Chapitre V.Les
figures
de lumière « Lignes de lumière » et lignes r
gures de lumière « Lignes de lumière » et lignes rigides. — La «
figure
de lumière » et la figure d’espace : comment ell
es de lumière » et lignes rigides. — La « figure de lumière » et la
figure
d’espace : comment elles coïncident et comment el
es, ou par deux lignes doubles de lumière, rectangulaires encore : la
figure
de lumière et la figure rigide coïncident. Dès qu
oubles de lumière, rectangulaires encore : la figure de lumière et la
figure
rigide coïncident. Dès que nous le supposons en m
e rigide coïncident. Dès que nous le supposons en mouvement, les deux
figures
se dissocient. La figure rigide reste composée de
ue nous le supposons en mouvement, les deux figures se dissocient. La
figure
rigide reste composée de deux droites rectangulai
figure rigide reste composée de deux droites rectangulaires. Mais la
figure
de lumière se déforme. La double ligne de lumière
alité sur O₁A₁, mais, pour plus de clarté, nous l’en détachons sur la
figure
). Voilà pour la forme. Considérons la grandeur. C
ût été effectivement réalisée, aurait dit : « Je dois supposer que la
figure
rigide reste ce qu’elle est, non seulement en ce
sonnement a priori selon les anciennes idées, on eût dit : « c’est la
figure
rigide d’espace qui impose ses conditions à la fi
it : « c’est la figure rigide d’espace qui impose ses conditions à la
figure
de lumière ». La théorie de la Relativité, telle
lisée, consiste à renverser cette proposition, et à dire : « c’est la
figure
de lumière qui impose ses conditions à la figure
à dire : « c’est la figure de lumière qui impose ses conditions à la
figure
rigide ». En d’autres termes, la figure rigide n’
ui impose ses conditions à la figure rigide ». En d’autres termes, la
figure
rigide n’est pas la réalité même : ce n’est qu’un
t qu’une construction de l’esprit ; et de cette construction c’est la
figure
de lumière, seule donnée, qui doit fournir les rè
les s’arrangeront. Pour cela, serrons de près la déformation de notre
figure
de lumière. Mais n’oublions pas que tout se passe
pas. Ne perdant jamais de vue ce point, suivons la variation de notre
figure
de lumière. Nous allons examiner séparément les t
artir de zéro. Habituons notre pensée à faire sortir, de la primitive
figure
de lumière OAB, une série de figures où s’accentu
e à faire sortir, de la primitive figure de lumière OAB, une série de
figures
où s’accentue de plus en plus l’écart entre ligne
qui d’abord coïncidaient. Exerçons-nous aussi à faire rentrer dans la
figure
originelle toutes celles qui en seront ainsi sort
les soldats se retrouvent en rangs serrés. Répétons-nous bien que nos
figures
de lumière sont en nombre indéfini et qu’elles n’
rtuelles se télescopent, pour ainsi dire, dans la vision réelle de la
figure
primitive AOB. Quelle est la conclusion qui s’imp
temps une ligne de lumière, — le second effet de la déformation de la
figure
. 2° Effet longitudinal ou « dislocation de la
augmente l’écart entre les lignes de lumière qui coïncidaient dans la
figure
originelle, l’inégalité s’accentue entre deux lig
, pour ainsi dire, allaient de O en A et revenaient de A en O dans la
figure
primitive. Maintenant l’aller est plus long que l
x instants quand les horloges en O et en A marquent la même heure. Se
figure-t
-il en mouvement ? Ces deux instants, soulignés pa
ents tous les Temps conventionnels par lui imaginés. Il est devant la
figure
BOA : il perçoit une certaine durée psychologique
ésenter la ligne double de lumière BOA d’abord, puis à la déformer en
figures
telles que O₁B₁A₁O₁′ par le mouvement du système,
système, enfin à faire rentrer, sortir, rentrer de nouveau toutes ces
figures
les unes dans les autres, en s’habituant à penser
s autres, en s’habituant à penser qu’elles sont à la fois la première
figure
et les figures sorties d’elle. Bref, on se donne,
’habituant à penser qu’elles sont à la fois la première figure et les
figures
sorties d’elle. Bref, on se donne, avec toutes le
ne de lumière. Considérons les trois points 0, B, A de notre première
figure
. Ordinairement, quand nous les appelons des point
la « contraction » qui va s’ensuivre, nous n’avons qu’à examiner les
figures
de lumière successives, en tenant compte de ce qu
igures de lumière successives, en tenant compte de ce que ce sont des
figures
, c’est-à-dire des tracés de lumière que l’on cons
e les lignes d’espace, qui ne s’apercevront généralement plus dans la
figure
même. Elles ne pourront plus être qu’induites, je
reconstruites par la pensée. Seule fait exception, naturellement, la
figure
de lumière du système supposé immobile : ainsi, d
e de lumière du système supposé immobile : ainsi, dans notre première
figure
, OB et OA sont à la fois lignes souples de lumièr
espace, l’appareil BOA étant censé au repos. Mais, dans notre seconde
figure
de lumière, comment nous représenter l’appareil,
nous abaissons la perpendiculaire B₁O₁″ sur O₁Al, peut-on dire que la
figure
B₁O₁″A₁, soit celle de l’appareil ? Évidemment no
s’exprimerait ainsi : « Étant donné, au repos, une coïncidence de la
figure
rigide d’espace avec la figure souple de lumière,
donné, au repos, une coïncidence de la figure rigide d’espace avec la
figure
souple de lumière, étant donné, d’autre part, une
mière, étant donné, d’autre part, une dissociation idéale de ces deux
figures
par l’effet d’un mouvement que la pensée attribue
que la pensée attribue au système, les déformations successives de la
figure
souple de lumière par les diverses vitesses sont
ple de lumière par les diverses vitesses sont tout ce qui compte : la
figure
rigide d’espace s’arrangera comme elle le pourra.
rement de l’effet global produit par les diverses modifications de la
figure
souple, c’est-à-dire des lignes de lumière.
Chapitre VI. De l’emploi des
figures
et de la condition qui les rend légitimes : la né
essité Si l’on me demandait de marquer quand doivent s’employer les
figures
, pour toute règle je répondrais volontiers : Jama
ours assez. Celles qui resteront se seront imposées à vous, non comme
figures
, mais comme propres expressions de votre pensée e
justifie. Le souci de relever le style par l’éclat ou l’agrément des
figures
trahit le rhéteur, l’homme qui n’écrit que pour f
l’approchent de son but : celui-là est aussi éloigné de concerter ses
figures
que l’homme du peuple, qui, en jurant, ne pense g
i, en jurant, ne pense guère à faire une imprécation. Il faut que les
figures
soient spontanées, qu’elles naissent dans l’espri
gle absolue et souveraine de la propriété des expressions s’étend aux
figures
comme à toutes les autres parties du style. Où le
ne s’isole pas, qui n’a point d’expression indépendante, ce sont les
figures
qui la rendent et la mettent en lumière. De là vi
e là vient aussi que plus l’homme est passionné, plus il redouble les
figures
, moins l’expression propre et nue de l’idée lui s
inent. Mais là est précisément le danger, et il ne suffit pas que les
figures
jaillissent spontanément de l’esprit, pour avoir
se mettre au même pas que la sensibilité et l’imagination : alors la
figure
qui traduira le désir ou la passion sera vague et
’âme : toutes les métaphores alors, toutes les hyperboles, toutes les
figures
naturelles sont bonnes, du moment qu’elles font c
langue déjà vieille par la multitude des phrases toutes faites et des
figures
ajustées d’avance, on concevra comment tant de mé
e. Il y a plus : on se dupe soi-même par l’abus des métaphores et des
figures
, qu’on accepte avec trop d’indulgence. On se cach
erdrait l’illusion de son héroïsme au premier choc de la réalité. Les
figures
sont ainsi bien souvent des consolations que l’im
de parler proprement et justement ; qu’il ne suffit pas même que les
figures
soient le produit spontané de l’esprit ; qu’il fa
’on écrit un contrôle sévère, et ne recevoir aucune métaphore, aucune
figure
d’aucune sorte, que lorsqu’on sent qu’elle est da
ablement et rigoureusement nécessaire. Il faut que la réduction de la
figure
au mot propre soit une véritable amputation qui l
tous nos grands écrivains, dans leurs œuvres les plus parfaites, les
figures
ont bien ce caractère. Lisez et relisez Bossuet,
priété que dans ces métaphores, ces hyperboles, ces mouvements et ces
figures
qui se pressent sur ses lèvres. Il n’est point un
este, on sera peut-être moins tenté de rechercher ou d’accueillir les
figures
sans nécessité ou pour le pur ornement, si l’on r
té ou pour le pur ornement, si l’on remarque d’abord que l’emploi des
figures
inutiles est un des caractères de la préciosité,
te que le style peut être expressif, éclatant, émouvant, presque sans
figures
. Pourquoi est-il ridicule d’appeler un fauteuil l
toresque, de Victor Hugo, de Leconte de Lisle, même de Lamartine, les
figures
sont rares, clairsemées, de loin en loin une méta
grands agrémens. Ou le traducteur se donne la liberté de changer les
figures
et d’en substituer d’autres qui sont en usage dan
celles dont son auteur s’est servi ; ou bien il traduit mot à mot ces
figures
, et il conserve dans la copie les mêmes images qu
ages qu’elles présentent dans l’original. Si le traducteur change les
figures
, ce n’est plus l’auteur original, c’est le traduc
qu’on n’exprime l’idée d’autrui. D’ailleurs, il est très-rare que les
figures
qu’on regarde comme rélatives en deux langues, y
ule , et nous disons en françois, prendre la lune avec les dents : la
figure
latine est-elle bien renduë par la figure françoi
la lune avec les dents : la figure latine est-elle bien renduë par la
figure
françoise ? Le déchet est du moins aussi grand po
ns aussi grand pour le poëme, quand son traducteur en veut rendre les
figures
mot pour mot. En premier lieu le traducteur ne sç
e proprieté qui fait la précision de l’expression, et le mérite de la
figure
dont le poëte s’est servi. On traduit ordinaireme
étoit dans l’original. Il en est d’une phrase de Virgile comme d’une
figure
de Raphaël. Alterez tant soit peu le contour de R
econd lieu, supposant que le traducteur soit venu à bout de rendre la
figure
latine dans toute sa force, il arrivera très-souv
figure latine dans toute sa force, il arrivera très-souvent que cette
figure
ne fera pas sur nous la même impression qu’elle f
. Nous n’avons qu’une connoissance très-imparfaite des choses dont la
figure
sera empruntée. Quand même nous en aurions pleine
s, ne peut nous affecter comme elle affectoit les romains. Ainsi les
figures
empruntées des armes et des machines de guerre de
ent faire sur nous la même impression qu’elles faisoient sur eux. Les
figures
tirées d’un combat de gladiateurs, peuvent-elles
usquels il assistoit plusieurs fois en un mois ? Croïons-nous que les
figures
empruntées de l’orchestre, des choeurs et des dan
i qu’elles affectent ceux qui vont à l’opera toutes les semaines ? La
figure
, manger son pain à l’ombre de son figuier, doit-e
septentrionnaux peuvent-ils être aussi sensibles à toutes les autres
figures
qui peignent la douceur de l’ombre et de la fraîc
inventées. Virgile et les autres poëtes anciens auroient emploïé des
figures
d’un goût opposé, s’ils eussent écrit pour les na
France, serions-nous affectez ainsi que nous le sommes par toutes les
figures
dont un coursier est le sujet. Mais, dira-t-on, i
ser au poëte à qui l’on fait le procès sur une traduction, toutes les
figures
et toutes les prosopées fondées sur les moeurs et
ce des moeurs et des usages des differens peuples, pour juger quelles
figures
ces moeurs et ces usages autorisent ou n’autorise
risent ou n’autorisent pas dans un certain poëte. En second lieu, ces
figures
ne sont pas seulement excusables, elles sont bell
françois. Ils répondront que l’énergie d’une phrase et l’effet d’une
figure
tiennent si bien, pour ainsi dire, aux mots de la
es usages du peuple qui la parloit, ce qui donne une intelligence des
figures
et de la poësie du stile d’un auteur, laquelle ce
n joug qui lui plaît vainement mutiné. Et qu’on dise en conservant la
figure
: mettre des fers à un prisonnier de guerre qui e
agréable, on ôte à ces vers l’harmonie et la poësie du stile. La même
figure
ne forme plus la même image. On barboüille, pour
ien ne demeure du tableau original que l’ordonnance et l’attitude des
figures
. Encore y est-elle alterée. Juger d’un poëme sur
e pas. à droite, deux pharisiens l’écoutent debout ; on voit toute la
figure
de l’un, on ne voit que la tête de l’autre entre
minée pour le rendre ancien. Le style en est gothique et pauvre ; les
figures
courtes, celles du devant rabougries. Il est malp
faibles ; point de plans, point de dégradation, point d’air entre les
figures
; noir, sale et discordant pour être vigoureux. V
mines grotesques ramassées dans l’ éloge de la folie d’érasme et les
figures
de Holbein. Ce morceau serait le supplice de celu
l’émail éclatant des dents, ces amours nichés en cent endroits d’une
figure
, on donnera jamais une aussi grande idée de la be
e montre tout ; il ne me laisse rien à faire, il m’impatiente. Si une
figure
marche, peignez-moi son port et sa légèreté, je m
n voyait sa tête divine et ses beaux bras, et je peins le reste de la
figure
. Tentez dans le poëme galant, folâtre ou burlesqu
Je suppose qu’en commençant la longue et minutieuse description de sa
figure
, le poëte en ait l’ensemble dans sa tête ; commen
s précédentes, il me force soit à n’avoir dans mon imagination qu’une
figure
incorrecte, soit à retoucher ma figure à chaque n
ir dans mon imagination qu’une figure incorrecte, soit à retoucher ma
figure
à chaque nouveau trait qu’il m’annonce. Un trait
ras ! Quel prodigieux mouvement ! Quelle prodigieuse étendue ! Quelle
figure
! L’imagination qui ne connaît presque point de l
elle de l’élévation du poëte. Homère ne me donne que la hauteur de sa
figure
; il me laisse la liberté de la voir si menue qu’
grosseur de la tête m’avait été donnée, aussi-tôt j’aurais achevé la
figure
d’après les règles de proportion connue ; mais le
le, mon imagination confondue aurait inutilement cherché à achever la
figure
, et je me serais écrié : quel épouvantable coloss
mpe du seul mouvement de ses noirs sourcils ? Une action énorme de la
figure
entière produira le même effet que l’énormité d’u
ête du monstre, dites montrait ; au lieu d’une tête isolée peignez la
figure
entière, et il n’y aura plus d’effet. C’est cette
xpression, telle plénitude d’harmonie qui me forcerait de donner à la
figure
d’Homère une grosseur proportionnée à sa hauteur
llabes emphatiques et lentes lui ont suffi pour étendre la tête de sa
figure
; cette tête est énorme lorsqu’elle touche le cie
quatre ans à l’image d’un colosse épouvantable. Ovide a-t-il fait une
figure
plus grande de son Amphitrite en lui consacrant t
à nos poëtes et à nos peintres, à nos poëtes : une seule partie de la
figure
; cette partie exagérée par un module qui épuise
t ce que c’est ; rien de fait ; de la couleur gâchée, spongieuse, des
figures
de bouillie ; cela veut être heurté et cela n’est
tableau d’animaux. mauvais animaux, secs et durs ; mauvaises petites
figures
; mauvaises montagnes froides et monotones ; tabl
s placés debout derrière le saint. Sur un plan entr’elles et les deux
figures
qui occupent le devant et qu’on voit par le dos,
r le fond, ceux qui sont à gauche aussi sur le fond, les deux grandes
figures
de femmes qui sont debout, le vieillard incliné à
emmes qui sont debout, le vieillard incliné à leurs piés, et les deux
figures
, l’une d’homme et l’autre de femme vues par le do
le nu qu’on ne désireroit, c’est qu’il y a vêtement sur vêtement. La
figure
entière ramasse sur elle toute la force, tout l’é
ière le saint, sur le devant, est bien dessiné, bien peint. C’est une
figure
de Raphaël pour la pureté qui est merveilleuse, p
n est belle, et sa vigueur renvoye le saint à une grande distance. La
figure
d’homme agenouillé derrière cette femme n’est ni
oureuse, ce qui l’amène bien en devant. On dit que ces deux dernières
figures
sont trop petites pour le saint, et surtout pour
nt. La religion est moins peinte que lui ; il est moins peint que les
figures
inférieures ; et cette dégradation est si juste q
la tête moins forte. En général les grosses têtes raccourcissent les
figures
. Ajoutez que vêtu d’une aube lâche qui ne touche
l’ordonnance, ni des incidents, ni de la position et du caractère des
figures
, ni de la couleur, ni des ombres et de la lumière
les passions, à la nature qu’il a imaginée et choisie. Conservez aux
figures
de son tableau du démoniaque les caractères qu’il
fant jusqu’au vieillard. Quel que soit le module ou la proportion des
figures
, le mouvement suit la même raison inverse. Voilà
e, et en raison directe de la foiblesse. Donc une scène où toutes les
figures
seront aréopagitiques ne scauroit être troublée j
tre troublée jusqu’à un certain point. Or telles sont la pluspart des
figures
de Raphaël. Telles sont aussi les figures du stat
telles sont la pluspart des figures de Raphaël. Telles sont aussi les
figures
du statuaire. Le module du statuaire est communém
du ciseau et le dessein en sont d’une pureté merveilleuses ; mais les
figures
sont sans mouvement, sans action, sans expression
le à croire. Car à juger du progrès de l’art par la perfection de ces
figures
, il avoit été poussé fort loin, et l’on a de l’ex
demanderai pourquoi cette manière n’étoit pas générale ? Pourquoi la
figure
qu’on adorait au dedans du temple avait de l’expr
ération, toute la confiance de la populace, si l’on substitue à cette
figure
gothique un chef-d’œuvre de Pigal ou de Falconnet
ins, que la simplicité, la noblesse, la vérité, la grâce d’une grande
figure
qui écoute en silence. Peut-être même celle-cy es
son fils et sa mère, parcequ’il y a une action commune qui lie cette
figure
avec les deux autres, et celles-cy avec elle. Un
arquai que dans la composition de Doyen, où il n’y avoit que quatorze
figures
principales, il y avoit trois grouppes, et que da
; que dans le tableau de la manne de Poussin, il y avoit plus de cent
figures
, et à peine quatre grouppes, et chacun de ces gro
t à peine quatre grouppes, et chacun de ces grouppes de deux ou trois
figures
seulement ; que dans le jugement de Salomon du m
salut, le préférant ou le sacrifiant au salut d’un autre, toutes ces
figures
, le moment précédant attentives, isolées et tranq
écolier de rhétorique qui met tout son discours en apostrophes et en
figures
; que l’art de groupper étoit de la peinture perf
Il faut des demies-teintes sourdes, fugites, pas noires. Il faut des
figures
qui contrastent. Il faut dans chaque figure de la
pas noires. Il faut des figures qui contrastent. Il faut dans chaque
figure
de la cadence dans les membres. Il faut s’aller f
que détruit tout le sublime du moment. Sur le fond, derrière ces deux
figures
, quelques soldats. Plus encore vers la droite, da
t plus vigoureux que le saint Denis . Après… " n’est-ce pas une jolie
figure
que Caesar ? " … et oui, bourreau ; et c’est ce d
eur ! Et ils auront raison tous les deux. Le st Grégoire est l’unique
figure
. Il est assis dans son fauteuil, vêtu des habits
mbe sur le saint, quelques têtes de chérubins. Il est certain que la
figure
est on ne peut plus naturelle et simple de positi
ui, aussi bien qu’un artiste qui ne connoit pas l’art des glacis. Une
figure
n’acquiert de la vigueur qu’autant qu’on la repre
a lumière éclaire le st, ne puis-je pas vous demander, que fait cette
figure
? Quel est sur cette tête l’effet de la présence
ousser. Plus vers la gauche, presqu’au centre de la toile, une grande
figure
de face, nue depuis la ceinture, couronnée de pam
e profil, droit, sa lyre à la main et la pinçant. Entre Apollon et la
figure
précédente, plus sur le fond, deux femmes dont l’
anequin nu. Du même côté, plus encore sur le fond, un petit groupe de
figures
sur un bout de roche, assises et attentives. Tout
e, et celui de la forêt ou du paysage. Sur ces trois grands plans des
figures
interposées ont aussi leurs places, leurs plans p
e sais bien que cet Apollon est droit et raide ; je sais bien que ces
figures
droites et raides, isolées, ont un air de jeu de
s, isolées, ont un air de jeu de quilles. Je sais bien que toutes ces
figures
sont sans expression ; je sais bien que la compos
e n’ignore pas qu’on ne sait quel rôle ni quel nom donner à la grande
figure
nue, au grand manequin barbu. Je sais bien que ce
on sent que la scène est très-étendue, très-profonde ; que toutes ces
figures
sont grises et que le paysage est sans vigueur. E
herchée, isolée et tranquille de composer des anciens, manière où les
figures
restent comme le moment les a placées, et ne sont
re enfant debout qui oublie son péril et qui regarde son père ; trois
figures
non groupées, trois figures isolées, liées par le
son péril et qui regarde son père ; trois figures non groupées, trois
figures
isolées, liées par les seules convolutions d’un s
lpture, au théâtre. ô Guyart ! Ton monument était simple, deux seules
figures
attachaient toute l’attention, tout l’intérêt. Il
it les défauts. La sculpture ne l’aurait guère ordonné autrement. Les
figures
ne tiennent pas davantage dans le jugement de Sal
’expression ; si, sans rien changer à l’ordonnance, à la position des
figures
, l’artiste avait su leur donner seulement ce cont
t l’on prétend que Bounieu ordonne sur sa toile. Il place d’abord une
figure
et la finit ; il en place ensuite une seconde, qu
ise plaisanterie, Bounieu est un artiste sans tête et sans ressource.
figures
et fruits. on voit sur un piédestal deux petits a
us dans sa poche pour avoir six vessies. Grande tache de blanc sale ;
figure
comme Gauthier prétend que le sperme rendu chaud
u’on peut donner aux anges, aux amours, aux chérubins, aux génies des
figures
charmantes et aussi développées qu’on veut, parce
st un très-beau tableau, sage sans être froid ; une grande variété de
figures
charmantes, toutes aussi vraies, aussi soignées q
e je chercherai si Michel-Ange a pu, avec quelque jugement, mettre la
figure
de l’homme en contradiction avec ses mœurs, son h
n histoire et sa vie. Est-ce que les proportions, les caractères, les
figures
des dieux payens n’étaient pas déterminés par leu
lez. Il serait plaisant que cette grosse, matérielle, lourde, ignoble
figure
, fût de l’un ou de l’autre, devenu, comme par mir
mière partie, des tropes en général Article 1, idée générale des
figures
Avant que de parler des tropes en particulier,
vant que de parler des tropes en particulier, je dois dire un mot des
figures
en général ; puisque les tropes ne sont qu’une es
des figures en général ; puisque les tropes ne sont qu’une espéce de
figures
. On dit comunément que les figures sont des manié
es tropes ne sont qu’une espéce de figures. On dit comunément que les
figures
sont des maniéres de parler éloignées de celles q
et simple de parler : ce qui ne veut dire autre chose, sinon que les
figures
sont des maniéres de parler éloignées de celles q
ler éloignées de celles qui ne sont pas figurées, et qu’en un mot les
figures
sont des figures, et ne sont pas ce qui n’est pas
celles qui ne sont pas figurées, et qu’en un mot les figures sont des
figures
, et ne sont pas ce qui n’est pas figures. D’aille
un mot les figures sont des figures, et ne sont pas ce qui n’est pas
figures
. D’ailleurs, bien loin que les figures soient des
t ne sont pas ce qui n’est pas figures. D’ailleurs, bien loin que les
figures
soient des maniéres de parler éloignées de celles
il n’y a rien de si naturel, de si ordinaire, et de si comun que les
figures
dans le langage des homes. M. de Bretteville apr
dans le langage des homes. M. de Bretteville après avoir dit que les
figures
ne sont autre chose que etc. En éfet, je suis per
autre chose que etc. En éfet, je suis persuadé qu’il se fait plus de
figures
un jour de marché à la halle, qu’il ne s’en fait
en plusieurs jours d’assemblées académiques. Ainsi, bien loin que les
figures
s’éloignent du langage ordinaire des homes, ce se
dinaire des homes, ce seroient au contraire les façons de parler sans
figures
qui s’en éloigneroient, s’il étoit possible de fa
ns non figurées. Ce sont encore les façons de parler recherchées, les
figures
déplacées, et tirées de loin, qui s’écartent de l
rien du langage ordinaire ; cependant elles contiènent une fort belle
figure
qu’on apèle antithèse, c’est-à-dire, oposition :
ai-je avec vous ! Jusques à quand aurai-je à vous soufrir ! c’est une
figure
très-simple qu’on apèle apostrophe. M. Flêchier
’éloigne du langage militaire le plus simple ; c’est là cependant une
figure
qu’on apèle congeries, amas, assemblage. M. Flêch
mas, assemblage. M. Flêchier la termine en cet éxemple, par une autre
figure
qu’on apèle interrogation, qui est encore une faç
endre, sont fort ordinaires dans le langage des homes. On apèle cette
figure
ellipse, c’est-à-dire, omission. Il y a, à la vér
figure ellipse, c’est-à-dire, omission. Il y a, à la vérité, quelques
figures
qui ne sont usitées que dans le stile sublime : t
ge qu’il va faire de M. Le Duc De Montausier. Hors un petit nombre de
figures
semblables, reservées pour le stile élevé, les au
plus simple, et dans le langage le plus comun. Qu’est-ce donc que les
figures
? Ce mot se prend ici dans un sens métaphorique.
donc que les figures ? Ce mot se prend ici dans un sens métaphorique.
figure
dans le sens propre, c’est la forme extérieure d’
e cette propriété générale d’être étendus, ils ont encore chacun leur
figure
et leur forme particuliére, qui fait que chaque c
tion particuliére, que l’on fait une espéce à part de chaque sorte de
figure
. L’antithèse, par exemple, est distinguée des aut
, on les raporte à l’antithèse. L’apostrophe est diférente des autres
figures
, parce que ce n’est que dans l’apostrophe qu’on a
rts, les absens, ou les êtres inanimés : il en est de même des autres
figures
, elles ont chacune leur caractére particulier, qu
re qui leur done un caractére propre, celles-là, dis-je, sont apelées
figures
, parce qu’elles paroissent, pour ainsi dire, sous
a musique, la peinture, et le discours public. » il n’y a point là de
figure
; c’est-à-dire, que toute cette phrase ne fait au
sous la forme particuliére de la surprise de l’admiration, c’est une
figure
. Imaginez-vous pour un moment une multitude de so
r instruit raporte un tel mot, une telle phrase à une telle espéce de
figure
, selon qu’il y reconoit la forme, le signe, le ca
ure, selon qu’il y reconoit la forme, le signe, le caractére de cette
figure
; les phrases et les mots, qui n’ont la marque d’
cette figure ; les phrases et les mots, qui n’ont la marque d’aucune
figure
particuliére, sont come les soldats qui n’ont l’h
pour faire conoitre ce qu’on pense. Il ne faut point s’étoner si les
figures
, quand elles sont employées à propos, donent de l
rt à réveiller l’atention, à plaire, ou à toucher. Mais, quoique les
figures
bien placées embélissent le discours, et qu’elles
s ; il ne faut pas croire que le discours ne tire ses beautés que des
figures
. Nous avons plusieurs exemples en tout genre d’éc
re d’écrire, où toute la beauté consiste dans la pensée exprimée sans
figure
: le pére des trois Horaces ne sachant point enco
: Prusias et que dois-je être ? Nicoméde roi. Il n’y a point là de
figure
, et il y a cependant beaucoup de sublime dans ce
Je pourois raporter un grand nombre d’exemples pareils, énoncés sans
figure
, et dont la pensée seule fait le prix. Ainsi, qua
re, et dont la pensée seule fait le prix. Ainsi, quand on dit que les
figures
embélissent le discours, on veut dire seulement,
ent le discours, on veut dire seulement, que dans les ocasions où les
figures
ne seroient point déplacées, le même fonds de pen
niére ou plus vive ou plus noble, ou plus agréable par le secours des
figures
, que si on l’exprimoit sans figure. De tout ce qu
plus agréable par le secours des figures, que si on l’exprimoit sans
figure
. De tout ce que je viens de dire, on peut former
De tout ce que je viens de dire, on peut former cette définition des
figures
: les figures sont des maniéres de parler disting
e je viens de dire, on peut former cette définition des figures : les
figures
sont des maniéres de parler distinguées des autre
s avoir d’autre modification particuliére. Article 2, division des
figures
On divise les figures en figures de pensées, (
ion particuliére. Article 2, division des figures On divise les
figures
en figures de pensées, (…) ; et en figures de mot
liére. Article 2, division des figures On divise les figures en
figures
de pensées, (…) ; et en figures de mots, (…). Il
s figures On divise les figures en figures de pensées, (…) ; et en
figures
de mots, (…). Il y a cette diférence, dit Ciceron
figures de mots, (…). Il y a cette diférence, dit Ciceron, entre les
figures
de pensées et les figures de mots, que les figure
y a cette diférence, dit Ciceron, entre les figures de pensées et les
figures
de mots, que les figures de pensées dépendent uni
Ciceron, entre les figures de pensées et les figures de mots, que les
figures
de pensées dépendent uniquement du tour de l’imag
e dans la maniére particuliére de penser ou de sentir, ensorte que la
figure
demeure toujours la même, quoiqu’on viène à chang
raportée ci-dessus, il auroit fait une prosopopée : au contraire, les
figures
de mots sont telles que si vous changez les parol
, les figures de mots sont telles que si vous changez les paroles, la
figure
s’évanouit ; par exemple, lorsque parlant d’une a
rmée navale, je dis qu’elle étoit composée de cent voiles ; c’est une
figure
de mots dont nous parlerons dans la suite ; voile
elui de voiles, j’exprime également ma pensée ; mais il n’y a plus de
figure
. Article 3, division des figures de mots Il
ma pensée ; mais il n’y a plus de figure. Article 3, division des
figures
de mots Il y a quatre diférentes sortes de fig
3, division des figures de mots Il y a quatre diférentes sortes de
figures
qui regardent les mots. Celles que les grammairi
figures qui regardent les mots. Celles que les grammairiens apèlent
figures
de diction : elles regardent les changemens qui a
, et non pas dit : on fait alors la construction selon le sens. Cette
figure
s’apèle syllepse. J’ai traité ailleurs de ces sor
Cette figure s’apèle syllepse. J’ai traité ailleurs de ces sortes de
figures
, ainsi je n’en parlerai point ici. Il y a quelque
sortes de figures, ainsi je n’en parlerai point ici. Il y a quelques
figures
de mots, dans lesquelles les mots conservent leur
est la répétition, etc. C’est aux rhéteurs à parler de ces sortes de
figures
, aussi bien que des figures de pensées. Dans les
st aux rhéteurs à parler de ces sortes de figures, aussi bien que des
figures
de pensées. Dans les unes et dans les autres, la
bien que des figures de pensées. Dans les unes et dans les autres, la
figure
ne consiste point dans le changement de significa
on des mots, ainsi elles ne sont point de mon sujet. Enfin il y a des
figures
de mots qu’on apèle tropes, les mots prènent par
y a des figures de mots qu’on apèle tropes, les mots prènent par ces
figures
des significations diférentes de leur significati
ignifications diférentes de leur signification propre. Ce sont là les
figures
dont j’entreprens de parler dans cette partie de
rammaire. Article 4, définition des tropes Les tropes sont des
figures
par lesquelles on fait prendre à un mot une signi
la signification propre d’un mot ; nous l’expliquerons bien-tôt. Ces
figures
sont apelées tropes du grec (…), etc. Elles sont
pour vaisseaux, come nous l’avons déja remarqué. Les tropes sont des
figures
, puisque ce sont des maniéres de parler, qui, out
férence générale qui les rend tropes, et qui les distingue des autres
figures
: elle consiste en ce qu’un mot est pris dans une
meau, une flute de berger. On trouve un grand nombre de ces sortes de
figures
dans le nouveau testament, dans l’imitation de J.
peut bien parler sans jamais avoir apris les noms particuliers de ces
figures
. Combien de persones se servent d’expressions mét
il paroit alors, pour ainsi dire, sous une forme empruntée, sous une
figure
qui n’est pas sa figure naturèle, c’est-à-dire, c
insi dire, sous une forme empruntée, sous une figure qui n’est pas sa
figure
naturèle, c’est-à-dire, celle qu’il a eue d’abord
mes : « tombez, tombez, voiles importuns etc. ? » outre l’apostrophe,
figure
de pensée, qui se trouve dans ces paroles, les tr
propre pour signifier le bourgeon de la vigne, et ç’a été ensuite par
figure
que les latins ont doné ce nom aux perles et aux
des perles et des pierres précieuses : mais come on dona ensuite par
figure
et par imitation ce même nom aux perles et aux pi
hercher dans la vue de plaire. Je ne crois donc pas que ces sortes de
figures
plaisent extrémement, par l’ingénieuse hardiesse
figurée, le traducteur trouve souvent que sa langue n’adopte point la
figure
de la langue originale, alors il doit avoir recou
rqué ces diférences ; je veux dire, les divers sens que l’on done par
figure
à un même mot dans une même langue ; et les difér
’autre signification figurée qu’il n’a jamais tout seul en latin ? La
figure
n’est que dans notre tour françois, parce que nou
re entendre la pensée d’un auteur, on doit rendre, s’il est possible,
figure
par figure, sans s’atacher à traduire litéralemen
la pensée d’un auteur, on doit rendre, s’il est possible, figure par
figure
, sans s’atacher à traduire litéralement ; mais qu
opre d’avoir ; on lui en done une autre qui ne signifie avoir que par
figure
, et qui marque en deux mots le même sens que les
arler figurées sont si ordinaires, qu’on ne s’aperçoit pas même de la
figure
. La signification des mots ne leur a pas été don
it de sa première signification et de son premier usage : ainsi cette
figure
mérite une atention particulière ; elle regne en
tion particulière ; elle regne en quelque sorte sur toutes les autres
figures
. Avant que de finir cet article, je crois qu’il
position ou changement de nom, un nom pour un autre. En ce sens cette
figure
comprend tous les autres tropes ; car dans tous l
). Scarron, dans sa traduction burlesque, se sert d’abord de la même
figure
; mais voyant bien que cette façon de parler ne s
our l’huile, come Bacchus pour le vin. On raporte à la même espèce de
figure
les façons de parler où le nom des dieux du pagan
, c’est-à-dire, un de nos meilleurs auteurs. stile signifie aussi par
figure
la manière d’exprimer les pensées. Les anciens av
la chose qui en est faite, nous parlerons bientot de cette espèce de
figure
, ensuite la coupe est prise pour le vin. Le ciel,
n fondateur est apelée sorbone : le nom de sorbone se prend aussi par
figure
pour les docteurs de Sorbone, ou pour les sentime
lepse, je suis absent de Rome, je me tiens à la campagne. Par la même
figure
(…) signifie encore manquer (…) être tel que les
n que les idées accessoires ont entre elles. On raporte aussi à cette
figure
ces façons de parler des poètes, par lesquelles i
Mais revenons à la synecdoque. Come il est facile de confondre cette
figure
avec la métonymie, je crois qu’il ne sera pas inu
ot qui dans le sens propre marque le plus. dans l’une et dans l’autre
figure
il y a une rélation entre l’objet dont on veut pa
qu’on peut remarquer dans les exemples de l’une et de l’autre de ces
figures
. L’antonomase L’antonomase est une espèc
mé de Jacob. Comunication, paroles Les rhéteurs parlent d’une
figure
apelée simplement comunication ; c’est lorsque l’
uriez vous fait en ma place ? etc. En ce sens la comunication est une
figure
de pensée, et par conséquent elle n’est pas de mo
e figure de pensée, et par conséquent elle n’est pas de mon sujet. La
figure
dont je veux parler est un trope, par lequel on f
faire retomber la gloire sur sa seule persone. On peut regarder cette
figure
come une espèce particulière de synecdoque, puisq
est bienfait, ou du moins qu’on le croit ainsi. On apèle aussi cette
figure
exténuation : elle est oposée à l’hyperbole. L
t extrèmement vite, nous disons qu’il va plus vite que le vent. Cette
figure
s’apèle hyperbole, mot grec qui signifie excès.
ue d’amuser l’imagination, et non quand il faut toucher le coeur. Les
figures
qui plaisent dans un épithalame, déplaisent dans
e en Afrique. « il part baigné de pleurs, etc. » je ne mets ici cette
figure
au rang des tropes, que parce qu’il y a quelque s
étoit présent ; car d’ailleurs les mots qui sont employés dans cette
figure
conservent leur signification propre. De plus, el
inutile de la remarquer ici. La metaphore La métaphore est une
figure
par laquelle on transporte, pour ainsi dire, la s
en colère au lion, et voilà ce qui distingue la métaphore des autres
figures
. Il y a cette diférence entre la métaphore et la
ur de l’épitaphe a voulu parler de la vue de l’esprit. Au reste cette
figure
joue trop sur les mots pour ne pas demander bien
e par des images qui toutes ont raport à l’image principale par où la
figure
a comencé : ce qui est essenciel à l’allégorie. V
t point afecté come on l’est à la lecture d’un ouvrage burlesque. Les
figures
doivent venir, pour ainsi dire, d’elles mêmes ; e
en écrivant, dit-il ailleurs, etc. » L’ironie l’ironie est une
figure
par laquelle on veut faire entendre le contraire
dans Voiture. Je ne sai si l’usage que ces auteurs ont fait de cette
figure
seroit aujourd’hui aussi bien reçu, qu’il l’a été
lheureux, dit Cicéron, etc. » L’euphemisme l’euphémisme est une
figure
par laquelle on déguise des idées desagréables, o
ême remarque. « ne devrois tu point mourir etc. » c’étoit par la même
figure
qu’au lieu de dire je vous abandone, je ne me met
’euphémisme et l’ironie ont doné lieu aux grammairiens d’inventer une
figure
qu’ils apèlent antiphrase, c’est-à-dire, contre-v
us et quelques autres ne veulent point mètre l’antiphrase au rang des
figures
. Il y a en éfet je ne sai quoi d’oposé à l’ordre
uction qu’on apèle hypallage, mot grec qui signifie changement. Cette
figure
est bien malheureuse : les rhéteurs disent que c’
la renvoient aux rhéteurs : l’hypallage, à vrai dire, n’est point une
figure
de grammaire, dit la nouvèle méthode de P. R. c’e
e de grammaire, dit la nouvèle méthode de P. R. c’est un trope ou une
figure
d’élocution. le changement qui se fait dans la co
on. le changement qui se fait dans la construction des mots par cette
figure
ne regarde pas leur signification, ainsi en ce se
ette figure ne regarde pas leur signification, ainsi en ce sens cette
figure
n’est point un trope et doit être mise dans la cl
’on juge à propos de placer l’hypallage, il est certain que c’est une
figure
très remarquable. Souvent la vivacité de l’imagin
s ; ainsi dans les anciens la transposition dont nous parlons est une
figure
respectable qu’on apèle hypallage, c’est-à-dire,
le même honeur. Je vais ajouter encore ici quelques exemples de cette
figure
, pour la faire mieux conoitre. Virgile fait dire
nous. Il y a de la petitesse et une sorte de fanatisme à recourir aux
figures
pour excuser des expressions qu’ils condâneroient
tre-sens et aux équivoques ; autrement tout seroit confondu, et cette
figure
deviendroit un azile pour l’erreur et pour l’obsc
l’univers, il se sert de (…). L’onomatopée L’onomatopée est une
figure
par laquelle un mot imite le son naturel de ce qu
n mot imite le son naturel de ce qu’il signifie. On réduit sous cette
figure
les mots formés par imitation du son ; come le gl
e leurs cris, surtout dans les langues originales. upupa, etc. Cette
figure
n’est point un trope, puisque le mot se prend dan
ult est un Virgile . La métonymie et la synecdoque aussi-bien que les
figures
qui ne sont que des espèces de l’une ou de l’autr
méneront insensiblement aux observations. Des tropes Come les
figures
ne sont que des manières de parler qui ont un car
particulier auquel on a doné un nom ; que d’ailleurs chaque sorte de
figure
peut être variée en plusieurs manières diférentes
manières et à leur doner des noms particuliers, on en fera autant de
figures
. Delà les noms de (…), et autres pareils qu’on ne
e hypallage ce qu’un autre nome métonymie : les noms de ces sortes de
figures
étant arbitraires et quelques uns aïant beaucoup
(…). Cicéron remarque aussi que les rhéteurs noment hypallage la même
figure
que les grammairiens apèlent métonymie. Aujourd’h
nit encore un bel exemple de cette variété dans les dénominations des
figures
, il apèle métaphore ce que Quintilien et les autr
euses, dit que ceux qui sont instruits du bon et du mauvais usage des
figures
, ne trouveront que trop d’exemples à reprendre. (
de deux mots, fait une espèce de jeu, dont les rhéteurs ont fait une
figure
qu’ils apèlent paronomase ; par exemple, (…), les
iste indépendament des mots. J’observerai à cette ocasion deux autres
figures
qui ont du raport à celle dont nous venons de par
ésinance de cas, de tems, ou de persone, come (…). Ces deux dernières
figures
sont proprement la même ; on en trouve un grand n
leau à la critique du public, un cordonier censura la chaussure d’une
figure
de ce tableau : Apelles réforma ce que le cordoni
u pascal, le serpent d’airain élevé dans le désert, étoient autant de
figures
du sacrifice de la croix. Enfin, lorsque ces expl
cette idée. On peut considérer le corps en général sans penser à la
figure
ni à toutes les autres propriétés particulières d
ra encore mieux par cet exemple. Les noms que l’on done aux tropes ou
figures
dont nous avons parlé, ne représentent point des
tres de l’art d’inventer le terme de métaphore et les autres noms des
figures
: par là ils réduisent à une espèce, à une classe
essemblance qu’elles sont comprises dans chaque sorte particulière de
figure
, c’est-à-dire, dans la même manière d’exprimer le
ervations sur l’usage, ainsi comencez par faire lire les exemples des
figures
avant que d’en doner la définition. Il n’y a rien
l y a des mots synonimes. nous avons vu qu’un même mot peut avoir par
figure
d’autres significations que celle qu’il a dans le
ouvent que dans la pratique on emploie ces mots l’un pour l’autre par
figure
, en conservant toujours l’idée principale et en a
rquoi dans telle esquisse qui n’est guère plus grande que ma main les
figures
prennent-elles six, sept, huit, neuf pieds de hau
eds de hauteur, et dans telle ou telle composition, même estimée, des
figures
qui ont réellement cette proportion, la perdent-e
moitié ? Il faut chercher l’explication de ce phénomène, ou dans les
figures
mêmes, ou dans le rapport de ces figures avec les
de ce phénomène, ou dans les figures mêmes, ou dans le rapport de ces
figures
avec les êtres environnans. Dans tout tableau l’o
llez voir l’ offrande à l’amour de Greuze, et vous me direz ce que sa
figure
principale devient à côté des arbres énormes qui
e dont un bassin reçoit les eaux. Autour de ce bassin il y a quelques
figures
d’hommes et d’animaux. Un pont jetté du côté droi
n lac ; au-delà, un lointain, une campagne ; au pied de l’arcade, une
figure
; plus sur le devant au bord des eaux, une autre
l’arcade, une figure ; plus sur le devant au bord des eaux, une autre
figure
. Je ne caractérise point ces figures si peu soign
evant au bord des eaux, une autre figure. Je ne caractérise point ces
figures
si peu soignées qu’on ne sait ce que c’est, homme
cette condition qu’on anime les ruines. Monsieur Robert, soignez vos
figures
, faites-en moins, et faites-les mieux ; surtout é
moins, et faites-les mieux ; surtout étudiez l’esprit de ce genre de
figures
, car elles en ont un qui leur est propre : une fi
de ce genre de figures, car elles en ont un qui leur est propre : une
figure
de ruines n’est pas la figure d’un autre site. gr
les en ont un qui leur est propre : une figure de ruines n’est pas la
figure
d’un autre site. grande galerie éclairée du fond.
vant de la galerie, dans les entre-colonnements, une foule de petites
figures
, de petits groupes, de petites scènes très-variée
s étudiez Vernet, apprenez de lui à dessiner, à peindre, à rendre vos
figures
intéressantes ; et puisque vous vous êtes voué à
faire, mais l’idéal vous manque. Ne sentez-vous pas qu’il y a trop de
figures
ici, qu’il en faut effacer les trois quarts ? Il
n n’apperçoit que les têtes, femme qui ramène un cheval. Le reste des
figures
de ce côté est masqué par un grand piédestal qui
tour avec celles du fond. à la façade de cette dernière, une mauvaise
figure
de saint dans sa niche ; au bas de la niche, la g
chevaux n’ébranleraient pas : absurdité palpable. Sur les degrés, une
figure
d’homme qui monte ; vers le milieu, une figure de
e. Sur les degrés, une figure d’homme qui monte ; vers le milieu, une
figure
de femme qui descend ; au haut un petit groupe d’
ue est en niches, ces niches sont remplies de statues. Des groupes de
figures
qu’on a peine à discerner sont répandus dans les
t à lire que moi à les écrire. Souvenez-vous seulement que toutes ces
figures
, tous ces groupes insignifians prouvent évidemmen
rrassât ? Je n’en crois rien. Et puis on ne sait ce que c’est que vos
figures
. Au sortir des arcades, les eaux sont reçues dans
d de ces eaux rassemblées, sur une langue de terre à gauche, d’autres
figures
d’hommes, de femmes, d’enfans, de pêcheurs. Au ha
de la cour du palais que l’artiste a peinte inondée. Il n’y a ici ni
figures
ni accessoires poétiques, c’est le bâtiment pur e
le faire et pour la couleur ; que n’est-il encore un Vernet pour les
figures
et le ciel ! Les fabriques sont de la touche la p
’entrée est on ne saurait plus naturelle et plus vraie. C’est une des
figures
de ces anciens petits tableaux de Chardin. Ce gra
escend de droite à gauche. Vers le milieu de sa hauteur, deux petites
figures
. Mère assise avec son enfant devant elle. à gauch
Pareils accessoires de l’autre côté. Cela est chaud, mais dur et cru.
Figures
bien disposées, mais si croquées, qu’on a peine à
r, espèce de cellier où l’on voit des tonneaux, une échelle, quelques
figures
. Du même côté, un peu vers la gauche, sous la con
. Au-dessus de cet escalier, sur la plate-forme, une foule de petites
figures
si barbouillées qu’on ne sait ce que c’est, quoiq
fenêtre grillée qui est presque de niveau avec la plate-forme et les
figures
. Si l’on n’exige dans ces sortes de compositions
ours plus ou moins content de Robert. Mais de bonne foi, que font ces
figures
-là ? Est-ce là une scène souterraine ? J’aimerais
gradé. Sur cet escalier, et autour de la colonnade, petits groupes de
figures
qui vont et viennent. Ce n’est rien que cela. L’i
as côtés d’une église. Contre la balustrade et aux environs, quelques
figures
, parmi lesquelles une qui regarde en bas. Au bas
touche, une fraîcheur délicieuse. C’est bien dommage que les petites
figures
ne répondent pas à la perfection du reste ; ces m
tre talent est assez rare, pour que vous y ajoutiez la perfection des
figures
; et quand vous les saurez dessiner facilement, s
uggérera une infinité de scènes intéressantes. Vous ne ferez plus des
figures
pour faire des figures, vous ferez des figures po
e scènes intéressantes. Vous ne ferez plus des figures pour faire des
figures
, vous ferez des figures pour rendre des actions e
Vous ne ferez plus des figures pour faire des figures, vous ferez des
figures
pour rendre des actions et des incidens. Vernet
pour rendre des actions et des incidens. Vernet distribue aussi des
figures
dans ses compositions, mais indépendamment de l’a
entr’ouvertes, chancelantes, vermoulues ! Ah ! Monsieur Robert, ces
figures
ne sont pas les seules, il y en a d’autres dont i
e bien le lieu, mais il ne trouve pas le sujet de la scène. Comme ses
figures
ne lui coûtent guère, il n’en est pas économe, il
ut, une femme accroupie. Pauvre de composition, sans effet ; les deux
figures
mauvaises. Cela n’a pas coûté une matinée à l’art
à deux yeux ; une ovale mal terminée, et voilà une tête, et voilà une
figure
qui s’agite, qui court, qui regarde, qui crie. Le
autre servante accroupie et récurant aussi. Par derrière ce groupe de
figures
, un très-grand vaisseau de bois. Sur un plancher
t un ciseau, des beautés, de la peau, de la chair dans cette insipide
figure
; elle est faite largement ; il y a de la souples
regardez ni ces enfans de M. de Voyer , ni M. de Sanscey , ni cette
figure
de la magnificence, dont Pajou n’a pas la premièr
ura trouvé que je n’avais pas le sens commun. Caffieri. l’innocence.
figure
en marbre de 2 pieds 4 pouces de proportion. L’ i
re son prétendu caractère ; l’innocence est simple en tout. Du reste,
figure
charmante, bien composée, bien drapée ; le linge
évère ; c’est bien la supérieure de ce couvent. J’aime beaucoup cette
figure
; elle imprime le respect ; on lui voit neuf pied
r son bras, l’autre bras tombant mollement sur une de ses cuisses, la
figure
de l’amitié. Ce modèle de tombeau est simple et b
e et beau, l’ensemble en est pittoresque, et l’on ne désire rien à la
figure
de l’amitié de tout ce qui tient aux parties de l
de sa grandeur. Hors du bas-relief, à droite, contre un pilastre, une
figure
de ronde-bosse tenant une balle dans la main, fou
ue l’humilité. à gauche, adossée au pilastre correspondant, une autre
figure
de ronde-bosse, un calice à la main, ce calice su
ce calice surmonté d’une hostie, l’autre main montrant le vase sacré.
Figure
hiéroglyphique, paquet de draperies. Entre ces de
e bas-relief sur le fond. Ouvrage commun dans toutes ses parties. Ces
figures
des côtés en détruiraient le silence, s’il y en a
ouches. Quand l’idée est absurde, j’ai peine à parler du faire. Cette
figure
est bien modelée, et il y a, certes, de très-bell
t l’ innocence : pourquoi avoir écrit votre intention au bas de votre
figure
? C’est une sottise. Avez-vous craint que nous ig
tête du berger de repos, c’est la copie assez fidelle de la première
figure
qu’on trouve à gauche, aux tuileries, en entrant
d’oncle, moi. Francine. un Christ à la colonne. il attend la fessée.
Figure
commune, plate de caractère et d’expression, sans
mens interessans à tout ce qu’on fait parler comme à exprimer par des
figures
, et à présenter sous des images capables de nous
e aussi touchant s’il étoit exprimé en termes magnifiques et avec des
figures
ambitieuses. Le vieil Horace ne m’interesseroit p
oit ainsi contre la vrai-semblance qu’il se servit dans son recit des
figures
qu’un homme saisi, et qui ne songe point à être p
ut qu’hors de ces deux occasions le stile de la poësie soit rempli de
figures
qui peignent si bien les objets décrits dans les
tre éclat : elle paroît bien plus relevée, lorsqu’elle est revêtuë de
figures
poëtiques, et lorsqu’elle met entre les mains de
nt à voir dans son discours une précision seche qui écarte toutes les
figures
capables de nous émouvoir et de nous séduire, ni
re les vers et la prose. Bien des métaphores qui passeroient pour des
figures
trop hardies dans le stile oratoire le plus élevé
tile oratoire le plus élevé, sont reçuës en poësie. Les images et les
figures
doivent être encore plus frequentes dans la plûpa
. Quintilien explique si bien la nature et l’usage des images et des
figures
dans les derniers chapitres de son huitiéme livre
iode. Un homme sans genie tombe bientôt dans la froideur qui naît des
figures
qui manquent de justesse, et qui ne peignent poin
peignent point nettement leur objet, ou dans le ridicule qui naît des
figures
lesquelles ne sont point convenables au sujet. Te
les ne sont point convenables au sujet. Telles sont, par exemple, les
figures
que met en oeuvre le carme auteur du poëme de la
erieuses. Le conseil d’un ami peut bien nous faire supprimer quelques
figures
impropres ou mal imaginées ; mais il ne peut nous
Chapitre IV. Des
figures
: métaphores, métonymies, périphrases Voilà don
igurés : c’est à ces emplois qu’on a donné le nom de tropes. Quelques
figures
de pensées, ou figures de passions, ne sont aussi
plois qu’on a donné le nom de tropes. Quelques figures de pensées, ou
figures
de passions, ne sont aussi que des corruptions mo
er la nuance précise que la pensée exige : c’est ce qu’on appelle les
figures
de construction. Enfin par certaines combinaisons
l’exact degré et la couleur particulière. C’est ce qu’on appelle les
figures
de pensées, figures de passion, d’imagination ou
couleur particulière. C’est ce qu’on appelle les figures de pensées,
figures
de passion, d’imagination ou de raisonnement. En
figures de passion, d’imagination ou de raisonnement. En général, les
figures
servent à rendre ce qui échappe à la prise brutal
ur nous autant que chat ou cheval, où l’étymologie ne découvre pas de
figure
. Pareillement nous ne croyons pas prendre dans la
pensée, nous ne pensons point nous comparer au sculpteur qui tire une
figure
d’un bloc de marbre. Quand les lettres de commerc
nctionnaires, soyez sûres que les rédacteurs ne croient pas faire une
figure
, et que nulle forme légère et mobile ne passe dev
l’ennui de n’être pas payé. Le préfet qui suspend un maire, ne se le
figure
pas autrement qu’exclu pour un temps de la mairie
le pays qu’il arrose ou pour le peuple qui vit sur ses bords. De ces
figures
les unes contiennent une comparaison : Devant ce
nt eux. On ne s’inquiète plus guère aujourd’hui de la noblesse de la
figure
, et on ne lui demande que la justesse et la conve
uer le lecteur à la recherche du terme propre qu’elles cachent. Si la
figure
n’est qu’un rébus, si ce n’est qu’un mot à devine
e un plus riche cortège d’impressions, que le mot Thétis. Pour que la
figure
soit bonne, il faut qu’éveillant instantanément l
asser par ce mot propre, s’abandonne tout entier à l’impression de la
figure
, et l’imagination voit défiler toutes les scènes
canons accroupis à la porte des Invalides peut paraître bizarre : la
figure
cependant est d’une justesse saisissante dans le
que. Pendant six ans on vit, loin derrière l’Afrique….. Cette grande
figure
en sa cage accroupie, Ployée, et les gen
est de bon goût, quand les expressions figurées qui font cortège à la
figure
initiale naissent d’une création incessante de l’
uand, par un renversement des rôles, l’esprit sacrifie la pensée à la
figure
, quand celle-ci, devenant tyrannique en cessant d
ir la rigueur du sens, la précision de la pensée et la justesse de la
figure
, et il faut seulement éviter d’établir entre des
des mots qui jurent une dépendance grammaticale qui surchargerait la
figure
d’une autre figure14. Enfin il ne faut jamais oub
libre. 11. Ironie ; hyperbole ; litote ; euphémisme. 12. C’est la
figure
qu’on appelle catachrèse. 13. Métonymie, synecdo
as : il y a là 1° une métonymie, le sabrepour Napoléon ; 2° une autre
figure
qui personnifie le sabre, l’anime et le dote d’in
me la partie antérieure et la plus basse du tableau, un groupe de six
figures
; la mère éplorée soutenue par deux de ses femmes
nce, de douleur et de joie qui me confond. Ce malade donc et les deux
figures
qui groupent avec lui font une belle masse, bien
are expression. Les bras sont dessinés comme les Carraches ; toute la
figure
dans le style des premiers maîtres d’Italie. La t
Watelet n’en approchent pas. Cependant la draperie de cette maussade
figure
est bien jettée, et dessine bien le nu, ce bras g
n empâté, il est seulement un peu équivoque et semble appartenir à la
figure
verte qui est à côté. Celle-ci qui aide la premiè
et cette mère avec ses suivantes chassées en avant, font paraître les
figures
d’en bas colossales. Il n’y a qu’une voix sur vot
n’y a qu’une voix sur votre malade qui se déchire le flanc, c’est une
figure
de l’école du Carrache, et pour la couleur, et po
vois, plus je la trouve belle. ô la belle, la grande, l’intéressante
figure
! Comme elle est simple ! Comme elle est bien dr
mme elle les conserve dans la position la plus défavorable ! Si cette
figure
vous appartenait, et qu’il n’y eût que ce mérite
un seul et même but, avec une action et un mouvement propre à chaque
figure
, toutes ont un rapport commun à la sainte : rappo
rmenté, qu’il n’y ait ni naturel ni facilité dans la distribution des
figures
et des incidens, et qu’on n’y sente partout l’hom
-Christ au jardin des oliviers, que Parocel a exposé cette année. Ses
figures
sont placées sur trois lignes parallèles, en sort
ent l’enfant, tous ces objets forment un chaos, une masse compacte de
figures
. Si, sur le fond, derrière le père, vous imaginez
ies ou jaunes ou d’un rouge mêlé de teintes jaunes ; le manteau de la
figure
principale d’un beau jonquille, les ornements en
d’harmonie, plus de netteté, plus d’effet, plus de magie. De là, des
figures
poussées trop en devant seront trop grandes, et d
e. Ajoutez que tandis que le défaut d’air et de perspective porte les
figures
du devant vers le fond et du fond vers le devant,
ongtemps sans être peiné, mais c’est principalement au groupe des six
figures
placées sur le massif que cette peine se fait sen
pour recevoir toutes les chaînes imperceptibles qui émanent de cette
figure
, en saisir la mollesse, le naturel, la grâce, la
s, mais point ; rien de décidé ; qu’on ne sait toujours où posent les
figures
du parvis ; que cette grosse suivante à énorme de
os, que vous y ressentez partout la furia francese ; qu’à juger de la
figure
qui tient le petit enfant, par le plan qu’on lui
leur en sera toujours chaude, vigoureuse et vraie. Le groupe des deux
figures
dont l’une se déchire les flancs (quoiqu’il y ait
ait regardé), sera toujours d’un grand maître ; que s’il a pris cette
figure
, c’est ut conditor et non ut interpres, et que ce
; que ses compositions deviennent plus sages, plus décidées ; que les
figures
en soient mieux assises ; qu’il n’entasse plus tê
et harmonieux ; Doyen fatigant, papillotant, inégal, vigoureux ; les
figures
du bas vous y paraîtront beaucoup trop fortes pou
Chapitre V.
Figures
de construction et figures de pensées. — Alliance
Chapitre V. Figures de construction et
figures
de pensées. — Alliances de mots et antithèses J
Alliances de mots et antithèses Je n’insisterai pas sur les autres
figures
, et ne m’arrêterai point à les énumérer : ce sera
e me contenterai là-dessus de faire quelques observations. Il y a des
figures
qui consistent dans une impropriété voulue d’expr
maladroit qui tue son chien en tirant un lièvre. Ce qu’on appelle les
figures
de construction sont des incorrections plus ou mo
ignorance, et se remettre à l’école, au lieu de s’insurger. Quant aux
figures
dépensées, ou figures de passion, d’imagination,
tre à l’école, au lieu de s’insurger. Quant aux figures dépensées, ou
figures
de passion, d’imagination, de raisonnement, elles
it pas une prolepse ou une concession, il dit ce qu’il a à dire, sans
figure
, et sans façon, et ne saurait le dire autrement.
n’y a plus de choix : l’idée impose la forme et l’emporte. Le nom de
figures
convient mieux à certaines constructions, et cert
t qu’on ne parlera pas d’une chose, et l’on en parle. Dans toutes ces
figures
, on détourne une construction, une forme de phras
titue à celle qui équivaudrait proprement à la pensée. Sous ce nom de
figures
de pensées, on a rangé les choses les plus dispar
ompréhensible. » (Pascal.) L’antithèse n’est point, à vrai dire, une
figure
. C’est l’expression vive d’une perception vive. N
es passions, les vents et les fleuves. La France répresentée sous une
figure
de femme, le Tibre répresenté sous une figure d’h
ce répresentée sous une figure de femme, le Tibre répresenté sous une
figure
d’homme couché, et la calomnie sous une figure de
re répresenté sous une figure d’homme couché, et la calomnie sous une
figure
de satire, sont des personnages allegoriques. Ces
manteau bleu semé de fleurs de lys d’or : le Tibre répresenté par une
figure
d’homme couché, aïant à ses pieds une louve qui a
précaution d’écrire le nom de ces personnages allegoriques sous leur
figure
. Quoique Raphael fut très-capable de les rendre r
Medicis plairoit davantage, si Rubens au lieu du genie et des autres
figures
allegoriques, qui entrent dans l’action du tablea
ivinitez fait un effet merveilleux dans la composition, parmi tant de
figures
habillées que l’histoire obligeoit d’y mettre. Je
le vouloit qu’on supposât un lieu théatral. Si Rubens avoit besoin de
figures
nuës pour faire valoir son dessein et son coloris
euvent être introduites dans ces dernieres compositions que comme des
figures
allegoriques et des symboles. Or nous avons déja
ositions à peu près au même usage que les égyptiens emploïoient leurs
figures
hierogliphiques ; c’est-à-dire pour mettre sensib
e. Il ne sçauroit entrer dans cette composition qu’un petit nombre de
figures
, et les figures ne sçauroient être trop faciles à
t entrer dans cette composition qu’un petit nombre de figures, et les
figures
ne sçauroient être trop faciles à reconnoître. Si
au peintre d’alterer l’élegance et la simplicité de sa pensée par des
figures
qui rendent le tableau plus composé, mais qui ne
îné rapidement par des coursiers. Ce char renverse dans sa course les
figures
étonnées des villes et des fleuves, qui formoient
et des fleuves, qui formoient la frontiere des hollandois, et chaque
figure
se reconnoît d’abord ou par l’écu de ses armes ou
ue les peintres n’y eussent point introduit un si grand nombre de ces
figures
qui ne peuvent point nous parler, comme tant d’ac
e enim picturae probari… etc. ce passage m’exemptera de parler de ces
figures
qu’on appelle communement des grotesques. Les pei
leur action, qui doit toujours imiter la verité historique, quelques
figures
allegoriques de celles qui sont convenables au su
Dieu nous reveloit par leur bouche. Dieu leur inspiroit lui-même les
figures
dont ils devoient se servir, et l’application qu’
nature se sert dans l’expression des passions, que pour inventer des
figures
emblêmatiques. On produit tant qu’on veut de ces
. Le visage en a pris un air de contrainte et de peine. Couvrez cette
figure
, n’en montrez que les pieds à la nature ; et la n
émité de ce pied la nature évoquée derechef se chargeait d’achever la
figure
, vous seriez peut-être surpris de ne voir naître
une chose me surprenait, moi, c’est qu’il en arrivât autrement. Une
figure
humaine est un système trop composé pour que les
crifice en cent manières diverses. Je n’ai jamais entendu accuser une
figure
d’être mal dessinée, lorsqu’elle montrait bien [d
s. Ce sont ces fonctions qui déterminent et la grandeur entière de la
figure
, et la vraie proportion de chaque membre et leur
é ; et le magistrat et le militaire et le portefaix. S’il y avait une
figure
difficile à trouver, ce serait celle d’un homme d
oit dur et sec, et que je ne retrouve ce maudit écorché même dans ses
figures
de femmes ? Puisque je n’ai que l’extérieur à mon
ture s’oublie, l’imagination se remplit d’actions, de positions et de
figures
fausses, apprêtées, ridicules et froides. Elles y
si rare aujourd’hui de voir un tableau composé d’un certain nombre de
figures
sans y retrouver par-ci par-là quelques-unes de c
nombre de figures sans y retrouver par-ci par-là quelques-unes de ces
figures
, positions, actions, attitudes académiques qui dé
Voyez Raphael, le Sueur ; ils placent quelquefois trois, quatre, cinq
figures
debout les unes à côté des autres, et l’effet en
e de l’objet que vous copiez ? Tâchez, mes amis, de supposer toute la
figure
transparente et de placer votre œil au centre. De
notre esprit n’y est pas trompé, nos sens du moins y sont abusez. La
figure
des objets, leur couleur, les reflais de la lumie
un grand peintre, croïe quelquefois appercevoir du mouvement dans ses
figures
. Les vers les plus touchans ne sçauroient nous ém
rvi de cette image pour faire le fond d’un tableau dont la principale
figure
est le portrait d’une princesse sortie du sang de
tous les objets sur lesquels la curiosité peut s’exercer. Il faut des
figures
pour faire entendre sûrement et distinctement, le
larté dont son sujet est susceptible. Cependant il est arrivé que les
figures
dont Vitruve avoit accompagné ses explications s’
s tombent tous d’accord que son texte seroit clair si nous avions ses
figures
. Quatre lignes tracées sur le papier concilieroie
oir le rapport d’une nouvelle découverte, si l’on ne joignoit pas une
figure
à ce rapport. Un des proverbes italiens dont l’us
fréquent, est qu’on fait tout concevoir à l’aide d’un dessein, d’une
figure
. Les anciens prétendoient que leurs divinitez eus
r dans les compositions destinées à être vûës de loin, des parties de
figures
de ronde bosse qui entrent dans l’ordonnance et q
qui entrent dans l’ordonnance et qui sont coloriées comme les autres
figures
peintes entre lesquelles ils les mettent. On prét
nonciade de Genes et celle du Jesus à Rome, où l’on a fait entrer des
figures
en relief dans l’ordonnance, ne trouvent point qu
le résultat, je n’en doute pas, serait assez insignifiant. À voir ces
figures
, pour la plupart énergiques, avec des traits fort
donner encore de conclusion ferme. Il est trop facile de lire sur les
figures
: on y voit tout ce qu’on veut y voir. L’idée que
, dans les cadres d’or, j’aurai vu de tous les côtés m’apparaître ces
figures
étranges sur lesquelles le regard ne sait comment
e ces galeries, et vous reconnaîtrez qu’il n’y a pas un détail de ces
figures
peintes ou sculptées qui soit vraiment ce qu’il e
ous semblait que dans ce peuple de statues aux gestes fixes, dans ces
figures
au relief incertain il y avait quelque chose d’ét
t de de le lancer dans l’air, éprouvera le besoin d’y tracer diverses
figures
, des comètes, des croissants, des personnages gro
binaisons et des modifications, en couleurs primitives, de toutes les
figures
mathématiques susceptibles de preuve et de démons
les pincettes prendront des formes animales ; ailleurs ce seront des
figures
humaines, des paysages, des scènes de chasse ou d
on mentale, les images de la nature, et les reconnaître même dans une
figure
grossière qui n’en reproduit que quelques traits.
s aient cette esquisse. Ils ne sauraient imaginer à vide, sans aucune
figure
qui serve de soutien et comme d’armature à l’imag
se où l’un aurait glissé si l’autre ne l’avait retenu par le bras, la
figure
d’un voisin de table d’hôte. Quand cette faculté
es gris à peine bordés de rouge, comme une braise qui s’éteint. Je me
figure
encore un paysagiste qui essaierait de rendre d’a
es on se plaira à voir des ébauches de forme humaine. Considérant une
figure
géométrique qui représente par exemple un cube, o
hypothèse à l’autre on renversera à volonté le relief apparent de la
figure
. Pour peu que l’on soit imaginatif, on arrive à s
issons de nos représentations ». Sans doute, quand nous regardons une
figure
représentative, il faut bien que notre imaginatio
effort pour se placer dans le tableau, chercher à se fondre dans les
figures
en les modifiant au besoin, tant qu’enfin nous no
e n’est pas ainsi qu’elles vous apparaissent. Vous savez bien que ces
figures
, peintes sur la toile, ne sont que de simples rep
îtrait dans la nature. Alors de véritables suggestions s’opèrent. Les
figures
, prenant un étrange relief, semblent se détacher
n tableau, si nous le regardions d’un œil froid et positif ? Entre la
figure
peinte en réalité sur la toile et la chose représ
onde. Dans le décor, l’illusion sera rarement poussée aussi loin. Les
figures
, suivant la technique du genre, seront plus conve
er. Ainsi quand je regarde, sur ce coffret chinois orné de nacre, les
figures
variées qui en forment le décor, j’évoque toute u
ramène sur lui mon attention pour en apprécier la forme, ce sont les
figures
qui s’aplatissent, perdent leur vertu représentat
our rompre l’uniformité des surfaces, le dessinateur y trace quelques
figures
géométriques, cercles, étoiles, polygones, ou mêm
il d’ornements de ce genre ? La curiosité est d’abord excitée par ces
figures
. Notre intelligence, faculté ordonnatrice, se pla
nature ! Aucune échappée vers le monde vivant et animé ! Rien que des
figures
sèches et nues, belles sans doute, mais de la fro
rolonge, a pour effet d’assoupir notre conscience au degré voulu. Ces
figures
rayonnées et comme scintillantes sur lesquelles s
araître dans le même contour, en le regardant d’un certain biais, des
figures
diverses ; et ces figures, bien que cernées d’un
ur, en le regardant d’un certain biais, des figures diverses ; et ces
figures
, bien que cernées d’un trait réel, pour un peu no
uelles auxquelles nous trouvons tant de charme. Parfois ce seront des
figures
complexes que l’œil prendra plaisir à décomposer
res fois le décor nous invite à combiner quelques éléments simples en
figures
plus complexes. Ainsi, dans un vitrail fait d’un
losanges, des hexagones, des polygones étoilés, en un mot toutes les
figures
géométriques qui peuvent être engendrées par le t
able kaléidoscope où l’œil voit les verres polychromes se combiner en
figures
cristallines d’une inépuisable variété. Mais l’il
expliquer verbalement. Essayons cependant. Lorsque nous regardons des
figures
qui se détachent en silhouette sur un fond de cou
e colorée, qu’une nappe unie qui est censée se continuer derrière les
figures
, au second plan. Si pourtant nous voulions y fair
s que les parties du fond, restées visibles entre les intervalles des
figures
, ont elles aussi des limites définies et par cons
bien, nous les verrons nous apparaître distinctement, tandis que les
figures
primitives, perdant leur contour, disparaîtront a
ai certaines décorations arabes ou byzantines, où les intervalles des
figures
sont ménagés de telle sorte qu’ils forment l’exac
propre. Ou bien en ce point où le fond de laque, resserré entre deux
figures
, aminci et comme laminé, devient lui-même simple
t des images de mouvement. — Mais une ligne n’est-elle pas une simple
figure
plane ? Où voyez-vous rien qui se meuve ? — Non,
’imagination du musicien. Il en est de même de la ligne. Ce n’est une
figure
inerte que pour le profane. Pour qui sait la rega
ont les lignes d’allure résolue, de rythme carré, qui se combinent en
figures
exactement symétriques ; le mineur, ce seront les
lignes alanguies, retombantes, au rythme fluide et moins accusé, les
figures
impaires où la symétrie est moins nettement perce
outer des détails. Qu’est-ce que cela ? L’artiste a sous les yeux une
figure
qu’il peut remplir à son aise de ses représentati
ombres, et l’essentiel sera fait. Au lieu d’un dessin, considérez une
figure
que l’on modèle : les opérations mentales seront
ale au moins équivalent à celui que fait le dessinateur pour voir une
figure
dans le contour qu’il a tracé ? Devant la statue
résenteront la profondeur sans nous en donner l’impression ; et leurs
figures
ne pourront se détacher de la toile qu’avec un ef
qu’un spectateur dépourvu d’imagination, et qui ne sait pas voir une
figure
dans l’espace. Pour un visuel, il n’y a même pas
hera, par une sorte de bravade, les mouvements hardis qui portent les
figures
droit vers le spectateur. Il est très intéressant
rès intéressant encore de voir comme un artiste imaginatif modèle une
figure
, la fait tourner, en indique les creux et les sai
’hallucination, sur une vision mentale tellement intense, que dans la
figure
qu’il trace il aperçoit en présence réelle l’obje
gré surprenant cette faculté de voir dans l’espace et de donner à des
figures
planes un relief hallucinant. En sculpture, l’œuv
t nous en donnent la vision forcée. Elle a la vertu fascinante de ces
figures
que le malade voit lui apparaître dans un pli de
l a voulu rendre. Mettre en saillie les traits caractéristiques d’une
figure
humaine pour en porter l’expression à son maximum
vre d‘art quand nous avons constaté ce qu’elle représente ? Voici une
figure
humaine, voici un paysage, voici une nature morte
par elle-même (ex. : Corot, Iwill). Dans le paysage faisons entrer la
figure
humaine. Suggestions nouvelles et surcroît d’expr
e troubler l’harmonie de l’œuvre, il la complète et l’enrichit. Cette
figure
, sur laquelle nos yeux se portent de préférence,
it faire des analyses analogues sur les harmonies du paysage et de la
figure
humaine dans mainte composition de Millet, de Caz
omposition de Millet, de Cazin, de Jules Breton. Sans doute, quand la
figure
humaine prend dans l’œuvre du peintre une telle i
ns ces œuvres où le paysage n’est qu’un fond sur lequel se détache la
figure
humaine. Sans doute encore l’expression se déplac
te paysage de banlieue comme dans le site le plus enchanteur. III.
Figure
humaine Enfin nous arrivons aux œuvres dans le
. Figure humaine Enfin nous arrivons aux œuvres dans lesquelles la
figure
humaine est représentée seule ; et je dis que mal
Je vérifie l’exactitude de la représentation, en m’assurant que cette
figure
est dessinée correctement, que les colorations en
ages d’ombre, de feuillage, de fontaines, de glaciers, de neige et de
figures
transies ? Sans doute il ne faut pas regarder de
parle des cas où le son et la musique mêmes, représentés par quelque
figure
allégorique, sont le sujet principal du tableau.
ouge si flamboyant ? Pourquoi cette ombre étrangement verdâtre sur sa
figure
? Au centre de ce tableau de bataille, voici un c
Vous êtes au pays du symbole. La nature du sujet, l’aspect irréel des
figures
, la fantaisie des colorations, somptueuses à l’in
nt, et n’y cherchât pas un surcroît d’expression. Chapitre V. Les
figures
symboliques De ce symbolisme des couleurs, su
crayon la silhouette de l’objet auquel il veut nous faire penser ; la
figure
la plus sommaire suffira, pourvu que nous puissio
voulu, il aura le sentiment d’une harmonie entre l’aspect irréel des
figures
et la nature abstraite des idées qu’elles doivent
er. Mais il ne suffit pas, bien entendu, de peindre ou de modeler une
figure
quelconque, et de la désigner d’un nom général av
dre le moins possible, de la condenser tout entière dans cette simple
figure
, désespéré de n’avoir pas pour la traduire des mo
tation d’un fait particulier, mais d’une loi, d’une loi terrible. Ces
figures
deviendront le symbole de notre destinée à tous.
élan représentent par exemple typique le départ pour la frontière, la
figure
volante qui plane au-dessus d’eux représente en l
le l’impression du merveilleux ; elles nous mettent sous les yeux des
figures
vivantes, animées, qui par leur mimique expressiv
que Dalou a composé son monument à Delacroix. La valeur d’art de ces
figures
est grande ; leur groupement fournit une ligne ha
e couronne conduit par degrés le regard et ramène l’attention vers la
figure
principale. Mais la formule même sur laquelle est
ué jusqu’à la satiété dans l’art. Nous sommes vraiment obsédés de ces
figures
conventionnelles qui, pour avoir été trop souvent
supportable monotonie ? Ce ne sont même pas des symboles. Ce sont des
figures
d’homme et de femme, correctes de forme peut-être
pure poésie. Il n’est pas difficile de personnifier le Silence en une
figure
quelconque qui se met le doigt sur la bouche. Mai
on veut nous faire penser par une image d’ordre tout différent. Toute
figure
symbolique de ce genre est à double sens. Soit pa
st à double sens. Soit par exemple l’épervier aux ailes déployées qui
figure
sur les monuments funéraires de l’antique Égypte.
ivrée du poids du corps et planant au-dessus du monde matériel. Cette
figure
a donc deux significations superposées ; elle rep
et du culte. Dans un panneau décoratif ayant pour sujet principal une
figure
allégorique, l’artiste introduira presque toujour
corateur cherchera toujours à établir une certaine analogie entre les
figures
dont il orne un objet et les idées ou les sentime
sera nécessairement quelque chose de fin, de précieux, de coloré, des
figures
aux teintes nettes et vives, cernées d’un trait p
ie est la phrase. Une composition allégorique qui nous montre quelque
figure
agissante est vraiment une proposition complète,
te, qui a son sujet, son verbe, et son complément. Le sujet, c’est la
figure
principale ; le verbe, c’est l’action qu’elle acc
verbe, c’est l’action qu’elle accomplit ; le complément, ce sont les
figures
accessoires sur lesquelles se porte son action. V
e poétique : ce seront les emblèmes significatifs dont on entoure une
figure
pour la qualifier. Ce rapprochement vous semble-t
xplique : presque toujours l’artiste, en même temps qu’il compose ses
figures
symboliques, se les traduit à lui-même par la par
Le vers peut entrer en toutes lettres dans le décor. Il y fera bonne
figure
. Il nous donnera le plaisir délicat de voir la mê
. C’est parler en profane. Les mots ne sont pas déplacés au milieu de
figures
emblématiques. Ne sont-ils pas, eux aussi, des im
sens figuré, pourquoi ne pas aller plus loin, et ne pas imaginer des
figures
qui pourraient recevoir plusieurs interprétations
ition. On s’évertue par exemple à trouver le sens véritable de mainte
figure
allégorique de la Divine Comédie. Que signifie ce
r donner une sensation d’art. Déconcerté, le spectateur contemple ces
figures
cabalistiques, étrange grimoire dont il cherche e
quera pas d’émouvoir l’imagination plus que ne le feraient de simples
figures
calligraphiques. On sent qu’il y a quelque chose
-nous de nous prêter à ces suggestions ? Libre à nous de regarder ces
figures
au sens littéral, comme un simple décor de conven
te est allé un peu loin. Il ne nous est pas loisible de voir dans ces
figures
un simple décor de convention : elles forment tro
de la composition. Peu leur importe la façon dont le cadre coupe les
figures
, ou le grossissement démesuré que prennent certai
océdés d’expression artificiels, certaines poses convenues, certaines
figures
d’un prétentieux symbolisme : art de mode et de s
de forme que ne l’était le modèle consulté par l’artiste ; certaines
figures
, imaginées par nos peintres, ont une beauté saisi
nt nous disposons, pour reproduire avec une suffisante exactitude une
figure
humaine, un paysage, il faut beaucoup de talent.
langue ; il a dans l’esprit un riche répertoire d’expressions, et des
figures
de style d’un effet infaillible, des tournures, d
ssin achève de nous rendre assez indifférents à leur justesse. Qu’une
figure
soit dessinée sur papier blanc ou bleu ; qu’une s
mitation stricte, l’art décoratif ne s’élèverait jamais bien haut. Se
figure-t
-on vraiment que pour composer un décor il suffise
ontiers qu’un autre entrer l’animal dans ses compositions. Mais je me
figure
que cette tendance à se faire animalier doit être
mesures précises en pieds et pouces, des tableaux de proportion, des
figures
schématiques, en un mot tout l’appareil de la sci
digieux effort d’invention plastique, a pu concevoir ces innombrables
figures
dont il a orné la Sixtine, les faisant entrer com
expérimenté qu’il soit, ne se risquerait à peindre de chic une grande
figure
; le sculpteur le plus savant n’oserait se fier à
récolte d’effets, et, brochant sur le tout, évocation en moi-même des
figures
appelées à compléter la composition. Une fois tou
ressif que celui qui aura été longuement étudié sur nature. IV. La
figure
humaine Nous ne saurions quitter ce sujet sans
re en particulier quelques mots de la représentation artistique de la
figure
humaine. Certains artistes ont une aptitude spéci
nt, si l’on y réfléchit, une différence. Dans la représentation de la
figure
humaine, l’expression prend une importance except
ceptionnelle. Ce problème se pose souvent à l’artiste, de trouver une
figure
ayant un caractère, une expression, une physionom
pression. Mais il est singulièrement malaisé à résoudre. Imaginer une
figure
d’homme ou de femme qui soit vivante, parlante, i
’être aperçu. Cette invention toute imaginative fournit peut-être les
figures
les plus homogènes, parce qu’elles ont été créées
ils ont dans les doigts plutôt encore que dans l’esprit, et voilà une
figure
qui apparaît. Elle a pris un certain caractère ;
différencier ses types. En revanche, il risquera de n’obtenir que des
figures
bizarres et incohérentes. On peut enfin combiner
lle doit exister à un degré éminent chez ceux qui savent imaginer des
figures
douées d’une vie intense et d’une véritable perso
eter, de l’objectiver dans cet homme qui est là, devant moi. Je me le
figure
si épouvanté que moi-même je m’en effraie par sym
ous aide, peu importe comment ni pourquoi, à imaginer l’expression de
figure
qu’il doit avoir. On procédera de même pour expri
ous avez une certaine pratique du dessin, vous réussirez à tracer une
figure
assez régulière. Mais à moins d’aptitudes excepti
perfection, ce n’est pas le goût, c’est l’idée. Vous sentez que cette
figure
, telle que vous l’avez tracée, n’a qu’un charme m
perfectionnant peu à peu le type traditionnel de beauté. Du type des
figures
d’Égine, épaules larges, pectoraux saillants, ven
est caractéristique de l’individu, simplifiera, généralisera : et la
figure
schématique qu’il obtiendra ainsi pourra être reg
endre à la légende chrétienne sa fraîcheur, de rapprocher de nous ces
figures
un peu lointaines en nous les présentant sous une
possible de rien créer de toutes pièces. Quand elle y réussirait, les
figures
qu’elle produirait ainsi ne seraient pour nous d’
soin de réduire ou d’amplifier dans les mêmes proportions toutes les
figures
qu’ils font entrer dans un même groupe, pour leur
ir est bien petite. Mais, comme on le voit, il ne s’agit là que d’une
figure
très accessoire, qui ne forme pas vraiment groupe
’une figure très accessoire, qui ne forme pas vraiment groupe avec la
figure
principale, et n’a dans la composition d’autre rô
ts dessinés à une échelle différente. Dans une médaille, à côté de la
figure
principale, nous verrons disposés divers emblèmes
if central ne soient pas hors d’échelle. Bien plus il arrive que deux
figures
représentées à une échelle différente ne sont pas
d’imagination, les proportions naturelles sont renversées ; c’est la
figure
principale qui est représentée en petit. Dans mai
st représentée en petit. Dans mainte composition décorative l’artiste
figure
en présence réelle, sur quelque objet reproduit d
cette rencontre imprévue de la convention avec la réalité : ainsi une
figure
de femme semble se pencher sur l’ouverture d’une
rêle d’oiseau de mer un appel dans la rafale. La dimension réelle des
figures
est médiocre. Quelle sera leur grandeur apparente
représentés dans une même attitude ; et cette répétition rythmique de
figures
semblables est d’un excellent effet décoratif. Ma
minimum, et a produit ainsi, sans songer à faire œuvre d’artiste, des
figures
schématiques d’une singulière beauté. On retrouve
e simple ligne tracée par lui se différenciera, à première vue, d’une
figure
tracée par un peintre. Le coup de crayon n’est pa
eux. On voit bien que l’artiste a coutume de composer mentalement ses
figures
avant de les exécuter. Alors même qu’il dessine d
ndra plaisir à la marquer fortement, comme dans les vitraux où chaque
figure
est cernée de plombs bien visibles, dans les tapi
que grecque, cette recherche de la ligne pour la ligne, qui donne aux
figures
peintes sur les vases antiques un caractère si pa
tiste se plaira à accentuer d’un libre mouvement de pinceau. Dans les
figures
purement ornementales, cette stylisation est parf
t se dénouent suivant un rythme déterminé et font comme un cadre à la
figure
(ex. : les compositions décoratives de Mucha). Ap
ramenant les formes à une parfaite symétrie ; et il en résultera des
figures
d’une sobre élégance, sorte de compromis entre le
aux raccords, aux enlacements, aux lignes hardiment lancées ; et les
figures
ainsi obtenues auront une sorte de beauté calligr
lification et de stylisation seront employés dans le tracé d’une même
figure
. On en peut voir un très intéressant exemple dans
r quel subtil artifice le décorateur est-il parvenu à conserver à ces
figures
, d’exécution si conventionnelle, un accent si vér
ui donne à la tête de l’animal une étrange expression de férocité. La
figure
est donc naturelle d’attitude, simplifiée comme c
force de rendre aussi différent que possible du monde réel. Certaines
figures
fantastiques seront obtenues par altération progr
s qu’il voit apparaître sur l’objet, cherchant après coup un sens aux
figures
ainsi tracées, et en accentuant le contour : tel
loré ; il y fera apparaître, par un jeu d’hallucination visuelle, des
figures
variées sur lesquelles s’exercera son outil ; et
mble que le vent emporte de ci de là les lambeaux diaprés ? De telles
figures
sont bien faites, par leur bizarrerie radicale, p
a forme. J’en dirai autant de ces mascarons grotesques, parodie de la
figure
humaine, que les architectes des siècles précéden
ui gêne l’imagination. Si l’on sculpte, au-dessus de notre porte, une
figure
humaine, ne vaut-il pas mieux la faire gracieuse
nante que grotesque ou farouche ? On peut faire une classe à part des
figures
de métamorphose qui nous font assister au passage
u passage progressif d’une forme à une autre. Ce sera par exemple une
figure
humaine qui se continuera en rinceaux de feuillag
erse, une plante perdra peu à peu la forme végétale et s’épanouira en
figure
humaine. Dans les grotesques de la Renaissance, v
e, des cornes d’abondance déversant des fruits. Considérées comme des
figures
composites et perçues d’ensemble, ces composition
ls aux rencontres de l’improvisation, il ne sait pas lui-même quelles
figures
vont apparaître sous son crayon ; il s’en donne l
e à croire qu’il ne faudrait pas abuser, dans l’art décoratif, de ces
figures
: au fond, elles sont plus agréables à dessiner q
ables à dessiner qu’à regarder. V. Monstres composites D’autres
figures
enfin seront obtenues par assemblage de formes hé
ues artistes y ont réussi. Hokousaï, par exemple, avec ses étonnantes
figures
de cauchemar ; Gustave Doré, dont l’exubérante im
sens tout court. Qu’elle soit simple et claire. Par conséquent aucune
figure
oisive, aucun accessoire superflu. Que le sujet e
et je persiste. Otez à Watteau ses sites, sa couleur, la grâce de ses
figures
, celle de ses vêtements, ne voyez que la scène, e
qui a le sentiment du vrai : mais ce qu’il sent aussi, c’est que ces
figures
partagées, ces personnages indécis ne concourant
es compositions de Rubens. Je ne les entends pas. Qu’est-ce que cette
figure
qui tient un nid d’oiseaux, un Mercure, l’arc-en-
Est-ce que cela ne me touchera pas, ne m’intéressera pas plus que tes
figures
symboliques ? Tu m’auras montré le monarque prote
rofondément son sujet. Il s’agit vraiment bien de meubler sa toile de
figures
! Il faut que ces figures s’y placent d’elles-mêm
s’agit vraiment bien de meubler sa toile de figures ! Il faut que ces
figures
s’y placent d’elles-mêmes, comme dans la nature.
simple et claire ; sans quoi je dirai comme Fontenelle à la Sonate :
figure
, que me veux-tu ? La peinture a cela de commun av
nocente marraine qui est debout à ses côtés. Ne t’y trompe pas, cette
figure
-là me fera plutôt faire un péché le matin que tou
que et en expressive. Je me soucie bien que l’artiste ait disposé ses
figures
pour les effets les plus piquants de lumière, si
ue aucune composition moderne qui résistât à cet essai. De six à cinq
figures
, à peine en resterait-il deux ou trois sur lesque
e la pédanterie et du mauvais goût à s’y assujettir à la rigueur. Des
figures
nues dans un siècle, chez un peuple, au milieu d’
rement des sauvages prendre des habits et se civiliser. C’est que les
figures
à demi nues dans une composition, sont comme les
s beaux-arts. Mais si nous avons permis à l’artiste de dépouiller ses
figures
, n’ayons pas la barbarie de l’asservir à un costu
ldat romain. Je ne connais guère de lois sur la manière de draper les
figures
. Elle est toute de poésie pour l’invention, toute
point de modèle en nature, et dans les actions et les mouvements des
figures
, si loin des actions et des mouvements réels. Vou
ieur par état. Je ne saurais m’empêcher de croire qu’en sculpture une
figure
qui fait bien ce qu’elle fait ne fasse bien ce qu
au fur et à mesure ils revoient intérieurement les diverses lignes de
figures
blanches qu’ils viennent de tracer. Les enfants p
, et contre de très habiles joueurs. Il est clair qu’à chaque coup la
figure
de l’échiquier tout entier, avec l’ordonnance des
nté ». — M. Brierre de Boismont12 s’est appliqué à imprimer en lui la
figure
d’un de ses amis, ecclésiastique ; à présent, dit
les yeux après avoir regardé avec attention un objet quelconque, une
figure
dans une estampe, un dos de livre dans une biblio
uleurs plus arrêtées et plus vives. Je regardais de temps en temps la
figure
imaginaire et je me mettais à peindre ; je suspen
» Il est clair que, pendant plusieurs minutes de suite, il prenait la
figure
imaginaire pour une figure réelle. En effet, l’er
plusieurs minutes de suite, il prenait la figure imaginaire pour une
figure
réelle. En effet, l’erreur qui d’abord était pass
able. « Peu à peu, dit-il, je commençai à perdre la distinction de la
figure
imaginaire et de la figure réelle, et quelquefois
je commençai à perdre la distinction de la figure imaginaire et de la
figure
réelle, et quelquefois je soutenais aux modèles q
l’apparition d’une roue dentée au milieu de laquelle se trouvait une
figure
horrible, assurait d’avoir l’empire de commander
ant, il fut surpris d’apercevoir, à l’extrémité de l’appartement, une
figure
de femme, de grandeur naturelle, avec un enfant d
prise passé, il remonta à la source de l’illusion, et remarqua que la
figure
correspondait exactement à celle qu’il avait vue
ques minutes, elle est complète. Des architectures, des paysages, des
figures
agissantes ; défilent lentement, et parfois persi
complète. Puis, en m’éveillant sous la main qui me touche, je sens la
figure
s’effacer, se décolorer, s’évaporer ; ce qui m’av
réduire. — Quand un halluciné, les yeux ouverts, voit à trois pas une
figure
absente et qu’il y a devant lui un simple mur tap
a devant lui un simple mur tapissé de papier gris à bandes vertes, la
figure
en couvre un morceau qu’elle rend invisible ; les
ar souvent dans cet état l’esprit reste sain et le malade sait que la
figure
n’est pas réelle ; c’est le réducteur spécial, à
lumer une lumière. — Divers malades, qui dans les ténèbres voient des
figures
effrayantes, des agonisants, des cadavres, sont d
altercation, j’aperçus tout d’un coup, à la distance de dix pas, une
figure
de mort… L’apparition dura huit minutes. À quatre
la même vision se reproduisit… À six heures, je distinguai plusieurs
figures
qui n’avaient aucun rapport avec la première… Le
igures qui n’avaient aucun rapport avec la première… Le lendemain, la
figure
de mort disparut ; elle fut remplacée par d’autre
ndemain, la figure de mort disparut ; elle fut remplacée par d’autres
figures
représentant parfois des amis, le plus souvent de
ns leurs regards, leurs tailles, leurs habillements ; « seulement ces
figures
paraissaient un peu plus pâles que d’ordinaire40
hallucinations involontaires des images volontaires. Quand certaines
figures
de sa connaissance avaient ainsi passé devant lui
r degrés. « Durant l’opération, dit Nicolaï, ma chambre se remplit de
figures
humaines de toute espèce. Cette hallucination dur
, qui voient les meubles de leur chambre remuer, grandir, prendre une
figure
fantastique et effrayante42 Dans ce cas, il arriv
er le mal de mer, et il était sur une couche dans la cabine, quand la
figure
de la dame apparut devant lui d’une façon si dist
abord une prière. « Je fus aussitôt interrompu par l’apparition d’une
figure
à grande barbe qui disparut aussitôt que je la mi
ises différentes, je fus interrompu par la même apparition ou par des
figures
de polichinelle qui disparaissaient quand je voul
e 1869). À la suite d’un songe trop long pour être raconté, ma propre
figure
m’est apparue, assise dans un fauteuil, près d’un
ables, en gardant, comme Nicolaï, toute sa raison. « Quelquefois les
figures
se montraient tout d’un coup ; mais le plus souve
traversé un nuage avant de se faire voir dans tout leur éclat. Chaque
figure
restait visible cinq ou six secondes, puis dispar
e, sombre, au milieu de laquelle se dessinait immédiatement une autre
figure
. » 41. Dr Moore, The Power of the Soul over th
un tableau à moitié peint sur lequel on a passé un glacis. Toutes ces
figures
vaporeuses, vagues, souflées, ressemblent à celle
t pas un nuage, c’est une petite fumée ou vapeur gris de lin ; et les
figures
qu’elles soutient sont tournées, contournées, mes
ût. Dans ce mauvais tableau il y a pourtant de la perspective, et les
figures
fuient bien du côté de la porte du fond. Il y a u
oup moins de spectateurs auroient senti ; c’est dans une multitude de
figures
, toutes debous, toutes vêtues de même, toutes ran
e non étudié, non académique, de ce contraste de nature. Ces vilaines
figures
ont je ne scais quoi de coulant, de fluant depuis
. Une ligne d’exagération de plus, et vous auriez eu une assemblée de
figures
à Calot qui vous auroient fait tenir les côtés de
me sauvage ? C’est un gueux. Et ces trois maussades, hydeuses, plates
figures
emmaillottées dans leurs draperies jusqu’au bout
s appelez cela la femme, les filles de Scilurus ? Et ces trois autres
figures
nues assises en dehors, à droite, en face de l’ho
diesse et force. C’est certainement l’ouvrage d’un maître. Toutes les
figures
allégoriques sont d’un côté ; et tous les personn
le monarque pour un Thesée qui revient victorieux du [Minotaure]. La
figure
symbolique de la ville est simple, bien drapée, b
elle est du siècle de Jules Caesar ou de Julien. Le contraste de ces
figures
antiques et modernes ferait croire que le tableau
e de la Discorde dont les cuisses sont foulées par les pieds de cette
figure
. Mais après avoir appuyé un des pieds sur les cui
ttrait les dieux, les échevins et le peuple en désordre. En vérité la
figure
symbolique de la capitale est une belle figure. V
désordre. En vérité la figure symbolique de la capitale est une belle
figure
. Voyez-la. J’espère que vous serez aussi satisfai
ressemble à rien. Or il ne s’agit pas ici, mon ami, d’un buste, d’une
figure
, mais d’une scène où il y a quelquefois quatre, c
mais d’une scène où il y a quelquefois quatre, cinq, huit, dix, vingt
figures
; et vous croyez que mon ciseau suivra rigoureuse
z que mon ciseau suivra rigoureusement le contour délié de toutes ces
figures
, à d’autres cela ne se peut. Dans un moment, l’œi
enverse en sens contraire de Mars ; en sorte que les piés de ces deux
figures
prolongées venant à se rencontrer, elles formeroi
châtier la terre. Rien de plus difficile à imaginer que ces sortes de
figures
, il faut qu’elles soient de grand caractère ; il
appuié sur le coude, son miroir à la main, considère les deux autres
figures
avec satisfaction ; et j’y consens, si elle se co
id, plus impertinent, plus obscur encore que les précédents. Ces deux
figures
rapellent la scène de Panurge et de l’anglois qui
pas assez senti de trois ou quatre ans plus jeune que le reste de la
figure
; derrière cette vérité, un petit génie renversé
etté sur les épaules de l’abondance, l’autre bras tourné vers la même
figure
, dans la position et l’action d’un protecteur qui
n un mot, en autant de façons qu’il y a de manières de combiner trois
figures
. Quelle pauvreté ! Quelle misère ! Attendez-vous,
lamation. Du reste, tableau peint à merveilles. L’agriculture est une
figure
charmante ; mais tout à fait charmante, et par la
que de réflexion, de l’intention du peintre, et de l’indécence de la
figure
; si toutefois il y avoit indécence. Une scène re
éferent et doivent préférer les scènes où ils peuvent transporter les
figures
d’après lesquelles ils ont fait leurs premières é
oux le bonheur de sa sœur. Les artistes vous diront peut-être que les
figures
principales sont lourdes de dessein et de couleur
et libertin du dieu. La chaleur point à travers les pores de ces deux
figures
(oui, messieurs de l’académie, je persiste) ; c’e
nous cracherons sur la toile… " quoi sur cette Pénéloppe ? Sur cette
figure
, la plus belle peut être qu’il y ait au sallon ?
ces beaux plis, voyez donc… " je vois qu’en effaçant ces deux plates
figures
qui sont à côté d’elle ; l’asseyant sur un trépié
t, une sublime sybille. Je vois qu’en laissant à côté d’elle ces deux
figures
, mais leur donnant l’attention et le caractère qu
sse ; et ceux de la philosophie sont d’une servante. Et puis les deux
figures
, surtout celle-cy, ont un caractère domestique et
ssise. Elle est sortie de l’eau. Elle s’essuye. Comment une semblable
figure
peut-elle interresser ? Par la beauté des formes,
i vu cette composition, l’artiste n’a rien changé à l’action de cette
figure
. Caesar est debout sur l’autre barque. Son expre
et son poing fermé répondent fort bien à l’expression du reste de la
figure
. Il y a derrière Caesar, un beau jeune chevalier
en exagérer davantage les caractères. Point de milieu, ou de grandes
figures
et peu d’action ; ou beaucoup d’action et des fig
, ou de grandes figures et peu d’action ; ou beaucoup d’action et des
figures
de proportion commune. Et puis, il fallait penser
St Lambert, homme d’esprit, certes s’il en fut, de la composition des
figures
qui doivent décorer son poëme des saisons. C’est
nsi d’un art où le moindre intervalle mal ménagé fait un trou, où une
figure
trop éloignée ou trop raprochée de deux autres al
en regarder les productions ; que j’ai pris l’habitude d’arranger mes
figures
dans ma tête comme si elles étoient sur la toile
ence à inspirer la terreur. Que je voye à gauche, un groupe de quatre
figures
; le maréchal mort et prêt à être emporté par ses
m’avourez que cette Susanne est une copie de celle de Van Loo. Cette
figure
simbolique de l’agriculture est tout à fait inter
bien faire des piés et des mains, une bouche, un nez, un visage, une
figure
entière, même de faire sortir cette figure de la
he, un nez, un visage, une figure entière, même de faire sortir cette
figure
de la toile ? Prendrons-nous les connoissances pr
une Minerve appuyée sur son bouclier, et prête à donner une couronne.
figure
de 6 pieds de proportion. Elle est assise et de r
profil ; le profil est petit. Plus on s’y arrête, plus on aime cette
figure
. Il y a de la souplesse dans les membres. Elle es
s, de tous les points du corps et sous tous les aspects ; ainsi d’une
figure
debout, d’une figure nue, d’une figure occupée de
du corps et sous tous les aspects ; ainsi d’une figure debout, d’une
figure
nue, d’une figure occupée de quelque manière que
tous les aspects ; ainsi d’une figure debout, d’une figure nue, d’une
figure
occupée de quelque manière que ce soit. Cette Mi
e est bien coëffée et son casque de bonne forme. la comédie. du même.
Figure
petite, faite avec peu de soin et d’expression. u
osé. Il faut pour cela que le tableau ne soit point embarassé par les
figures
, quoiqu’il y en ait assez pour bien remplir la to
l faut que les objets s’y démêlent facilement. Il ne faut pas que les
figures
s’estropient l’une l’autre en se cachant reciproq
composition poëtique d’un tableau, c’est un arrangement ingenieux des
figures
inventé pour rendre l’action qu’il répresente plu
re d’Iphigenie, par exemple, ne doit pas être caché derriere d’autres
figures
au sacrifice où l’on doit immoler cette princesse
able après celle de la victime. Rien n’est plus insupportable que des
figures
indifferentes placées dans le milieu d’un tableau
soutenir. Sur tout il ne faut pas qu’il se trouve dans le tableau des
figures
oiseuses, et qui ne prennent point de part à l’ac
e scene un nombre infini de personnages, placer plus heureusement ses
figures
, en un mot bien remplir une grande toile sans y m
Allegrain une baigneuse.
figure
en marbre de 5 pieds 10 pouces de proportion. Bel
e en marbre de 5 pieds 10 pouces de proportion. Belle, belle, sublime
figure
, ils disent même la plus belle, la plus parfaite
elle, sublime figure, ils disent même la plus belle, la plus parfaite
figure
de femme que les modernes aient faite. Il est sûr
la chair. Quelle souplesse de peau ! Il en faut convenir, toute cette
figure
est parsemée de charmes imperceptibles pour lesqu
dépriser le jugement, les artistes, les seuls vrais juges, mettent la
figure
d’Allegrain sur la ligne même du Mercure de Pig
ée était pauvre, je me suis trompé. Quand elle a produit une pareille
figure
elle est riche. Elle est pour le roi. Comme on av
sont de très-bons tableaux d’histoire, bien composés, bien dessinés,
figures
bien groupées, costume bien rigoureusement observ
vêtemens, et dans les caractères. Mais il n’y a point d’air entre les
figures
; point de plans ; sa composition n’a que l’épais
res symboliques ; surtout donne de la profondeur à ta scène ; que tes
figures
ne soient pas à mes yeux des cartons découpés, et
un nez, une bouche, un œil, mais bien pour saisir dans l’action d’une
figure
cette loi de sympathie qui dispose de toutes ses
our duquel les élèves travaillent pour le prix de l’expression. Cette
figure
élevée sur l’estrade, joue bien la dignité ; ces
n maladroit pour ne savoir pas étendre la scène avec une estrade, une
figure
, des rangs de bancs concentriques et des élèves d
e large. Ce tableau, placé très-haut, et composé d’un grand nombre de
figures
, se voyait difficilement. Je demandai à Boucher c
e ses mains au poitrail si mollement que, si l’on ne voyait que cette
figure
, on jurerait qu’elle colle une image contre une m
de d’un péristile, et dans les entre-colonnemens une foule de petites
figures
agitées qu’on ne distingue pas. Le massacre s’exé
te sur une place publique, au centre de laquelle sur un piédestal une
figure
qui semble ordonner de la main. Et le faire comme
nole. du même. Les têtes du père et de la mère sont d’ivoire. Ici les
figures
pèchent par le dessin, mais ne sont pas ensemble.
he, il est bien posé ; la lumière dégrade à merveille sur lui ; cette
figure
est un effort de l’art. Il y a à droite une petit
u très belle ; c’est la chose comme elle a dû se passer. Il y a douze
figures
; chacune est à sa place, et fait ce qu’elle doit
u-dessus. Sur le devant, à terre, dans l’espace vide que laissent les
figures
, proche des pieds de la mère, une poule qui condu
nier, comme il convient à un paysan de sa profession. C’est une belle
figure
. Il écoute ce que le père dit à son gendre. Le pè
en dedans, est blanche : cela est dans la nature. Le fiancé est d’une
figure
tout à fait agréable. Il est hâlé de visage ; mai
t de tous les autres personnages. Le peintre a donné à la fiancée une
figure
charmante, décente et réservée. Elle est vêtue à
ançailles. Il faut voir comme les plis de tous les vêtements de cette
figure
et des autres sont vrais ! Cette fille charmante
point droite, mais il y a une légère et molle inflexion dans toute sa
figure
et dans tous ses membres, qui la remplit de grâce
gens de campagne ; mais que la mère, la fiancée, et toutes les autres
figures
sont de la halle de Paris. La mère est une grosse
saisi et qui le tiennent. Ce sont autant de têtes étonnées. Comme ces
figures
sont distribuées, caractérisées, drapées ! comme
ille a mis dans la bouche de Polyeucte. Imaginons d’après ces vers la
figure
du fanatique qui les prononce, et nous verrons le
gtemps sans terreur cette scène d’inhumanité et de fureur. Toutes les
figures
sont grandes. La couleur vraie. La scène se passe
urs actions ; le caractère du préteur et de ses assistants ; toute la
figure
du saint ; tout le mouvement de la scène. Ma foi,
e le saint le soutient un peu, et les assistants. La distribution des
figures
, la couleur, les caractères des têtes, en un mot
n serait rejailli sur le reste. Ce léger changement sur la principale
figure
aurait influé sur toutes les autres. Le célébrant
force de l’unité. Il faudrait conserver la même ordonnance, les mêmes
figures
, et proposer d’exécuter le tableau d’après différ
n arracher les yeux ? Si nous rencontrions dans la rue une seule des
figures
de femmes de Raphael, elle nous arrêterait tout à
s fût dérobée. Et il y a sur la toile du peintre, deux, trois, quatre
figures
semblables ; elles y sont environnées d’une foule
re figures semblables ; elles y sont environnées d’une foule d’autres
figures
d’hommes d’un aussi beau caractère, toutes concou
e, la sculpture et tous les arts enfants du dessin, en soumettant les
figures
à des hauteurs de têtes, les têtes à des longueur
n me montre sur toute la surface de la terre, je ne dis pas une seule
figure
entière, mais la plus petite partie d’une figure,
ne dis pas une seule figure entière, mais la plus petite partie d’une
figure
, un ongle, que l’artiste puisse imiter rigoureuse
e soumettre ensuite à toutes les altérations qui le caractérisent. La
figure
sera sublime, non pas quand j’y remarquerai l’exa
and Henri, exaltez votre tête ; osez, jetez, tracez, entassez tant de
figures
allégoriques que votre génie fécond et chaud vous
enu par des soldats, dont le pasquin et le torse de Belveder sont des
figures
. Pour parler de la sculpture moderne, tels sont l
on cizeau, me paroît d’un plus grand mérite que celle du peintre. Les
figures
qui sont sur le devant de ce superbe morceau sont
’enfoncent dans le lointain. Enfin la composition finit par plusieurs
figures
, dessinées sur la superficie du marbre par de sim
bien connu des anciens. Leurs sculpteurs ne sçavoient que couper des
figures
de ronde bosse par le milieu ou par le tiers de l
rspective aërienne. Avec deux ou trois pouces de relief, ils font des
figures
qui paroissent de ronde bosse, et d’autres qui se
liefs, aussi parfait que nous l’avons aujourd’hui, quoiqu’on voïe des
figures
admirables dans des bas-reliefs antiques. Telles
rs lequel elle est répandue la désolation immobile et saisissante des
figures
tumulaires, sobres de gestes, et une solennité sa
ntes. » Avec la nouvelle foi de sa mère, et cette grande et populaire
figure
de Henri de Guise, jetant sur le trône l’ombre de
le terre-à-terre d’une narration, se dressent, peintes, deux à trois
figures
, auxquelles l’auteur attache l’éclair qu’il a mis
trois figures, auxquelles l’auteur attache l’éclair qu’il a mis à la
figure
de Henri IV, ce sensé, qui n’eut jamais, en faisa
ou plutôt de boue, redressé enfin sous le mépris ! Mais de toutes les
figures
que Segretain nous a peintes, celle qui domine, à
s, celle qui domine, à dessein, toutes les autres, est la majestueuse
figure
de Sixte-Quint, opposée à la figure de Henri IV,
es les autres, est la majestueuse figure de Sixte-Quint, opposée à la
figure
de Henri IV, dans ce livre qui porte leurs deux n
leurs deux noms, mais non dans un but d’antithèse. C’est autour de la
figure
de Sixte-Quint que l’allumeur d’éclairs que Segre
s ne pouvons entrer, on le trouvera dans Segretain, qui a peint cette
figure
de Sixte, impersonnelle comme la Sagesse, la Just
out, même lorsqu’ils écrivent en prose. Mais pour Racine la poésie ne
figure
qu’un cas particulier, une réalisation secondaire
choses soient ; c’est qu’elles soient telles et non telles autres. La
figure
de ce monde fait partie d’une famille de figures
non telles autres. La figure de ce monde fait partie d’une famille de
figures
dont nous possédons sans le savoir tous les éléme
t inventer nous-mêmes pour nous-mêmes et qui tire de cette famille de
figures
la figure que nous sommes. Nous imaginons le rest
nous-mêmes pour nous-mêmes et qui tire de cette famille de figures la
figure
que nous sommes. Nous imaginons le reste de la fa
nous sommes. Nous imaginons le reste de la famille et nous voyons la
figure
qui s’est réalisée en abandonnant sur sa route, c
ui permettent de réaliser sa pensée et de conférer à cette pensée une
figure
apparentée aux figures irréalisées de groupe infi
ser sa pensée et de conférer à cette pensée une figure apparentée aux
figures
irréalisées de groupe infini. M. Teste dit de la
te dit de la musique : « Elle me donne des sensations abstraites, des
figures
délicieuses de tout ce que j’aime, — du changemen
it sent et sait que son action ne l’épuise pas, que la technique fait
figure
d’application née d’une théorie préexistante, que
es dont il se sert, et dont s’était servi Mallarmé, pour esquisser la
figure
du Poète. « Pour ce héros glacial, le véritable e
repos, et l’art absolument en mouvement s’équilibrent comme les deux
figures
de l’art absolu : entre eux, du relatif et du mix
on solides, images qui se défont pour devenir des relations entre des
figures
et des pensées quelconques, et ce quelconque coïn
s’acquitte de sa fonction de rapport, son rôle est fini. De là cette
figure
de fuite, d’allusion, qu’elle prend, comme celle
onne sans doute, dans la rédaction, à cette difficulté de principe la
figure
d’une facilité réelle. Salut ! encore endormies
e Parque. Dans la Pythie, ce dualisme hostile et sombre ne trouve une
figure
d’harmonie qu’au moment où il devient l’accord en
’y parvint. » De sorte que la danse, en laquelle Nietzsche voyait la
figure
idéale de la sagesse, devient pour Valéry, dans c
différemment dans chaque lecteur. Mais la prose ? La prose de Valéry
figure
bien sa pensée immédiate, bonne pour parler, non
air, écumant jusqu’aux feux du haut. Mon regard épelait mille petites
figures
, tombait sur une tête triste, ouvrait sur des bra
nre dans son essai sur Léonard, et voit dans le dessin de Léonard une
figure
de cette imagination. Une chevelure prend de la r
font passer l’unité de la chose et de l’image en contrebande sous la
figure
de leur dualité logique. Mais le poète, lui, sait
rs d’exemples que dans ses Vers anciens, — une tête, une oreille, une
figure
en miroir. Eclose la beauté par la rose et l’épi
é de notre âme de ne rien comprendre à notre corps. » La Jeune Parque
figure
un effort poétique pour écarter cette raison, cet
diade de Mallarmé. Mais la ressemblance n’est qu’apparente. Hérodiade
figure
un symbole de la poésie pure, une transposition d
ent pour porter en lumière, comme le vers et les images eux-mêmes, la
figure
décorative du poème, et aussi pour lui enlever to
te, et dont l’équilibre heureux du corps et de l’âme nous fournit une
figure
fugitive. Tel est le monde qui existerait de droi
plus un monde parfait, circulaire et exact comme l’horizon. Une autre
figure
— meilleure ou pire ? — éclot d’elle. Dieux ! da
, Dont la tendre lumière accomplissait le ciel. Se venait assoupir la
figure
du monde, Puis, dans le dieu brillant, captive va
a donc fait se créer et se peindre mille masques » et la Jeune Parque
figure
non expressément l’un de ces masques, mais métaph
ives, Non, vous ne tiendrez pas de moi la vie... Elle repousse cette
figure
du monde traîné vers la répétition, la multitude,
spire et sur qui l’éternité s’écoute, pour elle comme pour Teste, il
figure
le lieu du contact avec l’être, le vaisseau qui v
ue, avec le Satyre. J’entends un poème dont l’idée, le mouvement, les
figures
, coïncident avec une genèse du monde, non pas did
e tu fais sur l’onde, inépuisable Moi. Nulle des nymphes en effet ne
figure
dans sa poésie. Sauf peut-être les onze vers de l
place de l’amour, ce sont deux Dormeuses. La Jeune Parque elle aussi
figure
dans une partie du poème une Dormeuse. Un beau co
’à toi-même ! Autour d’Ève mère des hommes comme autour de la Parque
figure
de l’Être, il tisse son réseau d’illusion. Que s
aiguë d’un moment. Mais ce néant comme dans la Jeune Parque prend une
figure
positive par le désir, et la conscience devient d
Palme, qui les termine, on imagine que la nature végétale (prise pour
figure
de toute la nature) a été comme filtrée par l’épa
echnique. Pour autant qu’elle se plie A l’abondance de ses biens, Sa
figure
est accomplie, Ses fruits lourds sont ses biens.
x !… Même thème dans la Pythie, même passage. On pourrait y voir une
figure
de l’enthousiasme poétique, et ce serait partiell
is elle dépasse le poétique, et l’ode prend comme la Jeune Parque une
figure
de vie cosmique. Origines heureuses, sacrées, et,
eux-mêmes, en dehors de toute interprétation tendancieuse. Quant à la
figure
de lui, que le poète voudrait imposer au lecteur,
ourrait commettre sur Valéry, ce serait de prendre la Pythie pour une
figure
de son inspiration poétique et de voir sa poésie
et comme la permanence d’un état, nous lui donnons exactement la même
figure
qu’à la mort. Être et non-être sont dès lors des
Perdu ce vin, ivres ces ondes !… J’ai vu bondir dans l’air amer Les
figures
les plus profondes... *** Je m’arrête. Essayer d
s sont des épreuves diversifiées de la Jeune Parque. Mais lui-même ne
figure
, répétons-le, que le lieu de passage. Un seul êtr
us. Le feu de la passion ne ressemble pas à un feu, il est du feu, il
figure
dans le langage humain l’équivalent du mot chaleu
lucinatoire est enrayé en proportion ; les paysages, les maisons, les
figures
que l’on rêvait ne sont plus qu’entrevus et à tra
us abstraites comme les plus sensibles. Nous ne pouvons concevoir une
figure
comme ayant trois côtés et en même temps comme ay
ciné raisonnable, qui, comme Nicolaï ou le malade de Bonnet, voit des
figures
défiler dans sa chambre. Ce malade a vérifié, par
re. Ce malade a vérifié, par l’expérience de ses autres sens, que ces
figures
ne correspondent à rien de solide. Il appuie sa r
es vraisemblances naturelles. Il sait que, à l’endroit où il voit une
figure
humaine, il n’y a qu’un mur tendu de papier vert.
ce mur tendu de papier vert entre en conflit avec la sensation de la
figure
humaine qui apparaît au même endroit ; par son si
plus ou moins vagues et incolores ; même dans la rêverie intense, les
figures
que nous imaginons, les airs que nous fredonnons
s, les airs que nous fredonnons mentalement, n’ont pas la netteté des
figures
que nous voyons les yeux ouverts et des airs qu’u
yeux sur sa table ou sur son papier, voit à un pied de lui de petites
figures
grises qui persistent, s’effacent et renaissent e
de ces étranges glissements. Je rencontre par hasard dans la rue une
figure
de connaissance, et je me dis que j’ai déjà vu ce
ance, et je me dis que j’ai déjà vu cet homme. Au même instant, cette
figure
recule dans le passé et y flotte vaguement sans s
dimanche des Rameaux ! » — Remarquez le voyage que vient de faire la
figure
intérieure, ses divers glissements en avant, en a
tion latente d’images indistinctes qui répètent notre vie récente, la
figure
a reculé d’abord tout d’un coup à une distance in
us ce glissement se répète au contact successif des prévisions que la
figure
rencontre dans son voyage, plus elle nous semble
nir plein et circonstancié. J’ai vu cent fois cette pendule que je me
figure
; j’ai entendu ou lu mille fois, dix mille fois,
ropre expérience s’accorde avec ces remarques. Lorsque le paysage, la
figure
agissante, le geste et la voix du personnage comm
lument y trouver un acte de connaissance et un objet connu ; on se la
figure
comme le regard d’un œil intérieur appliqué sur u
cette verité, que rarement ils ont fait des païsages deserts et sans
figures
. Ils les ont peuplez, ils ont introduit dans ces
femme qui porte des fruits au marché. Ils y placent ordinairement des
figures
qui pensent, afin de nous donner lieu de penser ;
nous attacher par cette agitation. En effet on parle plus souvent des
figures
de ces tableaux que de leurs terrasses et de leur
pelle communément l’ Arcadie , ne seroit pas si vanté s’il étoit sans
figures
. Qui n’a point entendu parler de cette fameuse co
t contre laquelle les plus heureux climats n’ont point d’azile. On se
figure
ce qu’elles vont se dire de touchant lorsqu’elles
incts, sçavoir l’art de composer des vers métriques de toute sorte de
figure
, et la mélopée ou l’art de composer la mélodie. C
ngue latine, et il donne en même-temps le nom de chaque accent, et la
figure
dont on se servoit pour le marquer. Leurs noms so
noms sont : acutus, … etc. on peut voir dans le livre que je cite, la
figure
propre à chaque accent. Isidore De Seville écrit
é même impossible ; on avoit inventé des caracteres ou des especes de
figures
qui marquoient chaque ton. Ces figures s’appelloi
s caracteres ou des especes de figures qui marquoient chaque ton. Ces
figures
s’appelloient semeia ou signes. Le mot de semeia
gnes en general, mais on en avoit fait le nom propre des notes ou des
figures
dont il est ici question. Toutes ces figures étoi
propre des notes ou des figures dont il est ici question. Toutes ces
figures
étoient composées d’un monogramme formé de la pre
qu’on ne pouvoit pas prendre l’un pour l’autre. Boéce nous a donné la
figure
de ces monogrammes. Isaac Vossius indique encore
e moïen de donner à ces points une valeur inegale par les differentes
figures
de rondes, de noires, de croches, de doubles croc
s, lourd, vêtu d’une étoffe toute bariolée. Derrière lui, debout, une
figure
plus grosse encore, plus courte, embarrassée par
s. Le reste est du paysage. Tout est bien imaginé, bien ordonné, les
figures
bien placées, les objets bien distribués, les eff
autre vieille lui vide ou lui coupe ses poches ; et si chacune de ces
figures
a son expression, vous aurez fait un tableau… non
plus rare, de plus original qu’à la peinture. En effet parmi tant de
figures
qui font si bien sur la toile, combien s’en rappe
palais-royal ou aux tuileries ; quelque bien ajustées que soient vos
figures
, si elles l’étaient à la française, on les passer
ave et tranquille ; il a une physionomie sauvage, fière et imposante,
figure
supérieurement ajustée, draperies bien raides et
l ne manque à cette composition que des têtes qui soient peintes. Les
figures
plates ressemblent à de belles et riches images c
cet éloge, il n’y a pas un de ses tableaux où il n’y ait une ou deux
figures
bien habillées ; mais il colorie mal, ses tons so
vient de recevoir une lettre. Le concert est le meilleur ; il y a une
figure
de femme charmante, bien habillée, bien ajustée e
r il est bien composé, et le faire en est meilleur qu’aux autres. Les
figures
de la bonne aventure sont bien habillées, mais la
res sont gothiques et plats, son mérite s’évanouirait. Substituez aux
figures
de Le Prince des français ajustés à la mode de le
tre habile et augmente celui du peintre médiocre. à la place de cette
figure
de tartare qui est à la droite dans le tableau de
pouvez compter que je n’y reviendrai plus que par occasion. La belle
figure
que ferait le buste de M. Trudaine, de st Florent
u fond. Ce bras gauche est vrai, je le crois ; mais la position de la
figure
le fait paraître petit et maigre. J’ai été tenté
té, d’une physionomie douce et fine, se ressemblent trop d’action, de
figure
et d’âge. Le jeune homme qui lit a l’air un peu b
ême De trois pieds et demi de haut. L’Amour menaçant. C’est une seule
figure
debout ; vue de faces ; un enfant qui tient un ar
fallu que le milieu de l’arc répondît au milieu de la poitrine de la
figure
. La corde s’est projetée sur le bois de l’arc ; l
te sa longueur. Alors tout s’aperçoit. Tout prend sa juste mesure. La
figure
a un air d’activité, de force et de menace ; et l
t avoir. Si cette faute consiste, comme celle du Bandinelli, dans une
figure
de femme plus haute qu’une figure d’homme d’égale
comme celle du Bandinelli, dans une figure de femme plus haute qu’une
figure
d’homme d’égale dignité, elle est facilement rema
omme d’égale dignité, elle est facilement remarquée, puisque ces deux
figures
sont l’une à côté de l’autre. Il n’en est pas de
sir. D’ailleurs les fautes réelles qui sont dans un tableau comme une
figure
trop courte, un bras estropié, ou un personnage q
ie et d’enthousiasme ! Ah ! mon ami, qui est-ce qui trouvera la vraie
figure
d’Euridice ? Et celle d’Orphée, promenant ses doi
es pieds et ses mains sont mal dessinés ; mais la couleur de toute la
figure
fait plaisir. Les pieds et les mains des autres f
ur de toute la figure fait plaisir. Les pieds et les mains des autres
figures
sont aussi mal dessinés ; mais qui est-ce qui se
orcé la composition, ou bien le peintre a été fort sage de cacher des
figures
qu’il n’était plus en état de peindre. Esther év
utre l’appuie de côté ; une troisième raffermit ses genoux. Comme ces
figures
sont agencées ! C’est certainement une des plus b
auté est étendue sur des nuages qui la dérobent en partie. Toutes ces
figures
occupent la partie inférieure du tableau et sont
he ardente à la main, et traînant par les cheveux l’innocence sous la
figure
d’un jeune enfant éploré, qui portait ses regards
lle, bien résignée, beau caractère de tête, belles mains tremblantes,
figure
qui a du pathétique et de la grâce ; mais point d
es pieds au spectateur, et par conséquent tout en raccourci ; mais la
figure
entière est si naturelle, si vraie, le raccourci
expression du visage dans toute sa beauté. La partie supérieure de la
figure
est dans la demi-teinte, le reste est éclairé. à
dis que son confrère administre. Il y a derrière ces deux principales
figures
, dont la position, les vêtemens, les draperies, l
famille qui choque, surtout dans une composition où il y a si peu de
figures
, lorsqu’il n’est pas historique. Il fallait suppr
ste vide, espace vide et nu, qui achève par comparaison à réduire vos
figures
à des marmousets. Et croyez-vous que la scène d’u
our rire. Et puis ces diables sont de mauvais goût, insupportables de
figures
et de caractère ; ils forment une guirlande ovale
imace hideuse, comme s’il éventait au loin quelque odeur déplaisante.
figure
académique. du même. Homme nu, à demi-couché sur
oit faite de ce tableau, la Venus retouchée par Carle Maratte, et une
figure
de Rome qui tient le palladium. Les connoisseurs
cens cinq, c’est-à-dire, une année avant l’édition de son ouvrage. La
figure
de femme peinte sur un morceau de stuc qui étoit
in Cripto-Porticus , dont la voute étoit peinte, et representoit des
figures
qui se joüoient dans differens ornemens. En 1709
ons juger de l’état où la peinture étoit à Rome sous Auguste, par les
figures
qui sont dans la pyramide de Cestius ; quoiqu’il
nt dans la pyramide de Cestius ; quoiqu’il soit très-probable que ces
figures
peintes à fresque aïent été faites dans le temps
hommes d’exprimer avec des traits et des couleurs les sentimens d’une
figure
muette, en un mot, qu’on pouvoit parler aux yeux.
remiers regards du spectateur. On la reconnoissoit sans peine pour la
figure
principale du tableau. Les amours s’empressoient
vains de l’antiquité. Qui peut douter après avoir vû l’expression des
figures
du grouppe de Laocoon, que les anciens n’aïent ex
point d’amateur des beaux arts qui n’ait vû des copies du moins de la
figure
d’un gladiateur expirant, laquelle étoit autrefoi
s son geste et sur son visage. On peut donner les mêmes loüanges à la
figure
nommée ordinairement le rotateur ou l’aiguiseur,
ce, où l’on peut la voir dans le cabinet de son altesse roïale. Cette
figure
représente l’esclave, qui suivant le récit de Tit
Science de l’homme, Logique, Art de communiquer, Gramm.) caractere ou
figure
de la premiere lettre de l’Alphabet, en latin, en
e de la conformation des organes de la parole ; & le caractere ou
figure
dont nous nous servons pour représenter ce son, n
sont prises dans leur sens primitif & propre, ne sont ensuite par
figure
& par extension, que de simples prépositions
de réunion, nous nous sommes formés le concept d’étendue, ou celui de
figure
, ou celui de divisibilité : mais il n’y a point d
ilité : mais il n’y a point d’être physique qui soit l’étendue, ou la
figure
, ou la divisibilité, & qui ne soit que cela.
votre puissance : mais êtes-vous ainsi le maître de l’étendue, de la
figure
, ou de la divisibilité ? L’animal en général est-
i nous en parlons comme nous faisons des objets réels. L’illusion, la
figure
, le mensonge, ont un langage commun avec la vérit
t épsilon, ἔ ψιλὸν, c’est-à-dire e petit, & ils avoient une autre
figure
pour l’e long, qu’ils appelloient Eta, ἦτα ; ils
imple ou d’être composé a été appellé par les anciens Grammairiens la
figure
. Ils disent qu’un mot est de la figure simple ou
ar les anciens Grammairiens la figure. Ils disent qu’un mot est de la
figure
simple ou qu’il est de la figure composée ; en so
gure. Ils disent qu’un mot est de la figure simple ou qu’il est de la
figure
composée ; en sorte que figure vient ici de finge
de la figure simple ou qu’il est de la figure composée ; en sorte que
figure
vient ici de fingere, & se prend pour la form
fs, les imitatifs, & les désidératifs. 3. Les verbes ont aussi la
figure
, c’est-à-dire qu’ils sont simples, comme venir, t
ent des noms adjectifs juste, sensé, poli, absolu, tel, &c. 2. La
figure
, c’est d’être simple ou composé. Les adverbes son
2. La figure, c’est d’être simple ou composé. Les adverbes sont de la
figure
simple, quand aucun autre mot ni aucune prépositi
composition ; ainsi justement, lors, jamais, sont des adverbes de la
figure
simple. Mais injustement, alors, aujourd’hui, &am
ais injustement, alors, aujourd’hui, & en Latin hodie, sont de la
figure
composee. 3. La comparaison est le troisieme acci
s phrases ; outre leur signification particuliere, il y a encore leur
figure
& leur position. 1. Quant à la figure, il y e
culiere, il y a encore leur figure & leur position. 1. Quant à la
figure
, il y en a de simples, comme &, ou, mais, si,
ecclésiastique. Etoiles fixes. Expression littérale. Fables choisies.
Figure
ronde. Forme ovale. Ganif aiguisé. Gage touché. G
nissant en dedans ne donnent pas à la main la liberté de faire de ces
figures
inutiles qu’ils appellent traits ; il faut regard
ue la disjonctive sépare ou divise. (F) AE AE. (Gramm.) Cette
figure
n’est aujourd’hui qu’une diphthongue aux yeux, pa
l’a & de l’e en une seule syllabe, on ne doit pas dire que cette
figure
soit une diphthongue. On prononce a-éré, exposé à
on avoit dit, & ce dont on étoit convenu. D’abord les symboles ou
figures
hiéroglyphiques se présenterent à l’esprit : mais
discours. (F) ANACOLUTHE ANACOLUTHE, s. f. (Gramm.) c’est une
figure
de mots qui est une espece d’ellipse. Ce mot vien
us disons simplement il est où vous allez. Ainsi l’anacoluthe est une
figure
par laquelle on sous-entend le corrélatif d’un mo
mm.) ἀναδίπλωσις. R. ἀνὰ, retro, re, & διπλόω, duplico. C’est une
figure
qui se fait lorsqu’une proposition recommence par
le, Ægle Naïadum pulcherrima. Virg. Ecl. vj. v. 20. Il y a une autre
figure
qu’on appelle épanadiplose, qui se fait, lorsque
ANAPHORE, s. f. (Gramm.) ἀναφορὰ, de ἀναφέρω, iterùm fero, refero.
Figure
d’élocution qui se fait lorsqu’on recommence dive
llia prata, Lycori, Hîc nemus, hîc ipso tecum consumerer oevo. Cette
figure
est aussi appellée répétition. (F) ANASTROPHE
n’est pas toûjours un vice, & qu’elle peut aussi passer pour une
figure
par laquelle un mot qui régulierement est mis dev
Grammairiens modernes ne veulent pas mettre l’anti-phrase au rang des
figures
, & rapportent ou à l’ironie ou à l’euphémisme
onner, ni l’ablatif pour ôter. (F) ANTIPTOSE ANTIPTOSE, s. f.
figure
de Grammaire par laquelle, dit-on, on met un cas
τὶ, pour, & de πτῶσις, cas. On donne encore pour exemple de cette
figure
, Urbem quam statuo vestra est, Æn. L. l. v. 573,
rand nombre, & même la méthode de P. R. regardent cette prétendue
figure
comme une chimere & une absurdité qui détruir
a quoereremus quem casum verba regerent. Nous ne connoissons d’autres
figures
de construction que celles dont nous parlerons au
faute de copiste dans le texte ; ensuite avant que de recourir à une
figure
aussi déraisonnable, nous devons voir si l’expres
scribi voluit : sed nulli ausi sunt antiquam scripturam mutare. Cette
figure
de l’anti-sigma nous apprend l’étymologie de ce m
ieres différentes, σ, ς , & ; [non reproduit]c’est cette derniere
figure
adossée avec une autre tournée du côté opposé, qu
he, une phrase tournée par rapport à la premiere. On rapporte à cette
figure
ce passage de saint Paul : Hoebroei sunt, & e
Antithese, (Gramm.) Quelques Grammairiens font aussi de ce mot une
figure
de diction, qui se fait lorsqu’on substitue une l
ne sorte d’opposition : mais il est plus ordinaire de rapporter cette
figure
au métaplasme, mot fait de μεταπλάσσω, transformo
comme un même ensemble. (F) APHERESE APHERESE, s. f. (Gram.)
figure
de diction, ἀφαίρεσις, retranchement, d’ἀφαιρέω,
tion, ἀφαίρεσις, retranchement, d’ἀφαιρέω, aufero. L’apherese est une
figure
par laquelle on retranche une lettre ou une sylla
e divos, Æneid. 6. v. 620. où il a dit temnere pour contemnere. Cette
figure
est souvent en usage dans les étymologies. C’est
in, on l’appelle apocope. (F) APOCOPE APOCOPE, s. f. (Gramm.)
figure
de diction qui se fait lorsqu’on retranche quelqu
nnaires quand ils font venir ce mot d’ἀποστροφὴ, qui est le nom d’une
figure
de Rhétorique. Les dictionnaires Latins sont plus
Isidore, au liv. I. de ses origines, chapitre xviij. où il parle des
figures
ou signes dont on se sert en écrivant, dit : apos
Apposition (Grammaire) APPOSITION, s. f. terme de Grammaire,
figure
de construction, qu’on appelle en Latin epexegesi
mortel, l’homme est ignorant ; le cercle est rond ; le quarré est une
figure
qui a quatre angles droits & quatre côtés éga
xandre, César, &c. Voici quelques remarques à ce sujet. I. Si par
figure
on donne à un nom propre une signification de nom
rin, qui se dit au propre des menus jets des herbes, sert souvent par
figure
à faire une négation comme pas & point ; &
truits que les poëtes employent souvent un singulier pour un pluriel,
figure
dont ils avoient un exemple devant les yeux en cr
ettre qui entre dans l’assortiment général d’une fonte. Son oeil a la
figure
qu’on a dit ci-dessus. AVANT Avant (Gr
nir. J’ai aimé, le verbe n’est que ai, habeo ; j’ai est dit alors par
figure
, par métaphore, par similitude. Quand nous disons
sonne. Les Egyptiens dans leurs hiéroglyphes, exprimoient le b par la
figure
d’une brebis, à cause de la ressemblance qu’il y
duite] Le C, c, (Gram.) est la troisieme lettre de notre alphabet. La
figure
de cette lettre nous vient des Latins. Elle a auj
cs, tel qu’il se voit souvent, surtout dans les inscriptions, avec la
figure
de notre C capital, taic hmepaic (Gruter, tome I.
des mots, & ainsi ς à la fin des mots. A l’égard de la troisieme
figure
du sigma, elle est précisement comme notre c dans
inférieure du c, comme si on ajoûtoit une virgule au c : en voici la
figure
Ϛ. Ainsi il paroît que le c doux n’est que le sig
st plus la même lettre que le c doux, quoiqu’il paroisse sous la même
figure
; c’est le cappa des Grecs, K κ, dont on a retran
auteurs ont cru que le c venoit du chaph des Hébreux, à cause que la
figure
de cette lettre est une espece de quarré ouvert p
ion répond davantage au κάππα & à notre c, c’est le kouph dont la
figure
n’a aucun rapport au c. Le P. Mabillon a observé
actere.) Ce mot pris dans un sens général, signifie une marque ou une
figure
tracée sur du papier, sur du métal, sur de la pie
s, & entre les hommes présens. Il y a bien de l’apparence que les
figures
même de ces êtres, tracées grossierement sur quel
propose le sien. Il prend pour caracteres les chiffres Arabes ou les
figures
numériques communes : les combinaisons de ces neu
incommodité de former & d’apprendre de nouveaux caracteres ; les
figures
Arabes ou les chiffres de l’Arithmétique ordinair
tems de Gallien ; on n’y trouve aucune altération dans le tour ou la
figure
du caractere, quoiqu’il y ait plusieurs changemen
ont on se sert pour exprimer les nombres ; ce sont des lettres ou des
figures
, que l’on appelle autrement chiffres. Les especes
e signe d’un quarré ; [non reproduit]marque l’égalité des côtés d’une
figure
. [non reproduit]signifie un rectangle ; < es
t césure. Ce mot n’est en usage parmi nous que par allusion & par
figure
, quand on parle de la méchanique du vers. La césu
ais, la clé du Catholicon d’Espagne, &c. C’est encore par la même
figure
que l’on dit que la logique est la clé des Scienc
cerem acti, pars bestiis objecti. On rapporte ces constructions à une
figure
qu’on appelle syllepse ; d’autres la nomment synt
res la nomment synthese : mais le nom ne fait rien à la chose ; cette
figure
consiste à faire la construction selon le sens pl
ité & la composition ; c’est ce que les Grammairiens appellent la
figure
. Ils entendent par ce terme, la propriété d’être
otest alteri dare matrimonium, nisi quem penes sit patrimonium. Cette
figure
a de la grace, dit Quintilien, accedit & ex i
dem desinant modo. Id. ibid. Les Rhéteurs donnent divers noms à cette
figure
, selon la différente sorte de consonnance, &
érentes manieres sous le nom général de consonnance. L’usage de cette
figure
demande du goût & de la finesse. La ressembla
nie qu’une consonnance. O fortunatam natam me consule Romam ! Cette
figure
mise en oeuvre à-propos a de la grace en latin se
ant qu’il sera possible, à chacune de nos huit voyelles principales.
Figure
de la Nom de la Exemples de chaque consonne avec
[non reproduit]o u ou Bonet, bule, boule, eu e muet. Beurre, bedeau.
Figure
de la Nom de la Exemples de chaque consonne avec
uillé fort, & le y qu’on nomme yé qui est un son mouillé foible.
Figure
. Nom. Exemples. Chapeau, chérit, chicane, Ch, ch,
cane, Ch, ch, che. [non reproduit]chose, chûte, chou, chemin, cheval.
Figure
. Nom. Exemples : gn, gne. Il ne s’agit pas de ces
n est appellée construction figurée, parce qu’en effet elle prend une
figure
, une forme, qui n’est pas celle de la constructio
rocéder avec plus de clarté, il faut observer qu’il y a six sortes de
figures
qui sont d’un grand usage dans l’espece de constr
autres analogistes ont recueilli un grand nombre d’exemples où cette
figure
est en usage : mais comme les auteurs latins empl
est en usage : mais comme les auteurs latins employent souvent cette
figure
, & que la langue latine est pour ainsi dire t
que, il n’est pas possible de rapporter toutes les occasions où cette
figure
peut avoir lieu ; peut-être même n’y a-t-il aucun
on appelle zeugma, mot gree qui signifie connexion, assemblage. Cette
figure
fera facilement entendue par les exemples. Sallus
ce dans laquelle de bons auteurs sont tombés. II. La seconde sorte de
figure
est le contraire de l’ellipse ; c’est lorsqu’il y
ou plus de netteté, ou enfin plus de force ou d’énergie, ils font une
figure
approuvée. Par ex. quand en certaines occasions o
il en est, sont des formules autorisées dont on ne peut rien ôter. La
figure
dont nous parlons est appellée pléonasme, mot gre
n à l’idée de bornes ; c’est un pléonasme. III. La troisiéme sorte de
figure
est celle qu’on appelle syllepse ou synthese : c’
rrelatif. C’est encore ici une syllepse ou synthese, c’est-à-dire une
figure
, selon laquelle les mots sont construits selon la
t que selon la lettre & la forme grammaticale : c’est par la même
figure
que le mot de personne, qui grammaticalement est
ont on parle qui sont physiquement du genre masculin. C’est par cette
figure
que l’on peut rendre raison de certaines phrases
te : voilà ce qui fait énoncer la négation. IV. La quatrieme sorte de
figure
, c’est l’hyperbate, c’est-à-dire confusion, mêlan
est Itali vocant aras illa saxa quoe sunt in fluctibus mediis. Cette
figure
étoit, pour ainsi dire, naturelle au latin ; comm
e les mots ont entre eux. Ainsi nous ne saurions faire usage de cette
figure
, que lorsque le rapport des correlatifs n’est pas
on l’ordre de la construction significative. V. La cinquieme sorte de
figure
, c’est l’imitation de quelque façon de parler d’u
réduire à la construction pleine & à l’analogie ordinaire. Cette
figure
est aussi usitée dans la même langue, sur-tout qu
e est nécessaire, savoir, &c. VI. On rapporte à l’hellenisme une
figure
remarquable, qu’on appelle attraction : en effet
sme une figure remarquable, qu’on appelle attraction : en effet cette
figure
est fort ordinaire aux Grecs, mais parce qu’on en
trouve aussi des exemples dans les autres langues, j’en fais ici une
figure
particuliere. Pour bien comprendre cette figure,
es, j’en fais ici une figure particuliere. Pour bien comprendre cette
figure
, il faut obser ver que souvent le méchanisme des
llegarde, de M. de Gamaches, &c. Je remarquerai seulement que les
figures
dont nous avons parlé, se trouvent souvent dans l
amp; si elle admet des transpositions, des ellipses, ou quelque autre
figure
, elles sont aisées à ramener à l’ordre de l’analy
être pas élégante. Les ellipses, les transpositions, & les autres
figures
se trouvent dans les discours vulgaires, comme el
mmaire) CRASE, s. f. terme de Grammaire ; la crase est une de ces
figures
de diction qui regardent les changemens qui arriv
labes d’un mot, relativement à l’état ordinaire du mot où il est sans
figure
. La figure qu’on appelle crase se fait lorsque de
mot, relativement à l’état ordinaire du mot où il est sans figure. La
figure
qu’on appelle crase se fait lorsque deux voyelles
D, (Gramm. &c.) Il nous importe peu de savoir d’où nous vient la
figure
de cette lettre ; il doit nous suffire d’en bien
ont j’ai parlé soit interrompu par des transpositions ou par d’autres
figures
, ces pratiques ne sont autorisées dans notre lang
regardés comme autant de dialectes. (F) DIÉRESE Diérese (
Figure
) DIÉRESE, s. f. (Figure de diction.) ce mot e
alectes. (F) DIÉRESE Diérese (Figure) DIÉRESE, s. f. (
Figure
de diction.) ce mot est grec, & signifie divi
ision, διαίρεσις, divisio de διαιρέω, divido. La diérese est donc une
figure
qui se fait lorsque par une liberté autorisée par
le docte Despautere, apprenez bien ce que c’est que la diérese, cette
figure
, qui d’une seule syllabe, a la vertu d’en faire d
la vertu d’en faire deux : hé, n’est-ce pas par la puissance de cette
figure
que Horace a fait trois syllabes de silvae, qui r
ae pour dissolvendae. Au reste il semble que la jurisdiction de cette
figure
ne s’étende que sur l’i & sur l’u, que les po
nous enlevent par le choix & par la vivacité des images & des
figures
, par la noblesse & l’harmonie de l’élocution,
eux E rapprochés ou tournés l’un vis-à-vis de l’autre qu’est venue la
figure
H ; ce caractere a été long-tems, en grec & e
Ellipse (Grammaire) ELLIPSE, s. f. terme de Grammaire ; c’est une
figure
de construction, ainsi appellée du grec ἔλλειψις,
capitaine. En roi. En maison. En ville. En campagne. En province. En
figure
. En chair & en os. Et autres en grand nombre
ion des anciens, il faudroit prononcer énallague. C’est une prétendue
figure
de construction, que les grammairiens qui raisonn
soùtiennent qu’il n’y a rien de plus déraisonnable que ces sortes de
figures
. Qui ne voit que si ces changemens étoient aussi
on ne pût justifier en disant que c’est une énallage, ou quelqu’autre
figure
pareille ? Que les jeunes écoliers perdent de con
reille ? Que les jeunes écoliers perdent de connoître trop tard cette
figure
, & de n’avoir pas encore l’art d’en tirer tou
rbe sans prétendre que l’infinitif soit là pour un tems fini, par une
figure
qui ne peut avoir aucun fondement ». (F) ENC
epuis plusieurs siecles. (F) EPANADIPLOSE EPANADIPLOSE, s. f.
figure
de diction, ἐπαναδίπλωσις. Ce mot est composé de
NTHESE, s. f. terme de Gram. RR. ἐπὶ, ἐν, in, τίθημι, pono. C’est une
figure
de diction qui se fait lorsqu’on insere une lettr
ontente pas de dire, que l’orateur, comme le poëte, doit employer des
figures
, des images, & des traits ; il dit qu’il doit
igures, des images, & des traits ; il dit qu’il doit employer des
figures
ornées, des images vives, & des traits hardis
lque syllabe à la fin d’un mot, les Grammairiens disent que c’est une
figure
qu’ils appellent paragoge. Parmi nous, dit M. l’a
tte langue, & sur-tout dans la pratique de l’explication. (F)
FIGURE
Figure Figure, terme de Rhétorique, d
mp; sur-tout dans la pratique de l’explication. (F) FIGURE
Figure
Figure, terme de Rhétorique, de Logique &
dans la pratique de l’explication. (F) FIGURE Figure
Figure
, terme de Rhétorique, de Logique & de Grammai
ormer, disposer, arranger. C’est dans ce sens que Scaliger dit que la
figure
n’est autre chose qu’une disposition particuliere
mp; les différentes altérations qu’on y apporte, font les différentes
figures
de mots & de pensées. C’est ainsi qu’en Gramm
rs qui s’éloignent de cette premiere destination, & qu’on appelle
figures
. Je vais faire entendre ma pensée par des exemple
nt, vous changez l’état original du mot, vous vous en écartez par une
figure
qu’on appelle syncope : c’est ainsi qu’Horace a d
u lieu de dire amari, être aimé, vous disiez amarier, vous faites une
figure
qu’on appelle paragoge. Autre exemple : ces deux
e l’esprit considere ces mots sous une nouvelle forme, sous une autre
figure
, & l’on dit qu’ils sont pris dans un sens fig
ne songe guere à faire l’amour quand or n’a pas dequoi vivre : cette
figure
s’appelle métonymie. I. Les figures sont distingu
nd or n’a pas dequoi vivre : cette figure s’appelle métonymie. I. Les
figures
sont distinguées l’une de l’autre par une conform
ttre de l’ordre & de la précision dans nos pensées. II. Le mot de
figure
est pris ici dans un sens métaphysique & par
ation ; car comme tous les corps, outre leur étendue, ont chacun leur
figure
ou conformation particuliere, & que lorsqu’il
mp; que lorsqu’ils viennent à en changer, on dit qu’ils ont changé de
figure
; de même tous les mots construits ont d’abord la
nt multiplié leurs observations, & par conséquent les noms de ces
figures
. Il est, ce me semble, assez inutile de charger l
ns noms ; mais on doit connoître les différentes sortes ou especes de
figures
, & savoir les noms de celles de chaque espece
e qui sont le plus en usage. Il y a d’abord deux especes générales de
figures
; 1°. figures de mots ; 2°. figures de pensées :
plus en usage. Il y a d’abord deux especes générales de figures ; 1°.
figures
de mots ; 2°. figures de pensées : la différence
d’abord deux especes générales de figures ; 1°. figures de mots ; 2°.
figures
de pensées : la différence qui se trouve entre ce
res de pensées : la différence qui se trouve entre ces deux sortes de
figures
, est bien sensible. « Si vous changez le mot, di
t bien sensible. « Si vous changez le mot, dit Cicéron, vous ôtez la
figure
du mot, au lieu que la figure de pensée subsiste
angez le mot, dit Cicéron, vous ôtez la figure du mot, au lieu que la
figure
de pensée subsiste toûjours, quels que soient les
otte, vous dites qu’elle est composée de cent voiles, vous faites une
figure
de mots ; substituez vaisseaux à voiles, il n’y a
une figure de mots ; substituez vaisseaux à voiles, il n’y a plus de
figure
. Les figures de mots tiennent donc essentiellemen
de mots ; substituez vaisseaux à voiles, il n’y a plus de figure. Les
figures
de mots tiennent donc essentiellement au materiel
tiennent donc essentiellement au materiel des mots ; au lieu que les
figures
de pensées n’ont besoin des mots que pour être én
a forme de la pensée, & dans l’espece du sentiment. A l’égard des
figures
de mots, il y en a de quatre sortes. I. par rappo
vent aux lettres ou sons dont les mots sont composés : on les appelle
figures
de diction. II. Ou par rapport à la construction
n. II. Ou par rapport à la construction grammaticale ; on les appelle
figures
de construction. III. La troisieme classe de figu
; on les appelle figures de construction. III. La troisieme classe de
figures
de mots, ce sont celles qu’on appelle tropes, par
t établi ; τροπὴ, conversio ; τρέπω, verto. IV. La quatrieme sorte de
figure
de mots, ce sont celles qu’on ne sauroit ranger d
premiere signification : on ne peut pas dire non plus que ce sont des
figures
de pensées, puisque ce n’est que par les mots &am
r les mots & les syllabes, & non par la pensée, qu’elles sont
figures
, c’est-à-dire, qu’elles ont cette conformation pa
e des autres façons de parler. Donnons des exemples de chacune de ces
figures
de mots, ou du moins des principales de chaque es
s figures de mots, ou du moins des principales de chaque espece. Des
figures
de diction qui regardent le matériel du mot. Les
730. 2°. Mais lorsqu’il résulte un nouveau son de la contraction, la
figure
est appellée crase, κρᾶσις, c’est-à-dire mélange,
ὸς, transformatio, de μεταπλάσσω, transformo. II. La seconde sorte de
figures
qui regardent les mots, ce sont les figures de co
. II. La seconde sorte de figures qui regardent les mots, ce sont les
figures
de construction ; quoique nous en ayons parlé au
ns interruption après le mot qu’il détermine, alors il n’y a point de
figure
de construction ; mais lorsque l’on s’écarte de l
on ; mais lorsque l’on s’écarte de la simplicité de cet ordre, il y a
figure
: voici les principales. 1°. L’ellipse, ἔλλειψις,
μὸς, abundantia ; πλέος, plenus ; πλεονάζω, plus habeo, abundo. Cette
figure
est le contraire de l’ellipse ; il y a pléonasme
e, ou plus de netteté, ou plus de force & d’énergie, ils font une
figure
approuvée comme dans les exemples ci-dessus ; mai
une pluralité, & non le singulier, la plûpart. C’est par la même
figure
que le mot de personne, qui grammaticalement est
esprit l’homme ou les hommes dont on parle. IV. La quatrieme sorte de
figure
c’est l’hyperbate, c’est-à-dire confusion, mélang
percevoir l’ordre ; mais dans les langues qui n’ont point de cas, ces
figures
ne peuvent être admises que lorsque les mots sous
’on voit que mediocribus est attiré par poëtis. On peut joindre à ces
figures
l’archaïsme, ἀρχαϊσμὸς, façon de parler à l’imita
x mots grecs, νέος, novus, & λόγος, sermo. Il y a quelques autres
figures
qu’il n’est utile de connoître, que parce qu’on e
is fluctibus. Il n’est que trop aisé de trouver des exemples de cette
figure
. Au reste, synchysis est purement grec, σύγχυσις,
as lié avec ce qui précede ; c’est plûtôt un vice, dit Erasme, qu’une
figure
: vitium orationis quando non redditur quod super
comme nous ajoûtons le t entre dira-on, dira-t-on. Voici deux autres
figures
qui n’en méritent pas le nom, mais que nous croyo
les Commentateurs disent que cela est un exemple incontestable de la
figure
qu’ils appellent antiptose, du grec, ἀντὶ, pro, q
disent-ils, a dit urbem pour urbs par antiptose ; c’est une ancienne
figure
, dit Servius ; c’est ainsi, ajoûte-t-il, que Cato
es gens qui apprennent le latin, ne devroient pas ignorer cette belle
figure
; elle seroit pour eux d’une grande ressource. Qu
s phrases particulieres & tous les membres d’une période. L’autre
figure
dont les Grammairiens font mention avec aussi peu
forme de la construction commune, au lieu de recourir à de prétendues
figures
contraires à tous les principes. Au reste, l’inat
ent ; mais la raison ne les voit que telles qu’elles sont. Il y a des
figures
de mots qu’on appelle tropes, à cause du changeme
, de l’usage & de l’abus des tropes. Il y a une derniere sorte de
figures
de mots, qu’il ne faut point confondre avec celle
ne faut point confondre avec celles dont nous venons de parler ; les
figures
dont il s’agit ne sont point des tropes, puisque
les mots y conservent leur signification propre. Ce ne sont point des
figures
de pensées, puisque ce n’est que des mots qu’elle
tion ordinaire ; mais si vous ne répetez pas le mot, il n’y a plus de
figure
qu’on puisse appeller répétition. Il y a plusieur
t répété, pour passer comme par degrés d’une idée à une autre : cette
figure
est regardée comme une figure de mots, à cause de
r degrés d’une idée à une autre : cette figure est regardée comme une
figure
de mots, à cause de la répétition des mots, &
ots, à cause de la répétition des mots, & on la regarde comme une
figure
de pensée, lorsqu’on s’éleve d’une pensée à une a
s’est retiré, il s’est évadé, il a disparu ». Voici quelques autres
figures
de mots. L’onomatopée, ὀνοματοποιία, c’est la tra
ce de jeu de mots : amantes funt amentes, les amans sont insensés. La
figure
n’est que dans le latin, comme dans cet autre exe
vous entrez dans votre lit ». Les jeunes gens aiment ces sortes de
figures
; mais il faut se ressouvenir de ce que Moliere e
pure, Et ce n’est point ainsi que parle la nature. Voici deux autres
figures
qui ont du rapport à celles dont nous venons de p
ar des cas ou par des tems dont la terminaison est semblable. L’autre
figure
qu’on appelle similiter desinens, n’est différent
mp; vivere turpiter. On trouve un grand nombre d’exemples de ces deux
figures
: ubi amatur, non laboratur, dit S. Augustin ; «
en ne le fera changer de sentiment. Il est évident qu’il n’y a en ces
figures
, ni tropes ni figures de pensées. Il nous reste à
de sentiment. Il est évident qu’il n’y a en ces figures, ni tropes ni
figures
de pensées. Il nous reste à parler des figures de
figures, ni tropes ni figures de pensées. Il nous reste à parler des
figures
de pensées ou de discours que les maîtres de l’ar
figures de pensées ou de discours que les maîtres de l’art appellent
figures
de sentences, figuroe sententiarum, schemata ; σχ
ns le sentiment, dans le tour d’esprit ; ensorte que l’on conserve la
figure
, quelles que soient les paroles dont on se sert p
, quelles que soient les paroles dont on se sert pour l’exprimer. Les
figures
ou expressions figurées ont chacune une forme par
n les rapporte à l’antithèse. L’apostrophe est différente des autres
figures
; parce que ce n’est que dans l’apostrophe qu’on
orts, les absens, ou les êtres inanimés. Il en est de même des autres
figures
; elles ont chacune leur caractere particulier, q
particulieres de ces différentes manieres, & ont donné le nom de
figure
de pensées à celles qui énoncent les pensées sous
n. Nous ne pouvons que recueillir ici les noms des principales de ces
figures
, nous reservant de parler en son lieu de chacune
on, qui consiste à faire attendre une pensée qui surprend. Il y a une
figure
qu’on appelle congeries, assemblage ; elle consis
r entrer dans quelque mouvement pathétique placé à propos. Il y a une
figure
qu’on appelle optatio, souhait ; on s’y exprime o
ation, soit en augmentant ou en diminuant. On met aussi au nombre des
figures
l’admiration & les sentences, & quelques
& les sentences, & quelques autres faciles à remarquer. Les
figures
rendent le discours plus insinuant, plus agréable
re rares & bien amenées. Il faut laisser aux écoliers à faire des
figures
de commande. Les figures ne doivent être que l’ef
es. Il faut laisser aux écoliers à faire des figures de commande. Les
figures
ne doivent être que l’effet du sentiment & de
ndre au bon sens . . dit Boileau. Les honnêtes gens sont blessés des
figures
affectées. Offenduntur enim quibus est equus &am
s écrits Empruntent d’elle seule & leur lustre & leur prix.
Figure
est aussi un terme de Logique. Pour bien entendre
ux autres termes de la conclusion, est ce que les Logiciens appellent
figure
. 1°. Quand le moyen est sujet en la majeure &
t sujet en la majeure & attribut en la mineure, c’est la premiere
figure
. Tout ce qui est étendu est divisible, Tout atom
; Donc tout atome est divisible. Voilà un syllogisme de la premiere
figure
; étendu est le sujet de la majeure & l’attri
oyen est attribut en la majeure & en la mineure, c’est la seconde
figure
. 3°. Si le moyen est sujet en l’une & en l’a
le moyen est sujet en l’une & en l’autre, cela fait la troisieme
figure
. 4°. Enfin si le moyen est attribut dans la majeu
ttribut dans la majeure & sujet en la mineure, c’est la quatrieme
figure
. Il n’y a point d’autre disposition du moyen term
c les deux autres termes de la conclusion : ainsi il n’y a que quatre
figures
en Logique. Outre les figures il y a encore les m
conclusion : ainsi il n’y a que quatre figures en Logique. Outre les
figures
il y a encore les modes, qui sont les différens a
ffirmative ou négative. Au reste ces observations méchaniques sur les
figures
& sur les modes des syllogismes, peuvent avoi
n détail ce qu’on a accordé expressément, quoiqu’en termes généraux.
Figure
est encore un terme particulier de Grammaire fort
, & qui consiste à être simple, ou à être composé ; res est de la
figure
simple, publica est aussi de la figure simple, ma
à être composé ; res est de la figure simple, publica est aussi de la
figure
simple, mais respublica est un mot de la figure c
blica est aussi de la figure simple, mais respublica est un mot de la
figure
composée. C’est ainsi que Despautere dit, que la
un mot de la figure composée. C’est ainsi que Despautere dit, que la
figure
est la différence qu’il y a dans les mots entre ê
s simples, & qu’il y en a de composés, & nous laissons au mot
figure
les autres acceptions dont nous avons parlé. (F)
sortes d’ouvrages, bien fini signifie bien poli ; on le dit aussi par
figure
des ouvrages d’esprit. Fini, en Grammaire est un
propre d’un vaisseau qui se remplit d’eau & s’enfonce. Or dit par
figure
d’un homme, dont la fortune est renversée, qu’il
fond d’un tableau, c’est ce qui sert comme de base & de champ aux
figures
; c’est ainsi que l’on dit que le fond du damas e
fort, on dit qu’on l’a placé à fond perdu. 6°. Fond se dit aussi par
figure
des choses spirituelles, comme on le dit d’étendu
s ; & c’est proprement la terre qui produit des fruits, & par
figure
tout ce qui rapporte du profit. Mais le docte Mén
il paroît alors, pour ainsi dire, sous une forme empruntée, sous une
figure
qui n’est pas sa figure naturelle, c’est-à-dire c
insi dire, sous une forme empruntée, sous une figure qui n’est pas sa
figure
naturelle, c’est-à-dire celle qu’il a eue d’abord
ns figuré, quel que puisse être le nom que l’on donne ensuite à cette
figure
particuliere : par exemple, le feu de vos yeux, l
figurée, le traducteur trouve souvent que sa langue n’adopte point la
figure
de la langue originale ; alors il doit avoir reco
qué ces différences, je veux dire, les divers sens que l’on donne par
figure
à un même mot dans une même langue, & les dif
autre signification figurée, qu’il n’a jamais tout seul en latin ? La
figure
n’est que dans notre françois, parce que nous nou
re entendre la pensée d’un auteur, on doit rendre, s’il est possible,
figure
par figure, sans s’attacher à traduire littéralem
la pensée d’un auteur, on doit rendre, s’il est possible, figure par
figure
, sans s’attacher à traduire littéralement ; mais
eau à la critique du public, un cordonnier censura la chaussure d’une
figure
de ce tableau : Apelle réforma ce que le cordonni
u pascal, le serpent d’airain élevé dans le desert, étoient autant de
figures
du sacrifice de la croix. Enfin lorsque ces expli
uté, ce desir doit naître de ce qu’il sent quelque régularité dans la
figure
, quelque grace dans la voix, quelque douceur, que
& que selon la situation qu’ils gardent entr’eux, & selon la
figure
du crystallin & de son éloignement de la réti
ingua de long-tems ni grandeurs, ni distances, ni situations, ni même
figures
. Un objet d’un pouce mis devant son oeil, & q
chassée à cause de son insolence & de celle de son fils, est une
figure
de la synagogue qui n’a été qu’une esclave, &
ouvée à cause de son ingratitude & de son insidélité. Sara est la
figure
de l’Eglise, & Isaac la figure du peuple choi
mp; de son insidélité. Sara est la figure de l’Eglise, & Isaac la
figure
du peuple choisi. IV. Le sens anagogique ou de co
ante ; selon le moral, l’ame fidele, dont Jerusalem est une espece de
figure
. Voyez Allégorie, Anagogique, Litteral, Figuré, M
tuaire ? Cette explication est toute simple, & de l’autre part la
figure
est tirée de bien loin. Lorsqu’un citoyen romain
. Mais venons à la synecdoque. Comme il est facile de confondre cette
figure
avec la métonymie, je crois qu’il ne sera pas inu
qui dans le sens propre marque le plus. 2°. Dans l’une & l’autre
figure
il y a une relation entre l’objet dont on veut pa
’on peut remarquer dans les exemples de l’une & de l’autre de ces
figures
. Voyez Trope . (E. R. M. B.)
nd ont la finesse de touche ordinaire à ce peintre ? Au maréchal, ses
figures
sont aussi spirituellement dessinées qu’aux Bergh
effet, l’harmonie, le ragoût, tout s’y trouve. Ses deux paysages avec
figures
sont de vrais Berghem pour le choix des sites, l’
es opulens. Dans le cavalier espagnol de Casanove, et le cheval et la
figure
, tout est beau. Le cavalier est bien ajusté, bien
de belle couleur, et quoiqu’il n’y ait dans tout le morceau que deux
figures
, il est d’un effet grand et sévère. Je fais cas d
a été le premier des arts inventés par l’espèce humaine. Regarder une
figure
qui charme, prendre dans sa main une poignée d’ar
ette argile sous ses doigts et chercher à lui donner les formes de la
figure
que l’on admire, quoi de plus naturel d’instinct
s ce salon, à Canova. Ces deux hommes se ressemblaient étonnamment de
figure
et de caractère ; tous les deux portaient sur une
vez les yeux vers ces morts vivants ! XV Dante, excepté dans la
figure
de Françoise de Rimini, n’a pas de telles physion
’œuvre de convenance et d’harmonie, apparaissait à ce peuple comme la
figure
de l’esprit, dont elle rendait pour ainsi dire le
, parmi les beaux-arts, celui qui a pour but spécial de reproduire la
figure
de l’homme dans sa perfection idéale, abstraction
la mort. Condamnée à reproduire sans fin des types invariables, où la
figure
humaine se dégrade en d’étranges associations ave
ates. Les combinaisons les plus étranges de la forme humaine avec des
figures
d’animaux ou de monstres imaginaires semblent avo
stre, assise sur son char, commandant le respect et l’obéissance. Les
figures
symboliques des dieux revêtent une majesté calme
, les formes élancées de l’architecture du moyen âge commandaient aux
figures
qu’on y associait l’allongement et la maigreur. L
et joyeuses, tout éclatantes de beauté et de lumière, de ses dieux à
figure
humaine, comme elle oppose son génie philosophiqu
r dans la statuaire française de nos jours, qu’on aille contempler la
figure
de Thésée par Phidias, celle de Moïse par Michel-
aison à l’assemblée du peuple rencontrait partout sur son passage les
figures
des divinités protectrices de la cité, celles des
tangles de l’édifice ; on aurait compté les colonnes et recomposé les
figures
et les groupes des frontons. XLII Jamais ri
mystique et serein sur les corniches et sur les formes saillantes des
figures
des bas-reliefs : elles semblaient alors vivre et
as ! à leurs dépens ! LI Au Parthénon il ne reste plus que deux
figures
, Mars et Vénus, à demi écrasées par deux énormes
fragments de corniche qui ont glissé sur leurs têtes ; mais ces deux
figures
valent pour moi à elles seules plus que tout ce q
ciseau de Phidias tremblait, brûlait dans sa main, quand ces sublimes
figures
naissaient sous ses doigts. On sent (ce n’est poi
rtrait de cette idole vivante. Mon imagination s’était idéalisé cette
figure
. Cette parente me disait qu’elle ressemblait beau
lé un peu longuement à propos de madame Récamier, son amie ; ces deux
figures
se confondent, bien qu’elles ne se ressemblent pa
un attrait. L’attrait était le caractère dominant et magique de cette
figure
; le regard s’y collait comme le fer à l’aimant ;
e chien et loup du jour mourant. XI Je restais en face de cette
figure
, immobile, étonné, ravi, attiré plus qu’enflammé.
r de chez vous ? Ce doit être une étrangère, car comment une pareille
figure
existerait-elle en France sans que son nom la dev
m’écriai-je. Ah ! maintenant je comprends l’émotion que cette céleste
figure
a donnée au monde dans sa fleur, et tout ce qui m
de leur éblouissement ; les yeux de tout un monde ont passé sur cette
figure
, cent hommes célèbres lui ont porté leur encens.
ds de la foule eussent été autant de miroirs qui lui répercutaient sa
figure
et qui la faisaient rougir de sa miraculeuse beau
. Ces deux femmes se ressemblaient étonnamment par leur âge, par leur
figure
, par leur société commune dans leur adolescence,
les visitant avec moi ; elle désirait beaucoup entrevoir au moins ces
figures
d’hommes nouveaux et de femmes célèbres qui porta
our sa piété. La conversation de ces deux femmes si semblables par la
figure
, par le son de voix, par l’élégance des manières,
cœurs pour que ce salon fût agréable à fréquenter ; l’ironie était la
figure
habituelle de ses discoureurs ; la littérature n’
é comme le caractère de la maîtresse de maison ; la fine et gracieuse
figure
de madame de Montcalm, retenue, quoique jeune enc
lle. Ma mère et ma sœur, exclusivement occupées de regarder la grande
figure
de l’auteur du Génie du Christianisme, sortirent
n esprit ordinaire. M. Bernard avait épousé Julie Matton, femme d’une
figure
qui présageait celle de sa fille. Le Lyonnais est
admirer de plus près. Marie-Antoinette s’extasia sur cette ravissante
figure
; elle la compara à celle de sa propre fille (dep
oulême, captive du Temple), du même âge que Juliette Bernard et d’une
figure
trop tôt flétrie par des deuils éternels. XXXI
se relèvent pour s’élancer plus haut dans les affaires. Séduisant de
figure
, aimant, aimable, léger, ami du luxe et de tous l
erchent hardiment pour épouses les femmes les plus renommées par leur
figure
, soit qu’ils redoutent moins que d’autres la célé
es, au palais Barberini de Rome, à contempler cette naïve et opulente
figure
de la belle Fornarina, dont l’attrait consuma Rap
imiter, les attitudes les plus naturelles et les plus articulées des
figures
de Phidias, dans les bas-reliefs du Parthénon. Le
l’homme sont sortis du même jet de son imagination pittoresque ; ses
figures
naissent toutes vêtues ; il a l’inspiration du ha
, le choix et l’ajustement de ses costumes sont tellement adaptés aux
figures
qu’on ne s’aperçoit pas si ces vestes, ces chemis
ns un petit enfant de trois mois, emmailloté comme une chrysalide. La
figure
de cette sposa, toute majestueuse et maternelle,
xpression profonde, variée, naïve, et pourtant auguste, de toutes ces
figures
; mais les attitudes, ces physionomies du corps ;
u sommet du char en concentrant le regard et l’intérêt sur toutes les
figures
en particulier, puis en reportant cet intérêt de
ue se déroule tout le drame muet du tableau. XXXIII La première
figure
qui attire le regard, au sommet du groupe, est ce
is d’un visage plus réfléchi, tourne et élève son joli visage vers la
figure
de son grand-père ; il semble lire dans les yeux
fait contraster la mort et l’enfance, est digne, par l’expression des
figures
et par la naïveté des poses, de Corrége, ce poète
ts qui ruissellent en mailles et en cordages sur ses pieds. Ces trois
figures
sont d’une mâle beauté qui rappelle aussi l’antiq
ces visages, à l’exception du jeune adolescent ; celui-là n’a sur la
figure
que la mâle fierté de son métier et la présomptio
-Ferato ; mais la divinité ici n’est que dans la tristesse : c’est la
figure
du pressentiment ; on voit, dans la mère malade,
lui servait d’atelier, il retouchait et modifiait infatigablement ses
figures
. Il finit par leur donner à toutes cette impressi
ait dans son horizon, sa tristesse était dans les physionomies de ses
figures
; le navire sur lequel cette famille va s’embarqu
e des Pêcheurs ; quand on parcourt la distance morale qu’il y a de la
figure
de la fiancée couronnée d’épis et de pavots, dans
ts, dansant devant les bœufs du tableau de la Madonna dell’Arco, à la
figure
de la jeune épouse transie des frissons du départ
es frissons du départ, pressant son nourrisson dans ses bras, ou à la
figure
de la femme âgée et mourante, voyant partir pour
; elle ne colorie pas assez la nature ; elle ne sculpte pas assez les
figures
sur la toile, par le jeu savant et puissant des j
és lancés à la mer avant l’âge. — Et que dit l’ensemble de toutes ces
figures
et de toutes ces physionomies répercutées les une
Examen du clair-obscur Si une
figure
est dans l’ombre, elle est trop ou trop peu ombré
t dans l’ombre, elle est trop ou trop peu ombrée, si la comparant aux
figures
plus éclairées et la faisant par la pensée avance
toutes deux également éclairées. Moyen technique de s’assurer si les
figures
sont ombrées sur le tableau comme elles le seraie
homme de son temps. Mieux un habit collerait sur les membres, plus la
figure
aurait la figure d’un homme de bois. Outre ce que
s. Mieux un habit collerait sur les membres, plus la figure aurait la
figure
d’un homme de bois. Outre ce que le peintre perdr
gence des caractères, combinés avec la loi de sélection naturelle. La
figure
ci-contre nous aidera à comprendre ce problème un
l arrive généralement dans l’ordre naturel, et comme le représente la
figure
sur laquelle les lettres sont placées à inégales
cumulées par sélection naturelle, ainsi que les lignes pointées de la
figure
le représentent. Chacune de ces lignes pointées,
ces lignes pointées, qui atteint l’une des lignes horizontales de la
figure
et s’y trouve marquée par une petite lettre, supp
systématique. Chaque intervalle entre deux lignes horizontales de la
figure
peut ainsi représenter un millier de générations
t pendant les mille générations suivantes. Après ce laps de temps, la
figure
suppose que la variété a1 a produit la variété a2
ront toujours s’accroissant en nombre et divergeant de caractères. La
figure
représente la série continuée jusqu’à la dix-mill
de transformation continue toujours d’agir aussi régulièrement que la
figure
le représente, bien que la figure elle-même soit
s d’agir aussi régulièrement que la figure le représente, bien que la
figure
elle-même soit à dessein irrégulière. Je suis loi
nts, et plus leur postérité modifiée a chance de s’accroître. Dans la
figure
, la ligne non interrompue de succession est brisé
tre en nombre aussi bien qu’à diverger en caractère : c’est ce que la
figure
représente par les diverses branches divergentes
s, et par conséquent les exterminer : c’est ce qui est indiqué sur la
figure
par celle des branches inférieures qui n’atteigne
s les générations successives. Ce cas se trouverait représenté sur la
figure
, si toutes les lignes qui procèdent de A étaient
omme des modifications survenues entre chaque ligne horizontale de la
figure
soit extrêmement petite, ces trois formes peuvent
uvelés, pour convertir ces trois formes ou espèces bien définies : la
figure
donne donc un exemple des degrés par lesquels les
mbre de générations, comme on le voit dans la partie supérieure de la
figure
sous une forme plus simple, nous obtenons huit es
s un grand genre, il est probable que plus d’une espèce varie. Sur la
figure
, j’ai supposé qu’une seconde espèce I a produit d
es plus divers dans l’économie de la nature ; c’est pourquoi, dans la
figure
, ce sont les deux espèces A et I, dont l’une occu
longue période à produire des descendants inaltérés : c’est ce que la
figure
indique par les lignes pointées droites qui parte
ie de ces lentes modifications, telle qu’elle est représentée dans la
figure
, la loi d’extinction aura joué aussi un rôle impo
rrence, les uns et les autres peuvent continuer d’exister. Si donc la
figure
qui précède est censée représenter une somme cons
s jusqu’à cette lointaine époque. Les nouvelles espèces qui, selon la
figure
, descendent des onze espèces originelles, seraien
térieur. Cette ramification généalogique se trouve représentée sur la
figure
, où des lignes brisées partent de chacune des let
ra sur-le-champ trouver quelques exemples d’un cas semblable. Dans la
figure
, nous avons considéré jusqu’ici chaque ligne hori
oit nécessairement limité à la seule formation des genres. Si dans la
figure
nous supposons que la somme des changements repré
ns divergentes que l’on suppose représentée par les intervalles de la
figure
. Or, ces deux nouvelles familles, ou ordres, sero
quelquefois représenté les affinités des êtres de même classe sous la
figure
d’un grand arbre : cette comparaison est très exa
e l’extension des lignées généalogiques ramifiées, comme le montre la
figure
; car de deux choses l’une : ou ces espèces ont u
lle. C’est un choc de cavalerie très-vif d’action, savamment composé,
figures
d’hommes et de chevaux bien dessinées et pleines
écier ! Il n’y a ici ni éclat, ni tumulte, ni fracas de couleur et de
figures
, rien de ce qui impose à la multitude, mais du re
our arrêter, pour intéresser avec si peu de chose. deux paysages avec
figures
. du même. On voit au premier de ces paysages à ga
on cheval. à droite, des eaux, d’autres passagers et un lointain. Les
figures
de la gauche, quoique très-agréables, sont un peu
orme et pratiquant à cette surface des enfoncemens, des saillies, les
figures
seraient venues plus en devant ; en laissant à ce
plane, il eût fallu varier le ton, et faire passer de l’air entre les
figures
et le rocher. Le second paysage dont je vais vous
J’ai eu en moi, toute la nuit, le sombre et concentré désespoir de sa
figure
, de sa voix, de son attitude. Le pauvre enfant !
veines de son front, et le laisse brisé de fatigue. * * * Dans cette
figure
aimée, où il y avait l’intelligence, l’ironie, ce
, sa manie ; il m’en persécute, du matin au soir, — et il faut que ma
figure
ait l’air d’écouter. * * * Peu à peu il se dépoui
ndée, au nom de cette raison. Il s’enferme dans un silence entêté, sa
figure
se couvre d’un nuage méchant, et apparaît en lui,
ions de son abaissement, de son humiliation… Depuis bien longtemps sa
figure
a désappris le rire, le sourire. 18 avril T
essemblaient à des envolées d’oiseau blessé, en même temps que sur sa
figure
apaisée, aux yeux congestionnés de sang, au front
alme relatif de la journée d’hier, je la sens à ce qu’elle met sur sa
figure
. Sur le blanc de l’oreiller, sa pauvre tête est r
ence, c’est bien horrible ! * * * Le jour arrive à cette heure sur sa
figure
, dessine les creux et les ombres des yeux et de l
s en plus l’expression d’une tête du Vinci ; et dans les traits de sa
figure
, je retrouve le mystère des yeux et l’énigme de l
un instant de reconnaissance des siens, ne doivent pas rencontrer une
figure
étrangère. Ma mère, sur votre lit de mort, vous m
? Lundi 20 juin, 5 heures du matin Le petit jour glisse sur sa
figure
qui a pris le jaune briqué et terreux de la mort.
lus je le regarde, plus j’étudie ses traits, plus je trouve sur cette
figure
un air de souffrance morale, que je n’ai vu persi
igre cadavre, à peine entrevu, un long paquet au linge rabattu sur la
figure
: « Doucement, ai-je dit, je sais bien qu’il est
; nous aimons la réflexion et la sagesse. Je laisse là le reste de la
figure
, et je vais m’occuper seulement de la tête. Cons
le poète dit, vero incessu patuit dea, il faut chercher en soi cette
figure
-là. Lorsqu’il dit, summa placidum caput extulit u
llez fondre. Allons, nigaud, tendez-moi ce jarret, déployez-moi cette
figure
; ce nez un peu au vent. Et quand il en aurait fa
dans le feu. Vous académiserez, vous redresserez, vous guinderez vos
figures
. Voulez-vous sentir, mon ami, cette différence ?
s étiez son homme ; vous ne l’êtes plus. Quand on considère certaines
figures
, certains caractères de tête de Raphael, des Carr
é ; et celui qui aveuglé par sa passion s’avisait de comparer quelque
figure
commune avec la Vénus de Gnide ou de Paphos, étai
age. Nous avons cependant quelques caractères traditionnels, quelques
figures
données par la peinture et par la sculpture. Pers
éprouve pas un léger sentiment de respect ? Que serait-ce donc si ces
figures
ne se présentaient jamais à la vue sans réveiller
4 pouces de haut. Zephire et Flore, morceau de plafond. Ce sont deux
figures
liées par des guirlandes sur un fond bleu. Le Zep
ond bleu. Le Zephire me paraît avoir de la légèreté. La Flore est une
figure
muette qui ne me dit rien. Ce morceau ne m’a appr
qui vient avec sa lampe surprendre et voir l’Amour endormi. Les deux
figures
sont de chair ; mais elles n’ont ni l’élégance, n
une grande simplicité de draperie, une élégance infinie dans toute la
figure
? je demande si cela y est ; de l’ingénuité, de l
entourant de lignes flottantes, amenant successivement en lumière les
figures
de sensibilité, de pensée, de croyance, qui, donn
tête du florilège Vers et Prose, évoque, comme le poète l’a voulu, sa
figure
en quelques traits sobres et choisis, de crayon.
ieur5. Mais je ne sais si l’on n’y trouve pas un peu les traits de la
figure
la plus générale, la plus extérieurement envelopp
le silence qu’à demi elle maintient, qu’elle écarte à demi. Ainsi la
figure
de courtoisie sous laquelle dès l’abord nous avon
ne respire que dans le rythme et ne parle que selon la rime. Il leur
figure
un paradis du poète, comme le paradis de l’Indien
isole dans ses objets familiers, indiquant, dès le Parnasse, sous une
figure
d’exotisme, la matière de ses derniers sonnets. C
et le mystère d’un Carrière. Je ne sais si le morceau saisissant des
Figures
dans la Nuit, dans l’Eve Future, n’aurait pas été
e sonnet, Tout orgueil fume-t-il d’un soir.., la concentration des
Figures
dans la Nuit. Le poète, le soir, à son feu qui s’
isément prête à la visite sublime, à l’inspiration, rare hélas ! à la
figure
survenue du Poète changé en lui-même par l’éterni
ant allume au métal du meuble, pris d’en bas en d’inflexibles serres,
figure
un Tombeau. De sorte que le motif familier du meu
la fois et sans se contredire, une précision nouvelle en l’animant de
figures
, une restriction ironique’ en alléguant que peut-
s intérieures du symbole mallarméen pourrait se rattacher à celui qui
figure
plus haut sur l’Intelligence de la Rareté. A Mada
au compte de celles-là, — la naissance poétique de formes, denuées à
figure
de Junon, qui bientôt, par le phénomène même de l
struments, le papier et l’encre, ses marges et son pliage. Singulière
figure
de pensée, immobilisée, comme la femme de Loth en
rs à ces chroniques de la Dernière Mode où, sans recherche et sous sa
figure
la plus transparente, se clarifie le génie de Mal
rveillez-vous de cet entrefilet de réclame, qui lance, en lui donnant
figure
d’Idée, l’article de M. Marliani, tapissier décor
— Et je rappelle que dans l’esthétique de Schopenhauer la musique ne
figure
plus une image des Idées, mais les Idées elles-mê
e notre négligence : y éveillant, pour décor, l’ambiguïté de quelques
figures
belles, aux intersections. La totale arabesque, q
e et les rinceaux d’une arabesque » et qui représentent, par-là, « la
figure
que demeure l’idée. » Le hasard « ne doit et pour
symbole naît d’une métaphore invétérée. Cette « ambiguïté de quelques
figures
belles » forme les images glorieuses de la poésie
ervir exactement à une autre, mais que chacune selon son moment ou la
figure
de son hasard en requiert une nouvelle. Descartes
mallarméen, le même décor atteint sa beauté de second degré lorsqu’il
figure
, lui aussi, une absence. Dans l’Orient désert q
s sous lequel le fait m’apparut en ce moment »97. Ce terme d’à propos
figure
un lien logique et nécessaire avec un ensemble, c
mé, que l’acte de donner un recul indéfini, des causes anciennes, une
figure
immémoriale, au moment soudain d’une amitié nouve
au passé, sous une apparence fausse de présent 98 ». Les actions que
figure
le mime sont tantôt des souvenirs et tantôt des p
e volonté patiente à conquérir, dans la misérable mesure humaine, une
figure
éternelle. De là naît pareillement son esthétique
Chateaubriand, et qui peut-être, selon une image qu’aimait Mallarmé,
figure
« en maint rameau subtil demeuré les vrais bois m
lin. L’expression des choses implique un ordre différent de celui que
figure
la succession brute des choses ; elle exige, par-
même trame reconnue notre intelligence du Poète. Chapitre XVI. La
figure
de la mort Lorsqu’en septembre 1898 mourut Mal
du par son beau sacrement de l’incorporation. Le Tombeau frêle de Poe
figure
une variante réduite du sarcophage sévère et mass
x sens du mot achèvement au fond ne diffèrent pas, et la mort, ou ses
figures
avant-courrières, donnent à toute perfection le s
nt de la mort parfaite qui chez d’autres plus favorisés arrête en une
figure
éternelle l’œuvre accomplie. Le grand metteur en
e s’est levé, en face du Napoléon de l’action, avec Chateaubriand, sa
figure
symétrique, le Napoléon du rêve. Le triple orguei
là son tombeau restait hanté par la Sainte-Hélène du Rival. Ce fut la
figure
réelle du Parnasse. Car alors, comme Philoxène au
ier honneur » du malheur et de l’isolement. Il exalte en Verlaine une
figure
d’héroïsme : « Seul, ô plusieurs qui trouverions
ilège126. » Seulement, cette Académie réelle n’est qu’un symbole, une
figure
qui mime une Académie idéale, et qui aurait tort
la Gloire ». La véritable Académie c’est l’assemblée de spectres où
figure
Milton, non l’assemblée des vivants où figura Scr
admirable demain. Au fait, jadis et demain n’étaient pour lui que des
figures
négligeables de ce qui demeure, non de ce qui doi
ue par rapport à ce temps Mallarmé assigne au Poète, n’est-il pas une
figure
momentanée de cette absence, de cette inutilité,
l’image écrite sous sa forme de métaphore, l’image construite en une
figure
d’art complexe et complète. Trois chapitres qui d
us une aile, s’apprêtent à vibrer, de sorte que la syllabe faible nul
figure
une corde tendue, dont la forte finale tième tire
par cette vision de soi et par cette ligne extérieure du geste qui la
figure
, cette voix se reconnaît et se retrouve, dans l’e
our le peintre, leur absence. Sans doute il goûte dans le blanc cette
figure
de l’Absence qui plane sur toute sa poésie, ce sy
re une image, franche celle-là et « nature » qui me paraît offrir une
figure
aussi de mouvement arrêté, et dont l’effet provie
ce et son poids, il donnerait ses cent derniers louis pour aplatir la
figure
de ce M. Loyal à qui les barons d’Auvergne, avant
s’enfonce aussi à un Occident de désirs pour le tout déployer. Il ne
figure
dans le vers que si Orgon le garde dans sa main.
tredise ce nom, que le « transport » n’y soit pas apparent, et que la
figure
paraisse née spontanément, par une nécessité et u
issociées. Entre le signe et ce qu’il signifie, l’image et ce qu’elle
figure
, existe une harmonie préétablie, l’accord d’une l
d’artiste. En dix lignes dix images qui se tiennent, se dérobent. La
figure
verbale, d’une fidèle harmonie, est déterminée pa
isseur des conventions accumulées, l’eau fluide. Chapitre III. Les
figures
J’entendrai par figure, faute d’autre mot, en
mulées, l’eau fluide. Chapitre III. Les figures J’entendrai par
figure
, faute d’autre mot, en un sens plastique, en un s
un spectacle mental. Peut-être trouvera-t-on artificiel de séparer la
figure
du Poème qui la réalise, mais je tiens, entre les
s deux chapitres précédents — qu’il existe chez lui deux types de ces
figures
, l’un qui se relie à son imagination visuelle et
ux154 ». Voilà le groupe d’images au moment où, se disposant dans une
figure
, il passe du mouvement au repos. La rêverie, dans
pressentiment du Balzac de Rodin. Il est curieux de retrouver la même
figure
dans une page de Schopenhauer que sans doute Mall
is à un ordre différent du nôtre156. » C’est aussi pour Mallarmé une
figure
, que, dans un espace, la rareté rendue plus préci
a publié là-dessus, dans une lettre aux Marges, une page admirable.)
Figure
encore du salon ou de la page que, dans la glace
rbe sans tiges des sept étoiles apparues. Mais généralement la grande
figure
, où les images autour d’une dominante s’enlacent
aire, mouvant. On en aura une idée nette en rapprochant en une idéale
figure
composite les trois qui suivent. Celle de Londres
e ta pâle clarté, Nuit blanche de glaçons et de neige cruelle ! Ces
figures
, dans leurs synthèses, ne disposent pas des table
rrière, leur centre dans un regard, dans une méditation. Et, sous une
figure
pareille, il esquisse de lui-même le portrait qu’
arceaux d’âge en âge, qu’illumine l’instant fugitif d’élus160. » Des
figures
arrêtées, comme telles visions plastiques d’Hérod
es figures arrêtées, comme telles visions plastiques d’Hérodiade, aux
figures
intérieures, flottantes et qui vivent, il y a pou
ve, vers la lumière. Comme point d’intersection de ces deux sortes de
figures
, qui nous rend très sensible leur rapport, voyez
déchéance. Rappelons-nous aussi, dans le Cygne de Baudelaire, la même
figure
d’exil. Un Cygne qui s’était évadé de sa cage E
s montrer juxtaposés, un peu hostiles, les deux ordres d’images et de
figures
qui en se distinguant se mettent l’un l’autre en
vont-ils s’épanouir au-dessus d’un envieux décor déserté ? Mais, des
figures
calmes et sculpturales aux figures de la flexion
envieux décor déserté ? Mais, des figures calmes et sculpturales aux
figures
de la flexion et du vol, des racines de la forêt
tes que je n’ai pas essayé de dissimuler, ordonnent d’elles-mêmes une
figure
que, symbolisée par ces quatre vers, nous pouvons
es qu’elle suggère, et en dehors desquelles elle n’est rien. Et cette
figure
, donnée aux mots, de pierres précieuses, revient
uste des ressorts de la langue que Victor Hugo écrit : Tout avait la
figure
intègre du bonheur… C’est trop peu d’être blanc,
tempête, (Victorieusement fui.) Voilà un vers à six accents, qui
figure
un coucher de soleil emblématique Cette surabonda
ésure entre les deux premiers accents (troisième et neuvième encore),
figure
rythmique qui reproduit le longtemps ; dans le tr
précie mieux. Le premier a été substitué par Mallarmé à cet autre qui
figure
dans la première version du Guignon La plupart
rt, sur la cinquième au lieu de la sixième, part une mesure en avant,
figure
exacte de prompt, et contraste avec le vers égal
pe seule que le vers reproduit ici dans sa substance et son dessin la
figure
qu’il évoque. Par la coupe plus que par l’accent
el, ou plutôt elle est la face plastique et visuelle de ce qui a pour
figure
auditive l’accent rythmique : d’abord elle évoque
ouple nageur. (Le Guignon.) Les poils blancs et les os de la maigre
figure
. (Les Fenêtres.) Non loin de trois grands cils
o est le surjet le plus saisissant que je connaisse. Le mot en surjet
figure
littéralement, tendue d’un geste véhément et sûr,
oleil sur les pierres, coller Les poils blancs et les os de sa maigre
figure
Aux fenêtres… (Les Fenêtres.) L’azur Séraphique
premier, laissant place à un vocable expressif qui a sa place dans la
figure
pittoresque du poème et nous évoque Saint-Amand.
enir sur ses trois pieds, appuyé sur ses deux voisins, paraît bien la
figure
mutilée et malchanceuse de la classique stance qu
nt plus désormais, les deux sonnets concordent dans le dessin de leur
figure
. Le deuxième vers, comme le premier, dont il port
curieusement mallarméen. L’assonance de oui et d’évanoui est comme la
figure
rythmique de l’affirmation. C’est le « je le main
gination du mouvement, il a demandé aux ressources propres du vers la
figure
de ce mouvement. J’ai cité plus haut, sur la rime
ent et des pages qui portent sa traîne. Mallarmé retrouvait en eux la
figure
de ce qui, chez lui, autour du vers concentré et
déchaussé à l’entour, isolé sur un piédestal, et qui tendrait à faire
figure
de ténor d’opéra. Conception opposée à celle du v
ui pèse davantage que celle de l’énumération. Il répugne à toutes les
figures
du développement régulier, mais plus encore à sa
ade plus difficile à composer, en poésie comme en peinture, c’est une
figure
seule. Beaucoup d’auteurs oublient cette loi de l
ier quatrain : le vieux décor, le vieux théâtre, sur qui la poussière
figure
la banalité, le déjà vu. Second quatrain : la vie
r, la page blanche. Qu’un écrivain avide d’encre trace péniblement la
figure
à gros traits : trois points, trois clous de diam
nèbre.) Larme ainsi rejeté détache cette forme pendante d’argent qui
figure
sur les tentures funèbres. Mais chez qui du rêve
r les mêmes raisons, soustraits à leur fonction de liaison pour faire
figure
de mots indépendants. « Les imaginations furent i
mprendre que l’anacoluthe et la syllepse sont, pour Mallarmé, non des
figures
de rhétorique, mais la condition même de son styl
un étrange absolu logique cette recherche de Mallarmé. Du tiret, qui
figure
un espace moindre que le blanc, l’emploi pst très
-nous la prépondérance, chez lui, des images motrices. La ponctuation
figure
un mouvement et les mots des arrêts. La pensée, p
icales qu’il a justifié ces conceptions de typographie. Une troisième
figure
de cette convergence de la musique et de la poési
rée », nous la voyons, et une beauté fille du temps s’enclôt dans une
figure
de l’espace. Non sans résistance, sans la conscie
me le symbole équivalent de tout. Ou plutôt ce n’est pas le livre qui
figure
le symbole de tout, c’est le reste qui de plus ou
de Somme ? ne groupait-elle pas, sous l’inspiration des docteurs, une
figure
des « relations entre tout » ? Et si, pour Mallar
s, si l’on craint quelque confusion avec certaine étiquette ridicule,
figure
cette artério-sclérose de l’esprit, qui achemine
résager la reprise, sur la musique, par le poète, de son bien « Je me
figure
par un indéracinable sans doute préjugé d’écrivai
vre moyen. Il a pensé le livre existant en lui-même, fixe, définitif,
figure
idéale d’éternité, — et pensé aussi le livre sou
usique et du ballet faisait à Mallarmé voir en l’un et en l’autre des
figures
de la synthèse poétique : suggestion avec la musi
ecture du livre qu’il exploite, fixer la souplesse de son rêve sur la
figure
nette et vulgaire d’interprètes, le réaliser dans
ts et lumière triomphale de Patrie, ou d’Honneur, de Paix339. » Cette
figure
du théâtre idéal il faut la confronter à celle de
aurait-on voir pressenti le drame de Maeterlinck ? Ce mystère sous la
figure
de la musique, dans lequel baigne le mélodrame, M
lence). Ainsi que le reploiement du livre, en l’épaisseur de coffret,
figure
une défense contre le « brutal espace déployé » d
espace pour le plonger dans le flot d’une idéale durée. Un tel ballet
figure
une vision plus précise que la nôtre, une imagina
rien352. » Cette synthèse de la poésie, de la musique et de la danse
figure
très bien, et logiquement, la fin idéale de la po
rappelons-nous le Phénomène Futur et la Déclaration Foraine — quelque
figure
muette de beauté pure. Et cette Rêverie d’un Poèt
tre véritable, où ne serait mis en lumière qu’un individu, les autres
figures
tenant un rôle de comparses et de symboles. Il ju
toujours la peine de les percer, dans la tapisserie359. » Polonius «
figure
comme découpée dans l’usure d’une tapisserie pare
ture élémentaire, un peu l’adolescent de Praxitèle qui, de l’ancienne
figure
mythologique, ne garde que les petites cornes dan
n’est plus rien qu’émoi d’amour. Il s’est levé dans l’extase des deux
figures
qui dédoublent la passion : simplement, comme dan
par lui quand il se met à l’œuvre ; elle vient former les flottantes
figures
animant les livres… Secret, ô mes aimables lectri
la forêt à laquelle ils tiennent pour la lumière où ils flottent, lui
figure
une conscience triste et déchue qui ne peut, pour
mble que, mise à sa place dans l’œuvre de Mallarmé, rapprochée de ses
figures
habituelles, comprise en harmonie avec son sentim
usique et les mêmes mots mêlent la femme et le poème, le rêve d’amour
figure
le rêve d’art et le rêve d’art symbolise le rêve
vient cet instinct de créer, comme Eve avec une côte de l’homme, une
figure
idéale avec une réalité, une figure vivante avec
Eve avec une côte de l’homme, une figure idéale avec une réalité, une
figure
vivante avec un rêve. Stance IV. — Aussi, après c
ur typographique de la Bouteille rabelaisienne retrouver un peu de sa
figure
dans Un Coup de Dés, dont le sujet est en somme c
de la mer : les deux imagés se répondent et l’une ramène l’autre. Des
figures
qui le déployaient dans l’espace (voile), le dram
re le personnage principal lui parut le lustre, il vit, dirait-on, la
figure
essentielle, l’Idée d’Hamlet, non dans le héros l
ère sur l’extrémité des bois. Et nous comprendrons mieux encore cette
figure
, point nouvelle en somme, en évoquant le panache
rise ce qui sous l’apparence de la plénitude est hâte, ce qui sous la
figure
de la pensée est bavardage : toutes les puérilité
M. Léon Dierx fut l’honorable lieutenant-colonel dans le salon de qui
figure
, entre deux combats, un héroïque drapeau. Et il a
ier pour attirer un lecteur. Il lui plut que le symbolisme gardât une
figure
hermétique. L’obscurité d’autrui était précieuse
e Mallarmé fut l’halluciné de l’art pour lui-même et pour lui seul il
figure
en effet l’accomplissement du Parnasse. Mais une
déployer, non sous la forme native et lyrique du chant, mais sous la
figure
littéraire ou livresque du paysage emblématique o
re. Dans ce mythe de Narcisse, on a vu — André Gide par exemple — une
figure
de l’idéalisme, et par-là son emploi se relie bie
mencera à se fausser ou à s’épuiser, reparaîtra, ombre et fantôme, la
figure
de l’art classique, du vieux roi dépossédé. Cette
besoin qu’en 1820 satisfirent plus glorieusement les Méditations. Il
figure
dans notre langue la tentative extrême pour libér
regarder comme son objet la construction et les relations de quelque
figure
, si « remarquable » qu’elle s’offre, mais s’élève
e et de prolongement formels ; nous concevons, dans un autre monde de
figures
verbales, — où leurs recherches théoriques ne fur
is négliger, en idée, aucune des possibilités qui volent autour d’une
figure
, elles appartiennent à l’original, même contre la
aires de notre forme, glaive, coupe, fleur, etc… » le dernier vers ne
figure
pas le lys, ne figure pas le faune, mais une méta
glaive, coupe, fleur, etc… » le dernier vers ne figure pas le lys, ne
figure
pas le faune, mais une métaphore qui résume dans
sonnet, presque sans mots, et d’une ligne, comme une fine statuette,
figure
l’Effort. Le dernier sonnet met à la fin du livre
met, schème de cet effort devenu patent, un signe double : la double
figure
de l’art mallarméen, perfection d’abord de fruit
peu probable et ce sont là des joies réservées aux seuls initiés. » (
Figures
contemporaines, p. 248). L’auteur à d’ailleurs so
ne inexplicable et pourtant bien réel, s’il est vrai que les diverses
figures
peintes d’un même comédien ne se ressemblent jama
). Peut-être de « l’air de théâtre » également répandu sur toutes ces
figures
. Peut-être aussi de l’uniformité des mentons rasé
que toutes les autres sont coiffées et habillées à peu près comme les
figures
allégoriques de la place de la Concorde. Je crois
s vrais Bouddhas ! Comme Bouddha, ils se résignent à revêtir diverses
figures
; ils font le sacrifice de celle qu’ils auraient
trop de couronnes, ni trop multiplier ce que nous prenons pour leurs
figures
, ni trop les décorer, ni trop les gorger de louan
nt. Ce peintre sait ordonner, et imaginer. Sa machine est grande. Ses
figures
se remuent. Il ne craint pas le travail. On repro
s. Les premiers ne sont que des génies tutélaires. Il a voulu que ces
figures
fussent aériennes ; et cette imagination me paraî
tagne en montagne. Si le peintre eût gardé cette proportion entre ses
figures
, les hommes auraient été des pygmées, et l’ouvrag
l fallait racheter la légèreté, la transparence et la fluidité de ces
figures
, par une énergie, une étrangeté, et une vie toute
xemple, ne convient qu’à un tableau où le peintre puisse donner à ses
figures
une certaine grandeur. Un pareil sujet ne veut pa
grandeur. Un pareil sujet ne veut pas être répresenté avec de petites
figures
destinées à l’embellissement d’un païsage. Un suj
ent d’un païsage. Un sujet grotesque ne veut pas être traité avec des
figures
aussi grandes que le naturel. Des figures plus gr
ut pas être traité avec des figures aussi grandes que le naturel. Des
figures
plus grandes que nature ne seroient point propres
brune et de la blonde : voilà les éléments de l’art. C’est une longue
figure
, soutenue sur deux longues jambes fluettes. La bl
e le peintre eût senti qu’elle manquait son but, si je le devine. Une
figure
toute nue n’est point indécente. Placez un linge
Venus lascive, à moins que ce linge ne descende jusqu’aux pieds de la
figure
. Que vous dirai-je de la couleur générale de ce m
d de couleurs. Point d’air. Point de repos. Un amas confus de petites
figures
pressées, toutes pareilles d’ajustements, de posi
d’en parler, il faut les voir. Quelle immense variété de scènes et de
figures
! Quelles eaux ! Quels ciels ! Quelle vérité ! Qu
ont autant de petits tableaux vrais et caractéristiques du local. Les
figures
en sont du dessin le plus correct. Comme la touch
l. Je ne trouve ni le conte, ni le tableau bien merveilleux. Les deux
figures
du peintre n’arrêtent, ni n’intéressent. On se ré
s vues de loin. Cela se peut, mais c’est une absurdité ; car pour les
figures
et pour moi qui m’assieds à côté d’elles, elles n
les Flaubert (le fils du vétérinaire de Nogent fait un peu, à Rouen,
figure
d’homme nouveau). Et surtout Le Poittevin est poè
llait fournir après tout les bourgeois pratiques du second Empire) la
figure
de son monde intérieur quand il écrit, l’année du
tologique de Flaubert. « Homais, dit Jules de Goncourt, me semble la
figure
réduite, pour les besoins du roman, du Garçon. »
r le Garçon Ernest Chevalier, Morin représente aux côtés de Jarry une
figure
analogue à celle de Chevalier près de Flaubert. C
ers et de mouches vertes. Il est curieux de signaler dans Agonies des
figures
de prêtres à la Courbet, et l’idée première de la
trice et de mère, et Flaubert verra toujours au sommet de l’amour une
figure
de maternité. Et enfin viennent les amours des fi
n dise ? » écrit-il à sa sœur. « C’est un homme comme un autre, d’une
figure
assez laide et d’un extérieur assez commun. Il a
partement dans la Cité, sur l’emplacement de l’Hôtel-Dieu actuel, qui
figure
dans l’Éducation sentimentale. Une nuit de 1843,
enveloppé par les provocations d’une femme, il avait d’abord la même
figure
de pâte molle que Léon. La nécessité de gagner sa
et dans l’horizon des montagnes. » Il n’est pas impossible que cette
figure
fine, lumineuse, orientale et mystique de celle q
; — sur ce fond lumineux où de chers fantômes me tendent les bras, la
figure
qui se détache le plus splendidement, c’est la vô
pour son compte, et fort bien. Son voyage en Orient ayant eu quelque
figure
de mission officielle et ayant été suivi d’un vag
che douleur de notre désir, au murmure des torrents de l’esprit et la
figure
tournée vers le soleil. » Mais si Madame Bovary
vary avec ses œuvres antérieures tirées de lui-même et qui avaient la
figure
d’autobiographies et de confessions. Mais Madame
tout un exercice de description, et la première Tentation porte bien
figure
d’œuvre objective. La vérité est que Flaubert sen
premier clerc Léon, dans cette liquidation du lyrisme, il y a, comme
figure
limite de l’artiste, le percepteur Binet, qui tou
ce de Flaubert comme les armes parlantes de son travail. L’une de ses
figures
est avec Binet à une extrémité du roman, mais à l
c Binet à une extrémité du roman, mais à l’autre extrémité il y a une
figure
totalement lyrique, il y a l’amour d’Emma qui, à
création, dit Flaubert, que Figaro, à côté de Sancho ! Comme on se le
figure
sur son âne, mangeant des oignons crus et talonna
in point de vue, la biographie individuelle qui donne au roman non sa
figure
principale, mais sa dimension extérieure dans la
c’est le désir d’être ailleurs, c’est du bovarysme, et le perruquier
figure
cette valeur et l’élément artiste. « Il se lament
anséniste que la Phèdre de Racine, et il a donné à la mort d’Emma une
figure
de damnation. Il a voulu que le démon y fût prése
e figure de damnation. Il a voulu que le démon y fût présent, sous la
figure
de l’aveugle, du monstre grimaçant entrevu dans c
vraiment sa seule raison d’être et arrive seule à lui donner quelque
figure
. Avant la promenade à cheval qui va consommer son
és, il a de quoi être bien accueilli dans le ménage. La vie d’artiste
figure
sur son horizon lointain comme sur celui d’Homais
r un soupirail resté présent dans son existence, elle prend une autre
figure
dans un corps d’amant qui n’est en effet qu’une o
r sensuel. « Il faut que jeunesse se passe » est une idée reçue. Léon
figure
cette jeunesse qui se passe, avec l’apparence qu’
e science certaine qu’elle va à une sorte de trappe noire qui prendra
figure
avec ce fiacre aux stores fermés où l’engouffre L
re page du Dictionnaire, mais une page consciente. Non seulement il y
figure
, comme tout le monde (« Il faudrait qu’après l’av
Allons plus loin. Valmont est un amant méchant et faux, mais il fait
figure
d’amant ; c’est, comme Néron, un artiste du mal.
notaire. Mais il semble que Flaubert veuille lui garder une certaine
figure
correcte. Que d’hommes aux nerfs délicats et trop
» Et en effet tous les hommes de Madame Bovary ont, sous différentes
figures
, ce trait commun, la lâcheté : Charles, Homais, L
e à faire rêver. Cela ne l’empêche pas de se voir à ses jours sous la
figure
de Binet. Et Binet, qui est après tout heureux, d
e. Ni lui, ni son gendre, ni sa fille ne savent se défendre. Ils font
figure
de victimes, et par usure passive disparaissent n
fortune des Bovary s’en va, celle de Lheureux s’édifie. S’il y a deux
figures
centrales dans Madame Bovary, comme dans Don Quic
édecins, n’a pas trop ridiculisé les médecins ; le docteur Larivière,
figure
de son père, est le seul personnage de Madame Bov
icier de santé, c’est-à-dire zéro pour une famille de docteurs, et la
figure
de Canivet est beaucoup plus dure pour les Norman
e aplomb. C’est par-là qu’il tient une place énorme, devient immense,
figure
vivante de la prospérité. Il s’occupe de tout, s’
tte d’Angleterre dans l’oraison funèbre. Ce génie oratoire met sur la
figure
d’Yonville une sorte de santé et un reflet de bon
contraire, Homais dépasse le pharmacien. Intellectuel d’Yonville, il
figure
le Voltaire local. Sa campagne de presse pour se
lique la politique sera la province. Homais fera au Sénat aussi bonne
figure
que beaucoup d’autres. Il ne sera pas plus à l’ét
que ce que Flaubert demandera à l’évocation historique, ce seront des
figures
comme celles de ses prétendues individualités dis
nications de Carthage avec nous sont à peu près coupées, que Carthage
figure
dans l’antiquité classique comme un bloc isolé, u
t sur Emma, dont il trouvait l’expiation trop dure. La Rome de Faguet
figure
d’ailleurs dans Madame Bovary. C’est Homais. Nous
t » qu’il rêvait depuis la Tentation, Flaubert voulait lui donner une
figure
réaliste : un Orient où l’on sentît que l’auteur
». Mais, en Égypte, la vision binoculaire implique pour lui une même
figure
dans deux milieux, dans une Flandre balzacienne e
és en nature féminine, il a créé jusqu’à un certain point en elle une
figure
de son vide intérieur, de ses désirs, de ses rêve
elle les bienfaits de la lune, et cela exprimé par l’artiste sous une
figure
de femme comme les mythologies l’exprimaient par
sous une figure de femme comme les mythologies l’exprimaient par une
figure
de déesse. Salammbô, Tanit, le zaïmph, ce sont tr
dans le plan d’extension de notre patrie littéraire, comme l’Algérie
figure
dans l’extension et dans le corps de la France. P
ble que l’artiste lui ait enlevé une côte pour en faire Salammbô, une
figure
de la femme prise dans les traditions de l’Orient
saye à desserrer, par les moyens qu’il connaît, cette fatalité. Et il
figure
le soldat mordu par le désir, ce désir de la bête
. C’est lui qui déclenche tout, à la fois Ulysse et Alcibiade sous la
figure
d’un Græculus, lui qui anime et pousse par ses ru
ne vit pas à la manière d’un personnage de roman, mais à celle d’une
figure
d’histoire dans Tite-Live ou Plutarque. Les pages
. C’est elle qui a imposé à tout un horizon littéraire une séductrice
figure
de la stérilité parmi les joyaux et les rêves. C’
n lui d’une façon extraordinaire le sens du grotesque. Tout un lot de
figures
bourgeoises, synthèse de l’espèce humaine, est pr
iversifient sur des registres différents la lignée de la vie manquée,
figure
qui a halluciné toute l’existence de Flaubert et
is tout disparut. » Tout le premier livre gardera ce rythme et cette
figure
de l’eau qui coule, de ce bateau sur une rivière
, sur les boulevards, « il se sentait tout écœuré par la bassesse des
figures
, la niaiserie des propos, la satisfaction imbécil
ai rêve, qui continue le faux rêve, sur l’oreiller de Frédéric. Cette
figure
de vie passivement rêvée que prend l’existence de
ins du jeune Parisien des romans. Louise est la seule jeune fille qui
figure
dans Flaubert (la vie de jeune fille d’Emma n’est
loir que celui de la Sanseverina. Emma et Salammbô, ce sont, sous des
figures
différentes, l’Ève éternelle, mais Mme Arnoux por
Flaubert l’a bien vue à la façon d’une madone en laquelle tout prend
figure
de calme, où la maternité tempère, achève, pacifi
de l’humanité. Frédéric et Mme Arnoux sont, par un certain côté, des
figures
analogues qui s’appellent et, par un autre, des f
ain côté, des figures analogues qui s’appellent et, par un autre, des
figures
contrastées qui se répondent. On peut appeler leu
t à elle seule ce qu’est le monde confus et romanesque pour Emma : la
figure
du bonheur. Aussi loin de la bonté indiscrète et
amour de ce genre, on peut se figurer cet amour d’une femme comme une
figure
jumelle de son amour de la beauté esthétique, lit
t « l’entrée au forum » et autres lieux à colonnades et à coupole. La
figure
de Mme Dambreuse est aussi parfaite en son genre
les-ci leur partie dans son éducation, sentimentale et autre, dans sa
figure
ou sa « tranche » de vie. La place de l’ami d’enf
ons, l’un est riche et l’autre pauvre. Dans les deux Éducations, l’un
figure
le sentiment et l’autre la volonté. Mais dans l’u
à Mme Arnoux paraît une charge ; en tout cas, elle exagère à peine la
figure
habituelle aux gens de sa sorte. Il a d’ailleurs
pe de vulgarité solide, épaisse, savoureuse. C’est, comme Homais, une
figure
aussi puissamment française que les personnages a
ntre du tableau, les valeurs claires. Les bords, les valeurs sombres,
figures
plus secondaires, c’est d’un côté le groupe des r
is et Bournisien, les deux masques alternés de la bêtise humaine. Ces
figures
tiennent les unes aux autres, en ce sens qu’elles
citations du hasard. S’il n’y a pas de Lheureux ni d’Homais parmi les
figures
principales, il y en a des traces dans ces figure
d’Homais parmi les figures principales, il y en a des traces dans ces
figures
secondaires. Et naturellement les gens qui réussi
tionnaire de 1848, c’est Dussardier. Il nous donne peut-être la seule
figure
fraîche et franche, belle et sympathique, qu’on r
Dickens et dans Alphonse Daudet, traverse le roman à peu près avec la
figure
dont Flaubert lui a vu traverser la vie. « Sénéca
prement et plus sarcastiquement ; on n’y trouve pas de Dussardier. La
figure
du grand bourgeois parlementaire, M. Dambreuse, e
urs mobilières considérables. » Dambreuse, comme Homais et Lheureux,
figure
l’existence réussie de prudence et d’astuce dans
e épreuve de ces grandes explosions volcaniques. Plus bas, l’affreuse
figure
du père Roques fait pendant chez les bourgeois à
aurait fait l’Éducation sentimentale en partie pour Sainte-Beuve. La
figure
de Mme Arnoux répondait en effet aux conseils que
tableau ; il eût aimé dans l’Éducation certaines scènes et certaines
figures
, mais le dessin général du roman ne l’eût pas séd
is de grands ennuis, de grands vides, des doutes qui me ricanent à la
figure
au milieu de mes satisfactions les plus naïves ;
tique. Sa vie déserte est pleine de tentations, matières à rêves et à
figures
d’art. « Peu à peu cependant une langueur a surgi
ion, qui date du moment où Baudelaire écrivait ses premières poésies,
figure
à peu près une rencontre de l’esprit des Fleurs d
n’est que la première allégée des longs discours. Le Cochon garde sa
figure
symbolique, mais tient moins de place. Flaubert p
ouverture musicale où tous les thèmes du livre s’expriment à nu, sans
figure
miraculeuse, et simplement comme les sentiments n
’état de grâce de l’artiste romantique. Il est naturel que la matière
figure
le point final et la tentation suprême dans cette
spect d’automatisme que prennent dans le passé comme dans le rêve les
figures
anciennes après avoir joué la pauvre comédie de l
notes. N’est-ce pas sur un rythme analogue à sa propre durée qu’il se
figure
et représente la vie de Félicité, qui perd l’une
de cette puissance des ténèbres que Flaubert a tenu à placer, sous la
figure
de l’Aveugle, près d’Emma Bovary comme un symbole
de l’antiquité judéo-romaine et du christianisme. Elle comportait les
figures
de femmes singulières et couvertes de joyaux qui
là-dedans, c’est la mine officielle d’Hérode (un vrai préfet), et la
figure
farouche d’Hérodias, une sorte de Cléopâtre et de
n’y a pas encore et où il n’y a plus d’histoire, et où, pourtant, la
figure
de l’histoire rôde, ici comme un pressentiment et
n authentique de Flaubert, et dont M. Céard, qui en était, a donné la
figure
dans Terrains à vendre, aurait pour homme représe
t un visage démocratique. Dans Madame Bovary, elle présentait la même
figure
dualiste, avec Homais et Bournisien. Mais c’étaie
eur à son être passager. La destinée d’un écrivain prend, elle aussi,
figure
de muse. Et l’œuvre de cette Muse consiste moins
it de la parodie, esprit à la fois puéril et vieux, lui fournît comme
figures
de la vie ces vieillards qui ont manqué leur vie,
re ce style reproduit l’évolution générique du roman, en allant de la
figure
épique à celle du roman proprement dit. Les image
sèrent. Zola écrira assez ridiculement : « Il avait toujours sa jolie
figure
inquiétante de gueuse ; mais un certain arrangeme
uccéder à ce mouvement une valeur de repos ; la diminution d’être que
figure
ce repos se traduit par une détente, une décroiss
faillante, tout en pleurs, avec un long frémissement et se cachant la
figure
, elle s’abandonna200. » « Des feux clairs brûlaie
adier, des épis ou des bluets. Pacifiques à leurs places, des mères à
figures
renfrognées portaient des turbans rouges213. » Tr
élargit autour de lui, et cette auréole qu’il avait, s’écartant de sa
figure
, s’étala plus loin pour illuminer d’autres rêves2
uand l’adverbe suit le verbe, la virgule peut suffire pour lui donner
figure
et valeur de rejet. « Par terre, aux coins de l’e
d il faut, le faisant servir, comme par piété filiale, à idéaliser en
figure
épique l’image de son père dans le docteur Larivi
e s’étonna d’entendre le physionomiste Zopyre déclarer qu’il avait la
figure
d’un homme fort vieux. « C’est vrai, dit Socrate,
s’est pas complu en lui-même et montre comme l’une de ses principales
figures
le désir de fuite qui le jette hors de lui. Flaub
« Il se tenait les bras croisés sur ses genoux, et, ainsi, levant la
figure
vers Emma, il la regardait de près, fixement. Ell
ts, elle essuya ses mains ; puis avec son mouchoir elle s’éventait la
figure
, tandis qu’à travers le battement de ses tempes e
II Le beau est donc l’objet poursuivi par le peintre, soit dans la
figure
, soit dans le paysage. Or qu’est-ce que le beau ?
éboire et l’amertume de la coupe d’ivresse, comme dans Joconde, cette
figure
tant de fois répétée par lui du plaisir cuisant ;
écrire aux enfants quand ils seraient d’âge. La mère était une belle
figure
des montagnes, usée par ces précoces maternités ;
ard sur la vie dans la naïve enfance. La fille aînée était une de ces
figures
qu’on ne voit pas deux fois dans le cours d’une v
upeaux. » La nature, le ciel, les eaux, les arbres, les animaux, les
figures
simples, graves et d’une gracieuse sévérité de tr
rt y prit le goût de la rectitude et de la sobriété des lignes de ses
figures
; il ne pouvait y prendre ni l’expression des phy
lui seul par des méditations solitaires et par des essais assidus. La
figure
humaine, dont la Suisse et dont sa propre famille
chercha plus que l’idéal. Quant à l’expression de la passion sur les
figures
, il n’eut point à la chercher : il la portait dan
amis qui lui survivaient. Ce tableau était le vrai piédestal de cette
figure
de madame de Staël, une conversation éloquente da
upes secondaires de son tableau ; mais il laissa toujours en blanc la
figure
de l’improvisatrice, ne trouvant rien, dans son i
nthousiasme de convention qu’il fallait nécessairement donner à cette
figure
de jeune fille du Nord, psalmodiant et pleurant d
ue Léopold Robert à un des confidents de son âme, de la beauté de ces
figures
italiennes, des mœurs antiques, des costumes pitt
i, qui n’ai jamais fait que des contadines (des paysannes). » « Cette
figure
de Corinne est ingrate à faire, poursuit-il quelq
ie le mâle visage de la sœur aînée de Thérésina, Maria Grazia : cette
figure
n’a que des passions vraies dans ses traits ; ell
e pain, l’huile et le fromage nécessaires au souper de sa famille. Sa
figure
est triste et résignée au fond, mais à la surface
ons terribles ou tendres des situations des poèmes qu’il récite. Les
figures
de jeunes matelots, de pasteurs, de femmes ou de
! voilà le tableau que Léopold substitue à l’instant sur la toile aux
figures
fausses et fardées de Corinne ! XXXII Regar
des masses qui en imposent par leur grandeur ; et le petit nombre de
figures
que l’artiste y a répandues m’ont paru de bon goû
iste y a répandues m’ont paru de bon goût. En général il faut peu de
figures
dans les temples, dans les ruines et les paysages
nt il ne faut presque point rompre le silence ; mais on exige que ces
figures
soient exquises. Ce sont communément des gens ou
de romans que ceux où « le cordon ombilical était coupé » et où « les
figures
tournaient ». Il jeta alors dans un tiroir son ro
’une seule et frêle ligne, ainsi qu’à la paroi d’un vase, tracé cette
figure
sacrée ; et elle fait la seule des figures antiqu
aroi d’un vase, tracé cette figure sacrée ; et elle fait la seule des
figures
antiques qu’une délicatesse secrète défendit à l’
ans le Discours de la Méthode, nous révèle ce collégien de La Flèche,
figure
olivâtre et maigre, aux cheveux noirs et aux yeux
la vie. Tandis que le roman de l’enfance épanouit l’ample et multiple
figure
d’un âge, le roman de l’adolescence, dans ce désa
gravité puissantes dont la musique nous soutiendrait encore : quelque
figure
visible, sous une forme ou sous une autre, — cabi
uperbes méditations dans une forêt, et comme finale quelque colossale
figure
de la science inhumaine, pareille à celle qui ter
iquant, commentant. Le vrai roman était, pour Taine, celui dont « les
figures
tournent » où « les choses et les gens existent c
les commentaires filandreux ne remontent embarrasser et assombrir les
figures
. Au contraire il arrive souvent que l’humour angl
Yonville (j’ai encore la phrase et le bruit dans l’oreille), c’est la
figure
du romancier ; la patache du Lion d’Or, la patach
Nicaise reste une servante peinte avec le même souci de vérité qu’une
figure
hollandaise. Mais Flaubert veut qu’elle dépasse l
ses qui dissolvaient toute l’action en idées, tous les personnages en
figures
, toute l’aventure en symbole. Il prétendait que s
l perspicace, ne tient pas. Si je cherchais dans Léopold Baillard une
figure
qui dût se lever dans une parfaite unité vivante,
massifs que l’on sait, La Colline correspond dans le second à ce que
figure
dans le premier Le Jardin de Bérénice. Léopold Ba
Bérénice. Léopold Baillard est construit comme la jeune Bérénice ; il
figure
une partie, qui s’anime, de la sensibilité du poè
lie, qui est la terre nationale du cinéma. Et le futurisme, en effet,
figure
bien le principe du cinéma, appliqué de façon ina
jour, une veuve de trente ans… » Ce Touriri, qui avait vers 1889 la
figure
d’Ernest Renan, voici que, pareil à ce portrait d
in de La Vieillesse d’Hélène, nous y laisse cette fois reconnaître sa
figure
à lui. Il paraît d’abord au lecteur que l’auteur
des trois séries de Marges, dans sa fantaisie apparente, dessiner une
figure
qui n’appartient qu’à elle, et qui marque, dans l
e subtilités et mère des hérésies. Le Renégat ne vise qu’à évoquer la
figure
de Saint-Louis. Panurge marié et Dulcinée mènent
ue dans le sac de sa ville persiste à tracer sur un sable fragile les
figures
d’une géométrie éternelle. Nous avons vu, ces cin
ier, et Le Justicier est né. Au milieu du Justicier se pose, comme sa
figure
principale, son personnage le plus vrai, de la fa
t il est aujourd’hui, je crois, directeur général des Téléphones ; il
figure
dans ces deux ou trois cents chefs techniques de
itude animée, bruissante de choses et d’êtres, peut-être sur terre la
figure
la plus juste du bonheur égal et constant. Cette
fait corps avec l’organisation, la respiration même du récit, il nous
figure
exactement le tas de bois qui s’échauffe et brûle
us qu’au monde des hommes. Nous reconnaissons en elles de somptueuses
figures
romantiques et symbolistes, sous les bijoux de qu
lle M. Benoit sait animer de vrais feuillages dans l’air autour de la
figure
d’Aurore. Et comme M. Benoit est un artiste adroi
gar Poe. Lui, qui a dessiné quelques-unes des plus pures et musicales
figures
de femmes qui soient, se fût gardé de les placer
ie, mais descendu par un vol inattendu de la destinée, et prenant une
figure
extraordinaire et lyrique. L’Amadis de Gaule et l
inattendu des événements analogue à celui qui est requis au théâtre,
figure
comme élément secondaire et utile dans le roman n
qu’un motif idéologique, et dont le symbolisme a donné autrefois deux
figures
presque jumelles, avec Le Voyage d’Urien d’André
, créent des amitiés, deviennent peu à peu les murs, les arceaux, les
figures
, les saints d’une chapelle. Je suppose que M. Pie
heur. Notre vie littéraire, fatiguée et sensuelle, tend à prendre une
figure
de ce genre : laissons-lui donner les fleurs de s
ion j’accorde volontiers, je transporte encore au monde intérieur les
figures
de l’Église militante et de l’Église triomphante
le des Goncourt s’est arrêtée vers 1890, et c’est sous une tout autre
figure
que le symbolisme a repris et développé cet art d
bolisme, dont les Moralités légendaires nous permettent d’imaginer la
figure
. Faute de Laforgue ce roman est resté en puissanc
ltueusement Rimbaud, et nous le voyons qui porte à ses deux côtés les
figures
exactes d’une peinture et d’une musique, celle de
s cesse recommençante et neuve, sans cesse ramassée pour embrasser la
figure
tendre de l’instant ; — et enfin une intelligence
re son premier lecteur, c’est s’ouvrir à une page-neuve, acquérir une
figure
d’abord contenue en lui de façon indistincte, com
drales, nymphes ou peupliers. Plus justement il semble que toutes ces
figures
soient créées comme Ève d’une de ses côtes, et no
de M. Barrès. J’ai essayé ailleurs de montrer comment les principales
figures
de roman chez celui-ci, Philippe, Simon, Bérénice
ann et Baillard représentent des variantes d’un type élémentaire, des
figures
de l’auteur, les uns comme Philippe et Sturel aut
n même temps que celui de Spencer, peut nous aider à reconnaître deux
figures
tout à fait contrastées de l’Angleterre, comme El
out au moins à ramasser la durée, à contracter le personnage dans une
figure
plastique, dans un caractère fixe, et son action
ué comment ils l’étaient devenus, elle a toujours refusé d’animer une
figure
qui fût destinée par sa naissance au mal, à la so
ermettent de rêver à une littérature musulmane de demain, à une belle
figure
méditerranéenne. Enfin, ils nous apportent des id
lie, apparaît dans le passé comme une œuvre d’art curieuse, comme une
figure
plastique du bonheur ou du malheur humain, mais q
ob s’avance, la cigarette, la lèvre, le menton, le regard et toute la
figure
pendant abandonnés et gouailleurs, sous le barda
ls ont levé sur des nations écroulées et sur des idées en ruines, des
figures
de marbre qui se dévoilent à peine et nous éclair
nt ces deux romans d’Islam nous apportent, à cette heure précise, une
figure
d’Orient. Entre les figures d’Occident, nous n’av
nous apportent, à cette heure précise, une figure d’Orient. Entre les
figures
d’Occident, nous n’avons que l’embarras du choix
uccès — d’une sensibilité très fine et toute féminisée, est devenu la
figure
centrale d’une sorte de féminisme planétaire. (Le
à La Nouvelle Héloïse « les sources de la morale romanesque » et les
figures
du féminisme au moment où il se dédouble en un my
e hiatus entre la France du moyen âge et la France de la Renaissance,
figure
, dans l’ordre littéraire, un trait français origi
rs les héroïnes de Shakespeare) une des plus attachantes et curieuses
figures
de tout le roman français. M. Saintsbury insiste
l’élite protestante prenait dans le monde de la bourgeoisie française
figure
de Mentor et d’éducatrice. Peut-être cette classi
veut, ou par et, car Adolphe présente selon les cas chacune des trois
figures
. Promis par ses talents au plus éclatant avenir,
actère de nihilisme sec qu’on y voit quelquefois, à travers certaines
figures
de la vie de Constant. Il est plus près de Rousse
’Adolphe — la mémoire et l’habitude qu’il a déposées en retiennent la
figure
, suffisent à en maintenir l’image, à enchaîner bo
. Un aveugle-né dans une famille, dans une histoire, y fait un peu la
figure
de l’Ingénu ou de Micromégas dans un roman de Vol
i par le dévouement de sa femme, et cette guérison prend elle-même la
figure
d’une maladie puisque Michel y perd la pitié, l’a
, mais, sur on autre registre, dans la même mesure. Comme Gertrude il
figure
un aveugle au milieu de clairvoyants, et le princ
airvoyante elle voit que cette parole et cette âme correspondent à la
figure
de Jacques. Son monde ancien et son monde nouveau
qu’il pouvait bâtir un roman avec sa vie et celle de ses voisins, la
figure
de son adjudant ou de son chef de bureau. Et cett
e. Paul Alexis, que MM. Deffoux et Zavie nomment l’ombre de Zola, n’y
figure
que pour mémoire, et, sans parler de son fameux t
me temps le roman anglais avec George Eliot. Et Eliot lui donnait une
figure
bienfaisante, constructrice, fortifiante qui cont
une volonté aussi infinie que celle de son génie : telles les grandes
figures
d’Homère ou de Milton, de Shakespeare ou de Corne
us grands écrivains du xixe siècle ont essayé de mettre sur pied une
figure
de Napoléon : ni Hugo, ni Vigny, ni Tolstoï n’ont
re son personnage de chic, de représenter non un vrai savant, mais la
figure
conventionnelle que prend le savant dans l’imagin
s, ni par lui ni par un autre, sous leur forme pure et totale, en une
figure
artistique, en une image du génie. « Le paradis,
mancier aura infiniment plus de chances de réaliser comme vivante une
figure
de raté comme le Maurice de Cordouan de Fumées da
e raté comme le Maurice de Cordouan de Fumées dans la Campagne qu’une
figure
de génie achevé et sublime comme Joachim Prémery.
us la forme d’un cygne, la Terre n’apparaît-elle pas à Newton sous la
figure
d’une pomme ? (à Ève aussi). Suzanne, île de Suza
u point en transportant ce monde dans une île, en symbolisant sur une
figure
de jeune fille l’imagination de M. Giraudoux. Il
anglais écrite par un Français ferait, de l’autre côté de l’eau, une
figure
symétrique à l’History of the French Novel. Certe
la troisième étant celle de la France du xviie siècle, le roman fait
figure
de parent pauvre. Quand il s’enrichit, c’est, com
onde, il a tracé le premier, pour une action et pour une époque, leur
figure
extérieure, leur schème. * * * Cette conversion i
uveler le roman. La littérature française a pris depuis quelque temps
figure
d’un champ de bataille politique. Dans cinquante
plus large) il n’y a littérature que là où il y a style, et le style
figure
pour nous un plaisir qui en évoque lointainement
urd’hui pour cueillir et placer dans son roman, exquisément écrit, la
figure
d’une petite femme toute charmante et bonne, qui
le est libre et spontanée chez son héroïne, suffisent pour donner une
figure
nouvelle au plus traditionnel thème du roman fran
n) ne sera guère admis par le public littéraire. Ce sera toujours une
figure
plus ou moins ridicule ou odieuse. Il n’en est pa
joie et de sourire qu’est la Touraine, de jeunes époux réalisent une
figure
de bonheur aussi agréable à regarder qu’un beau t
faut plonger ses racines dans un sol propice ; et les taupes, sous la
figure
de l’avarice et de l’envie, sont à l’œuvre, les t
porte d’un mystère, et qui imposent à notre vision la présence d’une
figure
anxieuse, de même que le style de certitude lui i
anxieuse, de même que le style de certitude lui imposait celle d’une
figure
impérieuse et satisfaite, et le style de découver
igure impérieuse et satisfaite, et le style de découverte celle d’une
figure
chercheuse : le type saisissant de ce style d’inq
point Morand, on ne reconnaîtra pas davantage en eux une école ou une
figure
d’énergie. Giraudoux, parti de bon matin dans la
ts, de soleil. L’argent, la machine, le corps humain, voilà les trois
figures
d’énergie ; les trois sections d’une énergétique
es lignes de la nouvelle, bien bâtie à la française (et dont le thème
figure
d’ailleurs dans un chapitre de la première partie
dont Les Thibault de Roger Martin du Gard, représentent peut-être la
figure
la plus importante. Qu’est-ce que Les Thibault ?
côté de la critique catholique, des réclamations fort vives contre la
figure
caricaturale, un peu proche des Caves du Vatican,
s et de nos petites villes. Je ne prétends pas épuiser ici toutes les
figures
du roman urbain. J’en indiquerai quelques-unes, e
e Flaubert dans Salammbô, les écrivains symbolisent volontiers en une
figure
de femme, ou de jeune fille, la ville dont ils on
t en Mireille une journée provençale, et la vieille terre fournit ses
figures
en mouvement au courrier de cabinet comme elle fo
igures en mouvement au courrier de cabinet comme elle fournissait ses
figures
en repos au paysan bachelier. L’agrément poétique
riant. François posa un gros baiser sur les joues de Mahaut, dont la
figure
prit une expression méchante. Elle en voulait à s
ut court conviendrait si bien à une collection chrétienne ! Celui qui
figure
comme sceptre dans les instruments de la Passion
oilà un traitement romanesque ou romancé du problème religieux, de sa
figure
sociale, et qui appartient avec évidence, et par
lumière qui tue les mauvais microbes. Et je lui ai toujours vu cette
figure
chez les philosophes. Sa vie est organisée de man
iscutable. Mais, quelle que soit la fidélité historique du miroir, la
figure
de ses prêtres, les premiers qui paraissent dans
emmes, c’est, entre les Grecs et les Troyens, un butin de guerre, qui
figure
parmi les trésors que Pâris a enlevés à Ménélas.
le Retour (distingué de la Télémakhie et des Erreurs) autour de deux
figures
mélancoliques de femmes pour lesquelles des homme
r se soumet en quelque sorte à ses lecteurs en faisant imiter par les
figures
de son roman les conditions de ses lecteurs, et i
e valent et ne sont nommés que les grands pics. J’ai crayonné ici une
figure
du roman vu non pas du côté de sa vie objective,
poque où presque toute la littérature de guerre était modelée par des
figures
, des habitudes et des procédés d’avant-guerre. Le
yait dans Suzanne et le Pacifique, M. Giraudoux lui a donné une autre
figure
encore dans Siegfried et le Limousin. Évidemment
nc ces tableaux de murailles pour les gens qui ne savent pas faire la
figure
. » La figure humaine, cette figure d’un être que
ux de murailles pour les gens qui ne savent pas faire la figure. » La
figure
humaine, cette figure d’un être que l’Écriture no
es gens qui ne savent pas faire la figure. » La figure humaine, cette
figure
d’un être que l’Écriture nous apprend avoir été f
aël, même en les ayant vues ainsi réunies, eût cherché à exprimer les
figures
juives avec ce caractère marqué et absolu que leu
e des brigands et des paysannes… C’est un sujet trop difficile. Cette
figure
de Corinne est ingrate à faire, car on ne sait qu
mmençait à se lasser de ne faire que de petits tableaux à une ou deux
figures
et de les répéter. La nécessité le lui commandait
e l’île de Procida : « Comme le costume était assez pittoresque et la
figure
jolie, elle a plu au roi, et il me l’a prise. » M
Ingres, vont chercher dans le cœur les expressions qui animent leurs
figures
, mettent plus de lenteur ; ils cherchent ce qu’il
du polygone pur, c’est-à-dire abstrait ; car le polygone pur est une
figure
à plusieurs côtés, sans que ces côtés fassent un
peupliers, je prononce le mot arbre, je ne trouve pas en moi-même une
figure
colorée qui soit l’arbre en général ; car l’arbre
et tâchent de circonscrire un espace, sans que je sache encore si la
figure
qui est en train de naître sera quadrilatère ou p
presque rigoureusement ce qui constitue l’animal. Le triangle est une
figure
fermée par trois lignes qui se coupent deux à deu
est donc autre que ce que j’imagine, et ma conception n’est point la
figure
vacillante qui l’accompagne. — Mais d’autre part
d’abord des souvenirs ; on revoit intérieurement telle rose et blonde
figure
demi-penchée, tel grand vieillard majestueusement
e et générale un petit événement particulier et complexe, un son, une
figure
facile à imaginer et à reproduire ; nous rendons
ein midi au jardin, et enfin le soleil forment une de ces classes. La
figure
de la bonne ou de la mère disparaissant derrière
e ; il la saisit, et il se rend capable en un jour de mettre dans les
figures
qu’il fait pour représenter le pere éternel le ca
vre de la création, lorsque l’avanture dont je vais parler arriva. La
figure
qui représente Dieu le pere dans ces trois tablea
’étoit imaginé qu’il falloit que l’artisan, qui faisoit une si grande
figure
dans le monde, fût d’un mérite bien superieur au
’être à de nouvelles idées, est capable en même-temps de produire des
figures
nouvelles, et de créer des tours nouveaux pour le
oit pour varier les airs de tête, qu’il vouloit donner de l’ame à ses
figures
, qu’il dessinoit le nud sous les drapperies, enfi
e. Comme il n’y a point de mérite à dérober une tête à Raphaël ou une
figure
au Dominiquin : comme le larcin se fait sans gran
ais comme il faut du talent et du travail pour animer le marbre d’une
figure
antique, et pour faire d’une statuë un personnage
vient d’admirer, et remporter dans son portefeüille une partie de ses
figures
. Un homme sans génie n’est point capable de conve
ente de copier ce qu’il a dessous les yeux. Il emportera donc une des
figures
, mais il n’apprendra point à traiter dans le même
es figures, mais il n’apprendra point à traiter dans le même goût une
figure
qui seroit de son invention. L’homme de génie dev
ce, que de leurs pinceaux. Ils faisoient sortir de la bouche de leurs
figures
par une précaution bizarre, des rouleaux sur lesq
x sur lesquels ils écrivoient ce qu’ils prétendoient faire dire à ces
figures
indolentes ; c’étoit-là veritablement faire parle
à ces figures indolentes ; c’étoit-là veritablement faire parler ces
figures
. Les rouleaux dont je parle se sont anéantis avec
r tournure naturelle, de l’habitude du corps, de la contenance, de la
figure
de la tête, de la physionomie, du feu, du mouveme
acterisée par ses principaux bâtimens et par ses tours, n’est pas une
figure
connuë en France generalement comme elle l’est en
ulpteurs le répresentent ordinairement, n’est pas d’un autre côté une
figure
aussi connuë en Italie qu’elle l’est en France. L
’air du visage et des habillemens de ceux qui ont fait la plus grande
figure
dans ces tems-là. Mais une tête de Henri IV ne fe
tier pauvre. En s’y promenant, il prit goût tout d’abord aux types de
figures
qui l’environnaient, et il y élut en quelque sort
voleurs, si différents de ceux de France, les filous (pick pockets) à
figures
si aiguës, si tranchées, les boxeurs au type anim
varni ne s’en tint pas à Londres et à ses spectacles journaliers, aux
figures
de marins, aux nourrices de Saint-Giles, aux buve
bourg (l’élégance même, nu-pieds et en lambeaux), et toutes sortes de
figures
rustiques et campagnardes (Rustic groups of figur
toutes sortes de figures rustiques et campagnardes (Rustic groups of
figures
), très beaux dessins publiés par Day à Londres. M
ncolie et le spleen final de Childe-Harold et d’Oswald, à ces longues
figures
aristocratiques plus allongées que de coutume, on
nêteté de la chose. IV. Pour voir et pour rendre tant de scènes et de
figures
, comment s’y prend Gavarni ? A-t-il eu besoin pré
urir son crayon à l’aventure, sauf à corriger. Jamais il n’a fait une
figure
sans en avoir ridée nette dans son imagination ;
r Bouddha et sa religion, devait aller — de son chef — à cette grande
figure
de Mahomet, qui nous apparaît, en ce moment, comm
grande figure de Mahomet, qui nous apparaît, en ce moment, comme une
figure
neuve en histoire, tant jusqu’ici elle avait été
us lourd et plus chargé de l’électricité divine… IV C’est cette
figure
de Mahomet si longtemps déguisée par l’ignorance,
i d’épileptique. À la place de ces caricatures historiques, il y a la
figure
du grand homme, doux et inspiré, qui apprit aux A
tien ne peut comparer à personne, Mahomet est une des trois ou quatre
figures
qui dominent l’humanité et son histoire. Barthéle
IV. Propriétés géométriques et mécaniques des corps. — L’étendue, la
figure
, la situation, la mobilité. — Ces notions jointes
ns analogues. Prenez la plus simple de toutes, celle que provoque une
figure
reflétée dans une glace ; si la glace est bien pu
r est bien ménagé et si vous n’êtes pas prévenu, vous croirez voir la
figure
devant vos yeux à un endroit où il n’y a que des
faiblement sonore, d’un brun rougeâtre, de telle grandeur et de telle
figure
, bref d’un être ou substance, doué des qualités o
endue, la résistance, la gravité, la dureté, le poli, la sonorité, la
figure
, et enfin la plus générale de toutes, l’existence
pas seulement relatives à des sensations ; telles sont l’étendue, la
figure
, la mobilité, la situation, toutes propriétés géo
Or, limite signifie cessation ; la surface, la ligne, le point et les
figures
qui en dérivent ne sont donc que des points de vu
ance. Sa limite est le moment où cesse la sensation de résistance. Sa
figure
est l’ensemble de ses limites. Nous le concevons
elles, dans la relation d’une cause à ses effets, ou d’une étoffe aux
figures
qui sont peintes dessus, ou d’une racine à sa tig
sibilité permanente de sensation. Mais la majorité des philosophes se
figure
qu’elle est quelque chose de plus ; et les autres
as à nous, mais au corps ; nous disons qu’il a changé de position, de
figure
, d’étendue, de température, de couleur, de saveur
précis sous telles conditions précises ; il peut changer de lieu, de
figure
, de grandeur, de consistance, de couleur, d’odeur
elles sensations musculaires et tactiles de résistance, d’étendue, de
figure
et d’emplacement, telles sensations de températur
ions, il doit éprouver tels changements de consistance, d’étendue, de
figure
, de position, de température, de saveur, de coule
ns tel autre corps tel changement de consistance, ou d’étendue, ou de
figure
, ou de position, ou de température, ou de saveur,
d’un couple étrange. C’est un homme à longs cheveux gris, d’une jolie
figure
fatiguée, l’œil vif, souriant et pénétrant et car
t vêtue de loques de modèle, arrangées par Eugène Giraud, et avait la
figure
couverte d’un affreux masque en fil de fer, qui l
e physionomie de Sainte-Beuve, de ses trois têtes, qu’il appelle : sa
figure
Balzac, sa figure Hugo, sa figure Michelet, lorsq
ainte-Beuve, de ses trois têtes, qu’il appelle : sa figure Balzac, sa
figure
Hugo, sa figure Michelet, lorsqu’on parlait de ce
ses trois têtes, qu’il appelle : sa figure Balzac, sa figure Hugo, sa
figure
Michelet, lorsqu’on parlait de ces trois individu
parence fantomatique et malsaine, — avec seulement de l’esprit sur la
figure
. * * * — Je suis couché avec la migraine, et les
lles qu’elles ont comme du blanc de champignon, comme du moisi sur la
figure
. Puis tout à coup au milieu de cela, un homme ath
nnant, de toute la volée de ses poings terribles, des coups en pleine
figure
, sans que l’autre riposte, et jusqu’à ce qu’il to
de Hugo, c’est Henri Heine qui est sur le tapis. On le voit bien à la
figure
de Sainte-Beuve. Gautier chante l’éloge physique
s de chimères chinoises dans de l’ébène. 21 août Une singulière
figure
que cet abbé Migne, ce manufacturier de bouquins
me de Solms. C’était le soir. La lune le frappa tout à coup en pleine
figure
, et cette lumière décomposant toute la chimie des
, des cartes militaires. Balzac arrivait avec la taille massive et la
figure
monacale de ses portraits. Il portait le costume
cesse pas, la souffrance qui traverse visiblement l’expression de sa
figure
, l’absorption qui la fait muette, enfin tout cet
on pose sur les matelas : c’était la naine… Ah ! l’affreuse créature…
Figure
-toi une vilaine tête d’homme brun sur un énorme c
a les lui casser, pour la faire boire. » * * * — Mon Dieu, que cette
figure
de Mme Récamier m’ennuie ! Elle m’apparaît comme
norint, agricolas , et ne distingueraient pas l’avoine de l’orge. Les
figures
de ses romans se détachent ordinairement sur des
it peut-être pas une description plus serrée et plus travaillée les
figures
vont bien au paysage ; ce sont le plus souvent de
nesques, qui pleurent comme Werther et rient comme Figaro ; de douces
figures
de femmes dans toute leur blonde simplicité allem
aux Camelias. Son salon était toujours aussi brillant : de nouvelles
figures
s’y étaient glissées parmi les anciennes : Victor
à la tête ; il a la chaussure et la coiffure, le linge et l’habit, la
figure
et les yeux, la voix et l’accent du type qu’il ve
s ces silhouettes découpées sur le vif, se détache majestueusement la
figure
monumentale de Joseph Prud-homme, élève de Brard
e de granit recouverte de chênes. Il personnifia la Bretagne dans la
figure
de Marie, doux symbole de la patrie absente et re
t présenter de trivial ou d’irrégulier. L’expression habituelle de la
figure
était une sorte d’hilarité puissante, de joie rab
les mémoires : celles des lieux, des noms, des mots, des choses, des
figures
; non-seulement il se rappelait les objets à volo
dans le Code : le Contrat de mariage, où il met aux prises, sous les
figures
de Matthias et de Solonnet, l’ancien et le nouvea
pensée avait gauchi à l’exécution, qu’un épisode prédominait, qu’une
figure
qu’il voulait secondaire pour l’effet général sai
parfait bien-être, une jubilation profonde se peignaient alors sur sa
figure
, quoique souvent il fût à jeun, et qu’il trottât
elle que la déesse avait la taille bien lourde et ne ferait pas bonne
figure
chez mesdames de Beauséant, de Listomère ou d’Esp
ut s’y conformer qu’à rendre des idées générales, et qu’à peindre des
figures
conventionnelles dans un milieu vague. Pour expri
ces de l’art. Il prépare des fonds sombres et frottés de bitume à ses
figures
lumineuses, il met des fonds blancs derrière ses
bitume à ses figures lumineuses, il met des fonds blancs derrière ses
figures
brunes. Comme Rembrandt, il pique à propos la pai
un écrivain de moindre génie eût fait un portrait, Balzac a fait une
figure
. Les hommes n’ont pas tant de muscles que Michel-
immoralité que lui adresseront des esprits mal faits, il dénombre les
figures
irréprochables comme vertu qui se trouvent dans l
ron, le juge Popinot, Bourgeat, les Sauviat, les Tascherons, etc. Les
figures
de coquins ne manquent pas, il est vrai, dans la
comme il tourne à la dérobée son œil attendri vers cette muraille où
figure
près d’un Clodion le profil de Mimi ou de Musette
c’est la couleur des lettres, car le reflet du papier s’attache à nos
figures
mais jamais nous n’aurions imaginé que c’était n
; ce sont des fantaisies étranges, des paysages de l’autre monde, des
figures
inconnues qu’il vous semble avoir vues ailleurs,
ent tomber des serpents sur les toits, et qui fait une si pittoresque
figure
sur son plateau de rocher au bord du gouffre que
voudrions faire ici ; mais notre désir serait de dégager cette grande
figure
de la pénombre dont elle se voilait depuis quelqu
ui la campagne ; il la peignait en passant, pour servir de fond à ses
figures
, avec la touche sèche et maigre d’un Demarne ; ma
u littérateur, et nous n’en avons guère la force. Toujours cette pâle
figure
du frère qui semblait reflétée par une lueur de
premier plus grand que l’autre ; ils ne se ressemblaient pas même de
figure
; mais l’on sentait qu’une âme unique habitait ce
reux parmi le chœur verdâtre, élégiaque et byronien des romantiques ;
figure
originale et réjouie, vraiment française. Romanti
é en 1839 — Mort en 1873 Albert Glatigny est une des plus étranges
figures
de ce temps, qui ne manque pourtant pas d’origina
lorsqu’il voit l’admiration pour sa chère forêt se peindre sur votre
figure
; confiez-vous à lui et n’ayez aucune crainte, il
s de Tempé et les bords du Sperchius ornés d’arbres historiques et de
figures
fabuleuses. Une diligence arrêtée à l’entrée d’un
ux, et qui fit sur moi l’impression la plus vive. Il avait une de ces
figures
qu’on n’oublie pas. Son teint naturel disparaissa
e que c’est ? On entre dans un navire, on est fort gai. Peu à peu les
figures
changent, l’une s’allonge, l’autre s’élargit, une
voir et à dessiner dans les bazars et les places publiques toutes ces
figures
si noblement déguenillées. Quelle différence avec
sont la chose la plus extraordinaire que j’aie jamais vue. Il y a des
figures
parmi eux qui sont absolument semblables à celles
s, et notre tournure… c’est à décrire ! Représente-toi quatre ou cinq
figures
de différentes couleurs, selon l’effet du soleil
x ; l’autre avait sur le nez une immense vessie ou ampoule, et sur la
figure
autant d’autres, petites comme les enfants de la
et plus livide à mesure qu’on approche davantage du désert. Qu’on se
figure
au milieu de cette désolation trois ou quatre mil
o dans l’atelier de Cimabué. On n’a pas encore oublié cette charmante
figure
du jeune pâtre à demi vêtu d’un bout de haillon e
ls d’or s’embrouillaient avec les rayons de l’auréole. Cette adorable
figure
, phosphorescente de lumière, ayant pour ombres de
che et sanglante sur une crête de collines sombres, sert de fond à la
figure
de Judith, qui d’une main tient le glaive, et de
s cette atmosphère de feux de Bengale se déroule toute une théorie de
figures
angéliques montant et descendant l’échelle mystér
oureur, les grappes de la vigne, les fruits des jardins précèdent les
figures
qui tiennent les symboles de la musique, de l’arc
élève. Ceux qui accusent Ingres de froideur n’ont certes pas vu cette
figure
si vivace, si âpre, si robuste, qui semble vous s
t souvent en une journée Ingres peint de la tête aux pieds une grande
figure
, où nul autre que lui ne saurait reprendre un déf
es anges soulevant les rideaux, les enfants portant les tablettes, la
figure
du roi, vu de dos et ne montrant qu’un profil per
es plis, miroité de lumières nacrées et rehaussé d’ombres blondes La
figure
de la suivante qui s’évanouit et s’appuie à une c
uie à une colonne rappelle, par le costume et l’ajustement, certaines
figures
d’Holbein ; quoiqu’elle manque d’épaisseur et s’a
igts, ne sont que jolis ; ils n’ont pas cette idéalité séraphique des
figures
de Fiesole, du Pérugin et de Gian-Bellini. Mais,
de la jupe un mouchoir blanc semblable à un flocon d’écume. Parmi les
figures
à demi voilées d’ombres qui moutonnent dans l’étr
u l’homme personnellement, et nous le regrettons, car c’était une des
figures
les plus remarquables de ce siècle, que la postér
t la première Marguerite, car Scheffer en fit plusieurs : c’était une
figure
à mi-corps, assise ou plutôt affaissée avec une a
ixe Burger à l’histoire fantastique racontée dans sa ballade, mais la
figure
de Lénore respirait la plus vive douleur, et le t
sage et de voyage de Wilhelm Meister ; on a peine à reconnaître cette
figure
mélancolique, langoureuse, spiritualisée outre me
uses dont l’art se contentait aux époques où l’importance donnée à la
figure
humaine faisait négliger l’exactitude des accesso
précise dont l’art a toujours habillé ces respectables et lointaines
figures
. Cette bizarrerie bédouine n’a pas d’ailleurs gra
nes pour la beauté du style, le rhythme des groupes, l’agencement des
figures
, c’est, en effet, de l’art grec baptisé et dont s
manière de comprendre Croyez qu’il ne s’est pas beaucoup soucié des
figures
du Parthénon, ni de la Vénus de Milo, ni de la Di
badiner sur la pierre, sans sujet, sans dessin arrêté ; peu à peu les
figures
se détachaient, prenaient une existence, une phys
up sûr. C’est à ce titre que nous lui consacrons ces lignes. On ne se
figure
pas la quantité énorme de travail qu’exigent cett
s que celui du plus habile décorateur reste souvent obscur, quoiqu’il
figure
à présent sur l’affiche. On pense à l’auteur, à l
irecte. La représentation les frappe plus que l’objet, et pour qu’une
figure
leur arrive il faut qu’elle ait déjà été exprimée
Napoléon Ier et l’autre Napoléon III. Ce dernier tableau renferme une
figure
de femme personnifiant l’Italie délivrée, et se r
arité en Crimée, la Fileuse, Sedaine tailleur de pierres ; une grande
figure
allégorique de Venise, rappelant les apothéoses d
ait pas gauche à plaisir et ne cassait pas par piété les pieds de ses
figures
. Personne n’eut un dessin plus fin, plus pur, plu
produit par ses œuvres résulte principalement de la composit on de la
figure
arrangée et balancée d’après ces mathématiques de
main, les poses favorites, les façons de faire piéter ou trancher une
figure
, le style et le jet de draperie des anciens : sel
thénon, la Femme dénouant sa sandale, le torse du Thésée, les divines
figures
décapitées par les bombes vénitiennes, et les gue
debout au centre de la composition. Il y a là de belles et charmantes
figures
, dont l’élévation ne permet pas d’apprécier toute
e renaissance, pour se conformer au style de l’édifice On dirait les
figures
qui supportent l’entablement du petit temple de P
de Phidias le regardait travailler par-dessus l’épaule. Lorsque cette
figure
, le seul essai de statuaire chryséléphantine qu’a
La Néréide portant le casque d’Achille, bas-relief en marbre, est une
figure
d’une grâce purement grecque. Dans cet envoi de R
jusqu’à l’orteil, est d’une élégance charmante. Comme pendant à celle
figure
, David esquissa une Néréide portant le bouclier d
e sur le flanc de sa monture. Le Berger (envoi de Rome 1817) est une
figure
très-simple, très-naïve, d’une gracilité juvénile
us pleines qu’un statuaire athénien lui eût sans doute données. Cette
figure
excellente fait le plus grand honneur à David, et
n poëte tragique d’Athènes. Le général Foy n’a qu’un manteau, dans la
figure
qui couronne son monument, mais il est habillé da
son génie. Dans son remarquable fronton du Panthéon, David a mêlé les
figures
allégoriques aux figures réelles. Les premières s
quable fronton du Panthéon, David a mêlé les figures allégoriques aux
figures
réelles. Les premières sont nues ou drapées ; les
es tympans de l’Arc de triomphe de Marseille ; il y taille de grandes
figures
allégoriques, d’une tournure robuste et magistral
Allemande par le sourire, par la blancheur de la peau, la coupe de la
figure
, la placidité du front ; Espagnole par sa chevelu
oir les gencives. Dans certaines attitudes penchées, les lignes de la
figure
se présentent mal, les sourcils s’effilent, les c
e la scène, dans le demi-jour de la vie privée, une blanche et svelte
figure
dont les rares apparitions ont laissé un vif souv
s et si peu de paroles elle a trouvé le moyen de créer une ravissante
figure
, une vraie princesse italienne au sourire gracieu
arbre blanc d’un temple grec, couronne lumineusement cette délicieuse
figure
; des cheveux noirs abondants, d’un reflet admira
e Colon-Leplus. Madame Leplus, qui au premier coup d’œil rappelle les
figures
des nymphes allégoriques de la vie de Catherine d
sque royal, tempère heureusement la gaîté un peu folle du reste de la
figure
. Singularité charmante, une prunelle brune scinti
grâce, même sourire. Vous diriez du Cortège des Heures, où toutes les
figures
de Guido Reni sont belles, où chaque déesse sème
ème l’air de son parfum. Nous nous sommes complu à décrire toutes ces
figures
. Chez les unes, c’était la sévère pureté d’un pro
e tons fauves aux endroits ombrés par les cheveux. Le défaut de cette
figure
si noble et si régulière consiste dans le peu de
égèrement courte ; plus d’ampleur dans ce contour achèverait mieux la
figure
et lui donnerait plus d’harmonie. Le rôle où la b
les perles laiteuses au blond reflet ne s’accommodent aussi bien à sa
figure
; elle ressemble tout à fait à une des compagnes
s commençons par la main, ce n’est pas que mademoiselle Ida n’ait une
figure
très-charmante et tout à fait à l’avenant du rest
arquées de la foule : les regards d’une salle vont tout de suite à la
figure
et à la taille d’une actrice ; mais c’est dans ce
est fraîche et bien formée, à dire les choses du cœur ; le tour de la
figure
, d’un ovale plein et oriental, se rehausse encore
onde ! Des mains ? adorables ! Des pieds ? minces et délicats ! De la
figure
? ravissante ! Du cou ? blanc et renflé comme cel
feu humide de la prunelle. La voix de madame Anna Thillon a comme sa
figure
un léger accent anglais, qui plairait fort dans u
s légers, hardis et primitifs comme les peintres des vases grecs, une
figure
aux longues draperies, aux sobres ornements, d’un
t de notre temps ; mais, en revanche, elle n’en a pas subi. C’est une
figure
à part, isolée sur son socle au milieu du thymélé
ns selon le rhythme ancien. On peut l’y laisser, ce sera la meilleure
figure
funèbre sur le tombeau de la tragédie. Nous disio
ventail comme des mains de reine. De près, les détails délicats de sa
figure
charmante se révélaient, sous son profil de camée
e, il l’illustre, et fait de chaque scène un tableau. On sait quelles
figures
saisissantes de réalité historique il a faites de
ctère, et il ne pouvait trouver de meilleur fond à mettre derrière sa
figure
paternelle et magistrale. Sans avoir eu dans sa c
s hautaine, la plus observée à ne pas ouvrir ses rangs à quiconque ne
figure
pas depuis des siècles dans l’Almanach de Gotha ;
la critique la voie et la pense parfois sous cette forme, sous cette
figure
de société. Les trois portraits d’un Baudelaire,
est une grande ville civilisée. C’est elle qui s’est traduite sous la
figure
latine. Juvénal est plus proche de Théocrite qu’i
t amour : ou plutôt amour et crainte sont des coupes momentanées, des
figures
passagères de cette réalité surhumaine qui occupe
, une forme invétérée de la vie, une mémoire. Ne lui demandez pas des
figures
de fraîcheur, une jeunesse, et cette aurore toute
’une époque. Mais l’aspect particulier de ce « tableau parisien » que
figure
la vie sentimentale de Baudelaire, c’est un Sacré
Baudelaire, c’est un Sacré-Cœur au-dessus de ce Montmartre, c’est la
figure
de Mme Sabatier au-dessus de celle de Jeanne Duva
ux réalités, lorsque chacune est prise du point de vue de l’autre, la
figure
de deux nostalgies. Il est certain que les vers d
jamais sa vie intérieure. Son beau-père, le général Aupick, était une
figure
militaire parfaitement noble, un homme de loyauté
t la forme supérieure et pure de l’amour devra prendre pour lui cette
figure
maternelle. La sensualité cérébrale de Baudelaire
res impuissantes, et malheureuses. Son miroir d’abord, et ensuite les
figures
croisées sur le boulevard, lui révèlent ces Calig
u ciel. Mais ce génie du catholicisme prend chez Baudelaire une autre
figure
plus importante, et qui le lie plus étroitement à
. Mais il ne l’a évitée qu’au bénéfice d’une autre pente, d’une autre
figure
de l’orgueil, qui est la mystification. Ceux qui
ues qu’on trouve chez Gautier et surtout chez Flaubert. Il y a là une
figure
de l’ironie qui n’est ni celle de Socrate, ni cel
e gaspillée, rongée d’ennui et de remords, tiennent dans ces vers. La
figure
d’étrangeté et de mystification, le ton de cathol
s son cabinet de Croisset, ne feraient-ils pas avec Baudelaire quatre
figures
de moines, pareils aux quatre moines qui portent
ient à cette époque le poncif bourgeois de l’art ? S’il s’établit une
figure
populaire de l’artiste, ce sera une raison pour q
’est précisément cet instinct de la mystification qui se ramène à une
figure
du péché. La mystification baudelairienne n’a rie
de Rastignac, au-dessus du peuple de quatre millions d’âmes, comme la
figure
de la poésie contraire, la Geneviève de la montag
ntes vers les Fenêtres du poème mallarméen, et, par ces fenêtres, des
figures
d’Orient, de leur Orient futur, leur apparaissent
réalité, son pittoresque et sa séduction, sont complexes. C’est cette
figure
de la nature, dont l’Europe ne nous offre pas d’e
récis, déjà médités. Nous emploierons la saison des pluies à faire la
figure
. » Fromentin demeure très fidèle à ce programme,
x, et en plein soleil, se tenait un cercle de gens accroupis, grandes
figures
d’un blanc sale, sans plis, sans voix, sans geste
ne contredit pas cette idée, mais tout de même elle la tempère. Elle
figure
une impression picturale plutôt qu’elle n’indique
pourrait appartenir aux jeux de scène et à la partie décorative, aux
figures
locales dont Flaubert, dans sa dernière version d
il de plain-pied, beaucoup plus que Fromentin, avec les choses et les
figures
d’Orient. Il n’est pas de page de Fromentin où l’
tableau plus développé et plus complexe nous apparaîtra sous la même
figure
: « Ce premier aspect d’un pays désert m’avait pl
acquise, donnent une compétence hors pair. Mais le métier de peintre
figure
ici une matière tandis que le métier d’écrivain f
ier de peintre figure ici une matière tandis que le métier d’écrivain
figure
une forme. La comparaison entre la peinture de Fr
de une sortie de vrais gardes dans une lumière neutre, expulsez cette
figure
au coq qui vous choque, si vague en dehors de son
quables de peinture. Auront-ils conservé leur poésie ? En face de ces
figures
de médecins si profondément construites et si rée
, puissante et triste passion a imprimé sa trace et imposé sa durable
figure
. À l’âge où se faisaient sa sensibilité, son idée
d’ordinaire que des souvenirs intellectuels, il aimait. Cet amour ne
figure
dans Dominique que transposé par le souvenir et p
le de s’examiner, de maintenir en face de lui un miroir qui donne une
figure
à son existence intérieure, et celle d’éprouver d
une petite aventure de plaisir. Le dégoût que lui inspire cette basse
figure
de l’amour déprécie à ses yeux (ce qui est d’une
résolu dont la vie doit être plus ou moins manquée : elle prend cette
figure
maternelle dont a besoin l’amour des nerveux. Une
prend cette figure maternelle dont a besoin l’amour des nerveux. Une
figure
maternelle, de pitié et de dévouement. Dominique
autour de Madeleine pour déchirer ou éprouver les cœurs. De là cette
figure
de sa sœur Julie, imaginée par Fromentin ; Julie
De même Fromentin a varié dans une composition de peintre ses trois
figures
de l’amour brisé, dont l’une, Julie, a la valeur
s humaines. Le brillant Olivier d’Orsel a paru d’abord à Dominique la
figure
même de toutes les promesses et de toutes les réu
nous doutons bien que cela doit donner une littérature ennuyeuse. Il
figure
évidemment un de ces écrivains d’arrière-plan, qu
lle appartient à un passé étendu en tableau pour une intelligence. Il
figure
une cristallisation d’art qui a investi comme ell
inique, sur les murs, les boiseries, les vitres duquel des dates, des
figures
mnémoniques, des maximes, des vers sont écrits ou
Amiel intérieur et secret dont se nourrirait, pour s’en composer une
figure
changeante, l’Amiel public. M. Bernard Bouvier, à
cle ». Mais, d’autre part, il fallait qu’Amiel vît dans le Journal la
figure
même de sa destinée, et, qu’il le considérât non
à Genève ; il chaussait l’autre pour s’en aller à Paris, où il fit la
figure
du Genevois francisé, arrivé, académicien, « remp
e haine de vieux Genevois contre Rome, contre une Rome dont la France
figure
aux yeux d’Amiel la conquête et la victime, avec
e détail de l’autre. Les coloristes dessinent comme la nature ; leurs
figures
sont naturellement délimitées par la lutte harmon
tion du dessin, et qui est tout autre que la précédente. Il jette ses
figures
, les groupe et les plie à volonté avec la hardies
nt plusieurs fois, et dans le principe il contenait beaucoup moins de
figures
. Pour E. Delacroix, la nature est un vaste dictio
ux personnages qui soutient et modère sa douleur est éploré comme les
figures
les plus lamentables de l’Hamlet, avec laquelle œ
e. La lumière, économiquement dispensée, circule à travers toutes ces
figures
, sans intriguer l’œil d’une manière tyrannique. L
ur avoir si bien vaincu la concavité de sa toile et y avoir placé des
figures
droites. Son talent est au-dessus de ces choses-l
et qui s’exprime et par le choix des sujets, et par l’expression des
figures
, et par le geste et par le style de la couleur. D
s. Dans plusieurs on trouve, par je ne sais quel constant hasard, une
figure
plus désolée, plus affaissée que les autres, en q
envoyé le Martyre de sainte Irène. Le tableau est composé d’une seule
figure
et d’une pique qui est d’un effet assez désagréab
e l’amour, fût-ce un portrait14. Dans cette immense exposition, je me
figure
la beauté et l’amour de tous les climats exprimés
à sa manière et d’une façon particulière. Personne n’a vu de grandes
figures
dessinées par lui ; mais certainement le dessin,
cole flamande ; mais il avait plus de style qu’eux et il groupait ses
figures
avec plus d’harmonie ; tantôt la pompe et la triv
giste aussi, et paysagiste du plus grand mérite : ses paysages et ses
figures
ne faisaient qu’un et se servaient réciproquement
l plein de fatuité, pauvres petites jambes dans de grands sabots. Une
figure
ridicule, grand nez, grandes lunettes, grandes mo
ui commande pas la singerie de Watteau. Malgré la finesse étudiée des
figures
de M. Wattier, M. Perèse lui est supérieur par l’
istes, — il n’en est pas question ; les membres de toutes ces petites
figures
se tiennent à peu près comme des paquets de chiff
èle. La circonférence, idéal de la ligne courbe, est comparable à une
figure
analogue composée d’une infinité de lignes droite
c’est qu’en faisant tout d’une venue les bras et les jambes de leurs
figures
, ce n’étaient pas eux qui fuyaient les détails, m
habitant de la lune. Quant à leur tournure et à leur esprit, ces deux
figures
me rappellent l’emphase des acteurs de l’ancien B
surtout à l’harmonie combinée des lignes, doit éviter de donner à une
figure
des mouvements de cou et de bras improbables. Si
res qui savaient si bien décorer ces nobles salles à manger, qu’on se
figure
pleines de chasseurs affamés et glorieux. La pein
tre à un point de vue unique ; le spectateur, qui tourne autour de la
figure
, peut choisir cent points de vue différents, exce
art complémentaire. Il ne s’agit plus de tailler industrieusement des
figures
portatives, mais de s’associer humblement à la pe
omme M. Feuchère qui possède le don d’une universalité désespérante :
figures
colossales, porte-allumettes, motifs d’orfèvrerie
dier, et, vue de dos, l’aspect en est affreux. Il a de plus fait deux
figures
de bronze, — Anacréon et la Sagesse, — qui sont d
impossible de donner un caractère plus vrai et plus authentique à une
figure
humaine. Ce petit buste, ramassé, sérieux et fron
en outre, dans le buste de M. Lenglet un autre signe particulier aux
figures
antiques, qui est une attention profonde. XVII
vie, et finalement dans l’oubli des hommes, si (nous le répétons) la
figure
du dernier des Kœnigsmark n’avait appelé réelleme
e, comme elle appelle un historien. Pathétique, fatale et mystérieuse
figure
! Dès qu’elle apparaît, spectre vague, dans son c
hagarde Mélancolie que nous a peinte Albert Durer. D’ailleurs, cette
figure
est le centre d’un groupe, et, comme toutes les f
illeurs, cette figure est le centre d’un groupe, et, comme toutes les
figures
centrales dans l’histoire, autour d’elle vivent e
Quelle objection contre les systèmes de température et de race que la
figure
de cette femme du Nord (madame de Platen) qui, so
dinand Fabre et lui a donné l’idée de faire, de face, lui, une grande
figure
de prêtre, comme il l’a faite dans son Abbé Tigra
sa force, Fabre manque du trait précis qui achève un mouvement ou une
figure
commencée ; il n’a pas le coup d’ongle définitif
ulait faire, et, d’ailleurs, perte immense ! nous n’aurions pas eu la
figure
de l’abbé Mical, — la plus profonde figure du liv
! nous n’aurions pas eu la figure de l’abbé Mical, — la plus profonde
figure
du livre et la plus belle sans en avoir l’air ; —
Joseph, ne le battait pas. Assez ! Si l’homme qui a trouvé une telle
figure
, qui comprend ainsi l’amitié du prêtre et son dév
e 1852.] Quand on descend de la Papauté au xive siècle, de l’altière
figure
de Boniface VIII et des grandes contentions du sc
les grands noms, était-ce bien la peine de faire poser devant nous la
figure
, ou plutôt la momie, de trois scholiastes comme e
n écrivain moraliste et d’une certaine vigueur de pinceau, serait une
figure
et un caractère. Seulement, pour détacher cette é
bservations les plus authentiques, de plans & de perspectives, de
figures
d’animaux, de végétaux, habits, antiquités, &
lles & des monumens antiques, enrichie des descriptions & des
figures
d’un grand nombre de plantes rares, de divers ani
ienne & moderne & une vaste érudition. Son voyage est orné de
figures
. Les Mémoires de l’Empire du grand Mogol, par Fra
’Afrique & même des Indes orientales, 1762. deux vol. in-12. avec
figures
. L’auteur est un Négociant, qui, n’ayant voyagé q
que, traduite du Flamand d’Olfert, Dappers, avec des cartes & des
figures
, in-fol. Amsterdam 1686. Cette description est tr
de Maroc par M. Pidou de St. Aulon, Ambassadeur du Roi à Maroc, avec
figures
in-12. Paris 1694. Cette rélation est courte, mai
couverture à 30 centimètres de ses yeux, c’est-à-dire tout près de sa
figure
et à portée des investigations les plus minutieus
sous le drap celui de ses bras qui se trouvait le plus éloigné de la
figure
imaginaire, il l’allongea avec précaution dans la
nt parfaitement la tête du radius et cherche le pouls ; mais alors la
figure
à laquelle appartient cette main chimérique lui d
s, les fabriques déceler une imagination pittoresque et féconde ; les
figures
intéresser, les animaux être vrais ; et que chacu
un très-mauvais tableau ; qu’un paysage où les animaux et les autres
figures
sont maltraités, est un très-mauvais tableau, si
rayons du soleil ; des philosophes assis traceraient sur le sable des
figures
astronomiques ; des femmes, des enfans seraient é
usin. Depuis, un renversement s’est produit. Le culte de Sainte-Beuve
figure
un des principes de la religion universitaire, al
al et d’un hyper-critique. Le libéral intégral, le critique pur, fait
figure
non d’un homme (ceux qui pensent avec virilité et
es, croyez-vous que votre république lacédémonienne en aura meilleure
figure
? Évidemment il ne faut pas chercher à plaire par
e pages trouvait autrefois sa fortune (il est vrai que si le civet ne
figure
plus sur leur carte, c’est que le lièvre manque,
ce, à suivre le genre au cours d’une évolution qui a beaucoup plus la
figure
de méandres indécis que celle de ce Grand Canal a
cet esprit de finesse qui ne s’apprend pas. Brunetière, qui fait ici
figure
d’un admirable chef de file, déclare que la criti
vraiment nouveau d’une part, et de l’autre vraiment de l’art. » Cela
figure
dans l’article Critique de la Grande Encyclopédie
e, au journaliste occupé à jouir du moment actuel et à en dessiner la
figure
originale, cette sympathie désintéressée avec tou
té est un défaut et une pauvreté de la nature. » Et surtout la grande
figure
critique qui se dégage et qui s’impose, à ces ori
est bien plus utile, parce qu’il est un véritable collaborateur. Cela
figure
au quatrième volume de ses Propos Littéraires, et
ristique, la plus exclusive, la plus intransigeante, — de même que la
figure
exclusive et intransigeante de la critique profes
t aussi bien que ses douze prédécesseurs, ils sont constitués par les
figures
mêmes de la création artistique telle qu’il l’exp
es portraits que le Jonas et l’Isaïe de la Sixtine ne nous rendent la
figure
des personnages bibliques. Dans ses Prophètes et
s appelons en un langage de myope l’orgueil démesuré de Hugo, cela ne
figure
que des coupes arbitraires sur l’élan de l’art, s
consacrés William Shakespeare et l’Introduction. Il est la plus haute
figure
de l’individu, le superlatif de l’individuel, et
par-delà l’invention, le courant d’invention. Ce qui, en littérature,
figure
, au-dessus même du génie individuel, cette Idée,
i vite le critique insupportable et sot : la manie d’avoir raison, la
figure
stéréotypée et suffisante de l’homme qui a raison
um atque hospitem in agendo esse debere. Il faut que l’orateur fasse
figure
d’homme habile, expérimenté, et qu’il ne se montr
: géométrie et physique, causalité et finalité, existent sous la même
figure
pour tous les esprits. Les lois morales sont comm
ù des partis et des générations adverses continuent de lutter sous la
figure
des vivants, impliquent cette pluralité, cette di
er, de la défiance même du plaisir. Défiance qui prend une insidieuse
figure
morale et qui est une tentation du diable. Voyez
croyez que c’est généralement une façon de se conférer à lui-même une
figure
d’éternité. Où la loge-t-il, en effet, cette auto
iction. Il s’agit simplement de saisir, dans son mouvement et sur ses
figures
complexes, une réalité psychologique et littérair
tour il ne l’a jamais fini, cette idée il ne l’a jamais épuisée. Les
figures
de Plutarque, les livres de sa bibliothèque, lui
ntaigne, celle du Panthéon littéraire, un document inestimable qui ne
figure
dans aucune autre. Il s’agit du relevé, par le bo
nçaise s’ouvre, que le libre esprit du xvie siècle reparaît sous une
figure
nouvelle, et que le groupe des amis de Montaigne
rdres, je veux dire quatre systèmes d’idées générales qui donnent des
figures
critiques réelles et vivantes, et dont chacun cor
e qui s’incorpore à cette construction. Le chapitre sur Montaigne n’y
figure
pas inutilement. L’Entretien avec M. de Saci et P
ne continuité, combien la vie multiforme d’une génération échappe aux
figures
auxquelles on est tenté de la limiter, aux formul
ture d’un écrivain à la nature du pays qui l’a produit, de dégager la
figure
d’un pays littéraire, En réalité cette attitude e
ation progressive de lui-même par lui-même, en reliant par un fil les
figures
dissemblables qu’il a réalisées aux divers moment
lorsqu’il a donné, par sa vie, par ses œuvres, par son influence, une
figure
extérieure de lui-même, cette figure dont Auguste
s œuvres, par son influence, une figure extérieure de lui-même, cette
figure
dont Auguste Comte fait, sous le nom d’existence
écide Valéry lorsqu’il proclame qu’il donnera le nom de Léonard à une
figure
conventionnelle du génie humain. Et c’est ce que
engendrer le génie, au sens où l’on dit que la géométrie engendre une
figure
lorsqu’elle la définit par le mouvement qui la do
rique, hors de toute proportion avec la mesure humaine. Engendrer une
figure
géométrique, c’est établir une identité entre cet
endrer une figure géométrique, c’est établir une identité entre cette
figure
et le mouvement qui l’a décrite, et ce rapport d’
a décrite, et ce rapport d’identité n’est réel que parce que ni cette
figure
, ni ce mouvement ne sont réels. Le terme engendre
si elle l’a combattu, si elle a montré souvent au foyer paternel une
figure
injuste et renfrognée de fille montée en graine,
cle en un point, celui-ci. Même sous son aspect constructeur, sous sa
figure
créatrice, l’esprit critique correspond à quelque
ent s’étonner alors que pour un observateur extérieur, elle prenne la
figure
du scepticisme ? C’est là le point faible de cett
ous envisageons trois relations distinctes : celle du corps A avec la
figure
A′ de l’espace, celle du corps B avec la figure B
le du corps A avec la figure A′ de l’espace, celle du corps B avec la
figure
B′ de l’espace, celle des deux figures A′ et B′ e
space, celle du corps B avec la figure B′ de l’espace, celle des deux
figures
A′ et B′ entre elles. Pourquoi ce détour est-il a
s qui se déplacent en se déformant légèrement, nous envisagerons deux
figures
invariables mobiles A′ et B′. Les lois des déplac
variables mobiles A′ et B′. Les lois des déplacements relatifs de ces
figures
A′ et B′ seront très simples ; ce seront celles d
eux corps A et B que nous avons remplacée par une relation entre deux
figures
A′ et B′ ; mais cette même relation entre les deu
deux figures A′ et B′ ; mais cette même relation entre les deux mêmes
figures
A′ et B′ aurait pu tout aussi bien remplacer avan
mesure qu’elles sont plus démodées. Ainsi le roide, le dégingandé des
figures
de ce temps-là nous surprend et nous blesse étran
d homme, et sa popularité ne le dispensait pas encore de dessiner ses
figures
correctement et de les poser d’aplomb. Il a toujo
même une série de croquis dont le premier représentait exactement la
figure
royale, et dont chacun, s’éloignant de plus en pl
fronce les sourcils. Tout cet homme est musclé et charpenté comme les
figures
des grands maîtres. Dans le fond, l’éternel Phili
redresseur de torts, est assis extatiquement entre deux forçats d’une
figure
épouvantable, stupides comme des crétins, féroces
merveilleuse et quasi divine qui lui tient lieu de modèle. Toutes ses
figures
sont bien d’aplomb, toujours dans un mouvement vr
rler. Au lieu de saisir entièrement et d’emblée tout l’ensemble d’une
figure
ou d’un sujet, Henri Monnier procédait par un len
s d’expression, et entre deux bougies il illuminait successivement sa
figure
de toutes les passions. C’était le cahier des Car
, c’est-à-dire le passé, dans l’ombre ; — que d’esprit ! Excepté deux
figures
dans la demi-teinte, tous les personnages ont leu
it un résultat des plus curieux. — Par exemple, on trouvera à côté de
figures
qui affectent, heureusement du reste, une allure
premier plan — le regarde faire. — Quoi de plus complet que ces deux
figures
et cette meule ? Quoi de plus intéressant ? Il n’
lairant l’Europe, et de représenter chaque peuple de l’Europe par une
figure
qui occupe dans le tableau sa place géographique
semble de la composition, au charme des groupes, et ait éparpillé les
figures
comme un tableau de Claude Lorrain, dont les bons
ar exemple, dans le Martyre de saint Sébastien, que fait cette grosse
figure
de vieille avec son urne, qui occupe le bas du ta
ours quelque chose. Janmot Nous n’avons pu trouver qu’une seule
figure
de M. Janmot, c’est une femme assise avec des fle
c’est une femme assise avec des fleurs sur les genoux. — Cette simple
figure
, sérieuse et mélancolique, et dont le dessin fin
de peinture sérieuse ; ce n’est pas là le caractère si connu de cette
figure
fine, mordante, ironique. — C’est lourd et terne.
des rivaux. En somme, M. Meissonier exécute admirablement ses petites
figures
. C’est un Flamand moins la fantaisie, le charme,
en n’est inutile, rien n’est à retrancher ; pas même les deux petites
figures
qui s’en vont causant dans le sentier. — Les troi
s choses les plus distinguées du Salon. — L’arrangement de toutes ces
figures
est très-heureusement conçu ; le vieillard au bou
encore sous cette peau nouvelle, pour donner un charme exquis à cette
figure
; — c’est là certainement un noble tour de force
ous dépeint est esquissé rapidement, mais le fantasque personnage qui
figure
dans la seconde est étudié avec beaucoup de soin.
de tirer vos bottes, vous sentez que si, au lieu de sa pâle et maigre
figure
, apparaissaient tout à coup à vos yeux les larges
se versa un verre de vin rouge et l’approcha de ses lèvres ; mais sa
figure
se rembrunit presque aussitôt. — Pourquoi le vin
vous le rencontrez un beau jour et remarquez avec stupéfaction que sa
figure
est entourée d’une véritable auréole ; d’où lui v
à Pétrova ; il exhalait une odeur d’eau-de-vie assez prononcée, et sa
figure
était passablement avinée. — Ah ! vous qui êtes n
isselait d’eau. Une barbe épaisse et noire couvrait tout le bas de sa
figure
mâle et sévère ; ses yeux bruns et peu ouverts, m
éclairait en plein, et je l’observai plus attentivement ; il avait la
figure
have et couverte de rides, des sourcils fauves, l
Sorokooumoff, toi qui fus le meilleur des hommes ! Je vois encore ta
figure
de poitrinaire, sèche et verdâtre, tes cheveux bl
robe de chambre boukhare 25 : une cravate de soie verte donnait à sa
figure
, qui était d’une maigreur effrayante, une teinte
foire aux chevaux dans un village de la grande Russie, où toutes les
figures
et toutes les ruses de maquignon sont prises sur
ur venait de changer de ton éveilla un sourire de satisfaction sur la
figure
de Diki-Barine, et Obaldouï ne put retenir un cri
sourire inquiet agitait ses lèvres. Diki-Barine était le seul dont la
figure
restât impassible ; il se tenait toujours immobil
e force de ses longs bras osseux qu’il faillit l’étouffer ; la grosse
figure
de Nikolaï Ivanovitch se couvrit d’une rougeur ju
ndant quelques instants, Iakof regarda autour de lui et se couvrit la
figure
avec la main. Tous les assistants arrêtèrent les
, mais il ne balançait plus les jambes. Lorsque Iakof se découvrit la
figure
, il était pâle comme un mort, et ses yeux étaient
onchalance. Ses cheveux trempés de sueur tombaient en désordre, et sa
figure
était d’une pâleur effrayante. Au milieu de la ch
e couvrir de vapeurs. Vous avez un peu froid, et vous vous couvrez la
figure
avec le collet de votre manteau ; le sommeil vous
le en pleine croissance ! Des épis viennent vous frapper doucement la
figure
, les bluets s’accrochent à vos pieds, les cailles
vie que menait l’auteur dans ces lieux peuplés de souvenirs, on se la
figure
sans peine. Il vivait là, il doit en convenir, be
ici entrevue, hélas ! que par les songeurs et les poètes ; donner une
figure
à cette leçon des sages ; faire de cette abstract
ies des jeunes gens et les sombres rêveries des vieillards, la grande
figure
de la servitude ; qu’il fallait que cette figure
ieillards, la grande figure de la servitude ; qu’il fallait que cette
figure
fut une femme, car la femme seule, flétrie dans s
ermèrent dans son esprit, et il pensa qu’en disposant de la sorte les
figures
par lesquelles se traduirait sa pensée, il pourra
es vers en chant : que ces vers ont déja leur mesure en vertu de leur
figure
; c’est-à-dire en vertu de la combinaison des sil
nombre des temps de chaque mesure se trouvoit être déja reglé par la
figure
du vers. Chaque pied du vers faisoit une mesure.
, traitent fort au long de la quantité des sillabes, des pieds et des
figures
du vers ; ainsi que de l’usage qu’on en peut fair
be étoit breve ou si la sillabe étoit longue, et dont chacun a sçu la
figure
dès les premieres classes. Nous parlerons fort au
nt des pieds et des mains, chaque attitude et chaque démarche par une
figure
particuliere qui désignât distinctement chacun de
l’erreur qu’ils ont combattue. Quand un résultat est acquis, on ne se
figure
pas ce qu’il a coûté de peine. Il a fallu un géni
Le dessin général des formes de l’humanité ressemble à ces colossales
figures
destinées à être vues de loin, et où chaque ligne
mysticisme, toutes ces formes étaient nécessaires pour que la grande
figure
fût complète ; or, pour qu’elles fussent dignemen
rodigalité de l’individu, dédaigneuses agglomérations d’hommes (je me
figure
le mouleur gâchant largement sa matière et s’inqu
ancien appelait le chœur. Sont-ils inutiles ? Non ; car ils ont fait
figure
; sans eux les lignes auraient été maigres et mes
mes, séparées, eussent été vulgaires et n’eussent fait presque aucune
figure
dans l’humanité ; réunies, elles représentent ave
ée de tous les français entre les mains. Sa taille était médiocre, sa
figure
pâle, son expression sèche et grave. À cette céré
és avec ordre et une symétrie élégante dans ce lieu, il consistait en
figures
, en fragments de figures ou d’ornements antiques
trie élégante dans ce lieu, il consistait en figures, en fragments de
figures
ou d’ornements antiques moulés en plâtre. Ces piè
pt pieds, sur laquelle on avait reporté, au moyen d’un carrelage, les
figures
d’une grande composition. Tel était encore cepend
s jeunes peintres de l’école nouvelle. Mais quelles pouvaient être la
figure
et les allures d’une dame de la haute société, qu
e de même qu’au premier étage. Sur la droite, en entrant, au-delà des
figures
de plâtre et des élèves qui dessinaient d’après e
nt au moins jugés dignes. Fabre avait été couronné et avait exposé sa
figure
de Caïn, dont Mme de Noailles même avait fait l’a
t alors du tableau des Sabines déjà ébauché, et dont il repeignait la
figure
de Tatius. Pendant les heures qu’il consacrait au
e la vérité, de la naïveté même dans le mouvement et la couleur de ta
figure
. Mais, ajouta-t-il en ayant l’air de parler à tou
t de grandes bottes de cavalerie, cet homme avait une des plus nobles
figures
qui se puissent rencontrer. Ses cheveux noirs et
de Glück ? » demanda David, en souriant, à un gros garçon d’une jolie
figure
qui avait entrepris une étude de grandeur naturel
e mieux la musique italienne. Prends garde au bras et à la tête de ta
figure
, qui sont trop gros et mal dessinés… tu as le sen
e tente de faire en ce moment. J’étonnerai bien des gens ; toutes les
figures
de mon tableau sont nues, et il y aura des chevau
ux auxquels je ne mettrai ni mors ni bride. Je crois avoir terminé la
figure
de mon Tatius… » À ces derniers mots, la physiono
: « Il y a vraiment un grand caractère, observa David en regardant la
figure
que l’élève avait tracée ; il a une manière de vo
bon ! courage ! Langlois, dit-il à l’élève qui (p. 62) suivait, votre
figure
est bonne, il faut peindre ; c’est dit. » Et l’él
e la nature et comprend bien l’antique. » La joie éclata aussi sur la
figure
de Maurice. Il était maigre, portait sa barbe, ce
blait inspirer à ceux à qui il s’adressait. Grandin était boiteux, sa
figure
était laide, il n’avait ni disposition comme pein
e qui distingue les hommes appelés à commander à leurs semblables. Sa
figure
était belle, et sa barbe, qu’il portait alors con
es, et vantait particulièrement le naturel et l’élégance du trait des
figures
peintes sur les vases dits étrusques. On sait ce
le ne leur parût pas beau ; il leur conseillait de ne peindre que des
figures
de six pieds de proportion ; et, toujours dans l’
vu sur les coupes des Grecs et sur les bas-reliefs d’Herculanum, ces
figures
sveltes et légères, où tant de noblesse est allié
vers Maurice, Richard Fleury et Révoil, les deux amis lyonnais. Leurs
figures
paraissaient émues, et d’un air timide, mais où p
ul chatouillait agréablement l’oreille. Il était joli cavalier, d’une
figure
prévenante et aimable, et quoiqu’il fut tout auss
es jours ; et dès ce temps où, jeune encore, son teint peu coloré, sa
figure
calme, son maintien modeste et discret et son cos
a plupart de ses condisciples. Étienne fut très-frappé de la première
figure
que Ingres peignit à l’atelier. Tout ce qui carac
ur mon déjeuner. » L’étonnement et l’indignation se peignirent sur la
figure
d’Étienne d’une manière si forte et si sincère, q
cole étaient combinées et dirigées par eux ; Poussin, qui à une belle
figure
joignait une âme si belle et si noble, qui dessin
a nature semblait avoir épuisé ses dons sur lui. On a rarement vu une
figure
plus belle et plus noble que la sienne, et sur la
active et studieuse de cette époque. Étienne, après avoir terminé une
figure
nue peinte d’après nature chez David, était allé
mérite Lullin, qui s’était chargé de montrer et de faire corriger la
figure
peinte qu’avait laissée Étienne en partant pour l
i suit à sa lettre : « 3 vendémiaire. « P. S. Je viens de montrer ta
figure
; David a insisté sur le plaisir que fait la natu
tique, porte ce caractère de calme que les anciens imprimaient sur la
figure
des personnages dont ils voulaient relever la dig
ux qui intercède auprès d’elle en faveur des pestiférés. Cependant la
figure
la plus remarquable est celle d’un homme attaqué
n défaveur, de commander des tableaux aux peintres d’histoire, et des
figures
en marbre aux statuaires. Le prix, les dimensions
mme dans l’autre, on crut s’apercevoir du manque d’unité d’action. La
figure
de Brutus, qui s’est retiré dans l’ombre et près
rente pieds de large sur vingt de hauteur, et sur le premier plan les
figures
avaient six pieds et quelques pouces de proportio
e David, qui a tracé de sa main les têtes et les extrémités de chaque
figure
; mais la nature de ce sujet et le nombre des per
été parlé, qu’il règne tant soit peu de roideur dans le mouvement des
figures
, défaut que David aurait certainement fait dispar
’on peut reprocher quelque chose de trop théâtral dans l’attitude des
figures
de Mirabeau, de Robespierre et de quelques autres
lat. Ils taillaient des pierres sur les montagnes ; ils gravaient des
figures
humaines, dessinaient des paysages, et avaient ét
faire élever un monument en marbre, qui transmette à la postérité la
figure
de Lepelletier, comme tous l’avez vue hier, lorsq
Vérité ; sur ses bras, Force, Courage. Que sur l’une de ses mains les
figures
de la Liberté et de l’Égalité, serrées l’une cont
ut, et placé sur un piédestal fort élevé lui-même. Mais cette étrange
figure
occupa le centre de l’esplanade des Invalides. De
cour de ce Cromwell n’est pas encore anéantie. Ses ministres, sur la
figure
desquels on lit le crime, seront bientôt démasqué
le maître et l’émotion profonde qu’éprouva Étienne à la vue de cette
figure
de Tatius, dont l’imitation lui parut parfaite, f
mement pauvre, ce jeune artiste, fort de son mérite, doué d’une belle
figure
et d’un esprit remarquable, était l’objet de cett
enne et, se penchant près de lui pour voir son ouvrage, inondèrent sa
figure
des longs cheveux qui s’échappaient de leurs coif
e du grand artiste au moment où cette difficulté l’arrêtait. La belle
figure
et les grands cheveux noirs de Mme de Bellegarde
pour peindre la tête de la femme à genoux qui montre ses enfants, la
figure
de Mme de Bellegarde. Cette observation flatteuse
uelle, se confondant avec le noir de sa cravate, faisait ressortir sa
figure
jaunâtre et maigre, mais qui paraissait alors d’a
es deux écuyers des principaux personnages. C’était cependant sur ces
figures
et sur l’Hersilie que l’artiste avait cherché à d
é de l’autorité des anciens pour dégager, isoler même, chacune de ses
figures
principales, au lieu de les entasser, selon l’usa
possible de faire la moindre indication, le plus simple croquis d’une
figure
, sans modèle. Constamment il en faisait l’aveu à
ment. Faites vos efforts pour trouver quelques bons groupes, quelques
figures
heureuses d’intention, et je promets d’avance à c
e plus, bien dans le caractère du sujet… Oh ! oh ! il y a là quelques
figures
, un groupe même, dont je m’arrangerai bien. Voule
on. Je ne veux ni mouvement ni expression passionnés, excepté sur les
figures
qui accompagneront le personnage inscrivant sur l
nteté. Votre Léonidas n’est pas le mien, ajouta-t-il en désignant les
figures
sur l’esquisse, vous l’avez fait animé et décidé
Il y a vraiment de très-bonnes idées, reprit-il en désignant quelques
figures
; mais, mon cher Étienne, il faut que je vous dis
de de Léonidas, qu’il n’arrêta définitivement qu’en s’inspirant d’une
figure
à peu près posée de la même manière, gravée sur u
isites qu’il rendait à Pie VII. « Ce bon vieillard, disait-il, quelle
figure
vénérable ! Comme il est simple… et quelle belle
éclat. Couronné à l’Académie de Paris, il peignit bientôt à Rome une
figure
d’Abel mort, qui fut reçue avec beaucoup d’applau
e ans après (1792), il faisait courir tout Paris, empressé de voir sa
figure
d’Endymion endormi. L’année suivante (1793), si f
que des tableaux, tels que deux paysages, deux Danaé inférieures à sa
figure
d’Endymion, et l’étrange scène où il a introduit
t peu amusant de décrire minutieusement cette prodigieuse quantité de
figures
de bardes écossais et de généraux français présen
haient mal son émotion. Arrivé dans la cour du Louvre, David, dont la
figure
n’avait pu se débarrasser encore de l’étonnement
alent de l’homme qui, dix-sept ans auparavant, s’était annoncé par la
figure
d’Endymion et par l’Hippocrate. L’imagination de
r de modèle, pour lui fournir l’occasion de peindre quelqu’un dont la
figure
était bien connue. Ce petit artifice préparé par
rop recherchée, trop métaphysique, et l’expression gracieuse des deux
figures
parut dégénérer en afféterie. Quelques-uns, envis
conseil d’État, était accompagnée dans cette salle de quatre grandes
figures
allégoriques déroulant et soutenant le tableau ;
des figures allégoriques déroulant et soutenant le tableau ; dans ces
figures
, Gérard a peut-être exprimé mieux que dans tous s
ité devinrent pour lui une cause de succès, et le jeune Gros, dont la
figure
était belle et prévenante, dont l’esprit, quoique
lèbre par ses Lettres sur l’Italie. Dupaty achevait alors la première
figure
de ronde bosse qu’il ait exposée au Louvre, un Am
ujours les mêmes têtes, les mêmes bras et les mêmes mains. Toutes ses
figures
ont la même expression, et cette expression est t
Salon un petit tableau qui fit sensation. Il y avait introduit trois
figures
; un ouvrier ressentant les premières atteintes d
e l’immensité du champ du tableau comparé à la petitesse relative des
figures
, disparate qui semblait détruire l’importance qu’
que sévère peut découvrir dans cet ouvrage, la plus grande partie des
figures
placées sur les marches et près de l’autel peuven
terme trahissait l’apprenti qui se forme à son métier, qui brosse sa
figure
et va livrer son ouvrage. Pour l’étude de la comp
ux soldats nus qui vont prendre leurs armes à un arbre, ainsi que les
figures
du fond, ont été dessinés et entièrement peints l
e qu’il y a entre les attitudes élégantes et la fermeté du dessin des
figures
peintes vers 1802, et le laisser-aller de celles
pas ainsi des préparatifs du combat des Spartiates, ni surtout de la
figure
de Léonidas. L’expression méditative de ce person
en rien à celles qui brillent dans le tableau des Sabines. Quant aux
figures
accessoires, telles que le compagnon de Léonidas,
s, le soldat étendu mort, le chef de la cavalerie et plusieurs autres
figures
du fond, où le peintre cette fois avait rendu et
groupe du pape et du clergé, du Couronnement de Napoléon. Quant à la
figure
de Léonidas, elle semble tenir précisément le mil
des marchands d’oiseaux qui y étaient établis. Arrivés au cabinet des
figures
de cire de Curtius, et après avoir considéré pend
e quand il fut complet, on en saisit les symptômes dans les dernières
figures
qu’il a peintes dans le tableau des Thermopyles e
certaines convenances que semble exiger le sujet, il a imprimé à ses
figures
un accent de vérité dans les formes, au coloris m
on ancien camarade, et le trouva en effet ayant à peu près terminé la
figure
de la Vierge, mais éprouvant des incertitudes et
ple, si sévère, brille par la pureté et la correction du dessin ; les
figures
, et particulièrement celles de la Vierge et des a
tableaux authentiques qui restent de Léonard de Vinci, il y a peu de
figures
nues. La composition du Cénacle à Milan et celle
ls firent tailler leurs habits sur le patron de ceux qui couvrent les
figures
représentées sur les vases siciliens, réputés les
es empereurs, parodièrent Caton l’ancien et Régulus, se teignaient la
figure
de cumin, afin d’être bien jaunes, et portaient l
n pouvait dire, ex ungue leonem ; le portrait de l’oculiste Demours ,
figure
hideuse, beau morceau de peinture ; et la figure
l’oculiste Demours , figure hideuse, beau morceau de peinture ; et la
figure
crapuleuse et basse de ce vilain abbé De Lattaign
le pédant, il a raison pour l’homme de goût. Tort ou raison, c’est la
figure
qu’il a peinte qui restera dans la mémoire des ho
alement possible. Et, même si l’on ne construit pas sur le papier une
figure
géométrique, on y pense involontairement, presque
autres ? Pourquoi ne pas lui assigner sa place, à lui aussi, dans la
figure
symbolique que nous venons de construire ? Mais s
ectent d’ignorer une des données avec lesquelles ils ont construit la
figure
, et après avoir tracé les lignes OX et OY qui dev
iller jusqu’à nouvel ordre. Il ne faut pas oublier en effet que cette
figure
, véritable dédoublement de notre activité psychiq
vé au terme, et assistant par imagination à l’acte final. Bref, cette
figure
ne me montre pas l’action s’accomplissant, mais l
’espace, et une succession par une simultanéité. C’est attribuer à la
figure
qu’on a tracée la valeur d’une image, et non plus
lement d’un symbole ; c’est croire que l’on pourrait suivre sur cette
figure
le processus de l’activité psychique, comme la ma
s l’espace, et on raisonne, consciemment ou inconsciemment, sur cette
figure
géométrique. Mais cette figure représente une cho
sciemment ou inconsciemment, sur cette figure géométrique. Mais cette
figure
représente une chose, et non pas un progrès ; ell
ar lequel la délibération aboutit à l’acte ? Et pourtant, une fois la
figure
construite, on remonte par imagination dans le pa
notre activité psychique ait suivi précisément le chemin tracé par la
figure
. On retombe ainsi dans l’illusion que nous avons
ne circonférence dans un plan engendre toutes les propriétés de cette
figure
: en ce sens, un nombre indéfini de théorèmes pré
n qu’une première équation, exprimant la propriété fondamentale de la
figure
, se transforme en une multitude indéfinie d’équat
ne restera plus guère alors d’autre parti à prendre qu’à découper des
figures
dans l’espace, à les faire mouvoir selon des lois
rentes de la matière par la forme, la position et le mouvement de ces
figures
géométriques. Or la position est donnée par un sy
e et lui substituer la formule abstraite du mouvement qui engendre la
figure
. Représentez-vous donc des relations algébriques
e de critiques littéraires qu’un essai en vue de dégager l’accent des
figures
qui nous présentent le plus vif relief. On y trou
de spectacle, ou tel autre lieu public, que nos yeux s’arrêtent à une
figure
expressive, d’autant plus expressive qu’elle est
er que Mme de Noailles, en dépit de son nom français, fait à nos yeux
figure
d’étrangère : elle est encore une cosmopolite, pu
ant nous examinons de près la biographie des personnages qui ont fait
figure
dans l’histoire littéraire, et par l’élan de leur
l’être. Qu’on veuille bien s’arrêter un instant aux plus expressives
figures
: un Chateaubriand, un Byron, à celui qui le plus
scendu à l’étage inférieur. Tout d’un coup mes yeux tombèrent sur une
figure
de femme qui força mon attention pour l’absorber
et que, suivant l’esthétique d’une mise en scène bien composée, nulle
figure
ne s’avance au-delà du plan qui tout d’abord lui
lie, qui livre toute son âme, et se trouve broyé entre les deux ! Les
figures
d’arrière-plan ne valent que comme touches complé
e à celui qui confrontait notre rencontre vénitienne aux traits de la
figure
venant s’ordonner sous la plume de notre auteur,
illumine d’un vif éclat, ce qui donne sa pleine signification à cette
figure
féminine : la prédominance, l’absorption de la se
crée une expérience personnelle subordonnée à l’observation, quelque
figure
s’apparentant à l’héroïne de Mme Henri de Régnier
e Grâce Mirbel, Mme Henri de Régnier ne pouvait que nous restituer la
figure
illustre du Dominateur, de l’Homme à femmes, du m
de son amour nul risque ne saurait compter ; Charlie, qui serait une
figure
unique, s’il ne descendait en ligne directe de tr
influences et de culture, mais par la concentration d’un art où trois
figures
en contraste suffisent à créer l’intérêt8 Combie
nt invinciblement. Sans doute trouve-t-on dans ce vigoureux roman des
figures
centrales sur qui se concentre l’intérêt : quel e
e aime à sortir d’elle-même, que d’ailleurs elle y excelle, voici des
figures
accessoires qui ne sont guère moins attirantes. E
lique, après l’esquisse d’ensemble, à réaliser séparément chacune des
figures
qui doivent collaborer à la totalité de l’impress
nces que chacun comprendra ! C’est ainsi que, dans Madame Bovary, les
figures
de second ordre : Homais, Bournisien, le père Rou
ée en pleine lumière : lorsque le peintre d’expression a rencontré la
figure
qui le plus énergiquement parle à son âme, et sus
romper, il attend pour la fixer que les mouvements spontanés de cette
figure
atteignent à leur plus intense qualité expressive
ayre sont arrivés, par des moyens si différents, à dresser debout des
figures
vivantes, agissantes, laissant dans notre pensée
attention, de la plus sûre façon qui chez nous réussisse : en faisant
figure
littéraire. Qui ne reconnaîtrait à cette attitude
ivertissant pour le goût. Ce n’est plus là simple parti pris de faire
figure
dans le monde littéraire, mais ambition justifiée
se, et l’étreinte dont elle presse sur son cœur le hochet de bois qui
figure
sa maternité à venir. C’est bien le rôle qu’elle
ù il fixait ses rêveries et ses pensées sur l’art. 3. Voir dans nos
Figures
de Rêve, les pages sur Venise et Vérone, sous ce
est pas qu’on ne rencontre, dans notre littérature contemporaine, des
figures
féminines issues d’une même veine poétique. Chez
’analogie. 11. Formule heureuse de M. Maurice Barrès. 12. Voir nos
Figures
de Rêve : Les Jeunes-Hommes de Luini. 13. Sainte
sse ? Supprimez la selle, l’ébauchoir et le buste et vous prendrez la
figure
simbolique d’un art pour une impératrice. " mais
roide et le plus froid. Notre ami Cochin. Il est vu de profil. Si la
figure
étoit achevée, les jambes s’en iraient sur le fon
n et du mauvais ? Le talent seroit-il si journalier ? Y auroit-il des
figures
ingrates ? Je l’ignore. Ce que je scais, ce que j
ntend la grande machine ; témoins quelques tableaux de famille où les
figures
sont grandes comme nature et louables par toutes
e sais quoi du Job de la Bible sous l’armet du chevalier de la Triste
Figure
. Ah ! triste figure, en effet, mais pour tous ceu
e la Bible sous l’armet du chevalier de la Triste Figure. Ah ! triste
figure
, en effet, mais pour tous ceux qui ont gardé un p
Figaro, Pangloss, et même Méphistophélès ? Et voyez ! cette admirable
figure
de Don Quichotte, d’où sort tant de mélancolie qu
re et pénètre jusqu’aux endroits où il semble être le plus gai, cette
figure
et ce sentiment, supérieurs dans l’œuvre de Cerva
ivre de la roue, l’autre tenant un de ses montants ; — cet homme à la
figure
tannée, boucanée par le vent salin, sa toque de m
e, c’est la forme et la délicatesse des joues, le masque osseux de la
figure
devait être singulièrement resserré, amenuisé aux
plutôt qu’on ne perçoit dans leur cernure d’ombre. Dans le bas de la
figure
, autour de la bouche, comme un tourment apaisé et
e la petite nature d’Egypte et le suave enveloppement des formes. Des
figures
qui ont l’air de sortir d’un suaire de basalte, q
avec ses doigts aux ongles dorés. Une dernière bande, arrachée de la
figure
, découvre soudainement un œil d’émail, où la prun
la bouche sans inflexion, une ligne droite, couleur de fard, dans la
figure
toute blanche de poudre de riz. Là-dedans des rid
rejoint sous le menton qu’il coupe d’un grand pli de vieillesse. Une
figure
qui, sous le dessous d’une figure de courtisane e
e d’un grand pli de vieillesse. Une figure qui, sous le dessous d’une
figure
de courtisane encore en âge de son métier, a cent
ques de casse-noisette, le soprano du gazouillement, et sa femme, une
figure
qui fait penser à la Reine des Merlans dans une f
modore joué par Odry, avec ses cheveux et ses favoris lui mangeant la
figure
à la façon de deux perruques, avec ses yeux de ta
r un jupon noir, et la bretelle de sa guitare sur l’épaule. Elle a la
figure
grise des pauvres. Et une voix, sortant de cette
les cuisses, dans une pose d’idole, avec un sourire extatique sur la
figure
. Il nous parle de Rousseau qu’il nous dit n’avoir
Ce soir nous avons vu, pour la première fois, « l’homme masqué », une
figure
du paladin du biceps, qui nous est restée, ainsi
es cigares devient intense, qu’une pâleur nerveuse est sur toutes les
figures
, que les teints de Paris se plombent d’émotion, u
e serpe, avait enlevé le nez, les yeux, la bouche, tout ce qui est la
figure
d’un homme. Le canonnier porte le Suédois à l’amb
ules qui fit peur, porter enfin les mains à sa tête, à la place de sa
figure
, au bandage qui la recouvrait et l’arracher… On l
e la toquade d’aller en Grèce, pour mettre au bas d’un buste ou d’une
figure
: Αθηνη, suivi de Εποιει. Il vient de recevoir de
tes heures nocturnes où je tirai un à un ces souvenirs, ces noms, ces
figures
de ma mémoire avec toutes les circonstances qui m
eau, mais sombre, peiné, découragé, prostré comme son âme. C’était la
figure
d’une passion ; grand, maigre, pâle, creusé de jo
Lyon, compagnon égaré, puis retrouvé, d’étude, nommé Auguste Bernard.
Figure
rêveuse, physionomie plus que belle, car elle éta
heureux hasard nous fournît enfin l’occasion d’entrevoir cette grande
figure
vivante de notre siècle, soit quand il sortirait
aile dans la lame, l’autre dans le nuage. Un beau jeune homme, d’une
figure
étrangère et d’un costume un peu bizarre, était a
était l’air serein de la puissance et du génie. » XX Ces trois
figures
de Chateaubriand, de madame de Staël, de lord Byr
cesse, il parlait avec une volubilité intarissable. L’ironie était sa
figure
favorite de conversation. On sortait aigri contre
même dans ses propres sophismes. Je fus frappé et attiré par sa noble
figure
de gentilhomme de campagne qui me rappelait celle
XXIV Je cherchais à entrevoir ainsi une à une toutes les grandes
figures
de mon temps. Bientôt ma propre célébrité, quoiqu
s à l’histoire : M. Molé, qui portait l’élégance et l’atticisme de sa
figure
dans la politique ; M. Pasquier, esprit le plus f
elle aurait accueilli non un poète, mais la poésie elle-même sous la
figure
d’un jeune inconnu. Son salon ne s’ouvrait qu’à d
udieuse, les opinions libérales se réunissaient pour faire une grande
figure
de sénat ou de gouvernement sous un régime représ
quelques-unes de ses harangues sont des monuments : c’est une de ces
figures
qu’on est fier d’avoir rencontrées pendant sa vie
e salle d’étude. Une femme d’un âge indécis, d’un costume brun, d’une
figure
pétrie par les soucis du veuvage et les tendresse
charmant d’Orsay, dont les grâces d’esprit surpassaient celles de la
figure
, et qui employait toute une vie à demander grâce
retrace. Son extérieur était aussi inculte que son génie. C’était la
figure
d’un élément : grosse tête, cheveux épars, sur so
levard au bruit du canon. Cette foule avait en général l’œil doux, la
figure
souffrante, le visage pâle, les lèvres tremblante
rendu n’est point celui de la condamnation du père. Aussi, fatras de
figures
, d’effets et de sensations contradictoires. Exemp
est composé, il ne peut guère y avoir que le mérite du technique ; la
figure
principale tourne le dos, et un dos n’a pas beauc
ez pourtant ce dos, car il en vaut la peine, et la manière dont cette
figure
est assise sur son coussin, la vérité des chairs
parent nos campagnes, les métaphores, les comparaisons et les autres
figures
dont le stile de ces poëmes est specialement form
on sur les objets qui se présentent à la campagne pour en tirer leurs
figures
. Un general qui donne une bataille fait-il reflex
pas les seuls qui puissent emprunter des agrémens de la campagne les
figures
de leurs discours. Un jeune prince qui s’égare à
tout à coup le regard pâle et froid d’une personne immobile, dont la
figure
à demi monastique dépasse l’appui de la croisée a
sons sans admirer les énormes madriers dont les bouts sont taillés en
figures
bizarres, et qui couronnent d’un bas-relief noir
née, que le vulgaire disait, non sans raison, pleine de malice. Cette
figure
annonçait une finesse dangereuse, une probité san
g bas-relief de pierre dure sculptée représentant les quatre saisons,
figures
déjà rongées et toutes noires. Ce bas-relief étai
vec attention, un antiquaire y aurait retrouvé quelques indices de la
figure
essentiellement bouffonne qu’il représentait jadi
voir pour en reconnaître les sujets, tant les couleurs passées et les
figures
criblées de reprises se voyaient difficilement. A
deux ans, la pauvre fille n’avait pu se placer chez personne, tant sa
figure
semblait repoussante ; et certes ce sentiment éta
semblait repoussante ; et certes ce sentiment était bien injuste : sa
figure
eût été fort admirée sur les épaules d’un grenadi
un col rond, de manière à encadrer agréablement sa blanche et rieuse
figure
. Une redingote de voyage à demi boutonnée lui pin
avec le rôle qu’il voulait jouer. Malgré ses quarante ans, malgré sa
figure
brune et rébarbative, flétrie comme le sont presq
personnages, en remplaçant le loto par le whist et en supprimant les
figures
de M. et de Mme Grandet, la scène par laquelle co
persistait à tourmenter les Cruchot. Mais alors, comme autrefois, la
figure
d’Eugénie eût dominé le tableau ; comme autrefois
▲