t, en ce cas, je présume que chacune de ces déviations du type serait
considérée
comme une variété. Il est douteux que des monstru
individuelles affectent généralement les organes que les naturalistes
considèrent
comme peu importants ; mais je pourrais prouver,
e de faits, que des organes d’une importance incontestable, qu’on les
considère
au point de vue physiologique ou au point de vue
et à peine deux naturalistes sont d’accord sur les formes qu’on doit
considérer
comme des espèces et sur celles qu’on doit ranger
e pas toujours la difficulté. Il arrive même souvent qu’une forme est
considérée
comme variété d’une autre, non parce que les lien
imaux qu’on regarde généralement comme des variétés, mais qui ont été
considérés
comme des espèces par quelques zoologistes. Plusi
ques zoologistes. Plusieurs des ornithologistes les plus expérimentés
considèrent
notre Coq de Bruyère écossais (Tetrao Scoticus) s
ue les animaux ne présentent jamais de variétés ; en conséquence, ils
considèrent
les plus légères différences comme ayant une vale
ent. En fin de compte, on ne saurait contester que beaucoup de formes
considérées
comme des variétés par des juges hautement compét
s d’une douzaine d’espèces d’autant de formes presque universellement
considérées
comme des variétés, et l’on pourrait s’appuyer to
ut d’abord fort embarrassé pour distinguer les différences qu’il doit
considérer
comme de valeur spécifique, de celles qui n’indiq
erches, il rencontrera des difficultés plus nombreuses, car il aura à
considérer
un plus grand nombre de formes étroitement alliée
dignes d’être mentionnées dans les ouvrages d’histoire naturelle. Je
considère
les variétés un peu plus distinctes et plus perma
plus longuement. Je crois donc qu’une variété bien tranchée doit être
considérée
comme une espèce naissante ; mais on ne pourra ju
ndrons plus loin sur ce sujet. Il suit de ces observations, que je ne
considère
le terme d’espèce que comme arbitrairement appliq
ui produisent aussi le plus souvent ces variétés bien marquées que je
considère
comme des espèces naissantes. La théorie aurait p
raison du nombre d’individus de chacune d’elles. Une plante peut être
considérée
comme dominante, si elle est plus nombreuse en in
nces lui seront encore actuellement favorables. D’autre part, si l’on
considère
chaque espèce comme le produit d’un acte spécial
ants critères que nous ayons pour décider si deux formes doivent être
considérées
comme espèces ou comme variétés. Maintenant Fries
te-trois plantes qu’on y trouve mentionnées comme espèces, mais qu’il
considère
comme si semblables à d’autres espèces voisines,
iquées comme espèces douteuses, mais qui sont presque universellement
considérées
par des botanistes anglais comme de bonnes et vér
ntermédiaires n’ont pas été découverts ; mais la somme de différences
considérée
comme nécessaire pour donner à deux formes le ran
réelles consiste à les distinguer en théoriques et pratiques. Si nous
considérons
d’abord cette première division, il est évident q
antécédent. Or, dans un tel travail, c’est la spéculation qu’il faut
considérer
, et non l’application, si ce n’est en tant que ce
de penser un instant aux effets physiologiques de l’étonnement, et de
considérer
que la sensation la plus terrible que nous puissi
ème étant la base du second, c’est évidemment celui qu’il convient de
considérer
d’abord dans une étude méthodique, même quand on
iné dans son caractère philosophique, est déjà plus sensible quand on
considère
la classe sociale qui s’en occupe spécialement. E
ucunement en vue le progrès des connaissances scientifiques, elle les
considère
dans leur état présent pour en déduire les applic
struire ces doctrines intermédiaires que je viens d’indiquer, si l’on
considère
que chaque art dépend non seulement d’une certain
es les plus utiles de sa construction. En résume, nous ne devons donc
considérer
dans ce cours que les théories scientifiques et n
est évidemment la base rationnelle de la seconde. Dans la chimie, on
considère
toutes les combinaisons possibles des molécules,
t dans toutes les circonstances imaginables ; dans la minéralogie, on
considère
seulement celles de ces combinaisons qui se trouv
ènes. Ainsi, par exemple, non seulement l’étude spéciale de la terre,
considérée
sous tous les points de vue qu’elle peut présente
isant en sciences générales et sciences particulières, nous devons ne
considérer
ici que le premier ordre, et nous borner à la phy
nération effective d’une théorie scientifique, l’esprit est conduit à
considérer
le perfectionnement de quelque art qui n’a avec e
pothétique et abstrait sous le rapport le plus important, en ce qu’il
considérerait
le développement de cette science comme isolé. Bi
e, sans laquelle même cette histoire ne serait pas intelligible. Nous
considérerons
donc avec beaucoup de soin l’histoire réelle des
er les sciences fondamentales. Or nous verrons bientôt que, tout bien
considéré
, il n’est pas possible d’en distinguer moins de s
ntime d’un corps quelconque. Mais il n’est nullement indispensable de
considérer
les corps bruts et les corps vivants comme étant
’elle doit être partagée en deux sections distinctes, suivant qu’elle
considère
les phénomènes généraux de l’univers, ou, en part
t étudiés d’une manière plus approfondie. Nous persisterons donc à ne
considérer
qu’une seule division dans la physique organique,
, la chimie, la physiologie et enfin la physique sociale. La première
considère
les phénomènes les plus généraux, les plus simple
ent sur tous les autres, sans être influencés par eux. Les phénomènes
considérés
par la dernière sont, au contraire, les plus part
oit convenablement appréciée ; il suffirait, pour s’en convaincre, de
considérer
les graves infractions qui sont commises tous les
d’une science à une autre. Nous aurons donc ainsi la certitude de la
considérer
dans toutes les variétés réelles dont elle est su
s qui lui sont propres ; ce qui prouve clairement la nécessité de les
considérer
toutes, sous peine de ne se former que des concep
r l’exposition générale du plan de ce cours, il me reste maintenant à
considérer
une lacune immense et capitale, que j’ai laissée
: les substances le dominent ; et, dans cet ordre supérieur, il faut
considérer
, d’une part, le physique, domaine des causes effi
endre l’association pratiquement indissoluble, et nous porter ainsi à
considérer
les lois de la nature comme réellement universell
ue science, mutatis mutandis, aux sciences mathématiques ; mais on ne
considère
plus les unes comme un simple prolongement des au
naire, dite syllogistique, ne se contente pas de ces trois principes.
Considérez
le principe de contradiction tel que l’a formulé
la parfaite intelligibilité. La logique syllogistique peut donc être
considérée
comme une méthode, un ensemble de symboles par le
t subjectives ? Il semble bien que les lois logiques ne puissent être
considérées
comme venant exclusivement de l’expérience : cell
a nécessité qu’elle implique sera sauvegardée, même si les êtres sont
considérés
comme doués de spontanéité, même si les êtres son
es sont considérés comme doués de spontanéité, même si les êtres sont
considérés
comme libres. Elle est un maître absolu, mais inf
cité propre et irréductibles aux précédentes. Les lois mathématiques,
considérées
en elles-mêmes, paraissent impropres à être réali
d’après l’état actuel des sciences, il nous est encore permis de nous
considérer
comme ayant quelque faculté d’agir librement. Nou
mment elle passe du repos au mouvement. Pour résoudre la question, on
considère
la production du mouvement chez l’homme. Or, le m
e différente. Au lieu d’opposer le mouvement et le repos, Galilée les
considère
comme analogues : la matière se suffit à elle-mêm
du mouvement. Dieu est éliminé du monde, en tant, du moins, qu’on le
considère
comme un artiste produisant par des actes distinc
us demandons maintenant en quel sens les fois mécaniques peuvent être
considérées
comme réalisées dans la nature. Le premier mouvem
, inhérentes aux choses prises en soi, indépendamment de l’esprit les
considère
. Descartes professe ce mécanisme métaphysique : l
ue qu’elle érige en réalité. Les lois mécaniques ne peuvent donc être
considérées
comme réalisées telles quelles dans la nature des
elle que nous isolons un monde d’atomes et de forces mécaniques et le
considérons
comme se suffisant à lui-même. Ce monde, dans la
et leur signification propre. Le premier sentiment de l’homme fut de
considérer
les qualités physiques que nous révèlent nos sens
ère de voir est très défavorable à la science ; car les choses, ainsi
considérées
, se prêtent difficilement à l’application des mat
ysique un élément différent des éléments mécaniques. En mécanique, on
considère
une force qui conserve toujours la même nature et
ut. En effet, elle n’est obtenue qu’en éliminant l’hétérogène pour ne
considérer
que l’élément homogène des choses. Le physicien é
oule de loi qu’une loi unique et déterminée. Toutes les fois que l’on
considère
un système fermé, il y a quelque chose qui s’y co
la seconde manière de voir. La loi même de la gravitation ne fut pas
considérée
par Newton comme une loi première. Mais il refusa
ci avaient toutes, quoique à des degrés divers, un objet abstrait, et
considéraient
des propriétés existantes, mais non des êtres de
existantes, mais non des êtres de la nature. La chimie, au contraire,
considère
des corps concrets existant en eux-mêmes. De là i
ensent pouvoir aller des phénomènes à l’être. Mais, pour pouvoir être
considérée
comme une doctrine de l’être, la théorie atomique
oïncidence entre les faits et la théorie, on ne serait pas autorisé à
considérer
l’atomisme comme une théorie de l’être. En effet,
que faire de l’action d’un Dieu. Chez les modernes, au contraire, on
considère
séparément la masse et le mouvement, que l’on reg
l’admet que dans la mesure où l’on ne peut pas s’en passer. Cependant
considérons
, non plus l’atomisme, mais simplement l’idée géné
é. Pour les anciens, l’idéal était la fixité, l’immutabilité. Épicure
considère
les dieux comme éternellement oisifs, parce que l
nt du soleil autour de la terre, du lever ou du coucher de cet astre.
Considérons
donc les choses en elles-mêmes. On ne peut douter
semble-t-il, dans l’être vivant une finalité interne. L’être vivant,
considéré
comme individu, se sert de ce qui l’entoure pour
’objet de la science. L’un des êtres les plus simples que l’on puisse
considérer
, l’amibe, substance homogène quasi diffluente, po
ela, sans doute, est relatif à l’état actuel des choses. Mais il faut
considérer
qu’en soi, la démonstration en question est fort
ment intelligible ; en effet, outre la mécanique rationnelle, il faut
considérer
la mécanique appliquée. Or l’expérience est indis
dans son usage suprême, soit la mesure des choses ; et en outre nous
considérons
que, si tout est mouvement, comme nous pouvons pr
ation avec le mécanisme vient de ce que la question est mal posée. On
considère
la vie et le mécanisme comme étant l’un et l’autr
ogie apparaissent comme irréductibles. Le déterminisme physiologique,
considéré
en lui-même, diffère du déterminisme physico-chim
yser l’actuel et de parvenir à le concevoir comme un système. Si l’on
considère
le développement de la zoologie au XVIIIe siècle
ans les conditions où il est placé. Jusqu’ici nous avons vu la nature
considérée
comme système. Cependant du sein même de la philo
; mais son rôle est d’examiner quelle est la nature des lois que l’on
considère
comme présidant soit à la transformation, soit à
omportant en général quelques légères variations. Ces variations sont
considérées
comme le point de départ de la diversité actuelle
t l’auteur. Dès lors, pour devenir objet de science, l’âme devra être
considérée
sous le point de vue de l’étendue. S’il s’agit de
ression fidèle de l’âme, d’autres philosophes cherchaient dans l’âme,
considérée
à part, les éléments d’une psychologie scientifiq
relations entre les phénomènes physiques et les phénomènes psychiques
considérés
dans leur détail. Bain est encore, à bien des éga
ndre au réel et non pas seulement à quelque chose d’abstrait, il faut
considérer
le fait psychique dans sa totalité naturelle, et
moraux et tout ce qui paraît le propre de l’homme, pour s’en tenir à
considérer
les phénomènes psychiques communs à l’homme et à
En quel sens est possible, jusqu’où porte une psychologie sans âme ?
Considérons
d’abord les lois idéologiques ou lois d’associati
conscientes ou physiques s’intercalent entre les états de conscience.
Considérez
, par exemple, les idées dues à des impulsions. Le
s lacunes inséparables de l’associationnisme, la psychologie physique
considère
l’âme dans ses rapports avec l’organisme. Elle es
itions, et en cherchant dans la mécanique l’explication du conscient.
Considérons
d’abord la négation impliquée dans cette méthode.
pour une forte part. Son point de départ, c’est la nature de l’homme
considéré
avant l’établissement des sociétés. Cette nature
l’idée de contrat primitif. Ainsi de Hobbes à Rousseau la société est
considérée
comme une œuvre d’art, l’art étant nettement dist
’ensemble. C’est l’achèvement de la troisième conception : la société
considérée
comme œuvre naturelle, à l’exclusion complète de
le de l’origine. Que si, laissant de côté la question d’origine, nous
considérons
en elle-même la loi dite historique, nous trouvon
même chose ne nous arrive pas. Jamais, en cet ordre de choses, on ne
considère
l’antécédent comme devant nécessairement entraîne
er un seul conséquent, à l’exclusion de tout autre. Un antécédent est
considéré
comme une influence, non comme une cause propreme
ersité des fonctions est toujours un principe de tolérance mutuelle ?
Considérons
le capital et le travail : la différence qui les
la sociologie dans le concert des sciences, il faudrait arriver à ne
considérer
les faits sociaux que dans leurs équivalents méca
ue dans leurs équivalents mécaniques. C’est ainsi que le physicien ne
considère
les agents physiques que dans leurs manifestation
sance, le substitut légitime du second. En tant qu’elles peuvent être
considérées
comme consistant en mouvements, les choses satisf
onscrit lui-même le champ de ses investigations ; il se propose de ne
considérer
qu’un certain ordre de manifestations de la natur
ue ; du moins n’y sera-t-il question ni de la matière ni de l’esprit,
considérées
comme substances » La « théorie psychologique de
Reid, de Stewart et de la plupart des philosophes, en ce que celle-ci
considère
le sujet et l’objet comme deux termes fondamentau
e possible et au même instant de tout le reste. Par suite, le groupe,
considéré
comme un tout, se présente à l’esprit comme perma
des groupes de possibilités de sensations. L’ensemble des sensations,
considérées
comme possibles, forme une base permanente pour l
ur les sensations actuelles ; le rapport des sensations possibles est
considéré
comme le rapport d’une cause à ses effets, d’une
e qui le recouvre. Ce n’est pas tout encore. Arrivés à ce point, nous
considérons
ces possibilités permanentes comme différentes de
cession, en viennent pour ainsi dire à être détachés de nous-mêmes et
considérés
comme des existences distinctes. De plus, nous dé
s naturel que de l’étendre à ces possibilités permanentes, que de les
considérer
comme des existences de nos sensations, mais dont
aravant : il en est de même pour l’existence de Dieu. Supposez que je
considère
l’Esprit divin simplement comme la série des pens
es pensées divines prolongée pendant l’éternité, ce serait assurément
considérer
l’existence de Dieu comme aussi réelle que la mie
ls arguments donnés en faveur d’un principe vital qui méritent d’être
considérés
, sont les suivants : 1° la vie gouverne les affin
et non une force supérieure. « Il est, certes, plus philosophique de
considérer
la vie comme un fait ultime, comme l’une des gran
ondamentale du tissu ganglionnaire, inhérente à ce tissu, nous devons
considérer
le sensorium comme ayant la même extension que le
nt n’aura lieu246. » Dans la doctrine ordinaire, la conscience étant
considérée
comme ayant son siège dans le cerveau, on admet n
rement sensations. On dit que nous en avons conscience ; le reste est
considéré
comme non existant ; ce sont des impressions inco
l’action qui a son centre dans la moelle épinière est dite réflexe et
considérée
comme d’une nature toute différente, la théorie d
Ce serait mal me comprendre, dit M. Lewes, que de supposer que je ne
considère
pas le cerveau comme l’organe principal et domina
s sensitives, n’est point neuve. Robert Whitt l’a soutenue. Prochaska
considérait
le cordon spinal comme formant une grande partie
idérations historiques nous passons aux faits eux-mêmes, nous pouvons
considérer
sous deux aspects l’évidence qu’ils nous fourniss
t déterminés par une sensation, c’est que le cerveau ou encéphale est
considéré
comme l’unique siège de la sensation. Pour expliq
s sens, sensations du système. Les premières ont presque toujours été
considérées
comme impersonnelles, parce qu’elles nous mettent
base de toute opération intellectuelle. « Je me sens donc justifié à
considérer
l’idéation, comme la forme de la sensibilité céré
avec les ganglions des centres spéciaux. De même, l’émotion peut être
considérée
comme la forme de sensibilité cérébrale qui est d
e la substance amère a disparu. Pour que ces sensations ne soient pas
considérées
comme produites par des objets réels, présents, q
problèmes. A notre avis, les études sur la transmission héréditaire,
considérée
au point de vue psychologique, sont destinées à j
uel tous les autres états de conscience sont traduits, quand nous les
considérons
objectivement. Ayant ce caractère objectif et par
de sensation dans lequel tous les autres sont traduits, quand on les
considère
objectivement271. » 238. Problems of life an
facultés actives. Dans la première, les sensations et les idées sont
considérées
comme simplement existantes ; dans la seconde, el
considérées comme simplement existantes ; dans la seconde, elles sont
considérées
comme excitant à l’action. Nous avons vu que cell
oute autre personne, exciter en nous ces sentiments. De plus un homme
considère
son enfant comme une cause, beaucoup plus certain
s. Ces émotions esthétiques52 se ramènent encore à une association. «
Considérés
en gros, le sentiment du beau et le sentiment du
que la distribution de la louange et du blâme, et aucun acte ne sera
considéré
comme plus immoral que de les mal appliquer. » L
esprit humain » doit s’en tenir aux faits ; mais la liberté, qu’on la
considère
comme vraie ou comme illusoire, est une question
a controverse, sur cet état de l’esprit que nous appelons volonté. On
considérait
invariablement et avec raison la volonté comme la
ec raison la volonté comme la cause de l’action ; malheureusement, on
considérait
aussi toujours comme faisant partie de l’idée de
et peines que nous causent le beau et le laid, le bien et le mal. Ils
considèrent
ainsi l’Esthétique et la Morale dans leur fondeme
et objet, esprit et matière, se réduit à l’opposition de la sensation
considérée
subjectivement, et de la sensation considérée obj
osition de la sensation considérée subjectivement, et de la sensation
considérée
objectivement. Il y a, d’une part, la série des é
l’objet de la sensation. Parmi nos sensations, nous avons coutume de
considérer
les unes surtout subjectivement, les autres surto
ment, les autres surtout objectivement. Dans le premier cas, nous les
considérons
principalement dans leur rapport à nos divers sen
onséquent, au sujet qui en est la somme. Dans le second cas, nous les
considérons
principalement dans leur rapport avec un ou plusi
s de sensation renfermées dans le groupe semblent dépendre. Ce noyau,
considéré
quelquefois comme cause ou substance, est notre c
tés fondamentales du corps est l’étendue ; notion qui a été longtemps
considérée
comme irréductible par l’École intuitive de Reid
des séquences aussi uniformes que possible qui ne sont pas pour cela
considérées
comme des cas de causalité : ainsi la nuit succèd
ertait sur les substances et les causes premières, et l’autre, qui ne
considérait
les facultés humaines que in abstracto, la scienc
ns leurs variations ethnologiques ou autres, tandis que la logique ne
considère
la faculté de raisonner que sous sa forme adulte,
on de l’empirisme et de l’idéalisme est remarquable. L’idéalisme, qui
considère
la déduction comme l’opération fondamentale, parc
abord ce premier mode de raisonnement. C’est à tort que les logiciens
considèrent
le dictum de omni et multo, comme la base de tout
on et le désaccord viennent d’une théorie erronée de la causalité qui
considère
le rapport de cause à effet comme nécessaire, qui
interne la folie. N’oublions pas que M. Mill n’est pas fataliste. On
considère
, dit-il, comme embarrassante cette question : Com
t donc que des points de vue de la solidité, des manières diverses de
considérer
sa cessation et son manque, c’est-à-dire le manqu
e la sensation de résistance. — Reste l’étendue elle-même. On peut la
considérer
à trois points de vue, selon les trois dimensions
es, j’ai une de ces sensations qu’on nomme musculaires, et je puis la
considérer
à deux points de vue. — En premier lieu, la sensa
d’étendue ou de parcours27. — Ainsi, grâce aux sensations musculaires
considérées
au point de vue de leur prolongation plus ou moin
lités et des nécessités de sensation ? — Pour lever cette difficulté,
considérons
l’un après l’autre les principaux caractères de c
tous les moments du temps. Quel que soit l’instant de la durée que je
considère
, cette possibilité et cette nécessité s’y rencont
’un nom distinctif est appliqué, quand même ce serait à la même chose
considérée
sous un aspect différent, l’expérience la plus fa
e notre nature mentale nous enseigne que ce nom différent est bientôt
considéré
comme le nom d’une chose différente. « Ces possib
la substance ou matière se distingue de notre idée de la sensation. «
Considérons
maintenant un autre caractère général de notre ex
ce, d’activité, ne s’attachent pas dans notre esprit à nos sensations
considérées
comme actuelles, sauf dans les quelques cas physi
, qui pourtant sont le fondement originel du tout, finissent par être
considérées
comme une sorte d’accident dépendant de nous, et
des nôtres. Ceci met le sceau final à la conception par laquelle nous
considérons
les groupes de possibilités comme la réalité fond
érieure qui existe entre ses diverses parties, nous sommes conduits à
considérer
la sensation elle-même — la réunion totale de nos
et — le seul antécédent qui, étant invariable et inconditionnel, soit
considéré
par nous comme la cause — peut être, non pas une
iée ; et, par un seul et même mécanisme, nous acquérons l’habitude de
considérer
la sensation en général, de même que toutes nos s
encore nécessité de ces sensations. Ces nécessités, posées à part et
considérées
isolément, sont ce que nous appelons des forces32
ements des corps, et c’est à ce point de vue que d’ordinaire nous les
considérons
. Quand nous ne rencontrons plus une sensation sur
homme ou animal, autre que nous-mêmes. En ce cas, non seulement nous
considérons
l’objet perçu par nos sens comme un faisceau de p
ivent aujourd’hui. Quel que soit l’être, animé ou inanimé, on peut le
considérer
à deux points de vue, par rapport aux autres, et
tés, les pouvoirs et les forces n’en sont qu’un extrait. Il essaye de
considérer
à part et en soi ce quelque chose indépendant et
ns composantes de toute qualité et de toute différence intrinsèques ;
considérez
-les abstraitement, comme de purs événements succe
e, étant ainsi amenés au maximum de simplicité possible, peuvent lire
considérés
comme des sensations élémentaires au maximum de s
ystème, c’est que cette ligne, au repos, serait égale à équation .l.
Considérons
le carré L2 = équation de cette grandeur. De co
imensions, réduit à la présente feuille de papier, si les deux points
considérés
étaient A′ et B′, dont les distances respectives
nt le cas particulier que nous examinions tout à l’heure. Nous avions
considéré
en effet dans le système S′ une certaine longueur
d de v et n’est plus invariante. Mais si, dans cette expression, nous
considérons
le premier terme équation , qui nous donne la va
rrait s’énoncer de la manière suivante : Si l’observateur en S′ avait
considéré
, au lieu de la somme de trois carrés équation
S′, — seules mesures réelles attribuables à un observateur réel, — et
considérer
les mesures prises dans les autres systèmes comme
entre les distances des points A′ et B′ à l’un des 4, 5, 6…, n plans.
Considérons
alors notre expression équation Si la somme d
c : notre coefficient deviendra ainsi l’unité. D’autre part, si nous
considérons
un temps équation tel qu’on ait équation , et
et le temps spatialisé. Néanmoins, nous ne pourrons nous dispenser de
considérer
plus spécialement l’Espace-Temps de Minkowski et
ont nous étions parti quand nous tracions deux axes rectangulaires et
considérions
une ligne A′ B′ dans le même plan qu’eux. Nous ne
le de l’espace. Supposons un univers superficiel réduit au plan P, et
considérons
dans ce plan un mobile M qui décrit une ligne que
nt de la durée : l’autre, essentiel, vous échappe. On peut sans doute
considérer
comme théoriquement entassées les unes sur les au
a théorie de la Relativité, l’entrelacement de l’Espace avec le Temps
considéré
comme une dimension additionnelle. Nous ne change
ment imprimé par la pensée au système fait que l’Espace primitivement
considéré
paraîtra se gonfler de Temps : équation deviendr
tervalle de temps, est invariable, quel que soit le point d’où il les
considère
à l’intérieur de son système, il les abandonne à
peu mathématicien aura remarqué que l’expression équation peut être
considérée
telle quelle comme correspondant à un Espace-Temp
le système naturel. Mais que signifie ce terme ? Quelques auteurs le
considèrent
purement comme un plan imaginaire pour grouper en
cation doit représenter le plan inconnu de la création, soit qu’on ne
considère
notre méthode systématique que comme un plan imag
importance en classification. Rien cependant n’est plus faux. Nul ne
considère
comme importantes les ressemblances extérieures d
n avec les habitudes et la nourriture d’un animal, je les ai toujours
considérés
comme fournissant les plus claires indications su
tout externe, et d’une valeur physiologique indifférente, aurait été
considéré
par les naturalistes comme aussi important dans l
’on ne puisse découvrir entre eux aucune connexion nécessaire, on les
considère
comme ayant une valeur toute spéciale. Comme dans
fonction de reproduire la race, se montrent presque uniformes, on les
considère
comme de grand usage en classification ; mais en
armi les plantes et les insectes des groupes de formes, qui n’ont été
considérés
d’abord par les naturalistes expérimentés que com
fondement le principe de descendance modifiée ; et que les caractères
considérés
par les naturalistes comme prouvant des affinités
nt technique, et pour la commodité de la théorie, elles puissent être
considérées
comme les états successifs d’un même individu. Il
chidées (Monachantus, Myanthus et Catasetum), qui d’abord avaient été
considérées
comme trois genres distincts, étaient quelquefois
enres aberrants. Or, on ne peut rendre compte de ce fait que, si l’on
considère
les formes aberrantes comme autant de groupes en
les différentes espèces de cette même classe les divers organes sont
considérés
comme homologues. La connaissance de ces rapports
chenille. En quelques cas pourtant, l’animal adulte est, en général,
considéré
comme moins élevé dans l’échelle organique que sa
nitif les Cirripèdes peuvent également, selon les points de vue, être
considérés
comme plus ou moins élevés en organisation qu’ils
ns la même classe, que nous pouvons aisément nous laisser entraîner à
considérer
ces rapports comme une conséquence nécessaire des
faits principaux de l’embryologie dont j’ai parlé précédemment. Mais
considérons
d’abord quelques cas analogues chez nos variétés
ocomotion ou ses sens, et, en ce cas, la dernière métamorphose serait
considérée
comme rétrogressive. Comme tous les êtres organis
mbryologie prend ainsi un plus grand intérêt encore, de ce qu’on peut
considérer
chaque embryon comme un portrait plus ou moins ef
tous les mâles de mammifères. Je présume qu’on peut, avec certitude,
considérer
« l’aile bâtarde » de certains oiseaux comme un d
. Néanmoins tout organe, si peu développé qu’il soit, ne saurait être
considéré
comme rudimentaire dès qu’il est d’une utilité qu
; mais l’aile de l’Aptérix lui est parfaitement inutile et peut être
considérée
comme vraiment rudimentaire. On pourrait peut-êtr
la conséquence de la parenté commune des formes que les naturalistes
considèrent
comme alliées, et de leurs modifications par séle
rands faits de la Morphologie deviennent intelligibles, soit que nous
considérions
le même plan déployé dans les organes homologues
lasse, quelles que soient du reste leurs fonctions, soit que nous les
considérions
dans les organes homologues d’un même individu, a
est généalogique. Finalement, les diverses classes de faits que j’ai
considérées
dans ce chapitre me semblent établir si clairemen
philosophes qui nous occupent ici, le phénomène de l’association est
considéré
comme l’une des lois les plus générales de la psy
ropéennes. Les logiciens, en fait, en traitant ce sujet, n’ont jamais
considéré
que le grec, le latin et les langues modernes lit
nte dans sa généralité. De même la théorie courante de l’affirmation,
considérée
à la lumière d’une science de plus en plus profon
es individus en classes, séparant tels et tels des autres, « nous les
considérons
sous une certaine idée d’unité comme étant quelqu
ine idée d’unité comme étant quelque chose en elles-mêmes. » Il a été
considéré
comme une chose « mystérieuse », il a été « expli
la classification avaient raison à mon avis, ajoute M. Grote, si nous
considérons
la classification comme une grande opération. Un
he du raisonnement. Il nous faut en outre une manière particulière de
considérer
l’agrégat (phrase que M. James Mill traite de mys
du reste : ce qui a reçu le nom d’Abstraction. » Ce dernier procédé,
considéré
comme subsidiaire par l’auteur, est défini par lu
qui est contenu dans une idée complexe, pour en faire un objet qu’on
considère
en lui-même35, Réduite presque entièrement à un p
inantes (la couleur et la figure). — Maintenant mes sensations je les
considère
comme un effet et je crois à quelque chose qui en
n y répondra. Plaçons-nous donc d’abord au point de vue idéaliste, et
considérons
par exemple la perception des objets qui occupent
e en détourne son attention tant qu’elle n’a pas quelque raison de le
considérer
. Elle n’a intérêt à l’apercevoir que lorsqu’elle
s une cause qui diffère d’elles. Rien ne l’empêchera, semble-t-il, de
considérer
la représentation des objets extérieurs comme imp
éterminé, et que les mouvements intérieurs de la substance cérébrale,
considérés
à part, livreraient, à qui saurait les déchiffrer
science correspondante. Mais comment ne pas voir que la prétention de
considérer
à part le cerveau, à part le mouvement de ses ato
ère l’ensemble de nos autres perceptions ; et, par cela seul que nous
considérons
leur réalité intime, nous considérons le tout de
ns ; et, par cela seul que nous considérons leur réalité intime, nous
considérons
le tout de la réalité avec lequel ils forment un
ni) quand on fait œuvre de savant : sinon, on ne songerait même pas à
considérer
des parties isolées de la réalité pour les condit
éservoirs contenant des virtualités cachées : ce qui lui permettra de
considérer
les mouvements intracérébraux (érigés cette fois
et qu’il pouvait servir de point de départ à une théorie de l’esprit,
considéré
dans ses rapports avec le déterminisme de la natu
le d’une somme ; elle embrasse une multiplicité de parties qu’on peut
considérer
isolément. Sans approfondir pour le moment ces no
s doute, au moment où je pense chacune de ces unités isolément, je la
considère
comme indivisible, puisqu’il est entendu que je n
? Comment la fractionnerait-on tout en la déclarant une, si on ne la
considérait
implicitement comme un objet étendu, un dans l’in
sont de véritables nombres, aussi grands qu’on voudra, mais que l’on
considère
comme provisoirement indécomposables pour les com
me s’ils cherchaient à se rejoindre les uns les autres. Et quand nous
considérons
le nombre à l’état d’achèvement, cette jonction e
nombre est discontinu pendant qu’on le construit : mais dès que l’on
considère
le nombre à l’état d’achèvement, on l’objective :
s se présentent à notre observation. Il n’en est plus de même si nous
considérons
des états purement affectifs de l’âme, ou même de
le plus souvent pour une qualité de la matière, c’est parce que l’on
considère
l’idée du nombre comme indépendante de l’idée d’e
aposer, pour ainsi dire, les unes aux autres : mais, par là même, ils
considèrent
les sensations comme inextensives, et établissent
aux autres, et ne le deviennent que par un déroulement dans le temps,
considéré
comme un milieu homogène. Si donc l’une de ces de
n dans la pure durée. Nous touchons ici du doigt l’erreur de ceux qui
considèrent
la pure durée comme chose analogue à l’espace, ma
ce que des parties d’espace, et en quelque point de l’espace que l’on
considère
le mobile, on n’obtiendra qu’une position. Si la
imultanéités ; ou du moins, elle est fatalement amenée, même alors, à
considérer
des simultanéités encore, des simultanéités nouve
roissant par exemple, correspondent à toutes les grandeurs possibles.
Considérons
alors, sur la trajectoire du mobile A, deux point
n on augmentera le nombre des simultanéités et des positions que l’on
considère
, par l’hypothèse d’intervalles très petits ; en v
ant nous ne pouvons former l’idée même de multiplicité distincte sans
considérer
parallèlement ce que nous avons appelé une multip
mérique, ce que nous avons appelé une multiplicité qualitative, et de
considérer
l’une comme l’équivalent de l’autre. Or, nulle pa
me cause objective agit, nous découpons ce progrès en phases que nous
considérons
alors comme identiques ; et cette multiplicité de
cience, pris à part, devra revêtir un aspect différent selon qu’on le
considère
au sein d’une multiplicité distincte ou d’une mul
adoptent les contours précis et l’immobilité. Nos sensations simples,
considérées
à l’état naturel, offriraient moins de consistanc
qu’on l’aperçoit directement ou par réfraction à travers l’espace. —
Considérés
en eux-mêmes, les états de conscience profonds n’
; si de là nous tombons aux races humaines inférieures qu’on ne peut
considérer
comme pensantes, dont les conceptions numériques
un petit nombre de grains colorés placés sous le tégument, peut être
considéré
comme n’étant simplement qu’une partie de la surf
a remplissent à des degrés plus ou moins imparfaits. » L’intelligence
considérée
dans son fond se réduit donc à l’association des
ain. Nous ferons remarquer cependant que, sur cette loi d’association
considérée
non à tort comme la thèse capitale de l’école ang
e se transforment l’un dans l’autre. De même que l’instinct peut être
considéré
comme une sorte de mémoire organisée, de même la
ré comme une sorte de mémoire organisée, de même la mémoire peut être
considérée
comme un instinct naissant. Voyons comment l’inst
d’autres termes, nous disons qu’un acte est libre, parce que nous le
considérons
comme notre œuvre, comme découlant de notre moi.
sujet de tels changements psychiques dise qu’il veut l’action ; car,
considéré
au point de vue psychique, il n’est en ce moment
’égalité à la simple ressemblance. Les rapports comparés ne sont plus
considérés
comme égaux ou inégaux, mais comme semblables ou
é précédemment données par l’expérience entre A et B. « Si le lecteur
considère
sa main ou quelque objet également proche, et qu’
rige ses yeux vers la partie la plus éloignée de la chambre, et qu’il
considère
dans cet espace une portion égale au précédent, i
comparativement vague. Ensuite, s’il regarde par la fenêtre, et s’il
considère
quelle conscience il a d’un espace situé à cent y
étails, des faits de son enfance depuis longtemps oubliés. Et si nous
considérons
quel effet doit produire sur notre conscience de
stance étant les premières qu’apprécie la nature vivante et sensible,
considérée
comme un tout progressif ; qu’apprécie tout anima
e commun à toutes, nous sommes conduits à conclure que la perception,
considérée
dans ce qu’elle a de plus général, consiste à sai
ins à certains états précédents. Ils ne sont pensables, que si on les
considère
comme étant tels ou tels ; c’est-à-dire comme éta
même nature des objets, phénomènes, ou lois qui étaient précédemment
considérés
comme distincts, cela implique une intégration d’
égration d’états de conscience. Donc toute action mentale quelconque,
considérée
sous son aspect le plus général, peut se définir
nt les périodes que traverse la vie psychologique pour se constituer.
Considérée
, non plus dans son mode de formation, mais dans s
és premières). La perception fondamentale est celle de la résistance.
Considérée
en général, la perception est une classification
tent toutes les doctrines qui lui sont propres ; ceux-là doivent être
considérés
comme ses adversaires. Ces derniers sont, au fond
ue, métaphysique, positif. La perfection du système positif serait de
considérer
comme absolument inaccessible, et vide de sens, t
137. Principes de Psychologie, Part. I, ch. vii. Sur la psychologie
considérée
comme science indépendante et ayant des caractère
n, sur l’échelonnement des centres sensitifs, sur les lobes cérébraux
considérés
comme répétiteurs et multiplicateurs, sur le méca
des images, sur la sensation et le mouvement moléculaire des cellules
considérés
comme un seul événement à double aspect, sur les
ement à double aspect, sur les facultés, les forces et les substances
considérées
comme des illusions métaphysiques2, sur le mécani
ture et se ramènent tous à la sensation ; que la sensation elle-même,
considérée
du dehors et par ce moyen indirect qu’on appelle
étendue et son rang plus élevé. Si maintenant, après l’esprit, nous
considérons
la nature, nous dépassons aussi, dès le premier p
à cela se ramènent tous les événements physiques. Mais le mouvement,
considéré
directement en lui-même et non plus indirectement
s traitons de même ces lois générales, jusqu’à ce qu’enfin la nature,
considérée
dans son fond subsistant, apparaisse à nos conjec
e est remplacée par une force égale. Plus précisément encore, si l’on
considère
la force en général et dans ses deux états, le pr
constatons en fait serait arrêté aujourd’hui. Or, à ce titre, on peut
considérer
les deux conditions comme des moyens, et leur com
nt venir l’orage, se retirent à l’abri du laurier. Vous n’avez jamais
considéré
la mort, Monseigneur, que comme dévouement à la p
n chrétienne nous impose relativement au Suicide, et troisièmement je
considérerai
En quoi consiste la plus grande dignité morale de
pour s’y résigner. Le plus petit mal serait insupportable, si l’on le
considérait
comme purement accidentel ; l’irritabilité indivi
nous est tout à la fois incompréhensible et indispensable, doit être
considérée
comme la condition de notre être. Si la réflexion
es de la Providence une justice cachée ou manifeste ; nous ne pouvons
considérer
la souffrance ni comme accidentelle ni comme arbi
complaisant dans les moyens qu’ils ont employés pour les diriger, ils
considèrent
ces moyens comme l’unique source de leur félicité
e que Dieu nous a donné de force contre la souffrance, a pourtant été
considérée
par divers moralistes comme plus facile à support
e de l’équité, nous n’aurions dans la vie que des regrets. On ne peut
considérer
l’existence que sous deux rapports ; ou comme une
n singulier genre d’erreur dans la manière dont la plupart des hommes
considèrent
leur destinée. L’on ne saurait trop présenter cet
’il dirige le Sort dans son action sur l’homme ; nous ne pouvons donc
considérer
ce Sort comme une puissance aveugle : reste à con
pouvons donc considérer ce Sort comme une puissance aveugle : reste à
considérer
si Celui qui la gouverne a donné la liberté à l’h
e. Nulle part ce Suicide, qui n’est qu’une désertion du Sort, n’a été
considéré
comme possible. On a beaucoup dit qu’il n’y avait
vices d’hypocrisie, d’incrédulité et de froideur. L’on dirait qu’il a
considéré
les torts des passions comme des maladies de l’âm
l’on n’atteint pas le but de ses désirs. Dans un tel système l’on se
considère
comme uniquement au service de soi-même et libre
e cet argument aussi peut être admis, mais comme il est impossible de
considérer
l’homme qui se tue du même œil qu’un assassin, le
le but de la vie humaine, l’homme doit tendre au perfectionnement et
considérer
ses devoirs comme n’ayant rien à démêler avec ses
r les avantages positifs qu’elle peut procurer dans ce monde et l’ont
considérée
comme l’intérêt personnel bien entendu. Les chrét
ait trompée, le désespoir serait donc légitime ; car la vertu n’étant
considérée
que comme une spéculation, lorsqu’elle est manqué
e ? Et quel avantage de tels égarements ne donnent-ils pas à ceux qui
considèrent
l’enthousiasme comme un mal ? Le véritable enthou
du jour où elle veut se tuer, comme si la mort d’une mère devait être
considérée
comme une fête pour son enfant et qu’il fallût dé
amenai l’entretien sur les écrits plus sévères des philosophes. Asham
considère
Platon comme une âme prédestinée au christianisme
e cette terre, mais quand elle n’y parviendrait pas, est-ce à nous de
considérer
la Divinité comme un poète qui ne saurait créer u
atiques de l’univers, totalement différentes l’une de l’autre si l’on
considère
les nombres qui y figurent, identiques si l’on ti
ativité. Nous devons nous demander dans quel sens les mots sont pris.
Considérons
d’abord la pluralité des Temps, et reprenons nos
ccélérations tiennent uniquement aux mouvements des systèmes que l’on
considère
et ne dépendent que de la vitesse dont on suppose
systèmes sont animés ? Revenons à nos deux systèmes S et S′. Si nous
considérons
le Temps que le physicien Pierre, situé en S, att
où Paul reviendrait après deux cents ans vécus par Pierre. On a donc
considéré
Pierre vivant et conscient : ce sont bien deux ce
plus, quand le système où ils se produisent est censé se mouvoir, les
considérer
comme participant au mouvement du système. Et cep
stème privilégié : S et S′ doivent donc être tenus, pendant qu’on les
considère
, pour strictement interchangeables si l’on a comm
t c’est la raison pour laquelle il l’appelle simultanéité. Ceci posé,
considérons
deux systèmes S et S′ en mouvement par rapport l’
nc être convertie à l’intérieur du système en simultanéité intuitive.
Considérons
alors le système S′. Pour un observateur intérieu
sse v indiquée sur la figure 3. Les voyageurs de ce train préféreront
considérer
ce train comme système de référence ; ils rapport
siper qu’on ne saurait l’attaquer sur un trop grand nombre de points.
Considérons
donc (fig. 5), dans le système S′, sur une droite
ement en P′, qui sera contemporain de l’événement en N′. Si donc nous
considérons
le présent du personnage en N′, à un moment donné
inkowski sur la figure plus simple que nous venons de tracer. Si nous
considérons
notre ligne de simultanéité E′ N′ F′, nous voyons
vateurs en N et N′, et pour ceux en P et P′, tant que chacun d’eux ne
considère
que le lieu où il est. Voilà sur quoi tout le mon
s appelons ici réel ce qui est perçu ou perceptible. Nous devons donc
considérer
l’observateur en S et l’observateur en S′, Pierre
e son système. Chacun d’eux prend à l’état de repos la longueur qu’il
considère
. Les deux systèmes, en état réel de déplacement r
s systèmes extra-terrestres, faisant le même raisonnement que moi, se
considérera
à son tour comme immobile et sera dans son droit
intelligibilité supérieure. 25. Le mouvement du boulet peut être
considéré
comme rectiligne et uniforme dans chacun des deux
e des éléments invariants. Toutefois, même ici, l’invariance que l’on
considère
en fait est généralement encore celle d’une relat
istance, sans une synchronisation d’horloges. On raisonnera ainsi : «
Considérons
votre simultanéité « intuitive » entre deux événe
et S′ dont l’un est le duplicata de l’autre. En d’autres termes, nous
considérons
N et N′ à l’instant précis de la dissociation des
espèces sont jusqu’à un certain point frappés de stérilité. Kœlreuter
considère
cette loi comme universelle, mais il tranche quel
où il a trouvé à l’expérience que les croisements entre deux formes,
considérées
par le plus grand nombre des auteurs comme des es
ses conclusions avec autant d’assurance que Kœlreuter et Gærtner, qui
considèrent
au contraire que la loi universelle de la nature
es faits qui m’ont été communiqués par. M. Blyth, qu’ils doivent être
considérés
comme des espèces distinctes. En tout cas, si l’o
que universelle des croisements entre espèces animales distinctes, ou
considérer
la stérilité, non comme un caractère indélébile,
ingent que la domesticité peut faire disparaître. Finalement, si l’on
considère
dans leur ensemble tous les faits bien établis co
s que cette stérilité ne peut, dans l’état actuel de la science, être
considérée
comme absolue et universelle. III. Des lois qui
ers croisements et des hybrides, nous voyons que, lorsque des formes,
considérées
comme autant d’espèces bien distinctes, sont croi
e peut être beaucoup plus aisément greffée sur le Coing, généralement
considéré
comme un genre distinct, que sur la Pomme, qu’on
quel des arbres peuvent être greffés l’un sur l’autre ne peuvent être
considérées
que comme dérivant de différences inconnues dans
eu et le Mouron rouge sont, par beaucoup de nos meilleurs botanistes,
considérés
, comme des variétés ; mais parce que Gærtner ne l
peut s’étonner le moins du monde de la différence des résultats. J’ai
considéré
jusqu’ici les croisements entre variétés de même
es sont empruntées à des témoins hostiles, qui en tous les autres cas
considèrent
la fécondité ou la stérilité d’un croisement entr
ais ces mêmes formes sur lesquelles elles ont été tentées, sont aussi
considérées
comme des variétés par Sagerct, dont la classific
ent le moins du monde stériles en cas de croisement seraient aussitôt
considérées
comme des espèces distinctes. D’autre part, il es
postérité de deux espèces croisées et celle de deux variétés. Si l’on
considère
les espèces comme provenant d’actes créateurs spé
son abandon et de sa gaieté, ou de son énergie et de sa roideur. Vous
considérez
ses écrits, ses œuvres d’art, ses entreprises d’a
ont continué et rectifié incessamment ce grand effort, que le lecteur
considère
seulement deux historiens et deux œuvres, l’une l
ualités morales, comme on les cherche pour les qualités physiques, et
considérons
le premier fait venu ; par exemple une musique re
ici le fond de l’homme ; car pour expliquer cette conception, il faut
considérer
la race elle-même, c’est-à-dire le Germain et l’h
primitif. Pour saisir l’ensemble des espèces minéralogiques, il faut
considérer
d’avance un solide régulier en général, ses faces
eillement, si vous voulez saisir l’ensemble des variétés historiques,
considérez
d’avance une âme humaine en général, avec ses deu
Allemands, montent jusqu’aux derniers. — Si maintenant, après avoir
considéré
le passage de la représentation à l’idée, on rega
ôt lentement, tantôt vite, et ainsi de suite ; en sorte que l’on peut
considérer
le mouvement total de chaque civilisation distinc
e par une plus ancienne hérédité. En sorte qu’à chaque moment on peut
considérer
le caractère d’un peuple comme le résumé de toute
orsqu’on a ainsi constaté la structure intérieure d’une race, il faut
considérer
le milieu dans lequel elle vit. Car l’homme n’est
st différente ; et cela suffit pour que l’effet total soit différent.
Considérez
, par exemple, deux moments d’une littérature ou d
nt le cercle complet des puissances agissantes, et lorsque nous avons
considéré
la race, le milieu, le moment, c’est-à-dire le re
ls existent, et dans le second qu’ils n’existent pas ? Que le lecteur
considère
quelques-unes de ces grandes créations de l’espri
métaphysique se déploient ensemble avec une vigueur inusitée ; si on
considérait
que le christianisme et le bouddhisme sont éclos
temps de la plus belle naïveté et de la plus grande crédulité ; si on
considérait
encore que le mahométisme apparut avec l’avènemen
rs, c’est-à-dire de déterminer exactement l’esprit dans lequel seront
considérées
les diverses branches fondamentales de la philoso
er, une extrême importance, en caractérisant dès l’origine le sujet à
considérer
. La circonscription générale du champ de nos rech
artie de ce cours relative à l’étude des phénomènes sociaux. Je ne la
considère
maintenant que pour déterminer avec précision le
me une émanation de la première, l’homme s’est habitué peu à peu à ne
considérer
que les faits eux-mêmes, les notions de ces agent
e à faire pour achever de la constituer. À cet effet, il faut d’abord
considérer
que les différentes branches de nos connaissances
récédents. Même sans avoir égard aux obstacles plus spéciaux que nous
considérerons
Plus tard. Quoi qu’il en soit, il est évident qu’
à cette fin qu’avant de procéder à l’étude des phénomènes sociaux, je
considérerai
successivement, dans l’ordre encyclopédique annon
es positives, que je me propose de faire. Il s’agit uniquement ici de
considérer
chaque science fondamentale dans ses relations av
e psychologique est donc radicalement nulle dans son principe. Aussi,
considérons
à quels procédés profondément contradictoires ell
our en pouvoir faire un usage effectif, c’est en action qu’il faut la
considérer
; ce sont les diverses grandes applications déjà
ourd’hui la plus importante pour la pratique, c’est qu’elle peut être
considérée
comme la seule base solide de la réorganisation s
s doutes à cet égard. (2) Dans ma profonde conviction personnelle, je
considère
ces entreprises d’explication universelle de tous
néanmoins, l’hypothèse que nous venons de parcourir serait, tout bien
considéré
, la plus favorable à cette unité si désirée. (3)
ue de l’unité des méthodes et de l’homogénéité des doctrines que nous
considérerons
, dans ce cours, les différentes classes de théori
ble but de ce cours, c’est-à-dire fixé le point de vue sous lequel je
considérerai
les diverses branches principales de la philosoph
cien Pierre attribue à Paul lorsqu’il se fait lui-même référant et ne
considère
plus Paul que comme référé, — constatations que P
igne de compte l’accélération qui détermine le changement de sens, et
considérer
alors le voyage du boulet, dans son ensemble, com
e, on n’a qu’à rendre effectivement indécomposables les deux systèmes
considérés
, à en faire par exemple deux points matériels. Il
₁ et M₂ auxquels nous aurons d’abord affaire pourront aussi bien être
considérés
comme des horloges. Appendice III.Le « temps p
, équation est l’élément de temps propre de la portion de matière
considérée
et de tout le système qui lui est lié. Le temps p
la longueur, divisée par c, de l’arc de ligne d’Univers de ce mobile.
Considérons
maintenant un point matériel libre M₁. La loi d’i
ons l’une quelconque de ces lignes d’Univers ; il suffit pour cela de
considérer
un second mobile M₂, parti de l’événement A, qui,
elles en S″, et c’est en S′ que serait le Temps réel. Nous venons de
considérer
le rapport de S″ immobile à S en translation unif
S adopté comme système de référence, et par là même immobilisé, nous
considérerons
un point O immobile. Sur ce plan nous poserons un
s horloges situées à des distances différentes du centre, et s’il les
considère
pendant un temps assez court pour que leur mouvem
infinité de systèmes distincts. Traçons en effet un de ses rayons, et
considérons
les points où ce rayon coupe les circonférences i
me où il s’installe est interchangeable avec tout autre système qu’il
considère
, quel qu’en soit le mouvement, pourvu que ce syst
où il s’est installé : justement parce que le système mouvant par lui
considéré
serait, au repos, interchangeable avec le sien au
ysicien retrouverait ce même Temps réel dans le système mouvant qu’il
considère
s’il s’y transportait et si, par là même, il l’im
ience, c’est la systématisation de notre connaissance des phénomènes,
considérés
comme phénomènes. L’office de la philosophie, c’e
qui aient illustré notre race, attachés tout entiers à des problèmes
considérés
comme d’une importance vitale et ne produisant d’
endre quel sens exact on doit donner au mot fait. Ordinairement on le
considère
comme une vérité finale. Ceci, dit-on, est un fai
logique avec la psychologie. Prenant l’esprit humain adulte, ils ont
considéré
ses formes constitutives comme des conditions ini
dont chaque fil est une expérience. Des gens qui raisonnent à priori
considèrent
le type vertébré comme la forme nécessaire qui re
ogie la vieille erreur aristotélicienne de la matière et de la forme,
considérées
comme séparables réellement (tandis qu’elles ne l
re les éléments objectifs et les éléments subjectifs de la pensée est
considérée
avec raison comme l’œuvre capitale de la philosop
réditaire, et les aptitudes qui en dépendent, lesquelles doivent être
considérées
comme déterminant nécessairement les formes sous
r abord celui qui n’a jamais réfléchi sur ce point. Demandez-lui s’il
considère
ses perceptions comme des copies des objets, s’il
que nous voyons se produire, quand nous nous en approchons. Le monde
considéré
indépendamment de la conscience, le monde en soi,
langage des psychologistes français, une faculté distincte) peut être
considérée
comme établie, depuis Crown. Cependant on trouve
éalité il voulait dire qu’elle est une fonction. « Certes, s’il avait
considéré
réellement la pensée comme une sécrétion, l’erreu
hes psychologiques, c’est d’isoler l’homme de la série animale, de le
considérer
comme gouverné par des lois organiques toutes par
u animal ou humain n’est qu’un système. I Jusqu’ici, nous avons
considéré
nos événements, sans nous occuper de l’être auque
l est donc une cause efficiente et productrice. » — On arrive ainsi à
considérer
le moi comme un sujet ou substance ayant pour qua
parer à une source inépuisable dont il est un flot. Partant, la voilà
considérée
comme une essence d’ordre supérieur, située au-de
qui possède… Ce quelque chose par quoi nous pouvons ne doit pas être
considéré
comme distinct de l’âme. » Les facultés et forces
oi n’est que la trame continue de ses événements successifs. Si on le
considère
à un moment donné, il n’est rien qu’une tranche i
l vivant pris tout entier. Comme on l’a montré, cette trame peut être
considérée
à deux points de vue, soit directement, en elle-m
u moins voisins de la sensation. — En forçant les termes, on pourrait
considérer
la moelle comme une file d’encéphales rudimentair
lie avec le reste. Cette série, qui, selon le point de vue où nous la
considérons
, est tantôt pour nos sens une série de mouvements
e segment de la moelle est un véritable centre d’innervation… On peut
considérer
le cordon médullaire comme constitué par une séri
iste, soit au point de vue matérialiste (les deux se ressemblent), ne
considère
le plus souvent que le contenu et les qualités de
action et réaction réciproque que les uns peuvent être accessoirement
considérés
comme signes ou représentations des autres pour u
la psychologie des idées-forces doit substituer l’action ; elle doit
considérer
les idées comme des formes non pas seulement de l
psychique. Une douleur, une pensée, une volition ne peuvent plus être
considérés
comme des phénomènes en l’air, simplement distinc
euse redeviennent elles-mêmes des phénomènes psychiques dès qu’on les
considère
en tant que faisant partie d’une conscience ou ex
e la psychologie l’a été jusqu’ici trop exclusivement. On ne doit pas
considérer
les phénomènes mentaux comme formant une simple s
sentis est toujours impliqué, et les phénomènes doivent toujours être
considérés
synthétiquement dans leur rapport à l’intérieur,
triques. Sous ce rapport, la psychologie ressemble à la biologie, qui
considère
chaque fonction de l’être vivant comme conditionn
e cercle vital. Elle ressemble aussi à la biologie en ce que celle-ci
considère
, non seulement l’organisme actuel de l’être vivan
ontraire, ce qui est matière pour moi est-il esprit en soi ? La force
considérée
par le physicien n’est-elle « qu’un autre aspect
n’en redevient pas moins, dès qu’on rentre dans l’être vivant pour y
considérer
la vie même, une série de moyens et de fins, avec
pour la vie ; c’est la fausse conception des idées-forces, où on les
considère
comme des éléments isolés et des sortes d’atomes.
nsée, elle n’est pas la connaissance ; elle est la fonction psychique
considérée
dans son caractère de subjectivité irréductible.
nde complet sans elles. En un mot, la psychologie des idées-forces ne
considère
pas seulement les états de conscience en eux-même
s idées qui sont le fond même de la métaphysique. Seulement, elle les
considère
comme pures idées et comme facteurs psychologique
es purs positivistes. Elle est au centre de perspective qui permet de
considérer
l’unité du tout telle qu’elle s’exprime dans notr
emplation, on peut remarquer tout d’abord, en ce qui touche à l’objet
considéré
isolément, qu’il apparaît et prend forme sous le
et sujets tour à tour les unes pour les autres, se rencontrent et se
considèrent
, ardentes à assouvir le désir de connaissance int
vement, est contraint de se déplacer d’un lieu dans un autre. Si l’on
considère
, pour le mieux concevoir, ce phénomène de réalisa
qui se manifeste dans la production de la réalité objective, on peut
considérer
le principe de mouvement qui vient d’être décrit
essayant de dégager le secret des causes de ce qui en émane, mais la
considérer
de front et du dehors comme une force dont le cho
nce, chaque moyen rendu par son action, et les effets même de l’œuvre
considérés
et goûtés à nouveau par un esprit qui saura non p
exigeant cette addition à l’analyse, en demandant qu’on s’accoutume à
considérer
l’œuvre dans l’acte même de révolution de sentime
telligence, doit être étendu également à ceux que nous avons appris à
considérer
comme les semblables de ce type, à ses adhérents.
interne par l’analyse de leurs admirations, et que l’on aura appris à
considérer
, non plus comme les producteurs premiers ni de l’
n, au religieux naturalisme de Wagner, au trouble de Berlioz. Si l’on
considère
que l’histoire doit être l’évocation complète et
es de la Révolution. — II. La Renaissance. Lorsque l’on s’applique à
considérer
l’individu, le milieu social apparaît à son égard
e en un modèle quelque peu différent de lui-même. Mais, si cessant de
considérer
l’individu isolé, on porte la vue sur le groupe q
sur le groupe qui le contient, on s’aperçoit que ce groupe lui-même,
considéré
à son tour comme une entité distincte, n’échappe
’à une complète désagrégation. I La Révolution française, à n’en
considérer
que le décor, n’a pas laissé que de montrer parfo
ipe d’affaiblissement et de désorganisation. La Renaissance peut être
considérée
comme l’une des époques où l’énergie d’une sociét
individu et des collectivités I. La faculté de se concevoir autre,
considérée
sous son aspect normal, se confond avec la facult
éclaire d’une lumière si vive ce pouvoir de métamorphose, on n’avait
considéré
tout d’abord de ce pouvoir que les conséquences p
ment cette confusion qui, par un ennoblissement du spectacle que l’on
considérait
, s’était d’elle-même établie dans l’esprit. Par l
il tentait de s’appliquer. Dans les cas normaux où il sera maintenant
considéré
, il va au contraire s’exercer d’une manière effic
pouvoir, d’exhaussement. C’est sous le jour de cette idée qu’il a été
considéré
naguère, et qu’on en a fait l’application à un ca
squ’aux jouissances esthétiques les plus hautes. Il suffit surtout de
considérer
que sans l’existence de ce pouvoir, les découvert
oire gros de toutes les formes futures de la vie. Mais sitôt que l’on
considère
une des branches de l’éventail en dirigeant l’obs
périeure, cet exemple est caractéristique. Il l’est davantage si l’on
considère
par contraste l’extraordinaire puissance d’assimi
igion et la philosophie comme deux domaines absolument distincts, qui
considèrent
la philosophie comme le fait d’un petit nombre d’
sonnement. C’est pour cela qu’il est vrai de dire que la philosophie,
considérée
comme science, ne peut remplacer la religion. Exp
s intime l’union du fini et de l’infini. C’est à ce titre que nous le
considérons
nous-mêmes comme le sauveur, et que nous sommes d
gion ; mais on confond ici bien des choses distinctes. La philosophie
considérée
à un certain point de vue, est une science qui, c
e, qui est en un mot essentiellement rationnelle. Que la philosophie,
considérée
ainsi, soit hors d’état de fonder une religion et
ans tel pays ou dans tel autre, pourvu qu’elle ait lieu. Lorsque l’on
considère
notre société sans cet esprit de pessimisme qui e
naturel que les signes cessent d’être remarqués et finissent par être
considérés
comme nuls. — Théories fausses sur l’esprit pur.
lus par une substitution simple, mais par une série de substitutions.
Considérons
le premier nombre venu, par exemple 36. Quand je
lée à notre cercle. En effet, ce n’est point ce cercle tracé que nous
considérons
; il n’est point notre objet, il n’est que notre
pas de limites. III Laissons là cette extension du procédé, et
considérons
-le une dernière fois à son origine. On vient de v
roite portion d’espace comprise dans nos sensations simultanées. Nous
considérons
à part ce morceau ; nous en extrayons cette propr
és les deux membres d’un couple, l’un infini, l’autre limité, on peut
considérer
à volonté l’un ou l’autre, et, si leur correspond
de notre opération ; nous l’avons traité en accessoire, et nous avons
considéré
l’opération, moins ce qu’elle contient ; reste le
volution, ici, suppose un finalisme immanent ; mais, avec Spencer, il
considère
ce finalisme comme une simple « expression » du m
lasses d’impulsions. — Appétits, instincts, volitions. La volonté,
considérée
en elle-même et isolément, serait trop subjective
st la réponse de la volonté. C’est là ce processus appétitif que nous
considérons
comme fondamental en psychologie. Quand la foncti
e l’intelligence sur les inclinations, peut se subdiviser selon qu’on
considère
dans l’intelligence même : 1° l’action de l’image
dial qui est notre idée même de la fin et notre désir de l’atteindre.
Considérée
par un autre côté, cette conception devient celle
aire telle ou telle chose (ce qui réduit alors le désir à ce que nous
considérons
comme réalisable par notre action). La volition e
f dans la série des conditions. Il est donc inévitable, tant qu’il se
considère
par rapport à ce qu’il conditionne, qu’il s’attri
d’un enchaînement de causes et d’effets, de moyens et de fins. Si on
considère
surtout la part de la pensée dans la volition, on
nce sourde, tantôt lui apportent un secours. Enfin et surtout il faut
considérer
le caractère. Nos actes sont le produit non d’une
mmagasinée dans la bombe lui impose cette ligne. C’est encore là tout
considéré
, la ligne de la moindre résistance, puisqu’il fau
supplice ; la ligne qui paraît de la plus grande résistance, si on la
considère
en elle-même, — c’est-à-dire la ligne aboutissant
à la mort, — est toujours la ligne de la moindre résistance si on la
considère
par rapport au cerveau du martyr, à ses idées et
me et comme la condition de la vie phénoménale. On ne saurait donc le
considérer
comme une maladie sans considérer, du même coup,
phénoménale. On ne saurait donc le considérer comme une maladie sans
considérer
, du même coup, comme une maladie la vie phénoména
la confère aux lois dont nous le voyons dépendre. Aussi nous faut-il
considérer
comme la modalité normale de la vie cette contrar
ons géologiques, de sorte qu’entre toutes nos formations consécutives
considérées
deux à deux, les formes vivantes présentent rarem
océdé d’extinction peut avoir été comparativement rapide. Les espèces
considérées
isolément, de même que les groupes entiers, se pe
pe, des deux Amériques et de l’Australie, pourront être, avec raison,
considérées
comme simultanées, dans le sens géologique du mot
e précisément dans le même sens. En effet, on ne saurait sérieusement
considérer
les changements des courants, des climats ou des
ités des espèces éteintes entre elles et avec les espèces vivantes. —
Considérons
un peu maintenant quelles sont les affinités mutu
nt entre les genres, les familles et les ordres actuels, car, si nous
considérons
séparément, soit les formes vivantes, soit les fo
placent naturellement entre des groupes de formes existantes. Cuvier
considérait
les Ruminants et les Pachydermes comme les deux o
s ont nié qu’aucune espèce éteinte, ou aucun groupe d’espèce pût être
considéré
comme intermédiaire entre des espèces ou des grou
diffèrent le plus des formes actuelles. Il ne faudrait cependant pas
considérer
le principe général de la divergence des caractèr
ar quelques particularités importantes de leur organisation. D’autres
considèrent
au contraire les Téléostéens comme les plus élevé
ins éloignées, bien que ce soit cependant le fait le plus important à
considérer
dans la balance ; mais il faut aussi comparer ent
ganisation plus élevée que leurs anciens représentants. Il faut aussi
considérer
les nombres proportionnels des classes inférieure
point de vue, les productions de la Grande-Bretagne peuvent donc être
considérées
comme plus élevées que celles de la Nouvelle-Zéla
cependant faire erreur que de confondre la supériorité d’une espèce,
considérée
relativement à d’autres espèces, ou même la supér
ie générale ; non pas que les propriétés vitales des tissus aient été
considérées
par Bichat comme des propriétés physico-chimiques
sier et Laplace. La vie était d’abord centralisée, ses manifestations
considérées
comme les modes d’un principe vital unique ; Bich
r la chose désignée, si obscure que puisse être l’idée de cette chose
considérée
dans son essence. Cela vient, dit encore Pascal,
es dans le germe, la matière du germe, plus le principe vital. Ehrard
considère
la vie comme un principe moteur : « la faculté du
ur. En définitive, toutes les vues a priori sur la vie, soit qu’on la
considère
comme un principe ou comme un résultat, n’ont fou
, dit Tiedemann, n’offrent absolument aucun phénomène que l’on puisse
considérer
comme effet de la régénération ou de la guérison.
n qui caractérise l’animal ou la plante. D. Enfin, la nutrition a été
considérée
comme le trait distinctif, essentiel, de l’être v
ous avons déjà dit que les manifestations de la vie ne pouvaient être
considérées
comme régies directement par un principe vital in
i de mon côté la conception à laquelle m’a conduit mon expérience. Je
considère
qu’il y a nécessairement dans l’être vivant deux
rme ou la tendance mécanique ou matérialiste. En un mot, la vie a été
considérée
dans tous les temps à deux points de vue différen
pothèses matérialistes. Les spiritualistes animistes ou vitalistes ne
considèrent
dans les phénomènes de la vie que l’action d’un p
sée ; la vie n’est qu’un effet supérieur des lois de la mécanique. Il
considère
le corps comme une machine faite pour elle-même,
fond des doctrines vitalistes une erreur irrémédiable, qui consiste à
considérer
comme force une personnification trompeuse de l’a
re qui se présente à l’esprit, et elle paraît indéniable lorsque l’on
considère
l’évolution rigoureusement fixée des phénomènes s
ie les phénomènes isolés dont il est le théâtre. C’est à cette cause,
considérée
comme force directrice, que l’on peut donner le n
qu’on en a fait comme l’ouvrier de tout le travail organique. On l’a
considéré
comme l’agent exécutif de tous les phénomènes, l’
dessin préétabli de chaque être et de chaque organe, en sorte que si,
considéré
isolément, chaque phénomène de l’économie est tri
esprit saisit l’unité et le lien, l’harmonie des phénomènes, et il la
considère
comme l’expression d’une force ; mais grande sera
re l’être vivant et les conditions cosmiques ambiantes nous permet de
considérer
trois formes de la vie, suivant qu’elle est dans
ue M. Decaisne, professeur de culture au Muséum. Il m’a déclaré qu’il
considère
comme faux tous les exemples de germinations des
e alors, elle aussi, dans les cellules desséchées, En un mot, la vie,
considérée
sous ses deux faces, est suspendue : l’organisme
prend sa transparence26. On voit donc que pour les tissus, qu’on peut
considérer
comme de simples matériaux physiques de l’organis
phénomènes caractéristiques. Il. Vie oscillante L’être vivant,
considéré
comme individu complexe, peut être lié au milieu
nt de tous les échanges élémentaires. Un organisme complexe doit être
considéré
comme une réunion d’êtres simples qui sont les él
lui-même. Ces réserves sont très inégales suivant les êtres que l’on
considère
et suivant les diverses substances, pour les anim
et de montrer qu’elle sert de base à la physiologie générale. Nous ne
considérons
ici les caractères de la vie que dans leur essenc
différence de point de vue. Les créateurs des théories dualistes ont
considéré
les deux facteurs de la vie, dans leur rapport av
sier ne sépare point à cet égard les animaux des végétaux : il semble
considérer
qu’ils se comportent d’une manière analogue par r
n trois règnes a prévalu et les deux règnes animal et végétal ont été
considérés
comme presque aussi séparés l’un de l’autre qu’il
ique, les seconds fixent de l’acide carbonique. » L’animal fut ainsi
considéré
comme un appareil de combustion, d’oxydation, d’a
par eux. Telle est la loi. En résumé, la physiologie générale, qui ne
considère
la vie que dans ses phénomènes essentiels et géné
clut à l’unité vitale dans les deux règnes. Si maintenant, au lieu de
considérer
la vie dans ses deux manifestations nécessaires e
acide carbonique. Au point de vue de la physiologie générale, nous ne
considérons
pas seulement les fonctions différentielles des ê
re eux, lesquelles n’ont rien d’absolument nécessaire à la vie ; nous
considérons
, au contraire, les phénomènes généraux et communs
s animaux et chez les végétaux. Mais pour saisir cette unité, il faut
considérer
le phénomène nutritif dans sa totalité ; car si o
e lui, que le résultat des phénomènes de combustion, n’hésitent pas à
considérer
les nombres trouvés par Dulong et Desprez comme f
un mode différent d’exister dans les deux règnes. En conséquence nous
considérons
notre grande division des phénomènes de la vie, d
es fermentations. Prenant pour type la fermentation alcoolique, il la
considéra
comme l’avaient fait autrefois les iatrochimistes
vient incanheadent dans le cas de combustion vive. D’autres chimistes
considèrent
comme fait caractéristique de la combustion le dé
pathologiques encore très incomplètes) les parties anatomiques qu’il
considérait
comme analogues, par exemple les membranes diapha
llules. Ce n’est qu’en 1831 que le célèbre botaniste anglais R. Brown
considéra
les noyaux (nucléus, sphéride de Mirbel) comme un
r activité. Déjà cette notion de la faculté de souvenir ou de mémoire
considérée
comme la propriété élémentaire des particules org
oyau. M. Balbiani les a observés de même chez le Sthenobothrus, et il
considère
les granules équatoriaux comme des nucléoles47. C
ont pour conséquence de faire du noyau, amas de protoplasma jusqu’ici
considéré
comme simple, un corps complexe à la fois au poin
oint de vue anatomique et au point de vue physiologique. Lorsque l’on
considère
une cellule, qui est un être vivant rudimentaire,
des noyaux cellulaires leur ont dévoilé la complexité de cet élément
considéré
à tort comme simple. N. Auerbach distingue dans l
nt en présence relativement à la nature du nucléole. L’une consiste à
considérer
le nucléole comme une masse protoplasmique pleine
atière essentielle de l’organisation, le protoplasma. Après avoir été
considéré
comme une matière d’une constitution très simple,
nstituer artificiellement jusqu’aux substances albuminoïdes, qui sont
considérées
à juste titre comme le degré le plus élevé de la
ne se charge point de matière verte ; et surtout il ne faudrait point
considérer
un protoplasma végétal que l’on opposerait au pro
pens de l’amidon. La formation de cet amidon dans les deux règnes est
considérée
comme un acte de création organique, une synthèse
manifestations de sensibilité et de mouvement, que l’on est habitué à
considérer
comme étant de l’ordre le plus élevé, que dans ce
doctrine de l’irritabilité de Glisson ; l’entéléchie perceptive qu’il
considérait
comme le principe d’activité inséparable des part
ilité, à la vie, sont précisément les quatre éléments que les anciens
considéraient
comme formant le monde : l’eau, l’air, le feu (ch
xcellence, de la suspendre ou de la supprimer, de sorte que l’on peut
considérer
ces substances comme les réactifs naturels de tou
uteurs, des botanistes distingués, M. Unger, M. Sachs, de Würtzbourg,
considèrent
les mouvements en question comme résultant de la
utre cas une quantité sensiblement égale de carbonate de baryte. Nous
considérons
la respiration des êtres vivants comme identique
ties vivantes en agissant d’une manière physique sur leur protoplasma
considéré
comme le siège de l’irritabilité. Nous concevons
par l’envisager à un point de vue aussi restreint ; ils ne peuvent la
considérer
comme étant réduite à des modifications psychique
l’ensemble de l’appareil nerveux ou sensibilité consciente peut être
considérée
comme l’irritabilité de cet appareil tout entier.
tions de perfectionnement. La sensibilité, dans l’acception ancienne,
considérée
comme propriété du système nerveux, ne serait don
éactif prouve leur identité, qui devient tout à fait évidente si l’on
considère
surtout les conditions simples et claires de l’ex
rimentale nous n’avons pas d’autres manières de juger, si ce n’est de
considérer
comme identiques les phénomènes qui présentent de
epuis 1850 en étudiant la division des cellules du blastoderme, a été
considéré
comme le mode exclusif de la genèse cellulaire. C
octrine se trouve dans les idées philosophiques de Leibnitz. Leibnitz
considérait
tous, les phénomènes de l’univers comme la simple
. D’ailleurs, Kölliker lui-même, à une époque déjà ancienne (1844), a
considéré
les mollusques comme des êtres à évolution se fai
illogique, comme le sont d’ailleurs toutes les consignes quand on les
considère
dans leur application à des cas particuliers impr
ues constitue le domaine de la zoologie ou de la phytologie. Aristote
considérait
que, dans l’être vivant, ce qu’il y a de plus ess
ie vitale, au contraire, nous pouvons la diriger. A la vérité on peut
considérer
l’hérédité comme une condition expérimentale et l
ans le but de définir la vie, ont toutes abouti, nous le savons, à la
considérer
, soit comme un principe particulier, soit comme u
ures, l’irritabilité, la sensibilité, l’intelligence, pourraient être
considérées
comme les résultats des phénomènes physico-chimiq
ons écarter toutes les conceptions vagues dans lesquelles elle serait
considérée
comme un principe essentiel. Il nous reste seulem
. La subordination n’existe, bien entendu, que dans l’exécution, car,
considérés
dans leur importance relative, ceux qui commanden
toplasma, et par là nous avons terminé le conspectus rapide de la vie
considérée
dans ce qu’elle a d’universel, c’est-à-dire tracé
lissent dans les autres. Les éléments voisins créent à celui que l’on
considère
une certaine atmosphère ambiante dont celui-ci re
e de manière à réaliser le plan de l’animal tout entier. L’organisme,
considéré
comme ensemble ou unité, intervient donc et manif
diquer, le principe de l’autonomie des éléments anatomiques doit être
considéré
comme l’un des plus féconds de la physiologie mod
mme une réaction provoquée par les excitants extérieurs. Lorsque l’on
considère
des êtres élevés en organisation, leurs manifesta
onde étude correspond à la physiologie spéciale ou comparée, quand on
considère
l’ensemble des machines vivantes. Il y a donc ent
résultat considérable. Ramener au même principe des choses jusque-là
considérées
comme d’ordre différent, telles que la naissance
stes contemporains. Fondée sur des faits précis, il faut désormais la
considérer
, non plus comme une de ces généralités banales cr
lé ; on l’avait séparé de toutes les autres manifestations vitales et
considéré
comme d’un ordre différent et supérieur. On ne vo
ble constant de ces alternatives de la nutrition ; c’est la nutrition
considérée
dans sa réalité, embrassée d’un coup d’œil à trav
terminée. Les naturalistes de la seconde expédition du Challenger ont
considéré
cette matière comme un précipité gélatineux de su
du 10 janvier 1859). 57. Voy. mon mémoire : De la matière glycogène
considérée
comme condition de développement de certains tiss
manifestations de sensibilité et de mouvement, que l’on est habitué à
considérer
comme étant de l’ordre le plus élevé, que dans ce
nnaître préalablement les nôtres ? C’est ce qu’il ne dit pas. Mais il
considère
comme évident que l’observation de nous-mêmes par
r origine. On peut dire brièvement et en gros, que l’une des théories
considère
les phénomènes les plus complexes de l’esprit, co
rit, comme étant les produits de l’expérience, tandis que l’autre les
considère
comme originels. La psychologie à priori soutient
sions faites sur nos sens, mais un produit du travail de l’esprit, ne
considère
pas cette production comme le résultat de lois pa
penser le temps et l’espace autrement que comme infinis ; mais il ne
considère
pas cela comme un fait dernier. Il y voit une man
et la plus scientifique de la psychologie à posteriori, est celle qui
considère
la loi d’association comme le principe suprême. S
extérieur. — Quelles sont ces formes ? Isolés les uns des autres, et
considérés
comme autant d’unités distinctes, les états psych
côté les forces elles-mêmes, à supposer qu’elles existent, pour n’en
considérer
que les effets mesurables et étendus. Pourquoi co
té distincte, résulte donc, lui aussi, d’un compromis. Or, quand nous
considérons
les objets matériels en eux-mêmes, nous renonçons
quelque inexprimable raison en vertu de laquelle nous ne saurions les
considérer
à des moments successifs de notre durée sans cons
istinction capitale n’eût jamais été faite, sans doute, si l’on n’eût
considéré
le temps, lui aussi, comme un milieu indifférent
série tout entière de nos états de conscience hétérogènes qu’il faut
considérer
. En d’autres termes, c’est dans une analyse atten
éfini est bien l’abolition du tout. — Voilà la thèse, il suffit de la
considérer
sous cette forme pour apercevoir l’absurdité qu’e
érieur ou intérieur : c’est une chose ou c’est un état de conscience.
Considérons
le premier cas. J’abolis par la pensée un objet e
résentation de l’objet A tout seul, que nous convenions d’abord de le
considérer
comme existant, et qu’ensuite, par un trait de pl
tenu que celui du jugement affirmatif qu’elle juge. Plus précisément,
considérons
un jugement existentiel et non plus un jugement a
se souciât d’aller au-devant de l’erreur de ses congénères, lesquels
considèrent
sans doute comme seules possibles les conditions
phénomène de la substitution est coupé en deux par un esprit qui n’en
considère
que la première moitié, parce qu’il ne s’intéress
e ou échappent à notre conscience ou ne lui arrivent que confusément.
Considérons
un acte très simple comme celui de lever le bras.
mages successives ne diffèrent pas trop les unes des autres, nous les
considérons
toutes comme l’accroissement et la diminution d’u
rmulés dans une intention bien différente, ne disent pas autre chose.
Considère-t
-on la flèche qui vole ? A chaque instant, dit Zén
deux et substituer deux trajectoires à la trajectoire unique que l’on
considérait
d’abord. C’est distinguer deux actes successifs l
lle, pour rejoindre la tortue, s’y prend tout autrement. Le mouvement
considéré
par Zénon ne serait l’équivalent du mouvement d’A
dolescent, puis homme mûr, enfin vieillard, cela se comprend quand on
considère
que l’évolution vitale est ici la réalité même. E
de se manipuler sans peine. Mais laissons de côté les procédés et ne
considérons
que le résultat. Quel est l’objet essentiel de la
une situation, d’un arrangement à un réarrangement. La science pourra
considérer
des réarrangements de plus en plus rapprochés les
en a noté des moments privilégiés, au lieu que la science moderne le
considère
à n’importe quel moment. Les formes ou idées d’u
tiel, pas d’instant privilégié : étudier le corps qui tombe, c’est le
considérer
à n’importe quel moment de sa course. La vraie sc
te différence originelle découlent toutes les autres. Une science qui
considère
tour à tour des périodes indivises de durée ne vo
nous signalions d’abord. La science des anciens est statique. Ou elle
considère
en bloc le changement qu’elle étudie, ou, si elle
tésienne (bien que Descartes ne lui ait pas donné cette forme) fut de
considérer
toute courbe plane comme décrite par le mouvement
ussi grand qu’on voudra de moments dans l’intervalle de temps qu’elle
considère
. Si petits que soient les intervalles auxquels el
s’occupe indifféremment de n’importe quel moment. Mais toujours elle
considère
des moments, toujours des stations virtuelles, to
bile sera aux points T1, T2, T3, … de la ligne qu’il parcourt. Alors,
considérer
l’état de l’univers au bout d’un certain temps t,
amais le flux lui-même. On peut rétrécir autant qu’on voudra le temps
considéré
, c’est-à-dire décomposer à volonté l’intervalle e
forme et qui leur communique quelque chose de sa nouveauté. Elle les
considère
à l’état abstrait, tels qu’ils seraient en dehors
sumé, si la physique moderne se distingue de l’ancienne en ce qu’elle
considère
n’importe quel moment du temps, elle repose tout
disant que nous ne percevons pas de forme sans matière. Mais si nous
considérons
l’objet changeant en un certain moment essentiel,
traire de l’irréductibilité absolue des deux moitiés entre elles pour
considérer
l’une comme une traduction de l’autre. Des phrase
relief une juxtaposition de parties solides on pourrait aussi bien le
considérer
comme fait de la complémentarité réciproque de ce
que des monades. En somme, Leibniz diffère ici de Spinoza en ce qu’il
considère
le mécanisme universel comme un aspect que la réa
e, quand elle traite physiquement et chimiquement l’être vivant, n’en
considère
que le côté inertie. Les explications mécanistiqu
Logik, 2e édit., vol. 1, p. 150 et suiv. 98. C’est dire que nous ne
considérons
pas le sophisme de Zénon comme réfuté, par le fai
tion et l’expérimentation nous fournissent. La méthode expérimentale,
considérée
en elle-même, n’est rien autre chose qu’un raison
’interroge et la force à se dévoiler. » Au premier abord, et quand on
considère
les choses d’une manière générale, cette distinct
autre, ou par un accident, l’apparition des phénomènes, dès qu’il les
considère
sans les troubler et dans leur état normal, c’est
bien. Il n’est donc pas nécessaire que l’un des faits à comparer soit
considéré
comme un trouble ; d’autant plus qu’il n’y a dans
de cette relation que par l’expérience. Il y aura donc deux choses à
considérer
dans la méthode expérimentale : 1º l’art d’obteni
ntifiques ont pour origine des erreurs de faits. Dans l’investigation
considérée
comme art de recherches expérimentales, il n’y a
est sans contredit la plus délicate et la plus difficile ; mais je la
considère
comme la plus féconde et comme étant celle qui pe
art de l’investigation, l’observation et l’expérience ne doivent être
considérées
que comme des faits mis en lumière par l’investig
s dites d’expérimentation, des sciences dites d’observation. Laplace
considère
que l’astronomie est une science d’observation pa
mènes qu’il a provoqués lui enseignera. Il y a donc deux opérations à
considérer
dans une expérience. La première consiste à prémé
conçoit jamais une question sans l’idée qui sollicite la réponse. Je
considère
donc, en principe absolu, que l’expérience doit t
la repousse d’une manière absolue pour tout ce qui est théorique. Je
considère
en effet que faire sa spécialité des généralités
devons contrôler les actes de cet homme les uns par les autres ; nous
considérons
comment il agit dans telle ou telle circonstance,
t, nous recourons à la méthode expérimentale. De même quand le savant
considère
les phénomènes naturels qui l’entourent et qu’il
s partent d’une idée fondée plus ou moins sur l’observation et qu’ils
considèrent
comme une vérité absolue. Alors ils raisonnent lo
a nature pour l’adapter à la théorie. En résumé, il y a deux choses à
considérer
dans la science expérimentale : la méthode et l’i
nion d’aucun homme, formulée en théorie ou autrement, ne saurait être
considérée
comme représentant la vérité complète dans les sc
a réalité objective telle qu’elle est, mais à des relations de choses
considérées
dans des conditions extrêmement simples et que le
nt il déduit logiquement toutes les conséquences, mais sans jamais le
considérer
comme absolu et en dehors des atteintes de l’expé
ner au savant le sentiment vrai de la science. La philosophie, que je
considère
comme une excellente gymnastique de l’esprit, a m
dis que chez les êtres vivants élevés, il y a au moins deux milieux à
considérer
: le milieu extérieur ou extra-organique et le mi
sciences ces idées nouvelles sur les milieux organiques, idées que je
considère
comme la base de la physiologie générale ; elles
ien et le chimiste qui expérimentent sur les corps inertes, n’ayant à
considérer
que le milieu extérieur, peuvent, à l’aide du the
ir aucun rapport avec l’étude des phénomènes de la matière brute. Ils
considèrent
la vie comme une influence mystérieuse et surnatu
moins deux corps pour le manifester. De sorte qu’il y aura toujours à
considérer
: 1º un corps qui réagit ou qui manifeste le phén
lémentaires, si c’est possible. En effet, la science expérimentale ne
considère
dans un phénomène que les seules conditions défin
incipes immédiats organiques, ne sont pas simples chimiquement, mais,
considérés
physiologiquement, ils sont aussi réduits que pos
otal par les réunions et l’agencement de ces organismes élémentaires,
considérés
d’abord isolément, puis dans leurs rapports récip
nt de la réaction des corps les uns sur les autres. Il y a toujours à
considérer
le corps dans lequel se passe le phénomène, et le
is bien dans les conditions organiques du milieu intérieur. En effet,
considérées
dans le milieu général cosmique, les fonctions du
ux êtres vivants I. Dans l’organisme des êtres vivants, il y a à
considérer
un ensemble harmonique des phénomènes Jusqu’à
s intra-organiques sur lesquels je reviendrai plus tard, parce que je
considère
leur étude comme la véritable base de la patholog
disparaissent dans la synthèse et dans l’analyse, ne peuvent pas être
considérées
comme une simple addition ou une pure soustractio
me scientifique. Le physiologiste et le médecin doivent donc toujours
considérer
en même temps les organismes dans leur ensemble e
nosologiquement, soit que, partant du point de vue physiologique, on
considère
que la maladie n’existe pas en ce sens qu’elle ne
gique beaucoup plus profondément que le zoologiste ; le physiologiste
considère
les conditions générales d’existence des phénomèn
loin dans l’étude des détails de ces conditions chez chaque individu
considéré
dans des circonstances morbides données. Ce ne se
crois très féconde, à savoir, qu’il y a en physiologie deux milieux à
considérer
: le milieu macrocosmique, général, et le milieu
endances spécifiques. Nous avons dit ailleurs que la médecine antique
considéra
l’influence du milieu cosmique, des eaux, des air
de la chimie animales. Toutefois, nous verrons plus loin qu’il y a à
considérer
, outre les conditions physico-chimiques indispens
ace, de l’état d’abstinence ou de digestion, etc. Cela nous amènera à
considérer
dans l’organisme des réactions réciproques et sim
s vivisections sur les animaux remontent également très loin. On peut
considérer
Galien comme le fondateur des vivisections sur le
ent ces tentatives ; je partage complètement ces idées. Cependant, je
considère
comme très utile à la science et comme parfaiteme
homme un objet de dégoût et d’horreur.. D’après ce qui précède, nous
considérons
comme oiseuses ou absurdes toutes discussions sur
, et de juger ainsi de leur usage ou de leur utilité. La vivisection,
considérée
comme méthode analytique d’investigation sur le v
i vont disséquer les éléments vitaux. Je crois avoir été le premier à
considérer
l’étude des poisons à ce point de vue, car je pen
n’aient pu rendre de grands services à la physiologie. En un mot, je
considère
que la physiologie, la plus complexe de toutes le
hysiologie normales peut se répéter pour l’anatomie et la physiologie
considérées
dans l’état pathologique. Nous trouvons également
rouver sa place dans un cadre nosologique30. » Personne, je pense, ne
considérera
que ce but doive être celui de la médecine entièr
gie est venu le point de vue anatomique, c’est-à-dire, qu’après avoir
considéré
les maladies comme des espèces morbides, on a vou
jamais. Si maintenant, se plaçant à un autre point de vue, on voulait
considérer
comme bonnes toutes les expériences dans lesquell
s toutes les expériences dans lesquelles il y a du sucre hépatique et
considérer
comme mauvaises toutes celles dans lesquelles on
hérapeutique. Dans toute expérience sur les animaux vivants, il y a à
considérer
, indépendamment des conditions cosmiques générale
t, il y a, ainsi que nous l’avons déjà souvent exprimé, deux choses à
considérer
dans les phénomènes de la vie : les propriétés fo
es éléments ne seraient plus de même nature ; et si l’on continuait à
considérer
comme de même nature des éléments vitaux qui réag
eptième jour de l’expérience. Dans cette circonstance les auteurs ont
considéré
les petits comme des excréments et les ont calcul
d il s’agit de préciser des phénomènes aussi complexes. En un mot, je
considère
que, si dans ces travaux de statique chimique app
ujours un fait vrai. Les moyennes, dans les cas où nous venons de les
considérer
, doivent donc être repoussées, parce qu’elles con
oient que, lorsqu’elle est établie sur des faits bien observés qu’ils
considèrent
comme comparables entre eux, elle peut conduire à
le deviendra une science vraie, c’est-à-dire une science certaine. Je
considère
cette idée comme le pivot de la médecine expérime
ous les phénomènes naturels. Les bibliothèques pourraient encore être
considérées
comme faisant partie du laboratoire du savant et
en confrontant ses opinions avec leurs dissections sur nature, furent
considérés
comme des novateurs et comme de vrais révolutionn
river à être constituée la dernière ; mais on ne saurait pour cela la
considérer
comme un démembrement des sciences qui l’ont préc
grand mérite de Bacon est d’avoir proclamé bien haut cette vérité. Je
considère
, quant à moi, que reporter aujourd’hui la médecin
n médecin observateur ou empirique qui ne sort jamais de son hôpital,
considère
que la médecine s’y renferme tout entière comme u
naissances détachées n’ayant aucun rapport entre elles. En un mot, je
considère
l’hôpital seulement comme le vestibule de la méde
tre l’acidité de l’urine chez le lapin, et l’état d’abstinence que je
considérai
comme une vraie alimentation de carnassier. Le ra
foie et le même procédé d’analyse. Que fallait-il faire ? Fallait-il
considérer
ces deux dosages si discordants comme une mauvais
es phénomènes de combustion dans le sang, puisque ces phénomènes sont
considérés
comme la cause de la calorification animale. Or,
orroborée par les exemples suivants, à savoir, que les faits négatifs
considérés
seuls n’apprennent jamais rien. Deuxième exemple
r de faire la contre-épreuve ou la contre-expérience, de sorte que je
considérerai
ce précepte comme une sorte de consigne qu’il fau
tain même que plus d’un expérimentateur s’en serait tenu là et aurait
considéré
comme superflu, sinon comme ridicule, de faire un
rte d’archée à laquelle on rapporte tous les faits incompris et qu’on
considère
dès lors comme expliqués, tandis qu’ils ne sont s
mesure exacte ou approchée. C’est en ce sens surtout que l’affinité,
considérée
comme force, est une cause occulte, à moins qu’el
lus que jamais, les jeunes médecins marchent dans cette voie, qui est
considérée
avec juste raison comme la voie du progrès. Toute
ressorts cachés de la machine vivante. Les médecins observateurs ont
considéré
l’organisme vivant comme un petit monde contenu d
ent j’ai été consulté par un médecin praticien très honorable et très
considéré
d’ailleurs, qui me demandait mon avis sur un cas
profondes et précises accompagnées souvent d’un travail opiniâtre. Je
considère
donc que l’inspiration des médecins qui ne s’appu
qui est le thème favori de beaucoup de médecins praticiens et que je
considère
pour mon compte comme entièrement erronée et comm
mment nuisible au développement de la médecine expérimentale. D’abord
considérons
que la pratique médicale est une chose extrêmemen
ais qu’il fera ultérieurement sur l’homme. D’après ce qui précède, je
considère
donc que le véritable médecin expérimentateur ne
les idées qui peuvent aider ou favoriser cette tendance médicale. Je
considère
que c’est mon devoir, à la fois comme savant et c
ification et à la critique des faits nouveaux qui apparaissent. Si on
considérait
une théorie comme parfaite et si l’on cessait de
vement salutaire dans les sciences. Car, dans le sens restreint où je
considère
ici la philosophie, l’indéterminé seul lui appart
i ma leçon sur La Fontaine conteur, et j’arrive ensuite à La Fontaine
considéré
comme voyageur, comme touriste. J’avais, en effet
inspiration certainement plus élevée, comment dirai-je ? parce qu’ils
considèrent
l’humanité elle-même directement et non pas parce
imitées d’anciens conteurs, mais relevées par une certaine manière de
considérer
l’humanité avec malice, avec indulgence et avec u
ut ce que l’on fait, dans toutes les choses desquelles on s’occupe, à
considérer
la postérité qui va venir et à se dire : Mes arr
nt différente de la manière des contes proprement dits, et elle est à
considérer
comme on a considéré celle des contes proprement
nière des contes proprement dits, et elle est à considérer comme on a
considéré
celle des contes proprement dits, pour en faire r
d’un art absolument merveilleux et définitif. J’arrive à La Fontaine
considéré
comme touriste. La Fontaine touriste est tout ent
rmi ce peu, tous ne sont pas bons. Ainsi vous demeurez souvent à sec.
Considérez
, je vous prie, l’utilité que ce vous serait si, e
volontiers. Je ne vous saurais dire comme elle est faite, ne l’ayant
considérée
que fort peu de temps. Le déclin du jour et la cu
a cousine de Châtellerault. « On me fit voir une grande fille que je
considérai
volontiers, et à qui la petite vérole a laissé de
ans le détail s’il a particularisé, c’est les animaux. Il a aimé les
considérer
, il s’est trompé souvent sur leur véritable compl
idées. J’ai extrait de lui le triangle en général ; pour cela je n’ai
considéré
en lui que des propriétés communes à tous les tri
s ses manières d’être, tous les points de vue par lesquels on peut le
considérer
, il ne restera rien. La substance n’est donc pas
me précédemment d’un cas particulier, et il suffira pour la former de
considérer
une certaine limite particulière. Ce sont là tous
ce. Je puis séparer cette étendue de son sujet, et par abstraction la
considérer
à part. Cette étendue étant abstraite n’est rien
ifférence. Donc ce qui sera vrai de l’une sera vrai de l’autre. Ainsi
considérez
l’une d’elles, vous connaîtrez toutes les autres.
continue la seconde et la prolonge au-delà de l’espace que vous avez
considéré
d’abord. De l’idée de ces trois étendues limitées
endu. Vous avez employé l’abstraction pour isoler cette étendue et la
considérer
pure. Vous avez encore employé l’analyse ou abstr
é, quoique paraissant insurmontable à notre imagination, ne peut être
considérée
comme valable, si l’on admet les propositions sui
constante et universelle, pourtant cette assertion ne peut plus être
considérée
comme absolue après les faits que j’ai cité sur l
itoires seraient-elles découvertes, qu’elles seraient tout simplement
considérées
comme autant d’espèces nouvelles, surtout si elle
e ma théorie l’exige, peu de gens en conviendront volontiers. Si l’on
considère
des périodes suffisamment longues, la géologie pr
Il est difficile de ne pas être conduit à cette conclusion, quand on
considère
par exemple le Microptère d’Eyton (Anas Brachypte
ente par suite d’une sélection naturelle longtemps continuée. Si nous
considérons
les instincts, si merveilleux qu’ils soient, la t
rimentés, mais dont l’esprit est préoccupé par une multitude de faits
considérés
pendant une longue suite d’années d’un point de v
s créations spéciales, que la majorité des naturalistes continuent de
considérer
comme telles, et qui, conséquemment, ont tous les
est difficile à résoudre, parce que, plus les formes que nous avons à
considérer
sont distinctes, et plus nos arguments manquent d
te que chaque individu organisé part d’une même origine. Même si l’on
considère
les deux divisions principales du monde organique
elles. Il est très possible que des formes, aujourd’hui généralement
considérées
comme de simples variétés, soient plus tard jugée
dire comme quelque chose qui surpasse notre intelligence ; quand nous
considérerons
chaque production de la nature comme ayant eu son
faut pas surfaire la valeur du mouvement de transformation organique
considéré
comme exacte mesure du temps. Durant les périodes
cles morts cette conception barbare, puérile et néfaste, de la patrie
considérée
comme un monde indépendant du monde lui-même. Tan
uel, la négation même de l’existence. Un simple fait est d’ailleurs à
considérer
: l’évolution d’un mot. La signification du mot é
ocial » et les lois internes de cette existence, la sociologie semble
considérer
cet « être » comme vivant d’une vie solitaire et
vivre isolé. C’est cette vie extérieure de la cité qu’il importe de
considérer
, étant donnée son importance au point de vue de l
cette nouvelle conception a suscités. Prenons un exemple typique. Je
considère
un homme de génie. Son formidable individualisme
s de ses différences de races, de groupes, de peuples et d’individus.
Considérons
dans leur expression ces liens d’humanité. Ils so
idée par-delà les groupements nationaux. Je ne suis pas avec ceux qui
considèrent
ces libres rapports comme un attentat aux nationa
la cité antique, exclusive et farouche. Si quelqu’un pris au hasard,
considère
une nation, il ne voit que les caractères à peu p
une espèce dont les propriétés sont remarquables ; ce sont les noms.
Considérons
d’abord les noms propres, qui sont plus aisés à é
ement ; ils les remplacent au seul point de vue qu’on avait besoin de
considérer
en eux, je veux dire au point de vue du nombre. C
blie les objets représentés ; ils reculent sur l’arrière-plan ; on ne
considère
plus que les chiffres, on les assemble, on les co
e produit par le nombre de ces premiers. Au lieu de ce cas si réduit,
considérez
le travail d’un algébriste qui écrit des équation
donc aussi, et indépendamment de leurs situations dans les ordres, de
considérer
comme contradictoires en elles-mêmes des qualités
lus grands magasins de sophismes et d’erreurs que cette négligence de
considérer
, cette faute de considérer, ce défaut de considér
ismes et d’erreurs que cette négligence de considérer, cette faute de
considérer
, ce défaut de considérer, je veux dire que cette
tte négligence de considérer, cette faute de considérer, ce défaut de
considérer
, je veux dire que cette négligence qui consiste à
e considérer, je veux dire que cette négligence qui consiste à ne pas
considérer
, à négliger de considérer que du tout neuf n’est
que cette négligence qui consiste à ne pas considérer, à négliger de
considérer
que du tout neuf n’est pas forcément du tout nouv
soit tout. Mais je dis que quand même il n’y aurait que cela, et à ne
considérer
que cela, cela même serait capital, et ferait une
tre du programme, et surtout le commencement du titre du programme on
considère
les résultats, qu’est-ce qu’on voit. On voit que
ra d’ouvrir ici une note dans cette Note. Il est impossible de ne pas
considérer
, avec un saisissement, combien cette théorie cart
erté Dieu s’est mis dans la dépendance de l’homme. Car il ne faut pas
considérer
seulement la place frontière. Il faut considérer
. Car il ne faut pas considérer seulement la place frontière. Il faut
considérer
« Versailles et Saint-Denis ». Si la place n’est
ui est ou qui peut être, là est exactement la fissure. … « sans rien
considérer
pour cette effet que Dieu seul qui l’a créé, ni l
continu physique et quand on peut dire qu’il a n dimensions. Si nous
considérons
divers systèmes d’impressions et que nous les com
soient identiques ; l’une est relative à la vue, l’autre au toucher.
Considérons
-les séparément. La première est nécessaire, mais
ccessivement les deux séries de sensations musculaires S et S′ que je
considère
comme inverses ; je conclurai encore, tout comme
e dimensions est très grand. Convenons, comme je l’ai fait, de ne pas
considérer
comme distinctes les deux séries Σ et Σ + S + S′
séries de mouvements où le doigt ne bouge pas. Je dis que si l’on ne
considère
pas comme distinctes les séries Σ et Σ + σ où la
doigts en engendrera un semblable. Comment sommes-nous conduits à les
considérer
comme identiques à l’espace visuel, comme identiq
e nouveau l’impression A′ ; … C. Q. F. D. Voyons les conséquences. Je
considère
une série de sensations musculaires S ; à cette s
t, un point soit dans le premier espace, soit dans le second. Je vais
considérer
les deux points N et M ainsi définis comme se cor
; comment sommes-nous conduits à en conclure qu’ils sont identiques ?
Considérons
les deux séries σ et S + σ + S′ = σ′ . J’ai dit q
âton et l’imbécile est armé d’une carabine à répétition. Il faut donc
considérer
à part l’intelligence et contenu de l’intelligenc
ense pas, en écrivant ceci, aux conséquences de cette découverte ; je
considère
le fait en lui-même. Regardons cet être lointain,
resque toutes les théogonies. Mais laissons cet ordre d’idées pour ne
considérer
la mutation que selon son caractère biologique. I
toriques, et, certainement, aux temps géologiques. Il faut d’ailleurs
considérer
que, dans ces substitutions, la race nouvelle se
igence est constante. Cette constance ne doit pas, bien entendu, être
considérée
comme individuelle. C’est une constance de princi
suppose aussi le fil, très mince lanière de cuir ou fibres végétales.
Considérons
tout ce qu’il y a d’admirable dans ces faits sur
que la régularité idéale, un beau développement humain. Mais il faut
considérer
ces temps anciens avec un peu plus de méthode et
on des pyramides, de chétifs treillis, et destinés à une durée brève.
Considérons
maintenant que l’exemple de ces élévations nous a
en ne prouve qu’elle ait été uniquement lacustre. Pour ma part, je la
considérerais
volontiers comme l’exemple particulier d’un état
ntains d’une nourriture restée quotidienne dans tout l’Occident ne se
considèrent
pas sans émotions, non plus que les instruments n
servaient à la fabriquer. Il y a aussi la question du blé, du seigle,
considérés
, non plus comme céréales, mais comme graminées, c
ici, à ce second stade de la découverte du métal, devant un homme qui
considère
un caillou singulier, plus lourd et plus brillant
es, il ne les invente pas. Les anthropologistes ne semblent pas avoir
considéré
ces faits trop anciens avec beaucoup d’attention.
a période des grandes inventions27 et que cette période pourrait être
considérée
comme close au moment où paraît la première hache
à tous les autres mouvements musculaires, signes de vie. Le langage,
considéré
en général, abstraction faite de la forme sonore,
i est une abstraction, est aussi une réduction. Il m’est difficile de
considérer
les premiers mots isolés autrement que très longs
t non plus pour le jeu. Mais cette question est liée à celle du génie
considéré
comme primitif et opposé à l’intelligence signe d
Nous oublions toujours, quand nous comparons le passé au présent, de
considérer
à quel point le présent est le débiteur du passé.
mathématicien, ne voit dans l’astronomie qu’un prétexte a calculs. Il
considère
comme des incidents presque futiles Aristarque de
’y voyais un excellent argument en faveur de la primitivité du génie,
considéré
comme une forme particulière de l’intelligence. L
signes de primitivité, et je me demande à ce propos si le génie, même
considéré
comme une soudaine poussée intellectuelle, n’est
s l’ordre physique, soit dans l’ordre intellectuel, il ne faut pas la
considérer
comme une constance mathématique, Elle est, en de
’est pas progrès. L’évolution est un tait et le progrès un sentiment.
Considérer
, comme Spencer, que l’évolution est nécessairemen
s à assurer une constance originelle. Du point de vue humain, l’homme
considéré
comme sommet, elle est nettement régressive. Ayan
regarde comme impossible que ces points soient jamais contigus, et je
considère
comme tout à fait certain que, si la distance ent
t pas même des propriétés de la substance corporelle, que nous devons
considérer
uniquement comme une force de résistance capable
évolutionné la chimie. Ecoutons Wurtz (la Théorie atomique, 1879) : «
Considérons
de plus près l’hypothèse de la discontinuité de l
ble. Bien plus, grâce à M. Quinton, l’évolutionnisme doit plutôt être
considéré
comme un révolutionnisme. Deux choses, dans cette
éré comme un révolutionnisme. Deux choses, dans cette théorie, sont à
considérer
: la vie, elle-même, et le milieu dans lequel évo
sentait les derniers perfectionnements. A vrai dire, cette manière de
considérer
l’homme était d’origine religieuse, bien plutôt q
l’homme dans la nature. A certains indices, on semblait obligé de le
considérer
comme un animal très ancien, bien plus ancien que
t pas moins un homme : et cependant, si c’est l’intelligence que l’on
considère
, quelle distance entre eux ! Distance aussi grand
r de très haut le reste du règne animal, mais il est impossible de le
considérer
comme la dernière pensée du créateur. S’il y a un
on de vie. Les tendances personnelles de J.-H. Fabre le porteraient à
considérer
l’instinct comme absolument fixe et comme irréduc
hommes ont intérêt à ce qu’il en soit ainsi. Nous avons l’habitude de
considérer
les actes humains comme des actes libres, volonta
urs jugements. Cela n’en saurait avoir davantage sur notre manière de
considérer
les crimes et les divers manquements à la loi et
devoir. Cette casuistique permet à la courtisane amoureuse de ne pas
considérer
comme des infidélités les liaisons fugitives où e
ertaine jalousie. Encore y a-t-il des limites ; il est pénible d’être
considéré
comme un objet trop précieux. Cela arrive aux hom
ompagner de dol, de vol ; en ce cas, c’est réellement un crime. Mais,
considérée
en soi, comme un acte purement sexuel, ce n’est p
e la composition, et il ajoute que ces prétendues manies doivent être
considérées
comme « tendant » créer une sorte d’état second,
essemblent. L’Anglais Quincey a écrit un livre bizarre : L’Assassinat
considéré
comme un des Beaux-Arts ; dans cet art, l’origin
rechercher les traces dans les religions classiques. On pourra ainsi
considérer
les mythologies sous une lumière nouvelle et reje
ne pouvait cependant pas méconnaître absolument l’efficacité, ne fut
considérée
que comme un adjuvant à l’intervention des dieux,
tiers guider par le sens esthétique, ou réel ou factice, le peuple ne
considère
l’ensemble de la nature brute ou façonnée par l’h
ys Basque quand s’érigèrent les hôtels-de-ville, dont l’utilité était
considérée
comme très grande. Mais que dans une ville, où il
t dans les villes ; il y en a très peu sans chat. Tantôt, le chat est
considéré
comme un animal utile, tantôt comme un animal agr
e chat, habile à faire lui-même sa toilette. La supériorité du chien,
considéré
comme « enfant », c’est qu’on peut l’emmener avec
rder son sang-froid. Un monstre surgit qu’il nous répugne aussitôt de
considérer
comme l’Un de nous faisant grande injure aux anim
telligence antique ait jamais imaginée. » J’aime qui aime Epicure. Je
considère
qu’aimer ce beau philosophe c’est faire preuve de
nt chimérique pour l’individu et pour l’espèce. On peut cependant les
considérer
comme des freins. Si le progrès matériel avait ma
otre double représentation ? Tant qu’il est au repos, nous pouvons le
considérer
, indifféremment, comme constitué par deux lignes
s de clarté, nous l’en détachons sur la figure). Voilà pour la forme.
Considérons
la grandeur. Celui qui eût raisonné a priori, ava
s de toutes les imaginations successives de l’observateur, qu’il peut
considérer
comme équivalents tous les Temps conventionnels p
s la chose dont il s’agit ainsi est essentiellement ligne de lumière.
Considérons
les trois points 0, B, A de notre première figure
que ce sont des figures, c’est-à-dire des tracés de lumière que l’on
considère
tout d’un coup, et de ce qu’il faudra cependant e
areil, les deux lignes d’espace rigides supportant les deux miroirs ?
Considérons
la position de l’appareil qui correspond au momen
Il ne faut point se lasser de le dire : la philosophie ne doit être
considérée
que comme la recherche de la vérité par le secour
sprit humain ne recommence pas à parcourir sa carrière philosophique.
Considérons
donc quelle sera cette carrière, seul avenir qui
gination et ce qui persuade l’entendement. Il s’agit seulement ici de
considérer
l’application possible et les résultats vraisembl
la morale pour base inébranlable et pour législateur suprême, on l’a
considérée
, tout au plus, comme l’un des éléments du calcul,
reconnues, souffrent une multitude d’exceptions ; pourquoi la vertu,
considérée
comme le calcul de l’intérêt personnel, n’en aura
t que ses impressions sont souvent involontaires. La morale doit être
considérée
dans l’homme, comme une inclination, comme une af
e dévouement entre les hommes ; mais ces moyens, utiles lorsqu’on les
considère
comme accessoires, deviendraient insuffisants et
I. Résumé. I. Effets des conditions extérieures. — En général, j’ai
considéré
jusqu’ici les variations fréquentes et multiforme
is de la possibilité de semblables héritages. Le plus sûr est donc de
considérer
l’absence totale des tarses antérieurs chez l’Ate
es affinités et de grandes ressemblances d’organisation. Mais si l’on
considère
les deux faunes dans leur ensemble, on voit qu’il
elles présentent, Schiœdte affirme « que ce phénomène ne saurait être
considéré
autrement que comme purement local ; et que la re
aux des cavernes, et Schiœdte adopte cette manière de voir. « On doit
considérer
les faunes souterraines, dit-il, comme autant de
bien entendu, non pas à une seule et même espèce, mais à des espèces
considérées
comme distinctes. Pourtant, lorsqu’un animal, apr
e nombreuses îles de la zone torride. De pareils faits me disposent à
considérer
la faculté d’adaptation à un climat quelconque co
ecueillir les graines de ce semis avec la même précaution, je ne puis
considérer
l’expérience comme ayant seulement été tentée. Qu
le même lien existe encore entre les membres et la mâchoire, et l’on
considère
en effet la mâchoire inférieure comme étant homol
s fleurs centrales. Il suit de là que des modifications de structure,
considérées
par les classificateurs méthodistes comme étant d
ner de plus en plus. C’est avec droit, je crois, que quelques auteurs
considèrent
les organes rudimentaires comme susceptibles de g
pareil fait suffit à prouver qu’un caractère quelconque, généralement
considéré
comme de valeur générique, peut diminuer de valeu
quatorze ou même seize plumes caudales chez le Grosse-Gorge peut être
considérée
comme une variation représentant la structure nor
tre rangées comme espèces et comme variétés. Il faut donc, à moins de
considérer
chacune de ses formes comme indépendamment créées
ernement des Indes de l’examiner, qu’un Cheval sans zébrure n’est pas
considéré
comme de race pure. La raie dorsale existe toujou
des faits sociaux La première règle et la plus fondamentale est de
considérer
les faits sociaux comme des choses. I Au mom
ent celles qui les ont précédées, chaque type supérieur pourrait être
considéré
comme la simple répétition du type immédiatement
voir, des faits que l’économiste conçoit comme se rapportant à la fin
considérée
, et tels qu’il les conçoit. Entreprend-il, par ex
eurs sources que nous saurons d’où ils proviennent. Il nous faut donc
considérer
les phénomènes sociaux en eux-mêmes, détachés des
paraissent le plus consister en arrangements artificiels doivent être
considérés
de ce point de vue. Le caractère conventionnel d’
uent la matière de la science. Aussi ni Locke, ni Condillac n’ont-ils
considéré
les phénomènes psychiques objectivement. Ce n’est
cette conception que les états de conscience peuvent et doivent être
considérés
du dehors, et non du point de vue de la conscienc
, mais tout un ensemble de procédés et d’artifices pour arriver à les
considérer
de ce biais. Au contraire, les faits sociaux ont
ayant seuls le droit d’avoir ces caractères. Quant aux autres, on les
considère
comme ayant usurpé ces signes distinctifs et on n
lorer un ordre quelconque de faits sociaux, il doit s’efforcer de les
considérer
par un côté où ils se présentent isolés de leurs
et vous avez une sensation de saveur. Voilà le point de départ. Vous
considérez
attentivement cette sensation délicieuse ; moment
nsations s’effacent sous sa prépondérance ; vous avez du plaisir à ne
considérer
qu’elle et à oublier le reste. En même temps, par
ague, description nulle. C’est un groupe de fautes, et vous pouvez le
considérer
comme un résumé du morceau. Triste résumé. Nous e
métaphysique de M. de Biran. L’ornière était inévitable ; accoutumé à
considérer
des généralités vagues comme des faits précis, il
araissaient, il n’y aurait plus de moi. Si vous en voulez une preuve,
considérez
le sens du verbe, vous verrez que toujours et par
nstant elles ont pris une importance énorme. Les faits n’ont plus été
considérés
que comme un moyen de les découvrir. Quelles sont
s aux faits cachés, des faits produits aux faits producteurs. Daignez
considérer
sans prévention une de vos théories ordinaires, c
l’Univers de la Relativité généralisée. D’autre part, on n’a jamais à
considérer
de vitesses comparables à celle de la lumière, ni
nous établissions jadis entre le Temps réel et l’Espace pur, indûment
considérés
comme analogues par la philosophie traditionnelle
e ; la chose est cette fois relation. Descartes ramenait la matière —
considérée
dans l’instant — à l’étendue : la physique, à ses
ra les trois principes de la nouvelle science23. 6. La philosophie
considère
l’homme tel qu’il doit être ; ainsi elle ne peut
non ramper dans la fange du peuple de Romulus 24. 7. La législation
considère
l’homme tel qu’il est, et veut en tirer parti pou
t les langues. 18. Une langue ancienne qui est restée en usage, doit,
considérée
avant sa maturité, être un grand monument des usa
aturel des peuples du Latium. 20. Si les poèmes d’Homère peuvent être
considérés
comme l’histoire civile des anciennes coutumes gr
ues, ils sont pour nous deux grands trésors du droit naturel des gens
considéré
chez les Grecs. Cette vérité et la précédente ne
ent comprises, mais exprimées avec autant de modifications qu’on peut
considérer
ces choses sous divers aspects. Nous le voyons da
a grande lacune laissée par la philosophie grecque, qui n’avait point
considéré
l’homme dans l’ensemble de la société du genre hu
les causes des phénomènes qu’ils ignorent à la volonté de Dieu, sans
considérer
les moyens qu’emploie cette volonté. 34. L’observ
e fonder sans religion, ni s’agrandir sans vertu. — En outre, si vous
considérez
l’isolement de ces peuples sauvages qui s’ignorai
er principe du christianisme, qui se trouve dans le caractère d’Adam,
considéré
avant le péché, et dans l’état de perfection où i
s’en forme même une autre en Australie. Si nous passons à l’humanité
considérée
dans son organisme social, nous trouvons de nombr
on, suivant la méthode artificielle que suppose le vulgaire. Ceux qui
considèrent
comme légitime d’arguer des phénomènes aux noumèn
r, contestables. L’analogie est bien plus frappante encore, si on les
considère
surtout dans leur développement, si l’on remarque
ne sort du gland. A s’en tenir aux opinions courantes, la science est
considérée
comme un mode de connaissance à part, sui generis
nir, comme la physiologie ; et il y a des prévisions exactes qu’on ne
considère
pas comme une science : savoir qu’une lumière s’é
idées de nombre sont donc dérivées de grandeurs égales ou semblables,
considérées
surtout dans les objets inorganiques ; et par sui
ce qu’aucun autre, l’incompréhensibilité. totale du plus simple fait,
considéré
en lui-même. Lui seul voit vraiment qu’une connai
ent aujourd’hui les crimes et les folies de la superstition ; mais je
considère
chaque grande époque de l’histoire philosophique
ports se sont doublés, pour ainsi dire, depuis que les objets ont été
considérés
sous un point de vue tout à fait nouveau. La conf
ce livre, c’est la bienfaisance envers les malheureux. L’homme y est
considéré
comme devant recevoir une impression profonde par
les progrès de la métaphysique l’étude de la théologie. On a souvent
considéré
cette étude comme l’emploi le plus oisif de la pe
, comme tout ce qui sépare les hommes au lieu de les réunir, dut être
considérée
comme un mal funeste, dès qu’elle cessa d’être un
peuples, puis au perfectionnement même de l’esprit humain. Si l’on ne
considère
cette époque de la renaissance des lettres que so
désir de connaissance de soi-même, attribué à l’être métaphysique. À
considérer
les choses d’un point de vue plus positif, il sem
. Sous ce double aspect passionnel et moral, le rôle de la sensation,
considérée
comme but, est considérable dans la vie phénoména
dustrie de l’intelligence, expliquent suffisamment que l’humanité ait
considéré
la connaissance comme un moyen d’améliorer la vie
éalité, à concevoir toujours les choses autrement qu’elles ne sont, à
considérer
comme indivisible ce qui est composé, comme unce
possible la vie sociale et d’en favoriser le développement doit être
considéré
comme utile à la vie même de l’espèce. Dès lors,
mble des rapports sociaux, puisque toutes les choses humaines étaient
considérées
comme divines. Les hérauts qui déclaraient la gue
capitole à Jupiter Férétrien, et ensuite immolés. Les vaincus étaient
considérés
comme des hommes sans Dieu ; aussi les esclaves s
ein de la Providence [qui voulut qu’aux temps héroïques la parole fût
considérée
comme irrévocable] que Lucrèce prononce, au sujet
aux temps humains le droit devenu plus large et plus bienveillant, ne
considère
plus que ce qu’un juge impartial reconnaît être u
-être en partie responsables de cet état de choses. Ils ont longtemps
considéré
l’art comme la plus haute des valeurs, qui devait
la société ne veut pas admettre leur profession ; elle continue à les
considérer
comme des êtres d’exception ; elle ne leur accord
nvénients, n’est-ce pas la rançon de la gloire ? Ainsi, on continue à
considérer
, erreur de tous temps, que le génie est placé dan
e la société, aujourd’hui c’est le fait d’acquérir un capital qui est
considéré
comme la plus haute vertu. Devant les efforts d’u
haut quelques-uns de nos meilleurs écrivains contemporains, ceux qui
considèrent
l’art comme une activité véritablement désintéres
ur sa mémoire, mais le plus souvent pour la détruire. C’est qu’il est
considéré
comme un mort pareil aux autres morts, alors qu’i
, de faire entrer le rêve dans la vie, ce qui exigerait le courage de
considérer
la vie en soi, sans la revêtir de mille chimères
tout ordre établi. On craint que les morts se conduisent mal. On les
considère
comme des petits enfants qu’il faut surveiller co
e. Tel grand avocat a voulu, pendant trente ans, ignorer son fils, le
considérait
comme un oisif, comme un fainéant, perdu par les
ment sérieux à la diffusion de la pensée, si elles ne servaient pas à
considérer
les artistes après leur mort, et seulement après
des savants, qui leur demandent de consulter leurs archives. Ils les
considèrent
comme d’insupportables importuns, comme les ennem
dépouiller les œuvres posthumes de son mari. Mais combien de familles
considèrent
comme encombrants ces vieux papiers noircis par l
illeurs, est conforme à ce mouvement général : ils veulent maintenant
considérer
leur activité artistique comme une activité ordin
le fait le plus symptomatique est celui-ci : l’invention, l’idée est
considérée
comme n’ayant aucune valeur en elle-même, mais au
ribués pour toujours à l’artiste et à ses descendants, par contre, je
considère
que dès la mort du créateur, sa création doit app
e silence à leur sujet peut être interprété comme un acquiescement et
considéré
comme une garantie d’authenticité. « Le remède à
auf dans des cas très particuliers, une lettre privée ne saurait être
considérée
comme un ouvrage littéraire. Ce n’est qu’un docum
staments comme dans les contrats est pourtant, aux yeux des juristes,
considérée
comme un élément sacré, qui doit être toujours re
aient des droits à payer aux héritiers sur les œuvres classiques, ils
considéreraient
, comme font tous les commerçants quand leurs frai
de sélection naturelle marcheront de pair. Il suit de là que, si nous
considérons
chaque espèce comme descendant de quelque autre f
hance de se propager, aient enfin produit un Écureuil volant parfait.
Considérons
maintenant le Galéopithèque, ou Lémur volant, qui
ait eu dans l’organisation des modifications correspondantes. On peut
considérer
les pieds palmés de l’Oie terrestre de Magellan (
tout en confondant notre imagination, peut, avec toute rigueur, être
considérée
comme vraie. Comment un nerf peut-il devenir sens
sivement en se perfectionnant chez une espèce quelconque, il faudrait
considérer
exclusivement la série rétrogressive de ses ancêt
rement avec les lacunes circulatoires du sac et du corps, et qui sont
considérées
comme des branchies par le professeur Owen et par
e ses ennemis cet habitant des forêts. En conséquence, nous l’aurions
considérée
comme un caractère de haute importance qui pouvai
nouvelles modifications, ils commencèrent peu à peu à grimper104. On
considère
généralement la peau nue de la tête du Vautour co
érences caractéristiques de nos races domestiques, que cependant nous
considérons
généralement comme ayant été produites par voie d
sent qu’une beauté extérieure qui plaît aux femelles, ne peuvent être
considérés
comme utiles que dans un sens un peu forcé. Mais
s, chaque détail d’organisation dans toute créature vivante peut être
considéré
comme ayant été avantageux à l’une de ses formes
ugements peuvent errer dans l’un comme dans l’autre cas. Pouvons-nous
considérer
l’aiguillon de la Guêpe ou de l’Abeille comme par
plantes sont fécondées par l’intermédiaire des insectes, pouvons-nous
considérer
comme une combinaison ingénieuse et également par
ce vieil axiome d’histoire naturelle : Natura non facit salturn. À ne
considérer
que les habitants actuels du monde, cet axiome ne
présente en de semblables circonstances peut presque à coup sûr être
considérée
comme une souche mère ou comme une variété plus a
ngue que celle qui sépare chronologiquement deux périodes géologiques
considérées
par nous comme successives ; et le nombre total d
véritablement puissante, et c’est sous ce même rapport qu’on doit la
considérer
comme un don aussi indépendant de soi, que la bea
les hommes. Il n’est pas de mon sujet, dans cette première partie, de
considérer
la religion dans ses relations politiques, c’est-
u caractère au lieu d’en être seulement la ressource, cette dévotion,
considérée
comme le but auquel tous doivent tendre, et comme
nséquente au système sur lequel cet ouvrage est fondé, au système qui
considère
la liberté absolue de l’être moral comme son prem
s idées et à des sentiments, étudions-la en économie où nous aurons à
considérer
plutôt des besoins et des intérêts. L’économie es
t de l’autre côté les croyances religieuses et morales, ces dernières
considérées
comme « choses privées ». Le domaine économique s
, il faut l’armer des vertus de la machine ; il faut qu’il apprenne à
considérer
les conditions où il travaille d’une façon machin
ion, d’exclusion ou même de violence directe contre les dissidents.
Considérons
maintenant l’antinomie dans l’ordre de la réparti
nts bourgeois. — Ainsi on peut dire qu’il s’agit plutôt, dans les cas
considérés
par M. O. Effertz (et aussi par M. Vilfredo Paret
u comme un instrument de puissance entre beaucoup d’autres : elle est
considérée
aujourd’hui comme une fin en soi ; et le développ
nce, estimée jadis comme un moyen de dominer les forces naturelles et
considérée
à ce titre comme un facteur important de culture
ue « d’expérience » ; elle est une perturbation organique du cerveau,
considéré
en lui-même. Il faut donc restreindre le terme d’
on et ceux même de l’évolution, tels que Spencer, ont le tort de trop
considérer
l’intelligence comme une sorte de table rase, où
nsation et mouvement, émotion et motion, — nous finissons par ne plus
considérer
que la succession en général, la succession des s
est psychologiquement le rapport de l’appétit à la motion, la science
considère
la causalité dérivée, qui n’est qu’un extrait de
s. L’idée d’intelligibilité universelle ou d’universelle rationalité,
considérée
sous le rapport intellectuel, est la projection d
= néant au néant de second moment. Si, au lieu du néant absolu, nous
considérons
la réalité, il est contradictoire d’admettre des
ents, soient suivis de conséquences différentes ; car, alors, nous ne
considérons
plus les choses dans le même temps. Tout dépend d
s subsisteront identiques malgré la différence du temps. Il faut donc
considérer
le temps réalisé dans les choses. Mais alors ce s
que mort est un phénomène particulier, seul de son espèce quand on le
considère
dans la totalité de ses circonstances. Nous ne tr
ntinuation d’existence et une régularité de phénomènes, soit que nous
considérions
le domaine de la volonté, soit que nous considéri
s, soit que nous considérions le domaine de la volonté, soit que nous
considérions
celui de l’intelligence. Nous voulons persévérer
ombien ce raisonnement est fallacieux, nous avons seulement besoin de
considérer
que la volonté, qui est ici présentée comme une c
r plus complète. Chaque espèce d’émotions est caractérisée avec soin,
considérée
dans ses effets, ses modifications, son influence
es et supérieures ; celles qui seront communes à toutes pourront être
considérées
comme primitives et simples ; et celles qui sont
en lui-même ; il l’a rattaché à ses causes, à ses conditions ; il l’a
considéré
comme le moment d’un tout, dont on ne peut le sép
sur un fait et un fait humain. Dans leur sens propre, dit M. Bain, je
considère
les mots moralité, devoir, obligation, droit, com
dividuelle, l’auteur se déclare en désaccord complet avec ceux qui la
considèrent
comme primitive et indépendante. « Je maintiens,
ue de placer la règle morale dans une législation promulguée et de la
considérer
comme le type sur lequel se façonne la conscience
l se jura évidemment de sacrifier à ces nouvelles idoles ou plutôt de
considérer
comme des idoles tout ce qui n’était pas ces dieu
préoccupation constante et sa perpétuelle volonté. Et l’on peut donc
considérer
sa tragédie comme l’intermédiaire et l’on se risq
c’est dans cette mesure seulement qu’il se flatte d’avoir erré : « Je
considérais
… le pessimisme philosophique du xixe siècle comm
caractère, son romantisme… Tout art et toute philosophie peuvent être
considérés
comme des remèdes… Mais il y a deux sortes de sou
e sont pas égaux. » Nietzsche ne tarit pas sur les « tarentules ». Il
considère
les socialistes comme la race « la plus honnête,
là ce qui me dégoûte. » — Sans aller si loin, « gardons-nous aussi de
considérer
l’univers comme une machine. Il n’a certainement
de toute chose nous faisons d’abord une image, notre image ? Nous ne
considérons
encore la science que comme une humanisation des
fussent, du reste, leurs idées politiques, ont habitué les esprits à
considérer
toutes choses au point de vue de la morale, sub s
fatigué, de déchet social et de décadence sociale, a été appelé à se
considérer
comme saint, comme divin, comme « membre vivant d
réaliser cette idée grecque des ombres de l’Hadès ! Ce Christianisme
considéré
comme glas de la bonne antiquité, sonné d’une clo
vie repose sur apparence, art, illusion » et croyance à une illusion
considérée
comme belle, séduisante et fortifiante. Sans alle
réparé et lui-même, que le socratisme subordonnait l’art à la morale,
considérait
l’art, ainsi que tout travail humain, comme devan
passion pire. Les chrétiens ont prétendu supprimer l’amour, le faire
considérer
comme une passion funeste, comme un ennemi. Soit
t ; mais « les passions deviennent mauvaises et perfides quand on les
considère
d’une manière mauvaise et perfide ». Les chrétien
st une vulgarité , c’est le propre des âmes les plus vulgaires que de
considérer
toujours son ennemi comme mauvais, comme méchant.
pas revenir sur ce que nous avons examiné, de la morale indépendante,
considérée
depuis Socrate, peut-être depuis un temps antérie
me cette même illusion, je lui dirais qu’il est un fou. » La morale,
considérée
en ce qu’elle est en son fond, une loi particuliè
cet acte est arbitraire ou, au moins, n’est pas contrôlé. « Pourquoi
considères
-tu cela », à quoi tu songes, « comme juste ? Parc
? Parce que ma conscience me l’indique » comme juste. — Mais pourquoi
considères
-tu ta conscience comme infaillible ? Pourquoi ne
s tel ou tel jugement comme la voix de ta conscience, en sorte que tu
considères
quelque chose comme juste ; c’est peut-être parce
sont venus jusqu’à présent avec ce que tu appelles ton devoir ; et tu
considères
ce devoir comme juste parce qu’il te semble être
omme il y a des arrière-mobiles dans le commandement de la conscience
considéré
comme mobile, il doit y avoir des arrière-conscie
eur ne lui appartiendraient pas. La vertu, c’est donc la tentative de
considérer
un fait de volonté, dans le présent ou dans le pa
faut avoir conscience que l’on a manifesté sa volonté pour pouvoir se
considérer
soi-même comme une cause ». — Et l’on voit bien q
aît pas, mais, comparé à vous, il les connaît. Il s’ensuit « qu’il ne
considère
pas, comme son juge ou son accusateur, que son ac
i, on le sait, que les juges de l’ancien régime jugeaient toujours et
considéraient
qu’il était de leur devoir de juger. En d’autres
qu’on a cru jusqu’aujourd’hui. On s’est, très longtemps, accoutumé à
considérer
la vertu et le vice comme des causes ; nous avons
serait justifiée si l’on pouvait admettre que le type du dégénéré fût
considéré
comme le type normal de l’homme. Mais c’est là pe
miner, comme ce qu’il y a de plus élevé et de plus admirable. Si l’on
considère
que cela ne signifie pas autre chose que d’exclur
entier d’un bien précieux, d’un bonheur et d’une jouissance ; si l’on
considère
que celui qui aime vise à l’appauvrissement et à
scret et le plus égoïste des conquérants et des exploiteurs ; si l’on
considère
enfin que, pour celui qui aime, tout le reste du
Défendrez-vous, soutiendrez-vous les passions ? Les passions ont été
considérées
généralement jusqu’ici comme des maladies de l’âm
ses principaux traits : « Origine du péché. — Le péché, tel qu’on le
considère
aujourd’hui, partout où le Christianisme règne ou
impossible de pécher contre cette dernière. Toute action ne doit être
considérée
qu’au point de vue de ses conséquences surnaturel
rts ; 3° des aspirations politiques et sociales. Devenir meilleur est
considéré
comme seule tâche ; tout le reste n’est que moyen
bite ; ce n’est plus le génie qui est admiré et, au contraire, il est
considéré
comme dangereux et comme insolent ; c’est la médi
ci, attentivement, dans son évolution. Ici, et cela est intéressant à
considérer
, Rousseau, Kant et Robespierre se donnent la main
, pour nous servir encore une fois de l’innocent langage de Kant, qui
considérait
comme sa tâche et son travail, comme une tâche «
sme baisse est bien sensible aux yeux mêmes, pour ainsi dire, si l’on
considère
les trois siècles que nous venons de parcourir. L
r personne en commandement de l’amour du voisin. Il faut au contraire
considérer
comme vrai ce qui se trouve dans les lois de Mano
t que société, que l’homme en tant qu’individu. La société n’a jamais
considéré
la vertu autrement que comme moyen pour arriver à
ine d’ardeur et d’éloquence. Lorsque de tels hommes d’exception ne se
considèrent
pas eux-mêmes comme des êtres d’exception, commen
e sera une pratique de l’espèce supérieure, à la condition qu’il soit
considéré
, non comme une expiation et un châtiment exercé s
s causes de la dégénérescence en est les conséquences, et ce que l’on
considère
comme les remèdes de la dégénérescence n’y est qu
devoir d’y puiser un motif de « foi en la civilisation de l’Europe ».
Considérez
ceci : « c’est à Napoléon et nullement à la Révol
raver : on devrait le hâter encore… Le seul but, même, que l’on doive
considérer
d’ici longtemps, c’est l’amoindrissement de l’hom
mental. » — Nietzsche dit encore et avec profondeur : « Parce qu’on a
considéré
la conscience comme mesure, comme valeur supérieu
on aversion pour ce qui est sérieux est liée au désir de pouvoir tout
considérer
platement et de l’extérieur. C’est ainsi qu’il pr
ct en ceci. Il a adoré la clarté grecque et la clarté française. Il a
considéré
la clarté comme la loyauté du philosophe. Il a ét
oderne. Il y a pourtant à relever chez lui une théorie sur le théâtre
considéré
comme commencement de décadence littéraire et com
ue, ni la grâce, ni l’esprit de tous les individus ; mais plutôt sont
considérés
comme un charme de plus et un aiguillon à créer u
auquel cas nous revenons au commun cas, et l’homme en question ne se
considère
point comme isolé, mais comme séparé pour un temp
rtune ; on veut qu’il fasse quelque chose pour le bien commun et l’on
considère
que c’est son devoir, et il en a conscience lui-m
iotisme lui-même. Un peuple a le sentiment hiérarchique tant qu’il se
considère
comme un camp. Tant qu’il se considère comme une
ent hiérarchique tant qu’il se considère comme un camp. Tant qu’il se
considère
comme une armée dans un camp fortifié, il compren
latilisé et quand le parfum en est resté. Mais même en soi, même à ne
considérer
que ses idées, je trouve à Nietzsche son utilité.
rte de doute au sujet d’eux-mêmes. De telles femmes, d’autre part, se
considèrent
toujours comme des êtres faibles, prêts à l’aband
it par ces développements comment Maine de Biran a pu dire que l’âme,
considérée
dans son absolu, c’est-à-dire dans son essence in
e, — ce qui peut être mis en doute ; — écartons l’idée de cette chose
considérée
dans son essence, laquelle nous est aussi inconnu
lité de parties peut former une unité au point de vue de celui qui la
considère
extérieurement : la Grande-Ourse forme une conste
tie, en d’autres termes que la matière ne peut devenir esprit. L’âme,
considérée
en soi, comme chose absolue, n’est donc pas un no
la nôtre. La pluralité des consciences est un postulat que l’on peut
considérer
comme acquis à la science sans démonstration. Il
r rapport à un système S est pour nous un fait d’observation. On doit
considérer
aussi comme un fait, jusqu’à nouvel ordre, la con
u dans l’espace n’est qu’une variation continue de distance ? Si l’on
considère
deux points A et B et le déplacement de « l’un d’
se rattachent uniquement à eux, qui sont perçus du dedans, mais qui,
considérés
du dehors, n’apparaissent plus à l’œil que comme
déale du mécanisme universel. Mais s’en tenir à cette formule eût été
considérer
globalement le rapport de tout à tout ; on ne pou
n être de convention, comment n’en serait-il pas de même du mouvement
considéré
comme affectant ce corps isolément ? Il n’y a qu’
parole intérieure cesse d’être calme ; mais, d’une part, il suffit de
considérer
quelques cas bien nets pour apercevoir les caract
ssent pas ; si l’on s’abstient de rechercher ses origines et si on la
considère
au moment même où elle se produit, la parole inté
certains états de conscience purement internes237. Il faudrait alors
considérer
l’hallucination comme un des éléments essentiels
out au contraire, ce sont les hallucinations vocales qui doivent être
considérées
comme des modifications de la parole intérieure.
ue, soutenu par son impulsion première. VIII. La parole intérieure
considérée
comme habitude Pour expliquer cette force étra
’habitude proprement dite, l’habitude pure et simple, mérite, si l’on
considère
ses effets, le nom d’habitude négative que nous l
enter en nous la perfection de l’habitude positive. En effet, si nous
considérons
d’abord les habitudes élémentaires qui la compose
truit incessamment des composés nouveaux. Ainsi la parole intérieure,
considérée
comme puissance, est à son acte ce qu’une majeure
ais. Tant de beaux exemples ne sont-ils pas pour encourager l’homme à
considérer
les plantes de très près et les interroger sur le
osité chrétienne, était de cet avis. Il n’aurait pas été fâché d’être
considéré
comme le définitif vainqueur du matérialisme, et
station sérieuse et nous sommes loin de la doctrine de Descartes, qui
considérait
comme de pures machines tous les animaux, même ce
vertébrés, doivent être observés et étudiés dans leur milieu même et
considérés
, non pas comme des produits isolés de la force cr
cien. Il y a même aujourd’hui une tendance parmi les biologistes à le
considérer
comme un des plus anciens parmi les mammifères su
omme dégénéré, ou, si l’on veut, évolué, mais l’homme ne saurait être
considéré
comme un chimpanzé perfectionné. Extrêmement anci
de Lamarck, comme M. Le Dantec lui-même. Est-ce donc que M. Le Dantec
considérerait
la Philosophie zoologique de Lamarck telle qu’une
ent être tout à fait étrangère à Lamarck. Il ne faut pas cependant la
considérer
comme incompatible avec ses théories. La mutation
er comme incompatible avec ses théories. La mutation peut en effet se
considérer
comme l’explosion de modifications virtuelles ou
ute philosophie scientifique. L’homme qui l’écrivit en 1809 peut être
considéré
comme un des grands libérateurs de la pensée. Lam
base scientifique, il n’y a pas non plus de science sans philosophie.
Considérons
avec émotion et avec reconnaissance le nom et l’œ
une histoire, même partielle, des religions. Quant à la prétention de
considérer
à part le christianisme, elle est absolument anti
», dont ils inondent le monde, qui n’en veut plus. Aussi bien peut-on
considérer
le livre de M. Reinach comme une petite bible qui
réciproquement, il y a eu des déchéances. Sans doute, ces mouvements,
considérés
dans l’ensemble d’un pays, sont minimes ; ils son
de l’abstention des aliments interdits. Il y a aussi un autre point à
considérer
: les relations de la caste avec les brahmanes. S
pendant nous-mêmes, hommes de ce siècle, et nullement primitifs, nous
considérons
encore ces notions comme insoumises à des rapport
re ; la grotte mystérieuse s’illumine et resplendit. Ruskin peut être
considéré
comme le type du génie pur et simple. Sa précocit
e utilitaire de Ricardo. Les économistes orthodoxes de ce temps-là ne
considéraient
pas les ouvriers autrement que comme des machines
ze heures de suite penché sur son métier ou rivé à son marteau. On ne
considérait
qu’une chose : le résultat ; et si l’ouvrier dema
vérifier la couleur d’une porte ou la hauteur d’une maison. Il aurait
considéré
comme une sorte de crime littéraire de décrire ce
vu le diable et, dit M. Le Bon, si le témoignage unanime pouvait être
considéré
comme prouvant quelque chose, on pourrait dire qu
et, je le répète, il serait peut-être sage, jusqu’à nouvel ordre, de
considérer
séparément l’homme et l’œuvre, de ne pas mêler, c
ement ; le jeu ne mérite presque plus son nom. Je crois fort juste de
considérer
dans beaucoup de cas le jeu comme un simple mode
s félins à contempler avec froideur la cage aux oiseaux. Il faut donc
considérer
séparément le poil et la plume. L’ami des oiseaux
aisonnement, c’est inévitable, est le pessimisme. Il a une tendance à
considérer
la femme comme une araignée dont l’homme est la m
s sont les véritables modèles de l’humanité. Ce sont elles qu’il faut
considérer
quand on veut établir la philosophie du plaisir.
la vie une grande place aux plaisirs, aux passions ; mais il ne, les
considère
pas seulement comme des éléments du bonheur, il e
érudits de l’Intermédiaire, qui ont lu tous les vieux auteurs ; je le
considère
en attendant comme bien caractéristique de la phi
tout continue. On affirmera sans crainte ceci ou cela, selon que l’on
considère
l’individu ou l’emmêlement des générations. A ce
distinctions : beau et laid, bon et mauvais, bien et mal, etc., et ne
considérer
dans les actes de la vie que la courbe des mouvem
et l’esthétique se confondraient. Déjà les hommes un peu cultivés ne
considèrent
le sujet d’un tableau que pour juger si le peintr
ents devraient s’astreindre à une neutralité vraiment scientifique et
considérer
comme légitimes toutes les manifestations, quelle
il me suffit d’un peu pour retenir beaucoup. » Faugère veut que l’on
considère
avec respect l’amulette de Pascal. Je ne le consi
e veut que l’on considère avec respect l’amulette de Pascal. Je ne le
considère
pas avec respect, mais avec un mélange de honte e
quelquefois pas d’autre moyen de juger d’une opinion politique que de
considérer
la qualité de ceux qui la professent. La croyance
le talent avec lequel ils séduisaient les hommes. » J’aime beaucoup à
considérer
, à l’étal des tripiers, les cervelles de mouton.
rts de la vie spirituelle avec l’état de société. La vie spirituelle,
considérée
sous son triple aspect, intelligence, sentiment,
e froisse beaucoup de sentiments et réprime beaucoup de désirs ? Nous
considérerons
l’intelligence à trois points de vue : 1º Dans se
idualise en chacun la pensée sociale exprimée dans le langage. * * *
Considérons
en effet non plus la genèse de l’intelligence, ma
s au second sens du mot science. Il s’agit ici des sciences spéciales
considérées
en dehors de toute prétention unitaire. Un physic
contre au début et au terme des raisonnements. Certes, la sociologie,
considérée
comme un ensemble de recherches positives sur la
es, sur lesquelles semble se faire l’accord de tous les individus, on
considérera
que, d’après l’hypothèse pragmatiste, ce n’est pa
errante saurait bien toute seule les faire valoir. * * * Après avoir
considéré
l’intelligence dans son origine et dans sa genèse
dans son origine et dans sa genèse, puis dans son objet (la vérité),
considérons
-la maintenant dans son usage et sa fin. Nous retr
x points suivants : 1º Antinomie entre la socialité et la physiologie
considérée
comme principe de différenciation mentale des ind
Schopenhauer, la conception transcendantaliste de l’intuition pour ne
considérer
que la conception empirique qui peut être gardée,
la politique positive, Discours préliminaire, p. 23. 23. « Il faut
considérer
les changements brusques qui ne comportent pas de
ariabilité. — L’une des premières choses dont on soit frappé quand on
considère
les individus de la même variété ou sous-variété
. Peut-être que la meilleure manière de résumer la question serait de
considérer
l’hérédité des caractères comme la règle, et leur
descendant à la même époque où elle était apparue chez l’ancêtre. Je
considère
cette règle comme d’une grande importance pour ex
ques, soit parmi les animaux, soit parmi les plantes, qui n’aient été
considérées
, par des juges compétents, comme les descendants
nt même pas d’un type sauvage unique. Cette manière de voir peut être
considérée
comme presque définitivement établie par les admi
dent pas un nombre égal d’espèces sauvages particulières qu’on puisse
considérer
comme leurs types originels ? Il en est de même d
inconnues aux ornithologistes, ce qui semble fort improbable, si l’on
considère
leur taille, leurs habitudes et leur remarquable
V. Principe de sélection depuis longtemps appliqué et ses effets. —
Considérons
maintenant par quels moyens nos races domestiques
couver, ou avec le Coq Bantam, si petit et si élégant ; si enfin l’on
considère
les hordes de nos plantes fleuristes et culinaire
mple des effets obtenus au moyen de sélections successives qu’on peut
considérer
comme inconsciemment poursuivies, par cette raiso
beaux individus qu’ils soient ou non suffisamment modifiés pour être
considérés
dès leur première apparence comme autant de varié
homme du bal à qui une femme disait : m’a-t-il de ses gros yeux assez
considérée
? — Madame, lui répondit-il, je vous regarde, mai
sidérée ? — Madame, lui répondit-il, je vous regarde, mais je ne vous
considère
pas. Dans l’un de ces paysages, ce sont des femme
er de côté tous les appendices que le temps vient souder sur elle, la
considérer
simple et brute. — Enfin, il faut la distinguer,
es arrangements font l’étoffe de toutes nos connaissances. Quand nous
considérons
de près une de nos conceptions, celle d’une plant
de, garni de cases, où l’on retrouve aisément la sensation qu’on veut
considérer
; on n’a rien fait de plus. On ne sait pas en quo
. On ne sait pas en quoi consiste la sensation elle-même ; si l’on en
considère
une, par exemple celle de l’odeur de rose, on la
isons différentes suffisent à expliquer toutes les sensations du son.
Considérons
d’abord les sons musicaux. On sait par l’acoustiq
par cette grandeur particulière que nous nommons le temps. À présent,
considérons
la sensation élémentaire elle-même. Dans le bruit
aturaliste à moins qu’on ne veuille seulement indiquer par là qu’elle
considère
les faits sociaux comme explicables naturellement
que le sociologue n’a pas suffisamment dépouillé le philosophe, il ne
considère
les choses sociales que par leur côté le plus gén
hodiques qui puissent arracher leur secret à des choses. Mais si nous
considérons
les faits sociaux comme des choses, c’est comme d
a pris une certaine forme. C’est à partir de ce moment qu’il faut le
considérer
dans ses traits généraux. Le Français est irréli
le verras. » Elle n’est pas fâchée d’indiquer à son oncle qu’elle le
considère
comme un imbécile. — Une autre enfant remarque en
ant, décisif et décisionnaire. Son opinion est la seule opinion qu’il
considère
et qui soit digne de considération. Il s’étonne q
cent et les fonctions que l’État leur confie, et ce serait un point à
considérer
, mais qui nous écarterait de notre sujet. Pour n
er, mais qui nous écarterait de notre sujet. Pour n’en point sortir,
considérez
et ces hommes dont leur vanité fait des déclassés
ne le permettent pas. Le peuple immoral est celui où les femmes sont
considérées
comme des choses ou comme des êtres inférieurs et
des choses ou comme des êtres inférieurs et se sont habituées à être
considérées
ainsi et sont passives et s’abandonnent aux désir
inage. C’est une élégance ; et ils sont extrêmement flattés qu’on les
considère
comme atteints de cette turpitude et de cette fâc
rte naturellement d’une religion qui recommande la chasteté et qui la
considère
comme une grande force et une grande vertu. Il fa
e avait horreur de la grivoiserie française, de la gauloiserie, et la
considérait
comme une plaie honteuse de la littérature frança
et dans toutes les régions du pays. Il peut être utile maintenant de
considérer
l’anticléricalisme français dans la suite de son
in, pour ce qui est de Molière, je ne saurais dire à quel point je le
considère
comme un des pères de l’anticléricalisme français
es coquins ; mépris des vieillards ou tout au moins tendance à ne les
considérer
que comme maniaques et figures à nasardes. La plu
e c’est incontestable. On peut d’abord faire remarquer, quoique je ne
considère
pas cette considération comme très importante, qu
laisse pas d’avoir peut-être un peu de signification et qu’il fallait
considérer
un instant. Et maintenant, venons aux deux pièces
de clérical que dans le rôle d’athée, et c’est seulement quand il le
considère
sous ce nouvel aspect que Molière fait éclater to
en arrive ainsi, par procès de tendances à très longue trajectoire, à
considérer
comme républicains des gens qui le sont en puissa
r le pouvoir spirituel. Or le pouvoir spirituel était occupé : elle a
considéré
ceux qui l’occupaient comme ses adversaires. Le c
elque raison, que, même depuis le xvie siècle, l’homme de lettres se
considère
comme l’héritier direct de l’antiquité. La littér
je parle de la généralité. Tout compte fait, je dis toujours à ne le
considérer
qu’au point de vue religieux, il a été cause de l
u’on a introduites en lui pour le changer ; et, tout au contraire, il
considère
la morale comme la chose qui est la plus naturell
que je décrivais séparément pour la clarté de l’analyse, on peut les
considérer
comme jointes et s’entrelaçant, et, de tout temps
ius et autres disciples et hommes à la suite, le xviiie siècle, à le
considérer
dans ses écrivains et dans ses directeurs d’espri
nt le fond de la pensée de l’Assemblée constituante. Les Constituants
considéraient
tellement l’Église qu’ils établissaient comme une
s religieuses selon son goût à lui et contre son goût à elle. Il doit
considérer
l’Église comme une association spirituelle indépe
parti clérical responsables de Sedan est quelque chose que l’on doit
considérer
comme une légende anticléricale sans aucun caract
est contraire aux bonnes mœurs. Sans doute ; mais il est difficile de
considérer
comme contraire aux bonnes mœurs le fait de vivre
congrégations en instance d’autorisation, une même question. Il faut
considérer
les garanties qu’elles présentent, leur utilité a
it le parti anticlérical vers la séparation de l’Église et de l’État,
considérée
elle-même comme un épisode de la guerre sans merc
ffisance même des moyens de répression. L’opinion sera ainsi amenée à
considérer
que le Concordat de 1801 a fait son temps, et à e
i, non seulement aurait résolus en quelques minutes, mais même aurait
considérés
comme n’existant pas ; car en vérité ils n’étaien
rictions qui ne me plaisent point du tout peuvent, à la rigueur, être
considérées
comme des mesures de transition qui seraient dest
caprice de toutes les tyrannies. Elle participe [est-ce assez vrai à
considérer
l’état de l’opinion de 1815 à 1830 ?] de l’amour
rd de la religion catholique, sont à méditer aujourd’hui et portent à
considérer
comme un progrès toute mesure qui, même maladroit
leinement. Car ce qui reste à reconquérir pour les catholiques, à les
considérer
comme libéraux, le voici : C’est la liberté d’ass
M. Combes : « Une loi, une foi ». Or pourquoi les catholiques, à les
considérer
comme libéraux, ce qu’ils sont pour le moment obl
force qu’elles tirent de leur union avec lui, il n’aurait plus à les
considérer
que comme des associations ordinaires soumises à
sitaire, qui est son idéal. Il détruira pièce par pièce la loi Briand
considérée
comme trop libérale et tenue pour seconde loi Fal
rois ans, uniquement sur la question anticléricale. M. Combes, enfin,
considéré
unanimement comme borné, choisi, on ne sait dans
à peu près de la manière suivante : abolition de l’Église catholique
considérée
comme un « État dans l’État », précisément parce
sert », qui auront réussi tant bien que mal à se former et qui seront
considérées
comme des sociétés secrètes, ce que, du reste, el
Pendant ce temps-là, l’Allemagne, que nous nous obstinons sottement à
considérer
comme une puissance protestante, et qui est une p
it des catholiques alsaciens. L’Allemagne, il est vrai, parce qu’elle
considérait
cela comme une mesure nécessaire de rattachement
ntretiennent leurs coreligionnaires alsaciens, de quoi ? De la France
considérée
, avec quelque raison, comme l’ennemi du catholici
non sans raison ; il est l’homme, qu’au contraire de l’élire ou de le
considérer
comme élu, la démocratie devrait éliminer par ost
e une chose lointaine, par suite de cette tendance qu’on a toujours à
considérer
un grand changement européen comme une chose loin
ssé par ses partisans ; c’est que tous les périls qu’il renferme sont
considérés
par ses partisans comme des chances qu’il ne sera
outes ses désastreuses conséquences sont, plus ou moins consciemment,
considérées
par ses partisans comme des progrès, ou tout au m
sée. C’est précisément ce qu’il faut. L’unité morale le veut. Nous ne
considérons
comme Français que ceux qui pensent comme nous, q
despotisme. Il y mène de toutes les façons. Il habitue les esprits à
considérer
qu’un homme n’a pas les droits de l’homme quand i
l pense d’autre manière que le gouvernement. Il habitue les esprits à
considérer
qu’un homme peut être proscrit parce qu’il vit d’
tions, sauf par corruption, tout autant que vous le voudrez ; et nous
considérons
que, non seulement c’est votre droit, mais que c’
de faire profession et propagande d’athéisme. « Il vous est permis de
considérer
le sentiment religieux comme une maladie mentale
finances. C’est tout. Vous n’avez pas autre chose à faire. « Ne vous
considérez
pas comme le premier théologien de France, le pre
haque être vivant, cependant certains caractères ou certains organes,
considérés
comme peu importants, peuvent être l’objet de son
s à manger d’une certaine racine64 ? Chez les plantes, les botanistes
considèrent
le duvet qui recouvre les fruits ou la couleur de
ent. Pareille singularité eût apparu à l’état domestique, qu’on l’eût
considérée
comme une monstruosité. V. Exemples de sélection
ttre ce transport entre les fleurs du même arbre, qui ne peuvent être
considérées
comme des individus distincts qu’en un sens très
variations sur chacun de ces individus et peut être, par conséquent,
considéré
comme un élément de haute importance dans la form
emander la preuve des règles que nous venons de formuler, et que nous
considérions
quelque région étroite et isolée, telle, par exem
lement considérable de genres en résulte pour les États-Unis. Si l’on
considère
la nature des plantes et des animaux qui ont lutt
simultanément, mais peut-être à de longs intervalles, et peuvent être
considérées
comme se perpétuant durant des temps inégaux. Cel
velle branche ou race. Au bout de dix mille générations, on peut donc
considérer
l’espèce A comme ayant produit trois formes, c’es
nouvelles espèces. Les neuf autres espèces du genre originel que nous
considérons
, peuvent continuer pendant une longue période à p
t de chacune des lettres majuscules qui représentent les onze espèces
considérées
jusqu’ici comme originelles, et convergent par en
nos divers genres ou sous-genres nouveaux. Arrêtons-nous un instant à
considérer
quel serait le caractère de la nouvelle espèce F1
uver quelques exemples d’un cas semblable. Dans la figure, nous avons
considéré
jusqu’ici chaque ligne horizontale comme représen
s de leur développement, de sorte que l’animal adulte ne saurait être
considéré
comme plus élevé que sa larve. En définitive, c’e
), parce qu’ils approchent le plus des reptiles ; tandis que d’autres
considèrent
au contraire que les poissons osseux ordinaires,
aque fleur ; d’autres au contraire, avec plus de vérité probablement,
considèrent
comme plus élevées dans l’échelle organique les p
et en français. Pour sa thèse latine il avait choisi Lucien, qu’il a
considéré
à un point de vue assez particulierg, non plus co
ont laissé de côté les vieux livres et les explications creuses, ont
considéré
les faits en eux-mêmes et ont constaté les lois.
bien que le mien n’ait pas à s’en plaindre) dans ces chapitres que je
considère
comme préliminaires. Que voulez-vous ? c’est la r
? g. [1re éd.] Pour la thèse latine il avait choisi Lucien, qu’il a
considéré
à un point de vue assez particulier h. [1re éd.]
: « Je ne saurais assez admirer les merveilles de la nature quand je
considère
que la plupart des insectes, comme les mouches et
r pour lui aucune importance ; ils étaient vrais, du moment qu’il les
considérait
comme vrais. Cette méthode, que nous voyons bâtie
sont deux fluides qui ne diffèrent qu’en ténuité, et qui doivent être
considérés
comme deux espèces du même genre (102). V — De
et de les exposer avec logique et décision. Sa sincérité est absolue.
Considérée
en opposition avec les basses rêveries des promet
ur à tour proie et prédateur, tour à tour mangeur et mangé, il aurait
considéré
avec encore plus d’amertume la venue de l’année n
l serait plus juste de dire que l’habitude héréditaire nous incline à
considérer
comme vraies certaines sensations ; comme fausses
c’est-à-dire de la connaissance. Je crois que l’absorption doit être
considérée
comme un des meilleurs moyens que nous ayons d’ap
, banale et de pur reflet, si on l’étend à toute la matière sensible.
Considérons
cette matière dans ses manifestations peut-être l
vivante. C’est donc par un abus singulier qu’on s’est accoutumé à la
considérer
isolée de l’ensemble des causes qui la produisent
alisme se fonde, en définitive, sur la matérialité même de la pensée,
considérée
comme un produit physiologique. La conception d’u
, en modalité, d’homme à homme, d’espèce à espèce, le monde peut être
considéré
comme inconnaissable, puisque chaque cerveau ou c
urt en proportion de ce qu’elle contient de philosophie. Mais il faut
considérer
séparément les religions et le personnel du culte
is ceci indique seulement que l’esprit humain, devenu individualiste,
considère
la Beauté et l’Amour, non plus comme des attribut
tant que de religion. Ce qui est vrai, sans doute, c’est que Renan ne
considéra
jamais la littérature comme un genre à part, dist
u contraire la nourriture quotidienne. Leur qualité est indifférente,
considérés
comme des jeux, comme des excitants. Ce sont leur
veux point dire que ce résultat soit mauvais. En ce moment, je ne le
considère
point non plus comme bon. Il est indifférent. La
ons communément pour la cause de la vie ce qui en est le résidu. Nous
considérons
comme principe directeur ce qui n’est que le résu
connue. Un poète qui s’occupe d’histoire naturelle est nécessairement
considéré
comme un simple amateur de science, et les dernie
ciologie, exemple excellent de l’influence des mots sur la manière de
considérer
la réalité* On a abusé de ce parallélisme jusqu’a
hysiologique, il faudra dire : activité. Si le travail, en effet, est
considéré
comme une nécessité physiologique, on ne pourra p
homme bien portant. C’est un héritage à coup sûr, car, dans la nature
considérée
d’une façon générale, il n’y a que des activités
ésintéressées ou productives, dérivent de ce besoin. Seulement, si on
considère
l’activité humaine sous la face travail, on verra
pour ne pas travailler eux-mêmes. Les Sémites, vers les mêmes temps,
considéraient
le travail comme un châtiment. Le christianisme l
que des fourmis « En topographie, disent les manuels, la terre est
considérée
comme plane. » Cet aphorisme s’applique merveille
t énorme. Relativement à l’homme, la pesanteur de la fourmi peut être
considérée
par un observateur comme à peu près nulle. Or, il
ent des battements de la vie, cette artère. Le temps ne peut pas être
considéré
comme une condition de production des phénomènes,
un des moments du temps lui-même. Si l’on fait abstraction de l’homme
considéré
comme spectateur, le temps qui est perçu par l’ho
des fins intérimaires. La continuité ne le permet pas ; elle oblige à
considérer
le temps, non plus comme une succession de phénom
la métaphysique, il faut donc s’arrêter. *** La manière dont M. Joyau
considère
le temps est plus humaine. Il y a même entremêlé
ralisant, selon l’heureuse formule de M. Dastre ; mais il continue de
considérer
les propriétés vitales de la matière comme entièr
itres de sa philosophie. Mais il y a autre chose encore dans Stendhal
considéré
comme philosophe. On le trouvera dans Taine. « Ta
tal. Une certaine prudence est nécessaire et une certaine douceur. On
considérera
aussi que les causes sont des effets, relativemen
uèrent Pascal et Nietzsche. Si les hommes et les femmes s’accordent à
considérer
certains petits gestes sociaux comme des preuves
st le grand personnage et le plus vivant, celui qui parle et que l’on
considère
avec émotion ou curiosité, même quand on ne compr
, particularisées, précisées par le milieu et selon l’ordre où on les
considère
. L’amour, la justice, le salut, l’intelligence, l
pensée était forte, sûre d’elle-même. Ce grand esprit autoritaire ne
considère
le style que comme l’instrument de la pensée. Là
laborieux. Nous ne devrions pas le savoir : il y a quelque impudeur à
considérer
de trop près ces mouvements secrets du génie, et
onge à cela, d’apprendre qu’il a remplacé, un soir qu’il se relisait,
considère
par contemple et entrevoir par apercevoir ! Il y
parasites, elle est insoluble, par sa complexité même. M. Paul Meyer
considère
seules comme parasites les lettres, dites étymolo
les domine. Ce principe directeur consiste en ce que le masculin est
considéré
comme supérieur au féminin ». On masculinisera le
ères de prononcer le féminin manus et le masculin pedem. Mais si nous
considérons
ces mêmes mots en latins, nous n’avons plus rien
1740-1789). Cette période peut être, au point de vue de la verbalité,
considérée
comme l’aurore du romantisme. Elle contient Jean-
anistan, de même que : en Avignon pour à Avignon ou, si Avignon était
considéré
comme un pays, pour au Avignon. On a dit de même
rte (Rer. ital. Script., II) qu’en 842 Landulf, archevêque de Capoue,
considérait
les moines comme des jettateurs dangereux à renco
fatigue l’existence, comme ces intérêts divers dont la réunion a été
considérée
comme un bon système de félicité, en fait de malh
lexion, c’est en écartant de moi l’enthousiasme de la jeunesse que je
considérerai
l’amour, ou, pour mieux m’exprimer, le dévouement
ie, il faut qu’il ait besoin de votre existence, et que vous puissiez
considérer
en vous le soutien de son bonheur. Dans quelque s
ont le caractère a transporté dans un autre l’égoïsme, que la société
considère
assez dans l’homme qui s’occupe exclusivement de
j’ai dit s’applique presque également aux deux sexes ; il me reste à
considérer
ce qui nous regarde particulièrement. Oh, femmes
un système de conduite également intolérant. Cette remarque doit être
considérée
comme une simple conséquence du même principe. Le
remiers regardent leurs adversaires comme des impies, les seconds les
considèrent
comme des obstacles, en sorte que les premiers dé
e idée nouvelle, à combiner de nouveaux rapports. Cette manière de ne
considérer
qu’un seul côté dans tous les objets, et de les p
les partisans des opinions modérées : les deux factions opposées les
considèrent
comme leurs plus grands ennemis, comme ceux qui d
différent aux succès de l’ambition personnelle, jamais cette passion,
considérée
d’une manière générale, n’est complètement satisf
une loupe pour nous apercevoir en France ; mais, en Amérique, on nous
considère
avec un télescope ; l’illusion dure encore, bien
Ne croyez pas que je sois arrivé sans de grands Combats intérieurs à
considérer
l’existence sous ce point de vue, ni que je m’v t
assion ardente qui m’entraîne vers un bonheur sans limite, et me fait
considérer
l’absence de ce bonheur comme la plus grande info
e bien regarder pour les voir : mais lorsque j’ai voulu m’appliquer à
considérer
les objets, je n’ai plus aperçu que doutes inextr
sur lequel on se risque est toujours un état pénible. Sans doute, je
considère
ce doute comme une des plus grandes misères de no
osent gratuitement et sans utilité. C’est pour cela que j’ai toujours
considéré
la métaphysique et toutes les sciences purement t
n France, écrivait-il, et avec les documents que je rapporte. » Il se
considérait
, en partant de l’Amérique, comme en état seulemen
ient l’esprit de la littérature. Il me semble que l’on n’a pas encore
considéré
comment les facultés humaines se sont graduelleme
uvrage, il est nécessaire de retracer l’importance de la littérature,
considérée
dans son acception la plus étendue ; c’est-à-dire
manquent de justesse, tout ce qui diverge enfin, doit être uniquement
considéré
comme un défaut. L’esprit donc ainsi assimilé, so
ittérature philosophique, c’est l’éloquence et le raisonnement que je
considère
comme la véritable garantie de la liberté. Les sc
’œuvre de la littérature italienne, anglaise, allemande et française,
considérés
selon le but général de cet ouvrage, c’est à dire
à la situation politique de la France depuis dix ans ; mais je ne la
considère
que dans ses rapports avec la littérature et la p
ené que le malheur et la destruction. La philosophie peut quelquefois
considérer
les souffrances passées comme des leçons utiles,
me n’est point un système, c’est une méthode, une certaine manière de
considérer
les choses, trop élevée sans doute pour être popu
tère et vénéré de nos intentions et de nos travaux, M. Royer-Collard,
considérait
comme les moins imparfaits de nos ouvrages, les m
s idées qui sont dans l’intelligence, le seul côté par lequel l’homme
considère
toutes choses, le seul caractère qu’il y reconnai
société naturelle ; il n’embrasse pas l’homme tout entier ; il ne le
considère
que par son rapport à l’idée du juste et de l’inj
és physiques, intellectuelles et morales ; mais devant l’État, qui ne
considère
les hommes que comme des personnes, comme des êtr
ans un coin de ce tableau, je ne trouverai pas la philosophie : je ne
considère
la civilisation que par ce côté. Mais par où comm
du globe, à ses divisions, en un mot à la géographie physique. Ainsi
considérée
, l’histoire de la philosophie prend un puissant i
raison humaine, de quelque manière qu’elle se développe, quoi qu’elle
considère
, soit quelle s’arrête à l’observation de cette na
ité ou la multiplicité. S’occupe-t-elle de l’espace ? elle ne peut le
considérer
que sous deux points de vue ; elle conçoit un esp
spaces particuliers, l’espace absolu. S’occupe-t-elle de l’existence,
considère-t
-elle les choses sous ce seul rapport qu’elles exi
onstituent cette raison. Or, ce qui était vrai dans la raison humaine
considérée
subsiste dans la raison considérée en soi ; ce qu
était vrai dans la raison humaine considérée subsiste dans la raison
considérée
en soi ; ce qui constituait notre raison est le f
sont dessous le sont aussi ; et ce sont ces idées que la philosophie
considère
en elles-mêmes. Laissons à la religion la forme q
condition y a-t-il mémoire ? à la condition du temps. La réflexion ne
considère
les éléments de la pensée que successivement et n
e la pensée que successivement et non pas tous à la fois. Si elle les
considère
successivement, elle les considère, pour un momen
on pas tous à la fois. Si elle les considère successivement, elle les
considère
, pour un moment au moins, isolément ; et comme ch
ue seulement cette foi se concentre sur un seul point ; au lieu de le
considérer
dans ‘ce qui lui manque, considérez-le plutôt dan
sur un seul point ; au lieu de le considérer dans ‘ce qui lui manque,
considérez
-le plutôt dans ce qu’il possède ; et vous verrez
une chose ? il faut que la réflexion s’y applique, et la réflexion ne
considère
les choses qu’une à une. Ignorer une chose, faibl
e toutes les autres, il faut la prendre comme un tout unique, pour la
considérer
à son commencement, dans son milieu et à sa fin ;
le s’attache à l’un, l’autre lui échappe ; elle est comme condamnée à
considérer
ce qui passe présentement sous son regard comme l
enne la forme de la vérité pour se faire admettre. L’élément que nous
considérons
à part, doit être réel pour attirer notre attenti
mpossible que tous les hommes se donnent en quelque sorte le mot pour
considérer
en même temps le même côté de la pensée et des ch
n’est donc pas le terme du fini relatif à la nature, qu’il nous faut
considérer
, mais le terme qui se rapporte à l’humanité. Le m
t accablante, de Dieu ; et, sous le poids de cette grande idée, il se
considère
à peine comme une ombre de celui qui seul existe.
e de l’ordre divin, et ses lois ont Dieu lui-même pour principe. Dieu
considéré
dans son action constante sur le monde et sur l’h
rattache l’histoire à l’humanité et au monde et par là à Dieu. Dieu,
considéré
sans rapport avec le monde et l’humanité, est déj
eurs lois générales. L’histoire est donc belle, morale, scientifique.
Considérée
sous ce point de vue, elle se présente au regard
ns ses principes, Malebranche eût pu répondre à cela. Pour nous, nous
considérons
l’histoire comme la contre-épreuve de la philosop
les suivent en tout genre, parce qu’ils ont foi en eux, et qu’ils les
considèrent
comme leurs interprètes. Les lieux, les peuples,
ience se résout ici dans un préjugé du sens commun. Ôtez les mots, ne
considérez
que les idées. Quel est celui de vous qui pense q
part et l’examine. Que lui demande-t-elle ? sous combien d’aspects le
considère-t
-elle ? La philosophie de l’histoire, en présence
occupé d’un intérêt particulier, par exemple, de l’intérêt politique,
considère
dans un peuple l’élément politique presque exclus
presque exclusivement ; ou, préoccupé de l’intérêt de la religion, il
considère
surtout l’élément religieux ; et alors ou il négl
leur impose à tous le caractère qu’il emprunte au seul élément qu’il
considère
, et s’il ne mutile pas l’histoire il la fausse. L
oir la simplicité qui accompagne aisément les formules exclusives. Ne
considérez
-vous un peuple que par le côté politique ? ici la
esure, tout l’exprime à sa manière. La philosophie de l’histoire doit
considérer
dans un peuple tous ses éléments intérieurs, l’ag
Théorie de la puissance. — Théorie de la gloire. — Les grands hommes
considérés
comme de simples individus dans leurs intentions
peuples. À l’autre extrémité de la civilisation et de l’imagination,
considère-t
-on des objets qui ont un caractère très déterminé
t entier dans ses grands hommes, c’est aussi en eux que l’histoire le
considère
. Ouvrez des livres d’histoire, vous n’y voyez que
e-t-il, et sous quel aspect la philosophie de l’histoire doit-elle le
considérer
? Un grand homme, dans quelque genre que ce soit,
t en eux-mêmes ; ils reconnaissent l’esprit même qui est en eux ; ils
considèrent
le grand homme comme leur image véritable, comme
fait homme, c’est son individualité ; mais séparez ces deux cléments,
considérez
l’homme dans le grand homme, et le plus grand des
malgré cela. La règle fondamentale est de faire comme l’humanité, de
considérer
les grands hommes par ce qu’ils ont fait, non par
et la transporter partout. Le premier historien de l’humanité a dû la
considérer
alors du haut du christianisme, lui donner le chr
our organe un théologien et un prêtre. De là la nécessité de Bossuet.
Considérez
combien le christianisme est favorable à une hist
nfonce jusque dans les racines du genre humain. Quand donc on ne veut
considérer
qu’une seule chose dans l’histoire du monde, on n
s, de ses progrès, de son triomphe, de son développement. L’Église ne
considère
les individus qu’autant qu’ils l’ont ou servie ou
ur la rendre à l’humanité. Vico, le premier, a démontré qu’il fallait
considérer
Orphée et Homère, non pas seulement comme de simp
armi les éléments de l’histoire avait vu surtout l’élément politique,
considérât
surtout les époques où cet élément joue un rôle i
ter entièrement l’élément intérieur, la liberté et l’intelligence, il
considère
plus particulièrement l’élément extérieur ; il es
tion. C’est ce qui est arrivé à Tiedemann. Son ouvrage peut bien être
considéré
comme celui qui représente le mieux la philosophi
il s’attache à l’élément opposé à celui que Locke a particulièrement
considéré
. La grande entreprise de Kant est une Critique de
le concentrée dans l’intention : en esthétique, le beau et le sublime
considérés
presque exclusivement dans leurs rapports avec l’
la même voie. Dans Kant, le point de vue sous lequel le sujet pensant
considère
les objets dépend de sa nature propre. Dans Ficht
de la philosophie ? Telle est la question : pour la résoudre, il faut
considérer
où en est aujourd’hui la philosophie. La philosop
e sont inséparables. De là, les plus graves conséquences. Dieu est-il
considéré
comme un pur être en soi, une substance qui n’est
Quoi ! parce que je rapporte l’action de Dieu à sa substance même, je
considère
cette action comme aveugle et fatale ! Quoi, il y
t pas assez parfait s’il lui laissait toutes ses perfections : il les
considère
comme des imperfections, l’être comme une dégrada
tributs. J’admire la folie de ceux qui, pour mieux connaître Dieu, le
considèrent
, disent-ils, dans son essence pure et absolue, dé
faisons-nous pas une semblable sur l’être des êtres, lorsque nous le
considérons
sans propriété déterminative, réduit et ramassé t
e existence si variée et si grande dont nous faisons partie, quand on
considère
l’étendue de ce monde visible et en même temps l’
t-il pas inutile de le démontrer, puisqu’on a essayé de le contester.
Considérons
d’abord les œuvres littéraires dans le temps. Est
dividu, passe par des phases d’éclat, de déclin, de renaissance, etc.
Considérons
maintenant les œuvres littéraires dans l’espace.
té ? N’est-elle point la grande redresseuse de torts ? Ne peut-on la
considérer
comme une cour d’appel, comme un tribunal suprême
une infaillibilité factice, gardent une valeur très réelle si on les
considère
seulement comme des présomptions. Les contemporai
r le nombre et la variété des sensations qu’elle éveille ; on peut en
considérer
la profondeur, l’intensité ; on peut en évaluer l
ous n’avons cessé de tourner : Il y a pour une œuvre littéraire (à ne
considérer
que ses qualités intérieures) cinq ordres différe
chemin parcouru par ce rayon dans l’éther à équation ou équation .
Considérons
maintenant le trajet du rayon qui va de la plaque
du parcours total est équation . C’est ce qu’on verrait encore, sans
considérer
directement la composition des vitesses, de la ma
coïncidant avec l’horloge Hₒ. du système S, marquait zéro comme elle.
Considérons
alors dans le système S′ une horloge H₁′, placée
éité. Il l’eût prise sur le vif en assistant au réglage des horloges.
Considérons
en effet, sur la ligne Hₒ′ H₁′ indéfiniment prolo
immobilisé par la pensée, et comment il faudra alors attribuer à S′,
considéré
du point de vue de S, les mêmes déformations temp
la démonstration qui font l’objet du présent travail. 1. On peut
considérer
le mouvement de la Terre comme une translation re
s observations scientifiques, elles tiennent sans doute à ce que l’on
considère
isolément des conditions qui n’ont de valeur que
ieusement combinées. Elle est une résultante. De là vient que si l’on
considère
un seul de ces éléments, on vient toujours s’acho
les, M. Lyell, n’hésite pas cependant à écrire : « Nous ne devons pas
considérer
comme admis que chaque amélioration des facultés
yen âge comme des jurisconsultes romains. La jurisprudence humaine ne
considère
dans les faits que leur conformité avec la justic
. Voilà pourquoi les hommes d’aujourd’hui sont portés naturellement à
considérer
les choses d’après les circonstances les plus par
isconsultes. La multitude n’en peut comprendre d’autre, parce qu’elle
considère
les motifs de justice dans leurs applications dir
s causes de tout ce qui est ou qui peut être dans le monde, sans rien
considérer
pour cet effet que Dieu seul qui l’a créé, ni les
ques bourgeois d’avoir une généalogie inscrite. L’homme s’attarde, il
considère
longuement ce classement du monde et ce classemen
t l’appareil même de la mort. Et comme échappé d’un immense danger il
considère
ses ancêtres qui ne connaissaient pas la lettre.
nteuse (ou animée de quel secret orgueil) ; car en même temps elle se
considérait
un peu (et même beaucoup) comme une curiosité, co
mphe. Mais nous ne triomphons pas. Corneille triomphe. S’il s’agit de
considérer
les ravages de la grâce, tout est merveille. Et t
on. On n’entend rien aux admirables histoires de Joinville si l’on ne
considère
point d’abord que le saint roi est un baron franç
is dire laïque, d’une humanité comme réduite à ses propres forces, et
considérée
indépendamment de l’introduction et comme de la s
ntroduction et comme de la superposition du christianisme. Et qu’il a
considéré
le stoïcisme comme le pôle de pensée et de systèm
: les héros et peut-être faut-il dire aussi les martyrs. Si l’on peut
considérer
, comme je le crois, la cité antique elle aussi co
ommation aux Anglais, acte extrêmement important et qu’il ne faut pas
considérer
comme une déclaration de guerre mais comme une dé
de peu d’exercice et peut-être de nul exercice. Car il ne faut point
considérer
Jésus comme un summum des summums et comme un max
Et la limitation dans les catégories de classement. Il faut toujours
considérer
, nous l’avons dit, que Jésus a pris l’incarnation
notre point de vue, car c’était certainement un fort bon clerc, très
considéré
, et qui avait une bonne place). (C’était un fort
u passé. Les prophéties sont une annonce (et l’Annonciation peut être
considérée
précisément comme la dernière des prophéties) et
es aux prophéties, de Jésus aux prophètes. L’Annonciation peut être
considérée
comme la dernière des prophéties et comme la prop
ement saisissable, sinon pleinement intelligible que pour celui qui a
considéré
la singulière advenue, l’événement, la survenue d
n ce point était le secret de toute la bataille. Et que tant que l’on
considérerait
le présent comme une simple date, comme les autre
tres, parmi les autres, après d’autres, avant d’autres, tant que l’on
considérerait
le présent comme le passé d’aujourd’hui, comme le
encore les épaules prises dans les momifications du passé. Au lieu de
considérer
le présent lui-même, au lieu de considérer le pré
tions du passé. Au lieu de considérer le présent lui-même, au lieu de
considérer
le présent présent on considérait en réalité un p
érer le présent lui-même, au lieu de considérer le présent présent on
considérait
en réalité un présent passé, un présent figé, et
nscrit, un présent rendu déterminé. Un présent historique. Au lieu de
considérer
ce point de secret qu’est le présent on considéra
orique. Au lieu de considérer ce point de secret qu’est le présent on
considérait
déjà une histoire du présent, une mémoire du prés
ne histoire du présent, une mémoire du présent, c’est-à-dire que l’on
considérait
la figure que ferait le présent aussitôt qu’il se
a figure que ferait le présent aussitôt qu’il serait devenu passé. On
considérait
l’inscription aussitôt qu’elle serait devenue ins
ite. Et on trouvait qu’elle était arrêtée, qu’elle était inscrite. On
considérait
la vie au moment qu’elle serait devenue la mort.
u’elle serait devenue la mort. Et on trouvait qu’elle était morte. On
considérait
le présent, on considérait la liberté au moment q
rt. Et on trouvait qu’elle était morte. On considérait le présent, on
considérait
la liberté au moment qu’elle aurait été liée, qu’
comme d’une morte, on la voyait toujours comme une morte. Au lieu de
considérer
la liberté, la vie, le présent un instant avant q
n instant avant qu’elle entre dans l’éternelle prison du passé, on la
considérait
aussitôt après, instantanément après qu’elle vena
psychologie et en métaphysique étant, passant dans le présent nous ne
considérons
que l’instant d’après, l’être d’après, par besoin
par besoin d’assurance et de tranquillité, et alors nous voyons, nous
considérons
le présent comme un récent passé, comme un dernie
le monde moderne), chaque monde, le monde sera jugé sur ce qu’il aura
considéré
comme négociable ou non négociable. Tout l’avilis
oderne, tout l’abaissement du prix vient de ce que le monde moderne a
considéré
comme négociables des valeurs que le monde antiqu
mme négociables des valeurs que le monde antique et le monde chrétien
considéraient
comme non négociables. C’est cette universelle né
s sot. Et en tout cas plus paresseux et plus négligent. Et on croyait
considérer
le présent. Et on considérait le plus récent pass
resseux et plus négligent. Et on croyait considérer le présent. Et on
considérait
le plus récent passé. Et on croyait considérer le
rer le présent. Et on considérait le plus récent passé. Et on croyait
considérer
le présent et on considérait l’enregistrement du
érait le plus récent passé. Et on croyait considérer le présent et on
considérait
l’enregistrement du présent. L’histoire du présen
mencement de mémoire. Un point de commencement d’habitude. On croyait
considérer
l’événement que l’on écrivait et on considérait u
d’habitude. On croyait considérer l’événement que l’on écrivait et on
considérait
un autre, un même, un faussement même événement q
misères. Mais demain, hier ne nous en ferait plus. Ainsi on croyait
considérer
le présent. Et on ne considérait jamais que son o
us en ferait plus. Ainsi on croyait considérer le présent. Et on ne
considérait
jamais que son ombre portée. On croyait parler du
raquement qui ne s’était encore jamais vu dans l’histoire du monde je
considère
comme traîtresse et attentatoire, je considère co
l’histoire du monde je considère comme traîtresse et attentatoire, je
considère
comme criminelle et gesticulatoire toute politiqu
et dans tous les êtres que l’on veut réduire. Dans ces conditions je
considère
comme insidieuse et criminelle, comme frauduleuse
sément de l’appareil, de l’instrument bergsonien. (Un grand docteur
considéré
, célébré, consacré ; dénombré. Enterré). Essayé
des ouvrages qui les ont suivis, en demandant qu’on veuille bien les
considérer
comme une modeste contribution à cette espèce d’a
empire romain, par exemple, il peut, du premier de ces points de vue,
considérer
l’effort total et en constater l’insuffisance. Un
mécanisme social. Autre sera le point de vue du psychologue pur, qui
considérera
ce mécanisme dans son détail et non plus dans le
accidents de la vie environnante. Un effort aussi complexe peut être
considéré
sous bien des faces. Un maître de l’exégèse, un d
l’oeuvre de M. Renan est une œuvre de science. Or, est-il légitime de
considérer
une telle œuvre autrement que du point de vue sci
t que pour fixer leur attention. Tandis que les premiers s’étudient à
considérer
des formes vides de toute matière, les seconds tâ
poque. Je disais que le choix seul d’un sujet d’histoire pouvait être
considéré
comme l’indice d’une sensibilité entière. Il n’es
brables. La plus inattendue est celle qui a conduit les théologiens à
considérer
les religions comme des phénomènes analogues aux
nos systèmes comme des moules trop étroits. Le dilettante philosophe
considère
tous ces systèmes successivement avec une curiosi
nte de cette époque et à quel point elle porte ce péché dans le sang,
considérez
les mœurs et la société, l’ameublement et la conv
avant cette publication, la lecture de ses ouvrages nous autorisait à
considérer
que l’étude des sciences naturelles, dont il fut
rnières années. Non seulement la philosophie allemande du XIXe siècle
considère
l’univers comme un étagement d’organismes, mais e
cle considère l’univers comme un étagement d’organismes, mais elle le
considère
comme un étagement d’organismes en mouvement. Tou
une ennemie terrible de la religion, par cela seul qu’elle a prétendu
considérer
les dogmes et la foi comme des phénomènes d’ordre
e application de la Science à l’organisation des sociétés. Quand nous
considérons
, sans parti pris d’aucune sorte, les quelques pri
ale. Si cette vision consolante n’est pas une simple chimère, on peut
considérer
que les grands dédaigneux à la façon de M. Renan
besogne accomplie et ne nous occupons que de cela. M. Renan peut être
considéré
comme le type d’une classe d’intelligences absolu
d sa vie et ses sentiments. C’est pour cela et pour avoir continué de
considérer
cet accord comme obligatoire qu’il peut se rendre
e. Mais s’il en a souffert, ç’a été par contre-coup, et il a toujours
considéré
comme morbides ces extrêmes émotivités. Il paraît
us conformes aux réalités sociales parmi lesquelles ils se mouvaient.
Considérées
sous cet angle, ces lettres à M. Berthelot sont e
je viens d’appliquer à Renan. L’esprit cosmique consiste proprement à
considérer
toutes les choses, y compris la vie humaine et no
que, laquelle consiste à faire abstraction de l’univers pour n’y plus
considérer
qu’un être, qu’une personne, qu’une vie humaine e
ement en désaccord avec son milieu et avec sa propre chimère. On peut
considérer
, sans paradoxe, que le malin génie de la nature s
les aperçut sans bien se les expliquer et avec fureur, au lieu de les
considérer
avec la froideur intellectuelle du philosophe. Né
par l’excellence de son âme tarde bien à venir », n’a pas si tort de
considérer
que cette âme est, en effet, d’une qualité rare.
ire devient capital et vaut qu’on en examine la valeur contemporaine.
Considérer
ainsi la pensée comme un pouvoir, non plus bienfa
de sa solution dépend l’avenir même de ce que nous sommes habitués à
considérer
comme l’œuvre des siècles. Il est certain que si
ces différents cas ne seraient que des exceptions, ne faudrait-il pas
considérer
que la pensée qui peut les faire naître ressemble
ctoires, est la démonstration vivante de la théorie psychologique qui
considère
notre « moi » comme un faisceau de phénomènes san
ychologique de l’auteur de Madame Bovary ne soit pas trop incomplète.
Considéré
d’après l’ensemble de son œuvre, Flaubert a sa pl
a-t-il écrit, « ayant sa propre raison en lui-même, ne doit pas être
considéré
comme un moyen. Malgré tout le génie que l’on met
vec la science et certaines de ses données actuelles sur l’esprit, il
considéra
qu’une tête humaine est une chambre noire où pass
l a conçu cette page comme le but unique et indépendant. Il peut être
considéré
, de ce point de vue, comme ayant exactement réali
contraire, emploie tout son effort à simplifier. Le personnage qu’il
considère
ne lui est qu’un prétexte à démonstration. La gra
la cime, vers une pointe suprême et qui attire à elle toute la masse…
Considérez
les morceaux éclatants où le prosateur rivalise a
à quelque édifice d’une savante et forte architecture, n’a pas bougé.
Considéré
dans ce qu’il a d’essentiel, ce système se ramène
ne sont que des faits très généraux, « jusqu’à ce qu’enfin la nature,
considérée
dans son fond subsistant, apparaisse à nos conjec
» Ce mot contient en germe toute l’œuvre tentée par M. Taine. Si l’on
considère
la quantité des matières traitées, cette œuvre es
aitées, cette œuvre est multiple et variée comme la vie même. Si l’on
considère
la permanence immuable de l’idée directrice, elle
milieux et de moments divers l’auteur de l’Intelligence n’a-t-il pas
considéré
ce phénomène de la formation de l’œuvre d’art ? C
, comme il est légitime de s’en tenir au point de vue contraire et de
considérer
les œuvres d’art non plus comme significatives, m
critique a presque irréparablement abandonné la discussion des œuvres
considérées
en elles-mêmes, pour s’attacher aux conditions se
une conclusion ; puis l’analyse du principe même et de la théorie qui
considère
toute notre vie personnelle comme un résultat de
e, formulée dans ce qu’elle a de plus général, se ramène simplement à
considérer
un Etat comme un organisme. De même que la force
comme tous les philosophes qui voient dans l’Etat un organisme, doit
considérer
et considère l’inégalité comme une loi essentiell
s philosophes qui voient dans l’Etat un organisme, doit considérer et
considère
l’inégalité comme une loi essentielle de la socié
rés, couvés, nourris, intronisés, provoqués, on ne peut s’empêcher de
considérer
son histoire comme un long suicide… » Et là-dessu
té du corps politique. Il y montrait l’esprit classique aboutissant à
considérer
l’homme seulement dans sa raison ; et la doctrine
M. Taine, pour se dégager entièrement de l’un et de l’autre parti et
considérer
89 et ses conséquences d’une manière scientifique
Poussant ces premiers principes jusqu’à leur extrême conséquence, il
considère
que le tempérament et le milieu font tout l’homme
ns de Stendhal témoignent qu’il ne put jamais s’intéresser à ce qu’il
considérait
comme des problèmes arbitraires de mécanique mora
u plutôt les cas psychologiques par lui décrits sont bien les nôtres.
Considérons
d’abord le travail accompli dans Stendhal lui-mêm
a brutalité grossière. Les scrupuleux, enfin, et les délicats peuvent
considérer
l’analyse comme un élément meurtrier de toute naï
raisons de l’un et de l’autre. Dans quelques années, ce fragment sera
considéré
comme un ouvrage à mettre sur un même rayon de bi
littératures. Le dévot du beylisme qui a nom Casimir Stryienski sera
considéré
alors comme un des bons serviteurs des lettres… «
onstruits, deviennent des ressorts d’action. Jusqu’ici, nous n’avons
considéré
que les choses particulières et la connaissance q
articulières et la connaissance que nous en prenons ; il nous reste à
considérer
les choses générales et les idées que nous en avo
upe de ses caractères fixes prend une importance capitale, et nous le
considérons
à bon droit comme la portion essentielle de l’ind
mplexe et d’autant moins complexe qu’il est plus général. — En effet,
considérons
d’abord le groupe de caractères qui persiste dans
es à faire une collection. C’est à ce point de vue seulement qu’on le
considère
; partant, vingt tas de pierres le long d’une rou
bservons donc une série d’objets ou d’événements, en ayant soin de ne
considérer
en chacun d’eux que sa capacité d’entrer comme co
ou point, est un caractère du corps, caractère isolé par abstraction,
considéré
à part, et, de plus, général, c’est-à-dire commun
tte omission, nous la retranchons, et, sans efforts, nous en venons à
considérer
le trait comme une ligne. — Le tableau et le papi
combinent avec les précédents pour faire de nouveaux cadres. On peut
considérer
le mouvement non pas seulement comme ayant pour e
partie, p. 12. 92. « Quand une pierre tombe, écrit Galilée, si nous
considérons
la chose attentivement, nous trouvons que la mani
nder un avis que j’eusse donné en homme honnête et de bon sens. Je me
considérerai
donc comme parfaitement délié envers la nouvelle
rait des circonstances extrêmes pour dégager ma délicatesse. Je ne me
considère
réellement pas comme libre. J’ai dit tout cela à
en portefeuille. Elle fait aujourd’hui partie de ses Mémoires, et je
considère
comme un devoir de la reproduire ici : il a été t
rticle, sur les doctrines professées par le Temps, et il n’a eu à les
considérer
que dans leur ensemble ; mais il sait que ce jour
s la maisonnette de la rue Montparnasse. Le maître de la maison ne se
considérait
, disait-il lui-même, que « comme le maître du cab
s. — Comment l’expérience savante les a découverts. — Opinion qui les
considère
comme des vérités d’expérience. — Plusieurs d’ent
ormer ces jugements, à énoncer mentalement ces propositions. II
Considérons
d’abord ces couples ou lois en elles-mêmes. Tout
ces données sont des caractères abstraits, c’est-à-dire des extraits
considérés
à part ; que toutes ces données sont des caractèr
rain, conséquent ou antécédent, n’est qu’une particularité du premier
considéré
seul et à part. On entend par là qu’il a, par lui
est la première méthode ; par elle, on exclut les différences des cas
considérés
, ce qui met à part leurs ressemblances. Elle a po
st la seconde méthode ; par elle, on exclut les ressemblances des cas
considérés
, ce qui pose à part leurs différences. Elle a pou
r à sa source. — Pour apercevoir séparément chaque effet, il faudrait
considérer
des mouvements dirigés dans un autre sens, c’est-
s venons de reconnaître à la substance et à la surface nous conduit à
considérer
celle de la texture, et là nous rencontrons une t
interviennent pour annuler ou altérer la loi. Par conséquent, si l’on
considère
la proposition qui l’énonce, on trouve, d’une par
pent ne peuvent enclore un espace102. — Voilà pour la ligne entière ;
considérons
maintenant ses diverses portions. Puisque le trac
si dans notre espace elles sont compatibles entre elles. Bien mieux,
considérons
comme réservée la question de savoir si, prises à
rs auteurs, l’induction est la seule preuve valable de l’axiome ; ils
considèrent
les principes de la mécanique comme des propositi
pace d’abord traversé, par exemple un millième de millimètre, on peut
considérer
tour à tour deux moitiés dans cette durée et deux
différence, ayant manifesté son manque absolu d’influence, peut être
considérée
par rapport au mouvement comme nulle, et que, tou
eillement enfin, pour constituer le réceptacle imaginaire, nous avons
considéré
à part la grandeur continue en trois sens, en d’a
et nécessaire. — En suivant cette idée jusqu’au bout, on arriverait à
considérer
l’ensemble des événements et des êtres comme un s
l’imagination, et on peut les concevoir aussi par la raison. On peut
considérer
leur image sensible, et aussi, à propos de leur i
de Février pour mettre fin au tournoi. Aujourd’hui le débat peut être
considéré
comme à peu près clos ; et, sans parler de l’état
st là sa force et son honneur. On pourrait dire de M. Vinet lui-même,
considéré
dans son œuvre et dans sa vie, qu’il offrait en q
ncipales couleurs sur le côté magnifique ou touchant du catholicisme,
considéré
surtout dans ses rapports avec la société ; il n’
ortent hors de vous-même l’objet de vos pensées, et vous apprennent à
considérer
votre vie sous le rapport de ce qu’elle vaut aux
magination par un différent point de vue, par une nouvelle manière de
considérer
votre destinée ; on peut agir sur soi par la rais
lien sacré de la religion, on peut affirmer que la base de la morale,
considérée
comme principe, c’est le bien ou le mal que l’on
, par les partisans d’un principe immatériel. » On en est donc venu à
considérer
l’union de l’esprit et du corps comme de plus en
eurs reproches : 1° Cette doctrine suppose que nous avons le droit de
considérer
l’esprit comme isolé du corps et d’affirmer que,
de cette combustion ou oxydation. Il n’y a donc rien que de naturel à
considérer
les forces mentales comme convertibles en forces
ie poétique Les poètes théologiens, dans leur physique grossière,
considérèrent
dans l’homme deux idées métaphysiques, être, subs
la partie douée du sentiment : les Latins disent animo sentimus. Ils
considérèrent
animus comme mâle, anima comme femelle, parce que
ortaient les fonctions externes de l’âme aux cinq sens du corps, mais
considérés
dans toute la finesse, dans toute la force et la
e à la découverte de l’Amérique. Eh bien, quand je dis cela, quand je
considère
ce phénomène gigantesque qui n’a peut-être eu auc
t je conclus qu’il y a eu une décharge électrique ; je n’hésite pas à
considérer
le phénomène physique comme antérieur à l’image s
re dans cette infinie complexité, faisons une hypothèse plus simple ;
considérons
trois astres, par exemple, le Soleil, Jupiter et
l’un de ces ensembles comme la cause de l’autre, ce qui conduirait à
considérer
comme simultanés l’instant t de Jupiter et l’inst
ns la tête avec dédain, si l’on veut nous insinuer que telle création
considérée
par tous comme vulgaire n’est peut-être pas infér
en dehors de la région où elle doit exclusivement éclore, loin d’être
considéré
comme l’indice d’une conception esthétique plus l
. Une autre conséquence en surgit, celle-ci, qu’une matière autrefois
considérée
comme inesthétique en architecture et par conséqu
ce dans cet art de sincérité. Une des principales raisons qui me font
considérer
Horta comme un artiste de premier ordre, c’est qu
d’espèce ou de vie spécifique, et même à l’idée de vie individuelle,
considère
des résultats généraux et des faits ultérieurs. E
gique, mais mécanique. Toutefois, c’est toujours un résultat que l’on
considère
, et on présuppose toujours des facteurs donnés. S
r conséquent, de l’organisme. Quatre situations sont possibles, si on
considère
le rapport d’intensité entre l’énergie dépensée e
e plaisir comparées aux intensités d’excitation, a trop exclusivement
considéré
la quantité du stimulant et de la réaction nerveu
ents extérieurs qui est le défaut du darwinisme. Darwin n’a pas assez
considéré
les nécessités intérieures, soit physiologiques,
on adéquate d’un besoin préexistant : il est un surplus, un surcroît.
Considérez
l’échelle des intensités dans la sensation : il y
ut au moins des sensations de résistance, que beaucoup de philosophes
considèrent
comme la base de toutes les autres sensations et
me celle de beaux sons ou de belles couleurs, en tant que complète et
considérée
en elle-même, ne provoque pas le désir d’autre ch
mme Darwin, dont il voulait cependant perfectionner la doctrine, il a
considéré
surtout l’entretien et le développement des organ
s, non leur exercice et le développement de leurs fonctions. La faim,
considérée
par lui comme le sentiment primitif et universel,
ki et Totstoï. Laissons ces derniers qui forment un groupe naturel et
considérons
ce que nous avons appris sur l’art du seul lyriqu
sses branches divergentes, etc. Par là il en viendra nécessairement à
considérer
l’objet non plus en artiste qui l’admire, mais en
— nous ne lui concevons pas d’autre origine, — si l’artiste doit être
considéré
comme l’inventeur d’objets ou d’idées propres à e
té de montrer et de suivre ses personnages, — à esquisser ce que nous
considérons
comme la forme future du roman, devenu exclusivem
nous venons de le voir, d’esthétique fort diverse ; cependant on les
considère
comme appartenant ensemble au groupe des artistes
les bacchantes de Rubens et les vieilles mères de Rembrandt. Que l’on
considère
d’ailleurs qu’il n’y a pas de théoricien du réali
s remarquables, c’est-à-dire dépassant par quelque endroit ce qui est
considéré
comme le type normal humain. À proprement parler,
était amené à les analyser, à ne plus les éprouver sincèrement, à les
considérer
avec ironie, à s’étudier cruellement lui-même. Il
re à la vie : la volonté. D’après les théories récentes, celle-ci est
considérée
comme l’absorption, l’élaboration et la répercuss
r, mystérieux. Cela est achevé et caractéristique. Mais on ne saurait
considérer
ces œuvres poétiques comme célèbres, ni même comm
qui influencent actuellement nos organes et préparent nos mouvements.
Considère-t
-on la mémoire ? Le rôle du corps n’est pas d’emma
hement entre l’inétendu et l’étendu, entre la qualité et la quantité.
Considère-t
-on la perception pure ? En faisant de l’état céré
uisse s’y arrêter ; et lors même qu’il ne s’y arrête pas, j’incline à
considérer
son passage comme un repos infiniment court, parc
e un fait simple, il décrit dans l’espace une trajectoire que je puis
considérer
, pour simplifier les choses, comme une ligne géom
l’ensemble. Aussi ne faut-il pas s’étonner si les mêmes penseurs qui
considèrent
tout mouvement particulier comme relatif traitent
ouvements dans ces qualités, sous forme d’ébranlements intérieurs, de
considérer
ces ébranlements comme moins homogènes et ces qua
vous dégageant de l’espace divisible qui les sous-tend pour n’en plus
considérer
que la mobilité, cet acte indivisé que votre cons
urité de ce problème, dans l’hypothèse dualiste, vient de ce que l’on
considère
la matière comme essentiellement divisible et tou
au dehors par un plus grand développement du système sensori-moteur.
Considère-t
-on alors ce système nerveux ? Sa complexité crois
umentation, est justement de laisser de côté la durée vraie pour n’en
considérer
que la trace objective dans l’espace. Comment les
▲