même de la ressemblance et de la dissemblance, de l’identité et de la
différence
? — Oui. — La science ne réside donc pas dans la
ations est-elle saisie par une opération sensitive. Les sentiments de
différence
et de ressemblance. Passons maintenant aux rap
couleurs, sont sans doute des images sensibles, mais « le rapport de
différence
ou de ressemblance, lui, n’est pas imaginable » ;
ieux. Comment, en effet, prononcer « sur le même et l’autre », sur la
différence
et la ressemblance, en un mot sur la relation, pa
en vous, quelque signe d’égalité ou d’inégalité, quelque symptôme de
différence
ou de similitude, comment votre jugement « intell
tude, comment votre jugement « intellectuel » reconnaîtrait-il que la
différence
ou l’inégalité commence ici, que la ressemblance
happent à toute représentation de ce genre. Tels sont les rapports de
différence
et de ressemblance. Avant que j’aie reconnu la di
rapports de différence et de ressemblance. Avant que j’aie reconnu la
différence
ou la ressemblance, elles ne sont nullement repré
mblent ; vous avez donc les idées de chaque figure, plus l’idée de la
différence
ou de la ressemblance. Or, quel rapport y a-t-il
entre celle-ci et celles-là ? Les figures, on peut les dessiner ; la
différence
, la ressemblance, comment la dessiner ? Par quoi
senter ? Il n’y a pas de représentation sensible ou imaginative de la
différence
ou de la ressemblance94. — Sans doute, répondrons
emblance94. — Sans doute, répondrons-nous, on ne peut pas dessiner la
différence
ou la ressemblance comme on dessine deux têtes ;
iples de Platon, vous jugez que ces deux couleurs différent ; mais la
différence
vous apparaît-elle bleue ou rouge ? La différence
différent ; mais la différence vous apparaît-elle bleue ou rouge ? La
différence
a-t-elle une couleur ? Une différence ne peut jam
paraît-elle bleue ou rouge ? La différence a-t-elle une couleur ? Une
différence
ne peut jamais se représenter par quelque chose d
diffèrent95. » — Assurément, mais vous ne prouvez point par là que la
différence
ne se manifeste pas d’une manière sensible à la c
impression subie par la conscience, non un acte tout intellectuel. La
différence
des ténèbres à la lumière n’est assurément pas an
n’est assurément pas analogue aux ténèbres mêmes, ni à la lumière, la
différence
n’est pas une donnée des cinq sens ; mais ce n’es
sont pas moins sensitives. Quelle est donc la nature du sentiment de
différence
? Spencer, dans certains passages de sa Psycholog
cer, dans certains passages de sa Psychologie, dit que la relation de
différence
consiste seulement en deux états ; mais, si elle
aucune relation ne pourrait s’établir entre les deux. La relation de
différence
est un changement dans la conscience ; donc elle
mélange de deux sentiments simples différents produit un sentiment de
différence
. » Le sentiment transitionnel entre deux états, o
, selon nous, montre bien quelles sont les conditions du sentiment de
différence
: deux états et un état mixte où les autres coexi
nt des sensations différentes n’épuise pas le contenu du sentiment de
différence
, qui enveloppe encore en soi un caractère propre
qualité et une quantité intensive capables de se retrouver au sein de
différences
très diverses, entre des termes très divers. La d
u sein de différences très diverses, entre des termes très divers. La
différence
de la lumière et des ténèbres n’est pas seulement
élange des deux sensations de lumière et de ténèbres, car alors toute
différence
apparaîtrait comme lumineuse ; elle est l’impress
fférence apparaîtrait comme lumineuse ; elle est l’impression même de
différence
, qui peut se retrouver également entre le doux et
tion que s’est révélé primitivement à nous le changement. La première
différence
que l’être animé saisisse, c’est celle du malaise
l’aise ; le premier éveil de l’intelligence, c’est la douleur. Or, la
différence
qui se produit dans le passage du plaisir à la do
sentiments en mutuelle résistance, une opposition, un contraste, une
différence
douloureuse, qui n’a rien encore d’abstrait. Cett
te, une différence douloureuse, qui n’a rien encore d’abstrait. Cette
différence
est saisie immédiatement, par le seul fait de la
dans ses chairs, les meurtrit, les écrase. La douleur est pour lui la
différence
instructive par excellence. Outre la sensation et
nouvelle de l’activité intelligente, un changement intellectuel, une
différence
dans la pensée, toute prête à être une différence
t intellectuel, une différence dans la pensée, toute prête à être une
différence
pensée. Enfin la douleur excite une réaction mot
nt d’état appelé peine (πόνος) : il achève en nous le sentiment de la
différence
, il lui communique un caractère de plus en plus a
re de plus en plus actif et dynamique : nous avons alors à la fois la
différence
subie comme douleur et la différence produite com
: nous avons alors à la fois la différence subie comme douleur et la
différence
produite comme effort. Dans toute sensation, il y
llectuel et moteur commun à tous les cas : ce sera le sentiment de la
différence
. C’est donc, en dernière analyse, par la contrari
ires », où Platon voit une combinaison d’idées pures. Le sentiment de
différence
est dynamique : c’est celui de la passion provoqu
ction, de la résistance provoquant une exertion de puissance. Même la
différence
agréable est un état nouveau qui s’oppose à l’anc
orde. Il y a donc au moins trois états nécessaires au sentiment de la
différence
, et non pas seulement deux comme le dit Spencer :
e conscience simple, un, homogène ne peut, dira-t-on, représenter une
différence
; or, tout état sensitif, conflit et résistance n
utre chose ; il n’enferme donc pas la matière nécessaire de l’idée de
différence
. Ces difficultés rappellent les objections de Zén
résistance ou d’autre chose, pourra-t-elle constituer un sentiment de
différence
, de changement, de mouvement, de transition, de r
, allant du rouge au bleu, du bleu au rouge. De même, le sentiment de
différence
n’est pas un état de conscience simple et un, car
e, la cœnesthésie, qu’il faut chercher la « matière » du sentiment de
différence
. Encore n’est-ce là que le côté sensitif et récep
enir, se combinent en un sentiment de changement, en une « forme » de
différence
, et de plus s’alignent sur la ligne du temps. Les
tout par l’effort que nous saisissons directement et primitivement la
différence
. Dire : telles choses diffèrent, revient à dire :
de telle chose à telle chose. En d’autres termes, le sentiment de la
différence
est sensori-moteur ; nous subissons, puis faisons
rence est sensori-moteur ; nous subissons, puis faisons nous-mêmes la
différence
, et c’est en la réalisant par l’attention et par
ar la motion que nous en avons la claire conscience ; le sentiment de
différence
est donc une façon complexe non seulement d’être
opposition de cet état avec un état précédent. La discrimination des
différences
est donc identique à la conscience distincte elle
son opposition à un autre état ; c’est donc avoir le sentiment d’une
différence
, d’un changement ; en d’autres termes, c’est avoi
primitivement confondus dans un ensemble vague. Quant au jugement de
différence
, il n’est autre chose que la réflexion sur le sen
différence, il n’est autre chose que la réflexion sur le sentiment de
différence
, réflexion qui a lieu principalement lorsque le s
fférence, réflexion qui a lieu principalement lorsque le sentiment de
différence
a eu plusieurs fois l’occasion de se produire. En
un retentissement, le réfléchit sur lui-même. Si, de plus, le mot de
différence
a été lié au sentiment de différence, le jugement
lui-même. Si, de plus, le mot de différence a été lié au sentiment de
différence
, le jugement devient proposition. III Pass
une ressemblance. Selon Spencer, cette perception se réduirait à deux
différences
en sens inverse qui se neutralisent. Deux bougies
te théorie est insuffisante. Nous accorderons bien à Spencer que deux
différences
neutralisées provoquent la perception de la resse
n n’en peut conclure avec lui qu’elles la constituent. En effet, deux
différences
en sens contraire s’annulent et, s’il n’y a rien
t perception de la ressemblance, il est nécessaire que, sous les deux
différences
annulées, il y ait dans la conscience un certain
ce. Si donc la ressemblance est un état que nous sentons lorsque deux
différences
ont été neutralisées, elle n’est pas le sentiment
précisément parce que le sentiment de la ressemblance présuppose deux
différences
antérieures neutralisées : sans se confondre avec
tant davantage d’un état neutre où la vie suit son cours monotone. La
différence
, au contraire, est nettement sentie, comme on sen
est difficile à différencier, puisqu’il est précisément l’absence de
différence
, ils en concluent qu’il est quelque chose de pure
uffrir, et l’autre dans le mot : ne pas souffrir ; souffrir, c’est la
différence
; ne pas souffrir, c’est la non-différence, c’est
t, c’est le côté sensitif et moteur de la ressemblance succédant à la
différence
, de l’harmonie ou de l’identité succédant à l’opp
la douleur, à distinguer du changement l’absence de changement, de la
différence
la non-différence. A la non-différence correspond
sa suite les mouvements appropriés. Il en est de même du sentiment de
différence
. Et ce résultat est une conséquence de la sélecti
ut pas même besoin que le sentiment de la ressemblance ou celui de la
différence
se dégageât des émotions et mouvements semblables
que, dans le monde, il apparaisse un être chez qui le sentiment de la
différence
et de la ressemblance, contenu en germe dans les
ielles, il pourra adapter ses mouvements à des ressemblances ou à des
différences
plus intimes, plus cachées, qu’il aura remarquées
era la science proprement dite. Les idées mêmes de ressemblance et de
différence
, fixées dans le langage, seront devenues des cent
a causalité, et ils trouvent leur solution dans la classification des
différences
et ressemblances, qui subordonne toutes choses à
: Variations des espèces à l’état de nature I. Variabilité. — II.
Différences
individuelles. — III. Genres polymorphes. — IV Es
uits de formes différentes, est due à une modification soudaine. II.
Différences
individuelles. — Il est encore des différences lé
ication soudaine. II. Différences individuelles. — Il est encore des
différences
légères, qu’on peut appeler différences individue
iduelles. — Il est encore des différences légères, qu’on peut appeler
différences
individuelles, et qu’on voit souvent se produire
de la même espèce soient jetés absolument dans le même moule. Or, ces
différences
individuelles sont de la plus haute importance po
de la même manière que l’homme accumule dans une direction donnée les
différences
individuelles qui apparaissent dans ses races dom
rences individuelles qui apparaissent dans ses races domestiques. Ces
différences
individuelles affectent généralement les organes
s genres polymorphes. — Il existe un phénomène, en connexion avec les
différences
individuelles, très difficile à expliquer. Je veu
otéiques ou polymorphes. Les espèces qui les composent présentent des
différences
extraordinaires ; et à peine deux naturalistes so
Babington compte 251 espèces, et M. Bentham seulement 112 : c’est une
différence
de 139 formes douteuses. Parmi les animaux qui s’
jamais de variétés ; en conséquence, ils considèrent les plus légères
différences
comme ayant une valeur spécifique ; et lors même
ment inconnu, il est tout d’abord fort embarrassé pour distinguer les
différences
qu’il doit considérer comme de valeur spécifique,
utres volatiles dont j’ai déjà parlé, il sera sous l’impression de la
différence
des formes qu’il a constamment sous les yeux ; et
s bien marquées, ou encore entre les variétés moins distinctes et les
différences
individuelles. Ces différences se fondent les une
e les variétés moins distinctes et les différences individuelles. Ces
différences
se fondent les unes dans les autres en une série
t l’idée de passage ou de transition. C’est pourquoi j’estime que les
différences
individuelles, bien que de peu d’intérêt pour le
passage aux sous-espèces et aux espèces. La transition d’un degré de
différence
à un autre plus élevé peut être attribuée simplem
turelle agissant de manière à accumuler dans une direction donnée des
différences
d’organisation presque insensibles, ainsi que je
plus variables. De même, le terme de variété, en comparaison avec les
différences
purement individuelles, est appliqué non moins ar
aturalistes sont obligés d’en déterminer le rang d’après la somme des
différences
qu’elles présentent, jugeant par analogie si elle
d’entre elles ou à toutes les deux le titre d’espèce. La somme de ces
différences
est donc l’un des plus importants critères que no
Westwood parmi les insectes, que dans les grands genres la somme des
différences
entre les espèces est parfois excessivement petit
iétés : car elles se distinguent les unes des autres par une somme de
différence
au-dessous de la moyenne. De plus, les espèces de
te à faire entre les variétés et les espèces : c’est que la somme des
différences
entre les variétés, qu’on les compare, soit entre
es, nous verrons comment on peut l’expliquer, et comment les moindres
différences
qui distinguent les variétés tendent à s’accroîtr
es qui distinguent les variétés tendent à s’accroître pour former les
différences
plus profondes qui séparent les espèces. Il est u
les formes qu’ils réunissent ; secondement, par une certaine somme de
différences
, car deux formes qui ne diffèrent que très peu so
des liens intermédiaires n’ont pas été découverts ; mais la somme de
différences
considérée comme nécessaire pour donner à deux fo
stérilité n’est pas une propriété spéciale, mais une conséquence des
différences
organiques. — V. Cause de la stérilité des premie
ement acquise par sélection, mais qu’elle est la conséquence d’autres
différences
peu connues successivement développées chez les e
n ont généralement confondu deux classes de faits, qui présentent des
différences
fondamentales : c’est d’une part la stérilité d’u
t et donnant lieu aux mêmes doutes que celles qui dérivent des autres
différences
de l’organisation. À l’égard de la fécondité des
re espèces distinctes soit frappé d’un certain degré de stérilité. La
différence
des faits constatés d’un côté et d’autre peut s’e
us semblables. Dans les limites du même genre, on rencontre les mêmes
différences
. Ainsi, les diverses espèces de Nicotiana (tabac)
usqu’ici n’a encore pu découvrir quelle est la nature ou le degré des
différences
apparentes, ou du moins reconnaissables, qui empê
ntes par leurs habitudes ou par leur aspect général et présentant des
différences
tranchées en chacun de leurs organes floraux, mêm
omplétement indépendante de leurs affinités systématiques ou de toute
différence
reconnaissable dans leur organisation totale. D’a
rouvent que la faculté de croisement est en connexion intime avec des
différences
de constitution inappréciables pour nous et qui,
exclusivement le système reproducteur. Il y a déjà longtemps que ces
différences
dans les résultats des croisements réciproques av
taines plantes marines ou Fucus. De plus, Gærtner a reconnu que cette
différence
dans la facilité d’opérer des croisements récipro
stérilité n’est pas une propriété spéciale, mais une conséquence des
différences
organiques. — D’après les diverses lois que nous
’une ou l’autre fournit le père ou la mère, il y a en général quelque
différence
, et parfois la plus grande différence possible, d
mère, il y a en général quelque différence, et parfois la plus grande
différence
possible, dans la facilité qu’on trouve à effectu
roiser, produisent des hybrides très féconds ? Pourquoi une si grande
différence
dans les résultats des croisements réciproques en
que celles des hybrides, est simplement une conséquence qui dépend de
différences
inconnues, affectant principalement le système re
principalement le système reproducteur des deux espèces croisées. Ces
différences
sont d’une nature si particulière et si bien déte
j’entends, quand je dis que la stérilité n’est qu’une conséquence des
différences
des deux organisations génératrices et non une pr
tel arbre ne peut se greffer sur tel autre, soit qu’il y ait quelque
différence
dans la vitesse de leur développement, dans la du
icotier et du Pêcher sur le Prunier. De même que Gærtner a trouvé des
différences
individuelles innées dans les mêmes espèces sous
stincte, que sous l’action de leur propre pollen. Quoiqu’il y ait une
différence
évidente et fondamentale entre la simple adhérenc
és l’un sur l’autre ne peuvent être considérées que comme dérivant de
différences
inconnues dans leur organisation végétative ; de
mplexes encore, qui gouvernent la faculté de croisement, dépendent de
différences
aussi inconnues dans leurs organes reproducteurs.
de différences aussi inconnues dans leurs organes reproducteurs. Ces
différences
, en l’un comme en l’autre cas, semblent jusqu’à u
ments et des hybrides qui en proviennent. Ces deux cas présentent des
différences
fondamentales ; car, ainsi que nous venons de le
cueillis ; et, quant à la stérilité des croisements, qu’on songe à la
différence
des résultats obtenus lorsqu’ils sont réciproques
ciente de l’homme, pour son utilité ou son agrément ; mais de légères
différences
dans le système reproducteur ou d’autres différen
mais de légères différences dans le système reproducteur ou d’autres
différences
en corrélation avec ce système, ne sont jamais et
eur de quelques-uns des descendants d’une espèce. Si l’on songe à ces
différences
entre les procédés sélectifs de l’homme et ceux d
me et ceux de la nature, on ne peut s’étonner le moins du monde de la
différence
des résultats. J’ai considéré jusqu’ici les crois
croisement entre deux formes quelconques, comme le critère absolu des
différences
de valeur spécifique. Gærtner a gardé pendant plu
que leur fécondation réciproque est d’autant plus difficile que leurs
différences
sont plus grandes. Jusqu’à quel point peut-on se
ifférente. Cependant ces variétés de Verbascum ne présentent d’autres
différences
que la couleur de leurs fleurs, et quelquefois un
térieurs, mais n’a jamais et ne peut avoir pour objet de produire des
différences
cachées dans les fonctions du système reproducteu
t d’espèces très tranchées ; ce qui montre avec toute évidence que la
différence
dans le degré de variabilité des uns et des autre
ères. Mais, si le fait est vrai, je puis affirmer que ce n’est qu’une
différence
de degré qui n’a rien d’absolu. Gærtner insiste s
de quelques-unes des expériences de Kœlreuter. Telles sont les seules
différences
que Gærtner ait pu découvrir entre les plantes hy
accorde parfaitement, au contraire, avec l’idée qu’il n’existe aucune
différence
essentielle entre les espèces et les variétés. I
nt jouit une espèce ou une variété de prendre sur une autre dépend de
différences
généralement inconnues dans leur organisme végéta
é plus ou moins grande avec laquelle deux espèces s’allient dépend de
différences
inconnues dans leur organisme reproducteur. Mais
rès distinctes ; parce que l’une et l’autre dépendent de la somme des
différences
de toute nature qui existent entre les deux espèc
rincipal d’exprimer, autant que possible, toutes les ressemblances ou
différences
qui groupent où séparent les espèces entre elles.
variétés domestiques ont été formées par la sélection continuelle de
différences
purement extérieures, sans égard aux différences
ction continuelle de différences purement extérieures, sans égard aux
différences
correspondantes, mais cachées du système reproduc
omaine d’un seul sens, il y a des discontinuités ou tout au moins des
différences
tellement accentuées, qu’elles sont comme des hia
lus. Est-il certain qu’il y ait dans les mouvements de la lumière une
différence
aussi capitale objectivement que cette opposition
ions venues du monde extérieur, et où peu à peu se sont produites des
différences
, c’est-à-dire des perceptions plus relevées, ayan
e selon le degré de modification interne, et ce degré est celui de la
différence
que j’aperçois entre l’état antérieur et l’état p
ensation d’une piqûre d’épingle il est difficile de n’admettre qu’une
différence
de plaisir et de douleur ; le bleu, comme tel, a
ait, plus on s’approche d’une sensation vraiment élémentaire, plus la
différence
entre la sensation de température et celle d’un e
osition qualitative ; car vous seriez alors obligé de montrer que les
différences
de qualités n’existent pas dans la conscience mêm
les qualités qu’ils semblent avoir ; vous ne pouvez donc ramener les
différences
apparentes à une unité réelle, puisque ce serait
férences apparentes à une unité réelle, puisque ce serait ramener les
différences
d’apparence à l’unité d’apparence 11. Dès lors, l
t de propre, puisqu’alors, nous venons de le voir, pour expliquer les
différences
qualitatives, on serait obligé de les supprimer e
ives, on serait obligé de les supprimer et de dire qu’il n’y a aucune
différence
pour la conscience entre sentir une brûlure ou se
onscience entre sentir une brûlure ou sentir une odeur. Expliquer les
différences
mêmes des qualités sensorielles en les ramenant à
’identité serait contradictoire ; on ne peut que montrer, ci côté des
différences
, des identités. C’est ce qu’ont fait Spencer et T
s composants. Oui, il est contradictoire de dire qu’il n’y ait aucune
différence
entre des sensations senties comme différentes, f
lexes en elles-mêmes ; la conscience est juge des qualités et de leur
différence
, mais elle n’est pas un instrument apte à mesurer
l’accès des surfaces olfactives, supprime les saveurs aromatiques. La
différence
entre la douceur au toucher d’une surface polie e
, quelque chose de l’état antérieur. Il y a donc toujours relation de
différence
au sein de la conscience, tant que la vie dure et
ls que soient les termes. Si nous ne saisissions que les relations ou
différences
d’intensité, par exemple la différence de 2 à 3,
sissions que les relations ou différences d’intensité, par exemple la
différence
de 2 à 3, non des intensités en elles-mêmes, le r
on à l’autre, il n’en résulte pas que ce soit la transition seule, la
différence
qui constitue subjectivement la sensation. Plonge
indépendante des relations nécessaires à son apparition, puisque des
différences
identiques de degrés thermométriques peuvent répo
nge sur un fond bleu ; s’ensuit-il que nous saisissions seulement des
différences
de couleurs, non des couleurs ? Nullement. De deu
classification ; il n’y a pas une sensation constituée par une simple
différence
; ou nous sentons réellement l’impression du vert
c’est l’erreur communément répandue, qui consiste à croire que toute
différence
est toujours un objet non de sensation ou représe
sentation, mais de jugement. Or, nous verrons plus loin qu’il y a des
différences
qui sont elles-mêmes des sensations distinctes et
es qui sont elles-mêmes des sensations distinctes et spécifiques, des
différences
qu’on sent, qu’on ne juge pas. James Ward a établ
établi ici une classification ingénieuse. On peut considérer : 1° des
différences
d’intensité, la qualité restant la même ; 2° des
: 1° des différences d’intensité, la qualité restant la même ; 2° des
différences
de qualité dans le domaine d’un même sens, forman
té dans le domaine d’un même sens, formant une sorte de continuum. La
différence
entre deux intensités de la même qualité ou entre
tés du même sens est elle-même une représentation distincte. Ainsi la
différence
entre le la du diapason et son octave ne se juge
du diapason et son octave ne se juge pas seulement, mais se sent. La
différence
entre un poids de deux kilogrammes et un poids de
ons du continuum d’un même sens. Au contraire, quand il s’agit, 3° de
différences
entre deux sensations de différentes classes, com
re deux sensations de différentes classes, comme la vue et l’ouïe, la
différence
des impressions ne constitue pas elle-même une re
nstitue pas elle-même une représentation distincte et particulière de
différence
. Je vois un éclair, j’entends un son ; entre les
rce qu’il y a discontinuité entre les deux sensations. Dès lors, leur
différence
ne constitue plus elle-même quelque chose de repr
mettrons un élément sensitif, mais moins caractérisé, jusque dans les
différences
entre les différentes classes de sensations. Même
ions. Même quand nous passons de l’éclair au son, il y a sentiment de
différence
sous forme de choc intérieur, de surprise, de cou
ise, de coup inattendu ; l’absence de continuité empêche seulement la
différence
d’offrir une quantité immédiatement appréciable,
mesure possible. Mais il y a toujours un élément sensitif, avec cette
différence
que, dans un cas, la continuité des sensations no
sensations nous fait sentir grosso modo la quantité déterminée de la
différence
même ; dans l’autre cas, la discontinuité des sen
ions de qualités et d’intensités se ramènent à des représentations de
différences
, il faut dire, au contraire, que les représentati
e différences, il faut dire, au contraire, que les représentations de
différences
se ramènent elles-mêmes à des représentations spé
, à des représentations directes et immédiates, dont les jugements de
différence
ne seront que l’expression ultérieure dérivée, ab
ère d’une sensation de son ou de toucher. Comment puis-je faire cette
différence
? se demande Wundt. — Evidemment, répond-il, grâc
le verrons plus tard22, un sentiment de ressemblance ; le rapport de
différence
suppose un sentiment de différence : il y a toujo
nt de ressemblance ; le rapport de différence suppose un sentiment de
différence
: il y a toujours une certaine affection de la co
ppréhendée. « Ce dont nous sommes conscients dans la sensation est la
différence
, la relation de deux stimulations, qui, seulement
Toute sensation est un processus par lequel nous sommes avertis d’une
différence
définie entre deux stimulations. La stimulation d
e la stimulation actuelle est inconsciente, comment puis-je saisir la
différence
, alors qu’un des termes m’échappe ? N’est-il pas
termes m’échappe ? N’est-il pas plus naturel de dire que je saisis la
différence
d’état produite par la stimulation nouvelle (comm
ence idéale ne se nourrit que de quantité, nous réduisions toutes les
différences
des sociétés à des différences de nombres, et tou
e quantité, nous réduisions toutes les différences des sociétés à des
différences
de nombres, et toutes les causes de leurs évoluti
u’il existe entre leurs éléments plus ou moins de ressemblances ou de
différences
. En un mot, ce que nous pouvons affirmer de plus
t chez eux, avec leurs habitudes et leurs dieux, leur race91. Que des
différences
juridiques absolues coexistent avec des ressembla
ous portons sur leur valeur ; nous classons les gens « sur la mine ».
Différence
de caste, signifiait originellement différence de
gens « sur la mine ». Différence de caste, signifiait originellement
différence
de couleur (varna)93 ; et tout le système des cas
la consécration sociale de l’échelle ethnographique94 ». Du moins les
différences
ethnographiques ont-elles servi à justifier les i
s. Dans les sociétés où l’inégalité règne, on la déduit souvent de la
différence
des races. Platon justifie la hiérarchie qu’il ve
n de race prime tout » ? Qu’on ne croie pas d’ailleurs que seules des
différences
toutes physiques aient le privilège de retarder l
ctions encore extérieures, mais plus mobiles en quelque sorte que les
différences
congénitales, comme sont celles du vêtement, a so
e, lorsqu’elle compare les hommes, de leurs ressemblances ou de leurs
différences
extérieures, c’est ordinairement qu’elle prend ce
’elle prend celles-ci comme les manifestations de ressemblances ou de
différences
plus intimes. En Orient « un vêtement est une pro
st d’ailleurs assez puissante pour contrebalancer au besoin celle des
différences
extérieures ; ceux qui communient dans une même f
it que la dissemblance des convictions risque souvent d’entraîner des
différences
de traitement ? Dans combien de pays d’Europe le
pensions à équilibrer leurs prétentions qui s’opposent, que par leurs
différences
mêmes les personnalités se soient posées les unes
110. » Il semble que, par cela même que nous voyons se multiplier les
différences
individuelles, nous considérions chaque individu
différentes, n’a-t-elle pas pour résultat d’introduire entre eux des
différences
d’idées en même temps que d’habitude, et peut-êtr
lle impose sont susceptibles de se transmettre héréditairement, — des
différences
de races112 ? Sir Robert Peel 113 disait, en 1806
ilitude des individus, cette solidarité « organique » repose sur leur
différence
. C’est justement parce qu’ils sont très différent
formulés, ils sont garantis. En ce sens la solidarité qui naît de la
différence
des individus a pour condition une solidarité aut
es égaliser, s’ils sont réellement incomparables ? Pour estimer leurs
différences
, encore faut-il que vous les compariez d’un même
tinctions collectives, en multipliant ici les ressemblances et là les
différences
. Les barrières des classes, qui parquent les homm
imites, les ressemblances s’accroître comme, entre leurs limites, les
différences
. Les habitudes d’esprit anti-égalitaires sont ébr
euvent se reconnaître, de l’un et de l’autre côté des frontières. Les
différences
physiques collectives, qui pouvaient barrer la ro
étendues pour que la loi soit incontestée. Suivant M. Le Bon 130, les
différences
de volume du crâne existant entre individus de mê
de la civilisation. Mais, suivant M. Topinard 131, l’inégalité de ces
différences
mêmes peut tenir à l’inégalité des séries de crân
se défier de ces sortes d’impressions, et que, pour un étranger, les
différences
entre les représentants d’un même type ne devienn
« panmixie » ? L’universel croisement a pour résultat d’augmenter les
différences
individuelles. Il les augmente d’autant plus que
ion occidentale impose aux races qu’elle réunit la multiplication des
différences
individuelles en même temps que l’élimination des
ion des différences individuelles en même temps que l’élimination des
différences
collectives : et en conséquence, par les effets m
dée de l’égalité des hommes. Mais, parce que les ressemblances ou les
différences
ethniques se laissent, plus aisément peut-être qu
dées sociales. Bien d’autres ressemblances unissent, et bien d’autres
différences
séparent les hommes, qui sont capables ou de renf
s commun nous rappellera qu’une mode a pour conséquence d’effacer les
différences
de ceux qui la suivent, et d’autre part, de les d
, en même temps qu’elle y raffine, à l’intérieur des groupements, les
différences
individuelles. Par là s’expliquent les réflexions
sième période… où les ressemblances croissantes n’empêcheront pas les
différences
croissantes. » — De même M. Brunetière (Ibidem, V
etière (Ibidem, V, p. 626) : On ne se ressemblera pas tous ! Mais les
différences
n’auront « plus rien ou presque rien d’ethnique ;
on, d’un effort plus grand qu’un autre effort, et à établir ainsi des
différences
de quantité entre des états purement internes. Le
ans un assez grand nombre de cas ; mais on n’explique point alors les
différences
d’intensité que nous établissons entre les faits
eurs parties élémentaires, et que certains prévoient le moment où les
différences
intensives des qualités, c’est-à-dire de nos sens
ives des qualités, c’est-à-dire de nos sensations, se réduiront à des
différences
extensives entre les changements qui s’exécutent
et ces phases correspondent moins à des variations de degré qu’à des
différences
d’état ou de nature. Mais le mérite d’une oeuvre
ension devenant pression, fatigue, douleur. Or, nous ne voyons pas de
différence
essentielle entre l’effort d’attention et ce qu’o
ins grand nombre, dans une direction déterminée. Il n’y a donc pas de
différence
essentielle, au point de vue de l’intensité, entr
venir, plutôt qu’une traduction psychique de l’excitation passée. La
différence
est considérable cependant entre les deux hypothè
ations plus ou moins fortes influencent ce nerf diversement. Mais ces
différences
de sensations ne seraient point interprétées par
sations ne seraient point interprétées par votre conscience comme des
différences
de quantité, si vous n’y rattachiez les réactions
re des saveurs plus ou moins amères, vous ne démêleriez guère que des
différences
de qualité ; ce sont comme les nuances d’une même
s de qualité ; ce sont comme les nuances d’une même couleur. Mais ces
différences
de qualité s’interprètent aussitôt comme des diff
ur. Mais ces différences de qualité s’interprètent aussitôt comme des
différences
de quantité, à cause de leur caractère affectif e
stinguons une autre propriété caractéristique du son, la hauteur. Les
différences
de hauteur, telles que notre oreille les perçoit,
nces de hauteur, telles que notre oreille les perçoit, sont-elles des
différences
quantitatives ? Nous accordons qu’une acuité supé
’avons plus hésité à dire que notre oreille percevait directement des
différences
de quantité. Mais le son resterait qualité pure,
va plus loin, car une conscience attentive trouverait sans peine des
différences
spécifiques entre les diverses sensations de chal
en mesurent la cause extérieure : comment n’établirions-nous pas des
différences
quantitatives analogues entre les sensations qui
deur sont autant d’espèces de ces deux genres. Il faut ajouter que la
différence
de qualité se traduit spontanément ici en différe
t ajouter que la différence de qualité se traduit spontanément ici en
différence
de quantité, à cause de l’effort plus ou moins ét
que ma conscience localise ailleurs que dans le mouvement lui-même la
différence
entre la seconde série de sensations et la premiè
onde série de sensations et la première. Elle matérialise alors cette
différence
à l’extrémité du bras qui se meut ; elle se persu
e, et qu’il prétend mesurer. Tantôt il procédera à une intégration de
différences
infiniment petites, selon la méthode de Fechner ;
ple, est à égale distance du vert et du rouge. Seulement il y a cette
différence
que, dans toute notre expérience passée, la succe
nution progressive d’éclairage. De là vient que nous faisons pour les
différences
d’éclat ce que nous ne songeons pas à faire pour
les différences d’éclat ce que nous ne songeons pas à faire pour les
différences
de coloration : nous érigeons les changements de
préciation soient d’autant plus marqués qu’on augmentera davantage la
différence
d’éclat entre les anneaux A et B, car un effort d
ux tableaux dressés par M. Delbœuf 22. A mesure qu’il fait croître la
différence
d’éclat entre l’anneau extérieur et l’anneau moye
croître d’une manière continue la quantité objective de lumière, les
différences
entre les teintes grises successivement obtenues,
re, les différences entre les teintes grises successivement obtenues,
différences
qui traduisent chacune le plus petit accroissemen
n peut égaler l’une quelconque des sensations obtenues à la somme des
différences
qui séparent les unes des autres les sensations a
même nature qu’il faut ajouter à la première pour qu’une sensation de
différence
se produise, on aurait : ΔE/E=const. Cette formul
), C étant une quantité constante. On convient enfin de remplacer les
différences
très petites ΔS et ΔE par les différences infinim
ient enfin de remplacer les différences très petites ΔS et ΔE par les
différences
infiniment petites dS et dE, d’où une équation ce
les que si quelque fond identique demeure après l’élimination de leur
différence
qualitative ; et, d’autre part, cette différence
’élimination de leur différence qualitative ; et, d’autre part, cette
différence
qualitative étant tout ce que nous sentons, on ne
tation croît d’une manière continue, il n’a pas hésité à désigner ces
différences
de sensation par le même nom : ce sont des différ
à désigner ces différences de sensation par le même nom : ce sont des
différences
minima, en effet, puisqu’elles correspondent chac
us pouvez faire abstraction de la nuance ou qualité spécifique de ces
différences
successives ; un fond commun demeurera par où ell
dition suivra naturellement. Car si l’on traite comme une quantité la
différence
aperçue par la conscience entre deux sensations q
sidérer toute sensation S comme une somme, obtenue par l’addition des
différences
minima que l’on traverse avant de l’atteindre. Il
utiliser cette double définition pour établir une relation entre les
différences
ΔS+DE d’abord, puis, par l’intermédiaire des diff
que les mathématiciens pourront protester ici contre le passage de la
différence
à la différentielle ; les psychologues se demande
e la cause : mais quel rapport établir entre cet avertissement et une
différence
? Sans doute l’avertissement consiste ici en ce q
t devenu S′ ; mais pour que le passage de S à S′ fût comparable à une
différence
arithmétique, il faudrait que j’eusse conscience,
si S et S′ étaient des nombres, je pourrais affirmer la réalité de la
différence
S′ — S, lors même que S′ et S seraient seuls donn
conventionnel. Dans le premier cas, vous trouverez entre S et S′ une
différence
analogue à celle des nuances de l’arc-en-ciel, et
le ΔS, si vous voulez, mais c’est par convention que vous parlerez de
différence
arithmétique, par convention aussi que vous assim
′, alors que de l’une à l’autre il y a simplement passage, et non pas
différence
au sens arithmétique du mot. Mais si les deux ter
en outre du passage ; et quoique le contraste ne soit pas encore une
différence
arithmétique, il y ressemble par un certain côté
s l’effet, et que l’idée de contraste viendra se fondre dans celle de
différence
arithmétique. Comme, d’autre part, nous aurons re
airement de jalons. En résumé, le contraste nous apparaîtra comme une
différence
, l’excitation comme une quantité, le saut brusque
é, combinant ces trois facteurs ensemble, nous aboutirons à l’idée de
différences
quantitatives égales. Or, nulle part ces conditio
ations qui se pourraient intercaler entre deux sensations données. La
différence
n’est donc pas aussi considérable qu’on le croit
e le système reproducteur a tout autant pour fonction de produire des
différences
individuelles ou de légères variations, que d’ass
déterminée dans l’ordre de la nature. Quel est l’effet direct que les
différences
de climat, de nourriture, etc., peuvent produire
ils ont vécu a été plus rude. Mais qui peut dire quelle part de cette
différence
doit être attribuée à ce que les animaux les plus
és comme supportant de préférence, soit un climat, soit un autre. Ces
différences
innées apparaissent d’une manière frappante dans
ces variétés sont d’origine très récente, elles ne peuvent devoir ces
différences
de constitution à l’habituation. L’Artichaut de J
ntée. Qu’on ne suppose pas non plus qu’il n’apparaisse jamais aucunes
différences
dans la constitution des jeunes plantules de Hari
de leur utilité et par conséquent de la sélection naturelle, c’est la
différence
si marquée qu’on observe entre les fleurs extérie
leurs centrales de quelques Composées et Ombellifères. Chacun sait la
différence
qui existe chez la Pâquerette, par exemple, entre
entre les fleurons de la circonférence et les fleurs du centre. Cette
différence
est souvent accompagnée de l’avortement de quelqu
nt, ainsi que l’a constaté Cassini. Quelques auteurs ont attribué ces
différences
à la pression, et la forme des graines produites
re qui leur est destinée ; mais, chez certaines Composées, il y a une
différence
entre les graines du pourtour et du centre, sans
ne différence entre les graines du pourtour et du centre, sans aucune
différence
entre les corolles. Néanmoins plusieurs de ces di
sans aucune différence entre les corolles. Néanmoins plusieurs de ces
différences
peuvent provenir de ce que la sève afflue inégale
ux pétales supérieurs, le nectaire n’est que raccourci. À l’égard des
différences
qu’on observe dans les capitules ou les ombelles
plantes, la sélection naturelle peut être intervenue. Mais quant aux
différences
dans la structure interne ou externe des graines,
ant aux différences dans la structure interne ou externe des graines,
différences
qui ne semblent pas toujours en rapport direct av
s, différences qui ne semblent pas toujours en rapport direct avec la
différence
des fleurs, il me paraît impossible qu’elles soie
quelque avantage à la plante83. Cependant parmi les Ombellifères ces
différences
sont d’une importance si évidente, qu’Auguste-Pyr
loppés. Mais que l’extension de cette règle ne soit pas limitée à des
différences
purement sexuelles, c’est ce que prouve avec tout
les individus de plusieurs de ces espèces, elles présentent de telles
différences
qu’on peut dire sans exagération que certaines va
tions de type. Ainsi, chez nos races de Pigeons, quelles prodigieuses
différences
n’observe-t-on pas dans le bec des Culbutants, da
partie de l’organisation. On peut comparer, par exemple, la somme des
différences
qui existent entre les mâles des Gallinacés, chez
ondaires se déploient d’une manière si remarquable, avec la somme des
différences
qui distinguent les femelles, et l’on ne conteste
donner rapidement aux espèces du même groupe une plus grande somme de
différences
dans leurs caractères sexuels que dans toute autr
utre partie de leur organisation88. C’est un fait remarquable que les
différences
secondaires entre les deux sexes de la même espèc
fait, les premiers que je trouve inscrits sur ma liste, et comme les
différences
y sont de nature fort étrange, leur connexion ave
ar les antennes antérieures et par la cinquième paire de pattes ; les
différences
spécifiques sont aussi principalement tirées de c
ue espèce ; mais que ces mêmes caractères présentent aussi de grandes
différences
entre les espèces proche-alliées, et que, chez un
es espèces proche-alliées, et que, chez un même groupe d’espèces, les
différences
sexuelles affectent généralement les mêmes partie
es affectent généralement les mêmes parties de l’organisation que les
différences
spécifiques. Or, ces diverses lois sont en étroit
les mêmes lois paraissent avoir agi pour produire, soit les moindres
différences
qui distinguent les variétés, soit les différence
soit les moindres différences qui distinguent les variétés, soit les
différences
plus grandes qui caractérisent et séparent les un
causé quelques modifications légères. Les habitudes en produisant des
différences
de constitution, le fréquent usage des organes en
me groupe. La variabilité des mêmes organes a généralement fourni les
différences
sexuelles entre les individus d’une même espèce e
es différences sexuelles entre les individus d’une même espèce et les
différences
spécifiques entre les espèces du même genre. Tout
nieuse de la nature. Quelle que puisse être la cause de chaque légère
différence
produite dans la postérité de communs parents, no
es ; et c’est l’accumulation constante par sélection naturelle de ces
différences
, lorsqu’elles sont avantageuses à l’individu, qui
ou inutiles, des organes de défense ou d’attaque, et, en général, des
différences
sexuelles affectant le squelette lui-même. Mais l
ces caractères sont presque toujours analogues, dans une espèce, aux
différences
purement individuelles qui distinguent ces divers
utiles, puisqu’ils ne sont jamais autre chose qu’une augmentation des
différences
individuelles indifférentes, et comme telles deme
ccasions d’agir. C’est pourquoi les espèces qui présentent de grandes
différences
sexuelles doivent aussi, en ce qui concerne ces m
celle qui les réduit à la loi unique de l’association, il y a la même
différence
, selon nous, qu’entre la physique qui attribue le
etc., c’est combiner des idées d’une manière déterminée ; et que les
différences
de facultés ne sont que des différences d’associa
nière déterminée ; et que les différences de facultés ne sont que des
différences
d’association. Elle explique tous les faits intel
rimitifs et fondamentaux de l’intelligence sont : la conscience de la
différence
, la conscience de la ressemblance et la rétentivi
enir. Le fait le plus primitif de la pensée, c’est donc le sens de la
différence
ou discrimination ; il consiste à voir que deux s
e conscience. S’il y a deux sensations successives et entre elles une
différence
de nature, moins encore, un simple hiatus entre d
ple hiatus entre deux moments d’une même sensation, moins encore, une
différence
d’intensité, alors il se produit une conscience p
peine, mais qui sont importants comme transitions, c’est-à-dire comme
différences
. La discrimination est le fondement de l’associat
raste. Quand l’intelligence s’est éveillée à la vie en saisissant une
différence
, que fait-elle ? elle la retient. La rétentivité
ivité est donc l’état qui succède immédiatement à la conscience de la
différence
. Elle consiste dans la persistance des impression
e concevoir une sensation et la percevoir réellement, il n’y a qu’une
différence
de degré. Et comme la sensation a son siège dans
énergies et d’activités particulières qui nous sont propres. Toute la
différence
entre une sensation idéale et une sensation actue
entre des agrégats continus, coexistants ; par exemple, on oublie les
différences
qui séparent un cheval, une chute d’eau, une mach
comme étant, les uns aussi bien que les autres, des hommes. Sous les
différences
que maintiennent entre eux les sociétés particuli
ité des hommes entraînerait-elle nécessairement la méconnaissance des
différences
qui séparent les individus ? Décréter a priori de
et préjugées. Mais est-il empêché, du même coup, de tenir compte des
différences
individuelles établies par l’expérience ? Au cont
ntraire qu’on tienne compte et qu’on tienne compte seulement de leurs
différences
individuelles. Déduire des commandements de l’éga
nt les mêmes pour tous les individus : qui veut mesurer exactement la
différence
de deux forces les fait partir du même niveau. De
veau. De ce point de vue, s’il est faux que l’égalitarisme, niant les
différences
des individus, vise à supprimer leur concurrence,
umanité et celle de l’individualité, — comme telles tenant compte des
différences
des hommes en même temps que de leurs ressemblanc
ribuées à une ou plusieurs espèces. — IV. Pigeons domestiques ; leurs
différences
et leur origine. — V. Principe de sélection appli
ollen. Or, la plupart des physiologistes admettent qu’il n’y a aucune
différence
essentielle entre un bourgeon et un ovule dans le
genre, dans leur organisation générale, elles présentent souvent des
différences
extrêmes dans un seul de leurs organes, soit qu’o
, on verra que nous ne pouvons espérer de rencontrer très souvent des
différences
génériques dans nos productions domestiques. D’ai
ons domestiques. D’ailleurs, dès qu’on essaye d’estimer la valeur des
différences
de structure qui distinguent nos races domestique
ne crois pas, et l’on verra tout à l’heure pourquoi, que la somme des
différences
constatées entre nos diverses races de Chiens se
à l’état de domesticité ; je pense, au contraire, qu’une part de ces
différences
est due à ce que nos races canines descendent de
t à courte face (Tumbler, C. gyratrix), on verra quelles surprenantes
différences
dans leur bec amènent des différences corresponda
, on verra quelles surprenantes différences dans leur bec amènent des
différences
correspondantes dans leur crâne. Le Messager, et
comme il les appellerait sans aucun doute. Si grandes que soient les
différences
entre les races de Pigeons, je me range pleinemen
s reçoivent de leurs observations constantes un sentiment profond des
différences
qui caractérisent les races, et quoique sachant b
’ils ne gagnent des prix dans les concours qu’au moyen de ces légères
différences
choisies avec soin, cependant ils négligent toute
te généralisation et se refusent à évaluer en leur esprit la somme de
différences
légères accumulées pendant un grand nombre de gén
des ; mais il serait bien hardi d’attribuer à de pareilles causes les
différences
du Cheval de trait et du Cheval de course, du Lév
déterminée, et pendant un grand nombre de générations successives, de
différences
absolument inappréciables pour des yeux non exerc
, de différences absolument inappréciables pour des yeux non exercés,
différences
que j’ai moi-même tenté en vain d’apercevoir. À p
n forme, en villosité ! et cependant les fleurs ne présentent que des
différences
insignifiantes ! Ce n’est pas que les variétés qu
t il ne faut jamais oublier l’importance, causeront toujours quelques
différences
; mais, en règle générale, je ne saurais douter q
ait jamais mélangé le pur sang de la race Bakewell ; et cependant la
différence
entre les Moutons de M. Buckley et ceux de M. Bur
tions de vie, des individus de la même espèce, ayant quelques légères
différences
de constitution ou de structure, peuvent souvent
e leur caractère si fréquemment anormal, de même que de leurs grandes
différences
extérieures, relativement aux légères différences
ue de leurs grandes différences extérieures, relativement aux légères
différences
de leurs organes internes. C’est que l’homme ne s
très apparente pour attirer l’attention d’un amateur. De très petites
différences
frappent tout d’abord un œil exercé, et il est de
ne faut pas juger non plus de la valeur accordée d’abord à de légères
différences
accidentelles chez un seul individu d’une espèce,
e, puisqu’il fournit des matériaux à l’action sélective, bien que des
différences
purement individuelles soient amplement suffisant
as d’une souche unique, lors même qu’on ne supposerait que de légères
différences
entre les diverses souches originaires dont le sa
éorie de la conscience épiphénomène de la vie sociale. La cause de la
différence
entre les animaux et l’homme n’est nullement la s
t autre que la vie sociale. « La condition essentielle qui établit la
différence
entre l’homme et les animaux vient de ce que l’ho
rimitive a cédé la place à une plasticité croissante. Ainsi, voilà la
différence
cérébrale entre l’homme et l’animal ramenée à une
voilà la différence cérébrale entre l’homme et l’animal ramenée à une
différence
de milieu social. Comme la physiologie dont elle
terminisme social7. » Ainsi, par le processus social s’évanouit toute
différence
, toute inégalité et toute diversité originelles e
aunes, les races noires et les races blanches, il est évident que les
différences
physiques de ces races sont accompagnées de diffé
ident que les différences physiques de ces races sont accompagnées de
différences
intellectuelles. Ces différences ont été admirabl
es de ces races sont accompagnées de différences intellectuelles. Ces
différences
ont été admirablement étudiées par de Gobineau da
ini de dispositions singulières. Sous l’influence des métissages, les
différences
physiologiques se sont multipliées à l’infini et
nces physiologiques se sont multipliées à l’infini et ont produit des
différences
intellectuelles natives que M. Draghicesco juge à
ir le droit d’oublier les travaux des physiologistes modernes sur les
différences
intellectuelles produites par l’hérédité. Il les
e à déterminer, il est vrai, et à mesurer dans le détail. Beaucoup de
différences
dues à l’hérédité ont leur origine dans des diffé
. Beaucoup de différences dues à l’hérédité ont leur origine dans des
différences
de races. C’en est assez pour qu’on soit fondé à
M. Draghicesco admis, le lecteur ne peut plus affirmer qu’il y a une
différence
réelle entre le cantonnier et Renan. Nous arrivon
on courante chez ceux qui ont la pratique de renseignement : l’énorme
différence
dans la puissance d’attention qu’on peut remarque
dans la puissance d’attention qu’on peut remarquer chez les enfants,
différence
qui a sans aucun doute sa racine dans l’organisat
te qu’en dépit de leur désir d’uniformité, il subsistait toujours des
différences
entre deux façons de penser. Résignés à cette fat
moins), elle exprime notre moi individuel ; elle nous éclaire sur les
différences
ou les oppositions qui nous séparent des autres e
les uniques à l’affirmation de leur originalité. Et il ne fait aucune
différence
de qualité ni de valeur entre les originalités hu
urs leur pensée. L’individualisme aristocratique présente de notables
différences
avec l’individualisme stirnérien. L’individualism
r de la culture, la raison d’être de l’effort intelligent. On voit la
différence
qui existe entre cet individualisme et l’individu
à fond sans merci toutes ses idées et toutes ses croyances. Mais les
différences
que nous avons établies tout à l’heure entre l’in
peut faire abstraction de ces considérations. Car comment établir des
différences
de valeur entre les intelligences et entre les pe
érations d’utilité sociale et de culture humaine. Par suite, dernière
différence
, l’individualisme stirnérien implique une antinom
t 67 8. Draghicesco, op. cit., p. 140. 9. M. Draghicesco note cette
différence
: Les choses qui nous sont hostiles dans le monde
effets de leur sélection systématique ; cependant, en pareil cas, les
différences
individuelles qu’ils choisissent dans un but part
rands résultats en accumulant seulement dans une direction donnée des
différences
individuelles, de même la sélection naturelle peu
elles, de même la sélection naturelle peut agir à l’aide de ces mêmes
différences
, et d’autant plus aisément qu’elle dispose d’un l
es vivants. Elle peut agir, sur chaque organe interne, sur la moindre
différence
d’organisation ou sur le mécanisme vital tout ent
tre immédiatement utile. Sous la loi de nature, la plus insignifiante
différence
de structure ou de constitution suffit à faire pe
t la chair est autrement colorée. Si, malgré le secours de l’art, des
différences
si légères décident du sort des variétés cultivée
utter contre d’autres arbres et contre une armée d’ennemis, ces mêmes
différences
doivent évidemment suffire à décider quelle varié
tera finalement sur les autres. Lorsqu’il s’agit d’évaluer de légères
différences
entre les espèces, il ne faut pas oublier que le
bitudes, mais diffèrent en conformation, en couleur ou en parure, ces
différences
résultent principalement de la sélection sexuelle
mâle exclusivement. Cependant je ne voudrais pas attribuer toutes les
différences
sexuelles à cette cause ; car nous voyons se prod
osition n’a rien d’improbable : car on observe fréquemment de grandes
différences
dans les tendances innées de nos animaux domestiq
Cependant si tous les hermaphrodites se croisent de temps à autre, la
différence
entre les hermaphrodites et les espèces unisexuel
able à l’action sélective de la nature ; mais il est probable que des
différences
purement individuelles lui suffisent pour produir
je les ai nommées, des espèces naissantes. Comment alors les moindres
différences
qui séparent les variétés s’accroissent-elles jus
es qui séparent les variétés s’accroissent-elles jusqu’à produire les
différences
plus grandes qui distinguent les espèces ? Il fau
és des espèces distinctes futures, ne présentent généralement que des
différences
mal définies. Le hasard seul, ou ce qu’on appelle
ien qu’à un plus haut degré. Mais on ne saurait expliquer de même des
différences
aussi considérables et aussi générales que celles
vites, et d’autres, les Chevaux les plus trapus et les plus forts. La
différence
première était peut-être insignifiante ; mais, da
ains éleveurs, et des plus robustes par les autres, a dû rendre cette
différence
assez prononcée pour qu’elle formât deux sous-rac
devenues deux races permanentes et bien distinctes. À mesure que ces
différences
devenaient plus frappantes, les sujets inférieurs
ce des caractères. Cette loi a pour effet d’augmenter constamment des
différences
d’abord à peine appréciables, et de faire diverge
, les avantages provenant de la diversité de structure, ainsi que les
différences
correspondantes de constitution et d’habitudes, f
variations divergentes d’organisation, s’élevant jusqu’à de nouvelles
différences
génériques, leur auraient été avantageuses. La di
: la figure donne donc un exemple des degrés par lesquels les petites
différences
qui distinguent les variétés s’accroissent jusqu’
nces qui distinguent les variétés s’accroissent jusqu’à présenter les
différences
plus profondes qui distinguent les espèces. En co
caractères qui résulte de la sélection naturelle, la somme totale des
différences
d’organisation entre les espèces extrêmes a14 et
ar suite de la divergence longtemps continuée des caractères et de la
différence
première de leurs types héréditaires distincts, s
e la beauté réellement merveilleuse de leur organisation. Les grandes
différences
qu’on observe entre les degrés divers d’organisat
parties de l’organisation. Mais il n’est pas probable que toutes ces
différences
se soient produites à la fois, et les lois mystér
ant les autres parties de leur organisation offrent toujours quelques
différences
. Le savant Allemand fait une autre objection d’un
questions. Mais, d’après l’hypothèse des créations indépendantes, ces
différences
n’ont-elles aucune raison d’être ? Qu’elles aient
porter sur leurs rivaux dans la bataille de la vie. Aussi les petites
différences
qui distinguent les variétés de la même espèce te
ce tendent constamment à s’accroître, jusqu’à ce qu’elles égalent les
différences
plus profondes qui séparent les espèces du même g
texte de la troisième édition anglaise, on lisait au contraire : « La
différence
de longueur de la corolle qui détermine, ou prévi
ne l’admet pas pour les relations de causalité, de ressemblance et de
différence
, etc., qui ne sont plus des reflets du dehors, ma
t bientôt ruiné ; un animal qui croirait les effets sans causes ou la
différence
des effets produite par les mêmes causes, et qui
, et par conséquent de toute expérience, c’est donc l’aperception des
différences
et des ressemblances, d’une certaine identité dan
les phénomènes, par la proportion de leurs ressemblances et de leurs
différences
, rentrent dans des classes ou genres, et qu’on pu
que, par conséquent, il y aura partout une certaine identité sous les
différences
, qui lui permette à la fois de distinguer et d’un
ple un son subit au milieu du silence, est lui-même un phénomène ; la
différence
, avec le choc qu’elle cause en nous et le sentime
out changement actuel éveille l’idée d’un changement précédent, toute
différence
qui se produit implique pour nous une autre diffé
écédent, toute différence qui se produit implique pour nous une autre
différence
. Au contraire, quand tout demeure identique, nous
que, nous ne cherchons pas derrière cette identité un changement, une
différence
: nous nous y reposons. Mais tout cela n’est enco
ant, mais nous avons pour conséquence le contraire du néant. La seule
différence
qui pourrait motiver ce changement absolu, c’est
seule différence qui pourrait motiver ce changement absolu, c’est la
différence
de temps. Mais le temps est une abstraction ou un
ur réel, et que les mêmes principes subsisteront identiques malgré la
différence
du temps. Il faut donc considérer le temps réalis
tant et les mêmes causes A, B, C… à un autre instant, il n’y a qu’une
différence
de temps ; d’autre part, nous voyons que les même
ffets a, b, c… pendant un certain laps de temps appréciable ; donc la
différence
du temps n’a pas entraîné de différence dans les
e temps appréciable ; donc la différence du temps n’a pas entraîné de
différence
dans les effets. Dès lors, si les mêmes causes re
s effets. Dès lors, si les mêmes causes reparaissent avec cette seule
différence
de temps qui s’est montrée de fait indifférente,
rectrice d’identité aux choses successives. Il en est de même pour la
différence
de position dans l’espace, qui, à elle seule, est
e n’est pas l’identité qui a pour nous besoin d’explication, c’est la
différence
. Non seulement donc, si les causes sont les mêmes
ifférencie nécessairement des impressions différentes, en vertu de la
différence
même du siège cérébral. Grâce à cette assimilatio
issitude de tronçons séparés. Une séquence de ressemblances parmi des
différences
, voilà le processus de la conscience, de l’associ
, nous cherchons des principes semblables ; là où nous saisissons des
différences
, nous cherchons des principes différents. L’encha
. L’uniformité de la nature n’est que ce tissu de dissemblances et de
différences
. Notre conscience et la nature se répondent. — Ma
la pensée, par le principe de causalité efficiente nous maintenons la
différence
du réel et du pensé, tout au moins du réel et de
; mais dans une autre division elles diffèrent extrêmement, et leurs
différences
sont d’une valeur tout à fait subordonnée en clas
nt eu pour résultat de découvrir entre leurs divers représentants des
différences
importantes de structure d’abord négligées à tort
lement que de nombreuses espèces alliées, présentant divers degrés de
différences
, ont été subséquemment découvertes. Toutes les di
rand nombre de langues ou de dialectes modernes. Les divers degrés de
différence
entre les langues de même souche seraient exprimé
pose qu’on les placerait dans le groupe Nègre, quelles que soient les
différences
de couleur, ou autres plus importantes, qui les d
er sous une même espèce les individus d’origine identique, malgré les
différences
considérables que présentent souvent, soit les mâ
te l’étendue, afin de donner aussi une idée générale de la valeur des
différences
qui les distinguent. C’est ce que nous serions co
nres, de famille, d’ordre, etc., n’expriment que les divers degrés de
différence
entre les descendants d’un commun ancêtre, nous p
excepté ceux de la reproduction. Nous sommes si accoutumés à voir des
différences
de structure entre l’embryon et l’adulte, en même
nc expliquer ces divers faits de l’embryologie ? Comment expliquer la
différence
si générale, mais non pas universelle, qu’on obse
ement de la même souche sauvage. J’étais donc curieux de voir quelles
différences
on pouvait observer dans leurs petits. Des éleveu
e constatai que ces derniers étaient loin d’avoir acquis toutes leurs
différences
proportionnelles. On m’avait dit aussi que les po
e : ce qui me surprenait énormément, admettant comme probable que les
différences
entre ces deux races sont entièrement le résultat
’ai reconnu que ces derniers étaient bien loin de présenter les mêmes
différences
proportionnelles. Comme il me semblait suffisamme
butants. Quelques-uns de ces oiseaux, à l’état adulte, présentent des
différences
si considérables dans la longueur et la forme de
ux pussent aisément se distinguer les uns des autres, néanmoins leurs
différences
proportionnelles, en chacun de leurs caractères l
nsidérables et moins frappantes que chez les sujets adultes. Quelques
différences
très caractéristiques, telles que la largeur du b
les précédents, surtout à l’égard du Pigeon, semblent montrer que les
différences
caractéristiques qui donnent de la valeur à chaqu
ourte face prouve que cette. règle n’est pas universelle, car, ou les
différences
caractéristiques doivent avoir apparu à une pério
nt avoir apparu à une période plus hâtive que de coutume, ou bien ces
différences
, au lieu de s’être transmises à l’âge corresponda
urelle, aussi différents des adultes qu’on peut l’imaginer. De telles
différences
peuvent aussi se montrer en corrélation avec les
. Lorsque deux groupes d’animaux, quelles que soient actuellement les
différences
de leur organisation ou de leurs habitudes, passe
même sans aucune utilité, comme les organes rudimentaires ; la grande
différence
de valeur entre les caractères analogiques ou d’a
divers âges et même les variétés reconnues, quelles que fussent leurs
différences
de structure et d’organisation. Si l’on étend l’u
arbre généalogique des formes vivantes ; et que les degrés divers des
différences
acquises s’expriment par les termes de variétés,
n même nom collectif, qui fait seulement abstraction de leurs légères
différences
individuelles, ne serait-ce que de cette différen
de leurs légères différences individuelles, ne serait-ce que de cette
différence
primordiale qui distingue logiquement deux indivi
uences sociales et qui conclut de là à l’impossibilité de réduire les
différences
sentimentales non moins que les différences intel
ossibilité de réduire les différences sentimentales non moins que les
différences
intellectuelles. Les sociologues s’efforcent de m
tes nient absolument le pouvoir de l’éducation. Dans la mesure où les
différences
sentimentales entre individus tiennent à des diff
esure où les différences sentimentales entre individus tiennent à des
différences
de culture, l’éducation peut assurément tenter de
rences de culture, l’éducation peut assurément tenter de diminuer ces
différences
et d’uniformiser les sensibilités. Mais il ne fau
. L’individualisme stirnérien est une revendication en faveur de la «
différence
» affective, de l’originalité sentimentale quelle
nt. Il conviendrait encore, du moment où on se pose en champion de la
différence
humaine et de l’originalité, d’avoir des désirs v
usse indistinctement toutes les formes d’altruisme. Il ne fait aucune
différence
entre l’altruisme grégaire, expression de la brut
artmann. Les plaisirs et les douleurs n’ont-ils par eux-mêmes aucunes
différences
qualitatives, mais seulement des différences quan
ls par eux-mêmes aucunes différences qualitatives, mais seulement des
différences
quantitatives ? — II. Rapport du plaisir et de la
eur communiquent une couleur distinctive et établissent entre eux des
différences
discernables. Par exemple, le plaisir de la faim
eux-mêmes, peuvent bien présenter divers degrés de force, mais aucune
différence
de qualité. A intensité égale, la douleur peut êt
irs divers que l’on peut se procurer avec la même somme d’argent. Les
différences
qualitatives du plaisir et de la douleur tiennent
radical de l’action, il n’en résulte nullement qu’il n’existe aucune
différence
de qualité entre les différents plaisirs comme pl
essentielle que de Hartmann lui attribue. D’abord, il y au moins une
différence
de qualité indéniable qui appartient bien en prop
able qui appartient bien en propre à la sensibilité même, à savoir la
différence
du plaisir et de la peine : ce n’est pas avec des
cevoir. Maintenant, pourquoi ne pas admettre dans le plaisir même des
différences
de qualité qui ne soient pas indifférentes ? S’il
ue ces deux événements pussent produire dans la douleur une si grande
différence
, même d’intensité ? Nous n’avons pas d’un côté un
loppant, elle est obligée de faire attention aux ressemblances ou aux
différences
, à l’ordre des phénomènes, et elle finit par y fa
de la conscience avec le sentiment de l’existence individuelle99. La
différence
entre l’attention et la conscience pure et simple
ouïe, la vue, l’odorat, le goût gagnent en finesse et distinguent des
différences
qui, sans cela, n’auraient pas été distinctes ; c
ne nous garantit que, par un accroissement graduel d’attention, toute
différence
des sensations doive devenir pour nous reconnaiss
esurable. Dans la sensation de tonalité, si on rend assez petites les
différences
dans le nombre des vibrations, on obtient une sér
rait une seule sensation de son. Il y a donc entre les sensations des
différences
plus petites que les plus petites différences ape
ntre les sensations des différences plus petites que les plus petites
différences
aperceptibles. Et non seulement il y a des différ
s plus petites différences aperceptibles. Et non seulement il y a des
différences
de sensations senties, quoique non notées et aper
mple du jugement n’est autre que l’aperception d’un changement, d’une
différence
. L’animal, dans l’immobilité, voit tout d’un coup
tressaillement, une mise en garde de l’être animé. L’aperception des
différences
précède nécessairement celle des ressemblances, c
rique. Là où il y a pluralité aperçue, il y a discernement de quelque
différence
, et toute ressemblance suppose pluralité. L’aperc
rception de la ressemblance suit d’ailleurs immédiatement celle de la
différence
et achève le jugement. Dès que l’animal entend un
es espèces ; il ne se préoccupe que des qualités des choses, de leurs
différences
, des changements qu’elles impliquent ou produisen
; ce qui suppose une série de raisonnements où l’on tient compte des
différences
, des ressemblances et de leurs rapports selon les
tion subjective d’un certain mode de sentir et de réagir : contraste,
différence
, ressemblance, etc., avec les mouvements corrélat
e est d’abord, nous l’avons dit, l’aperception d’une nouveauté, d’une
différence
; par exemple, un rocher que l’animal avait toujo
que nous retrouvons au fond de toute pensée, avec la perception de la
différence
. L’enfant, apercevant une ressemblance entre la s
re, etc. (en un mot tous les cas positifs) ; 2° à la perception d’une
différence
entre le nombre des faits positifs et celui des f
c’est là raisonner ; car je n’ai besoin que de faire abstraction des
différences
et de considérer les ressemblances pour obtenir u
xpériences. Supposons qu’il se brûle deux ou trois fois. Dès lors, la
différence
de temps, s’il arrive à la concevoir, n’a pas eu
te induction : 1° conception d’une similitude dans l’avenir malgré la
différence
de temps, ou hypothèse ; 2° vérification de la no
aisons semblables. De même, si nous reconnaissons dans ces objets des
différences
, nous sommes aussi autorisés à conclure qu’ils so
est que les raisons des ressemblances l’emportent sur les raisons des
différences
. Tels sont les principes à l’aide desquels on jus
il n’y a point de conscience distincte sans la perception de quelque
différence
ou de quelque ressemblance, conséquemment sans un
a reproduit cette objection. On peut répondre, d’abord, qu’il y a une
différence
notable entre un petit coup et un souvenir de cou
c pas étonnant que nous arrivions à distinguer tout de suite, par une
différence
de qualités, ce qui est perception actuelle de ce
ciente de soi, il faut que nous puissions apercevoir tout ensemble la
différence
et la ressemblance du nouveau avec l’ancien, de l
outumé avec le familier. Reconnaître, c’est donc saisir à la fois des
différences
et des ressemblances, saisir des rapports, compar
termes, il faut dans la mémoire une certaine synthèse simultanée des
différences
successives. Spencer lui-même finit par reconnaît
les, n’est toujours point la perception ni de la régularité, ni de la
différence
, ni de la ressemblance : il n’est ni une conscien
s d’un ensemble complexe à développement continu. Voilà pourquoi leur
différence
réelle est en même temps une différence sentie, q
continu. Voilà pourquoi leur différence réelle est en même temps une
différence
sentie, que je pourrai ensuite dégager et abstrai
blit entre l’image mnémonique du plaisir et la réalité du plaisir une
différence
, et cette différence est appréciable pour la cons
émonique du plaisir et la réalité du plaisir une différence, et cette
différence
est appréciable pour la conscience par son caract
ontraire celui où elle reconnaît, et il a lieu lorsqu’au sentiment de
différence
succède celui de similitude. Dans ce second senti
font contraste au grand soleil mon corps et son ombre, parce que les
différences
sont données ensemble et éclairées d’une même lum
En outre, nous l’avons montré, la conscience des ressemblances et des
différences
, qui fait le fond de la reconnaissance, vient de
ncentrée et multipliée pour mériter le nom de conscience. C’est là la
différence
de l’art naturel et de l’art humain. Aux yeux du
n, en ce sens qu’il n’y a aucun moyen de traduire mathématiquement la
différence
entre les deux. Mais il ne faudrait pas conclure
comme simultanés ; mais les choses se passent de telle manière que la
différence
L2 — c2 T2 reste constante. C’est cette différen
le manière que la différence L2 — c2 T2 reste constante. C’est cette
différence
que j’appelais autrefois l 2. » Ainsi, prenant c
2, apparaîtrait à un observateur fictif en S comme la constance de la
différence
entre le carré d’un espace et le carré d’un temps
— t′₁ = 0 ; nous l’aurions ainsi résorbée dans la succession ; toute
différence
de nature eût encore été abolie entre les mesures
e somme de 4, 5, 6…. n carrés, chacun de ces carrés étant celui de la
différence
entre les distances des points A′ et B′ à l’un de
rés que nous aurons affaire. Convenons d’appeler équation les quatre
différences
équation , équation , équation , équation qu
it une dimension comme les autres. Nous devrons tenir compte de cette
différence
caractéristique, qui nous a préoccupé déjà et sur
sur lequel se déroulerait la cinématographie de l’univers, avec cette
différence
toutefois qu’il n’y a pas ici de cinématographe e
nd il faisait dire à son « voyageur dans le Temps » : Il n’y a aucune
différence
entre le Temps et l’Espace, sinon que le long du
représente plus que sous une forme abstraite comme l’invariance d’une
différence
entre deux carrés L2 et c 2T2, qui seraient seuls
ne dimension, nous n’avons pas de peine à traduire géométriquement la
différence
entre ces deux conceptions ; car dans l’Espace à
quand on se suppose à l’intérieur du système S, il n’y aurait pas une
différence
de nature. La ligne droite A′ B′ serait une ligne
assant du temps et le temps ramassant de l’espace, l’invariance de la
différence
équation pour toutes les vitesses attribuées au
t ensemble ou, plus précisément, l’invariance ne sera transférée à la
différence
équation que pour nos observateurs fantasmatiqu
nconnue d’après cet indice. — Méthode des concordances. — Méthode des
différences
. — Méthode des variations concomitantes. — Divers
ves pour les théorèmes des sciences dites de construction. Exemple. —
Différence
des deux méthodes de preuve. — Les axiomes sont d
nalytiques. — Principe de l’inertie. — Énoncé exact de l’axiome. — La
différence
de lieu et d’instant est sans influence ou nulle,
récautions à prendre dans l’application de nos cadres à la réalité. —
Différence
possible entre l’espace géométrique et l’espace p
Toutes les eaux sont froides. Un peu plus tard encore, il néglige les
différences
des diverses représentations et ne garde en lui q
point nos inconnues ; on doit donc les éliminer. — Or telles sont les
différences
de deux cas qui tous les deux présentent le carac
on doit donc les éliminer ; en d’autres termes, on doit éliminer les
différences
. Cette élimination faite, reste la portion commun
onnu, et nous les choisissons aussi différents que possible. Plus ces
différences
seront grandes, plus l’élimination sera vaste. Pl
le singe, le cheval, le rat, l’ornithorynque ; qu’on retranche leurs
différences
. Après cette élimination énorme, il ne restera qu
dent cherché. Telle est la première méthode ; par elle, on exclut les
différences
des cas considérés, ce qui met à part leurs resse
la retourner pour en posséder une autre, nommée par Mill méthode des
différences
. Soit un caractère connu, et prenons deux cas, le
en définie ; cette circonstance ajoutée ou retranchée, étant la seule
différence
qui sépare les deux cas, sera la condition cherch
exclut les ressemblances des cas considérés, ce qui pose à part leurs
différences
. Elle a pour préalable le choix de deux cas disti
grande possible entre les deux cas. Elle a pour but le dégagement des
différences
. Elle a pour effet l’isolement d’un reliquat, qui
ent dans ceux où nous ne pouvons suivre rigoureusement la méthode des
différences
, ce troisième moyen est très utile et nous condui
on oscillation pendant un temps de plus en plus long, il n’y a qu’une
différence
: c’est que, dans le premier cas, les obstacles s
d’avance, et en découvrant, par l’extraction des concordances ou des
différences
, que ces antécédents sont deux diminutions ou aug
es de son antécédent. Ni la méthode ordinaire des concordances ou des
différences
, ni la méthode accessoire des résidus ou des vari
nque, car une des conditions nécessaires pour appliquer la méthode de
différence
, c’est de comparer des cas où le phénomène se ren
ffet se produit et un autre où il ne se produit point Mais, comme les
différences
qu’il y a entre le verre et les métaux polis sont
théorie se tire de l’expérience directe pratiquée selon la méthode de
différence
. Nous pouvons, en refroidissant la surface de n’i
it suivre : expérience naturelle conforme aux règles de la méthode de
différence
. » § II. — Lois qui concernent les choses po
conclusion, nous avons en main une autre méthode inductive, celle des
différences
. Sitôt que nous supprimons l’égalité des grandeur
euxième ou la première, il n’importe pas ; ce caractère qui fait leur
différence
n’a pas eu d’influence sur le mouvement : par rap
égales et successives du temps, sont exactement les mêmes, sauf cette
différence
que la seconde est après la première ; l’autre es
ence que la seconde est après la première ; l’autre est que, si cette
différence
, posée une première fois, n’a pas eu d’effet sur
ée une première fois, n’a pas eu d’effet sur le mouvement, cette même
différence
, posée une seconde fois, n’aura pas non plus d’ef
que la seconde fois elle soit absolument la même, et que nulle autre
différence
influente et nouvelle ne soit intervenue. À quoi
ant à un instant différent, avec autorité et certitude, lorsque cette
différence
, ayant manifesté son manque absolu d’influence, p
considérée par rapport au mouvement comme nulle, et que, toute autre
différence
influente étant exclue par hypothèse, les deux li
s d’une grandeur donnée, à remarquer qu’ils sont les mêmes, sauf leur
différence
de position dans la grandeur ; que cette différen
mêmes, sauf leur différence de position dans la grandeur ; que cette
différence
elle-même est indifférente, c’est-à-dire nulle d’
omme méthode des résidus. Elle n’est qu’un autre cas de la méthode de
différence
et n’a que peu d’emplois. Les trois que nous avon
les autres images, recevant et rendant du mouvement, avec cette seule
différence
, peut-être, que mon corps paraît choisir, dans un
quissent à tout moment les démarches virtuelles. Il n’y a donc qu’une
différence
de degré, il ne peut y avoir une différence de na
les. Il n’y a donc qu’une différence de degré, il ne peut y avoir une
différence
de nature, entre la faculté dite perceptive du ce
rveau à celle de la moelle pour se convaincre qu’il y a seulement une
différence
de complication, et non pas une différence de nat
re qu’il y a seulement une différence de complication, et non pas une
différence
de nature, entre les fonctions du cerveau et l’ac
ons ces choses de plus près et voyons en quoi consiste au juste cette
différence
. S’il y avait plus dans le second terme que dans
t de mirage. Cela revient à dire qu’il y a pour les images une simple
différence
de degré, et non pas de nature, entre être et êtr
te étude, qu’elles ont raison l’une et l’autre, et qu’il n’y a pas de
différence
essentielle entre cette lumière et ces mouvements
ur ainsi dire, en représentation. Il semble donc bien qu’il y ait une
différence
de degré, et non pas de nature, entre l’affection
d’accueillir l’excitation, la repousse. Et ce n’est pas seulement une
différence
de degré qui sépare la perception de l’affection,
différence de degré qui sépare la perception de l’affection, mais une
différence
de nature. Ceci posé, nous avons considéré le Cor
t-à-dire son effort actuel sur elle-même. Telle est bien, au fond, la
différence
que chacun de nous établit naturellement, spontan
r la pureté de l’image. Mais le psychologue qui ferme les yeux sur la
différence
de nature, sur la différence de fonction entre la
le psychologue qui ferme les yeux sur la différence de nature, sur la
différence
de fonction entre la perception et la sensation,
action simplement possible, — ne peut plus trouver entre elles qu’une
différence
de degré. Profitant de ce que la sensation (à cau
i bien que celle de l’esprit, est celle qui consiste à ne voir qu’une
différence
d’intensité, au lieu d’une différence de nature,
e qui consiste à ne voir qu’une différence d’intensité, au lieu d’une
différence
de nature, entre la perception pure et le souveni
par conséquent à ne trouver entre la perception et le souvenir qu’une
différence
de degré, et non plus de nature. Cette erreur a p
ar en faisant du souvenir une perception plus faible, on méconnaît la
différence
essentielle qui sépare le passé du présent, on re
a rendait pas à la fois inexplicable et inutile ! Mais dès lors toute
différence
est abolie entre la perception et le souvenir, pu
pourra donc subsister entre la perception et la mémoire qu’une simple
différence
de degré, et pas plus dans l’une que dans l’autre
u’on voudra d’un temps indéfiniment divisible. Or, où est au juste la
différence
entre la matière, telle que le réalisme le plus e
tre cette perception de la matière et la matière même il n’y a qu’une
différence
de degré, et non de nature, la perception pure ét
eux hypothèses. Dans la seconde, en effet, il ne devra y avoir qu’une
différence
d’intensité, ou plus généralement de degré, entre
rouvons qu’il n’y a pas entre le souvenir et la perception une simple
différence
de degré, mais une différence radicale de nature,
le souvenir et la perception une simple différence de degré, mais une
différence
radicale de nature, les présomptions seront en fa
tion de la vie et pour les circonstances qu’elle traverse, avec cette
différence
toute. fois que l’évolution ne dessine pas une ro
les caractères essentiels de la plupart des autres manifestations. La
différence
est dans les proportions. Mais cette différence d
es manifestations. La différence est dans les proportions. Mais cette
différence
de proportion suffira à définir le groupe où elle
qu’ils empruntent leur nourriture. On ne saurait donc tirer de cette
différence
une définition statique qui tranche automatiqueme
n de savoir si l’on a affaire à une plante ou à un animal. Mais cette
différence
peut fournir un commencement de définition dynami
nt directement de l’atmosphère, de la terre et de l’eau. Mais à cette
différence
s’en rattache une autre, déjà plus profonde. L’an
ivant. La cause profonde de ces dissonances gît dans une irrémédiable
différence
de rythme. La vie en général est la mobilité même
. Ces animaux pouvaient ressembler à certains de nos Vers, avec cette
différence
toutefois que les Vers aujourd’hui vivants auxque
e nerveux des Arthropodes et sur celui des Vertébrés nous avertit des
différences
. Chez les premiers, le corps est formé d’une séri
tions divergentes d’une activité qui s’est scindée en grandissant. La
différence
entre elles n’est pas une différence d’intensité,
s’est scindée en grandissant. La différence entre elles n’est pas une
différence
d’intensité, ni plus généralement de degré, mais
e et instinct sont choses de même ordre, qu’il n’y a entre eux qu’une
différence
de complication ou de perfection, et surtout que
dividus et leur impose ainsi des instincts différents, on observe une
différence
correspondante de structure : on connaît le polym
e complet de l’intelligence et de l’instinct, on trouve entre eux une
différence
essentielle : l’instinct achevé est une faculté d
lement élégantes, d’un seul et même problème. De là, il est vrai, des
différences
profondes de structure interne entre l’instinct e
nstinct est conscient. Nous répondrons qu’il y a ici une multitude de
différences
et de degrés, que l’instinct est plus ou moins co
s une partie au moins de ses démarches. Mais il faut signaler ici une
différence
, trop peu remarquée, entre deux espèces d’inconsc
De ce point de vue, on définirait la conscience de l’être vivant une
différence
arithmétique entre l’activité virtuelle et l’acti
pensée et consciente dans le cas de l’intelligence. Mais c’est là une
différence
de degré plutôt que de nature. Tant qu’on ne s’at
, on ferme les yeux sur ce qui est, au point de vue psychologique, la
différence
capitale entre l’intelligence et l’instinct. Pour
érence capitale entre l’intelligence et l’instinct. Pour arriver à la
différence
essentielle, il faut, sans s’arrêter à la lumière
touchons au point qui intéresse le plus notre présente recherche. La
différence
que nous allons signaler entre l’instinct et l’in
les principes du néo-darwinisme, on voit dans l’instinct une somme de
différences
accidentelles, conservées par la sélection : tell
laquelle le souvenir est attaché étant la même de part et d’autre, la
différence
psychologique entre les deux souvenirs ne pourra
les deux souvenirs ne pourra pas avoir sa raison dans telle ou telle
différence
de détail entre les deux mécanismes cérébraux, ma
ifférence de détail entre les deux mécanismes cérébraux, mais dans la
différence
entre les deux cerveaux pris globalement : le plu
er une place privilégiée. Entre les animaux et lui, il n’y a plus une
différence
de degré, mais de nature. En attendant que cette
’une comparaison entre le cerveau de l’homme et celui des animaux. La
différence
paraît d’abord n’être qu’une différence de volume
omme et celui des animaux. La différence paraît d’abord n’être qu’une
différence
de volume et de complexité. Mais il doit y avoir
dans l’accomplissement de l’acte, se ressaisit et se libère 76. La
différence
doit donc être plus radicale que ne le ferait cro
ts chargés de la surveillance, n’eût trouvé entre elles qu’une légère
différence
de complication. C’est tout ce qu’on peut apercev
que l’autre est libre de s’amuser à sa guise, et que, par ce côté, la
différence
entre les deux machines est radicale, la première
retenait l’attention captive, la seconde lui donnant congé. C’est une
différence
du même genre, croyons-nous, qu’on trouverait ent
de greffer l’un sur l’autre certains arbres ; mais qu’elle dépend de
différences
de constitution dans le système reproducteur des
ces croisées. La vérité de cette conclusion est établie par la grande
différence
des résultats obtenus au moyen de croisements réc
out si elles étaient trouvées en des étages géologiques divers, leurs
différences
fussent-elles même légères. De nombreuses formes
ctères d’une espèce en choisissant à chaque génération successive des
différences
individuelles assez légères pour échapper à des y
sur ses produits domestiques en ajoutant les unes aux autres de pures
différences
individuelles. Or, chacun admet qu’il y a au moin
es différences individuelles. Or, chacun admet qu’il y a au moins des
différences
individuelles à l’état de nature. Outre ces diffé
au moins des différences individuelles à l’état de nature. Outre ces
différences
, tous les naturalistes ont admis aussi l’existenc
rsonne ne saurait établir une ligne de démarcation certaine entre les
différences
individuelles et les variétés peu tranchées ou en
de variétés : car elles diffèrent les unes des autres par de moindres
différences
que les espèces de genres moins nombreux. Les esp
rs longtemps continué de leurs modifications successives, les légères
différences
, qui caractérisent les variétés de la même espèce
isent les variétés de la même espèce, tendent à s’accroître jusqu’aux
différences
plus grandes qui caractérisent les espèces du mêm
des autres formes pour être susceptibles de définitions, et si leurs
différences
définissables sont assez importantes pour mériter
ernier point deviendra beaucoup plus essentiel qu’à présent ; car des
différences
, si légères qu’elles soient, entre deux formes qu
peser avec plus de soin et à évaluer plus haut la somme actuelle des
différences
qui existent entre elles. Il est très possible qu
ons des habitants du monde entier. Même aujourd’hui, en comparant les
différences
des habitants de la mer des deux côtés opposés d’
stème général de classification, mais qui doivent aussi présenter des
différences
fondamentales et se refuser à faire partie de la
bles, aurait maintenu entre elles des ressemblances profondes que les
différences
survenues subséquemment dans les conditions de vi
emps, tous les habitants de la France sont des Français. L’idée d’une
différence
de races dans la population de la France, si évid
z les écrivains et les poètes français postérieurs à Hugues Capet. La
différence
du noble et du vilain est aussi accentuée que pos
ence du noble et du vilain est aussi accentuée que possible ; mais la
différence
de l’un à l’autre n’est en rien une différence et
que possible ; mais la différence de l’un à l’autre n’est en rien une
différence
ethnique ; c’est une différence de courage, d’hab
e de l’un à l’autre n’est en rien une différence ethnique ; c’est une
différence
de courage, d’habitudes et d’éducation transmise
choc nerveux soit la dernière unité de conscience, et que toutes les
différences
entre nos états de conscience, résultent des mode
us complexe au plus simple : les rapports de coexistence, succession,
différence
. Les deux premiers reposent en dernière analyse s
s reposent en dernière analyse sur celui-ci ; la succession étant une
différence
d’ordre ; la coexistence une non-différence d’ord
e et la pensée la plus haute, il n’y a pas opposition de nature, mais
différence
de degré, chacune n’étant qu’une des innombrables
ondance croît en spécialité. L’organisme est en état de percevoir des
différences
de plus en plus petites. Dans l’évolution de la f
cise. Il s’agit maintenant pour l’être vivant de saisir, non plus des
différences
, mais des ressemblances ; de former en lui des gr
stement des rapports internes aux rapports externes, avec cette seule
différence
que dans l’instinct la correspondance est très si
vient la faculté d’organiser les expériences ? — d’où proviennent les
différences
en degrés de cette faculté, possédée par diverses
éducation qu’un homme ? Si l’on objecte que le langage fait toute la
différence
, alors pourquoi le chat et le chien, soumis aux m
e à la pensée. Tous deux consistent à saisir des ressemblances et des
différences
, seulement le savant en aperçoit des centaines, d
fant et l’animal n’en voient qu’un petit nombre. Il n’y a donc qu’une
différence
de degré. Toute l’œuvre de la psychologie analyti
pèces de raisonnement qualitatif, le parfait et l’imparfait. Toute la
différence
consiste en ce que nous passons de l’égalité à la
ssance est pour ainsi dire complété. Il a conscience des plus petites
différences
de position. Il en a une perception extrêmement c
mènent tous en dernière analyse à des rapports de ressemblances et de
différence
. Mais, différence peut se traduire par changement
nière analyse à des rapports de ressemblances et de différence. Mais,
différence
peut se traduire par changement et ressemblance p
ient organisés, c’est-à-dire classés suivant des ressemblances et des
différences
. En résumé donc, le premier acte de la conscience
cte de la conscience, le plus simple de tous, est la perception d’une
différence
; le deuxième acte, la perception d’une ressembla
e ; et tout son progrès consiste à accumuler des ressemblances et des
différences
. L’unité de composition est établie et vérifiée p
t ni naître ni se maintenir, sans qu’il se produise dans son état des
différences
. Elle doit toujours passer d’un certain état à un
te le plus simple de la conscience, c’est d’abord la perception d’une
différence
, ensuite par la perception d’une ressemblance.
é qu’elle remplissait auparavant. En même temps se sont produites des
différences
dans la densité et la température, entre l’extéri
ariaient selon la distance au centre. Enfin, que l’on réfléchisse aux
différences
si nombreuses entre les planètes et satellites, s
nes métalliques, irrégularités sans fin, montagnes, continents, mers,
différences
de climats ; bref, une telle variété de phénomène
embres antérieurs et postérieurs plus d’hétérogénéité. Il y a plus de
différences
entre le crâne et la face chez l’homme, que chez
homme est guerrier, chasseur, pêcheur et ouvrier, etc. ; il n’y a de
différences
que celles qui résultent des sexes. La première d
, malgré ces pertes successives. D’un autre côté, il y a aussi quatre
différences
principales entre les sociétés et les organismes
les grands centres de commerce et d’industrie. 4° La plus importante
différence
, c’est que dans le corps animal il n’y a qu’un ti
classes laborieuses et les classes très cultivées, il y a une grande
différence
de susceptibilité intellectuelle et émotionnelle,
En somme, les ressemblances sont fondamentales, essentielles, et les
différences
tout extérieures et, à la rigueur, contestables.
t déterminé deux planètes déterminées seront en conjonction, voilà la
différence
de la prévision qualitative et de la prévision qu
de l’image elle-même, on ne trouvera plus entre ces deux états qu’une
différence
de degré ou d’intensité. De là la distinction des
ssée, pour distinguer le souvenir de la perception, et pour ériger en
différence
de nature ce qu’il a condamné par avance à n’être
n différence de nature ce qu’il a condamné par avance à n’être qu’une
différence
de grandeur. Imaginer n’est pas se souvenir. Sans
on qui consiste à n’établir entre le souvenir et la perception qu’une
différence
de degré est plus qu’une simple conséquence de l’
d’objet, on ne peut trouver entre la perception et le souvenir qu’une
différence
de degré, la perception déplaçant le souvenir et
ort. Mais il y a bien autre chose entre le passé et le présent qu’une
différence
de degré. Mon présent est ce qui m’intéresse, ce
un ? La raison en est précisément qu’on s’obstine à ne trouver qu’une
différence
de degré, et non pas de nature, entre les sensati
pas de nature, entre les sensations actuelles et le souvenir pur. La
différence
, selon nous, est radicale. Mes sensations actuell
emble de sensations naissantes. Ayant ainsi effacé, par avance, toute
différence
de nature entre la sensation et le souvenir, ils
es choses, parce que nous avons contracté l’habitude de souligner les
différences
, et au contraire d’effacer les ressemblances, ent
de leur pureté originelle. Le premier se traduit par le souvenir des
différences
, le second par la perception des ressemblances au
ité des objets nous échapperait, suppose une faculté de remarquer les
différences
, et par là même une mémoire des images, qui est c
soin va droit à la ressemblance ou à la qualité, et n’a que faire des
différences
individuelles. À ce discernement de l’utile doit
espèces les traits caractéristiques d’un genre ? Or, il n’y a pas de
différence
essentielle entre l’opération par laquelle cet ac
ne goutte d’eau : l’animalcule sentira la ressemblance, et non pas la
différence
, des diverses substances organiques qu’il peut s’
quelque côté. S’agit-il de ressemblance ? Si profondes que soient les
différences
qui séparent deux images, on trouvera toujours, e
ts, en brodant sur la ressemblance, ce canevas commun, la variété des
différences
individuelles. Et nous allons aussi du tout aux p
de souvenirs antérieure, à un événement donné, il y a donc une simple
différence
de degré, et non pas de nature. De ces diverses
n identique et d’un état identique. Le second est l’aperception d’une
différence
: je jouissais, je souffre ; j’aperçois la différ
erception d’une différence : je jouissais, je souffre ; j’aperçois la
différence
, et l’image de la jouissance reste dans ma mémoir
oir une négation, ni pour mettre le signe — à la place du signe +. La
différence
est la chose du monde qui nous est le plus famili
plus familière, puisque nous n’avons une conscience distincte que des
différences
; nous sommes donc habitués à concevoir ou le con
Riehl, on s’en souvient, toute sensation étant le discernement d’une
différence
entre l’état actuel senti et un autre état non se
l’est pas. C’est entre deux états de conscience qu’on peut saisir une
différence
. Ce n’est pas le non-senti et l’inconscient que n
présentation. S’agit-il de la perception extérieure ? Il n’y a qu’une
différence
de degré, et non pas de nature, entre les faculté
l est perçu. Entre l’affection sentie et l’image perçue, il y a cette
différence
que l’affection est dans notre corps, l’image hor
viraient à les distinguer, on ne peut plus trouver entre elles qu’une
différence
de degré. Alors, profitant de ce que la sensation
thèse La mémoire n’est qu’une fonction du cerveau, et il n’y a qu’une
différence
d’intensité entre la perception et le souvenir. —
moire est autre chose qu’une fonction du cerveau, et il n’y a pas une
différence
de degré, mais de nature, entre la perception et
pur », qu’il n’y a pas entre le souvenir et la perception une simple
différence
de degré, mais une différence radicale de nature.
le souvenir et la perception une simple différence de degré, mais une
différence
radicale de nature. VII. Signalons tout de
e l’idéalisme anglais est là. Cet idéalisme consiste à ne voir qu’une
différence
de degré, et non pas de nature, entre la réalité
s états de même nature, entre lesquels on ne peut plus trouver qu’une
différence
d’intensité. Mais la vérité est que notre présent
ités traitées comme des changements calculables, il n’y a donc qu’une
différence
de rythme de durée, une différence de tension int
calculables, il n’y a donc qu’une différence de rythme de durée, une
différence
de tension intérieure. Ainsi, par l’idée de tensi
tèmes sociologiques ont exprimé ce même fait chacun à leur façon : la
différence
même de leurs principes ou de leurs méthodes rend
ridique, il est trop clair qu’en la réclamant on ne nie nullement les
différences
individuelles : on veut au contraire qu’il soit t
alité des droits des concurrents, a justement pour but de mesurer les
différences
de leurs facultés. Mais, avec la conscience de ce
er les différences de leurs facultés. Mais, avec la conscience de ces
différences
, l’exigence de l’égalité économique et politique
s croire que l’égalitarisme économique impliquerait la négation de la
différence
des capacités, et qu’il donnerait tout uniment à
d’un système d’institutions, qui a pour fin la juste appréciation des
différences
individuelles. L’égalité politique serait ainsi c
ir les sociétés modernes, occidentales, c’est qu’on tienne compte des
différences
des hommes en même temps que, de leurs ressemblan
aire et où finit le capitaliste, — il faut observer qu’ici encore les
différences
de fait n’entraînent nullement des différences de
rver qu’ici encore les différences de fait n’entraînent nullement des
différences
de droit. Il n’y a pas de lois faites pour interd
que celle de l’humanité, demandant par suite qu’on tienne compte des
différences
en même temps que des ressemblances des hommes, p
les trouvera un peu différentes, selon les divers auteurs69. Mais ces
différences
importent peu, car on n’aboutit par là qu’à une s
désavantage particulier qu’en chimie, en botanique, en zoologie, les
différences
et les ressemblances sont constituées par des élé
te de quelques ressemblances grossières et à la constatation sèche de
différences
indéfinissables en nombre indéfini. III Cep
ques impaires, mais où dominent les plus aiguës. D’où il suit que les
différences
de timbre consistent en l’addition au son fondame
tantôt stridents ou rudes, tantôt veloutés ou unis. En sorte que ces
différences
de la sensation, jusqu’ici irréductibles et notée
uisent que le chaos. On voit maintenant en quoi consistent toutes les
différences
et toutes les particularités du son. Étant donnée
sienne ; alors le son a tel ou tel timbre. — En sorte que toutes les
différences
de son, en apparence irréductibles, se réduisent
es différences de son, en apparence irréductibles, se réduisent à des
différences
de grandeur introduites dans la même sensation él
ences de grandeur introduites dans la même sensation élémentaire, ces
différences
étant fournies tantôt par la grandeur ou intensit
out entier dans l’eau froide, il y aura entre les deux sensations une
différence
d’intensité, mais l’une n’est-elle pas aussi plus
ropres sentiments de passivité, et qu’en général il ne perçoit que la
différence
numérique des impressions ou des choses. « En fai
tact, de l’ouïe et surtout des organes internes, autre chose que des
différences
numériques ou des différences de temps : il y a u
s organes internes, autre chose que des différences numériques ou des
différences
de temps : il y a une extensivité vague ; un aveu
tés générales saisies par une expérience générale ; il en résulte une
différence
non d’origine, mais simplement de généralité. On
, Kant ne l’admet que pour les sensations de la vue et du tact. Cette
différence
de fait entre les diverses qualités sensitives da
continues, qui, comme telles, ne peuvent être distinguées que par des
différences
qualitatives ; 2° idée d’une relation caractérist
caractéristique entre partie et partie, qui n’est plus simplement une
différence
entre elles, mais une distance, c’est-à-dire une
sonnement, ni conscient ni inconscient, par la seule perception d’une
différence
rapide ayant un caractère original, d’un changeme
ent, comme quand on vous touche les deux mains à la fois ; mais cette
différence
n’apparaîtrait pas comme proprement spatiale, com
te différence n’apparaîtrait pas comme proprement spatiale, comme une
différence
de position, si le mouvement de la main gauche ve
si les diverses positions du membre mû n’avaient entre elles d’autres
différences
que celles qui naissent du mouvement même, s’il n
ui naissent du mouvement même, s’il n’y avait pas encore en elles des
différences
de coloris produites par le rapport vaguement sen
l’extériorité mutuelle des parties de la ligne, qui est une série de
différences
spatiales, tout comme vous saisissez la différenc
est une série de différences spatiales, tout comme vous saisissez la
différence
même du noir et du blanc ? Y a-t-il plus de raiso
: elle suppose trois dimensions nettement distinguées, une absence de
différences
qualitatives entre les diverses parties de l’espa
s où nous vivons, et qui les rendent si remarquables, je veux dire la
différence
qui existe entre nos mœurs et nos opinions. Les m
ans cette heureuse nécessité. Nos vieilles chroniques font une grande
différence
, sous le rapport des mœurs et des opinions, entre
s et des opinions, entre les Français du nord et ceux du midi : cette
différence
peut se comparer avec celle que les poètes et les
euples du Péloponnèse et ceux de la Grèce proprement dite. Mais cette
différence
, qui fut si considérable autrefois parmi nous, s’
dans la maison de mon Père. » L’égalité est dans la société, sauf la
différence
des fortunes, sauf la différence des rangs, sauf
égalité est dans la société, sauf la différence des fortunes, sauf la
différence
des rangs, sauf la différence des facultés, sauf
auf la différence des fortunes, sauf la différence des rangs, sauf la
différence
des facultés, sauf enfin l’inégalité. Je n’ignore
: je voulais seulement mettre sur la voie d’expliquer pourquoi cette
différence
entre les mœurs et les opinions se fait sentir av
e, mais à la vérité beaucoup plus légère et plus imparfaite. C’est la
différence
des longues et des brèves, plus sensible dans cet
gues et ces brèves ; mais enfin nous en marquons aussi quelquefois la
différence
, et plus souvent même que dans notre langue, quoi
ngues, chez nous le plus grand nombre n’est ni long ni bref. Or cette
différence
marquée des longues et des brèves doit nous faire
ar la manière différente dont ils appuient sur ces notes. Mais quelle
différence
de ce plaisir estropié, si je puis parler de la s
elle d’un autre ? Je sais qu’il y a des auteurs où nous sentons cette
différence
d’harmonie jusqu’à un certain point ; que Virgile
de mélodie et de rondeur dans le premier que dans le second. Mais la
différence
s’évanouit, ce me semble, presque entièrement, qu
bien savoir, et être en état de la bien écrire ? Il y a même ici une
différence
au désavantage du latin ; c’est que la langue fra
discours sérieux ? Mais, dit-on, nous connaissons, en latin même, la
différence
des styles ; nous sentons, par exemple, que la ma
rler et de l’écrire. Plaisante raison ! Nous sentons, il est vrai, la
différence
d’un style simple à un style épigrammatique, d’un
cevons que le latin du moyen âge est barbare. Donc nous en sentons la
différence
d’avec le bon latin, quoique le latin soit une la
la conception universelle que se trouvent les germes des plus grandes
différences
humaines. Quelques races, par exemple les classiq
le passage de la représentation à la résolution, on y trouverait des
différences
élémentaires de la même importance et du même ord
du travail et de l’action dérivent de là. Il en est ainsi des autres
différences
primordiales ; leurs suites embrassent une civili
pporte avec lui à la lumière, et qui ordinairement sont jointes à des
différences
marquées dans le tempérament et dans la structure
enté n’est pas détruite ; la sauvagerie, la culture et la greffe, les
différences
de ciel et de sol, les accidents heureux ou malhe
patries définitives, nous pouvons affirmer cependant que la profonde
différence
qui se montre entre les races germaniques d’une p
es helléniques et latines de l’autre, provient en grande partie de la
différence
des contrées où elles se sont établies, les unes
tructure du drame, l’espèce des corps ont persisté. Mais entre autres
différences
, il y a celle-ci, qu’un des artistes est le précu
ar la grandeur et la direction des forces qui le produisent. La seule
différence
qui sépare ces problèmes moraux des problèmes phy
s ou moins arrêtés et de personnages plus ou moins précis, avec cette
différence
que dans le premier cas on croit qu’ils existent,
tat est une famille artificielle, ultérieure et étendue ; et sous les
différences
qu’introduisent le nombre, l’origine et la condit
e avec des proportions et des particularités si différentes selon les
différences
des races et des civilisations. Il en est ainsi p
qui se recrutent, d’ailleurs, dans des milieux assez hétérogènes, la
différence
entre ces deux espèces de jugements est purement
e ceci et Nous sommes un certain nombre à aimer ceci, il n’y a pas de
différence
essentielle. On a cru pouvoir échapper à ces diff
, au point de vue anatomique, physiologique et psychologique, que des
différences
de degrés ; et pourtant l’homme a une éminente di
pport encore, il ne peut y avoir entre les unes et les autres que des
différences
de degrés. Mais il y a surtout un ordre de valeur
it regarder comme la hiérarchie naturelle des êtres, elle nivelle les
différences
, elle différencie les semblables, en un mot elle
éalité ? De ce qui précède il résulte qu’il n’existe pas entre eux de
différences
de nature. Un jugement de valeur exprime la relat
onc et il doit n’y avoir qu’une seule faculté de juger. Cependant, la
différence
que nous avons signalée chemin faisant ne laisse
er fonctionne différemment selon les circonstances, mais sans que ces
différences
altèrent l’unité fondamentale de la fonction. On
sse sans peine ; mais c’est que l’on convient alors de négliger leurs
différences
individuelles pour ne tenir compte que de leur fo
’à gauche. Mais précisément parce que nous interprétons ensuite cette
différence
de qualité dans le sens d’une différence de situa
s interprétons ensuite cette différence de qualité dans le sens d’une
différence
de situation, il faut bien que nous ayons l’idée
se distinguent néanmoins les uns des autres. Plus on insistera sur la
différence
des impressions faites sur notre rétine par deux
éterminations de notre propre étendue, nous présentent bien alors une
différence
de qualité ; c’est même pourquoi nous échouons à
é ; c’est même pourquoi nous échouons à les définir. A vrai dire, les
différences
qualitatives sont partout dans la nature ; et l’o
croître les deux intervalles M′ M et MM”, à mesure aussi diminuera la
différence
entre les deux vitesses des mouvements uniformes
existe évidemment entre vj et vn une certaine vitesse vm telle que la
différence
entre cette vitesse et vh, vj, …, d’une part, vp,
ent le nombre de ces intervalles de durée, on remplacera la notion de
différence
par celle de différentielle : c’est toujours à un
r, deux conceptions, l’une qualitative et l’autre quantitative, de la
différence
entre le même et l’autre. Tantôt cette multiplici
de veille, l’expérience journalière devrait nous apprendre à faire la
différence
entre la durée-qualité, celle que la conscience a
ssion d’aujourd’hui était absolument identique à celle d’hier, quelle
différence
y aurait-il entre percevoir et reconnaître, entre
evoir et reconnaître, entre apprendre et se souvenir ? Pourtant cette
différence
échappe à l’attention de la plupart ; on ne s’en
reçues par plusieurs sens. Ou bien on conserve à ces sensations leurs
différences
spécifiques, ce qui revient à dire qu’on ne les c
à dire qu’on ne les compte pas ; ou bien on fait abstraction de leurs
différences
, et alors comment les distinguera-t-on sinon par
politiques qui modifient l’esprit de la littérature… En observant les
différences
caractéristiques qui se trouvent entre les écrits
ie, à sa doctrine du progrès, et qu’elle se contente de constater des
différences
: si c’est sa pensée, la correction est heureuse.
: si c’est sa pensée, la correction est heureuse. Cherchant donc des
différences
, elle classe les littératures en littératures du
uisque le rapport est étroit entre la littérature et les mœurs, cette
différence
devra produire en Allemagne et en France des litt
elle veut y substituer un idéal nouveau. Elle dispute finement sur la
différence
du bon goût de la société et du bon goût de la li
utuellement se prêter. Il y a quelque chose de très singulier dans la
différence
d’un peuple à un autre ; le climat, l’aspect de l
constitution philosophique, ne peut subsister que si vous classez les
différences
d’éducation avec encore plus de soin que la féoda
ins différentes l’une de l’autre ? Et si on saisit du premier coup la
différence
du rouge et du bleu sur le fond blanc, n’est-ce p
ne chose, d’avoir la penser ou le nom de cette chose : pour sentir la
différence
du plaisir à la douleur, il n’est pas besoin de p
laisir à la douleur, il n’est pas besoin de penser ni de nommer cette
différence
; de même, pour sentir cette différence particuli
de penser ni de nommer cette différence ; de même, pour sentir cette
différence
particulière qui constitue un changement interne,
at de conscience corrélatif à l’objet futur, offrant en eux-mêmes une
différence
, doivent se différencier pour la réflexion, et qu
ra ces deux états les verra en effet différer. L’aperception de cette
différence
est le début de la distinction intellectuelle ent
ssé est surtout un objet de vision passive. Aussi y a-t-il encore une
différence
de sentiment entre l’image du passé et l’image an
timent entre l’image du passé et l’image anticipée de l’avenir. Cette
différence
est un des éléments qui servent à nous faire dist
era encore ses antécédents : vent, gravure. Mais il y aura une grande
différence
entre les deux modes de reproduction. L’image de
un seul moment par un grand nombre de sensations actuelles ayant des
différences
spécifiques (signes locaux) ». Pour percevoir l’é
ens. Bien n’est plus propre que la musique à nous faire comprendre la
différence
de ces diverses choses : qualité, intensité, nomb
ieur. Penser, en un mot, c’est établir des relations tout au moins de
différence
et de ressemblance ; or, il n’y a de différence e
ions tout au moins de différence et de ressemblance ; or, il n’y a de
différence
et de ressemblance aperçue qu’entre des objets co
fet : 1° à l’intensité des images représentées ; 2° à l’intensité des
différences
entre ces images ; 3° au nombre de ces images et
s entre ces images ; 3° au nombre de ces images et au nombre de leurs
différences
; 4° à la vitesse de succession de ces images ; 5
es images, entre leurs intensités, entre leurs ressemblances ou leurs
différences
, entre leurs durées diverses, et enfin entre leur
distinguent des précédents que par une complexité plus grande. Cette
différence
peut bien impliquer que l’emploi du raisonnement
nd difficilement utilisables et la méthode de concordance et celle de
différence
. Elles supposent, en effet, que les cas comparés
nces où le caractère rigoureusement unique d’une concordance ou d’une
différence
fût établi d’une manière irréfutable. On n’est ja
uelques applications particulières de la méthode de concordance ou de
différence
; ce serait attribuer à ce genre de preuves une a
e ils ont employé de préférence la méthode de concordance ou celle de
différence
et surtout la première, ils se sont plus préoccup
Division du travail social, p. 87. 85. Dans le cas de la méthode de
différence
, l’absence de la cause exclut la présence de l’ef
nnu ses cinq races il ajoute : « Il n’en est pas moins vrai qu’aucune
différence
radicale et typique ne régit ces groupes », comme
ous connaissons, le Humboldt du Kosmos et de l’Atlas, et que la seule
différence
qu’il y ait entre cet ogre de faits, aux bottes d
ui trottine de Berlin à Postdam et de Postdam à Berlin, n’est pas une
différence
de nature mais une différence de théâtre et un ch
m et de Postdam à Berlin, n’est pas une différence de nature mais une
différence
de théâtre et un changement de contemplation ! Ic
courant de la plume, mais telles qu’elles sont, — et voilà encore une
différence
à marquer entre la vigoureuse commère du globe et
nu ses cinq races, il ajoute : « Il n’en est pas moins vrai qu’aucune
différence
radicale et typique ne régit ses groupes », comme
ous connaissons, le Humboldt du Kosmos et de l’Atlas, et que la seule
différence
qu’il y ait entre cet ogre de faits, aux bottes d
ui trottine de Berlin à Postdam et de Postdam à Berlin, n’est pas une
différence
de nature, mais une différence de théâtre et un c
et de Postdam à Berlin, n’est pas une différence de nature, mais une
différence
de théâtre et un changement de contemplation ! Ic
courant de la plume, mais telles qu’elles sont, — et voilà encore une
différence
à marquer entre la vigoureuse commère du globe et
s et d’eau douce appartenant à des espèces encore vivantes. La grande
différence
des poissons qui vivent sur les deux versants opp
érance ou en Australie, il faut bien admettre qu’indépendamment de la
différence
des conditions physiques, des différences numériq
ttre qu’indépendamment de la différence des conditions physiques, des
différences
numériques aussi considérables doivent avoir une
section de la même classe doivent être nécessairement locales. Cette
différence
entre les espèces d’une même station semble dépen
différents de ce qu’ils sont autre part. On explique généralement ces
différences
par l’influence des conditions physiques de ces î
’on observe sur les côtes de l’Amérique du Sud ; il y aurait même des
différences
remarquables à tous égards. Au contraire, la natu
mblance que les Galapagos ont avec les îles du Cap Vert ; mais quelle
différence
complète entre leurs habitants ! Les populations
grants se soient différemment modifiés, quel que soit le degré de ces
différences
. Longtemps cette objection me parut difficile à l
apagos qu’on retrouve en d’autres parties du monde, nous trouvons des
différences
considérables entre les diverses îles. Cette diff
trouvons des différences considérables entre les diverses îles. Cette
différence
aurait pu être prévue, comme une conséquence du f
lles des terres basses ou sèches environnantes, en dépit de la grande
différence
des stations ; c’est que les espèces distinctes q
re soient particulières et autochtones ; et pourquoi, en raison de la
différence
des moyens de migrations, un groupe d’êtres peut
ée sur la différenciation native, physiologique, des individus sur la
différence
des aptitudes et des goûts. Bien loin de là. Nous
ux. Car autre chose est la différenciation sociale ; autre chose la «
différence
» intime et profonde entre individus : je veux di
a « différence » intime et profonde entre individus : je veux dire la
différence
intellectuelle et sentimentale, la différence d’â
vidus : je veux dire la différence intellectuelle et sentimentale, la
différence
d’âmes. Cette dernière différence n’est pas affai
intellectuelle et sentimentale, la différence d’âmes. Cette dernière
différence
n’est pas affaire d’organisation sociale. Elle ne
vec le groupe entraîne pour l’individu des sanctions ; — 3º troisième
différence
qui résulte de la précédente : différence d’évalu
sanctions ; — 3º troisième différence qui résulte de la précédente :
différence
d’évaluation morale. Le mensonge égoïste est jugé
durée, dérive en grande partie de la mémoire. Or, où est au juste la
différence
entre les qualités hétérogènes qui se succèdent d
tre les divisions ainsi marquées et des étapes proprement dites cette
différence
capitale qu’à une étape on s’arrête, au lieu qu’i
un changement de heu ? Il faudra alors ériger la diversité de lieu en
différence
absolue, et distinguer des positions absolues dan
la lumière et l’obscurité, entre des couleurs, entre des nuances, la
différence
est absolue. Le passage de l’une à l’autre est, l
mesure ; les mouvements, toujours divisibles, se distinguent par des
différences
calculables de direction et de vitesse. On se pla
’espace, de l’autre la conscience avec les sensations. Et, certes, la
différence
reste irréductible, comme nous l’avons montré nou
ent de savoir si les mouvements réels ne présentent entre eux que des
différences
de quantité, ou s’ils ne seraient pas la qualité
érogènes qu’ils ne le paraissent superficiellement, et d’attribuer la
différence
d’aspect des deux termes à la nécessité, pour cet
aux divisions pratiquées dans le sens de la largeur, c’est-à-dire aux
différences
instantanées de grandeur et de position, et s’eff
s’efforçant non moins vainement d’engendrer avec la variation de ces
différences
, la succession des qualités sensibles. Se rallie-
ènes comme l’espace ; et comme on ne veut plus voir entre eux que des
différences
calculables de direction et de vitesse, toute rel
médiate : nous ne trouvons plus une distance infranchissable, plus de
différence
essentielle, pas même de distinction véritable en
e opinion à Kant, puisque l’Esthétique transcendantale ne fait pas de
différence
entre les données des divers sens en ce qui conce
les. — Analogie des ordonnances. — Identité des matériaux. — La seule
différence
entre nos composés mentaux et les composés réels,
née, qui est la planète. — À la vérité, entre les deux cas il y a une
différence
grave. Dans le premier, le caractère explicatif e
vers toute masse avec laquelle ils seraient en rapport. — Mais cette
différence
des deux cas n’altère en rien leur ressemblance f
s découlent une prodigieuse quantité de lois partielles ; et la seule
différence
qui sépare les sciences ainsi faites des sciences
— Peut-être, au contraire, à un certain point de décomposition, toute
différence
cesse entre le composé et les facteurs, et les pr
i dans un sens, là-bas dans un autre, pour accommoder ses détails aux
différences
et aux changements du milieu. Les mêmes pièces du
ur un type commun transmis par hérédité, la sélection a superposé les
différences
utiles. De même, dans une maison, des charpentier
ébré. La seconde, postérieure, issue de ce dernier, y a superposé les
différences
qui constituent la classe, c’est-à-dire l’oiseau,
eur raison d’être ; qu’elle est un produit comme eux, et que toute la
différence
entre les deux produits consiste en ce que, le pr
correspond à la sphère ou à l’ellipse idéale. — Reste donc une seule
différence
pour séparer nos composés artificiels des composé
l’un mental, l’autre réel, ils s’adaptent l’un à l’autre, sauf cette
différence
que le second, outre les éléments constitutifs du
us tenons compte tour à tour de cette adaptation générale et de cette
différence
subsidiaire. Nous démêlons par les sciences de co
ès exacte, mais non pas tout à fait exacte. Cela fait, en vertu de la
différence
subsidiaire, nous introduisons peu à peu dans not
ait antiscientifique ; on conclura uniquement et nécessairement à des
différences
de conditions dans les phénomènes, qu’on puisse o
roupe exactement semblable de conditions exactement semblables. Cette
différence
de situation n’introduit dans le groupe aucune co
endroit du caractère et, par rapport à lui, seront aussi nuls que les
différences
de temps et de lieu. Mais, que le groupe efficace
imaginons vaguement un autre cas absolument semblable et tel que les
différences
par lesquelles il se distingue du premier, notamm
tous les procédés éliminatifs, toutes les méthodes de concordance, de
différence
, de variation concomitante, qui composent l’induc
des idées, & qu’ils prennent différentes dénominations, selon la
différence
des points de vûe sous lesquels on envisage leur
tre est formé, soit par dérivation, soit par composition ; avec cette
différence
néanmoins, qu’on peut appeller racines génératric
essoires des cas & des nombres. Voyez Cas & Nombre . De cette
différence
d’idées accessoires naissent deux sortes de dériv
sortes de fréquentatifs, distingués les uns des autres, & par la
différence
de leurs terminaisons, & par celle de leur or
e doit pas conclure pour cela que ces tems ayent une même valeur ; la
différence
d’inflexions suppose une différence originelle de
s tems ayent une même valeur ; la différence d’inflexions suppose une
différence
originelle de signification, qui ne peut être cha
goût, pour plus d’énergie, pour faire image, &c. Ainsi il y a une
différence
réelle & inaltérable entre le futur absolu &a
on. Il est vrai que la distinction des déclinaisons doit résulter des
différences
de la totalité des cas ; mais ces différences sui
isons doit résulter des différences de la totalité des cas ; mais ces
différences
suivent exactement celles du génitif, & par c
ot Roma. Il y a précisément entre urbs Romae & urbs Roma, la même
différence
qu’entre vas auri & vas aureum ; aureum est u
s. La méthode de Port-Royal remarque que l’on confond quelquefois ces
différences
; & cela peut être vrai : mais nous devons ob
on nom de cette honorable commission. Duché & Comté n’ont pas des
différences
si marquées ni si certaines dans les deux genres
emoire s’est insensiblement perdue ; ainsi nous connoissons encore la
différence
des noms féminins, malus pommier, prunus prunier,
m pomme, prunum prune ; mais nous n’avons que des conjectures sur les
différences
des mots acinus & acinum, baculus & bacul
pre, de prescrire leurs bornes respectives, & de déterminer leurs
différences
. C’est pour les avoir confondues que le P. Buffie
sultats des combinaisons infinies de ces circonstances, produisent la
différence
prodigieuse que l’on trouve entre les mots des di
s XIV : en un mot plus les termes comparés se rapprocheront, plus les
différences
paroîtront diminuer ; mais elles ne seront jamais
yez Sens & Trope . Le sens spécifique est celui qui résulte de la
différence
des points de vûe, sous lesquels l’esprit peut en
mes & Synonymie . Le sens accidentel est celui qui résulte de la
différence
des relations des mots à l’ordre de l’énonciation
e du discours, la Logographie doit donner les moyens de distinguer la
différence
des sens, & en quelque sorte les différens de
s. Voy. Lettres . Le son est une simple émission de la voix, dont les
différences
essentielles dépendent de la forme du passage que
iblement les choses représentées par les consonnes ; autrement quelle
différence
trouveroit-elle entre les mots vanité, qualité, q
moins l’explosion, en quoi consiste l’essence de l’articulation ; la
différence
n’est que dans la cause. Les autres articulations
ppellerois homonymes équivoques, des mots qui n’ont entre eux que des
différences
très-légeres, ou dans la prononciation, ou dans l
ar des mots qui, malgré leur ressemblance, ont pourtant entre eux des
différences
, légeres à la vérité, mais réelles. L’usage des h
à l’un des sens ne convient pas à l’autre, par la raison même de leur
différence
, & que dans l’une des deux acceptions, on ava
r en bien juger ; & l’on ne doit en fixer les especes que par les
différences
spécifiques qui en déterminent les services réels
e qui est indiqué par le nom même de cette partie d’oraison. Ainsi la
différence
de l’inversion & de l’anastrophe est, en ce q
peut-être entre la maniere commune & la maniere allemande d’autre
différence
que celle qu’il y auroit entre deux tableaux, où
er à des idées étrangeres. 2°. La traduction littérale fait sentir la
différence
des deux langues. Plus le tour latin est éloigné
are capro (cornu ferit ille) caveto. Virg. Ce n’est donc point de la
différence
des relations temporelles que vient celle de ces
atif, & suffire pour en constituer un mode particulier ; comme la
différence
de ces mêmes pronoms suffit pour établir celle de
n qui savoit louer avec tant d’art, & qui connoissoit si bien les
différences
délicates des mots les plus aisés à confondre, di
ement à les partager en deux classes générales, caractérisées par des
différences
purement matérielles, mais pourtant essentielles,
françois, liv. II. ch. j. Le P. Buffier & M. Restaut, à quelques
différences
près, ont adopté le même système & tous ont e
sivement propres au verbe, en ont été regardées par Scaliger comme la
différence
essentielle : tempus autem non videtur esse affec
rbe . Or cette idée de l’existence se manifeste à l’infinitif par les
différences
caractéristiques des trois especes générales de t
gr. ch. j. regl. 4.) donne cette pratique comme un usage élégant. La
différence
qu’il y a donc à cet égard entre la langue grecqu
e de l’autre il n’est que bien rarement employé avec l’article. Cette
différence
tient à celle des procédés des deux langues en ce
s. La voix du doute & du dissentement est volontiers nasale, à la
différence
que le doute est allongé, étant un sentiment ince
e des diverses especes d’interjections, & chercher entr’elles des
différences
spécifiques bien caractérisées, c’est me semble,
à remarquer sur les usages des interjections, la distinction de leurs
différences
spécifiques est absolument inutile au but de la G
re place que d’autres vûes peuvent leur assigner : mais à travers ces
différences
considérables du génie des langues, on reconnoît
es des bons auteurs, nous ne sommes pas toujours en état de sentir la
différence
délicate qu’il y a entre une expression & une
t-il, (pag. 295.) de cet examen se réduit à reconnoître quelle est la
différence
de la structure des mots dans les deux langues, &
ens de tous les tems. M. Pluche & M. Chompré sentent-ils bien les
différences
harmoniques de ces trois constructions également
ras, litteras tuas accepi, tuas accipio litteras ? S’ils démêlent ces
différences
& leurs causes, ils feront bien de communique
par exemple, l’ironie du P. du Cerceau, sur la décadence du goût. La
différence
que Quintilien met entre ces deux especes est la
ui pour nos organes, & il ne nous est pas possible d’imaginer les
différences
qui faisoient prononcer la lettre l, ou foible, o
ong & moins sourd que le son muet e ; mais il n’y a point d’autre
différence
, pourvu qu’on mette dans la prononciation la rapi
prononciation. Il se prononce en effet comme telle, avec cette seule
différence
qu’on appuie un peu moins sur l’e feminin qui, sa
us étoit à l’as, comme le sextertium au pondus. C’est l’origine de la
différence
des genres : as sextertius, syncope de semisterti
à l’expression de cette idée moins générale & plus restrainte. La
différence
que l’on vient d’assigner entre langue & idio
qu’il a été possible d’en donner, & par l’exposition précise des
différences
qui le distinguent des mots qui lui sont ou synon
es & génériques, il en falloit connoître les propriétés & les
différences
; il falloit des observations & des définitio
s & de genres, faute d’avoir considéré les êtres par toutes leurs
différences
. Pour pousser les divisions assez loin, il eût fa
ses, de préjugés, ni d’aucunes des autres causes qui occasionnent les
différences
des langues ? Les muets de naissance, que nous sa
ains du siecle dernier, sans appercevoir entre eux & nous que des
différences
légeres qui n’y causent aucune confusion ; ils en
que le Créateur même a établies, différens degrés d’identité selon la
différence
des degrés de liaison qu’il y a entre un homme &a
charité universelle : si l’on en met les degrés en parallele avec les
différences
du langage, plus il y aura d’exactitude dans la c
, du même esprit, du même génie, & elles n’ont entr’elles que des
différences
numériques & individuelles : les différences
t entr’elles que des différences numériques & individuelles : les
différences
qu’on y apperçoit dans la suite tiennent à des ca
re homme & homme, dès qu’il y a diversité d’individus, il y a des
différences
plus ou moins sensibles de figure, outre celles q
de figure, outre celles qui sont dans l’intérieur de la machine : ces
différences
sont plus marquées, à proportion de la diminution
êmes effets. Ainsi tous les sujets d’une même nation ont entr’eux des
différences
individuelles avec les traits de la ressemblance
plus subsister que les traits de la ressemblance spécifique sous les
différences
tranchantes des Blancs & des Negres, des Lapo
pects. Mais elles admettent toutes, sur ces deux objets généraux, des
différences
qui tiennent au génie des peuples qui les parlent
ne est encore entée sur le même fonds que la nôtre ; mais, avec cette
différence
, que ce fonds nous est naturel, & qu’il n’a s
même par-tout : mais, dans le détail des individus, on rencontre des
différences
qui sont les suites nécessaires des circonstances
es où se sont trouvés les peuples qui parlent ces langues ; & ces
différences
constituent un second caractere distinctif du gén
de modes, de religion, &c. & voilà une source prodigieuse de
différences
entre les langues modernes & les anciennes. U
fférences entre les langues modernes & les anciennes. Une seconde
différence
des langues, par rapport aux diverses especes de
espece, & ne convient qu’aux mots de cette seule espece. C’est la
différence
de ces points de vue généraux, de ces idées spéci
de ces points de vue généraux, de ces idées spécifiques, qui fonde la
différence
de ce que les Grammairiens appellent les parties
ion, l’adverbe, la conjonction, & l’interjection : & c’est la
différence
des points de vue accessoires, dont chaque idée s
ne peut convenir qu’à un seul mot de la même espece. Ainsi c’est à la
différence
de ces idées singulieres que tient celle des indi
spece subalterne de chacune des parties d’oraison : & c’est de la
différence
des idées accessoires dont chaque idée individuel
essoires dont chaque idée individuelle est susceptible, que dépend la
différence
des mots de la même espece que l’on appelle synon
cessoires. Or c’est justement ici que se trouve une seconde source de
différences
entre les mots des diverses langues. Il y a telle
cuus animus, un esprit libre, &c. Voyez Hypallage . Cette seconde
différence
des langues est un des grands obstacles que l’on
ues considérées sous ce double point de vue, de ressemblance & de
différence
dans le matériel des sons. Des mémoires M. S. de
ésistible, qu’elles ont introduit invinciblement dans les langues des
différences
matérielles, dont il seroit peut-être encore plus
lles observations, ou du moins d’après l’impression qui résulte de la
différence
matérielle des mots dans chaque langue, que l’emp
. §. III. Ce que nous venons d’observer sur les convenances & les
différences
, tant intellectuelles que matérielles, des divers
loyer les mots qu’il faut recourir, pour reconnoître l’identité ou la
différence
du génie des langues, & pour statuer si elles
, grossis avec le tems & accumulés à la longue, produit enfin une
différence
qui caractérise deux langues sur un même fonds. L
lement transpositives ; mais en cela même elles peuvent avoir quelque
différence
. Si la construction analogue est leur caractere
in indispensable d’être entendu, ne lui a pas permis de recevoir. Ces
différences
ont leurs causes comme tout le reste ; & elle
ge comme vicieuse & barbare. Dans l’un & dans l’autre cas, la
différence
la plus marquée entre l’idiome ancien & le mo
e l’impression des habitudes nationales. Or il doit résulter de cette
différence
d’organisation, une différence considérable dans
tionales. Or il doit résulter de cette différence d’organisation, une
différence
considérable dans les sons & articulations do
t à la durée de l’émission, un son peut être bref ou long ; & ces
différences
, quand même on voudroit les indiquer, comme il co
, par la définition que j’ai donnée des lettres, qu’il y a une grande
différence
entre ces caracteres & les élémens de la voix
e litterâ. Il semble que les Grecs aient fait aussi attention à cette
différence
, puisqu’ils avoient deux mots différens pour ces
ffinité & d’analogie qui laissent souvent entr’elles assez peu de
différence
: c’est cette affinité qui est le premier fondeme
garde toutes les voyelles comme une seule, variée seulement selon les
différences
de l’état du tuyau par où sort la voix, & qui
forte. Les deux autres articulations g & q ont entr’elles la même
différence
, la premiere étant foible & la seconde forte
ces lettres sont plus ou moins commuables entr’elles, à raison de ces
différences
. Ainsi le changement de z en s est une regle géné
sorte de sifflement. Elles different des linguales sifflantes par la
différence
des dispositions organiques, qui font du même org
n renouvellée de l’esprit à des idées qu’il a déjà apperçues. Mais la
différence
des points de vûe accessoires qu’ils ajoûtent à c
servant d’allusions extraordinaires, quoique justes.] « Il y a cette
différence
, reprend M. du Marsais, entre la métaphore &
rincipaux fondemens, quand il n’est plus question que d’expliquer les
différences
matérielles du mot primitif & du dérivé. (B.
langues en analogues & transpositives, il doit naître encore des
différences
dans la méthode de les enseigner, aussi marquées
ui-même, oneri, furfuri, &c. à l’ablatif ; parce qu’il y a peu de
différence
entre les voyelles e & i, d’où vient même que
premier, & se bornera à ce qui est propre à la langue latine. Ces
différences
propres naissent du génie de cette langue, qui a
plûtôt conçu ; la correspondance en seroit plûtôt sentie ; & les
différences
des deux langues en seroient saisies & justif
qu’il conduit avec moins d’appareil. Je conviens volontiers de cette
différence
, pourvu que l’on me permette d’en ajouter quelque
ar conséquent c’est dans tous les tems la même mesure de progrès, aux
différences
près qui peuvent naître, ou des développemens nat
ases. Alors ils seront au niveau de la marche ordinaire ; mais quelle
différence
entr’eux & les enfans qui suivent la méthode
ent préliminaire aux procédés raisonnés par lesquels je débute. Cette
différence
vient premierement de ce que M. du Marsais pense
ombres, les cas, les genres & les personnes, qui varient selon la
différence
des mêmes accidens dans le nom ou le pronom qui e
t du mode participe ; & tout cela est impersonnel. Cette premiere
différence
des modes porte sur celle de leur destination dan
ient tous se prendre indistinctement les uns pour les autres sans ces
différences
individuelles qui naissent de la maniere de repré
vous eût dit : voilà que je ressens une vive & subite douleur. La
différence
qu’il y a, c’est que vous êtes bien plus persuadé
ication à la convention usuelle & fortuite de chaque nation. Deux
différences
purement matérielles, mais qui tiennent apparemme
déclinables présentent également à l’esprit des idées des êtres ; la
différence
de ces especes doit donc venir de la différence d
idées des êtres ; la différence de ces especes doit donc venir de la
différence
des points de vûe sous lesquels elles font envisa
elles font envisager les êtres. Cette conséquence se confirme par la
différence
même des lois qui reglent par-tout l’emploi des n
à l’esprit des êtres indéterminés ; & il nous reste à trouver la
différence
caractéristique de ces deux especes. Cependant le
ns relatives aux genres, dont on a vu que la distinction porte sur la
différence
spécifique des noms, c’est-à-dire sur la nature d
ifs métaphysiques en pronoms, indique de part & d’autre les mêmes
différences
; & la distinction effective que l’on a faite
les modes sont également relatifs aux vûes de l’énonciation. Mais la
différence
des cas dans les noms n’empêche pas qu’ils ne gar
sentent à l’esprit des êtres déterminés par l’idée de leur nature. La
différence
des modes ne doit donc pas plus altérer la signif
atif de l’adjectif convenientem. Ne nous contentons pas d’observer la
différence
des prépositions & des adverbes ; voyons enco
signifie, comme les trois autres, malgré ou nonobstant cela, avec les
différences
délicates que l’on peut voir dans les synonymes d
, conclusives, causatives, transitives & déterminatives, selon la
différence
des rapports qui fondent la liaison des propositi
distinction de sexe. On trouvera dans les mêmes idées accessoires la
différence
des noms substantifs amant & ami, des adjecti
cipales & accessoires de la signification objective, que porte la
différence
réelle des mots honnêtes & deshonnêtes, que l
synonymes, caractérisés par l’identité du sens principal, malgré les
différences
matérielles, on peut opposer les mots homonymes,
ela suffit ici : car c’est) « ce qui fait, ajoute-t-il, cette grande
différence
qui est entre les langues. Ce que les Latins appe
donne cette division, parce qu’elle n’est établie, dit-il, sur aucune
différence
fondée dans la nature des consonnes. En effet, s’
e par accident la lettre n soit le signe de la nasalité, parce que la
différence
du signe n’en met aucune dans le son représenté.
prépositif est un i prononcé avec une extrème rapidité. Quelle autre
différence
trouve-t-on, que cette prononciation rapide, entr
la méthode latine & nous nous servons de in. Ainsi la principale
différence
entre les mots négatifs & les mots privatifs,
jectifs ou concrets en trois especes générales, caractérisées par les
différences
de l’attribut déterminé qui est renfermé dans la
i, du verbe exister, par exemple, est un & invariable ; & les
différences
que la Métaphysique pourroit y trouver, selon la
néral, abstraction faite de l’effet, & qu’on ne peut concevoir de
différence
entre action & action, que par la différence
ne peut concevoir de différence entre action & action, que par la
différence
des effets. Il paroît au reste que c’est de l’eff
euvent servir, sans inconséquence & sans équivoque, à désigner la
différence
des accidens de leur conjugaison. S’il est import
es & génériques, il en falloit connoître les propriétés & les
différences
; il falloit des observations & des définitio
t réels soit abstraits, parce qu’on ne peut nombrer que des êtres. La
différence
des principes qui reglent le choix des nombres à
la plûpart du monde se laisse tromper : telle est la raison de cette
différence
qui paroissoit bien extraordinaire à Vaugelas, re
(voyez Lèttres), que la multiplication des lettres pour désigner les
différences
prosodiques des sons n’est pas sans quelques inco
s envisagent les choses sous divers aspects : c’est le principe de la
différence
de leurs idiomes ; fenestra exprimoit chez les La
’Alexandrie, lib. III. ch. xxix. L’optatif en général admet les mêmes
différences
de tems que le subjonctif. Quelques auteurs de ru
l’énonciation. J’ajouterai ici ce qu’a écrit M. l’abbé Girard sur la
différence
des trois mots harangue, discours, oraison : quoi
oir aucun égard aux différentes manieres d’écrire qui résultent de la
différence
des genres, des nombres, des personnes, & aut
& qu’on en fît autant après le nominatif pluriel, en indiquant la
différence
d’orthographe qu’exige ce nombre, & marquant
marques du maître qui doivent fixer l’attention des disciples sur ces
différences
; voici donc un exemple de ce que je veux dire pa
sous le même aspect : & les adjectifs mêmes ne demandent d’autres
différences
, que celles que l’on va voir dans l’exemple suiva
e uter, tra, trum, & de solus, a, um, qui sont distingués par des
différences
qui se retrouvent dans les autres adjectifs de la
des observations particulieres, ou orales, ou écrites, à assigner les
différences
des conjugaisons, & à l’exercice à les inculq
exprimer l’existence d’un sujet sous un attribut, puisqu’il admet les
différences
de tems qui en sont une suite immédiate & néc
ur ad perpetuum virtutis amorem in homine aliquo significandum. Cette
différence
de signification attachée à celle de la syntaxe u
comme legere ou lego libros. D’ailleurs, il y a assurément une grande
différence
de sens entre ces deux phrases, je l’ai vû parlan
i un avis sérieux. Au contraire notre participe actif admet les trois
différences
générales de tems, mais toujours dans le sens ind
rdinaire des hommes qui jugent sur l’apparence : or il y a une grande
différence
entre ces deux points de vûe, & un homme déli
our rejetter cette distinction, sur-tout si on peut l’établir sur une
différence
réelle de service, qui seule doit fixer la divers
dance. C’est encore la même chose dans notre langue ; & outre les
différences
qui distinguent essentiellement le nom & l’ad
epartir, dont j’ai expliqué ailleurs les différens sens attachés à la
différence
de la conjugaison. Voyez Neutre . §. III. Des ver
’on les place indifféremment dans la classe des particules, malgré la
différence
& de leurs noms & de leurs services, qui
différente, ce qui est très-propre à distinguer ; discerner, voir les
différences
; disposer, placer les diverses parties, &c.
que des objets plus prochains, là des objets plus éloignés : de-là la
différence
de sens que reçoivent les mots, selon qu’on les t
bien, quand cette marchandise sera débitée J’en acheterai d’autre. La
différence
de ces deux phrases est dans le tems : cette marc
re comme le sujet à qui on parle, Domine probasti me : c’est la seule
différence
qu’il y ait entre ces deux cas ; & parce que
prononce de différentes manieres & à des sens différens, selon la
différence
des points que l’on ajoute aux consonnes dont il
p; celles du second en rapport de partie intégrante, c’est fonder une
différence
trop réelle sur une distinction purement nominale
. « Pour rendre plus sensible, dit-il, ensuite (tom. II. p. 461.) la
différence
qu’il y a entre la distinction que doivent marque
s partiels y soit rendue sensible, ce qui ne peut se faire que par la
différence
marquée des repos & des caracteres qui les re
nes que la nôtre ; celle des livres grecs a encore parmi nous quelque
différence
avec la vulgaire ; & celle des livres hébreux
e P. R liv. VII. Introd. §. 3. n’avoient que le point pour toutes ces
différences
, le plaçant seulement en diverses manieres, pour
; le leur, la leur, les leurs, pour la troisieme du pluriel. L’exacte
différence
qu’il y a entre les deux especes, c’est que les p
cevoir la détermination qui est indiquée par l’article. C’est donc la
différence
que j’ai observée entre les deux especes de posse
onne est du feminin, & l’autre, quand elle est du masculin. Cette
différence
ne sert qu’à déterminer le choix du mot, & n’
dit. p. 123. Contre, malgré, nonobstant ont un fond commun & des
différences
caractéristiques, que ce même académicien expose
ais princip. l. II. p. 193. & il approfondit encore davantage les
différences
de contre & de malgré, dans son livre des syn
prépositions opposées après & derriere sont analogues, & les
différences
en sont à-peu-près les mêmes. On trouvera dans le
n fonds commun ; & rien n’est plus propre à faire bien sortir les
différences
des synonymes, que celles de leurs opposés. 3°. M
dans le pronom, & que c’est une propriété essentielle du nom. La
différence
des genres vient dans les noms de celle de la nat
l’idée déterminative caractérise l’espece des noms ; & de même la
différence
des personnes vient dans les pronoms de celle de
s aspects, & si l’on n’avoit pas senti, du-moins confusément, les
différences
caractéristiques que l’analyse y découvre. Les no
’idée précise d’une relation personnelle à l’acte de la parole. Cette
différence
est le juste fondement de ce cri général de toute
t plus raisonnable que de différencier les especes de pronoms par les
différences
mêmes de leur nature commune. Il est donc faux de
autres que ceux que l’on nomme communément personnels. Il y a quelque
différence
entre le françois & le latin sur le nombre de
er mon langage à la conclusion que je viens d’établir, il y a quelque
différence
entre les deux langues sur le nombre des pronoms.
des patois sont les usages anciens de la langue nationale, comme les
différences
des patois viennent de celles des causes qui ont
que j’établis ici, ne fait que le confirmer. Il. J’ai annoncé quelque
différence
entre le françois & le latin sur le nombre de
mp; le latin sur le nombre des pronoms ; voici en quoi consiste cette
différence
. C’est qu’en latin il n’y a point de pronom direc
amp; elle pour le féminin ; mais il est aisé d’y remarquer une grande
différence
. Premierement, on n’a jamais employé notre il &am
qu’ils sont absens ou plus éloignés. C’est en quoi consiste aussi la
différence
des deux noms ceci & cela mentionnés plus hau
est synonyme de chaque ; & il y a de part & d’autre les mêmes
différences
. Quelqu’un s’emploie seul, mais avec une relation
, on n’y trouvera pas autre chose. Cela étant, je le demande : quelle
différence
y a-t-il entre un jugement qui est la perception
aucun à celui qu’il nomme complexe. Il y a cependant une très-grande
différence
entre le sujet simple & l’incomplexe : le suj
e est cette espece de modulation qui rend le son grave ou aigu. « La
différence
qu’il y a entre l’accent prosodique & le musi
des dixiemes, des trentiemes de ton. Il y a, ajoute-t-il, bien de la
différence
entre le sensible & l’appréciable ». L’accen
e n’avois jamais apperçu, & que je n’apperçois point encore cette
différence
; & je suis à cet égard organisé comme M. Har
i la sagacité de l’illustre secrétaire de l’acad. Françoise, c’est la
différence
même des sons qui suivent l’une ou l’autre de ces
s qui sont breves, & longues celles qui sont longues ; avec cette
différence
seulement, qu’il faut à l’un sept ou huit fois pl
syllabique étant envisagé comme indivisible par l’auteur, la moindre
différence
qu’il puisse y avoir d’un de nos tems syllabiques
-être le parti le plus sûr pour graduer d’une maniere raisonnable les
différences
de quantité qui distinguent les syllabes. Pour ce
, & par conséquent plus sensibles, plus susceptibles des moindres
différences
; & de l’autre, plus d’habitude & plus d’
uivre ce qui plaît. A peine distinguons-nous dans les sons toutes les
différences
appréciables ; nos dames y démêlent toutes les nu
semblables les uns aux autres ; ils different ensuite à raison de la
différence
des idées spécifiques qui constituent les diverse
es l’une & l’autre par le même mouvement organique, avec la seule
différence
du plus ou du moins de force ; s est le signe de
n ne sauroit faire assez de cas. Il est donc important d’examiner les
différences
de ces synonymes ; je commencerai par les deux mo
ignification formelle ; ce que je rappelle, afin de faire observer la
différence
qu’il y a entre la signification & l’acceptio
cette langue. Nos dictionnaires, §. 5. n’ont point assez remarqué ces
différences
, je veux dire, les divers sens que l’on donne par
y auroit du rigorisme à condamner tout sens adapté. Il y a bien de la
différence
entre rapporter un passage comme une autorité qui
es distinctives ajoutées à l’idée commune qui les rapproche. De-là la
différence
que les Grammairiens ont mise entre les deux mots
nom substantif, dans le sens que j’ai donné à ce mot, & c’est la
différence
qu’il y a entre le vrai & la vérité ; la même
i fait appercevoir entre les êtres comparés : il y a en effet la même
différence
entre la comparaison & le rapport, qu’entre l
rès ou fort, & ils disent sehr weiss, très-sage, fort sage. Cette
différence
des Italiens & des Allemands ne prouve rien a
mes ; mais l’une des deux manieres ne prouve pas moins que l’autre la
différence
réelle du sens ampliatif, & du sens superlati
les deux formes : c’est à la vérité reconnoître bien positivement la
différence
& la distinction des deux sens ; mais où les
& les donner pour d’exacts correspondans l’un de l’autre, quelque
différence
qu’ils ayent en effet. Pour répandre la lumiere s
simple ou l’article possessif, & c’est par-là qu’est désignée la
différence
des deux sens : sur quoi est fondé cet usage ? Qu
tement d’un article simple ou d’un article possessif ; ce qui fait la
différence
du comparatif propre & du superlatif. Outre c
ve que M. Restaut se trompe encore, & n’a pas assez approfondi la
différence
des mots, quand il rend son prétendu conditionnel
que produit l’idée générale, fait donc les mots synonymes ; & la
différence
qui vient de l’idée particuliere qui accompagne l
lectures pourront leur présenter dans nos meilleurs écrivains, de la
différence
réelle qu’il y a entre plusieurs synonymes de not
les opuscules sur la langue françoise, on trouve l’examen exprès des
différences
des mots mauvais & méchant, gratitude & r
occasionnées. Mais la besogne la plus utile pour constater les vraies
différences
de nos synonymes, consiste à comparer les phrases
ns différens écrivains, que ce qu’enseigne l’abbé Girard au sujet des
différences
qui distinguent les synonymes, n’est rien moins q
s (trop. part. III. art. xij. pag. 304), sentoient mieux que nous ces
différences
delicates, dans le tems même qu’ils ne pouvoient
nt quòd sustinent. Cicéron observe (tusc. II. n. 15.) qu’il y a de la
différence
entre dolere & laborare, lors même que ce der
e voluerunt. Non-seulement Cicéron a remarqué, comme grammairien, les
différences
délicates des synonymes, il les a suivies dans la
nt à y faire une attention spéciale ; Cicéron en a très-bien senti la
différence
, & en a tiré un grand parti. Répondant à Atti
dans les commentaires de Donat & de Servius : elles font voir les
différences
qu’il y a entre plusieurs mots que l’on prend com
donner quelque embarras, parce qu’il est aisé de se méprendre sur des
différences
quelquefois assez peu sensibles. « Je ne disconv
ce grammairien ayant assigné avec tant de justesse & de vérité la
différence
qu’il y a entre construction & syntaxe (voyez
ndiquer toutes les idées comprises dans la nature des tems, & les
différences
qui peuvent en constituer les especes : quand ell
exact des prétérits ; & l’idée de postériorité offre nettement la
différence
des futurs. Il n’est pas possible que les tems de
des Grammairiens, me paroissent assez propres à caractériser ces deux
différences
de tems. On peut donner le nom d’indéfinis à ceux
araison qu’ils different, & c’est delà qu’il convient de tirer la
différence
de leurs dénomitions. Je disois donc que j’étois,
sine ea ratione. Il semble même que ce savant romain n’ait mis aucune
différence
entre ce qui est analogique, & ce qui est fon
analogie distinctive dans les trois langues, quoiqu’il y ait quelque
différence
de l’une à l’autre. Nous nous servons en françois
er amare, (je suis pour aimer) ; je crois cependant qu’il y a quelque
différence
, parce que les langues n’admettent ni mots, ni ph
communes à tous les verbes. Ces additions se font de maniere, que les
différences
de verbe à verbe caractérisent les différentes co
rendre garde de regarder comme anomalie, ce qui n’est en effet qu’une
différence
nécessaire dans l’analogie. Le verbe aimer fait j
(voyez Verbe). Mais cette distinction reçoit d’un mode à l’autre des
différences
si marquées, que cela mérite une attention partic
té produit l’abondance, & il y a entre l’un & l’autre la même
différence
qu’entre la cause & l’effet ; la fécondité ét
e faire connoître ce qu’on pense, sont encore distinguées par quelque
différence
particuliere, qui fait qu’on les rapporte chacune
ece à part. Voyez Figure . Il y a dans les tropes une modification ou
différence
générale qui les rend tropes, & qui les disti
le grammairien philosophe. Ibid.] « Toutes les fois qu’il y a de la
différence
dans le rapport naturel qui donne lieu à la signi
contraire est fondée sur un rapport d’opposition, de contrariété, de
différence
, &, pour ainsi dire, sur le contraste qu’il y
relation, quelque liaison, quelque sorte d’union : mais il y a cette
différence
, que, dans la métonymie, l’union n’empêche pas qu
encore ensemble les mots qui commencent par U & par V, ou dont la
différence
commence par l’une de ces deux lettres ; ainsi l’
l’on définit ; en un mot, il faut déterminer le genre prochain par la
différence
spécifique. C’est ce que l’on fait aussi, quand o
l’idee accessoire doit être la même que l’idée fondamentale, sauve la
différence
des aspects, ou que le mot est le même dans les d
nce des aspects, ou que le mot est le même dans les deux cas, hors la
différence
des constructions. Il faut observer que cette réf
ctifs, passifs, ou neutres, en absolus ou relatifs, &c. selon les
différences
essentielles ou accidentelles de la modification
; l’articulation. Le son est une simple émission de la voix, dont les
différences
essentielles dépendent de la forme du passage que
iration peut fournir & air. Ce qui marquoit, selon le P. Lami, la
différence
des voyelles aux consonnes, ne marque, selon M. d
ce des voyelles aux consonnes, ne marque, selon M. du Marsais, que la
différence
des voyelles entr’elles ; & cela est beaucoup
j’ai appuyé volontiers sur cet objet, afin de rendre plus sensible la
différence
réelle des sons & des articulations, & co
mentaux : au lieu qu’il n’y a dans la disposition de l’organe, aucune
différence
sensible qui puisse caractériser les variations d
. K. M.) USAGE, COUTUME Usage Usage, s. m. (Gram.) La
différence
prodigieuse de mots dont se servent les différens
es. — Exemples. — La loi générale s’applique au cas dont il s’agit. —
Différence
absolue entre le procédé pair lequel nous acquéro
roduit dans la substance grise, son circuit de cellule à cellule, ses
différences
selon qu’il éveille une sensation de son ou une s
s, nous devrons nous défier de la tendance qui nous porte à poser une
différence
, surtout une différence absolue, entre leurs obje
ier de la tendance qui nous porte à poser une différence, surtout une
différence
absolue, entre leurs objets. Or, lorsque nous exa
s signes, des signes et indices d’inconnues. — Il y a donc une grande
différence
entre les deux points de vue. Par la conscience,
que produit le tronçon d’une grenouille décapitée. « Il n’y a pas de
différence
radicale entre les animaux et les végétaux », à c
l’image et la sensation, entre lesquelles il n’y aurait plus d’autre
différence
que celle d’intensité. Même dans la sensation, un
d’autre différence que celle d’intensité. Même dans la sensation, une
différence
d’intensité entraîne toujours avec elle une diffé
sensation, une différence d’intensité entraîne toujours avec elle une
différence
de qualité, à plus forte raison quand on passe de
at, réceptacle et moteur tout ensemble, serait le phonographe68 ». La
différence
entre le cerveau et le phonographe, c’est que, da
moire. La matière organique est à la fois sentante et agissante, à la
différence
des pures machines. La harpe vivante diffère des
mme telles sont surtout, à notre avis, la conscience de relations, de
différences
, de changements et de mouvements : conséquemment
st agir ou pâtir, tout comme savoir c’est faire. Il y a toutefois une
différence
importante entre les sensations et les émotions,
ndirectes. Entre la forme vive et la forme idéale il n’y a plus alors
différence
essentielle de nature ; les deux formes sont égal
entrales, indirectement provoquées, et il y a surtout entre elles des
différences
de degré. Ajoutons que ces réactions centrales so
ndre raisonnables, par des voies simples et communes. » D’où vient la
différence
? C’est qu’en 1696 les dévots gouvernaient ; il f
âture pour le paradoxe ? § IV. La Bruyère, moraliste littérateur ;
différence
entre lui et ses devanciers. L’aptitude de La
que rendre au public ce que le public lui a prêté. Voilà par quelles
différences
profondes La Bruyère se distingue de ses devancie
s pour les autres l’objet d’une curiosité stérile qui s’amuserait des
différences
; elles peuvent se donner réciproquement des leço
’a distingué. C’est cette ressemblance nécessaire des styles, dans la
différence
des sujets ou du génie particulier des grands écr
qui est dans sa nature et dans son dessein. Si l’on tient à noter des
différences
, ce doit être dans le génie particulier et le des
its avides de nouveautés préféreront peut-être à La Bruyère. La seule
différence
à remarquer entre La Bruyère et les grands écriva
s son principe, pour l’homme et pour la femme. Il ne dissimule pas la
différence
des sexes, mais il ne s’attache pas à l’accentuer
a aidé à cette évolution, en supprimant, surtout pour les hommes, les
différences
de costume entre les classes. — Aujourd’hui, il n
borent de beaux tissus aux couleurs éclatantes. Chez nous autres, les
différences
ne sont que dans la qualité cachée des étoffes et
e d’un désir de se distinguer et d’être distingué47. La beauté est la
différence
humaine, l’exception humaine sous sa forme la plu
oles sont ici secondaires. Ce qui est intéressant, ce ne sont pas des
différences
d’écoles, mais des différences d’âmes. Et il peut
ui est intéressant, ce ne sont pas des différences d’écoles, mais des
différences
d’âmes. Et il peut y avoir autant ou plus d’origi
une dissociation des éléments sociaux, une volonté d’indépendance, de
différence
individuelle, d’exception et de sécession, d’isol
évolte antisociale. Car se sentir différent, se décerner ce brevet de
différence
, « n’est-ce pas s’égaler à toute la société ? N‘e
ividu isolé, différent par hypothèse, des autres ; conscient de cette
différence
et entendant y persévérer ; un individu dissident
caractère social (ou grégaire) et le caractère individualiste. Cette
différence
n’est pas l’effet de la vie sociale et, de même,
ulu, il devient égotisme, c’est-à-dire égoïsme théorétisé, volonté de
différence
et d’isolement, dilettantisme amoral et antisocia
tre tous. Se sentir et se vouloir diffèrent, se décerner ce brevet de
différence
, n’est-ce pas s’égaler à toute la société, n’est-
il aspire à plus d’indépendance et de puissance ; il revendique sa «
différence
» comme un gage de supériorité et un principe d’a
e qu’elle va trouver les mêmes ressorts pour les ébranler, avec cette
différence
remarquable qui a sans doute frappé Eschyle : c’e
c’est-à-dire, avec un air plus vif et plus animé, à proportion de la
différence
qui doit se trouver entre la durée de l’un et cel
lance ne saurait être toujours si parfaite, qu’elle n’admette quelque
différence
en faveur des beautés de l’art, l’art même, pour
agédies. Je me contente de remarquer, par ce que je viens de dire, la
différence
exacte des expositions du poème épique et de cell
t d’esprit considérable dans Eschyle, d’avoir le premier aperçu cette
différence
de l’épique et du tragique, en faisant naître l’u
ue M. Quinet, ce bas-bleu teint par M. Quinet ! Je ne vois pas grande
différence
dans la manière de ces époux : On pourrait aiséme
es un quart ; nos montres génevoises avancent de vingt minutes. Cette
différence
d’aiguilles est toute une révélation, un changeme
d’écrire comme ça. Seulement, si elle l’avait écrite, il y aurait une
différence
, la différence de l’amour ! Elle l’aurait nommé,
ça. Seulement, si elle l’avait écrite, il y aurait une différence, la
différence
de l’amour ! Elle l’aurait nommé, elle, son cher
dans cette œuvre d’un homme du xixe siècle que dans la sienne, et la
différence
qu’il y a entre les deux œuvres de ces Ménechmes,
les deux œuvres de ces Ménechmes, à distance, n’est pas seulement une
différence
de cent ans ! Aussi, lorsque je dis « Ménechmes »
nin est tout un drame et tout un roman, pathétique et terrible. Cette
différence
dans la composition de ce qui n’est qu’un dialogu
— à ce qui est une question de société et de nature humaine, — cette
différence
doit produire mille autres conséquences différent
e déplacement élémentaire correspond une sensation élémentaire. — Les
différences
des sensations totales ont toutes pour cause les
; ils ressembleraient aux diverses parties d’un dessin où toutes les
différences
sont celles du blanc, du gris et du noir. — D’aut
ensations et nos manques de sensation ; ce qui la frappe, ce sont des
différences
entre nos états, et, à cause de cela, elle met en
emble à l’antécédent immédiat de l’action du nerf optique, sauf cette
différence
que, dans le second cas, le type et les éléments
et la sensation de froid ou de chaud ne fait que traduire en gros la
différence
d’intensité qui sépare deux systèmes d’ondulation
gement ou le raccourcissement des muscles. Mais ce n’est point là une
différence
d’action, c’est une différence d’excitant ; il n’
es muscles. Mais ce n’est point là une différence d’action, c’est une
différence
d’excitant ; il n’y a dans la sensation musculair
aigne, soit à tout autre de ses accompagnements intérieurs. Quant aux
différences
de ces rhythmes, il n’est pas impossible de s’en
ait, plus on s’approche d’une sensation vraiment élémentaire, plus la
différence
entre la sensation de température et celle d’un e
me à l’endroit des saveurs et des sensations tactiles. — Mais ici une
différence
se présente. Nous pouvons faire à propos des save
t être elles-mêmes des totaux composés des mêmes éléments, sans autre
différence
que celle du nombre, de l’ordre et de la grandeur
peu près la même chose que l’affectation dans le langage ; avec cette
différence
que ce qui est écrit doit être naturellement un p
tes latins, que nous avons la bonté d’admirer : d’ou peut venir cette
différence
? et si Virgile ou Horace revenaient au monde pou
s de ces deux mots différera, non par des nuances fines, mais par des
différences
très marquées et très grossières ; ainsi les mots
clairs et choisis. Il faut encore distinguer, dans les synonymes, les
différences
qui sont uniquement de caprice et d’usage quelque
es. Un auteur qui écrit sur cette matière, doit marquer avec soin ces
différences
, au moins par des exemples qui donnent occasion a
itution ne puisse être réciproque : ainsi, quand on voudra marquer la
différence
entre pleurs et larmes, on pourra donner pour exe
ation. Qu’on nous permette de faire ici quelques réflexions sur cette
différence
entre la prononciation et l’orthographe ; elles a
nent au sujet que nous traitons. Il serait fort à souhaiter que cette
différence
fût proscrite dans toutes les langues. Il y a pou
arce que la prononciation de ces mots est la même, à quelques légères
différences
près. Cependant ces quatre mots désignent quatre
tan et temps, un accent dont on conviendrait, marquerait aisément la
différence
sans multiplier d’ailleurs la manière d’écrire un
nts arrivés dans cette orthographe et dans notre prononciation. Cette
différence
entre notre manière de lire et d’écrire, différen
nonciation. Cette différence entre notre manière de lire et d’écrire,
différence
si bizarre et à laquelle il n’est plus temps aujo
nger ; on s’est contenté de l’adoucir, et de là est venue une seconde
différence
entre la prononciation et l’orthographe étymologi
nce entre la prononciation et l’orthographe étymologique. C’est cette
différence
qui fait prononcer l’s de temps comme un z, le d
un bon dictionnaire de langue n’en doit pas moins tenir compte de la
différence
entre l’orthographe et la prononciation, et des v
à et bas, etc. ; un dérivé est formé d’une seule racine avec quelques
différences
dans la terminaison, comme fortement de fort, etc
tie s’appliquer à ceux-là. Nous nous contenterons donc de marquer les
différences
principales qu’il doit y avoir entre un dictionna
sera possible, dans un dictionnaire de langue morte : par exemple, la
différence
de vereor et de metuo, si bien marquée au commenc
ir, même imparfaitement, deux langues, pour en être convaincu : cette
différence
d’expression et de construction constitue princip
, et se révolte quand on lui en présente. Il est vrai qu’il y a cette
différence
entre le public et les critiques subalternes, que
s pas de suivre l’auteur dans son examen des idées de ressemblance et
différence
, antécédent et conséquent, position dans l’espace
fait de conscience primitif consiste d’abord dans l’aperception d’une
différence
, ensuite dans l’aperception d’une ressemblance. R
e rouge, rougeur signifie le rouge sans quelque chose. Il y a la même
différence
entre l’étendue concrète et l’étendue abstraite.
olie gloire, ce qu’on appelait autrefois l’esprit français. Une autre
différence
encore qu’il faut noter entre ces dîners, dont pr
nt même, en approuvant : « Tiens, c’est une idée ! » D’où vient cette
différence
? Ah ! toute la différence de cet accueil vient d
Tiens, c’est une idée ! » D’où vient cette différence ? Ah ! toute la
différence
de cet accueil vient de la gimblette. Nous, nous
simple & tantôt noble, tantôt grave & tantôt rapide, selon la
différence
des objets qui se présentent. M. l’Abbé Pluquet &
etz, principalement, offre une bigarrure de style qui déplaît, par la
différence
qui se trouve entre un article & un autre art
ésentation ne tombe que sous la catégorie de la ressemblance et de la
différence
. On peut la comparer à son objet ou à une autre r
Joconde n’agit sur le portrait de la Fornarina. La ressemblance et la
différence
sont des rapports tout extrinsèques, pour un troi
ter comme une simple ressemblance avec le soleil, ou comme une simple
différence
, c’est mettre des spéculations de métaphysicien à
ne s’est développée qu’en vue du choix ; si nous avons conscience des
différences
, principalement sensitives, c’est que ces différe
conscience des différences, principalement sensitives, c’est que ces
différences
sensitives entraînent des différences réactives.
ement sensitives, c’est que ces différences sensitives entraînent des
différences
réactives. On peut même aller plus loin et dire q
ment expérimentés au moment où ils se produisent. Il y a dès lors une
différence
fondamentale entre ce qui est senti et ce qui n’e
existe que pour un témoin, n’apparaît qu’à un spectateur. C’est cette
différence
qu’on exprime par le mot général de conscience ;
ouvenirs d’autres sons se réveillent, quatrième fait ; j’aperçois des
différences
et ressemblances, cinquième fait ; les noms des n
ns à notre tour. Il a eu le tort, en effet, de réduire entièrement la
différence
entre la « sensation » et l’« idée » à celle des
ieux ; mais après avoir expliqué la similitude, il faut expliquer les
différences
. Ici certains anatomistes se sont crus obligés, p
ent une question des plus difficiles et des plus complexes, celle des
différences
de l’homme et de l’animal. Cette question mérite
sation ? M. Vogt s’étonne que certains listes, ne considérant que les
différences
corporelles, trouvent à peine de quoi faire du ge
ire du genre humain une famille distincte, tandis qu’à considérer les
différences
morales et intellectuelles ils en feraient volont
iers des singes, intervalle qui ne s’explique pas suffisamment par la
différence
de leur organisation encéphalique. 20. MM. Broc
dées sociales le nombre et le rapprochement, les ressemblances et les
différences
des individus associés : posons-nous cette même q
ersection possible sans délimitation préalable. Or, malgré toutes les
différences
que ses espèces peuvent présenter, quels sont les
e plusieurs organisations à la fois. Ce n’est pas là une des moindres
différences
qui séparent la spécialisation biologique de la s
mêmes. — Et ainsi la complication sociale, aidant au raffinement des
différences
en même temps qu’à l’élargissement des ressemblan
ple, égalise en principe tous les fidèles. La cité céleste ignore les
différences
terrestres. À la porte de l’Église tous les honne
Marx le dit de son côté180 : « L’argent en qui s’effacent toutes les
différences
qualitatives entre les marchandises, efface à son
ion des hommes181. Le « droit du marché » ne voulait connaître aucune
différence
de naissance, et c’est peut-être parce que le dro
Procédé par lequel nous leur attribuons le mouvement. — Analogies et
différences
de ce procédé et du procédé par lequel nous attri
t semblait un corps extérieur à nous, indépendant et stable. La seule
différence
, c’est que tout à l’heure un corps indépendant, e
l’expérience ultérieure de constater entre lui et l’objet réel aucune
différence
. — Quel est cet objet réel ? Et en a-t-il un ? Et
le mouvement d’un membre ou d’un autre organe mû par des muscles. La
différence
entre six pouces et dix-huit pouces est exprimée
ns comparer les différents modes de l’étendue, en d’autres termes des
différences
de longueur, de surface, de situation et de forme
s, il faut absolument avoir acquis ce discernement des plus délicates
différences
. » Reste un troisième point de vue ; car il y a
eci s’explique suffisamment par la tendance de l’esprit à inférer une
différence
dans les choses d’après une différence dans les n
ance de l’esprit à inférer une différence dans les choses d’après une
différence
dans les noms, je me reconnais obligé à montrer c
e toutes nos sensations et quelque chose qui soit autre qu’elles. Les
différences
que notre conscience reconnaît entre une sensatio
naît entre une sensation et une autre nous donnent l’idée générale de
différence
et associent indissolublement à chaque sensation
n, dépouillez les sensations composantes de toute qualité et de toute
différence
intrinsèques ; considérez-les abstraitement, comm
ur œuvre identique. On ne pouvait, de bonne foi, trouver entre eux de
différence
. Enfin un genre de sport fut quelque temps très e
t Vielé-Griffin le sont aussi par leurs écrits, mais à cause de leurs
différences
mêmes, — en ce sens spécial que l’un complète l’a
s causes qui nous sont complétement inconnues. Audubon a constaté des
différences
très remarquables entre les nids d’oiseaux de la
et toujours beaucoup plus persécutés par l’homme. La preuve que cette
différence
n’a pas d’autre cause, c’est que dans les îles in
our du troupeau, au lieu de lui courir sus. Je ne saurais voir aucune
différence
entre ces divers actes et ceux qu’accomplit le pu
dinaire, leur principale occupation serait la chasse aux Aphis. Cette
différence
dans les habitudes des maîtres et des esclaves de
efois même n’ont point d’yeux. Pour ce qui concerne les instincts, la
différence
entre les ouvrières et les femelles fertiles est
’innombrables exemples, à l’état domestique et à l’état de nature, de
différences
de structure corrélatives, soit à certaines phase
ie de l’individu, soit à l’un ou à l’autre sexe. Nous connaissons des
différences
corrélatives, non seulement à l’un des sexes excl
la mâchoire du Saumon mâle. Nous voyons même se manifester de légères
différences
dans les cornes de notre bétail en corrélation av
s fécondes et les ouvrières stériles de la même espèce la prodigieuse
différence
que nous observons aujourd’hui chez beaucoup d’es
les neutres des diverses espèces de Fourmis anglaises de surprenantes
différences
, soit sous le rapport de la taille, soit sous cel
e occidentale. Il me sera plus aisé de faire évaluer l’importance des
différences
que je constatai entre les ouvrières de cette tri
nçois Huber peuvent avoir été de même parfaitement exactes ; et cette
différence
des témoignages prouverait seulement la variabili
pensée soit représentée par A et une autre par B : quelle prodigieuse
différence
n’y aurait-il pas entre l’homme qui développera c
main : mais de quoi vous servira de trouver trois nombres tels que la
différence
des carrés de deux, ajoutée au nombre trois, fass
e au nombre trois, fasse toujours un carré, et que la somme des trois
différences
, ajoutée au même cube, fasse toujours un carré ?
ment contre les mathématiques et ceux qui les préfèrent à tout. Cette
différence
d’opinions vient de l’erreur commune, qui confond
contraire à quel point entre nous, modernes, et la Grèce antique, la
différence
est profonde, et par conséquent toute imitation i
ce est profonde, et par conséquent toute imitation insensée. Et cette
différence
nous frappe d’autant plus que, dans tout le cours
la faire saillir. Et qu’avait-il besoin de le faire, du reste ? Cette
différence
ne prend-elle pas tout d’abord aux yeux l’esprit
l au brigandage, l’absence de la famille ; la communauté ! Malgré des
différences
bien plus dans la forme que dans le sens des chos
géographique actuelle des êtres organisés ne peut s’expliquer par les
différences
locales des conditions physiques. — II. — Importa
ribution géographique des êtres organisés ne peut s’expliquer par les
différences
locales des conditions physiques. — Si l’on consi
ces des habitants des diverses régions ne peuvent s’expliquer par des
différences
climatériques ou par d’autres conditions physique
ons physiques entre les deux continents, on constate les plus énormes
différences
dans leurs productions vivantes. Dans l’hémisphèr
nexion, de la manière la plus étroite et la plus importante, avec les
différences
qu’on observe entre les productions des diverses
tions exclusivement arctiques. Le même fait apparaît dans les grandes
différences
des habitants de l’Australie, de l’Afrique et de
ablement pas existé depuis aussi longtemps dans leur état actuel, les
différences
que de telles barrières apportent dans l’aspect g
ment des Chevaux des autres races, et qui cependant ne doit point les
différences
et la supériorité qui le distinguent à la descend
ernant la distribution géographique, tels, par exemple, que la grande
différence
des faunes marines des deux côtés opposés de chaq
réation séparée et indépendante des formes présentant entre elles des
différences
de valeur spécifique. Par les termes de parenté,
espèces convergentes vers l’ancien type de la race. De sorte que les
différences
génériques pourraient ainsi être ultérieurement r
rences génériques pourraient ainsi être ultérieurement réduites à des
différences
purement spécifiques, et celles-ci à de simples v
al, assez régulière dans le ciel ne permettent pas de supposer que la
différence
de température des espaces qu’elles traversent to
isant les auteurs dramatiques que tous les autres, que d’observer les
différences
de style entre les divers personnages. Les auteur
la fin de la pièce ; or, observez le style, et vous verrez que de ces
différences
dans le caractère et de ces différences d’âge, le
le, et vous verrez que de ces différences dans le caractère et de ces
différences
d’âge, le style même vous avertit. Il est à remar
dernier degré devant « le pauvre homme ». Or, cela est marqué par des
différences
de style qui sont extrêmes. Quand Orgon parle à s
chercher, et précisément, c’est en le cherchant là qu’on saisira les
différences
entre le style personnel et le style qu’il invent
simple complexus de sensations passives et externes. C’est sur cette
différence
même et sur elle seule que peut se fonder la dist
usil aboutit à celui de la balle traversant l’air ; mais il y a cette
différence
que le mouvement de la détente, celui des gaz exp
é à tout mode de conscience n’a pas la vertu de supprimer les réelles
différences
entre les modes de conscience ; or, l’attitude se
ution. Entre ce commencement et l’exécution complète, il n’y a qu’une
différence
: 1° de prolongation dans le temps ; 2° d’intensi
jusqu’au bout. Pratiquement et socialement, il y a certes une grande
différence
, comme il y a une différence entre deux heures et
et socialement, il y a certes une grande différence, comme il y a une
différence
entre deux heures et une seconde, entre une force
l’espèce que les mêmes éléments qui sont dans l’individu, avec cette
différence
qu’ils y sont développés sur une plus grande éche
castes dans l’espèce humaine, l’homme est égal à l’homme, et la seule
différence
qui existe et qui puisse exister d’homme à homme
le différence qui existe et qui puisse exister d’homme à homme est la
différence
du plus au moins, la différence de la forme de la
puisse exister d’homme à homme est la différence du plus au moins, la
différence
de la forme de la connaissance. Un pâtre en sait
u grec quelques siècles avant celui de Périclès, vous y trouverez une
différence
frappante. Dans les unes, des bras serrés auprès
sophie de cette époque aux autres éléments contemporains ; avec cette
différence
qu’en se plaçant dans la philosophie on s’établit
raison ; 2º réduction à deux, l’unité et la variété, l’identité et la
différence
, l’être absolu et l’être relatif, la cause absolu
nce et du phénomène, de l’être et du paraître, de l’identité et de la
différence
, etc. Arrivés à cette réduction, examinons le rap
ini et leur rapport. — Tous les hommes possèdent ce fait ; leur seule
différence
vient de la prédominance de tel ou tel élément de
est dans l’égale possession des trois éléments de la conscience ; ses
différences
viennent de la prédominance de l’un d’eux sur les
érences viennent de la prédominance de l’un d’eux sur les autres. Ces
différences
constituent les différentes époques de l’histoire
s les rapports mathématiques des nombres, ceux qui n’admettent pas la
différence
du beau et du laid, du juste et de l’injuste. Pou
nécessaire de l’intelligence, c’est la conscience56, c’est-à-dire la
différence
. Il ne peut y avoir connaissance que là où il y a
l’intelligence réalisée, et la conscience implique la diversité et la
différence
. Transportez ceci de l’intelligence humaine à l’i
te, là où le fond se ressemble si fort, d’insister hostilement sur la
différence
de la forme. La religion est la philosophie de l’
causation et de création dont nous possédons une image ; et toute la
différence
de notre création à celle de Dieu est la différen
age ; et toute la différence de notre création à celle de Dieu est la
différence
générale de Dieu à l’homme, la différence de la c
tion à celle de Dieu est la différence générale de Dieu à l’homme, la
différence
de la cause suprême et absolue à une cause relati
de à Dieu, rapport qui est à la fois un rapport de ressemblance et de
différence
; car il répugne que Dieu en se manifestant ne pa
nifestation ne reste pas différent de cette manifestation de toute la
différence
de la cause et de l’effet. L’univers est donc un
nce humaine. C’est sur ce fond commun que le temps dessine toutes les
différences
qui distinguent l’homme de l’homme. Les trois ter
t alors l’homme sait mieux ce qu’il savait déjà. Il n’y a pas d’autre
différence
de l’homme à l’homme. Telle est la supériorité de
qui sont dans la réflexion scientifique la plus développée. La seule
différence
d’un homme à un homme est le plus ou moins de cla
entique à lui-même, s’il ne soutenait pas relativement à lui-même des
différences
graves, il n’aurait pas d’histoire, car il n’y a
umain soutient avec lui-même, dans le cours de sa destinée, les mêmes
différences
que l’individu soutient relativement à lui-même d
nce les trois éléments fondamentaux de la conscience, admet aussi des
différences
dans le degré de clarté avec lequel il les reconn
é d’attention qu’il dirige tantôt sur l’un et tantôt sur l’autre. Les
différences
caractéristiques qui divisent le développement de
conscience de l’individu sont les différentes époques de sa vie ; les
différences
que subit le genre humain dans son développement
t évident qu’il faut avoir reconnu dans quel ordre se développent les
différences
que nous avons signalées dans la conscience du ge
ne dans l’aperception spontanée de la vérité. — Réflexion, élément de
différence
. — Nécessité et utilité de la réflexion. — Histoi
ice le plus simple de la raison. Cependant, sous cette unité sont des
différences
; il y a dans le genre humain, de siècle à siècle
n, de siècle à siècle, de peuple à peuple, d’individu à individu, des
différences
manifestes. Il ne faut pas les nier, il faut les
forme de la pensée. Nous avons vu que la spontanéité n’admet guère de
différences
essentielles. Reste donc que les différences frap
tanéité n’admet guère de différences essentielles. Reste donc que les
différences
frappantes qui se voient dans l’espèce humaine na
flexion ; c’est là qu’est la racine de l’erreur, et celle aussi de la
différence
. Il n’y a guère de différence dans l’aperception
acine de l’erreur, et celle aussi de la différence. Il n’y a guère de
différence
dans l’aperception de la vérité, ou bien les diff
’y a guère de différence dans l’aperception de la vérité, ou bien les
différences
sont peu importantes ; c’est sur l’erreur essenti
s ; c’est sur l’erreur essentiellement mobile et diverse que tombe la
différence
, et l’erreur naît d’une vue incomplète et partiel
iverselle, c’est-à-dire dans l’histoire. L’unité y est aussi avec ses
différences
nécessaires, qui grandissent en proportion de la
stoire n’a point d’âge d’or ; elle commence au règne de fer, avec les
différences
et les contradictions du temps et du mouvement. E
nité primitive, ne supposant aucune distinction, n’admet ni erreur ni
différence
; mais la réflexion, en divisant les éléments de
tantôt l’autre, amène la diversité de l’erreur, et par conséquent la
différence
. Ainsi l’homme, qui au fond et dans l’élan sponta
succession nécessaire des points de vue de la réflexion constitue les
différences
réelles de l’homme vis-à-vis de lui-même. Il en e
ple, en est l’expression dernière. — Des ressemblances et surtout des
différences
des divers peuples d’une même époque. — Idée de l
onstances différentes qui la modifient, se développe partout avec ses
différences
et avec ses harmonies ? Telle est la première que
qui est réel, tout ce qui vit est complexe, mélangé, divers, plein de
différences
. Si donc il y a nécessairement dans toute époque
eux. Ils ont nécessairement des ressemblances plus grandes que leurs
différences
, puisque tous appartiennent à une seule et même é
nt pas ne pas différer. La philosophie de l’histoire doit étudier ces
différences
, les embrasser dans leurs causes et dans leurs ef
et borné peut exprimer la vérité universelle et absolue. Comment ces
différences
des différents peuples vivent-elles ensemble ? Ne
tre les mains du temps est opposé et ennemi, et les diversités et les
différences
deviennent dans l’histoire des contradictions et
seule époque, mais dans celle-là il n’y aura aucun progrès ; car les
différences
ne se fondront pas, et chaque peuple restera éter
ucydide ; comparez-les avec ceux de Démosthène, et vous verrez quelle
différence
il y a entre l’éloquence du chef d’un grand peupl
et met gratuitement contre soi les mêmes chances d’erreur, avec cette
différence
que les premières erreurs étaient inévitables, qu
ez la révolution de l’Angleterre avec la nôtre et voyez leur profonde
différence
: d’un côté, tout est local et part de motifs sec
u petit nombre qui subsistent, la difficulté de l’idiome, la profonde
différence
des idées et des formes, tout oppose à l’historie
n’ose reconnaître que l’être est commun à l’un et à l’autre, sauf la
différence
du degré, comme si tout ce qui n’est pas n’était
pas avoir des traits caractéristiques. Tout ce qui est tel ou tel. La
différence
est un élément aussi essentiel à l’être que l’uni
eunesse de madame de Longueville, chap. ier , p. 63, etc. 92. Sur la
différence
de l’histoire proprement dite et de la philosophi
ous allons le voir, le seul sens suivant lequel il faut comprendre la
différence
importante qui sépare les sciences d’observation
ssance de l’investigateur d’agir sur les phénomènes, que se trouve la
différence
qui sépare les sciences dites d’expérimentation,
Donc, s’il n’y a pas, au point de vue de la méthode philosophique, de
différence
essentielle entre les sciences d’observation et l
L’expérience n’est au fond qu’une observation provoquée Malgré la
différence
importante que nous venons de signaler entre les
est en effet qu’une constatation de fait dans les deux cas ; la seule
différence
consiste en ce que le fait que doit constater l’e
astique et l’expérimentateur procèdent tous par une idée a priori. La
différence
consiste en ce que le scolastique impose son idée
vrai, les conséquences le sont aussi. Toutefois, il y a là une grande
différence
à signaler, en ce sens que le point de départ n’e
rience pour contrôler la conclusion de ce raisonnement déductif Cette
différence
entre les mathématiciens et les naturalistes est
des phénomènes des corps bruts, et qu’il n’y a sous ce rapport aucune
différence
entre les principes des sciences biologiques et c
e et semblable. Mais ces conditions diverses ne sauraient établir une
différence
de nature entre les divers êtres vivants ; elles
ne apparence différentes de ceux des corps bruts, ils n’offrent cette
différence
qu’en vertu de conditions déterminées ou détermin
ait antiscientifique ; on conclura uniquement et nécessairement à des
différences
de conditions dans les phénomènes, qu’on puisse o
s. Les faits ne s’excluant jamais, ils s’expliquent seulement par les
différences
de conditions dans lesquelles ils sont nés. De so
s phénomènes des corps vivants et les phénomènes des corps bruts, une
différence
fondée sur ce que l’on peut connaître la nature d
plus délicates à saisir que dans les corps bruts ; c’est là toute la
différence
. En résumé, si notre sentiment pose toujours la q
Je me réserve de traiter ailleurs la question de savoir s’il y a des
différences
qui séparent les forces des corps vivants de cell
tales qui s’appliquaient aux corps vivants comme aux corps bruts ; la
différence
pour les corps vivants résidait seulement dans un
rai, comme nous l’avons dit, que la vie n’introduit absolument aucune
différence
dans la méthode scientifique expérimentale qui do
n appliquée à la médecine. En effet, c’est là que nous trouverons les
différences
dues aux influences de l’âge, du sexe, de l’espèc
he de cruauté que leur adressent les gens étrangers à la science ; la
différence
des idées explique tout. Le physiologiste n’est p
ées qu’on appelle des empoisonnements ; car, au fond, il n’y a pas de
différences
dans l’étude des actions physiologiques, morbides
hes spéciales. Mais la diversité spécifique ne constitue pas la seule
différence
que présentent les animaux soumis à l’expérimenta
ncore, par les conditions où ils se trouvent, un très grand nombre de
différences
qu’il importe d’examiner ici ; car c’est dans la
d’une variabilité extrême et qui, à un moment donné, introduisent des
différences
considérables au point de vue de l’expérimentatio
les divergences d’opinions entre physiologistes ont eu pour cause des
différences
anatomiques dont on n’avait pas tenu compte dans
êt, mais que je crois abordables et susceptibles d’être réduits à des
différences
de propriétés physico-chimiques de milieu. Dans l
spèce animale les races peuvent encore présenter un certain nombre de
différences
très intéressantes à connaître pour l’expérimenta
i-même à toutes les périodes de son évolution, c’est ce qui amène les
différences
relatives à l’âge. Dès la naissance, les phénomèn
s du tout les mêmes résultats35. L’hibernation amène aussi de grandes
différences
dans les phénomènes de la vie, et ce n’est pas du
aux de même classe, de même ordre ou de même espèce, il y a aussi des
différences
constantes ou passagères que le physiologiste méd
decin doit absolument connaître et expliquer, parce que, bien que ces
différences
ne reposent que sur des nuances, elles donnent au
e ces substances sont les mêmes chez l’homme et les animaux, sauf des
différences
de degrés. Dans les recherches de physiologie pat
l’homme et les animaux, il faut bien reconnaître aussi qu’il y a des
différences
. Ainsi, au point de vue physiologique, l’étude ex
qu’ils éprouvent. Au point de vue pathologique, on constate aussi des
différences
entre l’homme et les animaux ; ainsi les animaux
maux des diverses classes ou des diverses espèces. Mais, loin que ces
différences
puissent être des motifs pour nous empêcher d’exp
ssantes du contraire. Les diverses espèces d’animaux nous offrent des
différences
d’aptitudes pathologiques très nombreuses et très
iques ou pathologiques tout à fait spéciales ; j’ai constaté même des
différences
individuelles souvent assez tranchées. Or, l’étud
érimentale de ces diversités peut selon nous donner l’explication des
différences
individuelles que l’on observe chez l’homme, soit
tant pas précisément ce que les philosophes ont appelé la méthode par
différence
. Quand un expérimentateur est en face de phénomèn
qu’il sépare successivement chacun de ces corps un à un, et voit par
différence
ce qui appartient à chacun d’eux dans le phénomèn
dans une résultante harmonique finale. En physiologie la méthode des
différences
est rarement applicable, parce qu’on ne peut pres
organe, dont les effets se trouvent alors dégagés et exprimés par la
différence
que l’on observe entre les deux animaux. L’expéri
ppose que les deux animaux comparés sont assez semblables pour que la
différence
que l’on constate sur eux, à la suite de l’expéri
r eux, à la suite de l’expérience, ne puisse pas être attribuée à une
différence
tenant à leur organisme même. Quand il s’agit d’e
ultanément sur des parties similaires du même individu. En effet, les
différences
sont plus difficiles à saisir à mesure que les ph
ste pas ; car à jeun l’urine diffère de celle de la digestion, et ces
différences
disparaissent dans le mélange. Le sublime du genr
érament, et une foule d’autres circonstances apporteront toujours des
différences
, d’où il résulte que la moyenne ou le rapport que
phénomène dans des conditions identiques, et ce sont précisément ces
différences
de conditions qu’il faut chercher à déterminer af
à Magendie, c’était de ne pas avoir cherché lui-même la raison de la
différence
des deux résultats ; mais la critique d’exclusion
se rencontrer des circonstances particulières qui eussent expliqué la
différence
des résultats sur la grenouille et sur le crapaud
’empoisonne néanmoins si l’on augmente assez la dose. De sorte que la
différence
signalée se réduisait à une question de quantité
oins de matière glycogène, de sorte que je n’étais jamais sûr que les
différences
trouvées fussent le résultat de la différence d’a
ais jamais sûr que les différences trouvées fussent le résultat de la
différence
d’alimentation. Pour enlever cette cause d’erreur
olédoque et un conduit pancréatique. Je donnais ainsi la raison de la
différence
des résultats obtenus, et je concluais qu’en phys
s suivies de guérison dans un cas et de mort dans l’autre. Toutes ces
différences
tenaient, suivant lui, à ce que la vie modifie pa
e l’autre, et que par suite il devait exister entre les individus des
différences
qu’il était impossible de déterminer. Il ne voulu
, lesquels sont seuls à notre portée. On établit par ce travail leurs
différences
et leurs analogies et une lumière nouvelle résult
é relative des phénomènes. Nous ne saurions trouver, en effet, aucune
différence
radicale entre la nature des phénomènes physiolog
ne serait pas tout à fait la même pour toutes les Étoiles, et que les
différences
nous feraient connaître le mouvement absolu de la
ait songer aux harmoniques que l’on rencontre en acoustique ; mais la
différence
est grande ; non seulement les nombres de vibrati
mais elles sont de toute autre nature et pour ne citer qu’une de ces
différences
, pour les harmoniques d’ordre élevé le nombre des
plus exacte de l’esprit français est la langue française. — § VI. Des
différences
générales entre ta langue française et les langue
, qu’on a vu se développer la littérature française et, sauf quelques
différences
de détail, toutes les littératures modernes. Nous
hose que l’esprit ancien ? C’est en effet l’esprit ancien, avec cette
différence
, tout à son avantage, que le caractère pratique y
prit français diffère de l’esprit des autres nations modernes. Les
différences
sont grandes entre l’esprit français et ce qui pa
mère Virgile et Dante, Tacite et Machiavel ? Doit-on conclure de ces
différences
que seuls nous représentons l’esprit humain ? Non
plus de traits essentiels. Mais il faut savoir confesser en quoi ces
différences
sont à notre désavantage. Il nous manque peut-êtr
bien n’est-il pas à la merci des hommes et, des choses ? § VI. Ces
différences
générales entre les langues littérales du midi et
pénètrent pas. » Plus je médite ces belles paroles, moins je vois la
différence
qui les sépare de la pensée de M. Littré. « Ce qu
dérables, propres à entraîner la conviction. Quelle est donc alors la
différence
de la philosophie et de la religion ? A quel titr
écider en matière de foi ? On sait de plus qu’indépendamment de cette
différence
fondamentale il y a des différences de dogme ou d
de plus qu’indépendamment de cette différence fondamentale il y a des
différences
de dogme ou de pratique importantes entre les deu
s deux églises. Pour n’en citer qu’une seule, ce n’est pas une petite
différence
que celle qui consiste à admettre ou à rejeter la
lus orthodoxe se dégage de plus en plus des liens dogmatiques. Quelle
différence
subsiste-t-il aujourd’hui, autre qu’une différenc
ogmatiques. Quelle différence subsiste-t-il aujourd’hui, autre qu’une
différence
administrative, entre l’église de Luther et celle
re ces lois sont-elles intelligibles ? N’y a-t-il entre elles que des
différences
de généralité et de complexité, ou l’apparition d
gique générale, ainsi que s’exprimait Leibnitz. S’il en est ainsi, la
différence
entre les lois mathématiques et les lois logiques
et Aristote, ce qui paraît frapper surtout l’esprit humain, c’est la
différence
du mouvement et du repos. On part de cette opposi
es mathématiques. Celles-ci ne déclarent A égal à B, en tant que leur
différence
peut être rendue plus petite que toute quantité d
en s’il n’y a, dans l’objet de ces deux sciences, rien de plus qu’une
différence
de complication et de degré. Le caractère essenti
endre de la chaleur, le frottement empêche la réversibilité. Or cette
différence
est générale : aucun phénomène physique ne peut s
anique n’attribuait qu’à la force prise en général. De là résulte une
différence
capitale entre la physique et la chimie. Cette ir
rangements divers, à rendre compte des phénomènes chimiques. Mais ces
différences
, surtout la différence de valence, constituent en
dre compte des phénomènes chimiques. Mais ces différences, surtout la
différence
de valence, constituent encore des différences sp
différences, surtout la différence de valence, constituent encore des
différences
spécifiques. Cette dernière différence, qui conce
lence, constituent encore des différences spécifiques. Cette dernière
différence
, qui concerne le nombre des atomes susceptibles d
’il tient pour contingent, à l’arbitre d’une puissance infinie. Cette
différence
semble résulter de la notion qu’on s’est faite de
ue genre de tissu paraît avoir une irritabilité spéciale ; mais cette
différence
résulte de la complication des tissus et du mode
ue dans les objets de ces sciences. Un phénomène met en saillie cette
différence
, c’est la mort. Elle ne peut s’expliquer dans le
ts. Il n’y a pas précisément entre eux unité de composition et simple
différence
de degré : ils s’étagent les uns au-dessus des au
nt à la morphologie le pas sur la physiologie. Il faisait résulter la
différence
des fonctions et des formes des conditions dans l
ns les composés. Mais, quand il s’agit du monde organique, une petite
différence
peut être de grave conséquence. Le signe de la ca
nt présupposés dans les éléments mêmes que l’on prend pour donnés. La
différence
n’est que mesure. En réalité, on se donne la facu
’âme est essentiellement constituée par la propriété de percevoir une
différence
; c’est la spécification de cette propriété qui f
simple, jusqu’aux actes plus complexes, tels que la perception d’une
différence
, l’action de compter, de nommer, le raisonnement
is, obligée de substituer aux sensations elles-mêmes les plus petites
différences
perceptibles, elle prend pour accordé que des dif
lus petites différences perceptibles, elle prend pour accordé que des
différences
aussi petites que possible sont égales. Or rien n
ipe de tolérance mutuelle ? Considérons le capital et le travail : la
différence
qui les sépare ne les empêche pas de se combattre
que nous étudierons d’abord, dans le cas du rappel des souvenirs, la
différence
entre la représentation spontanée et la représent
à l’extrême difficulté que nous éprouvons à définir avec précision la
différence
entre les deux attitudes que prend l’esprit quand
accord », dit un des personnages consultés. Et c’est justement cette
différence
de physionomie qui permet de retenir plusieurs pa
ra-t-il de l’état de relâchement intellectuel ? Il faudra chercher la
différence
en dehors de la représentation elle-même. Il faud
ation, se placer en face de la représentation elle-même, chercher une
différence
interne entre la représentation purement passive
texture intérieure diffère, pourquoi chercher ailleurs que dans cette
différence
la caractéristique de l’effort intellectuel ? Pui
intellectuel ? Puisqu’il faudra toujours finir par reconnaître cette
différence
, pourquoi ne pas commencer par là ? Et si le mouv
ccupent des positions analogues ou complémentaires, en dépit de leurs
différences
de forme concrète. Il faut donc bien que le probl
pour éclairer notre conscience. Regardons les méthodes d’accord et de
différence
, les méthodes des résidus et des variations, mais
son espèce, non par accident, mais par essence : c’est ce qui fait la
différence
du texte littéraire et du document d’archives. Ai
e en histoire, on peut s’attacher au général et faire abstraction des
différences
individuelles. Nous, même en cherchant le général
individuelles. Nous, même en cherchant le général, nous retenons les
différences
individuelles. Nous nous confondrions dans l’hist
nté est diverse et inégale chez les différents individus humains. Ces
différences
individuelles tiennent d’une part à des condition
is ici comme ailleurs, les conditions, sociales ne sont pas tout. Les
différences
et inégalités individuelles du vouloir humain pro
ne rencontre qu’ils firent ensemble de la famille impériale montre la
différence
qu’il y a entre une personnalité qui sait « plier
plication et une dépendance de cette antinomie primordiale. 31. Ces
différences
originelles dans les volontés sont reconnues par
uestion simplement sur le terrain de la psychologie, on trouve que la
différence
entre les deux philosophies consiste dans les thé
d’elles. Elles en dépendent toutes deux, quant à leurs matériaux. La
différence
fondamentale a rapport non aux faits eux-mêmes, m
n un mot qu’on peut en déterminer la genèse. Fixons par un exemple la
différence
des deux Écoles en psychologie. Les transcendenta
s explique. Sur cette partie du sujet, il y a, comme on le pense, des
différences
de doctrines, et la théorie, comme toute théorie
onnexion avec la souche mère de chaque genre par une série graduée de
différences
à peu près égales à celles qui distinguent aujour
ue variabilité à chaque espèce ; mais aussitôt qu’ils rencontrent des
différences
un peu plus grandes entre deux formes, ils les ra
ranger toutes comme autant d’espèces distinctes. On sait sur quelles
différences
presque insensibles beaucoup de paléontologistes
ertiaires sont spécifiquement distinctes, tout en admettant que leurs
différences
sont très légères. De sorte qu’à moins de suppose
t que ces espèces tertiaires récentes ne présentent réellement aucune
différence
avec leurs représentants vivants, ou à moins d’ad
e qu’une grande partie de la formation subsiste, d’autant plus que la
différence
des deux mouvements est plus grande ; si la diffé
nt plus que la différence des deux mouvements est plus grande ; si la
différence
est en sens contraire, non seulement la formation
éralogique du dépôt en voie de s’accumuler, et probablement aussi une
différence
dans la vitesse d’accumulation, provenant d’une d
aussi une différence dans la vitesse d’accumulation, provenant d’une
différence
dans la vitesse de désagrégation des nouvelles fo
u’il y a seulement analogie, de même qu’une opinion plus tranchée des
différences
que l’esprit tend à élever jusqu’à la valeur d’op
st impossible. — Raisons de cette impossibilité. — Divers exemples. —
Différence
entre l’image vague suscitée par le nom et le car
ague suscitée par le nom et le caractère précis désigné par le nom. —
Différence
de l’image sensible et de l’idée pure. III. Forma
finissent par coïncider avec les nôtres. — Acquisition du langage. —
Différence
de l’intelligence humaine et de l’intelligence an
classe se présente à notre mémoire ou à notre expérience. — La seule
différence
qu’il y ait pour nous entre le mot bara, qui ne s
écouverte qui, ajoutant à leur sens, limite leur application 6. La
différence
est analogue si l’on compare les synonymes de deu
ne, avant et depuis la perte de la liberté, offre à l’observation des
différences
remarquables. Les habitudes républicaines se prol
doit produire partout des résultats à peu près semblables, malgré la
différence
des temps. Mais cette affectation est le défaut d
ous les hommes entre eux : l’historien doit prononcer fortement leurs
différences
. Les anciens, qui se complaisaient dans l’admirat
analyse exacte des phénomènes de conscience, la distinction entre les
différences
, si fines pourtant et si petites, des sentiments
s donne la figure, la position et la grandeur réelles. Mais comme les
différences
dans la réalité sont aussi communément accompagné
es différences dans la réalité sont aussi communément accompagnées de
différences
dans les apparences, l’esprit induit le réel en s
Sa pression, comparée à celle des autres habitudes, est telle que la
différence
de degré équivaut à une différence de nature. Rem
autres habitudes, est telle que la différence de degré équivaut à une
différence
de nature. Remarquons en effet que toutes les hab
illeurs par certains côtés aux lois de la nature. Je veux bien que la
différence
soit radicale aux yeux du philosophe. Autre chose
niste survient, faite de toutes les forces sociales accumulées : à la
différence
des mobiles individuels, qui tireraient chacun de
nous le répétons, le même contraste qu’entre le clos et l’ouvert ; la
différence
entre les deux objets est de nature, et non plus
caractéristique et instructif. Et ceci même nous fait pressentir une
différence
de nature, et non pas seulement de degré, entre l
rive à l’humanité : entre une morale sociale et une morale humaine la
différence
n’est pas de degré, mais de nature. La première e
ience aperçoit entre les deux premiers sentiments et le troisième une
différence
de nature. Ceux-là impliquent un choix et par con
ancienne illusion et celle que nous y avons surajoutée il y a la même
différence
qu’entre le sentiment primitif, émanant de l’obje
hautes facultés de l’esprit est de ne pas voir où est précisément la
différence
entre l’intelligence qui comprend, discute, accep
le ne voit plus entre elles, supposées alors de même qualité, que des
différences
de grandeur. La vérité est que dans chaque cas l’
on ? Quiconque s’exerce à la composition littéraire a pu constater la
différence
entre l’intelligence laissée à elle-même et celle
a morale qu’on lui propose, étant donné qu’elle ne peut apprécier des
différences
de valeur que par des comparaisons avec une règle
eurs être ensuite démontrée si elle n’était d’abord sentie. C’est une
différence
de ton vital. Celui qui pratique régulièrement la
a quelque chose du même genre dans la création artistique, avec cette
différence
que le succès, s’il finit par venir à l’œuvre qui
alité », au « respect du droit », on verra qu’il n’y a pas une simple
différence
de degré, mais une différence radicale de nature,
», on verra qu’il n’y a pas une simple différence de degré, mais une
différence
radicale de nature, entre les deux idées de justi
nt profond de la disposition naturelle. Si radicale que soit alors la
différence
entre le civilisé et le primitif, elle tient uniq
us même, et vous en scavez plus que vous ne dites. Vous avez senti la
différence
de la chose générale et de la chose individuelle
de ce qui est, rien même de ce qui puisse être. Convenez donc que la
différence
du portraitiste et de vous, homme de génie, consi
d’après une copie. Et puis, mon ami, croyez-vous qu’il n’y ait aucune
différence
entre être de l’école primitive et du secret, par
et voir simplement la chose faite ? Croyez-vous qu’il n’y ait aucune
différence
entre Pigale et Falconnet à Paris, devant le glad
e donner toute l’importance qu’elle mérite, parceque peu saisiront la
différence
d’une notion qu’on fait ou qui se fait d’elle-mêm
ur donner des lois. (À Zamore.) Des dieux que nous servons connois la
différence
: Les tiens t’ont commandé le meurtre et la venge
ration ; on sait que ces vers : Des dieux que nous servons connais la
différence
, etc., sont les paroles mêmes de François de Guis
dans ces sortes de matières, s’est aussi rangé de cet avis. Toute la
différence
qui se trouve entr’eux, c’est que l’un prétend qu
tain point : cette langue mérite certainement d’être cultivée. Quelle
différence
de celui qui la possède, & qui a fait de bonn
où tendent tous les genres. L’auteur de l’Esprit des loix veut que la
différence
des gouvernemens, des religions, des mœurs &
si différent, quant au chien et quant à l’échevin ? La cause de cette
différence
vient de ce que le chien n’étant pas obligé d’êtr
un peu dans celle du mouton, du pourceau et de la chèvre, avec cette
différence
que le chapon est plus maître d’échapper à son so
n que c’est l’éducation qui met, entre un homme et un autre, l’énorme
différence
qui s’y trouve quelquefois : c’est d’ailleurs une
des nations distinctes, parlant un langage différent. Toutefois, ces
différences
n’ont jamais consisté qu’en certaines particulari
animé que Villehardouin. Il mêle quelques jugements à ses récits. la
différence
du maréchal de Champagne, qui va toujours en avan
nville et les Chroniques de Jehan Froissart (1333-1419). De profondes
différences
sont à remarquer entre ces deux monuments, et ces
ofondes différences sont à remarquer entre ces deux monuments, et ces
différences
sont de nouveaux traits de l’esprit français, de
e savoir appliqué avec un certain degré de goût. La plus sensible des
différences
entre Froissart et ses devanciers, c’est que ceux
rouver enfin un historien qui s’émeut du mal et du bien, qui fait une
différence
entre la victoire et la défaite, entre la paix et
son scel sa bouche, et son dire lettriage (lettre écrite). N’y avoit
différence
de son dire et faire, fors du temps entre deux. E
rs, et peut-être plus de variété dans la phrase. Mais voici la grande
différence
: la langue de Froissart est presque exclusivemen
petit ; elle distingue, sépare, divise, cherche les exceptions et les
différences
. Mais un amas de faits bien constatés n’est pas u
ines sont identiques en nature et ne varient qu’en degré, comme si la
différence
de degré ne pouvait pas être telle souvent, qu’el
ce de degré ne pouvait pas être telle souvent, qu’elle équivaut à une
différence
de nature ; que dans l’homme elle a pris les facu
travaux si amples, si chargés de détails des naturalistes. D’où cette
différence
, sinon de la méthode employée ? l’une colligeant
les faits avec une patience infatigable, notant les exceptions et les
différences
; l’autre se bornant à une esquisse vague et à qu
er l’un des procédés les plus rigoureux de la méthode : la Méthode de
différence
. Les études sur la folie, bien incomplètes encore
, la plus importante et la plus concrète des trois, rechercherait les
différences
psychologiques qui résultent de la différence de
ois, rechercherait les différences psychologiques qui résultent de la
différence
de sexes et des tempéraments. Elle déterminerait
» et il se sera mis résolument à l’œuvre. Seulement reconnaissons les
différences
du procédé et des habitudes de vie. À la suite de
achevée empreint dans l’ensemble, je n’ai pu m’empêcher d’admirer la
différence
des temps, des sociétés, des écoles diverses. Tou
t cela est subtil et alambiqué. Il m’est impossible de bien saisir la
différence
qu’il semble mettre dans cette alternative : Sera
e pâte, diraient les gens du métier, et éclairés en toute lumière. La
différence
des manières saute aux yeux. Ce n’est pas que du
a religion n’avaient pourtant rien obtenu. On voit la raison de cette
différence
: le roi, fatigué de madame de Montespan comme eu
oute point que l’amour ne soit égal à ce qu’il était, et que toute la
différence
n’aille qu’à plus de mystère : ce qui le fera dur
Un moment après être arrivé, le roi alla faire ses visites. La seule
différence
, c’est qu’on joue dans ces grands appartements qu
qu’on joue dans ces grands appartements que vous connaissez. » (Cette
différence
était fort grande pour les relations d’intimité.)
oi, comme cause absolue, contient la puissance de la variété et de la
différence
. Elle la contient ; mais, tant qu’elle ne l’a pas
ntraîné si loin, qu’il oubliait sa chère méthode psychologique, seule
différence
qui le séparât encore « de ses amis, de ses maîtr
peu dans le spiritualisme, philosophie d’un orateur. II Quelle
différence
y a-t-il entre un philosophe et un orateur ? Un p
fera croire au public qu’entre ses deux philosophies, il n’y a qu’une
différence
de style. S’il expose de nouveau sa doctrine, il
, dont l’usage est fréquent, consiste à chercher des analogies ou des
différences
: on se demandera à quoi l’objet ressemble le plu
insupportables que celle de trouver partout des ressemblances ou des
différences
; c’est une recherche des plus fatigantes, et qui
eles qui ont dirigé M. de la Chaussée dans ses compositions. Toute la
différence
se réduit à un peu plus de dignité dans les perso
des Princes ou des Héros ; ici, des hommes d’un rang inférieur. Cette
différence
ne sauroit donc être regardée comme une création.
e-t-on que ce sont des portraits, et cela sans s’y méprendre ? Quelle
différence
y a-t-il entre une tête de fantaisie et une tête
t achevés en même temps, et exposés au même sallon, ils montrèrent la
différence
du maître et de l’écolier. Le tour est fin et me
attitudes d’utilité, présentant entre elles des ressemblances ou des
différences
plus ou moins fortes, ont été détachées de la tig
s esclaves. Le monde antique s’était constitué sur le sentiment de la
différence
et de l’inégalité entre les hommes : il avait ain
proclamait la fraternité humaine, l’égalité de tous et la vanité des
différences
, tenait en mépris l’effort intellectuel et la rec
n de faire entrer en ligne de compte coefficient d’égoïsme. L’idée de
différence
suffit à expliquer la menace de dissociation que
À l’appui du développement précédent il importe de noter ici, qu’à la
différence
du groupe anglo-saxon, le peuple français a peu e
propriés. Il est trop évident qu’ils ont un intérêt majeur à nier ces
différences
, afin de jouir immédiatement et d’une manière int
▲