ntale dans les sciences physiologiques, il faut en bien connaître les
conditions
et les principes, et c’est ainsi que la théorie e
ce, produit lui-même les phénomènes qu’il veut étudier, en change les
conditions
, les isole, les combine, les reproduit à volonté,
des lois générales ; dans l’autre, les phénomènes se passent dans des
conditions
qui ne dépendent pas de celui qui étudie… Il ne l
imentateur ; mais il faut qu’il le prenne tout entier avec toutes ses
conditions
à la fois et ne l’analyse que par la pensée. Qu’o
-t-elle pas pour effet de les altérer, et d’altérer tout ensemble les
conditions
mêmes de la vie ? C’est trop, sans doute, de dire
e ceux des corps bruts, ils n’offrent cette différence qu’en vertu de
conditions
déterminées ou déterminables qui leur sont propre
but de déterminer quels sont ces phénomènes élémentaires et à quelles
conditions
ils se produisent. Il faut bien distinguer deux o
ico-chimiques, l’autre que les phénomènes physico-chimiques soient la
condition
sine qua non des phénomènes vitaux. Dans la premi
à n’être qu’un phénomène mécanique ; la seconde enchaîne la vie à des
conditions
mécaniques, mais sans l’y réduire et sans la sacr
udie, c’est, d’après M. Claude Bernard, « le phénomène vital avec ses
conditions
matérielles ». Le phénomène vital n’est donc pas
atérielles ». Le phénomène vital n’est donc pas la même chose que ces
conditions
mêmes, et il s’en distingue, quoiqu’il en soit in
é, l’autre s’ensuit nécessairement ; de telle sorte encore que, telle
condition
venant à manquer, le phénomène ou se modifie ou d
manquer, le phénomène ou se modifie ou disparaît, et qu’à telle autre
condition
correspond tel autre phénomène ; en un mot, rien
e sur les phénomènes, car elle peut écarter successivement toutes les
conditions
accessoires d’un phénomène jusqu’à ce qu’elle ait
’est donc tout simplement qu’ils ne se sont pas placés dans les mêmes
conditions
: si l’on ne tient pas compte par exemple de l’âg
sans doute des résultats différents ; mais placez vous dans les mêmes
conditions
, vous aurez les mêmes résultats. Par la même rais
n appelle exception est simplement un phénomène dont une ou plusieurs
conditions
sont inconnues. » La seconde difficulté qui s’él
vienne soit du sang, soit d’un nerf ; et, si rien ne change dans les
conditions
environnantes ou intérieures, elle restera en rep
liaison, et de provoquer l’apparition des phénomènes en réalisant les
conditions
qui les précèdent et les déterminent. Quelquefois
it supporter avec tant de flexibilité les plus grands écarts dans les
conditions
du milieu extérieur où il est plongé, — l’extrême
sorte, et qui contient, comme emmagasinées dans son sein, toutes les
conditions
physico-chimiques (chaleur, électricité, humidité
dans l’être vivant aucun phénomène ne peut se produire sans certaines
conditions
physico-chimiques, et que, ces conditions étant d
se produire sans certaines conditions physico-chimiques, et que, ces
conditions
étant données, les propriétés vitales entrent imm
, et, sous ce rapport, le physiologiste est exactement dans les mêmes
conditions
que le chimiste et le physicien. Reste enfin l’ob
me nous l’avons vu, rien n’arrive dans l’ordre physiologique sans une
condition
antécédente, absolument déterminée, liée elle-mêm
ne condition antécédente, absolument déterminée, liée elle-même à une
condition
antérieure ; de condition en condition, il faut t
absolument déterminée, liée elle-même à une condition antérieure ; de
condition
en condition, il faut toujours arriver à une exci
terminée, liée elle-même à une condition antérieure ; de condition en
condition
, il faut toujours arriver à une excitation extern
indépendant, ne l’est pas en réalité, ne se soutient que grâce à des
conditions
physico-chimiques, externes ou internes, sans les
t déterminées à l’action par quelque raison particulière, par quelque
condition
antécédente et précise. En outre, l’idée que M. C
, admise par tous les métaphysiciens, à savoir que l’inférieur est la
condition
du supérieur. Ainsi les forces physico-chimiques
’autre, et qui, sans pouvoir se séparer de la seconde, est ici-bas la
condition
indispensable de la première. Je ne voudrais pas
M. Claude Bernard, les forces physiques et chimiques ne sont que les
conditions
des phénomènes vitaux, mais qu’elles ne les const
cette loi, signalée plus haut, que dans la nature l’inférieur est la
condition
du supérieur, on ne s’étonnera pas de voir la vie
ondition du supérieur, on ne s’étonnera pas de voir la vie liée à des
conditions
mécaniques sans se réduire à un pur mécanisme, de
agissent dans la nature, on ne voit plus à quels signes et à quelles
conditions
se manifesterait sa liberté. A notre avis, le phy
e tout est déterminé, c’est qu’aucun phénomène ne se produit sans une
condition
précise, toujours la même pour tout phénomène sem
un point limite où le conflit peut surgir : c’est quand il s’agit des
conditions
physiologiques de la volonté. Mais, jusque-là, le
t normal, c’est-à-dire la physiologie, nous apprendra à maintenir les
conditions
normales de la vie et à conserver la santé. La co
hologie, nous conduira, d’un côté, à prévenir le développement de ces
conditions
morbides, et de l’autre à en combattre les effets
règne la même maladie, pour voir si elle s’y développe dans les mêmes
conditions
. Cette seconde observation, faite en vue d’une id
’a servi qu’à mieux voir, et à faire l’observation dans de meilleures
conditions
. L’expérience, au contraire, implique, d’après l
d’un trouble intentionnellement apportés par l’investigateur dans les
conditions
des phénomènes naturels. Cette définition répond
re toujours normales et déterminées. Les effets varient en raison des
conditions
qui les manifestent, mais les lois ne varient pas
ique sont régis par les mêmes forces, et ils ne diffèrent que par les
conditions
particulières dans lesquelles la loi vitale se ma
s naturels et les faire apparaître dans des circonstances ou dans des
conditions
dans lesquelles la nature ne les lui présentait p
quelle on raisonnera sur des faits d’expérimentation obtenus dans des
conditions
que l’expérimentateur a créées et déterminées lui
édés d’investigation pour pénétrer dans les corps et faire varier les
conditions
des phénomènes. L’expérimentation n’est que la mi
jours de même. Un naturaliste qui observe des animaux dans toutes les
conditions
de leur existence et qui tire de ces observations
semble de notions qu’il contrôle par des observations faites dans des
conditions
propres à ce but. Or cet astronome raisonne comme
doute se passent toujours suivant les lois naturelles, mais dans des
conditions
que la nature n’avait souvent pas encore réalisée
t, l’expérimentateur est donc celui qui invoque ou provoque, dans des
conditions
déterminées, des faits d’observation pour en tire
des principes de la méthode expérimentale doit remplir deux ordres de
conditions
et posséder deux qualités de l’esprit qui sont in
ateur réfléchit, essaye, tâtonne, compare et combine pour trouver les
conditions
expérimentales les plus propres à atteindre le bu
nt les diverses hypothèses qui lui sont suggérées. Mais, une fois les
conditions
de l’expérience instituées et mises en œuvre d’ap
s une expérience. La première consiste à préméditer et à réaliser les
conditions
de l’expérience ; la deuxième consiste à constate
e, il raisonne, institue une expérience, en imagine et en réalise les
conditions
matérielles. 4º De cette expérience résultent de
bservations ; puis d’autres sont venus réaliser expérimentalement les
conditions
propres à faire naître l’expérience qui devait co
et nécessaire. Mais ce rapport ne peut être absolu qu’autant que les
conditions
en sont simples et subjectives, c’est-à-dire que
utes. Les mathématiques représentent les rapports des choses dans les
conditions
d’une simplicité idéale. Il en résulte que ces pr
u de s’exercer sur des rapports subjectifs dont son esprit a créé les
conditions
, l’homme veut connaître les rapports objectifs de
ent constituée par des rapports nécessaires, mais la connaissance des
conditions
de ces rapports lui manque. Il faudrait, en effet
de ces rapports lui manque. Il faudrait, en effet, qu’il eût créé ces
conditions
pour en posséder la connaissance et la conception
, doit toujours être fondée sur une observation antérieure. Une autre
condition
essentielle de l’hypothèse, c’est qu’elle soit au
t venir la même idée nouvelle à tous les hommes placés dans les mêmes
conditions
d’instruction antérieure. Mais il est aussi des f
’idée, c’est la graine ; la méthode, c’est le sol qui lui fournit les
conditions
de se développer, de prospérer et de donner les m
les idées fixes et garder toujours sa liberté d’esprit La première
condition
que doit remplir un savant qui se livre à l’inves
pas la théorie, serait, en effet, sous ce rapport, dans de meilleures
conditions
d’esprit ; la théorie ne le gênerait pas et ne l’
elle qu’elle est, mais à des relations de choses considérées dans des
conditions
extrêmement simples et que le mathématicien chois
tude qu’il n’y a pas à faire intervenir dans le raisonnement d’autres
conditions
que celles qu’il a déterminées, le principe reste
même mécanisme ; seulement, quand le phénomène se passe dans d’autres
conditions
ou dans un milieu différent, la fonction prend de
s précédents l’homme s’avance sur des terrains différents et dans des
conditions
variables, mais n’en marche pas moins par le même
us n’avons jamais la certitude qu’il ne renferme que les faits et les
conditions
que nous connaissons. En un mot, nous déduisons t
ence des faits comme arguments quand ils sont en sa faveur ; la seule
condition
est que le point de départ restera immuable et ne
essairement modeste et souple, et accepte la contradiction à la seule
condition
qu’elle lui soit prouvée. Le scolastique ou le sy
périmentale et lui servir en même temps de contrôle ; mais c’est à la
condition
que la raison les accepte. Je pense que la croyan
ons-nous dit, sont des vérités conscientes et absolues, parce que les
conditions
idéales de leur existence sont également conscien
entales, au contraire, sont inconscientes et relatives, parce que les
conditions
réelles de leur existence sont inconscientes et n
s expérimentales est un déterminisme nécessaire et conscient dans les
conditions
des phénomènes. De telle sorte qu’un phénomène na
pression de ce phénomène sans qu’en même temps il ne soit survenu des
conditions
nouvelles dans sa manifestation ; de plus, il a l
ssocions ces phénomènes, afin de les réduire à des relations et à des
conditions
de plus en plus simples. Nous voulons ainsi saisi
tradictoire, qu’il ne se rattachât pas d’une manière nécessaire à des
conditions
d’existence déterminées, la raison devrait repous
’admission d’un fait sans cause, c’est-à-dire indéterminable dans ses
conditions
d’existence, n’est ni plus ni moins que la négati
der une contre-épreuve. En effet, pour conclure avec certitude qu’une
condition
donnée est la cause prochaine d’un phénomène, il
e prochaine d’un phénomène, il ne suffit pas d’avoir prouvé que cette
condition
précède ou accompagne toujours le phénomène ; mai
mpagne toujours le phénomène ; mais il faut encore établir que, cette
condition
étant supprimée, le phénomène ne se montrera plus
e du raisonnement et de l’expérience, les phénomènes naturels à leurs
conditions
d’existence, ou autrement dit, à leurs causes pro
station de leurs propriétés étant enchaînée d’une manière absolue aux
conditions
physico-chinùques qui les environnent et leur ser
consiste à rattacher par l’expérience les phénomènes naturels à leurs
conditions
d’existence ou à leurs causes prochaines. En biol
conditions d’existence ou à leurs causes prochaines. En biologie, ces
conditions
étant connues, le physiologiste pourra diriger la
ce que chaque phénomène étant enchaîné d’une manière nécessaire à des
conditions
physico-chimiques, le savant peut les modifier po
ion La manifestation des propriétés des corps bruts est liée à des
conditions
ambiantes de température et d’humidité, par l’int
ent pas susceptibles au premier abord d’être ainsi influencés par les
conditions
physico-chimiques environnantes ; mais ce n’est l
illusion qui tient à ce que l’animal possède et maintient en lui les
conditions
de chaleur et d’humidité nécessaires aux manifest
nes vitaux. De là résulte que le corps inerte subordonné à toutes les
conditions
cosmiques se trouve enchaîné à toutes leurs varia
u lieu d’être comme celles des corps bruts le résultat nécessaire des
conditions
ou des influences physico-chimiques d’un milieu a
, sont dominées par un déterminisme nécessaire qui les enchaîne à des
conditions
d’ordre purement physico-chimiques. Notons d’abor
lumière, de la chaleur extérieure, et, dès qu’une ou plusieurs de ces
conditions
viennent à manquer, la manifestation vitale cesse
hénomènes de la vie sont également liés pour leurs manifestations aux
conditions
de chaleur, d’humidité et de lumière du milieu am
phénomènes de la vie s’engourdissent ou s’activent suivant les mêmes
conditions
. Or, ces influences qui provoquent, accélèrent ou
des vitalistes, une sorte d’opposition et d’incompatibilité entre les
conditions
des manifestations vitales et les conditions des
ncompatibilité entre les conditions des manifestations vitales et les
conditions
des manifestations physico-chimiques, il faut, au
les animaux à sang chaud, qu’il paraît y avoir indépendance entre les
conditions
de l’organisme et celles du milieu ambiant ; chez
x ne subit plus les alternatives et les variations qu’éprouvent : les
conditions
cosmiques, et il semble qu’une force intérieure v
e système protecteur du milieu organique devient insuffisant dans des
conditions
données. III. Les phénomènes physiologiques de
intimes d’éléments organiques dont les manifestations sont liées aux
conditions
physico-chimiques de milieux internes dans lesque
nt les propriétés de ce milieu extérieur, se placer toujours dans des
conditions
identiques. Pour le physiologiste, ces instrument
empérature et une constitution à peu près fixe et semblable. Mais ces
conditions
diverses ne sauraient établir une différence de n
. Les manifestations vitales des animaux ne varient que parce que les
conditions
physico-chimiques de leurs milieux internes varie
e toutes les autres convergent. Son problème consiste à déterminer la
condition
élémentaire des phénomènes de la vie. La patholog
elons la cause prochaine d’un phénomène n’est rien autre chose que la
condition
physique et matérielle de son existence ou de sa
e quelconque à sa cause prochaine, ou autrement dit, à déterminer les
conditions
nécessaires à la manifestation de ce phénomène. E
nomène. En effet, quand l’expérimentateur est parvenu à connaître les
conditions
d’existence d’un phénomène, il en est en quelque
objet d’étudier les phénomènes des êtres vivants et de déterminer les
conditions
matérielles de leur manifestation. C’est par la m
xpérimentale seule que nous pouvons arriver à cette détermination des
conditions
des phénomènes, aussi bien dans les corps vivants
ses et inutiles. Il n’y a pour nous que des phénomènes à étudier, les
conditions
matérielles de leurs manifestations à connaître,
n phénomène, on connaît donc non seulement le déterminisme absolu des
conditions
de son existence, mais on a encore les rapports q
e fait que prononcer un mot ; le phénomène vital seul existe avec ses
conditions
matérielles et c’est là la seule chose qu’il puis
. En résumé, le but de la science est partout identique connaître les
conditions
matérielles des phénomènes. Mais si ce but est le
mènes qu’on y rencontre. V. Il y a un déterminisme absolu dans les
conditions
d’existence des phénomènes naturels, aussi bien d
al que chez les êtres vivants aussi bien que dans les corps bruts les
conditions
d’existence de tout phénomène sont déterminées d’
ées d’une manière absolue. Ce qui veut dire en d’autres termes que la
condition
d’un phénomène une fois connue et remplie, le phé
le déterminable, on doit forcément admettre comme axiome que dans des
conditions
identiques, tout phénomène est identique et qu’au
tions identiques, tout phénomène est identique et qu’aussitôt que les
conditions
ne sont plus les mêmes, le phénomène cesse d’être
nisme rigoureux dans les diverses circonstances qui constituent leurs
conditions
d’existence ou qui provoquent leurs manifestation
corps vivants, comme dans ceux des corps bruts, à la connaissance des
conditions
qui règlent ces phénomènes et nous permettent ens
us ceux qui font des efforts pour ramener les phénomènes vitaux à des
conditions
organiques et physico-chimiques déterminées. Ce s
e ceux des corps bruts, ils n’offrent cette différence qu’en vertu de
conditions
déterminées ou déterminables qui leur sont propre
immuables, et les phénomènes que ces lois régissent sont liés à leurs
conditions
d’existence par un déterminisme nécessaire et abs
sert quelquefois pour exprimer la même idée. Le déterminisme dans les
conditions
des phénomènes de la vie doit être un des axiomes
hénomènes ne peuvent se contredire s’ils sont observés dans les mêmes
conditions
, et il saura que, s’ils montrent des variations,
la tient nécessairement à l’intervention ou à l’interférence d’autres
conditions
qui masquent ou modifient ces phénomènes. Dès lor
t ces phénomènes. Dès lors il y aura lieu de chercher à connaître les
conditions
de ces variations ; car il ne saurait y avoir d’e
fique ; on conclura uniquement et nécessairement à des différences de
conditions
dans les phénomènes, qu’on puisse ou qu’on ne pui
’apparition de phénomènes dont nous ignorons encore plus ou moins les
conditions
exactes d’existence. Mais certains médecins sembl
uellement exception est simplement un phénomène dont une ou plusieurs
conditions
sont inconnues, et si les conditions des phénomèn
phénomène dont une ou plusieurs conditions sont inconnues, et si les
conditions
des phénomènes dont on parle étaient connues et d
nstamment et toujours que cette paralysie motrice a lieu parce que sa
condition
a été exactement déterminée par l’expérimentateur
utres. En effet, un phénomène se manifestant toujours de même, si les
conditions
sont semblables, le phénomène ne manque jamais si
les conditions sont semblables, le phénomène ne manque jamais si ces
conditions
existent, de même qu’il n’apparaît pas si les con
amais si ces conditions existent, de même qu’il n’apparaît pas si les
conditions
manquent. Donc il peut arriver à un expérimentate
rriver à un expérimentateur, après avoir fait une expérience dans des
conditions
qu’il croyait déterminées, de ne plus obtenir dan
t non, puisque cela ne se peut. Il faudra simplement admettre que les
conditions
de l’expérience qu’on croyait connues ne le sont
e sont pas. Il y aura à mieux étudier, à rechercher et à préciser les
conditions
expérimentales, car les faits ne sauraient être o
s’excluant jamais, ils s’expliquent seulement par les différences de
conditions
dans lesquelles ils sont nés. De sorte qu’un expé
les sciences physico-chimiques, il faut ramener les phénomènes à des
conditions
expérimentales définies et aussi simples que poss
phénomènes dans les êtres vivants. On ne peut arriver à connaître les
conditions
définies et élémentaires des phénomènes que par u
énomènes de plus en plus simples jusqu’à leur réduction à deux seules
conditions
élémentaires, si c’est possible. En effet, la sci
a science expérimentale ne considère dans un phénomène que les seules
conditions
définies qui sont nécessaires à sa production. Le
écessaires à sa production. Le physicien cherche à se représenter ces
conditions
en quelque sorte idéalement dans la mécanique et
rps définis (principes immédiats ou espèces chimiques), il arrive aux
conditions
élémentaires ou irréductibles des phénomènes. De
er les organismes complexes et ramener les phénomènes de la vie à des
conditions
irréductibles dans l’état actuel de la science. L
e mieux en mieux définis. Ils ramèneront ainsi les phénomènes à leurs
conditions
matérielles les plus simples possible, et rendron
l lui importe véritablement d’obtenir, à savoir : la connaissance des
conditions
d’existence des phénomènes, et la détermination d
iques, est en effet de déterminer et d’isoler autant que possible les
conditions
de manifestation de chaque phénomène. Nous ne pou
oir d’action sur les phénomènes de la nature qu’en reproduisant leurs
conditions
naturelles d’existence, et nous agissons d’autant
relles d’existence, et nous agissons d’autant plus facilement sur ces
conditions
, qu’elles ont été préalablement mieux analysées e
ini dans sa nature et rigoureusement déterminé dans le rapport de ses
conditions
matérielles, c’est-à-dire quand sa loi est connue
même que dans les corps bruts, les phénomènes ont toujours une double
condition
d’existence L’examen le plus superficiel de ce
ou sollicite le corps à manifester ses propriétés. La réunion de ces
conditions
est indispensable pour la manifestation du phénom
bien que les phénomènes des corps bruts, nous présentent cette double
condition
d’existence. Nous avons d’une part l’organisme da
ue dans lequel les corps vivants, comme les corps bruts, trouvent les
conditions
indispensables pour la manifestation de leurs phé
ditions indispensables pour la manifestation de leurs phénomènes. Les
conditions
de la vie ne sont ni dans l’organisme ni dans le
exemple, le résultat de l’action du cuivre et du zinc dans certaines
conditions
chimiques ; mais si l’on supprime la relation de
nstances matérielles dans lesquelles le phénomène apparaît. Puis, ces
conditions
étant connues, il peut, en les réalisant ou non,
ion qui est le résultat d’une analyse incomplète et superficielle des
conditions
des phénomènes vitaux. Là science antique n’a pu
situés, communiquent avec l’extérieur ; ils vivent toujours dans les
conditions
du milieu extérieur perfectionnés et régularisés
et entretenir sans interruption l’humidité, la chaleur et les autres
conditions
indispensables à l’activité vitale. La maladie et
ure viciée, les poisons liquides ou gazeux, n’amènent la mort qu’à la
condition
que les substances nuisibles soient portées dans
. En arrivant à connaître quelles sont, dans ce milieu intérieur, les
conditions
normales et anormales de manifestation de l’activ
ndront maîtres des phénomènes de la vie ; car, sauf la complexité des
conditions
, les phénomènes de manifestation vitale sont, com
ents organisés ; 2º étude du milieu organique, c’est-à-dire étude des
conditions
que doit remplir ce milieu pour laisser manifeste
fibre vivante est inerte, en ce sens que, si rien ne change dans ses
conditions
environnantes ou intérieures, elle n’entrera pas
priétés vitales qui sont elles-mêmes en rapports nécessaires avec les
conditions
physico-chimiques environnantes, et cette relatio
re suppose l’intervention d’une relation nouvelle, c’est-à-dire d’une
condition
ou d’une influence extérieure. Or le rôle du sava
t est de chercher à définir et à déterminer pour chaque phénomène les
conditions
matérielles qui produisent sa manifestation. Ces
omène les conditions matérielles qui produisent sa manifestation. Ces
conditions
étant connues, l’expérimentateur devient maître d
ivent étudier les excitants des phénomènes vitaux, mais bien dans les
conditions
organiques du milieu intérieur. En effet, considé
et des animaux supérieurs nous paraissent libres et indépendantes des
conditions
physico-chimiques de ce milieu, parce que c’est d
nstruites. Une machine à vapeur possède une activité indépendante des
conditions
physico-chimiques extérieures puisque par le froi
et que le mouvement de chaque rouage intérieur est déterminé par des
conditions
physiques absolues, et dont il connaît la loi. De
au-delà du comment, c’est-à-dire au-delà de la cause prochaine ou des
conditions
d’existence des phénomènes. Sous ce rapport, les
ous avons trouvé la cause prochaine d’un phénomène en déterminant les
conditions
et les circonstances simples dans lesquelles il s
abli, notre but scientifique est atteint. L’analyse expérimentale des
conditions
du phénomène, poussée plus loin, nous fournit de
n, en réalité, sur la nature du phénomène primitivement déterminé. La
condition
d’existence d’un phénomène ne saurait nous rien a
ire pour produire les phénomènes intellectuels, cela nous indique les
conditions
, mais cela ne peut rien nous apprendre sur la nat
les actions chimiques produisent l’électricité, cela nous indique des
conditions
, mais cela ne nous apprend rien sur la nature pre
tives ou partielles, et connaître les phénomènes seulement dans leurs
conditions
d’existence. Mais cette connaissance nous suffit
s en ignorions l’essence, par cela seul que nous pouvons régler leurs
conditions
physico-chimiques. Nous ignorons l’essence du feu
ins les phénomènes vitaux dès que nous connaîtrons suffisamment leurs
conditions
d’existence. Seulement dans les corps vivants ces
nt leurs conditions d’existence. Seulement dans les corps vivants ces
conditions
sont beaucoup plus complexes et plus délicates à
ux moyens de les produire. Nous entendons par cause d’un phénomène la
condition
constante et déterminée de son existence ; c’est
phénomène. Il nous serait impossible de concevoir de l’eau sans cette
condition
essentielle. Les conditions accessoires ou les pr
mpossible de concevoir de l’eau sans cette condition essentielle. Les
conditions
accessoires ou les procédés pour la formation de
on. Seulement, on pourra réaliser cette hydratation dans une foule de
conditions
et par une foule de moyens : à l’aide de l’eau ac
imale ou végétale, mais tous ces procédés arriveront finalement à une
condition
unique, qui est l’hydratation de la fécule. Le dé
ateur n’agit pas sur les phénomènes eux-mêmes, mais seulement sur les
conditions
physico-chimiques qui sont nécessaires à leurs ma
tions. Les phénomènes ne sont que l’expression même du rapport de ces
conditions
; d’où il résulte que, les conditions étant sembl
pression même du rapport de ces conditions ; d’où il résulte que, les
conditions
étant semblables, le rapport sera constant et le
ables, le rapport sera constant et le phénomène identique, et que les
conditions
venant à changer, le rapport sera autre et le phé
ître un phénomène nouveau, l’expérimentateur ne fait que réaliser des
conditions
nouvelles, mais il ne crée rien, ni comme force n
is immuables de la nature, et ils ne se manifestent que lorsque leurs
conditions
d’existence sont réalisées. Les corps et les être
sont à la surface de notre terre expriment le rapport harmonieux des
conditions
cosmiques de notre planète et de notre atmosphère
s êtres et les phénomènes dont elles permettent l’existence. D’autres
conditions
cosmiques feraient nécessairement apparaître un a
el se manifesteraient tous les phénomènes qui y rencontreraient leurs
conditions
d’existence, et dans lequel disparaîtraient tous
oncevions sur la terre, en nous plaçant par la pensée dans toutes les
conditions
cosmiques que notre imagination peut enfanter, no
ir créé les lois qui l’ont fait naître ; il n’a fait que réaliser les
conditions
qu’exigeait la loi créatrice pour se manifester.
u’il acquiert lui permet cependant de faire varier et de modifier les
conditions
des phénomènes qui sont à sa portée. L’homme a dé
t de modifier les phénomènes de la vie en agissant uniquement sur les
conditions
de ces phénomènes. Mais ici les difficultés se mu
ais ici les difficultés se multiplient à raison de la délicatesse des
conditions
des phénomènes vitaux., de la complexité et de la
homme, ainsi que chez les animaux qui s’en rapprochent, sont liés aux
conditions
physico-chimiques d’un milieu organique intérieur
omènes, ce qui rendait l’analyse expérimentale et le déterminisme des
conditions
incomparablement plus difficiles. Mais il existe
mine l’apparition des phénomènes. On obtient nécessairement ainsi les
conditions
d’existence des phénomènes sur lesquelles l’expér
mun. Or l’objet essentiel pour le physiologiste est de déterminer les
conditions
élémentaires des phénomènes physiologiques et de
sa suite par un déterminisme complexe, mais aussi nécessaire dans sa
condition
que l’a été le déterminisme initial. Ce détermini
’organisme ; cet isolement nous permet de voir et de mieux saisir les
conditions
intimes des phénomènes, afin de les poursuivre en
lacer, au moyen de la circulation artificielle ou autrement, dans des
conditions
où nous pouvons mieux étudier leurs propriétés. O
ystème nerveux, de manière à fournir les liquides organiques dans des
conditions
toujours identiques. Nous ne nous étendrons pas d
ns leur ensemble et dans leurs détails, sans jamais perdre de vue les
conditions
spéciales de tous les phénomènes particuliers don
l’individu humain, et de plus le médecin d’un individu dans certaines
conditions
morbides qui lui sont spéciales et qui constituen
plus profondément que le zoologiste ; le physiologiste considère les
conditions
générales d’existence des phénomènes de la vie ai
des phénomènes de la vie ainsi que les diverses modifications que ces
conditions
peuvent subir. Mais le médecin ne se contente pas
n ne se contente pas de savoir que tous les phénomènes vitaux ont des
conditions
identiques chez tous les êtres vivants, il faut q
il faut qu’il aille encore plus loin dans l’étude des détails de ces
conditions
chez chaque individu considéré dans des circonsta
e, elle se manifeste toujours concurremment et parallèlement avec des
conditions
physico-chimiques propres aux phénomènes vitaux.
la création, de cette machine qui se développe sous nos yeux dans les
conditions
qui lui sont propres et d’après une idée définie
ruites par les accidents et par les maladies ; de sorte que c’est aux
conditions
physico-chimiques de ce développement primitif qu
d’après une idée définie et suivant des déterminismes rigoureux, les
conditions
d’existence de tous les phénomènes de l’organisme
n’a en lui aucune spontanéité ; ses propriétés s’équilibrant avec les
conditions
extérieures, il tombe bientôt, comme on le dit, e
t compte exactement de ces circonstances, on soit sûr de posséder les
conditions
expérimentales qui sont nécessaires à la concepti
ître, se développer, devenir malade et mourir, sans que cependant les
conditions
du monde extérieur changent pour l’observateur. D
ls que le baromètre, le thermomètre, l’hygromètre, se placer dans des
conditions
identiques et obtenir par conséquent des expérien
e servant des mêmes instruments qu’eux. Mais on voit aussitôt que ces
conditions
extérieures, dont le changement importe tant au p
les seconds. En effet, si pour des infusoires nous faisons varier les
conditions
d’humidité, de chaleur et de pression atmosphériq
les végétaux et chez les animaux à sang froid, nous voyons encore les
conditions
de température et d’humidité du milieu cosmique j
s dans un milieu organique ou dans une atmosphère intérieure dont les
conditions
de température, d’humidité et de pression ne chan
es animaux à sang chaud et chez l’homme sont également soumises à des
conditions
physico-chimiques précises et déterminées. En réc
précédemment, on voit qu’il y a dans tous les phénomènes naturels des
conditions
dé milieu qui règlent leurs manifestations phénom
nditions dé milieu qui règlent leurs manifestations phénoménales. Les
conditions
de notre milieu cosmique règlent en général les p
surface de la terre ; mais les êtres organisés renferment en eux les
conditions
particulières de leurs manifestations vitales, et
ctionne, ses éléments organisés devenant plus délicats, elle crée les
conditions
spéciales d’un milieu organique qui s’isole de pl
tout le monde sache que dans l’intérieur de cette machine il y a des
conditions
précises de température, de pression et d’humidit
es climatériques en général. En résumé, si nous voulons atteindre les
conditions
exactes des manifestations vitales chez l’homme e
s le milieu organique intérieur. C’est, en effet, dans l’étude de ces
conditions
organiques intérieures, ainsi que nous l’avons di
une force vitale distincte n’ayant que des rapports éloignés avec les
conditions
physico-chimiques du milieu extérieur et se manif
aide des procédés de vivisection. En résumé, c’est seulement dans les
conditions
physico-chimiques du milieu intérieur que nous tr
eu extérieur puisse nous l’expliquer parce qu’elle est réglée par les
conditions
du milieu intérieur. C’est donc dans les propriét
. Toutefois, nous verrons plus loin qu’il y a à considérer, outre les
conditions
physico-chimiques indispensables à la manifestati
ns physico-chimiques indispensables à la manifestation de la vie, des
conditions
physiologiques évolutives spéciales qui sont le q
ue à elle seule la science vitale active, parce qu’en déterminant les
conditions
d’existence des phénomènes de la vie, elle arrive
ersité des animaux soumis à l’expérimentation ; de la variabilité des
conditions
organiques dans lesquelles ils s’offrent à l’expé
l’expérimentation par le physiologiste ; ils offrent encore, par les
conditions
où ils se trouvent, un très grand nombre de diffé
xaminer ici ; car c’est dans la connaissance et l’appréciation de ces
conditions
individuelles que réside toute l’exactitude biolo
de biologique et toute la précision de l’expérimentation. La première
condition
pour instituer une expérience, c’est que les circ
ire à volonté les mêmes phénomènes. Nous avons dit ailleurs que cette
condition
fondamentale de l’expérimentation est relativemen
x animaux de la même espèce pour être placé exactement dans les mêmes
conditions
expérimentales. Il y a dans chaque animal des con
ns les mêmes conditions expérimentales. Il y a dans chaque animal des
conditions
physiologiques de milieu intérieur qui sont d’une
plus qu’aucun autre, insisté sur la nécessité d’étudier ces diverses
conditions
physiologiques et avoir montré qu’elles sont la b
que, chez un animal, les phénomènes vitaux ne varient que suivant des
conditions
de milieu intérieur précises et déterminées. On c
eu intérieur précises et déterminées. On cherchera donc à trouver ces
conditions
physiologiques expérimentales au lieu de faire de
ait rien, quel qu’il fût, parce qu’en effet j’ai montré qu’il y a des
conditions
physiologiques dans lesquelles il y a toujours du
s physiologiques dans lesquelles il y a toujours du sucre et d’autres
conditions
dans lesquelles il n’y en a jamais. Si maintenant
jamais de mauvaises expériences ; elles sont toutes bonnes dans leurs
conditions
déterminées, de sorte que les résultats négatifs
ention des expérimentateurs sur l’importance qu’il y a à préciser les
conditions
organiques, parce qu’elles sont, ainsi que je l’a
chaque expérience en particulier qu’il s’agira ensuite d’examiner ces
conditions
, aux trois points de vue physiologique, pathologi
ence sur les animaux vivants, il y a à considérer, indépendamment des
conditions
cosmiques générales, trois ordres de conditions p
r, indépendamment des conditions cosmiques générales, trois ordres de
conditions
physiologiques propres à l’animal, savoir : condi
rois ordres de conditions physiologiques propres à l’animal, savoir :
conditions
anatomiques opératoires, conditions physico-chimi
ques propres à l’animal, savoir : conditions anatomiques opératoires,
conditions
physico-chimiques du milieu intérieur, conditions
miques opératoires, conditions physico-chimiques du milieu intérieur,
conditions
organiques élémentaires des tissus. 1º Conditions
u milieu intérieur, conditions organiques élémentaires des tissus. 1º
Conditions
anatomiques opératoires. — L’anatomie est la base
animal présentant une disposition anatomique heureuse est souvent la
condition
essentielle du succès d’une expérience et de la s
l, tandis qu’elle ne l’est pas chez d’autres animaux très voisins. 2º
Conditions
physico-chimiques du milieu intérieur. La vie est
ritables et réagissent en manifestant leurs propriétés spéciales. Les
conditions
physiologiques de la vie ne sont donc rien autre
mosphère organique intérieure dans laquelle se rencontrent toutes les
conditions
physiologiques de l’atmosphère extérieure, plus u
i sont propres au milieu intérieur. Il nous suffira de nommer ici les
conditions
physico-chimiques principales du milieu intérieur
érimentateur doit porter son attention. Ce ne sont d’ailleurs que les
conditions
que doit présenter tout milieu dans lequel la vie
t présenter tout milieu dans lequel la vie se manifeste. L’eau est la
condition
première indispensable à toute manifestation vita
nes vitaux réapparaissent dès qu’on rend aux tissus l’eau qui est une
condition
des plus indispensables de leur manifestation vit
qui reste identique, sauf les proportions de vapeur d’eau et quelques
conditions
électriques et ozonifiantes qui peuvent varier. L
liquide qui diffère de la liqueur sanguine dans laquelle il nage. 3º
Conditions
organiques. — Les conditions organiques sont cell
queur sanguine dans laquelle il nage. 3º Conditions organiques. — Les
conditions
organiques sont celles qui répondent à l’évolutio
des propriétés vitales des éléments organiques. Les variations de ces
conditions
amènent nécessairement un certain nombre de modif
lus complexe. Les espèces animales et végétales sont séparées par des
conditions
spéciales qui les empêchent de se mélanger en ce
ou telle maladie parasitique ou virulente. L’habitude est encore une
condition
des plus puissantes pour modifier les organismes.
une condition des plus puissantes pour modifier les organismes. Cette
condition
est des plus importantes à tenir en considération
complexité présente l’expérimentation chez les animaux, à raison des
conditions
innombrables dont le physiologiste est appelé à t
et une subordination convenables dans l’appréciation de ces diverses
conditions
, et que l’on cherche à les rattacher à des circon
ue manifestées par des mécanismes variés à l’infini. Un poison ou une
condition
morbide qui agiraient sur un élément histologique
ces faites sur des animaux, avec des substances délétères ou dans des
conditions
nuisibles, sont très utiles et parfaitement concl
t presque jamais se flatter de connaître tous les corps et toutes les
conditions
qui entrent dans l’expression d’un ensemble de ph
quel on expérimente. On a alors deux animaux chez lesquels toutes les
conditions
expérimentales sont les mêmes sauf une, l’ablatio
e peut être faite sur deux animaux de la même espèce et pris dans des
conditions
aussi comparables que possible ; tantôt il faut f
venons de le dire, placer les deux animaux semblables dans les mêmes
conditions
moins une, celle que l’on veut comparer. Cela sup
les différents moments où on l’examine, soit parce qu’il est dans des
conditions
de nutrition différentes, soit parce que son orga
amment analysés, de manière à être sûr qu’on connaît complètement les
conditions
des phénomènes entre lesquels on veut établir une
nomènes sont tellement complexes, qu’à côté de quelques-unes de leurs
conditions
que nous connaissons, nous devons non seulement s
dix-neuf jours d’abstinence. Mais cette chatte s’est trouvée dans des
conditions
physiologiques qu’ils ignoraient ; elle était ple
ces réductions aucune loi directe. Mais il resterait encore d’autres
conditions
qu’il faudrait de même établir expérimentalement
l’âge, la taille, l’état de digestion, etc. ; telles sont toutes les
conditions
physiologiques, qui, dans ces mesures, doivent to
résumé, toutes les applications du calcul seraient excellentes si les
conditions
physiologiques étaient bien exactement déterminée
t bien exactement déterminées. C’est donc sur la détermination de ces
conditions
que le physiologiste et le médecin doivent concen
moment tous leurs efforts. Il faut d’abord déterminer exactement les
conditions
de chaque phénomène ; c’est là la véritable exact
titue une question médicale qu’il importe d’examiner ici. La première
condition
pour employer la statistique, c’est que les faits
tement déterminée. Ce n’est donc que lorsqu’un phénomène renferme des
conditions
encore indéterminées, qu’on pourrait faire de la
les racines rachidiennes antérieures sont toujours sensibles dans des
conditions
données, et toujours insensibles dans d’autres co
es dans des conditions données, et toujours insensibles dans d’autres
conditions
également déterminées. je citerai encore un autre
ule fois avec une certaine apparence pour admettre que dans les mêmes
conditions
il doive se montrer toujours de la même manière.
me manière. Si donc il diffère dans ses manifestations, c’est que les
conditions
diffèrent. Mais il n’y a pas de lois dans l’indét
’y en a que dans le déterminisme expérimental, et sans cette dernière
condition
, il ne saurait y avoir de science. Les médecins e
e, et nous avons vu qu’il faut encore y ajouter l’étude de toutes les
conditions
physico-chimiques qui entrent comme éléments néce
laboratoire du savant et du médecin expérimentateur. Mais c’est à la
condition
qu’il lise, pour connaître et contrôler sur la na
développement ; or ces moyens, ce sont les laboratoires et toutes les
conditions
et instruments nécessaires à la culture du champ
avantage et a donné plus de fruits dans les pays où elle a trouvé des
conditions
de développement plus favorables. Aujourd’hui, da
lement les phénomènes de la matière brute. Le laboratoire est donc la
condition
sine qua non du développement de la médecine expé
ence sans le voir fructifier. Je ne saurais traiter ici de toutes les
conditions
qui sont nécessaires à l’installation d’un bon la
s lapins me fit venir la pensée que ces animaux devaient être dans la
condition
alimentaire des carnivores. Je supposai qu’ils n’
our me procurer chez l’animal vivant ce liquide pancréatique dans des
conditions
physiologiques convenables et en quantité suffisa
que l’idée était juste. En effet, du suc pancréatique obtenu dans des
conditions
convenables sur des chiens, des lapins et divers
je résolus de varier l’expérimentation et de placer le sang dans des
conditions
artificielles qui me permissent de retrouver l’ox
de carbone y avait diminué. Ces expériences, répétées dans les mêmes
conditions
, m’apprirent qu’il y avait eu là un simple échang
imentales, et la logique ne suffit pas ; mais cela tient à ce que les
conditions
d’action de l’oxyde de carbone sur le sang peuven
aux éléments variables et imprévus, qui peuvent s’introduire dans les
conditions
d’un phénomène, que jamais dans les sciences expé
éories, et que garder l’indépendance de son esprit était la meilleure
condition
pour trouver la vérité et pour faire faire des pr
it en lui-même afin d’en déterminer aussi exactement que possible les
conditions
expérimentales. Aujourd’hui mes expériences sur l
dupes. Il n’y a de réel que les manifestations des phénomènes et les
conditions
de ces manifestations qu’il s’agit de déterminer
je persistai à expérimenter en cherchant à reconnaître exactement les
conditions
de l’opération. Je parvins, à la suite de mes ess
e de mes essais, à fixer le lieu précis de la piqûre, et à donner les
conditions
dans lesquelles doit être placé l’animal opéré ;
e fait du diabète artificiel toutes les fois que l’on se met dans les
conditions
connues exigées pour sa manifestation. À ce qui p
tous deux, mais seulement les expliquer et les déterminer dans leurs
conditions
respectives. Quand M. Longet s’écrie : La vérité
olue qu’en 1822 et en 1839, Magendie n’a pas vu le phénomène dans des
conditions
identiques, et ce sont précisément ces différence
des conditions identiques, et ce sont précisément ces différences de
conditions
qu’il faut chercher à déterminer afin de faire co
exposé à se tromper, excepté ceux qui ne font rien. Mais, la première
condition
pour revenir d’une erreur, c’est de prouver qu’il
e ? Mais alors il faut renoncer à l’expérimentation ; car la première
condition
pour un expérimentateur, c’est d’avoir confiance
que toutes les expériences sont bonnes dans le déterminisme de leurs
conditions
respectives ; c’est dans la recherche des conditi
minisme de leurs conditions respectives ; c’est dans la recherche des
conditions
de chacun de ces déterminismes que gît précisémen
ous donner les lois du phénomène, puisque par là nous connaissons les
conditions
de son existence et de sa non-existence. C’est en
à force d’observation et de persévérance, je finis par trouver58 les
conditions
dans lesquelles il faut se placer pour obtenir l’
se placer pour obtenir l’un ou l’autre résultat. Aujourd’hui que les
conditions
du phénomène sont connues, personne ne discute pl
dmettent le fait de la sensibilité récurrente comme constant dans les
conditions
que j’ai fait connaître. D’après ce qui précède i
Signaler une erreur, cela équivaut à faire une découverte. Oui, à la
condition
que l’on mette au jour une vérité nouvelle en mon
ans le raisonnement expérimental, avant qu’ils soient fixés dans leur
condition
d’existence par un déterminisme rationnel. Autrem
cas, mettre, ainsi que nous l’avons dit, deux animaux dans les mêmes
conditions
moins une, c’est-à-dire mettre la membrane occipi
eux animaux comparables sous ce rapport, même en les mettant dans des
conditions
alimentaires exactement semblables, c’est-à-dire
rnir des résultats identiques toutes les fois que l’on opère dans des
conditions
exactement semblables. À ce propos, un membre de
les résultats des expériences sont identiques quand on opère dans des
conditions
identiques ; je nie qu’il en soit ainsi. Cette co
l, que la vie intervient dans les phénomènes, on a beau être dans des
conditions
identiques, les résultats peuvent être différents
lui, à ce que la vie modifie par elle-même les résultats, quoique les
conditions
de l’expérience aient été les mêmes ; ce qui ne p
ologique et qu’il se faisait complètement illusion sur l’identité des
conditions
dans les cas dont il parlait, en ce sens que les
re à les faire différer, chez les divers individus, lors même que les
conditions
dans lesquelles ils s’accomplissaient étaient ide
finité, mais en sachant qu’au fond il n’y a que des phénomènes et des
conditions
de phénomènes qu’il faut connaître ; quand la con
mènes et des conditions de phénomènes qu’il faut connaître ; quand la
condition
du phénomène sera connue, alors les forces vitale
la vie qui empêche le phénomène d’avoir lieu, mais c’est parce que la
condition
du phénomène ne se rencontre pas dans le corps co
que la vie n’agit plus sur elle. Il n’en est rien ; il faut certaines
conditions
physicochimiques pour faire coaguler la fibrine ;
ns l’organisme qu’au dehors. La vie qu’on invoquait n’est donc qu’une
condition
physique qui existe ou qui n’existe pas. J’ai mon
la médecine. Je montrerai plus tard que ce ne sont encore là que des
conditions
physiques qui sont présentes ou absentes, mais il
encore une fois, au fond de toutes ces explications il n’y a que les
conditions
ou le déterminisme des phénomènes à trouver. En r
nomène pathologique, c’est-à-dire d’une maladie, exactement les mêmes
conditions
d’esprit et la même rigueur que dans l’observatio
vivante, sont identiques dans leur essence et ne varient que par les
conditions
diverses dans lesquelles les phénomènes se manife
uts qui ne sauraient entrer dans le raisonnement scientifique qu’à la
condition
d’être déterminés et exactement définis dans leur
qu’à la condition d’être déterminés et exactement définis dans leurs
conditions
d’existence. Mais le caractère de la critique en
édecin doit chercher à diminuer ; car l’expérience comparative est la
condition
sine qua non de la médecine expérimentale et scie
es malades ne sont au fond que des phénomènes physiologiques dans des
conditions
nouvelles qu’il s’agit de déterminer ; les action
période s’ajoute à la première en reposant sur elle. Donc la première
condition
pour faire de la médecine expérimentale, c’est d’
s’habituer à comprendre que la science n’est que le déterminisme des
conditions
des phénomènes, et chercher toujours à supprimer
e que c’est un phénomène dont nous ignorons la cause prochaine ou les
conditions
. La science doit expliquer toujours le plus obscu
chaines des phénomènes normaux qui toutes doivent se trouver dans des
conditions
organiques déterminées et en rapport avec des pro
eurs effets, mais le physicien et le chimiste veulent remonter à leur
condition
d’existence, c’est-à-dire à leurs causes prochain
remonter aux causes prochaines de ces phénomènes, c’est-à-dire à leur
condition
d’existence. En un mot, il ne suffira pas au méde
isolé., mais un fait scientifique. Ce fait se rattachera alors à des
conditions
qui le relieront à d’autres phénomènes et nous se
ment. On guérit toujours et sans exception quand on se place dans les
conditions
expérimentales connues pour atteindre ce but71. V
sont une excellente chose pour la science proprement dite, mais à la
condition
que ceux qui se livrent à l’investigation d’une p
pose la manifestation nécessaire d’un phénomène indépendamment de ses
conditions
, tandis que le déterminisme est la condition néce
e indépendamment de ses conditions, tandis que le déterminisme est la
condition
nécessaire d’un phénomène dont la manifestation n
ière vivante, il n’y a que des phénomènes dont il faut déterminer les
conditions
, c’est-à-dire les circonstances qui jouent par ra
draient l’indépendance et la liberté d’esprit qui seront toujours les
conditions
essentielles de tous les progrès de l’humanité. F
de l’organisme par une analyse de plus en plus intime, et arriver aux
conditions
organiques élémentaires dont la connaissance nous
la critique s’exerce sur ces matériaux incohérents et les ramène aux
conditions
d’exactitude que comportent les expériences physi
difficultés. Il faut que le physiologiste puisse apprécier toutes les
conditions
d’une expérience afin de savoir s’il les réalise
iscerner celles qui ont varié d’une expérience à l’autre. Lorsque les
conditions
expérimentales sont identiques, en physiologie, c
sultat est univoque : si le résultat est différent, c’est que quelque
condition
a changé. Ce n’est donc point l’exactitude qui es
mènes de la vie comparés aux phénomènes des corps bruts ; ce sont les
conditions
expérimentales qui sont plus nombreuses, plus dél
cultés de la critique expérimentale et arriver à connaître toutes les
conditions
d’un phénomène physiologique, il faut avoir tâton
rce indépendante ; qu’elles résultent du conflit nécessaire entre des
conditions
organiques préétablies et des conditions physico-
conflit nécessaire entre des conditions organiques préétablies et des
conditions
physico-chimiques déterminées. — Nous ne pouvons
-chimiques déterminées. — Nous ne pouvons saisir et connaître que les
conditions
matérielles de ce conflit, c’est-à-dire le déterm
la vie, comme nous maîtrisons les phénomènes des corps bruts dont les
conditions
nous sont connues. III. Du déterminisme en physio
aux objections philosophiques ; le déterminisme physiologique est une
condition
indispensable de la liberté morale au lieu d’en ê
vivants n’est pas intérieur : on ne saurait le séparer, l’isoler des
conditions
atmosphériques ou cosmiques extérieures, et il n’
Kant, l’indépendance apparente des manifestations vitales d’avec les
conditions
extérieures : « La vie est, pour lui, l’uniformit
ants. » Cet état de choses, c’est évidemment l’organisation, avec la
condition
de la sensibilité. Rostan, qui avait placé dans l
uit. L’être brut, minéral, est immuable et incorruptible tant que les
conditions
extérieures ne changent point. Ce caractère d’évo
té des animaux et des plantes est certainement sous la dépendance des
conditions
extérieures. Cela est bien visible chez les végét
i une graine ; elle est inerte comme un corps minéral. Dans certaines
conditions
, sa constitution reste invariable et elle restera
complète indifférence chimique. Et cependant, qu’on lui fournisse les
conditions
extérieures de la germination, la chaleur, l’humi
sur lui. On voit au contraire les actes vitaux avoir constamment pour
condition
des circonstances physico-chimiques externes, par
’est pas la manifestation unique d’un quid intus, ni le seul effet de
conditions
physico-chimiques extérieures. La vie ne saurait
nisation. Notre science devra tendre, comme but pratique, à fixer les
conditions
et les circonstances de ces deux ordres de phénom
anifestations vitales restent placées directement sous l’influence de
conditions
physico-chimiques, ces conditions ne sauraient gr
ées directement sous l’influence de conditions physico-chimiques, ces
conditions
ne sauraient grouper, harmoniser les phénomènes d
systématique préconçue. Nous chercherons à déterminer exactement les
conditions
de manifestation des phénomènes de la vie, afin d
e la force ou les forces vitales ne peuvent rien sans le concours des
conditions
physiques. Il y a un accord intime, une étroite l
nion harmonique nécessaire. L’humidité, la chaleur, l’air, créent des
conditions
indispensables au fonctionnement de la vie. Les m
nous le verrons, que lorsque l’on vient à leur restituer l’eau et les
conditions
physico-chimiques qui leur sont nécessaires pour
ait. C’est qu’en effet la force vitale ne peut rien produire sans les
conditions
physico-chimiques : elle reste absolument inerte,
e absolument inerte, et le phénomène vital n’apparaît que lorsque les
conditions
physico-chimiques déterminées pour sa manifestati
du fait ne soit pas discutable. Les phénomènes vitaux ont bien leurs
conditions
physico-chimiques rigoureusement déterminées ; ma
-même, alors que tout se manifeste dans la vie par l’intervention des
conditions
physiques et chimiques, la considération de cette
e vitale, entité insaisissable, qu’il lui faudra s’adresser, mais aux
conditions
physiques et chimiques qui entraînent et commande
ns qui apparaissent à nos yeux. De ce qui précède, il résulte que les
conditions
qui nous sont accessibles pour faire apparaître l
ns les êtres vivants ou en dehors d’eux, a pour substratum obligé des
conditions
matérielles. Ce sont ces conditions que nous appe
eux, a pour substratum obligé des conditions matérielles. Ce sont ces
conditions
que nous appelons les conditions déterminées du p
conditions matérielles. Ce sont ces conditions que nous appelons les
conditions
déterminées du phénomène. Nous ne pouvons connaît
onditions déterminées du phénomène. Nous ne pouvons connaître que les
conditions
matérielles et non la nature intime des phénomène
straits qu’un agent quelconque ne saurait atteindre ; mais il y a des
conditions
matérielles qui font apparaître les phénomènes qu
. Dans aucune science expérimentale on ne connaît autre chose que les
conditions
physico-chimiques des phénomènes ; on ne travaill
es des phénomènes ; on ne travaille à autre chose qu’à déterminer ces
conditions
. Nulle part on n’atteint les causes premières ; l
l’expérience. On n’agit point sur ces entités, mais seulement sur les
conditions
physiques ou chimiques qui entraînent les phénomè
comme chaque phénomène physique, est invariablement déterminé par des
conditions
physico-chimiques qui, lui permettant ou l’empêch
es qui, lui permettant ou l’empêchant d’apparaître, en deviennent les
conditions
ou les causes matérielles immédiates ou prochaine
ns ou les causes matérielles immédiates ou prochaines. L’ensemble des
conditions
déterminantes d’un phénomène entraîne nécessairem
ologie que les phénomènes vitaux sont constamment identiques dans des
conditions
identiques, c’est énoncer une erreur, s’écria Ger
t, disons-nous, est un phénomène physiologique et se trouve lié à des
conditions
physico-chimiques déterminées, qui le permettent
s vérifié. Les phénomènes de l’âme, pour se manifester, ont besoin de
conditions
matérielles exactement déterminées ; c’est pour c
ent un déterminisme de la liberté morale, c’est-à-dire un ensemble de
conditions
anatomiques et physico-chimiques qui lui permette
loin d’être la négation de la liberté morale, en est au contraire la
condition
nécessaire comme de toutes autres manifestations
me vivant, et nous exprimerons notre pensée en disant : 1° Il y a des
conditions
matérielles déterminées qui règlent l’apparition
leurs ainsi dans toute science. Les définitions sont illusoires ; les
conditions
des choses sont tout ce que nous en pouvons conna
écessaire de la vie physiologique. Le déterminisme fait connaître les
conditions
par lesquelles nous pouvons atteindre les phénomè
nce, car au fond il révèle les rapports entre les phénomènes et leurs
conditions
, c’est-à-dire la seule et la vraie causalité immé
s autres causes premières. En disant qu’on ne doit rechercher que les
conditions
de la vie, nous circonscrivons le champ de la sci
organique et de destruction organique, nous embrassons l’ensemble des
conditions
de l’existence de tous les êtres vivants et nous
d’action ; elle est le résultat d’un conflit entre l’organisme et les
conditions
physico-chimiques ambiantes. Ce conflit n’est poi
e se présente à nous sous trois aspects qui prouvent la nécessité des
conditions
physico-chimiques pour la manifestation de la vie
règne animal. — La vie latente est une vie arrêtée et non diminuée. —
Conditions
du retour de la vie latente à la vie manifestée.
nuée. — Conditions du retour de la vie latente à la vie manifestée. —
Conditions
extrinsèques : eau, air (oxygène), chaleur ; intr
aux à vie constante consiste à maintenir dans le milieu intérieur les
conditions
intrinsèques ou extrinsèques nécessaires à la vie
système nerveux qui est l’agent de cette équilibration de toutes les
conditions
du milieu intérieur. — Conclusion relative à l’in
l n’y a qu’un conflit vital dont nous devons chercher à connaître les
conditions
. La vie, avons-nous dit, ne saurait s’expliquer
phénomènes dans leur succession, leur concert, leur harmonie ; 2° Les
conditions
physico-chimiques déterminées qui sont nécessaire
le germe semble garder la mémoire de l’organisme dont il procède. Les
conditions
seules des manifestations vitales nous sont acces
des manifestations vitales nous sont accessibles. La connaissance des
conditions
extérieures qui déterminent l’apparition des phén
résulte d’un conflit, d’une relation étroite et harmonique entre les
conditions
extérieures et la constitution préétablie de l’or
on préétablie de l’organisme. Ce n’est point par une lutte contre les
conditions
cosmiques que l’organisme se développe et se main
totale de l’univers. Le mode des relations entre l’être vivant et les
conditions
cosmiques ambiantes nous permet de considérer tro
vie, suivant qu’elle est dans une dépendance tout à fait étroite des
conditions
extérieures, dans une dépendance moindre, ou dans
inaltérés. C’est ainsi qu’un morceau de marbre, par exemple, dans les
conditions
ordinaires, reste sans changements appréciables d
s d’une manière identique, on peut comprendre pourquoi et par quelles
conditions
la vie latente se soutient plus facilement chez l
virtuelle : elle existe prête à se manifester, si on lui fournit les
conditions
extérieures convenables, mais elle ne se manifest
extérieures convenables, mais elle ne se manifeste aucunement si ces
conditions
font défaut. La graine a en elle, dans son organi
il faut pour vivre ; mais elle ne vit pas, parce qu’il lui manque les
conditions
physico-chimiques nécessaires. On aurait tort de
acteurs, l’être ne saurait vivre. Il ne vit pas davantage lorsque les
conditions
de milieu n’existent pas que lorsqu’elles existen
rendraient sensibles. Cette vie réduite devrait s’user ; or, dans les
conditions
convenables, elle ne s’use pas. Ainsi, la graine
tances extérieures. Ces circonstances sont au nombre de quatre. Trois
conditions
extrinsèques : L’air (oxygène). La chaleur. L’hum
onditions extrinsèques : L’air (oxygène). La chaleur. L’humidité. Une
condition
intrinsèque : La réserve nutritive de la graine e
dépenseront plus tard. Mais ce n’est pas tout. Il faut encore que ces
conditions
existent à un degré, à une dose déterminée ; alor
puisque toutes les manifestations vitales sont étroitement liées aux
conditions
physico-chimiques dont l’énumération suit : 1° Ea
sphère convenables pour la végétation. Il ne leur manque qu’une seule
condition
, l’humidité ; dès lors elles sont inertes. Les bl
nt que, pour manifester la vitalité, la graine a besoin de toutes les
conditions
que nous avons énumérées précédemment ; si l’une
ation n’a plus eu lieu. De sorte que j’ai lieu de croire que dans les
conditions
indiquées ce point marque la limite supérieure de
s. C’est donc l’embryon qui reste en état de vie latente tant que les
conditions
extérieures ne se prêtent pas à son développement
végétal lui-même. L’eau et la chaleur sont pour l’embryon végétal des
conditions
indispensables du retour de la vie latente à la v
u retour de la vie latente à la vie manifestée. La suppression de ces
conditions
fait constamment disparaître la vie, leur retour
le milieu. En lui rendant l’humidité et la chaleur, c’est-à-dire les
conditions
propices, la vie reparaît. On peut renouveler ces
ne se sont manifestés en se développant que lorsqu’ils ont trouvé les
conditions
d’aération, d’humidité et de chaleur qui sont les
s un état de mort apparente et de résurrection sous l’influence d’une
condition
physique qui existe ou fait défaut. Les rotifères
2° — que ces corps conservent leur propriété de reviviscence dans des
conditions
(vide sec à 100°) incompatibles avec toute espèce
blé. On voit que ce rapport n’a rien de mystérieux ; c’est une simple
condition
physique qui fait que le chemin est praticable ou
si généralement, et toutes les harmonies naturelles se ramènent à des
conditions
physico-chimiques quand nous en connaissons le mé
c le grain lui-même et attendent, dans un état de mort apparente, les
conditions
nécessaires à leurs manifestations vitales : l’hu
Leurs mouvements ne subissent pas d’interruption à moins que quelque
condition
extérieure n’intervienne. La dessiccation, la sou
re n’intervienne. La dessiccation, la soustraction de l’air, sont les
conditions
ordinaires qui arrêtent ces mouvements ainsi que
parer cette perte, puisqu’ils ne mangent pas. De sorte qu’à la fin la
condition
intrinsèque formée par la réserve des matériaux n
her la vie de se manifester lors même que subsistent les trois autres
conditions
extrinsèques : chaleur, eau, air. Si l’on abaisse
des anguillules. Mais on peut faire en sorte qu’une seule des autres
conditions
nécessaires fasse défaut, l’aération par exemple
nte. Le substratum de la vie existe bien dans la graine ; mais si les
conditions
physico-chimiques externes font défaut, tout conf
puisse faire maintenant. Ces phénomènes, résultant de l’influence des
conditions
physiques du milieu sur la vie latente ou la vie
uence de leur durée s’expliquent par le retour et les alternatives de
conditions
physico-chimiques déterminées. L’hiver n’a pas ag
déterminées. L’hiver n’a pas agi sur les œufs de ver à soie comme une
condition
particulière ou extra-physique ; l’hiver a agi si
ition particulière ou extra-physique ; l’hiver a agi simplement comme
condition
physique, comme froid. C’est ce qu’ont démontré l
qu’au printemps suivant parce que l’hiver et les froids apportent une
condition
physique favorable à un certain développement ins
résistera à ces épreuves ; et lorsque ensuite on la placera dans des
conditions
convenables, elle revivra et pourra se développer
ssiccation. Explication de la vie latente. — La dessiccation est une
condition
de protection pour les organismes qui doivent êtr
manifestée, nous verrons avec la plus grande évidence l’influence des
conditions
extérieures se manifester sur les deux ordres de
s d’abord du passage de la vie manifestée à l’état de vie latente. La
condition
principale que doit remplir un organisme pour tom
ations fonctionnelles de l’être vivant ; il en est de même des autres
conditions
qui produisent la vie latente. Les propriétés phy
ctation les lui restitue. La fibrine du sang se trouve dans les mêmes
conditions
. Elle peut perdre par la dessiccation 80 pour 100
nous occupe. Nous voyons comment la suppression de l’humidité et des
conditions
extrinsèques propices peut entraîner la dispariti
e. Cette observation nous fait comprendre la nécessité d’une nouvelle
condition
pour la reviviscence ou le retour à la vie manife
nuent ou s’exaltent néanmoins dans une très large mesure, lorsque les
conditions
extérieures varient. Les êtres dont les manifesta
vitales peuvent varier dans des limites étendues sous l’influence des
conditions
cosmiques sont des êtres à vie oscillante ou dépe
at de vie engourdie, prêt à se développer en un animal nouveau si les
conditions
de l’incubation sont réalisées. Mais il ne pourra
engourdit pour son propre compte, révélant ainsi son autonomie et les
conditions
de son activité propre. En un mot, chaque système
e influencé par le froid comme l’individu tout entier. Il a les mêmes
conditions
d’activité ou d’inactivité que l’ensemble, et il
nt. C’est le sang réchauffé qui a créé autour de tous les éléments la
condition
physique de température nécessaire au fonctionnem
engourdis résistent par suite de l’abaissement de leur vitalité à des
conditions
où d’autres périraient. L’engourdissement est don
nditions où d’autres périraient. L’engourdissement est donc aussi une
condition
de résistance vitale comme l’était la vie latente
é la résistance remarquable des marmottes en état d’hibernation à des
conditions
qui les feraient périr si elles étaient dans leur
iquent aussi clairement que le cas de la vie latente. L’influence des
conditions
cosmiques produit d’abord la suppression incomplè
us élevés en organisation. La vie ne s’y montre suspendue dans aucune
condition
: elle s’écoule d’un cours constant et indifféren
en apparence aux alternatives du milieu cosmique, aux changements des
conditions
matérielles qui entourent l’animal. Les organes,
osphériques s’arrêtent à lui, de sorte qu’il est vrai de dire que les
conditions
physiques du milieu sont constantes pour l’animal
ns le milieu liquide intérieur. La fixité du milieu intérieur est la
condition
de la vie libre, indépendante : le mécanisme qui
t celui qui assure dans le milieu intérieur le maintien de toutes les
conditions
nécessaires à la vie des éléments. Ceci nous fait
ate compensation établie comme par la plus sensible des balances. Les
conditions
nécessaires à la vie des éléments qui doivent êtr
, la chaleur, les substances chimiques ou réserves. Ce sont les mêmes
conditions
que celles qui sont nécessaires à la vie des être
e, le système nerveux est appelé à régler l’harmonie entre toutes ces
conditions
. 1° L’eau. — C’est un élément indispensable, qual
la proportion de liquide diminue dans le corps à la suite de quelque
condition
telle que l’hémorrhagie, la sudation abondante ;
l’eau en proportion sensiblement déterminée dans le milieu intérieur,
condition
de la vie libre. Ce n’est pas seulement pour l’ea
lieu la même quantité d’oxygène, et sa vie s’accomplit dans les mêmes
conditions
. Mais il peut y avoir dans l’animal lui-même des
ssez restreintes ; ils se faussent et deviennent impuissants dans des
conditions
extrêmes. Ils sont réglés par le système nerveux.
’ils soient, n’ont toujours qu’un but, celui de maintenir l’unité des
conditions
de la vie dans le milieu intérieur. 4° Réserves.
intérieur capable d’en opérer les manifestations, indépendamment des
conditions
physico-chimiques extérieures. La conclusion à la
ager. Nous voyons que, dans la vie latente, l’être est dominé par les
conditions
physico-chimiques extérieures, au point que toute
oscillante, si l’être vivant n’est pas aussi absolument soumis à ces
conditions
, il y reste néanmoins tellement enchaîné qu’il en
t produites et dirigées par un principe vital intérieur affranchi des
conditions
physico-chimiques extérieures ; cette apparence e
êtres vivants un principe vital libre, luttant contre l’influence des
conditions
physiques. C’est le fait opposé qui est démontré,
spécifiques dans lesquels elle est entrée. C’est précisément à cette
condition
que satisfait la division en phénomènes de destru
exes et inséparables, en ce sens, au moins, que la destruction est la
condition
nécessaire de la rénovation. Les phénomènes de la
mentations dues aux ferments figurés. — Fermentation alcoolique ; ses
conditions
. — II. Combustion. — Théorie de Lavoisier ; combu
ue beaucoup de cellules, soit animales soit végétales, mises dans les
conditions
des cellules de levure, agissent comme celles-ci.
itions des cellules de levure, agissent comme celles-ci. Dans quelles
conditions
la levure provoque-t-elle la fermentation alcooli
la carapace d’un crustacé, le squelette d’un mammifère sont dans des
conditions
d’inaltérabilité pareilles à l’écorce ou au bois
ns le même cas. L’œuf, en effet, se trouve à un moment dans les mêmes
conditions
, lorsqu’il a perdu la vésicule germinative, avant
ère, le protoplasma, que réside l’activité vitale, indépendamment des
conditions
morphologiques qu’elle présente, et des moules où
organique ou synthèse vitale aurait ainsi pour premier degré et pour
condition
essentielle la synthèse chimique du protoplasma.
araître ou disparaître au sein du protoplasma préexistant suivant des
conditions
extérieures. Si, par exemple, on recouvre quelque
à cet égard. Ingen-Housz, Sennebier, Th. de Saussure ont précisé les
conditions
de cette expérience et ont fait connaître l’actio
voir que le protoplasma est susceptible de se charger dans certaines
conditions
d’une matière verte, la chlorophylle. Mais le pro
a sa source dans l’aliment carboné ; celui-ci ne doit remplir qu’une
condition
, c’est de n’être pas saturé d’oxygène et de pouvo
Ce seraient les combinaisons oxygénées de l’azote qui, dans certaines
conditions
climatériques, orages, etc., peuvent donner des c
bumine. D’où il conclut que la source de la vie est le feu et que les
conditions
de la vie ont été satisfaites précisément à l’épo
oplasma, examine pour ainsi dire son évolution chimique dans les deux
conditions
d’organisation et de désorganisation. Il y aurait
ur des larves de mouches (asticots), j’espère être dans de meilleures
conditions
pour saisir le mécanisme qui donne naissance au g
d’hui, mais dont nous sommes déjà parvenus à analyser les principales
conditions
. Septième leçon : Propriétés du protoplasma d
l’irritabilité. — II. Excitants et anesthésiants de l’irritabilité. —
Conditions
normales de l’irritabilité protoplasmique. — Anes
l’avons dit, le résultat d’un conflit entre la matière vivante et les
conditions
extérieures. La vie résulte constamment du rappor
vivante de réagir aux excitations du monde extérieur. Cette faculté,
condition
essentielle de tous les phénomènes de la vie, che
érieurs. Toute manifestation vitale exigeant le concours de certaines
conditions
ou excitants extérieurs, est par cela même une ma
es. Virchow professe la même opinion ; les phénomènes vitaux ont pour
condition
intime l’irritabilité, terme générique qui compre
e. Mais toutes ces manifestations particulières sont dominées par une
condition
générale ; elles sont les modes divers d’une facu
eurs : c’est l’irritabilité. Le tissu n’est déclaré vivant qu’à cette
condition
; 2° Il existe en même temps dans tous les tissus
otoplasma. II. Excitants et anesthésiants de l’irritabilité Les
conditions
de la mise en jeu de l’irritabilité nous sont con
certaines substances dissoutes dans le milieu ambiant. Sans doute les
conditions
extrinsèques qui doivent être réalisées pour perm
chaque élément cellulaire en particulier. Mais pour nous en tenir aux
conditions
générales, essentielles, nous dirons qu’elles son
r toute espèce de protoplasma, animal ou végétal : ce sont les quatre
conditions
que nous avons précédemment indiquées. Par un sin
uées. Par un singulier rapprochement, on pourrait dire que ces quatre
conditions
indispensables à l’exercice de l’irritabilité, à
que l’être vivant rencontre dans le milieu ambiant. Relativement aux
conditions
physico-chimiques de la vie, nous n’avons rien d’
er à ce que nous avons déjà dit, d’une manière générale, à propos des
conditions
de la vie latente, de la vie oscillante et de la
uche (Dionæa muscipula), du sainfoin oscillant (Hedysarum gyrans). La
condition
préalable de ces manifestations de mouvement, c’e
s éléments de tissus ne peuvent manifester leur activité que dans des
conditions
d’humidité et de semi-fluidité spéciales de leur
cresson alénois, qui germent très vite, et nous les plaçons dans les
conditions
nécessaires et suffisantes pour leur germination
ule, des œufs de mouche, des œufs de ver à soie, en agissant dans des
conditions
convenables et en faisant usage de l’appareil à c
dire qu’il est impossible de réussir en se plaçant dans de meilleures
conditions
. Je signale seulement ces essais pour montrer que
professé la même opinion ; selon lui, les phénomènes vitaux ont pour
condition
intime l’irritabilité, terme générique qui compre
ls cette vie s’exerce. Au fond, tous ces mécanismes sont soumis à une
condition
générale et commune : l’irritabilité. L’expérimen
ntité, qui devient tout à fait évidente si l’on considère surtout les
conditions
simples et claires de l’expérience. En résumé, au
propriétés ni sur les fonctions vitales. Il n’y a, en un mot, que des
conditions
physiques au fond de toutes les manifestations ph
es, des modalités plus hautes. Dans le protoplasma se rencontrent les
conditions
de la synthèse chimique qui assimile les substanc
au degré de complication dans l’étude de la vie. Après avoir fixé les
conditions
de l’être vivant idéal, amorphe, réduit à la subs
is elle l’utilise d’une façon tout à fait indépendante et suivant des
conditions
qui n’y sont pas nécessairement contenues. Les fo
istait déjà, à l’état dormant et n’attendant que d’être tiré de cette
condition
léthargique par l’impulsion fécondatrice. — Défen
i, c’est que l’être est en quelque sorte emprisonné dans une série de
conditions
dont il ne peut sortir, parce qu’elles se répèten
déjà en puissance l’état adulte, et que sa formation a lieu dans des
conditions
tellement déterminées qu’on ne peut pas changer s
e sorte dormantes ou expectantes ; elles apparaîtraient dès que leurs
conditions
d’existence viendraient à se manifester, et, une
ter, et, une fois réalisées, elles se perpétueraient autant que leurs
conditions
d’existence et de succession se perpétueraient el
lois de la nature. Seulement le chimiste réalise artificiellement les
conditions
extérieures ou cosmiques de leur existence., Les
e titre. Mais l’homme de science envisage seulement les causes ou les
conditions
efficientes, et non, selon l’expression de M. Car
onditions efficientes, et non, selon l’expression de M. Caro68, leurs
conditions
intellectuelles. Il voit l’ordre, le rapport des
dire toute autre recherche que celles qui ramènent des effets à leurs
conditions
ou causes prochaines. Sans doute ces causes physi
s conditions ou causes prochaines. Sans doute ces causes physiques ou
conditions
ne suffisent pas à nous rendre compte des phénomè
tion intelligente et prévoyante, comme le veulent les finalistes, une
condition
d’existence, comme le veulent les positivistes, u
erve dans son domaine que ce qui est à notre portée, c’est-à-dire les
conditions
phénoménales et les propriétés matérielles par le
en notre pouvoir et dont nous soyons maîtres comme nous le sommes des
conditions
physiques des manifestations vitales : la phénomé
uvons la diriger. A la vérité on peut considérer l’hérédité comme une
condition
expérimentale et l’employer, comme on fait en zoo
e fondamental ; mais on met en œuvre, dans de telles expériences, une
condition
qui n’en reste pas moins obscure. C’est, nous le
par lui-même. La vie n’est pas non plus une résultante, parce que les
conditions
physico-chimiques qui président à sa manifestatio
urs, pas plus le principe directeur des phénomènes que l’ensemble des
conditions
matérielles de manifestation, ne peut isolément e
nifestations résultent d’une relation étroite et harmonique entre les
conditions
et la constitution de l’organisme. Tels sont les
haque acte vital. Ces deux facteurs sont, en d’autres termes : 1° Les
conditions
physico-chimiques déterminées, extérieures, qui g
ées, extérieures, qui gouvernent l’apparition des phénomènes ; 2° Les
conditions
organiques ou lois préétablies qui règlent la suc
règlent la succession, le concert, l’harmonie de ces phénomènes. Ces
conditions
organiques ou morphologiques dérivent par atavism
s que présente la vie69. Suivant la liaison plus ou moins étroite des
conditions
organiques aux conditions physico-chimiques, on d
uivant la liaison plus ou moins étroite des conditions organiques aux
conditions
physico-chimiques, on distingue : la vie latente,
la vie constante. Dans la vie latente, l’organisme est dominé par les
conditions
physico-chimiques extérieures, au point que toute
oscillante, si l’être vivant n’est pas aussi absolument soumis à ces
conditions
, il y reste néanmoins tellement enchaîné qu’il en
îné qu’il en subit toutes les variations ; actif et vivace, quand ces
conditions
sont favorables, inerte et engourdi, quand elles
favorables. Dans la vie constante, l’être paraît libre, affranchi des
conditions
cosmiques extérieures, et les manifestations vita
res, et les manifestations vitales semblent n’être tributaires que de
conditions
intérieures. Cette apparence, ainsi que nous l’av
vie constante ou libre que les relations étroites des deux ordres de
conditions
se montrent de la manière la plus caractéristique
comme un principe essentiel. Il nous reste seulement à déterminer les
conditions
et à donner les caractères du conflit vital d’une
evu que la physiologie devait tendre, comme but pratique, à fixer les
conditions
et les circonstances de ces deux ordres d’actes,
lument connexes et inséparables, en ce sens que la destruction est la
condition
nécessaire de la rénovation ; les actes de destru
istiques proprement dites, dont les mécanismes, les propriétés et les
conditions
sont communs à tous les êtres ; c’est elle qui co
nflit avec le protoplasma préexistant. La détermination exacte de ces
conditions
matérielles est ce que nous avons appelé le déter
de la vie, tandis que la physiologie générale comprend l’étude de ses
conditions
fondamentales. La matière vivante, indépendante d
nt les espèces animales ou végétales, dépend d’une façon générale des
conditions
d’être de la matière vivante ou protoplasma. Ces
érale des conditions d’être de la matière vivante ou protoplasma. Ces
conditions
du fonctionnement protoplasmique entrent en ligne
sorte que, d’une certaine manière, la morphologie est subordonnée aux
conditions
vitales élémentaires-du protoplasma, c’est-à-dire
nt fondamentalement à la réalisation en nature et en degré des quatre
conditions
de cette vie : humidité, chaleur, oxygène, réserv
un agrégat de cellules ou d’organismes élémentaires, dans lequel les
conditions
de la vie de chaque élément sont respectées et da
er successivement les mécanismes par lesquels sont réalisées ces deux
conditions
de l’autonomie des éléments anatomiques et de leu
’il possède en lui-même et par suite de sa nature protoplasmique, les
conditions
essentielles de sa vie, qu’il n’emprunte et ne so
. L’organisme, comme la société, est construit de telle façon que les
conditions
de la vie élémentaire ou individuelle y soient re
itions de la vie élémentaire ou individuelle y soient respectées, ces
conditions
étant les mêmes pour tous ; mais en même temps ch
, et toutes les fois qu’un fait de cet ordre a été découvert dans des
conditions
d’expérimentation particulières, il est légitime
mplique, de manière à créer autour de chaque élément le milieu et les
conditions
qui sont nécessaires à cet élément, afin de lui d
eur est imposée est de réunir qualitativement et quantitativement les
conditions
de la vie cellulaire. Cette tâche est de rigueur
simple ; mais le but est toujours le même. On pourrait exprimer cette
condition
du perfectionnement organique, en disant qu’il co
atomiques ; il affirme l’identité de la vie libre et associée sous la
condition
que le milieu soit identique. C’est par l’intermé
me en société. Subordination des éléments à l’ensemble. — Mais cette
condition
de l’identité du milieu est bien restrictive. Il
ificiellement le milieu intérieur dans lequel vit chaque cellule. Les
conditions
de ce milieu sont tellement délicates qu’elles no
ion des parties à l’ensemble. Quelques exemples feront comprendre ces
conditions
de la vie associée, où chaque élément est à la fo
raît au bout d’un certain temps. Il n’a pas continué à vivre dans des
conditions
qui n’étaient point faites pour lui. Les cellules
ns le plan total exerce sur son fonctionnement. Il y a donc une autre
condition
qui ne tient plus à l’élément lui-même, mais qui
urs de la même façon en tous les lieux où se trouvent rassemblées les
conditions
convenables ; mais d’autre part ces conditions co
ouvent rassemblées les conditions convenables ; mais d’autre part ces
conditions
convenables ne sont complètement réalisées que da
vant sa place dans l’organisme. Rédintégrations. — La subordination,
condition
restrictive de l’autonomie des éléments, est plus
; leur vie, toujours identique au fond, résulte d’un conflit avec des
conditions
physico-chimiques dont l’expérimentateur est maît
donc tous, le système nerveux compris, pour procurer à la cellule les
conditions
physico-chimiques qui lui sont nécessaires et don
édiate. Nous avons dit plus haut que l’on a voulu rendre compte des
conditions
de la complication croissante des êtres organisés
il vital véritablement commun à tous les êtres, c’est-à-dire pour les
conditions
essentielles de la vie élémentaire ; cela n’est p
soit comparée. La physiologie générale nous donne la connaissance des
conditions
générales de la vie qui sont communes à l’univers
nous montre la variété infinie de la vie reposant sur l’unité de ses
conditions
; celle-ci nous est donnée par la physiologie gén
e partie spéciale. Il faut connaître les propriétés de la vapeur, les
conditions
de sa génération, de sa détente, de la puissance
acteurs : les lois prédéterminées qui les fixent dans leur forme, les
conditions
physico-chimiques qui les font apparaître. En un
re que ces phénomènes de la vie ne peuvent être atteints que dans les
conditions
matérielles qui les manifestent, mais qui n’en so
— Nous agissons sur le côté exécutif des choses en nous adressant aux
conditions
matérielles : on pourrait dire que nous sommes si
sciences expérimentales, est rendue possible par le déterminisme des
conditions
physico-chimiques qui font apparaître les phénomè
ce qui est des sciences physiques et de la zoologie elle-même, cette
condition
a été si bien sentie, que, même dans les établiss
nt à la portée de l’expérimentateur et sous sa main les sujets et les
conditions
instrumentales nécessaires, de façon qu’il ne soi
ment. Il est donc impossible de séparer la propriété de nutrition des
conditions
de son exercice : il est impossible de séparer la
pes des Arabes et des guides. Mais aucun échantillon récolté dans des
conditions
authentiques n’a jamais germé. » Il est clair qu
oduit en 1872 par Kolbe, en faisant réagir le gaz carbonique dans des
conditions
particulières de température sur le phénol sodiqu
Les expériences de M. Berthelot79 tendent à établir que, dans des
conditions
comparables aux conditions atmosphériques habitue
erthelot79 tendent à établir que, dans des conditions comparables aux
conditions
atmosphériques habituelles, il peut y avoir fixat
uche d’une solution sirupeuse, titrée et pesée, de dextrine, dans des
conditions
qui permettaient de connaître exactement le poids
elle doit faire place, dans la science, à la notion de rapport ou de
conditions
. Le déterminisme fixe les conditions des phénomèn
ce, à la notion de rapport ou de conditions. Le déterminisme fixe les
conditions
des phénomènes ; il permet d’en prévoir l’apparit
é à tous les autres phénomènes de l’organisme vivant. — Si toutes les
conditions
anatomiques et physico-chimiques normales existen
9). 57. Voy. mon mémoire : De la matière glycogène considérée comme
condition
de développement de certains tissus chez le fœtus
l’avons dit, le résultat d’un conflit entre la matière vivante et les
conditions
extérieures. La vie résulte constamment du rappor
qu’il fait siennes nous présentent comme les synthèses concrètes des
conditions
que nous avons étudiées l’une après l’autre, par
s désormais le droit d’affirmer l’efficacité des formes sociales. Des
conditions
proprement sociologiques nous ont fourni une expl
ormes de ces sociétés et le succès de cette idée il y a un rapport de
condition
à conséquence. * ** Toutefois, sur la nature et l
n balance. Pour décider inductivement, de deux phénomènes, lequel est
condition
et lequel conséquence, il faut désigner celui qui
mérées, si l’on embrasse, d’un rapide coup d’œil, la multiplicité des
conditions
que suppose l’existence de chacune d’elles. Jusqu
ils ont présenté comme leur cause suffisante une de leurs nombreuses
conditions
. À en croire Spencer, la centralisation de nos so
ne s’augmente pas de lui-même et mécaniquement : en même temps que de
conditions
physiologiques, on sait qu’il dépend de condition
même temps que de conditions physiologiques, on sait qu’il dépend de
conditions
psychologiques qu’il s’agirait d’analyser et de c
er et de classer. — Inversement l’homogénéité d’une société dépend de
conditions
physiologiques en même temps que de conditions ps
’une société dépend de conditions physiologiques en même temps que de
conditions
psychologiques. Le mélange des races contribue à
pour rassembler, des quatre coins de l’horizon historique, toutes les
conditions
des transformations sociales que nous avons class
oit, les raisons de la valeur d’une tendance demeurent distinctes des
conditions
de son succès. Et c’est pourquoi la connaissance
s une chose dont cette connaissance rend compte : elle montre quelles
conditions
seraient nécessaires pour qu’une réaction pareill
e, mais par la constitution même des sociétés qu’il soumet, alors les
conditions
du combat sont changées : morceler les États, ras
arrêter l’élan démocratique de notre civilisation. En découvrant les
conditions
sociologiques du succès des idées égalitaires, no
pouvoir. — Il signifie que telles sensations sont possibles à telles
conditions
et nécessaires à telles conditions. — Toute propr
sensations sont possibles à telles conditions et nécessaires à telles
conditions
. — Toute propriété d’un corps se réduit à la poss
d’un corps se réduit à la possibilité de telle sensation dans telles
conditions
et à la nécessité de la même sensation dans les m
lles conditions et à la nécessité de la même sensation dans les mêmes
conditions
plus une condition complémentaire. — Confirmation
la nécessité de la même sensation dans les mêmes conditions plus une
condition
complémentaire. — Confirmation de ce paradoxe. —
, même dans la perception extérieure véridique. — En premier lieu, sa
condition
provocatrice et suffisante, la sensation, s’y ren
e tels effets sont possibles, futurs, prochains, nécessaires à telles
conditions
. Nous entendons simplement, dans le cas présent,
sensations sont possibles, futures, prochaines, nécessaires à telles
conditions
. Par conséquent, un faisceau de pouvoirs n’est ri
t ce que je conçois et affirme, c’est leur possibilité sous certaines
conditions
, et leur nécessité sous des conditions plus compl
eur possibilité sous certaines conditions, et leur nécessité sous des
conditions
plus complètes. Elles sont possibles quand toutes
es conditions plus complètes. Elles sont possibles quand toutes leurs
conditions
, moins une, sont données. Elles deviennent nécess
oins une, sont données. Elles deviennent nécessaires quand toutes les
conditions
, plus la condition manquante, sont données ; et i
es. Elles deviennent nécessaires quand toutes les conditions, plus la
condition
manquante, sont données ; et ici la possibilité d
onnées ; et ici la possibilité devient nécessité par l’addition de la
condition
dernière. Voilà ce qui pour nous constitue l’obje
tence et à la présence de l’individu sensible indiqué, s’ajoutait une
condition
finale, tel mouvement de sa main exploratrice, te
j’affirme la possibilité et la nécessité de telle sensation à telles
conditions
est générale et vaut pour tous les moments du tem
’affirme la possibilité et la nécessité de telles sensations à telles
conditions
est abstraite et vaut non seulement pour moi et t
nt de notre notion de la sensation. — Ces possibilités, qui, avec une
condition
de plus, deviennent des certitudes30, ont besoin
s possibilités pures, vagues, dont l’expérience n’a pas déterminé les
conditions
et sur lesquelles nous ne pouvons compter. Or, si
comme un corps, nous avons éprouvé, ou nous pensons que, dans telles
conditions
données, nous éprouverions, non pas une seule sen
capables de concevoir le commencement d’une chose quelconque sans une
condition
antécédente ou cause. Ce cas est un des plus nota
usqu’à ce que nous revenions, ou bien elles naissent et cessent à des
conditions
sur lesquelles notre présence n’a en général aucu
ités de sensation, qui sont constituées par la présence de toutes les
conditions
de la sensation, moins une, se transforment en né
ion, moins une, se transforment en nécessités, lorsque cette dernière
condition
manquante vient s’ajouter aux autres. Je vois une
ignifie aussi que si, à l’existence d’un être sensible, on ajoute une
condition
de plus, tel mouvement qui mettra sa main en cont
tion mentale. Mais, comme la loi qui prédit cet événement sous telles
conditions
est générale et, partant, permanente, l’une et l’
des plus profonds physiciens. Des forces diverses qui, sous diverses
conditions
, provoquent en nous des sensations diverses : voi
s remarquons qu’il est capable de tels changements précis sous telles
conditions
précises ; il peut changer de lieu, de figure, de
observations, nous constatons que tel corps est capable, sous telles
conditions
précises, de provoquer tels changements dans d’au
ts, nous l’avons constitué complètement. — Il peut et, sous certaines
conditions
, il doit provoquer en nous telles sensations musc
saveur : voilà ses propriétés sensibles. — Il peut et, sous certaines
conditions
, il doit éprouver tels changements de consistance
opriétés, pour ainsi dire, intrinsèques. — Il peut et, sous certaines
conditions
, il doit provoquer dans tel autre corps tel chang
, du corps, d’un autre corps, l’énoncer comme possible sous certaines
conditions
, comme nécessaire sous ces mêmes conditions, plus
e possible sous certaines conditions, comme nécessaire sous ces mêmes
conditions
, plus une complémentaire, bref poser une loi géné
port aux autres, et en lui-même. — Par rapport aux autres, il est une
condition
d’événements pour les autres, et, notamment par r
nements pour les autres, et, notamment par rapport à nous, il est une
condition
de sensations pour nous ; à ce titre, il est déte
tre part, en lui-même, il est une série d’événements qui, à certaines
conditions
, tendent à s’effectuer ; à ce titre, il est déter
ous ces matériaux sont des images de sensations possibles sous telles
conditions
, et nécessaires sous les mêmes conditions, plus u
tions possibles sous telles conditions, et nécessaires sous les mêmes
conditions
, plus une complémentaire. Lorsque rien ne contred
ux étaient ouverts, etc. Je crois de plus que, en me mettant dans les
conditions
requises, non seulement en un moment quelconque d
dans toute sociologie rationnelle. Mais nous savons que si, dans ces
conditions
, la pratique devient réfléchie, la réflexion, ain
qui doit servir de base à tous nos raisonnements pratiques. Dans ces
conditions
, on n’a plus le droit de dire que la pensée est i
à jouer ; comme si chaque état interne répondait exactement à quelque
condition
externe et, par suite, contribuait à assurer, pou
’ils sont, parce qu’ils ne peuvent pas ne pas être, étant données les
conditions
générales de la vie. On ne saurait pourtant les t
t, qu’une manière objective de prouver que des êtres, placés dans des
conditions
définies, ont moins de chances de survivre que d’
tre qualifié de pathologique que par rapport à une espèce donnée. Les
conditions
de la santé et de la maladie ne peuvent être défi
elle n’est pas impliquée dans leur tempérament ordinaire ni liée aux
conditions
d’existence dont ils dépendent généralement. Inve
ité du phénomène sera expliquée par cela seul qu’il sera rattaché aux
conditions
d’existence de l’espèce considérée, soit comme un
spèce considérée, soit comme un effet mécaniquement nécessaire de ces
conditions
, soit comme un moyen qui permet aux organismes de
lui du passé, et pourtant il n’est plus en rapport avec les nouvelles
conditions
d’existence. Un fait peut ainsi persister dans to
n’est plus l’indice que le phénomène observé est étroitement lié aux
conditions
générales de l’existence collective. Cette diffic
ir établi par l’observation que le fait est général, il remontera aux
conditions
qui ont déterminé cette généralité dans le passé
déterminé cette généralité dans le passé et cherchera ensuite si ces
conditions
sont encore données dans le présent ou si, au con
non, on cherchera ce qui, dans le passé, y a donné naissance. Si ces
conditions
sont encore celles où sont actuellement placées n
e précédente en faisant voir que la généralité du phénomène tient aux
conditions
générales de la vie collective dans le type socia
mptômes de la normalité, puisqu’il apparaît comme étroitement lié aux
conditions
de toute vie collective. Faire du crime une malad
ire pour contenir les sentiments contraires. Or, à supposer que cette
condition
put être effectivement réalisée, le crime ne disp
rquera comme criminels. Le crime est donc nécessaire ; il est lié aux
conditions
fondamentales de toute vie sociale, mais, par cel
les de toute vie sociale, mais, par cela même, il est utile ; car ces
conditions
dont il est solidaire sont elles-mêmes indispensa
ocial à l’autre, mais encore qu’ils changent pour un même type si les
conditions
de l’existence collective se modifient. Mais, pou
des arrangements anatomiques. Or, s’il n’y avait pas de crimes, cette
condition
ne serait pas remplie ; car une telle hypothèse s
nt ils avaient vécu jusqu’alors n’étaient plus en harmonie avec leurs
conditions
d’existence. Or le cas de Socrate n’est pas isolé
nir l’état normal, à le rétablir s’il est troublé, à en retrouver les
conditions
si elles viennent à changer. Le devoir de l’homme
ce qui est morbide pour le sauvage ne l’est pas pour le civilisé. Les
conditions
de la santé physique varient avec les milieux. 3
mander, il est vrai, si, quand un phénomène dérive nécessairement des
conditions
générales de la vie, il n’est pas utile par cela
tablie de cette façon, c’est que, du même coup, il a été rattaché aux
conditions
les plus générales de notre existence collective.
ifiés. Cette méthode diffère seulement de la précédente en ce que les
conditions
qui expliquent et justifient la généralité du phé
ybrides. — VI. Parallélisme entre les effets des changements dans les
conditions
de vie et ceux des croisements. — VII. La fertili
rs croisements, soit des hybrides, est plus aisément affectée par des
conditions
de vie défavorables que celle des espèces pures.
ale chez tous les individus des mêmes espèces, croisés dans les mêmes
conditions
, et paraît dépendre beaucoup de la constitution p
hez les divers individus provenant du même fruit et exposés aux mêmes
conditions
. Par le terme d’affinités systématiques, on enten
ité est éminemment susceptible de s’accroître ou de diminuer sous des
conditions
favorables ou défavorables, et en outre qu’elle v
ontrée où vivent leurs parents, ils sont généralement placés sous des
conditions
de vie convenables. Mais un hybride ne participe
l demeure dans l’œuf produit par sa mère, il peut être placé sous des
conditions
de vie nuisibles, et conséquemment exposé à périr
ivant est jeune, plus en général il paraît sensible à l’influence des
conditions
de vie défavorables ou contre nature. À l’égard d
rent que lorsque les plantes et les animaux sont placés hors de leurs
conditions
naturelles, leur système reproducteur en est très
animaux. Entre la stérilité qui résulte d’un tel changement dans les
conditions
de vie et celle des hybrides, il y a de nombreuse
x ou de plantes deviennent impuissants à se reproduire sous les mêmes
conditions
de vie contre nature, comme des groupes entiers d
espèce dans tout un groupe supportera de grands changements dans ses
conditions
de vie, sans que sa fécondité diminue ; et de mêm
es êtres organisés sont placés pendant plusieurs générations sous des
conditions
de vie nouvelles, ils sont extrêmement sujets à v
ous voyons donc que, lorsque des êtres organisés sont placés sous des
conditions
de vie nouvelles et contre nature, ou lorsque des
térilité d’une manière parfaitement semblable. Dans l’un des cas, les
conditions
de vie ont été troublées, bien que parfois le cha
le pour nous ; dans l’autre, c’est-à-dire à l’égard des hybrides, les
conditions
extérieures sont demeurées les mêmes, mais l’orga
des divers organes, les uns par rapport aux autres ou par rapport aux
conditions
de vie locales. Lorsque des hybrides peuvent se r
on : rien ne peut nous expliquer pourquoi un organisme placé sous des
conditions
de vie contre nature devient stérile. Tout ce que
x causes à quelques égards analogues : dans l’un des cas, ce sont les
conditions
de vie qui ont été troublées ; dans l’autre, c’es
ne seule. VI. Parallélisme entre les effets des changements dans les
conditions
de vie et les effets des croisements. — Peut-être
ensemble considérable de preuves, que de légers changements dans les
conditions
de vie sont avantageux à tous les êtres vivants.
représentants successifs demeurent constamment placés sous les mêmes
conditions
de vie, amène toujours dans la race une certaine
ondité. Il semble donc que, d’un côté, de légers changements dans les
conditions
de vie soient avantageux aux êtres organisés, et
, du reste, d’un croisement entre espèces ou d’un changement dans les
conditions
de vie des individus. Sur cette dernière question
nous attendre à voir la stérilité apparaître et disparaître sous des
conditions
de vie à peu près les mêmes. Enfin, et ceci me se
s domestiques sont moins étroitement adaptées au climat et aux autres
conditions
physiques de la contrée qu’elles habitent que les
minemment passible sous l’influence des moindres changements dans les
conditions
de vie, au point de devenir ou complétement impui
s innées ; et elle est éminemment susceptible d’être affectée par des
conditions
favorables ou défavorables. Le degré de stérilité
té qui affecte très fréquemment les espèces de race pure, quand leurs
conditions
de vie naturelles ont été troublées. Cette suppos
lière à la race qu’il produit, de même de légers changements dans les
conditions
de vie paraissent être très favorables à la vigue
greffées l’une sur l’autre, bien qu’elle dépende évidemment d’autres
conditions
très différentes, augmentent ou diminuent cependa
nce nous est connue. — Les lacunes de la science s’expliquent par ses
conditions
. — Exemples. — Présumer que la raison explicative
onnue. — Les lacunes des sciences expérimentales ont pour cause leurs
conditions
et le tour particulier de leur méthode. — Preuve.
nts au-delà de notre monde se réduisent à des mouvements qui ont pour
condition
des mouvements. — . Idée de l’univers physique co
en sorte que cette dernière liaison est dérivée et présuppose, comme
conditions
, les deux liaisons préalables dont elle est l’eff
se ou non se propager, cela ne dépend point d’elle, mais de plusieurs
conditions
surajoutées et tantôt présentes, tantôt absentes
e de ses chiffres, et, par suite, le rend divisible par 9, à la seule
condition
que la somme de ses chiffres soit divisible par 9
en ? D’où vient leur soudure ? Quelle est la raison, le parce que, la
condition
interposée, qui attache la seconde à la première
cond en faisant intervenir l’idée de limite, nous nous conformons aux
conditions
de notre logique humaine. Mais, une fois en posse
us les autres, elle a pour raison la présence combinée d’un groupe de
conditions
fixes et d’un groupe de conditions changeantes. —
a présence combinée d’un groupe de conditions fixes et d’un groupe de
conditions
changeantes. — Pour former la planète, il y avait
e de conditions changeantes. — Pour former la planète, il y avait une
condition
fixe, la gravitation des molécules gazeuses empor
tion des molécules gazeuses emportées autour du noyau central, et une
condition
changeante, le refroidissement progressif, par su
duelle de ces mêmes molécules. — Pour former l’espèce, il y avait une
condition
fixe, la transmission d’un type général plus anci
condition fixe, la transmission d’un type général plus ancien, et des
conditions
changeantes, les circonstances nouvelles qui, cho
es de l’espèce. — Pour former telle époque historique, il y avait une
condition
fixe, le maintien du caractère national, et une c
y avait une condition fixe, le maintien du caractère national, et une
condition
changeante, l’état nouveau dans lequel, au sortir
êler la raison explicative, telle que nous l’avons définie, certaines
conditions
sont requises, et, si ces conditions ne sont pas
nous l’avons définie, certaines conditions sont requises, et, si ces
conditions
ne sont pas remplies, elle aura beau être présent
ncore, si l’on pouvait montrer des sciences qui, s’affranchissant des
conditions
imposées à la science expérimentale, trouvent par
on seulement pour cause suffisante, mais encore pour cause unique les
conditions
auxquelles elle est assujettie ; d’où il suivrait
uxquelles elle est assujettie ; d’où il suivrait que, délivrée de ces
conditions
, elle comblerait par cela même toutes ces lacunes
une masse, sitôt qu’ils sont soumis à des forces, c’est-à-dire à des
conditions
quelconques de mouvement. Stuart Mill a donc tort
our moteurs et mobiles, moteurs quand leur mouvement préalable est la
condition
du mouvement d’un autre, mobiles quand leur mouve
é un phénomène quelconque, ils lui supposent d’avance et toujours des
conditions
qui sont sa raison d’être et dont la réunion suff
ies. « Il y a un déterminisme absolu, dit Claude Bernard124, dans les
conditions
d’existence des phénomènes naturels, aussi bien p
urels, aussi bien pour les corps vivants que pour les corps bruts… La
condition
d’un phénomène une fois connue et remplie, le phé
énomènes ne peuvent se contredire, s’ils sont observés dans les mêmes
conditions
; s’ils montrent des variations, cela tient néces
la tient nécessairement à l’intervention ou à l’interférence d’autres
conditions
qui masquent ou modifient ces phénomènes. Dès lor
ces phénomènes. Dès lors, il y aura lieu de chercher à connaître les
conditions
de ces variations ; car il ne saurait y avoir d’e
fique ; on conclura uniquement et nécessairement à des différences de
conditions
dans les phénomènes, qu’on puisse ou qu’on ne pui
ir d’exception… On doit forcément admettre comme axiome que, dans les
conditions
identiques, tout phénomène est identique, et qu’a
ions identiques, tout phénomène est identique, et qu’aussitôt que les
conditions
ne sont plus les mêmes, le phénomène cesse d’être
ui sont ses précédents ou ses accompagnements, en d’autres termes ses
conditions
. À présent, imaginons en un autre point de la dur
e point de la durée et de l’étendue un groupe exactement semblable de
conditions
exactement semblables. Cette différence de situat
bles. Cette différence de situation n’introduit dans le groupe aucune
condition
influente, et, par conséquent, peut être considér
oureusement substituable aux autres ; en sorte que, pour le groupe de
conditions
dont il s’agit, dans l’espace pur comme dans la d
u importe ; c’est par lui que le caractère s’attache au groupe de ses
conditions
; en lui réside l’influence inconnue, la raison i
n d’être, et que cette raison se trouve incluse dans le groupe de ses
conditions
. Très probablement, l’ordre des idées claires par
avec le premier, et nous apercevons la liaison du caractère et de ses
conditions
, non plus comme un fait fortuit et isolé, mais co
effet. — D’autre part, à mesure que l’induction opère, le groupe des
conditions
se resserre. Il était d’abord indéterminé et vagu
té et précis ; à la fin, il ne comprend plus qu’un fragment défini de
conditions
expresses. Cela fait, si nous remarquons que le f
, qui, situé dans les profondeurs du groupe, relie le caractère à ses
conditions
. L’axiome ainsi démontré et entendu, il est aisé
es sûrs que ses précédents et accompagnements, en d’autres termes ses
conditions
, ou toutes, ou quelques-unes, ou une seule, influ
nte, qui composent l’induction. D’autre part, puisque la présence des
conditions
suffit pour entraîner la présence du caractère, t
nditions suffit pour entraîner la présence du caractère, tant que les
conditions
persisteront, le caractère persistera. Par suite,
donné le caractère cesse d’exister, c’est qu’une ou plusieurs de ses
conditions
auront cessé d’être. Par conséquent, toute suppre
ion, altération, variation, en d’autres termes un changement dans les
conditions
; ce qu’on exprime en disant que tout changement
on doit conclure de notre axiome que, comme tout caractère, elle a sa
condition
, et aussi sa raison explicative, sa nécessité int
ulier, où les éléments de la quantité imaginaire présentent certaines
conditions
qui manquent dans les autres cas. Ne pourrait-on
ngulier, où les éléments de l’existence possible présentent certaines
conditions
qui manquent dans les autres cas ? Cela posé, ne
tres cas ? Cela posé, ne pourrait-on pas chercher ces éléments et ces
conditions
? — Ici, nous sommes au seuil de la métaphysique.
te antérieure sur sa chute ultérieure; cette chute antérieure est une
condition
supplémentaire qui lui manquait dans la première
ls ne désignent que la possibilité de certains événements sous telles
conditions
et la nécessité des mêmes événements sous les mêm
telles conditions et la nécessité des mêmes événements sous les mêmes
conditions
, plus une condition complémentaire. — Ces possibi
la nécessité des mêmes événements sous les mêmes conditions, plus une
condition
complémentaire. — Ces possibilités et nécessités
seront miennes, sont possibles. Elles sont possibles, parce que leur
condition
, qui est un certain état de mon appareil acoustiq
ppareil acoustique et de mes centres sensitifs, est donnée ; si cette
condition
cessait d’être donnée, elles cesseraient d’être p
naissent, seront siennes, sont possibles. Elles sont possibles à deux
conditions
: il faut que son appareil optique et cérébral so
optiques l’image de certaines sensations musculaires ; comme ces deux
conditions
sont données, ses perceptions sont possibles ; si
de mes idées sont possibles ; ce mouvement est possible, parce que sa
condition
, un certain état de mon appareil musculaire et ne
et nerveux, est donnée ; cette persistance est possible, parce que sa
condition
, un certain équilibre de mes images, est donnée.
il le portera. La première action est possible pour moi, parce que sa
condition
, l’intelligence des mots latins, est donnée ; la
est donnée ; la seconde est possible pour le portefaix, parce que ses
conditions
, le développement des muscles et l’habitude de l’
’habitude de l’exercice corporel, sont données. Supprimons une de ces
conditions
, la possibilité disparaît, et la faculté périt, j
ibilité disparaît, et la faculté périt, jusqu’au rétablissement de la
condition
manquante. Amollissez et amoindrissez les muscles
couper des têtes, ce mot ne fait jamais que poser comme présentes les
conditions
d’un événement ou d’une classe d’événements. — Ri
e d’événements. — Rien de plus utile que la connaissance de pareilles
conditions
; elle nous permet de prévoir les événements, ceu
nements, la particularité qu’ils ont d’être possibles parce que leurs
conditions
sont données. Si ces événements sont miens ou une
Considérant notre état présent, nous savons ou nous supposons que les
conditions
de ces événements sont présentes, en d’autres ter
e est la possibilité permanente de certains événements sous certaines
conditions
, et la nécessité permanente des mêmes événements
tions, et la nécessité permanente des mêmes événements sous les mêmes
conditions
plus une complémentaire, tous ces événements ayan
suis un dedans qui est capable de certains événements sous certaines
conditions
, et dont les événements sous certaines conditions
ents sous certaines conditions, et dont les événements sous certaines
conditions
sont capables d’en provoquer d’autres en lui-même
; que, par l’expérience plus ou moins prolongée, nous démêlions leurs
conditions
externes et internes ; que, constatant ou présuma
s externes et internes ; que, constatant ou présumant la présence des
conditions
, nous concevions ces événements comme possibles,
leur faire obstacle, le souvenir faux est tenu pour vrai. Toutes ces
conditions
se rencontrent dans le rêve ; c’est pourquoi nous
vide, le patient se méprendra sur lui-même. — Nous venons de voir les
conditions
principales de cette transposition. Tantôt l’éner
la place de la toile naturelle. Mais, telle qu’elle s’ourdit dans les
conditions
ordinaires, la toile est bonne, et ses fils, par
s frappons un chien, et aussitôt nous l’entendons crier ; entre cette
condition
de douleur et ce signe de douleur perçus tous deu
sations par lesquelles nous constatons les changements qu’à certaines
conditions
elle subit elle-même, et l’image des sensations p
sations par lesquelles nous constatons les changements qu’à certaines
conditions
elle provoque dans tel autre corps. — Tel est le
s, de sensations et d’émotions a son image associée avec celle de ses
conditions
et de ses effets internes et externes ; et cela f
e que nous ne pouvons pas imaginer telle douleur, sans en imaginer la
condition
qui est telle lésion nerveuse, et sans en imagine
ar une suggestion forcée, lorsqu’un corps extérieur nous présente les
conditions
et les effets du nôtre, le groupe de sensations q
elligent ne pourvoit à ses besoins, ne conserve sa vie, n’améliore sa
condition
que par l’accord exact de sa prévision présente e
e plus souvent sans intention nous exposons les êtres organisés à des
conditions
de vie nouvelles, et des variations s’ensuivent ;
des variations s’ensuivent ; mais des changements semblables dans les
conditions
d’existence ne peuvent-ils avoir lieu à l’état de
être utiles à tout être qui se trouve soudain placé dans de nouvelles
conditions
de vie. Nous avons constaté l’apparition fréquent
ement produites, quand elles sont avantageuses aux individus dans les
conditions
particulières où ils se trouvent placés. Nul ne p
lque façon avantageuse à l’espèce en l’adaptant plus exactement à ses
conditions
d’existence, parce que la sélection naturelle aur
Nous avons établi dans le premier chapitre qu’un changement dans les
conditions
de vie, en agissant spécialement sur le système r
variabilité ; or, dans le cas dont il s’agit ici, on suppose que les
conditions
de vie ont subi quelques modifications ; ce serai
tage, aussi longtemps que l’espèce continuera de vivre dans les mêmes
conditions
et jouira des mêmes moyens de se nourrir et de se
digènes soient actuellement si bien adaptés les uns aux autres et aux
conditions
physiques sous lesquelles ils vivent, que nul d’e
organe nouvellement formé ; et l’individu modifié est placé dans les
conditions
de vie qui lui sont les plus favorables. L’homme
les races domestiques, qu’elles soient infiniment mieux adaptées aux
conditions
d’existence les plus compliquées et portent en to
ésente, au perfectionnement de chaque être organisé par rapport à ses
conditions
d’existence organiques et inorganiques. Nous ne v
raire être d’une nécessité vitale absolue sous un certain ensemble de
conditions
de vie. Il est encore plus indispensable de tenir
oprie la structure de chaque individu au bénéfice de la communauté, à
condition
que chacun d’eux profite de ce changement survenu
s distincts. Parmi les plantes cultivées et placées sous de nouvelles
conditions
de vie, quelquefois les organes mâles, d’autres f
vaste, ses différents districts présenteraient certainement diverses
conditions
de vie ; et la sélection naturelle modifierait et
s les individus de chaque district de la même manière par rapport aux
conditions
physiques de chaque localité, et d’autant plus qu
de chaque localité, et d’autant plus que dans une région continue ces
conditions
seraient insensiblement graduées d’un district à
e maintenir parmi eux aussi longtemps qu’ils restent soumis aux mêmes
conditions
de vie, parce que, d’une part, le principe d’héré
n naturelle détruit tous les sujets qui s’en éloignent. Mais si leurs
conditions
de vie viennent à changer et qu’ils subissent en
élection naturelle. Ainsi, dans une région fermée ou peu étendue, les
conditions
de vie organiques ou inorganiques ont généralemen
qui autrement eussent habité les districts environnants sous d’autres
conditions
d’existence, ne peuvent avoir lieu. Il est probab
itée, soit qu’elle fût entourée de barrières naturelles, soit que les
conditions
de vie y fussent toutes spéciales, elle ne pourra
plus de probabilités que des variations avantageuses par rapport aux
conditions
de vie organiques ou inorganiques lentement chang
ement l’action directe des circonstances physiques changeantes et des
conditions
de vie nouvelles qui en résultent. Si nous interr
tés pour qu’il apparaisse des variations favorables ; mais encore les
conditions
de vie et les rapports d’organisme à organisme y
variétés les plus favorisées et les mieux adaptées à leurs nouvelles
conditions
de vie ont pu se multiplier et s’étendre, et beau
res organisés, les uns par rapport aux autres, et par rapport à leurs
conditions
physiques d’existence. IX. Extinction d’espèces.
male peut s’appliquer à toutes les espèces dans la suite des temps, à
condition
toutefois que les individus varient : car autreme
sur quatre, qui avait été exposée pendant de longues années aux mêmes
conditions
de vie, nourrissait vingt espèces de plantes, app
Ces deux variétés continueront généralement d’être exposées aux mêmes
conditions
d’existence qui ont fait varier l’espèce mère ; e
s qui sont en quelque chose avantageuses à chaque être, en raison des
conditions
de vie organiques ou inorganiques sous lesquelles
rme vivante doit devenir de plus en plus parfaite, relativement à ses
conditions
d’existence. Or, ce perfectionnement continuel de
sélective qui tend seulement à les adapter de mieux en mieux à leurs
conditions
d’existence, mais nullement à changer à ces condi
mieux à leurs conditions d’existence, mais nullement à changer à ces
conditions
. De sorte qu’elles peuvent demeurer dans leur inf
e saurait être d’aucune utilité à des êtres destinés à vivre dans des
conditions
de vie très simples, et pourrait même leur être n
ndes distances ; tandis qu’en Égypte, depuis ces trois mille ans, les
conditions
de la vie, autant du moins que nous pouvons le sa
une espèce quelconque entre toutes, se conservent sous de favorables
conditions
. Ainsi que l’a fait remarquer M. Fawcett, que pen
r un nombre indéfini des formes spécifiques. Pour ce qui concerne les
conditions
de vie purement inorganiques, il me semble qu’un
ure que le nombre des espèces en chaque contrée va s’accroissant, les
conditions
organiques de la vie doivent aussi devenir de plu
que quelconque, doit avoir une limite dépendante en grande partie des
conditions
physiques locales ; et je ne veux pas parler ici
ésumé. — Si, durant le cours longtemps continué des temps et sous les
conditions
de vie variables, les êtres vivants varient, si p
et les habitudes des êtres organisés, leur est avantageuse dans leurs
conditions
de vie ; il serait extraordinaire qu’aucune varia
end au perfectionnement de chaque créature vivante, par rapport à ses
conditions
de vie organiques ou inorganiques, et, conséquemm
ndant longtemps si elles sont convenablement adaptées à leurs simples
conditions
de vie. La sélection naturelle, en vertu de ce pr
our modifier et adapter les diverses formes vivantes à leurs diverses
conditions
de vie et à leurs différentes stations, on en dev
organisation invariable dont l’inflexibilité ne peut se prêter à des
conditions
de vie changeantes, et par conséquent elles doive
r, à moins d’habiter des stations toutes différentes où cependant les
conditions
de vie seraient identiques ; or, c’est là un cas
ire dans les parties les plus déliées de l’organisme, que siègent les
conditions
intimes de la vie et de la mort. Le poison n’enva
is autonomie inconsciente et enchaînée par un déterminisme absolu aux
conditions
physico-chimiques du milieu organique intérieur.
ux propriétés des fibres nerveuses et musculaires qui constituent ses
conditions
élémentaires. La fibre musculaire représente un t
lement ses poisons spéciaux. Enfin l’élément musculaire a de même des
conditions
de vie et de mort qui n’appartiennent qu’à lui. S
énovateur du corps dont la rapidité mesure l’intensité de la vie. Les
conditions
des phénomènes vitaux ne sont absolument constitu
infusoires libres et disséminés à la surface de la terre trouvent ces
conditions
dans les eaux où ils vivent. Les infusoires organ
e corps, plus délicats, groupés en tissus et en organes, trouvent ces
conditions
, entourés de protecteurs spéciaux, dans notre flu
ive, il est parvenu à rattacher la manifestation des phénomènes à des
conditions
matérielles exactement définies. De cause en caus
moteurs du cœur l’influence sensitive a provoqué dans le cerveau les
conditions
qui viennent se lier à la manifestation du sentim
nés par des actions réflexes du cœur ; c’est du cœur que viennent les
conditions
de manifestation des sentiments, quoique le cerve
t-il moins admirable parce que le physiologiste en analyse toutes les
conditions
matérielles ? Il faut bien que cette analyse, que
ts, et que, d’autre part, le cœur réagit pour renvoyer au cerveau les
conditions
nécessaires de la manifestation de ces sentiments
isse et avoir éprouvé des émotions pénibles, cela répond encore à des
conditions
physiologiques particulières du cœur. Les impress
s du monde extérieur, et leurs fonctions sont constamment liées à des
conditions
qui en règlent l’apparition d’une manière détermi
vivants, aussi bien que celles des corps bruts, sont rattachées à des
conditions
d’ordre purement physico-chimique. Nous ajouteron
première de la vie, mais seulement d’arriver à la connaissance de ces
conditions
physico-chimiques déterminantes de l’activité vit
lumière, de la chaleur extérieure, et dès qu’une ou plusieurs de ces
conditions
viennent à manquer, la manifestation vitale cesse
omènes de la vie sont également liés quant à leurs manifestations aux
conditions
de chaleur, d’humidité et de lumière du milieu am
de la vie s’engourdissent ou se réveillent chez eux suivant les mêmes
conditions
climatériques de chaleur, de froid, d’humidité, d
des vitalistes, une sorte d’opposition ou d’incompatibilité entre les
conditions
des fonctions vitales et les conditions des actio
u d’incompatibilité entre les conditions des fonctions vitales et les
conditions
des actions minérales, il faut au contraire const
l une indépendance évidente entre les fonctions de l’organisme et les
conditions
du milieu ambiant. Les phénomènes vitaux ne subis
et maintient en lui, dans un milieu intérieur qui lui est propre, les
conditions
d’humidité et de chaleur nécessaires aux manifest
xtérieurs, mais liée cependant d’une manière intime et nécessaire aux
conditions
physico-chimiques de l’atmosphère intérieure de l
ntimes d’une foule d’éléments organiques dont l’activité est liée aux
conditions
physico-chimiques des milieux internes où ils son
intérieur. Une machine à vapeur possède une activité indépendante des
conditions
physicochimiques du milieu extérieur, puisque, pa
et que le mouvement de chaque rouage intérieur est déterminé par des
conditions
physiques absolues et dont il connaît la loi. De
ganiques et blastématiques). Nous trouvons dans ce milieu liquide les
conditions
de température, l’air et les aliments dissous dan
d’une force vitale quelconque. Elles dépendent toutes au contraire de
conditions
physico-chimiques précisés survenues dans notre m
ar elles-mêmes que les propriétés minérales, et que ce sont les mêmes
conditions
physicochimiques générales qui président aux mani
olument impénétrables ; les causes prochaines, qui sont relatives aux
conditions
de manifestation des phénomènes sont à notre port
u des propriétés de ses éléments constituants et sous l’influence des
conditions
physico-chimiques qui agissent sur eux. Pour le p
est-à-dire au-delà du déterminisme qui donne la cause prochaine ou la
condition
d’existence des phénomènes. Ce que nous appelons
circonstance qui détermine l’apparition du phénomène et constitue sa
condition
ou l’une de ses conditions d’existence. Le mot dé
e l’apparition du phénomène et constitue sa condition ou l’une de ses
conditions
d’existence. Le mot déterminisme a une significat
pose la manifestation nécessaire d’un phénomène indépendamment de ses
conditions
, tandis que le déterminisme n’est que la conditio
pendamment de ses conditions, tandis que le déterminisme n’est que la
condition
nécessaire d’un phénomène dont la manifestation n
expérimentale successive, nous avons trouvé la cause prochaine ou la
condition
élémentaire d’un phénomène, nous avons atteint le
de l’hydrogène dans certaines proportions, et que nous connaissons la
condition
de cette combinaison, nous savons tout ce que nou
te de notre connaissance. Nous pouvons savoir comment et dans quelles
conditions
l’opium fait dormir ; mais nous ne saurons jamais
me, c’est-à-dire leurs moyens de manifestations et d’action, dans les
conditions
physico-chimiques des milieux extérieur et intéri
ns les phénomènes vitaux pas plus que dans les phénomènes minéraux la
condition
d’existence d’un phénomène ne saurait rien nous a
es nerveux et intellectuels, cela nous indique le déterminisme ou les
conditions
d’existence de ces phénomènes, mais cela ne saura
s développent l’électricité, cela nous indique le déterminisme ou les
conditions
du phénomène, mais cela ne nous apprend rien sur
ulement et exclusivement sur leur état antérieur, c’est-à-dire sur la
condition
physico-chimique qui en précède et en détermine i
propriété innée de la matière minérale, il ne fait que déterminer la
condition
dans laquelle elle a lieu. Quand on chauffe à 100
même, on ne fait qu’apporter une température de 100 degrés qui est la
condition
déterminante de l’explosion. Pour les phénomènes
ui est essentielle et innée à la levure, on n’a fait que produire les
conditions
chimico-physiques sous l’influence desquelles la
ne se manifeste et ne se développe elle-même que sous l’influence de
conditions
purement physico-chimiques. Comme notre cellule d
ins les phénomènes vitaux dès que nous connaissons suffisamment leurs
conditions
d’existence. La seule différence est que dans les
e déterminisme est beaucoup plus difficile à atteindre, parce que les
conditions
sont infiniment plus complexes et plus délicates
ur le physiologiste est de déterminer par l’analyse expérimentale les
conditions
élémentaires des phénomènes physiologiques comple
ple d’un dérangement organique compliqué, c’est-à-dire à découvrir la
condition
du phénomène pathologique initial qui amène tous
il puisse ensuite, dans les déterminismes secondaires, intervenir des
conditions
de phénomènes qu’on peut appeler vitales, parce q
èces ni de les anéantir absolument ; il ne peut que les modifier. Les
conditions
physico-chimiques des phénomènes sont d’autant pl
ales ou minérales, son problème est toujours le même : déterminer les
conditions
matérielles dans lesquelles un phénomène apparaît
ditions matérielles dans lesquelles un phénomène apparaît ; puis, ces
conditions
étant connues, les réaliser ou non, pour faire ap
uire un phénomène nouveau, l’expérimentateur ne fait que réaliser des
conditions
phénoménales nouvelles ; mais il ne crée rien, ni
immuables de la nature, et qu’ils ne se manifestent que lorsque leurs
conditions
d’existence sont réalisées. Les corps et les être
sont à la surface de notre terre expriment le rapport harmonieux des
conditions
cosmiques de notre planète et de notre atmosphère
s êtres et les phénomènes dont elles permettent l’existence. D’autres
conditions
cosmiques feraient nécessairement apparaître un a
el se manifesteraient tous les phénomènes qui y rencontreraient leurs
conditions
d’existence, et dans lequel disparaîtraient tous
oncevions sur la terre, en nous plaçant par la pensée dans toutes les
conditions
cosmiques que notre imagination peut enfanter, no
ir créé les lois qui l’ont fait naître ; il n’a fait que réaliser les
conditions
qu’exigeait la loi créatrice pour se manifester.
hommes à celle de l’expérience et des lois de la nature. La première
condition
à remplir pour un savant qui se livre à l’investi
nte, il n’y a que des phénomènes naturels dont il faut déterminer les
conditions
, c’est-à-dire connaître les circonstances qui jou
ature. Quand on est en face de phénomènes dont il faut déterminer les
conditions
d’existence ou les causes prochaines, les procédé
raient l’indépendance et la liberté d’esprit, qui seront toujours les
conditions
essentielles de leurs progrès. Si le génie de l’h
les phénomènes de la matière brute. En un mot, le laboratoire est la
condition
sine qua non du développement de toutes les scien
ntre plus variée et plus complexe. Si nous considérons maintenant les
conditions
organiques et physico-chimiques nécessaires à l’e
sur les éléments anatomiques de tous les tissus en leur apportant les
conditions
de nutrition, de température, d’humidité, qui leu
organe ont été longtemps obscurcies par des opinions erronées sur les
conditions
du sommeil, considéré à juste titre comme l’état
siologie moderne ont prouvé que toutes ces localisations absolues des
conditions
de la vie sont des chimères. Les sources de la ch
causes de refroidissement extérieures. III Sous le rapport des
conditions
organiques ou physico-chimiques de ses fonctions,
eformation des tissus est en cet endroit bien plus actif que dans les
conditions
évolutives ordinaires. Les brèves considérations
omènes vitaux ne sauraient être soumis à aucune loi précise, à aucune
condition
fixe et déterminée, et admettre que ces phénomène
édiates des phénomènes. Or ces causes immédiates, qui ne sont que les
conditions
mêmes des phénomènes, sont susceptibles d’un déte
nomènes de la nature, si ce n’est la complexité ou la délicatesse des
conditions
de leur manifestation qui les rendent plus ou moi
te aussi bien que chez l’animal, ne s’interrompt jamais et devient la
condition
et en même temps la cause immédiate de toutes les
ion organisatrice. Quand un acte vital se produit extérieurement, ses
conditions
s’étaient dès longtemps rassemblées dans cette él
nt répandus dans toutes les parties élémentaires du corps vivant. Les
conditions
de la désassimilation fonctionnelle et celles de
ndant la vie ; toutefois, si les tissus isolés de l’ensemble de leurs
conditions
organiques peuvent s’user et fonctionner encore,
n lieu spécial ; aucun artifice n’a pu jusqu’à présent suppléer à ces
conditions
essentielles de l’activité des germes, d’être en
face du phénomène de la nutrition, que la vie ne se maintient qu’à la
condition
d’une constante régénération des tissus, nous reg
se passent dans les minéraux sont certainement sous la dépendance des
conditions
atmosphériques extérieures ; mais il en est de mê
phénomène de la vie comme de tout phénomène de la nature, la première
condition
est de le connaître ; la définition ne peut être
paraissent révéler un lien spécial ; ils semblent dirigés par quelque
condition
invisible dans la route qu’ils suivent, dans l’or
alité : plus la volonté raisonnable trouvera en elle-même les réelles
conditions
requises pour causer tel effet et pour atteindre
-il de même quand il s’agit de l’avenir. De plus, parmi les causes ou
conditions
de l’acte se trouve alors l’idée même de l’indéte
d’une indétermination relative de l’avenir par rapport à nous est la
condition
sine qua non de notre acte volontaire. On a soute
expérience notre puissance de vouloir au même instant, dans les mêmes
conditions
internes et externes, une chose ou son contraire,
autre successivement ; mais alors, nous ne sommes plus dans les mêmes
conditions
, puisque nous avons à chaque fois le souvenir de
ère analyse, nous sommes déterminés à nous laisser déterminer par des
conditions
fortuites, c’est-à-dire nécessaires, extérieures
emière direction venue. Ce hasard apparent est un ensemble de petites
conditions
qui ont nécessité le vouloir en tel sens plutôt q
tion contraire une fois qu’il est accompli ; car se donner toutes les
conditions
, c’est, dans la durée concrète, se placer au mome
de l’acte et non plus prévoir. » — Sans doute on se donne toutes les
conditions
, mais idéalement ; on sait que, quand toutes les
outes les conditions, mais idéalement ; on sait que, quand toutes les
conditions
seront données, y compris telle condition ultime,
sait que, quand toutes les conditions seront données, y compris telle
condition
ultime, l’acte aura lieu ; en quoi cette prévisio
eu ; en quoi cette prévision est-elle chimérique parce que toutes les
conditions
prévues n’existeront qu’au moment même de l’actio
éclipse de soleil, parce que ce serait se donner d’avance toutes les
conditions
, y compris l’intercalation de la lune entre le so
ni la terre, ni la lune ne sont aux mêmes points de l’espace dans des
conditions
absolument identiques. Le second vol commis par u
ession ou de simultanéité entre certains états de conscience et leurs
conditions
, soit internes, soit externes. Prévoir que vous r
lement parce qu’elle est prolongée dans la durée, mais parce que, les
conditions
organiques ayant changé et une accumulation d’eff
e la sensation se renforce et se grossit ; elle est renforcée par les
conditions
présentes du corps et du cerveau. C’est donc arbi
n’embrasse donc alors en elle-même que des résultats dont les vraies
conditions
lui échappent : elle se voit passive et ne saurai
la parfaite attribution au moi, qui, nous l’avons vu, est la première
condition
de la liberté. Nous ne saurions cependant ériger
rable pour un être intelligent, et l’homme en a toujours fait une des
conditions
de sa liberté. L’idée de la force des idées est d
u contraire, je pense que mes idées sont des facteurs essentiels, des
conditions
de changement en moi et hors de moi, je trouve en
chiffre. Mais il s’agit là d’une puissance physique subordonnée à des
conditions
tout extérieures. Même en ce cas, la force dynamo
de ma puissance, jointe à celle de l’effet désiré, me mettra dans des
conditions
favorables à l’exercice de ma puissance propre. I
aucune volonté d’excuses n’eût été possible : l’idée est donc bien la
condition
de ma puissance sur moi. Du même coup, elle enlèv
gence absolue, c’est-à-dire possibilité des contraires dans les mêmes
conditions
; on suppose dans la volonté une indétermination
lors, en effet, la négation de tout rapport, notamment du rapport des
conditions
et raisons à leurs conséquences. « La liberté, di
Concluons que la volition appelée libre est celle qui a pour première
condition
l’idée même de notre liberté comme pouvoir de cho
ma volition finale est pour moi impénétrable, c’est qu’elle dépend de
conditions
étrangères à moi, conditions qui, pour leur part,
oi impénétrable, c’est qu’elle dépend de conditions étrangères à moi,
conditions
qui, pour leur part, la détermineront sans moi et
logie ; fût-elle liée, dans l’exercice de ses puissances, à certaines
conditions
organiques déterminées (ce que d’ailleurs nul ne
eut nier), il ne s’ensuivrait nullement qu’elle se confondit avec ces
conditions
mêmes. Rien de plus vrai sans aucun doute, et pou
ques, elles tiennent sans doute à ce que l’on considère isolément des
conditions
qui n’ont de valeur que par leur ensemble. Non, l
nt de valeur que par leur ensemble. Non, la pensée ne tient pas à une
condition
unique exclusive : elle ne dépend ni de la masse
ni de l’électricité, ni du phosphore, etc. Elle dépend de toutes ces
conditions
réunies et harmonieusement combinées. Elle est un
Soit, dirai-je : la pensée est une résultante, et elle est liée à des
conditions
très-diverses. Mais qui vous assure que l’une de
à des conditions très-diverses. Mais qui vous assure que l’une de ces
conditions
n’est pas la force pensante elle-même, ce que nou
e, ce que nous appelons l’âme ? Êtes-vous sûr de connaître toutes les
conditions
desquelles résulte l’exercice de la pensée ? Et s
s les bons observateurs sont d’accord pour reconnaître que, parmi les
conditions
physiologiques, il y en a qui nous échappent, et
sous l’influence du moindre trouble causé à leur constitution par des
conditions
de vie nouvelles et légèrement différentes, nous
es êtres organisés s’accroissent par de légers changements dans leurs
conditions
de vie, c’est, de même, que les descendants de fo
des. De sorte que, d’une part, des changements considérables dans les
conditions
de vie et des croisements entre des formes profon
s diminuent la fertilité, tandis que de moindres changements dans les
conditions
d’existence ou des croisements entre des formes m
ontinue pendant une longue période, mais dont le climat et les autres
conditions
de vie changent insensiblement en allant d’un dis
st éminemment susceptible d’être affecté par des changements dans les
conditions
de vie ; si bien que ce système, s’il n’est pas r
u le défaut d’exercice des organes ; c’est aussi l’action directe des
conditions
physiques de la vie. Il est bien difficile de dét
ar hérédité pendant de très longues périodes. Aussi longtemps que les
conditions
de vie restent les mêmes, nous avons des raisons
eulement, et souvent sans dessein, les êtres organisés à de nouvelles
conditions
de vie, et alors, la nature agissant sur l’organi
ls il entre en concurrence, ou une meilleure adaptation d’organes aux
conditions
physiques environnantes, quelque léger que soit c
us vigoureux ou ceux qui ont lutté avec le plus de bonheur contre les
conditions
physiques locales laisseront généralement la plus
tat de nature de la même manière qu’ils varient généralement sous les
conditions
changeantes de la domesticité. Mais y aurait-il e
t-elle à choisir les variations utiles à ses produits vivant sous des
conditions
de vie changeantes ? Quelles limites peut-on supp
une, on suppose avoir été spécialement créés pour elle et adaptés aux
conditions
locales, soient vaincus et supplantés par les pro
roduction des formes dites spécifiques. Dans l’un et l’autre cas, les
conditions
physiques semblent n’avoir produit directement qu
mmun, on peut concevoir comment des espèces alliées, placées dans des
conditions
d’existence très différentes, peuvent cependant a
t une organisation simple et rudimentaire en harmonie avec de simples
conditions
de vie. Il est pareillement compatible avec la ré
ir frappé chaque voyageur, c’est que, sur le même continent, sous les
conditions
de vie les plus diverses, malgré la chaleur ou le
ar l’océan tropical tout entier. Quoique deux contrées présentent des
conditions
de vie aussi semblables qu’il est nécessaire à l’
re les proportions d’un organe que le changement des habitudes ou des
conditions
de vie a peu à peu rendu inutile. D’après cela il
’usage ou du défaut d’exercice des organes, dans l’action directe des
conditions
extérieures et ainsi de suite. L’étude des produc
vants, sont presque indépendantes de l’altération, même soudaine, des
conditions
physiques, le progrès d’un seul être décidant du
; c’est la loi de variabilité sous l’action directe ou indirecte des
conditions
extérieures de la vie et de l’usage ou du défaut
note, les lois générales de la vie durent se fixer d’abord, selon les
conditions
physiques particulières à notre planète, en même
e des types successivement adaptés à la diversité peu profonde de ces
conditions
. Il ne s’agissait guère alors pour les différents
itifs qui se trouvèrent soumis à un ensemble identique ou analogue de
conditions
de vie, durent varier parallèlement sous l’influe
lances profondes que les différences survenues subséquemment dans les
conditions
de vie ont pu altérer, mais non détruire. Ce qu’o
ergeant rapidement de caractères, de manière à s’adapter à toutes les
conditions
de vie alors possibles ; de sorte que, dès l’époq
stralie, il faut bien admettre qu’indépendamment de la différence des
conditions
physiques, des différences numériques aussi consi
un nombre suffisant des plantes et des animaux les mieux adaptés aux
conditions
locales ; car l’homme les a involontairement peup
re part. On explique généralement ces différences par l’influence des
conditions
physiques de ces îles ; mais une pareille explica
n me semblent avoir eu au moins autant d’importance que la nature des
conditions
locales. On pourrait citer un nombre considérable
lamandres sur un si grand nombre d’îles ne saurait être une suite des
conditions
physiques locales. Il semble même que ces îles so
avec celles que l’on croit spécialement créées en Amérique ? Dans les
conditions
de vie que présentent ces îles, dans leur nature
ition erronée, mais profondément enracinée dans notre esprit, que les
conditions
physiques d’une contrée ont l’influence la plus p
uemment de l’une dans les autres, se sera trouvé exposé à différentes
conditions
de vie dans chacune d’elles, car il aura eu à sou
mettant obstacle au mélange des espèces proche-alliées sous les mêmes
conditions
de vie. Ainsi les parties sud-est et sud-ouest de
les parties sud-est et sud-ouest de l’Australie ont presque les mêmes
conditions
physiques, et sont reliées par des terres continu
s les temps actuels, soit à une époque antérieure et sous différentes
conditions
physiques, et l’existence en des points du monde
e modifiant pendant sa diffusion, elle se trouve placée sous diverses
conditions
de vie favorables à la transformation de sa posté
uvent ensuite s’être plus ou moins modifiées, d’après leurs nouvelles
conditions
de vie. Il y a aussi quelques raisons appuyées su
ous comprenons pourquoi deux régions qui présentent presque les mêmes
conditions
physiques peuvent souvent être habitées par des f
dut s’ensuivre en chaque différente région, et indépendamment de ses
conditions
physiques, des conditions de vie infiniment diver
différente région, et indépendamment de ses conditions physiques, des
conditions
de vie infiniment diverses, et un ensemble presqu
, peuvent s’expliquer par d’anciennes migrations effectuées, sous des
conditions
différentes de celles qui existent aujourd’hui, à
ès naturellement par l’hypothèse de l’évolution circulaire du pôle, à
condition
que cette évolution ait eu lieu dans l’hémisphère
l’influence des climats, où les dangers étaient égaux, et toutes les
conditions
de vie identiques, il n’y avait aucune cause de c
les lois générales de la vie à la surface de notre planète, selon les
conditions
partout uniformes qu’elle présentait alors ; et c
ut-être contingents, en ce sens qu’ils sont exclusivement adaptés aux
conditions
de la vie terrestre, et que nous ne pouvons consé
ssentielle, et, par le fait, une grande identité d’habitudes sous des
conditions
de vie par tout le monde uniformes. Mais chaque s
avec toutes les autres, et la localisation des climats et des autres
conditions
physiques de la vie aidant, la sélection naturell
la spécialisation des organes, on ne peut s’en étonner, tant que les
conditions
de vie qui leur conviennent subsistent. Leur exte
nt subsistent. Leur extension plus vaste ressort du seul fait que ces
conditions
de vie sont plus uniformément répandues sur le gl
ant plus qu’on recule vers des époques plus éloignées de nous, et ces
conditions
de vie moins complexes demandant un concours de c
e les rend beaucoup plus sujets à souffrir d’un changement dans leurs
conditions
de vie ; qu’il résulte de la raison géométrique m
directement l’homme à améliorer sans cesse sous tous les rapports sa
condition
quelconque58 », et M. Spencer, au besoin d’un plu
bles de produire cette nature spéciale, soient données. C’est à cette
condition
seulement qu’il sera possible. Pour ranimer l’esp
’il leur est possible, suivant la manière dont ils se portent sur les
conditions
dont dépend un fait, d’en presser ou d’en conteni
t nécessaires pour que l’homme puisse se maintenir dans les nouvelles
conditions
d’existence où il se trouve placé à mesure qu’il
pécialisation même la plus rudimentaire. Car elle ne peut rien si les
conditions
dont dépend ce phénomène ne sont pas déjà réalisé
es. Car ils ne peuvent avoir d’influence sur l’évolution sociale qu’à
condition
d’évoluer eux-mêmes, et les changements par lesqu
ence de la sociologie, dit-il, part des unités sociales, soumises aux
conditions
que nous avons vues, constituées physiquement, ém
tif si des consciences particulières ne sont pas données ; mais cette
condition
nécessaire n’est pas suffisante. Il faut encore q
nératrices certains états de la conscience des particuliers, mais les
conditions
où se trouve le corps social dans son ensemble. S
et si compliquées, son organisation matérielle et morale ; entre les
conditions
psychiques de la sympathie que deux êtres de même
effet pour la cause, il leur est arrivé très souvent d’assigner comme
conditions
déterminantes aux phénomènes sociaux certains éta
logue une propédeutique nécessaire ; mais elle ne lui sera utile qu’à
condition
qu’il s’en affranchisse après l’avoir reçue et qu
les explications sociologiques un rôle prépondérant. En effet, si la
condition
déterminante des phénomènes sociaux consiste, com
eux séries de caractères qui répondent d’une manière éminente à cette
condition
; c’est le nombre des unités sociales ou, comme n
rasse par sa pensée et emplit de son action, modifie profondément les
conditions
fondamentales de l’existence collective. Nous n’a
t de causalité. En effet, cet ordre de causes écarté, il n’y a pas de
conditions
concomitantes dont puissent dépendre les phénomèn
le rapport entre eux est exclusivement chronologique. Aussi, dans ces
conditions
, toute prévision scientifique est-elle impossible
manité, sans chercher à relier les phases de cette évolution à aucune
condition
concomitante. Quelque grands services que Comte a
ent qui sont en rapport avec l’état ou il se trouve, puisqu’il est la
condition
essentielle de l’existence collective. À ce point
es espèces sociales, c’est que la vie collective dépend avant tout de
conditions
concomitantes qui présentent une certaine diversi
précédemment, combien il serait injuste de s’appuyer sur ces mots de
conditions
extérieures et de milieu, pour accuser notre méth
e, de faire une sociologie qui verrait dans l’esprit de discipline la
condition
essentielle de toute vie en commun, tout en le fo
tique ne sont rien en eux-mêmes, ils ne deviennent quelque chose qu’à
condition
d’incarner les droits des individus qui le compos
ze seulement ont paru à leurs auteurs être de nature à satisfaire aux
conditions
du concours et à prétendre aux primes proposées ;
âtre-Français, et qui sera jugé avoir le mieux satisfait à toutes les
conditions
désirables d’un but moral et d’une exécution bril
ns différentes, serait jugé avoir rempli au plus haut degré les mêmes
conditions
». Cette année, il n’y a lieu de donner ni l’une
ans les ouvrages dramatiques d’un ordre élevé, avec toutes les autres
conditions
de grâce, d’élégance, d’émotion, de divertissemen
es productions, ne se dérobera pas toujours si obstinément aux autres
conditions
indiquées. Le second Théâtre-Français se présenta
toucher ici à quelques points qui se rapportent plus spécialement aux
conditions
du concours. Il a été remarqué que l’auteur, en s
listes, aux satiriques, aux auteurs de comédies ; que c’est un peu la
condition
de la scène ; que si la vérité peut manquer sur q
t, autre que le Théâtre-Français », et qui satisferait d’ailleurs aux
conditions
morales du concours. Or, cette année, il s’est tr
ile, et peut devenir féconde en résultats à l’avenir, mais à la seule
condition
qu’on ne se départira jamais, en l’appliquant, de
iés, qui même pourront être considérés comme réciproquement causes ou
conditions
les uns des autres, mais qui sont, absolument inc
et que les phénomènes corporels qui l’accompagnent n’en sont que les
conditions
extérieures et les symboles imparfaits. Ceux qui
se extérieure inconnue que nous appelons chaleur peut, dans certaines
conditions
, disparaître à nos sens et cesser d’être sentie c
oujours deux ordres de phénomènes irréductibles, dont les uns sont la
condition
des autres, mais qui ne peuvent se confondre. Ceu
de l’expérience externe. Les idées innées elles-mêmes ne sont que les
conditions
générales et indispensables de la pensée, elles n
es et les signes (qui eux-mêmes ne sont que des images) sont donc les
conditions
de l’exercice actuel de la pensée. En d’autres te
ables de l’intelligence. On comprend donc que l’être humain, dans les
conditions
actuelles où il est placé, ne puisse pas penser s
e que la pensée est une résultante, car elle n’existe en acte qu’à la
condition
que le système cérébral auquel elle est liée soit
de la sensibilité, de la volonté, de la mémoire, semble détruire ces
conditions
inévitables de toute conscience et de toute pensé
contradictoire, quoique nous ne puissions nous faire aucune idée des
conditions
selon lesquelles elle serait possible. L’embryon
e serait possible. L’embryon dans le sein de la mère ne sait rien des
conditions
d’existence auxquelles il sera un jour appelé, et
Chapitre V : Lois de la variabilité I. Effets des
conditions
extérieures. — II. Effets de l’usage ou du défaut
viennent à d’anciens caractères perdus. — XI. Résumé. I. Effets des
conditions
extérieures. — En général, j’ai considéré jusqu’i
estique ou cultivé qu’à l’état sauvage, il faut bien admettre que les
conditions
de vie auxquelles les représentants d’une espèce
ceptible d’être troublé dans ses fonctions par un changement dans les
conditions
de vie, et que le désordre de ce système chez les
ère pas essentiellement d’un ovule, se ressent du trouble apporté aux
conditions
de vie de la plante mère. Mais pourquoi tel ou te
trice de la sélection naturelle, et de l’autre aux effets directs des
conditions
de vie. Ainsi, les pelletiers savent bien que les
n pourrait citer des cas où la même variété s’est reproduite sous des
conditions
de vie aussi différentes qu’on peut le concevoir,
différentes variétés sont parfois dérivées de la même espèce sous des
conditions
toutes semblables, au moins en apparence. De pare
blables, au moins en apparence. De pareils faits montrent combien les
conditions
de vie agissent indirectement. Tout naturaliste s
ons me disposent à accorder très peu de valeur à l’action directe des
conditions
de vie. Indirectement, ainsi qu’on l’a déjà remar
préciables pour nous81. On peut dire jusqu’à un certain point que les
conditions
de vie non seulement causent la variabilité, mais
ent la loi de sélection naturelle ; car il dépend de la nature de ces
conditions
qu’une variété, plutôt que l’autre, soit conservé
nous montre ces deux éléments de variations comme bien distincts, les
conditions
de vie à l’état domestique causant la variabilité
sentait, et commencèrent à clignoter. Il est difficile d’imaginer des
conditions
de vie plus identiques que de profondes cavernes
onomiser sur chaque partie de l’organisation. Ainsi, lorsque sous des
conditions
de vie changeantes un organe autrefois utile devi
s distinctes et très diversement colorées ; et il est certain que les
conditions
extérieures de la vie ne peuvent causer en rien l
itudes des espèces, et ne peut être abandonné à l’action mutuelle des
conditions
de vie et des ressemblances héréditaires de const
risent et séparent les unes des autres les espèces du même genre. Les
conditions
extérieures de la vie, telles que le climat et la
paraît pas ici accorder toute sa valeur réelle à l’action locale des
conditions
de vie ou du milieu ambiant dont Geoffroy Saint-H
marck ont les premiers reconnu la puissante influence. Si l’effet des
conditions
de vie se confond avec celui de la sélection natu
te variation ne peut avoir que trois causes : 1° l’action directe des
conditions
locales ou du milieu ambiant sur les générations
erminer la part relative d’influence de la sélection naturelle et des
conditions
locales : mais la part relative d’action que les
le et des conditions locales : mais la part relative d’action que les
conditions
de vie d’une part, la corrélation de croissance e
variations considérables, rapides, souvent nuisibles, par rapport aux
conditions
locales, organiques ou inorganiques, et quelquefo
néral pour cause première l’action directe et longtemps continuée des
conditions
locales ; que ces caractères sont transmis et fix
tances locales, ce sont donc bien ces circonstances, ou autrement les
conditions
complexes de la vie, qui, ainsi que l’a avancé ha
t que si la sélection naturelle a pu réussir à adapter celle-ci à ses
conditions
de vie, elle n’a pas encore eu le temps ou l’occa
s au dehors, dans des endroits sombres qui leur rappellent un peu les
conditions
de vie de leurs ancêtres, et où ils sont exposés
arement essentiels à la conservation de l’individu lui-même, sous les
conditions
de vie où il est placé, les dangers auxquels peuv
anifestations par la corrélation décroissance, les croisements et les
conditions
de vie ou les circonstances locales. Lorsque ces
de ses facultés intellectuelles, prennent leur source dans les mêmes
conditions
organiques que les divers troubles moraux, dont l
me que celle des idiots. » Or, si je me rends bien compte des vraies
conditions
de la méthode scientifique, que faudrait-il faire
nature et l’essence du génie, sur ses privilèges, ses attributs, ses
conditions
extérieures, une théorie qui scandalisa singulièr
essus des lois morales et des lois sociales : le désordre eu était la
condition
indispensable. Je ne sais quoi d’inculte et de gr
de sensation. Tantôt ce sont les sens qui prennent, dans de certaines
conditions
maladives, un degré de finesse et de pénétration
es, lorsqu’elles sont exprimées avec une certaine émotion et dans des
conditions
extraordinaires. En outre, quand on s’attend à un
quement. En effet, le génie peut certainement placer l’homme dans des
conditions
sociales très douloureuses : la supériorité d’un
d’autres formes43. D’un autre côté, il est également certain que les
conditions
normales et saines de l’organisme, que la structu
se peut qu’une troisième part soit due à l’hérédité, c’est-à-dire aux
conditions
organiques transmises par la génération. Mais que
itions organiques transmises par la génération. Mais quelles sont ces
conditions
? C’est ce qu’il me paraît absolument impossible
jusqu’aux frères, aux sœurs et aux cousins. Maintenant, même dans des
conditions
si larges, arrive-t-il cependant à des résultats
l’argument de l’auteur ? Il reste ceci, ni plus ni moins : « Dans les
conditions
organiques qui contribuent pour une part indéterm
e. » En d’autres termes, nous ne savons rien, absolument rien sur les
conditions
physiques du génie. Il est juste de reconnaître q
t d’abord nécessairement enveloppée par l’opposition radicale de deux
conditions
également impérieuses. Car, si les modernes ont d
re à une vaine restauration de l’état théologique pour satisfaire aux
conditions
d’ordre, ou de pousser à une situation purement n
ière la moins équivoque, cette intime dépendance où l’ensemble de nos
conditions
propres, tant intérieures qu’extérieures, retient
reconnaît que nos spéculations doivent toujours dépendre des diverses
conditions
essentielles de notre existence individuelle, il
gination à l’observation a été unanimement reconnue comme la première
condition
fondamentale de toute saine spéculation scientifi
lorsque cette universelle extension est enfin suffisamment ébauchée,
condition
maintenant remplie chez les esprits les plus avan
os explications antérieures, satisfaire provisoirement à cette double
condition
fondamentale, quoique d’une manière extrêmement i
olidaires. Ce grand résultat philosophique n’exige d’ailleurs d’autre
condition
nécessaire que l’obligation permanente de restrei
ule loi positive comme une grave imperfection, suite inévitable de la
condition
humaine, qui nous force d’appliquer une très faib
pour développer nos forces, soit pour apprécier notre nature et notre
condition
. On peut dès lors apercevoir comment la notion pr
sociation humaine, quand elle est convenablement liée aux deux autres
conditions
fondamentales, une suffisante conformité de senti
me pour mieux diriger, les plus éminentes spéculations, sous la seule
condition
normale d’une constante positivité. Car, l’art ne
isantes, tandis que la pensée de l’action finale rappelle toujours la
condition
d’une précision convenable. En même temps, cette
ent cette active tendance journalière à l’amélioration pratique de la
condition
humaine est nécessairement peu compatible avec le
ujourd’hui pour achever de caractériser suffisamment la nature et les
conditions
de la grande rénovation mentale maintenant nécess
ue, substitue peu à peu, au dogme des causes finales, le principe des
conditions
d’existence, qui en offre, à un plus haut degré,
aibles moyens de perfectionnement, afin de mieux connaître soit notre
condition
fondamentale, soit la destination essentielle de
s nos saines spéculations pour l’amélioration continue de notre vraie
condition
, individuelle et collective, au lieu de la vaine
s’attache à apprécier historiquement leur influence respective, les,
conditions
de leur durée et les motifs de leur décadence, sa
’ici n’avait jamais pu exister suffisamment. Or, en étudiant ces deux
conditions
simultanées, de complément et de systématisation,
ent que le progrès constitue, tout autant que l’ordre, l’une des deux
conditions
fondamentales de la civilisation moderne. Le conc
ncore, indispensables pour représenter, d’une manière quelconque, les
conditions
simultanées, d’une part de l’ordre, d’une autre p
essentiels de ce même système dont elle attaque sans cesse les vraies
conditions
d’existence. Cette déplorable oscillation entre d
sociale, en proclamant enfin comme pareillement nécessaires les deux
conditions
fondamentales qu’isolaient les deux opinions acti
rogrès. Pour la nouvelle philosophie, l’ordre constitue sans cesse la
condition
fondamentale du progrès ; et, réciproquement, le
nature des questions dominantes, de la manière de les traiter, et des
conditions
préalables de leur élaboration. D’une part, en ef
rsonnelle et sociale, l’amélioration continue, non seulement de notre
condition
, mais aussi et surtout de notre nature, autant qu
rance de notre humanité sur notre animalité remplit naturellement les
conditions
essentielles d’un vrai type philosophique, en car
heront pas davantage l’esprit positif d’achever aujourd’hui, sous les
conditions
convenables, la conquête, pratique et théorique,
tôt perturbateur, exigerait de plus en plus la compression mentale en
condition
permanente de l’ordre moral. La nouvelle philosop
laboration systématique), c’est-à-dire liberté et attention. Sous ces
conditions
naturelles, l’école positive tend, d’un côté, à c
continue, systématiquement dirigée vers les passions relatives à leur
condition
sociale. Ils durent être jadis profondément domin
philosophie positive pourra, de nouveau, les saisir radicalement. Les
conditions
préalables, tant recommandées par les premiers pè
un but plus nettement déterminé, des résultats plus prochains, et des
conditions
plus impérieuses. L’école positive y devra donc t
se réaliser cette universelle propagation de l’instruction positive,
condition
indispensable à l’accomplissement graduel de la r
habituelle à l’ensemble de leurs peines journalières. Leur inévitable
condition
sociale devant leur rendre beaucoup plus précieus
disposent à sentir que le bonheur réel est compatible avec toutes les
conditions
quelconques, pourvu qu’elles soient honorablement
es elles se rapportent aux principaux besoins collectifs propres à la
condition
sociale des prolétaires. On peut les résumer en c
ituation nécessaire. Ces besoins se rapportent essentiellement à deux
conditions
fondamentales, l’une spirituelle, l’autre tempore
t la pratique sociale vers la sage amélioration continue de sa propre
condition
générale. Les chimériques espérances inhérentes à
inférieur, pour qu’ils puissent dignement comprendre la nature et les
conditions
d’un tel travail, dont il faut seulement leur dem
enseignement populaire se bornera bientôt à y prescrire seulement la
condition
permanente d’une vraie positivité, en y écartant,
l’ordre intérieur et de la paix extérieure, parce qu’ils y voient la
condition
la plus favorable à une vraie rénovation mentale
philosophie générale. Un tel ordre doit, par sa nature, remplir deux,
conditions
essentielles, l’une dogmatique, l’autre historiqu
appréciation encyclopédique ne remplirait pas encore suffisamment les
conditions
indispensables de continuité et de spontanéité pr
, en l’un et l’autre cas, à l’insuffisant accomplissement des grandes
conditions
logiques déterminées par notre loi encyclopédique
ant ces stériles conflits, par la satisfaction simultanée de ces deux
conditions
vicieusement contraires, comme l’indique aussitôt
a. Quand on dépasse cette proposition vague, on veut dire que, telles
conditions
étant données, cet être aura telle sensation, ima
u’a tel événement de la trame d’être constamment suivi, sous diverses
conditions
, externes ou internes, par tel événement interne
l’autre conséquent, dont le second suit le premier sans exception ni
condition
; de ces couples, ils déduisent le reste. S’ils e
. » Laissons là les mots, étudions les événements, seuls réels, leurs
conditions
, leurs dépendances, et certainement, en reprenant
a que des mouvements présents, futurs, ou possibles, liés à certaines
conditions
, variables en grandeur et en direction suivant un
stance et force ; tout ce qui subsiste, ce sont les événements, leurs
conditions
et leurs dépendances, les uns moraux ou conçus su
matériel ; seulement c’est un être plus composé, partant soumis à des
conditions
de naissance et de conservation plus nombreuses.
séries simultanées d’événements successifs, chaque événement étant la
condition
d’un autre et en ayant un autre pour condition.
que événement étant la condition d’un autre et en ayant un autre pour
condition
. IV Cela posé, on comprend sans difficulté
ux qu’une série d’événements appelée moi, liée à d’autres qui sont sa
condition
. Dès lors il n’y a rien d’étrange dans les dépend
— Au point de vue de la perception extérieure, elles ont toutes pour
condition
l’intégrité et le renouvellement du système nerve
ion métaphysique ou littéraire les habille, sont assujettis à la même
condition
. 162. Garnier, Traité des facultés de l’âme, t
bsolument parfait. — IX. Résumé : La loi d’unité de type et celle des
conditions
d’existence sont comprises dans la théorie de sél
de modification, chacune d’elles s’est de mieux en mieux adaptée aux
conditions
de vie particulières de sa propre station et a su
ies à l’état fossile. Mais dans la région moyenne, où se trouvent des
conditions
de vie intermédiaires, pourquoi ne trouvons-nous
itimes, maintenant très vastes, doivent avoir existé récemment en des
conditions
beaucoup moins uniformes qu’aujourd’hui. Je ne do
aguant le littoral océanique. Or, ceux qui regardent le climat et les
conditions
physiques de la vie comme les causes dont l’actio
ue ne peut dépendre exclusivement de changements insensibles dans les
conditions
physiques de la vie, mais résulte en grande parti
ls soit la meilleure qu’il soit possible de concevoir dans toutes les
conditions
naturelles possibles. Que le climat et la végétat
rrespondante. Or, je ne puis voir aucune difficulté, surtout sous des
conditions
de vie changeantes, à ce que les effets accumulés
pendant, la structure de chacun de ces oiseaux lui est utile dans les
conditions
de vie particulières où il est placé, puisque cha
s elle n’est pas nécessairement la meilleure possible dans toutes les
conditions
de vie qui peuvent se présenter pour eux. Il ne f
gane ont jamais pu être de quelque utilité à un animal placé dans des
conditions
de vie changeantes ; dès lors la supposition qu’u
s ancêtres ; mais il nous est presque impossible de remplir une telle
condition
. Nous sommes obligé de faire nos observations sur
ransmis depuis les âges primitifs de la vie organique, sinon dans des
conditions
absolument identiques, du moins dans des conditio
e, sinon dans des conditions absolument identiques, du moins dans des
conditions
fort analogues. Parmi les vertébrés vivants, nous
ostérieurement avantageuse à ses descendants placés sous de nouvelles
conditions
de vie, avec des habitudes nouvellement acquises.
ns organes ne sont pas d’une utilité directe à leurs possesseurs. Les
conditions
physiques ont probablement exercé leur influence
de croissance, etc. En accordant quelque chose à l’action directe des
conditions
physiques, chaque détail d’organisation dans tout
étails lui est avantageux. Après un certain laps de temps et sous des
conditions
de vie nouvelles, si l’une de ces particularités
cause la mort de quelques-uns de ses membres, elle remplit toutes les
conditions
requises par la sélection naturelle qui agit surt
qu’ils fécondent ? IX. Résumé : La loi d’unité de type et celle des
conditions
d’existence sont contenues dans la théorie de sél
s à une époque où cette même région était discontinue, et lorsque les
conditions
de vie ne s’y dégradaient pas insensiblement les
outenir dans l’air. Nous avons vu encore qu’une espèce peut, sous des
conditions
de vie nouvelles, changer ses habitudes, ou acqué
ès lors il n’y a plus aucune impossibilité logique à ce que, sous des
conditions
de vie changeantes, il acquière graduellement par
erné par deux grandes lois : l’une est l’unité de type ; l’autre, les
conditions
d’existence. Par l’unité de type, il faut entendr
lon ma théorie, l’unité de type s’explique par l’unité d’origine. Les
conditions
d’existence, sur lesquelles a tant insisté l’illu
des adaptations actuelles des parties variables de chaque être à ses
conditions
de vie organiques ou inorganiques, soit au moyen
organes ; elles sont légèrement influencées par l’action directe des
conditions
extérieures de la vie, et sont toujours subordonn
s diverses lois de la croissance. Il suit de là qu’en fait la loi des
conditions
d’existence est la loi suprême, et qu’elle compre
s très fixes, surtout dans le cas d’un changement quelconque dans les
conditions
locales. En pareille circonstance, plus une espèc
ariabilité égale, et durant une période de fixité dans l’ensemble des
conditions
locales. Mais, d’autre part, comme une forme très
s moins développés, les moins accusés, les moins bien adaptés à leurs
conditions
de vie par une localisation spéciale de leurs org
icroscopiques phosphorescents. Mais personne ne sait quelles sont les
conditions
physico-chimiques sous l’influence desquelles ces
ection naturelle aurait pris avantage pour les adapter à de nouvelles
conditions
de vie. Cette théorie serait parfaitement d’accor
s êtres organisés ne peut s’expliquer par les différences locales des
conditions
physiques. — II. — Importance des barrières. — II
s êtres organisés ne peut s’expliquer par les différences locales des
conditions
physiques. — Si l’on considère la distribution de
peuvent s’expliquer par des différences climatériques ou par d’autres
conditions
physiques locales. Presque tous les naturalistes
s États-Unis jusqu’à la pointe de l’Amérique du Sud, on rencontre les
conditions
locales les plus opposées : des districts très hu
que toutes les températures possibles. Il n’est guère de climat ou de
conditions
physiques, dans l’Ancien Monde, qui ne trouvent l
leurs semblables dans le Nouveau, du moins jusqu’à cette identité de
conditions
de vie que la même espèce exige en général ; car
ismes exclusivement confiné en quelque étroite station présentant des
conditions
de vie toutes particulières. Ainsi l’on pourrait
ne faune ou d’une flore particulières. Nonobstant ce parallélisme des
conditions
physiques entre les deux continents, on constate
productions vivantes. Dans l’hémisphère austral, si l’on compare les
conditions
climatériques de vastes territoires situés en Aus
s, sur les mêmes étendues de terre ou de mer, indépendamment de leurs
conditions
physiques. Il faudrait qu’un naturaliste fût bien
t de la section naturelle, et en moindre degré à l’action directe des
conditions
physiques. Le degré de cette dissemblance doit dé
ans des pays nouvellement conquis, elles sont exposées à de nouvelles
conditions
, de sorte qu’elles doivent fréquemment s’y modifi
es relations des organismes entre eux, ou, en moindre degré, avec les
conditions
physiques environnantes. De même que nous avons v
soit commun à l’Europe et à l’Australie ou à l’Amérique du Sud ? Les
conditions
de vie sont cependant les mêmes, si bien qu’une m
s moyens d’émigration et d’existence le lui ont permis, tant sous les
conditions
de vie présentes que sous les conditions de vie p
ui ont permis, tant sous les conditions de vie présentes que sous les
conditions
de vie passées. Sans aucun doute, on connaît des
s expériences, M. Martens en a essayé d’autres, mais en de meilleures
conditions
; car il plaça ses graines dans une boîte et la b
assées dans les plaines. Elles doivent aussi avoir été exposées à des
conditions
climatériques un peu différentes. Leurs relations
ts de ces deux grandes régions et les nouveaux immigrants. Toutes les
conditions
se trouvaient donc rassemblées pour favoriser des
re qu’ils aient été créés semblables en raison de la ressemblance des
conditions
physiques des deux régions ; car, si l’on compare
n Monde, l’on voit des contrées absolument semblables en toutes leurs
conditions
physiques, mais dont les habitants sont cependant
l’équateur, durent avoir moins à souffrir, bien que placées sous des
conditions
nouvelles ; car il est prouvé que beaucoup de pla
formes tempérées. » Nous voyons donc ici la preuve que sous certaines
conditions
climatériques il est certainement possible que de
stinctes, et présentant néanmoins des analogies de climat ou d’autres
conditions
physiques, la sélection naturelle peut se saisir
e-alliées, dans plusieurs districts très séparés, mais présentant des
conditions
de vie analogues et des causes de variation sinon
risées ou contrariées par la sélection naturelle sous l’influence des
conditions
locales. Tout ce qu’on peut affirmer, c’est que t
rtainement locale, c’est-à-dire plus ou moins étroitement adaptée aux
conditions
de vie du lieu qu’elle habite ; mais il est beauc
ent sur deux chaînes de montagnes très distantes, mais présentant des
conditions
de vie semblables ou équivalentes sous la même la
oir en certains cas compensé la latitude pour rétablir l’identité des
conditions
de vie et des causes de variations par sélection
ils ont toujours dû avoir à peu près le même climat et présenter des
conditions
de vie analogues. (Trad.) 156. Si les phénomène
tion scientifique. — Étant donné un caractère connu, il suffit que sa
condition
inconnue soit donnée pour qu’il soit aussi donné.
n inconnue soit donnée pour qu’il soit aussi donné. — Recherche de la
condition
inconnue d’après cet indice. — Méthode des concor
inations plus grandes. — Après l’élimination, le reliquat contient la
condition
inconnue que l’on cherchait. — Méthode complément
ra suivie par la sensation de son. « La cause réelle est la série des
conditions
, l’ensemble des antécédents sans lesquels l’effet
e à la distinction que l’on fait entre la cause d’un phénomène et ses
conditions
… De même, la distinction qu’on établit entre le p
le patient et l’agent est purement verbale… La cause est la somme des
conditions
positives et négatives prises ensemble, la totali
, son précurseur ou son successeur. Dès qu’il est donné, aucune autre
condition
n’est requise ; les circonstances peuvent être qu
i-même et par lui seul. S’il l’a sans exception, c’est qu’il l’a sans
condition
. Si tous les triangles renferment une somme d’ang
le monde moral et dans le monde physique, tout caractère donné a des
conditions
dont la présence entraîne sa présence. Cette supp
vir à l’occasion comme d’un instrument de recherche, pour démêler les
conditions
inconnues dont nous supposons que dépend le carac
ertains accompagnements ou antécédents, en d’autres termes, certaines
conditions
du caractère forment le premier terme du couple,
s’exerce à travers toutes ces dissemblances ; bref, il suffit que les
conditions
soient données pour que le caractère soit donné.
Il est la clef de la porte, car il nous met en main une propriété des
conditions
inconnues, sorte de marque distinctive au moyen d
our effet l’isolement d’un reliquat qui, en tout ou en partie, est la
condition
cherchée. Nous n’avons qu’à la retourner pour en
soit donné, le second où il ne soit pas donné. Ainsi qu’on l’a vu, la
condition
inconnue se reconnaît à ce signe qu’elle entraîne
lle le caractère connu ; donc, partout où le caractère est absent, la
condition
est absente. Voilà un second signe distinctif, au
e le caractère connu est présent dans l’un et absent dans l’autre, sa
condition
inconnue est présente dans le premier et absente
me de leurs dissemblances, et c’est dans ce reliquat que forcément la
condition
cherchée se trouvera comprise. Mais ce reliquat e
accompagnement ou antécédent, cet accompagnement ou antécédent est la
condition
cherchée. Ainsi, soit un caractère connu, la supr
etranchée, étant la seule différence qui sépare les deux cas, sera la
condition
cherchée. Par exemple, étant donné le son continu
ur effet l’isolement d’un reliquat, qui, en tout ou en partie, est la
condition
cherchée. Ces deux méthodes en suggèrent une troi
iations concomitantes. Aux deux moyens par lesquels nous démêlions la
condition
inconnue s’en ajoute un troisième. Nous la démêli
lle détermine non seulement la qualité, mais encore la quantité de la
condition
inconnue95. Toutes ces méthodes ont recours au mê
ui est l’élimination ou exclusion des caractères qui ne sont point la
condition
cherchée. Soit un caractère connu ; il est accomp
agné ou précédé de dix autres. Lequel ou lesquels de ces dix sont les
conditions
de sa présence, en sorte que leur présence entraî
te foule. On cherche des indices qui nous permettent de distinguer la
condition
cherchée et les accessoires parasites. On trouve
ôlent l’un l’autre. L’expulsion faite, il ne reste devant nous que la
condition
cherchée. Il y a des cas où ces procédés éliminat
onstances ; nous devons noter les cas où la rosée manque, car une des
conditions
nécessaires pour appliquer la méthode de différen
Qu’il prenne un fort microscope ; en bien peu de cas il trouvera ces
conditions
remplies, et il doit supposer que, si le microsco
on d’objets ou de faits distincts quelconques, j’ai pratiqué dans des
conditions
semblables des opérations semblables, j’ai vérifi
e, sont, comme le refroidissement et la rosée, liés sans exception ni
condition
. Mais les deux axiomes ainsi formés peuvent encor
point B, mais de façon qu’elle reste droite, c’est-à-dire, d’après la
condition
précédente, de façon qu’une quelconque de ses por
de nos yeux ne renferme-t-il pas quelque contradiction interne ? Les
conditions
que nous avons assemblées, l’ascension d’une droi
possibilité pour le point A de tracer une perpendiculaire, ces trois
conditions
peuvent-elles être remplies ensemble ? N’y en a-t
mbinaison pour ce qu’elle est, c’est-à-dire pour un pur assemblage de
conditions
, desquelles on ne sait pas si elles sont compatib
arallèle, elle rencontrera aussi la seconde, et l’on voit aisément la
condition
nécessaire et suffisante de cette rencontre. Il f
qu’il semble, spontanément, et sans l’intervention appréciable d’une
condition
nouvelle. Une pierre lancée, un pendule qui oscil
sée une seconde fois, n’aura pas non plus d’effet sur le mouvement, à
condition
que la seconde fois elle soit absolument la même,
xaminer avec attention notre construction mentale, pour y démêler des
conditions
sous-entendues, l’identité latente d’une donnée e
ropositions qui les concernent ne souffrent ni doutes, ni limites, ni
conditions
, ni restrictions. — À la vérité, ces propositions
tions réflexes ; Haller et Spallanzani expérimentent et décrivent les
conditions
et les phases de la génération. On pénètre dans l
n des lois générales et fixes. Tout événement, quel qu’il soit, a des
conditions
, et, ces conditions données, il ne manque jamais
et fixes. Tout événement, quel qu’il soit, a des conditions, et, ces
conditions
données, il ne manque jamais de suivre. Des deux
fait que se conformer à la nature lorsqu’il améliore son esprit et sa
condition
. Le sauvage, « le Brasilien est un animal qui n’a
-être que leurs découvertes appliquées apportent incessamment dans la
condition
humaine, et, sur l’accroissement du bon sens que
ucation, la forme des jugements, la nature et le degré des peines, la
condition
des femmes, l’institution militaire, la nature et
oups de théâtre improvisés par l’arbitraire d’un homme. Elles ont des
conditions
auxquelles nous ne pouvons nous soustraire. En to
vons nous soustraire. En tout cas, il nous est utile de connaître ces
conditions
, soit pour améliorer notre état, soit pour le pre
la portée de tout esprit. V. Méthode analytique. — Son principe. —
Conditions
requises pour qu’elle soit fructueuse Ces condit
Son principe. — Conditions requises pour qu’elle soit fructueuse Ces
conditions
manquent ou sont insuffisantes au dix-huitième si
une finesse très exercée et toute spéciale. Sans doute encore, si ces
conditions
ne sont qu’à demi remplies, l’opération ne donne
a législation pénale avec Bentham. Sans doute enfin, si aucune de ces
conditions
n’est remplie, la même opération, exécutée par de
dans l’accomplissement de cette tâche, elles n’ont pas rencontré des
conditions
aussi favorables, il faut dire qu’elles ne sont p
s, afin d’arriver à déterminer d’une façon précise et sûre les vraies
conditions
organiques des fonctions de la vie intellectuelle
ations tirées des états pathologiques du corps humain ; il s’agit des
conditions
physiologiques de tous les grands faits de la vie
ont jamais primitives ; elles ne peuvent engendrer une action qu’à la
condition
d’être précédées par une idée qui les fait naître
psychiques. On avait montré que tout acte de la vie psychique a pour
condition
physique telle ou telle partie de l’organisme. M.
le cours ordinaire de la vie et par les statistiques morales dans les
conditions
exceptionnelles, l’est aussi par l’analyse physio
volitions, c’est-à-dire jusqu’aux actes proprement humains, ont pour
condition
le jeu des organes. L’homme sent, perçoit, se sou
p qui reste ouvert à la spéculation ou à l’imagination, en dehors des
conditions
de l’existence actuelle ; mais, si l’on reste dan
des conditions de l’existence actuelle ; mais, si l’on reste dans ces
conditions
, il n’y a plus maintenant à discuter la question
ore plus loin. Non-seulement il est acquis que les facultés ont leurs
conditions
d’exercice dans les organes, mais il est égalemen
cerveau est le sujet ou simplement l’organe de la vie psychique : des
conditions
ne sont pas des causes. On pourrait aller plus lo
ivoques de leur vocabulaire ? C’est que l’organe est non-seulement la
condition
, mais le sujet et la cause des phénomènes psychiq
ment ; car cette expérience ne va, ne peut jamais aller au-delà de la
condition
des phénomènes. Que tout phénomène psychique ait
à de la condition des phénomènes. Que tout phénomène psychique ait sa
condition
dans l’organisme, c’est ce qu’elle a démontré. Qu
sa condition dans l’organisme, c’est ce qu’elle a démontré. Que cette
condition
soit en même temps la cause, c’est ce qu’elle ne
ifier, tout en laissant à la physiologie la tâche d’en déterminer les
conditions
organiques et d’en décrire les effets pathologiqu
é des explications qu’elle fournit. Confondant toujours et partout la
condition
avec la cause des phénomènes, elle explique tout
la création de cette machine qui se développe sous nos yeux dans les
conditions
qui lui sont propres et d’après une idée définie
ce de l’évolution vitale dont la composition élémentaire n’est que la
condition
. Déjà l’école des animistes avait eu l’intuition
expérience physiologique. S’il est démontré que l’organisation est la
condition
de la vie, il ne l’est pas moins que la vie, ou p
chimie ne font que déterminer les lois. Nous pensons qu’au-dessus des
conditions
et des lois proprement dites il existe une spécul
La lutte pour la vie n’est-elle qu’une lutte pour la préservation. La
condition
du plaisir est-elle la peine ? Critique des théor
de Darwin, qu’avait entrevus un autre philosophe grec, Empédocle, la
condition
essentielle du développement de la vie à travers
t-ce que le plaisir et la douleur en eux-mêmes et quelles en sont les
conditions
, les causes immédiates, indépendamment des action
pport à la vie. Le plaisir et la douleur varient en raison de cinq
conditions
: 1° l’intensité, 2° la qualité, 3° le changement
, 3° le changement, 4° la durée, 5° la fréquence. Ces trois dernières
conditions
sont les moins importantes et peuvent se ramener
Ainsi l’exercice normal, la dépense proportionnée à la force est une
condition
nécessaire de réparation, de conservation, de pro
nse possible et la plus efficace, qui deviendra, d’ailleurs, la vraie
condition
de supériorité dans la lutte pour l’existence. C’
ermet donc aux nerfs de se réparer et accroît la puissance vitale. La
condition
des plaisirs distincts et des douleurs distinctes
ment même qui constitue l’essence de la sensibilité ; il n’est que la
condition
de la différenciation du bien-être primordial en
r peut rester plus longtemps au maximum que le plaisir, parce que les
conditions
d’usure ne font que s’accroître par le temps, et
évolution des espèces, cette expansion de l’activité fut toujours une
condition
de survivance et de supériorité sur les autres es
rs même des autres forces ; s’il y a conflit, manque d’adaptation aux
conditions
d’existence, il y a pour nous conscience d’une di
La lutte pour la vie n’est-elle qu’une lutte pour la préservation. La
condition
est-elle la peine. Critiques des théories de Kant
ment la tendance à conserver la vie, mais la tendance à améliorer les
conditions
de la vie, en intensité et en qualité. Il y a don
autre période antérieure de leur existence, soit sous le rapport des
conditions
générales de leur vie, soit sous le rapport des r
ctrine qui admet que le plaisir a pour essence, ou tout au moins pour
condition
nécessaire la suppression de la peine. On connaît
le côtoie la peine, il ne va pas jusqu’à dire que ce plaisir ait pour
condition
la peine. Leibniz, lui, va jusque-là. Il introdui
nes bien différenciés. Or, la sensibilité inférieure nous avertit des
conditions
absolument nécessaires à notre existence, tempéra
lle l’a-t-elle organisée de manière à ce qu’elle s’alarme dès que ces
conditions
sont menacées. D’où il suit que la sensibilité in
me la base de toutes les autres sensations et qui en sont au moins la
condition
ou l’accompagnement. Or, dans le mouvement de nos
ors aussi se produit le développement de l’être, l’évolution vers des
conditions
de vie nouvelles ; alors l’être vivant réagit sur
soutiennent Schopenhauer et de Hartmann, l’éternelle et irrémédiable
condition
des êtres, sorte de damnation, enfer d’où le mond
ui n’ont pas su ou pu adapter la généralité de leurs plaisirs à leurs
conditions
d’existence ou à celles de leur espèce ont dû dis
qui ne peut durer longtemps parce qu’il est en contradiction avec la
condition
fondamentale de la vie psychique : le changement.
est un état fixe. Si elle se prolonge outre mesure, surtout dans des
conditions
défavorables, chacun sait par expérience qu’il se
x associations de se produire que dans des limites très étroites et à
condition
qu’elles convergent vers un même point. Elle drai
est un instant fugitif, parce que la conscience, placée en dehors des
conditions
rigoureusement nécessaires de son existence, disp
e la surprise. — Origine de l’attention spontanée ; elle est liée aux
conditions
nécessaires de la vie I L’attention sponta
n de l’autre est bientôt mise à néant. En un mot, le mouvement est la
condition
du changement, qui est une des conditions ’de la
un mot, le mouvement est la condition du changement, qui est une des
conditions
’de la conscience. Ces faits bien connus, d’une e
sidérons moins comme les effets de cet état de l’esprit que comme ses
conditions
nécessaires, souvent même comme ses éléments cons
met d’ordinaire, des effets, des signes ? Sont-ils, au contraire, les
conditions
nécessaires, les éléments constitutifs, les facte
de ce travail compliqué. Mais supposer qu’elle puisse durer sans ces
conditions
organiques, c’est une hypothèse gratuite, en comp
tention est très humble et que ses premières formes ont été liées aux
conditions
les plus impérieuses de la vie animale. L’attenti
es rudimentaires pour saisir la raison de sa puissance — elle est une
condition
de la vie et elle conservera le même caractère d
reffée sur l’attention spontanée, ou naturelle, et trouve en elle ses
conditions
d’existence, comme la greffe la tient du tronc où
isines mieux aguerries, etc.), il a fallu ou périr ou s’adapter à des
conditions
de vie plus complexes c’est-à-dire travailler l
la débilité. Nous croyons avoir établi qu’elle est une adaptation aux
conditions
d’une vie sociale supérieure, qu’elle est une dis
ion négative, le « Je veux » est ordinairement suivi d’un arrêt : les
conditions
anatomiques et physiologiques de la transmission
égligé le rôle des mouvements qu’on finit par oublier qu’ils sont une
condition
fondamentale de la connaissance, parce qu’ils son
on ? Il a son origine dans ces états physiques tant de fois énumérés,
conditions
nécessaires de l’attention. Il n’est que leur rép
es associations, du jugement, du choix. L’attention est, eu effet, la
condition
psychique fondamentale de presque toutes les rech
tion no ressemble en rien à une activité pure, qu’elle est liée à des
conditions
physiques parfaitement déterminées, n’agit que pa
l qu’on en saisisse toujours clairement les rapports : c’est à cette
condition
seule que la pathologie peut nous instruire. Si,
que sur un terrain propice, qu’elle suppose par conséquent certaines
conditions
physiques et mentales, elle ne dépasse pas à l’or
ence. On pourrait dire : N’a pas des idées fixes qui veut. Il y a une
condition
primordiale qui est requise : une constitution né
age, d’une seule idée, rien de plus, serait en contradiction avec les
conditions
d’existence de la conscience qui exige le changem
s bien supérieures dans le cas de l’idée fixe. Celle-ci, par suite de
conditions
organiques, est permanente ; elle dure ; elle dis
ance. Physiologiquement, on peut avec vraisemblance se représenter la
condition
de l’idée fixe de la manière suivante : A l’état
logiques et physiologiques. La conscience est placée en dehors de ses
conditions
nécessaires d’existence, et les éléments nerveux
ux. Il n’est pas nécessaire de s’attarder à faire voir que toutes les
conditions
contraires à l’état d’attention se trouvent réuni
on, l’image ou l’idée par une action en retour ; il est clair que ces
conditions
sont ici absentes ou défaillantes et qu’il ne peu
e l’effet des actions chimiques qui s’y passent. Telle serait donc la
condition
dernière de l’attention. Je m’en tiens pour le mo
ide. On a comparé ces facultés isolées aux instincts des animaux. Les
conditions
les plus élémentaires de l’attention manquent ou
uent toujours une innervation motrice à un degré quelconque. — Sur la
condition
physique la plus générale de l’attention. I
vons essayé d’établir que l’attention, sous toutes ses formes, a pour
condition
immédiate et nécessaire l’intérêt — c’est-à-dire
, sans motifs raisonnables, parce que leur vraie cause, parce que les
conditions
de leur genèse sont au-dessous d’elle et qu’elle
conscients. L’attention, spontanée ou volontaire, est donc liée à des
conditions
motrices dès son origine même. II Il nous r
. II Il nous reste maintenant à faire quelques remarques sur la
condition
physique la plus générale de l’attention. Si l’on
e une grande dépense de force physique, qui doit se produire dans des
conditions
particulières. Rappelons encore une fois qu’elle
e, si l’attention a de la force et de la durée. Il semble donc que la
condition
physique dernière, exigée par l’attention, consis
Il faut noter que ce qui précède ne se rapporte rigoureusement qu’aux
conditions
physiques de l’attention : Les termes travail, tr
ins auteurs, n’est qu’une métaphore, à moins qu’on entende par là les
conditions
physiques d’un état de conscience et elles seules
gie potentielle en énergie actuelle, c’est donc indiquer l’une de ses
conditions
matérielles fondamentales et rien de plus. * Il y
ysiologique, t. I, ch. VI Beaunis, Recherches expérimentales sur les
conditions
de l’activité cérébrale et sur la physiologie du
l n’en sera pas question ici3. Nous nous proposons ici d’examiner les
conditions
et les procédés, et d’indiquer le caractère et le
ue, l’emploi de procédés irrationnels, l’absence de réflexion sur les
conditions
de l’analyse et de la synthèse en histoire, ont v
ais, pour que l’Heuristique soit véritablement facilitée, la première
condition
est que toute les collections de documents soient
spontanée. Plus favorable et plus efficace encore pour améliorer les
conditions
matérielles des recherches historiques fut l’arbi
et de leurs index. Mais l’Heuristique est très pénible, parce que ces
conditions
sont encore loin, par malheur, d’être convenablem
pour les novices qu’ils sont plus actifs et plus zélés, l’examen des
conditions
actuelles de l’Heuristique en général, et des not
d’un esprit calme et d’habitudes laborieuses », ou bien si c’est une
condition
favorable pour l’historien d’avoir été mêlé à la
Or, pour vérifier l’authenticité et la provenance d’un document, deux
conditions
sont requises : raisonner et savoir. Autrement di
nvenable. * * * Livre II. Opérations analytiques Chapitre I.
Conditions
générales de la connaissance historique Nous
faits passés, et l’on verra plus loin59 comment elle peut, malgré ces
conditions
défectueuses, conduire à une connaissance scienti
ent remplacer et remplacent les observations directes. Il est dans la
condition
d’un chimiste qui connaîtrait une série d’expérie
imé de la sorte se présente, en tant que document, dans d’excellentes
conditions
matérielles. Quel que soit l’auteur, et quels qu’
out à fait modernes, typographiquement reproduits dans les meilleures
conditions
. Personne peut-être n’a excellé, de nos jours, au
e si l’on n’avait qu’une copie, à l’emendatio conjecturale. C’est une
condition
beaucoup plus favorable, en principe, d’avoir plu
ertaines opinions sont exprimées, pour reconstituer par conjecture la
condition
, le milieu et le caractère de l’auteur. L’analyse
uments faux, en dénonçant de fausses attributions, en déterminant les
conditions
où sont nés des documents que le temps avait défi
des textes (restitution), ni critique des sources (provenance) ; les
conditions
n’en seront pas moins évidemment excellentes alor
s érudits, de leur côté, posaient, par leurs recherches critiques, la
condition
de l’histoire, mais ils ne se souciaient pas de l
ions qu’engendre l’exercice machinal de la profession d’érudit. I. La
condition
primordiale pour bien faire les travaux d’éruditi
remment des textes relatifs à des questions très diverses, à la seule
condition
que ces textes soient gravement corrompus. Ils se
res pour s’assurer de ce que l’auteur a voulu dire ; 2° l’analyse des
conditions
où le document s’est produit et la critique négat
ourné sous le sens littéral sont trop variées et dépendent de trop de
conditions
individuelles pour que l’art de les déterminer pu
ritique. La valeur de l’affirmation d’un auteur dépend uniquement des
conditions
où il a opéré. La critique n’a aucune autre resso
il a opéré. La critique n’a aucune autre ressource que d’examiner ces
conditions
. Mais il ne s’agit pas de les reconstituer toutes
e deux côtés. 1° On connaît souvent par la critique de provenance les
conditions
générales où l’auteur a opéré. Il est probable qu
questionnaire général des causes d’incorrection. On l’appliquera aux
conditions
générales de composition du document pour découvr
endra ainsi, — même dans les cas exceptionnellement favorables où les
conditions
de provenance sont bien connues, — que des indica
faire que par un seul procédé, singulièrement paradoxal : l’étude des
conditions
universelles de composition des documents. Les re
sser et à remplir deux questionnaires, — l’un pour se représenter les
conditions
générales de composition du document d’où résulte
éciaux de défiance ou de confiance, — l’autre pour se représenter les
conditions
spéciales de défiance ou de confiance. Ce double
cérité de l’affirmation. On se demande si l’auteur a été dans une des
conditions
qui normalement inclinent un homme à n’être pas s
nent un homme à n’être pas sincère. Il faut chercher quelles sont ces
conditions
, en général pour l’ensemble d’un document, en par
nt conforme à des règles ou à des habitudes, il s’est trouvé dans des
conditions
contraires sur quelque point à ces règles ou ces
ces habitudes ; il lui a fallu alors affirmer qu’il opérait dans les
conditions
normales, et par conséquent faire une déclaration
l’exactitude de l’affirmation. L’auteur s’est-il trouvé dans une des
conditions
qui entraînent un homme à se tromper ? — Comme en
à se tromper ? — Comme en matière de sincérité, il faut chercher ces
conditions
en général pour l’ensemble du document, en partic
s affirmations. La pratique des sciences constituées nous apprend les
conditions
de la connaissance exacte des faits. Il n’existe
é mal placé pour observer. La pratique des sciences nous enseigne les
conditions
d’une observation correcte. L’observateur doit êt
de notation précis ; il doit indiquer avec précision sa méthode. Ces
conditions
, exigées dans les sciences d’observation, ne sont
on). Il ne reste qu’à chercher les causes évidentes d’erreur dans les
conditions
de l’observation : si l’observateur a été en un l
tiquer chaque affirmation en particulier : on doit se représenter les
conditions
où se trouvait l’auteur et se demander s’il a pu
document supposent que l’auteur a observé lui-même le fait. C’est la
condition
commune des observations dans toutes les sciences
e d’une affirmation de seconde main, il ne suffit plus d’examiner les
conditions
où opérait l’auteur du document : cet auteur n’es
nt la source reste inconnue. La critique opère en se représentant les
conditions
de travail de l’auteur ; sur une affirmation anon
que plus de prise. Il ne lui reste d’autre procédé que d’examiner les
conditions
générales du document. — On peut examiner s’il y
it quand ni comment. Aucune autre science n’accepte de faits dans ces
conditions
, sans contrôle possible, avec des chances d’erreu
lus facile à observer elle peut être beaucoup moins exigeante sur les
conditions
d’observation. Elle compense l’imperfection de se
exacts. On connaît en général les espèces de faits qui sont dans ces
conditions
favorables, on peut donc dresser un questionnaire
ur le document et sur l’auteur, avec la préoccupation de chercher les
conditions
qui ont pu agir sur la production du document : l
t : l’époque, le lieu, le but, les péripéties de la composition, — la
condition
sociale, la patrie, le parti, la secte ou la fami
ablir ce fait. Il y a trop de chances de mensonge ou d’erreur, et les
conditions
où l’affirmation s’est produite sont trop mal con
se des exemples, et nous ne connaissons jamais assez complètement les
conditions
de l’observation pour savoir si elle a été bien f
par des centaines de contemporains. — Pour tirer l’histoire de cette
condition
honteuse, il faut une révolution dans l’esprit de
rédigé leur observation dans des documents différents, mais dans des
conditions
semblables ; il faut appliquer le questionnaire c
rs différents, appartenant à des groupes différents, opérant dans des
conditions
différentes. C’est dire que les cas de concordanc
it qu’il n’a pas dit ce que lui attribue la tradition. Ce concours de
conditions
favorables devient de plus en plus fréquent avec
guère. * * * Livre III. Opérations synthétiques Chapitre I.
Conditions
générales de la construction historique La cr
pprochés d’autres faits, finiront par être établis, passent par cette
condition
transitoire, comme les cas cliniques qui s’entass
riels. — Les documents font connaître l’existence d’êtres humains, de
conditions
matérielles, d’objets fabriqués. Tous ces faits o
Nous n’arrivons à exprimer les faits humains même les plus vulgaires,
conditions
sociales, actes, motifs, sentiments, que par des
ssemblance avec la réalité actuelle. Pour se représenter dans quelles
conditions
se sont produits les faits passés, il faut donc c
donc chercher, par l’observation de l’humanité présente, dans quelles
conditions
se produisent les faits analogues du présent. L’h
rde la constitution d’une science de l’histoire. Cependant il y a des
conditions
de la vie humaine si nécessaires et si évidentes
es langues. Mais ces différences sont enfermées entre les limites des
conditions
générales de la vie humaine ; elles ne sont que d
er et ranger les faits. Ce principe on peut le chercher soit dans les
conditions
extérieures où les fait se sont produits, soit da
uits, soit dans la nature intérieure des faits. Le classement par les
conditions
extérieures est le plus naïf et le plus facile. T
ification générale des faits historiques192, fondée sur la nature des
conditions
et des manifestations de l’activité. I. CONDITIO
sur la nature des conditions et des manifestations de l’activité. I.
CONDITIONS
MATÉRIELLES. — 1° Étude des corps : A. Anthropol
, phonétique, sémantique). Écriture. — 2° Arts : A. Arts plastiques (
conditions
de production, conceptions, procédés, œuvres). B.
B. Arts de l’expression, musique, danse, littérature. — 3° Sciences (
conditions
de production, méthodes, résultats). — 4° Philoso
V. INSTITUTIONS SOCIALES. — 1° Famille : A. Constitution, autorité,
condition
de la femme et des enfants. B. Organisation écono
d’individus de mêmes habitudes que nous appelons groupe. La première
condition
pour étudier une habitude est donc de déterminer
politiques (celles qu’on appelle des institutions), on rencontre des
conditions
nouvelles qui créent une illusion inévitable. Les
constate entre eux des différences. Les habitudes des hommes et leurs
conditions
matérielles changent d’une époque à l’autre ; mêm
ui a servi à dresser le tableau de la société. Pour chacun des faits,
conditions
, usages, personnel investi de l’autorité, règles
te science a pour objet le général. — L’histoire est ici dans la même
condition
que la cosmographie, la géologie, la science des
x dans la plupart des cas. Il faut donc le restreindre aux cas où les
conditions
qu’il suppose ont été réalisées. 1° Il faut non s
ar des Phéniciens. Pour que la conclusion soit sûre il faut donc deux
conditions
. 1° La proposition générale doit être exacte ; le
e façon que le second ne se produise jamais sans le premier. Si cette
condition
était vraiment remplie, ce serait une loi au sens
oi au sens scientifique ; mais en matière de faits humains — sauf les
conditions
matérielles dont les lois sont établies par les s
t un nom allemand, Syracuse en Amérique un nom grec. Il faut d’autres
conditions
pour être sûr que le nom soit lié à la nationalit
le nécessaire pour raisonner. On devra donc commencer par étudier les
conditions
particulières du cas (la situation de Salamine, l
s’en apercevra aussitôt ; si elle est trop générale on verra quelles
conditions
nouvelles il faut y ajouter pour qu’elle devienne
ait abstrait. On devra se représenter des hommes avec les principales
conditions
de leur vie. Il faut s’attendre à réaliser rareme
es conditions de leur vie. Il faut s’attendre à réaliser rarement les
conditions
d’un raisonnement certain ; nous connaissons trop
drait plus que la vie d’un homme. Toute science doit tenir compte des
conditions
pratiques de la vie au moins dans la mesure où on
et dans quel sens elle s’est produite. Toutes les évolutions ont des
conditions
communes qui permettent d’en marquer les étapes.
et amené les actes par lesquels il a agi sur la société. Ce sont les
conditions
physiologiques (corps, tempérament, état de santé
rament, état de santé)207, les actions éducatives qu’il a subies, les
conditions
sociales. L’histoire de la littérature nous a hab
nt les traits qui le distinguent de tout autre, non pas seulement les
conditions
extérieures de date et de lieu, mais la façon don
ns intérieures (conceptions et motifs de l’acte), opérant dans telles
conditions
matérielles (local, instrument), ont fait tels ac
e. On doit donc les choisir en des points très différents et dans des
conditions
très différentes, de façon que les exceptions se
entes frontières d’un pays, car le fait même d’être frontière est une
condition
exceptionnelle. — On pourra vérifier en suivant l
cient et mal fait. On peut donc la rendre correcte en la ramenant aux
conditions
d’un échantillonnage bien fait. On doit examiner
s, ce qui est à présumer pour tous les cas qui se produisent dans des
conditions
exceptionnelles ; les auteurs de documents tenden
is même sur des rapprochements de mots, sans connaître l’ensemble des
conditions
où se sont produits les faits. On pourrait imagin
e. La recherche méthodique des causes d’un fait exige une analyse des
conditions
où se produit le fait, de façon à isoler la condi
ne analyse des conditions où se produit le fait, de façon à isoler la
condition
nécessaire qui est la cause ; elle suppose donc l
qui est la cause ; elle suppose donc la connaissance complète de ces
conditions
. C’est précisément ce qui manque en histoire. Il
donc être cherchée dans quelque trait dominant de la nature ou de la
condition
de ces hommes qui s’impose à toutes les manifesta
luer, les hommes. Toute évolution a pour cause un changement dans les
conditions
matérielles ou les habitudes de certains hommes.
il jamais que des hommes semblables qui diffèrent seulement par leurs
conditions
de vie (éducation, ressources, gouvernement), et
, et l’évolution n’est-elle produite que par des changements dans ces
conditions
? — Ou bien y a-t-il des groupes d’hommes héréd
ces différences héréditaires entre les hommes, elle n’atteint que les
conditions
de leur existence. La dernière question de l’hist
se, même quand on a des raisons de croire qu’il en existe d’autres, à
condition
toutefois d’avertir précisément avec quels docume
spécialiste. — Le principe de la collaboration est excellent, mais à
condition
: 1° que l’œuvre collective soit de nature à se r
ne science de raisonnement. Pour utiliser ces faits observés dans des
conditions
inconnues, il faut les faire passer par la critiq
logie, il lui faut combiner toujours la connaissance particulière des
conditions
où se produisirent les faits passés et l’intellig
ns où se produisirent les faits passés et l’intelligence générale des
conditions
où se produisent les faits humains. Elle procède
orts, pour que soit achevée le plus tôt possible, dans les meilleures
conditions
de sûreté et d’économie, l’œuvre préparatoire de
s leçons immédiatement profitables aux individus et aux peuples : les
conditions
où se produisent les actes humains sont rarement
caractère des événements et des coutumes ? Les motifs des actes ? Les
conditions
d’une coutume ? Comment choisir les épisodes d’un
qui ne sont guère que des tableaux chronologiques, se trouve dans la
condition
d’un professeur de latin sans textes ni dictionna
, l’interrogation, la rédaction, la reproduction des cartes. C’est la
condition
d’un élève de latin qui se bornerait à réciter de
ce reflection on history towards a philosophical comprehension of the
conditions
and processes on which the formation of historica
, p. 233. 26. Les anciens érudits avaient le sentiment de ce que les
conditions
où ils travaillaient avaient de défavorable. Ils
s que le latin était encore la langue commune des savants) et que les
conditions
modernes du travail scientifique feront peser dés
et la justification logique de cette méthode voir Ch. Seignobos, Les
conditions
psychologiques de la connaissance en histoire, da
morbides de la vie, sous qui la vie se continue, en d’assez mauvaises
conditions
d’ailleurs. La morale prêchant le bien à la vie,
haute que l’humanité puisse atteindre et en préciser les lois et les
conditions
, ni, bien moins encore, savoir quelle est la plus
une même doctrine, établie dans différents esprits, y rencontrent des
conditions
bien différentes qui tantôt favorisent les uns et
étroitesse et de la fausseté du point de départ. Mais si, comme notre
condition
d’hommes nous y oblige, nous partons toujours d’u
ire, pour d’autres c’est de travailler, elle commande, dans les mêmes
conditions
, de refuser un duel ou de l’accepter. Il y a troi
aire prendre pour le contraire de ce qu’elle est. Sous l’influence de
conditions
passagères, on voit éclore une morale générale pa
séquences de nos actes. L’ignorance est souvent aussi l’excuse, ou la
condition
de la vertu. Dans le doute on peut s’en rapporter
forcément prématurées et forcément fausses en bien des points sur les
conditions
favorables ou défavorables à la vie sociale ou à
s à la vie sociale ou à la vie de tel ou tel groupe. § 13 Une
condition
communément donnée à la vertu, c’est la lutte. Il
excuse de l’idée que l’effort produit le mérite est dans la misérable
condition
de l’humanité. L’homme qui n’est fait ni pour viv
st donc une déviation morale qui a créé les vertus en les isolant des
conditions
spéciales qui les rendent vraiment bonnes. Une dé
soit un truisme. Si l’on veut dire que la vie ne se justifie qu’à la
condition
d’être bonne, et que mieux vaudrait pas de monde
s. Elle s’est proclamée indépendante et ne veut se soumettre à aucune
condition
. Cette conception de la morale s’est répandue sa
crée pas. Encore moins trouverions-nous les raisons du bien dans les
conditions
de l’existence et du non-être. La morale est tell
i est-ce bien, pourquoi est-ce juste ? on répondrait en invoquant les
conditions
d’existence des hommes dans une société qui veut
pondre : c’est bien parce que c’est bien, c’est ne pas apercevoir les
conditions
du bien et se refuser à en admettre ; c’est parfo
fficielle qui grandira et deviendra caduque à son tour. En dehors des
conditions
générales nécessaires à la vie de l’humanité et q
e les notions dont elle se compose. Elle devrait être une théorie des
conditions
de la vie sociale en général et de la vie de chaq
aré à la vie collective par la suite des siècles où l’hérédité et les
conditions
de leur vie ont façonné ses ancêtres. Actuellemen
e. Mais aussi personne n’a soutenu que nous fussions libres, dans des
conditions
données, d’entendre telle note ou d’apercevoir te
ucoup d’autres états psychiques, sont manifestement liées à certaines
conditions
déterminantes, et c’est précisément pour cela qu’
onçoit du moins ce retour comme possible, et l’on admet que, dans ces
conditions
, rien ne serait changé à l’état primitif du systè
r l’être vivant, et incontestablement pour l’être conscient. Dans ces
conditions
, ne peut-on pas invoquer des présomptions en fave
appartient au domaine commun et, pour tout dire, à l’espace. A cette
condition
seulement, d’ailleurs, on a pu donner un nom à la
alement possible, on oublie cette raison ; on laisse de côté, une des
conditions
glu problème. — Que si maintenant je creuse au-de
e notre solution tient à ce que nous ne connaissons jamais toutes les
conditions
du problème ; que la probabilité de notre prévisi
gmenterait à mesure qu’on nous fournirait un plus grand nombre de ces
conditions
; et qu’enfin la connaissance complète, parfaite,
z mieux, plusieurs siècles auparavant, eût pu, connaissant toutes les
conditions
dans lesquelles Pierre agit, prédire avec certitu
ment l’ensemble de notre histoire passée : si Paul connaît toutes les
conditions
où Pierre agit, c’est vraisemblablement qu’aucun
lez son histoire. À mesure que vous complétiez davantage la somme des
conditions
qui, une fois connues, eussent permis de prédire
rédécesseur de Pierre, et chargé de se représenter en imagination les
conditions
où Pierre agira. Vous matérialisiez ainsi ces con
gination les conditions où Pierre agira. Vous matérialisiez ainsi ces
conditions
; vous faisiez du temps à venir une route déjà tr
lante. Cette conscience se trouverait alors réellement dans les mêmes
conditions
où l’astronome se place imaginairement ; elle ver
enir. A vrai dire, si celui-ci prévoit un phénomène futur, c’est à la
condition
d’en faire jusqu’à un certain point un phénomène
ausalité. Or cette loi veut que tout phénomène soit déterminé par ses
conditions
, ou, en d’autres termes, que les mêmes causes pro
iversité des moments, le physicien pourra se retrouver en présence de
conditions
élémentaires identiques, la durée est chose réell
conscience qui en conserve la trace, et l’on ne saurait parler ici de
conditions
identiques, parce que le même moment ne se présen
e, l’action une fois accomplie, toute autre action apparaît, dans les
conditions
données, comme impossible. Or nous avons vu que c
’action accomplie, que toute autre action eût été impossible dans les
conditions
données. En vain nous ajoutons que, même sous cet
e forme ; 2° Qu’un certain phénomène P, qui avait paru à la suite des
conditions
a, b, c, d, et de ces conditions seulement, ne ma
ène P, qui avait paru à la suite des conditions a, b, c, d, et de ces
conditions
seulement, ne manquera pas de se reproduire dès q
ditions seulement, ne manquera pas de se reproduire dès que les mêmes
conditions
seront données. Si le principe de causalité ne no
ausale comme une espèce de préformation du phénomène à venir dans ses
conditions
présentes. Or, cette préformation peut s’entendre
supprimer ainsi l’action de la durée. Que sous l’influence des mêmes
conditions
extérieures je ne me conduise point aujourd’hui c
on ne saurait prévoir, même quand on en connaît à l’avance toutes les
conditions
» ? Mais concevoir toutes les conditions comme do
onnaît à l’avance toutes les conditions » ? Mais concevoir toutes les
conditions
comme données, c’est, dans la durée concrète, se
ivre sans délai. En un mot, nous choisissons nos études sous la seule
condition
de faire des efforts incessants pour concourir au
Quelques esprits, allant plus loin, ont même fait de l’ignorance une
condition
favorable. D’autres philosophes, avec Bacon, anno
générale qu’on ne réussira dans les recherches physiologiques qu’à la
condition
d’avoir le sentiment exact de la complexité et de
ertaines parties des sciences physico-chimiques, surpassent, dans des
conditions
simples et faciles à apprécier, les lois que l’on
e théorie. Mais, en physiologie, ainsi que nous l’avons déjà dit, les
conditions
des phénomènes sont si compliquées, et souvent mê
ts bien observés ; et que cette diversité des résultats dépendait des
conditions
particulières à l’expérimentation, je résolus de
lir, car elle établit les faits dans leur signification et dans leurs
conditions
d’existence. Elle dirige donc l’expérimentation e
aut jamais se départir, c’est qu’on ne saurait admettre que, dans des
conditions
identiques, des phénomènes puissent se passer dif
ée, comme cela se voit chez les carnivores. Cette détermination de la
condition
du phénomène n’a pas détruit le fait que les urin
nces d’erreur, et pour déterminer avec une scrupuleuse exactitude les
conditions
dans lesquelles ils opèrent. Ils n’abordent leurs
dant bien plus difficiles en ce qu’elles renferment non seulement des
conditions
physiques et chimiques à élucider, mais qu’elles
es fâcheuses ont du reste le même point de départ commun, l’oubli des
conditions
indispensables à remplir pour aborder la science
ure de la fonction, les phénomènes dont on aura déterminé d’abord les
conditions
physiologiques ou vitales. Souvent, en effet, nou
l’organisme vivant. Enfin je me résumerai en disant que toujours les
conditions
des problèmes vitaux doivent être posées par la p
le, nous y ajoutons un sel de cuivre. Mais il importe de rappeler les
conditions
dans lesquelles peut se faire un pareil mélange.
onsiste à mettre de la même levure avec de l’eau seule dans les mêmes
conditions
de température. Quand la fermentation est terminé
au pure, dans un autre tube semblable que nous plaçons dans les mêmes
conditions
de température que le premier. En attendant que c
est maintenant en pleine digestion. C’est à cette époque et dans ces
conditions
qu’il faut le prendre, parce qu’au-delà de ce tem
t été faites sur des animaux de même espèce, sur des chiens, dans les
conditions
normales de santé. Tous ces animaux ont été
ces circonstances extérieures dont nous devons cependant établir les
conditions
physiologiques pour interpréter les variations qu
elle diminue, pour arriver ensuite à montrer comment, sous certaines
conditions
morbides, elle peut s’exagérer pour donner naissa
x à leur véritable valeur, il suffisait d’une analyse plus exacte des
conditions
dans lesquelles on les avait observés. En effet,
ue ce phénomène n’a lieu qu’après la mort. Pendant la vie, il y a des
conditions
qui, ainsi que nous le verrons plus tard, empêche
expériences physiologiques, de se placer toujours exactement dans des
conditions
identiques, et combien la circonstance la plus mi
x établies que nous présentent la physique et la chimie, mais sous la
condition
d’être répétées dans les mêmes circonstances. Nou
s, et qu’on a répétée mille fois, ne pouvait donc le déceler dans ces
conditions
. Cependant quand on entre plus profondément dans
dans cet état de dilution que le sucre arrive au poumon, et dans ces
conditions
, il y est complétement détruit, c’est-à-dire qu’i
t la digestion. Nous avons dit qu’il était important de connaître les
conditions
de cette oscillation physiologique de la formatio
digestion, chez les chiens, les chats et les lapins examinés dans les
conditions
ordinaires de santé : cela tient à ce que, pendan
nt de vue des actes nutritifs. Nous avons actuellement à analyser les
conditions
diverses dans lesquelles se passent ces phénomène
e de la composition du sang qui le traverse, soit au point de vue des
conditions
mécaniques de circulation. Troisièmement, enfin,
r l’influence qu’exercent sur l’accomplissement de cette fonction les
conditions
mécaniques de rapidité ou de ralentissement de la
porté à le croire. Néanmoins, il y a des cas, où, sous l’influence de
conditions
particulières, le sucre peut accidentellement app
s pour le reproduire à volonté, il suffit de se rappeler dans quelles
conditions
particulières l’absorption intestinale devenant t
ariables, quoiqu’il eût fait tous ses efforts pour se mettre dans des
conditions
identiques ; seulement il a pris une précision en
nditions identiques ; seulement il a pris une précision en dehors des
conditions
physiologiques de l’organisme. Car, en recherchan
des conditions physiologiques de l’organisme. Car, en recherchant ces
conditions
, les variations des résultats obtenus s’expliquen
gueur spécieuse si l’on n’avait soin de diriger son attention sur les
conditions
physiologiques variables des fonctions qu’on exam
n n’a pas le soin de s’attacher avant tout à connaître exactement les
conditions
physiologiques des phénomènes vitaux. C’est là qu
tives d’exactitude prétendue mathématique qui pèchent par l’oubli des
conditions
qui devraient leur servir de base. Maintenant, Me
nt de cette séance. Huitième leçon 20 janvier 1855 SOMMAIRE :
Conditions
anatomiques qui favorisent la circulation dans le
Age et sexe. — Lactation. Messieurs, Nous savons que dans certaines
conditions
physiologiques la sécrétion glycogénique subit de
ée et diminuée. L’activité de la circulation dans le foie est une des
conditions
qui peuvent augmenter la sécrétion du sucre, et c
e, à cause de l’absence de valvules dans ce système veineux. Mais les
conditions
de circulation que nous venons de signaler, quoiq
u foie, sans traverser les cellules hépatiques. C’est là une première
condition
qui empêche dans certains moments, comme pendant
bles relatifs à l’affection diabétique. Après avoir résumé toutes les
conditions
mécaniques et chimiques de la circulation du foie
ur mode normal. Nous arrivons maintenant à considérer l’influence des
conditions
de température extérieure, de chaleur ou de froid
l est mouillé. Sa température, prise dans le rectum, qui est dans les
conditions
normales de 380 cent. environ, descend successive
cochon d’Inde, de la même portée que le précédent, et dans les mêmes
conditions
d’alimentation, a été mouillé, par simple immersi
ucre. Quatrième expérience. — Un autre cochon d’Inde, dans les mêmes
conditions
d’alimentation, a été placé sur le mercure, comme
degrés environ. Nous avons donc ici trois animaux pris dans les mêmes
conditions
, dont l’un a été tué sans avoir été soumis à l’ex
l’anéantir et ramener à son type normal, en la rétablissant dans les
conditions
ordinaires de son accomplissement. Cette expérien
onction glycogénique du foie. Telles sont, en général, Messieurs, les
conditions
extérieures principales sur lesquelles nous avons
ture du sang dans les deux ventricules. — Expériences faites dans les
conditions
physiologiques. — Procédés opératoires. — Instrum
ions organiques de nature chimique qui se passent dans le foie et les
conditions
dans lesquelles elles se produisent. Vous avez vu
deux dernières. Il est évident que cette différence doit tenir à des
conditions
diverses dans lesquelles se trouvaient les animau
de soin, quoiqu’elles n’aient pas été répétées encore dans toutes les
conditions
physiologiques où cela serait nécessaire, suffise
sont tombés souvent dans l’inconvénient de ne pas se placer dans des
conditions
vraiment physiologiques. Mais nous vous avons sou
cavités droite et gauche du cœur. On a généralement observé dans ces
conditions
que le ventricule gauche avait une température pl
omparée du sang dans les deux cœurs, nous nous sommes placés dans des
conditions
aussi voisines que possible de l’état physiologiq
t indiquent presque toujours des différences, quoique placés dans des
conditions
identiques. Dans ces expériences nous étions assi
ctes purement vitaux. Pour le moment, nous allons donc rechercher les
conditions
physiologiques de la disparition du sucre dans l’
le sang de ces deux lapins, qui sont de même taille et dans les mêmes
conditions
, à l’un, une certaine quantité d’un sucre de la p
’après les chiffres de ce tableau, que sur des lapins, dans les mêmes
conditions
de digestion, aucun des sucres de deuxième espèce
nimaux de même âge, de même poids, autant que possible dans les mêmes
conditions
d’alimentation et pendant la digestion, que toute
’organisme ; car si l’on prend deux lapins de même taille et dans des
conditions
physiologiques semblables, et si, après leur avoi
s on expérimente de nouveau sur les deux mêmes lapins, dans les mêmes
conditions
, mais en retirant préalablement 16 grammes de san
urines. Il peut se faire encore que, sans rien changer ni du côté des
conditions
physiologiques de l’animal, ni dans la quantité d
es physiologiques en apparence simples, mais qui dépendent de tant de
conditions
connues, sans parler de celles sur lesquelles nou
pourrait le supposer au premier abord. Bien que faites en dehors des
conditions
normales, elles puissent paraître étrangères à l’
sement du sucre dans le sang par le foie. — Application au diabète. —
Conditions
qui font apparaître le sucre dans le système circ
pour les sucres de canne ou de betteraves, qui, placés dans les mêmes
conditions
, sont constamment éliminés par les urines. Vous a
x repas, la digestion précédente étant complétement achevée. Dans ces
conditions
, à peu près tout le sucre versé par le foie dispa
ut le système circulatoire, sans qu’on puisse supposer que les autres
conditions
physiologiques, d’accès de l’air dans les poumons
cuivre sur l’ammoniaque.) 3° Une même quantité de sang dans les mêmes
conditions
est placée en contact avec de l’acide carbonique.
ns les circonstances précédentes, et avec du sang pris dans les mêmes
conditions
, et à la température ambiante avec : 1° de l’oxyg
oir : que le sucre ne se détruit pas en plus grande quantité dans ces
conditions
que dans les circonstances ordinaires. Il va sans
tion et les usages de la matière sucrée dans l’organisme. — Étude des
conditions
de développement des cellules organiques. — Levur
les animaux, il faut donc qu’elles soient reproduites dans les mêmes
conditions
, et c’est ce que nous sommes en mesure de vous fa
e que je vais vous exposer aujourd’hui. Je portais mes études sur les
conditions
d’existence et de développement des cellules orga
s’opère, mais de quelle manière, suivant quelle loi, et sous quelles
conditions
il se passe. Il nous importe peu de savoir pourqu
de science pure. Je commençai donc par faire des observations sur les
conditions
d’existence des êtres les plus simples. Je pris p
nombre variable de grains. Mais, bien qu’on ait indiqué vaguement les
conditions
générales de cette production de la levure de biè
dans la sève quand les bourgeons grandissent, ne serait pas aussi une
condition
du développement des tissus animaux, au moment où
, mais donnant toujours lieu à la fermentation glycosique, qui est la
condition
commune. Il se passe donc dans les poumons et mus
dans le poumon. Quant aux autres tissus, ils se développent dans des
conditions
différentes, et pour le système glandulaire, en p
De la présence du sucre dans le sang. — Époque de cette découverte. —
Conditions
de la production de ce phénomène. — Théories de l
grand nombre d’observateurs qui sont arrivés, en se plaçant dans les
conditions
physiologiques que nous avions indiquées, aux mêm
et les faits qu’il constate, et avec quelle facilité il oubliera les
conditions
d’une expérimentation sérieuse et vraiment scient
questions de physiologie, quand il n’a pas tenu compte avant tout des
conditions
physiologiques des phénomènes. Ainsi, Messieurs,
constaté la même chose ; nous avons déterminé nous-même dans quelles
conditions
on pouvait rencontrer cette substance dans le sys
faire. Voici de la viande de boucherie fraîche, c’est-à-dire dans les
conditions
où l’auteur du travail en question supposait que
if. Nous reviendrons plus tard sur la question de savoir dans quelles
conditions
l’albuminose peut empêcher la réduction du sel de
ésultat. Vous voyez ici deux animaux placés exactement dans les mêmes
conditions
, à peu près de même âge et de même taille, tous d
on d’esprit où l’on se trouve, on ne rechercha point à reproduire les
conditions
dans lesquelles ils se manifestent ; et quand ils
phénomènes constatés, les raisonnements après l’expérience. Dans ces
conditions
, l’observateur jouit d’une quiétude qu’il ne saur
u’ici l’influence qu’avaient sur la fonction glycogénique du foie les
conditions
diverses dépendant de l’alimentation et de la cir
voyez donc encore ici combien il importe de déterminer exactement les
conditions
d’une expérience, et combien il faut se garder de
entée pour que les symptômes glycosuriques se produisent. Ce sont les
conditions
dans lesquelles nous avons opéré l’expérience ten
sérosités chez les diabétiques. — Passage du sucre dans la lymphe. —
Conditions
dans lesquelles ce passage s’effectue. — Chyle su
rde, dans le péritoine ; jamais je n’y ai rencontré de sucre dans les
conditions
où je les ai observés. Mais il faut dire que dans
re dans le système lymphatique ; mais il est clair que ce sont là des
conditions
tout à fait exceptionnelles et qui s’éloignent co
ure et simple. Dans le foie, au contraire, quand on se place dans des
conditions
convenables, on trouve des quantités de sucre con
bligés, pour prolonger cette vie purement organique, de maintenir les
conditions
extérieures de son accomplissement en pratiquant
ction spontanée du sucre dans le foie d’un animal mort dans certaines
conditions
. — Manuel opératoire de l’expérience. — Hypothèse
. Un autre lapin de la même taille, de la même portée, dans les mêmes
conditions
que le précédent, reçut, comme lui, sous la peau
our le même individu pris à différentes époques de sa vie et dans des
conditions
de santé diverses. Ce n’est pas seulement dans le
à elle-même depuis la veille ; cette décoction, faite dans les mêmes
conditions
que la précédente, donnait une densité plus grand
nces dont il nous est difficile d’apprécier actuellement les diverses
conditions
. Mais cette expérience ; qui est une des plus imp
l’on examine ultérieurement ce foie, et en le mettant dans toutes les
conditions
pour que le sucre revienne, il n’y reparaîtra pas
que chez les animaux qu’on aurait tués brusquement sans être dans ces
conditions
. Il semble que cette section de la moelle ait dét
e et par le moyen d’une fermentation semblable. Nous avons trouvé des
conditions
dans lesquelles des phénomènes tout à fait analog
e, quand on abandonne à eux-mêmes des muscles et des poumons dans des
conditions
de température convenables, on voit que ces tissu
u additionnée d’un tiers ou d’un quart d’alcool. Le liquide, dans ces
conditions
, se charge de sucre qu’on y voit apparaître dès l
vons vu qu’il suffisait de placer les tissus dans l’eau pure dans des
conditions
de température assez basse, pour que la fermentat
tilages, la peau, mis avec de l’eau alcoolisée ou pure dans les mêmes
conditions
, ne donnent lieu ni à la production glycosique ni
visqueuse, et qui pourrait s’opérer d’autant plus facilement dans ces
conditions
, qu’elle s’accomplit sans dégagement d’aucun gaz.
u foie doit être ainsi, et quand on peut observer cet organe dans des
conditions
favorables, on y trouve les caractères que nous v
etc. Le malade n’est plus diabétique ; aussi quand on vient, dans ces
conditions
, à faire son autopsie, le foie ne contient plus d
n, et qu’on les abandonne tous deux jusqu’au lendemain dans les mêmes
conditions
, on verra que celui qui a perdu tout son sang ne
es. Ainsi, il est très bien établi, par des autopsies faites dans des
conditions
convenables, que chez les diabétiques il y a plus
on traite un diabétique, il ne faut pas perdre de vue que la première
condition
de la présence du sucre dans les urines est un ét
ur il ne s’agit que d’observations faites sur du sang retiré dans des
conditions
physiologiques peu déterminées, tantôt sur des an
l eût suffi à l’auteur de faire une seule de ses expériences dans les
conditions
voulues pour être convaincu qu’il avançait une er
t évident que les premières parties de sang ont été retirées dans des
conditions
physiologiques, et qu’il n’en est plus de même lo
matières albuminoïdes en même temps que du sucre, ce qui n’est pas la
condition
dans laquelle nous avons eu soin de nous placer,
nt il faut, comme pour toute espèce de caractère, l’employer dans des
conditions
convenables, ainsi que nous le faisons toujours.
a levure de bière impure, il faut avoir soin de placer dans les mêmes
conditions
de la même levure avec de l’eau ordinaire. Dans l
rtère hépatique ; ni l’un ni l’autre ne contiennent de sucre dans des
conditions
convenables. Il y a d’autre part deux ordres de v
lus de 0,3 gr. pour 100 de sucre. C’est ce qui arrive dans toutes les
conditions
qui font passer du sucre dans l’urine : par exemp
e avant son entrée dans le foie, et je n’y constatai jamais, dans des
conditions
physiologiques convenables, la présence du sucre,
s auteurs, ne répétant pas mes expériences méthodiquement et dans les
conditions
physiologiques requises, n’ont nécessairement pas
ng, et quant à celles qu’on a pu reproduire depuis dans de semblables
conditions
, elles peuvent avoir, en elles-mêmes et au point
g dans tous les points du système circulatoire en se plaçant dans les
conditions
que la physiologie indique, toutes les expérience
t au contraire que des expériences incomplètes en se plaçant dans des
conditions
non méthodiquement et physiologiquement déterminé
, mais qu’elles doivent reposer, au contraire, sur la connaissance de
conditions
fonctionnelles précises que la physiologie seule
n’en est plus fait mention dans le second. Mais il imagine alors des
conditions
expérimentales tout à fait particulières, et il a
tée, quatre heures après le repas, avec un chien placé dans les mêmes
conditions
que le précédent, et nourri exclusivement depuis
e chimie et de physique, pourvu que l’on ait soigneusement étudié les
conditions
de l’expérience pour reproduire les phénomènes to
ions de l’expérience pour reproduire les phénomènes toujours dans des
conditions
identiques. Quand on dit, par exemple, que chez u
onstante et absolue, et jamais, quand elle est bien faite et dans les
conditions
indiquées, il n’y a de sucre dans le sang de la v
certitude et l’invariabilité des expériences physiologiques, dont les
conditions
sont bien étudiées, que je crois de mon devoir, c
physiologistes ou chimistes, en plaçant les animaux dans les diverses
conditions
de digestion, et spécialement dans celles indiqué
que, pour obtenir ces résultats, il faut recueillir le sang dans des
conditions
physiologiques. On ne peut avoir le sang qui circ
ditions physiologiques. On ne peut avoir le sang qui circule dans des
conditions
normales dans la veine porte, ou dans les veines
mentation, on veut obtenir de l’alcool, ce qui est, suivant nous, une
condition
indispensable de l’expérience, il faut se procure
tités de sang et sacrifier un certain nombre d’animaux dans les mêmes
conditions
. On réunit tous les sangs des veines hépatiques e
nimal vivant. Mais on comprendra, que, pour que ce sang soit dans des
conditions
physiologiques, il ne faut en prendre qu’une peti
es premières, qu’on peut seules considérer comme recueillies dans des
conditions
physiologiques. Pour obtenir une grande quantité
rmaient beaucoup de sucre. J’ai fait trois expériences dans les mêmes
conditions
, et les résultats généraux n’ont pas varié. Deux
il résulte des expériences précédentes : 1° Qu’en se plaçant dans les
conditions
indiquées plus haut, et en opérant rapidement la
1850 17. On s’est assuré, avec un autre chien placé dans les mêmes
conditions
, qu’après un jeûne de quarante heures, la veine p
r pour généraliser et la liberté dans la réflexion. De cette dernière
condition
s’ensuit nécessairement qu’on ne saurait confondr
i : La philosophie est la science des états de conscience et de leurs
conditions
. Cette définition convient à tous les systèmes. L
n convient à tous les systèmes. L’absolu est-il, n’est-il pas une des
conditions
des états de conscience ? La chose reste à étudie
ntenant déterminé : c’est l’étude des états de conscience et de leurs
conditions
. Mais comment la philosophie procédera-t-elle à c
ons d’exister. On peut se mettre en contradiction avec lui, mais à la
condition
expresse de démontrer comment s’est formée et s’e
ce a toujours sinon pour but, du moins pour résultat, d’améliorer les
conditions
matérielles de l’existence, par cela même qu’elle
rts d’identité ou de causalité. Connaissant tout cela, voyons quelles
conditions
doit remplir un système de connaissances pour mér
n possible et par conséquent, pas de science. Mais ces deux premières
conditions
ne suffisent pas : en effet, pour pouvoir expliqu
uvoir aborder l’étude de cet objet composent la méthode. La troisième
condition
à remplir pour une science c’est donc d’avoir une
s’occupe aucune autre science : les états de conscience. La première
condition
est donc remplie. — Les faits qui constituent son
es états de conscience échappent à la loi de la causalité. La seconde
condition
est donc également remplie. — Enfin, la philosoph
a sa méthode, la méthode expérimentale : elle remplit donc les trois
conditions
nécessaires à obtenir le titre de science et peut
? C’est la philosophie. Elle en fait la théorie, elle voit à quelles
conditions
ils doivent être soumis pour donner des résultats
philosophie comprend deux parties : les états de conscience et leurs
conditions
. Il faudra donc au moins déjà une division de la
activité. Il y aura lieu de se poser la question : Comment, à quelles
conditions
, l’activité fera ce qu’elle doit faire ? Quelles
bien distincte de la logique et de la psychologie. Restent enfin les
conditions
des états de conscience. Ces conditions font l’ob
sychologie. Restent enfin les conditions des états de conscience. Ces
conditions
font l’objet de la métaphysique. Ces diverses par
étaphysique doit être étudiée la dernière : pour pouvoir examiner les
conditions
des états de conscience il faut les connaître ent
veut dire uniquement que, appliquées au même mobile et dans les mêmes
conditions
, si la première le fait marcher avec une vitesse
une autre objection à la méthode psycho-physique : elle méconnaît les
conditions
physiologiques du phénomène psychique. Fechner et
orsqu’un minimum de raison en surveille le développement, elle est la
condition
indispensable sans laquelle on ne fait rien de gr
théorie de la connaissance. Leçon 11 Perception extérieure et ses
conditions
; les sens La perception extérieure est la fac
de la conscience commence le monde extérieur. Voyons quelles sont les
conditions
de la perception extérieure. Il y en a trois : 1.
bjet : on dit alors qu’il y a hallucination. 2. Il faut que certaines
conditions
physiologiques soient remplies. Ces conditions ph
Il faut que certaines conditions physiologiques soient remplies. Ces
conditions
physiologiques sont au nombre de trois : relation
ion du moi que l’unité se produit dans la perception. Telles sont les
conditions
de la perception extérieure. De ces trois conditi
Telles sont les conditions de la perception extérieure. De ces trois
conditions
, il n’y en a qu’une seule qu’il faille étudier :
Espinas, Sociétés animales, p. 413. Leçon 15 La conscience : Des
conditions
de la conscience La conscience est la faculté
omme pour les phénomènes de la perception extérieure quelles sont les
conditions
de la perception intérieure. Il faut d’abord qu’i
connaissance par la conscience. C’est ce qui correspond à la première
condition
de la perception extérieure. Il faut en outre un
outre un sujet de cette connaissance. Ce sujet est le moi. La seconde
condition
de la perception intérieure sera donc l’intervent
moi seul connaît. Nous retrouvons donc dans la conscience toutes les
conditions
de la perception extérieure, sauf la nécessité d’
ns servant d’intermédiaire entre l’objet et le sujet. Telles sont les
conditions
de la perception intérieure. On a dit que certain
certains de nos phénomènes intérieurs ne présentaient pas toutes les
conditions
requises et ne pouvaient dès lors être observés p
rons l’idée de l’identité. Cette idée d’identité est en outre une des
conditions
nécessaires de la mémoire7. 3. La causalité. Le m
. L’étude de la conscience est maintenant terminée. Nous avons vu ses
conditions
, son objet ; nous avons critiqué l’objectivité de
ne peut concevoir un phénomène sans supposer un autre phénomène comme
condition
du premier. On nomme le premier cause, le second
révoir a priori. Les propositions nécessaires ne font qu’exprimer les
conditions
auxquelles est soumise l’expérience. Chacun d’eux
x termes : la partie d’expérience dont on parle, et d’autre part, ses
conditions
. Le type de tous les jugements rationnels est cel
Les phénomènes de telle ou telle espèce sont soumis à telle ou telle
condition
. Nous voyons donc que des deux idées qui composen
nt les choses en vue de fins connues d’elle. La raison nous donne les
conditions
de l’expérience d’une manière abstraite et généra
rincipe rationnel : Les phénomènes de telle sorte sont soumis à telle
condition
. Pour penser, il nous faut absolument rapporter l
tion. Pour penser, il nous faut absolument rapporter les choses à une
condition
et l’absolu est libre de toute condition comme de
t rapporter les choses à une condition et l’absolu est libre de toute
condition
comme de toute relation. Nous ne pouvons penser
pas de nature. On ne peut trouver dans l’expérience ce qui en est la
condition
même. Leçon 22 La raison : L’évolutionnisme. T
nous avec ce caractère que nous le reconnaissons pour passé. Ces deux
conditions
sont nécessaires à la mémoire. Cette définition n
sons donc que l’état de conscience conservé est resté dans le moi. La
condition
de la reproduction est la conservation dans le mo
uction est la conservation dans le moi. Quelles seront maintenant les
conditions
de la reconnaissance du phénomène comme passé ? T
ommençons par le rêve, qui est le plus commun. Il est produit par des
conditions
physiologiques assez mal déterminées. Donc, sans
e réduit à une sensation forte. Cette genèse de Condillac confond les
conditions
du phénomène avec le phénomène. Sans doute nous n
sation esthétique, j’estime que tous les hommes placés dans les mêmes
conditions
que moi éprouveront le même plaisir. On peut disc
iverselle, car, pour tout le monde, elle correspond toujours aux deux
conditions
que nous avons établies. Elle est une unification
beau une déchéance ; il n’existe qu’en se révélant à nous : c’est la
condition
même de son existence. Le beau réel c’est la forc
s déjà frayées par un passage précédent, et comme ce mouvement est la
condition
de la pensée et de la volonté, le phénomène se re
ndance des différents phénomènes psychologiques placés dans certaines
conditions
à s’attirer les unes les autres. Mais l’analyse q
esoin plus vif de faire l’action habituelle. Mais ce n’est pas là une
condition
nécessaire de cette tendance. Puisque ces explica
dans la vie ? Elle nous permet de conserver le passé, ce qui est une
condition
essentielle du progrès. C’est grâce à elle que no
voir besoin de revenir sans cesse en arrière. Mais ce n’est pas là la
condition
unique du progrès. Il ne suffit pas de garder ce
aisser enchaîner par elle et de rester dans l’immobilité. Elle est la
condition
nécessaire du progrès, mais n’y suffit pas. Le
se connaître qu’en se pensant sous la forme des principes rationnels,
condition
de toute connaissance. Il est obligé pour prendre
est donc de déterminer la nature de la vérité, de l’erreur, de leurs
conditions
. Alors, munis de ces renseignements nous pourrons
les est chez soi et a droit à la créance ; elle déterminera ainsi les
conditions
auxquelles nos facultés peuvent être crues. En un
uit à sa netteté. Toute définition doit être courte, claire. Ces deux
conditions
sont exigées par la nature même de la définition,
s l’air, et ne se transmet plus si on fait le vide. Donc l’air est la
condition
du son. C’est là la meilleure manière de détermin
demain. Leçon 47 Des sophismes Nous venons de voir dans quelles
conditions
l’induction et la déduction donnent des résultats
une méthode régressive, remontant d’une proposition à démontrer à ses
conditions
jusqu’à ce que l’on arrive à quelque chose de rec
, vraisemblance générale, vraisemblance particulière, telles sont les
conditions
des faits. Voilà les règles du témoignage des hom
par l’expérience. Mais quand même une tradition remplirait toutes ces
conditions
, on ne saurait par cela seul la juger digne de fo
mment cette loi générale, une fois établie, doit s’appliquer dans les
conditions
particulières de la vie, elle est dite particuliè
ait : la Responsabilité morale. En l’expliquant et en développant les
conditions
, nous verrons peu à peu se dérouler toute la mora
at ; la loi morale et ses conséquences seront établies par nous comme
conditions
de la responsabilité morale. Que l’homme soit res
devant une loi. 2. On est justiciable à perpétuité. Quelles sont les
conditions
de la Responsabilité morale ? Pour que je puisse
ion ou de la maladie, qui n’était pas maître de lui-même. La première
condition
de la responsabilité est donc la liberté. Les dét
que à lui-même. Liberté et identité du moi, telles sont donc les deux
conditions
psychiques nécessaires de la Responsabilité moral
morale. Historique de l’utilitarisme. Nous avons expliqué quelles
conditions
sont nécessaires pour que nous soyons responsable
sticiables, il faut que nous le soyons envers une loi. Cette dernière
condition
de la responsabilité est une condition morale et
envers une loi. Cette dernière condition de la responsabilité est une
condition
morale et non plus psychologique. Voyons, pour po
morale est impérative. Quelle est la loi qui satisfait à ces trois
conditions
? Beaucoup de philosophes ont répondu que cette l
pour plus tard des douleurs. Le laisser-aller au plaisir est la seule
condition
pour le goûter. Épicure fit un pas de plus. Remar
és. Considérons un plaisir ou une peine. La valeur dépendra de quatre
conditions
: Intensité, durée, certitude, proximité. Mais ce
« il appartient à la loi morale de déduire des lois de la vie et des
conditions
de l’existence quels sont les actes qui tendent à
itiquer la valeur de ces systèmes nous n’avons qu’à nous rappeler les
conditions
auxquelles doit satisfaire cette loi, et voir si
s si la loi morale est fondée sur l’intérêt, satisfera-t-elle à cette
condition
? Évidemment non. Rien n’est si difficile que de
êt ne peut donc être obligatoire, elle ne satisfait donc pas aux deux
conditions
essentielles de la loi morale. D’autres philosoph
ra devoir être pratiqué. Voyons si cette doctrine répond à toutes les
conditions
de la loi morale. Sans doute le sentiment est le
et cesserait d’exister avec autrui. C’est faire dépendre la vertu de
conditions
bien contingentes. La loi que nous cherchons doit
s cherchons doit exister pour elle-même, indépendamment de toutes les
conditions
particulières. Telle est la première critique qu’
impératif qui ordonne une certaine conduite, sans avoir lui-même pour
condition
une autre fin, relativement à laquelle il ne soit
s qu’est-ce que la personne ? Un être identique et libre. De ces deux
conditions
, celle qui est pour ainsi dire dominante est la l
ensuite elle doit appliquer la sentence qui aura été rendue. Ces deux
conditions
sont suffisantes et nécessaires pour qu’il y ait
3. Activité. Nous allons y distinguer l’activité en elle-même et ses
conditions
extérieures. Respecter l’activité en elle-même, c
l’état de choses actuel, l’activité humaine paraît supposer certaines
conditions
extérieures que l’on peut définir d’un mot : la p
ns valeur propre ; mais si elle n’est pas la richesse, elle en est la
condition
. Sans doute le sol est improductif tant qu’il n’e
s, les empêchent de disparaître une fois produites. Ils sont donc une
condition
indispensable du développement de l’individu, et
, nous avons vu que nous devions respecter la propriété qui en est la
condition
extérieure. Mais cette propriété, qui pourtant es
e. Mais cette propriété, qui pourtant est un droit puisqu’elle est la
condition
d’un devoir, manque souvent à autrui. La charité
é comme un postulat : la Responsabilité morale. Puis en déduisant les
conditions
de ce fait, nous avons été amenés à établir l’exi
s préliminaires. La métaphysique est la science qui recherche les
conditions
des états de conscience. Trois questions se posen
ion : 1. Les états de conscience pris dans leur ensemble, ont-ils une
condition
distincte d’eux, qu’on appelle l’âme ? 2. Les éta
Les états de conscience relatifs au monde matériel ont-ils une ou des
conditions
distinctes d’eux, qu’on nomme les corps ? 3. Les
Les états de conscience relatifs aux principes rationnels ont-ils une
condition
distincte d’eux qu’on appelle dieu ? Mais la méta
n appelle dieu ? Mais la métaphysique ne cherche pas seulement si ces
conditions
existent : elle veut encore en déterminer la natu
fisent à eux-mêmes ou s’ils n’ont pas besoin, pour être expliqués, de
conditions
extérieures. Nous devons donc partir des états de
à généraliser les faits. Elle sera déductive, puisqu’elle déduira les
conditions
des faits préalablement posés. Leçon 70 De l’â
ves de l’esprit n’appartenaient pas à la matière, et l’absence de ces
conditions
entraîne l’absence de pensée. Un être qui n’est p
L’expérience ne pourra jamais nous montrer un fait là où manquent les
conditions
nécessaires à sa réalisation. 2. Le second argu
expérimentalement que la circulation du sang dans le cerveau était la
condition
nécessaire de la pensée. M. Flourens a constaté q
si bien si l’on considère le cerveau et en général le corps, comme la
condition
, et non comme la cause, de la pensée. Sans cervea
e ? Nullement. On ne doit pas confondre les deux idées de cause et de
condition
. La condition est ce sans quoi la cause ne peut p
On ne doit pas confondre les deux idées de cause et de condition. La
condition
est ce sans quoi la cause ne peut produire son ef
st pas la cause de la pensée que nous transmettons, mais il en est la
condition
, comme le phosphore qui se trouve dans notre cerv
t les autres, il faut s’arrêter [en grec dans le texte]. Or, à quelle
condition
pourra-t-on s’arrêter ? À cette condition que le
ans le texte]. Or, à quelle condition pourra-t-on s’arrêter ? À cette
condition
que le premier moteur tire son mouvement de lui-m
au nombre des idées rationnelles, car elle ne rentre point parmi les
conditions
de l’expérience. De plus tout le reste de l’argum
es proprement dites, c’est-à-dire celles qui nous montrent Dieu comme
condition
de moralité. Il y a deux faits en morale qui ne s
te harmonie ne se trouvant pas ici-bas doit exister ailleurs dans des
conditions
supra-expérimentales. L’immortalité de l’âme nous
itions supra-expérimentales. L’immortalité de l’âme nous a semblé une
condition
nécessaire à cela, mais ce n’est pas la seule ; i
comme la loi morale vivante, nous apparaît maintenant comme la seule
condition
à laquelle puisse se réaliser l’harmonie du bonhe
x preuves morales nous l’ont montré comme la loi morale vivante et la
condition
de la sanction morale. Nous avons prouvé qu’il y
iste à partir de la définition de Dieu et à chercher quelles sont les
conditions
des attributs que lui prête cette définition, cet
quitable. Enfin, la liberté de Dieu nous apparaît à la fois comme une
condition
de cette magistrature supérieure et comme une con
nt pas été voulus en eux-mêmes, et pour eux-mêmes, ils ne sont que la
condition
de biens inestimables, qui seraient impossibles s
l faut que nous puissions faire le bien ou le mal. Le mal est donc la
condition
du bien. Le mal physique se résume dans la douleu
onde ne pourrait exister : la souffrance de quelques individus est la
condition
de ce grand bien. En outre, la douleur est une ép
quent donné pourra se produire. Je devrais d’abord décrire toutes les
conditions
de l’expérience à faire et la loi s’énoncerait al
de l’expérience à faire et la loi s’énoncerait alors : si toutes les
conditions
sont remplies tel phénomène aura lieu. Mais on ne
nomène aura lieu. Mais on ne sera sûr de n’avoir oublié aucune de ces
conditions
, que quand on aura décrit l’état de l’univers tou
s, la loi deviendrait inapplicable ; si on exigeait à la fois tant de
conditions
, il y aurait bien peu de chance pour qu’à aucun m
. Alors comme on ne sera jamais certain de n’avoir pas oublié quelque
condition
essentielle, on ne pourra pas dire : si telles et
ue condition essentielle, on ne pourra pas dire : si telles et telles
conditions
sont réalisées, tel phénomène se produira ; on po
hénomène se produira ; on pourra dire seulement : si telles et telles
conditions
sont réalisées, il est probable que tel phénomène
ons pas que nous n’avons pas fait un rêve. Telle est donc la première
condition
de l’objectivité : ce qui est objectif doit être
ions effectivement éprouvées. Il me semble superflu de rappeler cette
condition
et je n’y aurais pas songé si on n’avait soutenu
ne pas se laisser glisser sur la pente qui y mènerait. On a donc deux
conditions
à remplir, et si la première sépare la réalité4 d
estion, il faut se reporter à ce que nous avons dit plus haut sur les
conditions
de l’objectivité. Ces rapports ont-ils une valeur
t humain adulte, ils ont considéré ses formes constitutives comme des
conditions
initiales. Ils disent : ces formes sont impliquée
aisonnements, les sens n’élèveraient jamais sa statue au-dessus de la
condition
de l’idiot. Un homme réduit aux pures sensations
doivent être cherchées, soit physiologiquement, c’est-à-dire dans les
conditions
organiques ; soit psychologiquement, c’est-à-dire
nous pensons comme successif ce qui dans la nature est simultané : la
condition
de la pensée c’est le changement. Penser, c’est j
, c’est juger ; c’est unir un prédicat à un sujet. Mais ces formes ou
conditions
de la pensée sont le résultat d’un développement,
ion ; et une psychologie scientifique refuse de même d’accepter comme
condition
à priori de l’expérience ce qui est le résultat d
formes énumérées par Kant sont trop peu nombreuses, pour exprimer les
conditions
subjectives. Il omet, par exemple, le plaisir et
déterminent toute action. Il ne dit rien des divers sens et de leurs
conditions
: cependant c’est l’organisation de la rétine et
é par les agents externes, de sorte que l’expérience sera composée de
conditions
objectives et subjectives, — et de dire : voici l
un objet, sans le faire rentrer sous les lois de la nature, sous les
conditions
de notre pensée ; mais il est tout différent de d
preuve qu’il ne peut exister en rapport avec d’autres êtres sous des
conditions
toutes différentes222. » Nous admettons donc, ave
processus vital, non une entité, a sa synthèse dans la continuité des
conditions
vitales. Le mécanisme nerveux, dont la conscience
ultés sont, un produit de l’organisation, car ce serait confondre les
conditions
avec les causes efficientes. » On peut dire que G
ion de ce que doit être l’analyse psychologique de ses moyens, de ses
conditions
et des problèmes qu’elle a à résoudre. Comment dé
ces faits en les attribuant à l’imagination, bien ; mais par quelles
conditions
matérielles l’imagination a-t-elle pu agir sur le
âtre-Français, et qui sera jugé avoir le mieux satisfait à toutes les
conditions
désirables d’un but moral et d’une exécution bril
Commission n’avait eu à se préoccuper, monsieur le ministre, que des
conditions
de talent, d’exécution brillante et de succès, s’
ée aucun ouvrage dramatique en quatre ou cinq actes, qui réunisse les
conditions
exigées pour mériter à l’auteur la première prime
différentes, serait jugé avoir rempli, au plus haut degré, les mêmes
conditions
». Dans ces termes, en effet, s’il lui était arri
ur des théâtres populaires, un ouvrage qui réunît à quelque degré les
conditions
morales, si désirables surtout pour ces sortes de
a trouvé aucun qui lui parût réunir, à un degré suffisant, la double
condition
voulue. Pour parer, d’ailleurs, à une difficulté
es nos conceptions principales seraient devenues positives. (3) Cette
condition
fondamentale pouvant maintenant être regardée com
, et si, en cherchant la vérité, nous nous imposions en même temps la
condition
étrangère d’y trouver une utilité pratique immédi
ur une connaissance approfondie de toutes les sciences fondamentales,
condition
qui est encore aujourd’hui fort loin d’être conve
ujourd’hui fort loin d’être convenablement remplie. L’examen de cette
condition
confirme nettement pourquoi nous devons, dans ce
ns jamais être entraîné dans le moindre cercle vicieux. Or, c’est une
condition
qu’il me paraît impossible d’accomplir d’une mani
lte, relativement à la question actuelle, la détermination exacte des
conditions
qu’on doit s’imposer, et qu’on peut justement esp
ontre une classification qui remplirait d’ailleurs convenablement les
conditions
principales. Ils tiennent à ce qu’il y a nécessai
fication nécessairement unique qui satisfait le mieux aux principales
conditions
du problème. On voit que, malgré le grand nombre
it incontestable que la nécessité d’avoir continuellement égard à ces
conditions
spéciales ne permettrait point de traiter la chim
espèce comme une pure déduction de l’étude de l’individu, puisque les
conditions
sociales, qui modifient l’action des lois physiol
l’étude des diverses branches de la philosophie naturelle. C’est une
condition
ordinairement fort négligée par les constructeurs
ique la classification ci-dessus proposée remplisse entièrement cette
condition
, ce qu’il serait superflu de prouver, il n’en fau
s le degré de précision que comportent les phénomènes correspondants,
condition
qui peut n’être pas toujours très facile à rempli
l’astronomie, de la physique et de la chimie, ont manqué à l’une des
conditions
fondamentales de leur développement intellectuel.
e, de la physique, de la chimie et de la physiologie. Comme de telles
conditions
sont bien rarement remplies de nos jours, et qu’a
phénomènes correspondants. Relativement à l’éducation générale, cette
condition
est encore bien plus nécessaire. Je la crois tell
nous avions adopté une formule encyclopédique qui ne remplît pas les
conditions
essentielles posées ci-dessus. Cette nouvelle con
na bientôt parallèlement avec le même zèle. En voulant déterminer les
conditions
principales d’une industrie, il en vint à reconna
e le procédé technique n’était plus que la chose secondaire et que la
condition
essentielle tenait le plus souvent à un ressort m
; les populations inférieures, imprévoyantes par leur nature et leur
condition
, trouvaient appui et tutelle dans le supérieur, e
dès lors à étudier l’ouvrier sous tous les aspects et dans toutes les
conditions
de son existence ; il fit ces monographies exacte
ription à trente-six monographies d’ouvriers, en les prenant dans les
conditions
sociales les plus diverses : l° dans l’état encor
seul point inquiétait encore l’observateur : c’était de savoir si la
condition
des femmes chez ces peuples est aussi inférieure
estes pour la meilleure exploitation des terres, et peut-être pour la
condition
des petits propriétaires eux-mêmes. Il a présenté
s Ouvriers européens, Études sur les travaux, la vie domestique et la
condition
morale des populations ouvrières de l’Europe, pré
iers des Deux Mondes, Études sur les travaux, la vie domestique et la
condition
morale des populations ouvrières des diverses con
e circonstances données, il faudrait que l’expérience se fît dans des
conditions
d’isolement pratiquement irréalisables, surtout e
et obscurs vestiges, et il est encore plus difficile de retrouver les
conditions
qui les ont déterminés. Au contraire, la vie soci
ue de transformations, parallèles à d’autres transformations dans les
conditions
de l’existence collective ; et nous n’avons pas s
à part, le même phénomène évolue dans le temps en fonction des mêmes
conditions
. Puis on peut établir des comparaisons entre ces
de celles que présente, au même moment et dans chacun de ces pays, la
condition
présumée. Ainsi, après avoir suivi l’évolution de
nt peu de chose à côté des caractères transmis. C’est, d’ailleurs, la
condition
de tout progrès. Ainsi, les éléments nouveaux que
de comparaison, elle serait beaucoup mieux en état de déterminer les
conditions
dont dépendent leur formation et leur association
quent, on ne peut expliquer un fait social de quelque complexité qu’à
condition
d’en suivre le développement intégral à travers t
recul du même phénomène ne peut jamais être que transitoire, mais aux
conditions
spéciales où se trouve placée toute société qui c
ent offrir aux individus chez lesquels elles se produisent sous leurs
conditions
de vie particulières, ensuite de la plus ou moins
t, de la raison progressive de multiplication, du changement lent des
conditions
physiques de la contrée, et surtout des nombres p
quer par les relations plus complexes des êtres supérieurs avec leurs
conditions
de vie organiques ou inorganiques, ainsi que nous
ne fois éteinte, ne saurait reparaître, même dans le cas où les mêmes
conditions
de vie, organiques ou inorganiques, viendraient à
r quel pouvait avoir été la cause de son extinction première sous des
conditions
de vie en apparence si favorables. Combien cepend
les sont les causes de leur rareté, nous répondons que sans doute les
conditions
de vie locales leur sont défavorables en quelque
tion rapide du Cheval domestique dans cette même région, que sous des
conditions
de vie plus favorables cette même espèce aurait p
e continent tout entier. Mais nous n’aurions pas su davantage quelles
conditions
de vie défavorables en avaient empêché jusqu’alor
e, que les espèces ainsi supplantées par d’autres, mieux adaptées aux
conditions
locales, appartiennent à la même classe ou à des
nt considérer les changements des courants, des climats ou des autres
conditions
physiques comme la cause de ces grandes mutations
anisés, lorsque nous verrons combien il y a peu de rapports entre les
conditions
physiques des diverses contrées et la nature de l
us ou moins prochain. Nous ne savons pas précisément quelles sont les
conditions
les plus favorables à la multiplication des espèc
se perpétuer avec de très légères modifications, en rapport avec des
conditions
de vie très peu altérées, et garder ainsi à trave
deux formations, rigoureusement consécutives, par la persistance des
conditions
physiques de la vie dans les mêmes régions pendan
e et peu développée, mais parfaitement adaptés néanmoins à de simples
conditions
de vie. Même, en quelques cas, elle simplifie l’o
s des habitants de ces deux continents par des dissemblances dans les
conditions
physiques, et, d’autre part, expliquer par les re
s physiques, et, d’autre part, expliquer par les ressemblances de ces
conditions
l’uniformité des mûmes types dans chacune de ces
es réversions successives aux caractères des aïeux favorisées par des
conditions
de vie, sinon identiques, du moins équivalentes à
e soit un progrès pour l’espèce, ou, pour parler plus exactement, une
condition
de succès, un avantage dans la concurrence vitale
ns notre sensation à l’endroit où nous avons coutume de rencontrer sa
condition
ou cause ordinaire. III. Conséquences. — Nous sit
n extérieure se réduit à l’assertion d’un fait général pensé avec ses
conditions
. — Concordance ordinaire de la loi réelle et de l
de nos sensations là où nous avons coutume de rencontrer la cause ou
condition
qui a coutume de la provoquer41. Si, de naissance
nts. III La conséquence est que, lorsqu’une sensation aura pour
condition
ordinaire la présence d’un objet plus ou moins él
rayons lumineux ne contribue qu’indirectement à la faire naître ; sa
condition
directe, nécessaire et suffisante est l’excitatio
toujours à l’endroit où dans les circonstances ordinaires sa cause ou
condition
ordinaire a coutume d’être : la loi est générale
nséquent, même dans les circonstances ordinaires, lorsque la cause ou
condition
ordinaire, c’est-à-dire l’objet, est présent et o
ît située à l’endroit où nous avons coutume de rencontrer sa cause ou
condition
ordinaire, et cet endroit est celui où le toucher
es impressions de la rétine, et si, en même temps, il trouve les deux
conditions
extérieures de ces deux impressions situées l’une
emple, deux sensations visuelles. Non seulement elles ont une commune
condition
organique, la modification de l’œil ouvert, mais
e, la modification de l’œil ouvert, mais encore elles ont chacune une
condition
extérieure spéciale, la présence en tel point du
eure spéciale, la présence en tel point du dehors d’un corps éclairé,
condition
à laquelle correspond chez elles tel caractère pr
nnements de notre main ou la fermeture de nos paupières, leur commune
condition
organique, nous constatons, par d’autres tâtonnem
tatons, par d’autres tâtonnements et par la marche, leurs différentes
conditions
extérieures. Nous avons interrompu toutes nos sen
près de l’endroit, dans lequel notre toucher explorateur rencontre sa
condition
organique. — Quant aux sensations d’odeur et de t
fausse ; ce qui est situé à l’endroit où nous les plaçons, c’est leur
condition
ou cause ordinaire, tantôt l’organe où s’opère le
’objet extérieur qui provoque cet ébranlement nerveux. Cette cause ou
condition
peut manquer, puisque sa présence n’est qu’ordina
er l’idée de son double ou de sa moitié, être mesuré ; ce sont là les
conditions
d’une carte représentative. — Il n’y a là qu’un c
naissance de telle sensation à la présence presque constante de telle
condition
extérieure ; de sorte qu’aujourd’hui, quand l’ill
orte qu’aujourd’hui, quand l’illusion se produit, presque toujours la
condition
extérieure est présente. La loi qui a fini par su
ini par susciter en nous l’illusion amène d’ordinaire hors de nous la
condition
. Mécanisme admirable qui nous trompe pour nous in
tes et indépendantes, la possibilité de telles sensations sous telles
conditions
, la nécessité des mêmes sensations sous les mêmes
s telles conditions, la nécessité des mêmes sensations sous les mêmes
conditions
plus une condition complémentaire. Ce que je puis
la nécessité des mêmes sensations sous les mêmes conditions plus une
condition
complémentaire. Ce que je puis poser à bon droit
touche cette bille d’ivoire, c’est un groupe de rapports entre telles
conditions
et telles sensations ; en vertu de ces rapports,
tre sentant qui, en un moment quelconque du temps, se mettra dans les
conditions
où je suis, aura la sensation que j’ai et les aut
ts, sensations ou équivalents de sensations, comme possibles à telles
conditions
, comme nécessaires aux mêmes conditions plus une
ons, comme possibles à telles conditions, comme nécessaires aux mêmes
conditions
plus une condition complémentaire. Nous annonçons
à telles conditions, comme nécessaires aux mêmes conditions plus une
condition
complémentaire. Nous annonçons que tout être sent
ssible ; la première étant donnée, presque toujours si l’on ajoute la
condition
complémentaire, le transport de la main jusqu’à l
plement due à ce que nos produits domestiques ont été élevés dans des
conditions
de vie moins uniformes et en quelque chose différ
sés doivent être exposés pendant plusieurs générations à de nouvelles
conditions
de vie pour qu’il se manifeste chez eux une somme
autre partie de l’organisation à l’influence des changements dans les
conditions
de la vie. Rien n’est plus aisé que d’apprivoiser
er que, comme certains organismes se reproduisent volontiers dans les
conditions
les plus contraires à la nature, montrant par là
, aient tous été, au moins en apparence, exactement exposés aux mêmes
conditions
de vie. Cela prouve le peu d’importance de l’effe
de reproduction, de croissance et d’hérédité. Car si l’influence des
conditions
de vie était immédiate et directe, l’un des petit
plantes48. Quand tous ou presque tous les sujets exposés à certaines
conditions
déterminées sont affectés de la même manière, il
bord que le changement soit directement dû à l’influence de ces mêmes
conditions
; mais on peut objecter qu’en bien des cas des ci
e, attribuer quelque légère somme de variation à l’action directe des
conditions
extérieures ; tel est, en quelques cas, l’accrois
utre ; mais lorsque parmi des individus apparemment exposés aux mêmes
conditions
, quelque déviation très rare, causée par un conco
our notre argumentation, puisque, par suite de l’expérience même, les
conditions
d’existence auraient changé. Si l’on pouvait démo
oute expérience. Je pourrais ajouter qu’à l’état de nature, quand les
conditions
de vie viennent à changer, des variations ou des
de plusieurs. On peut attribuer quelque effet à l’action directe des
conditions
de la vie, et aussi quelque effet aux habitudes ;
persévérance, peut réussir à opérer de grandes améliorations. Si ces
conditions
lui manquent, il échouera infailliblement. Peu de
es saisons. Or, en deux contrées très différentes sous le rapport des
conditions
de vie, des individus de la même espèce, ayant qu
spèce en une contrée, il est nécessaire qu’ils soient placés dans des
conditions
de vie assez favorables pour s’y reproduire libre
êche l’action sélective de se manifester. Mais il est probable que la
condition
la plus importante c’est que l’animal ou la plant
même aux légères déviations de structure de chaque individu. Sans ces
conditions
, rien ne peut se faire. J’ai entendu dire graveme
ine de nos races domestiques, animales ou végétales. Je crois que les
conditions
de vie, par leur action sur le système reproducte
de croissance. On peut attribuer quelque part à l’action directe des
conditions
de vie et quelque chose à l’usage ou au défaut d’
oint pitié ? La tyrannie d’un colon d’Amérique est moins cruelle ; la
condition
du nègre moins triste… qu’objecterez-vous au sièc
sard être meilleur ou plus mauvais ; jouissons des avantages de notre
condition
. Si nous y voyons des défauts, et il y en a sans
èrent des palais, firent parade de leur honteuse opulence, toutes les
conditions
furent confondues ; il s’éleva une émulation fune
ertu ! Sa vertu ! Ses mœurs ! Et il en fut ainsi de toutes les autres
conditions
. On rampa, on s’avilit, on se prostitua dans tout
es conditions. On rampa, on s’avilit, on se prostitua dans toutes les
conditions
. Il n’y eut plus de distinction entre les moyens
e laps des tems. Le destin qui règle le monde veut que tout passe. La
condition
la plus heureuse d’un homme, d’un état, a son ter
u lois. Mais nous ne pouvons savoir a priori dans quelle mesure cette
condition
est réalisée ; le développement de la science peu
ont plus que des lois, et expriment les relations les plus générales,
conditions
de toutes les autres. Nous avons montré que les l
sujet matériel qui manquait au mécanisme cartésien ; il admet, comme
condition
du mouvement, des corps doués de forces, et par l
de mouvements. On peut aussi bien la concevoir comme suite que comme
condition
du mouvement. Dès lors, la transition nous manque
e. Et l’on s’explique que nulle part le savant ne puisse trouver les
conditions
de la science exactement réalisées dans les phéno
mouvement, repasser exactement par les mêmes positions de B en A. Les
conditions
de la mécanique abstraite étant sensiblement réal
vail, il y a, avec une production de chaleur, perte irréparable de la
condition
primitive. Cette loi introduit en physique un élé
nvoque, pour établir ce double caractère de la force universelle, les
conditions
de notre conscience et notre constitution mentale
mer une réalité inconditionnée, sans commencement ni fin. Or, par les
conditions
mêmes de la pensée, une conscience indéfinie de l
des lois mathématiques ; elles sont nécessitantes, elles énoncent des
conditions
précises, elles sont ou elles ne sont pas. Mais e
soit autrement qu’elle n’est ; le déterminisme exprime l’ensemble des
conditions
qui font que le phénomène doit être posé tel qu’i
imentale. Une telle loi n’est plus, comme la loi de conservation, une
condition
d’intelligibilité. Il n’y aurait rien de choquant
thétique. Or un tel raisonnement n’atteint jamais que le possible, la
condition
suffisante ou paraissant telle, étant donnés les
aissant telle, étant donnés les faits dont on dispose, mais jamais la
condition
nécessaire. M. Friedel, à propos des objections q
t tétravalent. L’instabilité de la substance protoplasmique, voilà la
condition
essentielle de l’irritabilité. Et le progrès de l
nature physique et sa constitution chimique à ce changement dans les
conditions
d’existence ». Ces paroles ne semblent-elles pas
e manière à s’adapter au milieu, à se rendre la vie possible dans les
conditions
où elle se trouve placée. Enfin elle assure par l
vicieux ». L’organe rend possible la fonction, et la fonction est la
condition
de l’organe ; la contraction musculaire active la
en physiologie ? Il semble bien que cette adaptation victorieuse aux
conditions
d’existence, ce choix de moyens propres à assurer
nt de l’excès ou du défaut. Ils tiennent au dualisme de la fin et des
conditions
, et à la mobilité capricieuse de la matière. Jama
ermédiaire entre deux autres. Ordonner les êtres de manière que cette
condition
soit remplie, tel est l’objet de la science. Une
ie. Il faisait résulter la différence des fonctions et des formes des
conditions
dans lesquelles l’animal se trouvait placé. Enfin
ossible de calculer celle des autres. Tel est encore son principe des
conditions
d’existence, en vertu duquel chaque animal possèd
sède exactement ce qu’il lui faut pour assurer son existence dans les
conditions
où il est placé. Jusqu’ici nous avons vu la natur
rquent ni n’excluent la finalité. Il faut déterminer de plus près les
conditions
de cette dernière, et voir si ces conditions se r
erminer de plus près les conditions de cette dernière, et voir si ces
conditions
se rencontrent, soit dans les lois que posent les
ence des excitations. Il forme des colonies et des organismes. 2° Les
conditions
physiques et sociales dans lesquelles s’est histo
e force évolutive, grâce à laquelle il s’adapte de mieux en mieux aux
conditions
dans lesquelles il doit vivre. En sorte que les c
e point de vue de l’étendue. S’il s’agit de l’essence de l’âme, cette
condition
est irréalisable. Mais, outre la pensée et l’éten
tre des deux doctrines, prise en elle-même, ne satisfait vraiment aux
conditions
de la science. Aux dynamistes on reproche un apri
sante de l’organisme avec le milieu où il est placé. L’adaptation aux
conditions
extérieures est ainsi le caractère commun de la v
autres idées ? N’en cherchera-t-on pas bien plutôt la raison dans des
conditions
organiques ? Si l’inconscient, si le physique jou
n étudiant le phénomène psychique dans la totalité de ses éléments et
conditions
, et en cherchant dans la mécanique l’explication
au, l’état primitif de paix et de liberté. La déduction détermine les
conditions
requises pour que ce résultat soit atteint. Reste
e une science comme les autres, les faits y doivent être reliés à des
conditions
, non à des fins. Admettons que la sociologie doiv
tante. Tout au contraire, nous les voyons dire : tel peuple, dans des
conditions
analogues à celles où nous nous trouvons, a été f
s sociaux, non plus à leurs antécédents également sociaux, mais à des
conditions
extérieures observables et mesurables, telles que
et la quantité des subsistances ne sont pas des faits bruts comme les
conditions
climatériques. L’homme, et l’homme social, interv
er. Ce n’est pas tout. On veut que les phénomènes sociaux dérivent de
conditions
extérieures, ainsi que les phénomènes physiques ;
s vivent. Mais, ici, nécessaire veut dire indispensable, c’est-à-dire
condition
de réalisation d’une certaine fin, qui est la ces
ce et la volonté humaines, alors que l’on pense ne faire agir que des
conditions
matérielles ? Ainsi la loi physico-sociale ne sat
lles ? Ainsi la loi physico-sociale ne satisfait pas complètement aux
conditions
d’une science rigoureusement positive. Pour faire
lleurs des degrés dans les lois sociales. Il en est qui expriment les
conditions
d’une société où l’homme n’agit presque pas comme
forme. Cette dualité de l’être assure la possibilité des contraires,
condition
de la liberté. Aussi, même chez les Stoïciens, pa
considérées comme consistant en mouvements, les choses satisfont aux
conditions
d’une science mathématico-expérimentale. Précise
n’est et semble ne pouvoir être qu’approximative. Qu’est-ce, dans ces
conditions
, que la doctrine du déterminisme ? C’est une géné
écessaires. La première, c’est que nos idées et sentiments soient des
conditions
réelles de changement interne, conséquemment des
des objets dont elles sont les portraits. Dès lors, non seulement les
conditions
mentales n’ont aucune efficacité comme facteurs d
événements du monde physique, mais on aboutit à nier l’influence des
conditions
mentales sur les événements mentaux. L’espoir déç
ntales sur les événements mentaux. L’espoir déçu n’est plus la réelle
condition
du chagrin ; le passage à une conclusion n’est pl
nsité. Dès lors, les idées et états psychiques pourront redevenir des
conditions
de changement interne, de vrais moteurs du dévelo
rts mécaniques et tous les faits de sensibilité ou de conscience, les
conditions
de changement interne se trouveront être aussi de
ce, les conditions de changement interne se trouveront être aussi des
conditions
de changement externe. Le principe d’où part la p
de la pensée est doublement actif et objectif : 1° en ce que, par ses
conditions
cérébrales, il tend à produire un effet quelconqu
e. Les effets mécaniques dans l’espace ont toujours, comme tels, pour
conditions
immédiates d’autres effets mécaniques dans l’espa
ernes et des phénomènes externes n’est donc qu’une classification des
conditions
d’un seul et même phénomène en : 1° conditions re
une classification des conditions d’un seul et même phénomène en : 1°
conditions
représentables dans l’espace par le moyen de la v
représentables dans l’espace par le moyen de la vue et du tact, et 2°
conditions
non représentables dans l’espace. Si nous ne sent
si et surtout en faire la synthèse et, comme la biologie, montrer les
conditions
, les degrés et les formes typiques de l’évolution
fois doués d’un cerveau, nous avons emmagasiné en nous une partie des
conditions
de changement et de mouvement qui se trouvent dan
me. C’est après coup que nous cherchons dans le trouble organique les
conditions
antécédentes et objectives de notre douleur ; mai
ditions antécédentes et objectives de notre douleur ; mais penser ces
conditions
ou même les percevoir, soit nettement, soit confu
ence en eux-mêmes, ni dans leurs objets, mais encore et surtout comme
conditions
d’un changement interne lié à un mouvement extern
ogie à la philosophie générale. En effet, si cette méthode étudie des
conditions
de changement interne et externe, c’est-à-dire de
tre pensée. En outre, comme les relations de notre pensée en sont les
conditions
et que tout objet de notre connaissance est ainsi
naissance est ainsi conditionné, l’absolu sera ce qui échappe à toute
condition
, ce qui est inconditionné. Enfin, comme ce qui ne
ion, ce qui est inconditionné. Enfin, comme ce qui ne dépend d’aucune
condition
est entièrement indépendant et ne peut exister qu
pensée crée de toutes pièces la notion d’absolu en niant ses propres
conditions
, et en supposant que quelque chose est encore pos
posant que quelque chose est encore possible ou réel en dehors de ces
conditions
, en dehors même de toute condition et de toute re
possible ou réel en dehors de ces conditions, en dehors même de toute
condition
et de toute relation. Cette supposition, à son to
s moins utile pour nous exciter à rechercher de plus en plus loin les
conditions
de nos connaissances, à remonter l’échelle des ef
e impuissance à concevoir qu’un être comme nous, placé dans les mêmes
conditions
, puisse sentir autrement que nous ; les données é
sont donc les fonctions vraiment constitutives de la conscience, les
conditions
du fait même de penser et, par conséquent, de tou
doctrine de révolution. Il a laissé le problème non résolu. Une seule
condition
, nous l’avons montré plus haut, est vraiment cons
incipe de raison suffisante. Ce dernier est l’extension au dehors des
conditions
du raisonnement, extension d’abord hypothétique,
e l’analyse physiologique. II. L’événement physique extérieur est une
condition
accessoire et lointaine de la sensation. — Il ne
vent l’usage prolongé du microscope. — Observations de M. Robin. — La
condition
suffisante et nécessaire de la sensation est une
riences de Longet et de Vulpian. — L’action de la protubérance est la
condition
suffisante et nécessaire des sensations tactiles,
s de Flourens, Longet et Vulpian. — L’action de ces tubercules est la
condition
suffisante et nécessaire des sensations visuelles
isuelles. — Existence probable d’un autre centre dont l’action est la
condition
suffisante et nécessaire des sensations olfactive
essaire des sensations olfactives. V. L’action, de ces centres est la
condition
suffisante et nécessaire des sensations brutes. —
endue de cette substance grise. — L’action des lobes cérébraux est la
condition
suffisante et nécessaire des images ou sensations
données physiques dont dépendent nos événements moraux et d’abord les
conditions
de la sensation. Elles sont directes ou indirecte
des parties, vient agir sur le nerf. Visiblement, ce n’est là qu’une
condition
accessoire et lointaine. Quoique le nerf soit con
e, les aliments n’ont plus qu’un goût terreux ou amer. — En somme, la
condition
directe de la sensation, c’est l’action ou mouvem
lacement d’aiguille, tantôt le choc d’un bouton. Il suit de là que la
condition
immédiate de la sensation se trouve dans les cent
de caractères extérieurs. IV Nous arrivons donc à poser, comme
condition
suffisante et nécessaire de la sensation et parta
armi les diverses parties de l’encéphale, celles dont l’action est la
condition
nécessaire et suffisante de la sensation et des i
ive irritation. » C’est donc une action de la protubérance qui est la
condition
nécessaire et suffisante des sensations tactiles.
nécessaire et suffisante des sensations tactiles. — Elle est aussi la
condition
nécessaire et suffisante des sensations de l’ouïe
mêmes caractères. » — Enfin l’action de la protubérance est encore la
condition
nécessaire et suffisante des sensations du goût12
» Voilà donc un centre spécial, la protubérance, dont l’action est la
condition
suffisante et nécessaire de plusieurs espèces de
ons. Les tubercules quadrijumeaux fournissent donc par leur action la
condition
suffisante et nécessaire des sensations visuelles
ttes pour déterminer la portion de l’encéphale dont l’action est leur
condition
nécessaire et suffisante ; mais toutes les analog
aux animaux, mais encore celles qui sont propres à l’homme, ont pour
condition
suffisante et nécessaire une action des lobes cér
e de la substance grise ; cette action des cellules corticales est la
condition
suffisante et nécessaire des images, partant de t
le, les lois qui régissent l’une régissent l’autre. Nous avons vu les
conditions
qui ôtent ou confèrent l’ascendant à telle ou tel
fèrent l’ascendant à telle ou telle image141 ; ce sont donc les mêmes
conditions
qui déterminent la propagation de telle ou telle
, les actions luttent entre elles pour se propager. Grâce à certaines
conditions
favorables ou défavorables, une image prend ou pe
prend ou perd la première place dans notre esprit ; grâce à ces mêmes
conditions
, l’action correspondante prend ou perd la premièr
autre lit. VII Nous connaissons maintenant avec exactitude les
conditions
physiques de nos événements moraux ; pour nos sen
des deux courants. Ils forment deux longues séries dont l’une est la
condition
nécessaire et suffisante de l’autre, et qui se co
peut affirmer qu’elle ne s’est pas encore produite. Quelles sont les
conditions
du progrès ? Nombreuses, variées, complexes à cou
ri de ce qu’il a fait pour les hommes, quand il rappelle la misérable
condition
de ces pauvres êtres « qui avaient des yeux et ne
ire : saint Augustin et Bossuet l’en feront sortir. Au moyen âge, les
conditions
n’étaient guère favorables au développement de l’
oordination et la transmission des résultats qu’elle peut fournir, la
condition
d’un progrès auquel nulle borne ne peut être assi
et qui peut en déterminer avec une précision suffisante les lois, les
conditions
, le but ? Parmi ces formules, quelques-unes ont j
e donc la seule faculté dont le développement contienne en abrégé les
conditions
essentielles du progrès humain ? L’homme n’est-il
phénomènes moraux et sociaux. L’animal et la plante, placés dans les
conditions
requises, croissent fatalement ; leur développeme
relle et puissante chez l’homme cette tendance à chercher partout les
conditions
de sa propre existence, à se faire, comme disait
ries qui placent au dehors, et dans ce qu’on appelle les milieux, les
conditions
essentielles du développement humain. Que dire pa
agit-il au contraire d’une action indirecte ? On ne peut nier que les
conditions
du milieu ne sollicitent et ne modifient de mille
la sélection naturelle et de l’hérédité. M. Bagehot a cru y voir les
conditions
essentielles du développement des nations. Nous n
r à la suite de M. Flint ne nous a pas découvert la loi véritable, la
condition
essentielle du développement humain. En un sujet
e, entre deux phénomènes, dont l’un est considéré comme antécédent ou
condition
essentielle de l’autre. A prendre le mot loi dans
il y a une loi du progrès, elle se confond avec la loi morale, et la
condition
fondamentale du progrès, c’est la pratique de cet
tout intérieure, et si la science et le bonheur rencontrent dans les
conditions
de notre nature et de notre existence ici-bas des
’on doit les premières spéculations méthodiques sur les causes et les
conditions
de la vie. Thalès remarque que les semences des ê
ée du savant. Et cette sympathie n’est peut-être pas une des moindres
conditions
pour mener à bien l’étude de la nature animée. El
oujours il est vrai que les organes ont dû s’adapter entre eux et aux
conditions
des milieux pour assurer dans la mesure du possib
tre de la méthode de la vivisection, celui d’altérer profondément les
conditions
normales de la vie, et l’état même des organes qu
sur l’âme humaine qu’il explique avec une étonnante sûreté. Dans des
conditions
artificielles, dans un cadre irréel, il place un
imie morales, qu’on aurait beaucoup plus de peine à observer dans les
conditions
fortuites et communes de la vie. Ce que Racine a
ans le Jeu de l’amour et du hasard, un contraste de l’esprit et de la
condition
éveille l’attention de Dorante sur Silvia, celle
l’inclination à l’amour. Dans la diversité des cas particuliers, deux
conditions
se trouvent toujours : il faut gagner l’attention
veut des tableaux, non plus des coups de théâtre, et qu’on peigne les
conditions
, non plus les caractères. Sur ces deux points, le
illusion de l’action réelle. Quant à remplacer les caractères par les
conditions
, il est facile de réfuter Diderot. Qu’est-ce que
« caractères » abstraits et généraux, il faut, dit-il, montrer des «
conditions
», c’est-à-dire des caractères encore, mais parti
ats de cette étude, à suivre les variations des types moraux dans les
conditions
où nous les rencontrons engagés : ce qui conduit
se à faire à cette liste. Chacun de ces genres se caractérise par des
conditions
d’imitation j et une qualité d’impression particu
s plus loin que ce réalisme-là ne put triompher au xviiie siècle des
conditions
littéraires et sociales qui lui faisaient échec.
les sciences physiques et chimiques, lorsque l’on veut connaître les
conditions
qui déterminent la production des phénomènes, on
ur le problème que nous étudions, car si l’on découvrait dans quelles
conditions
se trouve le cerveau lorsque la pensée s’égare, o
que la pensée s’égare, on pourrait induire de là, par opposition, les
conditions
normales de l’exercice de la pensée. La folie par
rt bien ; mais qu’est-ce qu’un rêve ? C’est un état de l’âme dont les
conditions
physiologiques nous sont inconnues. Définir la fo
ous voyons que la lièvre produit le délire, que le sommeil change les
conditions
de la pensée, que la catalepsie produit des états
rien nier d’une manière absolue, contentons-nous de conclure que les
conditions
physiologiques de la folie sont aussi obscures po
ologiques de la folie sont aussi obscures pour l’homme que toutes les
conditions
physiques de la pensée en général, et que l’étude
relations avec des fonctionnaires de toute sorte. Voilà dans quelles
conditions
M. Taine ressent ces impressions de deux ordres s
goût passionné des individus qu’il rencontre ou, plus exactement, des
conditions
de vie où ils se meuvent. Ces jeunes gens exténu
Avenir de la Science. (Il serait bien curieux d’étudier dans quelles
conditions
la notion du « philistin » est apparue dans notre
ontrer comment, dans un même moment, tous les esprits placés dans des
conditions
analogues passent par des conceptions analogues.
onte de Lisle, les Taine, les Renan, etc., répugnent complètement aux
conditions
nouvelles de notre vie française où le fonctionna
fs plus ou moins vifs et plus ou moins nets. Le sentiment est une des
conditions
ordinaires de l’idée créatrice, et les lois de la
suivie par ce trouble, par ce désordre plus ou moins grave qui est la
condition
même du phénomène affectif, du fait émotionnel. E
fois l’œuvre entreprise, de chercher à se placer dans les meilleures
conditions
possibles pour lui donner le caractère qui lui co
intellectuelle et le jeu des éléments psychiques Les principales
conditions
de l’invention peuvent se résumer ainsi : une ten
ral, profite comme elle peut, pour se satisfaire et se compléter, des
conditions
qu’elle rencontre. Elle synthétise avec les éléme
épendant des éléments psychiques intervient ici, et reste souvent une
condition
à peu près nécessaire. Nous comprendrons ainsi ce
n. Par rapport à la création intellectuelle, elle n’est qu’une simple
condition
de l’invention, car sans routine l’esprit créateu
appeler création le renouvellement d’une même synthèse dans les mêmes
conditions
extérieures. L’imitation, au contraire, suppose l
es de se voir imiter par ceux pour qui sa parole remplace l’occasion,
condition
ordinaire de l’invention. Parfois sans doute on a
vive, mais généralement aussi plus vite fanée. Si la routine est une
condition
de l’invention, l’imitation en est une autre. Ell
urrait provoquer une invention. Si la routine et l’imitation sont des
conditions
de l’invention, la réciproque est vraie : l’inven
ditions de l’invention, la réciproque est vraie : l’invention est une
condition
de routine et d’imitation. Ce qu’on imite, en eff
cte volontaire. Le mécanisme en est le même, les circonstances et les
conditions
de leur apparition sont, à un point de vue abstra
la nourrit, elle ne vit pas encore de sa vie propre. Les deux grandes
conditions
ordinaires du génie, la naissance de l’invention
es types, mais de la psychologie générale de l’invention. De ces deux
conditions
du génie, la naissance et le développement de l’i
eur formation et de leur nature, et qui se présentent toutes dans les
conditions
que j’ai indiquées au commencement de cette étude
infinie, ce qui doit sortir de lui si nous ne savons pas dans quelles
conditions
ce germe doit se développer, quelles sont les cir
iellement, au point de vue de leur caractéristique propre, malgré les
conditions
analogues nécessaires à l’une et aux autres. Et c
n de son drame. C’est que le raisonnement dit, abstraitement, quelles
conditions
particulières doit remplir l’idée désirée, plutôt
e s’oppose pas non plus à la création spontanée ; il en détermine les
conditions
, il en limite à l’avance le champ, et il la prépa
ge de l’invention par raisonnement à l’invention instinctive. Une des
conditions
de l’invention par raisonnement (appelons-la ains
automatique et parfait : l’adaptation aux nouvelles circonstances (à
condition
que le changement ne soit pas trop brusque, ni le
ions peu sensibles, mais on peut déterminer à peu près et en gros les
conditions
psychologiques qui les distinguent et qui consist
tique, en lui-même, au premier, et qui requiert pour se produire, des
conditions
analogues, que le développement de l’invention es
mme dans l’instinct. On voit assez nettement chaque idée devenant une
condition
des idées qui la suivent et qui naissent par l’as
accompli par un autre. Nous pouvons savoir à l’avance que dans telles
conditions
, sans que nous le voulions et même parfois contre
lus imprévues, selon les circonstances qu’elle rencontrera, selon les
conditions
dans lesquelles s’effectuera son développement. J
r plusieurs années, depuis la naissance du germe qui suppose déjà des
conditions
très complexes jusqu’à l’achèvement de l’œuvre ;
straitement identique. L’idée naîtra et se développera dans les mêmes
conditions
, se traduisant par des faits à peu près de la mêm
nalité. Après un « tour de France » où il est vivement frappé par les
conditions
de la vie de l’ouvrier, il revient à son pays nat
sous la pression d’une tendance fortement organisée qui rencontre des
conditions
favorables et prend, dans les cas extrêmes, la fo
minante et qui lui convînt. La demande de l’actrice avait été une des
conditions
de la naissance du germe, c’est elle qui avait en
mme une expression d’amour passionné. Au reste, la nature même et les
conditions
de la transformation nous disent combien elle doi
’est nullement une règle absolue et le sort de la déviation dépend de
conditions
assez complexes. De très grands génies en présent
c’est une ivresse, je le sais bien63.” » Nous saisissons ici une des
conditions
les plus fréquentes de la déviation d’une œuvre,
on d’abord et la vie ensuite, avec ses spécialisations forcées et les
conditions
multiples et incohérentes auxquelles elle l’oblig
implique une logique assez grande ; il peut lui servir souvent, à la
condition
d’être maintenu dans des limites variables par un
us retrouvons le mécanisme de l’invention toujours identique avec ses
conditions
générales toujours les mêmes. Ce qui s’oppose au
accident ni une complète irrégularité. Ce mélange est nécessaire. Les
conditions
psychologiques et sociales de la vie que nous con
r une bonne part, le lien même qui les rattache sont soumis aux mêmes
conditions
. En ce qui concerne, par exemple, la création int
me aussi en routine et doit bien quelque chose à l’imitation sont des
conditions
nécessaires — quoique non suffisantes — de l’inve
r. Et tout homme en est réduit, dans les meilleures et les plus rares
conditions
, à sacrifier au moins une partie de son originali
dépendant des éléments psychiques que nous avons reconnu pour une des
conditions
nécessaires de l’invention. À mesure que cette in
et l’autre. L’invention demande à la fois ou du moins reconnaît pour
conditions
très favorables un certain déséquilibre de l’espr
ts psychiques, tout ce qui favorise ce genre d’activité peut être une
condition
favorable à l’invention au sens le plus général d
, les névroses, tout ce qui désorganise l’esprit peut, dans certaines
conditions
, donner à l’intelligence des caractères de l’espr
n reproduire le type. Si l’esprit, en effet, réunit en lui les autres
conditions
du génie, la force, l’ampleur de certaines tendan
transformant ou en les déviant avec l’aide des circonstances que les
conditions
extérieures de la vie et les conditions intérieur
ide des circonstances que les conditions extérieures de la vie et les
conditions
intérieures de notre propre esprit mettent à notr
extérieur. Tous les éléments sur lesquels l’esprit travaille ont des
conditions
médiates ou immédiates dans le monde, et ce que l
peut en engendrer d’autres. La vie indépendante des éléments est une
condition
de la fécondité de l’esprit, mais elle lui inspir
part le contraire est également vrai, et une invention est souvent la
condition
nécessaire d’une autre invention. On n’arrive ni
la considérant un peu de ce point de vue72. Nouvelle adaptation à des
conditions
d’existence déjà anciennes, accommodation à un ch
s pour le faire vivre, et même pour l’adapter de mieux en mieux, à la
condition
qu’il n’y ait pas de trop grands changements à ef
être conservée ou abolie isolément. — Observations sur les malades. —
Conditions
connues de chaque espèce. — Expériences et observ
aque espèce. — Expériences et observations. — Opinion de Weber. — Ces
conditions
sont des types distincts d’action pour le même ne
sations distinctes et reliées par des intermédiaires. Cherchons leurs
conditions
extérieures. L’optique nous montre que, s’il y a
eut impunément leur enfoncer un instrument piquant dans les chairs, à
condition
, bien entendu, qu’ils n’en soient pas avertis par
e contact. Il est clair que chacun des trois types de sensation a des
conditions
propres qui, étant abolies ou conservées isolémen
entraînent son abolition isolée ou sa conservation isolée. Parmi ces
conditions
, l’expérience en a dévoilé quelques-unes. Si l’on
a pression du fer ». Ainsi, la sensation de douleur est sujette à une
condition
particulière ; pour qu’elle se produise, il faut
act. — On voit que la sensation de douleur exige pour se produire une
condition
de plus que la sensation de contact ; d’où il sui
les faits attestent, c’est que les trois sortes de sensations ont des
conditions
spéciales, et que ces conditions peuvent être dét
s trois sortes de sensations ont des conditions spéciales, et que ces
conditions
peuvent être détruites isolément. — Quelles sont
e ces conditions peuvent être détruites isolément. — Quelles sont ces
conditions
? On peut en concevoir de plusieurs sortes. — Ell
enté de l’adopter. Mais il y en a d’autres ; car, de ce qu’il y a une
condition
spéciale, il ne suit pas forcément que cette cond
qu’il y a une condition spéciale, il ne suit pas forcément que cette
condition
soit la présence d’un nerf spécial. — Deux autres
écial. — Deux autres explications sont possibles. En premier lieu, la
condition
peut être un état spécial du même nerf, ce qui se
’expérience où le genou refroidi devient exsangue. En second lieu, la
condition
peut être un état spécial des parties qui environ
ctement comprimés. » — Par conséquent la sensation de pression a pour
condition
spéciale, non pas la pression du nerf, mais une c
rétine est insensible au violet, les autres couleurs étant perçues à
condition
que les nuances soient pures et l’éclairage inten
est à condition de n’être pas aimée ; si le crime est normal, c’est à
condition
d’être haï1. Notre méthode n’a donc rien de révol
tre grossière une méthode qui fait dépendre l’évolution collective de
conditions
objectives, définies dans l’espace, et il n’est p
rationaliste. Notre principal objectif, en effet, est d’étendre à la
condition
humaine le rationalisme scientifique, en faisant
e donc que, sans produire le mal qu’il implique, il soutient avec les
conditions
fondamentales de la vie sociale les rapports posi
idus humains. Ces différences individuelles tiennent d’une part à des
conditions
extérieures et sociales ; d’autre part à des cond
ne part à des conditions extérieures et sociales ; d’autre part à des
conditions
intérieures et personnelles. Les causes extérieur
le caractère et dans le vouloir sont fort nombreuses. Sans parler des
conditions
physiques comme le climat, on comprend que les co
parler des conditions physiques comme le climat, on comprend que les
conditions
de vie sociale, la profession, le rang, l’état de
éduit beaucoup d’autres à l’impuissance. Mais ici comme ailleurs, les
conditions
, sociales ne sont pas tout. Les différences et in
en le chiffre moyen des suicides par exemple pour tel milieu ou telle
condition
sociale que de connaître les raisons individuelle
des suicides ; car deux hommes de même âge, de même milieu et de même
condition
sociale peuvent se suicider pour des motifs absol
z, en négligeant le soin de vous bien assortir d’âge, d’humeurs et de
conditions
, que vos femmes ne doivent aimer que vous seuls,
, quelque neuve qu’elle soit, aussi indispensable pour en traiter les
conditions
que le fut ma division des espèces du genre tragi
acune des espèces, étant différente des autres, ne peut renfermer des
conditions
pareilles, ni en nombre égal : il les fallait par
ule examinée, l’abstraction que j’ai faite m’a conduit à chercher les
conditions
spéciales de cette comédie grecque si distincte d
motiva par autant de raisons l’importance qu’on devait attacher à la
condition
des trois unités dont je relevai l’excellence par
le plus spirituel de la terre. Cette découverte m’a convaincu que les
conditions
de notre comédie tenaient plus à notre goût qu’à
vec lesquelles celle-ci n’a de commun que peu de qualités. Des sept
conditions
de la comédie grecque. Les moyens mis en usage
idéales, une sorte de vraisemblance suffisante. Telles sont les sept
conditions
spéciales de l’ancienne comédie grecque. Les exem
es, ne vient que voir ce qui se fait chez eux. Amphithéus propose des
conditions
pacifiques aux Acharniens, afin de terminer la dé
s, d’injures et de réprimandes satiriques : il refuserait, sous cette
condition
, l’avantage de corriger les autres ; car il tremb
comédie ; perfectionnement que lui donna Molière ; exposition de ses
conditions
, ou règles élémentaires. Messieurs, Coup d’
fausses raisons qu’objecteraient contre elles ceux qui croient leurs
conditions
minutieuses et trop mathématiques, ou superflues.
s et plaisants, et que le langage des acteurs doit être conforme à la
condition
des personnages. Il fait plus, il médite l’avis q
; les scènes tiennent bien l’une à l’autre ; ceci contient toutes les
conditions
d’une bonne pièce comique : fort bien ! Il a rais
èce ; car, il leur soumettait les Fâcheux, comédie créée sur d’autres
conditions
. Une pareille confusion des qualités diverses de
daigne accorder qu’une place inférieure à Molière ? Sachons à quelle
condition
il eût acquis le premier rang dans sa pensée. «
us avons classée dans la première espèce. Nous l’avons soumise à sept
conditions
, ou règles principales, déduites en nos précédent
que, les péripéties, les tableaux et la symétrie, mais la réunion des
conditions
ci-dessus marquées qui sont au nombre de dix-huit
ombre de dix-huit. On aurait beau vouloir nier ce nombre de règles ou
conditions
, que renferment les bons ouvrages, parce que je s
ie de l’art : il n’y resterait rien de conjectural, si chacune de ses
conditions
en avait été d’abord scrupuleusement détaillée, e
tableaux scéniques, la symétrie et la force comique. Il eut donc deux
conditions
de plus que la comédie de la seconde espèce, qui
prise dans le genre, et dont le Tartuffe est le plus beau modèle. Ses
conditions
, au nombre desquelles sont renfermées les dix-hui
ues ; 22º La symétrie ; 23º Le complément, ou réunion de ces diverses
conditions
, ou règles indispensables. J’observerai qu’elles
ent pas moins à la perfection du haut genre comique que les vingt-six
conditions
spéciales de la tragédie ne sont utiles à son acc
saire, le style, et le dialogue naturel ou satirique, sont les seules
conditions
du comique de cette espèce : elles ne vont qu’à s
Ces dernières pourtant, à la moralité près, réunissent la plupart des
conditions
ci-dessus dénombrées, et dans les meilleures, tel
es, lorsque je suppute le nombre de ses qualités et de ses règles, ou
conditions
spéciales, qui me paraissent les seules recettes
les mêmes comptes sous vos regards. Poursuivons, prenons la liste des
conditions
. Pour telle espèce de comédie, dix-huit. Comment
i vos cinq espèces de comédie exigent chacune une diverse quantité de
conditions
, le calcul n’en finira pas. Eh ! messieurs, ne vo
t ! Tout doux, attendez : ne vous rappelez-vous pas que le calcul des
conditions
de la tragédie s’élevait à vingt-six ? Vous souve
re ; et vous ne nous persuaderez pas qu’il faille remplir vingt-trois
conditions
pour cela, si ce n’est que le professeur veuille,
l’excellente comédie de Tartuffe, aussi réellement que les vingt-six
conditions
tragiques aux chefs-d’œuvre de Melpomène. Ah ! mo
s, et c’est en obscurcir les principes que d’étendre indéfiniment ses
conditions
subdivisées. Entendons-nous ; j’avoue que ce peu
ent que les avis ne sont jamais d’accord sur les ouvrages de goût. La
condition
des trois unités, par exemple, est si bien déterm
oit soudain le défaut dans toutes les pièces où elle manque ; mais la
condition
du choix d’un bon sujet, ou celle du nécessaire,
uée ; autrement on y attache un sens trop vague. Si toutes les autres
conditions
qui constituent une vraie comédie étaient bien dé
x, ni faire un grand mystère de cette nomenclature de mes vingt-trois
conditions
, qui ne sont, après tout, que des remarques faite
. Analysons-les, étudions-en toutes les parties, et détaillons-en les
conditions
lune après l’autre, quelque nombreuses qu’elles s
répétai plusieurs fois qu’il était au-dessus de toutes les règles une
condition
sans laquelle on ne pouvait les appliquer avec su
aximes sur la comédie. Or commençons classifiquement l’analyse de nos
conditions
, dont les trois premières, comme l’explique plais
atiques, et qu’il serait superflu de les définir de nouveau. Mais ces
conditions
, pareilles en chacun d’eux, diffèrent cependant p
aux qualités de la fable, expliquent assez quelle est cette première
condition
dans les deux genres dramatiques. 2e Règle. L
leur doivent les clartés3 ! 3e Règle. Les unités. La troisième
condition
est celle des unités, condition pareille dans la
3e Règle. Les unités. La troisième condition est celle des unités,
condition
pareille dans la tragédie et dans la comédie, con
e dans une place, d’un bois ou d’un champ dans une ville, sans que la
condition
des pièces secondaires en soit offensée. L’esprit
ts ouvrages. C’est à mon avis, leur premier titre à nos éloges4. Les
conditions
du nécessaire et du vraisemblable modifient de di
osition quelquefois contraire à la rigueur des unités ; mais ces deux
conditions
emportent d’autres préceptes avec elles. 4e e
pe, quelque admirable qu’elle soit, pèche au second acte contre cette
condition
puissante. Alceste annonce qu’il vient contraindr
spèces. Messieurs, 6e Règle. Le ridicule. Les cinq premières
conditions
de la comédie que nous avons analysées dans la pr
cations relatives au genre que nous examinons aujourd’hui. La sixième
condition
veut être entièrement approfondie, en ce qu’elle
spécialement essentielle et uniquement propre à son caractère. Cette
condition
indispensable est le ridicule, dont la comédie n’
emandera peut-être pourquoi je distingue l’un de l’autre, et fais une
condition
de celui-ci, tandis que je n’en fais pas une de c
icule que de ne le pas saisir dans les qualités respectives de chaque
condition
, comparées en ceux qui exercent la même, et non e
celle de la haine : l’âcreté ne fait point rire ; elle irrite : et la
condition
du ridicule demande un malin badinage et le ton d
on précédente : il s’agit à présent de savoir à quoi et comment cette
condition
s’applique utilement dans la comédie. Notre leçon
ur d’une légitime union n’est pas un état qu’on puisse railler, vu la
condition
des personnages à qui sans scandale il est permis
rge Dandin qu’elle réside dans les suites funestes de l’inégalité des
conditions
dans les mésalliances. Ainsi Molière imprime touj
supplices. Si nous revenons au principe originairement posé, que les
conditions
de l’art dramatique dérivent toutes du cœur de l’
nte de son commerce, et veut, en choisissant à sa fille un mari de sa
condition
, pouvoir le placer à table à son côté, et lui dir
fin établir. 7e Règle. Les caractères. Ce qu’il explique sur la
condition
des caractères, dans la comédie, comprend ce que
ue les particularités des caractères de profession, à l’article de la
condition
des mœurs dans la comédie. Ce soin de séparer ain
qualités théâtrales. On convient que ce personnage possède toutes les
conditions
qui frappent à la scène, et qu’il est peut-être l
on avare, après avoir consenti au mariage de ses enfants, y ajoute la
condition
qu’on lui fera faire un habit neuf pour la noce :
de Molière comment il faut traiter les passions dans la comédie cette
condition
diffère en ce genre de ce qu’elle est dans les au
lier que Thalie est une muse railleuse. 9e Règle. Les mœurs. La
condition
des mœurs est indispensable au genre et à la plup
la Métromanie de Piron est-elle un chef-d’œuvre sous le rapport de la
condition
des mœurs, comparable à la pièce des Femmes savan
isemblable. 10e Règle. L’intérêt. Je ne dirai qu’un mot sur la
condition
, de l’intérêt ; les préceptes énoncés précédemmen
rs du temps, et des caractères ridicules. N’y cherchons donc point la
condition
de l’intérêt dans le pathétique, mais dans le sim
it perdus : ce sont ces pièces dans lesquelles nous devons étudier la
condition
dont nous avons commencé l’examen, celle de l’exp
enres. 12e Règle. Le nœud de l’intrigue. Il en est ainsi de la
condition
de l’intrigue ou du nœud proprement dit. Je n’ajo
e et le plus puissant qui soit au théâtre. C’est à la beauté de cette
condition
si pleinement remplie dans la pièce, qu’elle est
ste brûlait de prévenir. Ce bel exemple nous conduit à l’examen de la
condition
des péripéties, ou changements de sort et de volo
end, recouvre comme par miracle de grands biens et la liberté dont sa
condition
semblait le priver à jamais. Je conseille aux dis
t les péripéties, nous ne devons pas oublier de dire que de ces trois
conditions
les deux dernières ne s’appliquent point nécessai
s remarquer. Elles vous convaincront de l’utilité du dénombrement des
conditions
que je définis. 14e Règle. L’ordre des actes.
ntir complètement satisfaite. 15e Règle. L’ordre des scènes. La
condition
importante de l’ordre des actes entraîne nécessai
condition importante de l’ordre des actes entraîne nécessairement la
condition
de l’ordre des scènes principales et secondaires.
, et non des sentiments très vifs, manque de vraisemblance ; et cette
condition
théâtrale est la plus essentielle dans la bonne c
re son monologue vraisemblable. Combien de personnes d’une plus libre
condition
et d’un esprit plus ferme que Sosie, à la seule a
en parlante à tous les paysans qui veulent s’élever au-dessus de leur
condition
, et s’allier, comme j’ai fait, à la maison d’un g
ue l’on saisisse d’un coup d’œil. 16e Règle. Le dénouement. La
condition
du dénouement suit nécessairement celles de l’ord
improprement nommés comédies. 17e Règle. La force comique. Les
conditions
de la force comique et de la moralité n’étaient p
re, et recevaient un heureux relief de leur union théâtrale. Ces deux
conditions
ne s’appliquèrent pas indispensablement à toutes
urnit à l’inépuisable Molière des ressources infinies pour remplir la
condition
si rare dont nous nous occupons ; c’est dans la b
;, et les drames où sont tous ces rôles, perdront leur plus théâtrale
condition
. Elle brille surtout dans les Fourberies de Scapi
e, il nous faut considérer la moralité de la comédie comme une de ses
conditions
essentielles. Cette condition pourtant n’est pas
oralité de la comédie comme une de ses conditions essentielles. Cette
condition
pourtant n’est pas inhérente à toutes ses espèces
édie, et que je la fais envisager comme l’une de ses plus importantes
conditions
, je ne prétends pas dire que les pièces comiques
i le développement d’une moralité générale constituait lui seul cette
condition
dans la comédie, quelle pièce mériterait mieux so
l’eût contrainte à prendre, et sa préférence pour quelque amant de sa
condition
. Le père et la mère, témoins des désordres de ce
oces avec Figaro. Le comte ne la marie à son serviteur que sous cette
condition
: telle est la fable dont on a fait un si grand c
qu’il soit régulièrement fait pour résister au temps, par ses autres
conditions
. Amphitryon s’est préservé de l’oubli comme étant
l’oubli, et les exclut du théâtre. C’est pourquoi je range parmi les
conditions
nécessaires de la haute comédie, la moralité qui
du Menteur aux bons morceaux de la comédie de Racine. L’examen de la
condition
du style comique nous induira peut-être à conclur
ces et de la vérité : le bon choix, la force des termes, assortis aux
conditions
de ses acteurs, est la seule élégance permise à s
ffrages que s’acquit la plume de Gresset, de quelle importance est la
condition
du style dans le genre comique. À l’inspection d’
rai de Molière. 20e Règle. Le dialogue et ses deux espèces. La
condition
du dialogue influe particulièrement sur l’éclat d
s’y perde. Il joint à ce talent d’intriguer celui de remplir une des
conditions
majeures du genre que nous analysons. Personne, d
e digne de notre estime. 21e Règle. Les tableaux scéniques. La
condition
des tableaux scéniques, c’est-à-dire celle qui ve
e groupent ensemble d’une façon naturelle et sans cesse variée, cette
condition
n’est parfaitement observée que par Molière, en q
métrie théâtrale. L’art de les bien grouper dépend de la symétrie,
condition
semblable dans la comédie et dans la tragédie ; c
a symétrie, condition semblable dans la comédie et dans la tragédie ;
condition
qui tient à l’ordre général de toutes les parties
isance de ses mouvements. Les autres particularités, concernant cette
condition
et celle des tableaux scéniques, ont été développ
e davantage sur ce point. Avant d’entrer dans l’examen de la dernière
condition
du genre, c’est-à-dire de celle qui résulte d’une
exécuteur testamentaire ! Je tenterai l’analyse de la vingt-troisième
condition
de la comédie, en faisant l’application de toutes
ours de clôture sur la comédie. J’ai fait l’application des vingt-six
conditions
tragiques à l’admirable Athalie de Racine ; et l’
ncontestable. Messieurs, Lorsqu’il fallut appliquer les vingt-six
conditions
de la tragédie à l’analyse du meilleur ouvrage en
uvre que nous appliquerons, par une juste préférence, les vingt-trois
conditions
de la comédie, ou plutôt c’est en lui que nous al
unité. Elle s’assujettit sans effort et sans invraisemblance à la
condition
des trois unités ; car le Tartuffe, soupçonné le
ndent à la perfection dramatique. Dirai-je plus ? Cette unité est une
condition
de tous les genres d’ouvrages littéraires. Voulez
atte d’effacer encore dans les esprits l’imputation de ce tort par la
condition
du nécessaire. Le ridicule. Celle du ridicu
imprimés aux personnages ne leur sont pas empreints aux dépens de la
condition
des caractères ; ils s’y appliquent immédiatement
de sa faiblesse contre la force de Molière. Les passions. À la
condition
des caractères s’unit celle des passions, très bi
ue, et la diction, de cette belle comédie sont partout conformes à la
condition
des mœurs ; car l’image de l’hypocrisie y est tir
ordre des actes, de celui des scènes, et de la qualité du dénouement,
conditions
suivantes qui nous restent à considérer. L’exp
ressif des actes, bel ordre déjà prouvé dans chacun par l’analyse des
conditions
antécédentes, notons seulement la sage économie d
jusqu’au dernier moment de l’action. La force comique. La seule
condition
de la force comique place le Tartuffe au-dessus d
e vis comica par excellence ! Continuons de rechercher par quoi cette
condition
se soutient avant d’examiner celle de la moralité
ime du style de Thalie : celui de tout le Tartuffe est pareil ; et la
condition
du dialogue, qui en dépend, soutient le parallèle
évaut donc sur les plus belles, puisqu’à l’observation de chacune des
conditions
que le genre comporte, elle joint la plus rare et
alie sous vingt-six, ne confirme pas moins la réalité de ce nombre de
conditions
théâtrales et la perfection du chef-d’œuvre dont
même moment de la confusion des costumes, présage de la confusion des
conditions
: « C’est un bien mauvais signe que l’impossibili
s signe que l’impossibilité, où l’on est maintenant de reconnaître la
condition
à l’habit97. » Diètes, États et Conciles qui inte
onclure de tout ceci que l’homogénéité absolue des groupements est la
condition
nécessaire et suffisante de leurs tendances égali
à cet élargissement de la « conscience de l’espèce » qui est une des
conditions
du succès de l’égalitarisme. D’ailleurs, abstract
fait fortune : celle qui veut que fatalement la division du travail,
condition
nécessaire de tout progrès humain comme de tout p
endriez-vous sans nous ? » En ce sens, c’est la différenciation même,
condition
de la collaboration, qui justifie l’appel à l’éga
qui nous assure que la division du travail entraîne « l’inégalité des
conditions
» remarque qu’elle exige « l’équité des échanges1
its. Une société ne subsiste par les contrats et les échanges qu’à la
condition
que les choses échangées y soient bien équivalent
conclure de tout ceci que l’hétérogénéité absolue des sociétés est la
condition
nécessaire et suffisante de leur égalitarisme, et
ce sens la solidarité qui naît de la différence des individus a pour
condition
une solidarité autre, qui naît précisément de leu
idèrent un grand nombre d’objets sous le même aspect. » « La première
condition
du droit, dit de son côté M. Tarde, est une certa
fusion des peuples assimilés, mais encore l’égalité des droits et des
conditions
, c’est-à-dire la similitude juridique entre les c
êtements surajoutés ; prenons l’homme en soi, le même dans toutes les
conditions
, dans toutes les situations, dans tous les pays,
communes, il intervienne pour sa part. Il ne s’est engagé qu’à cette
condition
; il n’est tenu de respecter les lois que parce q
dans ce cercle fermé, un étranger parvient à s’introduire, c’est à la
condition
d’employer l’idiome oratoire que la raison raison
r considérer ses intérêts en spectateur désintéressé. Si l’une de ces
conditions
manque, la raison, surtout la raison politique, e
’il fait ; on le verra à l’œuvre. — En second lieu, dès l’origine, sa
condition
l’a jeté nu et dépourvu sur une terre ingrate où
question pour eux de contracter, mais d’obéir » ; ils n’ont pas de «
conditions
» à lui faire ; ils ne peuvent réclamer de lui au
isgraciés qu’un valet ou un manœuvre, puisque le manœuvre travaille à
conditions
débattues et que le valet chassé peut réclamer se
d, c’est son bien qu’il m’octroie. D’où il suit qu’il peut mettre des
conditions
à son cadeau, limiter à son gré l’usage que j’en
e est mort, son bien ne lui appartient plus. Ainsi, lui prescrire les
conditions
sous lesquelles il peut disposer, c’est au fond m
artant, si la future république me permet d’être chrétien, c’est à la
condition
sous-entendue que ma doctrine restera confinée da
-six millions de Français, vingt-cinq millions sont dans mon cas), ma
condition
est pire. Car le pacte social ne tolère pas une r
nous connaissons ses éléments et que nous avons précisé dans quelles
conditions
ils peuvent être regardés comme indiscernables. N
dentique au point occupé par A à l’instant α. Je viens d’énoncer deux
conditions
pour que ces deux points soient identiques ; l’un
, il suffit que les trois points O M M′ soient en ligne droite. Cette
condition
que les deux objets forment leur image en O est d
β, c’est que M′ et P coïncident. Donc M et M′ coïncident. Donc cette
condition
que si A touche mon doigt à l’instant α, B le tou
s pouvons faire, c’est de constater expérimentalement que la première
condition
relative à la vue peut être remplie sans que le s
urde. Supposons donc que nous ayons constaté expérimentalement que la
condition
relative au toucher peut être remplie sans que ce
ar A à l’instant α et le point occupé par B à l’instant β, mais à une
condition
, c’est que je n’aie pas bougé entre les instants
tre conduits à regarder Σ et Σ + σ comme identiques, et c’est à cette
condition
seulement, comme nous venons de le voir, que nous
ression tactile ne serait pas altérée si le doigt n’a pas bougé, à la
condition
que l’objet A qui était au contact de ce doigt n’
Σ et Σ + σ, et de là à ne pas les regarder comme distinctes. Dans ces
conditions
nous avons vu qu’elles engendreront un continu ph
eux séries S + Σ + S′, et S′ + Σ′ + S′. Or nous allons voir que cette
condition
est remplie. Faisons d’abord une remarque. Comme
idus qui les subissent. Examinons la répercussion de ces lois sur les
conditions
d’existence des individus. L’intégration, c’est l
ndividu. Une forte organisation sociale représente pour l’individu la
condition
optima. Le suicide s’explique par un défaut d’int
véritable principe de la libération de l’individu n’est pas dans les
conditions
sociales extérieures à l’individu. Il est dans l’
le prouve bien, c’est que des individus différents, soumis aux mêmes
conditions
sociales, englobés dans les mêmes arrangements so
opposition sociale, mais physiologique. Elle n’est pas un produit des
conditions
sociales, mais une expression de l’intime physiol
sociale. Toute institution, toute croyance est un produit naturel des
conditions
d’existence sociales à un moment donné, dans un m
d’individu à individu ou mensonge individuel), ce mensonge a bien ses
conditions
d’existence. Il rentre évidemment dans le détermi
e à l’auteur du mensonge. Le fait d’être déterminé par un ensemble de
conditions
naturelles et nécessaires n’empêche pas ce menson
mensonge de groupe. Le fait d’être déterminé par un ensemble donné de
conditions
sociales ne transforme pas le mensonge de groupe
ines accoutumées à respirer l’éther, et Hoffmann n’était pas dans ces
conditions
d’organisation supérieure. C’était un Allemand, —
ui-même ! La littérature tombant dans le logogriphe est-elle dans les
conditions
vraies et normales de toute littérature, dont les
onditions vraies et normales de toute littérature, dont les premières
conditions
, les conditions élémentaires, sont la logique, —
et normales de toute littérature, dont les premières conditions, les
conditions
élémentaires, sont la logique, — car l’imaginatio
mes longtemps demandé comment il avait pu se placer dans de pareilles
conditions
d’enthousiasme ou de parti vis-à-vis d’un homme s
es miettes, qu’elle ne dureront dans l’imagination des hommes qu’à la
condition
qu’on respectera au fond de soi les lointaines im
reur indescriptible de cette destinée de l’homme mortel ici-bas : les
conditions
de la naissance, les conditions de la vie physiqu
tinée de l’homme mortel ici-bas : les conditions de la naissance, les
conditions
de la vie physique et les conditions de la mort.
conditions de la naissance, les conditions de la vie physique et les
conditions
de la mort. IX Les conditions de la naissa
itions de la vie physique et les conditions de la mort. IX Les
conditions
de la naissance. Job en a senti l’iniquité appare
réation il n’y a d’heureux que ce qui dort !… X Et que dire des
conditions
de la vie physique ? Je ne veux la juger et je ne
dominant général, universel, qui la caractérise, c’est-à-dire par la
condition
du meurtre et de la dévoration d’une créature ani
à ses créatures ? Quant à moi (toujours toute religion à part), cette
condition
de la vie physique, cette anthropophagie de toute
de sang volontaire sur notre pain quotidien. XI Voilà pour les
conditions
de la naissance. Voici pour les conditions de la
. XI Voilà pour les conditions de la naissance. Voici pour les
conditions
de la mort. Nous vivons très peu de temps, aucun
contemple de très haut et des sommets de la vérité éternelle ces deux
conditions
de l’espèce humaine. Du crépuscule à l’aurore, vo
en retour d’un peu de gloire ou d’un peu de pain ! Voilà pourtant les
conditions
universelles de la vie physique. Non, je ne crain
ui pèse le plus !… Horreur !… XIV Mais ce n’est pas tout ; les
conditions
que l’inévitabilité et la présence perpétuelle de
seules pour empoisonner mille vies si on les réunissait dans une. La
condition
du bienfait serait pire que le bienfait. À peine
d’espace matériel, la locomotion, en un mot, était non seulement une
condition
de grandeur dans l’imagination et dans l’âme, mai
ondition de grandeur dans l’imagination et dans l’âme, mais aussi une
condition
de justesse dans l’esprit de l’homme. J’ai éprouv
vie, comme un fait dernier, dont il ne cherche que les fadeurs : ses
conditions
et les lois de sa manifestation. Le psychologiste
fait ultime, dont il ne peut non plus étudier que les facteurs : ses
conditions
et ses lois. Bien longtemps les philosophes ont p
s. Bien interprété, ce fait que la conscience ne nous dit rien de ses
conditions
physiologiques aurait dû au contraire être fatal
uïté ; mais si l’on remarque que par ce mot on entend la totalité des
conditions
nécessaires, non moins que la constitution organi
le courant d’intégration et de désintégration qui la constitue, cette
condition
du temps qui s’impose à elle et lui donne la form
qui prouve que l’objet a bien été en réalité choisi, c’est que si les
conditions
changent, il ne satisfait plus les impulsions de
rte avant tout de bien concevoir que la distinction logique entre les
conditions
d’un phénomène et le phénomène lui-même, est simp
un artifice. Il y a là non pas deux choses — d’une part, un groupe de
conditions
(causes), d’autre part, un résultat (effet) — mai
is une seule et même chose vue différemment. Ce que nous appelons les
conditions
, ce sont les facteurs analytiques que nous avons
tion. Cette question ne peut avoir qu’un seul sens : quelles sont les
conditions
connues du tissu musculaire vivant et les modes d
’est là une recherche physiologique. Et si, après avoir déterminé ces
conditions
, nous les isolons dans la pensée, mettant d’une p
u’on les isole ainsi ; en réalité, la contraction est identique à ses
conditions
et n’est rien de surajouté à elles. La seule tran
essentiels dans toute connaissance et dans toute action. Ce sont les
conditions
les plus générales de la pensée, en particulier d
étitif et actif. Je ne puis penser, raisonner, vouloir, agir, qu’à la
condition
: 1° de ne pas me contredire en disant qu’une mêm
tité et le principe de raison suffisante. Ces deux principes sont des
conditions
de subsistance au sein de la nature même. Il est
son suffisante. Pour que la vie soit possible, en effet, il faut deux
conditions
: d’abord, que la nature soit réellement intellig
on de plus en plus ordonnée. L’instinct de l’ordre est avant tout une
condition
de conservation. Il n’est pas, comme le croient l
ue la réciprocité d’influence et le déterminisme mutuel, qui sont des
conditions
d’existence et de développement pour toutes nos c
découvrir cette expérience radicale ? — En cherchant quelles sont les
conditions
essentielles de la conscience et de la volonté. L
onscience et de la volonté. La conscience, en effet, est elle-même la
condition
de tout sujet ou moi, et de tout objet de notre e
sujet ou moi, et de tout objet de notre expérience : elle est donc la
condition
de l’expérience. Dans toute perception et dans to
puis Platon. Par une analyse et une critique approfondies des lois ou
conditions
de l’intelligence, on en devait venir à se poser
eux pour la voir : elle agirait sans que ses actes fussent soumis aux
conditions
de la pensée ; elle serait la cause qui produit r
antien Helmholtz, où nous pouvons démontrer le rapport d’un fait à sa
condition
est bien peu considérable par rapport au nombre d
e qu’à la conception d’un monde vrai, c’est-à-dire explicable par des
conditions
déterminées et déterminantes dans le temps et dan
emble pas. Dans cet argument, on se borne à chercher quelles sont les
conditions
extérieures qui rendent possible la conscience in
causes finales dans la constitution même de la conscience et dans les
conditions
a priori de toute connaissance, finit-il par avou
e sentiment et pour la pensée ; mais nous ne savons rien a priori des
conditions
qui rendent possibles la conscience et, la sensat
sens technique, comme impliquant une modification directement due aux
conditions
physiques de la vie ; et les variations en ce sen
e vivant, surtout chez les animaux, est si admirablement adapté à ses
conditions
d’existence, qu’il semble dès le premier abord im
ar ils semblent prouver qu’une telle variabilité est indépendante des
conditions
extérieures. Pour moi, j’incline à croire que nou
qu’il doit appeler variété ou espèce ; mais il n’y parviendra qu’à la
condition
d’admettre dans les formes spécifiques une grande
ibuée simplement, en quelques cas, à l’action longtemps continuée des
conditions
physiques en deux différentes régions ; mais je n
aurait pu le préjuger, par cette raison qu’elles sont exposées à des
conditions
physiques diverses et qu’elles entrent en concurr
e toutes les autres plantes de la même contrée, qui n’exigent pas des
conditions
de vie très différentes. Une telle plante n’en es
re habitent une même contrée, montre qu’il y a quelque chose dans les
conditions
organiques ou inorganiques de cette contrée, qui
toute relation avec lui. Ces sentiments, en effet, ont toujours leurs
conditions
nerveuses et sensitives, qui sont des mouvements.
iple. Une contradiction, une multiplicité sans lien, en supprimant la
condition
même de la représentation et de la pensée, cause
er, au fond, c’est celui même d’agir. L’affirmation, en effet, est la
condition
cérébrale de l’action ; elle est, comme nous l’av
en effet, est la seule satisfaction adéquate d’une pensée qui a pour
condition
d’existence la synthèse complète de la multiplici
s de la vie asservissent, pour ainsi dire, la plûpart des hommes à la
condition
dans laquelle ils ont été élevez dès l’enfance. O
n dans laquelle ils ont été élevez dès l’enfance. Or la misere de ces
conditions
doit étouffer un grand nombre de génies, qui se s
bre de génies, qui se seroient distinguez, s’ils fussent nez dans des
conditions
plus relevées. La plûpart des hommes, appliquez d
uniquement. Par rapport à ces derniers, je regarde l’arrangement des
conditions
diverses qui forment la societé, comme une mer. L
l l’individu pense, seules les consciences particulières ont l’unité,
condition
de ces synthèses qui sont les idées. Il n’en est
e ses inventions mêmes et en montrant, par exemple, comment certaines
conditions
sociales devaient, suivant les lois générales de
é pour donner la chiquenaude initiale : cette propagation même a pour
condition
l’existence de certaines formes sociales qui, mod
oif d’explication. * ** La sociologie nous offre-t-elle, et à quelles
conditions
, de pareilles hypothèses ? Supposons que l’histoi
aussi les plus centralisées. L’observation réunirait alors toutes les
conditions
nécessaires à une induction, et nous pourrions af
unique, la raison suffisante : nous ne la posons que comme une de ses
conditions
. Pour qu’il se produise forcément, d’autres doive
uère ; il est rare qu’elle ramène deux fois les mêmes combinaisons de
conditions
. Ou bien, donc, la sociologie se résoudra à ne ri
é jusqu’ici le principal honneur de la France, qu’en a-t-on fait ? Sa
condition
d’être commun et ouvert à tous l’a sans doute, à
iennes ou périodiques plus accessibles à tous, les greva de certaines
conditions
pécuniaires comme contre-poids, et qui, en les al
naux ; mais il n’a fait que mettre tout le monde et lui-même dans des
conditions
plus ou moins illusoires, et où il devient de plu
cte du fond, n’est-il pas triste pour les lettres en général que leur
condition
matérielle et leur préoccupation besogneuse en vi
ve un livre ; on traite de la vente avec un libraire ; on remplit ses
conditions
et lui les siennes ; après quoi l’on rentre dans
qu’on écrit : on traite avec un journal, on remplit mutuellement ses
conditions
. Si l’on est contrefait, copié par une feuille vo
s gens qui en font partie l’entrée dans la carrière. Mais où sont les
conditions
littéraires et les garanties de l’admission ? Tou
leau le satirique et le portraitiste La Bruyère auraient eu meilleure
condition
en leur temps. Au reste, nous parlons d’autant pl
aint-Martin, l’Odéon, les Français même, qui, pour n’en pas subir les
conditions
ruineuses, ont dû bientôt l’éloigner ou ne s’y ou
s les écoles philosophiques : elles ne sont philosophiques qu’à cette
condition
. C’est là pour nous le premier principe, et par r
ition. C’est là pour nous le premier principe, et par rapport à cette
condition
fondamentale les dissidences ultérieures n’ont en
; mais l’erreur ne lui est pas essentielle, elle tient à de certaines
conditions
que l’expérience nous apprend à reconnaître, et l
e vérité par ses forces individuelles, par ses propres lumières, à la
condition
en même temps de ne point négliger les lumières d
arti. Dans ce triage, de nouvelles erreurs se glisseront encore comme
conditions
préparatoires d’une vérité supérieure ; c’est à l
e la morale ? Il m’est permis, il m’est ordonné d’examiner, mais à la
condition
que je sois de votre avis. Dites-moi tout de suit
er les mystères de la nature, comme surpassant son intelligence et sa
condition
; mais depuis que l’on a vu l’expérience et le ca
nous dit-on, limitent la liberté de penser. Fort bien, mais à quelle
condition
? A cette condition qu’elles soient de vraies vér
nt la liberté de penser. Fort bien, mais à quelle condition ? A cette
condition
qu’elles soient de vraies vérités surnaturelles,
ncer reconnaît lui-même qu’une certaine durée des impressions est une
condition
de la conscience : si le tison enflammé qui tourn
de l’animal, que l’animal ne peut sentir ni se déterminer que sous la
condition
d’une certaine intuition des successifs ». Nous c
uvier, puisque Spencer croit que la conscience la plus obscure a pour
condition
le classement des impressions en avant et après.
avant et après. Spencer en conclut que le sentiment du temps est une
condition
empirique nécessaire à la conscience (et c’est en
e qu’on pourrait en conclure) ; M. Renouvier en conclut que c’est une
condition
a priori de la conscience, ce qui, pour nous, n’o
influence de l’idée du temps, comme idée directrice de nos actions et
condition
de changement en nous, est considérable. Nous en
ie le cours de l’évolution, tel qu’il eût été sans l’idée et sans les
conditions
à la fois psychiques et physiques de l’idée. De n
l’espace ; mais l’idée, comme telle, n’existerait pas sans certaines
conditions
de changement interne et externe qui se sont prod
e sont produites, et cette idée à son tour, une fois née, devient une
condition
de changement interne et externe. On n’a donc pas
e résoudre : la conscience de l’évolution, en un mot, devient une des
conditions
de l’évolution. 124. Penser, c’est établir des
nt, 2° par comparaison avec elle-même. Or, l’étendue remplit ces deux
conditions
. On la mesure en superposant directement une éten
ésentations chez l’animal, c’est incontestable ; quant à dire que les
conditions
de la représentation ultérieure du temps la précè
la précèdent, c’est enfoncer une porte ouverte. Il est clair que les
conditions
dc tout phénomène précèdent ce phénomène ; que, s
nons pas le mode ou le résultat constant de notre expérience pour une
condition
antérieure et supérieure à l’expérience. Kant con
ir l’intuition de moi-même ou d’un autre être indépendamment de cette
condition
de la sensibilité, les mêmes déterminations que n
-ce que Kant en peut savoir ? En admettant même que le temps soit une
condition
sine qua non de notre conscience, comment peut-il
conclure que le temps « n’appartient pas aussi aux choses à titre de
condition
ou de propriété » ? Pourquoi serions-nous condamn
e marque aussi élevée de culture. C’est dans tous les cas la première
condition
de tout progrès solide dans la philosophie nature
, lorsque Fontenelle publia son livre de la Pluralité des Mondes, les
conditions
d’instruction pour l’immense majorité des esprits
e possède seule ce privilège d’être habitée et que ce ne soit pas une
condition
commune qu’elle partage, sauf variété, avec les a
e plus légers en poids, il en est de beaucoup plus considérables : la
condition
de notre terre, de quelque côté qu’on la considèr
encore et dans la ligne de la science lorsque, rappelant combien les
conditions
de la vie ont varié sur cette terre depuis la pre
scrire, de les limiter à une seule sphère, et que cette différence de
conditions
et de formes qui a éclaté successivement (comme l
une série, une unité hiérarchique, depuis les mondes où la somme des
conditions
heureuses d’habitabilité est la plus petite jusqu
lois merveilleuses de l’univers, et plus aussi il se rend digne de la
condition
humaine la plus élevée, telle que l’ont faite les
et physiologiques ne peuvent démêler ces éléments, mais seulement les
conditions
des sensations totales. — Les sensations semblent
i, par leur ébranlement, la font naître. À la vérité, cet état est sa
condition
suffisante et nécessaire ; mais il n’est pas sûr
utent rien à notre idée des sensations ; ils nous éclairent sur leurs
conditions
, et non sur elles. Qu’on me définisse le mouvemen
nts, bruissements, et qu’on est obligé de désigner par le corps et la
condition
extérieure qui les produisent, son d’un marteau,
les sons musicaux. On sait par l’acoustique qu’un son musical a pour
condition
une série uniforme de vibrations de l’air ; que c
se de son minimum à son maximum, et l’on sait que ces degrés ont pour
condition
suffisante et nécessaire les divers degrés de con
s. Donc, étant donnée la loi qui lie la sensation élémentaire avec sa
condition
, on peut suivre la sensation élémentaire sous tou
en suivant par les mathématiques les changements et les degrés de sa
condition
. En second lieu, une analyse indirecte vient d’ex
le. Mais enfin il reconnaîtra que, sans le savoir, nous avons posé la
condition
des progrès futurs et que notre industrialisme a
, ce ne serait pas là un véritable reproche. Car l’amélioration de la
condition
matérielle est la condition de l’amélioration int
itable reproche. Car l’amélioration de la condition matérielle est la
condition
de l’amélioration intellectuelle et morale, et ce
ations n’ont aucune valeur idéale en elles-mêmes ; mais elles sont la
condition
de la dignité humaine et du perfectionnement de l
ver au-dessus du besoin, il fait une action vertueuse, car il pose la
condition
de sa rédemption, il fait ce qu’il doit faire pou
n spontanée et aveugle à la vue claire et réfléchie ; mais c’est à la
condition
qu’on ne donne pas pour objet à cette réflexion c
e pouvait ou ne pouvait pas être prévu, étant donné l’ensemble de ses
conditions
; et soit qu’on l’affirme, soit qu’on le nie, on
soit qu’on l’affirme, soit qu’on le nie, on admet que cet ensemble de
conditions
pouvait se concevoir comme donné à l’avance : ce
es grandeurs. Ou bien encore on dira que l’acte est déterminé par ses
conditions
, sans s’apercevoir que l’on joue sur le double se
e manière, en un mot, qu’on envisage la liberté, on ne la nie qu’à la
condition
d’identifier le temps avec l’espace ; on ne la dé
ction contraire une fois qu’il est accompli, car se donner toutes les
conditions
, c’est, dans la durée concrète, se placer au mome
ment accomplie, on ne saurait raisonner sur elle sans en déployer les
conditions
extérieurement les unes aux autres, dans l’espace
pourrait la prévoir si l’on connaissait, dans tous leurs détails, les
conditions
où elle se produira ? Mais ces conditions font co
ans tous leurs détails, les conditions où elle se produira ? Mais ces
conditions
font corps avec elle et ne font même qu’un avec e
e ? Nous annoncions que, si cette démonstration est possible, c’est à
condition
qu’on se place franchement dans l’hypothèse évolu
On alléguera que la similitude de structure est due à l’identité des
conditions
générales où la vie a évolué. Ces conditions exté
est due à l’identité des conditions générales où la vie a évolué. Ces
conditions
extérieures durables auraient imprimé la même dir
biologistes n’en font pas tous le même usage. Pour quelques-uns, les
conditions
extérieures sont capables de causer directement l
Pour d’autres, plus fidèles à l’esprit du darwinisme, l’influence des
conditions
ne s’exerce que d’une manière indirecte, en favor
a mieux adaptés au milieu. En d’autres termes, les uns attribuent aux
conditions
extérieures une influence positive et les autres
elle est censée déterminer un ajustement précis de l’organisme à ses
conditions
d’existence. Par cette adaptation commune on tent
l’élimination des inadaptés. Elle sera due à l’influence positive des
conditions
extérieures qui auront modelé l’organisme sur leu
configuration. Mais quand on parle de l’adaptation d’un organisme aux
conditions
dans lesquelles il doit vivre, où est la forme pr
doit vivre, où est la forme préexistante qui attend sa matière ? Les
conditions
ne sont pas un moule où la vie s’insérera et dont
e qu’il appartiendra de se créer à elle-même une forme appropriée aux
conditions
qui lui sont faites. Il va falloir qu’elle tire p
nditions qui lui sont faites. Il va falloir qu’elle tire parti de ces
conditions
, qu’elle en neutralise les inconvénients et qu’el
olution d’un problème de géométrie, par exemple, qu’elle s’adapte aux
conditions
de l’énoncé. Je veux bien que l’adaptation ainsi
dont on parle est passive, simple répétition en relief de ce que les
conditions
donnent en creux, elle ne construira rien de ce q
ve, capable de répondre par une solution calculée au problème que les
conditions
posent, on va plus loin que nous, trop loin même
ffort de l’organisme pour construire une machine capable de tirer des
conditions
extérieures le meilleur parti possible : puis on
préparation des éléments sexuels se poursuit des deux côtés dans des
conditions
semblables : elle consiste essentiellement dans l
signification de la génération sexuée, sur la relation qui la lie aux
conditions
où elle s’accomplit, on peut discuter : mais le r
elle d’une variation dirigée dans un sens défini sous l’influence des
conditions
extérieures. Pour ce qui est de la première, on s
ntenir et même a perfectionner le fonctionnement d’un organe dans des
conditions
plus compliquées. Qu’une anomalie du système pile
des causes accidentelles et internes, mais à l’influence directe des
conditions
extérieures. Voyons comment on s’y prendrait pour
raduelle d’une forme qui s’insère de mieux en mieux dans le moule des
conditions
extérieures, autre chose la structure de plus en
la structure de plus en plus complexe d’un instrument qui tire de ces
conditions
un parti de plus en plus avantageux. Dans le prem
é. Elle naîtrait de l’effort même de l’être vivant pour s’adapter aux
conditions
où il doit vivre. Cet effort pourrait d’ailleurs
céder comme si l’organisation était un travail du même genre. A cette
condition
seulement elle aura prise sur les corps organisés
t gardé ici de formuler une évaluation pessimiste de la vie et de ses
conditions
, il faut reconnaître que cette même constatation
rs efforts ne vont qu’à remplacer un mensonge par un autre et que les
conditions
mêmes de la vie phénoménale les condamnent à crée
que nous savons de la vie ordinaire, — en niant qu’il soit soumis aux
conditions
du temps, de l’espace, de la cause et que la dive
er, une belle chose à célébrer un jour de fête en Académie ; mais les
conditions
habituelles, journalières, la réalité et le matér
rette, une femme, nous a-t-on dit, qui, depuis quarante ans, dans une
condition
des plus médiocres, a fait autant de bien à elle
ssait quelle trouver l’argent. On fit une première souscription, à la
condition
expresse que ce serait le curé qui présiderait à
tout. Le Conseil municipal de la commune vota des fonds, à cette même
condition
également. Mais, malgré cette bonne volonté et ce
ar lui aux religieuses appelées filles de la Retraite chrétienne, aux
conditions
, est-il besoin de le dire ? les plus gratuites et
le Corps législatif, est assurément une loi qui vous arrive dans les
conditions
les meilleures selon lesquelles une loi puisse vo
ermis à l’homme de lettres célibataire d’ajouter quelques mots sur la
condition
de l’homme de lettres marié. Longtemps on a cru q
y avait sinon incompatibilité, du moins médiocre convenance entre la
condition
de l’homme de lettres ou de l’homme d’étude et l’
’il était marié, la jouissance viagère de ses droits à sa veuve, à la
condition
que le mariage eût été contracté sous le régime d
n soi est une cause juste. La souveraineté populaire et l’égalité des
conditions
sont des principes dont on peut abuser, que l’on
représentent et qui est la vérité. J’en dirai autant de l’égalité des
conditions
. M. de Tocqueville, né dans les rangs de l’aristo
’un regard inattentif. Quand M. de Tocqueville parle de l’égalité des
conditions
, il en parle comme d’un fait accompli, définitif,
c’est cet ensemble de faits qu’il appelle d’un seul mot l’égalité des
conditions
. Cependant il ne paraît pas croire que l’on puiss
t, ce qui laisse ici-bas la porte ouverte à toutes les différences de
condition
; mais lorsqu’on a transporté cette idée de l’ord
la vraie destinée de l’homme est de valoir par soi-même et non par sa
condition
. La démocratie met donc l’homme dans l’état où il
vaient sur les choses qui en paraissaient le plus éloignées et sur la
condition
même des sociétés. Il n’y pas, je crois, d’homme
ur la terre, dit-il, qui puisse empêcher que l’égalité croissante des
conditions
ne porte l’esprit humain vers la recherche de l’u
ent les unes que les autres, suivant les occasions et les différentes
conditions
des hommes. Cette grande question me semble digne
ne abstraction. On a si bien isolé le fait de la détermination de ses
conditions
et de ses résultats, de ce qui le précède et de c
sions de voix sont dus à un trop-plein d’énergie centrale. Il y a une
condition
indispensable au commencement du pouvoir volontai
ontairement ait été précédé d’un mouvement spontané. Quelles sont les
conditions
de cette décharge spontanée ? les plus générales
nous devons aussi être prêts à admettre que l’énergie physique est la
condition
indispensable ; la conscience, la condition accid
l’énergie physique est la condition indispensable ; la conscience, la
condition
accidentelle187. » V « Tout ce qui a été
i est devant moi, je vais au restaurant, où j’accomplis quelque autre
condition
préliminaire : voilà une séquence simple et clair
poésie, je n’aurai pas perdu ma peine ni mon temps. Henri Ghéon I.
Conditions
de l’art dramatique J’entreprends d’exposer i
absolu de la théorie une fois posé, la pratique, à son tour, pose ses
conditions
et elles sont inévitablement relatives, relatives
ndre qu’il peut se passer de public : cas extrême, cas monstrueux, la
condition
sine qua non de l’œuvre d’art étant d’être commun
yeux de la postérité, c’est l’écrivain seul qui subsiste, puisque les
conditions
matérielles de l’art dramatique varient sans cess
vent pas ne pas en garder la mémoire ou comme l’imprégnation. À cette
condition
, l’ouvrage sera ce qu’il veut être : un drame. Su
théâtre doit songer à réaliser entre son œuvre et son public. À cette
condition
seulement il suscitera l’émotion, recueillera l’a
change perpétuel. Un auteur dramatique devra étudier pratiquement les
conditions
de cet échange, en dégager les lois et d’abord s’
vent ou revivent, je l’ai dit, c’est qu’ils ont vécu. Telles sont les
conditions
essentielles du drame. Il dépend de son siècle qu
à ce qu’un art encore dans l’enfance, mais élevé dans les plus saines
conditions
, au milieu d’une société, sauf exception, unanime
ilibriste qui doit les charmer par ses tours. Ne dites pas qu’ici les
conditions
sine qua non d’un art proprement dramatique ne se
au trop bien équilibré pour songer en aucune sorte à s’affranchir des
conditions
universelles de leur art. S’ils n’offraient au pu
allait ce détachement, ce repliement sur soi et sur l’élite, dans les
conditions
spéciales où se posait le problème de l’art tragi
s. On est chez soi et entre soi : on se connaît, on se comprend. Les
conditions
d’une si parfaite réussite faut-il encore les rap
me de la rue : il veut être entendu de tous. Il a étudié dans quelles
conditions
porte le mot, porte le geste ; dans quelles condi
é dans quelles conditions porte le mot, porte le geste ; dans quelles
conditions
de rythme, de volume, de style, et aussi par quel
’autre celle du xviie qu’il n’aurait pas le cœur de renier. Dans ces
conditions
, il écrira pour le théâtre. Mais comment sera-t-i
de préférences ; il se laisse prendre par où l’on veut le prendre, à
condition
qu’on le prépare à être pris. Les entrepreneurs d
me, c’est-à-dire : sans ordre, et il s’agirait de savoir dans quelles
conditions
et à quel point une scène munie de tous les perfe
ésie. Notez qu’aucun de ces moyens ne déshonore un dramaturge, mais à
condition
qu’il n’en use qu’à bon escient. Il ne faudrait p
t violent. Le débordement du lyrisme aidant, à l’avance bridé par les
conditions
actuelles du théâtre, peut-être s’est-il résigné
tous les autres ; il insère la vie dans la convention : dans d’autres
conditions
économiques et sociales, il aurait pu être mendia
la scène en haillons ou en manteau d’or, il doit se figurer que, les
conditions
remplies, il est devenu roi ou mendiant ; rien ne
celui que le comédien réalise, une identité complète est possible, à
condition
que celui-ci ait le moyen de pénétrer à fond son
Je leur propose un débouché. Je leur propose de se replacer dans les
conditions
quasi-idéales de la création dramatique. Je leur
rait sauvé et mis en forme le Shakespeare français qui, dans d’autres
conditions
historiques, se serait levé au grand siècle pour
eprendront et feront mieux. En attendant j’exerce mon métier dans des
conditions
que pourraient m’envier les plus favorisés de nos
réaliser l’égalité, elle pourra montrer comment. Toutefois, à quelles
conditions
le pourra-t-elle ? À quel prix ses conseils seron
nt, rester « théoriques » : telle semble être aujourd’hui la première
condition
de leur progrès. C’est pourquoi, faisant abstract
chent aux phénomènes sociaux auraient sans doute leur mot à dire. Les
conditions
matérielles ou morales de toutes sortes, la confi
torique qui est le succès des idées égalitaires : parmi les séries de
conditions
qui peuvent concourir à sa production, nous en ch
des idées égalitaire : nous ne recherchons méthodiquement, parmi les
conditions
de leur succès, que celles qui se trouvent dans l
ussit dans cet enseignement de la chaire : ce fut particulièrement sa
condition
. Les curés de Paris l’employèrent d’abord à l’env
celui qui en a deux ; et celui qui n’en a que deux, est de plus aisée
condition
, que celui qui a toutes les trois. » Serait-ce da
nt dit, « mais les esprits populaires, de quelque robe, profession et
condition
qu’ils soient », gens opiniâtres à ce qu’ils ont
droit, et il observait judicieusement que, pour y aider, la première
condition
était de demeurer dans le giron et de n’en point
humaine, ses fluctuations et sa brièveté ; sur les différents états,
conditions
et genres de vie qui distinguent les hommes ; 2°
s et le plus éloigné de la voûte céleste, avec les animaux de la pire
condition
des trois (espèces) ; et se va plantant par imagi
e de l’univers, avec la bourbe et la lie, avec les animaux de la pire
condition
…, et se fait croire qu’il est le maître commandan
its principaux auxquels on peut ramener la démocratie : l’égalité des
conditions
et la souveraineté du peuple. Le premier de ces f
rer dans des proportions inégales. On conçoit une certaine égalité de
conditions
, sans aucun mélange de souveraineté populaire : c
n pour lui-même. Dans certaines sociétés démocratiques, l’égalité des
conditions
s’unit à l’inégalité politique. Dans d’autres soc
avec les sentiments qu’on a plus ou moins éprouvés soi-même. Plus les
conditions
sont inégales, plus il y a de manières différente
lus, dit-il, de retenir les avantagesparticuliers que l’inégalité des
conditions
procureaux hommes, mais de s’assurer les biens no
’il se propose, qui s’y expose sans peine et sans regret, comme à une
condition
de son entreprise, et ne les craint que quand il
mais dans la science il doit se borner aux principes : c’est à cette
condition
qu’il peut espérer de vivre au-delà d’un temps et
ion dans un état nouveau, religieux, littéraire, social, économique ;
condition
nouvelle qui, combinée avec leur effort renouvelé
nouvelle qui, combinée avec leur effort renouvelé, produit une autre
condition
, tantôt bonne, tantôt mauvaise, tantôt lentement,
nie, vers le culte de la volupté et de la beauté. — Tantôt enfin les
conditions
sociales ont imprimé leur marque, comme il y a di
imitif ; elles sont aux nations ce que l’éducation, la profession, la
condition
, le séjour sont aux individus, et elles semblent
urs, fruits, semences, en telle façon que la suivante a toujours pour
condition
la précédente, et naît de sa mort. Que si vous re
; et sous les différences qu’introduisent le nombre, l’origine et la
condition
des membres, on démêle, dans la petite société co
propre faiblesse. Elle lui est liée comme un phénomène physique à sa
condition
, comme la rosée au refroidissement de la températ
ainsi qu’elles arriveront encore. Sitôt que nous savons quelle est la
condition
suffisante et nécessaire d’une de ces vastes appa
se d’arts, quel est l’état moral qui la produit ? et quelles sont les
conditions
de race, de moment et de milieu les plus propres
n Allemagne au dix-huitième siècle. À ce moment et dans ces pays, les
conditions
se sont trouvées remplies pour un art, et non pou
formation spéciale qu’il faut faire ; c’est le tableau complet de ces
conditions
propres qu’il faut aujourd’hui travailler à compo
er des vertus de la machine ; il faut qu’il apprenne à considérer les
conditions
où il travaille d’une façon machinale et utile co
a il est nécessaire qu’on le dégoûte, autant que possible, des autres
conditions
, qu’elles lui soient présentées comme dangereuses
randiose ; sous son égide, le jeune homme apprend à bûcher : première
condition
pour remplir plus tard, avec excellence, le devoi
manuels. Leur culture supérieure ne leur sert qu’à mieux sentir leur
condition
humiliée. M. Ch. Maurras a noté ce fait caractéri
n décisive. Il y a aujourd’hui une forte tendance à l’égalisation des
conditions
d’existence, à l’interdiction des consommations d
portrait purement idéal. On peut croire en tous cas que même dans les
conditions
les plus favorables, cet idéal d’humanité ne s’es
miné cette rencontre de courants imitatifs. Par conséquent toutes les
conditions
de l’invention sont sociales. » (L’Individu dans
s de ce type, la culture n’est pas un luxe, une vaine parure, mais la
condition
même de leur puissance et cette culture elle-même
ses subdivisions de principes, et que l’ensemble des qualités et des
conditions
qui les constituent en est la synthèse. Dans les
que des poisons dangereux pour tous les âges. Après avoir reconnu les
conditions
qui dépendent de la nature, et rappelé l’importan
, et rompre l’égalité que nous voudrions vainement maintenir dans nos
conditions
intellectuelles. Le garant le plus sûr et le plus
des circonstances de lieu, de temps, de sujet, et de celles d’âge, de
condition
, et de caractère des personnes. Tout y est défini
Deux pièces magnifiques, Athalie, et Phèdre, remplissent toutes les
conditions
de la première espèce. Dans l’une, c’est Dieu, c’
uissants chefs-d’œuvre, les Horaces, et Cinna, remplissent toutes les
conditions
de la seconde espèce : l’un éclate par la stature
ux beaux exemples. Exemples de la tragédie inventée. Toutes les
conditions
de la troisième espèce sont encore remplies par l
image d’une passion déplorable et meurtrière. Tout ce qui sort de ces
conditions
, tout ce qui ne comporte pas leur dignité, n’est
fabuleuse ou sacrée, l’historique, la magique, et la romanesque. Ses
conditions
sont pareilles à celles de la tragédie déclamée,
les hommes de l’histoire : on lui reproche de ne point distinguer les
conditions
, les traits, les physionomies des individus, par
espèce comique. Où trouver un chef-d’œuvre qui remplisse mieux les
conditions
de cette parfaite espèce de comédie, unissant les
ort des états ; elle leur prête un langage aussi élevé que leur haute
condition
, et leur suppose, dans leurs malheurs ou dans leu
drame. Ce genre mérite bien que nous en classions convenablement les
conditions
, parmi les rangs des autres. Il adresse des leçon
rdinaire qui les rend incroyables. Sa morale touche immédiatement nos
conditions
et nos esprits. La crainte et la compassion qu’il
ps des animaux : elle démontre ce qui se manifeste de la forme et des
conditions
des organes ; elle se tait sur les mystères des p
ce. Du genre tragique, de ses espèces, et du nombre de ses règles, ou
conditions
. Messieurs, L’exposition que j’ai tâché de vo
ions trop fatigantes pour les cœurs, et qu’à rabaisser les héros à la
condition
humaine, en les faisant descendre jusqu’à notre i
la plus simple naïveté, sans bassesse. Énumération des règles, ou
conditions
de la tragédie. Ces qualités à présent exprimé
ons de la tragédie. Ces qualités à présent exprimées, je passe aux
conditions
qu’elles exigent ; elles sont au nombre de vingt-
es parties, dont je donnerai l’explication. Telle est la quantité des
conditions
que nous allons étudier chacune, et auxquelles on
la suite de réflexions et à l’étude qu’exigent toutes ces qualités et
conditions
diverses, si j’affirmai sans raison l’invariabili
du génie est la vertu. Avant d’entreprendre l’examen détaillé des
conditions
que j’ai ci-dessus dénombrées, reconnaissons que
tu. Cinquième séance. Des cinq premières règles fondamentales, ou
conditions
de la tragédie : le fait ou la fable, la mesure d
n de l’inconnu. Maintenant il s’agit d’extraire chacune des vingt-six
conditions
constitutives d’une parfaite tragédie, et de les
r l’ouvrage agréable et bon, auquel il ne manque parfois que quelques
conditions
pour être excellent. Par l’excès d’une telle sévé
1re Règle. Qualités du fait, ou de la fable tragique. La première
condition
d’une tragédie est l’invention d’un fait, qu’on n
ieux reculés. 2e Règle. Mesure de l’action tragique. La seconde
condition
de la tragédie est la mesure de l’action. Aristot
à la hâte. 3e Règle. Les trois unités classiques. La troisième
condition
de la tragédie grecque, italienne et française, e
rsonnages, ni l’ordonnance de leurs drames. Instruits de cette triple
condition
des unités, déclarons la difficulté d’y satisfair
ux exemples que nous offre la scène ne remplissent pas tous la triple
condition
qu’elle comporte. Tous les sujets n’en sont pas s
gue contient, je crois, les remarques que j’avais à vous faire sur la
condition
des trois unités. Concluons qu’on satisfait bien
les. Le nécessaire et le vraisemblable. Les quatrième et cinquième
conditions
du genre sont le vraisemblable et le nécessaire,
qui doivent agir et parler en conséquence de leurs mœurs et de leurs
conditions
; extraordinaire, dans les faits et dans les pass
dans les œuvres dramatiques : nous détaillerons dans la suivante les
conditions
de la pitié, de la terreur et de l’admiration, su
’autre dans la tragédie. Messieurs, Nous en sommes à l’examen des
conditions
les plus importantes du genre tragique, la terreu
x qu’il éprouve ; ce qui achève de le caractériser convenablement aux
conditions
théâtrales. Il en est ainsi de Philoctète, que le
lir à l’équité, premier devoir d’un roi ? Là s’accomplit noblement la
condition
de la pitié théâtrale, par cette lutte des sentim
suffira pour vous développer ce que j’ai à vous dire sur une nouvelle
condition
de la tragédie, celle qui consiste dans le mélang
par son attention suivie, par ses sentiments toujours émus, que nulle
condition
ne manque à ce dénouement sublime, pour captiver
n ; et le plus beau modèle dans la sculpture ne remplit pas moins les
conditions
du pathétique et de l’effroi que la scène de Rodo
sentiment de l’admiration ; c’est-à-dire, que nous devons traiter la
condition
qui constitue le noble et le grand. On ne peut di
bien écrire se réduit à rendre le langage conforme à chacune de leurs
conditions
. En premier exemple de ce ton de grandeur, j’oppo
a, point de tragédie parfaite. Nous allons donc traiter cette dixième
condition
du genre. Fondement naturel des péripéties.
changements inopinés sont peu frappants, et manquent d’une importante
condition
du genre. « Notre esprit n’est jamais plus vivem
ns les Héraclides, le roi Démophoon, prêt à offrir l’hospitalité sans
condition
aux enfants d’Hercule, change de volonté en leur
essieurs, des choses que je viens d’exposer, qu’une péripétie est une
condition
essentielle de la fable tragique, puisque la terr
ragédie mythologique. L’image de la fatalité du destin est une des
conditions
de la tragédie fabuleuse, et nous considérerons p
excursion superflue, et je retourne à ce qui concerne spécialement la
condition
de l’art que nous envisageons dans ses moyens thé
règne sur Agamemnon, et qui le justifie merveilleusement. Ôtez cette
condition
de la pièce, et toute sa grandeur et son intérêt
prodige inexplicable. Voilà quels sont les brillants résultats de la
condition
particulière des tragédies sacrées et mythologiqu
d’autres personnages par la fatalité des passions : c’est cette autre
condition
des tragédies, historique et inventée, dont nous
sont extrêmes ; et de leur excès naît la fatalité qui les accompagne,
condition
indispensable au grand genre dramatique. Dans les
uences des passions irrésistibles : elles portent donc bien, par leur
condition
, la véritable empreinte d’une fatalité qui supplé
is la pitié, la terreur, et l’étonnement, ne possède-t-il pas plus de
conditions
théâtrales que celui d’Ariane, pour servir de mod
nt d’horreurs. Notez encore qu’en analysant ce rôle, j’en extrais les
conditions
merveilleuses que le poète y joint, et qui s’y un
rincipe des puissants effets de l’amour au théâtre. Cette dernière
condition
omise, l’amour dégrade la tragédie dans laquelle,
s espèces, et sur les mœurs. Messieurs, L’existence des vingt-six
conditions
de la tragédie commence à se constater pour vous
dans l’art de peindre fidèlement les personnages héroïques. Cette
condition
date chez nous du grand Corneille, et la gloire d
et d’Attila. Corneille, en ces derniers ouvrages, pêche par d’autres
conditions
théâtrales que celles des caractères et des mœurs
dans la nuit de son siècle. 15e Règle. Les mœurs. La quinzième
condition
, celle des mœurs, importe moins que la plupart de
nous servira mieux à faire concevoir qu’un sujet peut réussir sans la
condition
des mœurs, et ce que le respect de cette règle a
dés à cette immortelle tragédie se fondent particulièrement sur cette
condition
admirablement observée : là tout est local, les r
onnaître. Ce n’est point que les images des choses exigent toutes les
conditions
de la réalité même ; elles ne sont que le dessin
16e Règle. De l’intérêt dramatique, et de ses espèces. Parmi les
conditions
que nous avons dénombrées, celle qui va nous occu
matique : je dis plus, elle est essentielle, indispensable ; c’est la
condition
de l’intérêt. Vous la nommer seulement, c’est rap
iginalité de ce rôle supplée, dans la tragédie qui porte son nom, aux
conditions
de la terreur et de la pitié, par celle de l’admi
7e Règle. L’exposition. La conduite de l’intérêt dépend des autres
conditions
que nous allons traiter et qui déterminent l’ordo
engager l’intérêt que leur complot a fait naître. Plus j’extrairai de
conditions
particulières dans la tragédie, et plus j’aurai o
is espèces d’exposition dépend la beauté du nœud de l’intrigue, autre
condition
à examiner. Tel auteur saura très bien exposer le
cteurs des trois unités avaient pris la peine de méditer les diverses
conditions
de l’art, ils se fussent moins obstinés dans leur
ement termine le sujet. L’ordre des actes est, d’après cela, une des
conditions
nécessaires à la perfection de l’ensemble. Jetons
si l’on néglige l’ordre des scènes principales et secondaires, autre
condition
intégrante de ma classification. De cet ordre dép
Règle. Le dénouement et ses diverses espèces. Traitons enfin de la
condition
des dénouements. Il en est de trois espèces ; mal
de l’analyse que j’ai faite du dénouement de Rodogune, en parlant des
conditions
de la terreur et de la pitié, vous appliquerez le
de l’ordre dans les ouvrages. Que conclure de l’examen de tant de
conditions
nécessaires ? que le talent, l’éloquence, la chal
s lui que des matériaux précieux et informes. Si je n’en fais pas une
condition
spéciale de la tragédie, c’est que l’ordre est la
ur la symétrie théâtrale. Messieurs, Nous approchons du terme des
conditions
tragiques que j’ai tâché de démêler et de définir
s, réunion sans laquelle un ouvrage ne saurait passer pour accompli ;
condition
majeure, et résultante de la connaissance des vin
grand, du pathétique, et de l’ordre, et de vous rappeler ensuite les
conditions
du style, qui font valoir ces mêmes qualités. J’a
arguer que je ne la considère que subsidiairement : le style est une
condition
essentielle de tous les ouvrages de l’esprit : il
nce, l’élévation, la force, la mélodie du langage. Le défaut de cette
condition
, si rarement accomplie, la rendrait méconnaissabl
vives et serrées. 23e Règle. Le dialogue coupé ou soutenu. La
condition
du Dialogue tragique a ses particularités recomma
est-à-dire à l’aspect des personnages sur le théâtre. Passons à cette
condition
. La faculté la plus rare est de pouvoir se bien f
is, qui s’égale à ces modèles ; et l’on peut conclure de l’examen des
conditions
théâtrales, que nos poètes nationaux ont laissé s
accord, ou en justes oppositions : c’est l’art de la symétrie. Cette
condition
délicate ne saurait être omise dans le genre que
. C’en est assez, je crois, de cet aperçu rapide sur la vingt-sixième
condition
tragique. Je n’ai plus qu’à répéter à l’égard de
s espèces de tragédies. Ils doivent tâcher de réussir dans le plus de
conditions
qu’il leur sera possible, et dans les plus import
omme on a vu des poètes qui excellaient chacun dans quelqu’une de ces
conditions
, on voudrait aujourd’hui que chaque poète eût, lu
que la tragédie. Dès que j’en eus défini les qualités, je passai aux
conditions
qui lui sont nécessaires : j’en comptai vingt-six
ma division qu’ils crurent imaginaire, et pensaient que le nombre des
conditions
que j’avais désignées n’était que problématique.
s ouvrages du théâtre. Voici quelle fut ma réponse : Si les vingt-six
conditions
n’existent pas, leur explication ne me sera pas p
ntité plus grande qu’un docte esprit saurait ajouter encore au peu de
conditions
indispensables que j’ai premièrement aperçues. He
ciences, avancées par les lumières de notre siècle ! La vingt-sixième
condition
de la tragédie, et, selon moi, la dernière, est l
ies qui jamais ait paru sur les théâtres. Mais une de ses importantes
conditions
, dont nous ne saurions plus être de bons juges, c
arable à la tragédie dont je soumets l’analyse à la loi des vingt-six
conditions
. Simplicité du fait. Juste mesure de l’action
Application au sujet, de la terreur et de la pitié. Les grandes
conditions
de la terreur, de la pitié, du mélange enfin de c
et fatales. Genre de passions propres au sujet. Jusqu’ici quelles
conditions
ne sont pas exactement remplies ? Que manque-t-il
pièce, à la fois historique et sacrée, à la fatalité céleste, double
condition
éminemment éclatante en ce chef-d’œuvre. La diffé
il n’est rien qui ne s’accorde avec les coutumes des Israélites : la
condition
des mœurs, si rarement jointe à celle des caractè
, vous saisira puissamment. Douterez-vous après cela que l’importante
condition
de l’intérêt ne soit remplie complètement dans se
ue les pensées et les figures y apparaissent revêtues de lumière : la
condition
de bien exposer les noms, les localités, et le su
t l’ordre général, m’a fait anticiper sur ce que j’avais à dire de la
condition
de son dénouement. Remarquons seulement qu’il est
dées. Tableaux majestueux et nobles ; symétrie théâtrale. À ces
conditions
ajoutez celles des tableaux scéniques et de la sy
x différents rapports, il satisfait à là dernière, à la plus rare des
conditions
, qui est de les réunir toutes dans son étonnante
d’avertir qu’il serait dangereux de multiplier beaucoup le nombre des
conditions
que j’ai classées. Les lègues modifications ne so
M. Espinas, « tourne à son profit, dans la mesure de ses forces, les
conditions
du milieu ». — Sans doute, mais c’est cette idée
agit d’organismes plus complexes, plus définis, plus fixes dans leurs
conditions
de genèse. Les effets d’inhibition deviennent alo
u moins que la représentation du mouvement dans la conscience soit la
condition
déterminante du mouvement même. Et ce second poin
notre idée, par notre désir, par l’effort qui en résulte, la première
condition
d’une série aboutissant à réaliser tel effet ; au
nous cherchons le bonheur d’autrui. Nous nous voyons donc nous-mêmes
condition
première relativement à l’effet et relativement a
plique la conscience de la causalité appartenant au sujet en tant que
condition
d’existence pour quelque objet. Il ne sert à rien
c’est qu’ils font partie, tels qu’ils sont, de l’ensemble concret des
conditions
de la réalité présente et des conditions de la ré
t, de l’ensemble concret des conditions de la réalité présente et des
conditions
de la réalité future. En tout cas, la conscience
hose même et qu’il a conscience de son rôle décisif dans la série des
conditions
. Il est donc inévitable, tant qu’il se considère
olition proprement dite d’être consciente d’elle-même et d’avoir pour
condition
préalable une intervention de l’intelligence, si
t le monde et mieux que tout le monde, un changement profond dans les
conditions
extérieures de la guerre avec lesquelles il faut
s extérieures de la guerre avec lesquelles il faut compter ; mais les
conditions
spirituelles dans lequel elle se produit n’ont pa
re. Elle peut recevoir dans ses rangs des officiers plébéiens, mais à
condition
qu’ils se laissent absorber… Une aristocratie n’e
ination par la force, et dominer, toujours plus dominer, est dans ses
conditions
d’existence. « On domine par la guerre : il lui f
), et elle veut la guerre ; c’est dans son essence ; c’est une de ses
conditions
de vie comme aristocratie. Toute nation ayant une
ent jusqu’ici pendantes. Qui pourrait se le dissimuler, en effet ? la
condition
de l’homme de lettres, comme tant d’autres condit
r, en effet ? la condition de l’homme de lettres, comme tant d’autres
conditions
dans notre société, a changé, et probablement cha
r vraisemblance, et je ne les crois pas dénués de vérité. En fait, la
condition
de l’homme de lettres a changé ; le nombre est de
e en une juste proportion et ne reste point en chemin : c’est à cette
condition
que leur talent vieillissant ne sera point condam
s positives qui se mêlent aux questions morales et qui intéressent la
condition
future de l’homme de Lettres et sa véritable indé
t aux prises, une œuvre achevée, complète, et qui réunisse toutes les
conditions
que les législateurs d’autrefois en ces matières
nt ses éléments, comment ils naissent, en quelles façons et à quelles
conditions
ils se combinent, et quels sont les effets consta
x plus simples, puis de là aux changements physiologiques qui sont la
condition
de leur naissance. Dans la seconde partie, on a d
us pourrions l’étendre. — En effet, la loi découverte présuppose deux
conditions
. — En premier lieu, dans les derniers éléments mo
t la circonstance ou particularité, il en faut une. — Voilà donc deux
conditions
que doivent remplir les derniers éléments mobiles
erait arrêté aujourd’hui. Or, à ce titre, on peut considérer les deux
conditions
comme des moyens, et leur commun résultat comme u
suprême. À cette loi se rattacheraient toutes les autres, soit comme
conditions
préalables, soit comme conséquences ultérieures,
eux la raison suffisante de leurs tendances égalitaires, mais une des
conditions
, entre beaucoup d’autres, qui favorisent le succè
de ces formes prise à part. La centralisation contribue avec d’autres
conditions
au triomphe des idées égalitaires ; si, par un he
omphe des idées égalitaires ; si, par un heureux concours, ces autres
conditions
se rencontrent, à un très haut degré, dans quelqu
les émigrants, les moins favorisés firent, avant de débarquer, leurs
conditions
aux autres, et exigèrent, pour la société qu’ils
ns une société, même très centralisée, manquent la plupart des autres
conditions
favorables à l’égalitarisme, et nous trouverons n
ication : il y aurait alors une sorte de contradiction entre deux des
conditions
favorables, suivant nous, à l’égalitarisme ? Sur
fit à notre thèse. Nous n’avons plus à craindre en effet que deux des
conditions
que nous disions favorables à l’égalitarisme se c
du réel ; mais pour que le réel se forme et devienne perceptible une
condition
est nécessaire : c’est une certaine durée de l’ét
vaut n’importe quelle règle que point de règle du tout. » La première
condition
de sa formation sera l’autorité sur elle de la vé
ité qui assure la durée. Lorsque voici formée, par l’appoint de cette
condition
de durée, une réalité quelconque, voici aussitôt
n obstacle au développement futur de la réalité qu’il a fait naître ;
condition
de vie, il est aussi une menace de mort. Toute ré
plaignons pas : l’idéalisme alors, loin d’être un mal, est plutôt la
condition
même du génie ; seulement, il faut que l’idéal co
vé, a été déterminé, autant que je puis en juger, par des qualités et
conditions
mentales complexes et diverses. Parmi celles-ci,
et chacun peut en effet, sans trop d’effort, se transporter dans les
conditions
extérieures où se trouve autrui. Mais le propre d
les Non, causes générales tenant au milieu extérieur ne sont que des
conditions
préalables ; l’apparition du génie est due à la r
la génération individuelle qui s’est produit en un sens favorable aux
conditions
de la vie ; la modification accidentelle s’est fi
un disciple de Bacon, me paraît le besoin du temps et une excellente
condition
première pour juger et goûter ensuite avec plus d
de la société est la caractéristique de l’œuvre supérieure, mais à la
condition
qu’il ne s’agisse pas seulement, comme pour M. Ta
al, quand on la prend non plus au sens statique, comme l’ensemble des
conditions
d’une société à un moment, mais au sens dynamique
is au sens dynamique, comme une force assimilant certains êtres à ces
conditions
. L’histoire et le roman modernes font voir que le
ris par des troupeaux d’esclaves ! Oublie-t-on que la guerre était la
condition
de l’Humanité à cette époque ! Qu’arriva-t-il ? c
rmations, comme tout ce qui a vie, mais conservant toujours les mêmes
conditions
d’existence ; toujours une, quoique diverse et mu
a mort, cela est certain ; mais la mort est un terme après lequel les
conditions
d’existence sont changées. Les conditions fondame
t un terme après lequel les conditions d’existence sont changées. Les
conditions
fondamentales d’existence n’ont point changé pour
vement détruite que dans le dernier siècle. Donc ce que j’appelle les
conditions
d’existence pour la société n’a point changé pend
isme, c’est la souffrance horrible des hommes à cette époque. Plus la
condition
des hommes était mauvaise, plus leur foi dans le
harmoniser sa vie avec ce point de départ et ce but. Sa naissance, sa
condition
, était un fait qu’il devait accepter tel qu’il lu
; malheureuse, il n’avait pas le droit d’en murmurer. L’inégalité des
conditions
, la rigueur incessante du sort pour le grand nomb
vous voulez que j’obéisse encore ! Je le veux bien néanmoins, mais à
condition
que vous me montrerez ceux à qui je puis légitime
nciennes, en consacrant ou en permettant l’inégalité de fortune et de
conditions
, reconnaissaient pourtant l’égalité humaine, puis
est, ce qu’il est en essence, l’égalité ; et pourtant l’inégalité des
conditions
était de droit. L’égalité reparaît donc aussitôt
la société. À aucun instant de la durée de l’Humanité, l’identité des
conditions
ne sera l’égalité véritable ; car nous ne sommes
s ne pouvez pas harmoniser sans elle, puisque, dans ce moyen-âge, les
conditions
terrestres étaient les plus distinctes, les plus
, avec son paradis, corriger cet esclavage qu’elle admettait comme la
condition
nécessaire de la femme sur la terre. S. Augustin
eues ; mais il me semble que la nature particulière de la femme et sa
condition
particulière sur la terre pendant la loi du Chris
t la femme à l’homme, et limitait, d’une façon absolue, la femme à la
condition
que le hasard ou la force lui faisait sur la terr
sainte Thérèse, voilà la femme, et voilà aussi, comme je l’ai dit, la
condition
de la femme sous le Christianisme. Elle comprenai
e croyais à l’autre monde, je pouvais m’assujettir dans celui-ci à la
condition
qu’on m’avait faite. Je rejette cette condition.
ir dans celui-ci à la condition qu’on m’avait faite. Je rejette cette
condition
. Je n’ai plus d’idéal, je ne veux plus de frein.
chacun de vos citoyens des principes qui puissent le guider. À cette
condition
seulement il peut y avoir une patrie, une société
us, il est intéressant de se demander dans quelle mesure et à quelles
conditions
la science moderne, si vaste et si complexe, peut
s déterminent. Un poète serait insensé qui voudrait refaire, dans les
conditions
spéciales et avec les ressources de son art, le t
es découvertes qui transforment si prodigieusement autour de nous les
conditions
de l’existence humaine et de la vie sociale ? La
ar son exemple que la rénovation de la poésie est possible, à quelles
conditions
de talent, à quel prix de passion et de science3.
énérations. Nos poètes contemporains sont même, à cet égard, dans des
conditions
plus favorables que leurs devanciers. Ils ont à l
eur principe dans les phénomènes physiques, bien qu’ils y aient leurs
conditions
; d’autre part, aux matérialistes, que rien n’aut
st qu’une solution approximative, purement subjective, appropriée aux
conditions
de notre intelligence. Au fond, nous ne pouvons r
s à lui, pensant d’après les mêmes lois, ou des réalités soumises aux
conditions
qu’il est forcé de concevoir. Nous ne savons donc
ue nous appelons le mal en dehors de nous n’est qu’un moyen fatal, la
condition
d’un ordre qui nous dépasse infiniment. Mais l’ho
doit sortir au contraire fortifié, mais en même temps éclairé sur les
conditions
, la puissance et les limites de son art. Une des
on ardente. Il faut une doctrine, une cause à défendre. C’est à cette
condition
seulement que des idées pures peuvent émouvoir, e
l’argent ? Je n’aime pas ces traits qui conviennent également à deux
conditions
très différentes ; ils ne caractérisent ni l’une
as à la passion qu’on déclare ; mettre sans inconvenance une fille de
condition
en face d’un valet qui lui fait une déclaration d
sont plus les caractères qu’il faut mettre sur la scène, ce sont les
conditions
. La condition n’a été jusqu’ici que l’accessoire
aractères qu’il faut mettre sur la scène, ce sont les conditions. La
condition
n’a été jusqu’ici que l’accessoire ; il faut en f
du caractère qu’on tirait autrefois toute l’intrigue ; aujourd’hui la
condition
doit être le fond de l’ouvrage. Le financier, le
tuations à en tirer ! Qui verra la fin d’un genre de comédie dont les
conditions
seront le fond ? Il s’en forme tous les jours, de
, de nouvelles. » Ainsi s’exalte Diderot en vantant son invention. La
condition
donnée, il reste à la combiner avec un caractère.
r avec un caractère. Diderot détermine les proportions du mélange. La
condition
y sera pour les deux tiers, le caractère pour le
santhrope, un négociant quelque peu tartufe. Grâce à ces mélanges, la
condition
rajeunira le caractère, et, pour peu qu’on s’y en
à deux cents ans du premier ; le second, nous l’attendons encore. La
condition
étant « la base » de la comédie sérieuse, toute l
eter le personnage dans les situations les plus incompatibles avec sa
condition
. S’agit-il d’un juge, par exemple ? « Qu’il soit
la leçon qui se tire de la ressemblance est perdue. Parlez-moi de la
condition
pour produire cet effet ! Au juge qui est assis a
a nature. Or, c’est en cela que consiste proprement le caractère ; la
condition
n’est qu’une occasion pour le caractère de se mon
’occupa qu’un moment. Son extrême délicatesse ayant cru voir dans les
conditions
de l’entreprise des éventualités compromettantes
t avec plus d’assiduité sa traduction d’Aristote. Il avait les quatre
conditions
nécessaires pour donner à l’Europe ce chef-d’œuvr
ion de son modèle, la connaissance du grec et la vertu antique, cette
condition
supérieure qui force l’homme de ressembler à ce q
e de son testament qui laissa son fils, Aristote, dans les meilleures
conditions
pour un philosophe, absorbé dans les études unive
aible, donc elle doit être subordonnée. La nature a donc déterminé la
condition
spéciale de la femme et de l’esclave. Ces deux pr
areil exister en réalité. On ne pourrait d’abord l’établir qu’à cette
condition
, de partager et d’individualiser la propriété en
un autre côté, il laisse aux laboureurs la propriété des terres, à la
condition
d’en livrer les produits ; mais il est fort à cra
ocratique, parce que, dès lors, on parvint aux magistratures sans les
conditions
de cens autrefois exigées. « Mais cette égalité m
s de tous les travaux appartiennent à l’État, il faut que ce soit aux
conditions
établies pour ceux d’Épidamne, ou pour ceux d’Ath
si du reste. Voyons cependant ce que l’on doit faire quand toutes ces
conditions
diverses se rencontrent simultanément dans la cit
st l’individu qui a part à l’autorité et à l’obéissance publiques, la
condition
du citoyen étant d’ailleurs variable suivant la c
ra de plus à chacun la faculté de vivre comme bon lui semble. À cette
condition
, bien des gens ne demanderont pas mieux que de so
divisé en deux partis, les pauvres et les riches ; est-ce bien là une
condition
plus spéciale de l’oligarchie que de la républiqu
ris la plume d’or des séraphins pour révéler aux hommes de toutes les
conditions
, de toutes les dates, de toutes les professions s
ent être construits pour avoir chance de convenir aux choses. — Trois
conditions
. — Leurs éléments doivent être calqués sur les él
mment il se construit par quel équilibre il se soutient, et à quelles
conditions
il correspond à l’édifice réel et naturel des cho
, c’est l’idée de telles sensations toujours les mêmes, qui, à telles
conditions
, peuvent à tout moment être obtenues. — En somme,
ui en se mouvant, en se combinant, se conforment en toute rigueur aux
conditions
énoncées dans nos constructions ? En d’autres ter
e est toujours suivi par le mouvement du corps. Quelle que soit cette
condition
de mouvement, choc d’un autre corps, attraction d
e ce soit de sa nature, et on n’entend rien de plus par ce nom qu’une
condition
dont la présence suffit à provoquer le mouvement,
om qu’une condition dont la présence suffit à provoquer le mouvement,
condition
qui se rencontre dans une infinité de circonstanc
riple, etc., d’une autre ; et nous n’entendons rien par là, sinon une
condition
dont la présence suffit pour provoquer de la part
tte conception. À présent, introduisons dans notre composé mental une
condition
nouvelle, la plus simple qu’il se pourra ; suppos
avance des moules que le physicien viendra plus tard remplir. — Trois
conditions
sont requises pour que ces moules aient chance de
isqu’il suffit alors, pour la produire, d’un minimum d’éléments et de
conditions
. IV On comprend que ce procédé peut s’appli
le et plus forte, et, s’il se trouve un artiste chez qui ce groupe de
conditions
conçues aboutisse à une image expresse, à une rep
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