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1 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Table des chapitres et des paragraphes. Contenus dans ce second Volume. » pp. -
Table des chapitres et des paragraphes Contenus dans ce second Vol
t de la Chronologie & de la manière d’écrire l’Histoire, page 1 Chap.  II. Des Livres de Géographie. §. I. Des Livres é
ue, 20 §. V. Voyages en Amérique, 25 §. VI. Voyages en Europe, 27 Chap.  III. Des Livres nécessaires pour l’étude de l’His
ies des Saints, 79 §. IX. Abrégés de l’Histoire ecclésiastique, 83 Chap.  IV. Des Livres nécessaires pour l’étude de l’Hist
 XIV. Histoire de Turquie, de Persé du Mogol & de la Chine, 207 Chap.  V. Histoire littéraire, 212 Chap. VI. Des dicti
du Mogol & de la Chine, 207 Chap. V. Histoire littéraire, 212 Chap.  VI. Des dictionnaires historiques, 219 Chap. VI
oire littéraire, 212 Chap. VI. Des dictionnaires historiques, 219 Chap.  VII. Des ouvrages périodiques. §. I. Des Journau
ues. §. I. Des Journaux littéraires, 229 §. II. Des Gazettes, 242 Chap.  VIII. Des Romans, 244 Chap. IX. Des Epistolaire
raires, 229 §. II. Des Gazettes, 242 Chap. VIII. Des Romans, 244 Chap.  IX. Des Epistolaires, 264 Chap. X. Des Livres n
242 Chap. VIII. Des Romans, 244 Chap. IX. Des Epistolaires, 264 Chap.  X. Des Livres nécessaires pour l’étude de la Lang
rits sur les Etymologies, le vieux langage & les proverbes, 308 Chap.  XI. Des Livres sur la politique & le droit pu
Chap. XI. Des Livres sur la politique & le droit public, 315 Chap.  XII. Des Livres de Jurisprudence. §. I. Droit Ca
Jurisprudence. §. I. Droit Canonique, 320 §. II. Droit Civil, 322 Chap.  XIII. Des Livres de Médecine, de Botanique, de Ch
ine, de Botanique, de Chymie, d’Anatomie, de Chirurgie, &c. 324 Chap.  XIV. Des Livres sur le Commerce & sur ce qui
. XIV. Des Livres sur le Commerce & sur ce qui y a rapport, 329 Chap.  XV. Des ouvrages sur les différentes parties de l
XV. Des ouvrages sur les différentes parties de la Philosophie, 332 Chap.  XVI. Des Livres nécessaires pour connoître sa Rel
Chap. XVI. Des Livres nécessaires pour connoître sa Religion, 346 Chap.  XVII. Morale, Livres de caractères, 353 Chap. X
re sa Religion, 346 Chap. XVII. Morale, Livres de caractères, 353 Chap.  XVIII. Des Livres sur l’Art Militaire & sur l
e, 375 §. IV. Des ouvrages sur l’Architecture proprement dite, 377 Chap.  XIX. Du Jardinage & de l’Agriculture, 379 C
ent dite, 377 Chap. XIX. Du Jardinage & de l’Agriculture, 379 Chap.  XX. Des Livres de facéties, des recueils d’anecto
2 (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préface et note de « Notre-Dame de Paris » (1831-1832) — Note ajoutée à l’édition définitive (1832) »
u’on a annoncé cette édition comme devant être augmentée de plusieurs chapitres nouveaux. Il fallait dire inédits. En effet, si p
inédits. En effet, si par nouveaux on entend nouvellement faits, les chapitres ajoutés à cette édition ne sont pas nouveaux. Ils
lon lui, naît, d’une façon en quelque sorte nécessaire, avec tous ses chapitres  ; un drame naît avec toutes ses scènes. Ne croyez
comme il est. Votre livre est-il manqué ? tant pis. N’ajoutez pas de chapitres à un livre manqué. Il est incomplet ? Il fallait
ttache donc un prix particulier à ce que le public sache bien que les chapitres ajoutés ici n’ont pas été faits exprès pour cette
s’imprimait pour la première fois, le dossier qui contenait ces trois chapitres s’égara. Il fallait ou les récrire, ou s’en passe
récrire, ou s’en passer. L’auteur considéra que les deux seuls de ces chapitres qui eussent quelque importance par leur étendue,
hapitres qui eussent quelque importance par leur étendue, étaient des chapitres d’art et d’histoire qui n’entamaient en rien le f
faut tout avouer, sa paresse recula devant la tâche de récrire trois chapitres perdus. Il eût trouvé plus court de faire un nouv
Il eût trouvé plus court de faire un nouveau roman. Aujourd’hui, les chapitres se sont retrouvés, et il saisit la première occas
auvaise, durable ou fragile, mais telle qu’il la veut. Sans doute ces chapitres retrouvés auront peu de valeur aux yeux des perso
rs la création telle quelle du poëte. C’est pour cela surtout que les chapitres ajoutés à cette édition complèteront Notre-Dame d
peine d’être complétée. L’auteur exprime et développe dans un de ces chapitres , sur la décadence actuelle de l’architecture et s
3 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre cinquième. La Bible et Homère. — Chapitre IV. Suite du parallèle de la Bible et d’Homère. — Exemples. »
Chapitre  IV. Suite du parallèle de la Bible et d’Homère. —
léphant y nagerait. » 100. Iliad., liv. xviii, v. 204. 101. Is., chap.  xii, v. 1-2, 18. 102. Job, chap. xviii, v. 13. N
ad., liv. xviii, v. 204. 101. Is., chap. xii, v. 1-2, 18. 102. Job, chap.  xviii, v. 13. Nous avons suivi le sens de l’hébre
etc. La Vulgate porte, la mort aînée, primogenia mors . 103. Id., chap.  xv, v. 35. 104. Id., chap. xxvi, v. 6. 105. Jo
ort aînée, primogenia mors . 103. Id., chap. xv, v. 35. 104. Id., chap.  xxvi, v. 6. 105. Job, chap. xxvi, v. 12. 106.
103. Id., chap. xv, v. 35. 104. Id., chap. xxvi, v. 6. 105. Job, chap.  xxvi, v. 12. 106. Id., chap. xii, v. 18. 107.
04. Id., chap. xxvi, v. 6. 105. Job, chap. xxvi, v. 12. 106. Id., chap.  xii, v. 18. 107. Odyss., liv. xx, v. 351-57. 1
Id., chap. xii, v. 18. 107. Odyss., liv. xx, v. 351-57. 108. Job, chap.  iv, v. 13, 14, 15, 16. Les mots en italique indiq
eu est plus énergique. 109. Iliad., liv. xvii, v. 55-56. 110. Job, chap.  xv, v. 33. 111. Is., chap. xxiv, v. 20. 112. Jo
Iliad., liv. xvii, v. 55-56. 110. Job, chap. xv, v. 33. 111. Is., chap.  xxiv, v. 20. 112. Job, chap. viii, v. 16, 17, 18
110. Job, chap. xv, v. 33. 111. Is., chap. xxiv, v. 20. 112. Job, chap.  viii, v. 16, 17, 18. 113. Homère a fait pleurer
113. Homère a fait pleurer le rivage de l’Hellespont. 114. Ézéchiel, chap.  xxvi, v. 18. 115. Odyss., liv. viii, v. 83, etc
ap. xxvi, v. 18. 115. Odyss., liv. viii, v. 83, etc. 116. Genès., chap.  xliii, v. 27 et seq. 117. Odyss., liv. xvi, v. 
v. 27 et seq. 117. Odyss., liv. xvi, v. 278 et seq. 118. Genès., chap.  xliv, v. 27 et seq. ; chap. xlv, v. 1 et seq. 11
, liv. xvi, v. 278 et seq. 118. Genès., chap. xliv, v. 27 et seq. ; chap.  xlv, v. 1 et seq. 119. Iliad., liv. i, v. 247-6
ap. xlv, v. 1 et seq. 119. Iliad., liv. i, v. 247-62. 120. Genès, chap.  xvlii, v. 9. 121. Id., chap. xxiii, v. 67. 122
iad., liv. i, v. 247-62. 120. Genès, chap. xvlii, v. 9. 121. Id., chap.  xxiii, v. 67. 122. Ruth, chap. i, v. 6.
enès, chap. xvlii, v. 9. 121. Id., chap. xxiii, v. 67. 122. Ruth, chap.  i, v. 6.
4 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre second. De la sagesse poétique — Argument » pp. 93-99
l’encyclopédie des peuples barbares (M. Jannelli, Delle cose humane). Chapitre  Ier. Sujet de ce livre. == § I. Les fables n’ont
tes époques. — § III. Exposition et division de la sagesse poétique. Chapitre  II. De la métaphysique poétique. == § I. Origine
stème du droit naturel des gens, origines de l’histoire universelle. Chapitre  III. De la Logique poétique. — § I. Définition et
iers hommes de s’élever aux idées générales, surtout en législation. Chapitre  IV. De la morale poétique, et de l’origine des ve
es hommes de l’âge d’or. Ces religions furent cependant nécessaires. Chapitre  V. Du gouvernement de la famille, ou Économie dan
ens territorial ; point de contrats de société, point de mandataires. Chapitre  VI. De la politique poétique. — § I. Origine des
ité, dont le mot d’héroïsme rappelle l’idée dans les temps modernes. Chapitre  VII. De la physique poétique. — § I. De la physio
externes de l’âme. — § III. Corollaire relatif aux mœurs héroïques. Chapitre  VIII. De la cosmographie poétique. Elle fut propo
ique. Elle fut proportionnée aux idées étroites des premiers hommes. Chapitre  IX. De l’astronomie poétique. Le ciel, que les ho
eux montèrent dans les planètes, les héros dans les constellations. Chapitre  X. De la chronologie poétique. Son point de dépar
humaine prête une certitude nouvelle aux calculs de la chronologie. Chapitre  XI. De la géographie poétique. — § I. Les diverse
5 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre premier. Des principes — Argument » pp. 1-4
u’on a dit sur l’histoire ancienne jusqu’à la seconde guerre punique ( chap.  I.) — Il expose ensuite sous la forme d’axiomes,
rme d’axiomes, les vérités générales qui font la base de son système ( chap.  II.) — Il indique enfin les trois grands principe
ipes d’où part la science nouvelle, et la méthode qui lui est propre ( chap.  III et IV.)   Chapitre Ier. Table chronologique.
ence nouvelle, et la méthode qui lui est propre (chap. III et IV.)   Chapitre  Ier. Table chronologique. Vaines prétentions des
a. Guerre de Tarente et de Pyrrhus. Seconde guerre punique. Dans ce chapitre , l’auteur jette en passant les fondements d’une c
individus des êtres allégoriques ou collectifs (Hercule, Hermès.)   Chapitre  II. Axiomes. 1-22. Axiomes généraux. 23-114. Axio
-103. Migrations des peuples. — 104-114. Principes du droit naturel. Chapitre  III. Trois principes fondamentaux. — Religions et
ration des passions, sépultures et croyance à l’immortalité de l’âme. Chapitre  IV. De la méthode. — Le point de départ de la sci
6 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Table des chapitres et des paragraphes Contenus dans ce premier Volume. » pp. -
Table des chapitres et des paragraphes Contenus dans ce premier Volum
des chapitres et des paragraphes Contenus dans ce premier Volume. Chapitre I. Des Poëtes anciens. §. I. Des Poetes Grecs &am
s traductions de Juvenal, 68 §. IV. Des Poetes latins modernes, 86 Chap.  II. Des Poetes étrangers. §. I. Des Poetes Italie
19 §. IV. Des Poetes Allemands, 136 §. V. Des Poetes Chinois, 139 Chap.  III. Des Poetes françois. §. I. Des écrits sur l’
férens fabulistes françois, 202 §. XIII. es Poetes de société, 209 Chap.  IV. Des écrits sur la poetique & sur divers a
sur la poetique & sur divers autres genres de littérature, 216 Chap.  V. Des Orateurs anciens & modernes. §. I. Des
Barreau, 272 §. VI. Des discours & des éloges académiques, 283 Chap.  VI. Des Livres qui traitent de la Rhétorique. §. 
7 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre quatrième. Du cours que suit l’histoire des nations — Argument » pp. 287-289
ne esquisse complète de l’histoire idéale indiquée dans les axiomes. Chapitre  Ier. Introduction. Trois sortes de natures, de mœ
ernements théocratique, aristocratique, démocratique ou monarchique. Chapitre  II. Trois espèces de langues et de caractères. — 
caractères hiéroglyphiques, symboliques et emblématiques, vulgaires. Chapitre  III. Trois espèces du jurisprudence, d’autorité,
— § V. Corollaire relatif à l’histoire fondamentale du droit romain. Chapitre  IV. Trois espèces de jugements. — § I. Jugements
es dans l’histoire des mœurs et de la jurisprudence (sectæ temporum). Chapitre  V. Autres preuves tirées des caractères propres a
ncienne législation fut une des principales causes de leur grandeur. Chapitre  VI. — § I. Autres preuves tirées de la manière do
nts aient été d’abord monarchiques, en dernier lieu aristocratiques. Chapitre  VII. — § I. Dernières preuves. — § II. Corollaire
8 (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre IV. La fin de l’âge classique — Chapitre II. La Bruyère et Fénelon »
Chapitre II La Bruyère et Fénelon 1. La Bruyère ; l’hom
: réalisme pittoresque, expression artistique. Le « philosophe » : le chapitre de Quelques Usages. — 3. Fénelon : il tient au xv
grandes découvertes. Il ne faut pas se laisser abuser par le dernier chapitre , une collection de réflexions et de raisonnements
Platon, Descartes et Pascal dans un vague spiritualisme chrétien. Ce chapitre , sincère évidemment, mais sans personnalité, et q
raire, le manque de conclusion et de vues générales. De plus, avec le chapitre du Souverain, placé au milieu du volume, il est d
à nier qu’il y ait un certain ordre dans la disposition du volume. Un chapitre d’introduction, où l’auteur explique sa doctrine
introduction, où l’auteur explique sa doctrine littéraire ; puis neuf chapitres de description des diverses classes de la société
t grands ; enfin l’État, les ministres et le roi. Viennent alors deux chapitres généraux : l’homme, les jugements ; la mode nous
de quelques usages découvre les abus radicaux de la société. Enfin le chapitre de la chaire nous explique l’état de cette prédic
nne qui a la charge des âmes et la direction morale du siècle ; et le chapitre des esprits forts combat le libertinage. Il y a b
y a bien dans tout cela une certaine suite ; de même que, dans chaque chapitre , les jugements et les portraits se groupent, se d
eur dramatique. Sans cesse le portrait tourne chez lui en tableau, en chapitre de roman ou en scène de comédie. Le développement
les » d’un réalisme humoristique, resserrées en une page. Le début du chapitre de la Ville est le sommaire d’une description fai
ar le respect de la nature, par le besoin de rendre ce qui est456. Un chapitre du livre contredit à peu près constamment ce que
proportions des éléments qui composent son esprit. Je veux parler du chapitre de quelques usages. Les portraits y sont très rar
à l’autre on sent l’homme mécontent de ce qui est. Or que contient ce chapitre  ? la critique des abus fondamentaux de la société
on qu’on a toujours laissé à la conversation. Il n’y a qu’à louer son chapitre de la rhétorique : il s’attache à expliquer l’inf
ommer La Fontaine, si simplement pittoresque et pathétique ? Dans les chapitres de la tragédie et de la comédie, il parle du théâ
iel est dit : ce prélat « admire » Molière et le trouve « grand ». Du chapitre sur la comédie ressort une préférence de Fénelon
ie vers le genre larmoyant. Tout est excellent, tout est neuf dans le chapitre de l’Histoire : il veut qu’une histoire soit phil
la maison de Condé, Paris, 1886, 2 vol. in-8. 454. Étudier dans le chapitre des Grands le morceau : « Pendant que les Grands
tant ont un air plus moderne. 460. À noter dans la seconde partie un chapitre sur le spinosisme : Spinosa a scandalisé, mais ép
9 (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre III. Les tempéraments et les idées — Chapitre II. La jeunesse de Voltaire, (1694-1755) »
Chapitre II La jeunesse de Voltaire (1694-1755) Les « a
osophie politique. Quand on songe que ni la Henriade, ni les premiers chapitres du Siècle de Louis XIV, ni même l’innocent Charle
les conséquences, définit les rôles, analyse les caractères : chaque chapitre est un chef-d’œuvre de lucidité, de rapidité et d
mposition de l’ouvrage défectueuse : Voltaire nous donne vingt-quatre chapitres d’histoire politique et militaire, quatre chapitr
onne vingt-quatre chapitres d’histoire politique et militaire, quatre chapitres d’anecdotes de la cour et de la vie privée du roi
tre chapitres d’anecdotes de la cour et de la vie privée du roi, deux chapitres du gouvernement intérieur, quatre des sciences, l
es et arts, quatre des affaires ecclésiastiques, et il termine par un chapitre saugrenu des disputes sur les cérémonies chinoise
rcir le sujet à force de le morceler. On lit la guerre de Hollande au chapitre 10, et il faut attendre le chapitre 29 pour conna
. On lit la guerre de Hollande au chapitre 10, et il faut attendre le chapitre 29 pour connaître la politique commerciale de Col
t de façon à manifester l’intention philosophique de l’auteur : vingt chapitres esquissaient l’histoire générale de l’Europe. Un
ur : vingt chapitres esquissaient l’histoire générale de l’Europe. Un chapitre montrait Louis XIV dans sa vie privée. Quatre cha
e l’Europe. Un chapitre montrait Louis XIV dans sa vie privée. Quatre chapitres représentaient le gouvernement intérieur, commerc
eur, commerce, finances, affaires ecclésiastiques. Enfin, cinq ou six chapitres , étalant la grandeur de l’esprit humain dans les
s, couronnaient magnifiquement l’ouvrage. Il y avait une trentaine de chapitres à peu près achevés en 1739 : ils forment le premi
du Siècle de Louis XIV. C’est alors que l’Introduction et le Premier Chapitre , glissés dans un Recueil de pièces fugitives, fur
e n’était plus du tout l’ouvrage de 1739 : au lieu d’une trentaine de chapitres , il y en avait trente-neuf ; et surtout l’ordre e
rente-neuf ; et surtout l’ordre en était modifié ; de cinq à six, les chapitres des lettres, sciences et arts étaient réduits à q
, sciences et arts étaient réduits à quatre, et transposés devant les chapitres des affaires ecclésiastiques, qui étaient dévelop
itres des affaires ecclésiastiques, qui étaient développées en quatre chapitres au lieu de deux, précédant le nouveau et bizarre
en quatre chapitres au lieu de deux, précédant le nouveau et bizarre chapitre des cérémonies chinoises. Ces remaniements corres
du quiétisme ; ainsi s’amène la conclusion enveloppée dans le dernier chapitre , et pourtant bien claire, si l’on veut y réfléchi
10 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre troisième. Découverte du véritable Homère — Argument » pp. 249-250
u peuple grec racontant sa propre histoire dans des chants nationaux. Chapitre  Ier. De la sagesse philosophique que l’on attribu
ilosophe n’aurait pu, ni voulu peindre si naïvement de telles mœurs. Chapitre  II. De la patrie d’Homère. Vico conjecture que l’
t quelque chose de son dialecte vulgaire dans l’Iliade ou l’Odyssée. Chapitre  III. Du temps où vécut Homère. Un grand nombre de
travaillés par plusieurs mains, et continués pendant plusieurs âges. Chapitre  IV. Pourquoi le génie d’Homère dans la poésie hér
chaque caractère moral. Observations sur la comédie et la tragédie. Chapitres  V et VI. Observations philosophiques et philologi
t dans ce qui a été dit au second livre, sur l’origine de la poésie. Chapitre  VII. § I. Découverte du véritable Homère. — § II.
11 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Introduction »
ts de ce continent. Ces faits, ainsi qu’on le verra dans les derniers chapitres de cet ouvrage, semblent jeter quelque lumière su
turalistes. Ces considérations m’ont déterminé à consacrer le premier chapitre de ce livre à l’examen des variations constatées
quelles sont les circonstances le plus favorables aux variations. Le chapitre suivant traitera de la concurrence vitale entre t
t de ce principe fondamental de sélection naturelle dans le quatrième chapitre  ; et nous verrons comment cette sélection naturel
et conduit à ce que j’ai nommé la divergence des caractères. Dans le chapitre suivant, je discuterai les lois complexes et peu
s et peu connues de variation et de corrélation de croissance. Quatre chapitres qui viennent ensuite résoudront les difficultés l
es ; quatrièmement, l’insuffisance des documents géologiques. Dans le chapitre dixième, je considérerai la succession géologique
tuelles, soit à l’état adulte, soit à l’état embryonnaire. Le dernier chapitre contiendra une récapitulation succincte de tout l
12 (1859) Moralistes des seizième et dix-septième siècles
des obscurités qui ont inutilement exercé les commentateurs. Certains chapitres sont de véritables amphigouris, d’autres un recue
oing separees, grain porter et transporter14. » On connaît aussi les chapitres curieux, modèles d’ironie soutenue, où Panurge vo
même, on le dirait souvent, l’homme qui rêve. Voyez, entre autres, le chapitre  : Des Coches 25. Montaigne parle d’abord des effe
de tant de raisonnements, et notamment de ceux qu’il entasse dans les chapitres où il s’efforce de prémunir ses lecteurs contre l
nuel ouvrage de vostre vie, c’est bastir la mort54. » Vers la fin du chapitre  : « La mort est moins à craindre que rien, s’il y
ractérisaient l’éducation de son époque. Qu’on étudie entre autres le chapitre  XXV du livre Ier, et l’on reconnaîtra tout ce qui
son livre, est plus directement exprimé et concentré dans le douzième chapitre du livre II, qui forme, à lui seul, presque un vo
sse, l’inconstance, la misère, la présomption. Voici la conclusion du chapitre sur la vanité : « La vanité a esté donnee à l’hom
éjudicie point à l’immortalité, car Dieu s’en sert bien90. » Suit un chapitre fort remarquable sur l’homme considéré en bloc. C
lut, et dont on ne se repent jamais. » (II Corinthiens VII, 10.) Les chapitres sur les variétés qui sont en l’homme, sont pleins
ns particulières où peuvent se trouver ses lecteurs. On rencontre, au chapitre de la Prudence, qui est tout d’abord, selon lui,
x, donnera de meilleurs advis et expediens que les sçavans120. » Les chapitres de la force traitent de la vertu qui nous rend ca
nature128. » Bodin s’élève vigoureusement contre l’esclavage dans le chapitre  V du livre Ier, intitulé : S’il faut souffrir les
vage incompatible avec la raison et la religion. On rencontre dans ce chapitre cette maxime, qu’il est utile de comparer à celle
er les captifs pour en tirer gain et proffit comme de bestes129. » Le chapitre entier présente de l’intérêt. Plus loin, dans le
que dans mon ouvrage, je diviserai méthodiquement la matière en deux chapitres  ; l’un pour les vertus intransitives, c’est ainsi
scend289. » Et que de mots pareils, peut-être plus forts encore ! Ce chapitre De la Cour et celui Des Grands, qui le suit, éton
uer, ce que La Bruyère fait avec une exagération qui peine. La fin du chapitre Du Souverain est un éloge de Louis XIV, présenté
rce. L’horizon de sa pensée n’est pas vaste ; on en peut juger par le chapitre Du Souverain ou de la République. Son mérite prin
pittoresque des individualités jusque dans les moindres détails. Son chapitre De la Mode mérite d’être étudié sous ce rapport.
toriques, 1831. Tome IV, page 261. 5. Montaigne, Essais. Livre III, chapitre  XI. 6. Charron, Petit Traité de Sagesse, Rouen,
s il fut publié après le second. Celui-ci parut en 1533. 9. Livre V, chapitre  XXXI. 10. Boileau. Épître I. 11. Lemercier. C
12. La Bruyère. Caractères, I. Des ouvrages d’esprit. 13. Livre IV, chapitre  XXVIII. 14. Livre IV, chapitres LVII et LXI. 15
Des ouvrages d’esprit. 13. Livre IV, chapitre XXVIII. 14. Livre IV, chapitres  LVII et LXI. 15. Livre III, chapitre IV. 16. Li
hapitre XXVIII. 14. Livre IV, chapitres LVII et LXI. 15. Livre III, chapitre  IV. 16. Livre III, chapitre XIII. 17. Livre I,
, chapitres LVII et LXI. 15. Livre III, chapitre IV. 16. Livre III, chapitre  XIII. 17. Livre I, chapitre XXV. 18. Voir en pa
Livre III, chapitre IV. 16. Livre III, chapitre XIII. 17. Livre I, chapitre  XXV. 18. Voir en particulier les pages xxv et xx
legere de poids : elle pese assez si elle touche. » 19. Livre III, chapitre  IX. 20. Ibid. 21. Livre III, chapitre IX. 22
touche. » 19. Livre III, chapitre IX. 20. Ibid. 21. Livre III, chapitre  IX. 22. Livre III, chapitre III. 23. Livre I, c
hapitre IX. 20. Ibid. 21. Livre III, chapitre IX. 22. Livre III, chapitre  III. 23. Livre I, chapitre L. 24. Montesquieu,
. Livre III, chapitre IX. 22. Livre III, chapitre III. 23. Livre I, chapitre  L. 24. Montesquieu, Pensées diverses. Des modern
 L. 24. Montesquieu, Pensées diverses. Des modernes. 25. Livre III, chapitre  VI. 26. Livre III, chapitre IX. 27. Livre II, c
diverses. Des modernes. 25. Livre III, chapitre VI. 26. Livre III, chapitre  IX. 27. Livre II, chapitre VIII. 28. Livre II,
. Livre III, chapitre VI. 26. Livre III, chapitre IX. 27. Livre II, chapitre  VIII. 28. Livre II, chapitre VI. 29. Livre II,
Livre III, chapitre IX. 27. Livre II, chapitre VIII. 28. Livre II, chapitre  VI. 29. Livre II, chapitre XVIII. 30. Livre III
. Livre II, chapitre VIII. 28. Livre II, chapitre VI. 29. Livre II, chapitre  XVIII. 30. Livre III, chapitre XIII. 31. Pascal
Livre II, chapitre VI. 29. Livre II, chapitre XVIII. 30. Livre III, chapitre  XIII. 31. Pascal. Pensées, Ire partie. Art. IX.
op d’histoires et qu’il parlait trop de soi. » (Ibid.) 32. Livre II, chapitre  VI. 33. Livre III, chapitre I. 34. Livre I, cha
it trop de soi. » (Ibid.) 32. Livre II, chapitre VI. 33. Livre III, chapitre  I. 34. Livre I, chapitre XXIX. 35. Livre II, ch
32. Livre II, chapitre VI. 33. Livre III, chapitre I. 34. Livre I, chapitre  XXIX. 35. Livre II, chapitre V. 36. Livre II, c
3. Livre III, chapitre I. 34. Livre I, chapitre XXIX. 35. Livre II, chapitre  V. 36. Livre II, chapitre XI. Voir aussi, livre
34. Livre I, chapitre XXIX. 35. Livre II, chapitre V. 36. Livre II, chapitre  XI. Voir aussi, livre II, chapitre XXVII, vers la
vre II, chapitre V. 36. Livre II, chapitre XI. Voir aussi, livre II, chapitre  XXVII, vers la fin. 37. Livre II, chapitre X. 3
XI. Voir aussi, livre II, chapitre XXVII, vers la fin. 37. Livre II, chapitre  X. 38. Livre III, chapitre XII. 39. Livre II, c
apitre XXVII, vers la fin. 37. Livre II, chapitre X. 38. Livre III, chapitre  XII. 39. Livre II, chapitre XI. 40. Livre II, c
7. Livre II, chapitre X. 38. Livre III, chapitre XII. 39. Livre II, chapitre  XI. 40. Livre II, chapitre XXXII. 41. Livre I,
. Livre III, chapitre XII. 39. Livre II, chapitre XI. 40. Livre II, chapitre  XXXII. 41. Livre I, chapitre IX. 42. Livre II,
. Livre II, chapitre XI. 40. Livre II, chapitre XXXII. 41. Livre I, chapitre  IX. 42. Livre II, chapitre XVII. 43. Livre III,
. Livre II, chapitre XXXII. 41. Livre I, chapitre IX. 42. Livre II, chapitre  XVII. 43. Livre III, chapitre XII. 44. Livre I,
. Livre I, chapitre IX. 42. Livre II, chapitre XVII. 43. Livre III, chapitre  XII. 44. Livre I, chapitre IV. Voir Pascal sur l
Livre II, chapitre XVII. 43. Livre III, chapitre XII. 44. Livre I, chapitre  IV. Voir Pascal sur la même idée : Pensées, Parti
me idée : Pensées, Partie I, Art. VII, §§ I, II et III. 45. Livre I, chapitre  XI. 46. Livre II, chapitre I. 47. Livre I, chap
Art. VII, §§ I, II et III. 45. Livre I, chapitre XI. 46. Livre II, chapitre  I. 47. Livre I, chapitre I. 48. Livre III, chap
. 45. Livre I, chapitre XI. 46. Livre II, chapitre I. 47. Livre I, chapitre  I. 48. Livre III, chapitre XI. 49. La Rochefou
46. Livre II, chapitre I. 47. Livre I, chapitre I. 48. Livre III, chapitre  XI. 49. La Rochefoucauld, Maximes, maxime 200.
Rochefoucauld, Maximes, maxime 200. 50. Psaume XIX, 6. 51. Livre I, chapitre  XXII. 52. Livre I, chapitre XVIII. 53. Livre I,
e 200. 50. Psaume XIX, 6. 51. Livre I, chapitre XXII. 52. Livre I, chapitre  XVIII. 53. Livre I, chapitre XIX. 54. Livre I,
. Livre I, chapitre XXII. 52. Livre I, chapitre XVIII. 53. Livre I, chapitre  XIX. 54. Livre I, chapitre XIX. 55. Ibid. 56
2. Livre I, chapitre XVIII. 53. Livre I, chapitre XIX. 54. Livre I, chapitre  XIX. 55. Ibid. 56. Livre III, chapitre XII.
hapitre XIX. 54. Livre I, chapitre XIX. 55. Ibid. 56. Livre III, chapitre  XII. 57. Livre I, chapitre XIX. 58. Livre III,
hapitre XIX. 55. Ibid. 56. Livre III, chapitre XII. 57. Livre I, chapitre  XIX. 58. Livre III, chapitre IX. 59. Livre III,
Livre III, chapitre XII. 57. Livre I, chapitre XIX. 58. Livre III, chapitre  IX. 59. Livre III, chapitre XII. 60. Ibid. 6
. Livre I, chapitre XIX. 58. Livre III, chapitre IX. 59. Livre III, chapitre  XII. 60. Ibid. 61. Livre I, chapitre XXX. 62
chapitre IX. 59. Livre III, chapitre XII. 60. Ibid. 61. Livre I, chapitre  XXX. 62. Livre III, chapitre V. 63. Livre I, ch
hapitre XII. 60. Ibid. 61. Livre I, chapitre XXX. 62. Livre III, chapitre  V. 63. Livre I, chapitre XIX. 64. Livre I, chap
61. Livre I, chapitre XXX. 62. Livre III, chapitre V. 63. Livre I, chapitre  XIX. 64. Livre I, chapitre XXV. 65. Livre III,
62. Livre III, chapitre V. 63. Livre I, chapitre XIX. 64. Livre I, chapitre  XXV. 65. Livre III, chapitre XIII 66. Livre III
3. Livre I, chapitre XIX. 64. Livre I, chapitre XXV. 65. Livre III, chapitre  XIII 66. Livre III, chapitre IX. 67. Livre III,
Livre I, chapitre XXV. 65. Livre III, chapitre XIII 66. Livre III, chapitre  IX. 67. Livre III, chapitre X. 68. Livre II, ch
Livre III, chapitre XIII 66. Livre III, chapitre IX. 67. Livre III, chapitre  X. 68. Livre II, chapitre XXIII. 69. Livre I, c
6. Livre III, chapitre IX. 67. Livre III, chapitre X. 68. Livre II, chapitre  XXIII. 69. Livre I, chapitre V. 70. Livre III,
. Livre III, chapitre X. 68. Livre II, chapitre XXIII. 69. Livre I, chapitre  V. 70. Livre III, chapitre I. 71. Livre II, cha
. Livre II, chapitre XXIII. 69. Livre I, chapitre V. 70. Livre III, chapitre  I. 71. Livre II, chapitre XVI. 72. Livre II, ch
69. Livre I, chapitre V. 70. Livre III, chapitre I. 71. Livre II, chapitre  XVI. 72. Livre II, chapitre XX. 73. Livre III,
0. Livre III, chapitre I. 71. Livre II, chapitre XVI. 72. Livre II, chapitre  XX. 73. Livre III, chapitre II. 74. Livre I, ch
. Livre II, chapitre XVI. 72. Livre II, chapitre XX. 73. Livre III, chapitre  II. 74. Livre I, chapitre XXXVIII. 75. Pascal.
72. Livre II, chapitre XX. 73. Livre III, chapitre II. 74. Livre I, chapitre  XXXVIII. 75. Pascal. Pensées, Partie I, Art. XI
se. Bordeaux, 1601. 80. Livre I. Préface. 81. Ibid. 82. Livre I, chapitre  XXXVI. 83. Livre I, chapitre XXXVII. 84. Livre 
 I. Préface. 81. Ibid. 82. Livre I, chapitre XXXVI. 83. Livre I, chapitre  XXXVII. 84. Livre I, chapitre XXXVIII. 85. Livr
Livre I, chapitre XXXVI. 83. Livre I, chapitre XXXVII. 84. Livre I, chapitre  XXXVIII. 85. Livre I, chapitre XXXIX. 86. Livre
vre I, chapitre XXXVII. 84. Livre I, chapitre XXXVIII. 85. Livre I, chapitre  XXXIX. 86. Livre I, chapitre XI. 87. Livre I, c
ivre I, chapitre XXXVIII. 85. Livre I, chapitre XXXIX. 86. Livre I, chapitre  XI. 87. Livre I, chapitre X. 88. Livre I, chapi
85. Livre I, chapitre XXXIX. 86. Livre I, chapitre XI. 87. Livre I, chapitre  X. 88. Livre I, chapitre XIII. 89. Livre I, cha
X. 86. Livre I, chapitre XI. 87. Livre I, chapitre X. 88. Livre I, chapitre  XIII. 89. Livre I, chapitre VII. 90. Livre I, c
87. Livre I, chapitre X. 88. Livre I, chapitre XIII. 89. Livre I, chapitre  VII. 90. Livre I, chapitre XIII. 91. Livre I, c
88. Livre I, chapitre XIII. 89. Livre I, chapitre VII. 90. Livre I, chapitre  XIII. 91. Livre I, chapitre XIV. 92. Livre I, c
89. Livre I, chapitre VII. 90. Livre I, chapitre XIII. 91. Livre I, chapitre  XIV. 92. Livre I, chapitre XX. 93. Livre I, cha
90. Livre I, chapitre XIII. 91. Livre I, chapitre XIV. 92. Livre I, chapitre  XX. 93. Livre I, chapitre XXI. 94. Livre I, cha
91. Livre I, chapitre XIV. 92. Livre I, chapitre XX. 93. Livre I, chapitre  XXI. 94. Livre I, chapitre XXXI. 95. Livre II,
92. Livre I, chapitre XX. 93. Livre I, chapitre XXI. 94. Livre I, chapitre  XXXI. 95. Livre II, chapitre I. 96. Livre II, c
3. Livre I, chapitre XXI. 94. Livre I, chapitre XXXI. 95. Livre II, chapitre  I. 96. Livre II, chapitre III. 97. Ibid. 98.
94. Livre I, chapitre XXXI. 95. Livre II, chapitre I. 96. Livre II, chapitre  III. 97. Ibid. 98. Ibid. 99. Livre II, cha
96. Livre II, chapitre III. 97. Ibid. 98. Ibid. 99. Livre II, chapitre  III. 100. Livre II, chapitre IV. 101. Livre I,
97. Ibid. 98. Ibid. 99. Livre II, chapitre III. 100. Livre II, chapitre  IV. 101. Livre I, chapitre V. 102. Ibid. 103
. Livre II, chapitre III. 100. Livre II, chapitre IV. 101. Livre I, chapitre  V. 102. Ibid. 103. Ibid. 104. Livre II, ch
101. Livre I, chapitre V. 102. Ibid. 103. Ibid. 104. Livre II, chapitre  V. 105. Livre II, chapitre V. 106. Évangile se
02. Ibid. 103. Ibid. 104. Livre II, chapitre V. 105. Livre II, chapitre  V. 106. Évangile selon saint Jean, III, 16. 10
hapitre V. 106. Évangile selon saint Jean, III, 16. 107. Livre II, chapitre  VI. 108. Livre II, chapitre VIII. 109. Livre II
lon saint Jean, III, 16. 107. Livre II, chapitre VI. 108. Livre II, chapitre  VIII. 109. Livre II, chapitre VII. 110. Livre I
Livre II, chapitre VI. 108. Livre II, chapitre VIII. 109. Livre II, chapitre  VII. 110. Livre III, chapitre II. 111. Livre II
vre II, chapitre VIII. 109. Livre II, chapitre VII. 110. Livre III, chapitre  II. 111. Livre II, chapitre IX. 112. Livre II,
Livre II, chapitre VII. 110. Livre III, chapitre II. 111. Livre II, chapitre  IX. 112. Livre II, chapitre X. 113. Livre II, c
Livre III, chapitre II. 111. Livre II, chapitre IX. 112. Livre II, chapitre  X. 113. Livre II, chapitre XII. 114. Livre III,
1. Livre II, chapitre IX. 112. Livre II, chapitre X. 113. Livre II, chapitre  XII. 114. Livre III, chapitre III, §§ 18 à 39.
Livre II, chapitre X. 113. Livre II, chapitre XII. 114. Livre III, chapitre  III, §§ 18 à 39. 115. Annibal ayant entendu Phor
u même avis : Neque mehercule injuria . (Éditeurs.) 116. Livre III chapitre  VI. 117. Livre II, chapitre X. 118. Montaigne.
e injuria . (Éditeurs.) 116. Livre III chapitre VI. 117. Livre II, chapitre  X. 118. Montaigne. Essais. Livre I, chapitre IX.
tre VI. 117. Livre II, chapitre X. 118. Montaigne. Essais. Livre I, chapitre  IX. 119. Livre III, chapitre XIV. 120. Livre. I
re X. 118. Montaigne. Essais. Livre I, chapitre IX. 119. Livre III, chapitre  XIV. 120. Livre. III, chapitre XIV. 121. Livre 
ivre I, chapitre IX. 119. Livre III, chapitre XIV. 120. Livre. III, chapitre  XIV. 121. Livre III, chapitres XIX à XXXV. 122.
e III, chapitre XIV. 120. Livre. III, chapitre XIV. 121. Livre III, chapitres XIX à XXXV. 122. Livre III, chapitres XXXVI à XL
chapitre XIV. 121. Livre III, chapitres XIX à XXXV. 122. Livre III, chapitres XXXVI à XLIII. 123. Petit Traité de Sagesse, ch
. Livre III, chapitres XXXVI à XLIII. 123. Petit Traité de Sagesse, chapitre  II. 124. Livre II, chapitre VIII. 125. Ceci a é
à XLIII. 123. Petit Traité de Sagesse, chapitre II. 124. Livre II, chapitre  VIII. 125. Ceci a été écrit en 1832. (Éditeurs.)
tre VIII. 125. Ceci a été écrit en 1832. (Éditeurs.) 126. Livre IV, chapitre  III. 127. Livre I, chapitre IV. 128. Livre I, c
rit en 1832. (Éditeurs.) 126. Livre IV, chapitre III. 127. Livre I, chapitre  IV. 128. Livre I, chapitre I. 129. Livre I, cha
6. Livre IV, chapitre III. 127. Livre I, chapitre IV. 128. Livre I, chapitre  I. 129. Livre I, chapitre V. 130. Livre V, chap
127. Livre I, chapitre IV. 128. Livre I, chapitre I. 129. Livre I, chapitre  V. 130. Livre V, chapitre III. — Tout le chapitr
128. Livre I, chapitre I. 129. Livre I, chapitre V. 130. Livre V, chapitre  III. — Tout le chapitre a de l’intérêt. 131. Liv
 I. 129. Livre I, chapitre V. 130. Livre V, chapitre III. — Tout le chapitre a de l’intérêt. 131. Livre IV, chapitre III. 13
e V, chapitre III. — Tout le chapitre a de l’intérêt. 131. Livre IV, chapitre  III. 132. Livre IV, chapitre VII. 133. Ceci a é
hapitre a de l’intérêt. 131. Livre IV, chapitre III. 132. Livre IV, chapitre  VII. 133. Ceci a été dit à Bâle, cours de 1832 à
me de Grignan, 14 juillet 1680. 186. Voltaire. Siècle de Louis XIV. Chapitre  XXXII. Ce qui précède est tiré des notes de M. Vi
axime 400. 284. Maxime 405. 285. Maxime 433. 286. Les Caractères. Chapitre XIV : De quelques usages. 287. Préface du Disco
uyère à l’Académie Française, le 15 juin 1693. 288. Les Caractères. Chapitre XII : Des Jugements. 289. Chapitre VIII : De la
juin 1693. 288. Les Caractères. Chapitre XII : Des Jugements. 289. Chapitre VIII : De la Cour. 290. Chapitre XII : Des Jugem
Chapitre XII : Des Jugements. 289. Chapitre VIII : De la Cour. 290. Chapitre XII : Des Jugements. 291. Chapitre VII : De la V
Chapitre VIII : De la Cour. 290. Chapitre XII : Des Jugements. 291. Chapitre VII : De la Ville. 292. Chapitre VI : Des Biens
Chapitre XII : Des Jugements. 291. Chapitre VII : De la Ville. 292. Chapitre VI : Des Biens de fortune. 293. Chapitre VII : D
re VII : De la Ville. 292. Chapitre VI : Des Biens de fortune. 293. Chapitre VII : De la Ville. 294. Chapitre XIII : De la Mo
re VI : Des Biens de fortune. 293. Chapitre VII : De la Ville. 294. Chapitre XIII : De la Mode. 295. Chapitre XVI : Des Espri
. Chapitre VII : De la Ville. 294. Chapitre XIII : De la Mode. 295. Chapitre XVI : Des Esprits forts. 296. Chapitre XIII ; De
itre XIII : De la Mode. 295. Chapitre XVI : Des Esprits forts. 296. Chapitre XIII ; De la Mode. 297. Chapitre III : Des Femme
itre XVI : Des Esprits forts. 296. Chapitre XIII ; De la Mode. 297. Chapitre III : Des Femmes. 298. Chapitre XV : De la Chair
6. Chapitre XIII ; De la Mode. 297. Chapitre III : Des Femmes. 298. Chapitre XV : De la Chaire. 299. Chapitre XV : De la Chai
7. Chapitre III : Des Femmes. 298. Chapitre XV : De la Chaire. 299. Chapitre XV : De la Chaire. 300. Chapitre XVI  : Des Espr
. Chapitre XV : De la Chaire. 299. Chapitre XV : De la Chaire. 300. Chapitre XVI  : Des Esprits forts. 301. Chapitre XI : De
tre XV : De la Chaire. 300. Chapitre XVI  : Des Esprits forts. 301. Chapitre XI : De l’Homme. 302. Chapitre IV : Du Cœur. 30
pitre XVI  : Des Esprits forts. 301. Chapitre XI : De l’Homme. 302. Chapitre IV : Du Cœur. 303. Chapitre XI : De l’Homme. 30
s. 301. Chapitre XI : De l’Homme. 302. Chapitre IV : Du Cœur. 303. Chapitre XI : De l’Homme. 304. Chapitre XI : De l’Homme.
e. 302. Chapitre IV : Du Cœur. 303. Chapitre XI : De l’Homme. 304. Chapitre XI : De l’Homme. 305. Chapitre XIII : De la Mode
303. Chapitre XI : De l’Homme. 304. Chapitre XI : De l’Homme. 305. Chapitre XIII : De la Mode. 306. Chapitre XVI : Des Espri
04. Chapitre XI : De l’Homme. 305. Chapitre XIII : De la Mode. 306. Chapitre XVI : Des Esprits forts. 307. Chapitre IV : Du C
itre XIII : De la Mode. 306. Chapitre XVI : Des Esprits forts. 307. Chapitre IV : Du Cœur. 308. Chapitre XI : De l’Homme. 30
Chapitre XVI : Des Esprits forts. 307. Chapitre IV : Du Cœur. 308. Chapitre XI : De l’Homme. 309. Chapitre IV : Du Cœur. 31
s. 307. Chapitre IV : Du Cœur. 308. Chapitre XI : De l’Homme. 309. Chapitre IV : Du Cœur. 310. Chapitre XI : De l’Homme. 31
r. 308. Chapitre XI : De l’Homme. 309. Chapitre IV : Du Cœur. 310. Chapitre XI : De l’Homme. 311. Chapitre VII : De la Ville
e. 309. Chapitre IV : Du Cœur. 310. Chapitre XI : De l’Homme. 311. Chapitre VII : De la Ville. 312. Chapitre XII : Des Jugem
10. Chapitre XI : De l’Homme. 311. Chapitre VII : De la Ville. 312. Chapitre XII : Des Jugements. 313. Chapitre XI : De l’Hom
Chapitre VII : De la Ville. 312. Chapitre XII : Des Jugements. 313. Chapitre XI : De l’Homme. 314. Chapitre XIV : De quelques
. Chapitre XII : Des Jugements. 313. Chapitre XI : De l’Homme. 314. Chapitre XIV : De quelques Usages. 315. Chapitre VIII : D
pitre XI : De l’Homme. 314. Chapitre XIV : De quelques Usages. 315. Chapitre VIII : De la Cour. 316. Chapitre XIV : De quelqu
tre XIV : De quelques Usages. 315. Chapitre VIII : De la Cour. 316. Chapitre XIV : De quelques Usages. 317. Chapitre VIII : D
tre VIII : De la Cour. 316. Chapitre XIV : De quelques Usages. 317. Chapitre VIII : De la Cour. 318. Chapitre VI : Des Biens
tre XIV : De quelques Usages. 317. Chapitre VIII : De la Cour. 318. Chapitre VI : Des Biens de fortune. 319. Chapitre XII : D
re VIII : De la Cour. 318. Chapitre VI : Des Biens de fortune. 319. Chapitre XII : Des Jugements. 320. Chapitre XV : De la Ch
VI : Des Biens de fortune. 319. Chapitre XII : Des Jugements. 320. Chapitre XV : De la Chaire. 321. Chapitre XI : De l’Homme
Chapitre XII : Des Jugements. 320. Chapitre XV : De la Chaire. 321. Chapitre XI : De l’Homme. 322. Maxime 38. 323. Chapitre
De la Chaire. 321. Chapitre XI : De l’Homme. 322. Maxime 38. 323. Chapitre II : Du Mérite personnel. 324. Chapitre XI : De
omme. 322. Maxime 38. 323. Chapitre II : Du Mérite personnel. 324. Chapitre XI : De l’Homme. 325. Chapitre VI : Des Biens de
pitre II : Du Mérite personnel. 324. Chapitre XI : De l’Homme. 325. Chapitre VI : Des Biens de fortune. 326. Chapitre XI : De
itre XI : De l’Homme. 325. Chapitre VI : Des Biens de fortune. 326. Chapitre XI : De l’Homme. 327. En rapprochant ce portrait
comprenons combien il doit être profond au-dedans. (Éditeurs.) 328. Chapitre XI : De l’Homme. 329. Chapitre V ; De la Société
profond au-dedans. (Éditeurs.) 328. Chapitre XI : De l’Homme. 329. Chapitre V ; De la Société et de la Conversation. 330. Ch
’Homme. 329. Chapitre V ; De la Société et de la Conversation. 330. Chapitre V : De la Société et de la Conversation. 331. Ma
itre V : De la Société et de la Conversation. 331. Maxime 231. 332. Chapitre XII : Des Jugements. 333. Chapitre V : De la Soc
ersation. 331. Maxime 231. 332. Chapitre XII : Des Jugements. 333. Chapitre V : De la Société et de la Conversation. 334. I
Chapitre V : De la Société et de la Conversation. 334. Ibid. 335. Chapitre XI : De l’Homme. 336. On a déjà dit dans l’Avert
soutenu, au contraire, qu’il est de Saint-Évremond. (Éditeurs.) 340. Chapitre VII. 341. Chapitre I. 342. Chapitre V. 343. Ch
e, qu’il est de Saint-Évremond. (Éditeurs.) 340. Chapitre VII. 341. Chapitre I. 342. Chapitre V. 343. Chapitre II. 344. Cha
int-Évremond. (Éditeurs.) 340. Chapitre VII. 341. Chapitre I. 342. Chapitre V. 343. Chapitre II. 344. Chapitre V. 345. Cha
teurs.) 340. Chapitre VII. 341. Chapitre I. 342. Chapitre V. 343. Chapitre II. 344. Chapitre V. 345. Chapitre XVI. 346.
tre VII. 341. Chapitre I. 342. Chapitre V. 343. Chapitre II. 344. Chapitre V. 345. Chapitre XVI. 346. Ibid. 347. Sur P
pitre I. 342. Chapitre V. 343. Chapitre II. 344. Chapitre V. 345. Chapitre XVI. 346. Ibid. 347. Sur Plutarque. 348. S
Réflexions sur la religion. 357. Grandeur et Décadence des Romains, chapitre  X. 358. Réponse aux questions d’un Provincial.
es Romains, chapitre X. 358. Réponse aux questions d’un Provincial. Chapitre  XCII. C’est le dernier des dix-neuf chapitres con
estions d’un Provincial. Chapitre XCII. C’est le dernier des dix-neuf chapitres consacrés par Bayle à l’examen du livre de King,
sur l’origine du mal. Bayle avait dit dès l’entrée de ce travail, au chapitre  LXXIV : « La première chose dont je doive vous av
dre à des objections tirées de cette même révélation. » Plus loin, au chapitre  LXXXVII, il dit des disputes où de telles objecti
à l’occasion de la Comète, § XLIX. — Essais de Montaigne, livre III, chapitre  XI. 363. Pensées diverses à l’occasion de la Co
casion de la Comète, § CXXIII. 374. Additions aux pensées diverses, chapitre  IV. 375. « Dans quelque religion qu’on vive, l’o
ettres persanes. Lettre XLVI.) 376. Paradoxe de Bayle. (Livre XXIV, chapitre  II.) 377. Pensées diverses à l’occasion de la C
ions. » (Continuation des Pensées diverses à l’occasion de la Comète. Chapitre  XX.) 380. « Par exemple, Monsieur, n’est-ce pas
n des doctrines d’Épicure à Rome. (Grandeur et décadence des Romains, chapitre  X.) 408. Cet Essai est né du précédent et y fait
13. Lettres persanes, L. LXXXV. — Grandeur et décadence des Romains, chapitre  X — Politique des Romains dans la religion. 414.
13 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre IV. Des Ecrits sur la Poétique & sur divers autres genres de Littérature. » pp. 216-222
(*) Chapitre IV. Des Ecrits sur la Poétique & sur diver
des réfléxions d’Aristote, nous avons fait connoître ce Poëme dans le Chapitre des traductions des Poëtes latins. Le P. Rapin, l
ui, qu’il discute longuement tous les objets ; qu’il est ennuyeux par chapitres  ; que S. Cyprien, S. Justin le martyr, l’hérétiqu
yle des morceaux qu’on a rassemblés, il y a de la variété dans chaque chapitre . Plusieurs chapitres excellens qu’on ne trouvoit
on a rassemblés, il y a de la variété dans chaque chapitre. Plusieurs chapitres excellens qu’on ne trouvoit que dispersés, avant
au de conseiller, il est plus beau d’exécuter. (*). Nous plaçons ce Chapitre immédiatement après les Poëtes françois, parce qu
14 (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 15 décembre 1886. »
s la direction de F. Listz 90 ; Voltaire musicien 91, qui renferme un chapitre intitulé Wagnérisme ; Lohengrin, instrumentation
phie 92, dédié à Mme Wagner ; Turin musical 93, qui renferme aussi un chapitre sur le Wagnérisme et où le nom de Wagner revient
me grand in-8° de 370 pages, à 40 francs, à la Librairie de l’Art).   Chap. I : Mozart et Wagner en face des Français. L’ouvr
886, article d’ailleurs publié ensuite en une brochure du même titre. Chap. II : La jeunesse et les premiers essais de Wagner
même titre. Chap. II : La jeunesse et les premiers essais de Wagner. Chap. III : Les trois années à Paris. Chap. IV : Rienzi
les premiers essais de Wagner. Chap. III : Les trois années à Paris. Chap. IV : Rienzi et le Hollandais Volant. Chap. V : W
Les trois années à Paris. Chap. IV : Rienzi et le Hollandais Volant. Chap. V : Wagner maître de chapelle à Dresde ; la Vesta
es cendres des Weber, la symphonie avec chœurs, Iphigénie en Aulide. Chap. VI : Tannhaeuser à Dresde. Chap. VII : Lohengrin
e avec chœurs, Iphigénie en Aulide. Chap. VI : Tannhaeuser à Dresde. Chap. VII : Lohengrin à Weimar. Chap. VIII : L’exil ; l
de. Chap. VI : Tannhaeuser à Dresde. Chap. VII : Lohengrin à Weimar. Chap. VIII : L’exil ; les écrits théoriques ; les Kibel
eimar. Chap. VIII : L’exil ; les écrits théoriques ; les Kibelungen. Chap. IX : Paris, concert aux Italiens, Tannhaeuser. C
es Kibelungen. Chap. IX : Paris, concert aux Italiens, Tannhaeuser. Chap. X : Tristan à Munick. Chap. XI : Triebchen ; les
aris, concert aux Italiens, Tannhaeuser. Chap. X : Tristan à Munick. Chap. XI : Triebchen ; les Maîtres Chanteurs. Chap. XI
X : Tristan à Munick. Chap. XI : Triebchen ; les Maîtres Chanteurs. Chap. XII : Triebchen (suite) ; Rienzi à Paris, le Rhei
Paris, le Rheingold et la Walkure à Munich ; installation à Bayreuth. Chap. XIII : La Tétralogie à Bayreuth. Chap. XIV : Conc
ich ; installation à Bayreuth. Chap. XIII : La Tétralogie à Bayreuth. Chap. XIV : Concerts à Londres, la Tétralogie à Berlin 
V : Concerts à Londres, la Tétralogie à Berlin ; Parsifal à Bayreuth. Chap. XV : Mort et funérailles de Wagner ; continuation
vers les compositeurs ; l’homme dans l’intimité, l’artiste en public. Chap. XVI : Le génie en face de ses partisans et de ses
Gluck et Meyerbeer. La seconde partie est intitulée : Richard Wagner. Chap. 1er : Conception et Exposition du drame musical (
ugement de Wagner sur ses contemporains, la théorie du drame musical. Chap. II : l’œuvre de Richard Wagner, depuis Rienzi jus
15 (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « LE COMTE XAVIER DE MAISTRE. » pp. 33-63
rieure ; il le garda quelques années dans son tiroir et y ajoutait un chapitre de temps en temps. Dans une visite qu’il fit à so
e douce humeur y domine, moins marquée que dans Sterne, que plusieurs chapitres rappellent toutefois32 ; mais j’y verrais plutôt
pour la peinture, et malgré l’air de dissertation dont il se pique au chapitre xxiv du Voyage, ç’a été surtout un moyen pour lui
ne fait qu’aiguiser. Qu’on se rappelle ce portrait de Mme Hautcastel ( chap.  xv), qui, comme tous les portraits, et peut-être,
: pauvre amant qui se croit uniquement regardé ! Et cette rose sèche ( chap.  xxxv), cherchée, cueillie autrefois si fraîche da
t plus qu’un mari, et le bal seul devient l’amant. » Dans ce charmant chapitre , je relèverai une des taches si rares du gracieux
nt bientôt et y mêlent un sérieux attendri : qu’on relise le touchant chapitre xxi sur la mort d’un ami et sur la certitude de l
titude de l’immortalité. « Depuis longtemps, dit-il en continuant, le chapitre que je viens d’écrire se présentait sous ma plume
Russie, n’emportant qu’un très-léger bagage littéraire, les premiers chapitres de l’Expédition nocturne peut-être, mais non pas
rol, ni même le Poëme en vingt-quatre chants, dont il est question au chapitre xi de l’Expédition, car il n’avait rien écrit de
étuels crochets. Si j’étais professeur de rhétorique, je voudrais, au chapitre des narrations, comparer, confronter page à page
chaud, l’auteur des Croisades et du Printemps d’un Proscrit. 30. Au chapitre iii, où il donne la logique du duel. 31. Édition
vorablement du livre dans le Journal de Paris du 23 mai 1796. 32. Le chapitre xix, où tombe cette larme de repentir, pour avoir
où tombe cette larme de repentir, pour avoir brusqué Joannetti, et le chapitre xxviii, où tombe une autre larme, pour avoir brus
Dangeaux à la piste ; Je pourrais bien n’être qu’un sot. 34. Voyez chapitre x. 35. Paris, Gosselin, 1824, in-8°. 36. M. de
16 (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre premier. Aperçu descriptif. — Histoire de la question »
Chapitre premier.Aperçu descriptif. — Histoire de la quest
istoire de la question I. Aperçu descriptif * Les renvois d’un chapitre à un autre ou d’un paragraphe à un autre, soit da
est édenté ou enroué ; elle corrige ses lapsus, s’il lui en échappe [ chap. II, § 5]. Seul, un orateur abondant, rapide, qui
s l’appelons ne nous revienne » ; telles sont ses expressions dans un chapitre du Traité de la connaissance de Dieu et de soi-mê
nt un corps, sans lequel elle resterait voilée pour nous81. » Dans un chapitre précédent, il n’a pas osé réfuter le paradoxe de
au sens musculaire. Nous avons discuté, dans la suite de ce travail [ chap. II, § 6], la description de Bain, et ramené l’élé
n de nous en quelques pages limpides et persuasives123. Dans ce court chapitre , l’éminent psychologue a fait justice des théorie
de la parole intérieure restait à faire. Nous avons essayé, dans les chapitres qui vont suivre, de combler cette lacune de la sc
uriol, 1867-1868, 2 vol.] 11. Livres X et XI, passim. 12. Livre X, chap.  7. Voici la suite des idées : la meilleure manièr
ais ceux-ci excitent davantage la verve oratoire. — Dans le livre XI, chapitre 2, autre allusion, plus timide encore : il vaut m
t-à-dire sur l’aliénation de notre parole intérieure, voir, plus bas, chap.  II, § 8, et chap. III, § 8 et 9. ] 25. Cette cur
énation de notre parole intérieure, voir, plus bas, chap. II, § 8, et chap.  III, § 8 et 9. ] 25. Cette curieuse théorie est
26. Essai sur l’entendement humain (1690), livre IV, chap v, § 4 et chap.  vi, § 1 ; livre III, chap. ix, § 2. 27. Nouveau
nt humain (1690), livre IV, chap v, § 4 et chap. vi, § 1 ; livre III, chap.  ix, § 2. 27. Nouveaux essais sur l’entendement
2. 27. Nouveaux essais sur l’entendement humain (1703), livre III, chap.  i, § 2. et chap. ix, § 4. 28. De l’universalité
x essais sur l’entendement humain (1703), livre III, chap. i, § 2. et chap.  ix, § 4. 28. De l’universalité de la langue fra
. 29. Malgré la discrétion de leurs formules, Bossuet et Port-Royal ( chap. déjà cités) semblent, sur ce point, plus près de
l’a exposé dans le Discours préliminaire de cet ouvrage, dans le 1er chapitre , dans les notes des chapitres I à VII, enfin dans
préliminaire de cet ouvrage, dans le 1er chapitre, dans les notes des chapitres I à VII, enfin dans l’appendice intitulé : Disser
pressions courantes de la langue française [sur lesquelles voir notre chapitre II, § 11]. — Une nouvelle rédaction de la doctrin
n de la doctrine se trouve dans les Recherches philosophiques (1818), chap.  I ; chap. II, De l’origine du langage ; chap. III
ctrine se trouve dans les Recherches philosophiques (1818), chap. I ; chap.  II, De l’origine du langage ; chap. III, De l’ori
philosophiques (1818), chap. I ; chap. II, De l’origine du langage ; chap.  III, De l’origine de l’écriture ; chap. VII, De l
II, De l’origine du langage ; chap. III, De l’origine de l’écriture ; chap.  VII, De la pensée ; chap. VIII, De l’expression d
e ; chap. III, De l’origine de l’écriture ; chap. VII, De la pensée ; chap.  VIII, De l’expression de la pensée, et dans l’app
ée ; chap. VIII, De l’expression de la pensée, et dans l’appendice au chap.  IX intitulé : Réponse à quelques objections ; sty
es des maladies de l’oreille et du larynx, 1er mars 1876). [Cf. notre chapitre II, § 5] 65. Essais de philosophie, an XIII (18
gique la maxime d’Horace : Segnius irritant… [sur laquelle voir notre chapitre VI, § 7]. Bain, par exemple, est du même avis [vo
édecin de l’institution nationale des sourds-muets (Didier, 1877). Le chapitre V de la deuxième partie, p. 293 à 361, est consac
), Logique déductive et inductive.] 128. Pages 337 à 361. 129. Ces chapitres sont loin d’épuiser le sujet dont les discussions
journé l’examen : la loi, par exemple, déjà posée au début du premier chapitre , se trouve affirmée de nouveau dans le chapitre V
e au début du premier chapitre, se trouve affirmée de nouveau dans le chapitre VI, § 8, et plusieurs des problèmes compris sous
r la genèse et les causes de la parole intérieure se trouvent dans le chapitre II, § 6, et à la fin du chapitre IV ; enfin nous
arole intérieure se trouvent dans le chapitre II, § 6, et à la fin du chapitre IV ; enfin nous avons dû faire de temps à autre d
17 (1902) L’observation médicale chez les écrivains naturalistes « Introduction »
e : 1° Des qualités nécessaires à la recherche de ce document humain. Chap. Ier : Les qualités cliniques. 2e Des modes d’inve
modes d’investigation susceptibles de procurer ce document humain. α Chap. II : La clinique objective. β Chap. III : La clin
de procurer ce document humain. α Chap. II : La clinique objective. β Chap. III : La clinique subjective. γ Chap. IV : La doc
. II : La clinique objective. β Chap. III : La clinique subjective. γ Chap. IV : La documentation indirecte. 3e Du vocabulair
on indirecte. 3e Du vocabulaire propre à exprimer ce document humain. Chap. V : Le vocabulaire médico-esthétique. ⁂ « Il n’e
18 (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre II — Chapitre sixième. »
Chapitre sixième. § I. Comparaison entre les progrès de
éthode de Montaigne ajoute à toutes ses séductions. Les sujets de ses chapitres sont tantôt quelque axiome de morale, tantôt une
, dont les feuillets se suivent sans se lier, qui porte des titres de chapitres , mais qui, selon l’humeur de l’écrivain, promet p
réface des Remarques sur la langue française. 133. Essais, liv. II, chap. iv. 134. Essais, livre II, chap. ix. 135. Livr
française. 133. Essais, liv. II, chap. iv. 134. Essais, livre II, chap.  ix. 135. Livre II, chap. x. 136. Essais, liv. 
liv. II, chap. iv. 134. Essais, livre II, chap. ix. 135. Livre II, chap. x. 136. Essais, liv. II, chap. iv. 137. Liv. I
livre II, chap. ix. 135. Livre II, chap. x. 136. Essais, liv. II, chap.  iv. 137. Liv. II, chap. x. 138. Essais, liv. 
. Livre II, chap. x. 136. Essais, liv. II, chap. iv. 137. Liv. II, chap.  x. 138. Essais, liv. II, chap. xvii. 139. I
, liv. II, chap. iv. 137. Liv. II, chap. x. 138. Essais, liv. II, chap.  xvii. 139. Ibid. 140. Scribendi recte sapere
endi recte sapere est et principiuin et fons. 141. Essais, liv. II, chap.  xvii. 142. Essais, liv. II, chap. xvii. C’était
et fons. 141. Essais, liv. II, chap. xvii. 142. Essais, liv. II, chap.  xvii. C’était le temps des fausses paix de religi
C’était le temps des fausses paix de religion. 143. Ibid., liv.III, chap.  ix. 144. Ibid., liv. II, chap. xvii. Nous dirio
de religion. 143. Ibid., liv.III, chap. ix. 144. Ibid., liv. II, chap.  xvii. Nous dirions : coups de chapeau. 145. Ibi
coups de chapeau. 145. Ibid. 146. Ibid. 147. Essais, liv. II, chap.  xv. 148. Ibid., liv, II, chap. 1er. 149. Essa
146. Ibid. 147. Essais, liv. II, chap. xv. 148. Ibid., liv, II, chap.  1er. 149. Essais, liv. II, chap. xvii, 150. I
, chap. xv. 148. Ibid., liv, II, chap. 1er. 149. Essais, liv. II, chap.  xvii, 150. Ibid. 151. Jugement admirable sous
’un rapport adressé à l’Académie française. 154. Essais., liv. II, chap.  x.
19 (1896) Matière et mémoire. Essai sur la relation du corps à l’esprit « Avant-propos de la septième édition »
ntôt idéaliste, qu’on se fait de la matière. L’objet de notre premier chapitre est de montrer qu’idéalisme et réalisme sont deux
écisément le sens où nous prenons le mot « image » dans notre premier chapitre . Nous nous plaçons au point de vue d’un esprit qu
mandons cependant au lecteur de l’oublier. Si, au cours de ce premier chapitre , des objections se présentent à son esprit contre
voit. C’est là que nous essayons de la voir nous-même. Notre premier chapitre définit cette manière de regarder la matière ; no
apitre définit cette manière de regarder la matière ; notre quatrième chapitre en tire les conséquences. Mais, comme nous l’anno
e où elle intéresse le problème abordé dans le second et le troisième chapitres de ce livre, celui même qui fait l’objet de la pr
age de F. MOUTIER, L’aphasie de Broca, Paris, 1908 (en particulier le chap.  VII). Nous ne pouvons entrer dans le détail des r
20 (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Livre premier. La structure de la société. — Chapitre II. Les privilèges. »
Chapitre II. Les privilèges. I. Nombre des privilégiés
e entier appartient à l’évêque du Puy, à l’abbé de la Chaise-Dieu, au chapitre noble de Brioude et aux seigneurs de Polignac. Le
on de toute contribution personnelle et réelle. » — « En Lorraine, le chapitre de Remiremont a le privilège de se cotiser lui-mê
tive. Suivons-le chez lui dans son domaine. Un évêque, un abbé, un chapitre , une abbesse a le sien, comme un seigneur laïque 
ref qu’il est roi ou peu s’en faut dans sa province. À Remiremont, le chapitre noble des chanoinesses a « la basse, haute et moy
rtout les officiers de gruerie. Trente-deux évêques, sans compter les chapitres , sont ainsi seigneurs temporels, en tout ou en pa
qui jadis ont été ses vilains ou ses serfs, à portée du monastère, du chapitre ou de l’évêque dont les droits s’entremêlent à se
les deux. 20. Voir note 1 [’p. 299’]. 21. Suger, Vie de Louis VI, chap.  VIII. — Philippe Ier ne s’était rendu maître du c
s-verbaux imprimés de ces assemblées provinciales, notamment dans les chapitres qui traitent des vingtièmes. 23. Rapport de Trei
e rente en 1766 en valaient 20 000 en 1825. (Mme de Genlis, Mémoires, chap.  IX.) Arthur Young, visitant un château de Seine-e
ot, Mémoires , I, 77. Notez le cérémonial chez le duc de Penthièvre, chap.  I, III. Le duc d’Orléans institue un chapitre et
chez le duc de Penthièvre, chap. I, III. Le duc d’Orléans institue un chapitre et des cordons de chanoinesses. La place de chanc
21 (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « J. de Maistre » pp. 81-108
des plus grands génies. Tel vous le voyez dans son livre du Pape, aux chapitres fameux de l’Infaillibilité et de la Souveraineté,
u sacré qui anime les nations, — dit-il, à la fin d’un des plus beaux chapitres de son Étude sur la Souveraineté, que nous avons
t, — pourrait bien avoir fait aussi le Concile du Vatican. Quatre chapitres inédits sur la Russie [Le Pays, 28 juin 1859.]
inédits sur la Russie [Le Pays, 28 juin 1859.] VI Les Quatre chapitres inédits sur la Russie n’ont pas eu, quand ils ont
tre, fils de l’illustre comte Joseph, qui a édité lui-même les Quatre chapitres inédits sur la Russie, et qui a bien fait d’ajout
atique et secrète du comte de Maistre, dont j’ai parlé au début de ce chapitre , que M. Blanc (de Turin) avait été autorisé à tra
re jamais existé ! C’est cet homme que nous retrouvons, en ces Quatre chapitres inédits sur la Russie, dans toute la pureté, la b
orie sur rien, est un historien et non un philosophe. Dans les Quatre chapitres inédits sur la Russie, il appelle l’Histoire : « 
Louis XIII, qui garda Richelieu, paraît grand. VIII Les Quatre chapitres inédits sur la Russie se rattachent justement à c
i brillamment faire. Quoique, par le titre qu’ils portent, les Quatre chapitres puissent donner à penser que l’auteur avait eu l’
re le gouvernement russe a passé. C’est là l’intérêt animé des Quatre chapitres qu’on a publiés. On a marché, depuis les lettres
e de détail et d’ensemble, l’avantage de cette publication des Quatre chapitres sur la Russie. Ils ont refait une gloire à de Mai
22 (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. ALFRED DE MUSSET (La Confession d’un Enfant du siècle.) » pp. 202-217
e intention morale et un but ? On ne peut méconnaître, dès le premier chapitre , que l’auteur n’ait voulu faire sortir de sa conf
pas évité. Il y est tombé tout d’abord, ce me semble, dans le premier chapitre , où le technique des expressions chirurgicales re
nd pas exactement à cette préface. Si l’auteur avait écrit ce premier chapitre (comme il convient aux préfaces) en dernier lieu
ménagé l’ensemble, comme dans ces deux chefs-d’œuvre. L’avant-dernier chapitre de cette troisième partie, Si j’étais joaillier,
mots mystiques que je voudrais retrancher ; on peut le comparer à un chapitre d’Adolphe, qui est aussi tout en exclamations pas
t tu pérores assez chaudement dans tes délires amoureux. » Le dernier chapitre , ce dîner en tête-à-tête de Brigitte et d’Octave
e, on ferait un petit recueil de pensées isolées, sans transition, un chapitre à la façon de La Rochefoucauld, qui classerait ce
n’a nulle part non plus faussé sa manière plus évidemment que dans le chapitre ii de la première partie, où l’histoire et la mét
autés ne lui manquaient pas, il a osé être simple. J’ai noté, dans ce chapitre II, page 8, une phrase sur Napoléon, sur son arc,
23 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre cinquième. Retour des mêmes révolutions lorsque les sociétés détruites se relèvent de leurs ruines — Argument » pp. 355-356
ui ont dominé. (Il prend le mot meilleurs dans un sens très général.) Chapitre  I. Objet de ce livre. — Retour de l’âge divin. — 
ure ; caractère religieux des guerres et des jugements, asiles, etc. Chapitre  II. Comment les nations parcourent de nouveau la
les précaires, sur la recommandation personnelle, et sur les alleux. Chapitre  III. Coup d’œil sur le monde politique, ancien et
p de monarchies, quelques démocraties, presque plus d’aristocraties. Chapitre  IV. Conclusion. D’une république éternelle fondée
24 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Notes et éclaircissements. [Œuvres complètes, tome XII] »
Œuvres complètes, tome XII] Note A, page 38. [IIe partie, liv. I, chap.  5] « Les véritables philosophes n’auraient pa
e. » (Tom. IV, pag. 463.) Note B, page 42. [IIe partie, liv. II, chap.  1] Comme la philosophie du jour loue préciséme
rale à la force religieuse, ils trouveront ma réponse dans le dernier chapitre de cet ouvrage, où je montre qu’au défaut de l’es
ssant dans leur religion. Note C, page 142. [IIe partie, liv. III, chap.  6] Voici quelques fragments que nous avons ret
ème a péri sur l’échafaud. Note D, page 166. [IIe partie, liv. IV, chap.  1] Nous ne voulons qu’éclaircir ce mot descrip
existait pour les anciens. Note E, page 176. [IIe partie, liv. IV, chap.  2] Poésies sanskrites. Sacontala. Écoute
rom the night. (Ossian.) Note F, page 208. [IIe partie, liv. IV, chap.  9] IMITATION DE VOLTAIRE. « Toi sur qui mon t
u’obéir dans les cieux. » Note G, page 236. [IIe partie, liv. IV, chap.  15] Le Dante a répandu quelques beaux traits d
io di Danto, canto i et ii. Note H, page 251. [IIe partie, liv. V, chap.  2] Fragment du sermon de Bossuet sur le bonhe
om. III.) (Note de l’édit.) Note I, page 262. [IIe partie, liv. V, chap.  2] On sera bien aise de trouver ici le beau mo
la discipline de Paul… » Note K, page 310. [IIIe partie, liv. 1, chap.  4] Voici le catalogue de Pline : Peintres des
les sujets mythologiques. Note L, page 312. [IIIe partie, liv. I, chap.  4] Le catalogue que Pline nous a laissé des ta
ges de Claude le Lorrain. Note M, page 331. [IIIe partie, liv. II, chap.  1] L’abbé Barthélemy trouva le prélat Baïardi
25 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 5, explication de plusieurs endroits du sixiéme chapitre de la poëtique d’Aristote. Du chant des vers latins ou du carmen » pp. 84-102
Section 5, explication de plusieurs endroits du sixiéme chapitre de la poëtique d’Aristote. Du chant des vers lati
itation des vers. C’est même par cette raison qu’Aristote dit dans le chapitre quatriéme de sa poëtique, que les metres sont les
, que leurs berceaux étoient differents. D’autres passages du sixiéme chapitre de la poëtique d’Aristote rendront encore plus cl
lopée au lieu de dire melodie. Notre auteur dit encore à la fin de ce chapitre , et après avoir discouru sommairement sur la fabl
niers commentateurs de cet ouvrage, dans ses remarques sur le sixiéme chapitre . " si la tragedie peut subsister sans vers… etc.
d rien. Il est vrai qu’Aristote appelle musique dans le vingt-sixiéme chapitre de sa poëtique, ce qu’il avoit appellé melopée da
pitre de sa poëtique, ce qu’il avoit appellé melopée dans son sixiéme chapitre . " la tragedie ne tire pas un avantage mediocre d
26 (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Les Caractères de La Bruyère. Par M. Adrien Destailleur. »
l’air d’un traité. Il entre et débute en plein sujet par une suite de chapitres dont on ne voit pas très bien d’abord le lien et
Femmes, Du Cœur, De la Société et de la Conversation. Mais les quatre chapitres qui suivent vont nous peindre successivement les
t princes du sang, héros ou demi-dieux : le tout se couronnera par un chapitre , du Souverain ou de la République, avec le buste
il est en vue de toutes parts. Après quoi, l’on passe incontinent au chapitre de l’Homme. Des sublimités de Louis le Grand à l’
bientôt son dessein paraît s’interrompre et s’oublier dans plusieurs chapitres mêlés, et qui ont pour titre : Des Jugements, De
vraie, il avait commencé par flétrir courageusement la fausse dans le chapitre de la Mode. Le chapitre de la Chaire, l’avant-der
par flétrir courageusement la fausse dans le chapitre de la Mode. Le chapitre de la Chaire, l’avant-dernier du livre, bien qu’e
hétorique, achemine pourtant, par la nature même du sujet, au dernier chapitre tout religieux, intitulé des Esprits forts ; et c
plus rigoureux enchaînement que le reste. On peut dire que ce dernier chapitre tranche d’aspect et de ton avec tous les autres :
de compte, sur la rancune ; l’honnête homme triomphe de l’auteur. Le chapitre du Mérite personnel, qui est le second de son liv
différente même de celle qu’il a préférée. Une anecdote, à la fin du chapitre des Femmes, et qu’a relevée avec raison M. Destai
27 (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « La Bruyère »
s hommes parfaits que le commun des hommes ne sort de l’enfance. » Au chapitre des Grands, il s’est échappé à dire ce qu’il avai
e était très-pénétré de cette idée, par laquelle il ouvre son premier chapitre , que tout est dit, et que l’on vient trop tard ap
n, La Bruyère ajouta successivement et beaucoup à chacun de ses seize chapitres . Des pensées qu’il avait peut-être gardées en por
er de l’impatience : on a cru que son conseil à un auteur né copiste ( chap. des Ouvrages de l’Esprit), qui ne se trouvait pas
note manuscrite, était-elle une de ces personnes dont La Bruyère, au chapitre du Cœur, devait avoir l’idée présente quand il di
la page sublime sur les paysans : « Certains animaux farouches, etc. ( chap. de l’Homme). » On s’est accordé à reconnaître La
ieux, et d’un spiritualisme fermement raisonné, comme en fait foi son chapitre des Esprits forts ; qui, venu le dernier, répond
n’ont pas manqué, et à une conviction profonde. La dialectique de ce chapitre est forte et sincère ; mais l’auteur en avait bes
leur temps, comme tous les vrais grands. Il est obligé d’alléguer son chapitre des Esprits forts et de supposer à l’ordre de ses
çoit bien s’énonce clairement, etc., il nous dit, dans cet admirable chapitre des Ouvrages de l’Esprit, qui est son Art poétiqu
tendre ! Mais il n’appartient qu’à lui d’avoir eu l’idée d’insérer au chapitre du Cœur les deux pensées que voici : « Il y a des
gment de lettre ou de conversation ; imaginé ou simplement encadré au chapitre des Jugements : Il disoit que l’esprit dans cette
e Boileau est véritablement abrogé et n’a plus d’usage, la lecture du chapitre des Ouvrages de l’Esprit serait encore chaque mat
core chaque matin, pour les esprits critiques, ce que la lecture d’un chapitre de l’Imitation est pour les âmes tendres. La Bruy
268 et suiv., avec quel à-propos celui-ci cita et commenta un jour le chapitre des Grands dans le salon de M. De Vaines.
28 (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « M. Ernest Hello » pp. 389-403
n dernier livre vient, en effet, de révéler dans un de ses plus beaux chapitres — le chapitre de la charité intellectuelle — le s
vient, en effet, de révéler dans un de ses plus beaux chapitres — le chapitre de la charité intellectuelle — le secret de cette
mps dans M. Hello à l’humilité calme du chrétien. Et en le lisant, ce chapitre , on comprendra enfin que ce qui semblait un vulga
ujourd’hui le coup de hache de son regard. IV Faits de dix-neuf chapitre s, ou, comme on dit maintenant, dans ce temps de
escendre comme ils voulaient, abandonnés aux lois de l’équilibré… Les chapitres de ce livre ne sont pas juxtaposés par une unité
et de La Bruyère ; M. Ernest Hello, je l’ai dit au commencement de ce chapitre , ne procède de personne. Il ne se ramasse pas en
rêtées et plus fermes que le brillant auteur des Caractères. Dans les chapitres de son livre, qui n’a que des chapitres et dont l
teur des Caractères. Dans les chapitres de son livre, qui n’a que des chapitres et dont l’unité n’existe que dans la personnalité
29 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Notes et éclaircissements. [Œuvres complètes, tome XIII] »
vres complètes, tome XIII] Note A, page 9. [IIIe partie, liv. II, chap.  6] On se refuse presque à croire que quelques-
t qu’on s’en était promis. Note B, page 14. [IIIe partie, liv. II, chap.  6] Outre les projets de réforme et d’améliorat
chose à faire à l’avenir. Note C, page 37. [IIIe partie, liv. III, chap.  4] Je répondrai par un seul fait à toutes les
on seul titre à célébrité. Note D page 50. [IIIe partie, liv. III, chap.  8] L’auteur du Génie de l’homme, M. de Chênedo
. de Chênedollé, a reproduit en très beaux vers quelques traits de ce chapitre , dans un des plus brillants morceaux de ses Étude
in ! (Note de l’Éditeur.) Note E, page 67. [IIIe partie, liv. IV, chap.  2] On jugera de l’éloquence de saint Chrysosto
’à gagner et à attendrir. Note F, page 76. [IIIe partie, liv. IV, chap.  3] « C’est au grand talent, dit M. de La Harp
and. (Note de l’Éditeur.) Note G, page 89. [IIIe partie, liv. IV, chap.  5] LICHTENSTEIN. Les Encyclopédistes sont une
. (Œuvres de Frédéric II.) Note H, page 92. [IIIe partie, liv. IV, chap.  5] PORTRAITS DE J.-J. ROUSSEAU ET DE VOLTAIRE
ang le titre d’incrédule. Note I, page 93. [IIIe partie, liv. IV, chap.  5] Voici ce que Montesquieu écrivait en 1752 à
uieu, tom. vii, pag. 233.) Note K, page 96. [IIIe partie, liv. IV, chap.  5] Voltaire, que j’aime à citer aux incrédules
gén., tom. III, pag. 53.) Note L, page 101. [IIIe partie, liv. V, chap.  2] M. l’abbé Fleury, dans ses Mœurs des Chréti
de l’église, et d’où l’on va ensuite dans les autres pièces, comme le chapitre , qui est l’exèdre des anciens ; le réfectoire, qu
t aux maisons antiques. » Note M, page 115. [IIIe partie, liv. V, chap.  4] On trouve dans un poème de M. Alex. Soumet,
e. » (Note de l’Éditeur.) Note N, page 119. [IIIe partie, liv. V, chap.  4] Voici encore un fragment poétique emprunté
30 (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Montesquieu. — II. (Fin.) » pp. 63-82
Montesquieu se déploie à l’aise et qu’il trouve toute sa matière. Le chapitre  vi sur la politique des Romains et sur leur condu
énotent toute son intimité avec ces grands sujets : il entre dans ces chapitres quelque chose du brusque et de l’imprévu de sa co
is je crains bien que l’ensemble n’y manque, et qu’il n’y ait plus de chapitres agréables à lire, plus d’idées ingénieuses et séd
lois : il y faudrait plusieurs volumes et le prendre livre par livre, chapitre par chapitre. Je connais trois réfutations de ce
audrait plusieurs volumes et le prendre livre par livre, chapitre par chapitre . Je connais trois réfutations de ce genre : celle
e ? Les fréquentes coupures de L’Esprit des lois, le morcellement des chapitres , composés quelquefois d’une seule phrase, annonce
ont parle Montesquieu. Tout cela dit, il reste l’œuvre de génie : des chapitres comme ceux d’Alexandre et de Charlemagne consolen
itres comme ceux d’Alexandre et de Charlemagne consolent de tout. Les chapitres comme ceux de la Constitutionc, et principalement
lités qui se transplantent. On citera de Montesquieu, sans doute, tel chapitre où il avertit le législateur en France qu’il ne f
tombe l’explication maligne de Chamfort. 16. [NdA] Voir notamment le chapitre  5 du livre xix, qui commence ainsi : « S’il y ava
c. » 17. [NdA] M. Joubert. 18. [NdA] Maupertuis. c. [1re éd.] Les chapitres comme ceux sur la Constitution d. [1re éd.] et p
31 (1874) Premiers lundis. Tome II « Poésie — Alphonse Karr. Ce qu’il y a dans une bouteille d’encre, Geneviève. »
de prétention. Hélas ! elle n’en a pas assez. Quand on lit ces jolis chapitres courants, décousus, qui semblent des feuilletons
e vient-elle gâter ou gaspiller tout cela ? Je lui passerais certains chapitres où, rangeant des vers sous air de prose, il s’amu
déguisées et à mystifier le lecteur qui n’y prendrait pas garde ; ces chapitres -là sont une critique lutine du jargon lyrique à l
armes, comment glisser sous le titre de Premier jour de Mai un de ces chapitres bigarrés qui ont le masque d’une parodie ? En sui
32 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre II. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul » pp. 97-110
Chapitre  II. — De la poésie comique. Pensées d’un humorist
Donnons-nous la main, auteur et lecteurs, et dansons ensemble dans ce chapitre , aux sons du violon de Jean-Paul, le bal humorist
rechercher les expressions individuelles à l’adresse des sens139. Un chapitre long d’une coudée , a dit le divin Sterne, et ail
0. Une des gentillesses du genre humoristique est d’inventer pour les chapitres d’un livré, pour les paragraphes d’un chapitre, d
t d’inventer pour les chapitres d’un livré, pour les paragraphes d’un chapitre , des dénominations sans aucun rapport avec le suj
des dénominations sans aucun rapport avec le sujet traité. Ainsi les chapitres d’Hespérus, romande Jean-Paul, sont intitulés Pre
même la préface du Voyage sentimental de Sterne n’arrive qu’après le chapitre  vi. 150. Le sérieux se fait reconnaître comme
33 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Note qu’il faut lire avant le chapitre de l’amour. »
Note qu’il faut lire avant le chapitre de l’amour. De tous les chapitres de cet ouvrag
Note qu’il faut lire avant le chapitre de l’amour. De tous les chapitres de cet ouvrage, il n’en, est point sur lequel je
que celle-là ; car elle est celle où il entre le moins d’égoïsme. Ce chapitre , me dira-t-on, est d’une couleur trop sombre, la
tre manière de considérer l’amour ; j’ai recueilli, pour composer les chapitres précédents, ce que j’ai remarqué dans l’histoire
34 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre quatrième. Les conditions physiques des événements moraux — Chapitre II. Rapports des fonctions des centres nerveux et des événements moraux » pp. 317-336
Chapitre II. Rapports des fonctions des centres nerveux et
la traduction interlinéaire est l’événement physique, et l’ordre des chapitres est l’ordre des êtres. — Au commencement du livre
, à mesure que nous avançons dans le livre, ils le sont moins, et, de chapitre en chapitre, il s’y glisse quelques caractères no
ue nous avançons dans le livre, ils le sont moins, et, de chapitre en chapitre , il s’y glisse quelques caractères nouveaux qu’on
ux qu’on a peine à ramener aux premiers. À la fin, surtout au dernier chapitre , l’impression devient indéchiffrable ; cependant
out au rebours pour le texte original. Il est très lisible au dernier chapitre  ; à l’avant-dernier, l’encre pâlit ; aux précéden
udié longuement l’idiome original, et montré que les pages du dernier chapitre , écrites en apparence avec des caractères de dive
ons alors déchiffré plusieurs lignes demi-effacées de l’avant-dernier chapitre  ; puis d’après les traces vagues laissées sur les
loin, 2e partie, liv. II, ch. I et II. Voir aussi les deux admirables chapitres de Stuart Mill, Examination of Sir William Hamilt
35 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. James Mill — Chapitre II : Termes abstraits »
Chapitre II : Termes abstraits I « Quelques noms qu
i ont besoin d’une explication particulière », est le titre d’un long chapitre de l’Analyste consacré aux notions obscures et di
uvement, etc.41. « Sous ce titre modeste, dit M. John Stuart Mill, ce chapitre nous présente une série de discussions sur quelqu
la connotation, et nous avons ainsi l’abstrait : mouvement43. 41. Chap. xiv, p. 1 à 176, tome II. 42. La raison pour laq
il y a un rapport entre eux. Sur la connotation voy. Logique, liv. I, chap. ii. 43. M. John Stuart Mill fait remarquer que c
36 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre second. Philosophie. — Chapitre VI. Suite des Moralistes. »
Chapitre  VI. Suite des Moralistes. Il y avait un homme
u’en ouvrant les Pensées du philosophe chrétien, on tombe sur les six chapitres où il traite de la nature de l’homme. Les sentime
-Royal s’est-il élevé au-dessus des plus grands génies ? Dans ses six chapitres sur l’homme. Or, ces six chapitres, qui roulent e
plus grands génies ? Dans ses six chapitres sur l’homme. Or, ces six chapitres , qui roulent entièrement sur la chute originelle,
que Pascal voulait défendre la religion ; que La Bruyère faisait son chapitre des Esprits forts, et Massillon son sermon de la
37 (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Cours de littérature dramatique, par M. Saint-Marc Girardin. (2 vol.) Essais de littérature et de morale, par le même. (2 vol.) » pp. 7-19
nt De l’usage des passions dans le drame, se composent d’une suite de chapitres plus curieux et plus variés les uns que les autre
it bien mieux que nous ne le pourrions, s’il voulait ajouter ce petit chapitre à tous les siens. La critique chez les anciens, f
Remarquez que, dans ce moment, je ne fais qu’esquisser un tout petit chapitre , comme M. Saint-Marc Girardin le saurait bien mie
uts de la cuirasse d’autrui, voilà le sien. Il a des commencements de chapitres , parfaits de ton, de tenue, de sévérité, d’une ha
marque moderne en M. Saint-Marc Girardin. Il y a dans un seul de ses chapitres prodigieusement d’idées, de vues, d’observations,
ais il est répandu partout dans l’ensemble. Le titre seul de certains chapitres est déjà une épigramme ; ces chapitres, commencés
ble. Le titre seul de certains chapitres est déjà une épigramme ; ces chapitres , commencés avec gravité, finissent souvent en poi
38 (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre IV. Guerres civiles conflits d’idées et de passions (1562-1594) — Chapitre III. Montaigne »
Chapitre III Montaigne Un pacifique : Michel de Montaig
ivision en trois livres ? pourquoi chaque livre contient-il plusieurs chapitres  ? Pourquoi tel chapitre a-t-il une page, tel autr
pourquoi chaque livre contient-il plusieurs chapitres ? Pourquoi tel chapitre a-t-il une page, tel autre cinquante ? pourquoi d
apitre a-t-il une page, tel autre cinquante ? pourquoi des titres aux chapitres  ? Le titre se rapporte souvent à ce qu’il y a de
titre se rapporte souvent à ce qu’il y a de plus insignifiant dans un chapitre  : parfois, à rien du tout. Le fameux passage des
res sœurs, les plus belles que le soleil aye vu de ses yeux », est au chapitre des Cannibales : et les six ou sept pages les plu
se, s’accrochent, Dieu sait comme, à une citation de Lucrèce, dans un chapitre intitulé Sur des Vers de Virgile, tout juste au m
ps, et l’univers, et Dieu : l’Apologie de Raimond Sebond, cet immense chapitre de trois cents pages, est le recueil de toutes no
étale leur naturelle égalité, pour les convier à vivre en frères. Le chapitre de l’Institution des Enfants240 suffirait pour ma
Toussaint, 1669 ; Malebranche, Recherche de la vérité, l. II, p. III, chap.  V : Logique de Port-Royal, p. III, chap. XX ; Pas
de la vérité, l. II, p. III, chap. V : Logique de Port-Royal, p. III, chap.  XX ; Pascal, Pensées, passim. 230. Essais, III
39 (1889) Histoire de la littérature française. Tome III (16e éd.) « Chapitre douzième. »
Chapitre douzième. § Ier. La Bruyère, comparé à Pascal,
imparfait ne soit pas pire. Je ne me méprends pas sur le caractère du chapitre des Esprits forts, dont La Bruyère aurait voulu f
prits forts, dont La Bruyère aurait voulu faire comme la sanction des chapitres précédents. L’explication qu’il en donne est peut
ût, pieux et éclairés, dit-il100, n’ont-ils pas observé que, de seize chapitres qui composent le livre des Caractères, il y en a
eu ; qu’ainsi ils ne sont que des préparations au seizième et dernier chapitre , où l’athéisme est attaqué et peut-être confondu,
ssemblent beaucoup aux Maximes et aux Pensées. A peine, dans quelques chapitres , un ou deux de ces portraits, qui firent plus tar
e de moralités détachées, que rassemblait, sans les lier, le titre du chapitre . Le public, si digne alors des auteurs, et qui po
e mise en œuvre est admirable. Quoique le plan du livre le divise par chapitres dont chacun porte un titre distinct, La Bruyère n
. Avertissement.) 103. Elle consiste en seize divisions ou têtes de chapitres , qui comprennent à peu près toute la morale prati
bâtira successivement son édifice. 104. J’en ai fait la remarque au chapitre IX, § 4. 105. Mélanges de littérature. Notice s
40 (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « L’abbé Barthélemy. — II. (Fin.) » pp. 206-223
nondas, le plus parfait des héros anciens ; il se termine, au dernier chapitre , par un portrait du jeune Alexandre : le récit to
d’hommes célèbres peints avec assez de physionomie et de vérité, des chapitres tout à fait heureux dans le genre tempéré, tels q
lecture d’Anacharsis et traitant du gouvernement d’Athènes ; ce court chapitre , à la veille de la Révolution, en disait plus que
émistocle et des Périclès, Grimm (ou l’auteur, quel qu’il soit, de ce chapitre ) tirait hardiment cette conclusion : Il est donc
imat que j’habite, le printemps est comme l’aurore d’un beau jour… » ( Chap.  lxxvi.) — Mais, là même encore, on sent le thème
ne cite qu’une partie et que les curieux peuvent chercher en entier ( chap.  lix), est vague et assez commune dans ses images.
pas remarqué qu’il les loue en trois passages différents, au premier chapitre , à l’avant-dernier, et de plus au milieu et au cœ
tre, à l’avant-dernier, et de plus au milieu et au cœur de l’ouvrage ( chap.  lxi), distribuant de la sorte, avec intention, ce
41 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre cinquième. La Bible et Homère. — Chapitre II. Qu’il y a trois styles principaux dans l’Écriture. »
Chapitre  II. Qu’il y a trois styles principaux dans l’Écri
nous aurons occasion d’en traiter avec quelque étendue dans les deux chapitres suivants. Quant au second style général des saint
90. Voyez la note H à la fin du volume. 91. Les Nègres. 92. Job, chap.  iii, v. 3. Nous nous servons de la traduction de
au. 93. Job, v. 13. 94. Orais. fun. du chanc. Le Tellier. 95. Job, chap.  iii, v. 20. 96. Id., chap. xiv, v. 1. 97. Voy
is. fun. du chanc. Le Tellier. 95. Job, chap. iii, v. 20. 96. Id., chap.  xiv, v. 1. 97. Voyez la note I à la fin du volu
42 (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Lamennais — Lamennais, Paroles d'un croyant »
aine à travers les bois et le long des haies de La Chênaie. Un de ces chapitres ou plutôt une de ces proses composée, il rentrait
g d’Abel égorgé par Caïn, et votre mort comme celle des martyrs. » Au chapitre  vii, je recommande la parabole de l’homme qui tro
ès industriel, il n’aurait point passé sans fruit pour le monde.  Les chapitres  xii et xiii contiennent la parabole des sept homm
comme en offrent sans doute les rangs populaires.  À la suite de ces chapitres sombres, il en vient un qui les corrige, tout enc
nsée même ; la franchise du sentiment crée la beauté : ainsi, dans le chapitre de l’Exilé : « J’ai vu des jeunes hommes, poitrin
ie, mais pas un ne m’a serré la main : l’Exilé partout est seul. » Le chapitre de la mère et de la fille n’offre pas une seule c
43 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre second. Philosophie. — Chapitre premier. Astronomie et Mathématiques. »
Chapitre  premier. Astronomie et Mathématiques. Considér
un extrême danger pour la multitude. Locke emploie les trois premiers chapitres du quatrième livre de son Essai sur l’entendement
cclésiaste iii, v. 11. 143. Job, xxxvii, 11. 144. Essais, liv. ii, chap.  12. 145. Xénoph. Hist. Græc. Plut. Mor. Plat. in
ate. 147. Plut., De la face qui apparoist dedans le rond de la lune, chap.  9. On sait qu’il y a erreur dans le texte de Plut
67. 152. De Aug. scient. lib. v. 153. Locke, Entend hum., liv. iv, chap.  3, art. 4, trad. de Coste. 154. Lettres de 1638,
. Essai sur l’Origine des Connaissances humaines, tom. ii, sect. ii, chap.  iv, p. 239, édit. Amst. 1783. 159. Quest. sur l
44 (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Madame Récamier. » pp. 121-137
e tourbillon, avant la retraite. Il y aurait à son sujet une suite de chapitres à écrire et que je ne puis même esquisser. L’un d
e de chapitres à écrire et que je ne puis même esquisser. L’un de ces chapitres serait celui de ses relations et de son intimité
ps de galop ? » Et celui-ci de rire de la finesse allemande. Un autre chapitre traiterait de la conquête aisée que Mme Récamier
donna du premier jour à elle, sans même le lui dire jamais. Un autre chapitre offrirait ses relations moins simples, moins faci
and sortit du ministère, et à l’Abbaye-aux-Bois. Il y aurait aussi un chapitre à faire sur la liaison étroite avec Benjamin Cons
fâcheux procès entamé à ce sujet, et j’ai hâte de me taire. Avant le chapitre de Benjamin Constant, il y aurait encore à faire
ette vue dans le livre de M. Cousin sur Madame de Sablé, 1854, fin du chapitre  ier , p. 63 : « Elle avait, dit-il de Mme de Sabl
45 (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Livre IV : La philosophie — II. L’histoire de la philosophie au xixe  siècle — Chapitre I : Rapports de cette science avec l’histoire »
Chapitre I : Rapports de cette science avec l’histoire L
une partie de l’histoire, et non de la philosophie même ? Elle est un chapitre des sciences historiques, comme l’histoire littér
arrivé pour la science : elle s’est démembrée, elle s’est divisée en chapitres particuliers, qui sont devenus des sciences disti
que et de la guerre. Ainsi se sont développées, d’abord sous forme de chapitres , par exemple dans les écrits de Voltaire, puis co
nces, enfin des systèmes de philosophie. Ce qui n’était d’abord qu’un chapitre ou à peine un chapitre est devenu par son importa
s de philosophie. Ce qui n’était d’abord qu’un chapitre ou à peine un chapitre est devenu par son importance une science tout en
importance une science tout entière, et cette science elle-même a des chapitres qui sont presque des sciences, car l’infini est p
46 (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Nouveaux documents sur Montaigne, recueillis et publiés par M. le docteur Payen. (1850.) » pp. 76-96
celui-là seul estime les choses selon leur juste grandeur. (Livre I, chap.  xxv.) Ainsi Montaigne nous donne déjà une leçon,
alement à ceux du nôtre. Notre philosophe dit quelque part (livre II, chapitre  xvii) qu’il connaît bien assez d’hommes qui ont d
mment trouvée par M. Horace de Viel-Castel vient bien à l’appui de ce chapitre où Montaigne s’expose et se juge lui-même dans ce
rré son père ou son fils… ils ne s’alitent que pour mourir. » Tout ce chapitre est beau, touchant, approprié, se sentant à la fo
t à bon droit issu et formé. Il ne saurait y avoir au-dessus d’un tel chapitre , à titre de consolation dans les calamités publiq
chapitre, à titre de consolation dans les calamités publiques, qu’un chapitre de quelque autre livre non plus humain, mais véri
ue peut l’être une consolation humaine sans la prière. Il écrivait ce chapitre (xiie du livre III) au milieu même des maux publ
sujet ; il n’en est aucun qu’il n’égaie et qu’il ne féconde. Dans le chapitre « Des menteurs », par exemple, après s’être étend
47 (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « M. Jacques Demogeot » pp. 273-285
plaît, et cette chose, la voici. Vous l’apprécierez. Sans le dernier chapitre du livre de M. Demogeot, sans ce dernier chapitre
ez. Sans le dernier chapitre du livre de M. Demogeot, sans ce dernier chapitre qu’il aurait été si piquant d’oublier, nous ne sa
nt un gros volume in-8º de cinq cents pages, à l’exception du dernier chapitre , —  indiscret comme le post-scriptum de la lettre
C’est moi qui sais Guillot, berger de ce troupeau ! Jusqu’au dernier chapitre du volume, qui finit par avoir des fentes par où
ne de ces idées générales qui servent comme une transition entre deux chapitres . Non pas ! C’est bien l’idée commune et moderne «
48 (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Sénac de Meilhan. — I. » pp. 91-108
résolut de se mesurer corps à corps avec lui et de le réfuter sur le chapitre du luxe. Ce second ouvrage réussit beaucoup moins
s que Louis XV, avec ses trois cent soixante-six millions. Il y a des chapitres qui, pour la forme, sont dans le goût de Montesqu
tres qui, pour la forme, sont dans le goût de Montesquieu : ainsi, le chapitre XV sur la France : « Il est un peuple à qui sa vi
ns durables. Il a plus d’amour-propre que d’orgueil, etc. » Ainsi, le chapitre  xix, intitulé « De la richesse sans travail », et
au roi de France autant pour le moins qu’au roi d’Espagne. — Un autre chapitre , jeté dans le même moule, et à la Montesquieu, es
fertile n’attendît que les plus légers travaux, etc. » Les derniers chapitres du livre, ceux surtout qui ont été ajoutés dans l
ice, sur le tirage au sort de tous les citoyens. Le tout finit par le chapitre de rigueur sur la banqueroute, qui était à cette
49 (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Notes sur l’Ancien-Régime »
Notes sur l’Ancien-Régime Note 1livre premier, chapitre II, ISur le nombre des ecclésiastiques et des nob
lise de France, XII, 142) ; prélats, vicaires généraux, chanoines des chapitres , 2 800 ; chanoines des collégiales, 5 600 ; ecclé
une population de 38 millions d’habitants. Note 2. Livre premier, chapitre II, IV. Sur les droits féodaux et sur l’état d’un
sième vingtième, elles payent 1 216 livres. Note 3. Livre premier, chapitre III, III. Différence du revenu réel et du revenu
ment au chiffre ridicule de 15 000 livres. Note 4. Livre deuxième, chapitre I, VI. Sur l’éducation des princes et princesses.
des princes et princesses. Ce sujet pourrait à lui seul occuper un chapitre à part ; je citerai seulement quelques textes. (
nt l’être de vieux rentiers au Marais. » Note 5. Livre cinquième, chapitre II, III. Sur le chiffre de l’impôt direct. Les
50 (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Les Gaietés champêtres, par M. Jules Janin. » pp. 23-39
de fantaisie et de couleur. Toutes les fois que j’ai lu une page, un chapitre ou un livre de M. Janin, je me dis : Ce n’est pas
in. J’ai entendu citer avec éloge un portrait de Louis XV, qui est au chapitre  x du second volume. Il y a des traits sentis et b
songer, ou plutôt le livre se fait, bon gré mal gré, de lui-même. Les chapitres en sont divers, variés, bigarrés comme la vie lit
de ce temps-ci. Savez-vous de quelle façon j’entends la suite de ces chapitres dans l’œuvre de Janin ? Je commence par dire à l’
mettre, ce n’en est bien souvent qu’une moitié, un tiers. Là, le vrai chapitre commence, là il finit : le mérite de l’éditeur se
rait de marquer juste l’endroit. Combien j’en retrouve en idée de ces chapitres piquants, de ces petits chefs-d’œuvre sur tous le
inquième colonne, coupez-le au bas de la neuvième, et vous avez votre chapitre tout fait qui s’intitule : « Mademoiselle Déjazet
51 (1884) L’art de la mise en scène. Essai d’esthétique théâtrale
innombrables ainsi accumulées, à les répartir en un certain nombre de chapitres et à relier le tout au moyen des idées générales
à examiner ses théories qu’au point de vue particulier du théâtre. Chapitre premier Le succès n’est pas la mesure de la va
’à la consommation des temps, dans l’air immuable qui l’enveloppe. Chapitre II La valeur d’une pièce ne dépend pas de son
if d’une œuvre dramatique que l’on ajoute à sa valeur intrinsèque. Chapitre III De l’effet représentatif idéal dans un esp
la proportion où l’œuvre représentée s’approche de la perfection. Chapitre IV Rapports de la mise en scène avec la valeur
en scène est donc ainsi contraire aux progrès de l’art dramatique. Chapitre V Recherche d’un principe physiologique auquel
’intensité qui leur a permis de se manifester dans le même moment. Chapitre VI Dela fin que se proposent les beaux-arts. —
tention du spectateur en agitant un lambeau de pourpre à ses yeux. Chapitre VII Compétence littéraire nécessaire à un dire
ce de l’art dramatique et à la ruine de ceux qui leur succéderont. Chapitre VIII La mise en scène est conditionnée par le
t précisément tout le contraire, comme nous l’avons fait voir dans ce chapitre . Ce qui rend donc difficile la position d’un dire
pas tout ce qui, dans sa conduite, mériterait précisément l’éloge. Chapitre IX La mise en scène ne doit par pécher par déf
époque, des costumes, de l’attitude et du langage des personnages. Chapitre X De la perspective théâtrale. — Contradiction
amatique, qui doit se renfermer dans le lieu immédiat de l’action. Chapitre XI La décoration doit avoir une valeur général
sant qu’en sachant se décider une foule de sacrifices nécessaires. Chapitre XII La mise en scène est conditionnée par la l
cole, mais dépendent uniquement des lois mêmes de l’esprit humain. Chapitre XIII De la fin nécessaire des objets composant
Nous pouvons tirer quelques conclusions des idées exposées dans le chapitre précédent. Puisque le décor ne doit avoir qu’une
comme l’éclair et qui est l’épanouissement du plaisir esthétique. Chapitre XIV De la sensualité et de l’individualité dan
des circonstances atténuantes, soit des circonstances aggravantes. Chapitre XV Rapport de la mise eu scène avec le milieu
s, tantôt se lançant dans le luxe exagéré des décorations d’opéra. Chapitre XVI Des pièces où domine le sentiment. — Cas o
la mise en scène et la valeur intrinsèque d’une œuvre dramatique. Chapitre XVII Des pièces où domine la fantaisie. — Cara
composite. — Ma Camarade. — Les féeries. Nous examinerons, dans ce chapitre , les rapports de la mise en scène avec ce que nou
s les détails du matériel figuratif. Est-il besoin qu’en terminant ce chapitre j’aborde la mise en scène des féeries ? Je ne le
elle ne doit pas violer trop ouvertement les lois de la fantaisie. Chapitre XVIII Rapports de la mise en scène avec le mil
ue, comme la société, à croître en complexité et en hétérogénéité. Chapitre XIX Lois restrictives de la mise en scène. — D
r établi les lois générales de la mise en scène, nous avons, dans les chapitres précédents, examiné les causes diverses qui peuve
a première, la loi de proportion, que nous étudierons dans le présent chapitre  ; la seconde, la loi d’apparence, dont nous réser
tre ; la seconde, la loi d’apparence, dont nous réservons l’examen au chapitre suivant. Si nous regardons d’abord avec attention
t où le goût et la science de composition ont également leur part. Chapitre XX De la loi d’apparence. — De l’usage des lor
couvrir la caractéristique, souvent dans un but avoué d’imitation. Chapitre XXI Rapports de la mise en scène avec l’espace
les littératures étrangères. Si donc, pour en revenir à l’objet de ce chapitre , il s’agit de représenter un milieu éloigné du nô
à un autre ordre d’idées qui a besoin de quelques développements. Chapitre XXII Vanité de toute recherche archéologique.
s particulièrement de la mise en scène des personnages de théâtre. Chapitre XXIII De la représentation des œuvres classiqu
uence sur la destinée humaine et sur la marche de la civilisation. Chapitre XXIV De la mise en scène tragique. — Ce qu’ell
ine, telle qu’elle est réglée actuellement à la Comédie-Française. Chapitre XXV Étude de la mise en scène de Phèdre. — Le
nspirera l’examen des costumes nous conduira à la même conclusion. Chapitre XXVI Du costume tragique. — Accord du costume
es que les vases grecs donnent aux héros, aux Ajax et aux Diomède. Chapitre XXVII Rapport du costume avec la personnalité.
es dispositions scéniques, en les rattachant à une étude générale. Chapitre XXVIII Des salles de spectacle. — De la scène.
se dans un metteur en scène. Je reviens maintenant, avant de clore ce chapitre , à la mise en scène de Phèdre, qui me fournira l’
en scène qui depuis plusieurs années fait l’admiration du public. Chapitre XXIX De la figuration. — De son rôle actif. — 
echerche la vérité que dans l’humour et dans l’esprit du dialogue. Chapitre XXX Des actes et des tableaux. — Confusion fré
imagination poétique. J’ajouterai une remarque générale pour clore ce chapitre . Les directeurs ont le défaut de faire les entr’a
au nom de principes artistiques qui ne souffrent pas d’objections. Chapitre XXXI De l’imitation de la nature. — De la prés
inez à ses yeux avec l’idée qu’il s’est formée du fait représenté. Chapitre XXXII De l’acteur. — De la formation subjectiv
présentées sont artistiques et comme telles de plus grande valeur. Chapitre XXXIII De la composition d’un rôle. — Des tra
— Le Gendre de M. Poirier. — Mademoiselle de Belle-lsle. Dans les chapitres précédents, nous avons parlé du jeu de scène, en
dèles des traditions et forment ensuite les meilleurs professeurs. Chapitre XXXIV Aptitude à jouer certains rôles. — De la
es. Ainsi, si nous revenons aux exemples que nous avons cités dans le chapitre précédent, nous trouverons que les rôles d’Olivie
ières et jusqu’aux tics particuliers. C’est la vengeance de l’art. Chapitre XXXV Complexité de la mise en scène moderne.
uni ? C’est une grave question que nous examinerons dans les derniers chapitres de cet ouvrage. Nous entrons à peine dans la voie
ler au ciel, avec de l’ambroisie, s’en débarbouiller tout à fait ! Chapitre XXXVI Du rôle de la musique au théâtre. — La p
dramatique. — La musique devenue un personnage dramatique. Dans ce chapitre et le suivant je voudrais, au point de vue de l’e
ge qu’il nous faut éclaircir autant que possible par des exemples. Chapitre XXXVII De l’exécution musicale. — Des rapports
’elle possède d’éveiller, de propager et d’exalter les sentiments. Chapitre XXXVIII Décadence de l’art dramatique. — Des c
t une vie nouvelle par suite de cette transfusion de sang moderne. Chapitre XXXIX Rôle actuel de la mise en scène. — La lo
t d’ordre inférieur qui prend le pas sur un art d’ordre supérieur. Chapitre XL L’école naturaliste au théâtre. — La théori
arrivons ainsi, par un autre chemin, à la même conclusion que dans le chapitre précédent. Au théâtre, le poète, présent mais sil
e le ferai très brièvement, attendu que le lecteur, arrivé au dernier chapitre de cet ouvrage, a son jugement formé sur les poin
pourra éviter la double contradiction que nous lui signalons dans ce chapitre , l’école réaliste pourra agrandir l’étendue super
52 (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre II. L’Âge classique (1498-1801) — Chapitre premier. La Formation de l’Idéal classique (1498-1610) » pp. 40-106
Chapitre premier. La Formation de l’Idéal classique (1498-
atteinte [Cf. Estienne Pasquier, Recherches de la France, livre VII, chap.  8, 9 et 10], la solidité, la gravité, la dignité
mme et l’Écrivain. — Une page de Montaigne sur Amyot [Cf. Essais, II, chap.  iv]. — L’origine et la jeunesse d’Amyot ; — ses é
ec les endroits correspondants de Rabelais [dans son Pantagruel, III, chap.  xxviii, cf. Traité de la cessation des oracles] ;
lier la morale et la politique. — Sa théorie de l’Esclavage, livre I, chap.  v ; — son chapitre de la Monarchie, II, chap. ii 
t la politique. — Sa théorie de l’Esclavage, livre I, chap. v ; — son chapitre de la Monarchie, II, chap. ii ; — sa théorie des
e l’Esclavage, livre I, chap. v ; — son chapitre de la Monarchie, II, chap.  ii ; — sa théorie des Révolutions, IV, chap. iii 
tre de la Monarchie, II, chap. ii ; — sa théorie des Révolutions, IV, chap.  iii ; — sa théorie des Climats, V, chap. i. — Mél
théorie des Révolutions, IV, chap. iii ; — sa théorie des Climats, V, chap.  i. — Mélange en lui d’érudition et de crédulité.
. — Si l’on peut dire qu’il ait eu l’idée du Progrès [Cf. Sa Méthode, chap.  vii. Confutatio eorum qui aurea sæcula ponunt ; e
 vii. Confutatio eorum qui aurea sæcula ponunt ; et sa République, V, chap.  i] ; — De Bodin comme précurseur de Montesquieu.
on édition des Œuvres ; — Sainte-Beuve, Port-Royal, t. II, livre III, chap.  ii et iii ; — Vinet, Moralistes français du xvie
essive. — L’idée n’en doit pas remonter au-delà de 1572 [Cf. livre I, chap.  xx]. — L’édition de 1580 ; — et pourquoi de bous
ivre ; — et l’allure en a quelque chose de plus vif. — Comparaison du chapitre de l’Institution des enfants dans la première et
r les additions de l’édition de 1595. B. L’inspiration du livre. — Le chapitre  : Que philosopher c’est apprendre à mourir ; — et
losophie ; — un mot de Schopenhauer [Cf. Le Monde comme volonté, III, chap.  xli]. — C’est par là que Montaigne se distingue d
sans scrupule : Bodin [Cf. Sagesse, II, ch. 44] ; Montaigne [Cf. II, chap.  viii] ; et G. du Vair [Cf. III, chap. xxviii]. — 
I, ch. 44] ; Montaigne [Cf. II, chap. viii] ; et G. du Vair [Cf. III, chap.  xxviii]. — Signification de ces plagiats. — Charr
ois idées maîtresses dans la Sagesse : 1º bonté de la nature [Cf. II, chap.  iii] ; — et cependant ; 2º misère infinie de l’ho
omme [Cf. I, passim] ; — d’où 3º mépris souverain de la mort [Cf. II, chap.  ii]. — Liaison que Charron établit entre ces troi
saint François de Sales, 1665 ; — Sainte-Beuve : Port-Royal, livre I, chap.  ix et x et Causeries du lundi, t. VII ; — A. Sayo
, t. VII ; — A. Sayous : La Littérature française à l’étranger, t. I, chap.  i et ii, Paris, 1853 ; — Robiou : Essai sur la li
53 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Troisième partie. Disposition — Chapitre V. Subordination et proportion des parties. — Choix et succession des idées »
Chapitre V. Subordination et proportion des parties. — Cho
ières qui ont entre elles le plus d’affinité. Ces groupes forment les chapitres d’un livre, les paragraphes d’un chapitre ou d’un
é. Ces groupes forment les chapitres d’un livre, les paragraphes d’un chapitre ou d’une courte composition. On s’efforcera donc
xtrêmement. J’ai vu des volumes de 400 pages où il n’y avait point de chapitres , point même d’alinéas : ils pouvaient être excell
des lois est coupé en beaucoup de livres, chaque livre en beaucoup de chapitres , presque tous très courts ; chaque chapitre en pe
que livre en beaucoup de chapitres, presque tous très courts ; chaque chapitre en petits alinéas de quelques lignes. Les lecteur
54 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XVII. Forme définitive des idées de Jésus sur le Royaume de Dieu. »
Chapitre XVII. Forme définitive des idées de Jésus sur le
89. Apoc., XI, 2, 3 ; XII, 14. Comp. Daniel, VII, 25 ; XII, 7. 790. Chap. IV, v. 12 et 14. Comp. Cedrenus, p. 68 (Paris, 16
; Luc, XII, 54-56. 799. Jean, XXI, 22-23. 800. Jean, XXI, 22-23. Le chapitre XXI du quatrième évangile est une addition, comme
la clausule finale de la rédaction primitive, qui est au verset 31 du chapitre XX. Mais l’addition est presque contemporaine de
X, 9 ; Luc, XX, 27 et suiv. 803. Dan., XII, 2 et suiv. ; II Macch., chap.  VII, entier ; XII, 45-46 ; XIV, 46 ; Act., XXIII,
Esdras, IX, 22. 808. Matth., XXV, 32 et suiv. 809. Voir surtout les chapitres II, VI-VIII, X-XIII. 810. Ch. I, XLV-LII, LXII,
55 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Chapitre II. La relativité complète »
Chapitre II.La relativité complète De la réciprocité du
Larmor. (CL CUNNINGHAM, The Principle of Relativity, Cambridge, 1914, chap.  XV.) 9. Sur ce point, et sur la « réciprocité »
, nous avons appelé l’attention dans Matière et Mémoire, Paris, 1896, chap.  IV, et dans l’Introduction à la métaphysique (Rev
1903). 15. Matière et Mémoire, p. 225 et suiv. Cf. tout le premier chapitre . 16. L’Évolution créatrice, 1907, p. 12-13. Cf.
L’Évolution créatrice, 1907, p. 12-13. Cf. Matière et Mémoire, 1896, chap. 1 tout entier ; et chap. IV, p. 218 et suiv.
907, p. 12-13. Cf. Matière et Mémoire, 1896, chap. 1 tout entier ; et chap.  IV, p. 218 et suiv.
56 (1936) Réflexions sur la littérature « 1. Une thèse sur le symbolisme » pp. 7-17
légèreté que parmi les journaux, M. Barre s’en va dans les livres. Le chapitre sur les milieux symbolistes comprend trois divisi
ultivés comme Mallarmé, et des impulsifs comme Verlaine. Commencer un chapitre sur Verlaine par une étude sur « son esthétique,
bolisme, qui sont, d’après M. Barre, Verlaine, Mallarmé et Moréas. Le chapitre sur Verlaine est occupé en grande partie par des
ia et Rostand » ! Un tableau du symbolisme ne se comprend pas sans un chapitre étudié sur la question du vers, ou plutôt sur les
es. Toutes les observations de M. Barre sur ce sujet tiennent dans le chapitre consacré à M. Gustave Kahn. C’est insuffisant. Il
ments, aussi bien que le vers régulier (que M. Barre se reporte à son chapitre sur Gustave Kahn !) des successions de longues et
57 (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Salammbô par M. Gustave Flaubert. Suite et fin. » pp. 73-95
ute sa science ; comme il avait en perspective pour son avant-dernier chapitre la scène de famine indiquée par l’histoire, quand
bert met complètement de côté et considère comme non avenu le célèbre chapitre de Montesquieu dans l’Esprit des Lois : « Le plu
des hommes, et dont le Christ a débarrassé le monde, il a réussi. Ce chapitre de M. Flaubert est d’avance un repoussoir tout tr
peine qu’il s’est donnée pour le faire, il nous la rend. La suite des chapitres auxquels il s’est successivement appliqué exprime
res bribes d’érudition, n’a-t-il pas commencé par se pénétrer du beau chapitre de Montesquieu sur le Parallèle de Carthage et de
sidérations, nous représente de plus anciens que lui. Il y a dans ces chapitres des vieux auteurs un fonds de bon sens général et
re, les mœurs. L’écrivain pittoresque aurait même pu, dans un ou deux chapitres , nous livrer à l’état de rêve ou d’idéal rétrospe
58 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre quatrième. Du Merveilleux, ou de la Poésie dans ses rapports avec les êtres surnaturels. — Chapitre IX. Application des principes établis dans les chapitres précédents. Caractère de Satan. »
Chapitre  IX. Application des principes établis dans les ch
Chapitre IX. Application des principes établis dans les chapitres précédents. Caractère de Satan. Des préceptes
aux exemples. En reprenant ce que nous avons dit, dans les précédents chapitres , nous commencerons par le caractère attribué aux
59 (1886) Quelques écrivains français. Flaubert, Zola, Hugo, Goncourt, Huysmans, etc. « Victor Hugo » pp. 106-155
a la contexture de la plupart des pièces de vers et de la plupart des chapitres de M. Victor Hugo. En de longs développements ret
ns avec les halliers ; et dans les Travailleurs de la Mer le sinistre chapitre sur la Jacressarde, maison déserte au haut d’une
es ressources infinies de ce style jamais las, la magnifique série de chapitres où se trouve décrite la tempête funeste à l’ourgu
elle des chouettes. De pareils redoublements de phrases renflent les chapitres sur le palais muet, obscur et splendide que trave
d’argent, dont les membres se profilent écartelés sur tout un énorme chapitre . Enfin toute la bizarre construction des œuvres d
fiant, qui tout à coup, dans les œuvres en prose, laissent entre deux chapitres , un vide nébuleux. Une autre catégorie d’œuvres
ontradictoires ne sauraient altérer la valeur de cette induction. Les chapitres réalistes des Misérables, ne nous sont pas inconn
les diverses une seule pensée, de sorte que fort souvent dans tout un chapitre et tout un poème, peu d’idées distinctes sont émi
nature des choses. Les faits que nous avons exposés dans le deuxième chapitre de notre étude justifient cette pétition de princ
rie, et la confirment. Est-il maintenant son habitude de désigner les chapitres de ses livres, ses poèmes et ses recueils par les
60 (1875) Premiers lundis. Tome III « M. Troplong : De la chute de la République romaine »
nvier 1856. La Revue contemporaine publie sous ce titre une suite de chapitres tirés d’un ouvrage que M. Troplong a composé sur
u moins effacés des anciennes histoires. M. Troplong, dans un premier chapitre publié il y a déjà quelques mois (31 août 1855),
itié pour la gloire ! » et il a exécuté durant une suite éloquente de chapitres ce programme, il a mis en vigueur cette impitoyab
ons et les impulsions, sans vouloir la fin. Il s’agit dans un dernier chapitre de juger le meurtre de César et d’en apprécier la
tant mérité, et contenir la colère à la simple réprobation. Ce second chapitre fait faire en quelque sorte volte face au premier
61 (1782) Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur la vie et les écrits de Sénèque pour servir d’introduction à la lecture de ce philosophe (1778-1782) « Essai, sur les règnes, de Claude et de Néron. Livre second » pp. 200-409
’ordre ; pour s’en convaincre, il suffirait de suivre les énoncés des chapitres d’un de ses traités les plus étendus, celui de la
Anciens. Parmi le grand nombre de jugements divers qu’il prononce au chapitre des livres, il n’y en a pas un où l’on ne reconna
les fols surpassent de tant les sages en nombre. ( Essais, liv. III, chap.  xi.) Je donnerais volontiers la meilleure de mes
tout à fait le caractère de l’ancien temps, et le tour homérique. Au chapitre XVIII, dans l’endroit où il arrête un des ancêtre
plaindre, si la raison avait besoin du secours des vices… » (Livre I, chap.  x.) C’est que les passions ne sont pas des vices 
ar goût ou par passion qu’il est magistrat. Quoi, Sénèque ! (Livre I, chap.  XII.) « Le sage n’entrera pas en colère, si l’on
me je te battrais, si je n’étais pas en colère ! « Il est (livre I, chap.  XIV) impossible que l’homme de bien n’entre pas e
n soldat pour être retourné du fourrage ; sans son camarade (livre I, chap.  XVI). Ce soldat présentait sa gorge au glaive, lo
par la loi, et l’infraction de la loi qui proscrit l’action. Dans le chapitre où Sénèque examine cette pensée, Qu’on me haïsse,
e craigne ! A ce prix, je ne voudrais pas même être aimé. » (Livre I, chap.  XVI.) Parmi les idées de Sénèque, je me plais enc
ssant d’Heraclite, qui pleurait sur la folie de ses frères (livre II, chap.  x). Je ne crois pas qu’il y eût d’homme moins dis
nde. Pères, et vous, instituteurs de la jeunesse, lisez et relisez le chapitre XXI du même livre. Sénèque emploie souvent des mo
eur, c’est une folie ; avec votre inférieur, c’est une lâcheté. » Le chapitre XXX est très-beau. Il dit, chapitre XXXI : « Tous
férieur, c’est une lâcheté. » Le chapitre XXX est très-beau. Il dit, chapitre XXXI : « Tous les hommes portent au fond de leurs
uliers qu’il nous a conservés ! Tel est celui du courtisan (livré II, chap.  XXXIII) à qui l’on demandait comment il était par
XLIX. C’est, je crois, dans le traité de la Colère (livre III, chap. XXXVI) qu’il parle du soliloque, la pratique habi
est qu’à un tigre qu’on dit : Ne soyez point un tigre.On trouvera, au chapitre XXIV, des traits qui justifieront ma pensée. Au r
ppellerai au discours qu’il a mis dans la bouche de Néron, au premier chapitre de ce traité ; et je demanderai s’il y a quelques
fils, Corneille doit à Sénèque celle d’Auguste et de Cinna (Voyez le chapitre IX du premier livre). Quelle étrange révolution l
u maître de l’univers sur Régulus et sur Caton. « 0 Jupiter (livre I, chap.  II) s’écrie-t-il, voici deux athlètes dignes de t
rs piquantes en les variant selon le caractère de ses amants (liv. I, chap.  XIV). « Placez vos bienfaits avec choix : le manq
t ; j’obéis à mon cœur. » Rien de plus délicat et de plus vrai que le chapitre VI, sur la question : Si l’ingratitude peut être
sée ? Voici comment il s’exprime sur Alexandre : « Alexandre (liv. I, chap.  XIII) ne fut, dès sa jeunesse, qu’un brigand, un
doute les reproches qu’on lui ferait lorsqu’il écrivait295 (liv. II, chap.  XVIII)  : « Il ne m’est pas toujours possible de
s transportèrent le long des torrents de la lave enflammée (liv. III, chap.  XXXVII) qui découlait des flancs de l’Etna et qui
ar, qui lui rappelait trop souvent ce bienfait. Je te dirai (liv. II, chap.  XI)  : « Rends-moi à César ; jusques à quand me r
ue répond à cette question en introduisant un soldat vétéran (liv. V, chap.  XXIV), accusé d’avoir exercé des violences contre
n mauvais voisin ? Et voilà ce que peut l’éloquence ! LXIII. Le chapitre III du VIe livre est très-ferme, très-beau, et j
sagères, qui, par ellesmêmes, n’en ont aucune. J’indiquerais bien les chapitres XXXII, XXXIII et XXXIV du même livre aux souverai
il arrive que nous sommes tous corrompus. Sénèque remarque (liv. VI, chap.  XXXII) « que c’est le caractère des rois de regre
irius met un très-beau mot dans la bouche d’Antoine mourant (liv. VI, chap.  III)  : Je n’ai plus que ce que j’ai donné. Et po
en y trouve souvent son éloge. Dans ce traité des Bienfaits, à chaque chapitre , on croit que tout est dit, et cependant il n’en
Julius lui répond : « Je vous rends grâces, prince très-excellent » ( Chapitre XIV.) Il jouait aux échecs lorsque le centurion a
tant si court de la mort, si mon âme apercevra sa sortie du corps… » ( Chap. XIV.) On n’a jamais philosophé si longtemps. Depu
l’examen de la volupté d’Épicure ; et voici comment il s’en explique ( chap.  XIII)  : « Pour moi, dit-il, je pense, et j’ose l
la philosophie en général. Combien j’ai été satisfait, en lisant les chapitres XVII et XVIII, d’y trouver les mêmes impertinence
nos sages : « Vous parlez d’une façon, et vous vivez d’une autre. » ( Chap. XVIII.) « Ames perverses, sachez que les Platon,
ises, actions. » « Nous ne nous sommes rien prescrit aussi fortement ( chap. XXVI) que de ne pas régler notre conduite sur vos
s le stoïcien Sénèque, et la manière dont il se défendait. « Si donc ( chap. XVII, XVIII, XIX, XX et XXI) un de ces détracteur
lui fût survenu une plus grande fortune, il ne l’aurait pas rejetée ( chap. XXI). Où le sort peut-il mieux placer la richesse
dire à leurs détracteurs ce que le sage de Sénèque disait aux siens ( chap. XXIV)  : « Ne vous permettez pas de juger ceux qu
n d’autres ce que j’approuve en moi. » Fort bien, répliquera Sénèque ( chap. III)  : « mais le temps que tu t’es laissé ravir
celle que tu sacrifierais volontiers, est tout ! LXXX. Sénèque ( chap. I) prétend qu’Aristote intenta à la nature un pro
èque vient d’adresser à Aristote, que de ce qu’il va dire à Paulinus ( chap. XVIII, XIX). « Songez à combien d’inquiétudes vou
t la plus urgente et la plus utile… « On ne manquera pas, dites-vous ( chap. XVIII), de gens d’une exacte probité, d’une stric
doigt de la justice mettra sur son tombeau. LXXXIII. Turannius ( chap. XX) a abdiqué les places où il servait utilement
ssertions lui paraîtraient absurdes ou paradoxales. Je n’ai pas lu le chapitre III sans rougir : c’est mon histoire316. Heureux
, je suis révolté du mot de Stilpon319, et du commentaire de Sénèque ( chap. VI, et Epist. IX). « Je me suis échappé à travers
philosophe sur l’affront, l’injure et la vengeance, je regrettais le chapitre qu’il eût ajouté à son ouvrage s’il eût vécu chez
imposer ; aussi n’avons-nous qu’un fragment qui commence au vingtième chapitre . Et qu’est-ce que ce fragment ? Un centon d’idées
bien fait pour le juger indigne de Sénèque. XC. Dès le premier chapitre , on sent l’ironie. Polybe y est placé à côté des
n pourrait en tirer contre le poëte seraient bien hasardées 1. 1. Ce chapitre n’existait pas dans la première édition. Les
à un malade un remède empoisonné. A présent on peut voir, livre III, chapitre XXVII, la description du déluge. Avec quels grand
Voyez la note, p. 227 ci-dessus. 268. MONTAIGNE, Essais, liv. III, chap.  xv. Ce passage n’est pas exactement cité. (Br.)
97. Voyez la note de Naigeon dans l’édition du Sénèque de La Grange, chap.  I, note 3, t. V, p. 5. 298. « Sénèque dit aussi
que rembarras du choix à cette époque. Toute la dernière partie de ce chapitre , à partir de : « Le sexe… » page 329, n’était pas
l’hôpital qui porté son nom, rue de Sèvres, à Paris. (Br.) — Tout ce chapitre LXXXI n’était pas dans la première édition. 314.
efait par Naigeon). Paris, 1790. On doit aussi à d’Holbach le dernier chapitre du Militaire philosophe, ou Difficultés sur la re
62 (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre neuvième »
Chapitre neuvième Suite de l’histoire des gains de la p
époque ? Ce que Voltaire s’est demandé à lui-même, avant d’écrire son chapitre  : Comment la France s’en tirera-t-elle ? Comment
t, va-t-elle se relever sur ses bases, et quelles sont ces bases ? Le chapitre répond à ces questions. Tout ce que le lecteur vo
la machine. La même intelligence des besoins du lecteur a inspiré le chapitre des Anecdotes et particularités et le chapitre de
u lecteur a inspiré le chapitre des Anecdotes et particularités et le chapitre des Lettres et arts. Comme beaucoup d’écrits de V
il faudrait en faire honneur au christianisme, ôte toute autorité aux chapitres sur les affaires ecclésiastiques et les querelles
oraire de passions et de contradictions éternelles. En arrivant à ces chapitres , d’ailleurs si piquants, son parti était pris. « 
ienne. 89. Épitre à l’abbé Servien. 90. Défense du Mondain. 91. Chap. VI. Suite des anecdotes. 92. Lettres, 133. 93.
63 (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre III. Les tempéraments et les idées — Chapitre III. Montesquieu »
Chapitre III Montesquieu 1. Les Lettres persanes. Peint
n évolution historique. Montesquieu n’a pas, comme on dit, détaché un chapitre de son grand ouvrage pour en donner communication
esquieu n’a été plus érudit, plus ingénieux, plus profond que dans ce chapitre VI, où il nous explique le jeu de la politique ex
inu. Cela se reconnaît dans la médiocre composition de son livre. Les chapitres y sont des cadres artificiels, des formes, où il
fondre dans le grand ouvrage, et y former, ici un alinéa, ailleurs un chapitre . Montesquieu a utilisé pour son Esprit des Lois t
es dont l’ordre ne s’impose pas, dans chaque livre cette abondance de chapitres , dont quelques-uns n’ont qu’un alinéa, et dans ch
ce de chapitres, dont quelques-uns n’ont qu’un alinéa, et dans chaque chapitre , cet égrènement des idées en alinéas, dont beauco
64 (1888) La critique scientifique « La critique scientifique — Analyse psychologique »
psychologique I Théorie de l’analyse psychologique. — Dans le chapitre précédent, nous avons considéré l’œuvre d’art dan
céder le pas, basée, comme elle l’est, et comme nous la montrerons au chapitre suivant, sur des lois incertaines et présomptives
ères, ceux-là mêmes que nous avons appris à dégager dans le précédent chapitre . Il écrira, il peindra, il composera, comme le lu
compose parfaitement ses phrases et ses paragraphes, médiocrement ses chapitres , et mal ses livres, il sera nécessaire d’admettre
docteur Doumic. (NdE)] dans son Traité des maladies mentales exprime ( chap. II) une opinion analogue, que M. Ch. Féré (La fam
(ibid., p. 171). (NdE)]. (NdA) 12. C. Maudsley : Physiology of mind, chap.  I. (NdA) cw. Théodule Ribot (1839-1916), philoso
65 (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre II. Marche progressive de l’esprit humain » pp. 41-66
Chapitre  II. Marche progressive de l’esprit humain L’es
rer notre attention. Ne sortons point de ce qui fait la matière de ce chapitre  ; et, après les considérations générales auxquell
e lire dans le fond des choses : ils ne sont que précurseurs. Dans le chapitre où sera développée la théorie de la parole, nous
tation de toutes les idées : mais on ne peut pas tout épuiser dans un chapitre . Dans ce soin de la Providence à choisir des peup
enir sur cette affligeante peinture. Je n’ai fait qu’indiquer dans ce chapitre la marche progressive de l’esprit humain : ce ser
s de la liberté de l’homme. Ainsi les aperçus qui font le sujet de ce chapitre trouveront, dispersés çà et là, leurs compléments
66 (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) «  Œuvres et correspondance inédites de M. de Tocqueville — I » pp. 93-106
duire quelques-unes des formes, telles que la fréquence, la coupe des chapitres , leur intitulé, etc., Montesquieu est un philosop
e de littérature libre et générale se fait sentir dans cette suite de chapitres coupés, où il se pose plus de questions encore qu
de la petitesse ridicule de l’homme. » Le fragment d’histoire, — deux chapitres qui ont pour objet d’analyser l’esprit public sur
érente et qu’il leur a reconnue ou parfois peut-être prêtée. Ici, les chapitres sont fort justes, et le caractère de profondeur q
Le style s’y anime et se rehausse de figures ; on croirait lire deux chapitres de considérations de Montesquieu s’appliquant à n
67 (1870) Portraits contemporains. Tome IV (4e éd.) « HISTOIRE DE LA ROYAUTÉ considérée DANS SES ORIGINES JUSQU’AU XIe SIÈCLE PAR M. LE COMTE A. DE SAINT-PRIEST. 1842. » pp. 1-30
oir ce que pense, par exemple, l’historien de la Civilisation sur les chapitres parallèles qui traitent de la transformation roma
nes de Septime, de Caracalla, d’Héliogabale et d’Alexandre Sévère. Ce chapitre est un des plus piquants de l’ouvrage et des plus
nt le jour d’apposer le sceau et l’onction à une royauté nouvelle. Le chapitre du livre III, dans lequel l’auteur expose la tran
can en a gardé aussi des allures. M. de Saint-Priest, dans les divers chapitres qu’il a consacrés à cette Rome papale, l’a compri
que la tradition a fait de lui. J’ai souvent pensé qu’il y aurait un chapitre à écrire : De ceux qui ont une mauvaise réputatio
5. sOn peut voir, sur cet édit et sur les circonstances précises, le chap. i liv. X de l’Histoire de la Destruction du Pagan
e en Occident, par M. Arthur Beugnot, et aussi la note qui termine le chap.  I, liv. X. 6. sLongus, d’Amyot.
68 (1892) Journal des Goncourt. Tome VI (1878-1884) « Année 1881 » pp. 132-169
, comment tout à coup dans le livre que je suis en train de faire, un chapitre , qui n’est pas arrivé à son tour d’exécution, pre
Hérédia, Charpentier, et les jeunes de Médan. J’ai un étonnement. Les chapitres documentés de l’humanité la plus saisie sur le vi
la plus saisie sur le vif, n’ont pas l’air de porter. En revanche les chapitres que je méprise un peu, les chapitres de pure imag
l’air de porter. En revanche les chapitres que je méprise un peu, les chapitres de pure imagination, empoignent le petit public.
i de romancier du temps présent et des choses contemporaines. Hier le chapitre que j’ai écrit, me fait entrevoir un duel à la ca
de travail, et où je me dis : « Allons, il faut encore m’arracher un chapitre de la cervelle », j’ai le sentiment douloureux, q
Quelquefois, en jetant, ma plume — et ici je la jette à la fin d’un chapitre où j’ai cherché à rendre le brisement de mon être
69 (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Charron — I » pp. 236-253
ns point quitter nos désirs, etc. Charron De la sagesse (liv. I, chap.  26). « Les désirs et cupidités s’échauffent et re
le père Buffier, qui, dans son Cours de sciences, a consacré tout un chapitre au livre de Charron, a dit : « Il n’est guère d’o
rt dans Montaigne, et de l’autre dans Charron : Montaigne Liv. I, chap.  Ier. Certes, c’est un sujet merveilleusement vain
uniforme. Voilà Pompeius qui pardonna, etc., etc. Charron Liv. I, chap.  5. L’homme est un sujet merveilleusement divers e
e « De la présomption ». On lit encore  : Dans Montaigne Liv. II, chap.  12. La plus calamiteuse et fragile de toutes les
la lune, et ramenant le ciel sous ses pieds… Dans Charron Liv. I, chap.  7. … L’homme croit que le ciel, les étoiles, tout
70 (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Le Mystère du Siège d’Orléans ou Jeanne d’Arc, et à ce propos de l’ancien théâtre français »
développement. Nous demandons, par conséquent, à faire ici un ou deux chapitres d’un cours de littérature. Si nous l’osions, si l
onsidérable, à profiter et à s’aider d’un savant travail récent, d’un chapitre substantiel et complet de M. Édélestand du Méril6
et en personnages. Et tout d’abord la lecture commence par le premier chapitre de la Bible : In principio creavit Deus cœlum et
héologie et d’Histoire littéraire (Paris, librairie Franck, 1862). Ce chapitre sur la tragédie commence par le résumé le plus ex
et les écrivains oubliés (Paris, libraires Didier, 1862), le premier chapitre sur les origines du drame en France. M. V. Fourne
se, par M. Félix Clément (1 vol. in-8°, librairie Le Clore, 1860), le chapitre deuxième de la première partie, qui traite des dr
71 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 404
li. On est étonné des termes qu’il emploie jusque dans l’argument des Chapitres de son Ouvrage ; en voici un qui peut donner une
eur. Un tel début détournera tout Lecteur honnête de lire le reste du Chapitre , supposé que cet Ouvrage oublié tombe entre ses m
72 (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Sur le Louis XVI de M. Amédée Renée » pp. 339-344
uis XVI ne sut jamais prendre un parti. M. Renée, dans un intéressant chapitre , a tracé avec une parfaite justesse le portrait d
aires dans ce premier rang qu’il occupait. Je recommande dans ce même chapitre (le chapitre iv) les portraits de la reine et des
premier rang qu’il occupait. Je recommande dans ce même chapitre (le chapitre  iv) les portraits de la reine et des princes de l
73 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Troisième partie. Disposition — Chapitre VIII. Utilité de l’étude du plan et de la composition des ouvrages qu’on lit »
Chapitre VIII. Utilité de l’étude du plan et de la composi
ement. Les ouvrages qui ont de ces tables bien faites, ou dont chaque chapitre est précédé d’un sommaire détaillé, comme sont be
74 (1899) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Septième série « « L’amour » selon Michelet » pp. 47-66
tre part, il la croit beaucoup moins responsable que l’homme. Dans le chapitre  : La Mouche et l’Araignée, cherchant comment elle
est ce que les roses, notamment, lui conseilleront toujours (Voyez le chapitre  : Une rose pour directeur). Il faut dire que, dan
quoi qu’elle ait fait. » Je pressens que, si j’étais femme, tous ces chapitres  : la Mouche, Tentation, Médication, me paraîtraie
axiome qu’« il n’y a point de vieille femme », et le développe en un chapitre dont le sommaire tout seul est déjà bien joli : «
ernière phrase et si vous en cherchez le commentaire dans le texte du chapitre , que le naturisme de Michelet n’est pas préciséme
75 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
Chapitre VI C’est ainsi que nous cherchons à relier, l’
selle du genre humain. Les plus savants se sont contentés d’écrire un chapitre ou deux de cet art changeant et varié à l’infini,
e capital joue, en se moquant, le rôle ingrat ! Eh bien ! comparez ce chapitre tout nouveau du mérite personnel, avec le même ch
! comparez ce chapitre tout nouveau du mérite personnel, avec le même chapitre des mœurs et des caractères de ce siècle ! Dans l
c le même chapitre des mœurs et des caractères de ce siècle ! Dans le chapitre de La Bruyère, il est parlé de la difficulté de s
Et ceci dit, il rentre dans son repos ! Si maintenant nous passons au chapitre inépuisable, au chapitre des femmes, nous trouver
ns son repos ! Si maintenant nous passons au chapitre inépuisable, au chapitre des femmes, nous trouverons des différences énorm
langue horrible du Père Duchêne et de Danton ! Hélas ! même le fameux chapitre des passions du cœur, il n’a pas moins changé que
fameux chapitre des passions du cœur, il n’a pas moins changé que le chapitre de La femme savante. On n’a entendu parler, de no
it un homme, et sa voix compte, et sa voix donne l’empire ! Que si le chapitre du cœur humain est à ce point soumis au changemen
oint soumis au changement, à l’aventure, que dirons-nous de cet autre chapitre  : La Mode ? Au temps de La Bruyère, la viande noi
e nous tentions d’écrire ici la vie entière de mademoiselle Mars ; un chapitre complet dans ce livre… et notre livre serait perd
chapitre complet dans ce livre… et notre livre serait perdu, tant ce chapitre au grand complet, serait la satire de tous les au
76 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » pp. 142-143
définit toutes les especes de Beau avec précision, avec justesse. Le chapitre qui regarde le Beau dans les Ouvrages d’esprit, e
; il semble y être l’interprete des Muses & de la Nature. Dans le chapitre qui concerne le Beau dans les Mœurs, la raison, l
77 (1899) Esthétique de la langue française « Esthétique de la langue française — Chapitre Premier »
Chapitre Premier Beauté physique des mots. — Origines d
on peut tenter de les rendre moins laids : cela sera l’objet d’un des chapitres que j’ai le dessein d’écrire. Pareillement, et av
nir compte du sens étymologique des mots. Voir plus loin, à la fin du chapitre II. NdA 6. Sur ce que le français doit au latin
78 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section II. Des sentiments qui sont l’intermédiaire entre les passions, et les ressources qu’on trouve en soi. — Chapitre premier. Explication du titre de la seconde section. »
Chapitre premier. Explication du titre de la seconde secti
donc sous ces différents rapports que j’ai classé le sujet des trois chapitres que l’on va lire, entre les passions asservissant
79 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre V » pp. 48-49
Chapitre V Conclusion des quatre chapitres précédents q
Chapitre V Conclusion des quatre chapitres précédents qui comprennent les deux périodes de 1
80 (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Campagnes d’Égypte et de Syrie, mémoires dictés par Napoléon. (2 vol. in-8º avec Atlas. — 1847.) » pp. 179-198
nseils de la nonchalance et des favoris n’étaient plus de saison. Le chapitre premier a pour titre « Malte », et traite de la p
hoses, il les embrasse toutes dans le lointain à la fois. Le deuxième chapitre offre une large et précise description de l’Égypt
canon, il n’y a qu’un moyen sûr, c’est d’être la foudre soi-même. Le chapitre le plus remarquable des deux volumes est assuréme
s’ensuivit. Je ne saurais dire combien me paraît intéressant tout ce chapitre par le jour qu’il jette sur le procédé politique
deux fois avant de livrer ainsi leurs motifs. On saisit à nu, dans ce chapitre , l’œuvre d’une vieille société en reconstruction
oins avancées que la nôtre. Bientôt il nous reviendra tout exercé. Le chapitre dont je parle est à lire immédiatement avant celu
81 (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « XVI »
arties de son livre, à coup sûr il eût commencé par l’un des derniers chapitres , celui qu’il intitule : « Comment on crée les ima
distrait de la forme, (démonstration qui constitue l’un des meilleurs chapitres de l’ouvrage), de même on ne saurait faire agir l
sion, au sens pur du mot. »‌ Voilà bien des railleries inutiles ! Le chapitre qui a si fort irrité ce jeune critique se réduit
82 (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Mélanges religieux, historiques, politiques et littéraires. par M. Louis Veuillot. » pp. 44-63
ns de sensibilité, je ne voyais, lors d’une nouvelle visite à Genève ( chapitre Du Mariage et de Chamounix), la même répétition d
second volume, une Confession littéraire, et dans Rome et Lorette, un chapitre ou discoursdu Travail littéraire, dans lesquels M
de tant de jugements fermes, sagaces, bien frappés : tel est dans ce chapitre le jugement sur Hugo et sur Musset, en six lignes
la Guerre et l’Homme de guerre (1855), et qui lui inspirera de beaux chapitres , Bugeaud et Saint-Arnaud. Son roman de l’Honnête
de ce roman, où le sermon prendra trop tôt sa revanche, que de jolis chapitres pourtant, gais et fins, bien enlevés et dignes d’
83 (1936) Réflexions sur la littérature « 6. Cristallisations » pp. 60-71
ophe professionnel, nous avons instinctivement l’image d’une série de chapitres non seulement sur Maine De Biran (qui a, celui-là
voudrait au moins doublé pour qu’il répondît à son titre. Le premier chapitre , Stendhal et l’idéologie nous renseigne exactemen
roix en a retenu ses idées sur l’amour qui font l’objet de son second chapitre , et ses idées sur l’art, qui font l’objet du troi
nique de cristallisation pathologique ; on tirerait des deux premiers chapitres de l’Essai sur les données immédiates de la consc
rs sur l’amour ; ici, c’est l’amour même que l’artiste dans ces trois chapitres sur le sommeil dans l’amour, la solitude de l’amo
84 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre premier. Beaux-arts. — Chapitre V. Sculpture. »
Chapitre  V. Sculpture. À quelques différences près, qui
rces palpables et glacées, ressemble trop à la vérité. 139. I. Cor., chap.  xv, v. 55.
85 (1913) Le bovarysme « Deuxième partie : Le Bovarysme de la vérité — I »
I Tous les chapitres précédents ont été rassemblés sous le jour d’une
logie. Mais les conclusions auxquelles ont abouti les derniers de ces chapitres sont de nature à faire douter de la validité de c
86 (1869) Cours familier de littérature. XXVIII « CLXIIIe entretien. Chateaubriand, (suite) »
calamités politiques. XXXIV Je ne veux en citer qu’un mémorable chapitre , chapitre complet ; car il fait pleurer autant qu
politiques. XXXIV Je ne veux en citer qu’un mémorable chapitre, chapitre complet ; car il fait pleurer autant que penser.
’a délayé plus de larmes dans plus de couleurs : AUX INFORTUNÉS « Ce chapitre n’est pas écrit pour tous les lecteurs : plusieur
e la prospérité qui répétait les deux vers qu’on voit à la tête de ce chapitre . C’était un monarque, le malheureux Richard II, q
res l’oublient. « Enfin, vient une grande question sur le sujet de ce chapitre  : Que faut-il faire pour soulager ses chagrins ?
, mais de la réalité. « Je m’imagine que les malheureux qui lisent ce chapitre le parcourent avec cette avidité inquiète que j’a
87 (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « L’ancien Régime et la Révolution »
eur, ni la force active, a consacré, nous dit-il, un an et plus à tel chapitre assez court de son ouvrage. Le silence ne lui a d
idée, la master-piece de son livre, est résumée dans l’avant-dernier chapitre , et voilà surtout (nous dit-il dans le chapitre s
dans l’avant-dernier chapitre, et voilà surtout (nous dit-il dans le chapitre suivant) d’où la Révolution est sortie, d’elle-mê
suivant) d’où la Révolution est sortie, d’elle-même ! Il y a bien un chapitre spécial, mais vague comme l’est d’ordinaire la pe
88 (1895) Les œuvres et les hommes. Journalistes et polémistes, chroniqueurs et pamphlétaires. XV « Auguste Vacquerie » pp. 73-89
Grimaces sont de la critique, — au moins d’intention. La plupart des chapitres furent des feuilletons, auxquels on ne prendrait
e, puisqu’il les publie après correction et côte-à-côte avec d’autres chapitres qui sont datés de 1855 et même de 1856. L’auteur,
nt, il a voulu aussi réverbérer ses théories. À cela près de quelques chapitres consacrés à la zoocratie la plus profonde et à la
r un exemple de cette surprise… agréable, et nous le trouvons dans le chapitre intitulé : Le Style-Pensée. « Le style — écrit Va
89 (1907) L’évolution créatrice « Introduction »
liquer. Le plan en était tracé par le sujet lui-même. Dans un premier chapitre , nous essayons au progrès évolutif les deux vêtem
vue de l’entendement, nous tâchons de reconstituer, dans notre second chapitre , les grandes lignes d’évolution que la vie a parc
genre que nous tentons, — bien incomplètement, — dans notre troisième chapitre . Une quatrième et dernière partie est destinée à
90 (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « Charles Nodier »
n cœur souffrant, suivi des Méditations du Cloître, 1803. Le dernier Chapitre de mon Roman, 1803. Essais d’un jeune Barde, 180
le Suicide et les Pèlerins, qui n’est qu’une mise en vers du dernier chapitre en prose de d’Olban. Comme talent d’écrire (bien
le, en ce temps même du Peintre de Saltzbourg, il écrivait le dernier Chapitre de mon Roman, réminiscence très-égayée d’une géné
bien dit, Faublas pour Télémaque. J’aime peu à tous égards ce dernier Chapitre , si spirituel qu’il soit ; il rappelle trop son m
, puisqu’on ne trouvera nulle part à le lire173. Mais dans ce dernier Chapitre , la mélancolie était raillée, et il y était fait
l’explosion et rétablisse de temps en temps l’équilibre : le dernier Chapitre de mon Roman prouverait qu’ici, dès l’origine, ce
de Nodier ; et il s’étend même assez souvent avec complaisance sur ce chapitre des qualités naturelles, pour qu’on y puisse voir
rtrait qu’en trace Nodier dans les Prisons de Paris sous le Consulat, chap.  I, et la note VIII du Dernier Banquet des Girondi
173. Paris, 1812, Didot l’aîné : tiré à très peu d’exemplaires. 174. Chap. IV. 175. Chap. V. 176. Aimé De Loy, poëte fran
, Didot l’aîné : tiré à très peu d’exemplaires. 174. Chap. IV. 175. Chap. V. 176. Aimé De Loy, poëte franc-comtois des pl
91 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Bain — Chapitre V : Rapports du physique et du moral. »
Chapitre V : Rapports du physique et du moral. I Ou
ne peut tenter de résoudre. Il est bon cependant de lire l’excellent chapitre que M. Bain consacre aux bases physiques de la mé
e ici dans ses ingénieuses déductions. Nous renvoyons le lecteur à ce chapitre . Il verra que pour l’auteur « les actions les plu
92 (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. RODOLPHE TÖPFFER » pp. 211-255
re deux bouquins, non sans de fréquentes distractions à la vitre. Les chapitres sur la flânerie qui ouvrent la Bibliothèque de mo
nous retrouverons littéralement, à dose plus ménagée, dans plus d’un chapitre de ses ouvrages ; j’ai essayé de déguster en souv
de ses théories un peu fausses, mais si bien dites. Je trouve, en un chapitre de ses opuscules, Ronsard en titre, et très-bien
ductions, sœurs des siennes, la Bibliothèque de mon Oncle, le premier chapitre du Presbytère, il dut voir avec bonheur combien e
ir sans regret la jeunesse en arrière et en avant le déclin115… » Le chapitre qui suit, sur le pinceau, a beaucoup de piquant ;
d’expression ; il y a là-dessus une suite d’instructifs et délicieux chapitres , où la pensée et le technique se balancent et s’a
l’honnête animal, son ami, calomnié par cet autre ami La Fontaine. Ce chapitre de réhabilitation est victorieux et restera dans
pffer sur un point. Indépendamment des articles d’art et des piquants chapitres sur le lavis, il en a fourni plusieurs autres à l
Dieu. 115. IIe livre du Traité du lavis à l’encre de Chine. 116. Chap.  viii du IIIe livre du Traité. 117. Quelques-uns
93 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre X : De la succession géologique des êtres organisés »
Chapitre X : De la succession géologique des êtres organis
mes régions, pendant la dernière période tertiaire. — X. Résumé de ce chapitre et du précédent. I. De l’apparition lente et su
es ou inorganiques, ainsi que nous l’avons déjà fait observer dans un chapitre précédent141. Lorsqu’un grand nombre des habitant
es plus anciennes jusqu’à nos jours142. Nous avons vu dans le dernier chapitre que parfois les espèces d’un même groupe semblent
omplexe, je dois prier le lecteur de revenir à la figure du quatrième chapitre . Nous pouvons supposer que les lettres numérotées
ns successives, ainsi que j’ai essayé de le démontrer dans le dernier chapitre , nous ne saurions nous attendre à trouver dans un
omparé à celui des formes vivantes. — Nous avons vu dans le quatrième chapitre que le degré de différenciation et de spécialisat
’accorde parfaitement avec la théorie de sélection naturelle. Dans un chapitre , j’essayerai de montrer que l’adulte diffère de s
pèces doivent avoir laissé des descendants modifiés. X. Résumé de ce chapitre et du précédent. — J’ai essayé de montrer que nos
94 (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « La Réforme sociale en France déduite de l’observation comparée des peuples européens. par M. Le Play, conseiller d’État. (Suite et fin.) »
ne connaissance exacte des sociétés et des peuples. Dans une suite de chapitres ou de livres traitant de la religion, de la propr
je l’ai défini et appelé tout d’abord, après avoir lu de lui quelques chapitres  : « un Bonald rajeuni, progressif et scientifique
si dense ; j’en ai seulement indiqué l’esprit. Il faudrait le prendre chapitre par chapitre et entrer en discussion avec l’auteu
en ai seulement indiqué l’esprit. Il faudrait le prendre chapitre par chapitre et entrer en discussion avec l’auteur. Sur deux o
me dont ils étaient imbus et pénétrés. (Voir notamment, au tome 1, le chapitre VI.) 34. L’idée de M. Le Play est allée au cœur
95 (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Philarète Chasles » pp. 111-136
ni les qualités nettes et absolues d’une histoire. Excepté dans deux chapitres dont je vais parler tout à l’heure, Chasles n’y g
e lui-même se morfondrait à la raconter. VIII J’ai dit que deux chapitres (deux seulement) se détachaient en œuvre volontai
tique sur ce fond de livre trop énamouré d’Angleterre, et ce sont les chapitres sur Bacon et sur Macaulay. Bacon y est raconté à
moins, pourtant, quand il se rencontra avec un autre absolu dans son chapitre sur Macaulay. Il y trouva Jacques II (Histoire de
conséquemment la grandeur de l’autre. Moins critique ici que dans son chapitre sur Bacon, Chasles fut emporté, j’imagine, par l’
96 (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Gabriel Naudé »
ce, non de robe, mais d’esprit ; et, se rendant justice à lui-même au chapitre  1er de ses Coups d’État, il a pu dire : « … Car
dans la vérité secrète et entre sages, sub rosa, comme il dit229. Le chapitre VII, dans lequel il commente à sa guise le consei
chir, on a peine à ne pas tirer l’austère résultat. Naudé, au premier chapitre de son livre, soutient, en s’appuyant de l’autori
, il le rédige et l’écrit238. Son apologie de la Saint-Barthélemy (au chap.  III) est trop connue et résume le reste. Si, dans
dauderie des Français ; dans ses Coups d’État, s’il nous en souvient ( chap. iv), il avait peint la populace en traits énergiq
éternité que Dieu seul s’est réservée. »  — Et dans les Coups d’État ( chap. IV) il avait dit : « Il ne faut donc pas croupir
230. Il réitère et développe cette pensée avec une rare énergie au chapitre IV de ses Coups d’État  : « … Ses plus belles par
il entendait par là fort épuré des idées ordinaires. 231. Apologie, chap.  VIII. 232. « Les eaux de Sainte-Reine ne font po
nt de ton en revenant sur ce sujet favori des révolutions d’idées, au chapitre VI de son Addition à l’Histoire de Louis XI. Ayan
’est là une belle page et digne de Montaigne. (Voir aussi le début du chapitre IV des Coups d’État.) 236. Parmi les ruses les p
us persuasif homme qui fût de son temps… etc. » (Naudé, Coups d’État, chap.  IV.) 240. Voir, dans les lettres latines de Naud
97 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 451-455
logiste de la S. Barthelemi, auroit dû citer l’Ouvrage, l’édition, le chapitre , la page, les expressions de M. l’Abbé de Caveira
ic. Ce Poëte, si jaloux de la vérité, a consacré dans ses Mélanges un chapitre pour réfuter les Mensonges imprimés, & n’a pa
98 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre premier. Beaux-arts. — Chapitre IV. Des Sujets de Tableaux. »
Chapitre  IV. Des Sujets de Tableaux. Vérités fondamenta
de Pallio) sur ce sujet. 131. Paus., liv. v. 132. Plin., liv. xxxv, chap.  viii, ix. 133. Plut., in Hipp. Pomp. Lucul., etc
99 (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « XVIII »
ces et qui se prêtent à des interprétations si diverses. Que certains chapitres de mes ouvrages soient exagérés ; qu’il y ait de
l serait inutile plus encore que je ne le crois que tel et tel de ses chapitres garderaient leur intérêt de documentation et d’ex
100 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre IV : Sélection naturelle »
Chapitre IV : Sélection naturelle I. Sélection naturell
e. — Nous venons d’examiner, beaucoup trop superficiellement, dans le chapitre précédent, la loi de concurrence vitale. Il s’agi
pour son œuvre de perfectionnement. Nous avons établi dans le premier chapitre qu’un changement dans les conditions de vie, en a
op étranger. Mais nous aurons à revenir sur ce sujet dans un prochain chapitre . On pourrait faire une objection à cette règle :
qui l’habitent soit très petit, ainsi que nous le verrons dans notre chapitre sur la distribution géographique, cependant un gr
quelques faits au sujet desquels nous reviendrons du reste dans notre chapitre sur la distribution géographique. Par exemple, no
examinerons la question d’extinction avec plus de détails dans notre chapitre sur la Géologie ; mais il faut que nous l’abordio
lifères qui forment la croûte du globe. Quand nous arriverons à notre chapitre sur la géologie, nous aurons, du reste, à revenir
e dans un avenir très éloigné. J’aurai à revenir sur ce sujet dans le chapitre où je traiterai de la classification. J’ajouterai
’est une question que nous examinerons plus convenablement dans notre chapitre sur la Succession géologique des êtres organisés.
elle les explique en général, comme nous le verrons dans les derniers chapitres de ce livre. Un botaniste distingué, M. H. C. Wat
férentes stations, on en devra décider d’après la teneur générale des chapitres qui vont suivre ; et la valeur des preuves ou des
t la divergence des caractères, ainsi que nous l’avons montré dans le chapitre précédent. On a quelquefois représenté les affini
p. 20. 70. Manuel of the Flora of the Northern United-States. 71. Chap. II, p. 66. 62. Nous faisons remarquer ici que l
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