantité d’
t autre, il se pare, aux yeux de la dupe qu’il a choisie, de qualités
générales
dont la représentation existe par avance, sous fo
dont on s’est fait une méthode, de n’indiquer ici que les directions
générales
vers lesquelles la vue peut se porter, on se born
ier à composer le squelette, les tissus et les nerfs, et, d’une façon
générale
, l’être physiologique, soit impuissant alors à op
nsforme le plus souvent en grande personne et il devient à son gré un
général
, un médecin ou un empereur ; mais il peut être au
rté du fait d’être rattachés à la loi dont on expose ici le caractère
général
. L’un constitue un Bovarysme par excès d’énergie,
ions. Il va donc tenir pour suspectes les manières de penser les plus
générales
. Cela est bien raisonné de sa part : outre qu’à s
e nos jours sur ceux de Tolstoï, d’Ibsen ou de Nietzsche. D’une façon
générale
ce qui détermine le suffrage des snobs lorsqu’ils
en quoi consiste le Bovarysme. Il a semblé qu’en rattachant à ce cas
général
cette forme ancienne de la présomption à laquelle
térieures. Incapable sans doute de penser l’universel, puisque l’idée
générale
suppose la représentation au moins virtuelle d’un
tion des ressemblances au confluent des deux courants apparaît l’idée
générale
. Il ne s’agit pas ici de trancher en bloc la ques
érale. Il ne s’agit pas ici de trancher en bloc la question des idées
générales
. Parmi ces idées il en est qui n’ont pas pour ori
atériels. Nous les laisserons de côté, pour n’envisager que les idées
générales
fondées sur ce que nous appelons la perception de
ficultés d’ordre psychologique soulevées autour du problème des idées
générales
, on arrivera, croyons-nous, à les enfermer dans c
fisance de l’autre. Les nominalistes, en effet, ne retenant de l’idée
générale
que son extension, voient simplement en elle une
s’étendre à un nombre indéfini d’autres choses, s’érige alors en idée
générale
. Mais pour que le mot s’étende et néanmoins se li
et, de degré en degré, le nominalisme va être amené à définir l’idée
générale
par sa compréhension, et non plus seulement par s
luxe de la perception, de même que la représentation claire des idées
générales
est un raffinement de l’intelligence. La concepti
l’autre par voie de dissociation. L’analyse réfléchie l’épure en idée
générale
; la mémoire discriminative le solidifie en perce
différentes est le germe que la conscience humaine développe en idées
générales
. Qu’on réfléchisse, en effet, à la destination de
ps la même attitude, quelque chose de commun s’en dégagera, et l’idée
générale
aura ainsi été sentie, subie, avant d’être représ
ar un effort de réflexion accompli sur cette opération même, à l’idée
générale
du genre ; et une fois cette idée constituée, nou
s construit, cette fois volontairement, un nombre illimité de notions
générales
. Il n’est pas nécessaire ici de suivre l’intellig
s ici à un phénomène essentiel de la vie mentale. L’essence de l’idée
générale
, en effet, est de se mouvoir sans cesse entre la
es souvenirs dans leur totalité. Dans le cône ainsi déterminé, l’idée
générale
oscillera continuellement entre le sommet S et la
s extrémités entre lesquelles il oseille ; elle fera coïncider l’idée
générale
tantôt avec l’action qui la joue ou le mot qui l’
i en sont l’équivalent dans la mémoire. Mais la vérité est que l’idée
générale
nous échappe dès que nous prétendons la figer à l
l’associationnisme n’en peut fournir aucune explication. La tendance
générale
à s’associer demeure aussi obscure, dans cette do
ail intellectuel, d’une conception à former, d’une idée plus ou moins
générale
à extraire de la multiplicité des souvenirs ? Une
ière ou d’une autre. Or, à côté des lésions qui affectent la vitalité
générale
des fonctions sensori-motrices, affaiblissant ou
on de Vienne qui précéda et suivit Austerlitz, il fut nommé intendant
général
de la province d’Autriche en même temps que le gé
Armée en octobre de cette même année. Il était depuis 1805 intendant
général
de la maison de l’Empereur, ce qui, de la part du
remarquer qu’il cumulait une triple administration : 1º l’intendance
générale
de la maison de l’Empereur et des domaines privés
de l’Empereur et des domaines privés de la Couronne ; 2º l’intendance
générale
de ses armées qui prirent à dater de 1805 un déve
secrétaire d’État, ce qui fit trêve quelque temps dans son intendance
générale
des armées ; mais il en reprit de fait les foncti
sans cesse : je voulais ensuite rendre à mes lecteurs, dans une page
générale
et pourtant précise, l’impression que j’aurais re
ne l’avait peut-être apprécié qu’à demi, M. Cuvier disait : Après le
général
, c’est sur l’administrateur de l’armée que pèse l
s : il ne s’agit pour le moment que de bien définir, par un caractère
général
qui l’honore, ce groupe littéraire de Collin d’Ha
éternels et de bon sens, mais qui étaient peut-être d’une vérité trop
générale
et qui ne s’appropriaient pas assez au cas partic
tenait en quelque sorte la voie du milieu. 97. [NdA] Ou commissaire
général
; peu importe le titre. Une légère inadvertance c
n procédé fâcheux et désobligeant que j’ai eu à essuyer de la part du
général
de brigade baron Petiet. Ceux de mes lecteurs qui
çoivent une éducation militaire conforme aux différents usages que le
général
se propose de faire de leurs armes distinctes dan
omination et hiérarchie des sous-officiers et des officiers, génie du
général
, héroïsme collectif de ses bataillons, où chaque
dividuelles, mais collectives, du champ de bataille. Il pense avec le
général
, il discute avec le conseil de guerre, il vole di
it poussé sur les champs de bataille, l’Europe aurait compté un grand
général
de plus dans ses fastes. L’esprit universel peut
ées à tous les princes et à toutes les princesses de sa famille ; ses
généraux
reçoivent des titres, des dotations, des souverai
euse renommée de la tactique et de l’invincibilité des troupes et des
généraux
du grand Frédéric. Divisée en sept corps d’armée
r diviser l’armée en deux corps pour satisfaire aux exigences de deux
généraux
. Pendant ces hésitations Napoléon s’avance, avec
eux ces deux armées n’est plus historien ; il est combattant, soldat,
général
, peintre de bataille. « Des soixante-dix mille P
à Napoléon, la victoire est à Davout ; l’historien ici est juste. Ce
général
égale et souvent surpasse son maître ; il ne lui
française, couché maintenant dans son cercueil, recevait la visite du
général
de cette Révolution, devenu empereur, conquérant
c une supériorité de lumière, de feu, qui ne laisse ni une pensée des
généraux
, ni un général, ni un soldat, ni une goutte de sa
é de lumière, de feu, qui ne laisse ni une pensée des généraux, ni un
général
, ni un soldat, ni une goutte de sang, ni un accid
ar la crue des eaux du Danube et par la rupture des ponts. Tout autre
général
que celui qui n’avait pas de juge y aurait laissé
n ce qu’ils auraient appelé désastre dans ses rivaux. Ses plus braves
généraux
restent sur le champ de carnage ; la nuit seule c
la garde d’Aspern à ses lieutenants. Le maréchal Bessières, le major
général
Berthier, quelques chefs de corps, le maréchal Da
général Haxo, et, les ayant trouvés aussi favorables que le disait ce
général
, ordonna l’établissement des ponts pour la nuit m
r au-delà du Niémen ! » XIX La gloire pour les soldats et les
généraux
, oui ! Mais la gloire pour le chef qui conçoit et
deur réelle de ses proportions colossales comme administrateur, comme
général
et comme despote. M. Thiers a reconstruit Napoléo
aphysique de ce grand mot ? Le gouvernement est la force des intérêts
généraux
de la société reliés ensemble pour le salut des s
onale était-elle sans gouvernement la veille du 18 brumaire, quand un
général
heureux et populaire vint renverser violemment le
gnes d’Allemagne, de Suisse, d’Italie, d’Égypte, dont les noms de ces
généraux
rapportaient la gloire, mais dont le gouvernement
allait se donner sous d’autres formes n’avaient pas été sabrés par le
général
revenu du Caire à Paris ; mais, s’il est douteux
et en histoire que la nécessité et que le bienfait du coup d’État du
général
Bonaparte au 18 brumaire. Dans tous les cas ce co
mpagne ; et, pour la seconde, on s’attendait de nouveau à une affaire
générale
, mais elle dépendait des mouvements du duc de Cum
niâtreté et solidité habituelles. Les Autrichiens, que ménageait leur
général
, le comte de Batthyany, ne donnèrent pas et firen
il y avait un mot à l’adresse de la dauphine : « Dites-lui que notre
général
n’a jamais été plus grand qu’en ce jour, mais de
urtant que sa présence avait nui bien plutôt qu’aidé aux démarches du
général
et contribué aux fautes commises. Après cet avant
es de Journaux anecdotiques ou de Mémoires, accorder des éloges à son
général
, mais il les gâte d’un mot, qui de la part d’un a
uel droit vient-il interpréter d’une manière si grave un geste de son
général
, qui ne juge pas à propos de risquer une seconde
ans une armée, parce que leurs opinions font des prosélytes, et si le
général
n’est un personnage opiniâtre et entêté de son op
e de nos armes et celle du roi. Les esprits s’échauffent, on blâme le
général
de sa lenteur ; il ne saurait partir trop tôt pou
que d’être ce qu’on appelle un gentil garçon, de se dire dévoué à son
général
et de répéter de pareils propos en l’air, de tell
urait voulu, à cette fin d’année, être nommé non-seulement commandant
général
, mais gouverneur général, mais lieutenant pour le
urs de l’un sur les retards de l’autre. 25. Il ne fut que commandant
général
et non gouverneur général ; il y avait plus que d
lutter contre tous les ennemis alors existants dans ces contrées. Ce
général
, instruit, spirituel, vaillant, était un des plus
ayer son récit par une critique littéraire des proclamations du jeune
général
, et d’y relever l’enflure et les sesquipedalia ve
qué, ou aurait cru qu’on lui avait donné un comédien extravagant pour
général
. Mais c’est là un trait des Français, qu’ils pren
hés à l’expédition, et portaient leurs instruments scientifiques. Le
général
avait donné l’ordre qu’on veillât à leur sûreté,
de tous les rangs, lorsque, se préparant à recevoir les mameluks, les
généraux
de division criaient avec le laconisme militaire
ion : c’est l’imputation étrange et grave lancée par lui contre M. le
général
Gourgaud. Toute réflexion nous est interdite à ce
. Toute réflexion nous est interdite à ce sujet. Nous espérons que le
général
ne tardera pas à répondre lui-même, et nous souha
la chute de la Restauration, c’est assurément la quantité de systèmes
généraux
et de plans de réforme universelle qui apparaisse
bon sens, que qui prouve trop ne prouve rien. La quantité de systèmes
généraux
et de théories sociales qui s’élèvent est pourtan
té, égalité, association, telle est leur devise ; tel est le problème
général
qu’ils se proposent. Lancés fort avant par leurs
t, le symbolisme le plus vaste : tels nous apparaissent les principes
généraux
, flottants sans doute, mais pourtant saisissables
leur recueil une attention qui tournera elle-même au profit des idées
générales
dont ils sont les promoteurs. Avec la capacité ph
merait seul une lecture essentielle, indépendamment des articles plus
généraux
qui précèdent.
de la bourgeoisie et l’épousa. Il en eut dix-sept enfants, dont deux
généraux
: — l’un l’aîné, William d’Alton, mortellement bl
uerres de l’empire, se distingua notamment à Smolensk et qui est mort
général
de division en mars 1859169 ; — d’autres fils enc
commandements du duc d’Orléans (Égalité), puis militaire derechef et
général
de brigade, préfet, sénateur et pair de France (i
is à la condition qu’il quitterait le service : on en fit un receveur
général
. M. Shée, qui avait perdu son fils tué dans la gu
tre main : « Il est mort de ses blessures. » Le décret qui le nommait
général
de brigade était rédigé. Peut-on dire que William
était rédigé. Peut-on dire que William d’Alton est mort virtuellement
général
de brigade ? Il est mort le 23 nivôse, la proposi
nt le titre de comte, titre que son fils, Alfred d’Alton, mort depuis
général
de brigade, a dû faire régulariser, et qu’il a ob
(Voyez ces deux mots), & que les anciens comprenoient sous le nom
général
& unique de déclinaison. Mais il est encore d
sition avec la declinaison & la conjugaison, sous le point de vûe
général
de formations ; car c’est à la Grammaire, peut-on
e leur diversité : mais ce qu’on trouve de commun dans leurs procédés
généraux
, prouve l’unité de leur premiere origine. J’en di
n soit, il résulte de ce qui vient d’être dit, qu’il y a deux especes
générales
de formations qui embrassent tout le système de l
art des terminaisons de cette seconde espece sont soûmises à des lois
générales
, & ont d’ailleurs, dans la même langue ou dan
disons en premier lieu, que ces terminaisons sont soûmises à des lois
générales
, parce que telle terminaison indique invariableme
a même conjugaison, d’où viennent territare, latitare, selon la regle
générale
. Au reste, il n’est pas rare de trouver des verbe
même route ; il n’est question que de bien saisir les points de vûes
généraux
; par exemple, à l’égard du futur, il ne faut que
diotisme françois, c’est-à-dire une façon de parler éloignée des lois
générales
du langage, & exclusivement propre à la langu
opédie. On ne doit y trouver, en fait de Grammaire, que les principes
généraux
& raisonnés des langues, ou tout au plus les
oique propres à une langue, sont pourtant du district de la Grammaire
générale
; parce qu’ils tiennent plus à la nature de la pa
ureuses & souvent pittoresques, qui ne paroissent violer les lois
générales
du langage que pour en atteindre plus sûrement le
GÉNÉRIQUE, adj. Les noms établis pour présenter à l’esprit des idées
générales
, pour exprimer des attributs qui conviennent à pl
des génériques, & l’autre des inviduels ; c’est la même division
générale
que nous venons de présenter sous d’autres expres
aut faire successivement, pour s’élever par dégrés aux idées les plus
générales
. N’en demeurez pas là ; faites retourner vos élev
e l’esprit se forme ainsi, deviennent plus simples, & par-là plus
générales
, plus vagues & applicables à un plus grand no
ignification du génitif, & qui d’ailleurs est accidentel. L’effet
général
de ce cas est de servir à déterminer la significa
curatio est rem ? Nous avons vû jusqu’ici la nature, la destination
générale
, & les usages particuliers du génitif ; n’en
upplément aux ch. ij. iij. & jv. de la II. partie de la Grammaire
générale
, décide nettement contre M. l’abbé Girard, que fa
tifs. Voyez Adjectif . Nous allons seulement faire quelques remarques
générales
sur les genres des noms & des pronoms. Parmi
marque de M. Duclos, sur le chap. v. de la ij. partie de la Grammaire
générale
, n’exigeoit encore de nous quelques réflexions.
es verbes relatifs, ont essentiellement une signification vague &
générale
, qui doit etre déterminee tantôt d’une façon, tan
ouvent le besoin les obligera d’employer des termes appellatifs &
généraux
, même pour exprimer des individus ; & conséqu
s modifier ou de les proscrire. Les premiers constituent la Grammaire
générale
, les autres sont l’objet des diverses Grammaires
tres sont l’objet des diverses Grammaires particulieres. La Grammaire
générale
est donc la science raisonnée des principes immua
générale est donc la science raisonnée des principes immuables &
généraux
de la parole prononcée ou écrite dans toutes les
aire particuliere est l’art d’appliquer aux principes immuables &
généraux
de la parole prononcée ou écrite, les institution
ns arbitraires & usuelles d’une langue particuliere. La Grammaire
générale
est une science, parce qu’elle n’a pour objet que
pour objet que la spéculation raisonnée des principes immuables &
généraux
de la parole : une Grammaire particuliere est un
ns arbitraires & usuelles d’une langue particuliere aux principes
généraux
de la parole (voyez Art). La science grammaticale
ivent exister avant qu’on les rapporte artificiellement aux principes
généraux
. Malgré cette distinction de la science grammatic
e a toûjours un rapport nécessaire aux lois immuables de la Grammaire
générale
, & le P. Buffier en convient lui-même dans un
nt universelles & immuables ? Or c’est à ces lois de la Grammaire
générale
, que les usages particuliers des langues peuvent
il se faire que l’usage des langues s’accordât toûjours avec les vûes
générales
& simples de la nature ? Cet usage est le pro
Voici donc comment nous croyons devoir distribuer la Grammaire, soit
générale
, soit particuliere. La Grammaire considere la par
mmaticales ; & toute la Grammaire se divise ainsi en deux parties
générales
, dont la premiere qui traite de la parole, peut ê
l commence ainsi ses re- marques sur le dernier chap. de la Grammaire
générale
: « La Grammaire de quelque langue que ce soit,
regles, dans quelque langue que ce soit, se rapportent à trois chefs
généraux
, qui sont la Concordance, le Régime, & la Con
ques est peut-être plus conforme que l’autre aux lois de la Grammaire
générale
; mais entreprendre sur ce principe de réformer c
ce seroit pécher contre la plus essentielle des lois de la Grammaire
générale
même, qui doit abandonner sans reserve le choix d
un autre. Le mot qui est en régime sert à rendre moins vague le sens
général
de l’autre mot auquel il est subordonné ; & c
l’esprit dans l’analyse de la pensée. Elle appartient à la Grammaire
générale
, & elle est la regle invariable & univers
analytique, qui est vraiment l’ordre fondamental : mais la Grammaire
générale
approuve tout ce qui mene à son but, à l’expressi
que nécessaires que soient les principes fondamentaux de la Grammaire
générale
sur l’énonciation de la pensée ; quelque conformi
sition ; ainsi la Lexicologie & la Syntaxe sont les deux branches
générales
du traité de la parole. Celui de l’écriture peut
ition. Mais il n’en est pas moins nécessaire de rapporter à des chefs
généraux
toutes les matieres grammaticales, & de trace
ofondir cette question, & cherchons-en la solution dans les idées
générales
. Les lettres sont les signes des élémens de la vo
rocurer l’explosion aux sons par leur mouvement : de-là trois classes
générales
de consonnes, les labiales, les linguales, &
lsive. Aussi l’explosion gutturale produit sur les sons le même effet
général
que toutes les autres, une distinction qui empêch
au système d’épellation proposé dès 1660 par l’auteur de la Grammaire
générale
, mis dans tout son jour par M. Dumas, & intro
de M. Duclos (Remarq. sur le v. chap. de la I. part. de la Grammaire
générale
.), l’orthographe ait été parfaite. Les Grecs eux-
, &c. Il seroit du-moins à souhaiter que l’on eût quelques regles
générales
pour distinguer les mots où l’on aspire h, de ceu
ler exclusivement propre à la langue grecque, & éloignée des lois
générales
du langage. Voyez Idiotisme . C’est le seul artic
êler les rapports de convenance entre ces principes, & les points
généraux
où ils se réunissent. Il n’y a que le coup d’oeil
ent susceptibles de quelques remarques. 1°. Il est certain que la loi
générale
qui condamne l’hiatus comme vicieux entre deux mo
uses, les relations, les degrés de subordination à d’autres lois plus
générales
ou plus essentielles. Eh, sans sortir des matiere
iens ont admis trois différentes figures fondées également sur l’idée
générale
de changement, savoir l’énallage, l’hypallage &am
muable. Or je remarque, en effet, par rapport aux mots, trois especes
générales
de changemens, que les Grammairiens paroissent av
ngue a adopté des mots particuliers pour plusieurs de ces idées moins
générales
; vacua vagina, fourreau vuide ; vacuus gladius,
que, dans tous ces cas, nous exprimons par le même mot, & l’idée
générale
de l’adjectif vacuus, & quelque chose de l’id
un véritable renversement d’ordre ; & à partir de ce point de vûe
général
, on a pu aisément s’y méprendre : mais il falloit
rsement d’ordre ; & si c’est en cela que doit consister la nature
générale
de l’hyperbate, les Grammairiens n’ont pas dû reg
s premiers dans l’impression. Conformément au système de la Grammaire
générale
de P. R. adoptée par l’auteur du Bureau typograph
c’est une façon de parler éloignée des usages ordinaires, ou des lois
générales
du langage, adaptée au génie propre d’une langue
rticuliere. R. ἴδιος, peculiaris, propre, particulier. C’est un terme
général
dont on peut faire usage à l’égard de toutes les
ches ; & bien des gens croient encore qu’on ne désigne par ce nom
général
, ou par quelqu’un des noms spécifiques qui y sont
ue ce sont des manieres de parler contraires aux lois de la Grammaire
générale
. Il y a en effet des idiotismes qui sont dans ce
inaires, mais qui ont avec les principes fondamentaux de la Grammaire
générale
toute la conformité exigible. On peut donner à ce
le nom hommes ; ainsi les Allemans observent en cela, & les lois
générales
& les usages communs. Mais ils disent, diese
p; ses décisions se rapportent dans toutes les langues à trois points
généraux
. qui sont la concordance, le régime & la cons
e . Voyez ce mot. Si l’usage autorise une locution contraire aux lois
générales
de la Syntaxe, c’est alors une figure que l’on no
mais que j’aimerois mieux que l’on désignât par la dénomination plus
générale
de figure de Syntaxe, en réservant le nom de figu
, & faire rentrer tout dans le système invariable de la Grammaire
générale
. « Je sais bien, dit M. du Marsais, Meth. pour a
ues à cet égard, conduit naturellement à les partager en deux classes
générales
, caractérisées par des différences purement matér
indéterminé ou indéfini, celui qui marque une idée vague, une pensée
générale
, qu’on ne fait point tomber sur un objet particul
françois, à la tête desquels il faut mettre l’auteur de la Grammaire
générale
, Part. II. ch. vij, ont distingué deux sortes d’a
dans un sens indéfini, c’est-à-dire dans sa signification vague &
générale
; mais loin qu’il y ait un article pour la marque
comme tout autre nom appellatif, il ne presente à l’esprit que l’idée
générale
d’une nature commune à plusieurs individus, ou à
enu. D’autres au contraire, qui ont pour eux l’auteur de la Grammaire
générale
& M. du Marsais, appellent indéfini celui qui
rect. L’impératif est aussi direct, mais il ajoûte à la signification
générale
du verbe l’idée accessoire de la volonté de celui
angues modernes, est direct aussi ; mais il ajoûte à la signification
générale
du verbe l’idée accessoire d’hypothese & de s
à l’infinitif par les différences caractéristiques des trois especes
générales
de tems, qui sont le présent, le prétérit & l
s & déterminé, & de conserver invariablement la signification
générale
& originelle du verbe. Il n’y a plus qu’à sui
une autre, qui soit conforme aux principes immuables de la Grammaire
générale
, & qui ne contredise point l’analogie de la l
lle choque les yeux. Outre que cette pratique est contraire à l’usage
général
de la nation, elle tend à nous priver de l’avanta
ue que ce soit, parce que toutes tiennent immédiatement à la fabrique
générale
de la machine organique, & au sentiment de la
ssions. Voilà le fondement de la division des langues en deux especes
générales
, que M. l’abbé Girard (Princ. disc. j. tom. I. pa
st plus ingénieuse que solide. L’auteur s’attache uniquement à l’idée
générale
& vague de liaison ; & il est vrai qu’à p
te, si elle se contente d’en crayonner simplement les traits les plus
généraux
? Il faut dans votre portrait deux yeux, un nez,
maîtres qui enseignent la langue latine, de jamais toucher à l’ordre
général
de la phrase latine. « Car toutes les langues, d
sur des raisons particulieres, plus urgentes sans doute que la raison
générale
du système abandonné ; & par conséquent, ces
tituteurs ne sont pas astez en garde. Anciennement, lorsque le pronom
général
& indéfini on se plaçoit après le verbe, comm
s que sont aujourd’hui les Italiens & les Allemans ; avec l’usage
général
des mêmes mots & de la même syntaxe, chaque p
à tous les hommes ; le nom de langue exprime parfaitement cette idée
générale
. Mais si l’on prétend encore envisager les vues p
alors celui qui convient le mieux à l’expression de cette idée moins
générale
& plus restrainte. La différence que l’on vie
p; de la comparaison des langues envisagées sous les aspects les plus
généraux
, les seuls qui conviennent à la philosophie, &
les hommes de ce tems-là n’en pouvoient avoir. D’ailleurs, les idées
générales
ne peuvent s’introduire dans l’esprit qu’à l’aide
nge va sans hésiter d’une noix à l’autre ; penset-on qu’il ait l’idée
générale
de cette sorte de fruit, & qu’il compare son
e, annoncent à son goût la modification qu’il va recevoir. Toute idée
générale
est purement intellectuelle ; pour peu que l’imag
c énoncer des propositions ; il faut donc parler pour avoir des idées
générales
; car si tôt que l’imagination s’arrête, l’esprit
mier aspect ? Quant aux classes primitives & aux notions les plus
générales
, il est superflu d’ajouter qu’elles durent leur é
les objets de nos pensées, & des mots pour désigner les relations
générales
des êtres dont on parle. Les mots du premier genr
& les conjonctions : les prépositions, pour désigner les rapports
généraux
avec abstraction des termes ; les adverbes, pour
est des relations qui naissent entre les idées partielles, du rapport
général
qu’elles ont toutes à une même pensée indivisible
s les mêmes aspects. Mais elles admettent toutes, sur ces deux objets
généraux
, des différences qui tiennent au génie des peuple
le. De-là la division la plus universelle des langues en deux especes
générales
, que M. l’abbé Girard (Princ. disc. I. tom. j. pa
d’abord a pû paroître un hors-d’oeuvre, donne lieu à une conséquence
générale
; c’est que, par rapport à la construction des mo
e ? L’ordre analytique étant le prototype invariable des deux especes
générales
de langues, & le fondement unique de leur com
dée spécifique de la signification des mots, j’entens le point de vue
général
qui caracterise chaque espece de mots, qui fait q
mots de cette seule espece. C’est la différence de ces points de vue
généraux
, de ces idées spécifiques, qui fonde la différenc
ots les synonymes françois de M. l’Abbé Girard ; & sur la théorie
générale
des synonymes, l’article Synonymes . On sent bie
nous nous servons pour rendre le vacuus des latins, ajoutent à l’idée
générale
, qui en constitue le sens individuel, quelques id
les suggere ; & la preuve en est, que le mouvement naturel &
général
dans tous les enfans, est de désigner d’eux-mêmes
verselle suppose en ce cas que les objets nommés sont d’une nécessité
générale
: le mot sac que l’on trouve dans toutes les lang
oit être de cette espece. 2°. Nonobstant la réunion de tant de causes
générales
, dont la nature semble avoir préparé le concours
ut encore fournir des réflexions d’autant plus utiles qu’elles seront
générales
; la premiere concerne la génération successive d
; dont il seroit à souhaiter peut-être que l’usage devint encore plus
général
& plus étendu, afin de faciliter davantage la
littérature, qu’à l’influence de notre gouvernement sur la politique
générale
de l’Europe. (B. E. R. M.) LETTRES Le
nciation, donneront ailleurs d’autres permutations éloignées des lois
générales
. Pour ce qui concerne l’histoire des lettres &
LEXICOGRAPHIE, s. f. (Gramm.) la Grammaire se divise en deux parties
générales
, dont la premiere traite de la parole, c’est l’Or
le système adopté dans l’Encyclopédie, se soudivise en deux branches
générales
, qui sont la Lexicologie & la Syntaxe. La Lex
gual, qui appartient à la langue, qui en dépend. Il y a trois classes
générales
d’articulations, les labiales, les linguales &
aison de ces différences. Ainsi le changement de z en s est une regle
générale
dans la formation du tems, que je nommerois prése
paix, afin qu’ils ne sentissent point le besoin qu’ils avoient de ce
général
: hortari so- lebat Thebanos ut pacem bello antef
stitution des organes du goût : il y à cependant sur ce point un goût
général
auquel il faut avoir égard, c’est-à-dire qu’il y
d’attirer à lui tous les suffrages, mais il doit se conformer au goût
général
des personnes éclairées qui sont au fait. Le goût
ασμὸς, trans formatio, du verbe μεταπλάσσω, transformo ; c’est le nom
général
que l’on donne en Grammaire aux figures de dictio
ui arrivent dans le matériel des mots ; de même que l’on donne le nom
général
de tropes aux divers changemens qui arrivent au s
s maîtres nationnaux : qu’ils nous instruisent des principes les plus
généraux
du méchanisme & de l’analogie de leur langue
e méthode que pour les langues vivantes ? Après l’étude des principes
généraux
du méchanisme & de l’analogie d’une langue mo
échouer. Il faut que ces élémens soient réduits aux notions les plus
générales
, & au nécessaire le plus étroit, parce que, c
les figures de construction, & à plus forte raison sur les regles
générales
& communes de la syntaxe. Cette provision va
r la memoire des enfans, il vaut encore mieux la meubler de principes
généraux
& féconds par eux-memes, qui ne manquent pas
vres élémentaires dons nous avons besoin. 1°. Elémens de la grammaire
générale
appliquée à la langue françoise. Il ne s’agit pas
l faut choisir & réduire ; il ne faut ici que les games des idées
générales
, & tout ce premier traité ne doit occuper que
a proposition : la construction inverse en a de deux sortes, les unes
générales
, qui découlent de l’analyse de la proposition, le
ses, & même quelque chose de plus, si l’on saisit bien les points
généraux
, qui sont suffisans pour les vûes que j’indique,
ction, Inversion , &c. Si je dis que ces élémens de la grammaire
générale
doivent être appliqués à la langue françoise ; c’
arti. Je conviens qu’il faut beaucoup d’exemples pour affermir l’idée
générale
, & que notre livre élémentaire n’en comprendr
ns de la langue latine. Ce second volume supposera toutes les notions
générales
comprises dans le premier, & se bornera à ce
te avec des paradigmes bien nets pour servir d’exemples aux principes
généraux
des déclinaisons ; & ajouter ensuite des mots
possible, seront également précédés des regles de formation les plus
générales
, & suivis des verbes latins traduits pour êtr
ront rapportés. Les conjugaisons seront suivies de quelques remarques
générales
sur les usages propres de l’infinitif, des gérond
uoi il est bon, pendant ces exercices préliminaires sur les principes
généraux
, de faire apprendre au jeune éleve les fondemens
es du premier ; & il appartient, comme le premier, à la grammaire
générale
: mais on en prendra les exemples dans les deux l
y réduire la matiere au moindre nombre de cas, & aux cas les plus
généraux
qu’il sera possible. Les définitions doivent en ê
latins ; & que j’aimerois beaucoup mieux qu’on exposât des regles
générales
pour reconnoître & l’ellipse, & le supplé
t à-peu près l’ordre des parties de l’oraison avec attention aux lois
générales
de la syntaxe. Voyez Tropes & les articles d
uction, pour être le sujet des premieres applications de la Grammaire
générale
à la langue françoise : cette traduction n’en ser
’adoptant que des principes de Grammaire lumineux & véritablement
généraux
& raisonnés, on menera les enfans au but par
negotium ou hoc negotium unum ; & cela même combiné avec le sens
général
de ce qui précede, nous conduit au supplément dec
ur saisir exactement le sens de l’auteur, non-seulement d’une maniere
générale
& vague, mais dans le détail le plus grand &a
ines & stériles. Or, I. On remarque dans les langues deux especes
générales
de modes, les uns personnels & les autres imp
es personnes, en Grammaire, considérées d’une maniere abstraite &
générale
, sont les diverses relations que peut avoir à la
pe. L’infinitif est un mode qui exprime d’une maniere abstraite &
générale
l’existence d’un sujet totalement indéterminé sou
clusion n’est pas conforme, je l’avoue, aux principes de la Grammaire
générale
, partie II. chap. j. ni à ceux de M. du Marsais,
lqus-unes, & cela suffit pour en faire le fondement d’une théorie
générale
. La premiere observation qu’elle fournit, c’est q
té à l’esprit par l’adjectif seul, nous indique une seconde propriété
générale
de cette idée caractéristique ; c’est qu’elle peu
es parties de la conjugaison du verbe, lesquelles, selon une remarque
générale
que j’ai déja faite plus haut, doivent dans l’ord
st tout ce que nous pouvons conclure de l’opposition des deux classes
générales
de mots : & pour parvenir à des notions plus
dire, l’exposant d’un rapport considéré d’une maniere abstraite &
générale
, & indépendamment de tout terme antécédent &a
vations que les prépositions sont des mots qui désignent des rapports
généraux
avec abstraction de tout terme antécédent & c
nt à un adjectif, ou à un verbe, ou à un nom appellatif, dont le sens
général
se trouve modifié & restraint par l’idée acce
u rapport. Les adverbes sont donc des mots qui expriment des rapports
généraux
, déterminés par la désignation du terme conséquen
par un nom appellatif ou par un adjectif, dont la signification, trop
générale
dans l’occurrence ou essentiellement relative, ex
des adverbes ubi & tunc, puisqu’ils déterminent en effet les noms
généraux
renfermés dans la signification de ces adverbes ;
commun entre ces deux especes : l’une & l’autre énonce un rapport
général
, c’est l’idée générique fondamentale des deux ; l
quasi ad verbum, quia verbis velut adjectivum adhoeret. La grammaire
générale
, part. Il. ch. xij. & tous ceux qui l’ont ado
nification objective renferme la même idée totale, celle du sentiment
général
de bienveillance que nous avons déja vû apparteni
u mot la plus exacte qu’il me sera possible. L’auteur de la Grammaire
générale
(part. II. ch. j.) dit que « l’on peut définir l
sans l’assurer, que [caractère non reproduit]=900000, selon la regle
générale
. (B. E. R. M) NASAL Nasal (Grammaire)
dividualise l’idée particuliere de la négation grammaticale. Les noms
généraux
nemo, nihil ; les adjectifs neuter, nullus ; les
s gens de lettres quelques imitateurs. « Si l’on établit pour maxime
générale
, dit l’abbé Desfontaines, observ. sur les écrits
unanime, qui ne peut jamais se reconnoître : que par l’usage le plus
général
de la plus nombreuse partie des gens de lettres.
lez, plusieurs articles de cette convention qui auroient pu être plus
généraux
, plus conséquens, plus faciles à saisir, mais enf
même les noms des animaux, quand on les auroit employés dans un sens
général
& avec abstraction des sexes, comme les Allem
e. II. On distingue les verbes adjectifs ou concrets en trois especes
générales
, caractérisées par les différences de l’attribut
& de passion ; car il ne peut y avoir que ce sens abstrait &
général
qui rende possible l’application du verbe à un su
ui n’expriment aucun mouvement, ni actif, ni passif, & que l’idée
générale
du verbe doit comprendre sans exception, les idée
oît que le grammairien espagnol n’avoit pas même pensé à cette notion
générale
, puisqu’il parle ainsi du verbe (Min. 1. 12.) : v
, & qu’il falloit envisager les verbes concrets sous deux aspects
généraux
qui en auroient fourni deux divisions différentes
eux divisions différentes. La premiere division, fondée sur la nature
générale
de l’attribut auroit donné les verbes actifs, les
l me semble qu’il suffiroit de réduire les verbes à deux conjugaisons
générales
, l’une où les prétérits se formeroient par l’auxi
amp; individuelles, elles supposent pourtant essentiellement des vûes
générales
. Qu’est-ce que généraliser une idée C’est la sépa
r la voie de la synthèse, à composer en quelque sorte les idées moins
générales
ou même individuelles qui sont l’objet de nos con
connoissances, & à les transmettre aux autres au moyen des signes
généraux
& appellatifs combinés entre eux comme les id
juge à propos ou que l’on a besoin d’employer. Or il y a deux moyens
généraux
de déterminer ainsi l’étendue de la signification
grande & la plus complexe. Il consiste donc à joindre avec l’idée
générale
du nom appellatif, une ou plusieurs autres idées,
e. Ainsi excellens ouvrages, cette expression présente une idée moins
générale
qu’ouvrages, puisque les médiocres & les mauv
; cette idée totale est encore plus déterminée, mais elle est encore
générale
, malgré la précision numérique, qui ne fixe que l
r de pareilles déterminations que les noms appellatifs devenant moins
généraux
par degrés, se soudivisent en génériques & en
e signification individuelle ; car on peut regarder comme un principe
général
, que le sens étymologique de ces mots est constam
ue ce soit, que l’on n’y retrouve une signification appellative &
générale
. Tout le monde sait qu’en hébreu tous les noms pr
idiomes connus, où il est constant qu’ils sont tous tirés de notions
générales
adaptées par accident à des individus, paroît con
dées complexes pour parvenir aux plus simples qui sont & les plus
générales
& les plus faciles à saisir ; c’est la méthod
atre especes de mots, m’a conduit aussi à les diviser en deux classes
générales
; les mots déterminatifs, savoir les noms & l
oivent également avoir tous les nombres, parce que leur signification
générale
a une étendue susceptible de différens degrés de
linables, & non à l’Encyclopédie qui doit se borner aux principes
généraux
& raisonnés. Je n’ai donc plus rien à ajouter
délicates de ces exceptions : mais la plus universelle & la plus
générale
, c’est que les constructions figurées sont toujou
ajoutant la dénomination vague de numéral, ou une dénomination moins
générale
, qui auroit indiqué le sens particulier déterminé
ue par les mathématiciens, mais qui passeront sans doute dans l’usage
général
. Multiple est aussi un adjectif multiplicatif, ma
decies, vicies ou vigesies, trecies ou trigesies ; &c. L’adverbe
général
itératif qui n’est pas numéral, c’est pluries ou
) en fait la réfutation. 2. On distingue dans les verbes deux especes
générales
de modes, les uns personnels, & les autres im
mais il est du moins certain qu’il rencontre juste dans la reflexion
générale
qui suit : Nomina verbaque non positu fortuito, s
à Dieu que j’aimasse ! &c. Mais puisque, comme le dit la grmmaire
générale
, part. II. ch. xvj. & comme le démontre la sa
peut être des articles de cette convention qui auroient pû être plus
généraux
, plus analogues à d’autres articles antécédens, p
on orthologique ; c’est pourquoi l’on en a fait usage dans le tableau
général
que l’on a donné de la Grammaire en son lieu. La
mot est l’un de ceux que l’on a cru devoir risquer dans le prospectus
général
que l’on a donné de la Grammaire, sous le mot Gra
ot. Les paradigmes étant principalement destinés à inculquer la regle
générale
, par l’image sensible d’une application particuli
parti de mettre sur la page verso qui est à gauche, les dénominations
générales
des tems, disposées comme on le voit ici ; &
paradigme de novi, coepi, odi. Je n’ajouterai plus qu’un mot qui est
général
. C’est 1°. qu’au-dessous de chaque paradigme il e
t a presque approuvé cette doctrine dans sa méthode latine. La raison
générale
qu’ils alleguent tous en faveur de cette opinion,
ion bien exacte. Il faut considérer deux choses dans la signification
générale
des tems ; 1°. un rapport d’existence à une époqu
précede, ou qu’elle le suit : ce qui divise chacune des trois especes
générales
de tems indéfinis en actuel, antérieur & post
a langue françoise, & les remarques de M. Duclos sur la Grammaire
générale
. On a coutume de distinguer dans nos verbes deux
stinctifs. « Nos deux participes Aimant & Aimé, dit la Grammaire
générale
(part. II. ch. xxij.), en tant qu’ils ont le même
Exemple : les courtisans préférant leur avantage particulier au bien
général
, ne donnent que des conseils intéressés. Préféran
taphysiques, & qui ne tiennent en rien au système de la Grammaire
générale
: 2°. qu’il me semble que le gérondif peut quelqu
rieux. Au contraire notre participe actif admet les trois différences
générales
de tems, mais toujours dans le sens indéfini &
que comme on distinguoit alors, sous une forme simple, les trois tems
généraux
de l’infinitif, le présent amare, le prétérit ama
ur amassere, voyez Infinitif ; de même distinguoit-on ces trois tems
généraux
dans le participe actif, le présent amans (aimant
ime composé. Après ces préliminaires, on peut établir comme une regle
générale
, que tous les verbes dont il s’agit ici forment l
pre qu’à confirmer la regle, & qu’à lui assurer le titre de regle
générale
». Opusc. page 375. §. IV. Des verbes pronomin
amp; qui avoit en même tems l’avantage de n’établir que des principes
généraux
: car, selon la judicieuse remarque de M. l’abbé
le aura d’épines ; & rien ne me paroit si capable, que des regles
générales
, de faire honneur à une langue savante & poli
r supposé, dit-il ailleurs, pag. 380, que l’observation de ces regles
générales
nous fasse tomber dans quelque équivoque ou dans
peut-être. On emploie quelquefois le mot de phrase dans un sens plus
général
qu’on n’a vu jusqu’ici, pour désigner le génie pa
ées, extraites des auteurs latins, & rapportées à certains titres
généraux
du système grammatical qu’avoient adopté les comp
minaison pluriele en aux : on dit au singulier travail, cheval, égal,
général
, &c. & au pluriel on dit travaux, chevaux
al, général, &c. & au pluriel on dit travaux, chevaux, égaux,
généraux
. Je dis que ceci regarde plusieurs mots terminés
nt point de pluriel, ou qui suivent la regle suivante qui est la plus
générale
. 4°. Les noms & les adjectifs qui ne sont poi
qu’à toute autre langue. C’est une partie de l’objet de la Grammaire
générale
; & cette partie essentielle de l’Orthographe
sans aucune soudivision subalterne. La raison de cette premiere regle
générale
est que la division dont il s’agit se faisan pour
eu l’unité de l’expression & de la pensée. Appliquons cette regle
générale
aux cas particuliers. 1°. Les parties similaires
moins : dans ce cas la regle de M. Restaut est fausse, pour être trop
générale
. 3°. Ce qui vient d’être dit de deux parties simi
t altérés de sang. Télémaque, liv. XVI. On débute par une proposition
générale
: les voilà comme deux bêtes cruelles qui cherche
uliers. Mais je crois qu’il suffit d’avoir exposé les regles les plus
générales
& qui sont d’une nécessité plus commune ; par
cordances nous blesseront. Théor. des sent. ch. iij. C’est ici l’idée
générale
de discordance présentée sous trois aspects diffé
ition détachée qui l’annonce, ou qui en montre l’objet sous un aspect
général
; cette proposition doit être distinguée du détai
on avec la suite que par la convenance de la matiere & l’analogie
générale
des pensées dirigées vers une même fin. Je voudro
gue, que j’ai cru devoir essayer de poser du-moins quelques principes
généraux
qui pussent servir de fondement à un art qui n’es
f. (Gram.) les prépositions sont des mots qui désignent des rapports
généraux
, avec abstraction de tout terme antécédent &
en fait le caractere ; ce n’est qu’un moyen d’en rendre l’usage plus
général
, par la liberté d’appliquer l’idée de chaque rapp
iquée actuellement à un terme antécédent, dont elle restraint le sens
général
par l’idée nécessaire du rapport dont elle est le
ion. Le terme antécédent est donc nécessairement un mot dont le sens,
général
par lui-même, est susceptible de différens degrés
rbe. L’une désigne, comme je l’ai dit dès le commencement, un rapport
général
, avec abstraction de tout terme antécédent &
lle, hors de saison, ce n’est point une préposition, c’est un adverbe
général
de tems ou de lieu, que l’on détermine ensuite pa
ple, proche le palais. Quand proche est suivi de de, c’est un adverbe
général
de lieu, dont le sens est déterminé par la prépos
t pas trop s’attacher à réduire toutes les prépositions à des classes
générales
; une même préposition a reçu trop de significati
droit-il pas mieux penser à réduire sous un point de vue unique &
général
tous les usages d’une même prêposition ? Quelque
s synonymes, & de les grouper en autant d’articles dans le traité
général
. Le P. Bouhours a comparé sous cet aspect à &
de façon qu’il se trouve alors un rapport particulier compris dans le
général
: celui-ci est énoncé par la préposition, qui est
pas assez nettement fait sentir. Ce sont des suites d’une même regle
générale
fondée sur une raison très-plausible. La voici :
isément pour cette raison que j’ai cru devoir établir ici cette regle
générale
de Grammaire. Mais les conjonctions de comparaiso
. sont encore dans le même cas, parce qu’elles désignent des rapports
généraux
. Notre on doit suivre la même regle, parce qu’il
présent antérieur, & le présent postérieur. Telles sont les vues
générales
qu’indique la Métaphysique des tems : mais je ne
érieurement en d’autres êtres : en sorte que l’on peut regarder comme
générale
la maxime de Varron (L. L. lib. VII.), ut in omni
, toi, vous, pour la premiere & la seconde personne. C’est le cri
général
de toutes les grammaires. . . Tous ces mots sont
’acte de la parole. Cette différence est le juste fondement de ce cri
général
de toutes les grammaires qui distinguent les pron
un peu considérables ; on a rempli sa tâche, qu nd on a suivi le sens
général
, & que ce que l’on a introduit n’y est point
position à : en & y sont donc des mots qui expriment des rapports
généraux
déterminés par la désignation du terme conséquent
Ce n’est pas nom avis. En effet, ce dans tous ces cas exprime un être
général
; & la signification vague en est restrainte
ée d’ailleurs ; & voilà pourquoi on doit le regarder comme un nom
général
qui peut designer toutes les natures, par la rais
nature du pronom. Ceci, cela . Ces deux mots sont encore deux noms
généraux
qui peuvent désigner toutes les natures, par la r
mployé sans article, afin qu’il soit pris dans un sens indéterminé ou
général
, nul individu de l’espece des hommes ne l’a dit.
uniquement pour objet notre grammaire ; j’y ai envisagé la grammaire
générale
& toutes les langues. La plûpart des grammair
découvert ; si l’étude en est inutile ou nuisible, c’est la grammaire
générale
qu’il faut proscrire, c’est la logique qu’il faut
vient de la vertu, un sujet déterminé par l’idée unique de la nature
générale
de la gloire restrainte par l’idée de la vertu en
est accompagné de ces mots, à leurs procédés, qui restraignent l’idée
générale
d’attention par l’idée spéciale d’un objet déterm
i on ne doutoit point qu’elle ne fût fausse ; & le rapport du nom
général
ce à cette double addition est marqué par la doub
Ferte citi ferrum, date tela, scandite muros, est donc dans la regle
générale
, ainsi que l’usage ordinaire des Grecs à cet égar
; en ramener les lois, autant qu’il est possible, à des points de vue
généraux
: cette étude nous est absolument nécessaire pour
terminée par des complémens : 1°. tous ceux qui ont une signification
générale
susceptible de différens degrés ; 2°. ceux qui on
cation relative à un terme quelconque. Les mots dont la signification
générale
est susceptible de différens degrés, exigent nece
s. Voici des exemples. Livre est un nom appellatif ; la signification
générale
en est restrainte quand on dit, un livre nouveau,
de complémens du nom livre. Savant est un adjectif ; la signification
générale
en est restrainte quand on dit, par exemple, qu’u
tive, exigent de même un complément, dès qu’il faut déterminer l’idée
générale
de la relation par celle d’un terme conséquent :
es dénominations : mais on peut les réduire à-peu-près tous aux chefs
généraux
que je viens d’indiquer ; & peut-être n’en ai
garder entre eux les différens complémens d’un même mot, la Grammaire
générale
établit une regle, dont l’usage ne s’écarte que p
que dans l’ordre analytique, qui est le seul qu’envisage la Grammaire
générale
, & qui est à-peu-près la boussolle des usages
éloignement où se trouve le complément objectif. Tel est le principe
général
par lequel il faut juger de la construction de ta
t jésuite, comme l’une des bonnes sources où il a puisé ses principes
généraux
& raisonnés, n’y ait pas apperçu un principe,
es, n’ont de lois à observer que celle de la place dans l’arrangement
général
. Ce qui fait que quoique tous les mots de la phra
énoncés ne suffisent pas pour rendre raison des cas d’après ces vues
générales
, l’ellipse doit fournir ceux qui manquent. Penite
un terme conséquent déterminé, c’est pour présenter à l’esprit l’idée
générale
de la relation, indépendamment de toute applicati
mp; ce sont ceux qui désignent par l’idée précise de quelque relation
générale
, comme utile, nécessaire, onéreux, égal, inégal,
us ; la Logique peut également se contenter de quelques points de vue
généraux
qui suffiront pour embrasser tous les objets soum
nanimement, un pronom relatif. « Ce pronom relatif, dit la Grammaire
générale
, (Part. II. ch. ix.) a quelque chose de commun av
scours. Ceci mérite d’autant plus d’être approfondi, que la Grammaire
générale
, (édit. de 1746, suite du chap. ix. de la part. I
vient de la vertu. On peut y joindre l’exemple cité par la grammaire
générale
, tiré de Tite Live, qui parle de Junius Brutus :
consul ? &c. » Remarquez cependant que l’auteur de la Grammaire
générale
conserve lui-même la conjonction dans sa traducti
st déplacée : la premiere proposition est un principe de fait qui est
général
, & la seconde semble être une conclusion que
’abord, parce que c’est de cette vertu conjonctive & de la nature
générale
des adjectifs, que découlent les regles de syntax
n’avoit pas apperçu toute la généralité de cette regle ; la Grammaire
générale
(part. II. ch. x.) l’a discutée avec beaucoup de
détail d’un principe, que je ne dois montrer ici que sous des termes
généraux
; & afin de savoir quels autres mots peuvent
x vues de l’Encyclopédie, où il s’agit plutôt d’exposer des principes
généraux
, que de s’appesantir sur des détails particuliers
cceptions dont on vient de parler, les mots qui ont une signification
générale
, comme les noms appellatifs, les adjectifs &
s sources différentes. Phrase amphibologique, est une expression plus
générale
, qui comprend sous soi les deux premieres, comme
Le nom de solécisme, dans son origine, fut donc employé dans un sens
général
, pour désigner toute espece de faute contre l’usa
nces & des arts, guidé par le même esprit que celui de la société
générale
, ne souffre pas plus les mots purement synonymes
amais le rendre en latin par le futur du subjonctif, quoique la regle
générale
exige ce mode : il faut se servir….. Eh ! messieu
onner à ce mode le nom de conjonctif, n’ont abandonné l’usage le plus
général
, que pour n’avoir pas bien compris la force du mo
du sens impératif de la phrase, & le sujet de ce verbe est le nom
général
res. Ce seroit le même supplément, si le verbe ét
, s’il raisonne juste & conséquemment. S’il connoît les principes
généraux
de la grammaire, & qu’il sache que notre que
ce grammairien philosophe : je conviens au contraire qu’avec des vues
générales
très bonnes en soi, il s’est souvent mépris dans
oise, fasse le ciel que nous ayons bientôt la paix ! C’est une regle
générale
dans la langue françoise, & qui peut-être n’a
culiere, quand on ne connoît pas à fond les principes de la Grammaire
générale
. (E. R. M. B.) SUBSTANTIVEMENT SUBSTANTIV
dans la signification des mots qui en sont susceptibles, deux especes
générales
de sens graduels, que je nomme le sens absolu &am
me qu’il y avoit faites, & ramener le tout à une énonciation plus
générale
, plus claire, & plus précise. Voici comme je
t ou qui lisent un discours, des entraves sans fin. Delà la nécessité
générale
de ne mettre dans chaque phrase que les mots qui
tériser le style de la satyre, nous pouvons donc en faire un principe
général
de l’élocution ; & ce principe est d’une néce
exemples autorisés par l’usage d’une langue puissent y fonder une loi
générale
d’analogie : l’ellipse est elle même une exceptio
rale d’analogie : l’ellipse est elle même une exception à un principe
général
, qui ne doit & qui ne peut être anéanti ; &am
tre anéanti ; & il le seroit par le fait, si l’exception devenoit
générale
. L’usage, par exemple, de la langue latine, perme
; dans d’autres circonstances, l’usage veut que l’on suive l’analogie
générale
, ou n’en permet que des écarts d’une autre espece
pas en douter, qu’une ellipse usitée ne peut pas fonder une analogie
générale
; c’est une conséquence nécessaire aussi, que de
générale ; c’est une conséquence nécessaire aussi, que de l’analogie
générale
on ne peut pas conclure contre la réalité de l’el
Athenarum ». Il est évident que cet auteur prend acte de l’analogie
générale
qui ne permet pas de dire à la faveur de l’ellips
elle suppose qu’une exception une fois constatée, peut fonder une loi
générale
& destructive de l’analogie dont elle n’est q
rice des particuliers, parce que ce sont des transgressions d’une loi
générale
à laquelle il ne peut être dérogé que sous l’auto
remplacer comme on peut, quoiqu’il faille toujours suivre l’analogie
générale
: dans ce cas, plus les supplémens paroissent lâc
s, dans ses remarques sur le ch. iij. de la I. partie de la grammaire
générale
, distingue la syllabe physique de la syllabe usue
ses ; une couche de la derniere, fait disparoître la premiere. L’idée
générale
, & le seul terme d’élision, me semblent suffi
iculiere, à un mot qui, dans le sens propre, a une signification plus
générale
; ou au contraire, on donne une signification gén
ification plus générale ; ou au contraire, on donne une signification
générale
à un mot qui, dans le sens propre, n’a qu’une sig
iers qui frequentent nos colleges, & que l’on connoit sous le nom
général
de synonymes, ou sous les noms particuliers de Re
caractere propre & singulier. La ressemblance que produit l’idée
générale
, fait donc les mots synonymes ; & la différen
amp; la différence qui vient de l’idée particuliere qui accompagne la
générale
, fait qu’ils ne le sont pas parfaitement, & q
ette remarque de l’orateur romain n’est que l’application du principe
général
qu’il n’y a point de mots tout-à-fait synonymes d
e je viens de citer de l’article Grammaire , qui en comprend un plan
général
; & en suivant les renvois qui y sont marqués
les usages connus des langues, soit en les considérant d’une maniere
générale
, soit en les examinant dans les différens modes d
t en les examinant dans les différens modes du verbe. Art. I. Notion
générale
des tems. Selon M. de Gamaches (dissert. I. de so
p; l’époque qui est le terme de comparaison. §. I. Premiere division
générale
des Tems . L’existence peut avoir, en général, tr
ériorité, lorsque l’existence succede à l’époque. De-là trois especes
générales
de tems, les présens, les prétérits & les fut
vient d’exposer : il ne peut donc en effet y avoir que trois especes
générales
de tems, & chacune doit être différenciée par
, & chacune doit être différenciée par l’un de ces trois rapports
généraux
. Je dis trois especes générales de Tems , parce q
renciée par l’un de ces trois rapports généraux. Je dis trois especes
générales
de Tems , parce que chaque espece peut se soudivi
vers points de vue accessoires qui peuvent se combiner avec les idées
générales
& fondamentales de ces trois especes primitiv
fondamentales de ces trois especes primitives. §. 2. Seconde division
générale
des Tems . La soudivision la plus générale des te
es. §. 2. Seconde division générale des Tems . La soudivision la plus
générale
des tems doit se prendre dans la maniere d’envisa
maniere d’envisager l’époque de comparaison, ou sous un point de vue
général
& indéterminé, ou sous un point de vue spécia
& qu’ils n’expriment en quelque sorte que l’un des trois rapports
généraux
d’existence, avec abstraction de toute époque de
à quelque époque précise & déterminée. Chacune des trois especes
générales
de tems est susceptible de cette distinction, par
égard d’une époque précise & déterminée. §. 3. Troisieme division
générale
des Tems . Il n’y a qu’une maniere de faire abstr
atiere, ne nous occupons d’abord que de la premiere des trois especes
générales
de tems, des presens. I. Il en est un qui est una
écider la question. Il faut considérer dans les tems 1°. une relation
générale
d’existence à un terme de comparaison, 2°. le ter
ison, 2°. le terme même de comparaison. C’est en vertu de la relation
générale
d’existence qu’un tems est présent, prétérit ou f
e, c’est par la maniere d’envisager le terme, ou sous un point de vue
général
& indéfini, ou sous un point de vue spécial &
du tems dont il s’agit ici. Ecoutons encore l’auteur de la grammaire
générale
. « On auroit pu de même, dit-il (loc. cit.), ajo
é). « Le troisieme tems composé, dit encore l’auteur de la grammaire
générale
(loc. cit.) est celui qui marque l’avenir avec ra
pport au passé : au-lieu qu’il suit de l’exemple même de la grammaire
générale
, qu’il marque le passé avec rapport à l’avenir. Q
r en quelques sorte sur mes pas, pour confirmer, par des observations
générales
, l’économie du systême des tems, dont je viens de
tingue ici bien nettement les trois tems que je comprends sous le nom
général
de présens, des trois que je désigne par la dénom
be caractérisent les différentes conjugaisons, mais que les analogies
générales
se retrouvent par-tout. Ainsi o ajouté simplement
e les anciens appelloient futur du subjonctif, & que la Grammaire
générale
nomme futur parfait : or le plusqueparfait &
eces de tems. Si au-contraire on distingue avec moi les trois especes
générales
de tems en indéfinis & définis, & ceux-ci
quand il convient de rendre en quelque sorte plus sensible le rapport
général
d’existence, que le terme de comparaison ; distin
gue françoise autorise une faute contre les principes de la Grammaire
générale
, en admettant un présent au lieu d’un futur. Mais
e par une distance, que l’on peut envisager d’une maniere vague &
générale
, ou d’une maniere spéciale & précise ; ce qui
t donc être déterminée dans les tems du verbe, que par les caracteres
généraux
d’éloignement ou de proximité relativement à l’ép
es verbes auxiliaires avoir & devoir, pour désigner d’une maniere
générale
l’antériorité & la postériorité d’existence.
encerai par observer que la dénomination de tems surcomposés est trop
générale
, pour exciter dans l’esprit aucune idée précise,
lir par des exemples détaillés, ce qui n’est encore qu’une conclusion
générale
de l’analogie ; & reconnoissons, par l’analys
e le prouver en détail de chacun en particulier : en voici une preuve
générale
. Les tems en eux-mêmes sont susceptibles partout
V. Des tems du subjonctif. Nous avons au subjonctif les mêmes classes
générales
de tems qu’à l’indicatif ; des présens, des prété
à la fois les trois rapports élémentaires, l’indétermination devient
générale
, & tous les tems sont indéfinis. Par exemple,
ndéfinie, & en conséquence elle y est envisagée, ou d’une maniere
générale
, ou d’une maniere particuliere, quelquefois comme
r. devant arriver. devant me révolter. Art. VII. Observations
générales
. Après une exposition si détaillée & des disc
de la traduction, qu’il me soit permis d’en donner seulement une idée
générale
, & de commencer par un exemple de traduction,
rincip. disc. I. tom. I. pag. 23.) divise les langues en deux especes
générales
, qu’il nomme analogues & transpositives. Il a
Voyez Figure . Il y a dans les tropes une modification ou différence
générale
qui les rend tropes, & qui les distingue des
munes, & à rapprocher ces groupes en les liant par des idées plus
générales
: témoignage involontaire, mais certain, que l’es
n ensemble, un tout… » [Je crois que voilà les principaux caracteres
généraux
auxquels on peut rapporter les tropes. Les uns so
qui est véritablement trope est compris sous l’une de ces trois idées
générales
; ce qui ne peut pas y entrer n’est point trope,
syllepse. La métaphore, la métonymie, la synecdoque, gardent ces noms
généraux
, quand elles ne sont dans le discours que par orn
pour le genre] pour tous les sentimens de desir qui sont encore plus
généraux
: car le regret n’est que le souhait de ce que l’
f. vif, m. vive, f. veuf, m. veuve, f. Déjà avertis par la Grammaire
générale
de P. R. de nommer les consonnes par l’e muet, no
présente à l’esprit un être indéterminé, désigné seulement par l’idée
générale
de l’existence sous une relation à une modificati
ence sous une relation à une modification. L’idée de mot est la plus
générale
qui puisse entrer dans la notion du verbe ; c’est
n fait aussi, quand on dit que le verbe désigne seulement par l’idée
générale
de l’existence sous une relation à une modificati
vois qu’un cercle quarré est impossible : les idées abstraites &
générales
ne sont & ne peuvent être réalisées dans la n
de l’existence intellectuelle, qu’entrevoit l’auteur de la grammaire
générale
dans la signification commune à tous les verbe, &
est un acte propre à celui qui parle ; & l’auteur de la grammaire
générale
en convient lui-même. (Part. Il. c. xiij. édit. 1
son d’identité, parce qu’il désigne un sujet quelconque sous une idée
générale
applicable à tout sujet déterminé qui en est susc
mp; bien fondée ; le besoin d’y recourir pour justifier la définition
générale
du verbe, est une preuve que cette définition est
: parce que les tems tiennent à la nature immuable du verbe, à l’idée
générale
de l’existence. Jules-César Scaliger les croyoit
ans tous les idiomes ; que dans tous ils sont caractérisés par l’idée
générale
de l’existence intellectuelle d’un sujet indéterm
II. Le verbe substantif ou abstrait est celui qui désigne par l’idée
générale
de l’existence intellectuelle, sous une relation
ortels. Le verbe adjectif ou concret est celui qui désigne par l’idée
générale
de l’existence intellectuelle sous une relation à
mp; fondée sur ce que les deux especes désignent également par l’idée
générale
de l’existence intellectuelle ; mais que le verbe
le & essentielle, ainsi que l’a remarqué l’auteur de la grammaire
générale
. (Part. II. chap. xiij. édit 1756.) Quelle est do
me fonde sur ce que j’ai déja allégué, que les êtres abstraits &
généraux
, qui n’ont & ne peuvent avoir aucune existenc
neutres. Cette division s’accommode d’autant mieux avec la definition
générale
du verbe, qu’elle porte immédiatement sur l’idée
amp; par conséquent elles sont toutes conciliables avec la définition
générale
, qui suppose toujours l’idée de cette modificatio
ur l’ensemble de toutes les idées que j’ai réunies dans la définition
générale
du verbe. La grammaire générale dit que c’est un
s que j’ai réunies dans la définition générale du verbe. La grammaire
générale
dit que c’est un mot dont le principal usage est
est un mot déclinable indéterminatif qui désigne seulement par l’idée
générale
de l’existence intellectuelle, sous une relation
déterminé auquel on l’applique. 3°. J’ajoute qu’il désigne par l’idée
générale
de l’existence, & voila bien nettement l’orig
peuvent point admettre le vocatif. Ces adjectifs désignent par l’idée
générale
d’une dépendance relative à la seconde personne :
modifie. J’ai déja remarqué (Lettres) que l’on a compris sous le nom
général
de lettres, les signes & les choses signifiée
(Lib. I. de litterâ.) Les choses signifiées auroient dû garder le nom
général
d’élémens, & les noms particuliers de sons &a
ations ; & il auroit fallu donner exclusivement aux signes le nom
général
de lettres, & les noms spécifiques de voyelle
ieres dénominations sont en françois du genre féminin, à cause du hom
général
lettres, comme si l’on avoit voulu dire lettres v
ue du pays . . . . . Mais cette opinion choque tellement l’expérience
générale
, qu’elle se réfute d’elle-même . . . . Il y a san
gelas sont très-solides & très-sages, mais elles sont encore trop
générales
pour servir de fondement à la définition du bon u
plutôt que d’écrire tems, du-moins jusqu’à ce que l’usage soit devenu
général
sur ce dernier article. Ceux qui ont entrepris de
tasse, prudente ; ainsi tant que l’usage contraire ne sera pas devenu
général
, les écrivains sages garderont garants, éléments,
deront garants, éléments, savants, prudents. Il. L’usage déclaré est
général
ou partagé : général, lorsque tous ceux dont l’au
nts, savants, prudents. Il. L’usage déclaré est général ou partagé :
général
, lorsque tous ceux dont l’autorité fait poids, pa
mp; par des auteurs distingués dans le tems. 1°. A l’égard de l’usage
général
, il ne faut pas s’imaginer qu’il le soit au point
.) panche pour je vas, par une autre raison analogique. « L’analogie
générale
de la conjugaison, veut, dit-il, que la premiere
et contre le fondement de toutes les langues, que d’opposer à l’usage
général
les raisonnemens même les plus vraissemblables &a
ce martir, sillabe, simbole, sintaxe, hipocrite. Si cet usage devient
général
, notre orthographe en sera plus simple de beaucou
ts, de les classer et de les comparer, de façon à en déduire les lois
générales
suivant lesquels ils se produisent et leurs cause
infimes. La conscience est le mot qui exprime, de la manière la plus
générale
, les diverses manifestations de la vie psychologi
du degré d’effort de nos muscles. Ces sensations, d’un caractère très
général
et les premières dans l’ordre chronologique, form
nsations de l’ouïe, elles ont un caractère esthétique. La loi la plus
générale
qui régisse les phénomènes psychologiques est la
l’accumulation des vérités particulières se forment les propositions
générales
: le raisonnement s’appelle alors induction. La p
générales : le raisonnement s’appelle alors induction. La proposition
générale
est une simplification, un memorandum, un registr
lité, part du particulier et aboutit au particulier, en traversant le
général
qui est un amas de particuliers. Le syllogisme es
octrine kantienne des formes de la pensée. Les deux rapports les plus
généraux
que conçoive l’intelligence humaine sont ceux de
éalité propre. Il n’y a de réel que l’humanité et c’est des attributs
généraux
de la nature humaine que découle toute l’évolutio
énements n’ont de valeur et d’intérêt que comme illustration des lois
générales
qui sont inscrites dans la constitution de l’homm
par le décrire tout entier ? N’est-ce pas une règle de ne s’élever au
général
qu’après avoir observé le particulier et tout le
la classification établie sur ce principe, pour savoir si un fait est
général
dans une espèce, il ne sera pas nécessaire d’avoi
rra, en effet, dans la suite, que c’est d’eux que dépendent les faits
généraux
de la vie sociale. D’autre part, comme ils sont d
artiels garde sa vie locale ou qu’ils sont tous entraînés dans la vie
générale
, c’est-à-dire suivant qu’ils sont plus ou moins é
n, nous ne croyons guère possible de dépasser utilement les divisions
générales
qui viennent d’être indiquées. Au surplus, nous n
Il en résulte que le type spécifique, au-delà des caractères les plus
généraux
et les plus simples, ne présente pas de contours
r de la force aux autres, que quiconque refusera d’obéir à la volonté
générale
y sera contraint par tout le corps, ce qui ne sig
ujours à la volonté de tous. Et cela est excellent ; car « la volonté
générale
est toujours droite. » III Voltaire n’est n
dans son sein des gens qui font vœu d’obéir dans certains cas à leur
général
plutôt qu’à leur prince On conclut de ces raison
tué, tout ce qui a une organisation à soi en dehors de l’organisation
générale
, tout ce qui est en soi un organisme viable, viva
, elles, s’imposent toujours assez. S’ils maintiennent les traditions
générales
, c’est qu’ils vivent de leurs traditions particul
du livre XX, qu’il intitule Réflexion particulière et qui est la plus
générale
peut-être de ses réflexions : « En France cet éta
est donnée comme législateur. Il peut ravager l’Etat par ses volontés
générales
, et, comme il a encore la puissance de juger, il
lui, et par conséquent réunis à lui. Il suffirait donc que les Etats
généraux
fussent investis d’une autorité législative conti
né particulièrement ce point. Mais il a prévu l’objection d’une façon
générale
. Il a dit que la vertu était le ressort suffisant
lui, « peut avoir une volonté contraire ou dissemblable à la volonté
générale
. » En ce cas la contrainte est de droit de la par
tacitement cet engagement que quiconque refusera d’obéir à la volonté
générale
y sera contraint par tout le corps ; ce qui ne si
le sont à la claire manifestation de la volonté populaire. La volonté
générale
ne peut pas errer ; mais « les délibérations popu
a même rectitude ». Il y a une distinction à faire entre la « volonté
générale
» et la « volonté de tous ». La volonté générale
e entre la « volonté générale » et la « volonté de tous ». La volonté
générale
« regarde à l’intérêt commun », la volonté de tou
omme de volontés particulières. » Si vous voulez connaître la volonté
générale
, « ôtez des volontés particulières les plus et le
s qui s’entre-détruisent, reste pour somme des différences la volonté
générale
. » Or, ce qui groupe les intérêts particuliers et
u grand nombre de petites différences résulterait toujours la volonté
générale
, et la délibération serait toujours bonne. » Il e
épens de la grande, la volonté de chacune de ces associations devient
générale
par rapport à ses membres et particulière par rap
différences deviennent moins nombreuses et donnent un résultat moins
général
. Enfin, quand une de ces associations est si gran
férences, mais une différence unique ; alors il n’y a plus de volonté
générale
, et l’avis qui l’emporte est un intérêt particuli
particulier. Il importe donc, pour avoir bien l’énoncé de la volonté
générale
, qu’il n’y ait pas de société partielle dans l’Et
es. Ne me dites pas que, supprimés ces organismes sociaux, la volonté
générale
sera encore plus une somme de volontés particuliè
’individualisme des opinions, dont, en totalisant, je fais la volonté
générale
; c’est le particularisme général, pour ainsi par
en totalisant, je fais la volonté générale ; c’est le particularisme
général
, pour ainsi parler, c’est le particularisme colle
ont pas moins bel et bien des associations. La pureté « de la volonté
générale
» en est altérée. Et cette horreur pour le groupe
on d’intelligences et de volontés, il ne la tient pas pour la volonté
générale
, elle est pour lui non avenue : « Quand une de ce
’elle l’emporte sur toutes les autres… Alors il n’y a plus de volonté
générale
, et l’avis qui l’emporte est un intérêt particuli
supposez, l’avis de la majorité des citoyens, il est bien la volonté
générale
. — Point du tout ! Etant l’avis de la majorité de
qu’elle pense et ce qu’elle veut, il est particulier encore, quoique
général
, quoique quasi unanime ; et, à ce titre, il est n
re retranché, et c’est l’avis de la minorité qui devient « la volonté
générale
» et qui doit prévaloir ; car il ne faut pas conf
e » et qui doit prévaloir ; car il ne faut pas confondre « la volonté
générale
» avec « la volonté de tous ». Nous sommes ici d
ts qu’elles forment aussitôt qu’elles existent, altèrent la « volonté
générale
» et rendent impossible l’exercice de cette volon
on ni scrupule de conscience, parce qu’ils savaient être « la volonté
générale
», commençant par retrancher de la volonté généra
être « la volonté générale », commençant par retrancher de la volonté
générale
tout ce qui leur paraissait inspiré par un esprit
ivant facilement par cette opération arithmétique à être « la volonté
générale
» encore qu’ils eussent contre eux à très peu prè
ouvoirs, des mêmes principes Rousseau a tiré la théorie de la volonté
générale
et celle de la concentration des puissances. L’id
s’aliéner : « La souveraineté, n’étant que l’exercice de la volonté
générale
, ne peut jamais s’aliéner, et le souverain, qui n
e raison qu’elle ne peut être aliénée ; elle consiste dans la volonté
générale
et la volonté générale ne se représente point ; e
t être aliénée ; elle consiste dans la volonté générale et la volonté
générale
ne se représente point ; elle est la même ou elle
e démocratie ; mais en général tout gouvernement guidé par la volonté
générale
qui est la Loi… » (II, 6) ; et à cet autre passa
t considéré comme élément aristocratique et comme altérant la volonté
générale
; proscrivant toute liberté, par une conséquence
onné le gouvernement de la, Grèce à M. de Lentulus ou à quelque autre
général
qui aurait empêché les nouveaux Grecs de faire au
n de gouverner est de gouverner avec l’opinion publique en ses lignes
générales
et sans tenir compte de ses caprices ; que par co
eut considérer comme un bien, mais la misère, ne tarderait pas à être
générale
et la dépopulation en serait la conséquence imméd
ent en Montesquieu un partisan et un défenseur. Telles sont les idées
générales
de Montesquieu sur l’individualisme et le sociali
La théorie de l’Etat omni-possesseur résulte tellement de la doctrine
générale
du Contrat social qu’on l’en tirerait légitimemen
ces deux droits est si exacte, que, comme l’Etat impose sa « volonté
générale
» au citoyen pour « le forcer à être libre », de
, les politiques et publicistes s’étaient occupés plutôt de politique
générale
que de tout autre objet, et d’autre part la centr
e de s’entendre et même de délibérer ensemble. C’est un peu des Etats
généraux
où se rencontrent Noblesse, Clergé et Tiers. Ils
ns à l’administration de leurs provinces, Etats provinciaux, conseils
généraux
, conseil municipaux, Voltaire ne s’est jamais occ
sociale : le pouvoir judiciaire. La liberté politique, la liberté
générale
d’un pays dépend essentiellement de deux choses :
te considération, et nous n’avons pas à y insister ici. A ces raisons
générales
Montesquieu en ajoute quelques-unes de particuliè
belle uniformité. C’est précisément ce que le partisan de la volonté
générale
cherche sans doute, et que cette volonté générale
tisan de la volonté générale cherche sans doute, et que cette volonté
générale
s’impose par les jugements comme par les lois et
s longtemps pas de suite. C’est depuis l’établissement de la vénalité
générale
des charges de judicature que le Parlement « remo
esoin d’argent… » Dans ce cas le Parlement renvoyait le roi aux Etats
généraux
et répondait comme le Premier Président Jean de l
arre, et ordonné de reconnaître pour roi Charles X et pour lieutenant
général
du royaume le duc de Mayenne ; et surtout ce fant
e sommes ni princes, ni pairs, ni grands officiers de la couronne, ni
généraux
d’armée, ni ministres… » Dans cette pièce, destin
-être le meilleur. Il est le plus libéral et le plus conforme au bien
général
. Ceci est encore une confirmation du mot excessif
c le duc de Mayenne, protesta contre la décision des soi-disant Etats
généraux
de nommer reine l’Infante d’Espagne et déclara la
édent en sa faveur et de se laisser mettre en lieu et place des Etats
généraux
. Aux Etats généraux de 1515, le Tiers ayant propo
t de se laisser mettre en lieu et place des Etats généraux. Aux Etats
généraux
de 1515, le Tiers ayant proposé de recevoir comme
feu le Père Malagrida ; et tout cela eut en France, dans l’excitation
générale
des esprits, un retentissement très considérable.
e l’ancien Régime il réclama avec insistance la convocation des Etats
généraux
qui devaient mettre fin à son rôle politique et à
litique pour contrepeser et limiter le pouvoir royal. — Ses principes
généraux
étaient qu’il y avait en France une constitution
chanson de grenadiers. Ils n’auraient point traîné à Tyburn un brave
général
d’armée, quoique très brutal, avec un bâillon dan
blons à ce conquérant de la Chine qui poussa ses sujets à une révolte
générale
pour les avoir voulu obliger à se rogner les chev
re ; car si elle est excessive elle est misère particulière et misère
générale
: misère particulière, cela va de soi, misère gén
ière et misère générale : misère particulière, cela va de soi, misère
générale
parce que les surproduits qui ne trouvent pas l’e
e Montesquieu n’est pas rationnel ; il n’est pas conforme à ses idées
générales
; il n’est pas facilement applicable : il est arb
é sur ce point ; mais c’est évidemment très contraire à ses principes
généraux
. En formant association sur une chose dont l’Etat
ile qu’il veut établir. Ils sont en parfait accord avec les principes
généraux
qu’il professe sur l’unité et l’indivisibilité de
eurs et pour l’Empire ; mais c’est que nous savons que la dissolution
générale
qui menace l’Univers et la consommation des siècl
militaires », c’est-à-dire si l’officier ne doit être qu’officier, le
général
que général, ou si l’officier peut être homme pol
, c’est-à-dire si l’officier ne doit être qu’officier, le général que
général
, ou si l’officier peut être homme politique, le g
e général que général, ou si l’officier peut être homme politique, le
général
magistrat civil ; et il répond, ce qui est très s
s il y faut des conditions multiples, très difficiles à réunir. Aucun
général
ne tenant à ce qu’un autre général arrive au pouv
s, très difficiles à réunir. Aucun général ne tenant à ce qu’un autre
général
arrive au pouvoir suprême, tout général qui préte
al ne tenant à ce qu’un autre général arrive au pouvoir suprême, tout
général
qui prétendrait à ce pouvoir aurait pour ennemis
ationale toujours en contact et en commerce avec la nation ; et qu’un
général
fût reconnu unanimement comme leur supérieur et c
nnu unanimement comme leur supérieur et comme leur chef, par tous les
généraux
de l’armée. Pour cela il faudrait qu’il y eût eu
, et une guerre glorieuse. Mais dans cette guerre glorieuse plusieurs
généraux
se seraient distingués et seraient en rivalité, e
toutes les conditions précédentes et une guerre glorieuse où un seul
général
se serait distingué, et de telle sorte qu’il fût
que et à les transformer en républiques. Il va sans dire que ceci est
général
et non absolu ; qu’il peut exister un peuple où l
autorité militaire, et qui, au milieu des compétitions probables des
généraux
, n’auraient pas de peine à maintenir leur puissan
perdu la plupart de ses agréments chez un autre… C’est donc une règle
générale
que dans tous les pays où la loi accorde aux homm
le vin et pour la bière, un auguste sénat pour juger si les fermiers
généraux
doivent fouiller dans la poche des passants, séna
dmis dans la Cour des Pairs ? Le Parlement est-il substitué aux Etats
généraux
? Le Conseil d’Etat est-il en droit de faire des
t tant s’en faut ; les Cahiers de 1789, plus royalistes que les Etats
généraux
de 1614, n’ont pas demandé une Révolution. Ils on
qu’à un roi : « Tu n’es pas souverain » ; et ils disent, d’une façon
générale
, le mot de Royer-Collard, que nous avons vu qui e
i la souveraineté du peuple : « La loi est l’expression de la volonté
générale
; tous les citoyens ont droit de concourir person
taine mesure, de Babeuf. Souveraineté du peuple, c’est-à-dire volonté
générale
, ce qui ne veut pas dire volonté de tous, mais vo
nt un caractère aristocratique ; — despotisme absolu de cette volonté
générale
, l’individu n’étant libre que par et dans la libe
et dans la liberté du peuple, c’est-à-dire que par et dans la volonté
générale
dont il est un des éléments, et les libertés indi
amenée à être un Etat administré par des Jésuites qui obéiraient à un
général
des Jésuites. Ce serait exactement cela, sans le
gouvernement. C’est un trait et c’est une conséquence de la décadence
générale
. Dans un pays où il n’y a presque plus d’industri
e pas dans le siècle. Il ne participe en rien aux lumières, aux idées
générales
du temps : il n’en est que par une certaine bonho
n Westphalie, et il y avait porté la prudence et les précautions d’un
général
expérimenté. Mais on ne fut pas content de lui à
i clair. On se disait qu’il aurait d’excellents et fermes lieutenants
généraux
, il avait demandé Chevert, Saint-Germain Contades
u à Paris par une maladie grave. M. de Crémille devait être son major
général
: par malheur, on le lui retira pendant la campag
oupes et d’empêcher toute vexation. » Arrivé à l’armée, ses fautes de
général
commencèrent dès le premier jour. Il avait pour a
Les épigrammes et les refrains satiriques avaient pris le dessus. Le
général
des Bénédictins, comme on l’avait surnommé dans l
caractère lui a manqué : il est resté en deçà de tout. Il n’a pas été
général
, quoique ayant assez bien fait la guerre au début
nt engagé à la gauche, envoie demander du soutien) : « L’envoyé de ce
général
avait trouvé à pied dans la plaine M. le comte de
plus naturellement sous la plume toutes les fois qu’on a à citer des
généraux
pitoyables de l’ancien régime, « les Villeroy et
l’histoire. Elle ne doit point se borner à des conclusions rapides et
générales
sur les principaux systèmes. Elle est une science
ur quelle raison ? C’est que l’accident prend ici la valeur d’un fait
général
. En effet, tout événement n’est pas historique, t
de généralité. Un roi n’est pas seulement un individu, c’est un homme
général
qui résume toute une société. Une bataille n’est
eut se plier à cette loi d’Aristote : « la science ne s’occupe que du
général
. » Il est arrivé pour l’histoire ce qui est arri
mais qui sous une forme particulière expriment quelques-unes des lois
générales
de la pensée. L’histoire de la philosophie est un
systèmes philosophiques ont en grande partie leurs causes dans l’état
général
de la civilisation et des mœurs. Quelquefois ils
a discrédité à jamais les travaux de seconde main. Dans son Histoire
générale
de la Philosophie, il a donné les grandes lignes,
re incomplètes, ce qui manque surtout à la France, c’est une histoire
générale
de la philosophie comme il y en a plusieurs en Al
ut-être d’entreprendre une vaste synthèse qui embrasserait l’histoire
générale
des systèmes non-seulement en eux-mêmes, mais dan
onte les sauve au moins de la bassesse. D’ailleurs, un goût de vérité
général
s’est répandu ; moins il y en a dans nos mœurs, p
En quel endroit puis-je aller pleurer sur la tombe de L’Hôpital ? Le
général
qui sauva la France, à Denain, déposé depuis près
le laisse la même tranquillité à tout ce qui l’entoure : c’est la loi
générale
. Imaginez la nature sans mouvement : tout est mor
s livres et dans votre propre pensée, quelles sont les fonctions d’un
général
, d’un législateur, d’un ministre, d’un prince ; q
me universel de la société. Mais ces connaissances ne sont encore que
générales
, il vous en faut de plus particulières. Le peintr
rts, imitent la marche de la nature, et se font un principe unique et
général
dont toutes leurs idées ne sont que le développem
rer les principes, les idées se fondre avec les faits, les réflexions
générales
sortir ou des succès, ou des obstacles, ou des mo
’est elle seule qui en a le tact ; elle est produite par un sentiment
général
qui circule d’une idée à l’autre, qui les unit, q
ux des nations ; que, dans l’ordre moral, il s’enflamme sur les liens
généraux
de bienfaisance qui doivent unir tous les hommes,
prenait une physionomie et un sens. Il aimait passionnément les idées
générales
, mais il les dissimulait si bien, qu’un Anglais,
traitant un si grand sujet, vous ayez si complètement évité les idées
générales
. » Il ne les évitait pas, loin de là ; mais il ch
n en me réveillant, dit-il, qu’on vient de découvrir une certaine loi
générale
et éternelle dont je n’avais jamais ouï parler ju
ils défendent ou condamnent la démocratie d’après certains principes
généraux
; mais pas un n’a étudié la démocratie comme un f
cheuse sur le gouvernement de la démocratie. Et cependant la tendance
générale
et constante de ce gouvernement est le bien-être
ant ainsi par faiblesse et par scrupule, il en résulte une diminution
générale
, qui, en se perpétuant et en s’aggravant de génér
on. Malheureusement la majorité est toujours la médiocrité. Un niveau
général
de médiocrité s’impose ainsi aux choses de l’espr
ie et à l’abâtardissement en devenant démocratiques, telle est l’idée
générale
dans laquelle peut se résumer mon livre… Travaill
qui lui paraissent nécessaires, se contente des indications les plus
générales
et n’entre pas dans les détails particuliers. Je
ntesquieu ! Les grands publicistes se bornent à donner des directions
générales
, c’est au législateur de faire le reste. Il faut
nt que dans l’ensemble de son développement historique176, l’histoire
générale
de la tragédie forme, avec la théorie sommaire de
ire, qui ne serait elle-même qu’un effet par rapport à une cause plus
générale
, mais dans l’histoire même de l’Absolu. L’Esprit
intérêts de la cité. Là, le salut public refoule au fond du cœur d’un
général
d’armée la tendresse paternelle. Dans cette jeune
héros possédaient en eux-mêmes le principe divin de leurs entreprises
générales
. Leurs actions, partant de leur personnalité comm
quise par la personne humaine est le trait le plus profond et le plus
général
du changement survenu alors dans la conscience du
-même du drame divin développé par elle dans l’histoire. Les intérêts
généraux
de la Société, les droits de la Famille, toutes c
e, qui est la guerre des Dieux, c’est-à-dire des sentiments à la fois
généraux
et généreux de l’âme humaine., dans le for intéri
ui d’une manière plus pure et plus vraie dans ses créations hautement
générales
, qu’elle ne peut l’être par la Nature et par l’Hi
e. Ils voient cette mascarade irréligieuse se terminer par la déroute
générale
du mensonge et de la perversité, et leur majesté
principe, en Grèce, l’incarnation d’un petit nombre d’idées hautement
générales
, que le poète n’avait pas tirées de son propre fo
nt de supposer que l’homme put dès lors cesser de participer à la vie
générale
de la Société, pour s’enfermer, d’une façon exclu
les individus ne cessèrent point de se mouvoir dans un cercle d’idées
générales
et de sentiments généraux. L’amour de Roméo et de
point de se mouvoir dans un cercle d’idées générales et de sentiments
généraux
. L’amour de Roméo et de Juliette me touche, sans
ut que cet ambitieux et que ces amants se brisent contre la puissance
générale
et solide, malgré laquelle ils veulent parvenir à
loppent dans leur rapport avec une idée morale, avec quelque grand et
général
intérêt de la Société, de la Famille ou de la Rel
que j’ai admirée dans Shakespeare, mais d’une vérité plus pure, plus
générale
et plus philosophique, qui supprime dans les repr
réer, en Angleterre, des caractères individuels, en France, des types
généraux
, est devenu pour le poète la grande chose, et si
e, enchaîné à un texte, ne peut juger selon sa propre inspiration. Le
général
d’armée, impatient de couvrir sa personne de gloi
197. Dans Roméo et Juliette, la division des familles est la base
générale
de l’action. De même dans Hamlet, on voit par l’a
irer le plus de conséquences logiques que nous avons pu des prémisses
générales
posées par Hegel. Car voici à quoi se réduit sa c
droits par lesquels la liberté est fixée et régularisée d’une manière
générale
et abstraite sont indépendants de la volonté indi
ui échappent à leur direction et à leur pouvoir personnel. De même un
général
d’armée, dans nos temps modernes, est bien revêtu
és directeurs de conscience. Ce troisième volume constate la faillite
générale
des penseurs qui ont figuré dans le second. J’y r
aucunement ses conclusions. Ce qu’il est rationnel de tirer des idées
générales
de Taine, c’est que l’humanité est mauvaise, et q
rès brièvement. L’idée de Justice est une idée fausse en tant qu’idée
générale
. Dire qu’il est juste de payer ce qu’on a promis
il écrit, il imprime franchement : « Ceci contredit assez ma théorie
générale
sur… » Voilà qui est méritoire, et qui le rend sy
trouve son obstacle dans les passions de notre homme. Quand une idée
générale
est chez lui la synthèse d’un grand nombre d’obse
ne supprime pour cela les faits contradicteurs ; mais quand une idée
générale
est chez lui, comme chez la plupart d’entre nous,
soit dans ses livres de pur observateur, soit dans ses romans, il est
général
et superficiel, et je ne dirai pas conventionnel,
peu de chose. Il était très peu philosophe, presque incapable d’idées
générales
. Celles qu’il a eues font souvent qu’on souhaiter
es à cet état, il faut bien savoir et il faut oser dire que les idées
générales
ne sont que des aperçus presque accidentels de l’
vivacité et éveil alerte de l’esprit. Stendhal avait, en fait d’idées
générales
, quelques bonheurs de conversation. Il ne faut pa
sprit tantôt servi, plus souvent gâté par ce caractère, quelles idées
générales
sont sorties, c’est, je crois, ce qu’il est assez
ugit tout simplement de n’être pas à la mode. La mode c’est l’opinion
générale
, et l’opinion générale c’est la mode, ni plus ni
n’être pas à la mode. La mode c’est l’opinion générale, et l’opinion
générale
c’est la mode, ni plus ni moins, un peu plus exig
bilité devenue un culte, que le souci d’agir conformément à l’opinion
générale
, que la conviction presque religieuse, superstiti
Stendhal a omises et qui méritaient d’entrer dans une classification
générale
à meilleur titre que l’amour-vanité, qui, en véri
énible divagation d’un esprit à peu près incapable d’exposer une idée
générale
, même en critique littéraire, et peut-être d’en a
Français, ensuite parce que Racine est en possession de l’admiration
générale
, deux choses que Stendhal pardonne difficilement
er d’abord. Le Rouge et le Noir est une très grande œuvre comme idée
générale
et comme portée. Il a un titre très clair : Rouge
itaine qui a servi sous Napoléon. Le regret de ce temps où l’on était
général
à trente ans, et où l’on passait empereur eu Fran
tous les obstacles. Le détail est encore plus beau que la conception
générale
. Certaines scènes en leur sobriété, en leur dessi
e de Parme est une manière de contrefaçon de Rouge et Noir. Même idée
générale
, mêmes personnages, entours et décors différents
nérale, mêmes personnages, entours et décors différents ; mais l’idée
générale
est présentée avec moins de force, les personnage
z naïf, et ensuite comme prodigieusement étroit et borné en ses idées
générales
. Mais il est original, il est bien lui-même. Il a
tiquer les hommes, je ne saurais le faire d’une manière habituelle et
générale
, parce que je n’en connais jamais qu’un très peti
vail facile, c’est à savoir les ouvrages de seconde main et les idées
générales
. Du document de seconde main il avait non seuleme
des moyens d’éviter qu’un livre ne soit un monologue. Pour les idées
générales
, elles sont si inévitables et si dangereuses, si
dit quelque part dans ses Mémoires que le système exagéré des causes
générales
procurait de merveilleuses consolations aux homme
omme nous le verrons, les considérations sur le climat, sur la marche
générale
de la civilisation, sur la race. Sur la race surt
. J’ai toujours remarqué que les premiers voyaient partout des causes
générales
, tandis que les autres, vivant au milieu du décou
et ne veut pas avoir de philosophie de l’histoire. Il voit des causes
générales
, il en voit de particulières, il voit des acciden
ce que la démocratie fait d’un peuple, des chapitres sur « les idées
générales
et pourquoi les Américains y montrent plus d’apti
ce qui est nécessaire ; que la concentration, par suite du mouvement
général
, atteigne des choses où il n’est pas nécessaire,
et à l’abâtardissement, en demeurant démocratiques, telle est l’idée
générale
dans laquelle peut se résumer mon livre (la Démoc
t à leurs besoins. L’État seul est l’État, et peut songer aux besoins
généraux
, aux périls futurs, aux complications internation
ement, mais politiquement, c’est-à-dire en considération des intérêts
généraux
de la nation ; mais, comme l’a très bien reconnu
habitudes, des mœurs spéciales, un esprit de corps, un certain esprit
général
qui ne change jamais ; des vertus professionnelle
ie, pouvoir intermédiaire, et au fond pouvoir réel, qui permet que le
général
change sans que les cadres de l’armée soient ébra
’un travers. Il aimait à être directeur de conscience, tendance assez
générale
chez les hommes vertueux qui ont conscience de le
me que ce qu’il a voulu nous donner. III La première impression
générale
que l’on garde des livres de Proudhon est extrême
charlatan, il avait une horreur instinctive de ce qui était croyance
générale
. Beaucoup d’hommes, même distingués d’esprit sont
aisonnements coordonnant toutes ces observations et en tirant une loi
générale
; et qui fait ces observations ? et qui tire cett
t. Ils n’ont fait ce qu’ils voulaient que quand la foule, d’une façon
générale
, le voulait aussi ; ils n’ont fait que ce qu’elle
ulement cette volonté populaire s’exerçait autrefois d’une façon très
générale
, très lente, très lointaine et très indirecte, d’
lente, très lointaine et très indirecte, d’une façon, à vrai dire, si
générale
, si lente, si lointaine et si indirecte qu’il éta
ar sa simplicité les intelligences d’alors, toutes enchantées d’idées
générales
; et que la France n’eût rien à y gagner, ce n’ét
s, ma pensée, mon âme, ma personne doivent se conformer aux tendances
générales
, à l’âme générale, si je puis ainsi dire, de mes
me, ma personne doivent se conformer aux tendances générales, à l’âme
générale
, si je puis ainsi dire, de mes concitoyens ; et c
toutes ses considérations sur ce sujet amènent seulement à cette vue
générale
que la propriété la meilleure, la plus salutaire
n avoir une. Il faudrait tout connaître pour arriver à une conclusion
générale
; mais tout connaître, pour un homme qui n’est qu
été sans influence sur la santé de son esprit, tel fut en ses traits
généraux
, le grand critique du xixe siècle. — Voyons quel
aut de juger par simple impression, ou dans celui de juger par règles
générales
, théories, et a priori ; et c’est précisément ent
Un critique, à l’ordinaire, est soutenu par un certain nombre d’idées
générales
et guidé par une méthode. Sainte-Beuve n’a pas eu
s générales et guidé par une méthode. Sainte-Beuve n’a pas eu d’idées
générales
et n’a presque pas eu de méthode. J’ai dit qu’il
te. Il se défie des croyances jusqu’à se défier extrêmement des idées
générales
. Les idées générales de son temps étaient l’idée
royances jusqu’à se défier extrêmement des idées générales. Les idées
générales
de son temps étaient l’idée du progrès, l’idée de
est incroyable. IV Il n’a guère eu plus de méthode que d’idées
générales
. On peut dire que tout l’effort de la critique au
nd place de lui-même dans cette physionomie… Au type vague, abstrait,
général
, se mêle et s’incorpore par degrés une réalité in
c’est précisément ce qui fait que Sainte-Beuve aime si peu les idées
générales
et une méthode de critique qui comporte des idées
les idées générales et une méthode de critique qui comporte des idées
générales
et qui en est faite. Ce qu’il aime, c’est l’indiv
upe dans un monde, ce monde dans un siècle et ce siècle dans les lois
générales
de l’histoire, c’est-à-dire dans une pensée. De c
ance et de développement ce qu’il disait en 1829 : « Entre un fait si
général
et si commun à tous que le sol et le climat et un
its, il y avait comme une revue des principales croyances et opinions
générales
de l’humanité. Nous ne la ferons pas à nouveau à
’est-ce que le goût, pourra-t-on dire, chez un homme qui n’a ni idées
générales
auxquelles il tienne, ni méthode à laquelle il s’
ir quelque chose, sans qu’il soit besoin qu’ils rentrent dans une loi
générale
, sans qu’il soit besoin de leur attribuer un sens
semble l’être ; un grand fait est un fait, mais il a l’air d’une idée
générale
. Instinctivement, Taine aimait mieux les autres.
hue, il faut bien classer les faits. Tout classement suppose une idée
générale
. Si l’on distribue les faits que l’on connaît de
a façon de classer les faits, mais sur la façon de les voir. Une idée
générale
, c’est Taine qui l’a dit lui-même, est un pal qui
ue l’esprit systématique impose aux faits est très souvent une pensée
générale
que les faits ne lui ont pas donnée, qui lui est
esprit probe c’est d’étudier ; d’arriver par l’étude à quelques idées
générales
, ce qui est inévitable, quoi qu’on prétende faire
et de les tenir pour justes après contrôle, et de les dire. Ces idées
générales
, à la vérité, il faudra les surveiller très atten
ncore est de la probité intellectuelle. Ainsi se formera, non une vue
générale
des choses, mais une vue claire des choses visibl
ses qu’il croyait pouvoir comprendre, est à peu près, dans ses traits
généraux
, celui-ci. L’homme ne connaît que par les sens. L
bien, ramener les lois particulières de ce mécanisme à des lois plus
générales
, ces lois générales à des lois plus générales enc
ois particulières de ce mécanisme à des lois plus générales, ces lois
générales
à des lois plus générales encore et moins nombreu
canisme à des lois plus générales, ces lois générales à des lois plus
générales
encore et moins nombreuses, et enfin ces dernière
érieure et même relativement de la nation tout entière. Mais son idée
générale
de l’humanité n’en fut pas sensiblement modifiée.
lés, qu’on appelle observations ou idées de détail, compose des idées
générales
. Ces idées générales élaborées très difficilement
servations ou idées de détail, compose des idées générales. Ces idées
générales
élaborées très difficilement, que nous ne sommes
pidémies de crédulité et de soupçon… » Tel est l’homme en ses traits
généraux
; tel il ne paraît pas être, parce que bridé, san
une application de la méthode de Comte, qui consiste à aller du plus
général
et du plus simple au plus particulier et au plus
la réciproque est vraie. L’histoire s’attache à ce qui a un caractère
général
, la grande œuvre littéraire est surtout un docume
ie des peuples est légitime. Il y a certains traits de caractère très
généraux
qui sont communs à presque tous les individus d’u
de plus utile. Mais peindre un homme, quel qu’il soit, par les traits
généraux
de sa race, c’est précisément ne pas le peindre.
parler vague ; mais race, milieu et même moment sont des termes très
généraux
sous lesquels il faut entendre cent mille et cent
aire comprendre un seul écrivain, on est étonné de ces considérations
générales
, disproportionnées et qui semblent comme intruses
auteur que dans l’étude consacrée à celui-ci ; on sent que les idées
générales
de M. Taine, sur le caractère français, pourraien
de Taine en tant que critique. Ici est-il encore fidèle à son système
général
? Il l’est plutôt à ses tendances essentielles d’
core fort intéressante. A vrai dire, il n’a pas fait assez d’histoire
générale
et il s’est mis trop tard aux études historiques
s que jamais, n’admet volontiers en dehors d’elle aucun pouvoir, soit
général
, soit local, intermédiaire, ni aucune indépendanc
cience devrait intervenir et dire : « Ce sont des faits, et des faits
généraux
; on peut mépriser un fait particulier, accidente
des faits qui sont une conséquence transitoire et éphémère des faits
généraux
et qui sont négligeables) ; quant aux faits génér
hémère des faits généraux et qui sont négligeables) ; quant aux faits
généraux
, ils n’ont pas à se soumettre à la raison ; mais
e est « une sorte de raison qui s’ignore. » Une tradition est un fait
général
qui n’est général que parce qu’il a répondu à une
de raison qui s’ignore. » Une tradition est un fait général qui n’est
général
que parce qu’il a répondu à une nécessité ou à un
eur art dans l’exposition large, lumineuse et bien ordonnée des idées
générales
. Il les voyait ainsi ; et puis on lui avait appri
tout entière à enseigner l’art d’exposer le mieux du monde des idées
générales
, et par suite elle ne cherchait dans les grands é
siècle cet esprit idéologique et idéolâtrique est très loin d’être si
général
que Taine l’a fait. Voltaire ne l’a pas, et Taine
même Bossuet, quoique ce soit de tous le plus grand artiste en idées
générales
, comme les précurseurs de la Révolution française
; elle est légitimée comme l’est un fait qui rentre dans un fait plus
général
; elle perd son caractère d’accident pour prendre
; il devient la cause finale de l’antiquité et le centre du mouvement
général
de l’humanité tout entière. De même, si on consid
en a jamais connu d’autre. Il y aurait à remarquer que même nos idées
générales
sur la civilisation, sur le progrès, sur les cond
as fâché de reconnaître et de montrer à quel point ses premières vues
générales
sur l’homme étaient justes et bien fondées. De là
mêmes de notre existence, qui sont comme la racine de nos sentiments
généraux
. Le philosophe qui ne croit pas à la liberté huma
ent d’être systématiques pour être vivantes. VI Les conclusions
générales
de Taine sur l’homme et la vie humaine, la sociét
l’homme, que dans tout le reste de la nature. L’animalité a pour lois
générales
, d’une part, la surproduction, et, d’autre part,
art, la survivance des plus forts, en d’autres termes elle a pour loi
générale
la guerre. La nature, en chaque espèce animale, a
l’homme a de l’univers. Elles lui donnent pour un temps une hypothèse
générale
, explicative de tout ce qu’il voit, et à laquelle
e qu’on le lui explique ; non seulement elles ramassent ses instincts
généraux
en un seul instinct très élevé, mais encore elles
autres, dont le tempérament propre est plus conforme aux indications
générales
de la nature, plus conforme à la nature générale
rme aux indications générales de la nature, plus conforme à la nature
générale
de l’humanité. Être exceptionnel en cela est dang
plus encore après 1870 ; Taine fut en conformité avec l’état d’esprit
général
. Aussi son influence s’insinua-t-elle jusque dans
cisif, tranchant et obstiné. Mais les hommes qui donnent à une pensée
générale
la forme d’une doctrine, et à cette doctrine la d
er franc, l’athéisme lui-même. Elle n’est pas prouvée ; elle est trop
générale
pour l’être. Que jamais aucun de nous n’ait vu un
n’en est pas moins une simple affirmation, comme toutes les idées si
générales
qu’elles dépassent les bornes du contrôle humain.
e et qui explique la passion toute moderne des hommes pour l’histoire
générale
. L’histoire chez les anciens est nationale et n’a
e souvenir des gestes des ancêtres ; l’histoire chez les modernes est
générale
, et, autant qu’elle peut l’être, universelle, dep
heures de méditation de temps en temps : spéculations de philosophie
générale
. Ainsi Renan régla sa vie vers 1850 ; et il n’a p
ude des petits faits contre-balancée par le goût persistant des idées
générales
, l’élaboration des idées générales accompagnée de
e par le goût persistant des idées générales, l’élaboration des idées
générales
accompagnée des travaux minutieux de l’érudition,
, exercée et aérée constamment, un ensemble, sinon un système d’idées
générales
se forma où entraient toutes les anciennes concep
était pour Renan l’essence de la religion, rentre dans la conception
générale
qu’il se fait des choses. C’est avec plaisir sans
s sinueuse et finement capricieuse qui fut peut-être jamais, l’esprit
général
de la philosophie de Renan depuis 1860 environ ju
nt de s’arrêter à cette période pour voir l’influence de cette pensée
générale
sur les travaux historiques et politiques d’Ernes
t fortifiante, avec sa poésie adorable, et aussi avec la civilisation
générale
qu’elle avait répandue, avec la paix relative, ma
accomplit. Et de tout cela se démêle enfin et s’élève une grande idée
générale
qui est que le christianisme, depuis ses origines
a cru être ; elle nous livre ses premiers rêves, ses premières idées
générales
, ses premières conceptions, populaires, spontanée
, de plus attachante, de plus émouvante ni de plus vivante. Les idées
générales
qui en découlent fussent-elles controuvées, il re
es droits des religions : dans ses grandes lignes, dans ses tendances
générales
et permanentes, l’humanité ne se trompe pas, et l
, l’humanité ne se trompe pas, et la religion est un de ces instincts
généraux
et universels. Comme grand fait, donc, elle porte
igieux est un sentiment ; mais une religion est un patrimoine d’idées
générales
. De ce patrimoine le dépôt doit être quelque part
ui-même et commence à devenir Dieu ; mais, en sortant des définitions
générales
, à combien d’hommes s’appliquent ces qualificatio
ut-être, mais surtout par l’intelligence et le savoir, ont cette idée
générale
de l’univers et sont capables de l’embrasser. Au
idées scientifiques, religieuses et philosophiques, toutes ses idées
générales
; elle offensait aussi, un peu, la très légitime
gurations plus récentes qu’il avait imaginées de l’univers. Les idées
générales
s’accumulaient ainsi dans son esprit, puis s’y or
rther, « quand il croit avoir avancé quelque chose d’exagéré, de trop
général
ou de douteux, ne cesse de limiter, de modifier,
phiste lorsqu’on a jeté dans le monde, en y insistant, quelques idées
générales
très nettes, qui font centre, auxquelles les disc
Balzac, et le père Goulu,
général
des feuillans. Jean-Louis Guez, appellé Balzac,
euillans, en particulier, se crurent offensés de la comparaison. Leur
général
, le P. Goulu, homme violent & despotique dans
ge digne d’entrer en lice avec le héros de la littérature. D’abord le
général
des Feuillans détacha trois ou quatre écrivains d
s . Avec quelque zèle dont le moine feuillant dom André eût servi son
général
, celui-ci ne se crut point satisfait. L’apologie
rut point satisfait. L’apologie de Balzac étoit un coup de massue. Le
général
remercia dom André de ses bons offices, & pri
e Phyllarque ou prince des feuilles, faisant allusion à sa qualité de
général
des feuillans, il publia deux volumes de lettres
s. — Éléments moteurs dans les perceptions, émotions, images et idées
générales
. — Qu’est-ce que diriger volontairement son atten
rocure du plaisir à l’homme civilise, il n’est ni si persistant ni si
général
… Au contraire, le pouvoir d’appliquer d’une maniè
e supprimer, interrompre et diminuer un mouvement. Ces considérations
générales
nous conduisent du moins à un résultat positif :
l’existence d’éléments moteurs dans les images, la question des idées
générales
ou concepts est plus difficile. Il faut reconnaît
n. Je propose seulement, à titre d’orientation, de répartir les idées
générales
en trois grandes catégories : Celles qui résulten
l’attention puisse agir. a) La première catégorie comprend les idées
générales
de l’espèce la plus grossière, celles qui se renc
des images génériques, terme qui serait plus exact que celui d’idées
générales
. Elle paraît très analogue au procédé connu par l
re, comme on l’a fait, que ce procédé explique la formation des idées
générales
, est une thèse insoutenable ; il n’en explique qu
n volontaire. b) La deuxième catégorie comprend la plupart des idées
générales
qui servent à l’usage courant de la pensée. Dans
lieu d’établir une hiérarchie ascendante de groupes, allant du moins
général
au plus général, c’est-à-dire marquant le pouvoir
une hiérarchie ascendante de groupes, allant du moins général au plus
général
, c’est-à-dire marquant le pouvoir de saisir des r
hêne blanc et le chêne noir ; ils n’en ont pas pour désigner le chêne
général
. Les Tasmaniens ont un terme pour chaque espèce d
tes phases, qu’avons-nous dans l’esprit, quand nous pensons ces idées
générales
? D’abord un mot qui est l’élément fixe : avec lu
jet à qui prévaudra dans la conscience. Dans la conception d’une idée
générale
, il y a une lutte entre diverses images générique
autour duquel oscillent des éléments vagues et obscurs. Ma conception
générale
d’homme ou de chien, si clic persiste tant soit p
Dans la catégorie précédente, à mesure que les idées deviennent plus
générales
, le rôle des images s’efface peu à peu, le mot de
des éléments moteurs. Que les éléments moteurs inclus dans les idées
générales
de toute catégorie soient souvent très faibles, o
s, il reste encore un point équivoque. Si l’on admet que le mécanisme
général
de l’attention est moteur et, pour le cas particu
ts d’une manière bien plus satisfaisante, bien plus conforme aux lois
générales
de la physiologie que l’hypothèse qui lie ce sent
igue et de somnolence 183 σ. Chez un malade, au début de la paralysie
générale
, le temps moyen était de 166 σ ; à la deuxième pé
conscience des sensations insolites : ce qui est un cas de cette loi
générale
que tout état de conscience vif tend à s’actualis
ologue une tâche bien plus difficile. Il lui faudrait, outre la cause
générale
, trouver les causes particulières de chaque cas.
dans la manie, qui consiste, comme on le sait, en une surexcitation
générale
et permanente de la vie psychique. La diffusion n
es causes dépend l’attention spontanée. Nous comprendrons sous le nom
général
d’épuisement un groupe d’états assez nombreux où
on motrice à un degré quelconque. — Sur la condition physique la plus
générale
de l’attention. I Nous avons essayé d’étab
intenant à faire quelques remarques sur la condition physique la plus
générale
de l’attention. Si l’on veut bien observer les ho
s et probablement d’autres encore, le reste peut s’inscrire au compte
général
de l’attention. Dans ce compte général, les cas d
este peut s’inscrire au compte général de l’attention. Dans ce compte
général
, les cas d’attention spontanée sont le grand nomb
les images et les diverses formes du langage fût tenté pour les idées
générales
. Il est probable qu’on trouverait là aussi des ty
si des types irréductibles. Ainsi Berkeley me paraît penser les idées
générales
sous la forme visuelle. Celui qui lira attentive
e la nature humaine, qui les étudiera non comme une théorie des idées
générales
, mais comme un document, une confession psycholog
mme un document, une confession psychologique, en conclura que l’idée
générale
était pour lui une vision. « L’idée d’homme que-j
. — D’un autre côté, les nominalistes me paraissent penser les idées
générales
sous la forme purement auditive. La fameuse théor
» (Ouv. cité, p. 80, 81.) — Cette conception des idées abstraites et
générales
pourrait s’appeler l’antipode du nominalistne. O
y a pas de maladies, mais des malades ; de même, il n’y a pas d’idées
générales
, mais des esprits qui les pensent différemment. A
ractères analogiques et caractères d’adaptation. — VII. Des affinités
générales
, complexes et divergentes. — VIII. Les extinction
iel pour énoncer aussi brièvement que possible certaines propositions
générales
. En ce cas, il aurait pour but de nous permettre
ue que comme un plan imaginaire qui permet d’énoncer des propositions
générales
et de placer ensemble sous les mêmes rubriques le
és d’organisation qui déterminent les habitudes de vie, et la station
générale
de chaque être dans l’économie de la nature, deva
s reviendrons plus loin sur ce sujet. On pourrait même poser en règle
générale
que, moins une particularité d’organisation est e
ctères. Car cet axiome scientifique semble fondé sur une appréciation
générale
de beaucoup de ressemblances superficielles trop
que mystérieux plan de création, d’énoncer seulement des propositions
générales
, ou de rassembler des choses semblables et de sép
importance, qu’on ne saurait douter qu’ils n’aient hérité leur forme
générale
et la structure de leurs membres d’un commun ancê
nombre encore moindre de classes, et enfin dans un seul grand système
général
. Une preuve du petit nombre des groupes supérieur
tal que de deux ou trois familles peu nombreuses. VII. Des affinités
générales
, complexes et divergentes. — Dans le chapitre sur
un groupe très distinct, cette affinité, dans la plupart des cas, est
générale
et non pas spéciale. Ainsi, d’après M. Waterhouse
rame de Candolle a fait des observations très analogues sur la nature
générale
des affinités de plusieurs familles de plantes di
, quelle qu’en soit du reste l’étendue, afin de donner aussi une idée
générale
de la valeur des différences qui les distinguent.
x descendants d’une espèce mère dominante, explique les grands traits
généraux
qu’on découvre dans les affinités de tous les êtr
indépendamment de leurs habitudes de vie, se ressemblent par le plan
général
de leur organisation. Cette ressemblance s’exprim
appeler leur archétype, ait eu les membres construits d’après le plan
général
actuel, quel qu’ait été alors l’usage auquel ils
présentants de cette classe. Néanmoins, on peut concevoir que le plan
général
d’un organe ait pu s’altérer au point de se perdr
gigantesques et dans la bouche de quelques crustacés suceurs, le plan
général
semble ainsi jusqu’à certain point avoir été alté
es divers faits de l’embryologie ? Comment expliquer la différence si
générale
, mais non pas universelle, qu’on observe entre la
escendants, nos espèces actuelles. M. Agassiz pense que c’est une loi
générale
de la nature ; mais j’avoue que j’espère seulemen
nes, et surtout, selon Youatt, chez les jeunes animaux : c’est l’état
général
de toutes les fleurs dans le Chou-Fleur. Nous voy
lative qu’ils accordent aux caractères les plus constants et les plus
généraux
, qu’ils soient du reste d’une importance vitale p
arines. M. Agassiz a soutenu habilement cette règle de classification
générale
selon laquelle les formes terrestres sont toujour
re raison se réduit souvent à une règle de trois. Point d’objets plus
généraux
que le nombre et l’espace. Savoir de la géométrie
L’algèbre, dont le nom n’effraye plus, n’est qu’une arithmétique plus
générale
que celle des nombres, aussi claire et plus facil
e pourrais bien avoir oublié ici la raison de l’utilité plus ou moins
générale
, pour céder à la liaison des connaissances. Les é
n a aussi un Traité des probabilités de la vie humaine) où la formule
générale
et les tables sont de moi, comme l’auteur a eu l’
es pièces d’histoire naturelle, par M. Turgot, le frère du contrôleur
général
actuel41. L’Abrégé de l’Histoire naturelle fait p
L’optique, la dioptrique, la catoptrique ne sont que trois problèmes
généraux
à résoudre. Combien l’algèbre abrège de discours
pas. Sixième classe. La logique et la critique, la grammaire
générale
et raisonnée. La logique est l’art de penser j
isent à l’étude de l’histoire et des belles-lettres ; et la grammaire
générale
raisonnée est l’introduction à l’étude de toutes
n s’apercevra bientôt que c’est une même machine soumise à des règles
générales
, à quelques différences près, de pure convention,
langue par gestes trouverait les équivalents. Le traité de ces règles
générales
s’appelle grammaire générale raisonnée ; celui qu
es équivalents. Le traité de ces règles générales s’appelle grammaire
générale
raisonnée ; celui qui la possède a la clef des au
’ordre de la proposition dans le raisonnement, parce que la grammaire
générale
raisonnée n’est qu’une application trèssubtile de
’ouvrage de Le Clerc52, je n’en connais point d’autres. (La grammaire
générale
raisonnée.) C’est un ouvrage à faire. Elle suppos
goût et de morale. Si l’on jugeait à propos de reléguer la grammaire
générale
raisonnée après l’étude des grammaires et des lan
sse et la langue slavonne par principes. A l’étude de la grammaire
générale
raisonnée je fais succéder celle de la langue de
Thucydide l’avait laissée. Historien, philosophe, homme de lettres et
général
d’armée, il nous a laissé la Retraite des dix mil
mande s’il est indifférent d’en aplanir la difficulté par des notions
générales
sur les mœurs, les usages, les faits ; en un mot,
grammaire universelle. 54. Édition avec remarques sur la Grammaire
générale
de Port-Royal. 1754, in-12. 55. Traité de la fo
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