quatrième, j’ai montré que, dans chaque contrée, ce sont les espèces
communes
et très répandues dans de nombreuses stations, c’
s d’un même ancêtre, et conséquemment ont dû hériter quelque chose en
commun
. Mais les trois genres groupés sur la gauche doiv
a gauche doivent, en vertu du même principe, avoir hérité beaucoup en
commun
, et, par conséquent, ils forment une sous-famille
nd les deux genres qui suivent vers la droite et qui ont divergé d’un
commun
parent depuis la cinquième période généalogique16
ogique167. Ces cinq genres ont cependant aussi beaucoup de caractères
communs
, et forment une famille distincte de celle qui co
nous permettre de renfermer sous une seule proposition les caractères
communs
à tous les mammifères, par exemple, et, sous une
exemple, et, sous une autre, tous ceux qui, dans les mammifères, sont
communs
au genre Chien ; et enfin, en en ajoutant une seu
spèce particulière. S’ils observent un caractère à peu près uniforme,
commun
à un grand nombre d’espèces, et qui n’existe pas
z d’autres, ils s’en servent comme ayant une grande valeur ; s’il est
commun
à un moins grand nombre de formes, ils ne l’emplo
ien n’est plus aisé que de déterminer un certain nombre de caractères
communs
à tous les oiseaux ; mais, à l’égard des crustacé
aux deux extrémités opposées de la série qui ont à peine un caractère
commun
; et cependant les espèces les plus extrêmes des
entre deux espèces ou plusieurs, sont ceux qu’elles ont hérités d’un
commun
parent. Toute classification vraie est donc essen
s branches ou groupes alliés au même degré de consanguinité avec leur
commun
progéniteur, la somme des dissemblances actuelles
de A, ne sauraient non plus être rangées dans le même genre que leur
commun
ancêtre, ni celles qui descendent de I avec ce ge
successive. Tous les descendants de A auront hérité quelque chose en
commun
de leur commun parent, et il en aura été de même
us les descendants de A auront hérité quelque chose en commun de leur
commun
parent, et il en aura été de même de tous les des
u près identiques. Nul ne place ensemble le Navet suédois et le Navet
commun
, quoique leurs tiges épaisses et succulentes soie
e : cependant, toutes sont reliées les unes aux autres par l’habitude
commune
de faire la culbute : et, quoique la race à court
eine si les mâles et les hermaphrodites possèdent un seul attribut en
commun
, et, cependant, personne ne songerait à les sépar
ayant des habitudes si opposées, que par l’influence héréditaire d’un
commun
parent. Cependant, une erreur est toujours possib
r est toujours possible à cet égard, lorsqu’il s’agit d’un seul point
commun
de ressemblance dans toute l’organisation ; mais,
e descendance modifiée, que ces caractères fixes sont l’héritage d’un
commun
ancêtre ; et nous savons de quelle valeur sont de
e l’unité généalogique. Que deux formes n’aient pas un seul caractère
commun
, cependant, si ces formes extrêmes sont reliées l
iétés domestiques, dans la tige épaissie du Navet suédois et du Navet
commun
. La ressemblance du Lévrier et du Cheval de cours
ient hérité leur forme générale et la structure de leurs membres d’un
commun
ancêtre. Il en est de même des poissons. Quelques
que peu d’individus, tandis que les espèces copiées sont des espèces
communes
, qui évidemment ont eu le succès pour elles dans
i a pour effet de les faire passer pour des représentants des espèces
communes
victorieuses, et qu’elles échappent ainsi à quelq
e bien réelles, d’après ma théorie, elles seraient dues à un héritage
commun
. Il faut donc supposer ou que tous les Rongeurs,
rs et les Marsupiaux procèdent les uns et les autres d’un progéniteur
commun
, et que les deux groupes ont subi depuis de profo
et ordre, parce qu’elle a retenu partiellement les caractères de leur
commun
progéniteur ou d’un très ancien membre du groupe.
s distinctes. En partant du principe que les espèces, descendues d’un
commun
parent, se multiplient en divergeant graduellemen
ment de caractères, tout en conservant par héritage quelque caractère
commun
, on peut rendre compte des affinités étrangement
bres d’une même famille ou même d’un groupe encore plus élevé. Car le
commun
ancêtre d’une famille entière d’espèces, maintena
toutes les formes descendues de A ou de I auraient quelques attributs
communs
. Dans un arbre, nous pouvons distinguer telle ou
ges dans une même espèce, bien qu’ils aient parfois peu de caractères
communs
. Nous employons de même l’élément généalogique da
riment que les divers degrés de différence entre les descendants d’un
commun
ancêtre, nous pouvons nous rendre compte des règl
d’affinités complexes qui divergent en rayonnant d’un point ou centre
commun
. Fort probablement nous ne parviendrons jamais à
’égard de la bouche des insectes, nous n’avons qu’à supposer que leur
commun
progéniteur avait une lèvre supérieure, des mandi
ou du même organe est, d’après les observations d’Owen, le caractère
commun
de toutes les formes inférieures ou peu modifiées
l’autre, mais comme formés, les uns et les autres, de quelque élément
commun
primordial. Il est vrai que les naturalistes n’em
étaient plus complètes, serait purement généalogique ; la descendance
commune
étant, selon moi, le seul lien de connexion caché
onsidérer chaque embryon comme un portrait plus ou moins effacé de la
commune
forme mère de chaque grande classe d’animaux. XI
dans un état qui les rend complétement inutiles, sont cependant très
communs
dans la nature. Ainsi, on observe des mamelles ru
les, et encore d’autres semblables, sont la conséquence de la parenté
commune
des formes que les naturalistes considèrent comme
nt tous descendus, chacun dans sa propre classe ou groupe, de parents
communs
, et se sont tous modifiés dans la suite des génér
st dans le passé, l’autre dans le présent. L’une est la possession en
commun
d’un riche legs de souvenirs ; l’autre est le con
tal social sur lequel on assied une idée nationale. Avoir des gloires
communes
dans le passé, une volonté commune dans le présen
idée nationale. Avoir des gloires communes dans le passé, une volonté
commune
dans le présent ; avoir fait de grandes choses en
uffert joui, espéré ensemble, voilà ce qui vaut mieux que des douanes
communes
et des frontières conformes aux idées stratégique
tout à l’heure : « avoir souffert ensemble » ; oui, la souffrance en
commun
unit plus que la joie. En fait de souvenirs natio
s triomphes, car ils imposent des devoirs, ils commandent l’effort en
commun
. Une nation est donc une grande solidarité, const
le : le consentement, le désir clairement exprimé de continuer la vie
commune
. L’existence d’une nation est (pardonnez-moi cett
s facultés diverses, souvent opposées, les nations servent à l’oeuvre
commune
de la civilisation ; toutes apportent une note à
es et de la substitution simple Sommaire. I. Noms propres et noms
communs
. — Importance des noms communs ou généraux. — Ils
Sommaire. I. Noms propres et noms communs. — Importance des noms
communs
ou généraux. — Ils sont le premier terme d’un cou
érience d’individus semblables et qui correspondent à ce qu’il y a de
commun
entre ces individus. — Exemples de ces tendances
se divise en deux branches, celle des noms propres et celle des noms
communs
, et on les distingue très justement en disant que
propres. Les logiciens et les grammairiens disent très bien qu’un nom
commun
, comme arbre ou polygone, est un nom général ou a
dans tous les individus du groupe ; le nom d’arbre exprime la qualité
commune
à toutes les espèces d’arbres, peupliers, chênes,
nes, cyprès, bouleaux, etc. ; celui de polygone représente la qualité
commune
à toutes les sortes de polygones, triangles, quad
ue, par le moyen d’un nom général que j’entends, je pense une qualité
commune
à plusieurs individus, une chose générale, bref u
nérale ; quand nous avons vu une série d’objets pourvus d’une qualité
commune
, nous éprouvons une certaine tendance, une tendan
uvons une certaine tendance, une tendance qui correspond à la qualité
commune
et ne correspond qu’à elle. C’est cette tendance
aux individus de cette classe. À ce titre, il correspond à la qualité
commune
et distinctive qui constitue la classe et qui la
autres termes, une certaine tendance correspondante à ce qu’il y a de
commun
entre les divers personnages munis d’un paletot,
dividus semblables et qui correspondent précisément à ce qu’il y a de
commun
en eux. À chaque instant, nous voyons ces tendanc
blables, nous éprouvons une tendance qui correspond à ce qu’il y a de
commun
dans ces objets, c’est-à-dire à quelque caractère
t beaucoup de nos autres animaux, nous avons aisément appris leur nom
commun
et remarqué leurs caractères communs. En d’autres
us avons aisément appris leur nom commun et remarqué leurs caractères
communs
. En d’autres termes, ce nom correspond en nous à
donc en un même effet. Le nom est devenu l’équivalent des caractères
communs
aux divers squelettes de l’espèce, comme des cara
tères communs aux divers squelettes de l’espèce, comme des caractères
communs
aux divers individus vivants de l’espèce ; sa pré
es sous un climat presque semblable ; de sorte que, d’après l’opinion
commune
que les animaux aveugles qui les habitent ont été
ène à dire quelques mots de l’acclimatation. Comme il est extrêmement
commun
chez les espèces du même genre d’habiter des cont
s espèces d’un même genre soient les descendants modifiés d’un parent
commun
, il faut que l’acclimatation puisse s’effectuer a
upporter de lointaines transportations. Cette faculté extraordinaire,
commune
parmi nos animaux domestiques, de vivre sous les
iver aisément d’une très grande flexibilité naturelle de constitution
commune
au plus grand nombre des animaux. À ce point de v
alies, mais comme des exemples d’une flexibilité de constitution très
commune
qui, dans des circonstances particulières, est am
’on observe souvent dans les monstruosités végétales. Rien n’est plus
commun
que la soudure des parties homologues parmi les s
er faussement aux lois de corrélation des particularités de structure
communes
à des groupes entiers d’espèces, et qui, en réali
, et l’on ne saurait s’attendre à ce qu’un oiseau tel qu’un Culbutant
commun
naisse d’une bonne race de Courtes-Faces. Mais, a
cations depuis l’époque où cette espèce s’est détachée du progéniteur
commun
du genre. Cette époque est rarement fort reculée,
proches alliées. J’exposerai le fait d’une autre manière. Les points
communs
de ressemblance que toutes les espèces d’un même
que toutes les espèces d’un même genre ont entre elles, et les points
communs
de dissemblance qui les distinguent des espèces d
qu’on appelle leurs caractères génériques. J’attribue ces caractères
communs
à l’hérédité, c’est-à-dire à la descendance d’un
is l’époque où ces diverses espèces se séparèrent de leur progéniteur
commun
, il n’est pas probable qu’elles commencent actuel
l’époque où ces diverses espèces se sont séparées de leur progéniteur
commun
, il est probable qu’ils doivent encore être en qu
le. Plusieurs groupes considérables de Coléoptères ont pour caractère
commun
de présenter un même nombre d’articles aux tarses
s ailes est un caractère de la plus haute importance, parce qu’il est
commun
à des groupes entiers de formes spécifiques ; mai
pèces d’un même genre sont aussi sûrement descendues d’un progéniteur
commun
que les deux sexes d’une espèce quelconque, quel
ux sexes d’une espèce quelconque, quel que soit l’organe qui, chez ce
commun
progéniteur ou chez ses descendants immédiats, so
même genre sont moins fixes que les caractères qu’elles possèdent en
commun
; que les organes extraordinairement développés c
e descendent d’un même progéniteur, dont elles ont hérité beaucoup en
commun
; c’est ensuite que les organes qui ont varié réc
nt dues à ce que les diverses races de Pigeons ont hérité d’un parent
commun
la même constitution et la même tendance à varier
comme deux variétés produites par la culture et procédant d’un parent
commun
. S’il en est autrement, si elles n’ont pas une so
ces distinctes, auxquelles on peut en ajouter une troisième, le Navet
commun
. D’après l’hypothèse ordinaire de la création ind
e les deux parents ont perdu quelque caractère possédé par un ancêtre
commun
, la tendance forte ou faible à reproduire le cara
supposer que toutes les espèces du même genre descendent d’un parent
commun
, il faut aussi s’attendre à les voir souvent vari
comme nous ne connaissons pas exactement les caractères de l’ancêtre
commun
du groupe entier, nous ne pouvons distinguer les
e pure. La raie dorsale existe toujours ; la raie scapulaire est très
commune
et quelquefois double ou même triple. Les jambes
entre les diverses espèces du genre Cheval. Rollin assure que la Mule
commune
, provenant de l’Âne et du Cheval, est particulièr
d’une organisation très différente sous d’autres rapports, le parent
commun
du Zèbre, du Couagga, de l’Âne, de l’Hémione et d
les diverses espèces d’un même genre se sont séparées de leur souche
commune
, sont plus variables que les caractères générique
soit l’anomalie de ses caractères. Les espèces descendues d’un parent
commun
, héritant presque de la même constitution, doiven
re la cause de chaque légère différence produite dans la postérité de
communs
parents, nous pouvons être certains que cette cau
rs par une tendance héréditaire à revenir au caractère du progéniteur
commun
, tendance modifiée dans ses manifestations par la
isent l’hérédité, il y a réversion exacte aux caractères de l’ancêtre
commun
; lorsqu’elles la contrarient, la tendance de rév
lle générations dans la suite des temps écoulés, et je vois le parent
commun
des races diverses de notre cheval domestique dan
rme, à mon avis, qui résultait de cette version ; c’est que l’ancêtre
commun
de tous nos chevaux domestiques et seulement de n
le que toutes les espèces du genre cheval descendent d’un progéniteur
commun
qui était zébré et qui a été le prototype du genr
Londres des ouvriers de tous pays accourus pour défendre leur intérêt
commun
: l’émancipation du travail. Quelles paroles fure
si dire. L’immense foule des travailleurs se donnant la main pour une
commune
libération, voilà ce que nous avons vu. Le petit
petit groupe des pensants épars, spontanément associés par une vision
commune
de l’avenir, voilà ce que nous verrons, ce que no
volution de la pensée moderne ; mais si j’ai réussi à montrer l’objet
commun
de leurs réalisations et de leurs efforts, c’est-
et réalité la condition essentielle et fondamentale de toute vitalité
commune
ou supérieure. Walt Whitman, enfin, nous a donné
ine et claire Que je puisse voir quelle beauté s’attache Aux formes
communes
et trouver l’âme Des choses non regardées ? Et v
rabie ; ce qu’est l’art grec ou le ménestrel provençal, j’embrasse le
commun
, j’explore et je m’assieds au pied du familier, d
mesurément ? La noblesse et la splendeur enfin accordées aux « formes
communes
» et aux « choses non regardées » ! La justice sc
lencieusement sa lente genèse infaillible, prenant sa part du devenir
commun
; que l’intelligence, loin d’être une faculté d’o
aut vous dépouiller soigneusement de tout ce que vous pouvez avoir de
commun
avec la foule. Mais ces flots de vie que vous mép
s hommes et des mondes associés sous l’empire intérieur d’un principe
commun
de vie, est en complète et radicale décrépitude,
oyeuse en un mot d’agir réellement avec cette famille pour un intérêt
commun
? Un autre exemple : Je marche sur la route ; u
chemin, et qui me le dit par sympathie pour moi poussé par un intérêt
commun
, par un intérêt d’humanité. Dans le premier cas j
cordiale et intime de l’élite et de la foule dans une libre confiance
commune
, dans une mutuelle expansion. Autant la première
eption ruinée, que nous savons mensongère et néfaste, mais que la vie
commune
retient encore dans son inextricable complexité ?
mes prétendus ennemis ? La communion des pensants dans une recherche
commune
de vérité et de beauté nous indique cette voie. V
métaphoriques ou idéales, que l’analyse du génie poétique n’a rien de
commun
que le nom avec l’analyse du sucre, et se passe t
pas, c’est de développer en nous l’esprit scientifique. Nous avons en
commun
, les savants et nous, toute l’infirmité humaine,
oi, le risque perpétuel de se tromper et d’être trompé. Nous avons en
commun
, eux et nous, les instruments de travail naturels
déjà Montaigne, la raison et l’expérience. Nous avons encore cela de
commun
que notre objet, ce sont des faits, c’est la réal
ais seulement une attitude scientifique universelle. Un état d’esprit
commun
peut conduire dans des recherches diverses des es
y a cependant une attitude de l’esprit à l’égard de la nature qui est
commune
à tous les savants… » Une attitude d’esprit à l’é
sciences, de la nature, que ce soit aux plus générales, aux procédés
communs
de toutes les recherches qui portent sur des fait
retenions pas. Pouvons-nous ne prendre dans Racine que ce qu’il a de
commun
avec Pradon et Quinault ? Ou ne regarder en lui q
acine, pour ce qui n’est que dans Racine. Sans doute, ce qu’il y a de
commun
entre tous nos tragiques, nous l’observons, nous
une science française, une science belge, mais la science, la même et
commune
pour toutes les nations, encore moins y a-t-il un
aractères généraux dans la nature. — Un groupe de caractères généraux
communs
à tous les moments d’une série d’événements const
d’événements constitue l’individu. — Un groupe de caractères généraux
communs
à plusieurs individus constitue la classe. — Les
ptions et représentations sensibles des individus de la classe ont de
commun
, et à cela seulement. — À ce titre, il est le cor
ulement. — À ce titre, il est le correspondant mental de leur portion
commune
et se trouve idée générale. — Mécanisme de cette
avons. Car il y a des choses générales : j’entends par là des choses
communes
à plusieurs cas ou individus ; ce sont des caract
a un caractère qui relie ses divers moments successifs, un caractère
commun
qui dans tous se retrouve le même. Pour cette pie
dans par opposition au dehors, tous nos événements ayant ce caractère
commun
de nous apparaître comme internes par opposition
rmanent en lui, sinon sa forme, c’est-à-dire le groupe des caractères
communs
à tous ses moments. Mais, dans l’évanouissement e
ne doive exister toujours. — Ainsi, de même qu’il y a des caractères
communs
dont la présence continue relie entre eux les div
e eux les divers moments de l’individu, de même il y a des caractères
communs
dont la présence multipliée et répétée relie entr
la race ; c’est l’inverse qui arrive ; sans doute ici, les caractères
communs
sont beaucoup plus répandus dans l’espace et dure
te, puis à la matière mécanique, nous voyons le groupe des caractères
communs
aux divers corps, d’une part, se réduire jusqu’à
e propre. Cette nuance retranchée, il reste un faisceau de caractères
communs
à toute une série de faits et dont la persistance
moi de si net et de si déterminé qui correspond au caractère abstrait
commun
à tous les araucarias, et ne correspond qu’à lui
tes. Partant, si elles l’évoquent, c’est grâce à ce que toutes ont en
commun
, et non grâce à ce que chacune d’elles a de propr
; partant encore, s’il les évoque, c’est grâce à ce que toutes ont de
commun
, et non grâce à ce que chacune d’elles a de propr
propre ; par conséquent enfin, il est attaché à ce que toutes ont de
commun
et à cela seulement. — Or ce quelque chose est ju
sentations diffèrent du tout au tout. Et cependant elles ont un trait
commun
; grâce à cette communauté, le nom évoqué par la
éloignés, démêler des analogies très délicates, constater des traits
communs
entre des choses très dissemblables, former des i
avec la structure naturelle du contenu. II Tel est le caractère
commun
de toutes les idées que nous construisons : elles
par abstraction, considéré à part, et, de plus, général, c’est-à-dire
commun
à beaucoup de corps, ou, pour mieux dire, univers
mun à beaucoup de corps, ou, pour mieux dire, universel, c’est-à-dire
commun
à tous les corps. Nous le détachons et nous le no
défenseur. C’est là tout. Rien de plus. Y a-t-il, au fond, idée plus
commune
et plus retour de Pontoise que cela ?… Il est vra
r de Pontoise que cela ?… Il est vrai que tous les jours une idée est
commune
et que le talent s’en empare et sait revêtir cett
t plus spécialement auteur dramatique, il est forcément voué à l’idée
commune
, la seule qui réussit pleinement au théâtre, et q
seule qui réussit pleinement au théâtre, et que, de toutes les idées
communes
, la plus sympathique à ce public de Sganarelles p
poète. La Critique pourrait donc admettre, même en l’admirant, l’idée
commune
, comme dans César Birotteau, par exemple, où elle
tailler quelque chose de grand, de profond et de nouveau, dans l’idée
commune
de son roman que lui ont soufflée ses habitudes d
dée que le drame exprimait, c’était l’éducation du public, c’était la
commune
ambition de moraliste et de législateur. Dans L’A
r. De même que la définition d’une espèce ne donne que les caractères
communs
à tous les individus de l’espèce, et de même que
mmuns à tous les individus de l’espèce, et de même que ces caractères
communs
ne peuvent jamais se présenter isolés, mais s’acc
ables, de même la définition d’un mot ne donne que la portion de sens
commune
à tous les emplois que les écrivains ont fait de
’on parvient réunissent toujours des individus qui ont des caractères
communs
et des caractères propres. De même, si loin qu’on
une infinité de valeurs, dont le dictionnaire n’indique que la partie
commune
et en quelque sorte irréductible. Tout ce qui fai
avaient réfléchi, ils auraient conçu qu’un aigle n’est pas le modèle
commun
d’une institution générale. Une composition qui d
positions. Et le moment du tumulte et le moment du repos ont cela de
commun
que chacun s’y montre ce qu’il est. Que l’artiste
, comme dans la nature. Il faut qu’elles concourent toutes à un effet
commun
, d’une manière forte, simple et claire ; sans quo
ntenelle à la Sonate : figure, que me veux-tu ? La peinture a cela de
commun
avec la poésie, et il semble qu’on ne s’en soit p
des sujets ingrats ; mais c’est pour l’artiste ordinaire qu’ils sont
communs
. Tout est ingrat pour une tête stérile. À votre a
ut y avoir de l’ordonnance sans expression, et que rien même n’est si
commun
. Pour de l’expression sans ordonnance, la chose m
de sagesse, d’ivresse et de sens froid dont les exemples ne sont pas
communs
en nature. Sans cette balance rigoureuse, selon q
ienne. Et puis l’un est pur et simple imitateur, copiste d’une nature
commune
; l’autre est, pour ainsi dire, le créateur d’une
n’y a ni vraisemblance ni vérité, où tout est outré ; qui n’a rien de
commun
avec la nature ; où la fausseté se décèle et dans
forêts, des montagnes, et ceux qui empruntent leurs scènes de la vie
commune
et domestique ; Tesniere, Wowermans, Greuze, Char
de guerre. Émouvante réunion pour tel d’entre nous privé du culte en
commun
depuis des mois ! La confession des péchés, les p
importe où nos camarades prennent leur force dont bénéficie la maison
commune
? Au sortir de ces instants religieux, tous romp
ari, parent, quelque victuaille. Le plus grand nombre furent mises en
commun
. Banquet sacré, banquet du peuple, celui que rêva
veler les classes que des angoisses partagées, toutes choses mises en
commun
, et la mort continuellement affrontée ensemble. L
êmes espérances. Enfin les misères de la guerre produisent une vie en
commun
, un collectivisme de la tranchée. Cela touchait l
puis évoquer l’image d’un individu désigné par un nom propre ; le nom
commun
, général et abstrait, représente toute une collec
, représente toute une collection d’objets, et seulement les qualités
communes
à tous ces objets. « Le nom d’arbre, dit M. Taine
à tous ces objets. « Le nom d’arbre, dit M. Taine, exprime la qualité
commune
à toutes les espèces d’arbres, peupliers, chênes,
êne ? Ce qui y équivaut, c’est une définition énonçant les caractères
communs
à tous les arbres. L’impossibilité est plus grand
donc ont servi toutes ces admirables proportions ? À rendre petite et
commune
, une grande chose ? Il semble qu’il eût mieux val
’effet contraire, et à donner de la grandeur à une chose ordinaire et
commune
. On répond qu’à la vérité l’édifice aurait paru p
que l’art et ses proportions ont réduit à une apparence ordinaire et
commune
, finit par être conçu grand, le prestige défavora
et restitue l’édifice grand en lui-même, à une apparence ordinaire et
commune
: en sorte que d’un côté chaque détail paraît gra
un côté chaque détail paraît grand, tandis que le tout reste petit et
commun
; au lieu que dans le système contraire d’irrégul
de Rome ? Valait-il mieux réduire cet édifice à un effet ordinaire et
commun
par l’observation rigoureuse des proportions que
mitifs. — Éléments primitifs de la ligne. — Découverte d’un caractère
commun
à tous les éléments ou points d’une ligne. — Défi
st un caractère inclus en lui, plus abstrait et plus général que lui,
commun
à lui et à d’autres analogues, et qui, entraînant
nt et prouva que ces deux tendances sont la même ; la gravitation est
commune
aux corps célestes comme aux corps terrestres, et
t la tendance centripète des autres avaient pour raison une propriété
commune
aux uns et aux autres ; les deux lois n’étaient q
aractère inclus dans tous les éléments du nombre, sauf le premier, et
commun
à toutes les unités représentées par un chiffre p
un caractère compris dans tous les éléments du polygone, c’est-à-dire
commun
à tous les triangles dont il est le total ; ce ca
d Owen, ses prédécesseurs ont dégagé un intermédiaire explicatif qui,
commun
à toutes ces pièces si diverses, est la raison pr
concourir avec eux à tel effet final et total ; et cet intermédiaire
commun
explique dans l’animal non seulement une prodigie
asse centrale, et l’intermédiaire qui les lie est une donnée générale
commune
non seulement à toutes les planètes, mais à tous
s, on remarque que les deux triangles sont égaux, comme ayant un côté
commun
, la diagonale, compris entre deux angles égaux ch
ercle, on met une infinité de lignes droites égales, qui ont un point
commun
. Dans celui qu’on nomme sphère, on met une infini
sphère, on met une infinité de demi-cercles égaux qui ont un diamètre
commun
, et les propriétés de la grosse boîte ainsi const
et sa forme seront entièrement définies, et définies par un caractère
commun
de leurs éléments. Ainsi, pour ne prendre que les
ice de leur angle, tous les points de la bissectrice ont ce caractère
commun
que, pour chacun d’eux, une des deux coordonnées
entre du cercle, tous les points de la circonférence ont ce caractère
commun
que, pour chacun d’eux, la somme des carrés des d
la décomposant en ses éléments, dégage en eux un caractère algébrique
commun
à tous ; cette science s’appelle géométrie analyt
er plus haut qu’eux, jusqu’au principe d’identité qui est leur source
commune
, tandis que dans celles-là, les lois fondamentale
aractères du corps dont ils sont les éléments. — Deux propriétés sont
communes
à tous les organes d’un corps vivant. L’une, ment
le des fonctions de l’animal complet. De cette façon, deux propriétés
communes
aux éléments de l’ensemble expliquent presque tou
la collection, et nous n’avons point de peine à démêler leurs traits
communs
. Grâce aux documents conservés et par des procédé
nterviennent les naturalistes. Darwin part d’un caractère fondamental
commun
à toutes les espèces animales et végétales, la di
e dans un plan et dans un type : c’est qu’il est un legs d’un ancêtre
commun
. Tous les mammifères descendent d’un mammifère119
èces, en vertu de l’hérédité, répètent les traits de leur progéniteur
commun
. — Par l’autre de ces propriétés, l’organe est un
fférents milieux : c’est que, grâce à une sélection continue, le plan
commun
légué par le progéniteur commun s’est modifié ici
âce à une sélection continue, le plan commun légué par le progéniteur
commun
s’est modifié ici dans un sens, là-bas dans un au
’est un édifice vivant dans lequel, d’espèce à espèce, et sur un type
commun
transmis par hérédité, la sélection a superposé l
plus ancienne de toutes, primitive, a établi le type le plus général,
commun
à tous les animaux de tout l’embranchement, l’art
rales, quantité d’autres traits non moins essentiels et qui leur sont
communs
. Partant, les deux ordonnances sont analogues. —
portés en arrière : tous les membres ont cherché le centre de gravité
commun
qui convenait le mieux à ce système hétéroclite.
éshabiller et se faire mannequiner par un professeur, qu’ont-elles de
commun
avec les positions et les actions de la nature ?
de commun avec les positions et les actions de la nature ? Qu’ont de
commun
l’homme qui tire de l’eau dans le puits de votre
ction, avec ses deux bras en haut, sur l’estrade de l’école ? Qu’a de
commun
celui qui fait semblant de mourir là, avec celui
celui qui expire dans son lit, ou qu’on assomme dans la rue ? Qu’a de
commun
ce lutteur d’école avec celui de mon carrefour ?
e, qui dort, qui réfléchit, qui s’évanouit à discrétion, qu’a-t-il de
commun
avec le paysan étendu de fatigue sur la terre, av
rze ans. Ses premières années nous échappent. Enfant du pays et d’une
commune
peu éloignée, elle avait vingt-cinq ans lorsqu’el
st-à-dire depuis tout à l’heure un demi-siècle, elle a été pour cette
commune
à la fois la maîtresse d’école, la garde-malade,
it à l’étroit, et, dès les premiers temps de son installation dans la
commune
, elle s’annonça pour ce qu’elle devait être toute
e de Crimée, grâce au zèle et à l’industrie de l’humble maîtresse, la
commune
de Beaumont, qui est peut-être la plus pauvre du
’elle, qui nous ramène à l’institutrice. En 1841, l’instituteur de la
commune
étant frappé d’une fièvre typhoïde qui menaçait d
ne idée, décerne à Mlle Rosalie Marion le premier prix Montyon. De la
commune
rurale nous passons à la grande ville. Il existe
tholique à Villars-lez-Blamont où il n’y avait d’abord qu’un bâtiment
commun
pour les protestants et les catholiques ; il a re
ses frais, une autre qui coûta plus de 3,000 francs, sur lesquels la
commune
ne put fournir que la minime somme de 400 francs.
testants et de catholiques, une seule petite église était possédée en
commun
par les deux communions, et les cérémonies du cul
ce serait le curé qui présiderait à tout. Le Conseil municipal de la
commune
vota des fonds, à cette même condition également.
e. Aujourd’hui, quel que soit le régime matrimonial, soit dotal, soit
commun
, la veuve est admise à la jouissance des droits q
énage, à l’éducation des enfants : chacun d’eux a donc mis à la masse
commune
sa part. » Et qu’il soit permis à l’homme de let
s, que je réunis ainsi sous un même nom deux objets qui n’ont rien de
commun
; que la vérité scientifique qui se démontre ne p
ous voyons comment ces ouvriers si différents collaborent à une œuvre
commune
qui ne pourrait s’achever sans leur concours. Et
appelons la réalité objective, c’est, en dernière analyse, ce qui est
commun
à plusieurs êtres pensants, et pourrait être comm
alyse, ce qui est commun à plusieurs êtres pensants, et pourrait être
commun
à tous ; cette partie commune, nous le verrons, c
usieurs êtres pensants, et pourrait être commun à tous ; cette partie
commune
, nous le verrons, ce ne peut être que l’harmonie
rnationale pour la propriété littéraire et artistique, avec un bureau
commun
, chaque État assurant, par ses lois et ses tribun
te, où la loi s’impose, et qui réclame impérieusement une juridiction
commune
pour ses intérêts communs. » Ajoutons à cette b
qui réclame impérieusement une juridiction commune pour ses intérêts
communs
. » Ajoutons à cette brève nomenclature, un exem
andat qu’ils ont reçus, comme ils l’étaient déjà par leurs sentiments
communs
, de rester en relations les uns avec les autres e
s, de quelle autorité auraient été empreintes les décisions prises en
commun
par un Lamartine, un Carlyle, un Michelet, un Eme
le de la réunion d’hommes illustres, venant apporter chacun à l’œuvre
commune
leur part de pensée et d’humanité, serait en lui-
. — III. Genres polymorphes. — IV Espèces douteuses. — V. Les espèces
communes
, très répandues dans une vaste station, sont les
ue également difficile à définir ; mais ici, l’idée d’une descendance
commune
est presque généralement impliquée, quoiqu’elle p
t des caractères intermédiaires, il donne le titre d’espèce à la plus
commune
, même parfois à la première décrite, et range les
ngées par quelques auteurs comme des espèces. Ainsi, combien le Chêne
commun
n’a-t-il pas été soigneusement étudié ! Cependant
ance de langage. V. Les espèces dominantes, c’est-à-dire les espèces
communes
, très répandues sur un vaste habitat, sont les pl
tables prouvent que, dans toute contrée limitée, les espèces les plus
communes
, c’est-à-dire les plus nombreuses en individus, e
de moindre importance, un nombre supérieur d’espèces dominantes très
communes
et très répandues se trouvera du côté des plus gr
res, et qui se pressent autour d’une forme unique qui est leur souche
commune
? Indubitablement, il y a une distinction importa
imentales établissent qu’elles descendent l’une et l’autre de parents
communs
, et, par conséquent, qu’elles doivent être rangée
re ou même les groupes encore plus élevés doivent provenir de parents
communs
. Conséquemment, quelque éloignées et isolées les
r que les naturalistes soient capables de décider, d’après les règles
communes
, si ces formes douteuses sont ou ne sont pas des
de ce que les habitants d’une région quelconque, que, selon l’opinion
commune
, on suppose avoir été spécialement créés pour ell
eraient-ils plus variables que les caractères génériques qui lui sont
communs
à toutes ? Pourquoi, par exemple, la couleur d’un
ouvons comprendre ce fait : depuis qu’elles se sont séparées du tronc
commun
, elles ont déjà varié en certains caractères par
is que les diverses espèces du genre se sont séparées de leur ancêtre
commun
; et nous pouvons nous attendre en général à ce q
ependant n’être pas plus variable que tout autre, si cette partie est
commune
à beaucoup de formes subordonnées, c’est-à-dire s
même genre sont descendues d’un même parent et ont hérité beaucoup en
commun
, on peut concevoir comment des espèces alliées, p
que tous les êtres éteints et vivants sont les descendants de parents
communs
. Comme les groupes descendus d’un ancien progénit
ncien progéniteur ont généralement divergé en caractères, cet ancêtre
commun
et ses premiers descendants seront souvent interm
t habitées par plusieurs espèces analogues, quelque espèce identique,
commune
à toutes les deux, y existe encore. Partout où l’
, est-il vrai que toutes les choses vivantes ont beaucoup d’attributs
communs
: leur composition chimique, leur structure cellu
tes les espèces alliées de la plupart des genres, sont descendus d’un
commun
ancêtre à une époque relativement peu éloignée et
ard prophétique dans l’avenir jusqu’à prédire que ce sont les espèces
communes
et très répandues, appartenant aux groupes les pl
ncore plus incroyable de supposer que la forme primordiale, l’ancêtre
commun
et archétype absolu de la création vivante, n’eût
nchements qui, selon toute probabilité, ont tous divergé du prototype
commun
presque dès le principe. Il en est encore de même
e tend qu’à rendre l’homme raisonnable, mais par des voies simples et
communes
. » Aucun auteur n’a mieux défini la nature ni ma
n’avait voulu que « les rendre raisonnables, par des voies simples et
communes
. » D’où vient la différence ? C’est qu’en 1696 le
e passe dans la vie. Toutes les conditions n’ont-elles pas des points
communs
par où la même leçon peut les toucher ; et l’homm
e, est une des beautés du théâtre de Molière104. C’est par ces traits
communs
à l’espèce humaine que chaque individu se reconna
ne lui fasse. C’est tout un art imaginé pour faire passer les pensées
communes
qu’il n’a pas su éviter, ou dont il a cru avoir b
trême difficulté pour le moraliste de se tenir entre le raffiné et le
commun
, La Bruyère tantôt cherche à parer, pour les dégu
tion du style ; il en perd quelquefois à vouloir embellir des pensées
communes
. Suard s’en doute bien un peu ; mais, dans le pie
e caractère et la sévère beauté de la langue de son pays. Les pensées
communes
, quoique justes, ne doivent pas être recueillies
comme les titres de notre nature. Vouloir fixer par écrit des pensées
communes
, c’est, dans l’auteur, ou médiocrité d’invention,
6 ; à Paris et non à Dourdan, comme je l’avais dit, d’après l’opinion
commune
, dans les premières éditions. La Bruyère, comme M
s. Au surplus ai étudié tant qu’il m’a été possible de m’adonner à un
commun
patois et plat langage, fuyant toute affecterie d
matée dans Commynes et dans Marot, mais qui devient alors tout à fait
commune
: il nous donne aussi toutes les constructions du
rifiée. En 1541, Calvin écrit : « Voilà pourquoi tous les États d’un
commun
accord conspirent en la condamnation de nous et d
tée de leur maison. » En 1500 : « Voilà pourquoi tous les Etats d’un
commun
accord conspirent à condamner tant nous que notre
Sales, Du Vair se réduisent à l’usage du peuple, au parler naturel et
commun
. Les composés à la mode grecque262, le provigneme
pas l’un l’autre, mais sont produits l’un après l’autre par une cause
commune
, la tension générale, et par les conditions parti
ée de la foudre ? C’est qu’il y avait entre ces deux idées une partie
commune
: lumière subite avec choc capable de tuer un ani
sté souvent avec l’idée de la foudre : c’est en vertu de cette partie
commune
que l’idée de l’étincelle électrique vient abouti
force, de durée et de netteté pour retentir et se rencontrer dans une
commune
région du cerveau, et pour y être ainsi centralis
siège dans le cerveau : les représentations visuelles ont pour siège
commun
les centres visuels du cerveau ; les représentati
res visuels du cerveau ; les représentations de l’ouïe ont pour siège
commun
le centre auditif ; notre cerveau a des casiers t
s différents ; cette connexion suppose une communication et un trajet
commun
entre les deux centres, par exemple l’Opéra de Pa
oir, c’est parce que cette opposition a pour point de départ une idée
commune
, celle de lumière. Au contraire, la loi de contra
rs. Non seulement l’idée de peine suscite celle de plaisir par l’idée
commune
de sensibilité, mais en fait et réellement la pei
res séparées pour les maîtres de quartier ou répétiteurs. Des salles
communes
d’études pour les basses classes. Des dortoirs c
Des salles communes d’études pour les basses classes. Des dortoirs
communs
pour ces mêmes basses classes. Des salles commune
sses. Des dortoirs communs pour ces mêmes basses classes. Des salles
communes
d’études et de répétitions pour les hautes classe
esclaves, et les mettra dans l’impossibilité de rien entreprendre en
commun
? « — Oui. « — Et si elle se trouve en deux homme
gens injustes aient jamais rien fait de considérable de concert et en
commun
, car, s’ils eussent été tout à fait injustes, ils
s du moyen âge. « Je veux qu’ils vivent ensemble, assis à des tables
communes
. « Dès qu’ils auraient en propriété des terres, d
la garde des troupeaux, aller à la chasse avec eux, et faire tout en
commun
, ou bien qu’elles doivent se tenir au logis, comm
x seront le partage exclusif des mâles ? « Nous voulons que tout soit
commun
. Seulement, dans les services qu’on réclame, on a
sés au soin de leur éducation, car les charges publiques doivent être
communes
à l’un et à l’autre sexe. « — Oui. « — Ils porter
munes à l’un et à l’autre sexe. « — Oui. « — Ils porteront au bercail
commun
les enfants des citoyens d’élite, et les confiero
où personne n’aura rien à soi que son corps et où tout le reste sera
commun
? « D’où viendraient toutes les dissensions qui n
s à dire, prévoyant bien que je révolterais par ces paroles l’opinion
commune
; en effet, il est difficile de concevoir que le
ous la direction de matrones indifférentes, de nourrir et d’élever en
commun
la génération future de son peuple. Personne n’au
du cœur scandalisé : « Partout où il arrivera que les femmes soient
communes
, les enfants communs, les biens de toutes espèces
« Partout où il arrivera que les femmes soient communes, les enfants
communs
, les biens de toutes espèces communs, et où l’on
mes soient communes, les enfants communs, les biens de toutes espèces
communs
, et où l’on aura retranché des relations de la vi
us ses Francs, féodale sous ses chefs militaires, municipale sous ses
communes
, monarchique sous ses rois, représentative sous s
drame. Il y a là ce respect des grands mots, des mots hors de l’usage
commun
, qu’on retrouve chez tous les hommes médiocrement
ouvent d’accord. L’ignorance de la langue est une des causes les plus
communes
de l’affectation et de l’emphase du langage. Faut
ellement appropriés et rendus habituels, que les expressions les plus
communes
lui suffisent pour exprimer des idées devenues vu
e qui doit être dans les choses. Ce sont les pensées qui sont basses,
communes
, hautes, sensées, touchantes, terribles, et qui f
dividu. L’une et l’autre s’engendrent réciproquement pour ce résultat
commun
: vivre, c’est-à-dire s’augmenter. La vie intérie
hors s’imposera chez elle aux dépens de sa personnalité. C’est la loi
commune
et bienfaisante que les caducs disparaissent deva
leur passé, leur situation, leurs mœurs n’ont-elles pas un caractère
commun
, qui les relie malgré tout, celui d’humanité ? Et
ner, il faut encore relier et unifier. C’est alors que les caractères
communs
de l’espèce apparaissent clairement au-dessus de
t de leurs luttes une identique aspiration vers un état meilleur, une
commune
recherche de plus de force et de plus d’équilibre
latin », « monde européen » ? De même qu’il existe une sorte d’idéal
commun
aux races, il existe dans le monde un idéal d’hum
’idéal commun aux races, il existe dans le monde un idéal d’humanité,
commun
à l’espèce et englobant sans les confondre, ceux
asard, considère une nation, il ne voit que les caractères à peu près
communs
à tous les-individus qui la composent, les ressem
hardies, afin d’y ouvrir un jour de larges avenues pour la traversée
commune
. N’est-ce pas un sentiment apparenté au nôtre, qu
turel du christianisme, il y avait dans l’Église protestante un fonds
commun
, une unité de foi, et en quelque sorte, un point
artout où ils la trouvent, et ils sont loin de renier ce qu’il y a de
commun
dans leurs croyances personnelles et dans les cro
isme était condamné sans examen et sans distinction sous l’accusation
commune
de panthéisme, d’athéisme, de scepticisme et même
pouvons oublier que, si nous avons avec les théologiens des croyances
communes
, nous avons aussi des principes absolument différ
moins de périls que la confusion. Si l’âme et le corps n’ont rien de
commun
ni même d’analogue, comment peuvent-ils coexister
stingué les unes des autres, mais il n’a pas assez montré leur action
commune
. Il a montré Dieu hors du monde et le monde hors
idée qu’il est de leur essence de ne point être raisonnables comme le
commun
des hommes, nous nous étonnons d’entendre Boileau
aux jeunes premiers de Scribe. Non, la raison de Boileau n’a rien de
commun
avec l’esprit positif, calculateur, prosaïque, de
lui après 1660, ces hommes de génie si dissemblable ont tous ceci de
commun
, qu’ils respectent la nature, l’expriment comme i
u’un avec la nature. Car la nature n’est-elle pas la source unique et
commune
des sentiments et des idées, présente à tous, et
et d’universalité, partant la raison, qui est en nous ce qui nous est
commun
avec tous les hommes, sous l’infinie diversité de
te altération, cette amplification même des impressions ordinaires et
communes
, qui est significative, et qui est vraie d’une vé
s œuvres antiques et de la réalité actuelle fait ressortir un élément
commun
, et cet élément commun est justement cette nature
la réalité actuelle fait ressortir un élément commun, et cet élément
commun
est justement cette nature raisonnable, universel
’il définit, ce roman mythologique, allégorique et moral, n’a rien de
commun
avec l’Iliade ni l’Énéide. Mais on y retrouve le
es : comme il était fort malaisé de dégager toujours sûrement le fond
commun
des œuvres anciennes et de l’expérience moderne,
stés unis ; mais la vie a séparé les esprits : ils n’ont plus d’idées
communes
, partant plus de conversation. On a remarqué souv
ie, et non plus de passion, voilà ce qui a fait que, sur des malheurs
communs
, quelques-uns ont écrit des plaintes non communes
ue, sur des malheurs communs, quelques-uns ont écrit des plaintes non
communes
. Le langage du cœur donne la mesure de l’esprit.
mettre en branle. On ne saurait donc trop se défaire de ce préjugé si
commun
, que l’esprit qu’on a nuit aux effusions du cœur,
ruis, Il ne tient pas à moi ; c’est toujours quelque chose. Cela est
commun
et ne valait pas trop la peine d’être dit ; mais
ité d’un homme qui dit tantôt une chose et tantôt l’autre n’a rien de
commun
avec cette conduite, et qu’ainsi il fallait trouv
de nous renvoyer au simple bon sens, et fonde sa morale sur la nature
commune
et sur la raison vulgaire. On a remarqué qu’il n’
trop loin. Il était bien aisé de corriger cela. V. 37. Ou plutôt la
commune
loi. Cela est vrai ; mais s’il est ainsi, à quoi
philosophe, en effet, les pensées sont le signe de la pensée. Mais le
commun
des hommes se sert de la raison sans la connaître
genre, incapable par conséquent de bien représenter ce qu’ils ont de
commun
ou le genre tout entier. Retranchez d’un son la h
2° s’il s’agit de qualités, comme pour le timbre, la qualité la plus
commune
représente encore plus mal l’ensemble des qualité
r la patience de la réflexion ou par la promptitude du génie. Chez le
commun
des esprits, l’image intérieure de l’homme n’est
sonores ou visuelles d’un son moyen, d’un homme ordinaire, d’une rose
commune
; l’ensemble du genre, comprenant des individus p
n plus facilement la première idée, la seconde, et leur nom désormais
commun
. Si l’effort de la pensée s’arrête alors, l’idée
nt visée par le nom et n’attirant à elle l’attention, ce qu’il y a de
commun
entre tous les individus du genre sans exception
gues ; entendons-nous par là un être physique individuel, ou le genre
commun
d’une série d’apparitions éphémères ? La plupart
ngage intérieur, qui est son œuvre, mais avec lequel elle n’a rien de
commun
. VII. L’image visuelle est naturellement le pr
et, par suite, rendu sensible à autrui ; un signe social est un signe
commun
, et un signe commun est un signe matériel ; quand
sensible à autrui ; un signe social est un signe commun, et un signe
commun
est un signe matériel ; quand un état doit servir
gne commun est un signe matériel ; quand un état doit servir de signe
commun
à plusieurs consciences, il faut qu’il puisse êtr
la plus facile à imiter est d’ordinaire choisie pour servir de signe
commun
; dès lors, une partie de l’idée représente l’ens
ntre la première et toutes les autres, sans exception, une différence
commune
et fixe d’intensité. En définitive, le signe est
pression, et il contribue pour sa part à le développer dans la langue
commune
dont il fait usage. On a soutenu que le rôle du l
ossèdent une part égale de souveraineté ; mais la raison qui leur est
commune
et le juste sentiment de l’intérêt bien entendu l
s toute leur force, et il pourrait exprimer sa pensée dans le langage
commun
sans que, a ses yeux, elle perdît rien de sa vale
devient le signe de son signe, lequel est inconscient. C’est un trait
commun
à toutes les habitudes et à un grand nombre de su
ésente déjà sous une forme analytique. C’est ainsi qu’avec le langage
commun
se répand, par l’exemple et l’éducation, le sens
ard des objections qu’il soulève. Ces opérations diverses ont un fond
commun
: elles consistent avant tout à ralentir le cours
e unique d’expression ; il la conçoit à part comme le lien, l’élément
commun
de deux formes sensibles hétérogènes302. L’analys
faire dire ; mais, ensuite, ils entrent difficilement dans la langue
commune
; ils n’ont guère d’autre valeur que celle d’un e
t les débarrassent de ces tournures qui les font paraître tour à tour
communes
et affectées. » [Le passage d’Adolphe cité par Eg
t les débarrassent de ces tournures qui les font paraître tour à tour
communes
et affectées » : idée qu’on peut rapprocher de l’
ue originale pour contribuer à lutter contre ces fameuses « tournures
communes
».] Cf. Tonnellé, Fragments sur l’art et la philo
s toutes différentes qui sont l’objet fondamental de la signification
commune
des mots de chacun de ces deux ordres : mais ces
e & l’autre sur un sentiment de bienveillance, comme sur une tige
commune
. Si nous les mettons maintenant en parallele, nou
reusement & amicalement sont des adverbes. La syllabe génératrice
commune
à tous ces mots est la syllabe am, qui se retrouv
qui peuvent la modifier ou lui être associées. Il y a dans ce procédé
commun
à toutes les langues un art singulier, qui est pe
ême, de leur distinction, de leur diversité : mais ce qu’on trouve de
commun
dans leurs procédés généraux, prouve l’unité de l
es & des Turcs, & dans l’allemand moderne, plusieurs radicaux
communs
. Quoi qu’il en soit, il résulte de ce qui vient d
es, que l’usage a établies pour exprimer uniformément les accessoires
communs
à tous les verbes. Il est assez difficile de déte
tures contraires, leur venir de la langue latine, qui est leur source
commune
. Dans les trois langues modernes, on employe ces
espece de barbarisme. On ne sauroit croire combien cette opinion est
commune
, & combien on la soupçonne peu d’être fausse
eurs especes ou à plusieurs individus, sont nommés appellatifs par le
commun
des Grammairiens. Quelques-uns trouvant cette dén
convient qu’aux individus de l’espece humaine. Si l’on avoit appellé
communs
les noms auxquels on a donné la dénomination d’ap
ise, pour ainsi dire, faites-leur observer en même tems ce qu’il a de
commun
avec les autres, ce qui le fixe dans la même espe
e sorte de nom, l’esprit ne porte son attention que sur les attributs
communs
à toute l’espece, & qu’il tire en quelque sor
eres qui lui sont propres, pour ne considérer que celles qui lui sont
communes
avec les autres. Amenez-les ensuite à la comparai
qui les spécifient ; mais n’oubliez pas les propriétés qui leur sont
communes
, qui les réunissent sous un point de vûe unique,
ifférencielles de chaque espece, pour ne plus envisager que les idées
communes
à toutes les especes comprises sous le même genre
exemple nous indique le moyen de ramener tous les autres à l’analogie
commune
, en suppléant le sujet sousentendu de chaque verb
assus, &c. Mais cette concordance ne doit pas s’entendre comme le
commun
des Grammairiens l’expliquent : urbs Roma ne sign
l’autre est déterminatif d’un nom appellatif, & c’est la fonction
commune
des adjectifs relativement aux noms. N’est-il pas
rica, Hispania, Gallia, &c. sont des adjectifs dont le substantif
commun
est terra ; que annularis, auricularis, index, &a
, index, &c. noms propres des doigts, se rapportent au substantif
commun
digitus ? Quand on veut donc interpréter l’apposi
ient une collection d’objets réunis sous un point de vûe qui leur est
commun
& propre : il est assez naturel de croire que
marquer par ce mot qu’une classe de noms réunis sous un point de vûe
commun
qui leur est exclusivement propre. La distinction
eurs des sexes, n’ont peut-être placé dans le genre masculin les noms
communs
& les noms propres des vents, ventus, Auster,
& pour le nom monstrum, qui est en quelque sorte la dénomination
commune
des crimes stuprum, furtum, mendacium, &c. pa
e les noms des animaux, il s’en trouve quelques-uns qui sont du genre
commun
d’autres qui sont du genre épicene : & parmi
tantôt du genre féminin : ce sont ceux-là que l’on dit être du genre
commun
, parce que ce sont des expressions communes aux d
que l’on dit être du genre commun, parce que ce sont des expressions
communes
aux deux sexes & aux deux genres. Tels sont e
re, si on avoit donné aux adjectifs une terminaison relative au genre
commun
pour les occasions où l’on auroit indiqué l’espec
p; du mot κοινὸς, communis : les noms épicenes ont en effet comme les
communs
, l’invariabilité de la terminaison, & ils ont
st unique pour les deux sexes. Il ne faut donc pas confondre le genre
commun
& le genre épicene. Les noms du genre commun
s confondre le genre commun & le genre épicene. Les noms du genre
commun
conviennent au mâle & à la femelle sans chang
ntre deux individus quelconques, parce qu’il n’y auroit pas une regle
commune
pour comparer leurs procédes respectifs. Il doit
procédes respectifs. Il doit donc y avoir des principes fondamentaux
communs
à toutes les langues, dont la verite indestructib
appellons Lexicologie, contient sur cet objet des principes raisonnés
communs
à toutes les langues. I. L’office de la Lexicolog
riginairement à la signification de chaque mot : cette idée peut être
commune
à plusieurs mots, qui n’ont pas pour cela la même
& la Construction. La Concordance est l’uniformité des accidens
communs
à plusieurs mots, comme sont les genres, les nomb
ons, s’appellent consonnes : les uns & les autres prennent le nom
commun
de lettres. La liste de toutes les lettres autori
les premieres sont nommées aspirées, parce que l’aspiration leur est
commune
& semble modifier la premiere des deux articu
ieres la dénomination de sifflantes, parce que le sifflement leur est
commun
& y modifie aussi la premiere articulation :
abukodonosor, Akab. Plusieurs mots de cette classe étant devenus plus
communs
que les autres parmi le peuple, se sont insensibl
, on doit les réduire à la construction analytique & à l’analogie
commune
à toutes les langues, si l’on veut en saisir le s
nt pas exactement les loix de leur conjugaison. Voyez Anomal . L’idée
commune
attachée à ces deux termes est donc celle de l’ir
s sont dans le cas de tous les autres synonymes, & qu’avec l’idée
commune
de l’émission consécutive de plusieurs sons non a
entre eux, & par la prononciation & par l’orthographe. L’idée
commune
à ces deux especes d’homonymes est donc la plural
amp; non pas les élémens de la voix, & qu’en conséquence elle est
commune
à plusieurs nations voisines de la Chine, quoiqu’
mp; la confusion qui se trouve dans l’ordre des mots qui devroit être
commun
à toutes les langues, selon l’idée naturelle que
latin d’être réputée figure, parce qu’elle étoit contraire à l’usage
commun
de cette langue, où l’on avoit coutume de mettre
n renversement de l’ordre naturel ou analytique, autorisé par l’usage
commun
de la langue latine, & que l’anastrophe est u
e l’anastrophe est un renversement du même ordre, contraire à l’usage
commun
& autorisé seulement dans certains cas partic
ties un mot composé de deux racines élémentaires, réunies par l’usage
commun
, comme satis mihi fecit, pour mihi satisfecit ; r
un sens total causée ou par une petite inversion qui déroge à l’usage
commun
, c’est l’anastrophe, ou par l’insertion de quelqu
té toutes trois quelques idiotismes de la langue qui sera leur source
commune
, & il ne seroit pas étonnant de trouver dans
ette opposition aux lois immuables de la Grammaire, faisoit la nature
commune
de tous. Mais il y a encore une autre espece d’id
Allemans observent en cela, & les lois générales & les usages
communs
. Mais ils disent, diese manner sind gelehrt ; &am
mp; l’on doit reconnoître ici que les Allemands s’écartent des usages
communs
, qui donnent la préférence à l’adjectif en pareil
le sujet du verbe ? Je réponds qu’il n’y a peut-être entre la maniere
commune
& la maniere allemande d’autre différence que
ribut d’une maniere vague & sans application au sujet : la phrase
commune
présente le sujet tel qu’il paroît à l’esprit apr
: la phrase allemande est donc un idiotisme régulier, & la phrase
commune
un idiotisme irrégulier. Voici un latinisme régul
e n’est que dans ce cas qu’il y a latinisme ; car il n’y a rien de si
commun
dans la plûpart des langues, que de voir l’infini
temporelle que la forme impérative. Mais le sens impératif est si peu
commun
à ces deux formes, que l’on ne substitue celle de
uvent remonter jusqu’au principe de leur synonymie, & à la source
commune
d’où ils descendent, avec les altérations différe
ve, des mots de différentes especes, ou l’on retrouve une même racine
commune
, symbole de l’idée primitive, avec les additions
leur indéclinabilité est un fait particulier qui déroge à l’analogie
commune
par accident, & non une suite de cette analog
ppellatif, il ne presente à l’esprit que l’idée générale d’une nature
commune
à plusieurs individus, ou à plusieurs especes, ma
s entre elles par les différentes idées accessoires ajoutées à l’idée
commune
du genre. Dans la premiere hypothese, où l’on ne
nde hypothese, où l’on admettroit diverses especes d’articles, l’idée
commune
du genre devroit encore se retrouver dans chaque
est la suite nécessaire de cette adaptation ; cette propriété lui est
commune
avec tous les autres modes personnels sans except
que l’esprit y considere, est en quelque maniere l’idée d’une nature
commune
à tous les individus auxquels elle peut convenir.
age de la langue latine met à l’accusatif. C’est pourtant la doctrine
commune
des Grammairiens les plus célebres & les plus
assez d’avoir montré l’inconséquence & la fausseté de la doctrine
commune
sur l’accusatif, prétendu sujet de l’infinitif :
un attribut d’une maniere abstraite, & comme l’idée d’une nature
commune
à tous les individus auxquels elle peut convenir
xprimer des choses très-différentes, quoiqu’il y ait quelque chose de
commun
dans leur signification. Ces deux mots expriment
’on y fait, pour ajoûter à l’idée propre du mot les idées accessoires
communes
à tous les mots de la même espece. Ces additions
anent, a été subit. La douleur, la surprise, le dégoût, n’ont rien de
commun
; chacun de ces sentimens est un, & son effet
ue la nature lui a donnée de proférer des sons. Cette faculté lui est
commune
avec quantité d’autres animaux [mais dans un moin
is en avant une opinion, qui est exactement le contrepié de l’opinion
commune
: il donne pour ordre fondamental un autre ordre
me servir des moyens établis à cet effet dans la langue qui nous est
commune
. Ces moyens à la vérité peuvent bien être mis en
ajoûte à un texte si précis qu’une simple question. Que reste-t-il de
commun
à toutes les langues, que d’employer les mêmes es
tingue dans la pensée par l’abstraction ; cette peinture est la tâche
commune
de toutes les langues : elles ne different entr’e
entierement semblables aux variations correspondantes d’un paradigme
commun
, sont réguliers ; ceux dont les variations n’imit
ceux dont les variations n’imitent pas exactement celles du paradigme
commun
, sont irréguliers : en sorte que la suite des var
e encore confirmée par des preuves de fait. 1°. Il est certain que le
commun
des Grammairiens imagine beaucoup plus d’irrégula
permutations de ces lettres. Pulmo. de l’attique πλεύμων, au lieu du
commun
πνεύμων ; illiberalis, illecebrae, colligo, au li
es, d’après les vues de l’esprit les plus universelles & les plus
communes
à tous les hommes ; le nom de langue exprime parf
ussi intime & aussi permanente que parmi nous, où tant d’intérêts
communs
les réunissent ; au lieu que dans cet état primit
, comme signes institués ; substitution qui ne peut se faire que d’un
commun
consentement, & d’une maniere assez difficile
re levé facilement ; car pour ranger les êtres sous des dénominations
communes
& génériques, il en falloit connoître les pro
avoit une langue qui tînt à la nature de l’homme, ne seroit-elle pas
commune
à tout le genre humain, sans distinction de tems,
re profane que par le récit de l’Ecriture, que l’Orient est la source
commune
des nations & des belles connoissances. Nous
8 ; que le moyen qu’il employa pour cela fut la division de la langue
commune
, confundamus . . . linguam eorum, & que cette
qui parlent originairement la même. Si un particulier altere l’usage
commun
, son expression est d’abord regardée comme une fa
nguons pareillement dans les langues l’esprit & le corps, l’objet
commun
qu’elles se proposent, & l’instrument univers
culés de la voix, nous y démêlerons ce qu’elles ont nécessairement de
commun
, & ce qu’elles ont de propre sous chacun de c
pour y rapporter leurs procédés respectifs. Mais au moyen de ce terme
commun
de comparaison, la communication est établie géné
urement matérielles, & consistent dans un grand nombre de racines
communes
aux deux langues. Mais d’autre part, M. de Grandv
idée principale & l’idée accessoire : l’idée principale peut être
commune
à plusieurs mots de la même espece, qui different
odérés. Voyez Dictionnaire . §. Il. Si les langues ont des propriétés
communes
& des caracteres différenciels, fondés sur la
n trouve de même, dans l’usage qu’elles font de la voix, des procédés
communs
à tous les idiomes, & d’autres qui achevent d
nsi comme les langues different par la maniere de dessiner l’original
commun
qu’elles ont à peindre, qui est la pensée, elles
n second ordre de mots, où toutes les langues ont encore une analogie
commune
& des ressemblances marquées, ce sont les mot
avec de légers changemens dans la plûpart de celles de l’Europe, sont
communs
, dit M. de la Condamine dans sa relation de la ri
ue, & dont l’influence est sensible dans la multitude des racines
communes
à tous les idiomes qui divisent le genre humain ;
une certaine quantité de mots analogues ou semblables, que des causes
communes
quoiqu’accidentelles y auroient établis depuis la
quelque différence. Si la construction analogue est leur caractere
commun
; la langue moderne, par imitation du langage tra
onciation de la pensée est le premier but de la parole, & l’objet
commun
de tous les idiomes : c’est donc le premier rappo
le grec, le latin, l’anglois, l’italien ne produiront que des choses
communes
; le françois produira des miracles sous la plume
Médecine : c’est d’ailleurs, & pour cette raison même, la langue
commune
de tous les savans de l’Europe, & dont il ser
umanité. Si quelqu’autre langue que la latine devient jamais l’idiome
commun
des savans de l’Europe, la langue françoise doit
plus possible d’imaginer un corps de lettres élémentaires qui soient
communes
à toutes les nations ; & les caracteres chino
es d’une même classe une forme analogue, & distinguée de la forme
commune
aux lettres d’une autre classe : par exemple, à n
des mots, sur le seul fondement d’affinité qui résulte de leur nature
commune
: dans ce cas néanmoins la permutation est déterm
r. Glossar. germ. Proleg. sect. 2. §. 20. & 21. Mais elles ont de
commun
avec les trois autres articulations dentales, de
iculations une affinité qui ne peut être que celle de leur génération
commune
. Les articulations linguales que je nomme sifflan
sement réitéré de la langue. Le titre de la dénomination qui leur est
commune
, est aussi celui de leur permutation respective ;
différence des points de vûe accessoires qu’ils ajoûtent à cette idée
commune
, assigne à ces mots des caracteres distinctifs, q
meure empruntée, dit un ancien, festus, verbo metaphoram : ce qui est
commun
& essentiel à tous les tropes. De plus, il y
et, sont appellées lieux communs en rhétorique & en logique, loci
communes
. Le genre, l’espece, la cause, les effets, &c
s, (voyez Inversion & Langue) le lien naturel, & le seul lien
commun
de tous les idiomes. La nature, chez tous les hom
plus ; parce que leurs écarts de l’ordre analytique, qui est la regle
commune
de tous les idiomes, doivent y ajoûter quelque di
voit reçû le nom de grande Grece, magna Graecia, à cause de l’origine
commune
des peuplades qui étoient venues s’y établir ? Ig
négatif. Quin, par apocope, pour quine, qui est composé de l’ablatif
commun
quî, & de la négation ne ; & cet ablatif
onstruction, & à plus forte raison sur les regles générales &
communes
de la syntaxe. Cette provision va paroître immens
es forcent de les livrer, à un certain âge, au train de l’institution
commune
, ce qui peut faire dans ces tendres intelligences
de des langues étrangeres, par la connoissance des principes qui sont
communs
à toutes, & par l’habitude d’en faire l’appli
pas ici sur la méthode de M. Pluche : outre ce qu’elle peut avoir de
commun
avec celle de M. du Marsais, je crois avoir suffi
amp; la forme des verbes, & il y en de deux sortes : les uns sont
communs
aux verbes & aux autres especes de mots décli
e est à un mode direct, soit principale, puisqu’il n’y a rien de plus
commun
que des propositions incidentes dont le verbe est
prit l’idée de l’existence sous un attribut, comme celle d’une nature
commune
à plusieurs individus. Mentir, c’est se déshonor
ntale qui est l’objet de la signification du mot, & qui peut être
commune
à des mots de différentes especes ; la significat
le mot présente à l’esprit l’objet dont il est le signe, laquelle est
commune
à tous les mots de la même espece, & ne peut
& quand elle auroit par elle-même quelqu’obscurité pour la portée
commune
de notre intelligence, faudroit-il renoncer à ce
tre especes de mots doivent donc avoir une signification fondamentale
commune
, au-moins jusqu’à un certain point : une propriét
oins jusqu’à un certain point : une propriété matérielle qui leur est
commune
, suppose nécessairement quelque chose de commun d
érielle qui leur est commune, suppose nécessairement quelque chose de
commun
dans leur nature, & la nature des signes cons
t il semble nécessaire de conclure que la signification fondamentale,
commune
aux quatre especes de mots déclinables, consiste
ntent donc à l’esprit des êtres déterminés ; c’est là le point de vûe
commun
qui leur est propre. Mais les adjectifs & le
s & indéterminés, voyez Identité , & c’est-là le point de vûe
commun
qui est propre à ces deux especes, & qui les
ce qui indique dans les quatre especes une signification fondamentale
commune
: nous avons déja vû qu’elle consiste à présenter
s présentent à l’esprit des êtres déterminés, ce qui constitue l’idée
commune
ou générique de leur essence. Mais par rapport au
L’idée déterminante dans les noms appellatifs, est celle d’une nature
commune
à plusieurs ; dans les noms propres, c’est l’idée
dans les noms génériques, l’idée déterminante est celle d’une nature
commune
à toutes les especes comprises sous un même genre
oms spécifiques, l’idée déterminante est celle d’une nature qui n’est
commune
qu’aux individus d’une seule espece. Animal, homm
s on a rapporté les noms à différentes classes qui ont leur fondement
commun
dans la nature des êtres ; on a pareillement, sou
tems expriment un rapport d’existence à une époque ; c’est là l’idée
commune
de tous les tems, ils sont synonymes à cet égard
piritus, synonymes par l’idée principale qui fonde leur signification
commune
, mais différens par les idées accessoires comme p
ême des tems du verbe, synonymes par l’idée fondamentale qui leur est
commune
, mais differens par les idées accessoires ; chacu
e des prépositions & des adverbes ; voyons encore ce qu’il y a de
commun
entre ces deux especes : l’une & l’autre énon
’on envisage donc la préposition & l’adverbe sous ce point de vûe
commun
, on peut dire que ce sont des mots supplétifs, pu
phe, lupus & agnus venerant. Mais il est aisé de ramener à la loi
commune
les conjonctions de ces exemples : le premier se
ble indiquer d’abord que ces deux sortes de mots ont quelque chose de
commun
dans leur nature ; & ce que nous venons de re
le mot présente à l’esprit l’objet dont il est le signe, laquelle est
commune
à tous les mots de la même espece, & ne peut
ion objective. Communément ils ont dans ce cas, une racine générative
commune
, qui est le type matériel de l’idée fondamentale
caractérisent en même tems la signification formelle. Ainsi la racine
commune
am dans aimer, amitié, ami, amical, amicalement,
, ami, amical, amicalement, est le type de la signification objective
commune
à tous ces mots, dont l’idée fondamentale est cel
sent de la diversité des idées ajoutées à la premiere ; celle qui est
commune
à tous ces mots, est l’idée principale ; & ce
d’une nation, se sont-ils assemblés pour régler dans une délibération
commune
la signification de chaque mot, pour en choisir l
ivisions & subdivisions des consonnes ; & la division la plus
commune
à l’égard des langues modernes, est qu’ils en dis
en & l’espagnol n’en ont pas moins, & en ont quelques-unes de
communes
avec nous ; il y en a en allemand d’aussi choquan
ui présentent à l’esprit des êtres déterminés par l’idée d’une nature
commune
à plusieurs : tels sont homme, brute, animal, don
ité des idées partielles, qui constituent l’idée entiere de la nature
commune
indiquée par les noms appellatifs : par exemple,
nées les unes aux autres, est la compréhension de l’idée de la nature
commune
exprimée par le nom appellatif homme. Par l’étend
ation, on entend la totalité des individus en qui se trouve la nature
commune
indiquée par les noms appellatifs : par exemple,
nicable ; & conséquemment qu’il n’existe point en effet de nature
commune
, telle qu’on l’envisage dans les noms appellatifs
proposition incidente qui énonce un attribut sociable avec la nature
commune
énoncée par le nom appellatif ; par exemple, un h
omen, praenomen, cognomen, & agnomen. Le nom proprement dit étoit
commun
à tous les descendans d’une même maison, gentis,
Rousseau (loc. cit.) « pour ranger les êtres sous des dénominations
communes
& génériques, il en falloit connoître les pro
ition. Ainsi quand on dit : Les savans qui sont plus instruits que le
commun
des hommes, devroient aussi les surpasser en sage
en sagesse ; la proposition incidente, qui sont plus instruits que le
commun
des hommes, n’est point oblique, mais directe, pa
mal. Tintement, tinnitus, tintinnabulum sont des mots dont le radical
commun
tin imite exactement le son clair, aigu & dur
lusieurs noms des choses que l’on peut classifier sous quelque aspect
commun
. « Par exemple, dit M. le président de Brosses,
angue primitive, voyez Langue . C’est assez pour établir des radicaux
communs
à toutes les langues postérieures, mais ce n’est
e cette idée accessoire de subordination & de dépendance, qui est
commune
à l’une & à l’autre, quoique compatible avec
& sur-tout Prosodique . Sur les ponctuations, comme la chose est
commune
à toutes les langues, on trouvera à l’article Po
uriel. Dans les tems composés, il y a toujours quelques mots qui sont
communs
à toutes les personnes : il sera utile de ne les
erticalement. 1°. Cette disposition fera mieux sentir ce qu’il y a de
commun
& de propre à chaque personne. 2°. Comme l’ex
giques n’étant que les résultats de l’usage. S’il y a donc des regles
communes
à toutes les déclinaisons des noms ou des adjecti
quelque autre article, où j’avois besoin d’insister sur ce qu’il a de
commun
avec les adjectifs, sans vouloir perdre de vûe sa
autres, comme l’infinitif en est un autre, caractérise par la nature
commune
des noms. Voyez Infinitif . Priscien donne, à mon
; & l’usage universel, qui s’explique à merveille par l’analogie
commune
des autres modes du verbe, est de mettre l’accusa
ns & sans analogie entre eux, quoiqu’ils portent sur quelque idée
commune
, il ne reste dans les mots que ce qu’il faut pour
il ne reste dans les mots que ce qu’il faut pour caractériser l’idée
commune
, mais la diversité des formations y marque d’une
non équivoque, la diversité des sens individuels adaptés à cette idée
commune
. Ainsi, pour ne pas sortir de la matiere présente
tion, si en effet elle ne désignoit que les especes dont le caractere
commun
est l’indéclinabilité ? « C’est qu’elle ne sert,
éel, parce qu’il n’est plus possible d’assigner un caractere qui soit
commun
à tous ces mots, & qui puisse fonder la dénom
soit commun à tous ces mots, & qui puisse fonder la dénomination
commune
par laquelle on les désigne : & peut-être que
rticules réelles de l’énonciation totale de la pensée. Qu’y a-t-il de
commun
entre ces deux especes ? De désigner, dit-on, une
mot qui n’énonce une pareille affection ; & ils ont un caractere
commun
qui est très-sensible, ils sont tous produits par
ous ceux qui descendent de lui, & c’est ainsi qu’Adam est le pere
commun
de tous les hommes. On a étendu encore plus loin
Une phrase est correcte ou incorrecte, claire ou obscure, élégante ou
commune
, simple ou figurée, &c. une proposition est v
sans aucune nécessité. Je dis d’un usage fréquent ; car rien de plus
commun
que ce tour dans les livres sacrés ; & j’ajou
s inexcusable, que c’est soustraire cette espece de mots à l’analogie
commune
, & en confondre l’orthographe avec celle de l
ui présentent à l’esprit des êtres déterminés par l’idée d’une nature
commune
à plusieurs : cette idée commune a une compréhens
s déterminés par l’idée d’une nature commune à plusieurs : cette idée
commune
a une compréhension & une étendue ; & cet
es indépendantes entr’elles, rendues toutes dépendantes de l’attribut
commun
, se sont enrichis à cette expédition, lequel attr
une conjonction, & que les deux ensemble n’exedent pas la portée
commune
de la respiration, la conjonction suffit pour mar
e & sans hyperbate, & que l’étendue n’en excéde pas la portée
commune
de la respiration ; elle doit s’écrire de suite s
osé les regles les plus générales & qui sont d’une nécessité plus
commune
; parce que quand on en aura compris le sens, la
les toucher au doigt & à l’oeil, comme on dit ; rien ne seroit si
commun
que l’éloquence, un médiocre génie pourroit y att
dépend absolument & uniquement de la maniere de signifier qui est
commune
à tous les mots de la même classe. Voyez Mot . Qu
voyelle (ou par un h muet)… Quelques-uns croient qu’ils sont du genre
commun
, servant toujours au masculin, & quelquefois
e notre langue n’autorise pas à dire que mon, ton, son, sont du genre
commun
. « Je ne puis comprendre, dit l’abbé Girard à ce
tre langue, & qu’il le seroit en effet dans toutes, si la maniere
commune
d’envisager les choses est conforme à la droite r
prétende faire abandonner la considération des idées qui peuvent être
communes
à plusieurs prépositions, & de celles qui les
que ce que je propose a pour but de généraliser encore plus les idées
communes
: & je crois qu’il ne peut être que très-avan
es françois, 3. édit. p. 123. Contre, malgré, nonobstant ont un fond
commun
& des différences caractéristiques, que ce mê
ur, pour & contre, &c. L’opposition suppose toujours un fonds
commun
; & rien n’est plus propre à faire bien sorti
oignées les unes des autres dans le P. Bouhours, ont pourtant un lien
commun
, qu’il n’a pas assez nettement fait sentir. Ce so
tenu seuls dans la grammaire la qualité de noms ; & les noms plus
communs
de moi, vous, lui, &c. se sont appellés prono
ncier les especes de pronoms par les différences mêmes de leur nature
commune
. Il est donc faux de dire que les pronoms ne sont
e cette remarque ne puisse plus entrer en objection contre le système
commun
qui distingue les noms & les pronoms, puisque
chacun d’eux s’y est prété, où chacun est en concordance avec le nom
commun
homme ; on dit d’une maniere absolue en apparence
s profondeurs sont nécessairement abstraites & éloignées des vues
communes
. Plus habet in recessu quàm in fronte promittit.
rentrent dans le même sens. Quant au fond de la doctrine qui nous est
commune
, c’est celle des meilleurs Logiciens ou Métaphysi
hommes, un sujet déterminé par la seule idée de la nature spécifique
commune
à tous les individus de cette espece : la gloire
gion chrétienne, autre sujet déterminé par l’idée unique de la nature
commune
des preuves, restrainte par l’idée d’application
le ; & c’est, dit-il, lorsque, pour abréger, on donne un attribut
commun
à plusieurs objets différens. Malgré l’exactitude
xemple, les hom mes sont mortels, on donne, pour abréger, l’attribut
commun
sont mortels à plusieurs objets différens, &
ts n’est destiné à réunir plusieurs objets différens sous un attribut
commun
, comme l’exige notre grammairien. C’est qu’en eff
: en les comparant entre elles par le sujet, trois auront pour sujet
commun
l’un des deux sujets élémentaires, & partager
ront entre elles les trois attributs ; trois autres auront pour sujet
commun
l’autre sujet élémentaire & partageront de mê
tributs : si on les compare par l’attribut, deux auront pour attribut
commun
le premier attribut élémentaire, deux autres auro
dernieres le dernier attribut ; & les deux qui auront un attribut
commun
partageront entre elles les deux sujets. 1°. Les
vre : almanac, de l’article al, & du grec dorique μὰν, au lieu du
commun
μὴν, qui signifie mois, d’où vient aussi le grec
ν, au lieu du commun μὴν, qui signifie mois, d’où vient aussi le grec
commun
μήνη & le dorique μάνα, lune. Remarquez que j
s élemens de la voix de la maniere la plus simple ; & ce vice est
commun
au q & au k. Priscien en a fait la remarque i
dans toutes les langues à cas, & comme l’exige leur dénomination
commune
de cas par des terminaisons différentes, par des
peut encore arriver que le dernier se trouve assez éloigné du centre
commun
pour n’y avoir plus une relation aussi marquée qu
if, dit la Grammaire générale, (Part. II. ch. ix.) a quelque chose de
commun
avec les autres pronoms, & quelque chose de p
avec les autres pronoms, & quelque chose de propre. Ce qu’il a de
commun
, est qu’il se met au lieu du nom, & plus géné
ar économie), n’est pas un pronom, & n’a avec les pronoms rien de
commun
avec ce qui constitue la nature de cette partie d
ue je le nomme. C’est un adjectif ; voilà ce qu’il a véritablement de
commun
avec tous les autres mots de cette classe : comme
se décompose : par exemple, les savans qui sont plus instruits que le
commun
des hommes, devroient aussi les surpasser en sage
n sagesse, c’est-à-dire, les savans devroient surpasser en sagesse le
commun
des hommes, car ces hommes sont plus instruits qu
donc être placée entre l’antécédent & l’incidente, comme le lien
commun
des deux, ainsi que le sont toujours toutes les a
écédent negocium ; d’où il vient que quis étoit anciennement du genre
commun
, ainsi que les mots qui en sont composés, quisqui
s différens génies des langues, sans penser à les comparer à la regle
commune
, qui est le lien de la communication universelle,
nément la prononciation du z à celle de s dans les mots qui nous sont
communs
avec les Latins, chez qui s avoit toujours la pro
, militis ; pars, partis ; lis, litis, &c. ce changement étoit si
commun
en grec, qu’il est l’objet d’un des dialogues de
e nous pouvons attribuer l’origine de cette prosthèse à notre maniere
commune
de nommer la lettre s que nous appellons esse ; l
le mot présente à l’esprit l’objet dont il est le signe, laquelle est
commune
à tous les mots de la même espece, & ne peut
ui fait qu’ils présentent à l’esprit ou l’idée abstraite de la nature
commune
qui constitue leur signification primitive, ou la
nctives : qu’elle est déterminée à la simple désignation de la nature
commune
dans l’acception spécifique ; à celle de tous les
éloigné de sa signification propre & primitive. Les mots les plus
communs
, & qui reviennent souvent dans le discours, s
mp; in ore sit, Homo sum, humani nihil à me alienum puto. Habeamus in
commune
, quod nati sumus Sénec. ep. xcv. « Il est vrai
n, ou il les différencie par des idées distinctives ajoutées à l’idée
commune
qui les rapproche. De-là la différence que les Gr
laudatus ero ou fuero, j’aurai été loué : c’est pourtant la décision
commune
de presque tous ceux qui se sont avisés de compos
imparfait & plus-que-parfait conditionels, & c’est le système
commun
des rudimentaires. Mais ces deux tems s’employent
roît du moins plus vraissemblable. Les verbes appellés neutres par le
commun
des grammairiens, comme sum, existo, fio, sto, &a
la premiere ne l’est avec l’o qui la précede. J’ajoute que la méthode
commune
me fournit elle-même des armes qui favorisent mon
, en fortifiant la premiere à cause de la seconde. Cette pratique est
commune
à toutes les langues, parce que c’est une suite n
plusieurs mots que nous avons pris des Grecs. Ces mots étant devenus
communs
, & l’usage ayant fixé la maniere de les prono
e fureur qui ne peut souffrir le bien des autres ». Rien n’est plus
commun
, dit là-dessus son commentateur, que d’entendre c
’avoir pas toute la simplicité possible : c’est un défaut qui lui est
commun
avec les usages de toutes les langues, & qui
oms d’indéfinis & de définis employés ailleurs abusivement par le
commun
des Grammairiens, me paroissent assez propres à c
ms que l’on puisse substituer à je loue ; & cette observation est
commune
à toutes les langues dont les verbes se conjuguen
nom général de présens, des trois que je désigne par la dénomination
commune
de prétérits ; qu’il annonce une analogie commune
par la dénomination commune de prétérits ; qu’il annonce une analogie
commune
aux trois tems de chaque espece, mais différente
am & pupugeram, puisqu’ils ont des racines & des terminaisons
communes
: enfin, pungam & pupugero different & pa
Tous les tems où nous avons reconnu pour caractere fondamental &
commun
, l’idée d’antériorité, & dont, en conséquence
especes y est caractérisée par des analogies particulieres, qui sont
communes
à chacun des tems compris dans la même espece. 1°
ompris dans la même espece. 1°. Tous ceux dont l’idée caractéristique
commune
est la simultanéité, & que je comprends, pour
ctive, qu’à la voix passive ; & ils ont tous une racine immédiate
commune
. Présent actif. passif. indéfini. laudo.
ms que je nomme prétérits, parce que l’idée fondamentale qui leur est
commune
, est celle d’antériorité, sont encore simples à l
imples à la voix active ; mais le changement d’inflexions à la racine
commune
, leur donne une racine immédiate toute différente
ts actifs sont également simples, & ont par conséquent une racine
commune
, qui est comme le type de la signification propre
n y fait, pour ajouter à l’idée propre du verbe les idées accessoires
communes
à tous les verbes : ainsi laud est la racine comm
ées accessoires communes à tous les verbes : ainsi laud est la racine
commune
de tous les tems simples du verbe laudare (louer)
quel on pose ensuite tous les divers caracteres des idées accessoires
communes
à tous les verbes. Ces additions se font de manie
nérales se retrouvent par-tout. Ainsi o ajouté simplement à la racine
commune
, est le caractere du présent indéfini qui est le
rbes, ch. ij. art. 1 des tems . La terminaison i ajoutée à la racine
commune
modifiée par l’inflexion qui convient en propre à
en retranchant la terminaison du présent indéfini, il reste la racine
commune
des présens définis ; & qu’en retranchant la
la terminaison du prétérit indéfini, il reste pareillement une racine
commune
aux prétérits définis. 2°. Que les deux tems que
2°. Que les deux tems que je nomme présens définis ont une inflexion
commune
b, qui leur est exclusivement propre, & qui i
t exclusivement propre, & qui indique dans ces deux tems une idée
commune
, laquelle est évidemment la simultanéité relative
à une époque déterminée. 3°. Qu’il en est de même de l’inflexion er,
commune
aux deux tems que j’appelle préterits définis ; q
pelle préterits définis ; qu’elle indique dans ces deux tems une idée
commune
, qui est l’antériorité relative à une époque déte
e prétérit postérieur. Rien ne prouve mieux, ce me semble, l’analogie
commune
que j’ai indiquée entre ces tems, & la destin
rieur, laudaturus, a, um, ero. On voit que le futur du participe est
commun
à ces trois tems ; ce qui annonce une idée commun
ur du participe est commun à ces trois tems ; ce qui annonce une idée
commune
aux trois. Mais laudaturus, a, um est adjectif, &
eram ; Prétérit postérieur, precatus ero. Le prétérit du participe,
commun
aux trois tems, & assujetti à s’accorder en g
propre du verbe, état d’antériorité qui devient dès-lors le caractere
commun
des trois tems. Les trois présens du verbe auxili
ere, nunc sum precans. On voit donc encore ici l’idée de simultanéité
commune
à ces trois tems, & désignée par le présent d
avec celui qui est directement exprimé par le verbe, sous la relation
commune
à la même époque primitve. Quand je dis, par exem
résentées comme antérieures au moment où je parle ; voilà la relation
commune
à une même époque primitive, & c’est la relat
in d’indiquer que l’antériorité fondamentale, qui constitue la nature
commune
de tous les prétérits, est mise en comparaison av
iquer dans la nomenclature des tems du suppositif ; parce qu’elle est
commune
à tous les tems, & que les dénominations tech
contre un système qui renverse en effet la plûpart des idées les plus
communes
& les plus accréditées, qui exige absolument
tenir à la nomenclature ordinaire, au catalogue reçu, & à l’ordre
commun
des tems, notre langue n’est pas la seule à laque
ui contiennent exactement toutes les idées élémentaires qui leur sont
communes
, & celles qui les différencient, à-peu-près c
ant, ce qu’il en pensoit, à M. Bauvin, notre confrere & notre ami
commun
. Après quelques éloges dont je suis plus redevabl
faut d’abord les avoir bien sentis, ensuite maîtriser à un point peu
commun
la langue que l’on veut enrichir de dépouilles ét
re connoître en détail ; ils ont cherché à les grouper sous des idées
communes
, & à rapprocher ces groupes en les liant par
iscours. 4°. « Les tropes rendent le discours plus noble : les idées
communes
, auxquelles nous sommes accoutumés, n’excitent po
res, qui prêtent, pour ainsi dire, des habits plus nobles à ces idées
communes
. Tous les hommes meurent également ; voilà une pe
idées communes. Tous les hommes meurent également ; voilà une pensée
commune
: Horace a dit (1. od. 4.) : Pallida mors oequo p
que les deux expressions considerare & desiderare n’ayant rien de
commun
dans l’idée qu’ils présentent, ni dans l’affectio
m (Bas. Fabri, thesaur. voce gemma). En effet, c’est toujours le plus
commun
& le plus connu qui est le propre, & qui
es termes grand, haut, élevé, qui se disent des rochers d’une hauteur
commune
, n’en feront qu’une peinture imparfaite ; mais si
’oraison sont aussi des mots. Ce genre est restraint à un autre moins
commun
, par la propriété de présenter à l’esprit un être
e garant de cette étymologie : verbum à verberatu aeris dicitur, quod
commune
accidens est omnibus partibus orationis. Priscien
qu’entrevoit l’auteur de la grammaire générale dans la signification
commune
à tous les verbe, & propre à cette seule espe
erses inflexions par des générations régulieres entées sur un radical
commun
; que cette unanimité ne pouvant être le résultat
d’autant plus pondérante, qu’elle porte sur un usage universel &
commun
à toutes les langues connues & cultivées, &am
t un mot déclinable, afin d’indiquer le fondement des formes qui sont
communes
au verbe, avec les noms & les pronoms ; je ve
ive & de la voix passive en général, si on la rapporte au radical
commun
, appartient donc à la dérivation philosophique ;
la diversité des sens accessoires ajoutées à celui de l’idée radicale
commune
. Par exemple, ממז (mésar, en lisant selon Masclef
le p. Buffier (Gramm. fr. n°. 26), dont il soit plus aisé & plus
commun
de se former l’idée, que de l’usage [en général]
’académicien est mieux fondé : l’analogie qu’il consulte est vraiment
commune
à tous les verbes de notre langue ; & il est
ncer avec sa valeur primitive C S, excepté quelques-uns, devenus plus
communs
& adoucis par l’usage ; comme Xavier, que l’o
e à la solution du problème des choses. La philosophie est cette tête
commune
, cette région centrale du grand faisceau de la co
le, chaque branche devint une science indépendante et laissa le tronc
commun
appauvri par ces retranchements successifs. Les f
anchements successifs. Les fruits mûrs, après avoir grandi de la sève
commune
, se détachaient de la tige et laissaient l’arbre
qui n’avaient guère d’autre raison de se trouver réunies sous un nom
commun
que l’impossibilité où l’on était de ranger chacu
articulières avec leurs infinis détails, mais pour en faire le centre
commun
des conquêtes de l’esprit humain, l’arsenal des p
crits de Nicole ne valent pas celui-ci ; il offre beaucoup de vérités
communes
exprimées longuement ; quoiqu’on y sente un philo
; elle est exposée avec une précision élégante & fine. Les choses
communes
ou peu importantes qu’on y trouve, sont mêlées de
quefois fait naufrage. Ainsi ses livres ne pouvant être faits pour le
commun
des lecteurs, nous nous dispenserons d’en rapport
nt fait retrancher quelques Lettres qui sont très-dangereuses pour le
commun
des lecteurs, sans pouvoir être utiles aux lecteu
, onctueuse les ont fait rechercher, & quoiqu’il y ait des choses
communes
, plusieurs lecteurs les prefèrent à tous ses autr
e notre expérience passée est une expérience individuelle et non plus
commune
, parce que nous avons toujours bien des souvenirs
liser, l’atome s’idéaliser, ces deux termes converger vers une limite
commune
, l’univers retrouver ainsi sa continuité. On parl
t que la mécanique étudie n’est qu’une abstraction ou un symbole, une
commune
mesure, un dénominateur commun permettant de comp
qu’une abstraction ou un symbole, une commune mesure, un dénominateur
commun
permettant de comparer entre eux tous les mouveme
er ces moments, et aussi pour les relier ensemble par un fil qui soit
commun
à notre propre existence et à celle des choses, f
i l’on compare les deux hypothèses opposées, on leur découvre un fond
commun
: en faisant du temps homogène et de l’espace hom
par l’idéalisme : 1º entre divers genres de qualités il n’y a rien de
commun
; 2º il n’y a rien de commun, non plus, entre l’é
vers genres de qualités il n’y a rien de commun ; 2º il n’y a rien de
commun
, non plus, entre l’étendue et la qualité pure. No
qualité pure. Nous prétendons au contraire qu’il y a quelque chose de
commun
entre des qualités d’ordre différent, qu’elles pa
es données de l’un des données de l’autre ; elles n’ont pas d’élément
commun
. Et il n’y a rien de commun non plus, par conséqu
es de l’autre ; elles n’ont pas d’élément commun. Et il n’y a rien de
commun
non plus, par conséquent, entre l’étendue, qui es
space et les sensations dans la conscience, ne peut rien découvrir de
commun
entre les modifications ou phénomènes de l’étendu
mage de leurs causes. Sans doute elles remontent toutes à une origine
commune
, qui est le mouvement dans l’espace ; mais justem
e et l’autre dans la théorie de la perception dérivent de ce postulat
commun
. Veut-on en effet, avec Berkeley, que toute perce
’étendu et l’inétendu. Mais si ces deux postulats recèlent une erreur
commune
, s’il y a passage graduel de l’idée à l’image et
comme le vivisectionniste semble au vulgaire dénué de la sensibilité
commune
. Bien loin d’admettre que ces sentiments relèvent
réalablement définis par certains caractères extérieurs qui leur sont
communs
et comprendre dans la même recherche tous ceux qu
s en faisons un groupe sui generis, auquel nous imposons une rubrique
commune
; nous appelons crime tout acte puni et nous fais
e cadre pas toujours ou même ne cadre généralement pas avec la notion
commune
. Par exemple, il est évident que, pour le sens co
t qui, par conséquent, doivent vraisemblablement avoir des caractères
communs
; même, comme il n’est jamais sans avoir eu quelq
s dans lequel nous les prenons. On s’en réfère simplement à la notion
commune
. Or celle-ci est très souvent ambiguë. Cette ambi
nc qu’elle en crée de nouveaux et, pour cela, qu’écartant les notions
communes
et les mots qui les expriment, elle revienne à la
pratique. C’est seulement au-delà, dans la manière dont cette matière
commune
est ensuite élaborée, que les divergences commenc
les, s’ils sont perpétuellement divers par rapport à eux-mêmes, toute
commune
mesure fait défaut et nous n’avons aucun moyen de
onfusément ce mot, il en est qui présentent des caractères extérieurs
communs
. S’il y en a et si le concept formé par le groupe
langue courante. Mais si l’écart est trop considérable, si la notion
commune
confond une pluralité de notions distinctes, la c
mêlé à tout sans s’y confondre, ramené à pleins flots sur le terrain
commun
et poussé vers un terme immense et inconnu, réflé
en effet ; mais elle se fit d’abord un peu à part, et hors de la voie
commune
de la société ; elle se prépara sur les hauteurs
ent général de la société, acquit du moins, pendant cette retraite en
commun
, une conscience distincte et profonde de sa perso
ros de la société se presser confusément au bas, dans la grande route
commune
, où, à part le nom bien cher de Béranger, ne rete
ode nouvelle s’ouvre pour la poésie ; l’art est désormais sur le pied
commun
, dans l’arène avec tous, côte à côte avec l’infat
e américaine dans les institutions et dans les lois écrites ; dans la
Commune
, le Comté, l’État ; dans la constitution particul
, l’extrême division, la courte durée des fonctions publiques dans la
Commune
, créent au sein de chacun de ces petits mondes un
espèces de centralisations : 1° celle qui comprend certains intérêts
communs
à toutes les parties de la nation, tels que la fo
s, venant là chercher asile, s’y réunissant dans certaines nécessités
communes
, dans certains droits primordiaux, et sauf quelqu
des diverses opinions donneront l’exemple d’une union sur un terrain
commun
incontesté, et offriront un concours de bon sens
ns éclatante d’individualités, se détachant ou s’unissant sur un fond
commun
littéraire. Seulement, ici, ce fond est si franch
e, Cantel a fait du syncrétisme, qui n’est pas, croyez-le ! Une chose
commune
qu’en philosophie. En poésie, nous en avons peut-
oreilles, ni le cœur. Cela ne fait pas morsure. Ce n’est, certes ! ni
commun
de couleur ni même commun de sentiment… quand ce
ne fait pas morsure. Ce n’est, certes ! ni commun de couleur ni même
commun
de sentiment… quand ce n’est pas sensuel ; — mais
t pas sensuel ; — mais (et ce sera mon dernier mot cruel)… mais c’est
commun
d’intensité. IV On a dit souvent que la Cri
quand c’est la nature qui les a faits tous deux, il existe un intérêt
commun
, une bienveillance réciproque ; il en est tout di
communauté et de la possession exclusive. Alors la propriété devient
commune
en quelque sorte, tout en restant particulière ;
citoyens en réglera l’emploi, selon le proverbe : Entre amis tout est
commun
. « Aujourd’hui même on retrouve dans quelques cit
personnellement, abandonnent à leurs amis ou leur empruntent l’usage
commun
de certains objets. Ainsi, à Lacédémone, chacun e
rable que la propriété soit particulière et que l’usage seul la rende
commune
. Amener les esprits à ce point de bienveillance r
ions actuelles, et les attribuer tous à ce que la propriété n’est pas
commune
: par exemple, les procès que font naître les con
mes. « Et, en effet, ne voit-on pas les associés et les propriétaires
communs
bien plus souvent en procès entre eux que les pos
’individualiser la propriété en en donnant une portion, ici aux repas
communs
, là à l’entretien des phratries et des tribus. Al
s, par exemple, la propriété sera-t-elle particulière, ou sera-t-elle
commune
? leurs femmes et leurs enfants seront-ils ou ne
ne ? leurs femmes et leurs enfants seront-ils ou ne seront-ils pas en
commun
? « Si les règles de la communauté sont les mêmes
les riches, parce qu’ils possèdent une plus large part du territoire
commun
de la cité et qu’ils ont ordinairement plus de cr
ans la cité. Ce sera leur faire injure que de les réduire à l’égalité
commune
, quand leur mérite et leur importance politiques
mes l’emportaient sur les autres hommes autant que, selon la croyance
commune
, les dieux et les héros peuvent différer des mort
lternative de l’autorité et de la soumission doit nécessairement être
commune
à tous les citoyens. L’égalité est l’identité d’a
ui triomphe de ses ennemis, ne repose sur l’égalité et sur des droits
communs
. Comme il n’est que le prix du combat, le vainque
oient, en vertu de cette seule inégalité, fort au-dessus de l’égalité
commune
. « Telle est la cause générale, et, l’on peut di
, les mots peuvent être groupés en familles et rapportés à une racine
commune
. Le développement des idiomes suppose donc aussi
sexes ? La division physiologique du travail apparaît chez le polype
commun
; c’est un progrès. De même une société moins gro
fs et ses juges animés d’une même pensée et obéissant à une impulsion
commune
. IV Voilà, en quelques mots, comment la loi
s ses applications) aux raisonnements et habitudes d’esprit de la vie
commune
. La doctrine de l’évolution, au contraire, montre
? Mais toute connaissance est organisée plus ou moins ; mais les plus
communes
dans le ménage supposent des faits recueillis, de
la distinction entre la connaissance scientifique et la connaissance
commune
n’est point justifiable. Si elles ne diffèrent pa
ue la science, par son processus d’évolution, sort de la connaissance
commune
, de celle que nous donnent la raison et les sens
nt la raison et les sens réduits à eux-mêmes ; et que la connaissance
commune
sort elle-même des simples perceptions, la genèse
rien que de l’abandon, et ne peut se défier du calcul ; mais qu’a de
commun
le jeu piquant de la coquetterie et le sentiment
la beauté, par l’espoir ou la certitude de la captiver ; mais qu’a de
commun
ce genre d’impression et le sentiment de l’amour
n’ai voulu traiter dans cet ouvrage que des passions ; les affections
communes
dont il ne peut naître aucun malheur profond, n’e
, l’animeront de leur esprit dans toutes ses déductions sur la nature
commune
des nations. 1-22. Axiomes généraux 1-4.
chez des peuples inconnus les uns aux autres, doivent avoir un motif
commun
de vérité. Grand principe, d’après lequel le sens
mées jusqu’ici du droit naturel des gens ; droit qui, selon l’opinion
commune
, serait sorti d’une nation pour être transmis aux
s, ambassades, alliances, relations de commerce, ce droit fut reconnu
commun
à tout le genre humain. 14. La nature des choses
22. Il existe nécessairement dans la nature une langue intellectuelle
commune
à toutes les nations ; toutes les choses qui occu
r elle, les philologues pourront se faire un vocabulaire intellectuel
commun
à toutes les langues mortes et vivantes. 23-1
rmes nées chez des peuples inconnus entre eux, doivent avoir un motif
commun
de vérité, vous trouverez un grand principe, c’es
offenses et redresser les torts particuliers ; ce défaut de lois est
commun
à tous les peuples barbares. En effet les peuple
nné par la coutume, est né des mœurs humaines, résultant de la nature
commune
des nations. Ce droit conserve la société, parce
cularisé (individuatum, comme dit l’école) ; dans ce sens, certum, et
commune
, sont très bien opposés entre eux. La certitude e
genre humain concernant les choses dont l’utilité ou la nécessité est
commune
à toute la nature humaine. Le pyrrhonisme détruit
nsions. Toutes les géométries que j’envisageais avaient ainsi un fond
commun
, ce continuum à trois dimensions qui était le mêm
lidien ; mais les deux espaces euclidien et non-euclidien ont un fond
commun
, c’est ce continuum amorphe dont je parlais au dé
ndre ; à part cela, on ne voit pas bien ce qu’ils pourraient avoir de
commun
. Mais, étant donné un objet, on peut concevoir pl
corriger un même changement externe. À part cela, elles n’ont rien de
commun
. Considérons maintenant deux changements externes
sphère mi-partie jaune et verte ; ces deux changements n’ont rien de
commun
puisque l’un se traduit pour nous par le passage
éries de changements internes S et S″ ; ils n’auront non plus rien de
commun
. Et cependant je dis que α et β correspondent au
es deux sensations, qualitativement différentes, ont quelque chose de
commun
. Or, d’après les considérations exposées dans le
ue ces deux sensations de qualité différente avaient quelque chose de
commun
; nous n’aurions pu en dégager ce qui leur donne
l, on rencontre en effet nombre de nuances et de variétés. Or l’idéal
commun
, qui s’exprime dans la loi, dans la coutume, dans
nger. Cet antagonisme engendre un défaut de convergence dans l’effort
commun
, et ce dommage, ainsi que chez l’individu, se tra
ction et un privilège. De même les tribuns et les consuls n’eurent de
commun
que le nom avec ceux de la Rome républicaine. L’i
l’œuvre des conteurs français du moyen âge, et le thème des épopées,
commun
au pays de race franque, germanique et normande,
personnalité et la neutralité de ces études. Il est du reste un fonds
commun
à l’homme et au poète, une somme de vérités moral
me à l’indifférence des plus intelligents ; moralistes sans principes
communs
, philosophes sans doctrine, rêveurs d’imitation e
té. Et maintenant la science et l’art se retournent vers les origines
communes
. Ce mouvement sera bientôt unanime. Les idées et
ngue merveilleuse ont disparu sous des formes pénibles, traînantes et
communes
, et dont il faut faire justice dans un sentiment
médiocrement, et toutes ces périphrases didactiques, n’ayant rien de
commun
avec l’art, me démontreraient plutôt que les poèt
tachées si étroitement à l’œuvre homérique par le lien des traditions
communes
, si elles réunissaient au même degré l’ordre, la
u Vrai, car il contient la vérité divine et humaine. Il est le sommet
commun
où aboutissent les voies de l’esprit. Le reste se
ices, vastes esprits venus pour s’assimiler les germes épars du génie
commun
, en font sortir des théogonies, des épopées, des
lle nous inspire puisse nous relier énergiquement dans une exaltation
commune
et durable. Cependant, voici que la France du dix
te admiration sont de trois sortes : les idées appartiennent au fonds
commun
; la langue dans laquelle elles sont exprimées n’
éral va d’instinct aux choses dont le relief ne dépasse pas le niveau
commun
. J’entends parler ici d’un public choisi, lettré,
s individuel, se dégageant de haute lutte, et par bonds, des entraves
communes
, toujours plus certain du but marqué, embrassant
il touche aux choses épiques, c’est avec une force et une hauteur peu
communes
. L’auteur de la Dryade et de Symétha, dont il fau
onné aux cinq morceaux qui suivent. L’Antiquité homérique n’a rien de
commun
avec la Dryade, Symétha, la Somnambule et le Bain
cœur aux applaudissements de la critique. Auguste Barbier n’a rien de
commun
, assurément, avec cette lie des poètes. Ce n’est
nation de tout un peuple, vastes esprits où les germes épars du génie
commun
se réunissent et se condensent en théogonies et e
che lui manque, et il arrive que les esprits, avides d’une discipline
commune
, s’imposent bientôt d’étroites règles, souvent ar
; de ceux qui, se dégageant de haute lutte et par bonds des entraves
communes
, embrassent de jour en jour une plus large sphère
présentatives se rencontrent souvent et s’entremêlent sur les limites
communes
de leurs stations ; et, à mesure que les unes dev
iennent de plus en plus rares, les autres se montrent de plus en plus
communes
, jusqu’à ce que l’une remplace complétement l’aut
bitat. D’après ma théorie, ces espèces alliées descendent d’un parent
commun
, et, pendant le cours du procédé de modification,
espèces dans une vaste région, on voit qu’en général elles sont très
communes
sur une certaine étendue de territoire aux confin
erve Alph. De Candolle, combien la disparition d’espèces alpines très
communes
est quelquefois soudaine. E. Forbes a pu faire en
mes plus rares qui existent en plus petit nombre. Les formes les plus
communes
doivent donc toujours tendre à l’emporter dans le
6. C’est, je crois, d’après le même principe que les espèces les plus
communes
dans chaque contrée présentent, en moyenne, un pl
res entre ces diverses espèces représentatives, ainsi que leur parent
commun
, doivent avoir existé antérieurement dans l’une q
quoiqu’un peu moins fort et moins droit que chez l’espèce européenne
commune
, il peut cependant lui permettre de perforer le b
latoire, tout enfin m’assure de son étroite parenté avec notre espèce
commune
; cependant, non seulement d’après mes propres ob
jà de nombreuses extinctions d’espèces. Il en est de même d’un organe
commun
à tous les membres d’une grande classe ; car, en
e chez ces derniers aux tendances héréditaires léguées par un ancêtre
commun
, et son absence chez tous les autres à l’atrophie
vent presque aucune ressemblance de structure à l’héritage d’ancêtres
communs
. Bien qu’en des cas fréquents il soit très diffic
ou de la Chauve-Souris, qui sont un héritage d’un ancien progéniteur
commun
, ont été autrefois chacun d’une utilité plus spéc
ivent tendre constamment à restreindre le nombre et l’habitat de leur
commune
souche mère dans la zone de plus en plus étroite
ithoïdes, très proches parentes, puisqu’elles dérivaient d’une souche
commune
, ou du moins d’individus de même classe transform
iques chez quelques espèces seulement depuis un ou plusieurs ancêtres
communs
plus ou moins reculés. Outre que les organes élec
elette des vertébrés terrestres à respiration aérienne est l’héritage
commun
qu’ils doivent au premier vertébré inconnu qui qu
me moraliste, que de vues sur les passions en général, sur les traits
communs
et sur les diversités des caractères et quelle ab
le leçon donnée par un esprit supérieur et impartial à tant d’esprits
communs
et violents qui s’arrogeaient la sagesse et la ce
onserve saine et sauve la moralité des actions. Cette disposition est
commune
à tous les bons esprits de ce temps tous, en prés
les mieulx prises, je ne sçais pas les employer, mauvais prescheur de
commune
. » C’est toucher droit à Cicéron, dont la gloire
t exprimé les raisons premières et plus aisées, celles qui forment le
commun
des hommes, et d’avoir été excellent prescheur de
i forment le commun des hommes, et d’avoir été excellent prescheur de
commune
. Montaigne préférait les subtilités de Sénèque, q
pensées particulières qu’à faire part aux autres de ce qu’il sent en
commun
avec tous. Il n’a pas de goût pour les choses arr
tude et excès de jeunesse. Le goût, c’est encore le sentiment du vrai
commun
à tous ; or, à ces deux époques, comme on ne croi
à tous ; or, à ces deux époques, comme on ne croit pas à des vérités
communes
à tout le monde, on ne peut pas avoir de goût. Ch
s d’autant moins à les trouver en nous, que la pensée de les avoir en
commun
avec un homme supérieur nous en atténue le tort.
du temps aux études profanes et aux lettres, et où l’on rédigeait en
commun
de très bons écrits. Mais, bien que la fondation
es auteurs. Ce que je note ici, c’est qu’une institution qui nous est
commune
avec toutes les nations littéraires de l’Europe m
la compagnie, et, du sacrifice des vanités individuelles à une raison
commune
, faisant sortir des actes pleins de sagesse et d’
s décisions que prit successivement l’Académie, pour que le sentiment
commun
prévalût toujours sur le sentiment particulier, e
tir, là où la supériorité n’était que la plus grosse part de la tâche
commune
. Les solitaires ne se surpassaient pas les uns le
t pas faire tort à un écrit, en le retouchant au profit des doctrines
communes
ou de la paix chrétienne. C’est ce que ne doit pa
là non l’intérêt passionné qu’un écrivain met à défendre une croyance
commune
, mais la vanité qui y trouve une occasion, ou le
ans l’exil. Mais ces différences ne servaient qu’à faire les affaires
communes
, et les caractères n’étaient que des aptitudes pa
d, faisaient le désespoir de Nicole. Tout en combattant pour la cause
commune
, il parlait sans cesse de paix, de repos. « Vous
’est le ton d’un de ces pieux entretiens de direction spirituelle, si
communs
au dix-septième siècle, ou de quelque conversatio
tif qui dicte, des plumes particulières qui écrivent, une révision en
commun
qui arrête le travail ? Respectons un anonyme qui
l’on nous fait voir les lois du langage dans la raison même, qui est
commune
à tous les hommes, quels que soient les diversité
même que les lois qui la gouvernent, s’accordent mieux avec l’opinion
commune
de l’immutabilité des espèces, ou avec celle, de
groupe vaincu, parce que généralement des formes alliées héritent en
commun
des mêmes infériorités. Du reste, que les espèces
sez proche-alliées, parce qu’elles posséderont quelque désavantage en
commun
. Il me semble donc que le mode d’extinction des e
contrée. Enfin, lors même que les quelques espèces fossiles qui sont
communes
au vieux monde et au nouveau seraient retranchées
e variétés fournies par les plantes dominantes, c’est-à-dire les plus
communes
et les plus répandues dans le monde, qui sont pro
es victorieuses, étant généralement alliées en groupes par l’héritage
commun
de quelques causes d’infériorité, au fur et à mes
tre des genres appartenant à des familles différentes. Le cas le plus
commun
, surtout à l’égard des groupes distincts, tels qu
mère A, formeront un ordre ; car tous auront hérité quelque chose en
commun
de cet ancien progéniteur. D’après le principe de
, à beaucoup près, autant qu’ils l’ont fait depuis, des caractères du
commun
progéniteur de l’ordre. C’est pourquoi divers gen
tile de chercher des animaux réunissant les caractères embryogéniques
communs
à tous les vertébrés, jusqu’à ce que des formatio
rment, les espèces des groupes les moins vigoureux, ayant hérité d’un
commun
progéniteur certains désavantages, tendent à s’ét
ion, et, par conséquent, plus elle doit avoir de ressemblance avec le
commun
progéniteur du groupe, depuis devenu successiveme
on. — XI. Effets de sélection naturelle sur les descendants d’un père
commun
, résultant de la divergence des caractères et des
s dans quelques Légumineuses et sur le revers des feuilles du Laurier
commun
. Cette liqueur, quoique en très petite quantité,
icularité de structure. Ainsi, les tubes des corolles du Trèfle rouge
commun
et du Trèfle incarnat (Trifolium pratense et T. i
tteindre le nectar du Trèfle incarnat, mais non celui du Trèfle rouge
commun
, qui n’est visité que par les Bourdons. Si bien q
coup d’hommes, sans avoir l’intention d’altérer la race, ont un idéal
commun
de perfection et que tous s’efforcent de se procu
dans chacun d’eux. Il est vrai qu’alors il y aurait sur leurs limites
communes
des croisements fréquents entre ces variétés nouv
donné. Cela résulte, du reste, de ce fait : que les espèces les plus
communes
sont celles qui offrent le plus grand nombre de v
XI. Effets de la sélection naturelle sur les descendants d’un parent
commun
, résultant de la divergence des caractères et des
rand nombre de variétés. Nous avons vu aussi que les espèces les plus
communes
et les plus répandues varient plus que les espèce
es rares dont la station est très limitée. Que A soit donc une espèce
commune
, variable, très répandue dans une vaste station e
à-dire m2 et s2, plus différentes l’une de l’autre que de leur parent
commun
, A. On pourrait continuer la série à l’infini par
n’en produisant aucune. Ainsi les variétés ou descendants modifiés du
commun
parent A iront toujours s’accroissant en nombre e
iations divergentes. Comme tous les descendants modifiés d’une espèce
commune
, très répandue et appartenant à un grand genre, t
ement, mais peut-être inégalement, l’une de l’autre et de leur parent
commun
. Si nous supposons que la somme des modifications
t, nous avons encore supposé que les deux espèces A et I étaient très
communes
et très répandues, de sorte qu’elles doivent en p
groupe est une preuve que les espèces qui le composent ont hérité en
commun
quelque avantage d’un commun ancêtre. La lutte, p
s espèces qui le composent ont hérité en commun quelque avantage d’un
commun
ancêtre. La lutte, pour la production de descenda
u de Lièvres, qui descendent, je dois le faire remarquer, d’un parent
commun
dont les caractères sont inconnus, ont la queue o
, ou même les genres distincts. Nous avons vu que ce sont les espèces
communes
, très répandues dans de vastes et nombreuses régi
emplie d’empoisonnemens, d’assassinats, ni des évenemens tragiques si
communs
en France sous les derniers Valois. Qu’on ne dise
e qui rencontrent toujours assez d’occasions d’extravaguer, sont plus
communs
que dans d’autres. C’est établir la difference de
fessent les arts liberaux avec un talent chetif, sont même devenus si
communs
, qu’il est des gens assez bizarres pour penser qu
pourrait-on trouver un poisson, un coquillage ou un crustacé qui fût
commun
à l’une et à l’autre ; et cependant elles ne sont
imitée. Bien qu’à peine un coquillage, un crustacé ou un poisson soit
commun
aux trois faunes dont je viens d’indiquer approxi
riental jusque dans la mer des Indes, et beaucoup de coquillages sont
communs
aux îles orientales de l’océan Pacifique et aux c
nts séparés, pourquoi ne trouvons-nous pas un seul mammifère qui soit
commun
à l’Europe et à l’Australie ou à l’Amérique du Su
n même genre, qui, d’après ma théorie, devaient toutes descendre d’un
commun
progéniteur, peuvent avoir émigré, en se modifian
d’hérédité avec les habitants de ce continent. De semblables cas sont
communs
; et, comme nous le verrons mieux un peu plus loi
e les racines de ces arbres échoués. Ces pierres sont cependant assez
communes
pour rapporter aux petits rois du pays un droit i
décroissante de la période pliocène, aussitôt que les espèces, alors
communes
aux deux mondes, commencèrent leur mouvement d’im
lgues ; car le docteur Hooker m’a informé que vingt-cinq espèces sont
communes
à la Nouvelle-Zélande et à l’Europe, mais n’ont p
les plantes phanérogames, au nombre d’environ quarante-six, qui sont
communes
à l’Europe et à la Terre-de-Feu, vivent aussi dan
culières et très distinctes ont émigré en rayonnant de quelque centre
commun
, et je suis incliné à supposer que, dans l’hémisp
de cette manière, prendre une nuance toute particulière qui leur est
commune
entre elles. Sir Ch. Lyell, dans des pages remarq
spécifique. Par les termes de parenté, d’ancêtres ou de progéniteurs
communs
, il ne faut pas entendre nécessairement un même i
rêmement rare. Il doit donc être beaucoup plus fréquent que l’ancêtre
commun
d’une espèce soit, non pas un seul couple ou un s
réversion aux caractères des mêmes aïeux, ce qui suppose une origine
commune
. Il en est de même de l’ordre, il en est de même
te homogénéité sur toute leur circonférence, de sorte que leur centre
commun
de gravité dût coïncider avec leur centre de figu
s nations ne sont pas les seules collectivités qui existent. Un désir
commun
réunit en ira groupe homogène des hommes animés d
ité, traduit une de ces attitudes, autres que nationales, et qui sont
communes
pourtant à un grand nombre d’êtres entre lesquels
instinctive à faire ou à ne pas faire, en une inclination naturelle,
commune
à tous ceux du groupe et qui les met au point de
forme religieuse. Empruntée directement à l’idée chrétienne, élément
commun
à toute civilisation occidentale, l’idée humanita
les distinctions ethniques, celles qui proviennent du long habitat en
commun
dans un même lieu de l’espace, d’une même traditi
me lieu de l’espace, d’une même tradition historique et morale, d’une
commune
nécessité de réagir contre un ensemble déterminé
ant été créée, à travers le cours des siècles, que par un long effort
commun
. L’idéal humanitaire et cosmopolite est donc bien
stinctes de l’Inde, de la Grèce et de Rome vivaient sur un territoire
commun
, quelle fut donc la croyance, également accrédité
nt toujours de mâle en mâle, ils se trouvaient ont avoir des ancêtres
communs
». Ce que l’on veut montrer ici, avec ces deux co
qu’elles soient famille, armée ou club, les sociétés ont ce caractère
commun
qu’il existe entre leurs éléments plus ou moins d
culières pensent à l’unisson. Responsabilités collectives, propriétés
communes
, autorité sociale despotique, activités individue
leur égalitarisme, et que celles, où les individus n’ont plus rien de
commun
sont aussi celles où il y a le plus de chances po
e possible que par leur accord préalable, par une volonté de vivre en
commun
qui leur fait préférer à la lutte anarchique les
individualités qui s’entendent, c’est-à-dire qui ont quelque chose de
commun
. Tocqueville relève justement la nécessité de cet
tre : « distingués » s’empressent de la quitter dès qu’elle devient «
commune
». — Mais c’est cette variabilité même des modes
sses les plus civilisées aux autres, celles du « monde » à celle du «
commun
», on nous dira, suivant les points de vue, tantô
oles, que les artistes, divisés sur tout, n’ont plus qu’un parti pris
commun
, celui de l’individualisme148. Le mouvement des c
personnelles. — si bien qu’on a pu dire, en un sens, qu’une seule foi
commune
nous reste, la religion de l’individu149. En un m
i veulent connaître l’histoire de leur foi, les occupations de la vie
commune
, l’insuffisance de l’éducation, ne leur permetten
s humaines que Bourdaloue condamne les riches, c’est au nom du maître
commun
des riches et des pauvres ; la misère de ceux-ci
aloue est d’un temps où la critique proposait aux auteurs, pour idéal
commun
à tous les ouvrages d’esprit, la raison. Un peu a
, exacte en perfection, mais timide. Il ne rejetait point les pensées
communes
, dit le Père Bretonneau70 ; mais les pensées comm
int les pensées communes, dit le Père Bretonneau70 ; mais les pensées
communes
accablent les langues de termes dépréciés et effa
u-dessus du travers de rendre extraordinaires par les mots les choses
communes
. Croyant ces choses communes utiles à son propos,
extraordinaires par les mots les choses communes. Croyant ces choses
communes
utiles à son propos, il ne voulait pas avouer, en
e trouverait à y redire, on se heurte, dans Massillon, à deux défauts
communs
à tous les rhéteurs dans toutes les langues, l’im
e, comme science de l’homme et comme règle des mœurs, est le principe
commun
aux immortels devanciers de Vauvenargues. La guer
ans les conseils de charité que nous insinue le doux Nicole, le trait
commun
, c’est que les passions y sont traitées en suspec
rine glissante, et peut-être le seul disciple inconséquent de l’école
commune
. Dans sa critique, il n’est pas seulement meilleu
t Pascal et Bossuet, il fait des distinctions jusque dans leur gloire
commune
, la plus haute où se soient élevés, dans les chos
u détriment de Pascal et de Fénelon. Je touche à ce qui fut l’honneur
commun
de Vauvenargues et de Voltaire : c’est cette amit
eraient-ils d’être beaux ? — Non. — Et la machine, lorsqu’elle serait
commune
, elle ne serait pas plus belle que les tableaux.
e à tableaux ? — Il est vrai ; mais la machine Raphaël n’a jamais été
commune
; mais les ouvrages de cette machine ne sont pas
is été commune ; mais les ouvrages de cette machine ne sont pas aussi
communs
que les feuilles de chêne ; mais par une pente na
t répété cent fois l’épithète de beau, et je remarquais que cet éloge
commun
s’adressait à des objets tous divers. L’abbé, lui
étaux ; cependant vous m’avouerez qu’il n’y a aucune qualité physique
commune
entre ces êtres ; d’où vient donc le tribut commu
qualité physique commune entre ces êtres ; d’où vient donc le tribut
commun
? — Je ne sais, et vous m’y faites penser pour la
e votre panégyrique vient, cher abbé, de quelques idées ou sensations
communes
excitées dans votre âme par des qualités physique
ez vos oreilles aux cris, spectateur peut-être désespéré d’un malheur
commun
à tant d’êtres chéris, peut-être hazarderez-vous
de la morale ?… je le crois… mais Poliphème qui n’eut presque rien de
commun
dans son organisation avec les compagnons d’Ulyss
y a dans l’exercice de la raison, et même des sens, quelque chose de
commun
à tous et quelque chose de propre à chacun : cent
e à chacun : cent têtes mal faites, pour une qui l’est bien. La chose
commune
à tous est de l’espèce, la chose propre à chacun
la chose propre à chacun distingue l’individu. S’il n’y avait rien de
commun
, les hommes disputeraient sans cesse et n’en vien
et qu’on ne se tue. -l’imagination et le jugement sont deux qualités
communes
et presque opposées. L’imagination ne crée rien,
fait les deux mêmes vers sur le même sujet n’ont eu aucune sensation
commune
; et si la langue avait été assez féconde pour ré
tout diversement ? — Fort bien, l’abbé. — Il n’y aurait pas eu un mot
commun
dans leurs discours. — À merveille. — Pas plus q
dans leurs discours. — À merveille. — Pas plus qu’il n’y a un accent
commun
dans leur manière de prononcer, une même lettre d
l’idiôme individuel était parlé en même temps que la langue pauvre et
commune
; c’est que la variété de la première de ces lang
réels de notre être sont nos événements. IV. Le caractère distinctif,
commun
à tous ces événements, est d’apparaître comme int
éminence. — Effet de ce parcours rapide. — Dégagement d’un caractère
commun
à tous les éléments successifs de la série. — Idé
aul et les autres hommes sont comme moi. De plus, outre ces capacités
communes
à tous les hommes, j’en ai qui me sont particuliè
sons en un groupe et en un faisceau toutes les capacités et facultés,
communes
ou propres, qui se rencontrent en lui, et nous sa
est de même dans tous les autres cas, que l’on considère une faculté
commune
à tous les hommes ou une faculté propre à un indi
attribue. Or, tous les événements que je m’attribue ont un caractère
commun
; ils m’apparaissent comme intérieurs. Prenons d’
nements, et, à l’analyse, ces événements présentent tous ce caractère
commun
qu’ils sont déclarés internes, soit parce qu’à ti
tions et la vitesse ; rien ne surnage du parcours, sinon un caractère
commun
à tous les éléments parcourus, la particularité q
avons logé chaque groupe dans un compartiment distinct et sous un nom
commun
, ici les sensations, là les perceptions extérieur
s souvenir, de vouloir, de contracter nos muscles. Outre ces pouvoirs
communs
à tous les hommes, chacun de nous découvre en lui
tions plus une complémentaire, tous ces événements ayant un caractère
commun
et distinctif, celui d’apparaître comme internes.
ire, les particularités de nos événements s’effacent, qu’un caractère
commun
à tous les éléments de la file prédomine, se déga
qui séparent un homme des autres ; ne conservez de lui que la portion
commune
à lui et aux autres. Ce reliquat est l’homme en g
qui constitue la société nouvelle ; il faut que, dans les résolutions
communes
, il intervienne pour sa part. Il ne s’est engagé
un jugement ordinaire est le jeu d’une mécanique compliquée, l’œuvre
commune
et finale437 de plusieurs millions de rouages qui
nts du territoire, quand, au nom de la souveraineté du peuple, chaque
commune
, chaque attroupement se croira la nation et agira
it entre eux et lui des litiges, et, « comme il n’y a aucun supérieur
commun
qui puisse prononcer entre eux et lui », ces liti
t égard ils ne font proprement que changer de nom et qu’ils auront en
commun
, sous le nom de citoyens, la même autorité sur le
e pour lui en donner une relative, et transporter le moi dans l’unité
commune
, en sorte que chaque particulier ne se croie plus
À cinq ans, tous les enfants seront enlevés à la famille et élevés en
commun
aux frais de l’État d’une façon uniforme. » On a
creusant au-dessous de ces trois hypothèses, je leur découvre un fond
commun
: elles tiennent les opérations élémentaires de l
ons notre connaissance, on ne trouve aucun rapport concevable, aucune
commune
mesure. Maintenant, en approfondissant ces deux f
on nécessaire de ce qui vient s’y placer. Et en approfondissant cette
commune
hypothèse à son tour, on trouve qu’elle consiste
é sans discussion par l’un et par l’autre, qui leur servait de limite
commune
. En résumé, si nous supposons une continuité éten
s de notre corps. Et c’est pourquoi la surface de notre corps, limite
commune
de ce corps et des autres corps, nous est donnée
ar quel moyen elles réussissent à y constituer une expérience stable,
commune
à tous les hommes. C’est au contraire de cette ex
ndraient se projeter dans l’espace, on ne trouvera évidemment rien de
commun
entre cette matière et cette conscience, entre le
vement abstrait que la mécanique étudie et qui n’est, au fond, que la
commune
mesure des mouvements concrets. Comment ce mouvem
sciné : il se réalise tel qu’il se veut jusqu’au moment où la réalité
commune
contredit son pouvoir de réalisation individuelle
été apprêté et distribué dans la notion. V À côté de cet état,
commun
à tous les hommes, où la tendance à se concevoir
œuvres des autres. De son incompétence à l’égard des tâches les plus
communes
il a su conclure à un raffinement qui ne le desti
s ne diffèrent pas entre eux par leurs opinions qui sont marchandises
communes
, mais par les raisons, selon qu’elles sont superf
commande d’éviter les contacts. À professer des opinions à la portée
commune
sur des sujets accessibles à tous, il risquerait
t un geste, une coiffure, c’est un port de tête, un mot, une piété en
commun
pour un nom d’artiste nouveau ou oublié, et ce si
pes absolument distincts, des espèces irréductibles à quelque ancêtre
commun
, créations successives d’un Dieu modelant les êtr
nt et du sujet pensé, chercherait une unité plus profonde, une action
commune
à l’esprit et aux choses, un processus universel
montrer dans cette « volonté de vivre » qui, selon lui, fait le fond
commun
de tous les êtres, la vraie origine de nos idées
ailles serait battu, et serions-nous à la discrétion des hommes de la
Commune
? Heureusement que j’entends bientôt un bruit de
aux : les locataires démocrates se hâtant de profiter du décret de la
Commune
sur les loyers. Pas de groupe sous le lampadaire
soir, sur le boulevard, les glapissements de la vente du Soir, de La
Commune
, de La Sociale, enfin de La Montagne, qui annonce
uatre corbillards, flanqués de drapeaux rouges, et des délégués de la
Commune
entrent réclamer des cadavres, pour servir d’esco
renfort de trois cents hommes. La conciliation entre Versailles et la
Commune
, une conception de benêt ! Mardi 11 avril U
naillerie. Cette affiche, c’est le fin fond du programme secret de la
Commune
! Et ne vois-je pas déjà ses hommes assis, avec l
boulevard, et disant tout haut, en regardant nos villas : « Quand la
Commune
sera fondée, nous serons joliment bien, là-dedans
ssé vacant par un de mes cousins, rue de l’Arcade. Les affaires de la
Commune
vont-elles mal ? Je suis étonné d’assister aujour
t le passage Jouffroy, je suis surpris d’entendre des cris : À bas la
Commune
! Les gardes nationaux interviennent. Une voix de
de stentor leur crie dans la figure : Vive la République et à bas la
Commune
! Et du balcon de Burty, j’entrevois une rixe, au
et moqueur. Mercredi 26 avril Oui, je persiste à le croire, la
Commune
périra, pour n’avoir pas donné satisfaction au se
uissance incontestable. Les franchises municipales, l’autonomie de la
Commune
, etc., etc. : tout le nuage métaphysique dans leq
ement défendu par le gouvernement de la Défense nationale. Si donc la
Commune
, au lieu de se montrer plus complaisante aux exig
dans une reprise à outrance de la guerre. En tous cas, la mort de la
Commune
, dans ces conditions, eût été une grande mort, un
aite, en présence de ses élèves, par un délégué et une déléguée de la
Commune
. Or, le délégué est un peintre en bâtiment, et la
le plus topique témoignage de la confiance qu’inspire à l’Argent, la
Commune
. Mercredi 3 mai Des femmes de coiffeurs, il
es aux discussions colères, où tout homme qui discute les actes de la
Commune
, est traité de mouchard — un mot qui fait assassi
ckind a beaucoup parlé. Il s’est animé au sujet de la politique de la
Commune
. Tout à coup son langage se brouille et se hollan
ts. Ici — je veux être impartial — monte à la tribune un membre de la
Commune
, en costume de la garde nationale, et qui parle b
t pouvoir être sûr de lui rembourser, ce dont on le dépossède, que la
Commune
n’est pas un gouvernement de spoliation, qu’il es
’a précédé, qui répandent dans le public l’idée, que les hommes de la
Commune
sont des partageux, et que tout individu qui a qu
elle phrase, ou simple, ou éloquente, ou indignée. Ces jours-ci, à la
Commune
, Lefrançais demandait que les secrétaires vouluss
mérite vraiment ni clémence ni merci. Aujourd’hui, ce qui reste de la
Commune
, du Comité de Salut Public, serait remplacé par d
t des ordres. Pas, sur toute la ligne des boulevards, un membre de la
Commune
ceint de son écharpe. Un artilleur ahuri promène
lère et frappant de son poing fermé, le cou de son cheval, un gros et
commun
officier de la garde nationale, superbe dans son
esqu’île de Gennevilliers. Par le vent de ce soir, les affiches de la
Commune
, qu’on vient d’arracher des murs, font sur le pav
de renouer des relations, de reprendre les travaux de l’intelligence
communs
aux deux nations. Et sa lettre finit par une phra
it aujourd’hui cruellement sentir. La guerre, le siège, la famine, la
Commune
: tout cela avait été une féroce et impérieuse di
onduit à la fin sous un plein soleil, à la ferme, où l’on cause de la
Commune
. Eudore Soulié, le dévot de Louis XIV, nous fait,
cette ambassade chinoise, tombée au milieu de notre siège et de notre
Commune
, dans notre cataclysme, et à laquelle on disait,
esque pas d’histoire… mais c’est toujours comme ça… et le siège et la
Commune
: c’est l’histoire normale de l’humanité. » Il me
ns le 99e bataillon de la garde nationale ; il y est resté pendant la
Commune
, a eu le bonheur d’être envoyé à Vincennes, n’a d
in la ressemblance de son nom, avec un nommé Outhier, un membre de la
Commune
de Lyon ? Le troisième jour, au soir, dans un ran
rre et doit tout à une communication d’en haut. Son chant n’a rien de
commun
avec les sentiments et les pensées des hommes ; i
ent la conscience des nécessités qui pèsent sur la volonté, des idées
communes
qui dominent leur pensée, des forces générales qu
en jacqueries, en révolutions avortées comme celle que tentaient les
communes
de Paris et de France sous la direction d’Étienne
barbare et le droit romain, l’église, la monarchie, la noblesse, les
communes
, la littérature et la philosophie, enfin tous les
lle est la véritable philosophie de cette histoire ; elle n’a rien de
commun
avec les classiques récits de l’antiquité. On le
is on lui rendra cette justice, que sa mesure de jugement n’a rien de
commun
ni avec la morale du succès, ni même avec la mora
historique de notre siècle. Saint-Simon et Auguste Comte ont ceci de
commun
, que la science abstraite de l’homme qui se nomme
être les ministres de la volonté générale ou les organes de la pensée
commune
; à tout le reste, le mérite de contribuer, chacu
nécessaire pour la maintenir. Mais qu’est-ce que cette fatalité a de
commun
avec l’avènement de la véritable démocratie ? L’h
e et de la raison. Aussi le droit et le fait ne peuvent-ils avoir une
commune
mesure. On peut admirer le génie triomphant par l
ace. 31. Vico, Principes d’une science nouvelle relative à la nature
commune
des nations. 32. La Cité antique. 33. M. Amédé
s dans des sentiers inconnus ; mais il ne faut pas moins que la force
commune
et réunie des siècles et des nations pour frayer
elle des premiers orateurs français, produiraient dans la Chambre des
communes
plutôt l’étonnement que la conviction. Parcourons
i servent à développer les vérités élémentaires, les esprits les plus
communs
finiraient par comprendre quel est l’objet de la
u’à tous les avantages particuliers qui ne serviraient pas à la force
commune
. 55. L’orateur de l’opposition n’étant point ch
lent. Μ. Hatin dit encore que « le journalisme est le signe de la vie
commune
». Mais la vie commune sans des chefs serait le p
re que « le journalisme est le signe de la vie commune ». Mais la vie
commune
sans des chefs serait le pêle-mêle de l’anarchie,
it primer toutes les questions de liberté dans les sociétés vivant en
commun
, mais en organisation cependant, et que le gouver
ue mortelle à tous les privilèges, et, en 1792, retomba sous le droit
commun
. Μ. Hatin, qui conduit jusque-là l’histoire de la
an de M. Duranty, mais ce pathétique vient de gens et d’événements si
communs
qu’ils ne vous touchent plus ; et quand, parmi ce
’ils ne vous touchent plus ; et quand, parmi ces gens si profondément
communs
, tous tant qu’ils sont, il y a un caractère qu’au
ous attendrir, le croira-t-on ? il faut qu’à la fin il le rende aussi
commun
que tous les autres, mené qu’il est par la miséra
s, mené qu’il est par la misérable idée de son école que, plus on est
commun
, plus on est vrai. Du reste, voulez-vous pénétrer
re toute différente. À la vérité, il y aurait encore quelque chose de
commun
entre les deux énoncés, mais c’est parce que ces
e nous. On peut imaginer des êtres plus étranges encore, et la partie
commune
entre les deux systèmes d’énoncés se rétrécira de
erché ? La question demande à être précisée. Veut-on que cette partie
commune
des énoncés soit exprimable par des mots ? Il est
exprimable par des mots ? Il est clair alors qu’il n’y a pas de mots
communs
à toutes les langues, et nous ne pouvons avoir la
trouvaient tout à coup en contact, croit-on qu’il n’y aurait rien de
commun
entre la science des livres allemands, et celle d
arce qu’il reste entre les Français et les Allemands quelque chose de
commun
, puisque les uns et les autres sont des hommes. O
ent de la nôtre et qu’il serait superflu de chercher un « invariant »
commun
à ces deux sciences. Ou bien encore, si ces êtres
es d’un pays et d’un temps, les traces d’un même esprit ; ces notions
communes
qui, malgré les divergences des pensées personnel
est aisé de le démontrer. Et d’abord le premier postulat qui leur est
commun
est l’idée de la valeur propre l’individu. N’est-
homme avec une certaine femme chez ces peuples primitifs n’a rien de
commun
avec le mariage monogamique de l’Europe moderne.
ns définies, de propriétés fixées, de gouvernement stable, n’a pas de
commune
mesure avec le nôtre. Là où une organisation prop
les sociétés très primitives, les fonctions nécessaires à l’existence
commune
ne sont pas encore réservées à une certaine class
ffacent peu à peu devant le jus gentium, qui ne retient que l’élément
commun
des diverses coutumes locales. Les plébéiens ont
de M. Tarde. Nous avons plus longuement exposé la thèse qui leur est
commune
dans un article de la Revue de Métaphysique et de
a faute, ce qu’il avait compromis et entraîné avec lui dans une ruine
commune
. Ses écrits fourniraient les plus belles et les p
royaume et vers le Midi, M. A. Germain pour ses beaux travaux sur la
Commune
de Montpellier33. À la ville, comme aux champs, i
gime de privilège détruit en 1789 doive être préféré à celui du droit
commun
inauguré depuis lors, et qu’il puisse avoir des c
ces mots : « En effet, messieurs, est-ce bien à proprement parler une
commune
que cette immense capitale, etc. ? » 33. Histoi
une commune que cette immense capitale, etc. ? » 33. Histoire de la
Commune
de Montpellier (3 vol. in-8°, 1851), par M. A. Ge
liberté, d’égalité et d’harmonie, qui animait les bourgeois de cette
Commune
sous la vive influence du christianisme dont ils
appris, la plupart, d’un côté ou d’un autre, sont arrivés à un fonds
commun
; ce que j’appelle les secondes phases du talent
rès le navire), la critique, par épuration graduelle et contradiction
commune
des erreurs, tend à se reformer et à fournir un l
épart divers devrait s’évanouir et se confondre dans un but désormais
commun
de recomposition et de salut. Parmi les écoles co
pprochés, peuvent, quand on les lit, sembler unis en une large nuance
commune
, qui ne laisse guère subsister d’essentiellement
monie plus proportionnée des œuvres. En somme, chacun, sur ce terrain
commun
que nous tâchons bien plutôt d’indiquer et de fix
le de désintéressement qui ne se peut espérer que dans les travaux en
commun
. Et certes, un sentiment moral et patriotique, am
dans toute langue, et dans notre français, à côté des mots de l’usage
commun
et que tout le monde comprend à peu près, il y a
nsée avec toute l’exactitude possible, au moyen des mots de la langue
commune
à tous les métiers, à toutes les classes. La préc
ns-nous pas vu M. Sully-Prudhomme expliquer, mieux que dans la langue
commune
, dans la langue de la poésie, certaines doctrines
mon sentiment. Il est quelques artisans beaucoup plus capables que le
commun
des hommes de porter un bon jugement sur les ouvr
oujours accompagné d’un sentiment bien plus exquis que n’est celui du
commun
des hommes. Mais un petit nombre d’artisans est n
je soutiens que les artisans sans génie jugent moins sainement que le
commun
des hommes, et si l’on veut que les ignorans. Voi
a législation moderne, de s’associer spontanément autour d’un intérêt
commun
». L’intérêt de telles études, c’est qu’elles so
autres que l’État et marque la qualité morbide d’un tel régime. ∾ «
Commune
, Département, Église, École, ce sont-là, dans une
incipales sociétés qui peuvent grouper des hommes autour d’un intérêt
commun
et les conduire vers un but marqué : d’après ces
mules de haute synthèse métaphysique, ou à ses rêves de vie intime et
commune
avec Dieu. Avec ce dédain qui lui est propre des
i l’école critique ni l’école positiviste, qui se réunissent dans une
commune
réprobation de la métaphysique, ne songent à arrê
ques, psychiques, dont le caractère essentiel est de tendre à une fin
commune
, l’ordre, le bien. Toutes les différences qui les
supérieur, si l’on veut, quant au résultat, mais qui n’a plus rien de
commun
avec le libre arbitre. Spontanéité de la simple t
Hâtons-nous de le reconnaître : la philosophie religieuse n’a rien de
commun
avec la philosophie naturelle quant au sentiment
à la façon de Plotin, de Spinosa, de Schelling, de Hegel, n’a rien de
commun
avec l’objet du sentiment religieux. La théorie n
ux. La théorie ne s’en tient pas là ; elle va jusqu’à l’union, la vie
commune
avec Dieu. Ce n’est pas seulement la théologie my
râce, et l’élevant par la force de son amour jusqu’à une sorte de vie
commune
où l’âme ne garde presque plus rien de sa personn
s de mysticismes. Il est bien vrai sans doute qu’ils ont tous ceci de
commun
de conclure à l’absorption en Dieu ; mais quel Di
absolu, ni à l’être universel, tous êtres abstraits qui n’ont rien de
commun
avec la conscience. Il a pour objet un Dieu qui,
e que le nom. En effet elle insiste exclusivement sur ce qu’il y a de
commun
chez les individualités humaines ; elle néglige d
’œuvre de gens avec lesquels nous n’avons ou ne voulons avoir rien de
commun
? L’individualisme uniciste revêt d’ailleurs auta
rabais ; c’est un minimum d’originalité ; c’est une originalité très
commune
et très banale puisqu’elle appartient à tous les
ance triomphante, une philosophie du surhomme. Y a-t-il quelque trait
commun
entre ces deux individualismes : l’individualisme
age de supériorité et un principe d’aristocratisation. Un autre trait
commun
à l’individualisme uniciste et à l’individualisme
s objets cependant, l’instruction générale, celle qu’on doit supposer
commune
à tous les hommes de lettres, suffit à celui qui
les habitudes de telle chancellerie, à telle date, ou les caractères
communs
à toutes les chartes d’une certaine espèce dont l
travaux originaux doit se composer (en dehors de cette « instruction
commune
», c’est-à-dire de la culture générale, dont parl
rvée : ils n’ont évidemment que la valeur de cette copie, leur source
commune
; ils n’en diffèrent, s’ils en diffèrent, que par
de en partant de ce principe que les leçons identiques ont une source
commune
: plusieurs scribes, transcrivant un texte, ne fe
e le plagiaire a multipliés pour dépister les soupçons. Leurs erreurs
communes
suffisent à dénoncer les deux coupables ; des mal
ficiles à spécifier. Soient A, B et C. Supposons que A soit la source
commune
: il est possible que A ait été copié séparément
ait été copié séparément par B et par C ; que C n’ait connu la source
commune
que par l’intermédiaire de B ; que B n’ait connu
ce commune que par l’intermédiaire de B ; que B n’ait connu la source
commune
que par l’intermédiaire de C. Si B et C ont abrég
commune que par l’intermédiaire de C. Si B et C ont abrégé la source
commune
de deux manières différentes, ces copies partiell
hroniqueurs, B et C, ont-ils utilisé, chacun de leur côté, une source
commune
, X, qui ne se retrouve pas ? Il sera possible de
saient de l’histoire et ils ne comprenaient pas mieux le passé que le
commun
des hommes de leur temps. Les érudits agissaient
t appliquée aux documents de mauvais aloi qui étaient dans le domaine
commun
. — Un divorce aussi complet entre l’érudition et
t d’écrire et aux écrivains encore à demi barbares : c’est le travers
commun
des chroniqueurs du moyen âge154. — La déformatio
st un fait collectif très étendu ou très durable, par exemple un acte
commun
à toute une armée, un usage commun à tout un peup
très durable, par exemple un acte commun à toute une armée, un usage
commun
à tout un peuple ou à tout un siècle, un chiffre
supposent que l’auteur a observé lui-même le fait. C’est la condition
commune
des observations dans toutes les sciences constit
tions générales du document. — On peut examiner s’il y a un caractère
commun
à toutes les affirmations du document indiquant q
de déformation ou au contraire quelque motif d’observer correctement,
commun
à tous les hommes du temps ou du pays où a dû se
ste à comparer les diverses légendes pour en tirer le fond historique
commun
. — Grote165, à propos de la tradition grecque, a
détails dans le même ordre c’est qu’elles dérivent d’une observation
commune
; les observations différentes divergent toujours
ffirmations constitue un fait. Les faits historiques ont ce caractère
commun
d’être tirés tous des documents ; mais ils sont t
degrés de généralité très différents, depuis les faits très généraux
communs
à tout un peuple et qui ont duré des siècles (ins
s par plusieurs individus à la fois ou même combinés pour un résultat
commun
, ce sont des actes collectifs ; mais pour l’imag
ervation et d’abstraction qui a précisé et décrit tous les caractères
communs
à cette notion. Mais, à mesure qu’une connaissanc
rossière observation suffit pour les établir. Ce sont celles qui sont
communes
à toute l’humanité ; elles dérivent de l’organisa
elles ne sont que des variétés de certaines façons d’agir ou d’être,
communes
à toute l’humanité ou du moins à la grande majori
ue externe, procède suivant son inspiration personnelle, sans méthode
commune
, sans souci de l’ensemble où son travail doit ven
ous les actes de tous les individus pour en extraire ce qu’ils ont de
commun
, il resterait un résidu qu’on n’a pas le droit de
des qu’on va étudier, de qui ont-elles été l’habitude ? Elles étaient
communes
à un grand nombre d’individus, et c’est la collec
l composé ? quel lien les unissait ? quelles habitudes avaient-ils en
commun
? et par quelles espèces d’activité différaient-i
ndra, non une nation politique, mais le groupe des gens qui ont eu en
commun
cette habitude ; pour étudier les faits économiqu
nstitutions politiques. — Il y faudrait joindre l’étude des habitudes
communes
à plusieurs sociétés et des rapports qui ne prenn
ée, institutions politiques), on aura construit une histoire concrète
commune
, l’histoire générale, qui reliera les différentes
che, doit regarder par-dessus sa cloison dans le champ des événements
communs
. C’est le mérite de Taine d’avoir déclaré, à prop
Réforme, Révolution française). On peut alors construire des périodes
communes
à plusieurs branches de l’évolution, et dont un m
ondée, tandis qu’on y est seulement mieux habitué. La mésaventure est
commune
aux hommes qui méditent longtemps sur un petit no
s). III. Les faits généraux consistent dans des actes souvent répétés
communs
à beaucoup d’hommes. Il faut en déterminer le car
ique ; car il faut, dans des actes différents, trouver les caractères
communs
qui composent l’habitude ; ou, si ce travail a ét
ur construire la formule d’un groupe ; il faut décrire les caractères
communs
à tous les membres du groupe et trouver un nom co
el sens elle s’est produite. Toutes les évolutions ont des conditions
communes
qui permettent d’en marquer les étapes. — Toute h
es événements locaux ; mais le seul principe de choix qui puisse être
commun
à tous les historiens c’est le rôle joué dans l’é
désignent des valeurs rigoureusement exactes. Mais il faut une unité
commune
, et on ne l’a que pour le temps et pour les faits
procédé de la statistique208, s’applique à tous les faits qui ont en
commun
un caractère défini dont on se sert pour les comp
us un même chiffre ne sont pas de même espèce, ils peuvent n’avoir de
commun
qu’un seul caractère, abstrait (crime, procès), o
, tomber les caractères différents pour ne retenir que les caractères
communs
. On doit s’arrêter au point où il ne resterait pl
ctères communs. On doit s’arrêter au point où il ne resterait plus de
commun
que des caractères universels de l’humanité. — Le
es), ne sont pas isolées dans la réalité, qu’elles ont des caractères
communs
et qu’elles sont liées assez pour qu’un changemen
il faut remonter jusqu’aux faits qui le produisent, jusqu’aux causes
communes
des différentes habitudes. On se trouve ainsi acc
nt des groupes d’hommes sans unité anthropologique et sans caractères
communs
héréditaires. A côté de ces explications métaphys
olutions dans différentes sociétés, de façon à déterminer l’évolution
commune
qu’on devrait rapporter à une même cause générale
l’exposé des questions générales à leurs penchants naturels, comme le
commun
des hommes. Ils prennent parti, ils blâment, ils
s rares, car il fallait alors à un professeur d’histoire une dose peu
commune
d’initiative et d’énergie pour échapper à la rout
issemblables, collaborent désormais, dans le même esprit, à une œuvre
commune
. Chacun d’eux garde son nom, son autonomie et ses
re II, le chapitre V du livre III et la Conclusion ont été rédigés en
commun
. 22. En pratique, le plus souvent, on ne se prop
utrefois étaient dispensés (alors que le latin était encore la langue
commune
des savants) et que les conditions modernes du tr
egestes, comme on le faisait autrefois, parce qu’ils ont le caractère
commun
d’être inédits, ou bien, au contraire, de ne pas
iaient tous les documents d’un certain genre qui avaient le caractère
commun
d’être inédits et de leur paraître intéressants ;
ble tous les documents d’une certaine espèce qui avaient le caractère
commun
d’avoir été imprimés. 99. J. P. Waltzing, Recue
storiens (grecque, romaine, germanique, celtique, slave) n’avaient de
commun
que le nom avec la race au sens anthropologique,
ive de la société qui produirait des phénomènes « socialpsychiques »
communs
à toute la société et différents dans chaque péri
. La délicatesse des manières et la finesse de l’esprit n’ont rien de
commun
en Orient avec ce que nous appelons éducation. Ce
Évangile et les écrits de l’illustre penseur alexandrin, viennent des
communes
tendances que les besoins du temps inspiraient à
ention personnelle d’êtres supérieurs n’a aucune part, était de droit
commun
dans les grandes écoles de tous les pays qui avai
enfance en révolte contre l’autorité paternelle et sortant des voies
communes
pour suivre sa vocation 142. Il est sûr, au moins
idiomes issus d’une même langue, ont eu aussi un fonds d’institutions
communes
et ont traversé une série de révolutions semblabl
ue la religion première qu’ils avaient conçue et pratiquée au berceau
commun
de leur race. Si l’existence de ce culte chez tou
nom propre et une forme humaine, le vieux culte du foyer subit la loi
commune
que l’intelligence humaine, dans cette période, i
c, et ne fut pas d’ailleurs autre chose que le mot qui dans la langue
commune
et primitive désignait un autel. Par un procédé a
primitive désignait un autel. Par un procédé assez ordinaire, du nom
commun
on avait fait un nompropre. Une légende se forma
ancêtres92 ; il était la providence d’une famille, et n’avait rien de
commun
avec le feu de la famille voisine qui était une a
ette religion domestique, il n’y avait ni règles uniformes, ni rituel
commun
. Chaque famille avait l’indépendance la plus comp
prière et la libation. Dans tous ses actes religieux, elle chante en
commun
des hymnes que ses pères lui ont légués. Hors de
un tombeau. C’est la seconde demeure de cette famille. Là reposent en
commun
plusieurs générations d’ancêtres ; la mort ne les
tres. « À partir du mariage, dit un ancien, la femme n’a plus rien de
commun
avec la religion domestique de ses pères : elle s
ulaient se séparer paraissaient pour la dernière fois devant le foyer
commun
; un prêtre et des témoins étaient présents. On p
la religion. Dieux, objets sacrés, rites, prières, tout lui devenait
commun
avec son père adoptif. On disait de lui in sacra
la maison paternelle lui devenait étrangère. Il n’avait plus rien de
commun
avec le foyer qui l’avait vu naître et ne pouvait
ille où elle était née. À plus forte raison, son fils n’avait rien de
commun
avec cette famille. Le principe de la parenté n’é
nt chacun la série de leurs six ancêtres, en trouver un qui leur soit
commun
à tous deux, ces deux hommes sont parents. Ils se
ces deux hommes sont parents. Ils se disentsamanodacas, si l’ancêtre
commun
est de ceux à qui l’on n’offre que la libation d’
ecs. Dans quelques villes, les citoyens étaient astreints à mettre en
commun
leurs moissons, ou du moins la plus grande partie
enneté est une chose réputée impossible. Le même mur ne peut pas être
commun
à deux maisons ; car alors l’enceinte sacrée des
même où les ancêtres reposaient174. La famille avait donc un tombeau
commun
où ses membres devaient venir reposer l’un après
ivait d’isoler le domicile et d’isoler aussi la sépulture : la vie en
commun
a donc été impossible. La même religion commandai
ensée des anciens âges, le droit d’aînesse impliquait toujours la vie
commune
. Il n’était au fond que la jouissance des biens e
urs la vie commune. Il n’était au fond que la jouissance des biens en
commun
par tous les frères sous la prééminence de l’aîné
d’autres dieux que toi et il ne peut pas s’unir à toi par une prière
commune
; tes dieux repoussent son adoration et le regard
oyance, a du moins été fortifiée par elle. Ces dieux appartenaient en
commun
à tous les membres d’une même famille ; la famill
embres d’une mêmegens « à ce qu’ils accomplissaient des sacrifices en
commun
depuis une époque fort reculée286 ». Plutarque me
vait son culte et ses fêtes religieuses, elle avait aussi son tombeau
commun
. On lit dans un plaidoyer de Démosthène : « Cet h
, les ensevelit dans le tombeau de ses pères, dans ce tombeau qui est
commun
à tous ceux de sa gens. » La suite du plaidoyer m
n usage constant chez les véritables gentes de reconnaître un ancêtre
commun
et de lui rendre un culte. Le mensonge cherche to
lte à un étranger était une impiété grave. Si donc la gens adorait en
commun
un ancêtre, c’est qu’elle croyait sincèrement des
t les Romains attachaient aux mots gens et γένος l’idée d’une origine
commune
. Cette idée a pu s’effacer quand la gens s’est al
e ; 3° les termes de la langue qui attestent dans la gens une origine
commune
. Un autre défaut de ce sys tème est qu’il suppose
nt : ils sont parents par la naissance. Le culte qu’ils pratiquent en
commun
n’est pas une fiction : il leur vient de leurs an
eurs ancêtres. Comme ils sont une même famille, ils ont une sépulture
commune
. Pour la même raison, la loi des Douze Tables les
oupées autour d’une branche aînée, près du foyer unique et du tombeau
commun
. Un autre élément encore entra dans la compositio
s’unissent du moins pour la célébration d’un autre culte qui leur fût
commun
. C’est ce qui arriva. Un certain nombre de famill
une divinité supérieure à leurs divinités domestiques qui leur était
commune
à toutes, et qui veillait sur le groupe entier. E
que dans lafamille. Il consistait essentiellement en un repas fait en
commun
; la nourriture avait été préparée sur l’autel lu
mpe et celui des héros et des mânes n’eurent jamais entre eux rien de
commun
. De ces deux religions, laquelle fut la première
manquèrent jamais d’allumer un feu sacré et de se donner une religion
commune
. Ainsi la société humaine, dans cette race, n’a p
une multitude de petits cultes au-dessus desquels s’établit un culte
commun
; en politique, une foule de petits gouvernements
ements continuèrent à fonctionner, et au-dessus d’eux un gouvernement
commun
s’éleva. La cité était une confédération. C’est p
encore quelques cérémonies religieuses qui doivent être accomplies en
commun
par les chefs des tribus339. Ainsi la cité n’est
du moment de sa naissance, appartient à la fois à une famille, à une
commune
, à un département et à une patrie. La phratrie et
re, et de deux cantons voisins, s’unirent de leur côté et bâtirent en
commun
un temple à Hercule346. À la longue, cette centai
e culte d’Athéné Polias, en sorte que tout le pays célébra dès lorsen
commun
le sacrifice des Panathénées. Avant lui, chaque b
haque canton conserva son ancien culte, mais tous adoptèrent un culte
commun
; politiquement, chacun conserva ses chefs, ses j
ont si divers, si libres, si inconstants. Pour leur donner des règles
communes
, pour instituer le commandement et faire accepter
mps. À mesure que les hommes sentent qu’il y a pour eux des divinités
communes
, ils s’unissent en groupes plus étendus. Les même
lte, aussitôt on fondait la ville pour être le sanctuaire de ce culte
commun
. Aussi la fondation d’une ville était-elle toujou
ient été fondées de la même manière. Varron dit que ces rites étaient
communs
au Latium et à l’Etrurie. Caton l’Ancien qui, pou
ent avoir pour effet de les déterminer à habiter la ville nouvelle en
commun
avec les citoyens. C’était là l’important ; fixer
leur disaient-ils : « Venez avec nous, ô Êtres divins ! et habitez en
commun
avec nous cette ville. » Une première journée fut
’auteur du culte et le père de la cité ; mort, il devenait un ancêtre
commun
pour toutes les générations qui se succédaient ;
poliades, et leur disent : « Soyez notre défense ; nos intérêts sont
communs
; si la ville prospère, elle honore ses dieux. Mo
ité était aussi un repas de cette nature ; il devait être accompli en
commun
, par tous les citoyens, en l’honneur des divinité
nit par des libations et des prières432. L’antique usage des repas en
commun
est signalé aussi par les plus vieilles tradition
ènes, le sort désignait les hommes qui devaient prendre part au repas
commun
, et la loi punissait sévèrement ceux qui refusaie
y eut toujours une salle où les représentants des curies mangèrent en
commun
. Le sénat, à certains jours, faisait un repas sac
ation humaine était une religion ; son symbole était un repas fait en
commun
. Il faut se figurer une de ces petites sociétés p
ne même date. En Grèce, la fête d’Olympie devint à la longue une date
commune
, mais qui n’empêcha pas chaque cité d’avoir son a
Romains ni les Grecs n’ont connu ces tristes conflits qui ont été si
communs
dans d’autres sociétés entre l’Église et l’État.
vos assemblées n’accomplissez pas d’actes religieux, qu’avez-vous de
commun
avec la religion et toutes les choses sacrées, pa
ux. Le droit n’était qu’une des faces de la religion. Pas de religion
commune
, pas de loi commune. Chapitre XII. Le citoyen
qu’une des faces de la religion. Pas de religion commune, pas de loi
commune
. Chapitre XII. Le citoyen et l’étranger. On
y avait pas assisté, c’est-à-dire qui n’avait pas eu part à la prière
commune
et au sacrifice, n’était plus citoyen jusqu’au lu
ses poids et es mesures. On n’admettait pas qu’il dût y avoir rien de
commun
entre deux cités. La ligne de démarcation était s
n. Le symbole de cette association devait être un repas sacré fait en
commun
. Quelques milliers de citoyens pouvaient bien, à
deux armées un foyer, on dresse un autel aux divinités qui leur sont
communes
. Un prêtre vêtu de blanc amène la victime ; les d
chait bien à invoquer, s’il était possible, des divinités qui fussent
communes
aux deux villes. On jurait par ces dieux quisont
groupe des douze colonies ioniennes en Asie Mineure avait son temple
commun
qu’on appelait Panionium622 ; il était consacré à
t les mets sacrés624. Les villes doriennes d’Asie avaient leur temple
commun
au promontoire Triopium ; ce temple était dédié à
es annuelles, Pambœotia. Les cités achéennes avaient leurs sacrifices
communs
à Ægium et offraient un culte à Dèmèter Panachæa6
ésidé à la fondation des villes a fait instituer aussi les sacrifices
communs
à plusieurs cités ; le voisinage et le besoin mut
’autel, étaient partagées entre les représentants des cités. Ce repas
commun
, accompagné d’hymnes, de prières et de jeux, étai
t à l’esprit des Grecs, ce fut surtout par les dieux qui leur étaient
communs
et par les cérémonies saintes où ils se rassembla
orme religieuse. Thucydide rappelle plusieurs fois les dieux qui sont
communs
aux Hellènes634, et lorsque Aristophane adjure se
édérées637. Les douze villes de l’Etrurie avaient de même leur temple
commun
, leur fête annuelle, leurs jeux présidés par un g
e à Athènes ; encore la citéfaisait-elle en sorte que l’éducation fût
commune
sous des maîtres choisis par elle. Aristophane, d
ours, s’il s’agit des intérêts de la cité ou des obligations du culte
commun
, les chefs de ces familles se rendent à la ville
aurait part. Il y eut bien un roi suprême ; mais dès que les intérêts
communs
étaient en jeu, l’assemblée des chefs devait être
our la célébration du culte central ou pour la poursuite des intérêts
communs
. On a souvent remarqué combien l’histoire est mue
vie nationale. Les hommes vivaient séparés et avaient peu d’intérêts
communs
. L’horizon de chacun était le petit groupe et la
ule de clients a naturellement plus d’autorité dans les délibérations
communes
que la famille peu nombreuse et qui compte peu de
it désormais son foyer propre, qu’il avait sans doute allumé au foyer
commun
de la gens, comme la colonie allumait le sien au
orter son nom ; à des jours fixés, elles se réunirent autour du foyer
commun
, pour vénérer l’antique ancêtre ou la divinité pr
ils vivaient dans la maison du maître, cultivant ensemble le domaine
commun
. Plus tard on assigna à chacun d’eux un lot de te
ouvait contracter avec le patricien. C’était un commencement de droit
commun
entre les deux ordres, et pour la plèbe un commen
et ils l’avaient fait d’après certaines règles qui n’avaient rien de
commun
avec l’ancienne religion, et que le besoin ou l’i
ils, comme les patriciens eux-mêmes, qu’il ne pouvait y avoir rien de
commun
entre les deux ordres. Nul ne songeait à l’égalit
e trouvait donc que la plèbe et le patriciat, n’ayant presque rien de
commun
, ne pouvaient pourtant pas vivre l’un sans l’antr
nsait même pas, à l’origine, qu’il y pût paraître. Il n’avait rien de
commun
avec la véritable cité, c’est-à-dire avec la cité
ésence et habitant les mêmes murs, n’avaient pourtant presque rien de
commun
. Un plébéien ne pouvait pas être consul de la cit
qui ne se comprenaient même pas, n’ayant pas pour ainsi dire d’idées
communes
. Si le patricien parlait au nom de la religion et
pices, vous qui n’accomplissez pas d’actes religieux, qu’avez-vous de
commun
avec toutes les choses sacrées, parmi lesquelles
appeler la protection divine sur la cité. Le plébéien n’avait rien de
commun
avec le culte ; la religion s’opposait donc à ce
uent, le patrimoine des familles sacrées, fut dorénavant la propriété
commune
de tous les citoyens. Le plébéien put l’invoquer
le grand avantage d’être permise au plébéien. Lui qui n’avait rien de
commun
avec les curies, il n’avait eu jusqu’alors aucun
bonheur inaltérable dont on y jouissait, sur l’égalité, sur la vie en
commun
, ne doivent pas nous faire illusion. De toutes le
n’est pas autre chose qu’une association d’êtres égaux recherchant en
commun
une existence heureuse et facile. » Ainsi la phil
a religion était un lien puissant. Quand deux villes avaient un culte
commun
, elles se disaient parentes ; elles devaient se r
ies de villes fondées par lui, toutes ayant, par conséquent, un culte
commun
avec Rome. On peut voir dans les guerres qu’elle
s, à moins que ces deux cités n’eussent un lien d’origine ou un culte
commun
. Ces premiers Romains avaient le droit de mariage
On enseigna même aux peuples qu’ils descendaient tous d’un même père
commun
. Avec l’unité de Dieu, l’unité de la race humaine
é civile. Il professe qu’entre l’État et la religion il n’y a rien de
commun
; il sépare ce que toute l’antiquité avait confon
de ce qui n’était que la consolation de quelques-uns, il fit le bien
commun
de l’humanité. Si maintenant on se rappelle ce qu
Quicherat, p. 61. 166. Ainsi en Crète chacun donnait pour les repas
communs
la dixième partie de la récolte de sa terre (Athé
éterminée de farine, de vin, de fruits, pour les dépenses de la table
commune
(Aristote, Polit., II, 7, éd. Didot, p. 515 ; Plu
, faisaient partie de la famille, et étaient enterrés dans le tombeau
commun
. La règle qui prescrivait que chaque homme fût en
tertre assez étendu et enclos suivant l’antique usage, où reposent en
commun
tous ceux qui sont issus de Busélos » (Dém., In M
μαζον. Les phratries sont signalées dans Homère comme une institution
commune
à la Grèce ; Iliade, II, 362 : Κρῖν´ ἄνδρας κατὰ
saient volontiers, et l’usage s’était introduit de remplacer le repas
commun
par une distribution de vivres et d’argent ; Plau
istence d’anciennes tribus, au nombre de trois ou quatre, est un fait
commun
à toutes les cités grecques, doriennes ou ionienn
alatin, du Capitolin et du Quirinal, s’unirent en une seule, le foyer
commun
ou temple de Vesta fut placé sur un terrain neutr
se, II, 23, dit que dans les Prytanées des Grecs se trouvait le foyer
commun
des phratries, ωσπερ ἐν τοῖς ἑλληνικοίς πρυτανείο
pas comme possible de fonder une ville sans établir d’abord le foyer
commun
(II, 65). Il y avait à Sparte une prêtresse qui p
quête de la ville, Tite-Live, VIII, 14. 411. Il n’existait de cultes
communs
à plusieurs cités que dans le cas de conféderatio
υνέθυσε καῖ κοινῶν ἱερῶν μετέσχε. L’historien applique cela aux repas
communs
des Spartiates qu’il compare d’ailleurs aux repas
a aux repas communs des Spartiates qu’il compare d’ailleurs aux repas
communs
des Romains. 451. Festus, v° Amburbiales, éd. Mü
nys, I, 21, et Tite-Live, 1, 32, assurent que cette institution était
commune
à beaucoup de villes italiennes. — En Grèce aussi
Va comme je te pousse ! ». Mais n’importe ! Ces vers-là n’ont rien de
commun
avec la poétique étroite et pseudo-classique de M
oétique étroite et pseudo-classique de MM. Bornier et Parodi, rien de
commun
non plus avec la plate emphase et le patois rugue
e intelligence, soit pour constituer primitivement quelques doctrines
communes
, sans lesquelles le lien social n’aurait pu acqué
nos vrais besoins logiques convergent donc essentiellement vers cette
commune
destination : consolider, autant que possible, pa
tenté de réduire tous les divers ordres de phénomènes à une seule loi
commune
. Mais tous les essais accomplis pendant les deux
es plus simples phénomènes, les plus éloignés, en apparence, de cette
commune
appréciation : concevoir toutes nos spéculations
nte. Considéré d’abord dans son acception la plus ancienne et la plus
commune
, le mot positif désigne le réel, par opposition a
bles. Plus impartiale et plus tolérante envers chacune d’elles, vu sa
commune
indifférence, que ne peuvent l’être leurs partisa
es spéculations philosophiques doivent toujours emprunter à la raison
commune
leurs notions initiales, pour leur faire acquérir
uelques maximes incontestables mais évidentes, empruntées à la raison
commune
, et qui n’ajoutent vraiment rien d’essentiel aux
avocats. La grande crise finale a nécessairement commencé quand cette
commune
décadence, d’abord spontanée, puis systématique,
alent de non gouvernement. Mais, d’après le sentiment unanime de leur
commune
insuffisance, ni l’un ni l’autre ne peut plus ins
l’évolution humaine, personnelle ou sociale, développe toujours leur
commune
influence, leur ascendant combiné ne saurait pour
selon les lois invariables, qui fixent sa participation spéciale à la
commune
progression, de manière à toujours permettre, san
et aussi seules susceptibles de constituer des opinions suffisamment
communes
. Mais l’ensemble du passé démontre également que
mentale que suppose ce facile affranchissement est déjà devenue très
commune
, ou plutôt presque universelle, du moins en Franc
ves positives de plusieurs règles morales destinées pourtant à la vie
commune
: mais il en est déjà ainsi pour diverses prescri
orales non moins précieuses que ces harmonies mentales, d’après cette
commune
insouciance matérielle qui rapproche spontanément
e, au contraire, soit aux penseurs, soit aux opérateurs, d’après leur
commun
affranchissement spontané des soucis relatifs à l
raire, à son grand avantage journalier, autorise chacun, au nom d’une
commune
doctrine fondamentale, à rappeler convenablement
l’un ce qui sera résulté de l’autre. La loi fondamentale de cet ordre
commun
, de dépendance dogmatique et de succession histor
simple existence mathématique, c’est-à-dire géométrique ou mécanique,
commune
à tous les êtres réels. Mais, même quand on conde
ystème spéculatif, comme un simple prolongement abstrait de la raison
commune
, dont le point de départ scientifique ne pouvait
ent à toutes les précieuses, comme une des habitudes qui leur étaient
communes
, les plus ridicules exercices. Selon lui, « la pr
animé ; et il n’est pas facile de dire comment elles sont devenues si
communes
. Les premiers beaux jours que la paix nous a donn
plique à certaines personnes du beau sexe qui ont su se tirer du prix
commun
, et ont acquis une espèce et un rang tout particu
prisée, l’opposé de méprisée, ou femme de grand prix, opposée à femme
commune
; pour les autres, le mot était synonyme de femme
nchérie, et n’est au fond qu’une hypocrite bel-esprit, Une seule idée
commune
aux précieuses de tout genre resta attachée à ce
euse, page 26, aux personnes du beau sexe qui ont su se tirer du prix
commun
des autres. Dans le grand Dictionnaire des Préc
e simplement, que quand il s’agissait de l’opposera femme vulgaire ou
commune
; on disait une illustre, quand il s’agissait de
qui a du prix, du mérite, de la valeur, et par opposition aux femmes
communes
, sans valeur et sans mérite, de toutes les condit
ses approbateurs, et atteint de leur corruption : c’était la destinée
commune
. Il avait pu se persuader que les mœurs de la cou
u’ils sont écrits d’un style aisé & assez clair pour instruire le
commun
des Lecteurs sur toutes les matieres qu’il traite
nté du Prince, le désintéressement du Savant, & l’indifférence du
commun
des Grands pour les Sciences. M. le Dauphin, qui
ure. Nous avions les Constituants, les Girondins, les Montagnards, la
Commune
; l’Angleterre avait les Épiscopaux, les Presbyté
et aujourd’hui que tous les obstacles sont enfin levés, elle remet en
commun
tous ces progrès si lents, tous ces résultats con
Stuarts et leurs conseillers eurent réuni contre eux, dans une haine
commune
, anglicans, presbytériens et puritains, les grand
de Voltaire au grand Frédéric et à l’impératrice de Russie. Le trait
commun
à tous les courtisans, c’est le désir de plaire,
ours ceux de l’empereur. De même, ceux de Louis XIV n’avaient rien de
commun
ni avec ceux de Louis XI, ni avec ceux de Louis X
la manie de se faire noble, de se donner des titres, de se séparer du
commun
état. Il l’était enfin quand il dégageait la prof
. C’est la destinée de tous les arts, qui ont une origine et un objet
commun
, que l’infection passe d’un art à l’autre. Notre
s rien de mieux, et parce qu’elle chatoüille les sens, ce qui lui est
commun
avec le ramage des chardonnerets et des rossignol
ne fiction dont l’illusion est palpable, pour ainsi dire. Je parle du
commun
des hommes. Ainsi qu’il est plusieurs personnes,
igny a cela de rare et de merveilleux, qui fermera la bouche aux âmes
communes
toujours prêtes à jeter la pierre aux poètes, qu’
âme a passé par dehors et que les plasticités de Rubens sont la visée
commune
de tous les poètes, rien de plus curieux et de pl
ertainement pas, moi, sur le compte de ce dessèchement de la veine si
commun
chez les poètes communs qui n’ont pas en eux la s
ur le compte de ce dessèchement de la veine si commun chez les poètes
communs
qui n’ont pas en eux la source intarissable du gé
t réaliser par un niveau démocratique asservi à des règlements de vie
commune
et de salaire, et que d’autres seraient prêts à r
les massacres en masse, qui étaient encore il y a trente ans le droit
commun
de la Turquie, lui sont désormais interdits. Elle
pendant, sur cette laborieuse arène des intérêts privés, quel souffle
commun
de patriotisme rapproche soudainement tous les cœ
parut grande lorsqu’elle fut menacée ! Comme le souffle de la liberté
commune
anima tous ces âpres égoïsmes, et comme le génie
ue les machinations de Tartuffe. Mais c’est là ce que la comédie a de
commun
avec le drame, et pour s’en distinguer, pour nous
et notre propre conscience, un voile s’interpose, voile épais pour le
commun
des hommes, voile léger, presque transparent, pou
t des genres. Le mot, qui ne note de la chose que sa fonction la plus
commune
et son aspect banal, s’insinue entre elle et nous
traduire en paroles, ils saisiront quelque chose qui n’a plus rien de
commun
avec la parole, certains rythmes de vie et de res
et d’idées qui tendent à l’immutabilité, qui voudraient du moins être
communs
à tous les hommes, et qui recouvrent, quand ils n
vite entraîné, par le poids de son contenu, dans le courant des noms
communs
. Nous disons « un Tartuffe », tandis que nous ne
ssolublement liées à l’individualité de la personne, des singularités
communes
, pourrait-on dire. En les transportant sur la scè
il de ces variétés. Nous aimons mieux insister sur ce qu’elles ont de
commun
. En première ligne figure la vanité professionnel
nification plausible, alors que ces rêves n’avaient pas d’autre point
commun
? Les effets de répétition présentent quelquefois
il parlera de lui comme d’un étranger avec lequel il n’a plus rien de
commun
; il se sera détaché de lui-même. Ne retrouverait
te de la loi dernière de nos actes psychologiques aurait donc cela de
commun
avec bien d’autres découvertes, d’être venue tard
rent, à grouper ensemble ceux de même nature et à leur imposer un nom
commun
et à les attribuer à une même cause ; c’est ainsi
ser les faits et d’en parler ; si l’on ne tombe pas dans le défaut si
commun
d’en faire des entités substantielles, des sortes
e une généralisation ou idée abstraite qui représente ce qu’il y a de
commun
dans le groupe ; et une définition qui exprime le
commun dans le groupe ; et une définition qui exprime les caractères
communs
de la classe. Induction, généralisation indirecte
nous avons un moi social répondant à la partie de la société qui est
commune
avec notre individualité, mais, dans notre moi in
st valable pour les autres comme pour nous, qui est soumis à des lois
communes
et générales, à une logique impersonnelle : la pe
ne pensée sociale : c’est ce qu’on nommait chez les anciens la raison
commune
, ϰοινὸς λόγος, et ce qu’on nomme encore le sens c
dans nos rapports avec les animaux, nous subissons encore une logique
commune
, qui est plutôt, il est vrai, sensitive qu’intell
. Cette tendance est encore augmentée par la nécessité de se nourrir,
commune
à tous les êtres vivants, et qui est une intuscep
A ce ridicule près, qui n’en est plus un aujourd’hui, à force d’être
commun
, Mademoiselle de Gournay n’étoit pas sans mérite.
rné ; elle avoit l’imagination vive & agréable, une érudition peu
commune
parmi les personnes de son sexe. Il est facile de
s différences individuelles pour ne tenir compte que de leur fonction
commune
. Au contraire, dès qu’on fixe son attention sur l
xprimerait ce que certaines sensations, dites représentatives, ont de
commun
entre elles. Dans la seconde, ce serait une réali
isse devenir plus petit que toute quantité donnée. C’est cette limite
commune
vm qu’on appellera vitesse du mobile A au point M
e occupe tour à tour les points d’une ligne, le mouvement n’a rien de
commun
avec cette ligne même ; c’est enfin que, si les p
, ni l’adapter à sa forme banale sans le faire tomber dans le domaine
commun
. Si nous aboutissons à distinguer deux formes de
ien arrêtés, le mot brutal, qui emmagasine ce qu’il y a de stable, de
commun
et par conséquent d’impersonnel dans les impressi
ts inertes, traduisibles en mots, et qui constituent chacun l’élément
commun
, le résidu par conséquent impersonnel, des impres
tincts : et comment nous représenter ces instincts, sinon par un élan
commun
à toutes nos idées, c’est-à-dire par leur pénétra
fait le prix à nos yeux, c’est que leur nuance répond à la coloration
commune
de toutes nos autres idées, c’est que nous y avon
tions, un monde extérieur bien distinct de lui, qui soit la propriété
commune
de tous les êtres conscients. La tendance en vert
ette homogénéité de leur milieu est la même qui nous porte à vivre en
commun
et à parler. Mais à mesure que se réalisent plus
s, comme dans ce pays nous lisons, vivement, et d’apparence. Un trait
commun
, hélas ! seul : la puérilité, un peu égayante, de
us avec un désir de les penser à notre tour, non avec la vaine envie,
commune
, de critiquer et de railler. Ayons, à relire leur
bstance la vie des hommes, leur enseigne comment ils doivent vivre en
commun
(p. 62). Et l’indifférence de Tolstoï à l’auto
moraliste ne peut pas chercher une indication plus précise du devoir
commun
: à peine, ensuite, ranger, dans une formule géné
ous montre le bonheur, seulement, dans la fusion de notre vie avec la
commune
Vie. Il nous dit fils de l’Homme — membres de l’H
sus oppose à la vie personnelle non la vie d’outre-tombe, mais la vie
commune
qui se fond avec la vie présente, passée et futur
vec la vie présente, passée et future de toute l’Humanité. Cette vie
commune
est le travail de chacun pour tous, la Compassion
reils ; avec eux il fera les tâches salutaires, partageant le travail
commun
pour le commun bonheur : le travail facile des mo
x il fera les tâches salutaires, partageant le travail commun pour le
commun
bonheur : le travail facile des moissons, des bât
téressé (désintéressé du plaisir d’aimer) ; ou niera-t-on que l’amour
commun
des hommes est la réunion, seulement, de toutes n
e tâche… Ce premier fragment est une épreuve ; avant que continuer en
commun
l’énorme travail d’une littérale traduction de la
la génération suivante comme André Suarès ou Romain Rolland. Le point
commun
est à trouver dans le parcours de deux artistes q
législation, supprimer les privilèges iniques pour inaugurer les lois
communes
à tous et à tous utiles ; En magistrature, rempla
euple ; le peuple règne par ses agitateurs à l’hôtel de ville dans la
commune
de Paris. Les Girondins, au ministère et dans l’A
essayent le rôle de modérateurs de la Révolution. Les Jacobins et la
commune
soulèvent contre eux la multitude. Moitié complic
ée à leur place par le tocsin du 10 août ; des tribuns forcenés de la
commune
de Paris veulent les intimider par les massacres
mbre de toute solidarité avec eux, excepté de la solidarité d’origine
commune
; dégagé de la royauté d’Orléans, dont je ne cons
des rétractations, et qu’il était, depuis longues années, curé de la
commune
de Bessancourt, dans le département de Seine-et-O
urt (Seine-et-Oise) ; que cet ecclésiastique a toujours passé dans la
commune
pour avoir été l’ami des Girondins et le pieux co
que Danton ait voulu les massacres de septembre. Je dois le dire, la
commune
même de Paris ne les voulut pas ; elle les adopta
ue me veut donc cette importune ? Que je la compare au Soleil. Il est
commun
, elle est commune, Voilà ce qu'ils ont de pareil.
ette importune ? Que je la compare au Soleil. Il est commun, elle est
commune
, Voilà ce qu'ils ont de pareil. La bonhommie de
ent nous persuader que le bon goût consiste dans un style exact, mais
commun
, servant à revêtir des idées plus communes encore
te dans un style exact, mais commun, servant à revêtir des idées plus
communes
encore. Ce second système expose beaucoup moins à
t-puissants lorsqu’on les met à leur place2 ? Je le répète, un style
commun
n’a rien à craindre de ces attaques. Subdivisez l
agination des lecteurs. Les paradoxes sans doute sont aussi des idées
communes
. Il suffit presque toujours de retourner une véri
res, toutes cependant plaisent ensemble par des raisons qui leur sont
communes
. Rechercher ces raisons communes, c’est faire une
semble par des raisons qui leur sont communes. Rechercher ces raisons
communes
, c’est faire une doctrine littéraire ; rechercher
l devient difficile de ramener à des principes généraux et à des lois
communes
tant d’écrits nés dans des conditions très-divers
onsidérer comme les représentants de la raison générale, de la raison
commune
, contre ce sens propre et individuel qui se disai
té d’une louange plus fine. Tout ce que lui dit La Fontaine est assez
commun
; mais il y a deux vers bien singuliers : V. 37.
laisante idée de La Fontaine d’avoir choisi des moines, au lieu d’une
commune
de paysans, afin que la faute de l’âne fût la plu
même on peut dire que ce n’est pas une fable. C’est une aventure fort
commune
qui ne méritait guère la peine d’être rimée. F
V. 3…. N’exigea de péage. Belle expression qui rajeunit une idée
commune
. V. 12. Bref, il plut dans son escarcelle. La F
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