Si j’avais une
fille
à marier ! Alexandre Weill, Si j’avais une fil
Si j’avais une fille à marier ! Alexandre Weill, Si j’avais une
fille
à marier ! [Le Pays, 30 octobre 1860.] I S
fille à marier ! [Le Pays, 30 octobre 1860.] I Si j’avais une
fille
à marier !21 Voilà un titre qui n’a pas été placé
r avec soi — que Weill l’a écrite, puisqu’il s’agit dans son livre de
fille
à marier ! Marier sa fille et la marier bien, l’é
écrite, puisqu’il s’agit dans son livre de fille à marier ! Marier sa
fille
et la marier bien, l’élever, de longue main, en v
sivement à la femme, il est devenu le Chesterfield de mademoiselle sa
fille
, et il l’a formée pour un mari dans une suite de
sée, qui pense à son tour qu’en disant sans biaiser à mademoiselle sa
fille
ses idées, à lui, sur les femmes et sur le gendre
e, était un livre très difficile à faire, car c’est le catéchisme des
filles
à marier, commence, non par Dieu, comme le catéch
r toutes les coutures. « Tu ne sais pas ce que c’est qu’une femme, ma
fille
, — dit Weill, — et il faut qu’avant de te marier
rri de son sang, sa mère, ou bien qu’un être né de ses entrailles, sa
fille
, lui soit inférieur. » On pourrait peut-être réto
de son livre à faire reluire la beauté de cette vertu aux yeux de sa
fille
, comme celle d’un bijou dont il voudrait lui fair
Weill est explicite : « Je ne te parle pas au nom de la religion, ma
fille
… (on le voyait bien !…) je te parle au nom de la
e, qui donneraient à la jeune fille de Weill, s’il avait vraiment une
fille
à marier, les notions nécessaires pour résister à
uriosité, qui est déjà une influence, de pénétrer dans l’esprit de sa
fille
, en y opposant son système concentré de physiolog
e lever de dégoût, dans sa poitrine virginale, ce jeune cœur divin de
fille
innocente. On y voit, en effet (page 36), que « l
pas ! En sa qualité de bon physiologiste, l’auteur de Si j’avais une
fille
à marier ! n’oublie aucune des négations et des i
ésidât dans sa fidélité à un seul homme », loi sans texte, mais qu’en
fille
suffisamment instruite de ses devoirs physiologiq
s qu’en fille suffisamment instruite de ses devoirs physiologiques la
fille
de Weill admettra. III Tels sont les enseig
de ce catéchisme pour l’instruction présente et le bonheur futur des
filles
à marier. Cela n’est pas, comme vous voyez, très
de farine, sous ses roses mains potelées, l’auteur de Si j’avais une
fille
à marier ! ne pouvait ni se couler ni se figer da
e et plus puissant que de la physiologie et de l’idéal pour faire des
filles
fidèles et heureuses ; car elles seraient résigné
t une lutte, ou du moins une difficulté ?… L’auteur de Si j’avais une
fille
à marier ! finit par étrangler son esprit avec so
finit par étrangler son esprit avec son sujet. À force de regarder sa
fille
et d’attendre à l’horizon le gendre qui doit y ap
romans à la Greuze de Weill, faits ou à faire, que de son traité des
filles
à marier, adressé à mademoiselle sa fille. Pour m
ire, que de son traité des filles à marier, adressé à mademoiselle sa
fille
. Pour mon compte, à moi, je m’attendais à mieux…
i aller me promener quelque temps, me promener le long de la mer. « Ô
fille
, ma fille chérie, seule tu n’iras point là, mais
promener quelque temps, me promener le long de la mer. « Ô fille, ma
fille
chérie, seule tu n’iras point là, mais éveille ta
e plaignent et disent : voilà ce qu’ont fait les enfants du roi ! — Ô
fille
, ô ma fille chérie, seule tu n’iras point là, mai
et disent : voilà ce qu’ont fait les enfants du roi ! — Ô fille, ô ma
fille
chérie, seule tu n’iras point là, mais éveille to
es oiseaux qu’il trouve sur son chemin. — La mère alla à l’église, la
fille
se mit en chemin, jusqu’à ce que, au bord de l’ea
re et mère ; souci, jalousie ; logis, famille ; mise, mille ; ville,
fille
; noces, homme ; morte, folle ; gorge, rose ; œuf
iennent avec insistance ; il faut les comprendre : Dans la bouche des
filles
, mon cœur volage, mon cœur en gage, mon avantage,
t passer pour une des plus charmantes. Elle appartient au cycle de La
fille
qui fait trois jours la morte pour son honneur ga
st grotesque ou terrible : tromper ses parents, voilà l’affaire de la
fille
; tromper son mari, voilà l’affaire de la femme ;
mais telle autre dit bellement la joie héroïque de l’amour, comme la
Fille
dans la Tour, dont voici une version mutilée : L
voici une version mutilée : Le roi Louis est sur son pont, Tenant sa
fille
en son giron. Elle lui demande un timbalier Qui n
ux que tous mes parents, Vous, père et mère, qui m’aimez tant ! — Ma
fille
, il faut changer d’amour, Ou bien vous irez dans
e venir mes estafiers, Mes geôliers, mes guichetiers ! Qu’on mette ma
fille
dans la tour, Elle n’y verra jamais le jour. Ell
bout de sa septième année, Son père y vint la visiter. — Eh bien, ma
fille
, comment vous va ? — Ma foi, mon père, ça va bien
i les pieds pourris dans la terre Et les côtés mangés des vers. — Ma
fille
, il faut changer d’amour Ou bien vous resterez da
apporte, C’est une triste nouvelle. On veut me marier Avec une autre
fille
, Ô beau rossignolet. On veut me marier Avec une a
une autre fille, Ô beau rossignolet. On veut me marier Avec une autre
fille
. La fille que vous prenez, Est-elle bien jolie ?
ille, Ô beau rossignolet. On veut me marier Avec une autre fille. La
fille
que vous prenez, Est-elle bien jolie ? Ô beau ros
a fille que vous prenez, Est-elle bien jolie ? Ô beau rossignolet. La
fille
que vous prenez Est-elle bien jolie ? Pas si jol
isser dans la maison de Toulouse qui s’intitulait la congrégation des
Filles
de l’Enfance, et qui n’offre pas les mêmes caract
te de voir quel parti M. Janin en a su tirer. Mlle Jeanne de Juliard,
fille
d’un conseiller au parlement de Toulouse, naquit
d’intermédiaire entre la retraite et le monde, un asile en faveur des
filles
qui n’auraient point de vocation pour le mariage
e vie exempte de clôture et affranchie de la solennité des vœux. Les
Filles
de l’Enfance, telles que les vierges chrétiennes
cette congrégation d’une nouvelle espèce. Il y avait trois sortes de
filles
: les premières, qui devaient être damoiselles de
tes charges du gouvernement intérieur. Les secondes devaient être des
filles
de condition inférieure, mais honorable encore ;
aire que se réservait d’octroyer la fondatrice. Enfin, il y avait des
filles
du troisième rang, simples femmes de chambre et s
ure, disait-elle, donnera une fois le mois une audience à chacune des
filles
qui demandera de lui parler, les accueillera avec
riques, une espèce de parodie des Commandements de Dieu à l’usage des
Filles
de l’Enfance : Madame seule adoreras, Et l’Insti
s habits, il semblait que, sans être tout à fait des religieuses, les
Filles
de l’Enfance eussent déjà pour règle le code mign
nt qu’il vécut. En 1682 (M. de Ciron étant mort depuis deux ans), une
fille
de l’Enfance, Mlle de Prohenques, qui s’échappa d
i se répandaient dans tout le midi de la France. On supposait que les
Filles
mêmes de l’Enfance avaient été façonnées à ce tra
ré la rigueur dont on l’accusait, s’était fait tellement aimer de ses
filles
, qu’elle semblait capable de leur imposer le plus
imposer le plus exact secret. Un secret gardé par plus de deux cents
filles
! ce devait être une habile femme que Mme de Mond
s dans la province ; elle renfermait, je l’ai dit, plus de deux cents
filles
, tant maîtresses que postulantes et pensionnaires
et mourut seulement en 1703 ou 1704. Privées de leur supérieure, ses
filles
, à Toulouse, se montrèrent dignes d’elle, et sout
profaner la chapelle, on enleva les hosties et les vases sacrés. Les
Filles
de la congrégation ne continuèrent pas moins de s
décombres. Quand on envoya des soldats pour enlever d’abord quarante
filles
, puis une trentaine qui restaient, ce fut dans le
oujours une note fâcheuse contre M. d’Aguesseau d’avoir eu une de ses
filles
à l’Enfance, et on crut que, sans cette circonsta
M. Arnauld bénisse à Utrecht le mariage de Mlle de Prohenques, cette
fille
de l’Enfance qui s’était enfuie par escalade, qua
ans un écrit d’Arnauld lui-même qu’il ne parle d’elle que comme d’une
fille
apostate, et de l’homme qu’elle épouse que comme
ons si manifestes, que pour découvrir de plus en plus l’innocence des
Filles
de l’Enfance, et la malice de leurs adversaires,
pprouvé, dès le principe, l’idée de mettre en corps de communauté les
filles
destinées à l’éducation de l’enfance. C’est ce sa
. C’est ce saint évêque qui avait d’abord établi dans son diocèse des
filles
régentes pour l’éducation des personnes du sexe,
. Grandet, le père d’Eugénie Grandet, qui, après sa femme, fait de sa
fille
unique sa première victime. Balzac est avant tout
long des murs, ou quelques pièces de drap sur des rayons. Entrez. Une
fille
propre, pimpante de jeunesse, au blanc fichu, aux
clergé, le tonnelier, alors âgé de quarante ans, venait d’épouser la
fille
d’un riche marchand de planches. Grandet alla, mu
t avait alors cinquante-sept ans, et sa femme environ trente-six. Une
fille
unique, fruit de leurs légitimes amours, était âg
s connues étaient le pain bénit, la toilette de sa femme, celle de sa
fille
, et le payement de leurs chaises à l’église, la l
arice et sur le seul être qui lui fût réellement de quelque chose, sa
fille
Eugénie, sa seule héritière. Attitude, manières,
ut auprès. Depuis quinze ans, toutes les journées de la mère et de la
fille
s’étaient paisiblement écoulées à cette place, da
oirées les plus fraîches des mois d’avril et d’octobre. La mère et la
fille
entretenaient tout le linge de la maison, et empl
de la lumière. Depuis longtemps l’avare distribuait la chandelle à sa
fille
et à la grande Nanon, de même qu’il distribuait d
par lequel il avait été acquis. À l’âge de vingt-deux ans, la pauvre
fille
n’avait pu se placer chez personne, tant sa figur
alors à se marier, et voulait déjà monter son ménage. Il avisa cette
fille
rebutée de porte en porte. Juge de la force corpo
âge où le cœur tressaille. Il vêtit alors, chaussa, nourrit la pauvre
fille
, lui donna des gages, et l’employa sans trop la r
me un cadeau, tant ils étaient usés. La nécessité rendit cette pauvre
fille
si avare que Grandet avait fini par l’aimer comme
uits que les fermiers étaient obligés de donner aux cochons. Pour une
fille
des champs qui dans sa jeunesse n’avait récolté q
pitié, placée au cœur de Grandet et prise tout en gré pour la vieille
fille
, avait je ne sais quoi d’horrible. Cette atroce p
lle et se reposer en veillant. » V « Le jour de la fête de sa
fille
Eugénie, les amis de Grandet se réunissaient pour
in de prendre date pour leurs enfants comme candidats à la main de sa
fille
. » VI À ce moment on sonne à la porte, c’e
eu dans sa chambre. Il revient après cela raconter à sa femme et à sa
fille
le malheur du jeune cousin. Le lendemain, il l’in
’un marché qui lui assure un énorme bénéfice. Pendant ce temps-là, sa
fille
Eugénie descend au jardin et rêve à la fois d’amo
usetés. Quand les enfants commencent à voir, ils sourient ; quand une
fille
entrevoit le sentiment dans la nature, elle souri
choses d’ici-bas était arrivé pour Eugénie. Matinale comme toutes les
filles
de province, elle se leva de bonne heure, fit sa
pensée d’Eugénie, pensée humble et fertile en souffrances. La pauvre
fille
ne se rendait pas justice ; mais la modestie, ou
pensa-t-elle en entendant la tousserie matinale de Nanon, et la bonne
fille
allant, venant, balayant la salle, allumant son f
apercevant enfin du froid dénûment de la maison paternelle, la pauvre
fille
concevait une sorte de dépit de ne pouvoir la met
par le père Grandet, et dont il faisait de temps en temps cadeau à sa
fille
pour les lui redemander quand il voulait les cont
épreuve était arrivé ; une angoisse terrible pesait sur la mère et la
fille
. Elles firent tout pour distraire le père Grandet
t de vos pièces ? cria-t-il en fondant sur elle. « — Monsieur, dit la
fille
aux genoux de Mme Grandet, ma mère souffre beauco
père. « Elle ne tarda pas à venir, après avoir rassuré sa mère. « Ma
fille
, lui dit Grandet, vous allez me dire où est votre
et je ne saurai pas qui ! L’or est une chose chère. Les plus honnêtes
filles
peuvent faire des fautes, donner je ne sais quoi
né à quelqu’un, hein ? « Eugénie fut impassible. « A-t-on vu pareille
fille
! Est-ce moi qui suis votre père ? Si vous l’avez
— Mais tu es un enfant. « — Majeure. « Abasourdi par la logique de sa
fille
, Grandet pâlit, trépigna, jura ; puis trouvant en
jura ; puis trouvant enfin des paroles, il cria : “Maudit serpent de
fille
! Ah ! mauvaise graine, tu sais bien que je t’aim
ssible. Quoi ! ce méchant mirliflor m’aurait dévalisé…” Il regarda sa
fille
qui restait muette et froide. “Elle ne bougera pa
força la porte et lui révéla que ses sévices pouvaient contraindre sa
fille
, désormais majeure, à demander la licitation de s
i ne me l’avoir pas dit ? C’est une bonne affaire, fifille ! Tu es ma
fille
, je te reconnais.” Eugénie tremblait de tous ses
le ressaisir ; mais le tonnelier, qui avait tout à la fois l’œil à sa
fille
et au coffret, la repoussa si violemment en étend
vez déjà rendu ma mère mortellement malade ; vous tuerez encore votre
fille
. Allez maintenant ; blessure pour blessure ! ” «
ssure ! ” « Grandet tint son couteau sur le nécessaire, et regarda sa
fille
en hésitant. « “En serais-tu donc capable, Eugéni
monsieur, une fois dans votre vie.” « Le tonnelier regarda l’or et sa
fille
alternativement pendant un instant. Mme Grandet s
-vous, mon cher monsieur ? madame se meurt, cria Nanon. « — Tiens, ma
fille
, ne nous brouillons pas pour un coffre. Prends do
u ne les donneras pas, Eugénie, ceux-là, hein ? ” « Mme Grandet et sa
fille
se regardèrent étonnées. « “Reprenez-les, mon pèr
mère, dit le tonnelier, tu ne sais pas combien je t’aime. Et toi, ma
fille
! ” Il la serra, l’embrassa. “Oh ! comme c’est bo
lle ! ” Il la serra, l’embrassa. “Oh ! comme c’est bon d’embrasser sa
fille
après une brouille ! ma fifille ! Tiens, vois-tu,
nt seuls dans la maison. Le père ne songea qu’à se prémunir contre la
fille
; il lui soutira une renonciation de tous les bie
s souffert. En quittant avec joie l’existence, cette mère plaignit sa
fille
d’avoir à vivre, et lui laissa dans l’âme de lége
de sa communauté ; Louis XV et sa famille, par H. Bonhomme ; Les six
filles
de Louis XV, par J. Soury. [Le Constitutionnel,
odor di femina) dans l’histoire. Après nous avoir donné récemment les
Filles
du régent, cette Critique historique vient de les
u régent, cette Critique historique vient de les faire suivre des Six
Filles
de Louis XV, et nécessairement parmi ces dernière
d’histoire n’entendant rien à la pure et surnaturelle grandeur d’une
fille
de Louis XV, qui faisait, au temps de Voltaire, i
qui faisait, au temps de Voltaire, identiquement ce que faisaient les
filles
de Clovis au temps de saint Rémi, nous sommes rem
comme un reliquaire pris sur un autel ! II Les faiseurs que les
filles
de Louis XV ont tentés, sont Honoré Bonhomme et J
aire de la poudre de succession au profit de la libre-pensée. Ses Six
filles
de Louis XV, à Jules Soury, n’ont pas l’honnête v
t cette portière de la Révolution qui met à la porte de Versailles la
fille
de Louis XV, laquelle tire son voile de nonne sur
omplaît-il en ces putréfactions ? et jouit-il enfin de voir, dans les
filles
de Louis XV, tout ce noble et généreux sang de la
te saignée du médecin Marat ! Soury, qui les fait toutes malades, les
filles
de Louis XV, ne se contente pas de boutons et de
, d’ambition inassouvie ; et, pour finir ce portrait insolent pour la
fille
de France, qu’il calomnie en la peignant, par une
n et la gloire, l’odieux singe de Michelet ajoute : « La dernière des
filles
de France à la cour, elle sera dans un monastère
du temps orageux et souillé où elle a vécu… Aucune des sœurs de cette
fille
de roi ne partagera cet avantage avec elle d’avoi
ils ne les accuseront pas, les Mémoires du temps, — les Mémoires des
filles
de chambre qui les volèrent, des femmes de la cou
ue fut le xviiie siècle. On connaît sa moralité. Là, pour ces nobles
filles
de France, sont les sources troublées de leur his
la carmélite inconnue, qui a de ces traits, — comme on a honte d’être
fille
des champs. Dans la sainteté de cette fille de ro
— comme on a honte d’être fille des champs. Dans la sainteté de cette
fille
de roi, ce qui frappe surtout, c’est l’humilité,
ble, la vertueuse Antoinette, s’éprend d’un adolescent de l’âge de sa
fille
, qui commence, à son tour, la vie, et c’est cet a
. Dans l’une et l’autre de ces nouvelles, il y a une étude de vieille
fille
, de ce type toujours très-fécond quand il sera bi
l’observation de M. Deltuf, laquelle ne s’est pas répétée. La vieille
fille
de La Famille Percier, qui perd un mari qu’elle a
nts mêlés de faiblesse à une famille qui la tyrannise, est la vieille
fille
, pur et vieux sang, sublime et ridicule tour à to
ridicule tour à tour. Dans Le Mariage de Caroline, c’est la vieille
fille
encore, mais qui s’est donné la passion maternell
c’est la jalousie maternelle exaspérée dans le cœur de cette vieille
fille
, restée vieille fille pourtant par tous les autre
ernelle exaspérée dans le cœur de cette vieille fille, restée vieille
fille
pourtant par tous les autres cotés de son caractè
qui ont vécu et qui savent comme la vie est faite. Les deux vieilles
filles
de M. Deltuf ne ressemblent pas à La Vieille fill
Les deux vieilles filles de M. Deltuf ne ressemblent pas à La Vieille
fille
de Balzac, qui est purement et profondément comiq
que, éclairant de son comique un drame sombre. Chez les deux vieilles
filles
de M. Deltuf, le pathétique et le comique se comb
étique et le comique se combattent, mais il reste toujours la vieille
fille
idéale à nous donner, l’être fier et pur qui n’a
tant d’empire : or, celui qu’on a jeté sur la position de la vieille
fille
est si grand et si officiel, qu’ils croiraient pe
voir rejaillir jusqu’à eux, s’ils considéraient seulement la vieille
fille
par les côtés touchants, élevés, héroïques, et vo
s des saules prêtaient un peu d’ombre en été aux jolies et diligentes
filles
du hameau, dont les regards plus tard me faisaien
pressentir à qui j’avais affaire. C’était évidemment une mère et ses
filles
. La mère se leva et, s’avançant pour prendre la p
comme ceci est semblable à ce que j’avais imaginé. » C’est ma seconde
fille
, me dit sa mère, elle sait par cœur tout ce qui i
ignant de faire saigner ma douleur, trop rapprochée de la perte ; les
filles
inclinèrent leurs fronts vers le gazon et nous re
on et nous restâmes un moment en silence. — Enfin, voilà ma troisième
fille
, Marie, reprit la mère en me présentant la plus j
ntretenir de nous. Nous n’avons rien à demander à personne ; mais mes
filles
sont jeunes, comme vous voyez, et pendant que vou
un gros arbre à moitié descié près de la porte ; trois jolies petites
filles
et un tout petit garçon jouaient avec de la sciur
le ne pourrait pas nous donner à coucher. Puis, voyant ma mère et ses
filles
. « À coucher. Oui, nous dit-elle, mais à souper b
oins à son gras nourrisson, et que le père balançait les deux petites
filles
sur chacun de ses genoux avec un mouvement d’esca
aperçoit d’ici la rangée de tonneaux le long de ses pressoirs. — Mes
filles
se levèrent à ces mots, regardant juste ici, mons
a nous touchait plus que tout le reste. Pauvre Milly, disais-je à mes
filles
tout bas, quel dommage que la France n’ait pas pu
lui rapporterions de la surprise. VIII Le lendemain matin, mes
filles
avaient dit adieu à la mère et embrassé les enfan
— Si vous n’êtes pas pressées et que vos jeunes jambes, dit-il à mes
filles
, puissent s’accommoder au pas un peu ralenti d’un
oir plein de belle eau bleue et bordé de cinq ou six jeunes et belles
filles
de Milly. Nous les saluâmes poliment, et il y en
Lamartine pour suspendre aux branches les berceaux successifs de ses
filles
et travailler à l’ombre pendant les chaleurs. — E
conserver religieusement les vestiges de madame de Lamartine, de ses
filles
et de son fils. On entrait par un vestibule au bo
sa visiter seules les pièces du second étage, conduites par sa petite
fille
, pendant qu’elle allait commander le déjeuner. Pe
ssé qui nous entretenaient de madame de Lamartine, de son mari, de sa
fille
, et de M. Alphonse. La conversation ne finissait
et délicieux repas. Les femmes nous servaient à qui mieux mieux. Mes
filles
auraient voulu que leur père eût pu nous voir rec
et nous entendîmes parler d’une voix très-douce. — Eh bien, ma pauvre
fille
, dirent-elles à quelqu’un que nous ne voyions pas
loups à la maison, il n’a point eu de repos, ainsi que ses charmantes
filles
, qu’il ne vous ait obtenu ce changement d’état. P
uit à côté servait de couchette au père quand il y était ; quant à la
fille
, elle avait pour lit une vieille pétrissoire où e
ssi dans la chambre ; ils mangeaient un peu de blé noir que la pauvre
fille
semait autour de la cabane et qu’ils disputaient
rop haut ; madame de Lamartine qui élevait elle-même les cent petites
filles
de la paroisse, se sentant mourir, voulut que sa
tions que nous avons lues, que c’était l’endroit où votre mère, votre
fille
ramenée de Palestine, votre compagne enfin de cet
upèdes. XXIII Les religieuses nous ayant présentées à une brave
fille
, ancienne gouvernante du château qui connaissait
e ont prodiguées dans les appartements, les portraits chéris de votre
fille
qui sortent partout des murailles comme pour vous
… Nous ne pouvions penser à enregistrer tout dans nos souvenirs ; mes
filles
prenaient des notes en silence, moi je priais tou
siter. Les religieuses nous donnèrent pour guide une de leurs petites
filles
en lui disant de nous mener partout où vous aviez
ccents d’infini. Après une longue station au bord de l’eau, la petite
fille
nous conduisit sur la rive du bois, et un grand c
ne de Jocelyn, du nom du livre où ce poëme fut écrit. De là la petite
fille
nous fit tourner la vallée pour remonter du côté
rrice, du nom d’une pauvre femme qui donna son lait à votre charmante
fille
. Nous passâmes toute la journée entière à marcher
Sévigné en sortit. Mlle Marie de Rabutin-Chantal, née en 1626, était
fille
du baron de Chantal, duelliste effréné, qui, un j
un duel en 1651. Mme de Sévigné, libre à cet âge, avec un fils et une
fille
, ne songea pas à se remarier. Elle aimait à la fo
gea pas à se remarier. Elle aimait à la folie ses enfants, surtout sa
fille
; les autres passions lui restèrent toujours inco
s prétentions, elle s’était mise dans le monde sur le pied d’aimer sa
fille
, et ne voulait d’autre bonheur que celui de la pr
ergère et de cette nymphe qu’une mère idolâtre appelait la plus jolie
fille
de France. En 1669, M. de Grignan l’obtint en mar
t général, durant l’absence de M. de Vendôme. Désormais séparée de sa
fille
, qu’elle ne revit plus qu’inégalement après des i
les lacunes qui tiennent aux réunions passagères de la mère et de la
fille
. Avant cette séparation de 1671, on n’a de Mme de
e cœur, et Mme de Sévigné les interrompt tous pour citer un mot de sa
fille
, une espièglerie de son fils, une distraction du
nversations infinies : « Après le dîner, écrit-elle quelque part à sa
fille
, nous allâmes causer dans les plus agréables bois
on esprit et de toute son âme. Mme de Sévigné loue continuellement sa
fille
sur ce chapitre des lettres : « Vous avez des pen
res, on ne lui a pas moins contesté la sincérité de son amour pour sa
fille
; et en cela on a encore oublié le temps où elle
que les manies y deviennent souvent des passions. Elle idolâtrait sa
fille
et s’était de bonne heure établie dans le monde s
dit une personne vraie ; elle aurait inventé cette expression pour sa
fille
, si M. de La Rochefoucauld ne l’avait déjà trouvé
le, et dont pourtant on se rendait moins compte : c’était penser à sa
fille
absente en Provence, à son fils qui était en Cand
ressément que la morale soit chrétienne, et raille plus d’une fois sa
fille
d’être entichée de cartésianisme10. Quant à elle,
ncore à le lui pardonner : c’est lorsqu’elle raconte si gaiement à sa
fille
la révolte des paysans bas-bretons et les horribl
carrosse tout ouvert, au milieu de M. son fils et de mademoiselle sa
fille
: tous trois tels que les poëtes représentent Lat
t comme tenue en réserve pour descendre ensuite et se reporter sur sa
fille
. Veuve de bonne heure, aux belles années de sa je
n’avoir jamais aimé d’amant. Que d’épargne, quel trésor d’amour ! Sa
fille
hérita de tout, et des intérêts accumulés. 9. «
avait la grâce, mais non pas très-raisonnable et solide : l’autre, la
fille
, avait la raison, mais un peu rêche, ce semble, n
r la postérité, elles écrivaient l’une pour son mari, l’autre pour sa
fille
. Les poésies conjugales de Vittoria Colonna ne ch
e madame de Sévigné ne briguaient d’autre prix que la tendresse d’une
fille
. Elles restaient femmes, elles restaient mères, e
loire on le perd en amour. Racontons : IX Madame de Staël était
fille
de M. Necker. On peut dire d’elle qu’elle naquit
suppléaient au dessin par le coloris : on croyait voir une vigoureuse
fille
des neiges de la Suisse, mais étrangère au milieu
ppelée auprès d’elle pour donner un objet aux premières amitiés de sa
fille
encore enfant, raconte ainsi les premiers épanche
uil de madame Necker était un petit tabouret de bois où s’asseyait sa
fille
, obligée de se tenir bien droite. À peine eut-ell
e monde. Chacun, en s’approchant de madame Necker, disait un mot à sa
fille
, lui faisait un compliment ou une plaisanterie… E
ité de monsieur Necker pour les qualités brillantes de l’esprit de sa
fille
, et la sévérité de madame Necker, qui voyait des
dangers dans la précocité de ce génie, établirent entre le père et la
fille
une intimité d’esprit qui blessa la mère. Madame
ui ne se réchauffa plus jamais glaça les rapports de la mère et de la
fille
. Madame Necker avait voulu faire de sa fille un m
orts de la mère et de la fille. Madame Necker avait voulu faire de sa
fille
un modèle, la nature en avait fait un prodige ; e
les traces de cette tristesse de la mère et de cet éloignement de la
fille
dans les entretiens de madame Necker et dans les
hâtiment ; cette célébrité attire de loin les regards du monde sur la
fille
et glace de près ces trois cœurs qui éprouvent la
es à cet exemple : la publicité à laquelle on a témérairement voué la
fille
devient le fléau du foyer. XIII La conversa
ité, dans la Providence et dans la destinée immortelle de l’âme. Leur
fille
était née dans une atmosphère plus libre que cell
ait retrempé même son talent politique affadi par l’air des cours. La
fille
de M. Necker devait bientôt y écrire les plus bea
r faisait déclamer jusqu’aux chiffres. Il n’est pas étonnant que leur
fille
ait contracté dans cette société le vice du temps
; là les usages, la modestie, l’ombre du foyer domestique imposés aux
filles
, aux femmes, aux mères, les renfermaient dans le
erve un peu contrainte de la mère affligée de l’éclat prématuré de sa
fille
, y laissaient la parole à mademoiselle Necker. L’
ent ces prétendants français, anglais ou italiens de la main de cette
fille
unique, malgré la fortune, le crédit, la populari
e pas apprécier à leur prix de hautes alliances ; en anoblissant leur
fille
en Suède, ils anoblissaient en France leur propre
la célébrité littéraire précoce de madame de Staël et à sa qualité de
fille
du ministre le plus influent du conseil du roi. T
e le plus influent du conseil du roi. Trois enfants, deux fils et une
fille
naquirent de ce mariage. Il ne fut troublé que pl
gers du roi et du peuple, il était rentré à Paris avec sa femme et sa
fille
, comme un triomphateur, par la dernière brèche de
éjà plus qu’au gré des tempêtes, et il se réfugia avec sa femme et sa
fille
dans son château de Coppet, à l’abri de la révolu
eau de Coppet, à l’abri de la révolution, sur une terre étrangère. Sa
fille
, protégée par son titre d’ambassadrice, ne tarda
de nouvelles preuves d’amour à ses enfants. Pendant la maladie de sa
fille
, il n’est aucun genre de services que sa tendress
grand publiciste. Ils replacèrent très-haut sur la scène politique la
fille
un moment oubliée de M. Necker. Les grandes voix
nettes d’une armée dont les chefs ne connaissaient pas même de nom la
fille
de M. Necker, il portait, dès le lendemain du 18
ialité nous oblige à dire que tous les conseils de Marie-Thérèse à sa
fille
n’étaient pas également bons ; nous distinguerons
de son côté, Marie-Thérèse, changeant un moment de rôle auprès de sa
fille
et passant du ton de mentor à celui de solliciteu
e Louis XVI. Pour qui ne lirait que ces lettres de Marie-Thérèse à sa
fille
, il semblerait en ressortir clair comme le jour q
est en jeu, on n’est plus sincère, fût-on Marie-Thérèse écrivant à sa
fille
. Au début, Marie-Thérèse, qui ne s’abusait pas, f
de prime abord, a fait appel avec énergie à tous les sentiments de sa
fille
: « Le 1er février 1778. « Madame ma chère fille
es sentiments de sa fille : « Le 1er février 1778. « Madame ma chère
fille
, la maladie de Mercy (l’ambassadeur) ne pouvait v
ion qui l’a dictée : « Vienne, le 19 février 1778. « Madame ma chère
fille
, c’est à cinq heures du matin et bien à la hâte,
çon encore, lorsqu’elle écrivait le 14 mars 1778 : « Madame ma chère
fille
, le courrier nous est revenu hier du 2, et nous a
me, et celle-ci, reconnaissant jusque dans les demi-résistances de sa
fille
ses propres pensées, sa propre sagesse, se fût éc
propre sagesse, se fût écriée avec orgueil : « Elle est deux fois ma
fille
et mon sang ! » Mais c’est trop, je l’ai dit ; ne
s. On comprend très bien, en lisant les lettres de Marie-Thérèse à sa
fille
, comment elle fut amenée à cette démarche pacifiq
Frédéric, et aussi combien de telles avances durent coûter à la noble
fille
des Habsbourg. Elle détestait Frédéric de tout so
emps d’être très bien avec vos ministres, écrivait Marie-Thérèse à sa
fille
(17 mai 1778) ; il prétend même leur avoir commun
, n’a fait que grandir en effet. Marie-Thérèse, dans ses lettres à sa
fille
, a toujours soin de dissimuler le jeune parti aut
ne ; elle a fléchi : « Schœnbrunn le 6 août 1778 « Madame ma chère
fille
, Mercy est chargé de vous informer de ma cruelle
s que j’ai fait vis-à-vis de ce cruel ennemi m’a bien coûté. Ma chère
fille
! il ne s’agit plus de jalousie entre nos deux mo
embonpoint qui enchaînait son activité. On voit dans une lettre à sa
fille
, que celle-ci lui ayant demandé la mesure d’un de
année, durent hâter sa fin, La dernière lettre de Marie-Thérèse à sa
fille
est du 3 novembre 1780 : elle mourait le 29 du mê
ontrant sans cesse du doigt la femme a séduire, la sœur à enlever, la
fille
a déshonorer. Le roi dans les mains de Triboulet
t le déshonneur de Diane de Poitiers. Ce père auquel le roi a pris sa
fille
, Triboulet le raille et l’insulte. Le père lève l
. Sur Triboulet qui est homme, qui est père, qui a un cœur, qui a une
fille
. Triboulet a une fille, tout est là. Triboulet n’
homme, qui est père, qui a un cœur, qui a une fille. Triboulet a une
fille
, tout est là. Triboulet n’a que sa fille au monde
a une fille. Triboulet a une fille, tout est là. Triboulet n’a que sa
fille
au monde, il la cache a tous les yeux, dans un qu
ans la ville la contagion de la débauche et du vice, plus il tient sa
fille
isolée et murée. Il élève son enfant dans l’innoc
atteindra Triboulet dans la seule chose qu’il aime au monde, dans sa
fille
. Ce même roi que Triboulet pousse au rapt, ravira
e, dans sa fille. Ce même roi que Triboulet pousse au rapt, ravira sa
fille
à Triboulet. Le bouffon sera frappé par la provid
ment de la même manière que M. de Saint-Vallier. Et puis, une fois sa
fille
séduite et perdue, il tendre un piège au roi pour
séduite et perdue, il tendre un piège au roi pour la venger, c’est sa
fille
qui y tombera. Ainsi Triboulet a deux élèves, le
t sa fille qui y tombera. Ainsi Triboulet a deux élèves, le roi et sa
fille
, le roi qu’il dresse au vice, sa fille qu’il fait
et a deux élèves, le roi et sa fille, le roi qu’il dresse au vice, sa
fille
qu’il fait croître pour la vertu. L’un perdra l’a
perdra l’autre. Il veut enlever pour le roi madame de Cossé, c’est sa
fille
qu’il enlève. Il veut assassiner le roi pour veng
c’est sa fille qu’il enlève. Il veut assassiner le roi pour venger sa
fille
, c’est sa fille qu’il assassine. Le châtiment ne
u’il enlève. Il veut assassiner le roi pour venger sa fille, c’est sa
fille
qu’il assassine. Le châtiment ne s’arrête pas à m
, pour se l’attacher, lui fit même épouser sa propre cousine Chimène,
fille
de Diego, comte d’Oviedo. De ce mariage devenu si
une auprès de son père et le vengeant. On voit apparaître Chimène, la
fille
du comte ; mais sous quelles couleurs ! et que to
comte tué, et ses deux fils faits prisonniers par Rodrigue, les trois
filles
du comte qui sont encore à marier, l’aînée Elvire
eigneur, car nous n’avons nul motif pour vous le cacher ; nous sommes
filles
du comte don Gormaz, et vous l’avez envoyé tuer.
ils de ma mère. Faites attention au monde, seigneur, par charité. Les
filles
ne sont point coupables pour ce qu’a fait le père
jour que le comte de Savoie, prisonnier de Rodrigue, lui a offert sa
fille
en mariage, le victorieux refuse, non pas en disa
Je suis déjà marié », mais comme n’étant pas de ceux à qui appartient
fille
de comte et si riche héritière. Cette Chronique r
Valence et à sa rentrée en grâce auprès de son roi qui marie ses deux
filles
. La seconde chanson se rapporte au triste épisode
pour aller de là à Saint-Pierre faire ses adieux à sa femme et à ses
filles
. Le vol des oiseaux, cette superstition qui avait
i qui était rempli de sable. » Enfin, un poète moderne fait dire à la
fille
du Cid, pour le justifier à ce sujet des deux cof
se rend à Saint-Pierre de Cardègne pour embrasser dona Chimène et ses
filles
. Arrivant à l’aube, il la trouva en prière, accom
ge. Et voici, pour doña Chimène je vous donne cent marcs. Elle et ses
filles
et ses dames, servez-les cette année. Je laisse d
le et ses filles et ses dames, servez-les cette année. Je laisse deux
filles
bien jeunes, prenez-les sous votre protection. Je
eux qu’il échange avec Chimène, lorsqu’elle vient à lui avec ses deux
filles
, rappellent les scènes analogues les plus touchan
anciens et pieux héros : « Voici que doña Chimène arrive là avec ses
filles
. Une dame conduit chacune d’elles, et on les amèn
ci, déjà, Cid, barbe très-accomplie. Me voici devant vous, moi et vos
filles
qui sont enfants et bien jeunes, ainsi que ces mi
inte Marie. » Il posa les mains sur sa belle barbe ; puis il prit ses
filles
dans ses bras, et les pressa sur son cœur, car il
et à sainte Marie que je puisse encore de ma main marier ces miennes
filles
, et qu’il m’accorde du bonheur et quelques jours
son seigneur et a obtenu de lui de laisser venir Chimène et ses deux
filles
qu’il n’a pas revues depuis cet adieu déchirant,
: « Grâces au Créateur et à sainte Marie mère ! j’ai près de moi mes
filles
et ma femme… J’entrerai en guerre, je ne pourrai
filles et ma femme… J’entrerai en guerre, je ne pourrai l’éviter. Mes
filles
et ma femme me verront combattre. En ce pays étra
nde. Vous êtes depuis peu arrivée, on veut vous faire un présent. Vos
filles
sont à marier, on vous apporte le trousseau. » L
terre, roman (1864). — Agamemnon, tragédie en cinq actes (1868). — La
Fille
de Roland, drame en quatre actes (1875). — Les No
France par le poète patriotique qui devait faire mieux encore dans sa
Fille
de Roland et dans son Attila. J’ai parcouru l’œuv
vous et moi, qu’il souffle sur nous. Mais, le jour où il écrivait la
Fille
de Roland, cet honnête homme a, à force de sincér
peu trop souvent à l’hémistiche ou à la rime, il n’y a rien, dans la
Fille
de Roland, de ce patriotisme de réunion publique
l’âme même et comme la respiration de l’œuvre… Ce qui manque dans la
Fille
de Roland, ce ne sont pas précisément les beaux v
notre affaire. L’admirable clarté, netteté et sûreté de marche de la
Fille
de Roland a des chances de ne plus se retrouver i
[Le Théâtre contemporain (1890).] Émile Faguet La reprise de la
Fille
de Roland a été une très belle soirée de la Coméd
grande. Nous nous rappelions, nous autres vétérans de l’orchestre, la
Fille
de Roland comme un beau succès de 1874 et comme u
la peine de naître, peut se transmettre de père en fils, — et même en
fille
, — et qu’en littérature, il y a des races, il y a
qui se croit rajeuni ! Présentement, tout père célèbre qui a fils ou
fille
, — la différence est maintenant si peu de chose !
a différence est maintenant si peu de chose ! — voit ce fils ou cette
fille
se poser en héritiers plus ou moins présomptifs o
I Et c’est ce qu’a très bien compris Mme Marie-Alexandre Dumas… la
fille
du grand Dumas, comme on dit. Elle vient de prend
up d’autres n’étaient pas ou n’avaient pas été des célibataires ! Les
filles
des hommes célèbres qui se contentent de filer de
r en famille, devant le public, depuis Mme de Sévigné qui n’aimait sa
fille
que par lettres, cela a toujours réussi ; au cont
Mme Marie-Alexandre Dumas ne se contente pas, dans son livre, d’être
fille
comme Mme de Staël l’était, avec cette bouffissur
s poëtes dramatiques ! dont elle veut qu’on sache qu’elle est bien la
fille
! dont elle veut qu’on sache qu’elle est bien la
physique, impudique et violemment sec, comme lui. Je retrouve ici la
fille
, le type de la fille qu’il aime tant à peindre. S
et violemment sec, comme lui. Je retrouve ici la fille, le type de la
fille
qu’il aime tant à peindre. Sur ce point-là, et en
es de l’Impératrice à la plus illustre et la plus intéressante de ses
filles
, Marie-Antoinette, et c’est cette Correspondance
la jeune reine déguignonnée, dût-elle n’avoir la première fois qu’une
fille
, finit cependant par s’insurger ; elle demande à
ui fut point donné de le voir exaucé. Elle mourut avant d’avoir vu sa
fille
mère de celui qu’on appelait l’héritier du trône.
grande souveraine, s’adressant dans l’intimité à la plus jeune de ses
filles
qu’elle voit entourée de périls et de pièges, au
1770.) » Une des recommandations continuelles de Marie-Thérèse à sa
fille
et qui reviennent sans cesse et jusqu’à satiété,
ne, et bientôt la jeune reine de France, comme elle ferait une petite
fille
à peine sortie de pension : pour moi, je suis fra
ant et mieux que personne, les heureuses et charmantes qualités de sa
fille
, de « cette gentille Antoinette », comme elle l’a
e que vous avez vu et appris ici. » Elle ne cesse de conseiller à sa
fille
des lectures fortes, des lectures suivies ; elle
eunes dames ou cavaliers, vous perdriez le reste. Ce défaut, ma chère
fille
, dans une princesse, n’est pas léger ; il entraîn
n si pauvre rôle, et dont elle craignait la mauvaise influence sur sa
fille
: « Ce qui m’a fait de la peine et m’a convaincu
» On sourit à la seule idée d’une telle comparaison entre Mesdames,
filles
de Louis XV, et celle dont Frédéric, le glorieux
échappent de temps en temps à la plume de Marie-Thérèse, adjurant sa
fille
et la pressant de se corriger ; je sais qu’il n’y
ement qui n’ont pas d’exemple ; mais je le suis aussi de l’état de ma
fille
, qui court à grands pas à sa perte, étant entouré
rte à la contradiction et au doute. Les sermons de Marie-Thérèse à sa
fille
, comme elle-même les appelle, renferment donc bie
sse la réputation ou seulement le bon goût, le bon esprit de sa chère
fille
: elle ne peut croire, par exemple, à l’exagérati
surabondantes, que Marie-Thérèse a parfaitement saisi le faible de sa
fille
et ce qui a annulé chez elle tant de nobles et ch
onfidentielles d’une mère comme d’une déposition aggravante contre la
fille
. Les pièces toutefois subsistent, et l’histoire a
ier Pasquier.) 64. Ce reproche paraît s’adresser surtout à Mesdames,
filles
de Louis XV, et il est même un peu réversible, en
non contente de la mort des coupables, exigea qu’un garçon et qu’une
fille
, le plus beau et la plus belle du pays, fussent i
er sa part du butin. C’est Polixène qu’il lui faut, la plus jeune des
filles
de Priam ; et Néoptolème verse le sang de la vier
cée se vouer au salut de Thèbes ; Érechtée et Leos sacrifièrent leurs
filles
aux divinités souterraines, pour les réconcilier
La veille de la bataille de Leuctres, Pélopidas endormi crut voir les
filles
de Scédasos se lamenter sur leur tombeau, et lanc
nsuite à Pélopidas, et lui commanda d’immoler une vierge rousse à ses
filles
, s’il voulait vaincre l’armée de Sparte. Ce pacte
le, couronnée de guirlandes, fut aussitôt conduite sur le tombeau des
filles
de Scédasos, et joyeusement sacrifiée, aux applau
emina vers Pise en Élide, attiré par la beauté renommée d’Hippodamie,
fille
d’Oenomaos. Mais Oenomaos, sachant, par l’avertis
Oenomaos, sachant, par l’avertissement d’un Oracle, que l’époux de sa
fille
serait son meurtrier, avait proclamé qu’il ne don
t Oenomaos se brisa la tête dans sa chute. Pélops vainqueur épousa sa
fille
, et s’embarqua avec elle pour regagner la Phrygie
ur un de ses chemins, il a rencontré, la nuit, dans un bois sacré, sa
fille
Pélopée. Or, un autre oracle avait annoncé que le
n autre oracle avait annoncé que le vengeur de Thyeste naîtrait de sa
fille
. Thyeste viole sa fille, à qui les ténèbres cache
oncé que le vengeur de Thyeste naîtrait de sa fille. Thyeste viole sa
fille
, à qui les ténèbres cachent son visage, pour susc
nue d’attirer la foule. C’est un père qui vient de payer la dot de sa
fille
. Le sujet est pathétique, et l’on se sent gagner
. Puis en continuant de suivre la composition de droite à gauche, une
fille
aînée debout, appuyée sur le dos du fauteuil de s
eds de la mère, une poule qui conduit ses poussins auxquels la petite
fille
jette du pain ; une terrine pleine d’eau, et sur
e tous les vêtements de cette figure et des autres sont vrais ! Cette
fille
charmante n’est point droite, mais il y a une lég
ue large, et à merveille. D’une main elle tient le haut du bras de sa
fille
; de l’autre elle serre ce bras au-dessus du poig
serre ce bras au-dessus du poignet. Elle est assise ; elle regarde sa
fille
de bas en haut ; elle a bien quelque peine à la q
st un brave garçon, honnête et laborieux ; elle ne doute point que sa
fille
ne soit heureuse avec lui. La gaieté et la tendre
laquelle elle cherche sa vie, a six à sept enfants ; et cette petite
fille
qui leur jette du pain, et qui les nourrit. Il fa
Paris. La mère est une grosse marchande de fruits ou de poissons ; la
fille
est une jolie bouquetière. Cette observation est,
Lettres sur l’éducation des
filles
, par Mme de Maintenon16 Lundi 6 novembre 1854
ension à Montmorency ; elle lui envoie des petites pensionnaires, des
filles
de pauvres gens à élever. Plus tard, la pension d
elon les besoins de chaque jour. D’abord il s’agit surtout de pauvres
filles
qu’on élève pour servir ; les avis de Mme de Main
À Noisy, Mme de Maintenon recevait des demoiselles, c’est-à-dire des
filles
nobles, dont le roi payait les pensions. Dans un
er le vrai comme vrai, le faux comme faux. » — « Il faut parler à une
fille
de sept ans aussi raisonnablement qu’à une de vin
« Il faut leur apprendre à aimer raisonnablement, disait-elle de ses
filles
adoptives, comme on leur apprend autre chose. » E
en bénéfices, pour fonder l’établissement qu’il fait à Saint-Cyr des
filles
qui sont encore à Noisy, et pour cela Sa Majesté
é donnera les places de religieuses de chœur dans tout le royaume aux
filles
de cette maison-là qui voudront se mettre dans de
e mal, et elle prend tout sur son compte : La peine que j’ai sur les
filles
de Saint-Cyr ne se peut réparer que par le temps
point ce qui seul peut faire un fondement solide, j’ai voulu que les
filles
eussent de l’esprit, qu’on élevât leur cœur, qu’o
oses fomentent l’orgueil, plusieurs petites choses le détruiront. Nos
filles
ont été trop considérées, trop caressées, trop mé
r faire garder le règlement de la journée… Il faut encore défaire nos
filles
de ce tour d’esprit railleur que je leur ai donné
te par un aveu vrai et qui n’a rien d’une fausse humilité : « Que vos
filles
ne se croient pas mal avec moi, cela ne ferait qu
e-t-elle (octobre 1703), parlant à l’une des maîtresses, pour que vos
filles
vissent d’aussi près que je le vois combien nos j
nous ne passions jamais sans quelque étonnement. C’était une vieille
fille
de quarante-cinq ans, coiffée d’une large capote
lais, et, reprenant vivement : — Ah ! celle-là, mon fils, c’était la
fille
du broyeur de lin. — Qu’est-ce que le broyeur de
omme auparavant. » Sa femme mourut, je crois, à Jersey. Il avait une
fille
qui était née vers l’époque de l’émigration. C’ét
était née vers l’époque de l’émigration. C’était une belle et grande
fille
(tu ne l’as vue que fanée) ; elle avait de la sèv
s fils. Les principes empêchaient de la marier à un paysan. La pauvre
fille
restait ainsi suspendue comme une âme en peine :
t et sa condition ne permettait pas de la faire sœur converse. Pauvre
fille
! jetée dans le faux, elle était condamnée à y pé
ci, elle était une demoiselle, ils ne pensaient pas à elle. La pauvre
fille
vivait ainsi dans une solitude absolue. Il n’y av
sait chez ce dernier. Il faisait l’éducation du jeune neveu ; pour la
fille
, il avait ces manières réservées qu’ont nos ecclé
resse la vanité féminine en ce qu’elle a de plus intime. » La pauvre
fille
se prit ainsi pour le vicaire d’un amour profond,
nconciliable avec l’horreur d’un sacrilège. En tout cas, notre pauvre
fille
était si timide, que la parole eût expiré sur ses
infranchissable, renonce à son cours direct et se détourne, la pauvre
fille
, n’ayant aucun moyen de dire son amour à celui qu
glace. Le vicaire ne sortit pas d’une froideur absolue. Elle était la
fille
de l’homme qu’il respectait le plus, mais elle ét
bout de quelque temps, ce fut cruel. Repoussée, désespérée, la pauvre
fille
dépérissait, son œil s’égara, mais elle s’observa
u’elle ne sait pas distinguer de la réalité. Je n’oublierai jamais la
fille
de Marzin, le menuisier de la Grand’Rue, qui, fol
s naturellement la vie du prêtre, c’était la vie du ménage. La pauvre
fille
était faite pour l’union conjugale. Sa folie étai
lle fut amenée à une incroyable aberration. Que veux-tu ! ces pauvres
filles
prouvent par leurs égarements les saintes lois de
nvoyer ses hôtes sans collation. Au moment du plus vif embarras, — la
fille
apparaît : « Ah ! pour cette fois, vous acceptere
on rapportait au presbytère le linge qui avait été volé. » La pauvre
fille
, vu son peu de raison, avait espéré que l’escland
ntérieure. Avant cela, il n’était venu à la pensée de personne que la
fille
de Kermelle fût folle. Extérieurement, elle était
broyeur de lin reprit ses insignes, se retira rapidement, emmenant sa
fille
, et revint au village de nuit. » Au milieu de ce
r. On pourrait croire que la première fois qu’il revit Kermelle et sa
fille
, il éprouva quelque trouble. Il n’en fut rien. Il
ndit au manoir à l’heure où il savait devoir rencontrer le père et la
fille
. « Vous avez péché gravement, dit-il à celle-ci,
s comme les païens, qui n’ont pas d’espérance. » » Après sa mort, sa
fille
se trouva sans ressources. On s’entendit pour qu’
Chapitre VIII. La
Fille
. — Iphigénie. Iphigénie et Zaïre offrent, pour
. — Iphigénie. Iphigénie et Zaïre offrent, pour le caractère de la
fille
, un parallèle intéressant. L’une et l’autre, sous
Agamemnon, en obéissant aux dieux, ne fait, après tout, qu’immoler sa
fille
à son ambition. Pourquoi la jeune Grecque se dévo
est en ceci que Zaïre nous paraît plus touchante qu’Iphigénie. Que la
fille
d’Agamemnon meure pour faire partir une flotte, l
e que le Père Brumoy n’a pas vu, c’est que l’Iphigénie moderne est la
fille
chrétienne. Son père et le Ciel ont parlé, il ne
elle poésie, qui agrandit les objets et aime un peu l’exagération. La
fille
d’Agamemnon, étouffant sa passion et l’amour de l
de l’amitié fraternelle, mais ce que nous avons dit du fils et de la
fille
s’applique également à deux frères, ou à un frère
resles était ruiné de fond en comble, et il lui a donné en mariage sa
fille
Antoinette, ornée d’une dot de cinq cent mille fr
éfraye sa table, il solde ses fournisseurs, il paye la toilette de sa
fille
et les équipages du jeune homme. On n’a jamais vu
i sied bien, à ce vil Poirier, de reprocher à son gendre la dot de sa
fille
! N’était-elle pas le prix du tripotage politique
? Gaston lui a vendu son nom ; soit, mais ne lui a-t-il pas vendu sa
fille
, et, des deux marchés, lequel est donc le plus vi
rquise de tout à l’heure ne serait-elle que la demoiselle Poirier, la
fille
de son père ? Attendez donc ! A peine le gentilho
l est donc puni et bien puni, le Poirier : son gendre lui échappe, sa
fille
l’abandonne, il lui reste sa marotte à faire sonn
a pendule, dans son salon, les jours de gala. Cet homme heureux a une
fille
, une fille à marier, qui se présente à ses préten
dans son salon, les jours de gala. Cet homme heureux a une fille, une
fille
à marier, qui se présente à ses prétendants avec
le comme de l’éventail. Tant il y a que M. Roussel voudrait marier sa
fille
et que ses scrupules romanesques le désolent et l
t tout à l’heure. Alors, ma foi ! le bourgeois se risque ; il pose sa
fille
sur la table, la fait sonner, comme un sac qui vi
enaient ses lèvres : il ne peut épouser Caliste, parce qu’elle est la
fille
de son père, et que M. Roussel passe pour avoir p
, au milieu du monde soulevé contre lui. Il s’accuse du malheur de sa
fille
, obligée de renoncer à celui qu’elle aime. Et si
eds le vil métal. Puis il reprend à sa manière le rêve casanier de sa
fille
: c’est le gaboulet de Paul de Kock après la flût
comme un bon bourgeois, dans une jolie maison à contrevents verts, sa
fille
n’en reste pas moins la fille du bourreau… un vil
ne jolie maison à contrevents verts, sa fille n’en reste pas moins la
fille
du bourreau… un vilain parti. Quant à cette Calis
ouver un peu maniérée dans ses cantiques éternels à la pauvreté ! Une
fille
de nabab rêvant la chambrette de Jenny l’ouvrière
sques, de la couronne d’épines du Calvaire, pour celle-là, pour cette
fille
du ciel, l’orgue n’a pas assez d’hymnes, l’encens
moulins son incognito, et ne demande pas mieux que de redevenir bonne
fille
, comme devant. Ce Montrigaud est, d’ailleurs, trè
e le royaliste, elle se fleurdelise ; elle se présente à lui comme la
fille
d’un paysan vendéen mort à la Pénissière, en cria
son incarnation de grande dame. On n’est pas préparé à son caprice de
fille
aspirant à redescendre, quatre à quatre, le faite
n’est pas qu’il ne soit vrai, en lui-même, ce premier mouvement de la
fille
étendant la main pour prendre et se vendre. C’est
, sa robe montante de grande dame, son masque de femme honnête, et la
fille
reparaît, la fille parisienne qui regrette son él
de grande dame, son masque de femme honnête, et la fille reparaît, la
fille
parisienne qui regrette son élément de boue, de C
as du vice à table et en appétit ; c’est la gamelle du cynisme. Cette
fille
perdue qui médite de se perdre encore, cette mère
l. Il nous a peint, en traits de feu, l’ensorcellement matériel d’une
fille
, ingénue comme une sauvage, qui, retirée de l’enf
es d’une petite société à demi claustrale, j’aurais compris que cette
fille
du quartier Bréda sentît son sang de lorette boui
t Sparte, le Maroc, l’Égypte, la Moscovie ou la Perse. Isabelle était
fille
du roi d’Égypte ou veuve spartiate, et Burattino,
r groupes. Ainsi vous avez Pantalone de’ Bisognosi, Vénitien, avec sa
fille
Isabelle, son fils Oratio, son valet Pedrolino et
e part, Zanobio ou Cassandro ou le docteur Gratiano Forbisone avec sa
fille
ou sa femme Flaminia, son fils Flavio ou Cinthio,
uelques analyses sommaires. « Dans Lo Specchio (le Miroir), Isabelle,
fille
illégitime de Pantalon, est amenée à Rome par sa
n et son amour pour Olympia, Olympia abandonnée donnant le jour à une
fille
, cette fille grandissant, venant à Rome, se dégui
r pour Olympia, Olympia abandonnée donnant le jour à une fille, cette
fille
grandissant, venant à Rome, se déguisant en page
n quella e Olympia è mia madre !” (Mon père, c’est moi qui suis cette
fille
et Olympia est ma mère !). » Pantalon, attendri,
ourd’hui), Stefanello, Vénitien, est en correspondance pour marier sa
fille
Ortensia à un jeune homme de Gênes nommé Flaminio
d à Bologne et de Bologne à Rome, ayant pris le nom de Pantalon et sa
fille
celui d’Isabelle. Cependant Flaminio, qui n’était
t à Venise, et dans laquelle il a vu le vrai nom de celui-ci et de sa
fille
. Le capitan a excité la jalousie de Flaminio ; ma
a beauté d’Isabelle, il renonce à son projet et demande la main de sa
fille
. Isabelle découvre à Flaminio qui elle est et qui
a, bien qu’il soit aimé d’Isabelle, obtient de Pantalon la main de sa
fille
Flaminia. Flaminia, que le récit de Flavio a plon
l’édition Lemerre ; il y a l’édition populaire, — pour apprendre aux
filles
d’ouvriers à devenir des Manon Lescaut. Il y avai
ris un Ménélas !… Alfred de Musset, qui a osé traiter de Sphinx cette
fille
, au cœur ouvert comme la rue et dans lequel il es
t inconsciemment malpropre, parce qu’elle obéissait à son instinct de
fille
, — à cet instinct qui s’est si largement développ
i ne sont pas très nombreuses, allez ! rien n’étant plus bête que ces
filles
-là. Manon Lescaut, ce roman bon pour des portière
plaît quand l’autre a payé ! Elle a enfin inauguré l’avènement de la
fille
, qui jusque-là n’avait régné que dans l’histoire
, cette chanson de sauvage bondissant autour de son ennemi : « Va, ma
fille
! continue, fais ton œuvre, paye-toi des muscles
le style de l’abbé Prévost ! Il a beau nous raconter la vie de cette
fille
, qu’il nous dit si jolie et si voluptueuse, il ne
la passion de son auteur. Toutes les infamies qu’il raconte de cette
fille
, qui fait de son amant une dupe, puis un fripon,
es. Mais on est si heureux de se régaler de l’amour indécent de cette
fille
et de son… mettez le mot, si vous l’osez ! qu’on
-d’œuvre de roman n’existerait pas sans des parents qui envoient leur
fille
au couvent, au lieu de l’y conduire eux-mêmes. Ce
oient leur fille au couvent, au lieu de l’y conduire eux-mêmes. Cette
fille
de dix-sept ans, qu’il faudrait surveiller, car e
s des romans de la force de ceux de Balzac ! Balzac aussi a peint des
filles
. Il faut bien les peindre, puisqu’elles sont part
is de son nourrisson. Elle voit le brahmane, sa femme, son fils et sa
fille
dans la stupeur ; le père inclinait sa tête vers
ui dont le plus léger duvet ne couvre pas encore les joues ? « “Et ma
fille
? elle que le pur esprit Brahma a formée de ses m
? L’homme, pour le salut de son âme, désire une épouse, un fils, une
fille
: tu les as. Modère ta douleur, c’est à moi de m’
tout ce que peut donner une femme à un homme : un amour, un fils, une
fille
; ma dette est payée. Tu peux nourrir et protéger
n grand crime. Sauve-toi, sauve tes descendants, sauve ton fils et ta
fille
! » Elle dit, son mari la serre contre son cœur
out entier par cette lutte de dévouement entre le père, la mère et la
fille
, qui revendiquent tous le droit et le devoir de m
.… Ton fils, c’est toi-même ! Ton épouse, c’est l’âme de ton âme ! Ta
fille
, seule, est l’occasion de tes peines. Ah ! Permet
i, composition bien inférieure pour l’invention à Sacountala, quoique
fille
, comme elle, du même père, les autres pièces de c
ce vers l’ermitage de Canoua et l’appelle. L’ermite était absent ; sa
fille
adoptive, la belle Sacountala, sort à la voix de
la jeune vierge éblouit et enlève le cœur du roi. — « Qui donc es-tu,
fille
céleste ? s’écrie-t-il. Comment vis-tu cachée dan
désert ? Où es-tu née, toi qui resplendis de toute la divinité d’une
fille
des dieux ? En t’apercevant seulement, j’ai senti
r était enlevé de ma poitrine par un attrait surnaturel. — Je suis la
fille
de Canoua, répond Sacountala toute tremblante. —
rrant qui recevait l’hospitalité dans son ermitage. Elle n’est pas la
fille
de Canoua, elle est la fille du célèbre anachorèt
ité dans son ermitage. Elle n’est pas la fille de Canoua, elle est la
fille
du célèbre anachorète Visoumitra, dont la saintet
aime la divinité cachée sous les traits de la danseuse céleste ; une
fille
est née de cette union ; l’Apsara, en remontant a
r ?) disposer seule de mon cœur, écoute, ô roi, les conditions qu’une
fille
timide ose apporter à son mariage avec toi. Si un
plus reparu dans les forêts voisines de l’ermitage. Le saint dit à sa
fille
que le temps est venu de sommer le roi d’accompli
dont la menace le destin ; mais, avant de s’éloigner, il a chargé sa
fille
de rendre aux hôtes qui pourraient survenir tous
des Alpes : « Chère Sacountala », dit une des jeunes compagnes de la
fille
de Canoua, qui arrose les plantes du jardin de l’
e Pourou, de Douchmanta, cet ennemi déclaré du vice, ose insulter les
filles
innocentes des pieux ermites ? (Toutes, à la vue
s à oublier votre lassitude. Douchmanta. Mais vous-mêmes, charmantes
filles
, vous devez être fatiguées par toutes vos attenti
Douchmanta , les regardant avec le plus tendre intérêt. Charmantes
filles
, combien cette douce intimité qui règne entre vou
eune fille par les respects de ses compagnons de chasse. « Ô pieuses
filles
de l’ermitage ! » leur dit-il en langage vulgaire
e son vain amour : « Ô insensé ! » s’écrie-t-il, « n’est-elle pas la
fille
d’un anachorète ? À quoi nous servirait de la voi
es pas et s’attache aux pans de ma robe ? » L’Ermite. Tu le vois, ma
fille
: c’est ton petit faon chéri, ton enfant adoptif,
e sans pouvoir avancer.) Canoua. Essuie, essuie tes larmes, ma chère
fille
; prends courage, et jette un regard ferme sur le
e. Ô mon père ! Quand reverrai-je cette forêt sacrée ? L’Ermite. Ma
fille
, lorsqu’après avoir été pendant de longues années
toutes ses parties une naïveté charmante. Berte aux grans piés est la
fille
chérie du roi Floire et de la reine Blanche-fleur
e avec sa suite composée de Margiste, espèce de gouvernante, d’Alice,
fille
de Margiste, et de leur cousin Tybert. Les noces
qui tue ses femmes, à ce Pépin, vrai Barbe-Bleue ? Or, Margiste a sa
fille
Aliste, suivante de Berte, Aliste qui ressemble à
accuser Berte, que la vieille Margiste vient saisir aussitôt comme sa
fille
, et la disant folle, sujette à ces frénésies. On
roi Floire et la reine Blanche-fleur, s’ils savaient que Berte, leur
fille
, est ici ? » La situation de cette pauvre Berte é
pas. Elle arrive chez Symon, où sont Constance sa femme, et ses deux
filles
, qui deviennent comme ses sœurs ; car il faut dir
mais la reine Blanchefleur arrive un jour de Hongrie, pour visiter sa
fille
si chère. La fausse reine a beau faire la malade
yeux aimable et beau comme le premier rayon du matin ? » Ossian. Ô ma
fille
, ta voix charme mon oreille : tu as sans doute en
rte de rosée, et que le soleil du midi vient brûler de ses rayons. Ma
fille
, prête l’oreille aux chants d’Ossian ; il se rapp
sée en proverbe : aussi fut-il chéri des femmes. La belle Nina Thoma,
fille
de Tor-Thoma, prince voisin de Berrathon, en devi
entends point tes pas légers. Approche, fils d’Alpin, dis : où est la
fille
de Toscar ? Le fils d’Alpin. Ossian, j’ai passé p
é ; un morne silence régnait dans les bois de la colline. J’ai vu les
filles
de Lutha qui revenaient un arc à la main. Je leur
ur lumière s’étend dans un humide brouillard. Ossian. Repose en paix,
fille
du généreux Toscar. Astre charmant, tu n’as pas b
eurs. « Pourquoi, lui dit Fingal, pourquoi viens-tu sitôt parmi nous,
fille
du généreux Toscar ? Quel deuil dans le palais de
tôt sur nos nuages, astre charmant de Lutha ? Mais tu es triste, ô ma
fille
: tu as vu disparaître tous tes amis. Une race dé
s triste ? Est-ce la voix de l’ombre d’un barde ? Mais j’aperçois une
fille
seule, assise sur un rocher, sa tête penchée sur
ian lève l’épée pour ta défense ? Veux-tu qu’il détruise tes ennemis.
Fille
de Tor-Thoma, lève-toi, j’ai entendu tes plaintes
ent : toujours ils protégèrent le faible : viens dans notre vaisseau,
fille
plus belle que cette lune qui brille à son coucha
ardes ; ils toucheront à votre gloire leurs harpes harmonieuses : les
filles
de Selma les entendront, et votre renommée s’éten
ressentirai-je la joie que j’éprouvai à la première vue de l’aimable
fille
des étrangers, de la belle Moïna ? » « Raconte-no
s dans le palais de Reuthamir. Mes yeux contemplèrent la beauté de sa
fille
. On remplit à la ronde la coupe de la paix, et le
de son amant. Sulindona vient et la trouve expirée. Elle reconnut la
fille
de Cornglas. Ses larmes coulèrent sur elle dans l
elle dans le tombeau. Elle donna des louanges à la belle de Sorna. «
Fille
de la beauté, tu n’es plus. Une rive étrangère re
toi dans ta demeure, ô Cornglas ! abandonne la rive orageuse : car ta
fille
ne t’entend pas ; elle chevauche loin de toi sur
e la lune, elle visitera tes songes, quand le silence habitera Sorna.
Fille
de la beauté, tu n’es plus ; mais tu sommeilles d
s, et leurs armes se choquent avec un horrible fracas. Près d’eux, la
fille
de Vinval, Crimora, brillait sous l’armure d’un j
leur ! le trait s’égare, et va percer Connal. Il tombe… Que feras-tu,
fille
infortunée ? Elle voit couler le sang de son aman
ur te pleurer. Elle est morte, celle qui t’avait donné le jour, et la
fille
de Morglan n’est plus ! Quel est le vieillard qui
légère. Carmor, tu n’as point perdu ton fils, tu n’as point perdu ta
fille
. Le vaillant Colgar et la charmante Anyra vivent
rnier de sa race. Que le lit où tu reposes est sombre, ô Daura ! ô ma
fille
! que ton sommeil est profond dans la tombe ! Qua
nts, où le brave Arindal, mon fils, est tombé ; où la belle Daura, ma
fille
, s’est éteinte… Ô ma fille ! tu étais belle comme
on fils, est tombé ; où la belle Daura, ma fille, s’est éteinte… Ô ma
fille
! tu étais belle comme la lune sur les collines d
l était sérieux et calme. « La plus belle des femmes, dit-il, aimable
fille
d’Arnim, non loin d’ici s’élève dans la mer un ro
îme et ne reparaît plus. Seule sur le rocher que la mer environne, ma
fille
faisait retentir les airs de ses plaintes. Son pè
a secourir ! Toute la nuit, je restai sur le rivage. J’entrevoyais ma
fille
à la faible clarté de la lune ; toute la nuit j’e
perdu le fils qui faisait ta force dans les combats ; tu as perdu la
fille
qui faisait ton orgueil au milieu de ses compagne
sans entrailles pour ne les pas sentir remuer. À sa droite une de ses
filles
est occupée à relever sa tête et son traversin. D
a va guérir le grand-papa. Plus loin, à la droite du vieillard est sa
fille
mariée. Elle écoute avec joie ce que son père dit
Elle a suspendu la lecture qu’elle faisait au bonhomme. À côté de la
fille
est sa mère et l’épouse du paralytique. Elle est
que c’est à lui que le malade adresse ses discours et ses regards. La
fille
mariée paraît écouter plutôt avec plaisir qu’avec
, il parle, et l’on est prêt à lui relever la tête. Que c’était à sa
fille
à lui présenter à manger, et à son gendre à relev
droit de l’attendre. Cela justifie le bon choix qu’il a fait pour sa
fille
; c’est la vraie cause de l’attendrissement de so
lacer ce personnage, c’eût été changer le sujet du tableau. Mettre la
fille
à la place du gendre, c’eût été renverser toute l
u de malades, et que celui-ci a bien encore trois ans à vivre. Que sa
fille
mariée, qui suspend la lecture, manque d’expressi
hechouart que certes « le trait était noir ». Ah ! les braves petites
filles
, si saines et si gaies ! Elles font bien de rire,
se dépêcher. Car ces privilégiées sont aussi des sacrifiées. Que nos
filles
de bourgeois et d’ouvriers ne les envient pas tro
nettoie que deux fois par an l’appartement de cette ancienne abbesse,
fille
du Régent. Un jour, une religieuse y a trouvé des
sans le savoir, elles les préparent à bien mourir. Leur éducation de
filles
nobles leur servira du moins à bien porter la dét
ers représentants de ce néant ne peuvent même plus faire élever leurs
filles
en filles nobles. Dans les couvents les plus « ar
entants de ce néant ne peuvent même plus faire élever leurs filles en
filles
nobles. Dans les couvents les plus « aristocratiq
s ». Le couvent, même au faubourg Saint-Germain, ne fait plus que des
filles
à diplômes, des institutrices, et tantôt des niai
in sont : Liseo, vieillard, chef de famille ; sa femme Maia, ses cinq
filles
, ses gendres et les amoureux de ses filles, un fr
; sa femme Maia, ses cinq filles, ses gendres et les amoureux de ses
filles
, un frère jumeau Brizio, et des valets. Dans cett
O. Dominus providebit. Liseo le consulte pour l’établissement de ses
filles
. Ipocrito passe en revue toutes les professions,
qui entend la charité à sa façon, sert les amours d’Annetta, une des
filles
de Liseo, et du jeune Zephiro. Il se charge de le
iseo Rocchetti, et vous ne l’ignorez pas. ZEPHIRO. Non. IPOCRITO. Ses
filles
sont donc les miennes, du moins par la charité, e
O. Quelque sot se désespérerait. GUARDABASSO. De quoi ? LISEO. De ces
filles
fugitives. GUARDABASSO. N’y pensez plus. LISEO. Q
favorable. Les choses tournent mieux qu’on ne pouvait le prévoir. Ses
filles
trouvent des époux dans leurs amants, et Brizio,
e, faire de sa puissance un emploi formidable. Il aspire à épouser la
fille
de la maison, il chasse le fils, il cherche à séd
vait vu de l’accueil fait par le roi à madame de Montespan : « Ah, ma
fille
! quel triomphe à Versailles ! quel orgueil redou
gus. Junon tonnante et triomphante. » Le 2 juillet, elle apprend à sa
fille
le retour d’Io à Versailles, où elle fait son ser
s mieux ce haillon loin que près. » Le 4 septembre, elle raconte à sa
fille
cette anecdote : « Un homme de la cour disait l’a
e madame de Montespan. Le 15 octobre, madame de Sévigné écrivait à sa
fille
« qu’on nommait la comtesse de Grammont pour une
mieux qu’on ne pensait. Le 20 octobre, elle écrit cette nouvelle à sa
fille
, en disant : « Il n’y a plus de chagrin présentem
mœurs 124. Dès le 14 septembre 1676, madame de Sévigné écrivait à sa
fille
: « On prétend qu’elle n’est plus ce qu’elle étai
de cinq à 6 mois dans la correspondance de madame de Sévigné avec sa
fille
, madame de Grignan étant arrivée à Paris le 22 d
à portée de recueillir et qu’elle aurait continué à transmettre à sa
fille
.
les portent la mort parmi les nations. Morna ! toi, la plus belle des
filles
, ton sommeil est paisible dans le creux du rocher
aroles à l’aimable Morna : « Morna, la plus belle des femmes, aimable
fille
de Cormac, pourquoi te tiens-tu seule dans l’ence
sé trois. Trois autres ont été la proie de mes dogues légers. Aimable
fille
de Cormac, je t’aime comme mon âme ; j’ai tué pou
-tu rencontré cet aimable guerrier sur la colline des Chevreuils ? La
fille
de Cormac attend ici le retour du fils de Torman.
l’humble bruyère et déracine les arbres. « Pleure sur tes rochers, ô
fille
d’Inistore ! Fille plus belle que l’Esprit des co
t déracine les arbres. « Pleure sur tes rochers, ô fille d’Inistore !
Fille
plus belle que l’Esprit des collines, lorsque, su
lui le digne rejeton des rois. Trenard, l’aimable Trenard est mort, ô
fille
d’Inistore ! Ses dogues fidèles hurlent dans son
t de combats ; bannis-la de ma pensée ; car elle m’est trop chère, la
fille
de Sorglan, au sein d’albâtre, à la noire chevelu
des héros. Une belle fut l’objet de son amour : elle était belle, la
fille
du puissant Comlo ; elle paraissait au milieu des
s de leurs amis que le brouillard dérobait à leurs yeux, Connal et la
fille
de Comlo vinrent se reposer dans la grotte de Ron
oi du désert, le plus beau de tous les guerriers, que je lui donne ma
fille
, ma fille, la plus aimable des belles. Son sein a
rt, le plus beau de tous les guerriers, que je lui donne ma fille, ma
fille
, la plus aimable des belles. Son sein a la blanch
se. Qu’il vienne, accompagné de ses plus vaillants héros, s’unir à ma
fille
élevée dans la retraite de mon palais. « Snivan a
a colline de Cona, s’y faisait entendre. Il chanta les louanges de la
fille
du roi des Neiges et la gloire de l’illustre héro
l est teinte du sang des hôtes féroces du Gormal. Ce fut alors que la
fille
de Starno vint le trouver, ses beaux yeux pleins
s s’offrit à moi, ce rayon du soleil, cette douce lumière d’amour, la
fille
du roi de Craca. Je revenais des bruyères de Cona
s cheveux dénoués ; ses joues de rose étaient couvertes de pleurs : «
Fille
de la beauté, lui dis-je avec douceur, d’où vienn
où viennent tes soupirs ? Puis-je, jeune encore, puis-je te défendre,
fille
de la mer ? Mon épée peut trouver mon égal dans l
; il fuira, si le bras de Fingal répond à son cœur. Je pourrais bien,
fille
de la mer, te cacher dans quelque grotte solitair
na ? C’est cette belle dont la voix inspire l’amour ; c’est l’aimable
fille
de Toscar : plus d’une fois tu prêtas l’oreille à
e fit palpiter nos cœurs sous l’acier, et nous fîmes des vœux pour la
fille
de Branno. « Mais au-dessus de nos têtes, au somm
’étend sur Fingal en silence et en détournant les yeux. « Pourquoi la
fille
de Starno verse-t-elle des pleurs ? lui dit Finga
ici, souviens-toi de cette belle solitaire, objet de mon amour, de la
fille
de Toscar ; car je la vois penchée sur les bords
des vents, et que je vole sur mes nuages à la rencontre de l’aimable
fille
de Toscar. « — Élève, Oscar, élève plutôt ma tomb
recommander aux soins de mon fils ; j’ai perdu Evirallina, l’aimable
fille
de Branno n’est plus. » « Nous parlions ainsi, lo
tes les morts qui signalèrent nos armes dans cette affreuse mêlée ? Ô
fille
de Toscar, nos mains étaient toutes sanglantes ;
sse. Tu t’assis plus d’une fois près du murmure des eaux du Brannos ô
fille
de Toscar : là ton sein éblouissant de blancheur
Malvina, l’image de ce combat… Ah ! pourquoi cette larme ? C’est aux
filles
de Loclin de pleurer. Les guerriers de leur patri
docteur ? » Le comte de Maistre, dans une des charmantes lettres à sa
fille
, Mlle Constance de Maistre, a badiné agréablement
atténuantes, qu’on veuille songer que Mme Dacier, Mlle Anne Le Fèvre,
fille
d’un savant et d’un érudit, ne faisait, en s’adon
e d’hérédité domestique. Il faut lui passer d’être érudite comme à la
fille
de Pythagore d’avoir été philosophe, comme à la f
dite comme à la fille de Pythagore d’avoir été philosophe, comme à la
fille
de l’orateur Hortensius d’avoir été éloquente, co
à la fille de l’orateur Hortensius d’avoir été éloquente, comme à la
fille
du grand jurisconsulte Accurse d’avoir excellé da
ratique et toute vive dont il élève un de ses fils, et de laquelle sa
fille
, qui était présente, profita également. Il simpli
délicat ou médiocre. S’agissait-il de Florus qu’il faisait lire à sa
fille
, il savait très bien remarquer que l’ouvrage de c
le justifiait son père que quelques-uns blâmaient d’avoir appliqué sa
fille
à ces doctes études de critique, au lieu de l’avo
: Mais vous, de qui on m’assure que vous êtes une belle et agréable
fille
, n’avez-vous pas de honte d’être si savante ? En
la connaissance de la vérité, qui ne peut être longtemps cachée à une
fille
qui peut s’entretenir avec les saints auteurs dan
fut que onze ans après la mort du maître qu’il put contracter avec la
fille
une union à laquelle il avait toujours songé. Un
on ne s’est plaint dans une plus juste occasion. Il nous restait une
fille
très aimable, qui était toute notre consolation,
d’une cause si douloureuse ; elle se souvient de Cicéron pleurant sa
fille
Tullia, de Quintilien déplorant la perte d’un fil
latins adressée à Mme Dacier, lui parle en termes touchants de cette
fille
qu’elle pleurait : Quelle consolation, hélas ! t
Chapitre XI,les Suppliantes. I. — Légende des
filles
de Danaos. — Leur origine aquatique. — La trilogi
rrents du Nil. Après lui, à la cinquième génération, cinquante de tes
filles
reviendront contre leur gré dans Argos, fuyant l’
dant d’Épaphos, fils d’Io. L’un eut cinquante fils, l’autre cinquante
filles
. Les fils d’Égyptos voulurent épouser les filles
s, l’autre cinquante filles. Les fils d’Égyptos voulurent épouser les
filles
de Danaos. Celles-ci repoussèrent, comme un inces
rde éclata entre les deux frères. Alors Danaos embarqua ses cinquante
filles
sur une galère à cinquante rames, et il aborda à
nuptial de ces mariages exécrés. Il arma d’un poignard chacune de ses
filles
et leur ordonna d’égorger leurs époux dans la nui
e. Ce sont alors les cinquante fils d’Égyptos s’unissant de force aux
filles
du pays. L’été vient et dévore ces ruisseaux furi
age de la Mer Rouge transporté dans un golfe grec. Le miracle que les
filles
d’Israël célèbrent dans le cantique de l’Exode, a
me le plomb, ils se sont enfoncés dans les eaux profondes. » — Et les
filles
de Danaos leur répondent d’une mer à l’autre : —
ers cet Olympe hospitalier que Danaos pousse l’essaim craintif de ses
filles
; chacune tient à la main un rameau cueilli aux o
répondent et se font connaître ; elles se déclarent de race argienne,
filles
d’Io, comme il est son fils. Le roi refuse d’abor
e noire d’Égyptiennes qui serait venue camper sous sa ville. Mais les
filles
d’Io prouvent leur descendance degré par degré, e
r, abritées par le bois sacré. Le père revient bientôt annoncer à ses
filles
la magnanime adoption d’Argos. Le vote du peuple
naos retourne en hâte vers la ville, pour y chercher du secours : ses
filles
essayent de le retenir : « Père ! la terreur me s
ns ce charmant séjour de villégiature. La jeune comtesse Héléna G***,
fille
du prince G*** des États-Romains, était veuve d’u
et en voyant à côté d’elle grandir au niveau de sa tête une charmante
fille
unique de quinze ans, qu’on appelait Thérésina :
elle à la campagne pour passer la villegiatura se composait, outre sa
fille
, d’un vieil oncle de son mari. On l’appelait le c
s’écrièrent en battant des mains la belle comtesse Léna, sa charmante
fille
, le professeur et moi ; nous pourrons lire, et, s
ent contre la muraille, et le bras blanc de la comtesse Léna ou de sa
fille
qui écartait doucement le rideau pour laisser ren
repas, on restait ou on sortait, à son caprice. La belle veuve et sa
fille
s’occupaient dans leur intérieur de quelques déta
le coude posé sur le bras du canapé, la tête appuyée sur sa main ; sa
fille
Thérésina à côté d’elle, laissant incliner sa cha
se Léna et sa jeune image, répercutée en ébauche dans le visage de sa
fille
Thérésina, n’eussent posé devant eux, comme elles
d’une lecture qu’à la fin, la comtesse Léna, la candide Thérésina sa
fille
, le chanoine, le professeur et moi-même, nous nou
e ne l’a conduit plus à propos pour le salut de plus d’infortunes. La
fille
de notre roi, lui racontent-ils, accusée justemen
emière fleur de mes années enfantines, je fus admise au service de la
fille
du roi, dont, en grandissant avec elle, je devins
ar complaisance pour le prince, revêtait quelquefois les habits de la
fille
du roi pendant le sommeil de la princesse, et cau
vu. Le frère d’Ariodant accrédita ces bruits par son témoignage. « Ta
fille
est seule coupable de la mort de mon frère, dit-i
turne et trompeuse du balcon. Le roi, consterné d’entendre accuser sa
fille
chérie, ne peut refuser aux lois d’Écosse la sati
pathétique sur la scène qu’il est charmant à lire dans ce jardin. Une
fille
de roi, aimée d’un paladin de la cour de son père
in dans cette mêlée comme la Providence ; ce vieux roi, qui pleure sa
fille
et qui la livre à sa condamnation à mort par resp
e lauriers ; la comtesse fit dételer les chevaux et descendit avec sa
fille
et moi de la terrasse vers une pente d’herbes en
fond d’azur des yeux de Thérésina. « Allons, allons, dit la mère à la
fille
, tout cela n’est que songe, folie, badinage d’esp
ouvrant le front des tresses blondes qui tombaient sur les yeux de sa
fille
, elle lui tourna le visage vers le ciel bleu au-d
pu lutter de candeur et de fraîcheur avec Thérésina ; en sorte que la
fille
, par sa précocité, atteignait la mère, et que la
re, et que la mère, par sa lenteur à prendre les années, attendait la
fille
pour ne former, pour ainsi dire, à elles deux qu’
é qu’à adorer, sans bien savoir si j’aurais adoré la mère plus que la
fille
ou la fille plus que la mère, tant ces deux charm
r, sans bien savoir si j’aurais adoré la mère plus que la fille ou la
fille
plus que la mère, tant ces deux charmes étaient i
bleus en se regardant avec leur jeune amour, l’un de mère, l’autre de
fille
; le groupe enchanteur qu’elles formaient sans y
blait voir en réalité une Ginevra dans la mère, une Angélique dans la
fille
, et que, si on m’avait demandé : Êtes-vous dans l
le comporte. Le jeune duc de Tiercé, ayant épousé pour ses dollars la
fille
d’un Yankee milliardaire, est puni, et très logiq
onc la femme, la petite femme. Par suite, vous devez la fidélité à ma
fille
, qui est le mari puisqu’elle a la fortune. Ça n’e
ain. Très vraie encore, la jeune duchesse yankee. Elle reste bien une
fille
de son pays. Elle approuve son père ; et, quand l
est une scène où la grâce de Paris, tout simplement incarnée dans une
fille
galante qui n’est pas bête, touche décidément le
heur. Si Catherine refuse, ce n’est pas du tout parce qu’elle est une
fille
raisonnable, je veux dire une fille à qui l’idée
pas du tout parce qu’elle est une fille raisonnable, je veux dire une
fille
à qui l’idée ne serait jamais venue d’aimer un du
illesse, d’une gaîté, d’une bravoure et d’une sensibilité si « bonnes
filles
». M. Alfred Capus continue de « s’affirmer » com
s la mémoire tout autant que le visionnaire Brignol, de Brignol et sa
fille
. Une « comédie de l’argent » est, naturellement,
ses affaires. Je vous prête 500.000 francs, mais à une condition : ma
fille
Gabrielle, qui a un million de dot et trois milli
soit averti, il retirera son consentement, et votre neveu épousera ma
fille
. » Marché conclu. Seulement, nos gens ont compté
succès de sa pièce n’eût pas été douteux, — c’est la générosité de la
fille
séduite, qui, sans le savoir, punit le séducteur
me d’un irrégulier qui les rétablit. Piégois, en effet, se ravise. Sa
fille
est toujours aussi follement amoureuse du sec Hen
cs ; j’ai arrêté les poursuites, car je connais beaucoup de juges. Ma
fille
est à vous avec son million, moins ces 250.000 fr
ment, une histoire d’âme. Cette âme est celle de Lia, l’aînée des six
filles
du pasteur Pétermann. Lia est bonne, pieuse, dévo
ouée ; et elle a habitué les autres à son dévouement. « Ah ! la brave
fille
! » dit un voisin de campagne, mûr, curieux, et u
ne la maison, et qui dispense M. et Mme Pétermann de surveiller leurs
filles
. Et tout cela avec une grâce presque silencieuse,
reçoit. Sous prétexte de tendresse innocente et de jalousie de petite
fille
, la jeune effrontée se frotte, en pleurant, contr
che momentanée de la nature contre la grâce. Le lieutenant juge cette
fille
singulière et amusante. Doucement, il l’entraîne
ne la croit pas. Tout ce qu’il voit en cette affaire, c’est que cette
fille
de trente ans doit « avoir quelque chose dans son
et Mme Pétermann, atterrés, ont beaucoup de peine à pardonner à leur
fille
aînée. Ils cèdent enfin aux évangéliques objurgat
je n’y ai pas songé et que, ayant voulu très expressément montrer une
fille
chaste et croyante, il m’était vraiment bien diff
soupçonnées d’eux-mêmes, où les entraîne la nécessité de marier leurs
filles
, M. et Mme Pétermann méritent notre respect et so
rien. Zaza est strictement conforme à ce séduisant programme. Zaza,
fille
de fille, est chanteuse dans un « beuglant » de S
aza est strictement conforme à ce séduisant programme. Zaza, fille de
fille
, est chanteuse dans un « beuglant » de Saint-Étie
arade et ancien amant de Zaza, pas jaloux, mais sensé, dit à la bonne
fille
: « Ma fille, tu perds ton avenir. Dufresne n’est
en amant de Zaza, pas jaloux, mais sensé, dit à la bonne fille : « Ma
fille
, tu perds ton avenir. Dufresne n’est pas riche, e
e tombe chez Dufresne et y trouve, en l’absence de madame, une petite
fille
de huit ans qu’elle fait bavarder. Elle constate,
urd’hui un peu surannée ; et Sapho s’exprimait, en général, comme une
fille
intelligente qui s’est frottée à des écrivains et
r de Zaza et qui conspire si cordialement avec la mère pour sauver la
fille
en la livrant au bon gâteux Dubuisson ; tous ces
tient un cabaret « fréquenté de tous les souteneurs et de toutes les
filles
de la ville » ; bourgeois, le péremptoire docteur
te ville. Elle perdit son père en bas âge. La mère de Mme de Lambert,
fille
d’un riche bourgeois de Paris, était une franche
fois la vue d’une mère légère et inconsidérée n’a-t-elle pas jeté une
fille
judicieuse et sensée dans un ordre de réflexions
que, du temps que Mme de Lambert écrivait ses Avis à son fils et à sa
fille
, elle y fut aidée par quelqu’un de ses amis qui n
re de Lettre d’une dame à son fils sur la vraie gloire. Les Avis à sa
fille
allaient aussi paraître sans sa permission, lorsq
euple à la Cour ! » Ce qu’elle dit là à son fils, elle le redira à sa
fille
. Elle veut qu’elle aussi, pour être heureuse, ell
différence qu’il y a de vous à eux. » Elle redit le même conseil à sa
fille
: « Accoutumez-vous à avoir de la bonté et de l’h
rée et toujours tendue. Elle-même nous dit son secret en parlant à sa
fille
: « Contez peu ; narrez d’une manière fine et ser
elle. Il semble que l’âme du voluptueux lui soit à charge. » Et à sa
fille
, sur le même sujet, et dans une recommandation pa
trouvé, mais cela sent la manière. De même ailleurs, conseillant à sa
fille
une méthode dans le chagrin, et qui consiste à l’
e leur donne des leçons que pour les agréments. » Elle, au contraire,
fille
d’une mère telle que nous l’avons dite, elle a se
ide pas à les pratiquer ». Les conseils que Mme de Lambert donne à sa
fille
sont remarquables surtout par une extrême intelli
r. Mais comme elle avait eu une mère fort jolie, et qu’elle avait une
fille
à qui elle pouvait dire : « Vous n’êtes pas née s
qu’elle a données sur les femmes et qui sont distinctes des Avis à sa
fille
, elle s’est émancipée un peu. Elle s’en prend har
d’esprit », disait Mme de Lambert. À la vue de la duchesse de Berry,
fille
du Régent, et de ses débauches grossières, elle s
ne vieille qui le regarde et semble lui dire : " c’est l’oiseau de ma
fille
. " au pied du bassin, vers la gauche, cette fille
’est l’oiseau de ma fille. " au pied du bassin, vers la gauche, cette
fille
est étendue à terre, la tête et la partie supérie
rile, si elle est réelle ; si c’est une allégorie, elle est plate. La
fille
paraît avoir vingt ans passés, le jeune homme dix
ent qui tiennent à un certain tour de tête qu’on n’a qu’une fois. une
fille
charge une vieille de remettre une lettre. petit
z que les étoffes et l’ajustement, quittez l’académie, et faites-vous
fille
de boutique aux traits galants, ou maître tailleu
er quelque indice, et ils n’en révèlent rien. On s’arrête donc sur la
fille
? Que fait-elle ? Qu’a-t-elle fait ? On n’en sait
ntaires qu’indiscrets, reconnaîtraient-ils aux couleurs vives de leur
fille
, au mouvement de sa gorge, au désordre de sa couc
es couvertures on ne saurait mieux. Mais comment se fait-il que cette
fille
et son lit soient si fortement éclairés et que le
e et la mère auraient-ils eu quelque suspicion de la conduite de leur
fille
? Seraient-ils venus à dessein de la surprendre a
t… eh bien, ces plis, cet endroit, cette main ? Après ? Est-ce qu’une
fille
de cet âge-là n’est pas maîtresse d’user dans son
bien on fait imaginer et dire des sotises. J’ai dit que la tête de la
fille
était maussade, mais cela n’empêche pas qu’elle n
ès l’ancien faire de Chardin. Eh oui, il l’attrapera ! portrait d’une
fille
qui vient de recevoir une lettre et un bouquet. d
is. Même jugement de l’ oiseau retrouvé, du musicien champêtre, de la
fille
endormie, de la dame qui brode, du portrait de la
billées, mais la couleur n’y est pas. Même mérite et même défaut à la
fille
qui remet une lettre à la vieille, et à son penda
i de la démence & de l’abus de la poësie, refusa de lui donner sa
fille
en mariage. Archiloque croyoit être en droit de l
ce qu’on la lui avoit promise d’abord. Soit qu’il fût amoureux de la
fille
de Lycambe, soit qu’on eût accompagné le refus de
nt ; elle se vit diffamée. Les traits, lancés contre Lycambe & sa
fille
, furent pour eux des coups mortels. On assure qu’
es. On croit, au moins, que c’est la raison pour laquelle deux autres
filles
de Lycambe suivirent l’exemple de leur père. Les
eut qu’un regret : celui d’avoir causé la mort de Lycambe & de sa
fille
; regret qu’il tâchoit d’étouffer, en chantant &a
mans, nous arrivons à la faute vulgaire du Père Goriot et de ses deux
filles
. On ne peint pas en couleurs plus fortes les faib
t de quatre chambres, dont deux étaient louées, l’une par une vieille
fille
nommée mademoiselle Michonneau ; l’autre, par un
jusqu’au père Goriot qui meurt pour favoriser le désordre de ses deux
filles
, et qui les étend lui-même, comme des victimes, s
equel elle est montée. À dîner on raille le père Goriot. — C’était ma
fille
, dit-il, avec orgueil et simplicité. — Quelques j
e des grains employait toute l’intelligence de sa cervelle. Sa femme,
fille
unique d’un riche fermier de la Brie, fut pour lu
éraison ; il reporta ses affections trompées par la mort sur ses deux
filles
, qui, d’abord, satisfirent pleinement tous ses se
faites par des négociants ou des fermiers jaloux de lui donner leurs
filles
, il voulut rester veuf. Son beau-père, le seul ho
ent irréfléchi, l’amour ombrageux et délicat que portait Goriot à ses
filles
était si connu, qu’un jour un de ses concurrents,
une circonstance critique, à faire faillite. L’éducation de ses deux
filles
fut naturellement déraisonnable. Riche de plus de
r lui, le bonheur de Goriot était de satisfaire les fantaisies de ses
filles
: les plus excellents maîtres furent chargés de l
mandait qu’une caresse en retour de ses offrandes. Goriot mettait ses
filles
au rang des anges, et nécessairement au-dessus de
uvre homme ! il aimait jusqu’au mal qu’elles lui faisaient. Quand ses
filles
furent en âge d’être mariées, elles purent choisi
ande qui devint baron du Saint-Empire. Goriot resta vermicellier. Ses
filles
et ses gendres se choquèrent bientôt de lui voir
e pension par suite du désespoir qui l’avait saisi en voyant ses deux
filles
obligées par leurs maris de refuser non-seulement
ar la tendresse de sa mère, doit aller au bal chez Mme de Restaud, sa
fille
Anastasie. Il lui confie ses faiblesses paternell
Mme de Restaud vous en ait voulu d’avoir prononcé mon nom ? Mes deux
filles
m’aiment bien. Je suis un heureux père. Seulement
sances que ne comprennent pas les autres pères qui peuvent voir leurs
filles
quand ils veulent. Moi, je ne le peux pas, compre
les Champs-Élysées, après avoir demandé aux femmes de chambre si mes
filles
sortent. Je les attends au passage, le cœur me ba
uis heureux à ma manière. Est-ce contre les lois que j’aille voir mes
filles
, le soir, au moment où elles sortent de leurs mai
d’aise ! Je vous en prie, ne parlez de moi que pour dire combien mes
filles
sont bonnes. Elles veulent me combler de toutes s
, que suis-je ? un méchant cadavre dont l’âme est partout où sont mes
filles
. Quand vous aurez vu Mme de Nucingen, vous me dir
vont ensuite aux Italiens. Il aperçoit dans une loge en face l’autre
fille
du père Goriot, la baronne de Nucingen, éclatante
ajouta-t-il en se frappant le cœur. Ma vie, à moi, est dans mes deux
filles
. Si elles s’amusent, si elles sont heureuses, bra
isque la création est sortie de lui. Monsieur, je suis ainsi avec mes
filles
. Seulement j’aime mieux mes filles que Dieu n’aim
. Monsieur, je suis ainsi avec mes filles. Seulement j’aime mieux mes
filles
que Dieu n’aime le monde, parce que le monde n’es
e le monde, parce que le monde n’est pas si beau que Dieu, et que mes
filles
sont plus belles que moi. Elles me tiennent si bi
riot vend jusqu’à ses derniers couverts d’argent pour complaire à ses
filles
, et il expire pendant qu’elles vont au bal. La sc
maison de Lenoncourt-Givry qui va s’éteindre : madame de Mortsauf est
fille
unique. Le peu de fortune de cette famille contra
qui branlaient la tête en souriant aux petits garçons et aux petites
filles
; tout ce monde se penchait avec un air de curios
lle qui vous a vu la première évanoui sur le bord du chemin, c’est la
fille
du riche métayer Placidio de Buon Visi, qui a une
lles, et parsemés çà et là de nombreux mûriers à tête ronde, dont les
filles
cueillent les feuilles dans des canestres (sorte
rçons ; celui-ci est notre père, celle-là est notre mère, ces petites
filles
sont mes sœurs, ces deux femmes endormies sur le
elle fiancée, la sposa de mon frère, ce n’est ni plus ni moins que la
fille
unique du bargello de Lucques. Nos familles sont
ongtemps, parce qu’elle était la marraine de la fiancée, parce que la
fille
sera riche pour notre condition, et que les deux
tion, et que les deux mariés s’aiment, dit-elle, depuis le jour où la
fille
du bargello, petite alors, était venue pour la pr
bargello ; notre aïeule l’avait ainsi voulu, pour que sa filleule, la
fille
du bargello, et son petit-fils, mon frère, eussen
on est à même d’y rendre bien des services aux femmes, aux mères, aux
filles
de ces pauvres prisonniers. CLII Un éclair
a zampogne, et qu’on se souvienne à Lucques de l’entrée de noce de la
fille
du bargello et de Placidio ! CLIV J’obéis e
ainement à prolonger la veillée, pour retenir un peu plus de temps sa
fille
; elle souriait de la bouche et pleurait des yeux
e tour, le lit vide du porte-clefs qui s’en va à Saltochio avec notre
fille
? — C’est vrai, dit le bargello. Monte, mon garço
e je trouve dans ma détresse ; tu me secourras, toi, moi qui suis une
fille
de la montagne, née et grandie à l’ombre de ton c
anqueraient pas d’éventer qui je suis et de me jeter dehors comme une
fille
perdue et mal déguisée, qui cherche à se rejoindr
te ? Tu as été le gagne-pain du père, sois le salut de sa malheureuse
fille
. On eût dit que la zampogne m’entendait, elle se
pogne, bien séparés par un long intervalle sous mes doigts, comme une
fille
à son balcon jette, une à une, tantôt une fleur b
ompagne, et laisse-moi dépister ceux qui montent à ta poursuite ; une
fille
n’a pas à craindre d’être prise pour un brigand.
ne petite terre qu’il cultive, et qu’il est sur le point d’épouser la
fille
d’un meunier. Cette mésalliance fait sur la fière
essures, et ses derniers regards, ses dernières caresses sont pour la
fille
que Dieu lui donne et que Renée prend en antipath
que Dieu lui donne et que Renée prend en antipathie, parce que cette
fille
n’est pas un garçon. C’est ici, à proprement parl
préparatifs et accessoires. Le vis-à-vis de la mère qui n’aime pas sa
fille
et de la fille qui ne se sent pas aimée par sa mè
accessoires. Le vis-à-vis de la mère qui n’aime pas sa fille et de la
fille
qui ne se sent pas aimée par sa mère, voilà tout
t farouche où elle va traîner sa vieillesse. Trois ans se passent. La
fille
, heureuse par toutes les fortunes du mariage, sen
’elle a le remords de lui avoir désobéi. Elle a un enfant, une petite
fille
, qui s’appelle Renée, comme sa grand’mère. Par le
ns de ouate et de nid. A la page 81, il y a un meunier qui compare sa
fille
, non-seulement « à une rose , mais à une hermine.
lio. Flaminio, amant de Virginia. Fabio, amant de Virginia. Lelio,
fille
en habit d’homme, crue garçon et amante de Fabio.
emme qui était grosse. Ricciardo soutenait qu’elle accoucherait d’une
fille
. Il soutint qu’il aurait un garçon. Ils firent un
n. Ils firent une gageure de deux mille écus. Sa femme accoucha d’une
fille
. Par cupidité, il publia qu’il lui était né un ga
ns le secret, mourut peu après ; et jusqu’à présent Lelio, qui est la
fille
en question, passe pour un garçon. Celle-ci, qui
dolfo se rassure et dit à Ricciardo qu’il veut auparavant parler à sa
fille
pour savoir d’elle la vérité, et que dans une heu
t. scène iv. Pandolfo, Virginia. Pandolfo, étant convaincu par sa
fille
que tout ce que Ricciardo lui a dit est une impos
ence. Fabio et Zucca affirment ce qu’ils ont dit. Pandolfo appelle sa
fille
. scène vi. Virginia, les précédents. Virginia
proposé d’accommoder l’affaire et de faire épouser à Fabio une autre
fille
que Virginia, qui apportera six mille écus de dot
r de l’histoire du feint Lelio. Il dit qu’il est charmé d’avoir cette
fille
dans sa maison, parce qu’étant élevée comme un ga
âtre de l’Hôtel de Bourgogne, sous le titre de La Creduta maschio (la
Fille
crue garçon), avec un nouveau dénouement que son
son mouchoir et de ses mains. Pandolfo, qui connaît les habits de sa
fille
, est convaincu que c’est Virginia elle-même ; il
vient à son aide et découvre à Ricciardo et à Fabio que Lelio est une
fille
et que c’est elle, et non Virginia, que ce dernie
tel pouvoir ? — Amour le commande ainsi. » 46. « — La jalousie est
fille
de l’amour. Ou jaloux, ou non jaloux, Rodrigue se
n jour, parmi les esclaves qu’on amenait vendre au marché, une petite
fille
qui paraissait âgée d’environ quatre ans, et dont
nt princes, dit-on, en leur pays. Du moins les souvenirs de la petite
fille
lui retraçaient un palais où elle était élevée, e
ommes pour disposer de vous à ma volonté, et pour en faire un jour ma
fille
ou ma maistresse. Le mesme destin veut que vous s
sa volonté, dont elle avait pu douter, se considérant plutôt comme sa
fille
: Le même destin veut que vous soyez l’une et l’a
rc, qui avait du bon, et dont l’affection pour celle qu’il nommait sa
fille
était réelle, bien que mélangée, lui avait laissé
française75. Ses parents eurent neuf enfants et peu de biens ; trois
filles
entrèrent au couvent, trois cadets suivirent l’ét
lequel était l’amant avoué et le mari secret de la duchesse de Berry,
fille
du Régent. Rions avait la haute main au Luxembour
ssistée de la fidèle Sophie, sa femme de chambre, donna le jour à une
fille
, qui fut baptisée sous le nom de Célénie Leblond.
rnait à la fin d’octobre, même année ; quelque temps après, la petite
fille
reparut pour être placée au couvent de Notre-Dame
titre de nièce de lord Bolingbroke. L’abbesse de ce couvent était une
fille
même de Mme de Villette, née du premier mariage.
mitié et déjà voilée par les larmes de la religion et du repentir. La
fille
d’Aïssé et du chevalier avait deux ans ; leur lia
’une des premières familles de Genève, était Française et Parisienne,
fille
de M. Pellissary, trésorier général de la marine
a pleinement, elle éclata : « Je vous aime comme ma mère, ma sœur, ma
fille
, enfin comme tout ce qu’on doit aimer. » De vifs
u’elle fait à Genève ; il y en a un à Sens où elle voit au couvent sa
fille
chérie. Sa santé décroît, ses scrupules de consci
âge, il la retira du couvent de Sens, il l’adopta ouvertement pour sa
fille
, la dota et la maria (1740) à un bon gentilhomme
re91, que, lors de l’arrivée en Périgord du chevalier d’Aydie avec sa
fille
, l’admiration fut générale ; il la présenta à sa
âteau en château ; leur cortége grossissait chaque jour, parce que la
fille
d’Aïssé emmenait à sa suite et les hôtes de la ma
lités de son âme ! » Cependant, l’âge venant, pour ne plus quitter sa
fille
, il dit adieu à Paris et se fixa au château de Ma
tre et de se refléter à de jeunes fronts. Mme de Nanthia n’eut qu’une
fille
unique qui fut mariée au comte de Bonneval, de l’
’avais dit que la race d’Aïssé était éteinte, elle ne l’est pas. Deux
filles
et un fils issus de Mme de Bonneval, à savoir, la
nthia était très-belle, fort spirituelle et d’un aspect très-fier. Sa
fille
, la marquise de Bonneval, qui n’était que jolie,
on que sensible, avait pour M. et Mme de Ferriol les sentiments d’une
fille
tendre et respectueuse ; sa conduite envers eux l
l, que tout le monde estimait, comme une femme capable de donner à sa
fille
d’adoption des conseils pernicieux, et de la sacr
de Saint-Roch, année 1733. Du 14 mars. « Charlotte-Élisabeth Aïssé,
fille
, âgée d’environ quarante ans, décédée hier, rue N
est mort en 17.., laissant de dame Célénie le Blond, son épouse, une
fille
unique, qui suit : Marie-Denise de Jaubert épousa
vacances, un officier de son voisinage au sujet d’un mariage pour sa
fille
. Il a même eu la sottise de demander une réparati
ment il l’a gardée, mais il l’a épousée, et c’est d’elle que vient la
fille
à marier qui a fait le sujet de la dispute. » (Jo
e et faible tutelle d’un grand-père épris, l’éveil d’âme d’une petite
fille
, sa vie de dignitaire minuscule dans l’hôtel du m
ride, ses sens près de s’éveiller, surprend de sa fenêtre, entre deux
filles
de ferme. C’est par une suite d’incidents et de t
ses créatures, l’enfance de Chérie et l’enfance de celle qui sera la
fille
Elisa, la vie errante des frères Zemganno avant l
is, le débraillé d’un cabotin, la colère d’une atrice ou d’une petite
fille
; et, dans cette profusion de notes, d’anecdotes,
forêt « voir des bêtes », et sous les grands arbres précède la petite
fille
émerveillée, faisant chut de la main sur la basqu
r les faits caractéristiques de la gaie et jolie enfance d’une petite
fille
riche, que de la corruption d’une fille entretenu
et jolie enfance d’une petite fille riche, que de la corruption d’une
fille
entretenue, ou de l’idiotie progressive d’une pro
illante et heureuse folie de son succès ; aux révoltes cabrées d’une
fille
à moitié maniaque, à son « hérissement de bête »
. Ce que M. de Goncourt nous montre, ce sont les colères d’une petite
fille
gâtée, se roulant par terre dans la rage d’une so
forme la première moitié de Chérie, dans le geste mutin d’une petite
fille
perchée sur sa chaise et éventant sa soupe de son
mille, à sa mort, laissa deux orphelins, un fils appelé Daouda et une
fille
du nom d’Aïssata. Cette dernière était si jolie q
il courut trouver le roi et lui dit : « Kuohi, je sais où il y a une
fille
d’une beauté sans égale et je puis te l’amener, à
orte : « Entourez cette case, dit-il. C’est là que se trouve la jolie
fille
que nous devons amener au kuohi. Pour moi, je vai
ets un présent de valeur, dès demain tu auras en ton pouvoir la jolie
fille
, sœur de celui qui a tué plus de la moitié de tes
jeune fille, déclara le kuohi et ton fils aura pour femme une de mes
filles
». La vieille salua le roi et s’en revint chez e
ules, si elles ne nous font pas ôter tous les livres des mains de nos
filles
, elles nous font adorer dans une femme la simplic
rts quelqu’un qui pose. Le Gorgibus de Sganarelle, qui veut marier sa
fille
à un homme qu’elle n’aime pas, c’était le bourgeo
ile se lève, il est sur le point de l’épouser. Son plan a réussi ; la
fille
lui paraît mûre pour lui ; il triomphe ; et comme
u’il se tiendra caché pour ne pas ajouter à la confusion de la pauvre
fille
. Elle entre dans la chambre, et feint des reproch
s l’École des femmes, en voulant faire d’Agnès une sotte, en fait une
fille
de sens, qui aura plus d’inventions pour lui écha
plus de pièges. Aussi Molière, qui a fait châtier Sganarelle par une
fille
d’esprit, choisit une ingénue pour duper Arnolphe
systématique vaniteux qui voit tous ses plans tourner contre lui, une
fille
qui craint d’être mariée malgré elle, n’ont pas l
devenue l’ennemie des petits-enfants ; le père se fait le tyran de sa
fille
. Voilà bien cette sécheresse impitoyable, fruit d
ison, voilà la pensée de la pièce. Une mère bel esprit veut marier sa
fille
à un méchant poète dont elle est entichée ; le pè
igue. Ce méchant poète est un cupide, qui convoite la dot plus que la
fille
; il est découvert : voilà le dénoûment. Trissoti
as rare d’ailleurs, il flatte le travers de la mère pour arriver à la
fille
, et par la fille à la dot. Comme Tartufe, il trou
s, il flatte le travers de la mère pour arriver à la fille, et par la
fille
à la dot. Comme Tartufe, il trouble toute la mais
et plus d’un pot en avait été trop salé. Molière vint au secours des
filles
négligées par leurs mères, comme Henriette ; des
à haute voix, pour se persuader qu’il commande. Ses colères contre sa
fille
Armande, sur le dos de laquelle il battrait volon
eurs à Chrysale pour son excellent naturel ? A la vue d’Henriette, sa
fille
préférée, et de Clitandre, se tenant tendrement p
parle toujours ainsi : Des retours importuns évitons le souci58 .
Fille
respectueuse et attachée à ses parents, elle n’es
is ferme. Je n’ai pas peur de l’honnête liberté de ses discours : une
fille
qui montre ainsi sa pensée n’a rien à cacher. Si
e des maris, Ariste, homme déjà mûr, qui doit épouser, comme lui, une
fille
de seize ans, comme lui tendre et indulgent, avec
scrupule d’honnête homme, voulant se montrer avec ses défauts à cette
fille
à laquelle il avait fait voir ses beaux côtés dan
figurer qu’il va trouver son fils en faute, ou sa femme morte, ou sa
fille
malade ; et s’il y en a moins qu’il n’en a prévu,
ison brûlée, son argent dérobé, sa femme morte, son fils estropié, sa
fille
subornée ; et ce qu’il trouve qui ne lui en est p
château. Sa mère l’a fiancé à une jeune orpheline dont elle a fait sa
fille
adoptive. Elle voit bien, avec inquiétude, depuis
t pu choisir une petite dame de plus haut étage pour faire débuter la
fille
moderne au Théâtre-Français. Baronnette s’est pri
flamboyante d’une femme qu’il voit passer dans la rue. C’est à cette
fille
échevelée qu’il sacrifie sa maîtresse, c’est pour
par lâcher l’une et délaisser l’autre, pour les trois millions de la
fille
d’un banquier taré, qui veut mettre des armoiries
l’âme tourne subitement à ce vent de mine, et il consent à épouser la
fille
du faiseur. Aucune donnée ne résisterait aux terg
é tout vif par quelque drôlesse de bon appétit. Tout au contraire, la
fille
à laquelle il a jeté son mouchoir se prend pour l
d’un gentleman anglais, remariée à M. Caverlet. Son fils Henri et sa
fille
Fanny ont grandi dans cette illusion. Ils s’étonn
rdiales de son fils ; et l’aveu déguisé que madame Merson a fait à sa
fille
de sa situation, en la mettant sur le compte d’un
mot décisif, et madame Merson n’a qu’à baisser humblement la tête. Sa
fille
l’a jugée sans le savoir, et l’a condamnée. Lorsq
aire et il laisse aller. Fourchambault a deux enfants, un fils et une
fille
dont la conduite lui échappe, aussi bien que le g
sur le fond d’or qu’elle croit encore posséder ; elle a résolu que sa
fille
épouserait le jeune baron de Ratisboulois, fils d
e le baron s’est retiré d’une famille qui tolère, sous les yeux de sa
fille
, les amours interlopes du fils de la maison avec
a inspirée. Madame Bernard peut se rassurer, celle qui va devenir sa
fille
a assez souffert, elle l’aimera comme lui. Tel es
te sphère. Il montre d’abord le séducteur puni par sa rupture avec la
fille
qu’il a rendue mère. Fourchambault a cru choisir
s ses noms. Mlle I.-A.-E. van Tuyll van Serooskerken van Zuylen était
fille
des nobles barons ainsi au long dénommés. On l’ap
ux mise, a donné un nombre infini de pères à ses enfants ; elle a une
fille
qui ressemble à mylord…, et qui est belle. Elle n
Juliane de l’aller porter. Mais, en descendant le Neubourg, la pauvre
fille
dans un embarras trébuche, et la robe tombe : il
t cela, notez-le, de la bonté et une sorte de courage ; car la petite
fille
, jolie à la vérité, était si mal mise et avait si
lle. Ce gentil monsieur, qui trotte déjà dans le cerveau de la pauvre
fille
, est un jeune étranger, Henri Meyer, fils d’un ho
amilles-là, on me disait presque toujours : « C’est madame une telle,
fille
de monsieur un tel » (d’une de ces nombreuses fam
vous un peu, pour donner à cette simple, élégante, naïve et généreuse
fille
, un baiser de sœur ! Et vous, belle Saint-Yves de
utélaire, surtout si on pouvait l’intéresser. » Mlle de La Prise est
fille
unique d’un gentilhomme des plus nobles, issu de
femme, qui n’a pas l’air d’être la femme de son mari ni la mère de sa
fille
, et qui l’est pourtant, a été belle, épousée pour
our cela sans doute, tracassière et un peu commune. Le père chérit sa
fille
et dévore souvent ses larmes en la regardant ; ca
mestique qui les servait depuis dix ans, et la tristesse de l’aimable
fille
a débordé. Dans sa première lettre, il n’est enco
jamais ; il me trouve charmante : il dit qu’il n’y a rien d’égal à sa
fille
, et qu’il ne la troquerait pas contre les meilleu
Prise. — Mais c’est un fort bon parti pour elle, a dit madame, cette
fille
n’a rien ; que pouvait-elle faire de mieux ? — Me
belle affaire ! — Pas absolument mauvaise, dit le père, puisque cette
fille
en est née. « Alors Mlle de La Prise, qui depuis
t un tableau impossible à rendre. M. de La Prise, sans rien dire à sa
fille
, l’a relevée, et l’a assise sur le tabouret devan
oment que nous nous approchions de Mme de La Prise pour la saluer, sa
fille
est rentrée. Elle avait repris un air serein. Tu
le monde, si on apprend ton propos ? — Eh ! ma chère maman, a dit sa
fille
, si nous n’en parlons plus, nous pouvons espérer
fil plus serré de son récit, elle dit tout, et la faute, et que cette
fille
est grosse, et qu’elle ne sait que devenir, et le
: « Eh bien ! monsieur Meyer, que voulez-vous donc que je dise à la
fille
? — Mademoiselle, lui ai-je répondu, promettez-lu
e dit : Vous aurez donc encore ce soin ? vous me le promettez ? Cette
fille
ne souffrira pas ? elle n’aura pas besoin de trav
avec bienveillance. Cette histoire finissait bien, disaient-ils ; la
fille
était à plaindre, mais pas absolument malheureuse
charme : — « Eh bien ! oui. Un joli jeune homme Savoyard, habillé en
fille
. C’est assez cela. Mais n’oubliez pas, pour vous
t elle garde sa préférence ! La lettre xvi offre, entre la mère et la
fille
, une de ces scènes comme les Lettres Neuchâtelois
je me repose et je me remonte en faisant un tour de promenade avec ma
fille
, ou bien comme aujourd’hui en m’asseyant seule vi
idée complète, ne fut pas seulement un pensionnat, puis un couvent de
filles
nobles, une bonne œuvre en même temps qu’un délas
Brinon, la première directrice de ces écolières, de voir mes petites
filles
et de me trouver dans leur étable… J’en reviens t
i, y fait souvent faire quelque chose de nouveau à toutes les petites
filles
qu’on élève dans cette maison, dont on peut dire
dorénavant de dire et de redire sans cesse à ses Dames : « Cachez vos
filles
et ne les montrez pas. » Du passage de Racine et
isies légères qu’elle avait vues poindre, elle s’occupa à faire à ses
filles
un rempart de leurs constitutions et de leur règl
etit livre adressé aux Dames et intitulé : L’Esprit de l’institut des
Filles
de Saint-Louis. La première recommandation qui le
l est l’esprit de l’institut. Mme de Maintenon cherche à prémunir ses
filles
contre les périls qu’elles ont déjà rencontrés :
iendra : « Rejetez le nom de Dames, prenez plaisir à vous appeler les
Filles
de Saint-Louis. » Elle insiste particulièrement s
t fuyez tous les autres excès qui sont à présent ordinaires, même aux
filles
, comme le trop manger, le tabac, les liqueurs cha
c’est là qu’une supérieure se fait goûter et épanouit le cœur de ses
filles
en leur donnant quelques plaisirs ; c’est là qu’o
endant les guerres, il sait qu’il a à Saint-Cyr dans ces jeunes âmes,
filles
de Saint-Louis et de la race des preux, « des âme
: « Faites-vous des saintes, répétait sans cesse la fondatrice à ses
filles
durant les guerres calamiteuses, faites-vous des
ure. L’homme politique n’a pas cru déroger à sa pensée en écrivant La
Fille
du millionnaire. Est-ce que Machiavel n’a pas écr
onnus et à l’usage de toute main, ces trois actes, qui s’appellent La
Fille
du millionnaire, ne renferment pas une situation
ourse, comme il dit, moyennant un carnet et un crayon de six sous. La
fille
de ce Μ. Adam doit, avant que la pièce commence,
centaure au xixe siècle. Or, pour loger son centaure de gendre et sa
fille
, Μ. Adam a acheté l’hôtel de Μ. le comte de La Ro
e ces nobles dont il va faire tomber, un à un, tous les préjugés. Une
fille
à marier, avec une dot de six millions, opère ce
i tournent autour de ceux-là, n’existent que pour mettre en relief la
fille
du millionnaire, bête comme une dot de six millio
ple ! et si vous saviez quelle simplicité ! VII Telle est cette
Fille
du millionnaire, qui n’a pas été écrite pour être
ique nous soyons parfaitement tranquille, depuis la publication de La
Fille
du millionnaire, sur le chemin que fera faire Μ.
l Antonio, et nous confondaient tellement dans leur tendresse, que la
fille
ne savait pas si elle était ma fille ou celle d’A
ment dans leur tendresse, que la fille ne savait pas si elle était ma
fille
ou celle d’Antonio, et que le garçon ne savait pa
son bonnet de laine brune ! Antonio ne pouvait pas aussi bien voir sa
fille
à cause du voile qu’il a sur ses pauvres yeux ; m
me dirent-ils, en me saluant poliment, et si vous voulez marier votre
fille
dans un an ou deux, nous la retenons pour mon fil
que non, seigneur capitaine des sbires, lui répondis-je en riant, ma
fille
est verte, elle n’est pas mûre de longtemps pour
ur ait battu plus vite d’une pulsation à la vue d’une femme, veuve ou
fille
, contadine de village ou dame de la ville ; mais
de leurs arrêts sans moi ; le chef de la police du duché a épousé la
fille
de ma sœur ; tous les sbires de la campagne sont
mon frère. — Et vous, me dit-il, vous êtes bien Magdalena Zampognari,
fille
de Francesca Bardi et de Domenico Cortaldo, vos p
ce pas ? LXXXVI — Ah ! que tu as raison, dit ma belle-sœur à ma
fille
; si mon pauvre mari avait pensé comme toi, je ne
me disant, à part moi : Ils ne partageront du moins ni ma sœur ni sa
fille
, ni mon enfant, ni mon pauvre chien. Si tout cela
ec lui-même. — Ne vous attristez pas, disait-il à ma belle-sœur, à sa
fille
et à Hyeronimo, le capitaine est de bon cœur ; il
u le dard d’un serpent sous le bois mort. — Je ne serai jamais que la
fille
de ma mère, la sœur ou la femme d’Hyeronimo, dit-
. Ce fut bien là le malheur ; ces enfants s’aimaient trop pour que la
fille
devînt une grande dame de Lucques, et pour que le
s, et pour que le garçon fît une autre fortune que dans le cœur d’une
fille
des châtaigniers. XCIV — Notre malheur, s’
retournant pour la regarder encore, nous dirions que ce n’est pas une
fille
de l’homme, mais une créature de lumière. » J’éta
J’étais tout réjoui quand la mère de Hyeronimo, qui l’aimait comme sa
fille
, me rapportait ce qu’elle avait entendu ainsi de
ma famille, c’est le père nourricier de ma sœur, de mon neveu, de ma
fille
et de moi ! Vous savez bien, vous qui avez apport
petite ville du Perche, arrivèrent, pour s’y établir, une mère et sa
fille
; elles venaient tenir le bureau de poste aux let
mille, et avait suivi partout son mari dans les diverses contrées. Sa
fille
, née en Suisse, dans le frais Appenzel, avait plu
té pour elle sans pardon. La détresse menaçante, la vue surtout de sa
fille
, allaient la forcer peut-être à écrire. L’arrivée
i qu’elles arrivaient. Il y avait deux mois environ que la mère et la
fille
remplissaient l’office qui devenait leur unique r
aux regrets de la vie élevée et choisie pour laquelle elle était née.
Fille
simple, généreuse, capable de tous les devoirs et
intention était évidente. Mme M… en toucha un soir quelque chose à sa
fille
; dès les premiers mots, celle-ci coupa court, et
ente, inquiète et malade, qu’éclaire encore sur l’avenir secret de sa
fille
la crainte affreuse de la trop tôt quitter. Lui-m
presque impuissance de se lever. Un mouvement brusque eût éclairé sa
fille
, l’eût avertie qu’elle s’était trahie, eût, pour
llante : « Oh ! monsieur ! s’écriait-elle elle-même égarée ; ma chère
fille
! ma pauvre fille ! qu’en avez-vous fait ? Quoi ?
nsieur ! s’écriait-elle elle-même égarée ; ma chère fille ! ma pauvre
fille
! qu’en avez-vous fait ? Quoi ? monsieur… vous ne
ne fut demandée ni donnée. La mère ne parla point en particulier à sa
fille
. Hervé, attentif et discret, vint, revint, et s’y
e tombeaux ? Quarante-quatre mille ! * * * — Le grand caractère de la
fille
tombée à la prostitution : c’est l’impersonnalité
cent chez elle, à ce point que dans les maisons aux gros numéros, les
filles
prennent indistinctement avec les doigts dans l’a
y a dans la maison ? » Et il nous mène dans la salle à manger où ses
filles
déjeunent, puis en haut, dans un petit atelier d’
our ardent du quinquet, la Mercier se modèle pareillement à la petite
fille
au poulet, dans La Ronde de nuit de Rembrandt. Pu
l’Arc de Triomphe, nous allons voir l’exposition d’Anna Deslions, la
fille
que nous avons eue si longtemps en face de nous,
cette fortune, à ce luxe, à ce scandale retentissant. Après tout, ces
filles
ne me sont point déplaisantes, elles tranchent su
portrait de famille, d’un ressouvenir de basse origine, du père de la
fille
passant la tête au milieu de sa fortune. Sur l’au
ême. Nous dînons chez Mme Desgranges. Il y a Théophile Gautier et ses
filles
, Peyrat, sa femme et sa fille, Gaiffe, et un de c
anges. Il y a Théophile Gautier et ses filles, Peyrat, sa femme et sa
fille
, Gaiffe, et un de ces interlopes quelconques, qui
lconques, qui semble toujours faire le quatorzième de la société. Les
filles
de Gautier ont un charme singulier, une espèce de
s… Maintenant il rend sa femme très malheureuse… il court les petites
filles
… mais j’ai eu mes fers. » Et nous montrant un liv
ai. Il existe chez cette femme le véritable et intime caractère de la
fille
: la passivité. Elle roule inconsciemment, insouc
timbre de Lariboisière. Rose est morte ce matin à sept heures. Pauvre
fille
! C’est donc fini ! Je savais bien qu’elle était
notre intérieur ! Une habitude, une affection de vingt-cinq ans, une
fille
qui savait notre vie, ouvrait nos lettres en notr
e soir précisément, douze heures après le dernier soupir de la pauvre
fille
, il nous faut aller à Saint-Gratien chez la princ
es blonds cheveux bouffants, s’écrie : « Mes amis, tant que la pauvre
fille
a vécu, j’ai gardé le secret professionnel de mon
œur, de tous les sens, et où se mêlaient les maladies de la misérable
fille
, la phtisie qui apporte de la fureur à la jouissa
e Longchamps, où nous trouvons 25 ou 30 invités. C’est la chambre des
filles
de Gautier qui est la salle de spectacle, où il y
ur d’une batte. Là-dedans passe et repasse toute la famille, les deux
filles
de Gautier, Judith, dans un costume d’Esméralda d
ère ne pouvait croire à la modicité de la somme. Procureur avait une
fille
mariée. Son gendre vint se plaindre à lui que sa
reur avait une fille mariée. Son gendre vint se plaindre à lui que sa
fille
se laissait aller à la boisson. Bon sang ne peut
sa fille se laissait aller à la boisson. Bon sang ne peut mentir. Sa
fille
avait de vingt-cinq à trente ans. Il la fouetta c
ille avait de vingt-cinq à trente ans. Il la fouetta comme une petite
fille
, et dit à son gendre : « Dà, dà, la voilà corrigé
ire, perdant la tête d’une visite, et qui manque d’écraser une petite
fille
qui se sauve d’entre ses jambes. Un salon où il y
à une intrigue de vaudeville, et partout des objets d’art à ravir une
fille
: une maison triomphante avec jardin, écurie et r
se de leur génie, la mélancolie des lagunes ! Mlle Eugénie de Guérin,
fille
de M. Joseph de Guérin, lequel, au commencement d
qui crée : « Lui et moi, c’étaient les deux yeux d’un même front ! »
Fille
de gentilhomme pauvre qui aimait son Cayla comme
e de Guérin, née au xixe siècle, n’en savait guère plus long que les
filles
de son rang au xie . Si elle lisait quelques livr
ir le détail, heure par heure, des jours qu’a passés sur la terre une
fille
digne d’atteindre à tous les sommets, et voici ce
tait poëte, et l’on peut répondre qu’elle l’était toujours. La simple
fille
de la terrasse du Cayla n’était point une Corinne
es de jeu. Quoiqu’elle ne ressemblât guère à un sphinx, cette aimable
fille
au long sourire, elle en avait peut-être, quand o
upériorité du génie, il avait la supériorité du malheur. Il avait ses
filles
cependant. Mais elle avait son frère, — ce Mauric
e Maurice sur l’épaule duquel elle mit la main de si bonne heure. Les
filles
de Milton voyaient l’orbe du génie paternel se co
nt à ses pieds. Elle ne lui lisait pas la Bible, en hébreu, comme les
filles
du poëte anglais la lisaient à ce grand Attentif
atteint, quoiqu’on n’ait jamais tort de douter de la justice de cette
fille
des hommes, — Mlle Eugénie, sa sœur Eugénie au fr
qu’elle ne fut étonnée de lui. Si j’osais, en parlant d’une pareille
fille
, me servir d’un mot abaissé par ce qu’il y a de t
du Cayla, à chèvrefeuille et à pariétaires, qui eût révélé dans cette
fille
calme autre chose qu’une femme du monde, capable
de vanité n’a de sens que quand il exprime le néant de la vie. Cette
fille
, de naturel inconscient, de piété et de solitude,
y avait, près de l’habitation de sa mère, un régisseur qui avait deux
filles
d’une merveilleuse beauté, et dans ses promenades
trouver très amusantes. Mercredi, 21 mars Aujourd’hui paraît La
Fille
Élisa. Je suis chez Charpentier à faire mes envoi
à la vitrine de la librairie. Il y a en montre des exemplaires de La
Fille
Élisa. Je ne suis pas encore saisi… J’entre au pa
avoir des succès pareils, à celui d’Henriette Maréchal, à celui de La
Fille
Élisa, des succès où toute la joie légitime de la
sur un boulevard neuf, une grande librairie, qui n’a en montre que La
Fille
Élisa, étalant par toutes ses vitrines, aux gens
e Le Tintamarre est poursuivi pour un article, portant le titre de La
Fille
Élisabeth, qui est une parodie de La Fille Élisa.
le, portant le titre de La Fille Élisabeth, qui est une parodie de La
Fille
Élisa. Mardi 17 avril On parlait, ce soir,
éputés, qu’on ne poursuivît pas Le Tintamarre, pour son article de La
Fille
Élisabeth. Là-dessus le Procureur général de la R
ait parvenir pour sa défense, à ce qu’on m’a dit, un exemplaire de La
Fille
Élisa, annoté par un de ses légistes. Et voilà qu
d’hui, en faisant un paquet de tous les journaux, qui ont parlé de La
Fille
Élisa, je les lisotte, en les pliant. C’est vraim
n que moi », et un journal a été jusqu’à demander, que l’auteur de La
Fille
Élisa soit enfermé dans une maison de fous, ainsi
, comme un large tracé d’une route vicinale, en un pays de landes. Sa
fille
, la Lancière, n’y est pas. Un petit bonhomme de c
e… Je comptais sur elle pour me fermer les yeux. Est-ce que la pauvre
fille
, la dernière des personnes qui me soit sérieuseme
toutes noires, en proie à l’angoisse du matin, quand je demande à sa
fille
des nouvelles de la nuit, en proie à l’angoisse d
fants : Et lorsque ma famille est par toi réunie, Quand je trouve une
fille
, elle est ton ennemie ! Je suis bien malheureux !
st ton père, c’est moi, C’est ma seule prison qui t’a ravi ta foi… Ma
fille
, tendre objet de mes dernières peines, Songe au m
sang des héros, défenseurs de ma loi, C’est le sang des martyrs. — Ô
fille
encor trop chère ! Connois-tu ton destin ? Sais-t
ment le charme de la tragédie de Zaïre. Si Lusignan ne rappelait à sa
fille
que des dieux heureux, les banquets et les joies
rétablie dans sa félicité. » Enfin, le 2 septembre, elle raconte à sa
fille
que « la vision de madame de Soubise a passé plus
le garde sa chambre. » Le 30 septembre, madame de Sévigné écrit à sa
fille
: « Tout le monde croit que l’ami (le roi) n’a pl
emain, c’est autre chose. Madame de Sévigné écrit, le 2 octobre, à sa
fille
« que la veille l’ami et l’amie (le roi et madame
à fait sortie du cœur du roi. Le 15 du même mois, elle adressait à sa
fille
ces réflexions d’une profonde sagesse et d’une pa
es échos en demeurent d’accord et disent : c’est Langlée ! et moi, ma
fille
, je vous dis pour être à la mode : C’est Langlée.
ès bien ce comte de Grignan par les lettres de madame de Sévigné à sa
fille
. C’était un homme de qualité, un homme d’esprit,
son caractère. Les maris que la marquise de Rambouillet donnait à ses
filles
, prouvent mieux son bon goût que le contraire n’e
à 1660, nous voyons donc la marquise, âgée de 70 à 80 ans, sa seconde
fille
mariée au comte de Grignan et de temps à autre ma
trouve que rarement, à l’hôtel Rambouillet, madame de Longueville, sa
fille
, madame de Nemours ; madame de Sablé, les Scudéry
hôtel de Rambouillet ; la marquise, âgée, isolée par le mariage de sa
fille
, désolée de la mort de son mari et de celle d’un
a force d’une telle raison. » Madame de Sévigné date des lettres à sa
fille
, tantôt de chez M. de La Rochefoucauld où était m
mme désignation d’un caractère. En 1671, madame de Sévigné écrit à sa
fille
qu’elle a la première place dans son cœur, madame
e (Malinké) Un fama fit demander à un autre fama de lui donner sa
fille
Dêdé en mariage et celui-ci y consentit. Au momen
ceci : « La femme qui est chez toi comme ta femme n’est pas la vraie
fille
du roi. C’est sa griote seulement. Si tu tiens à
seulement. Si tu tiens à savoir la vérité, fais venir ici toutes les
filles
du village et ordonne leur de répéter la chanson
les oiseaux pilleurs de lougans ». Le massa fit convoquer toutes les
filles
du village, chacune portant l’enfant confié à ses
llageois, c’est la muse de la veillée qu’il invoque. « Je chante une
fille
de Provence et les amours de jeune âge à travers
quiète pas, répond le vieux vannier ; quand viendra la Toussaint, les
filles
des beaux villages de Provence qui se louent pour
, ce qui me paraît encore le plus beau, interrompit Vincent, c’est la
fille
du mas, celle qui, s’il vous en souvient, mon pèr
range, elle allait, à la rosée du soir, tordre un écheveau de fil. La
fille
Mireille et les étrangers se saluent dans les ter
soir tombe ; les ouvriers rentrent des champs ; la belle Mireille (la
fille
du mas) apporte, pour faire souper au frais ses t
hant. La Cueillette des Olives. « Chantez, chantez, magnanarelles (
filles
qui cueillent les olives) ! car la cueillette veu
ois ! tout à l’heure je dirai que tu as la main fée ! ” — “Eh ! bonne
fille
que vous êtes ! les mésanges, quand vient la Sain
race, qui ronge en passant et cades et argousiers ; la Durance, cette
fille
sémillante qui vient du puits avec sa cruche, et
ste marqué d’une cicatrice au front. Les couronnes qu’il a reçues des
filles
d’Arles lui donnent la certitude d’honorer Mireil
s des pins. « Ils sont trop loin, vos pins, répond-elle. — Prêtres et
filles
, réplique le bouvier, ne peuvent savoir jamais la
nait du pays d’Arles à la hutte de son père. « Pauvrette ! c’était la
fille
de maître Ambroise, Vincenette. Ses oreilles, per
t de paroles ? Vous savez comme elle est ! Si elle était à Arles, les
filles
de son âge se cacheraient en pleurant, car après
vant les stances de ce septième chant de Mireille ? Raymond refuse sa
fille
au vannier, à table, dans une scène de caractère
st moi qui l’aime ! — Eh bien ! vas-y, répond l’impitoyable père à sa
fille
; vas-y, avec ton mendiant, courir les champs. Tu
on petit à travers les broussailles épineuses. » « Qui vous tiendra,
filles
amoureuses ? Dans sa chambrette sombre, où la lun
oublia, par malheur, de s’en couvrir la tête… « Cela fini, l’ardente
fille
prend à la main sa chaussure ; par l’escalier de
loin, et sur les touffes des panicauts, des camphrées, ce perdreau de
fille
vole, vole ! Ses pieds ne touchent pas le sol ! »
ent qu’en plein air, ou en plein champ, ou en pleine mer. Vénus était
fille
de l’onde. La grande poésie est de même race que
r avec des récits enchanteurs, de l’aïeul à l’enfant, de la mère à la
fille
, du fiancé à l’amante, toutes les bontés de l’âme
r le faire rester que d’envoyer chercher le petit garçon ou la petite
fille
du sieur Magny et par ainsi être quatorze, est-ce
je trouverais détestable, est une création absolument imaginaire… Les
filles
qui parlent comme cette demoiselle, — qui plaisan
et non étudiée sur le vif comme ils le prétendent, commence comme une
fille
qui finit comme elle n’aurait jamais commencé. El
se débarrasse de cette gourme odieuse et elle devient une délicieuse
fille
, mourant sous les voiles d’une virginité qui n’a
tastrophe. Telle est la fin résignée, touchante, expiatrice, de cette
fille
amazone, nageuse et blagueuse, comme elle dirait
ans le livre de MM. de Goncourt, et qui rentre dans la simplicité des
filles
qui ont été nos mères, de la jeune fille des soci
e d’aucune autre qui montre, en le développant, le caractère de cette
fille
singulière et gâtée, qui philosophe en caleçon, a
une passion insensée sur laquelle il compte pour lui faire donner sa
fille
en mariage ; et l’incestueux mariage s’accomplira
e je n’aurais fait qu’effleurer dans un autre temps. L’écrivain de La
Fille
Élisa avait pu se repentir de cette bassesse d’in
ue pleuré quand il tomba de ses premiers romans sur le trottoir de La
Fille
Élisa, est resté meurtri et taché de cette chute.
taché de cette chute. La Faustin, quoique d’un tout autre ton que La
Fille
Élisa, ce roman de La Faustin, qui aurait pu être
cin du Naturalisme, tend la main et demande l’aumône à toute femme et
fille
qui a la moindre petite piécette d’un document hu
ce sont les impressions des jeunes filles, et même des toutes petites
filles
, et « l’éveil simultané de leur intelligence et d
i n’exige pas non plus le nom des jeunes filles et des toutes petites
filles
qui vont aller à confesse à lui, M. de Goncourt a
aire renseigner sûrement sur les premiers troubles des toutes petites
filles
, sur les premières rougeurs de ces aurores ?… Dia
emandait de documents ni aux grandes personnes, ni aux toutes petites
filles
, pour faire un de ces livres de réalité et d’idéa
our les deux. Le vieux galérien avec lequel il fut accouplé avait une
fille
à Livourne, blanchisseuse sur le port, une bien b
s au vieux galérien, avait ainsi tous les jours l’occasion de voir la
fille
de son compagnon de galère et d’admirer, sans rie
r éclata en dehors à la mort du père. Tant qu’il avait vécu, la bonne
fille
n’avait pas voulu tenter de délivrer son amant po
ta exténués sur la plage de Montenero, trompa leur innocent amour. La
fille
, punie comme complice d’une évasion des galères,
XXV Je me sentais le cœur presque fendu en écoutant le récit de la
fille
du vieux galérien, séduite par sa reconnaissance,
Dieu ? Et qui sait si, pendant ce temps, je ne pourrai pas, comme la
fille
du galérien de Livourne, trouver moyen de le fair
au porte-clefs (car ils savaient le mariage de l’ancien avec la jolie
fille
du bargello) adoucirait ou aggraverait leur peine
n oncle dans le coffre, afin de ne pas être exposée, comme une pauvre
fille
, aux poursuites, aux insolences et aux libertinag
nt du Cerchio ; comment cette noce s’était trouvée être la noce de la
fille
du bargello ; comment leur gendre, en s’en allant
’à sa place j’aurais certainement dit ainsi moi-même. Mais une pauvre
fille
des montagnes, amoureuse et désolée, mon père et
et qui n’a pour lumière que l’apparence au lieu de la vérité. — Et ma
fille
? ma fille ? ma Fior d’Aliza, s’écriait ma belle-
pour lumière que l’apparence au lieu de la vérité. — Et ma fille ? ma
fille
? ma Fior d’Aliza, s’écriait ma belle-sœur, n’en
des chapelles. Tous et toutes m’ont affirmé que, depuis la noce de la
fille
du bargello avec un riche contadino des environs,
es. Ces réponses uniformes m’avaient donné d’abord à penser que votre
fille
n’avait pas osé entrer à Lucques et qu’elle errai
ssant mieux et en me demandant comment la noce d’un contadino avec la
fille
du bargello avait pu trouver un pifferaro pour en
ce « mufle ! » Je dis mufle, car non seulement il abandonna la pauvre
fille
, mais il paraît l’avoir abandonnée hypocritement.
ors soixante ans ; et il est vrai qu’elle venait de perdre une de ses
filles
. — Elle lui écrit, le 27 décembre 1852 : « Bon jo
almore sont sur le pavé de Milan, abandonnés, avec leurs deux petites
filles
, par un impresario en faillite. Marceline écrit à
tite remarque, non tout à fait insignifiante, je crois : — La seconde
fille
de Marceline, née en 1821, qu’on appelait Ondine
re étaient de pure amitié. Le prénom d’Hyacinthe a pu être donné à la
fille
aînée de Mme Desbordes-Valmore à cause de ce mons
e M. de Latouche avait été l’amant de Mme Valmore, qu’Ondine était sa
fille
, et que l’on s’était séparé parce qu’il avait vou
. Il épousa en 1807, à l’âge de vingt-trois ans, Mlle de Comberousse,
fille
du président du Conseil des Anciens : ce fut un m
de ce rôle ; il était très mauvais artiste. ») Elle perd sa première
fille
, Junie. Elle perd sa fille Inès, de la phtisie, à
mauvais artiste. ») Elle perd sa première fille, Junie. Elle perd sa
fille
Inès, de la phtisie, à vingt et un ans ; elle per
le perd son frère, ses sœurs, sa plus chère amie Caroline Branchu, sa
fille
Ondine. Elle meurt après deux années d’une maladi
ait un peu les yeux. Et enfin Sainte-Beuve faillit épouser Ondine, la
fille
aînée de Mme Valmore ; et c’est une histoire qui
quotidiennes dans une bohème indigente de comédiens errants, les deux
filles
de Marceline, Ondine et Inès, furent des malades
e se peut mesurer à la joie qu’éprouve la pauvre femme un jour que sa
fille
, attendrie par l’absence (elle était alors en Ang
tte. « Mme Valmore avait la parole un peu traînante et larmoyante, sa
fille
avait plus de décision et de netteté dans la repa
Ondine elle-même, puisque, le premier mai 1843, Marceline écrit à sa
fille
: « M. Sainte-Beuve t’attend sur tes gages donnés
cer ou l’endormir ; les couples heureux de jeunes hommes et de belles
filles
, destinés les uns aux autres par leurs parents, c
e de la jeune fille. XIII Le père parla de cette ouverture à sa
fille
en riant, comme d’un badinage qui ne méritait pas
nage qui ne méritait pas même réflexion, et auquel les garçons et les
filles
du château avaient sans doute encouragé le pauvre
it épouser un enfant qui piquait encore les bœufs au labour comme une
fille
, mais que, si sa condition se relevait un peu au
la Jumelle, et que, toute belle et toute recherchée qu’elle était, sa
fille
pourrait rencontrer pis que le fils de la veuve.
s le ciel, on voulut devancer ce retour de Didier en allant en masse,
filles
et garçons, au-devant de lui par le sentier d’Arc
uronnent le sommet de la roche du côté du château. Les garçons et les
filles
de la ferme étaient dérobés aux rayons de la lune
« Le père m’a pris par la main ! « La mère a étendu la nappe ! « La
fille
a rougi ! « Elle a rougi de bonne grâce, comme le
« Mais à la troisième il m’a dit : — « Je te comprends ; tu auras ma
fille
. « Et mon verre m’est tombé des doigts ! « Et des
à la lune, aux étoiles, aux bœufs et aux alouettes ? » ajoutaient les
filles
. Mais ce Te Deum de l’amour continuait et se renf
nous étions cachés pour le surprendre. À ce moment les garçons et les
filles
, se levant tous à la fois de leur cachette, jetèr
es de bruyère qui portaient le poids de son corps. Les garçons et les
filles
se montrèrent alors, et, s’avançant en ricanant v
pour rire ses trois bouteilles de vin qui te font chanter, et que la
fille
, d’accord avec nous pour t’attraper, t’a fait cro
Effrayés de l’imprudence qu’ils avaient commise, les garçons et les
filles
se précipitèrent par tous les sentiers au bas de
ée, à un homme qui avait une charge à la Cour, la plaça en qualité de
fille
d’honneur auprès de Madame lorsque cette sœur de
re Madame et Louis XIV que le roi ferait l’amoureux de quelqu’une des
filles
d’honneur de la princesse, ce qui lui serait un p
e Mme de La Vallière, qu’on retira, à cet effet, de l’appartement des
filles
de Madame, pour la loger dans le jardin du Palais
onner davantage, c’est qu’en octobre 1666, lors de la naissance d’une
fille
qui fut Mlle de Blois, Mme de La Vallière, qui ét
supposait généralement de son apparente froideur : « Voyez-vous cette
fille
qui a des pendants de diamants ? c’est celle que
de la belle plume de Pellisson ; il avait, par cet édit, reconnu une
fille
qu’il avait eue de Mme de La Vallière, et conféré
pas : « À l’égard de Mme de La Vallière, écrivait Mme de Sévigné à sa
fille
(27 février 1671), nous sommes au désespoir de ne
e coûte ; mais parler au roi, oh ! voilà mon supplice. » La vue de sa
fille
, Mlle de Blois, l’attendrit, mais sans l’ébranler
pas le moindre, Bossuet empruntait la parole d’Isaïe : « J’ai vu les
filles
de Sion, la tête levée, marchant d’un pas affecté
ort d’un fils dont je n’ai pas encore assez pleuré la naissance. » Sa
fille
, Mlle de Blois, qui épousa le prince de Conti, ét
érénice en elle que ces deux-là. Comme religieuse, comme carmélite et
fille
de sainte Thérèse, ce n’est point à nous à nous p
les mères qui écrivent ne se seraient pas accommodées : elle eut des
filles
qui l’égalèrent par l’esprit, et dont l’une la su
Girardin présida longtemps aux succès et à la renommée poétique de sa
fille
; elle en reçut des reflets qui la réjouirent, qu
qui ne l’éclipsèrent pas. Quand on voyait Mme Gay en compagnie de ses
filles
, de Mme de Girardin et de Mme la comtesse O’Donne
se auprès du mausolée de son époux, et s’occuper de l’éducation de sa
fille
. Elle y trouve, ainsi que dans un château voisin,
ui cache sa tendresse sous des dehors réservés, essaye de prémunir sa
fille
contre ces exagérations mondaines ; il lui trace
le étourdi. Cependant M. de Montbreuse avait d’autres projets pour sa
fille
; il la destinait au fils de l’un de ses meilleur
t tout d’abord Alfred, à peine arrivé au château, trouve Suzette, une
fille
de concierge, mais élevée un peu en demoiselle, e
s sur ceux qui en sont innocents. M. de Montbreuse a beau faire à sa
fille
de petits sermons sur l’ennui, vouloir lui prouve
A] Léonie de Montbreuse était dédiée, dans la pensée de Mme Gay, à sa
fille
Mme la comtesse de Canclaux, née du premier maria
anclaux, qui venait de se marier au moment où le roman parut : À ma
fille
Aglaé. Comme un doux souvenir, accepte cet ouvrag
n cage, de louches ivrognes, des sadiques au sourire aigu, une petite
fille
fuyante et frêle, un vieillard dont les yeux, tou
puis despotique et mortel que cause, en une pauvre cervelle de petite
fille
, le souvenir d’un passé de cruauté et de souffran
ché de sa famille et renié de lui-même, il trouve auprès d’une humble
fille
le secret oublié des larmes et la paix du châtime
oles tremblantes, la joie de posséder des frères, est une pâle petite
fille
à la figure menue, dont les yeux, sous des cheveu
supplice lucratif. C’est avec son chapeau, sa jupe et son ombrelle de
fille
, qu’elle assiste à l’agonie de son père, dans une
Marmeladoff ayant, dans sa faiblesse, ruiné les siens et prostitué sa
fille
, a l’horrible et inconscient cynisme de parler, q
navre de la tristesse des violents. Les criminels, les débauchés, les
filles
séduites et les filles souillées, les petites méc
es violents. Les criminels, les débauchés, les filles séduites et les
filles
souillées, les petites méchantes gens, toute la s
a scène où une petite enfant raconte à des parents endurcis pour leur
fille
, l’histoire de l’abandon de sa mère jusqu’à tous
ntaigne, son père adoptif, dut aimer pour sa candeur, une respectable
fille
qui a l’air d’un bon gendarme quand, dans son sty
le et mère un peu trop bavarde et trop extasiée devant sa désagréable
fille
(à moins que l’étrange emportement de cette affec
e, « ayant eu des malheurs », intrigante, cherchant à placer ses deux
filles
, suspecte d’un peu de libertinage d’esprit, avec
e et son esprit émancipé, on ne sait quelle candeur étonnée de petite
fille
; bref, une de celles qui ont le plus drôlement e
t beaucoup d’autres omissions, dont nous devons le remercier pour nos
filles
Près de Mme d’Épinay, Mme d’Houdetot, si plaisan
es Et, après cette colombe octogénaire, voici surgir Mme Roland, une
fille
de Plutarque, une enthousiaste, une envoûtée de l
us-même que vous ayez senti. Vous êtes restée jusqu’au bout la petite
fille
qui, dans les traînes du Berry, inventait de bell
rce qu’ils vous semblaient plus près de la nature, ô grande faunesse,
fille
de Jean-Jacques ! Les rêves les plus généreux de
eval, le prêtre athée et marié, qui feint de se convertir pour que sa
fille
ne meure pas ; l’orgueilleux, farouche et impassi
gny empoisonne sa femme, de complicité avec sa maîtresse Hauteclaire,
fille
d’un prévôt, avec laquelle il fait des armes tout
un gentleman très fort au whist, Mermor de Kéroël. Elle empoisonne sa
fille
par jalousie. Elle a la manie de mâchonner contin
ces hosties avaient été confiées par des prêtres à une pauvre sainte
fille
qui les portait « entre ses tétons » — Le major Y
donne à manger à ses chiens. La duchesse, qui est innocente, se fait
fille
publique pour se venger. « Je veux mourir, dit-el
eux mourir, dit-elle à l’un de ses clients d’une nuit, où meurent les
filles
comme moi… Avec ma vie ignominieuse de tous les s
ang de Quesnay… Et, en effet, le prêtre athée, après avoir déterré sa
fille
dont il a causé involontairement la mort, se préc
ement est universel. Il y a dans l’Ensorcelée une pauvresse, ancienne
fille
de joie, Clotilde Mauduit : elle devient sibyllin
on peut douter de tout, quand on pense que Mme de Sévigné n’aimait sa
fille
que dans l’absence et qu’elle n’était rien de plu
seau et Mme Colet, de Diderot. (Pauvre Diderot ! d’avoir une pareille
fille
; mais les libertins ne savent pas tous les bâtar
et toute mère qu’elle se trahisse encore » fait l’effet d’une vieille
fille
, à l’imagination de son lecteur. C’est, du reste,
ncre moderne et elle l’a taché de cette encre. Avec cette air vieille
fille
que le bas-bleuisme endoctrineur lui a donné, Mme
sme endoctrineur lui a donné, Mme André Léo croit, comme les vieilles
filles
, à l’amour qu’elle confond avec le mariage, dans
n comparaison de Mme André Léo, l’auteur du Mariage scandaleux et des
Filles
de M. Pichon ? Que sont-elles, toutes ces sèches
n’est pas encore celui-là qui dévirilisera la France !!!! 22. Les
Filles
de M. Pichon. — Attendre et espérer. — Le Divorce
pçons offensants. Le 1er septembre 1673, madame de Sévigné écrit à sa
fille
: « J’ai soupé avec l’amie de Quanto (avec madame
t d’esprit qui existaient entre madame Scarron, madame de Sévigné, sa
fille
, et leur société. Le jour de Noël 1673, la même à
rès du roi. Il est constant, par une lettre de madame de Sévigné à sa
fille
, du 7 août 1675, qu’à peu près à la même époque d
ran, et par celles que nous avons déjà vues de madame de Sévigné à sa
fille
. Vers la fin de 1671, non seulement la bigamie du
rnante se rendaient en secret. Madame Scarron avait pris chez elle sa
fille
(depuis comtesse de Montgon), qui passait tantôt
stait de l’ancienne maison de Rambouillet. Un an après avoir perdu sa
fille
, la marquise de Rambouillet, âgée de quatre-vingt
et en faisaient fleurir de nouvelles ; la duchesse de Montausier, sa
fille
, était employée à la cour ; des honneurs de cour
ne porte secrète par où le roi se rendait de nuit dans la chambre des
filles
de la reine. « On eut lieu, dit Saint-Simon, d’êt
fausse au nom du roi d’Espagne, pour informer la reine de France, sa
fille
, des amours du roi avec madame de La Vallière. L’
é à Diane, comme un jeune moine à la Vierge Marie, et les couvents de
filles
grecques sous l’invocation de la vierge Cassandre
Or, il n’y a pas à dire, la périphrase impure est comme qui dirait la
fille
bâtarde, — et ironique, — de la pudeur. Entre les
es de Salabacca commence en ces termes le récit de ses infortunes : «
Fille
d’un officier supérieur, etc. », ce n’est autre c
orgueilleuse, qui se vantait « d’être la seule qui eût été jusque-là
fille
d’un César, sœur, épouse et mère de Césars », se
je présenterai Britannicus aux soldats. Ils entendront, d’un côté, la
fille
de Germanicus, et, de l’autre, ce manchot de Burr
ersonne s’appelle Sophie Arnould. D’après ce que je sais de l’aimable
fille
, je me la figurais mal prenant ta chose de cette
le volume que les Goncourt lui ont consacré. Sans doute Sophie était
fille
d’honnêtes petits bourgeois, et il se peut bien q
rant, volant ; l’esprit de Paris, de la Comédie, d’une femme et d’une
fille
», disent très bien les Goncourt. Ses mots ? On c
: « Tu crois que je ne pouvais faire qu’une rousse ! » (allusion à sa
fille
Alexandrine, qui était « rousse comme une vache »
elle et me dit : « — Entre, je marie le fils de ma cuisinière avec la
fille
de mon jardinier. Toute la famille et mes gens so
chacun un cheval ! » Et ils s’en allèrent avec les deux chevaux. » Sa
fille
, Alexandrine, épousa un petit poète, Mur-ville, d
irouettes, de câlinerie, de coquetterie mélancolique d’ancienne jolie
fille
, de philosophie de bonne catin, et de je ne sais
(qui est, ici, lamer) y est intimement mêlée au drame humain. Ellida,
fille
d’un inspecteur des phares, est bien, tout au fon
de vingt-cinq ou trente ans plus âgé qu’elle, et père de deux grandes
filles
. Elle ne l’a pas précisément épousé malgré elle :
irraisonnée et, en un sens, aussi déraisonnable chez lui que chez la
fille
du peuple. Et, donc, il y cherche des causes ; et
lui montre sur le théâtre un père haï et bafoué par ses enfants, une
fille
galante qui, épousée par un honnête homme, siffle
se fait entretenir par un amant, ou même un galant homme épousant une
fille
séduite par un autre que lui, — encore que ce der
nt, quand tu disais : « Je t’aime ! » Quoi ! tu mentais aussi, pauvre
fille
!… A quoi bon ! Tu ne me trompais pas, tu te trom
, revenus de voyage, ne peuvent rentrer dans la maison où règne cette
fille
. André vient trouver son père et le somme de la m
on château du Poitou ; comment elle l’y trouve entre une bonne et une
fille
de ferme, — tel don Juan entre Charlotte et Mathu
ervers et ingénus de cette petite pièce), est fort ennuyée d’avoir sa
fille
sur les bras. Comme elle est femme de décision, e
moins douce s’il prend l’habitude de ne plus vous quitter. Quant à ma
fille
, elle a réfléchi ; elle est déjà moins insupporta
er aux amoureux. Lors donc que le prince Caprice, s’étant épris de la
fille
du roi de la lune, lui déclare sa flamme, Fantasi
» n’est celle de Mlle Cécile Leguerrouic. Mlle Cécile Leguerrouic est
fille
d’un relieur du quartier du Jardin-des-Plantes. E
t faite moitié de raison et moitié d’un instinct hérité, car elle est
fille
de braves gens. Mais, d’autre part, elle est fill
rité, car elle est fille de braves gens. Mais, d’autre part, elle est
fille
de Paris. Elle a des yeux qui savent voir, peu d’
chapitre du mariage. Et tout d’abord elle se comporte comme l’honnête
fille
n° 1 (voir plus haut) : « Sortez, Monsieur ! » Ma
mais d’un trait si juste ! C’est Mlle Esther de Nucingen, très riche
fille
de banquier israélite, qui prépare, elle aussi, s
sther sait bien que l’amour ne lui est pas permis, à elle, et que les
filles
de la haute banque se marient comme jadis les pri
issant au suicide, dans un milieu de petite bourgeoisie. Thérèse, une
fille
de tempérament trop chaud, a épousé son cousin Ca
r criminel de Thérèse, il a mis l’amour zézayant et bêta d’une petite
fille
pour un « prince charmant ». Bref, il a corsé l’O
ui, après nous avoir laissé croire qu’elle pouvait bien n’être qu’une
fille
, nous détrompera au dénouement et fera alors, par
sse frémissant d’une colère où se trahit un peu de la vulgarité de la
fille
du marchand de beurre ; le prince, exaspérant la
oïsme des malades : mais il aime sa femme, son vieil ami Bourdier, sa
fille
Geneviève et son gendre Hector, le droguiste, et
s seulement sa femme : il chasse Geneviève parce qu’elle n’est pas sa
fille
, et que Mme Ledoux lui en fait l’aveu silencieux.
probablement un notaire de campagne, presque sûrement un sorcier, une
fille
engrossée, une vache empoisonnée, un viol dans un
à cultiver la terre selon les vieilles coutumes, et, si vous avez une
fille
, à ne la marier qu’à un gars dont les champs « jo
ieux temps est l’histoire du mariage d’un brave garçon et d’une brave
fille
, mariage contrarié par un grand-père avare, entêt
je ne suis pas plus mal qu’un autre… Eh bien, c’est drôle, toutes les
filles
me répondent la même chose… » Or, depuis qu’il a
terre !… Mais je ne voudrais pas mourir avec l’idée que je laisse ma
fille
malheureuse… Mon père, je vous ai toujours été so
n’est qu’une pastoure, une sans-le-sou. Il est vrai que Jane est une
fille
parfaitement sage, modeste, douce et travailleuse
ntibel ne veut rien entendre. — Il pèche ensuite en ce qu’il aime une
fille
trop jeune pour lui, et en ce qu’il l’aime à caus
ause de cela et que c’est fort heureux pour lui que Jane soit honnête
fille
, car, fût-elle, en effet, « une catin », il l’aim
est doux, patient, sensé ; il est assez désintéressé pour épouser une
fille
pauvre ; et s’il y a un peu de « folie du sang »,
ent tout seuls et sans l’intervention des sorciers. « — Ça y est, ma
fille
; Barrabas l’affirme, et Barrabas ne se trompe ja
elles trouveront l’apôtre inconvenant. Elles hésiteront à mener leurs
filles
à ses sermons. Un de ces derniers hivers, dans un
ayant appris, à son arrivée, qu’il soupait dans l’hôtel même avec des
filles
, elle s’est retirée dans son appartement et n’a s
vous dois bien quelque chose en récompense. Il n’importe guère qu’une
fille
comme moi soit un peu plus déshonorée devant les
, il n’a point abandonné sa maîtresse. Mme de Réboval lui a donné une
fille
, Béatrice ; Pauline Loindet lui a donné un fils,
l épouse sa maîtresse, sans prendre garde que ce mariage désespère sa
fille
Béatrice, qui a vingt ans et qui soupçonne déjà b
stence en serait toute gâtée. Puis, quelle figure ferait-il devant sa
fille
Béatrice ? Il serait, au surplus, obligé d’avouer
t faire au monde pour tenir éloignés l’un de l’autre son bâtard et sa
fille
? — Mais on ne saurait penser à tout, et j’ai déj
l), est franche, vraie et toute charmante. Là-dessus Réboval dit à sa
fille
: « Il est temps de songer à t’établir. J’ai en v
, répète Réboval… tu ne peux pas !… » Il dit cela d’un tel ton que sa
fille
le regarde dans les yeux et devine tout d’un coup
soulève les foules rien que par la façon dont il embrasse les petites
filles
qui lui apportent des bouquets. Il promet que sa
e Théâtre-Libre a rouvert ses portes. Et le défilé va recommencer des
filles
ignobles et cordiales, des Alphonses pleins de fr
aucune peine à reconstituer de nous-mêmes le passé des bourgeois, des
filles
et des jolis jeunes gens que, neuf fois sur dix,
faible, a épousé sa maîtresse Margot, sachant qu’elle n’était qu’une
fille
. Il l’a épousée parce qu’il a d’elle un enfant et
enir une bourgeoise « honnête » et rangée, sa nature est restée d’une
fille
, et cela se sent dans tous ses airs et dans ses m
e de Nini, soit pour le consoler à sa façon, soit par « rosserie » de
fille
, lui dit qu’il a bien tort de se faire tant de bi
e reprocher ? Quand tu m’as épousée, ne savais-tu pas que j’étais une
fille
? Et, depuis, n’ai-je pas été une honnête femme e
les deux adversaires que cette scène met aux prises. Margot a été une
fille
, et une fille de l’avant-dernière catégorie, c’es
saires que cette scène met aux prises. Margot a été une fille, et une
fille
de l’avant-dernière catégorie, c’est entendu ; et
chers Chantemelle. Ils sont quatre, le duc, la duchesse, Claire, leur
fille
, et Robert, leur fils. Autrefois, tous les Chante
; et elle se résigne à laisser Robert, indignement abusé, épouser une
fille
qu’elle sait avoir été la maîtresse de son père.
ne jusqu’à la plébéienne Hélène Vatrin. Hélène n’est pas une mauvaise
fille
. Elle a eu la faiblesse de se donner au vieux duc
pays, à Vienne, en Autriche. Elle laissait derrière elle deux petites
filles
, trois ans et deux ans, qu’elle adorait, dit-elle
a, simplement. Il a raconté à tout le monde et il a fait croire à ses
filles
qu’elle était enfermée dans une maison de santé,
en Autriche. Cependant, il n’est point méchant homme, et il aime ses
filles
. Comment n’a-t-il pas vu le mal que leur ferait,
ion initiale : une femme, non coupable, séparée de son mari et de ses
filles
, et qui ne les a pas revus et qui ne sait pas ce
-on supposer, par exemple, qu’Anna de Grécourt a cherché à ravoir ses
filles
et qu’elle y a renoncé plutôt que de se soumettre
lui dire, de la part d’Hubert, qu’il ne tient qu’à elle de revoir ses
filles
: « … Le temps ferme les blessures… Hubert pense
en… Cependant, elle ne peut se tenir d’interroger Hector, non sur ses
filles
(« je ne les connais pas, mes filles… Je leur por
d’interroger Hector, non sur ses filles (« je ne les connais pas, mes
filles
… Je leur porte l’intérêt qu’on a pour les enfants
» moral où elle s’est condamnée, comme si l’atmosphère où vivent ses
filles
commençait de l’amollir à son insu… Puis, lorsqu’
omprend que son mari ne l’a fait venir que pour se débarrasser de ses
filles
, dont la présence le gêne, avec quelle grâce crue
nerveuse qu’elle ne l’avait prévu, voilà tout. Quant à reprendre ses
filles
, elle n’y songe pas, au moins ! Cela ferait trop
ésurrection sentimentale de Mme de Grécourt. Elle qui a abandonné ses
filles
et qui les a retrouvées avec tant de sangfroid, e
e, tant elle est vraie. Et le malheureux Hubert, apprenant ce que ses
filles
ont souffert par lui, mais ne pouvant rompre son
aternel, une nouvelle étape. Malgré qu’elle en ait, la façon dont ses
filles
viennent de trailer la vieille maîtresse de son m
? Ce qui est sûr, c’est qu’elle se décide soudainement à emmener ses
filles
. C’est bonté, pitié, sentiment du devoir aussi :
ntimental et romanesque, ce ne sont pas ces deux raisonnables petites
filles
qui s’en sont avisées : c’est leur père qui le le
le « graphique ». Les deux scènes d’Anna avec son mari, puis avec ses
filles
, au second acte, semblent se répéter au troisième
on ! il ne faut pas embrouiller les comptes ! » Restée seule avec sa
fille
, Mme Boisset lui dit : « Tout de même, ça nous ti
ent de l’hôtel où le consul de France, M. de Vesles, habitait avec sa
fille
. Il a vu Régine reconduire le baron et lui donner
res. Il n’a qu’un moyen de réparer le mal qu’il a fait à la charmante
fille
qu’il adore : c’est de l’épouser. Il s’en avise a
ait d’avance, que cela ne pouvait pas être bien grave… Hélas ! pauvre
fille
et pauvre garçon ! Il va parler enfin, il faut qu
rendre l’instant précédent, celui où un père, une mère, envoient leur
fille
à son époux. Quelle tendresse, quelle honnêteté,
rer la débauche, ne commence pas à en dérober la vue à sa femme, à sa
fille
, à son fils ? Quel est celui qui ne pense que ce
un mauvais livre, une estampe malhonnête que le hasard offrirait à ma
fille
suffirait pour la faire rêver et la perdre. Ceux
aît que de beaux écrans.-même la chaumière ou la mère qui surprend sa
fille
sur une botte de paille ? — J’en excepte celui-là
le visage allumé de colère, les poings sur les côtés, gourmandant sa
fille
étendue sur une botte de paille qu’elle partage a
jeune paysan, pauvre lit que je troquerais bien pour le mien, car la
fille
est jolie ; elle n’y gagnerait pas. Son ajustemen
ret. Ce secret, que Jane avoue à cet étranger, inconnu la veille, une
fille
oserait à peine le balbutier à sa mère, entre deu
l’esprit les blessures spéciales des instruments de la chirurgie. La
fille
de M. Leverdet est amoureuse, dans la pièce, de l
unes conjugales. Sa femme l’a trahi et abandonné, en lui laissant une
fille
sur les bras. Le désespoir l’a pris ; il y aurait
ute. Sa maison est devenue la sienne ; elle s’est faite la mère de sa
fille
et la fiancée à son fils. Elle a relevé cet homme
e. Cette histoire est d’une simplicité douloureuse : Jeannine est une
fille
du peuple ; sortie un instant de la misère par l’
ux clairs et une décence d’ange ; et, en écoutant cette confession de
fille
entretenue prononcée par une voix de vierge, on s
ique dans cette chute obscure et à moitié consentie. Mais combien les
filles
séduites du drame ordinaire, avec leur désespoir
t que passer, il n’en agirait pas moins comme un lâche. Mais c’est la
fille
perdue par lui qu’il veut chasser du monde honnêt
signé, se déclarant prêt à épouser l’ange déchu, dans la chapelle des
Filles
repenties. C’est le mouton de l’holocauste qui de
nant elle se calomnie. Pour faire reculer celui qui l’aime, la pauvre
fille
prend le masque d’une courtisane. Elle s’accuse d
jouent des quatre sultanes qu’ils ont séduites parmi les plus jolies
filles
du peuple, comme de quatre instruments de plaisir
or Hugo. Cela prouve que le peuple ne veille pas assez sur ses jolies
filles
, et la bourgeoisie sur ses fils : car il est évid
qu’on n’irait pas en partie carrée dîner à la barrière, et que votre
fille
ne serait pas muette ! IV Au second volume,
inée avec amour. Sur le seuil d’une auberge de campagne, deux petites
filles
, l’une de deux ans, l’autre de dix-huit mois, se
es vers délicieux de douleur, dans lesquels le grand poète pense à sa
fille
et à son gendre noyés dans la Seine en se baignan
ette femme était un des plus divins êtres qu’on pût voir. C’était une
fille
de deux à trois ans. Elle eût pu jouter avec les
le ; elle avait l’air très lasse et un peu malade ; elle regardait sa
fille
endormie dans ses bras avec cet air particulier d
, les rues et les portes des maisons. « Elle emportait son enfant, sa
fille
, espérant la nourrir, l’élever de ses soins, de s
me actuelle, ne renvoie pas à l’arracheur de dents une jeune et jolie
fille
qui porte son enfant au seuil d’un hospice, et qu
é. Il avait divisé les ateliers afin de séparer les sexes, et que les
filles
et les femmes pussent rester sages. Sur ce point
de ; il n’exigeait qu’une chose : Soyez honnête homme ! soyez honnête
fille
! » Véritable Grandisson du commerce et de l’indu
Et la société est responsable de cette catastrophe du forçat et de la
fille
publique : double matière à indignation présentée
ciété du dix-neuvième siècle ? Et, secondement, où pouvait mourir une
fille
publique, née sans père ni mère, débauchée de mœu
eillie par la bienfaisance, et dans la couche préparée par de saintes
filles
sous les ailes de la religion ? XXI Ces deu
ié à la situation où la société pût préparer une meilleure mort à une
fille
sans asile ? Pourquoi fanatiser le peuple, en sty
à faire dans cette épopée de petites misères d’un forçat et de quatre
filles
dans le bourbier du bagne ou des mauvais lieux de
Racan, et Marie de Jars de Gournai. Cette sçavante
fille
étoit d’un caractère tout opposé à celui de la be
s, la combla d’éloges. Il la fit héritière de ses études, la nomma sa
fille
d’alliance. La véritable fille de Montaigne, mada
t héritière de ses études, la nomma sa fille d’alliance. La véritable
fille
de Montaigne, madame la vicomtesse de Gamaches, d
laide, acariâtre, coureuse, débauchée, pucelle de cinquante-cinq ans,
fille
de joie. Elle présenta requête au lieutenant crim
l’auberge, à notre réveil, que deux dames françaises, une mère et sa
fille
, arrivées aussi la veille, mais plus tard que nou
s voyageuses s’appelaient madame Gay et mademoiselle Delphine Gay, sa
fille
; que ces dames avaient regretté de ne pas me ren
va enfin au bruit de mes pas. Je saluai la mère, qui me présenta à sa
fille
. Le son de sa voix complétait son charme : c’étai
apparition de Terni avait alors à peu près dix-huit ans ; elle était
fille
de madame Sophie Gay, femme supérieure très-mécon
es. XIII Madame Gay, aussi étincelante au moins d’esprit que sa
fille
, bonne, tendre, généreuse, héroïque de passion et
sait par aimer en elle jusqu’à ses défauts. XIV Elle adorait sa
fille
, en qui elle se voyait renaître. Frappée des disp
ifie la vanité. Madame Gay s’était faite elle-même le piédestal de sa
fille
; on la raillait de son empressement à la produir
u’une mère a trouvé dans le berceau de son propre enfant ? Les autres
filles
de madame Gay, aussi charmantes et aussi spiritue
enfant : elle pouvait penser que le double talent de la mère et de la
fille
, et leur double travail, apporteraient un peu plu
uble travail, apporteraient un peu plus d’aisance à la maison, que sa
fille
se ferait avec ses vers une propre dot de sa gloi
ay, liée d’antécédents et d’opinion avec les royalistes, conduisit sa
fille
dans les salons de cour de madame la duchesse de
non la personne ; les années l’avaient embellie encore. La mère et la
fille
logeaient à cette époque dans un petit entresol h
blettes suspendues à côté de la cheminée, une table où les vers de la
fille
et les romans de la mère, corrigés pour l’impress
e heureuse de Pétrarque ! Je fus reçu avec accueil par la mère et la
fille
, comme un ami qu’on aurait éprouvé vingt ans. Nou
du théâtre. Donc, Mercure nous raconte que Créuse, reine d’Athènes et
fille
d’Érechthée, a été séduite par Apollon, dont elle
ous, Madame… » Et un peu plus loin : « … Qu’ai-je à m’inquiéter de la
fille
d’Érechthée, puisqu’elle ne m’est rien ? Allons p
que ses charités ont réduit à l’indigence. Purifiée par cet amour, la
fille
de joie résiste aux entreprises du beau-frère du
». Mais je ne puis vous rapporter tous les propos de cette délicieuse
fille
. Elle dit encore à un endroit : « Celui qui aime
C’est maintenant que je te posséderai, la belle aux dents blanches !
Fille
à grimaces, j’aurai la dernière de tes grimaces !
lle volupté ! Voici que ses yeux se révulsent dans un dernier spasme.
Fille
d’amour, as-tu jamais connu des jouissances parei
e s’y trouve à point pour sauver, sans le connaître, Thyeste, — et sa
fille
Déodamie, dont il devient instantanément amoureux
e bonne partie du quatrième, on piétine sur place ; et Thyeste, et sa
fille
, et Plisthène se désolent et ne font rien. Et Atr
possession et n’est même proprement l’amour qu’à ce prix. Carmosine,
fille
d’un médecin de Palerme, aime le roi don Pèdre po
roi, tout simplement. Et, parce qu’elle n’est pas une de ces petites
filles
de drame ou de roman, qui geignent, mais qui song
ntre avec aisance dans le platonisme éperdu et naïvement subtil de la
fille
de maître Bernard et elle conçoit le remède qu’il
ener, que vous restiez près de moi, que vous ayez une place parmi mes
filles
d’honneur, qui, elles aussi, sont mes bonnes amie
Vous vous rappelez ce distique où il y avait des « longueurs »… Emma,
fille
du petit peuple, mais quelque peu affinée, aurait
ûte même pour son ingénuité. Au bout de douze ans, il voit revenir sa
fille
, riche, très riche, reine de théâtre, étalant un
e dur brave homme, cet homme au cœur droit, veut non seulement que sa
fille
épouse son ancien séducteur (ce que d’ailleurs el
a, à son tour, qui agit « selon l’ordre ». Les rôles du père et de la
fille
se trouvent finalement intervertis ; et cela embr
ui. Le conflit éclate à propos de l’éducation de la petite Berthe, sa
fille
. Il veut arracher l’enfant à l’influence dépriman
prêter à la comédienne Marthe Mance. Elle sera bien avancée quand sa
fille
, qu’elle dit adorer, aura publiquement pour père
ndividualiste sonne sa femme de chambre et lui dit : « Envoyez-moi ma
fille
. — Que veux-tu faire ? dit Gerhart. — Je te perme
avec ta bonne amie ; mais, auparavant, je veux que tu expliques à ta
fille
avec qui et pourquoi tu t’en vas. — Mais tu n’as
froyable ! » (Je cite, ici, textuellement, je vous assure.) La petite
fille
entre, dit à ses parents : « Vous n’êtes donc pas
e-lui. » Mais notre ibsénien n’en a pas le courage. Et il embrasse sa
fille
en pleurant. Au dernier acte, Gerhart avoue à Hél
l perfectionné. Mais je ne vous ai rien dit encore de Daniel et de sa
fille
Rébecca. À la vérité, je vois bien que Rébecca es
aimé ; Raymonde, en dépit de ses lâchetés et de sa trahison, aime sa
fille
, elle aime son vieux mari ; et elle est si malheu
e et une précocité d’intelligence qui n’est pas rare chez les petites
filles
, et, d’autre part, se concilier avec la plus parf
l’avez-vous pas remarqué ? Souvenez-vous, d’ailleurs, qu’elle est la
fille
du subtil et glissant M. Alphonse. Elle est insup
seulement et démontrées. Alfred Capus. Vaudeville : Brignol et sa
Fille
, comédie en trois actes de M. Alfred Capus. M.
s vous avez promis de ne pas toucher ; puis, ayant remarqué que votre
fille
fait impression sur un jeune homme très riche, ad
nde prétention de ce poète est d’être le plus pratique des hommes. Sa
fille
Cécile est exquise. Elle a grandi parmi les dette
émouvante… Je me hâte de vous rassurer sur le sort de cette charmante
fille
: Maurice l’aime décidément encore plus qu’il ne
. Il l’est, puisqu’il m’a plu. Prenons Lionnette. Elle a pour mère la
fille
d’une marchande à la toilette, et pour père un hé
ar Godler au premier acte, est d’une rare saveur.) Lionnette est donc
fille
d’une courtisane et d’un roi. Ces choses-là arriv
lières encore. Dès lors, nous allons voir se battre, en Lionnette, la
fille
de roi et la fille de fille. Et tantôt ce sera le
lors, nous allons voir se battre, en Lionnette, la fille de roi et la
fille
de fille. Et tantôt ce sera le sang généreux du r
s allons voir se battre, en Lionnette, la fille de roi et la fille de
fille
. Et tantôt ce sera le sang généreux du roi de Bag
évoltée, on la soupçonne de le continuer par un réveil d’instincts de
fille
et par un consentement soudain à une ignominie hé
ait offert ses millions à Lionnette qui ne l’aimait point, c’était la
fille
de la courtisane qui les avait acceptés, puis man
les avait acceptés, puis mangés ; mais soyez sûrs que ce fut aussi la
fille
du roi… Donc, Lionnette est bien perdue. Au premi
ifice, née, puis élevée dans des conditions brillantes et équivoques,
fille
d’une mère qu’elle n’a pu que mépriser, pourvue d
tir. L’homme, impatienté, bouscule l’enfant ; et tout à coup, dans la
fille
de roi et dans la fille de fille, la mère fait ex
, bouscule l’enfant ; et tout à coup, dans la fille de roi et dans la
fille
de fille, la mère fait explosion. Et Lionnette sa
e l’enfant ; et tout à coup, dans la fille de roi et dans la fille de
fille
, la mère fait explosion. Et Lionnette saule à la
n’est pas si banal ! » Comme Harpagon, ou l’avare, est amoureux d’une
fille
pauvre, et comme Alceste, ou le misanthrope, est
nnête homme dans le même sentiment qu’une courtisane veut faire de sa
fille
une honnête femme. Et c’est cette passion rédempt
on fils soit spécialement le champion du vrai, comme elle veut que sa
fille
soit la servante de la pudeur. Et le parallèle se
— c’est précisément la douleur de la courtisane bonne mère à voir sa
fille
corrompue par son propre exemple. — Avec cela, gé
terres et d’autres châteaux, et je te marierai à la plus jolie de mes
filles
d’honneur, qui est riche et qui a du goût pour to
se ou Tiepolo, demoiselles d’honneur costumées par Botticelli, jolies
filles
déguisées en enfants de chœur, tous couronnés de
avons envie de lui crier avec les tricoteuses : « Mais signe donc, ma
fille
! signe donc ! » D’où nous viennent ces lâches se
eux, vingt-six ans… » Celle-là ferait l’affaire. D’ailleurs c’est une
fille
galante, une créature. « Une créature de Dieu ! »
, qui, revenant du combat, ramène prisonniers un officier turc et une
fille
de bohème. Le jeune héros a épargné, malgré la co
honte, combien les âmes de ce public (où il n’y avait certainement ni
filles
, ni fêtards, ni brasseurs d’affaires, ni politici
hardies. Et dès lors, que reste-t-il ? Ceci : Maud de Vouvres est une
fille
de vingt-quatre ans, élevée dans un monde très br
ue la pièce nous apprend, Chantel, en somme, aura à pardonner à cette
fille
de vingt-quatre ans, coupable, sans doute, mais r
ne vaut que par une expiation effective, par une pénitence, et qu’une
fille
de cette espèce ne saurait être rachetée que si e
et grasse qui se laisse embrasser tant qu’on veut ; Étiennette Deroy,
fille
de fille, dégoûtée d’avance des hommes pour avoir
qui se laisse embrasser tant qu’on veut ; Étiennette Deroy, fille de
fille
, dégoûtée d’avance des hommes pour avoir vu les h
et toutes reprennent le refrain en chœur. Et cette douzaine de jolies
filles
« en peau », qui ne pensent qu’à « ça » et qui se
’une jeune fille mal élevée qui se trouve finalement être une honnête
fille
; et si celle-ci rappelle la Marcelle du Demi-Mon
e. Ils entraînent dans cette danse de Saint-Guy leurs femmes et leurs
filles
, et ils y coudoient tantôt le monde de la galante
de conversations, — un simple paravent séparant les mondaines et les
filles
sans empêcher les communications entre ces deux m
ère vient de venger, par une piqûre un peu accentuée, la pudeur de sa
fille
. Cependant, le petit Octave Lacroix a touché au b
, et au docteur : « Mon petit docteur, il faut que vous donniez votre
fille
à Octave ; il le faut absolument, je vous en supp
ne sont que des voyous, et qu’elle-même a été plus méprisable que les
filles
à dix francs. Elle dit le hideux réveil après cet
ian. Il a vite deviné que cette Américaine aux façons hardies est une
fille
naïve, généreuse et romanesque. Et c’est pourquoi
lleure habileté est ici de ne pas se défendre, dit à cette romanesque
fille
: « Je ne veux pas répondre devant vous à une par
hiver les mères de famille. Donnent à des bourgeois pour marier leur
fille
, En faisant circuler assez souvent, — pas trop, —
dans les bras l’un de l’autre. Moralité de la comédie : épousons des
filles
de vingt-huit ans, ceux qui peuvent. Car elles on
pas des jeunes filles montées en graine ; ce ne sont pas des vieilles
filles
: ce sont des célibataires en jupon. Ce type, ass
rle pas ici de celles, plus rares, qui, ni laides ni pauvres, restent
filles
parce que ça leur plaît, et qui peuvent en avoir
rcé. C’est, enfin, que, arrivés à l’âge où ils devraient chercher les
filles
de vingt-huit ans, les hommes commencent à leur p
rer celles de dix-huit, — ou même de quinze. En sorte que les pauvres
filles
de vingt-huit ans n’auront, de leur côté, le plus
ns. Tout cela est plutôt triste. Il est abominable qu’une quantité de
filles
agréables et bonnes ne trouvent point à se marier
e marier, faute de dot. D’autre part, ceux qui pourraient épouser ces
filles
-là sont parfois excusables de ne le point faire,
taires… Si je vous disais : « Il faut se marier à vingt ans, avec une
fille
de dix-huit ans, à la campagne », vous trouveriez
de franchir le passage de l’« âge difficile ». Et il formera, avec sa
fille
et son gendre, un joli trio de pourritures… Donc,
itures… Donc, Pierre Martigny se laissera séduire par Yoyo, comme une
fille
des champs. Lorsque Jeanne en sera informée, Cham
t de langueur, ou se suicident (cela s’est vu) pour avoir marié leurs
filles
. — Mais, parce qu’ils sont la jeunesse, la nature
ux camarade de Chambray, qui sera l’introducteur et le messager de sa
fille
. Messager totalement inconscient de ce qu’on lui
i pioche des martingales ; la vieille folle qui les essaye ; les deux
filles
de la vieille folle, qui passent leur temps à se
amily-Hotel.) Il s’est donc laissé marier par ses parents à une autre
fille
, de dot et d’innocence garanties, celle-là. Il l’
s ai aperçus d’en bas, vous m’avez paru sinistres… Vous avez l’air de
filles
de joie. » Et Sacha, assis au fond de la loge, «
elle, à fort peu de chose près, que le père de son enfant (une petite
fille
de huit ans), et, d’ailleurs, elle est fermement
faire souffrir atrocement un ami parfait et de ruiner l’avenir de sa
fille
. Cela, elle ne peut pas le faire, elle ne peut pa
d il dit à Claudine : « Encore une fois, quitte le comte, sacrifie ta
fille
et je ne partirai pas », il sait fort bien ce qu’
age qui s’ouvre. Reynard mort, qui aura la forte somme ? Son fils, sa
fille
, son gendre et sa femme lui insinuent qu’il devra
ignore point que, son mari mort, elle n’aurait point à compter sur sa
fille
ni sur son fils, et qu’elle le dit elle-même sans
ignation, et qu’elle trouve, ma foi, tout simple que ce fils et cette
fille
s’acharnent à réduire la part de leur mère… Mais
don gratuit des pères, et l’acceptation de ce don par les fils et les
filles
, cette sorte de communisme familial implique et c
oleurs !… Voleurs !… Voleurs !… Ah ! elle est propre, ta famille. Une
fille
qui fait la coquette avec un officier, un mari qu
erçant son ministère de charité. Il dit à Louisa : « Prends garde, ma
fille
. Quand un de ces gentils adolescents a obtenu ce
étacher Louisa de Raphaël en lui contant que ce jeune homme court les
filles
… Mais peu à peu, cédant aux exhortations de Danie
trois Jeunes Hommes, le Jardinier et son Seigneur, la Jeune Veuve, la
Fille
, sont de petites nouvelles presque toujours imité
faire remarquer les défauts en même temps que les qualités. Certaine
fille
, un peu trop fière, Prétendait trouver un mari Je
anière, Point froid et point jaloux : notez ces deux points-ci. Cette
fille
voulait aussi Qu’il eût du bien, de la naissance,
u moins quatre actes. Le premier acte, c’est l’exposition : Certaine
fille
, un peu trop fière, Prétendait trouver un mari…,
rs mesuré ; Ce n’est pas un ruisseau qui s’épande en un pré, C’est la
fille
d’Amphitrite, C’est elle dont le mérite, Le nom,
bohémiens, sa cousine de Châtellerault et, il faut bien le dire, une
fille
d’auberge. Le notaire, qu’ils ont rencontré tout
Revenons à sa cousine de Châtellerault. « On me fit voir une grande
fille
que je considérai volontiers, et à qui la petite
a laissé des grâces et en a enlevé… C’est dommage ! On dit que jamais
fille
n’a eu de plus belles espérances que celle-là. Q
t pas le nom et qui, cependant, est immortelle. Pour ce qui est de la
fille
d’auberge, je crois que c’est plutôt une fille d’
Pour ce qui est de la fille d’auberge, je crois que c’est plutôt une
fille
d’aubergiste, il y a une nuance ; mais, enfin pou
et affreux gîte qu’il vient de peindre], rien ne m’aurait plu sans la
fille
du logis, jeune personne et assez jolie. Je la ca
mignonnes, et bordée d’un galon d’or large de trois doigts. La pauvre
fille
, croyant bien faire, alla quérir aussitôt sa cale
nges comme il a coutume de l’être. Si pourtant Morphée m’eût amené la
fille
de l’hôte, je pense bien que je ne l’aurais pas r
lante « professionnelle », ils glorifient presque à l’excès la pauvre
fille
séduite, ne se contentent point de l’absoudre et
onorée, se dépouillera pour obéir aux remontrances d’un fils ou d’une
fille
en qui tout à coup, malgré l’abrutissement de la
’il avait renié, il se range soudainement aux croyances morales de sa
fille
: et c’est ce qu’un homme fort ne ferait point. L
cabaret du Radis couronné, rendez-vous de ruffians, de spadassins, de
filles
, de poètes bohèmes, d’anciens mercenaires de la g
rai presque des moralités et des sotties. « Il ne faut pas donner aux
filles
pauvres une instruction qui les déclasse » (Blanc
et comment cette charité-là, préoccupée d’infortunes pittoresques («
filles
repenties », « galériens régénérés »), va nécessa
ont voulu vivre familièrement et de plain-pied avec les femmes et les
filles
des quartiers pauvres. Elles ont un bâtiment, une
allaient chez Bruant ou comme elles iraient au Moulin-Rouge ! Et les
filles
de Popincourt, dans quel esprit viennent-elles à
: c’est de s’en aller ensemble n’importe où. Louisette abandonnera sa
fille
, quoiqu’elle soit très bonne mère. Car c’est cela
êtres mystérieux qui ont des têtes d’animaux, et refuse d’épouser la
fille
de leur roi, parce qu’il lui faudrait pour cela ê
Lucienne est irrémissiblement condamnée au vice, parce qu’elle est la
fille
d’une femme galante. Notez que Lucienne n’a pas c
pour Jean une fois tombé, elle se souvient à tout moment qu’elle est
fille
de fille, et ce que cela signifie d’après son nig
n une fois tombé, elle se souvient à tout moment qu’elle est fille de
fille
, et ce que cela signifie d’après son nigaud d’onc
e du ciel ! je m’en souviens encore, j’aurais pleuré avec la première
fille
que j’ai séduite si elle ne s’était mise à rire.
r lui faire apprendre la musique. Pourtant il voudrait bien revoir sa
fille
avant son départ. « Ta fille est déjà loin, lui d
que. Pourtant il voudrait bien revoir sa fille avant son départ. « Ta
fille
est déjà loin, lui dit Borkman, elle était dans l
rtée en dot. « Gardez votre argent, s’écrie-t-elle, et laissez-moi ma
fille
! » Cinq ans après, Mme de Raguais, à qui son mar
ses cousins. Arrive en visite M. de Raguais, avec les d’Orcieu et sa
fille
Isabelle, qu’on lui laisse un mois chaque année.
e de Raguais se cache ; puis, les autres s’étant éloignés, rejoint sa
fille
. L’enfant (elle a dix-sept ans) lui dit : « Maman
uoi ? » À ce moment, un domestique vient dire que le comte réclame sa
fille
. « Dites-lui, répond la comtesse, qu’il vienne la
» Il vient. « J’imagine, dit-elle, que vous n’allez pas marier votre
fille
, ma fille, au fils de votre maîtresse ? — Pourquo
t. « J’imagine, dit-elle, que vous n’allez pas marier votre fille, ma
fille
, au fils de votre maîtresse ? — Pourquoi pas, rép
Mais vous ne voyez donc pas que je ne peux pas donner pour mère à ma
fille
la femme qui m’a pris mon mari ! » Sur quoi, et p
tant sa vengeance, sa fortune, sa liberté, le droit de disposer de sa
fille
, le pouvoir d’empêcher un mariage qui lui est une
nette et du chemineau, veut mourir parce qu’il aime sans espérance la
fille
de maître Pierre, un riche fermier. Le chemineau
it si bien qu’il épouvante maître Pierre et l’amène ainsi à donner sa
fille
à Toinet. (La scène est, je crois, la meilleure d
st bon, ce François qui, après le départ du poète, a épousé la pauvre
fille
! De ce que Toinet, le « gars malade d’amour », e
ermier avaricieux, aime un peu trop l’argent, il aime encore mieux sa
fille
. Qu’est-ce à dire ? Le chemineau ressemble aux bo
ile de la beauté des formes : Voici bien, ô Jacob, le geste dont tes
filles
Savent, en avançant d’un pas jamais trop prompt,
que, où survit pourtant une grâce jeune et ingénue, presque de petite
fille
, d’étrange petite fille. J’ajoute que je n’ai pas
une grâce jeune et ingénue, presque de petite fille, d’étrange petite
fille
. J’ajoute que je n’ai pas encore vu Mme Duse dans
Elle a totalement oublié que Marguerite Gautier est, après tout, une
fille
, et une fille de luxe. Que Mme Duse néglige de se
ment oublié que Marguerite Gautier est, après tout, une fille, et une
fille
de luxe. Que Mme Duse néglige de se farder, et dé
ut avoir de sévir contre elle l’utile préjugé social auquel la pauvre
fille
est sacrifiée, puisse sacrifie. Ce n’est plus que
u plutôt, ayant dès le commencement conçu Marguerite comme une petite
fille
aimante et douloureusement douce, elle est restée
e), Faux départ et Années d’aventures, et une comédie : Brignol et sa
fille
. Ce ne sont pas, Dieu merci, des études de mœurs
galanterie voulait bien d’elles. Rosine est une de ces malheureuses.
Fille
d’un petit fonctionnaire, restée à dix-huit ans o
econquis par ses parents paysans, Perrin l’abandonne pour épouser une
fille
de son village, qui a du bien. Voilà donc de nouv
anque absolument. À cet instant, Georges Desclos entre chez la pauvre
fille
. Georges Desclos est un jeune docteur à peu près
r s’amuser, ni ce qu’était la femme oisive, la femme de luxe, dame ou
fille
, aux diverses époques de l’histoire de la civilis
utes très particulières d’allures et de situation : la petite Margot,
fille
honnête d’une femme galante ; Pepa, cet oiseau de
je veux mettre à part Cécile Leguerrouic (Brevet supérieur), honnête
fille
, mais de Paris ; très « représentative », celle-l
de désobligeant pour elle ? Qu’y a-t-il même de défendu ? Et Cécile,
fille
de Paris, avoue son trouble. « Oh ! dit-elle, c’e
se sont épousés, il y a de cela quatre ans, et ils ont eu une petite
fille
. Ils devraient être heureux, et ils sont très mal
Case a tort, à ce moment-là, de faire intervenir l’enfant. « Et votre
fille
? demande Henri. — Ah ! c’est vrai, dit-elle. Pau
malheureuse entre nous deux. » Et la mère prend la photographie de sa
fille
, et la baise en larmoyant. Elle s’en va tout de m
soit indocile et ergoteuse ; qu’elle néglige son ménage et sa petite
fille
; qu’elle refuse, dans cette association qu’est l
ontre le mari qui l’étreint mal à son gré, je songe à tant de pauvres
filles
que personne ne prendra jamais dans ses bras, bie
us, l’imagination de l’auteur se complaît et s’attarde à ce cas d’une
fille
qui reçoit les baisers sans les voir. Cette parti
ans y prendre garde, inspiré une passion furieuse à Mlle Germaine, la
fille
de ses hôtes (nous sommes aux bains de mer). Germ
rame en neuf tableaux, de M. Paul Déroulède. — Au Gymnase : Les Trois
filles
de M. Dupont, comédie en quatre actes, de M. Brie
souvent assez belle dans sa sonorité oratoire. [Brieux — Les Trois
filles
de M. Dupont] La nouvelle pièce de M. Brieux,
ois filles de M. Dupont] La nouvelle pièce de M. Brieux, les Trois
filles
de M. Dupont, est une remarquable comédie de mœur
rs et plaies de notre démocratie. Il nous avait montré le malheur des
filles
que l’instruction déclasse, la corruption des éle
d’un intérêt encore plus vital : c’est à savoir ce qu’il advient des
filles
pauvres dans la bourgeoisie contemporaine, où un
tit imprimeur de province dont les affaires ne vont pas fort, a trois
filles
: Angèle et Caroline (toutes deux d’un premier li
s’agit donc d’amener de Paris Angèle, la sœur égarée, pour que cette
fille
, avec l’autorité que lui confère une expérience t
vienne signer chez le notaire. La scène où M. Dupont, attendant cette
fille
pour qui il fut si dur et qu’il n’a pas vue depui
merie et inventeur de son état, un vieux garçon bizarre que la pauvre
fille
aime en secret ; et voilà qu’elle apprend qu’il a
meilleure part. « Moi ? hélas ! si vous saviez ! » fait à son tour la
fille
galante ; et elle dit les misères de sa vie, les
s sans grandeur. Enfin Mme Dupont, survenant : « Angèle a raison, mes
filles
! » Et la bonne dame explique à Julie que les neu
élicatesses morales, et cette autre idée que la dévotion des vieilles
filles
n’est qu’une duperie de leur cœur et de leurs sen
le personnage des trois malheureuses sœurs. Le dernier acte des Trois
filles
de M. Dupont n’est, décidément, qu’une pessimiste
ture de M. et de Mme Vigneron, qui sont excellents, et de leurs trois
filles
, qui sont charmantes, chacune à sa façon. Même, i
onsieur. Sa femme a tout de suite loué et meublé une belle maison. Sa
fille
aînée, qui avait fait des sottises, n’apparaît pl
in « plein d’avenir. » Soudain, par les mains ignorantes d’une petite
fille
, dans un livre d’images, Denis Roger découvre un
rend l’argent, le jeune médecin reprendra sa parole, et le mari de la
fille
aînée poursuivra l’instance en divorce. La probit
’instance en divorce. La probité de Denis Roger condamne l’une de ses
filles
au célibat et l’autre au déshonneur public. Elle
l’emportera s’il se remet au travail. C’est ce que sa femme, ses deux
filles
, son gendre et son futur gendre lui remontrent da
n morale de Denis Roger répond celle des membres de sa famille. Mère,
filles
, gendre et fiancé, tout en parlant avec vérité, n
l’émeut particulièrement. Il a fait très bien élever, à ses frais, la
fille
de l’ouvrier mort dans la mine, Mariette. Elle vi
e, et, si vous pensiez me guérir, vous n’avez pas réussi. » Ainsi, la
fille
de l’homme qu’il a tué l’adore ; et, puisqu’elle
nt son enfant, mais le petit étranger. — Non moins instantanément, la
fille
Marianne, voleuse et prostituée, devient une sain
t de police, oncle du jeune gentilhomme qui voulait épouser la pauvre
fille
. Ce n’est pas tout : elle figure sur la liste des
e. Lorsque la comtesse de Linières, sortant de l’église, rencontre sa
fille
qu’elle ne connaît pas, interroge la petite aveug
rps d’Henriette étendue sur le plancher, et qu’ainsi les deux pauvres
filles
se rencontrent et se touchent sans se connaître,
nn et Maria ont un fils, Ervoanik, amoureux d’Aliette Tili, une jolie
fille
qui n’est pas du village. Et l’on dit que la mère
: Mon père et ma mère, si vous êtes contents, J’épouserai une jolie
fille
. MARIA Vous êtes bien jeune et nous pas très vieu
NN Comment nommez-vous vous votre amie ? ERVOANIK C’est la plus jolie
fille
qui jamais Porta coiffe de lin… Et elle a le nom
te, et en termes fort imprévus. Il demande à sa femme : « Où sont vos
filles
? » Elle le lui dit. Alors Matelinn : Fermez tou
yant son fils féru d’un amour honteux, le vieux fermier a songé à ses
filles
… Il a eu la vision rapide de l’universelle impure
en a menti, et, les malédictions jetées par le père « aux lépreux et
filles
de lépreux », le fils n’hésite pas à les lui renv
offre des tartines pour leur donner son mal, et qui a lancé sa jolie
fille
sur tout le pays comme un émissaire de sa haine i
s compliments, le traite moins en futur gendre qu’en « client » de sa
fille
; mais Ervoanik n’y prend pas garde, parce qu’il
in. La colère de la vieille déborde en propos brûlants. Elle dit à sa
fille
ce qui l’attend quand Ervoanik saura la vérité :
ède comme une miche, Je t’ai regardée et je t’ai dit : Tu n’es pas ma
fille
, tu es mon mal. Va dans la vie, va aux chemins. J
quelque chose Qui entretiendra ce sang mieux que sang royal. Ma chère
fille
, mon cher mal !… Venge-nous parce que je les hais
ntaire. Elle dit à Aliette qu’Ervoanik la trompe ; qu’il a séduit une
fille
de son village et qu’il est père de deux enfants
r les volubilis… Une autre de ses souffrances, la pire, c’est que sa
fille
, si belle, n’ait point d’esprit. Il le dit sans d
’ait point d’esprit. Il le dit sans détour : Ma
fille
est bête comme une oie. Oui, ma Rose, merveille e
l, en même temps que son amour… Et c’est ainsi que l’esprit vient aux
filles
. Cela nous est développé, sans tant de raisonne m
première, la femme de chambre des Mémoires en question fût un brin de
fille
… de génie, comme par exemple la Suzanne du Mariag
elles s’en était mêlée. Ce qu’a fait dernièrement en Angleterre cette
fille
de compagnie, cette espèce de gouvernante anglais
l’être littéraire, auteur de ce livre, qui devrait être écrit par une
fille
d’action, brave sur le mot, mais qui ne le caress
déjection dernière de cette littérature de cabotins, de lorettes, de
filles
entretenues, dont M. Alexandre Dumas fils peut se
s des écrivains du dix-neuvième siècle, qu’on dirait qu’en dehors des
filles
, il n’y a plus en France de mœurs à peindre et de
isérables romans, qu’on pourrait encore appeler la Photographie de la
fille
au dix-neuvième siècle, se continue par les livre
, la mère criminelle suscita le fils parricide. Ce fut pour venger sa
fille
, autant que pour faire régner avec elle Égisthe q
uisselait de sang. Et j’entendais la voix lamentable de Cassandre, la
fille
de Priam, que la perfide Clytemnestre égorgeait a
que réclamait la déesse. Agamemnon, pressé par les chefs, sacrifia sa
fille
; il jeta son sang comme une libation aux vents c
’aide des dieux. » La réponse d’Agamemnon est brève et défiante : — «
Fille
de Léda, tu as parlé dans la mesure de mon absenc
, et qu’Agamemnon appelait la « fleur du butin », c’est Cassandre, la
fille
de Priam et la prêtresse d’Apollon. Cassandre éta
t la prêtresse d’Apollon. Cassandre était la plus belle des cinquante
filles
du vieux roi troyen, « semblable à Aphrodite », d
l’autel. Agamemnon la choisit ensuite pour captive, entre toutes les
filles
de Priam ; il l’emmena à Argos où la mort tragiqu
a comparent, succède sur ses lèvres aux cris de l’oiseau sinistre. La
fille
de Priam se rappelle le Scamandre au bord duquel
récrimine ; et elle évoque devant le père mort le pâle fantôme de sa
fille
sacrifiée aux vents de la Thrace, « comme une bre
irai et les siens ne le pleureront pas. Mais sans doute Iphigénie, sa
fille
, viendra, comme il convient, au-devant de son pèr
ractère ne se dément pas ; la triple haine de la mère frappée dans sa
fille
, de la femme jalouse d’une rivale, de l’adultère
itablement frémir. Elle débuta dans la charité en achetant une petite
fille
que son père vendait pour boire. Ce misérable lui
t entretient gratuitement deux, quatre, huit et jusqu’à vingt petites
filles
, de trois ans et au-dessus. Dans la fatale année
place en ville dans des maisons recommandables les plus âgées de ces
filles
, les aidant de ses conseils et les rappelant à el
t de sa mansarde. Sa maîtresse, à son lit de mort, lui lègue ses deux
filles
en bas âge : la sollicitude de Paula ne se dément
la maison de la Légion d’honneur de Saint-Denis et pour porter à ses
filles
d’adoption un vêtement chaud, de petites douceurs
ants abandonnés comme elle. « Tous les enfants élevés par cette bonne
fille
Albert, nous dit l’inspecteur de l’Assistance pub
is qu’elle savait que la vieille nourrice n’était pas sa mère… Pauvre
fille
! À force de recherches, elle est parvenue à déco
use bonne grâce, écrite par M. le curé de Château-l’Évêque. La pauvre
fille
a été jetée comme une perle au milieu d’un triste
ents de son choix ; elle préfère à tous les autres la compagnie de la
fille
de charité et le soin des malades. Un groupe de j
n du catholicisme, aurions-nous pu mettre en repos l’âme de la pauvre
fille
et l’assurer que son petit ménage, auquel elle te
oile se relève sur le salon de Claude. Son ami Daniel est là, avec sa
fille
Rébecca, prêts à partir pour un long voyage. Ce D
une détestable monture pour gravir ces sommets scabreux. Rebecca, la
fille
du grand prêtre in partibus de la nouvelle Israël
outragée par M. Octave, la surprise étant une des formes du viol. Une
fille
est née de cette rencontre maudite ; on l’a dépos
se la tente et la révolte à la fois. Quelle joie ce serait d’avoir sa
fille
à elle et chez elle, de faire rentrer dans sa mai
, en l’arrangeant, son histoire, et lui demande l’hospitalité pour sa
fille
. Le marin méprise un peu, sans trop le connaître,
Dès qu’il n’est plus là : Maman ! » s’écrie-t-elle ; et la mère et la
fille
s’épanchent en tendresses. Madame Guichard vient
peuple. L’instinct maternel remue dans ses entrailles. Puisque cette
fille
est à lui, elle l’adoptera, l’aimera comme la sie
ue. Raymonde est tombée à genoux, le commandant la relève : — « Et ma
fille
? s’écrie-t-elle. — Nous la garderons. » Le coup
in. En trois signatures, l’auteur a dégradé le misérable qui renie sa
fille
, sauvé l’honneur de la femme et glorifié l’homme
e, quand elle réplique aux questions de madame Guichard. Cette petite
fille
, élevée chez des villageois, a l’air d’avoir été
st-ce que tu as ? — Rien, rien, m’ont répondu à la fois la mère et la
fille
— Non, elle a quelque chose ? — Eh bien, voilà !
tion, apparaît Villedeuil tenant amoureusement par la main, sa petite
fille
, et dont la barbe devenue blanche lui donne un ai
rmots : conversation entre le petit garçon d’un comédien et la petite
fille
d’une comédienne. Le petit garçon : « Si tu veux
exion.) Mais tu sais, mon papa, gagne beaucoup d’argent ! » La petite
fille
: « Ma maman aussi ! » Un silence. Le petit garç
ation des sens des jeunes mariés ; et dans un volume, illustré par la
fille
d’Hokousaï, racontant le mariage et ses épisodes,
Aujourd’hui, j’ai donné à Ajalbert l’idée de faire une pièce de La
Fille
Élisa, dans ces conditions. Pas la plus petite sc
metière abandonné du Bois de Boulogne, l’assassinat du lignard par la
fille
. Et le lignard doit être un Dumanet ingénu et mys
es aux murs quelques esquisses de Chéret, de Forain. Une jolie petite
fille
, et une charmante belle-sœur, qui a la voix et le
partitions éclairées par des bougies, tenues par les jeunes et jolies
filles
de Risler, et c’est un plaisir de l’entendre parl
ner chez le père La Thuile qu’a choisi Antoine, pour la lecture de La
Fille
Élisa, pièce faite entièrement par Ajalbert, d’ap
égiature pour quelques jours, nous lit des fragments de lettres de sa
fille
, mariée au consul français en Birmanie : fragment
« Oh ! madame, ce serait encore plus cher, si au lieu de marier votre
fille
, vous la faisiez enterrer ! » Dimanche 9 novem
isparues, des humanités mortes. Il nous a fait revivre Carthage et la
fille
d’Hamilcar, la Thébaïde et son ermite, l’Europe m
roise tombée à Paris, et qui n’a joué que du Shakespeare, qui fait la
fille
Élisa. Vendredi 5 décembre Pélagie me parla
lle bourgeoise d’ici, de la famille d’un inspecteur des eaux, dont la
fille
aînée mourante, après avoir vu mourir de la poitr
e seule fois dans le décor, la répétition de l’acte du Tribunal de La
Fille
Élisa, et encore avec un tas de choses qui manque
âtrales, ainsi improvisées. Vendredi 26 décembre Première de La
Fille
Élisa. L’enfant donné aux cochons, du Conte de No
acte, comme j’ai vu applaudir la Cour d’Assises. Incontestablement La
Fille
Élisa est un des gros-succès du Théâtre-Libre.
, que jamais au spectacle, il n’a été touché, comme il l’a été par La
Fille
Élisa, que jamais il n’a perçu un sentiment de pi
lle ne se souvient pas de son enfance, de sa première communion ? Les
filles
les plus souillées ont de ces minutes singulières
arton sous laquelle on passe… Il remarque, parmi les promeneuses, une
fille
d’allure effarouchée, l’air minable, vêtue d’une
plus une bouteille de Champagne à trois francs. Il monte, derrière la
fille
, au cinquième d’un petit hôtel garni de la rue Cu
uette, une jolie personne de vingt ans, mi-paysanne et mi-bourgeoise,
fille
de M. Pigassou, maire de Lignières. Il voit souve
La Guezitte a un enfant de son premier mariage, Athénaïs, une petite
fille
de huit ans, que Buteau, naturellement, déteste e
ôme avoir tout un cortège de femmes, de dames illustres, ses sœurs ou
filles
spirituelles. Le temps des poètes était éloigné e
t ses souillures, c’est bien différent : lui, il mérita de trouver sa
fille
d’alliance, une personne de mérite, une intellige
s qui l’amitié devient un culte. Descartes avait eu, depuis, bien des
filles
posthumes, et Mme de Grignan méritait qu’on lui d
à Thomas Mooro (5 juillet), une singulière lettre d’Angleterre, d’une
fille
que je n’ai jamais vue ; elle me dit qu’elle se m
nts sont devenus bien rares et que le dévouement d’une femme ou d’une
fille
vous fait défaut, ce jour-là, souvenez-vous de mo
eter une maison de campagne à Soisy, près de Montmorency. Mlle d’Ars,
fille
du comte d’Ars, homme de condition, mais pauvre,
elle résista à son penchant par devoir de mère et dévouement pour ses
filles
, et refusa de se remarier. M. Quiret de Margency,
la nommait) l’effrayait autant que celui de la galanterie. Une de ses
filles
marquait une intelligence avancée : « Elle serai
plus égoïste encore, l’obligation où elle était de se séparer de ses
filles
qu’elle mettait au couvent, et surtout le procédé
l l’a vue libre, et qui lui offre un nouvel établissement. Elle a ses
filles
auxquelles elle se doit, l’une d’elles entre autr
lle se retrancha dans un sentiment plus vif de ses devoirs envers ses
filles
, et s’arma contre elle-même des promesses qu’elle
prendre un appartement à l’abbaye de Pentemont et y demeura avec ses
filles
plusieurs années, ne laissant pas de voir de temp
remise sur le tapis pour l’époque qui suivrait l’établissement de ses
filles
, elle se prémunissait à l’avance et ne se refusai
voyage aux eaux de Bourbonne où elle était allée conduire une de ses
filles
, pour pousser de là par Besançon et Pontarlier ju
rand plaisir fut une visite que vint me faire Mme de Verdelin avec sa
fille
, qu’elle avait menée aux bains de Bourbonne, d’où
grande fortune territoriale, et, suivant la coutume de Saintonge, les
filles
étaient admises à partager même les terres nobles
rmettraient de joindre au portrait une Notice biographique. Des trois
filles
de Mme de Verdelin, l’aînée mourut infirme et san
e que Clytemnestre tue son mari. Elle dit qu’elle venge la mort de sa
fille
Iphigénie. Mais ce n’est qu’un prétexte. Si elle
était une bonne mère, elle ne maltraiterait point Électre, son autre
fille
, et elle ne se serait pas débarrassée de son fils
… Et plus loin : … Écoute ce serment solennel. Par la vengeance de ma
fille
, par Até, par Erinnys, à qui j’ai sacrifié cet ho
effet, on peut se passer de la femme. Voyez plutôt devant nous cette
fille
de l’Olympien Zeus. Elle n’a jamais vécu aux ténè
le est vouée au malheur ; Cassandre était, à Athènes, la patronne des
filles
qui ne voulaient pas se marier, et elle était hon
Arnophe ? Oui, on peut le dire, à condition d’ajouter que les petites
filles
, d’à présent, tout en suivant la « nature », suiv
je refuse cette innocente friandise, je ferai de la peine à de bonnes
filles
et au plus courtois des directeurs. Au reste, j’a
sa personne…. Ferez-vous possesseur, sans quelque peu d’ennui, D’une
fille
comme elle, un homme comme lui ? Il est bien diff
en fait de sa personne ; Et enfin, à Marianne : Non, il faut qu’une
fille
obéisse à son père, Voulût-il lui donner un singe
. Ce marmiteux n’aurait jamais amené Orgon à lui offrir la main de sa
fille
(car ce n’est pas un effet très ordinaire de la d
des rats d’église. Il n’a pas fait attention que telle pauvre vieille
fille
, de vie vraiment sainte et héroïque, a pourtant l
jours à la sainte messe, toi qui pleurais de joie aux vêtures de tes
filles
et qui adoras ton roi jusqu’à en mourir… qu’as-tu
crée l’égalité entre ceux qui aiment. Je ne suis qu’une humble petite
fille
; mais si vous m’aimiez bien, jamais vous ne m’au
laisser les deux couples se voir et le naturel agir. D’abord les deux
filles
se rencontrent, et elles se détestent immédiateme
eux garçons font connaissance, et ils deviennent aussitôt amis Chaque
fille
, alors, rencontre le compagnon de l’autre… et tou
gnon de l’autre… et tout finit par une quadruple incons tance, où les
filles
mettent du temps et de l’hypocrisie et les garçon
confrères m’a rendu la tâche assez aisée. « Mon Dieu ! faites que ma
fille
ne soit pas comme mon péché qui se renouvelle et
amour à un homme de son monde, a eu secrètement, voilà vingt ans, une
fille
qui n’était pas de son mari : Hélène. Elle l’a fa
fat et assez spirituel. Or, depuis que Mme de Voves voit librement sa
fille
, qu’elle comprend ce que cette enfant a souffert,
ur la sauver que, devenue dévote au tournant de l’âge, la chute de sa
fille
lui apparaît comme son propre châtiment. Le bon A
la jeune femme et finit par dire à Mme de Voves : « Tenez, c’est une
fille
! Comme sa mère apparemment ! » Puis il l’interro
! Il n’en faut qu’un. — Et à qui doit-il être fait ? Au fils ou à la
fille
? — Au fils. Et la mère doit faire cet aveu carré
à l’infirmité de mon œuvre serait de supprimer l’aveu de la mère à la
fille
. Un autre moyen serait de supprimer, au contraire
u amoureux, nous ne le sommes pas à volonté. Menus-Plaisirs : les
Filles
de marbre, drame en cinq actes, de Théodore Barri
ctes, de Théodore Barrière et Lambert Thiboust. 4 mars 1889. Les
Filles
de marbre parurent admirables, voilà trente-six a
pour elle qu’une pitié fort détachée et toute théorique… L’effet des
Filles
de marbre est donc singulier. C’est ahurissant et
tiennent ce jeannot de Raphaël et ce cabotin de Desgenais. C’est une
fille
galante, ni pire ni meilleure que les autres. On
inet de toilette. » C’est une observation banale et courante, que les
filles
aiment la campagne, — de temps en temps, pas loin
nt le ton à ce poème de jocrisserie. Marco est, du moins, assez bonne
fille
, — ou assez intelligente, — pour entendre ces cou
e maison du bois de Boulogne. Six semaines, c’est beaucoup pour une «
fille
de marbre » ; ce serait déjà quelque chose pour u
elle sait qu’il y a, dans l’atelier de Raphaël, une honnête et jolie
fille
qui l’attend, elle veut le reprendre ; elle a un
t même beaucoup plus. Un joli caprice d’un mois, c’est déjà, avec une
fille
comme celle-là, une aubaine extravagante. Attendr
e ! Et, se tournant vers Marco, il « agonit » tout le temps la pauvre
fille
, par la bouche de Desgenais, de sottises mal écri
tout le besoin de protester contre le chef-d’œuvre de Dumas fils, les
Filles
de marbre nous désorientent un peu. Marco étant c
e, et qu’elles ont leurs journaux et leurs chroniqueurs. Et, pour les
filles
obligeantes des catégories intermédiaires, j’aper
. * * * Voyez-le entrer à Madrid, devant le groupe des viveurs et des
filles
, de l’allure d’un comédien qui entre en scène, le
forcément à écrire souvent sans probité ; qu’en dévoilant ainsi à des
filles
la façon dont tu gagnes ton pain, tu te ravales,
, que nous voyons, d’un bout à l’autre du drame de Barrière, mêlé aux
filles
, qui vit avec elles et un peu comme elles, et qui
rtus qu’il n’a pas. Il veut que le peintre qui fait le portrait de sa
fille
Eugénie n’oublie pas de mettre dans son tableau l
é de la toile pendant quarante ans. Il veut marier richement ses deux
filles
: c’est qu’il ne conçoit pas le bonheur sans arge
il est tout surpris que Péponet lui accorde subitement la main de sa
fille
, et il attribue ce revirement à la bonté d’âme du
arce qu’il croit qu’il est convenable qu’il le soit. Péponet offre sa
fille
à Octave parce qu’Octave est neveu d’un agent de
ait, c’est par sympathie pour ce jeune homme et par tendresse pour sa
fille
; il sait quels sont les devoirs d’un bon père, e
Mais il se trouve qu’en fin de compte ce fils trop vertueux épouse la
fille
du vieux fou, que la riche veuve épouse un Arthur
même sachant ce qu’il est, lui refuserait la main ? Et s’il avait une
fille
, — jolie et bien élevée dans quelque Sacré-Cœur,
égal. Mais tout à coup, ce vieux toqué inoffensif devient féroce. Sa
fille
lui ayant refusé l’argent qu’il lui demande pour
nte de lui-même, il implore son pardon : mais tout de suite après, sa
fille
lui ayant dit, pour le consoler, qu’elle croit à
ie, sa foi orgueilleuse, aveugle et entêtée lui revient « a Alors, ma
fille
, prête-moi ces cent mille francs. » Certes, on pe
e… À moins qu’on ne trouve, au contraire, que son véritable devoir de
fille
, et le plus évident, était de lutter de toutes se
vais père ? C’est vrai. Pourtant, il est allé voir six fois sa petite
fille
en onze ans : il pouvait s’en dispenser. Il a con
çante ; tu sais, celles-là sont bon teint ; je ne t’épouse qu’avec ta
fille
dans ma maison. Et, si la mère vit, qu’elle s’adr
as non plus dénuée de prudence. Elle a fort bien su laisser sa petite
fille
grandir à la campagne, à seule fin de pouvoir gar
raffinements de ruse presque superflus, — j’ai clairement reconnu la
fille
du subtil et glissant M. Alphonse. « Ah ! le joli
aimé ; Raymonde, en dépit de ses lâchetés et de sa trahison, aime sa
fille
, et elle aime aussi son vieux mari. M.Alphonse n’
Il y alignait un nombre prodigieux de détails superflus. Ces pauvres
filles
, qui n’ont été que d’aimables comédiennes et de g
et lui apprend qu’elle est enceinte. 5e tableau. — Dînette de petites
filles
chez Mlle de Varandeuil. Jupillon vient emprunter
ment ou il vient de tomber au sort et reprend possession de la pauvre
fille
; ou encore la première rencontre de Germinie et
re, héroïque et mélancolique : Blanche de Valjuzon ; c’est la vieille
fille
noble, entêtée des préjugés de sa race, intraitab
trices et des apitoiements liberticides… Mais tu ne sais donc pas, ma
fille
, que le premier devoir d’une républicaine est de
tres de la Montagne et le Contrat social, et l’âme de Robespierre est
fille
de l’âme de Rousseau ; mais, tout de même, on a d
qui ? — A Porphyre, évidemment. — Point : il se confesse à une pauvre
fille
, Sonia, une espèce de prostituée mystique, de sai
n ennemi ? Voici celle devant qui Rodion soulagera son cœur. Elle est
fille
publique, elle s’appelle Sonia, « … Un jour qu’il
son corps étaient agités d’un frisson… Depuis ce temps, Monsieur, ma
fille
a été inscrite à la police, ce qui l’a obligée à
voue que je reste un peu « baba » devant cet assassin et devant cette
fille
. J’ai quelquefois envie de leur dire : Je soupço
rave. « Ah ! dit-il avec ingénuité, c’est dommage qu’il n’ait que des
filles
mineures. S’il en avait une bonne à marier, je lu
ier, je lui ferais son affaire. C’est que je suis très porté pour les
filles
! » Le terrible Dikoï paraît à son tour avec son
naturel que sa belle-sœur ait aussi un amant. Même elle est si bonne
fille
qu’elle lui propose de lui ménager un rendez-vous
umes compacts… La scène où le comte Oscar reconnaît dans Fleurette la
fille
du roi Bobèche, — jadis livrée au courant du fleu
ement furieuse. Pepa et Chambreuil unissent leurs rancunes. La petite
fille
offre rageusement sa main à Chambreuil, qui l’acc
tte franchise, de cette crânerie dans l’innocence. « Ah ! ces petites
filles
! ces petites filles ! » répète-t-il de plus en p
te crânerie dans l’innocence. « Ah ! ces petites filles ! ces petites
filles
! » répète-t-il de plus en plus attendri… et tout
que c’était pour moi… hercule (la tenant embrassée). — Ces petites
filles
!… Elle est exquise, en effet, cette jeune Adèle,
e bonne Henriette n’en a pas pour un sou. Elle n’en a pas plus qu’une
fille
de ferme élevée parmi les bêtes ou qu’une étudian
z qui il a passé la nuit. La mourante le sait. Elle fait approcher sa
fille
Rolande, lui confie la triste vérité, et que déjà
maison. « Savez-vous que vous êtes gentille ? » lui dit Montmorin. La
fille
sourit, « On a dû déjà vous le dire, que vous éti
e et la met à la porte. Ici, une fort belle scène entre le père et la
fille
. Le digne érotomane, soulevé par une colère de vi
e (elle a quatorze ans) des étonnements et des gentillesses de petite
fille
. « C’est rien chouette, ici ! » Telle est sa prem
des mois, quand Putois apporte à Rolande le billet à payer. La pauvre
fille
n’a plus le sou… Elle apprend alors que son père
ue le vrai sujet de ce drame est évidemment la lutte du père et de la
fille
; que M. de Gramont a fort heureusement renouvelé
ment. J’aurais voulu, dans l’intervalle, d’autres rencontres entre la
fille
et le père. De les motiver et d’en graduer les ef
ès le second acte, qu’il pût avoir encore, dans quelque scène avec sa
fille
, un suprême réveil de tendresse humble et repenta
rce et les mêmes procédés. Puis Heredia me lit des vers de sa seconde
fille
, qu’il me peint avec une petite tête ; aux longs
vient pas d’un certain mécanisme du cerveau qui se lègue, et dont sa
fille
a hérité, car elle a toutes ses qualités de fabri
à Antoine, et à Janvier et à Mlle Nau, les deux premiers rôles de La
Fille
Élisa. Antoine arrive tout heureux. La réclamatio
ensure, quand on m’apporte une dépêche d’Ajalbert, m’annonçant que La
Fille
Élisa était interdite : « Vraiment dans la vie, j
a première répétition, et à laquelle on annonçait dans le décor de La
Fille
Élisa, que c’était la Mort du duc d’Enghien qu’on
age du livre sur la prostitution de Yves Guyot, faisant l’éloge de La
Fille
Élisa, — et cet Yves Guyot, est ministre de quelq
rcey tout entier : après avoir fait un assez bénin compte rendu de La
Fille
Élisa, le voilà rédigeant l’article le plus érein
à une basse prostituée. Et je le dis en dépit de l’interdiction de La
Fille
Élisa, et du mauvais vouloir du chef du gouvernem
and interpelle le ministre Bourgeois à propos de l’interdiction de La
Fille
Élisa, moi je travaille à ma préface à l’encontre
y était entrée, en faisant passer une carte à Millerand portant : La
Fille
Élisa. Cela s’est passé, comme ça devait se passe
, alors seulement l’interdiction formelle. Samedi 31 janvier La
Fille
Élisa, le drame interdit par la censure, a obtenu
je suis rentrée dans ma loge, j’avais les yeux tout brillants, et ma
fille
m’a dit : « Ah ! tu sais, maman, il ne faut pas t
elle s’écriait : « Ça y est… ça y est ! » absolument comme une petite
fille
expédie son catéchisme. C’était pour lui une dési
e me porterait un jour un volume d’histoires, racontées par sa petite
fille
à l’âge de cinq ans, pendant qu’elle était à sa t
il s’élève un peu, toujours fait avec des mots livresques. De petites
filles
passent sur le boulevard, de petites filles de se
ts livresques. De petites filles passent sur le boulevard, de petites
filles
de sept à huit ans, qui déjà, inconsciemment, fon
eloppées, aux cuisses charnues, à la chevelure pareille à celle de la
fille
de Seti II, dont le noir des cheveux était le no
d’Apollonius, prêtre d’Alexandre et des deux frères, étant Démétria,
fille
de Dyonissos, canéphore devant Arsinoé Philadelph
Pana fils de Pchelcons, dont la mère est Tahet, dit à femme Taketem,
fille
de Relon, dont la mère est Tanetem : Je t’ai acce
à ce que je les accomplisse. Les écrits que m’a faits la femme Tahet,
fille
de Théos, ma mère, sur moitié de la totalité des
appartiennent à Pchelcons, fils de Pana, t’appartiennent ainsi. Fils,
fille
, provenant de moi qui voudrait t’inquiéter, te do
e fusil, après avoir pris un bol de bouillon, que lui avait donné une
fille
du quartier, ayant une réputation dans le genre d
du grand monde parisien déclarait devant moi, qu’il n’aimait que les
filles
, et il les exaltait en disant, que ces créatures
t il fait la remarque que, tous les ans, il se fait à peu près 80 000
filles
, et que sur ces 80 000, il en surnage à peu près
aux agréments de cette société très-distinguée, mais sa femme et ses
filles
attiraient chez lui la cour et la ville. La marqu
tionnaire pour y mourir avec plusieurs dames de la cour et avec leurs
filles
, elle demanda à mourir la dernière, et elle parta
r de famille qui avait fait grand bruit dans le monde. L’aînée de ses
filles
, jeune personne très-jolie et très-intéressante,
hâteau du comte de ***. La nuit suivante, elle s’était évadée avec sa
fille
par des sentiers secrets du parc. Elle l’avait ra
sit sur moi ce jour-là ; depuis cette époque, il a marié sa charmante
fille
avec le fils de Raigecourt. IV La Restaurat
ser la beauté et la bonté le plus accomplies du royaume de Naples, la
fille
de M. Lefèvre, que j’avais connue et admirée dans
ouvert la porte à beaucoup de mal. Il était lié avec madame de Staël,
fille
de M. Necker. Il trouva en Suisse, dans la maison
lante devint la plus honorable amitié. Il me mena quelquefois chez sa
fille
, devenue la femme du fils du duc de Doudeauville,
ontée par eux-mêmes encore plus que par Mme Craven, leur sœur et leur
fille
, qui n’a guère fait, elle, que de mettre en ordre
mie ? Car voilà ce qu’est devenue Mme Augustus Craven, l’inconsolable
fille
et sœur des Laferronnais ! Ce n’était pas assez p
fut aussi couronnée par l’Académie, mais elle était morte, la pauvre
fille
! et elle eut la chance de ne pas sentir son bonh
ange ou cet ange-fleur a dû plaire aux académiciens comme les petites
filles
plaisent aux vieillards. Ce livre est d’une ingén
qui est la même sous la plume d’une duchesse que sous la plume d’une
fille
de comptoir qui fait les additions au restaurant.
avait-elle besoin d’y ajouter ?… Et d’ailleurs, puisque de sœur et de
fille
, enterrant pieusement les siens comme Antigone —
é un second témoignage de son cœur de mère et de sa tendresse pour sa
fille
. Avant ces nouveaux détails, il n’y avait sur sa
ans ses voyages, le jeune Lesbien se serait épris de passion pour une
fille
de Thrace, Rhodope, alors esclave dans la colonie
ique et la poésie, c’était la piété maternelle, la tendresse pour une
fille
, cette Cléis que le philosophe Maxime de Tyr avai
un sens douteux, pourront faire croire que Sapho vit le mariage de sa
fille
chérie, et chanta pour elle : « Heureux gendre, l
tristesse, ferait supposer que Sapho eut la douleur de survivre à sa
fille
; et on voudrait qu’il n’y eût pas eu plus grand
Apollon ; lui le premier des jeunes gens ; elle privilégiée parmi les
filles
. » Enfin Sapho, dans des paroles perdues dont s’e
avorite. « Déesse au trône à mille couleurs73, immortelle Aphrodite,
fille
insidieuse de Jupiter, je t’en supplie, sainte dé
illage grouille dans la Faute entre deux ecclésiastiques opposés, une
fille
idiote et pubère ; et la charmante ensorceleuse d
et une séance du Corps Législatif, le baptême d’un prince, un bal de
filles
, une fête de bienfaisance, un Compiègne, circule
nt en des pages connues tout le monde des ouvriers, tout le monde des
filles
et des petits théâtres. Pot-Bouille, le Bonheur d
a raison vertueuse ; et l’héroïne de la Joie de vivre est de même une
fille
sensée, forte et savante. Que cet amour de l’équ
aute célèbre la beauté de l’accouplement. Les larges flux de sang des
filles
bien pubères ne sont point dissimulés. Rien de pl
de Nana sertit dans sa splendeur le corps radieux de cette invincible
fille
, comme sont grossies pour la rehausser les turbul
ractères de toute une classe. L’abbé Faujas est le prêtre, et Nana la
fille
. Le Ventre de Paris met aux prises les affamés et
arrêté et envoyé à Cayenne pour s’être épouvanté sur le cadavre d’une
fille
tuée par la troupe, passe, à son départ, près d’u
ion de Martineau mourant, sont racontés avec complaisance. Parmi les
filles
qui passent par l’église de l’abbé Mouret, pas un
nska, et l’on comprend qu’une jeune femme de mérite s’y soit arrêtée.
Fille
et petite-fille des Ségur historiens, Mme d’Armai
tueuse épouse de Louis XV n’a eu de romanesque que les commencements.
Fille
d’un roi électif et détrôné, ayant connu de bonne
it. L’on raconte qu’entrant dans la chambre où étaient sa femme et sa
fille
, il leur dit pour premier mot à toutes deux : « M
incesse Marie, vous êtes donc rappelé au trône de Pologne ? — Non, ma
fille
, reprit Stanislas : le Ciel nous est bien plus fa
’élever les mains au Ciel, implorer les bénédictions d’en haut sur sa
fille
et pleurer. Que s’était-il passé cependant à la C
enait qu’au n° 18 et dernier ; on y lisait : « 18. Marie Leckzinska,
fille
de Stanislas Leckzinski. — Il a plusieurs parents
evoirs pieux et domestiques, cette princesse qui, aussi simple que la
fille
d’Alcinoüs, ne connaît de fard que l’eau et la ne
garçons seulement, dont un seul vécut ; tout le reste n’était que des
filles
, et Louis XV avait fini par ne plus compter sur a
ents, et c’est tout. Voici quelque chose de plus rare. Un père et une
fille
, une mère et un fils, qui ne se sont jamais vus,
nner pour mari à Électre, et Clytemnestre en fait la proposition à sa
fille
. Voilà qui est à la corsé, bonne heure ! — Vous n
les figures si franchement dessinées de la servante Toinon, la grande
fille
massive, lourdaude, jalouse et pleurarde, et de M
t. Vraiment elle ne ferait point mauvaise figure près de la « vieille
fille
» de Balzac. Ses scrupules de dévote, ses pudeurs
che de Mlle Habert, et bientôt on n’entend plus parler de l’estimable
fille
sans se figurer aussitôt cette rondeur de visage
gne d’enfance d’Humbert ; ensemble ils ont couru les champs, elle, la
fille
du château, et lui, le petit voisin, fils d’un br
mbert d’être sa femme. Mais voilà que le marquis d’Ars arrive chez sa
fille
. Elle lui confesse tout, mais le vieux seigneur e
lle lui confesse tout, mais le vieux seigneur est intraitable : si sa
fille
épouse cet homme, il ira lui-même se dénoncer au
inspire le plus profond respect, comme tous les vieux fanatiques. Sa
fille
a toutes nos sympathies ; elle est fière, elle es
l’élégance et la politesse des manières. Et ils nous donneront leurs
filles
de temps en temps. Un immense baiser Lamourette v
n homme très fort ; il tripote avec lui ; il lui promet la main de sa
fille
. Charrier, c’est tout simplement un Vernouillet p
foule ? Dans la réalité, Charrier donnerait bel et bien la main de sa
fille
à Vernouillet ; Henri se laisserait séduire comme
Reichemberg en tombant sur un canapé circulaire, je suis une méchante
fille
! » Ouf ! un entr’acte, le premier. Le public est
zette que je lui donne une heure pour venir me demander la main de ma
fille
. Ce temps passé, où que tu sois, je te tue ! » Le
te intrépidement, avec sa ténacité et sa terrible innocence de petite
fille
. Elle apprend le mariage prochain de Denise et de
ale qu’on sent venir : 1 º un honnête homme doit toujours épouser une
fille
qu’il a rendue mère ; 2 º un honnête homme peut,
º un honnête homme peut, dans de certaines circonstances, épouser une
fille
séduite par un autre, et quelquefois même il le d
Bardannes, lui avoue-t-elle son amour ? On nous l’a donnée comme une
fille
héroïque ; elle devrait donc faire entendre à Bar
’intrigue de Marthe et de Fernand, qui nous montre comment une pauvre
fille
peut tomber sans être une coquine. Nous sommes pr
mplement : Hélas ! oui, cela est ainsi, Denise est une très charmante
fille
qui a été très faible un jour. Si elle est si sag
nise, j’estime qu’il ne reste rien du péché. — On dira encore : Cette
fille
si intelligente, comment a-t-elle pu aimer ce vul
et, si on le laissait faire, sacrifiant à une convention la vie de sa
fille
. — J’aime aussi beaucoup le rôle de Marthe. C’est
appelle un rôle « ingrat » : mais comme elle est vraie, cette petite
fille
sans mère, que personne n’a élevée, que la solitu
bohème cosmopolite et polyglotte. C’est la comtesse Dobronowska et sa
fille
Iza. Pierre est très ému de leur entrée théâtrale
lle n’a pas dîné, conte son histoire à qui veut l’entendre, montre sa
fille
comme on fait une pouliche, étale sa pauvreté, ma
tale sa pauvreté, mais ajoute que, si elle voulait, elle marierait sa
fille
au prince Serge Woïnoff, qui l’aime éperdument ;
indignée : elle a appris du concierge qu’un jeune homme était avec sa
fille
! Mais, en voyant Pierre, elle s’apaise, recommen
finit même par lui tenir les propos les plus désobligeants. « Ah ! ma
fille
! s’écrie-t-elle, il insulte ta mère ! » Et Iza,
ez mal élevée, mais brave et franche, et bonne, au fond, cette petite
fille
! » Quatrième tableau. La toile se relève, et au
relève, et au bout de cinq minutes, j’apprends que cette bonne petite
fille
est la dernière des coquines. Une coquine très bi
vivre avec toi, tu n’es pas assez riche (encore une fois, je suis une
fille
). Mais, appelle-moi quand tu voudras : je viendra
et sans qu’on me l’ait fait assez pressentir, elle n’est plus qu’une
fille
: mais elle n’est point perverse, elle est impure
oint la même. La courtisane s’y laisse vite pressentir chez la petite
fille
. Elle a été la maîtresse de Serge avant d’épouser
us facile alors de tirer notre impression au clair. Georgette Coural,
fille
d’un menuisier de Toulouse, a fui à seize ans la
, elle a connu un bel officier, Paul de Cardillac, dont elle a eu une
fille
, Paula. Cardillac a été tué à Gravelotte. Georget
ir d’Angleterre ruiné, lord Carlington. Tout cela, paraît-il, pour sa
fille
, qu’elle a parfaitement élevée. Elle l’a pourvue
Carlington est une ancienne femme galante, et Paula, qui est bien la
fille
de Cardillac, n’a pas été reconnue. Au reste, il
tte aussi, après avoir couru les toits, est une bonne mère. — Mais sa
fille
est un ange ; la punirez-vous de fautes quelle n’
’a pas craint, en l’élevant comme elle a fait, de se préparer dans sa
fille
un juge terrible… Et, comme lady Carlington rentr
a à Londres, que Georgette vivra en Angleterre et qu’elle ne verra sa
fille
que pendant deux mois de l’année. Paula refuse. «
accepté les conditions de la comtesse ; elle croit d’ailleurs que sa
fille
ne sait rien. Pour qu’elle puisse garder cette il
et nous ne sortons pas trop inquiets, en somme, du sort de l’héroïque
fille
. Georgette, a-t-on dit, rappelle je ne sais comb
entre la société régulière et les femmes galantes. Ici, c’est par sa
fille
qu’une vieille courtisane veut s’introduire dans
discussion. Au contraire, ce préjugé, « qu’une jeune fille, enfant de
fille
, ne peut, même si elle est parfaitement pure, ent
que la comtesse, qui accorde à Georgette deux mois de séjour avec sa
fille
, en accorderait trois, et quatre et six, si on lu
té plus malheureuse que coupable, qu’elle est bonne, qu’elle adore sa
fille
, qu’elle a mis dans son enfant toute son honnêtet
comtesse si renchérie au monde qui refuse longtemps pour son fils la
fille
d’une duchesse riche à sept millions et d’une si
personne joliment distinguée. Vraiment M. Sardou ne la fait pas assez
fille
pour son dessein. C’est une Coralie qu’il fallait
dette, avec cette différence que dans Odette la mère se sacrifie à sa
fille
et qu’ici la fille se sacrifie à sa mère. C’est b
ifférence que dans Odette la mère se sacrifie à sa fille et qu’ici la
fille
se sacrifie à sa mère. C’est bien quelque chose,
o, et tout le monde voudra voir le cercle sanglant de ses tempes. Les
filles
iront, et tous les vieux blasés qui cherchent des
t le piquant et l’imprévu ne vous échapperont point. Le colonel a une
fille
, Madeleine, et le général a une nièce, Blanche de
on reconnaissait en lui le descendant des grandes races. Je suis une
fille
de bohémiens, moi !… La grande dame trouva que je
e de bohémiens, moi !… La grande dame trouva que je ressemblais à une
fille
adorée qu’elle avait perdue… Ne subissant d’autre
e ce violoniste brun et hongrois, aux yeux magnétiques, qui enlève la
fille
blonde d’un lord et qui meurt en jouant le « Chan
va, tout fond dans la lâcheté de cette servitude charnelle ; et de la
fille
qui s’attache, qui s’accroche désespérément et qu
t pas plus Marguerite Gautier qu’elle n’est Olympe Taverny. C’est une
fille
, qui est une bonne fille, qui a de grands désirs
tier qu’elle n’est Olympe Taverny. C’est une fille, qui est une bonne
fille
, qui a de grands désirs d’amour et des soifs de d
grands désirs d’amour et des soifs de dévouement, et c’est aussi une
fille
folle de son corps, avec un fond de fange qui rem
t assoupli, avec lequel il travaille naïvement depuis des années, une
fille
de Montmartre ou des Batignolles, gentille, hysté
nt : « Je ne dormirai plus ; j’ai tué le sommeil ! » Alors une grande
fille
brune se présente. Elle nous déclare que, avec la
dans son bain, et qu’elle en est heureuse : pourquoi avait-il tué sa
fille
? Mais, pour se venger complètement et pour être
isérables drames de l’humanité présente, les histoires d’adultère, de
filles
séduites et d’enfants naturels, et toutes les pet
le saule de Musset, le tombeau de Lamartine à Saint-Point, près de sa
fille
: « Mais, ajoute-t-il, l’auteur de l’Art d’être g
l ne voit pas qu’il ne peut rien dire de plus désagréable à la pauvre
fille
. Les autres, elle s’en moque bien ! C’est celui q
dames et messieurs, je me place au point de vue du théâtre. Voilà une
fille
qui, etc. Voilà un fils qui, etc. Et il faut qu’i
’autre jour une romance absolument niaise, les adieux d’une mère à sa
fille
qui va se marier. Je me rappelle tant bien que ma
re, comme je l’ai dit, est peu varié. Il s’agit le plus souvent d’une
fille
qui perd son innocence ou d’une belle-mère qui en
hanté par une grosse brune, et qui laisse entrevoir, chez cette bonne
fille
, un trésor d’illusions et la candeur d’une âme to
e thème ; an dernier couplet, une concierge conte à sa voisine que sa
fille
a treize ans et qu’elle promet : Ell’ s’ra prêt’
Willette, avec plus de vérité ni avec une grâce plus inquiétante, la
fille
de Paris près Montmartre, pâle, nerveuse et cambr
pour s’en débarrasser, un nouveau-né dans son maillot. Et des petites
filles
de douze ans, des premières communiantes, toutes
des agaceries. À la fin, son imperturbable fidélité irrite ces bonnes
filles
qui, un beau soir, innocemment lui coupent la têt
nser en l’air un essaim de phalènes, tout un ballet aérien d’aimables
filles
munies d’ailes légères ? Non seulement les figure
vaste châssis tendu de papier, — un enfant qui ressemble à une petite
fille
, tête un peu grosse, jambes un peu grêles, les ye
Mlle Laus, et la danse bondissante et chaude de Mlle Carmen dans Une
fille
mal gardée, une paysannerie qui date d’Auber, mai
ir d’être en sucre. Je regrette qu’on n’ait pas mêlé à l’escadron des
filles
de brasserie quelques garçons de café, qu’on eût
t une distribution des prix dans une école de garçons et une école de
filles
, avec pompiers, mères émues, orphéons, allocution
me reproduit le tour de la femme escamotée de M. de Kolta. Une petite
fille
imite avec une prodigieuse exactitude la danse et
La belle Léda ou la femme transparente ». J’entre et vois une pauvre
fille
qui paraît s’être passé une longue-vue dans le ve
n’est pas moins la science des sciences… » J’en étais là. Une petite
fille
, m’ayant vu écrire, est allée prévenir la somnamb
olescents en casquette et moi. La « Vénus à l’œil nu » est une pauvre
fille
avec un gros ventre, de vagues velours, des paill
ils trouvent les paroles « distinguées ». Il y a là des ouvriers, des
filles
du peuple en cheveux (et aussi, j’en ai peur, des
sées, muses de ce pauvre Mendès. Balzac définirait le bas-bleu : « la
fille
aux yeux d’or de la littérature ». *** Il y a des
es de l’écœurante espèce. Paul Georges est le bas-bleu naïf et petite
fille
. Les premières minutes, on éprouve je ne sais que
t tout, latin, droit, philosophie, médecine surtout, un peu comme les
filles
du quartier des Écoles, pour des raisons qui peuv
de polissonne et qui montera au salon entendra des naïvetés de petite
fille
: banales histoires de revenants ou allégories co
tique Camée ? Deux mots suffisent : vous êtes restée une toute petite
fille
, et vous avez étudié la vie dans les livraisons q
iliennes. Et pourtant le point d’interrogation inspire toujours cette
fille
d’Eve : « Il ne cessait de retourner en tous sens
ien. » J’ai noté ces quelques traits, avec beaucoup d’autres, dans la
Fille
d’un assassin, livre émouvant et profond où tout
le comte avait en elle à la fois un camarade, un ami, un bouffon, une
fille
et une compagne ». Madame Cassot, qui dut être, j
conclut le portrait par cette ligne infiniment instructive : « Cette
fille
, c’était l’inconnu. » *** Hélas ! il y a le Slave
ne place d’enfant. soit qu’il évoque, souriant, la vie de la petite
fille
ou celle de la jeune fille : Sur la pelouse en f
! Elle s’attendrit aux humbles affections et aux manies de la vieille
fille
qui n’a trouvé parmi les hommes « nul aliment pou
encore enlaidie et rapetissée ; ils font plaindre l’infortunée petite
fille
sans la faire aimer. Mais, si la grâce est absent
mâle, aime une perfection de sexe différent, Mlle Odette de Ribeyran,
fille
du colonel de Jean. Hélas ! cet admirable garçon
. Non, Jean n’est pas le frère d’Odette. Mais, cette Française, cette
fille
du plus brave des colonels, du plus intransigeant
m français. » Malgré cet énorme mais, M. de Ribeyran refuse encore sa
fille
. Jean remplit tout son devoir : il court à Madaga
je préfère encore les bonnes écolières de tout à l’heure aux petites
filles
que j’entends maintenant bégayer de vieilles hist
iscrète qui soit comme une douce lampe à ton foyer. C’est une petite
fille
qui manque de couleurs, cette poésie, mais on reg
« le pur Éther où brille notre amour ». Et cette bonne épouse est une
fille
tendre ; elle constate en rimes riches que sa mam
officielles, inutiles et lucratives. En 1897, veuve, en retraite, sa
fille
mariée, elle a donné un second volume, l’Ame Fran
ées à le cacher : femme de la victime, femme du meurtrier ; les trois
filles
de la victime et les trois garçons du meurtrier (
nt beaucoup, naturellement) ; les deux fils de la victime et les deux
filles
du meurtrier (ces jeunes gens ne s’aiment pas moi
n « docteur Mathéus » qui est « bon » au lieu d’être « illustre », et
Fille
de Lorraine, de Mme Améro, est une puérilisation
Œuf-à-la-coque. » 3º Il y a deux histoires : l’histoire de la petite
fille
méchante que le malheur convertit ; l’histoire de
r en trois cents pages les aventures et les mésaventures de la petite
fille
méchante dont l’infortune fait une perfection et
eurs. Malheureusement le bas-bleu a déguisé en petit garçon la petite
fille
qu’elle fut : grâce à cet absurde démarquage, les
un peu bien pédantes et difficiles. J’ai donné ses livres à la petite
fille
d’amis peu patients que j’aime à taquiner. A chaq
e de courts récits innombrables, elle a écrit deux bouquins énormes :
Fille
d’Alsace, qui obtint de l’Académie une mention ho
es : Fille d’Alsace, qui obtint de l’Académie une mention honorable ;
Fille
de Lorraine, qui ne la méritait ni plus ni moins
stinés à amuser notre futilité ressemblent aux histoires pour petites
filles
ou aux romans pour jeunes filles. Le mariage est
ec une émotion contenue les chagrins et les aspirations de la vieille
fille
: le désespoir devant la fuite des jours vides, l
rases les plus courtes et les plus simples de Mme Lydie Martial. X
Fille
, femme ou veuve Le bas-bleu, singe de l’homme,
ient de dire : « A père avare, fils prodigue » et : « Tel père, telle
fille
. » Vérifions sur des exemples. Le père Dumas est
Les lettres féminines ne nous offriront point de tels spectacles : la
fille
à Guizot est un Guizot beaucoup plus petit, mais
t un Guizot beaucoup plus petit, mais non pas même plus souriant ; la
fille
à Gautier colorie de nuances trop tendres du Gaut
l qui me paraît intéressant. En 1839, elle n’est encore qu’une petite
fille
, et une curieuse lettre paternelle lui reproche d
vous êtes exquise, digne de lui, noble, pieuse, grave, généreuse, ma
fille
de choix, mais vous perdez Louis et vous jetez sa
d’une jeune fille noble retranche du monde « l’enfant d’Érin », « la
fille
d’Israël » et « la descendante des preux ». Mme D
me ». Et ni lui ni elle ne s’avise un instant que la femme est un peu
fille
de l’homme, l’homme un peu fils de la femme et qu
r de nombreuses incorrections : « Celles qu’ils ont épousées honnêtes
filles
et sont restées honnêtes femmes », et par des inc
ques connus, je préfère une courte brochure : Ce que doivent être nos
filles
. Après une préface où Edouard Petit, universitair
nt, mêlées assez gauchement, deux histoires. Les bons instincts d’une
fille
de courtisane luttent contre la contagion du mili
s. Vous me demandiez, chère madame, de vous confier l’éducation de ma
fille
; j’ai tenu à constater d’abord que vous pensez a
s que ses délaissées, plus que ses jeunes filles, j’adore ses petites
filles
et l’intelligence émue de leurs caresses. Oh ! le
le n’a que deux personnages. D’abord elle, sous des noms divers : une
fille
garçonnière, paradoxalement cynique, et qui espèr
bles fleurs. La première partie du roman chante une enfance de petite
fille
. Elle est toute parfumée et souriante « de ces ch
uvelle d’un romantisme désolé. J’aime la première partie : une petite
fille
découvre lentement les tristesses de la vie et le
es gestes mélancoliques d’une beauté frêle. Malheureusement la petite
fille
grandit, et son « immortel ennui » entre dans une
catelle une page de comédie un peu trop longuement bavarde. *** Leur
Fille
, le livre de Jean de Ferrières, est triste, gris,
éministe vaillante et incorrecte. Et j’aperçois Mme Henri de Régnier,
fille
et femme d’habiles et vides versificateurs, presq
héroïques. Le principal personnage n’est pas Œdipe ; c’est une Dircé,
fille
de Laïus et de Jocaste, et peut-être la plus fièr
u’elle déshonore en épousant Orosmane, elle aurait pu observer que la
fille
d’un roi de Jérusalem peut, sans se mésallier, ép
pris pourquoi le superbe Orosmane fait tant de façons pour une petite
fille
qu’il peut avoir quand il voudra, et qui assuréme
que moi, quoique je ne la flatte pas ; c’est assurément la meilleure
fille
du monde ! Une heure avant son mariage, au lieu d
, se sert ici d’un terme malhonnête, et nous présente Zaïre comme une
fille
sans frein. Le grand mérite d’un écrivain est de
e à la porte de la salle ? Je demande à tout homme de bon sens si une
fille
, je ne dis pas mariée à un gouverneur espagnol tr
, crût faire beaucoup que de céder à son chef ses prétentions sur une
fille
de dix-huit ans, et fit valoir ce sacrifice. Le r
Le rôle d’Adélaïde déplut généralement ; on trouva mauvais que cette
fille
ne s’expliquât pas plus clairement avec Vendôme ;
ux jeune homme, la religion et l’amour, qui lui promet le ciel et une
fille
: Le prix était tout prêt ; Palmyre était à vous
ndrai tes enfants qui sont prisonniers dans mon camp ; j’épouserai ta
fille
, et tu seras un de mes lieutenants. » À cela Zopi
, François (de Neufchâteau), sans compter l’opéra bouffon de La Bonne
Fille
. Voltaire est le seul qui ait fait du moins un ou
du cœur, il y a toujours mille à parier qu’elle se trouvera dans une
fille
bien née, élevée au sein d’une famille honnête, p
st si commun, dit-il, qu’une maison dans laquelle un père gronde, une
fille
occupée de sa passion pleure, le fils se moque de
chale de Noailles, étant au chevet de madame de Gondrin, l’une de ses
filles
qui était en danger de mort, s’écria dans un tran
mes autres enfants ! Le duc de La Vallière, époux d’une autre de ses
filles
, très scandalisé d’une telle prière, tira sa bell
r expier et punir l’injustice et la barbarie de son père envers cette
fille
vertueuse, c’est un dévouement admirable, un sacr
omber en enfance, qui se passionne pour des farces, comme les petites
filles
pour leur poupée qu’elles font coucher avec elles
ayer sur le même théâtre une chambre tendue de noir, où se trouve une
fille
seule avec le cadavre de son amant qu’elle contem
aux particuliers ni au public. Il n’y a peut-être pas au théâtre une
fille
aussi folle qu’Aménaïde : il est vrai qu’elle a v
, et l’on sait que la cour et les voyages forment bien l’esprit d’une
fille
. Non seulement elle est pédante et raisonneuse co
petite et ridicule ! qu’on s’intéresse peu pour une furie ! pour une
fille
enragée de vanité, irritée qu’on la soupçonne, qu
dait comme son assassin, est aussi empruntée en partie de celle où la
fille
de Stenon reconnaît Gustave son amant dans celui-
Ninus. Éryphile est donc une pièce moins mauvaise que Sémiramis ; la
fille
ne vaut pas sa défunte mère, quoiqu’elle soit par
érêt de la société de celui du théâtre. Cette Mélanide a donc été une
fille
pressée, tranchons le mot, une fille libertine, p
e. Cette Mélanide a donc été une fille pressée, tranchons le mot, une
fille
libertine, puisqu’elle a sacrifié à l’amour la pu
amoureux, mais ce n’est plus de Mélanide ; il aime une jeune et jolie
fille
du même âge, à peu près, qu’avait Mélanide quand
de mieux à faire que de supposer un prêtre qui a fait un enfant à une
fille
: un prêtre sage et de bonnes mœurs n’eût été qu’
rs n’eût été qu’un cafard ; mais un prêtre qui a fait un enfant à une
fille
, c’était là l’homme de Dieu, le digne organe de l
très bourgeoises. On assure cependant que les enfants et les petites
filles
qui commencent à avoir une amourette pleurent enc
qui se trouve, dans une maison étrangère, la gouvernante de sa propre
fille
, sans en être connue ; cette fille, amoureuse du
ngère, la gouvernante de sa propre fille, sans en être connue ; cette
fille
, amoureuse du fils de ce même magistrat, qui a fa
e idolâtre un fils libertin, qu’elle lui sacrifie la plus aimable des
filles
, et qu’elle soit punie de son aveuglement par son
aime un marquis ; elle sacrifie sa fortune pour lui faire épouser une
fille
de qualité ; elle veut le faire entrer à la cour,
et tout est renversé par la folie du jeune marquis, lequel enlève une
fille
à l’heure même où on l’attend pour dresser les ar
ce père faible et timide, qui, n’osant faire venir chez lui sa propre
fille
, reléguée au couvent depuis dix-sept ans, l’intro
de sa nièce. Peut-être eût-il été plus intéressant que la mère eût sa
fille
auprès d’elle : sa prédilection pour son fils n’e
ait vu de l’autre côté son indifférence et même son aversion pour une
fille
douée des plus rares qualités. Au lieu de ce tabl
on nous présente un père dégradé de ses droits, fort embarrassé de sa
fille
, qu’il fait passer pour sa nièce ; l’ami du père
re, sous le nom et l’habit de son valet, qui passe pour le maître. La
fille
, de son côté, qui n’est pas moins défiante, met s
prendre aux mères qu’une excessive sévérité dans l’éducation de leurs
filles
est encore plus nuisible qu’une excessive indulge
plus nuisible qu’une excessive indulgence. Madame Argante a élevé sa
fille
avec une extrême rigueur, et dans une ignorance p
rgante. Les mères ne sont plus des mères ; ce sont des amies de leurs
filles
, qui se tutoient et vivent ensemble dans la plus
mble dans la plus grande familiarité : ce sont même ordinairement les
filles
qui gouvernent leurs mères et font leur éducation
s. Depuis Molière, tous les poètes comiques ont prêché la liberté des
filles
. La morale de la comédie est essentiellement relâ
ariages disproportionnés ; mais parce qu’une mère élève sévèrement sa
fille
, il ne s’ensuit pas nécessairement qu’elle veuill
s faiseurs de comédies ; c’est Fénelon : son livre de L’Éducation des
filles
est véritablement l’école des mères. Cependant ce
nsible qu’à la fin du siècle. Le livre de Fénelon sur l’éducation des
filles
, est un monument de ce que pensaient alors les ge
ion était toujours mâle et sévère : beaucoup de mères élevaient leurs
filles
dans la retraite, loin de tout amusement profane,
leurs devoirs bien plus que de leurs plaisirs. Marivaux croit que les
filles
qui se sont ennuyées à périr pendant leur éducati
ple enfin que sont faits les parents. Vous avez de l’esprit, et votre
fille
est sotte ; Vous avez pour surcroît un frère qui
quelle commence à proposer des doutes beaucoup trop modestes pour une
fille
aussi philosophe : Je ne sais ; mais le sang do
digne ; mais aussi elle n’éprouve que les maux qu’elle a mérités. Une
fille
sans pudeur qui sacrifie la nature à l’amour, qui
après un inconnu, ne doit trouver qu’un traître ; c’est la règle : à
fille
dénaturée et dévergondée, ami faux, amant ingrat.
sultat d’un mauvais cœur et d’une âme corrompue. Il est bon que toute
fille
qui déshonore sa famille et se dévoue à l’infamie
élité de son amant, qu’un père justement vengé de l’ingratitude de sa
fille
. Didon est bien plus intéressante, elle a bien pl
ue l’aventure d’une coureuse, qu’un débauché plante là pour une autre
fille
qui lui plaît davantage. Virgile avait frappé de
’on juge du galimatias sophistique qu’il a fallu employer pour qu’une
fille
qui a perdu l’honneur parût encore avoir quelque
de toutes ces tragédies, de tous ces drames où l’on nous présente des
filles
ou des femmes subjuguées par leur passion, a touj
imprudence. Il est souverainement ridicule que la confidente de cette
fille
abusée lui parle de sa vertu sublime. L’audace a
t rien à l’auteur, que la femme la plus galante, disons mieux, qu’une
fille
de joie devient la plus vertueuse des héroïnes. O
t donc s’y abandonner impunément. Quelle leçon pour les femmes et les
filles
! Elle meurt au dénouement ; mais sa mort est un
ère. Avogare, qui tour à tour veut assassiner Gaston et poignarder sa
fille
, joue le personnage du fou : ce jeu de théâtre n’
! Voilà, certes, un reproche bien extraordinaire. Quoi ! parce qu’une
fille
aime, parce qu’elle adore un homme qui ne peut lu
ien là l’occasion de dire : Voilà une morale bien étrange ! Et si les
filles
vont au théâtre apprendre à se livrer à leurs fol
étonné que les pères et mères soient si empressés d’y conduire leurs
filles
, et si l’on vante le théâtre comme l’école des bo
récision et de nerf. Un lord, prisonnier à Bordeaux, est logé avec sa
fille
Clarice chez un riche négociant : cet Anglais, pa
avantage, et s’afflige même d’être forcé de l’estimer ; il destine sa
fille
à ce Sudmer, son ancien ami, et qu’il croit être
ève la conversion commencée par la frivolité de la sœur ; il donne sa
fille
à Darmant, et lui-même épouse la coquette. Cet ar
d’éclat et d’intérêt. Ce rôle est difficile à bien jouer : une jolie
fille
fait aisément la folle et l’impertinente ; elle e
ient tête au père, pleureur éternel ; au fils, amoureux enragé ; à la
fille
, sans cesse gémissante ; à l’honnête Germeuil, to
ridicule que d’amasser du bien avec de grands travaux, et élever une
fille
avec beaucoup de soin et de tendresse, pour se dé
Non, non ; je me moque de cet usage, et je veux garder mon bien et ma
fille
pour moi. » Molière a envisagé ce caractère du c
é dans sa vieillesse. Quel prix de tant de soins qu’il a pris pour sa
fille
unique ! Ne l’aura-t-il élevée, chérie, ornée de
esse inquiète et jalouse ne peut se résoudre à partager le cœur de sa
fille
avec un époux ; sa fille est nécessaire à son bon
ne peut se résoudre à partager le cœur de sa fille avec un époux ; sa
fille
est nécessaire à son bonheur ; il veut en jouir s
st d’après ces sentiments qu’il traverse l’amour de Desronais pour sa
fille
, avec tout l’acharnement d’un rival jaloux. Desro
on bien. Il épuise son esprit en expédients pour le brouiller avec sa
fille
, pour rendre suspecte la passion de l’amant le pl
s bien avec l’humeur mélancolique et le flegme railleur de Dupuis. La
fille
, partagée entre son père et son amant, oppose san
s des amants, se laisse enfin persuader et fléchir par la vertu de sa
fille
; et lorsqu’il voit que la nature triomphe dans s
ans son cœur du plus violent amour, il consent enfin au bonheur d’une
fille
assez généreuse pour lui sacrifier le sien. Tel e
aux qu’il a exposés dans ce roman : il prétendait montrer comment une
fille
peut réparer une perte qu’on croit irréparable ;
qu’aux femmes coquettes et galantes ; les seconds n’en veulent qu’aux
filles
innocentes, aux femmes vertueuses et sensibles. L
anquées, L’Homme personnel et La Mère jalouse. Une mère jalouse de sa
fille
est un monstre dans la nature ; c’est un caractèr
n. Tout roule sur la fantaisie bizarre de la mère, qui veut marier sa
fille
à un original de Bayonne, nommé Jersac, afin d’él
otif secondaire est de se conserver le jeune Terville, amoureux de la
fille
, mais que la mère, sur quelques propos flatteurs,
s prodigieux de sa nièce aux Tuileries, la situation du tableau où la
fille
se trouve peinte auprès de la mère, tout cela est
che pour engager une femme à tuer son mari ; dans Orphanis, c’est une
fille
ambitieuse qui emploie tous les enchantements de
tain Brisès, qui a élevé son enfance, vient lui apprendre qu’elle est
fille
de Priam, et qu’elle avait été exposée dès sa nai
u cinquante enfants, et qui doit avoir perdu le souvenir d’une petite
fille
qu’il n’a jamais vue, se montre aussi sensible à
, se montre aussi sensible à cette découverte que s’il retrouvait une
fille
unique. Cependant la reconnaissance du père et de
ouvait une fille unique. Cependant la reconnaissance du père et de la
fille
, qui se fait avec un grand cri, a paru plus comiq
eut plus épouser Achille parce qu’elle est Troyenne, et, qui pis est,
fille
du roi des Troyens. Achille, comme s’il avait for
excusable dans une jeune femme que dans une matrone qui a une grande
fille
à marier. Souvent ce délire n’est qu’une explosio
le de dix-huit ans, très jolie, surtout lorsqu’elle observe que cette
fille
ressemble beaucoup au portrait que son mari conse
iniment rare ; cependant il était impossible de forcer réellement une
fille
à prononcer les vœux monastiques : elle avait tou
ourage pour s’ôter la vie que pour résister aux ordres d’un père. Une
fille
capable de se tuer doit être capable de désobéir,
lle : le sujet en est à peu près le même. Agamemnon veut sacrifier sa
fille
à Diane ; M. de Faublas veut immoler la sienne à
ette du vinaigrier : un riche négociant est sur le point de marier sa
fille
, lorsqu’il est ruiné par une banqueroute. Le gend
ns commis chez la veuve d’un négociant, dont il est près d’épouser la
fille
: le jour même fixé pour son mariage, les Françai
a plus grossière et la plus ridicule, la maîtresse de la maison et sa
fille
, et son gendre futur. Je doute que jamais officie
ncidents misérables. Il est inconcevable qu’une femme sensée donne sa
fille
a un aventurier sans fortune, dont elle ne connaî
Molière, fasse la cour à des comédiennes, telles que la Béjart et sa
fille
, obtienne leur confiance ; que ces femmes élégant
ricatures. La jalousie de la Béjart, et l’intrigue de Molière avec sa
fille
Isabelle, sont d’un meilleur comique. La scène de
même dans Eugénie cet intérêt touchant, seul avantage des drames. Une
fille
prise dans les filets d’un homme, une fille deven
avantage des drames. Une fille prise dans les filets d’un homme, une
fille
devenue enceinte par suite d’une faiblesse, intér
on n’en pleure pas au théâtre. Pourquoi ? Parce que le malheur de la
fille
est son ouvrage, parce qu’elle en est avilie, et,
a défense occupent l’âme par des tableaux variés. On sait bien que la
fille
doit être vaincue, mais on sait aussi qu’elle peu
se encore plus d’ennui que de pitié. Quel triste rôle que celui d’une
fille
réduite à prier un homme de lui sauver, par compa
s mœurs que la perfidie des femmes, et l’on n’a pas plus de pitié des
filles
abusées que des maris trompés. L’espèce de guet-a
n petit libertin en herbe, brillant de désirs, amoureux de toutes les
filles
, et se livrant à tout le délire de la première ef
enter la famille de son maître. Mais monsieur a aussi de son côté une
fille
absolument étrangère à madame, et dont lui seul c
Il n’est question dans la maison que des amours de monsieur avec une
fille
libertine, et cela est contraire aux convenances.
ère bourru ne fait autre chose que radoter, et donner la chasse à une
fille
de joie. On peut être étonné que le lieu de la sc
r : et le résultat de l’entretien est que Contarini promet Blanche sa
fille
en mariage à Capello, parce qu’il trouve le parti
tre qui lui coûtera cher, comme nous verrons. Contarini signifie à sa
fille
qu’il va la marier, et, comme il dit que c’est à
lication entre Blanche et son père : Contarini veut absolument que sa
fille
épouse Capello. En vain Blanche pleure et crie, e
s, le père arrive avec Capello, qu’il veut marier secrètement avec sa
fille
, pour qu’il ne puisse plus s’en dédire. Montcassi
es deux tragédies, qu’entre une reine aimée du maître du monde, et la
fille
d’un inquisiteur vénitien, maîtresse d’un aventur
Eh ! comment ne pas croire, Ma
fille
, a tant d’amour prouvé par tant de gloire ! Ce t
ul m’acquitter De tout ce qu’un héros fit pour le mériter. Voilà une
fille
bien patriote ! Pourrait-elle refuser l’abandon d
’est la réponse de Montcassin à Contarini, qui prétend que blanche sa
fille
a promis sa foi à un autre : Eh ! ne savez-vous
tc. Confirmez ce lien qui, dans vos jours vieillis, Vous conserve une
fille
et vous acquiert un fils. Un homme du parterre a
nitaires et philosophiques, il est vite descendu à causer des petites
filles
du peuple, qu’il a fort étudiées, nous dit-il, et
le cynisme des paroles, ainsi qu’une femme honnête dans un souper de
filles
. Puis revient le chapitre de Dieu. — C’est étonna
écrire. * * * — Aubryet me contait, que dans la rue, hier, une petite
fille
de sept ou huit ans, lui avait proposé sa sœur, u
regard, une sorte de carnaval dans le clair-obscur, — et des petites
filles
, en blouses de pension, filant entre vos jambes,
d’une galerie d’Apollon. J’entre au Bal de l’Ermitage. Plus une jolie
fille
. Tout est pris maintenant par l’argent, qui cueil
ns égorgements… Et pendant ce, j’entends, dans mon dos, trois petites
filles
blaguer la façon dont les sœurs leur font faire l
des enfants, que lorsqu’on est sûr de leur assurer une existence… Des
filles
qui partent pour être institutrices en Russie, c’
t demie. Nous le trouvons à table, entouré de son fils et de ses deux
filles
, croquant en manches courtes, avec toutes sortes
e prince Soltikoff. Oui, par moments, ces deux fillettes semblent les
filles
de la nostalgie des pays de soleil de leur père.
ui s’entoure d’un tas de canailles, de gens tarés, de croquemorts, de
filles
de mauvaise vie, qui conspire contre le gouvernem
fasse, quand il pleut et que je m’ennuie ! » — Aux bains de mer, les
filles
ressemblent à des honnêtes femmes. Elles ont une
s jeunes gens en habit noir, qui se trouvent être les fils de petites
filles
avec lesquelles vous avez joué. 14 septembre
, et nous déroule l’étrange existence de cette femme3. Elle serait la
fille
naturelle du prince Constantin et d’une juive. Sa
ouvrir de crêpe tous les miroirs de la maison, en sorte que la petite
fille
grandit sans se voir, et tourmentée par l’idée qu
ous moments, traversé par des vols d’enfants. Oh ! les jolies petites
filles
qu’il y avait là, et quelle douceur à se promener
de peintre pour rendre cela. … La mère qui regardait sa toute petite
fille
, sa fille de huit ans, se renversant sur moi, et
e pour rendre cela. … La mère qui regardait sa toute petite fille, sa
fille
de huit ans, se renversant sur moi, et me jetant
t à dire avec un sourire, le sourire de la Joconde : « Oh ! ma pauvre
fille
, tu es le sentiment… lui, il est l’esprit : il t’
vouement jaillissait, comme à travers ceux d’un chien battu. La brave
fille
, un soir, en déshabillant sa maîtresse, se mit à
se trouvant grosse, et disant que ça lui était bien égal d’avoir une
fille
ou un garçon, sa belle-mère lui jeta cette phrase
ature artiste. 30 octobre … Flaubert vit ici avec une nièce, la
fille
de la femme, dont le buste a été sculpté par Prad
ine de détails intimes et furibonds de passion. C’est la lettre d’une
fille
d’une maison de prostitution, offrant toutes les
a plus de courtisanes, et que tout ce qui porte ce nom, n’est que des
filles
. Lundi 9 novembre Dîner Magny. Théophile Ga
ns ce regard doux, triste, enfantin, attrapé comme celui d’une petite
fille
, à laquelle on aurait abîmé sa poupée. Puis il me
e à son caractère comme une guirlande à son front. « S’il te naît une
fille
, — disent les livres sacrés de l’Inde, — donne-lu
ir, le conseil des brahmes ; Shakespeare surtout, qui, pour parer ses
filles
de prédilection, va cueillir on ne sait où, dans
agne, comme vous pourriez le croire tout a l’heure. Philiberte est la
fille
du premier mariage de la marquise de céans. Elle
line. « Pourquoi non ? — s’écrie le page ; — elle est femme, elle est
fille
; une femme ! une fille ! ah ! que ces noms sont
s’écrie le page ; — elle est femme, elle est fille ; une femme ! une
fille
! ah ! que ces noms sont doux, qu’ils sont intére
ct avec des organisations plus exquises ! Qu’il y a loin de la grande
fille
déniaisée du château de Grandchamp aux deux sensi
Philiberte en aura peut-être soixante. Et pourtant celle-là était la
fille
légitime, celle-ci n’est que la bâtarde de Molièr
sit par elle-même. Au baron de Berghausen succèdent la margrave et sa
fille
Dorothée, une petite niaise éperdument amoureuse
frustrés de leur héritage. La margrave médite de lui faire épouser sa
fille
; le baron entreprend de lui vendre, un million o
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