and nombre de faits semblables, quoique différents par l’espèce et le
degré
. Telles sont les sensations de contact, de pressi
ont les sensations de température qui se produisent lorsqu’un certain
degré
de chaleur est ajouté ou ôté à notre température
lle en diffère, et, certainement, elle ne nous est pas connue au même
degré
que lui ni de la même façon. Car elle est aperçue
rouve commune à tous ces domaines si profondément distincts, c’est le
degré
d’intensité ; chaque sensation est capable de plu
sité ; chaque sensation est capable de plus et de moins ; elle est un
degré
dans une grandeur ; l’odeur, la saveur, le son, l
sé, etc. — Dans ce grand amas, on distingue deux qualités capables de
degrés
, l’intensité et l’acuité ; à cet égard, les diver
ous distinguons les divers sons de la gamme, sont constituées par les
degrés
de brièveté de la sensation élémentaire et par le
ées par les degrés de brièveté de la sensation élémentaire et par les
degrés
de proximité de ses maxima. Ici déjà la qualité s
— D’abord, pour l’intensité, la réduction est toute faite. Les divers
degrés
de force ou d’intensité de la même sensation de s
s de force ou d’intensité de la même sensation de son sont les divers
degrés
par lesquels elle passe de son minimum à son maxi
esquels elle passe de son minimum à son maximum, et l’on sait que ces
degrés
ont pour condition suffisante et nécessaire les d
que ces degrés ont pour condition suffisante et nécessaire les divers
degrés
de condensation de l’onde aérienne. Or, les mathé
t suivre la sensation élémentaire sous tous ses aspects et à tous ses
degrés
, bien au-delà de la portée de la conscience, en s
a conscience, en suivant par les mathématiques les changements et les
degrés
de sa condition. En second lieu, une analyse indi
imum, passe, dans la courte durée qu’elle occupe, par une infinité de
degrés
; à plus forte raison ces degrés sont-ils invisib
qu’elle occupe, par une infinité de degrés ; à plus forte raison ces
degrés
sont-ils invisibles à la conscience ; en sorte qu
e, comme on vient de le voir pour les sensations du son, avoir divers
degrés
de composition et de recul au-delà des prises de
oissante des ondes, et le spectre tout entier ne présenterait que les
degrés
d’intensité du rouge, tandis que, de fait, au min
e la vitesse et la longueur des ondes sont au-dessous ou au-dessus du
degré
de vitesse et de longueur qui correspond au centr
nimum. — Ainsi, à mesure que, du rouge au violet, on descend tous les
degrés
du spectre, les trois sensations composantes vari
les degrés du spectre, les trois sensations composantes varient d’un
degré
à chaque degré, mais chacune en un sens particuli
spectre, les trois sensations composantes varient d’un degré à chaque
degré
, mais chacune en un sens particulier, la première
seule sensation de couleur, elle aurait un maximum, un minimum et des
degrés
intermédiaires, rien de plus ; et, faute de pouvo
int de la rétine et excitent ainsi le maximum, le minimum et tous les
degrés
de chaque sensation élémentaire ; ensuite lorsque
sans démêler que l’un est négatif et l’autre positif. Les différents
degrés
du noir ou du manque de sensation viennent donc c
ion élémentaire ; l’épaisseur des ondes, par l’intensité du son ; les
degrés
de condensation de chaque onde, par les degrés d’
intensité du son ; les degrés de condensation de chaque onde, par les
degrés
d’intensité du son. Au contraire, dans la sensati
suelle de couleur et de lumière. Dans la seconde traduction, tous les
degrés
de vitesse et de longueur que peut prendre l’onde
sensations de contraction et de détente musculaires, avec tous leurs
degrés
jusqu’à l’effort douloureux, la fatigue et la cra
. » Le pharynx, l’œsophage et même l’estomac sentent, avec un certain
degré
d’exactitude, le passage, la chaleur et la présen
mais diversifiées par leur emplacement, l’ordre de leurs phases et le
degré
de leur intensité100. Nous n’y découvrons point d
dévoilé quelques-unes. Si l’on refroidit un membre jusqu’à un certain
degré
déterminé, il conserve la sensation de contact, m
et les assimilations moléculaires du nerf, se fassent avec un certain
degré
de vitesse. À un degré moindre, le nerf n’est plu
léculaires du nerf, se fassent avec un certain degré de vitesse. À un
degré
moindre, le nerf n’est plus capable de ce type sp
pe spécial d’action qui éveille la sensation de douleur, quoique à ce
degré
il soit encore capable de ce type spécial d’actio
dit encore Weber, la sensation de pression et le discernement de ses
degrés
si nombreux et si différents ne sont possibles qu
smettre qu’une seule et même sensation, laquelle n’est capable que de
degrés
… Mais les excitants extérieurs ordinaires n’attei
ncelle de feu. » — Autre analogie : on sait que, portées à un certain
degré
, les sensations de chaleur et de froid, comme cel
s, et croissantes d’un minimum à un maximum à travers une infinité de
degrés
intermédiaires. Le total est la sensation de l’ac
Le total est la sensation de l’accord ut mi, un composé du cinquième
degré
, comme tel produit en chimie organique. — Pareill
multanées de couleur, le rouge, le violet et le vert, chacune avec un
degré
particulier d’intensité. En quatrième lieu, chacu
es et croissantes d’un minimum à un maximum à travers une infinité de
degrés
. Telle est la sensation du blanc, un composé du c
elle est la sensation du blanc, un composé du cinquième ou du sixième
degré
. Cette analyse dégage trois principes importants.
énement infinitésimal, imperceptible aux sens, le mouvement, dont les
degrés
et les complications constituent le reste, phénom
e un événement infinitésimal, imperceptible à la conscience, dont les
degrés
et les complications constituent le reste, sensat
79. « Les personnes affectées d’achromatopsie ne distinguent que les
degrés
du clair et du sombre, ne voient les objets que t
e, mais encore celle de le diriger exactement et d’apprécier tous les
degrés
de la contraction musculaire ; du côté gauche, c’
emiers croisements et celle des hybrides. — II. La stérilité varie en
degré
; elle n’est pas universelle ; les croisements en
ssi stériles que Gærtner paraît le croire. II. La stérilité varie en
degré
; elle n’est pas universelle ; les croisements en
lité des croisements entre espèces diverses varie considérablement en
degré
et disparaît insensiblement ; d’autre part, que l
que tout croisement entre espèces distinctes soit frappé d’un certain
degré
de stérilité. La différence des faits constatés d
ralement les deux règnes du monde organisé. On a déjà remarqué que le
degré
de fécondité, soit des premiers croisements, soit
re, c’est la rapidité avec laquelle la corolle se fane. Or, depuis ce
degré
extrême de la stérilité, nous avons des hybrides
s conditions de vie défavorables que celle des espèces pures. Mais le
degré
de cette fécondité est également variable en vert
ues. Nul jusqu’ici n’a encore pu découvrir quelle est la nature ou le
degré
des différences apparentes, ou du moins reconnais
té d’opérer des croisements réciproques est très commune à un moindre
degré
. Il l’a remarquée entre deux formes aussi étroite
ganiques se confondent par leur mélange ? Mais pourquoi donc alors le
degré
de stérilité est-il si différent, selon que le cr
her le mélange de celles-ci et de celles-là ? Pourquoi donc encore le
degré
de stérilité est-il variable, par prédisposition
hybrides et ensuite arrêter la propagation subséquente par différents
degrés
de stérilité, qui ne sont en aucune façon corréla
système reproducteur a été spécialement affecté, bien qu’à un moindre
degré
que lorsque la stérilité en résulte. Il en est de
donc point surprenant que leur stérilité, bien que variable à certain
degré
, diminue rarement. Cependant il faut bien avouer
avait été exceptionnellement modifié de quelque manière ou en quelque
degré
. Rien n’est donc plus difficile que d’établir la
anchées ; ce qui montre avec toute évidence que la différence dans le
degré
de variabilité des uns et des autres tend à dimin
s, les métis soient en somme plus variables que les hybrides. Mais ce
degré
supérieur de variabilité chez les métis n’a rien
le fait est vrai, je puis affirmer que ce n’est qu’une différence de
degré
qui n’a rien d’absolu. Gærtner insiste surtout su
de l’enfant à ses parents sont absolument les mêmes, quel que soit le
degré
de ressemblance des parents entre eux, c’est-à-di
ement stériles. Cette stérilité est susceptible de présenter tous les
degrés
possibles, et elle est parfois si peu sensible, q
ble d’être affectée par des conditions favorables ou défavorables. Le
degré
de stérilité des croisements n’est pas toujours e
que les croisements entre espèces aient été spécialement frappés d’un
degré
de stérilité, variable pour chacune d’entre elles
es ont été spécialement doués d’une incapacité, également variable en
degré
et sous d’autres rapports encore fort analogues,
la plus haute, il n’y a pas opposition de nature, mais différence de
degré
, chacune n’étant qu’une des innombrables manifest
ents compliqués de l’homme adulte, le progrès se fait chaque jour par
degré
infinitésimal ; il est certain aussi qu’entre les
ondance, sous ses formes les plus hautes et les plus basses. Aussi le
degré
de vie varie comme le degré de correspondance. La
plus hautes et les plus basses. Aussi le degré de vie varie comme le
degré
de correspondance. La vie est riche ou pauvre sel
la réalité concrète ou abstraite du monde, il y a place pour tous les
degrés
possibles de correspondance ; mais le parallélism
lle-ci faible au début, s’affermissant peu à peu et se complétant par
degrés
. Suivons-le pas à pas dans cette exposition synth
. Suivons-le pas à pas dans cette exposition synthétique. Au plus bas
degré
, la correspondance entre l’être vivant et son mil
ation, la couleur, la texture, la dureté, le clivage, la fracture, le
degré
de transparence, l’éclat, le poids spécifique, le
ivers éléments. La coordination des correspondances parcourt tous les
degrés
possibles, depuis celle de l’animal poursuivi, qu
conduit à cette conclusion nécessaire, que l’intelligence n’a pas de
degrés
distincts, qu’elle n’est pas formée de facultés r
hénomènes les plus élevés sont les effets d’une complication qui, par
degrés
insensibles, est sortie des éléments les plus sim
’en serait pas moins vrai que la vie psychique, dans ses hauts et bas
degrés
, ne se distingue pas ainsi de l’autre ; mais que
ortes de rapports, l’un intime, l’autre tout fortuit, il y a tous les
degrés
possibles de cohésion. Pour que la correspondance
ance se réalise, il faut que l’intelligence reproduise aussi tous ces
degrés
. Aux séquences et coexistences fortuites, ou simp
nce in abstracto et les intelligences existantes la remplissent à des
degrés
plus ou moins imparfaits. » L’intelligence consid
hases successives de son développement. Action réflexe à son plus bas
degré
, elle devient instinct ; et de là sortent d’une p
vient mémoire. « Se rappeler la couleur rouge, c’est être à un faible
degré
dans cet état psychique que la présentation de la
Se rappeler un mouvement fait avec le bras, c’est sentir, à un faible
degré
, la répétition de ces états internes qui accompag
mencement d’excitation nerveuse. Il consiste à ressentir, à un faible
degré
, un mouvement, une sensation, une impression. Mai
é d’organiser les expériences ? — d’où proviennent les différences en
degrés
de cette faculté, possédée par diverses races d’o
riences que leur donne la vie domestique, n’arriveraient-ils pas à un
degré
égal et à une même espèce d’intelligence ? Compri
ès se fait par addition, par accroissement en complexité. Au plus bas
degré
, le désir ; puis quelques impulsions simples, cor
considérable et qui, dans le cas actuel, devient actif à un très haut
degré
. A cela il faut ajouter le sentiment que les phré
plus que tous les autres, l’amour de l’approbation est satisfait à un
degré
qui dépasse toutes les expériences antérieures :
iberté, la sympathie. Tous ces sentiments excités chacun au plus haut
degré
et tendant, chacun en particulier, à réfléchir so
al n’en voient qu’un petit nombre. Il n’y a donc qu’une différence de
degré
. Toute l’œuvre de la psychologie analytique, c’es
ent indéfinie. Il n’y a qu’une égalité, tandis qu’il peut y avoir des
degrés
sans nombre d’inégalités. » De là résulte une no
mme semblables ou dissemblables ; et comme la ressemblance à tous les
degrés
possibles, la probabilité des conclusions varie d
cité enfantine. L’auteur, prenant la vie psychologique à son plus bas
degré
, l’amène par additions successives à sa plénitude
sont exactement semblables aux deux fermes de l’autre en espèce et en
degré
, mais exactement l’inverse dans leur ordre de suc
où l’attention commence et où elle finit ; car elle comporte tous les
degrés
depuis l’instant fugitif accordé à une mouche qui
nce ou de décroissance continues. L’attention choisit entre plusieurs
degrés
de pression pour les comparer. Certaines erreurs
ste, qui, bien à tort, se réclame de lui. La surprise, à un plus haut
degré
l’étonnement, est un choc produit parce qui est n
énergiquement ; les yeux S’ouvrent largement ainsi que la bouche… Le
degré
auquel s’ouvrent ces deux organes correspond à l’
rte résistance. Ce sont les deux pôles entre lesquels il y a tous les
degrés
possibles, avec un point où, au moins en théorie,
fectif que Preyer appelle l’« émotion d’étonnement ». À son plus haut
degré
, cet état produit l’immobilité temporaire des mus
e l’appétit de l’intelligence et qui se rencontre chez tous à quelque
degré
, si faible qu’il soit. Dans la deuxième période,
fisante aux exigences de la vie sociale ; ils sont capables à quelque
degré
d’attention volontaire. Mais bien petit est le no
cet état de concentration par arrêt des mouvements atteint souvent un
degré
extraordinaire : nous en parlerons plus loin. Rap
déterminé, existant « dans l’âme », différant de la perception non en
degré
, mais eu nature, lui ressemblant « tout au plus c
y a identité de nature, identité de siège et seulement différence de
degré
. L’image n’est pas une photographie, mais une rév
érales, est une thèse insoutenable ; il n’en explique que le plus bas
degré
, ne pouvant agir que sur de grosses ressemblances
en plus faibles, des analogies de moins en moins nombreuses. Tous les
degrés
de cette marche ascendante se rencontrent dans l’
s sans mot, images génériques avec mot, mot sans images. A ce dernier
degré
, nous trouvons les concepts purement scientifique
s éléments moteurs dans les perceptions, les images et, à plus faible
degré
, dans les concepts. Toutefois, cela n’établit pas
les muscles de la peau, en particulier ceux de l’occiput, avaient un
degré
très net de sensibilité morbide, chaque fois que
t dans les yeux, dirigée de côté dans les oreilles et variant avec le
degré
de l’attention, suivant que nous regardons attent
ue cela a été fait, que la conscience de l’effort, peut avoir quelque
degré
de plausibilité, être attribuée au courant centri
t différences avec l’attention. — L’extase : ses variétés, les divers
degrés
de l’extase. État de monoïdéisme complet. — 2° At
s, ou bien n’apparaissent que par éclairs. Cela se rencontre à divers
degrés
chez les idiots, les imbéciles, les faibles d’esp
plus légère de l’idée fixe. L’état de préoccupation nous conduit à un
degré
plus haut : le souci d’une personne malade, d’un
les hypocondriaques. On peut en suivre l’évolution, en noter tous les
degrés
; car cette maladie en comporte un grand nombre d
s deux aucune différence de nature ; il n’existe qu’une différence de
degré
; l’idée fixe a plus d’intensité et surtout plus
de l’idée, qui est normale, mais dans sa quantité, son intensité, son
degré
. Réfléchir sur l’origine des choses ou l’utilité
nir, avec Buccola, « que l’idée fixe est l’attention à son plus haut
degré
, le terme extrême de sa faculté d’inhibition ». I
Maury s’exprime encore plus explicitement. « Une simple différence de
degré
sépare l’extase de l’action de fixer avec force u
pour l’idée fixe, on peut, entre l’état normal et l’extase, noter des
degrés
intermédiaires. Les hommes doués d’une puissante
attention dépendent de la vie affective et d’elle seule. Laissons les
degrés
intermédiaires pour arriver à l’extase franche, e
atteindre, il y a sept demeures à parcourir ; on la franchit par sept
degrés
d’« oraison ». Au stade préparatoire, on est enco
rète : la prière à haute voix, la parole articulée produit un premier
degré
de concentration, ramène dans une voie unique la
roulant en série. L’« oraison de recueillement » marque le troisième
degré
. Ici, je l’avoue, l’interprétation m’embarrasse.
e manière d’entendre cesse lorsque le ravissement est à son plus haut
degré
. » Qu’est-ce donc que la septième et dernière dem
Ce n’est pas, à mon avis, une vaine distinction que celle de ces deux
degrés
d’extase. À son plus haut degré, l’abolition même
ne distinction que celle de ces deux degrés d’extase. À son plus haut
degré
, l’abolition même de la conscience est atteinte p
tte manière d’entendre cesse quand le ravissement est à son plus haut
degré
. » On en pourrait citer d’autres empruntés au mêm
e nous a permis de suivre la conscience peu à peu jusqu’à son dernier
degré
de concentration, jusqu’au monoidéisme absolu ;
a forme discursive : elle ne diffère d’une attention très forte qu’en
degré
. Seuls les grands mystiques, d’un élan plus vigou
nts se succèdent avec une telle rapidité qu’ils atteignent à peine le
degré
de la conscience complète et que souvent, pour le
t un groupe d’états assez nombreux où l’attention ne peut dépasser un
degré
très faible. Ce n’est pas qu’elle ait à lutter, c
out son éclat et consume tout le gaz, c’est l’hypnose avec ses divers
degrés
Cette théorie de l’« attention concentrée » a su
e rapproche-t-il pas plutôt de l’idée fixe ? IV L’idiotie a des
degrés
, de la nullité complète de l’intelligence jusqu’à
pouvoir fermer les yeux pins d’une minute ou deux49. » Au plus bas
degré
, ils n’ont pas même l’attention spontanée de l’an
s l’idée fixe faible ; la ligne se bifurque pour représenter les deux
degrés
extrêmes, l’idée fixe confirmée et l’extase. Reve
science. — Ces états impliquent toujours une innervation motrice à un
degré
quelconque. — Sur la condition physique la plus g
nclination, un désir impliquent toujours une innervation motrice à un
degré
quelconque. Le carnassier qui a saisi sa proie et
éalisés, mais la plus légère impulsion les fait passer à l’acte. À un
degré
plus faible, l’animal rôde, cherchant des yeux et
on motrice est beaucoup moins forte et vaguement adaptée. Enfin, à un
degré
plus faible encore, il est en repos dans sa taniè
aduit par aucun mouvement visible. Il est certain qu’entre ces quatre
degrés
il y a continuité et qu’il y a toujours en jeu un
mination nette : la nonchalance intellectuelle, la rêverie à tous ses
degrés
. Eliminons les états de passion et d’agitation vi
re eux, peuvent être composés d’éléments semblables ; qu’à un certain
degré
de simplicité leurs éléments ne sont plus aperçus
émentaires, celles-ci de même, et ainsi de suite ; qu’à chacun de ces
degrés
de composition le total se présente à nous avec u
composition chimique. Les deux règnes se confondent si bien par leurs
degrés
inférieurs, que plusieurs groupes, entre autres l
indications de la science concourent à le représenter comme autre en
degré
, mais le même en nature160 ; ce que nous appelons
la même réduction s’opèrent dans les événements moraux ; au plus haut
degré
de complication, ils constituent les images, les
tes et ces sensations rudimentaires que dénote l’action réflexe ; aux
degrés
suivants, ils sont encore des événements de la mê
tion diminuant avec celle du mouvement moléculaire, tant qu’enfin, au
degré
le plus simple de l’événement physique, correspon
enfin, au degré le plus simple de l’événement physique, correspond le
degré
le plus simple de l’événement moral. V La n
our aller jusqu’au sommet dont nous n’avons aucune idée précise. Tout
degré
, de complication d’un côté de l’échelle indique d
ré, de complication d’un côté de l’échelle indique de l’autre côté un
degré
de complication égal. Des deux côtés, à la base d
asse dans un temps très court par une série rigoureusement infinie de
degrés
. D’un côté à l’autre, depuis la base jusqu’au som
même groupe, il existe des animaux carnivores qui présentent tous les
degrés
intermédiaires entre des habitudes véritablement
une d’elles ne se soit formée successivement en passant par les mêmes
degrés
d’organisation que les Écureuils volants actuels,
r pour eux. Il ne faut pas inférer de ces observations que ces divers
degrés
d’imperfection dans la structure des ailes, imper
fection qui peut être le résultat du défaut d’exercice, indiquent les
degrés
naturels au moyen desquels tous les oiseaux ont a
peler sans cesse que les diverses formes organiques, qui ont servi de
degrés
de transition entre cet état de haute perfection
. La raison me dit que, si on peut démontrer qu’il existe de nombreux
degrés
de transition, depuis l’œil le plus parfait et le
iqué jusqu’à l’œil le plus imparfait et le plus simple, chacun de ces
degrés
de perfection étant utile à celui qui en jouit ;
ibrations moins subtiles qui produisent le son. Dans la recherche des
degrés
successifs de perfection par lesquels un organe a
collatéraux de la même souche originelle, afin de voir quels sont les
degrés
possibles. Il y a ainsi quelque probabilité que c
t les degrés possibles. Il y a ainsi quelque probabilité que certains
degrés
transitoires de perfection se soient transmis dep
ci, beaucoup trop brièvement, montrent cependant combien il existe de
degrés
divers dans la structure des yeux de nos crustacé
ction naturelle, bien qu’en pareil cas nous ne connaissions aucun des
degrés
de transition au moyen desquels cet organe a succ
des circonstances diverses, peuvent, de quelque manière et en quelque
degré
, tendre à produire une image plus distincte. Nous
représentants de cette classe se sont transformés. Pour découvrir les
degrés
primitifs de transition à travers lesquels cet or
lus ou moins complétement, les caractères de l’espèce par insensibles
degrés
. Quelques plantes, telles que certaines Légumineu
une difficulté toute spéciale. Il est impossible d’imaginer par quels
degrés
successifs d’aussi merveilleux organes se sont fo
pris de constater combien il est rare qu’on ne puisse trouver quelque
degré
intermédiaire de structure conduisant progressive
ls il doit lutter sans cesse pour vivre. Or, tel est bien en effet le
degré
de perfection atteint par la nature. Les producti
niment variables, ni reliées les unes aux autres par une multitude de
degrés
intermédiaires. Ce résultat provient en partie de
par sélection naturelle ; cependant, si nous connaissons une série de
degrés
intermédiaires de complication et de perfection,
antes, il acquière graduellement par sélection naturelle le plus haut
degré
de complication et de perfection qu’on puisse con
une supériorité relative dans la bataille de la vie ; c’est-à-dire un
degré
de perfection mesuré aux ressources locales. Il s
l’eau. La postérité de ce premier groupe, ainsi modifiée à différents
degrés
et en différents sens, dut multiplier rapidement
-même, par une longue série de transformations inconnues, dont chaque
degré
aurait été représenté par des groupes nombreux, p
endants collatéraux d’anciens reptiles, encore en voie d’affecter par
degrés
l’organisation interne des oiseaux, ils ne se fus
ire, s’élevant dans les couches supérieures des eaux, préludaient par
degrés
successifs et par un nombre considérable de group
léculaires, insensibles dans un muscle ordinaire, peuvent devenir par
degrés
sensibles et de plus en plus puissants dans un mu
s sensibles et de plus en plus puissants dans un muscle affectant par
degrés
la disposition myologique des organes électriques
à ne se perpétuer que chez celles où elle avait atteint le plus haut
degré
possible de force et de perfection, tandis qu’ell
d un coin de l’âme et gagnerait peu à peu de la place. A son plus bas
degré
, elle ressemble assez à une orientation de nos ét
i changerait de grandeur. On montrerait sans peine que les différents
degrés
de la tristesse correspondent, eux aussi, à des c
Pour comprendre comment le sentiment du beau comporte lui-même des
degrés
, il faudrait le soumettre à une minutieuse analys
comprend alors pourquoi l’émotion esthétique nous paraît admettre des
degrés
d’intensité, et aussi des degrés d’élévation. Tan
esthétique nous paraît admettre des degrés d’intensité, et aussi des
degrés
d’élévation. Tantôt, en effet, le sentiment suggé
tat d’hypnose ; et ces phases correspondent moins à des variations de
degré
qu’à des différences d’état ou de nature. Mais le
la richesse de ce sentiment lui-même : en d’autres termes, à côté des
degrés
d’intensité, nous distinguons instinctivement des
, à côté des degrés d’intensité, nous distinguons instinctivement des
degrés
de profondeur ou d’élévation. En analysant ce der
correspondent donc à des changements d’état survenus en nous, et les
degrés
de profondeur au plus ou moins grand nombre de fa
par eux la frayeur devient une émotion, susceptible de passer par des
degrés
différents d’intensité. Supprimez-les entièrement
dépendent plus de nous. Il faut remarquer en outre qu’on s’élève par
degrés
insensibles des mouvements automatiques aux mouve
ement représentative, sa cause extérieure ne peut dépasser un certain
degré
de force ou de faiblesse sans provoquer de notre
ntendre de la même manière. Les sensations de son nous présentent des
degrés
bien accusés d’intensité. Nous avons déjà dit qu’
ations de chaud et de froid une distinction de nature, et non plus de
degré
. Mais l’observation psychologique va plus loin, c
ger constituent pour notre conscience des genres différents, mais les
degrés
de légèreté et de lourdeur sont autant d’espèces
une surface blanche par exemple, passe successivement par différents
degrés
de luminosité. Nous devons insister tout particul
culièrement sur ce dernier point. La physique nous parle en effet des
degrés
d’intensité lumineuse comme de quantités véritabl
e l’expérience et la science nous apprennent. On en dirait autant des
degrés
de saturation. En effet, si les diverses intensit
de nuances différentes comprises entre cette couleur et le noir, les
degrés
de saturation sont comme des nuances intermédiair
ous apparaîtraient alors comme autant de notes d’une gamme, comme des
degrés
plus ou moins élevés dans une échelle, comme des
servateurs différents augmente d’une manière à peu près continue de 3
degrés
à 94, de 5 à 73, de 10 à 25, de 7 à 40. Mais lais
. Ainsi, rien n’empêcherait de mesurer la sensation de chaleur par le
degré
de température ; mais ce ne serait là qu’une conv
nt en pleine lumière : « On dira, par exemple, qu’une sensation de 50
degrés
est exprimée par le nombre de sensations différen
uccéderaient depuis l’absence de sensation jusqu’à la sensation de 50
degrés
… Je ne vois pas qu’il y ait là autre chose qu’une
otre corps est un instrument d’action, et d’action seulement. À aucun
degré
, en aucun sens, sous aucun aspect il ne sert à pr
S’agit-il de la perception extérieure ? Il n’y a qu’une différence de
degré
, et non pas de nature, entre les facultés dites p
en sont la cause, S’ils suffisent à la produire, je vais retomber, de
degré
en degré, sur l’hypothèse matérialiste de la cons
a cause, S’ils suffisent à la produire, je vais retomber, de degré en
degré
, sur l’hypothèse matérialiste de la conscience-ép
distinguer, on ne peut plus trouver entre elles qu’une différence de
degré
. Alors, profitant de ce que la sensation affectiv
e la perception, puisqu’il n’y a entre la présence et l’absence aucun
degré
, aucun milieu. D’où cette double thèse, inverse d
e chose qu’une fonction du cerveau, et il n’y a pas une différence de
degré
, mais de nature, entre la perception et le souven
n’y a pas entre le souvenir et la perception une simple différence de
degré
, mais une différence radicale de nature. VII.
anglais est là. Cet idéalisme consiste à ne voir qu’une différence de
degré
, et non pas de nature, entre la réalité de l’obje
mi d’autres contiguïtés, ne s’opère donc pas au hasard : il dépend du
degré
sans cesse variable de tension de la mémoire, qui
s (d’où une indication pour subdiviser l’étendue), et qu’on passe par
degrés
insensibles de l’affection à la perception (d’où
on celle de l’inétendu à l’étendu. Extension et tension admettent des
degrés
multiples, mais toujours déterminés. La fonction
pure, de substituer par là à des réalités souples, qui comportent des
degrés
, des abstractions rigides, nées des besoins de l’
tion de l’astronomie, à conduire finalement l’art de la navigation au
degré
de perfectionnement qu’il a atteint dans ces dern
s à servir de bases directes aux procédés généraux de la pratique. Au
degré
de développement déjà atteint par notre intellige
de plus, que, quand même la physique concrète aurait déjà atteint le
degré
de perfectionnement de la physique abstraite, et
urel, n’est applicable qu’à une science déjà parvenue à un assez haut
degré
de développement. Mais à mesure que la science fa
e fondement de l’étude de la suivante. Cet ordre est déterminé par le
degré
de simplicité, ou, ce qui revient au même, par le
erminé par le degré de simplicité, ou, ce qui revient au même, par le
degré
de généralité des phénomènes, d’où résulte leur d
les par la dépendance successive de leurs phénomènes, fixe ainsi leur
degré
de facilité. En même temps, par une considération
, sans exercer sur eux aucune influence. Entre ces deux extrêmes, les
degrés
de spécialité, de complication et de personnalité
daires, d’après une considération unique constamment suivie, celle du
degré
d’abstraction plus ou moins grand des conceptions
e des différentes sciences, laquelle consiste essentiellement dans le
degré
de précision des connaissances et dans leur coord
hématique, ce qui est le moyen de procurer à cette étude le plus haut
degré
possible de précision et de coordination, se trou
ossière, est encore extrêmement commune. Elle consiste à confondre le
degré
de précision que comportent nos différentes conna
é de précision que comportent nos différentes connaissances avec leur
degré
de certitude, d’où est résulté le préjugé très da
e toute autre, pourvu qu’elle sache renfermer ses conclusions dans le
degré
de précision que comportent les phénomènes corres
ue, par l’extrême simplicité de leurs phénomènes, elles comportent un
degré
infiniment plus parfait de systématisation, qui a
ation, fondé sur la dépendance successive des sciences en résultat du
degré
d’abstraction de leurs phénomènes respectifs, qui
e-même, on ne trouvera plus entre ces deux états qu’une différence de
degré
ou d’intensité. De là la distinction des états fo
iver alors, en effet, si les deux états différaient simplement par le
degré
, qu’à un certain moment la sensation se métamorph
e à n’établir entre le souvenir et la perception qu’une différence de
degré
est plus qu’une simple conséquence de l’associati
peut trouver entre la perception et le souvenir qu’une différence de
degré
, la perception déplaçant le souvenir et constitua
a bien autre chose entre le passé et le présent qu’une différence de
degré
. Mon présent est ce qui m’intéresse, ce qui vit p
en est précisément qu’on s’obstine à ne trouver qu’une différence de
degré
, et non pas de nature, entre les sensations actue
tré en effet que les objets situés autour de nous représentent, à des
degrés
différents, une action que nous pouvons accomplir
éterminent les uns les autres. Mais ces deux conditions admettent des
degrés
, et on conçoit que, nécessaires l’une et l’autre,
ce, au sens empirique du mot, implique toujours à la fois, mais à des
degrés
différents, l’appréhension consciente et la conne
tage de la pratique, l’ordre réel des choses, nous subissons à un tel
degré
l’obsession des images tirées de l’espace, que no
e-t-il, sans la considération abstraite des qualités communes, et, de
degré
en degré, le nominalisme va être amené à définir
ans la considération abstraite des qualités communes, et, de degré en
degré
, le nominalisme va être amené à définir l’idée gé
que nous paraissons former le long de ce mouvement épuisent tous les
degrés
successifs de la contiguïté et de la ressemblance
tion du moment pour lui présenter la face la plus utile. A ces divers
degrés
de contraction correspondent les formes variées d
tuelle. Elles répondent à deux dispositions mentales diverses, à deux
degrés
distincts de tension de la mémoire, ici plus rapp
s est déterminé lui-même par les nécessités du moment et aussi par le
degré
variable de notre effort personnel, serait une en
plan qu’il avait choisi de la vie mentale. La mémoire a donc bien ses
degrés
successifs et distincts de tension ou de vitalité
ntérieure, à un événement donné, il y a donc une simple différence de
degré
, et non pas de nature. De ces diverses considér
cher à la réalité présente par quelque côté, c’est-à-dire pouvoir, de
degré
en degré et par des diminutions ou contractions p
réalité présente par quelque côté, c’est-à-dire pouvoir, de degré en
degré
et par des diminutions ou contractions progressiv
ment altéré ; mais nous ignorons, du moins quant à présent, par quels
degrés
de modification et pour quelle fin une plante pro
que des changements de cette nature dussent s’effectuer par de lents
degrés
? Et cependant, tout récemment, M. Lubbock a mont
s importantes pour nous sont celles qui, possédant jusqu’à un certain
degré
le caractère d’espèces, présentent cependant de p
ui s’accouplent pour chaque parturition et qui jouissent au plus haut
degré
de la faculté de locomotion, les formes douteuses
ui montre pour le moins combien il est général qu’il y ait un certain
degré
de variation. Mais s’il concentre son attention s
re les variétés un peu plus distinctes et plus permanentes, comme les
degrés
qui conduisent à des variétés plus permanentes et
ormant le passage aux sous-espèces et aux espèces. La transition d’un
degré
de différence à un autre plus élevé peut être att
pu prévoir ces résultats : car les variétés, pour acquérir un certain
degré
de permanence, ont nécessairement à lutter avec l
de chance de laisser une postérité qui, bien que modifiée en quelque
degré
, hérite cependant des avantages qui assurent à l’
nsi que les formes vivantes à travers le monde entier se divisent par
degrés
en groupes subordonnés à d’autres groupes. 59.
ultat très ultérieur de l’évolution mentale ; de plus, même à ce haut
degré
d’évolution qui caractérise l’intelligence contem
c, et une image faible du rouge à l’état naissant, c’est-à-dire trois
degrés
et trois espèces de représentations différemment
ue, en écoutant une cloche lointaine, quand le son atteint un certain
degré
de faiblesse, on ne sache plus si ce qu’on entend
enue la sensation du vent, et cette perception de la gravure, avec le
degré
précis d’intensité qu’elle avait à ce moment, s’e
me temps l’image de la gravure, qui subsistait encore avec son second
degré
d’intensité, s’est combinée (ainsi que celle du v
upplantée par la sensation de bougie éteinte, est descendue au second
degré
d’intensité, tandis que l’image du coup de vent é
intense de vent violent ; image de la gravure descendue à son second
degré
d’intensité. Combinaison des deux états de consci
nse de fenêtre ouverte ; image du coup de vent descendue à son second
degré
d’intensité ; image de la gravure descendue à son
ond degré d’intensité ; image de la gravure descendue à son troisième
degré
d’intensité. Combinaison des trois états dans l’é
ion intense de bougie éteinte ; image de la fenêtre ouverte au second
degré
d’intensité, du vent au troisième degré, de la gr
la fenêtre ouverte au second degré d’intensité, du vent au troisième
degré
, de la gravure au quatrième. Combinaison dans l’é
e avec laquelle elle rappelle la fenêtre ouverte est proportionnée au
degré
d’intensité et de clarté qu’elle avait au moment
la sensation de fenêtre ouverte ; or, ce n’était plus que son second
degré
d’intensité. Donc elle tendra moins à rappeler la
leur pleine intensité et clarté, parce qu’elles possédaient toutes ce
degré
au moment de sa combinaison avec elles. Au contra
ux termes. De plus, elle ne tendra pas à les rappeler avec leur plein
degré
d’intensité, mais seulement avec le degré qu’ils
es rappeler avec leur plein degré d’intensité, mais seulement avec le
degré
qu’ils avaient au moment de la combinaison. Dès l
arrière, mais renaissance simultanée des termes antécédents avec des
degrés
divers d’obscurité. Ce premier moment est ce que
ent, image à demi intense du vent et image de la gravure au troisième
degré
d’intensité : c’est le côté du passé ; d’autre pa
à l’expérience ; c’est, au contraire, l’expérience même parvenue à ce
degré
d’évolution où elle est capable de se réfléchir s
ce degré d’évolution où elle est capable de se réfléchir sur soi. Ce
degré
n’existe guère véritablement que chez l’homme, et
l’intelligence, qui, de représentations d’abord isolées, s’élève par
degrés
à la représentation d’une série intensive, extens
Analogie probable de ces événements et des sensations élémentaires. —
Degrés
successifs et correspondance constante du mouveme
ses profondeurs de l’eau. Nous ayons constaté de plus qu’à un certain
degré
de profondeur cette roche qui disparaît n’en subs
subsiste pas moins et se prolonge indéfiniment, puisque à un certain
degré
de brièveté ou de faiblesse la sensation, quoique
u nerf change, l’excitant a beau être le même, la sensation change de
degré
, ou même de qualité. Par exemple, si le nerf est
arfois ; si son action se produisait encore selon l’ordre et avec les
degrés
ordinaires, le monde extérieur, et tout ce qui da
iverses fibres entrassent en action dans l’ordre compliqué et avec le
degré
exact que l’excitant extérieur peut seul leur imp
ses races d’hommes, « le volume de l’encéphale est en rapport avec le
degré
de l’intelligence ». — Toutes ces présomptions se
néral de gaîté ou de tristesse. Chaque image peut passer par tous les
degrés
d’éclat et de pâleur ; à une certaine limite, ell
s que pour cela elle s’éteigne et sans que nous sachions jusqu’à quel
degré
d’affaiblissement elle peut descendre. — On peut
nt, des myriades d’actions corticales, y subsistent ensemble à divers
degrés
de vivacité ou de langueur, d’obscurité ou de cla
r nature, hors des prises de la conscience. — Il y aurait ainsi trois
degrés
dans la sensation. Au plus haut degré, dans les l
nce. — Il y aurait ainsi trois degrés dans la sensation. Au plus haut
degré
, dans les lobes, la sensation devient capable de
, la sensation devient capable de réviviscence et s’appelle image. Au
degré
moyen, dans la protubérance, la sensation, incapa
ce, la sensation, incapable de réviviscence, reste brute. Au plus bas
degré
, dans la moelle, elle est à un état plus incomple
t avec d’autres pour faire un total. — Pareillement il y aurait trois
degrés
de complication dans l’action des centres nerveux
degrés de complication dans l’action des centres nerveux. Au plus bas
degré
, dans la moelle, naissent des actions fragmentair
provoquent les sensations élémentaires nulles pour la conscience. Au
degré
moyen, dans la protubérance, ces mêmes actions tr
ction totale qui provoque la sensation totale ordinaire. Au plus haut
degré
, dans les lobes, cette action totale, une seconde
à la sensation. Les premiers provoquent toujours, les seconds, et le
degré
de complication qu’on trouve dans les uns se trad
de complication qu’on trouve dans les uns se traduit, toujours par un
degré
de complication égal dans les autres. — À un cert
urs par un degré de complication égal dans les autres. — À un certain
degré
, les seconds peuvent être connus par une voie par
oie particulière et intime qu’on appelle conscience ; mais, même à ce
degré
, il arrive le plus souvent qu’ils ne sont pas con
ont chacune composées d’un minimum, d’un maximum avec une infinité de
degrés
intermédiaires, il faut admettre que, dans la cel
été composées chacune d’un minimum, d’un maximum avec une infinité de
degrés
intermédiaires ; de plus, si la sensation de son
on a cessé, son image dure plus ou moins longtemps, eu s’effaçant par
degrés
, comme un écho indéfiniment répété et de plus en
, 709 (Poules et Pigeons). 140. Cette transmission peut avoir divers
degrés
de rapidité. Voir la note 3 à la fin du volume.
ue l’humanité aime à reconnaître pour siens se sont rencontrés. À des
degrés
inférieurs, il est encore d’honorables places à s
s des proportions différentes, serait jugé avoir rempli, au plus haut
degré
, les mêmes conditions ». Dans ces termes, en effe
t réussi sur des théâtres populaires, un ouvrage qui réunît à quelque
degré
les conditions morales, si désirables surtout pou
amilles, et les auteurs du drame La Mendiante, comme dignes à quelque
degré
, et à des titres divers, de la prime proposée. El
t utile, la Commission n’en a trouvé aucun qui lui parût réunir, à un
degré
suffisant, la double condition voulue. Pour parer
une série de différenciations et d’intégrations, sont parvenues à un
degré
d’intensité, de durée et de qualité capable de le
té capable de les rendre distinctes dans la conscience. Par suite, le
degré
de perfectionnement atteint par chaque organe des
’électricité, — que les animaux inférieurs possèdent en germe au même
degré
que la sensation de la lumière ou de la chaleur,
s et James Ward, — où chaque mouvement procède de tous les autres par
degrés
insensibles. Au contraire, dans le monde des sens
re tout d’un coup un nouvel organe sensitif. Il a fallu traverser des
degrés
sans nombre pour transformer peu à peu la sourde
ible que la sensation de la lumière solaire. C’est par les différents
degrés
de nos sensations de lumière que l’on a classé le
ngement dont j’ai conscience me paraît plus ou moins intense selon le
degré
de modification interne, et ce degré est celui de
t plus ou moins intense selon le degré de modification interne, et ce
degré
est celui de la différence que j’aperçois entre l
sation Vraiment indivisible et simple ; cette sensation a toujours un
degré
divisible ; sans quoi vous ne sauriez la comparer
soi-même, la sensation d’une pluralité. 1° Elle sent une pluralité de
degrés
dans une sensation vive de lumière blanche ; elle
mme une échelle dynamométrique inscrite à l’avance. L’employé lit les
degrés
de pesanteur dans son imagination. La vérité, sel
titue subjectivement la sensation. Plongez la main dans de l’eau à 40
degrés
: si votre main était auparavant dans de l’eau à
l’eau à 40 degrés : si votre main était auparavant dans de l’eau à 10
degrés
, vous aurez une sensation de chaleur ; si elle ét
ous aurez une sensation de chaleur ; si elle était dans de l’eau à 70
degrés
, vous aurez une sensation de fraîcheur. Oui, mais
s nécessaires à son apparition, puisque des différences identiques de
degrés
thermométriques peuvent répondre à des sensations
ne lettre de trente grammes. Dans ce dernier cas, nous parcourons des
degrés
dans un même continuum ; dans l’autre cas, nous f
et senti. Tout processus sensoriel est donc bien en même temps, à des
degrés
divers, émotionnel et moteur. Dès lors, à tous l
l’une de ces planètes est la terre. La terre passe à son tour par des
degrés
divers de condensation. À l’un de ces degrés, ell
passe à son tour par des degrés divers de condensation. À l’un de ces
degrés
, elle est susceptible d’entretenir la vie : à un
À l’un de ces degrés, elle est susceptible d’entretenir la vie : à un
degré
supérieur, elle donne naissance à l’humanité. L’h
toujours en se développant comme la nébuleuse primitive. A un premier
degré
, elle est inconsciente et forme un tout quasi ind
er degré, elle est inconsciente et forme un tout quasi indivis ; à un
degré
supérieur, elle se partage en consciences distinc
e à la loi de la condensation et de la concentration. Or le plus haut
degré
de la concentration connu, c’est la conscience. O
loppe sans cesse ; il n’est pas, il devient, il se fait. Le plus haut
degré
de divinité que nous connaissions est la conscien
sions est la conscience humaine ; mais on peut concevoir un plus haut
degré
de divinité possible, ce serait une concentration
nature, en se développant, suit une ligne continue, ou si à certains
degrés
elle ne franchit pas certains intervalles pour en
gradation et du progrès. Il signifie seulement que la nature agit par
degrés
, qu’elle ne s’élève à une forme qu’après avoir ép
oir épuisé toute la série possible des formes inférieures, que chaque
degré
de l’être contient quelque chose du précédent et
ue chose du précédent et quelque chose du suivant. Que d’ailleurs ces
degrés
successifs soient distincts les uns des autres, e
, et même qu’il puisse y avoir des intervalles plus grands à certains
degrés
de l’échelle, c’est ce qui n’a rien de contraire
pas tout aussi bien des intervalles d’essence que des intervalles de
degré
? Et pour en revenir au point en question, pourqu
eures à celles-là, et enfin une force absolue, jouissant du plus haut
degré
et de la plus haute forme possible de l’activité
affirmerions-nous d’une manière absolue qu’il en est ainsi à tous les
degrés
de l’échelle de la nature ? Soit, dira-t-on ; mai
, ce qu’elle a de commun avec l’animalité, comment dans la nature les
degrés
supérieurs naissent des inférieurs. Dans la litté
ence absolue, — ce n’est autre chose que la nature même à son moindre
degré
: c’est le sommeil de la nature. Non, le Dieu ain
i, offre donc d’immenses difficultés qu’ils n’ont pas connues au même
degré
. Or voici ce qui arrive souvent chez les esprits
e, reconnaissez qu’il y a des sciences de diverse nature et de divers
degrés
. Pourquoi la métaphysique ne serait-elle pas une
firmation d’un être absolu, nécessaire et parfait. Partout où quelque
degré
de réalité se présente à nous dans la nature, nou
r le rendre accessible à notre raison et à notre cœur. Il y a là deux
degrés
d’affirmation qu’il ne faut pas confondre. Je dis
ues, plus dignes d’un théologien que d’un métaphysicien. Cependant un
degré
de réflexion de plus nous y fait découvrir au con
il est en même temps un néant d’être. Il faut donc attribuer quelque
degré
de détermination au principe premier ; mais pourq
uelque degré de détermination au principe premier ; mais pourquoi tel
degré
plutôt que tel autre ? Si vous lui supposez quelq
ne puis concevoir un être parfait, car, par cela seul que je fixe un
degré
de perfection, j’en puis concevoir un plus grand,
s suivant une loi interne et par un progrès latent qui le conduit par
degrés
continus du moins parfait au plus parfait. Dans l
e la nature nous offre trois classes d’êtres, ou, si l’on veut, trois
degrés
d’êtres profondément différents : au premier degr
l’on veut, trois degrés d’êtres profondément différents : au premier
degré
, la matière brute, obéissant à des lois mécanique
ques, se développant en apparence sans raison et sans but ; au second
degré
, la vie, dont le caractère le plus saisissant est
bjet d’un instinct aveugle, d’une activité qui s’ignore. Au troisième
degré
sont les êtres intelligents qui poursuivent le bu
, prouverait contre l’individualité des espèces animales dans les bas
degrés
de l’échelle, mais non pas contre l’hypothèse d’u
mme il n’y a aucune raison de fixer à l’absolu ou à l’être en soi tel
degré
de perfection ou de détermination plutôt que tel
suivantes : C’est d’abord que les organes et les instincts sont, à un
degré
si faible que ce soit, variables. C’est ensuite q
ue utile déviation de structure ou d’instinct. C’est enfin que chaque
degré
de perfection d’un organe quelconque peut avoir e
de perfection d’un organe quelconque peut avoir existé, chacun de ces
degrés
étant bon dans son espèce. La vérité de ces propo
Il est sans doute extrêmement difficile même de conjecturer par quels
degrés
successifs beaucoup d’organismes se sont perfecti
liant les unes aux autres toutes les espèces de chaque groupe par des
degrés
de transition aussi serrés que nos variétés actue
elles ne nous montrent pas entre les espèces passées et présentes les
degrés
de transition infiniment nombreux et serrés que r
peut continuer à se transmettre pendant une suite presque infinie de
degrés
généalogiques. D’autre part, il est prouvé que la
riétés ou espèces naissantes, gardent elles-mêmes, jusqu’à un certain
degré
, le caractère de variétés : car elles diffèrent l
apte l’organisation des habitants d’une contrée que dans la mesure du
degré
de perfectionnement de leurs associés ; nous ne p
des variétés bien tranchées, dont les caractères ont atteint un haut
degré
de permanence, nous pouvons comprendre ce fait :
pourquoi leur postérité hybride suit les mêmes lois complexes dans le
degré
ou la nature de ses ressemblances avec l’une ou l
. » Un théologien célèbre m’écrivait un jour « qu’il avait appris par
degrés
à reconnaître que c’est avoir une conception auss
toujours à admettre tout grand changement dont nous ne voyons pas les
degrés
intermédiaires. C’est une difficulté semblable qu
, entre deux formes quelconques, si elles ne sont pas reliées par des
degrés
intermédiaires, sont regardées, par le plus grand
ce que l’on sait ou l’on croit les unes actuellement reliées par des
degrés
intermédiaires et que les autres l’ont été à une
observe chez toutes les espèces sociales que forment généralement les
degrés
les plus élevés des principales classes du règne
ou précipité, net ou obscur, systématique ou décousu, et jusqu’à quel
degré
. Ce sont donc de grands signes que le choix des m
puis celle de la tempérance, puis celle de la charité et de tous les
degrés
de la charité. La religion vient alors achever la
que pour éclairer la raison, ou pour élever de temps en temps et d’un
degré
seulement le ton ordinaire. Il y a de la force da
c’est par l’observation que, dans l’intimité de la conscience et à un
degré
où Kant n’avait pas pénétré, sous la relativité e
; c’est que je me suis enfoncé dans l’intimité de la conscience, à un
degré
où vous n’avez pas pénétré27. » Je me suis quelq
empêche de se faire illusion et le porte à mesurer perpétuellement le
degré
de probabilité de ce que les autres appellent cer
neraient du public. Il faut qu’il soit au-dessus du public, mais d’un
degré
seulement. On doit ressembler à ceux qu’on persua
té, principe, fin et milieu, au sommet de l’être et à son plus humble
degré
, infini et fini tout ensemble, triple enfin, c’es
, mais seulement que de nombreuses espèces alliées, présentant divers
degrés
de différences, ont été subséquemment découvertes
ets aussi qu’entre les différentes branches ou groupes alliés au même
degré
de consanguinité avec leur commun progéniteur, la
odifiés d’une seule espèce sont représentés ici comme parents au même
degré
de consanguinité. On peut par métaphore les appel
uinité. On peut par métaphore les appeler cousins au même millionième
degré
. Cependant ils diffèrent considérablement et à di
llionième degré. Cependant ils diffèrent considérablement et à divers
degrés
les uns des autres. Les formes descendues de A, m
ui entre des êtres organisés, tous parents les uns des autres au même
degré
de consanguinité, a pu devenir très différente. N
nce à un grand nombre de langues ou de dialectes modernes. Les divers
degrés
de différence entre les langues de même souche se
ujours de la connexion généalogique plus ou moins étroite avec divers
degrés
de modification. La classification des variétés s
’élément généalogique dans ses classifications ; car, dans le dernier
degré
de ses groupements subordonnés, c’est-à-dire dans
utes, quelques-uns de ses caractères, modifiés, il est vrai, à divers
degrés
et de diverses manières ; et ces diverses espèces
rmes de genres, de famille, d’ordre, etc., n’expriment que les divers
degrés
de différence entre les descendants d’un commun a
l’embryon restera sans modification, ou ne sera modifié qu’en moindre
degré
, par les effets de l’usage ou du défaut d’exercic
u très semblables, et que, par conséquent, ils sont parents à ce même
degré
. L’identité de la structure embryonnaire révèle d
les individus de la même espèce, sont très sujets à varier dans leur
degré
de développement ou sous d’autres rapports. De pl
outes un même rudiment d’organe, ce rudiment présente quelquefois des
degrés
très divers de développement ou d’atrophie. On en
udimentaire. Tout changement de fonction qui peut s’effectuer par des
degrés
insensibles est du ressort de la sélection nature
plus grands chez l’embryon que chez l’adulte. Mais si chaque nouveau
degré
d’atrophie s’héritait, non à l’âge correspondant,
ruire n’est que l’arbre généalogique des formes vivantes ; et que les
degrés
divers des différences acquises s’expriment par l
celui de cinquième génération ; car, dans la théorie de l’auteur, un
degré
généalogique ne représente pas un individu et la
ont la plus grande ressemblance attributive possible, au point qu’aux
degrés
les plus immédiats de leur succession généalogiqu
, encore une autre âme, entre nous et les anges Commune en un certain
degré
; Et ce trésor à part créé Suivrait, parmi les ai
t d’existence. C’est ici qu’il faut faire attention et voir comme les
degrés
de la morale de La Fontaine. Si vous me le permet
cela dans une intention qui lui est favorable, je commencerai par le
degré
le plus bas. Ce que La Fontaine nous conseille —
e que La Fontaine nous conseille — j’ai dit que je commencerai par le
degré
le plus bas — c’est la lâcheté, c’est la veulerie
ue j’ai, aujourd’hui du moins, à vous recommander. » Voilà le premier
degré
de La Fontaine moraliste. A un degré un peu au-de
recommander. » Voilà le premier degré de La Fontaine moraliste. A un
degré
un peu au-dessus, ce que La Fontaine nous recomma
second des conseils moraux de La Fontaine, la résignation. Troisième
degré
, en montant toujours, le travail. Il faut travail
bord, puis résignation, puis travail. En quatrième lieu, au quatrième
degré
, toujours en montant, prudence. La prudence, la p
a fable de le Meunier, son Fils et l’Ane. Nous en sommes au quatrième
degré
. Le cinquième est celui-ci : La Fontaine recomman
e que l’auteur est de cette idée pénétré lui-même. Voilà le cinquième
degré
, qui nous rapproche déjà de la morale, pas beauco
teintes, soit entre elles, soit avec les espèces vivantes. — VIII. Du
degré
de développement des formes anciennes, comparé à
nt pas avoir changé avec la même vitesse, ni s’être modifiées au même
degré
. Dans les couches tertiaires les plus anciennes,
ue toute forme qui ne se modifie pas de quelque manière ou en quelque
degré
, doit être sujette à extermination. De là nous po
e d’abord naissance à deux ou trois variétés qui se convertissent par
degrés
en espèces ; que celles-ci à leur tour produisent
irconstance ou plusieurs avaient agi ensemble ou séparément ; en quel
degré
chacune d’elles avait agi et à quelle phase de la
différaient par un moins grand nombre de leurs caractères ; car à ce
degré
généalogique reculé ils ne s’étaient pas encore é
rès inégales et se seraient modifiés très diversement et à différents
degrés
. Comme nous possédons seulement le dernier volume
mutation lente et à peine sensible des formes spécifiques. VIII. Du
degré
de développement des formes anciennes, comparé à
es formes vivantes. — Nous avons vu dans le quatrième chapitre que le
degré
de différenciation et de spécialisation des organ
t beaucoup diminué, tandis que d’autres ordres intermédiaires, par le
degré
de leur organisation, se sont considérablement ac
c une parfaite exactitude, à travers des rapports aussi complexes, le
degré
de supériorité relative des organismes imparfaite
sorte que la succession géologique des formes éteintes est en quelque
degré
parallèle au développement embryogénique des form
escendants modifiés différeront presque de la même manière et en même
degré
. Mais après de longs intervalles et après des cha
ement ensemble, ni avec la même vitesse de transformation, ni en égal
degré
, bien que, dans le cours prolongé du temps, toute
ecueil d’observations. » Il s’agirait, croyons-nous, de préciser le
degré
de vérité de ces attitudes glacées et de ces pose
» par « laparotomie », « membre carbonisé » par « brûlure du sixième
degré
», « jambe broyée » par « fracture comminutive du
À cette ultime période, l’observation artistique — quel que soit son
degré
de vérité scientifique — s’est délibérément écart
isées par nous pour les besoins de l’analyse, se retrouvent à quelque
degré
chez tous. 9. Ce que Tardieu traduit avec une s
mbre de phrase. La définition est ainsi faite en plusieurs temps, par
degrés
successifs, et cette façon de procéder, qui n’est
’une graine, acquiert par des différenciations successives un certain
degré
de développement ; il forme des organes, les uns
x, comparée à l’évolution rapide des corps vivants, une différence de
degré
qui, au point de vue pratique, suffit à les disti
absolu que le croyait Tiedemann ; toutefois, il a, tout au moins, un
degré
d’intensité et d’énergie qui spécialise l’être vi
titution chimique. Est-il possible que les êtres vivants tombent à ce
degré
d’indifférence chimique absolue ? Quelques physio
ment atténuée que ses manifestations échappent à l’observation par le
degré
même de leur affaiblissement. Cela n’est vrai, ni
is ce n’est pas tout. Il faut encore que ces conditions existent à un
degré
, à une dose déterminée ; alors la vie brillera de
e sorte de couche mucilagineuse ; la température ambiante, de 21 à 25
degrés
, était très favorable à la germination, et cepend
mple, la germination n’a pas lieu. Mais cet air lui-même doit être au
degré
convenable de richesse en oxygène. S’il en a trop
us convenable pour une rapide germination est comprise entre 19 et 29
degrés
; au-delà, le développement paraît difficile. 1r
esson à la température ambiante du mois de juin, oscillant de 18 à 25
degrés
. Dès le lendemain, au bout de vingt-quatre heures
éprouvettes ont été laissées à l’air ambiant du laboratoire (17 à 21
degrés
). Les deux autres éprouvettes ont été plongées da
rouvettes ont été plongées dans un bain d’eau chauffée entre 38 et 39
degrés
. Dès le lendemain les graines avaient germé dans
activement. Quant à l’autre éprouvette restée dans le bain de 38 à 39
degrés
, le septième jour elle n’offrait encore aucune tr
laissé les éprouvettes plus de huit jours à la température de 38 à 39
degrés
, la germination n’a plus eu lieu. De sorte que j’
es contenant des graines de cresson alénois dans une étuve sèche à 32
degrés
; elles ont germé très bien quoique peut-être un
germination marchait avec activité. En résumé, on voit que de 35 à 40
degrés
la germination du cresson alénois est ralentie ou
mènes vitaux exige non seulement le concours de la chaleur, mais d’un
degré
de chaleur fixé pour chaque être. Je rapprocherai
avoir qu’on anesthésie les grenouilles à cette même température de 38
degrés
, qui est cependant la température de la vie norma
e ensuite on élève de nouveau la température, c’est seulement vers 20
degrés
qu’on les voit sortir de leur état de mort appare
ont subi un abaissement considérable de température, jusqu’à 15 ou 20
degrés
au-dessous de zéro. Elles résistent moins bien qu
istent moins bien que les rotifères aux températures élevées, et à 70
degrés
au-dessus de zéro elles périssent infailliblement
œufs pendant vingt-quatre heures à l’action d’une température de zéro
degré
, puis, que l’on fasse intervenir la chaleur, le d
l nous avons mis en fermentation de la levure de bière desséchée à 40
degrés
et conservée depuis deux ans ; elle s’est peu à p
lasticité, leur densité, leur ténacité, sont d’abord modifiées par un
degré
de dessiccation de la substance organisée poussée
précédemment signalés. Si on la dessèche lentement (au-dessous de 45
degrés
) elle devient jaune, cassante, en perdant environ
siccation, on peut la soumettre à une température sèche élevée, à 100
degrés
par exemple, sans qu’elle perde la faculté de se
agule lentement ; on fait dessécher à une température inférieure à 45
degrés
le sang contenu dans une veine jugulaire, par exe
l’accomplissement des fermentations, à la fois une température et un
degré
d’humidité convenables ; faute de quoi l’action s
’addition de l’eau, à une température voisine de celle du corps, à 40
degrés
, fera reparaître la digestion suspendue. On compr
vail évolutif dont l’œuf d’oiseau doit être le siège exige un certain
degré
de température assez voisin de celui de l’animal
ément. Si l’on soumet au contraire l’œuf à la température de 38 ou 40
degrés
, l’activité vitale va s’exalter, la respiration,
es limites, si, pour la grenouille, par exemple, elle atteint 37 à 40
degrés
, l’animal se trouve au contraire anesthésié et en
ourdi. Il en est de même pour les graines qui, excitées à germer à 20
degrés
, sont engourdies à 35 degrés. Nous plaçons sous v
les graines qui, excitées à germer à 20 degrés, sont engourdies à 35
degrés
. Nous plaçons sous vos yeux deux grenouilles, l’u
eux deux grenouilles, l’une que nous avons plongée dans de l’eau à 37
degrés
, vous voyez qu’elle est engourdie et ne fait plus
de loi de la nutrition au moyen des réserves est constante et que, au
degré
près, les choses se passent de la même manière da
réglée, en ce sens qu’elle ne saurait augmenter au-delà d’un certain
degré
la quantité d’eau qui existe dans le sang ; les e
la source de la chaleur qu’il conserve dans son milieu intérieur à un
degré
à peu près fixe, 38 à 40 degrés pour les mammifèr
onserve dans son milieu intérieur à un degré à peu près fixe, 38 à 40
degrés
pour les mammifères, 45 à 47 degrés pour les oise
un degré à peu près fixe, 38 à 40 degrés pour les mammifères, 45 à 47
degrés
pour les oiseaux. La régulation calorifique se fa
maux inférieurs ne possèdent point de tube digestif, et que, dans des
degrés
plus élevés, les mâles de certaines espèces, tell
constitution végétale que comme des parties de soutien. À un moindre
degré
, cela se rencontre chez les animaux ; le squelett
tible dans le cas de combustion lente ; à le porter, au contraire, au
degré
où il devient incanheadent dans le cas de combust
anisatrice ou création organique. Cette création organique est à deux
degrés
. Tantôt elle assimile la substance ambiante, pour
assemblage de cellules plus ou moins reconnaissables, modifiées à des
degrés
divers, associées, assemblées de différentes mani
sse ou cytoblastème possède, grâce à sa composition chimique et à son
degré
de vitalité, le pouvoir de donner naissance à de
itoire donne bientôt naissance à des états plus complexes. Le premier
degré
de la complication, c’est la formation du noyau p
braneuse qui sera distincte plus tard. Voilà un second âge, un second
degré
de complication. La cellule nous apparaît alors c
ytode est une forme un peu plus compliquée présentant déjà un premier
degré
de différenciation. Il y a une couche corticale o
nter également des états transitoires d’organismes qui passeront à un
degré
plus élevé. Partant de cet état de gymnocytode ce
te. Les considérations précédentes établissent donc que la vie, à son
degré
le plus simple, dépouillée des accessoires qui la
t dire avec Huxley44 que c’est la base physique de la vie. Le dernier
degré
de simplicité que puisse offrir un organisme isol
encaissée la matière vivante, le protoplasma. Loin d’être le dernier
degré
de la simplicité que l’on puisse imaginer, la cel
llule végétale celui de phytoblaste. À ses débuts, et à son plus haut
degré
de simplicité, le phytoblaste nous apparaît comme
sma, elle est pour ainsi dire un épiphénomène, un fait consécutif, un
degré
dans cette série indéfinie de différenciations qu
de la création organique ou synthèse vitale aurait ainsi pour premier
degré
et pour condition essentielle la synthèse chimiqu
ma, dans laquelle se manifestent les actes essentiels de la vie. À un
degré
plus élevé, les matériaux prennent un caractère m
substances albuminoïdes, qui sont considérées à juste titre comme le
degré
le plus élevé de la synthèse vitale. Mais ces pro
n traitant les matières albuminoïdes par une solution de baryte à 150
degrés
, il a obtenu des principes définis et cristallisa
de la vie, chez la plante aussi bien que chez l’animal, existe à son
degré
le plus simple dans le protoplasma. C’est l’irrit
festation de l’irritabilité. La sensibilité, qui est, à son plus haut
degré
, un phénomène complexe, n’est au fond, comme nous
ttribut exclusif des animaux. Beaucoup de plantes en sont douées à un
degré
plus ou moins éminent. Les légumineuses appartena
s cellules de levure. On place les deux tubes dans un bain-marie à 35
degrés
, et bientôt on voit la formation de gaz se dévelo
tant. Or, il est certain que dans cette réaction l’on trouve tous les
degrés
depuis la réaction purement nutritive ou trophiqu
rent des éléments secondaires nombreux. Chez l’homme, et au plus haut
degré
de complexité, la sensibilité constitue la foncti
, considérée comme propriété du système nerveux, ne serait donc qu’un
degré
élevé d’une propriété plus simple qui existe part
sensibilité insensible, ou l’irritabilité. Ces suppressions sont des
degrés
différents de l’action du même agent, et par cons
on du même agent, et par conséquent les phénomènes eux-mêmes sont des
degrés
différents d’un même phénomène élémentaire. La ma
les substances et la matière vivante amorphe. C’est comme un nouveau
degré
de complication dans l’étude de la vie. Après avo
et à longue portée est représentée par la cellule, qui est le premier
degré
de la synthèse morphologique, commun à tous les ê
n individuel. Cette doctrine de M. Balbiani semble donc, à un certain
degré
, rajeunir la célèbre théorie de l’involution ou d
emina de Baër). — Œuf d’une arachnide (Agelena labyrinthica) à divers
degrés
de développement. A B, de profil ; C, de face. D
s. On entrevoit dès les premiers moments un plan idéal qui se réalise
degré
par degré ; on en saisit l’ébauche grossière d’ab
evoit dès les premiers moments un plan idéal qui se réalise degré par
degré
; on en saisit l’ébauche grossière d’abord, qui s
ction. Quant à la création organique, elle est pour ainsi dire à deux
degrés
. Elle comprend : la synthèse chimique ou formatio
s établi dans la leçon V, une complication de la notion vitale. À son
degré
le plus simple (réalisé isolément d’ailleurs dans
tions correspondent fondamentalement à la réalisation en nature et en
degré
des quatre conditions de cette vie : humidité, ch
est donc la forme vivante la plus simple ; elle nous offre le premier
degré
de la complication morphologique, et l’on peut di
ologie générale, dans la leçon précédente. On la trouve pourvue, à un
degré
plus élevé, de toutes les propriétés vitales qui
plus nuancés que la société dont il s’agit est arrivée à un plus haut
degré
de développement. Tel est l’animal complexe. L’or
ndaires. Depuis l’être cellule jusqu’à l’homme, on rencontre tous les
degrés
de complication dans ces groupements ; les organe
. Les manifestations vitales sont mieux isolées, plus nettes dans les
degrés
élevés de l’échelle que dans ses degrés inférieur
isolées, plus nettes dans les degrés élevés de l’échelle que dans ses
degrés
inférieurs, et c’est pourquoi la physiologie des
n de leur existence, c’est accomplir un progrès comparable, à quelque
degré
, à celui qui a été-réalisé dans une autre branche
nheur la direction favorable aux actes, est lui-même déterminé par le
degré
de convergence des forces léguées par l’hérédité,
rnit du moins un moins qui permet d’apprécier avec quelque rigueur le
degré
de force ou de santé d’un être — individu ou coll
es circonstances différentes, une ampleur variable. Pour apprécier le
degré
de bienfaisance de l’évolution bovaryque qui s’ac
te autre. Elle nous avertit de tenir compte dans nos appréciations du
degré
comparatif de virtualité des réalités en jeu. Or,
atif de virtualité des réalités en jeu. Or, on peut se représenter le
degré
de ce pouvoir virtuel conditionné en chaque réali
type : fixées dès les premiers temps de leur vie commune aux plus bas
degrés
de l’échelle sociale par des circonstances longte
urée, se montrent toujours capables de métamorphoses malgré leur haut
degré
de perfection. Il en est ainsi des oiseaux17. ***
le plaisir et la peine5 cq — ou tout au moins ne le possèdent qu’à un
degré
très faible. Comme le constate M. J. Milsandcr (L
’intérêt, quelque transport, de l’enthousiasme, c’est-à-dire tous les
degrés
divers de la simple excitation neutre et qui rest
le Bon Samaritain de Rembrandt, sont des œuvres excitantes à un haut
degré
parce qu’elles sont tristes, et dénuées cependant
ement relative, c’est-à-dire produisant des effets très différents en
degré
sur des personnes différentes, il ne servirait à
érature anglaise, de Taine ; la Vie de Jésus, de Renan ; à un moindre
degré
quant au contenu, les Oraisons de Démosthènes et
re enfin originale, mais de dégager de cet écrit critique au deuxième
degré
, les raisons pour lesquelles il frappe ou émeut.
’espèce. Il est vrai que peu d’hommes s’accordent à ressentir le même
degré
d’émotion à propos de la lecture d’un même livre
é dans l’appréciation des œuvres d’art affecte, en majeure partie, le
degré
mais non la nature du sentiment qu’elles provoque
Pour arriver à l’unité absolue de mouvements, il ne reste plus qu’un
degré
à franchir ; c’est de confondre avec les actions
a mécanique. Entre tous ces mouvements, il n’y a qu’une différence de
degré
, laquelle a son principe dans une plus ou moins g
de concentration. La chaîne entière des êtres n’est que l’échelle des
degrés
que parcourent ces forces élémentaires du minéral
t comme vivant et libre, c’est-à-dire tout peuplé de forces de divers
degrés
, mécaniques, physiques, chimiques, organiques, ps
, le bien. Toutes les différences qui les distinguent ne sont que les
degrés
divers d’une même activité spontanée. C’est donc
it attestées comme essentielles entre les êtres, ne sont plus que les
degrés
d’un seul et même type ; toute diversité se confo
l’homme, spontanéité de l’amour en Dieu, voilà la liberté à tous ses
degrés
. Elle a pour mesure non la puissance de l’effort,
l’exercice d’une faculté supérieure. Il résulte de là que le dernier
degré
d’abaissement comme le plus haut point d’élévatio
end bien à la justice, cette chose morale qui a pour mesure propre le
degré
de mérite proportionnel à l’effort de volonté. La
l devient impossible à la conscience de l’homme religieux de fixer le
degré
de mérite de ses actes. Encore une contradiction
ent les enseignements de la conscience. Toutes ne le font pas au même
degré
ni de la même manière. La spéculation matérialist
plus. Le Dieu auquel elle se donne ne diffère d’elle-même que par le
degré
de perfection ; la volonté divine à laquelle elle
is parce qu’il servira de plus à montrer comment peut s’effectuer par
degrés
la séparation des sexes dans les plantes dont nou
varieraient dans une certaine direction déterminée, bien qu’à divers
degrés
, comme étant les plus propres à remplir les place
elles se modifient et progressent, les autres devront progresser à un
degré
correspondant, sous peine d’être bientôt détruite
ortance. Nous avons vu que certaines variétés présentent à un si haut
degré
les caractères d’espèces, qu’on se perd souvent e
ore de la souche mère sous les mêmes rapports, bien qu’à un plus haut
degré
. Mais on ne saurait expliquer de même des différe
uteuse de sous-espèces ; mais il nous faut seulement supposer que les
degrés
de modifications ont été plus importants ou plus
formes ou espèces bien définies : la figure donne donc un exemple des
degrés
par lesquels les petites différences qui distingu
seront même modifiés, et auront progressé en se diversifiant à chaque
degré
généalogique, de manière à s’adapter à des situat
erger de a5, à une époque beaucoup plus reculée, seraient de quelques
degrés
plus distinctes que les trois premières ; et enfi
us supposons alors inconnues et éteintes, elle sera encore en quelque
degré
intermédiaire entre les deux groupes d’espèces de
s que ceux qui vivent actuellement, sont cependant souvent en quelque
degré
intermédiaires entre des groupes existants. Ce fa
utres, ce qu’on entend par progrès organique. Parmi les vertébrés, le
degré
d’intelligence et les ressemblances de structure
s généralement applicable et la meilleure. Elle consiste à évaluer le
degré
de supériorité d’un être organisé d’après la loca
uraliste qui a disséqué quelques-uns des êtres aujourd’hui rangés aux
degrés
les plus bas de l’échelle naturelle, n’a pu manqu
de leur organisation. Les grandes différences qu’on observe entre les
degrés
divers d’organisation qui composent chaque groupe
es deux classes, ou même de la classe tout entière jusqu’au plus haut
degré
possible d’organisation, ne la conduirait pas à p
ncore dans le monde, cependant l’échelle présentera toujours tous les
degrés
possibles de perfection ; car les progrès de cert
n mouvement progressif fût uniformément retardé, en raison directe du
degré
d’élévation du niveau supérieur de l’organisation
rts mutuels des êtres organisés, c’est-à-dire en raison du nombre des
degrés
que comprend, dans un lieu donné, la série des êt
ermes extrêmes de l’échelle des êtres vivants sont éloignés, plus les
degrés
de la série des êtres qui vivent aux dépens les u
les, puis l’organisation compliquée et perfectionnée lentement et par
degrés
; l’organe créé par les habitudes, par le besoin,
pinion publique, les promoteurs de la philosophie nouvelle : à divers
degrés
, ils sont tous versés dans les sciences physiques
mitateur comme le singe, mais plus intelligent, capable de passer par
degrés
du langage des gestes au langage articulé, ayant
l’esprit public, l’éducation, la forme des jugements, la nature et le
degré
des peines, la condition des femmes, l’institutio
t une marche particulière. Tel est d’abord le climat, c’est-à-dire le
degré
du chaud et du froid, du sec et de l’humide, avec
le et cultivé. Considérons les débuts de la vie, l’animal au plus bas
degré
de l’échelle, l’homme à l’instant qui suit sa nai
tre idée générale. Pareillement, de plusieurs idées générales du même
degré
, nous en extrairons une autre plus générale, et a
il avait entendu dans le passé : voilà la mémoire complète. Mais quel
degré
d’importance relative faut-il attribuer à ces tro
effort pour survivre ou revivre. Ces représentations offrent tous les
degrés
de vivacité et de ténacité. Il est clair, par exe
ue, pour se rappeler la couleur rouge, il faut éprouver, à un certain
degré
, quelque chose de l’état cérébral et mental que l
une réaction cérébrale ayant pour corrélatif mental l’attention, à un
degré
quelconque, et conséquemment une concentration qu
ons, bien plus qu’à l’intensité proprement dite. Nous prenons pour un
degré
de quantité ce qui est réellement une qualité. En
t non pas seulement possible, elle implique une aperception à quelque
degré
, et cette aperception, à son tour, implique toujo
ur l’explication du souvenir, sont simplement, à nos yeux, le premier
degré
des lois psychiques, de même les lois sociologiqu
repensant, une impression éprouvée qu’en l’éprouvant de nouveau à un
degré
plus faible, une action accomplie qu’en la recomm
ectement provoquées, et il y a surtout entre elles des différences de
degré
. Ajoutons que ces réactions centrales sont, en de
’émotion en elle-même. Ces remarques sont importantes pour établir le
degré
d’influence que les idées peuvent avoir sur la pr
ême, des droits de chacun ; le prolétaire en voie de s’affranchir par
degrés
et sans trop de secousse, la femme trouvant d’élo
excuser. “Je puis assurer à Monsieur, dit-il, que le bain est au même
degré
qu’hier.” — “Monsieur ! s’écrie Mirabeau. Ah ! dr
, leur faculté colonisatrice, avaient essentiellement et au plus haut
degré
le sentiment de cette chose que les modernes appe
mme et comme couronnement, l’examen de ces deux questions : 1º à quel
degré
de sa civilisation peut-on estimer que soit arriv
erai pas à rappeler les principaux traits du tableau : « Mais à quel
degré
de prospérité, s’écrie tout à coup l’historien co
e, nous rapporte là de Mirabeau, est vrai de bien d’autres à tous les
degrés
. J’en sais, pour mon compte, des exemples piquant
alités qu’ils semblent avoir, mais, en eux-mêmes, ils ne sont que des
degrés
divers d’intensité dans la volonté inconsciente e
le plaisir et la douleur, en eux-mêmes, peuvent bien présenter divers
degrés
de force, mais aucune différence de qualité. A in
ractère. « Que mon ami A ou que mon ami B meure, cela peut changer le
degré
, mais non la nature de ma douleur. » Selon nous,
ut intellectuelle qui serait indifférente, pour ne leur laisser qu’un
degré
intensité qui seul serait agréable ou pénible. La
u’on m’arrache une dent, ou que mon ami meure, « cela peut changer le
degré
, mais non la nature de ma douleur ». Parler ainsi
son énergique d’un instrument comme la trompette les excite à un haut
degré
; d’autres sensations visuelles ou auditives prod
que la représentation ; mais, selon nous, la représentation à quelque
degré
, ou plutôt, comme disent les Allemands et les Ang
ein, l’expression et le coloris. Après avoir supposé que le vingtiéme
degré
de sa balance marque le plus haut point de perfec
t possible d’atteindre en chacune de ces parties : il nous dit à quel
degré
chaque peintre est demeuré. Mais pour n’avoir pas
ans des propositions insoutenables, comme est celle de placer au même
degré
de sa balance Paul Veronése et le Poussin en qual
tivité mentale qui peut subsister dans le sommeil profond, il y a des
degrés
à l’infini. La rêverie est dans les degrés interm
ommeil profond, il y a des degrés à l’infini. La rêverie est dans les
degrés
intermédiaires. Pour la caractériser, il faut la
se presque tous les frais de nos représentations. Enfonçons-nous d’un
degré
encore dans la rêverie. Approchons-nous de l’hypn
uté. Nous déterminerons enfin, par le même procédé de comparaison, le
degré
d’illusion que produisent les images de la rêveri
paraître poétique, devait nous donner le sentiment du beau à quelque
degré
. Est-ce tout à fait ce sentiment-là que nous donn
-mêmes paraîtraient assez complexes à l’analyse, entreront à tous les
degrés
et en proportions indéfiniment variables dans l’é
la beauté ; mais il en est au moins une condition, et même le premier
degré
. Sur ce point, tous les rêveurs sont unanimes : i
ar-delà de vastes plaines, aux confins de l’horizon, ont au plus haut
degré
ce caractère. Aussi la poésie d’un paysage est-el
uent plus rapprochée de l’homme. Cette métamorphose comporte bien des
degrés
. On peut pousser le jeu plus ou moins avant, s’en
el. Dans ces diverses œuvres d’art il serait difficile de préciser le
degré
de l’illusion produite. Il peut varier beaucoup,
us ou moins accusé de l’imitation. Le plus souvent on s’en tiendra au
degré
intermédiaire, à l’illusion consciente et volonta
écho affaibli de ces accords sublimes ; qu’il puisse nous rendre à un
degré
atténué cette harmonie intérieure et le souvenir
ous communiquera des émotions que nous n’avions jamais éprouvées à ce
degré
; il nous fera contempler la nature à travers ses
plaisir d’entrer dans le tableau, de porter l’illusion à un plus haut
degré
, de nous figurer ce que nous éprouverions, si nou
ns indiqué la marche typique, dans laquelle l’imagination atteint par
degrés
son plein développement. Elle est aussi la plus n
ous représenter. Elle est poétique, elle aussi. Elle peut l’être à un
degré
éminent. Je ne sais si aucun poème, aucune œuvre
s les états de l’âme, telle nuance d’allégresse ou de mélancolie, tel
degré
de tension ou d’abandon, la plus riche plénitude
sicales tout concourt à porter l’impression de poésie à son plus haut
degré
. Certaines symphonies doivent compter parmi les p
; mais en fait, et pour cette raison même, ils ne me donnent à aucun
degré
l’impression de poésie. Je dois faire encore à ce
plus beaux poèmes. Veut-on des exemples de la suggestion portée à son
degré
le plus intense ? C’est dans l’épopée en prose, d
l’on regarderait et non comme de simples représentations. C’est à un
degré
à peine atténué ce qui se produit dans la somnole
imaginatives qui déterminent de véritables hallucinations, il est des
degrés
à l’infini. De ces degrés divers, quel est le plu
nt de véritables hallucinations, il est des degrés à l’infini. De ces
degrés
divers, quel est le plus favorable ? Examen fait,
quel est le plus favorable ? Examen fait, on reconnaîtra que c’est le
degré
moyen, où ne se produit que l’illusion consciente
hercher spécialement dans les passages qui produisent à son plus haut
degré
l’impression poétique, par opposition à ceux qui
pression poétique, par opposition à ceux qui ne la produisent à aucun
degré
. On conçoit plus facilement que cette poésie doit
s imagée, l’intelligence joue toujours un rôle. Il y a d’ailleurs des
degrés
à l’infini dans l’abstraction ; on ne saurait dir
e à faire croire à la présence des objets. La poésie, à son plus haut
degré
d’élévation, est tout extérieure. Lorsqu’elle se
y a loin. Il est bien rare en somme que nos sentiments atteignent ce
degré
d’intensité, où ils cesseraient d’être poétiques.
i ne les éprouvons en effet que par sympathie, et par conséquent à un
degré
assez atténué pour pouvoir en faire, si intenses,
able à l’effet poétique. Nous avons déjà montré quel devait être leur
degré
d’intensité. Ce que nous cherchons ici, c’est que
iffère de sa réelle vision. La différence n’est pas seulement dans le
degré
d’intensité. Se représenter la souffrance par exe
a souffrance par exemple, ce n’est pas réellement souffrir, même à un
degré
atténué et d’une manière superficielle : c’est to
lté de représentation concrète du sentiment comporte bien entendu des
degrés
divers ; elle doit être, comme les facultés de vi
e de beauté prime tous les autres ; il les résume et les implique. Le
degré
d’intensité des sentiments, leur caractère égoïst
qu’ils ont pu varier indéfiniment leur rythmique, et la porter à son
degré
de perfection actuel. S’ils s’étaient contentés,
la prostration qui suit ces élans de l’imagination. La rêverie, à ce
degré
, est une sorte d’ivresse qui se paie. Elle décolo
ation physique, que nous devrions trouver dans la nature, non pas les
degrés
transitoires eux-mêmes par lesquels chaque instin
t. J’ai constaté avec surprise combien il était aisé de découvrir des
degrés
de transition conduisant d’instincts très simples
claves qu’on ne l’observe chez la variété suisse. Par quelle série de
degrés
transitoires l’instinct de la Fourmi sanguine s’e
. Si nous cherchons à établir une série, peu étendue, il est vrai, de
degrés
transitoires, nous trouvons l’un des termes extrê
et la grossière simplicité des cellules du Bourdon, on trouve, comme
degré
de perfection intermédiaire, les cellules de la M
beille domestique. Mais la sélection naturelle ne saurait dépasser ce
degré
de perfection architectural ; car le rayon de l’A
inct ou la structure qui a commencé à varier légèrement, ni par quels
degrés
successifs beaucoup d’instincts se sont peu à peu
est dont il serait impossible d’expliquer l’origine. Nous manquons de
degrés
de transition pour nous aider à conjecturer quell
des mâles et des femelles, mais les unes des autres, et parfois à un
degré
presque incroyable, de manière enfin à être divis
utres ainsi avantageusement modifiés, tous les neutres arrivèrent par
degrés
à présenter le nouveau caractère acquis. Mais si
de différentes tailles, présentaient cependant une série complète de
degrés
de transition qui reliaient insensiblement ces ca
ulement il faudrait admettre, en pareil cas, qu’une série complète de
degrés
intermédiaires a existé antérieurement comme elle
ule de légères modifications, en quelque direction et jusqu’à quelque
degré
que ce soit. Je ne prétends pas que les faits rap
incts les plus remarquables, acquis d’abord, au moins jusqu’à certain
degré
, par une accumulation héréditaire chez d’anciens
mble être devenue plastique, et tend à s’éloigner au moins en quelque
degré
de celle du type originel. Toute variation intran
’expliquerons tout à l’heure, la sélection naturelle détermine à quel
degré
les caractères nouvellement acquis peuvent se per
autres de la même manière, mais dans la plupart des cas à un moindre
degré
que les espèces voisines ou proches alliées du mê
is par le croisement on peut obtenir seulement des formes, en quelque
degré
intermédiaires entre leurs parents ; et, si nous
lusieurs des raisons qui m’ont amené à cette opinion sont en quelques
degrés
applicables à d’autres cas, je les exposerai succ
n tel concours de circonstances extraordinaires présente le plus haut
degré
d’improbabilité. Quelques faits concernant la cou
é. D’après ce qu’on sait des Chiens, cette hypothèse présente un haut
degré
de probabilité, si on ne l’applique qu’à des espè
part de nos végétaux domestiques, jusqu’à ce qu’ils aient acquis leur
degré
actuel d’utilité, il devient facile de comprendre
igènes n’ont pas été améliorées par une sélection continue jusqu’à un
degré
de perfection comparable à celui de nos plantes p
peut-être encore en certains districts plus qu’en d’autres, selon le
degré
de civilisation de leurs habitants. Mais il y aur
es favorables ou défavorables au pouvoir sélectif de l’homme. Un haut
degré
de variabilité est évidemment favorable, puisqu’i
eurs l’ont pensé. Les effets de la variabilité sont modifiés à divers
degrés
par l’hérédité et la réversion des caractères. La
immédiat. On cite, par exemple, le passage où Platon, marquant divers
degrés
d’intelligence chez les hommes et le rang analogu
Et, chose extraordinaire, en même temps qu’elle conserve au plus haut
degré
l’empreinte d’une race particulière et séparée, e
types principaux, les types naturels de la beauté lyrique à tous ses
degrés
: la naïve allégresse, la douceur gracieuse, la f
es nommés cantiques d’ascension que le peuple chantait en montant les
degrés
du temple : « Oh ! voici venir la joie et la dou
es ont éclaté sur le monde ; et la terre tremblante s’est émue. » Ce
degré
suprême de force dans le calme de l’expression, c
nes, parce qu’elles ne semblent que le suprême effort et le plus haut
degré
des dons qui sont en nous. Tel nous paraît ce psa
st ce moment où l’âme, ravie au-dessus d’elle-même, épuise le dernier
degré
de douleur, de joie, d’amour, qu’il lui soit poss
trois siècles avant les luttes de la Grèce contre l’Asie barbare, le
degré
de sublime où, devant les maux de la patrie juive
die dangereuse, soins de l’amour et de l’amitié, ingratitude. Premier
degré
de ma fortune. Protecteur qui m’instruit, libell
, libelle infâme dont il se charge, expiation de l’iniquité. Deuxième
degré
. Tendresse d’un professeur, réputation élevée à
on élevée à l’ombre de la sienne, oubli, morsures cruelles. Troisième
degré
. Poissons disséqués, mémoires, lauriers académiq
degré. Poissons disséqués, mémoires, lauriers académiques. Quatrième
degré
. Commission pour consoler et guérir, massacre, c
pour consoler et guérir, massacre, compilation épidémique. Quatrième
degré
. Compagnie écumée, bon grain mêlé à l’ivraie. So
Compagnie écumée, bon grain mêlé à l’ivraie. Société établie. Sixième
degré
. Intrigue, calomnie, etc., etc., jusqu’à la Fort
inférieures, mais, au contraire, de revendiquer pour les premières un
degré
de réalité au moins égal à celui que tout le mond
éconcerteront. Or il s’en faut que la sociologie en soit arrivée à ce
degré
de maturité intellectuelle. Tandis que le savant
individuelle et ceux de la vie collective sont hétérogènes à quelque
degré
; on peut même dire qu’une entente, sinon unanime
dont elle est composée tendent à se concentrer et à s’unifier, et le
degré
d’unité que présente un panthéon religieux corres
et le degré d’unité que présente un panthéon religieux correspond au
degré
d’unité atteint au même moment par la société. Si
difficile (nous ne disons pas impossible) de les modifier que, à des
degrés
divers, elles participent de la suprématie matéri
nais, M. Guizot, M. Cousin, M. de Rémusat, M. Rossi, sont tous, à des
degrés
divers, philosophes et publicistes, et leur philo
ait peu de goût pour la métaphysique ; mais il possédait au plus haut
degré
et pratiquait merveilleusement la méthode philoso
l’une à l’autre : de telle sorte qu’il est possible, en descendant de
degré
en degré, de passer sans interruption des théorie
’autre : de telle sorte qu’il est possible, en descendant de degré en
degré
, de passer sans interruption des théories les plu
retours de fortune. Ajoutez à cela le suffrage universel, mais à deux
degrés
; vous avez toute la théorie politique de Destutt
qu’aperçoit la réflexion est sonore, c’est la parole intérieure ; un
degré
de plus dans la réflexion fait voir le second, l’
et seulement exprimées par ces images qui ne les constituent à aucun
degré
. Il est en effet impossible de comprendre par quo
t cheval, son que l’animal ne saurait produire et qui ne fait à aucun
degré
partie de son existence ; 2° le hennissement, le
ologue et pour le sens commun, les espèces font partie du genre à des
degrés
divers, les unes plus les autres moins ; ces degr
ie du genre à des degrés divers, les unes plus les autres moins ; ces
degrés
disparaissent si l’on envisage les genres et les
ticulières et les pensées les plus générales, il y a continuité ; les
degrés
inférieurs de la généralité admettent encore l’im
des autres images, c’est-à-dire de la chose signifiée, par un certain
degré
d’indépendance, que si, tout en restant associée
; dans toute idée dont une image sonore était constitutive à quelque
degré
, cette image était extraite par l’attention du mé
chant ainsi du groupe dont elle faisait partie, lui confère à un haut
degré
ce que nous avons appelé l’indépendance. Ainsi, d
sont les trois qualités qui constituent le signe intérieur aux divers
degrés
de son évolution progressive, tandis que, le sign
ou décroître en intensité selon la fréquence des remémorations et le
degré
de l’attention ; mais, si elle meurt, elle meurt
sinon, elle s’affaiblit encore, et, lorsqu’elle a atteint un certain
degré
de faiblesse, elle ne saurait plus être ravivée p
i qu’il en soit, les mots les plus usés réveillent toujours à quelque
degré
le groupe d’images qui leur est habituellement as
n, il ne serait pas exact d’affirmer que les mots n’éveillent à aucun
degré
les pensées correspondantes : sans doute, alors,
ue, au moins pendant un instant très court, mais non pas nul, et à un
degré
si faible que l’on voudra, pourvu qu’il soit posi
; mais l’attention travaille sans cesse à maintenir la conscience au
degré
nécessaire et suffisant ; par des remémorations a
orte de distinguer. Ou l’emploie pour désigner, — soit un très faible
degré
de conscience : or un fait de conscience, quelqu’
ble degré de conscience : or un fait de conscience, quelqu’en soit le
degré
, est quelque chose d’incontestablement psychique,
1867, p. 516-517). 302. Le thème a la même vertu, mais à un moindre
degré
; faire un thème est sans doute une occasion d’ap
exercices d’invention (discours, narrations, etc.), ils n’ont à aucun
degré
la valeur pédagogique dont nous parlons, la pensé
t moment les démarches virtuelles. Il n’y a donc qu’une différence de
degré
, il ne peut y avoir une différence de nature, ent
onstituent dans l’univers des « centres d’indétermination », et si le
degré
de cette indétermination se mesure au nombre et à
ela revient à dire qu’il y a pour les images une simple différence de
degré
, et non pas de nature, entre être et être conscie
ulions examiner. Ce troisième argument se tire de ce qu’on passe, par
degrés
insensibles, de l’état représentatif, qui occupe
il en conclut que cet état est absolument inextensif, Mais alors les
degrés
successifs de l’extension, et l’étendue elle-même
en représentation. Il semble donc bien qu’il y ait une différence de
degré
, et non pas de nature, entre l’affection et la pe
’excitation, la repousse. Et ce n’est pas seulement une différence de
degré
qui sépare la perception de l’affection, mais une
ent possible, — ne peut plus trouver entre elles qu’une différence de
degré
. Profitant de ce que la sensation (à cause de l’e
’une occasion de se souvenir, de ce que nous mesurons pratiquement le
degré
de réalité au degré d’utilité, de ce que nous avo
souvenir, de ce que nous mesurons pratiquement le degré de réalité au
degré
d’utilité, de ce que nous avons tout intérêt enfi
à ne trouver entre la perception et le souvenir qu’une différence de
degré
, et non plus de nature. Cette erreur a pour premi
bsister entre la perception et la mémoire qu’une simple différence de
degré
, et pas plus dans l’une que dans l’autre le sujet
eption de la matière et la matière même il n’y a qu’une différence de
degré
, et non de nature, la perception pure étant à la
devra y avoir qu’une différence d’intensité, ou plus généralement de
degré
, entre la perception et le souvenir, puisqu’ils s
n’y a pas entre le souvenir et la perception une simple différence de
degré
, mais une différence radicale de nature, les prés
fait intervenir dans la perception quelque chose qui n’existe à aucun
degré
dans le souvenir, une réalité intuitivement saisi
al qui le continue et le rend efficace. La mémoire n’est donc à aucun
degré
une émanation de la matière ; bien au contraire,
rythmes différents, qui, plus lents ou plus rapides, mesureraient le
degré
de tension ou de relâchement des consciences, et,
détermine ainsi et la force de concentration de leur perception et le
degré
de leur liberté. L’indépendance de leur action su
tés d’ordre différent, qu’elles participent toutes de l’étendue à des
degrés
divers, et qu’on ne peut méconnaître ces deux vér
tre elles. L’idée que toutes nos sensations sont extensives à quelque
degré
pénètre de plus en plus la psychologie contempora
ssi, en ce qui concerne l’esprit, l’idée illusoire qu’il n’y a pas de
degrés
, pas de transition possible, entre l’étendu et l’
ir ? Il faut remarquer que la première distinction ne comporte pas de
degrés
: la matière est dans l’espace, l’esprit est hors
r elle aussi qu’il s’en distingue d’abord, on conçoit une infinité de
degrés
entre la matière et l’esprit pleinement développé
seulement indéterminée, mais raisonnable et réfléchie. Chacun de ces
degrés
successifs, qui mesure une intensité croissante d
ensités possibles de la mémoire, ou, ce qui revient au même, tous les
degrés
de la liberté. Dans la première hypothèse, celle
tion irréductible, entre la matière proprement dite et le plus humble
degré
de liberté ou de mémoire ? Oui sans doute, la dis
. Or, nous l’avons montré, la perception pure, qui serait le plus bas
degré
de l’esprit, — l’esprit sans la mémoire, — ferait
uite au silence. Il n’en est plus de même plus tard, du moins au même
degré
. Avec l’évolution des sociétés, avec leur croissa
là des questions secondaires. L’originalité sentimentale présente des
degrés
et des aspects infinis. Il faut tous les admettre
. — Soyons moins exclusifs. Il y a bien des formes de vie et bien des
degrés
de vitalité. Il y a aussi bien des formes et des
e et bien des degrés de vitalité. Il y a aussi bien des formes et des
degrés
de beauté. Sunt multae mansiones in domo… L’art
le signe auquel se reconnaissent les nobles exemplaires humains, à un
degré
supérieur ces « superbes plantes tropicales, ces
rencontrez les merveilleux instincts des abeilles et des fourmis. De
degré
en degré vous arrivez aux poissons, aux amphibies
ez les merveilleux instincts des abeilles et des fourmis. De degré en
degré
vous arrivez aux poissons, aux amphibies, dans le
c’est-à-dire les deux hémisphères) est déjà visible, et présente à un
degré
rudimentaire la forme qu’il conservera dans toute
t les plus forts. On a donc pensé à peser les cerveaux aux différents
degrés
de la série animale, et à comparer cette échelle
ans un savant mémoire17 où il établit, contre l’opinion reçue, que le
degré
du développement de l’intelligence, loin d’être e
attributs humains, c’est en général tout ce qui est doué d’un certain
degré
de perfection, c’est-à-dire de réalité, qui doit
unir. Ici encore je ne connais aucune mesure qui permette de fixer le
degré
d’union en deçà ou au-delà duquel on sera ou l’on
siècle. Elle est dans Descartes, je le reconnais, mais à quel faible
degré
! Comme il oublie vite le sujet pensant pour l’êt
que je veuille dire qu’avant cette grande époque on n’ait eu à aucun
degré
l’idée de la personne humaine. Partout où il y a
ne humaine. Partout où il y a une législation, on distingue à quelque
degré
la personne et la chose. Le christianisme ne doit
pontanée, forte dans l’attention volontaire. C’est donc simplement le
degré
de résistance qui, par le degré d’effort qu’il ex
volontaire. C’est donc simplement le degré de résistance qui, par le
degré
d’effort qu’il exige pour être surmonté, caractér
on volontaire et de l’attention spontanée n’est qu’une distinction de
degré
. L’attention n’est pas un fait additionnel, quelq
’attention est, au fond, la conscience même, et principalement, à son
degré
de développement supérieur, la conscience de soi
mot), l’objectivation d’une croyance intérieure qui, selon ses divers
degrés
, est certitude, doute ou probabilité. Il faut don
e aujourd’hui, les sensations les plus indifférentes, si elles ont le
degré
d’intensité voulu pour être affirmées, ont par ce
le degré d’intensité voulu pour être affirmées, ont par cela même le
degré
d’intensité voulu pour être aperçues et remarquée
d’intensité voulu pour être aperçues et remarquées, conséquemment le
degré
d’intérêt nécessaire pour provoquer une certaine
es. Au point de vue physiologique, il y a sub-excitation d’un certain
degré
d’énergie motrice dans les circonvolutions du cer
onde nerveuse qui tend à se propager et se propage toujours à quelque
degré
. Le caractère général dépend de ce fait que l’ima
iction et affirmation sans réserve, mais seulement probabilité, et le
degré
de cette probabilité sera la résultante des expér
e la volupté, l’imagination devient expressive. L’expression a divers
degrés
, selon que l’analogie est plus ou moins grande en
actions, toute notre philosophie et notre science même sont à quelque
degré
symboliques, car nous ne connaissons rien d’une m
vrai, dans le vif, voilà son champ et son horizon ; l’art au premier
degré
et de premier jet, ce fut le sien. Je ne parle qu
ons eu. La salle de Constantine à Versailles témoigne de ce plus haut
degré
de son talent8. J’ai voulu parcourir au Cabinet d
t à un si haut rang posthume. Il serait juste, pour apprécier tout le
degré
de mérite de ces premiers dessins d’Horace Vernet
héros de la popularité. Tous ceux qui furent un jour populaires à ce
degré
, on tient à le leur faire payer plus tard par un
ère dont il représente notre nature et notre époque ; aussi a-t-il un
degré
de vérité, de grâce, de génie, que le talent ne d
, quelque chose dont l’impression ne s’est plus retrouvée depuis à ce
degré
, même quand chacun s’est ensuite développé dans s
ignes plus ou moins fidèles des choses, mais c’est là une question de
degré
: tout est signe fidèle et infidèle à la fois. Le
cles. Ou plutôt, ces deux effets sont toujours simultanés, mais à des
degrés
divers, qui déterminent ou une attitude plus prop
action musculaire, comme quand on veut soulever un poids ; 2° de son
degré
d’énergie, qui peut vaincre ou ne pas vaincre la
faire la synthèse et, comme la biologie, montrer les conditions, les
degrés
et les formes typiques de l’évolution mentale, ai
peut se représenter un état de conscience qui n’aurait pas un certain
degré
, qui ne serait pas plus ou moins fort ou plus ou
mais nous pouvons prédire que, quelles qu’elles soient, elles ont des
degrés
et une plus ou moins grande intensité ; sinon, ce
leur appliquer la mesure. On dit : « J’éprouve à la température de 30
degrés
une certaine sensation de chaleur ; j’en éprouve
sensation de chaleur ; j’en éprouve une autre à la température de 20
degrés
; chacun de ces deux états de conscience forme un
es sur nos sens, et que ces actions ne sauraient se concevoir sans un
degré
d’intensité quelconque. En nous représentant l’es
e, qui n’est autre pour nous que le processus appétitif à son premier
degré
: sensation, émotion et réaction motrice. Nous es
quelques résultats importants, et M. le docteur Broca affirme que le
degré
de capacité des crânes correspond au degré d’inte
cteur Broca affirme que le degré de capacité des crânes correspond au
degré
d’intelligence des différentes races. Ainsi tous
peu ; l’homme de génie, celui dont la cervelle en serait saturée à un
degré
convenable. » En Allemagne, Feurbach avait pris t
gradant toujours dans les diverses races humaines, et qu’aux plus bas
degrés
elle est à peine supérieure à celle du singe ou d
vie, leur langue. Un tel fait n’indique-t-il pas qu’il y a entre les
degrés
les plus distants de l’espèce humaine un lien fra
s où l’on ne peut entrer dans aucune charge quand on n’a pas pris ses
degrés
dans l’université. Dans d’autres on ne l’exige qu
e et jouir du droit de tuer méthodiquement. Tout homme qui a pris ses
degrés
dans une université est en droit d’y donner des c
. Cette science si utile, et qui a été portée en France à un si haut
degré
de perfection, n’a pas encore, dans les universit
es, et auquel ceux qui, sans être professeurs publics, ont pris leurs
degrés
, peuvent être agrégés. Ce travail consiste à fair
e les fils des hommes avaient poussé leurs connaissances au plus haut
degré
. Ils étaient près d’atteindre le ciel, et d’en sa
oins fort, accompagné des mêmes émotions, agréable ou déplaisant à un
degré
moindre, suivi des mêmes jugements, et non de tou
autre celle des sons. — Pour mon compte, par exemple, je n’ai qu’à un
degré
ordinaire celle des formes, à un degré un peu plu
, par exemple, je n’ai qu’à un degré ordinaire celle des formes, à un
degré
un peu plus élevé celle des couleurs. Je revois s
ntion pour distinguer la copie de l’original. On peut suivre tous les
degrés
par lesquels l’image ordinaire atteint ce comble
ciait distinctement l’effet d’ensemble. Les grands musiciens ont à un
degré
éminent cette audition interne. On sait que Mozar
isible encore si l’on considère des circonstances où l’image prend un
degré
supérieur d’intensité. — Un premier excitant est
loin que, dans les deux cas, les glandes salivaires suintent au même
degré
. C’est pourquoi, quand un physiologiste veut se p
sations produites en nous par le monde extérieur s’effacent alors par
degrés
; à la fin, elles semblent suspendues, et les ima
peu, le regard de l’autre œil devient vague, et cet œil se ferme. Par
degrés
, toutes les sensations extérieures s’effacent, ou
ons normales reparaître, non pas subitement, mais par portions et par
degrés
. « Durant l’opération, dit Nicolaï, ma chambre se
sible cinq ou six secondes, puis disparaissait en s’affaiblissant par
degrés
jusqu’à ce qu’il ne restât plus qu’une vapeur opa
ensables au genre lyrique, duquel on peut dire, Qu'il n'est point de
degrés
du médiocre au pire. Une autre preuve que cet Au
des Odes sacrées de M. l'Abbé Reyrac, n'ont pu leur donner le moindre
degré
de chaleur & de vie. On seroit tenté de croir
nt point de valeur en eux-mêmes, et représentent seulement les divers
degrés
de notre science de la nature. Cependant ce ne so
s permet pas de la méconnaître partout où elle se manifeste à quelque
degré
? N’est-ce pas quelque chose que cet amour de la
jourd’hui, rien de plus généralement admis (excepté dans les plus bas
degrés
de la controverse) que ce procédé qui consiste to
’en expliquant, c’est-à-dire en liant les vérités l’une à l’autre par
degrés
intermédiaires. Quelques esprits ont clairement a
rement aperçu ces difficultés, et ils ont dit que l’éclectisme est un
degré
nécessaire de la philosophie, mais que ce n’est p
rs, ni celle des poètes, ni celle du peuple. Ils connaissent tous les
degrés
du vrai, et n’en dédaignent aucun, aussi éloignés
que fonction déterminée de l’activité humaine, l’artiste possède à un
degré
éminent quelque faculté particulière, et toutes l
n degré éminent quelque faculté particulière, et toutes les autres au
degré
moyen. Si l’on nous posait ainsi la question : «
c plus d’éclat. Jamais peut-être un peintre de notre école n’eut à ce
degré
le don de la vision, je veux dire la faculté de t
mpression intense qu’ils n’existent pas de la même manière et au même
degré
que les objets réels. Ils ne sont que représentés
e, ou conçues dans un rêve ; ces visions veulent prendre le plus haut
degré
de réalité possible. S’il disposait d’un pouvoir
Tout son être se contractait dans un effort pour élever au plus haut
degré
de l’intensité la représentation du sentiment ext
n même temps on verra l’œuvre d’art se modifier, prendre à chacun des
degrés
de ce développement un caractère nouveau, atteind
tagés. Il va sans dire que les peintres qui la possèdent au plus haut
degré
l’emploieront davantage, et par conséquent seront
des lignes change : les couleurs mêmes sont modifiées. Tous à quelque
degré
, surtout dans l’enfance, nous possédons cette fac
s nous la donnons si nous le voulons bien, la laissons aller jusqu’au
degré
qui nous est précisément le plus agréable, et la
, quand elle se prolonge, a pour effet d’assoupir notre conscience au
degré
voulu. Ces figures rayonnées et comme scintillant
relief, ces jambes ont leur développement normal. L’artiste doué à un
degré
éminent de la faculté de voir dans l’espace prend
s critiques d’art ne me semblent pas avoir mis à son rang, avait à un
degré
surprenant cette faculté de voir dans l’espace et
s si elle a été conçue et exécutée par un artiste qui avait à quelque
degré
le don de poésie, elle éveillera en nous des impr
ou telle formule. Étudions l’œuvre de quelque décorateur qui ait à un
degré
éminent le don de l’évocation poétique, Émile Gal
telligences, même sur les plus positives. Ce n’est qu’une question de
degré
. Devant les œuvres d’art dont je viens de parler,
tort ou raison de tenir en plus haute estime les œuvres qui ont à un
degré
éminent cet attrait poétique. On nous dit que dan
sentira que « cela se gâte ». Au contraire, quand il s’en tiendra au
degré
voulu, il aura le sentiment d’une harmonie entre
qui de la base du monument jusqu’au buste qui le couronne conduit par
degrés
le regard et ramène l’attention vers la figure pr
ra volontiers une qualité morale par l’image d’un animal qui ait à un
degré
éminent cette qualité : le coq sera l’emblème de
rizon ; Puis, âme encore aveugle et brisant ma prison, Je montai d’un
degré
dans l’échelle des êtres, Je fus un chêne, et j’e
ssions de crépuscule. Enfin, vous montreriez que vous êtes privé à un
degré
surprenant du sens du symbole, si pour relier vot
. Les symbolistes sont souvent obscurs. Ils le sont même parfois à un
degré
si surprenant, qu’il est évident qu’ils le font e
u trop de peine à établir que l’artiste devait être doué au plus haut
degré
de l’imagination représentative. Reconnaîtra-t-on
et conscients, dans le grand concert. Tout n’est pas adorable au même
degré
dans le monde. Le hasard y joue un certain rôle,
là que l’œuvre est artistique. Le talent de l’expression, poussé à un
degré
extraordinaire, donnera l’impression du grand art
n fasse d’originaux. De là des mécomptes. Léonard de Vinci avait à un
degré
éminent cette faculté d’invention qui demande de
e certains artistes ont de l’imagination dans le même sens et au même
degré
que les poètes comiques ou tragiques et que les r
a nature. Dans ce travail de transformation nous distinguerons divers
degrés
, qui nous fourniront une sorte de progression, de
est mise en pleine évidence et devient presque excessive. Au premier
degré
, l’imagination s’écarte peu de la nature ; elle e
été d’expression qui va de l’exquis à l’effrayant par une infinité de
degrés
, le mystère de ces existences si différentes de l
r à deviner ce qui se passe en lui, toute la différence étant dans le
degré
. Il observe la nature, accumule les notes et les
essaire à l’artiste pour trouver l’expression. Elle doit exister à un
degré
éminent chez ceux qui savent imaginer des figures
Grâce à ce don de mimétisme moral que l’artiste doit posséder au même
degré
que le romancier ou le poète dramatique, il se le
aliste au travail, transformant les objets réels pour les amener à un
degré
plus élevé de perfection et de beauté. Quiconque
magination créatrice pour dépasser la nature, on peut distinguer deux
degrés
, et comme un double élan qui la porte vers un idé
compte que ce qui vous manque pour amener votre œuvre à un plus haut
degré
de perfection, ce n’est pas le goût, c’est l’idée
livré, ses recherches, ses expériences avant de porter son idéal à ce
degré
de précision et de perfection. On ne trouve pas l
ur les mains. C’est une véritable tricherie. Si nous avions à quelque
degré
le sens des harmonies physiologiques, l’artifice
us y trouvons la forme humaine châtiée, élaborée, amenée au plus haut
degré
de perfection qu’ils aient pu concevoir. Pourquoi
t-il pas chance pour que l’œuvre ainsi composée atteigne au plus haut
degré
de perfection ? On estimera peut-être qu’ici l’im
de la forme la plus svelte à la plus compacte en passant par tous les
degrés
intermédiaires. Parmi tous ces types possibles, i
ce de l’art décoratif à la fantaisie Supposons un esprit doué à un
degré
éminent du pouvoir de créer des formes, et par co
e, les émotions esthétiques que seul il nous donne, au moins à un tel
degré
. Chaque art a sa mission. Il est fait pour nous a
dégage, leur tendance au symbolisme. Restait à savoir s’il a au même
degré
l’imagination créatrice. Écartant le préjugé réal
raire parvenir à la maîtrise de son art, s’il n’est doué au plus haut
degré
de l’esprit d’invention. Il faut qu’il ait l’inve
eu à peu elle perdit ses prononciations barbares, et se rapprocha par
degrés
de l’harmonie : car il en est des langues comme d
asards, la langue française se formait, s’enrichissait, s’épurait par
degrés
. Bientôt cette partie des hommes qui pense, tandi
n grand homme66, nous en a conservé la peinture ; et si on excepte le
degré
d’exagération théâtrale qu’il faut toujours pour
ination est la première qui s’éveille. Ce n’est que lentement, et par
degrés
, que l’âme se replie sur elle-même. Elle commence
veut produire, et les instruments qu’elle a ; qu’elle estime par quel
degré
il faut ou ralentir, ou presser le mouvement. Tou
urs. La société, après les guerres civiles, dut acquérir en France ce
degré
de perfection qui, est nécessaire pour les arts,
en brouillard ou éclater en tonnerre. Son style alors s’amollira par
degrés
, et l’harmonie, dans les instants de repos, ne se
pour leur aïeule, donnent des coups de pinceau à la Delille : … par
degrés
s’affaisse la lumière, L’ombre joyeuse danse auto
rtout présente d’un bout à l’autre cette inadvertance à un incroyable
degré
. Bug-Jargal, en effet, n’est qu’un récit fait au
uisser. Les héros, récemment sortis des géants, étaient au plus haut
degré
grossiers et farouches, d’un entendement très bor
bonheur aux dieux même.... la pensée n’atteint pas ici le plus haut
degré
du sublime, parce que l’amant ne la particularise
le même poète dans une autre comédie porte le sentiment au plus haut
degré
de sublimité en le singularisant et l’appropriant
. II. Les diverses sensations n’ont pas toutes cette aptitude au même
degré
. — Exemples. — Circonstances générales qui augmen
enses, sans avoir perdu une seule parcelle de leur détail, ni un seul
degré
de leur vivacité. M. Brierre de Boismont50, ayant
er un caractère commun. L’impression primitive a été accompagnée d’un
degré
d’attention extraordinaire, soit parce qu’elle ét
rgie, sa facilité à renaître, toutes ses qualités intrinsèques par le
degré
d’attention et par le nombre de répétitions qu’au
refroidies à leur tour, elles descendent au fond par portions et par
degrés
, et c’est l’afflux ultérieur qui fait la nouvelle
t parfaitement tout ce qui avait précédé cette période. Il guérit par
degrés
. » Un autre malade, qui était venu à Édimbourg de
l’ivresse et après plusieurs maladies, les passions prennent un autre
degré
et un autre tour, non seulement les deux personne
is oblique et la température journalière est la même, à deux ou trois
degrés
près, tout le long de l’année. Toutes ces circons
st le plus souvent sans nuages. Le thermomètre oscille entre 22 et 23
degrés
centigrades, ce qui n’est point une chaleur accab
cette heure, où la moyenne thermométrique est comprise entre 33 et 34
degrés
centigrades, la voix des mammifères et des oiseau
e retrouve dans la faune de tous les climats, mais nulle part au même
degré
de perfection que sous les tropiques. C’est à la
pure ou de principe incorporé dans la matière est la même à tous les
degrés
de l’échelle. « Les principes incorporés peuvent
cipes incorporés peuvent varier et varient, en effet, à chacun de ces
degrés
; mais la question de l’incorporation, c’est-à-di
aduelle de toutes les qualités ou propriétés qu’on observe aux divers
degrés
de l’échelle des êtres. Il a dépouillé, en idée,
bstance même des propriétés progressives qu’elle manifeste aux divers
degrés
de l’échelle, cette substance supérieure. « Mais
il jetait sa gourme, il éclatait. Puis, nous ne pouvons être juges du
degré
de reconnaissance qu’il devait à MM. de Port-Roya
si la première de ces sensibilités ne suppose pas la seconde, et à un
degré
éminent, et n’en est pas la forme supérieure et l
médie tragique » parce qu’elle admet l’amour, passion comique sauf le
degré
ou les conséquences, et si « à tel passage on peu
e, qui admet l’ambition, passion tragique sauf les conséquences ou le
degré
, pourra donc être appelé tragédie comique, et peu
vres de nos classiques qui peuvent prêter à ces remarques ; car ni le
degré
inférieur du tragique n’équivaut au comique, ni l
; car ni le degré inférieur du tragique n’équivaut au comique, ni le
degré
supérieur du comique n’équivaut au tragique. Et e
l faut bien reconnaître qu’au temps de Racine on n’avait pas, au même
degré
qu’aujourd’hui, l’intelligence du passé, le senti
tragédie n’exprime que des passions exceptionnelles au moins par leur
degré
) que sous l’homme civilisé surgisse un sauvage po
tes, les minéraux que par rapport à ce roi de la création et selon le
degré
d’utilité qu’il en pouvait tirer : c’était là un
vrais caractères. Buffon est un grand esprit éducable, et ce sont les
degrés
successifs de cette éducation positive qu’il est
compagnaient leur professeur jusqu’à son jardin. Ce fut là le dernier
degré
de splendeur de l’aimable science. Ainsi parle L
e en terrasse et en ouvrant les grilles qui fermaient chaque suite de
degrés
, arrivant ainsi d’un pas seigneurial jusqu’au cab
x. Ses idées relatives à l’influence qu’exercent la délicatesse et le
degré
de développement de chaque organe sur la nature d
e confondaient. Ce petit drame dit des Trois Maries se retrouve à des
degrés
divers de développement, mais sous forme égalemen
rvente, se suffisant à elle-même, et dont on peut retrouver à certain
degré
le sentiment, l’esprit d’édification et d’adorati
e le haut moyen âge, il faut voir le drame religieux se détachant par
degrés
de l’autel, traduit, délayé en langue vulgaire (e
on consentait, à introduire une part de français. C’était un premier
degré
de sécularisation, un premier pas vers le profane
leurs, l’entrelardement devait être en français. C’est ainsi que, par
degrés
, on en vient aux drames les plus anciens composés
porter un défi à la société moderne. De telles idées, en un mot, à ce
degré
de crudité et de réaction, tendaient à ramener vi
lus éminent et le plus imposant, mais dont M. Rubichon nous marque le
degré
le plus hardiment rétrograde. Avec de tels hommes
des grands intérêts sociaux. » On n’arrive pas du premier jour à ce
degré
de conviction et de vertu. « La liberté de discus
n soit prêtre ou fidèle, ministre ou dépositaire du pouvoir à quelque
degré
, juge, militaire, — car les militaires eux-mêmes
squ’au bout ; on ne le déjoue pas. M. Le Play, qui sait qu’il faut un
degré
d’optimisme pour l’action et qui s’est voué de cœ
e, et sauf le cas exceptionnel de l’inspiration (dont la verve est un
degré
inférieur), sa rapidité est en raison inverse de
orrecte que notre parole extérieure. Cela arrive évidemment à quelque
degré
à tous les enfants durant une certaine période de
ême, trop faible pour être remémorée ; c’est qu’elle ne possède qu’un
degré
de conscience infinitésimal. Mais alors elle est
, en vertu des lois de l’habitude, descendre progressivement tous les
degrés
de la conscience ; elle ne peut en posséder aujou
degrés de la conscience ; elle ne peut en posséder aujourd’hui qu’un
degré
infinitésimal, inappréciable, subjectivement iden
tude (habitude négative) ; le maintien de l’image sonore à un certain
degré
de conscience est un effet de l’attention constan
ans cesse la conscience de l’image sonore, et la maintient ainsi à un
degré
suffisant d’intensité, tandis que l’image tactile
probable une conscience infinitésimale de l’image tactile ; or, à ce
degré
inobservable, nous n’avons jamais nié l’image tac
que l’image tactile n’a pas chez tous les peuples exactement le même
degré
de faiblesse, qu’elle dépasse zéro d’une quantité
orce permanente, la volonté mentale ou l’attention, qui, à différents
degrés
, s’exerce à chaque moment sur eux et de laquelle
haut par le son de sa voix et par le tactum buccal ; mais un certain
degré
de préoccupation peut l’empêcher de remarquer les
suite de l’usage constant que nous en faisons, ont atteint en nous le
degré
maximum de l’habitude, se font irrésistiblement,
ne sont pas extériorisés. En résumé, l’idée du moi ou du mien a deux
degrés
: — implicite, elle résulte de l’absence de la pe
ité tant d’éloges ? C’est sans doute parce qu’il portait au plus haut
degré
le mérite de l’expression et du nombre ; deux cho
n doit à ce poète, celui de tous les anciens qui a réuni au plus haut
degré
le plus de sortes d’esprit et de mérite, l’élévat
à peu que la lumière se fait sentir et aimer ; c’est en avançant par
degrés
insensibles, qu’elle en fait désirer une plus gra
st bien de ce temps, de cette heure même, et il contient au plus haut
degré
les qualités essentielles à la jeune génération a
eurs de son inspiration, par ce lyrisme mystique et sensuel qui, à ce
degré
, n’est que de ce siècle, que Laurent Tailhade nou
Rome et Athènes, parties de l’état de nature pour arriver au dernier
degré
de civilisation, parcourent l’échelle entière des
mmencé par le premier pas ; ils ne se sont point formés eux-mêmes par
degrés
: ils ont été transportés du fond des forêts et d
ndent par l’étude et s’accouchent eux-mêmes avec art. Ils montent par
degrés
, parcourent les intervalles et ne s’élancent pas
D’où il suit que, dans les ouvrages des esprits supérieurs, il est un
degré
relatif où chaque esprit inférieur s’élève, mais
est construite de telle sorte qu’à toute hauteur il se rencontre des
degrés
et des points d’appui avec perspective pour les i
ssaierons de monter, après tant d’autres adorateurs, quelques-uns des
degrés
, glissants désormais à force d’être usés, qui mèn
sévères qu’il avait reçues de ses premiers maîtres s’affaiblirent par
degrés
dans le monde nouveau où il se trouva entraîné. S
es esprits supérieurs, les génies à pic, ne prêtent pas pied à divers
degrés
aux esprits inférieurs, ils en portent un peu la
Aucun écrivain, avant M. de Chateaubriand, n’avait eu cet art au même
degré
. Saint Jérôme, le plus passionné des Pères, avait
ccroire ni à soi ni aux autres ; n’être ni dupe, ni charlatan à aucun
degré
; ne jamais aller prendre et montrer des vessies
imagination qui lui est cher y trouve son compte ; il n’admet à aucun
degré
la critique historique, appliquée aux choses sacr
t dans le même sentiment. 84. Cette légende n’est admissible à aucun
degré
. « D’abord Marie de Magdala n’a rien de commun av
a toujours un principe de haine. C’est l’amour des sens à ses divers
degrés
, de la simple débauche à la pure folie passionnel
ers degrés, de la simple débauche à la pure folie passionnelle. À son
degré
supérieur, cet amour-là est « le grand amour », c
e Michelet badine, car ce poète est dépourvu d’esprit à un surprenant
degré
. « Voici votre sujet, ô Reine !… Il croira monter
lime à ce point, mais on soupçonne aussi que la femme n’est pas, à ce
degré
, blessée, malade, infirme, irresponsable, incapab
des notions importantes, et d’où plusieurs autres dérivent. Ainsi le
degré
d’effort ou de force dépensée mesure non-seulemen
ntre six pouces et dix-huit pouces est représentée par les différents
degrés
de contraction de quelque groupe de muscles ; ceu
endent le membre inférieur. » Enfin la connaissance que nous avons du
degré
de rapidité de nos mouvements, nous permet d’esti
dans l’énergie vitale coïncide toujours avec une augmentation dans le
degré
de plaisir. Un goût sucré, un contact agréable ne
imagination objective, le poète n’est déjà plus matérialiste au même
degré
. Le poète du matérialisme adoré, étreint, possédé
e parle pas seulement de ses vers, l’intimité de sa poésie y gagne un
degré
supérieur de transparence et de lumière. Jamais l
tres vers de M. Gautier, que la faculté de l’expression, arrivée à ce
degré
fulgurant de supériorité, crée la poésie et la cr
clats pulvérisés. C’est en partant d’eux que nous devons remonter, de
degré
en degré, jusqu’au mouvement originel. Quand l’ob
vérisés. C’est en partant d’eux que nous devons remonter, de degré en
degré
, jusqu’au mouvement originel. Quand l’obus éclate
eule propriété de la vie végétale qui ne se soit retrouvée, à quelque
degré
, chez certains animaux, pas un seul trait caracté
fait que canaliser dans des sens déterminés, et porter à un plus haut
degré
d’intensité, une activité rudimentaire et vague,
ail. Il ne crée pas la fonction, il la porte seulement à un plus haut
degré
d’intensité et de précision en lui donnant la dou
ès réalisé a été surtout un progrès du système nerveux avec, à chaque
degré
, toutes les créations et complications de pièces
végétative, dans la vie instinctive et dans la vie raisonnable trois
degrés
successifs d’une même tendance qui se développe,
e elles n’est pas une différence d’intensité, ni plus généralement de
degré
, mais de nature. Il importe d’approfondir ce poin
que tard, et lorsque l’intelligence, ayant porté la fabrication à son
degré
supérieur de puissance, fabrique déjà des machine
lligence, car façonner la matière brute suppose déjà chez l’animal un
degré
supérieur d’organisation, où il n’a pu s’élever q
ent. Nous répondrons qu’il y a ici une multitude de différences et de
degrés
, que l’instinct est plus ou moins conscient dans
ciente dans le cas de l’intelligence. Mais c’est là une différence de
degré
plutôt que de nature. Tant qu’on ne s’attache qu’
, il coïncide avec le travail d’organisation. Certes, il y a bien des
degrés
de perfection dans le même instinct. Entre le Bou
s. Sans doute, ces instincts n’ont pas dû atteindre tout d’un coup le
degré
de complexité qu’ils ont aujourd’hui ; ils ont év
ompliquant lui-même dans un seul et même sens, comme s’il montait les
degrés
d’une échelle, les espèces que leur instinct clas
rivilégiée. Entre les animaux et lui, il n’y a plus une différence de
degré
, mais de nature. En attendant que cette conclusio
e. De là notre troisième et dernière proposition : III. On passe, par
degrés
insensibles, des souvenirs disposés le long du te
ntion et de la mémoire. Pour montrer comment un souvenir pourrait, de
degré
en degré, venir s’insérer dans une attitude ou un
de la mémoire. Pour montrer comment un souvenir pourrait, de degré en
degré
, venir s’insérer dans une attitude ou un mouvemen
core moins clair, ou c’est toujours à une métaphore qu’on revient. De
degré
en degré, on sera amené à définir l’attention par
s clair, ou c’est toujours à une métaphore qu’on revient. De degré en
degré
, on sera amené à définir l’attention par une adap
présente qui détermine l’orientation de notre esprit ; mais selon le
degré
de tension que notre esprit adopte, selon la haut
plus ou moins loin l’interprétation : bref, c’est passer par tous les
degrés
de l’attention et exercer plusieurs puissances su
écrocher son idée. À vrai dire, il n’y a jamais là qu’une question de
degré
: raffinée ou grossière, une langue sous-entend b
es-souvenirs dans des centres plus ou moins éloignés. C’est alors par
degrés
successifs que l’idée arrive à prendre corps dans
as une forme distincte, celle même de l’« objet virtuel » qui tend de
degré
en degré à s’actualiser. De là une différence Imp
rme distincte, celle même de l’« objet virtuel » qui tend de degré en
degré
à s’actualiser. De là une différence Importante d
me le pourrait être un fils retrouvé de Chateaubriand, a au plus haut
degré
et possède en toute sincérité la religion de l’ar
prononcent d’une manière très-ferme. Il tient en tout à observer les
degrés
; il ordonne volontiers la littérature et l’art c
rien de plus vrai ni de mieux senti ; mais il n’y a pas seulement des
degrés
, il y a des exclusions, il y a des anathèmes : c’
st le mobile de leurs efforts, leur interdit en même temps un certain
degré
d’indépendance. Ils ont développé d’une manière s
té ou l’agrément. Les Anglais, dans leurs poésies, portent au premier
degré
l’éloquence de l’âme ; ils sont de grands écrivai
es expressions. La langue anglaise n’a pas encore acquis peut-être le
degré
de perfection dont elle est susceptible. Ayant pl
cet homme prodigieusement brave, voyant la noble Reine descendre les
degrés
pour sortir du palais, s’adressa à son compagnon
in et les mets qu’ils apportent aux convives. Il rencontra devant les
degrés
maint ennemi vigoureux. « Comment donc ! sommelie
s-uns de si lourds coups d’épée, que tous par crainte remontèrent les
degrés
. Sa force puissante avait accompli de grands prod
u sortir ; mais Dancwart n’en laissa aucun ni monter ni descendre les
degrés
. Il en résulta une grande presse vers la porte, e
ncwart le rapide se plaça en dehors de la porte, et il repoussait des
degrés
quiconque se présentait pour y monter. On entenda
, ces chants que Volkêr chante aux Hiunen, quand ils s’approchent des
degrés
. Son archet est trempé dans le sang. « — Je regre
dessus de sa tête ; mais quand cet escalier eût eu trois fois plus de
degrés
, Hagene ne lui eût pas laissé porter un seul coup
ement. Hagene, la bonne épée, ne l’attendit pas. Il bondit en bas des
degrés
à sa rencontre, lançant un javelot et brandissant
a Reine prit la parole: « Vous, guerriers adroits, approchez-vous des
degrés
et vengez mon offense. Je vous en serai toujours
e bon et rapide guerrier. Avec quelle promptitude Hagene s’élança des
degrés
au devant de lui. La bonne épée de Nibelung reten
ténèbres de l’oubli, d’après quel principe instituer entre elles des
degrés
et une sorte de hiérarchie ? De quel droit déclar
us pouvons dire déjà que toute œuvre qui a réussi à atteindre un haut
degré
dans l’un ou l’autre de ces cinq ordres de beauté
dres différents de beauté ; elle est supérieure, si elle possède à un
degré
très élevé une des qualités essentielles à l’un d
rès élevé une des qualités essentielles à l’un de ces ordres ou, à un
degré
suffisamment élevé, la plupart des qualités qu’il
soit supérieure elle-même dans cet ordre et qu’elle ait de plus à un
degré
élevé ou du moins suffisant les qualités d’ordre
ns le maniement des choses de son temps. Je le crois bien : il y a un
degré
d’incisif dans l’observation, de révolte dans l’i
ençant par les deux fils du moribond, par leurs épouses, et ainsi par
degrés
sur tous les intéressés : Tous les assistants, d
ose de sa propre sagacité. Il oublie que cette sagacité, poussée à ce
degré
, est un don qui, heureusement, n’a été accordé qu
. » Mais il est difficile de rester prudent et sage quand on lit à ce
degré
jusqu’au fond dans l’âme des autres hommes ; il e
; ou, si cela est, il ne l’a calomniée que comme Alceste, et avec ce
degré
d’humeur qui est le stimulant des âmes fortes et
ersation parcourait des sujets qui ne lui devinrent familiers que par
degrés
; mais il y avait autre chose encore. Son esprit
onomistes et autres ; elle l’étudie et cherche à se rendre compte par
degrés
de son originalité, de son genre et de sa mesure
accorder toujours aux individus avec qui il était en rapport le juste
degré
d’estime qui pouvait leur appartenir. Il y avait
t lorsqu’ils écoutent… ». M. Necker, on le verra, possédait à un haut
degré
cette finesse et presque ce raffinement d’observa
sseoir, une manière de regarder autour d’elles, qui désigne déjà leur
degré
de confiance, et ce qu’elles pensent de leur prop
qu’il ne le paraît à première vue, mais la distinction, pour être de
degré
seulement, n’en serait pas moins réelle, et cela
tre, on peut dire qu’il n’y a rien en nous que nous n’ayons à quelque
degré
inventé. Nous n’en conclurons pas que tout est in
il n’est pas satisfait (et même lorsqu’il est satisfait, quoique à un
degré
moindre, puisqu’il l’est toujours incomplètement)
ulement cela d’une manière absolue, — toutes ces idées sont à quelque
degré
des inventions. Et nous pouvons constater que l’é
complit pas sans quelque trouble. Selon la nature de ce trouble et le
degré
de difficulté du travail, c’est la tristesse ou l
produit. Encore faut-il que le trouble atteigne pour cela un certain
degré
. Il est aisé de comprendre que le phénomène affec
iner des systèmes de pensées et d’actes, toujours variables à quelque
degré
, mais toujours de même nature. Aussi ne faut-il p
a rien en nous qui nous appartienne absolument et ne soit, à quelque
degré
, social. D’autre part, les moyens extérieurs dont
nette et plus ou moins profonde tous les faits psychiques qui, à des
degrés
divers, sont l’expression de sa personnalité. J’a
adoptant. Et pour oser le faire alors, il faut souvent posséder, à un
degré
généralement plus faible, les qualités qui ont fa
nt d’autres et parfois en transforment l’esprit général ; c’est, à un
degré
moindre, le cas du vulgarisateur qui, en quelque
supérieure de l’imitation une forme inférieure de l’invention. À ses
degrés
inférieurs, au contraire, l’imitation se rapproch
ls il ne serait pas. Comme l’invention encore, il peut avoir tous les
degrés
de nouveauté, de fécondité, de force et d’importa
tion assez complexe, dont les autres éléments sont encore — à certain
degré
au moins — des inventions analogues à elle-même,
r le papier pour composer la stance suivante… d’abord pour établir le
degré
suprême et pouvoir ainsi, plus à mon aise, varier
ces qu’elles viendront compléter. Sans doute ceci est vrai, à quelque
degré
, de tous les inventeurs ; cependant il s’en faut
cience qui ne naît guère, autant qu’on en peut juger, qu’à un certain
degré
de l’organisation, et se développe quelque temps
u de se répéter, elle transforme ses produits. Quand elle arrive à ce
degré
, on voit l’ensemble des éléments de l’invention s
ntraîne des hypertrophies ou des atrophies qui, poussées à un certain
degré
, occasionneront un changement notable dans l’équi
le fondement d’une véritable méthode. M. de Curel présente à un haut
degré
le type imaginatif. La tendance à la rêverie est
nt mal coordonnées entre elles, et ce hasard-là — extérieur à quelque
degré
à la tendance directrice — peut devenir, comme l’
pports. Souvent le développement et son contraire se produisent à des
degrés
divers dans un même ensemble psychique. Telle inv
ère, un automatisme plus automatique, c’est encore inventer à quelque
degré
. Et réciproquement on peut dire que toute inventi
t ne doit pouvoir pousser à bout ses idées, parce que personne n’a au
degré
suffisant ni toutes les connaissances qui pourrai
n. On n’arrive ni à la vérité ni au bien tout d’un coup, mais par des
degrés
successifs ; seulement chaque degré cherche à se
ien tout d’un coup, mais par des degrés successifs ; seulement chaque
degré
cherche à se faire prendre pour le dernier, et il
lesse, ils s’abusent et la trompent. La fermentation est au plus haut
degré
, les plus folles espérances sont entretenues et c
dans un pays si vaste et chez un peuple à imagination vive, doué à ce
degré
de la faculté d’illusion : « L’établissement et
cisément nécessaires. Il n’était pas jusqu’à l’observateur du dernier
degré
qui, au lieu de me donner la simple note de ce qu
nous voyons toujours une forêt. » J’eus bien de la peine à ramener au
degré
de précision nécessaire ces renseignements, qui s
eindre ce mélange de maux, qui seul peut conduire un homme au dernier
degré
du désespoir. Les peines de la nature peuvent lai
de l’honnêteté même peut conduire à la folie ; elle fait voir à quel
degré
de sensibilité l’ébranlement devient trop fort po
sensible, on s’y confie entièrement, et l’on peut arriver au dernier
degré
du malheur, sans que rien vous ait fait connaître
sme. Un joug volontaire met cependant obstacle, à quelques égards, au
degré
de lumières qu’on pourrait acquérir en Allemagne,
uite, de l’attaque et du repas ; elle fait donc renaître à un certain
degré
les sentiments et les mouvements impliqués dans l
t ce qui constitue l’impulsion, le penchant. « Ressentir à un faible
degré
les états de conscience impliqués dans les actes
ummum d’intensité et à s’élever ainsi dans la conscience au plus haut
degré
de clarté possible. Il y a dans cette opinion une
d’inquiétude et de besoin d’agir. C’est seulement par le passage à un
degré
de conscience plus élevé que l’impulsion primitiv
de d’autant mieux qu’ils s’écoulent plus lentement : passé un certain
degré
de véhémence, elle cesse de percevoir, avec le ch
tat de ralentissement du mouvement. Elle est du mouvement ralenti, au
degré
et dans les limites où la perception dans la cons
conceptions si vastes. Chacun des arts de l’esprit a été imaginé par
degrés
, et développé successivement. Un homme a ajouté a
action fit un second pas bien important. Cette action se modifia par
degrés
, devint plus ou moins attachante, plus ou moins v
ce et des Sénèque ; qui seul enfin élève les ouvrages de l’homme à ce
degré
de perfection qui semblait au dessus de sa foible
gique. Il en fut parmi nous le premier modèle, et le porta au dernier
degré
de perfection. Il ouvrit la carrière, et posa la
du génie. Mais cette impression si vive et si prompte s’affaiblit par
degrés
. L’homme, revenu de son premier étonnement, relèv
hevées qui réunissent tous les genres de beautés dans le plus éminent
degré
, sans autres défauts que ces taches légères qui a
e comme lui, parce que l’examen du style peut être porté à un certain
degré
d’évidence ; au lieu qu’ils n’ont pas renoncé au
firmation proprement dite en ce qu’elle est une affirmation du second
degré
: elle affirme quelque chose d’une affirmation qu
La position d’une réalité implique la position simultanée de tous les
degrés
de réalité intermédiaires entre elle et le pur né
s, l’intervalle entre elles l’est également, il s’ensuit que tous les
degrés
descendants de l’être, depuis la perfection divin
puisque son mouvement est la mesure de tous les autres 103. Puis, de
degré
en degré, nous verrons la perfection décroître ju
son mouvement est la mesure de tous les autres 103. Puis, de degré en
degré
, nous verrons la perfection décroître jusqu’à not
présence de ce Tout et de ce Zéro équivaut à la position de tous les
degrés
de réalité qui mesurent l’intervalle entre les de
lus alors, pour expliquer les caractères spécifiques de chacun de ces
degrés
de réalité intermédiaires, qu’à mesurer la distan
’à mesurer la distance qui le sépare de la réalité intégrale : chaque
degré
inférieur consiste en une diminution du supérieur
ais, du point de vue d’où nous l’envisageons, c’est une différence de
degré
plutôt que de nature. L’esprit humain a passé du
e est un absolu pour ma conscience, car elle coïncide avec un certain
degré
d’impatience qui est, lui, rigoureusement détermi
idération de la matière, de la vie et de la pensée, elle remplace les
degrés
successifs de complication, que supposait le méca
egrés successifs de complication, que supposait le mécanisme, par des
degrés
de réalisation d’une Idée ou par des degrés d’obj
ait le mécanisme, par des degrés de réalisation d’une Idée ou par des
degrés
d’objectivation d’une Volonté, elle parle encore
ou par des degrés d’objectivation d’une Volonté, elle parle encore de
degrés
, et ces degrés sont ceux d’une échelle que l’être
és d’objectivation d’une Volonté, elle parle encore de degrés, et ces
degrés
sont ceux d’une échelle que l’être parcourrait da
ps que la marche de l’esprit vers la rationalité, où serait suivie de
degré
en degré la complication des correspondances entr
marche de l’esprit vers la rationalité, où serait suivie de degré en
degré
la complication des correspondances entre l’exter
participe de l’un et de l’autre sans être aucun des deux. Au plus bas
degré
de l’échelle animale, chez des êtres vivants qui
édiaires ; elle ne peut franchir d’un coup qu’un bien petit nombre de
degrés
dans l’échelle des idées et des sentiments. Enfin
il y aura, selon l’écrivain, selon le sujet, selon le lecteur, mille
degrés
depuis la simplicité rigoureuse jusqu’à la plus s
iscours sera ample. Entre ces deux mouvements, il y a une infinité de
degrés
, selon qu’on précipitera plus ou moins le passage
a. Ils avaient grandi de la grandeur de leur sujet. En gravissant les
degrés
de l’échafaud de la reine, ils étaient montés à l
ette société puissante, idéale et réelle de Balzac, et réelle au même
degré
qu’idéale, quoique l’idéal dans Balzac atteigne à
nalis, de Bianchon, de Nathan, de Bixiou, de Blondet, etc., chacun un
degré
de l’esprit humain et de la civilisation parisien
n ordinairement plus puissante. L’adoration des astres caractérise le
degré
le plus élevé de cette première phase théologique
nsemble de l’évolution humaine, se trouve inévitablement parvenu à ce
degré
de prolongation abusive où il tend à perpétuer in
es d’animalité, se trouve poussée, dans notre organisme, au plus haut
degré
que puisse exiger l’exploration totale du monde e
leur ont servi de base, du moins tant qu’on n’y doit pas dépasser le
degré
primitif de précision effective. Depuis que la su
Alors, en effet, régnera partout, sous divers modes, et à différents
degrés
, cette admirable constitution logique, dont les p
ie de nos, conceptions se trouve nécessairement limitée, à un certain
degré
, par l’obligation fondamentale de leur réalité, c
y être, contestée. C’est, en effet, le même problème humain, à divers
degrés
de difficulté, que de constituer l’unité logique
, en tendant à déterminer, d’après les exigences de l’application, le
degré
de précision et d’étendue de notre prévoyance rat
miques, ce Traité me fournira l’occasion naturelle de caractériser le
degré
précis de leur développement auquel il faut attri
le principe des conditions d’existence, qui en offre, à un plus haut
degré
, toutes les propriétés logiques, sans présenter a
ance constante du véritable esprit philosophique à obtenir partout le
degré
de précision compatible avec la nature des phénom
iales, pour leur faire acquérir, par une élaboration systématique, un
degré
de généralité et de consistance qu’elles ne pouva
soire ou puérile la possession d’un tel privilège, qui, même dans son
degré
actuel de dissémination, n’inspire habituellement
parties constituantes de chaque étude fondamentale, en sorte que les
degrés
dogmatiques et les phases historiques peuvent se
ionnelle, s’obstinent aveuglément, à retenir l’esprit humain dans, ce
degré
purement initial du, véritable essor spéculatif,
à l’état sociologique final, en parcourant successivement les quatre
degrés
intermédiaires, astronomique, physique, chimique
imé à me figurer, moyennant quelques images qui parlent aux yeux, ces
degrés
successifs d’approximation, en quelque sorte décr
t toute aristocratie dominante et proportionnait le rang des chefs au
degré
dans lequel ils approchaient le roi. Les assemblé
son excellent esprit n’est pas. M. de Saint-Priest possède à un haut
degré
les qualités littéraires : il en faisait déjà pre
dits sans nombre, ce riant paysage des Géorgiques ne s’effaça que par
degrés
et disparut lentement devant le soleil du christi
mes ou ridicules, placés par l’esprit, le cœur et le sang, au dernier
degré
de l’échelle sociale. La jeunesse imprévoyante et
on nous, l’utilité peut constituer parfois dans les objets un premier
degré
de beauté très inférieure ; mais l’utilité n’est
cela même à l’intelligence une satisfaction et acquiert ainsi quelque
degré
de beauté, loin de nous la pensée que tout ce qui
ordinairement un côté social, et par là encore il acquiert un certain
degré
élémentaire de beauté, car nous sympathisons avec
thie, des diverses parties du moi nous a semblé constituer le premier
degré
de l’émotion esthétique ; la solidarité sociale e
r devant nous, tantôt une échelle dont nous montons ou descendons les
degrés
, tantôt un savant arrangement de lignes concentri
dées qui manquent aux mots. Dès que l’idée en est venue à son dernier
degré
de perfection, le mot éclôt, se présente et la re
mes sont donc équivalents. Le difficile, c’est d’atteindre ce dernier
degré
où l’idée se parfait dans le mot propre et défini
ec et italien. Pétrarque, l’Arioste et le Tasse l’élevèrent à un haut
degré
de perfection. Mais cette description manque de v
er, Waller et Milton l’avaient déjà fait connaître. Elle y perdit par
degrés
ses manières affectées ; mais elle tomba dans un
de Napoléon III, moins la guerre. De la sorte il amènera la France au
degré
d’abaissement où arrive toute société qui renonce
la précision de l’esprit, toutes qualités que développe au plus haut
degré
l’éducation prussienne, et que notre éducation fr
souverain n’a même en un tel système que de faibles inconvénients. Le
degré
de raison nationale émanant d’un peuple qui n’a p
e place que la naissance et l’anoblissement légal. Le suffrage à deux
degrés
introduirait un principe aristocratique bien meil
uadée que les questions qui la préoccupent absorbent le monde au même
degré
. Les questions de rivalité entre les races et les
t parfaitement universel, ne soit plus direct, c’est d’introduire des
degrés
dans le suffrage. Toutes les constitutions de la
qui ne fonctionna jamais, admirent ce principe élémentaire. Les deux
degrés
corrigeraient ce que le suffrage universel a néce
a nécessairement de superficiel ; la réunion des électeurs au second
degré
constituerait un public politique digne de candid
Dans ce système, les opérations pour le choix des électeurs du second
degré
seraient, il est vrai, publiques ; mais il y aura
evoir réciproque, responsabilité, solidarité. Les électeurs du second
degré
seraient des aristocrates locaux, des autorités,
ont pour la lettre et ceux qui s’en tiennent à l’esprit. À un certain
degré
de la culture rationnelle, la croyance au surnatu
artage l’école de campagne. L’esprit humain est une échelle où chaque
degré
est nécessaire ; ce qui est bon à tel niveau n’es
pour conséquence de les faire battre, il est difficile de dire à quel
degré
d’abaissement pourrait descendre l’espèce humaine
llibilité fait exception ; car ce dogme est « pratique » au plus haut
degré
, et atteint toute l’organisation de l’Église cath
istoire se ramène à la psychologie. Entre les innombrables espèces et
degrés
de plaisirs, il en est un particulier à chaque âm
et le chœur universel des forêts, des fleuves et des mers. Alors, par
degrés
, le travail qui s’est fait dans l’esprit des prem
is droits de la draperie tombante, ces pieds nus aussi blancs que les
degrés
de marbre sur lesquels ils se posent, ces grands
ls sont, avec leurs habitudes paresseuses d’esprit, les conduire, par
degrés
et sans qu’ils s’en doutent, vers les vues d’ense
thénien sont des morceaux du premier mérite. L’auteur a, au plus haut
degré
, le tact et la divination historiques, le talent
goût, et l’on peut dresser en quelque sorte une échelle indiquant le
degré
de tolérance relative des races en fait de comple
. — Voilà ce que j’entendais dire dans tous les cercles et aux divers
degrés
de l’échelle. Par malheur, l’opinion publique n’a
nt tour à tour dans chaque pays la dimension des groupes locaux, leur
degré
de liberté et d’initiative ; les attributions de
de père en fils, ce que comporte le caractère de chaque nation ou le
degré
de civilisation de chaque pays. Tout cela aboutit
de suffrage illusoire. Accommodons la loi à son état d’esprit, à son
degré
d’intelligence ; nous ne la faisons pas pour l’ho
rs, forestiers, compagnons, qui, vivant aux champs, ont à peu près le
degré
de culture de leur voisin qui fauche ou laboure.
lie. De loin en loin il devise avec ses voisins qui ont juste le même
degré
d’information que lui. S’il apprend quelque nouve
es envoie au chef-lieu d’arrondissement ; que ces électeurs du second
degré
, une fois réunis, lui nomment son député. Par ce
le suffrage universel indirect, ils nommeront les électeurs du second
degré
chargés d’aller choisir ce député au chef-lieu. —
certitude. Désormais, dans chaque commune, cent électeurs du premier
degré
nommeront un électeur du second degré. Je ne limi
mune, cent électeurs du premier degré nommeront un électeur du second
degré
. Je ne limite pas votre choix ; quel que soit vot
er, paysan, cela vous regarde. Je n’exige de lui aucune preuve, aucun
degré
de fortune ou d’éducation ; je n’exclus que les f
’abstractions. En effet, suivons les conséquences. Ce suffrage à deux
degrés
est si bien conforme à la nature des choses qu’en
eur qui, sous l’empire, ont été effectivement les électeurs du second
degré
. Toutes les fois que le gouvernement interviendra
rence avouée, il en sera de même. Aussi bien, des électeurs du second
degré
sont tellement nécessaires qu’aujourd’hui, dans l
mmune où, au mois de juillet dernier, l’élection s’est faite à quatre
degrés
. Vingt journalistes de Paris, réunis en comité, a
t 130 voix ; il y eut donc là trois sortes d’intermédiaires et quatre
degrés
de suffrage bien comptés. Qu’on le sache ou qu’on
as appelés publiquement à faire un choix exprès, l’électeur du second
degré
est de mauvaise espèce. — Tantôt il est l’agent é
tenace. Il juge donc par lui-même, et choisit ses électeurs du second
degré
en connaissance de cause, à peu près comme son co
et d’un consentement unanime, il a fait l’office d’électeur du second
degré
. — Je pense donc que le groupe des électeurs ains
publique l’adulte ne sache pas raisonner. — Grâce au suffrage à deux
degrés
, les électeurs élus font leur apprentissage, et c
il se propose et qu’il atteint. VIII Le mode de suffrage à deux
degrés
qu’on vient de décrire n’est pas le seul applicab
amment celui qui ne ferait point élire à part les électeurs du second
degré
, et donnerait cet emploi aux membres du conseil m
écidera ; l’essentiel, c’est que l’élection du député se fasse à deux
degrés
. Ainsi se fera chez nous l’éducation politique de
des représentants. Toujours, dans une démocratie, le suffrage à deux
degrés
choisit mieux que le suffrage direct. Là-dessus l
est produite par l’élection directe et ce Sénat par l’élection à deux
degrés
. C’est par cette différence de leurs sources qu’i
rent….Je ne ferai pas difficulté de l’avouer ; je vois dans le double
degré
électoral le seul moyen de mettre l’usage de la l
mployer en partie, et notamment pour le choix des électeurs du second
degré
, soit que le conseil municipal les fournisse, soi
sse, soit qu’on les nomme à part. Contre le suffrage universel à deux
degrés
, je n’ai recueilli que deux objections : 1° « Les
nit la substance aux pensées vraies comme aux actions nobles, et, par
degrés
, change en une riche moisson la maigre récolte de
d’une humanité plus belle et meilleure. Celle-ci est de deux ou trois
degrés
supérieure à la nôtre ; les hommes y ont plus de
us aérien, plus lumineux, celui du désir et du rêve ; et elles ont le
degré
et le genre de solidité que comporte ce monde sup
es conversations. Il semblait qu’il n’eût pas d’amour-propre, même au
degré
permis. Réservé, modeste à l’excès, au lieu de s’
t multiple, sombre peu à peu ; l’Oriental, passif et fixe, émerge par
degrés
. Au bout d’un temps, les curiosités, les désirs,
la nature l’avait préparé en eux ; ils l’avaient eux-mêmes dégagé par
degrés
; cela fait, ils ne tâtonnaient plus. Désormais,
ont tirées sont des statues et des bas reliefs antiques. Jusqu’à quel
degré
doit-on transformer le modèle vivant, et comment
omme et de la femme au xviiie siècle, et de les retrouver à tous tes
degrés
de l’échelle sociale, c’est-à-dire de prendre les
ais en public et au milieu de la foule ; c’est qu’il avait, à un haut
degré
, la faculté singulière qui, par-delà le monde env
poussés jusqu’au modelé complet ; mais les autres, quel que soit leur
degré
d’avancement, depuis le simple croquis ou la silh
e, de préjugés se propageant, l’un après l’autre. — C’est comme trois
degrés
gravis, successivement, par le public parisien, v
tels étonnants préjugés, le public parisien est arriéré. Ce troisième
degré
de Wagnérisme, auquel il se tient, a été dépassé,
r, héritier des Maîtres classiques, et dramaturge. C’est un quatrième
degré
, auquel les Français arriveront, sans doute. Mais
, dont très peu de gens ont une idée, — le Wagnérisme. Là est le haut
degré
, auquel on doit arriver, progressivement. Déjà, n
faudrait en finir de ces vieilles sottises, et franchir ce troisième
degré
, et, — lorsque, dans le reste du monde, l’Associa
à l’heure fixée, à mon rendez-vous. Et je les tasserai, par quarante
degrés
de chaleur, autour du parterre d’un Théâtre que j
lle, entre les arts, des lois spéciales. Elle atteint à son plus haut
degré
dans l’inspiration musicale, où la volonté indivi
endons qu’un des drames wagnériens ait été représenté ». Le quatrième
degré
serait de reconnaître en lui le dramaturge, hérit
d’autres : il y a, dans les divers états de la société et aux divers
degrés
de la civilisation, des facultés nécessaires et d
ehardouin, par exemple, pour nous en tenir à lui, possédait à un haut
degré
le don de la parole et l’art d’insinuer les conse
enre. La parole est une faculté qui, à toutes les époques, et dans un
degré
éminent, est donnée naturellement à quelques-uns
n longueur, il avait fini par les croire échouées : en descendant les
degrés
du palais, il trahissait aux yeux de tous son éto
abordait Dante comme le jeune lévite approche de l’autel et monte les
degrés
du sanctuaire. Fauriel, l’ancien ami et l’admirat
a religion et que beaucoup de philosophie y ramène, de même il y a un
degré
de poésie qui éloigne de l’histoire et de la réal
un degré de poésie qui éloigne de l’histoire et de la réalité, et un
degré
supérieur de poésie qui y ramène et qui l’embrass
ennent aux deux dernières parties de son poème et s’y développent par
degrés
. C’est là que cette âme hautaine redevient presqu
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