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1 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre II : Variations des espèces à l’état de nature »
t, en ce cas, je présume que chacune de ces déviations du type serait considérée comme une variété. Il est douteux que des monstru
individuelles affectent généralement les organes que les naturalistes considèrent comme peu importants ; mais je pourrais prouver,
e de faits, que des organes d’une importance incontestable, qu’on les considère au point de vue physiologique ou au point de vue
et à peine deux naturalistes sont d’accord sur les formes qu’on doit considérer comme des espèces et sur celles qu’on doit ranger
e pas toujours la difficulté. Il arrive même souvent qu’une forme est considérée comme variété d’une autre, non parce que les lien
imaux qu’on regarde généralement comme des variétés, mais qui ont été considérés comme des espèces par quelques zoologistes. Plusi
ques zoologistes. Plusieurs des ornithologistes les plus expérimentés considèrent notre Coq de Bruyère écossais (Tetrao Scoticus) s
ue les animaux ne présentent jamais de variétés ; en conséquence, ils considèrent les plus légères différences comme ayant une vale
ent. En fin de compte, on ne saurait contester que beaucoup de formes considérées comme des variétés par des juges hautement compét
s d’une douzaine d’espèces d’autant de formes presque universellement considérées comme des variétés, et l’on pourrait s’appuyer to
ut d’abord fort embarrassé pour distinguer les différences qu’il doit considérer comme de valeur spécifique, de celles qui n’indiq
erches, il rencontrera des difficultés plus nombreuses, car il aura à considérer un plus grand nombre de formes étroitement alliée
dignes d’être mentionnées dans les ouvrages d’histoire naturelle. Je considère les variétés un peu plus distinctes et plus perma
plus longuement. Je crois donc qu’une variété bien tranchée doit être considérée comme une espèce naissante ; mais on ne pourra ju
ndrons plus loin sur ce sujet. Il suit de ces observations, que je ne considère le terme d’espèce que comme arbitrairement appliq
ui produisent aussi le plus souvent ces variétés bien marquées que je considère comme des espèces naissantes. La théorie aurait p
raison du nombre d’individus de chacune d’elles. Une plante peut être considérée comme dominante, si elle est plus nombreuse en in
nces lui seront encore actuellement favorables. D’autre part, si l’on considère chaque espèce comme le produit d’un acte spécial
ants critères que nous ayons pour décider si deux formes doivent être considérées comme espèces ou comme variétés. Maintenant Fries
te-trois plantes qu’on y trouve mentionnées comme espèces, mais qu’il considère comme si semblables à d’autres espèces voisines,
iquées comme espèces douteuses, mais qui sont presque universellement considérées par des botanistes anglais comme de bonnes et vér
ntermédiaires n’ont pas été découverts ; mais la somme de différences considérée comme nécessaire pour donner à deux formes le ran
2 (1830) Cours de philosophie positive : première et deuxième leçons « Deuxième leçon »
réelles consiste à les distinguer en théoriques et pratiques. Si nous considérons d’abord cette première division, il est évident q
antécédent. Or, dans un tel travail, c’est la spéculation qu’il faut considérer , et non l’application, si ce n’est en tant que ce
de penser un instant aux effets physiologiques de l’étonnement, et de considérer que la sensation la plus terrible que nous puissi
ème étant la base du second, c’est évidemment celui qu’il convient de considérer d’abord dans une étude méthodique, même quand on
iné dans son caractère philosophique, est déjà plus sensible quand on considère la classe sociale qui s’en occupe spécialement. E
ucunement en vue le progrès des connaissances scientifiques, elle les considère dans leur état présent pour en déduire les applic
struire ces doctrines intermédiaires que je viens d’indiquer, si l’on considère que chaque art dépend non seulement d’une certain
es les plus utiles de sa construction. En résume, nous ne devons donc considérer dans ce cours que les théories scientifiques et n
est évidemment la base rationnelle de la seconde. Dans la chimie, on considère toutes les combinaisons possibles des molécules,
t dans toutes les circonstances imaginables ; dans la minéralogie, on considère seulement celles de ces combinaisons qui se trouv
ènes. Ainsi, par exemple, non seulement l’étude spéciale de la terre, considérée sous tous les points de vue qu’elle peut présente
isant en sciences générales et sciences particulières, nous devons ne considérer ici que le premier ordre, et nous borner à la phy
nération effective d’une théorie scientifique, l’esprit est conduit à considérer le perfectionnement de quelque art qui n’a avec e
pothétique et abstrait sous le rapport le plus important, en ce qu’il considérerait le développement de cette science comme isolé. Bi
e, sans laquelle même cette histoire ne serait pas intelligible. Nous considérerons donc avec beaucoup de soin l’histoire réelle des
er les sciences fondamentales. Or nous verrons bientôt que, tout bien considéré , il n’est pas possible d’en distinguer moins de s
ntime d’un corps quelconque. Mais il n’est nullement indispensable de considérer les corps bruts et les corps vivants comme étant
’elle doit être partagée en deux sections distinctes, suivant qu’elle considère les phénomènes généraux de l’univers, ou, en part
t étudiés d’une manière plus approfondie. Nous persisterons donc à ne considérer qu’une seule division dans la physique organique,
, la chimie, la physiologie et enfin la physique sociale. La première considère les phénomènes les plus généraux, les plus simple
ent sur tous les autres, sans être influencés par eux. Les phénomènes considérés par la dernière sont, au contraire, les plus part
oit convenablement appréciée ; il suffirait, pour s’en convaincre, de considérer les graves infractions qui sont commises tous les
d’une science à une autre. Nous aurons donc ainsi la certitude de la considérer dans toutes les variétés réelles dont elle est su
s qui lui sont propres ; ce qui prouve clairement la nécessité de les considérer toutes, sous peine de ne se former que des concep
r l’exposition générale du plan de ce cours, il me reste maintenant à considérer une lacune immense et capitale, que j’ai laissée
3 (1895) De l’idée de loi naturelle dans la science et la philosophie contemporaines pp. 5-143
 : les substances le dominent ; et, dans cet ordre supérieur, il faut considérer , d’une part, le physique, domaine des causes effi
endre l’association pratiquement indissoluble, et nous porter ainsi à considérer les lois de la nature comme réellement universell
ue science, mutatis mutandis, aux sciences mathématiques ; mais on ne considère plus les unes comme un simple prolongement des au
naire, dite syllogistique, ne se contente pas de ces trois principes. Considérez le principe de contradiction tel que l’a formulé
la parfaite intelligibilité. La logique syllogistique peut donc être considérée comme une méthode, un ensemble de symboles par le
t subjectives ? Il semble bien que les lois logiques ne puissent être considérées comme venant exclusivement de l’expérience : cell
a nécessité qu’elle implique sera sauvegardée, même si les êtres sont considérés comme doués de spontanéité, même si les êtres son
es sont considérés comme doués de spontanéité, même si les êtres sont considérés comme libres. Elle est un maître absolu, mais inf
cité propre et irréductibles aux précédentes. Les lois mathématiques, considérées en elles-mêmes, paraissent impropres à être réali
d’après l’état actuel des sciences, il nous est encore permis de nous considérer comme ayant quelque faculté d’agir librement. Nou
mment elle passe du repos au mouvement. Pour résoudre la question, on considère la production du mouvement chez l’homme. Or, le m
e différente. Au lieu d’opposer le mouvement et le repos, Galilée les considère comme analogues : la matière se suffit à elle-mêm
du mouvement. Dieu est éliminé du monde, en tant, du moins, qu’on le considère comme un artiste produisant par des actes distinc
us demandons maintenant en quel sens les fois mécaniques peuvent être considérées comme réalisées dans la nature. Le premier mouvem
, inhérentes aux choses prises en soi, indépendamment de l’esprit les considère . Descartes professe ce mécanisme métaphysique : l
ue qu’elle érige en réalité. Les lois mécaniques ne peuvent donc être considérées comme réalisées telles quelles dans la nature des
elle que nous isolons un monde d’atomes et de forces mécaniques et le considérons comme se suffisant à lui-même. Ce monde, dans la
et leur signification propre. Le premier sentiment de l’homme fut de considérer les qualités physiques que nous révèlent nos sens
ère de voir est très défavorable à la science ; car les choses, ainsi considérées , se prêtent difficilement à l’application des mat
ysique un élément différent des éléments mécaniques. En mécanique, on considère une force qui conserve toujours la même nature et
ut. En effet, elle n’est obtenue qu’en éliminant l’hétérogène pour ne considérer que l’élément homogène des choses. Le physicien é
oule de loi qu’une loi unique et déterminée. Toutes les fois que l’on considère un système fermé, il y a quelque chose qui s’y co
la seconde manière de voir. La loi même de la gravitation ne fut pas considérée par Newton comme une loi première. Mais il refusa
ci avaient toutes, quoique à des degrés divers, un objet abstrait, et considéraient des propriétés existantes, mais non des êtres de
existantes, mais non des êtres de la nature. La chimie, au contraire, considère des corps concrets existant en eux-mêmes. De là i
ensent pouvoir aller des phénomènes à l’être. Mais, pour pouvoir être considérée comme une doctrine de l’être, la théorie atomique
oïncidence entre les faits et la théorie, on ne serait pas autorisé à considérer l’atomisme comme une théorie de l’être. En effet,
que faire de l’action d’un Dieu. Chez les modernes, au contraire, on considère séparément la masse et le mouvement, que l’on reg
l’admet que dans la mesure où l’on ne peut pas s’en passer. Cependant considérons , non plus l’atomisme, mais simplement l’idée géné
é. Pour les anciens, l’idéal était la fixité, l’immutabilité. Épicure considère les dieux comme éternellement oisifs, parce que l
nt du soleil autour de la terre, du lever ou du coucher de cet astre. Considérons donc les choses en elles-mêmes. On ne peut douter
semble-t-il, dans l’être vivant une finalité interne. L’être vivant, considéré comme individu, se sert de ce qui l’entoure pour
’objet de la science. L’un des êtres les plus simples que l’on puisse considérer , l’amibe, substance homogène quasi diffluente, po
ela, sans doute, est relatif à l’état actuel des choses. Mais il faut considérer qu’en soi, la démonstration en question est fort
ment intelligible ; en effet, outre la mécanique rationnelle, il faut considérer la mécanique appliquée. Or l’expérience est indis
dans son usage suprême, soit la mesure des choses ; et en outre nous considérons que, si tout est mouvement, comme nous pouvons pr
ation avec le mécanisme vient de ce que la question est mal posée. On considère la vie et le mécanisme comme étant l’un et l’autr
ogie apparaissent comme irréductibles. Le déterminisme physiologique, considéré en lui-même, diffère du déterminisme physico-chim
yser l’actuel et de parvenir à le concevoir comme un système. Si l’on considère le développement de la zoologie au XVIIIe siècle
ans les conditions où il est placé. Jusqu’ici nous avons vu la nature considérée comme système. Cependant du sein même de la philo
; mais son rôle est d’examiner quelle est la nature des lois que l’on considère comme présidant soit à la transformation, soit à
omportant en général quelques légères variations. Ces variations sont considérées comme le point de départ de la diversité actuelle
t l’auteur. Dès lors, pour devenir objet de science, l’âme devra être considérée sous le point de vue de l’étendue. S’il s’agit de
ression fidèle de l’âme, d’autres philosophes cherchaient dans l’âme, considérée à part, les éléments d’une psychologie scientifiq
relations entre les phénomènes physiques et les phénomènes psychiques considérés dans leur détail. Bain est encore, à bien des éga
ndre au réel et non pas seulement à quelque chose d’abstrait, il faut considérer le fait psychique dans sa totalité naturelle, et
moraux et tout ce qui paraît le propre de l’homme, pour s’en tenir à considérer les phénomènes psychiques communs à l’homme et à
En quel sens est possible, jusqu’où porte une psychologie sans âme ? Considérons d’abord les lois idéologiques ou lois d’associati
conscientes ou physiques s’intercalent entre les états de conscience. Considérez , par exemple, les idées dues à des impulsions. Le
s lacunes inséparables de l’associationnisme, la psychologie physique considère l’âme dans ses rapports avec l’organisme. Elle es
itions, et en cherchant dans la mécanique l’explication du conscient. Considérons d’abord la négation impliquée dans cette méthode.
pour une forte part. Son point de départ, c’est la nature de l’homme considéré avant l’établissement des sociétés. Cette nature
l’idée de contrat primitif. Ainsi de Hobbes à Rousseau la société est considérée comme une œuvre d’art, l’art étant nettement dist
’ensemble. C’est l’achèvement de la troisième conception : la société considérée comme œuvre naturelle, à l’exclusion complète de
le de l’origine. Que si, laissant de côté la question d’origine, nous considérons en elle-même la loi dite historique, nous trouvon
même chose ne nous arrive pas. Jamais, en cet ordre de choses, on ne considère l’antécédent comme devant nécessairement entraîne
er un seul conséquent, à l’exclusion de tout autre. Un antécédent est considéré comme une influence, non comme une cause propreme
ersité des fonctions est toujours un principe de tolérance mutuelle ? Considérons le capital et le travail : la différence qui les
la sociologie dans le concert des sciences, il faudrait arriver à ne considérer les faits sociaux que dans leurs équivalents méca
ue dans leurs équivalents mécaniques. C’est ainsi que le physicien ne considère les agents physiques que dans leurs manifestation
sance, le substitut légitime du second. En tant qu’elles peuvent être considérées comme consistant en mouvements, les choses satisf
onscrit lui-même le champ de ses investigations ; il se propose de ne considérer qu’un certain ordre de manifestations de la natur
4 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. John Stuart Mill — Chapitre III : Théorie psychologique de la matière et de l’esprit. »
ue ; du moins n’y sera-t-il question ni de la matière ni de l’esprit, considérées comme substances » La « théorie psychologique de
Reid, de Stewart et de la plupart des philosophes, en ce que celle-ci considère le sujet et l’objet comme deux termes fondamentau
e possible et au même instant de tout le reste. Par suite, le groupe, considéré comme un tout, se présente à l’esprit comme perma
des groupes de possibilités de sensations. L’ensemble des sensations, considérées comme possibles, forme une base permanente pour l
ur les sensations actuelles ; le rapport des sensations possibles est considéré comme le rapport d’une cause à ses effets, d’une
e qui le recouvre. Ce n’est pas tout encore. Arrivés à ce point, nous considérons ces possibilités permanentes comme différentes de
cession, en viennent pour ainsi dire à être détachés de nous-mêmes et considérés comme des existences distinctes. De plus, nous dé
s naturel que de l’étendre à ces possibilités permanentes, que de les considérer comme des existences de nos sensations, mais dont
aravant : il en est de même pour l’existence de Dieu. Supposez que je considère l’Esprit divin simplement comme la série des pens
es pensées divines prolongée pendant l’éternité, ce serait assurément considérer l’existence de Dieu comme aussi réelle que la mie
5 (1881) La psychologie anglaise contemporaine «  M. Georges Lewes — Chapitre II : La Psychologie »
ls arguments donnés en faveur d’un principe vital qui méritent d’être considérés , sont les suivants : 1° la vie gouverne les affin
et non une force supérieure. « Il est, certes, plus philosophique de considérer la vie comme un fait ultime, comme l’une des gran
ondamentale du tissu ganglionnaire, inhérente à ce tissu, nous devons considérer le sensorium comme ayant la même extension que le
nt n’aura lieu246. » Dans la doctrine ordinaire, la conscience étant considérée comme ayant son siège dans le cerveau, on admet n
rement sensations. On dit que nous en avons conscience ; le reste est considéré comme non existant ; ce sont des impressions inco
l’action qui a son centre dans la moelle épinière est dite réflexe et considérée comme d’une nature toute différente, la théorie d
Ce serait mal me comprendre, dit M. Lewes, que de supposer que je ne considère pas le cerveau comme l’organe principal et domina
s sensitives, n’est point neuve. Robert Whitt l’a soutenue. Prochaska considérait le cordon spinal comme formant une grande partie
idérations historiques nous passons aux faits eux-mêmes, nous pouvons considérer sous deux aspects l’évidence qu’ils nous fourniss
t déterminés par une sensation, c’est que le cerveau ou encéphale est considéré comme l’unique siège de la sensation. Pour expliq
s sens, sensations du système. Les premières ont presque toujours été considérées comme impersonnelles, parce qu’elles nous mettent
base de toute opération intellectuelle. « Je me sens donc justifié à considérer l’idéation, comme la forme de la sensibilité céré
avec les ganglions des centres spéciaux. De même, l’émotion peut être considérée comme la forme de sensibilité cérébrale qui est d
e la substance amère a disparu. Pour que ces sensations ne soient pas considérées comme produites par des objets réels, présents, q
problèmes. A notre avis, les études sur la transmission héréditaire, considérée au point de vue psychologique, sont destinées à j
uel tous les autres états de conscience sont traduits, quand nous les considérons objectivement. Ayant ce caractère objectif et par
de sensation dans lequel tous les autres sont traduits, quand on les considère objectivement271. » 238. Problems of life an
6 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. James Mill — Chapitre III : Sentiments et Volonté »
facultés actives. Dans la première, les sensations et les idées sont considérées comme simplement existantes ; dans la seconde, el
considérées comme simplement existantes ; dans la seconde, elles sont considérées comme excitant à l’action. Nous avons vu que cell
oute autre personne, exciter en nous ces sentiments. De plus un homme considère son enfant comme une cause, beaucoup plus certain
s. Ces émotions esthétiques52 se ramènent encore à une association. «  Considérés en gros, le sentiment du beau et le sentiment du
que la distribution de la louange et du blâme, et aucun acte ne sera considéré comme plus immoral que de les mal appliquer. » L
esprit humain » doit s’en tenir aux faits ; mais la liberté, qu’on la considère comme vraie ou comme illusoire, est une question
a controverse, sur cet état de l’esprit que nous appelons volonté. On considérait invariablement et avec raison la volonté comme la
ec raison la volonté comme la cause de l’action ; malheureusement, on considérait aussi toujours comme faisant partie de l’idée de
et peines que nous causent le beau et le laid, le bien et le mal. Ils considèrent ainsi l’Esthétique et la Morale dans leur fondeme
7 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. John Stuart Mill — Chapitre II : La Psychologie. »
et objet, esprit et matière, se réduit à l’opposition de la sensation considérée subjectivement, et de la sensation considérée obj
osition de la sensation considérée subjectivement, et de la sensation considérée objectivement. Il y a, d’une part, la série des é
l’objet de la sensation. Parmi nos sensations, nous avons coutume de considérer les unes surtout subjectivement, les autres surto
ment, les autres surtout objectivement. Dans le premier cas, nous les considérons principalement dans leur rapport à nos divers sen
onséquent, au sujet qui en est la somme. Dans le second cas, nous les considérons principalement dans leur rapport avec un ou plusi
s de sensation renfermées dans le groupe semblent dépendre. Ce noyau, considéré quelquefois comme cause ou substance, est notre c
tés fondamentales du corps est l’étendue ; notion qui a été longtemps considérée comme irréductible par l’École intuitive de Reid
des séquences aussi uniformes que possible qui ne sont pas pour cela considérées comme des cas de causalité : ainsi la nuit succèd
ertait sur les substances et les causes premières, et l’autre, qui ne considérait les facultés humaines que in abstracto, la scienc
ns leurs variations ethnologiques ou autres, tandis que la logique ne considère la faculté de raisonner que sous sa forme adulte,
on de l’empirisme et de l’idéalisme est remarquable. L’idéalisme, qui considère la déduction comme l’opération fondamentale, parc
abord ce premier mode de raisonnement. C’est à tort que les logiciens considèrent le dictum de omni et multo, comme la base de tout
on et le désaccord viennent d’une théorie erronée de la causalité qui considère le rapport de cause à effet comme nécessaire, qui
interne la folie. N’oublions pas que M. Mill n’est pas fataliste. On considère , dit-il, comme embarrassante cette question : Com
8 (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre deuxième. La connaissance des corps — Chapitre premier. La perception extérieure et les idées dont se compose l’idée de corps » pp. 69-122
t donc que des points de vue de la solidité, des manières diverses de considérer sa cessation et son manque, c’est-à-dire le manqu
e la sensation de résistance. — Reste l’étendue elle-même. On peut la considérer à trois points de vue, selon les trois dimensions
es, j’ai une de ces sensations qu’on nomme musculaires, et je puis la considérer à deux points de vue. — En premier lieu, la sensa
d’étendue ou de parcours27. — Ainsi, grâce aux sensations musculaires considérées au point de vue de leur prolongation plus ou moin
lités et des nécessités de sensation ? — Pour lever cette difficulté, considérons l’un après l’autre les principaux caractères de c
tous les moments du temps. Quel que soit l’instant de la durée que je considère , cette possibilité et cette nécessité s’y rencont
’un nom distinctif est appliqué, quand même ce serait à la même chose considérée sous un aspect différent, l’expérience la plus fa
e notre nature mentale nous enseigne que ce nom différent est bientôt considéré comme le nom d’une chose différente. « Ces possib
la substance ou matière se distingue de notre idée de la sensation. «  Considérons maintenant un autre caractère général de notre ex
ce, d’activité, ne s’attachent pas dans notre esprit à nos sensations considérées comme actuelles, sauf dans les quelques cas physi
, qui pourtant sont le fondement originel du tout, finissent par être considérées comme une sorte d’accident dépendant de nous, et
des nôtres. Ceci met le sceau final à la conception par laquelle nous considérons les groupes de possibilités comme la réalité fond
érieure qui existe entre ses diverses parties, nous sommes conduits à considérer la sensation elle-même — la réunion totale de nos
et — le seul antécédent qui, étant invariable et inconditionnel, soit considéré par nous comme la cause — peut être, non pas une
iée ; et, par un seul et même mécanisme, nous acquérons l’habitude de considérer la sensation en général, de même que toutes nos s
encore nécessité de ces sensations. Ces nécessités, posées à part et considérées isolément, sont ce que nous appelons des forces32
ements des corps, et c’est à ce point de vue que d’ordinaire nous les considérons . Quand nous ne rencontrons plus une sensation sur
homme ou animal, autre que nous-mêmes. En ce cas, non seulement nous considérons l’objet perçu par nos sens comme un faisceau de p
ivent aujourd’hui. Quel que soit l’être, animé ou inanimé, on peut le considérer à deux points de vue, par rapport aux autres, et
tés, les pouvoirs et les forces n’en sont qu’un extrait. Il essaye de considérer à part et en soi ce quelque chose indépendant et
ns composantes de toute qualité et de toute différence intrinsèques ; considérez -les abstraitement, comme de purs événements succe
e, étant ainsi amenés au maximum de simplicité possible, peuvent lire considérés comme des sensations élémentaires au maximum de s
9 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Chapitre VI. L’espace-temps à quatre dimensions »
ystème, c’est que cette ligne, au repos, serait égale à équation .l. Considérons le carré L2 = équation de cette grandeur. De co
imensions, réduit à la présente feuille de papier, si les deux points considérés étaient A′ et B′, dont les distances respectives
nt le cas particulier que nous examinions tout à l’heure. Nous avions considéré en effet dans le système S′ une certaine longueur
d de v et n’est plus invariante. Mais si, dans cette expression, nous considérons le premier terme équation , qui nous donne la va
rrait s’énoncer de la manière suivante : Si l’observateur en S′ avait considéré , au lieu de la somme de trois carrés équation
S′, — seules mesures réelles attribuables à un observateur réel, — et considérer les mesures prises dans les autres systèmes comme
entre les distances des points A′ et B′ à l’un des 4, 5, 6…, n plans. Considérons alors notre expression équation Si la somme d
c : notre coefficient deviendra ainsi l’unité. D’autre part, si nous considérons un temps équation tel qu’on ait équation , et
et le temps spatialisé. Néanmoins, nous ne pourrons nous dispenser de considérer plus spécialement l’Espace-Temps de Minkowski et
ont nous étions parti quand nous tracions deux axes rectangulaires et considérions une ligne A′ B′ dans le même plan qu’eux. Nous ne
le de l’espace. Supposons un univers superficiel réduit au plan P, et considérons dans ce plan un mobile M qui décrit une ligne que
nt de la durée : l’autre, essentiel, vous échappe. On peut sans doute considérer comme théoriquement entassées les unes sur les au
a théorie de la Relativité, l’entrelacement de l’Espace avec le Temps considéré comme une dimension additionnelle. Nous ne change
ment imprimé par la pensée au système fait que l’Espace primitivement considéré paraîtra se gonfler de Temps : équation deviendr
tervalle de temps, est invariable, quel que soit le point d’où il les considère à l’intérieur de son système, il les abandonne à
peu mathématicien aura remarqué que l’expression équation peut être considérée telle quelle comme correspondant à un Espace-Temp
10 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre XIII : Affinités mutuelles des êtres organisés »
le système naturel. Mais que signifie ce terme ? Quelques auteurs le considèrent purement comme un plan imaginaire pour grouper en
cation doit représenter le plan inconnu de la création, soit qu’on ne considère notre méthode systématique que comme un plan imag
importance en classification. Rien cependant n’est plus faux. Nul ne considère comme importantes les ressemblances extérieures d
n avec les habitudes et la nourriture d’un animal, je les ai toujours considérés comme fournissant les plus claires indications su
tout externe, et d’une valeur physiologique indifférente, aurait été considéré par les naturalistes comme aussi important dans l
’on ne puisse découvrir entre eux aucune connexion nécessaire, on les considère comme ayant une valeur toute spéciale. Comme dans
fonction de reproduire la race, se montrent presque uniformes, on les considère comme de grand usage en classification ; mais en
armi les plantes et les insectes des groupes de formes, qui n’ont été considérés d’abord par les naturalistes expérimentés que com
fondement le principe de descendance modifiée ; et que les caractères considérés par les naturalistes comme prouvant des affinités
nt technique, et pour la commodité de la théorie, elles puissent être considérées comme les états successifs d’un même individu. Il
chidées (Monachantus, Myanthus et Catasetum), qui d’abord avaient été considérées comme trois genres distincts, étaient quelquefois
enres aberrants. Or, on ne peut rendre compte de ce fait que, si l’on considère les formes aberrantes comme autant de groupes en
les différentes espèces de cette même classe les divers organes sont considérés comme homologues. La connaissance de ces rapports
chenille. En quelques cas pourtant, l’animal adulte est, en général, considéré comme moins élevé dans l’échelle organique que sa
nitif les Cirripèdes peuvent également, selon les points de vue, être considérés comme plus ou moins élevés en organisation qu’ils
ns la même classe, que nous pouvons aisément nous laisser entraîner à considérer ces rapports comme une conséquence nécessaire des
faits principaux de l’embryologie dont j’ai parlé précédemment. Mais considérons d’abord quelques cas analogues chez nos variétés
ocomotion ou ses sens, et, en ce cas, la dernière métamorphose serait considérée comme rétrogressive. Comme tous les êtres organis
mbryologie prend ainsi un plus grand intérêt encore, de ce qu’on peut considérer chaque embryon comme un portrait plus ou moins ef
tous les mâles de mammifères. Je présume qu’on peut, avec certitude, considérer « l’aile bâtarde » de certains oiseaux comme un d
. Néanmoins tout organe, si peu développé qu’il soit, ne saurait être considéré comme rudimentaire dès qu’il est d’une utilité qu
 ; mais l’aile de l’Aptérix lui est parfaitement inutile et peut être considérée comme vraiment rudimentaire. On pourrait peut-êtr
la conséquence de la parenté commune des formes que les naturalistes considèrent comme alliées, et de leurs modifications par séle
rands faits de la Morphologie deviennent intelligibles, soit que nous considérions le même plan déployé dans les organes homologues
lasse, quelles que soient du reste leurs fonctions, soit que nous les considérions dans les organes homologues d’un même individu, a
est généalogique. Finalement, les diverses classes de faits que j’ai considérées dans ce chapitre me semblent établir si clairemen
11 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. James Mill — Chapitre I : Sensations et idées. »
philosophes qui nous occupent ici, le phénomène de l’association est considéré comme l’une des lois les plus générales de la psy
ropéennes. Les logiciens, en fait, en traitant ce sujet, n’ont jamais considéré que le grec, le latin et les langues modernes lit
nte dans sa généralité. De même la théorie courante de l’affirmation, considérée à la lumière d’une science de plus en plus profon
es individus en classes, séparant tels et tels des autres, « nous les considérons sous une certaine idée d’unité comme étant quelqu
ine idée d’unité comme étant quelque chose en elles-mêmes. » Il a été considéré comme une chose « mystérieuse », il a été « expli
la classification avaient raison à mon avis, ajoute M. Grote, si nous considérons la classification comme une grande opération. Un
he du raisonnement. Il nous faut en outre une manière particulière de considérer l’agrégat (phrase que M. James Mill traite de mys
du reste : ce qui a reçu le nom d’Abstraction. » Ce dernier procédé, considéré comme subsidiaire par l’auteur, est défini par lu
qui est contenu dans une idée complexe, pour en faire un objet qu’on considère en lui-même35, Réduite presque entièrement à un p
inantes (la couleur et la figure). — Maintenant mes sensations je les considère comme un effet et je crois à quelque chose qui en
12 (1919) L’énergie spirituelle. Essais et conférences « Chapitre VII. Le cerveau et la pensée : une illusion philosophique »
n y répondra. Plaçons-nous donc d’abord au point de vue idéaliste, et considérons par exemple la perception des objets qui occupent
e en détourne son attention tant qu’elle n’a pas quelque raison de le considérer . Elle n’a intérêt à l’apercevoir que lorsqu’elle
s une cause qui diffère d’elles. Rien ne l’empêchera, semble-t-il, de considérer la représentation des objets extérieurs comme imp
éterminé, et que les mouvements intérieurs de la substance cérébrale, considérés à part, livreraient, à qui saurait les déchiffrer
science correspondante. Mais comment ne pas voir que la prétention de considérer à part le cerveau, à part le mouvement de ses ato
ère l’ensemble de nos autres perceptions ; et, par cela seul que nous considérons leur réalité intime, nous considérons le tout de
ns ; et, par cela seul que nous considérons leur réalité intime, nous considérons le tout de la réalité avec lequel ils forment un
ni) quand on fait œuvre de savant : sinon, on ne songerait même pas à considérer des parties isolées de la réalité pour les condit
éservoirs contenant des virtualités cachées : ce qui lui permettra de considérer les mouvements intracérébraux (érigés cette fois
et qu’il pouvait servir de point de départ à une théorie de l’esprit, considéré dans ses rapports avec le déterminisme de la natu
13 (1889) Essai sur les données immédiates de la conscience « Chapitre II. De la multiplicité des états de conscience. L’idée de durée »
le d’une somme ; elle embrasse une multiplicité de parties qu’on peut considérer isolément. Sans approfondir pour le moment ces no
s doute, au moment où je pense chacune de ces unités isolément, je la considère comme indivisible, puisqu’il est entendu que je n
 ? Comment la fractionnerait-on tout en la déclarant une, si on ne la considérait implicitement comme un objet étendu, un dans l’in
sont de véritables nombres, aussi grands qu’on voudra, mais que l’on considère comme provisoirement indécomposables pour les com
me s’ils cherchaient à se rejoindre les uns les autres. Et quand nous considérons le nombre à l’état d’achèvement, cette jonction e
nombre est discontinu pendant qu’on le construit : mais dès que l’on considère le nombre à l’état d’achèvement, on l’objective :
s se présentent à notre observation. Il n’en est plus de même si nous considérons des états purement affectifs de l’âme, ou même de
le plus souvent pour une qualité de la matière, c’est parce que l’on considère l’idée du nombre comme indépendante de l’idée d’e
aposer, pour ainsi dire, les unes aux autres : mais, par là même, ils considèrent les sensations comme inextensives, et établissent
aux autres, et ne le deviennent que par un déroulement dans le temps, considéré comme un milieu homogène. Si donc l’une de ces de
n dans la pure durée. Nous touchons ici du doigt l’erreur de ceux qui considèrent la pure durée comme chose analogue à l’espace, ma
ce que des parties d’espace, et en quelque point de l’espace que l’on considère le mobile, on n’obtiendra qu’une position. Si la
imultanéités ; ou du moins, elle est fatalement amenée, même alors, à considérer des simultanéités encore, des simultanéités nouve
roissant par exemple, correspondent à toutes les grandeurs possibles. Considérons alors, sur la trajectoire du mobile A, deux point
n on augmentera le nombre des simultanéités et des positions que l’on considère , par l’hypothèse d’intervalles très petits ; en v
ant nous ne pouvons former l’idée même de multiplicité distincte sans considérer parallèlement ce que nous avons appelé une multip
mérique, ce que nous avons appelé une multiplicité qualitative, et de considérer l’une comme l’équivalent de l’autre. Or, nulle pa
me cause objective agit, nous découpons ce progrès en phases que nous considérons alors comme identiques ; et cette multiplicité de
cience, pris à part, devra revêtir un aspect différent selon qu’on le considère au sein d’une multiplicité distincte ou d’une mul
adoptent les contours précis et l’immobilité. Nos sensations simples, considérées à l’état naturel, offriraient moins de consistanc
qu’on l’aperçoit directement ou par réfraction à travers l’espace. — Considérés en eux-mêmes, les états de conscience profonds n’
14 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Herbert Spencer — Chapitre II : La psychologie »
 ; si de là nous tombons aux races humaines inférieures qu’on ne peut considérer comme pensantes, dont les conceptions numériques
un petit nombre de grains colorés placés sous le tégument, peut être considéré comme n’étant simplement qu’une partie de la surf
a remplissent à des degrés plus ou moins imparfaits. » L’intelligence considérée dans son fond se réduit donc à l’association des
ain. Nous ferons remarquer cependant que, sur cette loi d’association considérée non à tort comme la thèse capitale de l’école ang
e se transforment l’un dans l’autre. De même que l’instinct peut être considéré comme une sorte de mémoire organisée, de même la
ré comme une sorte de mémoire organisée, de même la mémoire peut être considérée comme un instinct naissant. Voyons comment l’inst
d’autres termes, nous disons qu’un acte est libre, parce que nous le considérons comme notre œuvre, comme découlant de notre moi.
sujet de tels changements psychiques dise qu’il veut l’action ; car, considéré au point de vue psychique, il n’est en ce moment
’égalité à la simple ressemblance. Les rapports comparés ne sont plus considérés comme égaux ou inégaux, mais comme semblables ou
é précédemment données par l’expérience entre A et B. « Si le lecteur considère sa main ou quelque objet également proche, et qu’
rige ses yeux vers la partie la plus éloignée de la chambre, et qu’il considère dans cet espace une portion égale au précédent, i
comparativement vague. Ensuite, s’il regarde par la fenêtre, et s’il considère quelle conscience il a d’un espace situé à cent y
étails, des faits de son enfance depuis longtemps oubliés. Et si nous considérons quel effet doit produire sur notre conscience de
stance étant les premières qu’apprécie la nature vivante et sensible, considérée comme un tout progressif ; qu’apprécie tout anima
e commun à toutes, nous sommes conduits à conclure que la perception, considérée dans ce qu’elle a de plus général, consiste à sai
ins à certains états précédents. Ils ne sont pensables, que si on les considère comme étant tels ou tels ; c’est-à-dire comme éta
même nature des objets, phénomènes, ou lois qui étaient précédemment considérés comme distincts, cela implique une intégration d’
égration d’états de conscience. Donc toute action mentale quelconque, considérée sous son aspect le plus général, peut se définir 
nt les périodes que traverse la vie psychologique pour se constituer. Considérée , non plus dans son mode de formation, mais dans s
és premières). La perception fondamentale est celle de la résistance. Considérée en général, la perception est une classification
tent toutes les doctrines qui lui sont propres ; ceux-là doivent être considérés comme ses adversaires. Ces derniers sont, au fond
ue, métaphysique, positif. La perfection du système positif serait de considérer comme absolument inaccessible, et vide de sens, t
137. Principes de Psychologie, Part. I, ch. vii. Sur la psychologie considérée comme science indépendante et ayant des caractère
15 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Préface » pp. 1-22
n, sur l’échelonnement des centres sensitifs, sur les lobes cérébraux considérés comme répétiteurs et multiplicateurs, sur le méca
des images, sur la sensation et le mouvement moléculaire des cellules considérés comme un seul événement à double aspect, sur les
ement à double aspect, sur les facultés, les forces et les substances considérées comme des illusions métaphysiques2, sur le mécani
ture et se ramènent tous à la sensation ; que la sensation elle-même, considérée du dehors et par ce moyen indirect qu’on appelle
étendue et son rang plus élevé.   Si maintenant, après l’esprit, nous considérons la nature, nous dépassons aussi, dès le premier p
à cela se ramènent tous les événements physiques. Mais le mouvement, considéré directement en lui-même et non plus indirectement
s traitons de même ces lois générales, jusqu’à ce qu’enfin la nature, considérée dans son fond subsistant, apparaisse à nos conjec
e est remplacée par une force égale. Plus précisément encore, si l’on considère la force en général et dans ses deux états, le pr
constatons en fait serait arrêté aujourd’hui. Or, à ce titre, on peut considérer les deux conditions comme des moyens, et leur com
16 (1813) Réflexions sur le suicide
nt venir l’orage, se retirent à l’abri du laurier. Vous n’avez jamais considéré la mort, Monseigneur, que comme dévouement à la p
n chrétienne nous impose relativement au Suicide, et troisièmement je considérerai En quoi consiste la plus grande dignité morale de
pour s’y résigner. Le plus petit mal serait insupportable, si l’on le considérait comme purement accidentel ; l’irritabilité indivi
nous est tout à la fois incompréhensible et indispensable, doit être considérée comme la condition de notre être. Si la réflexion
es de la Providence une justice cachée ou manifeste ; nous ne pouvons considérer la souffrance ni comme accidentelle ni comme arbi
complaisant dans les moyens qu’ils ont employés pour les diriger, ils considèrent ces moyens comme l’unique source de leur félicité
e que Dieu nous a donné de force contre la souffrance, a pourtant été considérée par divers moralistes comme plus facile à support
e de l’équité, nous n’aurions dans la vie que des regrets. On ne peut considérer l’existence que sous deux rapports ; ou comme une
n singulier genre d’erreur dans la manière dont la plupart des hommes considèrent leur destinée. L’on ne saurait trop présenter cet
’il dirige le Sort dans son action sur l’homme ; nous ne pouvons donc considérer ce Sort comme une puissance aveugle : reste à con
pouvons donc considérer ce Sort comme une puissance aveugle : reste à considérer si Celui qui la gouverne a donné la liberté à l’h
e. Nulle part ce Suicide, qui n’est qu’une désertion du Sort, n’a été considéré comme possible. On a beaucoup dit qu’il n’y avait
vices d’hypocrisie, d’incrédulité et de froideur. L’on dirait qu’il a considéré les torts des passions comme des maladies de l’âm
l’on n’atteint pas le but de ses désirs. Dans un tel système l’on se considère comme uniquement au service de soi-même et libre
e cet argument aussi peut être admis, mais comme il est impossible de considérer l’homme qui se tue du même œil qu’un assassin, le
le but de la vie humaine, l’homme doit tendre au perfectionnement et considérer ses devoirs comme n’ayant rien à démêler avec ses
r les avantages positifs qu’elle peut procurer dans ce monde et l’ont considérée comme l’intérêt personnel bien entendu. Les chrét
ait trompée, le désespoir serait donc légitime ; car la vertu n’étant considérée que comme une spéculation, lorsqu’elle est manqué
e ? Et quel avantage de tels égarements ne donnent-ils pas à ceux qui considèrent l’enthousiasme comme un mal ? Le véritable enthou
du jour où elle veut se tuer, comme si la mort d’une mère devait être considérée comme une fête pour son enfant et qu’il fallût dé
amenai l’entretien sur les écrits plus sévères des philosophes. Asham considère Platon comme une âme prédestinée au christianisme
e cette terre, mais quand elle n’y parviendrait pas, est-ce à nous de considérer la Divinité comme un poète qui ne saurait créer u
17 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Chapitre IV. De la pluralité des temps »
atiques de l’univers, totalement différentes l’une de l’autre si l’on considère les nombres qui y figurent, identiques si l’on ti
ativité. Nous devons nous demander dans quel sens les mots sont pris. Considérons d’abord la pluralité des Temps, et reprenons nos
ccélérations tiennent uniquement aux mouvements des systèmes que l’on considère et ne dépendent que de la vitesse dont on suppose
systèmes sont animés ? Revenons à nos deux systèmes S et S′. Si nous considérons le Temps que le physicien Pierre, situé en S, att
où Paul reviendrait après deux cents ans vécus par Pierre. On a donc considéré Pierre vivant et conscient : ce sont bien deux ce
plus, quand le système où ils se produisent est censé se mouvoir, les considérer comme participant au mouvement du système. Et cep
stème privilégié : S et S′ doivent donc être tenus, pendant qu’on les considère , pour strictement interchangeables si l’on a comm
t c’est la raison pour laquelle il l’appelle simultanéité. Ceci posé, considérons deux systèmes S et S′ en mouvement par rapport l’
nc être convertie à l’intérieur du système en simultanéité intuitive. Considérons alors le système S′. Pour un observateur intérieu
sse v indiquée sur la figure 3. Les voyageurs de ce train préféreront considérer ce train comme système de référence ; ils rapport
siper qu’on ne saurait l’attaquer sur un trop grand nombre de points. Considérons donc (fig. 5), dans le système S′, sur une droite
ement en P′, qui sera contemporain de l’événement en N′. Si donc nous considérons le présent du personnage en N′, à un moment donné
inkowski sur la figure plus simple que nous venons de tracer. Si nous considérons notre ligne de simultanéité E′ N′ F′, nous voyons
vateurs en N et N′, et pour ceux en P et P′, tant que chacun d’eux ne considère que le lieu où il est. Voilà sur quoi tout le mon
s appelons ici réel ce qui est perçu ou perceptible. Nous devons donc considérer l’observateur en S et l’observateur en S′, Pierre
e son système. Chacun d’eux prend à l’état de repos la longueur qu’il considère . Les deux systèmes, en état réel de déplacement r
s systèmes extra-terrestres, faisant le même raisonnement que moi, se considérera à son tour comme immobile et sera dans son droit 
intelligibilité supérieure.   25. Le mouvement du boulet peut être considéré comme rectiligne et uniforme dans chacun des deux
e des éléments invariants. Toutefois, même ici, l’invariance que l’on considère en fait est généralement encore celle d’une relat
istance, sans une synchronisation d’horloges. On raisonnera ainsi : «  Considérons votre simultanéité « intuitive » entre deux événe
et S′ dont l’un est le duplicata de l’autre. En d’autres termes, nous considérons N et N′ à l’instant précis de la dissociation des
18 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre VIII : Hybridité »
espèces sont jusqu’à un certain point frappés de stérilité. Kœlreuter considère cette loi comme universelle, mais il tranche quel
où il a trouvé à l’expérience que les croisements entre deux formes, considérées par le plus grand nombre des auteurs comme des es
ses conclusions avec autant d’assurance que Kœlreuter et Gærtner, qui considèrent au contraire que la loi universelle de la nature
es faits qui m’ont été communiqués par. M. Blyth, qu’ils doivent être considérés comme des espèces distinctes. En tout cas, si l’o
que universelle des croisements entre espèces animales distinctes, ou considérer la stérilité, non comme un caractère indélébile,
ingent que la domesticité peut faire disparaître. Finalement, si l’on considère dans leur ensemble tous les faits bien établis co
s que cette stérilité ne peut, dans l’état actuel de la science, être considérée comme absolue et universelle. III. Des lois qui
ers croisements et des hybrides, nous voyons que, lorsque des formes, considérées comme autant d’espèces bien distinctes, sont croi
e peut être beaucoup plus aisément greffée sur le Coing, généralement considéré comme un genre distinct, que sur la Pomme, qu’on
quel des arbres peuvent être greffés l’un sur l’autre ne peuvent être considérées que comme dérivant de différences inconnues dans
eu et le Mouron rouge sont, par beaucoup de nos meilleurs botanistes, considérés , comme des variétés ; mais parce que Gærtner ne l
peut s’étonner le moins du monde de la différence des résultats. J’ai considéré jusqu’ici les croisements entre variétés de même
es sont empruntées à des témoins hostiles, qui en tous les autres cas considèrent la fécondité ou la stérilité d’un croisement entr
ais ces mêmes formes sur lesquelles elles ont été tentées, sont aussi considérées comme des variétés par Sagerct, dont la classific
ent le moins du monde stériles en cas de croisement seraient aussitôt considérées comme des espèces distinctes. D’autre part, il es
postérité de deux espèces croisées et celle de deux variétés. Si l’on considère les espèces comme provenant d’actes créateurs spé
19 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Introduction. » pp. -
son abandon et de sa gaieté, ou de son énergie et de sa roideur. Vous considérez ses écrits, ses œuvres d’art, ses entreprises d’a
ont continué et rectifié incessamment ce grand effort, que le lecteur considère seulement deux historiens et deux œuvres, l’une l
ualités morales, comme on les cherche pour les qualités physiques, et considérons le premier fait venu ; par exemple une musique re
ici le fond de l’homme ; car pour expliquer cette conception, il faut considérer la race elle-même, c’est-à-dire le Germain et l’h
primitif. Pour saisir l’ensemble des espèces minéralogiques, il faut considérer d’avance un solide régulier en général, ses faces
eillement, si vous voulez saisir l’ensemble des variétés historiques, considérez d’avance une âme humaine en général, avec ses deu
Allemands, montent jusqu’aux derniers. —  Si maintenant, après avoir considéré le passage de la représentation à l’idée, on rega
ôt lentement, tantôt vite, et ainsi de suite ; en sorte que l’on peut considérer le mouvement total de chaque civilisation distinc
e par une plus ancienne hérédité. En sorte qu’à chaque moment on peut considérer le caractère d’un peuple comme le résumé de toute
orsqu’on a ainsi constaté la structure intérieure d’une race, il faut considérer le milieu dans lequel elle vit. Car l’homme n’est
st différente ; et cela suffit pour que l’effet total soit différent. Considérez , par exemple, deux moments d’une littérature ou d
nt le cercle complet des puissances agissantes, et lorsque nous avons considéré la race, le milieu, le moment, c’est-à-dire le re
ls existent, et dans le second qu’ils n’existent pas ? Que le lecteur considère quelques-unes de ces grandes créations de l’espri
métaphysique se déploient ensemble avec une vigueur inusitée ; si on considérait que le christianisme et le bouddhisme sont éclos
temps de la plus belle naïveté et de la plus grande crédulité ; si on considérait encore que le mahométisme apparut avec l’avènemen
20 (1830) Cours de philosophie positive : première et deuxième leçons « Première leçon »
rs, c’est-à-dire de déterminer exactement l’esprit dans lequel seront considérées les diverses branches fondamentales de la philoso
er, une extrême importance, en caractérisant dès l’origine le sujet à considérer . La circonscription générale du champ de nos rech
artie de ce cours relative à l’étude des phénomènes sociaux. Je ne la considère maintenant que pour déterminer avec précision le
me une émanation de la première, l’homme s’est habitué peu à peu à ne considérer que les faits eux-mêmes, les notions de ces agent
e à faire pour achever de la constituer. À cet effet, il faut d’abord considérer que les différentes branches de nos connaissances
récédents. Même sans avoir égard aux obstacles plus spéciaux que nous considérerons Plus tard. Quoi qu’il en soit, il est évident qu’
à cette fin qu’avant de procéder à l’étude des phénomènes sociaux, je considérerai successivement, dans l’ordre encyclopédique annon
es positives, que je me propose de faire. Il s’agit uniquement ici de considérer chaque science fondamentale dans ses relations av
e psychologique est donc radicalement nulle dans son principe. Aussi, considérons à quels procédés profondément contradictoires ell
our en pouvoir faire un usage effectif, c’est en action qu’il faut la considérer  ; ce sont les diverses grandes applications déjà
ourd’hui la plus importante pour la pratique, c’est qu’elle peut être considérée comme la seule base solide de la réorganisation s
s doutes à cet égard. (2) Dans ma profonde conviction personnelle, je considère ces entreprises d’explication universelle de tous
néanmoins, l’hypothèse que nous venons de parcourir serait, tout bien considéré , la plus favorable à cette unité si désirée. (3)
ue de l’unité des méthodes et de l’homogénéité des doctrines que nous considérerons , dans ce cours, les différentes classes de théori
ble but de ce cours, c’est-à-dire fixé le point de vue sous lequel je considérerai les diverses branches principales de la philosoph
21 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Appendices de, la deuxième édition »
cien Pierre attribue à Paul lorsqu’il se fait lui-même référant et ne considère plus Paul que comme référé, — constatations que P
igne de compte l’accélération qui détermine le changement de sens, et considérer alors le voyage du boulet, dans son ensemble, com
e, on n’a qu’à rendre effectivement indécomposables les deux systèmes considérés , à en faire par exemple deux points matériels. Il
₁ et M₂ auxquels nous aurons d’abord affaire pourront aussi bien être considérés comme des horloges. Appendice III.Le « temps p
, équation est l’élément de temps propre de la portion de matière considérée et de tout le système qui lui est lié. Le temps p
la longueur, divisée par c, de l’arc de ligne d’Univers de ce mobile. Considérons maintenant un point matériel libre M₁. La loi d’i
ons l’une quelconque de ces lignes d’Univers ; il suffit pour cela de considérer un second mobile M₂, parti de l’événement A, qui,
elles en S″, et c’est en S′ que serait le Temps réel. Nous venons de considérer le rapport de S″ immobile à S en translation unif
S adopté comme système de référence, et par là même immobilisé, nous considérerons un point O immobile. Sur ce plan nous poserons un
s horloges situées à des distances différentes du centre, et s’il les considère pendant un temps assez court pour que leur mouvem
infinité de systèmes distincts. Traçons en effet un de ses rayons, et considérons les points où ce rayon coupe les circonférences i
me où il s’installe est interchangeable avec tout autre système qu’il considère , quel qu’en soit le mouvement, pourvu que ce syst
où il s’est installé : justement parce que le système mouvant par lui considéré serait, au repos, interchangeable avec le sien au
ysicien retrouverait ce même Temps réel dans le système mouvant qu’il considère s’il s’y transportait et si, par là même, il l’im
22 (1881) La psychologie anglaise contemporaine «  M. Georges Lewes — Chapitre I : L’histoire de la philosophie »
ience, c’est la systématisation de notre connaissance des phénomènes, considérés comme phénomènes. L’office de la philosophie, c’e
qui aient illustré notre race, attachés tout entiers à des problèmes considérés comme d’une importance vitale et ne produisant d’
endre quel sens exact on doit donner au mot fait. Ordinairement on le considère comme une vérité finale. Ceci, dit-on, est un fai
logique avec la psychologie. Prenant l’esprit humain adulte, ils ont considéré ses formes constitutives comme des conditions ini
dont chaque fil est une expérience. Des gens qui raisonnent à priori considèrent le type vertébré comme la forme nécessaire qui re
ogie la vieille erreur aristotélicienne de la matière et de la forme, considérées comme séparables réellement (tandis qu’elles ne l
re les éléments objectifs et les éléments subjectifs de la pensée est considérée avec raison comme l’œuvre capitale de la philosop
réditaire, et les aptitudes qui en dépendent, lesquelles doivent être considérées comme déterminant nécessairement les formes sous
r abord celui qui n’a jamais réfléchi sur ce point. Demandez-lui s’il considère ses perceptions comme des copies des objets, s’il
que nous voyons se produire, quand nous nous en approchons. Le monde considéré indépendamment de la conscience, le monde en soi,
langage des psychologistes français, une faculté distincte) peut être considérée comme établie, depuis Crown. Cependant on trouve
éalité il voulait dire qu’elle est une fonction. « Certes, s’il avait considéré réellement la pensée comme une sécrétion, l’erreu
hes psychologiques, c’est d’isoler l’homme de la série animale, de le considérer comme gouverné par des lois organiques toutes par
23 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre quatrième. Les conditions physiques des événements moraux — Chapitre III. La personne humaine et l’individu physiologique » pp. 337-356
u animal ou humain n’est qu’un système. I Jusqu’ici, nous avons considéré nos événements, sans nous occuper de l’être auque
l est donc une cause efficiente et productrice. » — On arrive ainsi à considérer le moi comme un sujet ou substance ayant pour qua
parer à une source inépuisable dont il est un flot. Partant, la voilà considérée comme une essence d’ordre supérieur, située au-de
qui possède… Ce quelque chose par quoi nous pouvons ne doit pas être considéré comme distinct de l’âme. » Les facultés et forces
oi n’est que la trame continue de ses événements successifs. Si on le considère à un moment donné, il n’est rien qu’une tranche i
l vivant pris tout entier. Comme on l’a montré, cette trame peut être considérée à deux points de vue, soit directement, en elle-m
u moins voisins de la sensation. — En forçant les termes, on pourrait considérer la moelle comme une file d’encéphales rudimentair
lie avec le reste. Cette série, qui, selon le point de vue où nous la considérons , est tantôt pour nos sens une série de mouvements
e segment de la moelle est un véritable centre d’innervation… On peut considérer le cordon médullaire comme constitué par une séri
24 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Introduction. Le problème des idées-forces comme fondamental en psychologie. »
iste, soit au point de vue matérialiste (les deux se ressemblent), ne considère le plus souvent que le contenu et les qualités de
action et réaction réciproque que les uns peuvent être accessoirement considérés comme signes ou représentations des autres pour u
la psychologie des idées-forces doit substituer l’action ; elle doit considérer les idées comme des formes non pas seulement de l
psychique. Une douleur, une pensée, une volition ne peuvent plus être considérés comme des phénomènes en l’air, simplement distinc
euse redeviennent elles-mêmes des phénomènes psychiques dès qu’on les considère en tant que faisant partie d’une conscience ou ex
e la psychologie l’a été jusqu’ici trop exclusivement. On ne doit pas considérer les phénomènes mentaux comme formant une simple s
sentis est toujours impliqué, et les phénomènes doivent toujours être considérés synthétiquement dans leur rapport à l’intérieur,
triques. Sous ce rapport, la psychologie ressemble à la biologie, qui considère chaque fonction de l’être vivant comme conditionn
e cercle vital. Elle ressemble aussi à la biologie en ce que celle-ci considère , non seulement l’organisme actuel de l’être vivan
ontraire, ce qui est matière pour moi est-il esprit en soi ? La force considérée par le physicien n’est-elle « qu’un autre aspect 
n’en redevient pas moins, dès qu’on rentre dans l’être vivant pour y considérer la vie même, une série de moyens et de fins, avec
pour la vie ; c’est la fausse conception des idées-forces, où on les considère comme des éléments isolés et des sortes d’atomes.
nsée, elle n’est pas la connaissance ; elle est la fonction psychique considérée dans son caractère de subjectivité irréductible.
nde complet sans elles. En un mot, la psychologie des idées-forces ne considère pas seulement les états de conscience en eux-même
s idées qui sont le fond même de la métaphysique. Seulement, elle les considère comme pures idées et comme facteurs psychologique
es purs positivistes. Elle est au centre de perspective qui permet de considérer l’unité du tout telle qu’elle s’exprime dans notr
25 (1913) Le bovarysme « Quatrième partie : Le Réel — III »
emplation, on peut remarquer tout d’abord, en ce qui touche à l’objet considéré isolément, qu’il apparaît et prend forme sous le
et sujets tour à tour les unes pour les autres, se rencontrent et se considèrent , ardentes à assouvir le désir de connaissance int
vement, est contraint de se déplacer d’un lieu dans un autre. Si l’on considère , pour le mieux concevoir, ce phénomène de réalisa
qui se manifeste dans la production de la réalité objective, on peut considérer le principe de mouvement qui vient d’être décrit
26 (1888) La critique scientifique « La critique scientifique — La synthèse »
essayant de dégager le secret des causes de ce qui en émane, mais la considérer de front et du dehors comme une force dont le cho
nce, chaque moyen rendu par son action, et les effets même de l’œuvre considérés et goûtés à nouveau par un esprit qui saura non p
exigeant cette addition à l’analyse, en demandant qu’on s’accoutume à considérer l’œuvre dans l’acte même de révolution de sentime
telligence, doit être étendu également à ceux que nous avons appris à considérer comme les semblables de ce type, à ses adhérents.
interne par l’analyse de leurs admirations, et que l’on aura appris à considérer , non plus comme les producteurs premiers ni de l’
n, au religieux naturalisme de Wagner, au trouble de Berlioz. Si l’on considère que l’histoire doit être l’évocation complète et
27 (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre IV Le Bovarysme des collectivités : sa forme imitative »
es de la Révolution. — II. La Renaissance. Lorsque l’on s’applique à considérer l’individu, le milieu social apparaît à son égard
e en un modèle quelque peu différent de lui-même. Mais, si cessant de considérer l’individu isolé, on porte la vue sur le groupe q
sur le groupe qui le contient, on s’aperçoit que ce groupe lui-même, considéré à son tour comme une entité distincte, n’échappe
’à une complète désagrégation. I La Révolution française, à n’en considérer que le décor, n’a pas laissé que de montrer parfo
ipe d’affaiblissement et de désorganisation. La Renaissance peut être considérée comme l’une des époques où l’énergie d’une sociét
28 (1913) Le bovarysme « Troisième partie : Le Bovarysme, loi de l’évolution — Chapitre I. Le Bovarysme de l’individu et des collectivités »
individu et des collectivités I. La faculté de se concevoir autre, considérée sous son aspect normal, se confond avec la facult
éclaire d’une lumière si vive ce pouvoir de métamorphose, on n’avait considéré tout d’abord de ce pouvoir que les conséquences p
ment cette confusion qui, par un ennoblissement du spectacle que l’on considérait , s’était d’elle-même établie dans l’esprit. Par l
il tentait de s’appliquer. Dans les cas normaux où il sera maintenant considéré , il va au contraire s’exercer d’une manière effic
pouvoir, d’exhaussement. C’est sous le jour de cette idée qu’il a été considéré naguère, et qu’on en a fait l’application à un ca
squ’aux jouissances esthétiques les plus hautes. Il suffit surtout de considérer que sans l’existence de ce pouvoir, les découvert
oire gros de toutes les formes futures de la vie. Mais sitôt que l’on considère une des branches de l’éventail en dirigeant l’obs
périeure, cet exemple est caractéristique. Il l’est davantage si l’on considère par contraste l’extraordinaire puissance d’assimi
29 (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Livre V : La religion — Chapitre III : Le problème religieux »
igion et la philosophie comme deux domaines absolument distincts, qui considèrent la philosophie comme le fait d’un petit nombre d’
sonnement. C’est pour cela qu’il est vrai de dire que la philosophie, considérée comme science, ne peut remplacer la religion. Exp
s intime l’union du fini et de l’infini. C’est à ce titre que nous le considérons nous-mêmes comme le sauveur, et que nous sommes d
gion ; mais on confond ici bien des choses distinctes. La philosophie considérée à un certain point de vue, est une science qui, c
e, qui est en un mot essentiellement rationnelle. Que la philosophie, considérée ainsi, soit hors d’état de fonder une religion et
ans tel pays ou dans tel autre, pourvu qu’elle ait lieu. Lorsque l’on considère notre société sans cet esprit de pessimisme qui e
30 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre premier. Les signes — Chapitre III. Des idées générales et de la substitution à plusieurs degrés » pp. 55-71
naturel que les signes cessent d’être remarqués et finissent par être considérés comme nuls. — Théories fausses sur l’esprit pur.
lus par une substitution simple, mais par une série de substitutions. Considérons le premier nombre venu, par exemple 36. Quand je
lée à notre cercle. En effet, ce n’est point ce cercle tracé que nous considérons  ; il n’est point notre objet, il n’est que notre
pas de limites. III Laissons là cette extension du procédé, et considérons -le une dernière fois à son origine. On vient de v
roite portion d’espace comprise dans nos sensations simultanées. Nous considérons à part ce morceau ; nous en extrayons cette propr
és les deux membres d’un couple, l’un infini, l’autre limité, on peut considérer à volonté l’un ou l’autre, et, si leur correspond
de notre opération ; nous l’avons traité en accessoire, et nous avons considéré l’opération, moins ce qu’elle contient ; reste le
31 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre sixième. La volonté — Chapitre deuxième. Le développement de la volonté »
volution, ici, suppose un finalisme immanent ; mais, avec Spencer, il considère ce finalisme comme une simple « expression » du m
lasses d’impulsions. — Appétits, instincts, volitions. La volonté, considérée en elle-même et isolément, serait trop subjective
st la réponse de la volonté. C’est là ce processus appétitif que nous considérons comme fondamental en psychologie. Quand la foncti
e l’intelligence sur les inclinations, peut se subdiviser selon qu’on considère dans l’intelligence même : 1° l’action de l’image
dial qui est notre idée même de la fin et notre désir de l’atteindre. Considérée par un autre côté, cette conception devient celle
aire telle ou telle chose (ce qui réduit alors le désir à ce que nous considérons comme réalisable par notre action). La volition e
f dans la série des conditions. Il est donc inévitable, tant qu’il se considère par rapport à ce qu’il conditionne, qu’il s’attri
d’un enchaînement de causes et d’effets, de moyens et de fins. Si on considère surtout la part de la pensée dans la volition, on
nce sourde, tantôt lui apportent un secours. Enfin et surtout il faut considérer le caractère. Nos actes sont le produit non d’une
mmagasinée dans la bombe lui impose cette ligne. C’est encore là tout considéré , la ligne de la moindre résistance, puisqu’il fau
supplice ; la ligne qui paraît de la plus grande résistance, si on la considère en elle-même, — c’est-à-dire la ligne aboutissant
à la mort, — est toujours la ligne de la moindre résistance si on la considère par rapport au cerveau du martyr, à ses idées et
32 (1913) Le bovarysme « Deuxième partie : Le Bovarysme de la vérité — I »
me et comme la condition de la vie phénoménale. On ne saurait donc le considérer comme une maladie sans considérer, du même coup,
phénoménale. On ne saurait donc le considérer comme une maladie sans considérer , du même coup, comme une maladie la vie phénoména
la confère aux lois dont nous le voyons dépendre. Aussi nous faut-il considérer comme la modalité normale de la vie cette contrar
33 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre X : De la succession géologique des êtres organisés »
ons géologiques, de sorte qu’entre toutes nos formations consécutives considérées deux à deux, les formes vivantes présentent rarem
océdé d’extinction peut avoir été comparativement rapide. Les espèces considérées isolément, de même que les groupes entiers, se pe
pe, des deux Amériques et de l’Australie, pourront être, avec raison, considérées comme simultanées, dans le sens géologique du mot
e précisément dans le même sens. En effet, on ne saurait sérieusement considérer les changements des courants, des climats ou des
ités des espèces éteintes entre elles et avec les espèces vivantes. — Considérons un peu maintenant quelles sont les affinités mutu
nt entre les genres, les familles et les ordres actuels, car, si nous considérons séparément, soit les formes vivantes, soit les fo
placent naturellement entre des groupes de formes existantes. Cuvier considérait les Ruminants et les Pachydermes comme les deux o
s ont nié qu’aucune espèce éteinte, ou aucun groupe d’espèce pût être considéré comme intermédiaire entre des espèces ou des grou
diffèrent le plus des formes actuelles. Il ne faudrait cependant pas considérer le principe général de la divergence des caractèr
ar quelques particularités importantes de leur organisation. D’autres considèrent au contraire les Téléostéens comme les plus élevé
ins éloignées, bien que ce soit cependant le fait le plus important à considérer dans la balance ; mais il faut aussi comparer ent
ganisation plus élevée que leurs anciens représentants. Il faut aussi considérer les nombres proportionnels des classes inférieure
point de vue, les productions de la Grande-Bretagne peuvent donc être considérées comme plus élevées que celles de la Nouvelle-Zéla
cependant faire erreur que de confondre la supériorité d’une espèce, considérée relativement à d’autres espèces, ou même la supér
34 (1878) Leçons sur les phénomènes de la vie communs aux animaux et aux végétaux. Tome I (2e éd.)
ie générale ; non pas que les propriétés vitales des tissus aient été considérées par Bichat comme des propriétés physico-chimiques
sier et Laplace. La vie était d’abord centralisée, ses manifestations considérées comme les modes d’un principe vital unique ; Bich
r la chose désignée, si obscure que puisse être l’idée de cette chose considérée dans son essence. Cela vient, dit encore Pascal,
es dans le germe, la matière du germe, plus le principe vital. Ehrard considère la vie comme un principe moteur : « la faculté du
ur. En définitive, toutes les vues a priori sur la vie, soit qu’on la considère comme un principe ou comme un résultat, n’ont fou
, dit Tiedemann, n’offrent absolument aucun phénomène que l’on puisse considérer comme effet de la régénération ou de la guérison.
n qui caractérise l’animal ou la plante. D. Enfin, la nutrition a été considérée comme le trait distinctif, essentiel, de l’être v
ous avons déjà dit que les manifestations de la vie ne pouvaient être considérées comme régies directement par un principe vital in
i de mon côté la conception à laquelle m’a conduit mon expérience. Je considère qu’il y a nécessairement dans l’être vivant deux
rme ou la tendance mécanique ou matérialiste. En un mot, la vie a été considérée dans tous les temps à deux points de vue différen
pothèses matérialistes. Les spiritualistes animistes ou vitalistes ne considèrent dans les phénomènes de la vie que l’action d’un p
sée ; la vie n’est qu’un effet supérieur des lois de la mécanique. Il considère le corps comme une machine faite pour elle-même,
fond des doctrines vitalistes une erreur irrémédiable, qui consiste à considérer comme force une personnification trompeuse de l’a
re qui se présente à l’esprit, et elle paraît indéniable lorsque l’on considère l’évolution rigoureusement fixée des phénomènes s
ie les phénomènes isolés dont il est le théâtre. C’est à cette cause, considérée comme force directrice, que l’on peut donner le n
qu’on en a fait comme l’ouvrier de tout le travail organique. On l’a considéré comme l’agent exécutif de tous les phénomènes, l’
dessin préétabli de chaque être et de chaque organe, en sorte que si, considéré isolément, chaque phénomène de l’économie est tri
esprit saisit l’unité et le lien, l’harmonie des phénomènes, et il la considère comme l’expression d’une force ; mais grande sera
re l’être vivant et les conditions cosmiques ambiantes nous permet de considérer trois formes de la vie, suivant qu’elle est dans
ue M. Decaisne, professeur de culture au Muséum. Il m’a déclaré qu’il considère comme faux tous les exemples de germinations des
e alors, elle aussi, dans les cellules desséchées, En un mot, la vie, considérée sous ses deux faces, est suspendue : l’organisme
prend sa transparence26. On voit donc que pour les tissus, qu’on peut considérer comme de simples matériaux physiques de l’organis
phénomènes caractéristiques. Il. Vie oscillante L’être vivant, considéré comme individu complexe, peut être lié au milieu
nt de tous les échanges élémentaires. Un organisme complexe doit être considéré comme une réunion d’êtres simples qui sont les él
lui-même. Ces réserves sont très inégales suivant les êtres que l’on considère et suivant les diverses substances, pour les anim
et de montrer qu’elle sert de base à la physiologie générale. Nous ne considérons ici les caractères de la vie que dans leur essenc
différence de point de vue. Les créateurs des théories dualistes ont considéré les deux facteurs de la vie, dans leur rapport av
sier ne sépare point à cet égard les animaux des végétaux : il semble considérer qu’ils se comportent d’une manière analogue par r
n trois règnes a prévalu et les deux règnes animal et végétal ont été considérés comme presque aussi séparés l’un de l’autre qu’il
ique, les seconds fixent de l’acide carbonique. » L’animal fut ainsi considéré comme un appareil de combustion, d’oxydation, d’a
par eux. Telle est la loi. En résumé, la physiologie générale, qui ne considère la vie que dans ses phénomènes essentiels et géné
clut à l’unité vitale dans les deux règnes. Si maintenant, au lieu de considérer la vie dans ses deux manifestations nécessaires e
acide carbonique. Au point de vue de la physiologie générale, nous ne considérons pas seulement les fonctions différentielles des ê
re eux, lesquelles n’ont rien d’absolument nécessaire à la vie ; nous considérons , au contraire, les phénomènes généraux et communs
s animaux et chez les végétaux. Mais pour saisir cette unité, il faut considérer le phénomène nutritif dans sa totalité ; car si o
e lui, que le résultat des phénomènes de combustion, n’hésitent pas à considérer les nombres trouvés par Dulong et Desprez comme f
un mode différent d’exister dans les deux règnes. En conséquence nous considérons notre grande division des phénomènes de la vie, d
es fermentations. Prenant pour type la fermentation alcoolique, il la considéra comme l’avaient fait autrefois les iatrochimistes
vient incanheadent dans le cas de combustion vive. D’autres chimistes considèrent comme fait caractéristique de la combustion le dé
pathologiques encore très incomplètes) les parties anatomiques qu’il considérait comme analogues, par exemple les membranes diapha
llules. Ce n’est qu’en 1831 que le célèbre botaniste anglais R. Brown considéra les noyaux (nucléus, sphéride de Mirbel) comme un
r activité. Déjà cette notion de la faculté de souvenir ou de mémoire considérée comme la propriété élémentaire des particules org
oyau. M. Balbiani les a observés de même chez le Sthenobothrus, et il considère les granules équatoriaux comme des nucléoles47. C
ont pour conséquence de faire du noyau, amas de protoplasma jusqu’ici considéré comme simple, un corps complexe à la fois au poin
oint de vue anatomique et au point de vue physiologique. Lorsque l’on considère une cellule, qui est un être vivant rudimentaire,
des noyaux cellulaires leur ont dévoilé la complexité de cet élément considéré à tort comme simple. N. Auerbach distingue dans l
nt en présence relativement à la nature du nucléole. L’une consiste à considérer le nucléole comme une masse protoplasmique pleine
atière essentielle de l’organisation, le protoplasma. Après avoir été considéré comme une matière d’une constitution très simple,
nstituer artificiellement jusqu’aux substances albuminoïdes, qui sont considérées à juste titre comme le degré le plus élevé de la
ne se charge point de matière verte ; et surtout il ne faudrait point considérer un protoplasma végétal que l’on opposerait au pro
pens de l’amidon. La formation de cet amidon dans les deux règnes est considérée comme un acte de création organique, une synthèse
manifestations de sensibilité et de mouvement, que l’on est habitué à considérer comme étant de l’ordre le plus élevé, que dans ce
doctrine de l’irritabilité de Glisson ; l’entéléchie perceptive qu’il considérait comme le principe d’activité inséparable des part
ilité, à la vie, sont précisément les quatre éléments que les anciens considéraient comme formant le monde : l’eau, l’air, le feu (ch
xcellence, de la suspendre ou de la supprimer, de sorte que l’on peut considérer ces substances comme les réactifs naturels de tou
uteurs, des botanistes distingués, M. Unger, M. Sachs, de Würtzbourg, considèrent les mouvements en question comme résultant de la
utre cas une quantité sensiblement égale de carbonate de baryte. Nous considérons la respiration des êtres vivants comme identique
ties vivantes en agissant d’une manière physique sur leur protoplasma considéré comme le siège de l’irritabilité. Nous concevons
par l’envisager à un point de vue aussi restreint ; ils ne peuvent la considérer comme étant réduite à des modifications psychique
l’ensemble de l’appareil nerveux ou sensibilité consciente peut être considérée comme l’irritabilité de cet appareil tout entier.
tions de perfectionnement. La sensibilité, dans l’acception ancienne, considérée comme propriété du système nerveux, ne serait don
éactif prouve leur identité, qui devient tout à fait évidente si l’on considère surtout les conditions simples et claires de l’ex
rimentale nous n’avons pas d’autres manières de juger, si ce n’est de considérer comme identiques les phénomènes qui présentent de
epuis 1850 en étudiant la division des cellules du blastoderme, a été considéré comme le mode exclusif de la genèse cellulaire. C
octrine se trouve dans les idées philosophiques de Leibnitz. Leibnitz considérait tous, les phénomènes de l’univers comme la simple
. D’ailleurs, Kölliker lui-même, à une époque déjà ancienne (1844), a considéré les mollusques comme des êtres à évolution se fai
illogique, comme le sont d’ailleurs toutes les consignes quand on les considère dans leur application à des cas particuliers impr
ues constitue le domaine de la zoologie ou de la phytologie. Aristote considérait que, dans l’être vivant, ce qu’il y a de plus ess
ie vitale, au contraire, nous pouvons la diriger. A la vérité on peut considérer l’hérédité comme une condition expérimentale et l
ans le but de définir la vie, ont toutes abouti, nous le savons, à la considérer , soit comme un principe particulier, soit comme u
ures, l’irritabilité, la sensibilité, l’intelligence, pourraient être considérées comme les résultats des phénomènes physico-chimiq
ons écarter toutes les conceptions vagues dans lesquelles elle serait considérée comme un principe essentiel. Il nous reste seulem
. La subordination n’existe, bien entendu, que dans l’exécution, car, considérés dans leur importance relative, ceux qui commanden
toplasma, et par là nous avons terminé le conspectus rapide de la vie considérée dans ce qu’elle a d’universel, c’est-à-dire tracé
lissent dans les autres. Les éléments voisins créent à celui que l’on considère une certaine atmosphère ambiante dont celui-ci re
e de manière à réaliser le plan de l’animal tout entier. L’organisme, considéré comme ensemble ou unité, intervient donc et manif
diquer, le principe de l’autonomie des éléments anatomiques doit être considéré comme l’un des plus féconds de la physiologie mod
mme une réaction provoquée par les excitants extérieurs. Lorsque l’on considère des êtres élevés en organisation, leurs manifesta
onde étude correspond à la physiologie spéciale ou comparée, quand on considère l’ensemble des machines vivantes. Il y a donc ent
résultat considérable. Ramener au même principe des choses jusque-là considérées comme d’ordre différent, telles que la naissance
stes contemporains. Fondée sur des faits précis, il faut désormais la considérer , non plus comme une de ces généralités banales cr
lé ; on l’avait séparé de toutes les autres manifestations vitales et considéré comme d’un ordre différent et supérieur. On ne vo
ble constant de ces alternatives de la nutrition ; c’est la nutrition considérée dans sa réalité, embrassée d’un coup d’œil à trav
terminée. Les naturalistes de la seconde expédition du Challenger ont considéré cette matière comme un précipité gélatineux de su
du 10 janvier 1859). 57. Voy. mon mémoire : De la matière glycogène considérée comme condition de développement de certains tiss
manifestations de sensibilité et de mouvement, que l’on est habitué à considérer comme étant de l’ordre le plus élevé, que dans ce
35 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. John Stuart Mill — Chapitre I : De la méthode en psychologie »
nnaître préalablement les nôtres ? C’est ce qu’il ne dit pas. Mais il considère comme évident que l’observation de nous-mêmes par
r origine. On peut dire brièvement et en gros, que l’une des théories considère les phénomènes les plus complexes de l’esprit, co
rit, comme étant les produits de l’expérience, tandis que l’autre les considère comme originels. La psychologie à priori soutient
sions faites sur nos sens, mais un produit du travail de l’esprit, ne considère pas cette production comme le résultat de lois pa
penser le temps et l’espace autrement que comme infinis ; mais il ne considère pas cela comme un fait dernier. Il y voit une man
et la plus scientifique de la psychologie à posteriori, est celle qui considère la loi d’association comme le principe suprême. S
36 (1889) Essai sur les données immédiates de la conscience « Conclusion »
extérieur. — Quelles sont ces formes ? Isolés les uns des autres, et considérés comme autant d’unités distinctes, les états psych
côté les forces elles-mêmes, à supposer qu’elles existent, pour n’en considérer que les effets mesurables et étendus. Pourquoi co
té distincte, résulte donc, lui aussi, d’un compromis. Or, quand nous considérons les objets matériels en eux-mêmes, nous renonçons
quelque inexprimable raison en vertu de laquelle nous ne saurions les considérer à des moments successifs de notre durée sans cons
istinction capitale n’eût jamais été faite, sans doute, si l’on n’eût considéré le temps, lui aussi, comme un milieu indifférent
série tout entière de nos états de conscience hétérogènes qu’il faut considérer . En d’autres termes, c’est dans une analyse atten
37 (1907) L’évolution créatrice « Chapitre IV. Le mécanisme cinématographique de la pensée  et l’illusion mécanistique. »
éfini est bien l’abolition du tout. — Voilà la thèse, il suffit de la considérer sous cette forme pour apercevoir l’absurdité qu’e
érieur ou intérieur : c’est une chose ou c’est un état de conscience. Considérons le premier cas. J’abolis par la pensée un objet e
résentation de l’objet A tout seul, que nous convenions d’abord de le considérer comme existant, et qu’ensuite, par un trait de pl
tenu que celui du jugement affirmatif qu’elle juge. Plus précisément, considérons un jugement existentiel et non plus un jugement a
se souciât d’aller au-devant de l’erreur de ses congénères, lesquels considèrent sans doute comme seules possibles les conditions
phénomène de la substitution est coupé en deux par un esprit qui n’en considère que la première moitié, parce qu’il ne s’intéress
e ou échappent à notre conscience ou ne lui arrivent que confusément. Considérons un acte très simple comme celui de lever le bras.
mages successives ne diffèrent pas trop les unes des autres, nous les considérons toutes comme l’accroissement et la diminution d’u
rmulés dans une intention bien différente, ne disent pas autre chose. Considère-t -on la flèche qui vole ? A chaque instant, dit Zén
deux et substituer deux trajectoires à la trajectoire unique que l’on considérait d’abord. C’est distinguer deux actes successifs l
lle, pour rejoindre la tortue, s’y prend tout autrement. Le mouvement considéré par Zénon ne serait l’équivalent du mouvement d’A
dolescent, puis homme mûr, enfin vieillard, cela se comprend quand on considère que l’évolution vitale est ici la réalité même. E
de se manipuler sans peine. Mais laissons de côté les procédés et ne considérons que le résultat. Quel est l’objet essentiel de la
une situation, d’un arrangement à un réarrangement. La science pourra considérer des réarrangements de plus en plus rapprochés les
en a noté des moments privilégiés, au lieu que la science moderne le considère à n’importe quel moment. Les formes ou idées d’u
tiel, pas d’instant privilégié : étudier le corps qui tombe, c’est le considérer à n’importe quel moment de sa course. La vraie sc
te différence originelle découlent toutes les autres. Une science qui considère tour à tour des périodes indivises de durée ne vo
nous signalions d’abord. La science des anciens est statique. Ou elle considère en bloc le changement qu’elle étudie, ou, si elle
tésienne (bien que Descartes ne lui ait pas donné cette forme) fut de considérer toute courbe plane comme décrite par le mouvement
ussi grand qu’on voudra de moments dans l’intervalle de temps qu’elle considère . Si petits que soient les intervalles auxquels el
s’occupe indifféremment de n’importe quel moment. Mais toujours elle considère des moments, toujours des stations virtuelles, to
bile sera aux points T1, T2, T3, … de la ligne qu’il parcourt. Alors, considérer l’état de l’univers au bout d’un certain temps t,
amais le flux lui-même. On peut rétrécir autant qu’on voudra le temps considéré , c’est-à-dire décomposer à volonté l’intervalle e
forme et qui leur communique quelque chose de sa nouveauté. Elle les considère à l’état abstrait, tels qu’ils seraient en dehors
sumé, si la physique moderne se distingue de l’ancienne en ce qu’elle considère n’importe quel moment du temps, elle repose tout
disant que nous ne percevons pas de forme sans matière. Mais si nous considérons l’objet changeant en un certain moment essentiel,
traire de l’irréductibilité absolue des deux moitiés entre elles pour considérer l’une comme une traduction de l’autre. Des phrase
relief une juxtaposition de parties solides on pourrait aussi bien le considérer comme fait de la complémentarité réciproque de ce
que des monades. En somme, Leibniz diffère ici de Spinoza en ce qu’il considère le mécanisme universel comme un aspect que la réa
e, quand elle traite physiquement et chimiquement l’être vivant, n’en considère que le côté inertie. Les explications mécanistiqu
Logik, 2e édit., vol. 1, p. 150 et suiv. 98. C’est dire que nous ne considérons pas le sophisme de Zénon comme réfuté, par le fai
38 (1865) Introduction à l’étude de la médecine expérimentale
tion et l’expérimentation nous fournissent. La méthode expérimentale, considérée en elle-même, n’est rien autre chose qu’un raison
’interroge et la force à se dévoiler. » Au premier abord, et quand on considère les choses d’une manière générale, cette distinct
autre, ou par un accident, l’apparition des phénomènes, dès qu’il les considère sans les troubler et dans leur état normal, c’est
bien. Il n’est donc pas nécessaire que l’un des faits à comparer soit considéré comme un trouble ; d’autant plus qu’il n’y a dans
de cette relation que par l’expérience. Il y aura donc deux choses à considérer dans la méthode expérimentale : 1º l’art d’obteni
ntifiques ont pour origine des erreurs de faits. Dans l’investigation considérée comme art de recherches expérimentales, il n’y a
est sans contredit la plus délicate et la plus difficile ; mais je la considère comme la plus féconde et comme étant celle qui pe
art de l’investigation, l’observation et l’expérience ne doivent être considérées que comme des faits mis en lumière par l’investig
s dites d’expérimentation, des sciences dites d’observation. Laplace considère que l’astronomie est une science d’observation pa
mènes qu’il a provoqués lui enseignera. Il y a donc deux opérations à considérer dans une expérience. La première consiste à prémé
conçoit jamais une question sans l’idée qui sollicite la réponse. Je considère donc, en principe absolu, que l’expérience doit t
la repousse d’une manière absolue pour tout ce qui est théorique. Je considère en effet que faire sa spécialité des généralités
devons contrôler les actes de cet homme les uns par les autres ; nous considérons comment il agit dans telle ou telle circonstance,
t, nous recourons à la méthode expérimentale. De même quand le savant considère les phénomènes naturels qui l’entourent et qu’il
s partent d’une idée fondée plus ou moins sur l’observation et qu’ils considèrent comme une vérité absolue. Alors ils raisonnent lo
a nature pour l’adapter à la théorie. En résumé, il y a deux choses à considérer dans la science expérimentale : la méthode et l’i
nion d’aucun homme, formulée en théorie ou autrement, ne saurait être considérée comme représentant la vérité complète dans les sc
a réalité objective telle qu’elle est, mais à des relations de choses considérées dans des conditions extrêmement simples et que le
nt il déduit logiquement toutes les conséquences, mais sans jamais le considérer comme absolu et en dehors des atteintes de l’expé
ner au savant le sentiment vrai de la science. La philosophie, que je considère comme une excellente gymnastique de l’esprit, a m
dis que chez les êtres vivants élevés, il y a au moins deux milieux à considérer  : le milieu extérieur ou extra-organique et le mi
sciences ces idées nouvelles sur les milieux organiques, idées que je considère comme la base de la physiologie générale ; elles
ien et le chimiste qui expérimentent sur les corps inertes, n’ayant à considérer que le milieu extérieur, peuvent, à l’aide du the
ir aucun rapport avec l’étude des phénomènes de la matière brute. Ils considèrent la vie comme une influence mystérieuse et surnatu
moins deux corps pour le manifester. De sorte qu’il y aura toujours à considérer  : 1º un corps qui réagit ou qui manifeste le phén
lémentaires, si c’est possible. En effet, la science expérimentale ne considère dans un phénomène que les seules conditions défin
incipes immédiats organiques, ne sont pas simples chimiquement, mais, considérés physiologiquement, ils sont aussi réduits que pos
otal par les réunions et l’agencement de ces organismes élémentaires, considérés d’abord isolément, puis dans leurs rapports récip
nt de la réaction des corps les uns sur les autres. Il y a toujours à considérer le corps dans lequel se passe le phénomène, et le
is bien dans les conditions organiques du milieu intérieur. En effet, considérées dans le milieu général cosmique, les fonctions du
ux êtres vivants I. Dans l’organisme des êtres vivants, il y a à considérer un ensemble harmonique des phénomènes Jusqu’à
s intra-organiques sur lesquels je reviendrai plus tard, parce que je considère leur étude comme la véritable base de la patholog
disparaissent dans la synthèse et dans l’analyse, ne peuvent pas être considérées comme une simple addition ou une pure soustractio
me scientifique. Le physiologiste et le médecin doivent donc toujours considérer en même temps les organismes dans leur ensemble e
nosologiquement, soit que, partant du point de vue physiologique, on considère que la maladie n’existe pas en ce sens qu’elle ne
gique beaucoup plus profondément que le zoologiste ; le physiologiste considère les conditions générales d’existence des phénomèn
loin dans l’étude des détails de ces conditions chez chaque individu considéré dans des circonstances morbides données. Ce ne se
crois très féconde, à savoir, qu’il y a en physiologie deux milieux à considérer  : le milieu macrocosmique, général, et le milieu
endances spécifiques. Nous avons dit ailleurs que la médecine antique considéra l’influence du milieu cosmique, des eaux, des air
de la chimie animales. Toutefois, nous verrons plus loin qu’il y a à considérer , outre les conditions physico-chimiques indispens
ace, de l’état d’abstinence ou de digestion, etc. Cela nous amènera à considérer dans l’organisme des réactions réciproques et sim
s vivisections sur les animaux remontent également très loin. On peut considérer Galien comme le fondateur des vivisections sur le
ent ces tentatives ; je partage complètement ces idées. Cependant, je considère comme très utile à la science et comme parfaiteme
homme un objet de dégoût et d’horreur.. D’après ce qui précède, nous considérons comme oiseuses ou absurdes toutes discussions sur
, et de juger ainsi de leur usage ou de leur utilité. La vivisection, considérée comme méthode analytique d’investigation sur le v
i vont disséquer les éléments vitaux. Je crois avoir été le premier à considérer l’étude des poisons à ce point de vue, car je pen
n’aient pu rendre de grands services à la physiologie. En un mot, je considère que la physiologie, la plus complexe de toutes le
hysiologie normales peut se répéter pour l’anatomie et la physiologie considérées dans l’état pathologique. Nous trouvons également
rouver sa place dans un cadre nosologique30. » Personne, je pense, ne considérera que ce but doive être celui de la médecine entièr
gie est venu le point de vue anatomique, c’est-à-dire, qu’après avoir considéré les maladies comme des espèces morbides, on a vou
jamais. Si maintenant, se plaçant à un autre point de vue, on voulait considérer comme bonnes toutes les expériences dans lesquell
s toutes les expériences dans lesquelles il y a du sucre hépatique et considérer comme mauvaises toutes celles dans lesquelles on
hérapeutique. Dans toute expérience sur les animaux vivants, il y a à considérer , indépendamment des conditions cosmiques générale
t, il y a, ainsi que nous l’avons déjà souvent exprimé, deux choses à considérer dans les phénomènes de la vie : les propriétés fo
es éléments ne seraient plus de même nature ; et si l’on continuait à considérer comme de même nature des éléments vitaux qui réag
eptième jour de l’expérience. Dans cette circonstance les auteurs ont considéré les petits comme des excréments et les ont calcul
d il s’agit de préciser des phénomènes aussi complexes. En un mot, je considère que, si dans ces travaux de statique chimique app
ujours un fait vrai. Les moyennes, dans les cas où nous venons de les considérer , doivent donc être repoussées, parce qu’elles con
oient que, lorsqu’elle est établie sur des faits bien observés qu’ils considèrent comme comparables entre eux, elle peut conduire à
le deviendra une science vraie, c’est-à-dire une science certaine. Je considère cette idée comme le pivot de la médecine expérime
ous les phénomènes naturels. Les bibliothèques pourraient encore être considérées comme faisant partie du laboratoire du savant et
en confrontant ses opinions avec leurs dissections sur nature, furent considérés comme des novateurs et comme de vrais révolutionn
river à être constituée la dernière ; mais on ne saurait pour cela la considérer comme un démembrement des sciences qui l’ont préc
grand mérite de Bacon est d’avoir proclamé bien haut cette vérité. Je considère , quant à moi, que reporter aujourd’hui la médecin
n médecin observateur ou empirique qui ne sort jamais de son hôpital, considère que la médecine s’y renferme tout entière comme u
naissances détachées n’ayant aucun rapport entre elles. En un mot, je considère l’hôpital seulement comme le vestibule de la méde
tre l’acidité de l’urine chez le lapin, et l’état d’abstinence que je considérai comme une vraie alimentation de carnassier. Le ra
foie et le même procédé d’analyse. Que fallait-il faire ? Fallait-il considérer ces deux dosages si discordants comme une mauvais
es phénomènes de combustion dans le sang, puisque ces phénomènes sont considérés comme la cause de la calorification animale. Or,
orroborée par les exemples suivants, à savoir, que les faits négatifs considérés seuls n’apprennent jamais rien. Deuxième exemple
r de faire la contre-épreuve ou la contre-expérience, de sorte que je considérerai ce précepte comme une sorte de consigne qu’il fau
tain même que plus d’un expérimentateur s’en serait tenu là et aurait considéré comme superflu, sinon comme ridicule, de faire un
rte d’archée à laquelle on rapporte tous les faits incompris et qu’on considère dès lors comme expliqués, tandis qu’ils ne sont s
mesure exacte ou approchée. C’est en ce sens surtout que l’affinité, considérée comme force, est une cause occulte, à moins qu’el
lus que jamais, les jeunes médecins marchent dans cette voie, qui est considérée avec juste raison comme la voie du progrès. Toute
ressorts cachés de la machine vivante. Les médecins observateurs ont considéré l’organisme vivant comme un petit monde contenu d
ent j’ai été consulté par un médecin praticien très honorable et très considéré d’ailleurs, qui me demandait mon avis sur un cas
profondes et précises accompagnées souvent d’un travail opiniâtre. Je considère donc que l’inspiration des médecins qui ne s’appu
qui est le thème favori de beaucoup de médecins praticiens et que je considère pour mon compte comme entièrement erronée et comm
mment nuisible au développement de la médecine expérimentale. D’abord considérons que la pratique médicale est une chose extrêmemen
ais qu’il fera ultérieurement sur l’homme. D’après ce qui précède, je considère donc que le véritable médecin expérimentateur ne
les idées qui peuvent aider ou favoriser cette tendance médicale. Je considère que c’est mon devoir, à la fois comme savant et c
ification et à la critique des faits nouveaux qui apparaissent. Si on considérait une théorie comme parfaite et si l’on cessait de
vement salutaire dans les sciences. Car, dans le sens restreint où je considère ici la philosophie, l’indéterminé seul lui appart
39 (1913) La Fontaine « V. Le conteur — le touriste. »
i ma leçon sur La Fontaine conteur, et j’arrive ensuite à La Fontaine considéré comme voyageur, comme touriste. J’avais, en effet
inspiration certainement plus élevée, comment dirai-je ? parce qu’ils considèrent l’humanité elle-même directement et non pas parce
imitées d’anciens conteurs, mais relevées par une certaine manière de considérer l’humanité avec malice, avec indulgence et avec u
ut ce que l’on fait, dans toutes les choses desquelles on s’occupe, à considérer la postérité qui va venir et à se dire : Mes arr
nt différente de la manière des contes proprement dits, et elle est à considérer comme on a considéré celle des contes proprement
nière des contes proprement dits, et elle est à considérer comme on a considéré celle des contes proprement dits, pour en faire r
d’un art absolument merveilleux et définitif. J’arrive à La Fontaine considéré comme touriste. La Fontaine touriste est tout ent
rmi ce peu, tous ne sont pas bons. Ainsi vous demeurez souvent à sec. Considérez , je vous prie, l’utilité que ce vous serait si, e
volontiers. Je ne vous saurais dire comme elle est faite, ne l’ayant considérée que fort peu de temps. Le déclin du jour et la cu
a cousine de Châtellerault. « On me fit voir une grande fille que je considérai volontiers, et à qui la petite vérole a laissé de
ans le détail  s’il a particularisé, c’est les animaux. Il a aimé les considérer , il s’est trompé souvent sur leur véritable compl
40 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre VII : Théorie de la raison par M. Cousin »
idées. J’ai extrait de lui le triangle en général ; pour cela je n’ai considéré en lui que des propriétés communes à tous les tri
s ses manières d’être, tous les points de vue par lesquels on peut le considérer , il ne restera rien. La substance n’est donc pas
me précédemment d’un cas particulier, et il suffira pour la former de considérer une certaine limite particulière. Ce sont là tous
ce. Je puis séparer cette étendue de son sujet, et par abstraction la considérer à part. Cette étendue étant abstraite n’est rien
ifférence. Donc ce qui sera vrai de l’une sera vrai de l’autre. Ainsi considérez l’une d’elles, vous connaîtrez toutes les autres.
continue la seconde et la prolonge au-delà de l’espace que vous avez considéré d’abord. De l’idée de ces trois étendues limitées
endu. Vous avez employé l’abstraction pour isoler cette étendue et la considérer pure. Vous avez encore employé l’analyse ou abstr
41 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre XIV : Récapitulation et conclusion »
é, quoique paraissant insurmontable à notre imagination, ne peut être considérée comme valable, si l’on admet les propositions sui
constante et universelle, pourtant cette assertion ne peut plus être considérée comme absolue après les faits que j’ai cité sur l
itoires seraient-elles découvertes, qu’elles seraient tout simplement considérées comme autant d’espèces nouvelles, surtout si elle
e ma théorie l’exige, peu de gens en conviendront volontiers. Si l’on considère des périodes suffisamment longues, la géologie pr
Il est difficile de ne pas être conduit à cette conclusion, quand on considère par exemple le Microptère d’Eyton (Anas Brachypte
ente par suite d’une sélection naturelle longtemps continuée. Si nous considérons les instincts, si merveilleux qu’ils soient, la t
rimentés, mais dont l’esprit est préoccupé par une multitude de faits considérés pendant une longue suite d’années d’un point de v
s créations spéciales, que la majorité des naturalistes continuent de considérer comme telles, et qui, conséquemment, ont tous les
est difficile à résoudre, parce que, plus les formes que nous avons à considérer sont distinctes, et plus nos arguments manquent d
te que chaque individu organisé part d’une même origine. Même si l’on considère les deux divisions principales du monde organique
elles. Il est très possible que des formes, aujourd’hui généralement considérées comme de simples variétés, soient plus tard jugée
dire comme quelque chose qui surpasse notre intelligence ; quand nous considérerons chaque production de la nature comme ayant eu son
faut pas surfaire la valeur du mouvement de transformation organique considéré comme exacte mesure du temps. Durant les périodes
42 (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « II — L’inter-nationalisme »
cles morts cette conception barbare, puérile et néfaste, de la patrie considérée comme un monde indépendant du monde lui-même. Tan
uel, la négation même de l’existence. Un simple fait est d’ailleurs à considérer  : l’évolution d’un mot. La signification du mot é
ocial » et les lois internes de cette existence, la sociologie semble considérer cet « être » comme vivant d’une vie solitaire et
vivre isolé.‌ C’est cette vie extérieure de la cité qu’il importe de considérer , étant donnée son importance au point de vue de l
cette nouvelle conception a suscités. Prenons un exemple typique. Je considère un homme de génie. Son formidable individualisme
s de ses différences de races, de groupes, de peuples et d’individus. Considérons dans leur expression ces liens d’humanité. Ils so
idée par-delà les groupements nationaux. Je ne suis pas avec ceux qui considèrent ces libres rapports comme un attentat aux nationa
la cité antique, exclusive et farouche. Si quelqu’un pris au hasard, considère une nation, il ne voit que les caractères à peu p
43 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre premier. Les signes — Chapitre premier. Des signes en général et de la substitution » pp. 25-32
une espèce dont les propriétés sont remarquables ; ce sont les noms. Considérons d’abord les noms propres, qui sont plus aisés à é
ement ; ils les remplacent au seul point de vue qu’on avait besoin de considérer en eux, je veux dire au point de vue du nombre. C
blie les objets représentés ; ils reculent sur l’arrière-plan ; on ne considère plus que les chiffres, on les assemble, on les co
e produit par le nombre de ces premiers. Au lieu de ce cas si réduit, considérez le travail d’un algébriste qui écrit des équation
44 (1914) Note sur M. Bergson et la philosophie bergsonienne pp. 13-101
donc aussi, et indépendamment de leurs situations dans les ordres, de considérer comme contradictoires en elles-mêmes des qualités
lus grands magasins de sophismes et d’erreurs que cette négligence de considérer , cette faute de considérer, ce défaut de considér
ismes et d’erreurs que cette négligence de considérer, cette faute de considérer , ce défaut de considérer, je veux dire que cette
tte négligence de considérer, cette faute de considérer, ce défaut de considérer , je veux dire que cette négligence qui consiste à
e considérer, je veux dire que cette négligence qui consiste à ne pas considérer , à négliger de considérer que du tout neuf n’est
que cette négligence qui consiste à ne pas considérer, à négliger de considérer que du tout neuf n’est pas forcément du tout nouv
soit tout. Mais je dis que quand même il n’y aurait que cela, et à ne considérer que cela, cela même serait capital, et ferait une
tre du programme, et surtout le commencement du titre du programme on considère les résultats, qu’est-ce qu’on voit. On voit que
ra d’ouvrir ici une note dans cette Note. Il est impossible de ne pas considérer , avec un saisissement, combien cette théorie cart
erté Dieu s’est mis dans la dépendance de l’homme. Car il ne faut pas considérer seulement la place frontière. Il faut considérer
. Car il ne faut pas considérer seulement la place frontière. Il faut considérer « Versailles et Saint-Denis ». Si la place n’est
ui est ou qui peut être, là est exactement la fissure. … « sans rien considérer pour cette effet que Dieu seul qui l’a créé, ni l
45 (1911) La valeur de la science « Première partie : Les sciences mathématiques — Chapitre IV. L’espace et ses trois dimensions. »
continu physique et quand on peut dire qu’il a n dimensions. Si nous considérons divers systèmes d’impressions et que nous les com
soient identiques ; l’une est relative à la vue, l’autre au toucher. Considérons -les séparément. La première est nécessaire, mais
ccessivement les deux séries de sensations musculaires S et S′ que je considère comme inverses ; je conclurai encore, tout comme
e dimensions est très grand. Convenons, comme je l’ai fait, de ne pas considérer comme distinctes les deux séries Σ et Σ + S + S′
séries de mouvements où le doigt ne bouge pas. Je dis que si l’on ne considère pas comme distinctes les séries Σ et Σ + σ où la
doigts en engendrera un semblable. Comment sommes-nous conduits à les considérer comme identiques à l’espace visuel, comme identiq
e nouveau l’impression A′ ; … C. Q. F. D. Voyons les conséquences. Je considère une série de sensations musculaires S ; à cette s
t, un point soit dans le premier espace, soit dans le second. Je vais considérer les deux points N et M ainsi définis comme se cor
; comment sommes-nous conduits à en conclure qu’ils sont identiques ? Considérons les deux séries σ et S + σ + S′ = σ′ . J’ai dit q
46 (1908) Promenades philosophiques. Deuxième série
âton et l’imbécile est armé d’une carabine à répétition. Il faut donc considérer à part l’intelligence et contenu de l’intelligenc
ense pas, en écrivant ceci, aux conséquences de cette découverte ; je considère le fait en lui-même. Regardons cet être lointain,
resque toutes les théogonies. Mais laissons cet ordre d’idées pour ne considérer la mutation que selon son caractère biologique. I
toriques, et, certainement, aux temps géologiques. Il faut d’ailleurs considérer que, dans ces substitutions, la race nouvelle se
igence est constante. Cette constance ne doit pas, bien entendu, être considérée comme individuelle. C’est une constance de princi
suppose aussi le fil, très mince lanière de cuir ou fibres végétales. Considérons tout ce qu’il y a d’admirable dans ces faits sur
que la régularité idéale, un beau développement humain. Mais il faut considérer ces temps anciens avec un peu plus de méthode et
on des pyramides, de chétifs treillis, et destinés à une durée brève. Considérons maintenant que l’exemple de ces élévations nous a
en ne prouve qu’elle ait été uniquement lacustre. Pour ma part, je la considérerais volontiers comme l’exemple particulier d’un état
ntains d’une nourriture restée quotidienne dans tout l’Occident ne se considèrent pas sans émotions, non plus que les instruments n
servaient à la fabriquer. Il y a aussi la question du blé, du seigle, considérés , non plus comme céréales, mais comme graminées, c
ici, à ce second stade de la découverte du métal, devant un homme qui considère un caillou singulier, plus lourd et plus brillant
es, il ne les invente pas. Les anthropologistes ne semblent pas avoir considéré ces faits trop anciens avec beaucoup d’attention.
a période des grandes inventions27 et que cette période pourrait être considérée comme close au moment où paraît la première hache
à tous les autres mouvements musculaires, signes de vie. Le langage, considéré en général, abstraction faite de la forme sonore,
i est une abstraction, est aussi une réduction. Il m’est difficile de considérer les premiers mots isolés autrement que très longs
t non plus pour le jeu. Mais cette question est liée à celle du génie considéré comme primitif et opposé à l’intelligence signe d
Nous oublions toujours, quand nous comparons le passé au présent, de considérer à quel point le présent est le débiteur du passé.
mathématicien, ne voit dans l’astronomie qu’un prétexte a calculs. Il considère comme des incidents presque futiles Aristarque de
’y voyais un excellent argument en faveur de la primitivité du génie, considéré comme une forme particulière de l’intelligence. L
signes de primitivité, et je me demande à ce propos si le génie, même considéré comme une soudaine poussée intellectuelle, n’est
s l’ordre physique, soit dans l’ordre intellectuel, il ne faut pas la considérer comme une constance mathématique, Elle est, en de
’est pas progrès. L’évolution est un tait et le progrès un sentiment. Considérer , comme Spencer, que l’évolution est nécessairemen
s à assurer une constance originelle. Du point de vue humain, l’homme considéré comme sommet, elle est nettement régressive. Ayan
regarde comme impossible que ces points soient jamais contigus, et je considère comme tout à fait certain que, si la distance ent
t pas même des propriétés de la substance corporelle, que nous devons considérer uniquement comme une force de résistance capable
évolutionné la chimie. Ecoutons Wurtz (la Théorie atomique, 1879) : «  Considérons de plus près l’hypothèse de la discontinuité de l
ble. Bien plus, grâce à M. Quinton, l’évolutionnisme doit plutôt être considéré comme un révolutionnisme. Deux choses, dans cette
éré comme un révolutionnisme. Deux choses, dans cette théorie, sont à considérer  : la vie, elle-même, et le milieu dans lequel évo
sentait les derniers perfectionnements. A vrai dire, cette manière de considérer l’homme était d’origine religieuse, bien plutôt q
l’homme dans la nature. A certains indices, on semblait obligé de le considérer comme un animal très ancien, bien plus ancien que
t pas moins un homme : et cependant, si c’est l’intelligence que l’on considère , quelle distance entre eux ! Distance aussi grand
r de très haut le reste du règne animal, mais il est impossible de le considérer comme la dernière pensée du créateur. S’il y a un
on de vie. Les tendances personnelles de J.-H. Fabre le porteraient à considérer l’instinct comme absolument fixe et comme irréduc
hommes ont intérêt à ce qu’il en soit ainsi. Nous avons l’habitude de considérer les actes humains comme des actes libres, volonta
urs jugements. Cela n’en saurait avoir davantage sur notre manière de considérer les crimes et les divers manquements à la loi et
devoir. Cette casuistique permet à la courtisane amoureuse de ne pas considérer comme des infidélités les liaisons fugitives où e
ertaine jalousie. Encore y a-t-il des limites ; il est pénible d’être considéré comme un objet trop précieux. Cela arrive aux hom
ompagner de dol, de vol ; en ce cas, c’est réellement un crime. Mais, considérée en soi, comme un acte purement sexuel, ce n’est p
e la composition, et il ajoute que ces prétendues manies doivent être considérées comme « tendant » créer une sorte d’état second,
essemblent. L’Anglais Quincey a écrit un livre bizarre : L’Assassinat considéré comme un des Beaux-Arts  ; dans cet art, l’origin
rechercher les traces dans les religions classiques. On pourra ainsi considérer les mythologies sous une lumière nouvelle et reje
ne pouvait cependant pas méconnaître absolument l’efficacité, ne fut considérée que comme un adjuvant à l’intervention des dieux,
tiers guider par le sens esthétique, ou réel ou factice, le peuple ne considère l’ensemble de la nature brute ou façonnée par l’h
ys Basque quand s’érigèrent les hôtels-de-ville, dont l’utilité était considérée comme très grande. Mais que dans une ville, où il
t dans les villes ; il y en a très peu sans chat. Tantôt, le chat est considéré comme un animal utile, tantôt comme un animal agr
e chat, habile à faire lui-même sa toilette. La supériorité du chien, considéré comme « enfant », c’est qu’on peut l’emmener avec
rder son sang-froid. Un monstre surgit qu’il nous répugne aussitôt de considérer comme l’Un de nous faisant grande injure aux anim
telligence antique ait jamais imaginée. » J’aime qui aime Epicure. Je considère qu’aimer ce beau philosophe c’est faire preuve de
nt chimérique pour l’individu et pour l’espèce. On peut cependant les considérer comme des freins. Si le progrès matériel avait ma
47 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Chapitre V. Les figures de lumière »
otre double représentation ? Tant qu’il est au repos, nous pouvons le considérer , indifféremment, comme constitué par deux lignes
s de clarté, nous l’en détachons sur la figure). Voilà pour la forme. Considérons la grandeur. Celui qui eût raisonné a priori, ava
s de toutes les imaginations successives de l’observateur, qu’il peut considérer comme équivalents tous les Temps conventionnels p
s la chose dont il s’agit ainsi est essentiellement ligne de lumière. Considérons les trois points 0, B, A de notre première figure
que ce sont des figures, c’est-à-dire des tracés de lumière que l’on considère tout d’un coup, et de ce qu’il faudra cependant e
areil, les deux lignes d’espace rigides supportant les deux miroirs ? Considérons la position de l’appareil qui correspond au momen
48 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Seconde partie. De l’état actuel des lumières en France, et de leurs progrès futurs — Chapitre VI. De la philosophie » pp. 513-542
Il ne faut point se lasser de le dire : la philosophie ne doit être considérée que comme la recherche de la vérité par le secour
sprit humain ne recommence pas à parcourir sa carrière philosophique. Considérons donc quelle sera cette carrière, seul avenir qui
gination et ce qui persuade l’entendement. Il s’agit seulement ici de considérer l’application possible et les résultats vraisembl
la morale pour base inébranlable et pour législateur suprême, on l’a considérée , tout au plus, comme l’un des éléments du calcul,
reconnues, souffrent une multitude d’exceptions ; pourquoi la vertu, considérée comme le calcul de l’intérêt personnel, n’en aura
t que ses impressions sont souvent involontaires. La morale doit être considérée dans l’homme, comme une inclination, comme une af
e dévouement entre les hommes ; mais ces moyens, utiles lorsqu’on les considère comme accessoires, deviendraient insuffisants et
49 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre V : Lois de la variabilité »
I. Résumé. I. Effets des conditions extérieures. — En général, j’ai considéré jusqu’ici les variations fréquentes et multiforme
is de la possibilité de semblables héritages. Le plus sûr est donc de considérer l’absence totale des tarses antérieurs chez l’Ate
es affinités et de grandes ressemblances d’organisation. Mais si l’on considère les deux faunes dans leur ensemble, on voit qu’il
elles présentent, Schiœdte affirme « que ce phénomène ne saurait être considéré autrement que comme purement local ; et que la re
aux des cavernes, et Schiœdte adopte cette manière de voir. « On doit considérer les faunes souterraines, dit-il, comme autant de
bien entendu, non pas à une seule et même espèce, mais à des espèces considérées comme distinctes. Pourtant, lorsqu’un animal, apr
e nombreuses îles de la zone torride. De pareils faits me disposent à considérer la faculté d’adaptation à un climat quelconque co
ecueillir les graines de ce semis avec la même précaution, je ne puis considérer l’expérience comme ayant seulement été tentée. Qu
le même lien existe encore entre les membres et la mâchoire, et l’on considère en effet la mâchoire inférieure comme étant homol
s fleurs centrales. Il suit de là que des modifications de structure, considérées par les classificateurs méthodistes comme étant d
ner de plus en plus. C’est avec droit, je crois, que quelques auteurs considèrent les organes rudimentaires comme susceptibles de g
pareil fait suffit à prouver qu’un caractère quelconque, généralement considéré comme de valeur générique, peut diminuer de valeu
quatorze ou même seize plumes caudales chez le Grosse-Gorge peut être considérée comme une variation représentant la structure nor
tre rangées comme espèces et comme variétés. Il faut donc, à moins de considérer chacune de ses formes comme indépendamment créées
ernement des Indes de l’examiner, qu’un Cheval sans zébrure n’est pas considéré comme de race pure. La raie dorsale existe toujou
50 (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre II : Règles relatives à l’observation des faits sociaux »
des faits sociaux La première règle et la plus fondamentale est de considérer les faits sociaux comme des choses. I Au mom
ent celles qui les ont précédées, chaque type supérieur pourrait être considéré comme la simple répétition du type immédiatement
voir, des faits que l’économiste conçoit comme se rapportant à la fin considérée , et tels qu’il les conçoit. Entreprend-il, par ex
eurs sources que nous saurons d’où ils proviennent. Il nous faut donc considérer les phénomènes sociaux en eux-mêmes, détachés des
paraissent le plus consister en arrangements artificiels doivent être considérés de ce point de vue. Le caractère conventionnel d’
uent la matière de la science. Aussi ni Locke, ni Condillac n’ont-ils considéré les phénomènes psychiques objectivement. Ce n’est
cette conception que les états de conscience peuvent et doivent être considérés du dehors, et non du point de vue de la conscienc
, mais tout un ensemble de procédés et d’artifices pour arriver à les considérer de ce biais. Au contraire, les faits sociaux ont
ayant seuls le droit d’avoir ces caractères. Quant aux autres, on les considère comme ayant usurpé ces signes distinctifs et on n
lorer un ordre quelconque de faits sociaux, il doit s’efforcer de les considérer par un côté où ils se présentent isolés de leurs
51 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre X : M. Jouffroy psychologue »
et vous avez une sensation de saveur. Voilà le point de départ. Vous considérez attentivement cette sensation délicieuse ; moment
nsations s’effacent sous sa prépondérance ; vous avez du plaisir à ne considérer qu’elle et à oublier le reste. En même temps, par
ague, description nulle. C’est un groupe de fautes, et vous pouvez le considérer comme un résumé du morceau. Triste résumé. Nous e
métaphysique de M. de Biran. L’ornière était inévitable ; accoutumé à considérer des généralités vagues comme des faits précis, il
araissaient, il n’y aurait plus de moi. Si vous en voulez une preuve, considérez le sens du verbe, vous verrez que toujours et par
nstant elles ont pris une importance énorme. Les faits n’ont plus été considérés que comme un moyen de les découvrir. Quelles sont
s aux faits cachés, des faits produits aux faits producteurs. Daignez considérer sans prévention une de vos théories ordinaires, c
52 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Remarque finale. Le Temps de la Relativité restreinte et l’Espace de la Relativité généralisée »
l’Univers de la Relativité généralisée. D’autre part, on n’a jamais à considérer de vitesses comparables à celle de la lumière, ni
nous établissions jadis entre le Temps réel et l’Espace pur, indûment considérés comme analogues par la philosophie traditionnelle
e ; la chose est cette fois relation. Descartes ramenait la matière — considérée dans l’instant — à l’étendue : la physique, à ses
53 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre premier. Des principes — Chapitre II. Axiomes » pp. 24-74
ra les trois principes de la nouvelle science23.   6. La philosophie considère l’homme tel qu’il doit être ; ainsi elle ne peut
non ramper dans la fange du peuple de Romulus 24. 7. La législation considère l’homme tel qu’il est, et veut en tirer parti pou
t les langues. 18. Une langue ancienne qui est restée en usage, doit, considérée avant sa maturité, être un grand monument des usa
aturel des peuples du Latium. 20. Si les poèmes d’Homère peuvent être considérés comme l’histoire civile des anciennes coutumes gr
ues, ils sont pour nous deux grands trésors du droit naturel des gens considéré chez les Grecs. Cette vérité et la précédente ne
ent comprises, mais exprimées avec autant de modifications qu’on peut considérer ces choses sous divers aspects. Nous le voyons da
a grande lacune laissée par la philosophie grecque, qui n’avait point considéré l’homme dans l’ensemble de la société du genre hu
les causes des phénomènes qu’ils ignorent à la volonté de Dieu, sans considérer les moyens qu’emploie cette volonté. 34. L’observ
e fonder sans religion, ni s’agrandir sans vertu. — En outre, si vous considérez l’isolement de ces peuples sauvages qui s’ignorai
er principe du christianisme, qui se trouve dans le caractère d’Adam, considéré avant le péché, et dans l’état de perfection où i
54 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Herbert Spencer — Chapitre I : La loi d’évolution »
s’en forme même une autre en Australie. Si nous passons à l’humanité considérée dans son organisme social, nous trouvons de nombr
on, suivant la méthode artificielle que suppose le vulgaire. Ceux qui considèrent comme légitime d’arguer des phénomènes aux noumèn
r, contestables. L’analogie est bien plus frappante encore, si on les considère surtout dans leur développement, si l’on remarque
ne sort du gland. A s’en tenir aux opinions courantes, la science est considérée comme un mode de connaissance à part, sui generis
nir, comme la physiologie ; et il y a des prévisions exactes qu’on ne considère pas comme une science : savoir qu’une lumière s’é
idées de nombre sont donc dérivées de grandeurs égales ou semblables, considérées surtout dans les objets inorganiques ; et par sui
ce qu’aucun autre, l’incompréhensibilité. totale du plus simple fait, considéré en lui-même. Lui seul voit vraiment qu’une connai
55 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre VIII. De l’invasion des peuples du Nord, de l’établissement de la religion chrétienne, et de la renaissance des lettres » pp. 188-214
ent aujourd’hui les crimes et les folies de la superstition ; mais je considère chaque grande époque de l’histoire philosophique
ports se sont doublés, pour ainsi dire, depuis que les objets ont été considérés sous un point de vue tout à fait nouveau. La conf
ce livre, c’est la bienfaisance envers les malheureux. L’homme y est considéré comme devant recevoir une impression profonde par
les progrès de la métaphysique l’étude de la théologie. On a souvent considéré cette étude comme l’emploi le plus oisif de la pe
, comme tout ce qui sépare les hommes au lieu de les réunir, dut être considérée comme un mal funeste, dès qu’elle cessa d’être un
peuples, puis au perfectionnement même de l’esprit humain. Si l’on ne considère cette époque de la renaissance des lettres que so
56 (1913) Le bovarysme « Quatrième partie : Le Réel — IV »
désir de connaissance de soi-même, attribué à l’être métaphysique. À considérer les choses d’un point de vue plus positif, il sem
. Sous ce double aspect passionnel et moral, le rôle de la sensation, considérée comme but, est considérable dans la vie phénoména
dustrie de l’intelligence, expliquent suffisamment que l’humanité ait considéré la connaissance comme un moyen d’améliorer la vie
éalité, à concevoir toujours les choses autrement qu’elles ne sont, à considérer comme indivisible ce qui est composé, comme unce
possible la vie sociale et d’en favoriser le développement doit être considéré comme utile à la vie même de l’espèce. Dès lors,
57 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre quatrième. Du cours que suit l’histoire des nations — Chapitre IV. Trois espèces de jugements. — Corollaire relatif au duel et aux représailles. — Trois périodes dans l’histoire des mœurs et de la jurisprudence » pp. 309-320
mble des rapports sociaux, puisque toutes les choses humaines étaient considérées comme divines. Les hérauts qui déclaraient la gue
capitole à Jupiter Férétrien, et ensuite immolés. Les vaincus étaient considérés comme des hommes sans Dieu ; aussi les esclaves s
ein de la Providence [qui voulut qu’aux temps héroïques la parole fût considérée comme irrévocable] que Lucrèce prononce, au sujet
aux temps humains le droit devenu plus large et plus bienveillant, ne considère plus que ce qu’un juge impartial reconnaît être u
58 (1928) Les droits de l’écrivain dans la société contemporaine
-être en partie responsables de cet état de choses. Ils ont longtemps considéré l’art comme la plus haute des valeurs, qui devait
la société ne veut pas admettre leur profession ; elle continue à les considérer comme des êtres d’exception ; elle ne leur accord
nvénients, n’est-ce pas la rançon de la gloire ? Ainsi, on continue à considérer , erreur de tous temps, que le génie est placé dan
e la société, aujourd’hui c’est le fait d’acquérir un capital qui est considéré comme la plus haute vertu. Devant les efforts d’u
haut  quelques-uns de nos meilleurs écrivains contemporains, ceux qui considèrent l’art comme une activité véritablement désintéres
ur sa mémoire, mais le plus souvent pour la détruire. C’est qu’il est considéré comme un mort pareil aux autres morts, alors qu’i
, de faire entrer le rêve dans la vie, ce qui exigerait le courage de considérer la vie en soi, sans la revêtir de mille chimères
tout ordre établi. On craint que les morts se conduisent mal. On les considère comme des petits enfants qu’il faut surveiller co
e. Tel grand avocat a voulu, pendant trente ans, ignorer son fils, le considérait comme un oisif, comme un fainéant, perdu par les
ment sérieux à la diffusion de la pensée, si elles ne servaient pas à considérer les artistes après leur mort, et seulement après
des savants, qui leur demandent de consulter leurs archives. Ils les considèrent comme d’insupportables importuns, comme les ennem
dépouiller les œuvres posthumes de son mari. Mais combien de familles considèrent comme encombrants ces vieux papiers noircis par l
illeurs, est conforme à ce mouvement général : ils veulent maintenant considérer leur activité artistique comme une activité ordin
le fait le plus symptomatique est celui-ci : l’invention, l’idée est considérée comme n’ayant aucune valeur en elle-même, mais au
ribués pour toujours à l’artiste et à ses descendants, par contre, je considère que dès la mort du créateur, sa création doit app
e silence à leur sujet peut être interprété comme un acquiescement et considéré comme une garantie d’authenticité. « Le remède à
auf dans des cas très particuliers, une lettre privée ne saurait être considérée comme un ouvrage littéraire. Ce n’est qu’un docum
staments comme dans les contrats est pourtant, aux yeux des juristes, considérée comme un élément sacré, qui doit être toujours re
aient des droits à payer aux héritiers sur les œuvres classiques, ils considéreraient , comme font tous les commerçants quand leurs frai
59 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre VI : Difficultés de la théorie »
de sélection naturelle marcheront de pair. Il suit de là que, si nous considérons chaque espèce comme descendant de quelque autre f
hance de se propager, aient enfin produit un Écureuil volant parfait. Considérons maintenant le Galéopithèque, ou Lémur volant, qui
ait eu dans l’organisation des modifications correspondantes. On peut considérer les pieds palmés de l’Oie terrestre de Magellan (
tout en confondant notre imagination, peut, avec toute rigueur, être considérée comme vraie. Comment un nerf peut-il devenir sens
sivement en se perfectionnant chez une espèce quelconque, il faudrait considérer exclusivement la série rétrogressive de ses ancêt
rement avec les lacunes circulatoires du sac et du corps, et qui sont considérées comme des branchies par le professeur Owen et par
e ses ennemis cet habitant des forêts. En conséquence, nous l’aurions considérée comme un caractère de haute importance qui pouvai
nouvelles modifications, ils commencèrent peu à peu à grimper104. On considère généralement la peau nue de la tête du Vautour co
érences caractéristiques de nos races domestiques, que cependant nous considérons généralement comme ayant été produites par voie d
sent qu’une beauté extérieure qui plaît aux femelles, ne peuvent être considérés comme utiles que dans un sens un peu forcé. Mais
s, chaque détail d’organisation dans toute créature vivante peut être considéré comme ayant été avantageux à l’une de ses formes
ugements peuvent errer dans l’un comme dans l’autre cas. Pouvons-nous considérer l’aiguillon de la Guêpe ou de l’Abeille comme par
plantes sont fécondées par l’intermédiaire des insectes, pouvons-nous considérer comme une combinaison ingénieuse et également par
ce vieil axiome d’histoire naturelle : Natura non facit salturn. À ne considérer que les habitants actuels du monde, cet axiome ne
présente en de semblables circonstances peut presque à coup sûr être considérée comme une souche mère ou comme une variété plus a
ngue que celle qui sépare chronologiquement deux périodes géologiques considérées par nous comme successives ; et le nombre total d
60 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section II. Des sentiments qui sont l’intermédiaire entre les passions, et les ressources qu’on trouve en soi. — Chapitre IV. De la religion. »
véritablement puissante, et c’est sous ce même rapport qu’on doit la considérer comme un don aussi indépendant de soi, que la bea
les hommes. Il n’est pas de mon sujet, dans cette première partie, de considérer la religion dans ses relations politiques, c’est-
u caractère au lieu d’en être seulement la ressource, cette dévotion, considérée comme le but auquel tous doivent tendre, et comme
nséquente au système sur lequel cet ouvrage est fondé, au système qui considère la liberté absolue de l’être moral comme son prem
61 (1913) Les antinomies entre l’individu et la société « Chapitre VIII. L’antinomie économique » pp. 159-192
s idées et à des sentiments, étudions-la en économie où nous aurons à considérer plutôt des besoins et des intérêts. L’économie es
t de l’autre côté les croyances religieuses et morales, ces dernières considérées comme « choses privées ». Le domaine économique s
, il faut l’armer des vertus de la machine ; il faut qu’il apprenne à considérer les conditions où il travaille d’une façon machin
ion, d’exclusion ou même de violence directe contre les dissidents.   Considérons maintenant l’antinomie dans l’ordre de la réparti
nts bourgeois. — Ainsi on peut dire qu’il s’agit plutôt, dans les cas considérés par M. O. Effertz (et aussi par M. Vilfredo Paret
u comme un instrument de puissance entre beaucoup d’autres : elle est considérée aujourd’hui comme une fin en soi ; et le développ
nce, estimée jadis comme un moyen de dominer les forces naturelles et considérée à ce titre comme un facteur important de culture
62 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre cinquième. Principales idées-forces, leur genèse et leur influence — Chapitre cinquième. Genèse et action des principes d’identité et de raison suffisante. — Origines de notre structure intellectuelle »
ue « d’expérience » ; elle est une perturbation organique du cerveau, considéré en lui-même. Il faut donc restreindre le terme d’
on et ceux même de l’évolution, tels que Spencer, ont le tort de trop considérer l’intelligence comme une sorte de table rase, où
nsation et mouvement, émotion et motion, — nous finissons par ne plus considérer que la succession en général, la succession des s
est psychologiquement le rapport de l’appétit à la motion, la science considère la causalité dérivée, qui n’est qu’un extrait de
s. L’idée d’intelligibilité universelle ou d’universelle rationalité, considérée sous le rapport intellectuel, est la projection d
= néant au néant de second moment. Si, au lieu du néant absolu, nous considérons la réalité, il est contradictoire d’admettre des
ents, soient suivis de conséquences différentes ; car, alors, nous ne considérons plus les choses dans le même temps. Tout dépend d
s subsisteront identiques malgré la différence du temps. Il faut donc considérer le temps réalisé dans les choses. Mais alors ce s
que mort est un phénomène particulier, seul de son espèce quand on le considère dans la totalité de ses circonstances. Nous ne tr
ntinuation d’existence et une régularité de phénomènes, soit que nous considérions le domaine de la volonté, soit que nous considéri
s, soit que nous considérions le domaine de la volonté, soit que nous considérions celui de l’intelligence. Nous voulons persévérer
ombien ce raisonnement est fallacieux, nous avons seulement besoin de considérer que la volonté, qui est ici présentée comme une c
63 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Bain — Chapitre III : Les Émotions »
r plus complète. Chaque espèce d’émotions est caractérisée avec soin, considérée dans ses effets, ses modifications, son influence
es et supérieures ; celles qui seront communes à toutes pourront être considérées comme primitives et simples ; et celles qui sont
en lui-même ; il l’a rattaché à ses causes, à ses conditions ; il l’a considéré comme le moment d’un tout, dont on ne peut le sép
sur un fait et un fait humain. Dans leur sens propre, dit M. Bain, je considère les mots moralité, devoir, obligation, droit, com
dividuelle, l’auteur se déclare en désaccord complet avec ceux qui la considèrent comme primitive et indépendante. « Je maintiens,
ue de placer la règle morale dans une législation promulguée et de la considérer comme le type sur lequel se façonne la conscience
64 (1904) En lisant Nietzsche pp. 1-362
l se jura évidemment de sacrifier à ces nouvelles idoles ou plutôt de considérer comme des idoles tout ce qui n’était pas ces dieu
préoccupation constante et sa perpétuelle volonté. Et l’on peut donc considérer sa tragédie comme l’intermédiaire et l’on se risq
c’est dans cette mesure seulement qu’il se flatte d’avoir erré : « Je considérais … le pessimisme philosophique du xixe  siècle comm
caractère, son romantisme… Tout art et toute philosophie peuvent être considérés comme des remèdes… Mais il y a deux sortes de sou
e sont pas égaux. » Nietzsche ne tarit pas sur les « tarentules ». Il considère les socialistes comme la race « la plus honnête,
là ce qui me dégoûte. » — Sans aller si loin, « gardons-nous aussi de considérer l’univers comme une machine. Il n’a certainement
de toute chose nous faisons d’abord une image, notre image ? Nous ne considérons encore la science que comme une humanisation des
fussent, du reste, leurs idées politiques, ont habitué les esprits à considérer toutes choses au point de vue de la morale, sub s
fatigué, de déchet social et de décadence sociale, a été appelé à se considérer comme saint, comme divin, comme « membre vivant d
réaliser cette idée grecque des ombres de l’Hadès ! Ce Christianisme considéré comme glas de la bonne antiquité, sonné d’une clo
vie repose sur apparence, art, illusion » et croyance à une illusion considérée comme belle, séduisante et fortifiante. Sans alle
réparé et lui-même, que le socratisme subordonnait l’art à la morale, considérait l’art, ainsi que tout travail humain, comme devan
passion pire. Les chrétiens ont prétendu supprimer l’amour, le faire considérer comme une passion funeste, comme un ennemi. Soit 
t ; mais « les passions deviennent mauvaises et perfides quand on les considère d’une manière mauvaise et perfide ». Les chrétien
st une vulgarité , c’est le propre des âmes les plus vulgaires que de considérer toujours son ennemi comme mauvais, comme méchant.
pas revenir sur ce que nous avons examiné, de la morale indépendante, considérée depuis Socrate, peut-être depuis un temps antérie
me cette même illusion, je lui dirais qu’il est un fou. » La morale, considérée en ce qu’elle est en son fond, une loi particuliè
cet acte est arbitraire ou, au moins, n’est pas contrôlé. « Pourquoi considères -tu cela », à quoi tu songes, « comme juste ? Parc
? Parce que ma conscience me l’indique » comme juste. — Mais pourquoi considères -tu ta conscience comme infaillible ? Pourquoi ne
s tel ou tel jugement comme la voix de ta conscience, en sorte que tu considères quelque chose comme juste ; c’est peut-être parce
sont venus jusqu’à présent avec ce que tu appelles ton devoir ; et tu considères ce devoir comme juste parce qu’il te semble être
omme il y a des arrière-mobiles dans le commandement de la conscience considéré comme mobile, il doit y avoir des arrière-conscie
eur ne lui appartiendraient pas. La vertu, c’est donc la tentative de considérer un fait de volonté, dans le présent ou dans le pa
faut avoir conscience que l’on a manifesté sa volonté pour pouvoir se considérer soi-même comme une cause ». — Et l’on voit bien q
aît pas, mais, comparé à vous, il les connaît. Il s’ensuit « qu’il ne considère pas, comme son juge ou son accusateur, que son ac
i, on le sait, que les juges de l’ancien régime jugeaient toujours et considéraient qu’il était de leur devoir de juger. En d’autres
qu’on a cru jusqu’aujourd’hui. On s’est, très longtemps, accoutumé à considérer la vertu et le vice comme des causes ; nous avons
serait justifiée si l’on pouvait admettre que le type du dégénéré fût considéré comme le type normal de l’homme. Mais c’est là pe
miner, comme ce qu’il y a de plus élevé et de plus admirable. Si l’on considère que cela ne signifie pas autre chose que d’exclur
entier d’un bien précieux, d’un bonheur et d’une jouissance ; si l’on considère que celui qui aime vise à l’appauvrissement et à
scret et le plus égoïste des conquérants et des exploiteurs ; si l’on considère enfin que, pour celui qui aime, tout le reste du
Défendrez-vous, soutiendrez-vous les passions ? Les passions ont été considérées généralement jusqu’ici comme des maladies de l’âm
ses principaux traits : « Origine du péché. — Le péché, tel qu’on le considère aujourd’hui, partout où le Christianisme règne ou
impossible de pécher contre cette dernière. Toute action ne doit être considérée qu’au point de vue de ses conséquences surnaturel
rts ; 3° des aspirations politiques et sociales. Devenir meilleur est considéré comme seule tâche ; tout le reste n’est que moyen
bite ; ce n’est plus le génie qui est admiré et, au contraire, il est considéré comme dangereux et comme insolent ; c’est la médi
ci, attentivement, dans son évolution. Ici, et cela est intéressant à considérer , Rousseau, Kant et Robespierre se donnent la main
, pour nous servir encore une fois de l’innocent langage de Kant, qui considérait comme sa tâche et son travail, comme une tâche « 
sme baisse est bien sensible aux yeux mêmes, pour ainsi dire, si l’on considère les trois siècles que nous venons de parcourir. L
r personne en commandement de l’amour du voisin. Il faut au contraire considérer comme vrai ce qui se trouve dans les lois de Mano
t que société, que l’homme en tant qu’individu. La société n’a jamais considéré la vertu autrement que comme moyen pour arriver à
ine d’ardeur et d’éloquence. Lorsque de tels hommes d’exception ne se considèrent pas eux-mêmes comme des êtres d’exception, commen
e sera une pratique de l’espèce supérieure, à la condition qu’il soit considéré , non comme une expiation et un châtiment exercé s
s causes de la dégénérescence en est les conséquences, et ce que l’on considère comme les remèdes de la dégénérescence n’y est qu
devoir d’y puiser un motif de « foi en la civilisation de l’Europe ». Considérez ceci : « c’est à Napoléon et nullement à la Révol
raver : on devrait le hâter encore… Le seul but, même, que l’on doive considérer d’ici longtemps, c’est l’amoindrissement de l’hom
mental. » — Nietzsche dit encore et avec profondeur : « Parce qu’on a considéré la conscience comme mesure, comme valeur supérieu
on aversion pour ce qui est sérieux est liée au désir de pouvoir tout considérer platement et de l’extérieur. C’est ainsi qu’il pr
ct en ceci. Il a adoré la clarté grecque et la clarté française. Il a considéré la clarté comme la loyauté du philosophe. Il a ét
oderne. Il y a pourtant à relever chez lui une théorie sur le théâtre considéré comme commencement de décadence littéraire et com
ue, ni la grâce, ni l’esprit de tous les individus ; mais plutôt sont considérés comme un charme de plus et un aiguillon à créer u
auquel cas nous revenons au commun cas, et l’homme en question ne se considère point comme isolé, mais comme séparé pour un temp
rtune ; on veut qu’il fasse quelque chose pour le bien commun et l’on considère que c’est son devoir, et il en a conscience lui-m
iotisme lui-même. Un peuple a le sentiment hiérarchique tant qu’il se considère comme un camp. Tant qu’il se considère comme une
ent hiérarchique tant qu’il se considère comme un camp. Tant qu’il se considère comme une armée dans un camp fortifié, il compren
latilisé et quand le parfum en est resté. Mais même en soi, même à ne considérer que ses idées, je trouve à Nietzsche son utilité.
rte de doute au sujet d’eux-mêmes. De telles femmes, d’autre part, se considèrent toujours comme des êtres faibles, prêts à l’aband
65 (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Livre IV : La philosophie — I. La métaphysique spiritualiste au xixe  siècle — Chapitre II : Partie critique du spiritualisme »
it par ces développements comment Maine de Biran a pu dire que l’âme, considérée dans son absolu, c’est-à-dire dans son essence in
e, — ce qui peut être mis en doute ; — écartons l’idée de cette chose considérée dans son essence, laquelle nous est aussi inconnu
lité de parties peut former une unité au point de vue de celui qui la considère extérieurement : la Grande-Ourse forme une conste
tie, en d’autres termes que la matière ne peut devenir esprit. L’âme, considérée en soi, comme chose absolue, n’est donc pas un no
la nôtre. La pluralité des consciences est un postulat que l’on peut considérer comme acquis à la science sans démonstration. Il
66 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Chapitre II. La relativité complète »
r rapport à un système S est pour nous un fait d’observation. On doit considérer aussi comme un fait, jusqu’à nouvel ordre, la con
u dans l’espace n’est qu’une variation continue de distance ? Si l’on considère deux points A et B et le déplacement de « l’un d’
se rattachent uniquement à eux, qui sont perçus du dedans, mais qui, considérés du dehors, n’apparaissent plus à l’œil que comme
déale du mécanisme universel. Mais s’en tenir à cette formule eût été considérer globalement le rapport de tout à tout ; on ne pou
n être de convention, comment n’en serait-il pas de même du mouvement considéré comme affectant ce corps isolément ? Il n’y a qu’
67 (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre IV. Comparaison des variétés vives et de la forme calme de la parole intérieure. — place de la parole intérieure dans la classification des faits psychiques. »
parole intérieure cesse d’être calme ; mais, d’une part, il suffit de considérer quelques cas bien nets pour apercevoir les caract
ssent pas ; si l’on s’abstient de rechercher ses origines et si on la considère au moment même où elle se produit, la parole inté
certains états de conscience purement internes237. Il faudrait alors considérer l’hallucination comme un des éléments essentiels
out au contraire, ce sont les hallucinations vocales qui doivent être considérées comme des modifications de la parole intérieure.
ue, soutenu par son impulsion première. VIII. La parole intérieure considérée comme habitude Pour expliquer cette force étra
’habitude proprement dite, l’habitude pure et simple, mérite, si l’on considère ses effets, le nom d’habitude négative que nous l
enter en nous la perfection de l’habitude positive. En effet, si nous considérons d’abord les habitudes élémentaires qui la compose
truit incessamment des composés nouveaux. Ainsi la parole intérieure, considérée comme puissance, est à son acte ce qu’une majeure
68 (1925) Promenades philosophiques. Troisième série
ais. Tant de beaux exemples ne sont-ils pas pour encourager l’homme à considérer les plantes de très près et les interroger sur le
osité chrétienne, était de cet avis. Il n’aurait pas été fâché d’être considéré comme le définitif vainqueur du matérialisme, et
station sérieuse et nous sommes loin de la doctrine de Descartes, qui considérait comme de pures machines tous les animaux, même ce
vertébrés, doivent être observés et étudiés dans leur milieu même et considérés , non pas comme des produits isolés de la force cr
cien. Il y a même aujourd’hui une tendance parmi les biologistes à le considérer comme un des plus anciens parmi les mammifères su
omme dégénéré, ou, si l’on veut, évolué, mais l’homme ne saurait être considéré comme un chimpanzé perfectionné. Extrêmement anci
de Lamarck, comme M. Le Dantec lui-même. Est-ce donc que M. Le Dantec considérerait la Philosophie zoologique de Lamarck telle qu’une
ent être tout à fait étrangère à Lamarck. Il ne faut pas cependant la considérer comme incompatible avec ses théories. La mutation
er comme incompatible avec ses théories. La mutation peut en effet se considérer comme l’explosion de modifications virtuelles ou
ute philosophie scientifique. L’homme qui l’écrivit en 1809 peut être considéré comme un des grands libérateurs de la pensée. Lam
base scientifique, il n’y a pas non plus de science sans philosophie. Considérons avec émotion et avec reconnaissance le nom et l’œ
une histoire, même partielle, des religions. Quant à la prétention de considérer à part le christianisme, elle est absolument anti
», dont ils inondent le monde, qui n’en veut plus. Aussi bien peut-on considérer le livre de M. Reinach comme une petite bible qui
réciproquement, il y a eu des déchéances. Sans doute, ces mouvements, considérés dans l’ensemble d’un pays, sont minimes ; ils son
de l’abstention des aliments interdits. Il y a aussi un autre point à considérer  : les relations de la caste avec les brahmanes. S
pendant nous-mêmes, hommes de ce siècle, et nullement primitifs, nous considérons encore ces notions comme insoumises à des rapport
re ; la grotte mystérieuse s’illumine et resplendit. Ruskin peut être considéré comme le type du génie pur et simple. Sa précocit
e utilitaire de Ricardo. Les économistes orthodoxes de ce temps-là ne considéraient pas les ouvriers autrement que comme des machines
ze heures de suite penché sur son métier ou rivé à son marteau. On ne considérait qu’une chose : le résultat ; et si l’ouvrier dema
vérifier la couleur d’une porte ou la hauteur d’une maison. Il aurait considéré comme une sorte de crime littéraire de décrire ce
vu le diable et, dit M. Le Bon, si le témoignage unanime pouvait être considéré comme prouvant quelque chose, on pourrait dire qu
et, je le répète, il serait peut-être sage, jusqu’à nouvel ordre, de considérer séparément l’homme et l’œuvre, de ne pas mêler, c
ement ; le jeu ne mérite presque plus son nom. Je crois fort juste de considérer dans beaucoup de cas le jeu comme un simple mode
s félins à contempler avec froideur la cage aux oiseaux. Il faut donc considérer séparément le poil et la plume. L’ami des oiseaux
aisonnement, c’est inévitable, est le pessimisme. Il a une tendance à considérer la femme comme une araignée dont l’homme est la m
s sont les véritables modèles de l’humanité. Ce sont elles qu’il faut considérer quand on veut établir la philosophie du plaisir.
la vie une grande place aux plaisirs, aux passions ; mais il ne, les considère pas seulement comme des éléments du bonheur, il e
érudits de l’Intermédiaire, qui ont lu tous les vieux auteurs ; je le considère en attendant comme bien caractéristique de la phi
tout continue. On affirmera sans crainte ceci ou cela, selon que l’on considère l’individu ou l’emmêlement des générations. A ce
distinctions : beau et laid, bon et mauvais, bien et mal, etc., et ne considérer dans les actes de la vie que la courbe des mouvem
et l’esthétique se confondraient. Déjà les hommes un peu cultivés ne considèrent le sujet d’un tableau que pour juger si le peintr
ents devraient s’astreindre à une neutralité vraiment scientifique et considérer comme légitimes toutes les manifestations, quelle
il me suffit d’un peu pour retenir beaucoup. » Faugère veut que l’on considère avec respect l’amulette de Pascal. Je ne le consi
e veut que l’on considère avec respect l’amulette de Pascal. Je ne le considère pas avec respect, mais avec un mélange de honte e
quelquefois pas d’autre moyen de juger d’une opinion politique que de considérer la qualité de ceux qui la professent. La croyance
le talent avec lequel ils séduisaient les hommes. » J’aime beaucoup à considérer , à l’étal des tripiers, les cervelles de mouton.
69 (1913) Les antinomies entre l’individu et la société « Chapitre II. L’antinomie psychologique l’antinomie dans la vie intellectuelle » pp. 5-69
rts de la vie spirituelle avec l’état de société. La vie spirituelle, considérée sous son triple aspect, intelligence, sentiment,
e froisse beaucoup de sentiments et réprime beaucoup de désirs ? Nous considérerons l’intelligence à trois points de vue : 1º Dans se
idualise en chacun la pensée sociale exprimée dans le langage. * * * Considérons en effet non plus la genèse de l’intelligence, ma
s au second sens du mot science. Il s’agit ici des sciences spéciales considérées en dehors de toute prétention unitaire. Un physic
contre au début et au terme des raisonnements. Certes, la sociologie, considérée comme un ensemble de recherches positives sur la
es, sur lesquelles semble se faire l’accord de tous les individus, on considérera que, d’après l’hypothèse pragmatiste, ce n’est pa
errante saurait bien toute seule les faire valoir. * * * Après avoir considéré l’intelligence dans son origine et dans sa genèse
dans son origine et dans sa genèse, puis dans son objet (la vérité), considérons -la maintenant dans son usage et sa fin. Nous retr
x points suivants : 1º Antinomie entre la socialité et la physiologie considérée comme principe de différenciation mentale des ind
Schopenhauer, la conception transcendantaliste de l’intuition pour ne considérer que la conception empirique qui peut être gardée,
la politique positive, Discours préliminaire, p. 23. 23. « Il faut considérer les changements brusques qui ne comportent pas de
70 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre I : Variations des espèces à l’état domestique »
ariabilité. — L’une des premières choses dont on soit frappé quand on considère les individus de la même variété ou sous-variété
. Peut-être que la meilleure manière de résumer la question serait de considérer l’hérédité des caractères comme la règle, et leur
descendant à la même époque où elle était apparue chez l’ancêtre. Je considère cette règle comme d’une grande importance pour ex
ques, soit parmi les animaux, soit parmi les plantes, qui n’aient été considérées , par des juges compétents, comme les descendants
nt même pas d’un type sauvage unique. Cette manière de voir peut être considérée comme presque définitivement établie par les admi
dent pas un nombre égal d’espèces sauvages particulières qu’on puisse considérer comme leurs types originels ? Il en est de même d
inconnues aux ornithologistes, ce qui semble fort improbable, si l’on considère leur taille, leurs habitudes et leur remarquable
V. Principe de sélection depuis longtemps appliqué et ses effets. — Considérons maintenant par quels moyens nos races domestiques
couver, ou avec le Coq Bantam, si petit et si élégant ; si enfin l’on considère les hordes de nos plantes fleuristes et culinaire
mple des effets obtenus au moyen de sélections successives qu’on peut considérer comme inconsciemment poursuivies, par cette raiso
beaux individus qu’ils soient ou non suffisamment modifiés pour être considérés dès leur première apparence comme autant de varié
71 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Le Bel » p. 171
homme du bal à qui une femme disait : m’a-t-il de ses gros yeux assez considérée  ? — Madame, lui répondit-il, je vous regarde, mai
sidérée ? — Madame, lui répondit-il, je vous regarde, mais je ne vous considère pas. Dans l’un de ces paysages, ce sont des femme
72 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre troisième. Les sensations — Chapitre premier. Les sensations totales de l’ouïe et leurs éléments » pp. 165-188
er de côté tous les appendices que le temps vient souder sur elle, la considérer simple et brute. — Enfin, il faut la distinguer,
es arrangements font l’étoffe de toutes nos connaissances. Quand nous considérons de près une de nos conceptions, celle d’une plant
de, garni de cases, où l’on retrouve aisément la sensation qu’on veut considérer  ; on n’a rien fait de plus. On ne sait pas en quo
. On ne sait pas en quoi consiste la sensation elle-même ; si l’on en considère une, par exemple celle de l’odeur de rose, on la
isons différentes suffisent à expliquer toutes les sensations du son. Considérons d’abord les sons musicaux. On sait par l’acoustiq
par cette grandeur particulière que nous nommons le temps. À présent, considérons la sensation élémentaire elle-même. Dans le bruit
73 (1895) Les règles de la méthode sociologique « Conclusion »
aturaliste à moins qu’on ne veuille seulement indiquer par là qu’elle considère les faits sociaux comme explicables naturellement
que le sociologue n’a pas suffisamment dépouillé le philosophe, il ne considère les choses sociales que par leur côté le plus gén
hodiques qui puissent arracher leur secret à des choses. Mais si nous considérons les faits sociaux comme des choses, c’est comme d
74 (1906) L’anticléricalisme pp. 2-381
a pris une certaine forme. C’est à partir de ce moment qu’il faut le considérer dans ses traits généraux. Le Français est irréli
le verras. » Elle n’est pas fâchée d’indiquer à son oncle qu’elle le considère comme un imbécile. — Une autre enfant remarque en
ant, décisif et décisionnaire. Son opinion est la seule opinion qu’il considère et qui soit digne de considération. Il s’étonne q
cent et les fonctions que l’État leur confie, et ce serait un point à considérer , mais qui nous écarterait de notre sujet. Pour n
er, mais qui nous écarterait de notre sujet. Pour n’en point sortir, considérez et ces hommes dont leur vanité fait des déclassés
ne le permettent pas. Le peuple immoral est celui où les femmes sont considérées comme des choses ou comme des êtres inférieurs et
des choses ou comme des êtres inférieurs et se sont habituées à être considérées ainsi et sont passives et s’abandonnent aux désir
inage. C’est une élégance ; et ils sont extrêmement flattés qu’on les considère comme atteints de cette turpitude et de cette fâc
rte naturellement d’une religion qui recommande la chasteté et qui la considère comme une grande force et une grande vertu. Il fa
e avait horreur de la grivoiserie française, de la gauloiserie, et la considérait comme une plaie honteuse de la littérature frança
et dans toutes les régions du pays. Il peut être utile maintenant de considérer l’anticléricalisme français dans la suite de son
in, pour ce qui est de Molière, je ne saurais dire à quel point je le considère comme un des pères de l’anticléricalisme français
es coquins ; mépris des vieillards ou tout au moins tendance à ne les considérer que comme maniaques et figures à nasardes. La plu
e c’est incontestable. On peut d’abord faire remarquer, quoique je ne considère pas cette considération comme très importante, qu
laisse pas d’avoir peut-être un peu de signification et qu’il fallait considérer un instant. Et maintenant, venons aux deux pièces
de clérical que dans le rôle d’athée, et c’est seulement quand il le considère sous ce nouvel aspect que Molière fait éclater to
en arrive ainsi, par procès de tendances à très longue trajectoire, à considérer comme républicains des gens qui le sont en puissa
r le pouvoir spirituel. Or le pouvoir spirituel était occupé : elle a considéré ceux qui l’occupaient comme ses adversaires. Le c
elque raison, que, même depuis le xvie  siècle, l’homme de lettres se considère comme l’héritier direct de l’antiquité. La littér
je parle de la généralité. Tout compte fait, je dis toujours à ne le considérer qu’au point de vue religieux, il a été cause de l
u’on a introduites en lui pour le changer ; et, tout au contraire, il considère la morale comme la chose qui est la plus naturell
que je décrivais séparément pour la clarté de l’analyse, on peut les considérer comme jointes et s’entrelaçant, et, de tout temps
ius et autres disciples et hommes à la suite, le xviiie  siècle, à le considérer dans ses écrivains et dans ses directeurs d’espri
nt le fond de la pensée de l’Assemblée constituante. Les Constituants considéraient tellement l’Église qu’ils établissaient comme une
s religieuses selon son goût à lui et contre son goût à elle. Il doit considérer l’Église comme une association spirituelle indépe
parti clérical responsables de Sedan est quelque chose que l’on doit considérer comme une légende anticléricale sans aucun caract
est contraire aux bonnes mœurs. Sans doute ; mais il est difficile de considérer comme contraire aux bonnes mœurs le fait de vivre
congrégations en instance d’autorisation, une même question. Il faut considérer les garanties qu’elles présentent, leur utilité a
it le parti anticlérical vers la séparation de l’Église et de l’État, considérée elle-même comme un épisode de la guerre sans merc
ffisance même des moyens de répression. L’opinion sera ainsi amenée à considérer que le Concordat de 1801 a fait son temps, et à e
i, non seulement aurait résolus en quelques minutes, mais même aurait considérés comme n’existant pas ; car en vérité ils n’étaien
rictions qui ne me plaisent point du tout peuvent, à la rigueur, être considérées comme des mesures de transition qui seraient dest
caprice de toutes les tyrannies. Elle participe [est-ce assez vrai à considérer l’état de l’opinion de 1815 à 1830 ?] de l’amour
rd de la religion catholique, sont à méditer aujourd’hui et portent à considérer comme un progrès toute mesure qui, même maladroit
leinement. Car ce qui reste à reconquérir pour les catholiques, à les considérer comme libéraux, le voici : C’est la liberté d’ass
M. Combes : « Une loi, une foi ». Or pourquoi les catholiques, à les considérer comme libéraux, ce qu’ils sont pour le moment obl
force qu’elles tirent de leur union avec lui, il n’aurait plus à les considérer que comme des associations ordinaires soumises à
sitaire, qui est son idéal. Il détruira pièce par pièce la loi Briand considérée comme trop libérale et tenue pour seconde loi Fal
rois ans, uniquement sur la question anticléricale. M. Combes, enfin, considéré unanimement comme borné, choisi, on ne sait dans
à peu près de la manière suivante : abolition de l’Église catholique considérée comme un « État dans l’État », précisément parce
sert », qui auront réussi tant bien que mal à se former et qui seront considérées comme des sociétés secrètes, ce que, du reste, el
Pendant ce temps-là, l’Allemagne, que nous nous obstinons sottement à considérer comme une puissance protestante, et qui est une p
it des catholiques alsaciens. L’Allemagne, il est vrai, parce qu’elle considérait cela comme une mesure nécessaire de rattachement
ntretiennent leurs coreligionnaires alsaciens, de quoi ? De la France considérée , avec quelque raison, comme l’ennemi du catholici
non sans raison ; il est l’homme, qu’au contraire de l’élire ou de le considérer comme élu, la démocratie devrait éliminer par ost
e une chose lointaine, par suite de cette tendance qu’on a toujours à considérer un grand changement européen comme une chose loin
ssé par ses partisans ; c’est que tous les périls qu’il renferme sont considérés par ses partisans comme des chances qu’il ne sera
outes ses désastreuses conséquences sont, plus ou moins consciemment, considérées par ses partisans comme des progrès, ou tout au m
sée. C’est précisément ce qu’il faut. L’unité morale le veut. Nous ne considérons comme Français que ceux qui pensent comme nous, q
despotisme. Il y mène de toutes les façons. Il habitue les esprits à considérer qu’un homme n’a pas les droits de l’homme quand i
l pense d’autre manière que le gouvernement. Il habitue les esprits à considérer qu’un homme peut être proscrit parce qu’il vit d’
tions, sauf par corruption, tout autant que vous le voudrez ; et nous considérons que, non seulement c’est votre droit, mais que c’
de faire profession et propagande d’athéisme. « Il vous est permis de considérer le sentiment religieux comme une maladie mentale
finances. C’est tout. Vous n’avez pas autre chose à faire. « Ne vous considérez pas comme le premier théologien de France, le pre
75 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre IV : Sélection naturelle »
haque être vivant, cependant certains caractères ou certains organes, considérés comme peu importants, peuvent être l’objet de son
s à manger d’une certaine racine64 ? Chez les plantes, les botanistes considèrent le duvet qui recouvre les fruits ou la couleur de
ent. Pareille singularité eût apparu à l’état domestique, qu’on l’eût considérée comme une monstruosité. V. Exemples de sélection
ttre ce transport entre les fleurs du même arbre, qui ne peuvent être considérées comme des individus distincts qu’en un sens très
variations sur chacun de ces individus et peut être, par conséquent, considéré comme un élément de haute importance dans la form
emander la preuve des règles que nous venons de formuler, et que nous considérions quelque région étroite et isolée, telle, par exem
lement considérable de genres en résulte pour les États-Unis. Si l’on considère la nature des plantes et des animaux qui ont lutt
simultanément, mais peut-être à de longs intervalles, et peuvent être considérées comme se perpétuant durant des temps inégaux. Cel
velle branche ou race. Au bout de dix mille générations, on peut donc considérer l’espèce A comme ayant produit trois formes, c’es
nouvelles espèces. Les neuf autres espèces du genre originel que nous considérons , peuvent continuer pendant une longue période à p
t de chacune des lettres majuscules qui représentent les onze espèces considérées jusqu’ici comme originelles, et convergent par en
nos divers genres ou sous-genres nouveaux. Arrêtons-nous un instant à considérer quel serait le caractère de la nouvelle espèce F1
uver quelques exemples d’un cas semblable. Dans la figure, nous avons considéré jusqu’ici chaque ligne horizontale comme représen
s de leur développement, de sorte que l’animal adulte ne saurait être considéré comme plus élevé que sa larve. En définitive, c’e
), parce qu’ils approchent le plus des reptiles ; tandis que d’autres considèrent au contraire que les poissons osseux ordinaires,
aque fleur ; d’autres au contraire, avec plus de vérité probablement, considèrent comme plus élevées dans l’échelle organique les p
76 (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Histoire de la querelle des anciens et des modernes par M. Hippolyte Rigault — [Introduction] » pp. 132-142
et en français. Pour sa thèse latine il avait choisi Lucien, qu’il a considéré à un point de vue assez particulierg, non plus co
ont laissé de côté les vieux livres et les explications creuses, ont considéré les faits en eux-mêmes et ont constaté les lois.
bien que le mien n’ait pas à s’en plaindre) dans ces chapitres que je considère comme préliminaires. Que voulez-vous ? c’est la r
? g. [1re éd.] Pour la thèse latine il avait choisi Lucien, qu’il a considéré à un point de vue assez particulier h. [1re éd.]
77 (1905) Promenades philosophiques. Première série
 : « Je ne saurais assez admirer les merveilles de la nature quand je considère que la plupart des insectes, comme les mouches et
r pour lui aucune importance ; ils étaient vrais, du moment qu’il les considérait comme vrais. Cette méthode, que nous voyons bâtie
sont deux fluides qui ne diffèrent qu’en ténuité, et qui doivent être considérés comme deux espèces du même genre (102). V — De
et de les exposer avec logique et décision. Sa sincérité est absolue. Considérée en opposition avec les basses rêveries des promet
ur à tour proie et prédateur, tour à tour mangeur et mangé, il aurait considéré avec encore plus d’amertume la venue de l’année n
l serait plus juste de dire que l’habitude héréditaire nous incline à considérer comme vraies certaines sensations ; comme fausses
c’est-à-dire de la connaissance. Je crois que l’absorption doit être considérée comme un des meilleurs moyens que nous ayons d’ap
, banale et de pur reflet, si on l’étend à toute la matière sensible. Considérons cette matière dans ses manifestations peut-être l
vivante. C’est donc par un abus singulier qu’on s’est accoutumé à la considérer isolée de l’ensemble des causes qui la produisent
alisme se fonde, en définitive, sur la matérialité même de la pensée, considérée comme un produit physiologique. La conception d’u
, en modalité, d’homme à homme, d’espèce à espèce, le monde peut être considéré comme inconnaissable, puisque chaque cerveau ou c
urt en proportion de ce qu’elle contient de philosophie. Mais il faut considérer séparément les religions et le personnel du culte
is ceci indique seulement que l’esprit humain, devenu individualiste, considère la Beauté et l’Amour, non plus comme des attribut
tant que de religion. Ce qui est vrai, sans doute, c’est que Renan ne considéra jamais la littérature comme un genre à part, dist
u contraire la nourriture quotidienne. Leur qualité est indifférente, considérés comme des jeux, comme des excitants. Ce sont leur
veux point dire que ce résultat soit mauvais. En ce moment, je ne le considère point non plus comme bon. Il est indifférent. La
ons communément pour la cause de la vie ce qui en est le résidu. Nous considérons comme principe directeur ce qui n’est que le résu
connue. Un poète qui s’occupe d’histoire naturelle est nécessairement considéré comme un simple amateur de science, et les dernie
ciologie, exemple excellent de l’influence des mots sur la manière de considérer la réalité* On a abusé de ce parallélisme jusqu’a
hysiologique, il faudra dire : activité. Si le travail, en effet, est considéré comme une nécessité physiologique, on ne pourra p
homme bien portant. C’est un héritage à coup sûr, car, dans la nature considérée d’une façon générale, il n’y a que des activités
ésintéressées ou productives, dérivent de ce besoin. Seulement, si on considère l’activité humaine sous la face travail, on verra
pour ne pas travailler eux-mêmes. Les Sémites, vers les mêmes temps, considéraient le travail comme un châtiment. Le christianisme l
que des fourmis « En topographie, disent les manuels, la terre est considérée comme plane. » Cet aphorisme s’applique merveille
t énorme. Relativement à l’homme, la pesanteur de la fourmi peut être considérée par un observateur comme à peu près nulle. Or, il
ent des battements de la vie, cette artère. Le temps ne peut pas être considéré comme une condition de production des phénomènes,
un des moments du temps lui-même. Si l’on fait abstraction de l’homme considéré comme spectateur, le temps qui est perçu par l’ho
des fins intérimaires. La continuité ne le permet pas ; elle oblige à considérer le temps, non plus comme une succession de phénom
la métaphysique, il faut donc s’arrêter. *** La manière dont M. Joyau considère le temps est plus humaine. Il y a même entremêlé
ralisant, selon l’heureuse formule de M. Dastre ; mais il continue de considérer les propriétés vitales de la matière comme entièr
itres de sa philosophie. Mais il y a autre chose encore dans Stendhal considéré comme philosophe. On le trouvera dans Taine. « Ta
tal. Une certaine prudence est nécessaire et une certaine douceur. On considérera aussi que les causes sont des effets, relativemen
uèrent Pascal et Nietzsche. Si les hommes et les femmes s’accordent à considérer certains petits gestes sociaux comme des preuves
st le grand personnage et le plus vivant, celui qui parle et que l’on considère avec émotion ou curiosité, même quand on ne compr
, particularisées, précisées par le milieu et selon l’ordre où on les considère . L’amour, la justice, le salut, l’intelligence, l
pensée était forte, sûre d’elle-même. Ce grand esprit autoritaire ne considère le style que comme l’instrument de la pensée. Là
laborieux. Nous ne devrions pas le savoir : il y a quelque impudeur à considérer de trop près ces mouvements secrets du génie, et
onge à cela, d’apprendre qu’il a remplacé, un soir qu’il se relisait, considère par contemple et entrevoir par apercevoir ! Il y
parasites, elle est insoluble, par sa complexité même. M. Paul Meyer considère seules comme parasites les lettres, dites étymolo
les domine. Ce principe directeur consiste en ce que le masculin est considéré comme supérieur au féminin ». On masculinisera le
ères de prononcer le féminin manus et le masculin pedem. Mais si nous considérons ces mêmes mots en latins, nous n’avons plus rien
1740-1789). Cette période peut être, au point de vue de la verbalité, considérée comme l’aurore du romantisme. Elle contient Jean-
anistan, de même que : en Avignon pour à Avignon ou, si Avignon était considéré comme un pays, pour au Avignon. On a dit de même 
rte (Rer. ital. Script., II) qu’en 842 Landulf, archevêque de Capoue, considérait les moines comme des jettateurs dangereux à renco
78 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre IV. De l’amour. »
fatigue l’existence, comme ces intérêts divers dont la réunion a été considérée comme un bon système de félicité, en fait de malh
lexion, c’est en écartant de moi l’enthousiasme de la jeunesse que je considérerai l’amour, ou, pour mieux m’exprimer, le dévouement
ie, il faut qu’il ait besoin de votre existence, et que vous puissiez considérer en vous le soutien de son bonheur. Dans quelque s
ont le caractère a transporté dans un autre l’égoïsme, que la société considère assez dans l’homme qui s’occupe exclusivement de
j’ai dit s’applique presque également aux deux sexes ; il me reste à considérer ce qui nous regarde particulièrement. Oh, femmes 
79 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre VII. De l’esprit de parti. »
un système de conduite également intolérant. Cette remarque doit être considérée comme une simple conséquence du même principe. Le
remiers regardent leurs adversaires comme des impies, les seconds les considèrent comme des obstacles, en sorte que les premiers dé
e idée nouvelle, à combiner de nouveaux rapports. Cette manière de ne considérer qu’un seul côté dans tous les objets, et de les p
les partisans des opinions modérées : les deux factions opposées les considèrent comme leurs plus grands ennemis, comme ceux qui d
différent aux succès de l’ambition personnelle, jamais cette passion, considérée d’une manière générale, n’est complètement satisf
80 (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Nouvelle correspondance inédite de M. de Tocqueville »
une loupe pour nous apercevoir en France ; mais, en Amérique, on nous considère avec un télescope ; l’illusion dure encore, bien
Ne croyez pas que je sois arrivé sans de grands Combats intérieurs à considérer l’existence sous ce point de vue, ni que je m’v t
assion ardente qui m’entraîne vers un bonheur sans limite, et me fait considérer l’absence de ce bonheur comme la plus grande info
e bien regarder pour les voir : mais lorsque j’ai voulu m’appliquer à considérer les objets, je n’ai plus aperçu que doutes inextr
sur lequel on se risque est toujours un état pénible. Sans doute, je considère ce doute comme une des plus grandes misères de no
osent gratuitement et sans utilité. C’est pour cela que j’ai toujours considéré la métaphysique et toutes les sciences purement t
n France, écrivait-il, et avec les documents que je rapporte. » Il se considérait , en partant de l’Amérique, comme en état seulemen
81 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Discours préliminaire » pp. 25-70
ient l’esprit de la littérature. Il me semble que l’on n’a pas encore considéré comment les facultés humaines se sont graduelleme
uvrage, il est nécessaire de retracer l’importance de la littérature, considérée dans son acception la plus étendue ; c’est-à-dire
manquent de justesse, tout ce qui diverge enfin, doit être uniquement considéré comme un défaut. L’esprit donc ainsi assimilé, so
ittérature philosophique, c’est l’éloquence et le raisonnement que je considère comme la véritable garantie de la liberté. Les sc
’œuvre de la littérature italienne, anglaise, allemande et française, considérés selon le but général de cet ouvrage, c’est à dire
à la situation politique de la France depuis dix ans ; mais je ne la considère que dans ses rapports avec la littérature et la p
ené que le malheur et la destruction. La philosophie peut quelquefois considérer les souffrances passées comme des leçons utiles,
82 (1828) Introduction à l’histoire de la philosophie
me n’est point un système, c’est une méthode, une certaine manière de considérer les choses, trop élevée sans doute pour être popu
tère et vénéré de nos intentions et de nos travaux, M. Royer-Collard, considérait comme les moins imparfaits de nos ouvrages, les m
s idées qui sont dans l’intelligence, le seul côté par lequel l’homme considère toutes choses, le seul caractère qu’il y reconnai
société naturelle ; il n’embrasse pas l’homme tout entier ; il ne le considère que par son rapport à l’idée du juste et de l’inj
és physiques, intellectuelles et morales ; mais devant l’État, qui ne considère les hommes que comme des personnes, comme des êtr
ans un coin de ce tableau, je ne trouverai pas la philosophie : je ne considère la civilisation que par ce côté. Mais par où comm
du globe, à ses divisions, en un mot à la géographie physique. Ainsi considérée , l’histoire de la philosophie prend un puissant i
raison humaine, de quelque manière qu’elle se développe, quoi qu’elle considère , soit quelle s’arrête à l’observation de cette na
ité ou la multiplicité. S’occupe-t-elle de l’espace ? elle ne peut le considérer que sous deux points de vue ; elle conçoit un esp
spaces particuliers, l’espace absolu. S’occupe-t-elle de l’existence, considère-t -elle les choses sous ce seul rapport qu’elles exi
onstituent cette raison. Or, ce qui était vrai dans la raison humaine considérée subsiste dans la raison considérée en soi ; ce qu
était vrai dans la raison humaine considérée subsiste dans la raison considérée en soi ; ce qui constituait notre raison est le f
sont dessous le sont aussi ; et ce sont ces idées que la philosophie considère en elles-mêmes. Laissons à la religion la forme q
condition y a-t-il mémoire ? à la condition du temps. La réflexion ne considère les éléments de la pensée que successivement et n
e la pensée que successivement et non pas tous à la fois. Si elle les considère successivement, elle les considère, pour un momen
on pas tous à la fois. Si elle les considère successivement, elle les considère , pour un moment au moins, isolément ; et comme ch
ue seulement cette foi se concentre sur un seul point ; au lieu de le considérer dans ‘ce qui lui manque, considérez-le plutôt dan
sur un seul point ; au lieu de le considérer dans ‘ce qui lui manque, considérez -le plutôt dans ce qu’il possède ; et vous verrez
une chose ? il faut que la réflexion s’y applique, et la réflexion ne considère les choses qu’une à une. Ignorer une chose, faibl
e toutes les autres, il faut la prendre comme un tout unique, pour la considérer à son commencement, dans son milieu et à sa fin ;
le s’attache à l’un, l’autre lui échappe ; elle est comme condamnée à considérer ce qui passe présentement sous son regard comme l
enne la forme de la vérité pour se faire admettre. L’élément que nous considérons à part, doit être réel pour attirer notre attenti
mpossible que tous les hommes se donnent en quelque sorte le mot pour considérer en même temps le même côté de la pensée et des ch
n’est donc pas le terme du fini relatif à la nature, qu’il nous faut considérer , mais le terme qui se rapporte à l’humanité. Le m
t accablante, de Dieu ; et, sous le poids de cette grande idée, il se considère à peine comme une ombre de celui qui seul existe.
e de l’ordre divin, et ses lois ont Dieu lui-même pour principe. Dieu considéré dans son action constante sur le monde et sur l’h
rattache l’histoire à l’humanité et au monde et par là à Dieu. Dieu, considéré sans rapport avec le monde et l’humanité, est déj
eurs lois générales. L’histoire est donc belle, morale, scientifique. Considérée sous ce point de vue, elle se présente au regard
ns ses principes, Malebranche eût pu répondre à cela. Pour nous, nous considérons l’histoire comme la contre-épreuve de la philosop
les suivent en tout genre, parce qu’ils ont foi en eux, et qu’ils les considèrent comme leurs interprètes. Les lieux, les peuples,
ience se résout ici dans un préjugé du sens commun. Ôtez les mots, ne considérez que les idées. Quel est celui de vous qui pense q
part et l’examine. Que lui demande-t-elle ? sous combien d’aspects le considère-t -elle ? La philosophie de l’histoire, en présence
occupé d’un intérêt particulier, par exemple, de l’intérêt politique, considère dans un peuple l’élément politique presque exclus
presque exclusivement ; ou, préoccupé de l’intérêt de la religion, il considère surtout l’élément religieux ; et alors ou il négl
leur impose à tous le caractère qu’il emprunte au seul élément qu’il considère , et s’il ne mutile pas l’histoire il la fausse. L
oir la simplicité qui accompagne aisément les formules exclusives. Ne considérez -vous un peuple que par le côté politique ? ici la
esure, tout l’exprime à sa manière. La philosophie de l’histoire doit considérer dans un peuple tous ses éléments intérieurs, l’ag
 Théorie de la puissance. — Théorie de la gloire. — Les grands hommes considérés comme de simples individus dans leurs intentions
peuples. À l’autre extrémité de la civilisation et de l’imagination, considère-t -on des objets qui ont un caractère très déterminé
t entier dans ses grands hommes, c’est aussi en eux que l’histoire le considère . Ouvrez des livres d’histoire, vous n’y voyez que
e-t-il, et sous quel aspect la philosophie de l’histoire doit-elle le considérer  ? Un grand homme, dans quelque genre que ce soit,
t en eux-mêmes ; ils reconnaissent l’esprit même qui est en eux ; ils considèrent le grand homme comme leur image véritable, comme
fait homme, c’est son individualité ; mais séparez ces deux cléments, considérez l’homme dans le grand homme, et le plus grand des
malgré cela. La règle fondamentale est de faire comme l’humanité, de considérer les grands hommes par ce qu’ils ont fait, non par
et la transporter partout. Le premier historien de l’humanité a dû la considérer alors du haut du christianisme, lui donner le chr
our organe un théologien et un prêtre. De là la nécessité de Bossuet. Considérez combien le christianisme est favorable à une hist
nfonce jusque dans les racines du genre humain. Quand donc on ne veut considérer qu’une seule chose dans l’histoire du monde, on n
s, de ses progrès, de son triomphe, de son développement. L’Église ne considère les individus qu’autant qu’ils l’ont ou servie ou
ur la rendre à l’humanité. Vico, le premier, a démontré qu’il fallait considérer Orphée et Homère, non pas seulement comme de simp
armi les éléments de l’histoire avait vu surtout l’élément politique, considérât surtout les époques où cet élément joue un rôle i
ter entièrement l’élément intérieur, la liberté et l’intelligence, il considère plus particulièrement l’élément extérieur ; il es
tion. C’est ce qui est arrivé à Tiedemann. Son ouvrage peut bien être considéré comme celui qui représente le mieux la philosophi
il s’attache à l’élément opposé à celui que Locke a particulièrement considéré . La grande entreprise de Kant est une Critique de
le concentrée dans l’intention : en esthétique, le beau et le sublime considérés presque exclusivement dans leurs rapports avec l’
la même voie. Dans Kant, le point de vue sous lequel le sujet pensant considère les objets dépend de sa nature propre. Dans Ficht
de la philosophie ? Telle est la question : pour la résoudre, il faut considérer où en est aujourd’hui la philosophie. La philosop
e sont inséparables. De là, les plus graves conséquences. Dieu est-il considéré comme un pur être en soi, une substance qui n’est
Quoi ! parce que je rapporte l’action de Dieu à sa substance même, je considère cette action comme aveugle et fatale ! Quoi, il y
t pas assez parfait s’il lui laissait toutes ses perfections : il les considère comme des imperfections, l’être comme une dégrada
tributs. J’admire la folie de ceux qui, pour mieux connaître Dieu, le considèrent , disent-ils, dans son essence pure et absolue, dé
faisons-nous pas une semblable sur l’être des êtres, lorsque nous le considérons sans propriété déterminative, réduit et ramassé t
e existence si variée et si grande dont nous faisons partie, quand on considère l’étendue de ce monde visible et en même temps l’
83 (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Deuxième partie. Ce qui peut être objet d’étude scientifique dans une œuvre littéraire — Chapitre VIII. La question de gout ce qui reste en dehors de la science » pp. 84-103
t-il pas inutile de le démontrer, puisqu’on a essayé de le contester. Considérons d’abord les œuvres littéraires dans le temps. Est
dividu, passe par des phases d’éclat, de déclin, de renaissance, etc. Considérons maintenant les œuvres littéraires dans l’espace.
té ? N’est-elle point la grande redresseuse de torts  ? Ne peut-on la considérer comme une cour d’appel, comme un tribunal suprême
une infaillibilité factice, gardent une valeur très réelle si on les considère seulement comme des présomptions. Les contemporai
r le nombre et la variété des sensations qu’elle éveille ; on peut en considérer la profondeur, l’intensité ; on peut en évaluer l
ous n’avons cessé de tourner : Il y a pour une œuvre littéraire (à ne considérer que ses qualités intérieures) cinq ordres différe
84 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Chapitre I. La demi-relativité »
chemin parcouru par ce rayon dans l’éther à équation ou équation . Considérons maintenant le trajet du rayon qui va de la plaque
du parcours total est équation . C’est ce qu’on verrait encore, sans considérer directement la composition des vitesses, de la ma
coïncidant avec l’horloge Hₒ. du système S, marquait zéro comme elle. Considérons alors dans le système S′ une horloge H₁′, placée
éité. Il l’eût prise sur le vif en assistant au réglage des horloges. Considérons en effet, sur la ligne Hₒ′ H₁′ indéfiniment prolo
immobilisé par la pensée, et comment il faudra alors attribuer à S′, considéré du point de vue de S, les mêmes déformations temp
la démonstration qui font l’objet du présent travail.   1. On peut considérer le mouvement de la Terre comme une translation re
85 (1867) Le cerveau et la pensée « Avant-propos »
s observations scientifiques, elles tiennent sans doute à ce que l’on considère isolément des conditions qui n’ont de valeur que
ieusement combinées. Elle est une résultante. De là vient que si l’on considère un seul de ces éléments, on vient toujours s’acho
les, M. Lyell, n’hésite pas cependant à écrire : « Nous ne devons pas considérer comme admis que chaque amélioration des facultés
86 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre quatrième. Du cours que suit l’histoire des nations — Chapitre III. Trois espèces de jurisprudences, d’autorités, de raisons ; corollaires relatifs à la politique et au droit des Romains » pp. 299-308
yen âge comme des jurisconsultes romains. La jurisprudence humaine ne considère dans les faits que leur conformité avec la justic
. Voilà pourquoi les hommes d’aujourd’hui sont portés naturellement à considérer les choses d’après les circonstances les plus par
isconsultes. La multitude n’en peut comprendre d’autre, parce qu’elle considère les motifs de justice dans leurs applications dir
87 (1914) Note conjointe sur M. Descartes et la philosophie cartésienne pp. 59-331
s causes de tout ce qui est ou qui peut être dans le monde, sans rien considérer pour cet effet que Dieu seul qui l’a créé, ni les
ques bourgeois d’avoir une généalogie inscrite. L’homme s’attarde, il considère longuement ce classement du monde et ce classemen
t l’appareil même de la mort. Et comme échappé d’un immense danger il considère ses ancêtres qui ne connaissaient pas la lettre.
nteuse (ou animée de quel secret orgueil) ; car en même temps elle se considérait un peu (et même beaucoup) comme une curiosité, co
mphe. Mais nous ne triomphons pas. Corneille triomphe. S’il s’agit de considérer les ravages de la grâce, tout est merveille. Et t
on. On n’entend rien aux admirables histoires de Joinville si l’on ne considère point d’abord que le saint roi est un baron franç
is dire laïque, d’une humanité comme réduite à ses propres forces, et considérée indépendamment de l’introduction et comme de la s
ntroduction et comme de la superposition du christianisme. Et qu’il a considéré le stoïcisme comme le pôle de pensée et de systèm
: les héros et peut-être faut-il dire aussi les martyrs. Si l’on peut considérer , comme je le crois, la cité antique elle aussi co
ommation aux Anglais, acte extrêmement important et qu’il ne faut pas considérer comme une déclaration de guerre mais comme une dé
de peu d’exercice et peut-être de nul exercice. Car il ne faut point considérer Jésus comme un summum des summums et comme un max
Et la limitation dans les catégories de classement. Il faut toujours considérer , nous l’avons dit, que Jésus a pris l’incarnation
notre point de vue, car c’était certainement un fort bon clerc, très considéré , et qui avait une bonne place). (C’était un fort
u passé. Les prophéties sont une annonce (et l’Annonciation peut être considérée précisément comme la dernière des prophéties) et
es aux prophéties, de Jésus aux prophètes.   L’Annonciation peut être considérée comme la dernière des prophéties et comme la prop
ement saisissable, sinon pleinement intelligible que pour celui qui a considéré la singulière advenue, l’événement, la survenue d
n ce point était le secret de toute la bataille. Et que tant que l’on considérerait le présent comme une simple date, comme les autre
tres, parmi les autres, après d’autres, avant d’autres, tant que l’on considérerait le présent comme le passé d’aujourd’hui, comme le
encore les épaules prises dans les momifications du passé. Au lieu de considérer le présent lui-même, au lieu de considérer le pré
tions du passé. Au lieu de considérer le présent lui-même, au lieu de considérer le présent présent on considérait en réalité un p
érer le présent lui-même, au lieu de considérer le présent présent on considérait en réalité un présent passé, un présent figé, et
nscrit, un présent rendu déterminé. Un présent historique. Au lieu de considérer ce point de secret qu’est le présent on considéra
orique. Au lieu de considérer ce point de secret qu’est le présent on considérait déjà une histoire du présent, une mémoire du prés
ne histoire du présent, une mémoire du présent, c’est-à-dire que l’on considérait la figure que ferait le présent aussitôt qu’il se
a figure que ferait le présent aussitôt qu’il serait devenu passé. On considérait l’inscription aussitôt qu’elle serait devenue ins
ite. Et on trouvait qu’elle était arrêtée, qu’elle était inscrite. On considérait la vie au moment qu’elle serait devenue la mort.
u’elle serait devenue la mort. Et on trouvait qu’elle était morte. On considérait le présent, on considérait la liberté au moment q
rt. Et on trouvait qu’elle était morte. On considérait le présent, on considérait la liberté au moment qu’elle aurait été liée, qu’
comme d’une morte, on la voyait toujours comme une morte. Au lieu de considérer la liberté, la vie, le présent un instant avant q
n instant avant qu’elle entre dans l’éternelle prison du passé, on la considérait aussitôt après, instantanément après qu’elle vena
psychologie et en métaphysique étant, passant dans le présent nous ne considérons que l’instant d’après, l’être d’après, par besoin
par besoin d’assurance et de tranquillité, et alors nous voyons, nous considérons le présent comme un récent passé, comme un dernie
le monde moderne), chaque monde, le monde sera jugé sur ce qu’il aura considéré comme négociable ou non négociable. Tout l’avilis
oderne, tout l’abaissement du prix vient de ce que le monde moderne a considéré comme négociables des valeurs que le monde antiqu
mme négociables des valeurs que le monde antique et le monde chrétien considéraient comme non négociables. C’est cette universelle né
s sot. Et en tout cas plus paresseux et plus négligent. Et on croyait considérer le présent. Et on considérait le plus récent pass
resseux et plus négligent. Et on croyait considérer le présent. Et on considérait le plus récent passé. Et on croyait considérer le
rer le présent. Et on considérait le plus récent passé. Et on croyait considérer le présent et on considérait l’enregistrement du
érait le plus récent passé. Et on croyait considérer le présent et on considérait l’enregistrement du présent. L’histoire du présen
mencement de mémoire. Un point de commencement d’habitude. On croyait considérer l’événement que l’on écrivait et on considérait u
d’habitude. On croyait considérer l’événement que l’on écrivait et on considérait un autre, un même, un faussement même événement q
misères. Mais demain, hier ne nous en ferait plus.   Ainsi on croyait considérer le présent. Et on ne considérait jamais que son o
us en ferait plus.   Ainsi on croyait considérer le présent. Et on ne considérait jamais que son ombre portée. On croyait parler du
raquement qui ne s’était encore jamais vu dans l’histoire du monde je considère comme traîtresse et attentatoire, je considère co
l’histoire du monde je considère comme traîtresse et attentatoire, je considère comme criminelle et gesticulatoire toute politiqu
et dans tous les êtres que l’on veut réduire. Dans ces conditions je considère comme insidieuse et criminelle, comme frauduleuse
sément de l’appareil, de l’instrument bergsonien.   (Un grand docteur considéré , célébré, consacré ; dénombré. Enterré). Essayé
88 (1920) Essais de psychologie contemporaine. Tome I
des ouvrages qui les ont suivis, en demandant qu’on veuille bien les considérer comme une modeste contribution à cette espèce d’a
empire romain, par exemple, il peut, du premier de ces points de vue, considérer l’effort total et en constater l’insuffisance. Un
mécanisme social. Autre sera le point de vue du psychologue pur, qui considérera ce mécanisme dans son détail et non plus dans le
accidents de la vie environnante. Un effort aussi complexe peut être considéré sous bien des faces. Un maître de l’exégèse, un d
l’oeuvre de M. Renan est une œuvre de science. Or, est-il légitime de considérer une telle œuvre autrement que du point de vue sci
t que pour fixer leur attention. Tandis que les premiers s’étudient à considérer des formes vides de toute matière, les seconds tâ
poque. Je disais que le choix seul d’un sujet d’histoire pouvait être considéré comme l’indice d’une sensibilité entière. Il n’es
brables. La plus inattendue est celle qui a conduit les théologiens à considérer les religions comme des phénomènes analogues aux
nos systèmes comme des moules trop étroits. Le dilettante philosophe considère tous ces systèmes successivement avec une curiosi
nte de cette époque et à quel point elle porte ce péché dans le sang, considérez les mœurs et la société, l’ameublement et la conv
avant cette publication, la lecture de ses ouvrages nous autorisait à considérer que l’étude des sciences naturelles, dont il fut
rnières années. Non seulement la philosophie allemande du XIXe siècle considère l’univers comme un étagement d’organismes, mais e
cle considère l’univers comme un étagement d’organismes, mais elle le considère comme un étagement d’organismes en mouvement. Tou
une ennemie terrible de la religion, par cela seul qu’elle a prétendu considérer les dogmes et la foi comme des phénomènes d’ordre
e application de la Science à l’organisation des sociétés. Quand nous considérons , sans parti pris d’aucune sorte, les quelques pri
ale. Si cette vision consolante n’est pas une simple chimère, on peut considérer que les grands dédaigneux à la façon de M. Renan
besogne accomplie et ne nous occupons que de cela. M. Renan peut être considéré comme le type d’une classe d’intelligences absolu
d sa vie et ses sentiments. C’est pour cela et pour avoir continué de considérer cet accord comme obligatoire qu’il peut se rendre
e. Mais s’il en a souffert, ç’a été par contre-coup, et il a toujours considéré comme morbides ces extrêmes émotivités. Il paraît
us conformes aux réalités sociales parmi lesquelles ils se mouvaient. Considérées sous cet angle, ces lettres à M. Berthelot sont e
je viens d’appliquer à Renan. L’esprit cosmique consiste proprement à considérer toutes les choses, y compris la vie humaine et no
que, laquelle consiste à faire abstraction de l’univers pour n’y plus considérer qu’un être, qu’une personne, qu’une vie humaine e
ement en désaccord avec son milieu et avec sa propre chimère. On peut considérer , sans paradoxe, que le malin génie de la nature s
les aperçut sans bien se les expliquer et avec fureur, au lieu de les considérer avec la froideur intellectuelle du philosophe. Né
par l’excellence de son âme tarde bien à venir », n’a pas si tort de considérer que cette âme est, en effet, d’une qualité rare.
ire devient capital et vaut qu’on en examine la valeur contemporaine. Considérer ainsi la pensée comme un pouvoir, non plus bienfa
de sa solution dépend l’avenir même de ce que nous sommes habitués à considérer comme l’œuvre des siècles. Il est certain que si
ces différents cas ne seraient que des exceptions, ne faudrait-il pas considérer que la pensée qui peut les faire naître ressemble
ctoires, est la démonstration vivante de la théorie psychologique qui considère notre « moi » comme un faisceau de phénomènes san
ychologique de l’auteur de Madame Bovary ne soit pas trop incomplète. Considéré d’après l’ensemble de son œuvre, Flaubert a sa pl
a-t-il écrit, « ayant sa propre raison en lui-même, ne doit pas être considéré comme un moyen. Malgré tout le génie que l’on met
vec la science et certaines de ses données actuelles sur l’esprit, il considéra qu’une tête humaine est une chambre noire où pass
l a conçu cette page comme le but unique et indépendant. Il peut être considéré , de ce point de vue, comme ayant exactement réali
contraire, emploie tout son effort à simplifier. Le personnage qu’il considère ne lui est qu’un prétexte à démonstration. La gra
la cime, vers une pointe suprême et qui attire à elle toute la masse… Considérez les morceaux éclatants où le prosateur rivalise a
à quelque édifice d’une savante et forte architecture, n’a pas bougé. Considéré dans ce qu’il a d’essentiel, ce système se ramène
ne sont que des faits très généraux, « jusqu’à ce qu’enfin la nature, considérée dans son fond subsistant, apparaisse à nos conjec
» Ce mot contient en germe toute l’œuvre tentée par M. Taine. Si l’on considère la quantité des matières traitées, cette œuvre es
aitées, cette œuvre est multiple et variée comme la vie même. Si l’on considère la permanence immuable de l’idée directrice, elle
milieux et de moments divers l’auteur de l’Intelligence n’a-t-il pas considéré ce phénomène de la formation de l’œuvre d’art ? C
, comme il est légitime de s’en tenir au point de vue contraire et de considérer les œuvres d’art non plus comme significatives, m
critique a presque irréparablement abandonné la discussion des œuvres considérées en elles-mêmes, pour s’attacher aux conditions se
une conclusion ; puis l’analyse du principe même et de la théorie qui considère toute notre vie personnelle comme un résultat de
e, formulée dans ce qu’elle a de plus général, se ramène simplement à considérer un Etat comme un organisme. De même que la force
comme tous les philosophes qui voient dans l’Etat un organisme, doit considérer et considère l’inégalité comme une loi essentiell
s philosophes qui voient dans l’Etat un organisme, doit considérer et considère l’inégalité comme une loi essentielle de la socié
rés, couvés, nourris, intronisés, provoqués, on ne peut s’empêcher de considérer son histoire comme un long suicide… » Et là-dessu
té du corps politique. Il y montrait l’esprit classique aboutissant à considérer l’homme seulement dans sa raison ; et la doctrine
M. Taine, pour se dégager entièrement de l’un et de l’autre parti et considérer 89 et ses conséquences d’une manière scientifique
Poussant ces premiers principes jusqu’à leur extrême conséquence, il considère que le tempérament et le milieu font tout l’homme
ns de Stendhal témoignent qu’il ne put jamais s’intéresser à ce qu’il considérait comme des problèmes arbitraires de mécanique mora
u plutôt les cas psychologiques par lui décrits sont bien les nôtres. Considérons d’abord le travail accompli dans Stendhal lui-mêm
a brutalité grossière. Les scrupuleux, enfin, et les délicats peuvent considérer l’analyse comme un élément meurtrier de toute naï
raisons de l’un et de l’autre. Dans quelques années, ce fragment sera considéré comme un ouvrage à mettre sur un même rayon de bi
littératures. Le dévot du beylisme qui a nom Casimir Stryienski sera considéré alors comme un des bons serviteurs des lettres… «
89 (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre quatrième. La connaissance des choses générales — Chapitre premier. Les caractères généraux et les idées générales. » pp. 249-295
onstruits, deviennent des ressorts d’action. Jusqu’ici, nous n’avons considéré que les choses particulières et la connaissance q
articulières et la connaissance que nous en prenons ; il nous reste à considérer les choses générales et les idées que nous en avo
upe de ses caractères fixes prend une importance capitale, et nous le considérons à bon droit comme la portion essentielle de l’ind
mplexe et d’autant moins complexe qu’il est plus général. — En effet, considérons d’abord le groupe de caractères qui persiste dans
es à faire une collection. C’est à ce point de vue seulement qu’on le considère  ; partant, vingt tas de pierres le long d’une rou
bservons donc une série d’objets ou d’événements, en ayant soin de ne considérer en chacun d’eux que sa capacité d’entrer comme co
ou point, est un caractère du corps, caractère isolé par abstraction, considéré à part, et, de plus, général, c’est-à-dire commun
tte omission, nous la retranchons, et, sans efforts, nous en venons à considérer le trait comme une ligne. — Le tableau et le papi
combinent avec les précédents pour faire de nouveaux cadres. On peut considérer le mouvement non pas seulement comme ayant pour e
partie, p. 12. 92. « Quand une pierre tombe, écrit Galilée, si nous considérons la chose attentivement, nous trouvons que la mani
90 (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Préface »
nder un avis que j’eusse donné en homme honnête et de bon sens. Je me considérerai donc comme parfaitement délié envers la nouvelle
rait des circonstances extrêmes pour dégager ma délicatesse. Je ne me considère réellement pas comme libre. J’ai dit tout cela à
en portefeuille. Elle fait aujourd’hui partie de ses Mémoires, et je considère comme un devoir de la reproduire ici : il a été t
rticle, sur les doctrines professées par le Temps, et il n’a eu à les considérer que dans leur ensemble ; mais il sait que ce jour
s la maisonnette de la rue Montparnasse. Le maître de la maison ne se considérait , disait-il lui-même, que « comme le maître du cab
91 (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre quatrième. La connaissance des choses générales — Chapitre II. Les couples de caractères généraux et les propositions générales » pp. 297-385
s. — Comment l’expérience savante les a découverts. — Opinion qui les considère comme des vérités d’expérience. — Plusieurs d’ent
ormer ces jugements, à énoncer mentalement ces propositions. II Considérons d’abord ces couples ou lois en elles-mêmes. Tout
ces données sont des caractères abstraits, c’est-à-dire des extraits considérés à part ; que toutes ces données sont des caractèr
rain, conséquent ou antécédent, n’est qu’une particularité du premier considéré seul et à part. On entend par là qu’il a, par lui
est la première méthode ; par elle, on exclut les différences des cas considérés , ce qui met à part leurs ressemblances. Elle a po
st la seconde méthode ; par elle, on exclut les ressemblances des cas considérés , ce qui pose à part leurs différences. Elle a pou
r à sa source. — Pour apercevoir séparément chaque effet, il faudrait considérer des mouvements dirigés dans un autre sens, c’est-
s venons de reconnaître à la substance et à la surface nous conduit à considérer celle de la texture, et là nous rencontrons une t
interviennent pour annuler ou altérer la loi. Par conséquent, si l’on considère la proposition qui l’énonce, on trouve, d’une par
pent ne peuvent enclore un espace102. — Voilà pour la ligne entière ; considérons maintenant ses diverses portions. Puisque le trac
si dans notre espace elles sont compatibles entre elles. Bien mieux, considérons comme réservée la question de savoir si, prises à
rs auteurs, l’induction est la seule preuve valable de l’axiome ; ils considèrent les principes de la mécanique comme des propositi
pace d’abord traversé, par exemple un millième de millimètre, on peut considérer tour à tour deux moitiés dans cette durée et deux
différence, ayant manifesté son manque absolu d’influence, peut être considérée par rapport au mouvement comme nulle, et que, tou
eillement enfin, pour constituer le réceptacle imaginaire, nous avons considéré à part la grandeur continue en trois sens, en d’a
et nécessaire. — En suivant cette idée jusqu’au bout, on arriverait à considérer l’ensemble des événements et des êtres comme un s
l’imagination, et on peut les concevoir aussi par la raison. On peut considérer leur image sensible, et aussi, à propos de leur i
92 (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Études sur Blaise Pascal par M. A. Vinet. »
de Février pour mettre fin au tournoi. Aujourd’hui le débat peut être considéré comme à peu près clos ; et, sans parler de l’état
st là sa force et son honneur. On pourrait dire de M. Vinet lui-même, considéré dans son œuvre et dans sa vie, qu’il offrait en q
ncipales couleurs sur le côté magnifique ou touchant du catholicisme, considéré surtout dans ses rapports avec la société ; il n’
93 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section III. Des ressources qu’on trouve en soi. — Chapitre IV. De la bienfaisance. »
ortent hors de vous-même l’objet de vos pensées, et vous apprennent à considérer votre vie sous le rapport de ce qu’elle vaut aux
magination par un différent point de vue, par une nouvelle manière de considérer votre destinée ; on peut agir sur soi par la rais
lien sacré de la religion, on peut affirmer que la base de la morale, considérée comme principe, c’est le bien ou le mal que l’on
94 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Bain — Chapitre V : Rapports du physique et du moral. »
, par les partisans d’un principe immatériel. » On en est donc venu à considérer l’union de l’esprit et du corps comme de plus en
eurs reproches : 1° Cette doctrine suppose que nous avons le droit de considérer l’esprit comme isolé du corps et d’affirmer que,
de cette combustion ou oxydation. Il n’y a donc rien que de naturel à considérer les forces mentales comme convertibles en forces
95 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre second. De la sagesse poétique — Chapitre VII. De la physique poétique » pp. 221-230
ie poétique Les poètes théologiens, dans leur physique grossière, considérèrent dans l’homme deux idées métaphysiques, être, subs
la partie douée du sentiment : les Latins disent animo sentimus. Ils considérèrent animus comme mâle, anima comme femelle, parce que
ortaient les fonctions externes de l’âme aux cinq sens du corps, mais considérés dans toute la finesse, dans toute la force et la
96 (1911) La valeur de la science « Première partie : Les sciences mathématiques — Chapitre II. La mesure du temps. »
e à la découverte de l’Amérique. Eh bien, quand je dis cela, quand je considère ce phénomène gigantesque qui n’a peut-être eu auc
t je conclus qu’il y a eu une décharge électrique ; je n’hésite pas à considérer le phénomène physique comme antérieur à l’image s
re dans cette infinie complexité, faisons une hypothèse plus simple ; considérons trois astres, par exemple, le Soleil, Jupiter et
l’un de ces ensembles comme la cause de l’autre, ce qui conduirait à considérer comme simultanés l’instant t de Jupiter et l’inst
97 (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « I — L’architecture nouvelle »
ns la tête avec dédain, si l’on veut nous insinuer que telle création considérée par tous comme vulgaire n’est peut-être pas infér
en dehors de la région où elle doit exclusivement éclore, loin d’être considéré comme l’indice d’une conception esthétique plus l
. Une autre conséquence en surgit, celle-ci, qu’une matière autrefois considérée comme inesthétique en architecture et par conséqu
ce dans cet art de sincérité. Une des principales raisons qui me font considérer Horta comme un artiste de premier ordre, c’est qu
98 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre deuxième. L’émotion, dans son rapport à l’appétit et au mouvement — Chapitre premier. Causes physiologiques et psychologiques du plaisir et de la douleur »
d’espèce ou de vie spécifique, et même à l’idée de vie individuelle, considère des résultats généraux et des faits ultérieurs. E
gique, mais mécanique. Toutefois, c’est toujours un résultat que l’on considère , et on présuppose toujours des facteurs donnés. S
r conséquent, de l’organisme. Quatre situations sont possibles, si on considère le rapport d’intensité entre l’énergie dépensée e
e plaisir comparées aux intensités d’excitation, a trop exclusivement considéré la quantité du stimulant et de la réaction nerveu
ents extérieurs qui est le défaut du darwinisme. Darwin n’a pas assez considéré les nécessités intérieures, soit physiologiques,
on adéquate d’un besoin préexistant : il est un surplus, un surcroît. Considérez l’échelle des intensités dans la sensation : il y
ut au moins des sensations de résistance, que beaucoup de philosophes considèrent comme la base de toutes les autres sensations et
me celle de beaux sons ou de belles couleurs, en tant que complète et considérée en elle-même, ne provoque pas le désir d’autre ch
mme Darwin, dont il voulait cependant perfectionner la doctrine, il a considéré surtout l’entretien et le développement des organ
s, non leur exercice et le développement de leurs fonctions. La faim, considérée par lui comme le sentiment primitif et universel,
99 (1889) Écrivains francisés. Dickens, Heine, Tourguénef, Poe, Dostoïewski, Tolstoï « Conclusions »
ki et Totstoï. Laissons ces derniers qui forment un groupe naturel et considérons ce que nous avons appris sur l’art du seul lyriqu
sses branches divergentes, etc. Par là il en viendra nécessairement à considérer l’objet non plus en artiste qui l’admire, mais en
— nous ne lui concevons pas d’autre origine, — si l’artiste doit être considéré comme l’inventeur d’objets ou d’idées propres à e
té de montrer et de suivre ses personnages, — à esquisser ce que nous considérons comme la forme future du roman, devenu exclusivem
nous venons de le voir, d’esthétique fort diverse ; cependant on les considère comme appartenant ensemble au groupe des artistes
les bacchantes de Rubens et les vieilles mères de Rembrandt. Que l’on considère d’ailleurs qu’il n’y a pas de théoricien du réali
s remarquables, c’est-à-dire dépassant par quelque endroit ce qui est considéré comme le type normal humain. À proprement parler,
était amené à les analyser, à ne plus les éprouver sincèrement, à les considérer avec ironie, à s’étudier cruellement lui-même. Il
re à la vie : la volonté. D’après les théories récentes, celle-ci est considérée comme l’absorption, l’élaboration et la répercuss
r, mystérieux. Cela est achevé et caractéristique. Mais on ne saurait considérer ces œuvres poétiques comme célèbres, ni même comm
100 (1896) Matière et mémoire. Essai sur la relation du corps à l’esprit « Chapitre IV. De la délimitation, et de la fixation des images. Perception et matière. Âme et corps. »
qui influencent actuellement nos organes et préparent nos mouvements. Considère-t -on la mémoire ? Le rôle du corps n’est pas d’emma
hement entre l’inétendu et l’étendu, entre la qualité et la quantité. Considère-t -on la perception pure ? En faisant de l’état céré
uisse s’y arrêter ; et lors même qu’il ne s’y arrête pas, j’incline à considérer son passage comme un repos infiniment court, parc
e un fait simple, il décrit dans l’espace une trajectoire que je puis considérer , pour simplifier les choses, comme une ligne géom
l’ensemble. Aussi ne faut-il pas s’étonner si les mêmes penseurs qui considèrent tout mouvement particulier comme relatif traitent
ouvements dans ces qualités, sous forme d’ébranlements intérieurs, de considérer ces ébranlements comme moins homogènes et ces qua
vous dégageant de l’espace divisible qui les sous-tend pour n’en plus considérer que la mobilité, cet acte indivisé que votre cons
urité de ce problème, dans l’hypothèse dualiste, vient de ce que l’on considère la matière comme essentiellement divisible et tou
au dehors par un plus grand développement du système sensori-moteur. Considère-t -on alors ce système nerveux ? Sa complexité crois
umentation, est justement de laisser de côté la durée vraie pour n’en considérer que la trace objective dans l’espace. Comment les
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