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1 (1867) Le cerveau et la pensée « Chapitre VII. Le langage et le cerveau »
il ne l’était ni par l’écriture ni par les gestes51. » M. Bouillaud cite également ce fait d’une jeune fille qui, malgré s
ades mentionnés par M. Trousseau (qui entre autres mérites a celui de citer des faits saillants, et, comme dirait Bacon, pror
ltérés, il semble que la faculté du geste reste intacte. M. Trousseau cite un fait significatif, où celle-là même est malade
ive, on voit l’aphasique retrouver momentanément la parole. — M. Rufz cite l’observation d’une femme qui recouvra la parole
pour elle l’expérience. Nous ferons d’abord observer que M. Broca ne cite que deux faits pour établir cette doctrine64. Enc
nombre de faits à sa disposition que celle de M. Broca. Cependant, on cite encore beaucoup de faits contradictoires, et nota
du cerveau fussent complètement détruits. Réciproquement, M. Vulpian cite deux cas d’aphasie sans lésion des lobes antérieu
y aurait d’étrange dans la loi de M. Dax. M. Trousseau, de son côté, cite plusieurs exemples de maladies à gauche que l’on
2 (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Livre III : La science — Chapitre I : De la méthode en général »
e nos connaissances et renouvelé par des exemples plus récents. Je ne cite d’ailleurs que les traités de méthodologie compos
n chimie, sans remonter jusqu’à Lavoisier, dont la préface si souvent citée rend hommage à l’influence heureuse de la logique
op nous éloigner de notre sujet ; cependant, je ne puis m’empêcher de citer quelques exemples qui nous ramèneront d’ailleurs
qui est le premier degré de la consistance et de la solidité. On peut citer encore les faits de l’embryologie, qui sont les f
sur la production ou le prolongement 23 de l’expérience, dont on peut citer des exemples importants dans la science moderne.
uves, et que les philosophes ont sur ce point précédé les savants. Je citerai , par exemple, un excellent chapitre de Dugald Ste
e qui que ce soit au xviiie  siècle. Reid avait dit : « Que l’on nous cite une seule découverte dans la nature qui ait été f
méthode. » Dugald Stewart n’a pas de peine à répondre à ce défi : il cite le système de Copernic, et même celui de Newton,
calcul lui permit d’en faire une théorie rigoureuse et démontrée. Il cite encore l’anneau de Saturne, deviné et supposé par
aire durer, mais la pousser plus loin, comme dans les exemples que je cite . 24. Exposition de la doctrine saint-simonienne
3 (1867) Le cerveau et la pensée « Chapitre V. Le génie et la folie »
armi les hommes de génie, dont l’auteur invoque l’exemple, ceux qu’il cite de préférence sont les illuminés, les enthousiast
système nerveux analogue à celui qui se découvre dans les casque nous citons . À cet argument, qui a d’abord tous les inconvéni
n très vive, et être destitué complètement d’intelligence. 2° On nous cite bien un certain nombre de cas où la maladie aurai
ce des fous à produire rien qui vaille par imagination. Que l’on nous cite la moindre œuvre remarquable sortie de l’imaginat
e reflux. Suivant un autre auteur, il se serait empoisonné. M. Moreau cite ces deux traditions contradictoires, et il en con
rnes, il faut se défier des anecdotes un peu extraordinaires. Je n’en citerai qu’un exemple : M. Moreau (de Tours) produit, com
r jour et heure par heure de la dernière maladie de Charles-Quint. Je citerai encore l’histoire de Salomon de Caux, invoquée au
illeurs, la seule conclusion que l’on puisse tirer des faits que l’on cite , en assez petit nombre d’ailleurs, c’est que l’ha
ès-peu rigoureuse. Quant à la folie proprement dite, outre qu’on n’en cite qu’un assez petit nombre d’exemples, on peut adme
on livre, il y a 179 cas cités. Sur ce nombre, combien croit-on qu’il cite de faits héréditaires ? 23, c’est-à-dire 1 sur 7.
4 (1915) La philosophie française « I »
er dans le détail. Disons un mot des théories les plus importantes et citons les principaux noms. On commence seulement à rend
elle qu’il appelait aussi bien, dès lors, d’autres solutions. Il faut citer ici les noms de La Mettrie 8, de Cabanis 9, etc.,
s psychologues attirés vers la pathologie mentale. Il nous suffira de citer les noms de Charcot, de Ribot, de Pierre Janet et
. 1828-1893. 25. Elle a eu en France des représentants remarquables. Citons en particulier Alfred Binet. 26. 1766-1824. De B
roy (1796-1842) et à Vacherot (1809-1897). Comme précurseur de Cousin citons Royer-Collard (1763-1845). 29. 1854-1912. 30. N
es scientifiques. La part de la France, ici encore, est considérable. Citons , parmi beaucoup d’autres auteurs : le grand chimi
tres métaphysiciens et psychologues mériteraient d’être étudiés ici ! Citons , en particulier, Évellin, Dunan, Paulhan, Weber.
1818-1903. 36. Parmi les philosophes qui se rattachent à Renouvier, citons Pillon, Dauriac et Hamelin. 37. 1801-1877.
5 (1899) Psychologie des titres (article de la Revue des Revues) pp. 595-606
rs montré la voie avec ses Sept châteaux de l’âme. Il convient ici de citer des exemples sans commentaires : en voici quelque
es commençant par la lettre O et qui se chantent au temps de l’Avent. Citons enfin les Allumettes du feu divin, par le frère P
de renoncer à ce procédé. Le très fécond Balzac, dont nous venons de citer cette magnifique appellation d’avare, choisissait
et d’opinions diverses. Celui de Marivaux est resté le plus célèbre. Citons encore une vogue semblable pour le titre de Robin
tres qui autrement est devenue bien ridicule par l’abus qu’on en fit. Citons cependant ce fait assez peu connu que la pièce de
j’en passe. Parmi les bizarreries dont on a pu s’aviser de nos jours, citons celle-ci imaginée par M. Henri de Régnier : sa dé
d’assimilation facile. Au nombre des appellations étranges de livres, citons encore le chef-d’œuvre de Stendhal, le Rouge et l
ées de Pascal. Il faudrait encore, comme curiosités bibliographiques, citer bien d’autres titres. À ce point de vue il serait
6 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 7, nouvelles preuves que la declamation théatrale des anciens étoit composée, et qu’elle s’écrivoit en notes. Preuve tirée de ce que l’acteur qui la recitoit, étoit accompagné par des instrumens » pp. 112-126
des vers, que lorsqu’on les entend reciter avec un accompagnement. Il cite pour exemple des vers de la tragedie de Thyeste,
ragedie de Thyeste dont Ciceron avoit tiré ce vers, étoit celle qu’il cite souvent lui-même comme l’ouvrage du poëte Ennius,
’un orateur qui devient vieux peut rallentir sa declamation, ajoute : citons encore ici Roscius, ce grand comedien que j’ai dé
ur traduire mot à mot, qui chantoient avec eux. Nous venons encore de citer un passage de Diomede, qui fait foi qu’on accompa
s meilleurs critiques le traité contre les spectacles que je viens de citer , n’est pas de saint Cyprien, ainsi son autorité n
7 (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Oscar de Vallée » pp. 275-289
C’est l’enthousiasme pour le talent que l’intention des pages qu’il a citées est de ressusciter. Pour moi, il fut moins grand
’estime des hommes, des grands journalistes que je viens plus haut de citer , et qui, comme lui, ne furent pas au xixe  siècle
iration des hommes à lord Byron ?… Les pages en prose d’André Chénier citées par M. Oscar de Vallée, qui s’enchante de les cit
d’André Chénier citées par M. Oscar de Vallée, qui s’enchante de les citer , seront donc, je crois, citées en vain. Elles n’a
 Oscar de Vallée, qui s’enchante de les citer, seront donc, je crois, citées en vain. Elles n’ajouteront rien à l’opinion du m
vre était aussi sur les Jacobins, M. de Vallée a très bien fait de la citer . Elle seule est au niveau de la scélératesse qui
8 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 171-172
'Auteur n'a presque jamais puisé dans les sources, & qu'il ne les cite que parce qu'elles se trouvent citées dans les Ou
s les sources, & qu'il ne les cite que parce qu'elles se trouvent citées dans les Ouvrages qu'il copie servilement. S'il l
d'égalité dans le style, de sévérité dans le choix des Auteurs qu'il cite , ainsi que dans celui des morceaux de leurs écrit
9 (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Appendice. — [M. de Latena, Étude de l’homme.] » pp. 523-526
sées connues, en lisant tel passage de M. de Latena. Ainsi, pour n’en citer qu’un exemple, M. de Latena dit : « Une femme sin
i je puis dire, de la probité dans le moindre détail. Je demanderai à citer ici quelques-unes de ces pensées, en les isolant
fessée pour ce qui est neuf dans le fond ou piquant dans la forme, je citerai quelques-unes des pensées, toujours justes plutôt
e quelques personnes l’ont pensé, que je recommandais ce que j’allais citer , c’est en prenant sur mon goût habituel et non en
10 (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XXVI. La sœur Emmerich »
, dans la beauté pure de leurs grandes lignes lumineuses ! Je ne puis citer . Que ne puis-je citer ! Que ne puis-je citer le d
de leurs grandes lignes lumineuses ! Je ne puis citer. Que ne puis-je citer  ! Que ne puis-je citer le dialogue de Pilate avec
lumineuses ! Je ne puis citer. Que ne puis-je citer ! Que ne puis-je citer le dialogue de Pilate avec le peuple juif ; ces r
uniques militaires, cachaient une race de procureurs ! Que ne puis-je citer Hérode, Caïphe, Anne, trois visages distincts mai
atre volumes (la Vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ), on ne peut rien citer , parce que, pour donner une idée de cette manière
, pour donner une idée de cette manière et de ce langage, il faudrait citer plus que la dimension d’un chapitre. En effet, ap
11 (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Guizot »
e dont il lui passe la main sur le dos, à son lauréat, et comme il le cite  ! Il le cite plus que n’importe qui, plus que le
passe la main sur le dos, à son lauréat, et comme il le cite ! Il le cite plus que n’importe qui, plus que le confesseur de
tahalin, Gaberel, Drelincourt, Coulin, quels noms étoilés ! Guizot se cite parmi eux. Il cite des passages de son petit benj
relincourt, Coulin, quels noms étoilés ! Guizot se cite parmi eux. Il cite des passages de son petit benjamin de livre (les
s de son petit benjamin de livre (les Méditations chrétiennes). Il se cite , comme Royer-Collard, au déclin, — ne pouvant plu
12 (1913) La Fontaine « II. Son caractère. »
s morts, J’aurai vécu sans soins et mourrai sans remords. Je ne vous cite pas, parce que je le citerai une autre fois, un a
soins et mourrai sans remords. Je ne vous cite pas, parce que je le citerai une autre fois, un autre passage, qui est dans le
Fontaine, mais c’est quelquefois chez lui un expédient. Ainsi je vous citerai une seule anecdote touchant ses distractions fame
ste est plus moral que l’amoraliste. Il est bien certain qu’un homme   citons Nietszche par exemple, et il y en a d’autres  un
ce … Voilà le ton, voilà celui qu’il a toujours. Je pourrais vous en citer tel autre exemple, à MlIe de Sévigné, mais cet ex
ur ; vous les connaissez pour la plupart, mais enfin je veux vous les citer encore : Quand les ordres du ciel nous ont faits
onnaissez un peu, mais que vous connaissez surtout par ce que l’on en cite , c’est-à-dire par des épigrammes tout à fait amus
st dans l’épilogue des Deux Pigeons, qu’il est absolument superflu de citer , qu’il est inutile de lire, puisqu’il est dans to
accent de la vérité est dans cette prose et dans ces vers. Je ne vous citerai pas, puisque l’heure avance et puisque vous la co
13 (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Étude sur la vie et les écrits de l’abbé de Saint-Pierre, par M. Édouard Goumy. L’abbé de Saint-Pierre, sa vie et ses œuvres, par M. de Molinari. — II » pp. 261-274
rses Académies, l’idée de l’Institut. Mais à deux pas de là, on va me citer ce qui a l’air d’une mauvaise plaisanterie : Proj
appelle une fois « cet homme moitié philosophe et moitié fou ». Il le cite souvent, le réfute, s’en moque, s’en sert, lui ar
ntif à le louer et à lui plaire, etc. Mais assez ! n’allons pas trop citer de l’abbé de Saint-Pierre : il a ce malheur des é
’hui qu’il ne l’a jamais été, sans avoir plus de chance d’être lu. On cite de lui, par-ci par-là, des phrases et des mots ;
pendante : il n’est pas à croire que Rousseau, dans la note que j’ai citée , et qui paraît se rapporter à un fait accidentel,
14 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 9, de la difference qui étoit entre la déclamation des tragedies et la déclamation des comedies. Des compositeurs de déclamation, reflexions concernant l’art de l’écrire en notes » pp. 136-153
ons ne l’aimoient pas. Justin martyr, dans l’écrit que nous venons de citer la traite de grande clameur. L’auteur de l’écrit
i l’avoit écrite, et le nom du principal acteur qui l’avoit jouée. Je cite ce passage suivant la correction de Gerard Vossiu
s un passage que nous allons rapporter. Mais Donat que nous venons de citer , dit : (…). Ciceron se sert de la même expressio
ythagore plusieurs usages qu’il avoit introduits dans son petit état, cite comme une preuve de ce qu’il venoit d’avancer la
15 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XXXVIII » pp. 158-163
s compliments à son siècle, il se dit le concitoyen de tout le monde, cite des vers en chaire, loue Chateaubriand en face (q
Académie dont les fauteuils deviennent de plus en plus recherchés. On cite parmi les candidats MM. Saint-Marc-Girardin, Alfr
n trouve toujours quelques-unes de singulières et d’inexplicables. On cite un M. Dumolard qui s’intitule le doyen des auteur
16 (1920) Enquête : Pourquoi aucun des grands poètes de langue française n’est-il du Midi ? (Les Marges)
els il faut joindre le grand catalan Verdaguer. Et puisque M. Chaumié cite Claudel, on peut aussi évoquer le nom de Joseph d
poètes en oc, mais à la suite, de beaux poètes francisants : pour ne citer que ces trois, tombés au champ d’honneur, le Daup
n, mais n’est-ce pas réfuter en partie la thèse de M. Chaumié, que de citer encore Marguerite d’Angoulême, Olivier de Magny,
ais, cette question de la langue parlée n’a guère d’importance : sans citer les meilleurs poèmes de Du Bellay, qui sont en la
e ! La langue perdue se serait-elle, alors, retrouvée ? Et je ne veux citer ni Laforgue né à Montevideo, de père tarbais, ni
ile de formuler une loi, comme celle de M. Jacques Chaumié. Ainsi, il cite comme faisant exception à sa loi, Clément Marot n
ore fort nombreux. Mais, si quelques-uns de nos meilleurs prosateurs ( citons Montaigne, Montesquieu, Rivarol) sont des méridio
le plus grand nombre d’avocats politiciens et d’orateurs redoutables. Citerai -je les exemples célèbres de Gambetta et de Jaurès
ienne ait été celle de ces grands troubadours : en dehors de ceux que cite Dante, — Bertrand de Born, Richard Cœur de Lion —
17 (1913) La Fontaine « V. Le conteur — le touriste. »
urvu que ce soit sans intention de rien retenir, moins encore de rien citer . Ce n’est pas une bonne qualité pour une femme d’
uables [les plus remarquables beautés de ce château] que je vais vous citer . Mais que vous importe ? De l’humeur dont je vous
ue. Voyez encore, et je n’en finirais vraiment pas si je voulais tout citer  : « Pardonnez-moi cette petite digression. Il m’
t le Corbeau. Vous avez encore bien d’autres passages que je pourrais citer , mais je me presse un peu. Vous avez encore, par
ant et même plus que partout ailleurs. Je vous ai dit que je pourrais citer encore bien d’autres textes permettant et exigean
e qui va d’Orléans à Tours. Le passage est un peu long, je ne vous en citerai que la fin, qui est très belle : Mais le plus be
intaine des coteaux et des collines à l’horizon. Ceci encore serait à citer , mais il faut que je me hâte. Maintenant je vous
ation devant la cellule de Fouquet, que je n’avais pas besoin de vous citer aujourd’hui puisque je vous l’ai déjà citée tout
’avais pas besoin de vous citer aujourd’hui puisque je vous l’ai déjà citée tout entière en faisant sa biographie.) Il se mon
18 (1913) La Fontaine « VI. Ses petits poèmes  son théâtre. »
rits La Fontaine, et tout à fait des plus exquis. Une partie en a été citée , ce n’est généralement pas la plus heureusement v
ue le vent nous l’enlève… Il y a encore, dans les Filles de Minée, à citer , mais à un autre point de vue, au point de vue du
du travail de La Fontaine, de la façon dont il travaillait, il y a à citer deux vers de l’épisode de Pyrame et Thisbé. Le l
de plus selon son cœur et selon son goût. Ainsi les vers que je vous citais l’autre jour : … Les lieux Honorés par les pas,
on suivante. De ces récits qui sont très divertissants, je ne vous en citerai qu’un parce qu’il faut se borner ; je vous citera
nts, je ne vous en citerai qu’un parce qu’il faut se borner ; je vous citerai la chevauchée de Ragotin et l’âne tué. On dirait
et l’âne tué. On dirait un roman de Jules Janin, l’Ane mort. Je vous citerai donc l’Ane mort de Ragotin, l’assassinat de l’âne
e à faire et une étude que je vous recommande3. De Galatée je ne vous citerai que quelques vers qu’il est bon que l’on connaiss
que comme y étant aucune bassesse et les soixante-huit vers qu’ils en citent sont mauvais, mais du plus pur pompeux. La questi
19 (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Deuxième partie. L’évolution des genres — Chapitre III. Le roman » pp. 135-201
d’araignée de A. Vidal (nouvelles) renferment des pages curieuses.   Citons encore M. Edmond Jaloux avec les Sangsues, M. Ant
dans la Nuit de Frédéric Boutet ont une tenue philosophique. Il faut citer à part la Morte irritée de François de Nion et Le
garnison provinciale y revêt une apparence exacte, vivante, navrante. Citons La Caserne de M. Albert Lantoine, d’un style si é
ersion d’Angèle) et Μ. P.-J. Toulet (Tendres ménages, Mon amie Nane). Citons encore Curnonsky, le collaborateur de Willy, Armo
al qui se continue sans interruption marquent ce poème en prose. Nous citons  : « Au-delà de la rude clarté des landes rouges
s en définit la formule et énumère les principales réalisations. Nous citons  : « Notre collaborateur Jules Bois vient de rece
des œuvres comme Bruges-la-Morte, le Passé Vivant et Domination — je cite au hasard celles qui ire viennent à la mémoire —
ire viennent à la mémoire — me semble avoir droit d’entrée dans votre citée littéraire. Et je m’étonne même que celui qui écr
aut, et le peintre des déserts, Maxime Noiré. En dehors de ce groupe, citons M. Jean Rodes, auteur d’Heures d’Égypte (Ollendor
désespéré qu’a jeté Mme Bertrand de Jarzé. Nous n’avons pas prétendu citer ici toutes les femmes romancières, si nous nous s
 : Bubu de Montparnasse, le Père Perdrix, Marie Donadieu : Il faut le citer . « — Ah ! petite Margot, tu es charmante et dou
complaisante admiration des deux mondes. Rachilde affirme que vouloir citer les jolis mots de P.-J. Toulet, c’est vouloir rec
20 (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre premier. Aperçu descriptif. — Histoire de la question »
ertain nombre d’expressions courantes — nous aurons l’occasion de les citer dans la suite de ce travail [ch. II, § 11 ; ch. I
ion radicalement fautive. A traduire littéralement une phrase souvent citée de Analytiques, il semblerait pourtant qu’Aristot
En effet, dans son principal ouvrage contre les quiétistes20, Bossuet cite un certain nombre de passages des mystiques ortho
tif, — voilà ce qui paraît ressortir d’une belle page que nous allons citer presque en entier : « Cassien… dit que, dans l’ét
ture44. Or les passages descriptifs des Recherches que nous venons de citer contredisent le fait invoqué ; car ils impliquent
thèse capitale, les formules abondent, et la plupart méritent d’être citées  : « L’homme n’est connu à lui-même que par la par
e l’attention qu’elle méritait. Parmi les auteurs que Bonald lui-même cite à l’appui de ses aphorismes66, la plupart ne s’éc
igné de consacrer une mention spéciale à la parole intérieure ; il la cite à l’occasion, quand il parle du souvenir et de l’
ontiennent que de très vagues allusions à la parole intérieure121. Il cite pourtant avec éloge une formule de Hegel : « c’es
er, 1869. La traduction de l’introduction de D. Pezzi par Nourrisson, citée par Egger, date de 1875 (Paris, Sandoz et Fischba
lligibles qu’il possède, sans recourir aux images ? ». Thomas D’Aquin cite Aristote (De Anima, III, 13, 429a1 : « le Philoso
a question suivante : « la prière doit-elle être vocale ? » La phrase citée par Egger clôt la troisième objection initiale :
VIII, 29, 31. — Cf. l’ouvrage latin, Mystici in tuto, 12, où Bossuet cite un religieux qui déclare n’être parvenu à l’orais
18, Bonald paraît avoir étendu ses lectures : dans les Recherches, il cite comme autorités les nominalistes, Hobbes, un mot
, p. 249-250 ; Recherches, ch. II, p. 58-59, 64, 79 ; cf p. 232. Nous citons d’après l’édition in-8° publiée chez Adrien Le Cl
rire est parler, écrire est aussi penser. 82. Pages 206 à 218, où il cite Bonald ; il le cite encore, et le réfute, pages 3
ire est aussi penser. 82. Pages 206 à 218, où il cite Bonald ; il le cite encore, et le réfute, pages 351-352, sur l’invent
21 (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « L’abbé Gerbet. » pp. 378-396
savants, les plus distingués et les plus vraiment aimables que puisse citer l’Église de France, de l’un de nos meilleurs écri
es jeunes lévites, il faut l’avoir compris. » Des noms, j’en pourrais citer quelques-uns qui, avec des nuances et des différe
pour appuyer cette méthode plus libre et plus généreuse. Il aimait à citer entre autres un beau passage de Vincent de Lérins
s qui sortent de l’âme et qui sont l’effusion d’une foi aimante. J’en citerai quelques-unes presque au hasard comme nous rendan
es et vives considérations. Des divers écrits de l’abbé Gerbet, je ne citerai plus qu’un seul, et c’est peut-être son chef-d’œu
es et sans nom ! Quels tableaux alors ! quelles apparitions ! Vous en citerai -je une, ô Platon ? Oui, au nom du ciel ! je vous
22 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 39, qu’il est des professions où le succès dépend plus du génie que du secours que l’art peut donner, et d’autres où le succès dépend plus du secours qu’on tire de l’art que du génie. On ne doit pas inferer qu’un siecle surpasse un autre siecle dans les professions du premier genre, parce qu’il le surpasse dans les professions du second genre » pp. 558-567
éneration pour eux. Les anciens ignoroient dans les sciences que j’ai citées bien des choses que nous sçavons, et par la déman
qui dépendent principalement du génie. Parmi les professions que j’ai citées comme ressortissantes principalement du génie, ce
ile a charmé. Enfin, dit ailleurs l’auteur anglois que nous venons de citer , nous pouvons être plus exacts que les anciens, m
23 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250
ant la période de 1660 à 1670, plusieurs des personnes que nous avons citées , d’autres encore, ouvrirent elles-mêmes leur mais
é cette infirmité de distractions continuelles dont madame de Sévigné cite des exemples fort divertissants, et dont La Bruyè
tte dame avait de la fortune, une bonne maison, une excellente table, citée alors pour son élégante propreté ; qu’elle donnai
première jeunesse se ressentit les distractions de son mari, et l’on cite sa réponse à son oncle qui lui disait : Quoi ! to
24 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LXVI » pp. 256-263
de cette discussion entre M. Letronne et ses adversaires, un journal citait dernièrement le mot de Schlegel. Le grand critiqu
onse au livre qu’il avait reçu de lui, quelques vers français dont on cite les deux premiers : On a donc retrouvé dans la S
rassembler ses vers en un seul volume sous ce titre : Les Deux Ages, cite , dans sa préface que nous avons sous les yeux, un
25 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Daudet, Julia (1844-1940) »
l peut paraître étrange que, pour donner idée des vers d’un poète, ou cite de sa prose ; c’est pourtant le meilleur moyen de
ondaine… » Voilà de la prose exquise qui nous dispense, je crois, de citer les vers, non moins exquis, de Mme Daudet. [Cause
26 (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Histoire du chancelier d’Aguesseau, par M. Boullée. (1848.) » pp. 407-427
jours irréparables de la jeunesse… On est assez embarrassé d’avoir à citer avec d’Aguesseau, car rien en particulier n’est o
à temps ce qui autrement courrait risque de s’éterniser. Saint-Simon cite les exemples les plus curieux de cette indécision
lettre à M. de Valincour sur l’incendie d’une bibliothèque, et où il cite tant Cicéron, il parle d’Astrée, c’est-à-dire de
me faut pourtant y faire une remarque critique sur une phrase souvent citée , et qui a fort étonné de la part d’une plume auss
nt ut non sint). C’est à quoi d’Aguesseau fait allusion ; il aimait à citer ce mot de saint Augustin, et si, dans le cas prés
prit proprement dit, de la plaisanterie et du badinage en causant. On cite de lui de jolis vers, de jolis mots. À un ami qui
27 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « X » pp. 37-38
Odéon. Voilà l’histoire de ces articles. L'anecdote de M. Portelance, citée par Molènes, n’a aucun rapport ici, puisque Lucrè
ux qui vous en informe. Libri est cet ami ; il se donne le plaisir de citer une jolie phrase sur Cousin. 13. Lettres sur l
28 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 46, quelques refléxions sur la musique des italiens, que les italiens n’ont cultivé cet art qu’après les françois et les flamands » pp. 464-478
uve, Commine et plusieurs autres écrivains, mais je me contenterai de citer un témoin sans reproche et dont la déposition est
assé, un des musiciens des Païs-Bas, loüé par Guichardin. Ce poëte le cite donc sous le nom d’Orlando Lasso, et il nous dit
çois. Roland Lassé étoit françois, ainsi que la plûpart des musiciens citez par Guichardin, à prendre le nom de françois dans
29 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Lafargue, Marc (1876-1927) »
arc Lafargue se recommandent par leur grâce harmonieuse et facile. Je citerai particulièrement : La Maison, Vieux livres, le Ja
ltative, que certains poètes l’emploient de préférence et que l’on en cite même des exemples chez Lamartine. C’est évidemmen
30 (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Laurent Pichat »
rossignols sont les oiseaux des soirs. Certes ! ce n’est pas moi qui citerai ici pour les faire valoir les pièces du recueil d
e d’être une étoile inconnue ? Les points vous l’ont dit, je n’ai pu citer dans toute sa longueur cette adorable pièce, et d
nnu un. À côté de ces vers, qui ne sont que charmants, ce que je veux citer est d’une inspiration plus âpre et plus fière… C’
s âpre et plus fière… C’est Le Lac bleu, cette description si bonne à citer dans un temps de description puérilement microsco
31 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 16, des pantomimes ou des acteurs qui joüoient sans parler » pp. 265-295
e executoit, mais il est aussi constant par plusieurs passages que je citerai plus bas, que le pantomime représentoit souvent s
etc. mais la plûpart de ces passages sont tels qu’on ne sçauroit les citer même en latin. D’ailleurs, les poëtes sont suspec
urs, les poëtes sont suspects d’exageration. Ainsi contentons-nous de citer les écrivains en prose. Seneque le pere qui exer
les représentations des pantomimes étoit une véritable passion. Pour citer ma folie, ce sont ses termes, Pylade n’étoit plus
raison, c’est que Tacite immédiatement après les mots que je viens de citer , ajoute une circonstance qui prouve bien que Nero
32 (1875) Premiers lundis. Tome III «  Les fils  »
leur renom n’a guère jusqu’ici profité à aucun des deux Dumas. Je les cite , puisqu’il les cite. Il s’agissait uniquement, da
jusqu’ici profité à aucun des deux Dumas. Je les cite, puisqu’il les cite . Il s’agissait uniquement, dans le cas particulie
33 (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Gabriel Naudé »
t ses heureuses dispositions, le mirent de bonne heure aux études. On cite d’ordinaire ses deux maîtres de philosophie, célè
s des écrits qu’il publia antérieurement. Avant de les lire et de les citer , une remarque pourtant, une précaution est nécess
e n’y veux reconnaître ni compter les esclaves et les affranchis), il cite donc en première ligne Démétrius de Phalere, Call
sous le manteau et sous la pourpre, on ne lit plus maintenant, on ne cite plus guère à l’occasion que ses Coups d’État  ; e
me ou pour bien traiter un sujet, il faut se transmuer dedans ; et il cite spirituellement l’exemple de Du Bartas, qui, pour
ouis XI, de Philippe de Macédoine, ou du vieil et perfide Ulysse ; il cite à propos Tibère. Il donne la recette de ce qu’il
te sa vie. C’est à ce moment précis que se rapporte la lettre souvent citée de Guy Patin (27 août 1648)246 : « M. Naudé, bibl
mplicité ou explicité dans ledit livre. » On a le venin. J’aime mieux citer une belle page philosophique, et même religieuse
eux imprimeurs qui ont dit ces belles choses, Mascurat, qui a voyagé, cite l’exemple des savetiers italiens dont la politiqu
s suspendit amicis, Conviva ut sub ea dicta taceuda sciat. Naudé, qui cite cette épigramme dans la préface de ses Rose-Croix
igmatum, comme disoit saint Ambroise… » Quand j’entends un sceptique, citer si respectueusement un grand saint, je me dis qu’
. M. Artaud, dans son ouvrage sur Machiavel (tome II, pages 336-350), cite un ouvrage manuscrit français qui est une apologi
34 (1899) Esthétique de la langue française « Esthétique de la langue française — Chapitre III »
caduc, haut mal et mal S. Jean, pour épilepsie. Cependant Villars les cite encore28 ainsi que les noms vulgaires des instrum
dans les cas où le fond de notre langue suffirait amplement » ; et il cite le mot excellent de cailloute, nom d’une phtisie
médecine et de chirurgie par Elie Col de Villars ; Paris, 1753. — Il cite aussi de curieux noms de bandages : épi, doloire,
NdA 37. C’est sans doute de l’arabe d’officine. Hadrianus Junins le cite comme synonyme de halicacabus et lui donne pour c
35 (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXIX. M. Eugène Pelletan »
ut besoin de sortir du Paradis pour conquérir sa première vertu. Nous citons …, mais sans colère. Ne savions-nous pas qu’il dev
ar nous ne pouvons qu’indiquer. Certes, c’est ici le cas ou jamais de citer le beau mot du philosophe Jacobi, qui savait, com
ces qui sont des blessures par lesquelles saigne et meurt un système. Citons -en une seule en passant : « L’homme, dit-il, recr
ter par leur sang sa pauvreté ! » Nous ne discutons pas le fait, nous citons la phrase. Franchement, n’est-elle pas un peu com
36 (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Querelles générales, ou querelles sur de grands sujets. — Seconde Partie. De l’Éloquence. — Éloquence du barreau. » pp. 193-204
doyer ; d’autant plus qu’elles n’ont pas été goûtées des anciens, qui citent rarement & jamais hors de propos. Les citatio
dans le fond) qu’il n’y a presque point de cas où l’on soit obligé de citer , & que, de mille arrêts qu’on rapporte &
me plains du larcin. Le juge veut du cas une preuve très-claire. Vous citez de grands noms dont nous n’avons que faire, Mithr
37 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 24, objection contre la solidité des jugemens du public, et réponse à cette objection » pp. 354-365
des jugemens du public, et réponse à cette objection J’entens déja citer les erreurs où le public est tombé dans tous les
mpe rarement quand il définit en general les personnes qu’on vient de citer comme un exemple de ses injustices, quoiqu’il les
joueur habile. Or, la guerre et les autres professions que nous avons citées , dépendent encore moins de la fortune que le tric
38 (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « III »
goût, nous mériterions, en effet, ce persiflage. Mais on n’a garde de citer notre définition. Nous avons dit textuellement ce
être un chef-d’œuvre.‌ Et, à ce propos, je crois bien qu’on a tort de citer contre nous Bouvard et Pécuchet. Ce sont les livr
infusion. » On pourra chicaner, distinguer, sophistiquer, alambiquer, citer des cas et des exceptions, voilà la règle, voilà
39 (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Œuvres complètes de Saint-Amant. nouvelle édition, augmentée de pièces inédites, et précédée d’une notice par M. Ch.-L. Livet. 2 vol. » pp. 173-191
nion fausse qu’il serait inutile de discuter », ajoute M. Livret, qui cite le mot. Comment ! il serait inutile de discuter l
t au cabaret : La seule onde Aganippide, etc. On ne peut jamais tout citer de Saint-Amant. Regnier, son rare neveu, S’enten
s de goinfrerie et de débauche. Parmi celles de ses pièces qu’on peut citer , on appréciait fort dans le temps Le Melon ; il y
nnées un retour de cœur à des sentiments élevés et religieux, et l’on cite de lui des stances à Corneille, au « noble et che
 J’ai fait la débauche avec Saint-Amant. » 28. [NdA] Ainsi, pour ne citer que la dernière strophe : Vois de là, dans cette
40 (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Tallemant et Bussy ou le médisant bourgeois et le médisant de qualité » pp. 172-188
par où se trahissent chez Bussy le mauvais goût et l’inexpérience. Il cite assez volontiers et insère des lettres dans son r
de Bussy, était encore à s’essayer et à se former. Les billets qu’il cite , et que sans doute il fabrique, ne valent pas les
ils sont d’un maître à écrire. — Bussy aime encore, à la rencontre, à citer des vers, des couplets ou madrigaux de sa façon,
gnité un rôle fâcheux dont on s’est chargé mal à propos… Il faudrait citer tout ce qui suit. Saint-Évremond, en parlant ains
il ne faut pas s’étonner si on profite des pages de Tallemant sans le citer , lui, avec honneur, si on le dépouille souvent sa
41 (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Le maréchal Marmont, duc de Raguse. — III. (Suite et fin.) » pp. 47-63
nt que j’exprime. » Et il avait deux traits singuliers qu’il aimait à citer comme indice et preuve de cette sensibilité premi
de son imagination et de son cœur. L’autre trait que Marmont aimait à citer au duc de Reichstadt, et que d’autres encore ont
superstitions dans les hommes du destin. Quoi qu’il en soit, Marmont citait ces deux traits au fils de l’Empereur comme preuv
quer en passant ; mais dans ces volumes du duc de Raguse, je voudrais citer pourtant, comme pages durables et dignes d’un mor
ervateur qui unissent à la fois la finesse et l’élévation, peuvent se citer et tiennent leur place à côté des pages les plus
42 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 453-456
à un penchant trop marqué pour les Poëtes Italiens : le Marini, qu’il cite presque toujours avec admiration, lui gâta le goû
pensées fines & delicates. Le P. Bouhours ne se lasse point d’en citer dans son Recueil, connu sous le titre de Pensées
43 (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Biographie de Camille Desmoulins, par M. Éd. Fleury. (1850.) » pp. 98-122
ampes dont j’enrichis ma feuille périodique. Quant aux phrases que je cite des anciens écrivains, persuadé du grand sens de
es exemples ; quand je dis trop aisé, je me vante, car, si je voulais citer , ce me serait difficile et le plus souvent imposs
orale de toutes socialement et même humainement, est le même qui nous cite , dès son premier numéro, le Traité des devoirs de
ur la société entière de 89, et sur moi en particulier. Il extrait et cite de mon ouvrage toutes les dénominations sévères d
out d’une voix que lorsqu’un auteur tronque ou falsifie tout ce qu’il cite , en dénature le sens, vous prête des intentions q
hieu, le Palais-Royal (Dieu me pardonne !) et l’Évangile. Je pourrais citer encore la page suivante de ce numéro 5 du Vieux C
44 (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Deuxième partie. L’évolution des genres — Chapitre I. La critique » pp. 45-80
ue jour, une définition nouvelle de la critique. Celle que nous avons citée nous paraît la plus française, la plus conforme à
leur respect envers la foule. Comprenne qui pourra ! Un exemple : Ils citent un livre de M. Henry Bérenger, la Proie, qu’ils d
, de plus, un souci très judicieux et très passionné de notre langue. Citons aussi, M. Maurice Reclus qui se signala à l’Human
iedrichs, Henri Provins, et Ad. Lanne se font spécialement remarquer. Citons aussi, MM. Georges Riat, Georges Toudouze, Boussa
lace hors pair25. Éloquence Nous aurions peu de noms ou trop à citer en dehors de J. Paul Boncour, de Moro Giafferi, G
r cela que sa méthode ou son érudition puissent être mises en défaut. Citons aussi Les Pages Libres de MM. Maurice Kahu et Gui
45 (1919) L’énergie spirituelle. Essais et conférences « Chapitre IV. Le rêve »
ond, un ensemble de visions que dominera l’idée d’incendie. Tissié en cite deux exemples : « B… rêve que le théâtre d’Alexan
d le tocsin et qu’il assiste aux événements de juin 1848. Je pourrais citer d’autres exemples. Mais il s’en faut que les sons
tateurs, si confus que nous en puissions être nous-mêmes. Je viens de citer un rêve bien connu. En voici un autre, que beauco
ent-elles au réveil. Hélas ! l’illusion devient bien vite réalité. On cite des maladies et des accidents graves, attaques d’
marquons d’abord que le rêve ne crée généralement rien. Sans doute on cite quelques exemples de travail artistique, littérai
nombreuses et concordantes ne laissent aucun doute à cet égard. Je ne citerai que celles de Goldscheider et Mueller. Ces expéri
46 (1874) Premiers lundis. Tome II « Mémoires de Casanova de Seingalt. Écrits par lui-même. »
bonne grâce pour un vieillard ; épicurien comme Horace, qu’il aime à citer , sensualiste ouvertement, sans trop de cynisme, q
es épigrammes salées de Catulle et de Martial, les vers de Solon, qui citent volontiers certains passages d’Ovide et de Tibull
moires de Casanova ; nous ajouterons pourtant, de peur que l’anecdote citée tout à l’heure ne fasse équivoque, que mesdemoise
Le grand a Frédéric l’a conservé jusqu’à sa mort. » Nous avons voulu citer la peinture de cet iris, pour montrer avec quelle
47 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 4, de l’art ou de la musique poëtique, de la mélopée. Qu’il y avoit une mélopée qui n’étoit pas un chant musical, quoiqu’elle s’écrivît en notes » pp. 54-83
sterieur à Quintilianus Aristides ; mais il a vécu avant Boëce qui le cite , et cela suffit pour le rendre d’un grand poids d
e et melodie, signifioit la liaison du son aigu avec le son grave. Je cite le texte de Capella, suivant les corrections qu’i
suite tout le passage où se trouvent les paroles qui viennent d’être citées . " la melopée est l’art de composer la modulatio
r. Leurs noms sont : acutus, … etc. on peut voir dans le livre que je cite , la figure propre à chaque accent. Isidore De Sev
48 (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Nouvelles lettres de Madame, mère du Régent, traduites par M. G. Brunet. — II. (Fin.) » pp. 62-79
lière qui me fait le plus de plaisir. » Elle admirait Corneille, elle cite La Mort de Pompée ; je ne sais si elle goûta Esth
qu’il savait une chose, elle ne lui faisait plus de plaisir. » Elle cite de lui une preuve de bon naturel, et « qui m’a te
de ses lettres ne sont pas de ces choses qui se puissent détacher et citer isolément. Jamais l’effronterie et la gloutonneri
arches21. Combien de fois, a dit un de ses panégyristes que j’aime à citer , combien de fois condamna-t-elle ces négligences
itesse et tous ses vices. C’est un portrait à lire et que je voudrais citer , si je n’étais retenu par le respect du grand hom
49 (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Montluc — II » pp. 71-89
arquebuserie, ce qui a fait dire à un auteur qu’on est orgueilleux de citer  : Toute l’arquebuserie française avait été retir
d’histoire militaire de M. Rocquancourt, quelques phrases de Montluc citées comme preuve de son aversion pour les armes à feu
grand cas de l’arquebuserie12. Et en effet, les paroles qu’on peut citer de Montluc contre l’invention de l’arquebuserie,
patriotique, qui se peint admirablement dans le récit de Montluc. On cite d’ordinaire, dans les poèmes épiques en renom, te
s les poèmes épiques en renom, tel ou tel chant célèbre ; il faudrait citer de même, dans l’ordre des grandes choses historiq
50 (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Patru. Éloge d’Olivier Patru, par M. P. Péronne, avocat. (1851.) » pp. 275-293
les premières années, et tout ce début de la Notice de d’Olivet est à citer comme touchant déjà à fond le caractère : Patru
visait en public. La première phrase de son seizième plaidoyer a été citée comme une des deux périodes françaises les plus r
est souvent malin ; parmi les façons de dire proverbiales qui étaient citées , il y avait : Jeux de prince, qui ne plaisent qu
. Patru acquérait de plus en plus d’autorité en vieillissant, et l’on cite de lui de ces mots qui sont des traits de caractè
dans beaucoup de détails dont plus d’un a de la nouveauté et serait à citer  : je voudrais seulement que M. de Bast, s’il fait
51 (1874) Premiers lundis. Tome II « Poésie — Poésie — I. Hymnes sacrées par Édouard Turquety. »
aint Jean de la Croix, et il en reproduit l’esprit en mainte page. Je citerai celle-ci, par exemple, qu’il intitule : Domine, n
i plus ! Nous avons cru devoir cette réparation à M. Turquety, de le citer en ce que sa poésie a d’aimable, plutôt que d’ins
se, de cette nature sibérienne, sont celles du poète Bénédictof. J’en citerai une fort belle, traduite avec un grand bonheur pa
52 (1762) Réflexions sur l’ode
ut pour être poète ; ils devraient sentir et reconnaître, pour ne pas citer d’autres exemples, quel prix la philosophie ajout
tie du sentiment est chez lui encore plus faible. Aussi, quoiqu’on le cite quelquefois, on le loue encore plus qu’on ne le c
si, quoiqu’on le cite quelquefois, on le loue encore plus qu’on ne le cite . Les vers qu’on retient avec facilité, qu’on se r
53 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XIII » pp. 53-57
putation d’être classique comme on l’entendait de son temps ; il m’en citait des vers étranges selon lui, et d’autres qui sent
t était fortement mêlé de vers à la moderne, à la Victor Hugo ; il me citait , par exemple, cette apostrophe de Brutus qui se d
54 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Schwob, Marcel (1867-1905) »
endent le prince ; et Lily, puis Monelle qui revient… Je ne puis tout citer de ces pages, les plus parfaites qui soient dans
t flotter sans cesse entre, deux éternités indécises… Je ne puis tout citer  ; mais, cependant, la Fuite de Monelle, cette Fui
55 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Lettres de m. l’Abbé Sabatier de Castres ; relatives aux trois siecles de la littérature françoise.ABCD » pp. -641
t moins de sa propre cause que de l’intérêt des vérités qu’il défend, cite au tribunal de la raison & de la décence les
e dans votre Journal, pour réclamer contre les faits & les Pieces citées dans une brochure qu’on vient de publier. Elle a
s Ecrivains ascétiques. 4°. De prouver qu'aucune des Lettres, dont on cite des morceaux, pag. 17, 18, 19 & suiv. ait été
tes en ma vie à l'Abbé Martin, tous les papiers de mon écriture qu'on cite ou dont on parle dans le Libelle, ne sont que des
pte, quoiqu'on me permette de les rendre publiques : je me bornerai à citer les Morceaux où l'Auteur de la Lettre exprime le
ai vérifié la plupart des faits qu'il rapporte sans preuve & sans citer les sources, & je puis vous assurer que je su
ques ; je doute même qu'il ait jamais lu les Peres de l'Eglise, qu'il cite souvent. Mais le moyen qu'un Génie si sublime ait
près les avoir vus, tout le contraire de la Reine de Saba. Je vous en citerai un exemple. Madame la Duchesse de W***, femme du
56 (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Essai sur Talleyrand (suite et fin.) »
ient pas toujours aussi courtes et aussi concises que celles que j’ai citées . Si sobre qu’il fût d’écritures comme de paroles,
me. Dans ce choix un peu arbitraire que j’ai fait, il faut, je crois, citer tout d’abord celle des lettres de M. Sainte-Beuve
« J’aurais bien envie de connaître cette correspondance dont vous me citez des mots intéressants. Où est-elle ? où l’avez-vo
rticle à l’autre, et qui avait tout l’air d’une menace J’ai besoin de citer encore la lettre suivante de M. Sainte-Beuve à M.
rés. M. de Talleyrand lardait de ses épigrammes le duc de Bassano. On citait de lui, dès 1809, ce mot qui dispense de tous les
est si aimable ! » — « Il est si vicieux ! » répondait Montrond. — On cite encore ce court dialogue : « Savez-vous, duchesse
es en avait publié, à ce qu’il paraît, des extraits. — M. Claretie en cite un encore des moins patriotiques, parodiant un mo
57 (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Histoire de Louvois et de son administration politique et militaire, par M. Camille Rousset, professeur d’histoire au lycée Bonaparte. (Suite et fin) »
x-mêmes avaient préparé ? Quelques cas singuliers, quelques anecdotes citées et répétées sur la foi des premiers auteurs, suff
, je m’appliquai à pourvoir à la sûreté de mes troupes… » Quoique je cite beaucoup, j’abrège encore. Comme tout cela est bi
galité d’humeur avec tout ce qui l’entourait. Et Goethe que l’on peut citer à côté de Boileau, Goethe le grand et judicieux c
comme si la Nature les avait destinés à en offrir le modèle. » Et il cite en exemple Voltaire, le plus Français des hommes,
classes, et d’en paraître comme la personnification vivante. » Et il cite pour exemple Louis XIV, que la Nature créa, dit-i
58 (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Campagnes d’Égypte et de Syrie, mémoires dictés par Napoléon. (2 vol. in-8º avec Atlas. — 1847.) » pp. 179-198
s’appareille à lui. Annibal, les légions romaines, Alexandre, il les cite au moment qu’il faut, et n’en abuse pas ; ce sont
ne !), et qui n’avait pas cinquante ans, est un modèle achevé ; je le citerais bien, si je ne craignais qu’avec notre besoin de
ité, et cela est surtout vrai quand il écrit. J’ai dit que je n’osais citer ce portrait de Kléber ; mais, maintenant que j’ai
éber ; mais, maintenant que j’ai pris mes précautions, pourquoi ne le citerais -je pas ? M. Thiers, dans le premier article qui a
mble se complaire, avant de les combattre, à les voir se déployer. On citerait tel endroit où l’image se lie si étroitement à la
59 (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Essai sur la littérature merveilleuse des noirs. — Chapitre III. Personnages merveilleux des contes indigènes »
pensée. 3° Guinné du feu. — Comme guinné du feu, je ne vois guère à citer que les taloguina. Dans les contes autres que cel
ent cette forme qu’accidentellement et en vue d’un but à réaliser. Je citerai dans cette catégorie des animaux-guinné : Niabard
y prêtent moins facilement. Comme exemple de ces dernières unions, je citerai les contes de Mamadou et d’Anta la guinné, — La g
me II p. 323). Comme végétaux figurant dans les contes il y a lieu de citer le riz (V. Le choix d’un d’un damel.) Comme minér
, l’yboumbouni. Talismans Les talismans sont nombreux et variés Citons  : La bague (Bissimillaye et Astafroulla, La bagu
60 (1911) La valeur de la science « Première partie : Les sciences mathématiques — Chapitre I. L’intuition et la logique en Mathématiques. »
semble aussi qu’on naît géomètre, ou qu’on naît analyste. Je voudrais citer des exemples et certes ils ne manquent pas ; mais
la rigueur, ni même la certitude, on s’en est aperçu de plus en plus. Citons quelques exemples. Nous savons qu’il existe des f
-on ces analogies et ces différences ? Dans l’exemple que je viens de citer , elles sont presque toujours évidentes, mais j’au
pent d’abord de la logique formelle ? M. Hermite, par exemple, que je citais tout à l’heure, ne peut être classé parmi les géo
61 (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « II — Se connaître »
timent de la réalité. On remarquera que les trois hommes dont je vais citer l’opinion représentent des nuances différentes du
tude consacrée à ce même livre de M. Demolins qui inspira les phrases citées plus haut à M. Jules Lemaître. « Il s’agit de sav
t quelque littérature dans les phrases pessimistes que nous venons de citer , et que leurs auteurs ne sont peut-être aussi per
de cette façon son être intime. Il a pu vous approuver, lorsque vous citiez des faits irrécusables, mais vous ne parviendrez
62 (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « M. de Sénancour — Oberman, édition nouvelle, 1833 »
s si longtemps de mourir ; et ceux qui vivent encore, et dont je veux citer quelques-uns ! Car la destinée d’Oberman, comme l
ages dignes d’Oberman ; l’inspiration grandiose est la même, et il le cite à tout moment. Lorsque Ampère va en Suisse, Basti
ines. » Et encore, car, si je m’écoutais, je ne pourrais me lasser de citer  : « Que tes lettres m’ont causé de plaisir ! Je l
63 (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. LOUIS DE CARNÉ. Vues sur l’histoire contemporaine. » pp. 262-272
féconde dont il envisage socialement le christianisme. Enfin, si elle cite toujours avec orgueil et louange le beau nom de M
ec chaleur et d’un ton ému, presque lyrique, qui va à l’éloquence. Je citerai surtout l’endroit où, discutant la loi du sacrilé
ante qu’il avait presque invoquée d’abord sous sa forme abstraite. Je citerai encore, comme beauté du même genre et naïve expan
64 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
emands, aux Espagnols, que les Français le soient ? Comme exemple, je citerai deux axiomes de la critique française, que bien c
réfuter toutes. En voulez-vous quelque exemple ? Si vous dites, pour citer une théorie qui jouit aujourd’hui d’une faveur in
sions dans le détail desquelles je n’ai pas le dessein d’entrer. Pour citer seulement ici deux noms bien originaux, M. Taine,
65 (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre onzième. »
es. Il y en a deux autres, dans le cours de cet Apologue, que j’ai vu citer et appliquer à un très-méchant homme, qui était d
que dans la fable de la tortue et des deux canards ; il était bien de citer Philomène, mais un musicien contemporain détruit
ir ; mais planter à cet âge ! Ce vers est devenu proverbe ; et on le cite souvent à l’occasion de ceux qui se sont mis dans
66 (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « XIV »
répétitions ? Les meilleurs styles en contiennent, et je vais vous en citer . — Observer l’harmonie ? Saint-Simon n’en a point
rtée, et, pour montrer qu’une métaphore suivie peut être ridicule, il cite celle que Molière met plaisamment dans la bouche
uisent l’effet contraire : l’idée disparaît dans la comparaison. Nous citions même, pour la blâmer, une image de Bossuet qui se
67 (1875) Premiers lundis. Tome III « Viollet-Le-Duc »
biographiques, à des appréciations littéraires, à des citations. Bien citer , quand il s’agit de ces vieux poëtes, c’est les f
baiser tout enflammé : Qui a leu comme Vénus, etc., qu’on ne pourrait citer ici, dans une Revue2, mais qu’on aime fort à trou
68 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 309-314
gédies offrent de beaux morceaux. L'Auteur du Poëme de la Religion en cite quelques-uns avec des éloges qu'ils justifient. L
es Ecrivains. M. Piron, entre autres, lui écrivit une Lettre que nous citons avec plaisir. Elle fera juger du respect de ce Po
69 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 47, quels vers sont les plus propres à être mis en musique » pp. 479-483
gueres dans ses ouvrages de vers pareils à ceux de Corneille que j’ai citez . Ainsi le reproche qu’on faisoit à Monsieur Quina
ique. Il n’y a pas de comparaison entre les deux strophes que je vais citer , quand elles sont déclamées. La premiere est de l
70 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LXXXIII » pp. 332-336
a grâce de la fantaisie et la vivacité de la couleur suffisen On peut citer comme une élégie d’un paganisme très-nu, mais trè
oici de ce volume une des jolies pièces, une de celles qui se peuvent citer (car toutes à beaucoup près ne sont pas dans ce c
71 (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Les poëtes français. Recueil des chefs-d’œuvre de la poésie française »
e sincère ne désire autre chose que de ne pas être oublié. Je ne puis citer tous les collaborateurs, auteurs de notices, et q
ois ou quatre à peu près au hasard : ce sera une occasion pour moi de citer d’eux quelques échantillons de rare et fine poési
re Anthologie, dont elle était si digne ? Je l’ignore. Celles qu’on a citées sont d’ailleurs fort bien, mais la précédente, ce
72 (1886) Revue wagnérienne. Tome I « Paris, 8 avril 1885. »
Déjà dans un Traite sur l’ouverture dramatique, et dans la série, citée plus haut, des articles écrits à Paris en 1840 et
oir renoncé à parler jamais de son œuvre musicale, et, sans cesse, il cite les noms de ses deux grands prédécesseurs, qui on
une plaisanterie, dit M. Saint-Saëns ; une plaisanterie à la mode. Il cite les grands maîtres de l’art, Haydn, Beethoven, We
nestrel, aussi, a parlé de Tristan et Isolde : textuellement, nous le citons (8 mars) : Ce deuxième acte nous a paru, dans sa
teurs Presse Francaise Le Gaulois(8 mars) : article de M. Fourcaud. Citons toute la première partie, judicieuse et excellent
lus grande qu’aujourd’hui. Comme exemple à l’appui de son opinion, il cite l’invasion des mots français dans la langue allem
Allemagne, que les concerts spécialement wagnériens. [NdA] On ne peut citer , par exemple, toutes les séances données, en mars
(Wagner et l’esprit romantique, Paris : Gallimard, 1965, p. 254) qui cite Dujardin, il ne fit que se contenter « de dévelop
longtemps le texte de référence du wagnérisme français. Baudelaire le cite dans son article Richard Wagner et Tannhäuser (18
un portrait de Wagner théoricien de l’art, qui sert le symbolisme. Il cite un autre texte important Une communication à mes
73 (1867) Nouveaux lundis. Tome VII « Collé. »
t. Collé aime le latin et en sème volontiers ses lettres : souvent il cite de l’Horace ; une fois il cite de l’Ovide ou plut
me volontiers ses lettres : souvent il cite de l’Horace ; une fois il cite de l’Ovide ou plutôt il le parodie : c’est pour s
des fameux Mémoires, il dit de lui dans une page qu’il y a plaisir à citer  : « Cet homme a tous les styles. Il est véhément
, sur ses auteurs classiques, sur Horace « le divin moraliste » qu’il cite sans cesse et qu’il a raison d’aimer, mais tort d
ns où Mlle de Meulan a parlé de lui, et de lire les anecdotes qu’elle cite . Ce sont là les témoignages qui comptent. 74. Vo
74 (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Essai sur la littérature merveilleuse des noirs. — Chapitre I. »
olie commençante. Les contes d’Amadou Diop ne sont guère que cela. Je citerai notamment : La fille d’Aoua Gaye — Service de nui
e du Dr Barot. (Lanséni et Maryama.) Parmi ceux du présent recueil je citerai tant comme romanesques qu’anecdotiques : Bala et
ontes proprement dits. Parmi les apologues symboliques il y a lieu de citer  : Le guehuel et le damel — Kahué l’omniscient — L
nze Welt »30. Comme contes simplement humoristiques ou satiriques, je citerai entre autres : Hâbleurs bambara. — L’avare et l’é
es « Roetselmoehrchen » allemands (notamment : Les 2 faux dioulas). A citer encore : Le plus brave des trois. — L’arbre à fru
75 (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Les cinq derniers mois de la vie de Racine »
esnard concernant le caractère de Racine et sa position à la Cour, je citerai le passage suivant des Mémoires de Spanheim, lequ
quelque courtisan railleur et caustique. Les lettres que nous avons à citer nous-même auront toute leur valeur et tout leur p
levée à ia dignité de sacrement… » Et il prenait de là occasion pour citer , à son tour, plus d’une parole de l’Écriture se r
saventure galante. Voici deux de ces couplets, les seuls qu’on puisse citer , et les seuls aussi qui nous intéressent : De pa
76 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 28, du temps où les poëmes et les tableaux sont apprétiez à leur juste valeur » pp. 389-394
déja dit, la chose n’arrive point, et je ne pense pas qu’on puisse me citer une seule piece françoise rejettée par le public
auroient fait tomber auroient été changées. Au contraire, je pourrois citer plusieurs comédies et plusieurs opera tombez dans
77 (1830) Cours de philosophie positive : première et deuxième leçons « Première leçon »
des relations normales de succession et de similitude. Ainsi, pour en citer l’exemple le plus admirable, nous disons que les
irige exclusivement les grandes combinaisons intellectuelles. Pour en citer en ce moment un seul parmi les travaux contempora
positives, en sont encore à demander vainement à ces psychologues de citer une seule découverte réelle, grande ou petite, qu
ar les savants sur les procédés qu’ils emploient. Il serait aisé d’en citer des exemples frappants, si je ne craignais d’acco
us essentielles de chaque science positive en particulier. On en peut citer aisément des exemples très marquants, que je sign
développement naturel de ce cours nous les présentera. J’en pourrais citer , dans le passé, un exemple éminemment mémorable,
ourd’hui d’une manière tout à fait indépendante. Ceux que je viens de citer suffisent pour faire sentir, en général, l’import
78 (1913) La Fontaine « VIII. Ses fables — conclusions. »
re de Rabelais, c’est de la fine fleur de pantagruélisme. Je pourrais citer encore, dans ce genre-là, Un Animal dans la lune,
ge, La Fontaine voulait écarter ces très dangereuses superstitions. A citer encore comme discours philosophique les Lapins, o
ement admiré par le dix-septième siècle. Je n’ai guère besoin de vous citer , après la biographie de La Fontaine que je vous a
cé de me hâter un peu, je passe au dix-huitième siècle, et je ne vous citerai que deux ou trois noms. Rousseau. Je vous ai parl
es romantiques avaient été aimables pour La Fontaine. Je tiens à vous citer la jolie strophe de Victor Hugo sur La Fontaine q
citer la jolie strophe de Victor Hugo sur La Fontaine qui vaut d’être citée . Victor Hugo, peignant la cour de Versailles, et
ment favorable à La Fontaine, pendant tout le dix-neuvième siècle. Je citerai Nisard, qui, il faut lui en faire honneur, s’est
79 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69
s qui ne serait pas venu à l’auteur pour une femme vulgaire. L’auteur cite plusieurs exemples de l’urbanité des plus illustr
ique avant de rendre l’âme… C’était le caractère de l’esprit de Rome, citait la langue naturelle de la majesté. » L’auteur fi
e, sans les relever. 26. Page pénultième des Mémoires de Dumaurier, citée dans le Ducatiana, ire  partie, p. 103. 27. Ces
80 (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Quitard »
on prix. Or, Rivarol a dit, avec plus de hardiesse que Quitard qui le cite  : « Les proverbes sont les fruits de l’expérience
avait laissé beaucoup de mots pareils dans l’histoire, Quitard ne le citerait pas, car ce ne serait plus Rivarol. Ce ne serait
rda si peu au bon sens du sien. Heureusement pour Rivarol, le mot que cite Quitard ne prouve qu’une chose, assez triste du r
81 (1928) Quelques témoignages : hommes et idées. Tome II
tiquer ce que l’on peut appeler la défense spirituelle. J’en voudrais citer un exemple saisissant, que je relève dans le beau
’influence de leurs idées en nous y associant courageusement. Pour ne citer que deux noms qui ne sont pas ceux de contemporai
un démagogue sentimental. Écoutez-le la résoudre. La page vaut d’être citée tout entière. Elle se trouve dans le chapitre des
’énumérer. Le Père Goriot, la Cousine Bette, le Ménage de garçon — je cite au hasard — racontent des drames dont la cause pr
tirent à une amélioration de nos finances, si remarquable qu’elle est citée comme un exemple par tous les économistes. C’est
r avec quelle anxiété il énumère les difficultés qu’il va rencontrer. Citons ce passage d’une éloquence pascalienne : « La pri
emorqueur file en sifflant sur la Saône verte. » II J’ai tenu à citer ces quelques lignes parce qu’elles ramassent en e
mais un sens infaillible du détail significatif. Il faudrait ici tout citer . Je me bornerai à indiquer au lecteur le récit, d
u-delà des affaires d’argent, à tous les actes de son existence. J’en citerai un cas bien humble où je me trouve encore mêlé. E
des Origines, intitulé l’Église. Là se trouvent ces lignes si souvent citées sur le christianisme : « Il est encore, pour quat
l’homme est de durer ». Le fondateur de l’école est ce Duccio dont je citais le nom tout à l’heure, puis vinrent Ugolino da Si
istoire d’une Parisienne, de la Petite Comtesse, de la Morte, pour ne citer en dehors de Julia de Trécœur et de Cantors, que
s la contradiction entre ce principe et celui de la crédibilité. J’en citerai un exemple très significatif, me semble-t-il. Qua
il serait heureux qu’elle eût été et fût comprise et pratiquée, pour citer seulement un cas que les désordres de notre époqu
t, des hypothèses habituelles aux matérialistes de son temps. Pour ne citer qu’un exemple de cette dialectique par l’observat
oujours le Pendent opera interrupta de ce Virgile dont Dupré aimait à citer les vers ! C’est une des poésies tragiques du des
orse de l’Allemagne. M.Beyens nous le décrit en des termes qu’il faut citer  : « Simple et bon enfant, la lèvre ironique et so
a préface de la Comédie humaine ces phrases que je ne me lasse pas de citer  : « … La société ressemble à la nature. Elle fait
échal Joffre un représentant supérieur de l’espèce militaire. Comment citer cette phrase de Balzac sans se rappeler l’Appel d
n, Mignard, Philippe de Champaigne, Delacroix, Decamps, Fromentin. Je cite au hasard de mes propres souvenirs. Ceux-là, rien
il a la garde, est légendaire parmi les érudits. Je me bornerai à en citer quelques exemples de date toute récente. Il a ain
s qui ont fréquenté assidûment notre salle de travail, il convient de citer un étudiant anglais, M. Woledge, qui a puisé le s
gt-neuvième année. Comme je n’ai à vous parler que du musée Condé, je citerai seulement les pages qu’il a consacrées, dans le B
vant la trace partout évidente d’un formidable désastre antérieur. On cite souvent le mot d’Amiel : « Tout paysage est un ét
Sully-Prudhomme, un Pierre Loti. Combien d’autres noms il y aurait à citer  ! Ils attesteraient que presque tous nos meilleur
82 (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Œuvres de Louise Labé, la Belle Cordière. »
ces différents cadres, des noms inconnus ou peu remarqués jusque-là. Citons -en quelques-uns. Dans la première époque, on a in
se qu’il avait jetée d’un air de défi ou de paradoxe. Je ne ferai que citer à la file nombre de ces tentatives moins ambitieu
se : c’est une bonne habitude dont il ne veut pas se départir. Folie, citée à comparaître, demande qu’un dieu plaide pour ell
un discours d’avocat, un peu long, éloquent toutefois ; je n’en veux citer que deux passages comme exemples d’excellente pro
du poète. Enfin, je signale dans ce même petit volume une pièce déjà citée par M. Émile Deschanel, dans un article du Journa
83 (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Volney. Étude sur sa vie et sur ses œuvres, par M. Eugène Berger. 1852. — II. (Fin.) » pp. 411-433
a aucun goût sensible pour les écrivains éloquents ou les poètes ; il cite une fois, sur « la crainte qui serait la cause pr
ce, qu’il attribue par mégarde à Lucrèce : jamais il ne lui arrive de citer Virgile, Horace, un vers d’Homère, ce qui fait la
se fût peint comme très malheureux ; si cet homme, confessant sa vie, citait de lui un grand nombre de traits d’avilissement,
eux portraits caractéristiques qui seraient dignes d’Aristote. Je les citerais s’ils n’étaient trop à notre désavantage et sans
 II de ses Recherches sur l’Anjou, l’a jugé au moral bien sévèrement, cite de lui des lettres de vieillard assez agréables e
84 (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « I — L’art et la sexualité »
rêve illusoire en réalité vivante. A l’appui de sa thèse, M. Panizza cite cette opinion de Paulsen qui écrivit dans son Eth
umentation de mon érudit contradicteur. En revanche, il est facile de citer les grands génies qui ont été de grands sensuels 
furent pas mariées, selon l’avis de M. Panizza. Je me permettrais de citer George Sand, Elisabeth Browning, Berthe de Suttne
nge, elle ne fait que les engourdir et les paralyser, et l’on ne peut citer de meilleure preuve de cet engourdissement que le
anité.‌ Justement ce docteur Grabowsky, dont nous avons vu M. Panizza citer plus haut une phrase empruntée au volume : L’abst
85 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Lettre a monseigneur le duc de**. » pp. -
lloit les concilier & combiner leurs jugemens. On ne pouvoit donc citer à la lettre tous les passages qu’on a emprunté d’
plus instructif. Parmi les Livres auxquels j’ai eu recours, je dois citer avec reconnoissance la Bibliothèque Françoise de
86 (1911) Lyrisme, épopée, drame. Une loi de l’histoire littéraire expliquée par l’évolution générale « Chapitre II. Vérification de la loi par l’examen de la littérature française » pp. 34-154
ions systématiques d’épopées disparues (comme celle de Kurth, pour ne citer qu’un nom) pèchent par une accumulation de subtil
us ces arguments, d’y en ajouter d’autres, et je puis me contenter de citer quelques lignes de ce profond connaisseur du moye
alisé en œuvres ce que les Italiens avaient esquissé en théorie. Pour citer un exemple : Du Bellay a mis en coupe réglée Sper
a fondation du Collège de France ; puis, à des titres fort divers (je cite les noms sans commentaire, mais en groupes par or
lic. Il y a là un problème à reprendre entièrement. J’ai cité déjà et citerai encore quelques observation de M. Lanson qui conf
s qui resplendit de vérité pour tous les temps et pour l’humanité. Je cite une fois de plus M. Lanson, à propos des contempo
nte servilement à la tradition académique. C’est pourquoi il faudrait citer ici, pour les idées et les conditions, presque to
ifs nous paraissent innombrables ; ils sont si près de nous ! Je n’en cite que quelques-uns, d’après un critère spécial : Ni
’est qu’un exemple), et surtout par la passion de la thèse25. Faut-il citer des noms ? Lemaître, de Porto-Riche, de Curel, He
lui, une première lueur de la nouvelle aurore26. Chez ceux-là (et je citerais en particulier Verhaeren), le mot qui revient le
. 17. Comme une confirmation de ces lignes écrites en avril 1910, je cite la première page d’un ouvrage qui vient de paraît
upture de l’unité d’impression. 21. Voir l’appendice III. 22. Je ne cite pas Tolstoï, à dessein. Très significatif pour la
87 (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « L’abbé Barthélemy. — II. (Fin.) » pp. 206-223
il a même par endroits de l’émotion et de la sensibilité. On pourrait citer des morceaux très travaillés et d’un gracieux eff
tempête suivie d’un retour à la sérénité. Sa description, dont je ne cite qu’une partie et que les curieux peuvent chercher
ge est auprès de nous ?… » Ici Barthélemy a beau mettre une note pour citer son auteur, ce mot de singe, prononcé tout d’abor
n toute abondance de cœur, improvisez un moment ; mais ne venez point citer de mémoire des centons cousus ensemble de ses pen
88 (1900) Le lecteur de romans pp. 141-164
s, de détestables livres, qui ont un excellent chapitre trentième. On citerait , à la douzaine, des romans qui ont souillé des im
e de la suivre, et cela n’est pas douteux. La difficulté n’est pas de citer des exemples, mais de les imiter. Où commence l’i
habite aujourd’hui dans l’âme de tout romancier. Peut-être ne peut-on citer avec assurance que Guy de Maupassant, et, après l
fût-ce que par une page, par une phrase reproduite dans les journaux, citée dans des discours, traduite dans une chanson, et
89 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre V : M. Cousin historien et biographe »
c la majesté mathématique d’un poteau. Six pages plus loin, M. Cousin cite un autre billet « d’une légèreté tout à fait rema
abîme de petitesses cet orgueil a précipité la noblesse. Saint-Simon cite deux duchesses qui, s’étant disputées le pas dans
tz affirme le contraire, éd. d’Amsterdam, 1731, t. I, p, 185. » Et il cite Retz tout au long. Ailleurs il insiste sur cette
tue un procès entre Mme de Longueville et M. de La Rochefoucauld ; il cite et pèse un nombre infini de témoignages ; il étab
90 (1799) Dialogue entre la Poésie et la Philosophie [posth.]
uprès de moi ; et ce même Horace, que je ne me lasserai point de vous citer , pensait aussi de même : souvenez-vous de l’ omne
yeux pour les refermer, et mille autres aussi belles que je pourrais citer encore, j’admirerai le poète avec enthousiasme. M
is seulement ? cela n’est pas vrai. Combien d’excellents vers on peut citer ou il n’y a pas l’ombre d’image ? combien même y
91 (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre IV. Mme Émile de Girardin »
lle dit est petite, plus elle a de grâce à l’exprimer ! J’en pourrais citer mille exemples, mais lisez, seulement pour le sav
ntôt laissés tomber, tantôt jaillissant de la plume, qu’on ne saurait citer , tant ils sont nombreux ! En voici quelques-uns q
part, que tous les tricots, compliqués et savants, des pages les plus citées , en littérature ! Malheureusement elle y rentre p
92 (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XIV. L’auteur de Robert Emmet »
qu’il faut s’arrêter. Ôtez les vers de lord Byron qu’à chaque page on cite  ; ôtez les fragments des Mémoires de lord Byron q
pie Ampère, dit l’Aimable ! Mais l’aimable, c’est encore l’auteur qui cite tout ce monde pour se faire un livre. Aimable sur
érêt de ces deux volumes, mais elle n’en a rien rapporté… Elle a beau citer les plus splendides vers de lord Byron, à toutes
93 (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « M. Théodore de Banville »
Femmes violées, Les Allemands, Le Jeune Prussien (je ne puis pas tout citer ) ; dans ces Idylles où se rencontrent quelques no
comme ça ! Et M. de Banville les a faits. Encore une fois, je ne puis citer et j’en suis désolé ; car il faudrait citer tout.
core une fois, je ne puis citer et j’en suis désolé ; car il faudrait citer tout. En effet, toutes les pièces de ce recueil d
94 (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXXIV. Des panégyriques depuis la fin du règne de Louis XIV jusqu’en 1748 ; d’un éloge funèbre des officiers morts dans la guerre de 1741. »
en eut, quoiqu’en petit nombre, où le génie seconda le zèle. Je n’en citerai que deux, que le nom seul de leur auteur suffirai
rait célébrer les défenseurs et les victimes honorables de l’État. On citerait les grandes actions ; on citerait cette foule de
s victimes honorables de l’État. On citerait les grandes actions ; on citerait cette foule de traits qui, dans le cours d’une ca
95 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 79-87
un échantillon du style polémique de ce célebre Ecrivain. Nous allons citer un morceau du Tableau philosophique de son Esprit
ité, & les Artistes qui se sont illustrés dans ces Ouvrages. On y cite , corrige, compare, concilie 167 Auteurs anciens ;
96 (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Bathild Bouniol »
d les rayons de son observation poétique. En effet, on ne peut guères citer quelque chose de Bouniol. Il faut le lire pour av
le don de l’image. Ainsi, par exemple, quoique nous ne voulions rien citer , il y a dans cette superbe satire sur la Morgue,
97 (1911) Lyrisme, épopée, drame. Une loi de l’histoire littéraire expliquée par l’évolution générale « Appendices » pp. 235-309
de M. Croce, et en vue de la critique que j’aurai à en faire, il faut citer ici le texte d’une page essentielle : « Chi entr
ogiquement à un tout ; j’aurai l’occasion, plus d’une fois encore, de citer telle autre idée de M. Croce à laquelle je me ral
r des vierges folles, ni des emprunts faits à d’autres livres ; je ne cite que les passages relevés au cours d’une causerie.
s Rois, à l’Apocalypse… (voir La Critica, vol. VIII, p. 28-39). Je ne cite que trois passages ; dans le dernier, D’Annunzio
e lyrisme à l’épopée, mais sans confondre ces deux éléments ! Il faut citer une fois de plus, d’une façon plus complète qu’on
des pures sonorités verbales, est facile à constater partout ; je ne citerai que la première page de la première scène de La N
certainement pas celui de la passion en pleine liberté ? On pourrait citer d’autres exemples, multiplier les points d’interr
des règles ; les combinaisons possibles sont trop nombreuses. Pour ne citer qu’un seul des éléments importants du problème :
r l’amour, rempli sa journée d’un rêve d’éternité. 35. On pourrait citer encore sa Logica come scienza del concetto puro (
98 (1899) Esthétique de la langue française « Esthétique de la langue française — La déformation  »
en imprimé » ; « le plus fortement imprimés ! » Dans les deux phrases citées par M. Deschanel, frapper le remplacerait fort bi
t, ce qui suppose sudere et consudere pour suere et consuere. Brachet cite  : tonstrix pour tonsorix et même Istraël pour Isr
a langue où aqua était devenu eve. Dunn, dans son Glossaire canadien, cite la forme agglutinée lévier (pour l’évier) comme c
ant à la logique des féminins attribués aux mots en eur, il suffit de citer cantatrice, enchanteresse et chanteuse pour montr
ignifiaient d’abord, gai et rusé. Pour expliquer cruche, il suffit de citer bête, butor, andouille, brute, pioche, daim, tour
çaise à ramener tous ses verbes à la première conjugaison . L’Anonyme cite agoniser pour agonir (de sottises) ; il y en a bi
99 (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Dübner »
aussi sur les plus jeunes qui ont succédé : il ne m’appartient pas de citer les noms. Mais, s’il exerça une heureuse influenc
tique, et il fallait lutter avec lui pour obtenir la permission de le citer . C’est là un hommage mérité que je me plais à ren
it formé à force de pratique et d’usage. Et, pour finir, je demande à citer sans plus de façon la réponse même que je fis aux
100 (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Réception de M. Vitet à l’Académie française. »
nt mieux, on ne les en aimerait que davantage246. Puisque je viens de citer Martial, je le citerai encore ; j’y pensais invol
n aimerait que davantage246. Puisque je viens de citer Martial, je le citerai encore ; j’y pensais involontairement, tandis qu’
de la considération, qui vous classent. — Oui, j’en conviens, on les cite , on les loue sur parole, mais on lit les autres :
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