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1 (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « André Chénier, homme politique. » pp. 144-169
ut haut ce qu’il pense, applaudir ou s’indigner énergiquement. Ne lui demandez point de jugement approfondi ni de révélations di
démêler. Les vrais, les principaux ennemis de la Révolution, il se le demande , où sont-ils ? Les ennemis du dehors, il les rédu
s du régiment de Châteauvieux, il terminera en s’adressant à ceux qui demandent à quoi bon écrire si souvent contre des partis pu
passera cette pompe, les statues seront voilées. Et, sans m’arrêter à demander de quel droit des particuliers qui donnent une fê
ne de toutes d’être proposée aux respects des hommes. À ceux qui lui demandaient ce qu’il avait fait pendant la Terreur à la Conve
n face du ci-devant chateaux de Lamuette et apprest lui avoir fait la demande de sa démarche nous ayant pas répondu positivemen
ance demeure qualité et moyen de subssittée.   INTEROGATOIRE.   A lui demandé commant il sapelloit A répondu quil senomoit Andr
nte et un ans demeurant à Paris rue de Clairy section de Brutus A lui demandé de quelle ané il demeuroit rue de Clairy A lui ré
pondue depuis environ mil sept cent quatre vingt douze au moins A lui demandé quel son ses moyent de subsisté A lui répondu que
puis quatre vingt dix quil vie que de que lui fait son père12 A lui demandé combien que lui faisoit son père A répondu que so
e A répondu que son père lui endonnoit lorsquil luy endemandoit A lui demandé s’il peut nous dire a combien la somme quil deman
endemandoit A lui demandé s’il peut nous dire a combien la somme quil demande à son pere par an se monte A repondu quil ne sav
sitivement mais environ huit cent livre à mille livre par année A lui demandé sil na auttre chose que la somme quil nous déclar
epondu qu’il na pas d’auttre moyent que ce quil nous a déclarée A lui demande quelle manierre il prend son existance A repondu
on père tenteau chez ses amis et tentot chez des resteaurateurs A lui demandé quel sont ses amis ou il va mangé ordinairement A
ez plusieurs amis dont il ne croit pas nécessaire de dire lenom A lui demandé s’il vien mangé souvent dans la maison ou nous la
oir mangé quelque foy avec les mêmes personnes apparis chez eux A lui demandé sil na pas de correpondance avec les ennemis de l
lique et la vons sommé de nous dire la vérité A repondu au cune A lui demandé sil na pas reçue des lettre danglaitaire depuis s
e plénipotensiêre en Anglaitaire et nen avoir pas reçue dauttre A lui demandé à quelle épocque il a recue les lettre désigniés
é a lui denous les representés A répondue quil ne les avoit pas A lui demandé ce quil en àfait et le motife quil lat engagé à s
sé en Anglaitaire et du genre de celle que personne ne conserve A lui demandé quel sorte de genre que personne ne conserve et s
dexactitude que des maison de commerce lorsque la reception des fait demandé est accusé toute la correspondance devient inutis
es particuliers en use insy A lui représenté que nous ne fond pas des demande de commerce sommé à lui de nous répondre sur les
pas affaire de commerce14 A repondu quil en ignorest du faite A lui demandé pourquoy il nous cherche des frase et surquoy il
simplicité possible et que ses reponse contiene lexatte veritté A lui demandé sil y à longtemps quil conoit les citoyent ou nou
temps A repondu quil les connaissoit depuis quatre ou cinqt ans A lui demandé comment il les avoit conu A repondu quil croit le
les avoir connu pour la premiere fois chez la citoyene Trudenne A lui demandé quel rue elle demeuroit alors A repondu sur la pl
lors A repondu sur la place de la Revolution la maison à Cottée A lui demandé comment il connoit la maison à Cottée16 et les-ci
es deux fois la maison à Cottée A repondue quil a dit la vérité A lui demandée sil est seul dans lappartement quil occuppe dans
ndue quil demeuroit avec son père et sa mère et son frère ainée A lui demandée sil na personne pour le service Il y à un domesti
ervice Il y à un domestique commun pour les quatre qui les sere A lui demandée ou il étoit a lepoque du dix aoust mil sept cent
e continuellement depuis lage de vingt ans plus ou moins fortes A lui demandés quelles est cette malady et quelle est le chirurg
puis ce temps jai suis un régime connue pour ses sorte de meaux A lui demandée quelle difference il fait d’une attaque de meaux
aque lorsque le mal est un (peu) plus violent et enpeche dagire A lui demandée a quelle époque il apris le médecin donc il vien
le certifira que cettoit de tout temps le medecin de la maison A lui demandé sy il montoit sa garde le dix aoust mil sept cent
uvé la patrie A repondue que non quil étoit en core trop foible A lui demandée quelle est le motife qui lui en a empechée A répo
a empechée A répondue la faiblesse de sa santée dans ce moment A lui demandée de nous en donnée les preuves par les certificat
ttres ne demeurant point a la maison il y gnoroit ou ils étoits A lui demandée ou etoit le domestique quil les servoit ou etoit
sauvée la Republique A repondue quil avoit dit l’exate veritée A lui demandée quel etoit l’exatte véritée A repondue que cetoit
2 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
, un habit magnifique, une perruque, un masque, un chapeau bordé : il demande à son âne s’il sait comment tout cela a été chang
ne lui soutient qu’il a des chevaux, des terres, des châteaux, et lui demande ce qu’il veut manger. Arlequin, comme de juste, d
ribunal un seigneur qui a des chevaux et des carrosses. Les juges lui demandent pourquoi il enlevait Aurelia. — Parce qu’il en es
reux. On lui dit que, pour avoir sa liberté, il faut l’épouser. Il ne demande pas mieux. Aurelia frémit à cette nouvelle, nie q
alon, suivi de toute sa famille, va, dans le moment, arriver pour lui demander sa soupe. Arlequin s’excuse en disant qu’il est i
deux respirent une odeur qui les surprend, quand le rôtisseur arrive, demande à Arlequin s’il est content du dîner qu’il a mang
ami lui a donné, il en fait l’éloge. Le rôtisseur part de là pour lui demander sa pratique et surtout le payement du repas qu’il
fait ouvrir sa chambre par un serrurier, ne trouve plus sa montre, en demande des nouvelles. Arlequin lui apprend qu’il l’a ven
it : « Que l’on donne ce plat à Dominique. — Et les perdrix aussi ? demande Dominique. — Et les perdrix aussi », reprit le r
ut si charmé de sa science et de sa modestie, qu’il l’embrassa et lui demanda son amitié. Depuis ce temps-là jusqu’à la mort de
tout : “C’est sans doute mon ombre que je vois”, dit Arlequin. Ils se demandent alors réciproquement : “Qui es-tu ?” et se répond
lant, le capitan vient consulter Arlequin qui fait le médecin, et lui demande un remède pour le mal de dents : « Prenez une pom
on que je veux vous vendre. » Dans une pièce où il fait le gueux, il demande l’aumône à Octave. Celui-ci, pour le plaisanter,
le plaisanter, l’interroge sur plusieurs choses, et entre autres, lui demande combien il a de pères ? Arlequin lui répond qu’il
urs instruments de chirurgie. Isabelle, surprise de cet appareil, lui demande ce qu’il veut faire. « Rien, madame, répond-il, v
3 (1860) Cours familier de littérature. X « LXe entretien. Suite de la littérature diplomatique » pp. 401-463
is la mort du suprême diplomate, je m’étais toujours involontairement demandé  : « Qu’aurait conseillé ici à la France M. de Tal
nt que Napoléon avait souffert la sagesse dans ses conseils, et je me demandai , avant d’écrire le manifeste de la république au
à s’alarmer, puis à s’irriter de cette invasion de la France, et à se demander si la liberté apportée à la pointe des baïonnette
ur où la France, debout dans sa représentation souveraine, eut à nous demander compte de sa diplomatie : « Nous nous présentons
s et des trônes en fut confirmé au lieu d’en être altéré ; au lieu de demander une réparation, le cabinet républicain n’eut à re
tation radicale des trois cent mille chartistes, qui était venue nous demander le concours de deux ou trois cent mille ouvriers
, un droit public, et à servir de guide à la diplomatie des nations ? Demandez -le seulement à ceux qui le proclament ; demandez
omatie des nations ? Demandez-le seulement à ceux qui le proclament ; demandez à la maison de Savoie si elle reconnaîtrait le dr
le fait en ce moment les armes à la main, le sophisme sur les lèvres. Demandez à l’Angleterre, qui professe avec un front qui ne
peser cruellement et prochainement sur la France au-delà des Alpes ; demandez -lui si elle reconnaît le principe de la nationali
ronze sur ses batteries dont elle ouvre et ferme à son gré deux mers. Demandez -lui si elle reconnaît le principe des nationalité
s arrachent à ces îles leur indépendance et à l’Italie ses archipels. Demandez -lui si elle reconnaît le principe des nationalité
re des ports et des arsenaux protestants plus anglais que Portsmouth. Demandez -lui si elle reconnaît le principe des nationalité
opulations grecques comme des troupeaux, avec des pasteurs musulmans. Demandez -lui si elle reconnaît le principe de nationalité
t qui enrichit les Anglais du salaire de cet empoisonnement national. Demandez -lui enfin si elle reconnaît le principe sacré des
ie, des encouragements au principe insurrectionnel des nationalités ! Demandez à tous les États constitués de l’Europe s’ils rec
uissance dont ces nationalités forment aujourd’hui le bloc national ; demandez -le à l’Écosse, demandez-le à l’Irlande, demandez-
alités forment aujourd’hui le bloc national ; demandez-le à l’Écosse, demandez -le à l’Irlande, demandez-le à la Pologne, à la Ga
i le bloc national ; demandez-le à l’Écosse, demandez-le à l’Irlande, demandez -le à la Pologne, à la Galicie, à la Silésie, à la
des grandes républiques, des grandes monarchies. Passez les mers, et demandez à l’Amérique anglo-saxonne du Nord de reconnaître
naissent d’autres droits et d’autres origines que leur caprice. Enfin demandez à ces publicistes de Paris qui semblent emboucher
es morts, pour protester contre leur annexion à des races étrangères, demandez -leur s’ils trouveraient bon que Bretons, Normands
t né en Moscovie, grandissait en Orient et au Nord, et allait bientôt demander un espace proportionné à sa croissance en Pologne
e estime depuis longues années ; « dites à votre cour que nous ne lui demandons pas la paix, ce serait une lâcheté indigne de la
4 (1853) Propos de ville et propos de théâtre
— Vous qui nagez dans l’or, à quoi bon ce centime additionnel ? lui demandait -on. — Ça me rappelle… répondit mademoiselle A. S…
le ménage. — Un divorce est à l’horizon. Une amie de madame de G… lui demandait des nouvelles de ses amours avec l’écrivain. — A
après, A… a une nouvelle affaire, — c’est lui qui est l’offensé ; il demande des excuses, — on lui en accorde trois pouces. Le
s l’attitude patiente du héron qui guette sa proie. — Encore ici ! —  demande-t -il étonné. — Que diable y fais-tu depuis ce matin
n ami tout seul au coin de la cheminée : — Où sont donc les chiens ? demande-t -il. — Je ne sais pas ce qui leur a pris, répondit
. L… arrive de Londres. Une dame qui ne connaît pas l’Angleterre, lui demandait des renseignements sur ce pays. — Comme ville, v
que j’ai rencontrée à Londres était un pauvre honteux qui n’osait pas demander l’aumône, parce qu’il n’avait pas de gants. ***
ngueur du nez de son modèle. — Ça ne vous ennuie donc pas de poser ? demandait un visiteur au joyeux comique. — Ce n’est pas que
ollaborateur et se dispose à entrer dans une boutique. — Où vas-tu ? demande L… — J’entre là pour acheter un parapluie, dit M
t de se trouver là où on a besoin de lui… pour quelque service qui ne demande pas une autre activité que celle des jambes. — M
beauté qui avait obtenu le triomphe de la lithographie. — Parbleu ! demanda tout à coup l’un des convives au comte de B…, com
isseau en font courir le bruit ; et tous les compositeurs jeunes vont demander des libretti aux jeunes écrivains, comme les élég
. (ter) Quant à Michel Carré, voici ordinairement en quels termes il demande un cigare : Au prix d’un triple décime,  Et pour
ses folies en conduisant sa maîtresse à la mairie. — Savez-vous, lui demandait -on à ce propos, ce que dit Montaigne des gens qui
repas de chasseurs, où il se trouvait, — l’amphitryon qui avait déjà demandé , en lui criant dans l’oreille et en lui montrant
t-il ? fit M… en se retournant. — C’est moi, répondit son ami, qui te demande si tu veux du pâté de foie gras. *** Une célèbre
ne, revenant de Mabille, rencontre une de ses amies. — Eh bien ! lui demande celle-ci, es-tu contente ? Était-ce bien composé
est question de vous. Quelques jours après, l’ami, étant revenu, lui demande ce qu’il pense de l’ouvrage qu’il lui a donné, — 
ut n’est pas absolument exact. — Ce M. Benjamin Constant aurait pu me demander un rendez-vous : je lui aurais fourni des renseig
e, et dès l’instant que vos intentions sont pures, je vous autorise à demander ma main à ma mère. Huit jours après, on publiait
tallés que nous entendîmes un des garçon crier à son confrère : — On demande une écrevisse bordelaise et un notaire au numéro
que je ne puis pas sortir quand je veux. — Ton mari est donc jaloux ? demanda l’amie. — Oh ! ma chère, répondit la jeune épouse
’autre jour, dans un salon, qu’il avait eu le matin sous les yeux une demande signée d’un nom très-connu dans l’industrie, et q
l’avantage de vous avoir parmi nous ? lui dit-elle. — Comment cela ? demanda l’actrice étonnée de l’apostrophe. — Mais probabl
répondait involontairement : ouah-ouah ! Quand le garçon de café lui demandait ce qu’il fallait lui servir, il répondait encore 
Un machiniste s’offre pour remplacer l’acteur démissionnaire. On lui demande un essai : le machiniste aboie comme une meute. U
our lui prouver sa reconnaissance. — Le machiniste n’en use pas. — Il demande seulement un petit feu pour sa complaisance. — V
ver : — pas besoin feu. Le machiniste met les points sur les i, — il demande dix sous par représentation. L’Asiatique refuse e
Deux jeunes gens entrent dernièrement dans un restaurant : l’un d’eux demande la carte. — Le garçon l’apporte, et place les cou
enu, dressé par l’amphitryon, fût très-simple, — à chaque chose qu’il demandait , le garçon s’inclinait et répondait d’un air déso
e mille francs. Quelques jours après, il écrivait à sa belle pour lui demander un nouveau rendez-vous. Mais cette fois le poulet
s’informait du motif de son silence. — Vous m’avez donc écrit ? lui demanda-t -elle en jouant l’étonnement. — Mais, sans doute.
ns, eut un jour l’idée de mettre un peu d’ordre dans ses affaires, et demanda au préfet de la Seine, qui était alors un de ses
*** Le calembour par à peu près est en faveur dans les ateliers. On demandait au peintre G… son opinion sur un de ses confrères
qui se trouvait attaché depuis plusieurs années. — Est-on bien ici ? demande le nouveau venu à son camarade. — Bah ! répond ce
*** Un monsieur, passant dans la rue, est abordé par un homme qui lui demande l’aumône. Il a de la famille et n’a pas mangé dep
ce voisine de la contrariété. — Aurais-je déplu à notre amphitryon ? demanda notre ami à un de ses voisins. — Vous avez, lui r
as même de sa présence. — Que lisez-vous donc là de si intéressant ? demanda le docteur. — C’est un livre qu’on a défendu de l
n ménage, — la figure contusionnée. — Que t’est-il donc arrivé ? lui demanda sa femme. — Je suis tombé sur le pavé ! — Dans la
manuscrit au directeur d’une revue parisienne, et comme celui-ci lui demandait quels étaient ses titres littéraires, — le romanc
brûle de l’impertinent désir d’être présenté dans le véritable monde, demandait assez cavalièrement au marquis de lui en ouvrir l
sez cavalièrement au marquis de lui en ouvrir la porte. — Lorsque je demande un pareil service à M. votre père, répondit celui
dentelles. — Quel est donc ce sportman qui semble nous accompagner ? demanda la jeune femme à un membre du Jockey’s-Club qui s
nt que leur collaboration n’était pas étrangère au succès du journal, demandèrent que le prix de la rédaction fût porté de six cent
la campagne un médecin qui allait faire ses visites en chassant, lui demanda spirituellement s’il avait besoin d’un fusil pour
x propriétaires du Corsaire quelques lettres, dans lesquelles on leur demandait un désabonnement de faveur. Virmaître, obligé de
, il apporta son poëme à Saint-Alme, avec lequel il était lié, et lui demanda quelques conseils. — Saint-Alme lui conseilla d’a
ocution paternelle, l’éloquent Virmaître leur fit comprendre que leur demande en augmentation de salaire n’était pas en rapport
hangement de ministère, 25 vers ; Un article susceptible d’amener une demande en réparation, 30 vers ; (Le journal, dans cette
s rédacteurs, — Virmaître, qui avait eu le dessert très-aimable, leur demanda ce qu’il pourrait bien faire pour leur être agréa
t constitué le député de leur désir, — vint dire à Virmaître : — Nous demandons qu’il y ait au bureau du journal, — une sonnette
Virmaître avait consenti, un des riches actionnaires du Corsaire lui demanda tout bas, si ce n’était pas inaugurer là un systè
nt vingt-trois interrogations tombèrent dans le potage du marquis. Il demanda une autre assiette, — déplia gravement sa serviet
dications publiques… Vous allez soumissionner, — celle de vous qui me demandera le moins de temps pour faire le vide… dans ce por
a voix du notaire se fit entendre. — La dernière soumission du temps demandé pour dépenser les cent mille francs du marquis es
. C’est mademoiselle B… qui a fixé ce chiffre ; — offre-t-on moins ? demanda Me G… — Quatorze jours, douze heures, dit madame
djudication ; mais mademoiselle C…, restée dernière adjudicataire, ne demandait que cinq jours et quelques fractions. — Comment d
cinq jours et quelques fractions. — Comment diable auriez-vous fait ? demanda le marquis très-étonné ; — trouver l’emploi de vi
ile. — Monsieur le marquis, répondit cette prodigue personne, je n’ai demandé que six mois pour réduire le Pérou à la mendicité
sac de bonbons. — Est-ce que ce serait montrer trop d’exigence que de demander une seconde représentation de cette jolie chose ?
i reconnais-tu ça ? — Elle a passé deux fois auprès du buffet sans me demander à boire. *** — Oh ! mon Dieu oui, monsieur, c’e
omme. — Mais, ma tante, il est bien gentil pourtant. — Lui avez-vous demandé l’heure, comme je vous ai dit de le faire aux mes
u l’ennemi, l’intelligent métal ! — C’est un créancier qui vient vous demander de l’argent pour payer ses dettes. — Si vous êtes
llent pendant des heures entières, et poussent l’indiscrétion jusqu’à demander à l’artiste chez laquelle ils se trouvent s’il es
le cancan des coulisses, — où il ne manque pas de brodeuses. Quand on demandait à la future actrice— pourquoi elle ne faisait pas
te à don Juan, aux carambolages des cœurs ; — que Lovelace lui aurait demandé des leçons de séduction ; qu’il escalade les balc
’y introduire ce merveilleux sonneur ; mais la femme de chambre ayant demandé trois semaines pour qu’on pût mettre les choses à
dre le lait qui bout ! Quand il était venu, le faire revenir, c’était demander de la patience à la poudre. Il n’en dormit pas la
sse, rappelé subitement par un froncement de sourcil du czar. — M*** demanda des échantillons, fut très-satisfait… donna l’arg
ur des Indes acheté au prince russe. — Où achetez-vous ce bordeaux ? demanda-t -il avec inquiétude à la personne qui avait apport
uns réclamant des cigares, les autres des pipes et du tabac. À cette demande , le maître de la maison répondit par un sermon su
uand la compagnie se fut procuré de quoi fumer, une voix se leva pour demander des allumettes : nouveau recri et nouveau sermon
ire du cheval qu’il croyait avoir donné à Jules Sandeau, et duquel il demandait des nouvelles chaque fois qu’il rencontrait son c
écrivain, qui n’avait jamais revu le ministre, avait un service à lui demander pour un ami. Il pensa qu’il n’y aurait pas d’indi
ne situation intéressante. — Pourquoi donc êtes-vous venue ici ? lui demanda le cavalier, très-surpris de cette rencontre. — O
istes et d’hommes de lettres. — Eh bien que dites-vous de cela ? lui demanda un enthousiaste de la mot-nomanie. — Ma foi, répo
er à l’imprimerie : quel air affairé, quelle importance il se donne ; demandez au compositeur ce qu’il pense des Charançons de l
rançons de lettres quand ils viennent corriger leur premier article ; demandez au prote, qu’ils assomment de leurs recommandatio
ville. Le soir, il parcourt les cafés. Chaque fois qu’un consommateur demande le journal où il se trouve imprimé, il suit des y
épais. Mais le Charançon, qui travaille seulement pour la gloire, ne demande pas d’abord à être payé. Un Charançon, qui faisai
collectionne et les offre à la Société des gens de lettres, avec une demande de réception dans son sein. — S’il est reçu, il s
rceaux de sucre ou des bonbons, et avoir pour elle tous les soins que demande un nouveau-né qui pousse sa première dent. Ne pas
s dessous sur le boulevard ou dans les foyers des spectacles, — à lui demander du feu pour allumer son cigare ou une place dans
émarche sur le pas des Dieux. Aussi, en le voyant paraître, chacun se demande avec inquiétude où Nadar pourra mettre ses jambes
ne. — Quelques pâtés de canards succèdent aux rafraîchissements. — On demande la carte, — et l’on apprend qu’elle a été payée c
sandwichs au jambon, cet insulaire, à la fois carnivore et frugivore, demande un melon, qu’il pèse et mange en deux bouchées co
huit ans auquel un garçon vient d’apporter un ustensile de prévoyance demande à son père à quoi peut servir ce récipient. Son p
à peu leur récit devient pâle ; — eux aussi. — Mon voisin de droite demande du thé. Mon voisin de gauche se mouche— trop tar
le au moment où il rêvait qu’il venait de prendre une purgation. — Il demande à être monté sur le pont. Sauvé, mon Dieu ! *** A
lle à manger. Nadar, qui n’a pas encore faim et qui a encore sommeil, demande un délai et se l’accorde. Le bruit de la machine
— nous nous lançons à pied dans les rues de Londres. — À propos, me demanda Nadar, sais-tu un peu d’anglais ? — Je sais : To
de conversation franco-anglaise. — C’est un recueil de dialogues par demandes et par réponses, dans lequel, dit la préface, tou
hapitres intitulés : — Réception à la cour, — Audience du ministre, —  Demande en mariage. Malheureusement, le dictionnaire de c
invincible terreur, et je n’oublierai jamais l’accent avec lequel il demanda au sergent de ville « quel siouplice lui était ré
à l’effigie de la reine d’Angleterre, et Nadar, croyant qu’il lui en demandait la monnaie, allait prendre la pièce, lorsque le d
est souvent poussé jusqu’à l’exagération. On donnait ce soir-là, à la demande du public, la représentation d’une affaire de con
propres habits noirs et de leurs propres cravates blanches. — Ils ne demandent d’autre gage que le vêtement qu’on dépouille pour
ondres, quiconque peut donner donne, et avec bonne grâce comme on lui demande , car j’ai vu un jour un pauvre qui n’osait pas te
i avait dit son dernier mot, et, si elle avait encore quelque chose à demander à la vie, ce ne pouvait être que le repos. — Rela
5 (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « III — Un symbole »
e lettre en date du cinq mars 1873, l’archevêque de Paris présenta la demande au ministre des cultes, M. Jules Simon : « La lo
t-Siège, mais que le « Vœu national » lui-même, origine et fond de la demande , en est totalement absent. Le rapporteur du proje
ée. La droite et le centre étaient décidés à sanctionner l’audacieuse demande , la trouvant parfaitement conforme à leurs princi
de Relcastel me dit que le catholicisme est de tous les temps. Je lui demande bien pardon, il n’existait pas avant d’exister et
truction d’une église sur la colline de Montmartre, conformément à la demande qui en a été faite par l’archevêque de Paris dans
eur des vengeances provoquées par l’oubli du culte qu’il exige ; 2°la demande de libération du Saint-Siège ; 3° la demande de b
culte qu’il exige ; 2°la demande de libération du Saint-Siège ; 3° la demande de bonheur pour la France par son retour à la loi
de bonheur pour la France par son retour à la loi médiévale. Dans la demande de déclaration d’utilité publique présentée par l
abileté des zélateurs catholiques éclate et confond. Ce que le prélat demande à l’Assemblée par l’intermédiaire du ministre, no
yse, nous trouvons le texte de la loi que cette Chambre, auquel on ne demandait que de déclarer « d’utilité publique » l’érection
te quelle niaiserie pourvu qu’elle soit d’étiquette catholique, je me demande quel député aurait eu la folie de contresigner ce
velé au cours de la cérémonie de son vingt-cinquième anniversaire. Je demande si le vote lui aussi sera renouvelé et si la Cham
y à notre profit l’autorité légale et supérieure de la France », — je demande si l’État peut, sans commettre la plus coupable d
ue au cœur de Jésus et à la protection du Saint-Siège ?‌ « On peut se demander , dit encore M. Chaigneau, si ce vœu funeste, abri
au lieu de ce bloc de pierre, symbole d’ignorance et de servitude, je demande quelque chose de semblable à ce que je viens de d
6 (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Le général Jomini. [III] »
r dans les dernières campagnes, doit retourner auprès de Ney, qui l’a demandé . » De son côté Ney écrit au ministre Clarke, de F
ièrement si elle veut bien prendre quelque intérêt au succès de cette demande . » Et dans une note de la main de Clarke : « L’
Et dans une note de la main de Clarke : « L’Empereur a accordé cette demande pt m’a donné ses ordres verbalement à ce sujet. I
it être chef d’état-major, vu que tous étaient généraux. Cependant la demande directe de Ney à l’Empereur avait été suivie d’un
nuer à servir dans la position que l’on venait de lui faire, et qu’il demandait à se retirer dans ses foyers. » — Je continue ave
de la guerre (25 septembre 1808) pour lui rappeler que le maréchal a demandé , dès le mois de février dernier, le grade de géné
reur, du 17 novembre 1809, il est dit : « Le maréchal duc d’Elchingen demande que l’adjudant-commandant Jomini, chef d’état maj
e décider au saut périlleux : j’écris au prince de Neuchâtel pour lui demander ma démission. Je lui présente l’impossibilité où
e trouvais dans l’impossibilité de faire un service pénible à cheval, demanda pour moi un commandement d’infanterie dans son co
armée des conséquences d’un refus, le suppliait d’obéir. Cependant la demande de service était déjà faite à l’empereur Alexandr
mpereur voulait, il me ferait porter les chaînes d’Armide ! Je ne lui demande que de me placer dans un corps comme chef d’état-
iliation ? Est-ce pour me punir de ma prétendue ambition ? Je vous le demande  : dans une armée où tout marche au galop, quel es
rs le 15 décembre (1810). Il vit aussitôt le ministre Clarke, qui lui demanda s’il voulait entamer une lutte avec l’Empereur, l
pereur ne veut pas vous l’accorder ?  —  Un officier français peut la demander  ; moi, je l’ai donnée. —  Prenez garde ! si vous
ïste comme tous les talents d’instinct, à une vocation prononcée, qui demande avant tout le jour et l’occasion, le champ et l’e
èle et mon dévouement. Je prie Votre Excellence de daigner prendre ma demande en considération et me recommande à sa bienveilla
7 (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Mémoire de Foucault. Intendant sous Louis XIV »
n venir aux monitions canoniques, d’avoir recours au Parlement, et de demander l’assemblée des Chambres pour se disculper envers
ucun embarras le panégyriste académique, fut le seul intendant qui ne demanda point de troupes réglées : il aimait beaucoup mie
les villes, les bourgs et les cantons se convertissaient en corps et demandaient à démolir de leurs propres mains des temples que
mme tels, il avait raison de son monde ; que, sans avoir eu besoin de demander des troupes, il s’était servi de celles qu’on fai
roupes qui sont sous sa main, celles du marquis de Boufflers, sans en demander exprès ; il n’a besoin que d’avoir toute latitude
ement, à ce qu’il n’y eut aucune violence : « Le 18 avril 1685, j’ai demandé à M. de Louvois des ordres en blanc pour faire lo
s. » Il y a des assemblées de gentilshommes, des villes entières qui demandent le temps de la réflexion, un répit d’une quinzain
les ont réduits. (Voilà un aveu formel de la violence.).Ils m’avaient demandé quinze jours pour se faire instruire, mais c’étai
ttendre le retour d’un courrier, qu’ils avaient envoyé à la Cour pour demander la liberté de faire l’exercice de leur religion.
liberté de faire l’exercice de leur religion. Ce terme expiré, ils me demandèrent encore huit jours pour donner le temps à leur cou
d’un ancien avocat de Pau et où il y avait beaucoup de monde, je lui demandai s’il ne sentait rien dans son cœur qui le sollici
lier et de Louvois : « Le 1er juillet 1685, le Père de La Chaise m’a demandé que le roi prenait plaisir à lire mes Relations e
n attachement connu à la mémoire et à la famille de Colbert, Foucault demanda instamment à M. de Seignelay, de le tirer de la d
onfidentielle et sincère qu’il en adressa à M. de Ponchartrain sur la demande de ce ministre, jette un grand jour sur l’impérit
8 (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Contes — XVIII. La bague aux souhaits »
tu la poseras à terre. Ensuite, étendant ta main au-dessus d’elle, tu demanderas à Allah ce que tu voudras avoir. Tu passeras de n
t, le lendemain matin, tu verras que tu possèdes déjà ce que tu auras demandé à Dieu. » Le Maure rentre dans son village. Penda
au kélé : « J’ai entendu que cette bague fait avoir tout ce qu’on lui demande . C’est une guinnârou qui accorde ce que l’on a so
e guinnârou qui accorde ce que l’on a souhaité. Si c’est exact, je te demande de faire saisir mon mari, son chien et son chat e
commence à s’effrayer, en songeant qu’il n’a ni fusil ni rien. Il se demande comment il va faire pour se procurer de la nourri
Ahmed qu’elle touche et il fait des manières. Il refuse. La femme lui demande alors : « Pourquoi es-tu fâché aujourd’hui ? — Oh
les hommes du village « Comment va-t-on mettre à mort ces deux là ? » demande-t -il. Il appelle sa femme et lui dit : « Mon bengal
9 (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Mémoires du duc de Luynes sur la Cour de Louis XV, publiés par MM. L. Dussieux et E. Soulié. » pp. 369-384
femme, était dame d’honneur. Avec des goûts sérieux, il paraît s’être demandé de bonne heure comment il pourrait remplir de que
oi dans la forêt de Marly, il imagina, pour lui faire sa cour, de lui demander la permission de le suivre à la chasse à tirer ;
sion de le suivre à la chasse à tirer ; mais étant fort embarrassé de demander une si grande grâce au roi (M. de Nangis n’avait
inq ou vingt-six ans), le roi lui dit qu’il était bien jeune pour lui demander une pareille grâce, et qu’il verrait. Quelques mo
et l’ayant appelé, il lui dit qu’il avait pensé à ce qu’il lui avait demandé , qu’il lui en savait bon gré parce que ce n’était
oucher, et son cuisinier étant dans sa chambre dans ce moment, il lui demanda s’il ne pourrait donc point lui faire découvrir l
ajesté ; que c’était un projet digne d’un aussi grand roi. Le roi lui demanda à combien il estimait qu’irait la dépense, si ce
terait au moins un million. Le roi crut alors la chose impossible, et demanda à M. Colbert comment il imaginait pouvoir trouver
i de ne se point mettre en peine de l’argent, et lui dit qu’il ne lui demandait qu’une seule grâce, qui était de vouloir bien en
quérir aussitôt après la conversation qu’il eut avec le roi, et leur demanda pour quel prix ils mettaient le domaine de Paris
suffire aux dépenses de son camp de plaisance à Muhlberg, et qui lui demandait son secret. Le roi Auguste tira un ducat de sa po
un bon visage. » M. de Puységur, qui avait quatre-vingt-quatre ans77, demandait depuis longtemps d’être chevalier de l’Ordre, et
10 (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Mémoires de Malouet (suite et fin.) »
d’Aix venait précisément de se mettre à la disposition de Raynal pour demander son rappel à Paris et faire annuler l’arrêt du Pa
irabeau du mois de juin précédent, par laquelle le grand tribun avait demandé , aux applaudissements de l’Assemblée, qu’elle por
louet ! Le tumulte s’accroît ; vingt députés se lèvent à la fois pour demander la parole ; on dénonce l’auteur, le président, le
d’interrompre les travaux de l’Assemblée, quand ils n’ont rien à lui demander  : elle sentait, chacun sentait comme elle, que vo
gouvernait pas la gauche. Chapelier, qui, à l’exemple de Barnave, ne demandait pas mieux que d’entrer dans cette voie de transac
stes personnes, c’est qu’à aucune époque de la Révolution ils n’aient demandé ni accepté un plan de conduite raisonnable, et pa
urt chez l’ambassadeur de France à Londres, M. de Chauvelin, pour lui demander un passe-port, son intention étant d’aller s’offr
e passe-port, et Malouet écrit sur le bureau même de l’ambassadeur sa demande à la Convention, laquelle, en la recevant, passa
le nom du signataire fût inscrit sur la liste des émigrés. Mais cette demande généreuse est un des titres d’honneur de Malouet,
tairerie d’État à Londres n’accordait de passeport aux émigrés qui en demandaient pour rentrer en France que sur la demande de ce p
port aux émigrés qui en demandaient pour rentrer en France que sur la demande de ce prélat aussi ambitieux que vain et qui, aya
on ; « MM. de La Tour du Pin et Gilbert de Voisins, nous dit-il, qui demandaient des passeports au ministère anglais, se virent re
. Gilbert. » Ce qui fut fait d’assez mauvaise humeur. Vint ensuite la demande de M. de La Tour du Pin. « Pour vous. » lui dit l
passa à Anvers, il fut très aimable ; il m’accorda tout ce que je lui demandai pour mes subordonnes ; mon état-major fut augment
vait réduit au moindre terme, en le fixant à 15,000 francs. Je ne lui demandai point d’augmentation, et il ne m’en proposa pas,
11 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXXIe entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff » pp. 237-315
éponse, nouveau silence. « Combien avez-vous donc de blanchisseuses ? demandait de nouveau Pierre en regardant attentivement les
t sa tête dans une imposante raideur. « Que signifie cette toilette ? demanda Boris. — Ce qu’elle signifie ? répliqua Pierre en
Non ; à une quinzaine de verstes de distance. — Sans même déjeuner ? demanda Boris. — Le déjeuner ne nous occasionnera pas un
mblait dire : En voilà une qui a le don de la parole ! « Vous fumez ? demanda Sophie en se tournant vers Boris. — Oui… mais… —
argent, en tira des cigarettes qu’elle offrit à ses visiteurs, sonna, demanda du feu, et un domestique qui avait la poitrine co
n solitaire refuge. — Et vous ne vous ennuyez pas de cette retraite ? demanda Boris. — Non. Je lis beaucoup, et lorsque je sui
plique qu’à peindre les réalités de la vie vulgaire. Mais, je vous le demande , qu’y a-t-il donc de si attrayant dans le mouveme
is pas encore aperçu, repartit Boris. — En quoi donc me complais-je ? demanda Pierre. — À soutenir des paradoxes. » Pierre rega
inconvénient. Après le dîner, elle ramena ses hôtes au salon, et leur demanda ce qu’ils préféraient, du thé ou du café. Boris a
e thé, et, après en avoir pris une cuillerée, regretta de n’avoir pas demandé du café. Mais le café n’était pas meilleur. Pierr
andé du café. Mais le café n’était pas meilleur. Pierre, qui en avait demandé , le laissa pour prendre du thé, et renonça égalem
gager dans un galant débat avec Sophie, qui, d’une voix coquette, lui demandait s’il n’était pas surpris qu’elle vécût ainsi seul
 : « Non, non, murmura-t-il, cela ne va pas. — Que voulez-vous dire ? demanda Boris. — Cela ne vous convient pas, répéta-t-il a
e n’ai pas besoin de le dire : on le voit assez. En outre, je vous le demande , est-ce là une femme de ménage ? Je sors de chez
faire avec lui une autre visite. « Où me conduisez-vous aujourd’hui ? demanda Boris, qui avait attendu cette seconde invitation
faire, s’ils veulent bien m’écouter. — Me permettez-vous de fumer ? » demanda Boris à Étienne. Celui-ci fit un signe d’assentim
Andréitch. » Boris s’inclina de nouveau. « Voulez-vous du café ? lui demanda-t -elle en levant sur lui ses yeux doux et calmes. N
vint un instant après offrir une tasse à Michel. « Avez-vous appris, demanda Michel en humant son café, ce qui est arrivé à Ma
s’asseoir à l’un des angles du salon. — De la batvine à l’esturgeon ? demanda Michel. — Précisément. — À merveille. Il y a des
ant, sa tâche de maîtresse de maison l’appelait hors du salon. Il lui demandait si elle avait autour d’elle beaucoup de voisins,
ouvent, si ses travaux journaliers lui étaient agréables. Puis il lui demanda si elle lisait ; à quoi elle répondit qu’elle n’e
ez Viéra, et que vous êtes déjà jaloux de son affection. — Mais elle, demanda Boris en regardant fixement son ami, m’aime-t-ell
on domestique et lui ordonna d’atteler les chevaux. « Où allez-vous ? demanda Pierre. — Chez le père de Viéra. » Pierre exhala
se terrible pour moi, quand il est malade. Il ne se plaint pas, il ne demande rien ; il ne prononce pas un mot… Il souffre et n
ndre : Moi, peut-être ! Mais il se retint. « À quoi songez-vous ? lui demanda Viéra en le regardant avec son bon sourire habitu
pense… » Puis, tout à coup, interrompant le cours de son idée, il lui demanda s’il y avait longtemps qu’elle connaissait Karent
curieux ! — Et vous, que vous êtes froide ! — Que voulez-vous dire ? demanda innocemment la jeune fille. — Écoutez… » En ce mo
air inquiet. Elle s’approcha de lui. « Que dites-vous, mon père ? lui demanda-t -elle. — Est-ce que tu es malade ? — Moi ? non… P
éra, Boris se promit de ne pas perdre un moment pour le préparer à la demande si inattendue qu’il devait lui adresser. Mais la
» Les paupières du vieillard se dilatèrent. « Je viens… je viens vous demander la main de votre fille. » Par un mouvement impétu
t-il avec une indicible expression de physionomie. Boris renouvela sa demande . Étienne fixa sur lui un regard si prolongé et si
e en devint tout confus. « Viéra, dit-il, est-elle instruite de votre demande  ? — Je lui ai exprimé mes vœux, et elle m’a perm
it Boris en terminant son récit, voilà ce qui s’est passé. Je me suis demandé d’où vient que, dans sa jeunesse, l’homme est si
Marthe lui avait préparé à la hâte. « Pourquoi ne parles-tu pas ? lui demanda Boris en s’arrêtant tout à coup devant lui. Ce qu
s chapitres. Ce livre lui plut. Mais, lorsqu’il fut achevé, elle n’en demanda pas d’autres. Un soir, Karentef vint la voir et r
nce envers Viéra, et enfin le décida à se rendre près d’elle et à lui demander si elle était souffrante. Elle le regarda avec un
lle l’avait pleuré sincèrement, mais raisonnablement. On ne peut rien demander de plus. Pierre continua à la voir. Il était son
ec elle, il la regarda avec sa bonne expression de physionomie et lui demanda simplement si elle voulait l’épouser. Elle sourit
couragé par ce témoignage de bienveillance, Guérassime résolut de lui demander la permission d’épouser Tatiana. Il n’attendait p
dant : « Eh bien ? dit-il. Quoi ? — Quoi ? s’écria Gabriel ; tu me le demandes  ? Mais tu ressembles à un vrai démon. Voilà le fa
t et resta timidement sur le seuil de la porte. « Que désirez-vous », demanda-t -elle d’une voix craintive. Gabriel la regarda que
complot contre lui. À ce conseil assistait un vieux sommelier dont on demandait toujours l’avis avec une déférence particulière,
que sa maîtresse désirait qu’on lui portât l’animal fugitif. À cette demande , Guérassime parut inquiet. Cependant il ne pouvai
d’eau, ce dont le digne Potapu n’était nullement satisfait. Le veuve demanda à Gabriel s’il s’était souvenu de ses ordres, et
il est sourd. » Tous les valets se mirent à rire.   « Comment faire ? demanda Gabriel. — Il y a un trou à la porte, reprit Étie
. Le muet était connu dans ce cabaret. On y comprenait ses signes. Il demanda des choux, du bœuf, et s’assit les coudes sur la
12 (1845) Simples lettres sur l’art dramatique pp. 3-132
x instances d’un ami qui, au milieu d’un accès de fausse gaieté, nous demande la cause de notre tristesse. Vous avez le droit d
laintes. Voyez des faits et pas autre chose. Je ne désire rien, je ne demande rien, je n’accuse personne ; je fais le procès-ve
’art en l’an de grâce 1844, voilà tout. Est-il mort ? Est-il vivant ? Demandez à ceux qui lui appuient un oreiller sur la bouche
à cela. Mais vous ne le direz pas, vous, puisque vous voulez bien me demander pourquoi je ne fais plus de drames comme Christin
démiciens, dont trois ou quatre étaient députés, se réunissaient pour demander à Charles X de ne point laisser jouer Henri III,
de la pétition préventive : « Dites à ces messieurs que ce qu’ils me demandent est impossible ; l’art est roi comme moi, et entr
, et entre têtes couronnées on se doit des égards. » En 1836, sur la demande d’un seul député qui, il est vrai, disposait de h
Racine. « Eh bien ? dit-il. — Eh bien ? reprit le directeur. — Quoi ? demanda le commissaire du roi. — Rien. Lisez encore. » E
e on dit en termes d’atelier, le faisait poser. « Ne voyez-vous pas ? demanda-t -il. — Quoi ? — Cinna ? — Eh bien ! oui… — Tragédi
n de l’auteur, être jouée le lendemain. « Qu’y a-t-il ? qu’y a-t-il ? demande M. le commissaire du roi. — Il y a, mon cher mons
on Juan de Marana, la Fête de Néron, tout ce trop-plein enfin, qui ne demandait alors qu’à se répandre, et qu’on a comprimé depui
avoir lutté dix ans contre tous les mauvais vouloirs, après avoir été demander aide et soutien à tous ceux dont le devoir est d’
n dieu ; il se présente au Théâtre-Français une comédie à la main, et demande au régent Buloz l’hospitalité de Thémistocle. Le
entrée aujourd’hui tout entière dans la personne de M. Buloz. « On me demandera peut-être ce que c’est que M. Buloz. Je vais le d
ce, je respecte l’incapacité ; je comprends l’insouciance qui n’a pas demandé à l’éducation de réparer les torts de la nature :
bing de Leuven le Journal des Voyages, pour en faire une Revue, et me demanda si je ne l’aiderais pas de ma plume. Ma plume, vo
vous rappelez le succès qu’obtinrent ces deux caprices. M. Buloz m’en demanda d’autres. Nous arrêtâmes le prix à cent francs la
’Harmental. À mon arrivée, je trouvai une lettre de Desnoyers, qui me demandait quatre volumes pour le Siècle. Quatre volumes, c’
serviteurs et ceux de M. Perrée, lorsque de son côté M. Buloz me fit demander ces quatre volumes pour la Revue de Paris. J’en d
Buloz me fit demander ces quatre volumes pour la Revue de Paris. J’en demande bien humblement pardon à Desnoyers et à Perrée, j
 Buloz, qu’il ne me garda point rancune, et que peu après, il vint me demander Albine, que je lui donnai. J’étais resté aux deu
tes les peines du monde à me séparer d’elles, quand M. Buloz m’envoya demander , pour doter la cadette qui se retirait du monde l
re pour une vraie lettre ; ce n’est qu’une espèce de réponse. Je vous demande donc la permission d’y être bête tout à mon aise.
ui jouait l’école ancienne ; en conséquence, il venait, me dit-il, me demander pour sa femme, au nom de M. Buloz, les rôles de C
à M. Mélingue le système désastreux de M. Buloz, et j’ajoutai que la demande qu’il me faisait pour sa femme était inutile, att
isait répéter le Gladiateur, reçu depuis deux ans. M. Buloz vient lui demander son tour de représentation pour une œuvre qu’il p
met : c’est bien le moins que vous deviez à un homme de ce mérite, et demandez -lui, à son retour, ce que M. Soumet lui aura dit
’anecdote racontée par la Démocratie pacifique. » Cette lettre, j’en demande bien pardon à M. Buloz, me paraît confirmer mon a
dernière fois que j’y ai été, comme je rencontrai Anaïs et qu’elle me demanda pourquoi je devenais si rare ? — J’ai peur d’y re
sser le temps de se remettre. Il fallait lui laisser le temps d’aller demander des lettres, d’aller mendier des démentis, de fai
l fallait dire aux ministres : « Excellences, dans une époque où l’on demande et où l’on obtient des chambres cent vingt millio
ts publics, et deux cents millions pour les fortifications de Paris ; demandez donc de temps en temps un demi-million pour l’art
13 (1912) L’art de lire « Chapitre IX. La lecture des critiques »
ut autre plan géométrique que l’historien littéraire. A lui, ce qu’on demande , au contraire, c’est sa pensée sur un auteur ou s
soit faite de principes ou qu’elle le soit d’émotions ; ce qu’on lui demande , ce n’est pas une carte du pays, ce sont des impr
torien littéraire ; tout au moins ils sont si différents que ce qu’on demande à l’un, et légitimement, c’est ce qu’on ne demand
rents que ce qu’on demande à l’un, et légitimement, c’est ce qu’on ne demande pas et ce qu’on ne doit pas demander à l’autre, e
t légitimement, c’est ce qu’on ne demande pas et ce qu’on ne doit pas demander à l’autre, et la converse est vraie. Il a fallu i
ercevez de la monotonie de vos sensations — vous vous avisiez de vous demander  : « Qu’en pense un tel ? » Quand vous saurez ce q
autre pension que moi, j’allai à lui, quelque temps après, et je lui demandai ce qu’il faisait : « Depuis quelque temps, me dit
onc ? Énergiquement, doctoralement, quelques-uns disent : « Ne jamais demander à l’enfant que sa pensée personnelle, que l’impre
d ne lui laissez rien lire sur le Cid, faites-lui lire le Cid et puis demandez -lui ce qu’il en pense. Or, l’élève répondra que c
rties, et d’un style sain, parfois agréable. Voilà tout ce qu’on peut demander à un très bon élève de première. Dès lors ? Dès l
14 (1864) Cours familier de littérature. XVII « Ce entretien. Benvenuto Cellini (2e partie) » pp. 233-311
ître eut l’air de rire, et me renvoya le gentilhomme espagnol pour me demander les hardes que j’avais données à Ascanio, auxquel
onduite ; lui, Ascanio et son père me prièrent de le reprendre. Ayant demandé quel était celui-ci, et ayant appris que c’était
re à ses questions. Je restai quelques heures avec lui ; et lui ayant demandé congé, je trouvai à mon auberge ma table couverte
t guérir et le garda dans une chambre secrète du palais. Cornaro alla demander sa grâce au pape Farnèse. Le pape l’accorda avec
si passer pour un coupable. Il dit ensuite au gouverneur : “Allez lui demander qui l’a aidé dans sa fuite, et dites-lui que je f
une fois la semaine. Le cardinal, le voyant en bonne disposition, lui demanda ma liberté avec instance, en lui disant que le ro
t en eux quelque chose de majestueux et de divin ; cependant, si vous demandez à un humble paysan lesquels il aime davantage des
oste en avant de Sienne. Je trouvai là des chevaux de retour qu’on ne demandait pas mieux que de fournir, pour peu de chose, au p
selle et mes étriers sur la jument que j’avais montée. Je les envoyai demander plusieurs fois au maître de la poste, sans qu’il
z avancée lorsque le roi revint à Paris. Aussitôt qu’il me vit, il me demanda si je pouvais lui montrer quelque chose de mon at
r dans les jambes du roi ; ce qui le fit beaucoup rire. Sa Majesté me demanda ce que je faisais, et m’ordonna de ne pas me déra
roi en se levant de table. Il m’emmena ensuite dans sa chambre, et me demanda quelle quantité d’or il me faudrait pour cette sa
uns de mes garçons de venir au-devant de moi. Ne les voyant point, je demandai si on les avait avertis ; un coquin de valet m’as
plus d’être récompensé ! Quoique je le voie souvent, jamais il ne me demande rien ; il ne pense qu’à son travail : c’est pourq
ue. Les voyant si bien disposés en ma faveur l’un et l’autre, je leur demandai la permission d’aller faire un tour à Rome. Elle
nt, qu’il le montra à Michel-Ange, et que celui-ci, en le voyant, lui demanda quel était l’auteur d’un si bel ouvrage. Sachez,
oir, l’accueil qu’il me fit fut de me faire signe de m’en aller. J’en demandai la raison à M. Sforza, qui était un de ses intime
rès il m’obtint une audience. Le duc me reçut assez froidement, et me demanda ce que j’avais fait à Rome. Je lui parlai de mon
es que grossières, et qui était aussi présomptueux qu’ignorant. Il me demanda ce que je prétendais faire ; je lui montrai fort
vrai rémunérateur des talents et de ceux qui les professent, je vous demande un congé de huit jours, pour un pèlerinage que je
et m’a donné assez de force pour venir à bout de ma statue. Le duc me demanda où je voulais aller. Aux Camaldules de Vallombreu
e tenant droit comme un pieu, me dit : Le duc veut savoir ce que vous demandez pour votre Persée. À ces mots je restai stupéfait
ours. Cet homme, plus roide encore et d’une voix plus haute : Je vous demande de sa part ce que vous en voulez, et je vous ordo
sur elle. Je répondis à ces paroles obligeantes que je n’avais jamais demandé , pour prix de mes peines, que les bonnes grâces d
cessaire qu’elle s’interposât pour m’obtenir une récompense que je ne demandais pas, puisque je me contentais de la moindre, si l
avait répondu : Il en est de ceci comme de votre Persée, dont vous me demandez dix mille écus. Vous êtes trop intéressé ; je le
15 (1864) Nouveaux lundis. Tome II « M. Biot. Essai sur l’Histoire générale des sciences pendant la Révolution française. »
ut lui qui renversa le tonneau. Un général qui assistait à l’exercice demanda le nom de l’adroit tireur, et voulut donner au ca
fusée. Voici une autre anecdote que j’ai recueillie de sa bouche ; je demande à la répéter ici dans les mêmes termes que je lui
: M. Biot accepte encore. À chaque relais venaient des gendarmes pour demander des papiers ; un simple mot du jeune homme les sa
rès humblement. Arrivé à Paris, déposé à la porte de sa mère, M. Biot demande au jeune homme de savoir le nom de celui à qui il
st n’y était plus, et M. Biot ne l’a jamais revu depuis. » Lorsqu’on demandait à M. Biot pourquoi il n’avait jamais écrit lui-mê
on n’en pouvait tirer du dehors, l’art de le faire était ignoré ; on demanda aux savants de le créer, ils y parvinrent ; et ce
ide et diminuent son activité. Les procédés employés pour le purifier demandaient beaucoup de temps ; le seule construction des mou
isonnées : des malades qui en ont bu dans les hôpitaux sont morts. Il demande qu’on fasse en toute hâte l’expertise, et il n’at
d’indiquer l’espèce de poison et le remède. Remarquez bien qu’on leur demande d’indiquer le poison ; car, en ces temps de soupç
toute propriété nuisible : « Robespierre, qui espérait une trahison, demande aux commissaires s’ils sont bien sûrs de ce qu’il
de la nuit, une trombe brillante des couleurs du prisme… » M. Biot se demande comment un triangle peut être glorieux. Mais qui
16 (1894) Journal des Goncourt. Tome VII (1885-1888) « Année 1887 » pp. 165-228
s Le Gil-Blas, un article de Santillane au sujet de la représentation demandée par moi à Porel, pour compléter la souscription p
statue de Balzac. Maintenant voici l’historique de la représentation demandée par moi. Je recevais le 10 septembre dernier, ann
eul les fonds manquants, n’ayant reçu d’aucun membre de la Société la demande de compléter entre amis, la somme de 2 000 francs
pas réuni 9 000 francs, je me rendais au vœu du Conseil général et je demandais , le mois dernier, une représentation au Théâtre-F
s, le mois dernier, une représentation au Théâtre-Français. Sur cette demande aucune réclamation de la famille ou d’un membre d
. Et la résolution allait être prise définitivement, et j’allais vous demander , ainsi qu’à Zola, la somme de 500 francs, lorsque
’une pièce pour l’anniversaire de 1789, sans qu’aucun songe à vous la demander , c’est vraiment pas de chance ! Dimanche 23 ja
t, et il ne retire pas même : La Femme, dont des exemplaires lui sont demandés , tous les jours. Dimanche 30 janvier Zola é
dans lesquels vivait cette société. Geffroy m’amène Raffaëlli, qui a demandé à voir mes dessins, et l’on cause critique d’art,
les choses qui se disent, sur les jugements qui se produisent. On lui demande ce que faisait Coppée, pendant le discours de Lec
tés les plus terribles, dans mon pauvre sommeil d’être frileux. Je me demande , si la persistance de ce rêve, n’est pas un sympt
e futur auteur dramatique, que Bertrand faiblissait, lui accordait sa demande . Mais le jour de l’examen, au moment où Bertrand
res de son père à propos de rien, et qui, un jour que son frère avait demandé du vinaigre, lui faisait remplir son assiette, et
d’élégants froufrous, et un caquetage d’oiseau. Lundi 30 mai Je demandais hier à Rosny, pourquoi il avait quitté la France,
éon Daudet vient me prendre pour me conduire chez Potain, auquel il a demandé un rendez-vous pour moi. Longue attente, dans ce
et cette trépidation de la vie parisienne, pendant laquelle vous vous demandez , si bientôt quelques mots, quelques paroles de l’
gage, moi et Daudet, de toute participation au Manifeste. Mais je lui demande de ne pas le faire paraître, lui disant que je ne
s aux nôtres, mais nous vous sommes bien supérieurs en tout, — et ils demandent , si nous avons des littérateurs, des poètes ! »
credi 21 septembre Visite à la comtesse de Beaulaincourt, pour lui demander de reproduire dans la publication illustrée, que
écrivain au-dessous de sa réputation. Je ne lui ferai pas l’injure de demander , qu’on le juge d’après son roman des Eaux printan
par le silence que par le bromure de potassium. Et comme Deshayes me demande à la place de l’exemplaire sur hollande, un exemp
oici revenant sur sa maladie, disant que quand il désirait du vin, il demandait de l’eau, disant que c’était le plus souvent une
était un alcoolique, qui s’était noyé dans une mare de purin, et lui demandait qu’il l’empêchât de boire, parce qu’il sentait qu
17 (1887) Journal des Goncourt. Tome II (1862-1865) « Année 1865 » pp. 239-332
st-elle pas pour un peu dans la valeur de notre œuvre ? * * * — Je me demandais comment était née la justice dans le monde ? Je p
que, que Tourguéneff avait placé dans le ménage Viardot, et auquel il demandait la raison pour laquelle il en était sorti, lui fi
de chien, à propos de ses affaires, et galoper toute la journée, lui demandait , si elle avait envie de reprendre le théâtre ? — 
e vous les danser. * * * — L’autre jour, à un dîner d’hommes, l’on se demandait pourquoi les juifs arrivent à tout, — et si facil
rgent. Et voilà Sainte-Beuve exposant sa théorie, qui est de ne point demander l’amour d’une femme jeune, mais la charité de cet
e, ne vous prenne point en haine… « C’est là, oui, tout ce qu’on peut demander , finit-il par dire dans un soupir. — Mais avez-vo
cesse ! — Princesse, interrompt Sainte-Beuve, vous ne savez pas cela, demandez à ces messieurs de Goncourt, il y avait au xviiie
d’Henriette Maréchal chez la princesse. Samedi 8 avril Je vais demander à Roqueplan d’annoncer la lecture de ma pièce che
ssure de sa sympathie, et, quoi que nous lui disions, s’entête à nous demander Henriette Maréchal, pour la lire. 24 avril
, il nous la fait reporter, ce matin, avec un mot dans lequel il nous demande pourquoi nous ne la présenterions pas au Théâtre
vons pas ouvert. À dix heures on me monte une lettre pour laquelle on demande une réponse : c’est notre lecture à la Comédie-Fr
nce à nous parler de la pièce, mais au bout de deux minutes, nous lui demandons à nous sauver, à nous jeter dans une voiture déco
vont à des causeries sur le sentiment, sur l’amour. Et la princesse a demandé à chacun ce qu’il aimerait le mieux avoir d’une f
essine ses doigts. « Vous ne savez pas, ajoutait-il, ce que c’est, de demander , en dansant, un gant à une femme qui vous le refu
tite chérie de Jeanne. Elle l’appelle : « Ma Jésus. » * * * — L’homme demande quelquefois à un livre la vérité ; la femme lui d
* * — L’homme demande quelquefois à un livre la vérité ; la femme lui demande toujours ses illusions. * * * — Paul et Virginie 
ent remercier la princesse de sa croix. Dans la journée, elle m’avait demandé si Flaubert était décoré, et comme je lui réponda
riée : « Je n’en savais vraiment rien ; si j’avais su ça, je l’aurais demandé directement ; mais je le savais si peu, que, l’au
rectement ; mais je le savais si peu, que, l’autre jour, nous nous le demandions avec Charlotte. » À onze heures et demie, les hom
 ! » comme dit Giraille…. Et l’on cause peinture et commandes. Hébert demande à la princesse conseil à propos d’un travail que
nce belge. Nous devions être décorés le 15 août. La princesse l’avait demandé directement à l’Empereur, sans nous en parler, et
arrive de tous côtés, des petits comme des grands. La petite Dinah me demande assez maussadement d’ajouter dix jolies lignes à
is plus personne, mon fils était en pension… Dans mes rêves creux, je demandais à Dieu une femme pour la protéger, pour être un i
vue… dites-moi tout… » Elle me le racontait longuement… Puis elle me demandait des renseignements sur des choses qu’elle n’aurai
demandait des renseignements sur des choses qu’elle n’aurait pas osé demander à d’autres… Je lui donnais des livres à lire… Nou
auprès de lui sans succès. Delaunay ne veut décidément pas jouer, et demande , pour y être forcé, un procès. 25 septembre
rant éprouve un sentiment de vide, si douloureux dans le corps, qu’il demande qu’on le remplisse avec des chiffons, de la viand
lendemain du jour où le ministère lui accorderait ce qu’il lui avait demandé . Qu’est-ce ? sans doute une position égale à Bres
nements mis sous les paroles, le naturel à se lever, à s’asseoir, qui demande des dix reprises de la scène : toutes petites cho
uablement jouée, que le jeu des acteurs doit emporter le succès. Nous demandons L’Entr’acte, et lisons et relisons les noms de no
celle-ci, ainsi qu’aux deux précédentes, les acteurs ont l’air de se demander ce que signifie cette espèce de tolérance de la p
, Dumas fils nous disait qu’à ses premières pièces, Labiche lui avait demandé  : — Eh bien, et l’estomac, tu n’en souffres pas e
ontribuables dont l’argent sert à monter une Henriette Maréchal, nous demande de retirer notre pièce. Nous refusons, en lui dis
est un triomphe. Au moindre sifflet la salle se lève tout entière et demande l’expulsion de l’interrupteur. Après ce succès, n
une superbe faute d’orthographe : une de ces fautes d’orthographe qui demandent quatre personnes pour la commettre. Du reste les
18 (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Année 1895 » pp. 297-383
le rechercher et de le forcer à entrer. Et, comme en sortant, il lui demandait la raison de son hésitation à pénétrer dans le sa
’avait mené dans un bateau de fleurs. Dimanche 13 janvier On se demande , s’il existe encore des bohèmes de l’intensité de
plonge plus avant dans le travail, et a écrit toute la journée, nous demande à nous lire, après dîner, un commencement d’artic
soirée, les trente lignes sur les pointes-sèches d’Helleu, qu’il m’a demandées pour une exposition à Londres, et qu’il doit veni
« Février 1895. « Mon cher Helleu, « Vous me faites l’honneur de me demander de présenter en quelques lignes au public, votre
de chevalier, a obtenu pour vous une croix d’officier, et Poincaré a demandé à présider le banquet, pour vous la remettre. Je
c, je vais être nommé officier de la Légion d’honneur. Au fond, je me demande , si ça me fait un très véritable plaisir, et je n
se. Et là-dessus, l’on m’apprend que Poincaré a la grippe, et l’on me demande , si le banquet doit avoir lieu après-demain, sur
éfendait d’y assister… Enfin Clemenceau, flanqué de Geffroy, est venu demander , avec force éloquence, la remise… Ma foi, j’ai te
i eu peur de vous faire étriper, et j’ai fait annoncer, que sur votre demande , le banquet était remis. Alors Geffroy a couru ch
lieu d’un républicain ! Vendredi 22 février Je reçois un livre, demandé sur un catalogue à prix marqués de Mathias, et qu
our titre : Détails sur quelques établissements de la Ville de Paris demandés par la Reine de Hongrie à M. Lenoir, lieutenant d
un dit que le banquet a lieu, dont l’autre dit qu’il n’a pas lieu, et demande à Pélagie, quel est le journal qui dit vrai, et j
cles qu’il inspire, de la volte-face de la critique, devant la remise demandée par moi, disant que j’aurais publié un chef-d’œuv
père Thiers. De là, l’indignation des gens du Palais-Mazarin, qui lui demandent la suppression d’une phrase d’un hautain mépris,
it ou de ce qui vibre, de ce qui aime ou de ce qui souffre, vous avez demandé à la richesse et à la diversité des formes, l’art
ns de Rodin, se plaignant de sa fatigue et de son besoin de repos, la demande par Albert Carré d’un rendez-vous, pour causer de
u livre. Un amusant détail. Le coiffeur qui a coiffé la mariée, lui a demandé si son mari était petit ou grand, et comme la mar
Carré qui, sur l’article de Daudet, dans la Revue encyclopédique, m’a demandé un rendez-vous, à mon banquet, ce matin, reçoit m
confesser à moi. Là, il s’interrompt, voyant la porte ouverte, et me demande à être entendu par moi seul. La porte fermée, alo
assé dans ses orgies, en un des endroits, où il avait été interné, et demande à Jules Lacroix de le faire dîner avec l’auteur,
nd qu’il soit tout à fait vaillant, pour recommencer. Et comme je lui demande , un moment après, s’il a toujours aussi peu besoi
Aujourd’hui, Mme Segond-Weber m’est amenée par Montesquiou, venant me demander de jouer La Faustin ; je suis frappé de sa beauté
cidait à se rendre chez son frère, un alcoolique prédicant, auquel il demandait la place par terre pour son corps. Il voulait bie
venir voir sa mère, ne venait jamais, et ne lui écrivait que pour lui demander de l’argent. Une révélation curieuse de cette cau
ociété, toute appuyée sur le passé, me citant, à propos du Tonkin, la demande par la France, de la cession d’un territoire, où
m’a décoré. Dimanche 28 juillet Hayashi vient déjeuner. Je lui demande qu’est-ce qui l’a poussé à apprendre le français
lise ? — Je ne sais pas… peut-être », lui ai-je répondu… Enfin, il me demande à me marier, quoiqu’il ne fût pas prêtre de la pa
ements de l’Est. C’est peut-être l’unique médecin, qui a eu l’idée de demander à ses malades, un journal, heure par heure, de le
une jeune fille sans fortune, et comme la mère de la jeune fille lui demandait de réfléchir, et lui disait que la différence de
19 (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Souvenirs militaires et intimes du général vicomte de Pelleport, publiés par son fils. » pp. 324-345
ait déjà fait avec succès pareille chose pour le sien. Il ne faut pas demander au récit du général Pelleport, son ami et son col
être à l’extrême arrière-garde de l’arrière-garde, il ne faut pas lui demander , dirai-je tout d’abord, les mêmes qualités de cor
fit éclater dans tout le Midi, au sein des familles honnêtes, qui ne demandaient à la Révolution que l’égalité politique et la réf
te et sensée de chaque régime. Le 8e bataillon, dans lequel Pelleport demande bientôt son incorporation, n’est pas beaucoup plu
eur présence qu’on pourrait faire la question de M. Royer-Collard qui demandait ce qu’était devenu le respect. Eux, ils l’éprouve
e de l’acte constitutionnel, fiction politique dans un bivouac ; elle demanda avec force du pain et des souliers. Le représenta
francs. Ce brave homme, ne sachant que faire d’une somme aussi forte, demanda la permission de la porter à sa femme. En rentra
le comprend et ne le devine qu’à demi ; on s’abstient même de trop se demander où l’on va et dans quel but. Les paroles du génér
ses patrons d’acheter le colonel commandant supérieur. L’autorisation demandée lui fut facilement accordée, et notre homme, ench
s à mes officiers, l’empereur parut surpris de ce que je n’avais rien demandé pour moi ; se retournant de mon côté, il me dit :
moi ; se retournant de mon côté, il me dit : « Et vous, colonel, que demandez -vous ? » Un peu troublé par cette question, je pe
uelconque : que voulez-vous ? » Il fallait cette fois s’expliquer. Je demandai alors, je ne suis trop pourquoi, une régie de tab
ui aimions avant tout en notre jeunesse à être papillons ou abeilles, demandons -nous quelquefois combien il faut de ces hommes-là
20 (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Racan, et Marie de Jars de Gournai. » pp. 165-171
re ou deux celle du rendez-vous, & fit dire que c’étoit Racan qui demandoit à voir mademoiselle de Gournai. Dieu sçait comme
, & fit le sien. Mademoiselle de Gournai ne put s’empêcher de lui demander plusieurs fois s’il étoit véritablement M. de Rac
bande. Il ne faisoit que de sortir, lorsque M. de Racan, en original, demanda à parler à mademoiselle de Gournai. Sitôt qu’elle
trer. Mademoiselle de Gournai le prit sur un ton fort haut, & lui demanda s’il venoit pour l’insulter. M. de Racan, qui d’a
ndre, & qu’il en plaisantoit même en présence de Racan. Lorsqu’on demandoit à Racan si cela étoit vrai : Oui dà , disoit-il,
21 (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Mirabeau et Sophie. — I. (Dialogues inédits.) » pp. 1-28
beau arriva, le 25 mai 1775, pour être détenu au fort de Joux, sur la demande de son père qui l’y faisait transférer du château
s la fin, dans ses maladies, le médecin, avant de lui tâter le pouls, demandait en entrant au valet de chambre comment était ce j
rabeau, déjà tenté, après avoir causé avec Mme de Monnier, la pria de demander au commandant la permission pour lui de venir le
au ayant rencontré par hasard Mme de Monnier à la promenade, elle lui demanda s’il n’irait point à un bal, à une fête champêtre
repaître des moindres souvenirs de ces premiers temps heureux. Il lui demandait à elle-même de lui envoyer là-dessus des notes, d
tre jours peuvent vous perdre ! N’en parlons plus. Madame, je vous le demande à genoux. Je pars après-demain pour Berne ; je se
prononcer un nom plus doux. Le Dialogue se termine ici : la marquise demande encore à en reparler ; elle essaie de ne pas cons
ai de ma vie. » Mais que de chemin en un jour ! Mirabeau ne lui a pas demandé de répondre à sa déclaration d’amour du commencem
’amour, et elle en craint les suites. Mirabeau lui dit : « Vous ai-je demandé de la reconnaissance, madame ? » Elle lui répond
Elle lui répond bien sensément : Vraiment non, mais moins vous m’en demanderez et plus je vous en devrai. Cela est trop évident
it, comme il faisait aisément de tous ceux qu’il approchait. Mirabeau demanda à Saint-Mauris d’éviter un éclat, et de vouloir b
et le retournait à son gré, aurait pu s’adresser à lui-même pour lui demander asile dans sa maison, et le marquis, dans les com
nt, disait-il, des ruses de bonne guerre ; mais trahir l’hospitalité, demander une grâce pour tromper son bienfaiteur, ce seraie
ut, et la position devenant insoutenable à Pontarlier, Mme de Monnier demanda à se retirer dans sa famille et s’en retourna à D
22 (1895) Journal des Goncourt. Tome VIII (1889-1891) « Année 1889 » pp. 3-111
ivais à Alexis pour avoir sa collaboration, en même temps que je vous demandais l’autorisation pour faire la pièce. Quelques jour
ère n’avait pas eu le courage de la décision qu’il avait prise sur la demande de Carnot, et on lui refusait le « par ordre ». U
ntes, et d’un pimpant coup d’œil sous les glaces de la vitrine, je me demande si ma passion du Japon n’a pas été une erreur, et
a ne nuisît pas à ma réputation littéraire. Visite de Mévisto, qui me demande à jouer Perrin dans La Patrie en danger. Ce n’est
ue les répétitions de La Patrie en danger sont commencées. Mévisto me demande , de la manière la plus pressante, de créer le rôl
s amis, car vous êtes des amis, puisque vous êtes des ouvriers. » Je demande , s’il existe en aucun temps de ce monde, une phra
que, où il vient de faire des conférences là-bas, et auquel quelqu’un demande ce qu’il est allé faire là-bas, répond moitié bla
avait pour 150 000 francs une propriété, dont les possesseurs actuels demandent trois millions. Samedi 9 mars Vraiment les
à toute extrémité… J’ai compris qu’il était bien mal, parce qu’il ne demandait des nouvelles de personne… Cependant il a mangé u
ce de Germinie Lacerteux, la censure a donné le visa à ma pièce, sans demander la suppression d’une phrase. Et il est décidé — ç
complaisamment, finissant par dire : « Ah ! vraiment, il faut que je demande s’il n’y a pas, parmi eux, quelques-uns qui voudr
lettre que j’avais écrite, il y a quelques mois, au Figaro, et où je demandais qu’en ce pays, — le pays qui paye le plus d’impôt
s. Un article incroyable est celui paru dans Le Petit Journal, et qui demande la suppression de la commission de censure, sur c
ctueux dans lequel Antoine m’apprend que la municipalité de Reims lui demande de venir jouer La Patrie en danger, le 14 juillet
Deux sœurs, deux enfants, — c’est l’expression de la lettre — avaient demandé , ces jours-ci, à voir l’auteur des Frères Zemgann
ie, au bout des doigts usés. À la fin de la visite, la plus brave m’a demandé dans quel cimetière était enterré mon frère. J’ai
cupation de dénouement, et non arrangée à l’usage du lecteur bête que demandent les grandes ventes. Non, je ne suis plus intéress
e les galères de l’activité. Je passe au panorama de Stevens, qui m’a demandé à retoucher mon portrait, et qui, me faisant rema
cé, un mouvement presque imperceptible de roulis, et que si vous leur demandez d’assaisonner d’un peu du tangage de la femme eur
ngage de la femme européenne, vous répondent indignées, que vous leur demandez à faire l’amour comme les chiens. Mercredi 3 j
critique théâtrale, mais ses éreintements sont entremêlés de tant de demandes de loges pour des femmes légères, qu’au bout de q
te qu’il avait faite à la dame de Dijon, et qui était sa tante, il se demandait quel âge elle pouvait bien avoir, calculait qu’el
à la maison, où il avait fait une visite, une dizaine d’années avant, demandait en mariage la jeune fille, qui lui était accordée
et depuis quelques instants, pris de douleurs intolérables d’estomac, demande à aller se jeter, une minute, sur un divan dans l
s qu’il répondît, lorsque à son dernier voyage au Japon, il lui avait demandé à venir le voir, dans une lettre où il lui disait
atien, n’ont point eu connaissance du message qui l’a précédé, et qui demandait de lui faire préparer « un verre d’eau glacée, de
une chaise percée ». Un Russe bien informé me disait, que dans cette demande , il n’y avait pas l’appréhension de mauvaises ent
d’or et de pierres précieuses. Mercredi 11 septembre Quand on demande aux paysans, ce qu’ils pensent du gouvernement ac
sa folie consistait en ce qu’elle croyait qu’elle était morte. On lui demandait comment elle allait une, deux, trois fois. Elle n
ats pour le fauteuil d’Augier, et au milieu de cette causerie, Daudet demande à Loti, pourquoi il ne se présente pas. Loti répo
osition de Hugo. Mais déjà le traité était signé avec Cognard qui lui demandait d’allonger la pièce, ce qui avait lieu à la diabl
s belle fille, lui ordonnait de se prostituer à tout passant, avec la demande pour salaire, du récit du plus méchant tour qu’il
à partie la corporation des huissiers, l’auteur sera poursuivi sur la demande du ministre de la Justice ; sur un roman qui pren
endra à partie les attachés d’ambassade, l’auteur sera poursuivi à la demande du ministère des Affaires Étrangères ; sur un rom
ui prendra à partie les maîtres d’école, l’auteur sera poursuivi à la demande du ministre de l’Instruction publique, etc., et c
antes, données par la contemplation des objets d’art. Et comme je lui demande , s’il ne travaille pas à une volumineuse chose su
23 (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Mémoires ou journal de l’abbé Le Dieu sur la vie et les ouvrages de Bossuet, publiés pour la première fois par M. l’abbé Guetté. Tomes iii et iv· » pp. 285-303
e composé par lui peu de jours après la mort du grand évêque, et à la demande de la famille, pour servir aux orateurs qui aurai
icultés qu’éprouve cette publication : « Si nous obtenons ce que nous demandons , il y a de quoi faire bien enrager M. le chanceli
it au père de La Chaise chez les jésuites de la rue Saint-Antoine, il demande à voir les principaux et les plus célèbres de la
. de Meaux. Cela n’empêche point qu’à quelques jours de là, et sur la demande de l’abbé Bossuet, il ne compose ce mémoire dont
ces meubles (de la maison de Germigny) et de toute la sacristie, j’ai demandé à l’abbé Bossuet un petit calice de vermeil dont
ore le reste de mes jours à prier pour mon bienfaiteur : « Je ne vous demande que ce petit calice, lui dis-je, et non celui que
s cela à Paris, dit-il, puisque vous y venez. » Je suivrai donc cette demande , puisque la voilà une fois faite, et j’arracherai
e, et il a été content de ces emplettes. J’en ai pris occasion de lui demander le petit calice dont je lui avais déjà parlé à Me
voyé le missel de Meaux, en maroquin, de feu M. de Meaux, que j’avais demandé à l’abbé Bossuet dès Paris, et qu’il ne m’avait a
t mot et recevoir quelque sèche réponse. Pour moi, qui n’avais rien à demander , mais au contraire un présent à faire, je n’ai pa
lui avoir dit que les imprimeurs pressaient, parce que le livre était demandé et attendu avec impatience par le public… Je me r
par lui sur les circonstances de la mort de M. de Meaux, Fénelon, qui demande nommément quel prêtre l’a exhorté à ses moments s
24 (1864) Nouveaux lundis. Tome II « M. De Pontmartin. Causeries littéraires, causeries du samedi, les semaines littéraires, etc. »
e ; mais l’appréciation véritable et distincte des œuvres de l’esprit demande plus de précaution et l’emploi d’un art tout diff
ent général, de ce désaccord de la littérature avec la société, il en demande compte à la critique ; il partage celle-ci en tro
de M. de Pontmartin ne se reconnaît plus dans ces grands morceaux qui demanderaient , même le thème étant donné, une main plus sobre e
ligence et d’observation. Mais laissant de côté ce qui me regarde, je demande si cette sorte d’exaltation dans laquelle se plac
t de l’ouvrage de M. Mignet sur Charles-Quint, il dira : « Si l’on me demandait quel est, parmi les ouvrages de l’esprit, celui q
évention et enthousiasme. Sur cette simple définition du critique, se demander si M. de Pontmartin en remplit les conditions, c’
qui affiche des doctrines plus ou moins classiques, on a droit de se demander  : Quelles sont ses études premières ? Quel est so
dait aux veuves athéniennes, qui a fait beaucoup parler d’elle, qui a demandé à ses talents la renommée et l’éclat, à ses passi
t autrefois prononcée dans le cabinet du magistrat, lorsqu’il lui fut demandé de choisir entre elle et son père, la pauvre Auré
e recèle point un foyer de trouble et d’orage. Mais après cela, je le demande , si le résultat est favorable à la charmante et p
es ; pour les faire cesser, le marquis, accompagné de son fils, vient demander Aurélie en mariage à son père. Mais le père, info
Mais Aurélie a entendu les paroles de son père ; et après cela, je le demande , est-elle libre ?
25 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102
lle, soupçonnant Oratio d’aimer celle-ci, ordonne à Pedrolino d’aller demander audit Oratio le portrait qu’elle lui a donné jadi
main, contemple la fenêtre de sa femme, conçoit des soupçons, et lui demande ce qu’il cherche là et de qui est cette lettre. A
le médaillon est en réparation chez l’orfèvre. Pedrolino sourit, lui demande combien il y a de temps qu’il n’est allé à la com
en a menti. Ils mettent la main à leur épée. Cependant, le capitaine demande à Oratio s’il veut se couper la gorge avec lui. O
le détourner de cette passion qui ne lui peut faire honneur ; il lui demande s’il n’a jamais éprouvé d’autre amour. Le capitai
nconnu, enrage et se retire en maudissant Isabelle. scène X. Pantalon demande la cause de tout ce bruit. Isabelle dit qu’Oratio
atiano, se trouvant en face de leurs valets qui sont en chemise, leur demandent ce qui leur est arrivé. Les valets imaginent de d
s se livrent à ces sages réflexions, Isabelle, Flaminia descendent et demandent à leurs maris si la comédie est déjà terminée. sc
26 (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Appendice. — [Rapport sur les primes à donner aux ouvrages dramatiques.] » pp. 518-522
ons de talent, d’exécution brillante et de succès, s’il lui avait été demandé seulement de désigner lequel des ouvrages représe
, en rendant toute justice et à ces talents et à ces efforts, a dû se demander si l’objet principal du programme, aux termes duq
émotion, et, pour tout dire, à l’effet, il est tout simple qu’on leur demande plus ouvertement de pousser au bien plutôt qu’au
plaisance. La littérature dramatique a été prise au dépourvu ; on lui demande presque le contraire de ce qu’on était accoutumé
e ce qu’on était accoutumé à désirer d’elle depuis longtemps ; on lui demande des émotions vives, profondes et passionnées, mai
possible, et, dans tous les cas, salutaires et fortifiantes ; on lui demande , au milieu de toutes les libertés d’inspiration a
27 (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxviie entretien. Un intérieur ou les pèlerines de Renève »
vec honneur ? Non-seulement les hommes, mais les animaux eux-mêmes me demandent compte de leur nourriture ; voilà la prairie où d
s payer strictement mes dettes. Si ce que je reçois ne suffit pas, je demanderai de nouveau une autorisation au ministre. » Je fai
quelques mois. Enfin je m’adresse aux banquiers de mon pays pour leur demander de m’avancer environ 200,000 fr. pour mes payemen
t étaient l’excuse, qu’elles étaient là à une heure si indue non pour demander , mais pour m’apercevoir de loin à l’heure du déje
ajouta qu’elle était la mère de ces trois jeunes personnes qu’elle me demandait la permission de me présenter. L’aînée se présent
en pris un moi-même en face d’elles et, m’adressant à la mère, je lui demandai à quoi je pouvais lui être agréable, pensant que
mille avait pu seul les amener à une pareille heure. — Oserai-je vous demander , dis-je à la mère, à qui j’ai l’honneur de parler
même vous déranger pour vous entretenir de nous. Nous n’avons rien à demander à personne ; mais mes filles sont jeunes, comme v
dit-elle, tout le monde vous connaît dans ce pays-ci ; nous l’aurions demandé aux pierres qu’elles nous l’auraient dit ; d’aill
é de ses paroissiens. Je vais lui écrire sans savoir son nom ; je lui demanderai s’il connaît M. de Lamartine, que nous avons l’in
mère nous regarda d’abord avec une certaine surprise, quand Marie lui demanda si elle ne pourrait pas nous donner à coucher. Pu
enchantés et immobiles devant ce beau spectacle. Eh bien nous ne vous demandons pas autre chose que cet asile pour la nuit, dîmes
t ; quant au vin, nous sommes d’un pays où il n’y en a pas, nous n’en demandons pas. Aglaé et ses sœurs commencèrent à défaire le
hacun de ses genoux avec un mouvement d’escarpolette. — Quel est, lui demandai -je avec curiosité, le nom de ce gros village à l’
leil baissait déjà dans le ciel quand nous nous levâmes de table pour demander la route de Saint-Point. XVIII À ce moment
e fumée s’élever au-dessus des bois, et nous nous en approchâmes pour demander notre chemin. Nous fûmes bientôt près de la masur
greur, de votre pâleur et des femmes qui vous parlaient à table, il a demandé qui vous étiez, et ayant appris que pendant que v
lèrent de larmes ; on parla d’autre chose. XXVII Et votre père, demandai -je aux jeunes personnes, que fait-il ? — Monsieur
28 (1875) Premiers lundis. Tome III « Sur le sénatus-consulte »
e commandée et imposée. Mais comment cela a-t-il donc pu se faire, se demande-t -on involontairement ? comment des circonstances c
e nuage, une barre sombre qui recèle de l’inconnu ? Cela revient à se demander  : Comment l’opinion s’est-elle réveillée ? Un des
dinal de Retz faisant le récit de la Fronde, ne peut s’empêcher de se demander , lui aussi, comment de l’état de somnolence et de
es lois, on ne les trouva plus, l’on s’effara, l’on cria, l’on se les demanda … » Cet admirable exorde des Mémoires politiques
ne plus trouver un matin autour de lui ce qui y était la veille et se demander à son tour : Comment se fait-il que cette opinion
omme l’administration aura à faire la sienne ; cardans ce pays-ci, on demande beaucoup à l’administration ; on lui demande trop
; cardans ce pays-ci, on demande beaucoup à l’administration ; on lui demande trop, on se plaint à elle et d’elle à tout propos
on se plaint à elle et d’elle à tout propos. Il ne faut pas tout lui demander , si l’on ne veut pas tout lui passer. La tentativ
énat à une discussion pour laquelle je m’étais fait inscrire. Vous me demandez ce que j’aurais dit : je vous envoie ce que j’ava
29 (1911) La valeur de la science « Troisième partie : La valeur objective de la science — Chapitre X. La Science est-elle artificielle ? »
urs, quand il s’agit par exemple du postulatum d’Euclide. Quand on me demande  : fait-il noir ? je sais toujours si je dois répo
ent à cet énoncé. Les faits sont classés en catégories, et si l’on me demande si le fait que je constate rentre ou ne rentre pa
ication est une convention. Cette convention étant donnée, si l’on me demande  : tel fait est-il vrai ? je saurai toujours que r
mposée par le témoignage de mes sens. Si donc pendant une éclipse, on demande  : fait-il noir ? tout le monde répondra oui. Sans
me posez la question : tel fait est-il vrai ? je commencerai par vous demander , s’il y a lieu, de préciser les conventions, par
r vous demander, s’il y a lieu, de préciser les conventions, par vous demander , en d’autres termes, quelle langue vous avez parl
observe un galvanomètre, ainsi que je le disais tout à l’heure, si je demande à un visiteur ignorant : le courant passe-t-il ?
oncé deux faits aussi invariablement liés l’un à l’autre. Quand on me demandera  : le courant passe-t-il ? je pourrai comprendre q
s faits de la vie quotidienne sont l’œuvre des grammairiens ? Vous me demandez  : y a-t-il un courant ? je cherche si l’effet méc
Et une fois cette convention de langage adoptée par tous, quand on me demandera  : est-il telle heure ? il ne dépendra pas de moi
our ceux qui possèdent les tables calculées par les Astronomes. On me demande  : l’éclipse a-t-elle lieu à l’heure prédite ? Je
ductible qui serait alors l’invariant universel cherché ? La question demande à être précisée. Veut-on que cette partie commune
30 (1892) Journal des Goncourt. Tome VI (1878-1884) « Année 1879 » pp. 55-96
ns l’enthousiasme général. En sortant de la représentation, Zola nous demande , le nez en point d’interrogation, d’une voix dole
faisant la cour à genoux, au Gambetta. Son emportement apaisé, je lui demande pourquoi il n’a pas décoré Zola ? Il me répond qu
a rencontré une opposition formelle au conseil des ministres. Je lui demande pourquoi il n’a pas fait officier Renan, il me ré
un tel. » C’est celui-là qui arrive chez un autre monsieur volé, lui demande à voir les gens de service, adresse à l’un cette
directeur s’est empressé de me dire : « Vous n’avez qu’à adresser une demande , pour être transféré dans une maison de santé. »
ard, a soulevé mon drap, m’a flanqué un coup brutal sur la jambe, m’a demandé  : — Avez-vous pleuré ? Avez-vous eu un frisson ?
qu’on peut faire des œuvres originales. * * * — C’est fabuleux ce que demande , dans ce moment, le ministère des Beaux-Arts aux
étude du champ de course d’Auteuil, étude qu’il dépose chez moi, m’a demandé de venir dîner, avant son départ pour Trachaussad
t vague au bord de l’évanouissement, et où l’équilibre de votre corps demande à être surveillé : un état plein de trouble et de
lesquels Delâtre, qui tirait ses eaux-fortes, et auquel, un jour, il demandait à emprunter cent sous, lui disait qu’il allait lu
darin qui lui faisait les honneurs des curiosités de la ville, il lui demandait d’être mis en rapport avec quelque femme galante
it déjà plusieurs jours de festoieries de la sorte, quand le Français demandait au mandarin de le faire arriver à une conclusion.
gnements sur la capacité de l’aspirant, et lui prête les 10 000 taëls demandés , à condition qu’il en rendra 20 000, quand il aur
31 (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Campagnes de la Révolution Française. Dans les Pyrénées-Orientales (1793-1795) »
rvenir et d’arrêter la sentence de mort : Danton, pour toute réponse, demanda que « sur-le-champ, pour punir l’Espagne de son i
ontre les Espagnols. » La crise paraissait sans remède. On avait beau demander à la Convention des secours, le Nord même de la F
des paroles, répondait à ses généraux et à ses représentants : « Vous demandez du lait à une mère épuisée ! N’attendez rien que
us rendaient Bellegarde : « A votre place, répliqua Dagobert, je leur demanderais Barcelone.  » Chargé d’une tâche ingrate dans une
verve. Il était déjà dénoncé ; il écrivait de son côté au ministre et demandait  : premièrement, un congé temporaire « pour se tir
fonctions et miné à ce moment par la maladie, Dagobert n’hésita pas à demander l’autorisation d’aller soumettre au Comité de sal
amer d’elle, non seulement réintégration, mais récompense, et qui lui demandait dans le style emphatique, mais sincère, du temps,
ignes des chefs les plus intrépides. Un jour que ces vaillants hommes demandaient qu’on les conduisît au canon, un bataillon entier
se prendre une dernière fois dans sa vie, entre les belles causes qui demandent et appellent l’étincelle sacrée ! 8. 2 volumes
32 (1892) Journal des Goncourt. Tome VI (1878-1884) « Année 1884 » pp. 286-347
Jean-de-Dieu, dans le même mois, la veille de mon opération j’ai fait demander au directeur de la Charité, de faire dire une mes
tisfasse complètement, et les changements et les déplacements, que ça demande . C’est bien dommage, lorsqu’un panneau est arrivé
aumônier, à ce malheureux abandonné sur sa bouée… Et comme Daudet lui demande , s’il est d’une famille de marins, il répond le p
nt, lorsqu’on a un certain âge, un trop grand silence inquiète. On se demande si l’on ne serait pas par hasard ramolli, sans en
ille, et qui lui avait dit : « Tu es saoul ! » Lundi 31 mars Je demandais aujourd’hui à Sichel, si un grand marchand de cur
avarni ; mais celui-ci qui est d’une nature sage, rangée, tranquille, demandait gentiment la permission de détruire. Il disait à
Chérie du premier tirage, 6 000 sont partis. La Beraudière, auquel je demandais le nom d’une famille de Bretagne où devait être c
rès avoir parcouru les journaux, me laissait presque toujours, sur ma demande , enfoncé dans la lecture d’un roman, où, en ce te
ché ou non, je pénétrais dans leur appartement. Un matin que j’allais demander au mari de m’attacher des hameçons à une ligne, j
des Funambules, et me dit solennellement : « Mon cher, je viens vous demander , le rôle d’Henriette Maréchal pour Mlle Hadamard.
ration des livres, ne doivent pas avoir le caractère d’art qu’on leur demande , quand elles ne font pas partie d’un volume. V
it, voyant sa tête ne plus se soutenir, s’affaisser, tomber, elle lui demandait ce qu’il avait, s’il souffrait toujours. De Nitti
décès à la mairie de Saint-Germain. En sortant de la mairie, Dumas me demande , avec une certaine gentillesse, de manger un morc
j’avais dit qu’il m’était impossible de rédiger une note, on m’avait demandé  : « Était-il grand ou petit ? — Brun ou blond ? —
des fleurs déposées sur son cercueil. La voici à l’église, où elle a demandé qu’il n’y eût pas de chant, et où, je crois, une
ujourd’hui Lutèce, de Henri Heine, et j’y trouvais que le Français ne demandait pas l’égalité des droits, mais l’égalité des joui
s et aux boutons d’or, avec une patte et trois plis dans le dos. Elle demande à un commis, si elle ne pourrait pas en avoir une
us les dimanches, une vingtaine de fillettes à la messe — cela sur la demande des parents. Toutes les jeunes filles en se renda
ère fois, mais à la seconde ou à la troisième, un peu intriguée, elle demanda la signification de ce bouquet, à l’une des fille
33 (1891) Journal des Goncourt. Tome V (1872-1877) « Année 1872 » pp. 3-70
intérêt matériel, vos anciens nationaux pour un grand pays riche, qui demandera beaucoup moins d’impôts que leur ancienne patrie.
que leur ancienne patrie.” » « Un autre fait, messieurs, que je vous demande la permission de citer. J’ai un domestique stupid
res, tout semblable à celui d’une première au Théâtre Français, je me demandais quel était le grand personnage qui avait sa porte
toute prête à mourir.., sans regretter grand-chose. À la fin, elle me demande la place de la tombe de mon frère, pour y aller e
, nous avions péniblement ramassé les trois cents francs que Cornu en demandait , et que, dans le moment même où nous entrions dan
ché le retour de l’Empereur. « Un détail. Trochu, qui était avec moi, demande à lui lire la proclamation qui le nomme gouverneu
evendeur, chez lequel il trouve un joli morceau de tapisserie. Il lui demande s’il n’en a pas d’autre. « C’est bien dommage que
ce passe, une noce déjà un peu égayée par le vin de Bourgogne. On lui demande , en voyant le grand étui qu’il porte, s’il vend d
n attend le duc d’Orléans, qui doit venir le visiter. L’ingénieur lui demande s’il peut en faire une grande vue pittoresque. Il
ce qu’il dessine joliment, et malgré les rebuffades de l’artiste, lui demande s’il ne voudrait pas faire quelques vues pour lui
ses réflexions, et reprend : « Si j’avais l’orgueil de ces choses, je demanderais qu’on gravât seulement sur mon tombeau ce que mon
eau ce que mon livre a fait pour l’émancipation des serfs. Oui, je ne demanderais que cela… » L’Empereur Alexandre m’a fait dire qu
, pose qu’il prend quand il cause de choses qui le passionnent, il me demande si je trouve de l’intérêt à son Histoire du roman
fois, et n’a jamais osé faire allusion à cette soirée. Parfois, il se demande si c’est bien vrai. Dimanche 24 mars Hugo e
ur moi une joie. » Je le ramène à lui, à Ruy-Blas. Il se plaint de la demande , qui lui est faite d’une nouvelle pièce de son ré
Jeudi 11 avril Aujourd’hui, j’entre chez le libraire Tross, et lui demande de continuer à m’envoyer ses catalogues : « C’est
ur qui travaillait d’après un tableau de la galerie de Versailles, va demander quelque chose à Soulié, et tombe dans le déjeuner
sé par excellence, cette formule me revient souvent à l’esprit. Je me demande , comment toutes les plumes, tous les talents, tou
ut vous dire, mon juge, mais à la condition de la voir entamer ! » Il demandait d’assister à l’autopsie, dans un sentiment qu’on
d’avoir derrière son cercueil, toute cette tourbe des lettres, et je demande seulement, pour mon compte, les trois hommes de t
34 (1864) Cours familier de littérature. XVII « XCIXe entretien. Benvenuto Cellini (1re partie) » pp. 153-232
’il soit le bienvenu ! Toutes les personnes qui étaient présentes lui demandèrent , en le félicitant, quel nom il voulait donner à c
la boutique d’un orfèvre, pour contempler son travail. Bientôt il me demanda qui j’étais, et quelle était ma profession. Je lu
pouvais rester où il me plairait. Fort bien, dit Firenzola, je ne lui demande rien ; mais que je ne le voie de ma vie. Alors je
ne lui demande rien ; mais que je ne le voie de ma vie. Alors je lui demandai de l’argent qu’il me devait : mais sa réponse fut
s sa maison, s’approcha un jour de moi, et, me regardant dessiner, me demanda si j’étais peintre ou sculpteur. Je suis orfèvre,
e personne. « Comme je l’achevais, survint une belle Romaine, qui lui demanda ce qu’elle faisait. Je me plais, répondit Mme Chi
vais surpassé tout ce que j’avais promis ; en ajoutant que je pouvais demander tout ce que je voudrais ; que, me donnât-elle un
tellement qu’il avoua n’avoir jamais entendu de si belle musique. Il demanda à J. Jacomo où il avait trouvé un si excellent jo
é vint tout en sueur pour le reprendre, disant que son maître l’avait demandé pour le montrer à quelques personnes. Vite, vite,
e bien moi que je vois ? Toi-même, lui répondis-je. Je ne t’ai jamais demandé aucune complaisance ; mais je veux du moins que t
s le repas, on fit un peu de musique dans laquelle mon charmant Diego demanda à faire sa partie, et il s’en acquitta si parfait
oisines de mon beau jeune homme, ne cessaient de babiller : l’une lui demandait depuis quand elle allait dans le monde ? l’autre,
t le monde se mit à crier en éclatant de rire, et le fier Michel-Ange demanda la permission de me donner une pénitence ; ce qui
l prit pour but à sa couleuvrine. Puis, se jetant à ses pieds, il lui demanda de lui accorder le pardon des homicides commis pa
p de curiosité pour savoir ce que j’avais dit à Sa Sainteté. Il me le demanda deux ou trois fois ; mais je lui répondis que je
dans la rue, et l’aurait, je crois, égorgé, si le voleur n’avait pas demandé du secours à des passants, en les priant de le dé
à craindre, et que j’étais homme à pouvoir les défendre ; que je leur demandais seulement leurs bons offices pour bander ma bless
on fils lui avait dit. Deux jours après, le cardinal Cornaro vint lui demander un évêché pour un de ses affidés gentilshommes, a
ix heures du matin seulement, on m’apporta quelque chose à manger. Je demandai quelques-uns de mes livres ; on me donna la Bible
me donna la Bible vulgaire et la Chronique de Villani. J’eus beau en demander quelques autres, on me répondit que j’en avais tr
nat. Le cardinal Farnèse, nommé pape quelques jours après, envoie lui demander son travail et l’assurer de sa protection. Le fil
ormi, qui me dit que l’hôte ne se dérangerait pas pour le pape, et me demanda la bonne main ; je lui ordonnai d’aller causer av
35 (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Année 1893 » pp. 97-181
ve à la gare Saint-Lazare, où le cocher qui doit me mener chez Riche, demande à un camarade le chemin pour m’y conduire, par ce
Werther. Une voiture consent à me mener aux Menus-Plaisirs, où sur la demande d’Antoine, je l’ai autorisé à jouer : À bas le Pr
ge, comme des types généraux de Norvégiennes. J’aurai voulu aussi lui demander , dans La Puissance des ténèbres, quand Nitika ass
aujourd’hui. Jeudi 2 février Mme Ganderax, à laquelle quelqu’un demandait , si elle permettait à la loute, sa petite fille,
ivres documentaires, qui peuvent me servir pour mes travaux, et je me demande , si mon originalité ne vient pas un peu de cela,
t homme de cercle et cavalier du bois de Boulogne. Comme il lui était demandé , comment il avait pu prêter cinquante mille franc
droits différents de l’Amérique, deux lettres, où les signataires lui demandaient , comment il avait pu pénétrer ce secret de famill
ien caché à tout le monde. Jeudi 23 février Mallarmé, auquel on demande , avec toute sorte de circonspection, s’il ne trav
. Je faisais l’homme qui ne dit ni oui, ni non. Ces jours-ci, sur une demande directe d’en faire partie, et sur une aimable ind
ui a été quinze ans son entreteneur en titre, invariablement, Ozy lui demandait dix, vingt, trente Lyon (actions du chemin de fer
’hui une faiblesse à ne pas même regarder des images. Helleu vient me demander à faire des pointes sèches, d’après mon facies. I
tre avec le journaliste anglais, qui avait parlé de l’impertinence de demander mille guinées pour « jeter un pot de couleur à la
public ». Et la réponse de Whistler est vraiment belle, quand on lui demande , combien il a mis de temps à peindre sa toile, et
ient conservé leur orient. Et l’extraordinaire de la chose lui en fit demander quelques-unes par le Kensington Palace. Lundi
e. Lundi 1er mai A propos du juif, qui pendant la guerre, avait demandé à être décoré, et avait offert pour ce, de verser
Morel disait chez moi, qu’autrefois à la Bibliothèque Nationale, les demandes de livres qui ne s’élevaient pas au-delà de deux
la parole. Samedi 12 août Hennique vient de son Laonnais, nous demander à Daudet et à moi, nos observations, nos critique
écoré, il y a eu un banquet de cinq cents mécaniciens, où ils lui ont demandé de n’être ni député, ni conseiller municipal, pou
udent autant qu’ils le peuvent le oui et le non, en sorte que si vous demandez à un Japonais votre chemin, ou n’importe quoi, s’
rs faite un an d’avance, une cargaison de professeurs de français est demandée , pour mettre les jeunes gens et les miss de là-ba
ture, et c’est froid, très froid. Enfin après le septième tableau, je demande à lire le huitième et dernier tableau. Je ne lis
t pleine de passion, que le dernier tableau lui paraît superbe, et me demande de lui laisser, pour lire le quatrième et le cinq
e. C’est du moins ce que m’apprend un reporter de L’Éclair, venant me demander , si j’avais reçu la lettre en question. Dimanc
dit qu’elle a un tel désir de jouer quelque chose de moi, qu’elle me demande de garder encore ma pièce six semaines, pour la l
36 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre VI. De la littérature latine sous le règne d’Auguste » pp. 164-175
homme ; si leur âme se montrait capable d’émotions profondes, on leur demanderait de combattre la tyrannie, au lieu de chanter l’us
de la nature, pour échapper à leur soleil dévorant ; mais les Romains demandent de plus à la campagne un abri contre la tyrannie,
celui d’Auguste, pour les progrès de l’esprit humain. Néanmoins on se demande pourquoi les anciens, et surtout les Romains, ont
dis de la sensibilité des poètes latins. Lorsque les dieux voyageurs demandent à Philémon, dans les Métamorphoses d’Ovide, ce qu
Comme nous ayons passé ensemble des années toujours d’accord, nous demandons que la même heure termine notre carrière, que je
réservent Pallas, si je dois le revoir et l’embrasser encore, je vous demande de vivre. Je supporterai la peine, quelle que soi
37 (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Malherbe, avec différens auteurs. » pp. 148-156
tades à tout le monde. On raconte que les pauvres se plaisoient à lui demander souvent l’aumône, l’assurant qu’ils prieroient di
ge en cette matière, & d’ailleurs son ami. La lecture achevée, il demande bien vîte à Racan ce qu’il pense de l’ouvrage. Ra
uvement, d’indignation, il se lève, fait des gestes convulsifs, & demande à l’auteur s’il avoit eu l’alternative de faire c
poësie, par l’indigne emploi qu’il en faisoit. Aussi disoit-on qu’il demandoit l’aumône, le sonnet à la main. Faute de chaises,
ous encore à livre ouvert ? expression qu’il employoit souvent, pour demander si l’on étoit encore en état de leur plaire. Le d
38 (1895) Journal des Goncourt. Tome VIII (1889-1891) « Année 1891 » pp. 197-291
tits coins. Lundi 5 janvier Le jeune Philippe Sichel, auquel je demande qu’il m’indique ce qui lui ferait plaisir pour se
. Et c’est l’occasion pour le père de s’étendre sur l’atavisme, de se demander si le style ne vient pas d’un certain mécanisme d
méchant, mais le bon. Une chaîne d’or qui dépasse son gilet, lui fait demander ce que c’est. Il se défend un moment de le dire,
t le mouvement d’éreintement de ma personne, cette visite aurait fait demander ma tête. Samedi 28 février Au milieu de l’e
ent les œuvres d’un artisan, et non d’un poète ou d’un savant, il lui demandait une fois, s’il n’avait pas un autre talent que ce
il n’avait pas un autre talent que celui d’ornemaniste. Ritzouo, à la demande du prince, répondait qu’il était un savant milita
le prince, tout stupéfait de la science militaire de Ritzouo, et lui demandait de le prendre comme tacticien en titre, heureux d
ion, mais c’est vraiment gênant de se voir vendre. Et cependant je me demande , avec une certaine anxiété, ce qu’a pu se vendre
nterrement de Banville. — En descendant l’escalier, pendant que je me demandais , où je pourrais trouver une voiture, je me rappel
de la maison occupé par un loueur. Et, en effet, comme si je l’avais demandé , au moment où je posais le pied sur la dernière m
’un livre historique. Ainsi pour mon travail sur Outamaro, quand j’ai demandé pour la première fois à Hayashi : « Est-ce qu’il
a-t-il répondu tout d’abord. Ce n’est que lorsque je suis revenu à ma demande , qu’une fois il m’a dit : « Mais je crois en avoi
r l’inscription du poteau auquel il est adossé et qui porte : Sur une demande , Outamaro a peint lui-même son élégant visage. Da
un très remarquable sentiment poétique. Cette affirmation m’amenait à demander à Hayashi, si par hasard il n’existerait pas quel
répondait que si, qu’il y avait un gros recueil très connu, et sur ma demande m’en traduisait quatre ou cinq caractéristiques,
aite de Dumas père, pour l’avoir présenté à son père, auquel il avait demandé la permission de le mettre en scène, dans une piè
uisait un pauvre journaliste nécessiteux de Marseille, qui venait lui demander des recommandations pour des journaux de Paris. I
cette grand’mère. Lors d’un mariage d’une de ses belles-filles, elle demande à une autre belle-fille de lui prêter un manteau,
dans les paroles. Là, il est question du Rêve, ce qui amène Coppée à demander à Zola, s’il a vraiment joué de la clarinette. Et
vsky devant l’affluence et le recueillement du monde, un moujik avait demandé  : « Est-ce un apôtre ? » Vendredi 17 juillet
 » Vendredi 17 juillet Dans la promenade de ce matin, Daudet me demandait , si mon frère avait été tourmenté par l’au-delà d
fait allusion à cet au-delà, dans ses conversations. Alors Daudet me demandait quelles étaient mes convictions à ce sujet, et je
rés. Puisque j’intente action contre Poëris et Phtônis son frère, je demande qu’ils soient cités devant toi, et qu’après mûr e
ai pas. Lui, l’homme calme je le trouve tout à fait en colère. Je lui demande ce qu’il a. Et voici ses paroles textuelles : « J
s du travail. Mercredi 2 septembre Le banquier M***, auquel on demandait pourquoi les banquiers ne faisaient plus d’emprun
einture doit sa couleur à la tapisserie, aux exigences du coloris que demande cet art industriel, par l’habitude qu’avaient nos
 » Jeudi 17 décembre Ce matin, pas bien, mais pas bien du tout. Demande à Daudet de m’avoir une consultation de Potain, e
39 (1869) Cours familier de littérature. XXVII « CLIXe Entretien. L’histoire, ou Hérodote »
Athènes. Après avoir donné des lois aux Athéniens, qui lui en avaient demandé , il s’était décidé à s’expatrier et à voyager pen
e la vérité, répondit : « C’est Tellus l’Athénien. » Crésus, surpris, demanda vivement par quelle raison il estimait ce Tellus
insistant avec autant de détails sur le bonheur de Tellus, le roi lui demanda quel était, après Tellus, celui qu’il placerait a
d’un grand peuple ; cependant, je ne dirai pas de vous ce que vous me demandez de dire, jusqu’à ce que j’apprenne que votre vie
, satisfaits, allaient se retirer ; mais Atys, qui avait entendu leur demande , apprenant que son père s’y était refusé, entra e
érité. Je n’en formais même pas le désir, et j’ai su m’abstenir d’une demande indiscrète. Mais, puisque c’est vous-même qui le
ême que toute l’Asie en était couverte. Frappé de cette vision, il en demanda l’explication à ceux des mages qui sont versés da
il confia les ordres qu’il avait reçus d’Astyage à sa femme, qui lui demanda quel était son dessein ? « De ne point faire, dit
mme, qui avait presque perdu l’espoir de le revoir, s’empressa de lui demander par quel motif Harpagus l’avait envoyé chercher e
rus dans l’intérieur du palais, le roi, resté seul avec le pâtre, lui demanda « où il avait pris cet enfant ? qui le lui avait
dans une corbeille. Lorsque Harpagus eut cessé de manger, Astyage lui demanda s’il avait trouvé bon le repas qu’il venait de fa
près de lui les mêmes mages qu’il avait autrefois consultés, et leur demanda quel était le vrai sens de l’interprétation qu’il
lus vives, qu’ils le croyaient mort au moment de sa naissance, et lui demandèrent avec empressement de quelle manière il avait écha
ies voisines, les traita avec magnificence. Le repas terminé, il leur demanda lequel des deux jours leur paraissait préférable.
ù il avait été contraint de manger les membres de son propre fils, il demanda à Astyage : « comment il trouvait l’esclavage, ap
 » Astyage, au lieu de répondre, fixant ses regards sur Harpagus, lui demanda à son tour : « s’il s’appropriait ce que Cyrus av
qui avaient tout observé de loin, parurent avec elle, et Darius ayant demandé de quel pays elle était, les jeunes gens, prenant
t une colonie de Troie. » Après avoir écouté ces détails, Darius leur demanda encore : « si, dans leur pays, les femmes étaient
ns l’armée. Ils étaient chargés de se rendre près d’Amyntas et de lui demander , au nom de Darius, l’eau et la terre. Du lac de P
ez en Macédoine. « La députation, conduite en présence d’Amyntas, lui demanda la terre et l’eau pour Darius : Amyntas les donna
prendre quelque résolution rigoureuse contre vous-même. Nous ne vous demandons plus de répudier votre femme : continuez à être p
er aucune foi à ce discours, et interrogeant de nouveau Démarate, lui demanda  : « comment une si petite poignée d’hommes s’y pr
onvenue avec Épialte, et calculée sur la descente de la montagne, qui demandait moins de temps que la montée. D’ailleurs, le chem
40 (1856) Cours familier de littérature. II « XIe entretien. Job lu dans le désert » pp. 329-408
avons-nous fait pour mériter de naître ? L’insensible néant t’a-t-il demandé l’être.             Ou l’a-t-il accepté ? Sommes-
i moi-même exprimées dans un seul vers : L’insensible néant t’a-t-il demandé l’être. Ou l’a-t-il accepté ? En effet, y a-t-il
remourir dans les tortures d’une seconde mort sentie, un être qui ne demandait ni ce bienfait ni ce supplice, et qui dormait son
œur, et qui n’y est jamais bien rentré : L’insensible néant t’a-t-il demandé l’être, Ou l’a-t-il accepté ? Quel est donc, en
l’amitié, qui donnerait mille fois son sang de lui-même si on le lui demandait  ; le chien, qui se réjouirait de mourir pour nour
péniblement ce pain ; et par quels métiers ? et avec quelles sueurs ? Demandez -le au laboureur qui creuse sous le soleil et sous
le même grain d’herbe ou la même racine qui contient sa pauvre vie ! Demandez -le au matelot qui creuse d’un bout de l’Océan à l
sa famille, une pincée d’or convertie en quelques bouchées de pain ! Demandez -le au soldat qui consume les plus belles années d
ur un champ de bataille pour une ration de pain trempée de son sang ! Demandez -le au mineur qui renonce même au soleil des cieux
onnayé convertie en pain sur la table de sa femme et de ses enfants ! Demandez -le au tisseur d’étoffes qui use sa vie, dans une
fil sur le métier qui est à la fois son gagne-pain et son supplice ! Demandez -le à tous les métiers manuels par lesquels l’imme
ne change sa sueur quotidienne contre son aliment quotidien ! Hélas ! demandez -le même à toutes les professions libérales qui vo
ême travail changé de nom, sueur d’esprit au lieu de sueur de corps ! Demandez -le au magistrat sans repos dans la conscience, au
onnu en effet, dit Pascal, n’est-ce pas l’infini de la terreur ? Nous demandons donc par les religions de la terre au Dieu du cie
n effet, l’homme, ce misérable trompé par la vie, effaré par la mort, demande à ses religions au moins un Dieu, un seul Dieu, u
lerinage dans le désert, j’ai parlé tant d’autres langues que je dois demander indulgence pour ces réminiscences de poésie. Le
u ciel par la vague emporté, Il jette à l’Océan son cri de liberté !… Demandez -lui s’il pense, immergé dans l’eau vive, Ce qu’il
41 (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Livre V : La religion — Chapitre II : Examen critique des méditations chrétiennes de M. Guizot »
de l’Église ne sont pas des citoyens : ce sont des sujets. On ne leur demande pas leur avis. Ils n’ont qu’une chose à faire, cr
croyants, et la philosophie les résout pour les philosophes. Si l’on demande  : quelle philosophie ? je puis demander aussi : q
pour les philosophes. Si l’on demande : quelle philosophie ? je puis demander aussi : quelle religion ? Et l’on verra que tout
e, et qu’eux-mêmes, à leur tour, avec respect, mais avec fermeté, lui demandent librement : Quelle lumière nous proposez-vous ? C
domaine des âmes, comme on prétend qu’elles le font en effet. Nous ne demandons pas mieux, et nous sommes tout prêts à dire au Se
cœur : Adveniat regnum tuum  ; mais chacun a ses croyances, et nous demandons que toutes les croyances aient le même droit de s
us parle de la supériorité du christianisme sur la philosophie, on se demande donc naturellement : de quel christianisme est-il
losophie, à laquelle on reproche les incertitudes de la science, peut demander , au nom de Bossuet et de Rome, si l’église de Lut
lus ; mais nous présenter cet impossible comme la lumière, c’est nous demander plus que ne peut accorder un esprit libre, qui n’
plus amers, les plus douloureux. C’est un de ces faits dont vous nous demandez , dont nous vous demandons l’explication. S’en ser
oureux. C’est un de ces faits dont vous nous demandez, dont nous vous demandons l’explication. S’en servir pour rendre plausible
que vous nous proposez, c’est supposer ce qui est en question. Si je demande comment il se fait qu’un enfant innocent hérite d
est-ce pas le sophisme que l’on appelle en logique idem per idem ? Je demande comment Dieu, dans sa bonté et dans sa justice, a
42 (1913) La Fontaine « III. Éducation de son esprit. Sa philosophie  Sa morale. »
ssion qui nous entraînerait beaucoup trop loin, qui consisterait à se demander presque hémistiche par hémistiche qui La Fontaine
e même, nous voyons la fable de Jupiter et le Métayer, du métayer qui demande à Jupiter de disposer de l’humidité et de la chal
petite définition, examinons les fables de La Fontaine. Mais je vous demande de faire auparavant une petite distinction qui me
quent et qui les réclament à la Destinée. De même les Grenouilles qui demandent un roi, qui ne sont pas contentes de leur roi sol
andent un roi, qui ne sont pas contentes de leur roi soliveau, et qui demandent un roi un peu plus vivant. Jupiter, qui est très
ntelligent, s’est avisé que deux sûretés valent mieux qu’une, et il a demandé au loup patte blanche. Conseil de prudence, de pr
s qui, comme tout le monde aurait fait, ou à peu près, commencent par demander la fortune, cela va de soi. La fortune les entraî
par eux, si nettement éprouvés par eux presque tout de suite, qu’ils demandent la médiocrité. La médiocrité leur revient, ils en
heureux, et au départ du Follet, ayant encore un souhait à faire, ils demandent la sagesse. « C’est un trésor qui n’embarrasse po
demandent la sagesse. « C’est un trésor qui n’embarrasse point. » Ils demandaient ce qu’ils avaient, car, du moment qu’ils demandai
sse point. » Ils demandaient ce qu’ils avaient, car, du moment qu’ils demandaient la médiocrité, ils avaient la sagesse. Voilà donc
et la Fourmi. La cigale, comme vous le savez, tombée dans la misère, demande quelque subsistance à la fourmi, et la fourmi la
43 (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Le maréchal Marmont, duc de Raguse. — II. (Suite.) » pp. 23-46
celui-ci, voulant emmener avec lui le plus d’artillerie possible, lui demanda un ordre pour prendre tous les chevaux dont dispo
lleyrand vint ce soir-là chez le maréchal avec une arrière-pensée. Il demanda à le voir seul ; il l’entretint longuement des ma
aître ne convient pas, un de ceux auxquels il s’applique le moins, je demande à bien définir la question politique d’alors, tel
’il est cruel de vivre dans des temps où l’on peut et où l’on doit se demander où est le devoir ! » Il fut donné à Marmont de se
d’armée au gouvernement provisoire pour l’aider à traiter, et moi je demande à aller à l’île d’Elbe. — De telles pensées ne pa
t, lui expliquant le nouvel état de choses résultant de l’abdication, demanda à être dégagé ; ce qui fut entendu et convenu à l
et de résister. De tels conseils étaient trop forts pour ceux qui les demandaient , et Marmont, nommé commandant de toute la maison
1815, après la condamnation de Lavalette, mérite un souvenir. On lui demanda s’il voulait tenter quelque chose pour le sauver 
avaient succédé pour lui à l’époque de l’action et des combats. Il se demandait si c’en était fait pour lui de la grande gloire,
us venons nous adresser à un général qui a le cœur français, pour lui demander de faire cesser l’effusion du sang. » Le maréchal
il eut à essuyer de la part de M. le Dauphin, et dont ce prince lui a demandé ensuite pardon comme chrétien et comme homme. Le
44 (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Bernardin de Saint-Pierre. — I. » pp. 414-435
pouvait réaliser sur la terre dans l’ordre politique et civil, il les demanda à l’étude de la nature, et il en raconta avec con
uvent, quand il était présenté à quelque personnage de marque, on lui demandait s’il appartenait à la noble famille de Saint-Pier
ppressions, et la veuve de Bernardin de Saint-Pierre, en particulier, demanda avec instances, avec larmes, au possesseur des le
’ait reçu réponse, a le tort de se croire des droits là où il ne peut demander encore que des grâces. Il suppose que le gouverne
s mémoires qu’il a adressés à plusieurs ministères sans qu’on les lui demandât . Un jour, après bien des efforts, M. Hennin lui o
ajoute-t-il, que je partais (quand j’ai reçu votre lettre) pour aller demander à M. le marquis de Castries une pareille somme an
-même ce prénom pour désigner le grand écrivain, nous avons presque à demander excuse à ses mânes. Ce mot sur M. Panckoucke se r
n puits ; depuis six ans j’ai jeté sur le papier beaucoup d’idées qui demandent à être mises en ordre. Parmi beaucoup de sable, i
rt de la part du roi. Je vous avouerai même que je partais pour aller demander à M. le marquis de Castries une pareille somme an
res, quelque utiles qu’ils puissent être, ne sont point un titre pour demander des grâces du roi comme une chose due. Il n’y a p
terdirez cette satisfaction. Un ministre ne peut pas répondre à votre demande d’aller servir un prince étranger. C’est encore u
45 (1911) La valeur de la science « Deuxième partie : Les sciences physiques — Chapitre V. L’Analyse et la Physique. »
re V. L’Analyse et la Physique. I On vous a sans doute souvent demandé à quoi servent les mathématiques et si ces délica
ent pas qu’on leur réponde ; c’est à eux plutôt qu’il conviendrait de demander à quoi bon accumuler tant de richesses et si, pou
’eux, il y a ceux qui sont seulement curieux de la nature et qui nous demandent si nous sommes en état de la leur mieux faire con
que, en retour, emprunte à la physique. II Le physicien ne peut demander à l’analyste de lui révéler une vérité nouvelle ;
l faut que le mathématicien ait travaillé en artiste. Ce que nous lui demandons c’est de nous aider à voir, à discerner notre che
utre ; elles s’éclairent mutuellement, en s’empruntant leur langage ; demandez aux électriciens s’ils ne se félicitent pas d’avo
. J’en ai dit assez pour pouvoir conclure : quand les physiciens nous demandent la solution d’un problème, ce n’est pas une corvé
46 (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Le maréchal de Villars — V » pp. 123-131
r, dans un de ces moments d’effusion comme il en avait volontiers, il demanda à ses chers confrères la permission, ne pouvant ê
t la queue du grand-prêtre. La maréchale de Villars, qui y assistait, demanda quel était ce jeune homme qui voulait faire tombe
qu’il la chercha avec soin, trop indiscrètement. Le cardinal de Rohan demanda à M. le duc de le faire mettre à la Bastille. L’o
e qu’il mit chevaleresquement à son chapeau. Cela ne l’empêcha pas de demander en partant d’autres grâces : On me presse de par
re 1733), et j’ai donné au garde des sceaux un mémoire, par lequel je demande , avant que de partir, des grâces distinguées qu’i
l me reste une goutte de sang dans les veines, les services qu’ils me demandent . Il s’empara d’abord et sans difficulté du Mila
47 (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — Lettre, à Madame la comtesse de Forbach, sur l’Éducation des enfants. » pp. 544-544
e plan d’éducation, j’ai voulu savoir quel serait le mien. Je me suis demandé  : Si j’avais un enfant à élever, de quoi m’occupe
bonheur de sa nation, je voudrais encore qu’il fût bon. » Je me suis demandé comment je le rendrais bon ; et je me suis répond
travaillerais à le rendre grand ; et je m’en suis réjoui. Je me suis demandé comment on inspirait la fermeté à une âme naturel
ésiré que mon enfant eût un esprit droit, éclairé, étendu. Je me suis demandé comment on rectifiait, on éclairait, on étendait
r imperceptiblement jusqu’à quelque conséquence bien absurde, et leur demander en riant : Est-ce là ce que vous vouliez dire ? e
48 (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Notes et pensées » pp. 441-535
e trois heures ; il vous répète pour la centième fois, quand vous lui demandez s’il est allé à telle soirée, qu’il ne va guère e
-ce donc que les poètes dévoués qu’on oppose aux poètes égoïstes ? me demandait un jour de Vigny… — Turbidus, lui répondis-je, es
asser de ma vue. Moi qui n’ai pas bougé, je suis moins prompt et vous demande une demi-journée de répit après ces deux ans et d
s et demi de veuvage. — Turbidus me trouve enfin et m’embrasse, il me demande si je l’aime, et avec son cœur il m’ouvre bientôt
erce aimable de la vie, à la société douce et habituelle et fine, qui demande des esprits proportionnés : Dante, j’imagine, et
Oui, vertus mondaines, acquises, estimables sans aucun doute ; — mais demandez -lui un peu s’il n’a pas à se reprocher d’être nég
lui a pas assez fait la cour et ne peut jamais s’en faire craindre ; demandez -lui combien de temps cette iniquité durera, jusqu
rres ; il disait qu’il allait partir pour les siennes : Ballanche lui demanda s’il s’y entendait : « Comment si je m’y entends,
ait retiré d’un puit dans un éboulement plusieurs personnes. De Vigny demanda la parole et déclara que cette action lui paraiss
ls qu’ils sont, en leur ouvrant devant tous les entrailles ? Je me le demande , et pourtant je le fais. — Je les ai peints assez
mblant d’aimer tant de choses et qu’on s’est noyé en ces mélanges, je demande ce qu’on peut aimer encore, et si, en se raccommo
s de Mme de Longueville. Je m’étais empressé de m’en dessaisir sur sa demande , y prenant mes notes en toute hâte. Mais lui, une
ait écrire sur un sujet dont il s’était occupé, et qui lui en faisait demander par un tiers son agrément, il répondit avec son m
Cela lui coule de source. Nul effort : c’est son niveau. Mais ne lui demandez pas davantage : ni profondeur, ni originalité viv
diverses en se modifiant avec facilité et même avec talent ; mais ne demandez ni à leurs œuvres, ni à leurs souvenirs, aucune o
appelle savants sont peu propres à pénétrer la vie du présent, je me demande si ce qu’ils nous disent du passé, est quelque ch
leur entier développement. Leur activité a été proportionnée à ce que demande le siècle : il serait difficile de les suivre cha
fenêtre. Mme de Coislin, elle, avait pris un autre parti : elle leur demandait leur nom, et avait l’air de ne pas les connaître.
ans cesse lui-même avec une confiance et une sérénité croissantes, on demandait à Mme de Boigne ce qu’elle en pensait : « Que vou
dre l’origine des religions avec leurs diverses crises, et même (j’en demande bien pardon) Port-Royal et le christianisme. Ains
ment de son talent, de sa verve. Il a en effet ce que les bouddhistes demandent dans leurs prières, la facilité dans l’effort. Il
avait MM. Pasquier, Decazes, d’Argout, Dumon, etc. ; Mme de Boigne a demandé ce que devenait M. de Cubières83. Quelqu’un a rac
ubières83. Quelqu’un a raconté qu’il était dans sa terre, qu’il avait demandé un port d’armes, un permis de chasse, et qu’on le
er avis qu’il donne toujours excellent. Enfin, à cette heure, si l’on demande quel est l’homme de France qui jouit de plus de c
préoccupation universelle. Dès que Talma entra, M. Duveyrier père lui demanda  : « Eh bien ! les quatre de la Rochelle ? » — « E
sy en novembre 1867. J’ignorais sa mort, lorsque M. Asselineau me fit demander (sans me dire l’occasion ni l’objet) ce que je pe
holiques où il y a une certaine onction et de la pureté. Quand on lui demandait ce qu’il faisait, il répondait en ce temps-là : «
tu oublies qu’avant la Révolution nous n’avions rien. » — De Vigny a demandé à l’empereur à Compiègne, devant témoins, d’être
e ses registres au courant, et nullement oisif. M. de Vigny arrive et demande à faire inscrire quelques ouvrages pour les empor
ticle sur Cromwell ; c’était lui-même qui ferait les autres. Il avait demandé à s’en charger, redoutant un retour de M. Dubois,
rit. Leroux et quelques autres ne furent point de cet avis, et ils me demandèrent dans cette crise le secours plus fréquent de ma p
lus fréquent de ma plume : j’étais jeune, vif, ardent, vacant ; je ne demandais pas mieux. Pendant les trois mois qui suivirent l
49 (1802) Études sur Molière pp. -355
ommenterai l’art. [Avant-propos] Depuis longtemps mes amis me demandent des Commentaires sur Molière ; voici ma dernière
es de Hambourg, de Strasbourg, de Paris, les Commentaires que je vous demande  ; ils n’ont même pas caché qu’ils savaient où les
cette ville est abandonnée, ses acteurs se dispersent, les meilleurs demandent de l’emploi à Molière. Il passe en Languedoc ; le
ens de l’Hôtel de Bourgogne, dont il avait à craindre la jalousie, et demanda la permission de donner Le Docteur amoureux. Le r
médiens qui la possèdent, honneur à ceux qui l’ont embellie ; mais je demanderai si l’amour-propre de quelques acteurs, la manie d
er avec légèreté le rôle de Mascarille, et c’est de la vivacité qu’il demande  ; mais une vivacité qui parte de l’imaginative, p
habit couvert de rubans, un bas vert, un autre rouge et quand je lui demandais compte de cette folie, il me soutenait que la sig
que sa voix, Pendant tout ce récit, répétait mille fois. Après avoir demandé aux comédiens dignes de ce titre, car il en est,
font pas remarquer à leurs camarades le ridicule de ces coupures, je demanderai au public pourquoi il les souffre, et je lui soum
a depuis que l’ouvrage pouvait convenir à la cour et à la ville. » Je demande si les ridicules qui, du temps de Molière, caract
enlève. Dans l’instant même arrive Celio, qui, voyant son portrait, demande à Arlequin où il l’a pris, celui-ci dit que c’est
leonora qui l’a reconnu de sa fenêtre, accourt, et, ne le voyant pas, demande ce qu’il est devenu ; Arlequin répond qu’il l’ign
, voit Delmire, sœur de don Pèdre, roi d’Aragon, en devient épris, la demande en mariage, et ne l’obtenant pas, il l’enlève, la
riage ; et cet acte imposant, cet acte… pour ainsi dire religieux… ne demande-t -il pas, d’un côté, beaucoup de respect, de l’autr
ne. Je m’adresse aux amis de la vérité, de la bienséance, et je leur demande  : peut-il entrer dans l’idée de Valère qu’il fera
r les termes qu’il devait employer. Quelques personnes assurent qu’il demanda ce service à M. de Soyecourt lui-même ; ce dernie
e ans, cédé à une jeune actrice ; lorsque celle-ci parut, le parterre demanda si hautement la demoiselle de Brie, qu’elle fut o
ême luxe dans la parure de Georgette, à qui Arnolphe a tort de ne pas demander pourquoi ses cheveux sont frisés en crochets, et
mon révérend père ? n’êtes-vous pas de mon avis, mon révérend père ? demandez au révérend père . À quoi le révérend père répond
ien enroués, redoublaient d’efforts pour séduire leur juge, lorsqu’il demanda qu’on le mît à terre devant le couvent des Bons-H
ouse, lui dit que son mari lui a permis de prendre sa place, elle lui demande un serment, il consent, s’il ne dit pas vrai, à ê
ar des lutins, l’embrasse ensuite, et dom Juan tombe mort après avoir demandé inutilement un prêtre et l’absolution. Lisez la
eux, aussi la scène se passe-t-elle en Sicile. Quels sont, va-t-on me demander , les traits dignes d’être distingués dans l’ouvra
e manquait pas de la parodier, et de lui répondre sur le même ton. Je demande aux vrais connaisseurs, si Grandval ne faisait pa
 ! d’accord, je ne le croyais pas, moi, en le voyant ; mais, forcé de demander à mes voisins si je ne me trompais pas, je ne fus
pirants. Deux courriers de la cour se présentent chez l’affligée, lui demandent si elle ne connaît pas un médecin assez habile po
troduit son maître, en qualité d’élève en médecine, chez Eularia ; il demandé si les matières de la malade sont dures ou liquid
ère lisait à sa servante, et non ses chefs-d’œuvre. Pourquoi pas ? je demande si la bonne Laforêt n’aurait pas senti tout le pi
teurs. Nos théâtres abondent en Marton, en Finette ; pourquoi faut-il demander où sont les véritables Dorine ? J’ai trouvé, dans
incrédulité ; pour lui dire, vous l’entendez, votre homme débute par demander des faveurs. Seconde note. Elmire, après avoir t
ur l’affiche, en très gros caractères, ainsi que ces mots : spectacle demandé , les billets gratis, les entrées de faveur ; géné
t sur les rampes ; aussi, n’a-t-on pas été surpris, quand Orgon lui a demandé  : Monsieur, mon cher beau-frère, avez-vous tout
, elles agacent ses nerfs. Mais Elmire était couverte de linon, et je demande si Tartuffe doit trouver du linon sous ses doigts
isant ce vers : Je tâte votre habit, l’étoffe en est moelleuse ? Je demande si un fichu de dentelle n’est pas nécessaire pour
é dans une pièce nouvelle ; mais il eut ensuite la noble hardiesse de demander sa retraite au roi, et se réfugia auprès de sa pr
costume des personnages qu’ils représentent. Ne pourrait-on pas leur demander pourquoi ils ne traitent pas avec les mêmes égard
ncle de Lyconide, ne sachant rien de l’aventure arrivée à Phédrie, la demande en mariage ; l’Avare a de la peine à comprendre q
agon fouille le valet de son fils ; il examine ses deux mains, et lui demande ensuite à voir les autres. Euclion trouve un escl
de son trésor, le fouille, l’oblige à montrer ses deux mains, et lui demande à voir la troisième. J’estime moins la troisième
ent imitée de Plaute ; peut-être Harpagon eût-il mieux fait de ne pas demander , comme Euclion, aux spectateurs, si son voleur n’
exposition, pourquoi applaudissez-vous ? Le parterre me répond, belle demande  ! Parce que je me suis accoutumé peu à peu à me p
e que vient de quitter son crédule époux, l’accable de reproches, lui demande d’où il sort à une heure aussi indue, l’appelle i
ntendre Angélique dire que, « pour punir son mari de ne lui avoir pas demandé son aveu avant de l’épouser, elle veut borner sa
rmes, les mousquetaires, les gardes-du-corps, piqués qu’on eût osé la demander , forcèrent les portes, tuèrent un portier, peut-ê
édecine dont il avait besoin ? « Que vous fait votre médecin ? » lui demandait un jour le roi : « Sire, répondit Molière, nous r
art ; Un esprit partagé, rarement s’y consomme, Et les emplois de feu demandent tout un homme. Ces vers ne devraient-ils pas êtr
en que ma propre gloire. » Selon moi, Molière eût pu se permettre de demander , mes farces sont-elles bien exposées ? L’intrigue
e. Un médecin à qui l’on a livré Ménechme Sosiclès comme fou, lui demande gravement si ses entrailles font quelquefois du b
es amenés naturellement par des situations adroitement combinées ; et demandons à Voltaire, si nombre de pièces du plus haut genr
le cœur de Molière lui était connu, il imagina d’aller à Auteuil lui demander des secours, et le jeune Baron fut chargé de parl
alcon, et qui payait généreusement son entrée en applaudissements, me demanda , avez-vous vu un tel dans le rôle de Cléonte ? — 
lle qu’il aime. Venez voir un tel, vous serez enchanté. Hélas ! je ne demanderais pas mieux. Loin de moi l’idée de reprocher à un v
otre compte à nous étourdir sur notre âge, comme lui sur le sien ; je demande à tous les messieurs un tel, à toutes les dames u
Il n’a qu’une scène intéressante. Oui ; mais si intéressante qu’elle demande un acteur de feu, puisque Molière s’y peint lui-m
de l’épouse d’Antiphon, à condition qu’on lui donnera une somme qu’il demande , d’abord exorbitante, mais qu’il diminue peu à pe
es passions, et celui de donner à ses vers la cadence harmonieuse que demande plus particulièrement la poésie lyrique. Corne
t, il ne leur avait pas dit, à chaque page, à chaque vers, je ne vous demande que d’ouvrir la bouche et de laisser échapper ce
ller aux informations et me procurer les éclaircissements que vous me demandez . Je suis trop flatté de la mission et de son obje
e monsieur le receveur ne sera plus pour elle monsieur le donneur. Je demande aux connaisseurs si les financiers, mis au théâtr
ge, qui ne soit indiqué par le receveur des tailles de Molière ? « Je demande encore si les comédiens qui retranchent de la com
, le Marquis et le Commandeur, et de sa belle chambre à alcôve ? « Je demande enfin comment Champfort, auteur de quelques coméd
re, une belle-mère ; mais elle est douce, honnête, raisonnable, et je demande si Molière, en donnant un caractère tout opposé à
entôt un amateur, séduit par la modestie de l’affiche, se présente et demande à remplir les rôles de jeunes premiers ; en le me
dant parler, nous ne pouvons lui déguiser notre surprise, et nous lui demandons si les jeunes premières pourront se passionner po
cravate jusqu’au nez, des cheveux ébouriffés sur les yeux… — On vous demandera , beau masque, où est le bal ? — Beau masque, tant
ôt que le jouer : faut-il suivre son exemple ? Le professeur. Que me demandez -vous là ? quoi ! vous ne voyez pas que si l’on n’
rôle dans l’esprit de son auteur. Lorsqu’un débutant, une débutante, demandaient des conseils à mademoiselle Duménil, très volonti
Eh ! cinquante pauvres ouvriers, de quoi vivront-ils ? Tout ce que je demande à mes camarades, c’est d’être prêts à quatre heur
fautes et mourir en bon chrétien, à l’effet de quoi avec instance il demanda un prêtre pour recevoir les sacrements, et envoya
nsidéré, monseigneur, et attendu ce que dessus, et que ledit défunt a demandé auparavant que de mourir, un prêtre pour être con
’ils seraient à jamais inséparables. Nous avons vu le bon La Fontaine demander que ses reliques fussent déposées dans le tombeau
e retrancher après les premières représentations, la voici : dom Juan demande à un pauvre à quoi il passe sa vie. — À prier Die
50 (1875) Premiers lundis. Tome III « Sur une pétition de directeurs de théâtres contre les auteurs, compositeurs et éditeurs de musique »
s, dont la plainte est déjà ancienne, excipent de leur privilège pour demander au Gouvernement une protection directe. Or, depui
ment n’eût pu intervenir comme le désiraient les directeurs, lesquels demandaient une enquête ayant pour but : 1º La révision de la
uscrire, et une fois qu’il l’a fait, il en subit les conséquences. La demande d’un tarif à fixer par l’État est contraire aux i
plus à disparaître. Il semblerait plus raisonnable d’admettre ce que demandent en troisième lieu les pétitionnaires, qu’un tribu
51 (1902) Les poètes et leur poète. L’Ermitage pp. 81-146
ents, on a “toute la poésie” du siècle dernier ? Je voudrais que l’on demandât à deux cents poètes d’aujourd’hui : Quel est votr
écédentes consultations (élection d’un prince des poètes, etc.), nous demandons que l’on n’indique ici aucun poète vivant. ………………
hot. — Votre question est fort aimable et fort indiscrète. Vous me demandez  : « quel est mon poète ? » Mais, c’est tous les p
i, je crois ne pas errer en spécifiant les qualités maîtresses que je demande à mes poètes favoris : la clarté dans la grâce, e
or Hugo « le poète souverain » du siècle xixe  : mais puisque vous me demandez quel est mon poète… À tel rhétoricien qui fait l’
mon poète… À tel rhétoricien qui fait l’école buissonnière au Louvre, demandez  : « Quelle est la femme ? » Il vous répondra : « 
onte de Lisle. Prenez celui-ci. Francis de Croisset. — Vous me demandez « quel est mon poète ? » Poète moi-même, j’aime l
loppé ?…) Oh ! je ne m’illusionne pas ; il reste évident que, si vous demandez à celui-ci : Quel est son poète, il ne me rendra
ue Verlainienne  ». Mon poète ? LUI Georges Docquois. Vous demandez à chacun De nous quel est son poète ! Quoi ? Dois
sont tous chers et sacrés pour des raisons diverses. Si vous m’aviez demandé quel est selon moi le plus « grand » d’entre eux,
 » d’entre eux, je vous eusse répondu sans hésiter Hugo. Mais vous me demandez quel est parmi eux, non celui que j’admire le plu
et peut-être de tous les temps. A. Ferdinand Hérold. — Vous me demandez mon poète ? Je vous réponds sans hésiter : Victor
red de Vigny. Anatole Le Braz. — « Quel est votre Poète ? » me demandez -vous. Laissez-moi vous dire que je plaindrais de
ète dont il les rafraîchit. Georges Le Cardonnel. — Si vous me demandiez quels sont mes poètes, je serais moins embarrassé
et de l’harmonie. Victor Hugo se trouve parmi eux. Mais puisque vous demandez qu’on restreigne son choix au xixe  siècle, je vo
le bonheur de goûter à tout le lyrisme. Il eût fallu simplement nous demander  : quelle put être, dans le siècle dernier la plus
p. — Encore moins en est-il la pensée entière, et l’on ne saurait lui demander les mêmes plaisirs qu’à Ernest Renan où à M. Lach
des visions éclatantes et des merveilleuses sonorités. Irez-vous lui demander ce qu’il pense du temps et de l’espace, ou de l’a
qu’il a fait chanter bien plus que sa pensée et que son cœur. Vous me demandez quel est mon poète. Comment vous répondre ? On n’
ropos des lignes de M. Remy de Gourmont dans le Mercure de France, me demander de vous désigner pour le xixe  siècle « mon poète
tout autre renfermerait une dose quasi équivalente d’erreur. Vous me demandez quel est mon poète. Sans hésiter je réponds que c
saluer Vigny ? Robert de la Villehervé. — Vous me voulez bien demander quel poète je préfère parmi les poètes du xixe  s
52 (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « De l’état de la France sous Louis XV (1757-1758). » pp. 23-43
tat de la France sous Louis XV (1757-1758). Lundi 4 avril 1853. Je demande ici à faire un court chapitre épisodique, à remet
ince de Soubise ont amené les désastres de la fin de la campagne ; on demande au maréchal de Belle-Isle et à Duverney pour la c
suis, je meurs sur la roue, et mon martyre est inutile à l’État. » Il demande un gouvernement à tout prix, du nerf, de la suite
sse à Rossbach et à Lissa, c’est de faire la paix. Mais quelle paix ? demandera-t -on. Quoi ! France et Autriche, traiter le lendema
hes fin de mars : « Il est fond blanc et les fleurs bleues ; on me le demandait fond bleu avec les fleurs blanches, mais on l’aim
y avait eu rien à faire en Hanovre (janvier 1758) ; tous les généraux demandaient à revenir de même : « Ce sont les Petites-Maisons
 : « Il faudrait changer nos mœurs, s’écrie-t-il, et cet ouvrage, qui demande des siècles dans un autre pays, serait fait en un
our l’amadouer (quel style, trop d’accord avec la situation !) et lui demander , comme pour l’amour de Dieu, l’argent du roi. Il
uxquels peut donner lieu l’irritation populaire : Le salut de l’État demande que vous soyez ici pour gouverner notre amie, pou
faut qu’il me soulage. Je n’ai point fait le mémoire que vous m’aviez demandé sur M. de Stainville (c’est le mémoire au roi qu’
53 (1890) L’avenir de la science « XX »
s de l’esprit, comme dans tous les autres, on ne reproduit que sur la demande expresse ou supposée, et par la force des choses
t par la force des choses il arrive que c’est la richesse qui fait la demande . Celui donc qui songe à vivre de la production in
e de la production intellectuelle doit songer avant tout à deviner la demande du riche pour s’y conformer. Or, que demande le r
avant tout à deviner la demande du riche pour s’y conformer. Or, que demande le riche en fait de productions intellectuelles ?
sonnages de plus de valeur que le savant ou le philosophe, dont il ne demande pas les œuvres. Voilà pourquoi un fabricant de ro
54 (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Santeul ou de la poésie latine sous Louis XIV, par M. Montalant-Bougleux, 1 vol. in-12. Paris, 1855. — II » pp. 39-56
suis fâché de vous parler de la sorte, mais vous m’y forcez. Je vous demande donc, mon très cher père, si l’on conserve dans S
térieure et extérieure, telle qu’elle était dans son origine… Je vous demande encore si les frères de Saint-Victor, c’est ainsi
es religieuses de Port-Royal des Champs, fut rapporté parmi elles. On demanda une épitaphe à Santeul, on l’invita à venir à Por
aequi » n’était qu’un pléonasme poétique dont il ne fallait pas trop demander compte. Cependant, sur ce premier trouble du pauv
transes mortelles, écrivant à tous les jésuites de ses amis pour leur demander quartier ; il croyait voir partout le Santolius v
ut ce qui mordit le plus au sang la langue du malheureux Santeul ; il demanda quartier par une élégie où il en appelle à la cha
e M. le duc, à qui j’ai eu l’honneur de parler plus d’une fois. Il me demanda des nouvelles de Santeul, et me témoigna qu’il ét
ntage, mais les médecins lui ayant imposé silence, il se tut. Je leur demandai quel était son mal. Il me parut qu’ils étaient pe
a mort ; messieurs de Saint-Victor devraient être contents et ne rien demander davantage. Après tout, le pauvre homme aurait fin
55 (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Portalis. Discours et rapports sur le Code civil, — sur le Concordat de 1801, — publiés par son petit-fils — I. » pp. 441-459
qu’il le bénit de ses dons, mais qu’il ne le prie pas : Car « que lui demanderais -je ? Je ne lui demande pas le pouvoir de bien fai
mais qu’il ne le prie pas : Car « que lui demanderais-je ? Je ne lui demande pas le pouvoir de bien faire : pourquoi lui deman
is-je ? Je ne lui demande pas le pouvoir de bien faire : pourquoi lui demander ce qu’il m’a donné ? » À quoi le jeune Portalis r
usseau ignore-t-il que ce n’est pas le pouvoir de bien faire que nous demandons à Dieu, mais l’heureuse facilité de faire le bien
ultation sur la validité des mariages des protestants, rédigée sur la demande du duc de Choiseul. Le futur ministre des Cultes
tat ne peut réparer tous les maux inévitables d’une révolution. On ne demande pas qu’il les répare ; on demande seulement qu’il
inévitables d’une révolution. On ne demande pas qu’il les répare ; on demande seulement qu’il n’en profite pas. Il insiste sur
on peut à chaque instant faire de nouvelles émissions d’émigrés. » Il demandait pour la Constitution de la patience et du temps :
Il est plus aisé de rendre des décrets que de former des hommes. » Il demande donc du temps et du soin pour corriger et ramener
56 (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Salammbô par M. Gustave Flaubert. » pp. 31-51
t excités, il semblait que tout le monde fût d’accord et unanime pour demander à M. Flaubert d’en recommencer aussitôt un autre,
la question du réalisme revenait perpétuellement sur le tapis ; on se demandait entre critiques si la vérité était tout, s’il ne
bat leur exemple sensible à tous, un succès décisif et triomphant. On demandait à M. Flaubert une telle œuvre : le siècle a, depu
le, celle de la curiosité à la fois et de la bienveillance ? On se le demandait , et bientôt on sut qu’en artiste ironique et fier
u lieu de garder à Carthage même, comme d’ailleurs les Mercenaires le demandaient , leurs femmes, leurs enfants et leur butin, ce qu
ue jour de nouveaux parlementaires et cédait en détail à toutes leurs demandes  : pour régler le gros de l’affaire, on convint de
eunes patriciens. Les soldats aussitôt, se croyant méprisés, envoient demander ces coupes d’honneur qui sont conservées dans un
r pas voulu faire un poème, mais plutôt un tableau vrai, réel. Or, je demande déjà (et chacun en est juge) si introduire et rép
57 (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Année 1894 » pp. 185-293
Mercredi 31 janvier Aujourd’hui, la comtesse de Biron vient me demander mes conseils, pour l’Exposition de Marie-Antoinet
montrant la charmante femme, du lever au coucher, croquis qu’il avait demandés un jour, pour les exposer, et qui lui avaient été
n fait. Dimanche 4 mars Au Grenier, arrive Rodenbach, auquel on demande , où il en est de sa pièce, et qui dit que Clareti
vénements, des succès, de l’accélération de tout au monde, et l’on se demandait , si ce n’étaient pas les caractères des fins de s
, Audiger (c’est le nom de notre maître d’hôtel), refusait et faisait demander au Roi le privilège de faire, de vendre et de déb
n trop fort coup d’aile rapproche par hasard de vous. Et comme je lui demande , si sa femme est vraiment aussi jolie qu’on le di
onsieur, que je reconnais pour un voisin de table d’hôte, et qui à ma demande , me jette : « Hôtel du Conservatoire. » Mais il s
à entrer dans un café, où l’on est en train d’éteindre le gaz, et je demande le chemin de l’Hôtel du Conservatoire. À ce nom,
ue le maître de l’hôtel a été sifflé au Cirque, il y a huit jours. Je demande alors que quelqu’un veuille bien, en le payant, m
s intimes, qui se trouve là, par un hasard inexplicable, et auquel je demande à me reconduire… Et ne voilà-t-il pas que, sans m
ut contre cet extrait de journal, qui est la réponse d’une femme à la demande du Journal, questionnant ses abonnés sur l’amour.
Sedelmeyer, des tableaux de Turner qui me charment, je l’avoue, je me demandais cependant, si ce faire de la peinture n’allait pa
vité des capitales. Dimanche 19 août Une bonne d’une voisine a demandé , ces jours-ci, à sa maîtresse, d’aller chez son m
andé, ces jours-ci, à sa maîtresse, d’aller chez son médecin. Mais la demande a été faite d’un air si extraordinaire, que la ma
tresse recevait une lettre d’un maire des environs de Mantes, qui lui demandait d’envoyer des parents, pour reconnaître la pauvre
chatte, dans les douleurs de l’enfantement, et qui avait l’air de me demander une sage-femme. Mercredi 29 août Le peuple
l’amphitryon : le speach de Mme Adam, qui ne fut pas dans le français demandé , et une malheureuse invitée, qui commit l’anachro
on rue Edmond de Goncourt mais rue des Goncourt, ainsi que je l’avais demandé . Puis il m’annonce gentiment, que mes amis veulen
sculpteur Charpentier. J’entends la voix de Zola en bas. Il vient me demander une lettre de recommandation pour de Béhaine. Il
dit qu’il veut avoir son conseil, et si, oui ou non, il doit faire sa demande d’audience au pape. Il ajoute que, comme ancien l
é député. Un vieux bonhomme, un jour, forçait sa porte, et venait lui demander sa protection pour son fils détenu au bagne, et q
is en train d’écrire une note, quand je suis abordé par Ibels, qui me demande , si je connais le mime Martinetti, et quand je lu
le Paris, de ce soir. Jamais tant d’œils tendres de femmes, ne m’ont demandé un dîner, jamais tant de voix mourantes d’hommes,
nt demandé un dîner, jamais tant de voix mourantes d’hommes, ne m’ont demandé un sou. — Oui, disais-je, ce soir chez Mme…, ces
lli, lui annonçant qu’ils voulaient me donner un banquet ; et lui ont demandé de se mettre à la tête du banquet, et il a accept
dîner. Hébert lui a fait les honneurs de la Chapelle Sixtine, et à la demande de Zola, de voir de sa peinture, lui a dit : « Ap
pris, mais voici qu’un jour, je vais trouver le Père Félix, et je lui demande de me confesser, et de me donner l’absolution. Il
indignés de cet amalgame du Père Félix avec Rigolboche, étaient venus demander mon adresse. » Et dans le bruit des conversation
qui portait des bas de soie ! — Quel était donc ton grand-père ? lui demandait enfin, un jour, Mistral. — Le capitaine Perrin, r
58 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « VII » pp. 25-29
s, la pièce jouée et applaudie, l’orage du parterre a recommencé ; on demandait avec cris je ne sais quoi, je ne sais qui. Madame
me Dorval a paru et est venue saluer ; mais ce n’était pas elle qu’on demandait . Bocage est venu, mais ce n’était pas lui. Toujou
M. Ponsard, à travers la scène, pour voir si ce n’était pas lui qu’on demandait , mais le parterre criait toujours tout en applaud
ut hasard ont alors paru en masse ; mais il s’est trouvé que ce qu’on demandait , était la seule madame Halley (Tullie,) laquelle
59 (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « MME DESBORDES-VALMORE. » pp. 124-157
ier ; son beau-père, homme de goût, fut surpris de ces essais, et lui demanda si elle en avait encore : elle avait fait, répond
éesse bienheureuse ! tu me souriais de ton sourire immortel, et tu me demandais ce que j’avais, ce que je souffrais, et l’objet d
unique, elle s’est senti plus d’une fois le cœur aveuvé ; elle s’est demandé , elle a demandé aux objets muets si c’était bien
est senti plus d’une fois le cœur aveuvé ; elle s’est demandé, elle a demandé aux objets muets si c’était bien la loi fatale et
s beaux jours me la rendront tout à fait rétablie, j’espère, et je ne demande rien plus ardemment à Dieu. Hélas ! mon bon Félix
jamais invoqué en vain en lui le compatriote et le pays ; qu’elle lui demandait chaque année des grâces pour étrennes ; qu’elle a
année des grâces pour étrennes ; qu’elle avait une manière de les lui demander en glissant un mot de patois flamand (acoutè’m un
C’est par son crédit que tu as obtenu ton humble place, après l’avoir demandée pour toi aux Invalides. Enfin je n’ai trouvé qu’e
et de plus gros. Il y a au fond de moi-même une prière incessante qui demande à Dieu du bonheur qui puisse s’envoyer à ceux que
royable misère et l’effroyable luxe absorbent tout… « Mon bon mari te demande de prier pour lui au nom des pontons d’Écosse. C’
entif. Aimes-tu rubans ? Ah ! ma bonne sœur, que je voudrais aller te demander tout cela moi-même et causer tout un jour avec to
utefois d’élever des questions sur la Providence, comme Job, et de se demander le pourquoi de tant de douleurs et d’afflictions
es protections sans nombre, chéris, estimés et admirés de tous, on se demande ce que c’est que notre civilisation si vantée ; o
e aussi pour nous tous ; je me suis jetée à sa miséricorde. Je lui ai demandé qu’elle te récompense de tout le bien que tu fais
60 (1892) Journal des Goncourt. Tome VI (1878-1884) « Année 1878 » pp. 4-51
la poitrine déchirée par des quintes de toux qui me font vomir, je me demande si je pourrai, ce soir, au sortir de mon lit, m’a
ent le bras, me disant : « Voyons, vous n’avez pas quelque chose à me demander … pour quelqu’un… Vous n’avez pas à me recommander
moi-même, combien il faut que le malheureux ministre soit habitué aux demandes , pour que l’idée lui vienne d’en provoquer une, c
r que l’idée lui vienne d’en provoquer une, chez quelqu’un qui ne lui demande rien. * * * — Quelqu’un, ce soir, disait que l’im
, dit-il, portait la conscience du rôle. Mardi 22 janvier On se demandait dans un coin de notre table de Brébant, comment o
’un barbare, qui ne fait l’amour que très naturellement. Comme on lui demande la sensation d’amour la plus vive, qu’il ait épro
er dans la poche de son habit la brochurette, Flaubert, un peu agacé, demanda à Feuillet : « Est-ce que vraiment vous trouvez d
ours débutent d’ordinaire par une paire de jarretières, que la malade demande à l’interne aimé, de lui acheter. * * * — Burty r
stère, c’est autour de moi un susurrement à voix basse de gens qui se demandent et se promettent des places pour les amis. Aujour
, d’une comtesse Tolstoï, d’une cousine de l’écrivain, qui avait fait demander le bonheur de voir l’auteur de Renée Mauperin. Mo
é, dont les Japonaises des albums se rougissent les paupières. On lui demande ce qui l’a frappé parmi les choses de l’Europe. I
au Japon. Or, ce dîner en principe était donné à Gambetta, qui devait demander le chêne au dessert, mais il n’a pu venir qu’aprè
e chêne au dessert, mais il n’a pu venir qu’après dîner. Toutefois la demande avait été faite par lui, et moyennant ce dîner, e
s une de ces séances que je fais de 6 à 7 heures, chez les Sichel, je demandais vaguement à Tien-Paô, s’il avait vendu son vase.
61 (1862) Cours familier de littérature. XIV « LXXXIIIe entretien. Considérations sur un chef-d’œuvre, ou Le danger du génie. Les Misérables, par Victor Hugo (1re partie) » pp. 305-364
uvenirs confus, s’écrie en revoyant la terre : Où donc ai-je régné ? demandait la jeune âme. De telles inspirations étaient évi
s qui transperce l’ignorance et la force brutale des masses : « — Que demandez -vous de nous ? » leur dis-je. « — Nous voulons, m
Ce ne fut plus une discussion, ce fut un pandémonium d’absurdités. Je demandai le silence. « — Écoutez-moi bien », leur dis-je a
r démontrer, dans une longue et cordiale improvisation, que ce qu’ils demandaient , c’était tout simplement la tyrannie la plus meur
l m’a été impossible d’y rien comprendre. Ce serait donc à moi à vous demander de me déchiffrer cette énigme, et de me révéler c
 ! Non, ce n’est pas l’organisation forcée du travail que vous pouvez demander . » « — Non ! non ! non ! » s’écrièrent-ils. « — E
uant forcément leur nombre. « — Y a-t-il près d’ici une telle rue ? » demandai -je à voix basse à Cellarius. « — Oui, me dit-il,
indrai le numéro 6, au fond de la voûte qu’habite Hugo, et j’irai lui demander asile contre cet assaut de l’enthousiasme. La por
tère des affaires étrangères, où je vous mène maintenant ; je ne vous demande pas de me le dire, mais, qui sait ? vous êtes peu
reste d’armure,         « Et s’endort, vainqueur ou vaincu ! » Je ne demandais plus à la muse que j’aime Qu’un seul chant pour m
ayons, d’auréoles,         « Dieu vous montrera vos idoles, « Et vous demandera  : “Qui donc est le Seigneur ? ” « La trompette,
meurtriers, vertueux suicides autour d’une table de cabaret ! Si l’on demandait à l’innocent Marius lui-même : « Pourquoi êtes-vo
de la contrée. Le garde des forêts la voit et il en est épris ; il la demande en mariage. On la lui refuse ; il fait susciter,
62 (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Madame Desbordes-Valmore. »
geait quand il venait chez elle qu’on l’appelât M. Grimaldi , qui me demandait sérieusement un jour : « Ne trouvez-vous pas, mon
je n’ai pu faire mes études ni mes délices ? Les détails que vous me demandez sur une vie si mobile et si cachée se réduisent à
ce désespoir qui monte jusque sous les toits, qui heurte partout, qui demande au nom de Dieu et qui fait rougir d’oser manger,
eu ! bénissez-les tous : ils étaient tous sans armes. Il ne faut pas demander à Mme Valmore, je l’ai dit déjà, une suite bien l
e la ville, à Rouen. En adressant ses Essais à M. de Latour, avec une demande de souscription, Mme Valmore débutait par cet apo
t du duc d’Orléans ; et encore, auparavant, un autre cri impétueux de demande en grâce au lendemain de la condamnation à mort q
du roi et de la reine, ne laissez pas faire une telle chose. Parlez, demandez grâce. — Vous ne savez pas ce que ce sang-là coût
(du Nord), quand elle lui faisait coup sur coup deux ou trois de ces demandes à la fois. On peut dire qu’elle avait reçu de la
royable misère et l’effroyable luxe absorbent tout… « Mon bon mari te demande de prier pour lui au nom des pontons d’Écosse. C’
oide, la connaissance et la prévoyance des faits généraux, ne les lui demandez pas. Elle était de tout temps pour les souffrants
: Va-t-on déjeuner ? On se promène à âne, et on rentre bien vite pour demander  : Va-t-on dîner ? Il y a des fleurs, des herbes,
lettrée » à la veille de mourir. Comme on sent que cette jeune âme ne demandait pas mieux que de reprendre au soleil et à la vie 
63 (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1870 » pp. 321-367
le jeune homme de quinze, de vingt-deux, de vingt-neuf ans… » On lui demande si Troppmann a été exécuté : « Oui, il doit l’êtr
des académies biscornues, mal enveloppées dans les peignoirs, et les demandes du médecin : « Comment avez-vous dormi ? » et les
* Presque jamais on n’a de réponse à la question qu’on lui fait. Lui demande-t -on : pourquoi il est si triste ? Il vous répond :
t jamais obtenir de lui une réponse, l’engagement qu’il fera la chose demandée , au nom de cette raison. Il s’enferme dans un sil
racasser les objets à sa portée, à les mettre en tapon. * * * À toute demande , sa réponse de premier mouvement est un « non »,
bant d’Italie, inopinément, Edouard Lefebvre de Béhaine est venu nous demander à déjeuner. À la vue de ce compagnon de son enfan
rer des sons qui n’étaient plus des paroles. Fou d’inquiétude, je lui demandai s’il ne me reconnaissait pas. À cela, il me répon
appé à tout jamais : « Il vaut mieux qu’il meure !… » Aujourd’hui, je demande de le conserver, de le garder, aussi inintelligen
inintelligent, aussi impotent qu’il peut sortir de cette crise, je le demande à genoux. * * * Dire que cette liaison intime et
la terre. * * * De quelle expiation sommes-nous donc victimes ? Je le demande , quand je remonte cette existence qui n’a plus qu
datée du jour de sa mort, et dans laquelle un éditeur de là-bas nous demande à faire une traduction de l’Histoire de Marie-Ant
ans le jardin, il y a un vieillard que je ne connais pas. Je lui fais demander son nom. Il me fait répondre qu’il est Ravaut. Ra
64 (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxiiie entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff »
l’auteur de revoir attentivement mon travail, et il s’est prêté à ma demande avec beaucoup d’obligeance ; il a même consenti à
ucoup du sort de ses serfs, et ne les punit que pour leur bien. « Ils demandent à être traités comme des enfants », — dit-il à ce
embrunit presque aussitôt. — Pourquoi le vin n’est-il pas réchauffé ? demanda-t -il d’un ton assez brusque à l’un des valets de ch
portait un armiak 9 neuf, sans ceinture. — Où est donc Safrone ? lui demanda Arcadi Pavlitch. L’énorme starosta commença par s
’attachement. — Eh bien ! père Safrone, comment vont les affaires ? —  demanda-t -il ensuite au bourgmestre d’un ton presque caress
t rien. Viennent les enfants, et ceci et cela ; — comment, je vous le demande , une femme de chambre mariée pourrait-elle rempli
Pétersbourg ; elle me plaît. — Prenons-la, — lui répondis-je ; je ne demande pas mieux. — Le starosta tombe, bien entendu, à n
c’était le nom de cette fille) dans mon cabinet, sans m’en avoir fait demander la permission. Arrivée devant moi, elle se jette
mais manquer à sa propre dignité ; convenez-en ! — Que me veux-tu ? —  demandai -je à Arina. — Mon père Alexandre Silitche, je vie
ccorder une grâce. — Laquelle ? — Permettez-moi de me marier. — Cette demande me surprit étrangement, je l’avoue. — Mais tu sai
int. Vous avez beau dire, — le cœur, les sentiments… non ! ne leur en demandez pas ! Nourrissez un loup aussi bien que vous voud
ant d’intérêt. — Y a-t-il longtemps que tu as épousé le meunier ? lui demandai -je. — Deux ans. — Mais comment cela ? Ton maître
e-ci se leva et nous laissa seuls. — Son mari est-il un brave homme ? demandai -je à Jermolaï. — Il n’y a rien a en dire. — Ont-i
ldat. Nous restâmes un moment sans parler. — Elle paraît souffrante ? demandai -je à mon compagnon. — Ah ! je le crois bien ! Mai
oi, près du drochki, comme si elle sortait de terre. — Qui es tu ? me demanda une voix retentissante. — Et toi-même, qui es-tu 
ouché dans le berceau respirait péniblement. — Tu es donc seule ici ? demandai -je à la petite fille. — Oui, je suis seule, me ré
nt moi, les deux mains posées sur les hanches. Je le remerciai et lui demandai son nom. — Je m’appelle Foma, me répondit-il, et
t à façonner une loutchina. — Est-ce que tu n’as pas de femme ? — lui demandai -je. — Non, — me répondit-il en frappant un grand
nues pendaient le long de l’escabeau. — Comment t’appelles-tu ? — lui demandai -je. — Oulita, — me dit-elle, en baissant encore p
sil et se mit à examiner la batterie. — Pourquoi le prends-tu ? — lui demandai -je. — On fait des sottises dans le bois… On coupe
ivait parfois de prendre à part un de ses anciens camarades et de lui demander ce que pensaient les grands esprits du siècle ; i
— Arrive ici, diable, loup-garou… ou… — Pourquoi… oi… oi… oi… ? — lui demanda-t -on après un moment de silence. — Parce que le pèr
est immobile et comme embrasé. — Frère, où peut-on se désaltérer ? —  demandez -vous à un faucheur. — Là-bas dans le ravin, il y
65 (1889) La bataille littéraire. Première série (1875-1878) pp. -312
réfléchi et après des recherches faites aux archives, Henri Mauperin demande à être autorisé à ajouter le nom de Villacourt au
ù il était. Quelquefois, comme s’il répondait à quelqu’un qui lui eût demandé des nouvelles de sa fille, il disait tout haut :
s cheveux pour accroître le parfum de ses feuilles ? Quelle fleur lui demandait le don de sa peau de satin, la blancheur pure de
ivoire, un prestige, une dignité nouvelle. — Comment ça se fait-il ?… demanda-t -il timidement, en résumant dans cette question to
er. C’est alors que sa mère, chassée, ruinée par son amant, vient lui demander de la faire vivre. Ici les sentiments s’élèvent,
naïveté. Jack est au dortoir. — Qu’est-ce que c’est qu’une cocotte ? demande à l’enfant un de ses camarades. — On a dit, conti
s aujourd’hui, sur ce lieu même ! — Comment ? qu’est-ce qu’elle dit ? demanda-t -on dans la foule. — Elle demande que nous mettion
 Comment ? qu’est-ce qu’elle dit ? demanda-t-on dans la foule. — Elle demande que nous mettions Cyrille en jugement. — Cyrille
nnaire. — Dieu a parlé par la bouche de cet enfant, dit Théodosie. Je demande que la commune juge. — Moi aussi ! ajouta Akenty
s, jurez de devenir d’honnêtes gens, travaillez. — Travailler, nous ? demandèrent les voleurs étonnés. . — Travailler ? pardon… dit
ers les marais. — Qu’y a-t-il de répugnant à voler, s’il vous plaît ? demanda Kostka, un gaillard aux membres d’airain, à physi
ous sauver ? dit tout à coup Cyrille d’un ton railleur. Si je vous le demande , c’est qu’il est trop tard. Les voici qui viennen
uger. ……………………………………………………………………………………… — N’as-tu pas volé ma vache ? demanda Hryn Jaremus. — Autrement, qui diable l’aurait vo
versé son sang, et le sang appelle le sang. — L’as-tu tué, Cyrille ? demanda Jaremus en écartant la foule. — Nie, si tu le peu
rage ; tuez-les sur l’heure, autrement on n’en finira jamais. Le sang demande du sang. — Tuez-les ! répéta Hryciou dans une sor
sur le cadavre de Stawrowski tout inondée de sang. — Est-elle morte ? demanda le vieux. Une des femmes, qui essayait en vain de
ger un député de veiller à l’honneur et à la fortune de son pays, lui demander d’abord comment il a géré l’honneur et la fortune
veté de nommer M. n’importe qui ont parfois assez de logique pour lui demander compte de ses déviations de ligne politique. C’es
ut toute surprise de voir Coupeau presque gaillard. — Et la fluxion ? demanda-t -elle. — Emballée ! répondit-il. Ils m’ont retiré
a le bras et parut écraser une bête contre le mur. — Qu’est-ce donc ? demanda Gervaise effrayée. — Les rats, les rats, murmura-
il ne reste plus rien du timbre mordant et ironique d’un vieux juge, demande à la condamnée ce qu’elle peut avoir à dire sur l
au couvent, au grand chagrin de Félicité, qui, pour se « dissiper », demande la permission de recevoir son neveu Victor. Il a
Paris, et le souvenir de Virginie ; on parle toujours d’elle : on se demande si telle chose lui aurait plu, en telle occasion
re se tenait devant lui en silence ; enfin il toussa. — Que veux-tu ? demanda Élie. — Mais c’est, vous qui m’avez appelé ? — Je
tre de travers ; puis il se dirigea vers la porte. — Où vas-tu donc ? demanda brusquement Élie. — Vous ne dites rien ; voulez-v
crut pas utile de lui prouver le contraire. — L’as-tu trouvée enfin ? demanda-t -il. — En voici ! des lettres… — Ce n’est pas cela
st sous vous, en voici un bout. Vous êtes couché dessus et vous me le demandez  ! Et sans attendre de réponse, il se dirigea vers
ut mourir ! — Mais alors, pourquoi est-ce si propre chez les autres ? demanda Oblomoff. Regarde donc chez l’accordeur d’en face
mprendre par périphrases. — Eh bien ! Messieurs, que dit la Faculté ? demanda le malade. Il y eut quelques encouragements mente
J’ai un sursaut de force en ce moment… Laissez-moi en profiter. Louis demanda s’il fallait avertir la duchesse. Le duc écouta ;
s’effondrer. Il n’y a de feu nulle part… Que faire de tout cela ? se demandaient -ils très embarrassés. On eût dit deux voleurs tra
ant par-dessus ses lunettes, ne lui dit rien, et Jansoulet n’osa rien demander . Des piles de journaux gisant sur la table avec l
lle et bonne fille, ils s’aimaient entre le peu et le trop, sans rien demander à la minute qui précédait celle où ils se voyaien
armes pour une aussi grande douleur. Elle appela un domestique et lui demanda ce qui se passait. Le domestique raconta que, dep
epuis le commencement de la maladie de monsieur, une dame était venue demander tous les jours comment il allait, et qu’en appren
elle reste là cinq minutes, accroche sa couronne et s’en va. Elle m’a demandé si j’avais une clé du monument, elle aurait voulu
t s’occupa de leurs mères. Quand la comtesse fut revenue à elle, elle demanda à embrasser son fils. Le docteur s’aperçut alors
ge confusion qu’il avait faite ; il se troubla, comme ahuri, de cette demande , et avoua la situation. X… réfléchit un instant.
sans rougir. Il rayonnait, me chauffait la joue. Je ne m’étais jamais demandé si la jeune fille au bouquet bleu était jolie ou
mains ; je coupe au hasard ces pages charmantes d’un récit militaire demandé au général d’Eblis. Il hésita, soupira, puis s’i
retrouverait son pareil que sur le dos des balayeurs de Londres, qui demandent fièrement l’aumône en habit de bal et en chapeau
is d’animaux qu’entendit l’arche de Noé. Le malheureux insistait : il demandait , tantôt avec un air de dignité blessée, tantôt d’
pprit qu’ils revenaient de Java. Cette explication me suffit, je n’en demandai pas davantage, et dès lors je m’accoutumai chaque
n homme ! Est-ce que j’ai le temps de t’écouter ? Je n’ai jamais rien demandé à personne, moi ; je me suis toujours passé de to
ge, dans laquelle j’enfonçais jusqu’à mi-corps. De temps en temps, je demandais à Vitalis comment se trouvait Joli-Cœur, et il me
ns la cuisine, et le chapeau sur la tête, le cou tendu en arrière, il demanda à l’aubergiste une bonne chambre avec du feu. Tou
petit Joli-Cœur comme s’il voulait le faire rôtir. — As-tu chaud ? me demanda Vitalis après quelques instants. — J’étouffe. — C
ême temps, il sortait un de ses bras du lit et nous le tendait. Je me demandais ce que signifiait ce geste qu’il répétait à chaqu
es poses qu’il prenait pour nous décider ; mais lui accorder ce qu’il demandait c’eût été le condamner à une mort certaine. L’heu
li, désespérée, car son père ne veut plus consentir à son mariage, va demander à Bagrianof la grâce de Savéli. Celui-ci, comme l
le roman français tend à se modifier, et c’est à l’étranger qu’il va demander ses éléments de rénovation. XIII. Paul de Muss
? …………………………………………………………………………………………… Quoique dur au mal, Fressermann demanda grâce après la sixième dent extraite et remplacée
-de-bois émigrèrent pour le Grand-Vainqueur. Quand mon maître leur en demanda en pleurant la raison, ils lui répondirent que so
assé, haut de douze pieds. Or, comme le costumier, homme intraitable, demandait quarante sous pour déshabiller et rhabiller le ma
faim, je fais celui-là. — Milord, s’écria vivement Roger-Bontemps, je demande à présenter une observation. La profession de mon
de prétexte ; elle agit de telle façon que c’est Jeanne elle-même qui demande à Mme de Talyas de faire certaines emplettes à Pa
e Royer-Collard, on rencontra un colonel d’état-major qui s’arrêta et demanda  : « Quel est cet homme ? » Rigault répondit : « C
ns à voir des houris de Mahomet ! On suppose que Sa Majesté est venue demander de l’argent et des soldats ; mais je crois qu’on
ce tapage a succédé un assez long silence, et je crois que chacun se demandait quel serait l’effet produit par l’annonce de sa p
ethelme qui a été tué. — Avez-vous le consentement de votre famille ? demanda le vieillard. — Mon père et ma mère, répondit le
connue, plus l’exemple sera salutaire. Je viens, en conséquence, vous demander la faveur de prendre la place d’un pauvre père de
iage, Anckarstroëm avait dû, d’après les règlements de l’armée, faire demander au roi, par l’intermédiaire de ses chefs, l’autor
ec le comte d’Essen, son écuyer, Gustave lui montra le billet, et lui demanda ce qu’il en pensait. Le comte qui savait mieux qu
des exécutions. — Là, monté sur l’estrade, en face du billot, on lui demanda encore s’il avait quelque chose à déclarer : — « 
rendit et suivit la pièce avec beaucoup d’attention. — Eh bien ? lui demanda Scribe, que dites-vous de cela ? — C’est très bie
e cela, d’autant que je puis m’en souvenir. — Qu’y avait-il de plus ? demanda Scribe anxieux. — Il me semble que nous avons ass
er fut commandé. Sa femme vint trouver le commandant Bonaparte et lui demanda , les larmes aux yeux, de dispenser son mari de se
acles et les misères de la vie. Avant d’avoir lu ce livre, on peut se demander où Balzac puisait tant de forces pour combattre,
venue ; on se met à table. Donc vous prenez place. Le garçon ne vous demande pas ce que vous voulez. Il commence par vous appo
e nous oblige à sortir, nous reviendrons ce soir ; mais si l’on vient demander des personnes pour l’interrogatoire, ne vous prés
était interrogé. À une heure, Sophie vint, avec une de ses amies, me demander . Elle prononça à haute voix mon véritable nom. Ce
e. Je m’approchai d’une fenêtre et je lui dis : « Le citoyen que vous demandez n’est pas ici ; allez ce soir à la maison d’arrêt
nts nouveaux s’élevèrent en nous. Nous fûmes prêts à nous trahir et à demander de les suivre. Notre cœur, combattu par je pesais
, il s’imaginait que la présence de ses juges prolongerait sa vie. Il demandait pour quelques instants la liberté de ses bras et
is. » Il avoua bien des choses cependant, et fort sérieuses. Il avait demandé des fusils à Godefroy Cavaignac dans un but qu’il
t il prouva de résolution, lorsqu’il fut face à face avec la mort. Il demanda une aile de poulet, la mangea avec appétit, but u
66 (1875) Premiers lundis. Tome III «  À propos, des. Bibliothèques populaires  »
te enceinte, l’athéisme trouve un défenseur. « M. Le Verrier. Nous ne demandons pas qu’on attaque ces opinions, mais pour les res
dent. « De toutes parts. Très bien ! très bien ! « M. de Mentque. Je demande formellement que l’orateur revienne à la question
lèvent et semblent se disposer à prendre la parole.) « M. Suin. Nous demandons qu’on revienne à la question. « Voix diverses. Ou
ample radiation par l’éclat et l’étendue de son talent. Mais je vous demanderais , messieurs, si nous étions ici une Académie en mê
la Quintinie est la réfutation ? Si vous étiez une Académie, je vous demanderais encore si, entre tant d’œuvres qui vous effrayent
e, l’autre une autre ; qui n’attaquent pas tout indistinctement ; qui demandent souvent des choses justes au fond et légitimes, e
éputé, de régler l’affaire indiquée par M. Lacaze dans sa lettre : il demandait à M. Sainte-Beuve de loi faire savoir quels étaie
t une autre de M. Lacaze m’apportant une provocation en duel. Vous me demandez de désigner deux amis pour régler de concert avec
) — Aujourd’hui qu’on n’est plus sous un régime de répression, on ne demande pas qu’il soit interdit d’accuser, mais on demand
répression, on ne demande pas qu’il soit interdit d’accuser, mais on demande qu’il soit permis de répondre. 48. Ici finit le
délibéré, comme il l’a fait, acculé un honnête homme à l’extrémité de demander une réparation par les armes, on ne doit pas la r
67 (1921) Enquête sur la critique (Les Marges)
ps et des Débats offrent une place suffisante. Dans ces conditions je demanderais instamment à ce que les journaux reprissent la fo
r procure. D’autres enfin, qui seraient consciencieux, sincères et ne demanderaient qu’à prendre leur travail au sérieux, sont gênés
feuilleton de la longueur de ceux que donnait Sainte-Beuve, et on lui demanderait en outre d’être moins pesant, plus « récréatif »,
ement littéraire et philosophique. Mais le public a la critique qu’il demande et qu’il mérite, et s’il n’y a dans les Revues et
uger sans avoir fait lui-même œuvre de créateur, était un malfaiteur. Demandez à tel classeur de fiches qui tient la férule dans
uscule pour mieux la lire si elle offre un texte abondant, serré, qui demande beaucoup d’efforts pour être déchiffré par-dessus
sera demain la critique du livre du jour… Puisque vous voulez bien me demander mes goûts personnels, j’ajouterai que, si mes pré
tre seconde série de questions. Quel est votre idéal de la critique ? demandaient Les Marges à leurs amis. Est-il pratiquement réal
feuilleton de la longueur de ceux que donnait Sainte-Beuve, et on lui demanderait en outre d’être moins pesant, plus “récréatif”, p
sérieux puisqu’il a été signalé par plusieurs. Aux qualités que l’on demande à un critique, instinct littéraire et talent, M. 
y, qu’il faut être créateur pour avoir le droit d’être un critique. «  Demandez à tel classeur de fiches qui tient la férule dans
68 (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « François Villon, sa vie et ses œuvres, par M. Antoine Campaux » pp. 279-302
même les plus étrangères à cette idée de testament. M. Campaux s’est demandé si avant Villon il y avait eu de ces espèces de t
ccupé de Villon, pensait à peu près de même. À la bonne heure ! je ne demande pas mieux ; mettons sur le compte du temps tout c
t, pour les appeler de leur vrai nom, des porte-talents ; car ne leur demandez pas autre chose, elles ne sont que cela. On ne sa
ie variété et la riche contrariété de ses goûts, s’écriait : Vous me demanderez si j’aime la nature. Oui, — j’aime fort aussi les
des beautés illustres, des reines puissantes, des héroïnes, et il se demande  : Où sont-elles ? — Mais où sont les neiges d’ant
de quantité de dames d’un haut rang et d’une naissance distinguée, il demande ce que chacune de ces dames est devenue. Menot e
marquée et se suivant sur quatre rimes plates, s’était dès longtemps demandé  : Où est le noble Salomon ? Où est Samson l’invin
hine, les Elvire même et jusqu’aux Lisette des poètes, et quand on se demandera avec un retour de tristesse : « Où sont-elles ? »
mourir. Il y a dans Villon bien d’autres pièces dignes d’étude et qui demanderaient un peu d’effort pour être goûtées : je renvoie à
eux jeune homme, qu’il avait là un admirateur, un ami, et il lui aura demandé abri et gîte pour une nuit ou deux, en prétextant
69 (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Le général Jomini. [II] »
r se l’attacher régulièrement. Ainsi, dès le camp de Boulogne, Jomini demandait à être assimilé aux officiers suisses qui avaient
iers suisses qui avaient été conservés au service de la France. Cette demande , plus d’une fois renouvelée et s’adressant au mar
guerre de le placer près de moi comme aide de camp capitaine. » Les demandes de Ney devinrent plus instantes au moment où la c
qu’il vit au lendemain d’Austerlitz. À peine revenu auprès de Ney, la demande se réitéra avec rappel de tous les services rendu
onné un ordre de mouvement à porter au général Colbert : « Je voulus demander où je devais aller. “Point d’observations, me rép
out avait une grande importance, et l’on ne me permettait pas même de demander où je devais aller. Je partis donc avec mon fidèl
ssais pas les chemins, et il n’y avait pas moyen de trouver un guide. Demander une escorte ne se pouvait pas plus que demander u
de trouver un guide. Demander une escorte ne se pouvait pas plus que demander un cheval. Un officier avait toujours un cheval e
leçons qu’on n’oublie jamais41. 33. Je mettrai ici cette dernière demande qui résumait les précédentes, et qui établit les
ur et parfaitement illisible. « Et comme il n’y a pas d’explication à demander , ajouta l’officier à l’entorse, j’ai mon excuse,
70 (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « La Harpe. Anecdotes. » pp. 123-144
La Harpe converti ; mais, avant de le développer sous cet aspect, je demande à rappeler devant des générations qui les ont oub
e ans après, la dissolution du mariage fut devenue possible, La Harpe demanda le divorce pour incompatibilité d’humeur, et l’ob
e vingt-trois ans ; mais, cette fois, ce fut cette jeune personne qui demanda le divorce, et qui se retira après trois semaines
eux bougies. Étonnée de l’attitude de cette douleur profonde, elle en demande la cause ; c’est à travers mille sanglots que le
Hatte-Longuerue), et presque aussitôt quand on sut que la jeune femme demandait le divorce et se disait trompée par sa mère dans
mier passait l’été : La Harpe y était venu pour quelques jours. On se demandait (ce que tout le monde se demandait alors) si sa c
it venu pour quelques jours. On se demandait (ce que tout le monde se demandait alors) si sa conversion était aussi sincère qu’il
ssi imprévue : « On arrivait de Paris, on avait un service pressant à demander , on n’avait pu se décider à attendre au lendemain
 » Depuis une quinzaine de jours que je vis avec La Harpe, je me suis demandé (à part les bonnes parties du Cours de littératur
on vrai sens et toute sa moralité. La Harpe suppose que quelqu’un lui demande si cette prédiction est véritable, si tout ce qu’
71 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 1, de la necessité d’être occupé pour fuir l’ennui, et de l’attrait que les mouvemens des passions ont pour les hommes » pp. 6-11
ile de concevoir comment les travaux du corps, même ceux qui semblent demander le moins d’application, ne laissent pas d’occuper
ué dès la jeunesse à des études et à des occupations dont les travaux demandent beaucoup de meditation. Il faut que l’esprit ait
nation on la dompte, et cette faculté renduë docile fait ce qu’on lui demande . On acquiert à force de mediter l’habitude de tra
nce. L’inquietude que les affaires causent, ni les mouvemens qu’elles demandent , ne sçauroient plaire aux hommes par eux-mêmes. L
72 (1895) Journal des Goncourt. Tome VIII (1889-1891) « Année 1890 » pp. 115-193
croix de la Légion d’honneur, celui-ci repoussait cet honneur, et lui demandait la nomination au consulat de Venise, du correspon
lot, et le souvenir du dîner Dentu se réveillant chez lui, Belot à sa demande s’il en était, lui répondait : « Tu as été retoqu
rdi 28 janvier Aujourd’hui, Burty vient pour ce déjeuner qu’il m’a demandé , et il arrive de bonne heure, comme à un rendez-v
avec dessus des rougeurs et des pâleurs d’un sang bien appauvri. À ma demande , s’il travaille, il hésite d’abord, puis me dit q
heures ; une autre à midi et demie : ces heures m’intriguent ; je me demande , si ces heures sont des heures tragiques dans la
et ainsi conçues : « Je m’adresse à l’indépendance du public et lui demande , s’il trouve que c’est justice, de venir casser c
ible ! » Vendredi 14 mars Un gouvernement, auquel il y aurait à demander un peu plus d’honnêtes gens dans le ministère et
agues, et laissés volontairement vagues. Il peint l’enrôlement, où on demande à l’enrôlé d’où il est, et où on écrit son lieu d
l est, et où on écrit son lieu de naissance, sans y croire, où on lui demande son nom, et où il donne dix fois sur cent, le nom
, de la République opportuniste, radicale, socialiste ; — ce que nous demandons , c’est un gouvernement de n’importe quelle couleu
t de coucher dans un certain poste, près de Clignancourt, qu’il avait demandé qu’on changeât le papier, parce qu’il prétendait
igare, il rencontre Callias boulevard de Clichy, et comme Callias lui demande comment ça va : « Ma foi, lui répond Gille, avec
it de manquer de grandeur. Et comme, le discours fini, de Barante lui demandait d’en transmettre la teneur à l’Académie, après qu
hez la duchesse de Reggio, malgré les signes de son mari, la duchesse demandait à un officier de marine, pourquoi il n’avait mang
giques trouvées par ce siècle comme le phonographe, etc., etc., je me demande si les autres siècles ne trouveront pas encore de
omme tout — tombées de leurs poches. Dimanche 24 août Une femme demandait ce printemps à un gardien du bois de Boulogne, s’
ourd’hui le jeune Hayashi me dit : « Voulez-vous me permettre de vous demander un renseignement ?… Vous avez le masculin et le f
fait que rapporter des caresses pour leurs nerfs. Aujourd’hui, sur ma demande , on m’envoie de L’Écho de Paris un reviewer, que
i veut que le diable y fasse parfois voir son visage. L’un de nous se demande rêveusement, si les morts n’y laissent pas de leu
73 (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Réception du père Lacordaire » pp. 122-129
st bien entendu qu’en ces jours de solennité oratoire, il ne faut pas demander un jugement tout à fait exact et définitif sur l’
lus d’une épigramme. M. Guizot a commencé très spirituellement par se demander ce qu’un hérétique comme lui et un dominicain com
t borné à faire allusion, en passant, à la question romaine. — Ici je demande la permission de ne pas insister. Je suis toujour
nt donc aux années des luttes parlementaires, l’ancien ministre s’est demandé comment il se faisait que M. de Tocqueville et lu
ais cette expérience toujours à propos et toujours renouvelée, que je demande ici, je vois que très peu d’hommes la possèdent,
74 (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série « Contes de Noël »
Contes de Noël Le Figaro a demandé des contes de Noël à nos romanciers les plus goût
, et Claude voit deux larmes rouler lentement dans sa voilette. Il se demande en trois pages ce que signifient ces larmes. Larm
âce, vous que j’ai tant fait souffrir. C’est pour cela que je vous le demande  : car, si vous saviez ce qui se passe en moi, vou
encore un peu, étant psychologue de son état ; mais il continue à se demander  : « Qui sait ? » Bref, il met Colette dans un fia
épinettes… Ça serait gentil et ça me ferait tant de plaisir ! Il lui demande  : —    As-tu de la moutarde ? —    Tiens, dit-el
75 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Bain — Chapitre V : Rapports du physique et du moral. »
on se borne à opposer deux substances inconnues l’une à l’autre, à se demander comment l’esprit (qu’on ne connaît pas) peut agir
faits psychologiques sont en même temps des faits physiques, on nous demandera peut-être ce que signifie un fait psychologique p
moyenne, chez qui le travail de la pensée et l’excitation mentale ne demandent qu’une petite quantité de force, nous trouvons un
upporter les fatigues physiques. — Au contraire, si le travail mental demande une grande quantité de force, alors il doit se fa
énéralement reçue en sensibilité, intelligence et volonté, on peut se demander si ce qui est gagné par l’une de ces grandes subd
76 (1863) Causeries parisiennes. Première série pp. -419
s une grande portion du public qui récuse les juges. Bien des gens se demandent aussi si les nations, comme les individus, n’ont
i, d’appliquer cette règle avec de certaines réserves. Que si l’on me demande comment il se fait que tant de gens lisent si peu
ans lesquelles il n’est pas d’œuvre littéraire. Qu’y a-t-il là, je le demande , de bon, de beau ou de vrai ? Quant au nom de Sar
parler des femmes, sans pourtant commencer par là, et que je me suis demandé ce qu’il ferait à ma place. J’ai interrogé son om
u’il ferait à ma place. J’ai interrogé son ombre comme les Castillans demandaient des conseils au cercueil où dormait Albuquerque,
plus loyales, selon le code spécial de leur sexe, ne craignent pas de demander aux hommes qu’elles estiment le plus. C’est donc
es qualités voulues pour le rôle de novateur ; je ne veux pas même me demander si, pour réussir dans ce rôle, il ne faudrait pas
les hommes n’y peuvent rien. Il faut, quand on veut la liberté, ne la demander qu’à soi-même : lorsqu’elle sera digne d’émancipa
les a tenues quittes de toutes les vaillantes vertus que notre temps demande . On s’est moqué des femmes savantes, on a ri des
ne s’y sont pas trompés, et pour assurer leur empire ils n’ont jamais demandé que le monopole de l’éducation. Le temps n’est-il
upait le plus leur esprit ou leur cœur. Quand les mères de famille le demanderont , la librairie fournira des éditions pour les jeun
pour l’instruction publique. Que nous resterait-il alors, je vous le demande , pour les canons rayés, pour les frégates blindée
de l’autre, la frontière du Rhin : mettez ces choses-là aux voix, et demandez -vous quel sera le plébiscite ? Ce n’est pas seule
de commerce avec la France. Le pauvre M. Cobden, qui avait négligé de demander , en sa qualité de négociateur, des concessions à
it tous les jours, et que ce sera une maigre ressource que d’aller en demander aux sauvages qui vont tout nus. À l’heure qu’il e
à mon tour, le mois de janvier venu, je succombais à la tentation, je demande , comme l’archevêque de Grenade, qu’on m’avertisse
anciennes relations. Ce fut alors qu’elle écrivit ses Mémoires, à la demande expresse de Georges III, le roi le plus avide de
de folles fleurs mêlées aux gerbes de la terrible moissonneuse, on se demande parfois si cette société, si insouciante en appar
rié la conscience humaine pour cause d’utilité publique ; que peuvent demander de plus les héritiers des montagnards ? Il ne fau
de l’Empire, est-ce la fatalité qui a fait que le renfort auquel on a demandé un dernier coup de collier s’appelait le comte Ca
anger national, toujours en face d’une grande iniquité, la conscience demandera une grande protestation. Plutôt que de ne la pas
r à ces deux mots qu’une valeur relative. Mais, après avoir lu, on se demande quel but l’auteur s’est proposé. Il ne s’agit pas
s de velours rouge ». La postérité, si Sylvie arrive jusqu’à elle, se demandera si la cherté des loyers, dont nous nous plaignons
il y a de l’air, de la lumière et de la vérité : a-t-on le droit d’en demander davantage ? On suit en souriant les perplexités d
qualités précieuses : la dernière surtout devient si rare, que je me demande quelquefois si le sens comique ne s’est pas entiè
élève…, ou bien : Nous avons un professeur… ; les domestiques ne lui demandent pas encore., dix fois par jour, d’un ton signific
la France condamnée à faire tirer ses vieillards à la conscription, à demander ses poètes à Sainte-Périne, et ses amoureux aux I
à l’imagination des enfants. » Rien de plus vrai, assurément ; on se demande seulement si l’écueil qu’on signale est bien celu
, où l’on accorde des gratifications à la charité. Parfois même on se demande si, par le fait de cette reconnaissance trop publ
le redit à satiété, le prix de toute chose se règle par l’offre et la demande , et il pourrait se faire, en ce qui touche les lo
de pensée qu’il faut au poète, ni le souffle puissant et soutenu que demandent les œuvres tragiques. Elle débuta par les vers, c
e ; que serait-ce s’il fallait, en outre, chercher ce fond solide que demande la prose ? Heureux les jeunes écrivains qui font
de Staël, regardait une gravure représentant nos premiers parents, et demandait qu’on lui indiquât lequel des deux était Adam ; e
aura appris, l’étranger n’aura rien enseigné, car on ne lui aura rien demandé . Le Parisien voit passer la foule bigarrée sans l
onnés. Ce serait peut-être le cas d’analyser ce lieu commun, et de se demander en quoi consiste la cordialité de notre accueil.
çon, avocat, musicien, laboureur, poète, meunier, numismate, et il se demande si, après avoir fait aujourd’hui du dévouement au
je n’ai pas à rougir pour elle du dernier choix qu’elle a fait… S’il demandait un jour à voir les enfants, ne t’y oppose pas. »
nts divertissements, tout le reste de l’Europe se croit menacé. Je me demande si, en somme, l’harmonie générale gagne beaucoup
ans doute qu’elle a été un peu prématurée. C’était peut-être trop tôt demander à l’Italie unie un triomphe industriel. L’opportu
an, un juste milieu qui eût été la perfection : — mais il ne faut pas demander la perfection. Si on pouvait y atteindre, je dira
te au-delà du point où ces qualités sont compatibles avec l’élégance. Demandez avec Dante qui elle est, et Virgile vous répondra
Cardinali, In cui usa avarizia il suo superchio. À ce propos, on se demande pourquoi M. Doré, qui, en général, suit fort litt
ujours la même chose, parce que c’est toujours la même chose. » On se demande aussi ce que fait cette abondance de draperie qui
M. Jules Favre pour l’infortunée famille Lesurques, qui se propose de demander de nouveau, et cette fois, par voie de pétition a
ont pour l’accabler, et il sera condamné ! Quel romancier, je vous le demande , eût osé inventer la circonstance improbable qui
ulpabilité, et il adresse une requête au Directoire, dans laquelle il demande un sursis. Celui-ci, d’après la Constitution, n’a
ant sur le pied de paix : mais songe-t-on sérieusement à ce qu’on lui demande là ? On lui demande de renoncer à toute pensée de
aix : mais songe-t-on sérieusement à ce qu’on lui demande là ? On lui demande de renoncer à toute pensée de conquête, de ne plu
los, que de l’étendre à la vente et à l’achat de la rente, et l’on se demande  ; en vertu de quel principe on couvrirait d’un mê
s ont été les tristes distractions de la société parisienne. On ne se demande plus : Lisez-vous tel roman ? telle histoire ? ma
nges comme un epitome de la France, que le public s’est ému. On s’est demandé avec effroi s’il était possible qu’en 1864 un sim
 ; mais pour rester dans mon domaine, que dirai-je aujourd’hui, je le demande , que je n’aurais aussi bien pu dire, sauf quelque
que tous ont eu quelque petite chose. Les imprimeurs pourtant, qui ne demandent rien moins, dit-on, que le rétablissement de la c
peu de l’acteur, tandis que l’écrivain tient du soldat ; aussi je ne demande pas aux journalistes de s’entraimer, ni même de n
image, l’accent ou le geste lui aient fait défaut, on est tenté de se demander ce qu’est au fond cette éloquence d’avocat qui di
on de leur influence pour la grandeur virile des peuples ? Cet art-là demande la paix, le silence, les grands auditoires attent
eure plongé dans des réflexions au sujet de cette pièce tachée, et se demander encore, après avoir achevé le récit le plus touch
être très rapprochée, un grand mouvement chez le peuple russe ; on se demande avec inquiétude si ce colosse débonnaire, sans tr
nt des confréries en l’honneur de saint Judas Iscariote. Enfin, on se demande quel est le régime qu’il faudrait donner à la pre
de faire des progrès sous de certains rapports matériels, et l’on se demande si ces commotions continuelles qui nous semblent
et qui seraient fort étonnées d’apprendre qu’elles sont monothéistes, demandaient dans les intervalles d’une valse : « Qui est donc
il semble impossible que ce qui est arrivé n’ait pas été prévu. On se demande quel programme rigoureux il eût fallu imposer au
e l’attention publique à leur début ; on les suit avec avidité, on se demande si l’on pourra prendre patience jusqu’à la conclu
sse. Pour mon compte, je ne me sens pas assez calme pour juger, et je demande à relire. Je me suis toujours imposé le devoir do
cquéreurs du petit nombre de volumes dont la vente produisit la somme demandée par l’écrivain, mais j’ose dire que cette vente e
éranger, surtout, avait été poussé fort loin. Si cela est vrai, je me demande si M. Pelletan n’a pas éprouvé quelques remords e
Que la vanité semble aimable et gracieuse à côté de tout cela ! On se demande quelquefois avec effroi où cette cupidité si sava
ette rage impuissante de l’homme qui subit un affront dont il ne peut demander raison. Le fauteuil où l’on s’est étendu pour lir
ograde. « Monsieur, disait le docteur Johnson à un adversaire qui lui demandait une légère concession dans la discussion, toutes
. Et quand cela serait, qu’est-ce qui empêche M. Veuillot, je vous le demande , de voyager à pied et d’écrire des chefs-d’œuvre 
ne pensionnaire de huit ans sera « la fervente petite vierge ». On se demande s’il croit la distinguer, par cette qualification
ctère. Nous le verrons recueillir à sa table un forçat libéré qui lui demande l’hospitalité, en lui montrant son passeport jaun
s, il est impossible de croire un seul instant à son existence. On se demande vraiment comment la rage du didactique a pu engag
m’est échappé, et il peut sembler dur, mais je ne le retire pas : je demande seulement qu’on tienne largement compte de tout c
tionnel riposte, — et enfin voici monseigneur qui tombe à genoux pour demander la bénédiction du terroriste mourant. Cela fait,
il y avait des hommes, s’est effacé. Il n’y a plus d’hommes, et il se demande où est Dieu. Rien à l’horizon, rien au ciel. « A
te de tout mon cœur un plein succès à la nouvelle Société, mais je me demande comment on s’y prendra pour faire rentrer à l’éch
mer, ses souffrances, sont racontées avec une vérité telle, qu’on se demande s’il ne faut pas attribuer l’intérêt poignant de
eds ? Si c’est pour éviter le retour de condamnations pareilles qu’on demande la révision de notre Code pénal, ce n’est vraimen
confessée si hautement, donne à réfléchir aux plus sceptiques. Ils se demandent s’il n’y a pas là quelque philosophie voilée, que
iges ne se manifestent plus qu’à ceux qui les trouvent tout naturels. Demandez plutôt à M. Hume. C’est parce que je n’ai pas cru
mieux ne voir dans les Misérables qu’un roman. Or, à un roman on peut demander trois choses : une action à la fois intéressante
77 (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Sully, ses Économies royales ou Mémoires. — II. (Suite.) » pp. 155-174
sa personne, était employé par Henri, même en guerre, aux emplois qui demandaient autre chose encore que du courage. À la bataille
la ville se rend et capitule sans vouloir rien mettre par écrit, sans demander d’otages, mais en se fiant entièrement en la foi
nt aux gens de guerre qu’aux habitants quasi tout ce qu’ils voulurent demander , et le leur fit observer loyaument, traitant ceux
ener trois sur quatre des prisonniers : le comte de Thorigny lui en a demandé un qui est son parent, et que Rosny lui cède par
grandeur que vous n’y participiez. » Rosny, qui aimait le comptant, demandait quelques jours après le gouvernement de la ville
es yeux la mesure exacte de l’autre. Peu après ce refus de Mantes, il demandera le gouvernement de la place de Gisors qu’il a con
le rappelle et le remet en belle humeur. En toute occasion, Henri lui demande de la patience, du temps, d’aller doucement, peu
c’était la coutume de Rosny, lorsqu’il était consulté par le roi, de demander du temps pour y penser ; il réfléchissait durant
e qu’on lui disait de toutes parts. Rosny, par manière d’épreuve, lui demanda de faire une tournée en province avec autorité de
78 (1891) Journal des Goncourt. Tome V (1872-1877) « Année 1873 » pp. 74-101
l faut assigner tous les six mois, et tous les six mois, je suis à me demander si je ne serais pas forcé de quitter cette maison
ar devoir, et beaucoup pour lui. C’est ainsi qu’aujourd’hui, j’ai été demander à Marcelin un article sur notre Gavarni. J’ai fra
l’Assemblée, et devant l’exposition de tant de pains de gluten, je me demande si les diabétiques qui sont renfermés dans ces mu
refrain : « Moi, jouer avec mes petits-enfants, c’est tout ce que je demande . » En se levant, La Rochelle, mis à l’aise par la
ant, La Rochelle, mis à l’aise par la débonnarité du grand homme, lui demandait si Dumaine ne pourrait pas jouer, deux ou trois f
je ne sais quelle pièce : « Voyez-vous, répondait Hugo, à ce que vous demandez , je vais vous dire qu’il y a deux Hugo : le Hugo
nifestations des âmes des trépassés. Puis au bout de cela, le médecin demanda aux Japonais s’ils trouvaient nos Françaises joli
ligemment, mais dont je ne pouvais saisir le regard. L’homme parti je demande à Burty. « Qui est donc ce monsieur ? » — « Mon c
en haut, qui sert de fumoir chez la princesse, après dîner, nous nous demandions , avec Berthelot, si la science pure, bellement ab
79 (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Divers écrits de M. H. Taine — II » pp. 268-284
n talent qui en est digne, et avec plus d’originalité même qu’on n’en demandait . Cette originalité s’accuse dans la courte préfac
dix premiers livres, dans lesquels Tite-Live a dû accepter (et il en demande presque grâce) les fables et les on-dit de la lég
e le mieux informé et le plus sensé des narrateurs ; aura-t-on, je le demande , du talent de Mézeray et de sa nature d’esprit un
’y appliquer : « Depuis longtemps, dit-il à son éloquent ami, on vous demande une histoire, on la sollicite de vous ; car on es
de son consulat. Cicéron convient qu’un tel travail est ce qu’on lui demande et ce que tout le monde attend de lui ; mais il f
ez l’abbé Morellet. — Conversation psychologique. — Mon vieux ami m’a demandé brusquement : « Qu’est-ce que le moi ? » Je n’ai
tous les phénomènes en restant invariable, on aperçoit le moi, on ne demande plus ce qu’il est. En revoyant son volume à une
in, il est toujours sûr d’être au premier rang. Ici je me récuse ; je demande à ne pas entrer dans ces guerres de méthode, dans
80 (1892) Journal des Goncourt. Tome VI (1878-1884) « Année 1882 » pp. 174-231
uses. Ça pour venir quand même, à défaut d’innocence d’une époque, ça demande chez les nations, des illusions, des illusions co
enêtre, et que jamais il ne rencontre des yeux cette fenêtre, sans se demander qui va la descendre, de lui ou de sa femme : « Ou
lame, que quoique nous soyons un peuple rebelle au gouvernement, nous demandons à être gouvernés, et déclarant que nous ne le som
ue vous regardez comme la personnification de la sincérité, vous vous demandez vraiment, si elle n’est pas un peu fausse ; telle
s de formes révérencieuses, il se met en colère : « Le monde… je vous demande un peu, ce qu’un salon révèle de la vie… ça ne fa
pherai-je ? Mais dès aujourd’hui, mon inquiétude est celle-ci : je me demande si l’espèce d’excitation spirituelle, que donne l
er, se pique à la cuisse, par-dessus son pantalon. Beaucoup de femmes demandent à la morphine un montant de l’esprit, un coup de
omancier, qui avait entendu parler de lui, songea à l’étonner, et lui demanda à se confesser. Mais au bout de sa confession, qu
lgré tout, j’ai fait ma tâche, oui, mes cinq pages. » Et comme je lui demandais ce que ça fait de lignes, il me répond : « Deux c
aris, où l’on fabrique des sous-préfets pour la province, et comme on demandait au médecin, ce qu’était une « frôleuse » il répon
compagnie des êtres d’un livre. Jeudi 20 juillet Un bibliophile demandait à Lortic : « Pourquoi les relieurs demeuraient da
disait qu’il a entendu de ses oreilles, le nouveau préfet de la Seine demander où était l’avenue de l’Opéra. Hier, la femme, la
es ans, chez un célèbre médecin de Belgique. Cette année-ci, il lui a demandé , si elle avait un calorifère dans sa maison. Sur
’est tout à fait inutile que je continue à vous soigner. » Et l’on me demande pourquoi, je n’aime pas les inventions modernes,
istoire d’un M. Punaise en Angleterre, d’un monsieur très riche qui a demandé à changer de nom, et qui, le jour, où il a obtenu
81 (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Contes — IV. Les ailes dérobées »
travailleurs déjà en train de s’occuper. » — « Mais par où monter ? demanda Sakaye. Je ne sais comment m’y prendre ! La pente
e-soleil, il reconnut quantité de crânes humains épars sur le sol. Il demanda au vieux à qui appartenait la case d’or et qui av
se d’or et qui avait tué les propriétaires de tous ces crânes. Il lui demanda aussi pour quelle raison un homme aussi vieux que
Et il ne saurait tarder ! — « Es-tu aussi un mangeur d’hommes ? lui demanda Sakaye ». — « Moi ? répondit le vieux, non pas !
82 (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLIIe entretien. Littérature cosmopolite. Les voyageurs »
mentent ou font mentir beaucoup pour eux ; on ne peut donc s’y fier. Demandez à César la vérité sur les massacres qui suivirent
César la vérité sur les massacres qui suivirent la bataille de Munda, demandez à Alexandre les causes du meurtre de Parménion, d
le de Munda, demandez à Alexandre les causes du meurtre de Parménion, demandez à Napoléon le secret de l’empoisonnement des pest
du nouveau prince, et qu’on l’envoyât en son nom au prince des Abcas demander en mariage la princesse sa fille. On croyait que
t que le lendemain on déclarerait au perfide parent que la dame qu’on demandait n’était plus fille. Le parti fut accepté ; et, la
riage. Lorsqu’elle sut qu’il épousait Sistan-Darejan, elle lui envoya demander satisfaction du meurtre qu’il commettait sur son
de cette porte, à l’imitation du soleil et de la lune. Tout ce qu’il demandera avec foi, de dessus cette porte, sera comme la fl
our de Dieu, a élevé ce portail à la face du peuple. Ô fidèle ! si tu demandes en quelle année a été construit ce portail, je te
construit ce portail, je te réponds: « De dessus le portail de Désir, demande tes désirs. » Pour entendre ce dernier distique,
d’or, dont la corniche est ornée de vers qui finissent ainsi: « Si tu demandes en quel temps a été fait le trône de ce second Sa
i dit: « Tu es bien téméraire d’espérer que je t’accorde ce que tu me demandes , moi qui ne saurais obtenir de toi que tu reprenn
isque le roi en buvait à longs traits, et la plupart des grands. J’en demandai le sujet à un seigneur qui était là présent. « C’
es compatriotes fit à une célèbre audience qu’il eut du feu roi. » Je demandai aussitôt ce que c’était. Il me répondit que l’an
sur le tapis les lettres qu’il avait présentées et le mémoire de ses demandes , et on lui demanda ce qu’il offrait en échange de
ttres qu’il avait présentées et le mémoire de ses demandes, et on lui demanda ce qu’il offrait en échange des exemptions de dro
était venu pour autre chose que pour faire un présent au roi, et pour demander la confirmation des priviléges accordés par le fe
inistre ajouta ces paroles: « Les Anglais ont les exemptions que vous demandez pour avoir mis Ormus dans les mains des Persans.
ait d’autre ordre que de faire au roi le présent qu’il avait fait, et demander la continuation de l’octroi accordé à la Compagni
yé. » — Il se retourna ensuite vers le supérieur des capucins, et lui demanda comment il accordait la réponse qu’il venait de f
e cette Compagnie avaient donnée par écrit en son nom, on venait leur demander la continuation de ces faveurs sans rien offrir e
à propos de mes bijoux qu’elle me fit cette faveur. Elle m’avait fait demander les plus beaux qui me restaient, et j’avais fort
nd maître me dit: « On ne fait point une telle grâce à personne. » Je demandai à voir un rubis que j’avais déjà vu l’an 1666, la
83 (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Livre V : La religion — Chapitre I : Philosophie religieuse de M. Guizot »
se la question chrétienne comme elle doit être posée de nos jours. Il demande au christianisme d’accepter les conditions nouvel
t qui sont la science libre, la conscience libre, la pensée libre. Il demande que le christianisme ne se contente pas seulement
en accepte les conditions décidément et de bon cœur. En revanche, il demande à la société moderne d’accepter le christianisme,
ditions légitimes, n’a aucun droit de se refuser à l’examen qu’on lui demande . Tant qu’il peut croire que c’est sa ruine que l’
x qui croient que la religion ne doit satisfaire que le cœur. L’homme demande à la religion autre chose que des jouissances nob
la religion autre chose que des jouissances nobles et pures : il lui demande la lumière en même temps que la sympathie. Si ell
implique l’autre. En apparence, c’est la preuve testimoniale que l’on demande  ; en réalité, c’est la possibilité même du surnat
84 (1866) Cours familier de littérature. XXI « CXXVe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 321-384
croyait entendre sa pauvre défunte, ma sœur. — Comment est-elle ? me demandait -il quelquefois. A-t-elle un petit front lisse com
pour la première fois à ta noce avec mon frère, trois ans avant de la demander à votre mère. Et ses pieds ? — Ah ! il faut les v
ents, monsieur, et puis je lui répondais ensuite sur tout ce qu’il me demandait de mon pauvre et beau Hyeronimo, le vrai portrait
Les étrangers se parlèrent longtemps à voix basse entre eux, et me demandèrent ceci et cela sur notre famille. Je les satisfis h
hâtaigniers et notre maïs, pour donner aux pauvres pèlerins sans rien demander aux riches comme vous. Il se mit à marcher gaieme
ndre les trois quarts de notre domaine ; c’est comme si on nous avait demandé les trois quarts de notre vie à tous les quatre.
s quarts de notre vie à tous les quatre. — Qu’avez-vous à dire ? nous demanda froidement, la plume en main et le papier sur le
ts coups les jours de fêtes. — Mais qu’est-ce qui vous restait donc ? demandais -je au vieillard aveugle. — Ah ! monsieur, il nous
anquait aux pauvres bêtes : elles nous regardaient et semblaient nous demander de l’œil pourquoi nous ne les laissions plus brou
it à les surprendre hors de nos limites. Que pouvions-nous faire, que demander excuse et qu’offrir de réparer le dommage à nos d
de maïs furent mûres et que la seconde récolte des feuilles de mûrier demanda à être cueillie. Tous les jours, comme si nous av
’elle éblouissait tous les pèlerins, qui s’arrêtaient exprès pour lui demander une gorgée d’eau dans sa cruche. « Si les anges h
iement tout près de nous. Je m’approchai timidement d’eux, et je leur demandai poliment qu’est-ce donc qu’ils venaient faire si
85 (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Le maréchal de Villars — IV » pp. 103-122
Et encore : Tous les officiers de la garnison de Saint-Venant m’ont demandé en grâce de leur faire donner du pain, et cela av
leur faire donner du pain, et cela avec modestie, disant : Nous vous demandons du pain parce qu’il en faut pour vivre ; du reste
es Français, les Français d’autrefois, et qu’on voyait bien qu’ils ne demandaient qu’à être bien menés pour être toujours les mêmes
t de miracles, on le regardait à Saint-Cyr comme un saint : « Je vais demander à Dieu, avec les dames de Saint-Cyr, de vous prot
adressées avant la campagne de Denain, et qui l’y avaient enhardi. Il demanda au roi la permission de les citer et de s’en déco
n moment et lui répondit : « On ne croira jamais que, sans m’en avoir demandé permission, vous parliez de ce qui s’est passé en
ait. Il se plaignit au roi ; il lui dit avec sa hardiesse ordinaire à demander , et avec cette aisance à parler pour soi qui sera
avoir la Toison d’or. Mais sur cette entrée dans les conseils, le roi demanda du temps et se rejeta sur des arrangements futurs
un conseiller. Il n’était pas non plus un caractère. Au lieu de rien demander après de tels services rendus, il n’avait qu’à s’
86 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Deuxième partie. Invention — Chapitre II. Définition. — Énumération. — Description »
l’esprit habitué à ce procédé, vous n’aurez plus besoin de faire les demandes  : les réponses précéderont les questions ; vous p
vos passions, et à vos passions les plus déréglées, tout ce qu’elles demandent  : et vous prétendez ne point avoir de superflu ?
isit l’imagination à la lecture, se réduit à cette pensée : « Vous me demandez , Sire, de déshonorer le nom que mes aïeux m’ont t
filèrent successivement en annonçant le Sauveur. Il avait suffi de se demander qui étaient ces prophètes, sans entrer autrement
ge, celui-là seul pourra juger le mérite du renoncement. L’orateur se demande donc, demande à son public ce que c’est qu’un jeu
eul pourra juger le mérite du renoncement. L’orateur se demande donc, demande à son public ce que c’est qu’un jeune homme de l’
87 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393
asion de dire un mot plus que galant à madame de Maintenon. Lui ayant demandé quel était l’opéra qu’elle préférait, elle se déc
avec sœur Louise de la miséricorde (madame de La Vallière) ; elle lui demanda si tout de bon elle était aussi aise qu’on le dis
, quelque souvenir et quelque pitié de ses malheurs. Enfin, sans rien demander de positif, elle lui fil voir les horreurs de son
ue bons traitements qu’on me fasse ici, j’y aurai de grands chagrins. Demandez donc bien à Dieu ce que je dois faire ; et après
obelin : « Donnez-moi sur-le-champ votre avis sur ma retraite, mais : Demandez à Dieu ce que je dois faire, et prenez du temps p
jour, elle écrit à madame de Saint-Géran, mais franchement, sans lui demander conseil ; elle lui dit positivement et vivement c
88 (1859) Cours familier de littérature. VII « XLIIe entretien. Vie et œuvres du comte de Maistre » pp. 393-472
et de plus miraculeux c’est l’écrivain. Mais tant qu’une larme chaude demandera à couler délicieusement du cœur de l’homme sensib
oi. » Tout à coup il se tourne inopinément contre les royalistes qui demandent la contre-révolution, la conquête de la France, s
ssif de charmille où il s’était dérobé pendant la cérémonie. Nous lui demandâmes confidentiellement la raison de cette disparition
s résidant à Pétersbourg et chambellan de l’empereur Alexandre. Je me demande s’il n’y aurait pas moyen de tirer parti des circ
arte, continue-t-il, à peu près de cette manière : Ce que j’ai à vous demander , avant tout, c’est que vous ne cherchiez point à
e suis sûr qu’il n’en a pas parlé au comte Tolstoï à Paris. « Je n’ai demandé , ajoute-t-il, qu’une simple conversation avec Nap
dans cette affaire. Supposez même que je n’existe pas. Je n’ai rien à demander au souverain qui a détruit le mien. « Il parut un
urs hors de la question, car jamais je ne vous ai dit que je voulusse demander la restitution du Piémont. « — Mais que voulez-v
d’un Mémoire que je lui remis peu de jours après. Dans ce Mémoire je demande de m’en aller à Paris avec la certitude d’être ad
º je ne prononcerai pas le mot de restitution ; 3º je ne ferai aucune demande qui ne serait pas provoquée. « Si je suis repouss
assure sur mon honneur) la résolution que j’ai prise. La grâce que je demande est donc absolument sans conséquence. Arrivé en F
it ; mais, pour la rendre moins difficile, ou pour rendre au moins la demande moins défavorable, je ne fais aucune difficulté d
ne prononcerais pas le mot de restitution ; « 3º Je ne ferais aucune demande qui ne serait pas provoquée. « J’ose croire que c
ui-même. » XXIV L’empereur Napoléon ne répondit même pas à une demande d’audience si extraordinaire et qui ne pouvait qu
sont les lettres semi-plaisantes, semi-sérieuses, dans lesquelles il demande , pour épier les secrets diplomatiques des maris,
ils sont tous gouvernés par les Piémontais. Allez ensuite en France ; demandez à un habitant de Dunkerque ou de Bayonne par qui
89 (1865) Cours familier de littérature. XX « CXIXe entretien. Conversations de Goethe, par Eckermann (1re partie) » pp. 241-314
entait compris, deviné par des Français pour la première fois : il se demandait d’où venait cette race nouvelle qui importait che
phe disparut en lui devant le poète. Ni son prince ni son pays ne lui demandaient compte de cette partialité blessante pour le vain
pte ce jour parmi les plus heureux de ma vie. Il m’avait hier, sur ma demande , indiqué midi comme le moment où il pourrait me r
rire du nouveau pour vous-même, et en même temps vous ferez ce que je demande de vous. » Je n’avais rien à opposer à ces projet
is sur les quatre volumes d’Art et Antiquité le travail qu’il m’avait demandé , et je le lui envoyai à Marienbad avec une lettre
l’aisance. Après quelques mots, l’entretien tomba sur Goethe. Je lui demandai s’il le connaissait personnellement. « Si je le c
très maigre, agile et délicat, je l’aurais facilement porté. » Je lui demandai si Goethe, dans les premiers temps de son séjour,
une heure avancée de la nuit ; et souvent le temps me durait et je me demandais si le duc ne partirait pas. L’étude de la nature
lit, couché, il contemplait le ciel. « — N’as-tu rien vu au ciel ? me demanda-t -il. « — Non. « — Eh bien, cours au poste, et dema
u au ciel ? me demanda-t-il. « — Non. « — Eh bien, cours au poste, et demande aux soldats s’ils n’ont rien vu. « Je courus, per
r son lit pour m’expliquer quels signes le lui faisaient savoir. « Je demandai à ce bon vieillard quel temps il faisait alors.
evée de nouveau. Mes Annales éclairciront ce que je dis là. On a trop demandé à mon activité, soit extérieure, soit intérieure.
tention, puis il dit : « “— Vous êtes un homme ! « “ Je m’incline. Il demande  : « “— Quel âge avez-vous ? « “— Soixante ans. « 
me trouvais ; leur tournant le dos, et me parlant à demi-voix, il me demanda si j’étais marié, si j’avais des enfants, et me f
on, il ajoutait presque toujours : Qu’en dit monsieur Goethe ?… « “Je demandai bientôt par signe au chambellan si je pouvais me
ir à Paris l’occupa surtout pendant longtemps et très vivement. Il me demanda plusieurs fois à quelle somme monterait son établ
90 (1887) Journal des Goncourt. Tome II (1862-1865) « Année 1864 » pp. 173-235
public, et familière avec les garçons à tablier blanc. * * * — Je me demandais l’autre jour, avec inquiétude, si j’aurais à reco
« L’épreuve, finit-il par dire, est votre pensée éclairée… » Et il se demande comment, sans cette inspiration matérielle, manue
e de Gondrecourt, devant moi qu’on tenait sur les genoux, un monsieur demanda une bouteille de champagne, une plume et de l’enc
antes distractions du fils Cormenin : « Vous n’avez pas d’enfants ? » demande-t -il à une jeune femme, et il ajoute : « Pourquoi ?
ne soit pas bon, un égoïste enfin : — oui, pour l’amour de Dieu, j’en demande un…, je voudrais en voir un, brutal, cynique, sin
e chiens savants, mari d’une danseuse ou père d’enfants pianistes, je demanderais à réfléchir. 19 juillet Ce soir, le soleil
é une de ses amies, assise à une fenêtre du rez-de-chaussée, et lui a demandé une épingle, en disant, tout bas : « C’est gênant
tendre ! » Sainte-Beuve nous raconte cette anecdote sur Musset. Véron demande à Musset un feuilleton pour le Constitutionnel. M
r chez Véry. Il voit fleurir les escaliers des plus belles fleurs. Il demande qui donne cette fête. Le garçon lui répond : « C’
bas, si bas, que je n’entendais qu’une partie de ses réponses. Je lui demandais , si ses romans militaires étaient terminés ? Il m
ur où elle entra en charge, la dame d’honneur qu’elle remplaçait, lui demanda si elle avait fait sa toilette, et sur son étonne
les lui raconter. Remonté péniblement dans le fiacre, comme nous lui demandons ses impressions, il nous fait signe qu’il ne peut
césarienne. — Et comment va-t-elle, cette pauvre diablesse, ce soir ? demanda l’autre. — Pas mal… Mais tu verras, elle n’aura p
pas de surprise. Le matin vous mène au soir sans de l’imprévu. On se demande pourquoi on continue à être et à quoi sert le len
 ; — puis soudain, sans raison, l’homme se mit à fondre en larmes, et demanda qu’on le laissât… pour pleurer à son aise. 8 d
lle se recrute : « Avez-vous arrêté un assassin, dit-il, le juge vous demande , si pour punition, vous ne donneriez pas votre ag
91 (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Observations sur l’orthographe française, par M. Ambroise »
, même lorsque celle-ci est gênante et fatigante, il ne faut pas trop demander , ni demander tout à la fois. Joachim Du Bellay le
e celle-ci est gênante et fatigante, il ne faut pas trop demander, ni demander tout à la fois. Joachim Du Bellay le savait bien,
au plus pressé, et qui, en matière d’orthographe, sut se borner à ne demander qu’une réforme sur un point essentiel, une seule 
il veut émotionner » ; — eh bien ! émotionner, dans ce cas-là, je le demande , n’est-il pas français et selon l’acception la pl
dants, qu’un interlocuteur, apostrophant le rapporteur du budget, lui demande sur quoi il se fonde dans telle ou telle supputat
itement congrue et correcte : « Mon argumentation, messieurs, vous me demandez sur quoi elle repose : je la base sur une triple
rès, si on l’accepte. M. Didot, pour revenir à lui, le sait bien : il demande le plus pour obtenir le moins. Sans doute il a ra
es réformes désirées. M. Didot n’obtiendra pas même le minimum de ses demandes . Oh ! le xixe  siècle, à en juger du moins par la
92 (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Contes — I. Takisé, Le taureau de la vieille »
au grandit et devint un taureau gros et gras. Un jour un boucher vint demander à la vieille de lui vendre son taureau mais elle
« m’opposer aux volontés du roi, répondit-elle. « Tout ce que je vous demande c’est de « ne m’enlever Takisé que demain matin. 
cou. » La vieille s’approcha du taureau : « Takisé ! mon Takisé, lui demanda-t -elle, laisse-les te passer la corde au cou. » Le
ne sortaient. Un jour un gambari (marchand) se présenta chez elle et demanda à boire. Ce fut Takisé qui apporta l’eau, mais l’
93 (1862) Cours familier de littérature. XIV « LXXXIe entretien. Socrate et Platon. Philosophie grecque (1re partie) » pp. 145-224
 ; ils ne commandent pas impérativement la foi au nom de Dieu, ils la demandent humblement à la conviction raisonnée de l’intelli
u but, en la traînant impitoyablement par tant de circonvolutions, de demandes et de réponses sur la route ; l’esprit abandonne
ate. X Dans le premier dialogue, intitulé l’Euthyphron, Socrate demande à Euthyphron : « Qu’est-ce que le bien, ou, autr
st ce qui est agréable aux dieux. » Socrate relève cette réponse, et demande à Euthyphron comment, les dieux de l’Olympe et de
et de vertu que dans ses passions ; il devait donc haïr Socrate ; il demandait un châtiment exemplaire contre ce philosophe. On
tre âme et son perfectionnement. Ainsi donc, faites ce qu’Anytus vous demande ou ne le faites pas, renvoyez-moi ou ne me renvoy
maintenant, c’est donc la peine de mort que Mélitus, Anytus et Lycon demandent contre moi !… Mais moi, Athéniens, à quelle peine
e de Sycionie, quelque temps après la mort de leur maître. Échécratès demande à Phédon : « Étais-tu auprès de Socrate, le jour
Sur quoi roula l’entretien entre ces amis que tu viens de nommer ? » demande Échécratès. Phédon raconte alors que, le matin d
pe aurait dû en faire une fable.” » Cébès, un des interlocuteurs, lui demande à ce propos pourquoi, depuis qu’il est en prison,
rs que je suis déjà celui qu’il va voir mort tout à l’heure, et il me demande comment il doit m’ensevelir. « Et tout ce long di
s bénissent notre voyage et le rendent heureux ; c’est ce que je leur demande  ; puissent-ils exaucer mes vœux !… » Après avoir
temps ses pieds et ses jambes, il lui serra le pied fortement et lui demanda s’il le sentait : Socrate lui dit que non. Il lui
lat de la raison, l’auraient fait acquitter par les Athéniens, qui ne demandaient qu’à l’absoudre : mais sa conscience se refuse à
s d’Apollon, il fait sa prière aux dieux avant d’avaler la coupe ; il demande si l’on peut faire une libation avec la liqueur m
94 (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1860 » pp. 303-358
e notes qu’il a prises, disant : « Savez-vous toute mon ambition ? Je demande à un honnête homme, intelligent, de s’enfermer qu
je lui donne une bosse de haschisch historique. C’est tout ce que je demande . » Puis il ajoute sur une note mélancolique : « A
Saint-Martin. Au premier nous frappons à une porte d’appartement. On demande qui est là. Nous nous nommons. On ouvre. Et nous
la grande partie d’aller au bal de l’Opéra avec nous. En arrivant, il demande une feuille de papier et y dépose de petites mach
ends pas ! » Nous causons des femmes qu’il a vues danser, et nous lui demandons s’il en a fait des croquis. « Non, non, mais je l
’on fasse, en dépit des colères des journalistes ; et à ceux qui nous demanderaient  : « Vous vous estimez donc beaucoup ? » nous répo
zette, une revue petite ou grande qui soit venue à nous, et nous nous demandons si le prochain roman que nous publierons, nous ne
s, qui n’étaient pas faites pour elle, se mettait à pleurer. Nous lui demandons s’il a jamais compris une femme ? « Une femme, ma
pas parce que c’est profond, mais parce que c’est creux ! » Nous lui demandons encore s’il a été jamais vraiment amoureux ? « No
te… — Oui, oui, c’est le mot de Henri Heine, jette Saint-Victor, nous demandons ce que sont les étoiles, ce que c’est Dieu, ce qu
e de la maison qu’il habite. » En descendant l’escalier d’Aubryet, je demande à Gautier s’il ne souffre pas de ne plus habiter
sant, par-dessus le Présent éclairé, l’Avenir éblouissant. * * * — Je demande à un garçon de l’hôtel de l’Empereur romain, je n
en mémoire l’assaut manqué du 18 juillet, se refusa à donner l’assaut demandé par l’Empereur. Dépêches sur dépêches. Pélissier
a joliment entamé au profit de tous, les droits d’un chacun, et je me demande si l’avenir ne nous réserve pas, sous le nom du g
Le vieillard ne disait rien et regardait vaguement l’interne. — « Et demandez la médecine et pas la chirurgie ? lui répéta l’in
95 (1867) Nouveaux lundis. Tome VII « Corneille. Le Cid, (suite.) »
iosité a droit de s’étendre plus loin, et, une fois éveillée, elle se demande ce qu’était en réalité ce Cid dont il est tant pa
chronique espagnole a enregistrés. On en a vu cependant assez pour se demander avec M. Dozy comment il a pu se faire que le Cid,
nt, — sous Philippe II, — où l’on songea à faire de lui un saint et à demander sa canonisation ? M. Édélestand du Méril, que l’o
et il sort à leur rencontre. « D’où sont ces nonnains qui me viennent demander quelque chose ? » — « Nous vous le dirons, seigne
» Alors don Diègue dit ; «  Ce n’est pas moi que vous devez accuser ; demandez -les à Rodrigue, s’il veut vous les rendre. J’en a
en lui disant : « Seigneur, que vous semble ? quel don vous a-t-elle demandé  ? Vous devez bien rendre grâces au Père tout-puis
rendre grâces au Père tout-puissant ! » Le roi, en effet, à qui cette demande imprévue tire une terrible épine du pied, se hâte
e dit : « Seigneur, mille remerciements, car c’est là le comte que je demande . » Là on maria dona Chimène Gomez avec Rodrigue l
eulement beaucoup plus sur ses griefs et sur les raisons qu’elle a de demander justice. D’ailleurs, son revirement est aussi sin
té, — que le sexe féminin était bien extraordinaire. Jusqu’ici elle a demandé justice, et maintenant elle veut se marier avec l
96 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Deuxième partie. Invention — Chapitre VI. Du raisonnement. — Nécessité de remonter aux questions générales. — Raisonnement par analogie. — Exemple. — Argument personnel »
Mais il ne s’agira pas toujours de décrire et de raconter. On vous demandera aussi de raisonner et de démontrer. On vous deman
conter. On vous demandera aussi de raisonner et de démontrer. On vous demandera de prouver une vérité, de réfuter une erreur, de
ait particulier auquel il est, en somme, identique. Le centenaire qui demande à vivre encore pour arranger ses affaires, prouve
rt d’Iphigénie : AGAMEMNON Plaignez-vous donc aux dieux qui me l’ont demandée  : Accusez et Calchas et le camp tout entier, Ulys
ntérêt si grand, Vous qui condamneriez ce qu’en eux on reprend ? lui demande Philinte, qui le sait peu indulgent aux défauts d
97 (1911) La valeur de la science « Deuxième partie : Les sciences physiques — Chapitre VI. L’Astronomie. »
e peut récuser, parce que ce sont les siennes ; ces lois, nous ne lui demandons pas follement de les changer, nous sommes les pre
ela, ils n’avaient besoin que de patience, et ils avaient le droit de demander que les sceptiques leur fissent crédit. Ce n’est
as devenir l’erreur un peu plus loin ? Et alors ne pourra-t-on pas se demander si les lois dépendant de l’espace ne dépendent pa
a un, le plus subtil et le plus important de tous, sur lequel je vous demanderai la permission d’insister un peu. Comment l’ordre
s lointaines, elle nous montre les mêmes substances ; on aurait pu se demander si les éléments terrestres n’étaient pas dus à qu
98 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 9, de la difference qui étoit entre la déclamation des tragedies et la déclamation des comedies. Des compositeurs de déclamation, reflexions concernant l’art de l’écrire en notes » pp. 136-153
ent pas également, ajoute : que le genre tragique et le genre comique demandent chacun un tour d’esprit particulier, et il allegu
lle avec un geste plus nonchalant que le sens des vers ne sembloit le demander . Après avoir dit que Roscius plaçoit des ombres d
is se prononcer suivant la note plus bas que le sens ne paroissoit le demander , mais c’étoit afin que le ton élevé où l’acteur d
nçant les vers suivants, et cela encore plus que le sens ne semble le demander . Si le sort ne m’eut donnée à vous, mon bonheur d
mmodité des joüeurs de flutes. L’action y étoit déja assujetie. J’ai demandé à plusieurs musiciens s’il seroit bien difficile
99 (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXIII. P. Enfantin »
ici une parole dont il ne se servait plus depuis longtemps, nous lui demanderons où se tient cette Église dont il parle comme d’un
rganisée et agissante ? Puisqu’il dit nous avec cette pompe, nous lui demanderons quel est le nombre des adhérents à la foi saint-s
oisonnés… Eh bien ! prenez-en aujourd’hui toutes les forces vives, et demandez -vous ce qu’elles deviennent avec ce panthéisme ch
dernièrement de l’action à Sébastopol. Il se jette à genoux pour nous demander grâce en faveur des assassins, aimant mieux suppr
e voir entrer en lice contre cette femme qu’il s’est attirée, lui qui demande l’émancipation de la femme et la dresse dogmatiqu
100 (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Le comte de Clermont et sa cour, par M. Jules Cousin. (Suite et fin.) »
r sa fille pour quelque marquis moins mal noté. Le prince, là-dessus, demanda au ministre de la guerre la croix de Saint-Louis
rassemblé. Il pourvut tant bien que mal aux premières dispositions et demanda , dit-on, son rappel : il n’y avait qu’un cri de t
fluence à Versailles pour s’y faire négociateur, il se rabattit à lui demander qu’il voulût au moins avoir quelque ménagement po
it qu’il aurait d’excellents et fermes lieutenants généraux, il avait demandé Chevert, Saint-Germain Contades : Chevert fut ret
e due Ferdinand de Brunswick à la tête de l’armée des alliés et de le demander au roi de Prusse, afin d’abolir toute trace d’une
ille, le comte de Saint-Germain, fortement engagé à la gauche, envoie demander du soutien) : « L’envoyé de ce général avait trou
nts perdant une bataille dans une telle posture et sur un tel mot, et demandez -vous ce qu’il en dira ! 46. On peut voir, au cha
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