son œuvre, il s’enfonçait toujours plus avant dans sa psychologie des
forces
, de là dans une métaphysique subtile, plus loin e
e du temple ; le premier maître du spiritualisme, le révélateur de la
force
libre, le plus grand métaphysicien de notre temps
e grimoire : « Il y a immédiation entre l’aperception immédiate de la
force
constitutrice du moi et l’idée de la notion de mo
e constitutrice du moi et l’idée de la notion de mon être au titre de
force
absolue, par la raison que je pense et entends la
onsieur, nous expliquer ce qu’est l’âme ; pourquoi vous la nommez une
force
libre ; comment une force qui est une qualité peu
qu’est l’âme ; pourquoi vous la nommez une force libre ; comment une
force
qui est une qualité peut être le moi qui est un ê
n grimoire : « Il y a immédiation entre l’aperception immédiate de la
force
constitutrice du moi et ridée de la notion de mon
ce constitutrice du moi et ridée de la notion de mon être au titre de
force
absolue, par la raison que je pense et entends la
l’existence individuelle et actuelle du moi. » La phrase est rude :
Force
constitutrice du moi, idée de la notion de mon êt
Force constitutrice du moi, idée de la notion de mon être au titre de
force
absolue, réalité absolue de mon être, immédiation
Substituons des équivalents et traduisons : « Apercevant la volonté,
force
efficace qui est moi-même, je sais directement et
t moi-même, je sais directement et sans raisonnement qu’il existe une
force
, laquelle est moi. » L’idée ne vaut pas grand’cho
par prendre pour des êtres les facultés et les puissances. Platon, à
force
d’étudier le même, l’un, la différence, et toutes
ini par déclarer que ces qualités sont des substances. M. de Biran, à
force
d’étudier la volonté, a fini par déclarer qu’elle
identifie de la manière la plus complète et la plus intime avec cette
force
motrice (sui juris) qui lui appartient18. » Ainsi
es parties composantes, isolées par fiction et par analyse. C’est une
force
ou faculté, portion du tout, mise à part, élevée
r lui la volonté est un être persistant et distinct. Cet être est une
force
qui agit sur les idées et sur les mouvements, les
eront ; d’autres prendront leur place. Seul le bâton subsiste avec sa
force
attractive, et il est la seule chose solide dans
sophie on admet tout. Reste un point : comment connaissons-nous cette
force
? Je veux mouvoir mon bras, et je le meus. Il y a
a là, dit-il, une résolution de l’âme, un mouvement du corps, et une
force
qui attache le mouvement du corps à la résolution
r. Le cas est unique. Partout ailleurs nous ne faisons que deviner la
force
: ici nous apercevons la force ; partout ailleurs
illeurs nous ne faisons que deviner la force : ici nous apercevons la
force
; partout ailleurs, quand deux faits s’accompagne
l n’y a point d’autre vue semblable ; et quand vous concevez d’autres
forces
, c’est d’après la vôtre et sur ce modèle que vous
s la vôtre et sur ce modèle que vous en formez la notion. Une fois la
force
constatée et comprise, la nature s’ouvre et les s
ni sur les causes21. Ni le scalpel ni le thermomètre n’atteignent les
forces
productives, sources inconnues et profondes desqu
es hôtes, et nous savons comment elle est habitée. En observant notre
force
, nous savons ce que sont les siennes, et notre pr
mière découverte est qu’elles sont spirituelles. « Car nulle cause ou
force
ne peut se représenter sous une image qui ressemb
atière. » « Toute cause efficiente dans l’ordre physique même est une
force
immatérielle. » « Les êtres sont des forces, les
rdre physique même est une force immatérielle. » « Les êtres sont des
forces
, les forces sont des êtres : il n’y a que les êtr
e même est une force immatérielle. » « Les êtres sont des forces, les
forces
sont des êtres : il n’y a que les êtres simples q
l n’y a que les êtres simples qui existent réellement à leur titre de
forces
; ce sont aussi les véritables substances existan
autre réalité que celle des êtres simples dont toute l’essence est la
force
active. Dès lors l’étendue n’est qu’un pur phénom
seul pilier. Si le pilier est vermoulu, tout l’édifice croule. Si la
force
n’est pas un être, le monde n’est plus un système
ule. Si la force n’est pas un être, le monde n’est plus un système de
forces
. Touchons ce pilier, examinons cette force. J’ai
n’est plus un système de forces. Touchons ce pilier, examinons cette
force
. J’ai exposé assez longtemps ; à présent je vais
oint la volonté, non plus que la volition. Répondra-t-on enfin que la
force
efficace par laquelle la résolution contracte le
? Ici l’adversaire se contredit par sa propre réponse. Quand on dit :
force
efficace de la résolution, on entend que cette fo
. Quand on dit : force efficace de la résolution, on entend que cette
force
efficace est une qualité ou propriété de la résol
qualité ou propriété de la résolution. Or, la beauté, la grandeur, la
force
, toutes les qualités, toutes les propriétés péris
and une résolution capable de contracter le muscle s’est évanouie, sa
force
de contraction ne subsiste plus. Quand elle n’est
a force de contraction ne subsiste plus. Quand elle n’est pas née, sa
force
n’existe pas encore. Cette force est donc caduque
e plus. Quand elle n’est pas née, sa force n’existe pas encore. Cette
force
est donc caduque, momentanée, intermittente, comm
é sous-préfet ; voici des factieux, dispersez-les ; je vous donne des
forces
, trois cents soldats et un capitaine. Pour ne pas
les habits, les gibernes, les fusils et les corps. Il vous reste les
forces
. Marchez avec elles, et faites triompher la loi.
onc que ni la volonté, ni la résolution, ni son efficacité, ni aucune
force
ne sont des êtres. Avant de chercher si loin et a
tres. Avant de chercher si loin et avec tant de peine la nature de la
force
et l’origine de son idée, il fallait analyser le
te est le seul salut en métaphysique. Quand je dis qu’un ressort a la
force
de soulever un poids de dix livres, je veux dire
e le poids soit soulevé. Quand je dis que la vapeur comprimée est une
force
, j’entends simplement que le corps qui la comprim
a nécessairement poussé ou brisé. Quand je dis que ma résolution a la
force
de contracter mes muscles, j’entends simplement q
né, un autre fait devient nécessaire, et l’on dit que le premier a la
force
de produire l’autre. La seconde phrase n’est qu’u
agination comme M. de Biran et les scolastiques, on suppose que cette
force
est quelque chose « d’ineffable, d’immatériel, d’
t visionnaire. M. de Biran l’a été jusqu’à soutenir qu’il aperçoit la
force
, exactement comme on aperçoit le plaisir ou toute
e nécessité dans la résolution, nous disons que la résolution est une
force
et produit le mouvement. Voilà tout l’artifice. M
i ou subitement paralysé, l’homme qui n’est point prévenu juge que sa
force
est encore efficace, et s’étonne en éprouvant qu’
une apparence, les sciences d’observation regagnent leur dignité, les
forces
redeviennent des qualités dérivées de rapports né
dont le groupement fait les substances, dont les rapports fondent les
forces
; et la science, ramenée dans le lit où elle coul
onne humaine et sur ses facultés. — Sens du mot faculté ou pouvoir. —
Forces
mécaniques. — Force de la volonté. — Ces mots ne
es facultés. — Sens du mot faculté ou pouvoir. — Forces mécaniques. —
Force
de la volonté. — Ces mots ne désignent aucun être
suivi constamment par un autre. — Illusion métaphysique qui érige les
forces
en essences distinctes. II. Illusion métaphysique
. Ruine progressive des entités scolastiques. — Idée scientifique des
forces
et des êtres. — Application au moi et à la matièr
Une substance réelle n’est qu’une série distincte d’événements. — Une
force
n’est que la propriété pour un de ces événements
t avec un autre fait qui est le conséquent. Il en est de même pour la
force
. Tel cheval a la force de traîner un chariot de c
i est le conséquent. Il en est de même pour la force. Tel cheval a la
force
de traîner un chariot de cinq mille kilogrammes e
a force de traîner un chariot de cinq mille kilogrammes et n’a pas la
force
de traîner le même chariot plus chargé. Telle chu
force de traîner le même chariot plus chargé. Telle chute d’eau a la
force
de mouvoir une roue et n’a pas la force de mouvoi
hargé. Telle chute d’eau a la force de mouvoir une roue et n’a pas la
force
de mouvoir une roue plus lourde ; Cela signifie q
t, l’autre entre la chute de l’eau et la révolution d’une roue. Telle
force
existe quand telle liaison existe ; elle manque q
ré à d’autres semblables, a telle grandeur ; en ce cas, on dit que la
force
a telle grandeur. Quand la grandeur du second : é
second : événement est double, la grandeur de la forcé est double. La
force
de la contraction musculaire est double, si le ch
chariot traîné pèse dix mille kilogrammes au lieu de cinq mille ; la
force
de la chute d’eau est double, si la roue mise en
édent, l’autre conséquent, joints par une liaison constante, on nomme
force
dans l’antécédent la particularité qu’il a d’être
qu’il a d’être toujours suivi par le conséquent, et l’on mesure cette
force
par la grandeur du conséquent. Les noms de pouvoi
cette force par la grandeur du conséquent. Les noms de pouvoir et de
force
ne désignent donc aucun être mystérieux, aucune e
cun être mystérieux, aucune essence occulte. Quand je dis que j’ai la
force
ou pouvoir de remuer mon bras, je veux dire seule
ion de l’esprit, une substance ; nous l’appelons d’un nom substantif,
force
ou pouvoir ; nous lui attribuons des qualités ; n
ne doit pas être considéré comme distinct de l’âme. » Les facultés et
forces
du moi sont donc le moi lui-même ou tout ou moins
tes admettent même, avec Leibniz, que le moi n’est autre chose qu’une
force
et qu’en général les notions de force et de subst
le moi n’est autre chose qu’une force et qu’en général les notions de
force
et de substance s’équivalent. Or on vient de voir
e substance s’équivalent. Or on vient de voir que les pouvoirs et les
forces
ne sont que des entités verbales et des fantômes
verbales et des fantômes métaphysiques. Donc, en tant que composé de
forces
et de pouvoirs, le moi n’est lui-même qu’une enti
tions seront constamment suivies par la perception de la table. — Les
forces
, facultés ou pouvoirs qui appartiennent à la tram
cipe vital, âme végétative, formes substantielles, qualités occultes,
forces
plastiques, vertus spécifiques, affinités, appéti
au contact de l’expérience. Aujourd’hui, quand les savants parlent de
forces
physiologiques, chimiques, physiques ou mécanique
tion ; de ces couples, ils déduisent le reste. S’ils emploient le mot
force
, c’est pour désigner la liaison constante du seco
r la liaison constante du second avec le premier. S’ils admettent des
forces
différentes, c’est que, dans l’état présent de no
es préliminaires de la physique par la notion de la matière et de ses
forces
primitives. — Jusqu’ici, cette illusion a tenu la
es événements corporels, une substance primitive, la matière douée de
force
. Les positivistes eux-mêmes subissent l’illusion
e à cet endroit. Or l’analyse qui montre dans la substance et dans la
force
des entités verbales s’applique à la matière auss
n qu’à l’esprit. Dans le monde physique comme dans le monde moral, la
force
est cette particularité que possède un fait d’êtr
ral, il ne reste rien de ce qu’on entend communément par substance et
force
; tout ce qui subsiste, ce sont les événements, l
’est toujours une série distincte d’événements ; ce qui constitue les
forces
d’un être, c’est la propriété pour tel ou tel évé
on cherche à le renverser, se relève et reprend son équilibre si l’on
force
cette résistance, et, en même temps, témoigne, pa
nt pas matérielles ; leurs actes sont nécessairement immatériels. Les
forces
prennent la matière, la conforment et s’annoncent
même, et il a déclaré que l’homme était double, qu’il y avait en lui
force
pensante et force vitale, esprit et matière, âme
laré que l’homme était double, qu’il y avait en lui force pensante et
force
vitale, esprit et matière, âme et corps ; il a pr
professé que ce nom d’homme n’appartient légitimement qu’au moi, à la
force
pensante, à l’esprit ; et que le reste, force vit
imement qu’au moi, à la force pensante, à l’esprit ; et que le reste,
force
vitale, matière et corps, ne constitue réellement
s fonctions s’accomplissent dans le corps, il les rapporte à d’autres
forces
qu’à lui, à des forces distinctes qui résident, l
sent dans le corps, il les rapporte à d’autres forces qu’à lui, à des
forces
distinctes qui résident, l’une dans le rein, l’au
l’estomac ou le poumon, et dont il désigne l’ensemble sous le nom de
force
vitale. La force vitale et le moi, voilà donc la
poumon, et dont il désigne l’ensemble sous le nom de force vitale. La
force
vitale et le moi, voilà donc la dualité de l’homm
. Jouffroy, le moi n’y est que pour les sensations qu’il éprouve ; la
force
vitale y est pour les fonctions qu’elle remplit,
s la conscience ni le secret. Sans doute, si vous entendez par moi la
force
qui pense, qui veut et qui a la conscience nette,
sations, vous arriverez à l’isoler à peu près complètement des autres
forces
que vous supposez dans les divers organes ; mais
le moi tel que vous l’entendez dans un sens restreint, et les autres
forces
des divers organes, est le moi supérieur, le vrai
s le sentons ; qu’elle nous soit révélée par l’intelligence ou par la
force
, par la pensée ou par l’acte ; qu’elle se rencont
exacte du moi des psychologistes ? Il est associé intérieurement à la
force
vitale qui lui est étrangère ; il tient extérieur
ils déduisent rigoureusement sa destinée. Le moi étant distinct de la
force
vitale, l’âme se séparant comme substance du corp
t fait pour aimer. En proie à des appétits dévorants, sa pensée et sa
force
étaient tout occupées à les assouvir. Il se senta
ve. Le paganisme, avec ses dieux et ses héros tout resplendissants de
force
et de beauté, avec ses pompes riantes, ses chœurs
e. L’homme continua quelque temps d’étaler dans des jeux sacrés cette
force
vraiment divine et sainte qu’il avait d’abord gag
à des luttes plus réelles. Mais ces commémorations en l’honneur de la
force
, à mesure que le passé recula, perdaient de jour
s, Platon naquit. La pensée avait du chemin à faire pour rejoindre la
force
qui l’avait devancée dans le progrès ; aussi elle
evanche. L’amour, qui s’était développé en l’homme sous l’égide de la
force
victorieuse du mal, délaissa cette force qui se c
n l’homme sous l’égide de la force victorieuse du mal, délaissa cette
force
qui se complaisait dans son triomphe incomplet, e
t funestes, et la perfection pour eux consistait à les retrancher. La
force
fut macérée, la beauté foulée aux pieds. Mais enf
port entre la question qui nous occupe et celle de la corrélation des
forces
. On sait en quoi consiste la doctrine appelée per
t en quoi consiste la doctrine appelée persistance ou équivalence des
forces
, et comment elle s’applique à la chaleur, à la lu
té, au mouvement mécanique, etc. Mais peut-elle s’appliquer aussi aux
forces
mentales ? L’Ecole anglaise penche en général pou
ormuler de précis sur ce point. Nous savons à n’en pas douter que les
forces
mentales dépendent de l’activité du cerveau ; nou
du cerveau ; nous savons aussi que l’activité cérébrale dépend de la
force
nerveuse ; que cette force nerveuse provient immé
ussi que l’activité cérébrale dépend de la force nerveuse ; que cette
force
nerveuse provient immédiatement des transformatio
tion ou oxydation. Il n’y a donc rien que de naturel à considérer les
forces
mentales comme convertibles en forces nerveuses e
que de naturel à considérer les forces mentales comme convertibles en
forces
nerveuses et celles-ci en forces physiques. Si no
orces mentales comme convertibles en forces nerveuses et celles-ci en
forces
physiques. Si nous prenons un homme de constituti
pensée et l’excitation mentale ne demandent qu’une petite quantité de
force
, nous trouvons un meilleur état physique, une for
etite quantité de force, nous trouvons un meilleur état physique, une
force
et une résistance musculaire plus grandes, une di
. — Au contraire, si le travail mental demande une grande quantité de
force
, alors il doit se faire, chez cet homme, une dépe
rande oxydation totale de l’organisme ; et plus les unes absorbent de
force
, moins il en reste pour les autres. Telle est la
s. Telle est la formule de la corrélation de l’esprit avec les autres
forces
de la nature. » On peut se poser encore un autre
encore un autre problème, dit M. Bain. Nous venons d’admettre que les
forces
mentales sont convertibles avec les forces physiq
venons d’admettre que les forces mentales sont convertibles avec les
forces
physiques, mais ne peut-on pas admettre aussi que
avec les forces physiques, mais ne peut-on pas admettre aussi que les
forces
mentales sont convertibles entre elles ? Nous avo
sont des phases extrêmes : chacune consommant une grande quantité de
force
, il est assez rare qu’elles soient réunies, dans
rps vivants. L’être vivant, en effet, nous apparaît comme animé d’une
force
intérieure qui préside à des manifestations vital
te prise, et avec lequel on ne peut lutter qu’au moyen de cette autre
force
, non moins aveugle et capricieuse, qu’ils appelle
périmental et rigoureusement physiologique. Sans doute introduire une
force
vitale comme un deus ex machina qui dispenserait
rend les mots pour les choses ; mais en un autre sens l’expression de
force
vitale est d’une grande utilité. Elle représente
tre les données de l’expérience elle-même. Qu’il y ait d’ailleurs une
force
vitale ou qu’il n’y en ait pas, M. Claude Bernard
ien dans l’ordre de la vie que dans l’ordre de la matière brute26. La
force
vitale elle-même, fût-elle distincte des autres f
ère brute26. La force vitale elle-même, fût-elle distincte des autres
forces
naturelles, devrait se manifester par une série d
tait capricieuse ou arbitraire et dépendait du seul bon plaisir de la
force
vitale. Les hommes aiment tellement le pouvoir ar
sont toujours tentés de le supposer partout : ils l’imaginent dans la
force
vitale lorsqu’ils lui attribuent la faculté de tr
ns, à savoir que l’inférieur est la condition du supérieur. Ainsi les
forces
physico-chimiques sont nécessaires à la vie nutri
l’est à la sensibilité, la sensibilité l’est à l’intelligence, Aucune
force
nouvelle ne se déploie sans y être sollicitée par
e, Aucune force nouvelle ne se déploie sans y être sollicitée par des
forces
inférieures. Il faut donc accorder à M. Claude Be
uf, et le physiologiste peut s’arrêter là. Qu’il y ait d’ailleurs une
force
vitale ou qu’il n’y en ait pas, cela ne modifie e
iquement les mêmes que ceux de la matière inerte. Elle est liée à des
forces
physiques et chimiques qui agissent dans l’organi
à parlé incidemment : je me contenterai de dire que l’hypothèse d’une
force
vitale distincte des forces physico-chimiques me
contenterai de dire que l’hypothèse d’une force vitale distincte des
forces
physico-chimiques me paraît résister assez solide
qu’ici aux objections de ses adversaires. J’avoue que se servir de la
force
vitale comme d’un moyen pour expliquer tel ou tel
er, c’est faire appel aux qualités occultes, à un deus ex machina. La
force
vitale ne peut expliquer aucun phénomène en parti
acher un phénomène à un autre ; de là vient que pour le physicien les
forces
ne sont jamais que des formules, des manières de
eux-mêmes : autant de groupes irréductibles de phénomènes, autant de
forces
distinctes. — Mais, dira-t-on, de ce que deux gro
ître la distinction des causes jusqu’à démonstration du contraire. La
force
vitale serait donc, selon moi, cette portion d’in
es, je me contenterai de rappeler que, suivant M. Claude Bernard, les
forces
physiques et chimiques ne sont que les conditions
s bruts, et il n’hésite pas à employer l’expression si discréditée de
force
vitale. « Ce qui est essentiellement du domaine d
nt toute sa durée, l’être vivant reste sous l’influence de cette même
force
vitale créatrice, et la mort arrive lorsqu’elle n
dus pêle-mêle comme les lettres de l’alphabet dans une boîte où cette
force
va les chercher pour exprimer les pensées ou les
causes finales, prouve qu’il y a dans les êtres vivants au moins une
force
initiale qui ne se réduit pas aux forces physique
es êtres vivants au moins une force initiale qui ne se réduit pas aux
forces
physiques et chimiques, et rien jusqu’ici ne port
iel que nous appelons l’âme pensante, car, si la vie se distingue des
forces
brutes par des caractères différents, l’âme pensa
garantir l’âme pensante des destinées plus ou moins incertaines de la
force
vitale. Nous parlons de l’homme libre ; mais la l
être identiques, sont absolument contraires. Le fatalisme suppose une
force
aveugle, capricieuse, indéterminée, agissant au h
logie antique, le fatum était bien quelque chose de semblable à cette
force
aveugle et capricieuse dont parle M. Claude Berna
rté de chacun avec la liberté de tous. Le devoir et le droit sont des
forces
, mais non des forces physiques et mécaniques, agi
liberté de tous. Le devoir et le droit sont des forces, mais non des
forces
physiques et mécaniques, agissant suivant la loi
ux choses, et c’est ce qu’on exprime en opposant le fait au droit, la
force
à la justice. L’esclavage, quel qu’il soit (civil
est ce que disait Leibniz : « L’opinion des formes substantielles (ou
forces
) a quelque chose de solide ; mais ces formes ne
, le son, la lumière, au mouvement, principe générateur unique de ces
forces
; faire rentrer par conséquent toutes les branche
i n’est qu’un premier pas dans la voie de l’unité. Il existe d’autres
forces
, telles que les affinités chimiques, que jusqu’ic
e. Or, la philosophie chimique cherche à démontrer que ces prétendues
forces
originales ne sont que les résultantes de la comp
elle-même, que toutes les écoles de biologie avaient attribuées à des
forces
propres, les forces vitales, pourquoi ne seraient
s les écoles de biologie avaient attribuées à des forces propres, les
forces
vitales, pourquoi ne seraient-elles pas également
é réduite au mouvement dans la vie universelle, tout être ramené à la
force
élémentaire soumise aux pures lois de la mécaniqu
cipe dans une plus ou moins grande composition ou concentration de la
force
simple primitive. Il n’y a dans la nature entière
primitive. Il n’y a dans la nature entière que des mouvements et des
forces
mécaniques à telle ou telle puissance de composit
e entière des êtres n’est que l’échelle des degrés que parcourent ces
forces
élémentaires du minéral à l’être pensant. La psyc
se de côté, ainsi que l’hypothèse invérifiable des atomes ; le mot de
force
n’y figure que comme expression d’un fait, le mou
formule d’explication le principe tout mécanique de la résultante des
forces
composantes, pour synthèse enfin l’unité d’être e
vient l’activité spontanée des êtres de la nature ? Âme, vie, nature,
force
spontanée, tout cela peut-il être autre chose que
n. Il n’est qu’un effet, puisqu’il ne peut être que la résultante des
forces
composant son organisme. La nature paraît peuplée
tante des forces composant son organisme. La nature paraît peuplée de
forces
spontanées qui commandent aux lois de la matière
t aux lois de la matière inorganique. Encore une illusion. Toutes ces
forces
prétendues ne sont elles-mêmes que des résultante
utes ces forces prétendues ne sont elles-mêmes que des résultantes de
forces
d’un ordre inférieur. Si l’âme, la vie, la libert
liberté sont au premier plan de la scène, c’est la nécessité, la pure
force
mécanique qui est au fond et qui en fait tout le
vement, même de l’ordre purement physique, est déjà un effort ; toute
force
, si simple qu’elle soit, tend à une fin en vertu
scientifique est ici d’accord avec l’expérience intime elle-même. La
force
d’attraction qui meut toute la matière et fait so
obéit à la loi du bien, proclamée par Aristote et Leibnitz. Or toute
force
qui tend à une fin déterminée, toute cause qui ob
le monde apparaît comme vivant et libre, c’est-à-dire tout peuplé de
forces
de divers degrés, mécaniques, physiques, chimique
métrique, l’espace. Cette substance, cet être des choses, est dans la
force
, ainsi que l’a dit Leibnitz, non dans cette force
choses, est dans la force, ainsi que l’a dit Leibnitz, non dans cette
force
sans spontanéité qui n’est elle-même qu’une abstr
t elle-même qu’une abstraction de la mécanique, mais dans cette autre
force
, la seule réelle et naturelle, qui tend d’elle-mê
ses degrés. Elle a pour mesure non la puissance de l’effort, mais la
force
d’attraction qui emporte vers le bien. Par conséq
te vie dans la nature. Schelling et Hegel restitueront à la nature la
force
et la vie, mais en l’attribuant à l’Être absolu,
on autonomie propre, semblent s’effacer tantôt sous la pression de la
force
diabolique, tantôt sous l’irrésistible impulsion
s œuvres, prend la place de la personne humaine. Quelle foi et quelle
force
ne donne pas une pareille doctrine à l’agent de l
nt et absolument les vérités de la conscience en réduisant toutes les
forces
dites vitales et morales au jeu des forces physiq
ce en réduisant toutes les forces dites vitales et morales au jeu des
forces
physiques et mécaniques. La spéculation spiritual
nclusions extrêmes ne reposent sur aucune science positive. Que toute
force
élémentaire, physique, chimique, même mécanique,
tendance, c’est ce qui nous est révélé par les œuvres mêmes de cette
force
obéissant à l’irrésistible attraction du bien. Ma
t propre à séduire les esprits qui préfèrent à tout la grandeur et la
force
. Certes, l’unité de la vie universelle est une vé
personne agissant sur l’âme humaine par la grâce, et l’élevant par la
force
de son amour jusqu’à une sorte de vie commune où
it propre de la personnalité humaine. L’homme réel est une cause, une
force
active, douée de facultés diverses qui n’attenden
dent que le contact d’un objet pour entrer en exercice. Dès que cette
force
subit l’impression de la cause extérieure, elle r
que. Le moi a conscience de la cause dans l’acte ; et, comme pour une
force
agir c’est être, il s’ensuit que la conscience de
à l’ordre universel. Partout la loi de finalité domine et dirige les
forces
de toute espèce soumises à la loi de causalité. E
ue toute combinaison des molécules dites intégrantes par l’action des
forces
mécaniques. Enfin, c’est ainsi que le philosophe
sentiment des choses du dedans, il acquiert les véritables notions de
force
, de cause, de fin. Alors seulement le fond des ch
ors il fait la distinction capitale des conditions et des causes, des
forces
aveugles et des raisons, du comment et du pourquo
l’être des choses qui l’entourent. C’est parce qu’il se reconnaît une
force
, une cause, qu’il retrouve un monde peuplé de for
se reconnaît une force, une cause, qu’il retrouve un monde peuplé de
forces
et de causes réelles. Alors il lui est impossible
hilosophie trop abstraite de Spinoza en lui infusant le sentiment des
forces
vives de la nature. Ce n’est pas en effet par sa
oit et le devoir que nous trouvons dans la nature, c’est la loi de la
force
et l’initiative de l’instinct. Quelque chose de d
Un moment étourdie, humiliée sous les orgueilleux enseignements de la
force
et d’une science qui s’en est faite la complice,
portiques d’Athènes, des vers destinés à célébrer la souplesse ou la
force
des muscles d’un lutteur. Quelque éloignés que ce
rps n’est plus rien, l’intelligence a trouvé l’art de se passer de la
force
. Avec la foule des instruments qu’il a créés, l’h
s. Ainsi on est parvenu à vaincre et à s’assujettir la nature par les
forces
de la nature même. En affaiblissant les résistanc
dire l’application de l’air et du feu aux combats, a rendu de même la
force
inutile pour attaquer ou pour défendre. Les armée
a mort sans se joindre ; on peut la prévoir, on ne peut l’éviter. Une
force
unique et terrible, distribuant au hasard les dan
tout guerrier était chargé de sa propre défense ; aujourd’hui, chaque
force
se mêle et se confond dans la masse générale des
rd’hui, chaque force se mêle et se confond dans la masse générale des
forces
; alors chaque force était isolée, et ne protégea
e mêle et se confond dans la masse générale des forces ; alors chaque
force
était isolée, et ne protégeait qu’elle-même. On d
apprenaient à mesurer le danger, à le prévoir, à user tour à tour de
force
ou d’adresse, à terrasser, à se relever, à lancer
armes, il fallait donner les plus grandes preuves d’intrépidité et de
force
. Ainsi, avant l’invention de la poudre, c’est-à-d
fût parvenue à détruire sans effort et à triompher sans mouvement, la
force
du corps a été et a dû être en effet dans la plus
s le drame historique, disparaît de la scène pour faire place à cette
force
des choses que les uns nomment fatalité, les autr
e particulière et dans l’histoire universelle, combien peu pèsent les
forces
morales des individus et des peuples eux-mêmes da
ène, sans s’inquiéter ni même se douter du travail qui s’opère par la
force
des choses ou la force des idées. Alors on a le s
i même se douter du travail qui s’opère par la force des choses ou la
force
des idées. Alors on a le spectacle de ces héros,
st que là on voit l’homme agir de lui-même et par lui-même, sûr de sa
force
, comme le héros d’une véritable épopée. On voit q
d’une véritable épopée. On voit qu’il ne sent point le poids de cette
force
des choses dont la science moderne nous montrera
les temps anciens que dans les temps modernes. Partout et toujours la
force
des choses est la vraie cause des grands événemen
n, qui ne s’en doute pas, fait mouvoir ses personnages comme si cette
force
n’existait point. Ils savent parfaitement qu’ils
ur courage, de leur vertu, de leur génie. Chacun a le sentiment de sa
force
propre, rarement de la force des choses qui le fa
leur génie. Chacun a le sentiment de sa force propre, rarement de la
force
des choses qui le favorise ou l’entrave réellemen
is le premier anneau jusqu’au dernier. » Nul n’a exprimé avec plus de
force
que Herder cette fatalité naturelle qui serait la
sent sur la volonté, des idées communes qui dominent leur pensée, des
forces
générales qui contrarient ou favorisent l’accompl
ou extérieure à laquelle la philosophie de l’histoire donne le nom de
force
des choses, réelle dans les temps anciens comme d
ts qui se nomment l’Espagne, la France, l’Angleterre, l’Allemagne, la
force
des choses, résultante de causes très-diverses, m
sionné, tant qu’on voudra, mais histoire vivante, s’il en fut ! Cette
force
des choses, ce génie des peuples, cette âme des m
pour rester responsables devant la postérité. Voilà le secret de leur
force
et de leur faiblesse, de leurs vertus et de leurs
yrans, ni dans l’entraînement qui fait les tribuns : elle est dans la
force
de la pensée, dans l’énergie du caractère, mises
é chargés de la diriger ou de la déchaîner. Ce n’est pas seulement la
force
des événements, c’est aussi la force des sentimen
aîner. Ce n’est pas seulement la force des événements, c’est aussi la
force
des sentiments et des impressions populaires qui
rien organiser de fort et de durable sans le concours de ces grandes
forces
dont l’action sourde et invisible n’en est pas mo
rouvé des écrivains qui ont tout ramené à la loi de la nécessité, les
forces
morales aussi bien que les forces naturelles de l
amené à la loi de la nécessité, les forces morales aussi bien que les
forces
naturelles de la réalité historique, les actes po
thode dont M. Taine nous donne la formule avec cette netteté et cette
force
d’expression qui lui sont propres. « Que les fait
paradoxe, cette apothéose du succès, cette philosophie du droit de la
force
tant goûtée de la noble et poétique Allemagne, n’
is pu s’acclimater en France, ce pays des plus grands triomphes de la
force
. C’est que, tandis que le génie allemand est réal
ence publique, trop longtemps dominée par le spectacle des jeux de la
force
et des miracles du génie. Quant au beau livre de
me élément qui en fait aussi la beauté et le charme. Le mouvement des
forces
de la nature ou des idées de la logique a certes
belle qu’autant qu’elle est humaine. A la place des âmes, mettez des
forces
; au lieu des personnes, introduisez des machines
tre la fatalité intérieure des passions ou la fatalité extérieure des
forces
naturelles, lutte admirable, parfois sublime, qui
tinée des sociétés. L’action de cette fatalité, connue sous le nom de
force
des choses, est trop considérable, trop visible,
gouvernement des choses d’ici-bas appartient en fait à de tout autres
forces
qu’à la science et à la raison ; le penseur ne se
, l’homme semble bien petit, bien faible, bien impuissant, devant ces
forces
de toute espèce, physiques, physiologiques, écono
e et leur continuité même. Et alors pourquoi s’agiter, quand c’est la
force
des choses qui mène tout ? Pourquoi venir jeter s
end faire une œuvre efficace dans la mesure de ses facultés et de ses
forces
; il lui répugne d’imiter ces moines du désert qu
r aussi le progrès qui tend à substituer de plus en plus l’action des
forces
vraiment morales, des sentiments et des idées, à
rces vraiment morales, des sentiments et des idées, à l’action de ces
forces
aveugles qu’on nomme les instincts de la race, le
ie nationale, chaque individu trouve sa place et son rôle. Au lieu de
forces
brutales qui l’écrasent de leur poids, il rencont
és que de sentiments et de principes. Car c’est en mettant en jeu des
forces
sans conscience et sans liberté que tous ces maît
que jamais il n’y a eu plus de raisons d’espérer dans le triomphe des
forces
morales, dans la puissance politique et pratique
ur œuvre suivant leurs lois propres. La première obéit aux lois de la
force
, la seconde à celles de la conscience et de la ra
avoir une commune mesure. On peut admirer le génie triomphant par la
force
; heureuse ou malheureuse, la vertu au service de
Chapitre deuxième La
force
d’association des idées I. Lois mécaniques de
es préalablement réveillées, comme l’électricité et la foudre ; 2° la
force
qui avait primitivement produit dans la mémoire u
sophes intellectualistes, comme MM. Ravaisson et Ferri, confondent la
force
de cohésion, qui amène la consécution de telles i
pose un lien primitivement établi sans elle et auquel elle ajoute une
force
nouvelle. Seulement, un esprit ordinaire se conte
visuel, l’autre dans le centre auditif, mais qu’elles aient assez de
force
, de durée et de netteté pour retentir et se renco
malade répétera machinalement ces mots à la suite l’un de l’autre. La
force
qui, dans le cerveau, soude entre elles les repré
e sur un point, tandis que les autres points cérébraux ont gardé leur
force
, entraîne le mouvement perpétuel des idées, le co
entre les états faibles (souvenirs, conceptions, etc.). De même, une
force
d’affinité ou d’exclusion mutuelle peut exister e
un autre air de musique, surtout si les sons de l’orchestre ont de la
force
. C’est que la région cérébrale occupée à produire
ent sous une excitation, si bien que, la première partie ayant usé sa
force
, la seconde, déjà éveillée, est toute prête et to
ituel, et, au point de vue organique, il n’y a guère d’acquisition de
force
qui n’ait été précédée d’un manque de force. Il n
a guère d’acquisition de force qui n’ait été précédée d’un manque de
force
. Il n’est donc pas étonnant que la douleur et le
t du fond de la coupe enivrante : le plaisir est lié à une dépense de
force
qui a pour terme la souffrance. Nous avons donc l
oi de sélection sensible », puisqu’elle fait de notre sensibilité une
force
d’attraction et de répulsion. Les idées ne s’ench
ice et déterminante ; ici encore les idées empruntent leur principale
force
aux sentiments ou appétitions qui les animent, et
conscience obéit à la loi universelle d’économie, qui veut que toute
force
s’exerce avec la moindre dépense possible, que to
tions mécaniques. Mais, dès que la conscience s’éveille, une nouvelle
force
d’organisation se manifeste : l’appétition consci
semblances plus intimes et plus profondes. La conscience est donc une
force
organisatrice qui réagit sur les représentations
a vie ? Ainsi donc, outre que la conscience, par l’appétition, est la
force
primitive d’association mentale, c’est encore ell
ui, en réagissant sur les associations arrivées du dehors, devient la
force
principale de dissociation et d’analyse. Selon Sp
ents tendant à se satisfaire par tels mouvements ; les idées sont des
forces
parce qu’elles recouvrent des appétits plus ou mo
les idées se renouvellent, c’est le plus souvent en vertu de la même
force
, en vertu du lien qui unit telles représentations
oin de la lutte des idées, la conscience finit par être la principale
force
de sélection parmi les idées ; elle tend même à d
le Corsaire, moins coupable sans doute que ces sombres figures de la
Force
blessée au cœur et qui continuent de vivre avec l
Force blessée au cœur et qui continuent de vivre avec la fierté de la
Force
jusqu’au moment où, d’un dernier coup, Dieu les a
ce, la fortune, l’éducation, les relations, tout ce qui s’ajoute à la
force
individuelle dans un pays où l’ordre social est s
faire la guerre, et qui dépense dans la fureur des steeple-chases une
force
de corps samsonienne et une force de courage égal
ns la fureur des steeple-chases une force de corps samsonienne et une
force
de courage égale à la force prodigieuse de son co
ses une force de corps samsonienne et une force de courage égale à la
force
prodigieuse de son corps. Ce Richard cœur de lion
us le simple refus de pardon d’une femme aimée et offensée ! Et cette
force
, qui fait trembler, mourant comme meurent ici-bas
ent ; car l’outrance y est sous toutes les formes, aussi bien dans la
force
violente ou stoïque que dans la délicatesse, puis
gstone. L’auteur ne s’est point épuisé dans le rendu prodigieux de la
force
physique et morale, de la force complète de son h
épuisé dans le rendu prodigieux de la force physique et morale, de la
force
complète de son héros. À côté de Livingstone, le
ont six pieds de haut et qu’il nous peint, Georges Lawrence nuance la
force
; mais une seule fois, exceptionnellement, il a o
is, exceptionnellement, il a opposé à toutes les riches nuances de la
force
, à toutes ces exaspérations ou extinctions de l’é
. Mais, excepté le rhapsode tremblant et débile de cette épopée de la
force
, il n’y a personne qui tranche en faiblesse sur c
pée de la force, il n’y a personne qui tranche en faiblesse sur cette
force
à outrance, et les femmes elles-mêmes s’y raccord
hrétien, c’est l’humilité ! Guy Livingstone, ce Samson, victime de sa
force
comme l’autre Samson ; Guy Livingstone, ce dandy
le Corsaire, moins coupable sans doute que ces sombres figures de la
Force
blessée au cœur et qui continuent de vivre avec l
Force blessée au cœur et qui continuent de vivre avec la fierté de la
Force
jusqu’au moment où, d’un dernier coup, Dieu les a
ce, la fortune, l’éducation, les relations, tout ce qui s’ajoute à la
force
individuelle dans un pays où l’ordre social est s
faire la guerre et qui dépense dans la fureur des steeple-chases une
force
de corps samsonienne et une force de courage égal
ns la fureur des steeple-chases une force de corps samsonienne et une
force
de courage égale à la force prodigieuse de son co
ses une force de corps samsonienne et une force de courage égale à la
force
prodigieuse de son corps. Ce Richard cœur de lion
us le simple refus de pardon d’une femme aimée et offensée ! Et cette
force
, qui fait trembler, mourant comme meurent ici-bas
ment, car l’outrance y est sous toutes les formes, aussi bien dans la
force
violente ou stoïque que dans la délicatesse, puis
gstone. L’auteur ne s’est point épuisé dans le rendu prodigieux de la
force
physique et morale, de la force complète de son h
épuisé dans le rendu prodigieux de la force physique et morale, de la
force
complète de son héros. A côté de Livingstone, le
six pieds de haut et qu’il nous peint, M. Georges Lawrence nuance la
force
, mais une seule fois, exceptionnellement, il a op
is, exceptionnellement, il a opposé à toutes les riches nuances de la
force
, à toutes ces exaspérations ou extinctions de l’é
. Mais, excepté le rhapsode tremblant et débile de cette épopée de la
force
, il n’y a personne qui tranche en faiblesse sur c
pée de la force, il n’y a personne qui tranche en faiblesse sur cette
force
à outrance, et les femmes elles-mêmes s’y raccord
hrétien, c’est l’humilité ! Guy Livingstone, ce Samson, victime de sa
force
comme l’autre Samson, Guy Livingstone, ce dandy h
ntes qualités poétiques, le don du grandiose, l’amour passionné de la
force
et de la masse. Les livres de M. Zola sont, en ef
utes, de celle dont les faits d’égarement tiennent tout le volume. La
force
d’Eugène Rougon, la noble beauté de Mme Grandjean
manifestations masculine et féminine, la sensualité de la femme et la
force
de l’homme. Tous les héros qu’il exalte sont des
ter, acharnés en besogne, s’acquittant dans le monde de leur tâche de
force
vive, résumés en ce colossal Eugène Rougon qui, s
nsion d’une machine sous vapeur. Et si les hommes dégagent ainsi leur
force
musculaire et volitionelle, les femmes exhalent,
de ces deux prédilections, sous un souffle de volupté ou un afflux de
force
, que M. Zola dénature le réel et le grossit. La v
ie de ses vendeurs sont amplifiés pour venger de cette domination, la
force
de l’homme, portée à l’énorme dans les spéculatio
frère Archangias. Tous les ensembles dans lesquels les caractères de
force
humaine, de luxure, de puissance, d’exubérance, p
s. Pour montrer plus intense un acte ou un personnage, il le place de
force
dans un milieu similaire ; pour amplifier un indi
nature et l’autre sa voluptueuse revanche. Dans Son Excellence, à la
force
mâle de Rougon, la souple beauté de Clorinde Balb
de Paris met aux prises les affamés et les repus, Son Excellence, la
force
et la luxure. Sans cesse, par une poussée instinc
humains, les plus simples et les plus abstraites manifestations de la
force
vitale. Et sans cesse aussi, ayant assimilé les â
nt assimilé les âmes aux éléments, le romancier prête, en retour, aux
forces
naturelles, de sourdes et inarticulées passions ;
ît l’instinct fondamental de M. Zola, pour qui tout être se réduit en
force
, et pour qui toute force est similaire. Ayant ain
de M. Zola, pour qui tout être se réduit en force, et pour qui toute
force
est similaire. Ayant ainsi délaissé le réel pour
t des choses dont il découle ; de celle-ci à l’amour de la vie, de la
force
, de la sensualité, de la raison et de la santé, s
riences, à éprouver ainsi pour la santé, la raison, la sensualité, la
force
, un attachement admiratif, à ressentir une sourde
upté conquérante de ses femmes, de n’importe quel grand réceptacle de
force
délétère ou non, mais agissante et dynamique. Il
enace, son amour-propre lui ont donné l’instinct et l’adoration de la
force
. Borné par d’autres dons à la carrière littéraire
es effluves qui sourdaient en lui, il rend colossales les âmes et les
forces
. D’un ministre médiocre, d’un calicot entreprenan
t ; une mine, un assommoir, un magasin sont de formidables centres de
forces
délétères, bienfaisants, actifs. Et la femme, for
ables centres de forces délétères, bienfaisants, actifs. Et la femme,
force
elle aussi, doublement magnifiée en sa puissance
ne peut ne pas voir et l’idéal dynamique que sa nature de lutteur le
force
à créer et à aimer. En ces deux termes dont nous
nt simplement que si quelque chose est, il est. Mais ce qui fait leur
force
, fait aussi leur faiblesse : elles laissent indét
ui est autre que la déduction logique. Il consiste à généraliser avec
force
démonstrative le résultat d’une démonstration par
examinerons dans la prochaine leçon les lois mécaniques et l’idée de
force
. IV. Les lois mécaniques L’objet que nous
. L’élément essentiel et caractéristique de ces lois est la notion de
force
. Pour nous expliquer la formation et l’état actue
n de l’âme sur le corps. Donc on posera, au-dessus de la matière, une
force
distincte, plus ou moins semblable à une âme, et
s de la science. Comment, en effet, mesurer et prévoir l’action d’une
force
immatérielle sollicitée par des raisons esthétiqu
notion d’inertie on crut d’abord pouvoir conclure à l’abolition de la
force
. C’est ainsi que Descartes crut pouvoir expliquer
ion de la quantité de mouvement, corollaire du principe d’inertie. La
force
, comme telle, est proscrite de son système. Cette
te du mouvement des astres, jugea nécessaire de rétablir la notion de
force
. Il part du principe d’inertie, suivant lequel un
ur expliquer cette modification du mouvement, il faut admettre qu’une
force
vient du dehors agir sur le mobile. Cette réappar
ient du dehors agir sur le mobile. Cette réapparition de la notion de
force
n’est pas la restauration de la conception antiqu
st pas la restauration de la conception antique. Pour les anciens, la
force
réside dans une forme supérieure et métaphysique
ction, produit le mouvement des astres. Pour Newton, au contraire, la
force
est attribuée à la matière elle-même : un atome n
tous les détails de son œuvre. Mais admettre l’existence d’une telle
force
, n’est-ce pas restaurer les qualités occultes ? N
avons par ses déclarations mêmes, n’entend pas, par l’attraction, une
force
métaphysique analogue à l’action d’une âme. Ce n’
t une relation phénoménale. Il n’en reste pas moins que, pour lui, la
force
est la cause du mouvement. Or, la cause doit être
les voit-on, aujourd’hui, s’efforcer de transformer le rapport de la
force
au mouvement en une simple dépendance mutuelle, e
ndance mutuelle, en un rapport de solidarité. C’est en ce sens que la
force
est définie le produit de la masse par l’accéléra
ue la force est définie le produit de la masse par l’accélération. La
force
et le mouvement sont ici deux données, qui sont e
l’autre, sans que l’on ait à poser la question de savoir si c’est la
force
qui est cause du mouvement ou si c’est le mouveme
i est cause du mouvement ou si c’est le mouvement qui est cause de la
force
: telle est la relation du diamètre à la circonfé
e la force : telle est la relation du diamètre à la circonférence. La
force
, ainsi conçue, se réduit-elle à une notion pureme
i connu a priori. Et ainsi, ce qu’il y a de nouveau dans la notion de
force
, c’est, en définitive, l’idée de la causalité phy
ue, ou, plus précisément, l’idée de loi naturelle proprement dite. La
force
est une dépendance régulière connue expérimentale
impossible, en effet, de connaître, par l’expérience, l’inertie et la
force
; il faudrait pour cela avoir assisté à la créati
corps qui n’a pas reçu d’impulsion. La dualité de l’inertie et de la
force
, l’action de forces multiples, la composition de
reçu d’impulsion. La dualité de l’inertie et de la force, l’action de
forces
multiples, la composition de ces forces sont des
e et de la force, l’action de forces multiples, la composition de ces
forces
sont des choses qu’on ne saurait constater. On pe
artésien ; il admet, comme condition du mouvement, des corps doués de
forces
, et par là il pense assurer, beaucoup mieux que n
soi, il faut réaliser, et l’espace, et la causalité mécanique, et la
force
, et les atomes, et même l’attraction, ou tel autr
, dit Berkeley, si la matière, les atomes, la causalité mécanique, la
force
, l’attraction et la répulsion sont des réalités o
requisita de la mécanique. Ce sujet des phénomènes mécaniques est la
force
, c’est-à-dire une essence métaphysique, laquelle,
psychologique ou métaphysique, qu’on ne voit plus de rapport entre la
force
telle qu’on l’entend en métaphysique, et la force
de rapport entre la force telle qu’on l’entend en métaphysique, et la
force
telle que la suppose la science. Cette dernière n
mme condition du mouvement. Dès lors, la transition nous manque de la
force
scientifique à la force métaphysique. La métaphys
nt. Dès lors, la transition nous manque de la force scientifique à la
force
métaphysique. La métaphysique de Leibnitz, est su
paroles se suivent sans que la pensée les détermine ; l’inertie et la
force
mécanique se retrouvent dans la persistance de no
e, qui tient difficilement devant la critique. L’âme, dit on, est une
force
; mais on abuse de ce mot. On passe, sans dire de
n abuse de ce mot. On passe, sans dire de quel droit, de la notion de
force
morale ou métaphysique à la notion de force mécan
el droit, de la notion de force morale ou métaphysique à la notion de
force
mécanique. Si l’âme est une force, au sens où il
rale ou métaphysique à la notion de force mécanique. Si l’âme est une
force
, au sens où il faut qu’elle le soit pour imprimer
ut, en vertu du principe d’inertie, qu’elle modifie la quantité de la
force
là où elle intervient. Mais ceci est étrange en s
xpériences et aux inductions, lesquelles nous montrent la quantité de
force
comme constante dans la nature. Devra-t-on dire q
ante dans la nature. Devra-t-on dire que l’âme annule une quantité de
force
précisément égale à celle qu’elle produit ? Cette
emploi de la méthode des limites. Or, si petite que l’on conçoive la
force
nécessaire à la mise en train d’une machine, cett
conçoive la force nécessaire à la mise en train d’une machine, cette
force
est toujours requise et ne devient jamais nulle.
et construction artificielle que nous isolons un monde d’atomes et de
forces
mécaniques et le considérons comme se suffisant à
ent différent des éléments mécaniques. En mécanique, on considère une
force
qui conserve toujours la même nature et la même q
ail et de la chaleur, un cas de la loi générale de transformation des
forces
naturelles. On pensa qu’elle allait établir la co
changer en chaleur, pourquoi la chaleur ne se changerait-elle pas en
force
vitale, et celle-ci en pensée ? Tout peut se chan
Cependant, qu’est-ce qui se conserve dans la nature, si ce n’est une
force
capable de revêtir toutes sortes de formes ? Spen
r toutes sortes de formes ? Spencer estime que la réalité d’une telle
force
n’est pas moins assurée que l’impossibilité d’en
ître l’essence, et il invoque, pour établir ce double caractère de la
force
universelle, les conditions de notre conscience e
es conditions de notre conscience et notre constitution mentale. The
force
of which we assert persistence is that Absolute F
we are made indefinitely conscious as the necessary correlate of the
Force
we know… Affirmer la persistance de la force, c’
essary correlate of the Force we know… Affirmer la persistance de la
force
, c’est affirmer une réalité inconditionnée, sans
M. Dauriac dans son remarquable ouvrage Des notions de matière et de
force
dans les sciences de la nature, si ce qui se cons
la persiste ? Ou ce principe transcendant n’a rien de commun avec les
forces
dont il s’agit dans la science, et sa prétendue p
a prétendue persistance n’explique rien, — ou il est la substance des
forces
que nous connaissons ; et, en affirmant sa persis
firmant sa persistance, on affirme en réalité cette transmutation des
forces
que rien dans la science n’autorise à admettre. S
quelque chose variera, selon que ce système sera conçu comme formé de
forces
mécaniques, ou physiques, ou chimiques. Le concep
e que nos connaissances sont limitées (Mém. sur la conservation de la
force
, Introd.). Le principe de la conservation de la f
servation de la force, Introd.). Le principe de la conservation de la
force
est donc, pour la science, une idée directrice. M
e a priori, elle ne s’impose pas à la pensée. Elle a été découverte à
force
d’expériences et d’analyses, et ainsi elle est es
ifficile de la concevoir comme absolue. En effet, soit un ensemble de
forces
. Ou ce système, présente des solutions de continu
e loi qui, comme le principe de Clausius, règle la distribution de la
force
, est bien une loi de déterminisme, mais est et de
être permis et il est possible à l’homme de mettre à son service les
forces
de la nature. Le moyen, c’est de s’appuyer sur la
espèces des corps la permanence que la mécanique n’attribuait qu’à la
force
prise en général. De là résulte une différence ca
propriétés physiques ou mécaniques. Dans la gravitation, par exemple,
force
mécanique, la masse et la distance interviennent
rtains savants estiment que l’atome étendu ne se concilie pas avec la
force
centrifuge qu’impliquent les rapports des atomes
les uns des autres, et ils réduisent l’atome à n’être qu’un centre de
force
, inétendu et cependant situé dans l’espace. Telle
leur s’applique aux êtres vivants. Et s’ils semblent dépenser plus de
force
qu’ils n’en reçoivent, c’est qu’ils ont en réserv
plus de force qu’ils n’en reçoivent, c’est qu’ils ont en réserve des
forces
de tension qui sont brusquement mises en liberté
’excitant. Ils sont proprement des machines capables d’emmagasiner la
force
. Il est vrai que chaque genre de tissu paraît avo
ie et mort. Et il juge ces phénomènes inexplicables sans la vie. « La
force
vitale, dit-il, dirige des phénomènes qu’elle ne
de la science, comme inintelligibles, c’est-à-dire irréductibles aux
forces
physico-chimiques. Qu’est-ce qui se dérobe ainsi
ion artificielle de l’organique avec de la matière inorganique et des
forces
physico-chimiques ; mais on est encore bien loin
nées contraires au mécanisme. Car, si la conscience n’atteint pas les
forces
physico-chimiques, déjà elle saisit la vie. Nous
igence, à modifier les formes animales. La nature accomplit, avec des
forces
aveugles, ce que l’homme doit à son habileté. La
par l’hérédité, reproduit son individualité. Il a de plus en lui une
force
évolutive, grâce à laquelle il s’adapte de mieux
-mêmes ; mais, tandis que l’assemblage des atomes se fait au moyen de
forces
naturelles, l’assemblage des idées est artificiel
liminer plus complètement encore toute trace d’activité. Par la seule
force
des idées, une association devient inséparable, s
ues de l’homme même, en tant qu’il laisse agir, sans les diriger, les
forces
qui sont en lui. Et le mécanisme que détermine ce
e monde, comme le mécanicien applique les principes de sa science aux
forces
réelles que lui offre la nature. Rousseau part du
ntis trop faibles. N’ayant point la capacité d’engendrer de nouvelles
forces
, mais seulement d’unir et diriger celles qui exis
autre moyen de se conserver que de former par agrégation une somme de
forces
capable de l’emporter sur la force adverse. Cette
ormer par agrégation une somme de forces capable de l’emporter sur la
force
adverse. Cette force collective, à son tour, n’a
une somme de forces capable de l’emporter sur la force adverse. Cette
force
collective, à son tour, n’a pu être constituée qu
tait incompréhensible, soit que l’on supposât que l’esprit crée de la
force
motrice, soit que l’on admît que ce qui soi-même
lection des idées ? La première loi, c’est que l’attention diminue la
force
des représentations dont elle se détourne. C’est
et effet s’explique par la loi de l’équilibre et de l’équivalence des
forces
. Si je concentre l’innervation sur un point, je l
est automatique, car, du côté intellectuel, l’attention ajoute de la
force
aux idées sur lesquelles elle se concentre et don
rvation nécessaire. Mais, même dans ce cas, la conscience suppose une
force
qui intervient dans le cours des idées : alors mê
de mouvements enchaînés par les lois du choc et de l’équivalence des
forces
. Le dieu inspirateur des poètes et des artistes,
associations, où toutes les ondes nerveuses, sous l’attraction d’une
force
commune, se soulèvent et s’entraînent l’une l’aut
conscience a aussi le pouvoir positif d’accroître par la réflexion la
force
des idées convenables à son dessein ; or, quand u
or, quand une idée, devenue ainsi prédominante, a multiplié sa propre
force
en se réfléchissant sur elle-même, elle devient u
es dont le lien interne échappe. Dans le mot, l’idée cesse d’être une
force
, parce qu’elle ne paraît plus contenir en elle-mê
bon à manger, ce qui réchauffe, etc. C’est seulement plus tard, et à
force
d’expériences, que plusieurs bêtes dont on a été
it que l’esprit, par la comparaison de ces idées, — vraies idées sans
force
, — les unissait en jugements, et qu’ensuite, par
it l’autre, il y a un moment de conflit ; il y a opposition entre les
forces
acquises tendant à faire concevoir le rocher immo
es forces acquises tendant à faire concevoir le rocher immobile et la
force
nouvelle tendant à le faire concevoir comme mouva
se ramène l’évidence. Or, l’actualité de la sensation est celle d’une
force
subie, d’une passivité actuelle, autrement dit d’
ans le mouvement présent, et c’est en ce sens que nous l’appelons une
force
. En fait, toute affirmation est un prélude à fact
ire, n’agit pas ou agit aussi peu que possible, elle n’a pas de vraie
force
motrice et pratique ; c’est cette stérilité qui f
ue du feu, qui aboutit à un mouvement et se manifeste ainsi comme une
force
, est par la même raison beaucoup plus digne de s’
si à écarter réellement de ma conscience un certain état pénible : la
force
pratique de la représentation va croissant ; il y
ements, on peut dire de nouveau que c’est le rapport au mouvement, la
force
plus ou moins intensive et effective, qui fait le
les simples lois du mécanisme, car on démontre que, étant données des
forces
quelconques productrices de mouvements, il s’étab
i veut que tout mobile persévère dans son mouvement tant qu’une autre
force
ne l’en détourne pas, et qu’il suive toujours la
ière. Nous avons ainsi, en faveur de la direction flamme-brûlure, une
force
positive, et, d’autre part, aucune force contrair
irection flamme-brûlure, une force positive, et, d’autre part, aucune
force
contraire ; donc, quand reparaîtra la représentat
ore confirmer la première : ces expériences ne feront qu’augmenter la
force
de direction sur la ligne flamme-brûlure, et si n
omme le mouvement d’un mobile est la diagonale du parallélogramme des
forces
favorables et contraires. La tendance à projeter
que du raisonnement. Le mouvement de transport à l’avenir produit une
force
de tension mentale qui, psychologiquement, se nom
mentale qui, psychologiquement, se nomme habitude et attente ; cette
force
est proportionnelle au nombre des expériences, se
que de la pensée a pour contre-partie l’identité ou persistance de la
force
; la raison suffisante répond à la continuation d
e mécanique suivant qui se réalise dans le cerveau : Premier terme :
Forces
se dirigeant en un sens ; Deuxième terme : Absen
terme : Forces se dirigeant en un sens ; Deuxième terme : Absence de
forces
capables de détourner vers un autre sens ; Trois
tion faisant effort en un certain sens ; Deuxième terme : Absence de
forces
capables d’empêcher l’acte de l’appétition. Troi
ù conséquemment les lois des idées se confondraient avec les lois des
forces
, mais elle n’exprimerait que les rapports nécessa
pas simplement des reflets, mais des abréviations qui conservent une
force
efficace et s’accompagnent de mouvements commencé
nous permet d’abord de comprendre, puis de modifier à notre usage les
forces
du monde réel. Au lieu d’associer arbitrairement
omènes réels de l’univers. Elle est alors la science en action, où la
force
des idées devient manifeste. Dans la géométrie, l
ter la nature, devient vraiment un petit monde, un microcosme, où les
forces
des idées tendent à s’associer et à se combiner d
dées tendent à s’associer et à se combiner de la même manière que les
forces
des objets dans le Cosmos. Le psychologue, lui au
s purement significatives. La loi toute pratique de l’économie de la
force
, qui est la loi même de la volonté poursuivant le
aîner sur les objets mêmes. Les idées sont donc, en définitive, de la
force
emmagasinée qui se dépense avec la plus grande éc
urs actions les formes les plus hautes de la bonté, du courage, de la
force
d’âme, de l’empire sur les passions, de la sagess
e : le monde des idées est ainsi, sous tous les rapports, un monde de
forces
. 99. Voir Volkmann, Lehrbuch der Psychologie,
s que leur intensité est en raison directe. La volonté ressemble à la
force
d’un courant, la croyance, à sa vitesse. » (La Li
ction entre la simple image et la perception réelle est fondée sur la
force
intrinsèque des représentations. La simple image
que des représentations. La simple image n’a généralement pas la même
force
que la perception ; en vain, les yeux ouverts en
nt la théorie des idées-forces. C’est que précisément, en vertu de la
force
qui appartient à toute idée, l’image intérieure d
p sur la tête nous paraîtrait un coup réel si elle était seule, si sa
force
propre et sa tendance à produire des mouvements n
tendance à produire des mouvements n’était pas contrebalancée par la
force
d’autres idées, ou, selon l’expression de Taine,
dire ; il est profond sans s’en douter. Toute idée, toute image a une
force
de projection et d’objectivation : cette force te
dée, toute image a une force de projection et d’objectivation : cette
force
tend à s’imposer et s’impose en effet quand elle
re elles et se classent spontanément selon les divers degrés de leurs
forces
et selon leurs relations mutuelles, mais encore e
perficie et va vers le centre. Il y a un contraste intérieur entre la
force
exercée par moi et la force subie par moi, entre
e. Il y a un contraste intérieur entre la force exercée par moi et la
force
subie par moi, entre le volontaire et l’involonta
ns produites par ses idées, qui finissaient par agir en lui comme des
forces
indépendantes de son vouloir. L’ordre même des re
ormal, est tantôt senti comme notre œuvre, tantôt comme l’œuvre d’une
force
étrangère. Dans les fantaisies de la pure imagina
moi un perpétuel contraste entre l’activité et la passivité, entre la
force
centrifuge ou d’origine volontaire et la force ce
la passivité, entre la force centrifuge ou d’origine volontaire et la
force
centripète ou d’origine involontaire. Au reste, c
ripète ou d’origine involontaire. Au reste, ces deux directions de la
force
ne vont jamais l’une sans l’autre : toutes les se
vements insensibles, une réponse du dedans au dehors, une exertion de
force
motrice ; c’est ce que la physiologie contemporai
essaire pour répondre à une impression ; c’est avoir conscience de la
force
centrifuge en rapport avec la force centripète, d
on ; c’est avoir conscience de la force centrifuge en rapport avec la
force
centripète, dans une représentation ou idée quelc
ablit de soi-même entre nos représentations non seulement selon leurs
forces
ou leurs qualités respectives, mais encore selon
and nous soulevons un fardeau, nous sommes obligés d’accommoder notre
force
à la résistance et nous avons conscience de cette
s tard que tout contraste implique un certain choc, conséquemment une
force
exercée et une résistance éprouvée, un mouvement
ce ou appétit contrarié est la conscience d’une opposition entre deux
forces
. Cet élément dynamique, qui, selon nous, existe j
ont des sensations tendant à des mouvements déterminés, en un mot des
forces
, qu’elles peuvent être non seulement conservées e
a tendance au mouvement, inhérente à toute image, qui lui donne cette
force
de projection et d’extériorité, par laquelle sont
’y superposer. C’est donc la tendance et la tension, conséquemment la
force
de l’idée et du sentiment qui explique à la fois
ents d’utilité, d’activité, d’efficacité, c’est qu’il fait partie des
forces
qui concourent à produire le développement de la
conscience et telles que notre organisation mentale ou cérébrale nous
force
à les concevoir. Autre est le son hors de nous, p
e pensée ou de nos yeux pour les embrasser. Ces idées sont, sinon des
forces
, du moins des économies de force. De plus, elles
mbrasser. Ces idées sont, sinon des forces, du moins des économies de
force
. De plus, elles sont des instruments d’analyse po
’il existe une « vérité a priori », une seule, la « persistance de la
force
», et que cette vérité est a priori parce qu’elle
e, parce qu’il lui sert de fondement, c’est donc la persistance de la
force
. Si c’est la base de l’expérience, ce doit être l
la mécanique, il érige en une sorte de divinité la persistance de la
force
, qui ne mérite point un tel honneur. Il n’est pas
n tel honneur. Il n’est pas difficile de réduire la persistance de la
force
, en ce qu’elle a d’intelligible et de scientifiqu
d’ailleurs, ne sait lui-même ce qu’il entend par la persistance de la
force
: il interprète ce postulat de diverses manières
s qui sont contradictoires entre elles. Il reconnaît d’abord que la «
force
» dont nous affirmons la persistance n’est pas la
bord que la « force » dont nous affirmons la persistance n’est pas la
force
dont nous avons directement conscience dans nos e
ns le mot, la plus énorme, sur l’absolu. « Par conséquent, dit-il, la
force
dont nous affirmons la persistance est la force a
onséquent, dit-il, la force dont nous affirmons la persistance est la
force
absolue, dont nous avons nécessairement conscienc
ous avons nécessairement conscience comme corrélatif nécessaire de la
force
que nous connaissons. Par la persistance de la fo
nécessaire de la force que nous connaissons. Par la persistance de la
force
, nous entendons la persistance d’un pouvoir qui d
ces manifestations. En d’autres termes, affirmer la persistance de la
force
, ce n’est qu’une autre manière d’affirmer une réa
ilité, mais la réalité, sous le nom scientifique de persistance de la
force
. Toute cette métaphysique est d’une pitoyable inc
t, inconséquent, outré. On y voit le principe de la persistance de la
force
pris tantôt dans un sens, tantôt dans un autre. L
t dans un sens, tantôt dans un autre. Là, c’est au sens physique : la
force
motrice, la somme des forces potentielles et des
un autre. Là, c’est au sens physique : la force motrice, la somme des
forces
potentielles et des énergies actuelles ; ici, c’e
lles et des énergies actuelles ; ici, c’est au sens métaphysique : la
force
absolue (ce qui est inintelligible), le noumène i
à un état de conscience plus élevé. C’est pour cela qu’elles sont des
forces
. La volonté, répandue partout dans l’univers, n’a
idérés comme un seul événement à double aspect, sur les facultés, les
forces
et les substances considérées comme des illusions
rès probablement, la nouvelle loi mécanique sur la conservation de la
force
est une dérivée peu distante de cette loi suprême
e sa chute régénère la quantité de chaleur dépensée. Ainsi, quand une
force
disparaît, elle est remplacée par une force égale
épensée. Ainsi, quand une force disparaît, elle est remplacée par une
force
égale. Plus précisément encore, si l’on considère
ée par une force égale. Plus précisément encore, si l’on considère la
force
en général et dans ses deux états, le premier dan
découvre que toutes les diminutions ou tous les accroissements que la
force
reçoit sous l’une de ces deux formes sont exactem
e reçoit en même temps sous l’autre forme, partant que la somme de la
force
disponible et de la force en exercice, en d’autre
s l’autre forme, partant que la somme de la force disponible et de la
force
en exercice, en d’autres termes, l’énergie, comme
eu, dans les derniers éléments mobiles, il faut qu’il y ait une autre
force
que celle de la masse multipliée par la vitesse,
re force que celle de la masse multipliée par la vitesse, qui est une
force
en exercice ; car, autrement, cette force se dépe
par la vitesse, qui est une force en exercice ; car, autrement, cette
force
se dépenserait plus ou moins complètement dans le
, plus ou moins grande, fût compensée par un accroissement égal de la
force
disponible. Il y a donc dans les derniers élément
ible. Il y a donc dans les derniers éléments mobiles une ou plusieurs
forces
capables de devenir disponibles, attraction, répu
pulsion, qui croissent à mesure que leur opposition fait décroître la
force
en exercice et qui la représentent tout entière s
u’elle a disparu sous forme de dépense. — En second lieu, si toute la
force
en exercice pouvait à la longue se convertir en f
eu, si toute la force en exercice pouvait à la longue se convertir en
force
disponible, si la nature ou l’arrangement des der
’ose encore entreprendre par l’œuvre que j’ai essayé d’accomplir, mes
forces
ne suffiront pas ; tout ce que je me hasarde à so
e de soi-même. Par là l’être acquiert, dans la lutte pour la vie, une
force
nouvelle : au lieu de demeurer dispersées, ses te
é. De plus, cette réalisation constituant un avantage, un surcroît de
force
dans la lutte pour l’existence et pour le progrès
quemment un phénomène de logique sociale. Enfin, le commerce avec les
forces
de la nature est encore une interprétation analog
nt nécessaire à la vie, soit organique, soit mentale. Le concours des
forces
organiques augmente l’intensité de la vie ; il pe
gmente l’intensité de la vie ; il permet l’emploi le plus grand de la
force
avec la moindre dépense possible. Par cela même,
ible. Par cela même, chez un être sensible, la plus parfaite unité de
forces
vitales produit un sentiment de vie plus intense,
et, comme conséquence, une tendance croissante à la concentration des
forces
, un accroissement de gravitation intérieure. Cett
rsion ne peut durer. Dès qu’une substance nerveuse reçoit le choc des
forces
extérieures, quelque désordonnées, multiples et d
térieures, quelque désordonnées, multiples et diverses que soient ces
forces
, une résultante s’établit bientôt, par le seul je
une forme quelconque qui permet la distribution et l’intégration des
forces
. En même temps que les mouvements se coordonnent
qu’il y a augmentation d’intensité et d’ordre par la convergence des
forces
. Dès lors, l’être tend à prolonger et même à augm
prolonger et même à augmenter cette convergence des sensations et des
forces
: il est comme une bouche qui, sous un contact sa
Elle aura le sentiment que, quand elle se concentre, elle accroît ses
forces
, l’intensité et la clarté de sa vision, comme l’œ
s par l’idée, puisque cette affirmation, cette idée est elle-même une
force
nouvelle de réalisation. La conséquence finale es
era en atome spirituel, insécable et inviolable, plus il accroîtra sa
force
réelle, plus il se rapprochera en fait de cet idé
s son mouvement et dans la direction de son mouvement, à moins qu’une
force
extérieure ne l’arrête ou ne le dévie. La tendanc
e, je m’éternise ; et cette illusion, si c’en est une, est encore une
force
de plus à mon service : c’est un champ en apparen
e anti-individualiste de toute éthique s’exprime, avec son maximum de
force
et de netteté dans la dernière venue des théories
trainte objective. Pour M. Durkheim, les règles morales expriment une
force
souveraine et toute-puissante devant laquelle l’i
tisocial que le premier, mais qui le devient en fin de compte, par la
force
des choses. Cet individualisme nie la morale soci
; il la nie comme étant une morale d’envieux, de gens jaloux de toute
force
et de toute supériorité de force, une morale de c
e d’envieux, de gens jaloux de toute force et de toute supériorité de
force
, une morale de conformistes à la fois serviles et
e ne peut pas ne pas mépriser une âme forte, ayant le sentiment de sa
force
et de sa grandeur. — Mais au-dessus de cette mora
e morale misérable, par-delà cette morale misérable, jalouse de toute
force
, de toute grandeur, de toute beauté individualisé
est, chez tous, individualiste. J’entends par là qu’elle glorifie la
force
individuelle ; elle s’élève contre les coalitions
les coalitions grégaires qui s’efforcent d’opprimer par le nombre la
force
individualisée. Chez presque tous ses représentan
tants, elle glorifie la sincérité, la noble franchise, compagne de la
force
; le courage qui aime et recherche la responsabil
ités d’indépendance et d’énergie intelligente ; Nietzsche glorifie la
force
sauvage et indomptée, la volonté de puissance des
ïques (sauf parfois et en partie, chez Vigny) ; ce sont des vertus de
force
, des vertus conquérantes, des vertus amorales. L’
de renoncement) ; il la représente plutôt comme une supériorité de la
force
, de l’intelligence, de l’énergie indépendante, de
s résistances, à des hostilités sourdes et hypocrites ou encore à une
force
d’inertie, à une indifférence inintelligente qui
« facteurs » impossibles à négliger dans le calcul philosophique des
forces
internes et ayant leur efficacité dans l’évolutio
daigneux de l’instruction intellectuelle et fort peu confiant dans la
force
des idées. Ici commencent, à notre avis, les exag
. Nous accordons que l’idée même doit se faire sentiment pour devenir
force
efficace, mais ici le sentiment n’est plus un sim
tre pour que la vie subsiste. La réparation nerveuse, qui accumule la
force
, a toujours pour résultat et pour objet l’exercic
ce, a toujours pour résultat et pour objet l’exercice, qui dépense la
force
. L’animal ne peut pas se contenter de réparer son
est ainsi, peut-on admettre avec Léon Dumont que l’accumulation de la
force
, son « emmagasinement dans le nerf » soit ce qui
? « Tout fonctionnement nerveux, dit Léon Dumont, est une dépense de
force
; comment la dépense, qui est une perte, pourrait
? Ce dernier doit avoir pour cause, au contraire, une augmentation de
force
, une réception de mouvement30. » Cette théorie vi
er, écouter, etc., — est sans doute, sur le moment même, une perte de
force
motrice ; mais d’abord, nous venons de voir que,
les tombantes. Ainsi l’exercice normal, la dépense proportionnée à la
force
est une condition nécessaire de réparation, de co
de. Ce n’est donc point, pour parler le langage de la mécanique, la «
force
potentielle », mais sa transformation en force vi
de la mécanique, la « force potentielle », mais sa transformation en
force
vive et en mouvement qui cause le plaisir, pourvu
de l’activité ou de la fonction exercée ne dépasse pas la réserve des
forces
et n’use pas l’organe, le plaisir croit en intens
de la douleur, c’est qu’en ne proportionnant pas notre réaction à la
force
de nos organes, nous les usons. Le prétendu accro
tion naturelle se fait en faveur des races qui savent accumuler leurs
forces
par la modération même. Autre problème. Pourquoi
peines et en plaisirs. Ce bien-être est le sentiment d’un surplus de
force
relativement persistant ; c’est de la rente conso
t son plaisir croît avec l’intensité de la motion en rapport avec les
forces
emmagasinées. Psychologiquement, c’est l’intensit
éables jusqu’à un certain point d’intensité, qui est déterminé par la
force
d’adaptation du système nerveux. Pourtant il y a
cessante ; nous ne pouvons agir qu’en harmonie ou en conflit avec les
forces
extérieures, qui sont nos auxiliaires ou nos enne
nemis. S’il y a concours, « synergie », il y a plaisir, puisque notre
force
s’augmente alors par le concours même des autres
puisque notre force s’augmente alors par le concours même des autres
forces
; s’il y a conflit, manque d’adaptation aux condi
e à vaincre les résistances, comme une machine imparfaite qui perd sa
force
dans des frottements. L’ordre et l’harmonie sont
l’harmonie sont donc encore des moyens de conserver et d’augmenter la
force
. Si nous examinons le sens vers lequel se dirigen
la vie, les autres à la mort. La vie, a-t-on dit, est l’ensemble des
forces
qui résistent à la mort : la lutte pour vivre est
uvement qui serait capable de leur nuire s’ils n’avaient pas assez de
force
pour lui résister et que le corps ne fût pas bien
que le corps ne fût pas bien disposé » ; c’est le sentiment de cette
force
qui produit en nous le plaisir. Au contraire la d
doit précéder toute jouissance ». Ce sont de « faibles obstacles à la
force
vitale qui constituent l’état de santé » que nous
ement l’un que l’autre, selon le rapport exact qui existe entre notre
force
musculaire et la résistance extérieure. Ici donc
té de peines rudimentaires ; le plaisir qu’on éprouve à restaurer ses
forces
est une continuelle victoire sur ces rudiments de
enhauer veulent n’y voir qu’une négation : il est la conscience d’une
force
acquise et agissante, il vaut par lui-même et a u
tre-partie de la faim et de la nutrition, qui est le dégagement de la
force
et le mouvement. Comme Darwin, dont il voulait ce
ur objet l’appropriation de matériaux venant du dehors : elle est une
force
de concentration et d’absorption en soi ; mais, n
rition et la restauration des organes, qui ne font qu’emmagasiner des
forces
de tension par un travail « négatif », ne sont pa
é capable de jouir et de souffrir, une activité psychique. Toute la «
force
» et l’efficace n’est donc pas dans les lois méca
vrai plaisir est la grâce de la vie. 25. Le calcul algébrique des
forces
(mV2) n’est alors qu’un symbole abstrait du calcu
(mV2) n’est alors qu’un symbole abstrait du calcul philosophique des
forces
réelles, des causes. 26. Psychologie, ch. VIII.
un Tartuffe en beaucoup de choses, quoiqu’il pût être franc comme la
Force
, car il l’avait ! Oui ! un Tartuffe. Entendons-no
, toujours le produit du xviiie siècle, l’athée à tout, excepté à la
force
humaine, qui voulait être à lui-même son Machiave
tenue de trouver le secret. Eh bien, selon nous, ce secret, c’est la
force
! D’autres ont la grâce, d’autres ont l’ampleur,
ont l’ampleur, d’autres encore ont l’abondance ; Stendhal, lui, a la
force
, c’est-à-dire, après tout, la chose la plus rare
qu’il y ait, dans ce temps de cerveaux et de cœurs ramollis. Il a la
force
dans l’invention (voyez les héros de ses romans e
me ses héroïnes, qui sont toutes des femmes à caractère !) et il a la
force
dans le style, qui, de fort, sous sa plume, devie
interrogeant une par une ses facultés, qu’il a la sagacité qui est la
force
du regard, comme il a la clarté brève de l’expres
orce du regard, comme il a la clarté brève de l’expression qui est la
force
du langage. En Italie où il a vécu, où il s’est é
s l’avenir que par les esprits plus ou moins analogues au sien par la
force
. L’énergie seule aime l’énergie. Lorsque Stendhal
Correspondance, l’imagination de cet amoureux de la Passion et de la
Force
remontait vers la Féodalité expirante pour y cher
ent par la cime que les sociétés commencent à mourir. Du reste, cette
force
dans le talent qui distingue Stendhal, il l’avait
le, il s’agit seulement de signaler la fermeté d’un caractère dont la
force
augmentait encore celle d’un esprit qui, naturell
énie d’un homme ? Stendhal, nous l’avons constaté, avait le don de la
force
, et d’une force que rien n’a pu énerver ; mais ce
? Stendhal, nous l’avons constaté, avait le don de la force, et d’une
force
que rien n’a pu énerver ; mais cette force a manq
don de la force, et d’une force que rien n’a pu énerver ; mais cette
force
a manqué souvent de douceur, de liant, de tendres
un Tartuffe en beaucoup de choses, quoiqu’il pût être franc comme la
force
, car il l’avait ! Oui, un Tartuffe, entendons-nou
, toujours le produit du xviiie siècle, l’athée à tout, excepté à la
force
humaine, qui voulait être à lui-même son Machiave
itique est tenue de trouver le secret. Eh bien ! selon nous, c’est la
force
! D’autres ont la grâce, d’autres ont l’ampleur,
ont l’ampleur, d’autres encore ont l’abondance : Stendhal, lui, a la
force
, c’est-à-dire, après tout, la chose la plus rare
e qu’il y ait dans ce temps de cerveaux et de cœurs ramollis. Il a la
force
dans l’invention (voyez les héros de ses romans,
e ses héroïnes, qui sont toutes des femmes à caractère !), et il a la
force
dans le style, qui, de fort sous sa plume, devien
nterrogeant une par une ses facultés, qu’il a la sagacité, qui est la
force
du regard, comme il a la clarté brève de l’expres
rce du regard, comme il a la clarté brève de l’expression, qui est la
force
du langage. En Italie, où il a vécu, où il s’est
s l’avenir que par les esprits plus ou moins analogues au sien par la
force
. L’énergie seule aime l’énergie. Lorsque Stendhal
orrespondance, l’imagination de cette amoureux de la Passion et de la
Force
remontait vers la Féodalité expirante, pour y che
nt par la cime que les sociétés commencent de mourir. Du reste, cette
force
dans le talent qui distingue Stendhal, il l’avait
le, il s’agit seulement de signaler la fermeté d’un caractère dont la
force
augmentait encore celle d’un esprit, qui, naturel
énie d’un homme ? Stendhal, nous l’avons constaté, avait le don de la
force
, et d’une force que rien n’a pu énerver ; mais ce
? Stendhal, nous l’avons constaté, avait le don de la force, et d’une
force
que rien n’a pu énerver ; mais cette force a manq
don de la force, et d’une force que rien n’a pu énerver ; mais cette
force
a manqué souvent de douceur, de liant, de tendres
, dit encore M. Espinas, « tourne à son profit, dans la mesure de ses
forces
, les conditions du milieu ». — Sans doute, mais c
le rattache, en dernière analyse, à la loi de « la persistance de la
force
». Nous croyons, au contraire, que c’est le mécan
on » du finalisme immanent de la volonté, et que la persistance de la
force
se rattache à la persistance de la volonté primor
nt d’une action comme possible par nous et seulement par nous. — « La
force
du désir, dit-on enfin, est en raison inverse du
ns de notre intelligence et de notre action propre ; au contraire, la
force
de la volition est en raison directe de ce même s
ion est en raison directe de ce même sentiment. » — Oui, parce que la
force
de la volition n’est autre chose que le sentiment
t que la conscience pratique ne se pose pas. Quel que soit le mode de
force
ou d’efficacité des idées, qu’elles agissent par
néreux accomplit une belle action sans hésiter. Dans l’un des cas, la
force
qui entraîne est en grande partie étrangère au mo
ait été, dès le commencement de la délibération, le plus fort, d’une
force
encore cachée ; qu’il ait gouverné la délibératio
l’aiguille. Le motif qui prévaut doit sa victoire non seulement à sa
force
initiale comparée à la force initiale des autres
vaut doit sa victoire non seulement à sa force initiale comparée à la
force
initiale des autres motifs, mais encore à la forc
iale comparée à la force initiale des autres motifs, mais encore à la
force
acquise pendant la délibération et par la délibér
e ce mouvement utile comme moyen de telle fin ; je le désire avec une
force
et une durée assez exclusives des appétitions et
nsporte la volonté sur un sommet d’où elle a deux versants en vue. La
force
initiale des motifs et mobiles est donc à la fin
er la nature. Faut-il prendre modèle sur la composition mécanique des
forces
? Au point de vue physiologique, on peut accorder
ar la main, et la flèche paraît immobile ; puis, lorsque disparaît la
force
qui s’oppose à la détente de l’arc, la tension em
cependant que la continuation de l’autre. Il vient un moment où telle
force
l’emporte, c’est-à-dire où tels mouvements antéri
épondérant un motif qui, théoriquement, n’était pas la résultante des
forces
qui sollicitaient l’âme164. » Dans ce cas, le cal
était incomplet : il portait seulement sur la valeur intrinsèque des
forces
sollicitant le cerveau et ne tenait pas compte de
ces sollicitant le cerveau et ne tenait pas compte de la réaction des
forces
inhérentes au cerveau même : c’est la résultante
n parfaite entre la théorie et la pratique si on calculait toutes les
forces
, même dans les cas où, selon MM. William James et
a ligne de la moindre résistance, puisqu’il faudrait, pour vaincre la
force
de projection imprimée par la poudre, une force d
rait, pour vaincre la force de projection imprimée par la poudre, une
force
de résistance plus grande que n’en oppose la mura
son caractère. Toutefois, ne l’oublions pas, la notion mécanique des
forces
et de leur composition, avec le parallélogramme o
ue et la part de vérité qu’elle renferme. On y suppose, en effet, des
forces
indépendantes, dont chacune agit comme si les aut
ne se présente pas comme une conséquence immédiate de l’hypothèse des
forces
centrales ; bien mieux, il semble sinon contredir
es initiales étaient renversées, ces atomes toujours soumis aux mêmes
forces
devraient parcourir leurs trajectoires en sens co
e, non seulement il est une conséquence nécessaire de l’hypothèse des
forces
centrales, mais il s’impose à notre bon sens d’un
nières petites différences. Et puis il y a encore l’hypothèse sur les
forces
. Les forces, quelle que soit leur origine, la pes
es différences. Et puis il y a encore l’hypothèse sur les forces. Les
forces
, quelle que soit leur origine, la pesanteur comme
pour mesurer cette répulsion, nous devons l’équilibrer par une autre
force
, et que toutes ces autres forces sont réduites da
ous devons l’équilibrer par une autre force, et que toutes ces autres
forces
sont réduites dans la même proportion, nous ne no
r comme si la lumière qu’il envoie était un projectile. Quelle est la
force
qui doit produire ce recul ? C’est ce qu’on a app
gatifs, est d’origine exclusivement électro-dynamique. Voilà qui nous
force
à changer la définition de la masse ; nous ne pou
corps animé d’une vitesse notable n’opposera pas la même inertie aux
forces
qui tendent à le dévier de sa route, et à celles
pte de ces résultats, Lorentz a été obligé de supposer que toutes les
forces
, quelle que soit leur origine, étaient réduites d
rme ; ce n’est pas assez, il ne suffit pas que cela ait lieu pour les
forces
réelles, il faut encore qu’il en soit de même pou
our les forces réelles, il faut encore qu’il en soit de même pour les
forces
d’inertie ; il faut donc, dit-il, que les masses
Ils occupaient une certaine place : c’est de là que partait, avec une
force
de pénétration qu’il n’aurait pas eue s’il avait
même n’y a-t-il pas véritablement ici une composition de parties. La
force
qu’une obligation tire de toutes les autres est p
utres hommes. Mais la velléité ne s’en est pas plutôt dessinée qu’une
force
antagoniste survient, faite de toutes les forces
lutôt dessinée qu’une force antagoniste survient, faite de toutes les
forces
sociales accumulées : à la différence des mobiles
nce des mobiles individuels, qui tireraient chacun de son côté, cette
force
aboutirait à un ordre qui ne serait pas sans anal
e voudrait pas, parce qu’il sent bien que la plus grande partie de sa
force
vient d’elle, et qu’il doit aux exigences sans ce
l ne pouvait opposer à des difficultés sans cesse renaissantes qu’une
force
individuelle dont il sent les limites. Dans la so
sa personne, la meilleure, échapperait ainsi à la peine. Telle est la
force
qui poussera le criminel à se dénoncer. Parfois,
visagé cette faculté que globalement, et l’ayant d’ailleurs érigée en
force
opposée à une résistance, nécessairement on fait
a méthode nécessairement rationnelle qu’emploiera, pour lui rendre sa
force
et pour combattre ce qui s’oppose à elle, un être
tomber, si tout à coup ou se redresse, où donc était le ressort ? Une
force
s’affirme, que nous avons appelée « le tout de l’
nts, alors que l’instinct, reprenant le dessus, la ramènerait de vive
force
à sa tâche, l’intelligence que va résorber l’inst
l’homme une habitude. Et l’habitude la plus puissante, celle dont la
force
est faite de toutes les forces accumulées, de tou
bitude la plus puissante, celle dont la force est faite de toutes les
forces
accumulées, de toutes les habitudes sociales élém
à la base même des sociétés et conditionnant leur existence, aura une
force
comparable à celle de l’instinct, et comme intens
nvisibles liens ; et l’instinct social de la fourmi — je veux dire la
force
en vertu de laquelle l’ouvrière, par exemple, exé
ue par là même il soutient et à laquelle il prête quelque chose de sa
force
, je veux dire de son caractère impérieux. Mais lu
Constatons seulement que si la première morale avait d’autant plus de
force
qu’elle se dissociait plus nettement en obligatio
fondre dans l’unité et l’individualité d’un homme. D’où lui vient sa
force
? Quel est le principe d’action qui succède ici à
exemple ont trouvé d’autres hommes pour les suivre ? Et quelle est la
force
qui fait pendant ici à la pression sociale ? Nous
cessant d’être abstraite, se remplit de signification et acquiert la
force
d’agir, les autres tendent à en faire autant ; fi
tant plus parfaite qu’elle est plus impersonnelle, plus proche de ces
forces
naturelles qu’on appelle habitude et même instinc
de la nature elle-même, on s’apercevrait peut-être que c’est la même
force
qui se manifeste directement, en tournant sur ell
plus à l’état pur. La première a passé à l’autre quelque chose de sa
force
de contrainte ; la seconde a répandu sur la premi
e principe générateur de l’espèce humaine qu’on s’est senti puiser la
force
d’aimer l’humanité. Je parle, bien entendu, d’un
nde, il y a encore obligation, si l’on veut, mais l’obligation est la
force
d’une aspiration ou d’un élan, de l’élan même qui
et les espèces successivement apparues sont les résultantes de cette
force
et de forces antagonistes : celle-là pousse en av
ces successivement apparues sont les résultantes de cette force et de
forces
antagonistes : celle-là pousse en avant, celles-c
erminer l’essence même du devoir, nous avons en effet dégagé les deux
forces
qui agissent sur nous, impulsion d’une part et at
vidualité et leur indépendance, déployant alors l’intégralité de leur
force
, la pression et l’aspiration qui avaient renoncé
renthèse qu’il faudrait ouvrir si l’on voulait faire la part des deux
forces
, l’une sociale et l’autre supra-sociale, l’une d’
on courage dans la bataille, et la conscience de cette supériorité de
force
lui assure à lui-même une force plus grande, avec
la conscience de cette supériorité de force lui assure à lui-même une
force
plus grande, avec toutes les jouissances de l’org
même, d’apparemment définitif. Il n’est pas douteux, en effet, que la
force
n’ait été à l’origine de la division des ancienne
tiques inégalités de classe, primitivement imposées sans doute par la
force
, acceptées ensuite comme des inégalités de valeur
la tension intérieure à laquelle ils avaient demandé une plus grande
force
d’intelligence et de volonté, et qui avait consol
ormation du goût publie opérée par l’œuvre même ; celle-ci était donc
force
en même temps que matière ; elle a imprimé un éla
anité soit d’attribuer aux concepts moraux une autorité propre et une
force
intrinsèque, enfin que l’activité morale, dans un
it-on autrement ce qu’on doit faire dans chaque cas particulier ? Des
forces
profondes sont là, l’une d’impulsion et l’autre d
tous les autres. Au-dessus ou au-dessous de ce plan nous trouvons des
forces
dont chacune, prise isolément, ne correspond qu’à
en idées, est plus qu’idée ; elle est supra-intellectuelle. Les deux
forces
, s’exerçant dans des régions différentes de l’âme
— plus haut qu’une société animale, où l’obligation ne serait que la
force
de l’instinct, mais moins haut qu’une assemblée d
aisait autre chose que formuler rationnellement l’action de certaines
forces
qui se tiennent derrière elle, comment lutterait-
démontrer, ne réussit dans sa démonstration que s’il réintroduit ces
forces
sans le dire : elles sont d’ailleurs rentrées à s
Ainsi font les philosophes qui expliquent l’obligation morale par la
force
avec laquelle s’imposerait l’idée du Bien. S’ils
ion sociale et à faire progresser l’humanité, et où surtout certaines
forces
définies produisent cette cohésion et assurent ce
l’une ou l’autre aptitude, et auxquelles on se sent déterminé par les
forces
d’impulsion et d’attraction que nous avons défini
ligatoire en tant que simplement proposée par la raison. Si certaines
forces
réellement agissantes et pesant effectivement sur
our en coordonner les effets, mais elle ne saurait rivaliser avec ces
forces
, puisqu’on peut toujours raisonner avec elle, opp
nsu, comme nous l’avons déjà dit et comme nous allons le répéter, des
forces
d’un ordre différent. C’est justement pourquoi el
oriciens de la morale postulent la société et par conséquent les deux
forces
auxquelles la société doit sa stabilité et son mo
sur cet équilibre et sur ce mouvement, semble se doubler de ces deux
forces
, ils n’ont pas de peine à reconstituer le contenu
omplirait nécessairement ; elle s’accomplirait sous l’influence d’une
force
bien déterminée, la même qui fait que chaque four
intelligence intervient, avec la faculté de choisir : c’est une autre
force
, toujours actuelle, qui maintient la précédente à
rer des difficultés de la vie ; elle ne suivra pas la direction d’une
force
qui travaille au contraire pour l’espèce et qui,
e son premier mouvement. Elle ne pourra pas ne pas tenir compte de la
force
dont elle subit la pression invisible. Elle se pe
serait bien peu solide, et que l’obligation préexistait dans toute sa
force
: l’intelligence a simplement fait obstacle à un
nuée, c’est un plus ou moins irrésistible attrait. Mais cette seconde
force
, pas plus que la première, n’a besoin d’explicati
vient le prolongement ; mais, dans les deux cas, vous êtes devant des
forces
qui ne sont pas proprement et exclusivement moral
e des choses matérielles avait détruit le sentiment de l’idéal, où la
force
et le travail tenaient enchaînées dans un vulgair
? Non, il n’en sera pas ainsi. Tout ce qui ajoute extérieurement aux
forces
de l’homme, tout ce qui d’abord double pour lui l
he à grands pas, qu’elle est de toutes parts appelée, secondée par la
force
des armes, du commerce et des arts ? Regardez d’a
nople, si près de Malte et de Marseille, dans la vitesse actuelle des
forces
civilisées, ne peut longtemps appartenir à un aut
des fruits mûrs qui l’attendent. Disons-le même : à cet emploi de sa
force
, à cette extension graduelle du christianisme et
ient de l’Europe ; que le droit public chrétien y soit la règle de la
force
, que la servitude domestique, que la captivité et
l’amour des lois avec l’air natal. Et puis, à cette race fière de sa
force
, ne pouvant presque supporter d’autre joug que le
al et la contrainte volontaire à la rare et timide intervention d’une
force
officielle ; il a gouverné religieusement ces hom
vie morale : ce n’est point-là ce progrès du calcul matériel et de la
force
, qui ne prolongerait la durée d’une nation qu’en
dégénère pas, ne perd aucune des conditions de sa puissance. Quand la
force
tombe, quand le flambeau se déplace, quand une na
savante, nouvellement née et pleine d’expérience, enorgueillie de sa
force
comme de la magnifique nature subjuguée par ses a
biens de la civilisation auxquels nous sommes attachés de toutes les
forces
de notre âme. Elle est bonne et secourable en mêm
s valeurs, il y a donc entre eux un abîme. Les hommes sont inégaux en
force
physique comme en talents ; et cependant nous ten
ar les esprits, il faut qu’il soit voulu et, par suite, qu’il ait une
force
capable de mouvoir nos volontés. Ce sont elles qu
qui, seules, peuvent en faire une réalité vivante. Mais puisque cette
force
vient finalement se traduire en mouvements muscul
ents musculaires, elle ne saurait différer essentiellement des autres
forces
de l’univers. Pourquoi donc serait-il impossible
mbre des adultères, des divorces, des séparations de corps exprime la
force
relative avec laquelle l’idéal conjugal s’impose
ticulières. Sans doute, ces mesures sont grossières ; mais est-il des
forces
physiques qui puissent être mesurées autrement qu
uels. L’homme qui les éprouve a l’impression qu’il est dominé par des
forces
qu’il ne reconnaît pas comme siennes, qui le mène
tout le milieu dans lequel il est plongé lui semble sillonné par des
forces
du même genre. Il se sent comme transporté dans u
de sa conduite est déplacé et reporté hors de lui. En même temps, les
forces
qui sont ainsi soulevées, précisément parce qu’el
cace. Ils sont essentiellement moteurs ; car derrière eux, il y a des
forces
réelles et agissantes : ce sont les forces collec
r derrière eux, il y a des forces réelles et agissantes : ce sont les
forces
collectives, forces naturelles, par conséquent, q
a des forces réelles et agissantes : ce sont les forces collectives,
forces
naturelles, par conséquent, quoique toutes morale
elles qui jouent dans le reste de l’univers. L’idéal lui-même est une
force
de ce genre ; la science en peut donc être faite.
matériaux nécessaires pour une telle construction. Livré à ses seules
forces
, comment aurait-il pu avoir et l’idée et le pouvo
e la nature, tout en la dominant. C’est que, non seulement toutes les
forces
de l’univers viennent aboutir en elle, mais de pl
précédée. Pardonnez-moi donc un court historique. La Physique des
forces
centrales. — La Physique Mathématique, nous le sa
aison inverse du carré des distances et cette attraction est la seule
force
qui influe sur leurs mouvements. Mais si nos sens
es joint, ne dépend que de la distance. La loi suivant laquelle cette
force
varie en fonction de la distance n’est peut-être
es principes. — Néanmoins, il est arrivé un jour où la conception des
forces
centrales n’a plus paru suffisante, et c’est la p
, à isoler les pièces de ce vaste mécanisme, à analyser une à une les
forces
qui les mettent en branle et on se contenta de pr
la de pénétrer le mécanisme de cet équilibre et de savoir comment les
forces
se compenseront à l’intérieur de la machine ; c’e
la seconde phase aurait pu exister sans la première ? L’hypothèse des
forces
centrales contenait tous les principes ; elle les
i à les regarder comme des vérités expérimentales ; la conception des
forces
centrales devenait alors un soutien inutile, ou p
je fais ainsi l’analyse de 27. Pareillement, quand je prononce le mot
force
, digestion, volonté, ou tout autre, je dois pouvo
es fonctions et les organes, concluent ordinairement en admettant une
force
vitale. Selon eux, il y a une force qui réside da
nt ordinairement en admettant une force vitale. Selon eux, il y a une
force
qui réside dans le germe, le développe, l’organis
ions se fassent. Il y a nécessité pour que ces opérations se fassent.
Force
est que ces opérations se fassent : toutes traduc
opérations, comme une définition ses conséquences. Cette nécessité ou
force
amène, entraîne et produit des opérations, comme
stance, pour la commodité du langage : vous direz alors qu’il y a une
force
dans le corps organisé. Mais dans tous les cas, s
orps organisé. Mais dans tous les cas, souvenez-vous de l’analyse. La
force
vitale n’est ni une qualité, ni une substance, ma
n’est pas une petite œuvre. On a passé des siècles à raisonner sur la
force
vitale ; et des gens fort savants, à Montpellier,
s toutes les expressions des sciences physiques. L’air pesant est une
force
; cela veut dire qu’en l’appliquant sur la cuvett
r le baromètre, le mercure montera nécessairement. — La chaleur a une
force
de dilatation : cela veut dire que la chaleur for
nt chauffée se dilatera nécessairement. — Le fer et l’oxygène ont une
force
d’affinité réciproque : cela veut dire que le fer
nd devient nécessaire, ce qu’on exprime en disant que le premier a la
force
de produire le second. La force n’est que la liai
exprime en disant que le premier a la force de produire le second. La
force
n’est que la liaison ou dépendance du second vis-
nd vous parlez de la destinée d’un peuple, du génie d’une nation, des
forces
vives de la société, de l’influence d’un climat o
qu’il faut s’en servir peu ou point. Vous trouveriez de même que les
forces
vives d’une société ne sont que le degré de vigue
e son contraire. La réalité est donc bien ici un compromis entre deux
forces
dont l’une tend à convertir en objet — matière in
t cet antagonisme engendre les mêmes conséquences. C’est ainsi que la
force
d’analyse que nous usons à prendre conscience de
e nous usons à prendre conscience de nos émotions est soustraite à la
force
au moyen de laquelle nous les éprouvons : notre c
iles à se dépeindre : de fait elles ne se connaissent pas, toute leur
force
, tendue vers l’acte, est aveugle sur elle-même. A
de la conscience où plus rien n’apparaît, Nietzsche s’est élevé avec
force
dans son Zarathoustracontre ces purs contemplatif
ue de quelque façon qu’on l’imagine, est bien un compromis entre deux
forces
dont l’une s’exprime en une tendance à agir et l’
ce de quelque réalité psychologique suppose l’antagonisme de ces deux
forces
, dont chacune tient les conditions de sa mort pou
ue tendit insensiblement à un nouveau caractère. Elle s’éloigna de la
force
et de la hardiesse énergique de l’un, pour prendr
, en ne présentant que ce qui est. Il faut avoir longtemps mesuré ses
forces
; il faut avoir appris à les gouverner avec soupl
s’élançât pour ainsi dire dans le style, avec toute sa vivacité et sa
force
, comme elle est dans l’âme, et dégagée de tous ce
Sans aucune chaîne apparente, tout se tint, tout fut entraîné par la
force
des choses même. Le style se débarrassa de ses en
issent les ménagements et les égards. L’orateur républicain use de sa
force
tout entière ; l’orateur d’une monarchie est touj
néral, plus d’esprit et de délicatesse de goût, que de passions et de
force
de caractère ; ils doivent tendre sans cesse à at
s intérieures d’un pays : c’est alors que la nature est dans toute sa
force
, ou qu’elle tend à y parvenir ; alors elle a l’én
tout se heurte et se repousse ; tout prend le poids que lui donne sa
force
. L’homme qui est né avec de la vigueur n’étant pl
minante et propre à entraîner : alors sa faiblesse même, jointe à une
force
étrangère, s’élève et devient partie de la force
e même, jointe à une force étrangère, s’élève et devient partie de la
force
générale. Tel fut l’état de la nation française,
s et s’élève du milieu des ruines, commença à tout calmer, lorsque la
force
qui était dans les caractères, contenue de toutes
sur une vérité. Il faut que, semblable au mécanicien qui compare les
forces
et les résistances, elle connaisse l’homme et ses
devient un organe délicat, à qui nulle sensation n’échappe, et qui, à
force
d’être exercée, prévoit, ressent et démêle tous l
actère imposant, et cet éclat de renommée, qui subjugue autant que la
force
, qui annonce la puissance, la fait et la multipli
de précision dans ses raisonnements, mais elle ne put acquérir cette
force
, qui est ridicule quand elle n’est que dans les m
eurs. Dans tous les genres, nous eûmes plutôt de la dignité que de la
force
; et notre éloquence, circonspecte jusque dans sa
avaient donné la richesse et l’harmonie, d’autres la précision et la
force
. Les grands modèles étaient approfondis ; le goût
lui-même. C’est au moins très curieux, et comme c’est moitié tour de
force
, moitié conviction, ou, si l’on veut et c’est mon
moins, ou d’autre. Ils semblaient dire aux hommes : « Le règne de la
force
brutale est passé. L’homme l’emportera sur l’homm
nfiez-vous à nous comme au professeur de gymnastique : il tire de vos
forces
physiques tout ce qu’elles contiennent ; il leur
mme plus forte en la rendant aussi habile dispensatrice de toutes ses
forces
qu’il sera possible, bien au-delà de tout ce que
qu’il ne s’agit que d’être forts et qu’il n’y a dans le monde que la
force
; — ou, ce qui est plus grave, ils sentent assez
lque sorte une censure active et non point seulement prohibitive, qui
force
le poète et l’artiste à se mettre au service de l
r en gens de cette sorte des ennemis, des adversaires ou au moins des
forces
hostiles, ou au moins des obstacles. V. Les ha
l sait très bien que les mythes sont des idées très profondes sur les
forces
, les luttes et les mystères de la nature, idées r
t féconde, la vraie égalité existe quand des citoyens très inégaux en
forces
, en intelligence, par l’éducation, par la fortune
belle ville est une trière à la dérive. On se relève de tout avec la
force
morale ; mais ce peuple n’a aucune moralité. À vr
les sujets possibles et notamment ceux qui pourraient mettre quelque
force
morale et quelque ton dans les âmes. Les vieilles
’elle n’est rien. Si elle n’est pas cela, elle est sans vertu et sans
force
. Si elle n’est pas cela, elle est une simple reco
es qui sont la mesure du juste tant qu’elles durent ; et enfin que la
force
est la mesure du droit et que rien n’est plus jus
que rien n’est plus juste que ce qu’on vient à bout d’emporter par la
force
». Voilà ce que les Nietzsche d’Athènes ne cessen
bon, a causé du mal à quelqu’un, nous nous y opposerons de toutes nos
forces
… Notre première loi et notre première règle touch
ais alors, à se sentir seul être moral au monde, il n’a plus assez de
force
pour rester tel et, comme confondu de la monstruo
tés à faire, d’une façon ou d’une autre. Adorons-le en lui-même comme
force
suprême qui a tout organisé et comme bonté qui a
de la pratiquer ; et on peut vouloir la pratiquer sans avoir assez de
force
pour cela. Rien de plus rationnel que ce que je d
mer à cet égard, tendent au plaisir, instinctivement, de toutes leurs
forces
, ce qui revient au même, une affirmation de l’ins
t la réalité n’est pas niable. Et s’il faut une morale appropriée aux
forces
humaines, c’est-à-dire appropriée, degré par degr
ée aux forces humaines, c’est-à-dire appropriée, degré par degré, aux
forces
de celui-ci, de celui-là ou de tel autre, ne cont
ce qu’il dit, sans doute ; mais il dit sans le savoir que toutes ses
forces
physiques sont en tel accord qu’il n’y a aucune d
de plus intime et de plus fort. Il y a une concentration extrême des
forces
et il n’y a aucune déperdition ou dispersion de f
on extrême des forces et il n’y a aucune déperdition ou dispersion de
force
. Le vertueux se modèle et se pétrit en beauté, no
« le premier bien est la santé, le second la beauté, le troisième la
force
, le quatrième la richesse, et ils en comptent enc
la proie pour l’ombre et qui en se repaissant de l’ombre augmente les
forces
de sa proie et lui donne une vie nouvelle. Voilà
re ; mais nous le pouvons et dès lors dire à la douleur : « où est ta
force
contre l’éternel ? Je ne suis pas éternel, mais j
se livre à des pratiques de dialectique pour la faire comme tendre de
force
à la vertu, et à l’idéal moral. Ou la mépriser :
ontre la vérité générale des choses. L’union d’une faiblesse et d’une
force
, comme effet du besoin que la faiblesse a de la f
blesse et d’une force, comme effet du besoin que la faiblesse a de la
force
, et aussi du besoin que la force a de la faibless
t du besoin que la faiblesse a de la force, et aussi du besoin que la
force
a de la faiblesse pour remplir son office, qui es
ie avec le corps de telle sorte et avec un tel dessein que toutes les
forces
de l’âme, intelligence, sensibilité, faculté arti
le corps ainsi purgé, ainsi réduit et ainsi désarmé, n’a que plus de
force
pour aider l’âme autant qu’il est en lui à la rec
comme un danger ; mais ceux-là seront plus forts ou plus sûrs de leur
force
qui les auront éprouvés, puis surmontés, et ceux-
ant soi-même. Il faut que le disciple ne s’appuie que sur ses propres
forces
et doute de ses forces et s’étonne de ce qu’il dé
ue le disciple ne s’appuie que sur ses propres forces et doute de ses
forces
et s’étonne de ce qu’il découvre et de son infirm
as pour cela moins d’avantages ; mais les leçons qu’on fait entrer de
force
dans l’âme n’y demeurent pas. N’usez donc pas de
n de la chercher. La vérité n’est due qu’à ceux qui la désirent. Le «
force
-les à entrer » n’est point du tout son fait, ni l
t précisément celle de ceux de nos gens que nous aurions instruits de
force
et sans qu’ils y fussent appelés par vocation nat
précisément, qu’ils auraient acquis, en tant qu’il serait une petite
force
, une force restreinte, mais réelle pourtant, ils
t, qu’ils auraient acquis, en tant qu’il serait une petite force, une
force
restreinte, mais réelle pourtant, ils le tournera
par le constat des rapports qu’elle soutient avec la morale, et de la
force
et de l’efficace avec lesquelles elle y tend. Il
te évidence et se soutiennent les unes les autres avec une invincible
force
. On pourrait même dire qu’elles ne sont qu’une se
re de beauté, et par conséquent leur attrait, est précisément dans la
force
morale. Quand la foule demande au tragique de bel
être. En mettant la moralité là où elle est, elle lui donne toute sa
force
; elle ne permet pas qu’en la confondant avec aut
uir soi-même continuellement. Or l’artiste n’a pas trop de toutes ses
forces
pour ranimer en lui et raviver en lui les réminis
dées, ce que nous avons à retenir, c’est qu’il a essayé de toutes ses
forces
de faire rentrer l’art dans la morale, comme il e
aiblisse. La royauté se renforce parce que ce qui est un a en soi une
force
concentrée qui, sauf accident, ne peut que s’accr
t les mettra dans l’impuissance de rien entreprendre en commun. » La
force
de cohésion des sociétés, la force d’agrégation d
rien entreprendre en commun. » La force de cohésion des sociétés, la
force
d’agrégation des agrégats, dans leur essence, on
d’équilibre social, un état d’égale ou proportionnée répartition des
forces
. Ce qui est juste, c’est que chacun ait, en sûret
intient l’équilibre social par un souci scrupuleux de donner à chaque
force
sociale la mesure d’exercice qu’elle doit avoir p
précisément le contraire de celle-ci. C’est la théorie du droit de la
force
, ou plutôt c’est la théorie de la force niant le
est la théorie du droit de la force, ou plutôt c’est la théorie de la
force
niant le droit et s’affirmant comme règle des cho
ts s’attribuassent et pussent acquérir et conquérir en raison de leur
force
. En conséquence de cette déclaration, ils ont fai
ue celle d’une convention, d’un contrat, d’une manière de trêve de la
force
ou d’une manière de trêve entre des forces contra
’une manière de trêve de la force ou d’une manière de trêve entre des
forces
contraires. Il n’y a rien de respectable ni de sa
un bien de commettre l’injustice, c’est-à-dire d’agir selon toute sa
force
, et un mal de subir l’injustice, c’est-à-dire de
isemblable. En conséquence, les hommes, ayant vécu longtemps selon la
force
, se sont à peu près entendus, surtout les faibles
est-à-dire qu’on se priverait d’un grand bien, à savoir agir selon sa
force
et commettre l’injustice, mais qu’on se délivrera
ais, au fond des choses et dans la vérité des choses, il n’y a que la
force
. Ce serait une espèce de folie à un homme « vraim
e de folie à un homme « vraiment homme » que de pouvoir agir selon sa
force
, être injuste, pour parler comme la convention, e
de la nature, le plus fort l’emporte et acquiert dans la mesure de sa
force
. Selon l’ordre de la loi, il y a égalité, convent
ine des mortels et des immortels. Elle mène, poursuit-il, avec soi la
force
et d’une main puissante la rend légitime 3 . J’en
our la générosité et pour la vengeance. Ils sont de grandes et belles
forces
. C’est de ces grandes et belles forces et de leur
Ils sont de grandes et belles forces. C’est de ces grandes et belles
forces
et de leur déchaînement, sans frein de pusillanim
débile aussi, antinaturelle, énervant et paralysant de parti pris les
forces
naturelles de l’humanité et en particulier du cor
à moi, comme à un poète sicilien, je crois, non pas d’une magnifique
force
de la nature, comme vous dites, plus en poète, vo
our ainsi parler, sans la sentir. Et c’est là ce que vous appelez une
force
? Ne voyez-vous pas que c’est une faiblesse, une
e, à l’homme peu réfléchi surtout, de prendre ses faiblesses pour des
forces
, parce qu’il prend les désirs pour des activités.
t tout à fait, du moins un éternel moribond. Il me semble bien que la
force
se mesure à l’effort, se sent dans l’effort, pren
t du droit, l’instinct de justice et l’instinct de sacrifice sont des
forces
, comme je dis, et non pas des faiblesses, comme v
us avez raison au fond, mais en vous trompant sur la définition de la
force
. Pour moi, la force, c’est précisément l’idée de
nd, mais en vous trompant sur la définition de la force. Pour moi, la
force
, c’est précisément l’idée de justice assez vive p
sez vive pour devenir la passion de la justice. C’est cela qui est la
force
d’un homme et la force d’un État. J’identifie la
a passion de la justice. C’est cela qui est la force d’un homme et la
force
d’un État. J’identifie la force et la justice, et
ela qui est la force d’un homme et la force d’un État. J’identifie la
force
et la justice, et à cette condition on me fera tr
en dire que tous les droits et toutes les autorités doivent être à la
force
. Si l’on préfère, et pour moi ce sera tout à fait
et pour moi ce sera tout à fait la même chose, je vois séparément la
force
et la justice ; seulement j’estime que la force,
je vois séparément la force et la justice ; seulement j’estime que la
force
, tant qu’elle ne s’unit pas à la justice, n’est p
que la force, tant qu’elle ne s’unit pas à la justice, n’est pas une
force
, et même est une faiblesse et une impuissance ; e
impuissance ; et que, dès qu’elle se joint à la justice, elle est une
force
vraie ; et par conséquent c’est encore la justice
ne force vraie ; et par conséquent c’est encore la justice qui est la
force
, puisqu’elle est la vertu d’efficacité de la forc
justice qui est la force, puisqu’elle est la vertu d’efficacité de la
force
elle-même. Vous justifiez la force et vous dites
le est la vertu d’efficacité de la force elle-même. Vous justifiez la
force
et vous dites que je voudrais fortifier la justic
cela tout à fait. Ce qu’il faut dire, c’est ceci : Vous justifiez la
force
et moi je ne songe pas à fortifier la justice ; m
fier la justice ; mais j’affirme que c’est la justice qui fortifie la
force
. Il en résulte une parfaite identité entre la for
e qui fortifie la force. Il en résulte une parfaite identité entre la
force
et la justice, puisque la force sans la justice e
ésulte une parfaite identité entre la force et la justice, puisque la
force
sans la justice est une impuissance. Voilà ce que
n exacte et formelle de la théorie de Calliclès. Si le droit est à la
force
, il est au nombre. Il n’y a pas de théorie plus p
core à présent la foule, quoique étant le nombre et par conséquent la
force
, s’est laissée conduire et même opprimer par « le
alliclès, de ce moment même elle en a le droit, parce qu’elle est une
force
qui se sent force, par conséquent une force vraie
ment même elle en a le droit, parce qu’elle est une force qui se sent
force
, par conséquent une force vraie. Auparavant elle
it, parce qu’elle est une force qui se sent force, par conséquent une
force
vraie. Auparavant elle était une force latente, e
sent force, par conséquent une force vraie. Auparavant elle était une
force
latente, et c’est dire qu’elle n’était pas une fo
t elle était une force latente, et c’est dire qu’elle n’était pas une
force
. Elle laissait dormir son droit. Ou plutôt elle n
it. Ou plutôt elle n’avait pas de droit, n’étant pas véritablement la
force
. Dès qu’elle se sent comme force, du même coup el
droit, n’étant pas véritablement la force. Dès qu’elle se sent comme
force
, du même coup elle a le droit. Elle crée son droi
quait que d’en avoir l’idée pour le posséder. Donc le droit, c’est la
force
; la force, c’est le nombre ; le nombre a raison.
’en avoir l’idée pour le posséder. Donc le droit, c’est la force ; la
force
, c’est le nombre ; le nombre a raison. Que la fou
ts il ne faut pas entendre ceux qui ont à leur disposition le plus de
force
brutale ; il faut entendre les plus distingués, l
convient : les meilleurs. » Fort bien. L’excellence est en effet une
force
. Mais de quelle excellence me parlera-t-on bien ?
s à reconnaître une chose, c’est qu’on peut accepter la théorie de la
force
, pleinement, quand on est partisan de la théorie
’homme juste ; de même nous acceptons que la cité soit dominée par la
force
, oui ; par les hommes forts, oui ; parce que les
arce que les seuls hommes forts sont les hommes justes ; parce que la
force
en choses d’organisation, de législation et d’adm
ence en pareille matière, c’est l’esprit de justice. La théorie de la
force
n’est donc point le contraire de la théorie de la
elle et s’y perd. D’où vient cela ? C’est qu’en soi la doctrine de la
force
n’est pas l’antipode de la doctrine de la justice
n fait partie. Et c’est précisément pour cela que les partisans de la
force
semblent avoir raison. Ils ont raison par-delà le
u’où ils les voient, sont la vérité. Ils ont raison en ce sens que la
force
conçue populairement, grossièrement, c’est l’anar
e conçue populairement, grossièrement, c’est l’anarchie ; mais que la
force
conçue après réflexion, vous venez de le voir, c’
s bon que le peuple vaincu, et ici nous sommes bien en présence de la
force
, moins la justice, triomphant et continuant de tr
s ce peuple sujet et mal administré, il aura une faiblesse et non une
force
, une faiblesse qui lui sera très dommageable pend
t. Il me semble donc que là même où il n’y a, je le reconnais, que la
force
qui règne, c’est à savoir dans les relations de p
des partis. Celui qui veut gouverner selon l’injustice et d’après la
force
brutale peut triompher, cela se voit tous les jou
l aurait organisé une république sur les bases de la justice et de la
force
, la force, c’est-à-dire la compétence, se confond
rganisé une république sur les bases de la justice et de la force, la
force
, c’est-à-dire la compétence, se confondant pour l
e, c’est chacun absolument libre, ou tous si unanimes — voyez bien la
force
du mot — qu’ils n’ont absolument pas besoin de li
ssif, consistera à tempérer les uns par les autres et à former de ces
forces
diverses, de ces éléments divers, si l’on préfère
coup d’œil, de la promptitude, de la souplesse, de la douceur, de la
force
et une connaissance très exacte des fils qui doiv
rs sujets et ne voient qu’avec peine en eux la vertu, la richesse, la
force
et le courage ; et surtout ils ne souffrent pas q
ous les citoyens ; il ne veut chez aucun d’eux ni richesse (c’est une
force
), ni vertu, ni courage, ni intrépidité guerrière.
rente, je suppose, ou cent : elle ne veut de richesse, de courage, de
force
et de vertu que chez ces trente ou ces cent qui s
ez ces trente ou ces cent qui sont elle-même, et elle se défie de ces
forces
et surtout d’une grande vertu guerrière, d’un Thr
grande vertu guerrière, d’un Thrasybule, dans le cas où l’une de ces
forces
apparaît en dehors des trente ou des cent personn
ratie paraît le remède, soit dans un monde où ne règne partout que la
force
brutale, et alors ces esprits simples ont relativ
prits simples ont relativement raison ; soit dans un état où règne la
force
brutale et où les esprits simples, ne sachant voi
ce, mais ne gouverne pas. Le gouvernement de Sparte est équilibré. Sa
force
est là. Car « on peut dire assez raisonnablement
manière, contraires à la perpétuité de la race et destructeurs de la
force
de la cité. Cette législation aura pour principe
pas la même chose, la chasteté en pareille affaire étant la véritable
force
, mais qui, ne le dissimulons pas, n’est pas chose
iquer la pauvreté et mépriser l’argent d’une façon absolue. C’est une
force
, et c’est ce qui montre leur force, Celui-là est
ent d’une façon absolue. C’est une force, et c’est ce qui montre leur
force
, Celui-là est un chef et reconnu pour tel, qu’on
sans pareille. Les deux vertus essentielles, et c’est-à-dire les deux
forces
essentielles d’une aristocratie, d’une élite quel
st servile ou est arrogante, et qui, quand elle est arrogante, est la
force
principale de la démocratie et pour ainsi dire la
, malgré les différences, veut parfaitement faire vivre les hommes en
force
et en beauté. Seulement il lui a semblé que c’éta
t, et en un mot que c’était dans la morale qu’étaient la beauté et la
force
; que c’était dans la morale qu’était la force, p
taient la beauté et la force ; que c’était dans la morale qu’était la
force
, puisqu’il faut beaucoup plus de force pour se va
ait dans la morale qu’était la force, puisqu’il faut beaucoup plus de
force
pour se vaincre et s’opprimer soi-même que pour v
puisque le beau est le déploiement complet, plein et satisfait d’une
force
. Cette grande idée était toute nouvelle. Il me se
Platon n’est presque qu’un Aristophane plus pur et d’une plus grande
force
de pensée abstraite. Aristophane est comme le pèr
ec un profond sentiment démocratique, celui qui consiste à croire que
force
, richesse et même talents ne sont rien du tout ou
talents ne sont rien du tout ou infiniment peu de chose auprès de la
force
morale du simple honnête homme ; et cela, c’était
r l’imagination plastique Les « Idées » de Platon, au lieu d’être les
forces
de la nature personnifiées, sont des concepts per
le génie n’est point si personnel qu’on le croit généralement, mais,
force
par lui-même, a besoin, cependant, pour s’épanoui
ngue échéance qu’il n’a peut-être pas eu. Comme a dit Bossuet avec sa
force
ordinaire, « il n’y a point de puissance humaine
fet. Le stoïcisme tout entier dériva de lui avec sa conviction que la
force
morale est la seule force qui compte et que la ri
ier dériva de lui avec sa conviction que la force morale est la seule
force
qui compte et que la richesse morale est le seul
et avec son profond mépris des puissances selon la chair et selon la
force
, et avec son idée, hautaine et vraie, que non seu
e de faire l’humanité meilleure que nous, dans toute la mesure de nos
forces
. Toute la valeur de l’homme est dans la quantité
l’avait pas. Il ne l’avait pas en sa plénitude et en son éclat et sa
force
. Non, vraiment, il ne l’avait pas. Et c’est pour
initivement que lorsque tous les hommes en seront à ne croire qu’à la
force
et à croire qu’elle est féconde et qu’elle peut f
les hommes n’agiront jamais et ne voudront jamais agir que selon leur
force
ou selon leur faiblesse. Je ne sais pas si ces te
Lucrèce.) 3. « Ne pouvant fortifier la justice, ils ont justifié la
force
. » (Pascal.) 4. Montesquieu. 5. Avec d’assez cu
à accomplis ? Théorie de Spencer. Analyse du désir et de la tendance.
Force
de l’idée. La tendance inhérente à l’appétition e
nt donc pas après coup par-dessus le plaisir ou la douleur, comme une
force
nouvelle qui interviendrait pour les satisfaire ;
béré par la dépense nerveuse préexistait sous une autre forme dans la
force
de tension, ainsi l’acte particulier et le sentim
r au dehors par des mouvements. Toute idée peut donc avoir une double
force
, 1° une force comme acte de représentation, qui f
r des mouvements. Toute idée peut donc avoir une double force, 1° une
force
comme acte de représentation, qui fait qu’elle te
un exercice d’activité intellectuelle tendant à se maintenir ; 2° une
force
comme sentiment, comme dépression ou surcroît de
totale, non plus seulement de notre activité intellectuelle. Ces deux
forces
de ridée peuvent être en opposition : une idée pe
enue comme pensée et à être supprimée comme sentiment. Quand les deux
forces
de l’idée coïncident, il y a à la fois attention
ontanée dont parle Bain, elle est toute relative : elle désigne de la
force
emmagasinée, un ensemble de forces de tension, qu
toute relative : elle désigne de la force emmagasinée, un ensemble de
forces
de tension, qui demandent nécessairement à se déc
tions vagues venues des profondeurs de l’organisme. Cette tension des
forces
emmagasinées est accompagnée, du côté mental, d’u
ercer pour s’exercer, à se décharger pour se décharger, comme fait la
force
accumulée, devient un désir conscient de sa direc
titif. Voici alors ce qui se passera. Un animal, sous l’influence des
forces
de tension accumulées dans son système nerveux, f
sous un grand poids : car s’ils pouvaient marcher en le portant leur
force
morale serait plus grande1). Les personnes qui d’
es autres. L’inflexible loi du devoir est la même pour tous, mais les
forces
morales sont purement individuelles, et la profon
tion convient également à tous. S’il y a dans la nature physique deux
forces
opposées qui font mouvoir le monde : l’Impulsion
malheurs de l’amour il n’en est qu’un, ce me semble, contre lequel la
force
de l’âme puisse se briser : c’est la mort de l’ob
e douleur, l’unique peut-être qui dépasse ce que Dieu nous a donné de
force
contre la souffrance, a pourtant été considérée p
ient au secours de celui qu’elle a frappé d’un coup plus fort que ses
forces
. Souvent alors les palmes de l’Ange de paix ombra
ividus une action poignante dont il est très difficile de diminuer la
force
: ce mot : — je suis déshonoré — trouble entièrem
t tout supporter dans ce monde, nul n’osera se confier assez dans ses
forces
pour en répondre ; il est bien peu d’êtres doués
ait de la mort même un scandale. Le Martyre apprend aux hommes quelle
force
il y a dans la conscience, puisqu’elle l’emporte
les épreuves de l’existence nous ont appris la vanité de nos propres
forces
et la toute-puissance de Dieu, il s’opère quelque
mort naturelle est adoucie presque toujours par l’affaiblissement des
forces
, et l’exaltation de la vertu nous soutient dans l
ose presque en entier de l’action et de la réaction continuelle de la
force
intérieure contre les circonstances du dehors, et
irconstances du dehors, et des circonstances extérieures contre cette
force
. Elle est la vraie mesure de la grandeur de l’hom
là-dedans, toute la dignité de l’être humain est en proportion de sa
force
, non seulement contre la mort, mais contre les in
ment contre la mort, mais contre les intérêts de l’existence. L’autre
force
, c’est-à-dire, celle qui renverse les obstacles o
nd acte de désintéressement longtemps avant que la dégradation de ses
forces
le lui rendît plus facile. Dès que vous avez atte
t ainsi qu’il faut s’armer contre la douleur. C’est ainsi que dans la
force
de l’âge même, souvent la destinée nous donne le
ent que le christianisme affaiblit l’âme pourraient bien, malgré leur
force
apparente, se plier sous la tyrannie avec plus de
me les martyrs, peuvent présenter un grand nombre d’exemples de cette
force
généreuse de l’âme auprès de laquelle l’irritatio
té cruellement altérée n’affaiblit point sa résolution, il trouva des
forces
dans ce foyer de l’âme qui est inépuisable parce
ultat de quelques sentiments sans harmonie, de quelques facultés sans
force
et d’un besoin de célébrité auquel les dons de la
es rapports de la vie ; ils ne peuvent se résoudre à vouer toutes les
forces
de leur âme aux simples vérités déjà reconnues ;
résolutions les plus extravagantes ; mais quand on peut consacrer ses
forces
à l’indépendance de sa patrie, quand on peut rena
doucement cette main, et me recueillant par la prière j’y trouvai la
force
de répondre ainsi. — Asham, lui dis-je, vous save
les anciens élevaient leur âme par la contemplation de leurs propres
forces
, les chrétiens ont un témoin et c’est devant Lui
d’un coup mortel, d’une heure fixée, n’est-elle pas au-dessus de vos
forces
? Si vous terminiez vous-même votre sort, ne sera
il semble le plus malheureux, et ce que nous sentons au-dessus de nos
forces
ne nous arrive presque jamais. L’on ne connaît d’
la nécessité de repousser une offre si indigne de moi, me rendit les
forces
que j’avais perdues. Le docteur Feckenham voulut
és dont j’avais été convaincue lorsque mon esprit était dans toute sa
force
. Il essaya de m’effrayer en me disant qu’il ne me
tianisme, mais lui-même et la plupart des anciens sont trop fiers des
forces
intellectuelles de l’esprit humain ; ils jouissen
dont vous étiez l’image sur la terre ? Mais que dis-je ? Mon âme sans
force
ne sait souhaiter par-delà le tombeau que le reto
squ’il me réunit à mon époux Il ne m’a rien demandé qui surpassât mes
forces
, et je remets sans crainte mon âme entre ses main
— Réfutation de Stuart Mill. — Tous les nombres, formes, mouvements,
forces
de la nature physique sont soumis à des lois néce
ble de moteurs : mobiles assujettis à la loi de la conservation de la
force
. III. Récapitulation des preuves inductives qui n
somme de raisons distinctes, dont l’une est l’impulsion initiale, ou
force
tangentielle, avec sa quantité dans le cas en que
quantité dans le cas en question, dont l’autre est la gravitation ou
force
centripète, avec sa quantité dans le cas en quest
il sous ses différentes formes. — Tantôt il est simple ; telle est la
force
de gravitation qui explique la chute des corps pe
tanés sont d’espèce différente ; tels sont, dans le cas précédent, la
force
tangentielle, la force centripète et la distance
férente ; tels sont, dans le cas précédent, la force tangentielle, la
force
centripète et la distance donnée de la terre au s
bre, carré, ligne droite, figure, solide géométrique, vitesse, masse,
force
, si la définition qu’on en fournit est bien faite
les grandeurs égales, la ligne droite, les parallèles, la vitesse, la
force
, la masse, et il s’est trouvé que les propriétés
me de molécules espacées et douées les unes par rapport aux autres de
forces
attractives et répulsives ; que, au fur et à mesu
et à mesure de leur rapprochement mutuel, la proportion mutuelle des
forces
répulsives et attractives change et se renverse ;
nverse ; que, pendant une première période qui est l’état gazeux, les
forces
attractives peuvent être considérées comme annulé
ttractives peuvent être considérées comme annulées par l’énormité des
forces
répulsives, ce qui explique la force de tension d
mme annulées par l’énormité des forces répulsives, ce qui explique la
force
de tension des vapeurs et des gaz ; qu’au bout de
es sont assez rapprochées, il arrive une époque d’équilibre entre les
forces
répulsives et les forces attractives, époque diff
, il arrive une époque d’équilibre entre les forces répulsives et les
forces
attractives, époque différente suivant la constit
se sont encore rapprochées davantage, il se déclare une époque où les
forces
attractives ont, non plus l’égalité, mais l’ascen
ade, les molécules groupées résistent plus ou moins énergiquement aux
forces
qui veulent les détacher du système, et, au lieu
arrivent à l’état liquide, c’est que, passé cette limite, l’excès des
forces
répulsives sur les forces attractives cesse sans
c’est que, passé cette limite, l’excès des forces répulsives sur les
forces
attractives cesse sans se renverser en sens contr
molécules, équilibre au-delà de tel degré de rapprochement entre les
forces
attractives et répulsives des molécules, tels son
distances, d’où il suit que, passé un certain degré de proximité, les
forces
attractives doivent faire équilibre aux forces ré
egré de proximité, les forces attractives doivent faire équilibre aux
forces
répulsives ; et il a fallu les inductions d’autre
e, ce qu’aujourd’hui nous ne pouvons pas faire encore, et ce qui nous
force
à les considérer provisoirement comme primitives,
s qui déterminent le sens de toutes ses actions, bref, distinguer les
forces
primordiales qui, présentes et agissantes à chaqu
, leur poids, leur distance, leur situation mutuelle, la grandeur des
forces
attractives et répulsives qui les maintiennent en
construction ainsi faite, sans nous embarrasser de savoir par quelles
forces
ils ont eux-mêmes été assemblés. Il nous suffit q
on présente de nos continents et de nos mers, par le jeu prolongé des
forces
minérales ou organiques au milieu desquelles main
géologique ; et une loi toute récente, celle de la conservation de la
force
, dérive par transformation toutes les forces actu
de la conservation de la force, dérive par transformation toutes les
forces
actuelles des forces primitives que la nébuleuse
e la force, dérive par transformation toutes les forces actuelles des
forces
primitives que la nébuleuse de Laplace enfermait
’effet précédent, ce qu’on exprime en disant que l’attraction est une
force
dont l’action n’est pas instantanée mais continue
semble, et que, si autrefois notre nébuleuse est née, c’est grâce aux
forces
de ses molécules et à l’influence d’un état antér
nombre, la ligne, la surface, le solide, le mouvement, la vitesse, la
force
existent non seulement dans l’esprit, mais encore
un mouvement, une vitesse, une masse, sitôt qu’ils sont soumis à des
forces
, c’est-à-dire à des conditions quelconques de mou
tirent pas. Mais, là-bas comme chez nous, si, par l’application d’une
force
quelconque, un corps prend, pendant un temps auss
z nous, déterminé tout entier par les grandeurs et les directions des
forces
dont il sera l’effet ; en sorte que, là-bas comme
miques, l’électricité, peut-être la gravitation elle-même, toutes les
forces
qui provoquent ces changements et provoquent le m
circuit la dépense est couverte exactement par la recette, et que la
force
finale se retrouve égale à la force initiale. — Q
ctement par la recette, et que la force finale se retrouve égale à la
force
initiale. — Que si cette admirable réduction étai
y. 120. Voir à ce sujet Helmholtz, Mémoire sur la conservation de la
force
, traduit par Pérard, p. 31, 34 et suivantes. 121
d, comme les éclairs visibles révèlent, dans les nuages, une lutte de
forces
invisibles. En outre, la théorie de Herbart est i
à la douleur physique ; mais celle-ci est entière sans celle-là44. A
force
de vouloir tout ramener à la relativité, on oubli
et la douleur, en eux-mêmes, peuvent bien présenter divers degrés de
force
, mais aucune différence de qualité. A intensité é
lui donnent une forme et une direction ; à son tour il leur donne une
force
de réalisation. Un germe de beauté n’existe pas s
la douleur sont liés, dans le système nerveux, à un dégagement de la
force
; mais ce dégagement même présuppose une force ac
à un dégagement de la force ; mais ce dégagement même présuppose une
force
accumulée, une force de tension antécédente : c’e
a force ; mais ce dégagement même présuppose une force accumulée, une
force
de tension antécédente : c’est cette force de ten
e une force accumulée, une force de tension antécédente : c’est cette
force
de tension que l’on désigne psychologiquement par
ut entière d’une passivité préalable ; la causalité, l’efficacité, la
force
du sentiment ne se comprennent pas, et on ne sait
uvons-nous nous empêcher de placer dans tous les êtres, même dans les
forces
les plus aveugles de la nature, une certaine acti
oir pénétré l’énigme de la communication du mouvement, l’énigme de la
force
motrice et de la résistance, en un mot de l’être
héorie pessimiste : c’est que la peine a, en général, une plus grande
force
que le plaisir pour mouvoir l’activité, pour lui
le désir nous attire en avant. On peut donc dire que la peine est une
force
et l’appeler même vis a tergo ; le plaisir est au
st une force et l’appeler même vis a tergo ; le plaisir est aussi une
force
, mais attractive. Ajoutons que la peine et le pla
, de sang et d’entrailles, se débat, essaie de mordre, témoigne d’une
force
prodigieuse. Les sauvages supportent des choses q
ertie en vidant peu à peu cette idée : il conçoit donc sans peine une
force
libre d’un côté, et de l’autre une matière gouver
que tout corps persévère dans le repos ou le mouvement tant qu’aucune
force
n’intervient : et, dans les deux cas, c’est à l’i
matière, et en particulier avec le principe de la conservation de la
force
. De là deux espèces de déterminisme, deux démonst
n moi dont l’activité ne saurait être comparée à celle d’aucune autre
force
. Le déterminisme physique, sous sa forme la plus
ticulier, découle assez naturellement de la loi de conservation de la
force
. Certes, la théorie atomique de la matière reste
ints matériels dont l’univers se compose sont uniquement soumis à des
forces
attractives et répulsives, émanant de ces points
après une application rigoureuse du principe de la conservation de la
force
est assez restreinte. Car si cette loi n’influe p
der si l’extension que l’on fait du principe de la conservation de la
force
à tous les corps de la nature n’implique pas elle
e Leibnitz eut substitué à ce principe celui de la conservation de la
force
vive, on ne pouvait considérer la loi ainsi formu
général, et nerveux en particulier, ne nous révélera pas à côté de la
force
vive ou énergie cinétique dont parlait Leibnitz,
a conservation d’une même quantité de matière, d’une même quantité de
force
, tient précisément peut-être à ce que la matière
peut-on pas invoquer des présomptions en faveur de l’hypothèse d’une
force
consciente ou volonté libre, qui, soumise à l’act
une cause de gain ou de perte, comme une réalité concrète, comme une
force
à sa manière. Aussi, tandis qu’abstraction faite
jugé métaphysique, on avance que le principe de la conservation de la
force
s’appliquera à la totalité des phénomènes tant qu
née par une sympathie, une aversion ou une haine, comme par autant de
forces
qui pèsent sur elle. Ces sentiments, pourvu qu’il
libres. Mais le déterministe, même lorsqu’il s’abstient d’ériger en
forces
les émotions graves ou états profonds de l’âme, l
ils se dessinent, et que celle-ci n’a plus occasion d’en éprouver la
force
en les ressentant. Mais cette indication elle-mêm
titatif : on constatera par exemple qu’un certain sentiment a plus de
force
qu’un autre sentiment, qu’il faut en tenir plus d
re, et me représenter sous forme d’un conflit ou d’une composition de
forces
le jeu combiné de ces éléments divers. Mais deman
ns de côté l’histoire. La conscience témoigne que l’idée abstraite de
force
est celle d’effort indéterminé, celle d’un effort
t pas comme nous, nous invite précisément à faire du moi qui dure une
force
libre. C’est pourquoi toute conception claire de
œur, et sans raison plausible, d’inextricables difficultés. L’idée de
force
, qui exclut en réalité celle de détermination néc
incipe de causalité dans la nature. D’un côté, nous ne connaissons la
force
que par le témoignage de la conscience, et la con
nce, nous dirions que nous nous sentons libres, que nous percevons la
force
, à tort ou à raison, comme une libre spontanéité.
raison, comme une libre spontanéité. Mais d’autre part, cette idée de
force
, transportée dans la nature, ayant cheminé côte à
nous lui avons fait jouer dans le monde extérieur, nous apercevons la
force
comme déterminant d’une manière nécessaire les ef
déteint sur elles. Il s’est opéré comme un compromis entre l’idée de
force
et celle de détermination nécessaire. La détermin
maintenant à nos yeux la même forme que le rapport dynamique de notre
force
à l’acte qui en émane ; mais en revanche ce derni
ion humaine sortant mécaniquement, et par suite nécessairement, de la
force
qui la produit. Que cette fusion de deux idées di
ccompli dans les sciences de la nature. Le physicien pourra parler de
forces
, et même s’en représenter le mode d’action par an
s atomes étendus par des points dynamiques, traiteront les centres de
force
et les lignes de force mathématiquement, sans se
s points dynamiques, traiteront les centres de force et les lignes de
force
mathématiquement, sans se soucier de la force ell
force et les lignes de force mathématiquement, sans se soucier de la
force
elle-même, considérée comme activité ou effort. I
rement mathématique, et n’a aucune ressemblance avec le rapport de la
force
psychique à l’acte qui en émane. Le moment est ve
, quand elle est servile ? Et qui peut nier ainsi que, plus il y a de
force
raisonnée dans le commandement, et d’assentiment
gerbe ou dévore sa ration de sang des animaux, la lutte incessante de
force
brutale contre force brutale, force mesurée, non
tion de sang des animaux, la lutte incessante de force brutale contre
force
brutale, force mesurée, non à la justice divine,
s animaux, la lutte incessante de force brutale contre force brutale,
force
mesurée, non à la justice divine, mais à l’équili
at chimérique imposé au faible par le fort, ou je ne l’accepte que de
force
, c’est-à-dire par la plus vile des sujétions. Dan
tous ces instincts épars l’unité de volonté par laquelle chacun a la
force
de tous, et tous ont le droit de chacun. C’est ce
e qui consacre le commandement et qui moralise l’obéissance. Point de
force
sans droit, voilà la monarchie de Confucius. L’ar
âme universelle qui n’est qu’âme, c’est-à-dire intelligence, volonté,
force
et perfection, que le spectacle de populations pl
ans les enfants, même quand ils sont devenus, par le nombre et par la
force
, plus forts que le père et la mère ; devoir d’aut
piritualiste, d’autant plus vertueux, qu’il est volontaire, et que la
force
matérielle dans les enfants se soumet plus sainte
e la force matérielle dans les enfants se soumet plus saintement à la
force
spiritualiste dans le père. Devoir de ce premier
islative incréée, qui invente et qui sanctionne toute société par une
force
morale mille fois plus forte que la force législa
ionne toute société par une force morale mille fois plus forte que la
force
législative, la conscience, et dont toute violati
lective, ici dans des pouvoirs héréditaires, ici dans ces différentes
forces
combinées, mais toutes imposant un même devoir de
nctionne que ce qui est divin. Il n’y a point de souveraineté dans la
force
, le commandement est tyrannique et l’obéissance e
rps, par le développement des industries matérielles, des moyens, des
forces
, des découvertes qui ont la vie terrestre pour fi
ous cette législation des devoirs volontaires qu’on nomme avec raison
force
ou vertu, il n’y a ni Platon, ni J.-J. Rousseau,
multipliante, pour multiplier les adorations par les adorateurs, les
forces
par les facultés, les vertus par les œuvres, dans
ande étendue que j’ai été obligé de donner à l’Entretien précédent me
force
à restreindre celui-ci et à m’arrêter là de peur
pendant immédiatement de la divinité. Droit héroïque, ou droit de la
force
, mais de la force maîtrisée d’avance par la relig
ent de la divinité. Droit héroïque, ou droit de la force, mais de la
force
maîtrisée d’avance par la religion qui seule peut
ouvassent dans leur croyance religieuse un motif de se soumettre à la
force
, et qu’incapables encore de raison, ils jugeassen
la fortune amènerait qu’ils employaient la divination. Ce droit de la
force
est le droit d’Achille, qui place toute raison à
aire dans lequel la totalité ou la majorité des citoyens constitue la
force
légitime de la cité, soit qu’un monarque place to
ses sujets sous le niveau des mêmes lois, et qu’ayant seul en main la
force
militaire, il s’élève au-dessus des citoyens par
beau avoir une plume solide et brillante, on a beau chercher dans la
force
de son mépris le trait qui doit rester comme une
ouis XVI, que Napoléon lui-même admirait, cette femme surnaturelle de
force
et de douleur, et cependant impopulaire, à qui no
re qu’il ne craignait pas, qui ne troublait pas la bonne humeur de sa
force
, l’a travesti en je ne sais quel condottiere supe
rand artiste en histoire, et c’est exclusivement comme artiste, d’une
force
littéraire peut-être supérieure à sa force politi
ement comme artiste, d’une force littéraire peut-être supérieure à sa
force
politique, que nous avons à le juger. IX Da
rité des hommes et des idées, Granier de Cassagnac en avait mesuré la
force
; car la Vérité seule ne meurt pas de l’indignité
forts, et qui sont moins les coquetteries et les enfantillages de la
force
que ses ivresses. Ces exagérations, on pouvait le
nement de Juillet dans tout ce qui fît le hasard de sa durée et de sa
force
. Établi sur une négation, — la haine des Bourbons
raîtrait incompréhensible. L’analyse, que nous donne l’historien, des
forces
négatives qui ne constituèrent jamais au gouverne
négatives qui ne constituèrent jamais au gouvernement de Juillet une
force
réelle, est complète. On y voit toutes les classe
s Ambitions et les Intérêts se le partagent et le tirent à eux, de la
force
de tous leurs chevaux. Et le soir de ces journées
une supériorité indéniable. Méthode, arguments, abondance de notions,
force
de logique et d’induction, clarté d’exposition re
lui, à faire son cocon de linguiste. Cela lui donne certainement une
force
que je sens très bien, quand il me tient, comme u
e deux colonnes de verbes ou de substantifs qu’il compare. Mais cette
force
, que je sens très bien lorsque je lis son livre,
ue les preuves tirées des mâles et simples notions du bon sens, de la
force
des choses et de l’histoire. L’historien est plus
comme un bloc, quoi qu’il pèse. C’est enfin l’ensemble de toutes les
forces
dont il était la résultante, que j’ai le dessein
ont il était la résultante, que j’ai le dessein de montrer dans cette
Force
qui fut Granier de Cassagnac. En effet, il était
dans cette Force qui fut Granier de Cassagnac. En effet, il était une
force
, — et ce mot abstrait et absolu qui le résume est
st le mot encore qui le caractérise le mieux, tout en le résumant. La
force
, et la force simple, spontanée, naturelle, belle
ore qui le caractérise le mieux, tout en le résumant. La force, et la
force
simple, spontanée, naturelle, belle et formidable
u journalisme de ce temps. Voulez-vous compter avec moi de combien de
forces
différentes était faite la force d’ensemble de ce
vous compter avec moi de combien de forces différentes était faite la
force
d’ensemble de ce vigoureux ? Jeune, très jeune, e
une, très jeune, et précisément parce qu’il sentait intérieurement sa
force
, et que jeune on en abuse toujours (c’est une man
les, et le fit entrer dans celle des forts, qui était la sienne. À la
force
du bon sens qui le distinguait et qu’à partir de
et qu’à partir de ce moment il ne faussa plus, Cassagnac ajoutait la
force
de caractère qui ne lui manqua jamais dans toutes
qui ne lui manqua jamais dans toutes les crises de la vie, et à cette
force
de caractère celle encore du sang-froid, que les
comme « style est tout l’homme », il devait avoir et il eut aussi la
force
du style, qui, comme l’acier, ne brille chez lui
ur et de main, il était organisé pour la bataille. Aussi fût-ce cette
force
, faite de tant d’autres, qui l’avait jeté tout d’
celui-là, encore plus que journaliste, mais qui justement avait cette
force
par laquelle il primait Cassagnac. Monarchistes t
ussent rompu avec l’Église, le principe de tous les gouvernements. Sa
force
, qui n’était pas brutale comme celle de Crétineau
rtout les ordres monastiques n’ont eu cette dévotion irraisonnée à la
force
que l’on voit aux prêtres et aux moines allemands
? Non, vous ne l’êtes plus. Vous n’êtes plus que les adorateurs de la
Force
, vous n’êtes plus que des pèlerins sans âme, agen
ments dans les classes travailleuses, et qu’il s’est rendu compte des
forces
nouvelles qui émergeaient. A ces phénomènes, il a
tielles qu’on ne changera pas. Par exemple, il existe un équilibre de
force
entre les puissances sociales, et le fort domine
e rétablit toujours ainsi. Or les forts sont ceux qui disposent de la
force
militaire ; ce sont les hobereaux, la classe séle
stice. Et contre la justice ses sarcasmes abondent. Il se soumet à la
force
, reine de la vie universelle. Seulement, la force
. Il se soumet à la force, reine de la vie universelle. Seulement, la
force
n’est plus où on la voyait ; elle est passée aux
ant dans la conscience, y ont été projetés d’un lieu inconnu, par une
force
inconnue et que la conscience ne gouverne pas. Il
toutes sortes en font foi. Elles font foi également, et avec la même
force
, soit qu’elles s’appliquent à des coupables, soit
répond un groupe de moralistes. Voici donc les hommes en proie à deux
forces
contraires qui les attirent l’une et l’autre dans
ement impossible d’imaginer une autre solution ou de prétendre que la
force
la plus faible l’emporte. Or cette nécessité ne l
la représentation d’excitations futures ou passées, selon le degré de
force
ou de faiblesse également de cette excitation imm
ne s’agit là que d’un rapport, de la faiblesse de celle-ci que de la
force
de celle-là, en sorte que parmi ceux que la moral
e : rigoureusement déterminé quant à la qualité, quant au degré de sa
force
— physique, intellectuelle et morale — par des ca
a créée. Cependant, l’illusion qui fait agir les amants avec tant de
force
se dissipe ou s’amoindrit lorsque le dessein pour
cts du corps humain ce qu’est, au regard des hommes, la divinité, une
force
intellectuelle à laquelle il est juste et raisonn
n existence meilleure le conduit à créer les sciences. Il s’empare de
forces
naturelles qui devront épargner les siennes et il
ubie par l’instinct métaphysique à mesure qu’il s’exerce avec plus de
force
et de perfection. Il faut reconnaître en effet qu
n savoir. Le Génie de la Connaissance utilise à son profit, comme une
force
de la nature, le mécontentement humain, de la mêm
humain, de la même façon que l’homme utilise à son profit ces autres
forces
naturelles, le vent, la vapeur ou le flux de l’ea
d’une fin impersonnelle à un but intéressé. Le souci de conserver sa
force
et sa santé qui se confond avec celui de prolonge
ée, se cause elle-même à l’infini, se légitime et s’engendre avec une
force
qui va toujours croissant. Il n’est pas permis de
u’elle guérit, c’est-à-dire qu’elle ralentit l’action destructive des
forces
naturelles, a pour effet de changer des maladies
qu’il tend vers cette fin égoïste toute son énergie, il développe une
force
qui est utilisée pour une fin étrangère.
ères d’être pour se soumettre à celles d’un groupe étranger, c’est la
force
armée. À la suite d’une invasion le vaincu subit
nérale pour comprendre quel en est le mode d’action, quelle en est la
force
persuasive. Il faut se rendre compte du mensonge
dement qui se répète, puis de conserver ou d’augmenter sa santé et sa
force
. Et c’est pourquoi afin d’accroître l’autorité de
un pouvoir de déformation, c’est-à-dire d’un pouvoir de réduction des
forces
extérieures à la loi de son propre mécanisme, ou
-même, car ce troupeau de faibles, réuni en un organisme, devient une
force
avec laquelle bientôt il faudra compter. De même
devenir les forts d’aujourd’hui et déjà l’on peut redouter que cette
force
nouvelle, devenue tyrannique, ne détermine une fo
chies, à un labeur inouï de l’humanité occidentale pour s’emparer des
forces
de la nature, à un accroissement des besoins, à u
ie, a collaboré pour fonder cette société moderne avec un faisceau de
forces
beaucoup plus puissantes et qui le contredisaient
es beaucoup plus puissantes et qui le contredisaient, avec toutes les
forces
de la vie : l’égoïsme individuel, l’amour des bie
anières d’être, de conceptions, de préjugés où se marque avec plus de
force
encore que dans la religion elle-même le caractèr
axons, leur a permis de s’unir et de se concerter pour la plus grande
force
de la nation. Elle ne va pas au-delà de ce but pr
e et le plus florissant, le frein humanitaire a été proportionné à la
force
d’impulsion de l’énergie du groupe. Ayant rempli
principe de modération imposé par la vérité étrangère va accroître la
force
d’inhibition qui contraignait l’énergie du groupe
iles qui ont le pouvoir de nous exalter et qui, suscitant toute notre
force
nous permettraient de soutenir la concurrence ave
alités diverses, des faits d’une importance secondaire ou périmée. La
force
des choses et la logique de l’instinct contraigne
semble même que le danger qu’il présenté ait été dénoncé avec trop de
force
, que l’on se soit mis en garde contre lui avec un
souffrance, d’affaiblissement et de trouble : car il userait toute sa
force
à accomplir des gestes auxquels son anatomie ne s
conçues en vue de satisfaire une réalité qui n’est plus la sienne. La
force
de la coutume et de la loi l’oblige à se concevoi
t toujours entraîné par la chaîne des événemens, soit qu'il manque de
force
ou d'adresse pour manier son sujet, soit parce qu
orts… On y verra éternellement revenir ces expressions merveilleuses,
forces
de l'ame, forces du génie, forces humaines, force
éternellement revenir ces expressions merveilleuses, forces de l'ame,
forces
du génie, forces humaines, forces réunies ; vaste
enir ces expressions merveilleuses, forces de l'ame, forces du génie,
forces
humaines, forces réunies ; vastes édifices, vaste
ons merveilleuses, forces de l'ame, forces du génie, forces humaines,
forces
réunies ; vastes édifices, vastes fondemens, vast
cule les vîtesses & commande aux élémens dont il s'assujettit les
forces
,….. l'art de faire mouvoir tous ces vastes corps,
s ressorts qui doivent concourir ensemble, de calculer l'activité des
forces
& le temps de l'exécution *. Lisez la Note d
de toutes ces machines immenses, observe celles qui, avec le moins de
force
, produisent les plus grands mouvemens…… Il fran
ersévéramment tenu renfermé dans les formes intellectuelles & les
forces
combinées de son style, & s'est élevé même au
en fait, l’art semble un simple jeu d’adresse, où c’est une preuve de
force
que de tricher quelquefois, de savoir leurrer les
ar cela même qu’ils sont les plus habituels, offrent au trop-plein de
force
nerveuse une pente facile et des voies d’écouleme
, une sorte de dérivatif ; c’est un emploi non nuisible du surplus de
forces
devenues libres par la pacification générale, et
u nous cause du plaisir, en employant le superflu de notre capital de
force
. Passons, avec les partisans de l’évolution, à l’
nisme, en se perfectionnant, en viendra à économiser toujours plus de
force
, comme le font nos machines ; de cette manière il
rve ; or, nous le savons, c’est l’art qui doit employer le surplus de
force
non utilisé dans la vie courante. L’art ira ainsi
. Même quand il est purement physique, il est une mise en œuvre de la
force
et de l’adresse, deux qualités essentiellement es
Au fond, ce n’est pas sans raison que la supériorité dans les jeux de
force
ou d’adresse a été de tout temps considérée comme
ontact de l’air et tout le système distributeur reprendre activité et
force
, c’est là une jouissance presque enivrante à laqu
nos occupations actuelles, et qui décharge pourtant le trop-plein de
force
nerveuse accumulée par l’émotion. C’est ainsi que
oids énorme qui pèse sur elles, ou bien il leur aurait donné assez de
force
pour porter ce poids en souriant. Dès maintenant,
timents. Le premier caractère de la beauté dans les mouvements est la
force
: nous éprouvons un plaisir esthétique à sentir n
l’ordre n’est donc pas, à vrai dire, quelque chose de distinct de la
force
même : il est simplement un moyen pour la force d
ose de distinct de la force même : il est simplement un moyen pour la
force
de se conserver aussi grande que possible en face
de que possible en face des résistances ; l’ordre est une économie de
force
. La troisième qualité du mouvement. la grâce, a é
s l’autre, est comme le schema d’un mouvement dans lequel très peu de
force
se perd, où aucun effort inutile n’est demandé à
dain de direction, quelque chose d’anguleux, une perte trop grande de
force
, l’excès dans l’effort musculaire. En somme, à ce
auté dans les mouvements paraît pouvoir se ramener à l’économie de la
force
. Si telles sont les qualités esthétiques du mouve
ue lui-même que par la recherche du but et la tension de toutes leurs
forces
vers ce but unique. Par là le caractère esthétiqu
elle se ramène à la facilité, et la facilité à la moindre dépense de
force
. — Nous répondrons que, pour juger si la force n’
la moindre dépense de force. — Nous répondrons que, pour juger si la
force
n’est pas dépensée en excès, il faut toujours sup
ui leur donne un sens pour l’intelligence en ajoutant l’harmonie à la
force
déployée. Or, qu’est-ce que la coordination des m
nt de se figurer un colosse enfilant une aiguille ; c’est qu’alors la
force
déployée dépasse trop le mince résultat, elle s’u
uté des mouvements ne peut pas se définir simplement l’économie de la
force
. Parmi les buts que le mouvement se propose, il e
opose, il en est d’assez élevés pour qu’auprès d’eux toute dépense de
force
devienne peu de chose ; il serait même mesquin de
nsiste alors non plus dans l’économie, mais dans la prodigalité de la
force
. Lorsque nous voyons sous nos yeux s’exécuter un
mouvement n’apparaît plus seulement comme le signe et la mesure de la
force
dépensée, mais comme l’expression de la volonté e
à. On ne peut considérer les membres mus indépendamment du moteur, la
force
dépensée indépendamment de la volonté qui la dépe
ctuelle et plus morale. Le mouvement qui ne ferait que manifester une
force
brute nous laisserait froids : il pourrait nous p
laisserait presque indifférents. La première qualité du mouvement, la
force
, est en somme invisible et cachée ; quand ce mot
ctivité ou de volonté qui ne nous est connu que par la conscience. La
force
, cette première beauté, se ramène donc à un simpl
la confiance en soi, l’assurance et le courage. Il y a un point où la
force
et le courage grossier se confondent : à peine le
ou chez le sauvage, courageux dans la mesure même où il est fort. La
force
physique est de l’énergie morale en germe ; si vo
xcité à vouloir beaucoup ? Aussi l’homme a-t-il fait en général de la
force
physique le symbole expressif de la volonté puiss
en saillie. Les Samson et les Hercule sont tout ensemble des types de
force
, de courage et de bonté. La force, adorée par l’h
ule sont tout ensemble des types de force, de courage et de bonté. La
force
, adorée par l’humanité primitive, a été, non sans
la conséquence de la continuité du mouvement et de la persistance des
forces
, il est encore le signe de la persévérance du vou
nt à la grâce, elle est bien autre chose que la simple économie de la
force
, seule définition que M. Spencer en ait donnée ;
ne, conséquemment de la plus grande beauté. En général, tandis que la
force
représente dans l’expression de la vie le côté vi
t la vie la plus riche, on peut dire qu’elle consisterait à ailier la
force
et la grâce, en leur faisant exprimer tout, ensem
a beauté des sentiments eux-mêmes ? — Elle sera faite, elle aussi, de
force
, d’harmonie et de grâce, c’est-à-dire qu’elle rév
t qui aiment parfois à se réveiller un instant sans acquérir assez de
force
pour nous pousser à l’action, ces sentiments devr
ande partie constituée par un déploiement intense et harmonieux de la
force
nerveuse, où se réalise, comme dit M. Spencer, «
: ce sont là autant de moyens d’épargner, tout en la dépensant, notre
force
musculaire et nerveuse. Au sein du désordre appar
piano, pendant lesquelles l’oreille s’est reposée et a recueilli ses
forces
. Le chant diffère de la parole en ce qu’il emploi
uditives. Sous tous ces rapports, le rythme constitue une économie de
force
, et de là vient son caractère esthétique. Nous av
s dissonances s’explique lui-même par le principe de l’économie de la
force
. Ce qui rend les dissonances si désagréables, c’e
où ils rentrent dans le repos et sont en train de réunir de nouvelles
forces
pour la sensation prochaine, une onde sonore ou l
agréable de la sensation vient de ce qu’elle est une dépense vaine de
force
, un labeur sans but. En somme, la perception n’es
que des mouvements exécutés. Dans la perception nous déployons notre
force
, en harmonie ou en conflit avec les forces extéri
eption nous déployons notre force, en harmonie ou en conflit avec les
forces
extérieures : s’il y a harmonie, il y a moins de
flit avec les forces extérieures : s’il y a harmonie, il y a moins de
force
perdue : il y a par cela même sentiment d’une vie
ination et toute trace de volonté… Chez leurs dieux il n’est point de
force
luttant contre des forces, nul côté faible qui li
volonté… Chez leurs dieux il n’est point de force luttant contre des
forces
, nul côté faible qui livre passage à la vie du te
tout entiers, celles qui, en nous faisant battre le cœur avec plus de
force
, peuvent précipiter ou ralentir le cours du sang
es moyens aux fins, d’une activité cherchant à dépenser le minimum de
force
pour atteindre un but. De là résulte la beauté de
fois aux mathématiques, dans lesquelles il a déjà autrefois montré sa
force
? si un Shakespeare, ce grand psychologue, cet es
plaisir ces générations d’artistes21. De nos jours, au contraire, la
force
et la beauté du corps ne sont plus notre idéal. T
me montre une grande coquetterie ; il cherche à plaire surtout par sa
force
et sa beauté physiques, par ses vêtements et sa p
é sur sa table, les salons où la femme du monde va dépenser le peu de
force
que lui laisse son sang appauvri, toutes ces serv
aîtrait ; la lutte pour la vie est, en effet, la loi des peuples ; la
force
la plus puissante dans cette lutte est l’intellig
’intérieur de nos machines. Peut-être même viendra-t-il un jour où la
force
de la vapeur sera bien plus despotiquement gouver
gination, ce n’est guère la façon dont elle représente telle ou telle
force
de la nature. Nous songeons beaucoup moins qu’on
as de grâce : pourquoi ? est-ce parce qu’il représente à nos yeux une
force
de la nature, l’élasticité ? non, mais parce que
et un commencement de vie. Moins une machine est représentative de la
force
extérieure la fait mouvoir, plus elle a de valeur
ter toujours davantage les frottements et les dépenses inutiles de la
force
, cherche par cela même à produire la continuité e
la facilité. En somme l’idéal de l’industrie, étant l’économie de la
force
, est bien la vie ; car c’est dans la vie que la f
’économie de la force, est bien la vie ; car c’est dans la vie que la
force
est le plus épargnée, c’est là le foyer qui produ
en leur sein, et se révèlent tout à coup par un apparent miracle. Les
forces
mécaniques de la nature sont si bien transformées
u’on assistait à chacun de ses efforts et à chaque transmission de la
force
. L’imperfection mécanique d’une machine est par e
une personnification, sous une forme étrange, non plus seulement des
forces
de la nature, mais des forces sociales unifiées,
e forme étrange, non plus seulement des forces de la nature, mais des
forces
sociales unifiées, disciplinées, dirigées par un
sent pour ainsi dire en chaque phénomène. Tandis que toute mythologie
force
l’esprit à s’arrêter dans sa recherche des causes
eau : comme elle change aux yeux du savant lorsqu’il pense que, si la
force
qui réunit ses éléments était tout à coup mise en
; si la raison peut satisfaire ce besoin avec une moindre dépense de
force
nerveuse et de volonté, elle se substituera néces
nt au-dessus de lui-même. Un jour, après de longues réflexions sur la
force
et la matière, il aperçut tout d’un coup, dans un
ans une vision poétique, le monde entier « traversé par des lignes de
forces
» dont le tremblement sans fin produit la lumière
nstinctive fut la première origine de sa théorie sur l’identité de la
force
et de la matière. La science, en face de l’inconn
de confession morale (Autobiography), reconnaît que l’analyse a une «
force
dissolvante » qui produisit en lui une crise bien
plus rationnels ou plus philosophiques, sans pour cela perdre de leur
force
et de leur poésie. Le sentiment de la nature, qui
sentiment de l’amour, trop souvent factice, n’atteint aussi toute sa
force
qu’à condition de prendre, pour ainsi dire, une t
Le problème métaphysique du mal n’a été posé nulle part avec plus de
force
que dans le Caïn de Byron, — son chef-d’œuvre peu
ts qu’il veut traduire dans le langage de l’imagination, il se trouve
force
par là même de devenir froid et sans poésie. Ains
sentiel : la parole, par suite de l’excitation nerveuse, acquiert une
force
et un rythme appréciables ; un orateur, en s’écha
e, il est aussi un moyen de concentrer sur elle, sans aucune perte de
force
vive, l’intelligence de l’auditeur. En effet, un
motions, et que le rythme, au contraire, nous permet d’économiser nos
forces
« en prévoyant la dose d’attention requise pour s
fait, dans lequel on a supprimé des frottements qui dépensaient de la
force
vive. Le vers, avec la régularité de ses sons, l’
e correspondance et une dépendance mutuelle de parties ; une sorte de
force
attractive rapproche les vers les uns des autres
. Gautier, conseillait-il tout à l’heure à son apprenti poète de lire
force
catalogues de ventes, de musées, etc., et d’avoir
ndamnable parce que c’est, au point de vue scientifique, une perte de
force
pour les organes vocaux et une fatigue pour l’ore
eurs assemblages, n’y a-t-il pas une vertu intrinsèque, une espèce de
force
divine, quelque chose d’éternel comme un principe
mes d’une décourageante difficulté résolus en se jouant, des tours de
force
ou d’adresse dignes de ce temps où l’on faisait t
he, quoique imaginée d’après les principes immuables du vers ; par la
force
des choses, cette forme naquit : c’était comme le
ntiments, y accumuler pour ainsi dire plus d’émotion latente, plus de
force
nerveuse. Lorsque l’alexandrin de Boileau, avec s
Gautier, doublement fier de son habileté dans l’art des mots et de sa
force
en gymnastique, aimait à s’écrier : « Moi, je sui
ce langage, sont le plus souvent vieux comme le monde ; le poète les
force
à recevoir et à rendre nos idées modernes, et mal
regarder une danseuse, et au dedans de moi je condamnais ses tours de
force
comme autant de dislocations barbares qu’on aurai
d’autant plus de grâce qu’elle s’exécute avec une moindre dépense de
force
. » (Essai sur la grâce, traduction Bardeau.) 11.
qui vit et lutte, elle exige des membres un plus grand déploiement de
force
, puisqu’il faut alors lutter contre la pesanteur.
s antique marque un équilibre essentiellement instable entre ces deux
forces
qui tiraient à elles le langage ; avant la fin de
: Les dieux dressés — voyaient grandir — l’être effrayant, toute la
force
du mot grandir, mise en relief par le contre-temp
syllabe, est par elle-même choquante pour l’oreille. D’autres fois, à
force
d’art, le grand poète est parvenu presque à sauve
l’autre fit bientôt de même. Les membres antérieurs ayant perdu toute
force
, le paresseux se coucha lentement et mit sa tête
es se sont préalablement combinées et groupées sous l’influence de la
force
vitale, pour constituer les particules les plus t
eux flamboyants. Quand on lui présentait un bâton, il le mordait avec
force
et avec une rage silencieuse. Cette rage ne s’éte
spontanéité, nous apparaissent comme s’ils étaient tous pourvus d’une
force
intérieure qui rend les manifestations de la vie
de l’organisation. Chez l’homme et chez les animaux supérieurs, cette
force
vitale semble avoir pour résultat de soustraire l
loi de l’expérimentation chez les êtres vivants. Ils ont admis que la
force
vitale était en opposition avec les forces physic
vants. Ils ont admis que la force vitale était en opposition avec les
forces
physico-chimiques, qu’elle dominait tous les phén
ent la physiologie expérimentale, ou bien il faudrait admettre que la
force
vitale doit être étudiée suivant une méthode part
i que nous pouvons croire faussement qu’il y a dans l’être vivant une
force
vitale qui viole les lois physico-chimiques du mi
s et si multiples de l’organisme, que l’expression indéterminée d’une
force
vitale quelconque. Elles dépendent toutes au cont
mpruntées au monde minéral. On a pu croire de même à l’activité d’une
force
spéciale pour la manifestation des phénomènes de
ation d’individus semblables à lui. La vie a donc son essence dans la
force
ou plutôt dans l’idée directrice du développement
u plutôt dans l’idée directrice du développement organique ; c’est la
force
vitale ainsi comprise qui constituait la force mé
t organique ; c’est la force vitale ainsi comprise qui constituait la
force
médicatrice d’Hippocrate, la force séminale et l’
ainsi comprise qui constituait la force médicatrice d’Hippocrate, la
force
séminale et l’archeus faber de Van Helmont. Si je
ne sait, et, quelle que soit la manière dont son esprit conçoive les
forces
de la nature, vitales ou minérales, son problème
es conditions phénoménales nouvelles ; mais il ne crée rien, ni comme
force
ni comme matière. À la fin du siècle dernier, la
en quelque sorte le complément de la première, à savoir qu’en fait de
forces
rien ne se perd, ni rien ne se crée dans la natur
, variées à l’infini, ne sont que des transformations équivalentes de
forces
les unes dans les autres : Sans vouloir aborder i
ns les autres : Sans vouloir aborder ici la question de la nature des
forces
minérales et des forces vitales, qu’il me suffise
loir aborder ici la question de la nature des forces minérales et des
forces
vitales, qu’il me suffise de dire que les deux vé
, et que dans tout ce qui arriverait il n’y aurait rien de créé ni en
force
ni en matière, qu’il y aurait seulement productio
e membrane est très-colorée et gonflée par le sang, qui y afflue avec
force
. Ces deux phases circulatoires, à l’état de repos
tarder d’adopter une façon de voir analogue qui attribuait au jeu des
forces
brutes toutes les manifestations saisissables de
alinités, acidités, effervescences. Il soutient que non-seulement les
forces
chimiques sont différentes des forces qui régisse
soutient que non-seulement les forces chimiques sont différentes des
forces
qui régissent les phénomènes de la vie, mais qu’e
orps vivant au lieu de le conserver. Il faut donc, suivant Stahl, une
force
vitale qui conserve le corps contre l’action des
ant Stahl, une force vitale qui conserve le corps contre l’action des
forces
chimiques extérieures qui tendent sans cesse à l’
n premier pas dans la voie qui devait le conduire à l’animisme. Cette
force
vitale, dit-il, qui sans cesse lutte contre les f
animisme. Cette force vitale, dit-il, qui sans cesse lutte contre les
forces
physiques, agit avec intelligence, dans un dessei
ns un dessein calculé, pour la conservation de l’organisme. Or, si la
force
vitale est intelligente, pourquoi la distinguer d
fonctionnement de l’âme, c’est son acte vivifique. L’âme immortelle,
force
intelligente et raisonnable, gouverne directement
pe de la vie soit distinct de l’âme ; mais avec lui ils admettent une
force
vitale, un principe vital recteur dont l’unité do
me, d’archée, de psyché, de médiateur plastique, d’esprit recteur, de
force
vitale ou de propriétés vitales. Cette lutte, déj
étruire. Cuvier lui-même développe la même pensée, que la vie est une
force
qui résiste aux lois qui régissent la matière bru
cédé également, si elles n’avaient pas été retenues ensemble par une
force
supérieure à ces affinités, qui n’a cessé d’agir
stant de la mort. » Ces idées de contraste et d’opposition entre les
forces
vitales et les forces extérieures physico-chimiqu
es idées de contraste et d’opposition entre les forces vitales et les
forces
extérieures physico-chimiques, que nous retrouvon
es mouvements des corps célestes, avaient imaginé des puissances, des
forces
sidérales, comme les physiologistes reconnaissaie
s, des forces sidérales, comme les physiologistes reconnaissaient des
forces
et des puissances vitales. Kepler lui-même admett
ais il n’est pas nécessaire d’invoquer, pour expliquer ces faits, une
force
, une propriété vitale en contradiction avec la ph
ceptibles d’éprouver les actions perturbatrices du milieu ambiant. La
force
physique qui range les particules cristallines su
ive, n’est pas fondée. Quant à la lutte qu’ils ont supposée entre les
forces
ou les propriétés physiques et les forces ou les
’ils ont supposée entre les forces ou les propriétés physiques et les
forces
ou les propriétés vitales, elle est l’expression
arrêtés pendant trente années. L’eau n’a apporté rien autre chose, ni
force
ni principe. Comment pourrions-nous comprendre un
dée que la vie a pour essence de résister à la mort, c’est-à-dire aux
forces
physiques et chimiques, devaient croire naturelle
mettre que ce mouvement de rénovation moléculaire fût produit par les
forces
générales de la nature, et ils l’ont attribué à u
it par les forces générales de la nature, et ils l’ont attribué à une
force
vitale. Ni les uns ni les autres n’ont vu que c’é
ait précisément la destruction organique, opérée sous l’influence des
forces
physiques et chimiques générales, qui provoque le
fonctionnelle ne nous manifeste donc pas l’énergie plus grande d’une
force
vitale mystérieuse ; il nous offre simplement dan
ps d’une jeune femme, il a tort de croire avec les vitalistes que les
forces
ou les propriétés physiques et chimiques sont alo
iétés physiques et chimiques sont alors domptées ou maintenues par la
force
vitale. Au contraire, toutes les forces physiques
domptées ou maintenues par la force vitale. Au contraire, toutes les
forces
physiques sont déchaînées, l’organisme brûle et s
début même de la science : la vie est-elle due à une puissance, à une
force
particulière, ou n’est-elle qu’une modalité des f
uissance, à une force particulière, ou n’est-elle qu’une modalité des
forces
générales de la nature ? en d’autres termes, exis
a nature ? en d’autres termes, existe-t-il dans les êtres vivants une
force
spéciale qui soit distincte des forces physiques,
t-il dans les êtres vivants une force spéciale qui soit distincte des
forces
physiques, chimiques ou mécaniques ? Les vitalist
vec soin tous les phénomènes vitaux dont l’explication appartient aux
forces
physiques et chimiques, nous refoulerons le vital
s synthétiques, il est évident que ces phénomènes ne relèvent que des
forces
chimiques générales ; en les examinant successive
nsidéré isolément, chaque phénomène de l’organisme est tributaire des
forces
générales de la nature, pris dans leur succession
e la nutrition se manifestent comme si elles étaient dominées par une
force
impulsive gouvernant la matière, faisant une chim
peuvent plus aujourd’hui planer sur l’ensemble de la physiologie. La
force
évolutive de l’œuf et des cellules est donc le de
ience physiologique. En disant que la vie est l’idée directrice ou la
force
évolutive de l’être, nous exprimons simplement l’
ité comme une conception qui s’impose à lui, et il l’explique par une
force
; mais l’erreur serait de croire que cette force
l l’explique par une force ; mais l’erreur serait de croire que cette
force
métaphysique est active à la façon d’une force ph
it de croire que cette force métaphysique est active à la façon d’une
force
physique. Cette conception ne sort pas du domaine
onde physique, elle n’a pas d’effet rétroactif sur lui. En un mot, la
force
métaphysique évolutive par laquelle nous pouvons
tériser la vie est inutile à la science, parce qu’étant en dehors des
forces
physiques elle ne peut exercer aucune influence s
onception métaphysique spéciale, il n’en reste pas moins vrai que les
forces
mécaniques, physiques et chimiques sont seules le
éder, faussement persuadé alors que les passions sont la mesure de la
force
et de l’énergie. Ceux qui ne l’ont connu que dans
tard, il finira par les résoudre dans le sens favorable à l’âme, à sa
force
active, et encore en supposant cette force aidée
ns favorable à l’âme, à sa force active, et encore en supposant cette
force
aidée et soutenue par une puissance supérieure et
, de la circonférence au centre, à tout rendre (et même au-delà) à la
force
intime et à la volonté : L’art de vivre, écrivai
ineffables ; maintenant je n’ai plus rien à attendre de ce côté ; la
force
vitale n’éprouve plus que des résistances : il fa
ns une autre sphère : Le stoïcien est seul, ou avec sa conscience de
force
propre le trompe ; le chrétien ne marche qu’en pr
it avoir trouvé ce point d’appui (arx animi), ce moi permanent, cette
force
et cette cause, il ne s’y tient pas, il le laisse
st qu’un stoïcien manqué, ou un chrétien tardif. Savant, il n’a ni la
force
d’un Fichte, ni l’audace et la trempe d’un Emerso
consiste dans le libre exercice des facultés, dans le sentiment de la
force
et de l’aisance avec lesquelles on les met en act
moi plus ou moins pénible, et je n’ai presque jamais le sentiment de
force
et d’aisance dans leur exercice. » Tout le journa
, fût-il le plus abstrait possible… Je suis toujours à l’essai de mes
forces
; je n’y compte pas, je commence et recommence sa
arrivé à la conviction du point d’appui intérieur, de l’âme et de la
force
vive, de la cause efficace qui domine tout l’être
i, se méfiant de lui-même au plus haut degré, ne s’appuie pas sur une
force
supérieure et ne se livre à aucune inspiration ;
es expressions de pensée qui se gravent, mais il a et il rend bien, à
force
d’y revenir et d’y abonder, la plénitude de son o
n. » Fort bien encore. Étant donné un fait il y a toujours une cause,
force
ou nécessité, qui le produit ; sans cela, il ne s
e faits principaux qui composent la vie d’un être sont l’effet de ses
forces
ou tendances principales. Ils sont donc le terme
i composent sa vie. Or, un fait est toujours périssable. S’il y a une
force
qui le produit, d’autres forces peuvent le détrui
est toujours périssable. S’il y a une force qui le produit, d’autres
forces
peuvent le détruire. S’il vient du dedans, il dép
S’il vient du dedans, il dépend du dehors. — Par exemple, il y a une
force
qui développe le poulet et l’organise. Trempez le
pe le poulet et l’organise. Trempez le bout de l’œuf dans l’huile, la
force
est vaincue, le développement s’arrête, l’organis
inée n’a point correspondu à sa nature. — Il y avait dans le bœuf une
force
vitale et une force reproductive ; le couteau du
spondu à sa nature. — Il y avait dans le bœuf une force vitale et une
force
reproductive ; le couteau du vétérinaire et la ma
infini de science, de sympathie et de puissance ; la supériorité des
forces
voisines, l’infinité de l’univers, l’imperfection
composent la vie d’un être sont sa destinée ; donc il y a en lui des
forces
capables de les produire : donc il y tend et ils
comme un but et un décret de Dieu. Il y voyait d’abord une œuvre des
forces
naturelles ; il y voyait ensuite l’accomplissemen
violente qui l’emprisonnait en lui-même, et habitué à considérer les
forces
comme des lois et des qualités des choses, il ne
me des lois et des qualités des choses, il ne prétendit point que les
forces
fussent des êtres, ni que l’âme fût une force. Il
rétendit point que les forces fussent des êtres, ni que l’âme fût une
force
. Il laissa les monades fleurir en Allemagne, et n
es, et définitivement infructueux ! J’ai tenté de montrer avec quelle
force
la raison philosophique, malgré tous les obstacle
t le tourmenter sans cesse ; car tendant toujours à y échapper par la
force
même de la nature, pour arrêter cette tendance, i
humanité, et rassembler dans un même foyer tout ce que la nature a de
forces
utiles, de bons sentiments, de facultés efficaces
érité est une puissance de gouvernement, et la générosité un moyen de
force
. Tels on nous peint les grands hommes de l’antiqu
s progrès, et par conséquent engager les bons esprits à diriger cette
force
irrésistible, dont la cause existe dans la nature
e, en avouant sa puissance sur mon bonheur, je n’affecterai point une
force
d’âme que démentirait chacun de mes jours. Je ne
qui n’est pas contristé par la haine, longtemps avant de retrouver la
force
qu’il faut pour la mépriser. Néanmoins cette faib
Plus l’esprit est naturel, plus il est incapable de conserver aucune
force
, quand l’appui de la conviction lui manque. L’on
dix années, lorsque entrant dans le monde plein de confiance dans ses
forces
, dans les amis qui s’offraient à vous, dans la vi
e dans une philosophie naturelle qui explique tout par un concours de
forces
physiques, dans une science historique qui expliq
ce historique qui explique tout par l’action irrésistible des grandes
forces
naturelles et sociales, dans une spéculation méta
comme dans la vie physique, tout se fait et s’explique par le jeu des
forces
naturelles. Pourquoi le nier ? Dans ce débat entr
es idées, des actes instinctifs ou volontaires ? D’où lui vient cette
force
créatrice ? Comment est-il ce puissant et ardent
l’organisme entier, mais elle prouve également la corrélation de ces
forces
diverses, corrélation en vertu de laquelle la dép
grande oxydation totale de l’organisme, et plus les unes absorbent de
force
, moins il en reste pour les autres. Telle est la
s. Telle est la formule de la corrélation de l’esprit avec les autres
forces
de la nature. Nous ne traitons point de l’esprit
; et le côté physique est lui-même pleinement en corrélation avec les
forces
physiques que l’on reconnaît dans le monde11. » E
stant tout ce qu’amène de fatigue et d’épuisement dans l’économie des
forces
organiques l’effort prolongé de la force volontai
isement dans l’économie des forces organiques l’effort prolongé de la
force
volontaire, soit pour résister à l’assaut des pas
le rétablir. Cette loi de corrélation des facultés psychiques et des
forces
organiques ne détruit point la spontanéité des pr
odiges de l’énergie psychique dans le délabrement et l’épuisement des
forces
organiques. Mais le spiritualisme le plus décidé
in dans la ruine de l’être physique, et que la loi de corrélation des
forces
finit toujours par triompher. Si de toutes ses ob
it à la correspondance, soit même à la corrélation des deux ordres de
forces
psychiques et organiques, il n’y aurait pas lieu
l par le physique en vertu de l’axione dynamique de la résultante des
forces
. En disant que certains physiologistes confondent
urs qui manifestent sa volonté, il est certain qu’il obéit, soit à la
force
des penchants, soit à l’entraînement des passions
la conscience ; on fait des mobiles et des motifs de nos actions des
forces
qui entraînent, des lois qui déterminent fataleme
organique, par la composition des molécules et par la résultante des
forces
. Ces principes élémentaires, s’agrégeant tantôt p
pour le savant. Tout n’est pas composition d’atomes ou résultante de
forces
dans l’organisation universelle. Il y a de la spo
e Bernard ne parle qu’à propos de la nature organique, que tout y est
force
, non pas volontaire et libre, mais spontanée, c’e
e une spéculation qui a pour objet de remonter aux vraies causes, aux
forces
réelles qui meuvent, animent, dirigent cette gran
1869. 11. Cours de M. Alexandre Bain : leçon sur la corrélation des
forces
considérée dans son application à la pensée, dans
ier et par chacun de leurs groupes, proportionnellement à chacune des
forces
qui y sont emmagasinées ; je subis l’action de la
t si certains effets ne se neutralisaient pas dans la composition des
forces
, je finirais par retrouver en moi-même l’action d
des sens. De là ce problème : — Quelle est, en définitive, la grande
force
qui a déterminé la formation de tels ou tels sens
de tels ou tels sens, organes de condensation et de précision ? Cette
force
, selon nous, fut l’intérêt même des êtres. Comme
nsible, y a rencontré et surmonté certaines résistances ; par là, les
forces
qui unissaient entre elles les molécules de cette
nd exactement au besoin fonctionnel, c’est-à-dire à l’utilité et à la
force
qu’en retirait l’individu dans la lutte pour la v
ent pas été faites quelques observations fortuites, comme celle de la
force
attractive ou répulsive développée par le frottem
e, nous n’aurions eu aucun pressentiment de l’électricité, « de cette
force
qui, dit Nægeli, joue un si grand rôle dans la na
es organisés, a probablement une action plus décisive qu’aucune autre
force
, de laquelle enfin nous attendons les plus import
istence, où elle assure la supériorité à certaines races et, avec une
force
supérieure, développe une jouissance supérieure.
le mouvement qu’elles supposent, les rapprochent de ce que l’on nomme
forces
. Toute sensation donne la conscience d’une intens
par la réaction qu’elle produit, le sentiment confus d’un conflit de
forces
et de mouvements ; une saveur douce, celui d’un c
de forces et de mouvements ; une saveur douce, celui d’un concours de
forces
. L’odorat révèle une action plus délicate, mais a
ifférence que j’aperçois entre l’état antérieur et l’état présent. La
force
effective attribuée à l’objet est celle dont le s
immédiatement voir une sphère. L’intensité, caractère essentiel de la
force
considérée au point de vue philosophique, est don
nce de la résistance. La résistance, ce conflit des mouvements ou des
forces
, serait donc, selon l’école anglaise, le fait qui
mouvement cérébral ; et comme, dans tout mouvement, il y a conflit de
forces
ou, si l’on veut, de mouvements antérieurs, confl
l’élément sensoriel répondant au choc, au conflit, à l’opposition de
forces
. Allons plus loin : il y a sous toutes les sensat
sensation, ils étaient dans celui de la quantité, du mouvement, de la
force
et de l’appétit, de la volonté ; ils mettaient en
e vue, nous pouvons conclure que la sensation est la révélation d’une
force
qui agit en conflit ou en concours avec les force
la révélation d’une force qui agit en conflit ou en concours avec les
forces
extérieures. La sensation n’est pas un reflet pas
sensation est un facteur efficace dans la lutte pour la vie, une des
forces
en action, au sens le plus général des forces, co
te pour la vie, une des forces en action, au sens le plus général des
forces
, considérées comme causes de changement et de mou
même de Josèphe et d’Eusèbe, et comment, si l’on voulait de gré ou de
force
tout faire rentrer en Dieu, il ne coûtait pas plu
s déclarée, dans les passions une fois émues du grand nombre, dans la
force
des choses qui a ses effets en dépit de tous les
a été suffisamment parlé ailleurs. Un pas de plus encore ; que cette
force
soit supposée émanée d’en haut, qu’elle ne soit q
ite et que brise incessamment une invisible main. Encore une fois, la
force
des choses de l’historien philosophique, laquelle
ue ces causes et ces passions avaient leurs effets et leur cours, les
forces
naturelles, physiques, physiologiques, n’étaient
amené la Révolution ni avec les passions qu’elle a soulevées, seules
forces
dont vous semblez tenir compte, il ne me serait p
hangée. » Gardons-nous toutefois d’exagérer : en n’appréciant que les
forces
morales et les circonstances historiques, M. Mign
à ceux que produit l’exertion plus ou moins facile et efficace de la
force
. Nous jouissons de notre succès intellectuel, sig
comme tous les instincts naturels, parce qu’il est, en définitive, la
force
accumulée par les succès antérieurs de l’intellig
et voulant. L’idée de l’universel, la plus haute de toutes, puise sa
force
dans notre amour même de notre individualité en t
le minimum de dépense intellectuelle : elle est donc une économie de
force
et un déploiement de puissance. Aussi ne pouvons-
proprement dit, l’autre qui est le désintéressement. L’intérêt est la
force
prédominante de l’idée du moi ; le désintéresseme
t la force prédominante de l’idée du moi ; le désintéressement est la
force
prédominante de l’idée d’autrui. Les émotions vra
esclave, un bourreau et une victime, jusqu’à ce que par les années la
force
du plus âgé devienne faiblesse, et la faiblesse d
u plus âgé devienne faiblesse, et la faiblesse du plus jeune devienne
force
et oppression, que les rôles changent, et que l’e
angent, et que l’esclavage alternatif passe de l’un à l’autre avec la
force
brutale. Voilà l’homme libre de J.-J. Rousseau da
, esclave dans son esprit, esclave dans son âme par la supériorité de
force
de tous contre un seul, par l’éducation qui lui i
es semblables par la moralité de ses lois et par la collection de ses
forces
sociales contre les violences individuelles. Mais
et de toute moralité dans l’obéissance, n’est que la contrainte et la
force
brutale, sans autorité morale, et alors l’autorit
’autorité d’une souveraineté sociale qui ne puise pas son droit et sa
force
dans la source de tout droit et de toute force, l
se pas son droit et sa force dans la source de tout droit et de toute
force
, la nature et la divinité ? « Le droit, dit-il,
e, la nature et la divinité ? « Le droit, dit-il, n’ajoute rien à la
force
», et quelques lignes plus loin il conteste le dr
à la force », et quelques lignes plus loin il conteste le droit à la
force
. Reste le hasard ; il lui répugne. Il imagine une
ment, selon moi ; cette société politique, qui multiplie en effet les
forces
de l’individu par la force collective de l’associ
été politique, qui multiplie en effet les forces de l’individu par la
force
collective de l’association de tous, a certaineme
ilité des éléments et des âmes. Il l’aurait fait naître dans toute sa
force
, dans le développement accompli de ses facultés p
vention délibérée sans langue et sans raisonnement, ni un droit de la
force
toujours contrebalancée par cent autres forces, n
ment, ni un droit de la force toujours contrebalancée par cent autres
forces
, ni une aristocratie sans corporations, sans héré
peuple dans les démocraties, le règne des soldats dans les régimes de
force
, le règne même des démagogues dans les démagogies
st égal à l’homme devant le champ ; l’enfant plus avancé en âge et en
force
est égal à l’enfant nouveau venu, dénué d’années,
âge et en force est égal à l’enfant nouveau venu, dénué d’années, de
force
, d’éducation, d’expérience de la vie ; l’enfant d
isqu’elle lui impose, proportionnellement à son intelligence et à ses
forces
, la même part de ses charges, de ses sacrifices,
ovidence par l’appel à Dieu, ou à la société sociale par l’appel à la
force
de la légalité de l’État. C’est ce qu’on a appelé
cydide nous a conservé un de ses discours, qui est remarquable par la
force
des pensées & l’énergie des expressions. Lys
ué. Il s’appliqua à réunir deux choses qui vont rarement ensemble, la
force
& les graces. En un mot Ciceron fut à Rome ce
u ; mais avec quelle grandeur, quelle noblesse, quelle fierté, quelle
force
, quel sens, Salluste & Tite-Live tracent-ils
de la Chaire, comme Massillon en a été depuis le Racine. Il porta la
force
du raisonnement dans l’art de prêcher, comme Corn
nement ; mais il a peu d’onction & même de pathétique. Il a cette
force
qui vient de la raison, du vrai mis dans tout son
pécheur au silence ; il ne lui laisse ni excuse, ni prétexte ; il le
force
à se condamner, à se mépriser lui-même, à rougir
rdaloue, ni de ceux de Massillon. On n’y trouve ni la solidité, ni la
force
du premier, ni l’onction, ni l’élégance continue
orma ses rivaux ; il leur donna l’exemple de cette solidité, de cette
force
de raison qui caractérisent ses discours. Mais si
Anselme ; mais on y souhaiteroit plus de cette chaleur & de cette
force
qui est nécessaire pour porter la vérité & la
sement saisis que remplis, une marche noble & simple, beaucoup de
force
alliée à beaucoup d’onction ; enfin cette éloquen
“J’avoue, ajoute-t’il, que mes discours ne sont pas tous d’une égale
force
, quoiqu’ils traitent tous de la même matiere ; ma
un ministre protestant retiré en Hollande. Il prêcha avec beaucoup de
force
, de génie & d’éloquence ; on ne trouve point
Né pour le sublime, il en a exprimé toute la majesté, & toute la
force
dans plusieurs endroits de ses Oraisons funèbres,
les ornemens & la pureté du style. Il y a des graces & de la
force
dans plusieurs de ses discours, mais il faut conv
ue, que ces graces ont quelquefois un air d’affectation, & que sa
force
n’est souvent qu’un ton déclamateur. L’onction &a
pendant convenir que les premiers qu’il a composés, ne sont pas de la
force
des autres ; ils annoncent à la vérité un grand t
envie qu’ont tous nos Orateurs de donner à leur style cette espêce de
force
qui trop souvent tient à la dureté. Ils affectent
, & l’union aussi rare qu’estimable de la délicatesse & de la
force
du brillant & de la solidité. Ses plaidoyers
ution, son moyen victorieux communiquant par-tout sa vigueur & sa
force
, tous les endroits de son discours paroissoient é
Cochin parlant sans avoir écrit, portoit les mouvemens à un degré de
force
& de chaleur, où peut-être n’auroit-il pu les
tres qui pensent avec la même noblesse & s’expriment avec la même
force
. §. VI. Des discours et des éloges Académiq
st ni le talent ni le génie de l’homme, et qu’il faut bien appeler la
force
de Dieu pour y comprendre quelque chose ! Publié
, — l’insuffisance de sa propre action sur la terre d’Australie et la
force
très suffisante de quelques prêtres, qui n’ont po
penseurs qui ont interrogé ardemment et longtemps un tel mystère, la
force
de Rome n’est point-là. Elle n’est pas sortie de
e mot qu’on lui prête est vrai. On ne saurait trop le répéter : cette
force
immense de fondation sociale que l’Angleterre rec
romaine ». Mais il s’est trompé : l’Église romaine ne s’imite pas. Sa
force
est incommunicable à ceux qui ne croient pas en e
force est incommunicable à ceux qui ne croient pas en elle. Or, cette
force
, il faut bien le dire aux esprits superficiels qu
faut bien le dire aux esprits superficiels qui s’y méprennent, cette
force
est dans l’institution même de ses sacrements. El
Rome envoie dans tous les coins de l’univers ! Voilà le secret de la
force
de cohésion de ce ciment romain qui relie si subi
ntérêts particuliers, et que, pour atteindre ce but, ils tournent les
forces
nationales à la ruine de leur patrie, alors il s’
l homme, comme Auguste chez les Romains, qui se rendant maître par la
force
des armes, prend pour lui tous les soins publics,
sortir d’un tel état de famille. Deux moyens se présentent seuls, la
force
et la ruse. La force ? Comment un père de famille
de famille. Deux moyens se présentent seuls, la force et la ruse. La
force
? Comment un père de famille pouvait-il soumettre
ette hypothèse, qu’on explique l’établissement de la monarchie par la
force
ou par la ruse, les fils auraient été les instrum
at populaire gouverné par une aristocratie ; plus loin, vaincu par la
force
de la vérité, il avoue, sans chercher à pallier s
l ; une portion quelconque de bonheur est un élément nécessaire de la
force
nationale, et l’adversité n’inspire du courage au
un culte ; ils pouvaient éprouver quelque sensibilité par l’amour. La
force
, la loyauté guerrière, la vérité, comme attributs
our. La force, la loyauté guerrière, la vérité, comme attributs de la
force
, étaient les seules idées qu’ils eussent jamais c
ssances de la volupté, celle de l’homme du Nord dans l’exercice de la
force
. Si quelque goût inné pour les lettres, les arts
L’intrépidité destructive fut changée en résolution inébranlable ; la
force
qui n’avait d’autre but que l’empire de la force,
on inébranlable ; la force qui n’avait d’autre but que l’empire de la
force
, fut dirigée par des principes de morale. Les err
travers toutes les folies du martyre, il resta dans quelques âmes la
force
des sacrifices, l’abnégation de l’intérêt personn
, et la distingue de celle du christianisme ; l’une est fondée sur la
force
, et l’autre sur la sympathie. L’esprit militaire,
à la connaissance de la vérité ? C’est que l’art du raisonnement, la
force
de méditation qui permet de saisir les rapports l
it à croire que, même en faisant fausse route, l’esprit acquérait des
forces
qui ont hâté ses pas dans la véritable carrière d
ze cents ans, l’état actuel des sciences et de la philosophie. Quelle
force
l’esprit humain n’a-t-il pas montrée tout à coup
itions et de demi-vérités, en quoi les poètes anciens montraient leur
force
. Rien que la réalité, mais nullement toute la réa
ssez conquérants de l’avenir par la grandeur de leur pensée et par la
force
impérissable de leur expression, pour rester, pou
… le pessimisme philosophique du xixe siècle comme le symptôme d’une
force
supérieure de la pensée, d’une bravoure plus témé
e la vie intense, l’amour de la beauté, l’amour de la beauté faite de
force
, et dire éperdument, car c’est sa manière et il e
il faut du courage et, comme condition de ce courage, un excédent de
force
; car dans la même mesure où le courage ose se po
ce ; car dans la même mesure où le courage ose se porter en avant, la
force
s’approche de la vérité. La connaissance et l’aff
end, il est amoureux de beauté et de libre vie, de beauté et de libre
force
, et il est arrivé à ce sentiment général de l’exi
é à ce sentiment général de l’existence : il faut vivre de toutes ses
forces
et créer de la beauté vivante, en soi et hors de
soi et hors de soi, par l’emploi courageux et héroïque de toutes ses
forces
. Voilà qui est bien ; mais ici il rencontre, car
sait l’optimisme, empêchait l’homme de vivre en liberté, en gaîté, en
force
, en héroïsme et en beauté. Ces obstacles, bien en
ion du vrai qui est une singulière timidité. Cet obstacle à la vie en
force
est le premier à briser, le premier dont il faut
e d’une part à la vérité, à la connaissance, d’autre part à la vie en
force
, en liberté et en beauté. Cet obstacle c’est l’ha
pensée de mes aïeux ; puisque, ce faisant, en dernière analyse il me
force
à prendre la pensée de Descartes pour dire la mie
nt aucunement à faire vivre ou à aider l’homme à vivre en liberté, en
force
et en beauté ; si elles visent à quelque chose (d
ut-être cinq. » — Il est difficile de vivre en liberté, en beauté, en
force
, et en surabondance dans ce système et dans cette
d’êtres possible dans la vie, que pour les faire vivre en beauté, en
force
et en danger ; et, du reste, le seul fait d’appel
mortalité de l’âme, les métaphysiques et les religions sont-elles des
forces
ou des faiblesses de l’humanité, des santés ou de
eligions sont nées de la terreur des hommes ignorants en présence des
forces
de la nature. C’est donc premièrement d’une faibl
et favorables ; d’autre part, qu’ils se sont avisés d’apprivoiser les
forces
hostiles par des paroles et des actes respectueux
ut au moins de se reposer sur quelque chose : « On mesure le degré de
force
de notre foi — ou plus exactement le degré de sa
nt en un certain état de faiblesse, il s’ensuit que même ses états de
force
, ses moments de santé et d’énergie lui inspirent
me pénétré de sa faiblesse recourt à Dieu ; mais l’homme étonné de sa
force
, quand il lui arrive d’en avoir, l’attribue à Die
. » Tout, donc, a poussé l’homme à la religion, et sa faiblesse et sa
force
, et sa force accidentelle en raison même de sa fa
c, a poussé l’homme à la religion, et sa faiblesse et sa force, et sa
force
accidentelle en raison même de sa faiblesse ordin
faiblesse ordinaire, et aussi sa faiblesse ordinaire, en raison de sa
force
accidentelle ; car, s’il était toujours faible, i
était toujours faible, il ne sentirait pas sa faiblesse, et c’est sa
force
accidentelle qui lui fait sentir et mesurer sa fa
très réel qu’elle suscite ; et comme, ainsi, de la faiblesse naît la
force
ou semble naître la force, la religion finit par
; et comme, ainsi, de la faiblesse naît la force ou semble naître la
force
, la religion finit par avoir sur les imaginations
finit par avoir sur les imaginations l’influence et le prestige de la
force
morale. Mais avons-nous besoin de dire que le mar
sont eux-mêmes qui se répriment, s’asservissent et, en consacrant la
force
au service des faibles, détruisent la force. — Re
sent et, en consacrant la force au service des faibles, détruisent la
force
. — Religions et métaphysiques, tous les rêves de
era des théories. Tout cela est très vain. La science peut remplir sa
force
; mais elle est radicalement et ridiculement impu
e preuve de pauvreté personnelle, d’un manque d’individualité ; et ta
force
morale pourrait avoir sa source dans ton entêteme
nommer par des noms nos instincts les plus grossiers ; quant à « leur
force
, leur flux et leur reflux, leur jeu réciproque, e
Elles peuvent l’être ; elles « peuvent détourner notre regard, notre
force
de jugement critique, nous détourner de la précau
insatiable dans la vengeance ». La communauté prend conscience de sa
force
et se réconforte ou croit se réconforter aux spec
En étant faibles pour vous. Commencez par détruire en vous toutes vos
forces
et puis soyez forts à mon service. N’ayez pas de
re que je persévère dans le mien. Annihilez-vous pour me procurer une
force
. Soyez un rien pour que de tous ces riens que vou
oyez un rien pour que de tous ces riens que vous serez se compose une
force
immense qui sera moi. » — Voilà l’impasse. L’altr
comprises, qui sont les formes mêmes de la vie, et n’affirme plus les
forces
mêmes de la vie, souffrances comprises, qui sont
s le ciel, doit être. Oui, voilà bien encore une ennemie de la vie en
force
et en beauté ; voilà bien encore un obstacle à la
vie en force et en beauté ; voilà bien encore un obstacle à la vie en
force
et en beauté ; voilà bien encore quelque chose qu
uvent immoralistes. Ils ont raison. La morale est organisée contre la
force
et contre la beauté de l’homme. Elle est une forc
rganisée contre la force et contre la beauté de l’homme. Elle est une
force
elle-même, sans doute ; mais elle est une force a
l’homme. Elle est une force elle-même, sans doute ; mais elle est une
force
affaiblissante et enlaidissante. Il faut combattr
morale de tout l’amour que l’on sent et que l’on doit sentir pour la
force
et la beauté. VIII. La théorie Arrivé à ce
maine. C’est croire que l’homme peut réaliser un idéal de liberté, de
force
libre, de beauté, de grâce, de noblesse et d’eury
bstinent à le prétendre ; mais fort et beau, et fait pour créer de la
force
et de la beauté, et de la beauté sous quoi l’on s
et de la beauté sous quoi l’on sente toujours une manifestation de la
force
, et de la force toujours soumise aux lois mystéri
sous quoi l’on sente toujours une manifestation de la force, et de la
force
toujours soumise aux lois mystérieuses, mais sent
étichisme, et il en restera toujours. La religion, devenant peu à peu
force
sociologique et bien social, est devenue chose co
itionnels, « qui enlèvent à l’homme son plus noble amour de soi et la
force
de se protéger soi-même ». Il faut à tout prix se
es. Mais les passions profondes, les passions vraies, sont toutes des
forces
excellentes et pour l’individu et pour la société
un présent nous est même, de ce fait, tombé du ciel, par exemple une
force
nouvelle, ne fût-ce même qu’une nouvelle occasion
xemple une force nouvelle, ne fût-ce même qu’une nouvelle occasion de
force
. » Ces prédicateurs de morale, s’ils sont sincère
uvrir des facultés de grande dispensatrice des douleurs. Et alors, sa
force
contraire serait peut-être découverte en même tem
l étoilé ! » Ce qu’il y a de certain, c’est que les passions sont des
forces
que l’on peut réprimer, mais non pas sans réprime
traver et paralyser les forts et les beaux, ceux qui veulent vivre en
force
et en beauté ; et que le peuple, patient et rusé,
éussi. Le peuple, aux instincts bas, ne peut vivre ni en beauté ni en
force
; il veut vivre platement, pacifiquement, sûremen
e sentant le nombre et sachant que, s’il y a union, le nombre est une
force
, la plèbe a pesé sur l’élite par son poids même e
que l’on est méprisable si on ne les a pas. Cela, ç’a été un tour de
force
et un tour d’adresse incroyables, miraculeux, vér
ir que celui de se maintenir, elle, elle qui est l’État, en santé, en
force
, en grandeur, en beauté et en capacité d’agrandis
eptions. — Dès que l’un seulement de ces instincts prend une certaine
force
dans une race d’hommes, il renverse l’ordre des v
une race d’hommes, il renverse l’ordre des valeurs. Ce n’est plus la
force
de corps et de cœur qui est estimée, c’est la tim
et étouffé de conscience, hésitant sur son droit et rougissant de sa
force
même. Ainsi armé, le Christianisme a vaincu le vi
artistes ; mais ils étaient courageux et forts, et organisés selon la
force
, et sans aucun esprit de faiblesse dans leur inst
u souvenir de ses dieux, attaché au paganisme comme à ce qui avait la
force
de son ancienne institution et de son ancienne ci
s reposait l’antiquité et qui avaient fait toute sa vertu et toute sa
force
. Et enfin la Révolution française, qui n’est qu’u
tingués et tout à fait exceptionnels, et dont rien ne peut arrêter la
force
d’ascension. De plus, le plébéianisme diminue enc
pratique la discipline ascétique pour rester maître. Le siècle de la
force
de volonté est aussi celui des passions violentes
jamais considéré la vertu autrement que comme moyen pour arriver à la
force
, à la puissance, à l’ordre. » Mais quel est le mé
souverain », et c’est cela qui « maintient la fierté, la sévérité, la
force
, la haine, la vengeance, bref tous ces traits typ
rtus privées et qui n’a aucune vertu d’État, une transformation de la
force
générale en faiblesse générale. La plèbe, en son
ianisme est la marée montante de la nullité, et la morale, qui fut sa
force
ascensionnelle, est une vertu négative et nihilis
arriver à leur but, puisque vous leur en donnez un, c’est à savoir la
force
, la grandeur et la beauté du genre humain. Et vou
ux, de temples, de musées ; cherchant toujours un but de grandeur, de
force
en expansion, de beauté en réalisation qui dépass
l y a quelque chose d’autre qui importe avant tout, l’éducation de la
force
de volonté. On institue des examens pour tout, sa
in de la tyrannie des excitations qui nous condamne à ne dépenser nos
forces
qu’en réactions et qui ne permet plus à celles-ci
chaque époque, à chaque siècle. Ce qu’il faut combattre de toutes ses
forces
, c’est l’importation de la contagion dans les par
r possible à la vie normale de l’humanité, à la vie rude, à la vie de
force
, à la vie guidée et menée par la volonté de puiss
nt autant qu’en aucun autre, s’est affirmé et déchaîné le droit de la
force
. Cela peut être mauvais sans doute ; car, sans l’
doute ; car, sans l’instinct de grandeur et de beauté, l’instinct de
force
lui-même est mauvais en ce qu’il est incomplet, e
noble, et l’amoindrissement progressif de l’homme est précisément la
force
active [mot impropre ; mettez le mouvement, l’évo
er ; mais une race ayant sa propre sphère vitale, avec un excédent de
force
pour la beauté, la bravoure, la culture, les mani
ecs encore plus que des Romains. De là tout son goût, qui est pour la
force
très simple, très nette et très claire, pour l’un
ette et très claire, pour l’union constante de la simplicité et de la
force
. L’artiste à la vérité, est pour Nietzsche un « m
ntion, quitte ensuite à la ramener au point ; mais un malade plein de
force
active et de surabondance, et qui, sans critique,
t de la méfiance que leurs auteurs ont eue à l’égard de leurs propres
forces
. Ils ont cherché des puissances alliées, des inte
s deux espèces « souhaitent que l’on prenne leur faiblesse pour de la
force
et qu’on les confonde avec les espèces véritables
que la sensiblerie), le romantisme français a été une affectation de
force
, d’audace, de mouvement, d’agitation et de fracas
té impériale. L’Empire laissait dans la littérature française, non sa
force
, mais la trépidation qui suit un arrêt brusque. L
l’avenir ; mais la première catégorie fait jaillir cette vision de la
force
de son temps et la seconde de sa faiblesse. » Cet
ement naturel d’un être qui ne donne pas à l’acte qu’il fait toute la
force
dont il dispose : « Une œuvre qui doit produire u
de santé doit être exécutée tout au plus avec les trois quarts de la
force
de son auteur. Si l’auteur a donné sa mesure extr
t, d’être compréhensible pour vous, mes amis, bien que ma vivacité me
force
, pour pouvoir m’approcher d’une chose, de m’en ap
— fine, enjouée, ironique, humoristique et, malgré sa passion pour la
force
, ennemi juré de la brutalité, qui n’est pas du to
on de l’envie, se présentent chez les hommes qui possèdent une grande
force
centrifuge, chez les hommes qui sont pris d’une s
1° si on les gouverne, si on les dirige, comme sont bonnes toutes les
forces
naturelles ou mécaniques ; 2° qu’elles sont bonne
squement ouvert entre les uns et les autres, elle paralyse les bonnes
forces
qui pourraient exister à un certain degré chez le
pourraient exister à un certain degré chez les petits et ne permet la
force
utile que chez des grands dont elle n’est pas sûr
que c’est la morale et ce n’est que la morale » ; c’est paralyser des
forces
humaines qui ont le droit d’être et qui ont leur
comprendre à la vie dangereuse, mais qu’on associe à cette vie par la
force
. Des sociétés ont vécu ainsi et ont été les plus
mieux sa volonté. S’il ne le voulait pas très précisément, par simple
force
d’inertie, par simple force de nonchalance, il fe
voulait pas très précisément, par simple force d’inertie, par simple
force
de nonchalance, il ferait que rien de tout cela n
neurs, gloire, orgueil satisfait. Qu’a à gagner le plébéien ? Rien. «
Force
coups, peu de gré, la mort à tout propos. » Pour
t la foule ne se soucie point et que la foule ne crée que quand on la
force
à la produire : ce n’est plus mon avis. Si l’élit
r une guerre de défense et même de conquêtes, en profitant soit de la
force
qu’elle a su concentrer en elle, soit de la confi
en définitive, au prix de malheurs transitoires, fera la grandeur, la
force
, la sécurité et, somme toute, le bonheur du peupl
de vérité. L’humanité doit produire de la beauté ; elle doit vivre en
force
saine et en beauté, autant qu’elle peut. Mais se
que l’éducation est très bonne, à la condition qu’elle nous donne la
force
de nous débarrasser d’elle pour nous en faire une
nt les opinions, et que toute opinion, dans un peuple assemblé, a une
force
terrible, parce que la force de chacun s’y multip
opinion, dans un peuple assemblé, a une force terrible, parce que la
force
de chacun s’y multiplie par la force de tous. Ce
une force terrible, parce que la force de chacun s’y multiplie par la
force
de tous. Ce droit, sous Constantin, passa aux min
les rangs par les vertus, devaient donner à l’éloquence un mélange de
force
et de douceur ; enfin, l’étude et la méditation d
nce dans le style et de grandeur dans les idées, quelquefois toute la
force
et toute l’impétuosité du zèle religieux, quelque
ébut il entre en matière. Il est étonné que son héros, avec si peu de
forces
, ait tenté une guerre si importante : « Assurémen
récompense ; mais on suppose que le génie, qui a le sentiment de ses
forces
, se suffit à lui-même. J’aime encore mieux pourta
luence générale des climats. Le climat n’est pas un agent simple, une
force
unique : il n’est pas seulement déterminé par le
alités, en sont autant d’éléments nouveaux, et le climat n’est que la
force
résultante de toutes ces forces. Continuellement
ts nouveaux, et le climat n’est que la force résultante de toutes ces
forces
. Continuellement en rapport et souvent en lutte a
ort et souvent en lutte avec elle, l’homme, qui n’est lui-même qu’une
force
volontaire et perfectible, peut tour à tour ou s’
termes et l’indétermination de la plupart des données surpassent les
forces
de toute analyse ; et, d’ailleurs, avoir ainsi po
e retourner et se rejeter, quand on a de la vertu (c’est-à-dire de la
force
et de la générosité), dans une voie qui soit nobl
core, en général, qu’il n’y a ni proportion, ni convenance, entre mes
forces
et mes désirs, entre ma raison et mon cœur, entre
rien savourer de tout ce qu’on lui présente, et qui n’a pas en lui la
force
de changer la disposition de ses organes et de se
mal décidé, de l’épouvanter, et enfin de m’éloigner de ce qui n’a la
force
d’être ni l’un ni l’autre. » Ce système à outranc
l ne veut en reconnaître d’estimables ; ce mélange de faiblesse et de
force
, de grandeur et de petitesse, si naturel aux homm
onseils. Mirabeau craint que Vauvenargues ne combatte en son frère la
force
et la fermeté ; Vauvenargues s’attache à distingu
tout ; j’y joins, par réflexion, un esprit souple et flexible, et la
force
de se vaincre quand cela est nécessaire : car il
ilosophe, simple, aimable parmi ses amis, et jouissant avec eux de la
force
de son âme et des vues de son esprit, mais César
Grèce, et même de celle de Rome. L’on ne mesure bien, d’ailleurs, la
force
et l’étendue de l’esprit et du cœur humains que d
jusque dans l’excès du crime, la vraie grandeur de notre âme ; là, la
force
de la nature brille au sein de la corruption ; là
asse (la terrasse du château de Vauvenargues), en courant de toute ma
force
, jusqu’à ce que la lassitude mît fin à la convuls
jet à tous les esprits ; moi, je voudrais que chacun se mesurât à ses
forces
, que l’on consultât son génie, qu’on s’étudiât à
esprit à se séparer de l’âme, au lieu de puiser en elle sa principale
force
, cet art ne place point un auteur au premier rang
u style, l’enchaînement des idées, la profondeur des sentiments et la
force
des images. On trouve, dans ce dialogue, ce que l
nie à l’imagination, loin de rien détruire, donne à tout une nouvelle
force
, et, semblable à la nature, concentre dans un mêm
illent en vous tout ce qui a vie, les tableaux animés vous donnent la
force
de suivre la chaîne des pensées et des raisonneme
ltat des sentiments honnêtes, mais il les inspire encore avec plus de
force
. La beauté noble et simple de certaines expressio
ait les motifs des actions du gouvernement, et faisait connaître avec
force
les sentiments des magistrats. Tels sont les prin
le temps, tandis que les nouveaux ont toute la fraîcheur et toute la
force
de la jeunesse. » Ce serait nuire au style franç
s à un mot nouveau, il faut qu’il ait été conduit à l’employer par la
force
même du sens ; et que loin d’avoir cherché ce gen
et des pensées élevées, éprouve une sorte de fièvre qui lui donne des
forces
nouvelles pour le talent et la vertu. L’harmonie
on gré, mal gré, dans dix volumes, — ni plus ni moins, — par la seule
force
du poignet. Certes ! nous ne contestons pas son p
orien, mais nous ne croyons pas qu’il parvienne à exécuter le tour de
force
qu’il se propose, et le volume que nous avons sou
, en sa qualité d’écrivain d’imagination, Hippolyte Castille adore la
force
et voudrait bien en avoir ! Il fait donc ce qu’il
et quelquefois il en attrape. Ce n’est pas tout à fait l’amour de la
force
qui le fait révolutionnaire, c’est même un amour
blesse, puisque c’est l’amour de l’égalité ; mais c’est l’amour de la
force
qui le range toujours, ce révolutionnaire absolu,
ançaise à la fois, ce qui, sans les passions du temps, aurait fait la
force
de son double pays et de sa double maison. Dans l
sépare, selon nous, un peu trop de la foule, toujours par amour de la
force
(c’était la foule qui était la force alors), il n
foule, toujours par amour de la force (c’était la foule qui était la
force
alors), il ne biaise pas sur le sentiment qu’ils
nts à la fois commencés et empêchés, d’où un état de tension dans les
forces
cérébrales. Il est clair que le sentiment de tend
résolution, enfin, ne peut pas ne point nous donner une impression de
force
personnelle portée au plus haut degré d’intensité
celle de notre moi tout entier. Du côté physique, il y a passage des
forces
de tension à un déploiement d’énergie et à un mou
ion nous offre un intérêt médiocre, ou que nous ne concevons pas avec
force
les motifs pour et les motifs contre, ou que les
elles les plus fortes, mais ajoutent qu’elle contribue elle-même à la
force
de ces impulsions par l’attention qu’elle leur ac
de plus, pour le physicien, que le mouvement du vent du nord avec sa
force
supérieure à celle du vent du sud. Le maintien ne
aie, à la « durée concrète », en la considérant elle-même « comme une
force
», non sans doute dans les êtres matériels et ine
mme en a toujours fait une des conditions de sa liberté. L’idée de la
force
des idées est donc, non pas la définition adéquat
n le voit, de définir l’idée de liberté : « le concept abstrait de la
force
des concepts172. » Au reste, même en réduisant l’
n appelle le retour sur soi, la concentration et la possession de ses
forces
: on « rentre en soi-même », au lieu de se laisse
r un idéal que je conçois, j’acquiers du même coup un commencement de
force
pour le réaliser. L’idée et le désir de la puissa
que subordonnée à des conditions tout extérieures. Même en ce cas, la
force
dynamométrique est augmentée par l’idée, le désir
condition de ma puissance sur moi. Du même coup, elle enlève de leur
force
à toutes les idées adverses, elle produit un effe
mment propre à développer l’instinct de résistance à l’égard de toute
force
conçue comme étrangère à notre moi. Par cela même
défini le libre arbitre « un pouvoir réel et présent, une quantité de
force
actuellement disponible, suffisante pour faire éq
a des cas où nous avons en effet conscience d’un pouvoir réel, d’une
force
disponible qui peut faire équilibre à tous les mo
llectuellement conçus, mais, d’après ce qui précède, quelle est cette
force
? Elle est double : c’est d’abord la partie sensi
Elle est double : c’est d’abord la partie sensitive de notre être, la
force
de nos inclinations subconscientes ou inconscient
tre, la force de nos inclinations subconscientes ou inconscientes, la
force
de notre caractère. On peut se déterminer contre
notre indépendance, de notre moi autonome. Nous avons toujours cette
force
disponible, cette idée à opposer aux autres idées
’autrefois, et celui d’aujourd’hui. D’où vient ce changement ? Quelle
force
l’a poussé dans la première voie ? Quelle force s
e changement ? Quelle force l’a poussé dans la première voie ? Quelle
force
supérieure l’en a détourné, et l’a engagé dans la
e et la nature ; on touche à tout, on ne doute de rien, on croit à sa
force
, on n’est point inquiété par la réflexion, on n’e
se porte et on s’élance tout entier, de tout son cœur et de toute sa
force
, à la conquête de la vérité. Quelle séduction ! C
isir que de se battre ? Combattre, c’est se donner le sentiment de sa
force
, s’animer par la résistance, jouir du danger, rou
ividus passent. On peut donc dire qu’il est leur substance. Il est la
force
qui les produit : on peut donc dire qu’il est leu
ait de Dieu non un roi et une personne, mais une loi abstraite et une
force
fatale, et qui remplace l’immortalité de l’indivi
énie moderne, qui a été au dix-septième siècle une des gloires et des
forces
de la patrie, qui a péri avec la grandeur nationa
yle touchant ou en phrases imposantes la grandeur de cette idée et la
force
de cette démonstration. Pour que Dieu distribue d
ouveraine, qui essaye d’anéantir tout ce que sa rivale a produit. Les
forces
qui gouvernent l’homme sont semblables à celles q
a dit, jusqu’à supprimer toute réalité ; mais il est limité par cette
force
incoercible du mouvement, animée d’un désir non m
réalité objective se voit donc engendrée par la lutte entre ces deux
forces
opposées : elle dure tout le temps qu’elles se dr
le se manifeste en des formes matérielles, est un compromis entre des
forces
de dissociation et d’association. Cette remarque
nc conclure que la réalité consiste en un état d’équilibre entre deux
forces
, dont l’une tend à disjoindre et à diviser sans c
’une division nouvelle les états fragmentaires déterminés déjà par la
force
adverse parmi la trame du continu. La réalité mat
conscience, de la vie et de leur rapport, avait dû s’imposer avec une
force
particulière à la réflexion d’un naturaliste qui
ose : il prétendra alors avoir anticipé sur l’expérience par la seule
force
du raisonnement, avoir embrassé par avance dans u
son action, semblable à une flèche, se décoche avec d’autant plus de
force
en avant que sa représentation était plus tendue
i le prépare, dans les deux cas la conscience nous apparaît comme une
force
qui s’insérerait dans la matière pour s’emparer d
de la matière par la conscience créatrice, un effort pour libérer, à
force
d’ingéniosité et d’invention, quelque chose qui r
, l’intelligence humaine. /Nous sommes donc autorisés à croire que la
force
qui évolue portait d’abord en elle, mais confondu
automatisme et inconscience sont la règle ; la liberté immanente à la
force
évolutive se manifeste encore, il est vrai, par l
tière vivante, c’est probable : la vie procède par insinuation, et la
force
qui entraîna la matière hors du pur mécanisme n’a
oteurs de l’activité humaine : l’amour et l’ambition. Visiblement une
force
travaille devant nous, qui cherche à se libérer d
Plus qu’elle n’a : comment définir autrement l’esprit ? et par où la
force
spirituelle, si elle existe, se distinguerait-ell
ent ? Mais il faut tenir compte des obstacles de tout genre que cette
force
rencontre sur son chemin. L’évolution de la vie,
la fois l’obstacle, l’instrument et le stimulant ; elle éprouve notre
force
, en garde l’empreinte et en appelle l’intensifica
pparaît comme une immense efflorescence d’imprévisible nouveauté ; la
force
qui l’anime semble créer avec amour, pour rien, p
évolution créatrice : chacun de nous y viendrait, par le seul jeu des
forces
naturelles, prendre place sur celui des plans mor
dée folle une érudition épouvantable ; car la science est toujours de
force
à dévorer l’absurde, et tout savant est un père H
t plus faite pour tourmenter que pour éclairer nos esprits ; elle les
force
plus à s’occuper du génie qui l’a méritée qu’à le
e tour et dans l’expression, ce dont je le loue, qui a des besoins de
force
, mais qui n’a pas la force venue, la force qu’il
, ce dont je le loue, qui a des besoins de force, mais qui n’a pas la
force
venue, la force qu’il aura plus tard, son mérite
loue, qui a des besoins de force, mais qui n’a pas la force venue, la
force
qu’il aura plus tard, son mérite n’est pas actuel
e et presque universel, et un double grand homme aussi auguste par la
force
du caractère que par la force de la pensée, le cr
double grand homme aussi auguste par la force du caractère que par la
force
de la pensée, le critique à ses premières armes a
s. Ce problème, il faut qu’elles en trouvent la solution de gré ou de
force
, car un jour, proche ou lointain, il se manifeste
assius. On l’a maintes fois constaté — jamais cependant avec assez de
force
: la romanisation de la Gaule fut rapide, univers
ine », il s’y laisse ensevelir avec son individualité, sa volonté, sa
force
. Voilà pourquoi le résultat général de la romanis
it aristocratique, et, par un rare malheur, l’aristocratie était sans
force
… Il se produira alors des faits qui semblent aujo
rgies avec une incoercible rapidité. Et à mesure qu’elle croissait en
force
, elle envahissait le monde romain, « se coulait p
’Eglise douée déjà de la prudence et de la perspicacité qui feront sa
force
à travers les siècles, bien loin de se montrer br
avaient apporté de sève barbare, de primitive énergie, d’assurance de
force
pour le futur les nouveaux conquérants, se dissou
le, ni souplesse, ni délicatesse, ni élégance. C’est le domaine de la
force
sauvage, illimitée. La vigueur physique, la toute
ré son sommeil apparent, forte et originale… Le sang germain garde sa
force
et sa pureté. » L’Allemand, l’Anglais, le Néerlan
fs, ces liens qui constituent la ressource d’énergie d’une nation, la
force
intime d’un peuple, sa possibilité de subsister e
-même, à secouer le joug fatal… Mais l’entreprise était au-dessus des
forces
humaines. Le passé était trop lourd, la tradition
amenée dans les voies anciennes de servitude, c’est qu’en réalité les
forces
lui manquent pour incarner son rêve passager, pou
culaire sentiment germanique. Il est le porte-parole du Nord. La même
force
qui s’agite en lui, traduite en paroles retentiss
qui est directement sortie de la « barbarie » possède une garantie de
force
et d’individualité, indispensable pour son existe
meurés beaucoup plus près de la nature : et c’est là ce qui fait leur
force
aujourd’hui. Nous sentons que ce qui fleurit là s
lus permis maintenant d’affirmer parmi nous l’importance vitale de la
force
, cette vertu cardinale. Cette idée nous importune
portune ; nous qui, dans les moments où nous possédions nous-mêmes la
force
, loin de la déprécier, l’exaltions… Ce qui marque
n tant que nation et de s’épanouir, qui sera l’invisible réservoir de
force
où puiseront les générations futures au fur et à
e vie se dissout, où ce corps se décompose, comment subsisteraient la
force
ethnique et la pureté d’énergie que l’on doit à l
ttes et la discussion éteinte, le moment d’agir est passé. Toutes nos
forces
se sont dépensées en mots, en idées, en projets,
es, mais par des actes. Ce qui s’incarne dans la réalité a seul de la
force
. De l’abus de parole au sophisme la distance est
rs et pauvres agisseurs ! A quelle distance de la nature, où tout est
force
, action, instinct vital, tendance à s’accroître,
e preuve de leur infériorité en fait de vigueur, d’énergie vitale, de
force
organique. Leur complexité mentale — quoique en r
ffinement cérébral, c’est l’épuisement des énergies naturelles, de la
force
vitale instinctive et des ressources de vigueur.
cerveau était presque vierge encore. Cependant où étaient la vie, la
force
et l’avenir ? De quelle côté la supériorité : du
, en caractères et en consciences, incapable de résistance, à bout de
forces
organiques, désormais impuissant. D’autre part, l
, fruste, grossier Romain, qui s’avance méthodiquement avec sa simple
force
brutale et neuve, sa pure énergie animale de peup
ût et de sa culture, peut mépriser l’homme jeune, pourvu de sa simple
force
naturelle et de son instinct de vie, sans qu’il m
rfs hypertrophiés, c’est qu’on ignore communément ce qui constitue la
force
réelle d’un peuple, sur quoi reposent ses assuran
degré d’affinement spirituel d’un peuple ne donne pas la mesure de sa
force
. Ce ne sont pas en effet les intellectuels qui co
’est la stupidité, bien plus que l’intellectualisme, qui constitue la
force
d’une nation : à condition d’entendre par ce mot
e et en est modifié. Il vit au sein de réalités et conserve par là sa
force
de création et d’action. Aussi qu’arrive-t-il ? D
inante, lorsque le principe d’où découle sa vie morale avait toute sa
force
dans le monde, et annihilée aujourd’hui que d’aut
la dernière incarnation formidable du romanisme condensant toutes ses
forces
pour étonner et renverser une dernière fois le mo
i-occidental, d’anti-moderne. Alors ce sentiment vous saisit, avec la
force
et la clarté des choses indubitables, que ce coin
, mais soutenue. Il n’y faudrait que l’intervention, au besoin, de la
force
, mais silencieusement et vigoureusement — la forc
, au besoin, de la force, mais silencieusement et vigoureusement — la
force
qui presque toujours est employée à contre-sens.
ssaire d’entretenir, dans la nation même, l’idée de la santé et de la
force
comme base nécessaire de l’existence de chacun. I
atalement à constituer un peuple nouveau, sur une base de santé et de
force
qui permettrait à la nation de fournir une nouvel
e : la reconstitution physique de la race sur une base de santé et de
force
, la création méthodique et scientifique d’un anim
réforme n’aura de fondement assuré. La conquête de la santé et de la
force
, c’est la condition primordiale de l’avenir latin
on d’après les textes latins ou français. Qu’on songe un instant à la
force
et à la fécondité d’un enseignement — à condition
nconditionnelle, à l’abri du moindre soupçon, une vérité possédant la
force
d’un axiome, c’est que si les nations du Midi ne
rruptrice, en admettant même que cette mesure affaiblit en nombre les
forces
romaines ; le péril subsisterait donc redoutable.
à l’initiative et aux ressources privées pût communiquer à l’œuvre la
force
et la vie que le seul concours de l’Etat serait i
développés pour qu’un livre existe. C’est là le cadre dans lequel la
force
réformatrice devrait se manifester. Sur cette bas
e génération silencieuse. Ceux qui parlent démesurément n’ont plus de
forces
pour l’action ou pour l’étude. Toute grande vie c
dominante de silence. Le silence, qui favorise la concentration de la
force
, c’est là une des vertus positives dont les socié
« tyran » ne fût pas jeté à bas. Je suis parfaitement conscient de la
force
de ces diverses objections. Je suis loin de pense
individus et supérieure à eux, exercée d’autorité, avec l’appui de la
force
, par un pouvoir intelligent. Et cela au bénéfice
hez nous le respect, parfois même exagéré jusqu’au servilisme — de la
force
et de la maîtrise. Alors ce vice se transformerai
e que ce sentiment de béate tolérance partout exalté. N’avoir plus la
force
de la haine — non contre les individus, mais cont
déchéance définitive. Si cette tentative de rendre au monde latin la
force
et la vie n’était vraiment qu’un rêve, c’est que
alement dépourvus, n’ayant plus pour continuer de vivre que la simple
force
mécanique d’impulsion que créent quinze siècles d
ouveront un jour en face d’une loi infrangible. C’est qu’en effet une
force
entre alors en jeu, qui est, dans le monde des or
pulation ne cessera de décroître. Nous sommes loin d’avoir en nous la
force
suffisante pour procréer des organismes nouveaux,
création, d’expansion des races jeunes ou en pleine virilité, par la
force
perpétuellement en travail sur le monde, entreron
tence de chacun de nous n’est-elle pas fondée sur le pur emploi de la
force
? N’assassinons-nous pas, pour notre subsistance
ntres apparaissent comme les foyers où s’est finalement concentrée la
force
de deux organismes décadents. Je ne parle pas de
, fuyant le sentimentalisme, recherchant surtout l’intelligence et la
force
. De ce contact elle est sortie transformée, pourv
es et conscients pourra venir à bout de la résistance, de la terrible
force
d’inertie des masses. C’est là le point capital.
retomber à la même place ou en arrière. Il semble qu’il y ait là une
force
de tradition, un poids de siècles, impossible à v
oir est absolument sans base, et qu’on doit se heurter toujours à une
force
surhumaine, qui est peut-être celle du destin ? P
ent qui n’est d’ailleurs qu’à son aube, et qui ne fera que croître en
force
, à mesure que l’écart entre la collectivité et l’
ue nous venons d’indiquer, par voie pacifique d’abord, ensuite par la
force
. Quand les colons étrangers établis en nombre sur
sque. Tournons nos regards vers la vie, là où elle a resurgi avec une
force
nouvelle. Je ne puis m’empêcher de rappeler ici u
d’espoir quand même, l’orgueil. Tous les biens qu’ils ont perdus, la
force
, la santé, la beauté, l’appétit, l’amour, jusqu’à
a certitude qu’il enfantera des sociétés qui exprimeront avec plus de
force
encore les qualités dont nous sommes pourvus et q
elle doit se retrouver partout, mais souvent contrariée par d’autres
forces
. Chaque littérature présente ainsi ses problèmes
l’historien de les discerner nettement et d’établir la résultante des
forces
contraires. Pour les littératures grecque, espagn
certaine mesure l’impression du bloc, la concision s’impose ; mais à
force
d’être concis, on risque d’être obscur. Je présen
mode de réalisation, quelques éléments essentiels de la vie, quelques
forces
dont l’action se combine en d’infinies variations
onte à changer d’opinion, à se rendre à l’évidence, à céder devant la
force
d’une date, devant la logique d’un raisonnement ;
ficultés inhérentes à la réalité (par exemple la contiguïté) sont une
force
normale, à comprendre dans les données du problèm
e force normale, à comprendre dans les données du problème ; si cette
force
n’existait pas, nous serions dans la pensée pure,
ersonnelle. Pourquoi le nier ? Cherchons l’objectivité, de toutes nos
forces
, mais sachons bien aussi qu’on n’y atteint jamais
dans l’évolution d’un principe. La jeunesse, par l’exubérance de ses
forces
et la naïveté de ses espoirs, est lyrique ; la vi
sont pas la tempête. Tant que le principe subsiste, il a pour lui la
force
de son développement logique, et, de plus, la for
il a pour lui la force de son développement logique, et, de plus, la
force
acquise, c’est-à-dire les habitudes et le consent
lles que soient les lois générales qui dominent avec plus ou moins de
force
les évolutions individuelles, il y a d’homme à ho
»). Ne voit-on pas dès lors que ce désir du mieux est précisément la
force
qui crée, qui réalise et qui épuise les principes
, qui réalise et qui épuise les principes, l’un après l’autre ? et la
force
aussi qui élargit les groupes, de la famille à l’
n’y a pas de création sans forme. L’affirmation peut sembler naïve, à
force
d’évidence ; et pourtant combien de gens qui se c
rer de là l’existence d’une liaison nécessaire, d’un pouvoir et d’une
force
, d’une cause enfin, c’est mal raisonner, c’est tr
t l’un détermine fatalement l’autre, absolument comme dans le jeu des
forces
naturelles. L’école expérimentale fait du problèm
ommun conçoit toujours nécessairement l’existence de quelque cause ou
force
productrice qui fait commencer les phénomènes, s’
elle. Vainement donc on se flatte d’éliminer cette inconnue, cause ou
force
, qui subsiste toujours dans l’intimité de la pens
ui a donné de précieux résultats ; mais ce sera toujours l’invincible
force
et l’immortel honneur de l’école dont il est le p
e elle-même à titre de personne ou de moi par l’exercice actuel de sa
force
propre et constitutive, et seulement autant que c
iens de la nécessité ou du fatum, et indépendant de toutes les autres
forces
de la nature extérieure. C’est ainsi que, sans so
ence, que Maine de Biran, sans renouveler l’hypothèse scolastique des
forces
occultes, parle constamment, dans ses belles anal
des forces occultes, parle constamment, dans ses belles analyses, de
force
, de cause, d’effort, de tendance, tous mots vides
icieusement un philosophe : « Dans ce que nous appelons, par exemple,
force
d’attraction, d’affinité, ou même d’impulsion, la
rits conçoivent comme ajouté à la représentation phénoménale27. » La
force
qui tend au mouvement, voilà, en effet, ce que ni
ent que des lois ; et quand elles emploient les termes de cause et de
force
, c’est uniquement pour exprimer des abstractions,
finition de l’être par Leibniz : tout être, esprit ou nature, est une
force
qui aspire au mouvement. Alors on entend la défin
i aspire au mouvement. Alors on entend la définition de l’homme : une
force
qui tend au mouvement libre. C’est donc à cette p
définir en tout et partout l’être des choses, en rendant aux mots de
force
et de cause, de spontanéité, de liberté, le sens
ainsi éclairées, le sentiment des attributs qui nous distinguent des
forces
de la nature. Psychologie de la conscience, psych
la nature de l’homme que la méditation ; et pour consacrer toutes les
forces
de sa pensée à la recherche des vérités philosoph
r aux facultés naturelles l’usage et le développement de toutes leurs
forces
: il en est ainsi, sans doute, dans les commencem
épublicaine, lorsqu’elle prendrait enfin son véritable caractère ? La
force
de l’esprit ne se développe tout entière qu’en at
pable du moindre emploi qui exige des connaissances positives, ou qui
force
à rendre les idées applicables. Une vanité démesu
ues ; il s’associerait quelques vils talents, chargés de commenter la
force
, quelques hommes qui se diraient penseurs pour s’
chefs n’offrent pas la double garantie du courage et des lumières, la
force
ignorante ou l’adresse perfide précipitent tôt ou
, seule récompense, seule illusion dont la vertu même n’ait jamais la
force
de se détacher. Et César, et Cromwell, pensez-vou
n à craindre de la raison, et les esprits philosophiques fondent leur
force
sur leurs pareils. Après avoir examiné les divers
nalité. Cette conséquence, que nous tâcherons de faire ressortir avec
force
, n’a point échappé à Lerminier, esprit sagace, qu
ofond dans l’être des peuples, ce sont nos instincts et nos mœurs. La
force
parvenant à produire l’harmonie et les effets de
de tout moderne chez lequel le sentiment moral n’aura pas été tué. La
force
! oui, voilà la Grèce ! La force y fait tout : l’
ntiment moral n’aura pas été tué. La force ! oui, voilà la Grèce ! La
force
y fait tout : l’État et la famille ; une force de
i, voilà la Grèce ! La force y fait tout : l’État et la famille ; une
force
de brigands, qui se changent peu à peu et se drap
législateurs et en sages, mais qui, même alors, n’en est pas moins la
force
des brigands de caverne, lesquels ont laissé leur
llé qui la captive, explique la seule supériorité qu’ils eurent, leur
force
incomparable dans les arts, et surtout dans les a
ntrairement à la mer qui se gonfle pour atteindre tout son niveau, la
force
, en montant dans l’homme, l’apaise et détend sa p
laissent le plus dans l’esprit le sentiment de son élévation et de sa
force
. Tous les objets dont on s’y occupe sont grands,
s’éclipsant ; la manœuvre, qui, par le calcul des résistances et des
forces
, apprend à marcher sur les mers ; la science des
; le génie qui sert dans les combats ; la mécanique qui multiplie les
forces
par le mouvement, et les arts par l’industrie, et
rit de discussion et d’une sage lenteur ; celui-ci a le secret de ses
forces
, et marche avec audace ; celui-là, pour affermir
que tous un régime pour la pensée, ménager avec économie toutes leurs
forces
, et quelques pas même, par la vie la plus austère
e, la finesse et la grâce y dominent, comme on sait, bien plus que la
force
; il n’est point éloquent, ne doit et ne veut poi
d pas, dont la clarté fait le développement, et dont la parure est la
force
; et quelquefois l’art de saisir le ridicule et d
rai. Ce mélange d’imagination et de philosophie, de sensibilité et de
force
, ces expressions, tantôt si énergiques et tantôt
ers se rattache à une autre question de haute importance, celle de la
force
des choses en temps de révolution. Sans doute, en
oment faire intervenir dans les événements auxquels il prend part une
force
nouvelle, imprévue, variable, qui dans beaucoup d
ne de ses récits, et les pénétrer, les vivifier tout entiers de cette
force
des choses, qui n’est après tout que la force des
r tout entiers de cette force des choses, qui n’est après tout que la
force
des hommes ? N’est-il pas vrai qu’il lui sera pos
berté morale presque annulée. Dès lors, qu’on ne s’en étonne pas, les
forces
humaines, égarées de leur sphère, se manifestent
manifestent sous des formes inaccoutumées, et semblent emprunter aux
forces
physiques quelques-uns de leurs caractères : comm
in du talent le plus élevé, résolut d’arracher, dans la mesure de ses
forces
, Christophe Colomb à la destinée de silence et d’
urs que la Critique a pour devoir de pousser aux astres, s’ils ont la
force
d’y monter. Admirateur et serviteur de Christophe
ns, s’attendait et s’impatientait, accumulant et ramassant en lui des
forces
à faire le plus formidable des journalistes, fut
orces à faire le plus formidable des journalistes, fut étouffé par la
force
lâche du silence des journaux, et des journaux su
oublié par Bossuet, cette aperception suraiguë dans le regard, cette
force
dans la conception d’un ensemble, cette profondeu
epuis longtemps de toute la longueur de sa pensée, la placidité de la
force
et la tempérance de la sagesse. Et le style de ce
té alors légalement établie par l’Assemblée dans son droit et dans sa
force
, aurait été tout autre que la république qui fut
mai. Les Girondins, arrivés purs au pouvoir, auraient eu bien plus de
force
pour combattre la démagogie. La république, insti
ouloir, pour leur demander des nouvelles du château, des Suisses, des
forces
qui leur restaient, de la situation des personnes
brilla sur son front comme un autre diadème. Elle recueillit toute sa
force
pour s’élever, par le mépris des coups, au-dessus
s dans le jugement à mort du roi ! Ils auraient laissé la plus grande
force
d’un parti républicain à la postérité, une mémoir
debout avant le jour ; il donna le commandement général de toutes les
forces
que nous avons énumérées au général ministre de l
istre de la guerre, pour qu’un déploiement imposant et soudain de ces
forces
décourageât alors tout ce petit groupe de factieu
ce petit groupe de factieux sans chefs. Il ne s’en fia pas même à ces
forces
: il sonna le tocsin du salut public, et il appel
pel dans les départements. Il y eut lenteur dans les déploiements des
forces
défensives militaires. À peine une vingtaine de m
et la vérité, c’est que le gouvernement était armé jusqu’à l’excès de
forces
; qu’il était debout avant l’heure de la sédition
ppé de son sang-froid et de sa lucidité dans l’action, pressentit une
force
dans cette jeunesse, et résolut de se l’attacher.
figure, vue de loin et éclairée d’en haut, avait de l’éclat et de la
force
, mais du désordre. Tous les traits divergeaient c
refusent à pallier ce crime sur le nom de Danton pour se ménager une
force
« Non, s’écrie l’intrépide Guadet en se retirant
pas un vain mot parmi les hommes. Elle est un instinct qui avertit la
force
d’amollir sa main à la proportion de la faiblesse
s qui oseraient le prétendre, car ils voudraient les déshonorer. Leur
force
même leur commande plus de générosité qu’à leurs
vengeance des trônes, et donnait ainsi cruellement à la république la
force
convulsive des nations : la force du désespoir. L
insi cruellement à la république la force convulsive des nations : la
force
du désespoir. L’Europe l’entendit ; la France rép
ial ils apportent satisfaction. C’est ainsi que Comte ramène toute la
force
progressive de l’espèce humaine à cette tendance
si, du moins, on les trouve utiles. Mais puisque chacun d’eux est une
force
et qui domine la nôtre, puisqu’il a une nature qu
ner l’être, d’en avoir le désir ni la volonté. Encore faut-il que des
forces
capables de produire cette force déterminée, que
la volonté. Encore faut-il que des forces capables de produire cette
force
déterminée, que des natures capables de produire
tile, il ait perdu toute utilité en continuant à exister par la seule
force
de l’habitude. Il y a, en effet encore plus de su
uer ni se modifier par cela seul que nous le jugeons utile. C’est une
force
qui a sa nature propre ; pour que cette nature so
De la religion ? On y voit un produit des impressions que les grandes
forces
de la nature ou certaines personnalités éminentes
nature différente de la nôtre puisqu’ils ne pénètrent en nous que de
force
ou, tout au moins, en pesant sur nous d’un poids
se socialement, le domine à ce point, c’est qu’elle est un produit de
forces
qui le dépassent et dont il ne saurait, par consé
îme, par exemple, entre les sentiments que l’homme éprouve en face de
forces
supérieures à la sienne et l’institution religieu
la mettre en branle. Ils sont la matière à laquelle s’appliquent les
forces
vives de la société, mais ils ne dégagent par eux
forces vives de la société, mais ils ne dégagent par eux-mêmes aucune
force
vive. Reste donc, comme facteur actif, le milieu
circonstances sont anormales. En principe, il n’y a qu’à laisser les
forces
individuelles se développer en liberté pour qu’el
le est simplement due à ce que l’individu se trouve en présence d’une
force
qui le domine et devant laquelle il s’incline ; m
’une force qui le domine et devant laquelle il s’incline ; mais cette
force
est naturelle. Elle ne dérive pas d’un arrangemen
s de certains faits socio-psychiques. Ainsi, un fonctionnaire est une
force
sociale, mais c’est en même temps un individu. Il
llectifs dont ils sont l’objet, une autorité qui est, elle aussi, une
force
sociale, et qu’ils peuvent mettre, dans une certa
malement et nous verrons bientôt la Littérature régénérée prendre une
force
et une ampleur nouvelles — qu’elle n’a peut-être
ù beaucoup succombent des coups reçus ou de la trop grande dépense de
forces
. Lutter pour vivre n’est pas vivre. Pour cette ra
a bonté doivent être recherchées et appliquées ici-bas, de toutes nos
forces
, alors qu’autrefois les récompenses célestes deva
issait du matériel. Avec cette foi religieuse nouvelle — accordée par
force
, mais accordée tout de même — la vie présente dev
l’univers la totalité des choses s’exerce continuellement. Toutes les
forces
y sont en activité. Tout se touche. La vie attire
de, lequel du moins vit pour vivre et réagit suffisamment de la seule
force
de ses mollécules. Il est vrai que la société s’e
ls. La même vie est en chacun de nous, qui nous commande avec la même
force
de la vivre. Le faible le veut autant que le fort
oint à la vie organique, elle ne doit point se cristalliser selon les
forces
de la nature incluses dans tout corps, car son mo
du poids de sa banqueroute chacun de ses participants. Pour elles les
forces
matérielles ne valent rien, sont l’ennemi. Le sys
té s’est agrégée sans doute, dans laquelle tous les hommes entrent de
force
du seul fait de leur naissance, sans consentement
le corps, cet univers gravite. Où l’esprit n’a pas apparu règnent les
forces
passionnelles : dans les individus, au sein de le
es en société forment des sortes de monstrueux êtres anonymes que des
forces
aveugles régissent avec fatalité. Ces forces anth
x êtres anonymes que des forces aveugles régissent avec fatalité. Ces
forces
anthropiques, comme les forces de l’inanimé, n’on
aveugles régissent avec fatalité. Ces forces anthropiques, comme les
forces
de l’inanimé, n’ont point de figure. On n’en conn
de s’y sacrifier à l’occasion, c’est le résultat plus vaste des deux
forces
précédentes mises au service de l’égoïsme d’un se
fait la nation, a créé la nationalité à son profit : émanation de la
force
d’identité. L’instinct, la possession : force de
rofit : émanation de la force d’identité. L’instinct, la possession :
force
de la force ; la jouissance physique : exagératio
ation de la force d’identité. L’instinct, la possession : force de la
force
; la jouissance physique : exagération de la forc
sion : force de la force ; la jouissance physique : exagération de la
force
de vivre incluse en nous et débordant de son cadr
de son cadre. Dans l’humanité, comme dans le chaos du monde, c’est la
Force
qui règne et qui précisément fait que tout y est
l’esprit et combien ils ressemblent peu aux causes spirituelles. Les
forces
ne doivent plus nous régir. Tout, dans l’univers,
me intelligent, maître par l’Idée, par sa science, son invention, des
forces
de la nature, cet homme dont la suprématie sur le
ssé, d’être transitoires, engendrés par le hasard et conduits par les
forces
aveugles de la barbarie originelle, nous apparais
communisme où versera Condorcet et que Babeuf exprimera avec plus de
force
et de clarté dans Le Tribun du peuple. Le rationa
n leurs instincts originels, qu’à abuser de leur pouvoir nouveau. Les
forces
matérielles enfermées en eux, trouvant le champ l
autre. L’argent, la carrière publique se substituaient au blason. Les
forces
, on les écouta plutôt que la raison — et des mali
n’en découle-t-il pas qu’elle impose encore et toujours, avec plus de
force
, sa même obligation, et que les écrivains de l’he
reproche de monstruosité, et la différencie de la méthode amorale des
forces
. Cette antinomie circonstancielle ne peut durer.
crets, mais ceux-là ne peuvent pas être comparés aux enfantements des
forces
. Tandis que ces derniers composent l’ordre premie
que ; ces dogmes, ces croyances, dont la formule apparaît au net : la
force
prime le droit, sont définitivement abolis. L’agr
qu’ils ont constitué subsiste encore, malgré leur écroulement, par la
force
de l’habitude et parce que tant d’hommes ne peuve
e pas, dont l’histoire ne nous a rien transmis, et pour cause, où les
forces
seules régnaient d’homme à homme et dans lequel i
le peuple et la différence est considérable. C’est la Révolution des
forces
qui continue et qui l’emporte encore sur celle de
que soi y a péri avec eux. Qu’un autre art, s’élève jeune et plein de
force
, radieux et puissant. Qu’une Littérature le parle
s-le joyeusement. Janvier-Février 1908. 1. J. Antoine Nau, La
Force
ennemie. 2. Adolphe Retté, Mercure de France du
d’autres libertés, s’organise en une petite collection, en une petite
force
sociale indépendante, et, dès lors, n’est plus se
ndépendante, et, dès lors, n’est plus seulement une liberté, mais une
force
, une supériorité par conséquent, ce dont la démoc
putent le terrain, très forts tous les deux, puisqu’ils puisent leurs
forces
aux mêmes sources profondes et lointaines ; et ce
itesse la démocratie qui s’avance, et, pour le jour où elle aura pris
force
, lui avoir opposé d’autres obstacles que la simpl
ratie, nous pouvons profiter. — La religion n’existe plus à l’état de
force
sociale ; l’instinct religieux individuel, ici et
artie. Acquérir de très bonne heure le savoir traditionnel qui est la
force
de cette caste, s’inculquer les rites, les formul
lle. Un État est un organisme, et, comme tout organisme, il vit d’une
force
puisée dans un passé lointain qu’il ne connaît pa
nt, du fond du cœur, on n’obéit activement qu’au mystérieux, qu’à des
forces
obscures et puissantes, mœurs, coutumes, préjugés
t à sa puissance d’exercer son droit ; il était affaiblissement de la
force
intérieure et centrale, abolition ou exténuation
e mystérieux, mais rien de complexe, la réduisant à une collection de
forces
simples (trente millions d’hommes sans ancêtres,
te société un élément générateur, un peu chaotique, qui n’a en lui ni
force
organisée, ni science, ni traditions : c’est tout
apables de transmettre ce mouvement dans un certain sens. Ce sont des
forces
sociales. Sans elles rien ne marcherait. Elles pr
leur donner des droits, — elles les ont, et un droit, n’étant qu’une
force
qui s’exerce régulièrement, ne se donne point ; —
ïsmes collectifs. Et ce ne sont pas des éléments sociaux, ce sont des
forces
séparatistes. Ce sont, non des manières de partic
es grands sont les interprètes de cette pensée ; la monarchie est une
force
intérieure qui va du centre aux extrémités par le
n vue d’un bien universel, dont le bénéfice leur revient en nouvelles
forces
, qu’elles reversent dans la circulation générale,
ées non comme des propriétés, ce qui ne signifie rien, mais comme des
forces
sociales en acte, ne peuvent donc pas être limité
ec eux il règle, selon les personnes et selon les temps, et selon les
forces
de chacun et selon le besoin de tous, ce que celu
lorsqu’ils demandaient une contre-révolution faite brusquement par la
force
? Ils demandaient la conquête de la France ; ils
ce sur la terre ; mais en sociétés, c’est-à-dire en agglomérations de
forces
dont chacune est une machine admirable pour porte
stement un autre groupe humain ; celui-ci repousse l’injustice par la
force
; s’il succombe, l’injustice est accomplie ; s’il
st accomplie ; s’il triomphe, il devient assez puissant pour avoir la
force
et le désir d’être oppresseur à son tour, et l’in
l’échafaud la réprimant, et, lui-même, soit qu’il n’ait pas assez de
force
pour tout réprimer, soit qu’il en ait assez pour
es résoudre. De Maistre commence par donner l’objection dans toute sa
force
, et par la caresser avec complaisance. Dieu est i
! Et quelle vérité ! Comme il est bien certain que, l’homme ayant la
force
et faisant la loi, la femme n’est qu’une chose, s
roit personnel qui fait sa dignité, qu’elle tient pour supérieur à la
force
matérielle et à la force sociale, et auquel elle
a dignité, qu’elle tient pour supérieur à la force matérielle et à la
force
sociale, et auquel elle s’attache énergiquement :
déologie, s’empare d’un principe, d’un axiome, y adhère de toutes les
forces
de son esprit, lui attribue la certitude, lui don
e la monarchie est le vrai. C’est le but évident de tous les tours de
force
dialectiques de Bonald. L’univers est monarchique
ment social, et il a dit, de celui-ci et de celui-là, quelle était la
force
intime, le vice caché aussi, et les ressources po
essources possibles contre ce vice, et les limites probables de cette
force
, et les maladies à craindre, et le régime à suivr
une constitution sociale un peu durable est un prodige d’équilibre de
forces
contraires toujours sur le point de se rompre ; d
les uns par les autres, et réciproquement se demander et se rendre la
force
apparente que le second ne tient que du premier e
toute faculté de l’homme, voilà ce que Bonald poursuit de toutes les
forces
de sa logique — Il ne s’en tient pas là. Il repla
t un système tout personnel et qui y fait rentrer l’univers de gré ou
force
, et c’est comme son côté affirmatif ; il y a, de
u çà et là. — Les matérialistes voient une matière éternelle douée de
forces
inhérentes et intimes qui l’agitent et la transfo
er acte réduit à son minimum. Dieu a créé la matière et l’a douée des
forces
qui la meuvent ; et ensuite ces forces ont indéfi
éé la matière et l’a douée des forces qui la meuvent ; et ensuite ces
forces
ont indéfiniment suffi à l’évolution de l’univers
vers. De là à supprimer Dieu et à dire que cette matière douée de ces
forces
n’a pas eu de commencement, il n’y a qu’un pas ;
iment compte de la doctrine évolutionniste, qui lui laissera toute sa
force
et qui saura montrer que, fût-elle vraie, la créa
e. Il a fait rentrer, comme violemment, l’univers dans Dieu éternelle
force
, unique force. Il a rapproché Dieu de nous, en su
entrer, comme violemment, l’univers dans Dieu éternelle force, unique
force
. Il a rapproché Dieu de nous, en supprimant tout
n gouvernement libéral, et une autre partie à repousser de toutes ses
forces
le gouvernement libéral, de sorte que, si on lui
iété, comme une barrière impénétrable placée entre la faiblesse et la
force
, formait autour du monarque une enceinte qu’il ne
ssource suprême dans les grands périls, l’État rassemblant toutes ses
forces
, forces en plein développement, forces en formati
suprême dans les grands périls, l’État rassemblant toutes ses forces,
forces
en plein développement, forces en formation, pour
l’État rassemblant toutes ses forces, forces en plein développement,
forces
en formation, pour se rendre compte de ses puissa
roit, non pas constamment, ce qui serait un gaspillage de temps et de
forces
, mais d’une manière périodique, et qui vote l’imp
elle et criante que je ne la donne ici pour la faire entendre, car je
force
un peu les choses, mais réelle, et qui fut celle
ple, à mesure que le peuple lui-même contient un plus grand nombre de
forces
diverses ayant droit et de vivre et de participer
ion dans le maniement des idées. Mais sur quel fond travaillaient ces
forces
extérieures et accidentelles ? Sur un cœur nature
s’applique bien exactement qu’à la littérature philosophique. Cela la
force
bien encore à faire des Romains, qui, décidément,
issance, après avoir animé deux siècles, a perdu, pour ainsi dire, sa
force
, s’éteint et s’épuise de 1715 à 1820, n’inspire p
n goût, le goût des salons au xviiie siècle, « finissait par user la
force
», et que ce bon goût disparaît, n’est déjà plus,
ies, ne voyait dans le monde que des faits et des états de faits, des
forces
et des calculs de forces : elle était idéologue ;
nde que des faits et des états de faits, des forces et des calculs de
forces
: elle était idéologue ; elle le sera davantage.
en elle des instincts qui n’étaient point sans avoir déjà une grande
force
, mais auxquels jusqu’alors elle n’avait cédé qu’à
t dans l’Allemagne poussée par un vif désir d’échapper au monde de la
force
brutale, du calcul froid, et aussi de la légèreté
admet le libre arbitre, la spiritualité de l’âme, la vertu comme une
force
particulière à l’homme, et l’immortalité de l’âme
n, la conscience, l’effusion en Dieu, croit que ce sont là de grandes
forces
, et ne veut pas renoncer à cette belle part du pa
t des hommes médiocres sont au service de l’événement et n’ont pas la
force
de penser plus haut qu’un fait. » En vrais élève
ne fait pas de roman psychologique, on en subit un ; et on a assez de
force
de réaction sur ses sentiments pour le peindre. C
l’œuvre directe et immédiate de l’esprit pur. Et il demande, avec la
force
d’esprit, la finesse et la sûreté infaillibles du
s du non-moi. L’instinct social sous toutes ses formes, en toutes ses
forces
et, partant, en toutes ses gênes, voilà ce que Co
t celles de son droit et celles de sa prise, et en deçà desquelles sa
force
doit être grande, et au-delà desquelles sa force
n deçà desquelles sa force doit être grande, et au-delà desquelles sa
force
doit être nulle. — « Il ne faut point de gouverne
demande que le gouvernement soit une activité libre dont la mesure de
force
soit déterminée par les services mêmes qu’il peut
l n’y voit qu’oppression, privilège, réserve faite d’une partie de la
force
sociale au profit d’une classe, aux dépens de l’i
lasse, aux dépens de l’individu, et tout ce qui est emmagasinement de
force
sociale quelque part, et où que ce soit, est exce
s croyances, sa personne morale, mais seulement qui empiètent sur ses
forces
personnelles, activité, santé, propriété, plus qu
ntime, me laisser juge de la manière dont je dois employer toutes mes
forces
, et ne me prendre rien de celles que je croirai d
autre, il revient toujours : j’ai la propriété légitime de toutes les
forces
qui sont en moi, moins celles dont l’État a besoi
cte les faits, c’est à savoir quand ils sont considérables. Soyez une
force
nouvelle très importante dans le corps social, re
ppement, ne fût-ce que parce que je perdrais beaucoup plus à user mes
forces
pour vous détruire qu’à vous laisser vivre. Je su
er mes forces pour vous détruire qu’à vous laisser vivre. Je suis une
force
commune qui transige avec des forces particulière
à vous laisser vivre. Je suis une force commune qui transige avec des
forces
particulières, non avec des fantaisies isolées. M
empiétements du pouvoir ni aux escalades de la foule, et qui donnent
force
à votre charte en la faisant leur chose. Et encor
ais surtout donnant vingt fois l’idée d’un beau livre, qui, manque de
force
et manque d’élévation d’esprit, n’a pu être écrit
ter qu’il l’ait conçue assez pleinement pour l’exprimer dans toute sa
force
, non assez pour en tirer tout ce qu’elle contient
eux, voisin de nous, qui nous protège, si nous l’honorons, contre les
forces
monstrueuses et capricieuses de la nature. — 2° P
cieuses de la nature. — 2° Puis c’est le polythéisme, l’adoration des
forces
de la nature elles-mêmes vite personnifiées, et s
Et ils sont capables désormais de se réunir facilement en un seul, et
forces
devenues personnes, personnes devenues vertus, ve
l y a du fétichisme sous le polythéisme établi, et de l’adoration des
forces
naturelles sous l’anthropomorphisme officiel, en
alisme jaloux et inquiet. Il n’aime pas l’Etat, il s’en défie ; toute
force
séparatiste lui paraît une garantie possible de l
la liberté individuelle ; or il s’est aperçu que la religion est une
force
séparatiste, qu’elle est un des sanctuaires où l’
idu isolé dans sa faiblesse et finissent par l’individu isolé dans sa
force
et dans son orgueil ; — et entre les deux extrême
e, dans un dessein, dans une tradition ; elle devient une cohésion de
forces
, puis un aménagement bien ordonné de forces, c’es
e devient une cohésion de forces, puis un aménagement bien ordonné de
forces
, c’est-à-dire un organisme ; elle prend une fonct
fini et nous néant, besoin encore de nous associer humblement à cette
force
immense, en y adhérant par le soin de la reconnaî
t manquer de virilité, du moins dans ses livres. » Il manque de cette
force
oratoire, entraînante et impérieuse, maîtrisante
berté, il s’y est attaché, il l’a analysée et scrutée avec une grande
force
et une grande pénétration de regard ; il l’a épui
aire ou périlleuse, cette idée était bien celle du siècle. Déclin des
forces
de cohésion, mise en liberté des forces individue
n celle du siècle. Déclin des forces de cohésion, mise en liberté des
forces
individuelles, allègement du joug de l’État, relâ
érent. Il disait au peuple : Vous n’êtes pas souverain ; vous êtes la
force
, ce qui est autre chose. Il disait aux membres du
s et même esprit. L’une et l’autre sont pour que là où il y aurait la
force
, ou une aventure, il y ait un droit. Légitimité,
ègne une circonstance. Charte, pour que la loi ne soit pas un coup de
force
, une pesée du plus grand nombre sur le plus petit
utes les deux ingénieuses et salutaires substitutions d’un droit à la
force
, de quelque chose de spirituel à quelque chose de
e seul concours, ou le seul jeu, pour faire l’histoire humaine, de la
force
et des circonstances, c’est la définition même de
s cette France égalisée et centralisée, des choses de droit et non de
force
, qui étaient si nombreuses autrefois, c’est la se
ient unique et n’est plus limité par aucun autre, devenant une simple
force
oppressive. Mais encore c’est un droit, en ce sen
able et peut-être de bon exemple ; et à ce titre il vaut mieux qu’une
force
pure et simple, qui n’aurait pas même ceci d’un d
qu’il ne soit pas seul, c’est qu’il n’absorbe pas la somme totale des
forces
sociales. La presse est un des pouvoirs limitateu
st exceptionnelle à cet égard. C’est un pouvoir limitateur qui n’a de
force
qu’en tant que limite, et, pour en parler mieux,
elle lu serait non plus une limite, mais un surcroît d’autorité et de
force
; elle serait l’État religieux renforçant l’Etat
urs désirs, leurs penchants, c’est-à-dire qu’ils représenteraient des
forces
. Mais la force ne se délègue pas. Elle est où ell
s penchants, c’est-à-dire qu’ils représenteraient des forces. Mais la
force
ne se délègue pas. Elle est où elle est. Dès qu’i
ouverner qu’en se concentrant, qu’en se sublimant, qu’en ramassant sa
force
active dans un comité, qui lui-même condense la s
d’autre souveraineté. Le peuple n’est par la souveraineté, il est la
force
. Se gouverner autrement que par le pur emploi et
force. Se gouverner autrement que par le pur emploi et exercice de la
force
, il est probable que c’est le désir, l’effort et
’invention de la civilisation tout entière. Substituer la raison à la
force
, c’est le travail de l’humanité se dégageant de l
ut, selon son caprice, comme fait une insurrection, qui, elle, est la
force
pure et simple. Il vote quand la constitution lui
econnaisse comme un droit de l’homme, ou qu’elle le subisse comme une
force
. Donc, nier la souveraineté du peuple et mainteni
tre intelligent ; ce n’est pas un droit, c’est un pouvoir ; c’est une
force
, tout simplement, qui se trouve là, à la place de
pairie, magistrature, sinon autonome, du moins inamovible ; je donne
force
de pouvoirs à de nouvelles institutions qui se so
précis, une oeuvre bien conduite. Dans ces conditions on devient une
force
sociale qui acquiert un droit à durer, par simple
e sociale qui acquiert un droit à durer, par simple prescription. Ces
forces
sociales munies d’un droit, Royer-Collard l’a vu,
celle à laquelle il s’est appliqué, il l’a menée avec une singulière
force
de volonté, et une belle netteté d’intelligence.
’origine, d’abord pour que jamais l’une ne pût, en l’absence de toute
force
égale à elle, concentrer tout pouvoir social, se
pour tous. Dans l’Etat constitué, il n’est permis qu’au défaut de la
force
publique, et en l’attendant, c’est-à-dire dans un
vie barbare), de défendre soi-même sa propriété, parce qu’il y a une
force
d’Etat constituée pour la défendre. Ainsi de suit
r absence qui fait qu’un pays manque d’équilibre, une constitution de
force
, une histoire de suite, et qu’une nation, à trave
pper encore, et de ce développement recevoir un surcroît de vie et de
force
. Et enfin, si cette classe, déjà existante, déjà
de l’ouvrage, cette classe est formée, elle est dans toute la pleine
force
de sa maturité : — et l’histoire moderne est acco
r, tous les groupes sociaux d’une certaine cohésion et d’une certaine
force
eussent leur action proportionnée à leur importan
nature, ensuite s’appliquer à son emploi. Ainsi, dans les limites des
forces
humaines, sera réalisée la vérité politique, c’es
ste milieu historique, à savoir ce qui, dans la nation, a eu assez de
force
, c’est-à-dire de bon organisme, c’est-à-dire d’or
citoyen : « Aidez-moi. La machine est trop compliquée. Elle passe mes
forces
. D’autre part, elle vous écrase, dites-vous. Entr
rt et de lumières, et d’examen, et de contrôle, et d’invention, et de
force
, et d’autorité. Vous y gagnez d’être gouvernés, e
r échapper et comme languir, parmi beaucoup de non-valeurs, certaines
forces
, inconnues hier, se révélant aujourd’hui, qui eus
que l’enseignement reste chose d’État. L’initiative privée ne trouve
force
, cohésion et ressources qu’en se subordonnant aux
ais destiné surtout à pénétrer jusqu’où elle n’a pas le courage ou la
force
d’aller ; — cet enseignement, quoique donné par l
rême de la résistance. La révolution d’où il sort, pèse sur lui et le
force
soit à suivre le mouvement, soit à montrer une ex
s. C’est ce suffrage universel-là que Guizot a repoussé de toutes ses
forces
. S’il a vu plus loin, ce que je ne crois pas, mai
qu’il fallait marcher pas à pas, et que l’intervention brusque d’une
force
inconnue comme celle du suffrage universel ne pou
duit souvent. Le caractère impérieux donne à l’intelligence, avec une
force
immense, une rectitude qu’on peut dire exagérée e
ditations philosophiques et religieuses volontairement très timides à
force
d’être prudentes, et qui ne captivent point les e
positive, très réaliste, très attentive aux faits, très instruite des
forces
de l’homme et très ménagère des forces du pays, e
aux faits, très instruite des forces de l’homme et très ménagère des
forces
du pays, et qui, si elle ne se privait pas d’être
e allongée, la moelle épinière et les nerfs spinaux, et cérébraux. La
force
nerveuse agit sur les diverses parties du corps à
a manière d’un courant. « C’est une doctrine maintenant admise que la
force
nerveuse est engendrée par l’action de la nourrit
riture fournie au corps, et que, par suite, elle est de la classe des
forces
qui ont une commune origine, et sont convertibles
rces qui ont une commune origine, et sont convertibles entre elles, —
force
, mécanique, chaleur, électricité, magnétisme, déc
nique, chaleur, électricité, magnétisme, décomposition chimique. — La
force
qui anime l’organisme humain et entretient les co
courants du cerveau, a son origine dans la grande source première de
force
vivifiante, le soleil159. » Si nos moyens d’obser
es viscères, une autre à l’activité du cerveau, et ainsi de suite. La
force
nerveuse, résultant ainsi de la dépense d’une qua
tes, et d’où plusieurs autres dérivent. Ainsi le degré d’effort ou de
force
dépensée mesure non-seulement la résistance, mais
c parce qu’il peut les mouvoir. Que l’on remarque, d’ailleurs, que la
force
nerveuse ne peut être répandue également partout,
. I Humboldt vécut ainsi, plein de vie, jusqu’en 1858, où ses
forces
commencent à défaillir. Un de ses disciples de Be
ait assister. « Nous remarquions, dit-il, cependant, en 1858, que la
force
et la résistance physique diminuaient visiblement
ant être la dernière de sa vie. Trois signes indiquaient déjà que ses
forces
physiques avaient rapidement décliné, peut-être p
gardait le lit, avant la publication de ces bulletins médicaux ; ses
forces
physiques avaient visiblement décliné, mais sa vi
peu calmée, le catarrhe avait diminué, mais l’état d’affaissement des
forces
était toujours alarmant. Pendant que son esprit é
onnaissait son entourage, la somnolence se joignit à l’abattement des
forces
, la respiration devint courte et irrégulière ; le
se, et sa grandeur ou sa petitesse relative à nous n’atteint que deux
forces
: une force incréée qui donne, une force créée qu
ndeur ou sa petitesse relative à nous n’atteint que deux forces : une
force
incréée qui donne, une force créée qui reçoit. Vo
e à nous n’atteint que deux forces : une force incréée qui donne, une
force
créée qui reçoit. Voilà tout. Mais l’âme ou la pe
que du monde, avec la timidité que m’inspire la juste défiance de mes
forces
. J’ai tâché d’oublier que les ouvrages longtemps
un but plus élevé. Je désirais saisir le monde des phénomènes et des
forces
physiques dans leur connexité et leur influence m
s puissant ; mais ce qui doit captiver, dans l’étude de la vie et des
forces
qui animent l’univers, c’est bien moins la connai
erait plutôt croire volcaniques : matière élevée dans les airs par la
force
démesurée de projection, et retombant du haut de
température du globe entier de la terre se déterminent facilement. La
force
magnétique, dont M. de Humboldt s’est spécialemen
ses types contemporains, dans l’influence que lui ont fait subir les
forces
terrestres, et qu’à son tour elle a exercée, quoi
unique, marchant vers un seul et même but, le libre développement des
forces
morales. Ce but est le but final, le but suprême
leur autant que je le puis, mais la lutte est encore au-dessus de mes
forces
. » Plusieurs critiques ont cru retrouver par avan
ait une lande marécageuse ; accablé par une disgrâce au-dessus de ses
forces
, il était plus disposé à se reporter en souvenir
ailleurs, Ovide montre le sol se soulevant en forme de colline par la
force
des vapeurs intérieurement comprimées, comme une
nombreuse, à force de mariages consanguins et de vie en commun, cette
force
finirait par établir entre les divers membres du
lui notamment de M. Ribotde, sont là pour montrer à la fois que cette
force
existe et opère pour les signes de race et de var
acile à indiquer. Comme toute créature, l’homme tend, par économie de
forces
, à persister dans son être, à le modifier le moin
destruction sa conformation particulière, de résister à l’action des
forces
naturelles, d’être un agrégat spécial de molécule
des forces naturelles, d’être un agrégat spécial de molécules qu’une
force
propre soustrait à l’action des autres forces nat
cial de molécules qu’une force propre soustrait à l’action des autres
forces
naturelles. Tandis que, soumise à l’action du sol
de toutes deux. Mais loin d’être simple et ductile sous l’action des
forces
brutes, la matière organique est au contraire cel
ce, où la lutte encore ardue contre tout l’ambiant absorbait toute la
force
vitale de l’homme, le formait et le pétrissait, p
clinations et de pensées qui n’étaient qu’à lui, cet individu, par la
force
même des choses, par l’oppression de ses compatri
d’art donnée et un groupe d’hommes autres que son auteur. Chacune des
forces
dont M. Taine a voulu mesurer l’effet existe sans
mporel et social est évidente aussi ; mais elle varie en raison de la
force
de l’âme qui lui est soumise et de l’organisation
es anatomiquesdr ; l’esprit humain se tient en toute son étendue ; la
force
d’une de ses facultés détermine celle des autres,
relatif par rapport au reste de ses aptitudes, ne peuvent posséder la
force
qu’elles ont dans l’esprit de l’auteur, puisque,
nditions d’une société à un moment, mais au sens dynamique, comme une
force
assimilant certains êtres à ces conditions. Car,
s, détache de la masse vague du public et attire à lui, comme par une
force
magnétiquedx, une foule d’hommes. Cette foule l’e
parce qu’il l’exprime ; elle existe parce qu’il a paru ; le centre de
force
est dans l’artiste et non dans la masse, ou plutô
force est dans l’artiste et non dans la masse, ou plutôt le centre de
force
est dans le caractère abstrait de ressemblance qu
de Taine. Voir note 1, p. 112. (NdE) dx. La formule « comme par une
force
magnétique » trouvera de plus longs développement
nc situer cette définition de l’artiste caractérisé comme « centre de
force
». (NdE) dy. Hennequin apporte sa contribution p
ons (capere manu) se firent d’abord verâ manu, c’est-à-dire, avec une
force
réelle. La force est un mot abstrait, la main est
se firent d’abord verâ manu, c’est-à-dire, avec une force réelle. La
force
est un mot abstrait, la main est chose sensible,
ticuliers , nous avons vu que les revendications s’exerçaient par une
force
, par une violence véritable. Ce furent là les pre
nçant à être réprimées par les lois judiciaires, enfin la réunion des
forces
particulières ayant formé la force publique, les
judiciaires, enfin la réunion des forces particulières ayant formé la
force
publique, les premiers peuples, par un effet de l
instinct poétique que leur avait donné la nature, durent imiter cette
force
réelle par laquelle ils avaient auparavant défend
e intention. En même temps on porta la même fiction de l’emploi de la
force
dans les revendications, et les représailles héro
n est dans le caractère réfléchi et concentré de la nation. Une autre
force
le poussait dans cette voie. Logicien sévère, par
tions, une rigueur de raisonnement, un entraînement de passion et une
force
de conviction, qui renversèrent toute résistance
u’il est produit par la sympathie, qu’il a pour cause la notion d’une
force
invisible70, qu’en cette force nous nous reconnai
ie, qu’il a pour cause la notion d’une force invisible70, qu’en cette
force
nous nous reconnaissons nous-mêmes ; que la matiè
Jouffroy ne dit rien d’utile ; il embrassait le vague avec une grande
force
; et le nuage en vain pressé laissait à peine une
ts observables. Le lecteur voit que le pouvoir personnel n’est que la
force
prédominante d’une idée ; que bien loin d’être un
savons qu’il en est partout de même, et que l’univers est composé de
forces
ou causes individuelles dont les phénomènes visib
s truchements qui leur servent à faire mutuellement connaissance. Les
forces
prennent la matière, la conforment et s’annoncent
ces facultés des faits, et vous les avez changées en choses réelles,
forces
actives attachées autour de la substance, invisib
au sur les plans inclinés, le physicien ne les explique point par une
force
d’ascension, par une horreur du vide, par une for
que point par une force d’ascension, par une horreur du vide, par une
force
d’inclinaison, mais par un fait observable, la ch
produit et le tire de son sein, parce qu’il y a en lui un passage des
forces
de tension à des forces motrices. C’est cette con
n sein, parce qu’il y a en lui un passage des forces de tension à des
forces
motrices. C’est cette continuité du désir, de l’a
et fondus ensemble, aboutissent, selon la loi du parallélogramme des
forces
, aux muscles de mon doigt. De même, le mouvement
ue deviennent même le plaisir et la peine ? Il faudra faire entrer de
force
l’appétition dans la sensation, ou dans les idées
mme il y a une différence entre deux heures et une seconde, entre une
force
de mille kilogrammes et une d’un gramme, entre un
ux « sources de la volonté151 » ; et il s’empresse de conclure que la
force
qui produit « les contractions musculaires » n’es
force qui produit « les contractions musculaires » n’est autre que la
force
développée par les centres sensitifs, visuels ou
que je puis ouvrir la porte B qui est ouverte, en résulte-t-il que ma
force
provienne tout entière de la porte A ? Les source
sans recourir finalement, soit à des entités, soit à des miracles. La
force
motrice de Biran, qui viendrait s’ajouter aux idé
nce et le mouvement musculaire, est une pure entité. Il n’y a d’autre
force
que celle qui est inhérente à l’appétition d’une
une création de mouvement. On dira peut-être que la volonté, avec la
force
qu’elle confère aux idées, est seulement le refle
utre. 149. M. Danville, lui aussi, dans son article sur l’Idée et la
Force
(Revue philosophique, octobre 1801, p. 399), nous
ttrista la vieillesse de Corneille. Il s’en plaint avec amertume : A
force
de vieillir, un auteur perd son rang ; On croit s
ues passages écrits de ce ton, dans des pièces sans invention et sans
force
, mais non sans facilité ; du naturel dans l’expre
soit remué. Ce qui remue le cœur, ce sont les passions, et non cette
force
d’âme qui les sacrifie au devoir. L’homme dans Co
ique, qu’emprunte à Corneille le jeune Racine. Mais, au lieu de cette
force
d’invention de Corneille, qui éclate jusque dans
rtout les armes à la main16 Je suis très sensible à ce qu’il y a de
force
et d’élévation dans ces idées, de variété, de nom
Pyrrhus ? Je n’ose le dire. Serait-ce que nous ne nous sentons pas de
force
à faire autrement ? Son manque de foi est d’aille
les siècles, ont donné de profondeur à la sensibilité des femmes, de
force
et de grâce à leur raison. S’il se trouvait dans
lus vigoureux que délicat, plus subtil que pénétrant, plus porté à la
force
qu’à l’analyse, il n’avait pas la curiosité tendr
our. Ce n’était pas assez, pour le surhumain de ces situations, de la
force
fébrile et passagère que tirent les femmes de leu
rme de douceur qu’Iphigénie et Junie, elles ont plus de volonté et de
force
; elles se sentent reines, et elles semblent tire
lles se sentent reines, et elles semblent tirer de cette situation la
force
, Monime de résister à Mithridate, Bérénice de s’i
éissance, le seul sentiment héroïque de cette jeune fille, qui n’a de
force
que pour se dévouer. Junie aime, comme Iphigénie,
ssurée par Titus, elle trouve dans la confiance qu’il lui a rendue la
force
de se sacrifier. Elle part malheureuse, mais aimé
loi de l’État leur donne la souveraine puissance sans leur donner la
force
d’en user. Rien dans ces créations de femmes, les
ne œuvre froide. Trois rôles d’homme seulement dans Racine sont de la
force
de ses plus beaux rôles de femme. C’est Néron, qu
l vive comme le portrait, et qu’il n’en soit pas la copie. Ce tour de
force
, Racine l’a exécuté en créant le caractère de Nér
vie antérieure, leurs intérêts, leurs passions, ont amenés, comme de
force
, dans le même lieu et dans le même temps, autour
seulement on connaît le génie de Racine, et l’on s’étonne plus de la
force
de ses plans que de la beauté de ses vers. Dirai-
che de l’idéal de l’art dramatique, la simplicité d’action. Par cette
force
de méditation qu’il sait si bien cacher sous la f
e ce qui se prépare au dehors. Nul ne se retire sans que l’action l’y
force
, ou ne revient sans qu’on l’attende ; au lieu d’é
La variété de ce style, qui en est la qualité la plus éminente, cette
force
où la force sied, cet éclat tempéré, ces grâces,
e ce style, qui en est la qualité la plus éminente, cette force où la
force
sied, cet éclat tempéré, ces grâces, cette souple
trop prévenu pour certaines qualités particulières du style, pour la
force
, par exemple, ou pour l’éclat des figures. J’ai v
admiration pour Corneille, qui est hors de pair dans les endroits de
force
, rendait injustes pour Racine. Je les compare à c
Racine. Mais, si c’est faire du tort à Racine que de lui préférer la
force
de Corneille, on lui en fait plus encore en admir
que artus vient du mot ars, qui chez les anciens Latins signifiait la
force
du corps ; d’où artitus, robuste ; ensuite on don
rmer quelques facultés de l’âme] ; aux nerfs, qu’ils prirent pour les
forces
, lorsque, usant encore du langage muet, ils parla
sens, puisque les nerfs tendent les muscles, dont la tension fait la
force
de l’homme] ; enfin à la moelle, c’est dans la mo
rité ; et dans les poèmes d’Homère ils ont appelé l’âme (animus), une
force
sacrée, une puissance mystérieuse, un dieu inconn
donné ses habitudes d’abstraction continuelle, il occupait toutes ses
forces
dans l’exercice de ces trois belles facultés qu’i
q sens du corps, mais considérés dans toute la finesse, dans toute la
force
et la vivacité qu’ils avaient alors. Les mots par
intérêt à la recherche de la vérité. Tant d’événements décidés par la
force
, tant de crimes absous par le succès, tant de ver
u’au vrai principe des institutions, elle donnera un nouveau degré de
force
aux vérités qu’elle aura conservées ; mais cette
actions guerrières. Si vous laissez tout s’effacer, tout s’avilir, la
force
pourra dominer ; mais aucun éclat véritable ne l’
pouvez-vous sur la volonté libre des hommes, si vous n’avez pas cette
force
, cette vérité de langage qui pénètre les âmes, et
ecret de sa pensée, un asile de liberté impénétrable à l’action de la
force
; les conquérants ont souvent pris les mœurs des
i ne peut être soumis à la logique du calcul. Ils évaluent d’abord la
force
du gouvernement, quel qu’il soit ; et comme ils n
les découvertes des sciences doivent à la longue donner une nouvelle
force
à cette haute philosophie11 qui juge les peuples
de lettres, c’est que leurs talents ne sont pas toujours réunis à la
force
et à la vérité du caractère. Mais l’art d’écrire
s’éteint en eux lorsqu’ils ont vu pendant longtemps le triomphe de la
force
. L’esprit militaire est le même dans tous les siè
bite les mêmes goûts, les mêmes habitudes et les mêmes sentiments. La
force
se passe du temps, et brise la volonté ; mais par
change rien à la vérité des choses. Les institutions établies par la
force
, imiteraient tout de la liberté, excepté son mouv
artiennent au climat, le degré de civilisation le plus favorable à la
force
ou à la perfection de la littérature, les différe
utiles, l’amour de la morale, l’ambition de la gloire, inspirent une
force
nouvelle ; des impressions vagues, des sentiments
line vers ses limites naturelles, et le poème s’érige par ses propres
forces
. Avec des qualités spéciales et beaucoup plus de
nt et plus que d’autres, qui remuèrent toute la langue française ? la
force
des secrètes mélodies qu’il écoute est ainsi avér
même subtile mais toujours naturelle et franche d’aspect, et naïve à
force
d’art ; je voudrais qu’elle parût jaillie d’elle-
nous sentons pourtant, oui, on commence je crois à le sentir, quelle
force
inconnue naîtrait de ce magique baiser, quel cour
aspect et mille manières d’être, mais qui s’apaise en une tranquille
force
aux courbes des campagnes douces et claires, déco
posa des vers. Mais au retour d’un long voyage il la trouva mariée de
force
à Théobald, fils du duc Ferry. Alors il se lament
laive, car il aime tout ce qui montre en action la magnificence de la
force
. Il y a en M. de Régnier la noblesse d’une attitu
arce qu’elle avertit l’homme de lui-même et s’appuie sur notre propre
force
. Les champs où parmi la folle avoine M. Griffin f
et agissant, voué à la douleur et à la joie et tenant en ses mains la
force
qui fait créer. Mais, bien qu’elle commande irrés
nt celui de MM. Giraud et Gilkin, desquels il s’écarte bientôt par sa
force
et par une sorte d’élan malgré tout juvénile. Si
vainement glorieuses ; au moins s’est-il dégagé avec plus d’évidente
force
en quelques pièces récentes où le songeur a mis l
de ses musicales architectures, le jet tout puissant de sa pensée, la
force
et la grâce de son tour ont signé toutes ses œuvr
dus, par d’inouïes légèretés qui se volatilisent ou par le choc d’une
force
tout à coup surgie. Il porte la marque durement s
Seulement, sous le ciel de l’Inde, cet hymne antique s’adressait aux
forces
matérielles de la nature : Agni, ou le dieu du fe
u bout du monde » ; j’y sentais une grandeur morale qui dépasse toute
force
matérielle. Mais combien au-dessus de Platon et d
egré l’empreinte d’une race particulière et séparée, elle est, par la
force
et la vérité des mouvements, par l’abondance de l
sa gloire. Cheval et cavalier, il les a précipités dans la mer. « Ma
force
, la gloire de mon chant, c’est le Seigneur. C’est
bîme comme la pierre. « Ta droite, ô Seigneur ! est glorifiée dans sa
force
; ta droite, ô Seigneur ! a broyé tes ennemis. Pa
nduis par ta justice ce peuple que lu as délivré ; tu le mènes par ta
force
vers ton saint asile. « Les nations l’ont appris,
ngue hébraïque, n’aient pas entendu ce texte que rendait avec tant de
force
une nouvelle diction grecque ou romaine. Faisons
, le mécanisme enfin et l’ensemble de la mélodie. Mais telle était la
force
de beauté répandue dans l’original qu’elle se con
que à tous ses degrés : la naïve allégresse, la douceur gracieuse, la
force
tempérée, la dignité pure et sévère, le sublime d
ce nom d’Olympien réservé pour un de ses orateurs : le calme dans la
force
, la majesté imposante avec grâce. Ce caractère, c
le monde ; et la terre tremblante s’est émue. » Ce degré suprême de
force
dans le calme de l’expression, ces passages de la
intelligence dévouée et passionnée ait exercée contre le nombre et la
force
. Ils furent l’âme du peuple hébreu, sa cymbale de
délaissée de cette flamme, de cette vie croyante qui donnait tant de
force
à ces chants, dans leur origine inspirée, et lors
d’un regard sérieux et d’un clair jugement, car ils sont synonymes de
force
et de vie. L’insulte ne me satisfait pas plus que
et du monde. Zola est tout entier dans le matérialisme comme toute la
force
du matérialisme est en lui. Voilà ce qu’il import
vention, d’hypocrisie et d’ignorance, il fait renaître un univers aux
forces
libres et farouches. L’homme, sanctifié par le sp
ans son esprit qu’un décor gracieux planté par le divin régisseur des
forces
cosmiques. Le corps n’avait déraison d’être que d
originelle ; ce qui semblait banal réapparaît dans tout l’éclat de la
force
. Il reprend par le bas cette immense investigatio
’est-à-dire sur la base organique de l’être vivant. Il en pénètre les
forces
latentes et les fauves énergies, aliment et sève
se retrouvent en une communion frémissante ; ce lien, voilà sa grande
force
. L’animal humain n’apparaît pas pour lui l’acteur
nfantin joueur de flûte… »11. Ce sont là évidemment les paroles de la
force
, des mots irréfutables et sans réponse. La généra
de la vie des organismes et de la chair, des tragiques conflits de la
force
, elle s’est détournée avec hauteur, pour s’enseve
ralisme dans d’autres systèmes anti-monistes) — sépare l’esprit et la
force
de la matière, comme deux substances essentiellem
t de l’autre grand romancier de notre époque, qui a été lui aussi une
force
volcanique d’une signification large comme le mon
vait que saluer en lui l’apôtre âpre et fervent de la nature et de la
force
, nous serions quand même en droit de formuler nos
la loyauté contre l’hypocrisie, de la vie contre la convention, de la
force
contre l’artifice, de l’instinct naturel contre l
r l’étroitesse d’une doctrine et peut-être aussi par la faiblesse des
forces
humaines (votre rôle de lutteur ayant absorbé vot
se met de niveau avec le trône. La noblesse se sent vaincue par cette
force
sortie de son sein. Le clergé, qui est peuple, et
euple, et qui veut remettre la démocratie dans l’Église, lui prête sa
force
pour faire écrouler la double aristocratie de la
L’assentiment que trouve la vérité dans les âmes est sa puissance. Sa
force
lui revient par le contrecoup. Il s’élève entre t
nteux de son caractère l’incorruptibilité de son génie. De toutes les
forces
d’un grand homme sur son siècle, il ne lui manque
; le froid matérialisme de son siècle enlève à son âme le mobile, la
force
et le but des choses impérissables. Il meurt en d
la reine ne l’avait pas. Rien n’avait pu la préparer au maniement des
forces
désordonnées qui s’agitaient autour d’elle ; le m
qu’il s’oubliait aisément lui-même, sûr de se retrouver avec toute sa
force
au moment où il aurait besoin de se recueillir. S
er et non dérober. Elle voulut se répandre par le droit et non par la
force
. Essentiellement spiritualiste, elle n’affecta d’
sans roi, sans chef militaire, sans dictateur, sans armée, sans autre
force
que la conviction. Seule au milieu d’un peuple ét
il à une de ces époques où il faut agir dans toute l’intensité de ses
forces
pour opérer en lui ou en dehors de lui une de ces
ant est nécessaire aux fleuves, ou que l’explosion est nécessaire aux
forces
comprimées, la république est la forme obligée et
olontés. Ce levier, la nation seule le possède. Elle est elle-même la
force
motrice, le point d’appui et le levier. « On ne p
à l’ordre établi d’agir contre l’ordre établi. Ce serait demander la
force
à la faiblesse et le suicide à la vie. Et d’aille
’empire. Les vices mêmes de la constitution font souvent partie de sa
force
. Les menacer, c’est se perdre. Il peut les haïr,
e monde à l’œuvre, elle essaye, elle emploie, elle rejette toutes les
forces
, tous les dévouements, tous les héroïsmes. C’est
ents jusqu’au faite ; celle que convoitent les hommes s’enlève par la
force
, sans égard au droit. Attirée par d’injustes manœ
suffit, n’abaissant et n’élevant trop personne. À ceux qui avaient la
force
et primaient par la richesse, j’avais prescrit d’
é ma patrie, et n’ai pas voulu m’en rendre maître, ni m’élever par la
force
, en déshonorant la gloire que j’avais obtenue d’a
é à la course ou sa vigueur à la lutte, ni s’il avait la taille et la
force
des Cyclopes, ni s’il devançait la vitesse de l’a
ngue mélodieuse d’Adraste, ni quand il aurait toute gloire, hormis la
force
guerrière. « Il n’y a pas d’homme, en effet, redo
hommes, la plus belle gloire à remporter pour le jeune guerrier. Une
force
publique pour la cité, pour le peuple entier, c’e
ple derrière eux. Mais des guerriers qui se troublent ont perdu toute
force
. Nul ne saurait exprimer par la parole que de mau
yrique, dont, un siècle après Horace, Quintilien disait encore : « La
force
de son génie se montre dans le choix même de ses
ès l’origine et se trouve-t-il à priori chez les nations ? Est-ce une
force
simple, une monade active qui, féconde par elle-m
ment vraies, car le caractère des nations se présente à la fois comme
force
créatrice et comme forme ou revêtement des actes
pas James Watt et Arkwright. Le peuple anglais est doué d’une grande
force
de volonté, c’est là un fait généralement reconnu
éoccupé de se conformer aux opinions reçues remarque bien vite que la
force
d’imagination est pour le moins aussi grande chez
ce d’imagination est pour le moins aussi grande chez ce peuple que la
force
de la volonté. Les Anglais ont le goût pratique d
corrompus. Ce sont de substantiels fermiers que la rigueur des temps
force
à défendre leurs propriétés. Ils ont des armes do
anarchie et confisqua au profit de ses compagnons cette exubérance de
forces
viriles, la barbarie régna sans contrôle, son niv
s. Elle se modifiait cependant, non sous l’influence, il est vrai, de
forces
civilisatrices, mais en s’épuisant elle-même, en
ment de la civilisation ne fait que donner à cette énergie native une
force
de plus ; le charme des manières rend la victoire
mmes marchent avec un empressement frénétique. Aussitôt qu’ils ont la
force
de tenir un fusil, la chasse est l’art d’agrément
que et populaire se rencontre du haut en bas de l’échelle sociale. La
force
musculaire des Anglais, leur vigoureux profil, l’
ses avec une âpreté qui quelquefois frise l’injustice et l’abus de la
force
. C’est surtout dans leurs relations avec l’étrang
ouve au fond de toute leur histoire, qu’un homme ne connaît jamais sa
force
véritable que lorsqu’il l’a essayée. Ils n’ont au
avec la conscience de son devoir, il se trouvera fort embarrassé ; à
force
d’être général, ce devoir n’aura rien de direct n
nter chaque fait particulier à son tour avec toute son importance. La
force
poétique anglaise consiste, non dans une rêverie
é aux Anglais, en même temps que le respect des faits extérieurs, une
force
qui réagit incessamment contre eux, c’est-à-dire
’hommes qui ont toujours lutté non contre des hommes, mais contre des
forces
naturelles. On raconte que les Gaulois, dans leur
s qui ne se sont jamais mesuré qu’avec des hommes et qui traitent les
forces
de la nature comme un ennemi humain. J’imagine au
olontiers. Les Anglais traitent les hommes comme ils traiteraient des
forces
naturelles dont ils ne connaîtraient pas la puiss
ête fauve, jusqu’à ce qu’il ait reconnu son adversaire, rassemblé ses
forces
et surtout pris son parti. Ce n’est pas par calcu
s la lutte avec ce qu’il y a de plus tyrannique et de plus fatal, les
forces
naturelles. L’héroïsme, très réel pourtant, de l’
te garrottée qu’elle fût, s’est montrée plusieurs fois capable, et la
force
de précision de cette main qui crayonna, selon le
s au lecteur le temps de respirer et qu’il agit sur lui plutôt par la
force
que par la persuasion. M. Taine ne vous permet pa
’à prolonger la rêverie, il vous tire par le bras avec une incroyable
force
de muscles et vous entraîne vers un autre spectac
ntraîne vers un autre spectacle tout différent du premier, qu’il vous
force
d’admirer séance tenante, tandis que vous êtes en
l’excès de l’esprit systématique, la violence du trait, l’abus de la
force
et la monotonie du procédé. Une certaine dureté b
nt l’esprit en s’y enfonçant. M. Taine a une inclination marquée à la
force
; quel que soit le sujet qu’il traite, son talent
e construction psychologique elle-même. Selon M. Taine, trois grandes
forces
primordiales concourent à la création de l’homme
ation de l’homme intérieur : la race, le milieu, le moment. Ces mêmes
forces
concourent à la création des littératures qui ne
ses proportions, il est toujours extrêmement complexe, car des trois
forces
que nous venons de nommer : la race, le milieu, l
i la rongent de la même manière que la rouille ronge le fer. Ainsi la
force
du milieu se déplace et se modifie sans cesse, et
a force du milieu se déplace et se modifie sans cesse, et, quant à la
force
du moment, c’est une force d’accumulation, pour a
e et se modifie sans cesse, et, quant à la force du moment, c’est une
force
d’accumulation, pour ainsi dire, qui s’accroît de
ritain est l’homme de la minute présente du temps : ainsi, dans cette
force
du moment qui a suscité Milton, nous voyons très
u moment qui a suscité Milton, nous voyons très distinctement agir la
force
d’impulsion de l’âge immédiatement antérieur. Enf
l’âge immédiatement antérieur. Enfin, il est très rare que les trois
forces
agissent toutes ensemble, simultanément et de con
d à la fin du xviiie et au commencement du xixe siècle. Souvent ces
forces
se divisent, plus souvent encore elles se combatt
se combattent ; tantôt l’une d’entre elles agit sur les autres comme
force
de contrainte et de résistance, ainsi qu’on pourr
ment le cas de lord Byron. Dans lord Byron, que voyons-nous, sinon la
force
de la race alliée à la force du moment contre la
ns lord Byron, que voyons-nous, sinon la force de la race alliée à la
force
du moment contre la force du milieu, qui agit com
nous, sinon la force de la race alliée à la force du moment contre la
force
du milieu, qui agit comme résistance et contraint
e elle-même, elle a encore tout le bon d’autrui. Voilà donc les trois
forces
qui sont perpétuellement agissantes sur l’homme m
sitions de leur âme jalouse de liberté. Changez les noms de ces trois
forces
, et appliquez leur action, non plus à une civilis
aient, la rendaient active ou paresseuse ? Or qu’est-ce que ces trois
forces
qui agissent sur l’individu, sinon les mêmes qui
les sociétés ? Il n’y a de changé que les noms. L’hérédité, c’est la
force
de la race ; l’éducation, c’est la force du milie
s noms. L’hérédité, c’est la force de la race ; l’éducation, c’est la
force
du milieu ; l’expérience, c’est la force du momen
race ; l’éducation, c’est la force du milieu ; l’expérience, c’est la
force
du moment. Maintenant disons nettement en quoi no
tons : 1º que l’homme intérieur ou moral préexiste à toute action des
forces
de temps, de milieu et de race ; 2º qu’il n’y a q
d’un même original unique. L’homme moral préexiste à toute action des
forces
intérieures ou extérieures auxquelles il est soum
rannisée par les circonstances extérieures du milieu et du temps. Ces
forces
, dont nous avons constaté l’action, c’est cette â
fond, identique dans toutes les races et préexiste à toute action des
forces
auxquelles il est soumis. Bien plus, c’est cet ho
elles il est soumis. Bien plus, c’est cet homme universel qui met ces
forces
en activité ; mais, comme le premier mouvement de
n’est donc pas créé, mais seulement dégagé et traduit par toutes ces
forces
de race, de milieu et de moment qui lui sont des
disposée pour recevoir un tel poète. Pourquoi n’est-il pas venu ? La
force
du moment, la force du milieu et la force de la r
oir un tel poète. Pourquoi n’est-il pas venu ? La force du moment, la
force
du milieu et la force de la race le réclamaient é
quoi n’est-il pas venu ? La force du moment, la force du milieu et la
force
de la race le réclamaient également. Oui, même la
milieu et la force de la race le réclamaient également. Oui, même la
force
de la race, car, en dépit de l’opinion consacrée,
onner. Je vais prendre encore un tout petit exemple. Si le jeu de ces
forces
suffisait pour produire le génie, Butler, le Butl
-être pas fait assez remarquer les différences qui séparent les trois
forces
par l’influence desquelles il explique toute l’hi
ute l’histoire littéraire. Peu s’en faut qu’il ne considère ces trois
forces
comme fatales et qu’il ne les assimile à des lois
s assimile à des lois naturelles et physiques. Cependant de ces trois
forces
il n’y en a qu’une seule, celle de la race, qui s
ilieu et celle du moment ou des circonstances environnantes, sont des
forces
morales qui ont leur origine dans l’homme, de sor
traints, dominés et tyrannisés que par nous-mêmes. C’est notre propre
force
qui réagit sur nous, notre ancienne liberté qui r
i réagit sur notre liberté plus récente. Qu’est-ce en effet que cette
force
du moment ou des circonstances, sinon l’agrégatio
millions de faits moraux tous émanés de l’homme ? Qu’est-ce que cette
force
du milieu ou de la société, sinon la création mêm
ême de l’homme des temps passés ? À la vérité, on peut dire que cette
force
du milieu est hybride, faite de deux substances,
se serve d’autres images en face de cette nature renouvelée. Reste la
force
de la race. Elle est fatale, il est vrai ; mais c
e. III Quoi qu’on puisse penser des opinions de M. Taine sur la
force
de la race, il faut reconnaître qu’elles sont par
mpeur qu’on ne pourrait le supposer : il consiste à attribuer à cette
force
de la race exactement la même importance que lui
e histoire est un démenti perpétuel donné à la théorie qui affirme la
force
du sang et la persistance des instincts physiques
uer à lord Herbert. Voyez un peu cependant le respect qu’inspirent la
force
morale et la noblesse de caractère ! On peut comp
siblement dans son lit, cela peut compter comme un des miracles de la
force
morale. Il eut une demi-douzaine d’affaires rien
i refusé ? — Soit, monsieur, répliquai-je, je vous le ferai rendre de
force
”, et alors remettant mon chapeau sur ma tête, je
is ses jambes avec mes deux bras et je l’attirai vers moi d’une telle
force
qu’il tomba à la renverse sur la tête. Un de mes
coude droit sa main et la poignée de sa dague contre moi avec tant de
force
, que je lui fis lâcher prise, laissant son arme e
l’affaiblir, chaque lecture n’a fait que donner à notre hypothèse une
force
nouvelle, nous avons conclu de cette persistance
ontispice vous résumait en emblèmes sensibles les traits divers de la
force
organisée : buffles farouches domptés pour le tra
pour ne plus revenir. Cette préoccupation de faire retraite en pleine
force
d’inspiration, avant que l’âge ait glacé le génie
rations magiques comme un homme qui, engagé dans une tâche, sonde ses
forces
pour savoir s’il ira jusqu’au bout et s’il donner
l donnera quelque marque de faiblesse. Il reconnaît avec joie que ses
forces
sont encore tout entières et qu’elles mèneront l’
enant tous mes charmes sont détruits, et j’en suis réduit à ma propre
force
, qui est bien faible. Vous pouvez à votre volonté
inables ! Abominables, mais non stériles et vulgaires, car il y a une
force
réelle dans ces fantaisies monstrueuses, et cette
ne, ils ne s’appartiennent plus, et ils vont en avant, poussés par la
force
du sentiment qui les maîtrise jusqu’à ce qu’ils t
physicien, le véritable amour en soi. Voulant montrer à quel degré de
force
peut atteindre l’amour et quel peu de compte il t
rement et de poésie, il a choisi l’âge de la vie où tout est lumière,
force
et beauté, où la volupté apparaît comme un droit
oute la rivalité d’aucune autre passion et qu’il peut user toutes ses
forces
à ses propres luttes. Q. Quels sont les peuples
oulent en eux autant qu’ils peuvent, mais la violence de ces passions
force
la résistance de la volonté, leur ouvre un passag
humour a la saveur substantielle des solides roastbeefs anglais et la
force
âpre et lourde du porter aux flots épais. Il igno
et même un peu fanatique ; d’un esprit étroit et borné, mais non sans
force
et sans finesse ; d’une âme dure, sèche, sans onc
, la révolte et l’anarchie. Il hait le pape et Louis XIV avec la même
force
de haine que le plus ignorant des squires de son
ervi de modèle, car elles ont ce puissant mauvais goût semblable à la
force
des rêves malfaisants qui caractérise l’imaginati
les deux autres, par une pièce de vers où il exprime avec une grande
force
l’importante vérité de ce lieu commun, toujours s
ces révoltes pendant le temps de son séjour, lesquelles étaient d’une
force
respectable et pouvaient aisément compter pour di
ultitudes de diables sans repos employaient incessamment toutes leurs
forces
pour les faire souffrir. Oui, ils étaient là pêle
ue encore par certains traits qui révèlent l’origine et trahissent la
force
du sang, est tout anglais par les idées, les sent
ions depuis longtemps éteintes dont ils firent les délices. Plus leur
force
littéraire est grande, plus violemment ils vous r
que au livre d’Elis Wyn ; écrit avec un talent vrai et une singulière
force
descriptive, il n’est cependant qu’un livre de se
imentalité font jaillir des yeux du vulgaire. Il n’a pas davantage la
force
de frapper de grands coups : il se contente de vo
et immédiats, par une de ces secousses d’hilarité, où se reconnaît la
force
des grands auteurs comiques ; non, il se contente
classe si nombreuse de la gentry qui a formé de tout temps la grande
force
de résistance, le lest politique de la solide Ang
ans un carton d’entomologiste, le lieutenant Sterne conserva assez de
force
et de présence d’esprit pour prier poliment son a
rgent, firent de sa correspondance en 1775, et cependant telle est la
force
du mensonge une fois répandu, que ladite calomnie
d ! Avec les hommes qui possèdent le véritable humour ou la véritable
force
comique, nous savons toujours exactement pourquoi
en que la nature, cette tyrannie des circonstances parasites et cette
force
d’attraction et d’agrégation des molécules infini
et, si je me rétablis, il me faudra bien longtemps pour regagner mes
forces
. J’ai eu besoin de reposer ma tête une douzaine d
ains dont est formé cet ensemble sont exposés et soumis à l’action de
forces
inégales et différentes. Les uns habitent au bord
que la sensation est plus vive et plus durable. Un centre nerveux, à
force
d’être sollicité à l’exclusion des autres, se fat
une circulation perpétuelle ; la Vie elle-même est dès lors la grande
force
motrice qui fait varier les choses, les individus
, institutions, tendances, peut être considéré comme le produit d’une
force
unique qui agit sur les hommes durant une longue
sur les hommes durant une longue période, et l’on peut dire que cette
force
va d’abord croissant, s’assimilant ce qui l’entou
loignées du tronc, s’est enfin, sous l’action hostile de l’âge et des
forces
extérieures, ralenti et réduit à rien. De même l’
es vastes périodes dessinées ainsi par la vie et la mort d’une de ces
forces
contiennent non seulement des alternatives de hau
ent des alternatives de hausse et de baisse dans l’intensité de cette
force
, une série de pas en avant et de pas en arrière,
re une quantité d’alternances semblables qui portent, non plus sur la
force
essentielle, mais sur des tendances moins durable
la mécanique. — Notions du repos, du mouvement, de la vitesse, de la
force
, de la masse. — Leur origine et leur formation. —
raies du spectre. — Enfin, d’après les lois de la conservation de la
force
, aucun savant ne doute que le mouvement n’ait tou
ctrique, et notre idée déterminée, épurée, étendue, coïncide avec une
force
qui opère ou peut opérer dans tous les corps. — P
ésider dans le corps mû ou dans un autre, il n’importe ; on l’appelle
force
, sans préjuger quoi que ce soit de sa nature, et
ue ce caractère est la vitesse. À ce point de vue, nous parlons d’une
force
double, triple, etc., d’une autre ; et nous n’ent
mbre de particules toutes exactement semblables. Maintenant, soit une
force
qui imprime une certaine vitesse au bloc formé pa
ent être substituées sans inconvénient l’une à l’autre, il faudra une
force
absolument semblable et capable d’être substituée
d’être substituée sans inconvénient à l’autre, c’est-à-dire enfin une
force
égale pour imprimer la même vitesse au bloc formé
la même vitesse au bloc formé par l’autre moitié, par conséquent deux
forces
égales, chacune à la première, c’est-à-dire une f
onséquent deux forces égales, chacune à la première, c’est-à-dire une
force
double pour imprimer la même vitesse au bloc form
uve être une quantité comme la vitesse, et désormais nous mesurons la
force
de deux façons, soit par la grandeur de la masse
nts, concevoir d’abord un mobile en repos auquel ne s’applique aucune
force
, puis un mobile en repos auquel s’applique une fo
’applique aucune force, puis un mobile en repos auquel s’applique une
force
, ensuite, par une complication plus grande, imagi
plus grande, imaginer un mobile auquel s’appliquent deux ou plusieurs
forces
égales ou inégales, qui le dirigent sur la même l
la nature, si différents qu’ils soient, si différentes que soient les
forces
réelles par lesquelles ils sont mis en mouvement
ent. Pour qu’un corps en repos se meuve, il faut l’intervention d’une
force
; si cette intervention manque, il demeure indéfi
ses particules, que, selon sa masse plus ou moins grande, il faut une
force
plus ou moins grande pour lui imprimer la même vi
esse, ou dévie de la ligne droite, il faut aussi l’intervention d’une
force
. Cette pierre que je lance en l’air, ce boulet ch
condition nouvelle, la plus simple qu’il se pourra ; supposons que la
force
initiale, au lieu d’agir seulement au premier ins
mise en scène de son drame ou à la poignante expression qui double la
force
de la pensée. Son procédé est bien plutôt quelque
r du Scarabée d’or montre un talent très particulier ; il déploie une
force
d’intelligence qui briserait tous les casse-têtes
e, de celui de Cyrano de Bergerac, ce Rodomont de l’hyperbole, qui, à
force
d’audace, rencontra heureusement parfois. Ivre de
x. Les combinaisons de l’esprit y sont, et nous avons dit avec quelle
force
; mais l’auteur n’y descend jamais de son âpre sp
t diminuer. Présenté au public français par un traducteur de première
force
, Charles Baudelaire, Edgar Poe cessa tout à coup
ues personnes parlaient comme d’un génie mystérieux et inaccessible à
force
d’originalité. Grâce à cette traduction supérieur
es publiés là qui pût être considéré autrement que comme les tours de
force
d’un jongleur. Paroles sévères, que nous aurions
s rebat incessamment l’imagination contemporaine ? Edgar Poe, avec la
force
d’un esprit qu’aux attitudes on croirait indompta
des éclairs de bon sens et de mépris, mais l’industrialisme américain
force
le don Juan intellectuel à souper, et il obéit, —
du besoin. En présence d’une société grossière, qui aime les tours de
force
, les difficultés vaincues, qui ferait plus de cas
s extraordinaires nous apparaîtra-t-il alors dans toute sa pureté, sa
force
et son originalité, et l’admiration succédera-t-e
sent dans ces premières Histoires, c’est encore plus l’effort que la
force
, l’acharnement de la volonté que le souffle facil
ls sont, violemment manqués, mais portant la trace à toute page d’une
force
inouïe, les livres que la traduction de Baudelair
t ce qu’il en flibuste ne méritait guères d’être flibusté. Doué de la
force
de cette race de puritains qui se sont abattus d’
amés, ce qu’il prend aux préoccupations contemporaines ne vaut pas la
force
qu’il déploie pour se servir de ce qu’il a pris ;
revient de toutes parts dans ses livres. Revanche de la pensée, cette
force
spirituelle contre l’immoralité fangeuse de la vi
qu’on ne rachète point ! Or, Edgar Poe ne le fut pas. Pour lui donner
force
à l’être pourtant, Dieu, après le Génie, qui est
iginalité si sombrement étrange et si cruelle, a mordu avec une telle
force
sur l’imagination contemporaine, blasée de tout e
éfère à tous les sentiments de l’âme, dans les choses de l’esprit, la
force
presque musculaire de la difficulté vaincue et de
la période la plus brillante de notre histoire, avec le moment où les
forces
vives de notre pays ont atteint leur maximum d’in
nité, réservant pour les nôtres tout notre zèle et le meilleur de nos
forces
. Nous tiendrons pour suspectes toute logique tran
t anéanti sous l’omnipotence de la nature ! Elle, triomphante dans sa
force
brutale, ignorante de tout, passe avec sérénité a
lus parfaits de la vie, puisqu’ils épuisent en quelque façon toute la
force
de notre principe. Notre domaine propre, ce sera
ter, l’individu se détruit lui-même, comme le mystique déréglé qui, à
force
d’exalter son intelligence au détriment de son co
lles, sous peine de perdre, en nous isolant, la meilleure part de nos
forces
. Croire que nous sommes libres de nous créer un a
in. Le fond étant stérile et insignifiant, il a fallu y introduire de
force
des développements d’emprunt et tromper le lecteu
rencontre d’un sujet véritablement approprié, non pas seulement à vos
forces
, comme le prescrivait déjà le vieil Horace, mais
e autour du fait révélateur. Le poète sent qu’il est enfin maître des
forces
tumultueuses qui se soulevaient en lui. Une grand
u, ce n’est pas le sol nourricier qui façonne l’individu, le lieu des
forces
primordiales et permanentes qui lui imposent son
qu’ils produisent, avec l’équilibre de la santé, une augmentation des
forces
, ou qu’ils amènent la dégénérescence, la maladie
quérante et triomphante grâce aux vertus égoïstes qui ont préservé la
force
et l’intégrité de son type, — il trouvera sans y
oix inspiratrice des aïeux, et il s’abandonnera sans peur à la grande
force
paternelle qu’il sent agir en lui. Au contraire,
n dirait qu’avec notre endurance nous avons perdu jusqu’au minimum de
forces
combatives nécessaires pour nous défendre. Si ces
ent à ces tentatives de nivellement systématique qui tuent toutes les
forces
vives du pays ; ils veulent résister à la coaliti
pères, ils ne reconnaîtront d’autres divinités pour la Patrie que la
Force
qui fonde les empires et la Raison qui la conduit
înement juvénile et irréfléchi, il a instauré le règne exclusif de la
force
brutale alliée à la ruse et à la perfidie. À caus
s apportez le trésor intact de votre jeunesse et l’immensité de votre
force
, — serrez vos rangs, unissez-vous ! Préparons ens
il énorme de bâtisse ; ainsi la solidité se cache sous l’agrément, la
force
se déguise sous la pompe souriante ! Vous redesce
ur les peuples. Jadis tu apprenais à nos pères à ne pas mésuser de la
force
, à faire de la vie une fête généreuse où chacun e
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