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1 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre VIII : Hybridité »
préjugeait en général que la stérilité des croisements entre espèces différentes était une loi absolue dont les causes étaient au-
espèces. Examinons d’abord la stérilité des croisements entre espèces différentes , ainsi que la stérilité de leur descendance hybri
mais il tranche quelquefois le nœud de la question ; car, en dix cas différents , où il a trouvé à l’expérience que les croisement
es expériences faites sur leur faculté de croisement fécond, soit par différents observateurs, soit par un seul pendant plusieurs
evoir un traitement convenable. Par l’intermédiaire des insectes, les différents individus de la même variété hybride peuvent alor
me temps deux familles d’hybrides provenant de deux croisements entre différents individus des deux souches pures, pour éviter pen
entre l’Oie commune et l’Oie de Chine (A. cygnoïdes), deux espèces si différentes qu’on les range généralement comme des genres. di
n, qui avait élevé deux hybrides provenant des mêmes parents, mais de différentes pontes ; et de ses deux oiseaux, il réussit à éle
une fécondité parfaite. On est étonné de voir de combien de manières différentes et curieuses cette loi de gradation peut se prouv
ère anorganique. Depuis ce zéro absolu de la fécondité, le pollen des différentes espèces du même genre déposé sur le stigmate de l
en est de même des hybrides dont la fécondité se trouve souvent très différente chez les divers individus provenant du même fruit
ux espèces de pouvoir s’allier. On peut prouver que des plantes, très différentes par leurs habitudes ou par leur aspect général et
ersistantes, des plantes habitant des stations diverses et adaptées à différents climats peuvent quelquefois être facilement crois
tte dernière loi est prouvée avec toute évidence par les résultats si différents des croisements réciproques entre deux espèces ;
ur mélange ? Mais pourquoi donc alors le degré de stérilité est-il si différent , selon que le croisement a lieu entre telle ou te
oduire des hybrides et ensuite arrêter la propagation subséquente par différents degrés de stérilité, qui ne sont en aucune façon
’une pour l’autre. Pourtant, que la taille des deux plantes soit très différente , que l’une soit ligneuse et l’autre herbacée, à f
nnent pas avec une égale facilité sur le Coing. Il en est de même des différentes variétés de l’Abricotier et du Pêcher sur le Prun
port de la faculté de croisement, de même aussi Sageret pense que les différents individus des deux mêmes espèces ne se prêtent pa
trouve à greffer l’une sur l’autre ou à croiser ensemble des espèces différentes , soit une propriété ou un don spécial ; bien qu’à
s où se trouvent les hybrides avant et après leur naissance sont bien différentes  : une fois nés, s’ils demeurent dans la contrée o
els les organes sexuels sont plus ou moins atrophiés, le cas est tout différent . J’ai plus d’une fois fait allusion à un ensemble
is l’organisation a été troublée par le mélange de deux organisations différentes de structure et de constitution : car il est impo
qu’un semblable parallélisme s’étend à une autre série de faits très différents et cependant alliés. C’est une croyance bien viei
s très distincts de la même espèce, c’est-à-dire entre des membres de différentes souches ou sous-races, donne une grande vigueur e
femelles de la même espèce, qui ont varié et sont devenus légèrement différents les uns des autres, donnent à la fois vigueur et
t-à-dire opérés entre des mâles et des femelles qui sont devenus très différents , ou même spécifiquement différents, ne produisent
des femelles qui sont devenus très différents, ou même spécifiquement différents , ne produisent que des hybrides plus ou moins fra
ur dans les observations qui précèdent, puisque les variétés, quelque différentes qu’elles soient les unes des autres dans leur app
a fécondité parfaite de tant de variétés domestiques, si profondément différentes les unes des autres en apparence, telles, par exe
euvent en général se transporter impunément en d’autres contrées très différentes sous le rapport du climat, du sol, etc. L’homme n
ême couleur produisent plus de graines qu’entre des fleurs de couleur différente . Cependant ces variétés de Verbascum ne présenten
une espèce sont croisées avec une autre espèce, les hybrides sont peu différents . Mais, autant que je puis le savoir, cette règle
uer sa ressemblance à l’hybride ; et il en est de même, je pense, des différentes variétés végétales. Chez les animaux, il est non
ait lieu entre deux individus de la même variété, entre deux variétés différentes , ou enfin entre deux espèces distinctes. Laissant
tre les deux mêmes espèces sont généralement affectés d’une stérilité différente et parfois très inégale. Elle n’est pas non plus
’analogies parallèles : de même qu’un croisement entre des formes peu différentes donne une vigueur et une fécondité toute particul
sur l’autre, bien qu’elle dépende évidemment d’autres conditions très différentes , augmentent ou diminuent cependant avec une sorte
2 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre XIII : Affinités mutuelles des êtres organisés »
ture, car il est notoire qu’on observe très communément des habitudes différentes chez les membres du même sous-groupe. Dans le sec
qu’ils se font les uns aux autres pour s’emparer d’autant de stations différentes qu’il leur est possible dans l’économie naturelle
ifications, par suite de l’adaptation de ces diverses espèces à leurs différentes conditions de vie. Il est un fait qui prouve que
hysiologique, sa valeur au point de vue de la classification est très différente . Pas un naturaliste ne peut s’être occupé de quel
rganisation n’est d’une importance universellement constante dans les différents groupes d’êtres vivants. L’importance d’un ensemb
ales, ou de rassembler des choses semblables et de séparer des choses différentes . Mais je dois m’expliquer plus complétement. Je c
généalogique, afin d’être naturel ; mais j’admets aussi qu’entre les différentes branches ou groupes alliés au même degré de consa
ce qu’on exprime en rangeant la série entière des formes connues sous différents genres, familles, sections ou ordres. Le lecteur
les uns des autres au même degré de consanguinité, a pu devenir très différente . Néanmoins leur arrangement généalogique reste ri
omme un arbre généalogique ; mais la valeur des modifications que les différents groupes ont subies doit s’exprimer par leur arran
tandis que d’autres, par suite des migrations, de l’isolement ou des différents états de civilisation des races qui les ont parlé
me espèce les diverses phases de la larve d’un même individu, quelque différentes qu’elles soient l’une de l’autre et de l’état adu
s signes plus sûrs des véritables affinités qui relient entre eux les différents êtres. Peu nous importe qu’une particularité quel
distinctes, et surtout parmi celles qui ont des habitudes de vie très différentes , elle prend, par cela même, une haute valeur ; ca
des groupes entiers et nombreux d’organismes adaptés à des habitudes différentes , on peut être à peu près certain, d’après la théo
finités entre les divers membres de la famille des Baleines ; car ces différents Cétacés se ressemblent par tant de caractères de
e l’élément généalogique dans la classification des variétés, quelque différentes qu’elles soient de leurs parents ; et j’ai la cro
prime souvent par le terme d’Unité de type. C’est-à-dire que chez les différentes espèces de cette même classe les divers organes s
La connaissance de ces rapports mutuels entre des formes en apparence différentes constitue la Morphologie. C’est la branche la plu
rtance des relations de connexité entre les organes homologues. Leurs différents éléments anatomiques peuvent varier et changer pr
rte qu’on peut donner les mêmes noms aux os homologues d’animaux très différents . On retrouve encore la même loi dans la structure
s la structure de la bouche des insectes. Que peut-il y avoir de plus différent en apparence que la longue trompe roulée en spira
Coléoptère ? Cependant tous ces organes si divers et destinés à de si différents usages sont formés au moyen d’un nombre infini de
ressante, c’est l’examen comparé, non plus des mêmes parties chez les différents représentants de la même classe, mais des différe
parties chez les différents représentants de la même classe, mais des différentes parties ou organes chez le même individu. La maje
mi les fleurs, que des organes, qui, à l’âge adulte, deviendront très différents , sont parfaitement uniformes pendant les première
de la Chauve-souris, puisqu’ils sont destinés à des usages totalement différents  ? Pourquoi un crustacé, pourvu d’une bouche extrê
ils construits sur le même modèle, quoique adaptés à des fonctions si différentes  ? La théorie de sélection naturelle nous permet d
aires primitifs, plusieurs fois répétés, et les aura adaptés aux plus différentes fonctions. Et comme la somme entière de ces modif
rtains organes qui, chez l’individu adulte, doivent être un jour très différents et servir à diverses fonctions, sont au contraire
lète identité dans le mode de formation de la tête et du tronc de ces différents animaux. Les extrémités, il est vrai, manquent en
euses. Les ressemblances de structure que les embryons d’animaux très différents , mais de la même classe, peuvent avoir entre eux,
e rapport avec leurs conditions de vie particulières. Le cas est tout différent lorsque l’une quelconque des phases de la vie emb
temps que de grandes ressemblances entre les embryons d’animaux très différents dans la même classe, que nous pouvons aisément no
ent parfaitement identiques ? Comment expliquer que les, embryons des différentes espèces de la même classe se ressemblent générale
les Chiens, soutiennent que le Lévrier et le Bouledogue, bien que si différents en apparence, sont en réalité des variétés proche
poulains des Chevaux de trait et des Chevaux de course étaient aussi différents que les individus de pleine taille : ce qui me su
taient produits à l’état de nature. Mais lorsque les oisillons de ces différentes races furent placés les uns à côté des autres sur
es se sont modifiées par sélection naturelle, d’après leurs habitudes différentes . Il résultera de ce que toutes les variations lég
’autre côté, il est avantageux aux petits de contracter des habitudes différentes de celles de leurs parents, et, conséquemment, d’
rs parents, et, conséquemment, d’être construits d’une manière un peu différente , il suit, du principe d’hérédité des variations à
petits ou les larves peuvent devenir, par sélection naturelle, aussi différents des adultes qu’on peut l’imaginer. De telles diff
sont exactement de la même nature. Un organe servant à deux fonctions différentes peut devenir rudimentaire et s’atrophier seulemen
re quelquefois. Dans la détermination des parties homologues chez les différents membres d’une même classe, rien n’est plus fréque
us de certaines conditions, peut devenir nuisible sous des conditions différentes , comme on l’a vu pour les ailes des Coléoptères q
ous considérions le même plan déployé dans les organes homologues des différentes espèces d’une même classe, quelles que soient du
e la ressemblance de l’embryon et de ses parties homologues, chez les différentes espèces d’une classe, bien que les individus adul
ien que les individus adultes et leurs organes homologues soient très différents les uns des autres, et adaptés à des habitudes to
très différents les uns des autres, et adaptés à des habitudes toutes différentes . Les larves sont des embryons actifs qui ont pu s
re logique les divers objets classés sont séparés par leurs attributs différents , et identifiés sous les mêmes noms par leurs attr
3 (1911) La valeur de la science « Première partie : Les sciences mathématiques — Chapitre III. La notion d’espace. »
ayons un instant de l’adopter, nous verrons que deux cercles de rayon différent recevront tous deux le nom de droites non-euclidi
si ce nouvel élément correspond à un ensemble d’impressions trop peu différentes , ou bien au contraire que la distinction est poss
uver des objets très petits. Il est inutile d’ajouter que deux objets différents , quoique l’un et l’autre très petits, pourront pr
et l’autre très petits, pourront produire des impressions extrêmement différentes , mais je n’insiste pas sur cette difficulté qui e
e même que celui que je me représente maintenant ou si c’est un point différent . En d’autres termes, comment savons-nous si le po
la préexistence de la notion d’espace. Si nous supposons deux objets différents qui viennent successivement occuper la même posit
nous, les impressions que nous causeront ces deux objets seront très différentes  ; si nous les localisons au même point, c’est sim
ommun. Mais, étant donné un objet, on peut concevoir plusieurs séries différentes de mouvements qui permettraient également de l’at
ttraient d’atteindre ce point, on aura plusieurs manières entièrement différentes de se représenter un même point. Si l’on ne veut
nte se pose : pourquoi jugeons-nous que toutes ces représentations si différentes les unes des autres représentent pourtant un même
e, et pourtant ces deux changements sont regardés par nous comme très différents  ; le premier est un déplacement, le second un cha
rtant du bord de la rétine ; ces deux sensations sont qualitativement différentes  ; et sans cela comment pourrais-je les distinguer
lors suis-je conduit à juger que ces deux sensations, qualitativement différentes , représentent une même image qui s’est déplacée ?
e du bleu au bord ? Je n’aurais que quatre sensations qualitativement différentes , et si l’on me demandait si elles sont liées par
deux changements internes correspondant à des sensations musculaires différentes . Ici encore je puis faire cette constatation sans
rie S″ de sensations musculaires qui généralement seront complètement différentes , puisque ce seront d’autres muscles qui seront en
quelque moyen de reconnaître que ces deux sensations, qualitativement différentes , ont quelque chose de commun. Or, d’après les con
nts, nous n’aurions pu reconnaître que ces deux sensations de qualité différente avaient quelque chose de commun ; nous n’aurions
tait immobile. Deux sensations de même couleur affectant deux parties différentes de la rétine m’apparaîtraient comme qualitativeme
litativement distinctes, au même titre que deux sensations de couleur différente . En me restreignant aux sensations rouges, je m’i
sensations rouges affectant un point de cette ligne, ou celles qui en différent trop peu pour en pouvoir être discernées. L’ensem
ou du moins de sensation de convergence et d’accommodation assez peu différentes pour ne pouvoir être discernées. À ce compte, la
rce qu’elles seraient accompagnées de deux sensations d’accommodation différentes . Donc C″ serait à son tour continu, et aurait une
4 (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre V. Le Bovarysme des collectivités : sa forme idéologique »
utres qu’elle n’est : elle se conçoit destinée à des modes d’activité différents , par certaines nuances, de ceux que ses antécéden
ales d’autres modes de Bovarysme qui les contraignent de se concevoir différentes d’elles-mêmes dans leur activité la plus profonde
e dans ses racines se voit imposer aussi et par là même une floraison différente . Dans une étude publiée dans Le Mercure de France
entielles de son énergie, à l’image d’un modèle élaboré par un groupe différent . Avec Les Déracinés, avec Le Voyage dans la vallé
collectivités sociales se conçoivent à la ressemblance d’une activité différente est l’idée générale et ce fait mis en lumière dev
r autre qu’il n’est, sollicité par l’un ou l’autre de ces deux foyers différents de fascination : le modèle étranger et le modèle
est alors seulement que le groupe auquel il appartient, s’étant conçu différent de lui-même, disparaît comme entité sociale disti
L’artifice par lequel le vainqueur persuade le vaincu de se concevoir différent de lui-même c’est celui qui a été désigné comme l
ent de l’idée générale, un ensemble d’attitudes et de manières d’être différentes de celles que leur eût suggérées leur hérédité so
rationnelle, une attitude d’utilité propre à une physiologie sociale différente . Ce Bovarysme idéologique entre de quelque façon
rmation de toute moralité collective. Mais il s’y comporte de manière différente selon que l’énergie sociale qui vient aux prises
qu’un culte nominal, se bornant à inscrire son nom sur des phénomènes différents engendrés par son activité propre. Il exploite ai
mmes animés des mêmes besoins et qui appartiennent à des nationalités différentes . C’est ainsi, qu’à l’heure actuelle, le prolétari
tions nationales qui classent ses membres parmi des groupes nationaux différents . À vrai dire le fait que la plupart des hommes ap
ysiologies sociales distinctes s’assimilant l’idée selon des procédés différents , selon des quantités variables et appropriées à l
verselle, ce qui fut une attitude d’utilité pour un groupe déterminé, différent d’elle et d’un degré plus intense de brutalité. À
vue d’une physiologie qui n’est pas la nôtre, et qui a des réactions différentes . Cette dilution s’ajoute chez nous à celle que no
gine une hérédité, des traditions, des coutumes et des idées morales, différentes de celles qui ont été élaborées chez nous au cour
politique et dispersée désormais, pour garantir sa sécurité parmi les différents pays à la vie desquels son destin l’appelait à se
élioré, peut, au moyen de clauses réciproques, assurer aux hommes des différentes nations une sauvegarde, une protection, une liber
nt pour elles quelques bons morceaux. VI On vient de considérer différents cas, où une collectivité humaine se conçoit diffé
de considérer différents cas, où une collectivité humaine se conçoit différente d’elle-même pour avoir subi la suggestion d’une i
on du passé n’est pas de nature à causer un danger analogue. Le temps différent , comme l’espace différent, est une cause de chang
ature à causer un danger analogue. Le temps différent, comme l’espace différent , est une cause de changement : il semble donc qu’
ancêtre, l’homme du temps présent s’identifierait à tort avec un être différent de lui-même, il se concevrait autre qu’il n’est e
osées à des mentalités nouvelles, à des hommes en proie à des besoins différents . Le beau livre de Fustel de Coulanges nous montre
5 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Deuxième partie — Chapitre II. La qualité des unités sociales. Homogénéité et hétérogénéité »
à dire que nous déprécions a priori l’importance de leur qualité. Des différentes propriétés des unités sociales, nous n’avons rete
les Hébreux, le traitement réservé aux esclaves congénères était tout différent du traitement appliqué aux esclaves étrangers89.
à renaître, lorsqu’elles entrent en contact avec des races totalement différentes de leurs races ! On sait assez, par l’histoire de
 ! Qu’on jette les docteurs de l’égalité au milieu d’êtres totalement différents d’eux par les idées, les mœurs, la conformation a
pas avec M. Giddings 103 que les groupes eux-mêmes sont d’autant plus différents , qu’à l’intérieur de chacun d’eux, les individus
idées, les fonctions, il devient vraisemblable que, dans les sociétés différentes , des individus se retrouveront semblables par les
ction faite des ressemblances qu’il établit entre membres de sociétés différentes , l’accroissement de l’hétérogénéité intérieure d’
vidus avec lesquels nous vivons en leur reconnaissant des droits sont différents , et plus se restreint le nombre des caractères qu
e d’entretenir des relations socialement réglées avec des êtres assez différents de nous, telle qu’une société hétérogène doit l’i
c lesquels nous vivons en société soient au contraire essentiellement différents , nous ferons plus naturellement le départ entre c
rtain point de civilisation, il y a trop de pensées diverses, de fois différentes , de sciences inégales, de morales particulières e
membres de la société qu’elle transforme à des occupations totalement différentes , n’a-t-elle pas pour résultat d’introduire entre
aire régner dans la société l’idée qu’il y a des classes, des espèces différentes d’hommes, ne possédant pas les mêmes valeurs et n
 » repose sur leur différence. C’est justement parce qu’ils sont très différents qu’ils ne peuvent plus se passer les uns des autr
ion des individus spécialisés, il suit que toutes leurs activités, si différentes qu’elles soient, sont également nécessaires au bi
es, des règles aussi générales que possible. Le nombre même des types différents auxquels le Romain devait reconnaître des droits
pas si les éléments générateurs sont eux-mêmes les produits de races différentes  ? Si, en un mot, l’« amphimixie » se double de « 
ls caractères anatomiques se rencontrent le plus fréquemment dans les différentes couches des sociétés modernes, si la dolichocépha
que, correspondant aux distinctions de classes, des types collectifs différents se constituent en Europe, comme s’en sont constit
rveaux anatomiquement identiques porteront peut-être des idées toutes différentes , et des corps tout différents se cacheront sous d
s porteront peut-être des idées toutes différentes, et des corps tout différents se cacheront sous des tenues identiques : les hom
rpétuel nous fait voir les mêmes modes portées par des individus très différents , et des modes très différentes par un même indivi
es modes portées par des individus très différents, et des modes très différentes par un même individu. D’où il résulte que les sig
que pour un jour. L’esprit qui a vu se succéder tant d’assimilations différentes se déshabitue de juger les gens sur l’étiquette q
6 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 373-374
x volumes in-folio. Il est aisé de s’appercevoir que des personnes de différens Etats, de différente Religion, de différent Parti
Il est aisé de s’appercevoir que des personnes de différens Etats, de différente Religion, de différent Parti, de différent génie,
voir que des personnes de différens Etats, de différente Religion, de différent Parti, de différent génie, ont contribué à cette
es de différens Etats, de différente Religion, de différent Parti, de différent génie, ont contribué à cette augmentation. C’est
eul Rédacteur. Bien loin de là, chacun s’est empressé d’y fournir, en différens temps & en différens lieux, son contingent, &
de là, chacun s’est empressé d’y fournir, en différens temps & en différens lieux, son contingent, & s’est arrogé le droi
7 (1911) Jugements de valeur et jugements de réalité
. Elle blâme ceux qui jugent des choses morales d’après des principes différents de ceux qu’elle prescrit ; elle ridiculise ceux q
sychologique dont il était précédemment question. Il existe des types différents de valeurs. Autre chose est la valeur économique,
est partout agissante, d’où vient que les effets sont spécifiquement différents  ? D’autre part, si vraiment la valeur des choses
diamant, des fourrures ou des dentelles qui fait que la valeur de ces différents objets de toilette varie avec les caprices de la
e. Il y aurait donc une manière de penser le réel, et une autre, très différente , pour l’idéal ; et c’est par rapport aux idéaux a
et des autres est radicale : les objets sur lesquels ils portent sont différents comme les facultés qu’ils supposent. Les objectio
e moyen de dépasser le réel, de surajouter au monde sensible un monde différent dont les meilleurs d’entre nous font leur véritab
ales1. Mais cette exclusion est injustifiée. Certes, il y a des types différents de valeurs, mais ce sont des espèces d’un même ge
s, quoique l’estimation soit faite, suivant les cas, de points de vue différents . Le progrès qu’a fait, dans les temps récents, la
r des forces du même genre. Il se sent comme transporté dans un monde différent de celui où s’écoule son existence privée. La vie
ivée. La vie n’y est pas seulement intense ; elle est qualitativement différente . Entraîné par la collectivité, l’individu se dési
ésoudre. Car cette impersonnalité n’est elle-même qu’un fait, à peine différent du premier, et dont il faut rendre compte. Si les
nde transcendant. La valeur vient bien du rapport des choses avec les différents aspects de l’idéal ; mais l’idéal n’est pas une é
r peut devenir une chose très précieuse. Deux êtres peuvent être très différents et très inégaux sous bien des rapports : s’ils in
mot elle substitue au monde que nous révèlent les sens un monde tout différent qui n’est autre chose que l’ombre projetée par le
ter. Si tout jugement met en œuvre des idéaux, ceux-ci sont d’espèces différentes . Il en est dont le rôle est uniquement d’exprimer
chose qui sert de symbole à l’idéal et qui le rend représentable aux différents esprits. Naturellement, les jugements diffèrent s
une même chose peut ou perdre la valeur qu’elle a, ou en acquérir une différente sans changer de nature : il suffit que l’idéal ch
8 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre troisième. Les sensations — Chapitre II. Les sensations totales de la vue, de l’odorat, du goût, du toucher et leurs éléments » pp. 189-236
s d’action pour le même nerf. — Expériences de Fick. — Les caractères différents que nous trouvons dans les sensations totales de
température, de plaisir et de douleur, s’expliquent par l’arrangement différent des mêmes sensations élémentaires. V. Résumé. — L
mière blanche est divisé par le prisme en plusieurs rayons de couleur différente . Il s’étale en un spectre où les couleurs font un
es à mesure que l’on descend le spectre, on voit les trois variations différentes de leurs intensités respectives produire les dive
contraires, sans démêler que l’un est négatif et l’autre positif. Les différents degrés du noir ou du manque de sensation viennent
ur proprement dites se compliquent en beaucoup de cas d’une sensation différente , tantôt agréable et attrayante, tantôt désagréabl
la bouche, soumis à l’action du même corps, éveillent des sensations différentes , non seulement différentes sensations adjointes,
on du même corps, éveillent des sensations différentes, non seulement différentes sensations adjointes, mais différentes sensations
ons différentes, non seulement différentes sensations adjointes, mais différentes sensations de saveur proprement dite90. « Un très
uite par eux sur les parties antérieures de la langue est entièrement différente de celle qu’ils donnent, à la partie postérieure.
ts distincts. Car, outre les nerfs non gustatifs, des nerfs gustatifs différents interviennent pour la faire naître. La bouche est
r, conformément à tous les faits connus, on admet que deux sensations différentes indiquent deux états différents des centres nerve
connus, on admet que deux sensations différentes indiquent deux états différents des centres nerveux, et, si le nerf est le même,
férents des centres nerveux, et, si le nerf est le même, deux actions différentes du nerf. — Il reste donc à savoir de quelle façon
le corps n’est pas simple, est elle-même composée de plusieurs atomes différents , beaucoup plus petits encore, et situés les uns p
spéciaux sont quatre langues spéciales, chacune appropriée à un sujet différent , chacune admirable pour exprimer un ordre de fait
nerf, soumis au même excitant extérieur, transmettrait des sensations différentes , selon que les parties intermédiaires entre lui e
arties intermédiaires entre lui et son excitant seraient en des états différents . Ce sont là des solutions plus abstraites, mais e
sation de pression et le discernement de ses degrés si nombreux et si différents ne sont possibles que lorsque la pression agit su
les sont excitées en nous par des nerfs distincts et de trois espèces différentes  ; c’est là une hypothèse gratuite que nulle vivis
e groupe de nerfs est capable de plusieurs types ou rhythmes d’action différents , et que chacun de ces rhythmes est provoqué direc
ocs indivisibles pour la conscience, et semblent des données simples, différentes d’essence et opposées de qualité. Très probableme
servation nous montre dans les nerfs du toucher, ce sont des systèmes différents de déplacements moléculaires transmissibles. Comp
irréductibles entre elles et douées de qualités spéciales absolument différentes . — Armés de ces trois principes, nous concevons l
nt se ramener, pour chaque sens, à une sensation élémentaire dont les différents totaux constituent les différentes sensations de
une sensation élémentaire dont les différents totaux constituent les différentes sensations de ce sens. Nous concevons, d’après le
pposer que chaque fibre nerveuse de la rétine possède trois activités différentes , excitables par le même rayon. — Mais on peut se
 ; car il n’est pas certain qu’il y ait dans chaque nerf trois fibres différentes ni qu’une fibre ait trois genres d’actions. Dans
ypes d’action qui, dans le même nerf, excitent en nous des sensations différentes , la sensation de chaleur ou de froid, celle de pr
9 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre quatrième. Les conditions physiques des événements moraux — Chapitre II. Rapports des fonctions des centres nerveux et des événements moraux » pp. 317-336
de faits soient irréductibles entre eux. — Deux objets nous semblent différents quand les voies par lesquelles nous acquérons leu
érents quand les voies par lesquelles nous acquérons leurs idées sont différentes . — Exemples. — La loi générale s’applique au cas
moléculaires des centres nerveux et appartiennent à un être de nature différente . » Sur quoi les observateurs prudents intervienne
e, et partant les deux événements semblent être de qualité absolument différente  ; en sorte que l’analyse, au lieu de combler l’in
le générale, il suffit qu’un même fait nous soit connu par deux voies différentes pour que nous concevions à sa place deux faits di
deux voies différentes pour que nous concevions à sa place deux faits différents . Tel est le cas pour les objets que nous connaiss
d’expériences nouvelles ; les deux choses seraient toujours pour lui différentes en qualité ; elles formeraient deux mondes entre
ive lumière est entrée dans la chambre ; et cependant les trois faits différents n’en sont qu’un seul, le passage d’un courant éle
xamen plus approfondi a permis de reconnaître que cette conception de différents agents spécifiques hétérogènes n’a au fond qu’une
de ces divers ordres de phénomènes s’opère en général par des organes différents , et qu’en s’adressant plus particulièrement à cha
t, sitôt que nous trouverons en nous deux idées entrées par des voies différentes , nous devrons nous défier de la tendance qui nous
x, nous trouvons qu’elles entrent en nous par des voies non seulement différentes , mais contraires. — La première vient du dedans,
à sens, les deux représentations arrivaient en nous par deux chemins différents , mais tous deux extérieurs, en sorte que rien ne
le-ci ; supposition énorme, puisque les deux langues sont tout à fait différentes . — Les moralistes, les psychologues, les esprits
10 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Introduction »
l est nécessaire de distinguer méthodiquement les unes des autres les différentes séries de problèmes qui rayonnent autour des idée
mposés, et les mêmes droits reconnus. En un mot, notre estimation des différentes tendances égalitaires dépend de nos convictions p
t ici une réponse indiscutable : en nous faisant connaître les effets différents des différentes formes d’institutions, elle seule
se indiscutable : en nous faisant connaître les effets différents des différentes formes d’institutions, elle seule nous permettrai
ience fût totale, il y aurait lieu de chercher dans les sens les plus différents les antécédents de l’égalitarisme : seules des re
race, leurs besoins, leurs croyances, leurs sentiments, les qualités différentes des choses ou des personnes peuvent exercer une i
s conséquences de ces formes diverses ? — Autant de questions que les différentes sciences des phénomènes historiques n’abordent pa
iétés, de déterminer les relations qu’elles peuvent soutenir avec les différents ordres de phénomènes historiques, de fixer ainsi
les suivent régulièrement : c’est-à-dire qu’il, y a place, à côté des différentes sciences sociales, pour une science de ce qui est
logie parmi celles qui ont jusqu’ici prévalu, Les classifications des différents efforts par lesquels on a tenté de constituer la
11 (1765) Articles de l’Encyclopédie pp. 7172-17709
’entendent ordinairement que la maniere de faire prendre à un mot les différentes terminaisons ou inflexions que l’usage a établies
s terminaisons ou inflexions que l’usage a établies pour exprimer les différens rapports du mot à l’ordre de l’énonciation. Ce n’
mots sont essentiellement les signes des idées, & qu’ils prennent différentes dénominations, selon la différence des points de
ent éclairé, sage, modéré, &c. Ainsi ce sont deux passions toutes différentes qui sont l’objet fondamental de la signification
es combinaisons de l’idée fondamentale dont il est le signe, avec les différentes idées accessoires qui peuvent la modifier ou lui
ont étendues ensuite par de nombreuses ramifications. Ce qu’il y a de différent d’une langue à l’autre, vient de leur division mê
nt modifier l’idée primitive, viennent non de la chose même, mais des différens points de vûe qu’envisage l’ordre de l’énonciatio
r les idées accessoires qui peuvent présenter l’idée principale, sous différens points de vûe relatifs à l’ordre de l’énonciation
no ; parce que l’idée principale exprimée par cano y est modifiée par différens rapports à l’ordre de l’énonciation, rapports de
soires ; mais que ces deux especes de formations employent des moyens différens & en un sens opposé. Dans la composition, les
rire, avoir grande envie de chanter ; cantillare, chanter bas & à différentes reprises ; cantio, l’action de chanter ; cantus,
aptio, captus, captatio, captator, captatrix, capax, capacitas. De la différente destination des terminaisons d’une même racine, n
fférente destination des terminaisons d’une même racine, naissent les différentes dénominations des mots qu’elles constituent : de-
ion fréquente, de maniere qu’il signifie dormire frequenter, dormir à différentes reprises ; c’est l’état d’un homme dont le sommei
us d’une idée accessoire ; ainsi sorbillare, avaler peu-à-peu & à différentes reprises, a tout-à-la-fois un sens diminutif &
un sens fréquentatif. Donnera t-on pour cela plusieurs dénominations différentes à ces verbes ? non sans doute ; il n’en faut qu’u
oûtée à l’idée principale du verbe. On trouve dans toutes les langues différentes sortes de futur, parce que ce rapport au tems à v
de futur, parce que ce rapport au tems à venir y a été envisagé sous différens points de vûe ; & ces futurs sont simples ou
u verbe auxiliaire sum ; & le choix de cette inflexion dépend des différentes circonstances de tems avec lesquelles on combine
ns ce mode, la même inflexion fait, suivant le besoin, deux fonctions différentes , & les circonstances en décident le sens. S
modernes. Cependant les divers noms que ce caractere a reçus dans les différentes langues anciennes, conservoient du-moins l’articu
s les trois langues modernes, on employe ces lettres pour représenter différentes articulations ; & cela à-peu-près dans les mê
comme a fait M. l’abbé Girard, lorsqu’à la nomenclature ordinaire des différentes especes de noms, il en a substitué une toute nouv
du Marsais, conviennent à tous les individus ou êtres particuliers de différentes especes ; par exemple, arbre convient à tous les
s d’une seule espece ; ce qui constitue deux manieres d’exprimer bien différentes  : animal convient à tous les individus, hommes &a
produite par le génitif peut être fondée sur une infinité de rapports différens . Tantôt c’est le rapport d’une qualité à son suje
rapports auxquels le génitif peut avoir trait, a fait donner à ce cas différentes dénominations, selon que les uns ont fixé plus qu
génitif de dies se présente dans les auteurs sous quatre terminaisons différentes  : 1°. en es, comme equites daturos illius dies po
ble exprimer un rapport quelconque ; ce rapport est spécifié dans les différentes occurrences (qu’on nous permette les termes propr
aire de multiplier : mais la religion, les moeurs, & le génie des différens peuples fondateurs des langues, peuvent leur avoi
es sous d’autres aspects, auront réglé les genres d’une maniere toute différente  ; ce qui sera masculin dans une langue sera fémin
es langues la concordance des genres, dont les adjectifs prennent les différentes livrées selon l’exigence des conjonctures & l
ue nous croyons que, par rapport aux noms, les genres ne sont que les différentes classes dans lesquelles on les a rangés assez arb
men pium : pius, pia, pium, c’est le même mot sous trois terminaisons différentes , parce que c’est la même idée rapportée à des obj
a même idée rapportée à des objets dont les noms sont de trois genres différens . Il nous semble que cette distinction des noms &a
djectifs sont deux especes de mots, deux parties d’oraison réellement différentes  ? M. l’abbé Fromant, dans son supplément aux ch.
d, que faire du substantif & de l’adjectif deux parties d’oraison différentes , ce n’est pas là poser de vrais principes. Ce n’e
répliquer que les substantifs & les adjectifs étant deux especes différentes de noms, il n’est pas surprenant qu’on distingue
ette distinction ne prouve point que ce soient deux parties d’oraison différentes . « Car, dit M. Fromant, comme tout adjectif uniq
arques générales sur les genres des noms & des pronoms. Parmi les différens noms qui expriment des animaux ou des êtres inani
que le rapport réel au sexe fût toûjours caractérisé ou par des mots différens , comme en latin aries & ovis, & en franço
aries & ovis, & en françois bélier & brebis ; ou par les différentes terminaisons d’un même mot, comme en latin lupus
andre des doutes sur le genre de ces mots, quand il les a rapportés à différens genres ; ceux qui sont effectivement douteux aujo
ée à quelque mal-entendu. En latin, par exemple, dies avoit deux sens différens dans les deux genres : au féminin il signifioit u
nt de ce que ces noms ont eu autrefois au singulier deux terminaisons différentes , relatives sans doute à deux genres, & vraise
tes, relatives sans doute à deux genres, & vraisemblablement avec différentes idées accessoires dont la memoire s’est insensibl
ir, les circonstances où elle s’est trouvée involontairement dans les différens tems de sa durée ; toutes causes qui ont sur le l
ution des genres. Tous les objets de nos pensées peuvent se réduire à différentes classes : il y a les objets réels & les abstr
e, toute indivisible qu’elle est, en considérant séparément les idées différentes qui en sont l’objet, & la relation que l’espr
dement de la Grammaire. En effet, de quelques termes qu’il plaise aux différens peuples de la terre de faire usage, de quelque ma
modifications, leurs corrélations ; ils auront à rendre sensibles les différens points de vûe sous lesquels ils auront envisagé t
olue, il ne pourroit y avoir aucune communication entre les hommes de différens siecles ou de différens lieux, pas même entre deu
voir aucune communication entre les hommes de différens siecles ou de différens lieux, pas même entre deux individus quelconques,
les conventions arbitraires ou fortuites qui ont donné naissance aux différens idiomes qui divisent le genre humain. Mais on sen
qui les abroge entierement. De-là la possibilité & l’origine des différentes langues qui ont été, qui sont, & qui seront p
la théorie, si elle n’observe les usages combinés & les pratiques différentes , pour s’élever par degrés jusqu’à la généralisati
sur l’abus contraire de donner à un même element plusieurs caracteres différens , sur celui de réunir plusieurs caracteres pour re
e ; & c’est l’origine de la diversité des génies des langues. Les différens résultats des combinaisons infinies de ces circon
tes d’une même langue, suite naturelle de l’égale liberté & de la différente position des peuples & des Etats qui composen
les langues, & les métamorphose insensiblement en d’autres toutes différentes  : c’est encore une des principales causes des dif
on & par l’expérience, c’est de diviser l’objet dont on traite en différens points capitaux, auxquels on puisse rapporter les
traite en différens points capitaux, auxquels on puisse rapporter les différens principes & les diverses observations qui con
membres de ces divisions doivent effectivement présenter des parties différentes de l’objet total, ou les différens points de vûe
ectivement présenter des parties différentes de l’objet total, ou les différens points de vûe sous lesquels on se propose de l’en
, soit particuliere. La Grammaire considere la parole dans deux états différens , ou comme prononcée, ou comme écrite : la parole
mo. Ce mot a déjà été employé par M. l’abbe Girard, mais dans un sens différent de celui que nous lui assignons, & que ses ra
dans la totalité des idées que l’usage a attachées à chaque mot. Les différentes especes d’idées que les mots peuvent rassembler d
ieu à la Lexicologie de distinguer dans la valeur des mots trois sens différens  ; le sens fondamental, le sens spécifique, &
arce que l’esprit l’envisage dans chacun d’eux sous ces points de vûe différens . Par rapport à cette idée primitive, ses mots peu
l’idée fondamentale, relativement à l’analyse de la pensée. De-là les différentes especes de mots, les noms, les pronoms, les adjec
ion. Ces diverses relations sont communément indiquées par des formes différentes , telles qu’il plaît aux usages arbitraires des la
(voyez Accident & tous les mots que nous venons d’indiquer). Les différentes lois de l’usage sur la génération des formes qui
rce d’où ils sont tirés. L’étude de l’étymologie peut avoir deux fins différentes . La premiere est de suivre l’analogie d’une langu
tuer la totalité des parties logiques. Voyez Sujet & Copule . Les différentes manieres dont les parties grammaticales constitue
rties grammaticales constituent les parties logiques, font naître les différentes especes de propositions ; les simples & les c
les inflexions particulieres, & dans l’arrangement respectif des différentes parties dont elle est composée. Par rapport à cet
rties dont elle est composée. Par rapport à cet objet, la syntaxe est différente dans chaque langue pour les details ; mais toutes
envisagent le sujet & l’attribut comme deux objets séparés & différens  : ainsi pour dire ces hommes savans, on dit en al
précision qu’il n’a point par lui-même. Chaque langue a ses pratiques différentes pour caractériser le regime & les différentes
gue a ses pratiques différentes pour caractériser le regime & les différentes especes de régime : ici c’est par la place ; là p
yens de distinguer la différence des sens, & en quelque sorte les différens degrés de leur mutuelle dépendance. Cette partie
re maniere d’envisager la Grammaire. D’autres suivroient un plan tout différent , & auroient sans doute de bonnes raisons pour
role : il est difficile de bien sentir les caracteres distinctifs des différentes especes de mots, sans connoître les vûes de l’ana
ément la nature des accidens des mots, si l’on ne connoît les emplois différens dont ils peuvent être chargés dans la proposition
à cet article toute la perfection nécessaire, faire connoître ici les différentes Grammaires des langues savantes & vulgaires.
cent aigu, accent circonflexe ; & cela se dit également & des différentes élévations du son, & des signes prosodiques q
URAL Guttural (Gramm.) Guttural, (Gramm.) on distingue en différentes classes les diverses articulations usitées dans c
on lui oppose ; & il est très-naturel que l’oreille distingue les différens degrés de la vîtesse & de l’action d’un fluid
t, c’est ce qu’on appelle explosion. Ainsi les articulations sont les différens degrés d’explosion que reçoivent les sons par le
ut opposées. Quoi qu’il en soit, la lettre h a dans notre orthographe différens usages qu’il est essentiel d’observer. I. Lorsqu’
he que celle des Grecs, puisque leurs deux esprits avoient des signes différens , & que nos deux h sont indiscernables par la
e autant de sortes de figures de construction, qu’il y aura d’idiomes différens , dont elle aura adopté les locutions propres ? M.
l’irrégularité ; ce font deux dénominations spécifiques attribuées à différentes especes de mots, & également comprises sous l
de plusieurs sons non articulés, ils désignent des idées accessoires différentes qui caractérisent chacun d’eux en particulier. Je
ou oequivocus, que j’employerois volontiers à distinguer deux especes différentes d’homonymes, qu’il est à propos de ne pas confond
ne & dans l’autre, quoiqu’ils aient des significations totalement différentes . Par exemple, les mots voler, latrocinari, &
, parce que c’est identiquement le même matériel qui désigne des sens différens  : dans le second cas, les mots ne sont homonymes
cas, les mots ne sont homonymes que relativement, parce que les sens différens sont désignés par des mots qui, malgré leur resse
Chinois n’ont que 326 mots, tous monosyllables ; qu’ils ont cinq tons différens , selon lesquels un même mot signifie cinq choses
cinq tons différens, selon lesquels un même mot signifie cinq choses différentes , ce qui multiplie les mots possibles de leur lang
sieurs nations voisines de la Chine, quoiqu’elles parlent des langues différentes . Voyez Ecriture chinoise . Or quand on dit que le
ymes qui sont tantôt d’une espece & tantôt d’une autre, selon les différentes significations dont ils se revêtent dans les dive
s, quelque attention au matériel des mots, c’est pour en observer les différentes métamorphoses, qui ne sont toutes que la nature s
ue la nature sous diverses formes ; car plus un objet montre de faces différentes , plus il est accessible à nos lumieres. Voyez Mot
o, lequel est dérivé d’ἄλλος, alius. Les Grammairiens ont admis trois différentes figures fondées également sur l’idée générale de
xprimoit une idée très-générale, qui étoit ensuite determinée par les différens complémens qu’on y ajoutoit, ou par la nature mêm
r, je crois qu’il n’y a pas de moyen plus assuré que de parcourir les différentes especes d’hyperbate, qui sont reconnues pour de v
e affinité ; & toutes les langues en ont plus ou moins, selon les différens degrés de liaison qu’il y a ou qu’il y a eu entre
e à part leurs idiotismes particuliers, parce que ce sont des langues différentes  ; mais il est difficile qu’elles n’aient adopté t
qu’il y auroit entre deux tableaux, où l’on auroit saisi deux momens différens d’une même action : le germanisme saisit l’instan
r à un nombre fixe de chefs principaux les écarts qui déterminent les différens idiotismes, il n’en est pas de même de vues parti
e que lorsqu’on veut dans la suite exciter la même idée d’une maniere différente , on cause dans le cerveau un mouvement contraire
, & quelquefois même de la douleur : c’est pourquoi chaque peuple différent trouve extraordinaire l’habillement ou le langage
celui qui parle. Les Latins admettent dans leur impératif deux formes différentes , comme lege & legito ; & la plûpart des G
sent, & l’autre au futur. Mais il est certain que ces deux formes différentes expriment la même relation temporelle, puisqu’on
qui ne peut convenir à un homme qui prie. Au reste le choix entre ces différentes formes est uniquement une affaire de goût, &
ons latines n’a que le présent postérieur ; que ce tems a deux formes différentes , plus ou moins impératives, pour la seconde perso
qu’aucun autre, des additions terminatives ou préfixes qu’exigent les différentes idées accessoires, & qui peuvent empêcher qu’
, & à la source commune d’où ils descendent, avec les altérations différentes que les divers besoins des langues leur ont fait
philosophique qui forme, d’après une même idée primitive, des mots de différentes especes, ou l’on retrouve une même racine commune
même racine commune, symbole de l’idée primitive, avec les additions différentes destinées à représenter l’idée spécifique qui la
es déclinable & indéclinable. Un simple coup d’oeil jetté sur les différentes especes de mots, & sur l’unanimité des usages
e peut y avoir qu’un article, ou que s’il y en a plusieurs, ce seront différentes especes du même genre, distinguées entre elles pa
nt différentes especes du même genre, distinguées entre elles par les différentes idées accessoires ajoutées à l’idée commune du ge
u’à la rigueur il ne pouvoit pas se dire que l’infinitif eût des tems différens , ni par conséquent qu’il fût verbe, c’est une err
i suffit pour constituer un mode dans le verbe, comme une terminaison différente avec une destination propre suffit pour constitue
ement dit se trouve néanmoins dans les auteurs, employé lui-même pour différens cas. Au nominatif : virtus est vitium fugere (Ho
flexion & terminaison. Dans chacun de ces mots la terminaison est différente , pour caractériser les différentes personnes ; am
acun de ces mots la terminaison est différente, pour caractériser les différentes personnes ; am pour la premiere, as pour la secon
ividuelle de la signification du mot ; cette racine passe ensuite par différentes métamorphoses, au moyen des additions qu’on y fai
, non. Cependant il seroit absurde de se figurer que ces formules, si différentes en apparence, & les mêmes au fonds, se fussen
ge de l’esprit ; ce qui est confondre absolument les especes les plus différentes & les moins rapprochées. Ce n’est pas que je
comme un même mot, selon qu’il est différemment prononcé, peut avoir différentes significations, aussi une même interjection, selo
ent le nominatif ou l’accusatif ; la destination de ces cas est toute différente . Ecce homo, c’est-à-dire ecce adest homo ; ecce h
t de l’analyser en quelque sorte, en considérant séparément les idées différentes qui en sont l’objet, & les relations que l’es
l faut s’y prendre pour exprimer la même pensée en plusieurs manieres différentes . Le pere répond qu’on peut varier le discours pre
r construction ; & l’orateur romain caractérise trois arrangemens différens , selon lesquels on peut varier cette construction
onné lui-même l’exemple de ces trois arrangemens, dans trois endroits différens où il énonce la même pensée. Legi tuas litteras q
s absolument nouveaux, & de donner à des mots déja connus un sens différent de celui qui leur est ordinaire, n’est pas une li
édit. 1751.) & sur-tout les anciennes, ont une façon, une marche différente de celle de la nôtre. C’est une autre méthode de
pinion de ceux qui prétendent trouver dans notre langue un i consonne différent de j, & qui lui donnent le nom de mouillé foi
h. xv. Ainsi la même nation, avec la même langue, peut, dans des tems différens , tenir des langages différens, si elle a changé d
vec la même langue, peut, dans des tems différens, tenir des langages différens , si elle a changé de moeurs, de vues, d’intérêts 
angé de moeurs, de vues, d’intérêts ; deux nations au contraire, avec différentes langues, peuvent tenir le même langage, si elles
. Ce qui peut concerner l’étude des langues, se trouvera répandu dans différens articles de cet ouvrage, & particulierement a
armoniâ, où il traite des langues en général, & de l’affinité des différens idiomes ; l’ouvrage de Théodore Bibliander, de ra
M. de Maupertuis, & plusieurs autres observations répandues dans différens écrits, qui pour ne pas envisager directement cet
pere, prouvent évidemment qu’il avoit sur cet objet des pensées bien différentes , & que M. Simon l’entendoit mal. « A juger s
sés. La raison & la révélation sont, pour ainsi dire, deux canaux différens qui nous transmettent les eaux d’une même source,
isons-nous une marque pour ne nous point désunir, en nous avançant en différentes contrées. Hebr. pen. ne forte. L’inconvénient qu’
esse divine que d’avoir3 d’abord employé pour peupler promptement les différentes contrées, le même moyen qui lui sert encore aujou
exactitude de l’histoire-sainte. L’état des autres peuplades fut tort différent de celles qui s’arrêterent de bonne-houre dans le
roient été assujettis à céder au torrent des décisions des usages des différens siecles. Ainsi c’est une véritable illusion que d
ts dont ils avoient coutume de se servir, ils en prononcerent de tout différens pour signifier les choses dont ils voulurent parl
ifications, mais en inspirer des déclinaisons & des constructions différentes  ; il a pu substituer dans les esprits d’autres id
ulut ensuite que leur fécondité servît à couvrir & à cultiver les différentes parties de la terre qu’il avoit soumises au domai
’il en résulta d’idiomes, & à se disperser dans autant de régions différentes . Tel est le sait de la premiere multiplication de
ur propre mouvement s’étoient dispersés en diverses colonies dans les différentes régions de la terre ; car dans les évenemens même
re par une suite nécessaire des lois que le Créateur même a établies, différens degrés d’identité selon la différence des degrés
isible qu’elle est, en séparant, par le secours de l’abstraction, les différentes idées qui en constituent l’objet, & les diver
ble, il ne pourroit y avoir aucune communication entre les hommes des différens âges du monde, entre les peuples des diverses rég
e généralement par-tout, avec les seules difficultés qui naissent des différentes manieres de peindre le même objet. Les hommes qui
les voisins, comme les François & les Italiens, qui avec des mots différens suivent à peu-prés une même construction, parvien
nal, & à-peu près dans la même attitude, quoiqu’avec des couleurs différentes . Deux peuples plus éloignés, dont les mots &
lytique & l’ordre transpositif des mots supposent des vûes toutes différentes dans les langues qui les ont adoptés pour régler
er leur syntaxe : chacun de ces deux ordres caractérise un génie tout différent . Mais comme il n’y a eu d’abord sur la terre qu’u
ge, se trouve encore appuyée sur ce que nous savons de l’histoire des différens idiomes dont on a fait usage sur la terre. La lan
établissent la certitude de ce miracle. 2°. Pour ce qui concerne les différentes especes de mots, une même idée spécifique les car
individuelle de deux mots de même espece, appartenans à deux langues différentes , sans que ces deux mots soient exactement synonym
part avec une idée accessoire, & de l’autre, avec une autre toute différente . L’adjectif vacuus, par exemple, a dans le latin
une signification très-générale, qui étoit ensuite déterminée par les différentes applications que l’on en faisoit : notre françois
mortes, soit pour les langues vivantes : on n’a pas assez analysé les différentes idées partielles ; soit principales, soit accesso
ples orientaux, y a consacré le mot radical am, prononcé, suivant les différens dialectes, ammon, oman, omin, iman, &c. Iman
and nombre de nations d’Amérique, dont le langage est d’ailleurs très différent . Si l’on regarde ces mots comme les premiers sons
u’accidentelles y auroient établis depuis la naissance de ces idiomes différens  : donc l’analogie des mots ne peut pas être une p
devenu successivement nouveau, étant comparé à lui-même dans ses âges différens . D’autres qualifient seulement de langue nouvelle
. Que je life les lois des douze tables, Ennius, ou Ciceron ; quelque différent que soit leur langage, n’est-ce pas toujours le l
de distinguer les diverses circonstances où l’on se trouve, & les différens rapports sous lesquels on envisage les langues. L
e la pensée, & envisager tout le parti que l’art peut tirer de la différente constitution des langues, pour flatter l’oreille,
du latin littera, dont les étymologistes assignent bien des origines différentes . Priscien, lib. I. de litterâ, le fait venir par
ui appartient à chacune en particulier, est traité amplement dans les différens articles qui les concernent. Les diverses nations
s idées : aussi les mêmes caracteres sont-ils lûs diversement par les différens peuples qui en font usage, parce que chacun d’eux
sage, parce que chacun d’eux exprime selon le génie de sa langue, les différentes idées dont il a les symboles sous les yeux. Voyez
cées les premieres, & les consonnes ensuite. La considération des différentes ouvertures de la bouche auroit pu aider la fixati
fait aussi attention à cette différence, puisqu’ils avoient deux mots différens pour ces deux objets, στοιχεῖα, élémens, & γρ
es, sans quoi il est difficile de débrouiller la génération & les différentes métamorphoses des mots. Or le grand principe qui
érence, la premiere étant foible & la seconde forte ; & elles différent des trois premieres, en ce qu’elles exigent que l
, je, che. Les deux premieres exigent une disposition organique toute différente des deux autres ; & elles different du fort a
es, qui font du même organe diversement arrangé deux instrumens aussi différens que le haut-bois, par exemple, & la flûte. L’
oit par quelque autre cause, nous porte souvent vers des idées toutes différentes , qui tiennent aux premieres par des liens très-dé
uatre feuilles, c’est à-dire, bois de quatre années. Ainsi le nom des différentes operations de l’Agriculture se prend pour le tems
marquez 1° que dans cet exemple sepultam a un sens tout nouveau & différent du sens propre. 2° Sepultam n’a ce nouveau sens q
e fil d’un discours, le fil des affaires. C’est par métaphore que les différentes classes ou considérations auxquelles se réduit to
gumens sur toutes sortes de sujets. L’attention que l’on fait sur ces différentes classes, réveille des pensées que l’on n’auroit p
et. On appelle aussi en Théologie par métaphore, loci theologici, les différentes sources où les Théologiens puisent leurs argumens
ns qui plaisent aux uns, déplaisent aux autres ; c’est un effet de la différente constitution des organes du goût : il y à cependa
sujets peu connus. 3°. Il faut aussi avoir égard aux convenances des différens styles ; il y a des métaphores qui conviennent au
ment, ou au milieu, ou à la fin du mot ; d’où résultent trois figures différentes , la prosthèse, l’épenthèse & la paragoge. On
iérèse Le métaplasme par soustraction produit de même trois figures différentes , qui sont l’aphérèse, la syncope & l’apocope,
presque synonymes à synérèse. Le métaplasme par immutation donne deux différentes figures, l’antithèse, quand une lettre est mise p
erches étymologiques que d’avoir bien présentes à l’esprit toutes les différentes especes de métaplasme, non peut-être qu’il faille
une éleve a déja les notions dont on y fait usage ; qu’il connoît les différentes parties de l’oraison, & celles de la proposit
ens de l’oraison, ce qu’on en appelle communément les parties, ou les différentes especes de mots distinguées par les différentes i
t les parties, ou les différentes especes de mots distinguées par les différentes idées spécifiques de leur signification ; savoir,
-la-fois précis & clair. Voyez Mots , & tous les articles des différentes especes de mots ; voyez aussi Tems, Particule, E
les articles particuliers, Personnes, Modes & les articles des différents modes, Déclinaison, Conjugaison, Paradigme, Conc
l’application dans leurs lectures, en leur y faisant reconnoître les différentes sortes de mots, les divers tems des verbes, &
vre, comme du précédent ; qu’à mesure que l’enfant en aura appris les différens articles, il faudra lui en faire faire l’applicat
que d’après mes principes. (Je mets en parenthese & en caracteres différens les mots qui suppléent les ellipses.) Juvenes, p
st susceptible : ce sont les tems & les modes ; les tems sont les différentes formes qui expriment dans le verbe les différens
les tems sont les différentes formes qui expriment dans le verbe les différens rapports d’existence aux diverses époques que l’o
e fais de mon mieux, je ferois mieux si je pouvois, faites mieux, les différens modes du verbe faire, je fais, je ferois, faites,
ienne à l’autre & en fasse partie ? Ce sont assurement deux modes différens , puisqu’ils présentent la signification du verbe
modes différens, puisqu’ils présentent la signification du verbe sous différens aspects. Par une autre inconséquence-des plus sin
dre des ténebres dans la Grammaire. La troisieme enfin, c’est que les différens tems d’un mode se prennent indistinctement pour c
de la signification du mot, & qui peut être commune à des mots de différentes especes ; la signification formelle, c’est la man
es especes. Ainsi le même objet pouvant être signifié par des mots de différentes especes, on peut dire que tous ces mots ont une m
et dont il est le signe, la signification formelle est nécessairement différente dans chacun de ces mots, quoique la signification
présenter. Voyez Mot . Or il est vrai que les modes, c’est à dire les différentes modifications de la signification objective du ve
la frequence de l’action sert de fondement à une conjugaison entiere différente de la conjugaison primitive, la réciprocation de
personnelle, &c. enfin, si l’on retrouve dans toutes ces manieres différentes les variétés principales des tems qui sont fondée
es mots, à leurs générations successives & analogiques, & aux différentes altérations qu’ils subissent de tems à autre, &am
se devinent point, on les éprouve ; on les voit, on les observe. Les différens usages des langues sont donc, en quelque maniere,
amp; les modes. 1°. Les nombres sont des variations qui désignent les différentes quotités. Voyez Nombre . C’est celle qui est la p
ouvent ici divisées en deux ordres caractérisés par des points de vûe différens . Les inflexions numériques des noms & des pro
it de même de celle des cas. Les cas en général sont des terminaisons différentes qui ajoûtent à l’idée principale du mot l’idée ac
genres, ces deux parties d’oraison se séparent & suivent des lois différentes . Chaque nom a un genre fixe & déterminé par l
fixe ; desorte que sous la même terminaison ou sous des terminaisons différentes , ils sont tantôt d’un genre & tantôt d’un aut
e près, aient le même sens, ou plûtôt ne soient que le même mot, avec différentes inflexions & terminaisons. Voilà donc entre l
uels ils se rapportent. Les genres ne sont, par rapport aux noms, que différentes classes dans lesquelles on les a distribués assez
omme par rapport aux nombres & aux cas : ce sont des terminaisons différentes qu’ils prennent successivement selon le genre pro
prit des êtres indéterminés. 4°. La distribution physique des noms en différentes classes que l’on nomme genres, & leur divisio
de personne fixe ; sous la même terminaison, ou sous des terminaisons différentes , ils sont tantôt d’une personne & tantôt d’un
role. De même donc que sous le nom de genres on a rapporté les noms à différentes classes qui ont leur fondement commun dans la nat
s ni à la loi en général : c’est que ce sont des idées totales toutes différentes  ; mais ce qui est vrai de la loi en général, est
quelque nature déterminée, constitue avec elle une idée totale toute différente , dont la compréhension est augmentée, tels sont l
bien de faire de ces deux especes d’adjectifs deux parties d’oraison différentes , qu’il a été bien de distinguer a nsi les noms &a
nt des formes exclusivement propres au verbe, & qui expriment les différens rapports d’existence aux diverses époques que l’o
ymes par l’idée principale qui fonde leur signification commune, mais différens par les idées accessoires comme par les sons, reç
cas ; mais chacun les forme à sa manière, & la déclinaison en est différente  ; anima est de la premiere, animus est de la seco
ais chacun les forme à sa maniere ; amo, amem, amare, amans, sont les différens modes du présent indéfini ; amavi, amaverim, amav
, amaverim, amavisse, sont ceux du prétérit ; &c. ensorte que les différentes formes d’un même tems, selon la diversité des mod
s formes d’un même tems, selon la diversité des modes, sont comme les différentes formes d’un même nom, selon la diversité des cas 
férentes formes d’un même nom, selon la diversité des cas ; & les différens tems d’un même mode, sont comme différens noms sy
versité des cas ; & les différens tems d’un même mode, sont comme différens noms synonymes au même cas ; les cas & les mo
e suite & une preuve de la possibilité qu’il y a d’envisager sous différens aspects, l’idée objective de la signification des
p; les conjonctions ; il faut les puiser dans l’examen analytique des différens usages de ces mots. 1°. Les prépositions dans tou
’on peut faire des mêmes prépositions à une infinité de circonstances différentes , démontre que les rapports qu’elles désignent fon
ais avoit établi le même principe, article Adverbe . Les adverbes ne différent donc des prépositions, qu’en ce que celles-ci exp
sibi & amicis : mais il est clair que les deux exemples sont bien différens  ; & si l’on rend l’adverbe convenienter par s
u terme antécédent, parce que le même rapport pouvant se trouver dans différens êtres, on peut l’appliquer sans changement à tous
des autres, quand toutes les parties des deux propositions liées sont différentes entr’elles ; par exemple, Moise prioie et Josué c
ù divers attributs sont énoncés du même sujet, ou le même attribut de différens sujets ; par exemple, Ciceron etoit orateur et ph
uré des especes de mots. [table] Cette seule exposition sommaire des différens ordres de mots est suffisante pour faire appercev
ordres de mots est suffisante pour faire appercevoir combien d’idées différentes se réunissent dans la signification d’un seul mot
loin, si on y ajoute encore celles qui peuvent être désignées par les différentes formes accidentelles que la déclinabilité peut fa
la signification du mot, & qui peut être désignée par des mots de différentes especes : la signification formelle, c’est la man
res especes. Le même objet pouvant donc être signifié par des mots de différentes especes, on peut dire que tous ces mots ont une m
et dont il est le signe, la signification formelle est nécessairement différente dans des mots de diverses especes, quoiqu’ils pui
racine, désignent tout-à-la-fois la diversité des especes, & les différentes significations formelles qui y sont attachées. C’
e idée objective, variée seulement de l’une à l’autre par des nuances différentes qui naissent de la diversité des idées ajoutées à
rique ; & c’étoit pour avoir négligé de démêler dans les mots les différentes idées accessoires que l’usage peut y attacher, qu
’est pour augmenter ce secours que l’on a répandu dans l’Encyclopédie différens articles de même nature ; & il seroit à souha
des divers points de vûe accidentels, désignés ou désignables par les différentes formes que la déclinabilité peut faire prendre à
; les terminaisons qui les différencient, indiquent des points de vûe différens ajoutés à l’idée principale de la signification f
estra vient du grec φαίνειν qui signifie reluire. C’est ainsi que les différentes manieres de voir les choses portent a leur donner
que les différentes manieres de voir les choses portent a leur donner différens noms ». Et c’est ainsi, puis-je ajouter, que la
, quoiqu’ils viennent tous originairement d’une même source. Mais ces différens mots, risqués d’abord par un particulier qui n’en
ification a été donnée aux lettres par les Grammairiens, en deux sens différens  ; dans le premier sens, elle n’est attribuée qu’à
& Linguale . Dans la langue françoise la lettre N a quatre usages différens , qu’il faut remarquer. 1°. N, est le signe de l’a
ciation insere entre deux ? Je suis d’avis que c’est un n euphonique, différent du n orthographique ; parce que si l’on avoit int
un terme propre à la grammaire, & il y est employé dans deux sens différens . I. Dans plusieurs langues, comme le grec, le lat
n transitive, c’est-à-dire, qui opere ou qui peut operer sur un sujet différent de celui qui la produit, comme battre, porter, ai
rets sous deux aspects généraux qui en auroient fourni deux divisions différentes . La premiere division, fondée sur la nature génér
ue l’action exprimée dens ce verbe ne porte son effet sur aucun sujet différent de celui qui la produit. Amor & pereo sont d
r conjugaison. S’il est important dans notre langue de distinguer ces différentes especes, il me semble qu’il suffiroit de réduire
langues que des noms propres, il faudroit admettre autant de langues différentes que de sociétés particulieres ; chaque langue ser
chevaux, c’est en quelque maniere le même mot sous deux terminaisons différentes  : c’est comme le même mot, afin de présenter à l’
s, parce que leur signification générale a une étendue susceptible de différens degrés de restriction, qui la rend applicable ou
rer contre les explications que l’on vient de donner. Il peut y avoir différentes raisons délicates de ces exceptions : mais la plu
ité en grammaire dans un autre sens ; c’est pour distinguer entre les différentes especes de mots, ceux dont la signification renfe
qué le sens particulier déterminé par la précision numérique dans les différens mots de la même espece. Il y a des noms, des adje
u’un peu analogique à la dénomination, portoit néanmoins un caractere différent de celui des substantifs ; ne demandant point d’a
ans le langage, pour présenter à l’esprit d’une maniere distincte les différens sujets dont nous reconnoissons les attributs par
mairiens conviennent l’un & l’autre que les cas d’un nom sont les différentes terminaisons de ce nom. On le voit par les textes
; le primitif & le dérivé pourroient être écrits avec des lettres différentes , parce que le méchanisme des organes exige souven
ale cause de l’institution des noms a été de présenter à l’esprit les différens sujets dont nous appercevons les attributs par no
ter les êtres déterminés par les noms ou les pronoms sous des aspects différens  ; ils vont moins directement au but de l’institut
s des armes, les éclats du tonnerre sont autant de mots imitatifs des différens bruits qu’ils expriment. Le trictrac est ainsi no
ne classe de choses de même espece ou de même qualité. Déterminés par différentes circonstances, les hommes envisagent les choses s
re & de signification semblables dans les langues de peuples fort différens les uns des autres, qui ne paroissent avoir jamai
mme le démontre la saine raison, « Ce n’est pas seulement la maniere différente de signifier qui peut être fort multipliée, mais
niere différente de signifier qui peut être fort multipliée, mais les différentes inflexions qui doivent faire les modes » ; il es
ar la parole, & rendue avec la même fidélité ; mais l’oraison est différente dans chaque énonciation, parce que la même pensée
t de la Logique. L’oraison est plus matérielle ; ses parties sont les différentes especes de mots, l’interjection, le nom, le prono
oix ; & on l’emploie principalement pour marquer quelque chose de différent de ce qui est écrit : la tradition orale, la trad
nne également le nom d’orthographe à tous les systèmes d’écriture que différens auteurs ont publiés ; & l’on dit l’orthograph
rire quelques mots ; qui n’ont & ne peuvent avoir aucun égard aux différentes manieres d’écrire qui résultent de la différence
ur orthographe. Une articulation differe d’une autre par un mouvement différent du même organe, ou par le mouvement d’un autre or
ble de l’énonciation, & les ponctuations qui doivent désigner les différens degrés de la dépendance mutuelle des sens particu
traité de l’orthographe françoise. Cependant on peut trouver dans les différens volumes de cet ouvrage les principaux matériaux q
lier, la signification françoise du nom, en parenthèse, en caracteres différens de ceux du latin, sans aucun article, & qu’on
pas prévoir, parce qu’il n’avoit pas les mêmes idées que moi sur les différentes especes de mots. Voyez Mot . Je regarde comme deu
l’autre : mais on fera bien de présenter aux enfans des paradigmes de différentes terminaisons dans chaque classe. Il faut, je croi
e mode sont soumis aux mêmes lois grammaticales ; & ces lois sont différentes pour les tems d’un autre mode, même pour les tems
te raison de ce que l’on regarde le participe comme une espece de mot différente du verbe : c’est, dit-il, quòd & casus habet
raison n’a dû faire regarder le participe comme une partie d’oraison différente du verbe : outre qu’il en a la nature fondamental
stantif (voyez Infinitif). Le participe au contraire est un mode tout différent de l’infinitif ; il est adjectif. Le premier est
s usuelles de la concordance. Or il n’est assurément rien moins qu’in différent pour l’exactitude de l’analyse, de savoir si un m
gén.) quelque semblables qu’ils soient quant à la forme, ils sont de différente nature, puisqu’ils ont un sens différent. Pour di
ant à la forme, ils sont de différente nature, puisqu’ils ont un sens différent . Pour distinguer le gérondif du participe, ajoute
latin, habeo, habebam, ou habebo lectum ou legisse. En sorte que les différens présens de l’auxiliaire servent à différencier le
ement analogues entre elles ; si elle se propose l’expression de sens différens & sans analogie entre eux, quoiqu’ils portent
descendre, monter, passer, repartir, dont j’ai expliqué ailleurs les différens sens attachés à la différence de la conjugaison.
celui du verbe connoître, c’est Paris. Un verbe relatif peut recevoir différens complémens, comme quand on dit rendre gloire à Di
t avec soin tous les usages, a rassemble sous un seul coup d’oeil les différens sens attachés par les Grammairiens au nom de part
rticules inséparables, comme re, de, des, mes, dis, &c…. Tous ces différens usages des particules, & l’utilité dont il es
us soupçonner mais que l’art peut retrouver, ou il faut l’attribuer à différentes étymologies : par exemple, notre adverbe si vient
de tingere (teindre), & signifie proprement teindre d’une couleur différente , ce qui est très-propre à distinguer ; discerner,
qui ont une même origine & un même sens individuel, & qui ne différent que par le sens spécifique : inclination, enclin 
on prononce ou que l’on ne prononce pas s : en voici une autre un peu différente  ; je n’ai écrit s que dans les mots où cette lett
nnent garde : se vendre, être vendu, avoir été vendu, sont trois tems différens de l’infinitif passif, du verbe vendre ; cela est
du même sujet sous le même attribut : cependant il y a trois phrases différentes , parce que cette même proposition est énoncée en
entes, parce que cette même proposition est énoncée en trois manieres différentes . Aussi les qualités bonnes ou mauvaises de la phr
. Aussi les qualités bonnes ou mauvaises de la phrase sont-elles bien différentes de celles de la proposition. Une phrase est bonne
une idée quelconque : & comme la même idée peut être exprimée par différens assemblages de mots, elle peut être rendue par de
ens assemblages de mots, elle peut être rendue par des phrases toutes différentes . Contrà Italiam est une phrase simple, Italiam co
la périssologie, qui consiste à ne dire qu’une même chose en paroles différentes & oisives, sans qu’elles ay ent une significa
primitifs & les dérivés. Il seroit un secours pour distinguer la différente valeur de certains substantifs, comme de plans de
it-il pas possible que quelques noms latins qui ont deux terminaisons différentes au pluriel, comme jocus qui fait joci & joca,
losion. Ainsi le mot [caractères non reproduits], dbr, se prononce de différentes manieres & à des sens différens, selon la dif
eproduits], dbr, se prononce de différentes manieres & à des sens différens , selon la différence des points que l’on ajoute a
le sens & la prononciation des mots écrits. Il y a trois classes différentes de points-voyelles, cinq longs, cinq brefs, &
phrases & les mots peuvent être arrangés, soit à cause des idées différentes que chacun se forme à cette occasion ». Il me se
c les sens partiels, il est encore indispensable de prendre garde aux différens degrés de subordination qui conviennent à chacun
sens réellement subordonnés les uns aux autres, & distingués par différens degrés d’affinité. Que faudroit-il donc penser d’
e par une ponctuation plus forte ; les autres propositions sont comme différens aspects & divers développemens de la premiere
ttre ; il est vrai que c’est le même fonds de pensée sous deux formes différentes  ; que la liaison des parties n’est que présumée,
p; qu’elles doivent en conséquence être moins désunies. Tels sont les différens degrés de la proportion requise dans l’art de pon
C’est ici l’idée générale de discordance présentée sous trois aspects différens  ; & le tout forme le sujet logique de blesser
ce que le second est séparé par des virgules en diverses parties pour différentes raisons ; par un retour de piété, que la reconnoi
. 2. 4°. Dans l’énumération de plusieurs choses opposées ou seulement différentes , que l’on compare deux à deux, il faut séparer le
st introduit, soit en opposant l’italique au romain, soit en opposant différens corps de caracteres, de l’une ou de l’autre de ce
le besoin de prendre des repos un peu considérables, combiné avec les différens degrés de relation qui se trouvent entre les sens
ins adjectifs & de certains adverbes, qu’ils sont susceptibles de différens degrés de comparaison, savoir, le positif, le com
té des êtres qualifiés par l’idée précise de la dépendance, est toute différente de la quotité des personnes auxquelles est relati
rem. 338). Cette observation est fondamentale pour rendre raison des différens usages des deux sortes d’adjectifs. 1°. Ce princi
ubstantif & l’adjectif sont des parties d’oraison essentiellement différentes . J’ajoute qu’il est évident que bonus, tuus, scri
i distinguées dès le commencement ; mais c’est sous des dénominations différentes . Nos grammairiens appellent mon, ton, son, &
yés seuls & sans le nom auquel ils ont rapport. Voilà comment les différentes manieres de voir une même chose, amenent des déno
ifférentes manieres de voir une même chose, amenent des dénominations différentes & même opposées. M. de la Touche qui a compos
’objet de l’Encyclopédie, je ne m’arrêterai point ici à détailler les différens usages de ces adjectifs par rapport à notre langu
à tel terme, soit antécédent, soit conséquent, qui peut convenir aux différentes vûes de l’énonciation : dureste, nulle prépositio
irement un mot dont le sens, général par lui-même, est susceptible de différens degrés de détermination & de restriction ; &a
ces de mots analogues ont reçu des cas, c’est-à-dire des terminaisons différentes qui servent à présenter les mots comme termes de
dmis cette variété de terminaisons, & qui ne peuvent exprimer les différens rapports des êtres, des idées, & des mots, qu
lasses générales ; une même préposition a reçu trop de significations différentes pour se prêter sans obstacle à des classification
régulieres. « Non seulement une même préposition marque des rapports différens , ce qui est déja un défaut dans une langue ; mais
a nécessité de tomber souvent dans des redites, & de dépecer sous différens titres les divers usages de la même préposition.
cette troisieme, se tourner vers Dieu ? Disons-le de bonne foi : ces différentes significations ne sont point dans le mot vers : l
gnier, in-12. p. 607. in-4. p. 639. en quoi conviennent & en quoi différent les deux prépositions synonimes durant & pend
177.), de mettre deux avec qui se suivent & qui ont des rapports différens , dont l’un regarde la personne & l’autre la c
e doit pas employer dans une même proposition, avec des complémens de différente espece ou dans des sens différens, un même mot qu
roposition, avec des complémens de différente espece ou dans des sens différens , un même mot qui annonce vaguement quelque rappor
nsemble du système métaphysique, & sa liaison avec les usages des différens idiomes. (B. E. R. M.) PRÉTÉRIT Prété
s subséquens ne sont en quelque sorte que diverses réproductions sous différentes formes. Voyez Langue . Un mot primitif, est un mo
ont d’autres sont formés, ou dans la même langue, ou dans des langues différentes . Par exemple, primitif vient de primus ; primus v
s, Minerv. I. 2. prétend que le pronom n’est pas une partie d’oraison différente du nom ; mais les raisons qu’il allegue de ce sen
i que je l’ai dit ailleurs. Voyez Mot . Mais comme ils déterminent de différentes manieres, ce sont des mots déterminatifs de diffé
éterminent de différentes manieres, ce sont des mots déterminatifs de différente espece ; les uns déterminent les êtres par l’idée
soi, pour les deux genres & pour les deux nombres. Je dis que ces différentes manieres d’exprimer le même sujet personnel sont
ifférences des patois viennent de celles des causes qui ont amené les différentes métamorphoses du langage national. On pourroit ob
emploie avant ou après les noms, & qui en conséquence a deux sens différens . Avant les noms il est collectif, il n’entre que
ue la proposition est un assemblage de mots, qui, par le concours des différens rapports qu’ils ont entre eux, énoncent un jugeme
t composé quand il comprend plusieurs sujets déterminés par des idées différentes . Ainsi quand on dit, la foi, l’espérance & l
lorsque, pour abréger, on donne un attribut commun à plusieurs objets différens . Malgré l’exactitude ordinaire de ce savant gramm
onne, pour abréger, l’attribut commun sont mortels à plusieurs objets différens , & c’est au lieu de dire Pierre est mortel, J
ont énoncés en plusieurs mots n’est destiné à réunir plusieurs objets différens sous un attribut commun, comme l’exige notre gram
ou même ces deux parties sont composées, c’est-à-dire déterminées par différentes idées totales. Une proposition composée par le su
composé, & elles auront toutes le même attribut & des sujets différens . L’Ecriture & la tradition sont les appuis de
composé ; & elles auront toutes le même sujet & des attributs différens . La plûpart des hommes sont aveugles & injust
exceptives, les comparatives, les inceptives, les désitives ? Si ces différens aspects peuvent fournir à la Logique des moyens d
les inflexions particulieres, & dans l’arrangement respectif des différentes parties dont elle est composée. Voyez sur cela l’
ce qui en a été dit ailleurs, & il ne faut plus que remarquer les différentes especes de propositions que le grammairien doit d
il n’est pas moins superflu de répeter le sujet pour chaque attribut différent , &c. Par-tout on se contenteroit d’un mot pou
ation méchanique avec les autres syllabes, & que le même mot dans différentes phrases ne conserve pas la même relation analytiq
inconvénient réel de représenter la même articulation par deux signes différens . Si donc Varron & Licinius Calvus sont répréh
la gram. gén.), que le son du q est plus ou moins sort dans des mots différens  : il est plus fort dans banqueroute que dans banq
ce même des sons qui suivent l’une ou l’autre de ces consonnes, ou la différente quantité du même son. L’abbé Danet, dans son dict
use que ceux des dames romaines, puisque leur maniere de vivre est si différente . La bonne raison est celle qu’allegue M. l’abbé d
x : cette étude nous est absolument nécessaire pour pouvoir juger des différens metres des Grecs & des Latins. Dans nos langu
; comme l’exige leur dénomination commune de cas par des terminaisons différentes , par des chûtes variées, casibus. Voyez Pronom .
arle qui soit de la seconde ; cela est sans équivoque : mais tous les différens objets dont on parle, sont de la troisieme ; &
ens : 1°. tous ceux qui ont une signification générale susceptible de différens degrés ; 2°. ceux qui ont une signification relat
uelconque. Les mots dont la signification générale est susceptible de différens degrés, exigent necessairement un complément, dès
nfin tous les verbes dont l’idée individuelle peut aussi recevoir ces différens degrés. Voici des exemples. Livre est un nom appe
ans, qu’il est savant en droit, &c. dans toutes ces phrases, les différens complémens de l’adjectif savant sont peu, fort, p
a vues jusqu’ici, mais encore de caractériser, par des dénominations différentes , les différentes especes de complément qui peuven
, mais encore de caractériser, par des dénominations différentes, les différentes especes de complément qui peuvent tomber sur un m
mot, & spécialement le verbe, peut admettre autant de complémens différens , qu’il peut y avoir de manieres possibles de déte
le vers technique dont se servent les rhéteurs pour caractériser les différentes circonstances d’un fait. Quis, quid, ubi, quibus
traire le sujet ; mais tous les autres désignent autant de complémens différens . Quid, désigne le complément qui exprime l’objet
isonnés. C’est pourtant une nécessité indispensable de distinguer ces différentes sortes de complémens, afin d’entendre plus nettem
dernier point, je veux dire l’ordre que doivent garder entre eux les différens complémens d’un même mot, la Grammaire générale é
le au reste ne s’est entendue jusqu’ici que de l’ordre des complémens différens d’un même mot ; mais elle doit s’entendre aussi d
gement des complémens. Si les divers complémens d’un même mot, ou les différentes parties d’un même complément, ont à-peu-près la m
dre, & sans en avoir besoin. Or il paroît, par l’examen exact des différentes phrases où les Grammairiens latins parlent de rég
nomen Dei, &c. Voilà l’effet du régime ; c’est de déterminer les différentes terminaisons d’un mot qui exprime une certaine id
i, &c. c’est qu’il ne peut y avoir de rapport qu’entre des choses différentes , & que tout régime caracterise essentiellemen
n avec la syntaxe. « Cicéron, dit-il, a dit selon trois combinaisons différentes , accepi litteras tuas, tuas accepi litteras, &
eras accepi tuas : il y a là trois constructions, puisqu’il y a trois différens arrangemens de mots ; cependant il n’y a qu’une s
ême dans chacune de ces trois phrases, quoique la construction y soit différente . Si par rapport à notre langue on persistoit à vo
ective ; il faudroit donc convenir que le même complément est sujet à différens régimes, selon les différens degrés d’étendue qu’
venir que le même complément est sujet à différens régimes, selon les différens degrés d’étendue qu’il peut avoir relativement au
elationis. Les Grammairiens font du terme de relatif tant d’usages si différens , qu’ils feroient peut-être sagement de réformer l
 ; de sorte que le rapport qui se trouve sous l’autre combinaison est différent , & s’exprime par un autre nom : ces deux noms
sion qui en détermine l’attribut est ou n’est pas relative à un objet différent du sujet. Ainsi amo & curro sont des verbes a
sente à l’esprit aucun être déterminé par la nature, puisqu’il reçoit différentes terminaisons génériques, pour prendre dans l’occa
d l’adjectif conjonctif étant entre deux noms de genres ou de nombres différens , semble s’accorder avec le premier ; comme, Hercu
n supplément (sur le même chap.) de tout ce qu’il a trouvé épars dans différens auteurs sur cette regle de syntaxe. Voilà donc le
ent en latin. Le quis & le quid, quoiqu’ils aient une terminaison différente de qui & de quod, ne sont pourtant guere autr
e qu’on ne fait attention qu’aux tours particuliers qu’autorisent les différens génies des langues, sans penser à les comparer à
démontre que la langue se meut pour cette opération en cinq manieres différentes , qu’il appelle tactus, pulsus, flexus, tremor &am
es mots esprit, espace, &c. & que c’est-là l’origine de leurs différentes formations. Quoi qu’il en soit, cette prosthèse a
ignification & acception, & je passerai ensuite au détail des différens sens que le grammairien peut envisager dans les m
envisager la signification primitive d’un mot, en sont des acceptions différentes , parce que le mot est pris, accipitur, ou pour lu
signification du mot, & qui peut être représentée par des mots de différentes especes ; la signification formelle, c’est la man
riel du mot. Mais la signification objective est elle-même sujette à différentes acceptions, parce que le même mot matériel peut ê
r les médailles & la monnoie, typus : ce sont autant d’acceptions différentes du mot coin, parce qu’il est fondamentalement le
ment nécessaires dans le discours. Voici, par exemple, quatre phrases différentes  : l’esprit est essentiellement indivisible ; la l
n un ou plusieurs de ces individus précisément déterminés : selon ces différens aspects, l’acception est ou spécifique ou univers
de l’espece humaine. On peut voir au mot Nom, art. i. §. 1. n. 3. les différens moyens de modifier ainsi l’étendue des noms appel
jectifs, des verbes & des adverbes sont également susceptibles de différentes acceptions déterminatives, qui sont toujours indi
ant qu’un autre ; voilà l’adjectif savant pris sous quatre acceptions différentes , en conservant toujours la même signification. Il
e toutes les especes d’acceptions, dont les mots en genéral & les différentes sortes de mots en particulier peuvent être suscep
sortes de mots en particulier peuvent être susceptibles, ne sont que différens aspects de la signification primitive & fonda
ns. 1. Sens propre, sens figuré. Il n’en est pas ainsi à l’égard des différens sens dont un mot est susceptible : la significati
e l’on donne par figure à un même mot dans une même langue, & les différentes significations que celui qui traduit est obligé d
pour faire entendre la pensée de son auteur. Ce sont deux idees fort différentes que nos dictionnaires confondent ; ce qui les ren
ous nous servons d’une autre image, & par conséquent de mots tout différens . (Voyez le dictionnaire latin-françois, imprimé s
e, un sens, une pensée que nous rendons en notre langue par une image différente de celle qui étoit en usage en latin ; alors je v
qu’il a confondu sens & signification ; ce qui est pourtant fort différent  : tout mot pris dans une acception formelle, a un
rre ; c’est le siecle de fer de la langue latine, pendant le quel les différentes incursions des barbares plongerent les hommes dan
ique. Le sens anagogique n’est guere en usage que lorsqu’il s’agit de différens sens de l’Ecriture-sainte. Ce mot anagogique vien
Juifs est regardé comme l’image du repos éternel des bienheureux. Ces différens sens qui ne sont point le sens littéral, ni le se
eur ; mais dans le second cas, les passages auxquels on donne un sens différent de celui qu’ils ont dans leur auteur, sont regard
oncent le même défaut de netteté, mais elles en indiquent des sources différentes . Phrase amphibologique, est une expression plus g
st dans une phrase qui peut également servir à énoncer plusieurs sens différens , & que rien de ce qui la constitue, ne déterm
ve est envisagée dans une phrase. Le sens est une autre signification différente de la primitive, qui est entée, pour ainsi dire,
e signification, ne laisse pas très-souvent de recevoir des sens fort différens , selon qu’il est employé au nombre singulier, ou
 : tous deux signifieroient la même chose, mais en indiquant des vues différentes  ; par exemple, on tutayeroit par familiarité, ou
e du singulier & les deux premieres du pluriel ont une forme bien différente des prétendues troisiemes personnes ; fais, faiso
-il croyable qu’aucune vûe d’analogie ait pu donner des formations si différentes aux personnes d’un même tems, je ne dis pas par r
eroit plus analogie, puisque des idées semblables auroient des signes différens , & que des idées différentes y auroient des s
s idées semblables auroient des signes différens, & que des idées différentes y auroient des signes semblables ; ce seroit anom
comparés sur l’autre, & non la comparaison même, qui en est fort différente . J’avoue néanmoins que tout rapport énoncé, &
ne preuve d’une autre espece, quoiqu’il en tire une conséquence assez différente  ; voici ses propres termes : non parùm hanc sente
lemands ne prouve rien autre chose que la liberté de l’usage dans les différens idiomes ; mais l’une des deux manieres ne prouve
mêmes sens dans toutes les langues, quoique les formes y soient fort différentes . D’après cette distinction, quand on aura constat
tes. D’après cette distinction, quand on aura constaté le système des différens sens graduels, il sera aisé de distinguer dans le
s appartiennent au même sujet, soit qu’ils appartiennent à des sujets différens . Or il y a trois especes de sens comparatifs, sel
n des mêmes adverbes aussi, plus, moins, l’adjectif savant reçoit les différens sens comparatifs d’égalité, de supériorité ou d’i
par les mêmes adverbes ajoutés à l’adjectif savant. On peut comparer différens degrés de la même qualité considérés dans des suj
nte & aveugle ; & que d’ailleurs il doit en être des noms des différens degrés comme de ceux des cas, des genres, & d
eu triste, un peu froid. Il y a seulement quelques mots exceptés dans différens idiomes, lesquels reçoivent ce sens diminutif, ou
langue allemande, & peut-être ses dialectes, a deux terminaisons différentes pour ces deux sortes de supériorité : quand il s’
lle. Mais quand on dit, la plus grande de mes passions, l’analyse est différente  : la annonce nécessairement un nom appellatif, c’
t évidente. Les adjectifs & les adverbes qui peuvent recevoir les différens sens graduels, & conséquemment des terminaiso
ossibilité des terminaisons qui caractériseroient dans les verbes ces différens sens ; c’est un point qui est inséparable de la s
établir sur un même radical des variations pour deux points de vue si différens , rien n’empêchoit qu’il n’en introduisît d’autres
s autres hébraïsans, le même verbe radical reçoit jusqu’à cinq formes différentes , que l’on appelle des conjugaisons ; mais que j’a
rectum, auditum, &c ? Sans entrer dans une discussion inutile des différentes opinions des grammairiens anciens & modernes
qu’ils se sont trompés. Les noms verbaux de la quatrieme déclinaison, différent de ceux de la troisieme, en ce que ceux de la qua
vues de la construction analytique, telle qu’on l’a montrée dans les différens articles de cet ouvrage qui ont pu en donner occa
& unique mot d’une autre langue, réponde à deux significations si différentes entre elles dans la nôtre, à moins qu’on ne suppo
ard, que celui de conditionnel ; mais la raison de mon choix est fort différente de la sienne ; c’est que la terminaison est sembl
ur en déduire des conséquences qui n’en seront que la répétition sous différentes formes. Ne seroit-on pas aussi bien fondé à adopt
sur la composition des syllabes, un système fort singulier, qui, tout différent qu’il est du mien, peut néanmoins contribuer à le
e est donc un trope au moyen duquel le même mot est pris en deux sens différens dans la même phrase, d’une part dans le sens prop
uisque Nero d’une part & Mars de l’autre sont pris dans deux sens différens  : or le sens figuré de ces mots n’est point une m
clarté de l’enseignement, de donner à un même mot technique des sens différens , je n’adopte, pour nommer la figure dont il s’agi
je prends le plus pour le moins, ou le moins pour le plus. Voici les différentes sortes de synecdoques que les Grammairiens ont re
endre confondre ces passions. . . Cependant elles ont des objets bien différens . Mais lui-même sert bientôt de preuve à ce qu’il
suit naturellement de tous les exemples que je viens d’indiquer dans différens écrivains, que ce qu’enseigne l’abbé Girard au su
bon parti ailleurs, viennent de ce que les hommes les envisagent sous différentes faces, & leur donnent des noms relatifs à cha
ordre, la chose abonde en synonymes » (mais dans ce cas-là même, les différentes origines des synonymes démontrent la diversité de
Bruyere remarque (caract. des ouvrages d’esprit) qu’entre toutes les différentes expressions qui peuvent rendre une seule de nos p
ions de la syntaxe sont au fond identiques, quoiqu’énoncées en termes différens . Il seroit inutile de grossir cet article par des
é de l’enseignement de désigner par le même nom des objets totalement différens , ainsi que je l’ai déja remarqué sous ce mot ; je
u fond un seul nom suffit à un seul principe ; & l’on n’a imaginé différens noms, que parce qu’on a cru voir des principes di
n’a imaginé différens noms, que parce qu’on a cru voir des principes différens . Nous retrouvons la chaîne qui les unit, & qu
sent que des notions bien confuses des tems en général & de leurs différentes especes. Pour ne pas suivre en aveugle le torrent
es considérant d’une maniere générale, soit en les examinant dans les différens modes du verbe. Art. I. Notion générale des tems
re qu’en général les tems sont les formes du verbe, qui expriment les différens rapports d’existence aux diverses époques que l’o
r, le monde doit finir, &c. J’ajoute que ces formes expriment les différens rapports d’existence aux diverses époques que l’o
lle & inamissible, je veux dire, la simultanéité d’existence. Les différens usages que nous venons de remarquer dans le prése
ndéfini : & quoiqu’en effet on ne l’employe pas à autant d’usages différens que le présent indéfini, il en a cependant assez
propositions d’une vérité contingente ont nécessairement des rapports différens aux diverses époques ; rapport de la simultanéité
ormation des tems, & dans une même langue, & dans des langues différentes  ; des analogies adoptées avec une certaine unanim
il annonce une analogie commune aux trois tems de chaque espece, mais différente d’une espece à l’autre ; enfin qu’il distingue ce
spece à l’autre ; enfin qu’il distingue ces deux especes par des noms différens , donnant aux tems de la premiere le nom d’imparfa
n un seul mot, & qui entés tous sur une même racine fondamentale, différent entr’eux par les infléxions & les terminaisou
’en employer les tems, que ceux de tout autre verbe, pour marquer les différens rapports d’existence qui caractérisent les tems d
a langue latine. La langue latine, dont le génie paroît d’ailleurs si différent de celui des trois langues modernes, nous conduit
inflexions à la racine commune, leur donne une racine immédiate toute différente , & qui caracterise leur analogie propre : d’a
signification propre à chaque verbe : cette racine passe ensuite par différentes métamorphoses, au moyen des additions que l’on y
nt de maniere, que les différences de verbe à verbe caractérisent les différentes conjugaisons, mais que les analogies générales se
Les trois présens du verbe auxiliaire sont pareillement relatifs aux différens aspects de l’époque. Precatus sum doit quelquefoi
ommutables & même aussi opposées que celles qui caractérisent les différentes especes de tems. Si au-contraire on distingue ave
traction de celle du terme. Cette maniere simple de rendre raison des différens emplois d’un même tems, doit paroître, à ceux qui
ues, qui, pour exprimer la même chose, emploient constamment des tems différens . Par exemple, nous disons en françois, si je le t
e veux pas dire qu’elle soit privée de tous les moyens d’exprimer ces différens points de-vûe ; il ne lui faut qu’un adverbe, un
d’existence qui caractérisent les tems dont il s’agit ici, sont bien différentes de celles des tems moins composés que nous avons
: j’ai eu aimé, j’avois eu entendu, j’aurois eu dit, sont par-là très différens des tems moins composés, j’ai aimé, j’avois enten
roit des tems qui exprimeroient des relations d’existence tout-à-fait différentes , & deviendroit par-là très-équivoque ; ce qui
es modes. Les verbes se divisent en plusieurs modes qui répondent aux différens aspects sous lesquels on peut envisager la signif
connoître les parties qui en auront été adoptées ou rejettées par les différens usages de ces idiomes. Nous avons six modes en fr
re naturel être ; enfin le troisieme pronominal, & pour cela même différent des deux autres dans la formation de ses prétérit
rte, &c. Le prétérit de notre impératif peut donc être rapporté à différentes époques, & par conséquent il est indéfini. C’
rit positif, est également vrai du prétérit comparatif ; il peut dans différentes phrases se rapporter à différentes époques ; il e
prétérit comparatif ; il peut dans différentes phrases se rapporter à différentes époques ; il est indéfini. Quand j’aurois eu pri
ain, il est encore indéfini, & on peut l’employer avec rélation à différentes époques. Quelqu’un veut tirer de ce que je viens
le même mot françois sera traduit exactement en latin par trois tems différens qui indiqueront sans équivoque l’actualité, l’ant
’une ce qui est exprimé dans l’autre, sous une forme quelquefois bien différente . §. V. Des tems de l’infinitif. J’ai déja suffisa
e la parole. Après les détails que j’ai donnés sur la distinction des différentes especes de tems en général, je crois pouvoir me d
llée & des discussions si longues sur la nature des tems, sur les différentes especes qui en constituent le système, & sur
scrupule, m’a montré, dans la décomposition des tems usités chez les différens peuples de la terre, des idées élémentaires qu’on
tre langue. Comment peut-on lui voir produire tant de merveilles sous différentes plumes, quoiqu’elle ait dans nos grammaires un ai
ndus par le même mot latin honoravi. Est-il croy able que des mots si différens dans leur formation, & distingués par des dén
différens dans leur formation, & distingués par des dénominations différentes , soient destinés à signifier absolument la même i
tems, exige indispensablement un système & une nomenclature toute différente  : si cette espece d’innovation a quelques inconvé
; de diverses significations de ces tems, comme de l’emploi & des différens sens, par exemple, des adjectifs fameux, illustre
primò ponitur. Les grammairiens font usage de ce terme dans deux sens différens . 1°. On appelle communément thême d’un verbe, le
ilosophes, disputent beaucoup entre eux pour savoir combien il y a de différentes classes de tropes, combien chaque classe renferme
ot générique dont on se sert pour marquer les idiomes, le langage des différentes nations, langue latine, langue françoise ; &
e n’en est qu’une espece, désignée en pure perte par une dénomination différente . Qu’on y prenne garde ; tout ce qui est véritable
pes qui fournissent le moyen de dire une même chose en mille manieres différentes . La plûpart de ce qu’on appelle expressions chois
nquillité ; mais combien la signification du mot calme n’est-elle pas différente du mot calamité, & quel étrange chemin n’ont
p; l’art s’est établi sur les procedés nécessaires de la nature : les différens degrés de succès des moyens suggérés par le besoi
ngtieme lettre de l’alphabet latin ; elle avoit chez les Romains deux différentes significations, & étoit quelquefois voyelle,
VERBE, s. m. (Gram.) en analysant avec la plus grande attention les différens usages du verbe dans le discours, voyez Mot , art
relation à une modification, est encore ce qui sert de fondement aux différens modes du verbe, qui conserve dans tous sa nature,
priment l’objet intérieur de nos jugemens ; je trouve encore dans les différens aspects de cette idée de l’existence intellectuel
parle, par l’idée de cette dépendance ; & ces êtres doivent être différens de la seconde personne dont ils dépendent, par la
remarqué ailleurs que ce qu’on a coutume de regarder en hébreu comme différentes conjugaisons d’un même verbe, est plutôt une suit
mme différentes conjugaisons d’un même verbe, est plutôt une suite de différentes voix. La raison en est que ce sont autant de suit
te de différentes voix. La raison en est que ce sont autant de suites différentes des inflexions & terminaisons verbales entées
at (Gramm. hebr. pag. 74.) que les conjugaisons en hébreu ne sont pas différentes , selon les différens verbes, comme en grec, en la
4.) que les conjugaisons en hébreu ne sont pas différentes, selon les différens verbes, comme en grec, en latin ou en françois ;
es ne sont que le même verbe conjugué différemment, pour exprimer ses différentes significations, & qu’il n’y a en hébreu, à pr
prement parler, qu’une seule conjugaison sous sept formes ou manieres différentes d’exprimer la signification d’un même verbe ». I
imer la signification d’un même verbe ». Il est donc évident que ces différentes formes différent entre elles, comme la forme acti
on d’un même verbe ». Il est donc évident que ces différentes formes différent entre elles, comme la forme active & la forme
des lettres qu’on appelle consonnes, ce qu’est le son d’une flûte aux différentes modifications de ce même son, que font les doigts
sons fondamentaux, qu’on auroit pû représenter par autant de voyelles différentes  ; & que les autres sons usités parmi nous dér
ix se font tout entiers sur an, ein, on, &c. que l’on entend bien différens de a, è, o, &c ; 2°. sur l’hiatus que produit
lles qui existent d’une maniere assez peu systématique. Le détail des différentes manieres dont nous représentons nos sons usuels,
, s. m. (Gram.) La différence prodigieuse de mots dont se servent les différens peuples de la terre pour exprimer les mêmes idées
t rejettée en un autre dans la même langue, ou que deux constructions différentes des mêmes mots y présentent des sens qui quelquef
ssairement à de nouveaux mots ; la cupidité combine en mille manieres différentes les passions & les idées des objets qui les i
pour signifier leur C S ou G Z. Cette lettre a dans notre ortographe différentes valeurs ; & pour les déterminer je la considé
ménez ou Chiménez. II. Si la lettre X est au milieu du mot, elle y a différentes valeurs, selon ses diverses positions. 1°. Elle t
rsque la lettre X est à la fin des mots, elle y a, selon l’occurence, différentes valeurs. 1°. Elle vaut autant que C S à la fin de
imore, ego risu corrui (Cic.), c’est-à-dire ille timore corruit. Ces différens aspects du zeugme peuvent aider peut-être les com
gant de sousentendre le même mot dans un sens & une signification différente , comme tu colis barbam, ille patrem : cela est tr
12 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Première partie — Chapitre I. Définition des idées égalitaires »
er « les faits » : de la confrontation des principes qui dirigent les différentes sociétés égalitaires son essence devrait, en quel
nalité consiste précisément à attribuer aux hommes une valeur propre, différente de la valeur des choses. La notion de valeur, dan
t qu’ils sont semblables n’exclut nullement, le sentiment qu’ils sont différents . Bien plutôt, c’est parce que les hommes se prése
plique. Nous enjoint-il de traiter de manière identique les individus différents  ? Il veut au contraire qu’on tienne compte et qu’
ment de la dialectique égalitaire. C’est pour apprécier justement les différentes valeurs des actions individuelles qu’elle veut qu
ar exemple, les mesures qu’une société doit prendre pour ajuster, aux différentes espèces d’actions qui l’intéressent, les différen
our ajuster, aux différentes espèces d’actions qui l’intéressent, les différentes espèces de sanctions dont elle dispose, Il faudra
13 (1913) Les antinomies entre l’individu et la société « Chapitre IV. L’antinomie dans l’activité volontaire » pp. 89-108
ctivité et l’intelligence, la volonté est diverse et inégale chez les différents individus humains. Ces différences individuelles
e diversité dans les individus humains et leur fait jour des rôles si différents dans la lutte pour la vie. La volonté d’un homme
même condition sociale peuvent se suicider pour des motifs absolument différents . Si le sociologue et le statisticien, attentifs a
mal de vivre, glissent paresseusement au nirvana bouddhique. Sous ses différentes formes et à travers ses différents degrés d’énerg
t au nirvana bouddhique. Sous ses différentes formes et à travers ses différents degrés d’énergie, la volonté peut se mettre au se
de vue d’éducateur ou de moraliste. Le point de vue psychologique est différent . Psychologiquement parlant, le frein volontaire e
le qui différencie ce sentiment de puissance en l’appliquant chez les différents individus à des objets différents. Rien de plus v
puissance en l’appliquant chez les différents individus à des objets différents . Rien de plus varié au fond que ce sentiment de l
la réalité du moi individuel38. Ce serait là confondre deux questions différentes  : celle de la réalité substantielle ou métaphysiq
au contraire. D’après M. Le Dantec, Pierre est un être originellement différent de Paul, composé d’une étoffe corporelle et menta
omme correctif à cette inégalité des forces du libre arbitre chez les différents individus, que la théologie catholique admet la d
14 (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre IV : Règles relatives à la constitution des types sociaux »
es divergences, de classer les peuples dans des groupes semblables ou différents . À l’appui de cette méthode, on fait remarquer qu
e forment pas, à l’intérieur du groupe total, des groupes spéciaux et différents du précédent ; ils sont juxtaposés atomiquement.
rieur. Or, il n’y a rien d’impossible à ce que des sociétés d’espèces différentes , situées inégalement haut sur l’arbre généalogiqu
nstitués, il y aura lieu de distinguer dans chacun d’eux des variétés différentes selon que les sociétés segmentaires, qui servent
mais suivant leur mode de composition ; ils doivent surtout être très différents suivant que chacun des groupes partiels garde sa
nt unique ; à l’intérieur de ces classes, on distinguera des variétés différentes suivant qu’il se produit ou non une coalescence c
ns de voir, en effet, que les sociétés n’étaient que des combinaisons différentes d’une seule et même société originelle. Or, un mê
exe, plus les parties qui la composent peuvent former de combinaisons différentes . Il en résulte que le type spécifique, au-delà de
On y trouve classées, non des espèces sociales, mais, ce qui est bien différent , des phases historiques. La France, depuis ses or
nce, depuis ses origines, a passé par des formes de civilisation très différentes  ; elle a commencé par être agricole, pour passer
encontrer dans des sociétés dont la constitution congénitale est très différente . Le Japon pourra nous emprunter nos arts, notre i
15 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre X. Des Livres nécessaires pour l’étude de la Langue Françoise. » pp. 270-314
rage très-utile aux jeunes gens, aux étrangers & aux habitans des différentes provinces du Royaume, en deux vol. in-8°. , à Par
mp; dont on peut donner des regles générales, comme l’orthographe des différentes terminaisons des noms par rapport aux genres &
titude que l’Abbé Girard donna en 1736. Ses Synonymes françois, leurs différentes significations, & le choix qu’il en faut fair
é des synonymes françois, il faut mettre le Traité des tropes, ou des différens sens dans lesquels un même mot peut être pris dan
é qu’il peut recevoir. Il explique la subordination des tropes ou les différentes classes ausquelles on peut les réduite, & les
ou les différentes classes ausquelles on peut les réduite, & les différens noms qu’on leur a donnés. Enfin pour rendre son o
pris abusivement. Il y a beaucoup de mots dont on ne donne point les différentes acceptions. Enfin l’idée de l’ouvrage est bonne ;
’on peut désirer pour l’intelligence de notre langue. On y démêle les différentes propriétés, & les diverses significations des
faits qui piquent la curiosité, ou qui instruisent sur les mœurs des différens siécles ; on n’y fait connoître aucun de ces homm
us les articles qui ont rapport à l’éloquence, à la poésie, & aux différens styles qu’exigent les différens genres d’écrire.
à l’éloquence, à la poésie, & aux différens styles qu’exigent les différens genres d’écrire. On n’y trouve aucune regle pour
ui fait appercevoir d’un coup d’œil l’origine, la filiation, les sens différens , la vraie valeur, & le meilleur emploi d’un m
peine d’être indiquée. On présente ensuite le mot sous tous les sens différens , & avec toutes les acceptions diverses dont i
ue, il ne suffit pas de consulter les Dictionnaires, il faut lire les différentes observations que les bons écrivains ont publiées.
es Doutes. Mais trop souvent encore, il fait des écarts pour attaquer différens auteurs, sans que ces attaques puissent être util
, les tours vicieux, les phrases singulieres qu’on se permet dans les différentes provinces de France. C’est ce qu’a exécuté pour l
16 (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre IV Le Bovarysme des collectivités : sa forme imitative »
inalité, en lui persuadant de se reconnaître en un modèle quelque peu différent de lui-même. Mais, si cessant de considérer l’ind
n’échappe pas non plus à la possibilité et au danger de se concevoir différent de lui-même. Pour le groupe, pour la collectivité
psychologie individuelle, car il s’exprime par une division entre les différents individus du groupe, les uns demeurant fidèles à
ceux de la Rome républicaine. L’imitation du costume sous un ciel si différent mit ce Bovarysme de l’antique au point de la cari
latin le génie du moyen âge fut contraint de biaiser, de se concevoir différent de soi-même. Il méprisa quelques-unes de ses prop
ils donnent à l’œuvre de la pléiade cette apparence artificielle, si différente de l’aspect vivant et naturel de l’œuvre des poèt
itectes d’accommoder en quelque mesure le goût antique aux besoins si différents des temps modernes et aux nécessités d’un autre c
traint l’esprit français, au xvie  siècle, à se concevoir quelque peu différent de lui-même, et on ne saurait nier que cette fasc
17 (1765) Articles de l’Encyclopédie pp. 11-15754
la premiere fois ils poussent l’air des poumons, on entend le son de différentes voyelles, selon qu’ils ouvrent plus ou moins la b
iquem, & loqui alicui, parler à quelqu’un, &c. A l’égard des différens usages de la préposition à, il faut observer 1. q
lleurs, les mêmes rapports sont souvent indiqués par des prépositions différentes , & souvent des rapports opposés sont indiqués
mot composé. Ainsi il faut considérer la préposition à en deux états différens . I. Dans son état simple : 1°. Rendez à César ce
& correctement. Abécédaire et alphabétique Abécédaire est différent d’Alphabéthique. Abécédaire a rapport au fond de
s. Les rapports ou vûes de l’esprit que les Latins marquoient par les différentes inflexions ou terminaisons d’un même mot, nous le
au génitif ; Lutetia, Lutetioe, c’est le même mot avec une inflexion différente  : Lutetioe est dans un cas oblique qu’on appelle
n nous ; c’est le point auquel nous rapportons toutes ces impressions différentes par leur cause particuliere, & uniformes par
oncepts abstraits sont donc comme le point auquel nous rapportons les différentes impressions ou réflexions particulieres qui sont
maire est comme le centre ou point de réunion, auquel on rapporte les différentes observations que l’on a faites sur l’emploi des m
e tous les noms de Sciences & d’Arts, aussi-bien que des noms des différentes parties de ces Sciences & de ces Arts. Voyez
s appellé mort. Mais la mort n’est point un être. C’est ainsi que les différentes privations, & l’absence des objets dont la pr
s que nous sentons ; & c’est ce qui nous fait donner des noms aux différentes especes de sensations particulieres, & ensuit
d’un autre dans le langage, non-seulement parce qu’on se sert de mots différens , mais encore par la maniere d’articuler & de
par la maniere d’articuler & de prononcer les mots. Cette maniere différente , dans l’articulation des mots, est appellée accen
re de parler, & de modifier la voix. Voyons donc quelles sont ces différentes modifications de voix qui sont comprises sous le
dicendo etiam quidam cantus. Cic. Orator. n. XVII. & XVIII. Cette différente modification du ton, tantôt aigu, tantôt grave, &
Il faudroit aussi que lorsque le mot écrit peut avoir deux acceptions différentes , chacune de ces acceptions fût distinguée par l’a
siblement une langue nouvelle, nos Peres nous ont transmis trois sons différens qu’ils écrivoient par la même lettre e. Ces trois
le, & dans la derniere de donne, ame, vie, &c. Ces trois sons différens se trouvent dans ce seul mot, fermeté ; l’e est o
’apparence que ce n’est qu’insensiblement que l’e a eu les trois sons différens dont nous venons de parler. D’abord nos Peres con
pas dans la suite du même raisonnement le prendre dans une acception différente . Acceptio vocis est interpretatio vocis ex mente
lui qui l’emploie : si vous l’entendez autrement, c’est une acception différente . La plûpart des disputes ne viennent que de ce qu
mot à plusieurs acceptions quand il peut être pris en plusieurs sens différens  : par exemple, coin se prend pour un angle solide
infléxions de voix qui varient selon les diverses passions & les différentes circonstances, un ton fier, un ton soûmis, un ton
jours, il rit, vous rajeunissez, &c. 5. Le mode, c’est-à-dire les différentes manieres d’exprimer ce que le verbe signifie, ou
e craignisse, craignant. Mais le P. Buffier observe qu’il y a tant de différentes infléxions entre les verbes d’une même conjugaiso
conjugaison, ou en reconnoître autant que nous avons de terminaisons différentes dans les infinitifs. Or M. l’Abbé Regnier observe
r observe que la Langue Françoise a jusqu’à vingt-quatre terminaisons différentes à l’infinitif. 9. Enfin le dernier accident des v
l’ame. Il y a autant de sortes d’interjections, qu’il y a de passions différentes . Ainsi il y en a pour la tristesse & la compa
dont les noms ont des terminaisons particulieres destinées à marquer différens rapports, ou vûes particulieres sous lesquelles l
runt. Varro, lib. I. de Anal. Au reste les noms que l’on a donnés aux différens cas ne sont tirés que de quelqu’un de leurs usage
t conserver ces anciennes dénominations, pourvû que l’on explique les différens usages particuliers de chaque cas. L’accusatif fu
la préposition : & comme les noms Latins & les noms Grecs ont différentes terminaisons, il falloit bien qu’alors ils en eus
en très-grand nombre, & dont on pourroit faire autant de classes différentes qu’il y a de sortes de vûes sous lesquelles l’esp
à quoi nous avons donné le nom de grand a fait en nous une impression différente de celle que ce que nous appellons petit nous a f
nné lieu d’inventer les noms de grand, de petit, de moindre, &c. Différent , pareil, semblable, sont aussi des adjectifs méta
bstantifs en conséquence de certaines vûes particulieres de l’esprit. Différent qualifie un nom précisément entant que je sens qu
ation de liber : mais ces deux mots présentent à l’esprit deux objets différens , dont l’un n’est pas l’autre ; au contraire, quan
andre. Il faut ici observer que les mots changent de valeur selon les différentes vûes que l’usage leur donne à exprimer : boire, m
est une femme qui a de la vertu & de la conduite. Vrai a un sens différent , selon qu’il est placé, avant ou après un substan
fort aimable ; il est véritablement roi. En faisant l’énumération des différentes sortes de mots qui entrent dans le discours, je p
e cette société. C’est le concours d’un grand nombre de circonstances différentes qui a formé ces diverses langues : le climat, l’a
r une même lettre ; c’est le même son représenté par trois caracteres différens . C’est ainsi que c i font ci ; s i encore si, &am
est un défaut qu’un même son soit représenté par plusieurs caracteres différens  : mais ce n’est pas le seul qui se trouve dans no
trouve dans notre alphabet. Souvent une même lettre a plusieurs sons différens  ; l’s entre deux voyelles se prend pour le z, au
rs z, & sigma toûjours sigma. Notre e a pour le moins quatre sons différens  ; 1°. le son de l’e commun, comme en père, mère,
nçois, composé d’autant de caracteres particuliers, qu’il y a de sons différens dans notre langue ; par exemple, les trois e devr
n avoit changé ; les yeux s’étoient accoûtumés à une maniere d’écrire différente de la maniere de prononcer ; & c’est de-là qu
usage qui est aujourd’hui conforme à l’ancienne orthographe, est fort différent de celui qui étoit autrefois le plus suivi. Il n’
lus comme on écrit l’u voyelle ; il en est de même du j, qui est bien différent de l’i ; ces distinctions sont très-modernes ; el
considérer : I. Que nous avons actuellement plus de quatre alphabets différens , & que nos jeunes gens à qui on a bien montré
rimés il y a 80 ou 100 ans, parce que l’orthographe d’aujourd’hui est différente de ces tems-là ? Et si l’on remonte plus haut, on
ion & notre orthographe, qui présente souvent aux yeux des signes différens de ceux qu’elle devroit présenter selon la premie
de ago, pousser, mener. Un terme ambigu présente à l’esprit deux sens différens . Les réponses des anciens oracles étoient toûjour
est énoncée de façon qu’elle est susceptible de deux interprétations différentes , on dit qu’il y a amphibologie, c’est-à-dire qu’e
que plusieurs choses ont les unes avec les autres, quoique d’ailleurs différentes par des qualités qui leur sont propres. Ainsi le
de distinguer par des caracteres extérieurs les choses intérieurement différentes . Ces apparences sont destinées à nous servir d’ét
t Construction . Le même fonds de pensée peut souvent être énoncé de différentes manieres : mais chacune de ces manieres doit être
e ; nom qui est ensuite déterminé par le nom de l’individu. Parmi ces différentes manieres de parler, si nous en rencontrons quelqu
pouvons en rendre raison par l’analogie de la langue. Enfin entre les différentes manieres de parler autorisées, nous devons donner
est répété deux sois dans la même période, mais en deux propositions différentes  ; & ainsi il n’est pas étonnant que ce nom su
if soit à un certain cas dans une de ces propositions, & à un cas différent dans l’autre proposition, puisque les mots ne se
le sigma des Grecs, qui est notre s, est représenté de trois manieres différentes , σ, ς , & ; [non reproduit]c’est cette dernie
les uns qui conviennent à tous les individus ou êtres particuliers de différentes especes ; par exemple, arbre convient à tous les
mal est un nom de genre, parce qu’il convient à tous les individus de différentes especes ; car je puis dire, ce chien est un anima
pport à animal ; mais chien deviendra un nom de genre par rapport aux différentes especes de chiens ; car il y a des chiens qu’on a
’autres mâtins, d’autres barbets, &c. ce sont là autant d’especes différentes de chiens. Ainsi chien, qui comprend toutes ces e
ntend par article les jointures des os du corps des animaux, unies de différentes manieres, & selon les divers mouvemens qui le
ns qui ne servent qu’à déterminer l’objet avec plus de force, sont si différens de l’article Grec & de l’article François, qu
rticle, forment autant de nouveaux cas, qu’elles marquent de rapports différens  ; pourquoi dit-on que di, a, da, ont ce privilége
s ; nous ne faisons que nommer : & à l’égard des rapports ou vûes différentes sous lesquels nous considérons les mots, nous mar
ses idées que nous avons dans l’esprit, mais encore pour exprimer les différentes faces sous lesquelles nous considérons les objets
s objets, mais seulement des points de vûes de l’esprit, ou des faces différentes sous lesquelles l’esprit considere le même mot ;
ts, & non la différence matérielle du son, qui les fait placer en différentes classes : c’est ainsi que l’infinitif des verbes
res tables ; un livre, ensuite des livres, &c. Les idées que ces différens noms excitoient dans mon cerveau, étant une fois
le nom de chien réveilloit dans mon esprit l’image de chien, qui est différente de celle de cheval, de celle de moineau, &c.
ns, & celui de chien qui le mettoit dans une classe particuliere, différente de celle de cheval, de moineau, de table, &c.
un nom de genre, puisqu’il est commun à chaque individu de toutes les différentes especes d’animaux. Mais ne pourrai-je pas dire qu
re un nom de genre ? Il sera toûjours un nom de genre par rapport aux différentes especes d’animaux, puisque chaque individu de cha
ordonné à aucune classe supérieure. Ainsi on dira fort bien qu’il y a différentes especes d’êtres corporels : premierement les anim
ue je puis dire de chaque être particulier qu’il existe : ensuite les différentes manieres d’exister de ces êtres, leurs différente
iste : ensuite les différentes manieres d’exister de ces êtres, leurs différentes propriétés, me donnent lieu de placer au-dessous
nent lieu de placer au-dessous de l’être autant de classes ou especes différentes que j’observe de propriétés communes seulement en
t ignorans, c’est encore le même sens ; ces deux propositions ne sont différentes que par la forme : dans la premiere, tout veut di
lens. fruits (sens de sorte). Les especes differentes des ani- Il y a différentes especes d’a- maux qui sont sur la terre. nimaux s
sont sur la terre. nimaux sur la terre. (Sens individuel universel). Différentes sortes de poissons. &c. Entrez dans le détail
connoissances nouvelles. sauces. Les avantages de la mémoire. Il y a différentes sortes de me- moire. La mémoire des faits est la
e pour marquer non-seulement les objets de nos idées, mais encore les différentes vûes sous lesquelles l’esprit considere ces objet
L’article, les prépositions, les conjonctions, les verbes avec leurs différentes inflexions, enfin tous les mots qui ne marquent p
oint des choses, n’ont d’autre destination que de faire connoître ces différentes vûes de l’esprit. D’ailleurs, c’est une regle des
A avoir une assez grande abondance de mots pour suffire à énoncer les différens objets des idées que nous avons dans l’esprit : p
e ces phrases, le roi & le peuple sont considérés sous un rapport différent . Dans la premiere, c’est le roi qui aime ; dans l
e (de le prince) est le palais déterminé qu’un tel prince habite. Ces différentes vûes ne sont pas distinguées en latin d’une manie
liés sans se détacher. Ainsi les sons de la voix humaine sont des son différens , variés, mais liés entr’eux de telle sorte qu’ils
oint du dictionnaire de la langue. 2°. En prenant un mot dans un sens différent de celui qu’il a dans l’usage ordinaire, comme qu
e k passoient pour une même chose, comme en effet ils n’étoient point différens dans la prononciation ; car au lieu qu’aujourd’hu
orma l’alphabet. Voyez l’article Alphabet . On n’en resta pas là. Les différens besoins des hommes les ayant portés à inventer di
pas là. Les différens besoins des hommes les ayant portés à inventer différentes sciences, ces sciences furent obligées de se form
de ceux qui étoient initiés dans la science. On peut donc réduire les différentes especes de caracteres à trois principales ; savoi
par des mers vastes ou par des continens arides, ou par des intérêts différens , n’avoient presque plus rien de commun entr’elles
plus rien de commun entr’elles. Ces circonstances occasionnerent les différentes langues & les différens alphabets qui se sont
s. Ces circonstances occasionnerent les différentes langues & les différens alphabets qui se sont si fort multipliés. Cette d
si fort multipliés. Cette diversité de caracteres dont se servent les différentes nations pour exprimer la même idée, est regardée
commun que chacun de ces peuples entend de la même maniere dans leurs différentes langues, quoiqu’ils le prononcent avec des sons o
langues, quoiqu’ils le prononcent avec des sons ou des mots tellement différens , qu’ils n’entendent pas la moindre syllabe les un
s simples, les plus aisés, & les plus commodes, que d’engager les différentes nations à en faire usage ; elles ne s’accordent,
(O) Les caracteres littéraux peuvent encore se diviser, eu égard aux différentes nations chez lesquelles ils ont pris naissance, &
n des médailles. On fait un usage particulier de plusieurs caracteres différens dans les Mathématiques, & particulierement en
; ainsi xm, yn, zr, &c. désignent les puissances indéterminées de différente espece ; m x, n y, r z, les différens multiples o
es puissances indéterminées de différente espece ; m x, n y, r z, les différens multiples ou sous-multiples des quantités x, y, z
e ; d x est la différentielle de x ; dy la différentielle de y. Cette différente maniere de caractériser les fluxions & les qu
ntités différentielles, tient peut-être jusqu’à un certain point à la différente maniere dont Mrs. Newton & Leibnitz les envis
du latin casus, chûte, rac. cadere, tomber. Les cas d’un nom sont les différentes inflexions ou terminaisons de ce nom ; l’on a reg
minaisons de ce nom ; l’on a regardé ces terminaisons comme autant de différentes chûtes d’un même mot. L’imagination & les idé
ui ne se dit que des noms ; car les verbes ont aussi des terminaisons différentes , j’aime, j’aimois, j’aimerai, &c. Cependant o
t transposés, comment puis-je connoître leurs relations ? Ce sont les différentes terminaisons, ce sont les cas qui m’indiquent ces
imple position de ces mots me fait connoître leurs rapports & les différentes vûes de l’esprit de celui qui a parlé. Ainsi je d
langue & en chaque déclinaison autant de cas, que de terminaisons différentes dans les noms ; cependant le génitif & le dat
a prononciation de l’a au nominatif de la premiere déclinaison, étoit différente de celle de l’a à l’ablatif : le premier est bref
de-ci… n’est qu’une oeuvre comique 1 2 3 4 Où chacun fait… ses rôles différens . Rousseau. 1 2 3 4 Il n’y a point de césure presc
les ou herbes, &c. par la même analogie. Classe se dit aussi des différentes salles des colléges dans lesquelles on distribue
e Quintilien, que le maître d’une même école divisoit ses écoliers en différentes bandes, selon leur différente capacité, secundùm
ne même école divisoit ses écoliers en différentes bandes, selon leur différente capacité, secundùm vires ingenii. Ce que Quintili
nsi homme n’est pas un nom collectif, quoique l’homme soit composé de différentes parties ; mais ville est un nom collectif, soit q
est un nom collectif, soit qu’on prenne ce mot pour un assemblage de différentes maisons, ou pour une société de divers citoyens :
pour marquer un corps qui résulte de la composition ou du mêlange de différens principes. La masse sensible qui est formée par l
différens principes. La masse sensible qui est formée par l’union de différentes particules, de divers corps naturels, est appellé
les hommes ayant remarqué par l’usage de la vie que les individus des différentes especes conviennent entr’eux en certain points, i
sées, comme afin que, parce que, à cause que, &c. ce qui est bien différent du simple adverbe & de la simple préposition,
du verbe. On range toutes les terminaisons des verbes en deux classes différentes  ; 1°. les terminaisons, qui font connoître que le
as aussi-bien qu’on le croit la voix moyenne. Par modes on entend les différentes manieres d’exprimer l’action. Il y a quatre princ
que d’autres verbes de la même langue avoient des terminaisons toutes différentes , pour marquer les mêmes modes, les mêmes tems, le
s mêmes personnes : alors les Grammairiens ont fait autant de classes différentes de ces verbes, qu’il y a de variétés entre leurs
audivi, auditum, audire, entendre. Ces quatre sortes de terminaisons différentes entr’elles, énoncent également des vûes de l’espr
ai averti ; legi, j’ai lû ; audivi, j’ai entendu : vous voyez que ces différentes terminaisons marquent également la premiere perso
res à celles de moneo, d’autres à celles d’audio. Ce sont ces classes différentes que les grammairiens ont appellées conjugaisons.
digme, παράδειγμα, exemplar, c’est-à-dire, un modele à chacune de ces différentes classes ; ainsi amare est le paradigme de vocare,
sant ; je finis, ou bien je reçois, ou je prends, &c. Ce sont ces différentes sortes de terminaisons auxquelles les verbes sont
s auxquelles les verbes sont assujettis dans une langue, qui font les différentes conjugaisons, comme nous l’avons déja observé. Il
jugaisons, comme nous l’avons déja observé. Il y a des langues où les différentes vûes de l’esprit sont marquées par des particules
trahebam. Ainsi non seulement les verbes grecs ont des terminaisons différentes , comme les verbes latins ; mais de plus, ils ont
plus ; c’est l’optatif qui en grec a des terminaisons particulieres, différentes de celles du subjonctif ; ce qui n’est pas en lat
gérondifs proprement dits ; mais ils en sont bien dédommagés par les différentes terminaisons de l’infinitif, & par les différ
mmagés par les différentes terminaisons de l’infinitif, & par les différens participes. Il y a un infinitif pour le tems prés
ison des infinitifs ; on peut observer presque autant de terminaisons différentes à l’infinitif, qu’il y a de lettres à l’Alphabet,
arrivant. C’est de la différence du tour, de l’imagination, ou de la différente maniere dont l’esprit est affecté, que l’on doit
. Id. ibid. Les Rhéteurs donnent divers noms à cette figure, selon la différente sorte de consonnance, & selon la variété de l
ore similiter desinens, similiter cadens. Il suffit de comprendre ces différentes manieres sous le nom général de consonnance. L’us
etica vulgaribus misceat. Quint. l. VIII. c. iij. c’est confondre les différens genres d’écrire ; c’est tomber, dit-il, dans le d
r former les sons destinés à être les signes des pensées. Ce sont ces différentes considérations ou précisions de notre esprit à l’
lle, de consonne, d’articulation, & autres : ce qui distingue les différens points de vûe de notre esprit sur le méchanisme d
es parties internes de nous-mêmes que nous mettons en oeuvre pour ces différentes opérations : de plus, les organes des sens sont l
us apprend qu’au fond de la bouche commencent deux tuyaux ou conduits différens , entourés d’une tunique commune. L’un est appellé
nore par les organes de la parole : ce qui lui arrive par deux causes différentes . Premierement, l’air étant poussé avec plus ou mo
oumons, & qui sort par la trachée-artere, reçoit dans son passage différentes modifications & divers trémoussemens, soit pa
squ’à l’organe de l’oüie de ceux qui écoutent, leur font entendre les différentes modulations de la voix & les divers sons des
sont les signes de la pensée qu’on veut exciter dans leur esprit. Les différentes sortes de parties qui forment l’ensemble de l’org
de l’organe de la voix, donnent lieu de comparer cet organe selon les différens effets de ces parties, tantôt à un instrument à v
nt en même tems en deux états, qui ont chacun leur effet propre & différent . Ce que nous venons d’observer à l’égard de la co
s. Est-il en effet raisonnable que le même signe ait des destinations différentes dans le même genre, & que le même objet soit
mbinaison & d’arrangement. Cicéron a dit selon trois combinaisons différentes , accepi litteras tuas, tuas accepi litteras, &
eras accepi tuas : il y a là trois constructions, puisqu’il y a trois différens arrangemens de mots ; cependant il n’y a qu’une s
ns interne est affecté aussi promptement que nos yeux le sont par les différentes impressions singulieres de la lumiere. Ainsi je c
e des prépositions, des adverbes, des conjonctions, & surtout des différentes terminaisons des verbes destinées à marquer le no
andre vainquit Darius en la troisieme année, &c. Les liaisons des différentes parties du discours, telles que cependant, sur ce
ion simple, on doit 1°. énoncer tous les mots qui sont les signes des différentes parties que l’on est obligé de donner à la pensée
minaisons particulieres destinées en toute construction à marquer les différentes relations ou les différentes sortes de valeurs re
nées en toute construction à marquer les différentes relations ou les différentes sortes de valeurs relatives des mots. II. De la c
u discours, entant qu’il est signe de l’analyse des pensées & des différentes vûes de l’esprit. C’est une opération que le peup
nt le mot est bien le même, eu égard à la signification ; mais il est différent par rapport au nombre ou au genre. Aquilae volaru
ans chacun des auteurs qui ont beaucoup écrit ; on trouve, dis-je, en différens endroits, le même fond de pensée énoncé avec les
nsée énoncé avec les mêmes mots, mais toûjours disposés dans un ordre différent . Quel est celui de ce, divers arrangemens par rap
ion est occupée, on donne à un mot voisin de celui-là une terminaison différente de celle qu’il auroit eu selon la construction or
gréable à l’oreille ; on doit y observer autant que la convenance des différens styles le permet, ce qu’on appelle le nombre, le
rythme, l’harmonie, &c. Je ne m’arrêterai point à recueillir les différentes remarques que plusieurs bons auteurs ont faites a
et ordre qu’il faut tout ramener, si l’on veut pénétrer la raison des différentes modifications que les mots reçoivent dans le disc
l. La proposition est un assemblage de mots, qui, par le concours des différens rapports qu’ils ont entr’eux, énoncent un jugemen
. Cette considération de l’esprit peut se faire en plusieurs manieres différentes , & ce sont ces differentes manieres qui ont d
e ; e molto tempo est une phrase italienne : voilà autant de manieres différentes d’analyser & de rendre la pensée. Quand on ve
chose. Observez donc que l’attribut commence toujours par le verbe. Différentes sortes de sujets. Il y a quatre sortes de sujets 
lorsque pour abreger, on donne un attribut commun à plusieurs objets différens  : la foi, l’espérance, & la charité sont troi
nt le tout, sont chacune des propositions partielles. L’assemblage de différentes propositions liées entr’elles par des conjonction
plicative, proposition déterminative. La proposition explicative est différente de la déterminative, en ce que celle qui ne sert
e que comme le soleil peut fournir assez de lumiere pour éclairer ces différentes planetes, & qu’il a assez de force pour surmo
pour surmonter tous les obstacles, & produire dans la nature les différens effets que nous voyons tous les jours qu’il produ
nsidérée logiquement est celle de l’entendement, qui n’a égard qu’aux différentes parties, je veux dire aux différens points de vûe
tendement, qui n’a égard qu’aux différentes parties, je veux dire aux différens points de vûe de sa pensée : il en considere une
Je crois qu’un Grammairien ne peut pas se dispenser de connoître ces différentes sortes de propositions, s’il veut faire la constr
ruction d’une maniere raisonnable. Les divers noms que l’on donne aux différentes propositions, & souvent à la même, sont tirés
l qu’au singulier. 2. Multiple, lorsqu’on applique le même attribut à différens individus. 3. Complexe. 4. Enoncé par plusieurs m
aticales ont entr’elles ; rapports qui sont marqués par la valeur des différentes conjonctions qui unissent les propositions gramma
r, par rapport au genre, au nombre, & au cas, des vûes qui soient différentes de celles sous lesquelles l’esprit considere le s
Dieu. La syntaxe d’une langue ne consiste que dans les signes de ces différentes déterminations. Quand on connoît bien l’usage &am
même considéré avec telle ou telle qualification ; mais parce que ces différentes considérations de l’esprit se font intérieurement
du indéterminé : il a le même sens que quelque. Ainsi un peu est bien différent de le peu ; celui-ci précede l’individu déterminé
de se charger la mémoire de mots pour distinguer scrupuleusement les différentes especes de contractions. (F) CRASE Cr
on se sert dans l’écriture, autres que les lettres. Les crochets sont différens des parentheses ; celles-ci se font ainsi (), au
es sont la langue greque & la langue latine. Dans ces langues les différentes sortes de vûes de l’esprit sous lesquelles un nom
uvernent rien ; il n’y a que la vûe de l’esprit qui soit la cause des différentes inflexions que l’on donne aux noms qui ont rappor
aison où l’on doit être l’épouse légitime, ce sont là autant de tours différens d’imagination, ce sont autant de manieres différe
à autant de tours différens d’imagination, ce sont autant de manieres différentes d’analyser le même fonds de pensée ; & l’on d
est arrivé en latin que le datif a eu avec le tems deux terminaisons différentes  ; on disoit au datif morti & morte, Postquà
s, ce mot dans énonce une espece ou maniere particuliere de demeurer, différente de demeurer avec, ou de demeur sur ou sous, ou au
noms grecs & aux noms-latins un plus grand nombre de terminaisons différentes , on diroit avec raison que ces langues ont un plu
de terminaisons particulieres, qu’il y a de vûes ou de circonstances différentes sous lesquelles il peut être considéré. Je tire q
onsidéré. Je tire quelques conséquences de cette observation. I°. Les différentes dénominations des terminaisons des noms grecs ou
it que ces différences d’offices, c’est-à-dire les expressions de ces différentes vûes de l’esprit peuvent être réduites à six en t
n’en devoient avoir ni plus ni moins que six. Il est vrai que les six différentes terminaisons des mots latins, combinées avec des
e & à l’analogie de la langue latine, suffisent pour exprimer les différentes vûes de l’esprit de celui qui sait énoncer en lat
terminaisons des noms arméniens, & trouve que les expressions des différentes vûes de l’esprit peuvent être réduites à dix. Un
méthode de P. R. dit vainement qu’on peut réduire les expressions des différentes vûes de l’esprit dans toutes les langues. Dans le
question. En latin l’accusatif peut être construit de trois manières différentes , qui font trois différences spéciales dans le nom
 ; c’est aux Grammairiens qui traitent de ces langues à expliquer les différentes manieres en vertu desquelles les mots combinés fo
les autres hommes. Encore un coup, en chaque langue particuliere les différentes vûes de l’esprit sont désignées de la maniere qu’
cette langue un plus grand nombre de cas qu’elle n’a de terminaisons différentes dans ses noms selon les paradigmes de ses rudimen
nes, puisque ce n’est pas seulement la maniere de signifier, mais les différentes inflexions qui doivent faire les modes des verbes
s modes des verbes. J’en dis autant des cas des noms, ce n’est pas la différente maniere de signifier qui fait les cas, c’est la d
t le seul chemin, nous sommes obligés de l’analyser, de la diviser en différentes parties, & d’adapter des mots particuliers à
Varr. de linguâ latinâ, l. VII. Ainsi la déclinaison est la liste des différentes inflexions ou désinances des noms, selon les dive
on les divers ordres établis dans une langue. On compte en latin cinq différens ordres de terminaisons, ce qui fait les cinq décl
le des déclinaisons ou des cas dans les noms ; ce sont uniquement les différentes inflexions ou désinances qui doivent faire les di
u désinances qui doivent faire les divers modes des verbes, & les différentes déclinaisons des noms. En effet, la même inflexio
au génitif, & marmore & ferro à l’ablatif. La terminaison est différente  ; & ce qu’il y a de remarquable, c’est que no
SIGNIFICATION ; on le dit, en Grammaire, des adjectifs, qui par leur différente terminaison ou par des particules prépositives, m
plus entendre la langue de leurs peres, & à s’en faire une toute différente  : ainsi le même peuple passe insensiblement d’une
vient de la préposition διά, qui se prend en plusieurs significations différentes , qu’on no peut faire bien entendre que par des ex
tous les suffrages en parlant dans un seul vers les quatre dialectes différentes , & de plus la langue commune, Les quatre dial
euple de Grece qu’on appelloit les Doriens, & qui fut dispersé en différentes contrées. Enfin la quatrieme dialecte c’est l’éol
; de la consonne : moi-yen, pa-yen ; en ces mots, yen est un son bien différent de celui qu’on entend dans bien, mien, tien. Ia
produit le mouillé fort ; ce qui fait une prononciation particuliere différente de celle qu’on entend dans mien, tien, où il n’y
oit précisément du même mot au même genre, autrement ce seroit un mot différent . Les adjectifs qui ont la même terminaison au mas
’est une petite ligne ou tiret dont on fait usage en quatre occasions différentes . I. Lorsqu’il ne reste pas assez de blanc à la fi
. R. au traité des lettres, p. 622, dit que ces quatre prononciations différentes de l’e, se peuvent remarquer en ce seul mot détèr
r, ajoûte-t-il, que le corps & l’esprit ne soient deux substances différentes . » C’est d’après les principes que nous avons ex
t qui est ou au même cas que celui auquel il se rapporte, ou à un cas différent , Diana soror Apollinis, on leur explique le rappo
vûe nous avons vû en divers tems & en divers objets, les membres différens dont cet Être chimérique est composé : tel est le
étique ; la tête d’une belle femme, le cou d’un cheval, les plumes de différentes especes d’oiseaux, enfin une queue de poisson ; t
t que dans la suite par le secours de la mémoire qui lui rappelle les différentes sortes de sensations dont il a été affecté ; mais
selon les alimens dont il se nourrit, &c. & qu’il est sujet à différentes maladies, par les différentes altérations qui arr
ourrit, &c. & qu’il est sujet à différentes maladies, par les différentes altérations qui arrivent à ses parties ; de même
’esprit est sujet à diverses infirmités, & se trouve en des états différens , soit à l’occasion de la disposition habituelle d
e ces sentimens ou sensations ne soient excités en nous par une cause différente de nous-mêmes, puisque nous ne pouvons ni les fai
riétés ; ces premieres impressions nous donnent lieu de faire ensuite différentes réflexions qui supposent toûjours ces impressions
ent est bien fondé, & que nous aurions tort de porter un jugement différent . Les ames qui ont le bonheur d’être unies à des t
rieuses, c’est une pratique très-utile, après qu’on leur a appris les différentes sortes de gouvernemens, de leur faire lire les ga
ls, quand on met un tems pour un autre, ou un tel genre pour un genre différent  ; il en est de même à l’égard des modes des verbe
femelle : ainsi nous donnons un nom particulier à l’un, & un nom différent à l’autre. Mais à l’égard des animaux qui ne nous
ntendez ni l’e ni l’u ; vous entendez un son particulier, tout-à-fait différent de l’un & de l’autre : & ce qui a fait éc
êmes. Il est assez ordinaire que deux personnes qui sont de sentiment différent , alleguent chacun l’expérience en sa faveur : c’e
e mot expérience se dit des épreuves que l’on fait pour découvrir les différentes opérations & le méchanisme de la Nature. On f
 ; saint, sain-te ; pur, pu-ré ; horloger, horloge-re, &c. Il y a différentes observations à faire sur la rime féminine ; on le
ive aux consonnes qui leur ont donné lieu d’imaginer six conjugaisons différentes des verbes barytons. Dans chaque conjugaison il y
imitif & pour ainsi dire fondamental des mots ou des phrases. Les différens écarts que l’on fait dans cet état primitif, &
Les différens écarts que l’on fait dans cet état primitif, & les différentes altérations qu’on y apporte, font les différentes
primitif, & les différentes altérations qu’on y apporte, font les différentes figures de mots & de pensées. C’est ainsi qu’
p; de pensées. C’est ainsi qu’en Grammaire les divers modes & les différens tems des verbes supposent toûjours le thème du ve
taphysiques, c’est une suite de la réflexion que nous faisons sur les différentes vûes de notre esprit : ces noms nous servent à re
t, ce me semble, assez inutile de charger la mémoire du détail de ces différens noms ; mais on doit connoître les différentes sor
mémoire du détail de ces différens noms ; mais on doit connoître les différentes sortes ou especes de figures, & savoir les no
rs à la signification du mot ; c’est lorsqu’on donne à un mot un sens différent de celui pour lequel il a été premierement établi
ltérations qui arrivent au matériel d’un mot se font en cinq manieres différentes  ; 1°. ou par augmentation ; 2°. ou par diminution
o, dit Martinius : ainsi toutes les fois qu’on donne à un mot un sens différent de celui pour lequel il a été premierement établi
arts de la premiere signification du mot se font en bien des manieres différentes , auxquelles les Rhéteurs ont donné des noms parti
venons de parler : l’une s’appelle similiter cadens, c’est quand les différens membres ou incises d’une période finissent par de
est semblable. L’autre figure qu’on appelle similiter desinens, n’est différente de la précédente, que parce qu’il ne s’y agit ni
riode : ce mot vient de ἴσος, égal, & κῶλον, membre ; lorsque les différens membres d’une période ont un nombre de syllabes à
ortes d’oppositions, on les rapporte à l’antithèse. L’apostrophe est différente des autres figures ; parce que ce n’est que dans
mairiens & les Rhéteurs ont fait des classes particulieres de ces différentes manieres, & ont donné le nom de figure de pen
s en Logique. Outre les figures il y a encore les modes, qui sont les différens arrangemens des propositions ou prémisses par rap
nous sommes affectés par les objets particuliers ; & ce sont ces différentes affections qui nous donnent les idées des êtres p
’ai été affecté, qui m’ont donné l’idée de la blancheur ; ce sont les différens animaux particuliers que j’ai vûs des mon enfance
marques, tom. II. pag. 314. dit que fond & fonds sont deux choses différentes  ; car fond sans s, dit-il, se dit en latin hoc fu
ignification & acception, & je passerai ensuite au détail des différens sens que le grammairien peut envisager dans les m
envisager la signification primitive d’un mot, en sont des acceptions différentes , parce que le mot est pris, accipitur, ou pour lu
signification du mot, & qui peut être représentée par des mots de différentes especes ; la signification formelle, c’est la man
riel du mot. Mais la signification objective est elle-même sujette à différentes acceptions, parce que le même mot matériel peut ê
r les médailles & la monnoie, typus : ce sont autant d’acceptions différentes du mot coin, parce qu’il est fondamentalement le
ment nécessaires dans le discours. Voici, par exemple, quatre phrases différentes  : l’esprit est essentiellement indivisible ; la l
n un ou plusieurs de ces individus précisément déterminés : selon ces différens aspects, l’acception est ou spécifique ou univers
de l’espece humaine. On peut voir au mot Nom, art. i. §. 1. n. 3. les différens moyens de modifier ainsi l’étendue des noms appel
jectifs, des verbes & des adverbes sont également susceptibles de différentes acceptions déterminatives, qui sont toujours indi
ant qu’un autre ; voilà l’adjectif savant pris sous quatre acceptions différentes , en conservant toujours la même signification. Il
e toutes les especes d’acceptions, dont les mots en genéral & les différentes sortes de mots en particulier peuvent être suscep
sortes de mots en particulier peuvent être susceptibles, ne sont que différens aspects de la signification primitive & fonda
ns. 1. Sens propre, sens figuré. Il n’en est pas ainsi à l’égard des différens sens dont un mot est susceptible : la significati
e l’on donne par figure à un même mot dans une même langue, & les différentes significations que celui qui traduit est obligé d
pour faire entendre la pensée de son auteur. Ce sont deux idees fort différentes que nos dictionnaires confondent ; ce qui les ren
ous nous servons d’une autre image, & par conséquent de mots tout différens . (Voyez le dictionnaire latin-françois, imprimé s
e, un sens, une pensée que nous rendons en notre langue par une image différente de celle qui étoit en usage en latin ; alors je v
qu’il a confondu sens & signification ; ce qui est pourtant fort différent  : tout mot pris dans une acception formelle, a un
rre ; c’est le siecle de fer de la langue latine, pendant le quel les différentes incursions des barbares plongerent les hommes dan
ique. Le sens anagogique n’est guere en usage que lorsqu’il s’agit de différens sens de l’Ecriture-sainte. Ce mot anagogique vien
Juifs est regardé comme l’image du repos éternel des bienheureux. Ces différens sens qui ne sont point le sens littéral, ni le se
eur ; mais dans le second cas, les passages auxquels on donne un sens différent de celui qu’ils ont dans leur auteur, sont regard
oncent le même défaut de netteté, mais elles en indiquent des sources différentes . Phrase amphibologique, est une expression plus g
st dans une phrase qui peut également servir à énoncer plusieurs sens différens , & que rien de ce qui la constitue, ne déterm
ve est envisagée dans une phrase. Le sens est une autre signification différente de la primitive, qui est entée, pour ainsi dire,
especes, d’extérieurs & d’intérieurs ; qui correspondent aux deux différentes manieres dont les images des objets que nous appe
r laquelle on voit, on entend. Les moyens du côté du corps sont aussi différens , que les différens objets qu’il nous importe d’ap
on entend. Les moyens du côté du corps sont aussi différens, que les différens objets qu’il nous importe d’appercevoir. De-là ce
nce, & de leurs autres qualités : & de plus à donner des avis différens , suivant le degré, l’éloignement, ou la proximité
imité du danger ou de l’avantage ; & c’est de-là que viennent les différentes fonctions de ces organes, comme d’entendre, de vo
ssions des objets extérieurs. Quand deux perceptions sont entierement différentes l’une de l’autre, ou qu’elles ne se conviennent q
se conviennent que sous l’idée générale de sensation, on désigne par différens sens la puissance qu’a l’ame de recevoir ces diff
on désigne par différens sens la puissance qu’a l’ame de recevoir ces différentes perceptions. Ainsi la vue & l’ouie dénotent d
evoir ces différentes perceptions. Ainsi la vue & l’ouie dénotent différentes puissances de recevoir les idées de couleurs &
rcevons les objets par les sens extérieurs. Il y en a de deux especes différentes , qui sont distinguées par les différens objets de
. Il y en a de deux especes différentes, qui sont distinguées par les différens objets de plaisir, c’est-à-dire, par les formes a
u quelques autres qualités, qui ne sont perceptibles que par les sens différens de la vue, sans au cun rapport aux idées de coule
différence dans les parties intérieures, & qui forment autant de différentes qualités. Des microscopes plus parfaits nous fero
ndent de la disposition de nos organes, laquelle est à-peu-près aussi différente dans les hommes que leurs tempéramens ou leurs vi
amens ou leurs visages ; une même qualité extérieure doit faire aussi différentes impressions de sensation en différens hommes : c’
é extérieure doit faire aussi différentes impressions de sensation en différens hommes : c’est ce que l’on voit tous les jours La
alutaire, plus aussi est grand ordinairement le nombre des sensations différentes qui nous aident à la discerner ; & ce que nou
er sont les couleurs ? Il est vrai que par accident, selon les angles différens que font sur la rétine les rayons de la lumiere,
mp; d’autre. C’est aussi ce qui arrive à l’égard des hommes ; quelque différente impression que l’étendue des objets fasse sur leu
tact les corps que nous voyons, & en observant ces corps placés à différentes distances & de différentes manieres, pendant
& en observant ces corps placés à différentes distances & de différentes manieres, pendant que nous savons que ces corps n
usage de la raison, un jugement commun & uniforme, sur des objets différens du sentiment intime de leur propre perception ; j
ure pas à des maximes communes, dont la vérité est toujours sujette à différentes exceptions : témoin la maxime qui avance, que la
ible de les faire convenir de rien, puisqu’ils auroient des principes différens sur toutes sortes de sujets. Lors donc qu’il est
ol.) organes corporels, sur lequels les objets extérieurs causent les différentes especes de sensations, que nous appellons le touc
stoire naturelle de l’homme vous expliquera mieux que moi comment ces différentes especes de sensations parviennent à l’ame. Elles
se diversifie & change, pour ainsi dire, de nature, suivant leur différente disposition ; ensorte que, selon leur nombre, leu
esse, leur arrangement, leur qualité, ils portent à l’ame des especes différentes de manieres de sentir qu’on a distinguées par le
és, les sensations qui en résultent ne sont pas aussi essentiellement différentes entr’elles qu’elle le paroissent. L’oeil doit êtr
e leur quantité plus ou moins grande, de leur épanouissement dans les différentes parties qui constituent les organes. C’est par ce
grande quantité, elles forment une espece de corps solide qui produit différentes especes de sensations, lesquelles ne paroissent a
rps, la sensation de la chaleur qui est une autre espece de sentiment différent du premier, quoiqu’il soit produit par la même ca
e & un ébranlement très-sensible ; & cet ébranlement est sort différent de l’action du son sur l’oreille. Une violente ex
mêmes, lorsque le bruit est violent, une espece de trémoussement fort différent de la sensation du son par l’oreille, quoiqu’il d
e notre intellect naissent de la différence des nerfs affectés, de la différente structure de l’organe du sentiment, des différent
fs affectés, de la différente structure de l’organe du sentiment, des différentes parties de la moëlle du cerveau d’où les nerfs pr
oëlle du cerveau d’où les nerfs prennent leur origine, & du cours différent des esprits animaux. Nous sommes tellement formés
blés, est peut-être la moëlle du cerveau dans la tête. Cette partie a différens territoires, dont chacun a son nerf & sa loge
partout capables d’être lésés, & suivant leur lésion, de produire différens maux. La pudeur, cette honte honnête, qui répand
utre idée succede à la premiere avec une vitesse prodigieuse, quoique différente , en diverses personnes & sujets. La nouvelle
x qui calculeront les millions de mots, de faits, de dates, de choses différentes , existantes dans le cerveau de ces hommes dont pa
je prends le plus pour le moins, ou le moins pour le plus. Voici les différentes sortes de synecdoques que les Grammairiens ont re
18 (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre VI : Règles relatives à l’administration de la preuve »
u absents et de chercher si les variations qu’ils présentent dans ces différentes combinaisons de circonstances témoignent que l’un
e découvertes à l’aide de comparaisons, car pour pouvoir comparer les différentes formes que prend un phénomène social chez différe
ir comparer les différentes formes que prend un phénomène social chez différents peuples, il faut l’avoir détaché des séries tempo
que l’esprit s’y perd sans retour. Si un effet peut dériver de causes différentes , pour savoir ce qui le détermine dans un ensemble
ide ; pour la science, il y a une multitude de fièvres spécifiquement différentes et la pluralité des causes se trouve en rapport a
ment que le crime peut être également produit par les causes les plus différentes  ; qu’il en est de même du suicide, de la peine, e
ire, si l’on a cru qu’elle s’expliquait également bien par des causes différentes , c’est que l’on n’a pas aperçu l’élément commun q
soit démonstrative, il n’est pas nécessaire que toutes les variations différentes de celles que l’on compare aient été rigoureuseme
se contraire, ou bien qu’elle se trouve présente, mais sous une forme différente de celle que l’on a précédemment observée. Sans d
ar exemple, on déterminera la forme que le fait étudié prend chez ces différentes sociétés au moment où il parvient à son apogée. C
sociale, appartenant à une espèce déterminée, on comparera les formes différentes qu’elle présente, non seulement chez les peuples
19 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre II : Variations des espèces à l’état de nature »
onnaît beaucoup de plantes qui produisent régulièrement des fleurs de différentes formes, soit sur leurs différentes branches, soit
uisent régulièrement des fleurs de différentes formes, soit sur leurs différentes branches, soit au centre ou à la circonférence de
connues, qui portent régulièrement des fleurs ou des fruits de formes différentes , est due à une modification soudaine. II. Différ
verses flores d’Angleterre, de France ou des États-Unis, dressées par différents botanistes, on voit qu’un nombre surprenant de fo
cas, à l’action longtemps continuée des conditions physiques en deux différentes régions ; mais je n’ai pas une grande confiance e
modifications successives d’une variété, qui passe d’un état très peu différent de celui de l’espèce mère à une forme qui en diff
conditions physiques diverses et qu’elles entrent en concurrence avec différentes séries d’êtres organisés, ce qui est de la plus h
ntes de la même contrée, qui n’exigent pas des conditions de vie très différentes . Une telle plante n’en est pas moins dominante, d
. Ces plantes diffèrent considérablement en apparence ; elles ont une différente saveur et un différent parfum ; elles fleurissent
considérablement en apparence ; elles ont une différente saveur et un différent parfum ; elles fleurissent en des saisons un peu
veur et un différent parfum ; elles fleurissent en des saisons un peu différentes  ; elles croissent en de différentes stations, et
fleurissent en des saisons un peu différentes ; elles croissent en de différentes stations, et s’élèvent sur les montagnes à de dif
ssent en de différentes stations, et s’élèvent sur les montagnes à de différentes hauteurs ; elles ont une extension géographique t
20 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Première partie — Chapitre II. Réalité des idées égalitaires »
: nous saisirons le mouvement d’ensemble par lequel des contemporains différents , et souvent ennemis, sont entraînés du même pas.
à connaître, dans ce qui caractérise et distingue, chacun d’eux, les différents systèmes élaborés par les théoriciens mais bien à
étés dominées par la coutume aux sociétés dominées par la mode6 — les différents systèmes sociologiques ont exprimé ce même fait c
histoire des partis et des formes politiques au xixe  siècle dans les différents pays d’Europe ? — Des deux partis extrêmes, l’abs
t-ce des parts égales que ces reformes tendent à faire aux hommes, si différents qu’ils soient, ou — comme il le faudrait pour qu’
vant la loi, ce n’est pas demander qu’elle assure à leurs actions, si différentes qu’elles soient, les mêmes sanctions, mais au con
expliquerait la nécessité de faire également participer les individus différents à la surveillance d’un système d’institutions, qu
éclarer, dans une même société moderne, la coexistence de deux droits différents , fixant, pour un même acte, une forte peine s’il
galitarisme s’il est préalablement démontré que les sociétés les plus différentes de toutes — comme ces hordes primitives et nos Ét
i se manifesteraient identiques dans les milieux précisément les plus différents , il suffit de les examiner un à un pour reconnaît
n’est que superficielle, ou même apparente : au fond, rien n’est plus différent du troc primitif que le clearing-house des banque
rait postérieure (autant qu’on peut donner des rangs d’apparition aux différentes formes sociales), à l’organisation « familiale »
alitarisme. C’est là un des résultats sur lesquels les sociologues de différentes écoles semblent près de s’accorder23 : l’esprit d
ude, à ce que des idées sociales analogues se révèlent à des périodes différentes de l’histoire. Par exemple, si au lieu de remonte
uvages ». Le peuple lui-même méprise les citoyens de fraîche date, si différents du vieux quirite. « On ne veut pas de fils de l’É
21 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre VI : Difficultés de la théorie »
ntermédiaires. — III. Transitions dans les habitudes. — IV. Habitudes différentes parmi les individus de la même espèce, et très di
Habitudes différentes parmi les individus de la même espèce, et très différentes entre espèces proche-alliées. — V. Organes très p
modification de quelque autre animal ayant des habitudes entièrement différentes  ? Pouvons-nous croire que la sélection naturelle
s. Troisièmement, quand deux ou plusieurs variétés se sont formées en différents districts d’une région parfaitement continue, les
spèces transitoires entre des formes appropriées à des habitudes très différentes ne se sont que rarement développées en grand nomb
a structure est plus parfaite et mieux caractérisée99. IV. Habitudes différentes parmi les individus de la même espèce, et très di
Habitudes différentes parmi les individus de la même espèce, et très différentes entre les espèces proche-alliées. — Je citerai ma
rai maintenant un ou deux exemples d’habitudes variables ou même très différentes parmi les individus de la même espèce. Lorsque l’
elquefois certains individus d’une espèce affecter des habitudes très différentes de celles qui sont propres à leurs semblables ou
des anormales et une organisation légèrement ou même considérablement différente de celle de leur type. Et, en effet, la nature no
r quelques-uns d’entre eux, lors même que cette situation serait très différente de celle qu’elle occupe habituellement. En ce cas
plus ou moins de lumière, pour ajuster le foyer des rayons visuels à différentes distances et pour en corriger l’aberration sphéri
t lentement de densité, de manière à se séparer en couches partielles différentes par leur densité et leur épaisseur, placées à dif
partielles différentes par leur densité et leur épaisseur, placées à différentes distances les unes des autres, et dont les deux s
’aider à la flottaison, peut se transformer en un autre ayant un tout différent objet, c’est-à-dire la respiration. La vessie nat
asse, et particulièrement chez ceux qui ont des habitudes de vie très différentes , nous pouvons attribuer sa présence chez ces dern
La présence d’organes lumineux chez quelques insectes, appartenant à différentes familles ou ordres, offre des difficultés semblab
part des animaux aquatiques, sa présence générale et son utilité pour différentes fonctions chez tant d’animaux terrestres, qui, pa
uatique, elle peut avoir été utilisée et modifiée ultérieurement pour différents desseins, comme chasse-mouches, comme organe de p
it de songer aux différences qui distinguent nos races domestiques de différentes contrées, et surtout des contrées les moins civil
e la nature ; de sorte que des individus doués de constitution un peu différente doivent mieux réussir les uns que les autres sous
férente doivent mieux réussir les uns que les autres sous des climats différents . Un bon observateur a constaté que le bétail est
quelle réserve nous devons conclure que les habitudes de vie les plus différentes ne peuvent se fondre graduellement les unes dans
: le même organe, après avoir rempli simultanément des fonctions très différentes , a été ensuite spécialement adapté à une seule ;
e des organes, l’habitude, l’influence d’un milieu ambiant aérien, si différent d’un milieu aquatique, tout cela aidé des lois de
, mais sur l’eau. La postérité de ce premier groupe, ainsi modifiée à différents degrés et en différents sens, dut multiplier rapi
térité de ce premier groupe, ainsi modifiée à différents degrés et en différents sens, dut multiplier rapidement ses variétés et s
naissance à une forme de Mammifère, une autre forme de Mammifère très différente peut provenir d’une autre forme erpétoïde. Les mo
ongénères ailés, transformés par d’autres moyens et probablement très différents , qui, dépossédés du royaume de l’air, vinrent lui
toutes ces souches mères pouvaient elles-mêmes à l’origine être moins différentes les unes des autres que ne le sont leurs descenda
iques appartiennent à des ordres très divers, rangés dans des classes différentes , on sait combien, en ichthyologie, nos principes
ns plus ou moins reculés. Outre que les organes électriques sont très différents entre eux, outre que les poissons qui en sont pou
a structure interne des organes électriques n’est pas essentiellement différente de celle des muscles ordinaires, et l’on peut con
nt mis en communication par un bon conducteur avec d’autres de nature différente , c’est-à-dire qui ne subissent pas la même action
22 (1830) Cours de philosophie positive : première et deuxième leçons « Deuxième leçon »
la classification rationnelle la plus convenable à établir entre les différentes sciences positives fondamentales, pour les étudie
s les autres classifications proposées, il suffira d’observer que les différentes discussions élevées à ce sujet ont eu pour résult
omogénéité qui a toujours existé jusqu’à ces derniers temps entre les différentes parties du système intellectuel, les unes étant s
nouvelle, et qui doit constituer les véritables théories directes des différents arts, pourrait sans doute donner lieu à des consi
mées, puisqu’elles supposent le développement préalable de toutes les différentes sciences fondamentales. Il en résulte également u
systématique de cette philosophie, les théories générales propres aux différents arts principaux doivent, au contraire, comme nous
ations. Mais, avant de procéder à la classification méthodique de ses différentes parties, il me reste à exposer, relativement aux
consistent dans l’application de ces lois à l’histoire effective des différents êtres existants. Les premières sont donc fondamen
ucune obscurité aux esprits qui ont quelque connaissance spéciale des différentes sciences positives, puisqu’elle est à peu près l’
e coordonnés de manière à former de véritables théories spéciales des différents êtres de l’univers, que lorsque la distinction fo
le développement effectif de l’esprit humain, on voit de plus que les différentes sciences ont été, dans le fait, perfectionnées en
, que, malgré la simultanéité réelle et continue du développement des différentes sciences, celles qui seront classées comme antéri
nombre. Cela posé, on sait que six objets comportent 720 dispositions différentes . Les sciences fondamentales pourraient donc donne
s bruts et les corps vivants comme étant d’une nature essentiellement différente , pour reconnaître la nécessité de la séparation d
’établir. Car, c’est suivant l’ordre énoncé par cette formule que les différentes théories humaines ont atteint successivement d’ab
été très remarquable de marquer exactement la perfection relative des différentes sciences, laquelle consiste essentiellement dans
e. Elle consiste à confondre le degré de précision que comportent nos différentes connaissances avec leur degré de certitude, d’où
e la précision et la certitude sont deux qualités en elles-mêmes fort différentes . Une proposition tout à fait absurde peut être ex
ans une même étude, tandis que ceux qui ont été affectés à des études différentes sont effectivement hétérogènes, il doit nécessair
ience fondamentale, et qu’elle éprouvera sans cesse des modifications différentes et de plus en plus composées, en passant d’une sc
23 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Deuxième partie — Chapitre III. La complication des sociétés »
besoin à satisfaire, tiennent à plusieurs associations. La réunion de différentes fins dans ma personne ne peut se concilier que d’
tu desquelles un même citoyen appartient en même temps, par des côtés différents , à différents groupes, y sont la conséquence natu
un même citoyen appartient en même temps, par des côtés différents, à différents groupes, y sont la conséquence naturelle des divi
développé intégralement, capable d’exercer tour à tour des fonctions différentes . En ce sens l’excès même de la grande industrie «
esses ou tacites, actuelles ou virtuelles, avec les associés les plus différents , qu’il compare cet enchevêtrement de chaînes dive
me groupe, des relations constantes entre les membres de deux groupes différents , elle contribue à les assimiler : elle unit leurs
qui s’établissent entre individus, naguère répartis en masses toutes différentes , aident à la constitution de l’idée des droits de
ans un milieu où se rencontrent les représentants de tant de sociétés différentes , l’idée naîtra plus aisément d’un Droit général s
arts, de précieux traits d’union entre gens de races et de conditions différentes , préparait l’avènement de la personne humaine171.
qu’à la valeur du groupe auquel il est inféodé. Au contraire, si les différents côtés de sa personne ressortissent à des sociétés
, si les différents côtés de sa personne ressortissent à des sociétés différentes , il n’est plus si facile à l’esprit de le classer
ges démocratiques de tout événement ou institution qui enchevêtre les différents ordres de la société. N’a-t-on pas souvent dit de
donc arriver qu’un même homme se retrouve, dans des associations très différentes , politiques ou religieuses, mondaines ou économiq
s sociétés, acheminer l’humanité à l’égalitarisme. Par des voies très différentes , le commerce produit des effets analogues. Dans l
rement sociale, grâce à laquelle les hommes montent et descendent les différents degrés de l’échelle des situations. Leurs distanc
dès lors à voir un même homme remplir successivement des places très différentes , à imaginer par suite, à coté de celles qu’il a r
24 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre XII : Distribution géographique (suite) »
ment beaucoup d’espèces d’eau douce, appartenant aux classes les plus différentes , ont une extension très vaste ; mais des espèces
d’autant plus étrange que les espèces terrestres étaient complétement différentes de nos espèces européennes. Cette grande faculté
res auront parfois quelques espèces en commun et quelques autres très différentes . Certains faits semblent favoriser de temps à aut
s qui, depuis une période très reculée, doit avoir séparé des bassins différents et empêché la réunion de leurs différents cours d
it avoir séparé des bassins différents et empêché la réunion de leurs différents cours d’eau, semble conduire aux mêmes conclusion
évrier, je pris sous l’eau trois cuillerées de vase dans trois points différents des bords d’un petit étang. Cette vase séchée pes
ure qu’elle croissait. Ces plantes appartenaient à beaucoup d’espèces différentes , et j’en comptai en tout 537. Cependant la boue v
es terrestres jusqu’à trois ou quatre cents milles en pleine mer. Les différents ordres d’insectes qu’on trouve à Madère présenten
des Galapagos, les nombres proportionnels des divers arbres sont tout différents de ce qu’ils sont autre part. On explique général
lté, car une graine à crochets peut être transportée dans une île par différentes voies ; la plante peut s’y modifier légèrement to
ndant subséquemment de l’une dans les autres, se sera trouvé exposé à différentes conditions de vie dans chacune d’elles, car il au
ura eu à soutenir la concurrence contre des groupes d’organismes tout différents . Une plante, par exemple, aura trouvé le sol le p
autre, et elle se sera trouvée exposée aux attaques d’ennemis un peu différents  ; il aura dû s’ensuivre que, cette plante venant
er, la sélection naturelle aura favorisé dans chaque île des variétés différentes . Quelques espèces cependant ont pu s’étendre dans
ce, soit dans les temps actuels, soit à une époque antérieure et sous différentes conditions physiques, et l’existence en des point
des sous-genres, genres et familles, et comment il se fait que, sous différentes latitudes, par exemple dans l’Amérique du Sud, le
onditions physiques peuvent souvent être habitées par des formes très différentes . D’après la longueur du temps écoulé depuis que d
ibles de varier plus ou moins rapidement, il dut s’ensuivre en chaque différente région, et indépendamment de ses conditions physi
’expliquer par d’anciennes migrations effectuées, sous des conditions différentes de celles qui existent aujourd’hui, à l’aide de d
alogies ; tandis que d’autres, appartenant à une classe ou à un ordre différent , ou même à une autre famille du même ordre, diffè
e divergence des caractères, les anciens organismes ont dû être moins différents les uns des autres que les organismes actuels ; e
pu successivement se localiser pour les mêmes fonctions dans un ordre différent et souvent inverse. En tout cela un ne voit pas l
25 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre X : De la succession géologique des êtres organisés »
l’apparition lente et successive des espèces nouvelles. — II. De leur différente vitesse de transformation. — III. Les espèces une
disparu simultanément dans chaque formation successive. II. De leur différente vitesse de transformation. — Il est à remarquer a
t à remarquer aussi que les espèces de genres distincts et de classes différentes ne paraissent pas avoir changé avec la même vites
es terrestres et les insectes Coléoptères de Madère sont devenus très différents de ceux d’entre leurs plus proches alliés qui viv
nt certainement hérité de leurs progéniteurs distincts des caractères différents . Le cas échéant par exemple où nos Pigeons-Paons
ns les contrées les plus distantes les unes des autres, sous les plus différents climats, et même sans qu’on puisse trouver le moi
s ont observé un semblable parallélisme des formes de la vie dans les différentes formations paléozoïques superposées de la Russie,
les formes de la vie, sur toute la surface du monde et dans les plus différentes régions. Il nous faut, comme le dit M. Barrande,
t les longues périodes d’inactivité qui les ont séparées ; alors, les différentes formations des deux contrées pourraient s’arrange
actuels, et même parfois entre des genres appartenant à des familles différentes . Le cas le plus commun, surtout à l’égard des gro
e espèce deviennent ainsi plus capables de s’emparer de stations plus différentes et plus nombreuses dans l’économie de la nature.
milles ou sous-familles, dont on suppose que quelques-unes ont péri à différentes époques, tandis quelques-unes ont vécu jusqu’aujo
ar un circuit long et tortueux, à travers de nombreuses formes toutes différentes . Si beaucoup de formes éteintes venaient à être d
périodes très inégales et se seraient modifiés très diversement et à différents degrés. Comme nous possédons seulement le dernier
me généalogique naturel de manière à relier parfaitement ensemble nos différents ordres ou familles. Tout ce que nous pouvons espé
ent dans le monde entier, et par conséquent sous les climats les plus différents et dans les circonstances les plus diverses. Il f
ns ? Après avoir comparé le climat actuel de l’Australie et celui des différentes contrées de l’Amérique du Sud sous les mêmes lati
res ouvrages que la distribution des mammifères terrestres a été très différente de ce qu’elle est aujourd’hui. L’Amérique du Nord
emps avant cette époque, le monde a peut-être présenté un aspect tout différent  ; les continents primitifs, formés de couches de
èces apparaissent lentement et successivement, comment les espèces de différentes classes ne changent pas nécessairement ensemble,
t plus ou moins tortueux, à travers beaucoup d’autres formes éteintes différentes , et le plus souvent inconnues. Si les restes orga
26 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre I : Variations des espèces à l’état domestique »
élevés dans des conditions de vie moins uniformes et en quelque chose différentes de celles auxquelles les espèces mères ont été ex
ons ou de rejetons, elles assument soudain un caractère nouveau, très différent de celui de la plante mère. De tels bourgeons peu
z divers individus de la même espèce, ou chez des individus d’espèces différentes , quelquefois s’hérite et d’autres fois ne s’hérit
à naturaliser ou même à cultiver, pendant de longues générations, les différentes races du Chou, par exemple, en un sol très pauvre
ont souvent un aspect en quelque sorte monstrueux ; c’est-à-dire que, différentes les unes des autres, ainsi que des autres espèces
eraient, par exemple, les nombreuses races de Renards qui habitent en différentes parties du globe. Je ne crois pas, et l’on verra
mier, au Bouledogue, au Carlin, ou à l’Épagneul Bleinheim, etc., tous différents des Canidés sauvages, aient jamais existé à l’éta
puisse obtenir une race presque intermédiaire entre deux autres très différentes , j’ai quelque peine à le croire. Sir J. Sebright
de. Je me suis en outre procuré un grand nombre de traités publiés en différentes langues sur les Pigeons, et quelques-uns d’entre
ainsi que leurs noms l’indiquent, font entendre un roucoulement très différent de celui des autres races. Le Pigeon-Paon (Fantai
mmensément à certains égards du Biset, cependant, si l’on compare les différentes sous-races de ces variétés, et plus spécialement
bre d’amateurs ; ils sont domestiqués depuis des milliers d’années en différentes parties du monde : la mention la plus ancienne qu
ons mâles et femelles puissent s’apparier à perpétuité, parce que les différentes lignées peuvent ainsi être renfermées ensemble da
s cultivées, soit aux pâturages de montagnes, avec une laine propre à différents usages selon les races, puis les nombreuses races
euses races de Chiens, dont chacune est utile à l’homme d’une manière différente  ; si l’on compare le Coq de combat (game Cock), s
os jardins, de nos vergers et de nos champs, tous utiles à l’homme en différentes saisons et pour divers usages, ou seulement agréa
dans les parterres, la grande diversité des fleurs chez les variétés différentes d’une même espèce et l’analogie de leur port et d
et que de ressemblances dans les fleurs ! Combien, au contraire, sont différentes les fleurs de la Pensée ! et combien les feuilles
sée ! et combien les feuilles sont uniformes ! combien les fruits des différentes espèces de Groseilliers sont variés en grosseur,
riture, au moins pendant certaines saisons. Or, en deux contrées très différentes sous le rapport des conditions de vie, des indivi
èce, pourrait aussi bien s’appliquer à quelques espèces sauvages très différentes , mais ayant des mœurs analogues, ainsi qu’on peut
ue leur résultat complexe peut toujours avoir été le résultat de très différentes combinaisons de circonstances semblables ou disse
27 (1913) Le bovarysme « Troisième partie : Le Bovarysme, loi de l’évolution — Chapitre I. Le Bovarysme de l’individu et des collectivités »
n’est en tant que l’homme est impuissant à réaliser cette conception différente qu’il se forme de lui-même. Mais par-delà la rest
r dans le domaine de la pathologie tels cas extrêmes où la conception différente qu’un être se forme de lui-même est accompagnée d
. Le monde se figerait dans l’identique. L’attitude du moraliste sera différente . Avec son habituel souci de réforme et de redress
paraître. Se conçoit-il au contraire à l’image d’un modèle absolument différent , le voici encore destiné à périr. Car il va se mo
s conséquences défavorables qu’il entraîne, comporte, selon les êtres différents et au gré des circonstances différentes, une ampl
îne, comporte, selon les êtres différents et au gré des circonstances différentes , une ampleur variable. Pour apprécier le degré de
e de ces différences. Dans quelle mesure un être peut-il se concevoir différent de lui-même avec bénéfice ? Dans quelle mesure pe
être remplacée par une coutume morale dérivée d’une forme religieuse différente et apprêtée par le tempérament d’une autre race.
et apprêtée par le tempérament d’une autre race. Cette coutume morale différente viendrait ici comme une branchie de poisson mise
e de ses évaluations sur les choses, à l’imitation d’un groupe social différent . Si l’apparition d’une conception bovaryque compo
ieure à varier insensiblement, à se concevoir continûment quelque peu différent de lui-même. La vitalité d’un peuple semble compr
28 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 296-302
n’a pas eu le même succès lorsqu’il a voulu écrire en François ; ses différentes Traductions, ainsi que ses Vies des Poëtes Grecs,
paraisons deviennent ridicules ou au moins inutiles entre deux Génies différens . Celui de Bossuet étoit sublime en tout ; & c
nne peut être regardée comme un chef-d’œuvre, par la maniere dont les différentes qualités du Héros sont développées, & par la
t particulier d’assortir la morale & l’instruction aux éloges des différentes personnes qu’il avoit à célébrer. C’est là, comme
il s’éleve, il change, il se multiplie, & prend toutes les formes différentes du mérite & de la vertu. La séduction est si
29 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre IV : Sélection naturelle »
parition fréquente de variations qui peuvent être utiles à l’homme de différentes manières ; il y a donc toute probabilité qu’il se
nous voyons seulement une chose : c’est que les formes vivantes sont différentes aujourd’hui de ce qu’elles étaient autrefois. Pou
i de suite. Aucun naturaliste ne niera que des variétés plus ou moins différentes de la souche mère ne se forment de temps en temps
ier et adapter la larve d’un insecte à des circonstances complétement différentes de celles où devra vivre l’insecte adulte. Sans n
l’autre, soit dans ses habitudes, qui deviennent ainsi plus ou moins différentes chez le mâle et chez la femelle, comme on en trou
eux qui fréquentent les plaines, sont naturellement forcés de chasser différentes proies ; et de la conservation continue des indiv
que parmi les animaux et les plantes un croisement entre des variétés différentes ou entre des individus de la même variété, mais d
pollen d’une fleur sur le stigmate d’une autre. Un Lobelia, d’espèce différente qui croît tout à côté, mais qui est visité par le
intes, produisait un nombre complet de siliques. Si donc des variétés différentes se croisent si aisément entre elles par ce seul f
opres à remplir les places vacantes. Si cette région était vaste, ses différents districts présenteraient certainement diverses co
ction naturelle modifierait et améliorerait les espèces d’une manière différente dans chacun d’eux. Il est vrai qu’alors il y aura
gtemps distinctes, soit qu’elles aient coutume de hanter des stations différentes , soit que le temps du rut varie légèrement pour c
de variations semblables n’aurait jamais pu produire des races aussi différentes que nos Bœufs à petites cornes et nos Bœufs de He
près les unes contre les autres, appartiennent, en règle générale, à différents genres et même à différents ordres. La même loi s
tres, appartiennent, en règle générale, à différents genres et même à différents ordres. La même loi s’observe encore dans la natu
peuvent y vivre est considérable. Un certain ensemble d’espèces, peu différentes les unes des autres par leur organisation, pourra
ces dans une certaine contrée. Ces espèces sont supposées inégalement différentes les unes des autres, ainsi qu’il arrive généralem
ce seront les variations les plus divergentes, c’est-à-dire les plus différentes , soit entre elles, soit par rapport à la souche m
ue la variété m1 a produit deux variétés, c’est-à-dire m2 et s2, plus différentes l’une de l’autre que de leur parent commun, A. On
ersifier, plus ils sont aptes à remplir un plus grand nombre de vides différents , et plus leur postérité modifiée a chance de s’ac
14, seront formées. Dans un même genre, ce sont les espèces déjà très différentes par leur structure ou leurs habitudes qui tendron
lles espèces seraient alliées les unes aux autres d’une manière toute différente . Parmi les huit descendants de A, les trois espèc
divergé des autres depuis l’origine de la série, elles seraient très différentes et pourraient constituer un sous-genre ou même un
ifférence première de leurs types héréditaires distincts, seront très différents des trois genres descendus de A, ces deux petits
n plus ou moins parfaite de ses organes et leur adaptation spéciale à différentes fonctions ou, comme l’exprimerait M. Milne Edward
lle, par conséquent, n’ait pu agir avant qu’un grand nombre de formes différentes fussent produites77. Des variations survenues che
et son espèce mère se sont adaptées à des habitudes de vie légèrement différentes , elles peuvent vivre ensemble, bien que, parmi le
la queue ou les oreilles plus courtes, ou plus longues, et le poil de différentes couleurs ? Comment explique-t-elle encore qu’une
présente le cas extrême où l’Angleterre contiendrait autant d’espèces différentes qu’elle contient aujourd’hui d’individus, le prem
ud-Est de l’Australie, où récemment de nombreux envahisseurs venus de différents points du monde se sont successivement établis, l
iverses formes vivantes à leurs diverses conditions de vie et à leurs différentes stations, on en devra décider d’après la teneur g
’elles ne pourraient coexister, à moins d’habiter des stations toutes différentes où cependant les conditions de vie seraient ident
30 (1765) Articles de l’Encyclopédie pp. 7761-7767
ains usages, de certaines habitudes lui ont fait prendre. Ce sont ces différens plaisirs de notre ame qui forment les objets du g
la Peinture, la Sculpture, l’Architecture, la Musique, la Danse, les différentes sortes de jeux, enfin les ouvrages de la nature &
e, auroit sait une autre éloquence, une autre poésie ; une contexture différente des mêmes organes auroit fait encore une autre po
établies sur ce que notre machine est d’une certaine façon, seroient différentes si notre machine n’étoit pas de cette façon. Si n
riée que cela, elle met les uns en repos, & elle donne aux autres différentes sortes de mouvement. Si la partie de l’ame qui co
de la surprise. Cette disposition de l’ame qui la porte toûjours vers différens objets, fait qu’elle goûte tous les plaisirs qui
oyons une chose plus grande ou plus petite qu’elle n’est en effet, ou différente de ce qu’elle est, ou bien nous voyons la chose m
perpessus terrarum orbis tandem destituit. Ceci produit dans l’esprit différentes sortes de surprises ; nous sommes surpris du chan
es surpris du changement de style de l’auteur, de la découverte de sa différente maniere de penser, de sa façon de rendre en aussi
i soit arrivée ; ainsi l’ame trouve un très grand nombre de sentimens différens qui concourent à l’ébranler & à lui composer
otre curiosité, en nous donnant un spectacle. Enfin il nous donne les différens plaisirs de la surprise. La danse nous plaît par
ibilité. Presque toûjours les choses nous plaisent & déplaisent à différens égards : par exemple les virtuosi d’Italie nous d
e peut pas démêler elle-même, & qu’elle voit une chose absolument différente de ce qu’elle sait être ; ce qui lui donne un sen
31 (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre deuxième. La connaissance des corps — Chapitre premier. La perception extérieure et les idées dont se compose l’idée de corps » pp. 69-122
t ce faisceau qui est le corps. III Suivons-en tour à tour les différents fils. En quoi consistent ces propriétés du corps 
ée, la contraction est accompagnée par une sorte de sensation qui est différente , selon que la, locomotion qui suit la contraction
ieurs fois cette expérience, nous ayons tout d’un coup une expérience différente  ; la série des sensations qui accompagnent le mou
ce entre six pouces et dix-huit pouces est exprimée pour nous par les différents degrés de contraction de tel ou tel groupe de nos
de leur prolongation plus ou moins grande, nous pouvons comparer les différents modes de l’étendue, en d’autres termes des différ
urface, de situation et de forme. Quand nous comparons deux longueurs différentes , nous pouvons sentir laquelle est la plus grande,
de, exactement comme lorsque nous comparons deux poids ou résistances différentes . Dans le premier cas comme dans le second, nous p
raction des mêmes muscles éveille en nous deux sensations musculaires différentes , selon qu’elle est rapide ou lente. Nous apprenon
cours dont le membre est capable. En effet, si nous expérimentons les différentes manières de donner au bras tout son déploiement,
liqué, quand même ce serait à la même chose considérée sous un aspect différent , l’expérience la plus familière de notre nature m
ce la plus familière de notre nature mentale nous enseigne que ce nom différent est bientôt considéré comme le nom d’une chose di
e que ce nom différent est bientôt considéré comme le nom d’une chose différente . « Ces possibilités de sensations, une fois certi
très grande et même indéfinie de sensations appartenant en général à différents sens et tellement liées entre elles que la présen
entes en question ont pris un aspect et un rôle par rapport à nous si différents du rôle et de l’aspect que revêtent nos sensation
re constitution mentale, d’être conçues et crues comme au moins aussi différentes de nos sensations qu’une sensation l’est d’une au
ous percevons un quelque chose étroitement lié à nos sensations, mais différent de celles que nous éprouvons en cet instant parti
olublement à chaque sensation que nous avons le sentiment qu’elle est différente d’autres choses ; et, quand une fois cette associ
les et même obligés de former aussi la conception de quelque chose de différent . Cette familiarité avec l’idée de quelque chose d
chose de différent. Cette familiarité avec l’idée de quelque chose de différent de chaque chose que nous connaissons nous conduit
duit aisément et naturellement à former la notion de quelque chose de différent de toutes les choses que nous connaissons, collec
ence garantit sont, par plusieurs de leurs propriétés, si extrêmement différentes des sensations actuelles, que, puisque nous somme
lement, seraient une seule et même langue, écrite avec des caractères différents , dans le prétendu texte avec des caractères plus
32 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre VII : Instinct »
re VII : Instinct I. Les instincts comparables aux habitudes, mais différents dans leur origine. — II. Gradation des instincts.
les. — XI. Résumé. I. Les instincts comparables aux habitudes, mais différents dans leur origine. — J’aurais pu traiter des inst
tout rendus faciles, lorsque les mêmes espèces ont des instincts très différents à différentes époques de la vie, selon les saison
aciles, lorsque les mêmes espèces ont des instincts très différents à différentes époques de la vie, selon les saisons de l’année,
de l’année, ou lorsqu’elles se trouvent placées en des circonstances différentes . En pareils cas, soit l’un de ces instincts, soit
donner naissance par sélection naturelle à des instincts entièrement différents de ceux de la souche mère. Mais je sais trop que
up moins reculée sous des conditions de vie moins constantes. Lorsque différentes races de Chiens sont croisées, on voit encore mie
tions la variété croisée montre les traces héréditaires des instincts différents qu’elle tient des deux souches dont elle provient
sans être couvés, sinon il se trouverait des œufs et des oisillons de différents âges et l’éclosion de la couvée entière la retien
e pouvait guère manquer de l’être, entre ses œufs et ses oisillons de différents âges qu’il lui fallait à la fois couver et nourri
s d’autres espèces de Fourmis douées d’instincts esclavagistes un peu différents et de moins en moins prononcés, il serait vain de
s autres, mais sont au contraire parfaitement délimitées, étant aussi différentes les unes des autres que pourraient l’être deux es
utres soldats, armées de mâchoires et douées d’instincts complétement différents . On reconnaît les membres de l’une des castes neu
caste, c’est-à-dire tous semblables entre eux, sont peu à peu devenus différents des mâles et des femelles fertiles, ainsi que je
eux simples bien développés. J’étais si certain de trouver, entre les différentes castes de neutres de la même espèce, des traces d
rmis ouvrières différaient étonnamment de forme chez les individus de différentes tailles, de même que la forme et le nombre des de
s, c’est que ces neutres, bien que pouvant être classées en castes de différentes tailles, présentaient cependant une série complèt
voulu me dessiner à la chambre claire les mâchoires des ouvrières de différentes grandeurs que j’avais disséquées. Appuyé sur ces
le point difficile, présentant simultanément deux ordres de neutres, différentes par leurs proportions et leur structure. Seulemen
un même nid, il puisse exister deux castes d’ouvrières stériles, très différentes l’une de l’autre, ainsi que de leurs communs pare
 ; que nul instinct n’a jamais pour but exclusif le bien d’une espèce différente , mais que chaque animal fait tourner l’instinct d
très distantes les unes des autres et sous des conditions de vie très différentes . Ainsi, il nous devient aisé de comprendre pourqu
tion nécessaire et de comparaison rigoureuse : les deux cas sont trop différents . Il serait même permis de supposer, d’après la di
a même influence sur les individus féconds, que les esclaves d’espèce différente sur les maîtres qu’elles avertissent. L’existence
33 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre VI. Des Livres qui traitent de la Rhétorique. » pp. 294-329
’ouvrage même, l’un des plus difficiles que nous ayions & que les différentes versions latines ont encore obscurci. Les Grecs o
lumieres d’Aristote & de Ciceron, mais il a suivi une route toute différente . Il prend au berceau celui qu’il veut former à l’
beaucoup à profiter dans l’examen qu’il fait des sentimens de tant de différens auteurs, sur un art aussi beau & aussi utile
i doivent composer le discours. Il explique dans le second Livre, les différentes parties du discours & l’arrangement qu’il fau
ge. Les anciens & les modernes avoient traité de l’Eloquence avec différentes vues & en différentes manieres, en Dialectici
modernes avoient traité de l’Eloquence avec différentes vues & en différentes manieres, en Dialecticiens ; en Grammairiens, en
eux que le même but, celui de plaire, de toucher, d’instruire, ils ne différent que dans la maniere d’employer les moyens qui leu
guéres que des pensées détachées, venues les unes après les autres en différens tems, rangées à peu-près dans l’ordre où elles me
nsées m’étant revenues plus d’une fois, j’ai cru pouvoir répéter avec différens tours, quelques-unes de celles qui m’ont paru les
Poëme du Pere Sanlecque. Ces deux écrits terminent le volume. Quelque différens que soient l’objet du comédien & celui du Pré
ptes aux Comédiens ; il en donne aux Orateurs sacrés. Il remarque les différens caractères de la déclamation qui leur convient, s
s différens caractères de la déclamation qui leur convient, selon les différentes sortes de discours qu’ils ont à prononcer. Le ton
34 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre III : Concurrence vitale »
blement encore doit lutter contre les plantes d’espèces semblables ou différentes qui recouvrent déjà le sol. Le Gui dépend du Pomm
en disséminent les graines plutôt que celles d’autres espèces. En ces différentes acceptions, qui se fondent les unes dans les autr
l’observe généralement en passant d’un sol à un autre sol tout à fait différent  ; non seulement le nombre proportionnel des pieds
espèce est donc toujours entravée par diverses causes qui agissent à différentes périodes de la vie, et qui, en différentes saison
rses causes qui agissent à différentes périodes de la vie, et qui, en différentes saisons de l’année, jouent leur rôle tour à tour 
chaque espèce. En quelques cas on peut prouver que dans des districts différents ce sont de très différentes causes qui mettent ob
cas on peut prouver que dans des districts différents ce sont de très différentes causes qui mettent obstacle à l’existence d’une m
u dire que, lorsqu’on abat une forêt américaine, une végétation toute différente surgit soudain ; mais on a remarqué que les ancie
tes. Quel combat doit s’être livré pendant de longs siècles entre les différentes espèces d’arbres, chacune d’elles répandant annue
emble dans les mêmes pâturages. On a remarqué le même effet parmi les différentes variétés de Sangsues médicinales nourries dans le
emment qu’une espèce de Rat prenne la place d’une autre sous les plus différents climats ! En Russie, la petite Blatte d’Asie (Bla
procurer l’avantage sur un ensemble de compétiteurs ou d’ennemis tout différents . Mais s’il est aisé de donner ainsi en imaginatio
35 (1805) Mélanges littéraires [posth.]
té : mais quoique ce soit la même chose en latin, c’en sont deux bien différentes en français. Une Université est proprement un cor
r le joug des préjugés dont les écoles sont encore pleines. Parmi les différentes inutilités qu’on apprend aux enfants dans les col
squ’il n’est plus, est le premier qui ait osé se faire un jargon bien différent de la langue que parlaient autrefois les Hersan,
ques et physiques la meilleure. On voudrait enfin qu’on joignit à ces différentes études, celle des beaux-arts, et surtout de la mu
faire aucun : les usages, les allusions à des faits particuliers, les différentes acceptions des mots de la langue, et une infinité
e, c’est-à-dire, de deviner le sens d’un discours écrit en caractères différents des caractères ordinaires. Il y a apparence que c
étant d’un côté des caractères très connus, et de l’autre étant très différents des caractères ordinaires de l’alphabet. Les Grec
st un peu long, et si une même lettre est désignée par des caractères différents . Exemple d’un chiffre en latin : Les barres, l
gue, elle pourrait faire prendre pour deux mots de signification très différente , ceux qui dans le fond renferment la même idée. P
caux doivent être tels, que chacun d’eux présente une idée absolument différente de l’autre ; et c’est là peut-être la règle la pl
ivant leur sens métaphorique ou figuré ; ce qui abrégera beaucoup ces différentes tables : un autre moyen de les abréger encore, c’
la vigne ou de l’Aurore, pour les pleurs de l’une ou de l’autre. Les différents emplois des synonymes se démêlent en général par
par une définition exacte de la valeur précise de chaque mot, par les différentes circonstances dans lesquelles on en fait usage, l
r les différentes circonstances dans lesquelles on en fait usage, les différents genres de styles où on les applique, les différen
n fait usage, les différents genres de styles où on les applique, les différents mots auxquels ils se joignent, leur usage au sens
faire. La première, c’est que des mots qui signifient des choses très différentes , et qui se prononcent ou à peu près ou absolument
férences près. Cependant ces quatre mots désignent quatre choses bien différentes . On peut répondre à cette difficulté, 1°. que qua
es mots est absolument la même, et que ces mots signifient des choses différentes , il n’y a pas plus à craindre de les confondre da
’usage des accents, c’est que nous désignons souvent, par des accents différents , des sons qui se ressemblent ; souvent nous emplo
elles ne se prononcent pas, et d’avoir par ce moyen deux orthographes différentes pour le même mot ; ce qui serait un autre inconvé
mot aura plusieurs orthographes reçues, de tenir compte de toutes ces différentes orthographes, et d’en faire même différents artic
nir compte de toutes ces différentes orthographes, et d’en faire même différents articles avec un renvoi à l’article principal : c
qu’aimer a bien plus de dérivés qu’amour ; tous ces dérivés sont les différents temps du verbe aimer. Dans les verbes, il faut to
distinction en deux manières, ou en écrivant ce mot dans un caractère différent , ou en l’écrivant le premier, et ensuite les autr
Cicéron, qu’on regarde comme le modèle de la bonne latinité, a écrit différents ouvrages, dans lesquels, ni les expressions ni le
e dictionnaire, il sera bon de marquer, par des exemples choisis, les différents emplois d’un mot ; il sera bon d’y faire sentir m
s moins réelle. On parlera plus au long, à la fin de cet article, des différentes qualités que le style doit avoir en général, et p
par une expression propre. De la propriété des termes naissent trois différentes qualités : la précision dans les matières de disc
le sublime et le tempéré ou l’orné, ils ne l’ont fait qu’eu égard aux différents objets que peut avoir le discours : le style qu’i
la prose la plus harmonieuse contient beaucoup de vers, qui, étant de différente mesure et sans rime, donnent à la prose un des ag
oins d’harmonie est peut-être ce qui distingue le plus réellement les différentes espèces de style. Mais quelque harmonie qui se fa
st vrai, que les mêmes moyens doivent être présentés différemment aux différents juges, et que par cette raison on est obligé, dan
que par cette raison on est obligé, dans un plaidoyer, de tourner de différents sens la même preuve. Mais ce verbiage, prétendu n
oit du moins égale à ses vers ; cette supériorité dans deux genres si différents , quoique si voisins en apparence, est une des plu
d’une Académie doit non seulement avoir une connaissance étendue des différentes matières dont l’Académie s’occupe, mais posséder
persuader qu’on peut être digne de lui plaire en se frayant une route différente de celle par laquelle il a coutume d’être conduit
e septembre et d’octobre. 2. Voyez cet article traité d’une manière différente  : page 274. 3. Voyez tome III, Réflexions sur l
36 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre XIV : Récapitulation et conclusion »
i à ce qu’elle la produise. La stérilité des hybrides est un cas très différent de la stérilité des premiers croisements : car le
à leur constitution par des conditions de vie nouvelles et légèrement différentes , nous ne pouvons nous étonner de la stérilité fré
les conditions d’existence ou des croisements entre des formes moins différentes l’accroissent. En ce qui concerne la distribution
spécifiques, c’est-à-dire ceux par lesquels les espèces du même genre différent les unes des autres, seraient-ils plus variables
vons ainsi comprendre pourquoi la nature se meut pas à pas, en dotant différents animaux de la même classe de leurs différents ins
ut pas à pas, en dotant différents animaux de la même classe de leurs différents instincts. J’ai essayé de montrer quelle lumière
ent des espèces alliées, placées dans des conditions d’existence très différentes , peuvent cependant avoir les mêmes instincts et p
; et la somme des changements effectués dans des temps égaux est très différente dans les différents groupes. L’extinction des esp
angements effectués dans des temps égaux est très différente dans les différents groupes. L’extinction des espèces et des groupes
; et elles ont aussi, en général, leurs organes plus spécialisés pour différentes fonctions. Ce fait est parfaitement compatible av
es montagnes les plus éloignées les unes des autres, et sous les plus différentes latitudes, un petit nombre de plantes identiques
doute reçu des colons d’une troisième source, ou l’une de l’autre, à différentes époques et en diverses proportions, le cours des
cations dans l’une et l’autre aire organique a dû inévitablement être différent . L’hypothèse des migrations, suivies de modificat
aile et de la jambe de la Chauve-Souris qui servent cependant à de si différents usages, des mâchoires et des pattes d’un Crabe, d
e reptiles et de poissons, peuvent être si semblables entre eux et si différents des formes adultes. Nous pouvons cesser enfin de
classe antérieure de cryptogames. Chez les cryptogames eux-mêmes, les différentes classes se sont probablement formées suivant la l
peu profonde de ces conditions. Il ne s’agissait guère alors pour les différents êtres que de s’accoutumer à vivre au fond des eau
ces de souches distinctes, c’est-à-dire sorties de germes primordiaux différents  ; non qu’il existât entre elles aucune hétérogéné
uel qu’en ait été le parallélisme, doit nécessairement avoir été trop différent . L’espèce ou plutôt la race aurait donc ainsi un
37 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre troisième. Les sensations — Chapitre premier. Les sensations totales de l’ouïe et leurs éléments » pp. 165-188
proprement dite. Il y a un grand nombre de faits semblables, quoique différents par l’espèce et le degré. Telles sont les sensati
distribuer les sensations des autres sens ; et on les trouvera un peu différentes , selon les divers auteurs69. Mais ces différences
visible encore si l’on compare entre elles, non plus deux sensations différentes du même sens, mais les sensations de deux sens di
sensations différentes du même sens, mais les sensations de deux sens différents , même lorsqu’elles sont produites par la même cau
hoc ou de picotement, produites par la même électricité appliquée aux différents sens. Chacun de ces sens forme un domaine à part 
autre plus grave. Deux sons également gravée ou aigus ont des timbres différents , s’ils sont produits l’un par un violon, l’autre
ntinuent à être distincts, elle se dégage comme un événement d’espèce différente  ; entre les diverses sensations élémentaires, qui
e. Nous saisissons ici la sensation élémentaire dont les combinaisons différentes suffisent à expliquer toutes les sensations du so
, le timbre73. Une même note chantée par divers instruments de timbre différent n’est pas un son simple, mais un composé de sons,
différences de timbre consistent en l’addition au son fondamental de différentes harmoniques. En suivant ce principe et au moyen d
ppelé résonateur, on a constaté que la même circonstance explique les différentes voyelles de la voix humaine, c’est-à-dire les nua
38 (1829) De la poésie de style pp. 324-338
sorte de quintessence de tous les autres. Les ouvrages, de genres si différents , qu’il produisit avec une verve intarissable pend
ore, que poésie et métaphore sont une même chose, et qu’entre nations différentes , de même qu’entre différents âges d’un même peupl
ont une même chose, et qu’entre nations différentes, de même qu’entre différents âges d’un même peuple, l’ampleur de la métaphore
de style, ressort d’autant mieux qu’il est entouré d’une poésie toute différente . Supposez la prophétie de Joad placée au milieu d
remonta… (Les Deux Îles.) On voit que le procédé de M. Hugo est tout différent de celui de Racine. Le poète ne développe pas l’i
   Et se lèvent avant la fin. Voilà une même idée sous vingt formes différentes , et presque autant de comparaisons que de vers. I
s : rien n’est suivi ; c’est une manière fragmentaire et hachée. Bien différent est le procédé de M. Hugo. Il s’élance avec Mazep
velle souplesse. Jamais le monde littéraire n’a compté plus de sectes différentes qu’aujourd’hui. Ces divergences de goût ne viendr
tient une suite de rapports, tous identiques, quoique sous des formes différentes , c’est-à-dire une progression, qui peut s’étendre
ramasse des coquillages au bord du grand océan de la vérité n’est pas différent de Newton écrivant dans une formule algébrique le
es rapports à d’autres rapports, ou plutôt reproduire sous des termes différents des rapports identiques. Seulement ils ne travail
39 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Deuxième partie — Chapitre IV. L’unification des sociétés »
ntis. Une société est-elle véritablement une si elle n’impose pas aux différents individus qu’elle rassemble un même ordre social 
t orbis urbs », dit Varron. Distribuant aux hommes des races les plus différentes un même droit de cité, exigeant des pays les plus
notre siècle cachaient des efforts d’unification. Il est vrai que les différentes nations ne s’unifient pas toutes avec la même vit
modernes occidentales, il nous apprend aussi que toutes à des degrés différents , s’unifient. Serait-il permis de penser qu’elles
ccès de ces tendances. Déjà nous ne prétendons pas que l’ensemble des différentes formes sociales que nous discernons constitue la
s. Et, en effet, toutes choses égales d’ailleurs, dans un pays où les différents groupements coexistants sont unifiés, il y aura p
ettissant à une morne loi les individus les plus distants et les plus différents , les rend, à un certain point de vue, semblables.
ration qui unifie, un groupement plus large vient s’appliquer sur les différents groupements antérieurs. Ainsi, par la réunion des
ur le monde215 ». C’est une loi de notre intelligence que deux objets différents lui paraissent différer moins s’il les compare en
mot de liberté. Il n’y a pas de mot qui soit entendu en des sens plus différents . Tantôt, comme paraît parfois le faire Spencer, o
tiples et entrecroisées qui, mêlant ses sujets pour les fins les plus différents , les empêchent de se constituer en grands corps n
40 (1898) Introduction aux études historiques pp. 17-281
même titre : « Introduction aux études historiques », des livres très différents ont déjà été publiés. Nous n’avons pas voulu prés
. Mais ces collectionneurs européens, nombreux depuis le xve  siècle, différent assez notablement de H. H. Bancroft. En effet, no
ments qui jadis étaient disséminés, et comme perdus, en cent endroits différents  ; 2° la publicité de ces dépôts. Désormais, ce qu
s’expliquent par des analogies de vocabulaire et de prononciation qui différent , naturellement, suivant que l’original était en t
est sous la main. — Le second mouvement n’est guère meilleur : si les différentes copies ne sont pas de la même époque, se servir d
st l’ouvrage d’un seul auteur. Mais de nombreux documents ont reçu, à différentes époques, des additions qu’il importe de distingue
édiaire de C. Si B et C ont abrégé la source commune de deux manières différentes , ces copies partielles sont sûrement indépendante
tiples, relatifs et variables ; un même mot signifie plusieurs choses différentes  ; il prend un sens différent dans un même auteur
un même mot signifie plusieurs choses différentes ; il prend un sens différent dans un même auteur suivant les autres mots qui l
sions dans un sens détourné ; cela arrive, pour plusieurs motifs très différents  : l’allégorie ou le symbole, — la plaisanterie ou
), et dans l’exégèse des textes sacrés et des auteurs classiques. Les différentes façons d’introduire un sens détourné sous le sens
es faits ; — s’il a mal analysé ses impressions et confondu des faits différents . Surtout il faut se demander quand il a noté ce q
s sont deux espèces de résultats qu’il faut traiter par deux méthodes différentes . I. Toute conception exprimée soit dans un écrit,
ût esthétique de son temps. Il faut au moins attendre d’avoir comparé différents auteurs du même temps. 2° La description même de
é pour chaque fait une fiche seulement, sur laquelle on aura noté les différentes affirmations à mesure qu’on les rencontrait). Le
lle, et quand même une observation serait reproduite par cent auteurs différents , ces cent copies ne représenteraient encore qu’un
affirmation rédigée dans plusieurs documents séparés, par des auteurs différents , donne l’illusion de plusieurs affirmations ; un
on de plusieurs affirmations ; un même fait relaté dans dix documents différents paraît aussitôt établi par dix observations conco
ns sur le même fait pour chercher si elles proviennent d’observateurs différents ou du moins d’observations différentes. Le princi
lles proviennent d’observateurs différents ou du moins d’observations différentes . Le principe est analogue à celui de la critique
s détails d’un fait social sont si multiples et il y a tant de façons différentes de voir le même fait que deux observateurs indépe
c’est qu’elles dérivent d’une observation commune ; les observations différentes divergent toujours sur quelques points. Souvent o
principes178 permettent de reconnaître beaucoup de cas d’observations différentes et plus encore de cas d’observations reproduites.
t entre les affirmations qu’on peut compter les affirmations vraiment différentes et examiner si elles concordent. Ici encore il fa
nce complète entre deux récits, c’est un croisement entre deux récits différents qui ne se ressemblent qu’en quelques points. La t
tablis. 2° Avant de conclure il reste à s’assurer si les observations différentes du même fait sont pleinement indépendantes  ; car
e. Il faut prendre garde aux cas suivants : 1er cas. Les observations différentes ont été faites par le même auteur, qui les a cons
les a consignées, soit dans un même document, soit dans des documents différents  ; il faut alors des raisons spéciales pour admett
Plusieurs observateurs ont rédigé leur observation dans des documents différents , mais dans des conditions semblables ; il faut ap
ement indépendantes que les observations contenues dans des documents différents , issus d’auteurs différents, appartenant à des gr
observations contenues dans des documents différents, issus d’auteurs différents , appartenant à des groupes différents, opérant da
nts différents, issus d’auteurs différents, appartenant à des groupes différents , opérant dans des conditions différentes. C’est d
ts, appartenant à des groupes différents, opérant dans des conditions différentes . C’est dire que les cas de concordance pleinement
, chacun probable seulement, qui portent sur des lieux ou des moments différents . Cette méthode est d’une application difficile. L
nt très disparates. 1° Ils représentent des phénomènes de nature très différente . D’un même document on tire des faits d’écriture,
° Les faits historiques se présentent à des degrés de généralité très différents , depuis les faits très généraux communs à tout un
à chercher à quel degré de généralité on peut et on doit réduire les différentes espèces de faits. Et c’est sur quoi les historien
e impose à l’histoire l’obligation d’étudier séparément les faits des différents pays et des différentes époques. 4° Les faits ext
’obligation d’étudier séparément les faits des différents pays et des différentes époques. 4° Les faits extraits des documents par
res sciences184. Mais comment poser les questions dans une science si différente des autres ? C’est le problème fondamental de la
un à un. — L’analyse d’un fait consiste à distinguer mentalement les différents détails de ce fait (épisodes d’un événement, cara
er la méthode des sciences biologiques. Les faits historiques sont si différents de ceux des autres sciences qu’il faut pour les é
s de ceux des autres sciences qu’il faut pour les étudier une méthode différente de toutes les autres. III. Les documents, source
t qu’en partie aux choses présentes, et ce sont justement les parties différentes qui font l’intérêt de l’histoire. Comment se repr
s qui font l’intérêt de l’histoire. Comment se représenter ces traits différents pour lesquels le modèle nous manque ? Nous n’avon
ainsi par être une combinaison de traits empruntés à des expériences différentes . Il ne suffit pas de se représenter des êtres et
du questionnaire. Les actes humains qui font la matière de l’histoire différent d’une époque et d’un pays à l’autre comme ont dif
étaillée des faits exigera l’emploi de questionnaires plus détaillés, différents suivant la nature des faits, des hommes ou des so
cautions si minutieuses, des aptitudes naturelles et des habitudes si différentes , que sur aucun point un seul homme ne peut exécut
matière historique peut être distribuée suivant trois espèces d’ordre différents  : l’ordre chronologique (ordre des temps), — l’or
trois ordres le choix est délicat, il doit se décider par des raisons différentes suivant le sujet et suivant l’espèce de public po
Église catholique se compose de fidèles épars dans le monde entier et différents en tout, sauf la religion. Il n’y a pas de groupe
plusieurs groupes et dans chaque groupe se trouve avec des compagnons différents . Un Canadien français est membre de l’État britan
nt elles se recrutaient, dans quels rapports vivaient les membres des différentes professions et classes. — Pour les institutions p
faut étudier la division des fonctions, analyser le personnel en ses différents groupes (souverain et subordonné, central et loca
nt à l’état statique). Elle étudie les états de société à des moments différents et constate entre eux des différences. Les habitu
un usage, ou un état de société se transforme en un usage ou un état différents , ou pour parler sans métaphore, que les hommes d’
ans métaphore, que les hommes d’un temps pratiquent une habitude très différente de leurs devanciers sans avoir traversé de change
traites, mais du concours à chaque moment de plusieurs faits d’espèce différente . Ce concours, appelé parfois le hasard, a produit
t une histoire concrète commune, l’histoire générale, qui reliera les différentes histoires spéciales en montrant l’évolution d’ens
leur état change leurs habitudes à la fois dans les espèces les plus différentes . L’invasion des Barbares a agi à la fois sur les
ent entre faits de même espèce, mais entre faits des espèces les plus différentes . Il y a des liens non seulement entre les divers
outes les pensées, toutes les aventures de tous les hommes à tous les différents moments. Ce serait une connaissance complète que
vie, a besoin de formules descriptives pour exprimer le caractère des différents phénomènes. La formule doit être courte pour être
nature des documents d’où ils sortent, ils arrivent à tous les degrés différents de précision depuis le récit détaillé des moindre
nt organiser en un même ensemble des connaissances d’une précision si différente  ? — Les faits connus seulement par un mot général
, de la vie privée, de la vie politique ; car il faut, dans des actes différents , trouver les caractères communs qui composent l’h
nt les caractères conventionnels et réels de toutes les habitudes des différents groupes. Pour préciser l’étendue de l’habitude, o
ntillonnage est un dénombrement restreint à quelques unités prises en différents endroits du champ ; on calcule la proportion des
oire à des faits de toute espèce, soit pour établir la proportion des différentes formes ou des différents usages dans une période
espèce, soit pour établir la proportion des différentes formes ou des différents usages dans une période ou une région donnée, soi
miner dans les groupes hétérogènes la proportion des membres d’espèce différente . Il donne l’impression approximative de la fréque
it d’être exceptionnelle. On doit donc les choisir en des points très différents et dans des conditions très différentes, de façon
les choisir en des points très différents et dans des conditions très différentes , de façon que les exceptions se contre-balancent.
suffit pas de les prendre en des points éloignés, par exemple sur les différentes frontières d’un pays, car le fait même d’être fro
iser ; donc se défier des noms vagues qui recouvrent des groupes très différents (Chrétiens, Français, Aryas, Romans). 3° On doit
n laisse, à chaque degré nouveau de généralité, tomber les caractères différents pour ne retenir que les caractères communs. On do
multanés consiste à chercher les liens entre tous les faits d’espèces différentes qui se produisent dans une même société. On sent
qui se produisent dans une même société. On sent confusément que les différentes habitudes séparées par abstraction et classées en
it très confus, mais incontestable, c’est la « solidarité » entre les différentes habitudes d’un même peuple. Pour l’étudier avec p
soit restée le refuge du mystère et de l’obscurité. En comparant les différentes sociétés de façon à établir par quelles branches
es sociétés de façon à établir par quelles branches se ressemblent ou différent celles qui se ressemblent ou diffèrent par une br
nter jusqu’aux faits qui le produisent, jusqu’aux causes communes des différentes habitudes. On se trouve ainsi acculé à la nécessi
ferait jouer le rôle d’êtres vivants. En comparant les évolutions des différentes espèces de faits dans une même société, l’école «
génie propre de la nation ou de la race, qui se manifestait dans les différentes activités sociales et expliquait leur solidarité2
ne règle), défini abstraitement ; on en a comparé les évolutions dans différentes sociétés, de façon à déterminer l’évolution commu
, contemporaines l’une de l’autre (Angleterre et France) ou d’époques différentes (Rome et l’Angleterre). Elle pourrait servir néga
pes 1° Pour atteindre les causes de la solidarité entre les habitudes différentes d’une même société, il faut dépasser la forme abs
e la condition de ces hommes qui s’impose à toutes les manifestations différentes de leur activité. — On devra s’attendre à ce que
onditions  ? —  Ou bien y a-t-il des groupes d’hommes héréditairement différents qui naissent avec des tendances à des activités d
itairement différents qui naissent avec des tendances à des activités différentes et des aptitudes à évoluer différemment, de sorte
ires universelles » à narration continue, si goûtées, pour des motifs différents , au moyen âge et au xviiie  siècle ; Schlosser et
ds Manuels, en sections indépendantes, traitées chacune par un auteur différent  : ce sont des combinaisons de librairie. Les hist
nd lieu, l’histoire, parce qu’elle montre un grand nombre de sociétés différentes , prépare à comprendre et à accepter des usages va
comme en Allemagne, de façon à faire revenir l’élève plusieurs fois à différentes périodes de ses études sur le même sujet ? Ou doi
é ; elle le familiarise avec les principaux phénomènes sociaux et les différentes espèces d’usages et d’institutions qu’il ne serai
alité actuelle ; elle lui fait comprendre par la comparaison d’usages différents les caractères de ces usages, leur variété et leu
n peut lui faire dresser un tableau de comparaison entre des sociétés différentes et un tableau de l’enchaînement des faits. Il fau
essaire, mais cela n’est pas suffisant : des connaissances d’un ordre différent , d’un ordre supérieur, ne sont pas moins indispen
 ». L’analyse interne et la comparaison d’exemplaires appartenant aux différentes éditions du document les accusent. 85. Voir F. B
e par la concordance entre des observations obtenues par des méthodes différentes  ; elle se trouve au point de croisement de deux v
des différentes ; elle se trouve au point de croisement de deux voies différentes de recherches. 175. Ce cas est étudié avec un bo
historique (Paris, 1887, in-12). 181. La solution de la question est différente pour les sciences d’observation directe, surtout
c.), et aboutit à classer ensemble des espèces de manifestations très différentes des institutions militaires avec la vie économiqu
it des phénomènes « socialpsychiques  » communs à toute la société et différents dans chaque période. C’est une hypothèse métaphys
mparaison entre deux faits de détail appartenant à des ensembles très différents (Abd-el-Kader à Jugurtha, Napoléon à Sforza) est
périodes de même durée, explique les transformations simultanées des différents usages et institutions d’une même société par les
41 (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre quatrième. La connaissance des choses générales — Chapitre III. Le lien des caractères généraux ou la raison explicative des choses » pp. 387-464
u des composés mentaux, la méthode pour découvrir l’intermédiaire est différente , mais la liaison de la seconde donnée et de la pr
nnus, les facteurs inconnus plus simples peuvent avoir des propriétés différentes ou les mêmes. — Selon que l’une ou l’autre de ces
suivre cet intermédiaire et de le retrouver toujours pareil sous ses différentes formes. — Tantôt il est simple ; telle est la for
faut distinguer. — Tantôt les intermédiaires simultanés sont d’espèce différente  ; tels sont, dans le cas précédent, la force tang
médiaires successifs ou d’intermédiaires simultanés, d’intermédiaires différents ou du même intermédiaire répété, du même interméd
uilibre entre les forces répulsives et les forces attractives, époque différente suivant la constitution différente des différents
et les forces attractives, époque différente suivant la constitution différente des différents corps ; que, pendant ce stade, la
attractives, époque différente suivant la constitution différente des différents corps ; que, pendant ce stade, la répulsion et l’
attractives ont, non plus l’égalité, mais l’ascendant marqué, époque différente , suivant la constitution différente des différent
, mais l’ascendant marqué, époque différente, suivant la constitution différente des différents corps ; que, pendant ce troisième
ant marqué, époque différente, suivant la constitution différente des différents corps ; que, pendant ce troisième stade, les molé
de la vapeur d’eau. — Mais, si les procédés de la découverte ont été différents , la structure des choses s’est montrée la même. D
ons secondaires que lui impose son passage d’un animal dans un animal différent , et, par suite, son adaptation à un usage nouveau
hérés, le savant est comme un myope devant des fourmilières d’espèces différentes  ; son regard obtus n’atteint que les effets de ma
dans chaque monceau des habitants invisibles, et dans chaque monceau différent des habitants différents, que certains mélanges r
habitants invisibles, et dans chaque monceau différent des habitants différents , que certains mélanges réussissent mieux que d’au
e laisseront expliquer leurs propriétés que par les propriétés toutes différentes de leurs éléments, ceux-ci de même, et ainsi de s
 ; rien n’empêche que nos molécules aient pour éléments des molécules différentes , aussi petites par rapport à elles qu’elles le so
les couches successives des facteurs de plus en plus simples seraient différentes comme les chiffres successifs d’une fraction non
que les propriétés du composé et de ses facteurs soient semblables ou différentes , il n’importe ; c’est toujours sur les propriétés
et un composé quelconque est un caractère ou une somme de caractères, différents ou semblables, inclus dans les éléments du compos
estre, pour le minéralogiste de découvrir comment se sont formées les différentes roches, pour le naturaliste de savoir comment se
ont formées les époques successives d’une même société humaine et les différents traits d’un caractère national. Tous partent d’un
rt simples ». Si le type se retrouve le même à travers tant d’espèces différentes , c’est que toutes ces espèces, en vertu de l’héré
ure et sa fonction avec celles des autres, de manière que les espèces différentes puissent subsister dans leurs différents milieux 
de manière que les espèces différentes puissent subsister dans leurs différents milieux : c’est que, grâce à une sélection contin
rd’hui, nous ne pouvons dire pourquoi le carbone pur, selon ses états différents , fournit avec les mêmes molécules des composés au
états différents, fournit avec les mêmes molécules des composés aussi différents que le diamant et le graphite, c’est que, ne conn
es des régions stellaires, où les phénomènes peuvent être tout à fait différents de ceux que nous connaissons, ce serait folie d’a
42 (1884) Cours de philosophie fait au Lycée de Sens en 1883-1884
e a, suivant les temps et les circonstances, procédé de deux manières différentes . En d’autres termes, il y a deux formes d’esprit
e des systèmes qui agitent les mêmes questions que les autres et n’en différent que par la manière de les résoudre. On ne saurait
un mot, quelle sera sa méthode ? Cela reste encore à déterminer. Les différents systèmes ont fait à cette question différentes ré
ncore à déterminer. Les différents systèmes ont fait à cette question différentes réponses. De nos jours s’est formée une école, l’
ctique, qui soutient que la meilleure méthode serait de concilier les différents systèmes. Cette école, qui sans être encore organ
à chercher. Elle est trouvée. Seulement, elle est disséminée dans les différents systèmes philosophiques parus jusqu’à présent. Il
econde objection. Le sens commun est large. Il pourra fort bien, dans différents systèmes admettre comme ne lui répugnant pas, des
et là, pourrait-on faire un système un, solide, et bien ajusté ? Les différentes théories qui le composeront n’étaient pas faites
mêmes avec toutes les sciences ; les rapports particuliers, qui sont différents pour chaque science particulière. Examinons d’abo
. Examinons d’abord les rapports généraux. Les objets qu’étudient les différentes sciences positives n’existent pour nous qu’en tan
ue et de la chimie. D’autre part, pour se fonder et se construire les différentes sciences emploient différents moyens, suivant ce
t, pour se fonder et se construire les différentes sciences emploient différents moyens, suivant ce qu’elles ont à expliquer : les
ur donner des résultats justes. Dès lors, elle se demande comment ces différents procédés doivent être différemment combinés pour
fférents procédés doivent être différemment combinés pour étudier les différents objets des différentes sciences. Elle cherche en
ent être différemment combinés pour étudier les différents objets des différentes sciences. Elle cherche en un mot quelle est la me
appelle Méthodologie. Tels sont les rapports de la philosophie et des différentes sciences qui l’avoisinent. Leçon 4 Divisions d
 : les états de conscience représentent des phénomènes de genres bien différents les uns des autres : pour en étudier l’ensemble i
faut distinguer et classer. Ces divisions ont beaucoup varié avec les différents systèmes, et c’est bien naturel, car elles dépend
 : « Toute l’activité humaine, dit-il, se manifeste sous trois formes différentes , savoir, agir, faire. De là trois sciences : la t
pour dessiner un mouvement nerveux, il suffira d’avoir bien saisi ses différentes phases. 2. Les faits physiologiques se passant da
et psychologie sont bien distinctes. Chacune a son objet propre, très différent de celui de l’autre. Il n’y a donc pas lien de le
la cause extérieure produisant la sensation. En prenant des poids de différentes grosseurs, on sent bien qu’il y a un certain rapp
ticulier et naturel de l’activité consciente. Autant il y a de formes différentes sous lesquelles apparaît la vie intérieure, autan
ait pas simplifier le nombre des facultés, et réduire à une seule les différentes facultés de l’âme. Condillac a tenté de les ramen
pinoza, se réduisent à l’intelligence. Mais nous avons montré que ces différents groupes différaient trop pour être joints les uns
plaisirs très délicats : la mélancolie par exemple ; mais malgré ces différentes influences que nous avons sur ces sentiments, nou
ne méthode pour classer les inclinations : autant il y aura d’espèces différentes d’objets produisant chez nous ces mouvements, aut
bjets produisant chez nous ces mouvements, autant il y aura d’espèces différentes d’inclinations. Or, on peut distinguer trois gran
inclinations sympathiques peuvent se subdiviser en autant de groupes différents qu’il y a d’espèces différentes dans nos « sembla
ent se subdiviser en autant de groupes différents qu’il y a d’espèces différentes dans nos « semblables ». 1. Inclinations domestiq
x jouissances esthétiques que nous avons éprouvées.   Telles sont les différentes sortes d’inclination et leurs caractères essentie
y ait à tout ceci des exceptions provenant du mélange inévitable des différentes inclinations, et que des préoccupations égoïstes
ie qu’on désigne sous le nom général de sensibilité, des choses aussi différentes que les peines et plaisirs d’une part, les inclin
, les passions. On a entendu par ce mot des phénomènes sensibles bien différents les uns des autres. Bossuet dans le traité de la
e. Toute idée représente un objet. Voilà donc un moyen de classer les différentes formes de l’acte intellectuel. Autant il y aura d
ons la solution du sens commun qui voit là deux connaissances d’ordre différent , quitte à les réunir plus tard si nous croyons le
n certain nombre d’opérations complexes formées par la combinaison de différentes facultés, intellectuelles ou autres ; ce sont : l
a lieu maintenant de se demander quelle est la valeur relative de ces différents sens. Les uns nous donnent évidemment des sensati
uite ? Un certain nombre de philosophes appartenant à des écoles très différentes , ont cru pouvoir répondre oui à cette question. C
ions possibles qui sont d’ordinaire groupées ensemble ne seraient que différentes qualités. Telle est la théorie de Stuart Mill sur
se sont produites à la suite, l’une de l’autre, dans le même ordre, à différentes reprises ; l’esprit en conclura-t-il à la présenc
t se demander ce qu’il est. Est-il tel que nous le percevons ? Est-il différent  ? Voilà ce qui nous reste à examiner. C’est par l
econdes ne sont que des apparences des formes des qualités premières, différentes uniquement par l’intervention des sens. Il ne res
n est de même du monde extérieur. Voyons maintenant quelles sont les différentes théories faites sur le monde extérieur. On trouve
éellement. Notre doctrine est donc une doctrine réaliste. Mais il y a différentes sortes de réalisme. On peut se représenter le mon
nous l’abîme qui sépare de nous le monde extérieur. Il n’y a pas les différents milieux qui le déforment en nous le présentant. N
-à-dire que suivant leur nature ils soient localisés dans des milieux différents . Or, il y a deux grandes espèces de connaissances
er chacune de ces deux espèces d’états de conscience dans des milieux différents . Le milieu dans lequel nous situons les connaissa
qui est a une raison d’être. Quoi qu’il en soit, il y a deux espèces différentes de principes rationnels ; les uns règlent les acq
dissimuler cette diversité. Mais elle ne peut la détruire. Ce qui est différent reste tel malgré les doctrines. Avec des sensatio
ques de faire intervenir ainsi la cause première à plusieurs reprises différentes , de lui prêter des actions diverses. À cette hypo
nous paraissent si divers, les phénomènes que nous percevons comme si différents , l’évolutionnisme veut tous les ramener à un type
n des idées assurent la continuité des pensées. Voyons maintenant les différentes espèces d’association d’idées. On les a souvent d
semblables s’appellent. 2. Il en est de même de l’idée de deux choses différentes . 3. Deux états de conscience qui se sont produits
ion par contiguïté et l’association par ressemblance. Telles sont les différentes espèces d’associations des idées. Il nous reste à
it que nous ne souvenons que de nous-mêmes. La mémoire peut présenter différentes qualités. Tantôt elle est caractérisée par sa rap
de toute mnémotechnie rationnelle. On peut susciter par des procédés différents l’activité nécessaire. Il y a pour cela trois moy
aire. Les images quelquefois se combinent d’elles-mêmes dans un ordre différent de celui où elles s’étaient produites. C’est le c
de l’imagination. Elle apporte une unité individuelle ordonnée, bien différente de l’unité générique que donne l’entendement. Tou
associent comme elles veulent. La folie se manifeste sous deux formes différentes  ; tantôt elle est locale ; une partie seulement d
ntion est qu’elle est l’œuvre de notre volonté. Voyons maintenant les différentes formes de ce phénomène. Il y en a deux essentiell
ifficilement s’en débarrasser. Ces deux formes de l’attention sont si différentes qu’on peut se demander s’il n’y a pas lieu d’en f
n surtout que l’esprit s’explique la réalité, qui, composée de choses différentes , ne peut trouver d’autre unité. Jugement. Le jug
manière abstraite générale. L’esthétique passe ensuite à l’étude des différentes façons dont le beau se révèle à nous, des différe
e à l’étude des différentes façons dont le beau se révèle à nous, des différentes formes par lesquelles il s’exprime, c’est-à-dire
u, c’était la perfection. Mais ce mot peut être entendu dans des sens différents . D’abord on nomme parfaite une chose qui atteint
acultés, et l’on peut considérer chacune d’elles à deux points de vue différents . Dans la Sensibilité, nous avons d’un côté la mul
joindre une classification des beaux-arts. Ils expriment le beau sous différentes formes : ce sera la base de nos distinctions. Il
ous produisons nos actions. Elle se présente à nous sous trois formes différentes  : Elle est volontaire, ne l’a jamais été, ou l’a
nstinct n’est pas capable de produire un nombre indéterminé d’actions différentes . Chaque instinct est spécial. C’est une détermina
naturelles que deux organismes identiques peuvent avoir des instincts différents . Enfin, ce qui démontre que cette thèse est exces
llement, il y a un abîme entre les espèces. Le croisement des espèces différentes est stérile, ou tout au moins les individus produ
ndre imperceptible. Nous allons étudier l’effet de l’habitude sur les différentes facultés de notre esprit. Sensibilité. Examinons
qu’une forme de la faculté générale qui consiste en une tendance des différents phénomènes psychologiques placés dans certaines c
comprendre ce qu’est la volonté, examinons un acte volontaire et ses différents moments. 1. Tout acte volontaire commence par la
ppants. C’est qu’en effet le désir et la volonté sont des formes bien différentes de notre activité. La volonté est la force dont n
essairement l’action. Mais, dit-on, il y a des cas où les motifs sont différents , même opposés ; c’est le cas le plus fréquent. Co
iberté. Pour cela, il assigne à la science et à la morale deux mondes différents  : le principe de causalité règne incontestablemen
ncipe de causalité. Un même but peut être atteint par bien des moyens différents . Pour aller au même lieu, il est plus d’un chemin
versent le temps et l’espace pourront être remplis de bien des façons différentes . Voilà par où la liberté peut s’introduire dans l
ue suit l’esprit dans le raisonnement sans s’appliquer à chercher les différentes manières dont doivent être appliquées ces règles 
formelle. La seconde partie cherche comment doivent être combinés les différents procédés indiqués par la logique générale pour êt
ents procédés indiqués par la logique générale pour être employés aux différents objets proposés au raisonnement. Cette seconde pa
oyal, qui ont fort insisté sur ce sujet, ces deux définitions sont si différentes qu’elles n’obéissent même pas aux mêmes lois : ta
rie est la science des grandeurs » est une définition de choses, bien différente de ce qu’elle deviendrait si à géométrie je subst
res A E I O. On a calculé qu’elles pouvaient se combiner de 64 façons différentes . Il y aurait alors 64 modes de syllogisme. Mais e
laire de cette loi est qu’un mot n’y saurait être pris dans deux sens différents  : car cela équivaudrait à l’introduction d’un qua
lle au contraire, si elle est universelle. Le syllogisme peut prendre différentes figures. Elles dépendent de la place qu’occupe le
é est susceptible de changements qui l’abrègent ou le complètent. Les différentes formes qu’il peut revêtir ainsi sont ce qu’on nom
s différentes formes qu’il peut revêtir ainsi sont ce qu’on nomme les différentes espèces de syllogisme. Les syllogismes « hypothét
es et rien que trois devient faux si un terme est pris dans deux sens différents , car cela revient à avoir quatre termes. C’est en
river à la vérité. Ces procédés se combinent différemment suivant les différents objets à étudier ; en d’autres termes, la méthode
spèce de science. Avant d’aborder le détail, nous allons examiner les différents procédés que suit l’esprit pour arriver à la véri
je fais une synthèse. Port-Royal entendait ces mots dans un sens tout différent . Pour cette école, l’analyse est une méthode régr
s des êtres pour déterminer ceux qui sont semblables et ceux qui sont différents . Mais ce premier travail ne suffit pas : après av
aux d’éloges peu mérités. 3. Relations écrites. Ces relations sont de différentes espèces : ce sont les mémoires, les annales, les
ien ne doit pas se contenter de raconter les faits qu’il a puisés aux différentes sources ; il doit encore reconstruire le passé av
t penser sans signes. Pour répondre à cette question, distinguons les différentes espèces d’idées. 1. les idées concrètes ou partic
nomme le devoir de fidélité. En outre, chacun des époux a des devoirs différents résultant des différences de positions. En vertu
be donc ce devoir ; à la femme des devoirs plus humbles. Mais quelque différentes que soient leurs fonctions, les deux époux sont é
es personnes constituent le gouvernement. Ce gouvernement est armé de différents pouvoirs. Pour que ces pouvoirs ne soient pas dan
sans le concept du corps ; il en conclut que les deux substances sont différentes  : je puis, dit-il, supposer que mon corps n’exist
atériel. La pensée et l’étendue sont donc des attributs de substances différentes . Cette démonstration repose donc sur ce postulat
pts qui peuvent être conçus séparément appartiennent à des substances différentes . Notre démonstration ne repose pas sur cette hypo
e doctrine, il est difficile d’expliquer les rapports de choses aussi différentes que l’étendue régie par le mécanisme et l’âme gui
e malaisé de comprendre comment deux substances analogues, mais aussi différentes que le principe vital et l’âme pensante, peuvent
té ne saurait s’expliquer par l’association de deux êtres entièrement différents  ; il faut que ces deux vies émanent d’une même so
met les organes en jeu. » Si nous localisons les sensations dans les différentes parties de notre corps, c’est que l’âme n’est pas
entend-on par le mot de Dieu ? Il a été pris dans bien des acceptions différentes , qui ont ceci de commun, de désigner un être supé
unité des rapports mutuels des parties du monde, envisagées comme les différentes pièces d’une œuvre d’art. Cette preuve, pour laqu
grouper d’une infinité de façons, et en effet une infinité de mondes différents se sont succédés dans l’infinité du temps. La com
asse homogène est nécessairement dans un équilibre instable « car les différentes parties supportent des forces différentes ; de ce
quilibre instable « car les différentes parties supportent des forces différentes  ; de ce qu’il y a un côté externe et un côté inte
ort d’une substance et de ses phénomènes. Il a revêtu des formes très différentes . Tantôt le Dieu-monde nous est représenté comme u
43 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Introduction. » pp. -
agit. V. Les trois forces primordiales. La race. Trois sources différentes contribuent à produire cet état moral élémentaire
e sang et d’esprit qui relie encore aujourd’hui tous ses rejetons. Si différents qu’ils soient, leur parenté n’est pas détruite ;
les aliments, la température sont autres. Un climat et une situation différente amènent chez lui des besoins différents, par suit
s. Un climat et une situation différente amènent chez lui des besoins différents , par suite un système d’actions différentes, par
ènent chez lui des besoins différents, par suite un système d’actions différentes , par suite encore un système d’habitudes différen
ystème d’actions différentes, par suite encore un système d’habitudes différentes , par suite enfin un système d’aptitudes et d’inst
es différentes, par suite enfin un système d’aptitudes et d’instincts différents . L’homme, forcé de se mettre en équilibre avec le
Selon qu’on prend la table à un moment ou à un autre, l’empreinte est différente  ; et cela suffit pour que l’effet total soit diff
empreinte est différente ; et cela suffit pour que l’effet total soit différent . Considérez, par exemple, deux moments d’une litt
duit, aux divers degrés de son élaboration successive, des formations différentes , bourgeons, fleurs, fruits, semences, en telle fa
le par la race, le moment ou le milieu se répand avec des proportions différentes et par des descentes régulières sur les divers or
illement dans une race, selon que l’aptitude aux idées générales sera différente , la religion, l’art et la philosophie seront diff
énérales sera différente, la religion, l’art et la philosophie seront différents . Si l’homme est naturellement propre aux plus lar
’hui répandue en Europe avec des proportions et des particularités si différentes selon les différences des races et des civilisati
iliation, l’intensité, les dépendances des idées et des émotions sont différentes  ; chacun d’eux a son histoire morale et sa struct
n détruite dont nous n’avons plus que les lambeaux, et parce qu’étant différente , elle présente mieux que la France des caractères
44 (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre IX. Première partie. De la parole et de la société » pp. 194-242
iété, ces doubles noms affectés de prérogatives ou des significations différentes , dont l’un est le nom d’un être connu dans le cie
nt distinctes dans leurs origines, et qui admettent des procédés fort différents pour compléter un système de langage. Il serait b
, celles où les modifications du substantif et du verbe sont des mots différents , et celles où ces modifications se marquent par d
allu autant de noms pour le même objet que cet objet a eu de qualités différentes . Enfin il y a des langues transpositives et des l
écrite peut servir à plusieurs peuples qui parlent chacun une langue différente . Mais ici nous serions ramenés à cette autre diff
systèmes opposés, celui d’une origine commune et celui d’une origine différente pour les langues. Ils sont d’accord tous les deux
ce qui l’a porté, sans doute, à reconnaître ainsi plusieurs origines différentes , c’est le besoin de s’affranchir d’une difficulté
mais, dès le commencement, Dieu distingua les fils d’un même père par différentes sortes de prérogatives ou de bénédictions : ceci
ont mêlé, de temps en temps, et pour de certains mots, ces attributs différents  ? Ne pourrait-on pas dire que si ce partage s’est
dire aussi que chaque race humaine ayant été affectée de prérogatives différentes , il y a eu, dans le genre humain, un droit d’aîne
tantôt confondues ; mais elles ont fourni l’une et l’autre des tropes différents qui se sont mêlés dans la langue écrite et dans l
sque d’appliquer les mêmes raisons et les mêmes règles à des familles différentes de langues ? A-t-on assez réfléchi, enfin, à cett
l’autre le scalpel de l’anatomiste que pour rêver chacun une théorie différente . Il fallait commencer par faire comprendre ce qu’
ux langues et qui sont un trait caractéristique de la physionomie des différents peuples, remarquons, dis-je, que la langue frança
notre croyance dans le témoignage de Moïse sur les commencements des différents peuples de la terre, sur les premiers faits du ge
éjà célèbres, ou ont acquis depuis une très grande célébrité dans les différentes branches des connaissances humaines ; que les élè
45 (1912) L’art de lire « Chapitre II. Les livres d’idées »
flexion continuelles, l’art de lire ne peut pas être le même pour ces différents genres d’écrits. Il y a un art de lire pour chacu
’arrêter, le réfréner, l’endiguer, l’entraver et l’amortir. Parmi les différentes forces qui pouvaient avoir cet effet, il a rencon
s faite de lui à lui, nous aurons pensé, nous aurons réfléchi sur ces différentes forces, extérieures que nous subissons, intérieur
Et cette connaissance dépendant de Dieu-providence, ce n’est pas très différent de la vision en Dieu de Malebranche. Ne voir que
La Rochefoucauld s’est transformé sous nos yeux. Nous le voyons tout différent de ce qu’il était. Les sentences se transforment
ni même par celui de concilier trop ; mais se placer tour à tour aux différents points de vue et dans les différentes attitudes,
; mais se placer tour à tour aux différents points de vue et dans les différentes attitudes, et tantôt s’abandonner à la force de l
es apparences : tout cela est comprendre encore ; tout cela n’est que différentes façons de comprendre et il suffit, pour que toute
46 (1911) La morale de l’ironie « Chapitre III. Les immoralités de la morale » pp. 81-134
nsuite la valeur relative des peuples divers, mais c’est une question différente . On verra peut-être ainsi jusqu’à quel point une
aut pas toujours prendre pour des erreurs les divergences morales des différents peuples, il ne faut pas non plus se hâter d’en tr
u chez un individu. Les contradictions, les oppositions entre groupes différents correspondent en partie aux morales diverses que
ne, et d’autres qui ne sortent que le dimanche, en beau costume. Ces différentes morales répondent aux différentes poussées de la
le dimanche, en beau costume. Ces différentes morales répondent aux différentes poussées de la société. L’âme sociale est incohér
ègle, on exige des autres qu’ils suivent une règle tirée d’une morale différente . Tel homme qui applique à ses voisins une morale
ne se ressemblent pas, les éléments d’une même doctrine, établie dans différents esprits, y rencontrent des conditions bien différ
e, établie dans différents esprits, y rencontrent des conditions bien différentes qui tantôt favorisent les uns et tantôt les autre
ouveaux sentiments et des idées imprévues. Que de conceptions morales différentes a fait surgir le christianisme ! François d’Assis
, s’il y en a une, comme l’admettraient tous ceux que console une foi différente , proviendrait non d’un enchaînement défectueux de
, il aurait peut-être abouti, lui aussi, à un équilibre, un équilibre différent , mais peut-être supérieur à celui qui s’est produ
§ 9 Ces divers genres de lutte caractérisent des types d’hommes différents et provoquent des déviations différentes de la mo
actérisent des types d’hommes différents et provoquent des déviations différentes de la morale. Le premier convient aux timides, au
éviation que pour en subir une autre. Et simultanément en des groupes différents , ou successivement, selon la loi de l’association
er, jadis, contre la théorie des deux morales. Il faudrait une morale différente pour chacun de nous, comme il faut un vêtement di
une morale différente pour chacun de nous, comme il faut un vêtement différent , puisque personne n’a ni les mêmes aptitudes, ni
et incompréhensible. On lui demande, en somme, de faire que des êtres différents ne soient plus qu’un. La conception de la morale
47 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre quatrième. Éléments sensitifs et appétitifs des opérations intellectuelles — Chapitre premier. Sensation et pensée »
ions ? N’ai-je pas des sensations d’une qualité déterminée, en partie différentes , en partie semblables, continues, déjà liées et o
ppose-t-elle point un acte de l’esprit pur ? Par exemple, deux termes différents ou semblables, comme deux couleurs, sont sans dou
En fait, ce n’est pas le pur esprit qui fait les choses semblables ou différentes , unes ou multiples : il ne fait que dégager les r
certain feeling, qui est l’effet propre en nous des choses multiples, différentes , identiques, et qui ne se retrouve pas dans les a
avait pas déjà, dans le sentiment même des choses inégales ou égales, différentes ou semblables, dans l’impression spécifique qu’el
nt les modernes disciples de Platon, vous jugez que ces deux couleurs différent  ; mais la différence vous apparaît-elle bleue ou
sentiments mixtes ou composés. Le mélange de deux sentiments simples différents produit un sentiment de différence. » Le sentimen
. Une sensation mixte où coïncident pendant un instant des sensations différentes n’épuise pas le contenu du sentiment de différenc
ulement deux comme le dit Spencer : un premier état A, un second état différent B, et un état spécifique de transition, de contra
sonnage unique qui fait des mouvements continus. Donc les impressions différentes , comme les impressions semblables, viennent d’ell
, qui ne peut se produire qu’après deux états comme un troisième état différent des deux autres, mais il n’est pas pour cela d’un
ifférent des deux autres, mais il n’est pas pour cela d’un ordre tout différent  ; s’il n’est point une perception venue du dehors
ansition est en effet une transition, un passage d’un état à un autre différent  ? — Parce que les trois termes successifs demeure
fférence se dégageât des émotions et mouvements semblables en fait ou différents en fait : le mécanisme de la vie suffisait pour p
la même proie ou une proie semblable. L’être chez qui des mouvements différents ne suivraient pas des représentations différentes
z qui des mouvements différents ne suivraient pas des représentations différentes , cet être, fût-il possible, disparaîtrait de la t
cun degré des pensées, des représentations, des idées ou formes ; ils différent simplement en ce qu’ils sont pensées de plus ou m
48 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Première partie — Chapitre III. Les explications anthropologique, idéologique, sociologique »
ient chimiques ou, sociaux, ces principes conservent leur valeur. Les différents objets se prêtent plus ou moins docilement aux ex
i nous dit que, encadrés en des groupements analogues, leurs membres, différents de nous par le sang, n’auraient pas été capables
l’égalité des hommes. Placez des cerveaux semblables dans des milieux différents  : un même processus cérébral pourra servir à des
ieux différents : un même processus cérébral pourra servir à des fins différentes . Les aptitudes proposent et le milieu dispose. Il
ations modernes où chaque recherche met au jour des couches ethniques différentes  ? « Métisses, cent fois métisses », c’est ainsi q
 », ils se font forts de reconnaître les éléments anthropologiquement différents , jusque dans les sociétés où ils sont actuellemen
ues aux situations sociales, aux caractères, aux idées mêmes, que ces différents phénomènes varient en fonction de caractères anat
a transmission d’un système d’idées, supposez deux esprits idéalement différents que peut l’un sur l’autre ? Déportez Rousseau che
’expliquer tout à elle seule, l’imitation demande elle-même, dans les différents cas où elle agit, des explications spéciales. Ell
49 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 239-252
des esprits. Indépendamment de l’instruction qu’on fait répandre sur différens sujets, il faut encore posséder l’art de rendre l
Malgré la variété de ses tableaux, sa touche est toujours égale. Les différens contrastes ne sont que mieux sentir la dextérité
s d’une description, à celui d’une autre entiérement opposée, quoique différent , il s’annonce pour être parti de la même main. Le
n’avoir rien d’étranger, mais à former un Tout habilement composé des différentes matieres qui peuvent l’embellir. Un autre avantag
s fournit, les secours qu’on peut tirer des autres Auteurs d’un genre différent . Le mérite d’un Ecrivain dépend de l’habileté à r
ens, combien elle nuit au bonheur.   *. Observations critiques sur différens Poëmes de la Peinture, pag. 421. *. Réflexions
50 (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — Seconde faculté d’une Université. Faculté de médecine. » pp. 497-505
pendant toute la saison de l’hiver (et il en aura bien le temps), les différentes branches de cette science sur le cadavre. Il trai
droguier qui contînt des échantillons de chaque drogue sous ces états différents . Il exposera la nature de chacune et les principe
caractéristiques que l’analyse chimique y découvre. Il indiquera les différentes préparations, manipulations qu’on lui fait subir
rticuliers où elle produit les effets les plus salutaires ; enfin les différentes préparations pharmaceutiques, officinales dans le
t les opérations sur le cadavre. Il passera de là à l’application des différents bandages propres, soit à l’assujettissement des p
pliqueront à la chirurgie et à la matière médicale. La sixième, à ces différents cours ils joindront les leçons du professeur de p
51 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre quatrième. Les conditions physiques des événements moraux — Chapitre premier. Les fonctions des centres nerveux » pp. 239-315
. — Chacune d’elles a son jeu propre. — Le jeu de chacune d’elles est différent . — Chaque nerf peut jouer spontanément. — Sensati
us forme d’image. — Fibres transversales reliant des cellules de type différent , et, par suite, association des images d’espèce d
les de type différent, et, par suite, association des images d’espèce différente . — Les associations comparées à des clichés. — Mé
ience ; car ils sont excités par une quantité d’événements extérieurs différents , contact et pression mécaniques, actions chimique
e de nerf a son jeu propre, mais le jeu de chaque espèce de nerfs est différent . L’événement extérieur a beau être le même : s’il
érieur a beau être le même : s’il met en mouvement des nerfs d’espèce différente , les sensations excitées seront différentes. La m
uvement des nerfs d’espèce différente, les sensations excitées seront différentes . La même action électrique éveille, selon le nerf
rement excitable, son jeu, quoique provoqué par le même excitant, est différent , et la sensation n’est plus la même ; dans l’indi
s soient motrices, sensitives ou sympathiques ». Si l’effet final est différent , c’est que les fibres nerveuses sont en rapport l
t l’irritation des centres nerveux se reconnaissent à des signes très différents . « La première, qu’on peut, appeler, pseudesthési
ces cris que vous venez d’entendre : ce sont des cris réflexes, bien différents des cris qui sont des manifestations de douleur. 
nt que, par une excitation nouvelle des centres sensitifs, une action différente vienne à se produire dans un des éléments cortica
tour à tour dans les autres éléments, et nous devrons avoir une image différente qui, comme la première, devra durer en s’affaibli
s le même élément cortical ne peut pas être à la fois dans deux états différents , ni partant produire à la fois deux actions diffé
ans deux états différents, ni partant produire à la fois deux actions différentes . Les éléments corticaux seront donc sollicités en
fférentes. Les éléments corticaux seront donc sollicités en deux sens différents , et, comme les deux actions sont incompatibles, u
ts supposent la contraction d’un grand nombre de muscles distincts et différents d’emploi, extenseurs, fléchisseurs, abducteurs, a
t a ébranlé telle ou telle cellule, le courant nerveux suit un chemin différent dans la série des cellules, ébranle dans un ordre
un chemin différent dans la série des cellules, ébranle dans un ordre différent la série des nerfs moteurs, et provoque, par une
chacun à une paire de nerfs spinaux. Ce sont là autant de serinettes différentes qui, rattachées les unes aux autres, s’ébranlent
plan. Non seulement les images persistent, mais, quoique de familles différentes , l’une tient à l’autre ; quand la première se pro
n. En termes physiologiques, cela signifie que deux cellules d’espèce différente , par exemple une cellule acoustique et une cellul
stème de fibres transversales par lesquelles les répétiteurs d’espèce différente se relient entre eux ; c’est ce que semble indiqu
calleux en est entièrement composé. Ainsi, entre les cordons d’espèce différente , il se trouve un ou plusieurs chemins anatomiques
al, on enlève les lobes cérébraux peu à peu et couche par couche, les différents phénomènes d’une stupidité croissante deviennent
ut à fait distincts, si distincts qu’ils ont pour sièges deux parties différentes du système nerveux. L’un est la sensation proprem
veux, à propriétés identiques, mais pourtant affectés à des fonctions différentes suivant les organes auxquels se rendent les nerfs
52 (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 juin 1886. »
ville d’eau qui, justement en été, m’eût donné un public tout à fait différent du public que je souhaite ; ce doit être une vill
s les quelques grands traits que nous montre le Ring. Mais ce qui est différent , c’est — tout simplement — le fond même du drame.
rres, car la langue de la Walküre et du Rheingold est essentiellement différente de celle de la Mort de Siegfried, et plus différe
essentiellement différente de celle de la Mort de Siegfried, et plus différent encore est le fond même de la pensée ; en outre,
d’unité dans la Gœtterdaemmerung, un manque de cette unité entre les différents arts qui est une exigence initiale de la théorie
aductions littérales et des vulgarisatrices. Sous des conditions très différentes , M. La Fontaine a fait la même œuvre que M. Wilde
s’agit de propager hors son terroir, parmi de mœurs et des idées plus différentes que les langages mêmesad. E. D. Tannhaeuser p
nt que celui des faits, se montre à nous comme un magasin de produits différents , contraires, inconciliables. Apprécier la doctrin
e peut-on les reconnaître toutes légitimes, mais touchant des aspects différents de la vie ? Une littérature wagnérienne, alliant
e ce qu’entre elle et nous rien ne se place appartenant à une réalité différente . C’est la loi de la simplification des signes, da
e : ces acteurs, hommes d’une réalité, jouant les rôles d’une réalité différente , c’était encore un intermédiaire trop dense, empê
pour leurs valeurs linéaires, évoquant, sans la gêner, une vie, tout différente , de notions. Enfin l’évolution eut pour effet la
’évolution eut pour effet la multiplication et raffinement des âmes «  différentes  ». Tandis que la plupart des esprits gardaient un
nous pouvons constater, à l’état statique, dans le monde actuel, les différents degrés de l’évolution chronologique. A maintes âm
de faits pleinement ordinaires. Au dessus d’elles sont des âmes plus différentes  : elles requièrent exclusivement, pour recréer la
n dit idéaliste, qui est seulement psychologique : c’est deux aspects différents d’une même vie : ils doivent être conciliés dans
bes : elles y trouvèrent la notation d’émotions musicales, mais aussi différentes des émotions de la pure musique, que des émotions
ons. C’est deux arts, ayant les mêmes moyens : deux littératures tout différentes , mais également précieuses pour la destination co
ittérature des notions, et la littérature musicale recréent des modes différents de la vie : mais de la même vie. Telle fut, — tro
! — où tous les jours seront des jeudis : dans la semaine où les âmes différentes , seules capables de créer un tel art et de le rec
des autres arts : comment, aussi, l’union ne peut être décisive, les différents arts n’étant point parvenus au même degré de déve
53 (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre I. Le Bovarysme chez les personnages de Flaubert »
u second rang ont le pouvoir de se diversifier en imitant des modèles différents , le grand homme, qui n’imite point, demeure asser
ne sont. Pourvus d’un caractère déterminé, ils assument un caractère différent , sous l’empire d’un enthousiasme, d’une admiratio
prisent ces aptitudes et ces tendances, et s’identifient avec un être différent . Les voici, négligeant tous les actes où leur éne
on venue du dehors, et qui se trouve la plus forte, agit dans un sens différent de celui que commandait l’impulsion héréditaire.
moyens par lesquels les deux fantoches simulent leur personnage sont différents , si Homais est prolixe, tandis que Regimbard est
ntale qu’elle s’est formée d’elle-même exige en effet une sensibilité différente de celle qui est la sienne, en même temps que des
rente de celle qui est la sienne, en même temps que des circonstances différentes de celles dont elle dépend. La femme du modeste m
ggestion qui les détermine, à la façon des hypnotisés, à se concevoir différents d’eux-mêmes. *** Dans les cas les plus saillants,
. IV Ainsi, on distingue à la fois, dons l’œuvre de l’écrivain, différents points de vue sous lesquels les hommes se conçoiv
nûment, d’un élan exaspéré, elle affronte avec son rêve cette réalité différente et le brise à des formes rigides auxquelles elle
tôt, et poussée par la fatalité qui la domine, Emma Bovary se conçoit différente de ce que la voici, elle imagine un nouveau perso
encore, les solutions les plus variables. Ainsi, selon deux procédés différents , l’esprit humain s’est efforcé de se rendre maîtr
54 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre troisième. Le souvenir. Son rapport à l’appétit et au mouvement. — Chapitre deuxième. La force d’association des idées »
econnaît semblables. De plus, il faut ici distinguer deux choses très différentes  : 1° la conscience finale de ressemblance entre d
u et que les deux termes soient amenés devant elle par quelque moteur différent d’elle-même ; semblable au prisonnier de la caver
de son visage éveille l’image du même visage dans un milieu ou cadre différent , en contiguïté avec des images affaiblies de tell
eux images, c’est-à-dire une même image avec des contiguïtés d’images différentes . Cela tient à ce que, la première fois que j’ai v
e Lyon, le magasin de soieries, etc. Les deux cortèges de contiguïtés différentes , les unes constituant des sensations actuelles, l
ires du cerveau, puis celles mêmes qui, plus éloignées, conséquemment différentes , sont cependant encore unies aux premières par de
ns le cerveau, ou en vertu de la connexion établie entre deux centres différents  ; cette connexion suppose une communication et un
istent plus aux souvenirs et idées du même ordre qu’à ceux d’un ordre différent . Il m’est plus facile de me rappeler un paysage e
prit vers des idées analogues est facile, le mouvement vers des idées différentes demeure cependant toujours possible, surtout dans
es extérieures, qui nous présentent les mêmes objets dans des groupes différents  ; mais il est clair qu’il faut aussi considérer l
55 (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Deuxième partie. Ce qui peut être objet d’étude scientifique dans une œuvre littéraire — Chapitre V. Des trois ordres de causes qui peuvent agir sur un auteur » pp. 69-75
rquant que des écrivains d’une même époque ont laissé des œuvres très différentes d’idées, de formes, de caractères, en ont conclu
s hommes ayant vécu dans le même milieu social ont produit des œuvres différentes . Or une même cause ne peut produire des effets di
des œuvres différentes. Or une même cause ne peut produire des effets différents . Donc l’influence du milieu social est nulle. — P
n’a point de valeur. D’abord la même cause produit souvent des effets différents et même contraires. Il suffit pour cela qu’elle a
et même contraires. Il suffit pour cela qu’elle agisse sur des êtres différents . Qu’on entre, par exemple, dans une salle de spec
ce et la mœlle ! Faut-il s’étonner après cela que des individus, déjà différents de naissance et soumis ensuite à une telle divers
56 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre V : Lois de la variabilité »
où la même variété s’est reproduite sous des conditions de vie aussi différentes qu’on peut le concevoir, et, d’autre côté, différ
s de vie aussi différentes qu’on peut le concevoir, et, d’autre côté, différentes variétés sont parfois dérivées de la même espèce
plantes ont pu, en une certaine mesure, s’habituer à des températures différentes , c’est-à-dire s’acclimater. Ainsi, des Pins et de
ecueillies par le Dr Hooker sur des sujets croissant sur l’Hymalaya à différentes hauteurs, se trouvèrent posséder à divers degrés
inaire, commune parmi nos animaux domestiques, de vivre sous les plus différents climats, et, en outre, ce qui est d’une beaucoup
lection naturelle des variétés douées d’une constitution innée un peu différente , et quelle part à la combinaison de ces deux caus
n structure ; et l’ovaire lui-même, avec ses parties accessoires, est différent , ainsi que l’a constaté Cassini. Quelques auteurs
s haute importance, et elles diffèrent extrêmement peu, même dans les différents genres ; mais, dans les diverses espèces du genre
onnante diversité : c’est au point que les valves homologues dans les différentes espèces sont quelquefois totalement dissemblables
e semble pas douter que plus un organe diffère régulièrement chez les différentes espèces du même groupe, plus aussi il est sujet à
réée indépendamment de toutes ses congénères, pourquoi un organe très différent chez deux ou plusieurs espèces du même genre sera
difie diverses espèces, adaptées à des habitudes de vie plus ou moins différentes , exactement de la même manière. Et comme ces même
même espèce affectent généralement les mêmes organes par lesquels les différentes espèces du même genre diffèrent les unes des autr
les et les femelles d’une même espèce auront pu prendre des habitudes différentes  ; et enfin, les mâles auront acquis des armes pou
portant des rayures sur les jambes ou sur les épaules, dans les plus différentes races et en diverses contrées, depuis l’Angleterr
ainsi qu’on l’a vu, fut affirmative. Que devons-nous conclure de ces différents faits ? Nous voyons plusieurs espèces très distin
un animal rayé comme un Zèbre, mais peut-être d’une organisation très différente sous d’autres rapports, le parent commun du Zèbre
supposer cependant qu’une fleur qui produit deux sortes de graines de différentes formes a double chance pour que les unes ou les a
e beaucoup d’autres plantes ; et plus ces deux sortes de graines sont différentes , plus ces chances heureuses augmentent pour l’esp
un animal rayé comme un zèbre, mais peut-être d’une organisation très différente sous d’autres rapports, que, du reste, il descend
57 (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Deuxième partie. Ce qui peut être objet d’étude scientifique dans une œuvre littéraire — Chapitre VIII. La question de gout ce qui reste en dehors de la science » pp. 84-103
mettre sur la même ligne celles d’un homme ou celles d’un peuple aux différentes époques de leur vie ? A première vue, cette égali
ible d’assigner le même rang à toutes celles de la même époque ou aux différentes formes du beau qui ont été réalisées par des peup
aux différentes formes du beau qui ont été réalisées par des peuples différents  ? Le bon sens proteste avec énergie. Essayez de d
divergentes et même opposées. Ce sont comme des êtres de nature très différente , entre lesquels manque une unité de mesure. Qui p
. Il n’a pas à s’occuper du beau dans la nature non plus que dans les différents arts. Son domaine est limité d’une façon précise.
mais il a plus de grâce, d’esprit, de finesse, de passion. Entre ces différentes supériorités il est permis d’hésiter, et chacun,
us voyons qu’une œuvre peut être supérieure à cinq points de vue très différents . On s’accordera, je pense, à reconnaître qu’une d
’esprit. La valeur morale, à son tour, doit se mesurer à des échelles différentes . Il convient avant tout de donner au mot de moral
littéraire (à ne considérer que ses qualités intérieures) cinq ordres différents de beauté ; elle est supérieure, si elle possède
ue. Au nom de ce principe, nous pouvons approuver les formes les plus différentes  : la phrase ample et majestueuse de Bossuet dérou
58 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre III. Des Livres nécessaires pour l’étude de l’Histoire sacrée & ecclésiastique. » pp. 32-86
oses qui peuvent paroître contraires, soit pour servir de liaison aux différens passages des auteurs, soit pour instruire en peu
. Quoique le titre ne semble annoncer qu’une narration historique des différens changemens arrivés dans la doctrine des Protestan
SI les Hérésies déshonorent pour la plûpart la nature humaine, les différens Ecrivains que l’Eglise a produit ne peuvent que l
ent sur leur style & sur leur doctrine, & le dénombrement des différentes éditions de leurs œuvres. C’étoit sans doute une
que, le jugement, la chronologie, l’analyse & le dénombrement des différentes éditions de leurs ouvrages : ce qu’ils renferment
Religion, & qui avoit de l’ordre dans ses idées. La substance des différens écrits dont nous venons de parler, a été exprimée
la personne, le caractère, la doctrine, la méthode & le style des différens Auteurs ecclésiastiques ; & l’indication des
iles généraux de l’Eglise aux Etats généraux qui se tiennent chez les différentes nations. Cette comparaison est fort imparfaite, &
gine de la vie cénobitique, & suivre ensuite ses progrès dans les différens siécles. Ces héros de la retraite & du silenc
constances semble plûtôt les embellir que les charger. Il exprime les différens caractères par des traits fermes, énergiques &
ns. Son style n’est pas égal, & on voit qu’en copiant des auteurs différens , il n’a pas eu soin de rendre leur diction unifor
ais ils ne sont pas dignes de lui. Ils contiennent une exposition des différentes controverses agitées dans le dix-huitiéme siécle
59 (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre IV. Comparaison des variétés vives et de la forme calme de la parole intérieure. — place de la parole intérieure dans la classification des faits psychiques. »
d’une nomenclature traditionnelle acceptée d’un commun accord par les différentes écoles psychologiques ; son vocabulaire étant dan
et la dénomination des variétés que nous avons reconnues en elle. Les différentes variétés vives ne diffèrent guère que par les phé
ntérieure, la forme calme et la forme vive. Sans doute celle-ci admet différents degrés d’intensité ; sans doute aussi entre elle
faites, elles aussi, pour être groupées de mille façons et former les différents mots d’une langue par la diversité de leurs group
lement une espèce ; distinguées séparément et sous deux points de vue différents , ces deux espèces se confondent dans une partie d
nsibles et les imaginations sensibles, mais aussi des phénomènes tout différents , comme les opérations du sens commun, peut-être m
r et la douleur. Le mot conception 238 a contre lui l’acception assez différente où il est pris dans les anciennes logiques. Image
considérées comme des modifications de la parole intérieure. VII. Différents rôles des images dans la vie psychique ; rôle spé
durée à peu près inaltérables ; — si maintenant nous envisageons ces différents actes dans leur succession, c’est-à-dire l’habitu
ccessivement de l’âme, par un double travail poursuivi dans deux sens différents , d’abord la reconnaissance de sa nature objective
hapitre précédent, nous avons employé le mot imagination dans un sens différent . Mais il ne s’agissait pas de classer des faits s
t-il involontaire — peuvent permettre de réfléchir aux registres très différents de monologues intérieurs : par exemple, mélancoli
60 (1911) La valeur de la science « Première partie : Les sciences mathématiques — Chapitre IV. L’espace et ses trois dimensions. »
 ? Comment saurons-nous si deux points de l’espace sont identiques ou différents  ? Ou, en d’autres termes ; quand je dis : l’objet
attribue à A, et celle que j’attribue à B et qui sont qualitativement différentes me sont transmises par le même nerf ? Doit-on sup
u’en général les sensations colorées a′ et b′ produites par des corps différents sont différentes. Dans ce cas ce serait l’identit
sensations colorées a′ et b′ produites par des corps différents sont différentes . Dans ce cas ce serait l’identité de la sensation
occupé par A à l’instant α, je puis me servir d’une foule de critères différents  ; dans l’un intervient mon œil, dans l’autre mon
ême fibre rétinienne, bien que ces impressions soient qualitativement différentes  ? J’ai émis une hypothèse simple, mais en ajoutan
faite plus haut et admettre que ces deux impressions, qualitativement différentes , me sont transmises par deux fibres nerveuses dif
itativement différentes, me sont transmises par deux fibres nerveuses différentes quoique contiguës. Quel moyen ai-je alors de savo
sans que le doigt bouge, le corps peut prendre une foule d’attitudes différentes . Alors C3 formera un continu et C0 aura plus de t
giner que, les résultats des expériences relatées plus haut ayant été différents , nous ayons été conduits à attribuer à l’espace p
un solide invariable ; rien n’empêcherait d’imaginer qu’elles fussent différentes . En résumé, pour m’imaginer que je sors de ma pri
61 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre XI : Distribution géographique »
impossible de trouver trois faunes et trois flores plus complétement différentes . Si, au contraire, on compare les productions de
us 25° de latitude septentrionale, c’est-à-dire sous des climats très différents , on constate entre elles de beaucoup plus grands
ù les terres s’approchent de si près et où, sous des climats très peu différents du climat actuel, les libres migrations ont dû êt
quelquefois sur les deux rives d’une large rivière, on trouve de très différentes productions ; bien que pourtant les chaînes de mo
ient quelquefois distinctes en ses divers points et dans des stations différentes . C’est une loi de la plus grande généralité et do
leurs œufs sont de la même couleur ; et cependant ce sont des espèces différentes . Les plaines qui avoisinent le détroit de Magella
nombrables. Si nous examinons les îles des côtes américaines, quelque différentes qu’elles soient du continent par leur nature géol
on le voit dans le cas des variétés. La dissemblance des habitants de différentes régions peut être attribuée, au contraire, à des
xe de la vie, il en résulte que la somme des modifications subies par différentes espèces n’est point une quantité constante. Si, p
ns d’espèces. Certaine région qui, à une époque où le climat en était différent , peut avoir été une grande route de migration, es
ables plantes flottantes. Il éprouva 98 sortes de graines, la plupart différentes des miennes ; mais il choisit beaucoup de gros fr
oivent aussi avoir été exposées à des conditions climatériques un peu différentes . Leurs relations mutuelles auront ainsi été troub
n compare les formes alpines de plantes et d’animaux qui peuplent les différentes chaînes de montagnes de l’Europe, bien qu’un gran
ditions physiques, mais dont les habitants sont cependant entièrement différents . X. Suite de l’influence de la Période Glaciaire
antes ; sur les rivages du Pacifique, où le climat est aujourd’hui si différent , on a suivi le même phénomène jusqu’à 46° de lati
distinctes. Cherchons maintenant quelle lumière on peut jeter sur les différents faits qui précèdent en partant de l’hypothèse app
qu’elles auraient dû subir depuis leur établissement pour devenir si différentes de leur souche. Les faits me semblent indiquer qu
peut-être à d’autres terres inconnues : ce qui permet d’expliquer les différentes affinités de ses faunes et de ses flores éteintes
est-à-dire par rapport à la courbe idéale du globe terrestre sous ses différents méridiens ou parallèles. Si, comme nous le penson
courant tous deux avec une vitesse immense dans deux directions très différentes , sinon même opposées, la durée du phénomène ne sa
nnuelle de la terre, bien que se mouvant dans une orbite sensiblement différente , ce qui est en contradiction avec les lois de Kep
62 (1856) Leçons de physiologie expérimentale appliquée à la médecine. Tome II
et, être dirigée suivant deux méthodes en rapport avec deux buts bien différents  : dans un cas, on institue l’expérience d’après u
a même que dans le premier, le sujet qui y est traité est tout à fait différent . Je me suis particulièrement appliqué à faire res
n organe par la seule inspection directe, ou armée du microscope, des différentes parties qui composent sa texture anatomique ou ca
qui prouve ce que je viens de dire, c’est que les choses ont été bien différentes quand on s’est trouvé en face de parties comme la
pointe et les ailes tranchantes sont destinées à agir sur des tissus différents qu’il faut traverser successivement, et l’on comp
semblable, on a pu rapprocher des organes qui ont des fonctions très différentes à certains égards. C’est ainsi qu’on a pu considé
tomistes dans les deux organes. Inversement, des formes histologiques différentes sont parfois en rapport avec des propriétés physi
uvions expérimentalement que ces organes donnent lieu à une sécrétion différente , nous ne devons pas en conclure que des tissus id
e que des tissus identiques donnent lieu à des actions physiologiques différentes  ; ce serait une conclusion absurde qui mènerait à
s voyons des corps de même composition chimique avoir des formes très différentes , et des corps de même forme avoir des composition
ts et dans les mêmes proportions avoir des propriétés essentiellement différentes qui ne sauraient être que la conséquence du mode
omédie que dans la tragédie. Cette comparaison est même assez juste à différents égards. En effet, les lettres ne sont rien par el
par les physiologistes. Mais ce ne sont jamais au fond que des faits différents , produits dans des conditions diverses incompléte
stion. Les agents mécaniques de la digestion offrent une complication différente suivant que les animaux se nourrissent d’aliments
animaux se nourrissent d’aliments dont les propriétés physiques sont différentes . Chez les animaux qui se nourrissent d’aliments v
composent d’une foule d’organes glandulaires qui lui sont annexés aux différents points de sa hauteur. Les premiers qui nous occup
Ainsi, Messieurs, en démontrant cette variété de propriétés dans les différentes salives d’un même animal, mes observations ne con
s parvenu à une détermination plus rigoureuse du rôle fonctionnel des différents organes salivaires. J’ai surtout acquis la convic
des cellules glandulaires et sur celui des cellules de la bouche dans différents animaux. Le plus ou moins de transparence des
omiques peuvent se rencontrer pour les mêmes glandes dans des animaux différents et pour les mêmes animaux dans des glandes différ
ans des animaux différents et pour les mêmes animaux dans des glandes différentes . C’est ce dont on peut se convaincre en comparant
vacuoles les plus déliées de la glande. Vous pouvez voir (fig. 4) ces différents aspects de structure. J’ai constamment rencontré
ntré cette même disposition anatomique dans les glandes salivaires de différents oiseaux que j’ai examinés : le coq, le dindon, le
d, la mouette et le freux. Au milieu de cette texture en apparence si différente dans les organes salivaires des oiseaux et dans c
de est entièrement liée à celle de la mastication elle-même. Chez les différents animaux, nous voyons, en effet, son volume et son
des mammifères, et nous verrons, en effet, que sa sécrétion est très différente de la sécrétion parotidienne. Les animaux, au con
s’écoulait par les deux conduits parotidiens des quantités de salive différentes , et que la quantité de salive devenait moindre à
i de suite. J’ai souvent répété cette expérience d’une manière un peu différente sur un chien muni d’une fistule gastrique. Je don
. Dans le cas de l’exception anatomique ci-dessous, on a de la salive différente , suivant le point du canal de Sténon qu’on incise
her l’occlusion des plaies naturelles ou artificielles. On se sert de différents moyens, suivant le but que l’on se propose. Si l’
rticularité a déterminé Lehmann à donner du phénomène une explication différente de celle que nous avons signalée plus haut. Pour
lons voir aujourd’hui une autre salive présider à un acte tout à fait différent , et que je vous ai déjà fait pressentir par une e
Vous voyez, d’après ces deux analyses, que les rapports entre les différentes matières contenues dans la salive peuvent varier
la première fois, en 18479, je lui trouvai des caractères tout à fait différents de ceux de la salive parotidienne. D’après ce que
ffit d’injecter chacun de ces conduits avec des substances de couleur différente  ; on voit bientôt par la distribution de la coule
dans le conduit de la glande, et qu’il s’attache comme de la glu aux différentes parties avec lesquelles il se met en contact. Du
alivaires proprement dites, il faudrait pouvoir isoler le produit des différentes glandules buccales qu’on a dénommées à tort gland
hercher le principe qui donne à la sécrétion ses propriétés physiques différentes . Mais, Messieurs, après avoir envisagé la salive
ous allons aborder une question d’une autre nature. Ces propriétés si différentes des diverses salives, au point de vue purement ph
confondus et signalés comme identiques. Si l’on prend les tissus des différentes glandes salivaires du chien, qu’on en fasse une i
e représente un mélange, en proportions variables, des sécrétions des différentes glandes salivaires. Lorsqu’elle est expuée par la
sur des chiens j’ai divisé plusieurs fois les conduits salivaires des différentes glandes, parotides, sous-maxillaire, sublinguale
es rapports varient peu chez les individus de même espèce ou d’espèce différente , ainsi que le montrent les chiffres suivants : Su
qu’il serait facile de multiplier, tiennent, d’une part aux manières différentes dont on a procédé dans l’étude de ces matières or
comprendre le mécanisme qu’après l’étude des matières organiques des différentes salives spéciales, dont la salive mixte n’est que
elle provienne de la salive mixte ? On a émis à ce sujet des opinions différentes . Des auteurs ont vu dans la production du tartre
uis par beaucoup de chimistes qui ont obtenu à ce sujet des résultats différents . Quelques-uns ont nié complètement son existence.
nte sécrétion, M. Riquet a pris des morceaux de membrane muqueuse sur différents points de la cavité buccale, des parois du pharyn
sième série d’expériences, qui a pour objet de rechercher combien les différents aliments prennent de salive mixte pendant la mast
s. J’ai constaté cette propriété transformatrice dans les liquides de différents kystes et dans celui de la grenouillette, dans ce
à ce sujet les infusions des glandes salivaires chez l’homme et chez différents animaux, chien, lapin, cheval, etc. Or, j’ai trou
au point de vue physiologique et en poursuivant un phénomène dans les différentes phases qu’il subit au contact de l’organisme. Voi
nt des matières grasses dont nous suivions les modifications dans les différentes parties du tube intestinal. Or nous avions remarq
biliaire et pancréatique.   La figure 21 représente une disposition différente que j’ai rencontrée assez souvent aussi chez l’ho
ontre les mêmes dispositions, seulement la dimension des conduits est différente . Ainsi, tandis que chez l’homme c’est le conduit
ativement à leur développement et à leur anastomose. En observant les différentes phases de la vie fœtale, il m’a semblé que, dans
est du liquide normal. On lui trouve alors des propriétés tout à fait différentes de celles qu’avaient constatées MM. Leuret et Las
MM. Leuret et Lassaigne. Il y a la même chose à dire relativement aux différentes époques où l’on recueillera le suc pancréatique.
e bonne qualité (fig. 27). Afin de mieux graver dans votre esprit les différentes conditions qui peuvent se présenter relativement
ique, suivant que l’animal sera dans l’abstinence ou dans une période différente de la fonction digestive. Mais l’expérimentation
lement dans quelles circonstances il prend des qualités particulières différentes de celles que nous considérons comme physiologiqu
la comparer, par la facilité avec laquelle elle est troublée par les différentes influences qui agissent sur l’économie animale. C
r les différentes influences qui agissent sur l’économie animale. Ces différentes influences organiques ne modifient pas sensibleme
a face externe, d’une membrane péritonéale. Nous venons de parler des différentes modifications que le suc pancréatique présente ch
e ici : celle de savoir si le suc pancréatique est identique chez les différents animaux, herbivores, carnivores, ou chez ceux app
s, carnivores, ou chez ceux appartenant à des ordres ou à des classes différentes . Nous l’avons trouvé à peu près semblable chez de
s. Nous l’avons trouvé à peu près semblable chez des animaux d’ordres différents  : il a les mêmes caractères chez le chien et chez
grave chez cet animal. Maintenant, Messieurs, après avoir étudié les différentes conditions de sécrétion du suc pancréatique et le
ié les différentes conditions de sécrétion du suc pancréatique et les différents moyens de l’obtenir, nous devons aborder ses prop
discordances si l’on voulait consulter les chiffres qu’ont donnés les différents observateurs ; il y aurait même de la discordance
s’en rapportait aux chiffres donnés par un même observateur dans les différentes phases de la sécrétion. Nous ne devons donc cherc
e de la salive, à laquelle on a voulu le comparer. Les états morbides différents , qui peuvent accompagner les opérations faites su
es sur les animaux, n’influencent pas sensiblement les propriétés des différentes salives, tandis que toutes les modifications que
suc pancréatique qui coule d’une fistule temporaire sera souvent bien différente du suc qui coulera le lendemain. Dans une expérie
unes. Nous allons examiner maintenant successivement et en détail ces différents principes, afin de nous rendre compte plus tard d
nt sur toutes les matières alimentaires, seulement avec une intensité différente et dans des conditions spéciales que nous allons
hement du conduit pancréatique. Ce point, du reste, varie suivant les différents animaux, et vient, par ses différences mêmes de p
pas à se séparer. Voici d’autres expériences qui ont été faites avec différents corps gras : 1re expérience. — Sur 2 grammes de
mené fortement au bleu le tournesol ainsi rougi. Ce résultat est bien différent de celui auquel a donné lieu la graisse de porc.
etc., tandis que le foie était resté parfois tout à fait intact. Ces différentes expériences ont été répétées un très grand nombre
ette fistule incommode. M. Laugier tenta des injections irritantes de différente nature, telles que de nitrate d’argent, d’iode, e
ose, tantôt à l’état de sucre de canne. En ingérant dans l’estomac de différents animaux mammifères (chiens, chats ou lapins) de g
t de l’abdomen et arrachant avec des pinces, morceau par morceau, les différentes parties du pancréas. Bientôt l’hémorragie s’est a
cuites ou digérées par le suc gastrique, le résultat est tout à fait différent et il y a une dissolution réelle. Nous conclurons
Il en est enfin qui donnèrent des expériences apparentes tout à fait différentes des nôtres. Nous allons examiner successivement c
fait différentes des nôtres. Nous allons examiner successivement ces différents travaux et particulièrement ceux dont les conclus
lu montrer en outre que le pancréas est un organe spécial tout à fait différent , physiologiquement, des glandes salivaires, auxqu
Puis on a laissé macérer ces tissus dans l’eau et l’on a examiné, aux différents moments de la décomposition, l’eau de macération,
d comparativement un morceau du tissu du pancréas et des morceaux des différentes glandes salivaires et qu’on les met avec de l’emp
ent aussi que la matière qui acidifie la graisse dans le pancréas est différente de celle qui transforme l’amidon en sucre ; puisq
us seulement l’étudier d’une manière isolée, mais en contact avec les différents liquides qui agissent avec lui. Cette étude qui n
et par une de ses extrémités.   On peut pratiquer ces fistules sur différents animaux, soit sur des chiens, sur des chats, etc.
de carbonate calcaire. Ce caractère, ajouté à ceux qu’ont donnés les différents auteurs, indique positivement la présence de l’ac
ue nous le verrons en étudiant plus tard comparativement l’action des différents sucs gastriques. Avant d’examiner si le suc gastr
fournissent d’autres résultats : non pas que le suc gastrique y soit différent , mais parce que les glandules de l’estomac réagis
dité de l’acte stomacal. — Action réciproque des aliments. — Qualités différentes du suc gastrique chez des animaux différents. — C
es aliments. — Qualités différentes du suc gastrique chez des animaux différents . — Comparaison de l’acte stomacal avec la cuisson
rfaitement quand on fait manger à un lapin deux substances de couleur différente que l’on peut bien distinguer l’une de l’autre. A
c de la viande décolorée, comme cuite, mais présentant des caractères différents de ceux qu’on observe dans la viande mise dans l’
ensuite longitudinalement, comme on le voit en d.   L’action de ces différentes espèces de sucs gastriques n’est pas la même sur
opriétés ; et il arrive alors des phénomènes de digestion tout à fait différents de ceux de la digestion stomacale. Ainsi on peut
que et de la bile réunis. — Identité du suc intestinal mixte chez les différentes espèces animales. — Ses propriétés physiologiques
oppement des villosités intestinales en rapport avec l’apparition des différents liquides digestifs. — Troubles de la circulation
digestifs, elle a précipité les parties alimentaires solubles, et ces différentes matières coagulées s’arrêtent sur les parois de l
ance. Maintenant nous allons revenir, après cette analyse des actions différentes des liquides, sur l’explication des phénomènes qu
es phénomènes qu’on observe chez les animaux auxquels on a enlevé les différents liquides intestinaux ; nous pourrons ainsi juger
nous pourrons ainsi juger par contre-preuve l’importance relative des différents fluides, ainsi que nous l’avons établie. Il nous
ts. Ce fait, qui se rattache certainement à la viabilité du fœtus aux différentes époques de la vie intra-utérine, prouve qu’il y a
e que doivent traverser les substances alimentaires pour éprouver les différentes modifications qui les rendent solubles et absorba
n inverse de celle de l’intestin grêle. À propos de ces réactions des différentes parties de l’intestin, voici ce que l’on peut dir
rtébrés, où la même fonction digestive doit se retrouver à des degrés différents , à cause de l’analogie chimique des matières alim
rendre dans l’intestin sans communiquer les uns avec les autres. Ces différents conduits pancréatiques ne s’anastomosent pas entr
personne en ait jamais constaté chez ces animaux. J’ai expérimenté à différentes reprises chez des grenouilles ou des salamandres
lle suppose que le même tissu organique peut avoir des fonctions fort différentes . Mais il pourrait cependant bien se faire à la ri
areil encore inconnu qui existe d’ailleurs chez les poissons d’espèce différente . Mais si l’anatomie nous fait défaut pour constat
prétendre juger une prédominance d’une alimentation spéciale chez les différents animaux. En effet, les fonctions du pancréas doiv
chez les vertébrés. Or nous avons constaté dans le suc intestinal de différents mollusques, tels que le calmar, les limaces, l’hu
insi, par exemple, que, quelles que soient les quantités des matières différentes contenues dans l’alimentation, la composition du
ntaires, et le système sanguin, qui doit porter ces matières dans les différents organes pour les nourrir. Cette fonction spéciale
63 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Deuxième partie — Chapitre I. La quantité des unités sociales : nombre, densité, mobilité »
les caractères les plus généraux et les plus simples des sociétés. Si différentes qu’elles soient, églises ou armées, familles ou s
ale. De fait, si l’influence du nombre des individus associés sur les différentes formes de l’activité sociale n’a pas souvent été
M. Tarde 55, dans les villes, où l’on rencontre beaucoup d’individus différents assez aisément substitués les uns aux autres, et
errer sous nos yeux. Dressons les cartes concentriques de la France à différentes époques, de telle sorte que leurs dimensions de p
iés peuvent garantir leurs droits ; des organisations politiques très différentes , variant avec les circonstances géographiques et
grecques elles-mêmes ne doit pas nous faire illusion : un esprit tout différent de l’esprit des démocraties modernes les anime. I
iscipline égale, ou le fait de traverser brusquement des milieux très différents de celui dans lequel on a été élevé, ont par eux-
ons égalitaires. N’est-ce pas les violer en effet que de préjuger les différentes valeurs des individus que nous avons à comparer ?
l’aise pour les classer sans préjugé, et proportionner ses notes aux différentes valeurs de leurs œuvres. — Ainsi, parce qu’elle n
ite pour conduire les esprits, par des voies d’ailleurs nombreuses et différentes , à l’égalitarisme. En nous découvrant ces voies,
64 (1907) L’évolution créatrice « Chapitre I. De l’évolution de la vie. Mécanisme et finalité »
Ici, au contraire, les mêmes raisons pourront dicter à des personnes différentes , ou à la même personne à des moments différents,
cter à des personnes différentes, ou à la même personne à des moments différents , des actes profondément différents, quoique égale
u à la même personne à des moments différents, des actes profondément différents , quoique également raisonnables. A vrai dire, ce
ente assez de plasticité pour revêtir successivement des formes aussi différentes que celles d’un Poisson, d’un Reptile et d’un Ois
ut-être par la présence d’organes identiques dans des organismes très différents . Supposons, un instant, que le mécanisme soit la
re vivant. Quelle chance y aura-t-il pour que, par deux séries toutes différentes d’accidents qui s’additionnent, deux évolutions t
es différentes d’accidents qui s’additionnent, deux évolutions toutes différentes aboutissent à des résultats similaires ? Plus deu
apparaîtraient-elles les mêmes, et dans le même ordre, sur des points différents de l’espace et du temps  ? Personne ne le soutien
sans doute à dire que des effets identiques peuvent sortir de causes différentes , que plus d’un chemin conduit au même endroit. Ma
sont les éléments constitutifs. Que deux promeneurs partis de points différents , et errant dans la campagne au gré de leur capric
rgane où sont disposés dans un certain ordre des milliers de cellules différentes , dont chacune est une espèce d’organisme ?   Pass
à prendre le terme « adaptation », en même temps, dans deux sens tout différents . Si je verse dans un même verre, tour à tour, de
r ne consistera plus ici à répéter, mais à répliquer, ce qui est tout différent . S’il y a encore adaptation, ce sera au sens où l
l’adaptation ainsi entendue explique pourquoi des processus évolutifs différents aboutissent à des formes semblables ; le même pro
sés par des circonstances dissemblables, contrariés par des obstacles différents . Voilà deux grandes séries qui sont allées en div
mière, on sait qu’elle se présente aujourd’hui sous deux formes assez différentes . Darwin avait parlé de variations très légères, q
, par l’apparition simultanée de plusieurs caractères nouveaux, assez différents des anciens, que se constituerait une espèce nouv
pressions de quelque chose, et non pas des additions, ce qui est bien différent ). Mais quand on nous parle de changements « corré
la soumet au froid ou au chaud, donne naissance à des papillons assez différents qui avaient été considérés pendant longtemps comm
uer que l’on confond d’ordinaire trois sens de ce terme qui sont tout différents . Une cause peut agir par impulsion, par déclanche
s voisines les unes des autres, par des processus embryogéniques tout différents . Les observations d’« hétéroblastie » se sont mul
e l’encéphale embryonnaire. Ce sont donc bien des processus évolutifs différents qui aboutissent, chez l’homme et chez le Peigne,
différemment constituées, accomplissant en temps normal des fonctions différentes , sont capables de faire les mêmes suppléances et
és, dont sa progéniture pouvait hériter, parfois sous une forme assez différente  : exophtalmie, perte des orteils, etc. — Mais il
aux enfants, mais elle peut prendre chez chacun des enfants une forme différente , et chez aucun d’eux ne ressembler à ce qu’elle é
lui-même, si la mutation opère, comme le veut De Vries, dans des sens différents chez les différents représentants de l’espèce. Ma
tion opère, comme le veut De Vries, dans des sens différents chez les différents représentants de l’espèce. Mais, d’abord, il faud
ne hypothèse comme celle d’Eimer, d’après laquelle les variations des différents caractères se poursuivraient, de génération en gé
igence nous le représentent, plus généralement à des éléments d’ordre différent avec lesquels nous essayons de l’imiter artificie
action éventuelle sur eux. La vision se retrouvera donc, à des degrés différents , chez les animaux les plus divers, et elle se man
es, des organes équivalents dont l’origine embryologique est pourtant différente . 36. Wolff, Die Regeneration der Urodelenlinse
65 (1785) De la vie et des poëmes de Dante pp. 19-42
la suite d’implorer la protection des princes d’Italie, il vécut dans différentes cours et mourut en 1321, âgé de cinquante-six ans
aute fierté, Dante joignait encore cette ambition des républiques, si différente de l’ambition des monarchies. Quand son sénat, qu
mitié et bienveillance dépend de la sympathie et des rapports. » Les différents ouvrages qui nous restent de lui2 attestent parto
encontre d’un cercle à l’autre : souvent une enceinte est partagée en différents donjons ; mais toujours avec une telle suite dans
e de l’uniformité de chaque supplice : un local varié et des théâtres différents auraient été une invention moins heureuse. Dante
comment un homme a pu trouver dans son imagination tant de supplices différents , qu’il semble avoir épuisé les ressources de la v
rté, sont un peu confuses chez les anciens : ce sont bien des notions différentes , mais dont les limites ne sont pas bien marquées.
re un titre plus humble, qui convînt mieux au style qu’il emploie, si différent en effet de celui de son maître. 5. C’est un des
66 (1899) Esthétique de la langue française « Esthétique de la langue française — Chapitre II »
ptible ; très souvent le mot français a une signification tout à fait différente de celle qu’il supportait en latin ; bien plus, à
e nos idées ; d’identiques sonorités expriment des objets entièrement différents , soit qu’elles aient une origine divergente, soit
10. Les trois mots poële du français viennent de trois mots latins différents , petalum, patellam et pensiles. Les trois mots gr
ieurs autres mots. Le même son a quelquefois jusqu’à huit ou dix sens différents , de sorte qu’avec quinze cents sons la langue a f
67 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre II. Des livres de géographie. » pp. 5-31
x, de plus utile & de mieux vérifié dans toutes les rélations des différentes Nations du monde : ouvrage d’abord traduit de l’a
es éloignés de nous à des distances considérables, & sous un ciel différent du nôtre, nous transporte dans un monde où tout e
l prit de s’informer avec exactitude des mœurs & des coutumes des différens peuples, le rendirent peut-être plus habile dans
considérables, le génie, les mœurs, le commerce & la religion des différens peuples qui les habitent & l’explication des
ur les Noirs qui détromperont ceux qui imaginent que c’est une espêce différente de la nôtre. L’Egypte est une des parties de l’A
; 1673. par le Sr. Michel Vansleb, in-12. Paris 1677. Cette rélation, différente de celle qui précéde, n’est ni moins estimée, ni
ivre où l’on en traite ex professo. Mais il y a quelques ouvrages sur différentes contrées européennes, qui méritent d’être connus.
68 (1913) Le bovarysme « Quatrième partie : Le Réel — V »
muable, la variété des apparences. Chaque objet du monde, distinct et différent , doit sa naissance à cet acte passionné, qui se p
bitraire et sur l’irrationnel. *** Ce point de vue engendre une façon différente de la commune d’apprécier le réel. Que l’on mette
t plus proche de la vérité objective. Concevons qu’elle est seulement différente . La ruine de la croyance ancienne nous fait, à la
a se dissoudre et périr sitôt que le principe d’une forme idéologique différente , l’idée chrétienne, marque son empreinte sur ses
it imaginer en face de toute réalité présente une réalité nouvelle et différente , symbolise ce pouvoir excessif de dissociation et
69 (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre II : Règles relatives à l’observation des faits sociaux »
peut être immédiatement déduit de sa définition de la société et des différentes formes de coopération. Car si nous n’avons le cho
des faits de nature, sans cependant les traiter comme des choses, les différentes écoles empiriques avaient, depuis longtemps, reco
ciologique. Quand, plus tard, on passera de la famille en général aux différents types familiaux, on appliquera la même règle. Qua
un même nom et dans une même explication des choses, en réalité, très différentes . De là proviennent d’inextricables confusions. Ai
s deux espèces de sociétés conjugales ont donc une signification très différente , et pourtant le même mot sert à les désigner ; ca
otion, il ne compare pas indistinctement tous les actes qui, dans les différents types sociaux, ont été réprimés par des peines ré
expriment31. De même, si l’on essaie de distinguer et de classer les différents types familiaux d’après les descriptions littérai
parfois, les historiens, on s’expose à confondre les espèces les plus différentes , à rapprocher les types les plus éloignés. Si, au
illible, préviendra cependant bien des erreurs32. Veut-on classer les différentes sortes de crimes ? on s’efforcera de reconstituer
les manières de vivre, les coutumes professionnelles usitées dans les différents mondes du crime, et on reconnaîtra autant de type
nt de types criminologiques que cette organisation présente de formes différentes . Pour atteindre les mœurs, les croyances populair
é, c’est que la démocratie primitive et celle d’aujourd’hui sont très différentes l’une de l’autre. 28. Criminologie, p. 2. 29.
70 (1911) Psychologie de l’invention (2e éd.) pp. 1-184
montre à côté d’une part d’imitation et d’une part d’instinct. Si ces différents éléments du fait s’opposent l’un à l’autre, c’est
nd, variable pour la forme et l’intensité, se soumettant des matières différentes , mais présentant toujours les mêmes caractères gé
de s’éparpiller sur plusieurs esprits contemporains ou même d’époques différentes . Si donc je distingue la phase d’invention et la
de préciser beaucoup mieux la théorie de l’invention, et de voir les différents détails et les formes variables de la création in
e façon déterminée, le système définitif peut prendre bien des formes différentes , le problème comporte plusieurs solutions très di
des formes différentes, le problème comporte plusieurs solutions très différentes , la tendance générale peut s’incarner, se précise
lettre que j’ai citée déjà, les idées me venaient en marchant. » Les différentes circonstances extérieures de l’invention peuvent
stances extérieures de l’invention peuvent nous être révélées par les différentes créations d’un même auteur. Tantôt elles apporten
ltanément et tout formés, et le travail qui a fait sortir du tact les différents sens spéciaux, et qui a donné à ceux-ci toute la
Les faits affectifs se rattachent à l’invention de plusieurs manières différentes . Dans le premier cas, le sentiment qui intervient
bien d’autres émotions ont pu déterminer la production d’œuvres très différentes . Bien souvent les œuvres strictement scientifique
tructif, à mon sens, comme montrant spécialement l’éveil successif de différentes images, autant de solutions proposées pour le pro
tions de l’œuvre. Au reste tout cela varie considérablement selon les différents esprits, chacun a ses aptitudes propres et ses ma
vue de la psychologie générale et abstraite. Si les résultats sont si différents , c’est que tous les esprits n’ont pas la même for
les détails. Et ces deux types peuvent se combiner en des modes très différents , s’équilibrer plus ou moins, chez une même person
ouvelles. Nous avons donc, en somme, une suite de faits, d’importance différente , agissant dans le même sens, pour arriver à const
sa signification générale se modifient plus ou moins. Sans doute ces différentes annexions diffèrent, tant pour l’importance que p
te, en effet, des différences qui distinguent les unes des autres les différentes façons dont les inventions se développent et se t
es se présentent à nous et qui constituent des groupes de faits assez différents . En nous plaçant à ce point de vue, nous aurons à
on. De même une première idée peut se compléter par bien des systèmes différents et même après ses premières conquêtes, la directi
cte réflexe, la qualité essentielle des deux actes n’en est pas moins différente et opposée. Cette opposition nous la retrouvons e
garde quelque chose d’indéterminé, je veux dire que des systèmes très différents peuvent, selon les circonstances qui se présenter
déjà trouvées pour répondre à des problèmes analogues, tout en étant différente d’elles. Pour minime que soit cette invention, e
ou Edgar Poë aient trouvé encore plus vite et plus régulièrement les différents anneaux de la chaîne qu’est leur drame ou leur po
l que les gens qui ont réellement un air particulier paraissent aussi différents les uns des autres au dehors qu’au dedans. » Une
rit considéré comme un ensemble. Les divers éléments de l’esprit, les différents systèmes qui s’y ébauchent, s’y achèvent ou s’y d
d’une expérience de tous les instants. Tous ces événements peuvent en différentes façons changer l’orientation de l’invention, accé
er l’évolution du germe, et ouvrir à son développement des voies bien différentes , comme cela deviendra de plus en plus évident à m
sformer, selon les circonstances, en plusieurs grands organismes très différents pour la dimension, pour l’importance et pour la f
rêt à le faire, peu à peu, et souvent assez vite, tout s’ordonne, les différentes parties de l’étude se classent, et l’ensemble peu
qu’il rencontre, mais peut se laisser engager en bien des directions différentes et même opposées. Il y a une bonne part de vrai d
question faite à l’esprit est seulement présentée d’une façon un peu différente , et la réponse en apparence moins immédiate. Mais
re ; et ici nous retrouvons mêlées, combinées, un peu brouillées, les différentes formes d’invention déjà examinées : le développem
es le satisfont autrement, elles l’incarnent d’une façon sensiblement différente . L’évolution n’a pas été régulière d’une forme co
u près intacte, mais elle arrive à se rattacher à des sentiments très différents de ceux qui l’avaient d’abord inspirée. Dans tous
n’est qu’une complication de l’évolution, un assemblage d’évolutions différentes en apparence, divergentes et incompatibles, sous
effée sur une autre, ou bien une sorte d’union de deux séries d’idées différentes par un lien nouveau, une jonction établie par un
tater, en effet, que l’invention se développait selon des modes assez différents , et si au fond ils ne vont pas sans de grandes an
ppée chez moi et vient sans cesse à mon secours dans les cas les plus différents . » La volonté se sert ici de l’instinct pour le
nté se sert ici de l’instinct pour le subordonner à ses propres fins, différentes de celles de l’instinct ; elle est encore en form
qu’il n’en résulte, dans la marche de l’invention, des allures assez différentes pour qu’on puisse former des catégories distincte
ce que, entre autres raisons, cette mesure n’est pas la même pour les différents esprits. Nous en connaissons tous qui n’ont pu do
e d’invention dans le développement de l’adulte, dans ce processus si différent comme résultat qui conduit chacun de nous de germ
aussi bien les rencontres de certaines idées appartenant à des séries différentes que leur choc avec le monde extérieur. L’inventi
systématisée de systèmes agissant chacun pour soi et selon des plans différents , ce qui précède peut nous éclairer un peu la plac
e l’univers apparaît comme un ensemble assez informe de systèmes très différents par l’importance et la puissance, qui agissent et
rme créé sous l’influence de désirs et d’idées dominantes tout à fait différentes . On sait ce qu’un germe d’idée est capable de pro
71 (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Livre IV : La philosophie — I. La métaphysique spiritualiste au xixe  siècle — Chapitre III : Le présent et l’avenir du spiritualisme »
ent-elles des vérités absolues ? Ce problème se produit d’une manière différente suivant la nature des doctrines ; mais il existe
esprit naissent deux sortes de dispositions, non pas contraires, mais différentes , soit à l’égard des croyances traditionnelles, so
ens des croyances communes, nous avons aussi des principes absolument différents . Comme eux, nous croyons à Dieu et à l’âme ; mais
e l’idée spiritualiste est susceptible de prendre les formes les plus différentes , de se concilier avec les points de vue les plus
uelque chose de vrai dans des reproches qui nous viennent de côtés si différents . On accuse notre philosophie d’être à la fois fro
nement des réactions, les adoptera sans les reconnaître sous des noms différents  ; puis viendra sans doute quelque esprit vigoureu
72 (1881) La psychologie anglaise contemporaine «  M. Georges Lewes — Chapitre I : L’histoire de la philosophie »
t j’en conclus que c’est un mécanisme. J’en ai déjà vu d’autres, fort différents  ; mais j’en reconnais les caractères essentiels.
’esprit des brutes, qui ont des sens semblables aux nôtres, est-il si différent du nôtre ? Les sensations de l’idiot sont aussi v
ondillac a confondu, sous le nom de sensation, deux choses en réalité différentes  : la sensation proprement dite et l’idéation (fac
faiblie qu’elle n’est pas une sensation du tout ; elle est totalement différente de la sensation. » Et cela n’est point surprenant
s’efforce d’isoler les éléments d’un acte indissoluble. « Il est tout différent de dire qu’il y a nécessairement deux coefficient
t de dire qu’ils peuvent être isolés et étudiés à part. Il était tout différent de dire : voici un organisme avec sa conformation
nt de la conscience, le monde en soi, est très vraisemblablement tout différent du monde comme nous le connaissons. La lumière, l
de la nature, sous les conditions de notre pensée ; mais il est tout différent de dire : « Je ne puis concevoir les choses autre
u. Il trouverait dans sa conscience l’état nommé eau, qui serait fort différent de son état antérieur ; et il supposerait que cet
différent de son état antérieur ; et il supposerait que cet état, si différent de l’état précédent, est une représentation de ce
in : « Impossibile est in uno homine esse plures animas per essentiam différentes , sed una tantum est anima intellectiva quæ vegeta
73 (1911) La valeur de la science « Troisième partie : La valeur objective de la science — Chapitre XI. La Science et la Réalité. »
a déjà tant écrit. Je voudrais seulement faire remarquer que de sens différents on a donné à ce mot de contingence et combien il
des témoins. Le même antécédent produira par exemple des conséquents différents à l’époque carbonifère et à l’époque quaternaire.
ais les circonstances qui se sont modifiées. Voilà donc bien des sens différents du mot contingence. M. Le Roy les retient tous et
antécédent A a produit une fois un conséquent B, un antécédent A′ peu différent de A, produira un conséquent B′ peu différent de
B, un antécédent A′ peu différent de A, produira un conséquent B′ peu différent de B. Mais comment reconnaîtrons-nous que les ant
ais comment reconnaîtrons-nous que les antécédents A et A′ sont « peu différents  » ? Si quelqu’une des circonstances peut s’exprim
ait dans les deux cas des valeurs très voisines, le sens du mot « peu différent  » est relativement clair ; le principe signifie a
regardons comme négligeables, et nous considérerons A et A′ comme peu différents , s’ils ne diffèrent que par ces circonstances acc
74 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre premier. La sensation, dans son rapport à l’appétit et au mouvement — Chapitre premier. La sensation »
divers centres nerveux, etc.5. Tout se réduit toujours à des manières différentes de vibrer, et l’organisme tout entier pourrait êt
e naît en nous la perception des qualités, qui répondent aux manières différentes dont les objets agissent et dont nous réagissons.
ans l’univers il peut exister des animaux ayant des sensations toutes différentes des nôtres : ils ont sans doute, avec la même vol
matière de leurs sensations, leur liste de sensations peut être toute différente . Cette notion est familière depuis Micromégas. En
ois plus faible que la sensation de la lumière solaire. C’est par les différents degrés de nos sensations de lumière que l’on a cl
ut ce qui, dans les sensations, constitue leurs qualités en apparence différentes . A vrai dire, Spencer et Taine ont montré qu’il y
aurions admettre cette théorie. On peut bien dire que ce qui apparaît différent est nécessairement différent d’apparence, parce q
e. On peut bien dire que ce qui apparaît différent est nécessairement différent d’apparence, parce qu’alors il s’agit toujours de
re qu’il n’y ait aucune différence entre des sensations senties comme différentes , fussent-elles des rêves, mais il n’est nullement
ience que du changement ou mouvement, de la relation entre deux états différents , et les deux états eux-mêmes, ou au moins le prem
ontraire, quand il s’agit, 3° de différences entre deux sensations de différentes classes, comme la vue et l’ouïe, la différence de
je ne puis pas établir un lien, comme entre deux éclairs d’intensité différente , ou deux sons d’intensité différente : il n’y a p
e entre deux éclairs d’intensité différente, ou deux sons d’intensité différente  : il n’y a pas là, dans la sensibilité même, de m
nsitif, mais moins caractérisé, jusque dans les différences entre les différentes classes de sensations. Même quand nous passons de
l’objet possède pour ma sensation. Ces marques s’accordent en partie, différent en partie. Ainsi le rouge, le jaune, le vert, etc
75 (1767) Sur l’harmonie des langues, et en particulier sur celle qu’on croit sentir dans les langues mortes
Ajoutons que ce plaisir même n’est pas absolument semblable pour les différents peuples modernes ; que tel vers de Virgile doit p
nt entre les notes dans chaque mesure particulière, et par la manière différente dont ils appuient sur ces notes. Mais quelle diff
ire dans certains modernes. Quoique nous ayons déjà fait connaître en différents endroits de ces Mélanges ce que nous pensons sur
aniés et ressassés, si je puis m’exprimer ainsi, dans mille occasions différentes  ; qu’un petit nombre de livres, quand même on les
éron, dans un endroit des Tusculanes2, a pris la peine de marquer les différentes significations des mots destinés à exprimer la tr
appartînt pas, et qui fût, pour ainsi dire, un centon de vingt styles différents . Or je demande ce qu’on devrait penser d’une pare
on a écrit dans bien des genres, et ces genres demandaient des styles différents  ; il a écrit des dialogues qui pouvaient permettr
le d’un autre écrivain, encore moins celui de deux ou trois écrivains différents  ; pourquoi voudrait-on que cela fut plus facile e
ur nous, que d’être obligés d’apprendre, bien ou mal, tant de langues différentes  ; bornons notre ambition à bien posséder la nôtre
nt été corrigées dans les Errata. 2°. De-ne pas citer à deux reprises différentes (pag. 23 et 178 de sa brochure) l’article Astrono
76 (1858) Du vrai, du beau et du bien (7e éd.) pp. -492
e rassembler en un corps de doctrine les théories dispersées dans nos différents ouvrages, et de résumer, en de justes proportions
n la théodicée, ce périlleux rendez-vous de tous les systèmes, où les différents principes sont condamnés ou justifiés par leurs c
t en fortifiant par cette réunion toutes les vérités éparses dans les différents systèmes que nous a transmis le xviiie  siècle. T
mité opposée, tire la connaissance presque tout entière d’une faculté différente de la sensibilité, la raison. La première de ces
ment à la vertu, mais que l’idée même de la vertu est essentiellement différente de celle du bonheur. Là-dessus nous sommes ouvert
principes universels et nécessaires. — Exemples de tels principes en différents genres. — Distinction des principes universels et
mmes conduits naturellement à reconnaître à ces sensations des causes différentes de nous-mêmes, et voilà la première notion du mon
importe le nom, au moyen de laquelle il conçoit des vérités d’ordres différents , et entre autres des vérités universelles et néce
logie, ce qu’on appelle en Allemagne la psychologie rationnelle, bien différente de la psychologie empirique. Puisque la logique e
lté qu’à cette faculté de connaître que nous appelons la raison, bien différente du raisonnement auquel elle fournit ses lois. Voi
alité un peu sèche : 1º On peut apercevoir la vérité de deux manières différentes . Quelquefois on l’aperçoit dans telle ou telle ci
evoir une vérité générale, indépendamment de toute application et des différentes circonstances de lieu et de temps ? 2º On peut ap
un objet bleu, puis un objet rouge, etc. ; ayant alors des sensations différentes les unes des autres, vous pouvez négliger leurs d
ais si à l’odeur d’œillet succède l’odeur de rose, et d’autres odeurs différentes en plus ou moins grand nombre, pourvu qu’il y en
souvient d’avoir été modifié, en restant le même, par des sensations différentes  ; or, ce sujet ne peut se sentir identique sous d
e que j’ai été le même ou affecté de la même manière en plusieurs cas différents , que j’arrive à cette conception générale et abst
es causes ; car l’idée et le principe sont des choses essentiellement différentes . Vous avez établi, dirai-je à M. de Biran, que l’
t vous parlez est-elle universelle et nécessaire ? Alors c’est un nom différent pour la même chose. Une induction qui nous force
flexion est un retour sur la conscience, ou sur toute autre opération différente d’elle. Il répugne donc qu’elle se rencontre dans
ience, non point celle où entre le changement, ni celle qui se montre différente dans les différents objets qu’il nous plaît d’app
le où entre le changement, ni celle qui se montre différente dans les différents objets qu’il nous plaît d’appeler des êtres, mais
encontre avec lui dans les mêmes régions où il parvient par un chemin différent . La notion de l’infini et du parfait est à Descar
nous en avons une connaissance peu digne de ce nom. C’est la raison, différente en nous de la sensibilité, qui nous découvre l’un
a veulent. Où est cette raison parfaite, qui est si près de moi et si différente de moi ? Où est-elle ? Il faut qu’elle soit quelq
elles contiennent au fond les mêmes choses : le point de vue seul est différent . Tout ce qui est spontané est obscur et confus ;
a grâce naïve de l’ignorance et du bonheur. L’amour réfléchi est bien différent  ; il est sérieux, il est grand, jusque dans ses f
e faculté de connaître, c’est la raison. Au fond, si le sentiment est différent de la sensation, il tient cependant de toutes par
ui montrent à quel point le dieu de la métaphysique platonicienne est différent de celui du mysticisme. Ce dieu est le père du mo
able et le beau. — Prééminence de la raison. — Du sentiment du beau ; différent de la sensation et du désir. — Distinction du sen
ulières, nous avons reconnu, avec Reid et Kant, une faculté spéciale, différente de la sensation et de la conscience, mais qui se
omène se produit en nous. Nous reconnaissons dans tous ces objets, si différents qu’ils soient, une qualité commune sur laquelle t
on vous avertit que ce même objet produit sur d’autres une impression différente et leur déplaît, vous ne vous en étonnez pas beau
cceptez pas le dissentiment comme un effet inévitable de sensibilités différentes  ; vous n’en appelez plus à votre sensibilité, qui
de circonstance, de coutume, de mode, et toutes ces beautés, quelque différentes qu’elles soient, auront droit aux mêmes hommages,
e jugement du beau est un jugement absolu, et, comme tel, entièrement différent de la sensation. Enfin, et c’est ici le dernier é
Reste à savoir si on explique mieux cette idée au moyen du sentiment, différent de la sensation, et qui tient de si près à la rai
son fondement et sa règle, que, particulier et variable de sa nature, différent d’homme à homme et en chaque homme sans cesse dif
de sa nature, différent d’homme à homme et en chaque homme sans cesse différent , le sentiment est incapable de se suffire à lui-m
ue du beau, comparez vos impressions. Voilà donc deux sentiments très différents  ; aussi leur a-t-on donné des noms différents ; l
nc deux sentiments très différents ; aussi leur a-t-on donné des noms différents  ; l’un a été appelé plus particulièrement le sent
aux images fournies par la mémoire les décompose, choisit entre leurs différents traits, et en forme des images nouvelles. Sans ce
tion puise ses inspirations et devient féconde. Si les hommes sont si différents en fait d’imagination, c’est que les uns restent
ction, dans la vérité soutenue des caractères, une raison supérieure, différente de l’imagination qui fournit les couleurs, et de
convenance. — Ni à la proportion. — Caractères essentiels du beau. —  Différentes espères de beautés. Du beau et du sublime. Beauté
t-ce que le beau, pris en lui-même ? Quels sont ses caractères et ses différentes espèces ? Quel est enfin son premier et dernier p
s deviner l’usage, bien qu’il en ait un. L’utile est donc entièrement différent du beau, loin d’en être le fondement. Une théorie
iquent à tous les ordres de beauté : parcourons rapidement ces ordres différents . Il y a d’abord les objets beaux à proprement par
’une à l’autre. Que fera donc l’artiste ? Il est environné de beautés différentes , et il doit faire un ouvrage un : car telle est l
e pensée ou telle science particulière, qui ne réside dans aucun être différent d’avec lui-même, comme un animal, ou la terre, ou
poser des monstres ; admettre une règle, c’est admettre déjà un idéal différent de tous les individus. C’est cet idéal que le vér
déchirants nous éloigneraient bien plutôt. Il faut une émotion toute différente de celles-là, et qui en triomphe, pour nous reten
n bienfaisante que l’art procure à l’humanité. Neuvième leçon. Des différents arts L’expression est la loi générale de l’art
sens qui sont divers, la différence des sens divise l’art en des arts différents . Nous l’avons vu113 : des cinq sens qui ont été d
émosthène et de Bossuet nous le commandent : la vraie éloquence, bien différente en cela de la rhétorique, dédaigne certains moyen
ridicule. Ainsi les arts ont un but commun et des moyens entièrement différents . De là les règles générales communes à tous, et l
ues ; tous les ordres lui obéissent ainsi que tous les systèmes ; les différents âges de l’art lui sont égaux ; elle reproduit, s’
ées avec netteté ! Et quel peintre aussi qu’Homère, et, dans un genre différent , le Dante ! La musique seule a quelque chose de p
ième siècle Que l’expression ne sert pas seulement à apprécier les différents arts, mais les différentes écoles. Exemple : l’ar
ssion ne sert pas seulement à apprécier les différents arts, mais les différentes écoles. Exemple : l’art français au xviie  siècle
à l’âme à travers les sens ; qu’enfin c’est dans l’expression que les différents arts trouvent la vraie mesure de leur valeur rela
s expressif doit être placé au premier rang. Si l’expression juge les différents arts, ne suit-il pas naturellement qu’elle peut,
uit-il pas naturellement qu’elle peut, au même titre, juger aussi les différentes écoles qui dans chaque art se disputent l’empire
l est plus profond. S’il ne met pas sur la scène autant de caractères différents , ceux qu’il y met sont les plus grands qui puisse
deux très différemment, et comme on écrivait dans les deux époques si différentes où ils ont vécu. L’un a deux qualités souveraines
i nous reste du grand artiste français, une trentaine de tableaux des différentes époques de sa vie, et qui la plupart soutiennent
toutes les bouffonneries de Téniers. Lesueur et Poussin, à des titres différents , mais à peu près égaux, sont à la tête de notre g
art de médiocre importance, et nous y avons excellé. Dans des genres différents , on peut fort bien mettre Jacques Callot à côté d
ambord, Écouen ! Le xviie  siècle aussi a son architecture originale, différente de celle du moyen âge et de celle de la renaissan
Y a-t-il une langue humaine à nous connue qui n’ait des expressions différentes pour le bien et pour le mal, pour le juste et pou
trémité opposée ; elle a recours à des hypothèses d’un caractère tout différent , entre autres à un prétendu état naturel d’où ell
ns forte, plus ou moins constante, plus ou moins éprouvée, mesure les différents degrés de la vertu. Un homme pousse-t-il le désin
l’accomplir ? Supposez que le bien ne soit pas en soi essentiellement différent du mal, supposez qu’il n’y ait dans le monde que
d’avoir trompé notre adversaire, nous éprouverions un sentiment bien différent . Nous pourrions prolonger et varier ces aperçus e
ci commence le rôle de la philosophie. Elle a devant elle deux routes différentes  ; elle peut faire de deux choses l’une : ou bien
les profonds desseins de la divine Providence, les principes les plus différents ne s’excluent point. La philosophie de la sensati
difier leurs fonctions. Tout cela prouve qu’il y a en nous un pouvoir différent des sens et du désir, qui, sans en disposer, exer
l’intelligence. Vouloir et connaître sont deux choses essentiellement différentes . Nous ne jugeons pas comme nous voulons, mais sel
eureux, est-ce donc la même chose ? Il y a là deux idées radicalement différentes . Vous pouvez me conseiller de bien entendre mon i
nce, d’un cri de l’âme, d’une intuition vive et sûre de la raison, si différente du raisonnement, pour repousser tous les sophisme
le devoir ne font qu’un, et sont le même être envisage de deux côtes différents . Qu’est-ce, en effet, que mon droit à votre respe
e dans tous les hommes. Elle peut avoir à son service des instruments différents , des puissances différentes, et par conséquent in
e peut avoir à son service des instruments différents, des puissances différentes , et par conséquent inégales, soit matérielles, so
res qui ne sont pas libres, l’égalité entre des êtres essentiellement différents , le respect des droits où il n’y a pas de droit,
bres ont prétendu asseoir la morale. Je combattrai successivement ces différents principes pris en eux-mêmes, et je les rassembler
tous des sentiments. Ils donnent naissance à trois systèmes de morale différents et analogues. Suivant certains philosophes, une a
encore ce qu’il y a de plus changeant dans chacun de nous et de plus différent dans l’espèce humaine. Les joies et les souffranc
07 : l’immortalité de l’âme a des fondements un peu plus solides. Ces différents systèmes, faux ou incomplets, écartés, nous arriv
égager les vérités mêlées à ces erreurs. Les vérités éparses dans les différents systèmes composent la vérité totale que chacun d’
d’un crime. Appliquez maintenant un peu de réflexion et d’analyse aux différents traits dont se compose cette peinture, sans les d
seul trahirait en moi, dans l’impunité qui m’est assurée, un principe différent de l’intérêt. Mais naturellement je ne doute pas 
nnées : elle atteste énergiquement la présence d’un principe d’action différent de l’intérêt et tout aussi puissant. Le devoir su
ns la conscience, il s’en passe une autre tout aussi réelle mais bien différente . Je sais que j’ai bien fait ; je sais que je n’ai
oi des actions matériellement identiques peuvent être moralement très différentes . Un meurtre est toujours un meurtre ; cependant,
la nature et la fin de la vérité morale. Terminons cette analyse des différentes parties du phénomène complexe de la moralité en r
ite la vue d’un objet laid et difforme. Ce sentiment est profondément différent de la sensation agréable ou désagréable. Est-ce n
que nous avons tâché d’embrasser, il ne peut y avoir que des systèmes différents comme les différentes parties de ce phénomène, pa
d’embrasser, il ne peut y avoir que des systèmes différents comme les différentes parties de ce phénomène, par conséquent des systè
est au contraire la pleine possession de tous les faits, analogues et différents , qui nous force d’absoudre et de condamner tous l
y sont d’une certaine manière qui n’est pas la même dans deux hommes différents . Ces particularités font l’individu, mais non pas
ement, l’autorité et la liberté, en les faisant venir de deux sources différentes , en les présentant comme deux principes contraire
le respect de la liberté ; en sorte qu’il n’y a pas là deux principes différents et contraires, mais un seul et même principe, d’u
mme nous l’indiquions tout à l’heure, le principe de la charité, bien différent du principe de la justice, l’unir est juste, amél
’adoration est un sentiment universel. Il diffère en degrés selon les différentes natures ; il prend les formes les plus diverses ;
es, qu’il faut au genre humain une philosophie à la fois semblable et différente , que cette philosophie-là est une religion, et qu
s leçons. Au xviiie  siècle elle est surtout représentée à des degrés différents par Reid et par Kant. Nous acceptons Reid tout en
n sera la seule mesure, la sensibilité si variable en elle-même et si différente dans les différents individus. Chacun de nous aur
re, la sensibilité si variable en elle-même et si différente dans les différents individus. Chacun de nous aura sa science, une sc
très simples et parfaitement rigoureux. Étant données des vérités de différent ordre, que nous n’avons pas faites et qui ne se s
duit les attributs de Dieu les uns des autres, comme on convertit les différents termes d’une équation, ou comme d’une propriété d
issons Dieu que par le monde, et Dieu est essentiellement distinct et différent du monde. La cause première, comme toutes les cau
auté suprême, la beauté morale. Le Poussin appartient à un monde bien différent . Grâce à Dieu, il avait pu connaître en France d’
poses, les traits de tous les personnages ! Il y a là vingt tableaux différents , et pourtant il n’y a qu’un seul tableau, et l’on
vérité, d’une beauté, d’une variété admirable. Il a les tons les plus différents selon les différents personnages qu’il fait parle
d’une variété admirable. Il a les tons les plus différents selon les différents personnages qu’il fait parler, en demeurant toujo
osées et pas de plan, par exemple des individus humains plus ou moins différents , et pas de type humain, et mille antres choses de
cueillait volontiers, bien assuré que si le lien des vérités d’ordres différents nous échappe quelquefois, ce n’est point un motif
s le récit de la mort de Britannicus, Racine exprime ainsi les effets différents de ce crime sur les spectateurs : Jugez combien
du moins la gravure de Simonneau dans Perrault. C’est sur un original différent , attribué au neveu de Champagne, qu’a été faite l
faite pour l’Oratoire, par François Anguier. Le caractère en est tout différent . Dans le Bérulle de Sarazin, ce qui domine est la
e-Geneviève, d’où il domine cette partie de la ville et s’aperçoit de différents côtés à une assez grande distance. Mettez à cette
iété que la comparaison exige un centre indivisible qui comprenne les différents termes de la comparaison. Prenez-vous la mémoire 
sible sans la persistance d’un même sujet qui rapporte à soi-même les différentes modifications dont il a été successivement affect
77 (1889) Essai sur les données immédiates de la conscience « Chapitre III. De l’organisation des états de conscience. La liberté »
ns de la nature, on verrait qu’elles impliquent deux hypothèses assez différentes sur les rapports de la loi avec le fait qu’elle r
anisme et le dynamisme prennent le mot simplicité dans deux sens très différents . Est simple, pour le premier, tout principe dont
. De là deux espèces de déterminisme, deux démonstrations empiriques, différentes en apparence, de la nécessité universelle. Nous a
ais sans jamais s’influencer : ils développeraient, dans deux langues différentes , la même éternelle vérité. Mais la pensée du déte
n’eût point été la même, sans doute, si le but à atteindre avait été différent . Néanmoins le langage eût encore exprimé ce mouve
d’une certaine position peut se lier dans la conscience à l’image de différents buts à atteindre, mais plutôt que des positions g
quement identiques s’offrent à la conscience du sujet sous des formes différentes , selon le but représenté. Le tort de l’associatio
— C’est toujours la même odeur, direz-vous, mais associée à des idées différentes . — Je veux bien que vous vous exprimiez ainsi ; m
s, résultent de ce que nous associons à l’odeur de rose des souvenirs différents . Mais l’association dont vous parlez n’existe guè
nt, an contraire, que la même série pouvait aboutir à plusieurs actes différents , également possibles. C’est sur cette question de
représente, à leurs points d’arrivée pour ainsi dire, deux tendances différentes de ma personne à des moments successifs de la dur
deux états contraires, mais bien une multitude d’états successifs et différents au sein desquels je démêle, par un effort d’imagi
s eux-mêmes, puisqu’ils changent sans cesse, mais les deux directions différentes que notre imagination leur assigne pour la plus g
celles qui s’expriment par des mots bien définis ou par des positions différentes dans l’espace. Il se représentera donc un moi qui
ette activité continue où nous discernions sans doute deux directions différentes , mais qui, en outre, a abouti à X ou à Y : pourqu
eux de se ressembler tout à fait, puisqu’ils constituent deux moments différents d’une histoire. Tandis que l’objet extérieur ne p
e l’âme qui se ressemblent, l’analyse démêlerait au sein de ces états différents des éléments stables, susceptibles de se comparer
présentes. Or, cette préformation peut s’entendre dans deux sens très différents , et c’est précisément ici que l’équivoque commenc
sairement, de la force qui la produit. Que cette fusion de deux idées différentes , presque opposées, présente des avantages au sens
78 (1867) Le cerveau et la pensée « Chapitre III. Le cerveau chez l’homme »
nt l’idée d’une infériorité absolue. Vient ensuite la comparaison des différentes races humaines. Ici il n’est plus guère possible
imaginent avoir découvert la mesure de la capacité intellectuelle des différentes races. Pauvres gens qui, s’ils le pouvaient, pèse
e degré de capacité des crânes correspond au degré d’intelligence des différentes races. Ainsi tous les auteurs ont trouvé la tête
as là précisément la gradation du développement intellectuel dans les différentes races ? La race blanche ou caucasique est supérie
e premier rang dans l’ordre des poids cérébraux. M. Broca discute ces différents faits avec beaucoup de sagacité et d’adresse, et
tenir compte), ne fût susceptible d’un développement intellectuel peu différent de celui des autres races29 ; mais, sans faire de
nous indignons des cruautés, mais non de l’esclavage, ce qui est bien différent .
79 (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — Essai, sur, les études en Russie » pp. 419-428
s les plus communes de la vie civile, comme des poids et mesures, des différents états et professions, des usages que le dernier d
e est en lui-même grand et satisfaisant : il est bon de connaître les différents rapports par lesquels chacun contribue aux avanta
iversité. Les professeurs des universités ont une manière d’enseigner différente de celle des préfets des écoles ou collèges. Dans
ie de la réputation de l’université. Dans la faculté de médecine, les différentes chaires ont pour objet la théorie et la pratique
res d’honneur qu’elle accorde avec solennité à ceux qui ont suivi ses différentes leçons pendant trois ou quatre années, et qui, au
pays, la considération qu’elle mérite. XIV. Les professeurs des différentes facultés, indépendamment de leur devoir d’enseign
s, peuvent être agrégés. Ce travail consiste à faire des réponses aux différents mémoires qui sont adressés aux facultés, à celle
80 (1759) Observations sur l’art de traduire en général, et sur cet essai de traduction en particulier
Mais est-il bien vrai, dira-t-on, que les langues aient un caractère différent  ? Nous n’ignorons pas que des littérateurs modern
dance stérile de synonymes, mais chaque nuance d’idées par des termes différents . De toutes les langues modernes cultivées par les
i tourne sans cesse avec une rapidité brillante autour du même objet, différent en cela de Cicéron, qui avance toujours vers son
oins. Ne serait-il pas infiniment plus avantageux de choisir dans les différents ouvrages de chaque auteur ce qu’ils contiennent d
nt ceux que j’ai cru devoir suivre dans la traduction que je donne de différents morceaux de Tacite : quelques-uns de ces morceaux
loisir que m’ont laissé des travaux très pénibles et d’un genre tout différent . Cependant je ne prétends pas avoir extrait, à be
e j’offre aujourd’hui suffira, ce me semble, pour faire connaître les différents genres de beautés dont on trouve le modèle dans c
81 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Loutherbourg » pp. 258-274
e auquel correspond le sommet de la pyramide, et d’où les branches ou différens plans de cette pyramide vont en s’étendant sur le
p de bataille, ménageant sur ce champ des inégalités, y répandant les différents incidens, les actions diverses, les masses, les g
iculier. Ce projet n’a point eu lieu, parce qu’il était embarrassé de différentes difficultés qui disparaissent en suivant la maniè
es, mais ils sont imposans. Votre œil parcourt une multitude de plans différens depuis le point le plus voisin de vous jusqu’au p
quelle étendue immense et sur cette étendue, quelle suite de passions différentes jusqu’à vous qui êtes le dernier objet, le terme
oussin sont liés par une idée commune, quoique isolés, distribués sur différens plans, et séparés par de grands intervalles. Les
s le même local et les mêmes objets à éclairer de toutes les lumières différentes qu’il s’agit de distinguer avec du blanc, du brun
eaux de l’artiste ; ici il n’y a rien à reprendre. autres dessins sur différents papiers. du même. C’est un berger à droite, assis
e combat de mer, et vous sentirez votre œil successivement attiré par différens objets séparément très-lumineux, sans avoir le te
82 (1828) Introduction à l’histoire de la philosophie
e, il faut un peu se mettre à notre place et se rappeler ce temps, si différent du nôtre. Mes amis et moi nous sortions de la lon
sonnalité, de la cause, du bien et du mal. Ces nouvelles leçons, fort différentes de leurs aînées, ont fait autrefois quelque bien,
elle appartient. Or ce qui est vrai d’un système l’est également des différentes époques de l’histoire de la philosophie. Pour en
proposer la pensée humaine ayant été successivement soulevés par les différents siècles et par les différentes écoles, seront ain
ant été successivement soulevés par les différents siècles et par les différentes écoles, seront ainsi amenés à cette chaire. Là, s
jamais qu’elle-même ; c’était elle encore qu’elle comprenait dans les différentes sphères que nous venons de parcourir ; mais elle
à déranger l’ordre dans lequel je vous ai successivement présenté les différentes sphères que nous avons parcourues : vous ne le po
l’Orient ? Le monde oriental est vaste ; il renferme bien des parties différentes qu’il ne faut pas confondre ; mais enfin toutes c
ou moins considérables de l’industrie ; il y a les chefs-d’œuvre des différents arts ; il y a le règne de tel ou tel culte, de te
eur, elle pourrait marcher. Les draperies marquent sans recherche les différentes parties du corps ; on sent qu’un être vivant est
s, nous soyons arrivés par la seule, observation à la construction de différentes écoles, par là à celle d’époques fondamentales, e
is. Mais la raison humaine, c’est le fond même de la philosophie. Les différents éléments de la raison humaine avec leurs rapports
a borne de l’analyse. La troisième loi de la méthode est l’examen des différents rapports de ces éléments entre eux ; je dis des d
examen des différents rapports de ces éléments entre eux ; je dis des différents rapports, car ces éléments peuvent soutenir un gr
pports, car ces éléments peuvent soutenir un grand nombre de rapports différents  ; il n’en faudrait supposer aucun, mais il n’en f
dre de l’acquisition de nos connaissances49. L’ordre de la nature est différent . Sans doute, l’une de ces deux idées ne nous est
minance de l’un d’eux sur les autres. Ces différences constituent les différentes époques de l’histoire. Rappelez-vous les conclu
core une fois la forme de la religion et celle de la philosophie sont différentes  ; mais en même temps le contenu, si je puis m’exp
ême temps il répugne que le principe d’une manifestation ne reste pas différent de cette manifestation de toute la différence de
est fini ; le non-moi qui le limite est fini lui-même, ils le sont à différents degrés, mais ils le sont également ; nous sommes
qui divisent le développement de la conscience de l’individu sont les différentes époques de sa vie ; les différences que subit le
l’histoire. Maintenant quelles sont, quelles doivent être les époques différentes de l’histoire ? et dans quel ordre se succèdent-e
ait jamais cette clarté suprême qui résulte de l’examen successif des différents points de vue d’un fait, d’un problème, de toute
elle n’est que partielle ; elle vient de la succession nécessaire des différents éléments de la vérité et de la pensée sous l’œil
fférences nécessaires, qui grandissent en proportion de la scène. Les différents éléments dont se compose la conscience du genre h
ncomplètes en vérités incomplètes le cercle des vérités s’étende, les différents éléments de la pensée se manifestent et arrivent
nt beau se succéder, elle domine toutes les révolutions. Que font les différentes époques de l’humanité ? elles mesurent sa durée,
à la remplir, à donner de l’humanité une idée complète. Que font les différentes philosophies ? Elles travaillent aussi à donner d
dans les idées ; voilà ce qui divise vraiment l’existence et la rend différente d’elle-même. La succession nécessaire des points
conçoit dans le moule de l’idée du fini, et pénètre de cette idée les différentes sphères qui remplissent la vie de toute époque, d
léments qui aspirent aussi à jouer le rôle principal, de même que les différentes époques de l’humanité ne se succèdent qu’en se fa
s époques de l’humanité se succèdent, recherchons dans quel ordre les différents éléments de la pensée se succèdent dans la réflex
rés par tous les degrés de l’existence universelle, comme ces degrés, différents et semblables, sont vérifiables les uns par les a
sous le même climat ces trois époques si dissemblables. Trois époques différentes , donc trois théâtres différents pour ces trois ép
ques si dissemblables. Trois époques différentes, donc trois théâtres différents pour ces trois époques. Nous avons l’époque de l’
vec leur harmonie. Trois époques de civilisation, donc trois théâtres différents pour ces trois époques ; et si ces époques se suc
ne à tous, et qui, toujours la même, mais placée en des circonstances différentes qui la modifient, se développe partout avec ses d
uple unique partent des peuples qui peu à peu diffèrent, soit que ces différents peuples se soient formés séparément sans autre li
mitif ou cette nature commune à tous aboutissent à des développements différents , et ces développements différents tombent seuls d
us aboutissent à des développements différents, et ces développements différents tombent seuls dans l’histoire. Or, comme nous avo
dans l’histoire. Or, comme nous avons établi qu’il y a trois époques différentes dans l’histoire, il s’ensuit que, pour ces trois
différentes dans l’histoire, il s’ensuit que, pour ces trois époques différentes , il faut, en négligeant la question du fond commu
histoire et des peuples, il faut, dis-je, nécessairement trois ordres différents de populations. Je dis trois ordres de population
plein de différences. Si donc il y a nécessairement dans toute époque différentes idées sous la domination d’une seule, il faut bie
La philosophie de l’histoire, pour bien comprendre une époque et les différents peuples qu’elle embrasse, les divise d’abord, pre
veux parler de la métaphysique. La pensée de l’homme se développe de différentes manières, mais elle n’arrive à se comprendre elle
diverses idées qui doivent aussi s’y rencontrer : elle doit contenir différents peuples pour représenter différentes idées ; il f
y rencontrer : elle doit contenir différents peuples pour représenter différentes idées ; il faut donc examiner les rapports des di
eprésenter différentes idées ; il faut donc examiner les rapports des différents peuples d’une même époque entre eux. Ils ont néce
e, les lois, les arts, les religions, les systèmes philosophiques des différents peuples d’une époque, elle verra que tous ces élé
es suivre dans toute l’étendue de leur action. Il y a dans une époque différents peuples, parce que dans une époque il y a différe
dans une époque différents peuples, parce que dans une époque il y a différentes idées. Chaque peuple représente une idée et non p
xprimer la vérité universelle et absolue. Comment ces différences des différents peuples vivent-elles ensemble ? Ne peuvent-elles
d’être la vérité absolue, est une erreur. Les idées particulières des différents peuples d’une même époque, ne se sachant pas comm
ctible de la guerre. Ce qui pour la philosophie n’est que distinct et différent , entre les mains du temps est opposé et ennemi, e
lle ne le pouvait. La guerre a sa racine dans la nature des idées des différents peuples, qui, étant nécessairement partielles, bo
la guerre est la rencontre violente, le choc des idées exclusives des différents peuples, dans ce choc, l’idée qui sera plus faibl
me de cette époque. Chaque peuple représente une idée, et les peuples différents représentent différentes idées ; d’où il suit que
ue peuple représente une idée, et les peuples différents représentent différentes idées ; d’où il suit que le peuple qui représente
ont les causes, ce sont les esprits opposés d’une époque, ce sont les différentes idées qui dans un siècle animent et agitent l’hum
s ou moins. Voilà déjà une assez forte ligne de démarcation entre les différents individus d’un même peuple. Mais ceux qui sont su
e. Notre Corneille procède autrement94, parce qu’il se propose un but différent et ne veut peindre la nature humaine que dans sa
ure de l’esprit d’un peuple. Quand l’esprit d’un peuple a pénétré les différents éléments dont la vie de ce peuple se compose, qu’
e ; mais les religions elles-mêmes et les institutions politiques des différents peuples y sont traitées quelquefois d’une manière
dit, un peu superficiellement traitée ; au contraire, dans Vico, les différents peuples ont leur histoire approfondie. Selon Vico
Enfoncé dans les ricorsi, dans les retours des mêmes époques chez les différents peuples, Vico oublie de rechercher ce qu’il advie
que l’a conçue Herder. Et non seulement il présente l’histoire de ces différents éléments aux époques les plus célèbres de la civi
tuel de l’humanité dans toutes les directions. J’ajoute que parmi les différentes parties dont se compose cet ouvrage, celles qui d
huitième siècle. De là deux histoires de la philosophie dans des vues différentes  : Tiedemann et Tennemann. Leur caractère général.
a-t-il se rendre compte des solutions qui en ont été données dans les différents siècles ? Il en est de même, et à plus forte rais
ntrer de nouvelles histoires de la philosophie qui aient un caractère différent et décidé, il faut arriver à de nouvelles écoles
n entièrement étrangère, des cultes, des arts, des gouvernements tout différents des nôtres, la perte d’une foule de monuments imp
de l’univers qui en offre une admirable bien qu’imparfaite image, et différent en soi de l’univers, comme le principe diffère es
personne, qu’ensuite la liberté des cultes permet de choisir dans les différentes communions de la même Église, et qu’enfin, grâce
sage et quelques autres du même genre ont besoin d’être rapprochés de différents passages dans lesquels il est établi avec la dern
té des pouvoirs de l’âme se trahit par la discorde et le trouble. Les différents pouvoirs, l’intelligence, la bonté ou l’amour, et
ans la science, et encore si violemment combattue par des adversaires différents , il ne faut pas la chercher au seizième siècle et
e monde, et un Dieu tellement passé dans le monde qu’il n’en soit pas différent , le Dieu abstrait de l’école et le Dieu grossier
duit les attributs de Dieu les uns des autres, comme on convertit les différents termes d’une équation, ou comme d’une propriété d
panthéisme : il nous suffira d’en citer trois empruntés à des époques différentes de notre carrière. Du vrai, du beau et du bien,
ieu, car c’est dire que l’univers n’a point une cause essentiellement différente de ses effets………… Tout immense qu’il est, ce mond
randeur de la vertu. M. Cousin a lui-même énuméré ces exceptions dans différents passages. » Nous avons sous les yeux les premiers
héodicée, est le solide fondement de la doctrine d’un Dieu personnel, différent du monde ; et cette théorie est partout dans nos
la création. 63. Sur Dieu, présent dans le monde et essentiellement différent du monde, voyez l’Appendice. 64. Allusion à la P
. Rapprochez ce passage sur Dieu antérieur au monde et par conséquent différent du monde, d’un autre passage tout aussi net de la
et l’esprit des nations, parut par fragments et sous des titres fort différents de 1753 à 1769. Voyez la préface de M. Beuchot au
. le duc de Broglie le culte israélite a été mis au budget à côté des différents cultes chrétiens. 154. Sur la constitution qui c
83 (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre quatrième. La connaissance des choses générales — Chapitre II. Les couples de caractères généraux et les propositions générales » pp. 297-385
Le caractère des propositions qui concernent les choses possibles est différent . — Vérité universelle des théorèmes mathématiques
éprennent donc quand ils croient découvrir dans notre volonté un type différent de la cause, et quand ils déclarent que nous y vo
dmise et des faits ultérieurs. C’est ainsi que nous cherchons, et nos différentes façons de chercher dans cette voie sont les diver
cas qui présentent le caractère connu, et nous les choisissons aussi différents que possible. Plus ces différences seront grandes
i, que l’on prenne tous les animaux à mamelles, et notamment les plus différents , la baleine, la chauve-souris, le singe, le cheva
égèrement, etc. Après un long examen, on découvre que tous ces cas si différents s’accordent, autant qu’on en peut juger, en un se
mouvement se ralentit et le cas dans lequel il ne se ralentit pas ne différent que par un caractère, à savoir, la résistance opp
ssible la substance seule, en exposant à l’air des surfaces polies de différentes sortes. Cela fait, on voit tout de suite paraître
t, cette loi si amplement établie peut se confirmer de trois manières différentes , et premièrement par déduction, en partant des lo
llections est épuisée avant l’autre ; alors le nombre des moutons est différent dans le premier et dans le second troupeau, le no
dans le premier et dans le second troupeau, le nombre des unités est différent dans le premier et dans le second groupe ; en ce
deurs sont inégales. Inégalité signifie donc présence de deux nombres différents . Maintenant, pour ces sortes de grandeurs, nous p
première : auquel cas les deux lignes, ne se confondant pas, restent différentes  ; on dit alors que les deux grandeurs sont inégal
e leurs emplacements distincts, les deux lignes, surfaces, etc., sont différentes . Maintenant, pour ces sortes de grandeurs, nous
courbe, qui est sa limite. — Il faut donc lui chercher une définition différente et, selon notre usage, assister à sa construction
eux lignes se confondent et n’en font qu’une101 : ce qu’on exprime de différentes façons, en disant qu’entre deux points on ne peut
me ni de grandeur. Suivons d’abord des yeux, puis de l’esprit, les différentes façons dont elle peut remonter. — Visiblement, el
x-mêmes plus éloignés de A. Mais elle peut remonter d’une façon toute différente , en traçant par tous ses points des droites égale
n présentera non plus aucun. Bref, nous concluons d’un lieu à un lieu différent et d’un instant à un instant différent, avec auto
concluons d’un lieu à un lieu différent et d’un instant à un instant différent , avec autorité et certitude, lorsque cette différ
droite AB. Nous admettons ainsi pour A deux mouvements simultanés et différents , l’un qui lui est commun avec tous les autres poi
obile l’indépendance de deux mouvements simultanés et dirigés en sens différents , sauf à vérifier plus tard par l’expérience si le
e les temps employés sont les mêmes et que les espaces parcourus sont différents , la vitesse du mouvement composé ne sera pas la m
tte direction. En effet, les deux données prises en soi sont d’espèce différente  ; il n’y a point de liaison effective entre elles
orme au moins pendant un temps très court, des mobiles animés en sens différents de vitesses constantes, des substances homogènes
84 (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Deuxième partie. Ce qui peut être objet d’étude scientifique dans une œuvre littéraire — Chapitre premier. La question de fait et la question de goût » pp. 30-31
oût Supposons que nous ayons dressé comme il convient, la liste des différentes périodes, qui sont comme les étapes de notre itin
torien, comme tout homme, rencontre sur son chemin ces deux questions différentes et si souvent confondues. Mais avant tout il doit
ertaine. Ces faits me paraissent pouvoir être rangés sous trois chefs différents  : 1° Les caractères de cette œuvre, les traits p
85 (1911) La valeur de la science « Première partie : Les sciences mathématiques — Chapitre II. La mesure du temps. »
us réduire à une même mesure des faits qui se passent dans des mondes différents  ? III La première difficulté a été remarqué
veraient pas moins le même sens. Seulement, l’énoncé de la loi serait différent , parce qu’il serait traduit dans un autre langage
bord. Deux phénomènes psychologiques se passent dans deux consciences différentes  ; quand je dis qu’ils sont simultanés, qu’est-ce
i adressée. Voilà deux faits qui ont eu pour théâtre deux consciences différentes . En écrivant cette lettre, j’en ai possédé l’imag
une règle nouvelle pour la recherche de la simultanéité, entièrement différente de celle que nous avions énoncée plus haut. Ce po
pliquer si on attribuait à la vitesse de la lumière une valeur un peu différente de la valeur adoptée, et si on admettait que la l
86 (1867) Le cerveau et la pensée « Chapitre IX. La pensée est-elle un mouvement ? »
t en chaleur. Une même force peut donc se manifester sous deux formes différentes , et il n’y a pas de contradiction à supposer que
quelque degré — une idée. La lumière sensation est donc profondément différente de la lumière objet ; la seconde est hors de nous
. Si le mouvement, dit-on, peut se convertir en chaleur (phénomène si différent du mouvement), pourquoi ne se convertirait-il pas
à, ce serait donc qu’une même cause peut produire sur deux substances différentes deux effets différents, mais non pas que cette ca
même cause peut produire sur deux substances différentes deux effets différents , mais non pas que cette cause puisse se transform
système nerveux, et comme toutes les sensations venant par des voies différentes ont besoin de se lier et de s’unir pour rendre po
87 (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Deuxième partie. L’évolution des genres — Chapitre IV. Littérature dramatique » pp. 202-220
âtre des Poètes qui ne joua guère que des drames romantiques — un peu différents de ceux de M. Richepin et meilleurs. Grâce à une
pièces, toutes historiques — on le remarquera — ont des orientations différentes . L’lmpéria de J. Valmy-Baysse tente une synthèse
rique, idéaliste, idéologique, vivant conflit de sentiments éternels, différent néanmoins du théâtre classique. M. Gabriel Boissy
es, en un mois M. Lugné-Poë a offert à Paris trois œuvres de manières différentes , de nature éminemment originales, mais toutes tro
i sait avec art réduire les belles œuvres : dans un ordre quelque peu différent , mais parallèle, voici MM. Édouard Schuré, le maî
ssions depuis longtemps déjà Tête d’Or et La Ville ; une version très différente , de ce dernier drame avait paru plus récemment da
88 (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre IV. Des changements survenus dans notre manière d’apprécier et de juger notre littérature nationale » pp. 86-105
hoses, il en est qui frappent plus que d’autres, selon la disposition différente des esprits différents, Celui sur lequel je désir
appent plus que d’autres, selon la disposition différente des esprits différents , Celui sur lequel je désire arrêter en ce moment
e, pour exercer une influence semblable, doivent être essentiellement différentes  ; et si nos chefs-d’œuvre n’étaient pas consacrés
était une langue ornée, une langue de choix, et non point une langue différente de la prose : voilà encore, sans autre commentair
si l’Italie a son Virgile et son Tasse ; mais c’est dans deux langues différentes . Il est possible que nous soyons destinés à prése
’est de l’or que l’on vous donne. Ayez vécu au milieu de ces mœurs si différentes des nôtres, et assisté à ces festins de rois, d’é
89 (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre huitième. »
retire. Mais d’où vient le même fait offre-t-il un résultat moral si différent , quant au chien et quant à l’échevin ? La cause d
antage. Mais la retraite et la solitude absolue sont deux choses bien différentes . La première est le besoin du sage, et la seconde
intérêt et plus de vraisemblance chez les anciens, qui attribuaient à différens dieux différens départemens. Mais elle ne signifi
de vraisemblance chez les anciens, qui attribuaient à différens dieux différens départemens. Mais elle ne signifie pas grand chos
La naissance est la même, mais l’éducation est, comme on voit, bien différente . V. 6. Mais la diverse nourriture… Ce mot se pr
90 (1911) La valeur de la science « Deuxième partie : Les sciences physiques — Chapitre VII. L’Histoire de la Physique mathématique. »
logue ; au lieu de l’exposant −2, nous avons probablement un exposant différent , et c’est de ce changement d’exposant que sort to
imitive dans toute sa pureté. Il ne reste plus qu’à chercher dans les différents cas quelle valeur il convient de donner à cet exp
indre action. L’application de ces cinq ou six principes généraux aux différents phénomènes physiques suffit pour nous en apprendr
ces divers principes, qui nous a habitués à les reconnaître sous les différents vêtements dont ils se déguisent. On les a comparé
91 (1895) Les règles de la méthode sociologique « Préface de la seconde édition »
la vie, chacun de ses caractères principaux s’incarne dans un groupe différent d’atomes. La vie ne saurait se décomposer ainsi ;
i generis qui constitue toute société dégage des phénomènes nouveaux, différents de ceux qui se passent dans les consciences solit
alité générale de représentations. Tout en étant faites d’une matière différente , elles se comporteraient dans leurs relations mut
inconcevable à ce qu’il puisse être caractérisé de plusieurs manières différentes  ; car il n’y a pas de raison pour qu’il n’ait qu’
ascendant exercé par les unes et par les autres est-il, au fond, très différent . Il ne faut pas s’étonner, d’ailleurs, que les au
ntre les deux notions du bien et du devoir qui expriment deux aspects différents , mais également réels, de la vie morale. Or il n’
monde sensible chacun de nous le colore à sa façon et que des sujets différents s’adaptent différemment à un même milieu physique
92 (1912) L’art de lire « Chapitre IV. Les pièces de théâtre »
ut qu’ils en aient plusieurs, faisant parler les personnages les plus différents et devant avoir autant de styles qu’ils ont de pe
e. C’est ici qu’est son style à lui. Il doit avoir cent autres styles différents et dont il n’est pas responsable, ou plutôt pour
nsable que de leur vérité relative et circonstancielle, à l’usage des différents personnages qu’il fait parler, bourgeois, homme d
injuste ; car précisément Shakespeare fait parler de la façon la plus différente du monde Falstaff et Othello, Iago et Hamlet, les
emoiselle Cathos et Mademoiselle Madelon ; qui indique par des styles différents les différents âges, même, d’un même personnage ;
s et Mademoiselle Madelon ; qui indique par des styles différents les différents âges, même, d’un même personnage ; car on sait pa
e qualité du dramatiste de se transformer en les personnages les plus différents et de vivre en eux ; encore que le dramatiste ne
93 (1913) La Fontaine « VII. Ses fables. »
, s’était, d’autre part, déployée, mais exagérément déployée dans les différentes branches de ce roman universel que l’on a appelé
fable en en faisant non pas seulement une peinture de l’humanité sous différents masques, mais une peinture de l’humanité inférieu
consiste à avoir cru constater de la solidarité entre les animaux de différentes espèces, ce qui est faux. Les animaux d’espèces d
nimaux de différentes espèces, ce qui est faux. Les animaux d’espèces différentes ne connaissent aucune solidarité entre eux, et la
ux, et la loi de nature est, hélas ! le plus souvent, que les espèces différentes se nourrissent les unes des autres. Pas de solida
entes se nourrissent les unes des autres. Pas de solidarité entre les différentes espèces, mais de la solidarité dans l’intérieur d
é des animaux dans ses fables, et que la solidarité entre des animaux différents d’espèce est affirmée. Par exemple, dans le derni
t des sociétés les uns avec les autres même lorsqu’ils sont d’espèces différentes . Leurs poèmes abondent en histoires de ce genre.
le transforme, qu’il l’altère, et qu’il le termine d’une façon toute différente de celle par laquelle il avait commencé. A ces qu
La Rochefoucauld, de leur absence d’amour-propre, dans un sens un peu différent de celui où La Rochefoucauld emploie ce mot, mais
94 (1865) Cours familier de littérature. XIX « CXIIIe entretien. La Science ou Le Cosmos, par M. de Humboldt (2e partie). Littérature de l’Allemagne. » pp. 289-364
ou cela ne peut avoir d’autre intérêt que l’étendue, l’espace, et les différentes impulsions que Dieu leur imprime et qui leur comm
n intérêt sans doute, mais l’intérêt des mondes ou du Cosmos est bien différent et infiniment supérieur. La première question que
n genres et en espèces, elle conduit l’observateur qui parcourt, sous différents climats, de vastes étendues continentales, des mo
e répandre sur ces idées : aussi ai-je tenté ce moyen en deux langues différentes , à Paris et à Berlin. Des cahiers qui ont été réd
as les consulter. La rédaction d’un livre impose des obligations bien différentes de celles qu’entraîne l’exposition orale dans un
les races d’hommes. Ce tableau est précédé de considérations sur les différents degrés de jouissance qu’offrent l’étude de la nat
e ou planétaire, selon qu’on envisage la surface de la terre dans ses différentes zones, ou bien les rapports de notre planète avec
obscur et si controversé de la possibilité d’une origine commune pour différentes races humaines, rentre dans la sphère d’idées qu’
organiquement comme types de la variation des espèces. Du concours de différentes causes, de différentes conditions, tant intérieur
es de la variation des espèces. Du concours de différentes causes, de différentes conditions, tant intérieures qu’extérieures, qui
ve, comme le Touran ou Mawerannahar, par exemple, avoir été habité, à différentes époques, par les souches de peuples les plus dive
les deux continents, savoir, que deux familles de langues entièrement différentes peuvent se trouver dans une seule et même race ;
mmence la sphère de l’intelligence, où le regard plonge dans un monde différent . Cette limite, il la marque et ne la franchit poi
95 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Chapitre I. La demi-relativité »
e. Or, rien de tel ne se produit. L’expérience, répétée à des époques différentes de l’année, pour des vitesses différentes de la T
ence, répétée à des époques différentes de l’année, pour des vitesses différentes de la Terre par rapport à l’éther, a toujours
mment règle-t-on l’une sur l’autre deux horloges situées en des lieux différents  ? Par une communication établie entre les deux pe
₃′ indiquent toutes trois la même heure alors qu’il y a trois moments différents  ? Mais, aux moments différents où elles marquent
me heure alors qu’il y a trois moments différents ? Mais, aux moments différents où elles marquent dans mon système la même heure,
té, j’aurais un monde incohérent, ou construit sur un plan absolument différent du tien. Ainsi toutes choses et tous rapports ent
x, pour la clarté de la présente démonstration, faire cette fois tout différents l’un de l’autre), et je supposerai aussi que OX,
pour moi et que m’indique mon horloge placée au point x′, y′, z′, est différent du tien. Quand cette horloge m’a donné l’indicati
96 (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre XIII. La littérature et la morale » pp. 314-335
t par un de ces graphiques, qui sont aujourd’hui d’usage courant, les différentes vertus et le niveau moyen que le xviiie  siècle a
compte, c’est que dans une société quelconque, il y a, en même temps, différents groupes qui, non seulement ont des vices et des v
ents groupes qui, non seulement ont des vices et des vertus de nature différente , mais encore sont en désaccord, ou même en confli
s un cœur féminin, et je vais tâcher de montrer comment les solutions différentes que donnent à ce conflit Corneille, Racine et Vol
t et ce qu’il désire faire. Il n’y a en lui qu’un conflit de passions différentes  ; il y a surtout effort et combat de sa part cont
’une ou l’autre prédomine, les caractères de la littérature sont bien différents . Si l’on admet que l’art doive être « fainéant »,
en droit d’attendre de lui, s’il a su relever les effets littéraires différents qui en découlent. § 5. — Il devrait encore étudie
t parfaitement conciliables ! Qu’est-ce à dire, sinon que des esprits différents peuvent puiser aux mêmes sources des suggestions
s esprits différents peuvent puiser aux mêmes sources des suggestions différentes . Oui, La nouvelle Héloïse peut laisser une tache
97 (1913) Les antinomies entre l’individu et la société « Chapitre XIII. Conclusions » pp. 271-291
nt l’antinomie entre l’individu et la société prend une signification différente , selon qu’on la considère d’un point de vue subje
s dont il fait forcément partie. D’un côté, il y a un individu isolé, différent par hypothèse, des autres ; conscient de cette di
Je me heurte bel et bien à une force étrangère, extérieure à moi, et différente de moi et qui me fait très bien sentir son existe
ni se convaincre. Leur façon de sentir la vie et la société est trop différente . Les solutions données au problème des antinomies
r la vertu de l’évolution fatale et bienfaisante. Cette théorie, fort différente de celle de Guyau, et même, à certains égards, op
ualisme juridique ou antijuridique, comme on voudra. — Ainsi dans les différents ordres de pensée et d’activité, l’individualisme
98 (1867) Le cerveau et la pensée « Chapitre II. Le cerveau chez les animaux »
tuelles, il semble naturel que l’on puisse mesurer l’intelligence des différentes espèces animales en comparant leur cerveau, et le
muscles sont les plus forts. On a donc pensé à peser les cerveaux aux différents degrés de la série animale, et à comparer cette é
t à comparer cette échelle de poids avec l’échelle d’intelligence des différentes espèces. Or, cette comparaison ne donne pas des r
ranchements où le cerveau, quand il existe, appartient à un type tout différent de celui du cerveau humain. Ce n’est pourtant poi
les bosses du crâne, en localisant dans chacune d’elles des facultés différentes . En laissant de côté ici la question des localisa
es rongeurs ; mais il l’emporte sur eux par la taille. Il suit de ces différents faits que le développement des circonvolutions n’
99 (1714) Discours sur Homère pp. 1-137
es poëmes que nous avons sous son nom, n’étoient à les en croire, que différentes piéces de plusieurs auteurs, apportées toutes en
ès les idées qu’on a données d’Homere, le peindre de deux manieres si différentes qu’on ne le prendroit pas pour le même homme ; et
application de ce principe. Les moeurs, les opinions des peuples sont différentes  ; et ces moeurs, ces opinions fondent pour eux un
ons fondent pour eux un merveilleux particulier et des vraisemblances différentes  : ainsi un poëme pourroit être excellent dans un
sse pas l’unité d’une puissance supérieure ; qu’ils n’en sont que les différens attributs ; et que si le poëte les a personifiés,
mes dans les grands et dans les petits ; mais de tout tems aussi, n’y différent -elles pas par les expressions et par les manieres
s. J’ose encore ajouter que la valeur des héros d’Homere n’est pas si différente que l’on veut le faire croire ; c’est une qualité
t, ce qu’il y a de pis, sur les prodiges. Le poëte distribue dans les différens livres de son poëme, des héros de jour, pour ains
enteroit les diverses actions d’Achille et d’énée, de quelques motifs différens qu’elles fussent parties ; mais le poëme ne peint
d’une simplicité vertueuse, que de grossiereté et d’ignorance. Des différens genres d’éloquence Nous avons parlé de l’actio
ersonnages de l’iliade ; l’ordre veut que nous parlions à présent des différens genres d’éloquence qu’Homere y employe. Il racont
qu’elle a d’Homere qui auroit dû les varier, si le dessein en eût été différent . Je crois avoir des raisons plus concluantes pour
nées entieres de batailles ? Au neuviéme livre, la situation est bien différente  ; les grecs ont été repoussés par Hector au de-là
e, on peut établir deux regles ; l’une d’employer les images les plus différentes qu’il est possible ; l’autre de les distribuer da
s ? Je demande de l’équité. Qu’on songe que j’examine les choses sous différens égards ; quand je loüe Homere, c’est par le choix
uffiroit-il pas dans un poëme que l’action fût bien imaginée, que ses différentes parties fussent rangées dans leur ordre, et confo
e. Cet ordre, à ce qu’on dit, signifie également quatre choses toutes différentes  ; et c’est un beau secret, continue-t-on, de pouv
e imagination sublime et féconde, propre à inventer de grandes choses différentes entr’elles ; c’est dans un jugement solide, propr
e ses auditeurs, par cette dépendance commune que les choses les plus différentes auroient à une même matiere. Il avoit l’esprit va
elle est noyée dans la quantité et dans la longueur des épisodes. Les différens genres d’éloquence n’y paroissent qu’ébauchés ; d
us avec respect ; ils y exciterent l’émulation des écrivains dans les différens genres ; et chacun ne songeant qu’à disputer le p
s usages, et de nos goûts, ne sçauroient se transporter à des tems si différens des nôtres. Tout les ennuie, tout les choque, et
écles ne fait rien contre nous. On vient d’en voir l’histoire, et les différentes sortes de plaisir que les ouvrages d’Homere ont d
: ainsi je dois rendre compte au public de mon ouvrage, sous ces deux différens égards. Voici mes principes sur la traduction. Il
iginal, et ne point choquer aussi des lecteurs imbus de moeurs toutes différentes , et disposés à trouver mauvais tout ce qui ne leu
s actions des mêmes figures, diroit-on qu’elles étoient répétées sous différentes formes, en plusieurs tableaux séparés ; mais cela
100 (1830) Cours de philosophie positive : première et deuxième leçons « Avertissement de l’auteur »
qui concerne la rénovation des théories sociales. Quoique des esprits différents aient pu, sans aucune communication, comme le mon
ces positives, j’entends seulement l’étude propre des généralités des différentes sciences, conçues comme soumises à une méthode un
es, conçues comme soumises à une méthode unique, et comme formant les différentes parties d’un plan général de recherches. Le terme
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