sques en carosse on voit rouler la danse. L’esprit n’est plus qu’un
faux
brillant, La beauté qu’un faux étalage, Les cares
la danse. L’esprit n’est plus qu’un faux brillant, La beauté qu’un
faux
étalage, Les caresses qu’un faux semblant, Les pr
qu’un faux brillant, La beauté qu’un faux étalage, Les caresses qu’un
faux
semblant, Les promesses qu’un faux langage. Fauss
n faux étalage, Les caresses qu’un faux semblant, Les promesses qu’un
faux
langage. Fausse gloire, fausse grandeur, Logent p
, Les caresses qu’un faux semblant, Les promesses qu’un faux langage.
Fausse
gloire, fausse grandeur, Logent par-tout le faux
qu’un faux semblant, Les promesses qu’un faux langage. Fausse gloire,
fausse
grandeur, Logent par-tout le faux honneur. Par-to
u’un faux langage. Fausse gloire, fausse grandeur, Logent par-tout le
faux
honneur. Par-tout on voit fausse Noblesse, Fausse
e, fausse grandeur, Logent par-tout le faux honneur. Par-tout on voit
fausse
Noblesse, Fausse apparence, faux dehors, Faux air
r, Logent par-tout le faux honneur. Par-tout on voit fausse Noblesse,
Fausse
apparence, faux dehors, Faux airs, fausse délicat
le faux honneur. Par-tout on voit fausse Noblesse, Fausse apparence,
faux
dehors, Faux airs, fausse délicatesse, Faux bruit
eur. Par-tout on voit fausse Noblesse, Fausse apparence, faux dehors,
Faux
airs, fausse délicatesse, Faux bruits, faux avis,
ut on voit fausse Noblesse, Fausse apparence, faux dehors, Faux airs,
fausse
délicatesse, Faux bruits, faux avis, faux rapport
blesse, Fausse apparence, faux dehors, Faux airs, fausse délicatesse,
Faux
bruits, faux avis, faux rapports. Le cœur est fau
e apparence, faux dehors, Faux airs, fausse délicatesse, Faux bruits,
faux
avis, faux rapports. Le cœur est faux chez Amaran
, faux dehors, Faux airs, fausse délicatesse, Faux bruits, faux avis,
faux
rapports. Le cœur est faux chez Amarante, Vesta
ausse délicatesse, Faux bruits, faux avis, faux rapports. Le cœur est
faux
chez Amarante, Vesta nous montre un faux maintie
faux rapports. Le cœur est faux chez Amarante, Vesta nous montre un
faux
maintien, Lise est une fausse ignorante, Clindo
aux chez Amarante, Vesta nous montre un faux maintien, Lise est une
fausse
ignorante, Clindor est faux homme de bien. Ces
montre un faux maintien, Lise est une fausse ignorante, Clindor est
faux
homme de bien. Ces noms sont ceux des personnag
; langoureux, qui ne savent étaler que des sentimens outrés, & un
faux
pathétique, incapable de produire aucun effet. Le
Chapitre V.Le souvenir du présent et la
fausse
reconnaissance Cette étude a paru dans la Revue
venue « dépersonnalisation 12 », n’est pas indissolublement liée à la
fausse
reconnaissance ; elle s’y rattache cependant. Tou
oujours sa physionomie originale. On possède bien des observations de
fausse
reconnaissance : elles se ressemblent d’une maniè
’étudier lui-même, qui n’avait jamais entendu parler de l’illusion de
fausse
reconnaissance et qui croyait être seul à l’éprou
llusion aussi nettement stéréotypée. Nous ne comprendrons pas dans la
fausse
reconnaissance certaines illusions qui ont tel ou
avait éprouvé ou cru éprouver, d’une manière continue, l’illusion de
fausse
reconnaissance, s’imaginant revivre à nouveau tou
ons fait tout de suite penser à quelque chose d’assez différent de la
fausse
reconnaissance. Il ne s’agit plus d’une impressio
der de près, on découvre des différences autrement profondes. Dans la
fausse
reconnaissance, le souvenir illusoire n’est jamai
chasthénie. À l’opposé de la plupart des auteurs, M. Janet fait de la
fausse
reconnaissance un état nettement pathologique, re
peuvent pousser une foule d’anomalies, personne ne le contestera : la
fausse
reconnaissance est du nombre. Et nous ne conteste
nous ne contesterons pas davantage le caractère psychasthénique de la
fausse
reconnaissance en général. Mais rien ne prouve qu
un ensemble de symptômes psychasthéniques. Supposons en effet que la
fausse
reconnaissance proprement dite — trouble toujours
’a pas chez les psychasthéniques en général, capables de convertir en
fausse
reconnaissance vague, comme en beaucoup d’autres
été identique. N’oublions pas que beaucoup de ceux qui ont étudié la
fausse
reconnaissance, Jensen, Kraepelin, Bonatelli, San
à chercher une explication spéciale du phénomène proprement dit de la
fausse
reconnaissance 21. Où trouver cette explication ?
1. Où trouver cette explication ? On pourrait d’abord soutenir que la
fausse
reconnaissance naît de l’identification de la per
pplique en effet à un phénomène qui ressemble par certains côtés à la
fausse
reconnaissance. Il nous est arrivé à tous de nous
te première différence, en signale encore une autre 32. L’illusion de
fausse
reconnaissance fond sur le sujet instantanément,
ène localisé dans le domaine de l’intelligence pure. Au contraire, la
fausse
reconnaissance peut ébranler la personnalité enti
lonté ? La première tendance est celle des théories qui expliquent la
fausse
reconnaissance par une image, née au cours de la
cond arrive en retard, une image double s’ensuit, qui donne lieu à la
fausse
reconnaissance 37. M. Piéron a émis une idée anal
d’un souvenir vague, non localisable dans le temps, et nous avons la
fausse
reconnaissance. Myers propose une explication non
s-nous à dire que nous en acceptons le principe . nous croyons que la
fausse
reconnaissance implique l’existence réelle, dans
donner l’aspect d’un souvenir. Quoi qu’il en soit, une théorie de la
fausse
reconnaissance doit répondre en même temps aux de
nt de « familiarité » n’est sûrement pas celui qui intervient dans la
fausse
reconnaissance, et M. Bernard-Leroy a d’ailleurs
ie qui était indiscernable du moment actuel. » À supposer donc que la
fausse
reconnaissance ait sa racine dans un sentiment, c
eprésentation. Telle est la tendance des plus récentes théories de la
fausse
reconnaissance. Déjà, il y a bien des années, nou
onc dans un abaissement du ton mental qu’on cherchera l’origine de la
fausse
reconnaissance. Pour M. Pierre Janet, cet abaisse
bservation, une des plus pénétrantes analyses qu’on ait données de la
fausse
reconnaissance 52. MM. Dromard et Albès expliquen
l de la vie psychologique qu’il faut chercher la cause initiale de la
fausse
reconnaissance. Le point délicat est de détermine
iner ce dernier système d’expliction avec le premier, admettre que la
fausse
reconnaissance tient en même temps à une diminuti
autant de beaucoup d’anomalies et de singularités psychologiques. La
fausse
reconnaissance est du nombre. Comme nous le verro
ous la croyons applicable dès maintenant. En première ligne figure la
fausse
reconnaissance. Tel est le mécanisme de la percep
la perception, et tel est, à notre sens, celui de la mémoire, que la
fausse
reconnaissance résulterait naturellement du jeu d
ission de notre présent. Or, ce sont précisément les caractères de la
fausse
reconnaissance. On les trouve d’autant plus accen
out ce que fera son entourage 59. Voilà donc un autre caractère de la
fausse
reconnaissance. Mais le plus général de tous est
bien, en effet, la caractéristique du phénomène. Quand on parle de «
fausse
reconnaissance », ou devrait spécifier qu’il s’ag
e perception passée que la perception présente semble répéter. Or, la
fausse
reconnaissance n’est ni l’une ni l’autre de ces d
rofondément, comme le personnel se distingue de l’impersonnel. Or, la
fausse
reconnaissance est autre chose que ce sentiment d
et me permet à tout instant de les distinguer. Au contraire, dans la
fausse
reconnaissance, les cadres sont identiques, comme
hénomène de notre expérience. Et c’est à peine si l’on peut parler de
fausse
reconnaissance, puisqu’il n’y a pas de reconnaiss
ésent et à prévoir l’avenir : c’est un éclaireur de l’action. On fait
fausse
route quand on étudie les fonctions de représenta
ion spécifique se traduit par des faits pathologiques ou anormaux. La
fausse
reconnaissance est une de ces anomalies. Elle tie
la vie » ? Quel est le genre spécial de distraction qui aboutit à la
fausse
reconnaissance ? Attention et distraction sont de
plupart des sujets, décrivant ce qu’ils éprouvent pendant et après la
fausse
reconnaissance, parlent d’une impression de rêve.
énérale. Mais il faut remarquer aussi que les personnes sujettes à la
fausse
reconnaissance sont fréquemment portées à trouver
s conditions, n’est-il pas permis de chercher la cause initiale de la
fausse
reconnaissance dans un arrêt momentané de notre é
de décrire une impression personnelle. Nous ne sommes pas sujet à la
fausse
reconnaissance, mais nous avons essayé, bien souv
irmer ; mais il semble bien que nous soyons alors sur le chemin de la
fausse
reconnaissance, et qu’il y aurait peu de chose à
perception, le présent est reconnu en même temps qu’il est connu. La
fausse
reconnaissance serait donc enfin la forme la plus
très courts, espacés de loin en loin. Dès que l’arrêt se produit, la
fausse
reconnaissance arrive sur la conscience, la recou
reste du temps, en contact avec la réalité. Certains cas très nets de
fausse
reconnaissance confirmeraient cette hypothèse. Le
se sent d’abord détaché de tout, comme dans un rêve : il arrive à la
fausse
reconnaissance aussitôt après, quand il commence
me 63. Tel serait donc le trouble de la volonté qui occasionnerait la
fausse
reconnaissance. Il en serait même la cause initia
e ailleurs, dans le jeu combiné de la perception et de la mémoire. La
fausse
reconnaissance résulte du fonctionnement naturel
ion, Revue philos., vol. XLV, 1898, pp. 500-507). 13. L’illusion de
fausse
reconnaissance. Paris, 1898, p. 176. 14. Arnaud
166. 21. Il faut remarquer que la plupart des auteurs considèrent la
fausse
reconnaissance comme une illusion très répandue.
, pp. 485-497. 40. ARNAUD, Un cas d’illusion du « déjà vu » ou de «
fausse
mémoire », Annales médico-psychologiques, 8esérie
ives de psychologie, vol. III, 1903, pp. 101-110. 43. DUGAS, Sur la
fausse
mémoire, Rev. philos., vol. XXXVII, 1894, pp. 34-
maladies de la mémoire, p. 152. 45. E. BERNARD-LEROY, L’illusion de
fausse
reconnaissance, Paris, 1898. La lecture de ce liv
s, est indispensable à quiconque veut se faire une idée précise de la
fausse
reconnaissance. — Dans son étude sur les illusion
89-307. 50. LÉON-KINDBERG, Le sentiment du déjà vu et l’illusion de
fausse
reconnaissance, Revue de psychiatrie, 1903, pp. 1
1-343. 52. DROMARD et ALBÈS, Essai théorique sur l’illusion dite de
fausse
reconnaissance, Journal de psychologie, vol. II,
l’élégance, le svelte aux dépens de ce caractère, votre élégance sera
fausse
, vous serez maniéré. Il y a une manière nationale
ombre ? Comment n’y aurait-il pas un vice de technique, résultant des
faux
mélanges ; un vice de l’école ou de maître ; un v
n cent façons diverses. Il y a dans l’art, comme dans la société, les
fausses
grâces, la minauderie, l’afféterie, le précieux,
ausses grâces, la minauderie, l’afféterie, le précieux, l’ignoble, la
fausse
dignité ou la morgue, la fausse gravité ou la péd
afféterie, le précieux, l’ignoble, la fausse dignité ou la morgue, la
fausse
gravité ou la pédanterie, la fausse douleur, la f
a fausse dignité ou la morgue, la fausse gravité ou la pédanterie, la
fausse
douleur, la fausse piété ; on fait grimacer tous
la morgue, la fausse gravité ou la pédanterie, la fausse douleur, la
fausse
piété ; on fait grimacer tous les vices, toutes l
je pleure bien, comme je me fâche bien, comme je supplie bien ", est
faux
et maniéré. Tout personnage qui s’écarte des just
cadence ses bras, un homme qui marche et qui fait la belle jambe, est
faux
et maniéré. J’ai dit quelque part que le célèbre
ion asservie au technique, souvent en dépit de la nature du sujet, de
faux
contrastes entre les figures, des contrastes tout
ujet, de faux contrastes entre les figures, des contrastes tout aussi
faux
entre les membres d’une figure, il y a donc de la
rigoureuse de nature rendra l’art pauvre, petit, mesquin, mais jamais
faux
ou maniéré. C’est de l’imitation de nature, soit
ée, soit embellie, que sortiront le beau et le vrai, le maniéré et le
faux
; parce qu’alors l’artiste est abandonné à sa pro
n : il reste sans aucun modèle précis. Tout ce qui est romanesque est
faux
et maniéré. Mais toute nature exagérée, agrandie,
Les
Faux
Démétrius. Épisode de l’histoire de Russie, par M
ne. Aujourd’hui nous prendrons idée de son procédé dans l’histoire du
faux
Démétrius. On était à la fin du xvie siècle ; le
s couvée et échauffée, que naquit un jour et sortit comme de terre le
faux
Démétrius. Le faux Démétrius, en effet, ne fut qu
ée, que naquit un jour et sortit comme de terre le faux Démétrius. Le
faux
Démétrius, en effet, ne fut que la personnificati
autrement encore que par ces circonstances générales l’apparition du
faux
Démétrius, âgé de vingt à vingt-deux ans, et qui
à ce qui est de l’histoire. On ferait une liste curieuse de tous ces
faux
prétendants dont quelques-uns ont surpris pour un
t celle des nations. Hérodote, le premier, nous a donné l’histoire du
faux
Smerdis, de ce mage qui, à la mort de Cambyse, se
e Cyrus, et qui régna huit mois. Tacite nous a raconté l’histoire des
faux
Agrippa, des faux Drusus, des faux Néron ; il y e
gna huit mois. Tacite nous a raconté l’histoire des faux Agrippa, des
faux
Drusus, des faux Néron ; il y eut de ceux-ci en q
cite nous a raconté l’histoire des faux Agrippa, des faux Drusus, des
faux
Néron ; il y eut de ceux-ci en quantité surtout.
t pour lui, et aux dupes qui les crurent. À voir par moments tous ces
faux
personnages sortir çà et là, on dirait quelque ch
eut péri en Afrique à la bataille d’Alcazar-Kebir, il y eut aussi des
faux
Sébastien en quantité, et qui furent accueillis a
, fait prisonnier et mis à mort en Bulgarie, il s’éleva en Flandre un
faux
Baudouin qui, sous son habit d’Arménien, réussit
peuples et auprès même de la noblesse. De nos jours, nous avons eu de
faux
Louis XVII très nombreux, en partie fous, en part
es conditions plus favorables que celles où se produisit en Russie le
faux
Démétrius : il y avait la distance des lieux, la
nal, à bout de souffrances, se suscite un chef véritable, non plus un
faux
rejeton du passé, mais un fondateur de dynastie n
iles, ces événements mêlés d’obscurité, et il a traité le problème du
faux
Démétrius avec une sagacité piquante. La manière
verses où il s’est si heureusement porté, a été en inaction contre le
faux
goût établi, contre le convenu en tout genre, con
5
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« VII »
istorique, on ne voit pas, loin des romans-feuilletons, la place d’un
faux
naufrage et d’un faux déraillement… » Oui, sans
pas, loin des romans-feuilletons, la place d’un faux naufrage et d’un
faux
déraillement… » Oui, sans aucun doute, il serait
inventent des sujets, des descriptions, des scènes, des aventures, de
faux
déraillements, de faux naufrages. Le naufrage fin
es descriptions, des scènes, des aventures, de faux déraillements, de
faux
naufrages. Le naufrage final de Paul et Virginie
ents, de faux naufrages. Le naufrage final de Paul et Virginie est un
faux
naufrage, La mort des deux amants culbutés sous u
e tiens que l’on se moque, lorsqu’on prétend qu’on ne doit peindre ni
faux
déraillement, ni faux naufrage. Ce point acquis,
que, lorsqu’on prétend qu’on ne doit peindre ni faux déraillement, ni
faux
naufrage. Ce point acquis, comment donc s’y prend
laquelle nous protestons à notre tour et que nous appelons « un genre
faux
», parce qu’elle constitue précisément alors ce f
elons « un genre faux », parce qu’elle constitue précisément alors ce
faux
naufrage » et ce « faux déraillement », que nous
parce qu’elle constitue précisément alors ce faux naufrage » et ce «
faux
déraillement », que nous répudions aussi énergiqu
Chapitre VII. Induction et déduction. — Diverses causes des
faux
raisonnements Ces procédés d’argumentation, et
point de départ qu’on se trompe ; on raisonne juste sur des principes
faux
. Dans l’induction, on observe mal les faits dont
t qu’on n’étudie pas à fond, on pose une règle générale qui se trouve
fausse
. Tel ce voyageur anglais, qui, dans je ne sais qu
fin toutes ces causes d’erreur peuvent se mêler et concourir dans une
fausse
généralisation ; on obéit à des préjugés, à une t
r la conséquence nécessaire des prémisses. Mais si ces prémisses sont
fausses
, si une seule est fausse, la conséquence sera fau
e des prémisses. Mais si ces prémisses sont fausses, si une seule est
fausse
, la conséquence sera fausse aussi. Si les jurisco
prémisses sont fausses, si une seule est fausse, la conséquence sera
fausse
aussi. Si les jurisconsultes n’admettent pas le p
, si simplement belle : cela était évident alors, et pourtant c’était
faux
; et les faits sont venus depuis témoigner en fav
qui satisfait un sentiment légitime est légitime. Maximes évidemment
fausses
: car tout le monde peut réclamer le privilège pa
conviennent qu’aux premières données. C’est la source de beaucoup de
faux
raisonnements : comme lorsque, sous le prétexte d
e égalité-là doit régner dans la société humaine, le raisonnement est
faux
, et l’on joue sur le mot égalité. On met dans la
y a des erreurs où la part de la vérité est si minime, et la part du
faux
si considérable, que le plus équitable des éclect
i les systèmes il y en a un qui est vrai, et que tous les autres sont
faux
. Par exemple, s’il y a quatre systèmes fondamenta
e, le sensualisme, l’idéalisme, — on exclura les trois premiers comme
faux
, le quatrième seul étant le vrai ; mais l’idéalis
ssions ne sont pas plus aptes que les mauvaises à juger du vrai et du
faux
. Cette explication est démentie en outre par la p
l n’y a donc pas là un critérium suffisant pour distinguer le vrai du
faux
. On dira encore que tels auteurs que nous désappr
dira encore que tels auteurs que nous désapprouvons sont des esprits
faux
; mais il y a encore là bien des difficultés. Nou
ien des difficultés. Nous sommes tentés trop souvent d’appeler esprit
faux
quiconque ne pense pas comme nous : or c’est là u
t là un cercle vicieux. Sans doute, si un tel a tort, c’est un esprit
faux
; mais la question est de savoir s’il a tort, et
lleurs la distinction établie entre les esprits justes et les esprits
faux
(quoique cette distinction soit assez difficile à
parmi tous ces systèmes un seul est vrai et que tous les autres sont
faux
, c’est, nous venons de le voir, une hypothèse rem
hèse remplie de difficultés. Supposer, d’un autre côté, que tous sont
faux
et ne sont que des conceptions absolument chiméri
e contredisent : ou plutôt on n’a ni tort ni raison, et le vrai et le
faux
vont se perdre dans l’abîme de l’absolue indiffér
se mentir à soi-même et mentir aux autres que de croire que tout est
faux
dans un système faux. Que ce soit maintenant une
et mentir aux autres que de croire que tout est faux dans un système
faux
. Que ce soit maintenant une grande difficulté de
courtisans serviles et tressaillir les citoyens. C’était l’ennemi du
faux
en toutes choses, du faux goût, du faux savoir ;
essaillir les citoyens. C’était l’ennemi du faux en toutes choses, du
faux
goût, du faux savoir ; du faux en morale, en poli
citoyens. C’était l’ennemi du faux en toutes choses, du faux goût, du
faux
savoir ; du faux en morale, en politique, en litt
l’ennemi du faux en toutes choses, du faux goût, du faux savoir ; du
faux
en morale, en politique, en littérature, en conve
en politique, en littérature, en conversation ; l’ennemi des esprits
faux
et des cœurs faux. Boileau regardait son suffrage
littérature, en conversation ; l’ennemi des esprits faux et des cœurs
faux
. Boileau regardait son suffrage comme le plus hon
bien, selon Bouhours, ce n’est pas assez que la pensée n’ait rien de
faux
; il faut qu’elle frappe et qu’elle surprenne. Si
s l’était à Voiture. Dans ses écrits, comme dans ceux de Bouhours, le
faux
est de penchant et de source ; le vrai n’est que
uhours, je ne dirai pas amendée, mais empirée, selon la loi des idées
fausses
qui s’exagèrent en se reproduisant. Bouhours voul
ait aux auteurs le vrai, la raison par laquelle nous le discernons du
faux
. C’était le bon conseil ; car, malgré l’attrait n
recommandent le nouveau ne sentent pas le vrai et ne haïssent pas le
faux
. Je ne suis pas surpris que Trublet, plus naïf qu
ris que Trublet, plus naïf que Bouhours, fasse une place d’honneur au
faux
. « Préférer Virgile à Lucain, dit-il, et Cicéron
i orné et du bon mis en ragoût le mènerait à dire que le goût pour le
faux
marque plus d’esprit que la préférence pour le vr
Trublet, on en eût facilement tiré que le nouveau, fût-ce au prix du
faux
, vaut mieux que le vrai sans apprêt. Or, une fois
ne certains façon et non d’une autre, c’en est fait, on appartient au
faux
, et ce qu’on garde d’estime au vrai n’est que du
cience un soulèvement d’idées mystérieuses ; l’ébranlement intime des
fausses
certitudes leur troublait l’âme ; ils sentaient t
t en effet du droit divin au droit humain. Ils tournaient le dos à la
fausse
histoire, à la fausse société, à la fausse tradit
vin au droit humain. Ils tournaient le dos à la fausse histoire, à la
fausse
société, à la fausse tradition, au faux dogme, à
Ils tournaient le dos à la fausse histoire, à la fausse société, à la
fausse
tradition, au faux dogme, à la fausse philosophie
à la fausse histoire, à la fausse société, à la fausse tradition, au
faux
dogme, à la fausse philosophie, au faux jour, à l
oire, à la fausse société, à la fausse tradition, au faux dogme, à la
fausse
philosophie, au faux jour, à la fausse vérité. Le
té, à la fausse tradition, au faux dogme, à la fausse philosophie, au
faux
jour, à la fausse vérité. Le libre esprit qui s’e
tradition, au faux dogme, à la fausse philosophie, au faux jour, à la
fausse
vérité. Le libre esprit qui s’envole, oiseau appe
lat de lentilles. Encore un peu, et ce contre-sens fatal ferait faire
fausse
route à la civilisation. Le porc à l’engrais, ce
a se classer. Le personnage en effet mettra toujours au service de la
fausse
conception qu’il se forme de lui-même, au service
cette gaucherie, cette sottise, cette niaiserie, ces grimaces et ces
faux
pus qui n’excitent que le rire des spectateurs. D
n scène, avec un art singulier, des personnages qui, déformés par une
fausse
conception d’eux-mêmes, ne relèvent précisément n
uences les plus fréquentes qu’entraîne chez des natures médiocres une
fausse
conception de leur pouvoir et de leurs aptitudes.
: l’intensité dans la passion lui fait défaut. C’est pourtant à cette
fausse
conception de lui-même qu’il subordonne son activ
rise, on s’en souvient, son mariage avec Mme Dambreuse. Victime d’une
fausse
conception de sa sensibilité, il l’est aussi d’un
ctime d’une fausse conception de sa sensibilité, il l’est aussi d’une
fausse
conception de son intelligence. Il s’est enthousi
dans sa vie en vue de cette éventualité qui ne se réalise pas, et ce
faux
espoir le dissuade de tenter tout effort pour tir
ge imaginaire ne l’engage en des entreprises compromettantes et cette
fausse
conception de lui-même n’a d’autre conséquence qu
i, avec Mme Bovary, un être pourvu d’une énergie plus forte. Aussi la
fausse
conception qu’elle prend d’elle-même va-t-elle se
bles, mais elle lui en attribue de fictifs, et c’est à satisfaire ces
faux
instincts, à assouvir ce moi déguisé, qu’elle emp
d’autres contours, — semblable à quelque tragique voyageur muni d’une
fausse
carte et qui, dans la nuit, rencontrerait des pré
ait dire laquelle engendré l’autre. Il semble en effet parfois que la
fausse
conception qu’elle prend d’elle-même et des chose
, quant à la qualité et quant à la portée de son intelligence : cette
fausse
conception de lui-même où il se fixe et en laquel
frappés. D’une façon essentielle elle se méconnaît, elle se forge une
fausse
conception de son pouvoir, visant des buts qu’ell
orie philosophique connue sous le nom de nominalisme ; tout n’est pas
faux
dans cette théorie ; il faut lui réserver son lég
: même au second échelon, l’énoncé d’un fait ne peut être que vrai ou
faux
. Il n’en serait pas de même pour une proposition
s qui sont des conventions, un théorème ne peut plus être que vrai ou
faux
. Mais pour répondre à cette question : ce théorèm
éponse doit être la même. Et si la loi venait un jour à être reconnue
fausse
? Si on s’apercevait que la concordance des deux
, l’un directement observé et qui est vrai, l’autre inféré et qui est
faux
. On pourra dire à la rigueur que le second, c’est
c’est l’erreur. Mais si nous pouvons dire que le fait en question est
faux
, n’est-ce pas justement parce qu’il n’est pas une
e esprit, une convention déguisée, auquel cas il ne serait ni vrai ni
faux
? Et en effet il était vérifiable, je n’avais pas
pas fait la vérification, mais j’aurais pu la faire. Si j’ai fait une
fausse
réponse, c’est parce que j’ai voulu répondre trop
re qu’il fondra à 44°. Sans doute, on pourra découvrir que la loi est
fausse
. On lira alors dans les traités de chimie : « il
il suffit de remarquer qu’il y a une loi, et que cette loi, vraie ou
fausse
, ne se réduit pas à une tautologie. Dira-t-on que
arce qu’elle se réduirait à une convention, mais parce qu’elle serait
fausse
. De même en ce qui concerne la chute des corps. I
re ou à peu près libre. Cela alors est une loi qui peut être vraie ou
fausse
, mais qui ne se réduit plus à une convention. Je
, n’est plus soumis au contrôle de l’expérience. Il n’est pas vrai ou
faux
, il est commode. On a trouvé souvent de grands av
si chacun est juge de la vérité, dit-on, rien n’est plus ni vrai, ni
faux
; l’un juge d’une manière, l’autre juge d’une aut
le Église ? car il y en a plusieurs. De la tradition ? mais il est de
fausses
traditions. De l’instinct naturel ? du sentiment
les concevoir en raison de ses impressions. Il n’y a donc ni vrai ni
faux
d’une manière absolue ; il n’y a que ce qui paraî
ne manière absolue ; il n’y a que ce qui paraît vrai ou ce qui paraît
faux
à chacun de nous. S’il en est ainsi, de quel droi
qu’elle proclame ? comment l’homme aurait-il le droit de préférer le
faux
au vrai ? Tous ceux qui croient à une vérité abso
ent tous ceux qui ne pensent pas comme eux, les appellent des esprits
faux
ou pervers, des ennemis de l’ordre social, et si
qu’il y a une distinction nécessaire et objective entre le vrai et le
faux
, et d’autre part que l’homme est libre de penser,
ns et de préjugés, il faut une analyse éclairée qui sépare le vrai du
faux
, et les vérités vraiment naturelles des illusions
-delà de laquelle il est difficile de remonter ; cependant combien de
fausses
croyances morales se sont présentées, se présente
sions brutales ? Donner au cœur le droit de juger entre le vrai et le
faux
, le bien et le mal, c’est dire que le cœur est le
i passer par la tête, qu’il puisse à son gré déclarer vrai ce qui est
faux
et faux ce qui est vrai, prendre sa passion pour
par la tête, qu’il puisse à son gré déclarer vrai ce qui est faux et
faux
ce qui est vrai, prendre sa passion pour souverai
l’erreur. Telle est par exemple la situation de ceux qui croient à de
fausses
religions. Ils prennent pour vérité surnaturelle
dications que lui donne l’opinion elle-même, un instant attachée à de
fausses
beautés, mais qui finit toujours par s’en dégager
arriver que la tradition ne soit que la continuation irréfléchie d’un
faux
goût. La littérature française a ainsi passé à pl
mitation italienne, espagnole, anglaise, allemande, grecque, tous ces
faux
goûts ont successivement succombé ; mais à côté d
tous ces faux goûts ont successivement succombé ; mais à côté de ces
fausses
beautés il y en avait d’autres vraies, générales,
faire ce partage que M. Nisard s’est attaché. Il poursuit toutes les
fausses
beautés partout où il les rencontre, et nous donn
re la discipline au nom de la raison. Ils attaquaient, direz-vous, la
fausse
discipline, la fausse autorité ; ils y substituai
m de la raison. Ils attaquaient, direz-vous, la fausse discipline, la
fausse
autorité ; ils y substituaient la vraie. Il y a d
autorité ; ils y substituaient la vraie. Il y a donc une vraie et une
fausse
discipline, et qui juge entre elles ? C’est la ra
e M. de la Rochefoucauld roulent sur un systême qui en rend plusieurs
fausses
, & quelques autres outrées. Selon lui, l'amou
e pourroit jamais mourir qu'avec chacun de nous ; ce qui est démontré
faux
par expérience. Nous ne craignons pas de le dire,
soit produite par un orgueil sensible ou déguisé ; & c'est sur ce
faux
principe qu'il établit ses réflexions chagrines c
se sont même servis de ce témoignage imposant, pour appuyer des idées
fausses
, absurdes, & quelquefois dangereuses. Il est
n’y a que le bon et le mauvais, le beau et le difforme, le vrai et le
faux
. Or, sans établir ici de comparaisons qui exigera
assique signifie digne d’être étudié) que le beau dans Racine ; et le
faux
dans Voltaire est tout aussi romantique (si roman
re est tout aussi romantique (si romantique veut dire mauvais) que le
faux
dans Calderon. Ce sont là de ces vérités naïves q
é bien funeste, puisqu’il a introduit en France je ne sais quel genre
faux
, qu’on a fort bien nommé le genre scholastique, g
s. On a rassemblé ci-dessus quelques exemples pareils entre eux de ce
faux
goût, empruntés à la fois aux écrivains les plus
itique, il faut en même temps se garder scrupuleusement d’adopter les
fausses
couleurs employées quelquefois par le poëte. Et r
édé à une raison calme, patiente et vigoureuse, il faut se garder des
fausses
analogies ; et, puisqu’on a tout loisir d’étudier
ntinuer. Si ce n’était de leur part qu’une erreur rationnelle, qu’une
fausse
vue historique, il serait encore bon mais peu urg
encore bon mais peu urgent de les combattre. Le malheur est que cette
fausse
vue, cette erreur d’observation et de jugement, c
s sont tournés en préjugés ; toute leur expérience s’est pétrifiée en
fausses
analogies ; les intérêts les ont achevés. Malgré
anquent pas ; assez d’esprits logiques les déduiront ; et, malgré les
fausses
vues, les indécisions et les intérêts qui viendro
’envie ; nous déclarions, en un mot, la guerre à la Philosophie, à la
fausse
Littérature, à la vanité, à la prévention, à tous
muler les défauts. A-t-on eu plus de raison de triompher sur quelques
fausses
dates ou sur de légeres omissions ? Nous le décla
ormes, éclater ouvertement, parler à l’oreille, affecter le ton d’une
fausse
bénignité ; la haine & la vengeance peuvent t
nce de ces caracteres isolés qui ne prennent part à rien ; malgré les
faux
jugemens, les fausses critiques, les fausses impu
es isolés qui ne prennent part à rien ; malgré les faux jugemens, les
fausses
critiques, les fausses imputations ; malgré son i
nt part à rien ; malgré les faux jugemens, les fausses critiques, les
fausses
imputations ; malgré son imperfection même, nous
d’heureuses révolutions s’opérer dans les esprits ; les Adorateurs du
faux
goût rendre hommage au véritable, & murmurer
ns le genre du Coran. Rien de plus fatigué, de plus monotone, de plus
faux
comme littérature et comme art. « Quand la puissa
ire entière des peuples est présentée comme un vaste quiproquo et une
fausse
route prolongée qui ne doit se rectifier que lors
e l’hygiène. Ce qu’il y avait de vrai dans Franklin est poussé ici au
faux
par la rigueur de la déduction, et ne se tempère
nt que Volney pour que sa manière de voir, qui tend à s’imposer, soit
fausse
moralement. Quant aux religions, sans aller plus
nesse avec le besoin d’aimer, peuvent se prendre à des idoles et à de
faux
prophètes : et Rousseau, selon lui, a été un faux
des idoles et à de faux prophètes : et Rousseau, selon lui, a été un
faux
prophète. Les Grecs et les Romains aussi le préoc
III, Volney était au sommet de la considération et du crédit. Le côté
faux
de certaines de ses opinions choquait peu alors ;
que ce qui nous a paru vrai dans un temps nous semble ensuite prouvé
faux
dans un autre, comment pouvons-nous attribuer à n
ey est encore une idée de l’an III, et qui marque une vue exagérée et
fausse
. Elle est rejetée aujourd’hui par tous les savant
manière de défi : « La France veut les Bourbons ! » parole blessante,
fausse
en elle-même, car la France, qui voulait en effet
enfermé dans la psychologie, l’y guida. Le mal, le bien, le vrai, le
faux
, les découvertes, les erreurs, tout vient chez lu
s précises, les notions incomplètes en notions complètes, les notions
fausses
en notions exactes. La science de l’âme, comme la
bilité se répand et se porte vers la pêche, c’est faire une métaphore
fausse
. C’est la connaissance qui, appliquée d’abord à l
ons la pêche qui est sa cause. Troisième erreur. Point d’analyse plus
fausse
que celle du mouvement attractif. Dire que la sen
éloignée, nous la concevons ensuite comme rapprochée. Encore l’auteur
fausse
le fait, en l’attribuant à la sensibilité, quand
res ; des fautes de style font ici des fautes de science ; le langage
faux
produit la pensée fausse ; en comparant des quali
le font ici des fautes de science ; le langage faux produit la pensée
fausse
; en comparant des qualités et des pouvoirs à des
n, une vision, une représentation, est une apparence et une apparence
fausse
; que lorsque nous nous figurons une maison, il n
présentations choisies, vous avez conclu qu’elles sont les apparences
fausses
d’un fait inconnu que vous constatez et que vous
bateurs. À peine il parle de ses pièces, et le peu qu’il en dit, sans
fausse
humilité, est qu’il les trouve excellentes. Excel
ensible : outre qu’ils jugent sa philosophie puérile, son sens social
faux
et sa littérature grossière, ils sont incapables
fille-mère de bonne volonté qui veuille bien me prêter un instant sa
fausse
situation ? Grâce ce petit Évangile de poche, nou
Dumas ignore cette difficulté. Pour ce penseur, il y a des solutions
fausses
, à gauche, à droite des solutions vraies. Ces sol
sujet n’en est pas moins admissible. On objecte : Ces peintures sont
fausses
et exagérées. — Qu’en savez-vous ? Connaissez-vou
périeurement prouvé dans son beau fragment sur Paul-Louis Courier, ce
faux
canonnier à cheval, ce faux vigneron, ce faux rép
beau fragment sur Paul-Louis Courier, ce faux canonnier à cheval, ce
faux
vigneron, ce faux républicain, ce faux bonhomme e
Paul-Louis Courier, ce faux canonnier à cheval, ce faux vigneron, ce
faux
républicain, ce faux bonhomme et ce faux écrivain
ce faux canonnier à cheval, ce faux vigneron, ce faux républicain, ce
faux
bonhomme et ce faux écrivain, qui fit de la vieil
cheval, ce faux vigneron, ce faux républicain, ce faux bonhomme et ce
faux
écrivain, qui fit de la vieille prose française c
ivain, celui des livres me frappe et m’impatiente davantage. Succès à
faux
! insuccès à faux ! lequel est le plus haïssable
ivres me frappe et m’impatiente davantage. Succès à faux ! insuccès à
faux
! lequel est le plus haïssable ?… Le succès à fau
faux ! insuccès à faux ! lequel est le plus haïssable ?… Le succès à
faux
finit par avoir l’air si bête que tôt ou tard l’e
ive, sombrer un sot, — un sot qu’on avait pavoisé ! Mais l’insuccès à
faux
est une cruauté sans revanche. Qui peut dédommage
plus ! Assurément nous ne comparerons pas à l’auteur de Marianne, des
fausses
Confidences, des Jeux de l’Amour et du Hasard et
confiant mari, le docteur se voit obligé de jouer lui-même le rôle du
faux
amant, et il y a des moments où l’on croirait qu’
beaucoup de finesse et de délié dans l’exécution et aussi un coin de
faux
par parti pris. La Crise, qui me représente d’au
ils ne peuvent raisonnablement se tirer qu’avec une infraction et un
faux
pas : et il les en tire moyennant un petit moyen
é qu’elles s’en sont tirées à bon marché, et de leur avoir ouvert une
fausse
porte pour entrer dans la bonne opinion de leur v
s-homme du monde, qu’une première maladresse a mis en position un peu
fausse
vis-à-vis d’elle, n’a d’ailleurs que de l’aversio
on d’arranger. Pas tout le vrai, j’en tombe d’accord ; mais jamais le
faux
! Vous avez vu quelquefois un beau jeune homme de
il y a, au milieu d’observations vraies et charmantes, des traces de
faux
qui se reconnaissent aussitôt à certains reflets
ncroyable dès qu’il s’agit d’un homme en chair et en os. Rien de plus
faux
que le raisonnement d’après lequel Claude justifi
us apprend qu’elle s’est fait enlever, dans sa dernière fugue, par un
faux
comte de Moncabré, lequel n’était autre qu’un de
ous réserve d’autres surprises. Quand un drame glisse sur la pente du
faux
, avec ce violent parti pris, il roule jusqu’au fo
le. Le fusil a porté, mais l’arme morale a dévié ; ce dénouement fait
faux
coup. Cette femme immonde méritait dix fois d’êtr
i forcés. Mais le vice organique de la Femme de Claude est surtout le
faux
système que, depuis quelque temps, M. Dumas appli
laude, consiste à faire d’une pièce une prédication d’idées vraies ou
fausses
, usurpant la place de l’action, et dressant une c
six fois en onze ans. Encore se masquait-il, pendant ces visites, du
faux
nom de Monsieur Alphonse. Raymonde, elle, n’a jam
réole mystique de Claude illumine, a ce moment, M. de Montaiglin d’un
faux
idéal. Heureusement ce n’est qu’une lueur, et l’a
d’un mécanisme exquis, merveilleusement ajustée, garantie contre tout
faux
pas et tout dérangement. Son intelligence, tirée
on se demande si l’on n’aurait point en soi quelque travers, quelque
fausse
vue ou quelque passion maligne, quelque fanatisme
bert commença son ministère par une banqueroute et le finit par de la
fausse
monnaie. » Le bon sens de Voltaire se révolte pou
Jean-Baptiste (Colbert)… » Mais on entrevoit déjà un coin de jugement
faux
chez Condorcet, car ce n’est qu’un esprit en part
ent des institutions et des lois, que personne ne naît avec un esprit
faux
, qu’il suffit de présenter directement les lumièr
la société moderne en ce sens-là, ce n’est pas cette idée qui est la
fausse
vue de Condorcet ; son erreur propre, c’est de cr
lyse. Les voilà prises sur le fait les conséquences pratiques de ces
fausses
théories spéculatives. Ainsi Condorcet imprime sa
et en quel sens Condorcet, malgré ses mérites, a été un grand esprit
faux
, et n’a pas toujours été un cœur droit. Sa carriè
ire aux essais et aux audaces en tout genre. Sa déviation tout à fait
fausse
et fatale date de 1791. M. Arago l’a noté ; mais,
feste exemple de ce que peuvent engendrer de funeste un coin d’esprit
faux
et d’esprit de système opiniâtrement logé au sein
Ils voient des passions mesquines, des intérêts égoïstes, des droits
faux
, des idées contradictoires en elles-mêmes, des vo
propre sottise, au point de poursuivre l’impossible, l’absurde et le
faux
avec une âpre volonté de réussir, puis d’être con
la politique ; c’est le mensonge du Divin. Il immole l’absurde et le
faux
à la vérité qu’il respecte207. Bon citoyen, bon p
Femmes savantes. C’est ainsi qu’Aristophane avait détruit ce qui est
faux
en Morale, en Religion, en Politique, en Philosop
rrévérence, que grâce à cette parfaite symétrie du mal et du bien, du
faux
et du vrai, de l’absurde et du raisonnable dans l
élever sa personne à une hauteur infinie au-dessus du rôle injuste et
faux
joué par sa scélératesse. C’est ainsi que du plus
avarice avec une naïveté sérieuse, au point de faire d’une passion si
fausse
et si vide le fond même de son existence, et de s
qu’en détruisant dans les individualités qui se combattent, leur côté
faux
et exclusif, elle représente dans leur accord pro
ême. … Toute action n’est pas déjà comique parce qu’elle est vaine et
fausse
. Sous ce rapport, le risible est souvent confondu
senter ce qui est en soi le vrai, la raison absolue, comme ce qui est
faux
et se détruit de soi-même, mais au contraire comm
e comme ce qui ne laisse en réalité, à la sottise, à la déraison, aux
faux
rapports et aux contradictions, ni la victoire ni
t pas davantage périr dans la comédie. Si, en effet, l’apparence, une
fausse
image de ce qui est substantiel et vrai, ou ce qu
réelle du principe substantiel a disparu. Mais, si ce qui est en soi
faux
se détruit par soi-même, à cause de ce semblant m
on, qui contredit leur nature divine, se laisse représenter comme une
fausse
exagération. T. V, p. 194. 209. Retranché dam
t du temps maltraités. Ainsi, par exemple, le Tartuffe de Molière, ce
faux
dévot, véritable scélérat qu’il s’agit de démasqu
aintenant, si le personnage s’absorbe tout entier dans ce but, en soi
faux
, et cela sérieusement, comme constituant le fond
caractères par un humour profond, au-dessus du but grossier, borné et
faux
qu’ils poursuivent. Richard III appartient à ce g
ité des façons universelles, et se prend en voulant prendre. Dans les
Fausses
Confidences, l’artifice des valets force l’attent
e subtilité, d’une pénétrante sentimentalité qui n’est jamais fade ni
fausse
, puissante parfois par un pathétique intérieur et
diverses scènes de son théâtre et dans les chaudes caricatures de la
Fausse
Agnès 481. Malheureusement il s’appliqua surtout
ntaux et pathétiques. Un an après le Glorieux, La Chaussée donnait la
Fausse
antipathie, et la comédie larmoyante était créée.
œuvres de La Chaussée, gâtées par le romanesque des intrigues, par la
fausse
sentimentalité des caractères, par la vague bours
e procédé de composition la tendance d’une poétique sentimentale, qui
fausse
la destination naturelle du genre dramatique. Sel
urprise de l’amour, 1702 ; le Jeu de l’amour et du hasard, 1734 ; les
Fausses
Confidences, 1737 ; l’Épreuve, 1740, aux Italiens
éories antipoétiques de La Motte, et aborda le théâtre en 1733 par la
Fausse
Antipathie. Il donna ensuite le Préjugé à la mode
de Sergines, un journaliste célèbre. Une séparation prononcée sur de
faux
griefs a prévenu le scandale ; mais le marquis es
nce et la largeur d’un drapeau, là est l’injustice et le paradoxe. Ce
faux
tableau de l’intérieur d’un journal est d’ailleur
vention. Ce sont des masques, ils en ont la grimace contrainte et les
fausses
couleurs ; et cherchez bien, ces masques-là ne re
die, et se jetant, devant le public, leurs encriers à la tête ! Cette
fausse
donnée n’a pas porté bonheur à M. Augier ; il a d
ent comme des cierges ; le fauteuil de la maîtresse de la maison a un
faux
air de confessionnal. Les hommes y sont doucereux
, et on se dit que ce dadais joue trop bien son rôle. Son masque luit
faux
à cent pas ; les lunettes troubles de la plus ent
er ! » dit au troisième acte Maxime à Giboyer, lorsqu’il découvre ses
faux
oratoires. On peut lui renvoyer cette exclamation
l’étincellement des détails. Les mots frappent juste, si l’action est
fausse
: le plan de la bataille est vicieux, mais le tir
ans l’écart qui se forme entre la réalité de quelque personnage et la
fausse
conception de lui-même à laquelle il s’attache. C
n ne va retenir ici, comme exemples de ce Bovarysme tragique, que ces
fausses
conceptions que, sous l’empire du milieu, mœurs e
qu’il est : il sacrifie alors, de la façon la plus tragique, à cette
fausse
conception de soi-même sa propre personne et son
œuvre pour sa seule théorie des couleurs qui, depuis, a été reconnue
fausse
. « Je ne me fais pas illusion, dit-il, sur mes œu
trêve, elle risquerait de le briser. Peut-être faut-il penser que les
fausses
vocations, où il prend le change sur lui-même, so
igant intéressé à faire prendre aux autres afin de les exploiter, une
fausse
opinion de lui-même. C’est lui-même qu’il tient à
es reconnaissent comme des leurs, tiennent pour de grands esprits ces
faux
petits-maîtres et prennent meilleure opinion d’el
écessaires ; non-seulement nous n’apercevons pas de cas où ils soient
faux
, mais nous apercevons très-nettement qu’en aucun
is nous apercevons très-nettement qu’en aucun cas ils ne peuvent être
faux
. Ces objets sont bien réellement infinis ; non-se
leur rapport. Vous dites vrai, si vous parlez du rapport. Vous dites
faux
, si vous parlez des termes. Vous dites vrai, si v
is les y trouver, je ne puis les en tirer. — Au contraire, vous dites
faux
, si vous affirmez que de termes contingents on ne
ce qui ne s’applique qu’au rapport, et vous arrivez à une conséquence
fausse
par un faux raisonnement. Deuxième équivoque. Qua
plique qu’au rapport, et vous arrivez à une conséquence fausse par un
faux
raisonnement. Deuxième équivoque. Quand vous dite
que pour faire une pétition de principe. Ajoutez que cette conclusion
fausse
engendre des absurdités. Si « le sujet de la véri
charne sur mes mœurs. Hé ! que m'importe à quel bas coin me marque Le
faux
poinçon de ce faux Aristarque, Dont la censure &a
s. Hé ! que m'importe à quel bas coin me marque Le faux poinçon de ce
faux
Aristarque, Dont la censure & dont le jugemen
sans discernement ?… Aussi voit-on, dans les portrais qu'il trace Le
faux
s'unir à l'ignorance crasse. Il n'a rien lu ; des
selon lui, trois choses mortelles, une tragédie dont le discours est
faux
, un tableau dont le coloris est faux, un air d’op
ne tragédie dont le discours est faux, un tableau dont le coloris est
faux
, un air d’opéra dont la déclamation est fausse :
leau dont le coloris est faux, un air d’opéra dont la déclamation est
fausse
: Et celui qui peut y tenir, déclare-t-il, peut
us tourmente à proportion que vous êtes enchanté du beau. Il est donc
faux
de dire qu’il ne faut point avoir de goût exclusi
répandirent utilement dans la société de son temps : son style et son
faux
goût littéraire faillirent produire un mal durabl
prétend bientôt ; de là le bon esprit devient rare, et la pointe, le
faux
bel esprit et la prétention prennent sa place. E
le, il cherche à saisir le point où l’écrivain éloquent et outré fait
fausse
route, et où sa doctrine devient excessive ; il s
is, ont grande influence. Si vous voulez, d’ailleurs, ne garder aucun
faux
respect, aucune considération intellectuelle pour
pporté de vérité positive . l’affirmation vraie se substitue à l’idée
fausse
en vertu de sa force intrinsèque et se trouve êtr
nous avertit qu’un parent est mort ou mourant, ou c’est vrai ou c’est
faux
, ou la personne meurt ou elle ne meurt pas. Et pa
u hasard, avoir comparé le nombre des « cas vrais » à celui des « cas
faux
». Il ne voyait pas que son argumentation reposai
sèche et abstraite : « La dame était dans le vrai, et non pas dans le
faux
. » Ah, si nous acceptons la transposition dans l’
ous comparions in abstracto le nombre des cas vrais au nombre des cas
faux
; et nous trouverons peut-être qu’il y en a plus
mbre des cas faux ; et nous trouverons peut-être qu’il y en a plus de
faux
que de vrais, et le docteur aura eu raison. Mais
faire de la comparaison du nombre des « cas vrais » à celui des « cas
faux
» ; la statistique n’a rien à voir ici ; le cas u
ors, quand même il serait prouvé qu’il y a eu des milliers de visions
fausses
et quand même il n’y aurait jamais eu d’autre hal
nale les condamnent à créer sans cesse des perspectives plus ou moins
fausses
. C’est que ces hommes sont menés par une croyance
us essentiel et rassemblant toutes ses forces pour la réduire à cette
fausse
conception, s’élance constamment vers l’impossibl
ermis de s’appuyer pour mesurer tout le reste, elle est le prisme qui
fausse
et modifie à notre vue tous les aspects de l’univ
Pour vous peut-être, qui vous contentez d’un semblant de lutte et de
fausses
victoires académiques. Nous la simplifions, au co
ières, comme immortelles des réputations usurpées. La fabrication des
fausses
gloires est une industrie de ce temps morose, et
molle répression des crimes, inculquée aux magistrats débiles par la
fausse
théorie des impulsions irrésistibles. L’homme qui
i certifie (sans crainte de me tromper) que la ruine de ces principes
faux
, qui seront mes principaux acteurs et bouffons no
eur et le pire, entre l’excellent et l’exécrable, entre le vrai et le
faux
, entre le raisonnable et l’absurde ? Le libéral e
… et voilà l’origine de la propriété, est parfaitement janséniste et
faux
. L’arbitraire de la propriété n’existe pas. La pr
e avec les pieds dans le sang, il devait s’incliner devant le coup de
faux
périodique, donné à travers des générations, deva
peut être écoutée à la tribune et rendre des services. Il serait très
faux
de s’imaginer que tous les parlementaires soient
ni au Sénat, ou bien sont évoquées par le travers, ou dans un porte à
faux
. Ce qui passionne de telles assemblées, ce n’est
on contemporaine dans les grandes et moyennes villes, où abondent les
faux
plaisirs dont fait argent, comme de tout, un État
réditer, dans le grand public, les vingt-deux blagues ou propositions
fausses
, énumérées au début du présent livre. La presse f
sion verbale et syntaxique sur l’une et l’autre. Il institue ainsi un
faux
Sublime, auquel la foule se laisse prendre, et qu
nnes, est, pour une époque aussi fertile en cabotins du sublime et en
faux
géants, très caractéristique et regrettable. Le s
réfère l’existence vadrouillarde, mais franche, de Paul Verlaine à la
fausse
auréole vertueuse de Hugo. Soyez salace, si c’est
le, et la lecture de Thomas Graindorge nous le montre pourvu de cette
fausse
fantaisie, qui dérive de Sterne et de Xavier de M
ist, de Saint-Paul, de l’Averroës, il y avait cela : cette conception
fausse
du progrès et de la paix universelle, accompagnée
es qu’aux romanciers ; et les coups qu’il leur porte, du manche de sa
faux
, ne se contentent pas de les défigurer. Ils les a
, il envoya promener ces principes de construction, ou d’élaboration,
faux
d’ailleurs et arbitraires, et n’écouta plus que s
gue pour duper et berner, Zola, lui, se servait de sa plume. Une même
fausse
rondeur appartenait à l’un et à l’autre. Ils fure
flamme, de la cendre, ou du purin. Mais imaginez quelle somme d’idées
fausses
le malheureux lecteur, qui croit d’avance à ce qu
mistralisme, c’est le sort fait, en France, pendant le Stupide, à de
faux
bardes écossais, ou à des dramaturges norvégiens,
résente. Opinion dangereuse, qui a répandu dans les esprits des idées
fausses
sur la manière dont se constituent les sociétés h
’a engendrée, et elle perpétue la haine. » Le destructeur du principe
faux
, d’après lequel la propriété « c’est le vol », de
ux, d’après lequel la propriété « c’est le vol », de l’autre principe
faux
, d’après lequel la différence actuelle des classe
ettes dégradantes que l’on sait. A la veille de la guerre de 1914, la
fausse
fantaisie versificatrice d’Edmond Rostand et le t
la vérité et que la beauté. Par essence, elle est la fabricatrice de
fausses
gloires, qu’elle brise d’ailleurs, en quelques an
passé au milieu de l’indifférence, ou de la risée des ignorants de la
fausse
élite : Barbey d’Aurevilly. Car, en dehors de la
collectivité. Il faut préférer un primaire, se donnant pour tel, à un
faux
amateur, dit « éclairé », et plongeant, dans son
sme. Ainsi en prend aux Muses désorbitées par le cruel vieillard à la
faux
! Mon père avait entrevu Baudelaire, et me disait
la foule des ânonneurs d’opinions toutes faites et des adorateurs de
faux
chefs-d’œuvre. Barbey d’Aurevilly, que tant de cr
lettres seules. L’avilissant troupeau, dont nous avons parlé (et qui
fausse
les perspectives de la notoriété, et de la gloire
dans l’Hérédo et sa suite le Monde des Images, que rien n’était plus
faux
, ni plus susceptible d’égarer le chercheur, dans
en dernier ressort, à faire de l’âme humaine une équation. Ce qui est
faux
. Le marasme philosophique de l’époque plate et ve
insi les vœux de notre maître, grand travailleur, cœur ardent, esprit
faux
et qui sombra dans les abîmes de la politique rép
e hardie et vivante. Mais non, tout était mort, de la mort double des
faux
chefs-d’œuvre, entourés des cadavres de leurs adm
rs, avaient perdu la confiance dans leur relèvement, au contact de la
fausse
philosophie de leur jeunesse, qui leur revenait p
res mourir pour la Patrie, sans doute, mais en l’honneur de principes
faux
, eux-mêmes générateurs de guerres sans fin. Car s
rut des suites d’une balle de revolver, tirée au cours d’une scène de
faux
ménage, ses prétendus adversaires le pleurèrent,
ré sur le fumier de la démocratie. Dans un autre genre, Paul Bert, le
faux
savant, est très représentatif de la seconde moit
Gambetta, tout en concevant la nécessité de le commémorer. Le cœur du
faux
grand homme, à la suite de circonstances bizarres
s et une mauvaise syntaxe. Elle est nocive enfin, et au résumé, comme
fausse
élite. Car, si le manque d’élite est funeste, et
umiliantes démarches, ou acceptent d’être confondus avec la tourbe de
faux
lettrés et de faux savants, qui encombre ces prét
s, ou acceptent d’être confondus avec la tourbe de faux lettrés et de
faux
savants, qui encombre ces prétendus sanctuaires d
t ce qui est vivant et lumineux répugne à ces conservateurs de règles
fausses
. Le type de ces derniers était, à mes yeux, un tr
urs conventionnel. Un mouvement réel, saisi par un œil exercé, paraît
faux
au commun public. C’est ainsi qu’un monsieur ou u
rs. Il n’est jamais compris des primaires qui, déviés par des notions
fausses
, académiques principalement, vont d’emblée au car
Henri de Régnier, au sinistre néant d’un Aicard. Elle veut bien de la
fausse
fantaisie d’un Rostand, parce qu’elle est antifan
t lui. Hugo y ajouta la bonté ; mais c’est ce que Pascal appelait une
fausse
fenêtre pour la symétrie ; et d’ailleurs Hugo n’é
yeux, un monstre hurlant et irrésistible auquel il s’agit de jeter de
fausses
nourritures, afin qu’elle ne mange point les clas
. L’homme de génie est un monsieur qui détient un garde-manger de ces
fausses
nourritures. De temps en temps, quand la foule de
ls. Avec une tête qui se croit meublée, et qui l’est en effet d’idées
fausses
, il n’y a plus aucun espoir d’amendement. Seule,
peuple, soit indirectement, en lui substituant le jeu de mots, ou la
fausse
farce, plus lugubre encore que le pédantisme. D’a
i en fait à la nature, commande à celle-ci et la domine. Même pour un
faux
modeste tel que Claude Bernard, il est très facil
lure que comprendre c’est surpasser. Lorsque Charcot, ayant étudié la
fausse
circonvolution du langage humain, imagina son fam
e à conclure qui n’existait point précédemment. Au reste, il est très
faux
que les savants (tout au moins ceux des sciences
la presse quotidienne à un sou), vers la fin du XIXe siècle, la note
fausse
de l’hérédité tyrannique. Quelques mois avant la
n ignorant, alors qu’il n’y a rien à apprendre du primaire. La notion
fausse
de la prison héréditaire en est arrivée, en quara
ion, la « loi » du progrès et de la fatalité héréditaire, quel est le
faux
dogme qui s’avance ? Celui des localisations céré
ifiant cette attribution tout arbitraire, fondée sur des observations
fausses
et incomplètes (parce que passionnées) de ces deu
ais, ou, si vous préférez une expression plus polie, des serins. Même
fausses
, les doctrines scientifiques d’une certaine ample
nstrations, celles de l’erreur, comme celles de la réalité, celles du
faux
, comme celles du vrai. L’expérience peut être aus
thentiques, ont été préférées, par le siècle, en général, les valeurs
fausses
. Nous l’avons vu, chemin faisant : Hugo a été pré
asser la langue et l’esprit français du pathos et de l’emphase, de la
fausse
couleur et du faux lyrique qui se mêle à tout, se
esprit français du pathos et de l’emphase, de la fausse couleur et du
faux
lyrique qui se mêle à tout, serait un vrai servic
: témoin Philippe de Commynes et Montaigne. Malgré le pédantisme des
fausses
sciences et les restes de barbarie, la dispositio
ns et pour les peintures, mais la déclamation aussi s’introduira ; la
fausse
exaltation et la fausse sensibilité auront cours.
, mais la déclamation aussi s’introduira ; la fausse exaltation et la
fausse
sensibilité auront cours. Cette déclamation dont
, à cet égard, changea ; la déclamation prit le dessus, et un certain
faux
montant devint nécessaire. Des esprits dans la me
ndirectement par le rapport incomplet dans lequel ils entrent avec la
fausse
et partielle représentation qu’il se forme de lui
se connaître, se conçoit nécessairement autre qu’il n’est, que cette
fausse
conception de lui-même entraîne une fausse concep
tre qu’il n’est, que cette fausse conception de lui-même entraîne une
fausse
conception des choses et frappe la connaissance t
mangeaisons qui prennent son auteur d’écrire. Ce livre est un diamant
faux
à trente-six faces. Faux en métaphysique, si on p
son auteur d’écrire. Ce livre est un diamant faux à trente-six faces.
Faux
en métaphysique, si on peut dire qu’il y ait de l
de la métaphysique dans ces bigarrures de philosophie sans étoffe ; —
faux
en morale, puisqu’il la fait naturelle ; — et fau
ie sans étoffe ; — faux en morale, puisqu’il la fait naturelle ; — et
faux
en conception du rôle social de la femme, qui n’e
es, pour Weill, doivent comprendre toutes les espèces de lois, il est
faux
encore, le plus souvent, par le style romanesco-p
l me semble qu’ils ne peuvent être que très utiles. Ils éliminent les
faux
amis de la littérature, ceux qui ne liraient que
ici, d’être un peu long. La Bruyère a écrit une ligne qui est la plus
fausse
du monde comprise comme nous la comprenons infail
u de l’esprit, par lequel nous le rendons apte à comprendre où est le
faux
, le faible, le médiocre, le mauvais et à être trè
e faux, le faible, le médiocre, le mauvais et à être très sensible au
faux
, au faible, au médiocre et au mauvais, grâce à qu
ner résolument sa vue de ce qu’il y trouve d’hostile, de choquant, de
faux
, même de l’oublier, si bien qu’à l’auteur d’un li
e admire ? Donc, que devient le mot de La Bruyère ? Il est absolument
faux
! Ainsi parlera un homme qui prendra le mot « cri
e l’on est tendre, et à marquer quelque faiblesse surtout en un sujet
faux
et dont il semble que l’on soit là dupe ? » Assur
p de bruit parmi eux. Ils ne doutèrent point qu’il ne vint de quelque
faux
frère. On crut, dans toute la Hollande, que Bayle
ine contre Rome & contre sa patrie. Les noms d’athée, d’impie, de
faux
frere, d’homme sans foi, sans mœurs, sans probité
ontre d’un point de controverse. Il ne dit pas que telle religion est
fausse
; mais il ne dit pas non plus qu’elle soit vraie.
e, incorrecte & surtout familière & basse. On l’accuse d’être
faux
dans ses citations ; mais, dans un grand nombre q
us y méprenez pas, le fantastique dans l’histoire ne veut pas dire le
faux
dont tout le monde a la triste puissance ou plutô
de a la triste puissance ou plutôt la triste infirmité, mais c’est le
faux
qui fait l’effet du vrai, tant le talent lui a co
omprendre, il faut être un peu plus qu’un poète qui se contente d’une
fausse
image, ou bien qu’un révolutionnaire, dont l’idée
une fausse image, ou bien qu’un révolutionnaire, dont l’idée est plus
fausse
encore. Il faut savoir se détourner de toute cett
encore. Il faut savoir se détourner de toute cette creuse rhétorique,
fausse
par le sens et par le ton, vulgaire, indigne pour
ente félicité. Dans la perspective de l’histoire, qui est parfois une
fausse
optique, Richelieu nous paraît si fort, si impéri
r le plan incliné de l’erreur, boule de neige de toutes les doctrines
fausses
, niaises ou perverses qu’elle a ramassées en trav
a laissé tomber toutes les roses de sa corbeille dans le sang, en une
fausse
Théroigne de Méricourt, l’amazone écarlate de l’h
rtiennent. Nous ne voulons pas croire que M. Michelet demeure dans la
fausse
et horrible voie où il s’est engagé pour s’enseve
, car nous sommes de ceux-là qui croient à l’endurcissement des idées
fausses
et à l’impénitence finale de certains partis. Mai
dire qu’elle était restée bourgeoise d’esprit et de cœur — ce qui est
faux
! Rien de moins bourgeois que Mme de Staël ; elle
s… Pédante, si l’on veut, quelquefois sans grâce et précieuse, esprit
faux
en philosophie, bas-bleu, à ravir l’Angleterre de
rdaire à une gloire vraie. Quant à l’historien de saint Dominique, le
faux
romancier de Marie-Madeleine et l’écrivain, parto
ble peu généreux de ma part de saisir une occasion de combattre votre
faux
système en littérature, rappelez-vous le passé, l
j’écarterai cette ironie amère plus déchirante que l’injure, et cette
fausse
pitié plus insultante que le mépris. Mais avant d
ses de Mme de Staël sur la littérature allemande et les raisonnements
faux
d’un professeur de Bonn (M. Schlegel), qui s’est
de leur conduite, en sacrifiant avec un dévouement empressé aux idées
fausses
d’une secte impie en littérature, en accueillant
dez, Monsieur, un genre de talent qui, si vous vouliez abandonner vos
fausses
idées, pourrait faire oublier bientôt toutes vos
énérosité fait par un vieillard rodomont, jaloux et bavard, faible et
fausse
imitation du beau don Diègue de Corneille ; d’un
que si vous avez échoué sur la scène, c’est que vous êtes parti d’un
faux
principe, je crois de même que du moment où vous
rs que je m’étais imposés, en vous éclairant sur les dangers de votre
faux
système, en vous offrant les moyens de reprendre
jugement. Oui, je vous le répète, si vous continuez à marcher dans la
fausse
route où vous êtes entré si orgueilleusement, c’e
ble public. Lui seul doit nous juger, lui seul nous fait sortir de la
fausse
voie qui nous égare, lui seul récompense nos trav
uillonne. Accordez-lui de la logique, — mais de la logique d’un point
faux
à un autre point faux, ce qui charme les sots, du
de la logique, — mais de la logique d’un point faux à un autre point
faux
, ce qui charme les sots, du reste, toujours pris
a richesse. Thèse égoïste, de mauvais goût, socialement et moralement
fausse
, qui n’est pas éclose d’hier, sous le soleil de N
, que du talent, que beaucoup de talent au service de l’absurde et du
faux
. Certes ! Beaumarchais n’était pas dans le vrai s
ien donner la majesté d’un Mage, n’est que le pédant de dignité et de
fausse
modestie le plus minutieux et le plus froid. Tous
bien quand on doit traiter de grands intérêts : ce n’est pas alors du
faux
bel-esprit, mais c’est de l’esprit déplacé ; &
tre chose que de l’esprit déplacé : ce n’est pas seulement une pensée
fausse
, car elle pourroit être fausse sans être ingénieu
cé : ce n’est pas seulement une pensée fausse, car elle pourroit être
fausse
sans être ingénieuse ; c’est une pensée fausse &a
car elle pourroit être fausse sans être ingénieuse ; c’est une pensée
fausse
& recherchée. Il a été remarqué ailleurs qu’u
s jeux de mots dans toutes les langues ; ce qui est la pire espece du
faux
bel-esprit. Le faux goût est différent du faux be
toutes les langues ; ce qui est la pire espece du faux bel-esprit. Le
faux
goût est différent du faux bel-esprit ; parce que
est la pire espece du faux bel-esprit. Le faux goût est différent du
faux
bel-esprit ; parce que celui-ci est toûjours une
’intempérance & l’incohérance des imaginations orientales, est un
faux
goût ; mais c’est plûtôt un manque d’esprit, qu’u
reculent, le Soleil & la Lune qui se dissolvent, des comparaisons
fausses
& gigantesques, la nature toûjours outrée, so
en plus aisé d’être empoulé, que d’être juste, fin, & délicat. Le
faux
esprit est précisément le contraire de ces idées
issent incompatibles, de diviser ce qui doit être réuni, de saisir de
faux
rapports, de mêler contre les bienséances le badi
s, & encore plus dans les satyriques. Voy. Critique . Les esprits
faux
sont insupportables, & les coeurs faux sont e
oy. Critique . Les esprits faux sont insupportables, & les coeurs
faux
sont en horreur. Article de M. de Voltaire .
fin. Le cheval fin est opposé au cheval grossier ; le diamant fin au
faux
; l’or fin ou affiné, à l’or mêlé d’alliage. La f
’Europe embrassent l’univers. Quoiqu’elles soient souvent remplies de
fausses
nouvelles, elles peuvent cependant fournir de bon
s astrologues, divinations des magiciens, sortiléges de toute espece,
faux
prodiges, faux merveilleux, usages superstitieux
divinations des magiciens, sortiléges de toute espece, faux prodiges,
faux
merveilleux, usages superstitieux ; elle a relegu
elles que la rivalité fait naître, des animosités de parti, & des
faux
jugemens ; ils sont plus unis entre eux ; ils joü
trop les loüanges, en aimant trop l’appareil de la représentation. La
fausse
gloire tient souvent à la vaine, mais souvent ell
s. Un prince qui mettra son honneur à se venger, cherchera une gloire
fausse
plûtôt qu’une gloire vaine. Faire gloire, faire
il se fait honneur de son luxe, de ses excès : alors gloire signifie
fausse
gloire. Il fait gloire de souffrir pour la bonne
donne un goût de travers. Il y a aussi des ames froides, des esprits
faux
, qu’on ne peut ni échauffer ni redresser ; c’est
it appeller personne heureux avant sa mort, semble rouler sur de bien
faux
principes ; on diroit par cette maxime qu’on ne d
ophique tant rebattue, nemo ante obitum felix, paroît donc absolument
fausse
en tout sens ; & si elle signifie qu’un homme
trivial. Le proverbe du peuple, heureux comme un roi, est encore plus
faux
; quiconque a lû, quiconque a vécu, doit savoir c
is ; au contraire de la fable, qui est le récit des faits donnés pour
faux
. Il y a l’histoire des opinions, qui n’est guère
nt le style est aussi grossier que les injures, & les faits aussi
faux
qu’ils sont mal écrits. C’est, dit-on, un mauvais
uoit la divinité. De quel oeil voyoient-ils donc les statues de leurs
fausses
divinités dans les temples ? du même oeil, s’il é
étoit pas d’adorer un morceau de bois ou de marbre, mais d’adorer une
fausse
divinité représentée par ce bois & par ce mar
que leurs images figuroient des êtres fantastiques dans une religion
fausse
, & que les nôtres figurent des êtres réels da
idolâtres. Les femmes en tems de sécheresse portoient les statues des
faux
dieux après avoir jeûné. Elles marchoient piés nu
opposer ici les coutumes d’une religion vraie à celles d’une religion
fausse
, n’avons nous pas eu depuis plusieurs siecles, pl
vraie douleur ne s’amuse point à une métaphore si recherchée & si
fausse
. Il n’y a que trop d’exemples de ce défaut. On le
dans ces vers ; mais elle est grossiere, elle est déréglée, elle est
fausse
; l’image de rempart ne peut s’allier avec celle
. Dans tous les arts la belle imagination est toûjours naturelle ; la
fausse
est celle qui assemble des objets incompatibles ;
s, mais qui admet très-rarement le bisarre, & rejette toûjours le
faux
. Si la mémoire nourrie & exercée est la sourc
pensé cela. D’un autre côté les sentimens trop merveilleux paroissent
faux
et outrez. Le sentiment que Du Rier prête à Scevo
à tout le monde. Nous avons une tragedie de M. Quinault, intitulée le
faux
Tiberinus , où le poëte suppose que Tiberinus roi
beaucoup à la vrai-semblance de leurs fictions. Je sçais bien que le
faux
est quelquefois plus vrai-semblable que le vrai.
de renversement du parti orléaniste, qui, après avoir inauguré sur un
faux
principe le trône du duc d’Orléans, voulait l’ass
us ont menti, déçu, trompé tant de fois ! C’est là une ostentation de
fausse
sagesse qui n’est que la répugnance de l’orgueil
esse, ou bien ce n’est qu’une improbité d’esprit donnant au monde une
fausse
monnaie de conviction pour acheter à ce prix l’es
a nation jusque sur les victimes. Son mérite était précisément d’être
fausse
. Il fallait des passions et non des principes à l
mme des lions muselés entre les barreaux d’une ménagerie. De plus, ma
fausse
situation dans les chambres de 1830 à 1848 ne me
respecter et protéger le malheur d’une dynastie qui s’écroule sur son
faux
principe, c’est ce que nous avons fait ; mais il
incipe, c’est ce que nous avons fait ; mais il ne faut pas relever un
faux
principe tombé pour servir de base au trône d’une
ation à bien d’autres. Subir en silence pendant de longues années ces
fausses
popularités et ces fausses dépopularités pour le
r en silence pendant de longues années ces fausses popularités et ces
fausses
dépopularités pour le bien de son pays, c’est un
miste se trouva-t-il à la fin de cette campagne de quinze ans, par la
fausse
stratégie de ses guides politiques ! Certes, si c
pas même fait entendre dans ce moment suprême, ce nom ? C’est que la
fausse
direction imprimée à ce parti lui avait coupé le
e oratoire en souffraient cruellement, mais j’y étais condamné par la
fausse
position d’un adversaire de la royauté d’Orléans
ervateur orléaniste. Je ne laissai pas longtemps planer sur moi cette
fausse
interprétation de ma conduite. Dans des réunions
a parole, avec le geste et le ton d’un homme sincère qui revient sans
fausse
pudeur sur l’avis qu’il a imprudemment adopté, et
Athènes : vous en êtes la preuve, vous et vos jeunes amis, puisque la
fausse
apparence seulement d’une raillerie mal comprise
ma haute considération. « Lamartine. « 3 novembre 1861. » Les bruits
faux
relatifs à ma santé et mon incapacité de continue
u’à travers le préjugé de sa gloire. Élisabeth, dans Forneron, est la
fausse
Reine, — la vraie, ce fut Burleigh et Walsingham,
est la fausse Reine, — la vraie, ce fut Burleigh et Walsingham, — la
fausse
vierge, la fausse savante, le faux génie et l’odi
ne, — la vraie, ce fut Burleigh et Walsingham, — la fausse vierge, la
fausse
savante, le faux génie et l’odieuse Harpagonne, q
fut Burleigh et Walsingham, — la fausse vierge, la fausse savante, le
faux
génie et l’odieuse Harpagonne, qui s’assit bassem
mboyantes, impossibles. Elle s’inquiète et s’émeut de tout ce qui est
faux
; elle rêve probablement des pays et des êtres in
s, dont le jugement a eu les musées pour serre chaude, la réalité est
fausse
, le conventionnel est vrai ; en effet, les peintu
des contours extérieurs, qu’on a déclarés idéals parce qu’ils étaient
faux
. C’est alors que des pinceaux, secs et criards, s
a servi à toutes les écoles : le beau, c’est le vrai. Tout ce qui est
faux
de pensée ou d’expression est mauvais. Ce critéri
quand on aura compris mon jugement sur le disciple. M. Vacquerie est
faux
, d’un bout à l’autre, d’idées et de style ; mais
faisait des livres qui rarrangeaient la nature, et il travaillait en
faux
d’une autre manière, mais tout autant que ceux qu
ls font sonner leurs rimes grelots pour endormir les cerveaux à cette
fausse
musique et faire oublier leurs idées. Ils paraden
L’esprit de critique a enfanté la caricature de genre, et que d’idées
fausses
et biscornues cette caricature effacée met-elle e
t nulle envie rient bien quand le rôle le commande ; mais le rire est
faux
, et rien n’est triste, pour des gens qui ne rient
he de la forme. Ces natures-là dégustent et favorisent le baroque, le
faux
, le maniéré, l’inutile, par conséquent le mauvais
lagueurs. N’est-il pas temps de se débarrasser de cette littérature à
faux
effet, de cette fantasmagorie théâtrale ?… Tout c
œuvres il y en a bien peu, si peu, qu’il est introuvable. Ce sont de
fausses
poitrinaires, des femmes sylphides, transparentes
diaprés de la fantaisie. C’est donc l’abstraction, la quintessence du
faux
. La réalité qu’on dédaigne, n’est-elle pas plus c
n agissant toujours en vertu de cette idée poétique et par conséquent
fausse
, vide, et vaniteuse (le temps n’est pas loin où p
leurs jouets, ne les supportent que quand ils sont bien raides, bien
faux
, et que les couleurs en sont impitoyablement crue
ue le miroir de la vie sociale est devenu le type le plus critiqué du
faux
goût, des fausses mœurs, de la fausse observation
la vie sociale est devenu le type le plus critiqué du faux goût, des
fausses
mœurs, de la fausse observation, du faux intérêt.
evenu le type le plus critiqué du faux goût, des fausses mœurs, de la
fausse
observation, du faux intérêt. Voilà pourquoi mon
ritiqué du faux goût, des fausses mœurs, de la fausse observation, du
faux
intérêt. Voilà pourquoi mon jeune ami trouvait le
i font les antithèses en forçant les mots sont comme ceux qui font de
fausses
fenêtres pour la symétrie. « Quand on voit le sty
alyse comme de toute synthèse : le bon et le mauvais. Être vrai, être
faux
, voilà pour moi dans l’art les deux termes corres
te à cet Allemand les défauts de son pays. J’ai dit que le vrai et le
faux
étaient pour moi, esthétiquement parlant, les syn
e termes d’opposition le bon et le mauvais, et pourquoi le vrai et le
faux
, l’utile et l’inutile vous semblent-ils représent
ose bonne ne peut pas être indistinctement utile ou inutile, vraie ou
fausse
, tandis qu’elle peut être belle ou laide, agréabl
s laides ou désagréables, ni qu’on parvienne à me prouver qu’un chose
fausse
ou inutile soit bonne, le raisonnement sur lequel
’oublier toutes ces idées conventionnelles et de rejeter les opinions
fausses
qu’elles ont répandues dans le public ; je crois
ment ne consiste pas tout entière dans la perfection du décor ; et de
fausses
histoires jouées dans de vrais salons valent beau
a servi à toutes les écoles : le beau c’est le vrai. Tout ce qui est
faux
de pensée ou d’expression est mauvais. Ce critéri
quand on aura compris mon jugement sur le disciple. M. Vacquerie est
faux
, d’un bout à l’autre, d’idées et de style ; mais
faisait des livres qui rarrangeaient la nature, et il travaillait en
faux
d’une autre manière, mais tout autant que ceux qu
le plus vigoureux de nos poètes, est le moins poète de tous. Esprits
faux
, ce qu’il y a de bon, de simple, de vrai dans leu
ligence ! Ils défendent avec acharnement le vers, parce que les idées
fausses
, ampoulées, grotesques y ont un droit d’asile con
e ses paysans. M. de Pontmartin a raison de déclarer que Balzac a été
faux
dans son étude du Monde. Il y a des coins dans Ba
de, sans aucune préparation sincère, s’enthousiasment souvent pour le
faux
éclat de peintures que ce triomphe immérité ne sa
r qu’ils viennent de voir des pantins, des caricatures d’artistes, de
faux
créateurs, le rebut de l’art vrai, toute la troup
st la déconsidération vivante de l’artiste sans fortune, ce qu’est le
faux
mendiant au pauvre honteux, l’ouvrier ivrogne au
de ces périodes rares où l’on met tout sur table, où l’on bannit tout
faux
respect des choses convenues, et où l’on étudie i
rang des énergiques, il siérait de saper, d’une hache implacable, le
faux
idéal et la menteuse générosité de « la bohème »,
de la vie a empêché de se révéler. Le bohème est avant tout un esprit
faux
; il emprunte à l’indépendance d’esprit de l’art
à tous les besoins matériels de l’existence, a mis trop longtemps un
faux
point d’honneur à confondre la puissance de médit
s. Son esprit mal employé ne servit qu’à l’engager plus avant dans de
fausses
voies. Il s’était trompé de vocation ; son honneu
vérité des Maximes. Ne dites pas : C’est beau de langage, mais c’est
faux
de pensée : ce sont là de vaines paroles ; les gr
manifeste le fond, serait-elle parfaite si la chose manifestée était
fausse
? On cite tel auteur qui excelle, dit-on, dans l’
qui excelle, dit-on, dans l’art d’écrire, quoiqu’il abonde en pensées
fausses
ou contestables. Ne prend-on pas la fidélité à la
e C’était plus qu’un portrait chargé, où beaucoup de traits portent à
faux
; c’était une sorte d’accusation où se trahissait
bien ; car, ainsi que les traits en sont forcés, les couleurs en sont
fausses
. § V. Des quatre éditions des Maximes, et dans
croire qu’ils ont découvert ces veritez physiques, et d’autres assez
faux
pour assurer qu’ils en ont une connoissance disti
ls n’ont pas compris une seule preuve. C’est ainsi qu’une infinité de
fausses
opinions sur les influences des astres, sur le fl
e d’un poëme, et pour soutenir qu’il sera toujours admiré. Un systême
faux
peut, comme je viens de l’exposer, surprendre le
réjugé dès qu’ils seroient capables d’entendre ces deux ouvrages. Les
fausses
opinions de philosophie que nous avons remportées
tres, le persuade suffisamment que tous ces raisonnemens doivent être
faux
, et il demeure tranquillement dans sa persuasion
e, qui se croient, avant tout, des inventeurs, et qui s’inscrivent en
faux
contre la Critique au nom de leurs œuvres présent
isitoire en action, il ne doit pas conclure dogmatiquement par ce mot
faux
, qui ressemble au mot d’un niais d’honnête homme
evalier du Tasse, doit vaincre les charmes : la Bêtise, l’Envie et la
Fausse
Amitié ; mais ce n’est pas là une raison pour éle
lle infiniment mieux de toutes manières que ce misérable écrivain, de
fausse
élégance et de faux monde, ce Girondin du vice, «
e toutes manières que ce misérable écrivain, de fausse élégance et de
faux
monde, ce Girondin du vice, « tout laitage aigri
’est composé un costume. Mais au fond, on le voit très bien, c’est un
faux
indien, un faux mystique, qui ne croit pas du tou
costume. Mais au fond, on le voit très bien, c’est un faux indien, un
faux
mystique, qui ne croit pas du tout que « toute ac
lle d’imprimer chez Malassis tout un gros volume de poésies. C’est un
faux
Richi, un faux Brahme, à travers lequel on reconn
chez Malassis tout un gros volume de poésies. C’est un faux Richi, un
faux
Brahme, à travers lequel on reconnaît un jeune li
dans le même article les auteurs, les acteurs et le public même : le
faux
goût du parterre et des loges, les décisions trop
idor an 10, Geoffroy déclara que Gluck avait été souvent égaré par un
faux
système de mélopée et de déclamation musicale qui
pour son Andromaque, s’il n’eût enflé l’un de vaines subtilités et de
faux
pathétique, l’autre de lamentations, d’alarmes, e
e sa pièce : et cependant la vérité est que ce vers présente une idée
fausse
, et mérite bien qu’on s’en moque ; car les rides
e paraît encore plus enragée qu’Émilie ; elle a des idées encore plus
fausses
de l’honneur et du devoir. Ni l’honneur ni le dev
ange, plus il est brillant et théâtral : tant l’esprit du théâtre est
faux
, tant il est éloigné de la droite raison et de la
sont redoutables que pour les mauvais ouvrages : quant aux critiques
fausses
, ineptes et passionnées, elles ne nuisent qu’à ce
and il nous dit : Si la présence de son amant lui fait faire quelque
faux
pas, c’est une glissade dont elle se relève à l’i
la philosophie qui avait fait leur succès ! Les règles sont donc bien
fausses
, puisqu’en les violant presque toutes on produit
on produit des chefs-d’œuvre immortels ? Non, les règles ne sont pas
fausses
; elles sont fondées sur la nature : ce sont les
s, je vous connais encore ! Rien n’est plus injuste, rien n’est plus
faux
; et, sans rien dérober au mérite de Corneille, i
de l’auteur. Corneille n’était point persifleur ; il n’était même ni
faux
ni flatteur ; en donnant au cardinal de Richelieu
théâtre la préférence sur des romans qui n’offrent que des caractères
faux
et de brillantes absurdités. Dans le temps où l’o
ie, tous les spectateurs étaient aveuglés par l’anglomanie et par une
fausse
métaphysique, alors à la mode. On ne remarquait d
mpues ne sont point capables d’élans sublimes ; leur talent est aussi
faux
que brillant, et leur art n’est qu’un prestige.
l’art dramatique : quelle école que celle où les sentiments les plus
faux
et les plus dangereux ont tant d’éclat et de pomp
e et l’assassinat ! C’est ainsi que le théâtre ne donne que des idées
fausses
, et corrompt la saine morale, en nous faisant adm
plaindre ; et cette pitié même est une sorte d’intérêt : il est donc
faux
que, dans cette pièce, on ne s’intéresse en effet
qui relève quelquefois avec beaucoup de sagesse et de modération les
fausses
critiques de Voltaire, passe ici condamnation et
t la férocité, quand son imagination est infectée par le poison d’une
fausse
philosophie et d’une volupté perfide : les princi
ls respectueux, aurait dû couvrir la nudité de ce père du théâtre. La
fausse
pitié qu’il affecte pour l’homme qui lui faisait
r l’esprit social et conservateur, tous les fantômes d’un patriotisme
faux
ou barbare disparaissant à l’aspect de la sagesse
st qu’un moyen ingénieux d’insinuer et de glisser impunément un dogme
faux
et ridicule auquel Voltaire ne croyait pas lui-mê
ef résistât à cette petite passion, qu’il affectât pour Corneille une
fausse
politique qui pût le dérober à la criaillerie, et
riller, de petites combinaisons, une grandeur mesquine qui n’a que le
faux
éclat de l’oripeau. Voltaire s’était forgé des pr
même. Loin de flatter son siècle, loin de chercher à l’éblouir par de
faux
brillants, il se livrait aveuglément aux inspirat
, et qui n’ont pas laissé de ravir ceux qui se laissent abuser par de
faux
brillants. » D’Aubignac parle en prédicateur, en
auline contre la perfection évangélique : cette scène n’est point un
faux
brillant , mais un des chefs-d’œuvre de la scène
ns agréable au public ; ce qui prouve combien l’esprit du théâtre est
faux
, dangereux pour les mœurs, et nuisible à la socié
que d’exalter des vertus romanesques et chimériques. A quel point une
fausse
politique ne peut-elle pas dégrader le cœur ! L’a
Pauline n’aimait point son mari ; il en paraît si persuadé, que cette
fausse
supposition est la base de la plupart de ses crit
11. » Longin parle ensuite de quelques auteurs qui ne font jamais de
faux
pas, et n’ont rien qui ne soit écrit avec beaucou
té de pinceau que ces portraits imaginaires, que ces figures fades et
fausses
, qui n’ont point de physionomie et ne ressemblent
s à Corneille d’injustes reproches, quelquefois on lui donne aussi de
fausses
louanges. On vante, par exemple, comme un mérite
r pour Pompée, Corneille n’eût jamais entrepris de nous en tracer une
fausse
peinture. Il fallait un César pour une Cornélie :
nos auteurs modernes pour les capucinades philosophiques, et de leurs
fausses
prétentions à la réforme des mœurs. Il ne faut p
de nos meilleures comédies. Le concert et la collation sur l’eau, le
faux
mariage de Dorante à Poitiers, sont des narration
ucation d’un jeune homme. Deux jeunes demoiselles, dont l’une fait un
faux
pas en passant auprès de Dorante, fournissent à c
tte tragédie est le plus terrible qui existe au théâtre ; mais il est
faux
que les quatre autres ne soient qu’un tissu d’abs
lair. Ce qui est évident, c’est que la critique de Voltaire est aussi
fausse
que dure : il pousse la chicane jusqu’à demander
fervescence d’une nation égarée ; elles enflammaient tous les esprits
faux
. À présent l’on n’y voit que ce que l’auteur y a
uvrage. Je ne conçois pas comment Voltaire a voulu défigurer, par une
fausse
interprétation, l’opinion de Racine, si ce n’est
ui rend toute la partie de la tragédie française si défectueuse et si
fausse
dans le Cours de littérature, où, d’ailleurs, l’a
beaucoup plus que par l’esprit, s’amuse à des antithèses frivoles et
fausses
, à des oppositions puériles entre l’attention et
ouvrir de nouvelles sources d’intérêt que lui seul a connues. Il est
faux
que ce genre soit le moins théâtral de tous : i
ateurs, ait eu la prétention de les garantir des mauvais effets d’une
fausse
terreur ou d’une pitié mal entendue. Je n’ai gard
s. On pourrait reprocher à Corneille que la vertu de son Nicomède est
fausse
, que c’est de l’orgueil et de la témérité plutôt
ort garde pour les vertus. Il serait trop long de relever toutes les
fausses
critiques dont fourmille ce commentaire, ou plutô
e produisent dans l’imagination ardente des jeunes gens que des idées
fausses
et un désordre funeste. Rotrou. Venceslas
ole a pour titre : On ne peut être père et roi ; titre énigmatique et
faux
. En voici l’explication : le peuple se révolte en
orteur de mauvaises nouvelles. Que dire de cette misérable Phèdre, si
fausse
, si perfide, si lâche, qui écoute l’amant de sa s
n jeune amant fend la vague écumante et laisse emporter aux vents ses
fausses
promesses. De loin, au milieu des roseaux qui bor
se, et les délivrerait du soin d’apaiser ces malheureux ? Il est donc
faux
que cette doctrine ne fut pas nuisible ; elle ne
rougirait de manquer à sa parole ; il ne rougit pas de tromper par de
faux
serments de jeunes innocentes, et même il fait gl
tique infaillible. Je remarque que tous ces séducteurs de profession,
faux
, menteurs et parjures par état, inhumains envers
eintre du Tartufe ; et qui jeta sans doute l’alarme dans le parti des
faux
dévots, alors très nombreux et très puissants. Pa
laisse condamner celui qu’elle aime sur des actes et des témoignages
faux
; elle ne s’occupe pas plus du procès que s’il s’
ue le jour ; on n’avait besoin, pour le condamner, ni d’ennemis ni de
faux
témoins ; la justice et la loi suffisaient. On su
ion : on ne le donnait qu’à des femmes de qualité. Mais il y avait de
fausses
précieuses comme il y a de faux dévots et de faux
mes de qualité. Mais il y avait de fausses précieuses comme il y a de
faux
dévots et de faux braves, et Molière a voulu se m
is il y avait de fausses précieuses comme il y a de faux dévots et de
faux
braves, et Molière a voulu se mettre à l’abri du
compliments ridicules qui régnaient alors dans les petits bureaux du
faux
bel esprit. On y voit qu’alors, comme aujourd’hui
ce et le mépris qu’on a les uns pour les autres : on regarde comme de
faux
frais la mise de soins, d’attention et d’égards,
s entrepreneurs, les spéculateurs, les négociants évitent surtout les
faux
frais : l’égoïsme confond la grossièreté avec la
ècles, puisqu’il a peint le cœur humain. Il n’y a plus aujourd’hui de
faux
dévots ni d’hypocrites de religion, la mode en es
passée ; mais il y a toujours des perfides qui accablent les gens de
fausses
caresses, surtout quand ils en attendent quelque
la raison suffisante pour s’arrêter, jusqu’à ce qu’on devienne aussi
faux
qu’un homme de cour ? Voilà une de ces exagératio
érité qui blesse, il n’y a pas de raison pour qu’il ne devienne aussi
faux
qu’un courtisan ! Quelle conclusion ! Rousseau ne
esse de Louis XIV, la faveur de madame de Maintenon multiplièrent les
faux
dévots, en dépit du Tartufe ; et depuis, la jeune
mais grand philosophe et grand homme d’état. « Comme la vraie et la
fausse
dévotion, dit-il, ont je ne sais combien d’action
tes soupçons de la vraie piété, par de malignes interprétations de la
fausse
: voilà ce qu’ils ont prétendu en exposant sur le
x tartufes de liberté, d’égalité et de philosophie : les vrais et les
faux
patriotes parlant absolument le même langage, exp
e de Molière roule, mais il n’en a point fourni les pensées. » Il est
faux
que Lucien ait fourni le fait ; c’est la mytholog
est faux que Lucien ait fourni le fait ; c’est la mythologie : il est
faux
que Lucien n’ait point fourni les pensées ; car i
ar conséquent ne sont que des caricatures. Le courtisan Clitandre est
faux
, railleur et libertin, froid et peu théâtral ; ma
le critique est habitué à parler très légèrement des anciens. Il est
faux
que l’amant ne paraisse que dans la scène avec l’
lière ; donc elles m’appartiennent. » Le raisonnement n’est pas aussi
faux
qu’il le paraît d’abord : deux bonnes scènes sont
s de qualité, de ces aventuriers qui, sous un nom emprunté et sous un
faux
air de cour, levaient un tribut sur la crédulité
aines sciences, et l’étalage des expressions techniques ? L’érudition
fausse
et pédantesque, l’abus de la métaphysique, les th
st renfermé dans de justes bornes ; il ne proscrit que l’orgueil d’un
faux
savoir, il respecte la véritable science : ce gra
dans un moment d’humeur : c’est le ridicule entêtement d’une vaine et
fausse
littérature, c’est un sot étalage de connaissance
ontre le torrent de la corruption, il a échoué. Après le Tartufe, les
faux
de vols se sont multipliés ; et, lorsque l’espèce
ne posture. J’appelle Trissotin tout homme qui se fait admirer par un
faux
bel esprit, ou qui l’admire lui-même dans les aut
les éléments ; un homme dont tout le savoir se compose des principes
faux
, des systèmes dangereux qu’il a recueillis des cl
Ceux qui s’élèvent contre l’abus des sciences et le charlatanisme des
faux
savants, ne font point profession de chérir l’ign
e ; mais ils sont persuadés que l’ignorance vaut beaucoup mieux qu’un
faux
savoir, qu’une demi-instruction, que des systèmes
ritable science, qu’ils ne peuvent souffrir ces triomphes de l’esprit
faux
, cette forfanterie de doctrine, cet étalage d’un
é. Il n’y a dans cette conception rien de ce qui a rapport à l’esprit
faux
, maniéré, précieux, à cet esprit qui séduit de fa
apport à l’esprit faux, maniéré, précieux, à cet esprit qui séduit de
fausses
savantes : il n’y a que de la grosse bêtise. La s
la plus complète de toutes les prétentions et de tous les travers du
faux
bel esprit. L’éloquent évêque de Nîmes parle avec
s’amusait des ridicules qui se mêlaient quelquefois à ces vertus. Le
faux
bel esprit et le mauvais goût ne sont pas des vic
qui dégénérait en galimatias, dominaient à l’hôtel de Rambouillet. Ce
faux
esprit avait été apporté d’Espagne et d’Italie da
perfection de son art : le clinquant domine dans ses productions ; le
faux
y perce de toutes parts ; il séduit et subjugue l
entre les mains d’un ignorant, plus dangereux encore dans celles d’un
faux
savant. Si nos médecins actuels sont supérieurs à
rce que vous avez puisé dans mes écrits et dans ma doctrine un esprit
faux
, un goût romanesque, le mépris de ce qui est natu
s à Corneille d’injustes reproches, quelquefois on lui donne aussi de
fausses
louanges. On vante par exemple, comme un mérite e
nan me faisait l’honneur de me dire, il y a des années, qu’une lettre
fausse
avait été publiée par Le Figaro, comme émanant de
vous sais gré de vous indigner pour moi, en ce temps de mensonge, de
faux
commérages et de faux racontars. Tous ces récits
indigner pour moi, en ce temps de mensonge, de faux commérages et de
faux
racontars. Tous ces récits de M. de Goncourt sur
ment, donc, la difficulté est ailleurs. Elle est toute dans la notion
fausse
que nous avons de l’Histoire, — et Macaulay lui-m
jouée par les sournois, ne nous a paru briller plus clairement de sa
fausse
lumière que dans l’Histoire de France publiée par
pression abstraite, à cette généralisation vague quand elle n’est pas
fausse
et fausse dès qu’elle s’avise de préciser, on ajo
bstraite, à cette généralisation vague quand elle n’est pas fausse et
fausse
dès qu’elle s’avise de préciser, on ajoute la gra
Odes funambulesques. Il n’est pas que dans la chimère, il est dans le
faux
. Lorsque Nodier, ce caméléon de génie de tous les
imérique et même dans l’incompréhensible, mais il n’était pas dans le
faux
. L’auteur des Odes funambulesques, au contraire (
’auteur des Odes funambulesques, poète saltimbanque, se jette dans le
faux
, le faux compréhensible et vulgaire, avec une cla
es Odes funambulesques, poète saltimbanque, se jette dans le faux, le
faux
compréhensible et vulgaire, avec une clarté, une
in, bien senti, le bruit qu’elle fait est, selon nous, singulièrement
faux
et criard. D’une fleur repliée qui s’entr’ouvre i
ntortillage, et, pour ma part, je le répète, je trouve discordante et
fausse
au possible la scène où cet esprit, en retard, co
ans sa turpitude ; mais on ne sait par quel bout prendre ce caractère
faux
, lâche et mou, qui se décompose à vue d’œil, pour
renonçât à son nom, à son amitié, à son amour même : mais ce qui est
faux
, humainement faux, foncièrement faux, aussi faux
m, à son amitié, à son amour même : mais ce qui est faux, humainement
faux
, foncièrement faux, aussi faux qu’il soit possibl
son amour même : mais ce qui est faux, humainement faux, foncièrement
faux
, aussi faux qu’il soit possible de l’être, c’est
me : mais ce qui est faux, humainement faux, foncièrement faux, aussi
faux
qu’il soit possible de l’être, c’est qu’il renonc
petit sens, qu’on adore aussi sous le nom de sens commun, est souvent
faux
, quand il s’agit de juger les phénomènes de provi
it jaillir une figure qu’il appelle la vraie, et qui est peut-être la
fausse
, car où est la réalité ? Est-ce dans l’individual
it les peindre, il aurait peut-être fait raison d’une idée commune et
fausse
, comme le sont presque toujours les idées commune
e, bonne caboche, du reste (comme disait le maréchal de Villars d’une
fausse
forte tête qu’il méprisait), et dont le front con
saints imprimait au langage des prêtres de ce temps ». Cela n’est pas
faux
, mais c’est chétif. Il y avait bien un peu plus q
Thierry, dans la préface de ce dernier livre d’histoire, s’inscrit en
faux
, de précaution, contre la ressemblance que l’imag
uffisants pour les imaginations exigeantes, au moins il ne fut jamais
faux
et même il fut souvent vrai, mais ce fut toujours
rtout la lumière. Les superstitions et les préjugés, les abstractions
fausses
et les principes inapplicables, finiront par s’an
une fois adoptés, on en défend tout alors, même l’idée que l’on croit
fausse
; et par un singulier effet de la dispute, ce que
x amas de prétextes informes, derrière lesquels se retranche l’esprit
faux
, ou l’homme vil ou l’homme coupable, comme si la
s fois que le calcul n’est pas d’accord avec la morale, le calcul est
faux
, quelque incontestable que paraisse au premier co
Si vous laissez échapper une seule circonstance, votre résultat sera
faux
, comme la plus légère erreur de chiffre rend impo
ver, par le simple raisonnement, que la solution de ces problèmes est
fausse
comme calcul, si elle s’écarte en rien des lois d
positives, qui ont fondé les sociétés et institué les peuples : « Le
faux
esprit philosophique est une lime sourde qui use
de sages lois peuvent remédier, d’avec cette corruption subtile qu’un
faux
esprit philosophique a naturalisée dans la morale
politique : Il n’y a point à balancer, ose-t-il leur dire, entre de
faux
systèmes de philosophie et de faux systèmes de re
ncer, ose-t-il leur dire, entre de faux systèmes de philosophie et de
faux
systèmes de religion. Les faux systèmes de philos
de faux systèmes de philosophie et de faux systèmes de religion. Les
faux
systèmes de philosophie rendent l’esprit contenti
losophie rendent l’esprit contentieux et laissent le cœur froid : les
faux
systèmes de religion ont au moins l’avantage de r
Phidias et son Jupiter n’ont jamais existé. Selon cette théorie d’un
faux
bon sens ennemi du grand goût, il suffirait de tr
Séville. Laissons une bonne fois ce Beaumarchais-Grandisson qui fait
fausse
route, et arrivons, à travers les divers incident
ine de nier la dette des quinze mille livres et d’arguer le compte de
faux
. De là, procès, d’abord gagné en première instanc
é de la confiance de tous ceux qu’il a approchés. On fait circuler de
fausses
lettres de lui ou contre lui ; on insinue qu’il s
ais dans le ton d’apologie de l’abbé Prévost, sans mauvais goût, sans
fausse
veine, avant l’ivresse et la fumée à la tête, ava
le ennemis, privé de ta liberté, de tes biens ; accusé de rapines, de
faux
… Et lui, se prosternant devant l’Être des êtres,
des banales admirations qui se retranchaient sous la protection d’une
fausse
tradition. Ce sera l’un des mérites de cet ouvrag
tte tradition et d’avoir fait avec précision le partage du vrai et du
faux
classique. Il y a eu en effet en France un faux c
partage du vrai et du faux classique. Il y a eu en effet en France un
faux
classique, non sans honneur et sans gloire, mais
en imitant et en discréditant les formes extérieures de celui-ci. Ce
faux
classique commence avec Jean-Baptiste Rousseau, e
e de la tradition et de la discipline. Ajoutez que, dans Rousseau, le
faux
est presque toujours mêlé avec le vrai, et qu’il
ontraire. M. Nisard est si peu dupe de cette sorte de tradition et de
fausse
discipline, qu’il ne mentionne même pas l’espèce
quelques vérités évidentes, répandues dans un corps de doctrines jugé
faux
. C’est ce qui est arrivé à toutes les philosophie
juger l’évidence, voilà la raison établie juge suprême du vrai et du
faux
. Et quelle raison ? Ce n’est ni la sienne, ni la
é de la philosophie cartésienne ; ce privilège de juger le vrai et le
faux
, Descartes en dépossédait l’autorité pour le rest
plus sûrement que par la vie physique ; la raison juge du vrai et du
faux
; l’évidence, signe infaillible du vrai ; l’âme v
r se faire préférer au mensonge. Ne calomnions pas même les écrivains
faux
, jusqu’à dire que, pouvant prétendre à la gloire
s où ils essayent de nous donner leurs défauts pour des beautés et le
faux
pour le vrai. § VI. En quoi Descartes est plus
ous les jugements qui nous viennent du dehors, et qui substituent une
fausse
nature à la véritable ; il faut arracher cette fo
ue Descartes, qui avait institué la raison juge suprême du vrai et du
faux
. La même conduite de l’esprit, dans les écrits de
éfinir la logique ; cette recherche des causes qui font les jugements
faux
; l’autorité de la raison proclamée dans les chos
toutes les opérations de l’esprit, dans l’appréciation du vrai et du
faux
, dans la conduite de la vie. Fénelon, avec moins
s’élever à travers tant de mots absurdes, insignifiants, exagérés ou
faux
, ampoulés ou grossiers ? Comment arriver à l’âme
çaise était condamnée à parcourir sans cesse tout le cercle des idées
fausses
, parce que des hommes ont soutenu violemment et s
dire que dans un plaidoyer en faveur d’une mauvaise cause, ce qui est
faux
, c’est le raisonnement ; mais que l’éloquence pro
ire à l’être bienfaisant, protecteur de cet univers ; mais ce qui est
faux
, c’est le raisonnement qui vous persuade qu’il es
pour tous les hommes, comme la Providence éternelle ; mais ce qui est
faux
, c’est le raisonnement qui justifie tous les crim
le, de Montépin, sur qui il est trop facile de dauber, et de dauber à
faux
, car il sied que votre concierge soit amusée, et
en de renoncer à toute critique son goût est mauvais, ou son jugement
faux
, et sa critique vide. Ce qui fait la vie d’une cr
rtes, le premier, n’ayant de sa vie rien senti, ne pouvait juger qu’à
faux
et ne s’en privait pas. Mais l’autre avait tort a
ra du respect qu’on a pour son talent ! Si un homme politique fait un
faux
pas, immédiatement c’est un sot ou un malfaiteur.
le grand nombre, — et pourtant il y a la race de ceux qui, voyant ce
faux
et ce convenu hypocrite, n’ont pas de cesse que,
euvent être justes ou erronés, mais elles-mêmes ne sont ni vraies, ni
fausses
, elles existent. Tel est le caractère de la formu
prendre de lui-même, des ressources et de l’emploi de son énergie une
fausse
conception. II On vient de voir que le moye
qu’elle exigea de celui qui l’inventa. C’est aussi son inconvénient :
fausse
ou mal formée, elle échappe au contrôle, car rend
tre humain se conçoit autre qu’il n’est. On voit d’ailleurs que cette
fausse
conception de soi-même comporte une infinité de n
s en ont ! Ils ont de la sensibilité qu’ils corrompent avec leur goût
faux
pour un siècle faux, mais qui résiste encore, mal
e la sensibilité qu’ils corrompent avec leur goût faux pour un siècle
faux
, mais qui résiste encore, malgré toutes les mauva
que distinctive du livre présent de MM. de Goncourt, — la tension qui
fausse
et casse tout ; la violence qui n’est que la forc
carreaux de la Conciergerie en s’y pendant, confessé par Vautrin, le
faux
prêtre, qui se convertit du vol à l’espionnage so
barbares, dans les âmes incultes et enfantines, beaucoup de souvenirs
faux
prennent ainsi naissance. Des hommes ont vu un fa
jetée au même endroit ne surgit pour leur faire obstacle, le souvenir
faux
est tenu pour vrai. Toutes ces conditions se renc
ourquoi nous avons en songe non seulement des perceptions extérieures
fausses
, mais encore des souvenirs faux68. J’en ai noté p
ouvait affirmé. Pareillement, rien de plus fréquent que les souvenirs
faux
, chez les fous, surtout chez les monomanes. Ils s
lui a enlevé ses papiers et ses parchemins, et on a mis à la place un
faux
extrait de naissance qui la fait roturière et pau
nistre, par testament, lui avait laissé 200 000 francs. Ses souvenirs
faux
étaient si nets, que son fiancé était parti et qu
conception simple devient conception affirmative, et il se souvient à
faux
de meurtres qu’il n’a point faits. D’autres cas p
les jambes. » — Si, par hypnotisme ou maladie, le patient éprouve de
fausses
sensations, il peut arriver à se faire les idées
ar la vanité, par l’amour, par le scrupule religieux, soutenue par de
fausses
sensations mal interprétées, confirmée par un gro
sensation antécédente ; de sorte que, si notre jugement est toujours
faux
en soi, il est presque toujours vrai par contreco
et Perrot.) 68. 28 septembre 1868. M. Maury cite plusieurs souvenirs
faux
qu’il a eus en rêve. Le Sommeil et les Rêves, p.
LXVe entretien. J.-J. Rousseau. Son
faux
Contrat social et le vrai contrat social (1re par
s, par sa nature au rôle de tribun des sentiments justes et des idées
fausses
qui allaient se livrer dans le monde la lutte rév
ur ; ils allument parce qu’ils sont allumés. Leurs idées peuvent être
fausses
, leur style peut être inculte, mais leur sentimen
sprit délicat, et de son père un esprit cultivé. Elle descendait sans
fausse
honte aux plus humbles fonctions du ménage, elle
séparait du jardin, et le mur de la cour à gauche, conduisant par une
fausse
porte à l’église. Prête à entrer dans l’église pa
ée par les sordides exemples de débauche dont il est témoin parmi les
faux
convertis de l’hospice des faux catéchumènes de T
débauche dont il est témoin parmi les faux convertis de l’hospice des
faux
catéchumènes de Turin ; il troque sa religion con
n véritable histrionage en quêtant de ville en ville, à la suite d’un
faux
archimandrite de Jérusalem. L’ambassadeur de Fran
lité digne d’un Tartufe d’humanité, des malédictions systématiques et
fausses
sur le crime des mères qui n’allaitent pas elles-
ui-même, qui, en qualité d’esprit juste, abhorrait Rousseau, l’esprit
faux
, s’arrête et s’étonne, dans son dénigrement bien
’on me reprochait d’être, j’avais un puissant sentiment du vrai ou du
faux
dans la politique ; quoique très dévoué aux progr
ins se garantir de l’influence du Siecle, & éviter les écueils du
faux
Bel-Esprit & de la fausse Philosophie. Ses au
ce du Siecle, & éviter les écueils du faux Bel-Esprit & de la
fausse
Philosophie. Ses autres Ouvrages littéraires, san
uriez rien à gagner par cet usage du côté de la réflexion, ce qui est
faux
manifestement, que n’acquerriez-vous pas du côté
rspective de l’action humaine, et qui lui paraît en elle-même la plus
fausse
des règles pour juger d’une vie, cette façon d’en
pourra faire dans la vérité n’empêcheront pas les hommes de raisonner
faux
» ; et c’est ainsi, selon lui, que « les grands h
al intérieur : rien n’eût été plus antipathique à Vauvenargues que le
faux
Condorcet. Ce n’est pas à dire que Vauvenargues f
il n’y a que le mérite réel pour aller directement à la gloire ! Sans
faux
enthousiasme, sans ressentiment, il a jugé l’huma
que j’ai donné avant les découvertes dernières, n’est pas encore trop
faux
, et les aperçus qu’on vient de lire sur le caract
is on y trouve aussi moins d’inexactitudes, moins d’erreurs, moins de
fausses
citations, moins de faux jugemens, moins de faute
’inexactitudes, moins d’erreurs, moins de fausses citations, moins de
faux
jugemens, moins de fautes de style & de typog
il n’est point déclamatoire ; il n’est point ridicule ; il n’a ni la
fausse
poésie, ni le faux enthousiasme, ni la fausse pro
matoire ; il n’est point ridicule ; il n’a ni la fausse poésie, ni le
faux
enthousiasme, ni la fausse profondeur. Non, il es
ridicule ; il n’a ni la fausse poésie, ni le faux enthousiasme, ni la
fausse
profondeur. Non, il est faible tout simplement. I
ur tout, le Sainte-Beuve qui plaît aux femmes, parce qu’il est fin et
faux
comme elles, fin de la finesse de leurs aiguilles
; car nous sommes de ceux-là qui croient à l’endurcissement des idées
fausses
et à l’impénitence finale de certains partis. Mai
ire qu’elle était restée bourgeoise d’esprit et de cœur, — ce qui est
faux
! Rien de moins bourgeois que madame de Staël ! E
ns… Pédante si l’on veut, quelquefois sans grâce et précieuse, esprit
faux
en philosophie, bas-bleu à ravir l’Angleterre de
rdaire à une gloire vraie. Quant à l’historien de saint Dominique, le
faux
romancier de Marie-Madeleine, et l’écrivain, — pa
la Mort, dans l’Enfer de Milton, et la laideur de la Mort rachète les
fausses
beautés du Péché. L’historien de La Révolution de
tion, et même l’Europe, ne furent point de l’avis de Michelet dans sa
fausse
histoire. Elles ne s’y trompèrent point. Elles pr
lle appela notre sublime Empereur : « Robespierre à cheval ». C’était
faux
, dérisoire et petit comme la haine d’une femme, u
e d’arracher du cœur et de l’esprit l’idolâtrie de Robespierre, de ce
faux
homme d’État, bête comme une guillotine qui aurai
iges, qui ne comprennent rien à la divinité, qui en donnent des idées
fausses
et méprisables et qui n’inspirent pas aux hommes
e de tous les artifices dont on se sert à l’ordinaire pour prouver le
faux
. Il prouve le vrai par des arguments captieux, de
ans les choses mauvaises et l’âme de vérité qu’il y a dans les choses
fausses
, comme a dit Spencer, il ne voudrait pas qu’elles
alité qui remplissent les États de séditions » ; et du reste elle est
fausse
, et si l’amitié entre inégaux est à peu près impo
ernité. La « vraie » égalité, et je ne veux pas dire que l’autre soit
fausse
, mais j’entends que celle-ci est bonne et qu’elle
thènes aucun plan suivi de gouvernement, aucune idée directrice, même
fausse
. Cette belle ville est une trière à la dérive. On
losophes grecs étaient tous convaincus de cette idée qui n’est pas si
fausse
, du reste, que tant qu’on ne comprend pas l’ensem
successives auxquelles l’un et l’autre sont appelés. Il est donc très
faux
ou très hasardé et c’est une impiété, c’est un qu
qui sait la vertu. La doctrine doit être combattue, parce qu’elle est
fausse
; mais il faut bien la comprendre et aussi les ra
et aussi les raisons pourquoi Platon la conçoit ou l’adopte. Elle est
fausse
et je ne le démontrerai point longuement. Elle es
fié par des observations de tous les jours. La théorie est donc aussi
fausse
que le serait une définition juste de la volonté
répondrait Platon, j’irai plus loin d’un pas et je dirai que, fût-il
faux
que l’intérêt bien entendu se confonde avec la ve
indissolublement unies et inséparables. Voilà, ce me semble, quelque
fausse
, sinon en soi, du moins pratiquement, quelle puis
avoir trop cru aux raisonnements et pour avoir fait des raisonnements
faux
. Le parallèle est intéressant et éclaire assez bi
ir toujours cru sincère, honnête et fidèle, on trouve enfin qu’il est
faux
et méchant ; et après plusieurs épreuves semblabl
vrai sans avoir l’art de raisonner, il arrive plus tard qu’il paraît
faux
— qu’il le soit du reste ou qu’il ne le soit pas
ur avoir entendu de ces raisonnements où tout est tantôt vrai, tantôt
faux
, au lieu de s’accuser soi-même de ces doutes, au
ice que de la subir. C’est le plus dangereux des sophismes et le plus
faux
et qui du reste, pour ce qui est de la morale, co
t la justesse de la conscience. Une âme injuste est une âme qui sonne
faux
. Le même mot désigne, et à très bon droit, ce qui
on et d’organisme bien fait. Or qui voudrait avoir une âme qui sonnât
faux
comme une lyre mal accordée ? Et qui ne reconnaît
qui ne reconnaîtra qu’il vaut mieux souffrir d’un instrument qui joue
faux
que d’en jouer, celui qui en joue étant ridicule
ssait encore ils répondraient, s’ils mettaient de côté toute dernière
fausse
honte : « Plutôt pour l’injuste que pour le juste
r par ses objets ordinaires, il est incontestable que rien n’est plus
faux
. Mais il faut bien remarquer que l’amour, que que
héorie qui ne soit vraie par quelque endroit, mais celle-ci me paraît
fausse
de tout point, ce qui donne suffisamment raison d
peint ». Présentée ainsi, elle a sa beauté et n’est point tout à fait
fausse
. Elle voudrait dire peut-être, en langage positiv
est donc très belle et a un certain fond de vérité ; mais elle reste
fausse
, même sous cette forme-ci, en ce que l’amour de l
en distrait, du moins trop, est mauvais, est condamnable et même est
faux
. Il est faux en ce qu’il est une illusion. Une il
du moins trop, est mauvais, est condamnable et même est faux. Il est
faux
en ce qu’il est une illusion. Une illusion par ra
ur sujet, vient toute de là. Il y a des arts vrais et il y a des arts
faux
. Considérez tous les arts à la lumière que je vie
me à leur dernière fin et même à leur fin prochaine ; et que les arts
faux
sont ceux qui n’y tendent pas ; et que toute la c
’ils n’en ont pas. D’un côté les arts vrais, de l’autre côté les arts
faux
. Différence et pierre de touche de la différence
ce : la morale. Par exemple, nous venons de voir qu’à la cuisine, art
faux
, s’oppose l’hygiène, art vrai. De même, à la gymn
rai. De même, à la gymnastique, art vrai, s’oppose la cosmétique, art
faux
. La gymnastique fait des corps qui sont beaux ; l
que fait des corps qui sont beaux ; la cosmétique donne aux corps une
fausse
beauté. Or la beauté vraie importe à la morale qu
justice. Son art est un art funeste ou plus précisément c’est un art
faux
. Ce n’est pas un art. C’est un procédé ou un ense
politique, mais la rhétorique. Politique, art vrai ; rhétorique, art
faux
. L’architecture est un art vrai. Il importe à la
ût du beau que nous avons dit qui conduit au bien. Mais il existe une
fausse
architecture qui n’a pas de nom à soi dans la lan
tir le Parthénon qu’en prononçant ses discours. Il existe de même une
fausse
musique et une vraie musique, une musique qui enn
abandonne et se dissout en ses faiblesses. Il existe une vraie et une
fausse
peinture ; une vraie peinture, qui a le goût préc
a le goût précisément du vrai concilié avec le goût du noble, et une
fausse
peinture, qui a le goût du fantasque ou du maniér
us le répétons toujours, au goût du bien ; et il existe une sculpture
fausse
qui peut séduire, soit par la mollesse des lignes
ours, soit par l’effort et le mouvement violent, et dans un cas cette
fausse
sculpture énerve l’âme et dans l’autre cas elle l
utilement et détruit sa sérénité. Inutile de dire qu’il y a toute une
fausse
littérature qui, ne se souciant aucunement de mor
arts sont vrais en ceci qu’ils ressortissent à la morale, et ils sont
faux
en ceci qu’ils sont indépendants de la morale, mê
e et que la morale est l’art suprême, ou encore l’art total. Ces arts
faux
, nous avons tendance à les appeler des « routines
ls, puis par méditation ; et cela lui est nécessaire et suffisant. Le
faux
artiste imite toujours, emprunte toujours. Il s’a
e forme et pour ainsi dire d’accommodement. Oui, c’est un signe. Les
faux
arts se reconnaissent d’abord et surtout à ce qu’
moins doit mettre sur la voie. Les arts vrais sont des arts, les arts
faux
sont des métiers. Si nous insistons un peu sur ce
endre son art dans la routine. Quoi qu’il en soit, arts vrais et arts
faux
. Les arts faux ne sont que des routines méprisabl
ans la routine. Quoi qu’il en soit, arts vrais et arts faux. Les arts
faux
ne sont que des routines méprisables. Les arts vr
. Nous honorerons donc les arts pourvu qu’ils soient vrais et non pas
faux
, pourvu qu’ils soient, pour ainsi parler, des cré
i il s’agit de plaire peut très bien ne pas aimer le beau et aimer de
fausses
beautés. Donc l’artiste ne doit chercher, ni par
qu’on ne soit pas comme à Athènes, on n’est point absolument dans le
faux
. » À côté de ce sentiment dominant, Platon a auss
isent : « Soyez justes, et tout vous sera donné par surcroît. » C’est
faux
, et peut-être même ils savent que c’est faux, et
né par surcroît. » C’est faux, et peut-être même ils savent que c’est
faux
, et dans le premier cas ils sont bornés, et dans
e il s’ensuive de grandes et belles choses. Et enfin, de cette morale
fausse
et de cette morale débile, faire le fondement d’u
aire le fondement d’une politique, c’est concevoir déjà une politique
fausse
aussi, débile aussi, antinaturelle, énervant et p
; et cela, c’était, d’un seul trait, la vraie démocratie opposée à la
fausse
et la bonne à la mauvaise. Il a combattu la mytho
s le concours des prix-Montyon pour ses Poèmes évangéliques, une idée
fausse
d’ailleurs, et qui consiste à paraphraser l’Évang
telle est dans sa généralité le but de l’art. » Est-ce vrai ? est-ce
faux
? je n’en sais rien : à cette hauteur, on n’a que
comprenne qui pourra ! Partout chez lui domine la préoccupation d’une
fausse
noblesse de l’homme, qui le stérilise, le mutile,
qu’il y a un idéal ; mais, admettez aussi qu’il y en a un vrai et un
faux
; et si jamais vous rencontrez un idéal, ou soi-d
lement autour de lui. Mais, à tout instant M. de Laprade pose un fait
faux
, et il édifie là-dessus toute une théorie histori
t honnête et il l’était ; mais il avait un sens qui le détournait des
fausses
espérances et des excessifs désespoirs ; mais, pa
d rang, dans ce premier âge où il est si difficile de ne pas faire de
fausse
pointe, en avait pourtant fait une petite fausse,
e de ne pas faire de fausse pointe, en avait pourtant fait une petite
fausse
, à ce qu’il lui semblait, en louant d’abord, plus
l lui donne au préjudice de toute audace, je crois son idée en partie
fausse
, et, par conséquent, je n’en suis pas du tout. Ce
uvert les marges de son exemplaire de petites notes pareilles sur les
faux
sens, les traductions infidèles et onéreuses au p
d le mieux en profitant de l’expérience, c’est le mélange en tout, le
faux
et le vrai, le bon et le mauvais, se rencontrant,
l’idée. Lui qui s’élève contre le vernis poétique, il en a plus d’une
fausse
veine colorée dans ses descriptions. Chez lui, no
nt chacun n’est vrai que dans l’ensemble. Une page est nécessairement
fausse
; car elle ne dit qu’une chose, et la vérité n’es
assister. Mais la plaisanterie, en matière scientifique, est toujours
fausse
; car elle est l’exclusion de la haute critique.
léchie et délibérée de viser à quelque chose de grand et de beau. Les
faux
René et les faux Werther ne doivent pas faire con
ée de viser à quelque chose de grand et de beau. Les faux René et les
faux
Werther ne doivent pas faire condamner les Werthe
cher au-delà de la raison ce qui est en deçà et de se placer dans une
fausse
hypo-thèse, pour le plaisir de se torturer ? Le s
. Si une doctrine est vraie, il ne faut pas la craindre ; si elle est
fausse
, encore moins, car elle tombera d’elle-même. Ceux
parcourt tous les systèmes, non comme le sceptique, pour les trouver
faux
, mais pour les trouver vrais à quelques égards. E
tion est parfaite et d’une justesse pénétrante. Il n’y a pas une note
fausse
dans tout le rôle ; le personnage est complet. Le
acte accélère l’action retardée. Je voudrais en retrancher la scène,
fausse
et choquante, où d’Estrigaud, qui a décidément je
tel croulait sur sa tête. Navarette, qui a son projet, lui a donné un
faux
renseignement ; il perd huit cent mille francs, i
effrayant pour elle. Une veuve de vingt-cinq ans ne fait pas même une
fausse
démarche, en visitant, au grand jour, une galerie
ne fera qu’aggraver l’infamie de sa déchéance. En se couchant dans le
faux
cercueil du Scapin de Molière, il s’est enterré s
decin affidé, aidés de deux domestiques, apportent dans leurs bras le
faux
moribond. M. Tenancier et André Lagarde, qui se t
pin de Regnard, avant de recevoir le tabellion à qui il va dicter son
faux
testament, se coiffe-t-il, jusqu’aux yeux, du bon
alomnie, avec des yeux résolus, on lui fait toujours baisser ses yeux
faux
et ravaler ses mensonges. Donc, point de pacte av
res paraissent, les dissonances éclatent, les vernis s’écaillent, les
fausses
positions se trahissent, les fortunes scandaleuse
flamme vive et le climat violent de l’enfer que la tiédeur et le jour
faux
de ces limbes ! Mais entrons bien vite, avec M. A
jà dans quel sépulcre blanchi vous êtes descendu. Ce salon, plâtré de
faux
luxe, crie la misère par toutes ses fissures. Le
en matrones ? Cornélies équivoques qui montrent leurs filles avec le
faux
sourire de l’entremetteuse et semblent dire, en p
mble à l’évasion d’une conscience en peine, par la porte dérobée d’un
faux
subterfuge. Cependant Suzanne arrive, calme, rian
son dernier mot, « le plus honnête homme qui soit ». Je m’inscris en
faux
contre un tel éloge. Cet honnête homme est un vil
lettre, et la seconde épreuve met en plein relief le fond, mauvais et
faux
, de cette ressemblance. M. de Jalin a un complice
ses débuts et non celui d’un homme six fois millionnaire ; mais cette
fausse
sortie, exécutée sur le théâtre sérieux des affai
dessus de tous les sentiments de l’homme. Ce qui, par parenthèse, est
faux
. Le sentiment de l’amour religieux de Dieu est un
u temps, sa sentimentalité malade, son individualisme, son mysticisme
faux
, son rationalisme involontaire. Même après l’avoi
ole, est beaucoup moins écrivain qu’orateur. Écrivain, il est souvent
faux
et froid, guindé, prétentieux, rhétoricien, oh !
esse. Elle vient de la déclamation foncière de l’auteur dans ce livre
faux
de Sainte Marie-Madeleine. Elle vient, enfin, de
ve une philosophie antérieure, qui abuse de cette philosophie, qui en
fausse
le principe, les idées, le langage, et cela est v
philosophie est elle-même une vérité. Mais quand une philosophie est
fausse
, le philosophe de cette philosophie n’est-il pas
descendants. Zénon, qui descend de Parménide, n’est pas plus dans le
faux
que Parménide lui-même, si cruellement bafoué par
. Funck Brentano, mais toutes les contradictions, les confusions, les
fausses
règles, les non-sens des deux sophistes anglais,
). Pernicieux grands artistes qui ont parfois fait croire, avec leurs
faux
poèmes et leur talent sincère, qu’il pouvait y av
mis douze ans à faire un livre, mortellement ennuyeux, dans un genre
faux
, avec un talent faux et une poésie fausse ! Reven
e un livre, mortellement ennuyeux, dans un genre faux, avec un talent
faux
et une poésie fausse ! Revenant d’Ahasverus, qui
ement ennuyeux, dans un genre faux, avec un talent faux et une poésie
fausse
! Revenant d’Ahasverus, qui revient trop tard ! N
ute la ligne, lorsque des paysans et des ouvriers de fantaisie, aussi
faux
que ceux de Watteau et moins jolis, ont, grâce à
plis de sa forte étoffe, ample et sincère, — parlant français et non
faux
patois ! Or, voilà ce qu’avaient tenté de faire e
t reposé longtemps sur le cœur qu’ils voulaient scruter. Bourgeois de
fausses
lumières et d’éducation intellectuelle, peuple pa
isons, nous autres chrétiens, s’empara de cet esprit rebelle, las des
fausses
théories et des menteuses lumières sous lesquelle
nous aurions simplement attendus, ces documents sont presque toujours
faux
. C’est ainsi que récemment un fabricateur sarde,
r sarde aussi anciennement connu, ferait les frais d’une partie de ce
faux
. C’est la même règle de critique qui fait que des
écis pour mesurer le degré de l’artifice. Les preuves intrinsèques du
faux
ont été recherchées et administrées par M. de Syb
rvis pour me détruire. Je méprise trop la calomnie. Je sais que toute
fausse
opinion se trouve condamnée à l’avance, qu’elle p
ge me fut pénible. Une conception fantastique, des sensations souvent
fausses
, de dangereuses maximes répandues, me causèrent d
te, chez qui la nature se manifestait sous des traits si vagues et si
faux
. L’unique prévision de son influence m’apparut co
e de toute considération personnelle. Pourquoi cela ? Rien n’est plus
faux
ou, tout au moins, c’est au nombre des choses par
plus faux ou, tout au moins, c’est au nombre des choses parfaitement
fausses
. Outre que, comme l’a dit très profondément Moliè
tère âpre et dur », tous les traits par où il se montre ridicule sont
faux
. Par exemple, il a des colères qui sont puériles
fallait faire rire le parterre. » Ceci est fort spirituel, mais bien
faux
, même en ne tenant point compte de cet orgueil d’
énué le caractère d’Alceste, de manière à le mettre dans une position
fausse
qui fait qu’on rit de lui. « Tandis que dans tout
era la raison suffisante de s’arrêter jusqu’à ce qu’on devienne aussi
faux
qu’un homme de cour ? » Je dirai tout franc que
t chaussé de son idée qui d’ailleurs et ailleurs n’est pas absolument
fausse
. Rousseau reproche encore à Molière d’avoir don
nchise, elle serait une étourderie et non pas une vertu. Qu’une femme
fausse
le trahisse, que d’indignes amis le déshonorent,
personnage de Molière est vrai et le personnage que rêve Rousseau est
faux
; et que si le personnage de Molière est vrai, l’
s pas assez misanthrope moi-même pour prétendre qu’il fût tout à fait
faux
; mais il sortirait, non seulement de cette moyen
e, intérêt, trahison, fourberie », et il éclatera ; mais qu’une femme
fausse
le trahisse, il restera très calme, parce que c’e
e antipathique au public ; les deux parties de la thèse me paraissent
fausses
. Un mot encore sur ce point. De toutes les injust
ouve singulier que Rousseau ait estimé que le caractère d’Alceste est
faux
. Rousseau ne s’est pas moins trompé sur le pers
pour parler franchise, poltrons pour parler bravoure et qu’il est de
faux
stoïciens comme il est de faux braves. » D’accord
s pour parler bravoure et qu’il est de faux stoïciens comme il est de
faux
braves. » D’accord ; mais c’est ici que je revien
vrai, les travers qui sont tels que, s’il ne les avait pas, il serait
faux
. Et ces travers eux-mêmes, Molière a tenu essenti
r un seigneur très connu. Ce billet, l’avocat en a la conviction, est
faux
, en ce sens que la signature est authentique, mai
epuis très longtemps que le riche honnête homme, sur qui est lancé le
faux
billet qui doit le dépouiller, est Philinte lui-m
ste alors s’adressant au commissaire : « On a commis, lui dis-je, un
faux
abominable. Dès longtemps la justice a frappé le
able. Dès longtemps la justice a frappé le coupable. Nous avons de ce
faux
trente preuves en main. Il y va de la vie et voic
nthrope, dit Molière ; au fond de sa misanthropie, il y a la haine du
faux
et la haine de la complaisance aux méchants. Est
lents. Fabre voit gros ; mais ce n’est pas une raison pour qu’il voie
faux
, et même c’en est une pour qu’il voie juste. Il p
t de plaire à des esprits corrompus, ou sa morale porte au mal, ou le
faux
bien qu’elle prêche est plus dangereux que le mal
u croyait être, et c’est précisément pour cela que Rousseau le trouve
faux
. Mais Alceste est précisément, quoique en moins n
Et, s’identifiant à Alceste, il déclare superbement : « Qu’une femme
fausse
le trahisse, que d’indignes amis le déshonorent,
les hommes intelligents et cultivés, soit par ce qu’il contiendra de
faux
, soit parce qu’il aura d’ennuyeux, et l’on convie
e avis, je rends mon dupeur absolument méprisable ; le dupé en paraît
faux
, et voilà la faute où je serais toujours tombé si
ant marier à un médecin stupide, comme Orgon la sienne à un coquin de
faux
dévot. Et c’est toujours la même histoire, et je
t de plaire à des esprits corrompus, ou sa morale porte au mal, ou le
faux
bien qu’elle prêche est plus dangereux que le mal
rs », il dit : « ou sa morale porte au mal, ou… », mais il dit que le
faux
bien qu’elle prêche est plus dangereux que le mal
x bien qu’elle prêche est plus dangereux que le mal même. Quel est ce
faux
bien ? C’est précisément la bienséance. Molière «
du déchet, on peut penser ce qu’il en reste. Et si j’ai dit que « le
faux
bien que prêche la morale de Molière est plus dan
e », on le voit maintenant, c’est que ce bien, si réduit qu’il en est
faux
, séduit par une apparence de raison. Il paraît as
yeuse et souvent excellente, on ne peut pas s’inscrire tout à fait en
faux
contre ce jugement sévère ; ni, non plus, contre
r avec un enjouement qui fait passer tout cela pour des gentillesses.
Faux
acte, supposition, vol, fourberie, mensonge, inhu
e Arnolphe qui dit à Agnès : Si votre âme à l’honneur fait jamais un
faux
bond, Elle deviendra lors noire comme un charbon
e sont les gens de Molière. Sur quoi Brunetière dit très bien : « Les
faux
dévots sont pour lui tous ceux qui « étalent », c
nagère de petit bourgeois ; voilà qui est honorable ; mais elle prend
fausse
science et philosophie de pacotille pour science
le cas échéant, religions successives] . Quand cette religion serait
fausse
, la docilité qui soumet la mère et la fille à l’o
er le faire. Mais alors, c’est tout le système de Rousseau qui est
faux
, même en partant de son principe, surtout en part
qui, sans être de cet avis, sont très loin de le trouver entièrement
faux
), et voyons l’éducation que Rousseau donne à Soph
irs qu’elles quittent avant de les y laisser renoncer, de peur que la
fausse
image de ces plaisirs qui leur sont inconnus ne v
oilà ce qui est et l’on a vu pourquoi cela doit être. Les femmes sont
fausses
, nous dit-on. Elles le deviennent. Le don qui leu
es vrais penchants de leur sexe, même en mentant, elles ne sont point
fausses
. Pourquoi consultez-vous leur bouche quand ce n’e
la nature ? — Je dirai de cette théorie, avec regret, que je la crois
fausse
, estimant que Rousseau est essentiellement partis
s les avoir attaqués, car, s’il les avait attaqués, la théorie serait
fausse
, et il ne se peut qu’elle le soit. De même, ce qu
ec les autres, et c’est ce commerce lui-même qui vous donne des idées
fausses
, et c’est l’instinct social lui-même qu’il faut d
rs pour annoncer à Corasmin qu’il a été, lui Corasmin, trompé par une
fausse
nouvelle ; que Louis ne tourne point ses armes co
fait ronfler, dans un pompeux galimatias, quelque sentence obscure et
fausse
, ils se croient aussitôt des Voltaires. C’est che
la peinture de l’amour ! À cet aveu sincère succèdent des idées bien
fausses
: Tant que l’on continuera en France de protéger
l, un ton de politesse et d’urbanité ; mais la plupart des idées sont
fausses
; on n’y reconnaît aucune vue philosophique, aucu
les temps le goût des lecteurs frivoles : par malheur cela est aussi
faux
que joli, et il n’y a presque pas un mot qui soit
s sentiments vrais, dégoûte des hémistiches lâches et prosaïques, des
faux
brillants et du pathétique romanesque. Corneille
Gusman, appelé Garnement dans la parodie. Le caractère de Zamore est
faux
d’un bout à l’autre : c’est un gascon qui veut to
r jugement du public est toujours le meilleur ; ce qui est évidemment
faux
: la manière dont il accueille aujourd’hui plusie
ouche d’Idamé, mais la construction n’en est pas nette, mais ils sont
faux
; car de l’égalité naturelle entre les hommes il
le personnage est extrêmement difficile, parce qu’il est équivoque et
faux
, et parce que l’auteur lui-même savait mieux ce q
chef de la vraie religion cet ouvrage contre le fondateur d’une secte
fausse
et barbare. À qui pourrais-je dédier plus convena
édier plus convenablement la satire de la cruauté et des erreurs d’un
faux
prophète, qu’au vicaire et à l’imitateur d’un die
philosophe Jean-Jacques n’était point littérateur ; il avait l’esprit
faux
, parce qu’il avait fait ses études dans des roman
comment peut-on siffler quand on bâille ? » L’anecdote est évidemment
fausse
: Voltaire n’eût jamais fait une pareille questio
des romans et des comédies est de gâter l’esprit, de donner des idées
fausses
, d’inspirer le mépris des bienséances, d’enflamme
i nouvelles, ni brillantes, ni hardies ; elles ne paraissent plus que
fausses
, chimériques et funestes. Dans la première scène
nants Pour mes habits., non pour mes sentiments. Le premier vers est
faux
; c’est ce qui arrive presque toujours aux auteur
on n’est ni joli ni sensé, parce qu’il porte sur une idée triviale ou
fausse
. S’il faut adopter l’interprétation qu’en donnent
qu’il n’y avait de mauvais en littérature que ce qui ennuie : maxime
fausse
et pernicieuse ; car il y a de chétifs romans, de
u fruit nouveau ; une parabole de l’Évangile mise au théâtre avait un
faux
air de philosophie qu’on trouvait alors très piqu
et qu’il parle du cœur : dans tout le reste, son allure est gênée et
fausse
; c’est un hypocrite qui se compose, parce qu’on
on père, tout l’univers : dans un transport de joie que lui cause une
fausse
nouvelle, elle devient insolente au point d’oser
ordinaire, qu’il faudrait un volume pour relever tout ce qu’il y a de
faux
et d’erroné dans un si petit nombre de lignes : e
ne sont les premiers tragiques de la France ; et non seulement il est
faux
, il est même absurde dans les termes, d’avancer q
, votre fils ? Tu l’es……… On a blâmé avec raison, comme une sentence
fausse
et dangereuse, les vers qui terminent le second a
blâmer, pour ne pas contredire trop ouvertement l’enthousiasme d’une
fausse
liberté, qui dominait alors dans les écrits philo
César, Si méchamment mis à mort par Brutus. Souvent le dialogue est
faux
; souvent une vaine enflure prend la place de l’é
cieux, si profond, emploie aussi le mot liberté dans le sens vague et
faux
qu’on lui donnait encore, même de son temps. Rom
espotisme : voilà pourquoi on le trouve si faible, si superficiel, si
faux
, lorsque, dans son immortel ouvrage de la Grandeu
mène à l’art de plaire : que tout cela est lourd, guindé, et surtout
faux
! car il y a peu d’auteurs que les sifflets mènen
a mieux su garder les convenances théâtrales : il s’est garanti de ce
faux
pathétique des conversions romanesques et de remo
qui en sont indignes ? Je n’appelle corruption que ce qui est d’un
faux
goût : je n’en vois point dans les bonnes pièces
dernière, il règne un goût romanesque qui assurément est un goût très
faux
, un goût diamétralement opposé à celui du théâtre
e du cœur humain et de la société ; le roman n’en donne que des idées
fausses
; il n’est propre qu’à égarer l’esprit, qu’à corr
tent plus que comme des témoins qui déposent contre les dangers d’une
fausse
philosophie. C’est donc aujourd’hui un sot person
t amené que par la jalousie la moins fondée. Le caractère du mari est
faux
et outré d’un bout à l’autre : celui de la femme
en juste. La raison même a tort quand elle ne plaît pas. Évidemment
faux
. Quand tout le monde a tort, tout le monde a rai
e, La rend à ses parents et la reprend ensuite. Marivaux Les
Fausses
Confidences 11 octobre 1808 Je regarde Les F
vaux Les Fausses Confidences 11 octobre 1808 Je regarde Les
Fausses
Confidences comme le chef-d’œuvre du théâtre de M
ssi des romans dans leurs moments de loisir ; ils y prennent les plus
fausses
idées de la société. Cette lecture les dispose à
que leur âme est flétrie et glacée. Ce qui m’avait enchanté dans Les
Fausses
Confidences est précisément ce qu’il y a de moins
igner une extrême passion. C’est sur ce principe que sont fondées les
fausses
confidences du valet ; mais ce principe, vrai en
pièces qui se disputent le premier rang : La Surprise de l’amour, Les
Fausses
Confidences, Les Jeux de l’amour et du hasard. Je
ient : un tas de fous, de méchants et de sots, ligués pour établir de
fausses
bienséances, tandis qu’ils abolissent les véritab
u’un traître ; c’est la règle : à fille dénaturée et dévergondée, ami
faux
, amant ingrat. L’intérêt de la société et même de
imposteur, de nous peindre aussi des couleurs les plus vives la femme
fausse
et rusée qui se joue de ce qu’il y a de plus sacr
est fâcheux qu’il se soit cru obligé trop souvent d’être l’organe du
faux
esprit du jour. L’époque de cette comédie, jouée
igueur de la critique ; il faut faire une guerre éternelle à ce genre
faux
et romanesque, qui éblouit par une vaine apparenc
e même inconvénient que les romans ; elles donnent aux jeunes gens de
fausses
idées du monde, gâtent leur jugement, remplissent
uels excès la manie des nouveautés, la fureur des effets et un esprit
faux
entraînaient alors des hommes qui n’étaient pas s
Voltaire : ces vices sont des déclamations hypocrites, un pathétique
faux
et outré, une morale corrompue. Gabrielle de Verg
e tragédie une sentence qui a fait fortune, et qui n’en est pas moins
fausse
; Hélas ! qu’aux cœurs heureux les vertus sont f
vrai que le désespoir amoureux conduit souvent au crime ; mais il est
faux
, en général, que les succès en amour inspirent le
ve que celle du drame lui-même, écrit en vers pénibles, plein d’idées
fausses
et de sentiments alambiqués. Il est à remarquer q
raison, le devoir, la vertu sont au-dessus d’un vain préjugé et d’un
faux
honneur ; enfin, combien il y a plus de gloire à
ers, pour tous les hommes. M. de La Harpe s’épuise en arguments aussi
faux
que subtils pour prouver que cette querelle est s
laquelle il sait maîtriser les mouvements de son cœur. Rien de plus
faux
et rien de plus froid, dit M. de La Harpe : une p
alors la passion qui est forte, c’est le héros qui est faible. Cette
fausse
doctrine ôte à l’homme sa liberté ; à la vertu, s
n offrir seulement l’image ? Est-ce un courtisan toujours
faux
, Qui ne trouve son avantage Qu
rames, on peut cependant juger par celui-là même combien ce genre est
faux
et vicieux, et de quels petits moyens on est obli
ccuse lui-même avec encore plus de chaleur, et séduit Orgon par cette
fausse
humilité. Molière n’en a pas moins de mérite pour
loréal an X [8 mai 1802] En parlant du Tartuffe, j’observais que les
faux
philosophes avaient succédé aux faux dévots : à c
du Tartuffe, j’observais que les faux philosophes avaient succédé aux
faux
dévots : à ces deux espèces d’hypocrites, j’aurai
s prétendues fautes de style ; mais ses critiques me paraissent aussi
fausses
que ses hyperboles. « Proscrits, dit-il, n’est pa
La Harpe, nous assure les droits de la jeunesse est une expression
fausse
; nous rend est ce qu’il fallait dire. Je ne suis
Barthe. La Mère jalouse 23 nivôse an XIII [13 janvier 1805] Les
Fausses
Infidélités font aujourd’hui toute la réputation
tions, aux prestiges et au charlatanisme de la scène, à un pathétique
faux
et outré ; celle où le poète est un jongleur, où
e Corioles. Voilà comment le théâtre donne presque toujours des idées
fausses
, surtout dans les tragédies modernes ; voilà comm
pour la multitude il faut retourner le vers : Rien n’est beau que le
faux
, le faux seul est aimable. L’expérience journali
ultitude il faut retourner le vers : Rien n’est beau que le faux, le
faux
seul est aimable. L’expérience journalière le pr
ire les tartuffes : où il n’y a point de religion, il n’y a jamais de
faux
dévots. Molière aurait composé tous les mois une
ent de la véritable piété, qu’il est trop facile de confondre avec la
fausse
. Dans le cours de ses galanteries et de ses victo
inutile. Ce qui doit rassurer les philosophes, c’est que le métier de
faux
dévot ne vaut plus rien. Si la dévotion conduisai
ir l’apparence. On aurait beau donner tous les jours Le Tartuffe, les
faux
dévots laisseraient les comédiens faire leur méti
; cependant le roi, quand il permit la représentation, exigea que le
faux
dévot, qui s’appelait alors Panulphe, aurait l’ha
couverte d’un large feutre, sous lequel il tourne son œil louche et
faux
, soit admis chez Molière, fasse la cour à des co
la comtesse, qui connaît la jalousie de son mari, qui sait que sur un
faux
avis qu’il a reçu, il va revenir au château, choi
uelles de madame Almaviva, ne sont pour moi que le vain étalage d’une
fausse
piété : puisqu’elle garde précieusement les lettr
d’honneur et de probité. L’auteur sans doute emprunte ce caractère du
Faux
honnête homme et du Faux Sincère, à deux comédies
L’auteur sans doute emprunte ce caractère du Faux honnête homme et du
Faux
Sincère, à deux comédies de Dufresny fort peu con
ée dans le roman de Zaïde ; elle n’en était ni moins bizarre ni moins
fausse
: elle fit tomber la pièce. Je n’ai point parlé d
emblent vouloir écouter d’autres sentiments, elles sont hypocrites et
fausses
. La pire espèce de jaloux est celle du jaloux san
i l’on veut, mais pas le sens commun. Ce ne sont que des conceptions
fausses
, bizarres et ennuyeuses ; pas une seule invention
taire. Soit que l'anecdote qu'on y raconte à son sujet, soit vraie ou
fausse
, il est certain que celui-ci se déchaîna contre l
s termes ». &c. Nous devons remarquer encore que rien n'est plus
faux
que ce qu'on a débité sur la naissance de cet Ecr
oujours gâtée par des détails inutiles et des contes populaires aussi
faux
qu’insipides. On y ajoute souvent des critiques i
ciples. Il leur enseigna sa philosophie d’Épicure, qui, quoique aussi
fausse
que les autres, avait au moins plus de méthode et
e qui mérite d’être rapportée, et la seule qui ne soit pas dans cette
fausse
et mauvaise histoire qu’on a mise jusqu’ici au de
suis obligé de dire, que ces contes adoptés par Grimarest, sont très
faux
. Le feu duc de Sully, le dernier prince de Vendôm
n. Ses ouvrages, où il se trouve quelques vraies beautés avec trop de
faux
brillants, étaient les seuls modèles ; et presque
pect pour les véritables Précieuses, et qu’il n’a voulu jouer que les
fausses
. Cette petite pièce, faite d’abord pour la provin
nt la nature. Ils peignaient au hasard des caractères chimériques. Le
faux
, le bas, le gigantesque, dominaient partout. Moli
vaux se réveillèrent ; les dévots commencèrent à faire du bruit ; les
faux
zélés, (l’espèce d’hommes la plus dangereuse) cri
e peur ; Je sais comme je parle, et le ciel voit mon cœur : Il est de
faux
dévots, ainsi que de faux braves, etc. Presque t
parle, et le ciel voit mon cœur : Il est de faux dévots, ainsi que de
faux
braves, etc. Presque tous les caractères de cett
t ; que le roman tel qu’ils le conçoivent et l’imposent est une œuvre
fausse
et néfaste ; que le roman pour les jeunes filles
ne manière chaste de dire les choses qui ne le sont pas, et cela sans
fausse
pudeur et sans fausse précaution. Je crois que c’
ire les choses qui ne le sont pas, et cela sans fausse pudeur et sans
fausse
précaution. Je crois que c’est là un droit absolu
is tout à l’heure que le roman « pour toutes les mains » est un genre
faux
. Il écarte de la vie un élément qui appartient à
t nous voulons le secret. La longue description est donc généralement
fausse
en littérature, parce qu’elle est incompatible av
rçon !) ; enfin, aussi naturelle dans le factice, aussi vraie dans le
faux
qu’on le peut être. C’est alors qu’on la vit, qu’
uver la réponse à ces problèmes, il était nécessaire de remonter à ce
faux
idéal primitif dont elle s’est éprise une fois. A
ragédie sacrée, s’est ressentie, à vingt ans de distance, de ce genre
faux
du poème de la Madeleine et de ces premiers sérap
urrier de Paris, était piquant, léger, gai, paradoxal et pas toujours
faux
. En général, il ne faut pas appuyer en la lisant.
ystification de la nature humaine. Le blanc et le noir, le vrai et le
faux
, elle vous retourne tout cela, et ce serait du vr
armes, colonels, que sais-je ? Elle continue de s’amuser, et pas si à
faux
, ce me semble. Et les hommes, il y en a qui sont
on ne lui demandait pas. Mais pour lui, bah ! avec la fatuité dans le
faux
qui ne doute de rien, il n’a pas hésité un instan
veut être du Machiavel… très fin, et qui rate dans du Marivaux… très
faux
. L’ouvrage qui lui fait pendant sous la vitrine d
téraire, ce que Philarète Chasles a vu. % VII Eh bien, il a vu
faux
ou il n’a pas vu du tout, et le critique est rest
sorcier « évoquant par une sorcellerie intérieure des réalités qu’il
fausse
»… Il représente « non pas des hommes, mais des f
sles qui a inventé le voyant, le sorcier dans Balzac, l’évocateur qui
fausse
les réalités ; tout cela était connu depuis des é
, l’auteur de ce livre est jeune de couleur et d’accent. Le livre est
faux
dans son inspiration centrale, mais il y a de jol
tesquieu, de n’avoir su qu’aiguiser des Epigrammes & accumuler de
fausses
citations ; s’efforcer enfin de dépouiller tous n
& de faussetés ; ses Mélanges littéraires offrent une infinité de
faux
principes, de faux jugemens, de critiques injuste
; ses Mélanges littéraires offrent une infinité de faux principes, de
faux
jugemens, de critiques injustes ; ses Productions
ductions polémiques sont odieuses, comme nous l’avons indiqué, par de
fausses
imputations, des mensonges, des calomnies. Et cep
r-propre, de son esprit, de son imagination, de son cœur, & de sa
fausse
raison ! Entraîné par l'amour de la gloire à to
souvent le masque, se travestir en mille manieres, emprunter tant de
faux
noms ? Pourquoi le Professeur en vérités, par exc
e en attaquant la Religion par des sarcasmes, en la défigurant par de
fausses
imputations, en la noircissant par des calomnies,
pardonnent tout au talent, soit parmi ceux qui, dans des pages où le
faux
tient compagnie au vrai, savent passer de l’un à
tient compagnie au vrai, savent passer de l’un à l’autre sans que le
faux
leur gâte le vrai. Je chercherai sincèrement les
n devoir ; l’utopiste l’adore. Une certaine bassesse de cœur avec une
fausse
élévation d’esprit forme le plus souvent son cara
é et l’amour. Ce sont en effet deux idoles ; mais les idoles sont des
faux
dieux. Rousseau n’avait pas connu l’amitié ; il n
y fait au rebours du bon sens. Les collèges sont des ateliers où l’on
fausse
ce qui était naturellement droit : il n’y a pas u
n commençant, pour mieux s’assurer contre toutes les tentations de la
fausse
honte, il se met en sa présence à chaque aveu ; i
avec des dehors pacifiques pour mieux le tromper. Il y a là, sous ces
faux
semblants, quelque piège caché. Hélas ! le piège,
dans le langage de l’expérience et de la pratique commune. A côté des
fausses
vues, des illusions, des subtilités de l’esprit d
e l’autre, quelques grains du plus pur froment dans l’ivraie de cette
fausse
philosophie. En cherchant des raisons de polémiqu
ession attristante de ce mélange de lumière et d’ombre, de vrai et de
faux
, de hauteurs et de chutes, dans des ouvrages où l
II Mardi 2 janvier 1855. L’exagération ou, pour parler franc, le
faux
du livre de Charron est de même nature que dans M
reurs récentes exercées des deux parts au nom de la religion et d’une
fausse
piété, et l’on concevra tout le sens et l’applica
it tous les caractères qui séparent la raison et la sagesse d’avec la
fausse
science. Il ne s’agit pas de faire de son élève u
avants44. Le tout est de distinguer entre la bonne instruction et la
fausse
. La véritable est celle qui ne s’applique point e
’il écrit presque aussi bien que Balzac. » Ce dernier éloge portait à
faux
; Chanet n’écrit point pour faire de belles phras
Ronald fit bien dans la question du divorce, il frappait à côté et à
faux
sur les autres points ; M. de Villèle pouvait man
Cette vue, on peut l’affirmer hardiment et d’après l’expérience, est
fausse
: il n’est pas exact de dire que l’état de mécont
nte agitation s’empara de l’Assemblée ; les cris : A l’ordre ! C’est
faux
! se firent entendre de toutes parts. M. d’Argens
sprits aillent se rattacher de préférence en vertu de je ne sais quel
faux
idéal rétrospectif ? Sera-t-il donc vrai qu’en Fr
serait comme non avenu ! C’est, nous dit-on, chez plusieurs, tout un
faux
train d’enthousiasme qui recommence. Mais d’où so
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