de la septième période). — Madame Scarron chargée de l’éducation des
enfants
naturels du roi et de madame de Montespan. — Habi
is ans. Le 30 mars 1670 naquit le duc du Maine. La naissance des deux
enfants
fut tenue secrète pendant plusieurs années. Dès 1
ent faire penser à mes amis qu’on me tend un piège. Cependant, si les
enfants
sont au roi, je le veux bien 80. Je ne me charger
nges était sa sœur. Ces personnes n’avaient proposé que l’éducation d’
enfants
nés de madame de Montespan. On faisait mystère du
on pour être fort clair dans son esprit. Il s’agissait évidemment des
enfants
naturels du roi et de madame de Montespan. On fai
de Montespan, et parce que les lois s’opposant à la reconnaissance d’
enfants
nés d’un commerce doublement adultère, il fallait
quelques exemples une éclatante infraction de ces lois en faveur des
enfants
de madame de Montespan, qui ne devaient pas reste
lair pour madame Scarron que l’issue de cette éducation clandestine d’
enfants
réprouvés par les lois, qui, peut-être, ne seraie
eler sur elle, par l’aveu secret de ce prince pour l’éducation de ses
enfants
naturels. C’est dans ces considérations qu’il me
ersuader que madame de Montespan, séparée de son mari, avait d’autres
enfants
à faire élever que ceux de son commerce avec le r
Scarron aurait-elle pu croire que si la maîtresse du roi avait eu des
enfants
d’un autre que lui, on se fût adressé à elle pour
enfants d’un autre que lui, on se fût adressé à elle pour élever ces
enfants
destinés à être les rebuts Ce tout le monde ; que
que le bruit de cette liaison avait cessé, quand on proposa les deux
enfants
de madame de Montespan à madame Scarron, et l’un
deux enfants de madame de Montespan à madame Scarron, et l’un de ces
enfants
n’était pas encore né. Ici je remarquerai encore
vivait bien avec son mari, j’aurais consenti volontiers à élever ses
enfants
: ainsi qu’on ne croie pas que c’est l’orgueil ou
Scarron pouvait à bon droit trouver au-dessous d’elle l’éducation des
enfants
légitimes du marquis de Montespan, bien qu’ils fu
s’en trouve souvent dans les écrits qui ne sont pas francs : « Si les
enfants
sont au roi, je veux bien m’en charger ; je ne me
dame de Montespan. » Ces mots signifient, je veux bien me charger des
enfants
du roi et de madame de Montespan, si le roi me l’
e. Mais ma conscience aurait trop à souffrir, si j’avais à élever des
enfants
de madame de Montespan, qui ne seraient pas du ro
du roi. La conscience aurait pourtant été moins chargée d’élever les
enfants
de madame de Montespan et de Lauzun qui était gar
que le roi préludât, par l’ordre demandé, à la reconnaissance de ses
enfants
, il est présumable qu’elle avait autorisé, peut-ê
rtait à madame Scarron et son désir de lavoir pour gouvernante de ses
enfants
, ne prévoyant pas sans doute qu’un jour cet intér
t pour la seconde fois en particulier, lui demanda ses soirs pour ses
enfants
, et elle devint leur gouvernante. Je n’ai trouvé
e a été le premier motif de sa nomination à la place de gouvernante d’
enfants
naturels qu’il avait l’intention de reconnaître e
it que celui de madame de Montausier pour la place de gouvernante des
enfants
de France. Le roi trouvait dans madame Scarron un
e premières démarches pour engager madame Scarron à se charger de ses
enfants
naturels, aucune apparence de dévotion ne se renc
et en trouver un prétexte dans ses devoirs religieux, si la mère des
enfants
qu’elle allait élever lui rendait la vie désagréa
qu’elle pouvait, sans scrupule, se charger de l’éducation secrète des
enfants
de l’adultère, parce que c’était jeter un voile c
Les arrangements qui eurent lieu pour l’éducation des deux premiers
enfants
du roi et de sa maîtresse, en 1670, ne doivent pa
me de Maintenon nous apprend que pour cacher l’existence des premiers
enfants
qui lui furent confiés, on les plaça avec leur no
nge, de la viande, et je passais quelquefois les nuits chez un de ces
enfants
malades dans une petite maison hors de Paris. Je
nt du 24 avril 1670, puisqu’en 1669 madame de Montespan n’avait qu’un
enfant
du roi, et que le duc du Maine ne naquit que six
a de plus sacré dans la morale, ce sont les liens des parents et des
enfants
: la nature et la société reposent également sur
savoir maintenant, quelles jouissances de sentiment, les pères et les
enfants
peuvent attendre les uns des autres. Le même prin
plus forte, et par cela même trouve des torts à l’autre, soit que les
enfants
chérissent leurs parents plus qu’ils n’en sont ai
lus qu’ils n’en sont aimés, soit que les parents éprouvent pour leurs
enfants
plus de sentiments qu’ils ne leur en inspirent. C
a première supposition. Les parents ont, pour se faire aimer de leurs
enfants
dans leur jeunesse, beaucoup des avantages et des
s’arranger du bonheur avec ce mot là. Quel que soit le dévouement des
enfants
sensibles et respectueux, les nouveaux penchants,
l’avoueront jamais. Quand les parents aiment assez profondément leurs
enfants
pour vivre en eux, pour faire de leur avenir leur
er leur propre vie comme finie, et prendre pour les intérêts de leurs
enfants
des affections personnelles, ce que je vais dire
n’existe point ; mais lorsque les parents restent dans eux-mêmes, les
enfants
sont à leurs yeux des successeurs, presque des ri
le caractère de vos parents, ou une supériorité si marquée, que leurs
enfants
soient heureux d’entretenir avec eux plutôt un cu
ment le plus vif, soit que l’empire absolu qu’on exerce alors sur les
enfants
, les identifie avec vous-mêmes, soit que leur dép
s mêmes qu’ils ne doivent qu’à eux, soit que tout ce qu’on attend des
enfants
alors, étant en espérance, on possède à la fois c
obtenir. Bientôt les événements dans leur réalité nous présentent nos
enfants
élevés par nous, pour d’autres que pour nous-même
’inspirer à son élève ses opinions que ses volontés ; le moi de votre
enfant
se compose de vos leçons, des livres que vous lui
durée de la vie de l’homme à exister simultanément, les pères et les
enfants
, dans la réciprocité de sentiments qu’ils veulent
arents, que la méthode qu’il faut suivre pour diriger la vie de leurs
enfants
sans aliéner leur cœur ; car il n’est pas même po
te n’est presque jamais atteint dans cette relation. La tendresse des
enfants
pour leurs parents se compose, pour ainsi dire, d
evoir et de la nature, ne peut être anéanti ; mais dès qu’on aime ses
enfants
avec passion, on a besoin de toute autre chose qu
cette exigence est plus funeste dans la relation des parents avec les
enfants
, parce qu’une idée d’autorité s’y mêle, elle est
inconvénient n’existe-t-il pas dans les rapports des parents avec les
enfants
? Plus ils ont de droits, plus ils doivent éviter
lérate naïveté, qui peut être lu en tous temps et goûté de ces autres
enfants
qui n’ont pas les yeux si beaux et qui sont des h
ants qui n’ont pas les yeux si beaux et qui sont des hommes. Le vieil
enfant
qui l’a écrit en est lui-même un, de ces hommes,
raditions populaires avec laquelle Feuillet fait ses gâteaux pour les
enfants
. Il a lu les Contes d’enfants et de la maison, le
elle Feuillet fait ses gâteaux pour les enfants. Il a lu les Contes d’
enfants
et de la maison, les Forêts tudesques et les Lége
re humain. Non ! il s’agit simplement pour nous des Contes d’un vieil
enfant
30 à des enfants plus jeunes, et surtout d’impres
il s’agit simplement pour nous des Contes d’un vieil enfant 30 à des
enfants
plus jeunes, et surtout d’impression profonde et
it existé, en supposant que, pour s’excuser d’avoir fait des contes d’
enfants
, cette petite chose, dans un siècle qui n’aimait
le conte, la vive racine du conte, qu’on l’écrive, du reste, pour les
enfants
ou pour les hommes. Mais quelqu’un d’aussi littér
é. III Ainsi, voilà le reproche à faire à ces Contes d’un vieil
enfant
, que les enfants sentiront peut-être, avec leur i
si, voilà le reproche à faire à ces Contes d’un vieil enfant, que les
enfants
sentiront peut-être, avec leur imagination vierge
i n’existe que pour les imaginations à leur aurore, que ce soient des
enfants
de peuples ou des marmots d’enfants. Seulement, t
à leur aurore, que ce soient des enfants de peuples ou des marmots d’
enfants
. Seulement, tels qu’ils sont, il faut bien le dir
roule du La Fontaine à plein bord. On le retrouve partout, l’immortel
enfant
à barbe grise, dans ces Contes du vieil enfant. L
ve partout, l’immortel enfant à barbe grise, dans ces Contes du vieil
enfant
. La pensée de Feuillet s’est tissé un vêtement av
de fait, que Balzac, dans ces contes inouïs qui ne sont pas pour les
enfants
et qui ont tout, excepté l’innocence ; il n’y a q
nvierait ? » C’est, en effet, l’Éson du conte renouvelé que ce vieil
enfant
, comme il s’appelle, et ce n’en est pas un que no
style qui sauve tout, le style magicien, mais pas seulement pour les
enfants
, et qui se promène, dans ces contes, comme une fé
ui se promène, dans ces contes, comme une fée de plus ! Désormais les
enfants
qui liront cet Arioste du coin du feu et à leur u
tes, au prix d’un plaisir, deux leçons : la leçon morale que doit aux
enfants
tout conteur, et qui est le pain de la confiture,
omate nous avions affaire, puisque, dans tout ce carnaval de contes d’
enfant
et de grand-père, il s’est si parfaitement et si
parfaitement et si délicieusement déguisé. 29. Contes d’un vieil
enfant
(Pays, 4 janvier 1859). 30. Librairie nouvelle.
oit venu de tous les points de l’Europe consulter sur l’éducation des
enfants
un père qui s’était affranchi du soin d’élever le
ent de l’accouchement. S’il n’est pas appelé dans le travail, sitôt l’
enfant
venu au monde, on ne fait rien sans ses prescript
ce, et il l’a persuadé. Il mit la maternité à la mode. On portait les
enfants
dans leurs barcelonnettes à la suite des mères, f
e que fille, pas trop facile à vivre, intéressée. Pour l’attacher à l’
enfant
, le père la mènera un jour promener dans une camp
z ma fille à ma fantaisie, et ce que vous voyez est à vous. » Et si l’
enfant
, un jour, répond mal à ses soins, la gouvernante,
obéi. On ne consultait ni la force de la mère ni le tempérament de l’
enfant
. Il avait prescrit une nourriture réglée ; on aff
e l’enfant. Il avait prescrit une nourriture réglée ; on affamait les
enfants
: — des bains d’eau froide ; on risquait d’y fair
st sur leurs jeunes âmes qu’on expérimentait les utopies du père sans
enfants
. De Dieu, de la morale, on ne leur disait mot. L’
teurs, serviteurs de toute nature, consistait à se faire mépriser des
enfants
; ils se gardaient bien d’y manquer, sachant que
ns les extrémités. J’ai parlé contre ceux qui faisaient ressentir aux
enfants
leur tyrannie, et ce sont eux, à présent, qui tyr
me qu’en se gênant, de l’amour qu’on s’ôte à soi-même. Une femme, des
enfants
, ne se payent pas de cette vaste tendresse pour l
n un seul peuple, faire de l’État un père et de tous les citoyens des
enfants
entre lesquels sa main partage également les frui
ur trouver la fin ou le correctif des vices de l’homme social, est un
enfant
de ses ardentes rêveries. Il l’a rencontré dans s
e la Nouvelle Héloïse, comme le souverain du Contrat social, sont des
enfants
du même père et des habitants du même pays. L’idé
libre, c’est la société qui le rend esclave et méchant. Rapprocher l’
enfant
, par une éducation appropriée, de cet homme idéal
prendre en toutes choses le contre-pied de l’usage. On punissait les
enfants
. Plus de châtiments, dit Rousseau. S’il avait dit
ut le monde. Mais l’utopiste ne fait pas cas de cette sagesse-là. « L’
enfant
, dit-il, ne pouvant rien faire qui soit moralemen
uffrez pas qu’il demande pardon. » Ah ! Rousseau n’avait jamais vu un
enfant
se réconciliant avec ses parents après une faute
le corollaire des peines, sont supprimées. Car pourquoi récompenser l’
enfant
du bien qu’il a fait ? Il n’a pas plus de mérite
cela que l’oiseau à être innocent. Règle générale : laissez faire à l’
enfant
tout ce qu’il veut. Rousseau accorde pourtant qu’
ir pour bon. Je vous donne à deviner ce qu’il propose pour empêcher l’
enfant
d’en casser d’autres. D’abord, il faut le mettre
bord comme pour les meubles, ne le grondez pas : n’allez pas dire à l’
enfant
que casser les carreaux, c’est faire un dégât coû
de rien commander ni de rien défendre, l’obéissance est supprimée. L’
enfant
, dit Rousseau, ne doit rien faire par obéissance,
Mais qui donc sera juge de la nécessité qu’il y substitue ? Sera-ce l’
enfant
ou le maître ? Si c’est l’enfant, elle peut être
essité qu’il y substitue ? Sera-ce l’enfant ou le maître ? Si c’est l’
enfant
, elle peut être pressante sans qu’il la voie, ell
lui coûter la vie avant qu’il l’ait vue. Si c’est le maître et que l’
enfant
n’en convienne pas, il faudra donc qu’il cède ; m
frémissant le plus faible. Rousseau est forcé d’en convenir : « Que l’
enfant
sache seulement qu’il est faible et que vous êtes
’obéissance libre ! Rousseau a raison de dispenser de la politesse un
enfant
qu’il a dispensé de l’obéissance. « Point de s’il
sse comme impliquant l’arrogance n’est qu’un paradoxe ; interdire aux
enfants
le plaisir de faire l’aumône ne vient pas d’un cœ
bon. Rousseau ne veut pas voir l’aumône tomber de la petite main de l’
enfant
dans la main du pauvre. Il détourne les yeux du s
du scandale de ces familles où l’on récompense la bonne conduite des
enfants
par quelque argent à donner aux pauvres. Il lui s
tion, voilà la charité abolie et la pauvreté aggravée. Ne menez pas l’
enfant
à l’église ; vous le rendriez impie. Ne lui défen
ues, ni de géographie, ni d’histoire ; supprimez tous les devoirs des
enfants
, ôtez-leur surtout les instruments de leur plus g
, dit-il ; à l’état de la bête, devons-nous dire. Car qu’est-ce qu’un
enfant
qui ne sait s’il fait mal ou bien, qui ignore l’o
comme dit Rousseau, son existence en lui-même ; que sera-ce qu’un tel
enfant
, sinon la bête de l’espèce la plus dangereuse ? I
e un livre dans les mains ; mais ce ne sera pas le jour où l’âme de l’
enfant
, s’échappant des liens de cette éducation matérie
indices qui prouvent que l’âme est adulte, même dans les plus jeunes
enfants
, ne hâteront pas d’une heure le moment où Roussea
e droit de le prendre de si haut avec les pères de famille ? De quels
enfants
parlait-il ? Il n’avait pas connu, hélas ! les se
qu’il se trouva des pères qui doutèrent de leur tendresse pour leurs
enfants
, en la comparant à celle d’un utopiste pour son é
rant à celle d’un utopiste pour son élève imaginaire ! Pour élever un
enfant
au rebours de tous les usages, il fallait un préc
mérite sans fortune, qui vit honorablement des soins qu’il donne aux
enfants
d’autrui. Entre gens bien élevés, les choses se p
ant, pouvant se marier, être père lui-même et exercer sur ses propres
enfants
le génie qu’il a pour la pédagogie, il se dévoue
qu’il a pour la pédagogie, il se dévoue par amitié à l’éducation de l’
enfant
d’un autre. Dans l’usage, le précepteur recevait
cation de l’enfant d’un autre. Dans l’usage, le précepteur recevait l’
enfant
des mains des femmes, comme on disait alors, et n
seau n’a-t-il pas prescrit à la mère d’Émile d’allaiter elle-même son
enfant
? Lui qui en avait mis le devoir à la mode, qui a
ue les hochets d’ivoire ou de cristal qu’on voit aux mains des petits
enfants
, en pressant la gencive contre les dents qui germ
éruption des dents. » Avait-il jamais regardé avec quelle avidité les
enfants
au maillot mordillent le hochet de matière dure,
leur donne ? C’était un usage, donc il fallait le changer. Donnez aux
enfants
« de petites branches d’arbre avec leurs fruits e
’arbre avec leurs fruits et leurs feuilles, une tête de pavot, dont l’
enfant
entendra sonner les graines, on bien un bâton de
une mère seule peut trouver dans sa tendresse et son respect pour son
enfant
la chasteté de langage qui sied à de telles confi
uprès des deux époux, où l’homme qui défend qu’on parle des vices aux
enfants
, pour ne pas les rendre vicieux, ose parler de l’
griefs contre son siècle, Rousseau a osé comprendre l’abandon de ses
enfants
. Pour les deux premiers, il en rend responsable l
à la mode, il se décida « gaillardement à augmenter la population des
enfants
trouvés. » Un autre motif aurait déterminé l’aban
» Un autre motif aurait déterminé l’abandon des trois derniers de ses
enfants
. « Il pensait, nous dit-il, faire acte de citoyen
sions nous donne le vrai motif : « Il a voulu, dit-il, soustraire ses
enfants
à une société qui n’en eût fait que des décrotteu
Il est dans le monde ce qu’il était au collège, homme ce qu’il était
enfant
. C’est là l’expérience ; l’utopie seule connaît d
cle n’a pas plus dépravé Rousseau qu’elle ne lui a ôté le pain de ses
enfants
. Une société dont ce serait le train régulier que
nt père, par un caractère social qui lui conseillait d’abandonner ses
enfants
à la charité publique. Ainsi, une jeunesse où se
J.-J. Rousseau. 114. Ce discours fut composé en 1749. L’aîné de ses
enfants
était né dans l’hiver de 1746 à 1747. 115. Lettr
ment ces insulaires pensent à venir attaquer avec de la cavalerie les
enfants
de la Lydie !… » Alors, celui avec lequel il s’en
s était florissante. Déjà heureux du bonheur de sa patrie, il eut des
enfants
sains et d’un bon naturel ; tous lui donnèrent de
e tels fils. Enivrée de joie, et flattée également de l’action de ses
enfants
et des applaudissements qu’elle recevait, la mère
obis et de Biton, debout en face de la statue de Junon, pria pour ses
enfants
, qui venaient de lui donner une si grande preuve
es facultés, il est d’une bonne santé, exempt de maux, content de ses
enfants
, d’une belle figure ; et, si, indépendamment de t
qu’il eut peu de temps après lui présagea le sort funeste d’un de ses
enfants
. Crésus avait deux fils : l’un, très-maltraité pa
ins pendant ma vie, au péril qui te menace. Hélas ! je n’ai que toi d’
enfant
; je ne puis, tu le sais, compter ton frère, à qu
enceinte, et la retint sous une garde étroite, décidé à faire périr l’
enfant
dont elle accoucherait, les mages lui ayant prédi
, d’attirer par la suite de grands malheurs sur ta tête. Va prendre l’
enfant
de Mandane, porte-le chez toi ; et, après l’avoir
c’est à moi d’obéir. » « Après cette réponse, Harpagus alla prendre l’
enfant
condamné à périr, qu’on lui remit paré de langes
motifs n’ai-je pas, d’ailleurs, pour refuser d’être l’assassin de cet
enfant
! Il tient à ma famille par les liens du sang ; A
amille par les liens du sang ; Astyage est déjà vieux, et n’a point d’
enfant
mâle. Si, après sa mort, l’empire doit passer dan
gers ne suis-je pas exposé ? Cependant, ma propre sûreté veut que cet
enfant
périsse ; mais il faut que ce soit un des domesti
Harpagus lui parla en ces termes : « Astyage t’ordonne de prendre cet
enfant
et de l’exposer dans le lieu le plus désert de te
plus, de m’assurer si tu as obéi. » « Le pâtre, ayant entendu, prit l’
enfant
et retourna avec lui dans sa rustique demeure. Le
dans les gémissements ; frappé de ce spectacle, j’entre ; je vois un
enfant
couché, se débattant et jetant des cris douloureu
s précieux. Lorsque Harpagus m’aperçut, il me commanda de prendre cet
enfant
, de l’emporter avec moi et de l’exposer dans le l
maison, qui m’a accompagné jusqu’au dehors de la ville, et a remis l’
enfant
dans mes mains. J’ai su, de cette manière, qu’il
le fît périr. Le voilà ! » « Le pâtre cessa de parler, et découvrit l’
enfant
qu’il portait. La femme, considérant sa taille, t
n, et lui dit : « Puisque je ne saurais te déterminer à conserver cet
enfant
, et qu’il faut pour ta sûreté que tu puisses en m
e, fais ce que je vais t’indiquer. Je viens aussi d’accoucher, et mon
enfant
est mort ; prends-le, va l’exposer, et à sa place
maîtres et nous n’aurons pas à nous reprocher une mauvaise action. L’
enfant
mort aura la sépulture destinée aux fils des rois
ion. L’enfant mort aura la sépulture destinée aux fils des rois, et l’
enfant
qui existe ne perdra pas le jour. » « Le pâtre se
emme, et fit sur-le-champ ce qu’elle conseillait. Il lui remit donc l’
enfant
qu’il avait apporté. Il plaça ensuite son propre
pagus qu’il était prêt, quand on le voudrait, à montrer le corps de l’
enfant
qu’il avait été chargé d’exposer. Harpagus envoya
Cependant la femme de Mitradate nourrit et éleva près d’elle l’autre
enfant
, qui fut par la suite connu sous le nom de Cyrus
onnu sous le nom de Cyrus : elle lui en avait donné un différent. « L’
enfant
ayant atteint l’âge de dix ans, une aventure que
dont nous avons parlé, il jouait au milieu de la route avec plusieurs
enfants
du même âge que lui. Dans leurs jeux, ces enfants
oute avec plusieurs enfants du même âge que lui. Dans leurs jeux, ces
enfants
, quoiqu’ils ne le crussent que le fils du pâtre,
un, fils d’Artembarès, homme considéré parmi les Mèdes. Un jour, cet
enfant
s’étant refusé à exécuter les ordres qui lui avai
par égard pour Artembarès qu’il honorait, venger l’injure faite à cet
enfant
, et ordonna que l’on fît venir le pâtre avec son
pondit Cyrus, je n’ai rien fait que je n’eusse le droit de faire. Les
enfants
du village, du nombre desquels est celui-ci, m’on
’esprit d’Astyage. Il semblait au roi que les traits du visage de cet
enfant
se rapprochaient des siens. La réponse qu’il vena
le roi, resté seul avec le pâtre, lui demanda « où il avait pris cet
enfant
? qui le lui avait donné ? » Le pâtre répondit :
cette question : « Harpagus, de quelle manière avez-vous fait périr l’
enfant
qui vous a été livré par mon ordre ? » Harpagus,
urait été convaincu, et répondit en ces termes : « Ô roi, lorsque cet
enfant
m’a été remis, je me suis consulté sur la manière
le parti que j’ai pris : j’ai fait venir ce pâtre, je lui ai donné l’
enfant
, et je lui ai dit que vous aviez résolu qu’il fût
N’aviez-vous pas réellement ordonné cette mort ? Quand il eut reçu l’
enfant
, je lui prescrivis de l’exposer dans le lieu le p
èlement ces ordres. Dès que je fus informé qu’il avait obéi, et que l’
enfant
n’était plus, j’ai envoyé sur les lieux les plus
C’est ainsi que tout s’est passé, ô roi, et par quel genre de mort l’
enfant
a péri. » « Harpagus avait dit la vérité. Astyage
is du pâtre, et, après avoir tout répété, termina en disant : « que l’
enfant
vivait encore, et qu’il s’en réjouissait ; car, a
. Mais, puisque le hasard a tout réparé, envoyez votre fils près de l’
enfant
qui vient de nous être rendu, et revenez à mon so
s l’avaient entendu en ce sens : « qu’il était dans la destinée que l’
enfant
devait régner un jour, si sa vie était épargnée,
en naissant. — Eh bien, dit Astyage, il vit ! Nourri aux champs, les
enfants
de son village l’ont nommé roi, et il a fait tout
pensez-vous actuellement de ces diverses circonstances ? — Puisque l’
enfant
a survécu, répondirent les mages ; puisque, par u
tre esprit ne doit plus concevoir d’inquiétude. Certainement, ce même
enfant
ne régnera pas une seconde fois. Souvent, nos pré
— Et moi aussi, je pense comme vous, répliqua Astyage. Je crois que l’
enfant
ayant porté le nom de roi, mon rêve, en ce qui le
s’affermisse ; s’il tombe dans une nation étrangère en passant à cet
enfant
, Perse d’origine, nous, qui sommes Mèdes, descend
ageons à voir de même ; mais nous pensons aussi qu’il faut bannir cet
enfant
de vos yeux, et l’envoyer chez les Perses, auprès
lui était d’ailleurs agréable. Il fit donc venir Cyrus et lui dit : «
Enfant
, sur la foi d’un vain songe, j’en ai mal usé avec
beaucoup d’absurdités ; entre autres, que Psamméticus avait donné les
enfants
à nourrir à des femmes auxquelles il avait fait c
qu’ils observent à la naissance ou à la mort des individus. Lorsqu’un
enfant
vient de naître, tous ses parents, rangés autour
s tous les Péoniens, et de les lui envoyer avec leurs femmes et leurs
enfants
. Un courrier à cheval fut dépêché immédiatement p
à travers les pilotis ; et quand elle est ouverte, pour empêcher les
enfants
de tomber dans l’eau, ils ont soin de leur attach
e, mais, quoiqu’il l’aimât tendrement, comme il n’en avait point eu d’
enfant
, les éphores l’avaient appelé et lui en avaient f
rysthène ne s’éteigne pas. La femme que vous avez ne vous donne pas d’
enfants
: épousez-en une autre, vous ferez ainsi une chos
été jusqu’ici ; mais prenez-en une seconde qui puisse vous donner des
enfants
. » Anaxandride y consentit, et eut ainsi deux fem
sa fécondité, et qu’elle avait certainement le projet de supposer un
enfant
. Ces plaintes, devenues plus sérieuses chaque jou
conde femme d’Anaxandride, mère de Cléomène, elle n’eut point d’autre
enfant
. Elle était fille de Prinétadès, fils de Démarmén
ils de Thersandre et arrière-petit-fils de Polynice, accoucha de deux
enfants
jumeaux, et Aristodémus, qui eut à peine le temps
oulurent, comme la loi le prescrivait, prendre pour roi l’aîné de ces
enfants
; mais, ne pouvant les distinguer et n’ayant cons
la vérité ; mais elle la taisait, parce qu’elle désirait que ses deux
enfants
fussent reconnus pour rois. Les Lacédémoniens, re
onvenait de s’arrêter ; et la pythie leur ordonna de prendre les deux
enfants
pour rois, mais cependant de rendre de plus grand
observer avec soin la mère, et de remarquer quel était celui des deux
enfants
qu’elle lavait le premier et à qui elle donnait à
elle faisait alternativement la même chose pour l’un et pour l’autre
enfant
, il était évident qu’elle n’en savait pas elle-mê
t à l’avis de Panitès, et ayant fait suivre attentivement la mère des
enfants
d’Aristodémus, qui ne se doutait pas qu’elle fût
reconnurent qu’elle montrait constamment plus d’égards pour un de ses
enfants
, et qu’elle le lavait ou le faisait manger toujou
rtier des bouquinistes et des marchands d’estampes et de bric-à-brac.
Enfant
précoce, nerveux, chétif, caressant, Déjà surpri
il a su goûter les vieilles choses et s’intéresser au passé. Ce petit
enfant
était déjà bien le fils du siècle de l’histoire e
ésirs de Jean Servien ou au Livre de mon ami, que le père de ce petit
enfant
ait été relieur ou médecin, c’était un homme cand
ditatif ; sa mère était douce, fine et d’une adorable tendresse. Et l’
enfant
se ressentira plus tard de cette double influence
n dernier amour… Et Leuconoé goûte éperdument les charmes D’adorer un
enfant
et de pleurer un dieu… Et nous aussi nous les ai
es inventés par les anciens hommes, ces récits qui amusent nos petits
enfants
. Et, naturellement, il fit aussi de la critique l
aut aimer dans ses figures sans cesse renouvelées. Le reste est jeu d’
enfant
, et je suis avec tous mes livres comme un petit e
este est jeu d’enfant, et je suis avec tous mes livres comme un petit
enfant
qui agite des osselets. Le but de la vie, c’est v
sible ; mais, en vérité, c’est un mystère douloureux que la mort d’un
enfant
. Aujourd’hui le père et la mère sont revenus pour
son enfance s’est écoulée : « C’est dans ce jardin que j’ai joué tout
enfant
. » M. Anatole France écrit ; « C’est dans ce jard
rit le Livre de mon ami. Ce livre plaira aux mères, car il parle des
enfants
. Il charmera les femmes, car il est délicat et pu
ui est un philosophe, ni pour un philosophe qui est un père. Un petit
enfant
, c’est d’abord, quand il est joli ou seulement qu
u mal, son impuissance à être méchant ou vil et à démériter. Un petit
enfant
, c’est aussi la créature la plus aimée d’autres ê
a plus chère espérance, souvent l’unique intérêt. Et surtout un petit
enfant
, c’est pour un philosophe comme Sylvestre Bonnard
et ce sont eux les poètes, et ce sont eux les vrais philosophes. Tout
enfant
est poète naturellement. L’âme d’un petit enfant
is philosophes. Tout enfant est poète naturellement. L’âme d’un petit
enfant
bien doué est plus proche de celle d’Homère que l
bourgeois ou de tel académicien médiocre. Et d’un autre côté le petit
enfant
, quoique supérieur à l’homme, est déjà un homme.
ante. Ce qu’il raconte d’ailleurs, ce sont les impressions d’un petit
enfant
très particulièrement doué, d’un enfant qui sera
nt les impressions d’un petit enfant très particulièrement doué, d’un
enfant
qui sera un artiste, un contemplateur, un rêveur,
s où il s’agit avant tout de se faire sa part. Et le caractère de cet
enfant
se marque plus clairement par le voisinage d’un a
e de cet enfant se marque plus clairement par le voisinage d’un autre
enfant
doué de qualités différentes, mieux armé pour la
ne cite point : Tout dans l’immortelle nature Est miracle aux petits
enfants
. ……….. Ils font de frissons en frissons La découv
iller des biens de ce monde, jette ses jouets par la fenêtre : — Cet
enfant
est stupide ! s’écria mon père en fermant la fenê
onsolation. Un des mérites les plus originaux du livre, c’est que l’
enfant
qui en est le héros est bien « au milieu du monde
’abbé Jubal, le père Le Beau, Mlle Lefort, sont bien vus par un petit
enfant
. Les histoires de grandes personnes, incomprises,
s et des proportions de rêves. Voyez ce que devient dans un cerveau d’
enfant
l’histoire de la dame en blanc dont le mari voyag
r dans la pitié de l’homme s’épanchant, plus tard, sur la vision de l’
enfant
! Pauvre âme en peine, pauvre âme errante sur l’
nne aux âmes avides de la comprendre ; sois bénie par celui qui fut l’
enfant
que tu soulevas de terre pour chercher la couleur
soulevas de terre pour chercher la couleur de ses yeux ! Il fut, cet
enfant
, le plus heureux et, j’ose le dire, le meilleur d
r le monde comme un tissu de phénomènes inexplicables, à la façon des
enfants
, mais par de longs détours et pour des raisons qu
on des enfants, mais par de longs détours et pour des raisons que les
enfants
ne connaissent pas. Ainsi fait M. Anatole France.
nie Mozart, l’ange de la musique moderne, le Raphaël de la mélodie, l’
enfant
surnaturel, le jeune homme fauché dans sa fleur,
un coffre vide, est une urne pleine d’enthousiasme ; semblable à ces
enfants
qui le suivent dans les rues quand il précède nos
t pas un homme, mais un phénomène. L’Allemagne le revendique pour son
enfant
. Nous ne voulons pas enlever cette gloire à un pa
oduit Gluck, Beethoven et Meyerbeer ; mais, en réalité, Mozart est un
enfant
des Alpes italiques plus qu’un fils de l’Allemagn
Salzbourg par Mozart ; Mozart, à mon avis, plus grand artiste que ces
enfants
des Alpes ; il n’a parlé qu’avec des sons, mais q
tendresses et des anxiétés du cœur d’un père ou d’une mère pour leurs
enfants
est sacrée comme le sentiment d’où elle émane. Si
C’était le caractère de cette piété tendre du père, de la mère et des
enfants
, dans la maison de Mozart, à Salzbourg. IX
Mozart, dès les premiers mois de son existence, ne parut pas être un
enfant
des hommes, mais, selon la belle expression de se
s un véritable ange de la musique. Ils s’étudièrent, avant même que l’
enfant
pût parler, à cultiver son oreille plus encore qu
re. Ces instruments devinrent les premiers et les uniques jouets de l’
enfant
. L’enfant ne s’éveillait ou ne s’endormait qu’au
struments devinrent les premiers et les uniques jouets de l’enfant. L’
enfant
ne s’éveillait ou ne s’endormait qu’au son du cla
de la bourgeoisie de la ville auxquelles il donnait des leçons ; et l’
enfant
, tout en recevant leurs caresses, profitait à son
cdote merveilleuse de l’enfance de Mozart dont il avait été témoin. L’
enfant
de quatre ans, sa petite pochette sous le bras, d
d’un serrurier voisin qui jouait lui-même du violon ; l’artisan et l’
enfant
s’amusaient à exécuter ensemble des duos inhabile
et l’enfant s’amusaient à exécuter ensemble des duos inhabiles dont l’
enfant
inventait les motifs. Un jour que l’enfant rentra
des duos inhabiles dont l’enfant inventait les motifs. Un jour que l’
enfant
rentrait à la maison après un de ces concerts, le
u violon de ton ami le serrurier ? — Ces deux instruments, répondit l’
enfant
, ne pourraient pas s’accorder ensemble ; le violo
e le tien. » Le père, étonné du discernement exquis de l’oreille d’un
enfant
, voulut s’assurer si la différence d’un demi-ton
nance était précisément du demi-ton perçu par son fils, il embrassa l’
enfant
les larmes aux yeux, appela sa femme et sa fille,
et aux princes. La naïveté de ses joies ou de ses peines, selon que l’
enfant
est plus ou moins admiré sur sa route, s’exprime
’art et de la gloire. Mozart le père venait d’arriver à Vienne avec l’
enfant
. Lisez : « Nous sommes partis de Linz le jour de
en, était jour de gala et qu’on voulait avoir le temps d’entendre les
enfants
tout à l’aise. Chacun est en admiration devant mo
evant notre porte, apportant deux habillements complets pour mes deux
enfants
. C’est ce personnage qui est chargé de venir chaq
Vienne se sont montrées pleines de sollicitude pour la santé de notre
enfant
, mais elles l’ont vivement recommandé au médecin
de reprendre les choses où elles en étaient avant cette maladie de l’
enfant
. » XI Ils partent pour Munich. L’électeur
e l’oreille du prince ; ils écartent dédaigneusement les rivaux, même
enfants
. Le père et l’enfant descendent le Rhin sans plus
; ils écartent dédaigneusement les rivaux, même enfants. Le père et l’
enfant
descendent le Rhin sans plus de succès, s’arrêten
rsailles : les princesses, filles de Louis XV, comblent de caresses l’
enfant
miraculeux. « Figurez-vous, écrit le père à son
d’apparat dans les grands appartements, dès qu’elles aperçoivent mes
enfants
, s’approcher d’eux, les caresser, s’en faire embr
quand on saura et qu’on verra sur le titre qu’elles sont l’œuvre d’un
enfant
de sept ans ! S’il y a des incrédules, on les con
us assurer que Dieu fait tous les jours de nouveaux miracles dans cet
enfant
. Lorsque nous serons de retour à Salzbourg, il se
que les maîtres ne peuvent dissimuler leur basse jalousie contre cet
enfant
. « Faites, je vous prie, dire quatre messes à Mar
ble ; nous les avons promises, ma femme et moi, pour nos deux pauvres
enfants
qui ont été malades. J’espère qu’on continuera à
ispendieux. « Le trésorier des menus plaisirs du roi a remis hier à l’
enfant
, de la part du roi, quinze louis et une tabatière
ls nous sont très favorables ; le prince Galitzin nous aime comme ses
enfants
. Les sonates que M. Wolfgangerl a dédiées à la co
ouant à l’autel d’un Dieu-enfant des sacrifices propitiatoires pour l’
enfant
de leur amour, afin que l’analogie des âges atten
Salzbourg ; in te, Domine, speravi ; non confundar in æternum . » L’
enfant
est guéri par les soins d’un chanoine de Salzbour
arité l’impératrice a traité ma femme, s’informant de la santé de nos
enfants
, s’entretenant de notre grand voyage, la caressan
» La faveur du public et de la cour éveille déjà l’envie contre cet
enfant
comme par un pressentiment de sa supériorité futu
e, sur mon honneur ! je ne puis dire autre chose, si ce n’est que cet
enfant
est le plus grand homme qui ait jamais vécu dans
on aura vu aujourd’hui Gluck assis au clavecin, et demain ce sera un
enfant
de douze ans qui le remplacera et qui dirigera un
x de mon petit Wolfgang les premières paroles qui se rencontrèrent. L’
enfant
prit la plume, et il écrivit sans hésiter un inst
onner de trouver des persécutions en pays étrangers, quand mon pauvre
enfant
en a subi dans son propre lieu natal ! » XIII
cueilli cette palme de l’art à Vienne, le désir de faire respirer à l’
enfant
l’atmosphère musicale de l’Italie, cette terre du
nerl ; quant à toi, je t’embrasse un million de fois. » Le père et l’
enfant
vont ainsi visitant, écrivant, chantant, jouant d
lui répondit avec le plus grand étonnement : Comment ! vous êtes cet
enfant
célèbre dont on m’a tant écrit ! Sur quoi Wolfgan
Salzbourg, si notre présence n’était nécessaire pour l’exécuter. » L’
enfant
ajoute de sa main, pour sa sœur Nanerl : « Écris-
notre antichambre qui s’en donne comme le nôtre. » Cette pensée de l’
enfant
, envoyée à travers les Alpes à l’oiseau domestiqu
siciens ailés de la création. Pendant ce loisir à Rome et à Naples, l’
enfant
écrit déjà, par un engagement contracté avec le d
e à sa femme, comme une nourrice, les soins qu’il a pour cette tête d’
enfant
qui roule déjà des opéras sous ses cheveux blonds
e commune aux miracles de l’enfance du génie. La Providence, pour cet
enfant
unique, semblait avoir fait ce père, cette mère,
ue à grandir comme il fait, il vous reviendra passablement grand. » L’
enfant
prend la plume. « Je complimente ma chère maman à
Lorette et que nous lui rapportons. Je reste en attendant son fidèle
enfant
… Il m’est impossible, ajoute-t-il, de mieux écrir
peine de penser mûrement à ce que j’ai entrepris avec vous, mes deux
enfants
, dans vos années les plus tendres, tu ne m’accuse
ur entretenir, avec 25 fl. de revenu mensuel assuré2, une femme, sept
enfants
et ta grand’mère, pour supporter des frais de cou
eillesse, me permettant de rendre compte à Dieu de l’éducation de mes
enfants
, de songer au salut de mon âme sans autre souci,
de fois dans une maison privée. J’étais un homme fait, vous étiez des
enfants
. J’évitai toute connaissance, et surtout toute es
nombreux : la mer sombre roule avec ses ondes une foule de héros. « —
Enfant
de Fithil, répond le chef aux yeux bleus, je te v
la guerre, s’écrie Ronnar. — C’est la lance de Cuchullin, dit Lugar.
Enfant
de la mer, Calmar, prends tes armes, lève ton aci
de leur cime, élève sa tête dans les cieux. « — Salut, dit Cuchullin,
enfants
des vallons, et vous chasseurs du cerf timide : d
ibles comme ce flot menaçant qui roule sur la côte. Combattrons-nous,
enfants
de la guerre, ou céderons-nous au roi de Loclin3
mais toi, Cuchullin, fils de Semo, arbitre de la guerre, disperse les
enfants
de Loclin ; porte le ravage au travers de leurs b
is comment sont tombés les chefs d’Erin ? Ont-ils péri de la main des
enfants
de Loclin en combattant dans le champ des héros,
de la colline ; tels et plus terribles encore s’élancent les nombreux
enfants
d’Erin. Leur chef déploie toute sa valeur, sembla
sa trace, ou au fleuve qui roule toutes ses eaux sur le rivage. « Les
enfants
de Loclin en tendirent de loin le bruit de sa cou
emble aux sourds bourdonnements des insectes du soir ? Ce sont ou les
enfants
d’Inisfail qui descendent, ou les vents qui mugis
noir torrent des combats ; je vois s’avancer les files profondes des
enfants
d’Erin. Le char de bataille, le rapide char de Cu
t Sifadda. Au côté gauche est attelé un coursier non moins fougueux :
enfant
impétueux des montagnes, sa noire crinière s’élèv
ur sa tête superbe ; ses pieds sont robustes et légers ; les fougueux
enfants
de l’épée l’appellent Dusronnal. Mille liens tien
s la mort. Son épée était comme le trait de la foudre, qui frappe les
enfants
du vallon, lorsque les hommes tombent consumés, e
est dans sa main un rayon de feu. La plaine gémit comme le fer, rouge
enfant
de la fournaise, sous les coups de cent marteaux
à la voix d’Ossian. » « Carril chanta : « Dans les temps passés, les
enfants
de l’Océan descendirent sur les rivages d’Inisfai
sur les vagues et cinglaient vers les plaines agréables d’Ullin : les
enfants
d’Erin marchèrent à la rencontre de cette nation
e Sorglan, au sein d’albâtre, à la noire chevelure. « — Défie-toi des
enfants
de l’Océan, répondit le grave et prudent Connal :
mée de Swaran. Cuchullin, je suis pour la paix, jusqu’à l’arrivée des
enfants
de Morven, jusqu’à ce que Fingal, le premier des
n, sois le bienvenu ; et vous aussi, héros qui le suivez aux combats.
Enfants
de l’île Solitaire, trois jours entiers vous célé
uerriers ont déjà pris leurs armes. Un horrible combat s’engage : les
enfants
de Loclin meurent ou fuient… Fingal emporte et dé
ée du brave, la fortune se plaît à couronner l’audace. » « Mais vous,
enfants
des vertes vallées d’Erin, retirez-vous des plain
e s’agrandit. Connal, et toi, vénérable Carril, conduisez les tristes
enfants
d’Erin, et, quand le combat sera fini, revenez ch
âter ses pas. » « Le matin commence à blanchir la cime du Cromla, les
enfants
de la mer13 montent le coteau. Calmar les attend
ntes. « Swaran, du haut de la colline, les aperçoit, il abandonne les
enfants
d’Erin et revient sur ses pas. Tels que la mer re
la force de l’âge, et le fils de Semo n’est plus. — Ryno, Fillan, mes
enfants
, faites retentir le cor de la guerre : montez sur
ne. Déjà leur voix s’est fait entendre sur les bruyères de Lena : les
enfants
de l’Océan ont reconnu les sons du cor de Fingal.
es du royaume des Neiges avec plus de violence et de rapidité que les
enfants
de Loclin du penchant de la colline. À leur tête
c un sourire, que demain Swaran donne sa fête ; oui, aujourd’hui, mes
enfants
, nous briserons les boucliers. Ossian, reste à me
nmor, lorsque d’un tourbillon il vient à Morven visiter ses illustres
enfants
. Les chênes émus gémissent, et les rochers tomben
es héros, dans cette journée où Fingal, brûlant de rage, foudroya les
enfants
de Loclin ? Gémissements sur gémissements se répé
et frissonnants d’effroi comme un troupeau de timides chevreuils, les
enfants
de Loclin se rassemblent sur la colline. Nous nou
llan, Oscar, devancez les vents, volez sur la plaine, et observez les
enfants
de Loclin. J’entends le tumultueux désordre où le
pour voler à ton secours au milieu du péril. Élevez, élevez vos voix,
enfants
des concerts, et faites descendre sur moi le pais
la nuit. Et toi, ô Agandecca ! si tu es près de ces lieux, parmi les
enfants
de ta patrie, ou si tu es assise sur un nuage au-
qui vit auprès de son vieux père pour le consoler de la perte de ses
enfants
et pour entendre ses chants, l’écoute. Voici ce q
s noires de Lego pour obtenir sa main : douze guerriers de ma nation,
enfants
valeureux des plaines de Morven, m’accompagnèrent
s qui m’appelassent leur père, je les offrirais à ton choix, illustre
enfant
de la renommée. » À ces mots, il ouvrit la salle
r Oscar. Près du chêne qui est au bord du Lubar, il combat contre les
enfants
de Loclin…. » Elle dit et se replonge dans son nu
le roi de Morven, lui qui sourit au danger : il ressemble au radieux
enfant
du ciel lorsqu’il se lève et dissipe l’orage. » «
et voilent l’azur des cieux, tels à la voix de Fingal accoururent les
enfants
du désert : toujours ses guerriers étaient émus d
les guerriers des anciens temps soient présents à votre souvenir. Mes
enfants
, quand vous tomberiez ici sur les champs d’Erin,
ant combat : et toi, ô mon Oscar, ô le plus grand, le meilleur de mes
enfants
, que tu étais terrible ! Mon âme éprouvait une se
as appesantis ; il arrive et adresse à Gaul ces chants belliqueux : «
Enfant
des climats où naissent les coursiers généreux ;
à la tête de son armée : il fend le bouclier de Gaul en deux, et les
enfants
d’Erin prennent la fuite. « Alors Fingal se leva,
leurs frémissements dans les airs nous excitent au combat. Accourez,
enfants
d’Erin, venez vous placer près de votre roi ; soy
eâtres de leurs terres éboulées frappent au loin l’œil du voyageur. «
Enfants
du roi de Morven, dit Fingal, gardez le roi de Lo
u désert. Jeune inconnu, es-tu des ennemis de Fingal ? « — Je suis un
enfant
de Loclin ! cria le guerrier, et mon bras n’est p
ent un jour où il faut que les guerriers meurent, et que leurs jeunes
enfants
voient leurs armes oisives et suspendues aux murs
éros expirant. Il appelle ses jeunes guerriers : « Oscar, Fillan, mes
enfants
, élevez la tombe d’Orla ; il reposera sur cette p
premier des braves n’est plus ! « Élevez vos voix, embouchez le cor,
enfants
du roi de Morven ; retournons vers Swaran, et pas
Fillan, Oscar, Ryno, volez sur la plaine. Où donc es-tu, Ryno, jeune
enfant
de la gloire ? Tu n’as pas coutume de répondre le
ne de Lena. « — N’est-il donc déjà plus, s’écria le roi, celui de mes
enfants
qui était le plus léger à la course, le plus prom
le ; ton père ne dirigera plus ton javelot : toi, le plus beau de mes
enfants
, mes yeux ne te voient plus, adieu. » « Les larme
mme isolé, tombé du sein de la femme sur le sein de la terre, l’homme
enfant
n’a d’autre liberté que celle de mourir en naissa
r acte de cette société instinctive qu’on appelle l’amour maternel, l’
enfant
est nourri d’abord d’un aliment mystérieux prépar
esclave du père qui brutalement a le droit de vie ou de mort sur ses
enfants
; esclave de la famille qui s’élargit ou qui se f
vons. Voici la théorie de la famille : « Sitôt que le besoin que les
enfants
ont du père pour se conserver cesse, le lien natu
nt du père pour se conserver cesse, le lien naturel est dissous ; les
enfants
exempts de l’obéissance envers le père, le père e
’obéissance envers le père, le père exempt des soins qu’il devait aux
enfants
, rentrent également dans l’indépendance. Cette li
plaisir, ou des besoins physiques dans le père, dans la mère, dans l’
enfant
, blasphème qui donne pour toute moralité à cette
e la cause à l’effet dans les parents, et l’effet à la cause dans les
enfants
; ainsi la loi d’équité, autrement dit la reconna
e rendre à sa mère et à son père les trésors de cœur qu’il en a reçus
enfant
ou jeune homme ; ainsi la piété filiale, nommée d
utes les langues pour assimiler le culte obligatoire et délicieux des
enfants
envers les auteurs de leur vie et les providences
mémoire et les deuils jusqu’au-delà des sépulcres, pour rappeler les
enfants
à la réunion des poussières et des âmes dans la v
ure, où la grande parenté humaine confondra les pères, les mères, les
enfants
dans la famille retrouvée et dans l’éternel embra
mariage, cette tutelle des générations à venir, et jette ses propres
enfants
à la voirie publique et aux gémonies du hasard qu
a voirie publique et aux gémonies du hasard qu’on appelle Hospice des
enfants
abandonnés, pour les punir sans doute d’être nés
elle pas le délire de l’imagination ? Les contes de fées racontés aux
enfants
par leurs nourrices ne sont-ils pas des chefs-d’œ
Dieu avait voulu que l’homme naquît et vécût isolé, il l’aurait fait
enfant
de la terre ou de lui-même, sans l’intervention m
aucune de ces impuissances, de ces faiblesses, de ces ignorances de l’
enfant
nouveau-né, qui condamne le nouveau-né à la socié
ion, la nourriture pour subsister ; et, quand la mamelle tarit pour l’
enfant
, la mère, elle-même, que deviendrait-elle avec so
arit pour l’enfant, la mère, elle-même, que deviendrait-elle avec son
enfant
sur les bras, sans la société du père, que l’amou
se nourrir et de se protéger eux-mêmes, que deviendraient-ils si les
enfants
, dénués, comme ceux que suppose Rousseau, de tout
la famille ? Voilà donc dans cette trinité du père, de la mère, de l’
enfant
, nécessaires les uns aux autres sous peine de mor
aré, réchauffé, perpétué pour la famille ; les mœurs, l’éducation des
enfants
, la piété filiale et la reconnaissance du sang po
réditaire doit se diviser entre les veuves, les fils, les filles, les
enfants
, les parents du chef de la famille. On cherche en
hérédité de l’État, ou de l’hérédité des castes, ou de l’hérédité des
enfants
, ou de l’hérédité même des trônes. L’âge patriarc
française de l’égalité des partages, en privilégiant les aînés de ses
enfants
sur les puînés, ou les fils sur les filles. Le pè
relever celles qui fléchissent, à donner asile et secours aux autres
enfants
quand les vicissitudes de la vie viennent à les r
es partages seront égaux, car l’homme est égal à l’homme, et tous les
enfants
ont le même droit à l’héritage du père. Vérité ou
ome très contestable : L’homme est égal à l’homme devant le champ ; l’
enfant
plus avancé en âge et en force est égal à l’enfan
evant le champ ; l’enfant plus avancé en âge et en force est égal à l’
enfant
nouveau venu, dénué d’années, de force, d’éducati
nu, dénué d’années, de force, d’éducation, d’expérience de la vie ; l’
enfant
du sexe faible et subordonné par son sexe même es
l’enfant du sexe faible et subordonné par son sexe même est égal à l’
enfant
du sexe fort, viril et capable de défendre l’héri
ort, viril et capable de défendre l’héritage de tous dans le sien ; l’
enfant
inintelligent est égal à l’enfant doué des facult
l’héritage de tous dans le sien ; l’enfant inintelligent est égal à l’
enfant
doué des facultés de l’esprit et du cœur, privilé
ltés de l’esprit et du cœur, privilégié par ces dons de la nature ; l’
enfant
vicieux, ingrat, rebelle, oisif, déréglé, est éga
ntelligence, de vertu filiale, c’est-à-dire de droits égaux entre les
enfants
. L’égalité de parts dans l’héritage des biens du
oportion les premiers nés ou les privilégiés de leur cœur parmi leurs
enfants
. XXIV Si l’on considère au contraire les lo
uelques-uns de ses domaines, a de graves inconvénients, tant pour les
enfants
puînés, qui n’héritent que d’une faible légitime,
émocratie qui soit sur la terre ; le partage égal des biens entre les
enfants
y a multiplié démesurément l’espèce et affaibli d
éros, descendu dans les bois qui entourent l’asile sacré, aperçoit un
enfant
(c’est son fils, le fils de Sacountala réfugié et
son fils, le fils de Sacountala réfugié et élevé dans cet asile). L’
enfant
joue avec de petits lionceaux, malgré les reproch
regardant du côté d’où il a entendu partir les voix. Quoi ! C’est un
enfant
(mais un enfant qui déjà semble déployer la vigue
é d’où il a entendu partir les voix. Quoi ! C’est un enfant (mais un
enfant
qui déjà semble déployer la vigueur d’un homme) ;
melle de sa mère, et dont la crinière est encore tout en désordre. L’
enfant
, souriant. Allons, petit lionceau, ouvre ta gueu
ue je compte tes dents. (Les femmes continuent en vain à gourmander l’
enfant
.) Une femme. Petit mutin, c’est donc ainsi que t
Le héros. Chose étonnante ! je sens tout mon cœur incliner vers cet
enfant
, comme s’il était mon propre fils. (Après un mome
lionne furieuse va se jeter sur toi, si tu ne lui rends son petit. L’
enfant
, souriant. Ah ! Oui, j’en ai bien peur, vraimen
Il se mord la lèvre.) Le héros , dans le plus grand étonnement. Cet
enfant
fait briller à mes yeux le germe d’une grandeur h
tit ! si tu quittes ce jeune lion, je te donnerai un autre hochet. L’
enfant
. Voyons, voyons, donne-le d’abord. (Il tend sa ma
ayons du soleil. L’autre femme. Ma chère Louora ! Ce n’est pas là un
enfant
que l’on puisse amuser avec de belles paroles. Va
iens promptement avec ce trésor. Louora. J’y cours. (Elle sort.) L’
enfant
. Eh bien ! moi, en attendant, je vais toujours m’
ille fois heureux les pères, lorsque, en soulevant dans leurs bras un
enfant
chéri qui brûle de se réfugier dans leur sein, et
sé de mots à demi formés ! Le héros s’informe de la naissance de cet
enfant
dont la force rappelle l’Hercule indien Rustem. U
éros à lui-même. D’autres signes de reconnaissance lui révèlent que l’
enfant
est son fils. Sacountala, avertie par les nourric
es de l’intelligence du héros se dissipent à la vue et à la voix de l’
enfant
; il reconnaît la mère. Le héros. Est-ce donc l
uiller mon fils par son contact, malgré le charme qui le protège ? L’
enfant
, courant à sa mère. Ma mère, cet étranger me co
et par cette pâleur qui a remplacé l’incarnat de ta bouche divine. L’
enfant
. Ma mère, quel est donc cet étranger ? Sacountal
L’enfant. Ma mère, quel est donc cet étranger ? Sacountala. Pauvre
enfant
! demande-le au destin. (Elle pleure.) Douchmant
Canoua , les considérants tour à tour. Vertueuse Sacountala, noble
enfant
, prince magnanime, ou plutôt la fidélité même, la
st passé dans mon âme. Canoua. Mon fils ! As-tu embrassé ce charmant
enfant
que t’a donné Sacountala, et sur lequel j’ai voul
r un gage assuré de l’illustration de ma race. Canoua. Sache que cet
enfant
est destiné à se rendre un jour, par sa valeur, m
tempêtes. Dans son enfance il voulut courir après le soleil, comme un
enfant
court après une boule pour la saisir ; il prit so
ive une réflexion déjà très-exercée des choses littéraires. Un peuple
enfant
n’invente pas de telles analogies. L’Inde admet é
r se sanctifier quand ils avaient abdiqué l’empire en faveur de leurs
enfants
, nous l’avons adopté à la fleur de notre âge, nou
dire quels événements troublent nos pieuses méditations… Deux petits
enfants
, apportés par quelque divinité dans ces forêts, s
es études. Les animaux eux-mêmes, par leur attitude à l’aspect de ces
enfants
mystérieux, exprimaient leur étonnement et leur a
! » (Ils s’éloignent.) Sita, restée seule, gémit sur l’absence de ses
enfants
. « Ce petit éléphant », dit-elle, « me rappelle
’ils ne connaissent jamais les embrassements d’un père ? Ces aimables
enfants
au visage attrayant et doux, ombragé de longs che
ger, cruels, pourquoi avez-vous abandonné Sita à son destin ?… » Les
enfants
paraissent devant l’aïeul et l’aïeule : « À mesur
ants paraissent devant l’aïeul et l’aïeule : « À mesure que ces beaux
enfants
s’avancent vers nous », se disent-ils, « ils entr
la baguette d’aimant attire une masse de fer. » L’aïeul embrasse l’
enfant
: « Comme il me rappelle Rama ! » se dit-elle :
ita ? » L’interrogation des vieux parents et les réponses naïves des
enfants
sont dignes d’Éliacin dans notre Athalie. Des sol
d’Éliacin dans notre Athalie. Des soldats accourent pour disputer aux
enfants
un cheval échappé, destiné au sacrifice. L’un des
la fin du monde. » Un héros s’élance pour combattre corps à corps l’
enfant
, fils de Rama. « Leur fureur va éclater ; tous l
sous ses rames comme les vagues. Rama descend du char, il félicite l’
enfant
qu’il ne connaît pas encore. « C’est bien », dit-
ndiquent une destinée glorieuse, telle qu’elle est réservée aux seuls
enfants
de Raghou. La couleur de leur teint foncé ressemb
meure est dans ces bois ; ce sont ceux où Sita fut abandonnée, et ces
enfants
lui ressemblent. Et ces armes célestes, qui d’ell
anière détournée, en action et non en récit, la naissance de ces deux
enfants
vos fils ? « Faites taire les instruments de mu
âmes des spectateurs ! Que, semblables à l’amour d’une mère pour ses
enfants
, ils allègent nos peines ! Que, pareils aux eaux
rs moi à demi morte : — Je vous laisse ensemble, me dit-il ; mes deux
enfants
, demain, avant la nuit, vous serez unis pour un j
evant eux la bénédiction mortuaire et la bénédiction nuptiale à leurs
enfants
. Il leur enseigna en même temps de garder le sile
entendre. Je mis mon doigt sur mes lèvres pour que le vieillard et l’
enfant
ne réveillassent pas le bargello ; vous savez que
pour qu’il me laissât la clef du préau. Je fis entrer le prêtre et l’
enfant
. Nous traversâmes sans bruit la cour de la prison
orridor qui menait du cachot, par un couloir sombre, à la chapelle. L’
enfant
alluma les cierges et la messe commença. Je ne sa
s bénit en cachant ses larmes. — Aimez-vous sur la terre, mes pauvres
enfants
, nous dit-il tout bas, pour vous aimer à jamais d
s ses membres, se leva, s’appuya à la muraille et retomba à genoux. L’
enfant
croyait qu’il tremblait de sa mort prochaine et s
cela, ses yeux tombèrent involontairement sur le berceau du charmant
enfant
que son pied balançait avec distraction sur le pl
pénitents, en longues files, m’entouraient et me suivaient : un petit
enfant
, à côté du père Hilario, marchait devant moi et t
tut. — Hélas ! oui, me dit la tante ; elle était enceinte, la pauvre
enfant
, enceinte d’une nuit de larmes. Ils se turent tou
lier, se leva de table et alla derrière la porte donner le sein à son
enfant
. CCLXIV — Et maintenant, monsieur, reprit l
specte et inconvenante, sa figure se rembrunit : — Non, dit-elle, mon
enfant
, la duchesse n’y a pas pensé ! Nous ne pouvons vo
père et à ma tante, au châtaignier leur porter des nouvelles de leur
enfant
, et lui rapporter des châtaignes, et leur porter
a chercher la sage-femme ; mais quand elle arriva j’avais déjà un bel
enfant
sur mon sein. Le même soir je me levai et je le p
oublié nos malheurs, et quand je jouais dans la rue de la zampogne, l’
enfant
paraissait goûter la musique, et les jeunes mères
e foule dans la rue, et la supérieure me fit venir pour me dire que l’
enfant
et moi nous étions trop beaux à présent pour rest
eu à de nouveaux bruits, bien qu’il n’y eût rien à me reprocher que l’
enfant
, dont tout le monde ne connaissait pas l’origine
, et je partis en sanglotant, avant le soir, pour la cabane, avec mon
enfant
sur le dos ; je laissai ma zampogne à Hyeronimo p
-elle, et, pâlissant comme si elle allait tomber à terre, ramassant l’
enfant
dans le berceau, elle le prit dans son sein, l’em
ns la cathédrale des couvents lointains. Fior d’Aliza jouait avec son
enfant
sous le rayon du soleil qui tombait de l’arbre dé
ec eux. Jamais Fior d’Aliza n’avait été plus belle ; elle portait son
enfant
comme une vierge de Raphaël, ignorant comment ce
regardait sans cesse comme pour voir si c’était un miracle ou un vrai
enfant
des hommes ! puis, reconnaissant dans ses yeux la
prochait de son visage et le baisait avec cette sorte d’ivresse que l’
enfant
à la mamelle donne à sa mère. — Que le bon Dieu b
s. J’y fus particulièrement bien reçu, et son fils, Anatole Demidoff,
enfant
alors, m’a conservé et témoigné depuis des sentim
e trouvais quelquefois les deux grandes-duchesses assises, avec leurs
enfants
, dans le jardin de ma femme, et passant familière
ndelle Qui rase du bout de l’aile L’eau dormante des marais ; Voilà l’
enfant
des chaumières Qui glane sur les bruyères Le bois
ent les orages Au tronc qui les a portés. C’est une mère ravie À ses
enfants
dispersés, Qui leur tend, de l’autre vie, Ces bra
doute encore, Que le ver déjà dévore Cette chair de notre chair ! L’
enfant
dont la mort cruelle Vient de vider le berceau, Q
vendangeurs, des bœufs accouplés ruminant à l’ombre, pendant que les
enfants
chassaient les mouches de leurs flancs avec des r
rs ramenant aux villages lointains leurs femmes qui allaitaient leurs
enfants
, assises dans un des paniers ; de jeunes filles d
leur grotte de rocher au soleil, et souriant aux jeunes femmes et aux
enfants
qui leur demandaient de les bénir, voilà les spec
’elle tresse encore les nattes de paille dorée en regardant jouer ses
enfants
sous le caroubier, pendant que son mari chante, e
us semblable du moins à une jeune fille, qui donnait à téter à un bel
enfant
de cinq ou six mois. Non, je n’essayerai pas de v
majesté sur ses chevilles ; son corset rouge à demi délacé laissait l’
enfant
sucer le lait et le répandre de sa bouche rieuse,
me un agneau désaltéré qui joue avec le pis de la brebis, ou comme un
enfant
qui trouble la source avec ses petites mains aprè
lever du jour, derrière le jardin. Elle faisait semblant d’allaiter l’
enfant
d’une sœur plus âgée qu’elle (je le supposais du
mment les longues tresses blondes de ses cheveux, tantôt recouvrant l’
enfant
et elle comme d’un voile, tantôt relevés et ratta
grand châtaignier, et roulant avec des éclats de rire mutuels son bel
enfant
nu sur le lit de feuilles, elle jouait avec lui c
la jeune fille. Elle jeta un cri, se leva d’un bond en emportant son
enfant
, et voulut s’enfuir. — Ne fuyez pas, lui dis-je a
ence inattendue dans ce lieu trouble vos yeux et aussi ceux de ce bel
enfant
à qui ma vue fait détourner la tête vers votre ép
n’ai jamais bu que de l’eau, dit-elle, cela aigrirait le lait de mon
enfant
. Je n’osai pas l’interroger sur sa maternité préc
e à la jeune femme, mais je n’en vois que quatre en comptant le petit
enfant
que vous allaitez. — Oh ! oui, dit la vieille mèr
ide autour de la table. À ces mots, la jeune mère se leva, pressa son
enfant
contre son cœur d’un mouvement sensible et presqu
gélique figure de la jeune mère, qui était allée donner le sein à son
enfant
sur le seuil de la cabane. Jamais beauté si pure
té sur une branche, une joie céleste à travers une larme, une larme d’
enfant
devenue perle en tombant des cils ; puis ces quat
de la vie sous un même arbre : l’aïeule, le père, la jeune épouse, l’
enfant
à la mamelle ; ces pauvres animaux domestiques :
regarda, appendue à la muraille, la zampogna de son cousin absent. L’
enfant
, en remuant ses petites mains du fond de son berc
e par hasard en voltigeant libre dans la chambre d’une jeune fille. L’
enfant
effrayé retira sa main. — On dirait que c’est Hye
de son amant dans la nuit ; puis elle rentra tristement, sourit à son
enfant
, lui fit couler deux ou trois gouttes de lait sur
qu’à penser à lui, à l’attendre, à le pleurer et à regarder son petit
enfant
pour retrouver Hyeronimo dans son visage. LXV
r ! Qui aurait dit qu’elle mourrait avant d’avoir fini d’allaiter son
enfant
, Fior d’Aliza, que vous voyez devant vous. LXV
e souvenir, passa sa manche sur ses yeux, et Fior d’Aliza regarda son
enfant
comme si elle eût tremblé de ne pas le nourrir no
n tablier. On dirait qu’elle est jalouse de l’amour de la mère pour l’
enfant
, et qu’elle regarde Fior d’Aliza comme son enfant
r de la mère pour l’enfant, et qu’elle regarde Fior d’Aliza comme son
enfant
à elle-même. Pauvres bêtes, allez ! allez vous êt
i broute là, devant les chardons aux fleurs bleues du ravin. Les deux
enfants
dont je devins la seule mère, puisque Fior d’Aliz
Note I. De l’acquisition du langage chez les
enfants
et dans l’espèce humaine §1. — Acquisition du
nts et dans l’espèce humaine §1. — Acquisition du langage par les
enfants
I Les observations qui suivent ont été f
ts ; le progrès de l’organe vocal s’opère comme celui des membres ; l’
enfant
apprend à émettre tel ou tel son, comme il appren
rtir du cinquième ou sixième mois, pendant deux ans et davantage, les
enfants
emploient tout leur temps à faire des expériences
ntinuelle de tous les corps qui sont à sa portée : toute la journée l’
enfant
dont je parle (douze mois) tâte, palpe, retourne,
roupe de perceptions tende à se compléter, comme dans le cerveau d’un
enfant
qui se sert du langage. Elle ne prononce encore a
ation pour le chien entre un son et telle sensation de saveur, pour l’
enfant
entre un son et la forme perçue d’un visage indiv
rni le sens ; le caractère général que nous voulions faire saisir à l’
enfant
n’est pas celui qu’elle a saisi ; elle en a saisi
s pour en démêler le sens. D’abord et pendant plus de quinze jours, l’
enfant
a prononcé ce mot tem comme le mot papa, sans lui
mots nouveaux. Les principaux sont Pa (Paul), Babert (Gilbert), bébé (
enfant
), bééé (la chèvre), cola (chocolat), oua-oua (cho
s’est rapproché chez elle du sens ordinaire. On lui a montré d’autres
enfants
en lui disant bébé ; on l’a appelée elle-même de
ffet sur lequel on ne comptait pas ; le caractère général saisi par l’
enfant
n’est pas celui que nous voulions lui faire saisi
duisait, sans jamais manquer, en face de la nourriture. Maintenant, l’
enfant
ne manque jamais de le proférer quand elle a faim
de ce mot comme elle ; l’originalité, l’invention est si vive chez l’
enfant
, que, s’il apprend de nous notre langue, nous app
che ; mais mon oreille ne peut saisir cette différence ; les sens des
enfants
, bien moins émoussés que les nôtres, perçoivent d
observateurs à les contrôler par des observations faites sur d’autres
enfants
: L’enfant crie et emploie son organe vocal à l’o
à les contrôler par des observations faites sur d’autres enfants : L’
enfant
crie et emploie son organe vocal à l’origine de l
s les notes qui suivent peuvent servir à constater l’état mental d’un
enfant
. À beaucoup d’égards, c’est celui des peuples pri
Tout ceci ressemble fort aux émotions et aux conjecturés des peuplés
enfants
, à leur admiration vive et profonde en face des g
et instruisent l’homme179. Il faut bien du temps et bien des pas à un
enfant
pour arriver à des idées qui nous semblent simple
qu’il faudra rétrécir. — Il n’y a presque pas de mots employés par un
enfant
dont le sens ne doive subir cette opération. Comm
les plus anciens documents, notamment dans le Rig-Véda. En général, l’
enfant
présente à l’état passager des caractères mentaux
observations précédentes ont été répétées et confirmées sur un autre
enfant
(garçon). Je noterai principalement les développe
variantes que présente ce second exemple. … Les premiers objets que l’
enfant
ait reconnus sont ma figure, jointe au son de ma
’ils étaient analogues aux exclamations qu’une personne expansive, un
enfant
de trois ans profère involontairement en pareille
ui dit ce mot, et il le répète quand on le ramène dans la chambre des
enfants
et qu’on ferme la porte ; il cesse alors de nous
mites de l’intelligence animale. … Du douzième au vingtième mois. — L’
enfant
a été tardif, ou du moins plus tardif que sa sœur
duel et dans cet objet un caractère général ; Loulou (nom du chien, l’
enfant
l’a très vite appliqué aussi à d’autres chiens),
rticularité, celle d’être en mouvement, s’est oblitérée ; peut-être l’
enfant
a-t-il distingué le mouvement véritablement spont
ué à diverses figures humaines peintes ou dessinées dans des livres d’
enfants
ou dans des tableaux. — Ces jours-ci, il a découv
— Ces jours-ci, il a découvert au bout d’une petite canne une tête d’
enfant
en cuivre, grosse comme le bout du doigt, et il l
let et tâcherait de se faire entendre de nous. Il est manifeste que l’
enfant
a trouvé spontanément ce langage complet. Mais so
ntendent, et d’autres animaux aussi, les chats, les moutons, même les
enfants
apprennent à le comprendre. Un chat qui a été eff
, l’autre conceptuel et particulier à l’homme. Quand un animal, ou un
enfant
qui ne sait pas encore parler, voit un chien ou u
agit pour le beau laboureur Germain, veuf à vingt-huit ans avec trois
enfants
, et qui pleure encore sa première femme, de se re
bergère tout près de l’endroit où va Germain. Marie ne paraît qu’une
enfant
, elle va pourtant sur ses seize ans. Germain, gra
e Marie. Elle est au fait du motif de son voyage. Il lui parle de ses
enfants
, du petit Pierre, son gentil aîné, qu’il n’a pas
échapper son inquiétude qu’une épouse nouvelle ne soit pas, pour ces
enfants
d’un autre lit, telle qu’il faudrait. La petite M
l’aîné. Bien sûr, ça vous aurait fait aimer tout de suite, d’avoir un
enfant
si beau. — Oui, si la femme aime les enfants ;
ut de suite, d’avoir un enfant si beau. — Oui, si la femme aime les
enfants
; mais si elle ne les aime pas ? — Est-ce qu’il y
ne les aime pas ? — Est-ce qu’il y a des femmes qui n’aiment pas les
enfants
? Mais voilà qu’au tournant d’un buisson la jume
nt au passage, s’est endormi. La gronderie du père, la câlinerie de l’
enfant
, sa ferme volonté de ne plus lâcher prise et d’êt
onnier. Marie pense à tout, s’avise de tout. On sent que cette simple
enfant
porte en elle toutes les qualités de nature qui f
doute, qui croira me faire grand honneur en m’épousant avec mes trois
enfants
; et voilà que j’ai tout près de moi une enfant s
usant avec mes trois enfants ; et voilà que j’ai tout près de moi une
enfant
simple, pauvre, mais riche des dons de Dieu, des
petite Marie qu’il n’avait jamais considérée jusque-là que comme une
enfant
. De petits incidents surviennent. Petit Pierre a
out ? Au milieu du désarroi où l’on est, elle trouve moyen de tenir l’
enfant
chaudement et de lui faire un lit, d’allumer du f
aut et à s’embrouiller un peu : « Dites donc, laboureur ! voilà votre
enfant
qui se réveille », dit la petite Marie. L’enfant
oureur ! voilà votre enfant qui se réveille », dit la petite Marie. L’
enfant
s’éveille en effet : il entre aussitôt en appétit
empêcher de remarquer : « Il n’y a personne comme toi pour parler aux
enfants
, et pour leur faire entendre raison. » Au milieu
défunte, et maudit ce voyage entrepris pour la remplacer. Cependant l’
enfant
fait sa prière, que lui souffle mot à mot la peti
mésaventure de Marie avec le fermier : en passant par la bouche de l’
enfant
, ce récit s’épure. En général, le petit Pierre re
isseau, et qui était un peu ennuyé par le jonc ». Il avait déjà trois
enfants
, quand sa femme, voyant sans doute qu’il avait du
l’autre Landry, étaient pareils de tout point, et, tant qu’ils furent
enfants
, on eut peine à les distinguer l’un de l’autre. I
re homme, est admirablement saisi. L’autre, le gentil Sylvinet, reste
enfant
, plus faible, plus susceptible, âme toute sensibl
ubordonné ni sacrifié ; mais c’est à titre de revanche pour le pauvre
enfant
trouvé, et parce que la société l’avait sacrifié
itième période). — Inquiétudes jalouses de madame de Montespan. — Les
enfants
légitimés sont présentés à la reine. — Le roi est
ur. » Madame de Montespan ne considérait pas qu’en donnant au roi un
enfant
chaque année, elle l’avait habitué aux dames, et
option d’un genre nouveau. Il paraît résulter de ces lettres, que les
enfants
habitaient encore la maison de Paris ; que, cepen
s résolue, puisque vous l’avez voulu, de me laisser conduire comme un
enfant
, de tâcher d’acquérir une profonde indifférence p
illerez… J’ai bien fait votre cour sur les soins que vous avez de nos
enfants
et sur les dessins que vous avez imaginés pour le
lle-ci, j’ai bien fait votre cour sur les soins que vous donnez à nos
enfants
, ce qui veut dire : Je quitterai la cour quand vo
ine à Anvers, près d’un empirique qui devait rétablir la jambe de cet
enfant
dans l’état naturel. Alors elle n’était point enc
ommencera ses remèdes. Je souffre par avance de tout ce que le pauvre
enfant
souffrira. C’est bien à présent, madame, que vous
Vous êtes bien raisonnable. — Il faut bien que je le sois, répondit l’
enfant
: j’ai une gouvernante qui est la raison même. —
roi en fut hier témoin ; et ces procédés, joints aux maladies de ses
enfants
, me mettent dans un état que je ne peux soutenir.
ur mes habits. » Ces lettres sont postérieures à l’établissement des
enfants
à Versailles, c’est-à-dire à 1674. En effet, pour
suis inutile ici pour moi et pour les autres On nourrit très mal cet
enfant
… On écoute mes conseils, quelquefois on m’en sait
é sous la fatigue. Madame Scarron avait passé trois nuits près de ces
enfants
malades, et elle croyait n’avoir encore rien fait
, et ne peut être antérieure à l’époque où l’on a commencé à voir les
enfants
et la gouvernante à la cour. 99. Cette lettre du
me prêché pour la première fois par Bourdaloue, et de l’époque où les
enfants
étaient souvent amenés à Versailles et où ils éta
Fior d’Aliza (suite) Chapitre III (suite) LXVII Les deux
enfants
, quand ils furent sevrés, grandirent bien et se f
it les feuilles mortes comme les années comptées dans sa course ; les
enfants
s’aimaient, ils étaient gais ; un frère quêteur d
s dire s’il était mon fils ou celui du vieillard. C’étaient comme des
enfants
jumeaux, comme une sœur et un frère. Sans rien no
omment ne se seraient-ils pas aimés ? Ils ne voyaient jamais d’autres
enfants
de leur âge ; ils n’avaient qu’un même nid dans l
gneaux dans le bassin de la ravine : on dirait les pieds de cire de l’
enfant
Jésus, avec ses petits doigts, sur la paille de l
voilà comme nous abrégions les dimanches à nous réjouir dans nos deux
enfants
, et tous les pèlerins qui passaient en montant au
se faisaient entre eux des gestes d’admiration en regardant la belle
enfant
. — En voilà une de Madone ! s’écria un des plus j
e en esprit avec son cousin, le fils de l’aveugle que voilà. Les deux
enfants
s’accordent bien ; il ne faut pas séparer deux ag
terre, comme par un ressort élastique sous les pieds. LXXV Les
enfants
le ressentirent et se mirent à danser, l’un devan
mblait jouer d’elle-même, comme si elle avait eu l’âme des deux beaux
enfants
dans son outre de peau. LXXVI Fior d’Aliza
servirez pour découdre d’un coup de canif cette fiançaille entre ces
enfants
, qui ne savent pas même ce que fiançaille veut di
avec votre bec de plume ; je vois bien que ce sera difficile, si ces
enfants
savent déjà s’aimer ; mais vous en savez plus que
des sbires, de l’année précédente, mais il ne fit pas semblant, et l’
enfant
garda sa pensée en lui-même. LXXXII — Vous
tranquille comme s’il nous avait dit bonjour, voici une citation des
enfants
et héritiers de Francesco Bardi et Domenico Corta
qui me conduit quand je monte à la messe les dimanches ; et nos deux
enfants
, qui sont bien à nous, puisque c’est nous qui les
part moi : Ils ne partageront du moins ni ma sœur ni sa fille, ni mon
enfant
, ni mon pauvre chien. Si tout cela me reste, qu’i
pense toujours quand j’entends sa voix si claire dans les lèvres de l’
enfant
! LXXXVII Le surlendemain, les commissaires
vec le capitaine des sbires, était auprès d’eux. Ma belle-sœur et les
enfants
me dirent qu’il avait l’air de compatir à notre c
rçon, il est riche, il voudra se marier un jour ; vous avez une belle
enfant
qui pourra lui plaire. Eh, eh, eh ! ajouta-t-il e
ne n’a que d’honnêtes intentions ; n’aimeriez-vous pas bien, ma belle
enfant
, à changer cette robe de bure brune et ces sandal
uvaient porter en automne ; c’était assez pour notre boisson, car les
enfants
et ma belle-sœur ne buvaient que de l’eau, et je
et qui a l’air d’écouter sa propre histoire dans la nôtre. Hyeronimo
enfant
l’avait appelé Zampogna, parce qu’il aimait la mu
notre étoile, à nous, et la source parut devenir sombre depuis que l’
enfant
ne s’y mirait plus à côté de son cousin. XC
ntagnes du couvent, abandonnées aux daims et aux chevreuils. Les deux
enfants
revinrent bientôt, chargés de plus d’herbes et de
e lui souhaitait point de mal ; il était trop doux pour en faire à un
enfant
; mais il voyait bien, sans que rien fût dit sur
vie au même pis et à la même crèche. Ce fut bien là le malheur ; ces
enfants
s’aimaient trop pour que la fille devînt une gran
s’écria la belle sposa, en se jetant d’un bond sur le berceau de son
enfant
, en l’élevant dans ses deux beaux bras nus jusqu’
t âpres ; une lune a passé par là. — Allons voir, dirent ensemble les
enfants
, si la vigne, dans le champ, a pâli ou séché sous
Jamais je ne vous dirai le chagrin de la cabane à ces cris des deux
enfants
qui pleuraient ces berceaux de leur enfance, ces
pour converser un instant avec les Zampognari ; il avait caressé les
enfants
, marié les jeunes filles, consolé et vu mourir le
e cet homme puissant pour épouser, par ruse ou par violence, la belle
enfant
qui l’avait, par malheur, ébloui comme un soleil
lais, sur le fond, des femmes qui élancent de joie leurs bras vers un
enfant
. Un peu plus vers la gauche, et tout à fait sur l
it sur le devant, une femme agenouillée tendant aussi le bras au même
enfant
qu’elle se dispose à recevoir d’un vieillard qui
c’est l’instant où Jupiter, s’apercevant qu’on lui a servi à manger l’
enfant
de la maison, le ressuscite, le rend à sa mère et
ois sujets très-distingués. L’instant du repas n’est point celui de l’
enfant
ressuscité ; l’instant de l’enfant ressuscité n’e
nt du repas n’est point celui de l’enfant ressuscité ; l’instant de l’
enfant
ressuscité n’est point celui de l’enfant rendu ;
ressuscité ; l’instant de l’enfant ressuscité n’est point celui de l’
enfant
rendu ; et l’instant de l’enfant rendu n’est poin
nt ressuscité n’est point celui de l’enfant rendu ; et l’instant de l’
enfant
rendu n’est point celui de la condamnation du pèr
ge de l’un de ces caractères contigus à l’autre est facile. Hercule
enfant
étouffant des serpens au berceau. esquisse. Du mê
une suivante effrayée, puis Alcmène et son époux. Celui-ci saisit son
enfant
et l’enlève de son berceau. Dans le berceau voisi
pes que nous venons de parcourir, ces « bleuets » de toutes familles,
enfants
lumineux, pleins de vie, aimant la nature, leurs
orage, aspirent à joncher le sol pour en accroître la fécondité. Ces
enfants
se dévouent au plus bel avenir… Et voilà qu’en mê
rix de Francis Jammes. Le jeune guerrier les accompagne d’un regard d’
enfant
bienveillant. … Ce qui m’adoucit toujours toute
nt derrière nous. D’autres ont aimé la nature autant que l’aime cet
enfant
, et Maurice de Guérin, quand il venait de son bea
ne maison heureuse, loin d’alanguir ce jeune cœur, l’affermissent. Un
enfant
naît dans la famille ; Léo Latil écrit à la jeune
France, ses compagnons d’armes, sa religion, voilà ce qui remplit cet
enfant
harmonieux et lui conseille de faire son devoir.
Ainsi parle, au pays de saint Louis, de Jeanne d’Arc et de Pascal, un
enfant
bien né qui possède, combinées à la française, le
t le dogme traduit en charité et sentiment, c’est un bon et délicieux
enfant
qui dit à Dieu : « Je suis à toi et aussi à tous
royale de Dieu. » Voilà ses pensées premières, voilà d’où part cet
enfant
plein du génie religieux de sa maison familiale,
rends à vivre. Qu’est-ce à dire ? Quelle est donc cette vie que cet
enfant
apprend en même temps qu’il apprend à mourir ? C’
joindre éternellement aux meilleurs ! Quatre jours avant sa mort, cet
enfant
religieux, ému de pressentiments, voulut établir
sacrifices de vies individuelles sauveront la vie de la France. Ces
enfants
, dans leur dure vie, ne veulent pas être plaints,
uphiné ! Elle est admirable, la spiritualité d’un tel vivat chez un
enfant
de vingt ans qui, nuit et jour, souffre dans la b
gars ! En avant à la baïonnette pour les Françaises nos sœurs ! » L’
enfant
se porte sur le seuil de tous les paradis qu’il n
! » Et cette exaltation tendre s’associe à la plus ferme raison. Ces
enfants
, qu’un passant superficiel croirait enfermés dans
outil de la victoire, en créant chez ses hommes un état d’esprit. Cet
enfant
de dix-neuf ans écrit au courant d’une lettre fam
lire sans une admiration qui va jusqu’à la douleur, telle lettre où l’
enfant
laisse voir comment il vient d’être bouleversé pa
me et l’énergie ; — telle autre lettre de charmante gratitude, où cet
enfant
qui donne sa vie s’inquiète du bien-être qu’il do
ire de continuer à être utiles. Touchés ou non de la balle folle, ces
enfants
magnifiques se valent. A peine émergé de l’enfanc
n totale. Et voici qu’aujourd’hui, des compatriotes, des voisins, des
enfants
de notre formation placés dans des circonstances
-devant de l’ennemi ». (Parole de Mme Cornet-Auquier à son fils.) Ces
enfants
ont reçu d’héritage l’antique trésor ; bien des v
ie que celle qui sort d’une phrase que Bernard Lavergne, le treizième
enfant
du peintre verrier Claudius Lavergne, écrit à sa
r ce sujet d’une déchirante beauté ! Puisque nous voici avec le noble
enfant
Michel Penet (d’un esprit ravissant, plein de poé
etite auberge. Par hasard, j’y trouvai le petit chasseur Chocolat, l’
enfant
du bataillon. J’avais déjà remarqué pendant les m
te secret. Une première fois, il a pardonné, il a même pris soin de l’
enfant
, dont elle ne s’inquiétait pas plus que d’un peti
n scène une question scabreuse et pathétique entre toutes, celle de l’
enfant
naturel renié par son père et abandonné par la lo
c de Montaiglin. Un jeune homme, M. Octave, est là qui lui parle d’un
enfant
clandestin, élevé à la campagne chez des paysans,
er à une riche veuve, et ce mariage serait rompu, si le secret de cet
enfant
lui était connu. L’idée lui est venue de faire re
nt va bientôt partir pour un voyage au long cours. Raymonde n’a pas d’
enfant
de lui, cette adoption lui sourira comme une dist
u faux nom de Monsieur Alphonse. Raymonde, elle, n’a jamais caché à l’
enfant
qu’elle était sa mère ; toutes les semaines, au m
e et chez elle, de faire rentrer dans sa maison, comme dans un nid, l’
enfant
exilé ! Mais elle craint d’offenser son mari, qu’
ette fait son entrée, et il faut le dire, cette entrée est celle d’un
enfant
prodige. Elle a des mots qui avancent terriblemen
perle. Ce trait de précocité est si fort, qu’il marque cette figure d’
enfant
comme d’une légère ride. Nous y reviendrons. Quoi
le matin ; elle l’a vu de loin, sortir d’une maison de Rueil, avec un
enfant
. Elle veut savoir ce qu’est cet enfant, et quel e
d’une maison de Rueil, avec un enfant. Elle veut savoir ce qu’est cet
enfant
, et quel est son père, et quelle est sa mère ; et
lle l’aurait accusé de lui avoir jeté un sort. Octave renie d’abord l’
enfant
et l’attribue à un ami qui l’en a chargé : il con
y fait aucune objection, et il se charge d’apprendre à sa femme que l’
enfant
a retrouvé une famille. C’est ici que se place un
par scrupule de conscience. N’est-ce pas mal faire que de livrer une
enfant
si tendre, si aimante, à ce père indigne, à cette
, et sa voix s’exalte. Elle s’indigne qu’on puisse ainsi arracher les
enfants
des bras de leurs mères pour les jeter aux premie
sa faute. Il a, de plus, visé la loi qui, dans certains cas, livre l’
enfant
naturel, comme sur l’estrade d’un encan, aux adju
eud est dénoué aussi vite qu’il serait tranché. Cette loi qui jette l’
enfant
, sans nom dans la vie, à qui veut le prendre, est
un bon garçon. » S’il ne permet pas toujours à ceux qui ont fait des
enfants
de les reconnaître, en revanche, il donne le droi
evanche, il donne le droit à ceux qui n’en ont pas de reconnaître les
enfants
des autres. Ce que sachant, la digne femme est al
e la mère vit encore : à tout prix, elle veut la connaître. C’est à l’
enfant
, d’abord, quelle s’adresse ; mais la petite joue
’a conduite au château ; elle se penche à la croisée et s’écrie que l’
enfant
vient de tomber entre les pieds des chevaux. Raym
aduée comme un exercice de solfège, n’est pas plus dans la voix d’une
enfant
de douze ans que les autres airs qu’elle chante.
vec les souvenirs des choses que la nature a créées avant lui : jeu d’
enfant
, mais jeu divin de notre âme avec les impressions
s chaumières ou des palais. Il doit avoir l’âme naïve comme celle des
enfants
, tendre, compatissante et pleine de pitié comme c
t sa femme, et, se sentant lui-même mourir, il légua sa fille, encore
enfant
, à un de ses amis qui était d’Argos, et qui porta
léanax, cette famille craignit d’être déshonorée par la présence d’un
enfant
illégitime à son foyer. On cacha la faiblesse de
onneur des dieux, fut surprise par les douleurs de l’enfantement. Son
enfant
vint au monde au milieu d’une procession à la glo
Les compagnes de Crithéis ramenèrent la jeune fille et rapportèrent l’
enfant
nu, dans leurs bras, à Smyrne, dans la maison d’I
bourg de Smyrne a pris un nom qui l’égale aux fleuves. La gloire d’un
enfant
remonte pour l’éclairer jusqu’au brin d’herbe où
e échoua sur l’herbe, près de la prairie où Crithéis mit au monde son
enfant
, comme pour venir d’elle-même transmettre son âme
’ailleurs. Soit qu’Isménias fût trop pauvre pour nourrir la mère et l’
enfant
, soit que la naissance de ce fils sans père eût j
héis, il la congédia de son foyer. Elle chercha pour elle et pour son
enfant
un asile et un protecteur de porte en porte. Il y
es pour faire ces tapis, industrie héréditaire de l’Ionie. Chacun des
enfants
, en venant à l’école de Phémius, lui apportait un
s, qui avait entendu parler de la bonté de ce maître d’école pour les
enfants
, parce qu’elle songeait d’avance sans doute à lui
beauté et des larmes de la jeune fille, de l’âge et de l’abandon de l’
enfant
; il reçut Crithéis dans sa maison comme servante
ssi laborieuse et aussi habile qu’elle était belle ; il s’attacha à l’
enfant
, dont l’intelligence précoce faisait présager je
père à son fils. L’hospitalité et l’amour de Phémius, l’intérêt de l’
enfant
touchèrent à la fois le cœur de la jeune femme ;
t Mélésigène. Ce nom, qu’on donnait familièrement à Homère, veut dire
enfant
de Mélès, en mémoire des bords du ruisseau où il
mère et aussi à cause de lui. Instituteur et père à la fois pour cet
enfant
, il lui prodiguait tout son cœur et tous les secr
re, Homère erra par le monde, enseignant de ville en ville les petits
enfants
. Puis il s’embarqua et visita toutes les côtes de
ré sur cette plage, au bord des flots, comme un naufragé de la vie, l’
enfant
qui servait de lumière à ses pas, ses compagnons,
igieuses, aux foyers des palais ou des cabanes, aux écoles des petits
enfants
; en sorte qu’une race entière devint l’édition v
les feux de la Saint-Jean, et il ne faut pas ôter leur joie aux chers
enfants
. » Gœthe. Je ne sais comment cela se fait, ma
st unique, elle est monumentale ; ce sont des étrennes de roi. Chaque
enfant
est-il devenu un Dauphin de France ? — Oui, au jo
st fort belle. Les caractères sont ceux du xviie siècle ; l’œil de l’
enfant
et l’œil du vieillard s’en accommodent également
es Perrault de la Bibliothèque bleue à quatre sous. Je sais une jeune
enfant
, fille d’un riche marchand de jouets, qui, blasée
tint que cette promenade restât ouverte aux bourgeois de Paris et aux
enfants
. « Je suis persuadé, disait-il à Colbert au milie
ins des Rois ne sont si grands et si spacieux, qu’afin que tous leurs
enfants
puissent s’y promener. » Le sourcilleux ministre
-Jacques, près des collèges, pour y mieux vaquer à l’éducation de ses
enfants
, Perrault fit un jour le poëme du Siècle de Louis
cile et fertile nature. Occupé, avons-nous dit, de l’éducation de ses
enfants
, il les voulut amuser, et, pendant quelque hiver,
oir trop rationaliséle conte. Mais Perrault, tout en contant pour les
enfants
, sait bien que ces enfants seront demain ou après
e. Mais Perrault, tout en contant pour les enfants, sait bien que ces
enfants
seront demain ou après demain des rationalistes ;
especter. De même que, dans le sein de la mère, à l’état d’embryon, l’
enfant
parcourt rapidement, avant de naître, tous les de
me représente cet âge où l’humanité encore nouvelle ressemblait à un
enfant
de trois ans, et où ce n’était, par toutes les pe
ait donc été, lui aussi, l’homme naturel et naïf, l’homme crédule et
enfant
. Qu’il y ait au fond de son imagination un horizo
ez tôt ; assez tôt commencera la critique : qu’elle ne saisisse pas l’
enfant
au sortir du berceau. Je ne demande pas, remarque
n premier pli. Il ne s’agit point d’aller refaire en notre siècle les
enfants
de la légende dorée et du moyen âge. On en est lo
de Perrault, encore une fois, me paraît la bonne. C’est celle de cet
enfant
qui dit à sa mère : « N’est-ce pas que ce n’est p
est pas vrai ? mais conte-le-moi toujours. » C’est celle de cet autre
enfant
qui attend avec impatience et avec un peu de crai
La Femme et l’
Enfant
Alphonse Jobez. La Femme et l’Enfant, ou Misèr
La Femme et l’Enfant Alphonse Jobez. La Femme et l’
Enfant
, ou Misère entraîne oppression. [Le Pays, 4 avri
ines idées, on les partage. Le livre d’Alphonse Jobez : La Femme et l’
Enfant
, ou Misère entraîne oppression 5, sous un titre b
Frappé de l’état d’oppression et de servage dans lequel la femme et l’
enfant
ont été tenus jusqu’ici chez tous les peuples de
bez, après avoir fait l’histoire de ces deux touchantes Faiblesses, l’
enfant
et la femme, se demande ce qu’il faudrait pour qu
uperficiellement que les maux qui affligent l’homme, et par l’homme l’
enfant
et la femme, viennent uniquement de ce que la ric
ie bien ! dans la réalité des choses. Soit pour la femme, soit pour l’
enfant
, ces deux racines, horizontale et verticale, qui
abnégations. Voilà pourtant ce que l’auteur du livre de La Femme et l’
Enfant
n’a pas compris, ou ne s’est pas rappelé, quand i
lavage du système, ont communiqué à la partie qui traite du sort de l’
enfant
et de la femme une sécheresse incompatible avec l
ents, sur les souffrances et l’état d’abaissement de la femme et de l’
enfant
chez tous les peuples de la terre. Doué d’un de c
verselle de l’accroissement de la richesse, l’auteur de La Femme et l’
Enfant
n’est plus qu’un honnête économiste animé de phil
s ! nous croyons bien qu’en pressant un peu ce livre de La Femme et l’
Enfant
il serait aisé d’en faire jaillir une philosophie
stion de la misère, la traiter au point de vue du double intérêt de l’
enfant
et de la femme, ne change rien à la solution conn
ue au hasard et à la misère le soin de retenir dans les campagnes les
enfants
qu’il y a placés, l’État agrandira le domaine féc
ections de ses amis. — Madame Scarron concentrée dans l’éducation des
enfants
du roi. — L’inclination du roi pour elle commence
et madame de Montespan avaient voulu envelopper l’existence de leurs
enfants
, s’était éclairci quelque peu, dans l’intervalle
671. La liaison des deux amants était devenue, par le nombre de leurs
enfants
, qui était alors de quatre, une espèce de mariage
la douleur que ressentait madame Scarron de la mort du premier de ces
enfants
, qu’il serait doux d’être aimé par madame Scarro
frère de madame Scarron d’inclination. Sous prétexte d’aller voir ses
enfants
dans la maison de Vaugirard, il allait souvent vo
Maine pour aller consulter un empirique hollandais sur l’état de cet
enfant
), montre qu’à cette époque elle était brouillée a
nt le nom de Bourbon. Saint-Simon remarque, à cette occasion, que ces
enfants
, qui, dit-il, furent tirés du profond non-étre de
nces que les princes du sang même ne portaient pas97. L’élévation des
enfants
confiés à madame Scarron était aussi la sienne. E
e qui plaisait le plus à madame de Montespan, dans l’élévation de ses
enfants
. Mais elle pouvait bien l’endurer pour le prix qu
t bizarre. Elle ne pouvait se dissimuler que l’éducation donnée à ses
enfants
, par madame Scarron, avait contribué, dans l’espr
Lettre à Madame la comtesse de Forbach sur l’Éducation des
enfants
. Cette lettre, sans date, publiée pour la premi
voulu savoir quel serait le mien. Je me suis demandé : Si j’avais un
enfant
à élever, de quoi m’occuperaisje d’abord ? serait
e qu’un méchant puisse être véritablement grand. Je veux donc que mon
enfant
soit bon. Quand un méchant pourrait être véritabl
base à la véritable grandeur ; j’ai vu qu’en travaillant à rendre mon
enfant
bon, je travaillerais à le rendre grand ; et je m
branler sans frémir. Avec une âme juste et ferme, j’ai désiré que mon
enfant
eût un esprit droit, éclairé, étendu. Je me suis
s couleurs dans l’atelier d’Apelle. Comment donnerai-je du goût à mon
enfant
? me suis-je dit ; et je me suis répondu : Le goû
es qualités qui ne s’acquièrent point. Prenez de temps en temps votre
enfant
par la main, et menez-le sacrifier aux Grâces. Ma
ur autel ? Il est à côté de vous, sous vos pieds, sur vos genoux. Les
enfants
des maîtres du monde n’eurent d’autres écoles que
tres écoles que la maison et la table de leurs pères. Agir devant ses
enfants
, et agir noblement, sans se proposer pour modèle
er tout haut ; s’affliger des fautes graves, moyen sûr de corriger un
enfant
sensible : les ridicules ne valent que les petits
dans une petite terre, apanage d’un cadet de famille. Il a beaucoup d’
enfants
; je suis son seul fils. Ma mère, qui est de Pari
re des cruautés des prophètes, avait fait immoler à son tour tous les
enfants
de son fils Ochosias, de peur que ces rejetons de
uerrier Abner. Il ne lui révèle pas encore cependant l’existence de l’
enfant
; il se contente de le sonder artificieusement, e
e tous les droits, Se baigne impunément dans le sang de nos rois, Des
enfants
de son fils détestable homicide, Et même contre D
pelle au grand-prêtre, son époux, combien lui a coûté le salut de cet
enfant
. Ni Homère, ni Virgile ne donnent à Hécube et à A
raché Ou qu’un souffle ennemi dans sa fleur a séché ! Mais si ce même
enfant
, à tes ordres docile, Doit être à tes desseins un
ndre, d’antique, de miraculeux. À la première scène, des femmes et un
enfant
éperdus s’élancent des profondeurs du temple sur
thalie. Grand Dieu !Dans ce désordre à mes yeux se présente Un jeune
enfant
couvert d’une robe éclatante, Tels qu’on voit des
la même idée. Deux fois mes tristes yeux se sont vu retracer Ce même
enfant
, toujours tout prêt à me percer. Lasse enfin des
r. Pendant qu’il me parlait, ô surprise ! ô terreur ! J’ai vu ce même
enfant
dont je suis menacée, Tel qu’un songe effrayant l
même temps qui soit sur aucun théâtre, place face à face Athalie et l’
enfant
vengeur encore inconnu de David. Il faut remonter
l faut remonter à la Bible des patriarches et aux scènes entre Joseph
enfant
et ses frères pour retrouver de tels accents. Cet
, à Joas. Voilà mon fils.Et vous, quel est donc votre père ? Jeune
enfant
, répondez. Josabeth. Jeune enfant, répondez.Le C
, quel est donc votre père ? Jeune enfant, répondez. Josabeth. Jeune
enfant
, répondez.Le Ciel jusque aujourd’hui... Athalie.
ans quelles mains ont pris soin ? Joas. Dieu laissa-t-il jamais, ses
enfants
au besoin ? Aux petits des oiseaux il donne leur
n’avez point de passe-temps plus doux ? Je plains le triste sort d’un
enfant
tel que vous ! Venez dans mon palais, vous y verr
-ils ? Josabeth. Ces méchants, qui sont-ils ?Eh, Madame ! Excusez Un
enfant
. Athalie , à Josabeth. Un enfant.J’aime à voir
sont-ils ?Eh, Madame ! Excusez Un enfant. Athalie , à Josabeth. Un
enfant
.J’aime à voir comme vous l’instruisez… Enfin, Éli
in, Éliacin, vous avez su me plaire ; Vous n’êtes point sans doute un
enfant
ordinaire. Vous voyez, je suis reine, et n’ai poi
er la vengeance contre les chefs lévites instigateurs de ce dangereux
enfant
. Le chœur, cette fois, fait partie lyrique du dra
acte, le ministre d’Athalie, Mathan, vient pour arracher du temple l’
enfant
, terreur de la reine. Il dévoile à son confident
e un temple fut construit. Jérusalem pleura de se voir profanée ; Des
enfants
de Lévi la troupe consternée En poussa vers le Ci
ins que la faiblesse maternelle de Josabeth lui suggère pour sauver l’
enfant
. Il passe en revue les femmes, les vieillards, le
oilà donc quels vengeurs s’arment pour ta querelle : Des prêtres, des
enfants
, ô Sagesse éternelle ! Mais, si tu les soutiens,
; Ton encens à ses yeux est un encens souillé ! Où menez-vous ces
enfants
et ces femmes ? Le Seigneur a détruit la reine de
armante et plus belle ! D’où lui viennent, de tous côtés, Ces
enfants
qu’en son sein elle n’a point portés ? Lève, Jéru
d-prêtre, avant de couronner Joas dans le temple, sonde l’esprit de l’
enfant
, et lui enseigne, dans un langage bien hardi deva
………………………………………………………… Après ces paroles il révèle sa naissance à l’
enfant
et le proclame roi dans un sublime discours aux l
endre ? Tout finit au milieu des larmes des femmes, des frissons des
enfants
, des acclamations des lévites. Le nœud se resserr
ité dans les tribus de Juda et de Benjamin. XXII Au moment où l’
enfant
, placé sur son trône, est salué roi par l’acclama
entre avec ses troupes, le rideau du temple se déchire ; elle voit l’
enfant
, son successeur, couronné. Joad. Paraissez, cher
elle voit l’enfant, son successeur, couronné. Joad. Paraissez, cher
enfant
, digne sang de nos rois ! Connais-tu l’héritier d
Des trésors de David voilà ce qui me reste. Athalie. Ta fourbe à cet
enfant
, traître, sera funeste. D’un fantôme odieux, sold
la meilleure qualité que vous trouviez en moi, c’était ma fidélité d’
enfant
pour tout ce que l’Église croit et ordonne, même
des mères, dans l’innocence, dans la candeur et dans les périls d’un
enfant
suspendu entre le trône et la mort ! Il n’y a pas
au flanc et sa boîte à marmotte sur le dos. « Un de ces doux et gais
enfants
qui vont de pays en pays, laissant voir leurs gen
ir leurs genoux par les trous de leur pantalon. « Tout en chantant, l’
enfant
interrompait de temps en temps sa marche et jouai
ment. Parmi cette monnaie, il y avait une pièce de quarante sous. « L’
enfant
s’arrêta à côté du buisson, sans voir Jean Valjea
squ’à Jean Valjean. « Jean Valjean posa le pied dessus. « Cependant l’
enfant
avait suivi sa pièce du regard, et l’avait vu. «
’oiseaux de passage qui traversaient le ciel à une hauteur immense. L’
enfant
tournait le dos au soleil, qui lui mettait des fi
ais, monsieur. « — Va-t’en, dit Jean Valjean. « — Monsieur, reprit l’
enfant
, rendez-moi ma pièce. « Jean Valjean baissa la tê
z-moi ma pièce. « Jean Valjean baissa la tête et ne répondit pas. « L’
enfant
recommença : « — Ma pièce, monsieur ! « L’œil de
r ! « L’œil de Jean Valjean resta fixé à terre. « — Ma pièce ! cria l’
enfant
, ma pièce blanche ! mon argent ! « Il semblait qu
che ! mon argent ! « Il semblait que Jean Valjean n’entendît point. L’
enfant
le prit au collet de sa blouse et le secoua. Et e
ur son trésor. « — Je veux ma pièce ! ma pièce de quarante sous ! « L’
enfant
pleurait. La tête de Jean Valjean se releva. Il é
a. Il était toujours assis. Ses yeux étaient troubles. Il considéra l’
enfant
avec une sorte d’étonnement, puis il étendit la m
ia d’une voix terrible : — Qui est là ? « — Moi, monsieur, répondit l’
enfant
. Petit-Gervais ! moi ! moi ! rendez-moi mes quara
urs sur la pièce d’argent, il ajouta : — Veux-tu bien te sauver ! « L’
enfant
effaré le regarda, puis commença à trembler de la
er que l’évêque avait bien placé son trésor. Un mot de plus du pauvre
enfant
, et il était assommé sur place. II Et voilà
ridicules posthumes jetés en pâture au peuple impérial de 1862 par l’
enfant
sublime baptisé par les Bourbons d’un autre temps
e fille ne serait pas muette ! IV Au second volume, une scène d’
enfant
, ce privilège du talent de l’écrivain, est dessin
s chaudes ? Ainsi est en prose la scène de devant l’auberge. Les deux
enfants
étaient à l’aubergiste. Une autre femme, toute je
encore, s’avançait à ce spectacle, portant un sac de nuit et un autre
enfant
. V Victor Hugo, sûr de son pinceau, comme R
mère virginale et un enfant-Dieu, ne manque pas de les décrire. « L’
enfant
de cette femme était un des plus divins êtres qu’
ce propre à son âge. Les bras des mères sont faits de tendresse ; les
enfants
y dorment profondément. « Quant à la mère, l’aspe
ie dans ses bras avec cet air particulier d’une mère qui a nourri son
enfant
. Un large mouchoir bleu comme ceux où se mouchent
ait plus de raison d’être. Fantine était restée seule. Le père de son
enfant
parti, — hélas ! ces ruptures-là sont irrévocable
olomyès n’avait pas répondu. De là misère, nécessité d’abandonner son
enfant
, retours de sa pensée vers son pays natal, où cep
oms du pays, les rues et les portes des maisons. « Elle emportait son
enfant
, sa fille, espérant la nourrir, l’élever de ses s
lever de ses soins, de ses larmes. » L’aubergiste veut bien garder l’
enfant
de Fantine en sevrage à un prix modéré ; l’enfant
veut bien garder l’enfant de Fantine en sevrage à un prix modéré ; l’
enfant
se nomme Cosette. Fantine la laisse en pleurant,
oie pas à l’arracheur de dents une jeune et jolie fille qui porte son
enfant
au seuil d’un hospice, et qui, en acceptant la ho
ion admirable de délicatesse, qui sauve la honte, au moins la vie aux
enfants
. La publicité du dépôt est un attentat à la pudeu
est un attentat à la pudeur, le désespoir inscrit à perpétuité sur l’
enfant
, oui ; mais enfin le dépôt existe, la loi ne l’a
de la patience ; que cela eût mieux valu même pour ces pauvres petits
enfants
; que c’était un acte de folie, à lui, malheureux
éger Fantine. Elle meurt dans ses bras, elle lui lègue Cosette, cette
enfant
abandonnée par force dans l’auberge des Thénardie
e force, et la pièce de quarante sous arrachée par violence au pauvre
enfant
, sont deux mauvaises pierres angulaires de cette
membres des arbres. On sort de cette lecture ivre et anéanti comme un
enfant
qui s’essouffle à suivre un géant. C’est superbe
peler un véritable crime. » XV La communauté des femmes et des
enfants
, ce scandale de la raison et ce sacrilège contre
faire, selon moi, touchant la possession et l’usage des femmes et des
enfants
, qu’à suivre la route que nous avons tracée en co
rdiens d’un troupeau. « — Oui. « — Suivons cette idée, en donnant aux
enfants
une naissance et une éducation qui y répondent, e
femmes les plus parfaits physiquement et moralement pour produire des
enfants
perfectionnés : « Il faut, dit-il, élever les enf
ur produire des enfants perfectionnés : « Il faut, dit-il, élever les
enfants
de ces couples parfaits, et non ceux des couples
ez encore ; l’infanticide est à peine déguisé sous les mots : « Les
enfants
, à mesure qu’ils naîtront, seront remis entre les
n et à l’autre sexe. « — Oui. « — Ils porteront au bercail commun les
enfants
des citoyens d’élite, et les confieront à des gou
qui auront leur demeure à part dans un quartier de la ville. Pour les
enfants
des citoyens moins estimables, et même pour ceux
pureté la race des guerriers. « — Ils veilleront à la nourriture des
enfants
, en conduisant les mères au bercail, à l’époque d
pris toutes les précautions pour qu’aucune d’elles ne reconnaisse son
enfant
; et, si les mères ne suffisent point à les allai
i les hommes à l’occasion de leurs biens, de leurs femmes et de leurs
enfants
, lorsque la matière de toute dissension sera ôtée
es biens, c’est-à-dire de la misère ; La communauté des femmes et des
enfants
, qui supprime du même coup les trois amours dont
evant le peuple à des luttes dégoûtantes d’obscénité ; Le meurtre des
enfants
mal conformés, punissant le tort de la nature par
e la femme, pour enfanter à son tour dans son union avec la femme des
enfants
qui le font revivre à perpétuité dans sa race, et
du, il est être collectif ; il se compose du père, de la mère et de l’
enfant
; le père, la mère, l’enfant, voilà la trinité te
l se compose du père, de la mère et de l’enfant ; le père, la mère, l’
enfant
, voilà la trinité terrestre ou plutôt voilà l’uni
nde à la vérité. Aussi voyez combien, dans son utopie d’éducation des
enfants
sans mère, Platon s’enfonce dans l’absurde en con
V La nature a donné à la mère un admirable instinct d’amour pour l’
enfant
sorti de son sein, formé de son sang, et à qui la
instinct d’amour, qui se satisfait d’abord providentiellement pour l’
enfant
par le soulagement que la mère éprouve à donner s
l’attrait physique en sollicitude morale, et qui attache la mère à l’
enfant
et l’enfant à la mère, comme la branche au bourge
hysique en sollicitude morale, et qui attache la mère à l’enfant et l’
enfant
à la mère, comme la branche au bourgeon, comme le
omme le fruit à la tige. Une mère est une providence innée que chaque
enfant
trouve d’avance couchée près de son berceau, debo
ce divin poème de la maternité ; il défend à la mère de connaître son
enfant
, à l’enfant de se suspendre à la mamelle de sa mè
me de la maternité ; il défend à la mère de connaître son enfant, à l’
enfant
de se suspendre à la mamelle de sa mère ; il cond
ne réminiscence de Platon ! Que dire enfin de l’immolation légale des
enfants
moins bien conformés que les autres, afin de puri
on au-dessus duquel il serait défendu de faire naître ou d’élever les
enfants
! Si c’est là de la divinité, c’est la divinité d
à leur accouplement ! société d’Œdipes aveugles, meurtriers de leurs
enfants
! société sans ancêtres, société sans postérité,
providence à eux, qui est la reconnaissance et la tendresse de leurs
enfants
, seraient condamnés à mort pour leur infirmité et
ndamnés à mort pour leur infirmité et pour leur faiblesse ; comme les
enfants
mal nés, condamnés à être égarés dans les lieux s
lisé : « Partout où il arrivera que les femmes soient communes, les
enfants
communs, les biens de toutes espèces communs, et
e de la vertu… Un tel État, qu’il ait pour habitants les dieux ou des
enfants
des dieux, est l’asile du bonheur parfait ; il fa
yeux : « Monsieur, la bonne affaire ! (et sur les beaux cheveux D’une
enfant
là présente et sur sa brune tête Il étendait la m
sée à conclure, Vous venez vendre ainsi la plus belle parure De votre
enfant
; c’est mal. Le gain vous tente : eh ! bien, Je v
us l’achète double, et pour n’en couper rien. Mais il faut m’amener l’
enfant
chaque semaine : Chaque fois un à-compte, et la s
fond dessein. La mère fut exacte à la chose entendue : Elle amenait l’
enfant
, et je payais à vue. Puis, lorsqu’elle eut compri
ais, après tout, qu’un honnête intérêt, Elle me l’envoya seule ; et l’
enfant
timide Entrait, me regardait de son grand œil hum
entir encor. Non, rien de tout cela, sinon qu’elle était belle, Belle
enfant
comme on l’est sous ce climat fidèle, Comme l’est
oigner, en son charme innocent, La jeune fille en elle empruntait à l’
enfant
; Ses visites bientôt n’auraient été complètes Sa
surprends encore A contempler un front que son avril décore, Un cou d’
enfant
rieuse élégamment penché, Un nœud de tresse erran
écessaire aux maîtres et l’exercice aux élèves. Entre les élèves, les
enfants
de la campagne sont plus robustes que les enfants
tre les élèves, les enfants de la campagne sont plus robustes que les
enfants
des villes ; entre les enfants des villes, ceux d
la campagne sont plus robustes que les enfants des villes ; entre les
enfants
des villes, ceux du peuple et des artisans sont p
x des riches bourgeois ; les plus faibles et les moins sains sont les
enfants
des grands. Tout se compense. La vie sédentaire d
assidue à une seule chose qui ennuie, fatigue et dégoûte l’homme et l’
enfant
. Quintilien, auteur d’un grand sens, assure qu’u
’homme et l’enfant. Quintilien, auteur d’un grand sens, assure qu’un
enfant
sera moins lassé de quatre leçons différentes112
esprit ils songeaient à la force du corps. On exigera seulement que l’
enfant
qui se présente soit instruit de ce qu’on doit av
faut pas perdre du temps et des soins à cultiver l’esprit bouché d’un
enfant
à qui la nature n’a donné que des bras qu’on enlè
er le génie que d’enlever aux professions subalternes une multitude d’
enfants
pour les livrer à tous les vices qui suivent l’ig
de ce règlement tempère l’ambition des parents jaloux de tirer leurs
enfants
de la condition subalterne qu’ils exercent et de
quartier pourront donc être ou célibataires ou mariés. S’ils ont des
enfants
, tant mieux, pères de famille, ils n’en seront qu
r les répétiteurs ou maîtres de quartier, et à exclure des écoles les
enfants
ineptes ou vicieux. Si l’Université était composé
er à tout apprentissage celui qui ne coûte rien, tire une multitude d’
enfants
de la profession de leurs pères, de grandes maiso
aître vicieux. Pères, l’indulgence déplacée pour l’instituteur de vos
enfants
retombera sur eux et sur vous ; souverains, l’ind
mais il en avait soixante à la gravité des traits. On eût dit que cet
enfant
avait deviné le sérieux et les tristesses de l’ex
z, jugez, jouissez ; mais ne faites pas de bruit de peur d’éveiller l’
enfant
et la mère, et surtout de peur d’éveiller la jalo
s par un succès. Voilà cependant que la jolie fille de mon concierge,
enfant
de douze à quatorze ans, ouvre la porte de ma cha
déchiffrables. « Pourquoi riez-vous ainsi finement, Lucy ? dis-je à l’
enfant
tout en rompant le cachet et en déchirant l’envel
ras jamais un pareil message ; à la loterie de la gloire, ce sont les
enfants
qui tirent les bons lots. Dis à ta mère que tu m’
vue de la fenêtre où se couche le soleil, où se lève l’étoile, dans l’
enfant
à la mamelle, dans la mère souriante, dans le pèr
e fille rêveuse, dans la servante attachée à l’âtre, seconde mère des
enfants
, et jusque dans le chien nourri d’affection, qui
par l’été. La vendange joyeuse enivrait la montagne ; Hommes, femmes,
enfants
, chantant dans la campagne, Cueillaient les raisi
mystère ; La grotte du poète est sombre, nue, austère. Sa mère et son
enfant
sont tout près, chers tombeaux, Deux portraits de
i, fixe on ne sait quoi là-bas à l’horizon, Comme pour voir au ciel l’
enfant
de sa maison. La chapelle des morts, l’église du
le et d’amis de la famille, plusieurs jeunes nièces avec leurs petits
enfants
. Par un beau soir d’octobre, toute cette société,
toute cette société, les jeunes gens à pied, les femmes à cheval, les
enfants
sur des ânes, partit pour visiter les plus hauts
s convenus. Ces sites déserts ne sont fréquentés que par des bergers,
enfants
des chaumières isolées de la montagne, qui y mène
de la montagne, qui y mènent paître les chevreaux et les moutons. Ces
enfants
se réunissent par groupes de cinq ou six têtes bl
s très petits sur la place : la petitesse des sabots disait l’âge des
enfants
par la mesure des pieds qu’ils avaient chaussés.
par la mesure des pieds qu’ils avaient chaussés. Les visiteurs et les
enfants
du château s’ingéniaient à chercher des yeux, à a
a petite niche que nous fîmes aux petits bergers de la montagne, plus
enfants
qu’eux sous des cheveux gris ou sous nos fronts c
au sommet du plateau Aperçut des sabots près d’une cendre grise ; Les
enfants
avaient fui, saisis par la surprise, Effrayés des
……………… Le lendemain venaient dans la cour du château De frais petits
enfants
à la joue en fossettes, Offrant ce qu’ils avaient
u ! Quand on voit jusqu’ici monter les robes blanches, Notre semaine,
enfants
, a toujours deux dimanches ! » ……………………………………………
ue le miracle eut lieu ! Un conte amusera la chaumière idolâtre ; Les
enfants
, dans l’espoir du don miraculeux, Porteront leur
; mais une rose pâle, une rose du Nord, une jeune fille, presque une
enfant
, dont les traits, à peine indiqués par la nature,
i belle que lui, lui, moins éthéré qu’elle, tant ce visage était d’un
enfant
; mais les yeux étaient d’un être qui a fini sa c
avait retenti un peu plus profond que les autres noms dans son âme d’
enfant
; que le mien, à tort ou à raison, était du nombr
bre ; que j’avais parlé, à mon insu, à son imagination naissante ; qu’
enfant
, elle avait balbutié mes poèmes ; que, plus tard,
tonné encore lorsqu’en relevant les yeux je me trouvais en face d’une
enfant
de seize ans, pâle comme un spasme, calme comme l
depuis mon départ de Matakon, je demandai à Ali ce qu’était devenu l’
enfant
dont elle avait dû accoucher après mon départ et
e à un garçon, mais ce petit garçon ne ressemblait en rien aux autres
enfants
. Il était venu au monde avec une tête énorme et,
caporal, Nâna et trois autres vieilles ayant passé l’âge d’avoir des
enfants
sont partis vers 6 heures du soir au moment où la
s du soir au moment où la nuit tombe. Les quatre vieilles portaient l’
enfant
. Ils se sont rendus à la plage et ont déposé le p
mager. Les trois assiettes avec leur contenu ont été rangées devant l’
enfant
. Et la vieille a dit à celui-ci : « Quand tu ne v
Tous étaient transis, immobiles d’épouvante. — Enfin le vent cessa. L’
enfant
avait disparu et avec lui toutes les offrandes :
siettes étaient toujours au même endroit. Jamais depuis on n’a revu l’
enfant
. Jamais plus on n’a entendu rien de lui. Sambadou
ous les maîtres qui enseignent leur art et dans l’oreille de tous les
enfants
; je ne vous la répéterai pas, toute belle qu’ell
de pierres noirâtres semblables à des imitations de pyramides par des
enfants
sur le sable du désert, la nudité d’eau et d’arbr
ysan a allumé son fagot de myrte ou de buis pour cuire le pain de ses
enfants
. La maison de mon père était cachée à l’œil par l
monticules, où les chèvres et les moutons montaient le matin avec les
enfants
, et d’où ils redescendaient le soir au village po
t aux mères. III Ce monde était bien petit, même pour un petit
enfant
; mon intelligence commençait à se développer ave
rrière la montagne. Quand j’y montais jusqu’au sommet avec les autres
enfants
du hameau pour suivre les chèvres, je n’apercevai
n où s’opère ce phénomène, me vinrent d’où vient toute révélation aux
enfants
, de leur mère. La mienne avait la piété d’un ange
is vivre en effet autour de moi. Je passe sur ces rudes années où les
enfants
voudraient qu’il n’y eût pas d’autre langue que c
le m’inspira. J’ai retrouvé, il y a peu de temps, cette composition d’
enfant
, écrite d’une écriture ronde et peu coulante, dan
aîtres la lui avaient adressée pour la faire jouir des progrès de son
enfant
. Je pourrais la copier ici tout entière ; je me c
s mains. « Le vent attiédi de mai souffle, semblable à l’haleine d’un
enfant
qui se réveille ; il sèche sur leurs visages et s
qui aiment tant la demeure de l’homme, avaient peur de réveiller les
enfants
encore endormis dans la chambre haute. « Enfin, l
la cloche, ébranlée par la corde à laquelle se suspendent les petits
enfants
au signal du sonneur, répond à ce premier rayon d
ur sortir les premiers de leur prison ; elle les donne à conduire aux
enfants
. « Les petits bergers, armés d’une branche de hou
resse rouge qui serpente autour de la laine. Elles gardent les petits
enfants
en causant entre elles des printemps d’autrefois.
ête ; elle le soutient d’une main, et elle conduit de l’autre main un
enfant
qui commence à marcher et qui trébuche sur les pi
œil dans les vignes des coteaux voisins. Ils déposent le berceau de l’
enfant
endormi dans une charrière (petit sentier creux e
croupir auprès du berceau, entrouvre sa chemise et donne son lait à l’
enfant
après avoir donné sa sueur à la vigne. « Quand l
ntemps passés. Mais je n’en copie pas davantage ; ces balbutiements d’
enfant
n’ont de charme que pour les mères. X Quoi
rofesseurs aimés me cultivèrent avec une tendre sollicitude, comme un
enfant
qui promettait au moins un amour instinctif pour
ion des prix, au collège des Jésuites, devant les mères et devant les
enfants
qui l’applaudirent. Elle ne sortit jamais entière
qui lui avait ouvert sa bibliothèque ; il commençait à m’aimer, tout
enfant
que j’étais moi-même, de cette amitié qui devint
telles lectures et de tels entretiens devaient donner à l’esprit d’un
enfant
. Ces livres, ainsi feuilletés et commentés en ple
vince. XXIII M. de Valmont avait eu l’occasion ainsi de me voir
enfant
dans le cabinet d’étude de mon oncle ; il m’avait
dans le mystère comme il a vécu. XXV « Eh bien ! me dit-il, mon
enfant
, vous voyez le premier le grand mystère de cet en
uelques minutes de plus dans ce lieu suspect. Ce n’est pas contre des
enfants
comme vous que ce mur a été élevé au-dessus de la
aïssent quand vous vous retirez de leur société. Montez avec moi, mon
enfant
, continua-t-il en me prenant par la main, et vene
reconduisant sur la galerie et sur le seuil du jardin : « Allez, mon
enfant
, me dit-il, et dites, si on vous interroge, tout
posé, sur la foi de mon honneur et de mon labeur, l’héritage de leurs
enfants
, le fruit de leurs propres sueurs. Si je ne trava
le soir à la maison le salaire qui nourrit la femme, le vieillard, l’
enfant
? Les enfants des Samiens insultaient Homère parc
maison le salaire qui nourrit la femme, le vieillard, l’enfant ? Les
enfants
des Samiens insultaient Homère parce que, disaien
mbes malades sont enveloppées d’une couverture. Il est entouré de ses
enfants
et de ses petits-enfants, la plupart empressés à
partout. De derrière le fauteuil du vieillard sort une petite tête d’
enfant
. Il s’avance ; il voudrait bien aussi entendre so
udrait bien aussi entendre son grand-papa, le voir et le servir ; les
enfants
sont officieux. On voit ses petits doigts posés s
s. Point de gêne dans les mouvements. Chacun est à ce qu’il fait. Les
enfants
les plus jeunes sont gais, parce qu’ils ne sont p
promettre d’autre consolation que la même tendresse de la part de ses
enfants
, pour un temps qui n’est pas loin. Et puis, l’âge
nçailles les mêmes que celles de son Paysan qui fait la lecture à ses
enfants
… D’accord ; mais si le peintre l’a voulu ainsi ?
aractère du vieillard est unique ; le caractère du gendre, unique ; l’
enfant
qui apporte à boire, unique. La vieille femme, un
re sainte à sa famille, il avait placé dans un coin à terre, un petit
enfant
qui pour se désennuyer, faisait les cornes à un c
ce. Je n’aime pas son portrait de Mademoiselle. Il est gris, et cette
enfant
est souffrante. Il y a pourtant dans celui-ci des
au. Peignez votre femme, votre maîtresse, votre père, votre mère, vos
enfants
, vos amis ; mais je vous conseille de renvoyer le
s femmes, qui change l’amour en bestialité, jusqu’à la communauté des
enfants
, qui détruit la piété filiale en défendant aux en
communauté des enfants, qui détruit la piété filiale en défendant aux
enfants
de connaître leur père ; depuis le meurtre des no
s de la nature ; et voilà ce que l’on fait admirer, sur parole, à des
enfants
pour pervertir en eux l’entendement par l’admirat
it déjà remuer dans ses flancs l’embryon d’une révolution radicale, l’
enfant
de Genève, J.-J. Rousseau, presque Allemand par l
vie lettrée. On peut croire que cette mère donna, avec le sein, à son
enfant
, cette prédestination aux choses de l’esprit et c
s et de désordre. Ces deux filiations firent plus tard de Rousseau un
enfant
impressionnable, un écrivain sublime, un rêveur c
rondelles, disait tout honteux : — Allons nous coucher : je suis plus
enfant
que toi. » Quelles délicieuses pages ! Combien u
mple des scènes intimes, et fait d’une veillée entre un vieillard, un
enfant
et le souvenir d’une mère morte, un drame muet qu
I Une tante, qui chantait en cousant près de la fenêtre, donna à l’
enfant
les délices et le goût de la musique. Le Devin du
tés de la première scène. Le père était de nouveau sorti de Genève. L’
enfant
recevait une éducation mercenaire à la campagne ;
Plus de mère, et un père errant qui aimait, mais qui abandonnait les
enfants
d’un premier foyer pour en chercher un autre à tr
uer à l’innocence le rôle prématuré du vice et où l’on sacrifiait des
enfants
à la sacrilège licence des spectateurs. Ces ordur
u goût, ces abjections d’images, sentent les inélégances natales d’un
enfant
sans mère qui prend ses polissonneries pour des p
son laquais ne l’avait avertie qu’il était temps d’entrer. — Eh ! mon
enfant
, me dit-elle d’un ton qui me fit tressaillir, vou
îné de M. Villardin de Lausanne. Ce mariage, qui ne produisit point d’
enfants
, n’ayant pas trop réussi, madame de Warens, pouss
re femme, qui aime en songe un idéal d’innocence sous les traits d’un
enfant
abandonné et recueilli par elle, et qui, à son ré
vice, joue avec l’amour sans faire rougir même la timidité des trois
enfants
. Ce sont des pages de cette candeur et de cette s
ns les plis de son manteau, à l’hôpital des orphelins abandonnés, les
enfants
de Thérèse, arrachés sans pitié aux bras, au sein
fausses sur le crime des mères qui n’allaitent pas elles-mêmes leurs
enfants
! proscription des nourrices, qui donnent un lait
reux des femmes du monde. Le lait de l’hôpital et le vagabondage de l’
enfant
sans mère et sans père lui paraissaient-ils donc
l, que la société n’armât un jour contre lui le bras parricide de ses
enfants
! Quel drame expiatoire il y aurait à faire entre
se, dans l’amour bestial d’un tel homme et après de tels rapts de ses
enfants
, ne devait-elle pas frémir de devenir mère ! X
re de Thérèse, pour alléger le poids du ménage ; le vieillard comme l’
enfant
, ces deux fardeaux si doux du cœur, l’importunent
même main qui venait de jeter et qui jetait encore à cette époque ses
enfants
à l’hôpital des enfants trouvés pour y recevoir l
jeter et qui jetait encore à cette époque ses enfants à l’hôpital des
enfants
trouvés pour y recevoir l’éducation de la misère,
teuse pour l’humanité en faisant ces forçats de naissance appelés des
enfants
trouvés, dans ces tours, égouts de l’illégale pop
ravail et de pauvreté, un livre qui suppose dans la famille et dans l’
enfant
qu’on élève une opulence de Sybarite ou des délic
s mercenaires attachés par des salaires sans mesure aux pas de chaque
enfant
, des voyages lointains à grands frais avec le lux
nt de ne pouvoir soumettre la société à son égoïsme ! Quoi ! voilà un
enfant
né dans la boutique d’un artisan, le point de vue
de en effet, et envier si naturellement les heureux oisifs ; Voilà un
enfant
qui, dégoûté de l’honnête labeur paternel avant d
besoin pour le proposer et pour l’exécuter que chaque père et chaque
enfant
appartinssent à la caste des opulents dans un peu
déshonneur de sa concubine, jusqu’à la condamnation sans crime de ses
enfants
, jusqu’à la diffamation de ses meilleurs amis, ju
grand qu’elle, à la fontaine du bois, dans la nuit. La pauvre petite
enfant
plie et succombe. Valjean se montre à propos, por
fant plie et succombe. Valjean se montre à propos, porte le seau de l’
enfant
, et rentre à l’auberge des Thénardier. C’est un c
e de compassion enfantine. Il contemple Cosette ; la description de l’
enfant
souffreteuse et grelottante est d’une vérité et d
et d’une sensibilité qui n’appartiennent qu’au grand poète des petits
enfants
, Victor Hugo. C’est là sa note de prédilection ;
, Cendrillon battue en cet infâme foyer, à côté des caresses des deux
enfants
chéris de l’hôtesse. Il risque plusieurs fois de
nze cents francs, des mains de ses hôtes ; s’enfuit vers Paris avec l’
enfant
, et va se cacher dans une maison réprouvée, dans
du marché aux chevaux. Il s’y attache de plus en plus à cette pauvre
enfant
. Une vieille femme, façonnée à toute servitude, f
ussi tendre qu’une femme. Victor Hugo lui prête sa tendresse pour les
enfants
. Ici le romanesque du roman commence. Ce romanesq
t pas briller impunément ce diamant de fille dans ce désert. Les deux
enfants
se voient, se perdent, se retrouvent, s’éprennent
udrait aller plus loin, mais qui n’ose pas, sur les jeunes étudiants,
enfants
de Béranger, qui voudraient chanter la Marseillai
qui embauchent des vagabonds pour faire des cadavres dans la rue. Des
enfants
qui s’amusent avec des fusils pour jouets, et qui
l’aime à son insu. « Il leva les yeux, et reconnut cette malheureuse
enfant
qui était venue un matin chez lui, l’aînée des fi
x pièces sur caves, espèce d’en-cas destiné à dissimuler au besoin un
enfant
et une nourrice. Ce logis communiquait, par derri
qu’elle avait une arme. Les femmes jouent avec leur beauté comme les
enfants
avec leur couteau. Elles s’y blessent. « On se ra
ans la brume grossissante du cloître. Elle avait toutes les peurs des
enfants
et toutes les peurs des religieuses mêlées. L’esp
t établis à Paris sous le faux nom de Jondrette, et dont les nombreux
enfants
, échangés, prêtés, rendus, ne savent plus guère à
rupules. « — Mais c’est mal, dit-elle à son mari, de vendre ainsi ses
enfants
. — Jean-Jacques Rousseau a fait mieux », répond T
rrête dans son repaire la femme qui a acheté les deux derniers petits
enfants
de la Thénardier. Un petit vagabond, nommé Gavroc
arme dans la boue, mais la larme est chaude. XXX L’histoire des
enfants
perdus, soit dans la forêt, mangeant des mûres, s
tes de l’humanité. Ce petit protecteur indifférent et gai des pauvres
enfants
est le type de la légèreté stoïque de l’enfant de
nt et gai des pauvres enfants est le type de la légèreté stoïque de l’
enfant
de Paris, dont M. Hugo fait un idéal, idéal féroc
sauvée a récompensés par un indigne oubli de leurs services ! Voilà l’
enfant
de Paris, quand on sait faire appel à son feu cac
invention du poète, cela touche, parce que cela est bon : ces pauvres
enfants
de la Thénardier, sans feu, sans pain et sans asi
M. Bouchardy. Les anciens, nos maîtres en toutes choses, étaient des
enfants
, comparés à ce M. Bouchardy, qui est dans son gen
médie et elle veut jouer la comédie. Elle la jouait d’abord comme une
enfant
, avec les meubles de sa mère. Le paravent représe
sur un pied, saluez ! c’est l’éternel amoureux de la comédie. Le bel
enfant
anime de sa passion naissante cet acajou massif ;
enfant anime de sa passion naissante cet acajou massif ; peu à peu l’
enfant
grandit, et sa passion avec elle ; la comédie de
ive, de lui tendre sa main puissante ; mademoiselle Mars a pitié de l’
enfant
, elle ne veut pas qu’elle soit noyée dans ce traj
t, elle ne veut pas qu’elle soit noyée dans ce trajet difficile, et l’
enfant
passe. Aussitôt le parterre est charmé de ce jeun
tes les vieillesses du théâtre, demande quel est l’âge de cette belle
enfant
? Alors on lui répond qu’elle a seize ans à peine
gagnait de voir faire tant de bruit, à propos de cette calme et belle
enfant
. — Et c’est là tout ce que tu diras ? reprit Henr
rses, moins populaires que vous ne dites. Ceci fait, j’aurais suivi l’
enfant
dans sa seconde entreprise ; de L’École des femme
oi bon cette question, et quel rapport trouvez-vous enfin entre cette
enfant
qui débute et ce piano d’Érard ? — Malheureux, tu
donc, mon ami, ce qui se passe dès le premier jour du début de cette
enfant
! Laissez de côté votre admiration pour Molière,
est-il pas vrai que cette petite Agnès n’a rien de naïf, et que cette
enfant
est très avancée pour son âge ! Plus elle s’envel
voulez pas que je m’attriste quand je viens à reconnaître, dans cette
enfant
qui débite en rougissant tout l’esprit de Molière
s des Tuileries ? Quel changement s’est opéré dans le destin de cette
enfant
? Aujourd’hui, rieuse et naïve, et le lendemain c
d’oiseau joyeux est remplacé par une déclamation savante : ce geste d’
enfant
par les belles révérences. À cette heure, elle ét
sole, que je me lamente, quand j’assiste à ce funeste sacrifice d’une
enfant
? Vous ne voulez pas que je m’étonne quand j’ente
remetteuse et l’escroc, n’était pas faite pour y faire apparaître des
enfants
frais et blonds. Il parla ainsi longtemps, et c’e
es, à ces hasards ; et les reproches de pleuvoir sur le père de cette
enfant
, qui était un très mauvais poète, un très bon com
s bon comédien et qui s’appelait Monvel. Hé bien ! qu’arriva-t-il ? L’
enfant
joua peu à peu tous les petits rôles de Molière ;
mba de cette voix éclatante, sonore, et touchante. Aujourd’hui, cette
enfant
accueillie à ses débuts de ces mauvais présages,
ême chaîne. Voilà donc que, pour augmenter l’embarras de cette pauvre
enfant
, le même jour et pour ainsi dire à la même heure,
plaudir, vous êtes ivres de joie, et personne ne prend en pitié cette
enfant
, la voyant la proie et la victime de votre admira
poussa à l’œuvre commune. Ainsi, c’est à M. Régnier, un de ses dignes
enfants
, que Molière est redevable de sa statue, entre la
lquefois utilement pour les familles, quelquefois iniquement pour les
enfants
, la transmission des terres de père en fils. Mon
urir. Après sa mort, son vaste héritage s’était partagé entre ses six
enfants
, trois fils et trois filles. De cette nombreuse m
r, au retour des bois humides, les mains de son mari et de ses petits
enfants
. Ce groupe de noires montagnes est percé à peine
famille, aimait tendrement mon père ; il nous avait adoptés pour ses
enfants
. Nous quittions tous les ans notre maison moins p
que et pour animer un peu cette solitude par ce doux tumulte dont six
enfants
en bas âge remplissent la maison d’un homme sans
age voisin : les hommes mûrs abattaient les chênes avec la hache, les
enfants
ébranchaient l’arbre abattu, les femmes et les fi
le sainfoin coupé et suspendu aux dents de bois de leur râteau ; les
enfants
, les glaneuses cueillaient çà et là les épis et l
ouviers, puis les simples journaliers, puis les bergers, presque tous
enfants
en bas âge, à l’exception du berger en chef des m
une fontaine. Les hommes se levaient, les fronts se découvraient, les
enfants
et les jeunes filles se rapprochaient. Elle faisa
e, le matin avant que le soleil se lève ; les cris intermittents de l’
enfant
qui les chatouille de la pointe de l’aiguillon ;
Homère que ces journées. Nous l’ignorions, parce que nous étions trop
enfants
pour découvrir l’art suprême sous les simplicités
une, si belle et si touchante alors au milieu de son ménage et de ses
enfants
, n’était pas cependant très érudite ; elle n’étai
vraies et à toucher de sentiments justes l’imagination et le cœur des
enfants
, qu’elle voulut à cette époque nous lire elle-mêm
soleil sur les gerbes répandues dans l’aire, toute la famille, oncle,
enfants
, se réunissaient après dîner (on dînait alors au
c l’attitude d’hommes qui écoutent. XIII « Il faut d’abord, mes
enfants
, nous dit notre mère, que je vous apprenne ce que
intérêt qu’un roi ou qu’une reine à cette histoire. « Vous-mêmes, mes
enfants
, votre père, votre oncle, l’un sous le nom d’Ulys
la maison où il est né et où il voudrait mourir ! » — « Voyez, mes
enfants
, nous dit-elle, quelle profonde analyse des sens
n héraut s’empresse d’y verser le vin. » — « Ne diriez-vous pas, mes
enfants
, reprit notre mère, que ces usages domestiques, q
nfin sur ses paupières. Nous nous récriâmes d’admiration, nous autres
enfants
, sur cette tendresse et sur cette douleur voilée
imait le plus, parce qu’elle l’avait élevé pendant qu’il était encore
enfant
. Elle ouvre les portes de sa chambre solidement b
age que lui conseille Minerve. » — « Que pensez-vous d’Euryclée, mes
enfants
? nous demanda notre mère après avoir fermé le li
, chacun de vous n’a-t-il pas eu son Euryclée, cette seconde mère des
enfants
de la maison, par l’habitude de les avoir vus naî
éit. La nuit vient ; Télémaque s’embarque en secret. — « Écoutez, mes
enfants
, comme tous les détails de la mer prennent dans l
tout pour le voyage par terre que Nestor conseille à son hôte. « “Mes
enfants
, dit le vieux roi, hâtez-vous d’amener pour Télém
ue sur le cou des bœufs, ne croyez-vous pas voir, dit la lectrice aux
enfants
, votre père, quand le chef de l’écurie lui présen
t plus agréable qu’un pâturage de coursiers. » — « Vous souriez, mes
enfants
, dit notre mère à ce passage, parce que vous pens
toit de son père est toujours la passion et la vertu même du cœur des
enfants
! » XIX Ici le poète revient par son récit
unes comme les plus vieilles ! « Ne fut-ce pas exactement ainsi, mes
enfants
, dit notre mère en fermant à demi le livre, le jo
e. Peu d’observations interrompirent ces chants, moins faits pour des
enfants
que pour la populace crédule, jusqu’au passage où
s Alcinoüs, pénétrant toute la pensée de sa fille, lui répondit : Mon
enfant
, je ne vous refuserai ni mes mules ni autre chose
squ’au dénouement de tant de merveilleuses histoires commentées à des
enfants
par les lèvres intelligentes d’une mère. La lectu
s yeux des prétendants. — « Peindriez-vous autrement aujourd’hui, mes
enfants
, le vieux bûcheron du village de Clemencey, qui v
ur paner comme aujourd’hui les morceaux. — Vous en plaignez-vous, mes
enfants
? dit notre mère. — Non assurément, répondîmes-no
quelquefois de pleurer de tendresse au retour de votre père ou de mes
enfants
, dit notre mère, quand vous voyez deux héros, le
élicieusement que l’amour d’un fils pour son père, d’un père pour ses
enfants
, de l’épouse pour son mari ? Si vous m’accusez de
our les jours de fête dans le trésor de la maison. Souvenez-vous, mes
enfants
, de votre grand-père ! Avant de mourir, il vivait
que dans ce riche verger vous m’avez donnés jadis lorsqu’étant encore
enfant
, et accompagnant vos pas ici, je vous demandai de
gne avec les Indes. Le peuple allemand est rêveur et mystique comme l’
enfant
dépaysé du Gange ; il s’enivre de sa propre imagi
t l’emploi de leur génie ; ils jouent avec leur imagination comme des
enfants
avec leurs jouets. Au lieu de lui demander ces œu
ns deviennent des idées. On trouve les premières prédispositions de l’
enfant
à la rêverie, maladie féconde des grandes imagina
ses leçons. Qui de nous ne se reconnaît pas dans cette peinture de l’
enfant
captif au dernier échelon de quelque cage paterne
omener dans leurs jardins, arroser leurs fleurs, regarder jouer leurs
enfants
, et se livrer avec des amis à toutes sortes d’amu
nchants. Pour comble de malheur on croyait alors que, pour guérir les
enfants
de la crainte du surnaturel, il fallait les accou
nda le volume et le lut en secret comme un objet d’édification de ses
enfants
. Les enfants furent ravis et retinrent les passag
et le lut en secret comme un objet d’édification de ses enfants. Les
enfants
furent ravis et retinrent les passages les plus p
père se lève, indigné d’être poursuivi jusque dans la mémoire de ses
enfants
par la poésie de son aversion, il s’emporte contr
e fis des reproches à mes amis de ce qu’ils avaient fait sortir cette
enfant
si tard dans la soirée. Ils se moquèrent de moi,
able, joue un rôle dans les marionnettes comme épouvantail des petits
enfants
. De tout temps et en tout pays l’homme aspire plu
erre, je te donnerai mon âme. De ce pacte imaginaire, que les peuples
enfants
ont cru quelquefois réalisé, sont nées les légend
dans l’esprit des peuples et tout popularisé dans l’oreille même des
enfants
que la lanterne magique des poètes de rue familia
sant et si salutaire emploi de ses facultés ! Le père le montre à son
enfant
; on s’informe, on s’attroupe, on s’empresse ; la
la tradition puérile de l’Allemagne. Il faut laisser cette scène aux
enfants
et au peuple infatués de la sorcellerie du moyen
ue grotesque de détails, qui n’est propre qu’à amuser l’imagination d’
enfants
ou de la populace dans un conte de fée. Les espri
de personne pour me conduire à la maison. Faust. Par le ciel ! cette
enfant
est la beauté accomplie ! Je ne vis de ma vie rie
issé derrière le confessionnal. Mais c’est l’innocence même que cette
enfant
: je n’ai aucun pouvoir sur elle ! Faust insiste
s reçu les aïeux sur tes bras ouverts ! combien de fois des groupes d’
enfants
, les mains tendues, ont dû se suspendre autour de
me, peut-être, ma bien-aimée, reconnaissante envers son divin Christ,
enfant
aux joues fraîches et saines, est venue pieusemen
dedans bien des petites choses pour en gagner une autre. Tu sais, un
enfant
est enfant, un jeu est un jeu. Faust, retenu main
n des petites choses pour en gagner une autre. Tu sais, un enfant est
enfant
, un jeu est un jeu. Faust, retenu maintenant par
IV La toile tombe sur l’éblouissement et l’hésitation de la pauvre
enfant
. La toile se relève sur Faust et Méphistophélès q
que l’objet n’apportait pas grande bénédiction dans sa maison. « Mon
enfant
, s’écria-t-elle, bien mal acquis pèse sur l’âme e
ont, au cou, aux doigts de Marguerite. — « Quel dommage, dit la belle
enfant
, de ne pouvoir ainsi me montrer ni dans la rue ni
rien aimer de permanent ; il touche de pitié le cœur naïf de la belle
enfant
. Marguerite. Oh ! moi !… songez à moi quelquefoi
la ville. Mon frère est soldat ; ma petite sœur est morte. La pauvre
enfant
m’a causé bien des peines ; pourtant je ne regret
ourtant je ne regretterais pas de les reprendre pour elle : la pauvre
enfant
m’était si chère ! Faust. Un ange ! si elle te re
élevai toute seule avec du lait et de l’eau, au point que c’était mon
enfant
; dans mes bras, sur mes genoux, elle me souriait
as ! — Il m’aime ! (Elle jette un cri de joie.) Faust. Oui, céleste
enfant
; laisse la voix d’une fleur être pour nous l’ora
mais je crois que tu n’en as pas beaucoup. Faust. Laissons cela, mon
enfant
! Tu sens ma tendresse envers toi ; pour ceux que
ve encore du louche, car tu n’as point de christianisme. Faust. Chère
enfant
! Marguerite. Déjà depuis longtemps je souffre de
fille, produit ici une déchirante impression dans la bouche de cette
enfant
qui sera bientôt mère d’un fils repoussé par le m
ite, la quatrième regarde avec joye. Celle-cy retient devant elle son
enfant
qu’elle embrasse du bras droit. Derrière ces femm
nt de tourner dans le même sens une foule d’auditeurs hommes, femmes,
enfants
, assis, debout, prosternés, accroupis, agenouillé
terné, admirant. Le reste du corps de ce personnage est dérobé par un
enfant
vu par le dos et appartenant à l’une des deux gra
Les femmes accroupies aux piés du saint sont livides et découpées. L’
enfant
qu’une d’elles retient en l’embrassant est de cir
ts, ni prêtres, ni citoyens instruits ? Que vois-je des femmes et des
enfants
? Et quoi encore des femmes et des enfants. C’est
vois-je des femmes et des enfants ? Et quoi encore des femmes et des
enfants
. C’est comme à saint-Roch un jour de dimanche. De
préfère, le mouvement s’accroît en raison inverse de l’âge, depuis l’
enfant
jusqu’au vieillard. Quel que soit le module ou la
se comme celle des hommes, ni celle des hommes faits, comme celle des
enfants
. Un grave personnage sémillant est ridicule ; un
ien. Le mouvement frappe plus, que le repos. Il faut du mouvement aux
enfants
, et il y a beaucoup d’enfants. On sent mieux un f
que le repos. Il faut du mouvement aux enfants, et il y a beaucoup d’
enfants
. On sent mieux un forcené qui se déchire le flanc
ne sa mamelle à têter à sa vieille mère et qui console d’une main son
enfant
qui pleure debout devant elle de la privation d’u
tiste, tout étoit par masse et qu’à l’exception du soldat qui tient l’
enfant
et qui le menace de son glaive, il n’y avoit pas
e est plate. Et puis où est la noblesse ? Où est la fierté ? C’est un
enfant
. C’étoit la nature de l’ Apollon du belvédère qu’
vue de profil et attentive à la scène. Elle a sur ses genoux un petit
enfant
qui tient une rose. La première paroit lui impose
r silence. Que font là ces femmes ? Que signifie cet épisode du petit
enfant
à la rose ? Quelle stérilité ! Quelle pauvreté !
t enfant à la rose ? Quelle stérilité ! Quelle pauvreté ! Et puis cet
enfant
est trop mignard, trop fait, trop joli, trop peti
enfant est trop mignard, trop fait, trop joli, trop petit ; c’est un
enfant
Jésus. Tout à fait à gauche, sur le fond, en tour
s belle ; et pour vous ?… pour moi, ce n’est rien. C’est un morceau d’
enfant
, le prix d’un écolier qui veut aller à Rome et qu
; Caesar au pié de la statue d’Alexandre ; la leçon de Scilurus à ses
enfants
, trois morceaux à cogner le nez contre, à ces mau
vie se nourrit d’air et de jour, ce communisme délicat d’une troupe d’
enfants
de Dieu, vivant en confiance sur le sein de leur
titution de race aura lieu. Le royaume de Dieu est fait : 1° pour les
enfants
et pour ceux qui leur ressemblent ; 2° pour les r
ette génération, et à qui les comparerai-je ? Ils sont semblables aux
enfants
assis sur les places, qui disent à leurs camarade
devient de suite un lieu public. Tout le village s’y rassemble ; les
enfants
y font invasion ; les valets les écartent ; ils r
trop zélés. Il protégeait ceux qui voulaient l’honorer 536. Aussi les
enfants
et les femmes l’adoraient. Le reproche d’aliéner
n naissante fut ainsi à beaucoup d’égards un mouvement de femmes et d’
enfants
. Ces derniers faisaient autour de Jésus comme une
tits sont des êtres sacrés 540, que le royaume de Dieu appartient aux
enfants
541, qu’il faut devenir enfant pour y entrer 542,
que le royaume de Dieu appartient aux enfants 541, qu’il faut devenir
enfant
pour y entrer 542, qu’on doit le recevoir en enfa
u’il faut devenir enfant pour y entrer 542, qu’on doit le recevoir en
enfant
543, que le Père céleste cache ses secrets aux sa
544. L’idée de ses disciples se confond presque pour lui avec celle d’
enfants
545. Un jour qu’ils avaient entre eux une de ces
e ces querelles de préséance qui n’étaient point rares, Jésus prit un
enfant
, le mit au milieu d’eux, et leur dit : “Voilà le
II, 18 et suiv. ; Luc, V, 33 et suiv. 531. Allusion à quelque jeu d’
enfant
. 532. Matth., XI, 16 et suiv. ; Luc, VII, 34 et
leur engagement volontaire. La tradition de la famille est que chaque
enfant
passe sous le drapeau ; l’uniforme est la robe vi
hes ; elle lui montre le château paternel assombri par le départ de l’
enfant
prodigue, son vieux père en deuil de sa vertu mor
amilles dispersées, le déchirement des séparations, les femmes et les
enfants
abandonnant la ville assiégée. Mais je ne sais qu
, à son tour, de son irrésistible nullité. Et ce parvenu du sort, cet
enfant
gâté de la chance a l’insolence de se plaindre !
notre pays. L’auteur l’a rendu plus inacceptable encore en mêlant des
enfants
au conflit pénible qu’il a mis en scène. M. et ma
nnu le bon droit de la femme, en lui confiant l’éducation de ses deux
enfants
. L’épouse séparée s’est réfugiée à Avranches, che
ce silence ; jamais elle n’a blâmé ni accusé son mari devant eux. Les
enfants
adorent d’ailleurs celui qui a remplacé l’absent.
urs conduites. Quel devoir de père M. Merson a-t-il rempli envers ses
enfants
, et quel devoir, lui, Caverlet, a-t-il oublié ? C
ce de M. Caverlet ne peut lui donner gain de cause. En entraînant les
enfants
, avec leur mère, dans une situation interlope rec
: « Tu dis qu’elle avait besoin d’affection ; elle n’avait donc pas d’
enfants
? » Aucune justification ne tient contre ce mot d
eilles, la sagesse est sur les lèvres des vierges et dans le cœur des
enfants
. Un tour de passe-passe d’une simplicité enfantin
conjugale ; il laisse faire et il laisse aller. Fourchambault a deux
enfants
, un fils et une fille dont la conduite lui échapp
montre pourtant beaucoup plus assidu depuis quelque temps. Mais, si l’
enfant
prodigue retourne au bercail, c’est avec un appét
nde ; il y a un secret douloureux dans leur réclusion. Bernard est un
enfant
naturel ; sa mère, toute jeune, a été séduite par
femme, trop fière pour se disculper, a changé de nom, elle a élevé l’
enfant
de sa faute, elle en a fait un homme d’honneur et
parle et commande, la piété filiale imposée par la mère outragée à l’
enfant
renié ; de l’autre, son acceptation par le fils h
inalité frappante de sa conception. Jusqu’à présent, la question de l’
enfant
naturel n’avait guère été traitée, au théâtre, qu
nt et hostile : combat ou antagonisme, contraste entre la misère de l’
enfant
du hasard et la richesse de l’homme sans entraill
s intimité, les aigreurs et les avanies d’un caractère acariâtre, des
enfants
dévoyés par une éducation insouciante, la ruine d
connaît pas, auquel il ne doit rien qu’une juste rancune ; et c’est l’
enfant
naturel qui remet l’ordre matériel et moral dans
le Mal qu’on a dit de l’Amour ; — le Bien et le Mal qu’on a dits des
Enfants
. Tous ces petits livres sont fort gentiment faits
suite de pages charmantes le début du Bien et du Mal qu’on a dits des
Enfants
. En voici quelques passages, quelques versets ou
chantait ses délices nouvelles et ses joies : « Si vous n’avez pas d’
enfants
, ayez-en d’abord ; ensuite vous lirez la première
; ensuite vous lirez la première partie de ce livre. Si vous avez un
enfant
, ne la lisez que quand il dormira. Tant qu’il ser
pour vous la fleur de l'âme des plus doux génies. Le visage de votre
enfant
! spectacle d’un intérêt inépuisable !… Vos yeux
illeurs, vous ne vieillissez plus ; au contraire, vous rajeunissez. L’
enfant
vous ôte les années qu’il prend. Toutes les trist
rent autour de vous toutes choses, même une chambre d’exil. Lorsque l'
enfant
rit, le ciel rit : tout est sérénité, lumière, jo
e, on devient plein de bienveillance et d’amour. *** Le regard de l’
enfant
guérit toutes vos plaies. Les petites mains de l’
e regard de l’enfant guérit toutes vos plaies. Les petites mains de l’
enfant
soulèvent le poids sous lequel votre cœur était a
gnonnes caresses apaise la sourde blessure. Lorsque vous portez votre
enfant
, — doux fardeau qui vous rend léger ! — il met se
s bleus de l’espérance, au-dessus des nuages, au-dessus des douleurs.
Enfant
! source de consolation, de joie, de vie ! On lui
-là seul se développe sans cesse et fleurit toujours. Dès le matin, l’
enfant
s’éveille, comme l’oiseau, sitôt que le jour luit
es adoré ainsi, et vous fîtes de même. Chacun à son tour. Lorsque l’
enfant
s’est endormi au sein et se réveille ivre de lait
re, qui aiment les fleurs jusqu’à la manie, et qui n’aiment point les
enfants
! — les enfants, ces fleurs douées d’intelligence
es fleurs jusqu’à la manie, et qui n’aiment point les enfants ! — les
enfants
, ces fleurs douées d’intelligence, ces fleurs don
ouées d’intelligence, ces fleurs dont le parfum s’appelle amour ! L’
enfant
est notre seconde innocence, notre vita nuova ! »
on est célibataire, opposer ces images riantes comme contrepartie aux
Enfants
terribles. La vérité est sans doute entre les deu
i en cela va un peu loin, l’amour et l’adoration des parents pour les
enfants
, insiste avec raison sur une idée des plus vraies
t nos éloges, ne fera sentir qu’à peine ce que nous critiquons : À l’
enfant
. Enfant, tes jeux sont doux à mon cœur paternel,
oges, ne fera sentir qu’à peine ce que nous critiquons : À l’enfant.
Enfant
, tes jeux sont doux à mon cœur paternel, Mon chan
ns d’une exquise douceur De repos et de rêverie. Marche donc, mon
enfant
, image du passé ; Ranime mon esprit qui, voyageur
il fait chaud sous les nuées ! Le chemin ombragé, c’est toi, mon bel
enfant
, Toi plus doux à mon cœur que le soupir du vent,
entir mes sabots Sur le parquet large et sonore. J’eus une mère,
enfant
, un père, comme toi, J’eus une aïeule aussi qui c
tombeaux, Comme des mères de familles Assises au milieu de leurs
enfants
aimés, Au soir d’un de ces jours où les cieux all
’avance ; il n’est pas né dans un pays de caractère, il n’a pas rêvé,
enfant
, aux grèves de l’Océan ; il n’a eu pour premier h
où Ulysse marque de la main le haut de la tour, et où l’on arrache l’
enfant
à sa mère. On voit à droite, une troupe de soldat
st un soldat qui s’est saisi d’Astianax qu’il tient entre ses bras. L’
enfant
est tourné et penché vers sa mère. Andromaque est
ernée aux pieds du soldat, et semble plutôt supplier que disputer son
enfant
. Sa tête répond aux cuisses du soldat. Elle a les
he une des suivantes d’Andromaque d’approcher de sa maîtresse et de l’
enfant
. Cette suivante s’arrache les cheveux, et elle es
btenir de lui, si Ulysse reste inflexible ? Qu’elle ne quitte pas son
enfant
, j’y consens. Mais qu’elle parle à Ulysse ! Que c
l’entendre. Repoussez-moi vers le fond ce soldat qui s’est saisi de l’
enfant
; qu’il ne cache pas à sa mère celui à qui elle d
nt bien plus certaines qu’Andromaque qu’elles ne verront plus ce cher
enfant
qu’elles ont élevé. Mais, Monsieur Doyen, vous av
sainte, la bouche entr’ouverte, l’air éploré, demande le salut de son
enfant
. Elle a trois de ses femmes autour d’elle ; l’une
out, l’époux de cette mère désolée, tenant son fils entre ses bras. L’
enfant
est dévoré par la douleur. Le père affligé a les
vers le ciel, expectando… etc. . La mère a saisi une des mains de son
enfant
, ainsi la composition présente en cet endroit, au
de six figures ; la mère éplorée soutenue par deux de ses femmes, son
enfant
qu’elle tient par la main, son époux entre les br
n enfant qu’elle tient par la main, son époux entre les bras duquel l’
enfant
est tourmenté, et une troisième suivante agenouil
s et un ustensile de ménage. On voit de profil, plus sur le fond, son
enfant
penché et les regards attachés sur le visage de s
science vous en dire autant des nuages qui portent votre sainte ; les
enfants
envelopés de ces nuages sont légers et minces com
ont immédiatement au-dessous de la sainte, il y en a un qui regarde l’
enfant
qui souffre entre les bras de son père, et qui le
ieusement imaginé, cette idée est d’un homme d’esprit, et l’ange et l’
enfant
sont deux morveux du même âge. L’intérêt de l’ang
c’est un ange ; mais en toute autre circonstance n’oubliez pas que l’
enfant
dort au milieu de la tempête. J’ai vu au milieu d
ouler dans des tas de bled. Un palais qui s’embrase est moins pour un
enfant
de quatre ans que la chûte d’un château de cartes
te mère éplorée, ces suivantes qui l’entourent, ce père qui tient son
enfant
, tout cela est manqué net. Premièrement, ces troi
qu’elle nuit à l’effet et qu’il fallait l’éteindre ou l’étendre ? Cet
enfant
est bien dans son maillot, il se tourmente bien,
n ne saurait plus vigoureusement colorié, trop peut-être, ainsi que l’
enfant
. Ce groupe avançant excessivement, chasse la mère
n ne peint pas avec plus de vigueur, on ne fait rien de mieux que cet
enfant
qui est dans la demi-teinte penché sur elle. Ses
upplie, et les trois suivantes qui la servent, et le mari qui tient l’
enfant
, tous ces objets forment un chaos, une masse comp
artout la furia francese ; qu’à juger de la figure qui tient le petit
enfant
, par le plan qu’on lui suppose, elle est d’une gr
ithmétique et de la géométrie. Il ne faut qu’un sens ordinaire ; et l’
enfant
de treize ans qui n’est pas capable de cette étud
élémentaire qu’à lire ; les lettres de l’alphabet ont fait verser aux
enfants
plus de larmes comme caractères de l’écriture, qu
re, qu’elles ne leur en feront verser comme signes algébriques. . Les
enfants
apprennent des jeux qui demandent plus de mémoire
e ne sont que les mêmes opérations, mais plus simples. Les exemples d’
enfants
initiés à l’âge de quinze ou seize ans aux élémen
demanda combien il y avait de secondes dans une année ; tandis que l’
enfant
rêvait à la question, D’Alembert la résolvait la
t rêvait à la question, D’Alembert la résolvait la plume à la main. L’
enfant
eut aussitôt fait que lui, avec cette différence
férence que le grand géomètre ne compta que l’année commune, et que l’
enfant
avait calculé cette année et l’année bissextile17
année bissextile17. Je crois qu’il s’est chargé de l’éducation de cet
enfant
qui ne s’est montré dans le reste qu’un sujet ord
ppelle un cercle un rond, une ligne une barre ; et pourquoi un autre
enfant
n’entendrait-il pas ce que Pascal inventa ? Un en
urquoi un autre enfant n’entendrait-il pas ce que Pascal inventa ? Un
enfant
ne peut guère entrer trop jeune dans les petites
vidence et de la vérité la plus rigoureuse. C’est à ces modèles que l’
enfant
comparera dans la suite tous ceux qu’on lui fera,
de Pascal. Un peuple, est-il ignorant et superstitieux ? apprenez aux
enfants
de la géométrie et vous verrez avec le temps l’ef
ntérêt. Cet essai d’analyse piquerait singulièrement la curiosité des
enfants
. La science des probabilités a lieu jusque dans l
des comètes, mais les sciences sont si faciles de nos jours, et les
enfants
ont tant de temps devant eux ! Quatrième clas
essant que l’histoire naturelle, point de science plus faite pour les
enfants
; c’est un exercice continu des yeux, de l’odorat
on doit se servir, si cet enseignement abstrait était à la portée des
enfants
; mais ; parvenus jusqu’ici, ils y auront été pré
des orateurs, des poètes, des philosophes, de grands artistes ; mais,
enfants
du génie bien plus que de l’enseignement, le nomb
exige beaucoup de mémoire, elle l’étend encore en l’exerçant. 3° Les
enfants
ne sont guère capables d’une autre occupation.
se. À cela je réponds qu’on peut exercer et étendre la mémoire des
enfants
aussi facilement et plus utilement avec d’autres
es ; qu’il est faux qu’on ne puisse tirer parti que de la mémoire des
enfants
; qu’ils ont plus de raison que n’en exigent des
lus rapides, et qu’on en sait plus et mieux dans un an et demi, qu’un
enfant
n’en peut apprendre en six ou sept ans. Mais acco
endre en six ou sept ans. Mais accordons qu’au sortir des écoles, les
enfants
possèdent les langues anciennes qu’on leur a mont
dent les langues anciennes qu’on leur a montrées : que deviennent ces
enfants
? Ils se répandent dans les différentes professio
: si les principes de la grammaire ne sont aucunement à la portée des
enfants
, ils ne sont guère plus en état de saisir le fond
bien du temps où il convient de les apprendre : est-ce lorsqu’on est
enfant
et écolier, ou lorsque, soustrait à la férule, on
ar cette étude qu’il faut commencer ; mais l’étudiant n’étant plus un
enfant
, ayant le jugement fait et la tête meublée d’une
u’il a comparés. Ce fut le précepteur de Montaigne qui n’était pas un
enfant
. J’oubliais Démosthène que l’ordre des temps plac
différer l’étude des langues anciennes, c’est l’inversion ; où est l’
enfant
qui ait assez d’idées et d’étendue de tête pour e
s tortueux de la politique romaine sont développés sous les yeux d’un
enfant
? Je demande si ces personnages fameux, connus d’
te, la virilité, est masculin. Le foyer intérieur, l’allaitement de l’
enfant
, son éducation première, le soin des vieillards,
ute heure du jour ou de la nuit cette source de vie des lèvres de son
enfant
, le porter dans ses bras pendant cette longue pér
omme, chaque coup mortel tuerait en elles deux êtres au lieu d’un ; l’
enfant
dans son sein ou à sa mamelle périrait en même te
e à tous les hasards de la renommée, c’est le nom de son mari, de ses
enfants
, de sa famille. Si elle encourt la gloire pour el
r comble d’infortune, elle y entraînera jusqu’à son mari, jusqu’à ses
enfants
. Voilà une partie des inconvénients, des dangers,
s chez vous, pas même votre nom ; tout sera au public. La mère de vos
enfants
couvrira d’avance leur berceau ou d’un nom qu’il
es considérations sociales, il faut plaindre le mari, la famille, les
enfants
, mais il faut féliciter le siècle. La célébrité e
Tel était le berceau de mademoiselle Necker. Faut-il s’étonner qu’une
enfant
, respirant dans cette atmosphère de célébrité, en
d’elle pour donner un objet aux premières amitiés de sa fille encore
enfant
, raconte ainsi les premiers épanchements de son a
qui me firent une grande impression. Nous ne jouâmes point comme des
enfants
; elle me demanda tout de suite quelles étaient m
ui blessa la mère. Madame Necker dissimula mal sa jalousie contre une
enfant
qui l’éclipsait dans son salon et jusque dans le
éloquente de J. J. Rousseau, son compatriote, avait passé dans cette
enfant
. Elle était de la religion qui parlait le plus él
de drame furent malheureux. L’outil était trop lourd pour une main d’
enfant
, trop lourd même pour une main de femme. À l’exce
iédestal dans le salon et dans le monde de son père. Elle avait été l’
enfant
de l’espérance, elle devint le prodige de la jeun
ualité de fille du ministre le plus influent du conseil du roi. Trois
enfants
, deux fils et une fille naquirent de ce mariage.
oublé que plus tard par des séparations de fortune dans l’intérêt des
enfants
, séparations de biens qui amenèrent des séparatio
française, mourir entre les soins de sa femme et les respects de ses
enfants
. XIX La révolution qui se précipitait par t
t en se montrant alors, elle n’aurait fait que perdre son père et ses
enfants
. Une protestation jetée au peuple par une main ca
re plus cher, le protecteur, le garant de son sort et de celui de ses
enfants
, cet homme, dont le courage et la bonté semblaien
e à l’approche de la mort, dit à son épouse, à sa céleste sœur, à ses
enfants
, un éternel adieu ; cette malheureuse famille vou
eine a donné, s’il était possible, de nouvelles preuves d’amour à ses
enfants
. Pendant la maladie de sa fille, il n’est aucun g
orce de vivre, et cependant un jour on est venu lui ôter son fils ; l’
enfant
, pendant deux fois vingt-quatre heures, a refusé
endez la reine par toutes les armes de la nature ; allez chercher cet
enfant
, qui périra s’il faut qu’il perde celle qu’il a t
on de s’attirer une adulation personnelle. « Celle qui a eu le plus d’
enfants
», lui répondit sèchement Bonaparte, manifestant
moqueur Byron, avec tout son génie, ne fut pas toujours, au fond, un
enfant
?… Et, si ce ne fut pas sa manière, à lui, sa plu
and homme ?… Et, certes ! je ne dis pas ceci pour diminuer Byron. Les
enfants
sont plus beaux que les hommes. Jamais un homme,
mmes. Jamais un homme, si beau qu’il puisse être, n’est beau comme un
enfant
est beau. Né depuis moins de temps et sorti fraîc
emière aurore de la création… Eh bien ! Byron, dans son génie, est un
enfant
de cette beauté-là. V Tous les poëtes et to
dit, je le sais bien que, tous les poëtes étaient, plus ou moins, des
enfants
sublimes ; mais pour être déjà ancien, le mot n’e
et Shakspeare, qui sont de grands poëtes, ne sont certes, jamais des
enfants
… Ce sont toujours des hommes sublimes, si on veut
mortels sentiments de ma vie, c’est de sentir que je n’étais plus un
enfant
. » Mais quand il écrivait cela, comme il se tromp
arold le poëme qui commença sa gloire. Childe Harold, c’est-à-dire, l’
enfant
Harold ! comme plus tard, il fut l’enfant Juan, u
lde Harold, c’est-à-dire, l’enfant Harold ! comme plus tard, il fut l’
enfant
Juan, un autre enfant encore ! Comme les enfants,
re, l’enfant Harold ! comme plus tard, il fut l’enfant Juan, un autre
enfant
encore ! Comme les enfants, du reste, Byron, part
e plus tard, il fut l’enfant Juan, un autre enfant encore ! Comme les
enfants
, du reste, Byron, partout, autant dans sa vie que
igieux ; il était tout cela en même temps et tour à tour, — comme les
enfants
sont ce qu’ils sont — et comme eux, en l’étant, i
ermis aux esclaves de racheter leurs maîtres en mourant pour eux, aux
enfants
de satisfaire au tyran en s’offrant à la mort à l
à la maison avec un de ses fils, nommé Bhima, pendant que les autres
enfants
étaient allés mendier leur nourriture dans la vil
pour compagne de ma demeure, toi mon souverain bien, toi mère de mes
enfants
, je ne puis te livrer à la mort, ô toi qui es si
toi qui es si bonne, si tendre, si innocente de tout mal ! « “Et mes
enfants
? et mon petit enfant, le laisserai-je immoler da
i tendre, si innocente de tout mal ! « “Et mes enfants ? et mon petit
enfant
, le laisserai-je immoler dans son bas âge, lui do
une fille ; ma dette est payée. Tu peux nourrir et protéger ces deux
enfants
; je suis incapable par mon sexe de le faire… Ain
el désert !… Hélas ! ils périront privés de leur mère, nos deux chers
enfants
, ainsi que les poissons meurent privés d’eau dans
une postérité. « …… Si je meurs, tu trouveras une autre mère pour tes
enfants
: ce n’est pas un crime pour l’homme d’épouser un
e je vous sauverai tous, dit la jeune fille. Pourquoi désire-t-on des
enfants
? Parce qu’ils doivent se dévouer pour leurs pare
eur de l’âme de son père ? Mais, voyez mon frère, c’est un tout petit
enfant
! Si tu pars pour le séjour céleste, ô ma mère !
ots du père, de la mère et de la jeune fille. À ce spectacle le petit
enfant
, ému des larmes dont il ne comprenait qu’à demi l
spectacle plus naïf, ni un contraste plus touchant. Mais le cri de l’
enfant
du brahmane, voulant combattre avec le brin d’her
amment dans le cœur. Astyanax joue avec la mort qu’il ne voit pas ; l’
enfant
du brahmane la brave et la défie pour sauver son
e fleurs. » Canoua, en allant se baigner dans le fleuve, aperçoit l’
enfant
endormi sur la rive ; mille oiseaux de la forêt v
agitant leurs ailes pour rafraîchir et ombrager le front de la divine
enfant
. Il la prit dans ses bras, la fit allaiter, et l’
est venu de sommer le roi d’accomplir sa promesse, et de proclamer l’
enfant
roi et successeur de son père. Un cortège religie
e grâce : « Ô roi », dit-elle, « les temps sont accomplis où un jeune
enfant
, fruit de notre légitime union, doit être sacré !
ue celui d’un père respectable entouré de sa femme et de ses nombreux
enfants
. De quel transport n’est-il pas lui-même saisi lo
l reconnaît dans ces innocentes créatures sa vivante image ? Quand un
enfant
accourt vers son père et qu’il se précipite dans
Comment est-il possible que tu te détournes avec mépris de ce tendre
enfant
, qui est ton fils, dans le moment même où ses bea
pas cet être faible auquel tu as donné la vie ? Souffre donc que cet
enfant
, dont à ta vue le petit cœur palpite d’un mouveme
t pas dans la nature de sensation plus délicieuse que le toucher d’un
enfant
. « Tous les pères éloignés quelque temps de leurs
sein de la forêt sainte qui jadis me vit si heureuse ; mais ce tendre
enfant
, qui est ton fils, le ciel te défend de l’abandon
e, qui répand l’effroi dans le cœur des vieillards, des femmes et des
enfants
! Le voilà qui, dans un choc terrible, vient de r
la jeune fiancée. « Moi, t’oublier ! » répond le héros. « Va, céleste
enfant
, en quelque lieu que tu portes tes pas loin de mo
? » L’Ermite. Tu le vois, ma fille : c’est ton petit faon chéri, ton
enfant
adoptif, dont si souvent tu as guéri les blessure
ésolutions ? Dissipe-la aussitôt par le plus noble effort. Songe, mon
enfant
, que, dans la route inégale de la vie, la plus mâ
massa)34. Thème de Décius, de Codrus et d’Arnold de Winkebried. Les
enfants
précoces. — V. NDar ou l’enfant-né-avec-des-dents
ces. — V. NDar ou l’enfant-né-avec-des-dents — Amadou Kékédiourou — L’
enfant
de Salatouk, etc.35. Le courage mis à l’épreuve.
petite sœur ou le petit frère avisé. — C’est encore souvent un cas d’
enfants
précoces comme dans le conte Kado : Amadou Kékédi
dans le conte Kado : Amadou Kékédiourou ou dans Khadidia l’avisée. Un
enfant
sauve sa sœur, ses frères, ses oncles, sa mère et
aînes dans le même but à Roosebecque et les Cimbres49 à Verceil. Les
enfants
reprochant à un futur héros de n’avoir pas de pèr
bo. Contes des Gow : Misandé Sambadjo. Cf. Xénophon Cyropédie : Cyrus
enfant
et Mandane. On en trouverait encore sans grand pe
n chat dans un pays où il est inconnu et où foisonnent les souris. L’
enfant
promis à un génie (de l’eau dans la plupart des c
s accessoirement, les ressemblances suivantes. Précaution détenir un
enfant
à l’écart de telle chose ou de telle personne qui
e. Cf. Le petit Poucet. L’ogresse ou la sorcière qui tue ses propres
enfants
, croyant tuer ses hôtes. — Cf. Amadou Kêkédiourou
eur de Ouallalane et divers contes de korrigans. Les substitutions d’
enfants
. — Un génie substitue un enfant de sa race à un e
s de korrigans. Les substitutions d’enfants. — Un génie substitue un
enfant
de sa race à un enfant de race humaine. Cette tra
bstitutions d’enfants. — Un génie substitue un enfant de sa race à un
enfant
de race humaine. Cette tradition est également al
allemande et Scandinave (Les doeckâlfar). — Cf. Le fils des bâri et L’
enfant
supposé (Barsaz-Breiz)60. Le procédé pour amener
olontaire à rompre le silence. — Cf. Légende de NDiadiane NDiaye et l’
Enfant
supposé (Barsaz-Breiz). Nombre d’aventures et de
s. Le refus des parents de se sacrifier pour racheter la vie de leur
enfant
et le dévouement de l’épouse, contrastant à cette
— Les fourberies de MBaye Poullo — Mensonge et Vérité (Froger). Les
enfants
élevés par des guinné. — V. Déro et ses frères. —
de fauves et divers autres contes de petits frère ou sœur avisés. L’
enfant
qui parle dans le sein de sa mèreet s’enfante de
cé par la haine des co-épouses entre elles ou des marâtres contre les
enfants
d’un autre lit. Pas d’intersignes comme dans les
lêni iô ! : bruit des grelots attachés en bracelets aux chevilles des
enfants
= Dindelinn ? Gouinsinkélé gouinsan : aucune sign
étue et renforce cette homogénéité en fixant d’avance dans l’âme de l’
enfant
les similitudes essentielles que suppose la vie c
ux sens : d’une part, par le tempérament (physiologie, hérédité) de l’
enfant
; d’autre part par les influences étrangères, ext
rascolaires et postscolaires qui combattent l’influence de l’école. L’
enfant
apporte des dispositions innées que l’école ne pe
n qui existe entre les idéaux scolaires et la vie réelle. Au lycée, l’
enfant
voit une justice scrupuleuse présider à la distri
de l’éducateur sont : la notion inculquée ; l’appel à la raison de l’
enfant
, l’appel au sentiment ; la formation des habitude
réduit à une mnémotechnie qui laisse peu de traces dans l’esprit de l’
enfant
. L’appel à la raison a peu d’action sur l’enfant
s dans l’esprit de l’enfant. L’appel à la raison a peu d’action sur l’
enfant
; voire même sur l’adolescent. L’idée abstraite a
ire. Si vous avez affaire à une nature fine, délicate et sensitive, l’
enfant
ne se laissera toucher que par ce qui convient à
plus de résultats ? Oui pour l’éducation physique. Ou peut dresser l’
enfant
à bien tenir sa fourchette, à ne pas se mettre le
en a, sont des vertus modestes, peu voyantes. Elles ne frappent pas l’
enfant
beaucoup plus fortement que ne font les mêmes ver
ombre des données sûres, précises, indiscutables qu’elle transmet à l’
enfant
. En morale cela se réduit à peu de chose : quelqu
points contestés ou flottants de la morale (droits de la femme, de l’
enfant
, conception de la famille, etc.), l’éducateur ne
négatif ; il consisterait à supprimer toute éducation et à laisser l’
enfant
se développer en toute liberté. M. Durkheim remar
et d’autres papiers. Entre les jambes du tabellion, le plus jeune des
enfants
de la maison. Puis en continuant de suivre la com
, et un bras jeté autour de ses épaules. Derrière ce groupe, un jeune
enfant
qui s’élève sur la pointe des pieds pour voir ce
gendre. Le père est le seul qui parle. Le reste écoute, et se tait. L’
enfant
qui est entre les jambes du tabellion est excelle
. Il y a du goût et du bon goût à avoir imaginé cet épisode. Les deux
enfants
dont l’un assis à côté de la mère s’amuse à jeter
comme la mère aux pieds de laquelle elle cherche sa vie, a six à sept
enfants
; et cette petite fille qui leur jette du pain, e
re de celui qui regarde le tableau ; ensuite le tabellion, les autres
enfants
, les servantes et le fond ; preuve certaine d’une
ère qui paye la dot est celle du père qui lit l’Ecriture sainte à ses
enfants
, et je crois aussi celle du paralytique, ou du mo
ourquoi elle envie si violemment le sort de sa maîtresse. Si c’est un
enfant
de la maison, pourquoi cet air ignoble, pourquoi
ges : L’abbé de Saint-Pierre disait qu’en France tout le monde était
enfant
. M. de Fontenelle lui demandait : « Quel âge me d
donnez-vous ? » — « Dix ans. » — Fontenelle n’était à ses yeux que l’
enfant
le plus sage, un enfant un peu plus avancé que le
ans. » — Fontenelle n’était à ses yeux que l’enfant le plus sage, un
enfant
un peu plus avancé que les autres. Cette similit
peu plus avancé que les autres. Cette similitude du Français et de l’
enfant
, qui ne se bornait pas à un simple aperçu comme e
t alors surtout qu’il avait besoin de se souvenir qu’il parlait à des
enfants
très fiers de jouer avec de grandes poupées. » —
s’adressant aux princes, il ne devait pas ignorer qu’il parlait à des
enfants
beaucoup plus enfants que les autres, et il ne la
s, il ne devait pas ignorer qu’il parlait à des enfants beaucoup plus
enfants
que les autres, et il ne laissait pas de leur par
e de ses inconséquences : « Les hommes, disait l’abbé, sont comme des
enfants
; il faut leur répéter cent fois la même chose po
chose pour qu’ils la retiennent. » — « Mais, remarquait Rousseau, un
enfant
à qui on dit la même chose deux fois, bâille la s
et n’écoute plus si on ne l’y force. Or comment force-t-on les grands
enfants
d’écouter, si ce n’est par le plaisir de la lectu
ntre ses principes… Son défaut était moins de nous regarder comme des
enfants
que de nous parler comme à des hommes. » Que ne c
douceurs, que la vérité en soi est souvent un remède amer, et qu’à l’
enfant
malade, c’est-à-dire à l’homme, il faut emmieller
e timides regards, pour message qu’une Bible, pour messagers que deux
enfants
, pour caresses que la trace des lèvres et des lar
e elles ; comme elles aussi, elle porte, elle emmène, elle assied ses
enfants
, qui ne semblent jamais pouvoir être séparés de l
usiasme socialiste que la société ne doit à personne, et surtout à un
enfant
de dix-huit ans comme Chatterton, que le prix rée
me frappa sur le genou en me disant : « — Eh bien ! vous êtes un bon
enfant
, quoique dans les Rouges. « Je sentis dans son ac
hef de bataillon s’apprêta solennellement à parler, avec un plaisir d’
enfant
. Il rajusta sur sa tête le schako couvert de toil
u petit mulet, et commença. VIII « — Vous saurez d’abord, mon
enfant
, que je suis né à Brest ; j’ai commencé par être
d’abord, mon enfant, que je suis né à Brest ; j’ai commencé par être
enfant
de troupe, gagnant ma demi-ration et mon demi-prê
it sa petite femme sous le bras ; elle était fraîche et gaie comme un
enfant
. Ils avaient l’air de deux tourtereaux. Ça me fai
ux. Ça me faisait plaisir à voir, moi. Je leur dis : « — Eh bien, mes
enfants
! vous venez faire visite au vieux capitaine ; c’
Si vous vouliez m’aider un peu ? « Ça faisait vraiment de bons petits
enfants
. Le petit mari prit le marteau, et la petite femm
de paradis. « J’avais fini, après un mois, par les regarder comme mes
enfants
. Tout le jour, quand je les appelais, ils venaien
’était bien là ce que je devais dire au capitaine ; n’est-ce pas, mon
enfant
, que vous auriez dit la même chose ? « Je pris m
lle se leva, le visage tout en feu et tout humide de larmes, comme un
enfant
qu’on a grondé. « — D’ailleurs, me dit-elle en re
qu’à me jeter à l’eau. — Faut-il que j’aie du bonheur, pour que cette
enfant
-là m’ait rappelé la grande coquine de lettre ! «
ière dans son hamac, où il la jeta sans rien dire, comme on couche un
enfant
dans une balançoire. Il faisait une chaleur étouf
e pour l’emporter et le cacher dans sa poitrine. Elle sourit comme un
enfant
, et lui dit une quantité de petites choses de fem
ent où tu es, pauvre petite ? Et où tu vas, le sais-tu ? Bientôt, mon
enfant
, vous serez à seize cents lieues de votre mère et
lus qu’un louis tout seul. Et toi ? « Il se mit à rire aussi comme un
enfant
: « — Ma foi, moi, j’avais encore un écu, mais je
ant. Mais pour moi c’est fort triste ; car vous avez beau être un bon
enfant
, je ne peux pas m’en dispenser ; l’arrêt de mort
! les adieux, cela affaiblit. « — Oui, oui, lui dis-je, ne soyez pas
enfant
, ça vaut mieux. Ne l’embrassez pas, mon ami, ne l
e sa poche un mouchoir rouge dans lequel il se mit à pleurer comme un
enfant
. Je m’arrêtai un moment comme pour arranger mon é
ns l’occasion, mais je n’ai pas voulu qu’elle s’en séparât, la pauvre
enfant
. Quand on y touche, elle pleure, elle ne les quit
e il regarda dans la charrette, comme une mère dans le berceau de son
enfant
. Je l’entendais qui disait : — Allons, ma fille,
u cou ! — Oh ! ma pauvre montre d’argent ! — Allons, c’est égal ; mon
enfant
, tâche de dormir. Voilà le beau temps qui va veni
re ; les folles sont comme ça. Tiens, voilà du chocolat pour toi, mon
enfant
. « Il appuya la charrette à l’arbre, et nous nous
donc ? Est-ce à cause de cette pauvre femme ?… Vous sentez bien, mon
enfant
, que c’était un devoir. Il y a longtemps que j’ai
garde royale, tué de sang-froid sur un pont par un de ces étourdis d’
enfants
de Paris, sans savoir pourquoi il tue. L’étourder
savoir pourquoi il tue. L’étourderie brutale est le caractère de ces
enfants
de la rue qui n’ont d’autre morale que leur insti
’annuler par ses inventions. « Mais en attendant que le monde, encore
enfant
, se délivre de ce jouet féroce, en attendant cet
iété et son souci, comme si, au lieu d’être sa mère, elle eût été son
enfant
. Aucun soin ne lui coûtait pour elle ; il était j
ait toutes ses vertus, elle l’adorait : il l’aimait lui-même comme un
enfant
infirme. Il n’avait qu’une crainte, en se sentant
de cette substitution. V. Formation des noms généraux chez les petits
enfants
. — La faculté du langage a pour fondement les ten
a de commun entre ces individus. — Exemples de ces tendances chez les
enfants
. — Sens particuliers qu’ils donnent aux noms que
geste imitatif du corps ; dans le langage primitif, chez les peuples
enfants
, à l’origine de la parole, elle est une autre imi
ssister de près à la naissance de ces noms généraux ; chez les petits
enfants
, on la prend sur le fait. Nous leur nommons tel o
n en eux. À chaque instant, nous voyons ces tendances opérer dans les
enfants
, et contre la langue, en sorte qu’on est obligé d
point, s’était formée et agissait en elle. — Un an plus tard, la même
enfant
, à qui l’on faisait nommer toutes les parties du
la fumée étaient des fafer. Un autre instrument fort désagréable aux
enfants
(pardon du détail et du mot, il s’agit d’un clyso
e là pour tout comprendre et tout nommer. À cet égard, le langage des
enfants
est aussi instructif pour le psychologue que les
re le sens des mots n’y est pas le même que dans le nôtre ; jamais un
enfant
, qui pour la première fois prononce un nom, ne le
mblables de son et différents de sens7. À mesure que l’expérience des
enfants
se rapproche davantage de la nôtre, leurs tendanc
entaires se clore et se ramifier, la communication de la mère et de l’
enfant
se fermer, de même, dans le langage enfantin, on
seuls et d’eux-mêmes sans l’aide des nomenclateurs environnants. — Un
enfant
a vu sa mère mettre pour une soirée une robe blan
; il faut que désormais il le réduise à une seule couleur. — Le même
enfant
entend sa mère qui lui dit : « Tu balances trop t
objets pour susciter en nous un nom ou désignation particulière ; un
enfant
y réussit sans effort, et le génie des races bien
écrit de nombreux contes et romans pour la lecture des femmes et des
enfants
: romans dans lesquels il fit lui-même des illust
ans la succession des planches, le jeune ambitieux complotant presque
enfant
, se livrant aux exercices militaires, apprenant d
dis qu’au milieu de ses complices enchaînés, sa mère, sa femme et ses
enfants
sont soumis à la torture, — sa mère à la torture
Hokousaï, toujours sous le nom de Shunrô, illustre un Conte pour les
enfants
, de Kiôdén, se rapportant à la légende de Momotar
s la maison des moineaux où la mère avait déjà pansé la langue de son
enfant
et où il était soigné avec amour par ses frères e
er le peintre Hogarth. La première planche représente le lavage de l’
enfant
pauvre par le père, près du lit de la femme couch
, tandis que la planche, en contre-partie, nous montre le lavage de l’
enfant
riche sous les yeux du médecin, de la sage-femme,
jusqu’à la figuration d’une tête de cheval faite par les doigts d’un
enfant
à travers un châssis. Ce sont : un vendeur d’un j
un joujou marchant sur une natte et que regardent des Japonais ; deux
enfants
dont l’un fait danser, par-dessus un paravent, un
e thé devant le temple d’Ouyéno à Yédo, avec un groupe de femmes et d’
enfants
; des hommes et des femmes se déguisant en dieux
: L’arrivée des manzaï dans un palais où éclate la joie d’un groupe d’
enfants
qui les acclament et où, derrière des stores, s’a
ches donnant un simulacre des scènes des rônins par des femmes et des
enfants
. Une série en l’honneur de la Lune représentée pa
es : Une promenade de femmes près d’un cours d’eau où sont entrés des
enfants
dont l’un élève en l’air une petite tortue qu’il
brume : des hommes porteurs d’instruments de travail, des femmes, des
enfants
. 1803 Une série de trente-six planches : Les Tre
de nom ». Une paysanne en train de cueillir des herbes, à laquelle un
enfant
indique que le soleil se couche, et qui se retour
us fait voir une habitation de la campagne dont sort une paysanne, un
enfant
à la main, un autre enfant lié sur son dos par sa
de la campagne dont sort une paysanne, un enfant à la main, un autre
enfant
lié sur son dos par sa ceinture, tandis que dans
ces couleurs, et au milieu desquelles éclate le rouge de la robe de l’
enfant
que la paysanne tient par la main. VIII En
s têtes caricaturales destinées à être découpées pour l’amusement des
enfants
; des promenades de Japonaises dans des campagnes
pêche à la ligne ; deux diptyques, l’un représentant une procession d’
enfants
, l’autre, une réunion d’enfants dessinant d’après
s, l’un représentant une procession d’enfants, l’autre, une réunion d’
enfants
dessinant d’après des images ; un triptyque de l’
un ours, un aigle sur l’épaule, et où le corps couleur de brique de l’
enfant
herculéen, entre le noir de l’aigle et le fauve d
re des femmes enceintes, et que l’on voit à une fenêtre, regardant un
enfant
qu’un bourreau tient suspendu en l’air par le col
imonos, et où, comme ton, domine le bistre. Une jolie impression : un
enfant
faisant du trapèze à la branche d’une ancre. Une
femme faisant du filet, qui se retourne dans sa marche vers un petit
enfant
se traînant derrière elle, attaché par une corde
ille entre deux bambous, un cercle sacré où un prêtre fait passer les
enfants
d’après la croyance que ce passage évite aux enfa
fait passer les enfants d’après la croyance que ce passage évite aux
enfants
les épidémies. 3. Un coup de vent forçant deux fe
en fleurs de l’autre côté de la Soumida. 5. Terrasse de Ouyéno où un
enfant
laisse tomber des feuilles de papier en bas. 6. J
remontant la rivière, en face de l’île de Tsoukoudajima, ce sont des
enfants
enlevant un cerf-volant près d’un porteur de ball
une femme, à demi couchée sur un grand banc, prend le frais avec ses
enfants
. Dans le second volume, voici le pont de Riôgokou
ts. A Ohkavabashi, un saltimbanque fait des tours de force devant des
enfants
. Dans le troisième volume, c’est la toiture élan
à terre, une main sous le menton, lit un roman d’amour pendant qu’un
enfant
lui grimpe sur le dos ; une dernière, dans un aff
olline du temple Hatiman d’Ityaga, et l’on y voit deux femmes avec un
enfant
porteur d’un cerf-volant sur son dos, au moment d
une vue de la terrasse du temple à Akasaka où sont des femmes et des
enfants
; une vue d’un paysage où un homme souffle devant
ysage où un homme souffle devant des promeneurs des caramels pour les
enfants
, en forme d’oiseaux, de théières ; une vue en ple
l’illustration est, par volume, de six planches doubles. Ce sont deux
enfants
d’un riche paysan des environs de Yédo, dont l’aî
an de deux jeunes frères de la noblesse, Matsouwaka et Ouméwaka, deux
enfants
que la mère, après la mort du prince son mari tué
une planche d’Hokousaï, l’on voit cette mère, en la recherche de ses
enfants
, sous la robe d’une mendiante jouant la folie, en
sous la robe d’une mendiante jouant la folie, entourée d’une troupe d’
enfants
se moquant de la princesse Hanako devenue méconna
est écrite une phrase qui doit seulement la faire reconnaître par ses
enfants
. Puis, dans une autre planche, on voit la pauvre
u, parti en campagne, a laissé à la maison une femme et un tout jeune
enfant
. Pendant la guerre, au moment où un vieux renard
se changer en ce qu’il veut, se métamorphose en femme et va élever l’
enfant
de Tadanobou. Et une planche ingénieuse d’Hokousa
e voyant reflétée en renard. Puis, au retour du mari, qui trouve son
enfant
tout élevé, la femme-renard disparaît, mais le pè
s de Rembrandt, en un coin d’eau-forte à peine mordue, et apprend à l’
enfant
l’homme qui a assassiné sa mère — et que l’enfant
due, et apprend à l’enfant l’homme qui a assassiné sa mère — et que l’
enfant
tue. Dans cette même année 1807 Hokousaï illustre
e la jalousie de cette femme, sous la forme d’un monstre échevelé, un
enfant
attaché la tête en bas sur son dos, dont les deux
ce d’ailes de chauve-souris. Là, court à quatre pattes un squelette d’
enfant
, au milieu de femmes qui ont des mufles de bouled
ôki, le tueur des diables, venant rechercher chez eux un pauvre petit
enfant
qui pleure au milieu d’un paysage où, dans le fon
te un dignitaire japonais tendant à une femme qui pleure, et qui a un
enfant
sous elle, une tige de magnolia, tendant à une au
e tige de magnolia, tendant à une autre femme qui sourit, et qui a un
enfant
sous elle, une branche de prunier en fleurs. Ce d
onspiration avortée, s’est sauvé au Japon, laissant en Chine, avec un
enfant
, la femme qui pleure, puis est devenu, grâce à sa
naise, — roman où il y a, chez Bakin, la tentative de montrer que cet
enfant
, au sang mêlé de deux races, n’a pas l’énergie du
ise est morte à la nouvelle de l’exécution de son mari en Chine, et l’
enfant
est resté orphelin et sans ressources ; mais un d
ns ressources ; mais un daïmio du Shôgounat des Ashikaga a pitié de l’
enfant
, le prend sous sa protection, et l’enfant, devenu
t des Ashikaga a pitié de l’enfant, le prend sous sa protection, et l’
enfant
, devenu un jeune homme, épouse une Japonaise, en
toute heure de petits champs de bataille, une nuit il entend un cri d’
enfant
, va à ce cri, aperçoit un guerrier blessé tenant
enant une petite fille dans ses bras, achève le blessé, s’empare de l’
enfant
, n’a pas le temps de le reconnaître devant le bru
d’avoir sauvé la princesse, la fille de son maître. « Mais c’est mon
enfant
! s’écrie le fils du Chinois. — Votre enfant ? re
maître. « Mais c’est mon enfant ! s’écrie le fils du Chinois. — Votre
enfant
? regardez-la bien ! » Et le père de « l’Assiette
seil du ministre, le voilà parti à la recherche de sa femme et de ses
enfants
, recherche qui dure trois ans. Une seconde expédi
it la chair, un peu de gris les demi-teintes sur le papier crème, des
enfants
, des enfants, des enfants, dans tous leurs jeux,
un peu de gris les demi-teintes sur le papier crème, des enfants, des
enfants
, des enfants, dans tous leurs jeux, leurs amuseme
s les demi-teintes sur le papier crème, des enfants, des enfants, des
enfants
, dans tous leurs jeux, leurs amusements, leurs po
emparé dans sa fuite et qui est composée de sa femme et de ses trois
enfants
. Mais, au moment d’ordonner leur mort, il a la cu
, ce à quoi elle se résigne sur la promesse qui lui est faite que ses
enfants
seront épargnés. C’est ce marché qui fait le suje
’est ce marché qui fait le sujet de l’estampe. Or, un jour, ces trois
enfants
vengeront leur père, anéantiront la famille Taïra
engeront leur père, anéantiront la famille Taïra, et l’aîné des trois
enfants
sera Yoritomo, le premier shôgoun de Kamakoura. U
il s’est chargé, il nous montre des porteurs ivres que regardent des
enfants
, et vraiment il est impossible de rendre mieux l’
i était la reine du lac Biwa lui répondait que, depuis des années ses
enfants
étaient mangés par un scolopendre géant. Hidésato
e de nobles, de manants, de femmes de toutes sortes, de vieillards, d’
enfants
. Dans l’après-midi Hokousaï et ses élèves, dans u
hâssis, sur les paravents, sur les murs, et même sur le sable par des
enfants
, rien que des Darma, rien que l’image de ce saint
force, en sa tourmente musculaire, les jolies images de la grâce des
enfants
, de la gentillesse éveillée de ces petits Japonai
de cheveux sur le front et les tempes. Il y a une charmante planche d’
enfants
faisant de la musique, une autre délicieuse planc
anche d’enfants faisant de la musique, une autre délicieuse planche d’
enfants
jouant à une espèce de jeu de dames ; mais la pla
fortune » est à l’état d’axiome ; où l’on n’entend jamais pleurer un
enfant
; où la femme est la seule femme de l’Orient qui
le, représentant un fameux marchand de caramels de longévité pour les
enfants
, si populaire que sa personnalité fut mise au thé
use, ça ne peut se dire ! Vers 1802, voici des images à composer pour
enfants
, faites de deux planches au moyen de la découpure
ants, faites de deux planches au moyen de la découpure desquelles les
enfants
doivent constituer une maison avec les personnage
un vaste marais, de la forme de ces châssis mobiles sur lesquels les
enfants
font avancer des soldats, un pont élevé pour alle
pondances journalières, a pour but de donner une éducation morale aux
enfants
dans la famille, même pendant qu’ils jouent au ja
n de squelette avec laquelle elle tient, derrière son dos, une tête d’
enfant
qu’elle a commencé à dévorer. Une autre estampe :
r. II. Le poète chinois Lihakou, appuyé sur un long bambou, avec deux
enfants
dans les plis de sa robe, est en contemplation de
eux femmes passant devant un temple suivies d’un serviteur portant un
enfant
. Le dixième mois. Un balayeur tendant un gâteau à
dixième mois. Un balayeur tendant un gâteau à un singe que regarde un
enfant
. Une autre suite de dix grandes planches (H. 20,
du nom d’un Kami, où une mère élevant, avec des bras de tendresse, un
enfant
au-dessus de sa tête, lui fait cueillir des fleur
temple d’Asakousa. Un bateau chargé de barriques de saké. 1807. Deux
enfants
qui luttent. Deux amoureux étendus l’un à côté de
iseaux et les animaux par ses regards ; mais, lorsqu’il badinait, les
enfants
et les femmes riaient avec lui. » Oui, Hokousaï
vre ; le guerrier Shôki en train d’étrangler un diable ; le mangeur d’
enfants
Mashukoubô, tenant par les pieds un enfant dont i
un diable ; le mangeur d’enfants Mashukoubô, tenant par les pieds un
enfant
dont il ouvre le ventre au-dessus d’une marmite q
en regard du texte chinois. Deux espèces de jolis culs-de-lampe : des
enfants
, dont l’un est sur le dos de sa mère, en contempl
en contemplation devant les ombres chinoises d’une lanterne, et deux
enfants
entrevus sur une barque à moitié cachée par les n
bres ; ce sont des lanternes de jardin faites de la pyramide de trois
enfants
japonais montés l’un sur l’autre ; ce sont les dé
ifs représentent tout un monde : un tigre, un ascète, une cascade, un
enfant
enlevant un cerf-volant, un Hotei, des chauves-so
le fini du petit art. D’abord un dessin comique d’Hotei, le dieu des
enfants
, s’ouvrant de ses deux mains la bouche jusqu’aux
ignorant Hatiyémon dit : J’ai fait ce petit volume pour apprendre aux
enfants
qui aiment à dessiner la manière facile de colori
si j’arrive, un jour, à donner une suite à ce volume, je mettrai les
enfants
en état de rendre la violence de l’Océan, la fuit
in, la marche du pinceau est indiquée par le numérotage, afin que les
enfants
puissent retenir l’ordre de la marche. Mais ce l
uissent retenir l’ordre de la marche. Mais ce livre n’est pas pour l’
enfant
seulement ; les grandes personnes, les poètes par
ent : l’une, le poète écrivant à main levée, au pinceau, tandis qu’un
enfant
lui prépare l’encre de Chine ; l’autre, le peintr
te, la tête penchée vers sa femme, et entouré de plus de vingt-quatre
enfants
. Un kakémono d’une facture dure, mais avec un eff
aï de faire plus portrait qu’il ne fait d’ordinaire, dans ces têtes d’
enfants
, au ton rose de la pêche, et avec des rehauts de
ceaux de papier assemblés, serait la première pensée du « Bain » et l’
enfant
tenu par sa mère aurait presque un tiers de sa gr
» du Fouzi-yama, avec des pluviers volant au-dessus. H. 30. — L. 52.
Enfant
japonais ramassant des feuilles de pin. Signé : M
renouille sur une feuille de lotus. Non signé. H. 20. — L. 26. Deux
enfants
de paysans, dont l’un, couché sur le ventre, écou
chées, dont je donne les feuilles principales. Hotei, pour amuser les
enfants
, faisant danser un pantin attaché par des fils à
vec, au bout du bras levé, une raquette. Une promenade de femmes et d’
enfants
préparée pour la gravure, qui n’a pas la sécheres
che, le long de la rivière, de cinq hommes et de deux femmes avec des
enfants
en promenade pour une partie de campagne. Dessins
de titres de livres faits de kakémonos que déroulent des femmes, des
enfants
, Foukorokou et Yébisou. A la suite de ces projets
and diptyque en couleur représentant un défilé d’hommes, de femmes, d’
enfants
, se promenant devant le temple d’Asakousa : planc
inattaquable. L’un d’eux nous présentait Yama-Uba, mère de Kentoki, l’
enfant
rouge, une Yama-Uba échevelée, bleue et verte, ra
e dans la prison de Lucques, il nourrit généreusement la femme et les
enfants
dans sa cahute. CLXXXIII Celui-ci en a pour
vasion du jeune homme ; mais quand son père fut mort et que la pauvre
enfant
pensa qu’on allait donner je ne sais quel compagn
une évasion des galères, est ici dans un cachot isolé, avec son petit
enfant
; elle pleure et prie pour celui qu’elle a perdu
ait à la captive de la deuxième loge pour l’aider à mieux nourrir son
enfant
, qu’elle ne suffisait pas à allaiter par suite du
m’avait appris le matin qu’il fallait faire. — C’est bien, dis-je à l’
enfant
, la corde du puits est trop dur à faire tourner s
sa femme venait à m’appeler. — Oh ! le bargello et sa femme, me dit l’
enfant
, ils ne nous appelleront pas de la journée, ils v
ponses. CXC J’affectai l’air indifférent à ces paroles du petit
enfant
; je lui donnai cinq ou six grosses bottes de pai
pour étendre les nattes avec lui sur les dalles des cachots. Quand l’
enfant
, sans soupçon, fut assis par terre, occupé à tres
ouce ; ils me remercièrent poliment de mon service, hommes, femmes ou
enfants
, et je vis clairement sur leurs figures l’étonnem
nte avec les hommes, attendrie avec les femmes et caressante avec les
enfants
, comme avec les colombes de la cour, prisonnières
loges ; le piccinino, qui avait bon cœur, qui aimait, comme tous les
enfants
, le son de la zampogne, n’y entendit aucune malic
ait bien pensé le contraire, n’est-ce pas, monsieur ? Mais c’était un
enfant
, et je me hâtai de profiter de son ignorance.
; comment il avait promis d’avoir soin d’eux, à défaut de leurs deux
enfants
, dans la cabane ; comment une noce, qui avait bes
! m’écriai-je en laissant retomber le panier sur le carreau. — Pauvre
enfant
, dit-elle, on voit bien que tu as bon cœur, car t
le, garde-toi de rien dire dans la prison de ce que je te dis là, mon
enfant
; les meurtriers même sont des chrétiens, le repe
de laquelle une pauvre prisonnière, qui est ici à côté avec son petit
enfant
, a scié les fers du beau galérien, son fiancé, et
ntemps, tant d’autres dans nos pièges de noisetier, quand nous étions
enfants
; et puis la confiance de nous sauver de là, plus
s ce qui se passait là-bas, au pays de Lucques, sans nouvelles de nos
enfants
, si nous n’y descendions pas nous-mêmes, ou bien,
bien possible ! Quoi ! aurait-on bien le cœur de supplicier un pauvre
enfant
innocent dont tout le crime a été de défendre nou
ucques et qu’elle errait çà et là dans les villages voisins, comme un
enfant
qui regarde les fenêtres des maisons et qui voudr
, l’air que j’ai entendu si souvent jouer dans la grotte par vos deux
enfants
, pendant que je montais ou que je descendais par
prématurément un mystère qui contient peut-être le salut de vos deux
enfants
. Lamartine.
ction, pour être hors d’état de procurer l’éducation convenable à son
enfant
, qui témoigne une inclination plus noble que cell
tion plus noble que celle de ses pareils, un autre en prend soin. Cet
enfant
la cherche de lui-même avec tant d’ardeur, qu’enf
ntent si fréquemment, qu’il faut que le hazard qui en fait profiter l’
enfant
dont je parle, arrive un peu plus-tôt ou un peu p
toit tombé dans cette piscine. D’ailleurs, le génie qui détermine un
enfant
aux lettres, ou bien à la peinture, lui donne une
ns d’acquerir les connoissances propres à perfectionner son talent. L’
enfant
né avec le génie qui fait les peintres, craïonne
bien-tôt chercher de province en province ? Mais je veux bien que cet
enfant
reste dans sa bourgade : il y cultivera son génie
iqué qu’une partie, et qui peuvent toutes en particulier, conduire un
enfant
jusques à une situation où il puisse cultiver ses
ouronnes d’immortelles déposées là comme des trophées d’amour par les
enfants
de ce peuple à contre-sens, je détourne les yeux
temps, on avait d’abord pris les garçons, puis les hommes mariés sans
enfants
, ensuite les hommes mariés avec un enfant, et mal
uis les hommes mariés sans enfants, ensuite les hommes mariés avec un
enfant
, et malgré moi je pensais : est-ce que les boiteu
les boiteux ? — Non, non, faisait-il avec bonté, ne crains rien, mon
enfant
; tu ne pourrais réellement pas servir. Nous arra
uin rouge et ses sabots noirs, s’écria toute contente : « Allons, mes
enfants
, à table ! » que nous vîmes la belle nappe, la gr
’écriait : « Allons, allons, est-ce qu’on ne dirait pas de véritables
enfants
? » Elle avait l’air de se fâcher, mais on voyait
rées de phalsbouriens et de paysans inquiets du sort de leurs pauvres
enfants
. Il monte au clocher pour revoir de loin la maiso
leur que l’autre dimanche, et nous dit d’un air ferme : « Mangez, mes
enfants
, n’ayez pas peur… tout cela va changer. » Je rent
r derrière et nous traversâmes la petite place ; je pleurais comme un
enfant
et Catherine aussi. Sous la halle, dans l’ombre,
nt les pieds. Tu n’es pas déjà trop solide sur tes jambes, mon pauvre
enfant
, au moins que tu n’aies pas cette douleur de plus
la voix : « Allons, jeune homme, du courage ! Nous ne sommes plus un
enfant
, que diable ! » Il regarda Catherine : « C’est ég
à coup son cœur éclata, il se mit à pleurer, m’appelant tout bas son
enfant
, et me disant : — Courage ! » La mère Grédel s’as
criait : « Je t’ai toujours aimé, Joseph, depuis que tu n’étais qu’un
enfant
… je t’ai toujours aimé ! tu ne nous as donné que
é de l’auberge du Bœuf-Rouge ; le bruit du tambour couvrait tout. Les
enfants
couraient derrière nous en criant : « Les voilà q
efois aussi du lard frais, tremblotant sur un plat de choucroute. Les
enfants
venaient nous voir ; les vieilles nous demandaien
argent. Écris-nous le plus souvent que tu pourras. Je t’embrasse, mon
enfant
, je te serre sur mon cœur. » En lisant cela, je r
igue. » Alors elle me regarda, et je l’entendis qui disait : « Pauvre
enfant
! pauvre enfant ! » Puis elle me fit asseoir près
le me regarda, et je l’entendis qui disait : « Pauvre enfant ! pauvre
enfant
! » Puis elle me fit asseoir près du fourneau et
ent ouvertes, elles saignaient, et la bonne vieille répéta : « Pauvre
enfant
! pauvre enfant ! » L’homme me dit : « De quel pa
les saignaient, et la bonne vieille répéta : « Pauvre enfant ! pauvre
enfant
! » L’homme me dit : « De quel pays êtes-vous ? —
s bonnes gens le virent, car la femme me dit : « Avant de manger, mon
enfant
, il faut sortir vos pieds de l’eau. » Elle se bai
. Alors je m’écriai : « Mon Dieu, madame, vous me traitez comme votre
enfant
. » Elle répondit au bout d’un instant : « Nous av
-il en sautant à bas de son cheval. Il me prit dans ses bras comme un
enfant
en criant aux hommes qui menaient le dernier four
ong de la route… Combien retournèrent chez eux sans avoir trouvé leur
enfant
! Le troisième jour, Catherine me reconnut dans u
fûmes mariés, Catherine et moi. M. Goulden, qui nous aimait comme ses
enfants
, m’avait mis de moitié dans son commerce ; nous v
quand on lit cet évangile du pauvre peuple en 1814, et qu’on voit les
enfants
de ce peuple vaniteux épris d’un nom, qu’il a gra
ulation, verser une goutte de vérité populaire dans la mémoire de vos
enfants
? ne la cherchez dans aucune de vos histoires, ma
ousa sa fille, et commença sa vie de père de famille ; il en eut deux
enfants
auxquels il donna les noms immortels de Paul et d
es jours agités ; il perdit par la mort cette femme, mère de ses deux
enfants
, avant qu’ils eussent l’âge de connaître leur mèr
entre dans les cabanes, interroge les vieillards, s’instruit avec un
enfant
, et raconte naïvement ce qu’il vient d’apprendre
u genre humain. S’il écrit de l’éducation, ce n’est pas de celle d’un
enfant
, c’est de celle des peuples ; s’il parle de la sc
en a dit plus de mal et n’en a été plus aimé: il les traite de grands
enfants
, il se plaît à les montrer faibles ; les plus par
lution une certaine mesure pour conserver le pain à sa femme et à ses
enfants
; c’est le secret de ces publications, peu stoïqu
n à sa patrie sous ces différents régimes. Laisser mourir de faim ses
enfants
eût été sans doute plus romain, mais eût-ce été m
pas, dit-il, borné, dans le cœur humain, l’amour à une femme et à des
enfants
, mais elle l’étend à tous les hommes ; elle n’y a
l’ordre, quand Bernardin, veuf de mademoiselle Didot et père de deux
enfants
, nommé membre du premier Tribunat national, comme
es, à ses pensions, éprouva le désir d’assurer une seconde mère à ses
enfants
. Voici comment ce mariage d’un doux, beau et illu
doux, beau et illustre vieillard et d’une jeune fille presque encore
enfant
fut conclu, et ne trompa aucune de ses espérances
ontrainte à cette condition, à la fois humble et noble, de former des
enfants
à la science et à la vertu. Bernardin de Saint-Pi
eur timide de l’âge et ne s’avouait pas ce qu’il éprouvait pour cette
enfant
. Elle était pour lui l’ombre de Virginie, mais Vi
ui parla ainsi: « Je suis vieux ; j’ai soixante-trois ans ; j’ai deux
enfants
dans le premier âge ; et n’ai, pour toute fortune
nerait à son union avec un homme de son âge, dont elle soignerait les
enfants
comme une mère, et dont elle adoucirait les année
famille pourrait lui offrir ; elle connaissait assez la mère de cette
enfant
pour ne pas douter qu’une pareille proposition se
que la sagesse. Il fut le plus aimé et le plus heureux des maris. Ses
enfants
eurent la plus aimable des mères. Aucun nuage ne
uivi par cette ravissante figure de jeune femme, jouant avec ses deux
enfants
dont elle paraissait la sœur aînée. Il se penchai
les éditions de ses œuvres, le patrimoine futur de sa femme et de ses
enfants
. L’habitude de vivre dans la famille lui en donna
la plume pour achever les peintures de son mari, et de ces charmants
enfants
jouant entre eux, tandis que le pieux disciple co
n sujet. L’abbé Delille et Bernardin de Saint-Pierre le traitèrent en
enfant
chéri de leur maison ; il préféra à tout l’auteur
tueuse de ses élèves pour se donner une compagne et pour léguer à ses
enfants
, après lui, une mère. Aimé Martin la vit peu d’ab
veuve que quand il eut pleuré avec elle son maître disparu. Les deux
enfants
, qui l’aimaient comme un père, furent le lien qui
amitié de son disciple, devinrent le patrimoine de sa veuve et de ses
enfants
. Aimé Martin les compléta, les commenta, les orna
nnées d’exploitation, ceci appartient tout entier à ma veuve et à ses
enfants
, à qui je le laisse. Virginie, femme accomplie, e
général Q… et fait le bonheur de cet excellent homme. Elle n’a pas d’
enfants
et sa santé nous inquiète pour son existence. Son
ur fait méconnaître une Providence dans la nature: ils sont comme les
enfants
qui repoussent leur mère parce qu’ils ont été ble
ussi, lisez ses descriptions: elles sont simples comme le regard d’un
enfant
qui ne cherche point d’images merveilleuses, mais
Montagne-Longue. C’est là que je passe ma vie seul, sans femme, sans
enfants
et sans esclaves. Après le rare bonheur de trouve
ans leurs bras. Jamais le fusil meurtrier n’y a effrayé ces paisibles
enfants
de la nature. On n’y entend que des cris de joie,
son pays, de n’y plus retrouver ses contemporains, et d’y voir leurs
enfants
, qu’il avait laissés à la mamelle, devenus eux-mê
’efforçant de partager vos fatigues. Quand elle vous aurait donné des
enfants
, ses peines et les vôtres auraient augmenté, par
à perdre un jour ce qu’il chérit le plus, grandeurs, fortune, femme,
enfants
, amis. La plupart auront à joindre à leur perte l
suis comme un ami qui n’a plus d’amis, comme un père qui a perdu ses
enfants
, comme un voyageur qui erre sur la terre, où je s
ier son maître, et héritant de sa femme encore jeune et belle, de ses
enfants
et de ses amis. Voilà le sort du grand homme de l
e larmes jusqu’au bout des mèches de ses cheveux épars sur son sein d’
enfant
. Ils se regardaient entre eux, ils comprenaient c
ir, feignit de se laisser attendrir par les larmes de la mère et de l’
enfant
; il tira un peu à l’écart Magdalena, et lui dit
riche, il est ennuyé de vieillir seul, sans joie dans sa maison, sans
enfant
après lui pour hériter de ses scudi et de son dom
a vie de ma mère, de mon oncle, de ma cousine, de nos pères et de nos
enfants
; tuez-nous tout de suite si vous voulez le tuer,
Ma sœur nous raconta l’amour du capitaine des sbires pour sa belle
enfant
, la condition que l’avocat avait mise tout bas à
aint pas Dieu plus que le feu dans ses veines. La maudite beauté de l’
enfant
ne sortait plus de l’œil du sbire. Il avait résol
rsaut, comme à un coup de feu du ciel, pour courir au-devant de notre
enfant
; la mère nous devançait les bras tendus, les che
une autre surprise, monsieur : au lieu de cette douce peau blanche d’
enfant
qui caressait la main comme une feuille lisse et
tomba à la renverse à l’aspect de ma fille ainsi défigurée. La pauvre
enfant
, surprise dans sa mue, tomba de son côté, à demi
ourner, malgré tant de transes, au profit de l’amour. Regardez ce bel
enfant
de trois mois qui dort, tout rose, sur sa coupe b
r par des paroles l’amoureuse impatience de ce cher retour. Quant à l’
enfant
, il continuait à dormir sur le blanc oreiller, pe
c’est la mue. L’oiseau fait ses ailes, la chevrette fait ses dents, l’
enfant
fait son cœur. » Et je les entendais rire tout ba
mieux la prière de leurs cœurs, des pauvres vieillards ou des pauvres
enfants
, sur leurs instruments. Ainsi travestie, je pouss
s sur les branches du châtaignier. Elle dit tout à mon père. — Folle
enfant
! s’écrièrent-ils d’une même voix, et que prétend
e, sais-tu seulement où les sbires ont emmené ton cousin ? et pour un
enfant
que nous avons perdu, veux-tu nous faire perdre e
enfant que nous avons perdu, veux-tu nous faire perdre encore le seul
enfant
que Dieu nous laisse ? CXXXIII — Je leur di
e ; que des deux manières ils seraient également privés de leurs deux
enfants
; que, vivant, il aurait peut-être besoin de moi
e dans la foule, comme elle a suivi Sarah dans le désert. Partez, mon
enfant
, j’aurai soin de ceux qui restent. » CXXXV
nts : — Ne vous inquiétez pas comment vous vivrez en l’absence de ces
enfants
, je vous en apporterai toutes les semaines autant
on contre tout raisonnement ; laissez-le donc parler dans le cri de l’
enfant
, et qu’elle aille, à la grâce de Dieu, là où le c
er au commencement, et ça fait presque rire à la fin ; c’est un air d’
enfants
qui ne peuvent pas tenir leur sérieux jusqu’au bo
main, et de battre l’enclume que rase un reflet de flamme. L’aîné des
enfants
tire le soufflet de la forge, pendant qu’un plus
pas tous au même point du seuil. Le forgeron et sa femme, et l’un des
enfants
, vous regardent bien en face, mais le vieux père
enfants, vous regardent bien en face, mais le vieux père et un autre
enfant
qu’il a près de lui regardent ailleurs et ont l’a
je ne sais qui ou je ne sais quoi qui est de côté. Il y a même un des
enfants
encore, celui qui tire le soufflet, qui a le rega
le poupon enveloppé dans une couverture, et autour d’elle de nombreux
enfants
de toute taille, presque graves, qui ne veulent p
repos du grand-père qui boit !… Tous ces personnages, hommes, femmes,
enfants
, sourient doucement, et à travers ce sourire perc
t encore, les Le Nain ont peint un vieux flûteur entouré de charmants
enfants
bouclés, qui prêtent une oreille attentive à la m
Nativité qui est à Saint-Étienne-du-Mont. Saint Joseph, qui regarde l’
enfant
, est véritablement un homme de campagne, déjà sur
est une jeune femme de campagne aussi, belle, brune, un peu forte ; l’
enfant
, qui fait sécher les langes devant la cheminée, s
; l’enfant, qui fait sécher les langes devant la cheminée, semble un
enfant
de la maison, sauf les ailes qui sont comme ajout
e père, assis à table, ayant soupe, joue du flageolet pour amuser ses
enfants
. La mère est absente. Ce sont des enfants déjà gr
u flageolet pour amuser ses enfants. La mère est absente. Ce sont des
enfants
déjà grands, dont l’une est mère et emmaillote l’
Ce sont des enfants déjà grands, dont l’une est mère et emmaillote l’
enfant
, qu’elle tient sur ses genoux avant de le coucher
oux avant de le coucher, avec grande attention et gravité. Les autres
enfants
, plus jeunes que la jeune mère, probablement frèr
repose indifféremment. En un mot, l’auteur de l’élégie l’Ange et l’
Enfant
a une qualité qui, dès qu’on songe à son point de
in se rattache, je l’ai dit, à Marot, né tout près de là, à Villon, l’
enfant
de Paris, à Boileau du Lutrin, à Gresset, à Volta
it sauter les crêpes, d’un père bossu, d’une mère boiteuse, naquit un
enfant
, un petit drôle, et ce drôle, c’était lui. Si un
et qu’il voyait celle-ci la prendre avec soupir en disant : « Pauvre
enfant
, tu viens bien à propos. » La pauvreté s’annonçai
rent. » Cinq jours après, il n’était plus ; et, depuis ce lundi-là, l’
enfant
, pour la première fois, sut qu’ils étaient pauvre
e et crie : « A l’école ! à l’école, mon fils ! » — « Eh quoi ? dit l’
enfant
, nous sommes donc devenus riches ? » — « Eh ! pau
s riches ? » — « Eh ! pauvret, répondit-elle, tu y vas pour rien. » L’
enfant
s’applique ; six mois après, il sait lire ; six m
e en effet bientôt, avec un morceau de pain sous le bras, et tous les
enfants
, joyeux, à table, oublient la détresse. Jasmin se
son visage ; un froid pesant comme le plomb, tombant, à la voix de l’
enfant
, sur son cœur bientôt sans battements, suspend as
onne-le-moi ! » Et elle se met en marche vers l’église, appuyée sur l’
enfant
; pas de soleil encore, il bruine ; l’odeur du la
que nous montons. » — « Eh ! ne vois-tu pas que nous arrivons ? dit l’
enfant
; n’entends-tu pas chanter l’orfraie sur le cloch
exclusifs sont déjoués. Vous nous accusez, nous autres d’ici, d’être
enfants
de Du Bartas, et voilà que du pays de Du Bartas,
1844.) 45. Petit instrument de sureau avec lequel se canonnent les
enfants
. 46. Noël célèbre du Midi. 47. Depuis que ceci
s ; je ne pouvais rien articuler, pas même de ces petits cris que les
enfants
poussent en songe vers leur mère ; mais tout mon
marades. Telle était de mon temps l’éducation provinciale. Deux cents
enfants
se partageaient en deux armées. Il n’était pas ra
; j’en suis fâché. « L’intention des chefs est qu’alors la gaieté des
enfants
soit sans entraves, et je n’ai pas de peine à cro
ûr que je m’en moquerais à sa place. Je me souviens qu’à l’âge de ces
enfants
, mes camarades et moi, nous pensâmes démolir un d
, de mémoire de parents, on n’avait pas vu une plus heureuse couvée d’
enfants
. Je regrette qu’à cette éducation qui préparait d
uthérien leur donnent, il n’est question ni de diable ni d’enfer, vos
enfants
n’auront pas le torticolis des nôtres. » FIN DU T
(continuation de la huitième période). — Accroissement du nombre des
enfants
naturels du roi. — Maison, rue de Vaugirard, où m
ique un goût très vif pour madame de Scarron. En 1672, le nombre des
enfants
de madame de Montespan s’étant accru du comte de
ont pas indifférentes. D’abord, elle est certainement du temps où les
enfants
et la gouvernante habitaient la maison isolée de
ent jeté des regards amoureux sur madame Scarron avant qu’elle et les
enfants
vinssent à Versailles et s’y établissent. Il rest
que l’année qu’elle allait passer dans une solitude forcée, avec les
enfants
dont il fallait cacher l’existence, serait consac
orté par madame de Caylus dans ses Souvenirs, page 89 : « L’aînée des
enfants
de madame de Montespan mourut à l’âge de trois an
nfants de madame de Montespan mourut à l’âge de trois ans. » (C’est l’
enfant
que Saint-Simon nomme Madame la duchesse, t. XIII
e la gouvernante dont la douleur n’était pas toute pour la perte de l’
enfant
et s’était accrue de la douleur du père ? Mais la
appelé sa République, leur écrivit des absurdités contre nature qu’un
enfant
réfuterait, mais qui font les délices du monde de
ait l’argenterie de son évêque ou la pièce de quarante sous du pauvre
enfant
qui lui avait servi de guide, était de condition
nthrope, et vous verrez s’il lui donnera sa fille, et s’il jouera ses
enfants
et le renom si pur de sa famille à ce croix ou pi
tout risque un morceau de pain pour sa belle-sœur et ses sept petits
enfants
. Il fallait que la Brie et le village de Faveroll
a rave, le lait de la chèvre ou de la vache manquer à l’innocence des
enfants
ou à la pénurie des vieillards, à quelque porte q
tes sur la nappe écrue de la table, du lait dans l’écuelle des autres
enfants
! Pour les villes et pour les palais des riches,
ire : « On risque de mourir de faim cette nuit chez la veuve aux sept
enfants
», et le pain serait venu avec les larmes : voilà
ensuite condamné à mort pour le vol d’une pièce de quarante sous à un
enfant
qui n’avait de témoin que ses larmes ; quand tout
voudra dans ses manufactures, il peut protéger les filles, doter les
enfants
, etc. ; maire de sa bourgade, il peut se relever
sainteté pratique qui ravisse les pauvres, les vieillards, les petits
enfants
, toute la partie souffrante de l’humanité dont Di
vêque : « — Louis XVII ! Voyons ! sur qui pleurez vous ? Est-ce sur l’
enfant
innocent ? Alors soit, je pleure avec vous. Est-c
sur l’enfant innocent ? Alors soit, je pleure avec vous. Est-ce sur l’
enfant
royal ? Je demande à réfléchir ; pour moi, le frè
ant royal ? Je demande à réfléchir ; pour moi, le frère de Cartouche,
enfant
innocent, pendu par les aisselles jusqu’à ce que
e Cartouche, n’est pas moins douloureux que le petit-fils deLouis XV,
enfant
innocent martyrisé dans la tour du Temple, pour l
iseur de vérités. Quand il s’écriait : Laissez venir à moi les petits
enfants
, il ne distinguait pas entre les petits enfants,
enir à moi les petits enfants, il ne distinguait pas entre les petits
enfants
, il ne se fût pas gêné pour rapprocher le dauphin
eurez-vous sur tous les innocents, sur tous les martyrs, sur tous les
enfants
, sur ceux d’en bas comme sur ceux d’en haut ? j’e
ant Louis XVII qu’il faut commencer nos larmes ; je pleurerai sur les
enfants
du roi avec vous, pourvu que vous pleuriez avec m
se à la vapeur, des milliers d’innocents, de vieillards, de femmes, d’
enfants
de quinze ans, assez vaincus pour se laisser cond
ration par le terrorisme agonisant dans ce livre ? Louis XVII, pauvre
enfant
d’un père tombé du trône, d’un père et d’une mère
ais plaint Charles Ier d’Angleterre, ou Marie Stuart d’Écosse, ou les
enfants
d’Édouard, ou Louis XVI décapité, ou Marie-Antoin
eut répondre aux larmes de sa femme et aux cris affamés de ses petits
enfants
qu’en tordant ses bras désespérés et qu’en maudis
n Paez, première fantaisie poétique d’Alfred de Musset presque encore
enfant
. C’est une débauche de verve écumante, c’est une
isait ce cynisme grossier de l’expression ; il faut le pardonner à un
enfant
qui prenait l’engouement pour le goût ; le temps
ès des barrières, triste ; — on n’y voit jamais rien, Sinon un pauvre
enfant
fouettant un maigre chien ; Des lucarnes sans vit
…………………………… Mais laisse-moi du moins regarder dans ton âme, Comme un
enfant
craintif se penche sur les eaux ; Toi si plein, f
J’ai trouvé sur un banc une femme endormie, Une pauvre laitière, une
enfant
de quinze ans, Que je connais, Gunther. — Sa mère
sans. Le cher ange dormait les lèvres demi-closes. — (Les lèvres des
enfants
s’ouvrent, comme les roses, Au souffle de la nuit
mes lèvres sur les siennes, Et puis je suis parti, pleurant comme un
enfant
. Goethe n’a pas plus de naïveté, Byron plus de f
able, Où l’ombre de mon corps se promène ici-bas ? Rien ! pas même un
enfant
, un être périssable ! Rien qui puisse y clouer la
, mais il est trop long et trop usé. Cela rappelle ces espiègleries d’
enfants
qui promènent sur les lèvres fermées d’autres enf
espiègleries d’enfants qui promènent sur les lèvres fermées d’autres
enfants
comme eux, la barbe d’une plume pour les faire ri
uche, et ses grands yeux s’éteignent, Et le pâle désert roule sur son
enfant
Le flot silencieux de son linceul mouvant. Elle
? Non, la neige est plus pâle, et le marbre est moins blanc. C’est un
enfant
qui dort. — Sur ses lèvres ouvertes Voltige par i
n-aimées, Il boit sur ses bras nus les perles des roseaux. C’est une
enfant
qui dort sous ces épais rideaux, Une enfant de qu
s des roseaux. C’est une enfant qui dort sous ces épais rideaux, Une
enfant
de quinze ans, — presque une jeune femme ; Rien n
mille qui va spéculer tout à l’heure sur la chaste innocence de cette
enfant
? Poursuivons, car le poète ne se lasse pas lui-m
, Quand le ciel te donna de ressaisir la vie Au manteau virginal d’un
enfant
de quinze ans ! Quinze ans ? — Ô Roméo ! l’âge d
ernel ! Oh ! la fleur de l’Éden, pourquoi l’as-tu fanée, Insouciante
enfant
, belle Ève aux blonds cheveux ? Tout trahir et to
oppresse, Et les vents altérés m’ont mis la lèvre en feu. Ô paresseux
enfant
, regarde, je suis belle. Notre premier baiser, ne
fice, Fatigué de mourir dans un trop long supplice, Il craint que ses
enfants
ne le laissent vivant ; Alors il se soulève, ouvr
eu qui t’a frappé ? Le coup dont tu te plains t’a préservé peut-être,
Enfant
; car c’est par là que ton cœur s’est ouvert. L’h
uil entr’ouvert ; Il voit un peu de cendre au milieu d’un désert. Ses
enfants
demi-nus sortent de la bruyère, Et viennent lui c
un hymne impur sous la résine en feux. Cependant des vieillards, des
enfants
et des femmes, Se barbouillaient de lie au fond d
batailles, Ne viendront plus s’éteindre en sifflant sur tes bords ; L’
enfant
ne verra plus du haut de tes murailles Flotter ce
que ces vers oubliés Aillent au moins frémir et tomber à tes pieds !
Enfant
aux blonds cheveux, jeune homme au cœur de cire,
ion ta vague fantaisie, Bulle d’air coloré dans une bulle d’eau Que l’
enfant
fait jaillir du bout d’un chalumeau, Que la beaut
ou moins fait nous-même, quand nous commencions à trébucher comme des
enfants
sans lisière sur tous les achoppements de la jeun
ré de l’air qui vole, Naquit d’un sang breton et lorrain à la fois Un
enfant
sans couleur, sans regard et sans voix ; Si débil
un frêle roseau Fit faire en même temps sa bière et son berceau. Cet
enfant
que la vie effaçait de son livre, Et qui n’avait
, Prodigués pour ma vie en naissant condamnée, M’ont fait deux fois l’
enfant
de ma mère obstinée ; Ange, qui sur trois fils at
semaines quand le régiment dut quitter Besançon pour l’île d’Elbe. L’
enfant
l’y suivit et y demeura jusqu’à l’âge de trois an
urpre encore neuve dont plus tard il rehaussa le lambeau. En 1805, l’
enfant
revint à Paris avec sa mère, qui se logea dans la
xtirpait les bandes de brigands, entre autres celle de Fra-Diavolo. L’
enfant
y resta jusqu’en 1809 ; il en rapporta mille sens
t, dut aussi influer beaucoup sur l’esprit et la gravité précoce de l’
enfant
poëte. Le général Lahorie, compromis en 1804 dans
lui faire expliquer Tacite en latin ; car l’intelligence robuste de l’
enfant
mordait déjà à cette forte nourriture. Un ancien
impression profonde et amère durent jeter dans l’âme ardente du jeune
enfant
de l’Empire, et les discours du mécontent, et le
connaître et d’aimer cette autre Pepita non moins charmante, la jeune
enfant
qui, plus tard, devint sa femme. Au printemps de
à ce séjour au collége des nobles qu’il faut rapporter les combats d’
enfants
pour le grand Empereur, dont le poëte fait quelqu
timents déjà anciens d’opposition à l’Empire, et la mère vendéenne, l’
enfant
élève de Lahorie, se trouvèrent tout naturellemen
reprit d’autorité ses deux fils, ce qui augmenta encore la haine des
enfants
contre le gouvernement impérial. Comme il les des
e . M. François de Neufchâteau, qui avait été aussi dans son temps un
enfant
précoce, adressa à Victor Hugo des vers de félici
moment où parut l’Ode sur la Mort du duc de Berry, l’ayant qualifié d’
Enfant
sublime , Victor Hugo, conduit par M. Agier, l’al
noncer devant elle un mot déplacé. Elle s’est fait une famille de ces
enfants
sauvages et abandonnés. Elle ne doit se garder qu
trois personnes en danger ; c’est maintenant un excellent soldat. « L’
enfant
de feu », comme l’appelle madame Gros, était dans
surtout les atroces cruautés qu’exerçaient les uns sur les autres les
enfants
de la cristallerie ont été supprimées par madame
ent à Lyon, à travers les lignes prussiennes, ramenant une douzaine d’
enfants
, de deux à trois ans, inconnus ou abandonnés. L’e
elle part de nouveau pour l’Alsace, d’où elle ramène encore quelques
enfants
; puis ce sont les autorités mêmes de l’Alsace et
ans son modeste appartement pour ces hôtes nouveaux ; les plus petits
enfants
furent pendant quelque temps couchés dans son pro
donnant avec force, ne pouvait être bien dirigée. Les deux intrépides
enfants
se font attacher par la ceinture et descendent ré
s cinquante-quatre ans les mêmes maîtres. Elle a élevé et soigné neuf
enfants
; la famille à laquelle elle est attachée ayant p
ancs de la personne charitable à Rose Mélanie, de Pontorson (Manche),
enfant
abandonnée, dont tous les actes sont empreints d’
ermet de donner mille francs à Jeanne Pécusseau, de Nantes, également
enfant
d’hospice, dont le dossier est un document inappr
onnaissent et s’aiment entre eux. Qui croirait qu’il y a un monde des
enfants
trouvés ? Ce monde existe, et l’on y est très heu
ille des hospices, qui a consacré sa vie tout entière à l’éducation d’
enfants
abandonnés comme elle. « Tous les enfants élevés
out entière à l’éducation d’enfants abandonnés comme elle. « Tous les
enfants
élevés par cette bonne fille Albert, nous dit l’i
terrain au cimetière, — pour y déposer sa chère nourrice. « Tous nos
enfants
, dit l’inspecteur, ont pleuré avec elle sur cette
nt de bienfaits ? Hélas ! non. « Les larmes les plus amères que cette
enfant
verse secrètement dans le sein de Dieu, dit M. le
L’un, cette âme pareille en tous, tant que nous sommes, Sages, fous,
enfants
, idiots, Hôtes de l’univers, sous le nom d’animau
recommandait le travail. C’est, par exemple, dans le Vieillard et ses
enfants
, le trésor dans le champ, symbole qui veut dire :
orbeau. Le corbeau est dupe, le renard est un fripon. Lisez cela à un
enfant
, soyez sûr qu’il voudra être le renard. Voilà à q
arrivez. De même, le Renard et le Bouc, par exemple. Soyez sûr que l’
enfant
ne songera qu’à se moquer du bouc qui est assez i
vé, qu’en faites-vous de cette grande théorie qui est la vôtre ? Si l’
enfant
, l’enfant très jeune qui n’a pas encore été dépra
faites-vous de cette grande théorie qui est la vôtre ? Si l’enfant, l’
enfant
très jeune qui n’a pas encore été dépravé par la
enfant très jeune qui n’a pas encore été dépravé par la société, si l’
enfant
, très jeune, veut être le loup, ou veut être le r
contre elles, et il a supplié qu’on ne les donnât pas à apprendre aux
enfants
. Napoléon Ier pensait de même avec une petite nua
sait : « Ces fables, je les comprends, mais elles sont ironiques, les
enfants
ne peuvent pas comprendre l’ironie, c’est-à-dire
t est toujours la meilleure, Nous l’allons montrer tout à l’heure. L’
enfant
va dire : « Eh bien ! c’est ce qu’il faut croire
le loup a raison, il est le plus fort, sa raison est la meilleure. L’
enfant
aura-t-il la force de comprendre qu’il faut prend
a tort, c’est nous qui avons tort de donner La Fontaine à lire à nos
enfants
. D’abord pour des raisons littéraires : La Fontai
remière raison. La seconde, c’est que, en effet, il n’a pas, pour les
enfants
, la morale que tout naturellement, instinctivemen
subsistance à la fourmi, et la fourmi la lui refuse très nettement. L’
enfant
dit très catégoriquement : « Ce n’est pas ça ! ce
de La Fontaine successivement, j’aime mieux y renoncer et donner à l’
enfant
des fables plus à sa portée ». En vérité, il aura
eur. Cette fable, que l’on pourrait appeler la Fontaine, la Mère et l’
Enfant
, cette fable qui est parfaitement authentique, me
a, sur elles, les opinions d’un vieux turc. Pour lui, la femme est un
enfant
gâté et terrible, un être malfaisant et subaltern
ussi périlleux qu’une campagne. Avant de partir, il lui recommande un
enfant
qui, bientôt peut-être, n’aura plus de père. Jane
urt, après le départ de ce mari généreux. Jane se prépare à visiter l’
enfant
qui lui est légué ; il veut savoir où elle va et
est amoureuse, dans la pièce, de la barbe blonde de M. de Chantrin. L’
enfant
, roucoulant une romance devant cette barbe adorée
médie si scabreuse. Quand on parle physiologie, on envoie coucher les
enfants
. La jeune fille, à cet âge de puberté et de trans
mble au petit mari et à la petite femme ; la récréation est finie : l’
enfant
verse une larme et va se consoler avec son bouvre
es, facilement ému, le coeur sur la main, Valmoreau est un gandin bon
enfant
. Le premier acte met en scène ces cinq personnage
u’occupe madame Aubray au bord de la mer. Mais, restée seule avec son
enfant
, Jeannine — c’est son nom, — s’entend appeler par
talement, et naturellement : elle n’a le droit d’accuser personne, Un
enfant
est né de sa faute, et elle a été heureuse d’être
st né de sa faute, et elle a été heureuse d’être mère. Le père de cet
enfant
s’est marié, quelque temps après sa naissance ; e
ue par lui qu’il veut chasser du monde honnête ! c’est la mère de son
enfant
qu’il désigne comme une réprouvée. Non content de
suffirait à peine à porter le poids d’une femme déchue aggravé par un
enfant
, témoin vivant de sa faute. C’est folie que de pr
en criant, au visage de l’homme, qui n’a que le temps de s’enfuir. L’
enfant
s’est évanoui, Camille est accouru aux cris de la
e. Exalté par son émotion, attendri par le nom de père que prononce l’
enfant
en rouvrant les yeux, il lui demande sa main avec
et qu’emploient chaque jour les plus ignorants de toute rhétorique. L’
enfant
sait qu’il faut arriver en classe à l’heure exact
r le bras du portrait de Medina-Cœli n’est pas diffamer Madrazo. Si l’
enfant
est fort en retard, il dit : « Maman m’a retenu ;
erministe. Il y a dans un roman contemporain une scène frappante : un
enfant
, apprenti dans une usine, est accusé d’un vol. To
e jour-là ; il a dépensé plusieurs louis, une grosse somme. Le pauvre
enfant
n’aurait qu’un mot à dire : il a reçu cent francs
s ? De ce qu’elles sont encore enfoncées dans les images, de ce que l’
enfant
les prend en bloc, dans leur forme concrète, sans
les paroles menaçantes ? Quel rapport établir entre ceci et cela ? L’
enfant
ne voit pas que la crainte de chagriner légèremen
plication. En 1593, le bruit courut que les dents étant tombées à un
enfant
de Silésie, âgé de sept ans, il lui en était venu
le, en partie miraculeuse, et qu’elle avait été envoyée de Dieu à cet
enfant
pour consoler les chrétiens affligés par les Turc
hériter de sa considération. Elle avait été appelée à l’éducation des
enfants
naturels par les mêmes motifs qui avaient fait co
êmes motifs qui avaient fait confier à madame de Montausier celle des
enfants
légitimes. Elle était distinguée dans la société,
y avait de la différence sans doute entre la place de gouvernante des
enfants
de France et celle des enfants naturels : il y av
oute entre la place de gouvernante des enfants de France et celle des
enfants
naturels : il y avait aussi de la distance entre
me à peu près équivalentes à la légitimité. Le roi avait légitimé les
enfants
qu’il avait de madame de La Vallière ; madame Sca
blement, ni plus tendrement pour feu madame de Montausier. » 83. L’
enfant
de madame d’Heudicourt, qui fut depuis madame de
ne ; le vin, les légumes, les fruits, cueillis par la servante et les
enfants
, et soigneusement encaissés et visités dans le fr
ante femme ; hélas ! elle y était morte jeune encore, à son quatrième
enfant
, et entre le lit et la cheminée un portrait d’un
mbulant y avait laissé sa douce et mélancolique image. Le père et les
enfants
, à chaque anniversaire du mariage ou de la mort,
isait devant son portrait et servait maintenant à M. de Guérin et aux
enfants
pour prier en se remémorant leur épouse et leur m
il se tenait prêt à partir aussitôt qu’il plairait à Dieu, et que ses
enfants
, dont il était tout à la fois le père et la mère,
a femme. VII Le salon dans lequel il passait la soirée avec ses
enfants
, et quelquefois avec ses hôtes, ses parents, ou c
son père, l’autre pour remplacer la mère absente auprès de son frère
enfant
. Voilà quelle était la vie habituelle des habitan
e de sa femme, avait redoublé en lui par l’isolement de son cœur. Ses
enfants
ici-bas, et Dieu au ciel avec l’ombre de sa femme
xclusivement, par devoir et par affection, à l’éducation de ses chers
enfants
. Sa fille aînée, Eugénie de Guérin, avait été nat
etière d’Andillac, les soins assidus des pauvres, des vieillards, des
enfants
orphelins dans les maisons du voisinage. La lectu
s blanches nécessaires à l’expansion de son cœur pour elle et pour un
enfant
de quatorze ans ! Elle lui annonce la mort d’un b
de la paroisse, enlevée en quelques jours. Elle laisse un tout petit
enfant
qui tétait. Pauvre petit ! C’était Marianne de Ga
. Ce gros livre étonnait Pierril. Qué de mouts aqui dédins 2 ! Cet
enfant
est tout à fait drôle. Un soir il me demanda si l
nt rire que mon sérieux de catéchiste s’en alla pour la soirée. « Cet
enfant
nous a quittés un de ces jours, à son grand regre
ien vite à ces idolâtries, car une jolie femme s’adore. Quand j’étais
enfant
, j’aurais voulu être belle : je ne rêvais que bea
vie d’autre beauté que celle de l’âme. Peut-être même en cela suis-je
enfant
comme autrefois : je voudrais ressembler aux ange
t, grandissent, changent, disparaissent, tantôt anges, démons cornus,
enfants
, vieilles, papillons, chiens, moineaux : on voit
eille. Puis nous l’avons fait jaser sur son pays d’à présent, sur ses
enfants
et sa femme. J’aime fort ces conversations et ces
avait une âme. « Un pauvre aujourd’hui est passé, puis un tout petit
enfant
. — Est-ce la peine d’en parler ? » XXII Le
! il leur faut bien quelque chose : ils ont la gaieté. « Deux petits
enfants
font aussi en chantant leur fagot de branches par
s feuilles mortes, qui les préservent des gelées blanches. Les petits
enfants
s’en amusent et les appellent fleurs de mars. « C
t chante ou va chanter. » Et quelques pages plus loin, à propos d’un
enfant
de deux ans, à qui la mort a enlevé sa mère : «
nnaissance pour tous les sacrifices qu’il s’imposait en faveur de ses
enfants
; pour sa sœur Mimi une affection vraiment matern
u de lui une de ces grandes idées qui montrent un grand homme dans un
enfant
à des parents trop prévenus en faveur de leur san
nces. Il fut obligé, pour vivre, de donner des leçons vulgaires à des
enfants
plus jeunes que lui ; puis, les élèves manquant,
fortes les faiblesses coupables d’un père et les ingratitudes de ses
enfants
. Ni Plaute, ni Térence, ni Aristophane, ni Molièr
urs. Quand vous serez père, quand vous direz, en oyant gazouiller vos
enfants
: C’est sorti de moi ! que vous sentirez ces peti
au moment où elles s’ouvrent ? Quel poète nous dira les douleurs de l’
enfant
dont les lèvres sucent un sein amer, et dont les
physique ou morale me valait la froideur de ma mère ? étais-je donc l’
enfant
du devoir, celui dont la naissance est fortuite,
desquels j’ai pu me relever de cette première déchéance : chez moi l’
enfant
ignore, et l’homme ne sait rien. Loin d’adoucir m
x sœurs s’amusèrent à me faire souffrir. Le pacte en vertu duquel les
enfants
cachent leurs peccadilles, et qui leur apprend dé
réclamer contre cette injustice ; la courtisanerie, en germe chez les
enfants
, leur conseillait-elle de contribuer aux persécut
r, je regardais une étoile avec cette passion curieuse qui saisit les
enfants
, et à laquelle ma précoce mélancolie ajoutait une
enfui déjà ; je n’étais pas imbécile, mais sournois ; parmi tous les
enfants
soumis à ses soins, elle n’en avait jamais rencon
. Les défenses tyranniques aiguisent encore plus une passion chez les
enfants
que chez les hommes ; les enfants ont sur eux l’a
nt encore plus une passion chez les enfants que chez les hommes ; les
enfants
ont sur eux l’avantage de ne penser qu’à la chose
i disais mon chagrin dans ce délicieux ramage intérieur par lequel un
enfant
bégaye ses premières idées, comme naguère il a bé
traces au cœur. « De cinq ans plus âgé que moi, Charles fut aussi bel
enfant
qu’il est bel homme ; il était le privilégié de m
s par les portières, et qu’en sa qualité de femme, elle satisfit. Les
enfants
devinent la convoitise dans les regards aussi bie
us distingués sont accessibles à la vanité, comment ne pas absoudre l’
enfant
qui pleure de se voir méprisé, goguenardé ! À ce
nfant qui pleure de se voir méprisé, goguenardé ! À ce jeu, combien d’
enfants
seraient devenus gourmands, quêteurs, lâches ! Po
rudement, apprit cet événement à ma mère, elle s’écria : — Ce maudit
enfant
ne nous donnera que des chagrins ! J’entrai dans
r à Pont-Levoy, collège dirigé par les Oratoriens, qui recevaient les
enfants
de mon âge dans une classe nommée la classe des P
sion. La moindre de ces lâchetés, que se permettent si facilement les
enfants
, me faisait bondir le cœur. Je séjournais sous un
ours de leur fête et de leur naissance, avec l’exactitude des pauvres
enfants
délaissés, mais avec une vaine persistance. Aux a
nce, ils eussent essuyé mes pleurs au lieu de les faire couler. Mais,
enfant
, pouvais-je avoir cette grandeur d’âme qui fait m
mais il dit au domestique de nous annoncer. Poussé par une avidité d’
enfant
, je me précipitai dans la longue antichambre qui
parents m’avaient ramené chez eux quand la guerre avait menacé Paris.
Enfant
de la Touraine à qui la Touraine était inconnue,
ez la comtesse. Si d’abord je crus qu’elle affectait de me traiter en
enfant
, si j’enviai le privilège des hommes de trente an
de points bruns, étaient toujours pâles ; mais s’il s’agissait de ses
enfants
, s’il lui échappait de ces vives effusions de joi
réjouit la vue quand il dépasse la robe. Quoiqu’elle fût mère de deux
enfants
, je n’ai jamais rencontré dans son sexe personne
pliées, son esprit avait la profonde concision du sauvage, elle était
enfant
par le sentiment, grave par la souffrance, châtel
La rareté de ses gestes, et surtout celle de ses regards (excepté ses
enfants
, elle ne regardait personne), donnait une incroya
avais rencontrée là pour la première fois, entre le comte et ses deux
enfants
, au lieu de la trouver splendide dans sa robe de
urais caressé le chien, j’aurais fait la cour aux moindres désirs des
enfants
; je leur aurais apporté des cerceaux, des billes
asse une année à Lyon, chez M. de Mably, comme précepteur de ses deux
enfants
; revient en 1741 aux Charmettes, y retrouve la m
endra avec tendresse, dans la Lettre à d’Alembert, d’avoir participé,
enfant
, aux fêtes civiques de sa ville. C’est ce petit G
rcher fortune en Perse. Il y a ensuite, dans Jean-Jacques, un pauvre
enfant
très déraisonnablement élevé, passant des nuits à
reprises, un polisson, un larron, un parfait vaurien. Il y a aussi un
enfant
, puis un adolescent, puis un homme d’une sensibil
si son laquais ne l’eût avertie qu’il était temps d’entrer. Eh ! mon
enfant
, me dit-elle d’un ton qui me fit tressaillir, vou
ussi un catholique. Il se convertit au catholicisme, — encore presque
enfant
, il est vrai, — pour obéir à la belle dame d’Anne
ar lui seul que nous savons ses hontes, — mais enfin tel est l’homme,
enfant
et adolescent vicieux, vagabond indiscipliné, — p
eines, et, prêt à me trouver mal, je m’assieds, et je pleure comme un
enfant
. Ne nous y trompons pas : bonnes ou mauvaises, c
té ! c’est toi la courtisane, C’est toi qui dans ce lit as poussé cet
enfant
Que la Grèce eût jeté sur l’autel de Diane !… Et
avait quitté le commerce et était venue à Paris avec son mari et ses
enfants
. (Jean-Jacques nous dit qu’elle avait « beaucoup
ari et ses enfants. (Jean-Jacques nous dit qu’elle avait « beaucoup d’
enfants
», sans préciser.) Et maintenant écoutons Jean-Ja
e ses affamés. Et plus loin : Il était singulier que la cadette des
enfants
de madame Levasseur (Thérèse), la seule qui n’eût
épété, et que cela est un lien sérieux. Rousseau eut de Thérèse trois
enfants
de 1746 à 1750 : il en eut deux autres entre 1750
6, — il avait entendu dire à son barbier que M. Rousseau envoyait ses
enfants
aux Enfants-Trouvés et que cela était connu dans
y a bien des hontes dans la vie de quelques autres… Mais voilà ! cinq
enfants
aux Enfants-Trouvés, cela est monstrueux ; de que
ean-Jacques.) En 1761, madame de Luxembourg a l’idée de retrouver les
enfants
de Rousseau. Elle lui demande quelles sont les da
et les marques de reconnaissance. Il lui écrit à ce sujet : Ces cinq
enfants
ont été mis aux Enfants-Trouvés avec si peu de pr
e aussi l’a-t-elle oubliée ? — Il se souvient pourtant que le premier
enfant
est né « dans l’hiver de 1746 à 1747, ou à peu pr
it en double, sur deux cartes, dont une fut mise dans les langes de l’
enfant
».) Les autres enfants n’avaient aucune marque. L
cartes, dont une fut mise dans les langes de l’enfant ».) Les autres
enfants
n’avaient aucune marque. Laroche, homme de confia
eraient rendues publiques. Oh ! tout cela ne prouve pas que les cinq
enfants
soient une invention de Rousseau. Mais il semble
là, cette réplique qu’on peut appeler triomphante : la fable des cinq
enfants
, et, parce qu’il n’aurait pas pu les montrer et q
le était accouchée chez une sage-femme et qu’elle avait fait porter l’
enfant
aux Enfants-Trouvés. Le principal argument de mad
me Macdonald, c’est que Rousseau avoue qu’il n’a vu aucun de ses cinq
enfants
. — Cette machination se serait faite d’accord ave
u reste, si elle supprime le fait de la naissance et de l’abandon des
enfants
, elle ne supprime pas le consentement de Rousseau
, elle ne supprime pas le consentement de Rousseau à l’abandon de ces
enfants
qu’il croyait avoir. Donc, elle ne l’absout pas.
ion, — qui était celle de Victor Cherbuliez : — Oui, Thérèse eut cinq
enfants
et qui furent tous mis aux Enfants-Trouvés. Mais
cinq enfants et qui furent tous mis aux Enfants-Trouvés. Mais de ces
enfants
Rousseau n’était pas et ne pouvait sans doute pas
ctions. — D’après Tronchin, Rousseau n’était pas impropre à avoir des
enfants
; il y fallait seulement certaines conditions, qu
table de madame de Luxembourg qui n’a pas voulu dire à Rousseau que l’
enfant
était mort ? Quant aux autres enfants, s’il n’y e
pas voulu dire à Rousseau que l’enfant était mort ? Quant aux autres
enfants
, s’il n’y en a nulle trace dans les registres, c’
à les textes les plus ordinaires ; et celui qui peuplait le mieux les
Enfants
Trouvés était toujours le plus applaudi. Cela me
de celle de la mère : elle obéit en gémissant. » En 1760, troisième
enfant
, troisième dépôt (sans chiffre, donc sans intenti
rs meilleurs). Cette fois, il en donne pour raison, qu’en livrant ses
enfants
à l’éducation publique, faute de pouvoir les élev
Thérèse, (ce qui est assez plaisant) ; 3º il n’aurait pu nourrir ses
enfants
qu’en devenant fripon ; 4º on est très bien aux E
qu’en devenant fripon ; 4º on est très bien aux Enfants-Trouvés. Les
enfants
ne sortent des mains de la sage-femme que pour pa
ue pour passer dans celles d’une nourrice. Rousseau sait bien que ces
enfants
ne sont pas élevés délicatement : tant mieux pour
hemin faisant, il prévient une objection : « Il ne faut pas faire des
enfants
quand on ne peut pas les nourrir. — Pardonnez-moi
t l’état des riches, c’est votre état qui vole au mien le pain de mes
enfants
. » (Ceci est écrit après le Discours sur les scie
le. La misère ? Rousseau, au moment de la naissance des deux premiers
enfants
, gagnait neuf cents, puis mille francs chez madam
eurs des cadeaux à Thérèse, et auraient été charmées de s’occuper des
enfants
. Il dit qu’elles ne les auraient pas fait élever
à six mille francs. Il pouvait donc élever au moins ses deux derniers
enfants
. Mais sans doute le pli était pris. Et puis, il n
valle, l’apôtre de l’égalité ? Quant au bonheur qui est l’apanage des
enfants
trouvés… La plaisanterie est lugubre. Dans la Neu
ère cause de mon malheur. Que n’aurais-je point donné pour me faire l’
enfant
de sa mère ? Je fis tout pour y parvenir et n’en
elui de sa fille, qui déjà n’en était plus séparé. Elle et ses autres
enfants
et petits-enfants devinrent autant de sangsues, d
e, l’effet des bonnes maximes que je m’efforçais de lui inspirer… Les
enfants
vinrent ; ce fut encore pis. Je frémis de les liv
e pour en être élevés encore plus mal. Les risques de l’éducation des
enfants
trouvés étaient beaucoup moindres. Cette raison d
Vous comprenez bien que cette famille n’a pas voulu que Thérèse eût d’
enfants
, qui auraient pris part au gâteau et qui auraient
t eue pour eux. La famille de Thérèse n’a pas voulu que Thérèse eût d’
enfants
. Lui obéissant toujours, et craignant peut-être q
exigé leur sacrifice. » Il reste que Rousseau aurait abandonné cinq
enfants
par peur de Thérèse et surtout de la mère Levasse
ui-là, dans une lettre intime, me paraissent une meilleure preuve des
enfants
abandonnés que les récits des Confessions. Et dan
nécessité, l’honneur de celle qui m’était chère me firent confier mes
enfants
à l’établissement fait pour cela, et m’empêchèren
dans l’audacieuse allusion qu’il fait publiquement à l’abandon de ses
enfants
, au livre Ier de l’Émile. — Si l’histoire des cin
don de ses enfants, au livre Ier de l’Émile. — Si l’histoire des cinq
enfants
abandonnés était une « simulation », il faut avou
plètement que j’ai pu la question de Thérèse et de l’abandon des cinq
enfants
. J’ai présenté les diverses explications que donn
permanent. (Là, décidément, il exagère, car enfin le remords de ses
enfants
abandonnés a dû ou aurait dû être pire ; mais il
rat puisque j’ai un bon cœur ». Ou bien encore : « J’ai abandonné mes
enfants
, mais je n’ai pu être un mauvais père, parce que
ertus militaires, enfin la frivole et dangereuse éducation donnée aux
enfants
(ici encore de bonnes réflexions). Les philosophe
tres diraient des préjugés qui ne m’ont jamais tout à fait abandonné.
Enfant
encore et livré à moi-même…, forcé par la nécessi
ou qu’il allait mettre aux Enfants-Trouvés son troisième ou quatrième
enfant
. C’est que sa réforme n’est point intérieure, ou
?) C’est elle qui détourne tout sauvage robuste d’enlever à un faible
enfant
ou à un vieillard infirme sa subsistance acquise
contre la loi de nature, de quelque manière qu’on la définisse, qu’un
enfant
commande à un vieillard, qu’un imbécile conduise
’il nous donne : « Je craignais la récidive (c’est-à-dire de nouveaux
enfants
), et, n’en voulant pas courir le risque, j’aimai
avec quelque argent et s’était engagé à lui payer son loyer chez ses
enfants
ou ailleurs, et à ne jamais la laisser manquer de
des méchants. On y tourne en dérision les droits des pères sur leurs
enfants
, des maris sur leurs femmes, des maîtres sur leur
nt déjà donné des citoyens à la patrie, verraient encore leurs petits
enfants
se préparer à le devenir. Et, là-dessus, il s’ex
, celle-là, si, comme je le crois, c’est une allusion à l’abandon des
enfants
de Rousseau. Et ce doit bien être cela ; car, si
usage, en donnant à leurs filles la même éducation qu’à leurs autres
enfants
… On vous a vus si souvent, pour des motifs très l
nent de vous ?… (Notez que d’Alembert devait connaître l’abandon des
enfants
, puisque Rousseau l’avait raconté quelques années
té de l’Éducation quelques années après avoir abandonné son cinquième
enfant
… Et tout cela est gênant, et je ne sais si jamais
e ne pus dire un seul mot. Je suivais par derrière, pleurant comme un
enfant
, et mourant d’envie de baiser les pas de ce bon m
et très indirects souvenirs des romans du xviie siècle qu’il lisait,
enfant
, avec son père. Mais, pour que la séduction de Ju
la bouche, c’est la crainte d’affliger trop son mari. Mais elle a un
enfant
; cela lui rend du courage. Elle avoue tout à Wol
la main, me dit en la serrant : Vous avez des amis ; ces amis ont des
enfants
; comment l’affection paternelle vous serait-elle
temps après, Wolmar demande à Saint-Preux d’être le précepteur de ses
enfants
. Une autre fois, comme ils visitent ensemble un n
la description de vendanges ; les considérations sur l’éducation des
enfants
, sur le caractère des Genevois, sur la prière, su
Gardez-vous-en bien, il ne faut pas vouloir changer le caractère d’un
enfant
; sans compter qu’on n’y réussit jamais, le plus
z à cela, dans la Nouvelle Héloïse (Partie V, lettre 3), à propos des
enfants
de Julie, une quarantaine de pages, qui sont pres
nécessairement concevoir l’éducation comme l’art de respecter chez l’
enfant
la nature, de la laisser se développer à l’aise,
à son disciple imaginaire ; mais, ces leçons des choses que Rousseau
enfant
et adolescent a reçues du hasard, c’est lui-même
du livre I, Jean-Jacques a le courage de faire allusion à ses propres
enfants
.) Celui, dit-il, qui ne peut remplir les devoirs
vreté, ni travaux, ni respect humain qui le dispensent de nourrir ses
enfants
et de les élever lui-même. Lecteur, vous pouvez m
lui d’écrire un traité de l’éducation après avoir abandonné ses cinq
enfants
, — ou qu’il l’écrit dans une pensée d’expiation.
eut être que corruptrice. Rousseau décrira donc l’éducation d’un seul
enfant
par un seul maître. Chose assez vaine, et d’où il
on alimentation, etc. Pas d’emmaillotement ; beaucoup d’eau froide. L’
enfant
doit habiter la campagne : « Les hommes ne sont p
r… Les villes sont les gouffres de l’espèce humaine. » « Pour qu’un
enfant
pût être bien élevé, a dit Jean-Jacques dans le p
ibataire et de loisir, qui, par goût, se chargera de l’éducation de l’
enfant
, et consacrera à cette tâche la meilleure partie
on peut rapprocher, dans une certaine mesure, l’éducation de tous les
enfants
. » On ne peut pas le dire, puisque ce système imp
n’y aurait, dans tout le royaume de France, que quelques centaines d’
enfants
qui pussent recevoir une éducation de cette sorte
us sensées de son plan. Mais quoi ! Il rêve, et cela l’amuse. Donc, l’
enfant
ainsi isolé, il s’agit de laisser la nature agir
cation d’Émile ; nous aurons peut-être quelques surprises. Pour que l’
enfant
se développe « selon la nature », c’est bien simp
de lui et ce qui n’en dépend pas, à accepter la nécessité. Ainsi, à l’
enfant
élevé selon la nature, la première leçon muette e
l ne s’agit que de l’appliquer à l’enfance. Par suite : Maintenez l’
enfant
dans la seule dépendance des choses… Ne lui comma
s, n’ayant pas encore de sens moral. « Il ne faut jamais infliger aux
enfants
le châtiment comme un châtiment, mais il doit tou
écepteur ne doit intervenir que de deux manières : 1º Pour protéger l’
enfant
contre lui-même quand il pourrait se blesser, se
nt « non », sans autre explication. 2º Pour faire gagner du temps à l’
enfant
(qui a toute la vie à apprendre tout seul, ce qui
, etc. Il cherche quelqu’un qui les lui lise ; on se dérobe ; alors l’
enfant
se décide à apprendre à lire. — Ou bien, Émile ay
oute heure pour qu’il le conduise à la promenade, on laisse un jour l’
enfant
sortir seul : mais, à peine a-t-il fait quelques
vous y trompez pas, cette éducation, où on laisse tant de liberté à l’
enfant
, est des plus rudes. Il est très fâcheux pour Émi
lle. Et l’on se ressouvient que Rousseau ne connut ni sa mère, ni ses
enfants
. Cet homme est plein d’imprévu ! Bien qu’il n’ait
ophie d’homme fait, et bien triste et bien désenchantée pour un jeune
enfant
. Rousseau mène ainsi son élève jusqu’à douze ans.
t bonne, il faut qu’elle soit la conséquence naturelle de la faute. L’
enfant
a brisé un carreau, on n’en remettra pas : qu’il
I des Confessions : Quand j’ai dit qu’il ne fallait point parler aux
enfants
de religion si l’on voulait qu’un jour ils en eus
s ne courez aucun risque. Oui, nous savons que Jean-Jacques était un
enfant
de génie. Mais Émile, ce cher Émile, est-il donc
qu’on avait combiné d’avance de petits drames pour apprendre à Émile
enfant
ce que c’est que la propriété, ou pour lui ôter l
re mieux qualifié pour l’éducation des époux que pour l’éducation des
enfants
. Mais passons ! Ou plutôt disons que, là encore,
progressives, proportionnées au développement physique et moral de l’
enfant
; l’enseignement expérimental, par la vue et le c
e l’éducation, sinon son objet même, c’est précisément de dispenser l’
enfant
de refaire tout le travail des pères : et voilà q
n. Or la tradition économise le temps en transmettant des parents aux
enfants
des opinions toutes faites. Elle unit ainsi et fa
et fait concorder l’effort des générations successives. Enseignez aux
enfants
les croyances des pères. Ils s’en déferont plus t
t-elle pas de cette continuité ! Que deviendrait un peuple, si chaque
enfant
devait être laissé libre de juger la vie et de se
pteurs ? — Ou anarchiste, ou séïde du maître : voilà la destinée d’un
enfant
élevé strictement selon Rousseau. Rien donc n’a p
pire. Il en est resté cette niaiserie : le respect de la liberté de l’
enfant
, la crainte d’attenter à sa conscience ; par suit
éra, les belles dames, ces années-là, se firent apporter leurs petits
enfants
au fond de leur loge, et leur donnèrent à téter p
il 1771) il conseille nettement d’éloigner et de mettre en pension un
enfant
indisciplinable, et ne se soucie nullement de lai
, n’ose entrer dans l’atelier, mais s’écrie à mi-voix, en regardant l’
enfant
dont elle est accompagnée : « Non, jamais il ne v
n’avons rien à faire ici. » Et, en effet, Émile renonce à emmener l’
enfant
et part seul, à pied. Puis il s’engage comme mate
est d’en sortir tous, tous ensemble, en plein jour, vos femmes et vos
enfants
au milieu de vous, et, puisqu’il faut porter des
uel juge était-elle à Rousseau lorsque, ayant abandonné son troisième
enfant
, et cela, nous raconte-t-il, « après un sérieux e
n que, mariées et devenues mères, elles allaiteront elles-mêmes leurs
enfants
. C’est à cette époque qu’il prend l’habit arméni
fêtes, il allait aux noces, il voyait les femmes, il jouait avec les
enfants
, il aimait les parfums, il mangeait chez les fina
a dans ses manières une simplicité remarquable, et c’est un véritable
enfant
dans le commerce ordinaire. Cette qualité, jointe
le, chez le marquis de Girardin, — homme excellent, qui obligeait ses
enfants
à aller décrocher leur déjeuner au haut d’un mât,
plus grandes fautes, ses deux remords. C’est d’abord l’abandon de ses
enfants
, — et c’est aussi, — cinquante ans après, — le me
Rousseau a déterminé quelques jeunes femmes du monde à allaiter leurs
enfants
et à passer un peu plus de temps à la campagne, i
ousseau est non seulement excusé, mais glorifié pour l’abandon de ses
enfants
, et comparé à Brutus et à Manlius sacrifiant leur
aîtrions moins ; nous ne saurions pas ses hontes, ni l’abandon de ses
enfants
; ou du moins nous n’en serions nullement sûrs ;
es plus honnêtes et les plus cultivés les rapports des parents et des
enfants
étaient plus distants (au xviiie siècle) qu’ils
au lieu de rester pensée. XI Lisez le charmant récit des deux
enfants
délivrés du ventre de l’éléphant, et, après la mo
uxembourg, — car le regard du drame doit être présent partout, — deux
enfants
qui se tenaient par la main. L’un pouvait avoir s
bivouaqué en étaient sorties pour le besoin du combat. « Comment ces
enfants
étaient-ils là ? Peut-être s’étaient-ils évadés d
st être perdu. Ces pauvres petits étaient perdus en effet. « Ces deux
enfants
étaient ceux-là même dont Gavroche avait été en p
même dont Gavroche avait été en peine, et que le lecteur se rappelle.
Enfants
des Thénardier, en location chez la Magnon, attri
guenilles. « Ces êtres appartenaient désormais à la statistique des “
enfants
abandonnés” que la police constate, ramasse, égar
pas dans les jardins publics ; pourtant on devrait songer que, comme
enfants
, ils ont droit aux fleurs. « Ceux-ci étaient là,
londe a pleuré. La terre en été est aussi vite sèche que la joue d’un
enfant
. « À cet instant du solstice, la lumière du plein
aimer. Le zodiaque réussit sur eux au point de les empêcher de voir l’
enfant
qui pleure. Dieu leur éclipse l’âme. C’est là une
pensées qui tombaient du ciel étaient douces comme une petite main d’
enfant
qu’on baise. « Les statues sous les arbres, nues
halles. Une cloche, qui avait l’air d’appeler, sonnait au loin. « Ces
enfants
ne semblaient pas percevoir ces bruits. Le petit
x : — J’ai faim. XVII « Presque au même instant que les deux
enfants
, un autre couple s’approchait du grand bassin. C’
de mâchoire et trop peu de peau, montre les dents plutôt que l’âme. L’
enfant
, avec sa brioche mordue qu’il n’achevait pas, sem
nfant, avec sa brioche mordue qu’il n’achevait pas, semblait gravé. L’
enfant
était vêtu en garde national à cause de l’émeute,
de cloche et de rumeurs. « — Qu’est-ce que c’est que cela ? demanda l’
enfant
. « Le père répondit : « — Ce sont des saturnales.
Pourquoi pleures-tu ? demanda le père. « — Je n’ai plus faim, dit l’
enfant
. « Le sourire du père s’accentua. « — On n’a pas
. « Le père lui montra les cygnes. « — Jette-le à ces palmipèdes. « L’
enfant
hésita. On ne veut plus de son gâteau ; ce n’est
trons vite ! « — Je voudrais voir les cygnes manger la brioche, dit l’
enfant
. « Le père répondit : « — Ce serait une imprudenc
tions concentriques poussa doucement la brioche vers la baguette de l’
enfant
. Comme les cygnes arrivaient, la baguette toucha
’enfant. Comme les cygnes arrivaient, la baguette toucha le gâteau. L’
enfant
donna un coup vif, ramena la brioche, effraya les
ur avoir voulu être des radicaux ils sont devenus des exterminateurs.
Enfants
des exterminés, brûlez donc votre encens à l’ange
à louer, j’ai de l’argent sur l’État, je suis heureux, j’ai femme et
enfants
, j’aime tout cela, je désire vivre, laissez-moi t
hen-Schulen 5. Ces écoles y sont même séparées. On envoie d’abord les
enfants
à l’école à lire. Les unes de ces écoles sont pou
es écoles sont pour les garçons, les autres pour les filles. Quand un
enfant
sait parfaitement lire, on l’envoie à l’école à é
prend que les règles de l’arithmétique ; mais suffisamment pour qu’un
enfant
, au sortir de ces écoles, sache tous les calculs
in et soir, des heures fixes pour l’instruction publique, où tous les
enfants
assistent gratuitement ; mais, après ces heures p
ures publiques, le maître d’école en tient encore une privée pour les
enfants
des citoyens plus aisés, qui lui payent pour ces
basses, moins longtemps que dans les hautes. Ces écoles sont pour les
enfants
de la noblesse et des citoyens aisés du tiers éta
se et des citoyens aisés du tiers état ; le peuple n’y envoie pas ses
enfants
, parce que, dès qu’ils savent lire et écrire, il
oyen d’améliorer son sort par son travail, et qu’il est juste que les
enfants
qui jouissent d’un peu de fortune en usent pour r
ou paresseux, les parents ne sont pas assez dupes pour envoyer leurs
enfants
à ses leçons privées, et mon pédant reste sans pr
ages de la société. Ces connaissances ont un attrait naturel pour les
enfants
dont la curiosité est la première qualité. D’aill
. Ces sortes de fondations peuvent avoir leurs avantages, en ce que l’
enfant
d’un artisan, d’un pauvre homme dépourvu de toute
duction heureuse les épuise, comme ces beautés fragiles qu’un premier
enfant
détruit. Les vraies beautés ne sont pas ainsi, le
leau complet ; c’est comme tel que nous le jugerons. — Jocelyn est un
enfant
des champs et du hameau ; malgré ce nom breton de
moindre cœur tendre monte sans fatigue avec lui. Jocelyn est donc l’
enfant
pieux de toutes les familles heureuses, le frère
ant n’a que le temps de confier à Jocelyn Laurence. C’est le nom de l’
enfant
; Laurence, nom douteux, enfant charmant, virgili
à Jocelyn Laurence. C’est le nom de l’enfant ; Laurence, nom douteux,
enfant
charmant, virgilien, qui tient d’Euryale et de Ca
ella puer !Jocelyn nous dit qu’en le regardant son œil hésite entre l’
enfant
et l’ange. Au premier printemps, Laurence est de
dainement attiédie et ruisselante, s’élève le chant en chœur des deux
enfants
qui s’ignorent l’un l’autre et qui se regardent a
s de la vallée des Aigles. Si l’on a deviné que Laurence, l’angélique
enfant
, n’est qu’une femme, on sera reporté aussi à des
toinette et de madame Roland arrosait l’échafaud, l’hymne de ces deux
enfants
planait et montait au ciel dans le printemps d’av
ts de Grenoble, à la veille de l’échafaud, et qu’il réclame un de ses
enfants
. Jocelyn a découvert d’ailleurs que Laurence n’es
ils d’un Révérend, car les Révérends, d’ordinaire, avaient six ou dix
enfants
. Avec ces nombreuses familles, ou même sans cela,
atale, l’évanouissement de la mère de Jocelyn, la rentrée folâtre des
enfants
du nouveau possesseur, courant de haie en haie, t
upeau, la parabole du Nil, des Deux Frères, la leçon d’astronomie aux
enfants
du village, terminée par le dialogue de l’Aigle e
meaux ombrageux qu’on leur plante sur la tête, et les mouches que les
enfants
chassent à leurs flancs, le voilà, en un clin d’œ
feuillage sous la lune, au milieu des vers luisants : Oh ! quand son
enfant
sera d’âge, nous dit-il en finissant, son cher pe
a eu peine à se faire accepter, à se faire lire. Jocelyn, parlant aux
enfants
du village ou à ses paysans, trouve de faciles et
e, sont pourtant avoués d’elle, et reconnus sous leur fumée comme des
enfants
légitimes, gages de l’art et de la pensée de l’Ho
ur avoir vécu homme durant ce temps. J’ai comparé autrefois Lamartine
enfant
à l’Edwin de Beattie : mais qu’avons-nous besoin
ative. Un père s’est enrichi par le commerce ; il a un grand nombre d’
enfants
; parmi ces enfants il en est un qui ne veut rien
enrichi par le commerce ; il a un grand nombre d’enfants ; parmi ces
enfants
il en est un qui ne veut rien faire, ses bras fai
ux sortes d’écoles publiques : les petites écoles ouvertes à tous les
enfants
du peuple au moment où ils peuvent parler et marc
e législateur à forcer les parents les plus pauvres d’y envoyer leurs
enfants
. Au sortir de ces petites écoles, ces jeunes enfa
’y envoyer leurs enfants. Au sortir de ces petites écoles, ces jeunes
enfants
ou se renfermeront dans la maison paternelle pour
u dîner de Brébant, on parlait de l’écrasement de l’intelligence de l’
enfant
, du jeune homme, par l’énormité des choses enseig
’une colonie de Montmartre, qui se rendent avec leurs femmes et leurs
enfants
, tous les dimanches, à la Morgue, et se payent ap
elatif à la singulière maladresse de ses mains, et au côté pleurard d’
enfant
rageur, qu’il conserva toute sa vie. À vingt ans,
ril C’est vraiment curieux le sentiment de la destruction chez les
enfants
. Aujourd’hui, en voici un d’un parent de province
tait peut-être encore plus féroce, plus inhumain, plus enragé chez un
enfant
beau, chez un enfant intelligent, chez le petit d
plus féroce, plus inhumain, plus enragé chez un enfant beau, chez un
enfant
intelligent, chez le petit de Béhaine, mort d’une
intelligent, chez le petit de Béhaine, mort d’une méningite. Chez cet
enfant
, la jubilation intérieure de la mise en pièces de
de l’anéantissement des objets, je l’ai constaté encore chez un autre
enfant
, chez le petit garçon de Pierre Gavarni ; mais ce
e soir, chez Daudet, avec Mistral. Un beau front, des yeux limpides d’
enfant
, quelque chose de bon, de souriant, de calme, fai
un éreintement général. Je crois avoir raconté quelque part, que tout
enfant
, mon père m’emmenait dans un cabinet de lecture d
r. Ce cabinet de lecture où j’ai été imaginativement si heureux, tout
enfant
, ce cabinet de lecture, qui est resté à peu près
que réveille chez moi, cette lettre bordée de noir. J’étais encore un
enfant
, mais un enfant à la pensée déjà préoccupée du my
z moi, cette lettre bordée de noir. J’étais encore un enfant, mais un
enfant
à la pensée déjà préoccupée du mystère des sexes
in nous persuadons à la malheureuse femme de se coucher auprès de son
enfant
, resté toute la journée dans ces tristes choses,
e que je vais devenir ? » Et comme on lui dit qu’il faut songer à son
enfant
, vivre pour lui : « Ah ! sans lui, fait-elle, on
es gentilles petites filles du peuple d’autrefois : elles ont l’air d’
enfants
de la Salpêtrière. Dimanche 14 septembre Pa
é picturalement, et a d’étonnants yeux de coloriste. J’ai vu d’autres
enfants
de son âge, dessiner, et dessiner aussi bien que
’était la couleur orangée : des lignes tout à fait surprenantes, où l’
enfant
confessait son adoration de la couleur, dont From
x, dans cette contemplation aimante, et comme agenouillée, qu’ont les
enfants
pour ceux qu’ils adorent. Pauvre enfant ! la nuit
omme agenouillée, qu’ont les enfants pour ceux qu’ils adorent. Pauvre
enfant
! la nuit suivante, dans la diligence qui nous em
-Marne, elle était prise du choléra. Et pensez à ce voyage avec cette
enfant
mourante sur nos genoux, et mon père et ma mère n
le plus grand nombre de ces dessins avaient autrefois été donnés aux
enfants
des employés des Menus-Plaisirs, qui s’amusaient
i, dont son père avait été greffier, et auquel il avait assisté, tout
enfant
. Les préparatifs connus, terminés, le condamné l
e fois rouverte, se voyait une petite madone dans une niche. La jeune
enfant
est née et a vécu sous cette perpétuelle invocati
un grand calvaire à côté dominait les humbles croix et les gazons. L’
enfant
passa ses jeunes années à jouer sous le calvaire
ec a dit que Persina, reine d’Éthiopie, avait mis au monde Chariclée,
enfant
tout blanc, à cause d’un tableau de Persée et d’A
aul qu’elle porte à son cou, communique un peu de sa ressemblance à l’
enfant
qu’elle baptise pour cela du nom de Paul. Ici rie
la mère elle-même était blonde ; pourtant, puisqu’elle n’eut que cet
enfant
de sa couleur, c’est, on le crut, qu’elle songea
e Voltaire (1733-1738). Ces deux mêmes Desbordes, Jacques et Antoine,
enfants
lors de la révocation de l’Édit de Nantes, vivaie
Antoine, est déployée : il y est mis pour condition expresse que les
enfants
seront rendus à la religion des aïeux pour repren
On lit tout haut la lettre : la mère s’évanouit, le père regarde ses
enfants
et sort dans une horrible anxiété. Il rentre aprè
e d’elle, et furent tout instinct. Comme elle apprenait à lire, étant
enfant
, par les soins de sa sœur aînée, dans Florian, da
onté ne nous a pas tout à fait abandonnés et qu’enfin nous sommes ses
enfants
. Quelque chose de grand est caché sous nos souffr
t cet immense amour qui purifie tous les autres, et tu seras comme un
enfant
qu’une fleur contente et rend riche. Juge de quel
re ami !… « Ondine est toujours à Chaillot, au milieu d’un troupeau d’
enfants
qu’elle instruit, ce qui nous prive de sa présenc
olyte va bien à son devoir et se fait aimer partout. — C’est un brave
enfant
, et une intelligence très-distinguée. Il a de plu
e bon père et maman peuvent voir d’où ils sont ce que souffrent leurs
enfants
, je les plains, nous aimant toujours comme ils no
froi. Ma chère Camille, je vous vois tous auprès de ma sœur comme des
enfants
et des anges qui consolent une sainte, et je suis
sans te mêler aussi dans les larmes que mon cœur lui donne, ma pauvre
enfant
, toi qu’elle a tant aimée ! — Mais, Camille, si j
ressaisie après coup par une imagination de poëte dans une mémoire d’
enfant
de quatre à cinq ans, eût subi dans l’intervalle
u ministère de l’instruction publique. 53. Les autres sœurs et leurs
enfants
, qui étaient établis à Rouen. 54. La mort de sa
sœur aînée Cécile, qui avait appris à lire à la jeune Marceline, tout
enfant
, et l’on trouve en maint passage des poésies un s
e la Restauration, vient-il, en effet, de la Restauration ? est-il un
enfant
du règne ou de l’Empire ? est-il un ami ? est-il
ami ? est-il un ennemi ? Il est le fils de la Révolution ; il est un
enfant
révolté de l’Empire ! Il faudrait qu’un roi de Fr
appartient à la Restauration comme appartient à son village natal un
enfant
qui voyage depuis cinquante années hors de son pa
que dans quelques scènes, et puis Beaumarchais le tue comme on tue un
enfant
précoce qui s’est fait homme dix années avant les
s eu dessein de crier haro sur la presse périodique, dont vous êtes l’
enfant
, dont vous êtes la création et la créature, par q
vre à des personnalités plus que royales, jusqu’au journal des petits
enfants
, qui se fait petit avec eux, et parle leur langag
d’araignée ? Elle avait beau arracher la toile d’araignée, la pauvre
enfant
: la toile d’araignée reparaissait toujours ! Tel
sous, c’était Piron. — Ces deux-là et deux ou trois autres avec eux,
enfants
chéris de la chanson, du cabaret, de la bonne chè
vait laissé là tout projet de tragédie. À ce moment encore, la pauvre
enfant
pouvait mener une vie heureuse, honorée, sévère,
ssait devant la maison du journal de Nantes. — Le journal ! La pauvre
enfant
en dévorait le seuil du regard, comme nous faisio
ire, la renommée, la fortune, l’enivrement poétique ! Aussi la pauvre
enfant
n’y tint plus, et fit-elle imprimer dans le journ
u’avez-vous fait quand votre voix mélodieuse jetait cette malheureuse
enfant
dans cette vie de chagrins, de déceptions et de d
n poésie mieux qu’ils ne s’y connaissent ? Quant à tromper une pauvre
enfant
crédule et confiante qui s’adresse à leur conscie
veau sur la liste de ses pensionnaires ! Quelqu’un lui parla de cette
enfant
qui avait en elle-même le démon poétique ; le roi
ent reçues, elle et sa mère, dans le cabinet même du roi de France. L’
enfant
était tremblante et toute pâle d’émotion. « Pourq
ortune si royalement dépensée, c’était de la gloire ! Le nom de cette
enfant
se trouvait inscrit désormais à côté des plus hon
les premières années de la révolution de Juillet, surtout pour cette
enfant
qui ne savait plus où rencontrer son bon génie. E
journées dans les froides galeries de la Bibliothèque royale… Pauvre
enfant
! Mais, quand son Conte brun était fait, la mode
ancs. À Tortoni, on prend des glaces sans-sucre. — Aux Tuileries, les
enfants
vous barrent le chemin avec leurs cerceaux. Sur l
emme nommée Caroline. — Marié à deux femmes, avec deux ménages et des
enfants
des deux femmes, le bonheur de cet homme ne se dé
à si haut prix. Ô misère ! quand toutes les passions mauvaises de ces
enfants
qui se croient des hommes, sont soulevées par la
d’une patience à toute épreuve, d’une modération incroyable, il est l’
enfant
, non pas d’une révolution, mais d’une émeute. Un
e ; la Niobé, dans cette immense douleur d’une mère qui perd tous ses
enfants
, conserve encore toute sa froide beauté. Je vivai
ies frivoles, on s’en guérit, une fois qu’on est marié et qu’on a des
enfants
. » L’athumia, l’épuisement, l’accablement, folies
est la vanité, c’est l’oisiveté qui font les suicides. Werther est un
enfant
du siècle passé ; il est un sceptique, il apparti
» Donc, si celui-là qui a été le maître du duc de Bourgogne, si cet
enfant
adoré d’Homère et de Platon poursuit des procès e
coup de foudre. Enfin, disait Tacite, il n’y a pas de milieu pour ces
enfants
gâtés de la fortune insolente entre le faîte et l
c’est une consolation inattendue, en ces désordres, de rencontrer un
enfant
des Muses, le disciple d’Homère et de Tacite, qui
u parlée, a tenu le monde attentif. Ainsi il a exercé, à toute heure,
enfant
, jeune homme, homme fait, et dans l’âge de seigne
langue que parlaient vos pères, défendez la langue que parleront vos
enfants
. « Telle est ma façon de penser, disait Socrate
le père, qui était assis sur les hauts sièges, passait son livre à l’
enfant
oublieux, et le livre, recouvert d’un chamois vio
eille rencontrait aussitôt un acheteur. Ces Auvergnats sont les vrais
enfants
de la folle enchère ; ils achètent aussi volontie
s de ces histoires ; les contes de l’ogre ont été remplacés, pour nos
enfants
, par ces contes de la terreur ; la fée à la bague
l’autel, la Baulèze et une bonne vieille qui vendait des oublies aux
enfants
! La ravaudeuse avait été jetée en cette prison,
l prit congé de la ville, il se retira dans les champs, emportant ses
enfants
, ses livres, son christ d’ivoire, sa tapisserie e
e y a passé son enfance, sa jeunesse, son âge mûr ; elle y est morte.
Enfant
, elle avait eu deux aventures dans cette maison.
l’onde noire, lorsque M. le juge-mage, en grande tenue, prit la belle
enfant
sous les deux bras et la porta de l’autre côté de
grande exception, on ne l’entendit plus chanter qu’au berceau de ses
enfants
. Elle n’a reçu qu’une visite, elle n’a fait qu’un
it enfin. Un quart d’heure avant que la cloche du collège appelât ses
enfants
dans leur classe, elle faisait déjeuner son petit
e latin du thème, elle disait qu’il n’était pas bon certainement. Les
enfants
partis, elle rentrait un instant dans sa chambre,
du feu entre ses deux fils aînés, la mère entre les deux plus jeunes
enfants
; c’était elle qui coupait, tranchait, et servait
ême âme. » On raconte aussi qu’un général athénien, à table avec ses
enfants
, leur disait souvent qu’un repas sage et bien ent
en ses heureuses chansons. Le souvenir du double repas qu’il faisait
enfant
chez son père et sa mère, est resté d’autant plus
la mère de famille sur le dos d’une douce et paisible haquenée ; les
enfants
, montés sur les ânes, faisaient cortège à leur mè
tège le raisin mûr contre les rayons du soleil. Oh ! la joie ! et les
enfants
de crier : Terre, terre ! et de s’emparer de leur
é, l’approbation, le consentement unanime, le génie ! Il faut être un
enfant
, ou, tout au moins, il faut être M. Monteil septu
e cet esprit ferme et juste. Madame Monteil disait qu’une mère de six
enfants
n’avait pas le droit de se dépenser au dehors ; e
nous reposer et de nous plaindre. » Par exemple, elle enseigna à ses
enfants
qu’il faut rendre à Dieu ce qui est à Dieu, à Cés
interrompant le jeune clerc : « Voilà ce qui s’appelle répondre, mon
enfant
! Vous serez quelque jour un grand docteur. » M.
i était le protecteur, l’ami, le conseiller, le répondant de tous les
enfants
du Rouergue. Caveyrac, notre puîné, était digne,
r exemple, voyez ce Fontenilles (c’est le nom du troisième Monteil) :
enfant
, il apprend à peine un peu de latin, qu’il oublie
s belles passions de la vie ; ici s’envole le charme, et, de tous ces
enfants
joyeux, dont les voix fraîches faisaient retentir
il vous reste… un infirme, un goutteux, une veuve, une mère de quatre
enfants
, un vieillard, des limbes… quelques tombeaux sans
e Rhodez un vieux cloître, et dans ce vieux cloître, où se plaisait l’
enfant
, vivait le vieux boulanger de MM. les chanoines,
, à trois cornes, comme au temps du roi Dagobert. Ces pains, dont les
enfants
étaient très friands, s’appelaient des auberts. Q
rts ? » Et lui de répondre : « Dans un mois, dans trois semaines, mes
enfants
. » Après M. Bonald se présentait, dans les souve
utiles !… M. Jean Monteil n’a pas pleuré, j’imagine, au retour de cet
enfant
prodigue ; il le savait tendre et bon, honnête et
es princes partout. Malheureusement, cette Lusignan-Rivié mourut sans
enfants
, et elle fut si complètement absorbée en cette il
e des filles ensevelies sous l’amandier en fleur. Elle assista, cette
enfant
, à toutes ces morts violentes sur les échafauds a
; il fallut vendre enfin la maison même, et se retirer avec ses neuf
enfants
dans une chétive métairie de deux charrues. On ra
et, dans ce faubourg, une sombre maison, une chambre sans feu où leur
enfant
allait voir le jour ! Pas un ami, pas une espéran
ait à me ravir. Son esprit, inquiet non pour elle, inquiet pour notre
enfant
, voyait déjà, grâce à mon livre naissant, s’entro
s giboulées de mars : il fallut revenir à pied, le père, la mère et l’
enfant
, et de rire. « Elle prenait si facilement du bon
revoir ! » Elle mourut, en effet, loin de son mari, loin de son jeune
enfant
, et cette mort laissa un vide immense autour de c
st resté calme et silencieux, content de voir sourire sa femme et son
enfant
, et ne demandant au ciel que le pain nécessaire à
Désormais, il restait seul au monde avec son fils Alexis, un noble
enfant
qui donnait déjà les plus belles espérances ; et
un noble enfant qui donnait déjà les plus belles espérances ; et cet
enfant
, devenu un savant jeune homme, disparut à l’insta
travail. Il perdait tout ce qui lui restait d’Annette en perdant cet
enfant
de leurs chastes amours ; il perdait, en perdant
vaux, ce constant associé de sa fortune, et, quand enfin l’œuvre et l’
enfant
grandis ensemble allaient combler l’ambition et l
re mettait la dernière main à la couronne impériale du consul.” » Cet
enfant
, élevé par ces deux êtres sérieux, eut à peine un
veulent pas perdre une heure de la journée. Il en fit tant, le pauvre
enfant
, qu’il tomba malade, et peu s’en fallut qu’il ne
Alexis ! tu le vois, notre fortune avance ; il faut te déclarer, mon
enfant
. — Demain, mon père, oui, demain ! » disait le je
n’y eut pas d’autres fiançailles que les fiançailles de la mort ! Cet
enfant
succombait sous les atteintes d’un mal inconnu. I
heures du soir. Je lui fermai les yeux. Ô plainte ! ô douleur ! ô mon
enfant
! ô mon cher Alexis ! ma seconde âme ! entends-tu
jours, se sont fait un nom dans les lettres. Il avait fondé, sur cet
enfant
de son âme, toutes ses espérances, et l’enfant n’
l avait fondé, sur cet enfant de son âme, toutes ses espérances, et l’
enfant
n’était plus. Adieu donc aux beaux rêves, aux vas
, aux vastes pensées, aux transports des noces prochaines, aux petits
enfants
joyeux dont le père et le fils s’entretenaient da
lus à l’aise que dans la douce obscurité de l’historien philosophe. —
Enfants
du peuple l’un et l’autre, amis du peuple tous le
ée se divise, votre gloire s’en va par mille parcelles inaperçues ; l’
enfant
que vous avez élevé vous oublie ; la femme que vo
assemblé tous les atomes de la prudence dans le ventre de sa mère ».
Enfant
, elle avait été soumise à toutes les causes exter
conduit à la maison des parents, — et celle qui mène au berceau de l’
enfant
, — et celle qui pousse dans les voyages ; la lign
e est facile, et en même temps combien peu cela leur coûterait, à ces
enfants
perdus des passions folles, de se confier tout si
t à leur mère, cette divine enchanteresse de toutes les douleurs de l’
enfant
; ou, tout au moins, d’implorer l’aide et la prot
r dix-sept ans, qui peut-être en avait seize. Dans son trouble, cette
enfant
croyait entrer chez mademoiselle Lenormand. « La
r, se sentit émue de pitié. À coup sûr, elle ne connaissait pas cette
enfant
, elle ne l’avait jamais vue ; mais une mère est l
it, et plus elle parlait de cette douce voix, doucement voilée, d’une
enfant
qui va devenir une jeune fille, plus la vieille d
tout à la fois, la serrait dans ses bras, sur son cœur. « Malheureuse
enfant
! disait-elle, mais tu n’as donc pas de mère ? Oh
illait, elle faisait mettre les chevaux à sa voiture, elle ramenait l’
enfant
égarée dans la maison paternelle, déjà plongée da
déjà plongée dans le trouble et l’épouvante ! — La mère pardonna à l’
enfant
. — Le jeune amoureux, qui était de bonne foi, et
il se mit tout de suite au travail. Ainsi fut sauvée la vie de cette
enfant
, l’honneur de cette famille, ainsi fut sauvé ce j
e, moi aussi, j’étais sorcière sans le savoir. » Trop heureuse cette
enfant
de s’être trompée de porte ! trop heureuse d’être
le ne se prenait pas au sérieux. Elle vous ânonnait sa leçon comme un
enfant
stupide qui récite les Racines grecques. — Elle n
! nous périssons ! » Plaignez le roi ! plaignez la reine ! plaignez l’
enfant
royal, qu’un savetier tue à coups de pied ! plaig
yable nuit des journalistes qui s’égorgent les uns les autres, dignes
enfants
du même monstre, le journal sera sauvé, peut-être
consolation, un bienfait. Avec quel charme infini nous nous bercions,
enfants
, de ces beaux vers qui sortaient de la source viv
possible ? était-ce vrai ? Certes, je n’ai pas été, que je sache, un
enfant
gâté de la fortune et de la faveur ; les princes
bonnement M. et madame Gérard de leur nom patronymique, élevant leurs
enfants
dans l’amour des humbles horizons et des professi
x finit par mettre au jour ce J.-J. Granville, le dernier-né des sept
enfants
de sa couche féconde : un petit être souffreteux,
l de juin était trop chaud. Déjà cependant, il n’avait pas dix ans, l’
enfant
étudiait toutes choses avec le zèle ingénieux de
n bon peintre en miniature ; mais une voix confuse lui disait que cet
enfant
était en train de découvrir quelque chose, qu’il
ait trop petit pour un si grand dessinateur. Si bien que le père et l’
enfant
, après toutes sortes de silences, de soupirs, de
x enseignements éternels. « Adieu, mon fils ! » dit le bonhomme. Et l’
enfant
, tout en larmes, prit, comme tous les autres, le
rchie. Or, cet oncle était un assez bon homme ; il reçut assez bien l’
enfant
du peintre de Nancy, et il le présenta aux quelqu
s, d’espérances et de consolations, lui avait donné deux jolis petits
enfants
qui paraissaient pleins de force et de vie ! Héla
tits enfants qui paraissaient pleins de force et de vie ! Hélas ! les
enfants
sont morts à peu de distance l’un de l’autre, et
aide et protection, et qui l’aidât à élever leur troisième et dernier
enfant
. Ce dernier vœu de sa femme expirante était tout
madame Granville avait choisi miraculeusement la seconde mère de son
enfant
. Mais quoi ! la vie était touchée et la raison ét
portrait de sa femme morte était exposé entre les deux images de ses
enfants
morts. Le troisième enfant, Georges, l’image viva
était exposé entre les deux images de ses enfants morts. Le troisième
enfant
, Georges, l’image vivante de sa mère, tenait déjà
l retrouva son courage et sa force à l’heure suprême où son troisième
enfant
, le petit Georges, expirait en appelant sa mère,
blement, aussi impitoyablement qu’au premier jour… Moi, que le pauvre
enfant
aimait par-dessus tout, et comme on aime peu ; mo
e et douloureuse agonie ! Il appelait sa femme, il appelait ses trois
enfants
, il appelait son père et sa mère, il invoquait, l
ère de Saint-Mandé, où reposaient déjà sa première femme et ses trois
enfants
! Il fut placé à côté de son petit Georges, à l’o
archer ; seul, il ne sut pas faire son chemin L’épitaphe dit vrai ;
enfant
de la pauvreté, Granville est mort comme il avait
e que ce pauvre homme a laissée à sa seconde femme et à son quatrième
enfant
, qui était encore au berceau. Frédéric Soulié
es derniers vers que M. Frédéric Soulié ait dictés à son lit de mort,
enfants
douloureux de son agonie, dernier reflet de cette
re, la Mode, la Revue de Paris, le Musée des Familles, le Journal des
Enfants
, etc., etc. Voilà tout, ou à peu près, et voilà p
ance et de bonté ! Hélas ! à peine elle lui eut donné ses trois beaux
enfants
, si vite orphelins, la jeune femme était morte en
t morte en bénissant son mari ; morte et consolée en songeant que ses
enfants
seraient l’objet de tant de sollicitude maternell
. Alors il s’en vint, du fond de sa province heureuse, avec ses trois
enfants
en bas âge, chercher à Paris même ces deux choses
s pays des brouillards. Un soir, comme il était au travail (les trois
enfants
dormaient dans leurs trois berceaux), et comme il
e, toute sa fortune, hélas ! « Heureusement, se dit-il, que les trois
enfants
dorment bien doucement ! » Il n’était pas homme,
très ingénieux travail intitulé Molière musicien, et, dans ce livre,
enfant
de ses loisirs, le lecteur se trouvait transporté
on comtat, dans son quartier, fidèle à sa maison, à son jardin, à ses
enfants
, à ses petits-enfants, à son frère, un autre espr
onc, emmenant avec lui ce qu’il aimait le plus ici-bas, sa femme, ses
enfants
, ses vieux livres, la joie et les armes de sa vie
épouse qui fut l’ange de ses derniers jours, sous les baisers de ses
enfants
et de ses petits-enfants, dans le deuil universel
! » Et quel conseil plus utile au moment où la tribune et la presse,
enfants
des mêmes tempêtes, allaient paraître enfin dans
lants et hardis ! C’était une de ses chansons. « Vous n’êtes que nos
enfants
», disait-il encore avec un sourire. En effet, il
, en effet, une tâche immense ! raconter à des témoins oculaires, aux
enfants
de Voltaire et de Diderot, cette longue suite de
anité du travail humain !), dans la fosse des morts sans père et sans
enfants
, — M. de Lacretelle a gardé sa place au premier r
e avec un juste orgueil, M. Villemain, M. Michaud, M. de Lacretelle !
Enfants
de la presse et de M. de Chateaubriand, son défen
heurs du pieux Énée ou la colère d’Achille. Il avait fait de tous les
enfants
de ses meilleurs domestiques autant de lecteurs q
! » Il appuya sur ce mot empailleur, et quitta la place en véritable
enfant
de Proserpine, janitor Orci ! Destainville le sui
jour fût au moins une fois le complice de ces mystères du tombeau, un
enfant
tombait égorgé par une main coupable, et cet enfa
es du tombeau, un enfant tombait égorgé par une main coupable, et cet
enfant
, traité par M. Gannal, devenait, aux yeux de ce p
casion authentique d’admirer cette contrefaçon des êtres vivants. Cet
enfant
, exposé à la Morgue, était pareil en toutes chose
es ! Gannal ! Il jetait sa carte au milieu de vos joies, comme fait l’
enfant
un caillou dans une eau endormie ; il jetait sa c
celui-là, écrasé par l’étude et le travail ! Chaudesaigues le poète,
enfant
des muses faciles et des rêveries complaisantes,
de tous les honneurs de ce monde il ne s’inquiétait guère, le pauvre
enfant
! Il vivait au jour le jour, acceptant avec recon
i qui rampe à tes pieds. Il serait impossible d’expliquer comment cet
enfant
— car, à tout prendre, c’était un enfant — savait
ible d’expliquer comment cet enfant — car, à tout prendre, c’était un
enfant
— savait tant de choses sans avoir rien étudié, s
s qu’on le jouât ; il disait que cela lui brisait le cœur de voir les
enfants
de sa création exposés sur un théâtre, et il se l
e tout surveiller, il n’a plus guère de vue distincte. — Notre pauvre
enfant
allait toujours, laissant à chaque pas un de ses
un malheureux jeune homme qui s’est égaré et qui est seul ! c’est un
enfant
qui redemande son père et ses frères et ses amis
le scélérat qu’ils croyaient avoir ramassé cette nuit-là. — Le pauvre
enfant
leur tendait les bras et il souriait… au soleil !
t le plus heureux de sa vie et de sa fortune, entouré d’honneurs et d’
enfants
grands et petits, adoré d’un monde d’ouvriers don
voilà mort ! À peine s’il a le temps de dire adieu à sa femme, à ses
enfants
, à ses amis, à son père, à sa mère, à son frère,
itait comme Chérubin traite Fanchette. De cet esprit ingénieux et bon
enfant
sont sorties plusieurs petites comédies écrites a
Écoliers en vacances, le Marchand de la rue Saint-Denis, les Bonnes d’
enfants
, le Soldat laboureur, qui nous consolait de Water
s choses ; cuisinières, petits marchands, dames de la halle, bonnes d’
enfants
, tout le monde grouillant de la rue et de l’antic
qui ne l’a jamais quitté. Sa colère ressemblait à la colère d’un joli
enfant
qu’on taquine pour qu’il recommence son aimable t
pas aux volontés de ce brave homme. Il mourut en 1810, laissant trois
enfants
et leur mère, avec la fortune d’un peintre sans n
Casimir Delavigne, et l’un et l’autre, ils virent grandir ces nobles
enfants
, qui donnaient tant d’espérances, fière jeunesse
joies enfantines et de leurs questions empressées. Surtout un de ces
enfants
, merveilleusement douée de l’inspiration qui fait
usées, ici la peinture, et plus bas la statuaire, elle se prit, cette
enfant
, d’une véritable passion pour les chefs-d’œuvre,
servir de la brosse du peintre et de l’ébauchoir du sculpteur. Cette
enfant
, qui n’avait pas son égale, n’était rien de moins
période de sa vie et de son talent, a composé le Christ au milieu des
enfants
, le Christ sur la montagne des Oliviers, le Chris
aire le portrait des gens qu’il aimait et qu’il honorait le plus. Les
enfants
qui jouaient autour de lui, les vieillards honnêt
s : « Mon père avait pour moi une grande tendresse, j’étais son seul
enfant
blond ; or, ma mère était blonde, et belle comme
nnes paroles, elle recevra sa parente à bras ouverts… « De ses quatre
enfants
à qui ce voyage faisait peur, ma mère n’emmena qu
t rien de ces souffrances inconnues ! elle ne va pas songer que cette
enfant
qui chante en tremblant les gaietés de Grétry ou
Lamartine, une paye encourageante de Sainte-Beuve, un sourire de son
enfant
: Quand j’ai grondé mon fils, je me cache et je
, innocente et cachée, et murmurant ses plus douces prières, comme un
enfant
sa prière du soir ! Surtout madame Desbordes-Valm
emme éprouvée ! Elle avait perdu même une fille, un second poète, une
enfant
(madame Langlais), qui écrivait comme sa mère. Et
contemporains de notre pays, au sommet desquels chantait Victor Hugo,
enfant
, ce Benjamin de la tribu de la lyre. Aujourd’hui
Judée). Il fait comparaître devant lui les chefs de la ville et leurs
enfants
, pour que Jéhova lui désigne sur place le roi fut
par les sons de sa harpe les convulsions du roi. Saül s’attache à cet
enfant
, comme le malade à celui qui le soulage ; il le g
à celui qui le soulage ; il le garde quelques jours au camp ; puis l’
enfant
retourne à son troupeau, vers Bethléem. IX
res roulées des fleuves taris. Cette scène des premiers exploits de l’
enfant
poète surgit devant moi comme une pastorale de Th
pastorale de Théocrite. Je la vois encore aujourd’hui, et j’y vois l’
enfant
près du térébinthe, avec sa harpe d’écorce et ave
a malice de ton cœur. Tu es descendu pour regarder la bataille ! » L’
enfant
se détourne humblement et continue à s’informer d
peuple un instrument des prophètes. « De quelle famille est sorti cet
enfant
? » demande-t-il à son général Abner, « et que lu
divine étonne et intimide de plus en plus le roi. Il cherche à lier l’
enfant
par la reconnaissance à sa famille, il lui donne
e Jonathas et son ami. Les flèches furent lancées, le but dépassé ; l’
enfant
qui les rapportait fut écarté, sous prétexte de r
t achetée en nourrice, et qui avait été élevée sous son toit avec ses
enfants
, mangeant son pain, buvant dans son écuelle et do
se ; il est témoin des déchirements de sa maison, des outrages de ses
enfants
à leur propre sœur, des révoltes et des compétiti
! est-ce que je ne vaux pas mieux par ma tendresse pour vous que dix
enfants
? lui dit son mari. « Or cette femme, à ces parol
ui plaisent mes chants, « C’est le seul bien auquel j’aspire ! « Être
enfant
avec les enfants, homme avec les hommes, vieux av
chants, « C’est le seul bien auquel j’aspire ! « Être enfant avec les
enfants
, homme avec les hommes, vieux avec les vieillards
amentale qui s’appelle la famille se compose du père, de la mère, des
enfants
, des parents plus éloignés et encore des domestiq
arier chacun de son côté et avoir chacun, dans son ménage, beaucoup d’
enfants
, sans briser le lien idéal qui les avait unis. On
maison, occupées à filer, à coudre, à faire le ménage, à soigner les
enfants
; si, au contraire, plus ou moins émancipées, plu
famille. Il faudrait parler maintenant des relations entre parents et
enfants
, entre frères et sœurs, etc. Il y a encore là bie
mécontenté son père par sa paresse, celui-ci le fit habiller comme un
enfant
d’artisan, lui mit des outils à la main et l’envo
ble, et, dans les pièces de Marivaux, les parents tutoient déjà leurs
enfants
, ce qui est un acheminement à se laisser tutoyer
ire aimer plus que se faire craindre et qui mérite l’affection de ses
enfants
par celle qu’il leur témoigne. Il ne songe pas à
té de noter en chaque époque à quelle étape en est l’émancipation des
enfants
ou, si l’on préfère, la désagrégation de la famil
régation de la famille patriarcale ? En même temps que le respect des
enfants
a diminué, la tendresse des parents pour eux semb
endre pour devise ce vers de Musset : C’est mon opinion de gâter les
enfants
. Chose étrange ! Rousseau, qui fut si dur pour s
s enfants. Chose étrange ! Rousseau, qui fut si dur pour ses propres
enfants
, qui les abandonna à la charité publique, a fait
res enfants, qui les abandonna à la charité publique, a fait entrer l’
enfant
dans notre littérature. Avant lui, on ne se souci
les fables de La Fontaine, à supposer qu’elles soient faites pour des
enfants
, quelques récits de Fénelon, voilà à peu près tou
l’épanouissement progressif de cette fleur délicate qui s’appelle un
enfant
, tantôt rajeunir ces souvenirs du premier âge qui
s, les prouesses, les mille et une expériences de la vie enfantine. L’
enfant
, peu à peu, est devenu le petit roi de notre soci
t rencontrés à l’église. L’un est morne : il conduit le cercueil d’un
enfant
; Une mère le suit, presque folle, étouffant Dans
’il n’est pas ordinaire ni convenable qu’une mère donne à téter à son
enfant
dans une église : tout ce septième vers est donc
ez aussi qu’on ne donne pas « l’absoute » aux enterrements des petits
enfants
La mère embrasse du regard son enfant tout entie
» aux enterrements des petits enfants La mère embrasse du regard son
enfant
tout entier : il est donc bien grand, ce petit ?
sûr, et je ne me demande pas si le sourire de la mère qui enterre son
enfant
est aussi vraisemblable que les pleurs de l’autre
« Bon ! les voilà trois sur l’escarpolette » : le père, la mère et l’
enfant
. 4e tableau : « Ils sont deux sur l’escarpolette
re et l’enfant. 4e tableau : « Ils sont deux sur l’escarpolette » : l’
enfant
est mort. 5e tableau : « Il n’en reste qu’un sur
e simple comme celle-ci : « Si j’avais appris à compter quand j’étais
enfant
, je serais plus riche que je ne suis ? » Ha ! si
qui représentent de loin une tête de mort, et, de près, une nichée d’
enfants
ou le profil de Mme Sarah Bernhardt. Justement, n
, le bel adolescent d’Anacréon, s’appelle « Bébé » (les Jeux divins ;
Enfant
terrible). Une série de sonnets d’amour porte ce
tresse travailler à la journée pour gagner, avec sa vie, celle de son
enfant
. Il se tient quitte envers elle avec quelques cad
, avant de partir, il assure l’existence stricte de la mère et de son
enfant
, en leur laissant un titre de trois mille livres
et l’ami dévoué de sa mère, est bien forcé de lui apprendre qu’il est
enfant
naturel ; il lui révèle, en même temps, le nom de
aucune des épreuves que rencontrent ordinairement, dans le monde, les
enfants
de l’ombre et de l’inconnu. A défaut d’un père, i
urner son mariage à une date fixe et sûre. Le bonheur, dont il est un
enfant
gâté, veut que la jeune fille qui lui a donné son
édoine, on a rarement vu la fortune combler de pareilles largesses un
enfant
sans nom. Ego Jacobus, cognomento Bastardus ! Jac
i du Fils naturel : la paternité y est encore jugée et censurée par l’
enfant
. Mais, par un retour presque forcé des lois de la
it un choix : il a rêvé d’épouser mademoiselle Hélène de Brignac, une
enfant
de dix-huit ans qui rajeunirait ses vieux jours.
rait pourtant l’indignation de ce gentilhomme, traité par son fils en
enfant
mutin à qui on coupe les vivres pour le rendre sa
out à l’heure, à deux pas de là, et qui ne sait trop s’il reverra son
enfant
; puis le désespoir d’André apprenant que le comt
’associent, c’est le village ; ils ont sucé le même lait, ce sont les
enfants
et les enfants des enfants ; le plus âgé est le r
st le village ; ils ont sucé le même lait, ce sont les enfants et les
enfants
des enfants ; le plus âgé est le roi. L’associati
e ; ils ont sucé le même lait, ce sont les enfants et les enfants des
enfants
; le plus âgé est le roi. L’association des villa
enres d’autorité du père de famille sur les esclaves, la femme et les
enfants
, et sur la nature des vertus nécessaires à tous.
ande à l’esclave tout autrement que l’époux à la femme et le père à l’
enfant
; et pourtant les éléments essentiels de l’âme ex
bsolument privé de volonté, la femme en a une, mais en sous-ordre ; l’
enfant
n’en a qu’une incomplète. « Il en est nécessairem
e de toutes les autres ; cette réserve ne siérait pas à un homme. « L’
enfant
étant un être incomplet, il s’ensuit évidemment q
faut au contraire les reprendre avec plus d’indulgence encore que les
enfants
. Du reste, je m’arrête ici sur ce sujet. « Quant
sujet. « Quant à ce qui concerne l’époux et la femme, le père et les
enfants
, et la vertu particulière de chacun d’eux, les re
se rapporter à celle de l’ensemble ; il faut donc que l’éducation des
enfants
et des femmes soit en harmonie avec l’organisatio
rmonie avec l’organisation politique, s’il importe réellement que les
enfants
et les femmes soient bien réglés pour que l’État
r les femmes composent la moitié des personnes libres, et ce sont les
enfants
qui formeront un jour les membres de l’État. »
l’unité véritables ! Car, si la communauté des femmes, des biens, des
enfants
paraît à Socrate plus utile pour l’ordre des labo
par le motif qui inspire à Socrate ses théories sur les femmes et les
enfants
. À nos yeux, le bien suprême de l’État, c’est l’u
mplètement inutile que le fils songe au père, le père au fils, et les
enfants
à leurs frères. L’homme a deux grands mobiles de
autre de ces sentiments dans la République de Platon. Cet échange des
enfants
passant, aussitôt après leur naissance, des mains
ui les porteront des uns aux autres sauront, à n’en pas douter, quels
enfants
ils donnent et à qui ils les donnent. C’est surto
res dont les liens de parenté ne sauraient plus garantir, puisque les
enfants
passés dans les autres classes de citoyens ne con
rmi les guerriers, ni de pères, ni de mères, ni de frères, et que les
enfants
entrés dans la classe des guerriers seront de mêm
is je m’arrête ici en ce qui concerne la communauté des femmes et des
enfants
. « À ce premier inconvénient, la communauté des b
a-t-elle particulière, ou sera-t-elle commune ? leurs femmes et leurs
enfants
seront-ils ou ne seront-ils pas en commun ? « Si
nt ainsi la quotité des fortunes, il faut aussi fixer la quantité des
enfants
. Si le nombre des enfants n’est plus en rapport a
rtunes, il faut aussi fixer la quantité des enfants. Si le nombre des
enfants
n’est plus en rapport avec la propriété, il faudr
regrette de trouver ici la recommandation platonique de l’abandon des
enfants
difformes ; loi humaine en opposition à la loi di
e peut-être utile jusqu’à certain point, la licence des femmes et des
enfants
. On accordera de plus à chacun la faculté de vivr
à l’esclavage qu’il croit un crime de la nature, l’autre relative aux
enfants
nés difformes dont il admet l’infanticide par hum
gle commode où cet oiseau n’ait suspendu son lit et le berceau de ses
enfants
. Partout où ces oiseaux nichent et se voient fréq
éfait ! J’ai allaité, et je sais combien il est doux d’aimer le petit
enfant
qui suce mon lait : eh bien, au moment où il me s
’est pour la race de Banquo que j’ai souillé mon âme ; c’est pour ses
enfants
que j’ai assassiné cet excellent Duncan ; pour eu
l’ennemi du genre humain mon éternel trésor pour les faire rois ! Les
enfants
de Banquo rois ! Plutôt qu’il en soit ainsi, je t
pénétrés de l’Évangile que vous puissiez prier pour cet homme et ses
enfants
, lui dont la main vous a courbés vers la tombe et
uissant que le premier. (Tonnerre. — On voit s’élever le fantôme d’un
enfant
ensanglanté.) LE FANTÔME. Macbeth ! Macbeth ! Mac
x en dépit du tonnerre. (Tonnerre. — On voit s’élever le fantôme d’un
enfant
couronné, ayant un arbre dans sa main.) Quel est
lève semblable au fils d’un roi, et qui porte sur le front d’un petit
enfant
la couronne fermée d’un prince souverain ? LES TR
duff, m’emparer de Fife, passer au fil de l’épée sa femme, ses petits
enfants
, et tout ce qui a le malheur d’être de sa race. I
ang. Maintenant il a ordonné à ses seïdes d’aller tuer Macduff et ses
enfants
pour se délivrer d’un compétiteur au trône. On le
moindre des oiseaux, dispute donc son nid, ses petits au hibou. — Mon
enfant
, dit la mère à son enfant comme par pressentiment
te donc son nid, ses petits au hibou. — Mon enfant, dit la mère à son
enfant
comme par pressentiment, votre père est mort, com
comme par pressentiment, votre père est mort, comment vivrez-vous ? L’
enfant
répond par les vers de Racine : Comme vivent les
glu, le piége, le trébuchet ? — Pourquoi les craindrais-je ? répond l’
enfant
; ils ne sont pas destinés aux tout petits enfant
drais-je ? répond l’enfant ; ils ne sont pas destinés aux tout petits
enfants
. Arrive un messager qui avertit lady Macduff qu’
ager qui avertit lady Macduff qu’on la poursuit, ainsi que ses petits
enfants
, pour les égorger. Les assassins entrent et tuent
a mère !… XIII Macduff apprend presque aussitôt la mort de ses
enfants
. ROSSE. Hélas ! pauvre patrie ! elle n’ose presq
. Comment se porte ma femme ? ROSSE. Mais, bien. MACDUFF. Et tous mes
enfants
? ROSSE. Bien aussi. MACDUFF. Et le tyran n’a pas
èdes propres à guérir cette mortelle douleur. MACDUFF. Il n’a point d’
enfants
! — Tous mes jolis enfants, avez-vous dit ? tous
mortelle douleur. MACDUFF. Il n’a point d’enfants ! — Tous mes jolis
enfants
, avez-vous dit ? tous ? Oh ! rejetons d’enfer ! T
après lui, la meilleure partie de son héritage. Ils n’avaient point d’
enfants
et ils m’adoptaient ainsi tous deux en quittant l
des éclairs qui blessent. Cependant cette composition n’est pas d’un
enfant
; il y a de la couleur, de la verve, même de la f
in, et traînant par les cheveux l’innocence sous la figure d’un jeune
enfant
éploré, qui portait ses regards et ses mains vers
endans vers la mer, vue par le dos, la tête tournée, et allaitant son
enfant
; car tout cela se peut, puisque j’imagine votre
iller de coutil sur ses genoux, et sur cet oreiller, vu par le dos, l’
enfant
Jésus emmaillotté, qu’elle embrasse de son bras g
ché. à l’égard de la ressemblance, on l’assure parfaite. deux têtes d’
enfants
. même éloge, toutes deux très-belles et peintes d
es chevaux abattus. Mais où est celui qui poussera cela ? tête d’un
enfant
vue de profil. — Tête d’un enfant vue de face. du
lui qui poussera cela ? tête d’un enfant vue de profil. — Tête d’un
enfant
vue de face. du même. Je crois que c’est de ceux
plus haut, parmi les tableaux. Ce sont deux belles choses. Le premier
enfant
est sérieux, attentif, il a les yeux baissés, att
sition historique. esquisse d’une femme assise, qui tient son petit
enfant
sur ses genoux. du même. Ce n’est rien et c’est b
de tête. Sa position est naturelle ; elle regarde son gros joufflu d’
enfant
avec une complaisance vraiment maternelle. L’enfa
on gros joufflu d’enfant avec une complaisance vraiment maternelle. L’
enfant
dort sr les genoux de sa mère, et dort bien. Une
s fiancés, les frères et les sœurs des deux familles, puis les petits
enfants
sur les genoux des jeunes mères, puis les vieille
r et la poussière du jour qui t’ont surpris sur le chemin, pauvre bel
enfant
, me dit enfin la fiancée, et qu’à présent que l’o
ieux et jeunes parents qui regardaient tout émus du haut du char. — L’
enfant
est fatigué, dit tout le monde ; il faut lui fair
en coûtera-t-il de le déposer sous la voûte du rempart ? — Monte, mon
enfant
, dit la fiancée, c’est une bénédiction du bon Die
entendre que j’étais un de ces pifferari du pays des Abruzzes, où les
enfants
viennent au monde tout instruits et tout musicien
ses bœufs, qui marchaient d’eux-mêmes. Puis il mettait une gloriole d’
enfant
à me raconter à son tour ceci et cela sur cette b
pour contenir l’été la nourriture des vers à soie). Nous sommes sept
enfants
dans la métairie : moi je suis le frère du nouvea
is semblant de rien et je continuai à interroger, sans affectation, l’
enfant
jaseur, pour tirer par hasard quelque indice ou q
e prison chez le père et la mère de la sposa ? — Oh ! non, répondit l’
enfant
; ils vont revenir à la maison, et notre père, qu
prisonniers, chez le bargello ? — Ah ! dame, je n’en sais rien, dit l’
enfant
. Je voudrais bien que ce fût moi, car on dit que
de Lucques, excepté dans la musique de monseigneur le duc. — Allons,
enfant
, dit tout le monde en approuvant la bonne mère d’
ampogne pour oreiller, n’est-ce pas le lit et les meubles des pauvres
enfants
de la montagne comme je suis ? Merci de m’avoir l
s’y battaient les ailes en jetant de temps à autre des vagissements d’
enfants
qu’on réveille. Vous me croirez si vous voulez, m
un marteau de forgeron n’aurait pu briser du dedans, et qu’une main d’
enfant
pouvait faire manœuvrer du dehors. CLXXIX
auvre père, ma vie ! oui, je puis la gagner, mais c’est la vie de mon
enfant
que je veux sauver de la guerre, et vous allez vo
pauvre jeune femme en costume de montagnarde, qui allaitait un petit
enfant
tout près des barreaux, celle-là est bien de la m
oltent plus sur les grandes routes que dans les sillons ; cependant l’
enfant
ne peut faire que ce que son père lui a appris. E
ia seule, La terre m’apparaît vieille comme une aïeule Qui pleure ses
enfants
sous ses robes de deuil. Je n’aime des longs jour
re S’entrelaçaient autour du puits, Père et mère goûtaient son ombre,
Enfants
, oiseaux, rongeaient ses fruits. Il grimpait jus
rives, sur la grappe en deuil, Ont oublié ces beaux grains d’ambre Qu’
enfant
nous convoitions de l’œil. Le rayon du soir la
e et réchauffant Qu’allume une vieille nourrice Au foyer qui nous vit
enfant
? Ou l’impression qui console L’agneau tondu hor
; La vie apparaissait rose, à chaque fenêtre, Sous les beaux traits d’
enfants
nichés dans la maison. Leurs blonds cheveux, épa
Ô douce Providence ! ô mère de famille Dont l’immense foyer de tant d’
enfants
fourmille, Et qui les vois pleurer souriante au m
mme on renvoie à sa nourrice, bien qu’elle n’ait plus le même lait, l’
enfant
maladif que le régime des villes a énervé. Vous s
portent sur leur collier, au-delà des bois, le nom ou le chiffre des
enfants
qui les ont apprivoisées. Je dis au vieux jardini
ès les orages de la première révolution, le berceau de nous tous, les
enfants
de ce nid maintenant désert. Je passai devant la
femmes malades, qui lui servait de guide, d’écuyer pour promener ses
enfants
avec elle sur ces solitudes élevées, où elle voya
Madeleine, ses filles et vous, vous aviez pour notre mère et pour ses
enfants
! Il y a bien longtemps de cela ; mais, voyez-vou
ien longtemps de cela ; mais, voyez-vous, la mémoire dans les cœurs d’
enfants
, c’est comme la braise du foyer éteint pendant le
morte il y a sept ans ; elle était bien plus jeune que moi. Tous mes
enfants
sont morts, excepté la Marguerite, qui était la d
me un homme oisif. Je garde l’âne, ou plutôt l’âne me garde quand les
enfants
n’y sont pas ; car il est vieux pour un animal pr
e répondit-il, « il y a le feu dans le foyer, le bruit des sabots des
enfants
dans la maison, les châtaignes qu’on écorce, les
des yeux. Je travaille tout l’hiver au coin du feu en jasant avec les
enfants
ou avec les chèvres et les poules qui vivent avec
! père Dutemps, il a neigé sur ces cheveux-là depuis. Le visage de l’
enfant
, du jeune homme et de l’homme mûr se ressemblent,
it de favoriser avant toute chose le développement physiologique de l’
enfant
, surtout au passage périlleux de la puberté ; il
etrouver. » Et il y va, et il lui pardonne. Il trouve auprès d’elle l’
enfant
qui n’est pas de lui, un pauvre petit être chétif
eur se déchira dans un sanglot de pitié. Et, penché sur le front de l’
enfant
fiévreux, qui levait sur lui ses yeux de misère
ement, d’émigrer à la campagne, dans les bois de Sèvres. Ils ont deux
enfants
. Les premières couches de la petite femme ont été
elle deviendrait sans lui. Enfin, la vie à la campagne et le soin des
enfants
achèvent d’apaiser et d’assagir la petite femme ;
nts. Fermes de cœur, André et Toinette, ramenant leurs yeux sur les
enfants
, échangèrent un tendre et mystérieux regard. Là-b
, échangèrent un tendre et mystérieux regard. Là-bas ils auraient des
enfants
encore, leur jeunesse en répondait ; ils n’auraie
avides de fermer et de rouvrir le volume, que les blonds cheveux d’un
enfant
sont froissés par la main d’une mère, qui ne se l
pondit-il ; j’ai un secret, un secret qui sera bientôt un prodige. Un
enfant
de mon pays, un jeune homme qui boit comme moi le
homme ; Dumas pouvait d’autant mieux les donner qu’il est lui-même un
enfant
d’Eyragues (Eyragues est un village à deux pas de
il entend un écho provençal à travers les oliviers de son hameau. Cet
enfant
, me dit-il, est né à Maillane, village situé à tr
avait sophistiqué son esprit. Comme un jeune olivier sauvage dont les
enfants
ont barbouillé en passant le tronc d’ocre et de c
elle n’aspire qu’à trouver bientôt une Rébecca au puits pour son cher
enfant
. Voilà toute l’histoire du jeune villageois de Ma
ier, qu’on appelait maître Ambroise, continuait de discourir avec son
enfant
; et le soleil, qui sombrait derrière les colline
s les miroirs aujourd’hui sont brisés ! » Mireille insiste. — « Belle
enfant
, lui dit-il, ma voix n’est plus qu’un épi égrené,
d’amour qui s’ignore commencent à tinter à son insu dans la voix de l’
enfant
. Nous regrettons de tronquer ce long et délicieux
semble, dit-elle en se retirant à pas lents vers sa mère, que, pour l’
enfant
d’un vannier, il parle merveilleusement bien ! Ô
dit Mireille en regardant les mûriers encore touffus de feuilles. Cet
enfant
dit qu’il est monté pour m’aider, et tout son tra
“Je ne me suis pas, dit-elle, fait de mal, nenni ! Mais, telle qu’un
enfant
dans ses langes qui parfois pleure et ne sait pou
oire, finit par avouer à Vincent qu’elle l’aime ! « Oh ! dit l’humble
enfant
du vannier, ne vous jouez pas ainsi de moi, Madem
ireille, toi la fontaine !… » L’entretien s’attendrit entre les deux
enfants
; au moment où il va s’exalter jusqu’au délire, o
e que la jeune fille des Micocoules a causé en secret avec Vincent, l’
enfant
aux pieds nus ; on raille Mireille. Une matrone p
nue vermeille dès que le nom de Vincent a été prononcé. Voyons, belle
enfant
, là est quelque mystère. » — « Je veux, dit Mirei
margue connaît la piqûre du cousin ! » « Il a deviné que le cœur de l’
enfant
n’est plus à elle. Triste et résigné, il reprend
comme un ridicule orgueil. « Les cinq doigts de la main, dit-il, mon
enfant
, ne sont pas tous égaux. Le maître t’a fait lézar
yais de mon cœur le déchirement et le trouble, tu aurais pitié de ton
enfant
! Moi, que tu nommes ta mignonne, tu me courbes a
t tes doux baisers ! « Et pendant qu’ainsi dans sa couchette la belle
enfant
se désole, le sein brûlant de fièvre et frémissan
ance, parce qu’elles sont pleines de religion. Voyez Reboul, dans son
Enfant
mort au berceau ! Voyez Jasmin dans son Fils de m
polissent, et font passer avec des récits enchanteurs, de l’aïeul à l’
enfant
, de la mère à la fille, du fiancé à l’amante, tou
s les portes où il y a une mère de famille, un fils, un vieillard, un
enfant
capable d’épeler ce catéchisme de sentiment, de p
ujet, je ne puis m’empêcher de vous faire observer, en passant, que l’
enfant
, l’adolescent, le jeune homme, l’homme fait prend
et leurs exemples aux différents âges de leurs disciples ; ainsi, aux
enfants
de dix ou douze ans, chez lesquels les passions n
s pastorales, des scènes à peine animées de la nature rurale, que les
enfants
de cet âge sont admirablement aptes à sentir et à
tée de tilleuls séculaires et servant de promenoirs aux oisifs et aux
enfants
, complète la capitale de province. On n’y entend
tes épris des champs, plutôt que la physionomie murale d’une prison d’
enfants
, physionomie trop habituelle à ces monuments d’ét
ur discipline l’agrément et même la grâce du foyer tant regretté où l’
enfant
avait laissé sa mère, ses sœurs, ses vergers, ses
aubourg de Lyon. Les maîtres y étaient froids comme des geôliers, les
enfants
aigris et méchants comme des captifs. Tout y étai
reur, violence ou révolte. J’y avais pris l’horreur de ces bercails d’
enfants
. Le mal du pays ou plutôt le mal du foyer natal m
toute paternelle de la maison, un autre régime firent de moi un autre
enfant
. Je ne puis pas dire que j’aimai jamais cette cap
es feuilles de printemps ; Si ma mère y vient encore Garder ses jolis
enfants
; Si sa voix, qui les appelle, A des accents aus
i peint vaguement ces premières sensations de l’infini dans un cœur d’
enfant
. Ces sensations de la nature se mêlaient de jour
, l’encens, les fleurs, la musique, exerçaient sur des imaginations d’
enfants
ou d’adolescents de vives séductions. Les ecclési
goutte de ce ruisseau de poésie qui devint plus tard des Harmonies. L’
enfant
est le germe d’un homme. Cantique sur le torren
ma pensée, Tout lumière au dehors, au dedans tout repos ! VII Et les
enfants
viendraient, penchés sur tes eaux vives, Regarder
voit dehors, sur la neige, Au seuil de leurs maisons jouer de blonds
enfants
! VIII Mais tu ne me réponds que par des coups de
mblent si pressées D’échapper à Jéhovah ! IX Mais moi, l’
enfant
du Père, et que ce nom rassure, Je m’y sens attir
es, surtout à celle des saintes pensées des vieillards comparés à des
enfants
qui jouent en hiver sur la neige sans sentir le f
se de trois choses : sentiment, peinture, musique. Dans ce cantique d’
enfant
, il n’y avait encore que de la musique et un peu
ects tour à tour riants ou grandioses qui se déroulaient à mes yeux d’
enfant
, pendant ces longues et muettes excursions de qua
tu danses Sur le toit aplati de la blanche maison, Et que ton frère
enfant
, pour marquer la cadence, Pinçant d’un ongle aigu
de mes désirs n’en passerait le bord. N’est-ce donc pas assez, belle
enfant
de ces treilles, De te voir tous les jours, et pu
’une de ses mains un petit poisson joue ; Dans l’autre un coquillage,
enfant
du bord amer, Tout près de son oreille est collé
ivin ; Le filet de cristal que sa robe distille Abreuve le pasteur, l’
enfant
, le matelot, Fait boire l’oranger dans les ravins
ont su rendre le charme de la campagne, c’est qu’ils y ont vécu tout
enfants
. Ainsi un Jean-Jacques Rousseau, élevé au milieu
es bergers, au milieu des pasteurs : Je suis né parmi les pasteurs ;
Enfant
, j’aimais comme eux à suivre dans la plaine Les a
; La vie apparaissait rose, à chaque fenêtre, Sous les beaux traits d’
enfants
nichés dans la maison. Messieurs, ceci encore es
ue qu’on trouvera dans son imagination. Cependant, on voulut mettre l’
enfant
, déjà grandi, au collège. Lamartine ne put suppor
nt-Pierre, et il a suivi sous les cocotiers de l’île Bourbon ces deux
enfants
, Paul et Virginie, qu’embrase un amour pur et ard
Viens reprendre ton rang dans ta splendeur première, Parmi ces purs
enfants
de gloire et de lumière, Que d’un souffle choisi
qu’il fit pour chanter, pour croire et pour aimer. Eh bien, ces purs
enfants
de gloire et de lumière, ce sont les poètes, parm
du peuple, il est bien de souche plébéienne. Puis, Victor Hugo, tout
enfant
, suit son père en Italie, en Espagne, lorsque le
ameur des batailles, dans un décor changeant sur lequel les yeux de l’
enfant
se promènent, étonnés et curieux. C’est justement
menant ainsi à travers toute l’Europe du midi, l’Italie, l’Espagne, l’
enfant
déjà s’emplit l’esprit de belles images, de coule
ls le poète est resté plus tard toujours reconnaissant, et auxquels l’
enfant
était d’autant plus attaché qu’il craignait sans
ère, avec l’onde et le vent, Et lui dirent tout bas : Laisse-nous cet
enfant
. Ce jardin des Feuillantines, le séjour que Vict
qu’il ait cessé de l’aimer. Mais ceux qu’il aime surtout, ce sont ses
enfants
. Les enfants, ce sont eux qui remplissent le cœur
sé de l’aimer. Mais ceux qu’il aime surtout, ce sont ses enfants. Les
enfants
, ce sont eux qui remplissent le cœur du père auss
qui remplissent le cœur du père aussi bien que celui de la mère : ces
enfants
, pour qui nous avons tant de sollicitude inquiète
e, tant de tendresse protectrice, et par qui nous souffrons tant, ces
enfants
qui, même quand ils ont grandi, même quand ils so
avec les émotions de son foyer ; il y a mis sa femme, il y a mis ses
enfants
. Mais c’est une des meilleures parties de l’origi
de l’originalité de Victor Hugo que la façon dont il a su parler des
enfants
, et cela dans un pays où les enfants tiennent bea
la façon dont il a su parler des enfants, et cela dans un pays où les
enfants
tiennent beaucoup de place dans la famille, mais
Remarquez-le, dans toute notre littérature classique, il n’y a pas d’
enfants
. Chez les Grecs, Iphigénie suppliante montre à so
ne heure. Au xviie siècle, La Fontaine est le seul qui ait parlé des
enfants
. Vous savez ce qu’il en a dit, il a dit : Cet âg
l en a dit, il a dit : Cet âge est sans pitié. Il avait horreur des
enfants
. Victor Hugo est le premier qui ait su exprimer l
ur ce qu’ils pensent de la difficulté qu’il y a à faire un portrait d’
enfant
. Mesdames, Messieurs, un portrait d’homme, c’est
s : tout dépend avec quels yeux nous la regardons. Mais un portrait d’
enfant
! Chez l’enfant, justement, la grâce est quelque
avec quels yeux nous la regardons. Mais un portrait d’enfant ! Chez l’
enfant
, justement, la grâce est quelque chose d’indécis
à peine ébauchés ; c’est une parole encore incertaine. Le charme de l’
enfant
est caractérisé par ceci, qu’il est insaisissable
risé par ceci, qu’il est insaisissable et fugitif. Quand on parle des
enfants
, presque toujours on le fait avec mièvrerie, et,
, avec puérilité. C’est le mérite de Victor Hugo d’avoir conservé à l’
enfant
dans certaines pièces, comme la pièce intitulée À
a pièce intitulée À des oiseaux envolés, ou celle qui est intitulée L’
Enfant
de Louis, toute sa grâce. Et plus tard, quand Vic
leines de la liberté et de son culte farouche. C’est Canaris, c’est l’
enfant
grec qui veut de la poudre et des balles, et c’es
nsibilité, de son cœur, de ses nerfs. Alfred de Musset est d’abord un
enfant
nerveux. Tous ceux qui l’ont connu dans les premi
aison apparente, d’un extrême à l’autre. Quelquefois, pour un rien, l’
enfant
entrait dans de violentes colères, et alors il de
ieté nerveuse, s’achève si volontiers en sanglots. Ce qu’a été Musset
enfant
, il le restera dans toute sa vie et dans toute so
e et dans toute son œuvre. Il nous dit : Mes premiers vers sont d’un
enfant
, Les seconds d’un adolescent, Les derniers à pein
n poète, même lorsqu’il est devenu un homme : il est toujours resté l’
enfant
nerveux, à l’humeur capricieuse, changeante, fant
c’est cela même que j’aperçois dans l’esprit d’Alfred de Musset. Cet
enfant
de Paris est en outre un enfant du xviii siècle ;
dans l’esprit d’Alfred de Musset. Cet enfant de Paris est en outre un
enfant
du xviii siècle ; non pas du xviiie siècle passi
t pour les succès mondains. Et il est resté, en effet, un mondain. Un
enfant
nerveux, un fils du xviiie siècle, un enfant de
n effet, un mondain. Un enfant nerveux, un fils du xviiie siècle, un
enfant
de Paris, un mondain, voilà les traits constituti
Dans notre salle solitaire. Devant ma table vint s’asseoir Un pauvre
enfant
vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
mer dorée, Se déroulent, au loin, dédaigneux du sommeil ; Pacifiques
enfants
de la terre sacrée, Ils épuisent sans peur la cou
Conscience, qui est aussi bien une des plus belles : Lorsqu’avec ses
enfants
vêtus de peaux de bêtes, Échevelé, livide au mili
e avec des poids de plomb : — Vous ne voyez plus rien ? dit Tsilla, l’
enfant
blond, La fille de ses fils, douce comme l’aurore
illait, ses frères, dans la plaine, Chassaient les fils d’Enos et les
enfants
de Seth ; Et l’on crevait les yeux à quiconque pa
t un matin froid Où l’eau gèle dans la rigole, Et comme il faut que l’
enfant
soit En état d’entrer à l’école, Écartant le vie
frissonnent sous l’œil du maître, Son ombre les rend malheureux. Ces
enfants
n’auraient pas dû naître, L’enfance est trop dure
r ne plus penser, pour que l’homme meure Comme est né l’
enfant
. Vous qui m’aiderez dans mon agonie,
es, dont on se propose de faire une tapisserie ; c’est un charivari d’
enfants
. Toile immense, et beaucoup de couleurs. Je ne sa
ns son imagination, sa facilité et son esprit, la Femme qui amuse son
enfant
avec un moulin à vent, sa Sainte Famille que je n
toire ? Des petites femmes, des jeunes garçons, des sœurs du pot, des
enfants
, pas un homme de poids. Comme cela est distribué,
gures qui sont à gauche sur le devant ; c’est une femme qui tient son
enfant
. Elle me paraît si bien peinte, si bien dessinée,
. Elle me paraît si bien peinte, si bien dessinée, de si bon goût ; l’
enfant
est si bien aussi, que si Mr le professeur voulai
Transtévérines qui s’appelaient d’un grenier à l’autre, les pleurs d’
enfants
qui demandaient le lait de leurs mères, et le bru
, jusqu’au degré où il éclot enfin dans sa perfection dans un dernier
enfant
de cette génération prédestinée au génie ; en sor
est là que naquit, en effet, Torquato Tasso ; peut-on s’étonner qu’un
enfant
d’un tel père et d’une telle mère, né et élevé da
e plus poétique Arcadie ? Quelques semaines avant la naissance de cet
enfant
ardemment désiré par sa mère, Bernardo Tasso écri
a est enceinte de sept mois ; que ce soit d’une fille ou d’un fils, l’
enfant
me sera également et souverainement cher ; puisse
» Les prières du père, de la mère et de la tante furent exaucées ; l’
enfant
, qui fut Torquato Tasso, naquit à Sorrente, le 12
erre en Piémont et en Espagne. Le vice-roi de Naples fut parrain de l’
enfant
; à son retour de l’armée, le père emmena sa femm
de l’enfant ; à son retour de l’armée, le père emmena sa femme et ses
enfants
à Salerne où il acheva le poème d’Amadis. Conduit
, dans une situation presque indigente, y continua l’éducation de ses
enfants
. Logée dans une petite maison peu éloignée du col
ans, une lanterne à la main, à la porte du collège ; les progrès de l’
enfant
répondaient à la tendre sollicitude de la mère. P
olyte d’Este. Il y avait donné rendez-vous à sa femme Porcia et à ses
enfants
; mais Porcia, persécutée à cause de son mari par
rait pour toujours : « La cruelle fortune m’arracha, presque encore
enfant
, du sein de ma mère ; ah ! je me souviendrai touj
toute espérance de félicité pour moi, le seul soutien de mes pauvres
enfants
et la seule perspective de consolation qui me res
ment trop grand à mon prince, l’avoir abandonnée ainsi que mes petits
enfants
et le gouvernement domestique de ma maison, entre
s la maison d’une grande dame de la famille des Tassi, qui traitait l’
enfant
comme son fils. Elle se refusait par tendresse à
aite et prématurée, mais merveilleuse, dit-il, dans ses lettres, d’un
enfant
de dix-sept ans ! Il consentit à l’impression du
et à Rome, rappelle le gracieux portrait de Raphaël d’Urbin, le génie
enfant
, avec un trait de plus dans le regard, la fierté
l divin’ Ariosto. Pardonnez-moi ma folie. La Fontaine est un charmant
enfant
, que j’aime de tout mon cœur ; mais laissez-moi e
sous du plus magnifique tableau de paysage. Il aime la nature comme l’
enfant
aime sa nourrice, moins occupé de ses charmes, do
aurice ; elle avait cinq ans de plus que lui. Elle naquit poète. Tout
enfant
, dans un séjour à Gaillac chez des cousines, c’es
cette affection fraternelle, et te voyait avec charme sur mes genoux,
enfant
sur enfant, cœur sur cœur, comme à présent. » Ces
tion fraternelle, et te voyait avec charme sur mes genoux, enfant sur
enfant
, cœur sur cœur, comme à présent. » Ces sentiments
rythme intérieur et la mélodie. Elle eut l’idée de composer pour les
enfants
un recueil qui se serait appelé les Enfantines ;
sumer uniquement du côté de son frère et de Dieu. À la voir aimer ses
enfants
, on sent qu’il manque cette nature aimante d’être
t, où son vœu secret lui échappe : « Le 14 mars 1836. — Une visite d’
enfant
me vint couper mon histoire hier (une histoire de
ndiante sur son grabat). Je la quittai sans regret, j’aime autant les
enfants
que les pauvres vieux. Un de ces enfants est fort
ns regret, j’aime autant les enfants que les pauvres vieux. Un de ces
enfants
est fort gentil, vif, éveillé, questionneur ; il
s. Je n’ai donc rien obtenu qu’un baiser. Ils sont doux les baisers d’
enfant
/ il me semble qu’un lis s’est posé sur ma joue.
semble qu’un lis s’est posé sur ma joue. » Elle aime à instruire les
enfants
et à leur faire le catéchisme. Elle a besoin d’ai
nd de ce jeu et de ce rêve d’idylle, un mari… pas trop brutal… et des
enfants
. Loin de moi l’idée d’établir une rivalité, de ri
ais d’une matinée d’automne, tenant entre ses bras le petit Victor, l’
enfant
de sa sœur, qui, attaché à son cou, s’approche de
pas un des mouvements de leur cœur qui ne fasse battre le vôtre. Hier
enfant
, ce fils est devenu un homme ; il veut être libre
ux et gai avec vos vieux amis ; si son regard serein, son rire encore
enfant
, sa tendresse attentive et soumise vous font sent
ait celle-ci : LA PROMENADE D’EUGÉNIE. — EUGÉNIE PARLE. — Dors, cher
Enfant
, je sens ta main légère A mon cou nu mollement s’
ment s’attacher, Je sens ton front en mon sein se cacher ; Dors, cher
Enfant
; je suis aussi ta mère ! Ta pauvre mère, hélas !
aux périls de son roi. A mon cou nu pose ta main légère ; Dors, cher
Enfant
; je suis aussi ta mère ! Tant de malheur peut-il
si tiède à ressaisir ? A mon cou nu pose ta main légère ; Dors, cher
Enfant
; je suis aussi ta mère ! Mais, dès qu’ainsi ton
i ta mère ! Mais, dès qu’ainsi ton doux soin m’est rendu, D’où vient,
Enfant
, que ta bouche innocente Soulève eu moi le soupir
eille-toi ! je ne suis point ta mère ! M’est-il permis le baiser de l’
enfant
, Ce vague oubli qu’en le berçant prolonge Ma soli
i qu’en le berçant prolonge Ma solitude, et, la nuit, dans un songe L’
enfant
Jésus reparu plus souvent ? De mon cou nu lève ta
a servante exilée ? Dieu des petits et de Ruth et Rachel ! Dors, cher
Enfant
; je sens ta main légère A mon cou nu de plus prè
près s’attacher, Ton frais baiser en mon sein se cacher ; Dors, cher
Enfant
; je suis encor ta mère ! 24. Il ne l’était pa
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