siste à nier toute loi morale et tout sentiment, et à ne voir dans la
divine
loi de filiation de l’être pensant que le phénomè
lissement de tels principes, et en écartant toujours le seul principe
divin
de toute sociabilité, le Dieu qui a créé la souve
philosophie et la théologie aboutissant à une religion civile et non
divine
! Là finit le livre, car la tyrannie populaire ou
matière de gouvernement quelques vérités pratiques, et par cela même
divines
, à ce monceau de chimères devenu un monceau de ru
litique, nullement délibérée, mais instinctive et fatale dans le sens
divin
du mot fatal (fatum, destinée), est un acte par l
’âme de sa créature ces lois, non écrites, mais vivantes, consonances
divines
de la nature intellectuelle de l’homme avec la na
e, la conscience de tout homme, comme un instrument monté au diapason
divin
, se dit involontairement : C’est Juste ; c’est Di
préexistant de ses lois, la conscience, cet écho humain de la justice
divine
! Qu’est-ce que toutes les lois qui n’emportent p
piritualiste, la législation est sacrée parce que son législateur est
divin
. Cela ressemble peu à la société charnelle de J.-
ur la mort, sur l’écorce de cette planète, le regard de la Providence
divine
daignerait-il seulement y tomber ? Ôtez la vertu
dence divine daignerait-il seulement y tomber ? Ôtez la vertu du plan
divin
du Législateur suprême, à quoi bon avoir donné un
e. Cherchons. XV La société est-elle ou n’est-elle pas de droit
divin
? En d’autres termes, la sociabilité humaine, qu
. La véritable autorité sociale, qu’on appelle souveraineté, est donc
divine
; divine, parce qu’elle est naturelle. Voilà la s
table autorité sociale, qu’on appelle souveraineté, est donc divine ;
divine
, parce qu’elle est naturelle. Voilà la souveraine
raineté en action, le mécanisme social par lequel cette souveraineté,
divine
dans son essence, humaine dans ses moyens, s’exer
de la nécessité : la souveraineté de la nature. XVII Ce besoin
divin
de la souveraineté administrée par des gouverneme
resse pas moins que sa race périssable dans une civilisation vraiment
divine
et indéfinie sur cette terre, et au-delà de cette
cratique, mais laquelle est plus imprégnée de règle innée, de justice
divine
, de moralité supérieure à l’abjecte matérialité d
r celui qui la possède est tellement instinctive, unanime et de droit
divin
, puisqu’elle est d’inspiration de la nature, que
ssi des lois écrites par la souveraineté sociale. C’est donc de droit
divin
que l’homme vit, et c’est de droit divin qu’il s’
sociale. C’est donc de droit divin que l’homme vit, et c’est de droit
divin
qu’il s’est groupé en société pour vivre. XIX
divin qu’il s’est groupé en société pour vivre. XIX De ce droit
divin
de vivre résulte pour lui le droit d’exercer, sou
propriété, et la propriété individuelle, est un des décrets du droit
divin
, sur lesquels la philosophie, si dérisoirement no
il n’y a pas de famille, est donc de souveraineté naturelle, de droit
divin
, de sociabilité absolue. Supposez, en effet, que
l’on veut distinguer en même temps ce qu’il y a de vrai, de sacré, de
divin
dans l’instinct de l’homme sociable, de ce qu’il
dans la constitution de leurs chimères. La justice est une révélation
divine
qui n’a été inventée par aucun sage, aucun philos
sens de la sociabilité, c’est le vrai nom de la justice. Sans ce sens
divin
de la justice, aucune société n’aurait pu exister
la conscience souffre, bon gré, mal gré, dans l’homme, l’arithmétique
divine
est violée, le résultat est faux ; l’homme le sen
moral. De là l’égalité de protection des lois humaines comme des lois
divines
entre tous les hommes qui ont invocation à faire
devant Dieu et devant la loi. Point de privilège contre la révélation
divine
manifestée par l’instinct universel : la conscien
lamé cette justice dans la proclamation de cette égalité abstraite et
divine
devant la loi ; ce qui veut dire et ce qui dit :
t entière. Voilà la révolution française, voilà la sublime démocratie
divine
entendue comme elle peut être seulement entendue
aît à chaque seconde du temps, sur la terre, pour y demander de droit
divin
une place égale à celle de tout autre homme, lui
igence pour comprendre que leur égalité serait la destruction du plan
divin
sur la terre ; que Dieu a voulu l’activité humain
les ; et il n’est point étrange que dans l’illusion d’une inspiration
divine
ces facultés aient trouvé un puissant mobile d’ac
des questions ; des dialogues suivis s’établissent entre elle et ses
divins
protecteurs. Dans les révélations qu’elle reçoit,
férence par des signes audibles ; pour certains hommes, la Providence
divine
était plus attentive et plus manifeste que pour l
ien ; comment surtout n’aurait-il pas reconnu à ses idées une origine
divine
, quand elles étaient relatives à l’avenir, chose
en lui, qu’il ne reconnaissait pas comme sien : c’était là le signal
divin
dont il parlait fréquemment, son oracle personnel
e ce qu’il faut faire ou non. » Et ailleurs : « Socrate disait que le
divin
lui donnait des signes188. » Au dernier chapitre
Mémorables se trouve une expression plus précise : « Il disait que le
divin
lui signifiait d’avance ce qu’il devait et ce qu’
re190. » A quels genres de faits se rapportait de préférence le signe
divin
? Xénophon ne nous donne sur ce point qu’un seul
e ne pas faire telle autre, suivant ce que d’avance lui signifiait le
divin
, et ceux qui l’ont cru s’en sont bien trouvés, ce
ouci de la vérité historique. « J’ai senti tout à l’heure cette chose
divine
et ce signal accoutumé qui m’arrête toujours au m
défendait de…193 » etc. « Je m’étais levé pour sortir quand le signal
divin
accoutumé me retint ; je m’assis donc de nouveau1
t quitté viennent de nouveau pour renouer commerce avec moi, la chose
divine
qui se produit en moi me défend de converser avec
ve) n’était point quelque chose d’humain, mais un certain empêchement
divin
… Le dieu ne m’a pas permis de te parler jusqu’ici
cette chose dont vous m’avez si souvent entendu parler, ce phénomène
divin
et démonique que Mélétus, pour plaisanter, a insc
n intervention dans les affaires publiques197. » « Cette prophétie du
divin
qui m’est habituelle a été fréquente dans tout le
gue d’ailleurs, du Théétète 199, semble le rapporter à un empêchement
divin
. Le silence du demonium le jour du procès de Socr
x l’avaient favorisé. Mais il dut improviser sa défense, car le signe
divin
s’était opposé à ce qu’il la méditât. Ceci est le
ndit Socrate, je me suis mis à méditer quelque chose à cet effet ; le
divin
s’y est opposé. — C’est une chose étrange, reprit
je meure dès à présent ? » Suit la justification dialectique du veto
divin
, et Socrate conclut ainsi : « C’est donc avec rai
arler ce jour là selon son inspiration ; cette inspiration était bien
divine
. Il est impossible de ne pas voir dans le phénomè
un phénomène analogue. La plupart du temps, Socrate parle d’un signe
divin
, sans spécifier que ce fût une parole ; d’autres
e soit une pure métaphore202. Nous croyons en conséquence que le veto
divin
, sous sa forme la plus ordinaire, n’était autre c
t prononcer ; alors le nom véritable du phénomène était l’empêchement
divin
, […] ; mais est-il possible qu’il se produisit to
l’âme même qui la percevait204. Tantôt donc, Socrate appelait le veto
divin
une voix, parce qu’il avait réellement entendu qu
actère de Socrate, celui-ci a dû souvent évoquer en souriant le signe
divin
et le mêler par ironie à des événements sans impo
eils réfléchis de sa prudence comme des avis mystérieux de la sagesse
divine
, afin d’éviter une discussion qui, malgré toute s
s’il eut eu pareille croyance, sans doute il eût identifié la voix du
divin
avec celle d’Apollon, qui avait, par l’organe de
Le silence du demonium impliquait la permission et même l’approbation
divines
: c’est ainsi qu’il faut interpréter, avec M. Fou
lent contredire le texte formel de l’Apologie ; dans Platon, le signe
divin
s’oppose toujours et n’incite jamais, ou bien il
s sur ce point particulier210. Il est d’ailleurs naturel que le signe
divin
ait été surtout ou uniquement prohibitif, car tel
. Par les mêmes raisons, et grâce à sa parfaite obéissance aux signes
divins
, Socrate ne paraît pas avoir connu le remords ni
ies de Socrate sur la nature du bien et du mal que tout avertissement
divin
enveloppe une prédiction : ne fais pas cela équiv
expliquons même comment Socrate et ses disciples accordèrent au signe
divin
une confiance que les événements ne vinrent jamai
i, a toujours distingué les impulsions spontanées, qui seules étaient
divines
à ses yeux, et les motifs que son esprit concevai
otifs que son esprit concevait ensuite de les trouver raisonnables et
divines
; ceci était bien humain, car il y sentait l’effo
car il y sentait l’effort personnel de son intelligence ; ce qui est
divin
, c’est l’intuition ; l’acte propre de l’esprit hu
euse par laquelle la pensée discursive s’efforce de joindre les idées
divines
. Cette réserve faite, nous pouvons dire qu’Homère
traces les plus vives, les exemples les plus frappants. L’inspiration
divine
correspondait chez Homère à fait psychique réel ;
illeurs entièrement fictive ; Socrate ne fait pas intervenir le signe
divin
; par une feinte hautement avouée, il introduit l
té, pour l’attribuer à une personnalité étrangère, soit humaine, soit
divine
, soit abstraite, soit indéterminée, dans laquelle
Nous avons déjà remarqué que Socrate avait du désigner par la voix du
divin
tantôt une véritable parole intérieure, tantôt un
nfessions (VIII, 12) qu’Augustin attribua après réflexion une origine
divine
à une voix bien réelle et extérieure, qu’il avait
ugustin entend « tolle lege, tolle lege » et la reçoit comme un ordre
divin
est la suivante (XII, 29, p. 67) : « Et voici que
l’assaut de mes larmes et me suis levé, ne voyant plus là qu’un ordre
divin
qui m’enjoignait d’ouvrir le livre, et de lire ce
émonique a lieu pour toi qu’on t’accuse d’innover touchant les choses
divines
» (Platon, Euthyphron, p. 3 b). Cf. Xénophon, Mém
ression consacrée ; elle ne rend pas exactement […], littéralement le
divin
, seul terme employé (avec […], un dieu, comme syn
ins § I. Trois espèces de jurisprudences ou sagesses Sagesse
divine
appelée théologie mystique, mots qui dans leur se
mots qui dans leur sens étymologique veulent dire, science du langage
divin
, connaissance des mystères de la divination. Cett
les états populaires, et surtout dans la monarchie. La jurisprudence
divine
et l’héroïque propres aux âges de barbarie, s’att
omes 9 et 10). § II. Trois espèces d’autorités La première est
divine
; elle ne comporte point d’explications ; comment
terme de droit celui de qui on tient un domaine. Cette autorité était
divine
, parce qu’alors la propriété comme tout le reste
nat. § III. Trois espèces de raisons La première est la raison
divine
, dont Dieu seul a le secret, et dont les hommes n
ents. Les Gentils ont cru aussi recevoir les conseils de cette raison
divine
par les auspices, par les oracles, et autres sign
ité sont en lui une même chose, et pour la saine théologie l’autorité
divine
équivaut à la raison. — Admirons la Providence, q
suivissent l’autorité des auspices, et se gouvernassent par les avis
divins
qu’ils croyaient en recevoir. En effet c’est une
la Providence voulut que les hommes vécussent sous les gouvernements
divins
, et que partout régnassent des lois sacrées, c’es
e juste. La dispensatrice du juste parmi les hommes, c’est la justice
divine
, qui, appliquée aux affaires du monde par la Prov
l’un de ses principaux aspects une théologie civile de la Providence
divine
, laquelle semble avoir manqué jusqu’ici. Les phil
rovidence éternelle et infinie la Science nouvelle trouve des preuves
divines
qui la confirment et la démontrent. N’est-il pas
ent et la démontrent. N’est-il pas naturel en effet que la Providence
divine
ayant pour instrument la toute-puissance, exécute
ans telle occasion, dans tel lieu, dans tel temps, quelques bienfaits
divins
qui eussent pu mieux conduire et conserver la soc
onde social est résulté ?… Sans doute le lecteur éprouvera un plaisir
divin
en ce corps mortel, lorsqu’il contemplera dans l’
en ce corps mortel, lorsqu’il contemplera dans l’uniformité des idées
divines
ce monde des nations, par toute l’étendue et la v
critérium dont elle se sert (axiome 13), est celui que la providence
divine
a enseigné également à toutes les nations, savoir
montre encore que les preuves dont nous avons parlé sont d’une espèce
divine
, et qu’elles doivent, ô lecteur, te donner un pla
e espèce divine, et qu’elles doivent, ô lecteur, te donner un plaisir
divin
: car pour Dieu, connaître et faire, c’est la mêm
la Science nouvelle. Ces principes sont la croyance en une Providence
divine
, la modération des passions par l’institution du
gression du règne animal ; il se trouva et se connut dans l’homme. Le
Divin
est le fond de la nature humaine174… Le tragique
in est le fond de la nature humaine174… Le tragique est le conflit du
Divin
aux prises avec lui-même dans l’Humanité. Le comi
a comédie. II Un petit nombre de sentiments constituent le fond
divin
de la nature humaine. L’amour de la patrie, l’amo
e et la sagesse des tribunaux, et elle apparut en même temps comme la
divine
et vivante image du génie de la ville d’Athènes.
ntiments pathétiques que j’ai tous nommés, et qui constituent le fond
divin
de la nature humaine. — Les Dieux sont unis dans
imes et sacrés, manifestations partielles l’un et l’autre de l’Esprit
divin
qui est dans l’homme. Si la guerre s’allume au se
déterminent, s’opposent et se contredisent. Le spectacle de la lutte
divine
qui s’engage alors est sublime ; il frappe l’âme
re les idées morales, et opérer ainsi la réconciliation intérieure du
Divin
rentré dans son repos181. III Or, l’exemple
é. Alors Minerve, la vivante Athènes, ajoute dans la balance son vote
divin
, par lequel Oreste est absous, et les Euménides,
puisque chacun d’eux ne renferme en lui-même qu’un moment de l’Unité
divine
, ils doivent, sans être de pâles et froides allég
ve, le chœur représente la majestueuse et paisible harmonie de l’Idée
divine
, dont chacun d’eux ne personnifie qu’un côté. Le
célèbre, dans un chant magnifique, et leur propre courage et la vertu
divine
qui agit en eux. IV Le comique est le contr
lées. S’il fit descendre la tragédie des hauteurs de l’impersonnalité
divine
dans des régions plus humaines et plus personnell
y avait été favorable. Les héros possédaient en eux-mêmes le principe
divin
de leurs entreprises générales. Leurs actions, pa
te représentation idéale que l’Humanité se donne à elle-même du drame
divin
développé par elle dans l’histoire. Les intérêts
empêcher la lutte de courir à son dénouement nécessaire, le retour du
Divin
à l’unité absolue de son essence : de là la simpl
d203. Symbole plus ou moins clair, plus ou moins magnifique de l’Idée
divine
, l’Art n’est jamais tombé, il ne peut pas tomber
omédie soit le contraire de la tragédie, il n’est pas possible que le
Divin
, dont l’éclatante victoire couronne le drame trag
s indestructibles, qui ne peuvent périr que pour ressusciter à la vie
divine
de l’Identité absolue : c’est leur masque impuden
ence ; ce n’est pas le monde idéal, c’est le monde renversé, c’est le
Divin
déjà détruit par lui-même. La Vérité morale reste
nsultent à la majesté paternelle, sont réellement en guerre contre le
Divin
et non contre son apparence. La vanité de la lutt
éléments : 1º L’absurdité de la personne humaine, en lutte contre le
Divin
; 2º La félicité souriante des Dieux, qui savent
’intelligence, à l’aspect d’un combat sérieux de l’individu contre le
Divin
, suivi de son désespoir sérieux après la défaite.
dénouement du drame tragique m’avait montré le triomphe réel aussi du
Divin
dans sa destruction également apparente. Je retro
e, de la religion, de l’art et de la politique ; c’est le mensonge du
Divin
. Il immole l’absurde et le faux à la vérité qu’il
eux-mêmes, dans ce qu’ils ont de contraire à la majesté de la nature
divine
. En effet, la substance identique et impersonnell
qui se firent moines, ou, comme don Quichotte, chevaliers errants. Le
divin
fondateur du christianisme n’avait prétendu aboli
vérité de l’ordre moral, soit qu’elle ose faire la guerre aux choses
divines
, ils doivent, pour se montrer comiques, rire de l
patriotisme, qui paraissent au premier plan, et par leur antagonisme
divin
font l’intérêt du drame : c’est la personne humai
. Elle est 1º : la lutte impuissante et vaine de l’individu contre le
Divin
. Ce premier point, Molière l’a bien rempli222. S
dre, d’Henriette ou du bonhomme Chrysale, pour opposer leur caractère
divin
à l’impiété, au vice, à la vanité folle, au mauva
e les figures modernes de la scène tragique, ils combattent contre le
Divin
, contre une idée morale, solide et puissante, où
put être sérieusement joué, et la victoire impie de l’individu sur le
Divin
fut proposée aux spectateurs comme l’objet le plu
nde physique et du monde moral241. …… Jusqu’ici, assis aux pieds du
divin
Hegel, mon maître, j’ai écouté docilement ses leç
273 à 275. 190. L’imagination se représente objectivement les lois
divines
et les puissances de l’âme comme formant le cercl
Dieu sur la terre. Cette harmonie se réalise par l’union de la nature
divine
et de l’individualité humaine. Un homme parmi les
dès lors, ce côté personnel de la passion, qui contredit leur nature
divine
, se laisse représenter comme une fausse exagérati
on ; ignorant tout, ils admiraient vivement. Cette poésie fut d’abord
divine
: ils rapportaient à des dieux la cause de ce qu’
nsi que les premiers poètes théologiens inventèrent la première fable
divine
, la plus sublime de toutes celles qu’on imagina ;
nt les signes de Jupiter. C’est de nuere, faire signe, que la volonté
divine
fut plus tard appelée numen ; Jupiter commandait
r commandait par signes, idée sublime, digne expression de la majesté
divine
. Ces signes étaient, si je l’ose dire, des parole
aïenne eut le sien. Originairement Jupiter fut en poésie un caractère
divin
, un genre créé par l’imagination plutôt que par l
des dieux, exprimé par les auspices de Jupiter. Ils furent surnommés
divins
, dans le sens du mot devins, qui vient de divinar
fort bien par les interprètes des dieux ], lesquels expliquaient les
divins
mystères des auspices et des oracles. Toute natio
tif où les douze tables prennent ce mot46). La première propriété fut
divine
: Dieu s’appropria les premiers hommes peu nombre
mains portent à faux, puisqu’ils ont pris pour principe la Providence
divine
, et qu’ils ont voulu traiter du droit naturel des
auteurs des nations conçurent l’idée de Jupiter. Ce droit fut d’abord
divin
, dans ce sens qu’il était interprété par la divin
ion, science des auspices de Jupiter ; les auspices furent les choses
divines
, au moyen desquelles les nations païennes réglaie
t comme Jupiter, pour en recevoir par les auspices des lois, des avis
divins
; ce qui prouve que le principe commun des sociét
ue le principe commun des sociétés a été la croyance à une Providence
divine
. Et pour en commencer l’énumération, Jupiter fut
es deux premiers et le dernier impliquaient une louange de la sagesse
divine
, qui a ordonné le monde civil, et un témoignage q
oncernent le bien de tout le genre humain ; les premières s’appellent
divines
, les secondes humaines ; la véritable sagesse doi
es ; la véritable sagesse doit donc donner la connaissance des choses
divines
pour conduire les choses humaines au plus grand b
des Romains, avait élevé sur cette base son grand ouvrage Des choses
divines
et humaines, dont l’injure des temps nous a privé
ncore le mot sagesse vint à signifier la science naturelle des choses
divines
, c’est-à-dire la métaphysique, qui cherchant à co
es trois. Toutes se réunissent dans la contemplation de la Providence
divine
; cette Providence qui conduit la marche de l’hum
; comment par leur physique, ils donnèrent à chaque chose une origine
divine
, se créèrent eux-mêmes en quelque sorte par leur
tre pour avoir démontré cette providence que Platon a été surnommé le
divin
. La philosophie qui enlève à Dieu un tel attribut
I. Trois espèces de jugements Les premiers furent les jugements
divins
. Dans l’état qu’on appelle état de nature, et qui
es droits que les premiers hommes faisaient valoir dans ces jugements
divins
étaient divinisés eux-mêmes, puisqu’ils voyaient
ppelons-nous ici ce qui a été dit de l’atrocité des peines dans l’âge
divin
(axiome 40). Les hommes ainsi dévoués furent sans
sociaux, puisque toutes les choses humaines étaient considérées comme
divines
. Les hérauts qui déclaraient la guerre appelaient
s duels durent être chez les nations barbares une espèce de jugements
divins
, qui commencèrent sous les gouvernements divins e
e espèce de jugements divins, qui commencèrent sous les gouvernements
divins
et furent longtemps en usage sous les gouvernemen
des nations. Les jugements héroïques, récemment dérivés des jugements
divins
ne faisaient point acception de causes ou de pers
t s’observaient avec un respect scrupuleux des paroles. Des jugements
divins
resta ce qu’on appelait la religion des paroles,
t la religion des paroles, religio verborum ; généralement les choses
divines
sont exprimées par des formules consacrées dans l
elle des temps religieux pendant lesquels régnèrent les gouvernements
divins
; celle des temps où les hommes étaient irritable
erne. La poésie est, par la beauté, l’expression humaine de la notion
divine
. Chacune de nos œuvres, chacun de nos actes est u
du vague à cause de l’infini de son domaine, qui est le parfait ou le
divin
, et à cause aussi des variations individuelles de
solu. La poésie est, par la beauté, l’expression humaine de la notion
divine
. Le savant n’a pas de style. Au-delà des combinai
e sans que leurs œuvres aient entre elles rien de commun que le thème
divin
fourni par la nature. Et ce thème peut-être ne le
une expression individuelle de l’humanité. Mais j’ai parlé de notion
divine
. Comment faire l’accord entre ces mots : notion d
arlé de notion divine. Comment faire l’accord entre ces mots : notion
divine
et notion humaine, d’une part, et, d’autre part,
que son propre portrait ? Par la Beauté. Quand nous parlons de notion
divine
, si nous voulons l’analyser humainement, c’est-à-
ha à Jésus. Quand donc nous parlons d’expression humaine de la notion
divine
, nous entendons une idée analogue à celle que She
e nous élever plus haut pour élargir le sens de ces syllabes : notion
divine
, au risque de les laisser flotter dans un peu d’i
physiques sens humains, il croit apercevoir, dans un reflet de gloire
divine
, l’être inconnu dont le regard et l’amour seraien
reste réduite aux proportions d’une comparaison), ainsi de la notion
divine
. Donc, la notion divine est en quelque sorte un s
rtions d’une comparaison), ainsi de la notion divine. Donc, la notion
divine
est en quelque sorte un synonyme de la notion hum
r l’angle spécial selon lequel chaque poète voit et conçoit la notion
divine
. Cet angle spécial, c’est l’idéal personnel de be
sa réalité intime, dans sa sorte particulière de comprendre la notion
divine
et de choisir aussi librement ses moyens d’expres
n : « La Poésie est, par la Beauté, l’expression humaine de la notion
divine
. » L’alliance de la beauté et de la vérité, qui e
leurs moyens, expriment par la beauté l’âme humaine orientée vers le
divin
. D’ailleurs en choisissant le mot Poésie pour lui
u des poètes primitifs. Quant aux grands poèmes modernes, tels que la
Divine
Comédie ou le Paradis perdu, ce sont d’admirables
dit Baudelaire, « elle est la faculté par laquelle nous percevons le
divin
», a dit Carlyle. Sa fonction est de réaliser en
de suivre dans l’ondoyante histoire des poètes leurs luttes contre le
divin
sphinx qui garde encore le dernier mot du secret.
tri, À la très belle, à la très bonne, à la très chère Dont le regard
divin
t’a soudain refleuri ? Nous mettrons notre orgue
re. Il est une notion héroïque de la poésie : et laquelle serait plus
divine
que cette sublime histoire d’Orphée enchantant la
nt faire à l’Enfant, le triple don de la joie, de la douleur et de la
divine
intelligence. Il faut tout cela pour faire un Die
e en sa réalité profonde, c’est-à-dire dans le sentiment de son idéal
divin
. Serait-ce que, seule, la poésie, dans l’immense
ion : La poésie est, par la beauté, l’expression humaine de la notion
divine
. Nous avons vu que ces mots : la notion divine, s
n humaine de la notion divine. Nous avons vu que ces mots : la notion
divine
, signifient un idéal anthropomorphique de Dieu, c
ultiples, — et très divergentes en ce qui constitue surtout leur part
divine
. Tout serait bien si jamais un chrétien n’était e
douloureux témoin, — l’homme n’est resté que trop fidèle au principe
divin
: à la mortelle logique de la révélation il a obé
rusquement. Les religions « révélées », paisiblement fondées sur leur
divine
certitude, s’assoupissent au cours des âges ou se
it, toute épanouie dans son insouciance et sa beauté, et voilà que le
divin
passant l’arrête, la regarde, lui dit deux parole
, le rêveur d’absolu, notre gloire et notre exemple, l’homme vraiment
divin
, — non plus le Dieu fait homme. — Wagner a pris a
Des esprits éminents se sont accordés sur le principe d’une humanité
divine
telle que la représente la sublime figure de Jésu
jour, le nuptial jour, maîtresse future, Où tu m’endormiras dans ton
divin
frisson. Jusqu’alors mes orgueils ne feront jama
s rien de sanglant et de profane. Elle n’avait plus de victime que la
divine
Eucharistie ; elle n’aurait plus permis, même à t
plus tard, en preuve de l’antique foi au Saint-Esprit, comme au Verbe
divin
: « Gracieuse lumière de la sainte béatitude196,
de Dieu, Christ Jésus, lait céleste répandu des mamelles de la grâce
divine
, c’est-à-dire des sources de la sagesse ! nous, p
! « Salut, Vierge propitiatoire au monde ! salut, source de la manne
divine
, langue d’or de la lumière céleste, épouse de Die
e-nous nos fautes irréfléchies ou volontaires. » Dans cette forme du
divin
sacrifice, après la prière des catéchumènes, au m
un fond nouveau qui la conserve, pareil procédé ne va pas aux œuvres
divines
de la parole humaine. On ne peut ainsi les transp
la raison philosophique, pour la conception spéculative de l’essence
divine
, il n’y a rien pour le cœur ; rien de cette touch
ule jamais, possédant une incomparable grandeur dans l’harmonie de sa
divine
essence. Voilà ce qu’à mes yeux la Trinité même a
même a dévoilé de splendeurs, derrière les ailes célestes et le voile
divin
du temple, sous lequel est cachée la souveraine n
ge de l’élément terrestre, lumière enfouie dans un antre obscur, mais
divine
et immortelle. » Parmi bien d’autres effusions p
s astres, par qui l’homme ennobli a reçu le privilège de connaître le
divin
, en étant lui-même un être raisonnable. « Tu as c
œur des rois immortels célèbre la gloire du Père et le premier-né, sa
divine
image ; elle le célèbre, cette armée des anges qu
é, enfante la tourbe bruyante et insidieuse des démons, d’où le héros
divin
, d’où l’esprit céleste, répandu à l’entour de la
parates. Tout en invoquant la Trinité sainte, Dieu le Père, la parole
divine
et l’Esprit-Saint, le poëte semble tenir à la doc
ire zélé de la secte arienne : il adore le Fils coéternel au Père, et
divin
Rédempteur des fautes et des souffrances humaines
croyance chrétienne, et se plaisant à les décrire : « Avec la source
divine
en elle-même et féconde par-dessus les unités ine
n sein pour mettre au jour les trésors cachés du Père. Dans la source
divine
demeure encore ce qui en est sorti, la sagesse du
a terre de ton souffle invisible, et tu réunis sans cesse à la source
divine
ce que tu as reçue d’elle, délivrant les mortels
pour mieux marquer, sans doute, l’inséparable identité des Personnes
divines
, l’orthodoxie chrétienne est encore là d’accord a
nts déchus, et créateur de la race humaine comme il en sera la rançon
divine
. Pour qui connaît la vaste lecture du poëte angla
e plus que le Christ. « Ô très glorieux et très aimé ! s’écrie-t-il,
divin
Fils de la vierge de Solyme215, je te célèbre, to
is, au loin, le soleil déployait sa chevelure brillante, sous les pas
divins
: il avait reconnu le Fils de Dieu, l’intelligenc
eillesse, ou plutôt jeune et vieille à la fois, distribuant aux êtres
divins
leur part du bienheureux séjour. » Le pontife ch
résence du Christ. Pour lui, la pensée spéculative, la vue de l’idéal
divin
se confond avec les ardeurs de la charité secoura
langage a sa poésie comme sa sincérité. « Chantons216, célébrons la
divine
lumière des mortels, les neuf filles harmonieuses
ue la voix des hommes superstitieux ne me détourne pas de cette route
divine
et salutaire ! « Du milieu des flots tumultueux d
es souverains de la sainte sagesse, vous qui, par le contact d’un feu
divin
, attirez vers les immortels les âmes arrachées à
un dominateur étranger qu’à un dominateur sacré qui ajoutait un droit
divin
au droit temporel ! Florence, capitale de l’ancie
assez fécond et assez vaste pour porter de la même gestation un monde
divin
et un monde humain dans ses flancs, comme deux ju
au de Rocca Secca. La passion de Dieu et de l’intelligence des choses
divines
, qui précipitait alors tant d’âmes dans la solitu
de l’Italie guelfe et gibeline, un poète, je serai le prophète de la
divine
rétribution ! » Ainsi évidemment se parla à lui-m
demment se parla à lui-même le Dante, brûlant à la fois de conviction
divine
et de colère humaine, quand, regardant pour la de
tie de poète. IX On le voit, cette conception de l’épopée de la
Divine
Comédie (titre de son poème) était double : divin
de l’épopée de la Divine Comédie (titre de son poème) était double :
divine
par le plan, humaine par la personnalité ; de là
aujourd’hui réalisable, sur un plan à peu près analogue au plan de la
Divine
Comédie. Je m’étais dit : Qu’y a-t-il de plus int
des soleils ; leurs évolutions dans des orbites tracées par le doigt
divin
; leur apparition à l’œil de l’astronomie, comme
e aux yeux ; la sainteté de cette âme, parcelle détachée de l’essence
divine
pour lui renvoyer l’admiration et l’amour de chaq
existences sans nombre, enfers, purgatoires, paradis symbolique de la
Divine
Comédie des terres et des cieux ; Tout cela, dis-
je les réunissais enfin dans l’unité de l’amour mutuel et de l’amour
divin
, à la source de vie, de sainteté et de félicité d
ours retrouvées, toujours suivies de l’œil et de l’intérêt, dans leur
Divine
Comédie, à travers la vie, la mort, jusqu’à l’éte
elle vie ! XV Ce poème avait quelque analogie lointaine avec la
Divine
Comédie du Dante. Il y a néanmoins cette différen
s le tableau de Scheffer, les imaginations amoureuses.… Il y a là une
divine
intelligence du cœur de la femme qui prouve que l
eurs ou commentateurs français ont données du sens métaphysique de la
Divine
Comédie. Il n’y a pas très longtemps que le poème
ion que d’avoir été écrite par un compatriote du Dante. Le sens de la
Divine
Comédie coule, pour ainsi dire, dans les veines d
ré ses dernières années à une traduction littérale et mot à mot de la
Divine
Comédie. M. de Chateaubriand avait consacré ainsi
ilité détruit la fidélité. XXIV Un autre jeune traducteur de la
Divine
Comédie tente en ce moment une œuvre mille fois p
ante encore, il y réussit. Nous voulons parler de la traduction de la
Divine
Comédie en vers français, par M. Louis Ratisbonne
sacré dix années d’étude patiente et forte à cette reproduction de la
Divine
Comédie ; d’autres aussi, qu’on annonce et qu’on
. Il s’endormait sur le sein de son maître, Dante, et il y faisait de
divins
songes. Un de ces songes mêlés de nuages et de lu
ptible et éternelle. Immortalité et popularité, ce sont les deux dons
divins
dont les poètes ont été faits les dispensateurs.
phe céleste avait peut-être été l’idée primitive et génératrice de la
Divine
Comédie, conçue comme une élégie où viendraient s
M. Ozanam cite ici l’interprétation philosophique et symbolique de la
Divine
Comédie par le fils du Dante lui-même, si peu de
ination de l’antiquité. « Parmi les réminiscences qui ont inspiré la
Divine
Comédie, celles de Cicéron me frappent d’abord. L
attendent, le prépare à cette destinée par le spectacle de l’économie
divine
qui soutient l’univers, police les sociétés et di
t pas se confondre, cherchent néanmoins à s’avancer dans une concorde
divine
sur la double voie que la raison et le cœur cherc
et découvert dans la sagesse poétique l’origine de toutes les choses
divines
et humaines que nous présente l’histoire du pagan
s mœurs, tourner sans en sortir jamais dans ce cercle des trois âges,
divin
, héroïque et humain. Dans cet ordre immuable, qu
re nature fut poétique ou créatrice. Qu’on nous permette de l’appeler
divine
; elle anima en effet et divinisa les êtres matér
e ; les héros se l’attribuaient eux-mêmes, comme un privilège de leur
divine
origine. Rapportant tout à l’action des dieux, il
devoirs civils. § IV. Trois espèces de droits naturels Droit
divin
. Les hommes voyant en toutes choses les dieux ou
développée. § V. Trois espèces de gouvernements Gouvernements
divins
, ou théocraties. Sous ces gouvernements, les homm
La
Divine
Comédie de Dante traduite par M. Mesnard, premier
risait ; on imitait à l’envi les sonnets de l’amant de Laure, mais La
Divine
Comédie était reléguée parmi les merveilles resté
, dit-il dans le Dictionnaire philosophique. Les Italiens l’appellent
divin
; mais c’est une divinité cachée ; peu de gens en
r cœur : cela suffit pour s’épargner la peine d’examiner le reste. Ce
divin
Dante fut, dit-on, un homme assez malheureux. Ne
Dante fut, dit-on, un homme assez malheureux. Ne croyez pas qu’il fut
divin
de son temps, ni qu’il fut prophète chez lui. Il
ntes de M. Villemain dans son cours de la Sorbonne. Les beautés de La
Divine
Comédie, les difficultés qu’elle continue d’offri
on et d’analyse, appliquées méthodiquement et par tous les côtés à La
Divine
Comédie. M. Ampère, au milieu des diversités si r
uel il a gravé son nom. Aujourd’hui en France, l’étude critique de La
Divine
Comédie, inépuisable dans le détail, est fixée qu
’est pas moins certain que l’inspiration première et principale de La
Divine
Comédie est une inspiration toute personnelle, et
et à la reine de son cœur un monument dont il fût à jamais parlé : La
Divine
Comédie naquit dans sa pensée, et il mit des anné
rouva moyen d’exprimer le fond de l’univers et la cime des subtilités
divines
. — Pour nous il a fait plus : il a fait entrer da
l’apothéose de Béatrix, de la femme aimée, est le but principal de La
Divine
Comédie, le poète, pour mieux parer et honorer ce
duire en étant clair et fidèle à la fois. Parmi les traductions de La
Divine
Comédie les plus estimées et faites en toute inte
roits naturels, de gouvernements. — § I. Introduction. — § II. Nature
divine
, poétique ou créatrice, héroïque, humaine et inte
. Mœurs religieuses, violentes, réglées par le devoir. — § IV. Droits
divin
, héroïque, humain. — § V. Gouvernements théocrati
relatifs à la politique et au droit des Romains. — § I. Jurisprudence
divine
, qui se confondait avec la divination ; jurisprud
iété ; autorité de tutelle 95 ; autorité de conseil. — § III. Raison
divine
, connue par les auspices ; raison d’état ; raison
it romain. Chapitre IV. Trois espèces de jugements. — § I. Jugements
divins
et duels. Ce droit imparfait fut nécessaire au re
e force brutale contre force brutale, force mesurée, non à la justice
divine
, mais à l’équilibre arithmétique entre les convoi
créé ou réformé par le législateur rationnel de l’extrême Orient, le
divin
philosophe politique Confutzée, dans cet empire d
oir été illuminé divinement par un reflet, par un crépuscule de cette
divine
révélation sociale qui précéda le siècle des gran
re dans le monarque une hérédité inviolable, personnifiant l’autorité
divine
, invisible dans l’abstraction visible de la natio
société. La société n’est pas d’invention humaine, mais d’inspiration
divine
. Dieu l’a déposée dans les instincts des premiers
religieuse, donnant à la société civile un but intellectuel, moral et
divin
de civilisation des âmes, c’est-à-dire de vertu e
e respecter, dans les autres groupes semblables à elle, le même droit
divin
de vivre et de multiplier sur la terre, domaine c
lle un devoir. Devoir de l’ordre qui lui fait personnifier l’autorité
divine
de la nature, ici dans une monarchie, ici dans un
torité, inégalité légale, en bas la dignité de l’âme de tous, égalité
divine
. Partout la fraternité en action imposant aux for
laire, dans chacun de ces instincts élémentaires, la source, le titre
divin
, la révélation irréfutable du vrai contrat social
ivin, la révélation irréfutable du vrai contrat social : souveraineté
divine
manifestée par la souveraineté de la nature, et i
les despotes, ni les aristocrates, ni les démocrates, qui ont créé le
divin
phénomène de la société politique ; ce ne sont ni
ies, qui peuvent sanctifier en elles le titre au commandement humain,
divin
, aristocratique ou populaire, à la souveraineté,
intellectuel les besoins de son âme pour satisfaire à ses aspirations
divines
de perfectionnement moral et d’immortalité. La so
qui n’est pas vertu n’est pas loi. Dieu ne sanctionne que ce qui est
divin
. Il n’y a point de souveraineté dans la force, le
ent matérialiste sur la société spiritualiste, où le commandement est
divin
, où l’abstention est vertu ; ce contrat social es
est ni toute la fin, ni toute la destinée probable de la civilisation
divine
, ni toute la pensée du Créateur, ni tout le plan
, contemplent l’éclat » de leur maître. Les personnages de la légende
divine
voient leurs honneurs s’amoindrir et ne servent p
s dans la nature humaine s’est établie par contre-coup dans la nature
divine
, et a tempéré la toute-puissance sans frein, le d
aut que son action soit toujours grande. Voilà l’idée de la monarchie
divine
, si semblable à la monarchie française par sa nat
ontre pas dans l’âme. Dans les Védas, chez Zoroastre, chez Homère, le
divin
enveloppe l’homme ; les dieux, encore à demi enga
s prématurés, la paix ne nous revient que par le sentiment des choses
divines
. Ce grand coeur malheureux de l’homme moderne, to
les généalogies aussi bien qu’Hésiode, et jusqu’à celles des animaux
divins
. Elles avaient la gloire De compter da
ût pu dire de lui, comme d’Hésiode et d’Homère, qu’il a créé un monde
divin
. Il donne aux arbres une immortalité « sur les bo
ître tranquillement l’herbe abondante, on pense volontiers à la terre
divine
, nourrice des choses, qui fait tout sortir de son
a poésie est précieuse. Les anciens n’avaient point tort de l’appeler
divine
, et de trouver dans l’étrange puissance qui la fo
saints sont les plus beaux. Le sujet élève le génie ; l’homme devient
divin
en parlant de la Divinité. II Nous sommes é
e veut anoblir par la brute ; qui déshérite Dieu de son œuvre la plus
divine
; qui prend pour créateur, à la place de Dieu, un
porte la nature de ces êtres ou de cette race d’êtres dans l’économie
divine
de son plan parfait. Nous aimerions mieux rêver,
humaine en durée oublient encore que tout est coordonné dans le plan
divin
; que ce plan divin assigne à l’homme une durée d
blient encore que tout est coordonné dans le plan divin ; que ce plan
divin
assigne à l’homme une durée de vie en rapport exa
n espèce ? Tout instinct est une prophétie : cette prophétie est donc
divine
, elle implique donc un devoir pour l’homme, elle
omme par son auteur pour une double fin : d’abord comme une impulsion
divine
à travailler, pendant qu’il vit, à son perfection
sse pas éternellement tromper ? Mais il était nécessaire dans le plan
divin
que cet instinct du bonheur parfait mentît à l’ho
corruption de la source ? « Enfin, est-ce que la sagesse et la bonté
divines
auraient voulu donner à l’homme le mérite et la g
’holocauste ?… » Cette litanie sublime des perfections et des droits
divins
du Dieu créateur se poursuit de strophe en stroph
de si claires notions de sa divinité, et de les exprimer dans une si
divine
expression. » Si le poète inconnu qui avait écrit
ceur envers l’homme et envers toute la nature est le second caractère
divin
de la philosophie et de la littérature indiennes.
immolation de soi-même, refuse d’entrer dans le séjour de la félicité
divine
, si son chien, compagnon de ses peines et de ses
nne : l’humanité ! L’humanité s’y agrandit aux proportions de l’amour
divin
du Créateur pour l’universalité de ses ouvrages.
sna, qui combat à côté d’Arjoùn, mais qui combat avec l’impassibilité
divine
, gourmande le héros de sa faiblesse. Un dialogue
ut-il vivre et agir encore ici-bas ? » — « Écoute », répond le maître
divin
, « celui-là est affermi dans la sainteté et dans
pouillement de la forme infirme et mortelle », poursuit le philosophe
divin
, « ne peut s’accomplir dans l’inaction. Ce monde
moi-même je pratique les bonnes œuvres ; et cependant, par ma nature
divine
, je n’ai rien à faire, rien à désirer pour moi-mê
ont que les satellites obéissants. C’est le Te Deum de l’universalité
divine
; la parole y luit comme le feu. Le dieu lui répo
ouverain principe de toutes choses. « Or, sais-tu ce que c’est que ce
divin
secret dont la connaissance te conduira à l’immor
révéler qu’à ceux qui l’aiment. « Et maintenant », ajoute le maître
divin
, « as-tu écouté avec attention ? et le nuage de t
s de Pandoa, et que j’ai obtenu la faveur d’entendre cette suprême et
divine
doctrine, telle qu’elle a été révélée par Krisna
[Première partie. L’Enfer] I Lisons maintenant ensemble la
Divine
Comédie dans l’ordre où Dante écrivit ce poème :
e moderne même. Les poètes indiens chantent les aventures humaines ou
divines
de Rama ou de Chrisna ; Ferdousi, celles de Ruste
condition absolue de l’intérêt, est rigoureusement observée. Dans la
Divine
Comédie, au contraire, il n’y a, comme on voit, n
d’Aquin, car ce sont ses pensées que chante le poète. Mais quel poète
divin
! Nous allons vous l’exposer, non par l’ensemble
étoiles qui l’accompagnèrent, grâce au mouvement imprimé par l’amour
divin
à ces beaux luminaires. Il se livrait à la douce
ine Lucia, vierge et martyre, personnifie, à ce qu’on croit, la grâce
divine
, et sollicite Béatrice à voler au secours de son
issent sans intérêt pour le drame. Minos, qui personnifie la justice
divine
, juge et châtie au cinquième chant les âmes coupa
e ciel qui les châtie avec une sévérité morale, mais avec un reste de
divine
compassion, dans un autre monde, et qui leur lais
nfants ne la rappellent, de peur de s’entre-déchirer par ce souvenir.
Divine
réticence de ces cinq cœurs ! Enfin les enfants s
bres d’un Hercule de la pensée ! Passons aux deux autres poèmes de la
Divine
Comédie. Deuxième Partie. Le Purgatoire C’
ance invincible de l’esprit et du cœur, associer à l’idée de la bonté
divine
du Rémunérateur suprême une continuité et une éte
une continuité et une éternité de supplices qui excluraient de l’Être
divin
une partie essentielle et nécessaire de cet Être,
ots des mondes surnaturels, et d’apporter aux crimes expiés le pardon
divin
. M. de Chateaubriand lui-même, dans son poème chr
e et paye par ses vœux et par ses pénitences la rançon de son âme. Ce
divin
commerce, cette touchante communauté, cette commu
eprise par la pensée pour ses visions, est presque élevée à sa nature
divine
, — je vis en songe un aigle aux ailes d’or, etc.
ni une plus belle scène, ni une rencontre plus pathétique, ni un plus
divin
langage. La sainteté de l’âme béatifiée, le resse
joie, de larmes, d’adoration, qu’ils rendent à la fois le drame aussi
divin
qu’humain dans l’âme des deux amants sur les conf
rendre et mieux aimer. Elle lui répond que la conformité à la volonté
divine
est le vrai ciel, et que, si l’âme désirait s’éle
sième chant, un Te Deum de l’amour. La maternité y est peinte dans un
divin
tercet : « Comme un petit enfant qui tend encore
i, en jetant derrière lui les cailloux du patois toscan, en a fait la
divine
langue de l’Étrurie. Nous convenons même avec eux
ples, ne se soient pas collés davantage sur les traces du poète de la
Divine
Comédie pour conserver à leur langue l’énergie un
t plus latine, de sa diction. Mais nous ne conviendrons jamais que la
Divine
Comédie soit une épopée comparable aux épopées an
après elle les fanatiques engoués de la scolastique, elle n’a dans la
Divine
Comédie qu’une apocalypse de génie rêvée dans Pat
r suite de l’idée que le « Souffle de Dieu », déjà érigé en hypostase
divine
, est un principe de fécondité 686. Déjà peut-être
eur père ; tous les ressuscités seront fils de Dieu 698. La filiation
divine
était attribuée dans l’Ancien Testament à des êtr
germe de la doctrine qui devait plus tard faire de lui une hypostase
divine
713, en l’identifiant avec le Verbe, ou « Dieu se
ertains hommes sont des incarnations de facultés ou de « puissances »
divines
, était répandue ; les Samaritains possédaient ver
ller au penchant de faire des personnes distinctes avec les attributs
divins
ou avec certaines expressions qu’on rapportait à
rofugis § 20 ; De somniis, I, § 37 ; De agric. Noë, § 12 ; Quis rerum
divin
. hæres, § 25 et suiv., 48 et suiv., etc. 716. [
onos], c’est-à-dire partageant le trône de Dieu ; sorte de secrétaire
divin
, tenant le registre des mérites et des démérites
des Parsis sont aussi sans fondement. Le Minokhired ou « Intelligence
divine
» a bien de l’analogie avec le[Greek : Logos] jui
t moderne et peut impliquer une influence étrangère. L’« Intelligence
divine
» (Mainyu-Khratú) figure dans les livres zends ;
la matière ? Qui m’assure que cette substance n’est pas la substance
divine
? Que puis-je répondre à Locke, lorsqu’il me dit
écarté. Le moi l’occupait tout entier, et la pensée de l’absolu et du
divin
semblait dormir dans les profondeurs de sa consci
tre temps. On a beaucoup insisté, et avec raison, sur la personnalité
divine
; mais on s’est trop borné à prouver cette vérité
tésienne aboutissait de toutes parts à la négation de la personnalité
divine
. Si la philosophie cartésienne conduit à nier la
divine. Si la philosophie cartésienne conduit à nier la personnalité
divine
, la philosophie allemande, au contraire, conduit
raie définition. Il est surprenant que la négation de la personnalité
divine
soit venue de l’école de Hegel ; cette école, qui
us loin : ce n’est pas tout de distinguer le sujet humain et le sujet
divin
, le moi absolu et le moi fini ; il faut les unir.
munion, l’eucharistie ; c’est le symbole le plus pur de l’intériorité
divine
mêlée à l’intériorité de l’esprit. Le dogme chrét
ore un admirable symbole de l’union du fini et de l’infini : c’est le
divin
mariage des deux personnalités. « Le procès de la
t la jurisprudence. Ses maîtres furent les jurisconsultes romains, le
divin
Platon, et ce Dante avec lequel il avait lui-même
n 1719, il traita le sujet suivant : « Les éléments de tout le savoir
divin
et humain peuvent se réduire à trois, connaître,
elle a gouverné la grande cité du genre humain. Qui ne ressentira un
divin
plaisir en ce corps mortel, lorsque nous contempl
arié de caractères, de temps et de lieux, dans l’uniformité des idées
divines
? Les autres sciences s’occupent de diriger l’hom
urs sur nos trois principes fondamentaux : existence d’une Providence
divine
, nécessité de modérer les passions et d’en faire
la civilisation, on peut distinguer trois âges, trois périodes ; âge
divin
ou théocratique, âge héroïque, âge humain ou civi
ouvrage. ( Fingunt simul creduntque. Tacite.) C’est pour cette poésie
divine
qui créait et expliquait le monde invisible, qu’o
r Varron, ceux des Grecs non moins nombreux, formaient le vocabulaire
divin
de ces deux peuples. Originairement la langue div
nt le vocabulaire divin de ces deux peuples. Originairement la langue
divine
ne pouvant se parler que par actions, presque tou
tre respectées, plutôt que raisonnées. Dans l’âge héroïque, la langue
divine
subsistait encore, la langue humaine ou articulée
s ces rois absolus de la famille sont eux-mêmes soumis aux puissances
divines
, dont ils interprètent les ordres à leurs femmes
oyen d’agrandir les républiques. Pour compléter ce tableau des âges
divin
et héroïque, nous rapprocherons l’histoire du dro
acles et autres signes matériels. Le droit est fondé sur une autorité
divine
. Demander la moindre explication serait un blasph
cipe d’ordre et de conduite. La jurisprudence, la science de ce droit
divin
, ne pouvait être que la connaissance des rites re
. Aux actes religieux qui composaient seuls toute la justice de l’âge
divin
, et qu’on pourrait appeler formules d’actions, su
Elles passent successivement sous trois gouvernements. La législation
divine
fonde la monarchie domestique, et commence l’huma
mahométans, qui contestaient également à l’auteur de la religion son
divin
caractère. On vit renaître l’âge divin et le gouv
à l’auteur de la religion son divin caractère. On vit renaître l’âge
divin
et le gouvernement théocratique. On vit les rois
’ennemi ; et l’on cherchait à dérober leurs reliques. — Les jugements
divins
reparurent sous le nom de purgations canoniques ;
out sur le globe terrestre, la Métaphysique en extase contemple l’œil
divin
dans le mystérieux triangle ; elle en reçoit un r
On y trouve l’opinion reproduite depuis par Monti, que l’auteur de la
Divine
Comédie est plus admirable encore dans le purgato
par ce double caractère, une analogie remarquable avec l’auteur de la
Divine
comédie. Mais, c’est dans sa prose, c’est dans so
suivant : Ne pourrait-on pas animer d’un même esprit tout le savoir
divin
et humain, de sorte que les sciences se donnassen
le longtemps silencieux, ç’a été d’être spiritualiste et adorateur du
divin
au milieu du débordement des doctrines naturalist
était de la race du petit nombre de ceux qui sont nés pour les choses
divines
; en des temps plus soumis, il eût marché dans le
e force infinie d’émanation et d’onction dans l’intimité. Sa destinée
divine
, comme il l’appelle, lui semblait douce et belle
ours, se promenaient en plein soleil, et où le sentiment religieux et
divin
, ainsi refoulé dans l’ombre, allait se prendre à
ait que des échelons et des figures, avide de se fondre dans l’esprit
divin
qui remplit tout, de frayer sans cesse avec Dieu,
ges allemands de Jacob Boehm, qu’il appelle le Prince des philosophes
divins
, il crut pouvoir renoncer absolument à toute cett
t beaucoup M. de Saint-Martin dans ce demi-incognito philosophique et
divin
où il vivait ; les princesses françaises et allem
à sa manière ; c’était un amateur et un volontaire de la philosophie
divine
qui faisait ses recrues à petit bruit. « La princ
u’elles prétendent agir et marcher toutes seules dans les sentiers du
divin
, et faire œuvre d’apôtre et de pape en ce monde :
on siècle par la pureté morale et par une vive pensée de spiritualité
divine
, il en participe sur d’autres points essentiels d
t ses spoliations fatales, persuadé de l’idée que c’est une expiation
divine
, il a une pitié médiocre pour les personnes. Les
n réfléchissant, dit-il en un endroit, sur les rigueurs de la justice
divine
qui sont tombées sur le peuple français dans la R
seul célébré, et la pureté du culte, la grandeur et l’unité de l’Être
divin
éclatent avant tout, dans la magnificence des hom
e, mais l’identité des âmes et leur affinité naturelle avec la vérité
divine
. Un autre ordre d’idées, qui appartient moins à l
s prétendu que cette première imposition des noms venait d’une nature
divine
et supérieure il l’homme ? Irons-nous plus loin e
des enfers ou dans quelque lieu plus formidable encore, la providence
divine
y serait près de vous. » Cela me frappait d’une s
venue d’un esprit d’homme, c’est d’un esprit transformé par la grâce
divine
, comme, à la descente du Sinaï, le visage de Moïs
au milieu de la mer. » Cette nature de poésie, conforme à la tutelle
divine
dont les Hébreux se sentaient protégés, ils devai
e, mais original, et semblable, pour ainsi dire, à une inspiration si
divine
qu’elle ne coûte aucun effort, qu’elle n’agite pa
aîné sa miséricorde dans sa colère ? « Ô Dieu, tes conseils sont tout
divins
. Quel dieu est comparable à la majesté de Dieu ?
op courte d’une de ces âmes élevées, délicates, brûlantes, que la foi
divine
a saisies et qu’elle consume. Vous l’avez vue, pe
é, se perdaient pour elle dans une pensée plus haute de contemplation
divine
. Elle voyait Dieu en imagination ; elle l’associa
voir et soutenir le sublime que par intervalle. Au-delà est cette vie
divine
que l’antiquité, même idolâtre, avait conçue, don
ulte de Dieu, l’amour de la patrie juive, la persuasion des promesses
divines
, la certitude de la délivrance, l’immutabilité de
la plus simple version de quelques fragments épars d’Isaïe, l’accent
divin
que lui aura révélé sa foi. Pour nous, tâchons se
cements de l’humanité. Ils ferment les yeux aux monuments sublimes ou
divins
de l’histoire de la sagesse, des théogonies, des
u globe, qu’il y a eu une humanité mieux douée de lumière, de vérités
divines
, de facultés et de bonheur que nous. Nous sommes
t de Hus une philosophie à la fois aussi hardie, aussi humaine, aussi
divine
, aussi révélée, aussi mystérieuse, aussi raisonné
ps qu’on appelle les temps antédiluviens, plus on entrevoit de lueurs
divines
ou de crépuscules d’aurore lumineuse dans l’espri
s sur les misères de sa destinée et sur les mystères de la Providence
divine
! Quoi ! du premier coup, du premier vagissement
hange forcément en vertu, puis la consolation qui relève par la piété
divine
l’esprit abattu, c’est bien évidemment ce livre d
nt de tarir. Mes jours fondent comme la neige Au souffle du courroux
divin
; Mon espérance, qu’il abrège, S’enfuit comme l’e
rain sonore suspendu entre le ciel et la terre, sur lequel le marteau
divin
aurait frappé la gamme entière des grandeurs, des
e entre le Créateur et sa créature ? Est-ce que ce n’est pas là cette
Divine
Comédie dont Dante a donné le titre à son poème d
par ses communications plus intimes et plus directes avec la sagesse
divine
dans cette enfance de l’humanité, non encore déch
poète), Dieu adresse à Job cette foudroyante interpellation, ce défi
divin
d’égaler ou de comprendre ses œuvres, interpellat
t pas : la moralité. De plus, cette faculté de la conscience est plus
divine
, en quelque sorte, en nous, que les deux autres,
philosophiquement dans ces ténèbres et dans ce lointain des volontés
divines
du Créateur sur l’âme humaine condamnée par lui à
est la matière. Voilà, non pas sans doute le mot, mais l’ombre du mot
divin
de l’énigme de nos misères et de nos ténèbres dan
es dans notre condition humaine. Le mot est dur et lourd, mais il est
divin
. Le soulever depuis le berceau jusqu’à la tombe,
agile et perverse volonté de l’homme à la volonté parfaite, sainte et
divine
de Dieu ; c’est la divinisation de la volonté hum
is de soi-même, de l’homme et du monde créé, ou le respect de l’œuvre
divine
et l’adoration de l’ouvrier divin ; en d’autres t
nde créé, ou le respect de l’œuvre divine et l’adoration de l’ouvrier
divin
; en d’autres termes, le sarcasme, le suicide, ou
n’est de ce qui devrait être, avant d’arriver par la mort à ce milieu
divin
où tout ce qui doit être sera. L’homme ainsi doué
Derrière cette apparente dérision des choses humaines il y a donc un
divin
mystère ; ce mystère, c’est la sagesse et la bont
rait d’une autre. » Ainsi, la passion des troubadours était déjà une
divine
extase pour la poésie de leur successeur. D’autre
e errante et pauvre. « Et moi », s’écrie le poëte, « moi qui, dans ce
divin
langage, entends la consolation et la plainte de
s met tait au-dessous du courage et de la vertu, c’est au poëte de la
Divine
Comédie qu’il faudrait demander cet exemple. Quel
mais elle place au sommet la coupole de Michel-Ange. L’ensemble de la
Divine
Comédie nous offrirait souvent des marques de ce
ion et l’inépuisable emploi de la même pensée, l’idéal de la grandeur
divine
et l’idéal de l’amour humain. Merveilleux et tend
egré d’enthousiasme et de grandeur se retrouvât dans les chants de la
Divine
Comédie du Dante. Ici le Dante aura eu pour précu
ouleurs, d’expiations et de béatitudes, où se complaît le poëte de la
Divine
Comédie ; c’est la pensée chrétienne qui travaill
e voix primitive du prophète hébreu, à ce grand témoignage de l’unité
divine
proclamée par toutes ces substances matérielles q
et de l’amour, dont il a fait l’inspiratrice de Socrate, était moins
divine
que Béatrix. L’écueil ne se rencontrera que dans
des hommes. « Après qu’il se fut davantage approché de nous, l’oiseau
divin
parut plus brillant ; et l’œil, n’en pouvant sout
on de la lyre. Quelques-unes des plus grandes beautés éparses dans la
Divine
Comédie sont empruntées à ce caractère militant d
nastère, pour faciliter au jeune artiste la représentation de la mort
divine
, prêta à Michel-Ange la clef des salles où l’on e
antes sur leurs membres, on voyait parmi eux, dit Vasari, par la main
divine
de Michel-Ange, la figure d’un vétéran qui, pour
té de la loi attestée par l’éclair de l’illumination, le commandement
divin
, infaillible et absolu fait homme, mais conservan
let de divinité que le visage semble avoir contracté dans le commerce
divin
avec le feu du buisson, tout cela est tellement s
es de la terre, de l’enfer et du ciel, sous les regards de la Trinité
divine
qui évoque son œuvre pour la juger. Si jamais l’i
produire la création par l’image, donna quelque idée de la conception
divine
se jouant dans sa puissance créatrice des temps,
eau de la chapelle Sixtine qu’il faut chercher, bien plus que dans la
Divine
Comédie de Dante, cette divine comédie de l’infin
l faut chercher, bien plus que dans la Divine Comédie de Dante, cette
divine
comédie de l’infini. Quand on promène ses regards
nt une femme adorée est l’idole, et qui se fond en une sorte de piété
divine
pour avoir le droit d’être éternelle ; sentiment
qui ne peut être rempli que par ces dernières amitiés, presque aussi
divines
que nos premières sensations. XVI Les fréqu
u’à la rêverie mystique et jusqu’à la dévotion langoureuse de l’amour
divin
. On sent sur ce mâle génie l’influence d’une femm
stes, faveur qui fut accordée ici-bas à si peu de mortels ! « L’œuvre
divine
en elle manifeste tellement l’ouvrier, qu’elle me
tellement l’ouvrier, qu’elle me ravit à lui par des impressions aussi
divines
, et que j’y puise intarissablement mes idées, mes
lle vers qui volaient tous et tant de mes soupirs fut, par la volonté
divine
, enlevée de la terre au firmament, la nature, qui
statues du Jour et de la Nuit, du Crépuscule et de l’Aurore, ses plus
divines
conceptions. Après cette halte de quelques mois d
re fécondité sa vie physique et spirituelle, nourrie elle-même de ses
divines
énergies qui la font renaître, enfin consciente d
ces petites prisons ! « Mais cela signifie surtout :Émancipons la vie
divine
. Elle est dans l’énergie humaine ; elle y ferment
nt nouveau la plus infime partie d’univers, qu’il a enrichi d’un sens
divin
les plus coutumières actions de nos vies, qu’il a
érescence et du salut dans un même accord au sein de la réalité seule
divine
, dans une foncière amitié sous l’aile du tout. To
bestiaux dans la brume ! Ton toucher, ô grave mystériarche, Fait
divines
les lourdes choses familières Ô accorde que de t
sentiment. Elle nous disait : L’âme seule dans l’homme est pure, est
divine
; le corps est un « sac de fumier » ; le monde es
st nier toute intime vérité, toute conscience mondiale, n’est nier le
divin
, au nom duquel vous insultez la vie. Je crois que
jeunes et vieux, sages et fous. De l’autorité politique à l’autorité
divine
, nous trouverons le même changement radical, la m
ur manifester les dieux que nous sommes nous-mêmes… » Retrouver le «
divin
» en nous comme dans les choses, le sentir au fon
de tous. Il n’y a rien au fond de plus « humain » que ce sentiment «
divin
», puisqu’il s’épanouit en nous dans les moments
naître une légion de forces et de désirs qui dormaient en nous. Le «
divin
» pris dans ce sens, réel et véridique, n’est-il
ent assez riches pour satisfaire notre idéal le plus lointain, que le
divin
était contenu dans la moindre parcelle, qu’il n’y
ses sous le nom vague de paganisme, à une religion fondée sur l’unité
divine
, la trinité, l’incarnation du Fils de Dieu. Cette
ui-même, se change parfois en perversion et en férocité ; ainsi cette
divine
faculté de la religion put longtemps sembler un c
une sorte d’intuition poétique, de pénétrantes échappées sur le monde
divin
. L’Égypte, à travers une sorte de fétichisme appa
re, quand elle a vu paraître sur ses frontières le drapeau de l’unité
divine
proclamée par l’islam. C’est la race sémitique 83
de ses enthousiastes religieux, d’autres ennemis que ceux de l’unité
divine
, d’autre patrie que sa Loi. Et cette Loi, il faut
s religieuses, les Psaumes, éclosent de ce piétisme exalté, avec leur
divine
et mélancolique harmonie. Israël devient vraiment
croyances sur les anges, sur les fins de l’homme, sur les hypostases
divines
, dont le premier germe se laissait déjà entrevoir
siècle et le Germain du xixe ! Le poëte catholique, qui chante en sa
Divine
Comédie l’orthodoxie de saint Thomas et les catég
, c’est la femme, vierge et mère, qui sert de médiateur entre l’amour
divin
et l’amour humain ; c’est Marie pleine de grâce,
i chantent la messe en même temps que l’officiant, où l’on connaît la
Divine
Comédie tout aussi bien, mieux peut-être qu’en It
e Brizeux, de Lamennais, de Ratisbonne, si l’on parle chez nous de la
Divine
Comédie, c’est toujours exclusivement de l’Enfer,
tandis que ses racines plongent au plus avant de la masse solide. La
Divine
Comédie et Faust, qui s’élèvent aux plus grandes
age en enfer, la vision surnaturelle des lieux où s’exerce la justice
divine
, était, vous le savez, une donnée familière aux i
mes ne cessent un jour de s’intéresser à ce qu’il y a ici-bas de plus
divin
tout ensemble et de plus humain : au mystère même
re et la gaie milice des frati Gaudenti, célébraient à l’envi l’amour
divin
et l’amour profane, et, dans leur élan juvénile,
âge de candeur première où rien ne trouble encore l’effet de la grâce
divine
, et qui le consacre pour l’immortalité. MARCEL. A
sera plus raisonnable que de prétendre déterminer exactement l’action
divine
dans ces êtres pleins de mystère que nous n’appel
cable ; car elle vous montre que les plus grands actes de la création
divine
dans l’humanité restent absolument incompréhensib
e domestique, et dont notre raison ne saurait pénétrer le mystère, la
Divine
Comédie naît en germe dans l’esprit de Dante. Béa
ccablé sous la puissance de ce Dieu plus fort, de cet amour de nature
divine
qui s’est emparé de lui dès avant l’éveil des sen
omédie, que ses contemporains, et après eux la postérité, ont déclaré
divine
: il nous faut rappeler la mort de Béatrice. Dant
urs, les uns après les autres, se sont affligés de rencontrer dans un
divin
génie ces faiblesses humaines. Le premier en date
e et de cette religion sévère du souvenir qui, selon vous, enfanta la
Divine
Comédie. DIOTIME. L’amour de Dante pour Béatrice
e représentation ici-bas, la femme ; c’était le désir de la béatitude
divine
, exalté dans les âmes par le désir non satisfait
e de l’univers qui réside dans le ciel ; un seul empire d’institution
divine
ici-bas, le saint Empire romain, gouverné par l’e
ix, se réciter dans cette vaste solitude les dernières tercines de sa
divine
cantique, se préparant, s’initiant ainsi lui-même
e bétail, et consternants à voir pour qui veut croire à la providence
divine
et à la bonté humaine. Grifagno, à qui ces enfant
entaires qui, depuis plus de cinq siècles, s’efforcent d’expliquer la
Divine
Comédie, le plus sûr est encore de s’en tenir à D
s. À différentes reprises, j’ai essayé, à moi toute seule, de lire la
Divine
Comédie, je n’ai jamais pu aller jusqu’au bout. D
adre Allighieri ! et l’enthousiasme de la Jeune Italie qui fait de la
Divine
Comédie son Évangile ! et la piété d’un Manin qui
daine, fut ramenée au bien par l’étude et la contemplation des choses
divines
. Il veut, à son exemple, retirer ses contemporain
n attribue pas moins une qualification fort peu modeste en l’appelant
divine
. DIOTIME. Ce n’est pas Dante, mon cher Marcel, qu
st pas Dante, mon cher Marcel, qui a donné à sa Comédie l’épithète de
divine
. Elle ne l’a reçue qu’après sa mort, de la foule
Bourgeois de Molinchart, par Champfleury, une édition nouvelle de la
Divine
Comédie ; et le Calendrier évangélique qui se pub
ons de son siècle. ÉLIE. Vous venez de nous dire que l’occasion de la
Divine
Comédie avait été catholique, Comment l’entendez-
Saint Paul, celle d’Hermas que l’on croyait écrite sous l’inspiration
divine
, celle que le pape Grégoire VII avait eue et qu’i
s s’entendre au sens réel et ne s’applique qu’à la science des choses
divines
, la femme que le poëte a aimée garde dans son poë
perdue. La justice fut le mobile de mon grand Facteur ; Me firent la
divine
puissance, La suprême sagesse et le premier amour
d’inscrire le mot amour sur les portes de l’enfer ! Que la puissance
divine
ait créé des tortures sans fin pour la pauvre cré
nner de la tête aux pieds. La passion terrible, le meurtre, la colère
divine
, le châtiment éternel, tout est là, dans ce livre
’est le terrible épisode du comte Ugolin), et enfin la haute trahison
divine
et humaine, le plus grand de tous les attentats s
uste qu’elle soit ; c’est la main portée sur l’édifice de la création
divine
; c’est une sacrilège atteinte à l’ordre politiqu
té. Pour s’affermir dans sa résolution, il se faisait lire Platon, le
divin
. On pouvait hardiment le ranger parmi ces hommes
convoitises d’ici-bas, par la contemplation et le désir de la sagesse
divine
; ces eaux salutaires où, en perdant la mémoire d
ans une atmosphère azurée, toute pénétrée déjà du souffle de la grâce
divine
, dans cette admirable cantique que Balbo appelle
ntôt à la quatrième et à la huitième, forme l’admirable tercine de la
Divine
Comédie. Entre les quatre animaux vient un char t
moitié lion, est pris pour Jésus-Christ lui-même, en sa double nature
divine
et humaine. Un chœur d’anges séraphiques fait tom
our qu’il y perde la mémoire de ses péchés, puis dans l’Eunoé, fleuve
divin
, où il retrouve le souvenir du bien qu’il a fait.
l’intelligence s’élève et plus s’accroît en elle le désir des choses
divines
. DIOTIME. En effet. Bene operando l’ uom, di gio
plus radieux éclat à mesure qu’elle s’élève et se rapproche du soleil
divin
. Nous avons vu que Dante, au paradis terrestre, a
s hauteurs éthérées, il monte avec elle, par la vertu de l’attraction
divine
, à travers les airs. Beatrice in suso, ed io in
nges. ÉLIE. Combien, par ce sentiment de l’attraction vers les choses
divines
qui fait l’âme de la femme supérieure au génie de
l’introduit en ces demeures où éclatent la justice et la miséricorde
divines
. » Au chant suivant, Dante rencontre Cunizza, la
et aux mystiques, le soleil est la demeure des doctes dans la science
divine
, des philosophes, des théologiens, de ceux qu’on
be dans le souvenir du grand Henri, pendant qu’il regarde, ébloui, la
divine
assemblée, Béatrice va se rasseoir sur son trône,
lle à feuille, dans cette fleur d’allégresse où plonge, enivré du suc
divin
, l’essaim des abeilles célestes, les âmes des ang
yeux vers son fidèle ; dans un rapide éclair, Dante pénètre l’essence
divine
. Il voit en Dieu l’universelle harmonie des âmes
re stelle. Tel est, ma chère Viviane, le dénouement de cette Comédie
divine
dont l’humanité est à la fois le sujet, l’acteur
la servitude à la liberté, du royaume de Satan au royaume de Dieu. La
Divine
Comédie, je voudrais vous l’avoir fait mieux sent
umain, le tableau de son évolution ascendante, au sein des nécessités
divines
, de la liberté instinctive, confuse, aisément reb
ion avec l’ensemble. Depuis le premier jusqu’au dernier vers de cette
Divine
Comédie, point de brisements, point de défaillanc
it commencé au sujet du rapprochement que vous vouliez faire entre la
Divine
Comédie et le poëme de Faust. Vous nous avez admi
ie de ce que j’aurais dû vous dire. Il est très-malaisé de quitter la
Divine
Comédie, plus malaisé encore d’en parler dignemen
brent à l’envi, interprètent avec une érudition passionnée la Comédie
divine
. Pour sa plus grande et sa meilleure partie, la l
ns sa vie et toute sa vie dans son art, comme le fait Gœthe, c’est un
divin
mensonge, Marcel, et par qui l’on gagne l’immorta
ité. MARCEL. Mais enfin votre Dante ne l’a pas fait, lui, ce mensonge
divin
. DIOTIME. Ne venons-nous pas de voir que, dans sa
ammes de l’anathème où trois siècles auparavant Savonarole brûlait le
divin
Platon. L’histoire est ainsi faite : elle souffre
hieri, porté par le spectacle des injustices humaines et des rigueurs
divines
à la méditation, à la rêverie solitaire. Il vit e
l’autre, laissé de traces. Elle n’a inspiré ni une Vita Nuova ni une
Divine
Comédie. DIOTIME. Si Cornélie Gœthe n’a pas reçu
au lendemain dimanche, s’accommoder tout à son loisir pour le service
divin
. Les deux enfants, blottis derrière le poêle imme
entiment religieux de l’amour dont nous avons vu toutes pénétrées les
divines
cantiques. ÉLIE. Vous oubliez, ce me semble, les
ntempler, dans sa plus pure image ici-bas, la perfection de la beauté
divine
. On dirait Michel-Ange en extase devant sa Léda,
terrestres, nous verrons Gœthe revenir à la contemplation des choses
divines
. À deux ou trois reprises, il reprendra l’étude d
alors de leurs réseaux, comme on l’avait vu en Italie au temps de la
Divine
Comédie, la société allemande tout entière. Il es
hoven qui s’inspirera de Faust, comme Michel-Ange s’est inspiré de la
Divine
Comédie, achèveront la perfection d’un cycle inco
faire, hormis dans l’entière possession de la vérité, de cette vérité
divine
et humaine à laquelle, lui aussi, il élèvera un j
hrétien qui voit dans l’Évangile la plus pure révélation de la vérité
divine
, et qui célébrera un jour, en des pages dignes de
e le Werther de Gœthe était à son Faust ce que la Vita Nuova est à la
Divine
Comédie ? DIOTIME. Werther, comme la Vita Nuova,
Nuova et Werther, Dante et Gœthe conçoivent la première pensée de la
Divine
Comédie et de Faust. Tous deux, retirés dans la s
amais l’esprit à lui tout seul n’eût senti et proclamé ainsi le droit
divin
du malheur. ÉLIE. Mais cette pensée très-touchant
x combats pour la liberté les couleurs de Béatrice, et que les chants
divins
de l’Allighieri consolaient dans les durs cachots
ontrefaisant l’accent nasillard du curé de Saint-Jacques, admirons la
divine
Providence, mes frères ; quand le gibier vient au
é, repris, quitté encore, pendant l’espace de trente années, ce poëme
divin
, sans jamais cesser d’y penser, il l’achève à Rav
ur de l’âme humaine. Et cette âme elle-même, qui garde encore dans la
Divine
Comédie les apparences de la forme corporelle, el
’existence terrestre, il entre dans les régions supérieures de la vie
divine
. Et cette vie divine, ce paradis de Gœthe, il ne
il entre dans les régions supérieures de la vie divine. Et cette vie
divine
, ce paradis de Gœthe, il ne sera pas, comme le pa
r cette grande reconnaissance historique et philosophique des mérites
divins
du christianisme. Il avait coutume de dire que la
igne, inutile du moment que l’âme du poëte s’est ouverte à la sagesse
divine
qui lui apparaît sous les traits de Béatrice. ÉLI
, jurisprudence, théologie, magie même, toutes les sciences humaines,
divines
ou infernales, Faust a tout étudié, tout approfon
ge de Dieu, voudrait entrer en commerce avec ses pareils, les esprits
divins
qui président à l’harmonie des mondes, et plonger
ordieux, désintéressé, de cette grâce par excellence et véritablement
divine
qui réside au sein de la femme. C’est le rayon de
conduit de la servitude à la liberté, des choses mortelles aux choses
divines
, de la perdition au salut. » Dal tuo podere e da
jeune fille ; l’amour qu’elle lui inspire, il le sent « inexprimable,
divin
, éternel. » La fin d’un tel amour, s’écrie-t-il e
de force, et l’oubli devrait être considéré comme une grâce, une paix
divine
, qui allège à l’homme de bonne volonté le poids d
e foi explicite. Il est sauvé par le seul effet d’une loi générale et
divine
qui élève à Dieu tout ce qui a puissamment aspiré
é, ne saurait, non plus que Dante, soutenir les splendeurs de l’astre
divin
. Une douleur vive à sa paupière l’avertit que l’œ
al, et qui rappelle les clefs d’or et d’argent avec lesquelles l’ange
divin
ouvre à Dante la porte du purgatoire, il va cherc
ncore, elles président à la métamorphose infinie des types, des idées
divines
. ÉLIE. Les Mères seraient alors quelque chose com
i bonne que belle. Elle obtient du partager avec Ménélas les honneurs
divins
; elle fait donner à ses frères, les Dioscures, u
Mathilde, en qui Dante a voulu figurer toutes les nuances de la grâce
divine
. Il faut bien en prendre votre parti, Marcel, ni
actérisé avec une fierté de dessin et une puissance d’images, dont la
Divine
Comédie offre seule l’exemple, toutes les figures
, glissant sur les eaux limpides, le frissonnement des ailes du cygne
divin
. Songe-t-il ? est-il éveillé ? Faust ne le saurai
ultimo lavoro, afin que, en ses chants, il se rende digne du laurier
divin
. Gœthe, lorsqu’il eut mis la dernière main à l’ép
is où il chante, lui aussi, sur un mode sacré, le triomphe de l’amour
divin
, rendait grâces au ciel. Il avait touché le but,
, et le mystère insondable qui relie à la vérité permanente de la vie
divine
les apparences fugitives de notre vie mortelle.
. Je vais essayer. — Nous avons reconnu d’abord, ce me semble, que la
Divine
Comédie et Faust sont deux œuvres profondément re
la vie, l’un et l’autre ils ont voulu enseigner aux hommes la vérité
divine
dont chaque science humaine est un rayon, la doct
l’Allemagne appelait l’Olympien, avec la fille de Léda, la blonde et
divine
Hélène !… Mais reprenons notre parallèle. En rega
té du langage, inspiration personnelle et populaire tout ensemble, la
Divine
Comédie et Faust offrent à nos admirations les mê
d’elles-mêmes, elle aperçut au fond la statue d’ivoire et d’or de la
divine
Béatrice. Cependant, peu à peu, le souffle du mat
que si Dieu nous trompait lui-même, chose incompatible avec la nature
divine
ou avec la suprême vérité. J’en dirai autant de l
son maître avec une sagesse surhumaine, et avec une éloquence presque
divine
, sur les questions les plus hautes de philosophie
ngues humaines leur paraissaient insuffisantes à contenir les vérités
divines
qu’ils annonçaient aux hommes ? N’était-ce pas pl
porte et accostant lui-même les passants pour leur parler des choses
divines
, consumé du zèle de la vérité, missionnaire des f
écouvre que tu retombes dans tes habitudes de discuter sur les choses
divines
, tu mourras ! — oui, si vous me renvoyiez absous
onté ; Le Dieu créateur de la nature ; Le Verbe, la Pensée, la Parole
divine
, en grec le Logos, modèle ou type de cette créati
Hébreux : « Dieu a créé les siècles par son Fils, le Verbe, la parole
divine
, la lumière, la vie ! » Peut-on méconnaître les
l’universalité et l’éternité qui justifient sans aucun doute l’œuvre
divine
. Revenons au dialogue de Phédon. XVIII Ce
fondamentale de son système philosophique, tout spiritualiste et tout
divin
, système qui a scandalisé de tout temps les parti
ertaines idées primordiales qui sont l’essence, le type, l’exemplaire
divin
de tout ce qui est ou doit être. Ce sont les idée
c, en cet état, se rend vers ce qui est semblable à elle, immatériel,
divin
, immortel et sage, et là elle est heureuse, affra
nitiés, elle passe véritablement l’éternité avec les dieux (les êtres
divins
). « Mais, poursuit-il, si elle sort de la vie tou
dront le permettre. » Il badine ensuite avec une grâce véritablement
divine
, comme s’il était déjà un homme divinisé, avec se
interrogée et logiquement répondue dans ses entretiens sur les choses
divines
; c’est en cherchant à se persuader lui-même qu’i
s des attributs du Dieu unique, nommés par toutes les nations de noms
divins
qui n’attentaient pas à la divinité unique et sup
tant les incarnations de ses divinités, admettait, avant tout, l’Être
divin
et unique, source et une de ces incarnations. La
r en souriant d’Apollon, qui était pour lui et pour eux l’inspiration
divine
; de libation, qui était un acte de piété ; de sa
des choses que la nature a créées avant lui : jeu d’enfant, mais jeu
divin
de notre âme avec les impressions qu’elle reçoit
la parole. Les sphères elles-mêmes se meuvent aux mesures d’un rythme
divin
, les astres chantent ; et Dieu n’est pas seulemen
me à une voix des dieux sur la terre. Il continua à parler en langage
divin
avec les hommes lettrés, et à s’entretenir, jusqu
avèrent au ciseau ces mots : « Cette plage recouvre la tête sacrée du
divin
Homère. » Ios garda à jamais la cendre de celui à
t ne parler qu’une seule et même langue à l’intelligence de l’aveugle
divin
! Et cette langue encore cadencée par un tel ryth
t pour tout un peuple. À peine la mort eut-elle interrompu ses chants
divins
que les rapsodes ou les homérides, chantres ambul
s lui érigèrent des temples et les Argiens lui rendirent les honneurs
divins
. L’âme d’un seul homme souffla pendant deux mille
ces chants épars, comme les Romains recueillirent plus tard les pages
divines
de la Sibylle. Puis vint Alexandre le Grand, qui,
re, et qui les plaçait toujours sous son chevet pour avoir des songes
divins
. Puis vinrent les Romains, qui, de toutes leurs c
ux du moyen âge. Il suit dans ces rapprochements sa division des âges
divin
, héroïque et humain. Il conclut en démontrant que
sens très général.) Chapitre I. Objet de ce livre. — Retour de l’âge
divin
. — Pourquoi Dieu permit qu’un ordre de choses ana
n. D’une république éternelle fondée dans la nature par la Providence
divine
, et qui est la meilleure possible dans chacune de
s mots : L’intelligence humaine n’est que le reflet de l’intelligence
divine
; nos idées ont leur source et leur type en Dieu,
e participation non définie, et indéfinissable en effet, de l’essence
divine
ou de la nature de Dieu. Ce dogme vient évidemmen
iste en nous, et qui est en nous une sorte de réminiscence des choses
divines
, est la science de ce qui est et ce qui doit être
qui doit être en soi-même, de ce qui est conforme au modèle intérieur
divin
des choses, le beau, le bon, le juste, le saint,
ogie, c’est l’existence de la matière ; il ne veut pas la reconnaître
divine
, et cependant il ne veut pas reconnaître que Dieu
t nous réciter ses poèmes, nous lui rendrions honneur comme à un être
divin
, privilégié, enchanteur ; mais nous lui dirions q
alement, le plus grand de tous. On dirait que Platon est jaloux de la
divine
sagesse du poète, mille fois plus philosophe et p
our maternel, l’amour filial, et toutes les vertus aussi humaines que
divines
qui émanent de ces trois sources d’amour ; L’impu
re une fois, ce délire d’un philosophe que l’on continue à appeler le
divin
Platon ! Si un tel politique est divin, Dieu n’es
que l’on continue à appeler le divin Platon ! Si un tel politique est
divin
, Dieu n’est plus Dieu ! Car il n’y a pas une des
mère, Platon s’enfonce dans l’absurde en contredisant la nature, plus
divine
heureusement que lui ! XXV La nature a donn
ue celui-là ! Eh bien, que fait Platon ? Il bouleverse à l’instant ce
divin
poème de la maternité ; il défend à la mère de co
ncts plus impie et plus criminel ou plus stupide que la République du
divin
Platon ? XXVIII Voltaire, dont le bon sens
ellions de la circonférence. Les Indes, où des révélations prétendues
divines
, expliquées dans l’origine et commentées sans ces
rs et de contre-sens. On sent à chaque ligne un discours d’une beauté
divine
fixé par des rédacteurs qui ne le comprennent pas
spèce humaine ait jamais traversé. C’était vraiment une de ces heures
divines
où le grand se produit par la conspiration de mil
ue jour préside encore au destin du monde, il est permis de l’appeler
divine
, non en ce sens que Jésus ait absorbé tout le div
mis de l’appeler divine, non en ce sens que Jésus ait absorbé tout le
divin
, ou lui ait été adéquat (pour employer l’expressi
st l’individu qui a fait faire à son espèce le plus grand pas vers le
divin
. L’humanité dans son ensemble offre un assemblage
de, tout soin temporel. Il ne vivait que de son Père et de la mission
divine
qu’il avait la conviction de remplir. Pour nous,
us ces peuples divers de langues, d’armes et de vêtements, la charité
divine
les précipite à cette grande entreprise. Quelles
res chants de Luis de Léon, et en fait le poëte illuminé par la grâce
divine
, comme on l’a été de nos jours par la mélancolie
mes s’échappent de mes yeux, et je dis enfin, d’une voix brisée : « Ô
divine
demeure, temple de lumière et de beauté, cette âm
, là domine la paix ; là, reposé dans un saint asile, respire l’amour
divin
entouré de gloire et de délices ; là l’infinie be
d’ici-bas, contempler la vérité sans faux mélange ? Associé à sa vie
divine
, transformé moi-même en lumière éclatante, je ver
d’autres accents d’une douceur incomparable, et le charme de l’amour
divin
élève encore l’inspiration même du talent par cet
gnent les flots, vaincus aussi, de la mer de Cadix. Ici, d’Adrien, du
divin
Théodose on remua les berceaux ornés de marbre et
mot de poésie. N’est-ce pas elle, en effet, qui, toute ravie d’amour
divin
, s’écrie dans un cantique : « Je vis, sans vivre
ons forcées ici-bas, ses ardeurs d’espérance, sont des hymnes d’amour
divin
, comme n’en rêva jamais la poésie profane. Un sce
t le beau, plus elle mériterait de n’entrevoir que l’image de l’idéal
divin
. C’est là ce qui manque trop à l’amour mystique,
3. Petr., cauz. 2 : O aspettata in ciel, beata e bella. 224. « Le
divin
Alexandre, ayant incendié la ville de Cadmus, épa
e à pleins bords, où coule à grands flots toute la sagesse humaine et
divine
du christianisme. IV Deux autres écrivains
ue dans la philosophie suprême : la résignation en conformité avec la
divine
volonté. En cherchant plus tard le modèle après l
rempli jusqu’au bord des sucs de l’Évangile, Où la sagesse humaine et
divine
, à longs flots, Dans le cœur attiré coulent en pe
de vous aimer. — Rendez-vous si petit et si humble, dit l’inspirateur
divin
, que tous puissent vous fouler aux pieds. Qu’est-
é future. Elle s’associe, sans le connaître, au mystère de la volonté
divine
sur l’homme, et, par cette association surnaturel
: c’est de l’unir par l’humilité résignée et laborieuse à la volonté
divine
, et, d’homme qu’il est par la chair, de vouloir a
izon de notre âme, mais qui répandent déjà une lueur entre la lumière
divine
et les ténèbres d’ici-bas. L’homme de désir et d’
trouvé à la mort ! Que cela est grave, et que le fond de la sagesse
divine
est supérieur à notre vaine sagesse ! Lisez encor
! Heureuses les oreilles toujours attentives à recueillir ce souffle
divin
, et sourdes aux bruits du monde ! Heureuses encor
jour et la nuit. XXIV Et plus loin il remonte au ciel avec le
divin
amour. Des merveilleux effets de l’amour divin
monte au ciel avec le divin amour. Des merveilleux effets de l’amour
divin
Le fils. Je vous bénis, Père céleste, Père de
t consolé par vous : visitez-moi donc souvent, et dirigez-moi par vos
divines
instructions. Délivrez-moi des passions mauvaises
tout possible et tout permis. Après ce magnifique tableau de l’amour
divin
, il revient à la patience, qui est le sceau de ce
d envers nous-mêmes. Qui ne s’aime mieux après avoir lu cette onction
divine
qui découle de toutes ces lignes ? Quelle est la
losophie française du dix-huitième siècle, qui pour expliquer l’œuvre
divine
commence par nier le Créateur, et qui révèle à la
de pour perpétuer sa pensée palpable, et l’ébauche est devenue un art
divin
, le plus monumental de tous les arts après l’arch
aïe n’est pas plus prophète que Michel-Ange. La sagesse et la terreur
divines
descendent de toutes les hauteurs de ce front, de
; le vulgaire triomphe, et triomphe toujours de l’idéal : l’idéal est
divin
! Tu n’aurais qu’à heurter tes pieds une seconde
sse ainsi tes jours dans les extases d’une passion pétrifiée et toute
divine
, et ne te mêle ni à la politique, ni à l’ambition
soumis et grave, qui voit dans la vie des animaux une image de la vie
divine
et un modèle à suivre, afin de participer lui-mêm
auté souveraine dans l’union étroite de la nature humaine avec l’idée
divine
. XXXII « Les monuments de la Perse donner
de la mythologie étaient écrasés sous les montagnes accumulées par la
divine
colère. Aussi l’élan est hardi et sublime. « Les
sant sur l’âme de ses lecteurs ; son sort est moins humain, mais plus
divin
! il est au-dessus de l’orateur. Le beau serait d
les arts de l’architecture et de la sculpture ; espèce de révélation
divine
de la beauté idéale reçue un jour par le peuple a
; je sens l’antiquité tout entière dans ce qu’elle a produit de plus
divin
; le reste ne vaut pas la parole qui le décrit !
mation des âges. Heureux les hommes par lesquels passent ces souffles
divins
! ils meurent, mais ils ont prouvé à l’homme ce q
terre ; résignées et religieuses comme ce monument élevé à une pensée
divine
, que Dieu a laissé crouler devant lui pour faire
vine, que Dieu a laissé crouler devant lui pour faire place à de plus
divines
pensées ! LXVI Je ne sens point de tristess
légère, quoique méditative ; ma pensée embrasse l’ordre des volontés
divines
, des destinées humaines ; elle admire qu’il ait é
us. I. Les choses sensibles ne sont que des apparences. — Caractère
divin
et mystérieux de l’être. — Sa métaphysique. II.
e la pure raison, qu’est-ce que l’homme ? « Un esprit, une apparition
divine
, un moi mystérieux, qui, sous ses guenilles de la
its et palpés, ne sont pour lui que des apparitions ; cet univers est
divin
. « Ton pain, tes habits, tout y est miracle, la n
y est miracle, la nature est surnaturelle. » — « Oui, il y a un sens
divin
, ineffable, plein de splendeur, d’étonnement et d
ue sur des comptoirs. C’est une chose vivante, une chose ineffable et
divine
, devant laquelle notre meilleure attitude, avec t
religieux la philosophie allemande. Il parle comme Fichte « de l’idée
divine
du monde, de la réalité qui gît au fond de toute
ttes. Aux yeux de la pure raison, qu’est-il ? Une âme, un esprit, une
divine
apparition. » — « Il y a un moi mystérieux caché
Faut-il dire que ce que nous appelons devoir n’est point un messager
divin
et un guide, mais un fantôme terrestre et trompeu
e motifs, qui, dans ton moulin logique, possèdes un mécanisme pour le
divin
lui-même et voudrais m’extraire la vertu des écor
haut que l’amour du bonheur », l’amour du sacrifice. Voilà la partie
divine
de notre âme. Nous apercevons en elle et par elle
it1439 dans cette sphère intérieure des choses, dans le vrai, dans le
divin
, dans l’éternel qui existe toujours, invisible à
pe ou la pierre noire de la Caaba y reconnaissait une beauté, un sens
divin
… Canope luisant sur le désert, avec son éclat de
Lama, le papisme lui-même, interprètent à leur façon le sentiment du
divin
; c’est pourquoi le papisme lui-même est respecta
idole, sinon un symbole, une chose vue ou imaginée qui représente le
divin
? « Toutes les religions sont des symboles. Le pl
a sa confession de foi ; sa représentation intellectuelle des choses
divines
. Toutes les croyances, les liturgies, les formes
idère le poète, l’écrivain, l’artiste « comme un interprète de l’idée
divine
qui est au fond de toute apparence, comme un révé
outé aux éternités, cela subsiste pour toujours comme une nouvelle et
divine
portion de la somme des choses1456. C’est pour ce
aite à propos de surplis et de chasubles : il y avait le sentiment du
divin
sous ces disputes d’habits. Ces pauvres gens, bou
ls sont dévoués à la vérité abstraite comme vos puritains à la vérité
divine
; ils ont suivi la philosophie comme vos puritain
mocratie s’y agitera parmi les ruines, jusqu’à ce que le sentiment du
divin
et du devoir l’ait ralliée autour du culte de l’h
reeches. To the eye of pure reason what is he ? A soul, a spirit, and
divine
apparition. Round his mysterious Me, there lies,
wonder ; thy very blankets and breeches are miracles… The unspeakable
divine
signifiance full of splendour and wonder and terr
m gathered round our Me ; wherein, through some moments or years, the
Divine
Essence is to be revealed in the flesh. And again
seeing it go ? Has the word Duty no meaning ? Is what we call Duty no
divine
messenger and guide, but a false earthly fantasm,
The hero is who lives in the inward sphere of things, in the True,
Divine
, Eternal, which exists always, unseen to most, un
very great exactness added to the Eternities, remains for ever a new
divine
portion of the sum of things. (Cromwell’s Letter
t were some matter of vital concernment, some transcendant matter (as
Divine
worship is) about which your whole soul struck du
rt glacé de son intelligence, à regretter l’illusion, le mensonge, le
divin
amour des simples d’esprits, dont son cœur n’étai
uel culte nouveau ? par quelle entente heureuse entre le sentiment du
divin
et la nécessité d’honorer la vie, dans sa souvera
a vie », avec « la mystique sensation de la présence et de l’étreinte
divines
», ayant même réfréné les tendresses mystiques de
é d’hystérie spirituelle, il s’acharnait au tout ou rien de la vérité
divine
, comme d’autres au tout ou rien de l’amour charne
t rêve, avec tout ce qui, dans le pullulant infini des mondes, vit sa
divine
vie naturelle. » La lumière va bientôt surgir pou
un lieu d’opprobre et de péché, la nature est maudite, seul le séjour
divin
est pur ; l’humanité se divise en deux groupes do
pose d’un corps, substance vile et méprisable et d’une âme, substance
divine
et immortelle. La conclusion s’imposait. Puisque
ue le corps de l’homme n’est qu’abjection, exaltons, à ses dépens, sa
divine
substance spirituelle. La supériorité humaine con
s force ; le sur-humain n’est que l’humain à la suprême puissance, le
divin
n’est que l’« âme » du naturel. Et la prétention
rand-prêtre des Hébreux, prêt à couronner Joas, est saisi de l’esprit
divin
dans le temple de Jérusalem : Voilà donc quels v
is d’où vient que mon cœur frémit d’un saint effroi ? Est-ce l’esprit
divin
qui s’empare de moi ? C’est lui-même : il m’échau
tife égorgé ?… Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes
divins
malheureuse homicide ; De son amour pour toi ton
jeune Pallas, le beau Lausus, Nisus et Euryale, sont des personnages
divins
. Dans les caractères de femmes, Racine reprend la
les chapitres de cette œuvre comme un grand envol d’oiseaux de nuit.
Divine
? Magnus ? Les deux plutôt. La Vie triomphe de la
Mort, sont d’une haute inspiration, d’une sublime portée poétique. Le
divin
, l’abject, l’éclatant, le sombre, le rire, les la
s’appelle Magnus ; la femme, identifiée avec la vie, n’est autre que
Divine
; Elle, c’est la mort, la Dame à la Faulx. Le dra
imagine de suite à la seule énonciation des personnages. Magnus aime
Divine
et va s’unir à elle ; survient la terrible Dame,
e par sa matérialité, qui continuerait et prolongerait ainsi l’action
divine
. Telle est notre définition. Nous sommes libres d
s’abîmer dans l’action, la volonté humaine se confond avec la volonté
divine
. Il se croyait au faîte : aller plus loin eût été
te que les uns et les autres appelaient « soma ». C’était une ivresse
divine
, comparable à celle que les fervents de Dionysos
mi-chemin, détachée de la vie humaine mais n’atteignant pas à la vie
divine
, suspendue entre deux activités dans le vertige d
rme, qui était l’identification de la volonté humaine avec la volonté
divine
. La vérité est que ces états anormaux, leur resse
agissait, procéderait simplement d’elle. Sa vie n’est donc pas encore
divine
. Elle le sait ; vaguement elle s’en inquiète, et
fois agissante et « agie », dont la liberté coïncide avec l’activité
divine
. Ils représentent une énorme dépense d’énergie, m
se sentait fondre tout entière, ce qu’on pourrait appeler l’humilité
divine
? Déjà dans le mysticisme qui s’arrêtait à l’exta
s les hommes. A travers Dieu, par Dieu, il aime toute l’humanité d’un
divin
amour. Ce n’est pas la fraternité que les philoso
’ils rencontreront est celui qui a empêché la création d’une humanité
divine
. L’homme doit gagner son pain à la sueur de son f
es portait à élever l’humanité jusqu’à Dieu et à parfaire la création
divine
ne pouvait aboutir, a leurs yeux, qu’avec l’aide
ment ce qui aurait dû théoriquement exister à l’origine, une humanité
divine
. Mysticisme et christianisme se conditionnent don
s le Sermon sur la montagne de figurer dans l’Évangile, avec d’autres
divines
paroles. A l’auteur on donnera le nom qu’on voudr
e est inexprimable. Mais ce qu’elle dit clairement, c’est que l’amour
divin
n’est pas quelque chose de Dieu : c’est Dieu lui-
des mondes dont la matérialité, en tant qu ’opposée à la spiritualité
divine
, exprimerait simplement la distinction entre ce q
point, et l’on pourra sans inconvénient parler de la toute-puissance
divine
. Nous trouvons des expressions de ce genre chez l
tiques, auxquels nous nous adressons précisément pour l’expérience du
divin
. Il est évident qu’ils entendent par là une énerg
genre, l’intuition mystique. Ce serait une participation de l’essence
divine
. Maintenant, ces deux expériences se rejoignent-e
ée de ce beau nom par où l’on entend la connaissance des choses, soit
divines
, soit humaines, de leur origine, de leur nature ?
tés, pour ne pas comprendre que ce sont les ouvrages d’une Providence
divine
. « Eh ! que n’ai-je votre éloquence, Cotta ! De q
la vie, soit pour l’agrément. Que l’éloquence est belle ! qu’elle est
divine
, cette maîtresse de l’univers, ainsi que vous l’a
n voit que ce problème éternel de la toute-puissance de la providence
divine
et de la liberté morale de l’homme agitait, dès c
s la politique tout entière, c’est-à-dire l’étude de cet admirable et
divin
mécanisme moral par lequel les hommes s’organisen
n cette figure que l’on peut montrer du doigt. « Sache donc que tu es
divin
; car c’est être divin que de sentir en soi la vi
peut montrer du doigt. « Sache donc que tu es divin ; car c’est être
divin
que de sentir en soi la vie, de penser, de se sou
assions, et, poussés aveuglément par elles, ont violé toutes les lois
divines
et humaines, leurs âmes, dégagées du corps, erren
parut, et je m’éveillai… » XVIII Tel est ce livre de politique
divine
autant qu’humaine. Cela est écrit, comme cela est
raison pour établir la sublime vérité enseignée par Platon et par son
divin
maître. « Il me tarde, dit le vieux Romain, de
dit le vieux Romain, de partir pour cette assemblée céleste, pour ce
divin
conseil des âmes, d’aller rejoindre tous les gran
prit qui peut produire de si beaux ouvrages renferme quelque chose de
divin
. » C’est aussi ma pensée, et le génie de Cicéron
on, ni sa majesté, ni son éloquence, ni son enthousiasme, ni sa piété
divine
envers la Providence. Bossuet a sa virilité et so
s pourquoi ? C’est que l’envie, qui l’a tué, et qui a cloué sa langue
divine
sur la tribune de Rome avec l’épingle d’or d’une
atmosphérique, qui semble correspondre plus spécialement à la nature
divine
de notre être. L’homme, par un instinct occulte,
ntir et les exprimer, sur les limites de ces deux natures humaines et
divines
qui se touchent et se confondent en lui, l’homme
mme n’a pas eu longtemps le même langage pour exprimer l’humain et le
divin
des choses. La prose et la poésie se sont partagé
réation. L’homme a parlé des choses humaines ; il a chanté les choses
divines
. La prose a eu la terre et tout ce qui s’y rappor
chante pour tous les sens à la fois et pour l’âme, pour l’âme, centre
divin
et immortel de tous les sens. Donc, à une impress
u le vice, parce que la vertu est au fond la plus forte comme la plus
divine
des émotions. XI Voilà pourquoi les vrais p
e siècle semble y avoir apporté sa pierre. Ce sont des épopées moitié
divines
, moitié humaines de ces théologies successives de
ndre émeuvent de pitié le cœur de Nala. Il rend la liberté à l’oiseau
divin
. Le cygne, reconnaissant de cette compassion du j
Nala brûle pour elle. Ce double message est porté et reporté par ces
divins
messagers qui rappellent les colombes grecques de
urs des prétendants. Ils se mettent en route, revêtus de leur costume
divin
. Ils rencontrent Nala qui s’y rend de son côté, d
ment son époux, cause le frémissement involontaire qui agite le sénat
divin
. On nomme devant elle les princes ; ils se lèvent
Dans son bonheur, il ne reconnaît plus d’ennemi. Il pousse la charité
divine
jusqu’à pardonner au dieu jaloux la cause de tous
à la justice. La charité est plus que la justice, puisqu’elle est la
divine
bonté imitée de Dieu, autant que la créature peut
rands poèmes symboliques et sacrés de l’Inde primitive est donc aussi
divine
que la poésie en est sublime ; il en découle part
Raphaël au bocage de nos premiers pères. « Pour ombrager ses formes
divines
, le Séraphin porte six ailes. Deux, attachées à s
tous ses caprices… Adam, assis à la porte de son berceau, aperçut le
divin
Messager. Aussitôt il s’écrie : Ève, accours ! vi
eur : les Mercure et les Apollon de la mythologie nous semblent moins
divins
que ces Génies du christianisme. Plusieurs fois l
e de la Galilée, et l’appelle comme cette dernière province un « pays
divin
1010. » Jésus, après avoir accompli cette espèce
ait au torrent. Comme cela arrive toujours dans les grandes carrières
divines
, il subissait les miracles que l’opinion exigeait
ésir de fermer la bouche à ceux qui niaient outrageusement la mission
divine
de leur ami entraîna-t-elle ces personnes passion
ccompagnaient les miracles ; l’opinion populaire voulant que la vertu
divine
fût dans l’homme comme un principe épileptique et
La mort, d’ailleurs, allait dans quelques jours lui rendre sa liberté
divine
, et l’arracher aux fatales nécessités d’un rôle q
ulent, mais dans le plus fondamental de ses dogmes, — la personnalité
divine
de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Chose étrange au
e et pure, de la pensée des plus nombreux, le texte de l’enseignement
divin
, afin que les simples autant que les doctes pusse
s doute qu’il resterait assez d’irrésistibles séductions dans la tête
divine
— défigurée par elle — pour fasciner les âmes et
qui viennent ajouter leur lumière à celle du texte souvent d’une trop
divine
pureté pour tomber dans des yeux charnels sans le
ue intellectuelle étendue, pour ainsi parler, sous les pieds du texte
divin
. Comme un de ces grands artistes lapidaires du Mo
sait se réduire à la mesure de l’homme qui l’a engendré ; l’incendie
divin
ne méprise point l’étincelle d’où il est sorti. H
utre fois, un de ses prêtres reconnaît qu’il porte en lui le même feu
divin
que sa main vient d’allumer sur l’autel, et il s’
personnifiaient vite dans ces temps de mythologie luxuriante, la vie
divine
coulait à plein bord et pénétrait tout. Pramantha
es, de ces divinités essentielles, et forment, à leur tour, des êtres
divins
. Les attractions cosmiques, les fusions des éléme
es tempes une couronne d’or, diadème royal et bestial, où le forgeron
divin
avait ironiquement ciselé « tous les animaux que
alheur. Au fond de leur âme assombrie, il laisse l’Espérance, captive
divine
qui la colore d’une teinte d’arc-en-ciel. L’homme
n a tiré le feu du ciel, mais il ne peut en faire jaillir l’étincelle
divine
de la vie. Le génie plastique de la Grèce se révè
e fait naître l’homme dans un atelier de sculpteur. Un artiste à demi
divin
, un Phidias titanique, y travaille comme au chef-
pénitence, et surtout l’amour. Il se précipite aux pieds de la beauté
divine
; il lui demande de le secourir. Quelquefois, com
aint Augustin, et dans les autres Pères, ce que le langage de l’amour
divin
a de plus mystique et de plus brûlant52. « Certe
t à l’amour de Pauline ! POLYEUCTE. Vous préférez le monde à la bonté
divine
, etc., etc. Voilà ces admirables dialogues, à la
Polyeucte est sublime dans cette scène ! Quelle grandeur d’âme, quel
divin
enthousiasme, quelle dignité ! La gravité et la n
l’homme et de Dieu, tout au moins de l’action humaine et de l’action
divine
. Quelle est la part de Dieu, quelle est la part d
la force diabolique, tantôt sous l’irrésistible impulsion de la grâce
divine
. C’est ce qui fait que nulle théologie ne s’enten
le force ne donne pas une pareille doctrine à l’agent de la puissance
divine
? Ce n’est plus alors la conscience et la raison
ve plus, ou qu’on y retrouve tellement confondue avec la personnalité
divine
qu’il devient impossible à la conscience de l’hom
les confondant et même en les identifiant avec les actes de la nature
divine
. Ce qui est constant, c’est que le divorce repara
er. On ne peut, selon le conseil de Bossuet à propos de la prescience
divine
et de la liberté, tenir fortement les deux bouts
on avec Dieu et tend à l’absorption de sa personnalité dans la nature
divine
. On a vu le sévère Maine de Biran lui-même, le ps
te, dans l’état mystique, la nature humaine se confond avec la nature
divine
, la loi de la conscience s’efface devant la loi d
ne ne diffère d’elle-même que par le degré de perfection ; la volonté
divine
à laquelle elle se soumet n’est que l’idéal de sa
même du for intérieur, au plus profond, au plus pur, au plus vraiment
divin
de la nature humaine. C’est le mysticisme de l’éc
res essentiels, loi de pure conscience pour la morale, loi de volonté
divine
pour la religion. Et non-seulement la loi reste l
en une seule. Ce n’est pas entre la conscience humaine et la volonté
divine
que peut éclater la contradiction ; c’est entre l
icat des Grecs, et produisit des philosophes profonds dans les choses
divines
. Célébrée comme la mère des sciences, désignée ch
s siècles écoulés en trois périodes, temps obscur, qui répond à l’âge
divin
des Égyptiens, temps fabuleux, qui est leur âge h
ettent à cultiver les champs, nous voyons commencer l’âge d’or ou âge
divin
des Grecs, et quelques siècles après celui du Lat
lequel les dieux vivaient sur la terre avec les hommes. Dans cet âge
divin
paraît d’abord le premier Hermès. Les Égyptiens,
e Servius Tullius ; on voit s’il a pu enseigner la science des choses
divines
à Numa qui vivait près de deux siècles auparavant
salem détestaient les juifs hellénistes qui attribuaient une autorité
divine
à cette version.
stèmes des pouvoirs délégués ou consentis, et le fait fondamental, et
divin
puisqu’il est nécessaire, de l’existence du pouvo
r telle qu’il la conçoit et l’explique resplendit toujours cette main
divine
qui jette la lumière à tout, comme la main de l’h
théorie de la souveraineté du nombre que la théorie mystique du droit
divin
. 16. Du Pouvoir et de la Liberté (Pays, 24 sep
Chapitre I. Objet de ce livre. — Retour de l’âge
divin
D’après les rapports innombrables que nous avo
ramena les mœurs du premier âge qui méritèrent mieux alors le nom de
divines
. Partout les rois catholiques, protecteurs de la
, sur les troupeaux et sur les terres. Certaines espèces de jugements
divins
reparurent sous le nom de purgations canoniques ;
mprend que les religions antiques et modernes aient fait des concerts
divins
une des éternelles béatitudes du ciel, sans doute
s Noces de Figaro. Son nom et son génie se répandent sur les mélodies
divines
de ce drame musical dans tout l’univers. L’atmosp
e passé, présent et futur, n’avait jamais pu encore faire éclater son
divin
génie à Vienne, par suite des cabales envieuses d
ousiaste, dans la maison duquel naquit la première étincelle de cette
divine
flamme, me sont témoins de la vérité de ce que je
ur et de la gloire, entre les tentations de la débauche et le respect
divin
pour l’innocence, homme sans scrupule, mais non s
r l’innocence, défier le ciel, foudroyer le crime, éclater la justice
divine
, rayonner l’immortalité rémunératrice à travers l
il s’abandonnait au souffle du sentiment qui l’enlevait sur ses ailes
divines
. « On sait comment fut écrite l’ouverture de Don
le passage où le commentateur reproduit l’impression de la vengeance
divine
personnifiée, dans l’entrée en scène de la statue
e est à la poésie, une rêverie entre ciel et terre, une coupe d’opium
divin
qui endort l’âme dans la couche des nuages. Hélas
culpture qui emprunterait les couleurs de la peinture pour rendre les
divines
formes de Phidias plus semblables aux figures de
can, que sur une toile de décoration d’opéra ; que la poésie est plus
divine
dans une page d’Homère, de Virgile, de Dante ou d
ns à retrouver ainsi dans Hoffmann nos propres enthousiasmes pour les
divines
mélodies du Raphaël de Salzbourg. Écoutez ce rêv
uvent les sensations célestes vous est ouvert aussi. « — Quoi ! femme
divine
!… tu… vous connaissez ?… Elle sourit et prononça
t’indiquer ce que j’ai cru saisir dans l’admirable composition de ce
divin
maître. Le poète seul comprend le poète ; les âme
e la faire par la forme. C’est un des progrès assez rapprochés que la
divine
bonté permet à l’homme d’espérer d’entrevoir sur
ent, prodiges, chants sacrés dont les débris témoignent d’une majesté
divine
visible aux poètes inspirés, morale surhumaine, m
Il paraît évident que c’est là qu’il a par ses instincts manifesté sa
divine
nature aux premiers hommes. Sa première église a
rouve aussi sous sa plume le mot dont j’avais besoin et que la nature
divine
du sujet me suggère pour mon Cosmos, à moi. Celui
pensée seule est Dieu. La pensée est créatrice. C’est donc la pensée
divine
qui, s’associant avec la matière créée par Dieu,
xistence, la volonté, la Providence de Dieu, le mystère de son action
divine
et absolue, sont eux-mêmes le mystère nécessaire,
est nécessaire à l’homme, il n’est pas humain, il n’est ni humain ni
divin
, il n’est rien. C’est un néant savant, qui est fo
matière n’est que matière. Elle ne pense pas ; elle obéit à la pensée
divine
. C’est par l’union éternelle ou momentanée de la
e ou le Cosmos est formé. Cette union des deux substances, la pensée
divine
et l’obéissance matérielle, est le mystère ! Ce m
l’univers, et le nom de Dieu n’y est pas même prononcé. « Laissons la
divine
énigme au fond des espaces, et répétons les vains
-il au malheur, qui voit effacer des astres cet astre de l’âme, cette
divine
providence infinie qui compte ses larmes et ses j
e chose d’irrévérencieux et d’attentatoire, une sorte de lèse-majesté
divine
. Ainsi, du moins, le comprirent tous les peuples
ient d’en haut ; le véritable auteur est cette force vive et vraiment
divine
que recèlent les facultés humaines, qui n’est ni
qu’elles n’ont de sens qu’en attribuant à l’esprit humain une action
divine
, en admettant en un mot comme puissance primordia
’expérience ressaisira son légitime empire, le seul qui soit de droit
divin
, et conduira le monde non plus au hasard, mais av
ème est le plus illogique et le plus irrévérencieux envers les choses
divines
. 18. Telle me paraît être la vraie définition d
381 s.) Dès lors, elle n’aura été qu’une forme transitoire du progrès
divin
de toute chose, et du fieri de la conscience divi
sitoire du progrès divin de toute chose, et du fieri de la conscience
divine
, Car, lors même que l’humanité n’influerait pas d
’humanité, laquelle n’est pas sans doute la seule forme consciente du
divin
, bien que ce soit la plus avancée que nous connai
soin de commentaire. Il semble qu’on entre dans un temple où l’Esprit
divin
va se faire entendre dans la sincérité de la cons
nt de leur devoir. Que le roi donc, après avoir bien considéré la loi
divine
, inflige justement les peines à ceux qui agissent
a nature nous a traités en marâtre plutôt qu’en mère, et que l’esprit
divin
qui est en nous est comme étouffé par le penchant
t qu’elles tiennent à une grande loi du monde spirituel… Le fléau est
divin
… le nom de Dieu est le Dieu des armées. « Observe
en vain : la guerre s’allume. L’homme, saisi tout à coup d’une fureur
divine
étrangère à la haine et à la colère, s’avance sur
plus fatalistes qu’aucune plume ait osé écrire : La guerre est donc
divine
, puisque c’est une loi du monde. À ce titre le
e loi du monde. À ce titre le meurtre et l’anthropophagie sont donc
divins
, car ces monstruosités sont une loi du monde. Il
la philosophie véritable, que la guerre était, non pas nécessaire et
divine
, comme il le dit, mais vertueuse et obligatoire q
se. La saine philosophie lui aurait enseigné que la guerre est si peu
divine
que le plus divin progrès de l’humanité est de la
ophie lui aurait enseigné que la guerre est si peu divine que le plus
divin
progrès de l’humanité est de la tempérer et de la
u au-dessus d’elle et que tous les siècles proclameront heureuse ; la
divine
Marie monte sur l’autel de Vénus pandémique. Je v
jusqu’à des vœux de mort contre le pontife représentant de l’autorité
divine
à ses yeux. Que devenait le double dogme devant l
t qui contemplez d’un point de vue plus général, plus permanent, plus
divin
et plus vrai, ce spectacle mobile, et cependant t
este, j’enlève à ce rôle le caractère d’inspiration et d’intervention
divine
qui fait la grandeur et la sainteté de cette trag
it la langue assez majestueuse, assez grave, assez prophétique, assez
divine
, pour proférer des paroles françaises dans ces po
es. La grandeur de la scène, la majesté du pontificat, l’intervention
divine
pressentie dans le grand-prêtre, la divinité surt
? Joas. J’adore le Seigneur ; on m’explique sa loi ; Dans son livre
divin
on m’apprend à la lire, Et déjà de ma main je com
alma se transfigura véritablement en prophète ; on crut voir la lueur
divine
se répandre comme une losange de foudre sur les t
s d’où vient que mon cœur frémit d’un saint effroi ? Est-ce l’esprit
divin
qui s’empare de moi ? C’est lui-même. Il m’échauf
e du Seigneur la voix se fasse entendre, Et qu’à nos cœurs son oracle
divin
Soit ce qu’à l’herbe tendre Est, au printe
ife égorgé ? Pleure, Jérusalem ! pleure, cité perfide ! Des prophètes
divins
malheureuse homicide ! De son amour pour toi ton
es. Le nœud se resserre, et Dieu seul peut le dénouer. L’intervention
divine
apparaît au cinquième acte par un miracle de zèle
n poète sacré. Mais l’art y est aussi parfait que l’inspiration y est
divine
. Comme conception, ce drame est simple comme l’hi
été déplacée dans le Temple ; ce sont les grandes et saintes passions
divines
qu’on veut y voir et y entendre. L’ombre visible
été une petitesse et une profanation. Mais comme les autres passions
divines
y parlent une langue supérieure aux langueurs de
s Athalie ce n’est pas seulement le beau qui émeut l’esprit, c’est le
divin
qui pénètre le cœur. Ainsi Racine, pour qui Athal
L’Idylle éternelle (1884). — Livret de vers anciens (1884). — Pierrot
divin
(1887). — Le Conte de la Rose (1891). — Brunette,
qu’à ce recueil embaumé par l’âme odorante de l’antiquité. Jamais la
divine
Hellade n’a été mieux comprise, mieux pénétrée, e
é délicate, l’amour de la lumière, la clémence d’un monde heureux, la
divine
eurythmie des gestes et des attitudes naturelles
ité et de la majesté de ces marbres. La muse de Laprade était la plus
divine
des statues, mais une statue ; le poète était le
e eût blanchi sa barbe et aveuglé ses yeux inspirés. La voix du barde
divin
résonnait grave comme un souffle d’hiver à traver
divers ? Quel qu’il soit, cependant, ma voix bénit ton être Pour le
divin
repos qu’à tes pieds j’ai goûté. Dans un jeune un
tre ; ce sera la religion du ciel, où l’on verra tout du point de vue
divin
: Plus il fait jour, mieux on voit Dieu ! XX
is les musées ou les temples du christianisme. Ces chefs-d’œuvre sont
divins
, mais ils sont abstraits ; ils ne peuvent servir
sophes qui étudient à loisir la semence et la germination des vérités
divines
. Les paraboles mêmes, ces apologues évangéliques
la seule passion qui palpite dans l’Évangile ; mais c’est une passion
divine
, collective, métaphysique, abstraite, qui général
mentaire qui ait jamais été écrit sur un texte humain ou sur un texte
divin
depuis que le monde est monde. Le vrai poème de l
s répugnances que nous éprouvons pour cette transformation de la lyre
divine
en fouet sanglant est peut-être un tort de notre
ge : Gardons, ainsi, gardons nos chastes solitudes : Le terme en est
divin
, si les sentiers sont rudes. Au moins nous y marc
s choses qui nous emporte en bas, hors du monde des choses saintes et
divines
, et que le devoir d’un prêtre de la religion surn
cordaire, tremble quand il s’agit de toucher à cette chose immense et
divine
, l’âme de N.-S. Jésus-Christ, tandis que le R. P.
tion, si vivant de la seule vie du fait, l’Évangile dans lequel l’âme
divine
et humaine de N.-S. Jésus-Christ se montre égalem
it pas assez que les quelques mots, rayonnants dans les placidités du
divin
récit, que les quelques faits qui donnent Dieu et
Lacordaire ne l’éteint pas, il est vrai, ce nimbe du surnaturel et du
divin
autour de la tête pâle de Notre-Seigneur Jésus-Ch
récit de la chute d’Ilion (Troie) par une invocation à l’inspiration
divine
que les anciens appelaient la muse. Tout homme qu
té. L’homme s’humilie et se réduit à l’état d’instrument sous la main
divine
. Cet exorde religieux est toujours le plus beau,
uet, serment des dieux. « Il fronce ses noirs sourcils ; sa chevelure
divine
ondoie sur sa tête immortelle, et tout le vaste O
habile et discret d’Agamemnon, inspiré à propos par Minerve, sagesse
divine
, se répand alors de groupe en groupe et révèle à
du temps d’Homère, ces fils d’Esculape, au cœur de femme et à la main
divine
, qui soulagent les douleurs des hommes. Tout le r
e dans l’horizon quand il regarde la mer azurée, autant les coursiers
divins
en franchissent d’un bond ! » Les deux déesses fo
re et qui font du poète plus qu’un homme, un interprète véritablement
divin
entre la nature humaine et le cœur humain ! Et si
fidèle et si éloquent, décrit, parle et chante dans une langue aussi
divine
et aussi harmonieuse que sa pensée ; si on ajoute
l’esprit humain dans l’une ou dans l’autre de ses facultés également
divines
. Cependant l’un de ces plateaux porte une machine
ant de sa vieillesse, qu’il obtint au sein de sa félicité. C’est moi,
divin
Achille, qui t’ai fait ce que tu es ! Je t’aimais
on voit de plus comment la poésie personnifiait allégoriquement cette
divine
philosophie du pardon. Achille reste inflexible ;
rmant le lotus, le safran, l’hyacinthe. Le Sommeil ferme les yeux des
divins
époux ; il profite de cet assoupissement de Jupit
eur et pour encourager sa vengeance. Les dieux lui prêtent une armure
divine
à la place de ses propres armes, que la mort de P
elui du pathétique et de la famille. L’amitié cependant y retrouve de
divins
accents. Patrocle apparaît à son ami Achille et l
ue le nôtre. « Ô mon fils, dit Thétis après avoir caressé de sa main
divine
la tête de son fils, jusqu’à quand, triste et cha
nature animée ou inanimée ? Homère n’a-t-il pas su, comme un peintre
divin
, rattacher par des épisodes rapides et par des co
une révélation de l’idée, une image de l’invisible. La nature, l’art
divin
, est donc comme les arts humains une manifestatio
ion, tels sont et le but et la règle souveraine de l’art. La création
divine
, l’univers, est le type, le modèle général de la
u symbolique. L’art, en s’émancipant du sanctuaire, en cessant d’être
divin
, et en se démembrant pour constituer des arts div
s nouveaux tendirent tous à l’affranchir de plus en plus du sentiment
divin
, et à la mettre sous la dépendance de passions mo
r excellence ; elle caractérise les époques où domine le sentiment du
divin
, et par conséquent les époques de fondation, d’or
statuaire. Enfin, l’art, devenu ainsi tout humain, mais héroïque, de
divin
qu’il était d’abord, subit sa dernière transforma
housiasme du beau le foyer de la vie morale, et, selon les paroles du
divin
Platon, il fait croître dans notre âme les ailes
fondateur de l’ère actuelle ; il aura du mélodieux apôtre de l’amour
divin
cette douce mysticité, ces charmes attendrissants
’art certains noms qui semblent marcher deux à deux comme des couples
divins
, comme d’harmonieuses antithèses reproduisant le
érences parmi les ouvriers sacrés entre qui les semences de la parole
divine
furent partagées, pour être répandues sur le cham
dividuelle. Une pareille maladie de l’âme est rare aujourd’hui, et le
divin
vieillard aurait des plaies moins nobles à panser
ne peut subsister devant la toute-puissance des choses, alors le fait
divin
n’existe plus pour elle, alors sa mission est fin
lation, inspiration, cet acte primitif apparaît comme essentiellement
divin
. Dès son apparition, ce grand fait primitif engen
hilosophie, qui démontra si admirablement le caractère impersonnel et
divin
de la raison, et qui a rendu tant de nobles servi
ve, et l’idée du progrès de la société, l’idée d’un fait antérieur et
divin
, d’une action génératrice de Dieu, et d’une coopé
oduit au dehors ; le destin est donc tantôt le résultat de la volonté
divine
, tantôt l’ouvrage de l’homme. En effet, dès le co
une ville plébéienne. Le plébéien possédera la même notion des choses
divines
et humaines et par conséquent les mêmes droits qu
fond de l’homme et l’homme docile à l’action de Dieu. Plus l’élément
divin
abonde, moins il y a de résistance et de lutte po
t anéantissement de tout obstacle qui appelle l’abondance de l’action
divine
? Il y a des âmes où l’effort est perpétuel, où l
hemin frayé. Est-ce à la virtualité des préceptes que nous devons ces
divins
artistes de l’ordre moral : les saint Benoît, les
tous ses hôtes le sentiment de l’infini, la soif dévorante de l’amour
divin
qui avait animé les premiers architectes. Dans l’
e chose ; elle nous semble consacrée d’en haut, investie d’un pouvoir
divin
. Au contact de ce feu céleste, l’homme tout entie
ropre perfectionnement moral, il est rare que l’action de cette force
divine
ne tourne pas, en définitive, au profit de l’huma
’appelait alors, par la sensation transformée, avec ce qui restait de
divin
dans l’homme, disparut de la littérature toute tr
homme et dans la nature. Ce principe de l’imagination, c’est la force
divine
elle-même, aussi libre, aussi insaisissable quand
s effets dans son domaine borné. Il a reçu aussi le don mystérieux et
divin
d’assembler dans un tout harmonieux la figure et
génie, par un don gratuit et imprévu. Tout homme a droit aux secours
divins
dans sa vie morale ; nul homme n’a droit au génie
ujet, que l’artiste demandera tout ce que la volonté peut obtenir des
divins
caprices de l’inspiration. Si déjà l’inspiration
eillement et ferveur. Vous écoutez en vain ; la voix désirée, la voix
divine
qui profère la parole créatrice restera muette en
n mot, puisqu’on appelle ainsi, parfois, les opérations de la Sagesse
divine
. Mais n’exagérons pas cette indépendance de l’ins
souffle pour chanter. N’est-ce pas là un aveu naïf de l’intervention
divine
dans l’inspiration ? De quel formulaire de rhétor
; elle n’apparaîtra qu’à son jour, à son heure ; peut-être la flamme
divine
est-elle pour toujours évanouie ! Combien de géni
offrir à l’esprit créateur une demeure si pure et si belle que l’hôte
divin
refuse à jamais de la quitter. IV. De la croi
constamment chéri tout ce qui pouvait me remettre en mémoire ces noms
divins
de Marathon et de Salamine, des Thermopyles et de
ester à cette sagesse d’avoir été la préparation humaine à la lumière
divine
de l’Évangile ? N’est-ce pas là une gloire immens
ence, sur le fatalisme la liberté et le mouvement. Si les proportions
divines
y sont rapetissées, si elles ont besoin d’être ra
homme qui est ici-bas l’image, la force, l’idole nécessaire de l’Être
divin
. Ces dieux que la Grèce adore, à qui elle a prêté
sagesse de Platon on veut ne voir qu’un écho des traditions de source
divine
qui circulaient en Orient, si l’on admet que l’es
vous de gouverner les intelligences par la puissance impersonnelle et
divine
de la vérité, de les soumettre à l’attrait purifi
se trouve que cette définition qu’elle nous en donne par la bouche du
divin
Platon renferme à la fois le caractère et la règl
utant que leur génie rationnel, ordonné, géométrique dans l’acception
divine
du mot, les garantissait des fascinations de cet
se trouver transporté dans la région sereine de ce qui est éternel et
divin
, on sent trop, à cette admiration mélancolique et
surhumain, l’art fait naître en vous le sentiment de l’éternel et du
divin
par celui de la perfection et du repos. Il n’a pa
ternité. La perfection et l’éternité, n’est-ce pas là le caractère du
divin
? c’est celui de la beauté des monuments grecs. A
ressusciter l’héroïsme, ainsi que nous allons chercher nous-même ces
divines
passions dans les flammes rallumées de nos enthou
par des reconstructions hypothétiques la physionomie de cette époque
divine
de la poésie. L’histoire nous fait assister cepen
ien des arts. Que la parole soit d’invention humaine ou de révélation
divine
, l’homme n’a possédé les autres arts qu’après avo
aux. La pensée humaine s’exprime à travers la poésie, comme la pensée
divine
à travers la nature, par des symboles. Le type du
s de sable qui composent ces mondes, sont des idées de l’intelligence
divine
, sont des mots et des syllabes d’un langage que p
n des arts ne reproduit qu’un petit nombre des qualités de ce langage
divin
. Entre tous les arts, la parole est l’art essenti
de la vie. Partout la nature nous révèle un monde invisible, un monde
divin
. Partout la nature nous dit quelque chose de la p
un monde divin. Partout la nature nous dit quelque chose de la pensée
divine
; et ce quelque chose, elle l’exprime avec des si
langage de la création. Son office est d’instruire l’homme des idées
divines
, de lui révéler l’infini. Il y a dans la nature u
une forme colorée, harmonieuse et vivante, plus elle s’approchera du
divin
langage de la création, plus elle sera puissante,
ement, c’est qu’au fond de cette langue merveilleuse il y a la pensée
divine
. C’est comme symbole d’une grande idée qu’une bel
tat élevé de l’âme qui se sent dirigée par l’aspiration vers le monde
divin
. La prose nous sert de guide à travers cet ordre
urnit une ample matière à la prose, mais il ne saurait porter le joug
divin
des rythmes et de l’harmonie. L’utilité d’un obje
imer seulement la beauté des choses afin de nous faire aimer le monde
divin
que cette beauté représente. Tout objet dont il e
ne poésie qui s’attache à ce qu’il y a dans les choses d’absolu et de
divin
; elle est frappée de la beauté, de l’ordre, de l
de tous les développements ultérieurs, cette précieuse initiation, ce
divin
enseignement, n’ont pas été conservés au même deg
anctuaire des idées, et semblable à ces disputes augustes que la main
divine
de Raphaël a personnifiées sur les murs du Vatica
; le respect de toute chose qui porte dans sa beauté le caractère du
divin
. Ce sentiment du respect, loin d’être un des cara
st la plus vraie de toutes les vérités. La beauté, comme s’exprime le
divin
Platon, a seule reçu en partage d’être à la fois
essif de l’individualité humaine, opposé à celui de l’universel et du
divin
. Le principe d’ironie auquel se rattachent la com
’Aristophane a tué Socrate. Le plus sage, le plus affirmatif, le plus
divin
des railleurs, voilà la première et la plus noble
clopédique parcourra l’univers pour voir s’il existe quelque chose de
divin
qui n’ait pas encore été bafoué. Hors lui-même, r
nons devenaient les héros et les martyrs des plus sérieux et des plus
divins
sentiments. Si notre littérature a été empestée p
ndeurs les plus infernales du scepticisme et qui monte jusqu’aux plus
divins
sommets de l’enthousiasme et de la foi. Depuis le
querie, n’existeraient pas. La face humaine garderait sa primitive et
divine
sérénité ; elle ne serait défigurée ni par les co
it encore qu’entrevoir l’horizon du bien ; déjà frappé au front d’une
divine
lumière, quoique ses pieds plongent encore dans l
l’autre, aussi pleins de vie, aussi jeunes qu’à l’heure où ces œuvres
divines
sortirent tout armées du cerveau rayonnant de la
’hommes sont venues mêler leur sang au sang de ses enfants : la Grèce
divine
a jeté des essaims sur ses rives méridionales ; l
i-même ses lois, il ne les reçoit plus toutes faites d’un législateur
divin
. Rome emprunta de la Grèce l’art et la philosophi
aison et par le cœur, l’homme participe à la nature infinie, au monde
divin
; par les sens et par le corps il participe à la
ce qu’elle est plus conforme à la manière dont se manifeste la pensée
divine
dont le langage est la création universelle, c’es
la forme la plus analogue à la poésie que se manifeste l’intelligence
divine
. Dieu a réalisé sa pensée dans une œuvre d’art et
gue de l’expression. La poésie vit d’idéal ; l’idéal, essentiellement
divin
, ne peut être enfermé qu’en partie dans une expre
qu’en partie dans une expression matérielle, le sentiment des choses
divines
est gêné dans les contours d’une formule trop pré
c’est parce qu’elle augmente dans notre cœur l’intensité de l’élément
divin
, qui est la vie de l’âme ; ce qu’elle cherche d’a
us parfait ; sa langue procède d’une façon plus semblable à la langue
divine
, à la création, dans laquelle chaque idée n’appar
ontologique de Dieu, le sentiment de l’infini, le sentiment de la vie
divine
, on ne le découvre pas plus dans les vers de Raci
t la pure spéculation ; ils se préoccupent fort peu de l’infini et du
divin
. S’il est rigoureusement vrai, comme nous le pens
ir dans ses créations la hiérarchie qui se manifeste dans la création
divine
. Comme le Créateur, il travaille sous l’empire d’
ette antique poésie qui, au fond, est restée la même de l’Iliade à la
Divine
Comédie, et de Polyeucte aux Méditations, ne saur
aire de notre siècle le plus lettré ne trouve rien de plus dans cette
divine
épopée que la matière d’une obscène et sacrilège
, quand l’histoire, la religion et la poésie ont restitué son auréole
divine
à cette rédemptrice de la France, il est permis à
c’est le sentiment religieux et tous ceux qui constituent avec lui le
divin
faisceau du spiritualisme qui se trouvent partout
a poésie. Déjà Chateaubriand avait rouvert aux imaginations la sphère
divine
du christianisme et leur avait montré dans le sen
i de cette perpétuelle illumination intérieure : alors une protection
divine
semblait veiller sur lui, à son côté restait fidè
ait deux fois mes chansons d’amour et mon Werther. Cette illumination
divine
, cause des œuvres extraordinaires, est toujours l
istorique. C’est superbe, mais cela ne vit plus. Le mensonge a tué le
divin
menteur. Il revient à Schiller. Jeudi, 31 mars 1
le monde ne se soutiendrait pas ; mais partout est répandue la force
divine
, partout agit l’amour éternel ! » Il y a quelque
ulement par notre propre force, mais aussi par le secours de la grâce
divine
. Vous devez avouer que cette conclusion, où l’âme
ue. En voici la preuve : « La lumière sans obscurité de la révélation
divine
est beaucoup trop pure et trop éclatante pour qu’
qui brillait dans la personne du Christ, élévation d’une nature aussi
divine
que tout ce qui a jamais paru de divin sur la ter
élévation d’une nature aussi divine que tout ce qui a jamais paru de
divin
sur la terre. « Dieu ne s’est pas du tout consacr
er frais aussi longtemps que possible. Frédéric écarta le drap, et la
divine
beauté de ces membres me remplit d’étonnement. Sa
thée, il change les notes de son clavier et il chante à demi-voix les
divines
naïvetés de l’amour innocent et domestique. Le mê
mages. Il faut avoir été introduit dans les mystères de la confidence
divine
pour interpréter ainsi les arcanes de ses dessein
de la parole, la mélodie. Corneille était aussi fort, mais pas aussi
divin
; Racine, moins philosophe et moins original. Nou
sent son origine indoue ; il faut remonter jusque-là pour trouver sa
divine
ressemblance. La race germanique est évidemment,
sciple, et adorons, sans espérer de jamais le revoir sur la terre, le
divin
maître du beau ! Lamartine. 1. Acteur du t
défendre, il me saisit par un pied, et me lança du haut des demeures
divines
. Tout un jour, je roulai à travers l’espace, et,
ème que le bon Héphestos apparaît grandiose à sa manière, et vraiment
divin
, transfiguré par le jour de flamme qui fait respl
te Nature qu’il atteste et à laquelle il ouvre son sein déchiré. « Ô
divin
Ether, Vents aux ailes rapides. Sources des Fleuv
elève, l’instinct royal qui couvait en eux se fait jour. L’initiateur
divin
mène, de front pour eux, toutes les œuvres et tou
erain tombé du polythéisme. Ses contemporains des premières dynasties
divines
avaient subi la même déchéance. Ouranos, depuis q
de l’Olympe déconcerte l’esprit moderne habitué à la fixité de l’idée
divine
. On comprend les cris de révolte que le poète pla
terre, qu’il a ses avènements et ses décadences, et que des dynasties
divines
s’y succèdent dans le cours des temps. — « Chanto
après eux, plus dégagé des scories de l’origine matérielle, vraiment
divin
par certains côtés, régulateur et conservateur, d
ès devient le chef des éphèbes, le prince de la jeunesse, le pur-sang
divin
de la race attique. Charidotès (Celui qui donne l
rès lui, frémissantes. Telles, des chauves-souris, au fond d’un antre
divin
, voltigent avec un bruit strident, quand l’une d’
ucase, Crucibus Caucasorum. Un autre Père tire hardiment un anagramme
divin
du nom du Titan, et il l’appelle Pro-Theus, symbo
ût un emblème de la Vierge Marie fécondée sous le souffle de l’Esprit
divin
. Prométhée rattaché aux deux Testaments par ces a
voyait qu’une ronde de petites sphères dansant au son de la lyre d’un
divin
Chorège, il a vu des milliards de mondes et des t
écurité l’avait adouci ; le monde dont il n’était au fond que l’image
divine
, en s’amendant lui-même, l’avait corrigé. Sa viol
orde ; l’Énéide de Virgile lui-même n’est qu’un poème historique ; la
Divine
Comédie de Dante n’est qu’une fantaisie de génie,
ombe pas sous nos sens, c’est ce que nous appelons l’esprit. L’esprit
divin
, incréé, illimité, infini, tout-puissant et tout
rel, caché mais sensible, qui remue, qui régit, qui gouverne le monde
divin
. IV Or que s’ensuit-il encore pour tout êtr
rale de cet être créé appelé homme ici-bas, et on ne sait de quel nom
divin
ailleurs. Si cela n’était pas ainsi, les trois gr
ger où nous agissons. Il s’ensuit que les poètes, ces organes réputés
divins
de l’imagination du genre humain, ont été forcés
es de Dieu, la création du monde en six grandes journées de l’ouvrier
divin
, qui sont peut-être des semaines de siècles ; la
e ; leur tentation allégorique de trop savoir le secret de la science
divine
, secret réservé seul au Créateur, inhérent à sa d
évélation par sentiment du bien et du mal ; leur citation au tribunal
divin
; les excuses de l’homme pour rejeter lâchement l
plus la chaire sous ses pieds, s’il respire à plein souffle l’esprit
divin
, et s’il épanche intarissablement de cette hauteu
basiliques, n’a jamais été qu’un organe de puissance ou de persuasion
divine
à nos âmes ! une voix qui ne parle qu’à des audit
t de majesté dans la parole. Ce sont des orateurs humains ; l’orateur
divin
, c’est Bossuet. Pour l’entendre, il faut d’abord
urel ; descendre de là tout rayonnant des foudres ou des miséricordes
divines
avec lesquelles on vient d’exciter les frissons o
its, ces horizons et ces environs, avec le sens et le goût des choses
divines
, qui est-il ?… Il a fait son livre comme une bonn
ho qui y jettent un ou deux cris qu’on entend toujours, quelques âmes
divines
comme sainte Thérèse, qui a fait, elle, son saut
ère de la vie actuelle et par la lettre, la lettre même des promesses
divines
. Or qui dit promesses divines, entend la foi. Nou
la lettre, la lettre même des promesses divines. Or qui dit promesses
divines
, entend la foi. Nous sommes donc en plein mystici
pourvu qu’on n’altérât jamais la pureté sans tache de cette félicité
divine
. L’Église a laissé faire au Dante son rêve immens
sparin. À sa manière elle a fait plus sur la question de personnalité
divine
que beaucoup de philosophes ; que M. Émile Saisse
de l’âme de sainte Thérèse dans cette protestante que la personnalité
divine
de Notre Seigneur Jésus-Christ transporte, mais c
cteur de nation, ne puisant qu’en lui-même le sentiment de la mission
divine
dont il se faisait l’organe inspiré comme un fils
de la part du plus sage des philosophes, une espèce de pressentiment
divin
, une manière de prédiction sans le savoir. Mais t
e aux yeux des hommes la manifestation la plus parfaite du sentiment,
divin
uni à la pitié et à la componction humaine. Puret
fort sage. Enfin c’est un homme qui, par son excellente beauté et ses
divines
perfections, surpasse les enfants des hommes. »
des égards vénérable, et il porte en soi bien des choses, humaines ou
divines
, qui ne se sauraient assez ménager. Les oiseaux d
sus-Christ, et qu’il serait sans miracles, il y a quelque chose de si
divin
dans sa doctrine et dans sa vie, qu’il en faut au
passé. Le panthéisme, d’un autre côté, en supprimant la personnalité
divine
, est aussi loin qu’il se peut du Dieu vivant des
’existence de Dieu les eussent laissés indifférents. Ils sentaient le
divin
en eux-mêmes. Au premier rang de cette grande fam
ue que l’Évangile 213. Les spéculations des Pères grecs sur l’essence
divine
viennent d’un tout autre esprit. Dieu conçu imméd
lité des signes extérieurs 223. La conception réaliste de l’avènement
divin
n’a été qu’un nuage, une erreur passagère que la
on est la chose essentielle de l’humanité, par là il a mérité le rang
divin
qu’on lui a décerné. Une idée absolument neuve, l
a. 263. Quod Deus immut., § 1 et 2 ; De Abrahamo, § 22 ; Quis rerum
divin
. hæres, § 13 et suiv., 55, 58 et suiv. ; De profu
t le consentement même des peuples. On s’est fort trompé sur le droit
divin
. Sans doute le droit divin ne consiste point à ad
peuples. On s’est fort trompé sur le droit divin. Sans doute le droit
divin
ne consiste point à admettre l’action de la Provi
les règles primitives de la société ont été faites par Dieu. Le droit
divin
n’est pas toujours visible comme dans la théocrat
la théocratie des Juifs, mais il n’est jamais suspendu. Nier le droit
divin
est une erreur analogue à celle de nier la créati
de nier la création. La nation anglaise, la première, a fait du droit
divin
un dogme antinational. Si une fois elle veut cons
Peut-être même sous ce point de vue était-il nécessaire que le droit
divin
fût nié par une société, parce que la résistance
vec Emerson, le héros devient le représentant de l’humanité, c’est le
divin
patron sur la véracité duquel le monde s’appuie.
que et de ses combinaisons numériques, le symbolisme profond des noms
divins
et la théorie merveilleuse des Séphiroth y sont e
a puissance magique… la force de toute force c’est l’adhésion au plan
divin
.” » Il est impossible de parler en détail de tou
lique, après l’avoir couronné de fleurs, en récompense de ses talents
divins
. Notre devoir est de le justifier aux yeux du sag
contagieuse critique, lorsque, appelé à ranimer ici l’amour d’un art
divin
, je le vois se dégrader chaque jour par l’effet d
encore le Dante outragé prendre lui-même la défense courageuse de sa
Divine
Comédie, dont il reste un moment le seul admirate
son gré de l’Olympe au Tartare : elle décore les hommes des attributs
divins
; elle agite les divinités de tous les sentiments
légorie ; et sa diction, exaltée par son sujet, brille de l’éclat des
divines
images qu’il peint dans ses vers inspirés. Avons-
uve pas même l’unité qui joint toutes les aventures racontées dans la
Divine
Comédie du Dante. Là du moins s’exécute le voyage
d’un plan particulièrement épique. Hésiode n’offre qu’une galerie de
divines
figures dont il trace magnifiquement les portrait
oreille attentive aux accents du poète ; « Les Muses, accourant à ses
divins
concerts, « L’écoutent, et Phœbus s’arrête dans l
s la couronna d’une palme nouvelle ; « Et l’on dit que, charmé de ses
divins
accords, « Permesse les apprit aux lauriers de se
descendre Énée aux sombres bords. « Jamais le fils de l’Hèbre et ses
divins
accords « N’ont d’un charme si prompt atteint le
urs, dès l’enfance remplis des menaces et des promesses de la justice
divine
. L’action du poète qui se passe au-delà de l’exis
cédé celui de l’Iliade, le premier avait en quelque sorte dessiné les
divins
acteurs que le second a fait mouvoir, et su group
, et su grouper en les intéressant à sa fable. De même l’auteur de la
Divine
Comédie est l’architecte qui sut bâtir l’immense
ive ; et toute l’action se conduit par un mystère qui la rend presque
divine
; on reconnaît à ce prompt aperçu du choix d’un t
gne de Tibère, vous jugiez le héros de l’action dépouillé d’attributs
divins
, et n’étant plus qu’un homme socratique, vous adm
combats la première origine : « Parle, remplis mon cœur de ta flamme
divine
. « Je peindrai le carnage inondant les sillons, «
e sur le mont des Oliviers, moment que suivent bientôt le jugement du
divin
réconciliateur, et son crucifiement sur le Golgot
ple dénouement. Renonçons à trouver l’unité dans ce chef-d’œuvre tout
divin
, que tant de grâce, lie variété, d’élévation et d
à répandre cette extraordinaire illusion qui rend naturel et vrai le
divin
et l’impossible. Invraisemblance d’une fiction
rentième séance. Sur le merveilleux en général, et sur le merveilleux
divin
, allégorique, et chimérique. Messieurs, « Le
’une partie des faits racontés résulte de causes incompréhensibles et
divines
. Il s’ensuit que les poèmes où l’usage des machin
nifiée du surnaturel ; pris spécialement, il est de trois sortes ; le
divin
, l’allégorique, et le chimérique. La première com
avons découvert trois sources originelles. Principe du merveilleux
divin
. La plus antique et la plus haute est celle qu
ns précédemment rapproché les ressemblances qu’établit ce merveilleux
divin
entre les combats des Dieux païens avec les Titan
aucun scrupule : c’est de là qu’il tient son caractère authentique et
divin
: quel qu’il soit, son usage vaudra toujours mieu
tion bien étrange et bien compliquée que celle qui masque les figures
divines
d’une religion avec les figures divines d’une aut
celle qui masque les figures divines d’une religion avec les figures
divines
d’une autre. Si l’apologiste prétend que le Camoë
e fois, ne doivent pas autant l’éclat de leur succès à ce merveilleux
divin
qu’à leur propre génie. Les inconséquences que le
disent ce que j’exprimai dans une ode sur leur doute : « L’enceinte
divine
est plus vaste, « Non resserrée en vos abris, « O
qu’un néant. Le merveilleux allégorique est moins puissant que le
divin
dans l’épopée. Mais ces êtres de raison, moins
de ses pensées ; il les laisse aussitôt se perdre dans le nombre des
divins
moteurs de son merveilleux. L’auteur de la Pharsa
st qu’un agent des puissances infernales en lutte avec les puissances
divines
. L’anarchie qui, certes, est une digne sœur du fa
ui surprend, frappe, saisit, attache. C’est aussi là ce merveilleux
divin
auquel ne peuvent suppléer dans l’épopée, ni le m
’a rien d’obscur. La fiction du poème épique doit donc se composer du
divin
, de l’allégorique, analysés tous deux dans notre
e, la Pythie errait dans son antre, roulant sa tête échevelée, le feu
divin
bouillonne dans ses veines ; elle porte dans son
dans la Pharsale est un être chimérique. Là tout porte l’empreinte
divine
et symbolique : voyons si la Thessalienne de Luca
conquérant de la Toison d’or conviennent-ils mieux à l’entreprise des
divins
argonautes, que les prestiges ennemis d’une encha
supposer en leurs prophétesses des facultés surnaturelles et presque
divines
; chez les Francs, accoutumés à croire que le bea
la force centrale ; Proballène, la force centrifuge : ces deux frères
divins
me représentèrent le système de la gravitation un
qu’à l’âme est un Dieu, centre d’intelligence. De là le merveilleux
divin
, ou sacré. Des divinités symboliques de tous les
us laisser oublier la distinction que j’ai faite entre le merveilleux
divin
, puisé dans les religions, l’allégorique, dans la
sont employés tous trois dans l’Iliade, l’Énéide, l’Argonautique, la
Divine
Comédie, et le Paradis perdu ; que l’un d’entre e
ines célestes et infernales. On n’inventera pas sans danger ces êtres
divins
, purement possibles, à moins que l’allégorie ne l
e pas assez les traits. Nous ne chercherons pas de caractères dans la
Divine
Comédie du Dante, qui n’étale qu’une galerie de p
ommuniquent avec eux, resplendissent de tout l’éclat, de leur majesté
divine
: elle brille dans les discours ainsi que dans le
e Jason réclame, en récompense de sa victoire, la dépouille du bélier
divin
qui porta Phryxus dans la Colchide, le perfide ro
re Ève, la confirme dans la résolution de ne jamais enfreindre la loi
divine
; et, pour mieux la préserver des écueils, il dés
i jure de contenter sa vengeance : « …… Et du revers de son sceptre
divin
« Du mont frappe les flancs : ils s’ouvrent, et s
qu’une suite de l’exposition ; les autres, qu’ils le voyaient dans le
divin
message de Mercure, ordonnant au héros de quitter
qu’il a tant aimée, lui échappe en tombant aux bras de la miséricorde
divine
. Rien de plus attendrissant que cette péripétie v
ssions, il faut qu’un génie naturel, directement reçu d’une influence
divine
, leur apprenne les mystères de leur art pour leur
toire digne de foi, que le récit incroyable de quelque aventure toute
divine
qu’une inspiration révèle à l’esprit agité d’un t
de celui-là. Que savons-nous de l’essence et des attributs des objets
divins
? rien autre chose que ce que nous en imaginons à
du poète, soit des récits et du dialogue des personnages naturels ou
divins
. Dès que l’art cesse d’en faire sentir la présenc
’être exempt de fautes, si l’on n’a quelque chose de surnaturel et de
divin
; que d’exceller en toutes les autres parties, ce
traits même aux dieux sont si doux, « Est quelque chose encor de plus
divin
que nous. S’il lui faut exprimer combien le plai
e naturelle dans l’accueil que les deux époux font aux deux voyageurs
divins
qui viennent les éprouver sous leur chaume hospit
autre sublime qui s’élève jusqu’à une grandeur inimaginable : « Les
divins
voyageurs, altérés de leur course, « Mêlaient au
« Il n’y a sans doute aucune comparaison à faire entre l’Iliade et la
Divine
Comédie, écrit le docte M. Ginguené ; mais, ajout
use sur les pas du guide qu’il a pris en sa descente dans l’enfer. Le
divin
cygne de Mantoue, qui se soutient toujours au sou
du jeune Télémaque, il se sentait ému et embrasé : je ne sais quoi de
divin
semblait fondre son cœur au-dedans de lui. Ce qu’
ndre le châtiment de la trahison et du suicide : Iscariot a vendu son
divin
maître ; déchiré de remords et de pitié, ne pouva
alheureux ; ces pieds et ces mains sont percés par le fer. « Ce front
divin
qu’il humiliait dans la poussière ; ce front d’où
de la douleur perce l’âme de sa mère : prends pitié de ta mère, fils
divin
; soutiens-la, empêche-la de mourir. « Si j’étais
ables. Moralité du Dante. Enfin celui-là par le spectacle de sa
Divine
Comédie, vous étale les supplices réservés au cri
ls n’y songent pas. L’indéfini, qui naît de la combinaison humaine et
divine
de l’infini et du fini, leur échappe. Pourvu qu’i
tant follement de déraciner l’écueil. XXI Il y a une puissance
divine
contre laquelle l’humanité, dans la personne de s
d de toutes ces illusions de la chair, excepté chez Victor Hugo, trop
divin
pour se matérialiser. Lisez ses doctrines lyrique
e ; il fait le grand voyage humain et terrestre vers le céleste et le
divin
; il a ses haltes où il rallie le troupeau attard
essement qu’un acteur qui arrive à sa réplique, obéissant au scénario
divin
, ils entrent dans le tombeau. Et ce combat sans e
ucun ne le haïssait. Mais ils attaquaient la branche cadette du droit
divin
dans Louis-Philippe comme ils en avaient attaqué
rd par la Grèce, qui l’a passé à l’Italie, qui l’a passé à la France.
Divins
peuples éclaireurs ! Vitæ lampada tradunt. « C
ant son niveau, et lui retire cette intelligence à la fois humaine et
divine
du but universel, qui fait les nations missionnai
e à une justice inexpliquée, puisqu’elle est fatale, ce qui veut dire
divine
: semblable, j’en conviens, au prisonnier des tén
neté absolue de Dieu. Que la société, sans cesse pénétrée de l’esprit
divin
, qui est un esprit de paix et non de guerre, s’in
pérer nos misères et pour désarmer l’utopie, le ciel nous a laissé un
divin
intermédiaire, l’assistance mutuelle, cette chari
et. Tournons encore, nous sommes avec Magdeleine éperdue aux pieds du
divin
Sauveur. Tournons toujours : voici l’amour terres
ité de la divinité. Là, prosterné devant elle, nous bénissons l’amour
divin
; le tout se termine par une réhabilitation de Bé
sens, et c’est là ce qui caractérise les véritable maîtres. Quand le
divin
Homère, au moment de mettre en présence ses héros
re. Instrument exquis, il ne peut vibrer que sous un souffle libre et
divin
. Nulle main humaine ne peut effleurer ses cordes
souverain absolu, irresponsable ? C’est admettre une royauté de droit
divin
contre laquelle je vous avertis que je me révolte
pérance et le blasphème, entre la fureur sauvage et l’attendrissement
divin
. Vous êtes la plus impétueuse personnification de
us limpides et plus sereines. Cherchez votre Béatrix dans les cercles
divins
. Toute vision de poète emporté dans l’extase est
trent, à leur insu peut-être, mais inévitablement. Quand ces lumières
divines
se rallument sur la terre, elles entrent dans tou
ient le ciel ouvert, quand nos cœurs sentent une bonté et une justice
divines
, et quand les plus belles intelligences de ce mon
qu’en apparence, et dont le type, conservé au sanctuaire de la pensée
divine
, refleurit maintenant dans quelque jardin du ciel
orte raison, les rêves de sentiment, qui ont besoin de l’intervention
divine
pour se réaliser. Il est hors de doute pour nous
r organisation ? Cette douce et intelligente fauvette, ce poétique et
divin
rossignol détruisent des millions d’insectes et d
icieux, petits ou grands, l’autre qui regarderait comme d’institution
divine
le soin de maintenir, par une sage prévoyance, l’
nt dans l’esprit comme des miroirs tournés vers un monde de prestiges
divins
, où notre œil n’eût su ou osé se fixer. Le rude e
hercher l’origine et la source du beau. Il les trouve dans le procédé
divin
, dans ce qu’il appelle les idées, qu’il ne faut p
ue, comme vous et moi, toutes choses à une conception et à un procédé
divins
: « Si quelqu’un, dit-il, s’avisait de demander p
rer le sens poétique à votre usage de cette simple définition, l’idée
divine
. Si je vous disais, avec d’autres philosophes, qu
’idée à l’intérieur, qui saisit l’idée à l’extérieur, c’est l’élément
divin
en nous qui reconnaît l’élément divin hors de nou
à l’extérieur, c’est l’élément divin en nous qui reconnaît l’élément
divin
hors de nous ». — Voilà, en effet, d’excellentes
conclut, c’est que le beau est l’expression la plus élevée de la vie
divine
, et que le sentiment du beau est l’expression la
n ! Quand nous serons ailleurs, nous jugerons peut-être mieux l’œuvre
divine
; mais ici-bas, on ne peut voir qu’avec les yeux
ni d’univers soumis probablement à une certaine unité de plan, l’idée
divine
s’est faite pensée dans un être supérieur aux aut
ez-vous pas d’ici que rien n’est laid, que tout est beau dans l’œuvre
divine
, et que cette notion du laid dans la nature, posé
: je tiens pour le beau absolu comme pour le bien absolu dans l’idée
divine
. Le laid et le mal n’existent pas en Dieu ; nous
onfondu avec celle de l’idée générale. Si toute création est une idée
divine
, Julie a raison de ne pas vouloir entendre dire q
’est qu’elle me fait voir beaux et grands ces coins de paysage et ces
divins
petits êtres qui animent le ciel et les bois de l
et de leur chant ; c’est qu’elle me fait aimer passionnément l’œuvre
divine
dans la moindre de ses idées ; que dis-je ! c’est
a chapelle des Médicis, la statuaire n’avait réalisé l’idée de la vie
divine
dans la vie humaine avec cette sublimité. Il y a,
les splendeurs de la matière, et à l’idée tout l’éclat du rayonnement
divin
. Sur cette grande science, et sur cette large com
n prototype convenu pour déclarer inférieures toutes les autres idées
divines
, on pousse des générations d’élèves à faire de l’
écessaire qu’elle apporte dans nos conventions est inutile au procédé
divin
. Cette antithèse a été apportée dans notre monde
notion du beau et du bien qu’en commençant par gâter souvent l’œuvre
divine
. Alors il essaye de choisir entre ce qu’il a fait
critiquer avec plus d’orgueil que de clairvoyance la création, l’idée
divine
elle-même. — Nous nous entendons, dit Julie. Ce q
r une pendule de la Restauration. Les prétendus écarts de la création
divine
me jettent dans la rêverie ou dans l’émotion ; il
e temps. Nous sommes beaucoup trop portés, quand il s’agit des choses
divines
, à en restreindre la possession à nous-mêmes, à n
t et de pitié qui domine le poème. D’abord, on voit ce type de vertu,
divine
sur la montagne avec le tentateur qui lui montre
douleur jusqu’à ce qu’une larme tombe des yeux de Jésus. Cette larme
divine
transforme le diable en chérubin. Esprit d’amour
Méphistophélès si naïf. Nous pensions assister à la lutte de l’idéal
divin
contre la réalité cynique ; nous voyons que cette
l de gloire et de puissance surhumaine qui n’est pas pourtant l’idéal
divin
; il n’est ni assouvi ni entraîné par les passion
le sujet qu’ils devaient encadrer, c’est-à-dire la lutte du sentiment
divin
contre le souffle de l’athéisme. Ce n’est pas le
es sphères nouvelles ; mais cette existence sublime, ces ravissements
divins
, comment, ver chétif, peux-tu les mériter ? C’est
l’orgueil et de la curiosité soit échauffée par un sentiment d’amour
divin
, à peine trouvera-t-on quelques mots qu’il fallai
égorie ingénieuse voilant le culte de la matière et l’absence d’amour
divin
. Une seule pensée d’amour eût ouvert à Faust cet
s lois régulières maintenues dans notre progrès humain par la sagesse
divine
. Cette sagesse ne l’a pas voulu ainsi. Mais elle
ise autrement que Spinoza et Goethe ; il ne matérialise pas la pensée
divine
, il spiritualise, au contraire, la création matér
nfred, à la manière des païens pythagoriciens, prête du moins une vie
divine
aux muettes beautés de la nature, ou leur attribu
ordre et le hasard aveugles, celui de Manfred la sagesse et la beauté
divines
. Voilà pourquoi Byron, moins artiste que Goethe,
!… Byron me semble beaucoup plus préoccupé de la science des choses
divines
que M. de Lamartine lui-même. M. de Lamartine acc
rant, et voyez le rôle que joue chez Byron l’homme animé d’un souffle
divin
, en regard avec tout le rôle qu’il joue dans Goet
de l’archange, et cet archange, c’est l’homme, éclairé enfin du rayon
divin
que Dieu a mis en lui ; car son œuvre à lui homme
ont vous imposteurs, vous impies, vous calomniateurs de la perfection
divine
, l’avez enveloppé. Il ne faut pas oublier qu’à ce
n d’hypocrites ou d’athées : — Non ! l’âme ne meurt pas ; un instinct
divin
, supérieur à vos analyses métaphysiques et anatom
compensera elle-même, par la connaissance d’elle-même et de la vérité
divine
, ses pensées coupables ou vertueuses ! Ô misérabl
qui travaillent à ton émancipation ? Entraîné malgré toi par une loi
divine
, tu recueilles à ton insu les bienfaits que de gr
es inspirations sublimes, les mystérieuses douleurs de l’intelligence
divine
comprimée dans l’étroite et dure prison de la vie
caste dont aucun de tes membres doive être exclu. Il n’y a pas de loi
divine
ni sociale qui t’enchaîne à la rudesse de tes pèr
vrai, mais avec une force surhumaine, à la connaissance de la justice
divine
. Là est tout le drame, et non pas dans la tentati
les pieux élans, la sainte indignation, les songes prophétiques, les
divines
extases des victimes. Mais ces récompenses célest
; c’est la voix de l’humanité tout entière qui invoque l’intercession
divine
et proteste contre le règne de Satan… Mais Konrad
se, et que son intelligence s’ouvre à la vraie connaissance des voies
divines
. Pour nous résumer, nous dirons que nous voyons d
comprendre la vie autour de soi dans ses lois régulières et vraiment
divines
, dans la nature expliquée par science ou idéalisé
isons que, dans tout grand homme, il y a l’homme terrestre et l’homme
divin
; que l’un des deux, soit l’un, soit l’autre, peu
a force de l’Amérique du Nord, quelque chose de moins sage et de plus
divin
que la coutume, l’opinion et la croyance officiel
ue si jamais la main de l’homme a élevé un temple digne de la majesté
divine
, c’est incontestablement celui-ci. » Suivons enc
ui dans sa fraîcheur matinale, à demi assoupi encore dans le placenta
divin
. C’est en cela que la nature de ce petit chef-d’œ
Il veut savoir, il veut surprendre et saisir le sens caché des signes
divins
imprimés sur la face de la terre ; mais il n’a em
ivinités, symboles imparfaits de la vie partout féconde, éternelle et
divine
; il eût voulu dissoudre son être dans les élémen
dieux, qui m’attiraient dans leurs faveurs secrètes, Dans des pièges
divins
prenaient mes sons nouveaux. Dans les réduits sec
st autre que le déchirement de la pitié dans un être trop pur et trop
divin
pour accepter la loi ; mourant enfin dans les bra
a terre ? Notre poésie, enfin, ne l’avons-nous pas conquise par droit
divin
sur tous les peuples qui viennent aujourd’hui nou
out entières, et de qui l’on peut dire ce qui est écrit dans le livre
divin
à propos des heureux de ce monde : « Ils ont reçu
’instruments et des bouffons, pour la rendre gaie et lui conserver ce
divin
sourire qu’après quatre ans d’efforts le maître p
après quatre ans d’efforts le maître parvint à saisir. En vérité, ces
divins
maîtres du passé eussent été de grands paresseux
est par le goût, le délicat, la fin, le négligent d’un tour simple et
divin
; il l’est dans son Télémaque, dans ses essais de
hauts génies, depuis Virgile jusqu’au vicomte de Chateaubriand et au
divin
vieux maître Camille Corot. Très longtemps. M. Si
harmonie parfaite et formidable de son mouvement s’allient aux grâces
divines
de la Fontaine des Muses pour faire de cette œuvr
igeait sur l’Acropole et s’imposait au peuple comme une manifestation
divine
. La place me fait défaut pour analyser dignement
rouve, en créant, quelque chose d’analogue au plaisir que la création
divine
donne à celui qui crée, — l’attrait divin, le pla
au plaisir que la création divine donne à celui qui crée, — l’attrait
divin
, le plaisir de Dieu en créant l’homme et les mond
ystère ! Et elle s’endort dans ce mot humain, seule explication de la
divine
énigme. Cependant, ne pouvant pas en découvrir l’
l’univers ne découvriront pas hors de la volonté d’un premier moteur
divin
la loi de leur circulation. Or, comme le Cosmos n
elle apportera un nouveau mot qui remplacera dans un néant de plus la
divine
, ineffable et constante volonté de l’auteur des m
ils reconnaissent en eux et qu’ils se refusent à reconnaître dans son
divin
principe, Dieu ! La pensée qui a tout conçu avant
s sont créées pour recevoir et subir les lois de Dieu. Donc la pensée
divine
qui crée en pensant, et la matière inférieure qui
à des pesanteurs et des gravitations ! mais voilà tout ! « La volonté
divine
, nous ne la voyons pas, donc elle n’est pas. Un g
des cœurs, par cette pensée dont Dieu le fait participant, communion
divine
qui nourrit l’homme de l’essence de Dieu lui-même
a dit M. Saisset et comme je le crois, la question de la personnalité
divine
; si, au terme où est arrivé l’esprit humain, il
on Essai de philosophie religieuse, pour le compte de la personnalité
divine
, quelque découverte qui fasse avancer cette quest
ien trouvé qui m’éclairât d’un jour inconnu et fécond la personnalité
divine
que nous autres catholiques nous savons éclairer
n’ose rien de dogmatique et de réellement décisif sur la personnalité
divine
, d’abord parce que le déisme pur ne le permet pas
Ratisbonne, Louis (1827-1900) [Bibliographie] La
Divine
Comédie, traduction (1857). OPINION. Théo
fidélité scrupuleuse qui n’exclut pas l’élégance, tout l’enfer de la
Divine
Comédie, depuis le premier cercle jusqu’au dernie
lans de cet amour tendre qui est en voie de se transformer en passion
divine
et en charité. La demi-pénitente (comme elle s’ap
le temps approche. En vérité, ses sentiments ont quelque chose de si
divin
, que je ne puis y penser sans être en de continue
era, c’est que le sermon de M. de Condom (Bossuet) ne fut point aussi
divin
qu’on l’espérait. Quand on lit aujourd’hui le se
il s’attache à définir et à décrire les deux amours, le profane et le
divin
, « l’amour de soi-même poussé jusqu’au mépris de
r et des efforts de l’âme repentante pour se dégager et revenir à son
divin
principe, il y avait pourtant bien des traits d’u
Cette belle âme, réalisant désormais en elle les qualités de l’amour
divin
, se considéra jusqu’à la fin comme l’une des dern
v du livre III de l’Imitation, où sont exprimés les effets de l’amour
divin
, qui n’est dans ce chapitre que l’idéal de l’autr
ce magnifique dictionnaire dont les feuillets, remués par un souffle
divin
, s’ouvrent toujours juste pour laisser jaillir le
ques, par exemple, l’importation de la terza rima, de ce rythme de La
Divine
Comédie qui n’avait pas reparu dans notre poésie
craindre que jamais elle soit abattue Dans un marbre ignoré, dans un
divin
métal, Le Poète a sculpté lui-même sa statue. Il
es amis, avec une fille chérie, Dans un libre pays, au bord d’un lac
divin
, Pouvant vivre tranquille et manger à ta faim, Tu
sle Toi, dont les yeux erraient, altérés de lumière, De la couleur
divine
au contour immortel. Et de la chair vivante à la
à sentir Dieu en elle. L’homme lui-même n’est-il pas une incarnation
divine
? L’incarnation est donc possible. Maintenant ell
âme humaine. En même temps que l’incarnation témoigne de la puissance
divine
, la rédemption témoigne de la bonté de Dieu. Le p
e admet la liberté humaine, peut et doit admettre au moins la liberté
divine
. L’athéisme seul et le panthéisme sont conséquent
ts en niant les miracles. Le spiritualisme, admettant la personnalité
divine
, n’a pas le même droit. S’il admet en outre, comm
er métaphysiquement. Les nier métaphysiquement, c’est nier la liberté
divine
et entrer à pleines voiles dans le panthéisme et
panthéisme, à cette idée d’une nature éternellement vivante et par là
divine
, qui semble le fondement des cultes antiques de l
tait le disciple, les croyances qu’il avait recueillies sur l’essence
divine
de l’âme et la vérité absolue, fortifiées de sa p
banni du ciel, obligé de regagner par ses épreuves ici-bas le séjour
divin
qu’il a perdu, et leur frayant lui-même la route
u-dessus des eaux du Céphise, ou si ce furent les Curètes d’Ida, race
divine
, ou les Corybantes de Phrygie, que le soleil vit
dit : « Homme, prends courage96 cependant : les mortels sont une race
divine
à qui la nature sacrée révèle toute chose. — Abst
les de Vinet, ceux, par exemple, qu’il a écrits sur Jocelyn ou sur la
Divine
Épopée, qui sont quelque peu théologiques et qui
on a le talent de Vinet, il est fâcheux de l’employer à soupeser des
Divines
épopées ou les romans d’un Drouineau. C’est du te
jours de Soumet de plus. Il est effrayant de penser que Vinet a lu la
Divine
Epopée. Il est vrai qu’il avait avalé Prométhée e
es extraits des lettres à Lutteroth : 7 janv. 1841 : J’ai parcouru la
Divine
Epopée. Quelle idée ! quel christianisme ! En vér
nd article. » 7, 8 et 9 avril (longue lettre où il est question de la
Divine
Épopée.) 12 avril : Je suis persuadé que vous n’a
je l’avoue, il est bien indifférent que j’aie mal ou trop peu loué la
Divine
Épopée, et vous, Monsieur, vous m’en voudrez moin
abrège pas tout) une nouvelle série d’articles pour constater dans la
Divine
Épopée la première œuvre complètement, largement
binaisons paraissent plus communes que jamais, la versification de la
Divine
Épopée ne relève pas du procédé ; le procédé pour
rne pour ne pas les entendre. Réjouissons-nous pourtant de ce que les
divines
beautés de l’Évangile trouvent encore des admirat
éché, ramenée à Dieu par le repentir, et lentement épurée par l’amour
divin
. C’est un pèlerinage angoissé et douloureux dont
tre les moments de l’homme naturel et les états de celui que la grâce
divine
a touché. L’imagination, retentissement de l’âme
nt tomber, vaincue et dégradée, au bord d’un désespoir où la clémence
divine
la relève et la recueille. Un jeune homme, nommé
tuelle ; pas un point ne reste indifférent autour de nous pour le but
divin
; tout grain de sable reluit. Un pas qu’on fait,
oulever la pierre d’un tombeau ; elle palpite sous cette pierre d’une
divine
angoisse qui fera éclater sa prison ; mais elle n
; il n’est pas le premier, non plus, qui ait parlé en vers des choses
divines
et des perspectives éternelles ; mais il est le s
inspirée : Certes, la Grèce antique est une sainte mère, L’Ionie est
divine
: heureux tout fils d’Homère ! Heureux qui, par S
arrière ; encore une fois, et sans vouloir donner le nom vrai, le nom
divin
de la situation qui se produit à nos regards, tou
ennent, sous l’influence de la grâce, comme sous l’action d’un greffe
divine
, ces forces que la grâce ne détruit pas, ces beso
au de montrer les vents d’orage devenant une haleine pacifique, et le
divin
, coulant dans la forme du caractère individuel, d
s la forme du caractère individuel, devenir humain sans en être moins
divin
. Il n’est pas moins intéressant de faire voir ce
; et si aucun fait humain n’est aussi large, aussi complet que l’idée
divine
qu’il aspire à représenter, il a, dans son imperf
, un anneau étincelant et rayonnant dans la chaîne des communications
divines
. Là encore il y a du vrai, et il n’y a qu’à souff
sez dialectique ; mais elle est tout imbibée, tout inondée d’une sève
divine
. Partout la charité surnage ; chez tous elle a pr
ubsisté. Les saints, penchés sur leurs nues, assistent, sous l’œil du
divin
poète, à un drame composé de quatre journées, et
u Calvaire, au moment où la foule y conduit Jésus. Elle passe avec le
divin
condamné devant la maison d’Ahasvérus. La foule,
tranquille, j’en suis certain. Je me fais mille chimères sur l’amour
divin
: si je pouvais le goûter, sûrement elles se diss
t lui députe ses rois ; le monde se prosterne devant la crèche, et le
divin
enfant, déjà martyr au berceau, accepte avec amou
de son auréole, mais il ne l’était pas également de scinder cet Etre
divin
, et, en lui laissant sa charité, de lui enlever s
s, quelquefois criminels, elles ont, sans le savoir, pratiqué l’amour
divin
? Poète, poète, je vous y prends ; votre sérieux
, le point encore obscur d’où le soleil doit jaillir. La foi, l’amour
divin
peuvent seuls, selon le poète, accomplir notre de
t que, sous le nom du Père Eternel, c’est l’Histoire qui siège sur le
divin
tribunal ; mais cela même nous apprend que la res
ment de reconnaissance devient le doux principe de notre morale et la
divine
onction de notre vie. Que s’il entraîne un sentim
nt saint et bon, l’idée d’un salut inespéré, obtenu par un dévouement
divin
, l’idée enfin d’un Dieu dont la charité a fait un
, dans une certaine mesure, pour les sociétés, de même que la justice
divine
, dont le plein effet, dont le triomphe est réserv
des facultés inconnues, des sens nouveaux dans sa foi au sanglant et
divin
mystère, en un mot, une foule d’éléments confus,
urais trop que je ne puis faire aucune de ces choses, sans altérer le
divin
modèle vers lequel j’oserais à peine tourner mes
fragile ; Et d’une impérissable argile Il environne les esprits. Le
divin
potier, d’une eau sainte, Épure l’âme neuve encor
sprit humain le gouvernement du monde. C’est à la loi morale et à son
divin
garant, c’est à la Providence, céleste boussole d
cuse. Le peuple, si vous pouviez le consulter, dirait avec l’instinct
divin
qui est dans la foule : Périsse le peuple plutôt
ns limité, ils le peuvent sans mettre en péril le dogme de la liberté
divine
, tandis que dans les annales d’un ou de quelques
la vraie position de l’être moral en face de la loi morale et de son
divin
auteur. Quelque abus qu’on ait fait d’un certain
moins cette civilisation fut-elle le support ou le véhicule de cette
divine
philosophie ? On ne voit rien de tout cela ; on n
ent en désaccord avec la force des choses ? Alexandre Soumet. La
Divine
épopée 2 volumes in-8°. — 1840. Premier a
chaos, de son trône de fer, Séparait, entouré de visions funèbres, Le
divin
Paradis du séjour des ténèbres238. Voilà le lieu
s accordés dans la langue des cieux : Harmonieux trésor des phalanges
divines
, Et tombant de leur lèvre en perles cristallines.
y retournent, car ils n’ont été sur la terre que l’ombre d’une pensée
divine
; ils étaient du ciel avant d’être de la terre :
les mains d’Idaméel enflamme le courroux de Cléophanor, qui brise le
divin
talisman, enchaîne sa fille au célibat par d’irré
iblement ; la croix grandissant incessamment vers le ciel, y porte la
divine
victime, et avec elle tout l’enfer, transporté pa
lance, l’enfonce dans le cœur de Jésus, où elle atteint et consume le
divin
amour. Aussitôt le corps de Jésus se détache de l
peut se réfuter ; c’est peine perdue de prouver à un chrétien que la
Divine
Épopée est une belle chose ; s’il faut un sens po
œuvre d’art est assujettie, leur intérêt le plus vif est acquis à la
Divine
Epopée. Et vraiment si je devais accepter de conf
de cette composition ? N’a-t-on pas, sur un premier aperçu, placé la
Divine
Épopée entre les chefs-d’œuvre de Dante et de Mil
tradition, rien n’a été tenté, je le crois, de plus audacieux que la
Divine
Epopée. Ce n’est pas, certes, sur un seul point q
s parents, ou même seulement leurs noms. Au contraire, l’auteur de la
Divine
Épopée se place sur le terrain et au beau milieu
êter longtemps en présence de celui qui porte sur le sujet même de la
Divine
Epopée. Ce poème a pour sujet, et devrait avoir p
tition flétrit tellement dans notre esprit le caractère de ce mystère
divin
, qu’il nous semble que s’il eût été au pouvoir de
rions pas nous permettre un rapprochement injurieux ; mais puisque la
Divine
Épopée a bien osé dresser une seconde fois la cro
e de cette idée, sans la partager toutefois, que M. Soumet a écrit la
Divine
Epopée. Au reste, cette répétition arbitraire de
’un dessein librement et spontanément formé dans le sein de l’essence
divine
; mais il donne à la seconde incarnation un autre
tif de Dieu ? qu’est-ce qui le détermine ? à laquelle des perfections
divines
correspond le repentir de celui qui « n’est pas h
partie du poème. Si quelqu’un, parmi les nombreux lecteurs qu’aura la
Divine
Épopée, après s’être interrogé sur ses impression
d’écrire. En attendant, je dirai avec le regret le plus sincère : La
Divine
Epopée, s’appuyant sur une base fausse et se comp
olte de Dieu par l’amour fut doublée279. Cet amour n’est pas l’amour
divin
; c’est un amour de femme que, dans le monde, on
a coquette chapelle de Notre-Dame-de-Lorette, il a pu faire écrire la
Divine
Epopée. Que gagnent les femmes, dans leur caractè
ieur à la seconde incarnation de Jésus-Christ une compassion trop peu
divine
pour un simple chagrin d’amour. Nous admettons qu
prétendait bien ne pas ébranler, ne reçoit-il pas du dénouement de la
Divine
Épopée l’ébranlement le plus intérieur et le plus
habitants du ciel ; leur droit est dans leur nom même, qui, révélé au
divin
crucifié, les qualifiera d’autant mieux pour leur
e qui revoit son cher fils qu’elle avait cru mort… Je ne sais quoi de
divin
coule au travers de leurs cœurs comme un torrent
encore plus loin de la vraie spiritualité. Il n’y en a point dans la
Divine
Epopée, et nulle part aussi peu que dans les endr
sa foi et de son bonheur. On allègue, en apologie des témérités de la
Divine
Épopée, les témérités analogues de quelques poète
re fort défectueux, mais qu’au moins il était chrétien. Rien, dans la
Divine
Épopée, n’est si digne de censure que cette erreu
, n’est si digne de censure que cette erreur du public au sujet de la
Divine
Épopée. Cette erreur, qui a donné naissance au po
s nôtres, en des temps de foi et de sérieux, si un ouvrage tel que la
Divine
Épopée avait pu voir le jour, notre tâche de crit
n sujet plus beau, plus pathétique et moins téméraire que celui de la
Divine
Épopée. Ce sujet, je le répète, est compris dans
dition n’entraîne-t-elle pas une méchanceté pire ? L’ordonnance de la
Divine
Épopée est belle, vraiment épique. Chacun de ses
ied de poème philosophique, et réduit à ses partis philosophiques, la
Divine
Épopée a droit à de grands éloges. Il est probabl
t l’homme que nous voulons voir. Or, c’est l’homme qui manque dans la
Divine
Epopée ; ce que l’auteur nous donne pour des cara
du moins elle exclut une critique, celle qui voudrait ne voir dans la
Divine
Épopée qu’un ample recueil de beaux vers. Certes
lgents que celle de la grâce. Le paradis, les femmes, les anges de la
Divine
Épopée rappellent trop le style des gravures de k
pour âme ! Fournaise où ne se trempe aucun mâle ressort, Nul bouclier
divin
de ses forges ne sort ; Ses vaisseaux, sur les me
es à leur degré, et auxquels il ne manquait, pour placer bien haut la
Divine
Épopée, que d’être appliqués à une conception plu
ons supprimer une réflexion qui se présente à nous. Si l’auteur de la
Divine
Épopée eût mieux compris le christianisme, il aur
mites de la clémence suprême et demander un dernier miracle à l’amour
divin
, le chrétien se prosterne avec respect devant le
lons du ciel pour en couvrir le front de sa maîtresse ; ce poème tout
divin
dont il a fait l’exécuteur de ses vengeances et l
, n’avons-nous pas senti les miraculeux apaisements de la miséricorde
divine
! combien de fois n’avons-nous pas senti, à certa
in du poète. Ils ne prendront pas, malgré ses ailes, le chantre de la
Divine
Épopée pour un moucheron ; et d’ailleurs ils save
vie, celui qui a connu « les miraculeux apaisements de la miséricorde
divine
», celui qui a senti « la force rédemptrice triom
je l’avoue, il est bien indifférent que j’aie mal ou trop peu loué la
Divine
Épopée, et vous, Monsieur, vous m’en voudrez moin
abrège pas tout) une nouvelle série d’articles pour constater dans la
Divine
Épopée la première œuvre complètement, largement
binaisons paraissent plus communes que jamais, la versification de la
Divine
Épopée ne relève pas du procédé ; le procédé pour
, un ordre général que les théologiens ont appelé l’ordre de la grâce
divine
, et qu’ils ont essayé de retracer. Mais bien des
cercle immense où se meut librement et par mille circonvolutions, la
divine
miséricorde du Père des esprits. La marche de la
pour dernier mot obéissance ; c’est assez dire que l’idée de la grâce
divine
s’élève entre ces deux termes comme intermédiaire
de la contemplation, ils ont offert à leur moderne nourrisson la même
divine
pâture ; nouveaux Jean-Baptiste, ils ont fait par
est malade, c’est à tout l’homme, à tous ses besoins que s’adresse le
divin
secours de la rédemption ; et peut-être certains
retenu cet avertissement ! Arthur a été du nombre des heureux. Cette
divine
nature, hospice des âmes blessées, recevait en lu
use que nous sommes tous autorisés et invités à chercher à une source
divine
, la main qui les lui présente est, en général, un
es faveurs célestes ! le pain et le vin, des munificences infinies et
divines
! Si vous m’épargnez vos châtiments, ô mon Dieu !
ments et de toutes sortes de magies, ne contiennent au fond ni vérité
divine
ni sagesse. Et quand ce ne sont point de ces paro
e l’homme ne s’était encore mêlé, l’ébauche incomplète d’une création
divine
, enfin la coïncidence frappante et nécessaire des
t repentant ; essayez votre parole humaine sur ces âmes que la Parole
divine
n’a point encore travaillées ; vous verrez que vo
forme simplement humaine, qui est à la fois et par cela même sa forme
divine
, puisque Dieu seul pouvait, sous toutes les indiv
onseil, et marcher droit à la lumière, c’est-à-dire droit à la Parole
divine
, fallût-il même (ce que je ne crois point nécessa
des enfants de la rébellion. L’homme, par rapport à Dieu et à la loi
divine
, n’a pas cessé d’être sauvage. Tel fut le mouveme
de son heureux génie, mais parce que dès l’entrée de sa carrière, le
divin
Donateur l’avait dispensé de chercher. D’autres s
elle faute ou crime, il l’appelle péché ; il y voit avant tout la loi
divine
violée, l’amour divin outragé. Il n’en saurait fa
l’appelle péché ; il y voit avant tout la loi divine violée, l’amour
divin
outragé. Il n’en saurait faire un objet d’art et
entis (cela marche de front) aux grandes manifestations d’un principe
divin
dans les personnages éminents de cette histoire.
54. Semeur, 21 avril 1841. 255. Luc, XII, 48. 256. Epigraphe de la
Divine
Epopée. 257. Zaïre. Acte II, scène III. 258.
insérée, à sa demande, dans le Semeur*, où l’étude de M. Vinet sur la
Divine
Epopée avait été publiée en quatre articles. La r
ons dit que le ministre de l’Instruction publique avait décidé que la
Divine
Epopée serait donnée en prix dans les collèges. N
t où est tombé son disque. Le poëte théologien circule dans son monde
divin
avec une liberté et une sérénité d’enfant qui jou
u moyen âge et des temps modernes, une lecture d’Homère, comparé à la
Divine
Comédie, à Faust ou aux épopées indiennes, une ét
s sculptures de marbre, d’ivoire et d’or, tous ces corps héroïques ou
divins
qui mettent sous les yeux de l’homme les images a
ompeurs ; prenons pour flambeau la révélation, la foi, l’illumination
divine
. Par la pénitence, le renoncement, la méditation,
à tour le grand poëme chrétien et le grand poëme païen, d’un côté la
Divine
comédie, de l’autre l’Odyssée et l’Iliade. Dante
sent à l’éblouissement mystique, et le poëme tout entier, infernal ou
divin
, est un rêve qui commence par le cauchemar, pour
nvoqué comme un dieu33. Toutes les grandes puissances naturelles sont
divines
en Grèce, et il ne s’est point encore fait dans l
s et de jeunes filles représentaient en public la légende héroïque ou
divine
. Un de ces ballets sacrés, le dithyrambe, devint
iomphe public, et les vers du poëte y associaient la cité et tous ses
divins
protecteurs. Entourés de ces grandes images, exal
ges, côtes de la mer lustrée, un peuple de figures toutes vivantes et
divines
comme aux jours d’Homère, et peut-être plus divin
outes vivantes et divines comme aux jours d’Homère, et peut-être plus
divines
encore. Et cependant de loin en loin nous entendo
pre de concevoir, de vénérer et d’adorer les puissances naturelles et
divines
. C’est ce genre particulier d’émotions et de croy
de formes pittoresques, c’était pour y épurer et agrandir les figures
divines
. La sagesse nouvelle ne détruisait pas la religio
disaient les Grecs, la majesté des dieux. Pour avoir le sentiment du
divin
, il faut être capable de démêler, à travers la fo
e vivante, immortelle, créatrice, et ce sentiment durait toujours. Le
divin
imprégnait les choses ; on leur parlait ; vingt f
oche, appelle à lui tous les grands êtres qui peuplent l’espace : « Ô
divin
Ether, Souffles rapides, Sources de fleuves, Sour
ravir le cœur des mortels et des dieux. Lorsqu’un peuple sent la vie
divine
des choses naturelles, il n’a pas de peine à démê
n’a pas de peine à démêler le fond naturel d’où sortent les personnes
divines
. Aux beaux siècles de la statuaire, cet arrière-f
, un fleuve, surtout s’il est inconnu, est par lui-même une puissance
divine
; l’homme, devant lui, se sent en présence d’un ê
d’esprit, réunissait dans la même émotion l’adoration d’une personne
divine
et la divination d’une force naturelle. « Amour,
demi-réfléchie, demi-involontaire qu’il établit entre les personnages
divins
et les éléments physiques61, si l’on remarque qu’
en général, ni la terre universelle qu’elle a sentis comme des êtres
divins
, c’est son ciel avec son horizon de montagnes ond
es autres. Là, toute la légende, toutes les cérémonies, tous les noms
divins
élevaient dans l’esprit un vague et grandiose sou
la mort : tout sourit autour de lui. Là est le secret de cette gaieté
divine
des poèmes homériques et de Platon : le récit de
qui nous l’a souvent apporté, le Paradis, dans les flots de son azur
divin
!… Il n’y a ici que le jeune homme d’avant le poè
la supériorité des choses infinies sur les choses finies, des choses
divines
sur les choses humaines. Il a chanté Dieu et un D
de devant comme ils y mettent leurs pieds de derrière, que le naturel
divin
de Lamartine n’était pas du naturel. Et, au fait,
d’un être qui n’en était pas moins réel parce qu’il était naturel et
divin
… On lui reprochait sa manière de voir et de repré
elles on sentait l’absence de sérieux : c’est le défaut radical de sa
Divine
Épopée, au sujet de laquelle M. Vinet a dépensé,
em du Tasse, les Lusiades de Camoëns, la Messiade de Klopstock, et la
Divine
Épopée, qu’il ajoutait d’autorité à cette illustr
lume d’aigle, présent d’un ami, et avec laquelle il avait écrit cette
Divine
Épopée, était suspendue comme trophée au-dessus d
contre les vipères et les ours, sous les ombrages enlacés du laurier
divin
et du myrte, enfant magnanime que j’étais, non sa
lle ont su le mieux, parmi les Grecs, régler ce qui concerne le culte
divin
, toujours attentifs à placer les temples à part,
ontait qu’Apollon l’aimait et lui donnait des marques de cette faveur
divine
. Le soir, disait-on, le prêtre, au moment où il f
e, comme les lettrés le sont rarement, après l’avoir été dans le sens
divin
comme ils ne le sont jamais ! Ils souffriront peu
t sans aucune défiance. Je n’en aurais pas pour garants les promesses
divines
et les expériences de la vie, déposant toutes de
chez ce disciple de Jésus-Christ, comme il s’était fait chair en son
divin
Maître, qu’il ne pensa jamais qu’à imiter, — imit
re de tous les temps, mais l’action humaine se mêle en lui à l’action
divine
. Il va, il vient il se remue, il se précipite dan
ncerte. L’antique voie de fait de quelques-uns sur tous, nommée droit
divin
, touche à sa fin. La légitimité, la grâce de Dieu
e travail de l’histoire courtisane. La grâce de Dieu procrée le droit
divin
. Louis XIV dit : l’État, c’est moi. Madame Du Bar
entre est oriental, et quelque peu occidental aussi. Les sultans sont
divins
; leur cimeterre est sacré, leur poignard est sub
pper et diriger le sens moral de la jeunesse. La légitimité, le droit
divin
, la négation du suffrage universel, le trône fief
e civilisation. Pas un historien de cette série ne montre du doigt la
divine
filiation des prodiges humains, cette logique app
le progrès. Toutes ces phrases, expression d’une idée unique, l’idée
divine
, écrivent lentement le mot Fraternité. Toute clar
l’Asie et l’Amérique ; mais il est plus utile encore d’avoir fait la
Divine
Comédie et Hamlet ; aucune mauvaise action n’est
Guérin n’embrasse que son frère ; mais quelle grâce et quelle passion
divine
dans cette attitude éplorée qui résume toute une
la forme, l’image de Dieu est là-dessous. Nous avons tous une beauté
divine
, la seule qu’on doive aimer, la seule qu’on doive
t, même à la campagne. Ils maniaient, avec leurs grosses mains, cette
divine
opale aux nuances de vapeur, aussi indifféremment
On perd ! III Elle aimait mes rêves Et j’aimais les siens
Divins
; Et nos heures brèves Passaient sans témoin
……………… Premiers vers de Guérin, flûte de pâtre qui balbutie une note
divine
, mais où une haleine comme celle de Mozart a déjà
e le potier, avec sa main puissante et douce, ce vase précieux où ses
divines
préférences devaient reposer, ne voulut pas qu’el
en s’y posant, le fit choir dans l’éternité. Semblable, par la marque
divine
, au Maurice qu’elle avait tant aimé, elle lui fut
u polythéisme. Par ses maximes sur l’éternelle justice, la providence
divine
, la pitié pour les faibles, la punition des mécha
CHŒUR. « Elle va prophétiser sur ses propres malheurs. L’inspiration
divine
est restée à son âme asservie par l’esclavage. CA
insi coupable, se flatte d’écarter de son âme les traits de la colère
divine
? Si de tels actes sont honorés, faut-il encore m
ée où Bacchus, toujours en fête, se promène entouré du cortège de ses
divines
nourrices, où, sous une céleste rosée, le narciss
d’un gouverneur de prince, au lieu du souvenir de cette invisible et
divine
maîtresse, dont l’innocent Hippolyte croit entend
la terre sacrée fertile en moissons, et les frémissements des fleuves
divins
, et la mer bruyante ; car l’œil infatigable de l’
dieux immortels ainsi nous sommes les plus anciens de tous les êtres
divins
. » Ce qui suit cette étrange cosmogonie, ce qui
dans la profondeur du courant ; elles poussent de grands cris, et le
divin
Ulysse se réveille : il se redresse alors, et dan
? Levons-nous, et essayons nous-même de tout voir.” « À ces mots, le
divin
Ulysse, en se dégageant des branches, brise de l’
et l’engagent à se baigner dans le courant du fleuve ; mais alors le
divin
Ulysse leur parle ainsi : « “Femmes suivantes, te
s’éloignent à ces paroles qu’elles rapportent à Nausicaé. Aussitôt le
divin
Ulysse, à l’aide du fleuve, dégage ses membres de
éir. Elles déposent auprès du héros les aliments, le breuvage ; et le
divin
Ulysse, après avoir supporté tant de maux, mangea
ait quand ils atteignirent le bois renommé consacré à Minerve. Là, le
divin
Ulysse s’assoit et implore aussitôt la fille du g
le frère de son père Neptune, dont le courroux violent persécutait le
divin
Ulysse jusqu’à ce qu’il eût retrouvé son pays. »
es jeunes années, vers les rives du fleuve où Crithéis mit au jour le
divin
prodige ; vers ce Mélès qui m’a laissé apercevoir
n esprit n’aillent pas te priver de la vie heureuse. Médite la parole
divine
, ne la perds jamais de vue ; dirige vers elle tou
ui se cachent de peur qu’on ne se moque, non d’eux-mêmes, mais du don
divin
qu’ils portent en eux. Que voulez-vous ? c’est un
nuits terribles, sans la consolation des affligés, sans ce confident
divin
qui veille à mon chevet, qui ne s’endort jamais,
re, assis au pied du figuier sauvage sous lequel il méditait le Néant
divin
. Ce sentiment de la vanité infinie des choses, de
t sera subjugué dans la terre de Cécrops, — y compris les cavernes du
divin
Cithéron, — Zeus accorde à Athéné que des murs de
nent ; mais pars, — Tourne-lui le dos, tu lui feras face un jour. — Ô
divine
Salamine ! tu seras funeste aux enfants de la fem
-d’œuvre, elle contenait des prodiges. Héphestos (Vulcain), l’orfèvre
divin
, avait, dit-on, modelé, pour le plafond de cuivre
ccourues à l’appel d’un chef. Quand les Perses approchèrent, l’Archer
divin
apparut sur la double cime du Parnasse, armé de l
as, blotti dans le rocher qui le supportait. Invisible, d’autant plus
divin
: sa présence n’était attestée que par le gâteau
é à végéter sur le rocher de Cécrops, étouffant en germe les colonnes
divines
d’Ictinos. Les statues de l’antique école de Déda
pace de ses pieds ailés, et payant de son dernier souffle la vélocité
divine
de sa course. Aussitôt après la victoire, Pausani
l, était bien plus merveilleuse. Elle personnifiait cette télégraphie
divine
qui propage parfois les grands événements par-des
dieu de la vraie lumière. Il y eut choc entre les deux astres, et le
divin
Phœbus abattit Ormuzd sous sa flèche ailée. L’hyp
vant un auditoire de beaux éphèbes couronnés de joncs ! Cette musique
divine
des idées aurait-elle pu résonner sur ses légers
t à ne demeurer ignorant d’aucune des choses qui ont rapport aux lois
divines
et humaines…, je résolus, quoique occupé alors à
nnemi, qui, seul de tous les mortels, revendiquait pour lui, de droit
divin
, l’impunité, l’enlaça dans ses propres lois, l’ac
alut et la liberté presque perdus, guidés par lui, vénérateurs de ses
divins
vestiges imprimés partout devant nos yeux, nous s
endu Dieu terrestre et charnel ; ils ont changé son essence sacrée et
divine
en une forme extérieure et corporelle ; ils l’ont
e, ineffable et immortel amour ! toi enfin, troisième substance de la
divine
infinitude, esprit illuminateur, la joie et la co
eux, quel magnifique usage on peut faire de la poésie dans les choses
divines
et humaines »… « Elle est un don inspiré de Dieu,
nies de tours » ; surtout s’abandonner à la mélodie, aux enroulements
divins
des vers suaves, et aux songes charmants qu’ils f
ut-il qu’un mélange mortel d’argile terrestre — exhale l’enchantement
divin
de pareils accents ? — Sûrement quelque chose de
’enchantement divin de pareils accents ? — Sûrement quelque chose de
divin
habite dans cette poitrine. — Comme ils flottaie
e dans la chair et abrutie, jusqu’à ce qu’elle perde entièrement — le
divin
caractère de son premier être. — Telles sont les
syrienne. — Bien au-dessus d’eux, dans une lumière rayonnante, — le
divin
Amour, son glorieux fils, s’élève — tenant sa chè
ême l’antique exaltation des psalmistes et des apôtres, de recréer la
divine
légende, de ressentir l’ébranlement sublime par l
rachetées. Le protestantisme n’avait ni altéré ni renouvelé la nature
divine
; conservateur du symbole accepté et de l’ancienn
du l’homme, il n’avait point recréé Dieu. Ce n’était point une épopée
divine
qu’il pouvait produire, mais une épopée humaine.
and hire, much more must we think him a most imperfect and incompleat
Divine
, who is so far from being a contemner of filthy l
ke themselves heavenly and spiritual, they began to draw down all the
divine
intercourse betwixt God and the soul, yea the ver
firmament of the church ; how the bright and blissful Reformation, by
Divine
power, strook through the black and settled night
me, ineffable and everlasting Love ! and Thou, the third substance of
Divine
infinitude, illuminating Spirit ; the joy and sol
d grove. 502. Can any mortal mixture of earth’s mould Breathe such
divine
enchanting ravishment ? Sure something holy lodge
s clotted by contagion, Imbodies and imbrutes till she quite lose The
divine
property of her first being ; Such are these thic
théologiens prirent la plupart des choses matérielles pour des êtres
divins
; la même poésie, occupée maintenant d’exprimer l
La première langue avait été la langue hiéroglyphique, ou sacrée, ou
divine
; la seconde symbolique, c’est-à-dire employant p
ieux l’appellent moly . Chez les Latins, Varron s’occupa de la langue
divine
; et les trente mille dieux dont il rassembla les
ent tout ce qui s’élève au-dessus de leur faible capacité. Les fables
divines
des Latins et des Grecs durent être pour eux les
eux les premiers hiéroglyphes, les caractères sacrés de cette langue
divine
dont parlent les Égyptiens. 2. La seconde langue,
eux étaient des hommes, et croyaient leur nature héroïque mêlée de la
divine
et de l’humaine. Les trois espèces de langues et
dans leur origine, mais avec trois différences capitales : la langue
divine
fut très peu articulée, et presque entièrement mu
forma la langue poétique, composée d’abord de symboles ou caractères
divins
et héroïques, qui furent ensuite exprimés en locu
atmosphérique, qui semble correspondre plus spécialement à la nature
divine
de notre être. L’homme, par un instinct occulte,
entir et pour les exprimer sur les limites de ces natures humaines et
divines
qui se touchent et se correspondent en lui, l’hom
mme n’a pas eu longtemps le même langage pour exprimer l’humain et le
divin
des choses. La prose et la poésie se sont partagé
t la création. Il a parlé des choses humaines, il a chanté les choses
divines
. La prose a eu la terre et tout ce qui s’y rappor
r tous les sens à la fois et pour l’âme, ce sens intellectuel, résumé
divin
et immortel de tous les sens. Donc à une impressi
le vice, parce que la vertu est au fond la plus forte, comme la plus
divine
des émotions. XIV Voilà pourquoi les vrais
gorgeaient les sens, offraient en même temps à l’esprit des philtres
divins
. Ces Fêles Dionysiaques étaient nombreuses à Athè
tenant une verge couronnée de fleurs, criait : Eleleu Iou ! Iou ! — «
Divines
branches », — chantait la foule, — « qui portez d
rels, mortellement blessés, puis ressuscitant sous ses yeux. Des vies
divines
expiraient et refleurissaient dans les plantes. U
e cette servitude. — « Les Sycioniens, dit-il, rendaient des honneurs
divins
à Adraste, et célébraient ses malheurs par des ch
de l’enfant dans une chaudière enchantée autour de laquelle Pan — la
divine
Nature qui transforme et qui ressuscite — exécuta
burnéenne marquait toujours sur leur corps l’endroit où la toreutique
divine
avait opéré. Quant à Tantale, jeté au Tartare, il
uvernent le monde, mais des Génies bienfaisants. Croire que ces Êtres
divins
pussent se repaître de la chair des hommes, était
e ciel se faisait sombre autour de cette race ; le trésor des colères
divines
amassé par elle tomba sur ses fils. Avec Atrée et
et les jours à étudier dans les choses éternelles le texte des codes
divins
. Rien ne le troublerait dans sa profonde et austè
qu’il y a toujours, et dans tous les cas, quelque chose de sacré, de
divin
et de vertueux dans ces deux grands sentiments su
Il aime le soleil. La Bible est son livre. Virgile et Dante sont ses
divins
maîtres. Toute son enfance, à lui poëte, n’a été
üe ainsi de mon coeur, pour un homme qui sçait faire quelque chose de
divin
. La ressemblance des idées que le poëte tire de s
es études qui forment les peintres et les poëtes. Si cet enthousiasme
divin
, qui rend les peintres poëtes, et les poëtes pein
isans, s’ils n’ont pas, comme le dit Monsieur Perrault, ce feu, cette
divine
flâme, l’esprit de notre esprit, et l’ame de notr
▲