tre successifs. — Antécédent et conséquent. — Fréquence de ce dernier
cas
. — L’antécédent prend alors le nom de cause. III.
iverselle des théorèmes mathématiques. — Nous ne pouvons concevoir un
cas
où ces propositions soient fausses. — Les plus gé
reuve expérimentale et inductive. — Preuve déductive et analytique. —
Cas
des grandeurs artificielles ou collections d’unit
ctions sont égales quand elles contiennent le même nombre d’unités. —
Cas
des grandeurs naturelles ou collections d’unités
’un indice préalable et une confirmation ultérieure. — Son utilité. —
Cas
où cet indice et cette confirmation manquent. — A
remier, tantôt c’est chacun d’eux qui entraîne l’autre. Dans tous ces
cas
, les deux caractères forment un couple, et ce cou
généraux, c’est-à-dire communs à un nombre indéfini d’individus ou de
cas
; que toutes ces données sont des caractères abst
sortes. — Tantôt les deux caractères liés sont simultanés. Alors deux
cas
se présentent. — Ou bien le premier caractère ent
lles, il a des vertèbres, mais la réciproque n’est pas vraie. Dans ce
cas
, l’attache qui joint les deux caractères est unil
court ainsi que des instincts carnivores, et réciproquement. Dans ce
cas
, l’attache qui joint les deux caractères est bila
la cause du second, et le second l’effet du premier. Alors aussi deux
cas
se présentent. — Ou bien le premier caractère pro
plication de deux forces divergentes dont l’une est continue. Dans ce
cas
, l’attache des deux caractères est bilatérale ou
préalable un corps extérieur ou un milieu ambiant ait vibré. Dans ce
cas
, qui — est le plus fréquent, l’attache des deux c
tant un extrait, ne se rencontre et ne peut se rencontrer que dans un
cas
ou individu particulier, c’est-à-dire dans une co
u’à en associer deux pour faire une proposition générale, et c’est le
cas
lorsqu’un objet qui évoque en lui un nom éveille
érience prolongée nous conduit aux secondes. Car, en appliquant à des
cas
nouveaux le jugement primitif, nous le trouvons i
de caractères abstraits associés dans la nature ; désormais, à chaque
cas
nouveau que nous observons, notre proposition reç
nes par exemple, ont fini par croire qu’il en est ainsi dans tous les
cas
, que telle est la constitution des choses, que to
ns que dépend le caractère connu, sauf à vérifier ensuite dans chaque
cas
notre succès ou notre défaite par la conformité o
avec lui ou après lui le second ; peu importe le lieu, le moment, le
cas
, le sujet ; l’influence du premier terme s’exerce
; on doit donc les éliminer. — Or telles sont les différences de deux
cas
qui tous les deux présentent le caractère, car le
entent le caractère, car les particularités par lesquelles le premier
cas
diffère du second manquent dans le second, et les
fférences. Cette élimination faite, reste la portion commune aux deux
cas
: c’est donc dans cette portion commune que se tr
ommée par Mill méthode des concordances. Nous rassemblons beaucoup de
cas
qui présentent le caractère connu, et nous les ch
n de son94. Pour trouver son antécédent, nous recueillons beaucoup de
cas
où une oreille saine perçoit un son, le son produ
hoque légèrement, etc. Après un long examen, on découvre que tous ces
cas
si différents s’accordent, autant qu’on en peut j
lle est la première méthode ; par elle, on exclut les différences des
cas
considérés, ce qui met à part leurs ressemblances
leurs ressemblances. Elle a pour préalable le recueil de beaucoup de
cas
où le caractère connu soit donné. Elle adopte com
pour auxiliaire une dissemblance aussi grande que possible entre les
cas
. Elle a pour but le dégagement de leurs concordan
ill méthode des différences. Soit un caractère connu, et prenons deux
cas
, le premier où il soit donné, le second où il ne
ns l’amas de particularités où elle est incluse. Choisissons nos deux
cas
aussi semblables qu’il se pourra. Puisque le cara
ant, elle ne peut être une des particularités par lesquelles les deux
cas
se ressemblent ; elle est donc forcément une des
lle est donc forcément une des particularités par lesquelles les deux
cas
diffèrent. Ainsi, retranchons tous leurs caractèr
. Mais ce reliquat est très petit, puisque nous avons choisi nos deux
cas
aussi semblables que possible. Donc, s’il consist
ucoup de caractères et les plus importants de tous sont dans les deux
cas
exactement semblables. Nous les éliminons, et nou
é. — D’autre part, étant donnée la sensation de son, choisissons deux
cas
, l’un où elle se produise, l’autre où elle ne se
t, s’il se peut, par un seul. À cet effet, répétons deux fois le même
cas
en y introduisant ou supprimant la seconde fois u
ajoutée ou retranchée, étant la seule différence qui sépare les deux
cas
, sera la condition cherchée. Par exemple, étant d
e double circonstance est donc la seule particularité par laquelle le
cas
où le son est présent diffère du cas où le son ma
le particularité par laquelle le cas où le son est présent diffère du
cas
où le son manque ; d’où il suit qu’elle est l’ant
le est la seconde méthode ; par elle, on exclut les ressemblances des
cas
considérés, ce qui pose à part leurs différences.
pose à part leurs différences. Elle a pour préalable le choix de deux
cas
distingués, l’un par la présence, l’autre par l’a
ur auxiliaire une ressemblance la plus grande possible entre les deux
cas
. Elle a pour but le dégagement des différences. E
ement correspondantes aux variations du caractère connu. En plusieurs
cas
, et notamment dans ceux où nous ne pouvons suivre
un pendule qui oscille toujours, ni par conséquent trouver un second
cas
où le caractère connu soit absent. À ce cas impra
séquent trouver un second cas où le caractère connu soit absent. À ce
cas
impraticable du ralentissement nul, nous substitu
ce cas impraticable du ralentissement nul, nous substituons plusieurs
cas
praticables de ralentissement moindre. Nous dimin
où il serait nul. Autant que nous pouvons en juger, entre le premier
cas
où le pendule cesse d’osciller après quelques min
s où le pendule cesse d’osciller après quelques minutes et les autres
cas
où il continue son oscillation pendant un temps d
en plus long, il n’y a qu’une différence : c’est que, dans le premier
cas
, les obstacles sont plus grands, et que, dans les
t ne diminue que du quart ou d’une fraction inférieure ; ce serait le
cas
si le ralentissement avait deux causes, l’une qui
stances, c’est-à-dire à la résistance des corps environnants. Dans ce
cas
, la suppression totale des obstacles ne ferait qu
n a son équivalent. Grâce à cet équivalent, on sait maintenant que le
cas
dans lequel le mouvement se ralentit et le cas da
sait maintenant que le cas dans lequel le mouvement se ralentit et le
cas
dans lequel il ne se ralentit pas ne différent qu
que par un caractère, à savoir, la résistance opposée dans le premier
cas
par des obstacles ; d’où il suit que cette résist
re cherché est toujours noyé dans une foule d’autres, on assemble des
cas
qui, par leur diversité, autorisent l’esprit à ex
faite, il ne reste devant nous que la condition cherchée. Il y a des
cas
où ces procédés éliminateurs sont impuissants, et
e. — Or, cette difficulté si grave se rencontre dans presque tous les
cas
du mouvement, car presque tout mouvement est l’ef
sont toutes décomposantes et éliminatives, ne peuvent servir pour un
cas
qui, par nature, se refuse à toute élimination et
pposé suffit pour le faire naître, et on pourra supposer que, dans le
cas
en question, ce double antécédent existe en fait.
e sera tout à fait certaine lorsqu’on pourra démontrer, ce qui est le
cas
pour le mouvement des planètes, que nulle autre c
rès un long froid arrive un dégel tiède et humide. Comparant tous ces
cas
, nous trouvons qu’ils contiennent tous le phénomè
ouvons qu’ils contiennent tous le phénomène en question. Or, tous ces
cas
s’accordent en un point, à savoir que l’objet qui
st plus froid que l’air qui le touche. Cela arrive-t-il aussi dans le
cas
de la rosée nocturne ? Est-ce un fait que l’objet
ssante : nous devons varier les circonstances ; nous devons noter les
cas
où la rosée manque, car une des conditions nécess
saires pour appliquer la méthode de différence, c’est de comparer des
cas
où le phénomène se rencontre avec d’autres où il
lis, tandis qu’elle se dépose très abondamment sur le verre. Voilà un
cas
où l’effet se produit et un autre où il ne se pro
a seule méthode possible, celle des variations concomitantes. Dans le
cas
des métaux polis et du verre poli, le contraste m
ude pendant que leur surface extérieure est très froide. « Ainsi, les
cas
très variés dans lesquels beaucoup de rosée se dé
t qu’elle ne peut lui être restituée par le dedans. Au contraire, les
cas
très variés dans lesquels la rosée manque ou est
uctive a l’avantage de rendre compte des exceptions, c’est-à-dire des
cas
où, le corps étant plus froid que l’air, il ne se
froidissant la surface de n’importe quel corps, atteindre en tous les
cas
une température à laquelle la rosée commence à se
s capables de vérifier le résultat, même sur cette grande échelle. Le
cas
est un de ces cas rares où la nature fait l’expér
fier le résultat, même sur cette grande échelle. Le cas est un de ces
cas
rares où la nature fait l’expérience pour nous, d
tant que la retraite des nuages refroidira la surface. Ainsi, dans ce
cas
, la nature ayant produit un changement dans l’ant
g, car il suppose le recueil, le choix et la comparaison de plusieurs
cas
. En outre, d’ordinaire, plus la loi ainsi découve
ment probables, mais certaines au-delà de notre petit monde ; en tout
cas
, nous croyons qu’il en est ainsi, et, de plus, no
a surface, ni la surface sans la ligne ; ce qui donne à la surface un
cas
de plus qu’au solide et à la ligne un cas de plus
e qui donne à la surface un cas de plus qu’au solide et à la ligne un
cas
de plus qu’à la surface. Or chacun sait que, pour
es côtés des angles. Qu’il prenne un fort microscope ; en bien peu de
cas
il trouvera ces conditions remplies, et il doit s
le microscope était plus fort, il ne les trouverait remplies en aucun
cas
. Partant, tout ce qu’il peut affirmer, c’est que,
ve que dans chaque vase il reste quatre litres d’eau. — Chacun de ces
cas
est une expérience. Un enfant en fait de semblabl
ond, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’une des deux soit épuisée. Deux
cas
se présentent. — Ou bien les deux collections son
unités est différent dans le premier et dans le second groupe ; en ce
cas
, on dit que les deux grandeurs sont inégales. Iné
’on lui en ajoute le même nombre qu’à la première, que, dans les deux
cas
, le même nombre est ajouté au même nombre, et que
ui en ôte le même nombre qu’à la première, en sorte que dans les deux
cas
le même nombre est diminué du même nombre, et que
en ayant soin dans ce transport de ne rien changer à la seconde. Deux
cas
se présentent, comme tout à l’heure. — Ou bien la
n emplacement distinct, que l’autre complémentaire, que dans les deux
cas
, abstraction faite des emplacements distincts, la
tinct, est la même que l’autre portion retranchée, que, dans les deux
cas
, abstraction faite des emplacements distincts, la
es dont la figure ne se prête pas à la superposition », ce qui est le
cas
pour la ligne droite rapportée aux autres lignes,
i la démontre plus courte qu’aucune ligne brisée, puis en étendant le
cas
de la ligne brisée à la ligne courbe, qui est sa
tes plus ou moins inclinées sur AB. Visiblement enfin, entre tous ces
cas
, il en est un où le point A, en remontant, n’incl
re, les autres doivent de même tracer des perpendiculaires ; qu’en ce
cas
la droite ascendante qui, dans sa première positi
s au-dessous de 2, et que peut-être notre perpendiculaire est dans ce
cas
. — Il faut donc employer une analyse plus délicat
’imagination n’est qu’un indice, mais de plus cet indice, en certains
cas
, peut manquer ; tout à l’heure, ni avec l’œil ext
i d’accord avec lui. Même elle a été si bien conduite, et en certains
cas
, comme celui du pendule de Borda, elle se trouve
ouvement initial ou primitif ; continuera-t-il à se mouvoir et, en ce
cas
, quel sera son mouvement ? — Si courte qu’ait été
gue et plus simple encore s’applique au corps en repos ; car, dans ce
cas
, on n’a point à tenir compte de l’espace, mais se
pposé. Reste à savoir quelle ligne il a tracée dans ce parcours. Deux
cas
peuvent se présenter, celui du mouvement uniforme
ervations, il suffirait qu’elle fût très petite. Tel est peut-être le
cas
; il n’y aurait alors qu’une ressemblance approxi
ropositions sont les seules qui s’appliquent non seulement à tous les
cas
observés, mais à tous les cas, sans exception pos
i s’appliquent non seulement à tous les cas observés, mais à tous les
cas
, sans exception possible ; d’où il suit que de le
eut-être sont-elles disjointes au-delà de notre petit monde ; en tout
cas
, nous n’avons aucun droit d’affirmer qu’elles son
t il suffit que l’expérience intervienne ; en effet, dans beaucoup de
cas
, en astronomie, en optique, en acoustique, elle c
pouvait pratiquer sur elles les éliminations convenables. En tous ces
cas
, les propositions nécessaires s’appliquent, et le
ne quatrième, qu’il nomme méthode des résidus. Elle n’est qu’un autre
cas
de la méthode de différence et n’a que peu d’empl
au moins dans l’humanité ; on ne peut à volonté, si ce n’est dans des
cas
très rares et avec quelques périls, jouer avec l’
éphale et de ses enveloppes ne sont en général observées que dans les
cas
de complication ; — 3° que toutes les lésions obs
t point perdu l’usage de la raison ; — 4° que dans un grand nombre de
cas
, le cerveau des aliénés ne présente aucune altéra
on visible et palpable du cerveau. Le premier nous dit que, sur vingt
cas
de manie aiguë observés par lui, il en a trouvé d
la manie chronique, il a fait la même observation pour la moitié des
cas
. Quant à M. Leuret, on peut lire dans son ouvrage
les altérations des organes cérébraux ne se rencontrent que dans les
cas
où la folie est compliquée de troubles dans les m
vements et dans la sensibilité, mais qu’on ne les trouve pas dans les
cas
de folie simple, c’est-à-dire de trouble intellec
e dans le doute jusqu’à ce que la vérité me soit démontrée. Et si les
cas
où le cerveau me paraît sain sont précisément ceu
ptômes physiques, un délire de l’intelligence et des passions, si les
cas
où le cerveau est altéré sont ceux où il y a eu p
èce de folie ? Nullement, ou du moins on ne l’a fait que pour un seul
cas
, le cas de la paralysie générale compliquée de fo
olie ? Nullement, ou du moins on ne l’a fait que pour un seul cas, le
cas
de la paralysie générale compliquée de folie, et
ons cérébrales ; mais M. Leuret fait observer avec raison que dans ce
cas
, la folie étant compliquée d’une maladie évidemme
une maladie évidemment organique, on n’en peut rien conclure pour les
cas
où la folie existe seule sans complications. Je v
pose que l’on ait trouvé une lésion organique constante dans tous les
cas
de folie, ou des lésions spéciales corrélatives a
s beaucoup plus solides que les précédents. Il nous dit que, dans des
cas
nombreux et incontestables, des causes purement p
de la suppression d’une éruption cutanée, etc. En dehors même de ces
cas
de folie, nous voyons que la lièvre produit le dé
itifs, à ceux qui le sont moins ? Nous sommes sûrs que, dans certains
cas
, la folie dérive d’une cause physique et se lie à
de l’organisation : pourquoi n’en serait-il pas de même dans tous les
cas
? Cela peut être, sans aucun doute ; mais cela es
la est-il ? Voilà la question. On ne peut contester qu’il n’y ait des
cas
où le désordre intellectuel a sa cause dans quelq
oici, en effet, les résultats donnés par l’observation. Dans certains
cas
, on voit la faculté du langage articulé, ou entiè
ue médecin ayant sa dénomination. L’aphasie proprement dite paraît un
cas
assez rare, si l’on en juge par les faits exposés
it : « Coucici », et, quand on l’irritait : « Saccon. » Tels sont les
cas
d’aphasie simple, extrêmement rares, comme nous l
asie simple, extrêmement rares, comme nous l’avons dit. Dans d’autres
cas
, le malade perd la faculté d’écrire et de lire av
certainement un des plus curieux que l’on puisse voir. Dans d’autres
cas
, on voit la faculté d’écrire perdue, ou du moins
t disposer ses arguments, sans pouvoir prononcer un seul mot. Dans ce
cas
, le langage mental était conservé sans aucun dout
ra bontif pour bonjour, ventif pour vendredi. On peut rapprocher des
cas
précédents ce que l’on appelle la substitution de
s important dans l’histoire de l’aphasie, c’est que, dans beaucoup de
cas
, l’impuissance de s’exprimer est beaucoup plutôt
evenu incapable de comprendre un seul mot de ce qu’il disait. Dans ce
cas
, la mécanique mnémonique était restée saine sur u
Trousseau, on voit que l’intelligence était très-atteinte. Quant aux
cas
contraires cités par M. Bouillaud, ils nous ont p
rsonne qui a perdu le moyen de s’exprimer. On a vu d’ailleurs que les
cas
d’aphasie simple sont très-peu nombreux, et que l
deux faits pour établir cette doctrine64. Encore, dans l’un des deux
cas
cités65, M. Broca nous dit-il qu’on a trouvé le l
lésion primitive dans l’une plutôt que dans l’autre ? Dans le second
cas
, à la vérité, la lésion était bien restreinte au
u fussent complètement détruits. Réciproquement, M. Vulpian cite deux
cas
d’aphasie sans lésion des lobes antérieurs, et il
présomptions heureuses sont ici beaucoup plus nombreuses que dans les
cas
précédents. D’après l’analyse de la question fait
grande précision et une grande impartialité, il se trouve que sur 165
cas
d’aphasiques, il y en a 155 où l’aphasie est acco
ébrale à gauche). Au contraire, l’hémiplégie gauche n’a donné que dix
cas
d’aphasiques. On peut donc dire que la doctrine d
au moins que le microscope peut aider à s’en assurer. Dans le premier
cas
, les deux éléments sexuels qui concourent à forme
e des causes de la stérilité également constatée dans l’un et l’autre
cas
, elle a été négligée probablement parce qu’on pré
lle, mais il tranche quelquefois le nœud de la question ; car, en dix
cas
différents, où il a trouvé à l’expérience que les
compter soigneusement les graines provenant de ces croisements. En ce
cas
, il compare toujours le nombre maximum des graine
; comme enfin, il est arrivé aux mêmes résultats en plusieurs autres
cas
analogues, il me semble de même permis de douter
en augmentant. Or, je sais, d’après ma propre expérience, que dans le
cas
d’une fécondation artificielle, il arrive aussi s
roduisit une plante, « ce que je n’ai jamais vu, ajoute-t-il, dans le
cas
d’une fécondation naturelle. » De sorte que nous
les individus de presque toutes les espèces d’Hippéastrum sont en ce
cas
. On a constaté que ces plantes donnaient des grai
de ces deux organes était impuissant à remplir ses fonctions dans le
cas
d’une fécondation naturelle de chaque fleur par e
t des massifs considérables des mêmes hybrides qui, seulement dans ce
cas
, se trouvent recevoir un traitement convenable. P
irement aux avis incessamment répétés des maîtres éleveurs. En pareil
cas
, il n’est donc en aucune façon surprenant que la
inévitablement en quelques générations. Quoique je ne connaisse aucun
cas
bien authentique d’animaux hybrides parfaitement
qu’ils doivent être considérés comme des espèces distinctes. En tout
cas
, si l’on suppose à la plupart de nos animaux dome
lus ou moins parfaite, et même, ainsi que nous l’avons vu en certains
cas
anormaux, une fécondité supérieure à celle que le
n de l’une des deux espèces pures. Mais quelquefois on voit en pareil
cas
se produire une première trace de fécondité : c’e
hybrides, une fois produits, sont très féconds. On voit même les deux
cas
opposés se présenter dans un seul et même genre :
ment réciproque entre deux espèces, il faut entendre, par exemple, le
cas
où, d’une part, un étalon est croisé avec une âne
ter des caractères intermédiaires entre leurs parents, comme c’est le
cas
le plus général, ressemblent toujours beaucoup pl
très ressemblants à l’une des deux espèces pures ; et, comme dans le
cas
précédent, ils sont presque toujours absolument s
ur sève, dans l’époque où elle afflue, etc., mais en une multitude de
cas
, au contraire, il nous est impossible d’assigner
eurs organes reproducteurs. Ces différences, en l’un comme en l’autre
cas
, semblent jusqu’à un certain point en corrélation
des premiers croisements et des hybrides qui en proviennent. Ces deux
cas
présentent des différences fondamentales ; car, a
ité physique à ce que l’élément mâle atteigne l’ovule : tel serait le
cas
où une plante aurait un pistil trop long pour que
nt à produire le développement de l’embryon : tel semble avoir été le
cas
dans quelques-unes des expériences de Thuret sur
es chez lesquels les organes sexuels sont plus ou moins atrophiés, le
cas
est tout différent. J’ai plus d’une fois fait all
le des hybrides, il y a de nombreuses analogies. Dans l’un et l’autre
cas
, la stérilité est indépendante de la santé généra
taille ou d’une grande luxuriance de végétation. Dans l’un et l’autre
cas
, la stérilité est plus ou moins complète, et l’él
quelquefois cependant, c’est l’élément femelle. Dans l’un et l’autre
cas
, la tendance à la stérilité semble jusqu’à certai
appé de stérilité d’une manière parfaitement semblable. Dans l’un des
cas
, les conditions de vie ont été troublées, bien qu
également de deux causes à quelques égards analogues : dans l’un des
cas
, ce sont les conditions de vie qui ont été troubl
il ne se manifeste une certaine tendance à la stérilité dans quelques
cas
que je vais essayer de résumer brièvement. On adm
oisées sont empruntées à des témoins hostiles, qui en tous les autres
cas
considèrent la fécondité ou la stérilité d’un cro
uf espèces de Molènes (Verbascum), par Gærtner. Ce naturaliste, en ce
cas
témoin aussi hostile que soigneux observateur, a
uvé qu’une variété du Tabac commun est plus féconde que les autres en
cas
de croisement avec une espèce très distincte. Il
variétés supposées qui se trouveraient le moins du monde stériles en
cas
de croisement seraient aussitôt considérées comme
rès inégale. Elle n’est pas non plus égale ni même constante dans les
cas
de premiers croisements et chez les hybrides qui
it état, dépende de circonstances très diverses, et peut-être, en des
cas
fréquents, de la mort hâtive de l’embryon. Quant
en dépit de l’ignorance profonde où nous sommes, en presque tous les
cas
, des causes précises de la stérilité chez les êtr
mage est plus ou moins énergique et précise. — Exemples personnels. —
Cas
des enfants que l’on habitue à calculer de tête,
nts que l’on habitue à calculer de tête, — Mathématiciens précoces. —
Cas
des joueurs d’échecs qui jouent les yeux fermés.
és. Peintres qui peuvent faire de mémoire un portrait ou une copie. —
Cas
d, es écoles de dessin où l’on exerce cette facul
nstances qui augmentent la précision et l’énergie de l’image. — En ce
cas
, elle ressemble de plus en plus à la sensation. —
’image. — En ce cas, elle ressemble de plus en plus à la sensation. —
Cas
où la sensation est récente. — Cas où la sensatio
de plus en plus à la sensation. — Cas où la sensation est récente. —
Cas
où la sensation est prochainement attendue. — Exe
x et semblables de l’image et de la sensation correspondante. — En ce
cas
, l’image est prise, au moins pendant un instant,
le d’un prédicateur américain. — Témoignage d’un romancier moderne. —
Cas
d’un peintre anglais. — Témoignage d’un joueur d’
es. — Diverses circonstances où l’image devient hallucinatoire. — Ces
cas
extrêmes sont des indices de l’état normal. — Dan
— Elle est défaite par la présence d’un antagoniste ou réducteur. IV.
Cas
où la sensation antagoniste est trop faible ou an
llucinatoire, et de l’image hallucinatoire à l’image simple. — Autres
cas
où la sensation antagoniste est annulée. — Blessu
tielle de la sensation antagoniste. — Exemples pathologiques. — En ce
cas
, l’hallucination est détruite. — Histoire de Nico
toire de Nicolaï. — Méthode générale pour détruire l’hallucination. —
Cas
où la sensation provoque l’illusion proprement di
n provoque l’illusion proprement dite. — Récit du Dr Lazarus. — En ce
cas
, on supprime la sensation provocatrice. V. Autres
nfluence est plus ou moins énergique et prompte. — Divers exemples. —
Cas
où leur influence ne suffit pas. — La sensation a
Le patient juge alors que son hallucination est une hallucination. —
Cas
où tous les réducteurs sont annulés, ou aliénatio
ù tous les réducteurs sont annulés, ou aliénation mentale complète. —
Cas
remarquable observé par le Dr Lhomme. VI. Vues gé
lupart des cas partiellement, faiblement, vaguement, dans beaucoup de
cas
avec une netteté et une énergie très grandes, en
coup de cas avec une netteté et une énergie très grandes, en certains
cas
avec un détail et une précision presque égaux à c
ges. Chacun de nous peut entendre mentalement un air, et, en certains
cas
, l’image est bien voisine de la sensation. Tout à
de la saveur présente ; la ressemblance va si loin que, dans les deux
cas
, les glandes salivaires suintent au même degré. C
avaient vu des yeux flamboyants, une gueule ouverte. — Dans tous les
cas
, du moins pendant un instant, l’image n’a pas dif
objet se traduisait fidèlement à ses yeux… J’ai moi-même recueilli un
cas
de ce genre… chez un monomaniaque, homme d’un esp
essaya de reporter sa pensée sur son existence personnelle26. » Ces
cas
extrêmes montrent par leur exagération la nature
ve dans le couple intact. IV Cela nous conduit à considérer des
cas
où le redressement ne puisse se faire. Ce qui le
e par le choc antagoniste de la sensation réelle. — Cherchons donc un
cas
dans lequel la sensation disparaisse et soit comm
apparent, pour la distinguer de la vraie sensation. Mais supposez le
cas
inverse : admettez que dans la veille aussi bien
rir les meubles de l’appartement dans lequel il se trouvait. D’autres
cas
montrent le rétablissement partiel de la sensatio
qu’on allume un flambeau dans leur chambre. Une dame qui est dans ce
cas
est obligée depuis vingt ans d’avoir chez elle de
les Lilliputiens auraient dû donner et ne donnaient plus38. D’autres
cas
montrent avec plus de détail la manière dont la s
et par cela seul que cette attention était ordinaire. Dans le premier
cas
, l’image, qui surgissait d’elle-même, spontanémen
nnelle et automatique, annulait le réducteur spécial : dans le second
cas
, l’image, qui surgissait par un effort du groupe
ions normales se tiennent. On en a vu des preuves nombreuses dans les
cas
cités. Quand l’attention se reporte sur une sensa
muer, grandir, prendre une figure fantastique et effrayante42 Dans ce
cas
, il arrive souvent qu’en supprimant la sensation
antôme à teinte cadavérique que j’ai décrit44. » On constate dans ce
cas
singulier l’effet maladif de la sensation. Présen
es deux plateaux malgré l’inégalité de leurs charges. Dans le premier
cas
, on rétablit l’état normal en ajoutant des poids,
endance naturelle par laquelle l’image nous fait illusion. Il y a des
cas
où cette répression est beaucoup plus lente. M. B
pressive, et partant amener l’hallucination. — Mais, si dans tous ces
cas
l’illusion circonscrite par les réducteurs second
truite par le réducteur spécial, on rencontre un plus grand nombre de
cas
où le contraire arrive. Très souvent, les malades
evient obsédante. — Elle s’accroche à l’idée du moi, et S… imagine un
cas
où il pourrait bien être lui-même en danger. — Ce
de nos souvenirs, par l’ordre de nos jugements généraux, n’est qu’un
cas
des redressements perpétuels et des limitations i
ment fragmentaire, fugitive et plus faible, elle atteint en plusieurs
cas
, dans l’extrême concentration de l’attention exce
le que par la substitution des images aux sensations. — Dans les deux
cas
, la nature emploie le même procédé pour aboutir a
449 et suivantes, 26 et suivantes. — On y trouvera beaucoup d’autres
cas
analogues. — Et Annales médico-psychologiques, 3e
e Soul over the Body. 42. Brierre de Boismont, 777, ibid. — C’est le
cas
de don Quichotte : la sensation de deux grands to
de la loi qui régit la localisation. — Rôle du toucher explorateur. —
Cas
où l’emplacement de la sensation reste vague. — S
ù l’emplacement de la sensation reste vague. — Sensations internes. —
Cas
où l’emplacement des causes de deux ébranlements
ulaire. — Nous pouvons constater sa présence chez les aveugles-nés. —
Cas
où nous pouvons constater sa présence en nous-mêm
faites sur les aveugles-nés après l’opération qui leur rend la vue. —
Cas
cités par Cheselden, Ware, Home, Nunnely et Waldr
chez nous atrophié et rudimentaire par la prédominance de l’autre. —
Cas
où l’autre ne peut se développer. — Perfection du
s surabondent. Elles se résument toutes en ceci que, dans beaucoup de
cas
, la sensation nous semble située en un endroit où
en un endroit où très certainement elle n’est point. Au moyen de ces
cas
, nous constatons une loi générale : c’est que, da
tout. Peu importe ; le jugement se produit aussi bien dans le second
cas
que dans le premier ; la sensation, à elle seule,
cquiert une situation apparente. Elle l’acquiert donc dans le premier
cas
, lorsque à l’endroit indiqué un ébranlement nerve
oit indiqué un ébranlement nerveux se rencontre, comme dans le second
cas
, lorsque à l’endroit indiqué aucun ébranlement ne
ranlement nerveux ne se rencontre. Une fois établi, d’après le second
cas
, que tel emplacement attribué à telle sensation n
sation n’est qu’apparent, il suit invinciblement que, dans le premier
cas
, le même emplacement attribué à la même sensation
heureuse, l’accompagne ordinairement à l’état normal. Considérons ces
cas
qui nous détrompent. Il y en a d’abord un, déjà c
ar l’amputation de son bras gauche. — Il est clair que, dans tous ces
cas
, la sensation d’élancement, d’engourdissement, de
située non plus lorsque le membre est présent ; ainsi, dans les deux
cas
, à l’état normal et à l’état anormal, la sensatio
s à démêler la loi qui règle l’opération localisante. — Dans tous les
cas
précédents, elle situait notre sensation à l’extr
et un corps résistant, par exemple la surface d’une table ». Dans ce
cas
, deux sensations se produisent à la fois, l’une q
est à cette distance que nous situerons notre sensation. — Tel est le
cas
en effet pour les sensations de l’ouïe et de la v
couleur d’une pierre, d’une fleur, d’un objet tangible, ce qui est le
cas
le plus fréquent, elles nous semblent une qualité
ni dans les rayons lumineux qui en jaillissent ; car, en beaucoup de
cas
, nous la voyons lorsque l’objet est absent et lor
ir la solidité, il n’y a qu’à parcourir, entre cent, quelques-uns des
cas
où la couleur et la figure apparente naissent d’e
ies plus obscures de l’objet ; tantôt c’est l’inverse. Dans ce second
cas
, les couleurs de l’image consécutive sont les com
t pendant une marche active ou quelque autre mouvement du corps. » En
cas
de pléthore ou de congestion, « lorsque après s’ê
inactifs ; la figure colorée naîtra et paraîtra intérieure. C’est le
cas
pour les hallucinations proprement dites de la vu
es des hémisphères jusqu’aux centres visuels de l’encéphale. C’est le
cas
dans ces apparitions qui suivent l’usage prolongé
de la rétine les a mis trop souvent et trop longtemps. Dans tous ces
cas
, les choses se passent comme lorsqu’un ébranlemen
ent à six pieds de moi, le mécanisme interne fonctionne comme dans le
cas
exceptionnel où j’ai dans la rétine une impressio
nnel où j’ai dans la rétine une impression consécutive, comme dans le
cas
exceptionnel où j’ai dans les centres cérébraux u
act. C’est donc là que nous devons situer la sensation, et tel est le
cas
pour les sensations de la vue comme pour les autr
ans le fond de l’orbite. — En quatrième lieu, on voit qu’en plusieurs
cas
le jugement localisateur doit être vague ; car il
erveux dont l’un est situé plus haut, l’autre plus bas, ce qui est le
cas
pour les impressions de la rétine, et si, en même
tuées l’une par rapport à l’autre dans l’ordre inverse, ce qui est le
cas
pour les objets visibles, nous situerons dans l’o
anique. — Quant aux sensations d’odeur et de température, en certains
cas
et jusqu’à un certain point, nous pouvons, d’aprè
dition peut manquer, puisque sa présence n’est qu’ordinaire ; en tout
cas
, qu’elle soit présente ou absente, le jugement lo
ont les images de ces sensations qui la composent, et, en beaucoup de
cas
, nous les constatons en nous, par exemple lorsqu’
ont là les conditions d’une carte représentative. — Il n’y a là qu’un
cas
d’une opération générale et déjà décrite. Nous si
ple vue si cette main se rapprochait ou s’éloignait de lui ». Mais ce
cas
est rare, et, quand l’aveugle-né n’a point encore
ation nouvelle selon les habitudes de leur toucher et appliquaient au
cas
nouveau l’expérience ancienne48. Du reste, celui
lecteur a déjà rencontré plusieurs opérations de ce genre ; c’est le
cas
pour tous les substituts abréviatifs. Les sensati
il n’y a que des mots dans mon esprit ; et cependant, dans le premier
cas
, je crois apercevoir directement des grandeurs et
oir directement des grandeurs et des distances, comme, dans le second
cas
, je crois apercevoir directement des qualités pur
là les restes ou les renaissances de sa domination primitive ; en ces
cas
-là, nous situons nos sensations à peu près à la f
le lecteur veuille bien s’observer lui-même ; il verra que tel est le
cas
pour les sensations de chaleur et de froid qui no
obile sur une feuille verte placée à six pieds de nous. Dans tous ces
cas
, la sensation semble étendue. C’est qu’elle consi
s précis encore s’il s’agit de sensations de couleur ; partant, en ce
cas
, l’emplacement de l’objet l’est encore bien davan
uels les effets croissent ou décroissent selon la distance. — En tout
cas
, rien ne prouve que les corps soient véritablemen
étine transportée hors de son siège par l’éducation de l’œil. Dans ce
cas
, notre sensation elle-même nous apparaît comme un
presque constante à l’ébranlement nerveux qui leur est lié. Sauf les
cas
rares dans lesquels les troncs et les centres ner
titude pour absorber ou renvoyer les divers rayons lumineux. Sauf les
cas
rares où l’œil et l’oreille ont des sensations su
ubit, malgré mon attente, aucune diminution de son mouvement. Mais ce
cas
est fort rare, et la concordance est presque cons
oite quand elle recevra le choc électrique du côté gauche. Alors deux
cas
se présentent. Tantôt la personne sait d’avance q
est de vingt-sept centièmes de seconde. La différence entre les deux
cas
est donc de sept centièmes de seconde. — Dans les
e les deux cas est donc de sept centièmes de seconde. — Dans les deux
cas
évidemment, la sensation brute se produit au même
e à entrer en scène et n’est pas contrebalancée, comme dans le second
cas
, par l’image également prête du côté gauche. Pour
avance, le retard observé était de deux dixièmes de seconde ; dans le
cas
contraire, il était de trois dixièmes. » — Les ré
bid., 1801. — Home, ibid., 1807. — Waldrop, ibid., 1826. 47. Dans un
cas
rapporté par M. Nunnely, « le jeune patient disai
r la vue une idée exacte des objets, il est nécessaire, dans tous les
cas
, que les facultés de son esprit soient complètes
it soient complètes et aient leur jeu libre. Un fait à l’appui est ce
cas
d’un jeune garçon qui n’avait aucun défaut de la
le tournait la tête vers elle. À trois mois, elle savait, en certains
cas
, diriger son regard en tournant les yeux et la tê
uvent acquérir une délicatesse égale : « Le docteur Rush mentionne le
cas
de deux frères aveugles à Philadelphie, qui, lors
urs têtes. » (Abercrombie, ibid.) Quand on rapproche de ces faits les
cas
d’hyperesthésie si fréquents dans le somnambulism
jusque-là semblaient contradictoires. On aperçoit aisément en de tels
cas
comment, grâce à de nouvelles idées, grâce à une
chez le romancier en qui s’ébauche l’embryon d’un roman. Pourtant le
cas
est le même. Le besoin plus ou moins aperçu, plus
ous les retrouverons sous un aspect un peu moins schématique dans les
cas
réels que nous pouvons connaître et qui sont asse
des plus belles découvertes de ce siècle était faite3. » En somme ce
cas
ne diffère pas essentiellement des précédents. La
, de la raison sociale4. » La crise est déterminée en partie, dans ce
cas
, par une réaction. Le besoin de produire une œuvr
qui en est l’occasion peut rester beaucoup moins précis. En certains
cas
, la circonstance particulière qui détermine l’écl
ceux qu’il trouve en lui-même. Il se peut que la différence des deux
cas
soit moindre qu’il ne le paraît à première vue, m
de personnages dansants, de mouvements rythmés. C’est tout à fait le
cas
de M. Massenet, retourné. Berlioz inventait des m
ivant la série des faits dans le sens voulu, nous arrivons vite à des
cas
où l’invention ne paraît plus avoir aucun rapport
, on peut le trouver encore, mais considérablement affaibli, dans les
cas
de Berlioz, de M. Massenet, de M. Legouvé. Tandis
les deux états suggère le second quand le premier est donné. Dans le
cas
de Darwin, que la musique faisait trop fortement
hent à l’invention de plusieurs manières différentes. Dans le premier
cas
, le sentiment qui intervient dépend à peu près co
arwin et M. Tarde, en faisant remarquer toutefois que l’émotion en ce
cas
n’a pas été, sans doute, purement intellectuelle.
récède ainsi ta naissance de l’œuvre en accompagne aussi, en bien des
cas
, le développement, qui d’ailleurs ne peut s’en di
re maudit pour avoir l’idée de pareils bouquins20. » Dans le second
cas
, les sentiments qui précèdent, accompagnent ou su
au jeu des tendances sociales ou psycho-organiques. Au reste les deux
cas
se mêlent, se combinent et ne se présentent guère
on littéraire est aux joies et aux souffrances du cœur. Dans certains
cas
, comme celui de Musset, il semble bien que la ten
entions intellectuelles plus ou moins originales. Et, à vrai dire, ce
cas
ne diffère du précédent que sur un point. Dans le
sous ses formes les plus hautes, les mieux caractérisées, et dans les
cas
que nous connaissons le mieux ou qui peuvent serv
s’opère la synthèse créatrice, et par quels tâtonnements en bien des
cas
, comment le jeu personnel et indépendant des élém
u du moins ce développement ne se fait généralement, surtout pour les
cas
un peu compliqués, que par l’activité indépendant
, ce n’est généralement pas elle qui les évoque. Ils sont en bien des
cas
le produit du jeu spontané, quoique surveillé, de
pposition générale : ombre et lumière, vie et mort. » Voici un autre
cas
instructif, à mon sens, comme montrant spécialeme
s que la forme de l’ensemble ne se dessine avec netteté, en plusieurs
cas
, qu’après l’invention des détails. Ce n’est pas a
re. » — D’autres fois, c’est une anecdote qui sert d’excitant ; en ce
cas
la tendance générale préexistait bien, mais ne se
orme extérieure du phénomène de l’invention qui diffère dans les deux
cas
, le fond reste le même. Cette idée abstraite, dan
tâtonnante et hésitante du germe qui se fait et aspire à la vie. Les
cas
où l’invention se fait complètement par adaptatio
plètement par adaptation spontanée et rapide sont le plus souvent des
cas
très simples. L’action des éléments est alors si
’idée directrice, et le jeu indépendant des éléments sont en bien des
cas
également utiles. Si l’ensemble n’exerçait un con
’en est pas moins essentiellement semblable à elle-même dans tous les
cas
, au point de vue de la psychologie générale et ab
que bien des hommes de génie se rapprochent plus, dans la plupart de
cas
, de la moyenne vulgaire que des originaux assez i
n où c’est l’invention, comme la création d’un poème. Mais dans aucun
cas
, et cela est assez aisément visible, aucun des tr
ême l’imitateur crée encore d’une manière assez remarquable. C’est le
cas
de quelques disciples indépendants qui, tout en a
fois en transforment l’esprit général ; c’est, à un degré moindre, le
cas
du vulgarisateur qui, en quelque sorte, organise
à vouloir, comme pour s’exciter à penser, moyen ruineux dans les deux
cas
, mais qui, en une circonstance donnée, peut être
ons aux détails de la genèse de l’acte, nous les trouverions, dans un
cas
et dans l’autre, identiques. Il ne s’agit point,
orme est la même, les éléments de la synthèse diffèrent dans les deux
cas
et cela suffit à établir entre eux des distinctio
ns cesse l’une sur l’autre. À cause de tout cela, il est, en bien des
cas
, très difficile de les distinguer et elles se con
aucune ne semble très essentielle qui constituent l’invention. En ce
cas
, le travail, au lieu d’être en grande partie inco
au lieu d’être en grande partie inconscient, comme il arrive dans les
cas
de floraison soudaine, s’accompagne volontiers d’
le système qui s’est ébauché. Elles sont en petit ce que, en certains
cas
, la fixation de l’orientation de l’esprit a été e
ité, à la formation de l’œuvre totale. Nous verrons, en examinant des
cas
concrets, comment elles peuvent déterminer des cr
ffèrent elle-même d’importance d’une évolution à l’autre. En certains
cas
l’histoire d’une œuvre tourne pour ainsi dire aut
s du processus paraissent dépasser les autres en importance. Mais ces
cas
qui vont d’une sorte de monarchie absolue à une a
nent, de petits faits dont chacun, dans une mesure variable selon les
cas
, garde sa valeur et comme son individualité propr
tenir pour vraie et qu’ils la montrent réellement fondée, en certains
cas
, sur une part de réalité. Il faut tenir compte, e
sformation, la troisième un développement, ou simplement, en certains
cas
, un changement par déviation. Il y a plus qu’une
itre II. Le développement de l’invention par évolution. I Le
cas
de M. Sardou, que j’ai précédemment cité, nous do
ible de recevoir, quel est l’unique effet que je dois choisir dans le
cas
présent ? Ayant donc fait choix d’un sujet de rom
être de mystifier son lecteur, nous n’en devons pas moins retenir son
cas
en le rapprochant des renseignements analogues fo
rochant des renseignements analogues fournis par d’autres auteurs. Le
cas
de M. Sardou est tout à fait semblable à celui de
gar Poë et M. Sardou, peuvent être considérés comme rentrant dans les
cas
extrêmes, et peut-être même représentent-ils plut
ls peuvent nous suggérer s’appliqueront bien plus aisément encore aux
cas
moins réguliers. Le développement de l’invention
ntion par M. Sardou, la « déduction » être également invoquée dans le
cas
de M. Zola, où la complexité de l’opération, cepe
pas avant plusieurs années. Mais cette similitude apparente des deux
cas
recouvre des différences considérables reposant s
idérables reposant sur une dissemblance essentielle. Au fond, dans un
cas
comme dans l’autre, nous trouvons une part d’inve
routine peut servir de base à une invention qui la modifie, mais les
cas
où l’invention et la routine s’unissent et se joi
rès régulière, celles que montrent — avec les réserves indiquées — le
cas
d’Edgar Poë et le cas de M. Sardou, révèle déjà q
que montrent — avec les réserves indiquées — le cas d’Edgar Poë et le
cas
de M. Sardou, révèle déjà quelque tâtonnement et
éjà devenu, après s’être organisé peu à peu, une sorte de routine. Le
cas
où le raisonnement suscite aisément l’idée, c’est
routine. Le cas où le raisonnement suscite aisément l’idée, c’est le
cas
où généralement l’invention est à son minimum. L’
e-ci, par le même procédé, à l’invention instinctive. Seulement en ce
cas
, la véritable création a été la formation de l’in
imale, pendant la lente formation de l’appareil de la vision. Dans le
cas
de la création instinctive, il est vrai, la forma
, et le serait surtout si nous ne pouvions l’interpréter à l’aide des
cas
qui nous sont plus aisément connus. C’est compliq
beaucoup d’éléments qui ne sont ni voulus ni sentis. Mais en certains
cas
l’inconscience se généralise. Mozart et Lamartine
voit arriver comme une intruse la production spontanée du génie. Les
cas
de ce genre nous montrent l’« inspiration » sous
on inventive, depuis les impulsions morbides (qui peuvent en certains
cas
être considérées d’ailleurs comme une sorte d’inv
vention et en un développement par inspiration. Il y a dans le second
cas
simplement une organisation plus isolée, plus ind
ent le moi. Quoique l’évolution ne soit pas bien considérable dans le
cas
de Lamartine, et que nous ne puissions guère déte
te mais complète en la circonstance. Et nous remarquons encore en des
cas
pareils que chaque pas nouveau est un pas identiq
s me viennent en foule. » Si l’on y regarde de près, les analogies du
cas
de Mozart avec ceux que nous avons étudiés déjà d
s étudiés déjà deviennent de plus en plus nettes. Aussi même dans ces
cas
où l’invention et son développement se rapprochen
par les circonstances de varier un peu, en faisant remarquer qu’en ce
cas
l’instinct invente et que c’est précisément en ce
d’un acte instinctif, mais nous arrivons assez aisément, en bien des
cas
, à le connaître, pour ainsi dire, du dehors, et l
ela deviendra de plus en plus évident à mesure que nous passerons des
cas
d’évolution régulière à des cas d’évolution moins
ident à mesure que nous passerons des cas d’évolution régulière à des
cas
d’évolution moins régulière, et de ceux-ci à des
régulière à des cas d’évolution moins régulière, et de ceux-ci à des
cas
de transformation ou de déviation. Le germe de l’
sort du récit de Poë. Et sans doute, au fond, la différence des deux
cas
fut moindre qu’elle ne le paraît d’abord. Quelque
ente, et la réponse en apparence moins immédiate. Mais de même que du
cas
de Poë, de l’évolution par raisonnement, nous pas
le jeu des mêmes éléments, en les combinant un peu différemment, aux
cas
où l’évolution se fait à l’aide de tâtonnements n
se progressive qui vient se former autour du noyau primitif. C’est un
cas
des plus intéressants51. Voici quelques passages
peu factice dont on a besoin, ce qui n’est possible que dans certains
cas
singuliers qu’il ne rentre nullement dans le plan
viennent moins nombreuses. Il peut donc y avoir et il y a en certains
cas
une évolution suffisamment régulière, faite sous
organisée qui rencontre des conditions favorables et prend, dans les
cas
extrêmes, la forme d’une sorte d’instinct qui se
si pour empêcher l’activité désordonnée de ses propres composants. Ce
cas
, il est vrai, reste à peu près théorique. Mais no
pement de l’invention par transformation I Dans les derniers
cas
d’évolution que nous avons examinés, la régularit
stituer définitivement que sans elle. Il est à remarquer que, dans ce
cas
, elle n’a pas disparu en s’atrophiant (ce qui arr
geait ne plus pouvoir l’être si la première scène était conservée. Le
cas
de M. Legouvé est à rapprocher de l’histoire de l
serait guère utile d’insister sur les différences qui distinguent le
cas
de Berlioz du cas de M. Legouvé ; dans le cas de
e d’insister sur les différences qui distinguent le cas de Berlioz du
cas
de M. Legouvé ; dans le cas de ce dernier c’est l
nces qui distinguent le cas de Berlioz du cas de M. Legouvé ; dans le
cas
de ce dernier c’est l’œuvre même qui s’est transf
très différents de ceux qui l’avaient d’abord inspirée. Dans tous ces
cas
, il y a une transformation. Le développement ne s
suffit pour la transformer quelque peu, mais en laissant de côté les
cas
qui prêteraient à la discussion, il en reste asse
s qui prêteraient à la discussion, il en reste assez d’autres. Et les
cas
où la transformation est presque complète, ceux o
sister une partie de la forme et de la matière primitive, et, en tout
cas
, elle respecte une bonne partie des phénomènes qu
en faire une pièce distincte. Cela eût été, si Vigny l’avait fait, un
cas
de développement greffé sur un autre, d’évolution
ontinuellement la pression. Les éléments d’une œuvre, dans de pareils
cas
, sont traités à part les uns des autres, et se so
eux d’autres idées que celles qu’y a mises l’auteur62. Mais voici un
cas
assez curieux par lui-même, et qui en même temps
e sa nature primitive, mais il est généralement médiocre. En certains
cas
aussi, l’évolution paraît bien s’accomplir réguli
oint de départ ou le complément d’une autre invention. Dans le second
cas
, nous avons un développement par transformation,
is, restituer par analogie. C’est plutôt l’attention qui dévie, en ce
cas
, que le système d’idées auxquelles elle s’attacha
du développement de l’invention, nous sommes conduits à rattacher les
cas
de ce genre au développement par déviation, quoiq
turel d’y trouver, plutôt qu’une déviation, une substitution. En tout
cas
, les procédés, quoique semblables à certains égar
à certains égards, doivent être distingués, car la déviation, dans le
cas
qui nous occupe maintenant, peut n’être que passa
ou de provoquer cette déviation, on peut conclure à la fréquence des
cas
où la faiblesse de l’esprit est utilisée par lui
e de cette opération, et nous en avons un très remarquable : c’est le
cas
d’un auteur dramatique, M. de Curel, recueilli pa
t très développée chez moi et vient sans cesse à mon secours dans les
cas
les plus différents. » La volonté se sert ici de
s, et c’est ce que réalise la rêverie voulue de M. de Curel. Dans les
cas
de ce genre, ce sont les images et les idées évei
différences considérables. Nous avons vu toutefois qu’on passait d’un
cas
à l’autre par des nuances presque insaisissables.
des nuances presque insaisissables. Et même les différences entre les
cas
extrêmes, pour grandes qu’elles soient, le sont m
es provoquer, à les diriger quelque peu et à s’en servir. Et dans les
cas
extrêmes les plus opposés, comme dans tous ceux q
développement ne varie beaucoup selon les esprits et aussi selon les
cas
, et qu’il n’en résulte, dans la marche de l’inven
it, mais elle n’est pas seulement cela, elle ne le serait que dans un
cas
virtuel dont la réalisation serait plus qu’improb
ence des caractères de l’esprit inventeur, et en simuler ou, dans les
cas
favorables, en reproduire le type. Si l’esprit, e
ie de ce qu’il y a d’extravagant et d’insensé, et c’est l’origine des
cas
où la folie et le génie sont intimement mêlés. D’
mêmes qui dirigent l’invention paraissent indépendantes, en certains
cas
, chez lui, de l’ensemble de la personnalité, et q
d’un fou. Inversement la routine peut simuler la logique. En certains
cas
, son incohérence éclate. Mais elle fait souvent i
par un autre. Encore l’invention est-elle plus grande dans ce dernier
cas
. Pour avoir un équivalent plus rapproché de l’inv
crée une œuvre d’art ou de science, assez inconsciemment en bien des
cas
, volontairement et par raisonnement parfois, en p
rt de l’irrégulier dans l’invention. Il l’exprime en généralisant les
cas
que j’ai cités tout à l’heure, où l’on trouve des
. Elle peut être un mal si le gain ne compense pas la perte (c’est le
cas
, par exemple, lorsqu’un événement imprévu en détr
ire des conceptions nouvelles mais fausses), elle est un bien dans le
cas
contraire, un bien d’autant plus grand que plus d
rofond de ses conséquences lointaines et possibles, mais c’est un des
cas
où un instinct imparfaitement éclairé donne des c
ènes du roman s’imposa à G. Eliot d’une manière qui rappelle certains
cas
que j’ai signalés tout à l’heure. « Le combat, di
Il sera conforme aux règles d’une bonne méthode de n’étudier que les
cas
bien francs, typiques, c’est-à-dire ceux qui prés
ormes faibles de l’attention ne peuvent rien nous apprendre : en tout
cas
, ce n’est pas par elles qu’il faut commencer notr
qui est le fond même de l’attention, se montre mieux encore dans les
cas
franchement morbides que nous étudierons plus tar
dans la mesure possible, toute l’activité cérébrale. Existe-t-il des
cas
de monoïdéisme absolu, où la conscience est rédui
n s’arrête totalement ? A notre avis, cela se rencontre dans quelques
cas
très rares d’extase que nous analyserons plus tar
s encore une fois, pour n’y plus revenir, que nous n’étudions que les
cas
bien nets) consiste donc dans la substitution d’
le moment, bornons-nous à une vue tout à fait superficielle. Dans les
cas
d’attention spontanée, le corps entier converge v
mouvements et des attitudes, qui caractérise l’état normal. Dans les
cas
d’attention volontaire, l’adaptation est le plus
on venant de l’objet produit une adaptation incessamment répétée. Les
cas
profonds et tenaces d’attention spontanée ont tou
ement l’effet du ralentissement de la respiration. Souvent, en pareil
cas
, nous produisons une inspiration prolongée, pour
le front : par suite, l’œil est grand ouvert, bien éclairé. Dans les
cas
extrêmes, la bouche s’ouvre largement. Chez les e
mmobilité, adaptation des yeux, des oreilles, du toucher, suivant les
cas
: en un mot, tendance vers l’unité d’action, conv
ements passifs imprimés à des membres paralysés ont pu, dans certains
cas
, en ravivant les images motrices, restituer l’act
ce appropriée, serait bien mal armé pour sa conservation. J’écarte le
cas
extrême où la prédominance et l’adaptation seraie
r, étant un organisme illogique, une contradiction réalisée. Reste le
cas
ordinaire : prédominance des sensations utiles, c
et finalement montre une ardeur qui a besoin d’être modérée. Voilà un
cas
de genèse de l’attention volontaire. Il a fallu g
is c’est une agréable surprise que je veux faire à maman. » Encore un
cas
de genèse d’attention volontaire, greffé cette fo
t distraite, par une mouche sur le mur ou quelque autre bagatelle, le
cas
était désespéré. Essayait-on par des punitions de
stes italiens de la nouvelle école y voient, à tort ou à raison, des
cas
d’atavisme. La grande majorité des gens civilisés
but, excluant tous les autres, n’a pas besoin d’être expliqué dans le
cas
de l’attention spontanée. Un état (ou un groupe d
s vu, toutes les tendances de l’individu conspirent pour lui. Dans le
cas
de l’attention volontaire, surtout sous ses forme
nexplorée en psychologie. Que nous ayons le pouvoir, dans beaucoup de
cas
, d’arrêter les mouvements de diverses parties de
excitations peuvent empêcher, ralentir ou supprimer un mouvement. Le
cas
le plus connu, le plus anciennement étudié, consi
r en 1845, les physiologistes ont mis une grande ardeur à étudier les
cas
où l’excitation d’un nerf empêche un mouvement ou
l’hypothèse exposée ci-dessus, elles ne seraient guère différentes du
cas
précédent. Mais, dans l’un et l’autre cas, la con
raient guère différentes du cas précédent. Mais, dans l’un et l’autre
cas
, la conscience ne connaît directement que deux ch
ention est moteur, comme nous le soutenons, il faut que dans tous les
cas
d’attention il y ait en jeu des éléments musculai
s à déterminer les éléments moteurs qui se rencontrent dans ces trois
cas
. 1° En ce qui concerne les perceptions, il n’y a
lles un élément moteur ? Il est bien difficile de le dire et, en tout
cas
, inutile ; car ce n’est pas à ce stade de dévelop
t, serait encore capable d’attention. Elle est irréalisable. Dans les
cas
morbides que nous étudierons plus tard, il n’y a
aire-aient son attention sur un objet », et ce qui se passe en pareil
cas
. « Ce qui a lieu dans ce cas, dit excellemment Ma
un objet », et ce qui se passe en pareil cas. « Ce qui a lieu dans ce
cas
, dit excellemment Maudsley, n’est autre chose que
es éléments moteurs de ces états de conscience. Nous avons, en pareil
cas
, le sentiment très net d’un effort soutenu. D’où
ion d’un but déterminé d’avance (attention volontaire). Dans les deux
cas
, il faut que des états affectifs, des tendances s
discutant les faits les uns après les autres, a montré que, dans les
cas
de paralysie d’une partie du corps ou d’un œil, s
, le reste de la tête ne donnant aucun sentiment de tension : dans le
cas
des souvenirs et des imagés, j’ai la conscience
ner ne parle pas. Ils ont une si grande importance que, dans certains
cas
, ils engendrent à eux seuls le sentiment de l’eff
, avoir l’expérience d’un sentiment d’énergie déployée. Voilà donc un
cas
net du sentiment d’énergie déployée, sans contrac
sumé, partout et toujours des contractions musculaires. Même dans les
cas
où nous restons immobiles, on trouvera, si l’on s
nnervation des yeux. Dans la vision réelle, on doit passer, en pareil
cas
, de l’état de convergence à l’état de parallélism
rieure qui accompagne la réflexion. Enfin, chez tous et dans tous les
cas
, il y a des modifications dans le rythme de la re
même personne ont donné comme moyenne à l’état normal 133 σ, dans le
cas
de mal de tête 171 σ, dans l’état de fatigue et d
ant, comme on pouvait le supposer d’avance. Ainsi, tandis que dans le
cas
de distraction il peut s’élever au chiffre énorme
il peut s’élever au chiffre énorme de 500 σ, il tombe dans le second
cas
à 253 σ et avec signal à 76 σ. Ces expériences no
sans cause extérieure. Cet état explosif se produit surtout dans les
cas
où l’impression attendue est indéterminée, dans l
tout dans les cas où l’impression attendue est indéterminée, dans les
cas
qu’on pourrait appeler d’attention expectante en
elles devraient être indépendantes l’une de l’autre. Tel n’est pas le
cas
; les deux espèces d’oscillations ne coïncident j
s Pour achever l’étude de l’attention, il nous reste à examiner les
cas
morbides. Je ne me propose pas d’esquisser une pa
chez les femmes. Mais on applique aussi le mot « distraction » à des
cas
tout différents. Les gens absorbés par une idée e
sans désir d’évasion. En fait, leur état est une forme mitigée de ce
cas
morbide que nous étudierons plus loin sous le nom
inaire, ces diverses formes de « distraction » sont en définitive des
cas
frustes qui instruisent peu, et il y aura plus de
on. L’hypocondrie, mieux encore les idées fixes et l’extase, sont des
cas
de ce genre. Ils forment un premier groupe morbid
rtrophie de l’attention. 2° Dans le second groupe, je comprendrai les
cas
où l’attention ne peut se maintenir ni souvent mê
orbides de l’attention, mais une infirmité congénitale. Tels sont les
cas
où l’attention spontanée et à plus forte raison l
, le salut de son âme. Cette idée fixe qui dure toute la vie, sauf le
cas
où il y a substitution de l’une à l’autre, se rés
stins, amène à la conscience des sensations insolites : ce qui est un
cas
de cette loi générale que tout état de conscience
e la volonté. Il est bien préférable de nous en tenir strictement aux
cas
purs de tout alliage, à ceux qui sont rigoureusem
illé, toujours absorbé dans son idée dominante. Il faut noter dans ce
cas
un phénomène très singulier : par suite de la ten
, outre la cause générale, trouver les causes particulières de chaque
cas
. Pourquoi telle forme a-t-elle prévalu chez tel i
les sont les causes secondaires qui ont imposé une direction ? Chaque
cas
devrait être étudié séparément. En supposant que
cette recherche puisse aboutir, le mieux serait de commencer par les
cas
les plus graves, ceux que nous avons éliminés. En
ompare l’une à l’autre, voici ce que l’on constate : 1° Dans les deux
cas
, prédominance et intensité d’un état de conscienc
e et intensité d’un état de conscience, mais bien supérieures dans le
cas
de l’idée fixe. Celle-ci, par suite de conditions
acteur psychique d’une grande importance : le temps. 2° Dans les deux
cas
, le mécanisme de l’association est limite. Cet ét
revêt la forme de l’attention, la dépasse et peu à peu, dans quelques
cas
rares, parvient à la parfaite unité de l’intuitio
tte loi est enfreinte chez quelques individus exceptionnels, dans des
cas
très rares et pendant très peu de temps. Dans l’e
essais d’attention, faibles ou sans durée : ce qui arrive. Prenons le
cas
de l’ivresse, le plus simple, le plus vulgaire de
aire, artificielle ? Tout d’abord il faut retrancher une catégorie de
cas
que l’on serait tenté de produire comme des exemp
t ou de nous soustraire à une situation désagréable. Aussi il y a des
cas
qui présentent au moins une ébauche de l’attentio
i plus d’une critique48 et paraît difficilement applicable à tous les
cas
. L’hypnotisme produit chez des poules et des écre
nscrire au compte général de l’attention. Dans ce compte général, les
cas
d’attention spontanée sont le grand nombre, les c
mpte général, les cas d’attention spontanée sont le grand nombre, les
cas
francs et nets d’attention volontaire sont le pet
e d’action dans l’appareil moteur. N’est-il pas vraisemblable que les
cas
d’attention extraordinaire et prolongée supposent
suiv. Plus récemment, un neurologiste américain, Alex. Starr, sur 23
cas
de lésion des lobes frontaux, a rencontré chez la
la Civilisation primitive, t. I, ch. VII. 28. Il en a été publié un
cas
curieux dans la Revue philosophique (janvier 188
cité, ch. III. 29. Nous avons dit que l’étude d’un grand nombre de
cas
normaux ou morbides a conduit à reconnaître plusi
es. Bien des discussions finiraient sans doute d’elles-mêmes. En tout
cas
, ce travail me paraît valoir la peine d’être tent
maire. § I. — Nature de l’intermédiaire explicatif. I. En plusieurs
cas
, la liaison de deux données est expliquée. — Ce q
ns lesquelles la première donnée est un individu. — Exemples. — En ce
cas
, l’intermédiaire est un caractère plus général qu
tions dans lesquelles la première donnée est une chose générale. — Ce
cas
est celui des lois. — L’intermédiaire est alors l
bration transmise d’un corps extérieur. — Même conclusion que dans le
cas
précédent. — L’intermédiaire est alors une série
nnées séparables. — Exemples en arithmétique et en géométrie. — En ce
cas
, l’intermédiaire est un caractère général répété
tances antécédentes. — L’intermédiaire explicatif est le même dans ce
cas
et dans les cas précédents. § III. — Si tout fai
tes. — L’intermédiaire explicatif est le même dans ce cas et dans les
cas
précédents. § III. — Si tout fait ou loi a sa ra
— Nous prédisons par analogie les traits de l’intermédiaire dans les
cas
où il nous est encore inconnu. — Exemples. — Nous
. Fondement de cette induction. — De ce que nous ignorons en certains
cas
la raison explicative, nous ne pouvons conclure q
— Pour qu’il soit appliqué, il faut l’intervention de l’expérience. —
Cas
où l’on peut se passer de cette intervention. — C
conditions, les deux liaisons préalables dont elle est l’effet. En ce
cas
, nous pensons les deux liaisons préalables par de
ù elle entre et la conclusion qui en jaillit. II Il y a déjà un
cas
où nous savons tout cela, celui des objets indivi
nombre desquelles sont nos deux droites, sont parallèles. — Or, en ce
cas
, l’intermédiaire explicatif qui relie à l’objet i
extrait d’elles, plus général qu’elles. — D’où l’on voit que, dans le
cas
des objets individuels soumis à des lois connues,
iété commune aux uns et aux autres ; les deux lois n’étaient que deux
cas
d’une troisième loi plus vaste. Du groupe de cara
t assuré pour la lune, dans tout notre système solaire, ce qui est le
cas
des planètes, de leurs satellites, des comètes et
la première donnée, qui est la planète. — À la vérité, entre les deux
cas
il y a une différence grave. Dans le premier, le
t du nerf et des centres cérébraux ne soit pas normal. Dans le second
cas
, au contraire, le caractère explicatif est un des
ec laquelle ils seraient en rapport. — Mais cette différence des deux
cas
n’altère en rien leur ressemblance fondamentale,
es dont il se compose sont simultanés et non successifs108. Outre les
cas
où la raison est une série de raisons, il y a les
s108. Outre les cas où la raison est une série de raisons, il y a les
cas
où elle est un groupe de raisons. — Par exemple,
l’impulsion initiale, ou force tangentielle, avec sa quantité dans le
cas
en question, dont l’autre est la gravitation ou f
utre est la gravitation ou force centripète, avec sa quantité dans le
cas
en question, dont la dernière enfin est la distan
t ; il est évident que l’intermédiaire explicatif sera, comme dans le
cas
précédent, une somme d’intermédiaires que cette f
onnées séparables dont notre première donnée est le total. Tel est le
cas
des nombres et des composés géométriques. Tout no
ntôt il est multiple, composé de plusieurs intermédiaires. Alors deux
cas
se présentent. — Ou bien les composants sont succ
termédiaires simultanés sont d’espèce différente ; tels sont, dans le
cas
précédent, la force tangentielle, la force centri
me intermédiaire répété dans tous les éléments de l’objet. Ce dernier
cas
lui-même se ramifie en deux branches. — Ou bien l
stote, devient une démonstration scientifique, lorsque, comme dans le
cas
précédent, l’intermédiaire par lequel il relie de
donc mettre la main sur le coffret utile, et, s’il y a, comme dans le
cas
précédent, cinq coffrets à ouvrir, il faut cinq f
zaine d’axiomes, lesquels ne sont eux-mêmes, comme on l’a vu, que des
cas
ou applications de l’axiome d’identité. De cette
par la nature du solide duquel elles sont extraites, ce qui était le
cas
pour les sections du cône, à savoir l’ellipse, la
nt ses molécules, et, en effet, les rapproche toujours, sauf quelques
cas
exceptionnels, où la tendance est neutralisée par
ropriétés des composés qui sont leur assemblage. — C’est justement le
cas
pour les composés les plus complexes de tous, ceu
ar rapport à une planète, et ainsi de suite, sans trêve ni fin. En ce
cas
, les couches successives des facteurs de plus en
ous connaîtrions par cela même celles de ses derniers éléments. En ce
cas
, les couches successives des facteurs de plus en
xplique, démontre et nécessite leur liaison. — Cela est vrai pour les
cas
ou couples de données particulières, comme pour l
té de sa prophétie l’immensité de l’univers ? II Deux séries de
cas
sont en présence, l’une considérable, composée de
e aux dépens de la seconde, et l’analogie nous porte à croire que les
cas
encore compris dans la seconde sont pareils à ceu
gagé plus que nous l’intermédiaire qui nécessite la liaison. Dans son
cas
, cet intermédiaire est une propriété des deux tri
s élémentaires dont le quadrilatère est la somme possible. Dans notre
cas
, cet intermédiaire est une propriété des molécule
r en disant que nulle analogie ne nous autorise à supposer dans aucun
cas
l’absence de la raison explicative, tandis que be
eaucoup d’analogies nous portent à supposer sa présence dans tous les
cas
. Ce ne sont là pourtant que des vraisemblances, e
ffit pour le provoquer, en sorte qu’il ne peut manquer dans aucun des
cas
où elles sont réunies. « Il y a un déterminisme a
s qu’on l’a énoncée, on ne peut plus, sans la contredire, supposer un
cas
où le groupe existe sans le caractère qu’on lui a
ui a constaté, de même qu’on ne peut, sans se contredire, supposer un
cas
où le triangle serait donné sans les propriétés q
nts, on arrive aux plus simples qui sont les éléments premiers. En ce
cas
, le composé n’étant que l’ensemble de ces élément
s nous l’admettons avant qu’il soit démontré. Ayant constaté dans tel
cas
tel caractère, nous ébauchons sans le vouloir une
vouloir une construction mentale ; nous imaginons vaguement un autre
cas
absolument semblable et tel que les différences p
puissent être considérées comme nulles à cet égard ; alors le second
cas
se confond avec le premier, et nous apercevons la
it unique dans la nature ; car elle vaut, non seulement pour tous les
cas
réels, mais encore pour tous les cas possibles. A
aut, non seulement pour tous les cas réels, mais encore pour tous les
cas
possibles. Ainsi, dès qu’un caractère est donné,
es mathématiciens admettent aujourd’hui que la quantité réelle est un
cas
de la quantité imaginaire, cas particulier et sin
aginaire présentent certaines conditions qui manquent dans les autres
cas
. Ne pourrait-on pas admettre de même que l’existe
e pourrait-on pas admettre de même que l’existence réelle n’est qu’un
cas
de l’existence possible, cas particulier et singu
possible présentent certaines conditions qui manquent dans les autres
cas
? Cela posé, ne pourrait-on pas chercher ces élém
voit que la théorie pourrait s’étendre encore davantage, et qu’en ce
cas
tous les problèmes concernant un être quelconque,
sche Optik, p. 455. 126. Au premier aspect, il semble qu’en certains
cas
le moment et l’emplacement aient de l’influence;
cente. Cette difficulté disparaît si l’on remarque que, dans les deux
cas
, il ne s’agit ni de la durée pure ni de l’espace
De la rectification Sommaire. I. Exemple de la rectification. —
Cas
de la rêverie. — Double effet des réducteurs anta
ieurs. III. Divers états et degrés de la représentation contredite. —
Cas
où elle est faible. — Cas où elle est intense. —
t degrés de la représentation contredite. — Cas où elle est faible. —
Cas
où elle est intense. — Cas où elle se transforme
on contredite. — Cas où elle est faible. — Cas où elle est intense. —
Cas
où elle se transforme en sensation. — Théorie phy
le. — Représentations, images, conceptions, idées proprement dites. —
Cas
où elles sont émoussées et privées de particulari
es sont émoussées et privées de particularités individuelles. — En ce
cas
, elles ne peuvent se situer nulle part dans le pa
uer nulle part dans le passé, ni dans le présent, ni dans l’avenir. —
Cas
où elles sont précises et pourvues de particulari
cularités individuelles. — La vision pittoresque et poétique. — En ce
cas
, elles sont promptement exclues de leur place app
lace apparente dans le présent, le passé ou l’avenir. — Dans les deux
cas
, la répression complète est immédiate ou prompte.
t par un progrès lent dont on peut suivre plusieurs phases : c’est le
cas
de la rêverie qui aboutit au sommeil ; tantôt bru
une incubation sourde dont souvent on retrouve les traces : c’est le
cas
ordinaire pour l’hallucination17. Après ce que no
illes. Or, si on laisse de côté l’entremise des nerfs, on trouve deux
cas
dans lesquels fonctionnent les centres sensitifs.
res qui se répète dans les centres sensitifs. Tel est probablement le
cas
pour les hallucinations hypnagogiques et psychose
rieure, une simple représentation mentale ; en effet, dans le premier
cas
, le centre sensitif fonctionnait, et, dans le sec
onctions spéciales, pour des fonctions de premier ordre. C’est ici le
cas
, puisque nous lui devons notre connaissance du pa
igné possible du bout antérieur de l’image. — C’est l’inverse dans le
cas
d’une prévision. Selon que le rapport des extrémi
lieu de glisser vers le passé, elle glisse vers l’avenir. Tel est le
cas
lorsque je prévois que je retournerai chez mon pe
eptions, pures imaginations, et en général pures idées. Tel est notre
cas
, lorsque nous lisons ou écoutons une phrase, lors
gorie, et ici le mécanisme de la répression et aisé à constater. Deux
cas
extrêmes se présentent et résument tous les autre
ès, elle est privée de situation. — Et, si l’on regarde l’avenir, son
cas
est le même, puisque son existence future apparaî
ement apparente et dépourvue de l’existence vraie. Tel est le premier
cas
; voyons le second, tout inverse. Il s’agit de ce
lentement, après des intervalles de sécheresse. — Mais, dans les deux
cas
, ce qui apparaît est attendu, voulu, ou du moins
et note, partant suivi à l’instant de sensations répressives, en tout
cas
marqué dès sa naissance d’un caractère particulie
me une particularité qui réprime l’illusion. — Ou bien, ce qui est le
cas
ordinaire, elles sont vagues et dépouillées de ci
t de l’autre. Le jeu des représentations est-il le même dans les deux
cas
? Les éléments intellectuels sont-ils de même esp
en nous aidant aussi du second, que nous étudierons d’abord, dans le
cas
du rappel des souvenirs, la différence entre la r
substituer une idée simple qui en exprime le sens et qui permette, le
cas
échéant, d’en reconstituer la série. C’est pourqu
e saurions dire où commence l’une et où finit l’autre. Toutefois, des
cas
exceptionnels se présentent où nous nous proposon
antané et, autant que possible, machinal. D’un autre côté, il y a des
cas
où nous savons que la leçon à apprendre n’aura ja
une reconstitution graduelle et réfléchie. Examinons donc d’abord ces
cas
extrêmes. Nous allons voir qu’on s’y prend tout d
elle ne favoriserait le mécanisme du rappel. Les souvenirs, en pareil
cas
, peuvent être auditifs ou visuels. Mais ils sont
on ne comprendrait pas alors que le schéma nous permît, dans bien des
cas
, de retrouver les images intégralement. Ce n’est
nsuite progressivement vers les images à évoquer. Si, dans le premier
cas
, associant des images à des images, nous nous mou
ple horizontal, sur un plan unique, il faudra dire que dans le second
cas
le mouvement est vertical, et qu’il nous fait pas
ical, et qu’il nous fait passer d’un plan à un autre. Dans le premier
cas
, les images sont homogènes entre elles, mais repr
e opération qui se poursuivrait en extension et en superficie dans un
cas
, en intensité et en profondeur dans l’autre. Il e
ité l’inverse dans le travail d’interprétation. C’est évident dans le
cas
d’une opération mathématique. Pouvons-nous suivre
a vérité est que la vision et l’audition brutes se bornent, en pareil
cas
, à nous fournir des points de repère ou mieux à n
ellectuel, c’est-à-dire du mouvement d’esprit qui peut, dans certains
cas
, s’accompagner d’un sentiment d’effort : Travaill
l’abstrait au concret, du schéma à l’image. Reste à savoir dans quels
cas
spéciaux ce mouvement de l’esprit (qui enveloppe
ar des images pour s’insérer dans le schéma, ou encore, dans certains
cas
au moins, à autant de modifications acceptées par
un nouveau modus vivendi entre elles, occasionné aussi, dans bien des
cas
, par des modifications apportées au schéma pour l
il se produit dans la transition du schéma à l’image. Mais il y a des
cas
où le développement du schéma en image est immédi
it entièrement aux conditions du schéma. Et c’est pourquoi, en pareil
cas
, le schéma peut avoir à se modifier lui-même pour
sé, et que les éléments de la représentation n’ont pas, dans les deux
cas
, le même rapport entre eux. Mais, si la contextur
ntôt à préparer l’arrivée d’une certaine image précise, comme dans le
cas
de la mémoire, tantôt à organiser un jeu plus ou
rolongé entre les images capables de venir s’y insérer, comme dans le
cas
de l’imagination créatrice. Il est, à l’état ouve
t de dispersion intellectuelle ? Il faudra supposer que dans certains
cas
elles se succèdent sans intention commune, et que
s cas elles se succèdent sans intention commune, et que dans d’autres
cas
, par une inexplicable chance, toutes les images s
s, mécaniquement, selon la loi générale d’association ? Mais, dans le
cas
de l’effort intellectuel, les images qui se succè
a celui de l’effort mental. Les forces qui travaillent dans les deux
cas
ne diffèrent pas simplement par l’intensité ; ell
enter la conduite. De ce qu’il y a lieu de l’ajuster ensuite à chaque
cas
spécial, il ne suit pas qu’il n’y ait aucun intér
harbon dans l’œil, causent un véritable supplice. Même, dans certains
cas
, c’est l’absence de douleur ou bien encore le pla
un autre critère pour pouvoir être reconnu ; car il faudrait, en tout
cas
, nous dire d’après quel principe on peut décider
nt elle accroît nos chances de survie. Il y a peut-être bien d’autres
cas
où le trouble causé par la maladie est insignifia
fait, la plupart d’entre eux vivent moins longtemps. Or, si, dans les
cas
de maladies purement individuelles, cette démonst
es que si la science est déjà suffisamment avancée. C’est pourtant le
cas
de nous conformer à la règle que nous avons précé
sentiellement lui-même, de revêtir des formes différentes suivant les
cas
. Or, parmi ces formes, il en est de deux sortes.
entre eux et, si elles ne se répètent pas identiquement dans tous les
cas
où elles s’observent, mais varient d’un sujet à l
les autres sont plus rares, c’est évidemment que, dans la moyenne des
cas
, les sujets qui les présentent ont plus de diffic
ire voir que le phénomène est utile à l’organisme, quoique ce soit le
cas
le plus fréquent pour les raisons que nous venons
relatives à l’état normal, seront plus immédiatement applicables aux
cas
particuliers quand elles seront accompagnées de l
de leurs raisons ; car, alors, on saura mieux reconnaître dans quels
cas
il convient de les modifier en les appliquant, et
s s’être encore définitivement fixée sous une forme nouvelle. Dans ce
cas
, le seul type normal qui soit dès à présent réali
ent l’être, puisqu’elles se sont déjà réalisées dans une multitude de
cas
; par suite, on peut savoir à chaque moment du dé
ans le présent ou si, au contraire, elles ont changé. Dans le premier
cas
, il aura le droit de traiter, le phénomène de nor
ènes normaux ou non.40 Toutefois, cette méthode ne saurait, en aucun
cas
, être substituée à la précédente, ni même être em
classer les faits en normaux et anormaux, sous la réserve de quelques
cas
exceptionnels, afin de pouvoir assigner à la phys
quelque chose d’accidentel, mais, au contraire, dérive, dans certains
cas
, de la constitution fondamentale de l’être vivant
reste ouverte aux changements nécessaires, mais encore, dans certains
cas
, il prépare directement ces changements. Non seul
s n’étaient plus en harmonie avec leurs conditions d’existence. Or le
cas
de Socrate n’est pas isolé ; il se reproduit péri
anormal, lui aussi, est une menace pour le vivant dans la moyenne des
cas
. Il est vrai qu’il n’en est pas toujours ainsi ;
les. (V. Division du travail social, p. 189-210.) 40. Dans certains
cas
, on peut procéder un peu différemment et démontre
liorer le type normal, il faut le connaître. On ne peut donc, en tout
cas
, dépasser la science qu’en s’appuyant sur elle.
nt imprimées dans ma mémoire. On emploie les mêmes mots dans les deux
cas
. S’agit-il bien de la même chose ? Le souvenir de
c’est ce que montre l’expérience journalière ; mais l’observation des
cas
pathologiques établit que l’automatisme s’étend i
ix : en cela consiste l’association des idées. Il n’y a point d’autre
cas
où la mémoire qui revoit obéisse régulièrement à
ence ne vérifie ni l’une ni l’autre de ces deux conséquences. Dans un
cas
étudié par Wilbrand 21, la malade pouvait, les ye
reconnaissance d’une perception semblable. Mais inversement, dans le
cas
étudié par Charcot 24 et devenu classique d’une é
ie. On s’en convaincra sans peine en lisant de près la relation de ce
cas
. Le sujet ne reconnaissait plus, sans doute, les
ement s’évanouir. Ce qui nous intéresse pour le moment, c’est que des
cas
se présentent où la reconnaissance n’a plus lieu,
et là, et qu’il n’arrivait pas à relier les unes aux autres. Mais les
cas
de cécité psychique complète sont rares. Beaucoup
un fait d’observation courante que l’impuissance du malade, en pareil
cas
, à saisir ce qu’on pourrait appeler le mouvement
attention. Nous touchons ici au point essentiel du débat. Dans les
cas
où la reconnaissance est attentive, c’est-à-dire
ient par là aussi le souvenir de s’actualiser. Mais, pas plus dans un
cas
que dans l’autre, une lésion cérébrale ne détruir
déposer, sommeiller et se réveiller des états intellectuels. Dans un
cas
comme dans l’autre, on méconnaît la fonction véri
nt d’application, un moyen de se prolonger en action. Dans le premier
cas
, la lésion portera sur les mécanismes qui continu
s : l’attention ne pourra plus être fixée par le sujet. Mais, dans un
cas
comme dans l’autre, ce sont des mouvements actuel
mécanismes sensori-moteurs de l’attention automatique dans le premier
cas
, sur les mécanismes imaginatifs de l’attention vo
dée, ou la perception de rejoindre le souvenir. Mais, pour le dernier
cas
au moins, la question psychologique demeure intac
m), qui paraissent impliquer une relation de ce genre. Ainsi, dans un
cas
observé par Lichtheim lui-même, le sujet, à la su
plus grande correction ce qu’on lui disait 44. D’autre part, dans des
cas
où la parole spontanée est intacte, mais où la su
’heure de certaines formes de la surdité verbale. On connaît quelques
cas
de surdité verbale avec survivance intégrale des
hème moteur » que pourrait porter la lésion. Qu’on passe en revue les
cas
, assez rares d’ailleurs, de surdité verbale avec
ant, syllabe par syllabe 56. Ce dernier fait, constaté dans plusieurs
cas
absolument nets de surdité verbale avec conservat
e serait déjà réfutée par ce simple fait qu’on ne connaît pas un seul
cas
d’aphasie motrice ayant entraîné de la surdité ve
traîner la disparition des souvenirs : plus particulièrement, dans le
cas
qui nous occupe, on pourra invoquer les lésions c
urage 59. Une émotion pourra produire le même effet 60. Toutefois des
cas
se présentent où il semble bien que ce soient des
corps, si on ne l’a pas d’abord implicitement reconnue. Dans un autre
cas
cité par le même auteur 63, le sujet avait oublié
t à peu près les mêmes vers. On assiste d’ailleurs souvent, en pareil
cas
, à une restauration intégrale des souvenirs dispa
apparence, ne doit jamais être définitif en réalité. Pas plus dans un
cas
que dans l’autre, nous ne trouvons des souvenirs
lutions temporo-sphénoïdales gauches 80, sans qu’on connaisse un seul
cas
où cette lésion ait provoqué la surdité propremen
vient cet ordre, et qu’est-ce qui assure cette coexistence ? Dans le
cas
d’un objet matériel présent, la réponse n’est pas
que actionnât directement toutes les cordes intéressées. Mais dans le
cas
de l’audition mentale, — le seul qui nous occupe,
Psychiatrie, 1893). Nous rapprocherions encore de ces phénomènes les
cas
si singuliers de surdité verbale ou le malade com
blindheit (Arch. f. Psychiatrie, 1889). 24. Relaté par BERNARD, Un
cas
de suppression brusque et isolée de la vision men
. VI, pp. 507 et 524). 52. Voir en particulier : P. SÉRIEUX, Sur un
cas
de surdité verbale pure (Revue de médecine, 1893,
ieur, Paris, 1888, p. 85 (Félix Alcan, éditeur). 56. Voir les trois
cas
cités par ARNAUD dans les Archives de Neurologie,
trib. clinique à l’étude de la surdité verbale, 2e article). — Cf. le
cas
de SCHMIDT, Gehörs- und Sprachstörung in Folge vo
sische Symptomencomplex, Breslau, 1874, p. 39. — Cf. VALENTIN, Sur un
cas
d’aphasie d’origine traumatique (Rev. médicale de
même auteur, L’automatisme psychologique, Paris, 1889. 65. Voir le
cas
de Grashey, étudié à nouveau par Sommer, et que c
NARD, De raphasie, Parts, 1889, pp. 171 et 174. 68. Graves cite le
cas
d’un malade qui avait oublié tous les noms, mais
adies de la mémoire, Paris, 1881, p. 10. 80. Voir l’énumération des
cas
les plus nets dans l’article de SHAW, The sensory
ention, nous prétendons que cette action centrifuge revêt dans chaque
cas
une forme distincte, celle même de l’« objet virt
ux domestiques existe dans une certaine mesure. On pourrait citer des
cas
où la même variété s’est reproduite sous des cond
eut voler ; et cependant il en est un certain nombre qui sont dans ce
cas
. Une espèce de Canard de l’Amérique du Sud, le Mi
ritage ; cependant Brown-Séquard a observé sur des Cochons d’Inde des
cas
d’épilepsie produits par une blessure à la moelle
e ou d’un grand usage. Pourtant, nous pourrions aisément, en quelques
cas
, attribuer au défaut d’exercice des organes des m
re une armure de poils pour le couvrir et le protéger, sont en pareil
cas
autant d’avantages. S’il en est ainsi, on conçoit
res en Angleterre. À l’égard des animaux, on pourrait citer plusieurs
cas
authentiques d’espèces qui, pendant la durée des
sexe ; entre les pieds emplumés des Pigeons et la membrane qui, en ce
cas
seulement, relie leurs doigts externes ; entre la
oi d’homologie joue son rôle ? Ce qui me ferait croire que ce dernier
cas
de corrélation n’est pas accidentel, mais l’effet
elques Géraniums de jardin un exemple de ce fait, et en même temps un
cas
frappant de corrélation : c’est que dans la fleur
perdent souvent leurs mouchetures de couleur sombre ; lorsque pareil
cas
se présente, le nectaire correspondant est complé
, que si les fruits qui les produisent s’ouvrent d’eux-mêmes. Dans ce
cas
, seulement, les plantes qui, individuellement, pr
stinée aux organes voisins84. Je soupçonne aussi que quelques-uns des
cas
de compensation organique qu’on a cités, et de mê
plus ou moins complétement sa propre coquille ou carapace. Tel est le
cas
de l’Ibla mâle ; et on l’observe chez le Protéole
plus variables que ceux qui sont plus élevés. Je présume qu’en pareil
cas
il faut regarder comme un signe d’infériorité une
it aisément qu’il doive demeurer variable : c’est-à-dire qu’en pareil
cas
la sélection naturelle protège ou rejette moins m
êtres organisés. Dans mon prochain ouvrage, je donnerai une liste des
cas
les plus remarquables parmi ceux que j’ai observé
e haute importance à cette espèce ; néanmoins il est encore en pareil
cas
éminemment sujet à varier. Et pourquoi en est-il
s, nous offrent des exemples à peu près analogues. C’est qu’en pareil
cas
la sélection naturelle n’a pu entrer en jeu, et i
changements à un grand nombre de descendants modifiés, comme c’est le
cas
pour l’aile de la Chauve-Souris, d’après ma théor
être pas plus variable que tous les autres. Ce n’est donc que dans le
cas
de modifications relativement récentes et extraor
ement capable d’agir avec une certaine puissance ; parce qu’en pareil
cas
seulement la variabilité n’aura encore été que ra
ai choisi cet exemple, parce que l’explication que donnent, en pareil
cas
, la plupart des naturalistes, n’explique rien87.
’est-à-dire le Pigeon Biset ; et nul ne doutera que ce ne soit ici un
cas
de réversion aux caractères d’un ancien progénite
un cas de réversion aux caractères d’un ancien progéniteur, et non un
cas
de variations analogues apparaissant soudain chez
riations ; mais nous aurions pu inférer que la couleur bleue était un
cas
de réversion, par le nombre des marques si caract
organes chez des espèces alliées. J’ai recueilli une longue liste de
cas
semblables ; mais ici, comme autre part, j’ai le
donner à l’appui de mes opinions. Je ne puis qu’affirmer que de tels
cas
se présentent certainement et avec de remarquable
ue et en partie à l’état sauvage. Il y a toute apparence que c’est un
cas
de réversion. On remarque assez fréquemment sur l
talon arabe noir, on vit se reproduire les mêmes caractères. Un autre
cas
des plus remarquables, c’est un hybride provenant
lusieurs espèces trèsdistinctes. Or, qu’avons-nous observé, en pareil
cas
, chez les diverses races de Pigeons ? C’est qu’el
et qu’elles ont toutes été douées d’une forte tendance à produire, en
cas
de croisements avec des espèces habitant des cont
concernant les lois de la nature est encore profonde. Il n’est pas un
cas
sur cent où nous puissions dire pour quelles rais
car le procédé de variation va se continuant lentement et, en pareil
cas
, la sélection naturelle n’a pas encore eu le temp
me presque monstrueuses. La sélection naturelle doit donc avoir en ce
cas
plus à détruire qu’à accumuler ; et il me semble
ion devient une tendance à produire des variations analogues. En tout
cas
on peut dire que toute variation qui se produit c
oucher, les sensations musculaires. — Paralysies où elles manquent. —
Cas
pathologiques. — Second groupe des sensations du
leur serait renversée. — C’est ce que l’on observe en étudiant divers
cas
de maladie ou d’infirmité congénitale, et la théo
, on perd pour plusieurs heures la sensation du violet. Dans tous ces
cas
, non seulement une sensation principale manque, m
on lui ôte ces causes d’impureté et d’affaiblissement. Or, il est un
cas
où on peut les lui ôter : c’est lorsqu’on a émous
ou un violet plus intenses que ceux du spectre ; ce qui arrive. En ce
cas
, qui est unique, nous parvenons à isoler une de n
tion du blanc ou des couleurs blanchâtres. Ce qui arrive en plusieurs
cas
; d’abord lorsque tous les rayons du spectre, ras
raire des trois sensations élémentaires excitées par le second. En ce
cas
, les deux couleurs spectrales produites par les d
son, les vibrations se succèdent assez lentement pour qu’en certains
cas
nous puissions distinguer la sensation élémentair
our produire une sensation perceptible encore à la conscience ; en ce
cas
, la plus courte sensation de lumière perceptible
n minimum et d’intermédiaires. — Sans pousser l’induction si loin, le
cas
de l’étincelle électrique montre que la sensation
a faim et désagréable pendant une indigestion ; probablement, dans ce
cas
, il y a d’autres nerfs profonds du canal alimenta
s nerfs de contact et de douleur. — Je pense aussi que dans plusieurs
cas
, par exemple lorsqu’on respire de l’alcool, une f
quantité de sensations d’une autre espèce. — D’abord, en beaucoup de
cas
, comme l’arrière-bouche communique avec le nez, l
vanille, l’autre avec du café, etc. ; vous ne percevrez dans tous les
cas
qu’une saveur douce et sucrée, sans pouvoir jamai
s sensations de saveur proprement dites se compliquent en beaucoup de
cas
d’une sensation différente, tantôt agréable et at
tome d’une autre espèce, passe à un autre état d’équilibre ; qu’en ce
cas
les atomes quittent leurs positions respectives p
e l’action du nerf optique, sauf cette différence que, dans le second
cas
, le type et les éléments de l’antécédent sont con
nt elle ne sait que l’effet final. — Mais, visiblement, dans les deux
cas
le problème et la solution sont semblables. Dans
tèmes semblables de mouvements atomiques. Par suite, grâce au premier
cas
, nous pouvons, jusqu’à un certain point, nous rep
et, d’autre part, le son plus ou moins intense et aigu. Dans les deux
cas
, l’antécédent extérieur est le même ; mais les se
’élément dont la répétition constitue tel événement extérieur ; en ce
cas
, la sensation élémentaire transcrit, une à une, a
re aboli isolément, les deux autres étant conservés101. — En certains
cas
, la sensation de douleur est seule abolie. Les ma
la condition peut être un état spécial du même nerf, ce qui semble le
cas
dans l’expérience où le genou refroidi devient ex
et à travers lesquelles l’excitant extérieur agit sur le nerf ; en ce
cas
, le même nerf, soumis au même excitant extérieur,
qu’il agissait sur le nerf cubital, la sensation de douleur. C’est le
cas
pour certains malades. À ce sujet M. Axenfeld m’é
; la sensation de pression sera abolie isolément. Ainsi dans tous les
cas
, ce qui s’éveille en nous, c’est un type spécial
l’ouïe ou de la vue, elles peuvent se réduire à un type unique. En ce
cas
, il n’y aurait qu’une sensation élémentaire capab
mholtz.) 82. Mathias Duval, Structure et usages de la rétine, p. 16,
cas
d’une femme qui voit différemment des deux yeux.
ction musculaire ; du côté gauche, c’est l’inverse. (Voir surtout les
cas
cités aux pages 238 et 582.) — D’après cette théo
ut être comparé à une vibration, ou mouvement de va-et-vient. En tout
cas
, il s’agit d’un ordre de positions qui s’altère,
liant le sujet avec le prédicat était la préposition contenue dans le
cas
oblique de l’affixe pronominal. III Après c
m particulier plus que des suites d’idées d’une autre classe… Dans le
cas
de l’avocat, la suite d’idées amène à une décisio
source de plaisirs selon que le but est ou n’est pas atteint. Mais le
cas
du poëte est complètement différent. Sa suite d’i
Quel est cet élément additionnel ? Remarquons d’abord qu’il y a deux
cas
dans la mémoire : le cas où nous nous rappelons d
itionnel ? Remarquons d’abord qu’il y a deux cas dans la mémoire : le
cas
où nous nous rappelons des sensations, le cas où
as dans la mémoire : le cas où nous nous rappelons des sensations, le
cas
où nous nous rappelons des idées. Je me souviens
fois, les Chambres françaises : mémoire d’idées. Dans l’un et l’autre
cas
, la reconnaissance du souvenir, comme appartenant
dans le terme croyance, tout comme une partie du jugement. Les divers
cas
de croyance peuvent se classer sous trois titres
ns par la croyance qui a pour objet un fait présent. Voici un premier
cas
: c’est celui où le fait est actuellement et immé
tion comme constant, nous dirons qu’A est cause de B. Voici un second
cas
: c’est celui où le fait n’est pas actuellement p
qui équivaut à dire, à rien du tout — le terme instinct dans tous les
cas
ne signifiant que notre ignorance — ils ne montre
la même chose, avec cette différence qu’il y a rétrospection dans un
cas
et anticipation dans l’autre. » Qu’est-ce que cet
demain, mais que vous l’avez d’une manière inséparable. Or c’est à ce
cas
d’association d’idées indissoluble, et à aucune a
, l’autre plus d’extension : L’homme est un animal. » Dans le premier
cas
, l’équivalence des deux mots est reconnue par l’a
s’associent comme marques à un même groupe d’idées. Dans le deuxième
cas
, l’association est plus complexe, voilà toute la
science est moins avancée et plus hésitante dans sa marche. C’est le
cas
en psychologie, et il n’y a point de témérité à d
nfond toute science avec la science exacte. Mais on peut concevoir un
cas
intermédiaire entre la perfection de la science e
une observation exacte ou même qui ne le sont pas du tout. En pareil
cas
, nous pourrons rendre compte de la partie princip
ènes mentaux pour pouvoir prédire sa conduite dans un grand nombre de
cas
. Mais, en fait, nous n’avons jamais toutes les do
tous les data, ni des data exactement semblables dans les différents
cas
, nous ne pourrions ni faire sûrement des prédicti
a conscience, soit grâce à la mémoire, par voie directe dans les deux
cas
et non pas (comme cela arrive pour ce que nous av
théories de l’esprit un peu compréhensives peuvent être taxées, en ce
cas
, de matérialisme. Nous ne saurons probablement ja
tain sens le développement des états inférieurs. » Mais dans d’autres
cas
semblables, comme le fait remarquer finement l’au
ssence intime des faits complexes, que l’examen des exceptions et des
cas
rares. Les enfants, les jeunes animaux, les perso
i nous tenions, en un mot, l’essentiel et l’accidentel, comme dans le
cas
des marées, cité plus haut par M. Mill ; si nous
générales et embrassent trop peu de circonstances, pour expliquer les
cas
individuels. M. Stuart Mill montre fort clairemen
angeons nous-mêmes, à fortiori ne pouvons-nous les connaître dans les
cas
qui échappent à notre contrôle. Nous ne pouvons f
sation. — Elle provoque le même travail hallucinatoire. — Exemples. —
Cas
où ce travail aboutit. — Observations de M. Maury
notisme et somnambulisme. — Expériences de Braid sur la suggestion. —
Cas
cité par Carpenter. — Expériences du Dr Tuke. — P
rbure du bâton, c’est le chagrin de la femme. Cherchons maintenant un
cas
où l’antécédent soit l’objet lui-même ; c’est ce
es spectacles optiques ; supprimez les rayons lumineux, ce qui est le
cas
pour les images consécutives que l’on voit les ye
rception extérieure, avec cette seule différence que, dans le premier
cas
, la main, tout autre sens, tout autre observateur
tif, le confirmera ; ce que nous exprimons en disant, dans le premier
cas
, que l’objet n’est qu’apparent, et, dans le secon
ans le premier cas, que l’objet n’est qu’apparent, et, dans le second
cas
, qu’il est réel. Il est aisé de voir que cette an
s, des voitures, des trottoirs et des passants. Seulement, dans notre
cas
, des objets et des événements extérieurs, indépen
des autres observateurs, correspondent à nos fantômes ; et, dans son
cas
, cette correspondance manque. — Ainsi notre perce
mi. Écartons les obstacles qui l’empêchent de se parfaire. Prenons le
cas
des images qui nous viennent au moment où finit l
el, le travail hallucinatoire devient plus visible encore. Tel est le
cas
de l’hypnotisme et du somnambulisme. Dans cet éta
dans le cours de ses idées, elles ne faisaient aucune impression… Le
cas
bien connu de l’officier dont parle le docteur Ja
t il en demanda d’autre tout en buvant avec avidité. — Dans un second
cas
, J. K…, étant dans le même état anormal, fut invi
moins celles que nous avons sont singulièrement émoussées, et en tout
cas
elles sont nulles pour nous. Elles cessent toutes
quelque débris plus ou moins vague d’une image analogue, et, en tout
cas
, l’image de son nom, c’est-à-dire des sensations
érée par rapport aux choses, tantôt elle leur correspond, et, dans ce
cas
, elle constitue la perception extérieure normale
n extérieure normale ; tantôt elle ne leur correspond pas, et dans ce
cas
, qui est celui du rêve, du somnambulisme, de l’hy
plète ou achevée dans son développement : ce qui arrive dans les deux
cas
précédents ; tantôt elle est réprimée et demeure
cédents ; tantôt elle est réprimée et demeure rudimentaire : c’est le
cas
des idées, conceptions, représentations, souvenir
a faculté bovaryque, tandis qu’ils repoussaient dans l’ombre tous les
cas
où le pouvoir de se concevoir autre emporte avec
roduit sur lequel il convient d’attirer spécialement l’attention ; le
cas
pathologique, aperçu le premier avait été défini
lé que s’il est aisé de classer dans le domaine de la pathologie tels
cas
extrêmes où la conception différente qu’un être s
absolue à se réaliser, il est un nombre beaucoup plus grand d’autres
cas
où il est fort difficile de discerner, si l’acte,
st de nature à augmenter ou à diminuer sa puissance. Or dans tous ces
cas
, ce que l’esprit distingue toujours avec netteté,
donc en son essence ainsi qu’un appareil de mouvement. Dans tous les
cas
pathologiques qui furent tout d’abord énoncés, ce
animée déjà la réalité à laquelle il tentait de s’appliquer. Dans les
cas
normaux où il sera maintenant considéré, il va au
qu’il a été considéré naguère, et qu’on en a fait l’application à un
cas
de littérature, en une étude consacrée aux Goncou
l survive & sa nécessité. Du fait de cette constatation, tous les
cas
défavorables signalés dans la première partie de
apparaîtra, en effet, bien faible, de ses conséquences funestes, des
cas
où il est accompagné d’une impuissance, de ceux o
ous les êtres de même nature, qui subissent une évolution normale. En
cas
de conflit, il lui faut disparaître. Se conçoit-i
ut pour former une réalité et la développer. Toutefois entre les deux
cas
extrêmes que l’on vient de signaler, c’est-à-dire
fixes et d’instruments de précision, dont l’extrême multiplicité des
cas
défie l’application. Il semble pourtant possible
ance majeure. On voit de suite que son intervention va, dans certains
cas
, faire obstacle à ce que le principe posé par la
i en diffèrent par leur aspect général. M. Arnaud a décrit en 1896 un
cas
remarquable qu’il étudiait depuis trois ans déjà
sse reconnaissance, s’imaginant revivre à nouveau toute sa vie 14. Ce
cas
n’est d’ailleurs pas unique ; nous croyons qu’il
st d’ailleurs pas unique ; nous croyons qu’il faut le rapprocher d’un
cas
déjà ancien de Pick 15, d’une observation de Krae
nnaissance un état nettement pathologique, relativement rare, en tout
cas
vague et indistinct, où l’on se serait trop hâté
omment se crée plus spécialement le sentiment du « déjà vu » dans les
cas
— fort nombreux, croyons-nous — où il y a affirma
rêve mais toujours à l’inconscient, d’après Grasset 29. Dans tous les
cas
, qu’il s’agisse du souvenir d’une chose vue ou du
uisait deux perceptions simultanées, dont l’une pouvait dans certains
cas
être en retard sur l’autre et, en raison de sa pl
ant pour le raviver. Ensuite il faut remarquer qu’on se dit en pareil
cas
« J’ai vu cette personne quelque part » ; on ne s
régulièrement par lui. Il arrivera précisément ce qui arrive dans les
cas
où, après bien des années, nous voyons de nouveau
ais que nous avons depuis longtemps oubliés… Or si, dans ces derniers
cas
, nous avons appris à interpréter la plus faible p
aux mêmes objets que ceux d’à présent, on devine que, dans les autres
cas
aussi, dans les cas où, par suite d’une diminutio
ceux d’à présent, on devine que, dans les autres cas aussi, dans les
cas
où, par suite d’une diminution de l’énergie psych
ue de s’exprimer, et qu’il faudrait indiquer avec précision, dans des
cas
où rien de visible n’a disparu de la conscience,
une autre qui intéresse leur solidité ou leur poids. Dans le premier
cas
, la maladie élimine purement et simplement certai
araît, finit quand il disparaît, et qu’on peut bien désigner, dans ce
cas
au moins, un moment précis où le souvenir remplac
e radicalement de cette perception même : le souvenir devrait en tout
cas
, leur semble-t-il, être exprimable en termes de p
trouve actuellement. Mais remarquons qu’il s’agit toujours, en pareil
cas
, de situations semblables et non pas de situation
s d’autres voisins, j’arrivais avec d’autres préoccupations ; en tout
cas
je ne pouvais pas être alors ce que je suis aujou
ouvenir demeure ordinairement caché, et comment il se révèle dans des
cas
extraordinaires. D’une manière générale, en droit
intenir, tout le reste du temps, en contact avec la réalité. Certains
cas
très nets de fausse reconnaissance confirmeraient
le transparaît son essence. 12. Le mot a été créé par M. Dugas (Un
cas
de dépersonnalisation, Revue philos., vol. XLV, 1
usion de fausse reconnaissance. Paris, 1898, p. 176. 14. Arnaud, Un
cas
d’illusion de « déjà vu », Annales médico-psychol
lleurs qu’une partie de la thèse de M. Bourdon. 26. BÉLUGOU, Sur un
cas
de paramnésie, Rev, philos., vol. LXIV, 1907, pp.
soin d’ajouter qu’ils ne la proposaient que pour un certain nombre de
Cas
(RIBOT, Les maladies de la mémoire, 1881, p. 150
nésies, Rev. philos., vol. XXXVI, 1893, pp. 485-497. 40. ARNAUD, Un
cas
d’illusion du « déjà vu » ou de « fausse mémoire
on a expliqué la « dépersonnalisation ». Voir, à ce sujet, DUGAS, Un
cas
de dépersonnalisation, Rev. philos., vol. XLV, 18
II. Très fréquemment, ce groupe n’est pas évoqué. — Exemples. — En ce
cas
, le nom devient le substitut du groupe. IV. Autre
à l’odeur d’un objet, ils le mangent ou le laissent. — Dans tous ces
cas
, une expérience présente suggère l’idée d’une aut
et le second terme de ce couple est si précise qu’en cent millions de
cas
et pour deux millions d’hommes le premier terme a
ait ; il fait leur office et il est leur substitut. IV Dans ce
cas
, comme dans celui de tous les noms propres ordina
cond membre du couple est graduel et involontaire. Cherchons un autre
cas
où la suppression soit subite et voulue ; le lect
opérations comme la précédente, je puis remarquer que, dans tous les
cas
semblables, la proportion s’écrit de la même faço
ar C, et j’écris la proportion suivante : Et je vois que dans tout
cas
semblable, pour savoir l’ouvrage total, il me suf
is de diviser le produit par le nombre de ces premiers. Au lieu de ce
cas
si réduit, considérez le travail d’un algébriste
démontrer qu’un phénomène est cause d’un autre, c’est de comparer les
cas
où ils sont simultanément présents ou absents et
damental de la proportionnalité entre la cause et l’effet ? Quant aux
cas
que l’on cite et où l’on prétend observer une plu
les phénomènes sociaux sont beaucoup trop complexes pour que, dans un
cas
donné, on puisse exactement retrancher l’effet de
oncordance et celle de différence. Elles supposent, en effet, que les
cas
comparés ou concordent en un seul point ou diffèr
biologiques s’en rapprochent assez pour que, dans un grand nombre de
cas
, la démonstration puisse être regardée comme prat
x phénomènes, pourvu qu’il ait été établi dans un nombre suffisant de
cas
suffisamment variés, est la preuve qu’il existe e
e l’autre, il faut maintenir ce rapport alors même que, dans certains
cas
, l’un de ces phénomènes se présenterait sans l’au
es faits suffisent. Dès qu’on a prouvé que, dans un certain nombre de
cas
, deux phénomènes varient l’un comme l’autre, on p
e de faire voir par des exemples plus ou moins nombreux que, dans des
cas
épars, les faits ont varié comme le veut l’hypoth
ais la manière dont doivent être formées ces séries diffère selon les
cas
. Elles peuvent comprendre des faits empruntés ou
est pas partout la même ; elle est plus ou moins accusée, suivant les
cas
. On aura ainsi une nouvelle série de variations q
ique, 11, 478. 84. Division du travail social, p. 87. 85. Dans le
cas
de la méthode de différence, l’absence de la caus
ser une idée, à démêler un principe, à le retrouver sous une foule de
cas
différents, à réfuter, à distinguer, à argumenter
rases pourront désigner les faits qui correspondent à un mot. Dans ce
cas
, la définition peut se faire, parce qu’on peut to
ue le particulier est contenu dans le général. La seconde n’est qu’un
cas
de la première ; sa vérité est enfermée par avanc
, mais du particulier au particulier. « L’esprit ne va jamais que des
cas
observés aux cas non observés, avec ou sans formu
lier au particulier. « L’esprit ne va jamais que des cas observés aux
cas
non observés, avec ou sans formules commémorative
ela dépend de la structure de notre esprit. Il se peut qu’en certains
cas
il puisse démentir son expérience, et qu’en certa
qu’en certains autres il ne le puisse pas. Il se peut qu’en certains
cas
la conception diffère de la perception, et qu’en
u’en certains autres elle n’en diffère pas. Il se peut qu’en certains
cas
la vue extérieure s’oppose à la vue intérieure, e
. Et cependant votre expérience de la chose est la même dans les deux
cas
; vous n’avez jamais vu que des cygnes blancs, co
s besoin de l’expérience pour nous apprendre à quel degré, dans quels
cas
, dans quelles sortes de cas, nous pouvons nous fi
r nous apprendre à quel degré, dans quels cas, dans quelles sortes de
cas
, nous pouvons nous fier à l’expérience. L’expérie
, toujours le couple est entouré de circonstances, on assemble divers
cas
qui, par leur diversité, permettent à l’esprit de
un long froid arrive un dégel tiède et humide. — Comparant tous ces
cas
, nous trouvons qu’ils contiennent tous le phénomè
ouvons qu’ils contiennent tous le phénomène en question. Or, tous ces
cas
s’accordent en un point, à savoir que l’objet qui
st plus froid que l’air qui le touche. Cela arrive-t-il aussi dans le
cas
de la rosée nocturne ? Est-ce un fait que l’objet
issante : nous devons varier les circonstances, nous devons noter les
cas
où la rosée manque ; car une des conditions néces
saires pour appliquer la méthode de différence, c’est de comparer des
cas
où le phénomène se rencontre avec d’autres où il
lis, tandis qu’elle se dépose très-abondamment sur le verre. Voilà un
cas
où l’effet se produit, et un autre où il ne se pr
a seule méthode possible, celle des variations concomitantes. Dans le
cas
des métaux polis et du verre poli, le contraste m
pendant que leur surface extérieure est très-froide1504. « Ainsi les
cas
très-variés dans lesquels beaucoup de rosée se dé
t qu’elle ne peut lui être restituée par le dedans. Au contraire, les
cas
très-variés dans lesquels la rosée manque ou est
uctive a l’avantage de rendre compte des exceptions, c’est-à-dire des
cas
où, ce corps étant plus froid que l’air, il ne se
froidissant la surface de n’importe quel corps, atteindre en tous les
cas
une température à laquelle la rosée commence à se
s capables de vérifier le résultat, même sur cette grande échelle. Le
cas
est un de ces cas rares où la nature fait l’expér
fier le résultat, même sur cette grande échelle. Le cas est un de ces
cas
rares où la nature fait l’expérience pour nous de
tant que la retraite des nuages refroidira la surface. Ainsi, dans ce
cas
, la nature ayant produit un changement dans l’ant
ersonne, mieux que Mill, n’a montré leur enchaînement. En beaucoup de
cas
les procédés d’isolement sont impuissants, et ces
En beaucoup de cas les procédés d’isolement sont impuissants, et ces
cas
sont ceux où l’effet, étant produit par un concou
uire. Et cette difficulté si grave se rencontre dans presque tous les
cas
du mouvement, car presque tout mouvement est l’ef
ssité en elle-même ; elle tire toute son autorité du grand nombre des
cas
où on l’a reconnue vraie ; elle ne fait que résum
, mais ils ne sont pas la cause. Ce n’est pas assez d’additionner les
cas
, il faut en retirer la loi. Ce n’est pas assez d’
’existent en soi. Ce sont des portions de phénomènes, des extraits de
cas
complexes, des éléments simples enfermés dans des
et je finis ainsi par le mettre à nu. J’ai l’air de considérer vingt
cas
différents, et dans le fonds, je n’en considère q
maines. Ils ont torturé leurs formules universelles pour en tirer des
cas
tout particuliers ; ils ont pris des suites indir
universel. IX Nous sortîmes. Comme il arrive toujours en pareil
cas
, chacun des deux avait fait réfléchir l’autre, et
de concordance : sa règle fondamentale est que « si deux ou plusieurs
cas
du phénomène en question n’ont qu’une circonstanc
que, il cesse de respirer. La suffocation se rencontre dans le second
cas
, elle ne se rencontre pas dans le premier ; du re
nd cas, elle ne se rencontre pas dans le premier ; du reste, les deux
cas
, sont aussi semblables que possible, puisqu’il s’
e de la méthode de différence ; sa règle fondamentale est que « si un
cas
où le phénomène en question se rencontre et un ca
le est que « si un cas où le phénomène en question se rencontre et un
cas
où il ne se rencontre pas ont toutes leurs circon
ence du second. Or cette suppression est, dans l’un et l’autre de ces
cas
, matériellement impossible. Alors nous employons
t point lié au phénomène par une loi. » La méthode des résidus est un
cas
de la méthode de différence ; la méthode des vari
différence ; la méthode des variations concomitantes en est un autre
cas
, avec cette distinction qu’elle opère, non sur le
ser une idée, à démêler un principe, à le retrouver sous une foule de
cas
différents, à réfuter, à distinguer, à argumenter
rases pourront désigner les faits qui correspondent à un mot. Dans ce
cas
, la définition peut se faire, parce qu’on peut to
ue le particulier est contenu dans le général. La seconde n’est qu’un
cas
de la première ; sa vérité est enfermée par avanc
, mais du particulier au particulier. « L’esprit ne va jamais que des
cas
observés aux cas non observés, avec ou sans formu
lier au particulier. « L’esprit ne va jamais que des cas observés aux
cas
non observés, avec ou sans formules commémorative
ela dépend de la structure de notre esprit. Il se peut qu’en certains
cas
il puisse démentir son expérience, et qu’en certa
qu’en certains autres il ne le puisse pas. Il se peut qu’en certains
cas
la conception diffère de la perception, et qu’en
u’en certains autres elle n’en diffère pas. Il se peut qu’en certains
cas
la vue extérieure s’oppose à la vue intérieure, e
. Et cependant votre expérience de la chose est la même dans les deux
cas
; vous n’avez jamais vu que des cygnes blancs, co
s besoin de l’expérience pour nous apprendre à quel degré, dans quels
cas
, dans quelles sortes de cas, nous pouvons nous fi
r nous apprendre à quel degré, dans quels cas, dans quelles sortes de
cas
, nous pouvons nous fier à l’expérience. L’expérie
, toujours le couple est entouré de circonstances, on assemble divers
cas
qui, par leur diversité, permettent à l’esprit de
s un long froid arrive un dégel tiède et humide. — Comparant tous ces
cas
, nous trouvons qu’ils contiennent tous le phénomè
ouvons qu’ils contiennent tous le phénomène en question. Or, tous ces
cas
s’accordent en un point, à savoir, que l’objet qu
st plus froid que l’air qui le touche. Cela arrive-t-il aussi dans le
cas
de la rosée nocturne ? Est-ce un fait que l’objet
issante : nous devons varier les circonstances, nous devons noter les
cas
où la rosée manque ; car une des conditions néces
saires pour appliquer la méthode de différence, c’est de comparer des
cas
où le phénomène se rencontre avec d’autres où il
lis, tandis qu’elle se dépose très-abondamment sur le verre. Voilà un
cas
où l’effet se produit, et un autre où il ne se pr
a seule méthode possible, celle des variations concomitantes. Dans le
cas
des métaux polis et du verre poli, le contraste m
ude, pendant que leur surface extérieure est très-froide33. Ainsi les
cas
très-variés dans lesquels beaucoup de rosée se dé
t qu’elle ne peut lui être restituée par le dedans. Au contraire, les
cas
très-variés dans lesquels la rosée manque ou est
uctive a l’avantage de rendre compte des exceptions, c’est-à-dire des
cas
où, ce corps étant plus froid que l’air, il ne se
froidissant la surface de n’importe quel corps, atteindre en tous les
cas
une température à laquelle la rosée commence à se
s capables de vérifier le résultat, même sur cette grande échelle. Le
cas
est un de ces cas rares où la nature fait l’expér
fier le résultat, même sur cette grande échelle. Le cas est un de ces
cas
rares où la nature fait l’expérience pour nous de
tant que la retraite des nuages refroidira la surface. Ainsi, dans ce
cas
, la nature ayant produit un changement dans l’ant
it plus rigoureux. Sans doute ces procédés d’isolement en beaucoup de
cas
sont impuissants, et ces cas sont ceux où l’effet
ces procédés d’isolement en beaucoup de cas sont impuissants, et ces
cas
sont ceux où l’effet, étant produit par un concou
uire. Et cette difficulté si grave se rencontre dans presque tous les
cas
du mouvement, car presque tout mouvement est l’ef
ssité en elle-même ; elle tire toute son autorité du grand nombre des
cas
où on l’a reconnue vraie ; elle ne fait que résum
, mais ils ne sont pas la cause. Ce n’est pas assez d’additionner les
cas
, il faut en retirer la loi. Ce n’est pas assez d’
’existent en soi. Ce sont des portions de phénomènes, des extraits de
cas
complexes, des éléments simples enfermés dans des
et je finis ainsi par le mettre à nu. J’ai l’air de considérer vingt
cas
différents, et dans le fond je n’en considère qu’
maines. Ils ont torturé leurs formules universelles pour en tirer des
cas
tout particuliers ; ils ont pris des suites indir
universel. IX Nous sortîmes. Comme il arrive toujours en pareil
cas
, chacun des deux avait fait réfléchir l’autre, et
de concordance : sa règle fondamentale est que « si deux ou plusieurs
cas
du phénomène en question n’ont qu’une circonstanc
que, il cesse de respirer. La suffocation se rencontre dans le second
cas
, elle ne se rencontre pas dans le premier ; du re
ond cas, elle ne se rencontre pas dans le premier ; du reste les deux
cas
sont aussi semblables que possible, puisqu’il s’a
e de la méthode de différence ; sa règle fondamentale est que « si un
cas
où le phénomène en question se rencontre et un ca
le est que « si un cas où le phénomène en question se rencontre et un
cas
où il ne se rencontre pas ont toutes leurs circon
ence du second. Or cette suppression est, dans l’un et l’autre de ces
cas
, matériellement impossible. Alors nous employons
t point lié au phénomène par une loi. » La méthode des résidus est un
cas
de la méthode de différence ; la méthode des vari
différence ; la méthode des variations concomitantes en est un autre
cas
, avec cette distinction qu’elle opère, non sur le
is, à savoir : des modifications inconscientes des nerfs84. » Dans le
cas
du soldat blessé pendant la bataille et que le fe
out subjectivement, les autres surtout objectivement. Dans le premier
cas
, nous les considérons principalement dans leur ra
ents et, par conséquent, au sujet qui en est la somme. Dans le second
cas
, nous les considérons principalement dans leur ra
s. Ses déclarations et interprétations seraient décisives. Mais si le
cas
ne s’est pas rencontré, nous en avons un analogue
mplexe est le résultat de plusieurs causes, il peut se présenter deux
cas
principaux : celui des lois mécaniques, celui des
cipaux : celui des lois mécaniques, celui des lois chimiques. Dans le
cas
de la mécanique, chaque cause se retrouve dans l’
iscerner tous ces sentiments dans notre idée. Il se présente donc des
cas
de chimie mentale où il est plus exact de dire qu
niformes que possible qui ne sont pas pour cela considérées comme des
cas
de causalité : ainsi la nuit succède invariableme
invariablement et inconditionnellement le conséquent. Mais dire qu’un
cas
de succession est nécessaire, inconditionnel, en
mouvement sans contact. L’inconcevabilité de la négative n’est qu’un
cas
d’association inséparable. Nous éprouvons la plus
général. « Le procédé inductif est essentiellement une recherche des
cas
de causation. Si nous pouvions déterminer exactem
mémorandum, une « condensation » d’une foule d’inférences tirées des
cas
particuliers. « On peut raisonner sans elles, et
iers. « On peut raisonner sans elles, et c’est ce qu’on fait dans les
cas
les plus simples ; elles ne sont nécessaires que
l y en a d’autres qui, tout en étant aussi bien que les premières des
cas
de causation, ne sont pas dites nécessaires, comm
nécessitariens111. » Ce n’est pas d’ailleurs que M. Mill fasse grand
cas
de la preuve si souvent tirée de la conscience de
lus faibles que ma tentation ? Si je choisis de m’abstenir, dans quel
cas
ai-je conscience que j’aurais pu choisir de comme
je conscience que j’aurais pu choisir de commettre le crime ? Dans le
cas
où mon désir d’assassiner aurait été plus foi t q
r appris à raisonner, il serait facile d’opposer à ces exceptions les
cas
innombrables où l’ignorance de la logique, l’empl
e l’enquête préliminaire à toute opération logique. — Dans le premier
cas
(les documents ont déjà subi une élaboration), il
vérifier si la critique en a été correctement faite ; dans le second
cas
des matériaux sont à l’état brut, il faut les cri
aux sont à l’état brut, il faut les critiquer soi-même. Dans les deux
cas
, certaines connaissances positives, préalables et
logique : c’est une description ou une relation écrites. — Le premier
cas
est beaucoup plus simple que le second. Il existe
ses corrections, la reproduction du texte original est, même dans ce
cas
très favorable, imparfaite. Il n’est pas rare que
est impossible d’envoyer à l’imprimerie le manuscrit autographe ? Le
cas
s’est présenté pour les Mémoires d’outre-tombe de
avec les originaux. Les garanties d’exactitude sont moindres dans ce
cas
que dans le cas précédent ; car entre l’original
aux. Les garanties d’exactitude sont moindres dans ce cas que dans le
cas
précédent ; car entre l’original et la reproducti
ent procède-t-on pour en établir le meilleur texte possible ? — Trois
cas
sont à considérer. a. Le cas le plus simple est c
lir le meilleur texte possible ? — Trois cas sont à considérer. a. Le
cas
le plus simple est celui où l’on possède l’origin
amais de distractions sont rares, même parmi les érudits. b. Deuxième
cas
. — L’original est perdu ; on n’en connaît qu’une
’omission de plusieurs lignes, par exemple) sont irréparables dans le
cas
, qui nous occupe, d’une copie unique. Mais la plu
manuscrit, ou des manuscrits, du texte restitué par eux. c. Troisième
cas
. — On connaît plusieurs copies, qui diffèrent, d’
us régulièrement à la comparaison des copies. — Le but, comme dans le
cas
précédent, est de reconstituer, autant que possib
mme eux, de nos jours, les novices, ont eu et ont à lutter, en pareil
cas
, contre un premier mouvement, qui est détestable
nt extrêmement laborieuse, ou même impraticable. D’ailleurs, dans ces
cas
extrêmes, la méthode ne change point : la compara
e part, l’application des méthodes rationnelles entraîne, en certains
cas
, une dépense formidable de temps et de travail :
toute indication d’origine. Les procédés sont les mêmes dans les deux
cas
, qu’il n’est pas nécessaire, par conséquent, de d
nne à penser qu’il est moderne . II. Nous avons envisagé jusqu’ici le
cas
le plus simple, où le document considéré est l’ou
ue tout est flou, on n’aperçoit pas bien les points de suture ; en ce
cas
il est plus sage de l’avouer que de multiplier le
restitution des textes, dont il a été parlé plus haut. Dans les deux
cas
, en effet, on procède en partant de ce principe q
nts sont apparentés, leurs relations mutuelles sont déjà, en certains
cas
, plus difficiles à spécifier. Soient A, B et C. S
pendantes. Lorsque B et C dépendent l’un de l’autre, on est ramené au
cas
le plus simple, celui du paragraphe précédent. Ma
isent et s’obscurcissent. — Bien autrement compliqués encore sont les
cas
où l’on est en présence de quatre, cinq documents
n d’espèces et que la prétention de formuler des règles pour tous les
cas
ne serait pas raisonnable. Mais voici quelques ob
nable. Mais voici quelques observations générales. II. Distinguons le
cas
de l’historien qui classe des documents vérifiés
possible. — Il n’y a qu’une difficulté, toute pratique. Même dans les
cas
les plus favorables, quelques documents ont perdu
n tête de chaque fiche, inscrire, s’il y a lieu, la date, et, en tout
cas
, une rubrique103 ; multiplier les cross-reference
que soit la partie de l’histoire que l’on se propose d’étudier, trois
cas
seulement peuvent se présenter. Ou bien les sourc
vaux de critique externe auront été accomplis. Dans les deux premiers
cas
, la question de l’opportunité d’une division du t
adie de l’inexactitude », dont l’historien anglais Froude présente un
cas
très célèbre, vraiment typique. J. A. Froude étai
t si amers pour les sujets qui n’ont pas ces dispositons, et, dans ce
cas
, les résultats obtenus sont si peu en rapport ave
à des méprises. C’est l’application des procédés de la critique à des
cas
qui n’en sont pas justiciables. L’hypercritique e
ur qu’il soit inattaquable, car il serait aussitôt, ou, dans tous les
cas
, à brève échéance, attaqué et démoli. Des naïfs,
s dont la langue et la façon de penser nous sont familières, dans les
cas
où une seule interprétation est possible. Elle de
eur du document et qu’il l’a apprise dans des écrits, — ce qui est le
cas
des textes latins du bas moyen âge, — il faut pre
le figure de langage (métaphore, hyperbole, litote)143. Dans tous ces
cas
il faut, à travers le sens littéral, percer jusqu
ments officiels, les chartes et les récits historiques. Dans tous les
cas
la forme générale du document permet de présumer
devaient comprendre ses symboles et ses figures de langage. C’est le
cas
des textes religieux, des lettres privées et de t
squ’elle persiste malgré l’expérience quotidienne qui nous montre des
cas
innombrables d’erreur et de mensonge. La pratique
e vraie. Il se peut que l’affirmation d’un auteur soit, dans certains
cas
, une raison suffisante ; mais on ne le sait pas d
s et vicier les résultats. Mais on n’obtiendra ainsi, — même dans les
cas
exceptionnellement favorables où les conditions d
ils devront se trouver dans chaque cas particulier. On sait dans quel
cas
l’homme en général est enclin à altérer volontair
d’examiner pour chaque affirmation si elle s’est produite dans un des
cas
où l’on peut s’attendre, suivant les habitudes no
ntions qui en général peuvent entraîner un auteur à mentir. Voici les
cas
les plus importants. 1er cas. L’auteur cherche à
entraîner un auteur à mentir. Voici les cas les plus importants. 1er
cas
. L’auteur cherche à se procurer un avantage prati
ment faux : on dit alors que l’auteur a un intérêt à mentir. C’est le
cas
de la plupart des actes officiels. Même dans les
auquel il s’intéressait le plus et pour lequel il aura travaillé. 2e
cas
. L’auteur a été placé dans une situation qui le f
été réellement présent à l’heure où l’acte mentionne sa présence. 3e
cas
. L’auteur a eu une sympathie ou une antipathie po
les historiens de protester qu’ils avaient évité l’un et l’autre. 4e
cas
. L’auteur a été entraîné par la vanité individue
l’auteur ou à son groupe une place considérable dans le monde152. 5e
cas
. L’auteur a voulu plaire au public ou du moins a
r le public pour établir en quoi consistait sa morale ou sa mode. 6e
cas
. L’auteur a essayé de plaire au public par des ar
erreur peut se dresser en partant de l’expérience qui nous montre les
cas
les plus habituels d’erreur. 1er cas. L’auteur a
l’expérience qui nous montre les cas les plus habituels d’erreur. 1er
cas
. L’auteur a été placé de façon à observer le fait
lucination ou d’une illusion. Tout au plus parvient-on, dans quelques
cas
extrêmes, à apprendre, soit par des renseignement
a déformer à son insu parce qu’il répondait à une question ? C’est le
cas
de toutes les affirmations obtenues par enquête,
tenues par enquête, interrogatoire, questionnaire. Même en dehors des
cas
où l’interrogé cherche à plaire au questionneur e
ut avoir fait naître dans l’esprit de celui qui a eu à y répondre. 2e
cas
. L’auteur a été mal placé pour observer. La prat
seconde main, malgré leur apparence de témoignages contemporains. 3e
cas
. L’auteur affirme des faits qu’il aurait pu obse
uente, bien qu’on n’y pense guère, peut être soupçonnée dans tous les
cas
où l’auteur a été obligé pour remplir un cadre de
t donc être de se défier des récits trop conformes à des formules. 4e
cas
. Le fait affirmé est de telle nature qu’il ne peu
uteur ait obtenu son chiffre par un procédé conjectural d’évaluation (
cas
ordinaire pour le nombre des combattants ou des m
; et si celui-là tenait son renseignement d’un autre, — ce qui est le
cas
le plus fréquent, — il faut remonter d’intermédia
iennent toutes de gens ayant mêmes préjugés ou mêmes passions : en ce
cas
la tradition suivie par l’auteur est « colorée »
comme les premiers chapitres de Thucydide, doit être écarté aussi. En
cas
de transmission écrite il reste à chercher si l’a
fait particulier du document en se demandant s’il rentre dans un des
cas
prévus. 1er cas. Le fait est de nature à rendre l
r du document en se demandant s’il rentre dans un des cas prévus. 1er
cas
. Le fait est de nature à rendre le mensonge impro
ensonge inefficace. Pour reconnaître si l’auteur s’est trouvé dans ce
cas
on a plusieurs questions à poser. 1° Le fait affi
ne autre secte que lui. Il faudrait donc restreindre ce critérium aux
cas
où l’on sait exactement l’effet que l’auteur a cr
entir, aurait été arrêté par la certitude d’être découvert ? C’est le
cas
des faits faciles à vérifier, des faits matériels
sur les gens passionnés169. Il faut donc restreindre ce critérium aux
cas
où l’on sait comment l’auteur s’est représenté so
r, au point qu’il n’ait eu aucune tentation de le déformer ? C’est le
cas
des faits généraux, usages, institutions, objets,
ifs et ils sont sûrs, car l’auteur n’a pas cherché à nous tromper. 2e
cas
. Le fait est de nature à rendre l’erreur improbab
ssiers qui forment la partie solide de la connaissance historique. 3e
cas
. Le fait est de nature à n’avoir pu être affirmé
ou d’exactitude, en suivant le questionnaire critique dressé pour les
cas
particuliers. Ce questionnaire, on doit l’avoir t
sans la comprendre, au moins par le créateur de la formule). Un seul
cas
suffit pour apprendre l’existence de la conceptio
s grossiers, ou qui mentent même sur des faits indifférents. Mais ces
cas
sont si rares qu’on court peu de risque à admettr
e soustraire à ce principe. Une affirmation historique n’est, dans le
cas
le plus favorable, qu’une observation médiocremen
u rapport entre les affirmations. Il faut donc étudier séparément les
cas
qui peuvent se présenter. III. Le plus souvent, s
urnissent une seule affirmation. Toutes les autres sciences en pareil
cas
suivent une règle invariable : une observation is
vation unique. Ces principes178 permettent de reconnaître beaucoup de
cas
d’observations différentes et plus encore de cas
onnaître beaucoup de cas d’observations différentes et plus encore de
cas
d’observations reproduites. Il reste des cas dout
rentes et plus encore de cas d’observations reproduites. Il reste des
cas
douteux en grand nombre. La tendance naturelle es
leur concordance ne serait plus concluante. Il faut prendre garde aux
cas
suivants : 1er cas. Les observations différentes
serait plus concluante. Il faut prendre garde aux cas suivants : 1er
cas
. Les observations différentes ont été faites par
servations et ne s’est pas borné à répéter une observation unique. 2e
cas
. Il y a eu plusieurs observateurs, mais ils ont c
is ils ont chargé l’un d’eux de rédiger un document unique : c’est le
cas
des procès-verbaux d’assemblées ; il faut s’assur
rédacteur ou si les autres observateurs ont contrôlé sa rédaction. 3e
cas
. Plusieurs observateurs ont rédigé leur observati
fférents, opérant dans des conditions différentes. C’est dire que les
cas
de concordance pleinement concluante sont rares,
lytiques aux opérations synthétiques. VII. Mais il reste à étudier le
cas
du désaccord entre les faits établis par les docu
la méthode régulière d’une science constituée. Dans les deux premiers
cas
, le fait n’est en collision qu’avec l’histoire ou
ervation directe sert à comprendre et à critiquer des documents : les
cas
de stigmates et d’anesthésie nerveuse observés sc
la sociologie, il faut avoir de bien solides documents ; et c’est un
cas
qui ne se présente guère. * * * Livre III. O
gnés d’une indication critique sur leur probabilité182. Dans tous les
cas
où l’on n’est pas arrivé à la certitude complète,
par être établis, passent par cette condition transitoire, comme les
cas
cliniques qui s’entassent dans les revues médical
sées. La plupart — toutes les images de faits psychiques sont dans ce
cas
— sont formées à la ressemblance des figures dess
c les prévoir dans un questionnaire général qui servira pour tous les
cas
. Comme la critique historique et pour la même rai
ire de l’histoire d’établir ces faits. Mais d’avance et pour tous les
cas
on prévoit que le peuple aura eu une langue et un
d’étudier. En analysant les cadres de la science déjà faits pour ces
cas
connus, on verra quelles questions doivent se pos
s cas connus, on verra quelles questions doivent se poser à propos du
cas
analogue qu’on étudie. Il va sans dire que le cho
en situation d’agir fortement. C’est ce qu’on peut présumer dans deux
cas
: 1° quand son acte a agi comme exemple sur une m
e a agi comme exemple sur une masse d’hommes et a créé une tradition,
cas
fréquent en art, en science, en religion, en tech
serait faux dans la plupart des cas. Il faut donc le restreindre aux
cas
où les conditions qu’il suppose ont été réalisées
tate combien ce fait est plus fréquent qu’on ne croyait et combien de
cas
passaient inaperçus ou sans laisser de trace écri
e écrite. C’est ce qui est arrivé pour les tremblements de terre, les
cas
de rage, les baleines échouées sur les côtes. — E
être mentionné. Le raisonnement négatif se trouve ainsi limité à des
cas
nettement définis. 1° L’auteur du document où le
. On devra donc commencer par étudier les conditions particulières du
cas
(la situation de Salamine, les habitudes des Grec
l’état de ceux qui sont le plus mal connus. — Il faut donc, dans les
cas
où les documents donnent des détails, que les for
distinguent de tout autre. On rassemble sous la même formule tous les
cas
individuels très semblables, en négligeant les va
e formule une habitude constituée par des actes réels ; ce qui est le
cas
de la vie économique, de la vie privée, de la vie
ait déjà dans les documents et résumé dans une formule (ce qui est le
cas
habituel), il faut faire la critique de cette for
é. La formule devra indiquer la durée de l’habitude. On cherchera les
cas
extrêmes, quand apparaît pour la première fois et
ge, l’institution, le groupe. Mais il ne suffit pas de noter les deux
cas
isolés, le plus ancien et le plus récent ; il fau
(ouvrier, appartement) ; le chiffre indique seulement sur combien de
cas
s’est rencontré un caractère : il ne désigne pas
ire pour construire la formule d’un groupe. Mais il est restreint aux
cas
où l’on peut connaître toutes les unités d’une es
prises en différents endroits du champ ; on calcule la proportion des
cas
où le caractère donné se rencontre (soit 90 pour
t aux conditions d’un échantillonnage bien fait. On doit examiner les
cas
à partir desquels on veut généraliser et se deman
e quelle raison a-t-on de présumer que le caractère constaté dans ces
cas
se rencontrera dans des milliers d’autres ? que c
taté dans ces cas se rencontrera dans des milliers d’autres ? que ces
cas
seront pareils à la moyenne ? La seule raison val
seront pareils à la moyenne ? La seule raison valable, c’est que ces
cas
soient représentatifs de l’ensemble. Et ainsi on
ouvoir généraliser (c’est-à-dire admettre la ressemblance de tous les
cas
), délimiter le pays, le groupe, la classe, l’époq
ts (Chrétiens, Français, Aryas, Romans). 3° On doit s’assurer que les
cas
sur lesquels on va généraliser sont des échantill
’ils ne soient pas exceptionnels, ce qui est à présumer pour tous les
cas
qui se produisent dans des conditions exceptionne
tendent à noter de préférence ce qui les surprend, par conséquent les
cas
exceptionnels tiennent dans les documents une pla
nt plus grand qu’il y a moins de moins de ressemblance entre tous les
cas
pris dans le champ. Il pourra être petit sur les
de nos documents. La critique nous l’a montrée en détail pour chaque
cas
, il faut la résumer en quelques traits pour un en
toutes les sociétés connues et de dresser la statistique de tous les
cas
où deux usages se rencontrent ensemble. C’est le
ents, des diminutions ou des déplacements de ces groupes ? — Pour les
cas
extrêmes, les races blanche, jaune, noire, la dif
s les manuels, et par imitation. La réforme a consisté, dans tous les
cas
, à renoncer aux ornements littéraires et aux affi
élève ? Faut-il faire apprendre par cœur des formules ? Et dans quels
cas
? — Comment faire pénétrer les images des faits h
nombre d’anomalies de cette espèce, qui ne laissent pas, en certains
cas
, de gêner, sinon d’empêcher, les recherches ; car
de leurs études spéciales. L’histoire, du reste, est ici dans le même
cas
que la plupart des autres sciences : tous ceux qu
n histoire, dans la Revue philosophique, 1887, II, p. 1, 168. 62. Le
cas
le plus favorable, celui où le document a été réd
à craindre d’en ignorer qui leur seraient utiles. Mais, dans tous les
cas
où une analyse sommaire suffit à faire connaître
rs sont nominativement connus, en ont-elles davantage ? 87. Dans des
cas
très favorables, on est arrivé quelquefois à déte
fût-ce qu’en vue de la sévère discipline de l’esprit je ferais peu de
cas
du philosophe qui n’aurait pas travaillé, au moin
ur spécial peut se charger de l’analyse ; c’est ce qui arrive dans le
cas
des regestes et des catalogues d’actes ; si le tr
point de croisement de deux voies différentes de recherches. 175. Ce
cas
est étudié avec un bon exemple par Bernheim, o. c
ganes très parfaits ou très compliqués et moyens de transition. — VI.
Cas
difficiles : Natura non-facit saltum. — VII. Orga
autres plus nombreuses en représentants ; et particulièrement dans le
cas
où ces diverses formes alliées habitent une régio
tion méthodique ; toutes les probabilités de succès seront, en pareil
cas
, en faveur des possesseurs des grands troupeaux d
ition, et qui sont doués de puissants moyens de locomotion. En pareil
cas
, les variétés intermédiaires entre ces diverses e
rrait seule amoindrir les objections auxquelles donnent lieu certains
cas
particuliers, tels que celui de la Chauve-Souris
rentes parmi les individus de la même espèce. Lorsque l’un et l’autre
cas
se présentent à la fois, on conçoit qu’il puisse
crex) presque aussi terrestre que la Caille ou la Perdrix. En pareils
cas
, et l’on en pourrait trouver beaucoup d’autres an
tent des créations distinctes et innombrables diront qu’en ces divers
cas
il a plu au Créateur de faire prendre à un être a
serait très différente de celle qu’elle occupe habituellement. En ce
cas
, on ne peut donc en aucune façon s’étonner qu’il
ient séparés et qu’ils aient leurs extrémités libres convexes : en ce
cas
, ils doivent agir comme des lentilles convergente
l’Aigle peut s’être formé par sélection naturelle, bien qu’en pareil
cas
nous ne connaissions aucun des degrés de transiti
organe commun à tous les membres d’une grande classe ; car, en pareil
cas
, cet organe doit s’être développé antérieurement
gant ; la face extérieure digérera et l’estomac respirera. En pareil
cas
, la sélection naturelle peut, si quelque avantage
pêcher leurs œufs d’être emportés du sac par l’action des eaux ? VI.
Cas
difficiles : Natura non facit saltum. — Bien que
ionnements graduels ; cependant, sans aucun doute, il se présente des
cas
d’une difficulté toute particulière que je ne pou
ffre des difficultés semblables103. On pourrait encore citer d’autres
cas
analogues parmi les plantes : ainsi chez les Orch
emblance de structure à l’héritage d’ancêtres communs. Bien qu’en des
cas
fréquents il soit très difficile de conjecturer p
ien qu’ils deviennent sujets à plus de maladies ou moins capables, en
cas
de famine, de chercher leur nourriture ou d’échap
anes de peu d’importance aujourd’hui ont été probablement en bien des
cas
d’une grande utilité à quelque ancien progéniteur
s presque sans changer d’état, bien que devenus de peu d’usage. En ce
cas
, toute déviation ou déformation nuisible, qui aur
réhension ou comme un gouvernail chez le Chien, bien qu’en ce dernier
cas
elle n’aide que fort peu aux mouvements de l’anim
e avouer que nos jugements peuvent errer dans l’un comme dans l’autre
cas
. Pouvons-nous considérer l’aiguillon de la Guêpe
egré de complication et de perfection qu’on puisse concevoir. Dans le
cas
où nous ne connaissons aucun de ces états intermé
des géologiques écoulées. Ces adaptations sont facilitées en quelques
cas
par l’usage ou le défaut d’exercice des organes ;
’avantage sur des espèces ou des variétés très fixes, surtout dans le
cas
d’un changement quelconque dans les conditions lo
ouve encore plus complétement justifiée ; mais il faut supposer en ce
cas
de plus grandes et plus nombreuses lacunes dans l
ique qui brûle à l’air n’est pas nouveau, observe Matteucci, c’est le
cas
du bois en putréfaction, du coton graissé, du cha
n très divisé et de tant d’autres combustions spontanées. Si, dans le
cas
dont nous nous occupons, la chaleur qui devrait a
u manque de chaleur des animaux dits à sang froid… » Quant aux autres
cas
de phosphorescence animale, il ajoute : « On sait
deviennent lumineux, et cette cause-ci pourrait encore, dans quelques
cas
, produire une certaine phosphorescence sur la mer
cette raison que beaucoup de chaleur se développe aussi dans certains
cas
de floraison. Peut-être aussi quelque huile volat
t soit nécessairement la victime de son courage. Ce n’est que dans le
cas
où cet ennemi cherche et parvient à la chasser av
guillon reste dans la piqûre, avec les viscères de l’insecte, dans ce
cas
, il est vrai, mais dans ce cas seulement, blessé
vec les viscères de l’insecte, dans ce cas, il est vrai, mais dans ce
cas
seulement, blessé à mort. Des naturalistes ont eu
émentaires sont susceptibles d’une classification analogue, et, en ce
cas
, une telle classification est naturellement sans
aussi brièvement que possible certaines propositions générales. En ce
cas
, il aurait pour but de nous permettre de renferme
comme celle de tous les autres organes, très inégale, et en quelques
cas
elle semble s’effacer entièrement, comme il arriv
u moins complétement perdu les traces de leur parenté mutuelle, en ce
cas
leur place légitime dans une classification natur
genres, et des genres dans des groupes plus élevés, bien qu’en pareil
cas
les modifications aient été beaucoup plus importa
érentes, elle prend, par cela même, une haute valeur ; car, en pareil
cas
, on ne peut expliquer sa présence chez tant de fo
te sécurité. Une pareille classification est toujours possible, et le
cas
s’en présente souvent, tant qu’un nombre suffisan
membres d’un commun ancêtre. Il en est de même des poissons. Quelques
cas
de ressemblance analogique ou d’adaptation sont p
e de Rongeurs, mais en général à tous les membres de cet ordre. En ce
cas
, cependant, on peut fortement soupçonner que la r
aussi serrées que nos variétés actuelles les plus voisines. En pareil
cas
, il serait complétement impossible de trouver des
es organes primordiaux, de quelque sorte que ce soit, vertèbres en un
cas
et pattes dans l’autre, se soient peu à peu modif
aient quelque rapport avec leurs conditions de vie particulières. Le
cas
est tout différent lorsque l’une quelconque des p
liées, est quelquefois fortement altérée ; et l’on pourrait citer des
cas
où les larves, soit de deux espèces, soit de deux
lement que le Papillon soit plus parfait que la chenille. En quelques
cas
pourtant, l’animal adulte est, en général, consid
sse, soit ce que j’ai nommé un mâle complémentaire. Or, en ce dernier
cas
, la métamorphose est assurément rétrogressive ; c
s passent par une phase de développement vermiforme. Mais en quelques
cas
, tels que celui des Aphis, les beaux dessins du p
n n’a-t-elle aucun rapport à ses conditions d’existence, sauf dans le
cas
où il doit traverser une période de vie active, p
loir affirmer qu’il en soit toujours ainsi ; et je pourrais citer des
cas
nombreux de variations, le mot étant pris en un s
logie dont j’ai parlé précédemment. Mais considérons d’abord quelques
cas
analogues chez nos variétés domestiques. Quelques
degré, par les effets de l’usage ou du défaut d’exercice. En certains
cas
, les variations successives peuvent provenir de c
nts modifiés un peu plus tôt que chez les parents. En l’un ou l’autre
cas
, le jeune individu ou l’embryon devra ressembler
ctement les mêmes habitudes de vie que leurs parents ? Car, en pareil
cas
, il serait indispensable à l’existence de ces esp
lui rendent inutiles ses organes de locomotion ou ses sens, et, en ce
cas
, la dernière métamorphose serait considérée comme
son universalité. Car une telle loi ne peut être prouvée que dans le
cas
où l’ancien état de l’adulte, qu’on suppose repré
nquent que d’un développement suffisant. C’est ainsi qu’on a cité des
cas
assez fréquents de mammifères mâles dont les mame
me rudimentaire dès qu’il est d’une utilité quelconque. On peut en ce
cas
l’appeler un organe naissant ; et la sélection na
ant des ailes des oiseaux. Non que je croie cependant que tel soit le
cas
; c’est plus probablement un organe diminué et at
’à ce qu’ils deviennent complétement rudimentaires. Tel aurait été le
cas
à l’égard des yeux des animaux qui vivent dans le
ptères qui vivent sur de petites îles exposées au vent ; et en pareil
cas
la sélection naturelle doit tendre lentement à ré
dre, ou plutôt de la lignée généalogique, infiniment ramifiée dans le
cas
des êtres unisexuels, et directe chez les hermaph
culté de connaître ; du moins, j’ai pris le mot dans ce sens. En tout
cas
, il s’agit ici de nos connaissances, et non d’aut
une vibration, d’un mouvement physique ; dans l’un comme dans l’autre
cas
, c’est un fait qui surgit ; on peut le reproduire
n exemplaire saillant, un type net auquel se ramène toute une file de
cas
analogues ; notre grande affaire est de savoir qu
cteurs antagonistes, le grossissement requis s’est rencontré dans les
cas
singuliers et extrêmes observés par les physiolog
ison des changements moléculaires nerveux et de la pensée. — D’autres
cas
anormaux, empruntés également aux aliénistes et a
dans les éléments d’ailleurs aussi homogènes que l’on voudra. En tout
cas
, quelle que soit la circonstance ou particularité
nt, comme il est probable, les cellules de la substance grise ; en ce
cas
, dans les centres sensitifs comparés à l’écorce c
on. Le météorologiste étudie les mêmes choses, mais en grand, sur des
cas
plus compliqués, en se servant des lois physiques
des linguistes, et nulle part un aliéniste ne trouvera de plus beaux
cas
que dans les écrits indiens. Bref, celui qui étud
a catalepsie, par le Dr Puel (prix Civrieux), observations sur Mme D.
Cas
du sergent F., par le Dr Mesmet (Union médicale,
sergent F., par le Dr Mesmet (Union médicale, 21 et 23 juillet 1874).
Cas
de Felida X., par le Dr Azam (Revue scientifique,
er à se reproduire régulièrement à l’état de réclusion, même dans les
cas
nombreux où le mâle et la femelle s’unissent. Com
age, mais assez fréquents sous l’action de la culture ; et, en pareil
cas
, l’on voit que le traitement de la plante mère a
ndividu reproducteur a subi avant l’acte de la conception. Ces divers
cas
montrent aussi que la variabilité n’est pas en co
u descendants ayant varié, tous auraient varié de la même manière. En
cas
de variation, il est très difficile d’estimer ce
luence de ces mêmes conditions ; mais on peut objecter qu’en bien des
cas
des circonstances extérieures tout à fait opposée
à l’action directe des conditions extérieures ; tel est, en quelques
cas
, l’accroissement de la taille provenant d’une aug
à attribuer sa réapparition à l’hérédité. Chacun a entendu parler de
cas
d’albinisme, de peau épineuse, de villosité, etc.
dants à un âge correspondant, quoique parfois un peu plus tôt. En des
cas
nombreux, il n’en saurait être autrement : ainsi
s plus distinctes ne sauraient vivre à l’état sauvage. En beaucoup de
cas
, nous ignorons quel en a été le type originel. No
oint ou même complétement, au type sauvage originel ; mais, en pareil
cas
, il faudrait encore attribuer quelque effet à l’a
sélection longtemps continuée ; encore ne saurais-je trouver un seul
cas
reconnu où une race permanente se soit formée de
amené à cette opinion sont en quelques degrés applicables à d’autres
cas
, je les exposerai succinctement. Si les diverses
me semble de grand poids, et qui peut s’appliquer à plusieurs autres
cas
fort analogues, c’est que les races susmentionnée
s affaiblissement pendant un nombre indéfini de générations. Ces deux
cas
très distincts sont souvent confondus par ceux qu
blement été ainsi du Chien tournebroche ; et l’on sait que tel est le
cas
à l’égard du Mouton d’Ancon (Ancon sheep). Mais s
t toute l’utilité que nous leur voyons ; et, en réalité, en plusieurs
cas
, nous savons, par ce qu’on pourrait nommer leur h
sélection la plus sévère est beaucoup plus indispensable que dans les
cas
ordinaires. Si la méthode de sélection consistait
d’autres ; tel n’est, au contraire, presque jamais, ou même jamais le
cas
, puis-je dire, d’après de minutieuses observation
s auparavant, ne puissent servir de point de comparaison. En quelques
cas
cependant, des individus de la même race, peu mod
de nos produits domestiques. — C’est un fait bien connu que, dans les
cas
les plus nombreux, il nous est impossible de reco
organes : le résultat final devient ainsi très complexe. En quelques
cas
, le croisement entre espèces, originairement dist
espèces distinctes, soit entre les variétés, est immense ; car en ce
cas
le cultivateur néglige complétement l’extrême var
actères d’un ancêtre commun plus ou moins éloigné. Il en serait en ce
cas
, non pas comme de la couleur bleue et des diverse
s ; lesquels ne different entre eux que par les idées accessoires des
cas
& des nombres. Voyez Cas & Nombre . De ce
re eux que par les idées accessoires des cas & des nombres. Voyez
Cas
& Nombre . De cette différence d’idées access
i palpable. Au contraire on n’a jamais pu employer laudavero dans les
cas
où l’usage demande expressément le mode subjoncti
, comme si l’on écrivoit sité, séleste : de même G représente dans ce
cas
l’articulation je, dont le caractere propre est j
vicieuse qui naît de l’ignorance : mais par-tout & dans tous les
cas
, le gallicisme est gallicisme dans le sens que no
s précises. (E. R. M.) GENITIF GENITIF, s. m. c’est le second
cas
dans les langues qui en ont reçu : son usage univ
des rapports auxquels le génitif peut avoir trait, a fait donner à ce
cas
différentes dénominations, selon que les uns ont
u génitif, & qui d’ailleurs est accidentel. L’effet général de ce
cas
est de servir à déterminer la signification vague
pparement parce qu’il exprime l’un des usages les plus fréquens de ce
cas
; il naît du nominatif, & il est le générateu
ce cas ; il naît du nominatif, & il est le générateur de tous les
cas
obliques & de plusieurs especes de mots : c’e
ns la dérivation grammaticale, le génitif est la racine prochaine des
cas
obliques ; tous suivent l’analogie de sa terminai
t o du nominatif changé en in-is ; is est la terminaison propre de ce
cas
, in en est la figurative : or la figurative in de
, in en est la figurative : or la figurative in demeure dans tous les
cas
obliques, la seule terminaison is y est changée ;
um, temp-or-ibus. C’est par une suite de cet usage du génitif, que ce
cas
a été choisi comme le signe de la déclinaison, vo
qui rappelle à une même formule analogique tous les noms qui ont à ce
cas
la même terminaison. Il est vrai que la distincti
ion des déclinaisons doit résulter des différences de la totalité des
cas
; mais ces différences suivent exactement celles
érences suivent exactement celles du génitif, & par conséquent ce
cas
seul peut suffire pour caractériser les déclinais
r ainsi dire, les restes des incertitudes de la langue naissante. Les
cas
, & spécialement le génitif, n’y furent pas fi
degrés comparatif & superlatif, en ajoûtant à la figurative de ce
cas
les terminaisons qui caractérisent ces degrés : d
iqu’il n’exprime pas l’espece de service pour lequel il paroît que ce
cas
a été principalement institué, je veux dire la dé
isé de le vérifier sur des exemples qui réuniront à-peu-près tous les
cas
. Est regis, c’est-à-dire est officium regis. Refe
complément d’une préposition également sousentendue : dans ce second
cas
, ils font l’office de l’adverbe : mais par-tout,
s les langues dont les noms ne reçoivent pas les inflexions appellées
cas
. En françois on remplace assez communément la fon
nnoncé par le génitif : souvent le nom propre déterminant est au même
cas
que le nom appellatif déterminé ; urbs Roma, flum
c interpréter l’apposition, & rendre raison de la concordance des
cas
, c’est le nom propre qu’il faut y considérer comm
s uns & des autres. Ainsi les adjectifs ont des nombres & des
cas
comme les noms, & sont comm’eux assujettis à
on peut librement rapporter à un genre ou à un autre, ne sont dans ce
cas
que parce qu’on ignore les causes qui ont occasio
nce de la langue latine sur la nôtre, doit être la même dans tous les
cas
pareils, ou plûtôt elle est absolument nulle dans
ont plus de mérite & de poids ; mais dans l’un & dans l’autre
cas
, c’est un aveu de l’estime que l’on a bour eux ;
; quand il seroit vrai que la concordance des nombres & celle des
cas
, dans les langues qui en admettent, auroient suff
térieure tirera t-on de celle-ci ? Dans les langues qui admettent des
cas
, il faudra raisonner de la même maniere contre le
st aussi arbitraire que celle des genres : les Arabes n’ont que trois
cas
. les Allemands en ont quatre, les Grecs en ont ci
n’en ont point. On repliquera peut-être que si nous n’avons point de
cas
, nous en remplaçons le service par celui des prép
cas, nous en remplaçons le service par celui des prépositions (voyez
Cas
& Préposition), & par l’ordonnance respec
elle n’a l’embarras d’aucune terminaison : ni genres, ni nombres, ni
cas
, ne viennent arrêter par des difficultés factices
e langue, & que les erreurs des naturels sont encore dans le même
cas
, parce qu’elles ne sont qu’une suite ou d’un défa
l’action énoncée par le verbe, on doit mettre le nom de cet objet au
cas
accusatif, parce que l’usage a destiné ce cas à m
le nom de cet objet au cas accusatif, parce que l’usage a destiné ce
cas
à marquer cette sorte de service. C’est une métap
mp; décide au coup-d’oeil, que tel homme appartient à tel maître. Les
cas
que prennent les noms déterminatifs sont de même
out simplement : le complément de telles prépositions doit être à tel
cas
; le complément objectif du verbe actif doit être
ptées, c’est une obligation indispensable de les suivre dans tous les
cas
pareils ; & il n’est plus permis de s’en dépa
oracles n’ont qu’une vérité momentanée. Dans l’un & dans l’autre
cas
, il ne faut négliger aucune des ressources que le
x usages arbitraires des langues de les fixer : de-là les genres, les
cas
, les nombres, les personnes, les tems, les modes
ens communs à plusieurs mots, comme sont les genres, les nombres, les
cas
, &c. Les regles que la syntaxe prescrit sur l
lables à ceux des subjectifs, mettent ces mots en concordance dans le
cas
de l’apposition, parce que l’identité y est réell
é y est réelle & nécessaire ; la plûpart l’exigent encore dans le
cas
de l’attribution, parce que l’identité y est réel
er de produire le son a, sans changer cette position. Dans le premier
cas
, on n’entendra rien jusqu’à ce que les levres se
dra rien jusqu’à ce que les levres se séparent ; & dans le second
cas
, on n’aura qu’un sifflement informe. Voilà donc d
s & quelquefois sur des consonnes. Voyez Esprit . Dans le premier
cas
, il en est de l’esprit sur la voyelle, comme de l
n consonnes, ni de consonnes métamorphosées en accens. Dans le second
cas
, il est encore bien plus évident que ce qu’indiqu
qui reste dans l’état naturel de simple émission de la voix ; dans ce
cas
, h n’a pas plus d’influence sur la prononciation
s hiatus & bâillement ; mais je suis persuadé qu’ils sont dans le
cas
de tous les autres synonymes, & qu’avec l’idé
amp;c. en sont des preuves. Mais qu’on y prenne garde : dans tous les
cas
que l’on vient de voir, toutes les langues ont pe
n d’équivoques, pour distinguer cette seconde espece. Dans le premier
cas
, un mot est homonyme absolument, & indépendam
ment le même matériel qui désigne des sens différens : dans le second
cas
, les mots ne sont homonymes que relativement, par
cifiques qui en déterminent les services réels. Si l’on doit, dans ce
cas
, quelque attention au matériel des mots, c’est po
e, ce qui est proprement un échange dans les accidens, comme sont les
cas
, les genres, les tems, les modes, &c. C’est à
nue ; vacuus animus, esprit libre ; &c. C’est que, dans tous ces
cas
, nous exprimons par le même mot, & l’idée gén
de l’application : & comme cette idée particuliere varie à chaque
cas
, nous avons, pour chaque cas, un mot particulier.
e cette idée particuliere varie à chaque cas, nous avons, pour chaque
cas
, un mot particulier. Ce seroit se tromper que de
pu aisément s’y méprendre : mais il falloit prendre garde si les deux
cas
avoient rapport au même ordre, ou s’ils présentoi
verbe comparatif & la conjonction subséquente : ce sont les seuls
cas
indiqués par les exemples que les Grammairiens on
re, contraire à l’usage commun & autorisé seulement dans certains
cas
particuliers. 2°. La seconde espece d’hyperbate e
miere est l’inversion du rapport de deux mots autorisée dans quelques
cas
seulement ; la seconde est une interruption dans
a Grammaire générale. Il y a en effet des idiotismes qui sont dans ce
cas
; & comme ils sont par-là même les plus frapp
des usages communs, qui donnent la préférence à l’adjectif en pareil
cas
. On voit donc en quoi consiste le germanisme lors
s’entendent clairement & d’une maniere satisfaisante, que dans le
cas
de l’apposition ; & l’apposition ne peut avoi
mp; conséquemment qu’il est équivalent à existo. Ce n’est que dans ce
cas
qu’il y a latinisme ; car il n’y a rien de si com
age en a prévalu au point qu’il n’est plus permis de suivre en pareil
cas
la Syntaxe pleine : il ne laisse pas d’agir, notr
’exécution aussi impérieusement que l’autorité même : dans le premier
cas
, celui qui parle est ou un subalterne qui prie, o
é sous le ton d’un égal qui conseille ou qui avertit : dans le second
cas
, celui qui parle est un maître qui veut absolumen
a douceur pour recommencer chaque jour à en montrer davantage ? En ce
cas
, c’étoit une satyre sanglante plutôt qu’un éloge
s qui en grec, en latin, en allemand, reçoivent des nombres & des
cas
, ne reçoivent que des nombres en françois, en ita
gnol & en anglois, quoique maints Grammairiens croyent y voir des
cas
, au moyen des prépositions qui les remplacent eff
noms ayent en grec, en latin & en allemand des nombres & des
cas
, & que dans nos langues analogues de l’Europe
ndéclinabilité naturelle & de l’indéclinabilité usuelle : dans ce
cas
, les anomaux dont il s’agit ici, auroient dû plut
sition sous-entendue cùm (avec), quoique cornu n’ait réellement aucun
cas
au singulier : c’est faire allusion à l’analogie
ès, ont adopté le même système & tous ont eu en vue d’établir des
cas
& des déclinaisons dans nos noms, à l’imitati
pas répéter ici les raisons qui prouvent que nous n’avons en effet ni
cas
ni déclinaisons (voyez ces mots) ; mais j’observe
ent à leur terminaison aucun changement qui puisse être regardé comme
cas
, que les sens accessoires représentés par les cas
être regardé comme cas, que les sens accessoires représentés par les
cas
en grec, en latin, en allemand, & en toute au
ison différente avec une destination propre suffit pour constituer un
cas
dans le nom ; mais quel est cet aspect particulie
mme sans déguisement, &c. Quoique la langue grecque ait donné des
cas
aux autres noms, elle n’a pourtant point assujett
ce genre d’inflexion ; mais les rapports à l’ordre analytique que les
cas
désignent dans les autres noms, sont indiqués pou
ésignent dans les autres noms, sont indiqués pour l’infinitif par les
cas
de l’article neutre dont il est accompagné, de mê
ropres (Voyez la méth. gr. de P. R. liv. VIII. ch. jv.), sont dans le
cas
d’en user de même avant les infinitifs. D’ailleur
tifs. D’ailleurs l’inversion autorisée dans cette langue, à cause des
cas
qui y sont admis, exige quelquefois que les rappo
re analytique y soient caractérisés d’une maniere non équivoque : les
cas
de l’article attaché à l’infinitif sont alors les
aux mêmes métamorphoses que les autres noms, & de lui donner des
cas
. Il est prouvé (article Gérondif) que les gérondi
Il est prouvé (article Gérondif) que les gérondifs sont de véritables
cas
de l’infinitif ; & (article Supin) qu’il en e
ace de l’infinitif ordinaire, & qu’elles en étoient de véritables
cas
. L’infinitif proprement dit se trouve néanmoins d
se trouve néanmoins dans les auteurs, employé lui-même pour différens
cas
. Au nominatif : virtus est vitium fugere (Hor.)
t lieu par conséquent d’un ablatif. On pourroit prouver chacun de ces
cas
par une infinité d’exemples : Sanctius en a recue
e personnel soit au nominatif ; pourquoi n’assigneroit-on pas le même
cas
au sujet d’un mode impersonnel, si on le croit ap
a clémence) ; c’est-là l’objet de cupio. En un mot, il n’y a point de
cas
où l’on ne puisse, au moyen de l’ellipse, ramener
vû que l’on ne perde jamais de vûe la véritable destination de chaque
cas
, ni l’analogie réelle de la langue. On me demande
e majuscules les lettres initiales dans tous ou dans plusieurs de ces
cas
, c’est une entreprise qui a droit de révolter la
s mots gouvernent le nominatif ou l’accusatif ; la destination de ces
cas
est toute différente. Ecce homo, c’est-à-dire ecc
galement la raison de la construction françoise : finem est encore un
cas
qui a sa cause dans le verbe attulit, qui doit pa
celui même qu’elle adopte est contre nature, & se trouve dans le
cas
de l’inversion, puisque le complément que précede
e en même tems le déplacement, de la même maniere précisément que les
cas
des Grecs & des Latins. Ainsi ce qu’on allegu
quelques autres questions, le disciple demande à son maître, en quel
cas
est arma ; car il peut être regardé, dit-il, ou c
a une terminaison équivoque, en un autre dont la désinence indique le
cas
d’une maniere précise & déterminée ; qu’il n’
est, ordinatione & conjunctione sequentium ; il décide encore le
cas
de arma par comparaison avec celui de virum qui e
analytique de la syntaxe latine ; dans une langue qui avoit admis des
cas
, pour être les symboles des diverses relations à
même que celui de la chose dont on fait le recit, & que dans les
cas
où il s’agit de persuader, de faire consentir l’a
ammaticale ni oratoire, mais logique, l’auteur trouve « que dans les
cas
où il s’agit de persuader, de faire consentir l’a
s nos pensées ; de sorte qu’il reste toujours, au moins dans certains
cas
, quelques parties de la difficulté ». Vous ajout
déterminé le génie de ces deux langues à autoriser les variations des
cas
, afin de faciliter les inversions qui pourroient
e naît de la surabondance du superflu. Prenez garde que ce ne soit le
cas
de votre méthode, où le trop de vûes que vous emb
suite des raisons grammaticales, dit M. Chompré (Avert. pag. 7.), des
cas
, des tems, &c. selon les douze maximes fondam
clite est propre aux mots irréguliers, dont les variations se nomment
cas
; savoir les noms & les adjectifs. Ce n’est p
es : d’autres qui semblent être de deux déclinaisons, ne sont dans ce
cas
, que parce qu’ils ont été des deux, sous deux ter
aute, mais on l’entend ou on le fait expliquer : dans l’un ou l’autre
cas
, on lui indique la loi fixée par l’usage, ou du-m
doient pareillement ceux du siecle précédent qui étoient dans le même
cas
à l’égard des auteurs du siecle antérieur, &
nds, & qu’on ne doit point admettre d’argumens négatifs en pareil
cas
, sur-tout quand la nation est grande, & qu’el
langues modernes ; & cette transmission universelle suppose en ce
cas
que les objets nommés sont d’une nécessité généra
nt opposées aux constructions transpositives & aux inflexions des
cas
ordinaires à celle-ci : on ne sauroit, à cause de
ar l’usage comme vicieuse & barbare. Dans l’un & dans l’autre
cas
, la différence la plus marquée entre l’idiome anc
e les effacer : il auroit été, me semble, bien plus raisonnable en ce
cas
de prendre litura dans le sens d’onction, & d
sont donc pas toûjours les mêmes que ceux d’une autre ; & dans ce
cas
les mêmes lettres ne peuvent pas y servir, du moi
tir entierement par l’ouverture ordinaire de la bouche, & dans ce
cas
on peut dire que le son est oral ; il peut aussi
eul fondement d’affinité qui résulte de leur nature commune : dans ce
cas
néanmoins la permutation est déterminée par une c
ules sifflantes : les deux semi-labiales v & f, sont dans le même
cas
, puisqu’on peut de même les faire durer quelque t
en le pardon : je ne vous connois pas, c’est-à-dire, je ne fais aucun
cas
de vous, je vous méprise, vous êtes à mon égard c
oup moindre, & peut-être nulle à leur égard. C’est précisément le
cas
où se trouvoient les Romains qui étudioient le gr
e que Priscien nous apprend, lib. V. de casibus, que l’ablatif est un
cas
propre aux Romains, nouvellement introduit dans l
cessit. Ainsi la langue latine au berceau avoit précisément les mêmes
cas
que la langue grecque ; & peut-être l’ablatif
atif & l’ablatif pluriels sont toûjours semblables : 2°. ces deux
cas
sont encore semblables au singulier dans la secon
; les noms, les pronoms, les adjectifs, s’y déclinoient également par
cas
; le tour de la phrase y étoit également elliptiq
Paradigme . Mi est au vocatif singulier masculin, pour s’accorder en
cas
, en nombre & en genre avec le nom propre Spur
la premiere déclinaison, pour s’accorder en genre, en nombre & en
cas
avec le nom virtutum, auquel il a un rapport d’id
adigme . Hunc est à l’accusatif singulier masculin pour s’accorder en
cas
, en nombre & en genre avec le nom finem, auqu
alternes. Mais il faut en écarter les idées de genres, de nombres, de
cas
, de déclinaisons, des personnes, de modes : toute
aiter des accidens des mots déclinables, les genres, les nombres, les
cas
pour certaines langues, & tout ce qui apparti
z Proposition, Incidente, Syntaxe, Régime, Inflexion, Genre, Nom bre,
Cas
, & les articles particuliers, Personnes, Mo
t les en rapprocher. Mais la méthode de descendre des généralités aux
cas
particuliers est beaucoup plus expéditive que cel
s particuliers est beaucoup plus expéditive que celle de remonter des
cas
particuliers sans fruit pour la fin, puisqu’elle
truction usuelle est transpositive ; ce qui y a introduit l’usage des
cas
& des déclinaisons dans les noms, les pronoms
ification, qui en est comme la déclinaison philosophique. L’usage des
cas
dans la syntaxe latine doit être expliqué immédia
e ; 2°. par rapport aux noms & aux pronoms qui prennent tantôt un
cas
, & tantôt un autre, selon l’exigence du régim
e faire l’application sur du latin ; l’accoutumer à y reconnoître les
cas
, les nombres, les genres, à remonter d’un cas obl
mer à y reconnoître les cas, les nombres, les genres, à remonter d’un
cas
oblique qui se présente au nominatif, & de-là
faille encore s’attacher à y réduire la matiere au moindre nombre de
cas
, & aux cas les plus généraux qu’il sera possi
s’attacher à y réduire la matiere au moindre nombre de cas, & aux
cas
les plus généraux qu’il sera possible. Les défini
gues en seroient saisies & justifiées plus aisément. Mais dans ce
cas
le texte devroit aussi être imprimé à part, afin
trouveront peu de difficulté, à-moins qu’ils ne rencontrent quelques
cas
extraordinaires ; & je réponds hardiment que
; aux autres especes de mots déclinables ; tels sont les nombres, les
cas
, les genres & les personnes, qui varient selo
exprime le sujet déterminé auquel on applique le verbe. Voyez Nombre,
Cas
, Genre, Personne, Concordance, Identité Il y a
I. de la Minerve de Sanctius, compare ainsi les modes des verbes aux
cas
des noms : Eodem planè modo se habent modi in ver
Il ne faut pourtant pas s’imaginer que l’on puisse établir entre les
cas
& les modes un parallele soutenu, & dire,
e reçoit des terminaisons relatives aux genres, aux nombres & aux
cas
, au moyen desquelles il se met en concordance ave
ifférente qui donne une expression totalement synonyme, & dans ce
cas
là même le subjonctif est amené par les principes
bilité des mots, sont ce qu’on appelle en Grammaire, les nombres, les
cas
, les genres, les personnes, les tems, & les m
d’établir sur la théorie des nombres, se déduit de même de celle des
cas
. Les cas en général sont des terminaisons différe
r sur la théorie des nombres, se déduit de même de celle des cas. Les
cas
en général sont des terminaisons différentes qui
e d’un rapport déterminé à l’ordre analytique de l’énonciation. Voyez
Cas
, & les articles des differens cas. La distin
ytique de l’énonciation. Voyez Cas , & les articles des differens
cas
. La distinction des cas n’est pas d’un usage univ
Voyez Cas , & les articles des differens cas. La distinction des
cas
n’est pas d’un usage universel dans toutes les la
e les quatre especes de mots déclinables reçoivent les inflexions des
cas
dans les langues qui les admettent, ce qui indiqu
s pensées ; & l’on déduiroit la même conséquence de la nature des
cas
, par la raison qu’il n’y a que des êtres qui soie
nt en être les termes. La seconde observation qui naît de l’usage des
cas
, c’est que deux sortes de principes en reglent le
qui existe dans l’esprit de celui qui parle, qui fixent le choix des
cas
pour les noms & pour les pronoms ; c’est une
ale du sujet logique du verbe venerant, & que le nominatif est le
cas
destiné par l’usage de la langue latine à designe
d’imitation : l’adjectif eundem est à l’accusatif, pour s’accorder en
cas
avec son corrélatif rivum ; l’adjectif-verbe, ou
ou le participe compulsi, est au nominatif, pour s’accorder aussi en
cas
avec les noms lupus & agnus auxquels il est a
es à l’occasion des nombres. La diversité des motifs qui décident les
cas
, divise pareillement en deux ordres les quatre es
du premier ordre, les adjectifs & les verbes sont du second. Les
cas
désignent des rapports déterminés, & les cas
sont du second. Les cas désignent des rapports déterminés, & les
cas
des noms & des pronoms se décident d’après ce
pronoms présentent à l’esprit des étres déterminés. Au contraire les
cas
des adjectifs & des verbes ne servent qu’à me
soin d’une déterminaison accidentelle pour pouvoir prendre tel ou tel
cas
. 3°. Le système des nombres & celui des cas s
ir prendre tel ou tel cas. 3°. Le système des nombres & celui des
cas
sont les mêmes pour les noms & pour les prono
rbes, par rapport aux genres, comme par rapport aux nombres & aux
cas
: ce sont des terminaisons différentes qu’ils pre
ment elle expliquera les variations des nombres, des genres & des
cas
, & la nécessité d’appliquer un adjectif à un
es de l’énonciation. Voyez Mode . On a comparé les modes du verbe aux
cas
du nom : je vais le faire aussi, mais sous un aut
e par les sons, reçoivent des terminaisons analogues que l’on appelle
cas
; mais chacun les forme à sa manière, & la dé
nt comme les différentes formes d’un même nom, selon la diversité des
cas
; & les différens tems d’un même mode, sont c
rens tems d’un même mode, sont comme différens noms synonymes au même
cas
; les cas & les modes sont également relatifs
d’un même mode, sont comme différens noms synonymes au même cas ; les
cas
& les modes sont également relatifs aux vûes
également relatifs aux vûes de l’énonciation. Mais la différence des
cas
dans les noms n’empêche pas qu’ils ne gardent tou
int, on désigne par des prépositions la plûpart des rapports dont les
cas
sont ailleurs les signes : manus Dei, c’est en fr
c prudence. Cette remarque, qui se présente d’elle-même dans bien des
cas
, a excité l’attention des meilleurs grammairiens,
oie et Josué combattoit. Il ne peut donc y avoir de doute que dans le
cas
où divers attributs sont énoncés du même sujet, o
tice ainsi que le danger qu’il peut y avoir à n’en pas faire assez de
cas
. Or 1°. il faut distinguer dans les mots la signi
t avoir une même signification objective. Communément ils ont dans ce
cas
, une racine générative commune, qui est le type m
es accessoires qui les différencient. Voyez Synonymes . Dans bien des
cas
on peut les employer indistinctement & sans c
e la même idée modifiée par d’autres idées accessoires. Dans d’autres
cas
, la justesse de l’expression exige que l’on chois
des exceptions à ces deux regles, & pour donner au g en certains
cas
une valeur contraire à sa position actuelle, il f
sa position actuelle, il falloit des signes qui tissent connoître les
cas
exceptés. On aura donc pu imaginer l’expédient de
propos, auroit dû faire imaginer d’autres marques pour distinguer les
cas
où le c doit se prononcer comme un k devant la vo
écieux ; un bien honnète, comme un bien considérable. Mais il y a des
cas
où l’on fait entendre l’articulation ne après l’a
ion soit adverbe, fait aussi entendre l’articulation ne dans certains
cas
, & ne la fait pas entendre dans dans d’autres
nfin on peut demander pourquoi l’on a inseré un n euphonique dans les
cas
mentionnés, quoiqu’on ne l’ait pas inseré dans le
e qui semble indiquer une division entre les deux idées : or dans les
cas
où l’usage insere un n euphonique, les deux idées
devient aussi par-là une partie de cette signification. Mais dans les
cas
où l’usage laisse subsister l’hiatus, il n’y a au
autorité des bons écrivains, la sienne n’est pas plus recevable en ce
cas
, que si le latin eût été pour lui une langue mort
x verbes, veut dire qui n’est ni actif ni passif, & c’est dans le
cas
présent une contradiction manifeste. Sans y prend
eurer, descendre, monter, passer, repartir : & la plûpart dans ce
cas
changent de sens en changeant d’auxiliaire. Conv
qu’en hébreu tous les noms propres de l’ancien Testament sont dans ce
cas
: on peut en voir la preuve dans une table qui se
pouvoit arriver que nous allassions puiser jusques-la ; & dans ce
cas
nous aurions dit jacober ou jacobiser, aulieu de
urbs, &c. Les noms propres des Latins étoient encore dans le même
cas
: Lucius vouloit dire cum luce natus, au point-du
que espece qu’ils soient, sont susceptibles de genres, de nombres, de
cas
, & conséquemment soumis à la déclinaison : il
figuré. Les noms reconnus pour propres sont précisément dans le même
cas
: essentiellement individuels, ils ne peuvent êtr
s de l’usage, qu’on pût les expliquer par les mêmes principes dans le
cas
où elles auroient lieu, on ne doit rien en infére
NOMINATIF NOMINATIF, s. m. Dans les langues qui ont admis des
cas
, c’est le premier de tous, & avec raison, pui
accessoire du sujet de la proposition ; & c’est par conséquent le
cas
où doit être le sujet de tout verbe qui est à un
s procedit. C’est à cause de cette destination, que l’on a appellé ce
cas
nominatif, mot tiré de nomen même, pour mieux ind
la fin qui l’a fait instituer. C’est encore dans le même sens que ce
cas
a été appellé rectus, direct, pour dire qu’il ne
que les imaginations détaillées sérieusement par Priscien (lib. V. de
cas
.), & réfutées aussi sérieusement par Scaliger
ap. lxxx. Quelques Grammairiens modernes ont encore voulu donner à ce
cas
le nom de subjectif, pour mieux caractériser l’us
qu’elle pût être. On demande très sérieusement si le nominatif est un
cas
proprement dit ; & ce qu’il y a de plus singu
que l’unanimité est pour la négative. M. du Marsais lui-même (article
Cas
), & M. Lancelot avant lui (Gramm. gén. part.
i (Gramm. gén. part. II. ch. vj.), l’ont dit ainsi. « Il est appellé
cas
par extension, dit M. du Marsais, & parce qu’
s la liste des autres terminaisons du nom. Il n’est pas proprement un
cas
, dit M. Lancelot ; mais la matiere d’où se formen
prement un cas, dit M. Lancelot ; mais la matiere d’où se forment les
cas
par les divers changemens qu’on donne à cette pre
es deux excellens grammairiens conviennent l’un & l’autre que les
cas
d’un nom sont les différentes terminaisons de ce
est certain que les noms sont terminés au nominatif comme aux autres
cas
, puisqu’un mot sans terminaison est impossible ;
squ’un mot sans terminaison est impossible ; le nominatif est donc un
cas
aussi proprement dit que tous les autres. Mais c’
les autres. Mais c’est, dit-on, la matiere d’où se forment les autres
cas
. Quand cela seroit, il n’en seroit pas moins un c
orment les autres cas. Quand cela seroit, il n’en seroit pas moins un
cas
, puisqu’il seroit d’une terminaison differente de
um, &c. C’est donc de domin qu’il faut dire qu’il n’est point un
cas
, ou plutôt qu’il est sans cas, parce qu’il est sa
in qu’il faut dire qu’il n’est point un cas, ou plutôt qu’il est sans
cas
, parce qu’il est sans terminaison significative ;
grammairiens avouent ailleurs que le génitif sert à former les autres
cas
, & cela est vrai en un sens, puisque les cas
à former les autres cas, & cela est vrai en un sens, puisque les
cas
qui ne doivent point être semblables au nominatif
ette formation, & l’on pouvoit autant dire que le génitif n’étoit
cas
que par extension. Quand la terminaison du géniti
llabes que celle du nominatif, on dit que le génitif & les autres
cas
qui en sont formés, ont un crément : ainsi il y a
st l’inverse de celle-ci, & sort plus directement de la notion du
cas
dont il s’agit : c’est qu’au contraire tout nom a
tif du verbe ; expression impropre, puisque le nominatif ne peut être
cas
que d’un nom, d’un pronom ou d’un adjectif. Que l
nd elle se prononce é ou è ; ce qui est moins raisonnable que dans le
cas
précédent, puisque ces sons ont d’autres caracter
ammaire est opposé à direct ; on s’en sert pour caractériser certains
cas
dans les langues transpositives, & dans toute
distinguer certains modes & certaines propositions. 1. Il y a six
cas
en latin : le premier est le nominatif, qui sert
férens sujets dont nous appercevons les attributs par nos pensées, ce
cas
est celui de tous qui concourt le plus directemen
s vûes de la premiere institution : de-là le nom qu’on lui a donné de
cas
direct, rectus. Les autres cas servent à présente
on : de-là le nom qu’on lui a donné de cas direct, rectus. Les autres
cas
servent à présenter les êtres déterminés par les
on, & c’est pour cela qu’on les a nommés obliques, obliqui. Voyez
Cas
. Priscien & les autres Grammairiens ont imag
i peut être continué & prendre une certaine durée. Ainsi, dans le
cas
où elle est suivie de t, il semble que le mouveme
ouvelle articulation, ce qui peint en effet la fixité ; & dans le
cas
où il s’agit de s c, le mouvement de sibilation p
ui des verbes grecs, qu’il ne l’est de vouloir que nos noms aient six
cas
comme les noms latins, ou que dans παρὰ πάντων θε
airement de tout corps systématique de principes, qui réunit tous les
cas
pareils sous la même loi. Aussi n’honore-t-on poi
t de la valeur alphabétique des lettres, qui s’en écartent en quelque
cas
, lorsqu’ils se rappellent la maniere dont ils ont
versalité, doit avoir le même fondement, & l’écriture est dans ce
cas
. C’est un autre moyen de communiquer ses pensées,
risques du néographisme, il indique avec assez de circonspection les
cas
où les écrivains sages peuvent abandonner l’usage
arie insoutenable dans les anciens rudimens, où les nombres & les
cas
étoient désignés en latin, singulariter nominativ
douteux, &c. Voyez Genre . On a coutume encore de traduire chaque
cas
latin, en se servant de notre article défini le,
our l’ablatif. Cela peut induire quelquefois en erreur, parce que ces
cas
ne se traduisent pas toujours de la même maniere
né lieu à nos Grammairiens d’imaginer faussement que nos noms ont des
cas
. Voyez Cas : je voudrois donc que l’on mît simpl
os Grammairiens d’imaginer faussement que nos noms ont des cas. Voyez
Cas
: je voudrois donc que l’on mît simplement après
it être de quelque utilité de mettre sur deux colonnes paralleles les
cas
du singulier & ceux du pluriel. Alors pour ne
oit mettre la traduction françoise de chaque nombre à la tête des six
cas
, sous la forme déja indiquée ; & le format in
imprimer en lettres rouges les terminaisons qui caractérisent chaque
cas
: mais il me semble que cette bigarrure n’a d’aut
bonâ, bono. Bonis, bonis, bonis. Si un adjectif a dans plusieurs
cas
une même terminaison pour plusieurs genres, on pe
Dans cet exemple ; on marque les trois lettres, m, f, n, au premier
cas
de chaque nombre qui n’a qu’une terminaison pour
f pluriels en abus, afin que le féminin ne soit pas confondu dans ces
cas
avec ceux des noms masculins en us ; si mula avoi
’autre, ceux qui ont au même tems un i avant o, comme capio : dans ce
cas
, il faudroit trois paradigmes pour les verbes de
rapporté tantôt à l’une, & tantôt à l’autre, selon l’exigence des
cas
. Quant au nom de parfait dont on l’a décoré, ce n
reçoit des déterminaisons relatives aux genres, aux nombres & aux
cas
, au moyen desquelles il se met en concordance ave
les adjectifs : comme eux, il s’accorde en genre, en nombre, & en
cas
avec le nom auquel il est appliqué ; & les ad
des verbes. 2°. Que séparer le participe du verbe, parce qu’il a des
cas
& des genres comme les adjectifs ; c’est comm
au génitif, comme dans patiens inediae, uxoris amans, c’est alors le
cas
de conclure que ce génitif n’est pas le complémen
elle de la syntaxe usuelle, prouve directement que l’accusatif est le
cas
propre qui convient au complément objectif du par
e est déclinable dans tous ses tems par genres, par nombres & par
cas
, & qu’en vertu du principe d’identité il s’ac
ophie plus qu’il ne paroît d’abord. Les gérondifs, en latin, sont des
cas
de l’infinitif (voyez Gérondif) ; & l’infinit
comme un gérondif, il me semble que la proposition indique alors les
cas
où les hommes sont sujets à se tromper, c’est en
le participe passif est déclinable par genres, par nombres & par
cas
; ce dont nous avons retenu tout ce que comporte
sens actif. Outre ceux-là, tous les déponens sont encore dans le même
cas
, & le participe en us y a le sens actif ; pre
un complément du verbe rendre, & à Dieu en est un autre. Dans ce
cas
l’un des complémens a au verbe un rapport plus im
auxiliaire avoir ; & il n’est plus question que de distinguer les
cas
où l’on fait usage du supin, & ceux où l’on e
ue complément avant le prétérit. Des exemples vont éclaircir tous les
cas
. Je l’ai fait peindre, en parlant d’un objet mas
oint (junctus ad), adverbe (ad verbum junctus), &c. Dans quelques
cas
, le d de ad se transforme en la consonne qui comm
là. Da est ampliatif dans l’affirmation ouida ; & c’est le seul
cas
où l’usage permette aujourd’hui de l’employer. Ce
sujet qui soit l’objet passif des larmes, & ce n’est que dans ce
cas
que le verbe lui-même est censé passif. Ce n’est
peut encore regarder comme des terminaisons personnelles ou comme des
cas
personnels le nominatif & le vocatif des noms
but sans qu’il parle ni qu’il soit apostrophé. Or le nominatif est le
cas
qui designe le nom comme sujet de la troisieme pe
comme le sujet dont on parle, Dominus probavit me : le vocatif est le
cas
qui désigne le nom comme sujet de la seconde pers
ne probasti me : c’est la seule différence qu’il y ait entre ces deux
cas
; & parce que la terminaison personnelle du v
atif dans la plûpart des noms latins au singulier, & que ces deux
cas
, en latin & en grec, font toujours semblables
un besoin réel ou très-apparent, si fortè necesse est ; & dans ce
cas
-là même il faut être très-circonspect & agir
étitions identiques où nous ne voyons ni emphase, ni énergie. Dans ce
cas
, il faut distinguer entre les langues mortes &
ncipal auteur. Pour les autres langues mortes, il est encore bien des
cas
où nous devons avoir par équité la même réserve ;
c. pag. 309.), que l’académie ne s’est jamais départie du z en pareil
cas
: cela pouvoit être alors ; mais il y a aujourd’h
ue ce n’est plus un motif suffisant pour en conserver l’usage dans le
cas
dont il s’agit. Une seconde observation, c’est qu
pensée dont la parole doit présenter une image fidelle. C’est donc le
cas
d’employer la virgule qui est suffisante pour mar
l’expression & de la pensée. Appliquons cette regle générale aux
cas
particuliers. 1°. Les parties similaires d’une mê
. Je ne veux plus vous voir ici ni vous parler sans témoins : dans ce
cas
la regle de M. Restaut est fausse, pour être trop
cien en conclut qu’il faut une ponctuation plus forte dans le premier
cas
, parce que la liaison y est moins sensible ; &
ensible ; & qu’il faut une ponctuation moins forte dans le second
cas
, parce que l’affinité des parties y est exprimée
Remarquez encore que je n’indique l’usage de la virgule, que pour les
cas
où l’ordre naturel de la proposition est troublé
rgule n’y seroit nécessaire qu’autant qu’elle pourroit l’être dans le
cas
même où la construction seroit directe. De tant
ne pas s’en servir pour celle qui est déterminative : dans le premier
cas
, la virgule indique la diversité des aspects sous
; le peu de liaison de l’incidente avec l’antécédent ; dans le second
cas
, la suppression de la virgule indique l’union int
be, tandis que l’addition ne vient qu’après : dans l’un & l’autre
cas
il faut user de la virgule pour la raison déja al
her sans altérer le sens de la proposition principale ; & dans ce
cas
on doit employer la virgule. Daigne, daigne, mon
iv. II. Cependant l’usage universel est d’employer la virgule dans ce
cas
-là même ; mais c’est un abus introduit par le bes
’usage de la virgule, en entrant dans le détail minutieux de tous les
cas
particuliers. Mais je crois qu’il suffit d’avoir
ison, & le fondement, on saura très-bien ponctuer dans les autres
cas
qui ne sont point ici détaillés : il suffira de s
s degrés de la proportion requise dans l’art de ponctuer. Passons aux
cas
particuliers. 1°. Lorsque les parties similaires
ns partiels, doit encore décider de l’usage des deux points, pour les
cas
où il y a trois divisions subordonnées les unes a
age a autorisé la contraction de l’article avec le possessif dans les
cas
où le nom est exprimé ; & c’est pour les inté
signifier, de se décliner, de s’accorder en genre, en nombre & en
cas
avec un sujet déterminé ; & que la nature des
dont les noms & les autres especes de mots analogues ont reçu des
cas
, c’est-à-dire des terminaisons différentes qui se
es mots comme termes de certains rapports : en latin, par exemple, le
cas
nommé génitif présente le nom qui en est revêtu c
Ciceronis opera, rapport de l’effet à la cause, &c. V. Génitif,
Cas
, & chacun des cas en particulier. Il y a d’a
rt de l’effet à la cause, &c. V. Génitif, Cas , & chacun des
cas
en particulier. Il y a d’autres langues, comme l’
u par des prépositions. Mais dans les langues mêmes qui ont admis des
cas
, on est forcé de recourir aux prépositions pour e
rapports dont l’expression n’a point été comprise dans le système des
cas
; cependant comme nous venons à bout par les prép
nstruction de rendre avec fidélité tous les rapports désignés par des
cas
dans les autres langues ; d’autres idiomes auroie
adopter quelque système, au moyen duquel ils auroient exprimé par des
cas
les rapports que nous exprimons par la constructi
ons : de maniere que comme nos langues modernes de l’Europe sont sans
cas
, celles-là auroient été sans prépositions. Il n’a
lu pour cela, que donner aux mots déclinables un plus grand nombre de
cas
; ce qui étoit possible, nonobstant l’avis de San
sible, nonobstant l’avis de Sanctius, qui prétend que la division des
cas
latins en six est naturelle & doit être la mê
ctique de Sanctius est démentie par l’usage des Arméniens qui ont dix
cas
; comme nous le certifie le pere Galenus, théatin
écrit de la langue lappone, il y en a qui y comptent jusqu’à quatorze
cas
, comme on peut le voir au ch. iij. d’une descript
les avantages respectifs des langues, selon qu’elles seroient ou sans
cas
ou sans prépositions, ou qu’elles participeroient
former sans appel, il faudroit continuer de dire que nos noms ont des
cas
, puisque c’étoit un usage de tems immémorial dans
assurément le plus sage, & il doit en être de ces mots en pareil
cas
, comme de devant & après, quand on dit, par e
mande. Dessous, dessus . Ces deux mots sont absolument dans le même
cas
que dedans. Ce sont des noms dans ces phrases, le
mmune d’envisager les choses est conforme à la droite raison. En tout
cas
, il est certain que si la réduction que je propos
, aussi-bien que, de la maniere que, &c. sont encore dans le même
cas
, parce qu’elles désignent des rapports généraux.
rd de pris, de primus. & de primitif même ; pris est dans le même
cas
à l’egard des deux derniers ; & premier à l’é
caractérise l’espece des pronoms : au contraire les nombres & les
cas
dans les langues qui les admettent sont également
ésignées par les nombres, & sous l’un des rapports marqués par le
cas
de quelque espece que soit l’idée déterminative.
le cas de quelque espece que soit l’idée déterminative. Voyez Nombre,
Cas
& Personne . A l’occasion de la grammaire fra
evêtir d’un autre rôle ; le vocatif des Grecs & des Latins est un
cas
qui ajoute à l’idée primitive du nom l’idée acces
as les mêmes erremens qu’à l’égard des noms, & elle reconnoît des
cas
dans les pronoms. Celui de la premiere personne e
ces différentes manieres d’exprimer le même sujet personnel sont des
cas
du même pronom ; & c’est par analogie avec la
mp; nobis au pluriel ; & l’on regarde toutefois ces mots comme le
cas
du même pronom latin ego. Voici comme je voudroi
le cas du même pronom latin ego. Voici comme je voudrois nommer ces
cas
, afin d’en bien indiquer le service. Personnes
toi. lui. elle. eux. elles. soi. J’appelle le premier
cas
nominatif, parce qu’il exprime, comme en latin, l
u fais, il fait, elle fait, ils font, elles font. J’appelle le second
cas
datif, parce qu’il sert au même usage que le dati
, à toi, à lui, à elle, à eux, à elles, à soi. J’appelle le troisieme
cas
accusatif, parce qu’il exprime comme l’accusatif
connoît, on les connoît, on se connoît. J’appelle enfin le quatrieme
cas
complétif, parce qu’il exprime toujours le complé
toi, pour lui, pour elle, pour eux, pour elles, pour soi. Lorsque ce
cas
est employé sans préposition, elle est sous-enten
t est forcé d’abandonner sa marche pesante & compassée. Il y a un
cas
où moi s’emploie comme accusatif ; c’est après l’
ns, ce moi est un mot redondant, au nominatif & en concordance de
cas
avec je ? C’est qu’une redondance de cette espece
de celle dont il s’agit, que par conséquent il faut suppléer. Dans ce
cas
n’est-il pas plus raisonnable de tourner le suppl
« Ce sont, dit-il, des pronoms qui se mettent ordinairement pour les
cas
des pronoms personnels ». S’il n’avoit pas adopt
s personnels ». S’il n’avoit pas adopté sans fondement des prétendus
cas
marqués en effet par des prépositions, il auroit
effet par des prépositions, il auroit dit que ce sont réellement les
cas
, & non des mots employés pour les cas des pro
que ce sont réellement les cas, & non des mots employés pour les
cas
des pronoms personnels. La raison pourquoi il ap
jusqu’à conclure que notre on est un synonyme du mot homme, pour les
cas
où l’on ne veut indiquer que l’espece, comme on n
exemples où ces mots sont en concordance de genre, de nombre & de
cas
avec des noms qu’ils accompagnent, & que ce s
pour des sottises ? Ce n’est pas nom avis. En effet, ce dans tous ces
cas
exprime un être général ; & la signification
prend un pluriel, des prétextes quelconques . Dans l’un & l’autre
cas
il est également adjectif, & reconnu tel par
ue quelqu’un se rapporte à homme ; & la concordance dans tous les
cas
certifie que ce mot est adjectif. Tel, telle .
gnifie votre perte a laquelle vous courez. Ainsi, où est dans le même
cas
que dont ; 1°. il équivaut à une préposition avec
ngue qui aura au-dela de trois tems, en aura au moins quatre. Dans ce
cas
que devient la maxime de Quintilien, reçue par M.
de soi avec complaisance. J’ai dit ailleurs quels sont les véritables
cas
de ce pronom & des autres ; & ils differe
utres ; & ils different entr’eux, comme dans toutes les langues à
cas
, & comme l’exige leur dénomination commune de
s les langues à cas, & comme l’exige leur dénomination commune de
cas
par des terminaisons différentes, par des chûtes
dans cet ouvrage, que les prépositions & les articles forment nos
cas
; mais je remarquerai que les exemples allégués n
llégués ne prouvent que soi, de soi, se, à soi, & de soi sont les
cas
de on, qu’autant qu’ils ont rapport à on. Il faud
eu ou point dans les langues particulieres, pour peu qu’elles fassent
cas
de la clarté de l’énonciation. La voici. De plusi
elation aussi marquée qu’il importe à la clarté de la phrase. Dans ce
cas
l’analyse même autorise une sorte d’hyperbate, qu
ile la lettre de cette loi pour en conserver l’esprit ; & dans ce
cas
, l’exception devient une nouvelle preuve de la né
ent objectif grammatical doit être à l’accusatif ; l’accusatif est le
cas
destiné par l’usage de la langue latine, à marque
omme un effet du régime la détermination du genre, du nombre & du
cas
d’un adjectif rapporté à un nom : c’est un effet
mer telle ou telle quotité d’individus : le régime ne dispose que des
cas
. Les Grammairiens attachés par l’habitude, souven
xemple, en latin, il ne seroit pas libre de traduire monsieur par tel
cas
que l’on voudroit de dominus ; il faudroit indisp
que ces mots sont en régime libre ou dans l’indépendance, car les six
cas
alors devroient être également indifférens ; cela
mots sous l’un ou sous l’autre des deux aspects désignés par les deux
cas
. Si l’on dit res miranda au nominatif, c’est que
; mais il avoit proscrit de notre grammaire la doctrine ridicule des
cas
: il ne pouvoit donc plus admettre le régime dans
uction, Inversion, Méthode, Proposition, Préposition , &c. Chaque
cas
a une destination marquée & unique, si ce n’e
duit là ; si les mots énoncés ne suffisent pas pour rendre raison des
cas
d’après ces vues générales, l’ellipse doit fourni
’est du nom sous-entendu regione. Il en est de même dans mille autres
cas
, qui ne sont & ne peuvent être entendus que p
st différent, & s’exprime par un autre nom : ces deux noms, en ce
cas
, sont correlatifs l’un de l’autre. Par exemple, s
x passive ; cependant Périzonius ne veut pas même en convenir dans ce
cas
; il prétend (ibid. not. 10.) que de pareilles lo
uverne pas casum meum, il n’en exige aucun, c’est un verbe neutre. Ce
cas
, appellé cognatus, ou cognatae significationis, n
même facundia, avec lequel il s’accorde en genre, en nombre & en
cas
: il n’est donc pas mis au lieu de facundia, mais
présente homo, parce qu’il est au même genre, au même nombre, au même
cas
, & qu’il renferme dans sa signification l’idé
itteras, parce qu’il est au même genre, au même nombre, & au même
cas
, & que l’idée démonstrative qui en constitue
puisque toutes ces especes s’accordent en genre, en nombre, & en
cas
, avec le nom auquel ils se rapportent effectiveme
s ; & comme eux aussi, il s’accorde en genre, en nombre, & en
cas
, avec le nom ou le pronom auquel on l’applique, e
t. de 1746, suite du chap. ix. de la part. II.) prétend qu’il y a des
cas
où le mot dont il s’agit, est visiblement pour un
accorder en genre & en nombre avec son antécédent ; & dans ce
cas
, il semble en effet qu’il n’y ait rien autre chos
qu’il sert pour tous les genres, pour tous les nombres, pour tous les
cas
, & pour toutes les personnes ». Je passe à c
. Si les Hébreux ne font pas usage de l’adjectif démonstratif dans le
cas
où il est sujet, c’est que la terminaison du verb
nctif ; & l’usage, dans aucune, ne peut le dépouiller en quelques
cas
de l’idée démonstrative, pour ne lui laisser que
regle. L’adjectif conjonctif s’accorde en genre, en nombre, & en
cas
, avec un cas répété de l’antécédent, soit exprimé
ectif conjonctif s’accorde en genre, en nombre, & en cas, avec un
cas
répété de l’antécédent, soit exprimé, soit sous-e
ingulier & au masculin, comme Deus ; mais qu’il n’est pas au même
cas
, & qu’il est à l’accusatif, qui est le régime
me qu’au singulier & au masculin comme Deum, mais non pas au même
cas
, puisque qui est au nominatif, comme sujet de con
jet de condidit : on conclud de-là que le relatif ne s’accorde pas en
cas
avec l’antécédent. On remarque encore que qui, da
jugé universel que qui, quae, quod est un pronom : il est vrai que le
cas
d’un pronom ne se décide que par le rapport propr
qui, qu ae, quod , doit ordinairement être considéré comme entre deux
cas
d’un même substantif exprimés ou sous-entendus ;
’antécédent en genre & en nombre ; & avec le suivant, même en
cas
, comme avec son substantif ». C’est ce qu’on lit
; le nombre par ceux du nom qui précede, tandis qu’on en détermine le
cas
par celui du nom qui suit ? N’étoit-il pas plus s
tion peut venir de la préférence qui est dûe à d’autres principes, en
cas
de concurrence avec celui-ci ; & cette préfér
e accuser quelqu’un, & d’ailleurs l’usage de notre langue est, en
cas
d’ellipse, de n’employer qui qu’avec relation aux
re, indiquer, désigner, nommer, &c. (voyez Interrogatif). Dans ce
cas
, l’antécédent sousentendu que l’on supplée, doit
; on en trouve une nouvelle preuve, en ce qu’ils n’ont point d’autres
cas
obliques que qui, quae, quod, & qu’alors la t
ammatical le mérite de la justesse, dont on ne sauroit faire assez de
cas
. Il est donc important d’examiner les différences
l’acception précise qui y convient, & que l’usage n’a mis dans ce
cas
aucun des mots qui sont fréquemment nécessaires d
lettre l’expression figurée, ou la pensée littérale du latin ; en ce
cas
, je me contenterois de rendre la pensée à notre m
s nouveau qui convient au sujet dont on veut parler : dans le premier
cas
, il faut conserver le sens de l’auteur ; mais dan
mier cas, il faut conserver le sens de l’auteur ; mais dans le second
cas
, les passages auxquels on donne un sens différent
a seconde. Les Espagnols ont également adopté notre maniere, pour les
cas
du moins où ils ne croyent pas devoir employer le
riété ; l’indicatif & le suppositif sont fréquemment dans le même
cas
; par exemple, achetez le livre que j’ai lû ; vou
al-à-propos dans un autre (voilà la seconde) ; or la premiere dans ce
cas
se diroit toujours de même en latin, frustrà viti
tion ut ; & que ce seroit pourtant la seule qui pût prouver en ce
cas
que le tems est du subjonctif, parce que les cinq
que c’est abuser de l’ellipse : elle ne doit avoir lieu que dans les
cas
où d’autres exemples analogues nous autorisent à
ur. Tusc. iv. 27. La voici telle qu’on doit la supposer dans tous les
cas
pareils, res esto ita ut cogitemus , &c. res
ousentendu les hommes, que l’on a dans l’esprit. Il y a cependant des
cas
où les adjectifs deviennent véritablement noms :
uoique l’adjectif soit au comparatif ou au superlatif ; donc dans ces
cas
là même, l’adjectif n’a aucune signification comp
leurs il doit en être des noms des différens degrés comme de ceux des
cas
, des genres, & de tant d’autres par lesquels
rimer avec assez d’exactitude ce que l’on conçoit ; & que pour le
cas
présent, j’ose me flatter d’avoir employé des dén
a passion plus grande (que toutes mes autres passions). Dans ces deux
cas
, l’article simple ou possessif, servant à individ
sans doute que grand nombre d’adjectifs & d’adverbes sont dans ce
cas
: mais il paroîtra peut-être surprenant à quelque
natif, quoique l’article du substantif qui va devant soit en un autre
cas
, quelque cas que ce soit. Il applique ensuite la
e l’article du substantif qui va devant soit en un autre cas, quelque
cas
que ce soit. Il applique ensuite la regle à cet e
e des peuples les plus barbares. Or indépendamment de la doctrine des
cas
, qui est insoutenable dans notre langue (voyez Ca
de la doctrine des cas, qui est insoutenable dans notre langue (voyez
Cas
), il est notoirement faux que tout adjectif mis a
c’est qu’elle est trop particuliere, & ne s’étend pas à tous les
cas
où la construction dont il s’agit peut avoir lieu
sante, puisque l’adjectif comparatif meilleur est encore dans le même
cas
, ainsi que tous les adverbes qui seront précédés
s’il n’avoit été préoccupé, contre son intention même, de l’idée des
cas
dont Vaugelas fait mention) ; « ce n’est pas, co
, &c. c’est parce que la préposition n’est point nécessaire en ce
cas
entre l’adjectif & le substantif ». Mais ne
. de W. signifie donc que la préposition n’est point nécessaire en ce
cas
, parce qu’elle n’y est point nécessaire. Or assur
eorum : ou bien la proposition n’est point comparative, & dans ce
cas
coelum habebatur antiquissimus deus deorum (en re
l’analyse, la préposition qui seule exprime la comparaison : dans ce
cas
il faut suppléer aussi le complément de la prépos
mplement déterminatif ; & comme le sens présente toujours dans ce
cas
l’idée d’une supériorité universelle, le nom appe
es n’ont pas produit ce nom verbal, & cependant plusieurs dans ce
cas
-là même ne laissent pas d’avoir le supin en u ; c
droit la suppression & l’espece des mots supprimés. Ici, c’est un
cas
qui est essentiellement destiné à caractériser ou
ou le nom appellatif ne soient pas exprimés, ils sont indiqués par ce
cas
, & entierement déterminés par l’ensemble de l
et antécédent, quand il est suppléé, se trouve lui-même dans l’un des
cas
que l’on vient de marquer, & il exige ou un n
peut, quoiqu’il faille toujours suivre l’analogie générale : dans ce
cas
, plus les supplémens paroissent lâches, horribles
deux modes. La raison qu’ils ont eu à cet égard, est la même dans le
cas
présent ; ils doivent donc en tirer la même consé
cation gauche de la grammaire latine à la langue françoise ; dans les
cas
où nous disons je ferois, j’aurois fait, les lati
s sage : c’est l’interdiction de cette ellipse qui nous a mis dans le
cas
d’adopter ou l’ennuyeuse circonlocution du tour a
e, on épelle â-cre & E-glé : on pense donc du moins qu’il y a des
cas
où deux consonnes placées entre deux voyelles, la
on pas reconnoître qu’il en est de même dans armé & dans tous les
cas
semblables ? Dom Lancelot, dans sa méthode pour a
entendre distinctement dans notre maniere de prononcer rapidement, en
cas
de guerre, comme s’il y avoit en-ca-dguer-re ; no
, que nous prononçons comme s’il y avoit léjveu, &c. c’est ici le
cas
où l’oreille doit dissiper les préjugés qui peuve
sage ; mais elle auroit pû devenir plus utile, s’il avoit assigné les
cas
où la syllepse peut avoir lieu, & qu’il eût f
ou de plus de feux, ou de moins de feux que je n’en allumai. Dans ce
cas
, ce n’est pas le cas unique exprimé dans la phras
ou de moins de feux que je n’en allumai. Dans ce cas, ce n’est pas le
cas
unique exprimé dans la phrase, qui réunit sur soi
ue peut-être seroit-il plus sage de restraindre la syllepse aux seuls
cas
où le sens figuré ne peut être rendu par un mot p
e qu’elle brille dans les productions de la nature….. Je ne fais donc
cas
de la quantité des mots que par celle de leur val
de se former un ordre, la chose abonde en synonymes » (mais dans ce
cas
-là même, les différentes origines des synonymes d
, Détermination, Construction, Idiotisme, Inversion, Méthode, Figure,
Cas
, &c. Supplément, Préposition, Usage , &
ruire les mots selon les regles ordinaires du nombre, des genres, des
cas
, on en fait la construction relativement à la pen
iis objecti . (Sall.) Mais aucun d’eux n’a parlé de synthèse dans les
cas
, & aucun n’auroit pu assurément en trouver d’
ue ce fût. C’est donc par inadvertance que M. du Marsais a compris le
cas
dans la définition qu’il donne ici de cette figur
ce d’ellipse d’avec les autres par un nom particulier : & dans ce
cas
, celui de synthèse s’y accommode avec tant de jus
vocis alicujus subintellectae cum voce expressâ ; ce qui est bien le
cas
de l’ellipse. Mais au fond un seul nom suffit à u
voyelle ; comme a-t-il reçu, aime-t-elle, y alla-ton : & dans ce
cas
, la lettre t se place, comme on voit, entre deux
e quand on dit, je vous loue d’avoir fait cette action ; mais dans ce
cas
-là même, il n’y a aucun autre tems que l’on puiss
je lui demande où il va, je vois qu’il s’embarrasse ; & dans ces
cas
, nous trouvons d’autres tems que l’on peut substi
législation grammati ale. La langue angloise est encore dans le même
cas
que l’allemande ; i had (j’avois & j’eus) ; i
présent postérieur, comme dans cette phrase, je pars demain ; dans ce
cas
nous trouvons un autre tems que l’on peut substit
, &, comme on le sait, il s’accorde en genre, en nombre, & en
cas
avec le sujet du verbe ; c’est qu’il en exprime l
rois tems, & assujetti à s’accorder en genre, en nombre, & en
cas
avec le sujet, exprime l’état par rapport à l’act
en conséquence, actuel, antérieur ou postérieur, selon l’exigence des
cas
. Il en est de même du prétérit indéfini ; ce n’es
; je devrois chanter, arriver, me révolter. L’analogie, qui dans les
cas
réellement semblables, établit toujours les usage
mais ; (ut te unquam auditurum esse non existimarem.) Dans le premier
cas
, vous entendissiez est relatif à une époque actue
e actuelle, & il est rendu par le présent audire ; dans le second
cas
, l’époque est antérieure, & vous entendissiez
oque est postérieure : ce qui n’empêche pas que dans chacun des trois
cas
, vous entendissiez n’exprime réellement la simult
à laquelle on puisse reprocher l’anomalie ; elles sont toutes dans ce
cas
, & il est même difficile d’assigner les tems
ableau des conjugaisons : mais je répondrai qu’on ne doit point en ce
cas
entreprendre une traduction qui est nécessairemen
Ici l’auteur indique avec beaucoup de justesse & de précision les
cas
où l’on ne doit se servir que du prétérit absolu,
lui substituer l’aoriste ; puis il continue ainsi : « Mais hors les
cas
que je viens d’indiquer, on a la liberté du choix
bien, je l’ai vu hier au moment de son départ ». C’est que, hors les
cas
indiqués, il est presque toujours indifférent de
(Voyez les Synonymes françois). M. Harduin lui-même, en assignant les
cas
où il faut employer le prétérit qu’il appelle abs
ien decliner & bien conjuguer, & qu’il a appris la raison des
cas
dont il a remarqué l’usage dans les auteurs qu’il
par quelques idées accessoires, puisque l’on employe l’un en bien des
cas
ou l’on ne pourroit pas se servir de l’autre : on
eurs autres especes de mots : or, l’idée de l’affirmation est dans ce
cas
, puisque les mots affirmation, affirmatif, affirm
ve la différence des aspects, ou que le mot est le même dans les deux
cas
, hors la différence des constructions. Il faut ob
VOCATIF VOCATIF, s. m. (Gram.) dans les langues qui ont admis des
cas
pour les noms, les pronoms & les adjectifs, l
cas pour les noms, les pronoms & les adjectifs, le vocatif est un
cas
qui ajoute, à l’idée primitive du mot décliné, l’
mavi ad te (Ps. xxvj.). Voici les conséquences de la définition de ce
cas
. 1°. Le pronom personnel ego ne peut point avoir
airement de la troisieme. D’ailleurs étant réfléchi, il n’admet aucun
cas
qui puisse indiquer le sujet de la proposition, c
onom, elle se trouve nécessairement comprise dans la signification du
cas
qui le présente, comme sujet de la proposition, l
erreur à proscrire des rudimens, que d’appeller nominatif le premier
cas
du pronom tu, soit au singulier, soit au pluriel.
mp; dans l’autre langue. C’est que la principale fonction de ces deux
cas
est d’ajouter à la signification primitive du mot
er exemple, & au vocatif dans le second ; quoique ce soit le même
cas
matériel. Cette approximation de service dans les
it le même cas matériel. Cette approximation de service dans les deux
cas
, semble justifier ceux qui les mettent de suite &
voyelles, pour représenter les huit sons fondamentaux ; & dans ce
cas
un signe de nasalité, comme pourroit être notre a
s constructions, des idiotismes des phrases qu’ils employent dans les
cas
semblables, & souvent pour peindre les mêmes
s nombreuse de la cour l’emporte sur la partie la moins nombreuse, en
cas
de contestation sur la maniere de parler la plus
ore quelle est ou doit être la pratique de ceux dont l’autorité en ce
cas
seroit prépondérante. L’usage est déclaré, quand
nd on connoît avec évidence la pratique de ceux dont l’autorité en ce
cas
doit être prépondérante. I. L’usage ayant & d
elle de l’usage ; il faut recourir alors à l’analogie pour décider le
cas
douteux par comparaison ; car l’analogie n’est au
ar l’analogie n’est autre chose que l’extension de l’usage à tous les
cas
semblables à ceux qu’il a décidés par le fait. On
e quoi, &c. La même analogie, qui doit éclairer l’usage dans les
cas
douteux, doit le maintenir aussi contre les entre
est presque toujours un moyen sûr de décider la préférence en pareil
cas
; mais il faut être sûr de la bien reconnoître, &
ien reconnoître, & ne pas se faire illusion. Il est sage, dans ce
cas
, de comparer les raisonnemens contraires des gram
à tous les verbes de notre langue ; & il est plus raisonnable, en
cas
de partage dans l’autorité, de se décider pour l’
qui n’est, comme je l’ai dit, qu’une extension de l’usage à tous les
cas
semblables à ceux qu’il a déja décidés. On peut v
ant entre-deux voyelles, la premiere est un e initial ; & dans ce
cas
la lettre h qui précéderoit l’une des deux voyell
ple de beaucoup, & les étymologistes y perdront bien peu. Dans ce
cas
, à l’exception du seul adverbe y, nous ne ferons
n hypozeugme où il y a de sousentendu factus sit. Changement dans le
cas
: quid ille fecerit, quem neque pudet quicquam, n
uffit pour provoquer la sensation. — Preuve par les hallucinations. —
Cas
observés par les aliénistes. — Hallucinations qui
e après que l’ondulation éthérée a cessé de frapper la rétine ; en ce
cas
, les paupières fermées, ou l’œil tourné d’un autr
té, on continue à voir l’objet que l’on regardait d’abord ; selon les
cas
, l’image est incolore ou colorée, de couleur pers
grand jeu, et la sensation est d’une intensité terrible ; tel est le
cas
des malheureux qui ont une hyperesthésie des nerf
e ses orteils, ses doigts, la plante du pied, la main. » En plusieurs
cas
, après sept ans, douze ans et même vingt ans, la
faire naître. Et de fait c’est ce qui arrive dans un grand nombre de
cas
. Beaucoup de sensations naissent en nous sans l’i
qui précèdent le sommeil, et qu’on peut observer sur soi-même ; en ce
cas
, on ferme les yeux, on écarte toutes les excitati
r le haschich. — D’ailleurs les observateurs ont enregistré plusieurs
cas
de malades en qui les nerfs étaient plus ou moins
ent jusqu’à leur entrée dans le globe de l’œil ; certainement dans ce
cas
la transmission des impressions était impossible
sque l’expérience a laissé la protubérance en place ! Dans le premier
cas
, chaque excitation d’une partie restée sensible p
bandonnais à lui seul, il restait calme et comme absorbé ; dans aucun
cas
, il ne donnait signe de volonté. En un mot, figur
129, « il y a parfois perte complète de l’intelligence. Dans d’autres
cas
, le malade répond aux questions qu’on lui adresse
es uns ont toujours par la suite la mémoire imparfaite… Dans certains
cas
particuliers, les malades ne peuvent plus se serv
ultés intellectuelles et même de tous ses sens externes… Tel était le
cas
d’un nommé Vacquerie, en 1821. Il était hémiplégi
ux lobules postérieurs du cerveau ; peu importe. « Bérard rapporte un
cas
de broiement des deux lobules antérieurs, avec co
l’appétit, leurs forces, leur air guerrier même… ». Tel est encore le
cas
de ce dragon cité par Lamotte, « auquel un coup d
a pensée d’un auteur, tout en le lisant à haute voix. Dans ces divers
cas
, les images des mouvements musculaires qu’on veut
ntenir l’image pendant quelques secondes à ce poste privilégié. En ce
cas
, un événement singulier se produit : tout de suit
mots qu’il lit ou qu’il entend ; il est plus ou moins imbécile. En ce
cas
, non seulement, dans l’appareil moteur, le bout i
ce d’événements moraux que notre conscience n’atteint pas. Tel est le
cas
des phénomènes réflexes, l’un des plus instructif
e est appropriée, adaptée » ; elle semble « intentionnelle ». En tout
cas
, elle va vers un but, « même lorsque l’animal est
rop grande149. — On ne finirait pas si l’on voulait énumérer tous les
cas
de l’action réflexe. Intermittents ou continus, l
ngitudinaux de l’œsophage, ce qui opère la déglutition. Dans ces deux
cas
, le jeu de la machine animale est aussi savant, m
ent d’une arme, d’un outil, d’un instrument de musique. Dans tous ces
cas
, c’est sous la conduite de l’encéphale que la moe
tre et attend pour agir la décision de son supérieur. Dans le premier
cas
, entre l’information et l’ordre, la distance est
le bureau des nouvelles et le bureau des injonctions. Dans le second
cas
, la distance est grande ; il faut que la nouvelle
es. Du premier au second, tantôt la communication est directe : en ce
cas
, l’information détermine l’ordre sans intermédiai
re sans intermédiaire ; tantôt la communication est indirecte : en ce
cas
, l’information ne détermine l’ordre qu’après deux
allongée et en redescend jusque dans la racine antérieure ; c’est le
cas
du lapin décapité ou du rat à qui l’on a coupé le
re dans la moelle allongée, puis dans la racine antérieure ; c’est le
cas
pour les animaux à qui l’on a enlevé les hémisphè
temps que lui pour aboutir à d’autres racines postérieures ; c’est le
cas
des animaux intacts et sains. Courant direct, ou
caux : telle est la disposition qu’annonce la couronne de Reil. En ce
cas
, une cellule des bureaux inférieurs qui rayonnera
et Vulpian, 711. 136. Bulletin de l’Académie de médecine, t. X, 6.
Cas
analogue d’un enfant de quatre ans et demi dont u
renaissance et de l’effacement des images. Voir le détail des divers
cas
, livre II, ch. II, p. 148-150. 142. Recherches d
t elles sont toujours très loin de représenter la réalité. Ce dernier
cas
est celui des lois que nous posons en physiologie
etarde ; et quant aux hommes dont je parle, il ne saurait faire en ce
cas
preuve d’une supériorité d’esprit généralisateur
phénomène, et lui donner l’aspect d’un fait contradictoire. Mais les
cas
de ce genre s’offriront très souvent à nous dans
aire, le liquide reste bleu sans offrir de réduction. Dans le premier
cas
, on conclut à la présence du glucose, et dans le
ent par une modification à l’air de l’acide tartrique, et que dans ce
cas
le liquide peut précipiter de lui-même sous l’inf
, au lieu de l’acide sulfurique, l’acide chlorhydrique. Dans tous les
cas
, il sera toujours préférable d’agir sur des liqui
réservant d’ajouter les détails que nous aurions omis ici à propos du
cas
même auquel ils s’appliquent. Troisième leçon
econnu, depuis ces premières recherches, qu’on pouvait, dans tous les
cas
, se passer de sous-acétate de plomb. Le charbon a
cre ; on obtiendra de l’acide carbonique et de l’alcool. Mais dans ce
cas
tout spécial d’un Mammifère herbivore, on pourrai
suite d’une longue maladie, ou sont morts subitement. Dans le premier
cas
, on ne trouvera plus de sucre dans le foie, tandi
es influences qui peuvent s’exercer sur elle, à déterminer dans quels
cas
elle augmente et dans quels cas elle diminue, pou
cer sur elle, à déterminer dans quels cas elle augmente et dans quels
cas
elle diminue, pour arriver ensuite à montrer comm
le seul organe du corps qui ait la propriété d’en fabriquer. Dans le
cas
où nous trouvons du sucre répandu dans tout l’org
enant toujours à une plus grande distance de la ligne XY ; alors deux
cas
se présentent. Si la courbe représentant un état
u. Il est bien entendu, Messieurs, que nous vous représentons ici des
cas
types d’une simplicité purement idéale, afin de v
on, et dans l’intervalle des digestions, sa diffusion limitée dans un
cas
, généralisée dans l’autre, sont des faits trop im
agissant sur la fonction glycogénique. — Influence de l’abstinence. —
Cas
des animaux hibernants qui ne doivent pas être co
rriture. Il était intéressant de savoir quelle pouvait être, dans ces
cas
de modifications du tissu hépatique, l’influence
s du foie n’en sont nullement empêchées, et il n’y aurait que dans le
cas
où ces indurations occuperaient tout l’organe que
quantité de sucre qu’il contenait, de sorte qu’on pourrait, dans ces
cas
, attribuer à l’abstinence l’absence du sucre dans
intime avec la destruction du sucre, se ralentit. Il y a cependant un
cas
d’abstinence apparente qu’il est intéressant de c
vores. Ces derniers animaux peuvent mourir de faim et rentrer dans le
cas
ordinaire des animaux à jeun ; ils ne se rendorme
de l’abstinence sur la production du sucre ; nous avons distingué le
cas
des animaux hibernants qui ne doivent pas être co
u près normale, malgré une abstinence de quatre jours dans le premier
cas
. Les chiffres 1,33 et 1,65 pour 100 sont des chif
ire redoubler de précautions pour le bien constater, et dans ces deux
cas
j’ai retiré du tissu du foie, par la fermentation
la circulation dans la production du sucre. — Phénomènes mécaniques.
Cas
d’apparition accidentelle du sucre dans les urine
aussi bien dans l’intestin que sous la peau, mais que dans le premier
cas
la dissolution a abandonné un de ses éléments, le
le sucre, en traversant le foie, ce qui n’a pas lieu dans le deuxième
cas
. Nous aurions encore pu faire l’expérience de la
it pas invoquer aucune différence d’absorption, puisque dans les deux
cas
nous introduisons les substances directement dans
plus fréquemment dans les pays chauds. M. Rayer en a décrit plusieurs
cas
, et j’ai vu plusieurs fois de ces urines dans le
célèbre. Je dis donc qu’il serait possible peut-être de rapprocher ce
cas
de la présence de la matière chyleuse dans les ur
dance qu’on serait peut-être porté à le croire. Néanmoins, il y a des
cas
, où, sous l’influence de conditions particulières
ain temps. Il est clair que l’on ne peut pas considérer cela comme un
cas
de diabète, ni caractériser la maladie par ce seu
ne le passage de la matière sucrée. Il n’y a pas eu là, comme dans le
cas
où la matière sucrée introduite dans l’estomac pe
e jusqu’au rein par l’aorte et par l’artère rénale. Il y a eu dans ce
cas
simplement des phénomènes endosmotiques qui se so
é dans les urines de ce lapin. Le sucre a été détruit dans ce dernier
cas
parce qu’il a dû traverser le foie. Voici donc la
é dans ce vaisseau qui le conduit au cœur. Nous verrons qu’il y a des
cas
où l’activité de ce système peut être exagérée ou
isparu, le diabète revient comme auparavant. J’ai observé moi-même un
cas
très curieux chez une femme diabétique qui avait
la présence du sucre, il est clair que, dans le plus grand nombre des
cas
où on l’eût recherchée sur l’homme, il était impo
. Examinons ce qu’est devenue la fonction glycogénique dans les trois
cas
. D’abord, elle existait quand les animaux ont été
is, tels que le caoutchouc liquide ou simplement de l’huile. Dans ces
cas
, les animaux meurent en se refroidissant, et j’ai
e sécrète dans la mamelle, organe chargé de produire du sucre dans le
cas
spécial de son fonctionnement ; car, tandis que l
lobules se trouvent baignés dans un sang sucré ; on sait que dans ces
cas
les globules du sang se crispent et se ratatinent
que le ventricule droit. Mais il est facile de démontrer que, dans ce
cas
, où le sang ne circule plus dans le cœur, cette d
on parvienne à éviter ces valvules, soit à les rompre, comme c’est le
cas
le plus ordinaire. On s’aperçoit que l’on est dan
it injecté sous la peau que 1 gramme seulement, comme dans le premier
cas
. Toutes les expériences que nous avons faites sur
elle se fait l’absorption qui est extrêmement prompte dans le premier
cas
, tandis qu’elle est beaucoup plus lente dans le s
té quand on faisait une solution plus concentrée du liquide. Dans ces
cas
encore l’abaissement de la limite de destructibil
sucre, à l’état physiologique, peut exister, et existe dans certains
cas
dans tout le sang, mais sans se montrer au dehors
ue de l’empêchement de l’accès de l’air dans les poumons. Et dans les
cas
d’éthérisation, il y a de même souvent des effort
héorie dut disparaître ; car si elle paraissait confirmée dans un des
cas
, où l’on trouve du sucre dans l’urine, quand il n
ont cependant qu’à un faible degré. Cela d’ailleurs n’explique pas le
cas
des diabétiques, car chez eux le sang est alcalin
itionné de 1 gramme de carbonate de soude, on verra que dans les deux
cas
le glucose apparaît dans les urines, seulement il
de maladie. Nous vous avons montré un foie qui était dans ce dernier
cas
, et qui venait de l’École pratique. Vous avez vu
actères chimiques sont justement de ceux qui servent dans beaucoup de
cas
à distinguer, sous le microscope, les éléments an
alisées, se trouve à cette époque de la vie embryonnaire dans le même
cas
que toutes les autres glandes, la rate, le rein,
t incomplets. Mais la science physiologique permet de fixer dans quel
cas
il faut dire oui, et dans quel cas non ; et voilà
ologique permet de fixer dans quel cas il faut dire oui, et dans quel
cas
non ; et voilà justement pourquoi, pour juger une
le plus souvent, qu’on peut, un moment après, lui faire faire, sur un
cas
qui lui paraîtra complétement identique, une autr
première. Quelle conclusion tirera-t-il de là ? Et s’il n’a vu qu’un
cas
, quelle foi peut-on ajouter à sa conclusion ? C’e
entateurs l’ont faite, on n’eût pas trouvé de sucre, ou bien dans les
cas
où l’on en eût trouvé, cas que nous avons détermi
’eût pas trouvé de sucre, ou bien dans les cas où l’on en eût trouvé,
cas
que nous avons déterminés nous-même, on en eût re
rée, il devient un organe condensateur. Si l’on ne considérait que le
cas
des animaux herbivores, on pourrait concevoir que
le liquide provenu du sang des veines hépatiques ; vous voyez dans ce
cas
une réduction abondante, et ici dans ce tube la f
es réactifs dont nous nous sommes servi. Ainsi on prétend que dans le
cas
où l’on donne à un animal des matières féculentes
rée, d’autre part, un nouvel usage pour le foie, qui devient, dans le
cas
d’une alimentation mixte, un organe filtrateur pr
’idée à priori est purement métaphysique, avons-nous dit, et c’est le
cas
le plus fatal, qui, heureusement, disparaît de la
le liquide reste presque complétement bleu, tandis qu’il est, dans le
cas
précédent, tout à fait décoloré. Cela nous prouve
èvres avec une sensation agréable. Il y a lieu de croire que dans ces
cas
, comme dans celui des diabétiques, la substance q
ait pas constant, car M. Rayer a rapporté à la Société de biologie un
cas
dans lequel les crachats d’un phtisique diabétiqu
u. Une autre sécrétion, dans laquelle on peut constater dans certains
cas
la présence du sucre, c’est le suc gastrique. Le
que quand la maladie est à son summum d’intensité ; et dans tous les
cas
, même chez les animaux que l’on rend artificielle
de généraliser trop vite, quand on n’a observé qu’un petit nombre de
cas
. Cela vous prouve une fois de plus combien un pro
ropriétés, et, si cela eût été général, l’animal serait mort. Dans ce
cas
seulement on a vu passer dans la salive un peu de
ment plus ou moins abondant d’un liquide limpide. J’ai vu moi-même un
cas
où le malade en a rendu en deux jours plusieurs l
n animal dans ce point. Il y aurait eu ainsi diabète traumatique ; ce
cas
est possible et a déjà été observé plus d’une foi
les conditions où je les ai observés. Mais il faut dire que dans ces
cas
les malades ont souvent la fièvre, ce qui, comme
phatiques, et le sucre, en particulier, ne s’y rencontre pas, sauf le
cas
exceptionnel où l’organisme est saturé de cette s
par les veines, mais jamais par les lymphatiques. Seulement, dans les
cas
où nous injections de cette manière des quantités
n du sang qu’il eût perdu ses propriétés normales, on voyait dans ces
cas
le sucre apparaître dans le système lymphatique ;
e est interrompue dans le foie. Je voulus alors tenter de produire le
cas
inverse, c’est-à-dire l’exagération de cette fonc
nettement la section du nerf, étaient au contraire exagérées dans le
cas
où l’on ne lésait que la protubérance annulaire :
amment le tartrate cupro-potassique. Vous voyez donc, en comparant ce
cas
avec le précédent, que sous le rapport de l’appar
s émanées de sa périphérie ; l’excitation qu’il transmet est, dans ce
cas
, centripète et non pas centrifuge. Et, en effet,
s une des prochaines séances, et à ce propos nous traiterons des deux
cas
, ou la moelle agissant comme centre, ou la moelle
s dédoublements du composé qu’ils formaient d’abord ; dans ce dernier
cas
, il y a vraiment production de matières nouvelles
que les diabétiques soient polyuriques, il se présente cependant des
cas
où l’on trouve du sucre dans leurs urines sans qu
e à la présence de la matière sucrée. Mais il y a encore un troisième
cas
à ajouter aux deux premiers, c’est celui où les u
ues plus abondantes ni qu’elles aient changé d’aspect ; dans d’autres
cas
, nous avons eu purement et simplement une exagéra
t la région où ils se trouvent, d’une manière oblique, et c’est là le
cas
le plus fréquent, on les blesse tous deux ensembl
iques, nous n’obtenions qu’une irritation locale sur le foie, dans ce
cas
, comme dans l’expérience sur le curare, nous avon
n épanchement se fût produit, et ait agi mécaniquement comme dans les
cas
de diabète traumatique. Voilà donc des diabètes o
r des contusions dans la région du foie. On me citait dernièrement le
cas
d’un individu qui avait reçu un coup de pied de c
irritations locales du tissu hépatique. Nous allons examiner d’autres
cas
où les mêmes symptômes vont se manifester à la su
es urines à la suite de l’inhalation de l’éther, pensait que dans ces
cas
le diabète artificiel se produisait par un défaut
n imminente sans pour cela produire le diabète, et cependant dans ces
cas
l’air n’arrive plus au poumon en quantité suffisa
e cause du diabète, on a recherché la présence du sucre dans tous les
cas
où les organes pulmonaires semblaient accomplir d
e de la respiration qui produit le diabète, on devrait, dans tous les
cas
, rendre l’individu diabétique en le faisant respi
devinrent complètement insensibles, ce qui n’avait pas lieu dans les
cas
précédents. On cessa à dessein pendant quelques i
a dépendance de tous les systèmes organiques entre eux. Dans tous les
cas
, il faut que le foie se trouve excité soit d’une
rouge vif et ne laissait plus suinter aucun liquide. Dans ce dernier
cas
, on avait déterminé non plus une excitation, mais
iques des liquides organiques ; toutes les fermentations sont dans ce
cas
. La température, jusqu’à un certain degré, augmen
effet d’opérer une perversion dans la fonction glycogénique ? Dans ce
cas
, Messieurs, il faut voir là une action particuliè
t être considérés que comme les conducteurs. Nous pensons que dans le
cas
de notre opération le foie reçoit également par d
uence spéciale. Quand nous avons, enlevé préalablement, dans certains
cas
, le ganglion cervical inférieur et le premier tho
ible d’y revenir quand on abandonne l’organe à lui-même comme dans le
cas
précédent. Vous voyez aussi que l’aspect du foie
e ces hypothèses nous auront fait découvrir. C’est précisément ici le
cas
qui se présente. Dès lors, donc, deux hypothèses
ns les animaux, d’autres exemples de phénomènes analogues et d’autres
cas
dans lesquels il se formerait une matière sucrée
ut à fait analogues à ceux de la germination. En effet, dans les deux
cas
, les jeunes embryons animaux ou végétaux, ou plut
i, sans doute, seront l’objet de l’étude des chimistes. Dans tous les
cas
, cette substance n’a en rien affaire avec le sucr
imal, il meurt au bout de trois ou quatre jours. On a cherché dans ce
cas
à expliquer la mort de bien des manières, en la r
e la physiologie à la pathologie du diabète. — Pathologie comparée. —
Cas
de diabète signalés chez les animaux. — Organes m
rapports entre les symptômes et les lésions qui se présentent dans un
cas
morbide. Quand on ne peut faire de telles études
études que sur l’homme, la difficulté des observations, la rareté des
cas
, l’impossibilité des autopsies dans toutes les ci
leur faisant manger de l’avoine altérée par l’humidité. Dans tous les
cas
, il ne s’agirait ici que d’un symptôme tout à fai
antités de matières sucrées dans l’intestin. Je ne connais qu’un seul
cas
de diabète persistant qui ait été observé sur un
e à Paris ; mais on n’a pas fait d’expériences bien détaillées, et le
cas
de cette observation doit être considéré comme un
rofonde, l’effet peut durer pendant cinq ou six heures, ce qui est le
cas
le plus commun ; rarement le diabète dure plus de
ns, j’ai observé des diabètes qui duraient plus longtemps, et dans un
cas
, entre autres, j’ai gardé un chien diabétique pen
c étaient plus épaisses qu’à l’état normal. Mais il y avait, dans les
cas
que j’ai observés, hypertrophie pure et simple sa
hie des membranes de l’estomac, tandis qu’on l’observe aussi dans les
cas
de polydipsie pure et simple dans lesquels il exi
st là ce qui se présente quand la phtisie est lente ; mais j’ai vu un
cas
de phtisie aiguë, où une malade diabétique est mo
du sucre dans l’urine et dans le foie. Je signalerai en passant deux
cas
d’autopsie de diabétiques dans lesquels j’ai trou
sence des matières grasses dans les selles des diabétiques ? Dans les
cas
dont il est ici question, l’attention n’avait pas
urines. Or, dans ces actions sympathiques, il peut se présenter deux
cas
qui deviendront deux causes de diabète : ou bien
foie est devenu plus excitable et sécrète davantage. Dans le dernier
cas
, on comprendra que les aliments absorbés dans l’i
s. Il resterait à savoir si la matière sucrée ne serait pas, dans les
cas
de diabète, un excitant du foie, car on s’aperçoi
même matière qui a pu être introduite dans l’intestin. Dans d’autres
cas
, sans que le foie lui-même soit malade, l’excitat
e solution concentrée de sucre de canne. Il peut se produire dans ces
cas
quelque chose d’analogue à ce qui a lieu quand on
e : au bout d’un certain temps on en retrouve dans la vessie. Dans un
cas
, en examinant l’urine d’une femme qui avait prése
son enfant, avait les mamelles distendues par le lait. C’est le seul
cas
de ce genre que j’aie eu l’occasion d’observer, e
onstances tout à fait exceptionnelles et qui ne constituent jamais un
cas
de diabète. Mais la présence dans l’urine du sucr
nt, et d’une manière tout à fait temporaire, passer du sucre, dans le
cas
de certaines alimentations, et nous pouvons dire
roduire cette apparition par un autre mécanisme ; mais, dans tous les
cas
, ce sont des quantités très faibles qui existent
anifeste dans les urines d’une manière passagère. Mais, dans tous ces
cas
, la matière sucrée est en très faible quantité, e
t les urines dans cette affection se rencontre dans beaucoup d’autres
cas
qu’on ne saurait considérer comme des cas d’album
ntre dans beaucoup d’autres cas qu’on ne saurait considérer comme des
cas
d’albuminurie. Il en est de même du sucre qui, bi
, bien qu’il caractérise le diabète, peut se rencontrer dans d’autres
cas
qui ne doivent pas pour cela être rapportés à cet
hanger en un accès de diabète. M. Rayer cite un certain nombre de ces
cas
, et moi-même j’en connais un qui est très caracté
la plus grave est, sans contredit, le diabète continu. Dans tous ces
cas
, la quantité de sucre est bien plus considérable
urine, de l’albumine en même temps que celle du sucre. Or, ce dernier
cas
n’arrive que lorsque la lésion traumatique porte
raient, mais sans qu’ils pussent s’en procurer autrement. Or dans ces
cas
, jamais cet auteur n’a observé qu’il y ait une qu
une soif ardente. Ces phénomènes existent sans doute dans beaucoup de
cas
, et dans les plus graves, mais on ne saurait cepe
cette affection ; car, d’une part, on ne les trouve pas dans tous les
cas
de diabète, et, d’autre part, on les rencontre au
. On rencontre également des troubles nerveux dans une foule d’autres
cas
peu sérieux, de sorte que, en réalité, il paraîtr
maladie revenait aussi intense qu’auparavant. Il se passait, dans ce
cas
, quelque chose de tout naturel : chaque médicatio
des animaux de boucherie, tantôt sur des saignées, et que dans aucun
cas
il n’y a eu des expériences qui soient relatives
’établir. C’est ce qui explique comment l’auteur s’est trouvé dans ce
cas
réduit à une assertion pure et simple, qu’il n’a
par en trouver une certaine proportion. Or, on voit que dans ces deux
cas
on pourrait dire, tantôt qu’il n’y a pas de sucre
ente. Vous voyez donc qu’il n’y a pas que la peptone qui soit dans le
cas
de masquer de très faibles proportions de sucre ;
firment nullement ceux que nous avons établis nous-même. Dans le seul
cas
où les animaux mangeraient des matières albuminoï
; dans le second, elle n’aura lieu qu’au bout de deux jours. Dans ces
cas
, par une appréciation comparative de la quantité
tives. Les arguments signalés plus haut ne peuvent s’appliquer qu’aux
cas
d’alimentations mixtes, aussi, pour avoir toute l
t des proportions très faibles de matière sucrée. J’ai trouvé dans un
cas
0,055 gr. de sucre pour 100 parties du sang. Dans
ans un cas 0,055 gr. de sucre pour 100 parties du sang. Dans un autre
cas
, sur un cheval, le sérum de la veine porte renfer
(son, paille, foin), le sang des veines hépatiques contenait dans un
cas
0,635 gr. pour 100 de sucre, et dans l’autre cas
es contenait dans un cas 0,635 gr. pour 100 de sucre, et dans l’autre
cas
0,893 gr. pour 100 de sucre. Les résultats des an
ut se trouver détruite en traversant le poumon, ou bien dans certains
cas
, et particulièrement pendant et aussitôt après la
et même dans le système veineux superficiel. Néanmoins, dans tous les
cas
, on constate invariablement que la proportion de
u bien les irriter et les amener à quelque argument extrême. Les deux
cas
sont arrivés, il en est qui n’ont plus rien dit,
traite par l’alcool préalablement, on voit constamment dans tous les
cas
la fermentation s’établir avec le sang des veines
Les Précieuses ridicules, Les Femmes savantes nous montrent autant de
cas
de Bovarysme dont la démonstration est trop aisée
r manie. Les Arnolphe, les Sganarelle et les Bartolo relèvent du même
cas
. La croyance chez Sganarelle qu’il peut inspirer
s un cas particulier, une intuition qui, absolument ou dans nombre de
cas
, relève d’un autre concept. Sitôt que l’esprit, e
tre le drame et la comédie. III Il n’y a pas à insister sur les
cas
où le Bovarysme est chez l’individu cause de trag
nt pour origine une présomption de force ou d’habileté. À côté de ces
cas
que chacun imagine et qui relèvent chez l’individ
fût possible de mettre en regard de chaque coutume une collection de
cas
individuels. Fidèle au parti pris dont on s’est f
érations sur le Bovarysme des individus on va seulement retenir trois
cas
où le phénomène se manifeste avec une grande clar
rent assemblés selon des proportions très diverses. Le premier de ces
cas
est le Bovarysme de l’enfance. Si l’on excepte le
ncevoir autre témoigne d’une sensibilité si grande, voici deux autres
cas
plus particuliers, qui peuvent s’opposer l’un à l
au détriment des plus fertiles et des plus riches. Toutefois, dans le
cas
exceptionnel du génie, il ne faut pas se hâter de
ange en quoi consiste le Bovarysme. Il a semblé qu’en rattachant à ce
cas
général cette forme ancienne de la présomption à
des citoyens et les peines spéciales dont elle dispose. Dans d’autres
cas
, la contrainte est moins violente ; elle ne laiss
puissance de coercition externe s’affirme avec cette netteté dans les
cas
de résistance, c’est qu’elle existe, quoique inco
s de résistance, c’est qu’elle existe, quoique inconsciente, dans les
cas
contraires. Nous sommes alors dupes d’une illusio
é. Mais il suffit qu’elle existe d’une manière incontestable dans les
cas
importants et nombreux que nous venons de rappele
abord, ils semblent inséparables des formes qu’ils prennent dans les
cas
particuliers. Mais la statistique nous fournit le
de se suicider12. Car, comme chacun de ces chiffres comprend tous les
cas
particuliers indistinctement, les circonstances i
’il prend en se diffusant. Ce dernier critère est même, dans certains
cas
, plus facile à appliquer que le précédent. En eff
au dehors par quelque réaction directe de la société, comme c’est le
cas
pour le droit, la morale, les croyances, les usag
roits, les segments tendent à se confondre ; à se distinguer, dans le
cas
contraire. Le type d’habitation qui s’impose à no
nous pouvons bien comprendre ce que c’est que l’étendue dans tous ces
cas
. L’étendue linéaire est l’idée d’une ligne, moins
nfini, comme le noir est la négation du blanc. Le mot infini, dans ce
cas
, n’est qu’une marque pour cet état de conscience,
faisant disparaître la connotation, et appliquons cette doctrine aux
cas
de successions. Quand un homme se rappelle les pa
amental dans tout agrégat auquel nous donnons le nom d’objet. Dans ce
cas
, il y a deux choses : l’objet touché, le doigt to
ce cas, il y a deux choses : l’objet touché, le doigt touchant. Autre
cas
: j’imprime une action à mon doigt, tout en touch
comme terme connotatif, à divers objets, il est aisé, dans les divers
cas
, de retrancher la connotation, et nous avons ains
n’en soit de même pour les modifications des instincts. Mais dans ce
cas
encore je crois que l’habitude seule a des effets
lles se trouvent placées en des circonstances différentes. En pareils
cas
, soit l’un de ces instincts, soit l’autre, peut s
e leur faiblesse relative d’organisation. De même encore, en quelques
cas
, certains instincts ne peuvent être regardés comm
t seulement chez quelques représentants d’une espèce, et qui, dans le
cas
où elles leur seraient avantageuses en telles cir
instincts peuvent se modifier à l’état de nature en étudiant quelques
cas
tout particuliers. J’en choisirai trois seulement
sites et déposent leurs œufs dans les nids d’autres espèces. C’est un
cas
encore plus remarquable que celui du Coucou ; car
profite de la prise et devient ainsi à l’occasion parasite. En pareil
cas
, de même que nous l’avons vu pour le Coucou, je n
sur les bords droits des faces d’une pyramide trièdre, comme dans le
cas
des cellules ordinaires. Alors, je remplaçai dans
section de ces sphères. Il est réellement curieux d’observer dans les
cas
difficiles, tels que la rencontre de deux rayons
e manière que ce rayon doive descendre sur l’une de ces faces ; en ce
cas
, dis-je, les Abeilles peuvent jeter les fondement
ersection d’un hexagone isolé. Mais je ne crois pas que jamais pareil
cas
ait été observé ; et comme la construction d’un h
besoin d’une ample provision de miel : on ne peut douter qu’en pareil
cas
toute modification d’instinct qui amènerait nos B
raient cet oiseau de plus en plus friand de cette même graine ? En ce
cas
, nous supposons que son bec se serait modifié len
faculté de grimper du Casse-noix (Nucifraga caryocatactes) ? Dans ce
cas
, au contraire, un changement graduel de structure
id exclusivement de salive durcie ? Il en est de même en mille autres
cas
; mais il faut admettre que la plupart du temps n
ifs parfaitement indépendants. Je n’entrerai pas dans l’examen de ces
cas
divers ; je ne m’étendrai que sur une seule diffi
mériterait d’être longuement discuté, mais je n’examinerai qu’un seul
cas
: celui des Fourmis ouvrières. Quelque difficulté
en aucune façon ma théorie, ainsi du reste qu’on va le voir. Dans le
cas
le plus simple où des insectes neutres d’une seul
portions et leur structure. Seulement il faudrait admettre, en pareil
cas
, qu’une série complète de degrés intermédiaires a
laissent des descendants ; et je m’étonne que personne n’ait argué du
cas
des insectes neutres contre la théorie des habitu
incts viennent encore appuyer plus fortement mes opinions. Tel est le
cas
où des espèces étroitement alliées, mais pourtant
ient besoin du secours des Fourmis pour se soulager. Ce serait, en ce
cas
, une acquisition nouvelle d’instinct chez les Fou
sucrées. (Trad.) 111. La sélection, au contraire, a dû jouer en ce
cas
un rôle très important. Les Lapins n’ont guère, i
tablir de relation nécessaire et de comparaison rigoureuse : les deux
cas
sont trop différents. Il serait même permis de su
re chez d’anciens progéniteurs féconds. La stérilité aurait été en ce
cas
une variation corrélative. On sait, en effet, que
eurement, profondément. Que constatons-nous alors ? Quel est, dans ce
cas
privilégié, le sens précis du mot « exister » ? R
en même temps simple, est nécessairement imprévisible. Or, tel est le
cas
de chacun de nos états, envisagé comme un moment
. Et de même que le talent du peintre se forme ou se déforme, en tout
cas
se modifie, sous l’influence même des oeuvres qu’
tif, on ne s’expliquerait pas qu’elle fût tout indiquée dans certains
cas
, impossible dans d’autres. Nous verrons que la ma
e que si elle n’est contrariée par aucune autre tendance : comment ce
cas
se présenterait-il dans le domaine de la vie, où
cation réciproque de tendances antagonistes ? En particulier, dans le
cas
de l’individualité, on peut dire que, si la tenda
dans l’espace. Il appartient au biologiste de faire, dans chacun des
cas
, la part des deux tendances. C’est donc en vain q
rouvent les faits de régénération, et l’on conçoit que, dans certains
cas
privilégiés, la faculté subsiste intégralement à
on ne saurait le reculer indéfiniment. Il est vrai qu’entre ces deux
cas
extrêmes, où l’organisme est tout à fait individu
isme qui vieillit ou à un embryon qui continue d’évoluer : tel est le
cas
des larves d’Insectes et de Crustacés, par exempl
cette forme extrême, la thèse a paru contestable, car c’est dans des
cas
exceptionnels seulement qu’on voit s’ébaucher les
recomposable avec des éléments semblables à ceux du passé. Tel est le
cas
des faits astronomiques, physiques, chimiques, de
ublions pas que chacun des éléments peut être lui-même, dans certains
cas
, un organisme, et qu’en subordonnant l’existence
ciale, il pouvait faire beaucoup plus, il pouvait même, dans certains
cas
, se considérer comme l’équivalent du tout. Là est
s ou qu’on y voie la réalisation d’un plan, on ne fait, dans les deux
cas
, que suivre jusqu’au bout deux tendances de l’esp
dont les yeux sont éternellement tournés en arrière. Tel est déjà le
cas
de notre vie intérieure. A chacun de nos actes on
lité d’individus se succédant en une série unilinéaire. Dans les deux
cas
l’évolution n’aurait eu, si l’on peut s’exprimer
, dans la seconde, elle ne ferait qu’en éliminer. Mais, dans les deux
cas
, elle est censée déterminer un ajustement précis
n naturelle déterminant une perfection croissante. Enfin, s’il y a un
cas
où l’on semble avoir le droit d’invoquer l’adapta
oit savoir ce qu’on veut dire. Si donc nous pouvions montrer, dans ce
cas
privilégié, l’insuffisance des principes invoqués
ressemblances infinitésimales successivement acquises : dans les deux
cas
c’est le hasard qui opère, mais on ne lui demande
rer la continuité de direction des variations successives. Ni dans un
cas
ni dans l’autre, le développement parallèle de st
u du hasard, même ainsi surveillé du dehors, aboutisse, dans les deux
cas
, à la même juxtaposition d’éléments coordonnés de
e ces conditions un parti de plus en plus avantageux. Dans le premier
cas
, la matière se borne à recevoir une empreinte, ma
struire plus tard un mécanisme qui réagira activement. Ainsi, dans le
cas
qui nous occupe, il est incontestable que le prem
que la cause procède ici par déroulement. Ce qui distingue ces trois
cas
l’un de l’autre, c’est la plus ou moins grande so
dépend pas de l’action du ressort. En réalité, c’est dans le premier
cas
seulement que la cause explique son effet ; dans
la coloration de la peau. Mais si l’on étend ce mode d’explication au
cas
de la formation graduelle de l’œil des Vertébrés,
de la lumière, c’est le même organe qui s’est construit dans les deux
cas
? Plus on y réfléchira, plus on verra combien cet
ctée par l’individu ne se transmettait à ses descendants que dans des
cas
très exceptionnels, toute la psychologie de Spenc
’atrophier qu’elle a dû se condamner à la vie souterraine 39. Dans ce
cas
, la tendance à perdre la vue se serait transmise
certains de ses représentants. A vrai dire, quand on élimine tous les
cas
douteux, tous les faits susceptibles de plusieurs
e des orteils, etc. — Mais il n’est pas démontré que, dans ces divers
cas
de transmission héréditaire, il y ait eu influenc
t-ils précisément par la formation de ce poison convulsivant. Dans ce
cas
, la toxine passerait du Cobaye à son spermatozoïd
e vivant et sur le plasma germinatif dont il est détenteur. En pareil
cas
, il y a hérédité d’une tare, et tout se passe com
n’est-elle pas de supposer que les choses se passeront dans ce second
cas
comme dans le premier, et que l’effet direct de c
tant et plus de chances pour qu’il fasse autre chose. Dans ce dernier
cas
, l’organisme engendré peut-être s’écartera du typ
individu, elle ne pourra opérer que dans un nombre assez restreint de
cas
; elle interviendra tout au plus chez l’animal, e
ât : nous nous exprimerions cette fois en finalistes. Mais ni dans un
cas
ni dans l’autre nous n’atteindrions le processus
London, 1899, pp. 111-118). Salensky a créé ce mot pour désigner les
cas
où se forment sur les mêmes points, chez des anim
du livre, affirmé la réciprocité que là où elle est évidente, dans le
cas
du mouvement uniforme. Mais nous aurions aussi bi
ransporté le temps fictif t’. En un mot, s’il y a réciprocité dans le
cas
du mouvement accéléré comme dans le cas du mouvem
s’il y a réciprocité dans le cas du mouvement accéléré comme dans le
cas
du mouvement uniforme, c’est de la même manière q
ent uniforme, c’est de la même manière que se calculera dans les deux
cas
le ralentissement du Temps pour le système suppos
sont donc bien de simples points matériels qui se déplacent, dans le
cas
du mouvement accéléré comme dans celui du mouveme
ous allons examiner en détail la forme spéciale que présente, dans ce
cas
, la théorie de la Relativité. Nous la prendrons d
de S″ immobile à S′ en état de mouvement varié. Dans l’un et l’autre
cas
il y a réciprocité parfaite, — pourvu que l’on pr
ux comme référés en les abandonnant tour à tour. Dans l’un et l’autre
cas
il y a un seul Temps réel, celui que le physicien
référés. L’accélération ne change donc rien à la situation : dans le
cas
du mouvement varié comme dans celui du mouvement
incapable d’être vécu, simplement conçu comme mesuré, irréel. Dans le
cas
du mouvement varié comme dans celui du mouvement
ictif, qui ne pourrait être vécu par rien ni par personne. Prenons un
cas
simple, choisi par Einstein lui-même 67, celui d’
la vitesse devra être défini de la même manière dans l’un et l’autre
cas
, car soit qu’on adopte S comme système de référen
système de référence soit qu’on se place plutôt en S′, dans les deux
cas
le mouvement qu’on attribue de là à l’autre systè
tout ce qu’on affirme en S de S′ peut se répéter en S′ de S. 59. Le
cas
de la rotation sera examiné dans l’appendice suiv
livre), pour éviter que s2 soit négatif, comme il arriverait dans le
cas
le plus fréquent, celui où la distance des deux é
couru par la lumière pendant l’intervalle de temps qui les sépare. Ce
cas
est le seul où, d’après la théorie de la Relativi
transforment plus tard en des espèces bien distinctes, qui, dans les
cas
les plus nombreux, diffèrent les unes des autres
u règne organique tout entier, mais avec une force décuple, car en ce
cas
il ne peut exister aucun moyen artificiel d’accro
reuves de cette loi que des calculs purement théoriques : ce sont les
cas
nombreux d’une multiplication étonnamment rapide
malaya, ont été importées d’Amérique depuis sa découverte. En pareils
cas
, et l’on pourrait multiplier sans fin les exemple
nnuellement tués par centaines de mille. D’un autre côté, en quelques
cas
assez rares, tel que l’Éléphant, par exemple, auc
ns de Blé, ou d’autres plantes semblables, dans un jardin : en pareil
cas
, j’ai chaque fois perdu les graines que j’avais s
ions entre individus proches parents jouent aussi leur rôle en pareil
cas
; mais je ne veux pas m’étendre ici sur cette dif
l ne pût y entrer. Mais de quelle importance est la clôture en pareil
cas
, c’est ce que j’ai pu constater avec évidence prè
moyen des individus ou l’existence même de chaque espèce. En quelques
cas
on peut prouver que dans des districts différents
és les uns des autres dans l’échelle de la nature. Tel est souvent le
cas
parmi les animaux qui peuvent être considérés com
a nature ; mais il est probable que nous ne pourrions dire en un seul
cas
précisément pourquoi une espèce a remporté la vic
lus chauds ou plus froids, plus secs ou plus humides. Mais, en pareil
cas
, il est évident que, si notre imagination suppose
ue d’ailleurs cette métaphysique est naturelle, qu’elle tient en tout
cas
à un pli contracté depuis longtemps par l’esprit
voir, à côté de la télépathie. Mais peu importe. Un point est en tout
cas
incontestable, c’est que, si la télépathie est ré
it mort ou mourant, alors qu’il se portait fort bien. On remarque les
cas
où la vision tombe juste, on ne tient pas compte
qu’il n’y a pas là un effet du hasard, avoir comparé le nombre des «
cas
vrais » à celui des « cas faux ». Il ne voyait pa
et du hasard, avoir comparé le nombre des « cas vrais » à celui des «
cas
faux ». Il ne voyait pas que son argumentation re
it, il faudra en effet que nous comparions in abstracto le nombre des
cas
vrais au nombre des cas faux ; et nous trouverons
ue nous comparions in abstracto le nombre des cas vrais au nombre des
cas
faux ; et nous trouverons peut-être qu’il y en a
qui l’apercevait. Je n’ai que faire de la comparaison du nombre des «
cas
vrais » à celui des « cas faux » ; la statistique
que faire de la comparaison du nombre des « cas vrais » à celui des «
cas
faux » ; la statistique n’a rien à voir ici ; le
» à celui des « cas faux » ; la statistique n’a rien à voir ici ; le
cas
unique qu’on me présente me suffit, du moment que
hypothèse ou la contrarierait. Et tel paraît être, à première vue, le
cas
des faits qui intéressent la « recherche psychiqu
entrer dans la conscience, et s’y introduisant en effet dans certains
cas
exceptionnels ou chez certains sujets prédisposés
per dans le cerveau, qui n’est qu’une vertèbre grossie. On connaît le
cas
frappant des lésions de la moelle épinière, à la
ique ie cerveau et l’homme ne sentent pas ? Il en est de même dans le
cas
de ces malades. Si une jambe est pincée, piquée,
en nous, diront les partisans de l’inconscient, comment expliquer les
cas
d’apparente inconscience, où notre moi ne saisit
notre moi ne saisit plus rien ? — De trois manières. Dans le premier
cas
, si notre moi n’aperçoit point ce qui se passe en
a conscience devient trop faible et trop indistincte ; dans le second
cas
, c’est qu’une partie du cerveau ou de la moelle é
elle épinière prend pour elle la fonction mentale ; dans le troisième
cas
, c’est qu’un autre moi tend à s’organiser aux dép
chargé le long des autres anneaux, mais cette excitation, en certains
cas
, peut n’avoir ni le degré d’intensité ni le degré
nt s’opérer entre les deux hémisphères. Il peut aussi se produire des
cas
de corrélation défectueuse entre l’énergie du cer
r pour une déviation tout ce qui suppose un état imparfait, et, en ce
cas
, tout n’est que déviation. Mais des pratiques bie
pprécier une déviation, il est possible d’affirmer que, dans certains
cas
, la conduite qui aboutit à la dissolution d’une s
ive parfois. Mais un illogisme intense est de règle, et dans bien des
cas
l’unification serait dangereuse et c’est pour cel
ême à la nécessité des mutilations qui la rendent sûre. En de pareils
cas
l’instinct social s’est réellement retourné contr
suicide social. Cette marche vers la destruction pourrait en certains
cas
être assez logique et assez morale comme l’est pa
doit rendre la vie bonne, elle peut devoir aussi la supprimer dans le
cas
où il appert qu’elle ne peut être que trop mauvai
oir naguère comment un désir bien simple de justice s’appliquant à un
cas
donné et concret, peut préparer ou faciliter des
bordonne pas de lui-même à une coordination supérieure ce qui est un
cas
très fréquent — est une sorte de déviation morale
persuader que c’est pour leur bien. La satisfaction morale est, en ce
cas
, un plaisir de plus qu’on ne paye pas trop cher.
mment il doit tenir le sien. L’égoïsme triomphera sans bruit dans des
cas
prévus, l’altruisme et le devoir auront leur tour
tituent autant de déviations. Le « devoir professionnel » n’est qu’un
cas
entre mille de ces morales partielles, qui cherch
laisser accuser, même justement, de mensonge et de ne pas, en pareil
cas
, mentir une fois de plus. La dignité commande éga
tisfaire ses désirs d’art ou de luxe. Il en est de même dans tous les
cas
. Faut-il démontrer qu’il n’est pas nécessaire d’a
i n’est pas rare, mais qui reste toujours curieux, que de voir, en ce
cas
, une personne montrer quelque remords d’avoir sai
ème musculaire aux dépens du système circulatoire. Cela donnerait des
cas
pathologiques intéressants. On en a quelques aper
onvulsivement sans arriver à se rejoindre. Et je ne parle pas ici des
cas
, instructifs autrement, dans lesquels les instinc
e du devoir. Cette conception du devoir est certainement un très beau
cas
de déviation morale. Dans la réalité pratique, la
es, elle tend à se rendre inutile, à se supprimer elle-même. C’est un
cas
de la loi d’évanescence que j’ai brièvement expos
r rapport à tous les systèmes auxquels on le comparera, dans les deux
cas
l’observateur placé en S traitera de la même mani
ui seront transmises de tous les systèmes tels que S′ ; dans les deux
cas
il leur appliquera les formules de transformation
absolu. On pouvait encore admettre la relativité du mouvement dans le
cas
de la translation rectiligne non accélérée ; mais
ui tenait la mobilité pour une simple relation de réciprocité dans le
cas
du mouvement uniforme, et pour une réalité immane
mouvement uniforme, et pour une réalité immanente à un mobile dans le
cas
du mouvement accéléré. Si nous jugions nécessaire
rne, aura été rendue par Einstein scientifiquement acceptable dans le
cas
du mouvement accéléré comme dans celui du mouveme
y installe son observatoire. Il n’en pouvait être ainsi, même dans le
cas
du mouvement uniforme, quand on croyait à un éthe
ontrée illusoire, et cette démonstration n’a jamais été faite pour le
cas
actuel : on a cru la faire, mais c’était une illu
i et là, de mouvement ; mais le mot a-t-il le même sens dans les deux
cas
? Disons plutôt propagation dans le premier, et t
cette représentation tend à devenir hallucinatoire. — En beaucoup de
cas
, l’objet apparent diffère de l’objet réel. — Troi
remier moment nous avions confondu avec l’objet réel. Il y a d’autres
cas
encore où, directement, nous pouvons l’en séparer
arle de celles qui proviennent de sensations mal interprétées ; en ce
cas
, il y a un objet réel, mais il diffère de l’objet
os yeux à un endroit où il n’y a que des moellons du mur. Or, dans ce
cas
et dans tous les autres semblables, ce que nous p
dance effective et rigoureuse n’a plus lieu. Partant, dans le premier
cas
, nous ne pouvions distinguer le simulacre et le c
ucinatoire. — En troisième lieu, nous le distinguons dans beaucoup de
cas
, et pour cela il suffit que les caractères de l’o
ire continue librement ou rencontre un empêchement. — Dans le premier
cas
, la sensation est celle de mouvement à travers l’
incapacité qui provient de la fatigue. Mais, dans chacun de ces deux
cas
, les muscles n’auraient point été contractés, et
nous comparons deux poids ou résistances différentes. Dans le premier
cas
comme dans le second, nous pouvons acquérir quelq
apide ou lente. Nous apprenons par l’expérience que, dans beaucoup de
cas
, ces deux sensations distinctes sont les signes d
ie des sensations musculaires interposées est plus longue en certains
cas
que dans d’autres… Une série de sensations muscul
’importe ; la double sensation musculaire reste la même dans les deux
cas
. Elle forme donc un groupe tranché parmi mes souv
, nécessaires à telles conditions. Nous entendons simplement, dans le
cas
présent, que telles sensations sont possibles, fu
résentes. Je pourrais même en cet instant n’en avoir aucune ; en tout
cas
, elles ne sont qu’une très insignifiante partie d
tre pas entre une sensation actuelle et une autre. Il y a très peu de
cas
où l’expérience nous montre ces sortes de couples
à nos sensations considérées comme actuelles, sauf dans les quelques
cas
physiologiques où les sensations figurent par ell
nt d’une chose quelconque sans une condition antécédente ou cause. Ce
cas
est un des plus notables entre tous ceux dans les
retrouve rangé sur un des rayons de la bibliothèque. — Dans tous ces
cas
, une ou plusieurs des possibilités de sensation q
agit d’un sujet sentant, homme ou animal, autre que nous-mêmes. En ce
cas
, non seulement nous considérons l’objet perçu par
n autre corps, elle le pousse en avant, comme fait notre main dans un
cas
semblable. Bref, en des milliers d’expériences fa
ns conscience. Les sensations et les images ne seraient alors que des
cas
plus compliqués du mouvement. — Par cette réducti
istratif (article 13 de la loi du 16-24 août 1790). — Ainsi, voilà un
cas
où un homme, relevant de deux organisations polit
ours de pratiquer contre elles le divide ut liber sis. En effet, deux
cas
sont à distinguer : premier cas, le plus fréquent
e divide ut liber sis. En effet, deux cas sont à distinguer : premier
cas
, le plus fréquent. Les cercles sociaux dont fait
e, le même mot d’ordre hostile, la même mise en quarantaine. Un autre
cas
, il est vrai, est possible. C’est celui où l’indi
est celui de ces deux termes qui est le plus exact ? Cela dépend des
cas
. C’est tantôt l’un, tantôt l’autre de ces termes
ui surfait de bonne foi son importance et ses mérites). Dans d’autres
cas
, il y a mensonge proprement dit : mensonge de gro
par contraste avec le groupe menteur. L’individu ment, dans bien des
cas
, en dehors de toute influence de groupe, en dehor
sa nature mensongère et par le soutenir mordicus comme une vérité. Le
cas
du menteur qui finit par croire à son propre mens
upe servent un intérêt de groupe précis et bien déterminé. Tel est le
cas
du mensonge de groupe mis sur la scène par Ibsen
r d’une société plus éclairée, plus sincère et plus vraie. Tel est le
cas
du Dr Stockmann, l’Ennemi du peuple, d’Ibsen. Tel
l est le cas du Dr Stockmann, l’Ennemi du peuple, d’Ibsen. Tel est le
cas
de Vigny dénonçant le mensonge social au nom d’un
scend dans la pratique expérimentale, on trouve que, dans beaucoup de
cas
, cette séparation est très difficile à faire et q
par aucune idée préconçue. Mais si, après avoir observé les premiers
cas
, il vient à l’idée de ce médecin que la productio
érer l’apparition de ces phénomènes. On a vu, en effet, dans certains
cas
, des accidents où la nature agissait pour lui, et
l’intéressant journal qu’il nous a donné à ce sujet3. Dans le premier
cas
, le physiologiste a agi en vertu de l’idée précon
énomènes digestifs et il a fait une expérience active. Dans le second
cas
, un accident a opéré la fistule à l’estomac, et e
aurait eu, d’après ces auteurs, observation, parce que dans les deux
cas
on a eu sous les yeux les phénomènes digestifs co
ement, ou à l’expérimentation et à l’observation à la fois, selon les
cas
et suivant que l’on pénètre plus ou moins profond
dinaires. Ce n’est en effet qu’une constatation de fait dans les deux
cas
; la seule différence consiste en ce que le fait
r la valeur d’une idée expérimentale. Alors on peut dire que, dans ce
cas
, l’expérience est une observation provoquée dans
dée expérimentale. Ce qui se résumerait encore en disant que, dans ce
cas
, l’expérience n’est qu’une observation invoquée d
mps et même en vain ; on gagne toujours à expérimenter. Mais dans ces
cas
on ne pourra se diriger que d’après une sorte d’i
mentale et ouvrir une voie de recherche. Comme on le voit, il y a des
cas
où l’on expérimente sans avoir une idée probable
ir une idée probable à vérifier. Cependant l’expérimentation, dans ce
cas
, n’en est pas moins destinée à provoquer une obse
nstater ce qu’elle répond, l’écouter jusqu’au bout, et, dans tous les
cas
, se soumettre à ses décisions. L’expérimentateur
en réalise l’exécution ou en constate les résultats. Dans le premier
cas
, c’est l’esprit de l’inventeur scientifique qui a
ification expérimentale est repoussée d’une manière complète. Dans ce
cas
, l’analyse mathématique devient un instrument ave
proprement dites et les sciences expérimentales. Elles renferment les
cas
les plus simples. Mais, dès que nous entrons dans
s logiques, sont complètement incertaines, et ne sauraient dans aucun
cas
se passer de la vérification expérimentale. En un
terminent les phénomènes de la matière brute ; tous sont dans le même
cas
, ils ont devant eux des manifestations qu’ils ne
comme une sorte de révélation subite ; ce qui prouve bien que dans ce
cas
la découverte réside dans un sentiment des choses
n traite et à sa plus ou moins grande complexité. Mais, dans tous ces
cas
, l’esprit de l’homme fonctionne toujours de même
erminisme qui deviennent critérium de la vérité : mais, dans tous les
cas
, il ne peut obtenir cette vérité ou en approcher
mme a, par nature, le sentiment ou l’idée d’un principe qui régit les
cas
particuliers. Il procède toujours instinctivement
cune des idées qu’il met successivement en avant. Mais, dans ces deux
cas
, l’esprit raisonnera toujours de même et par le m
érimentale. Un expérimentateur ne peut donc jamais se trouver dans le
cas
des mathématiciens, précisément parce que le rais
aisonne ; il suffit de le laisser raisonner naturellement, et dans ce
cas
il partira toujours d’un principe pour arriver à
us pouvons dire que, dans tout raisonnement expérimental, il y a deux
cas
possibles : ou bien l’hypothèse de l’expérimentat
du second. Ce serait là un jugement faux dans un très grand nombre de
cas
; les tableaux statistiques de présence ou d’abse
solé dans la nature ; il n’aurait plus de réalité, parce que, dans ce
cas
, aucune relation ne viendrait manifester son exis
anière à faire prévoir le rapport de la cause à l’effet dans tous les
cas
donnés. C’est ce rapport établi par l’observation
ial qui provoque ensuite des déterminismes plus complexes. Tel est le
cas
de l’empoisonnement par l’oxyde de carbone (voy.
’une manière tout à fait indépendante de l’organisme. Dans ce dernier
cas
, on peut avoir à volonté la glande successivement
sico-chimiques que le médecin comprendra les individualités comme des
cas
spéciaux contenus dans la loi générale, et retrou
rfois séduisent par leur trompeuse simplicité, mais qui dans tous les
cas
nuisent à la science biologique en y introduisant
onstances où il serait presque ridicule d’en tenir compte. Tel est le
cas
d’un expérimentateur qui, répétant mes expérience
uer un milieu macrocosmique et un milieu microcosmique. Dans tous les
cas
, la perfection de la machine consistera à être de
’autres. Le chirurgien qui a souvent pratiqué des opérations dans des
cas
divers s’instruira et se perfectionnera expérimen
ion n’aurait qu’une portée restreinte et pourrait même, dans certains
cas
, nous induire en erreur sur le véritable rôle des
r ce qu’on appelle une idiosyncrasie des plus importantes. Tel est le
cas
de la section des deux faciaux qui est mortelle c
n des plus indispensables de leur manifestation vitale. Tels sont les
cas
de reviviscence des rotifères, des tardigrades, d
, des tardigrades, des anguillules du blé niellé. Il y a une foule de
cas
de vie latente dans les végétaux et dans les anim
le milieu extérieur, cette résistance peut être vaincue dans certains
cas
, et les animaux à sang chaud peuvent eux-mêmes da
s où les propriétés physiologiques des larves diffèrent dans certains
cas
complètement des propriétés des animaux parfaits
sitions, étudiées expérimentalement, rentreront par la suite dans des
cas
particuliers d’une loi générale physiologique, qu
fiques parce qu’elles sont imparfaites ; la seule chose à faire en ce
cas
, c’est de les perfectionner. Or, le perfectionnem
’un ensemble de phénomènes, et parce qu’ensuite, dans une infinité de
cas
, divers organes du corps peuvent se suppléer dans
ipe de l’expérimentation comparative ; il sera développé à propos des
cas
particuliers dans le cours de cet ouvrage. Je cit
er comparativement les faits, ou de ce que l’on a cru comparables des
cas
qui ne l’étaient pas. IX. De l’emploi du calcu
suite une description moyenne de tous les symptômes observés dans les
cas
particuliers ; il aura ainsi une description qui
, mais qui représentera toujours un fait vrai. Les moyennes, dans les
cas
où nous venons de les considérer, doivent donc êt
duction de données numériques variant très peu et se rapportant à des
cas
parfaitement déterminés et absolument simples. J
c des résultats recueillis par le statisticien lui-même. Mais dans ce
cas
même, jamais deux malades ne se ressemblent exact
plus faire de statistique : on n’ira pas, par exemple, rassembler les
cas
pour savoir combien de fois il arrivera que l’eau
elles ils ont trouvé que les mêmes racines étaient sensibles. Ici les
cas
paraissaient aussi comparables que possible ; il
aux, sur les mêmes racines rachidiennes. Fallait-il alors compter les
cas
positifs et négatifs et dire : la loi est que les
aille par le même procédé ; il fait ensuite un relevé statistique des
cas
de mort et des cas de guérison, et il conclut, d’
rocédé ; il fait ensuite un relevé statistique des cas de mort et des
cas
de guérison, et il conclut, d’après la statistiqu
e pour faire une nouvelle opération, car on ne sait pas si ce nouveau
cas
devra être dans les guéris ou dans les morts. Ce
tement et chacun dans leur déterminisme spécial. Il faut examiner les
cas
de mort avec grand soin, chercher à y découvrir l
guérison et la cause de la mort, on aura toujours la guérison dans un
cas
déterminé. On ne saurait admettre, en effet, que
ison dans un cas déterminé. On ne saurait admettre, en effet, que les
cas
qui ont eu des terminaisons différentes fussent i
ique une conjecture avec une probabilité plus ou moins grande, sur un
cas
donné, mais jamais une certitude, jamais une déte
ue le médecin est un artiste qui doit suppléer à l’indéterminisme des
cas
particuliers par son génie, par son tact médical.
’indéterminé au déterminé. La statistique ne s’applique donc qu’à des
cas
dans lesquels il y a encore indétermination dans
ons scientifiques ; je ramènerai cependant toutes ces variétés à deux
cas
principaux : 1º Une recherche expérimentale a pou
un d’une autre espèce. Je vais citer un exemple dans lequel ces deux
cas
se sont présentés successivement. J’aurai soin en
ement qui déduit l’expérience propre à la vérifier ; comment, dans un
cas
, il a fallu pour opérer cette vérification recour
ne expérience faite dans un autre but. Mais il arrive encore un autre
cas
, c’est celui dans lequel l’expérimentateur provoq
imentateur provoque et fait naître volontairement une observation. Ce
cas
rentre pour ainsi dire dans le précédent ; seulem
de Bacon, nous pourrions dire que l’expérimentateur ressemble dans ce
cas
à un chasseur qui, au lieu d’attendre tranquillem
us voyons les propriétés physiologiques disparaître dans une foule de
cas
sans que nous puissions démontrer, à l’aide de no
investigation, aucune altération anatomique correspondante ; c’est le
cas
du curare, par exemple. Tandis que nous trouveron
us les nerfs moteurs sans intéresser les nerfs sensitifs 48. Dans les
cas
où l’on fait une expérience pour voir, l’idée pré
ndant on a nécessairement raisonné à son insu par syllogisme. Dans le
cas
du curare j’ai instinctivement raisonné de la man
e carbone que j’avais commencée en 1846. Je me trouvais alors dans un
cas
mixte, car, à cette époque, je savais déjà que l’
u’on peut partir d’une hypothèse qui se déduit d’une théorie. Dans ce
cas
, bien qu’il s’agisse d’un raisonnement déduit log
lui servir de démonstration expérimentale. Nous avons dit que dans ce
cas
il fallait ne pas subir le joug des théories, et
trouve une qui soit assise sur un plus grand nombre de faits. Dans le
cas
qui nous occupe, la question n’est pas de condamn
écouverte plus ou moins importante. C’est ce qui m’est arrivé dans ce
cas
. Je voulus savoir en effet quelle était la raison
ort de l’animal, et, pour la première fois, je m’étais trouvé dans le
cas
de faire immédiatement un dosage quelques minutes
part une circonstance expérimentale futile en apparence. J’ai cité ce
cas
afin de prouver qu’on ne saurait jamais rien négl
rition et de la calorification. On avait observé que dans beaucoup de
cas
, les paralysies complexes, ayant leur siège dans
? Pas du tout ; ils sont vrais tous deux, à moins de dire que dans un
cas
Magendie a menti, ce qui n’est certainement pas d
les expériences et je trouvai, comme Magendie et comme M. Longet, des
cas
de sensibilité et des cas d’insensibilité des rac
vai, comme Magendie et comme M. Longet, des cas de sensibilité et des
cas
d’insensibilité des racines rachidiennes antérieu
é des racines rachidiennes antérieures ; mais, convaincu que ces deux
cas
tenaient à des circonstances expérimentales diffé
sement les faussaires scientifiques sont rares. D’ailleurs ce dernier
cas
ne relevant plus de la science, je n’ai pas à don
ui est identique chez tous les animaux. Il n’en fut pas ainsi pour le
cas
qui nous occupe ; l’étude du mécanisme de la mort
mme une sorte de consigne qu’il faut suivre aveuglément même dans les
cas
qui paraissent les plus clairs et les plus ration
is convaincu qu’en physiologie il faut toujours douter, même dans les
cas
où le doute semble le moins permis. Cependant je
re l’expérience comparative comme une consigne expérimentale ; car ce
cas
même prouve qu’on ne saurait jamais prévoir quell
rigine, ainsi qu’on le voit, une expérience comparative faite dans un
cas
où l’on aurait pu s’en croire dispensé. Mais s’il
rience comparative eût résolu la difficulté. Il aurait fallu, dans ce
cas
, mettre, ainsi que nous l’avons dit, deux animaux
ive aura lieu tantôt sur deux animaux, comme nous l’avons dit dans le
cas
précédent, tantôt, pour être plus exacte, elle de
aire de comparer les deux membres d’un même animal parce que, dans ce
cas
, deux grenouilles ne sont pas toujours comparable
euvent être différents. » Comme preuve de son opinion, Gerdy cita des
cas
d’individus atteints de la même maladie auxquels
z lesquels les résultats avaient été différents. Il rappela aussi des
cas
d’opérations semblables faites pour les mêmes mal
bles faites pour les mêmes maladies, mais suivies de guérison dans un
cas
et de mort dans l’autre. Toutes ces différences t
faisait complètement illusion sur l’identité des conditions dans les
cas
dont il parlait, en ce sens que les maladies qu’i
ne soit simplement l’expression d’une qualité de la matière. Dans ce
cas
elle servirait simplement à désigner le fait que
’hui la pratique médicale est empirique dans le plus grand nombre des
cas
; mais cela ne veut pas dire que la médecine ne s
de leur diagnostic répondre : je ne sais pas comment je reconnais tel
cas
, mais cela se voit ; ou bien quand on leur demand
ents plus ou moins analogues, mais qu’on ne saurait attribuer dans ce
cas
à aucune force vitale. En un mot, toutes les prop
orable et très considéré d’ailleurs, qui me demandait mon avis sur un
cas
très merveilleux dont il était très sûr, disait-i
able de tout, ne cherchait pas d’autre explication et croyait que son
cas
pouvait être vrai. La plus petite idée scientifiq
que la science physiologique nuit à la pratique médicale ? Et dans ce
cas
, je me serais placé à un point de vue complètemen
dans tous les rangs de la société. Le médecin est, dans une foule de
cas
, le dépositaire des intérêts de l’État, dans les
exactement les doses suivant lesquelles il faut l’administrer et les
cas
dans lesquels il faut l’employer ; il pourra croi
l a toujours des recettes ou des formules à son service pour tous les
cas
, parce qu’il puise, comme on dit, dans l’arsenal
de la nature et du médicament dans la guérison de la maladie. Dans le
cas
où il serait prouvé à l’expérimentateur que le re
rvient pour guider le médecin, parce qu’elle apprend la proportion de
cas
mortels ; et si de plus l’observation a montré qu
portion de cas mortels ; et si de plus l’observation a montré que les
cas
heureux ou malheureux sont reconnaissables à cert
parce qu’elle est fondée sur la statistique qui réunit et compare des
cas
analogues ou plus ou moins semblables dans leurs
e le plus instruit, n’a jamais la sûreté de l’expérimentateur. Un des
cas
les plus clairs de la médication empirique est la
s devoirs de praticien. Il notera avec exactitude et discernement les
cas
intéressants qui se présenteront à lui en compren
oyens d’investigation de plus en plus parfaits. Je pense que, dans ce
cas
, le meilleur système philosophique consiste à ne
ement doivent varier à l’infini, suivant les diverses sciences et les
cas
plus ou moins difficiles et plus ou moins complex
ver chez l’individu, et parmi les collectivités, apparaît ainsi qu’un
cas
exceptionnel. Il semble qu’il n’affecte que quelq
ur histoire ; il semble, qu’à ces exemples, choisis pour illustrer un
cas
pathologique, il soit possible d’opposer nombre d
le seul mobile de l’aspiration au bonheur, n’adopte pas dans tous les
cas
les principes de conduite que commande la loi mor
c parce qu’une partie des éléments du problème lui est cachée ; en ce
cas
, la liberté de son choix est entravée par défaut
distinctions et des nuances. Voici, à cause de ces distinctions, des
cas
où l’homme est responsable entièrement, voici des
stinctions, des cas où l’homme est responsable entièrement, voici des
cas
où il ne l’est qu’imparfaitement, en voici d’autr
ui, dans le milieu social, disputent à celui-ci l’hégémonie. Dans les
cas
heureux, les amants réussissent à substituer à l’
ces qui en résulteront pour l’espèce mais qu’il les redoute. C’est le
cas
, dans une société organisée, pour tous ceux dont
Toutefois, il peut paraître plus malaisé de persuader qu’en ce second
cas
, ainsi que dans le premier, l’homme s’efforce en
fficacité absolue de la médecine et il faut accorder, qu’en nombre de
cas
particuliers, des malades auraient succombé, que
ue l’intervention des médecine a conservés. Mais à ne prendre que ces
cas
triomphants, et qui seuls justifient, d’un point
ile, mais la seconde est nécessaire. Ainsi la médecine, dans tous les
cas
où elle l’emporte sur la nature, en faisant durer
r dans l’organisme, l’ingérence d’une substance étrangère. Tel est le
cas
du vaccin, dont on peut penser qu’il prévient la
esseurs. Ainsi de suite. Nous pouvons faire des réserves sur quelques
cas
. Sur l’ensemble, non. En tout cas, nous ne pouvon
ons faire des réserves sur quelques cas. Sur l’ensemble, non. En tout
cas
, nous ne pouvons agir que comme si nous n’en fais
e élément y fasse spontanément son office. Et ceci ne saurait être le
cas
d’une société où les éléments sont distincts et r
x non plus qui donnent les ordres les plus agréables. Pour prendre un
cas
extrême, il n’y a pas de calcul d’utilité, pas d’
n, et d’autre part il est possible aussi qu’elle la produise, dans le
cas
où les facteurs personnels et égoïstes sont, comm
égoïsme ne fait de concession que s’il y trouve son profit, dans les
cas
où l’accord des intérêts a pu s’établir. Mais la
vous voulez me lier. Je n’en sais rien, et d’ailleurs ce n’est pas le
cas
. Vous êtes hostiles à ce que j’aime, et je ne sym
ésentants plus ou moins autorisés de l’âme sociale qui, dans bien des
cas
, ne savent guère ce qu’ils disent. Combien de foi
doute pas seulement parce que les casuistes ont offert, pour certains
cas
de conscience, des solutions peu recommandables,
en ont examiné. Les défenseurs du devoir absolu n’aiment guère les «
cas
de conscience ». L’analyse et la discussion les i
rsonnel dans l’individu. Certes, il n’est point niable qu’en bien des
cas
la conscience personnelle ait été invoquée pour r
pour résister à l’autorité extérieure. Mais ce que l’on admire en ces
cas
-là, ce n’est pas réellement l’individu lui-même,
pourrait aussi, sans renoncer à vivre et à se défendre, comprendre le
cas
de l’individu. § 14 Le devoir est « impér
l en est de même de toutes les influences que nous subissons, hors le
cas
de contrainte par la force physique effectivement
endre la vraie nature du devoir, il n’est que de se rappeler en quels
cas
on l’invoque. Nous avons sans doute le devoir de
e son acte est sacré. Si l’on emploie le mot « devoir » en de pareils
cas
, c’est en le prenant dans le sens positif invoqué
ents que la psychologie unifie singulièrement. Sans doute en certains
cas
, l’instinct social s’accuse, il ressort, il se dr
s autres mêmes se battent entre eux dans notre for intérieur. En tout
cas
il y a des moments où nous sentons avec plus de p
ne relation entre deux phénomènes ne m’aurait été révélée que par des
cas
peu nombreux, peu variés, ou même par un cas uniq
été révélée que par des cas peu nombreux, peu variés, ou même par un
cas
unique, si j’ai pu la déduire d’une loi plus géné
u’une explication par les influences « ataviques ». Elle aura en tout
cas
l’avantage de la clarté. Les causes proprement an
énérale, la maîtrise des systèmes sur les faits ? D’ailleurs, dans le
cas
qui nous occuper, les amis comme les adversaires
tout à elle seule, l’imitation demande elle-même, dans les différents
cas
où elle agit, des explications spéciales. Elle su
cité d’imiter dont il faut à chaque fois rendre compte. Dans bien des
cas
, l’homme imite parce que, en vertu de la constitu
sciente ou inconsciente. L’imitation se trouverait encore être, en ce
cas
, cause de l’expansion des idées égalitaires ? — O
à l’expansion des idées égalitaires, vous faudra-t-il avoir quelques
cas
à comparer : or, en délimitant votre champ d’obse
délimitant votre champ d’observation, ne l’avez-vous pas réduit à un
cas
unique ? Un seul fait, en somme, vous sert de tex
uissants effets de leur sélection systématique ; cependant, en pareil
cas
, les différences individuelles qu’ils choisissent
es places vacantes auraient été saisies par des immigrants. En pareil
cas
, toute modification légère qui dans le cours des
e système reproducteur, cause ou accroît la variabilité ; or, dans le
cas
dont il s’agit ici, on suppose que les conditions
ature, disons-nous, ne s’inquiète point des apparences, sauf dans les
cas
où elles sont de quelque utilité aux êtres vivant
robablement fort souvent la structure de la larve ; mais, en tous les
cas
, la sélection naturelle mettra obstacle à ce que
etter le moment de leur éclosion pour les secourir au besoin. Dans le
cas
où il serait avantageux à un oiseau vivant à l’ét
nomie naturelle, laissent une plus nombreuse postérité. Mais dans des
cas
fréquents la victoire dépend moins de la vigueur
e nectar soit sécrété par la base des pétales d’une fleur : en pareil
cas
, les insectes en quête de ce nectar se couvriront
, deviennent plus ou moins impuissants. Or, si nous supposons que des
cas
analogues puissent se produire quelquefois à l’ét
aux ou des plantes à sexes séparés, il est de toute évidence, sauf le
cas
si curieux et encore si peu connu de la parthénog
s habituellement, et parmi les plantes la grande majorité est dans ce
cas
. Quelle raison a-t-on donc de supposer que, même
les écrits de C. C. Sprengel, je pourrais démontrer qu’en beaucoup de
cas
, bien loin que rien contribue à aider la fécondat
raire le stigmate qui arrive à maturité avant les anthères. En pareil
cas
, les plantes ont par le fait des sexes séparés, p
ssurer la fécondation de l’un par l’autre, se soient cependant en des
cas
fréquents réciproquement inutiles ? Une telle ano
ents fréquents entre ces variétés nouvelles de même espèce. En pareil
cas
, les effets de ces croisements seraient donc diff
eaux ou, enfin, quelques-uns peuvent devenir moins carnivores. En ce
cas
, l’espèce pourra s’accroître en nombre ; et plus
qui n’atteignent pas les lignes horizontales supérieures. En quelque
cas
, je ne doute pas que le procédé de modification n
sse s’être constamment augmentée dans les générations successives. Ce
cas
se trouverait représenté sur la figure, si toutes
sans aucune altération, soit légèrement altérée seulement. En pareil
cas
, ses affinités avec les quatorze autres espèces s
, tout naturaliste pourra sur-le-champ trouver quelques exemples d’un
cas
semblable. Dans la figure, nous avons considéré j
sont une mesure de comparaison toujours exacte ; cependant il y a des
cas
où, comme chez certains crustacés parasites, dive
que plusieurs de ses organes lui soient inutiles et superflus. En ce
cas
, il y aurait donc pour lui rétrogradation dans l’
roupes avec lesquels ils n’entrent pas en concurrence. Si en quelques
cas
, ainsi que nous le verrons autre part, des organi
ou dans la succession des saisons. Le procédé d’extinction en pareil
cas
serait donc rapide, tandis que la production d’es
duction d’espèces nouvelles serait très lente. Qu’on se représente le
cas
extrême où l’Angleterre contiendrait autant d’esp
daptés une postérité plus nombreuse. La sélection sexuelle agit en ce
cas
surtout pour donner aux mâles seuls les caractère
désavantage doit également tendre à les détruire. Il n’est qu’un seul
cas
où elles puissent se perpétuer aussi longtemps qu
cependant les conditions de vie seraient identiques ; or, c’est là un
cas
extraordinaire qui ne peut se présenter que très
ifférait de l’homme actuel. L’esprit fonctionne de même dans les deux
cas
, mais il ne s’applique peut-être pas à la même ma
tirera est au contraire ce qui a dû déterminer sa structure ; en tout
cas
, le fil conducteur de la recherche est là. Consid
rait effet et non pas cause. Un besoin, peut-être individuel, en tout
cas
social, a dû exiger de l’esprit ce genre d’activi
sprit humain peut être dans le vrai ou dans le faux, mais que dans un
cas
comme dans l’autre, quelle que soit la direction
ion d’interpréter ainsi l’adaptation en général, on raisonne dans les
cas
particuliers comme si l’adaptation était tout aut
ine du pur mécanisme ou dans celle de la finalité pure, dans les deux
cas
les créations de la vie sont prédéterminées, l’av
se valent peut-être pas, les sauts n’ayant pas franchi dans tous les
cas
la même distance. Ils n’en avaient pas moins la m
evé, sont deux moyens d’utiliser à cet effet un outil dans le premier
cas
, l’outil fait partie de l’être vivant dans l’autr
ans une certaine mesure à la défaillance d’un seul, au moins dans les
cas
qu’ils tiennent pour graves : le mal moral, si l’
rdre inverse est reconstruire et par conséquent philosopher ; en tout
cas
c’est expliciter l’implicite, au lieu de s’en ten
ite définitivement. Elle a pu être moins complète, elle était en tout
cas
temporaire, dans des sociétés en mouvement, où l’
libre au profit de la nature est d’ordre religieux. Commençons par le
cas
le plus simple. Les animaux ne savent pas qu’ils
gression, que le mouvement appelle le mouvement. On a cru trouver des
cas
de suicide chez les animaux ; a supposer qu’on ne
nce, nous cherchons si une perturbation dangereuse s’ensuit ; dans ce
cas
, l’équilibre sera vraisemblablement rétabli par d
assurer la victoire aux combattants. Mais remarquez que dans tous les
cas
c’est par des moyens rationnels, c’est en se régl
emples. Mais un premier point est frappant . c’est que, dans tous les
cas
allégués, l’effet dont on parle, et qui est attri
cause doit avoir une signification au moins égale ; elle est en tout
cas
de même ordre : c’est une intention. Que l’éducat
cette mentalité primitive que vous critiquez, que vous voulez en tout
cas
distinguer essentiellement de la vôtre ? J’entend
sorte que la tuile semble l’avoir choisi pour y tomber. Dans les deux
cas
, il n’y a de hasard que parce qu’un intérêt humai
rand effort de l’intelligence et surtout de la volonté. Dans bien des
cas
une seule de ces opérations suffit ; dans d’autre
rent ce que nous avons appris. Il y a maintenant, ajoutions-nous, des
cas
où l’ignorance s’accompagne d’une répugnance à l’
as à changer d’attitude vis-à-vis d’un homme contre lequel — c’est le
cas
de le dire — j’avais une dent. Je me laissais don
telles sont aussi les deux constatations que l’on peut faire dans des
cas
où il ne s’agit plus de l’avenir, mais du présent
e déjà ancienne faisait sortir la religion de la crainte qu’en pareil
cas
la nature nous inspire : Primus in orbe deos feci
le me parut durer ; d’autres crurent l’intervalle plus long. Dans mon
cas
, sensation et émotion furent si fortes qu’il ne p
ort, ou ils confirmeront l’analyse de James. Je me permettrai en tout
cas
d’évoquer un ou deux des miens. Le premier remont
s prit peur et s’emporta. Que cela pût arriver, qu’il y eût en pareil
cas
certaines choses à faire ou du moins à tenter, je
tant de la peur comme d’une émotion utile, nous en préserver dans les
cas
où nous avons mieux à faire que de nous y laisser
riginelle subsiste, simplement recouverte par l’acquis, dans les deux
cas
, par conséquent, le psychologue qui veut découvri
elle apparaît comme un enchaînement de causes et d’effets, ou en tout
cas
elle est traitée comme telle ; peu importe que la
eu semi-physique et semi-moral ; le magicien n’a pas affaire, en tout
cas
, à une personne ; c’est au contraire à la personn
rience elle-même, on la pressentirait avant de l’avoir faite, en tout
cas
on se l’explique fort bien après l’avoir eue ; il
a d’ailleurs aucune envie de spéculer. Mais comme il ne voit, en tout
cas
ne regarde, que ce qui peut satisfaire ses besoin
on de s’offrir d’abord et de se suffire à elle-même, surtout dans les
cas
où elle intéresse particulièrement l’homme. Tel e
uelle il appartient : tel est notre intérêt dans l’un et dans l’autre
cas
; il en résulte que notre perception saisit les t
déférence qui n’est pas sans ressembler à de la religion. Prenons le
cas
le plus fréquent : il s’agit d’un animal, le rat
: comment reconstituer le sens que le primitif donne dans tel ou tel
cas
à un mot analogue, même quand il nous fournit des
si au départ, et que l’exogamie soit tombée en route dans beaucoup de
cas
. On voit très bien l’intérêt qu’a la nature à emp
; ils sont désignés par un nom commun et ce nom pourra, dans certains
cas
, ne pas même comporter un singulier : mânes et pé
leur ait généralement attribué des fonctions, et que dans beaucoup de
cas
l’idée de fonction ait été Prédominante. C’est ce
upérieure à celle des hommes et le privilège de rompre, dans certains
cas
au moins, la régularité des lois de la nature. Br
ef, la fonction fabulatrice de l’esprit s’est arrêtée dans le premier
cas
; elle a poursuivi son travail dans le second. Ma
un récit mythologique comme un récit historique, et se poser dans un
cas
comme dans l’autre la question d’authenticité. Ma
à négliger les autres, à ne se soucier que de lui-même. Dans les deux
cas
il y aurait rupture de l’ordre normal, naturel. E
, on sait fort bien, en effet, de quoi l’on parle. Car, dans les deux
cas
, il est question d’espaces inégaux, ainsi que nou
sif et l’intensif, entre l’étendu et l’inétendu ? Si, dans le premier
cas
, on appelle plus grande quantité celle qui contie
grande étendue, nous éprouvons une impression analogue dans les deux
cas
; les termes « plus grand », « plus petit », évoq
es termes « plus grand », « plus petit », évoquent bien dans les deux
cas
la même idée. Que si maintenant nous nous demando
distance et identiques entre elles. Mais, dans l’immense majorité des
cas
, nous nous prononçons sur l’intensité de l’effet
’effet. Nous procédons sans doute ainsi dans un assez grand nombre de
cas
; mais on n’explique point alors les différences
esthétiques. L’intensité pure doit se définir plus aisément dans ces
cas
simples, où aucun élément extensif ne semble inte
i consiste une intensité croissante de joie ou de tristesse, dans les
cas
exceptionnels où aucun symptôme physique n’interv
iel comme celle d’un sentiment profond de l’âme. Dans l’un et l’autre
cas
, il y a progrès qualitatif et complexité croissan
tive, tantôt par une représentation d’ordre pratique. Dans le premier
cas
, il y a effort intellectuel ou attention ; dans l
l’élève, et détermine des rides transversales sur le front… Dans les
cas
extrêmes, la bouche s’ouvre largement. Chez les e
rester nous-mêmes. La sensation est dite peu intense dans le premier
cas
, et très intense dans l’autre. Ainsi, pour percev
u’horizontale, et pourquoi nous disons que le son monte dans certains
cas
, descend dans d’autres. Il est incontestable que
sation d’accroissement. Toute la question est là, car dans le premier
cas
la sensation serait une quantité, comme sa cause
persuade que la sensation du mouvement a été identique dans les deux
cas
, tandis que la sensation de poids différait de gr
fective, prélude de l’éblouissement, que nous éprouvons dans certains
cas
. Selon qu’on augmente ou qu’on diminue le nombre
teinte des objets qui nous entourent, il n’en est plus ainsi dans les
cas
simples, où un objet unique, une surface blanche
lui des nuances qui séparent B d’une autre couleur C. Dans ce dernier
cas
, on dira que B est également distant de A et de C
vous usez d’un mode de représentation conventionnel. Dans le premier
cas
, vous trouverez entre S et S′ une différence anal
nelle de la sensation ; la seconde en appelle au sens commun dans les
cas
particuliers où il adopte une convention analogue
use extérieure, ou ceux qui se suffisent à eux-mêmes. Dans le premier
cas
, la perception de l’intensité consiste dans une c
ce. Cependant, si nous comparons deux formations quelconques, sauf le
cas
où elles sont l’une avec l’autre en rapports étro
ne raison de croire qu’elle puisse jamais y reparaître de nouveau. Le
cas
qui semblerait le plus faire exception à cette rè
uoi une espèce, une fois éteinte, ne saurait reparaître, même dans le
cas
où les mêmes conditions de vie, organiques ou ino
s l’économie de la nature et parvenir ainsi à la supplanter, comme le
cas
s’en est sans doute présenté très souvent ; cepen
hérité de leurs progéniteurs distincts des caractères différents. Le
cas
échéant par exemple où nos Pigeons-Paons seraient
u, ensuite d’un autre, et finalement du monde. Cependant, en quelques
cas
très rares, tels que la rupture d’un isthme et l’
u groupe et la multiplication progressive de ses espèces. En quelques
cas
, pourtant, la destruction de groupes entiers d’êt
e parfois entre des genres appartenant à des familles différentes. Le
cas
le plus commun, surtout à l’égard des groupes dis
ure. Il est donc parfaitement possible, comme nous l’ayons vu dans le
cas
de quelques formes siluriennes, qu’une espèce pui
ume est fort incomplet, nous ne pouvons nous attendre, excepté en des
cas
très rares, à pouvoir remplir les profondes lacun
plus savants paléontologistes, tel semble devoir être fréquemment le
cas
. Ainsi, d’après la théorie de descendance modifié
sont pas intermédiaires en âge. Mais supposant pour l’instant, en ce
cas
et en quelques autres, que le témoignage de la pr
emps qu’une forme produite autre part plus récemment, surtout dans le
cas
d’espèces terrestres habitant des districts sépar
t adaptés néanmoins à de simples conditions de vie. Même, en quelques
cas
, elle simplifie l’organisation par une métamorpho
laciens et les Ganoïdes ont existé seuls pendant longtemps ; et en ce
cas
, selon la norme de supériorité qu’il plaira de ch
sse avec la même évidence. On pourrait encore citer beaucoup d’autres
cas
particuliers, tels que le rapport observé entre l
pèces décroissent peu à peu en nombre, comme il semble que ce soit le
cas
pour les Édentés de l’Amérique du Sud, un plus pe
ation que l’on dit, la raison a des bornes. Notre Langue n’a point de
cas
, la Logique a quatre parties, &c. 2. A, comme
arque le datif ; parce qu’en françois nous n’avons ni déclinaison, ni
cas
, ni par conséquent de datif. V. Cas . Le rapport
s nous n’avons ni déclinaison, ni cas, ni par conséquent de datif. V.
Cas
. Le rapport que les Latins marquoient par la ter
e l’article féminin, à la raison, à l’autorité. II. Hors de ces trois
cas
, la préposition à devient un mot composé par sa j
ABLATIF ABLATIF, s. m. terme de Grammaire. C’est le sixieme
cas
des noms Latins. Ce cas est ainsi appellé du Lati
F, s. m. terme de Grammaire. C’est le sixieme cas des noms Latins. Ce
cas
est ainsi appellé du Latin ablatus, ôté, parce qu
appellé du Latin ablatus, ôté, parce qu’on donne la terminaison de ce
cas
aux noms Latins qui sont le complément des prépos
des usages. C’est ainsi que Priscien, frappé de l’un des usages de ce
cas
, l’appelle cas comparatif ; parce qu’en effet on
st ainsi que Priscien, frappé de l’un des usages de ce cas, l’appelle
cas
comparatif ; parce qu’en effet on met à l’ablatif
est doctior Petro ; Paul est plus savant que Pierre. Varron l’appelle
cas
latin, parce qu’il est propre à la Langue Latine.
Langues vulgaires, parce que dans ces Langues les noms n’ont point de
cas
. Les rapports ou vûes de l’esprit que les Latins
leur jeunesse à mettre du françois en latin, & à chercher en quel
cas
Latin ils mettront un tel mot François : par exem
’est le même mot avec une inflexion différente : Lutetioe est dans un
cas
oblique qu’on appelle génitif, dont l’usage est d
; les Grammairiens les plus habiles, soûtiennent que l’ablatif est le
cas
de quelqu’une des prépositions qui se construisen
u nom qui puisse être prise absolument & directement ; les autres
cas
reçoivent une nouvelle modification ; & c’est
ne nouvelle modification ; & c’est pour cela qu’ils sont appellés
cas
obliques. Or il faut qu’il y ait une raison de ce
ion ; il en est le complément. Ainsi l’ablatif, comme tous les autres
cas
, nous donne par la nomenclature l’idée de la chos
i ils ne sont pas le sujet de la proposition, puisqu’ils sont dans un
cas
oblique : or la vûe de l’esprit qui a fait mettre
cas oblique : or la vûe de l’esprit qui a fait mettre le mot dans ce
cas
oblique, est ou exprimée par une préposition, ou
primé les prépositions que nous disons qui sont sousentendues dans le
cas
de l’ablatif absolu. S’agit-il de l’instrument ;
s, nous n’avons point d’ablatif absolu, puisque nous n’avons point de
cas
: mais nous avons des façons de parler absolues,
nt siflé parmi nous, comme il l’auroit été chez les Anciens en pareil
cas
. Dans la Grammaire greque, on ne donne le nom d’a
le nom substantif a encore pour accidens le genre. Voyez Genre ; le
cas
, la déclinaison, le nombre, qui est ou singulier
ACCUSATIF, s. m. terme de Grammaire ; c’est ainsi qu’on appelle le 4e
cas
des noms dans les Langues qui ont des déclinaison
articulieres sous lesquelles l’esprit considere le même objet. « Les
cas
ont été inventés, dit Varron, afin que celui qui
o, lib. I. de Anal. Au reste les noms que l’on a donnés aux différens
cas
ne sont tirés que de quelqu’un de leurs usages, &
st Scaliger) à rejetter ces dénominations, & à ne donner à chaque
cas
d’autre nom que celui de premier, second, & a
, & ainsi de suite jusqu’à l’ablatif, qu’ils appellent le sixieme
cas
. Mais il suffit d’observer que l’usage des cas n’
s appellent le sixieme cas. Mais il suffit d’observer que l’usage des
cas
n’est pas restraint à celui que leur dénomination
pourvû que l’on explique les différens usages particuliers de chaque
cas
. L’accusatif fut donc ainsi appellé, parce qu’il
et, accuser le point. En déterminant ensuite les divers usages de ces
cas
, j’en trouve trois qu’il faut bien remarquer. 1.
ns ce passage d’Horace, ultor est attiré par patiens, qui est au même
cas
que filius Maioe : tout cela se fait par le rappo
que retranché. A l’égard du François, nous n’avons ni déclinaison ni
cas
; nous ne faisons usage que de la simple dénomina
quelques observations à faire par rapport aux pronoms. Voyez Article,
Cas
, Construction . (F) ACTIF Actif (Gram
iere établie pour marquer les rapports ou points de vûe qu’on appelle
cas
: l’adjectif doit encore se conformer ici au subs
tantif par d’autres mots : je répons que dans les Langues qui ont des
cas
, c’est-à-dire, qui marquent par des terminaisons
ubstantif par d’autres mots. Mais dans les Langues qui n’ont point de
cas
, comme le François, l’adjectif n’est pas séparé d
n’est pas séparé de son substantif. La position supplée au défaut des
cas
. Parve, nec invideo, sine me, Liber, ibis in urb
ber. Au reste, il ne faut pas croire que dans les Langues qui ont des
cas
, il soit nécessaire de séparer l’adjectif du subs
ge gardien. Beauté parfaite. Beauté Romaine. Bien réel. Bonnet blanc.
Cas
direct. Cas oblique. Chapeau noir. Chemin raboteu
Beauté parfaite. Beauté Romaine. Bien réel. Bonnet blanc. Cas direct.
Cas
oblique. Chapeau noir. Chemin raboteux. Chemise b
llente ; excellents, excellentes. Outre le genre, le nombre, & le
cas
, dont nous venons de parler, les adjectifs sont e
selon son étymologie. On en a un bel exemple dans la dénomination des
cas
des noms ; car l’accusatif ne sert pas seulement
ANTIPTOSE, s. f. figure de Grammaire par laquelle, dit-on, on met un
cas
pour un autre, comme lorsque Virgile dit, Æn. V.
o, au lieu de ad coelum. Ce mot vient de ἀντὶ, pour, & de πτῶσις,
cas
. On donne encore pour exemple de cette figure, Ur
ain ; & les écoliers qu’on reprendroit pour avoir mis un nom à un
cas
, autre que celui que la regle demande, n’auroient
iptose. A l’égard de it clamor coelo ; coelo est au datif, qui est le
cas
du rapport & de l’attribution, c’est une faço
; ainsi il n’est pas étonnant que ce nom substantif soit à un certain
cas
dans une de ces propositions, & à un cas diff
tantif soit à un certain cas dans une de ces propositions, & à un
cas
différent dans l’autre proposition, puisque les m
dans de nouveaux livres viendra t’il, dira-t’il : ce n’est pas là le
cas
de l’apostrophe, il n’y a point là de lettre élid
pour empêcher le bâillement ou rencontre des deux voyelles ; c’est le
cas
du tiret ou division : on doit écrire viendra-t-i
tion consiste à mettre deux ou plusieurs substantifs de suite au même
cas
sans les joindre par aucun terme copulatif, c’est
iv. I. pag. 23. comme fas, nefas, &c. ἄπτωτος, c’est-a-dire, sans
cas
, formé de πτῶσις, cas, & d’α privatif. (F)
fas, nefas, &c. ἄπτωτος, c’est-a-dire, sans cas, formé de πτῶσις,
cas
, & d’α privatif. (F) ARSIS Arsis (
les noms ne changent point leur derniere syllable, de n’y admettre ni
cas
ni déclinaison, & d’observer seulement commen
du mot, ou par le secours des prépositions. Les Latins n’ont que six
cas
, cependant il y a bien plus de rapports à marquer
le mot étoit alors au datif. Nos Grammairiens ne nous donnent que six
cas
, sans doute parce que les Latins n’en ont que six
pports particuliers à marquer ; par conséquent si de & à font des
cas
, sur, par, pour, sous, dans, avec, & les autr
s devroient en faire aussi ; il n’y a que le nombre déterminé des six
cas
Latins qui s’y oppose : ce que je veux dire est e
us sensible en Italien. Les grammaires italiennes ne comptent que six
cas
aussi, par la seule raison que les Latins n’en on
ces trois mots di, a, da, des segnacasi, c’est-à-dire, des signes des
cas
. Mais ce ne sont pas ces seules prépositions qui
qui entrent en composition avec l’article, forment autant de nouveaux
cas
, qu’elles marquent de rapports différens ; pourqu
st qu’il suffisoit d’égaler dans la langue vulgaire le nombre des six
cas
de la grammaire latine, à quoi on étoit accoûtumé
it-il, ceux qui veulent que in, per, con, soient aussi bien signes de
cas
, que le sont di, a, da : mais il ne me plaît pas
is il ne me plaît pas à présent de les mettre au nombre des signes de
cas
; il me paroît plus utile de les laisser au trait
ois ? Il n’y est ni au génitif ni à l’ablatif ; nous n’avons point de
cas
proprement dit en François ; nous ne faisons que
que donc que de marquer le vocatif pour être la particule de tous les
cas
. N’est-ce pas là indiquer bien nettement l’usage
toute proposition a 1°. ou une étendue universelle ; c’est le premier
cas
dont nous avons parlé : 2°. ou une étendue partic
nous avons parlé : 2°. ou une étendue particuliere ; c’est le second
cas
: 3°. ou enfin une étendue singuliere, c’est le d
le second cas : 3°. ou enfin une étendue singuliere, c’est le dernier
cas
. 1°. Si celui qui parle donne un sens universel a
riomphé de ses ennemis ; le soleil est levé. Dans chacun de ces trois
cas
, notre langue nous fournit un prénom destiné à ch
mettent souvent l’article devant les noms propres, sur-tout dans les
cas
obliques, & quand le nom ne commence pas la p
res : les langues qui se sont formées du Latin, ont souvent pris des
cas
obliques pour en faire des dénominations directes
ue noire d’une féve. Les Latins disoient aussi : ne faire pas plus de
cas
de quelqu’un ou de quelque chose, qu’on en fait d
encore ajoûter ici des exemples qui ne seront point inutiles dans les
cas
pareils. Noms construits sans prénom ni préposit
it pas alors d’un tel plaisir ni d’un tel service particulier ; en ce
cas
on diroit faites-moi ce ou le plaisir, rendez-moi
, honte, honneur, peur, plaisir, choix, bonne mine & mauvais jeu,
cas
de quelqu’un, alliance, marché, argent de tout, p
ils les ont embarrassées d’un grand nombre de préceptes inutiles, de
cas
, de déclinaisons & autres termes qui ne convi
amp; que chaque nation pût lire dans sa langue. On voit bien qu’en ce
cas
, ces sortes de caracteres devroient être réels &a
’article suivant, & les articles Imprimerie & Écriture .
CAS
Cas (Grammaire) CAS, s. m. (terme de G
ivant, & les articles Imprimerie & Écriture . CAS
Cas
(Grammaire) CAS, s. m. (terme de Grammaire) c
icles Imprimerie & Écriture . CAS Cas (Grammaire)
CAS
, s. m. (terme de Grammaire) ce mot vient du latin
ammaire) ce mot vient du latin casus, chûte, rac. cadere, tomber. Les
cas
d’un nom sont les différentes inflexions ou termi
dénominations, & à bien d’autres sortes de pensées ; ainsi ce mot
cas
est dit ici dans un sens figuré & métaphoriqu
n tombant, pour ainsi dire, en d’autres terminaisons, fait les autres
cas
qu’on appelle obliques. Nominativus sive rectus,
ées désinances ; mais ces mots terminaison, desinance, sont le genre.
Cas
est l’espece, qui ne se dit que des noms ; car le
j’aime, j’aimois, j’aimerai, &c. Cependant on ne donne le nom de
cas
, qu’aux terminaisons des noms, soit au singulier,
ilà toutes les terminaisons de ce mot au singulier, en voilà tous les
cas
, en observant seulement que la premiere terminais
ment pour nommer & pour appeller. Les noms Hébreux n’ont point de
cas
, ils sont souvent précédés de certaines prépositi
re Hébraique de Masclef, tom. I. c. 2. n. 6. Les Grecs n’ont que cinq
cas
, nominatif, genitif, datif, accusatif, vocatif :
o refertur. Canisii Hellenismi, Part. orat. p. 87. Les latins ont six
cas
, tant au singulier qu’au pluriel, nominatif, geni
de repéter ici ce que nous disons en particulier de chacun des autres
cas
: on peut le voir en leur rang. Il suffira de dir
le voir en leur rang. Il suffira de dire ici un mot du nom de chaque
cas
. Le premier, c’est le nominatif ; il est appellé
du nom de chaque cas. Le premier, c’est le nominatif ; il est appellé
cas
par extension, & parce qu’il doit se trouver
aucune modification ; & c’est pour cela qu’on l’appelle aussi le
cas
direct, rectus : quand un nom est au nominatif, l
ominatif, & qu’il sert ensuite plus particulierement à former les
cas
qui le suivent ; ils en gardent toûjours la lettr
l ne faut pas oublier la remarque judicieuse de Priscien : « Chaque
cas
, dit-il, a plusieurs usages ; mais les dénominati
as, nesas, cornu, au singulier, &c. Ainsi ces mots n’ont point de
cas
. Cependant quand ces mots se trouvent dans une ph
extension & par analogie avec les autres mots latins qui ont des
cas
, & qui en une pareille position auroient la t
e sont les terminaisons, seules, qui par leur variété constituent les
cas
, & doivent être appellées cas : ensorte qu’il
ui par leur variété constituent les cas, & doivent être appellées
cas
: ensorte qu’il n’y a point de cas, ni par conséq
cas, & doivent être appellées cas : ensorte qu’il n’y a point de
cas
, ni par conséquent de déclinaison dans les langue
II. v. 13. & ailleurs : ainsi à & de ne marquent pas plus des
cas
en François que par, pour, en, sur, &c. Voyez
;c. Voyez Article . 2°. Le second point qui est à considérer dans les
cas
, c’est l’usage qu’on en fait dans les langues qui
ans les cas, c’est l’usage qu’on en fait dans les langues qui ont des
cas
. Ainsi il faut bien observer la destination de ch
particuliere : tel rapport, telle vûe de l’esprit est marquée par tel
cas
, c’est-à-dire par telle terminaison. Or ces termi
Paul ; moi aimer toi, &c. On va entendre ce que je veux dire. Les
cas
ne sont en usage que dans les langues où les mots
e leurs relations ? Ce sont les différentes terminaisons, ce sont les
cas
qui m’indiquent ces relations ; & qui lorsque
orrélatifs, & dès-lors je trouve le sens. Voilà le vrai usage des
cas
. Ager aret, herba moriens sitit prae vitio aeris
des cas. Ager aret, herba moriens sitit prae vitio aeris. Ainsi les
cas
sont les signes des rapports, & indiquent l’o
diquent l’ordre successif, par lequel seul les mots font un sens. Les
cas
n’indiquent donc le sens que relativement à cet o
que l’esprit rétablit aisément ; ces langues, dis-je, n’ont point de
cas
; ils y seroient inutiles, puisqu’ils ne servent
significatif des vûes de l’esprit n’est indiqué en Latin que par les
cas
ou terminaisons des mots : ainsi il est indiffére
n signe de rapport. Mais reprenons la suite de nos réflexions sur les
cas
. Il y a des langues qui ont plus de six cas, &
de nos réflexions sur les cas. Il y a des langues qui ont plus de six
cas
, & d’autres qui en ont moins. Le P. Galanus,
avoit demeuré plusieurs années chez les Arméniens, dit qu’il y a dix
cas
dans la langue Arménienne. Les Arabes n’en ont qu
s dit qu’il y a dans une langue & en chaque déclinaison autant de
cas
, que de terminaisons différentes dans les noms ;
né comme l’ablatif : il semble donc qu’il ne devroit y avoir que cinq
cas
en ces déclinaisons. Mais 1°. il est certain que
I. c. vj. n. 4. 3°. Enfin l’analogie demande cette uniformité de six
cas
dans les cinq déclinaisons, & alors ceux qui
naisons, & alors ceux qui ont une terminaison semblable, sont des
cas
par imitation avec les cas des autres terminaison
ui ont une terminaison semblable, sont des cas par imitation avec les
cas
des autres terminaisons, ce qui rend uniforme la
. Prise. L. V. de Casu. Les rapports qui ne sont pas indiqués par des
cas
en Grec, en Latin, & dans les autres langues
des cas en Grec, en Latin, & dans les autres langues qui ont des
cas
, ces rapports, dis-je, sont suppléés par des prép
. iij. v. 36 Ces prépositions qui précedent les noms équivalent à des
cas
pour le sens, puisqu’elles marquent des vûes part
ent des vûes particulieres de l’esprit ; mais elles ne font point des
cas
proprement dits, car l’essence du cas ne consiste
; mais elles ne font point des cas proprement dits, car l’essence du
cas
ne consiste que dans la terminaison du nom, desti
t observé qu’en Latin le comparatif & le superlatif se forment du
cas
en i, du positif en ajoûtant or pour le masculin
; pour le feminin, & as pour le genre neutre. On ajoûte ssimus au
cas
en i pour former le superlatif : ainsi on dit san
s dont le positif est terminé en er, forment aussi leur comparatif du
cas
en i, pulcher, pulchri, pulchrior, pulchrius ; ma
les accidens des mots, dictionum accidentia ; tels sont le genre, le
cas
(dans les langues qui ont des cas), le nombre &am
accidentia ; tels sont le genre, le cas (dans les langues qui ont des
cas
), le nombre & la personne, c’est-à-dire que s
sition, ils doivent être au même genre, au même nombre, & au même
cas
. C’est ce que j’appelle uniformité d’accidens, &
Il est vrai que l’adjectif doit convenir en genre, en nombre & en
cas
avec son substantif ; mais pourquoi ? Voici ce me
vûe de l’esprit. Il en est de même du genre, de la personne, & du
cas
dans les langues qui ont des cas. Tel est l’effet
e du genre, de la personne, & du cas dans les langues qui ont des
cas
. Tel est l’effet du rapport d’identité, & c’e
du ; & c’est pour cette seule raison qu’en Latin ils sont au même
cas
, &c. Diana erat soror. Mais il n’y a qu’un ra
errogatif & le responsif. Le responsif, dit-on, doit être au même
cas
que l’interrogatif. D. quis te redemit ? R. Chris
s. Leurs verbes ne sont précédés des pronoms personnels, que dans les
cas
où ces pronoms seroient exprimés en Latin par la
l’imagination y suppose. Or dans l’un & dans l’autre de ces deux
cas
, l’état des choses demande que l’on commence par
bservé dans la construction usuelle des langues dont les noms ont des
cas
, c’est-à-dire des terminaisons particulieres dest
lon la regle, devroit être au nominatif, se trouve au contraire en un
cas
oblique : paenitet me peccati, je me repens de mo
ien moins ordinaires qu’elles ne le sont dans les langues qui ont des
cas
; parce que dans celles-ci le rapport du mot expr
condition est bien plus facile à remplir dans les langues qui ont des
cas
: ce qui est sensible dans l’exemple que nous avo
sque selon l’analogie de la construction ordinaire, le génitif est un
cas
oblique qui ne sert qu’à déterminer un nom d’espe
on sa signification, on n’en change point la valeur : mais à cause du
cas
, ou du genre, ou du nombre, ou enfin de la termin
jectif ne doit pas marquer, par rapport au genre, au nombre, & au
cas
, des vûes qui soient différentes de celles sous l
d’espece comme un adjectif, & alors on met les deux noms au même
cas
par rapport d’identité : urbs Roma, Roma quoe est
e est interrompu par des transpositions, dans les langues qui ont des
cas
, il est indiqué par une terminaison particuliere
es précede, & sont énoncés sans articles : ils marquent en pareil
cas
la personne à qui l’on adresse la parole. Soyez,
ne vaut, voilà la correlative. Votre indolence n’est pas dans le même
cas
; elle ne vaut pas ce moins ; elle vaut bien dava
f (Grammaire) DATIF, s. m. (Grammaire.) Le datif est le troisieme
cas
des noms dans les langues qui ont des déclinaison
s dans les langues qui ont des déclinaisons, & par conséquent des
cas
; telles sont la langue greque & la langue la
e quelque chose, est appellée datif. Le datif est donc communément le
cas
de l’attribution ou de la destination. Les dénomi
inflexions que l’on donne aux noms qui ont rapport aux verbes. Voyez
Cas
, Concordance, Construction, Régime. Les Latins
&c. la terminaison des noms ne varie point, ces langues n’ont ni
cas
, ni déclinaisons, ni par conséquent de datif ; ma
; ablatif, d’ablatus. Les anciens Grammairiens nous apprennent que ce
cas
est particulier aux Latins, & que cette termi
atif ; c’est le génitif de φρόνιμος, prudens, & ce génitif est le
cas
de la préposition ἀπὸ, qui ne se construit qu’ave
il y a une terminaison particuliere destinée uniquement à marquer le
cas
qui en latin est appellé ablatif. On ne peut don
onnée à chacune des désinances des noms, dans les langues qui ont des
cas
. Ainsi puisque l’on convient que les Grecs n’ont
’anciennement les Grecs & les Latins n’avoient également que cinq
cas
, nominatif, génitif, datif ; accusatif, & voc
vocatif. Les Grecs n’ont rien changé à ce nombre ; ils n’ont que cinq
cas
: ainsi le génitif est toûjours demeuré génitif,
t toûjours demeuré génitif, le datif toûjours datif, en un mot chaque
cas
a gardé la dénomination de sa terminaison. Mais i
osition, alors on doit l’appeller ablatif, parce que l’ablatif est le
cas
de la préposition, casus praepositionis ; ce qui
avec, sur, à, de, &c. Dans les langues où les noms n’ont point de
cas
, on met simplement le nom après la préposition. D
simplement le nom après la préposition. Dans les langues qui ont des
cas
, l’usage a affecté certains cas à certaines prépo
osition. Dans les langues qui ont des cas, l’usage a affecté certains
cas
à certaines prépositions. Il falloit nécessaireme
es autres grammairiens l’appellent casus praepositionis, c’est-à-dire
cas
affecté uniquement non à toutes sortes de préposi
atif ; ensorte qu’on ne peut pas dire que l’ablatif soit tellement le
cas
de la préposition, qu’il n’y ait jamais de prépos
f, suivant l’usage arbitraire de cette langue, dont les noms ont cinq
cas
, & pas davantage, nominatif, génitif, datif,
e par tous les auteurs de rudimens grecs. Les Grecs ont destiné trois
cas
pour déterminer les prépositions : le génitif, le
es, on diroit avec raison que ces langues ont un plus grand nombre de
cas
: la langue arménienne en a jusqu’à dix, selon le
ent être à l’accusatif. Ainsi les noms que l’on a donnés à chacun des
cas
distinguent plûtôt la différence de la terminaiso
si que par préjugé ; je veux dire qu’accoûtumé dans l’enfance aux six
cas
de la langue latine, il a cru que les autres lang
it toûjours le génitif après les prépositions qui sont suivies de ces
cas
. Il y a en grec quatre prépositions qui n’en ont
age fait alors de la terminaison du nom, dans les langues qui ont des
cas
, car dans celles qui n’en ont point, on ne fait q
l’armée ; & l’on ne doit point dire alors que le nom est à un tel
cas
, parce que ces langues n’ont point de cas ; elles
ors que le nom est à un tel cas, parce que ces langues n’ont point de
cas
; elles ont chacune leur maniere particuliere de
naison des noms, ne doivent point être regardées comme on regarde les
cas
des Grecs & ceux des Latins ; c’est aux Gramm
ns disent qu’un nom est au nominatif ou au génitif, ou à quelqu’autre
cas
: mais ils ne parlent ainsi, que parce qu’ils ont
: c’est ce qui a séduit nos Grammairiens & leur a fait donner six
cas
& cinq déclinaisons à notre langue, qui n’a n
ait donner six cas & cinq déclinaisons à notre langue, qui n’a ni
cas
ni déclinaisons. De ce que Pierre a une maison, s
hombres ; hè visto al rey y à la reyna. Dans les langues qui ont des
cas
, on donne alors au nom une terminaison particulie
il ne deviendra pas alors un ablatif ? nullement. Il est cependant le
cas
d’une préposition ? j’en conviens ; mais ce n’est
la préposition ou après le verbe que se tirent les dénominations des
cas
. Quand on demande en quel cas faut-il mettre un n
rbe que se tirent les dénominations des cas. Quand on demande en quel
cas
faut-il mettre un nom après un tel verbe ou une t
du grec ? pourquoi imaginer dans cette langue un plus grand nombre de
cas
qu’elle n’a de terminaisons différentes dans ses
iles. Nous interrompons l’Athénien, & nous lui demandons en quel
cas
sont ces trois mots, τοῖς ἐμφυλίοις πολέμοις. Ils
lique qu’il sait sa langue ; que la préposition παρὰ se joint à trois
cas
, au génitif, au datif, ou enfin à l’accusatif ; q
ns de parler imitées du grec. En un mot, dans les langues qui ont des
cas
, ce n’est que par rapport à la terminaison que l’
ar rapport à la terminaison que l’ont dit d’un nom qu’il est à un tel
cas
plutôt qu’à un autre. Il est indifferent que ce c
u’il est à un tel cas plutôt qu’à un autre. Il est indifferent que ce
cas
soit précédé d’un verbe, d’une préposition, ou de
oit précédé d’un verbe, d’une préposition, ou de quelqu’autre mot. Le
cas
conserve toûjours la même dénomination, tant qu’i
ue ce n’est encore que par analogie que l’on dit qu’ils sont à un tel
cas
, ce qui ne veut dire autre chose, si ce n’est que
mmairiens anciens, qui admettoient un septieme & même un huitieme
cas
dans les déclinaisons latines. Eadem est ineptia
duis à observer que la préposition ne change point la dénomination du
cas
qui la détermine, & qu’en grec le nom qui sui
ans que pour cela il y ait rien à changer dans la dénomination de ces
cas
. Enfin, j’oppose Port Royal à Port Royal, & j
de ces cas. Enfin, j’oppose Port Royal à Port Royal, & je dis des
cas
, ce qu’ils disent des modes des verbes. En grec,
nflexions qui doivent faire les modes des verbes. J’en dis autant des
cas
des noms, ce n’est pas la différente maniere de s
es noms, ce n’est pas la différente maniere de signifier qui fait les
cas
, c’est la différence des terminaisons. (F) D
mots entr’eux, 1°. Par l’arrangement dans lequel on les place. Voyez
Cas
. 2°. Par les prépositions qui mettent les mots e
e ; musa, dominus, &c. C’est ce que les Grammairiens appellent le
cas
direct, in recto. Les autres terminaisons s’écart
re, & c’est de-là que vient le mot de déclinaison, & celui de
cas
: declinare, se détourner, s’écarter, s’éloigner
clinaisons, dans les grammaires particulieres des langues qui ont des
cas
, c’est-à-dire dont les noms changent de terminais
ifférence des modes dans les verbes, ni celle des déclinaisons ou des
cas
dans les noms ; ce sont uniquement les différente
ere. Je conclus de ces réflexions, qu’à parler exactement il n’y a ni
cas
ni déclinaisons dans les langues, où les noms gar
, ils ne sont ni à l’accusatif ni au génitif ; en un mot ils n’ont ni
cas
ni déclinaison. S’il arrive qu’un nom françois so
e nombre la même terminaison, il ne doit y avoir dans notre langue ni
cas
ni déclinaisons. La connoissance du rapport des m
suspens, rend la phrase plus vive & plus élégante. Voyez Article,
Cas
, Concordance, Construction. (F) DÉCLINER
aire, c’est dire de suite les terminaisons d’un nom selon l’ordre des
cas
; ordre établi dans les langues où les noms chang
re établi dans les langues où les noms changent de terminaison. Voyez
Cas
, Déclinaison, Article . (F) DEFECTIF
ui se dit ou d’un nom qui manque, ou de quelque nombre, ou de quelque
cas
. On le dit aussi des verbes qui n’ont pas tous le
es ou tous les tems qui sont en usage dans les verbes réguliers. Voy.
Cas
, Conjugaison, Declinaison, Verbe . (F) DÉFI
l ? il n’y a point là de lettre supprimée après le t ; ainsi c’est le
cas
de la division, & non de l’apostrophe. Voyez
semé. Dans la suite, à mesure qu’ils voyent un mot qui est ou au même
cas
que celui auquel il se rapporte, ou à un cas diff
n mot qui est ou au même cas que celui auquel il se rapporte, ou à un
cas
différent, Diana soror Apollinis, on leur expliqu
t ou raison de détermination. Diana soror, ces deux mots sont au même
cas
, parce que Diane & soeur c’est la même person
épendance, la liaison & la subordination des connoissances. Voyez
Cas
, Construction , & les divers ouvrages qui ont
les prépositions dont ils sont le complément. Le premier de ces deux
cas
exige que le verbe soit exprimé au moins dans la
s une phrase que la place d’un autre, sans en avoir ni le genre ni le
cas
, ni aucun des accidens qu’il devroit avoir selon
ruire les mots selon les regles ordinaires du nombre, des genres, des
cas
, on en fait la construction relativement à la pen
à font appercevoir l’ordre ; mais dans les langues qui n’ont point de
cas
, ces figures ne peuvent être admises que lorsque
ntre en composition, & de πτῶσις, casus ; ensorte que c’est-là un
cas
pour un autre : Virgile, disent-ils, a dit urbem
our eux d’une grande ressource. Quand on les blâmeroit d’avoir mis un
cas
pour un autre, l’autorité de Despautere qui dit q
son, c’est l’énallage, ἐναλλαγὴ, permutatio. Le simple changement des
cas
est une antiptose ; mais s’il y a un mode pour un
uand les différens membres ou incises d’une période finissent par des
cas
ou par des tems dont la terminaison est semblable
e la précédente, que parce qu’il ne s’y agit ni d’une ressemblance de
cas
ou de tems : mais il suffit que les membres ou in
ammatical le mérite de la justesse, dont on ne sauroit faire assez de
cas
. Il est donc important d’examiner les différences
l’acception précise qui y convient, & que l’usage n’a mis dans ce
cas
aucun des mots qui sont fréquemment nécessaires d
lettre l’expression figurée, ou la pensée littérale du latin ; en ce
cas
, je me contenterois de rendre la pensée à notre m
s nouveau qui convient au sujet dont on veut parler : dans le premier
cas
, il faut conserver le sens de l’auteur ; mais dan
mier cas, il faut conserver le sens de l’auteur ; mais dans le second
cas
, les passages auxquels on donne un sens différent
on à cette faculté de notre ame, qui discerne promptement en certains
cas
le bien & le mal moral par une sorte de sensa
, que la différence du bien ou du mal moral nous affectât en certains
cas
, ainsi que le fait celle du mal physique. C’est d
’idée qu’ils y ont été engagés, & autres chimeres : c’est dans ce
cas
une espece de manie, mal qui demande des remedes,
conditions de vie que la même espèce exige en général ; car c’est un
cas
des plus rares que de trouver un groupe d’organis
seule, autant que nous en puissions juger jusqu’ici, produit dans les
cas
les plus fréquents des organismes tout à fait sem
s entre eux, ou du moins presque semblables, comme on le voit dans le
cas
des variétés. La dissemblance des habitants de di
ions ont été possibles de proche en proche. Mais en beaucoup d’autres
cas
, où nous avons des raisons de penser que les espè
a terre ou sur plusieurs à la fois. Sans nul doute il y a de nombreux
cas
d’une difficulté extrême, lorsqu’il s’agit d’expl
on géographique des êtres organisés ne peut se comprendre que dans le
cas
où la majorité des espèces auraient été créées se
sous les conditions de vie passées. Sans aucun doute, on connaît des
cas
nombreux où il est impossible d’expliquer comment
té possible. Il serait aussi fatigant qu’inutile de discuter tous les
cas
exceptionnels où la même espèce vit sur des régio
des points distants et séparés de la surface du globe peut, dans les
cas
les plus nombreux, s’expliquer par l’hypothèse qu
relation d’hérédité avec les habitants de ce continent. De semblables
cas
sont communs ; et, comme nous le verrons mieux un
riété seraient descendus d’un seul parent. Mais, dans la majorité des
cas
, c’est-à-dire à l’égard de tous les organismes qu
par ces voyageurs que mêlées à la terre de leurs pieds, ce qui est un
cas
assez rare. Il se présenterait, ne serait-ce pas
asses terres où ces espèces alpines ne pourraient vivre, est l’un des
cas
les plus frappants qu’on connaisse d’espèces viva
phères ; mais nous avons des preuves suffisantes, en presque tous les
cas
observés, qu’elle est tout entière incluse dans l
on des animaux terrestres. De même, dans les productions marines, des
cas
analogues se rencontrent : comme exemple, je cite
uccessivement ou réciproquement croisées dans la même localité. En ce
cas
, on pourrait donc dire avec toute rigueur que le
us ou moins reculé dans la série des temps géologiques ; même dans le
cas
où une seule espèce, parfaitement identique, résu
ion, on peut donc entendre beaucoup plus ou beaucoup moins, selon les
cas
. Le plus souvent la question est insoluble au poi
ins ancienne peuvent aussi bien avoir convergé que divergé, selon les
cas
, et toujours en vertu des mêmes lois d’hérédité,
la formation récente d’un isthme devraient donc être, en beaucoup de
cas
, supposés sans preuves, et même ne suffiraient pa
t eu autrefois des congénères vivants dans les plaines. C’est dans le
cas
de telles migrations qu’il doit souvent y avoir e
e l’a observé M. Alph. de Candolle, l’altitude peut avoir en certains
cas
compensé la latitude pour rétablir l’identité des
d’où l’élan était venu ? Ce n’est pas par l’intelligence, ou en tout
cas
avec l’intelligence seule, qu’il pourrait le fair
a bien des raisons, cependant, pour parler de religion dans les deux
cas
. D’abord le mysticisme — car c’est à lui que nous
s’appeler de la même manière. Le contraste est frappant dans bien des
cas
, par exemple quand des nations en guerre affirmen
message qu’il transmet. Il y a pourtant une différence entre les deux
cas
, et, si l’on en tient compte, on verra s’atténuer
e statique et le dynamique, et justifié l’emploi du même mot dans des
cas
aussi différents. C’est bien à une religion qu’on
trouve jamais son application, si elle s’applique alors à tel ou tel
cas
déterminé. En ce qui concerne Plotin, la réponse
bond hors de la nature, et nous considérons d’abord le bond dans des
cas
où l’élan fut insuffisant ou contrarié. A cet éla
propagation du christianisme. Il y a des exceptions cependant, et le
cas
de Jeanne d’Arc suffirait à montrer que la forme
oncentration de l’âme dans l’attente d’une transformation. Ce dernier
cas
est celui du mysticisme, mais il peut participer
arlé, et qui est peut-être ce qu’il y a de plus significatif, en tout
cas
de plus instructif, dans le mysticisme chrétien.
qui a besoin d’une activité plus basse, devra la susciter ou en tout
cas
la laisser faire, quitte à se défendre s’il en es
nc entendu que vous nous parlez d’autre chose. Tel est précisément le
cas
, en général, quand la philosophie parle de Dieu.
ce et de la volonté ; beaucoup d’hommes de génie ont été dans le même
cas
. Mais il y a une autre série d’objections, dont i
aisait écho ». La plupart d’entre nous sont probablement dans le même
cas
. Il ne sert à rien de leur opposer les protestati
ier de mystique à mystique, mais ils se ressemblent beaucoup. En tout
cas
la route parcourue est la même, à supposer que le
upposer que les stations la jalonnent différemment. Et c’est, en tout
cas
, le même point d’aboutissement. Dans les descript
apparue en effet comme infra-consciente ou supra-consciente, en tout
cas
de même espèce que la conscience. Elle avait dû c
ion doit à la tradition, à la théologie, aux Églises. Dans le premier
cas
, il resterait nécessairement à l’écart de la phil
ublime amour qui est pour le mystique l’essence même de Dieu. En tout
cas
le philosophe devra penser à elle quand il presse
es de sentiment distinctes, deux parfums différents, et dans les deux
cas
l’amour sera qualifié par son essence, non par so
é réalisés alors d’un seul coup, et pleinement. Sur la terre, en tout
cas
, l’espèce qui est la raison d’être de toutes les
s pas que le rapport du complexe au simple soit le même dans les deux
cas
. Nous avons seulement voulu montrer par ce rappro
es elle a pu se trouver en contact, on peut être en présence de trois
cas
bien distincts : ou la littérature donnée a passé
leur action ; ou encore elle leur a fait sentir la sienne. Le premier
cas
n’est pas rare. Il est parfois d’une netteté qui
s ce n’est pas à dire que l’imitation n’ait rien à voir dans d’autres
cas
de rapprochement entre deux littératures. Elle en
un médiocre succès dans sa patrie, a brillamment réussi au dehors. Le
cas
s’est présenté pour la Semaine de Guillaume du Ba
ure ne sont pas purement littéraires. Elles peuvent être, suivant les
cas
, religieuses, politiques, morales, scientifiques,
le courage et la confiance des battus de la veille. Ce qui peut en
cas
pareil consoler les plus désireux de voir leur pa
ent alors d’une vie posthume, qui sont admirées ou détestées, en tout
cas
discutées et par cela même présentes aux souvenir
et à revivre toute son existence en quelques années. Jamais, en tout
cas
, elle n’a eu littérature plus composite ; jamais
oins heureux. Mais qu’elle aille du petit au grand, ou, ce qui est le
cas
le plus ordinaire, du grand au petit, cette assim
sinon la géographie, veut qu’il en soit ainsi. Ce qui augmente en ce
cas
la durée du trajet, c’est la répugnance dédaigneu
et les exigences de la famille et de la race. La vie sociale, en ces
cas
, s’impose sans trouble apparent, sans interventio
araît à peu près faite chez l’animal. Elle le paraît surtout dans les
cas
limites, où les individus, encore plus étroitemen
tres, voient diminuer ou se perdre leur existence distincte, dans des
cas
comme celui du tænia par exemple. C’est ici le tr
sitations, des luttes, un sentiment naissant du devoir, et, selon les
cas
, des remords. Je me rappelle une chienne qui m’ac
obligations distinctes, de tendances opposées était assez visible. Le
cas
du chien est vraiment significatif. § 3 M
nous déterminer à l’action. Qui me ferait agir — hors, peut-être, les
cas
de violence mécanique — si ce n’est moi-même, mes
et sans que nous le sachions. Et le dévouement de l’homme, en un tel
cas
, est pareil à celui dont l’oiseau protège ses pet
, une race entière, en un mot : les autres. Mais ce n’est point là le
cas
universel. Si les instincts qui nous adaptent au
veut en apprécier la valeur, les choisir et les imposer. En dehors de
cas
exceptionnels, l’homme n’est guère porté au sacri
e nos événements présents, apparaissent comme internes. — La série de
cas
événements apparaît comme une chaîne. — Mécanisme
susceptible d’erreur. — Diverses classes d’erreurs au sujet du moi. —
Cas
où des événements étrangers sont introduits dans
esprits incultes. — En rêve. — Chez les fous. — Dans l’hypnotisme. —
Cas
où des événements qui appartiennent au moi sont a
Passage de l’hallucination psychique à l’hallucination sensorielle. —
Cas
où la série totale de nos événements passés, prés
n et projection du second terme dans l’avenir. — Dans la majorité des
cas
, notre prévision concorde avec l’événement prévu.
lètement la faculté de voir. — Il en est de même dans tous les autres
cas
, que l’on considère une faculté commune à tous le
et il se souvient à faux de meurtres qu’il n’a point faits. D’autres
cas
présentent l’illusion inverse. Cette fois, nous n
otre conduite ; ce sont les hallucinations dites psychiques ; dans ce
cas
, le malade aliène et rapporte à autrui des pensée
rdes, graves ou aiguës, mélodieuses ou criardes. J’ai déjà raconté le
cas
de Théophile Gautier et comment, un jour qu’il pa
notone, mais une suite de discours menaçants et appropriés ; c’est le
cas
de Luther à la Wartbourg, lorsqu’il discutait ave
e, une douleur semblable à celle que nous aurions ressentie en pareil
cas
. — Grâce à ces suggestions et à ces vérifications
question à mon voisin, et je prévois qu’il me répondra. Dans tous ces
cas
, deux anneaux successifs du passé, tout en gardan
, il disparaît entièrement. — Il y a donc une quantité prodigieuse de
cas
où l’événement justifie la prévision, et, dans to
gieuse de cas où l’événement justifie la prévision, et, dans tous ces
cas
, le couple que forment nos pensées est la contre-
ais il remarque qu’elle est en lui. Non seulement il la subit dans le
cas
présent, mais il constate qu’elle vaut pour tous
ubit dans le cas présent, mais il constate qu’elle vaut pour tous les
cas
présents, passés et futurs. Au moyen de signes, i
formule, il considère leur couple en soi, exclusion faite de tous les
cas
particuliers où ils se rencontrent. Soumis à cett
gir alors sans avoir surgi pendant tout cet intervalle. — Exemples. —
Cas
singuliers et maladifs d’images qui semblaient ef
e énorme des sensations qui perdent ainsi leur aptitude à renaître. —
Cas
où deux tendances se neutralisent. — La répétitio
niques tranchés et périodiquement successifs dans le même individu. —
Cas
d’une dame américaine. — Deux vies et deux états
ime à l’instant cette prolongation et cet écho. Mais dans beaucoup de
cas
, surtout si la sensation a été saillante et impor
métriques, n’avait pas entendu la prise de Syracuse. Tel est aussi le
cas
fréquent et bien constaté de soldats qui, dans la
ou noirci, la bande du ciel au-dessus ; bleuâtre et vaporeuse dans un
cas
, charbonneuse et ternie dans un autre, tantôt d’u
nt il a rencontré seulement un ou deux échantillons ; dans le premier
cas
, l’image est vague, et tous ses alentours ont dis
ives, comme un nerf paralytique soudainement électrisé. On en a vu un
cas
chez cette jeune fille ignorante qui, dans son dé
e qu’elle révéla à sa mère l’outrage commis sur elle. » Dans ces deux
cas
, la veille ne rappelait que la veille ; l’état so
ires, se rencontrent dans la vie courante65. « M. Combes mentionne le
cas
d’un Irlandais, porteur commissionnaire d’une mai
ne simple vue de l’esprit. — Mais dans les animaux elle rencontre des
cas
où elle s’applique avec exactitude ; tel est celu
. 215. — Dr Azam, De l’amnésie périodique ou doublement de la vie. Le
cas
de Felida X. est analogue, quoique moins tranché.
te, parfois plus lente que la parole extérieure ordinaire, et sauf le
cas
exceptionnel de l’inspiration (dont la verve est
bres différents, étrangers à nos facultés productrices. Dans un autre
cas
pourtant, qui est relatif à la parole, la faculté
autre état, et affirmé à titre d’hypothèse légitime ; mais est-ce le
cas
ici ? Il me semble que, tout au contraire, les lo
elle la condition qui peut servir à les expliquer. Si, dans certains
cas
, l’image sonore est accompagnée d’une image tacti
age tactile discernable à l’observation psychologique, ce sont là des
cas
exceptionnels qui confirment par opposition la rè
opposition la règle générale ; j’accorde volontiers qu’il y a de tels
cas
: ainsi l’image tactile accompagne visiblement l’
ge tactile est d’une extrême faiblesse ; elle n’apparaît que dans des
cas
exceptionnels, et, même alors, il faut que la vol
serait : ceci ou cela n’est pas moi ou n’est pas mien. Mais, sauf des
cas
exceptionnels, nous ne l’exprimons pas, même en p
rieur, notre jugement a dû être motivé par d’autres signes. En pareil
cas
, mon esprit ne va pas de la spatialité au non-moi
atière de sons et de paroles. Quant au jugement de localisation, deux
cas
sont à considérer séparément : 1° Quand il est si
e à la perception externe, c’est que le son a été perçu isolé ; en ce
cas
, nous suivons une habitude : d’ordinaire, il n’y
autrui nous est invisible et que le nôtre ne nous est révélé, sauf le
cas
de maladie, par aucune sensation tactile : nous l
es deux erreurs, la première est très fréquente, et ce qui, en pareil
cas
, séduit l’esprit à juger à faux, c’est évidemment
pour des voix réelles les fantômes de notre imagination malade. En ce
cas
, au nom de quoi se fait la rectification ? 1° La
ins provisoirement, la perception externe. IX. La reconnaissance ;
cas
où la parole intérieure est reconnue. Nous avo
un état faible (reconnaître une image visuelle). Enfin, dans certains
cas
, l’esprit s’abstient de toute thèse à l’égard de
moi-même, en mon état actuel. Ni la durée ni le moi ne sont en pareil
cas
explicitement affirmés ; mais, lorsque la durée e
tention ; on dit : « je vois », quand on regarde ; mais je, en pareil
cas
, désigne plutôt l’attention que l’esprit porte au
ns l’esprit un moment auparavant et qui nous avait fui. Mais alors le
cas
est tout autre : ces paroles, ces phrases, ces mo
ve. Ainsi la reconnaissance accompagne la parole intérieure dans deux
cas
seulement, quand nous sommes en train d’enrichir
intérieure, plusieurs ne l’ont aperçue que dans le principal des deux
cas
exceptionnels où nous la reconnaissons : elle n’e
us ou moins directs de certaines idées, mais c’est aussi qu’en pareil
cas
elles suscitent des paroles intérieures, c’est qu
ale à l’esprit ni la présence de la parole extérieure dans le premier
cas
, ni celle de la parole intérieure dans le second.
vantageux Comme ce devient difficile au Français, perplexe en son
cas
, de juger les choses à l’étranger ! Un tel vague,
comme le concept de Cloîtres. Répugnance chez la démocratie : dans le
cas
, nous abolissons, nions, jetons bas. J’insiste su
és à la filiation directe ou par le sang. Il y a, au surplus, dans le
cas
littéraire, la particularité que l’auteur illustr
t tout, convenait de poser le principe ; mais je sais que, dans maint
cas
, l’évidence se fait aussi de la certitude d’un fo
nuscrits. L’usage n’est pas si étranger à l’Académie, dans le premier
cas
, du moins, que cette assemblée ne semble désignée
oyauté de chacun, d’où naît le goût des patries : lequel en le double
cas
, hésitera, avec délice, devant une rivalité d’arc
euse. J’apporte en effet des nouvelles. Les plus surprenantes. Même
cas
ne se vit encore. — On a touché au vers. Les gouv
tres, n’étant que le partage, voulu, pour sa rencontre ultérieure, du
cas
premier : l’une évocatoire de prestiges situés à
votre piano ; ou encore me vîtes-vous, peut-être, incompétent sur le
cas
de volumes, romans, feuilletés par vos loisirs. À
i laisse, certes, après lui, comme un innombrable déchet, ses frères,
cas
étiquetés par la médecine ou les bulletins d’un s
isible de terminer, avec impénitence ; gardant un étonnement que leur
cas
, à tels poëtes, ait été considéré, seulement, sou
Dans la description qui précède, nous avons négligé à dessein les
cas
où la parole intérieure se rapproche des caractèr
intonations et plus lente ; elle est pourtant moins lente que dans le
cas
précédent ; elle prend l’allure exacte de la paro
a proportion de ces deux phénomènes est très variable ; dans certains
cas
extrêmes, chacun d’eux peut être à peu près seul
ure en même temps que des facultés esthétiques de l’esprit. Selon les
cas
, la parole intérieure devenue vive simule ou ma p
ujet poétique est d’ordre abstrait et général ; c’est dans ce dernier
cas
surtout qu’il y a lieu d’attribuer l’inspiration
nde personne qu’à la première : tu dois, au lieu de je dois ; dans le
cas
de reproche, elle emploie quelquefois le vous au
elle bien plus de fréquence et d’intensité que chez Socrate. Ces deux
cas
célèbres ne doivent donc pas être comptés parmi l
ate. Ces deux cas célèbres ne doivent donc pas être comptés parmi les
cas
morbides ; ce sont des cas extraordinaires, anorm
ne doivent donc pas être comptés parmi les cas morbides ; ce sont des
cas
extraordinaires, anormaux, rien de plus172. D’ail
anne d’Arc Grâce aux documents authentiques du procès de Rouen, le
cas
de Jeanne d’Arc est mieux connu que celui de Socr
res et défenses, quand le devoir est clair, simple permission dans le
cas
contraire, sentiment dramatisé du démérite, aucun
peu cette partie, la plus aventureuse, des révélations ; mais, si le
cas
de Jeanne d’Arc se rapproche par là des phénomène
il défend et permet successivement, dans une même question, selon les
cas
qui se présentent ; il est clair qu’alors il perm
ains en raison inverse du développement intellectuel. Il n’y a pas de
cas
de conscience pour les âmes simples ; au contrair
pour des esprits fins et instruits, la vie ne présente guère que des
cas
de conscience ; rarement la loi morale prononce d
ssion d’un impératif rationnel et catégorique. Dans les deux premiers
cas
, elle exprime ou elle imite les formes inférieure
e, soit passionnée, est incontestablement sous-entendue dans certains
cas
; pour d’autres, la chose est douteuse ; enfin, i
, tantôt un sentiment subit intérieurement inexprimé ; dans le second
cas
, le mot voix était une image. Ce mot n’est pas au
ire, il préparait ses mots fins, ses phrases à la Talleyrand230. » Le
cas
le plus fréquent de la parole intérieure vive nou
Cette disposition est rarement un défaut ; le sens commun fait grand
cas
de la présence d’esprit. Mais cette heureuse habi
e pas, sachant qu’on sait qui elle est et qu’on lui pardonnera. En ce
cas
, le phénomène pourrait être défini un aboiement c
rouvrir les livres qui nous ont ravis dans notre jeunesse. En pareil
cas
, on se console naïvement en disant que l’œuvre a
étué le souvenir dans la postérité. L’effet représentatif est dans ce
cas
sans influence sur le jugement que nous portons d
apprenons à les connaître et que nous les jugeons. C’est bien dans ce
cas
l’esprit seul qui en goûte la poésie, sans que no
elles comme leurs effets représentatifs. Mais, dans la généralité des
cas
, le plaisir que l’on cherche à procurer au specta
nser. En effet, c’est là le cours perpétuel de la vie ; mais, dans ce
cas
, les impressions auditives, optiques et intellect
auxquels ne se laissent jamais entraîner les véritables artistes. Le
cas
de la poésie est plus complexe, parce que rien ne
en jeu. L’attention est détournée de son objet principal, et, dans ce
cas
, le plaisir que nous goûtons, véritable plaisir d
sur une pièce n’est qu’un entrepreneur de spectacles. En dehors de ce
cas
, il est clair que l’intérêt même de l’exploitatio
is si beaucoup de directeurs remplissent ces deux conditions. En tout
cas
, ce qu’on voit fréquemment, ce sont des pièces, q
ensiblement, il faut reconnaître que la résolution à prendre dans ces
cas
-là, de la part du directeur, est souvent aussi dé
il du spectateur la nécessité d’une coordination impossible. Dans les
cas
où cette conjonction de perspectives se produit,
ait peut-être paru inutile ou contraire à la logique, et qui, en tout
cas
, à un moment inopportun, aurait compliqué l’actio
lle, la vue du couteau déterminera la même émotion, qui dans les deux
cas
sera identique, en qualité sinon en quantité. Con
peint la valeur de l’objet réel. Il est à peine besoin de signaler le
cas
où un objet figurant réellement doit avoir un pen
isir plus ou moins fortement imprégné de sensualisme. Dans le premier
cas
, nous serons moins exposés à subir l’influence de
la vie réelle, la contingence inévitable des choses. Dans le premier
cas
, le monde intérieur de l’âme nous enveloppe en qu
ut au moins fallu le récit classique que justifie donc, dans certains
cas
, le procédé du maître moderne. La mise en scène d
ions d’opéra. Chapitre XVI Des pièces où domine le sentiment. —
Cas
où les causes de l’émotion sont subjectives. — Le
es causes de l’émotion sont subjectives. — Le Mariage de Victorine. —
Cas
où les causes de l’émotion sont objectives. — L’A
rtent d’une idée, qui n’est assurément pas fausse, et qui est en tout
cas
féconde : c’est que l’expression de nos passions
à cette extension ; si, en d’autres termes, il n’y a pas, dans chaque
cas
, un maximum de mise en scène qu’il n’est pas perm
tudier les jeux de physionomie d’un acteur. En dehors de ces quelques
cas
, je considère la lorgnette comme essentiellement
éanmoins, il ne serait pas juste de dire simplement que dans ces deux
cas
la difficulté est multipliée par la distance ou p
que insurmontables. Ce qu’on appelle la couleur locale serait dans ce
cas
-là beaucoup plus nuisible qu’utile, car elle sera
n de la connaissance que nous possédons du milieu représenté. En tout
cas
, il faut avoir le courage de répudier toute manif
ut de représenter telle ou telle époque passée. Ce sont donc, dans ce
cas
, ces types généraux et invariablement fixés dont
le que nous avons cité du Misanthrope, qu’il y a place, même dans ces
cas
-là, pour des écarts considérables. La difficulté
justement agitée récemment à propos de la reprise d’Antony. C’est le
cas
de remarquer combien il est heureux que toute mis
es communs et fournir les traits généraux du type à réaliser. En tout
cas
, ce dont il fallait bien se pénétrer, c’est que l
les effets attendus se manifestent dans toute leur intégrité. Dans ce
cas
, assez fréquent d’ailleurs dans une troupe d’élit
bien entendu que des rôles importants, et je ne tiens pas compte des
cas
fortuits ou de force majeure. Mais je me hâte d’a
tragédie grecque et même à une tragédie romaine. Mais je fais peu de
cas
d’une exactitude archéologique qui n’est pas véri
vers son image, si celle-ci figure dans la décoration. Il n’y a qu’un
cas
où l’auteur peut tourner le dos à celui qu’il évo
rition qui est entièrement subjective pour le personnage. Mais chaque
cas
doit d’ailleurs être étudié en lui-même. Je ne fe
e s’il se commet quelques fautes de goût ce n’est jamais que dans des
cas
isolés. Ce ne sont donc pas les costumes en eux-m
uel nous ne les connaissons pour ainsi dire jamais et sous lequel, le
cas
échéant, nous ne les reconnaîtrions pas. Chez tou
toile tombe sur ce tableau qui est ainsi très bien pondéré. Dans ces
cas
de dualité, il y a quelques précautions à prendre
’un bosquet, une table, un canapé, un autel, etc. Toutefois, dans ces
cas
-là, il faut user d’artifice autant que possible d
le comprendra, qu’effleurer un sujet très complexe dans lequel chaque
cas
demanderait à être étudié en lui-même, ce qui ser
ve en contradiction avec la valeur relative des personnages : dans ce
cas
, l’effet sur lequel on comptait ne se produit pas
ection aux sentiments moraux et aux passions qui les agitent. Dans ce
cas
, il faut obtenir de la figuration une grande sobr
scène demande plus de soins encore et plus de science ; car, dans ce
cas
, c’est le chœur lui-même qui devient le personnag
ession de cinq actes n’est qu’une phraséologie de convention. Dans ce
cas
, il faudrait mieux indiquer simplement le nombre
es dispositions imaginées par le poète. C’est par conséquent, dans ce
cas
, la mise en scène qui est responsable de ce senti
speare, et à laquelle il est assez raisonnable de nous tenir. En tout
cas
, il ne peut y avoir plusieurs manières également
récisément pour cause l’observation exacte de la nature dans certains
cas
particuliers ; et la faute a consisté dans la sub
de vue, d’ailleurs, on peut dire qu’au théâtre, en dehors de certains
cas
particuliers, comme par exemple dans l’expression
dépasse de beaucoup la portée absolue. Le mot de convention, dans ces
cas
-là, ne me paraît cependant juste que si on lui do
leur relativement à la conclusion morale. On se sert souvent, dans ce
cas
, du mot assez curieux de conversation criminelle,
ls ou tels actes plus ou moins caractéristiques ; mais ce sont là des
cas
particuliers et des circonstances accidentelles q
léchir que de tout dire. Il est juste d’ajouter que, dans beaucoup de
cas
, la dignité personnelle du comédien doit entrer e
e où se meut une règle est un signe certain d’empirisme ; et, dans ce
cas
, la règle prend le nom de procédé. Les procédés,
efois, au contraire, elle jaillit du cerveau sans effort, et, dans ce
cas
, l’artiste se sent dès le premier jour absolument
iques. Sans doute le physique n’est pas sans importance, mais en tout
cas
il ne peut s’agir que du physique tel qu’il est m
ère et lui permettra de s’affirmer au grand jour de la rampe. Dans ce
cas
, même après un début malheureux, un directeur avi
u’on remonte dans le passé. Plus les types sont généraux, et c’est le
cas
de la tragédie et de l’ancienne comédie, plus les
le reste s’y ajoute naturellement et multiplie ou affaiblit, en tout
cas
modifie profondément l’effet produit par la haute
’épanouissent et meurent suivant des lois inéluctables. C’est dans ce
cas
l’ignorant qui est l’instrument inconscient de la
le dénouement tragique. Mais on peut à peine dire que dans ce dernier
cas
il s’agisse d’une intervention musicale, car cell
e d’une intervention musicale, car celle-ci est réduite à un son. Les
cas
précédents sont beaucoup plus nombreux au théâtre
Les exemples que l’on pourrait citer sont innombrables. Dans tous les
cas
, la musique n’a pas d’influence directe sur le sp
aître en nous. Et cela se conçoit, puisque l’intérêt n’est pas, en ce
cas
, dans le personnage qui chante, mais dans le pers
r la décision humaine et partant sur l’évolution du drame. Et dans ce
cas
la mise en scène s’élevait au rôle d’une puissanc
ndant l’intervention des forces mystérieuses de la nature est dans ce
cas
tout à fait remarquable, en ce que l’illusion thé
oit la raison d’ailleurs, nous sommes amenés à constater que, dans ce
cas
, l’évolution du drame est due à une cause naturel
ensible que le poète a remonté de l’idée au phénomène, comme c’est le
cas
dans l’exemple précédent, il ne faut pas présente
becca n’a aucune raison de se représenter à la mémoire de Sichel. Les
cas
où une mise en scène réaliste s’imposera ne sont
psychologique qu’on aura eu la prétention d’exercer sur lui. Dans ce
cas
, c’est tout simplement un art d’ordre inférieur q
ément E indiscernable de l’un des éléments de la coupure. Dans le 1er
cas
, nous pouvons aller de A à B par un chemin contin
ntinu sans quitter C et sans rencontrer les coupures ; dans le second
cas
cela est impossible. Si alors pour deux éléments
x éléments quelconques A et B du continu C, c’est toujours le premier
cas
qui se présente, nous dirons que C reste d’un seu
vent pas être discernés. Il faut donc que nous sachions dans certains
cas
nous représenter tel élément et le distinguer d’u
pouvons l’affirmer, mais cette affirmation n’a aucun sens et en tout
cas
ne peut correspondre à aucune représentation. Mai
eu qui devient rouge par suite d’une réaction chimique. Dans les deux
cas
la sensation du rouge a remplacé celle du bleu ;
le second un changement d’état. Pourquoi ? Parce que dans le premier
cas
, il me suffit de tourner autour de la sphère pour
sphères ont subi le même déplacement ? Évidemment, parce que, dans un
cas
comme dans l’autre, je puis rétablir la sensation
ux objets ont subi le même déplacement. Pourquoi ? parce que, dans un
cas
comme dans l’autre, j’aurai pu rétablir la sensat
s toujours accompagnée d’une même sensation d’accommodation ? Dans ce
cas
deux sensations affectant le même point de la rét
aptitude médiocre aux notions et aux sciences abstraites. C’est là le
cas
des réalistes coloristes. Ces dispositions sensue
certaines formes verbales, en un certain style de peinture. C’est le
cas
, par exemple, des romantiques en France, des pein
sont exprimées dans son œuvre comme dans un monologue. Dans les deux
cas
, ces émotions sont celles-là mêmes qu’il importe
, qui appartiennent à ce genre sont autobiographiques ; dans les deux
cas
on peut conclure directement à l’existence perman
e coloriste, de la musique polyphonique. Ces indications sur certains
cas
particuliers doivent suffire. Il en est d’autres
u’il sera toujours facile de distinguer. On résoudra de même d’autres
cas
. De ceux que nous avons mentionnés, il ressort qu
la psychologie générale et causer les manifestations particulières du
cas
étudié. La réponse à ce problème donnera, avec un
des hypothèses extrêmement probables qu’elle vérifie ensuite sur des
cas
provoqués par la maladie ou l’expérimentation. Or
rès loin d’être une dégradation ou de marquer une déchéance. En tout
cas
, lorsqu’on lit une tragédie ou une comédie, il fa
soit quand elle dit : « Mon mal vient de plus loin ». Dans le premier
cas
, au moment où la confidence commence, il est natu
que cette personne est debout, elle se lève elle-même. Dans le second
cas
, même raison avec cette particularité qu’Œnone ay
parler à Œnone confidentiellement et de très près. Dans le troisième
cas
, la confidence est faite par ce mot même : « C’es
nsi. Ici, je crois qu’il y a jeu de scène. Voyez de la sorte. En tout
cas
, voyez ; habituez-vous à voir. Une des choses qui
démarche de Tartuffe dans le style d’Orgon : Ce fut pour un motif de
cas
de conscience : J’allais droit à mon traître en f
der De lui donner plutôt la cassette à garder, Afin que pour nier, en
cas
de quelque enquête, J’eusse d’un faux-fuyant la f
e et le vieil Horace ne soient le coeur même de Corneille. Il y a des
cas
plus complexes. L’accent est aussi fort, en vérit
bien réellement nécessaires ; non-seulement nous n’apercevons pas de
cas
où ils soient faux, mais nous apercevons très-net
s où ils soient faux, mais nous apercevons très-nettement qu’en aucun
cas
ils ne peuvent être faux. Ces objets sont bien ré
la conscience et les sens. Autre point de vue : additionnez tous les
cas
où par les sens et la conscience vous avez remarq
tre vie a commencé ; donc vous n’avez remarqué qu’un nombre limité de
cas
; donc le total de votre addition ne comprendra q
donc le total de votre addition ne comprendra qu’un nombre limité de
cas
. Mais l’axiome : toute qualité suppose une substa
e : toute qualité suppose une substance, s’applique à la totalité des
cas
, non-seulement à tous ceux que vous avez remarqué
sujet, et on l’en extrait par analyse. Kant avait cru qu’en certains
cas
il n’en est pas ainsi. Hégel a prouvé que les exc
donne 3. Ce troisième 1 a la même nature que les autres. De ces trois
cas
, je dégage par abstraction la conception de l’uni
du monde très éloignés les uns des autres, sans nul doute il y a des
cas
nombreux présentant des difficultés qui ne saurai
la fourrure des quadrupèdes. Mais, d’après ma manière de voir, pareil
cas
ne présente aucune difficulté, car une graine à c
fficile de répondre à cette question. Les mammifères offrent un autre
cas
semblable. J’ai compulsé avec soin les plus ancie
ier présente bien sous ce rapport quelques anomalies ; et en quelques
cas
il est très difficile de décider si la naturalisa
e par des bras de mers peu profonds sont ; plus que d’autres, dans le
cas
d’avoir été récemment unies au continent, le rapp
té autrefois comme lieu de relâche164. Je citerai seulement un de ces
cas
difficiles. Presque toutes les îles océaniques, m
rve dans les îles Galapagos, et à un moindre degré en quelques autres
cas
analogues, c’est que les nouvelles espèces formée
des formes très distinctes, et qui appartiennent, même en beaucoup de
cas
, à des genres jusque-là complétement inconnus dan
s ne se soient pas répandues de l’une à l’autre. En beaucoup d’autres
cas
, et même entre les divers districts d’un même con
de l’ancêtre commun à une époque très reculée ; de sorte qu’en pareil
cas
il s’est écoulé un temps suffisant pour que de gr
bles, bien qu’elles soient souvent très grandes, j’en conviens, en ce
cas
comme dans celui de la dispersion des individus d
angent généralement moins que les supérieurs, mais en l’un et l’autre
cas
il y a des exceptions marquantes à la règle. Or,
e de leurs migrations en des contrées distantes, dans l’un et l’autre
cas
tous les êtres de la même classe ont été rattaché
autre dans le temps et dans l’espace, parce que, dans l’un et l’autre
cas
, les lois de variation ont été les mêmes, et que
ire de l’Amérique par l’Australie à l’Afrique. Car, en effet, dans ce
cas
les formes glaciaires auront suivi le climat pola
bien admettre que la théorie de sélection naturelle présente quelque
cas
d’une difficulté toute spéciale, tels que l’exist
ndre aussi à ce qu’elle la produise. La stérilité des hybrides est un
cas
très différent de la stérilité des premiers crois
s devons nous rappeler que nous ne pouvons nous attendre, sauf en des
cas
très rares, à découvrir les liens qui les unissen
gle générale, à la trouver encore en action : or, tel est en effet le
cas
, si les variétés ne sont que des espèces à l’état
la vie d’un Pingouin ou d’un Grèbe, et ainsi de suite en mille autres
cas
. Mais si chaque espèce s’efforce constamment de c
umon se nourrisse du corps vivant de la Chenille, et de tant d’autres
cas
semblables. La merveille est, au contraire, d’apr
erné la production des formes dites spécifiques. Dans l’un et l’autre
cas
, les conditions physiques semblent n’avoir produi
ditairement transmise pendant une très longue période ; car en pareil
cas
elle sera devenue permanente par suite d’une séle
t leur succession géologique dans le temps, car, dans l’un et l’autre
cas
, les êtres sont demeurés liés par le fil d’une gé
ont produites. Ils admettent la variabilité comme vera causa dans un
cas
, ils la rejettent arbitrairement dans un autre, s
nt dans un autre, sans établir aucune distinction fixe entre les deux
cas
. Le jour viendra où l’on citera cet exemple de l’
ncêtre éloigné les a possédés à l’état parfait ; et souvent un pareil
cas
implique une somme énorme de modification chez sa
omme il en serait par exemple de la Primevère et du Coucou ; et en ce
cas
le langage scientifique se mettrait d’accord avec
atérales par suite de réversions à d’anciens caractères perdus. En ce
cas
, la réversion ne pourrait encore provenir que de
nisation étaient déjà produits et fixés. Dans l’un comme dans l’autre
cas
, il est donc beaucoup plus probable que la variab
volution n’est pas seulement un mouvement en avant ; dans beaucoup de
cas
on observe un piétinement sur place, et plus souv
définition statique qui tranche automatiquement, dans n’importe quel
cas
, la question de savoir si l’on a affaire à une pl
igérer est une faculté qui a dû surgir chez eux sur le tard, dans des
cas
tout à fait exceptionnels, là où le sol, trop pau
nisme, et ne s’étendent presque jamais à l’organisme entier. Dans les
cas
exceptionnels où une vague spontanéité s’y manife
l, la balance est manifestement rompue en faveur de la fixité dans un
cas
et de la mobilité dans l’autre. Ces deux tendance
cence et la presque disparition du système nerveux : comme, en pareil
cas
, le progrès de l’organisation avait localisé dans
sentants les plus élevés de la série, au lieu que, pour découvrir des
cas
probables de conscience végétale, il faut descend
et la fabrication de l’explosif et l’explosion qui l’utilise. Dans ce
cas
, le même organisme qui aurait emmagasiné directem
et aussi ceux du tissu nerveux. Il procède diversement dans les deux
cas
, mais il aboutit au même résultat. Dans le premie
êpes et de certains Pseudonévroptères. Ainsi, à ne considérer que les
cas
limites où l’on assiste au triomphe complet de l’
t de degrés, que l’instinct est plus ou moins conscient dans certains
cas
, inconscient dans d’autres. La plante, comme nous
sa chute. En est-il de même de l’inconscience de l’instinct dans les
cas
extrêmes où l’instinct est inconscient ? Quand no
eprésentation et connaissance n’en existent pas moins dans ce dernier
cas
, s’il est avéré qu’on y trouve un ensemble de mou
nnaissances, la connaissance est plutôt jouée et inconsciente dans le
cas
de l’instinct, plutôt pensée et consciente dans l
ciente dans le cas de l’instinct, plutôt pensée et consciente dans le
cas
de l’intelligence. Mais c’est là une différence d
e innée, on trouve que cette connaissance innée porte dans le premier
cas
sur des choses et dans le second sur des rapports
ion de la connaissance, l’autre sur sa compréhension. Dans le premier
cas
, la connaissance pourra être étoffée et pleine, m
vidu est rivé par sa structure à la fonction qu’il accomplit. En tout
cas
, ces sociétés reposent sur l’instinct, et par con
déterminés pour l’atteindre, nous le comprenons encore. Dans les deux
cas
nous avons affaire à du connu qui se compose avec
rce dont la cellule est animée, ou ne fait que la prolonger. Dans des
cas
extrêmes comme celui-ci, il coïncide avec le trav
ifférents, plus ou moins apparentés les uns aux autres. Dans les deux
cas
, il y a des variations multiples exécutées sur un
s ne font que l’adapter à la diversité des circonstances. Or, dans un
cas
comme dans l’autre, qu’il s’agisse des instincts
e sont deux développements divergents d’un même principe qui, dans un
cas
, reste intérieur à lui-même, dans l’autre cas s’e
e principe qui, dans un cas, reste intérieur à lui-même, dans l’autre
cas
s’extériorise et s’absorbe dans l’utilisation de
iables se produisent. Or elles ne se produiront que si, dans certains
cas
, l’addition d’un élément nouveau amène le changem
ainsi dire, le long d’une échelle. Nous pensons plutôt, dans bien des
cas
au moins, à une circonférence, des divers points
ntages accidentels accumulés et fixés par la sélection, dans tous les
cas
la science prétend résoudre complètement l’instin
3. Cope, op. cit., p. 76. 54. De même que la plante, dans certains
cas
, retrouve la faculté de se mouvoir activement qui
tte formule une foule de restrictions, tenir compte, par exemple, des
cas
de dégradation et de régression où le système ner
Elle est comique pour la même raison. Ce qu’il y a de risible dans un
cas
comme dans l’autre, c’est une certaine raideur de
ntive et la vivante flexibilité d’une personne. Il y a entre les deux
cas
cette seule différence que le premier s’est produ
erver ; ici le mauvais plaisant expérimente. Toutefois, dans les deux
cas
, c’est une circonstance extérieure qui a détermin
qu’il poursuit (inconsciemment, et même immoralement dans beaucoup de
cas
particuliers) un but utile de perfectionnement gé
immédiate de tous les effets comiques. Elle convient sans doute à des
cas
élémentaires, théoriques, parfaits, où le comique
ités ont sur les autres le triste privilège de pouvoir, dans certains
cas
, provoquer le rire. Inutile d’entrer dans le déta
si la cause du rire est la vision d’un effet mécanique dans le second
cas
, elle devait l’être déjà, mais plus subtilement,
même séculaire n’aura pas réussi à consolider leur union : tel est le
cas
du chapeau à haute forme, par exemple. Mais suppo
ste, etc., définitions qui s’appliqueraient aussi bien à une foule de
cas
où nous n’avons aucune envie de rire. La vérité n
nc que le déguisement a passé quelque chose de sa vertu comique à des
cas
où l’on ne se déguise plus, mais où l’on aurait p
juger nous apparût en même temps comme une machine à parler. En tout
cas
, nul autre harmonique ne pouvait compléter mieux
a même impression qui est transmise à notre imagination dans les deux
cas
; c’est, dans les deux cas, le même genre de comi
ransmise à notre imagination dans les deux cas ; c’est, dans les deux
cas
, le même genre de comique. Ici encore nous avons
t j’ai pu observer ce genre de comique à l’état pur, et dans les deux
cas
j’ai eu la même impression. La première fois, les
miner avec précision la nature des « visions fantasmatiques » dans le
cas
où un observateur intérieur à un système S′, ayan
Il fallait aussi, comme on le verra, établir une distinction entre le
cas
où l’observateur en S′ apercevait simultanés les
bservateur en S′ apercevait simultanés les événements A′ et B′, et le
cas
où il les note successifs. Cette distinction se f
langage. Même, on la dégagerait sous une forme plus précise, en tout
cas
plus imagée, de la conception courante du temps q
espèces dont ce milieu à quatre dimensions aura été le genre. En tout
cas
, espèce et genre auront sans doute le même degré
décrira dans l’Espace à trois dimensions une courbe qui sera, dans le
cas
actuel, de forme hélicoïdale. Il est aisé de voir
ment dit a été éliminé. C’est que la science n’en a que faire dans le
cas
actuel. Quel est son objet ? Simplement de savoir
ot au lieu de l’épeler lettre par lettre. C’est ce qui arrive dans le
cas
de notre cercle et de notre hélice qui se corresp
s que vous vous exprimiez d’une manière ou de l’autre : dans les deux
cas
il y a un plan P — c’est l’Espace —, et un déplac
elui-ci d’une dimension additionnelle. Nous nous sommes placé dans le
cas
le plus général ; nous n’avons pas encore envisag
ps à l’Espace dans la théorie de la Relativité. Prenons maintenant le
cas
plus général où les événements A′ et B′ se passen
t c’est tout naturel, puisqu’il s’agit de la même chose dans les deux
cas
. L’invariance de équation résulte immédiatement
sse d’être calme ; mais, d’une part, il suffit de considérer quelques
cas
bien nets pour apercevoir les caractères distinct
sans but. Si ces expressions peuvent convenir dans un grand nombre de
cas
à la forme vive, elles ne sauraient, la plupart d
n est pour quelque chose dans la vivacité du phénomène, ce qui est le
cas
le plus fréquent, l’apparence extérieure est natu
orité réelle aurait sa raison d’être. Mais le fait même que, dans les
cas
de passion, la parole intérieure s’anime sans rai
ion. Il est évident que la parole intérieure se rattache, suivant les
cas
, tantôt à la mémoire sensible, tantôt à l’imagina
, mais seulement quand on crée de toutes pièces un mot nouveau. En ce
cas
, l’imagination, réduite au néologisme intérieur,
; il n’y aurait donc innovation véritable dans le langage que dans le
cas
purement théorique de la création d’une voyelle o
ins nouveaux. Observons en terminant que l’imagination est, en pareil
cas
, dirigée par la pensée, dont elle ne fait qu’expr
forte raison quand elle est morbide et exceptionnelle ; or tel est le
cas
de l’hallucination. Serait-il d’un bon langage sc
l’emploierons pourtant, faute d’un meilleur, mais seulement dans les
cas
où l’équivoque sera impossible. Nous proposerions
vement défaut, ou s’ils la perdent après l’avoir acquise ; ce dernier
cas
est celui de la parole intérieure : l’attention e
pour donner la raison de certains faits, mais qui ne saurait en tout
cas
être prise pour point de départ. L’absolu n’est é
de conscience ? La chose reste à étudier ultérieurement. Mais en tout
cas
, la définition que nous venons de donner autorise
paré dans les systèmes l’affirmation de la négation ? Il y a bien des
cas
où cette division ne pourrait être faite qu’arbit
t elle peut emprunter aux autres sciences, elle ne se confond en tout
cas
avec aucune d’elles et n’en reste pas moins une s
ènes psychologiques. Le moi n’en est pas toujours cause, mais en tout
cas
il se les attribue. Si l’on se blesse, la cause d
s : de quoi se compose une inclination ? De deux mouvements : dans le
cas
d’un objet agréable 1. le moi se dirige vers l’ob
assera par diverses émotions qu’il sera facile de noter. Supposons le
cas
d’un objet agréable : suivant qu’il s’approchera
erche à l’atteindre par tous les moyens, quels qu’ils soient. Dans ce
cas
le moi tout entier est dans une seule passion. L’
nomènes absolument inconscients. Tous s’expliquent aussi bien dans le
cas
d’une conscience extrêmement faible que dans celu
sortis ? Cette réfutation s’appuie même sur des faits. Dans certains
cas
, on se souvient en réfléchissant ensuite de ce tr
t un objet. Supprimez le sujet, il ne reste rien. Or le sujet dans le
cas
présent est le moi. Supprimez-le, il n’y a plus d
e vérité : « Tout phénomène a une cause. » La contradictoire, dans ce
cas
-ci, est inconcevable. La proposition, dans ce cas
radictoire, dans ce cas-ci, est inconcevable. La proposition, dans ce
cas
, est dite nécessaire. Voilà donc un jugement prés
ne fait, dit-il, que réfléchir le monde des idées. La raison, dans ce
cas
, est impersonnelle. Ce qui donne leur caractère d
r, ce qui est constaté un certain nombre de fois est vrai de tous les
cas
analogues. La succession constatée est donc la mê
cas analogues. La succession constatée est donc la même dans tous les
cas
. Le vice de ce raisonnement consiste en ce que la
et rien ne permet à Stuart Mill de supposer une conformité entre les
cas
observés et les cas analogues non soumis encore à
Stuart Mill de supposer une conformité entre les cas observés et les
cas
analogues non soumis encore à l’observation. En r
continue à enchaîner inconsciemment ses idées. Tel est par exemple le
cas
du sommeil, du rêve. La succession n’est plus alo
mélangent au cours des autres idées. Il est certain que même dans le
cas
de la syncope les idées continuent à s’enchaîner.
ar sa rapidité à conserver les choses qui lui sont confiées ; dans ce
cas
il suffit de voir une chose pour en garder le sou
exemple, imaginent sans trop de peine les sensations du goût. En tout
cas
, elles sont toujours moins vives que les reproduc
ntermédiaire entre les deux formes extrêmes de l’imagination. Dans ce
cas
, l’imagination ne forme rien comme matière, mais
ns un ordre différent de celui où elles s’étaient produites. C’est le
cas
de la rêverie, quand elle a un certain degré d’in
quand elle a un certain degré d’intensité. C’est aussi sans doute le
cas
de la folie, où les images sont très vives et se
ssion est l’élément nécessaire de l’imagination, elle ne peut en tout
cas
être productive que par l’entendement. Examinon
ommeil, il n’y a pas anéantissement de l’âme. Il n’y a donc jamais de
cas
où l’âme dorme complètement. Suivant Jouffroy, el
a un certain engourdissement de l’âme. D’ailleurs, il n’y a jamais de
cas
où le corps soit absolument engourdi. Le sommeil
la folie ou manie absolue. Un seul point est attaqué dans le premier
cas
; tout le reste est sain. M. Lélut affirme que ce
dans le premier cas ; tout le reste est sain. M. Lélut affirme que ce
cas
est extrêmement fréquent. C’est en application de
sans presque que notre volonté ait besoin d’intervenir. Dans l’autre
cas
au contraire, l’attention est absolument volontai
prise dans le concept plus large d’homme. — C’est que dans le premier
cas
, nous comparons au point de vue du nombre, les in
us désignés par le sujet et par l’attribut, tandis que dans le second
cas
nous examinons non plus les individus, mais les c
instincts des neutres. La théorie transformiste ne peut expliquer ce
cas
. Enfin, la difficulté devant laquelle échouait la
e souvent ; elle finit par devenir indifférente ; l’habitude, dans ce
cas
, émousse la sensibilité. Ce qui est agréable à un
la volonté ne diffère pas du désir ; ensuite que dans la majorité des
cas
tout au moins, nos désirs sont réalisés. Nous all
s motifs entraînent nécessairement l’action. Mais, dit-on, il y a des
cas
où les motifs sont différents, même opposés ; c’e
il y a des cas où les motifs sont différents, même opposés ; c’est le
cas
le plus fréquent. Comment plusieurs motifs peuven
scles de ma main, à la disposition des guinées dans ma poche. Dans le
cas
idéal admis par Reid il y a une première raison q
er avec plus de sûreté le vrai du faux. Mais dira-t-on, dans bien des
cas
on se serait moins trompé en faisant moins de log
des abus de la logique, est-ce une raison pour la proscrire ? Pour un
cas
où l’on s’est trompé par excès de logique, combie
e ? Pour un cas où l’on s’est trompé par excès de logique, combien de
cas
où l’on a erré faute d’elle ! Ne nous laissons do
de là que le scepticisme ait gain de cause dans la majeure partie des
cas
; nous avons établi que le plus souvent, la vérit
plus que la vérité » ne nous tromperait-il pas ? Dans l’un et l’autre
cas
, l’esprit n’est pas adéquat aux choses. L’eau mon
généraux quand ils expriment une idée générale, particuliers dans le
cas
contraire. Dans les termes généraux, deux caractè
s hommes sont mortels » — « Nul homme n’est immortel ». Dans les deux
cas
, le mot homme est pris dans sa plus vaste extensi
arricides ; Donc, ils sont défenseurs de la liberté. Il faut dans ce
cas
que la division soit exacte et complète et que la
it exacte et complète et que la première proposition énumère tous les
cas
possibles. Une disjonction est fausse quand on a
its déterminés. 2. Ce rapport trouvé, il faudra l’étendre de tous les
cas
particuliers où il aura été constaté à l’universa
ique. 1er Moment. On constate que la cause dans un certain nombre de
cas
est la pesanteur de l’air. Il trouve ainsi une lo
eur de l’air. Il trouve ainsi une loi qui régit le phénomène dans les
cas
donnés. Le rapport de causalité cherché est déter
comitantes, des résidus. 1. Méthode de concordance. Si dans tous les
cas
observés, le phénomène dont on cherche la cause e
Dans le second moment de l’induction, on étend à l’universalité des
cas
possibles le rapport observé dans quelques cas do
d à l’universalité des cas possibles le rapport observé dans quelques
cas
donnés. Qu’est-ce qui autorise cette extension du
nts. Or, le syllogisme inductif d’Aristote n’est vrai que si tous les
cas
possibles ont été observés et sont énumérés dans
ces étant les mêmes, doit produire les mêmes effets. En effet dans ce
cas
, rien n’empêche A de produire B ; la non appariti
Or, comme toute loi est un rapport de causalité, la loi vraie dans un
cas
le sera dans tous les cas identiques. Nous trouvo
rapport de causalité, la loi vraie dans un cas le sera dans tous les
cas
identiques. Nous trouvons ici un fait nouveau qui
ait, qui consiste à conclure en général sans avoir examiné les divers
cas
particuliers. Par exemple, en voyant l’eau monter
n avait cru que la nature avait horreur du vide ; on avait négligé le
cas
où la hauteur du vide est supérieure à 32 pieds,
autre qui lui ressemble, on constate qu’elle est encore vraie dans ce
cas
, et voilà une découverte faite. Mais ce que nous
èse est faite par tel savant plutôt que par tel autre ; aussi dans le
cas
même de l’hypothèse tirée d’une analogie y a-t-il
econde, active. Ce n’est pas suffisant, c’est même faux dans quelques
cas
. Un astronome, promenant au hasard son télescope
les lois humaines dont il se propose de déduire les applications aux
cas
particuliers de la vie humaine est une science to
es. Quelles sont donc les garanties à prendre contre l’erreur dans le
cas
d’un fait rapporté par témoignage ? Pour cela il
faits rapportés. D’abord, pour ce qui concerne le témoin, il y a deux
cas
à distinguer : 1. Le témoin est unique. 2. Il y
témoin est unique. 2. Il y a plusieurs témoins. 1. Dans le premier
cas
il faut nous assurer : (a) qu’autrui ne se trompe
eu de l’intérêt, si elles en ont eu les moyens. Si oui, on revient au
cas
d’un témoin unique ; sinon, nous pouvons croire l
ut croire aux faits sur témoignage : mais il ne suffit jamais en tout
cas
pour établir une idée, qui s’établit sur la démon
turent consciemment ou involontairement. Quelle valeur accorder en ce
cas
à ces faits et aux constructions faites sur eux ?
voyant le casque de son père. Pourtant on ne peut considérer dans ce
cas
les larmes comme un signe réfléchi ou simplement
signes penser et nous souvenir d’une chose particulière. Mais dans ce
cas
, la pensée deviendrait déjà difficile ; le souven
t peine à la comprendre. Quel service nous rend donc le signe dans le
cas
du souvenir ? Il ne nous dispense pas de penser l
ale se pose cette question d’une manière générale, sans s’occuper des
cas
particuliers où se trouvent les hommes, elle est
en soit puni pour qu’il se corrige, et qu’il soit récompensé dans le
cas
contraire pour qu’il se maintienne en bon état mo
pour lui ? Stuart Mill lui-même le reconnaît, puisqu’il considère le
cas
où plusieurs juges ne seraient pas d’accord, et n
as où plusieurs juges ne seraient pas d’accord, et nous ordonne en ce
cas
de nous en rapporter à la majorité. Mais les majo
elle de conduite, notre action est bonne ; nous avons mal agi dans le
cas
contraire. Aussi Kant formule-t-il ainsi la loi m
t de la métaphysique des mœurs). Kant applique cette formule à divers
cas
particuliers ; faut-il voler, par exemple ? Non ;
araît pas comporter de solution, nous pouvons remarquer qu’il y a des
cas
où il demande un vrai courage. Un homme qui se su
vu qu’il remplisse cette fonction, tout lui est permis : on a dans ce
cas
un gouvernement absolu, que ce soit un roi ou une
se justifie le droit d’homicide pendant la guerre défensive. Mais en
cas
de guerre offensive ? Le soldat peut encore frapp
pour condamner le duel. Il a pourtant sa raison d’être dans certains
cas
, quand le citoyen n’est pas suffisamment défendu
compte les duels seront plus rares, et n’ayant plus lieu que dans les
cas
nécessaires, ne soulèveront plus de réprobation.
igatoire de ne pas affliger autrui que d’être vérace. Tout dépend des
cas
. La vertu idéale n’est pas la franchise, comme le
it doit être le droit d’exercer un devoir. Quel est ce devoir dans le
cas
actuel ? Celui de développer notre activité et no
manifestations de la vie du corps. Presque tous nos organes, dans les
cas
pathologiques, deviennent le siège d’une percepti
nces, on sait que cette figure est logiquement possible : or, dans ce
cas
, on ne le sait pas : la perfection peut être cont
’avènement d’un être raisonnable et libre. Nous n’aurions pas dans ce
cas
l’absolu que nous cherchons ; l’existence de Dieu
cer, par une adaptation nécessaire et mécanique. Mais il est bien des
cas
où l’on ne se représente pas comment a pu avoir l
e « monoïdéisme » artificiel ; aussi peut-on soutenir que, même en ce
cas
, il y a une cause psychologique à l’hypnotisme. L
réside au mécanisme de l’inhibition et de la direction. Dans tous les
cas
, la distribution du sang est modifiée. Si l’afflu
siste, et elle fait ainsi persister l’attitude même du bras. C’est un
cas
de volonté sans choix et unilinéaire, d’appétit d
du bras et le bras sont en rapport immédiat180. Il y a d’ailleurs des
cas
où les choses se passent un peu autrement. Si le
me qui ont leur action propre dans le résultat final. « Dans certains
cas
exceptionnels et morbides, dit M. Delbœuf, ne peu
même non hypnotisées. Ces résultats, quoique frappants dans certains
cas
, ne nous semblent guère probants dans l’ensemble.
emble ici transmise comme par une sympathie à distance. Dans d’autres
cas
, c’est une vision qui est transmise. Mme Bettany
moi. » Ici, nous aurions une hallucination réciproque. Dans d’autres
cas
, il y aurait des hallucinations collectives, où l
ait en proie à quelque grande crise, et, dans le plus grand nombre de
cas
, c’était la crise suprême : la mort. Sur six cent
e cas, c’était la crise suprême : la mort. Sur six cent soixante-neuf
cas
de « télépathie spontanée et involontaire », quat
as de « télépathie spontanée et involontaire », quatre cents sont des
cas
de mort, en ce sens qu’il s’agissait d’un mal sér
, en peu d’heures ou en peu de jours, s’est, terminé par la mort. Ces
cas
sont aussi nombreux aussitôt après la mort qu’aus
ussitôt après la mort qu’aussitôt avant. Il n’y a que 47 pour 100 des
cas
où ait existé un lien de parenté entre les partie
ple similarité d’occupation mentale au moment de la vision. Dans neuf
cas
, il y eut une convention antérieure entre les par
le premier s’efforcerait de rendre sensible sa présence. Dans un des
cas
, un frère avait supplié son frère de lui apparaît
s dédoublements de la conscience. Mais parlons auparavant de certains
cas
qui se rapprochent de l’état normal et où, à notr
ystérie, de la folie, de l’hypnotisme, mais occupons-nous d’abord des
cas
moins extraordinaires. M. Dessoir, dans son livre
ui rapportait cette période de son existence à une autre qu’elle. Les
cas
de ce genre où le sujet que l’on prétend dédoublé
nnaît à la fois ses deux états, ne sont point encore, selon nous, des
cas
de dédoublement véritable. Dire : je ne suis plus
n dans une même personne entre les deux sous-personnalités. Les seuls
cas
de vrai dédoublement sont ceux où les deux person
ées de la conscience, la psychologie nouvelle doit, dans une foule de
cas
, admettre une simple alternance d’états de consci
ons, transmissibles au moins pendant quelques générations ? Et, en ce
cas
, je présume que chacune de ces déviations du type
Il s’en présenterait, qu’elles ne pourraient se perpétuer que dans le
cas
où elles seraient avantageuses à l’animal, parce
rite, et range les autres comme ses variétés. Mais il se présente des
cas
que je ne veux pas énumérer ici, où il devient ex
ence semble devoir seule faire autorité. Il faut même, en beaucoup de
cas
, décider à la pluralité des voix entre les avis o
rmes alliées apportées de contrées actuellement discontinues, en quel
cas
il ne peut guère s’attendre à trouver les liens i
nce à un autre plus élevé peut être attribuée simplement, en quelques
cas
, à l’action longtemps continuée des conditions ph
n des espèces nouvelles est extrêmement lent. Tel est certainement le
cas
, si les variétés sont des espèces naissantes ; ca
distinguer les espèces des variétés bien tranchées, et que, dans les
cas
où les liens intermédiaires entre deux formes dou
mme ; elles peuvent même exceptionnellement cohabiter en lui. En tout
cas
il y a entre elles des transitions innombrables,
genres intermédiaires », innombrables autant que légitimes, sont des
cas
particuliers ; il faut se garder de créer pour eu
xemple des médiocres. Il me serait facile de citer un grand nombre de
cas
typiques ; toutefois cette discussion nous mènera
embrasser d’un coup d’œil la ligne d’ensemble (esprit général) et le
cas
individuel, et surtout à saisir, derrière la form
me il y en a tant dans la vie où tout n’est que transition ; dans ces
cas
-là, qu’on commence par rendre courageusement à la
squisse en traits sommaires ; avec pourtant la discussion de quelques
cas
particuliers qu’il était impossible de passer sou
ue d’erreur complète ; éventualité que je ne saurais exclure. Dans ce
cas
je me consolerais avec ces mots que Gaston Paris
e I. 2. Pour préciser, je soumets aux réflexions du lecteur quelques
cas
très divers. Ce sont des œuvres qui traitent de p
cela, je vais le faire naître, et je le ferai naître en observant les
cas
particuliers où il se, produit. Regardez les dent
alors qu’il y a une force dans le corps organisé. Mais dans tous les
cas
, souvenez-vous de l’analyse. La force vitale n’es
er entouré d’air humide et la naissance de la rouille : dans tous ces
cas
, le premier fait étant donné, le second devient n
ous regarderez quelle circonstance commune fait jaillir dans tous ces
cas
distincts le mot fonction, Pour savoir ce qu’est
onarchique. » Comme il vous plaira, et grand bien nous fasse. En tout
cas
, traduisons. Cela signifie que depuis cinq cents
ui les y portaient. J’ait fait de même pour les autres. Dans tous les
cas
, j’ai recréé mon idée, en reproduisant la circons
moyen simple : nous avons ramené les noms compliqués et généraux aux
cas
particuliers et singuliers qui les suscitent ; en
inaisons de faits qu’ils signifient. Pour cela on met le mot dans les
cas
particuliers, singuliers et déterminés où il peut
d’une Muse de l’histoire d’après une gravure ou un tableau. Dans les
cas
où l’image visuelle est directement représentativ
es philosophiques, ce qui n’est pas son occupation constante. Hors ce
cas
exceptionnel, la pensée discursive existe pour el
rs à l’idée, la réveilleront plus sûrement dans les esprits ; en tout
cas
, il est incontestable qu’un signe, en même temps
t un signe, peut être une partie de l’idée qu’il exprime : tel est le
cas
des signes visibles idéographiques, et, dans le l
ombre ou en grand nombre, sont également annulées, et, dans le second
cas
, l’inexactitude est grave ; 2° s’il s’agit de qua
-tangible peut y être considéré comme négligeable266. Dans ce dernier
cas
, qui est, on le voit, le plus fréquent, la diverg
oire intermittent de leur essence permanente. Déjà, dans ces derniers
cas
, l’onomatopée tourne au symbole, à la métaphore :
u huppe, dont l’esprit n’a que faire pour le moment ; dans ce dernier
cas
, le signe est un instrument de confusion ou même
impidité par un mélange hétérogène [ch. V, § 3]. Ainsi, dans certains
cas
, rares il est vrai, le langage peut être analogiq
ception biologique et l’acception psychologique274. Dans ces derniers
cas
, comme, en français, pour les mots tête et cœur [
oupe des images-idées, qu’elle précède, suit ou accompagne, selon les
cas
. Dans nos idées primitives, simples souvenirs de
ne donne pas à l’esprit une satisfaction sans mélange. Dans bien des
cas
le signe intérieur naturel subsiste sans affaibli
cette illusion. Sans doute le signe précède le signifié dans certains
cas
; mais, d’autres fois, il l’accompagne ou le suit
t, pour maintenir la généralité des idées générales, nuisible dans le
cas
contraire ; il n’existe aucune raison de penser q
, dont les ressources sont infinies, et dont les avantages, en pareil
cas
, surpassent les inconvénients : la métaphore, en
pagnés de leurs idées. La distraction [ch. V, § 7] s’impose en pareil
cas
, la parole ou la remémoration muette étant comme
e sont pas compris, et nous les oublions à mesure292. Dans ce dernier
cas
, qui est rare, et surtout difficile à bien consta
s de la parole et de la pensée durant l’état de veille ; et, dans les
cas
de moindre distraction, il ne serait pas exact d’
suffi, pour ainsi dire, de la regarder. — Il peut arriver, en pareil
cas
, que, pour donner à l’attention le temps de chang
e du raisonnement et de l’hypothèse298. Vraisemblablement, tel est le
cas
des caractères distinctifs de nos idées les plus
nd les deux spécificités se confondent en quelque point : c’est là le
cas
des mots analogiques ; mais la plupart des mots s
idée et d’éveiller telle autre idée. Puisque la loi confirme, en tout
cas
, la nature, ne peut-elle pas, au besoin, la suppl
s la langue française son expression analogique : on dit, suivant les
cas
, le fracas, le grondement, le roulement du tonner
propre de l’hallucination [voir chap. II, § 8]) ; et, dans ce second
cas
, soit qu’elle nous reste attribuée, soit que nous
ici ex professo de la distraction, nous serions conduits à citer des
cas
où la distraction reproduit exactement l’incohére
Il peut y avoir des actes si spirituels et intellectuels, ou en tout
cas
si rapides, qu’ils ne laissent aucune trace dans
e qu’elle a voulu cacher, et que ni pour elle ni pour lui ce n’est le
cas
d’hésiter. Il ne comprend pas le conflit de devoi
st personnel, accidentel, le raisonnement vaut dès lors pour tous les
cas
particuliers, innombrables, réels et possibles, q
articuliers, innombrables, réels et possibles, qui rentreront dans le
cas
général qu’on aura examiné. Les grands esprits et
it particulier ou sur une question générale, vous pouvez chercher des
cas
dont la solution soit évidente ou connue, et qui
on soit évidente ou connue, et qui sont essentiellement identiques au
cas
proposé, des analogies ou des exemples. Ce qui es
que, mais surtout démocratique, il n’y a pas de crainte, sauf dans le
cas
où la République prend l’habitude d’obéir à un ho
par honneur, voilà un Etat qui marche bien. Mais en République, deux
cas
: aristocratie, démocratie. En aristocratie, qui
un de vos officiers subalternes, dont on dit que vous faisiez peu de
cas
et qui change toute la tactique en France ; de so
efois de la finesse et souvent des injures atroces. Ce serait bien le
cas
de faire paraître certain poème épique que vous e
sa loi lui-même, il peut ne pas exister un atome de liberté. Dans ce
cas
le peuple est libre, mais l’homme ne l’est pas. C
re de liberté et certaines lois civiles la favoriser. » Mais dans ce
cas
« le citoyen sera libre de fait et non pas de dro
de souffrir dans son sein des gens qui font vœu d’obéir dans certains
cas
à leur général plutôt qu’à leur prince On conclu
d’enseigner le grec, le latin, la géographie et les mathématiques, en
cas
qu’ils les sachent ; — parce que, s’ils contrevie
u carcan, les envoyer aux galères ou les pendre, selon l’exigence des
cas
… On veut tenir la balance entre les nations. Il f
s religieuses doit s’arrêter et dans son chapitre très médité : Seuls
cas
où l’intolérance est de droit humain (Traité de l
ous, ce qui est exactement la même chose et ce qui est, dans les deux
cas
, le despotisme ; — tout au contraire descende du
res qui ne sont pour elle que des privilégiés. Eh bien, dans les deux
cas
, le résultat est le même : suppression de la clas
lique la loi ne la fera pas. — N’est-il pas évident, en effet, que le
cas
est le même, et que, s’il la faisait, il la ferai
juge, agit, légifère, c’est une démocratie despotique. Dans les trois
cas
c’est une volonté ou une succession de velléités
ouvoirs sera créé par le peuple et créera les autres. Dans le premier
cas
la séparation des pouvoirs ne sera que fictive, e
cas la séparation des pouvoirs ne sera que fictive, et dans le second
cas
elle sera plus fictive encore. Dans le premier ca
et dans le second cas elle sera plus fictive encore. Dans le premier
cas
on pourrait s’imaginer que les trois pouvoirs éta
pports du pouvoir exécutif avec le pouvoir judiciaire. Dans le second
cas
, celui où un seul des trois pouvoirs sera créé pa
une volonté contraire ou dissemblable à la volonté générale. » En ce
cas
la contrainte est de droit de la part du souverai
un l’affermit au préjudice de la sienne et renonce à sa propre vie en
cas
qu’il désobéisse. On y gagne ; car on retrouve en
un jury formé d’hommes indépendants ; de ne pouvoir être jugé en même
cas
que suivant les termes précis de la loi ; de prof
é par les lois civiles. « C’est un paralogisme de dire [en ce dernier
cas
] que le bien particulier doit céder au bien publi
ien particulier doit céder au bien public. Cela n’a lieu que dans les
cas
où il s’agit de l’empire de la cité ; cela n’a pa
cas où il s’agit de l’empire de la cité ; cela n’a pas lieu dans les
cas
0ù il est question de la propriété des biens, par
nche la moindre partie par une loi ou un règlement politique. Dans ce
cas
il faut suivre à la rigueur la loi civile qui est
e premier malheur. C’est une vue très juste, en ce sens que, sauf des
cas
très rares, il ne peut pas y avoir de société san
llande et de Suisse. » — Une autre expérience a fait voir que dans ce
cas
c’est une des petites monarchies, qui, s’agrandis
édéraliste et forment une confédération ; mais il n’a pas envisagé le
cas
où une nation centralisée passe ou veut passer à
indépendante. On sait qu’elle était la seule nation d’Europe dans ce
cas
, ce que Voltaire rappelle sans cesse, pour lui en
gistrer les édits qu’elle n’approuvait pas ; et elle faisait, dans ce
cas
, des remontrances motivées. C’était inconstitutio
t de Louis XV plus que de celui de la République française. — En tout
cas
, Montesquieu, qui n’avait pas à y songer, puisque
jamais la force des rois quand ils eurent besoin d’argent… » Dans ce
cas
le Parlement renvoyait le roi aux Etats généraux
il serait le premier à tremper ses mains dans leur sang ». — Dans ces
cas
-là le Parlement sévissait avec rigueur et le gouv
t spécifiés par ces ordonnances ; de cesser le service, sauf dans les
cas
spécifiés par ces mêmes ordonnances ; de rendre j
dirai pas le mépris de Montesquieu pour les majorités, mais le peu de
cas
qu’il en fait en matière spirituelle. Il était dé
y a de ressource pour l’accusé qu’en prouvant qu’il n’est pas dans le
cas
de la loi. Si vous me demandiez si j’aurais prono
celui-ci Frédéric le condamnerait encore et Montesquieu non. Mais ce
cas
-là existe à peine. Vous avez, la nuit, insulté un
rêt du prince lui a fait exiger un droit d’amortissement dans le même
cas
… En France où ce droit et celui d’indemnité sont
Divinité dans un vain cérémonial. » Il peut lui arriver même, dans le
cas
où elle devient exclusive et tyrannique, de « ren
stants, d’être très vivement reproché à ceux qui se mettaient dans ce
cas
et de leur causer quelques ennnis. Ils étaient ri
en avait pas besoin on ne serait pas venu ; que, par exemple, dans le
cas
dont il s’agit, les Juifs n’avaient pas compris D
à un point de vue un peu différent, sur cette question. Il prévoit le
cas
où l’armée, — soit dans une monarchie, soit dans
ublique se cache sous la forme de la monarchie » — il prévoit donc le
cas
où l’armée aurait la tendance à confisquer le pou
: Il est dans la manière de penser des hommes que l’on fasse plus de
cas
du courage que de la timidité, de l’activité que
era toujours un Sénat et respectera ses officiers. Elle ne fera point
cas
des ordres qui lui seront envoyés de la part d’un
cet effet naturel ; mais cela est presque inévitable. Et si « dans le
cas
où l’armée est gouvernée par le Corps législatif,
e casser sitôt qu’elle le désire ». Mais alors nous retombons dans le
cas
signalé plus haut, celui où l’armée dépend du Cor
rs il serait déjà tombé depuis longtemps. N’y a-t-il pas cependant un
cas
où l’armée, cessant d’être, comme la nation elle-
, et de telle sorte qu’il fût le chef incontesté de toute l’armée. Le
cas
est évidemment très rare ; il est absolument exce
s. Toujours en proie à la terreur d’une guerre qui le renverserait en
cas
d’échec et qui le renverserait en cas de succès,
e guerre qui le renverserait en cas d’échec et qui le renverserait en
cas
de succès, leur gouvernement, premièrement n’atta
culière qui n’est que le moyen de prévenir l’attaque ; car il est des
cas
où l’offensive n’est qu’une défense préalable et
broc en bouche, avant que le voisinage même en soit informé ; et les
cas
les plus graciables échappent à l’humanité du sou
udicité même. Mais la question contre les criminels n’est pas dans un
cas
forcé comme ceux-ci. Nous voyons aujourd’hui une
ssion de la milice garantissaient de la question, si ce n’est dans le
cas
de lèse-majesté. Voyez les sages restrictions que
Ou la preuve du crime est complète, ou elle ne l’est pas. Au premier
cas
il n’est pas douteux qu’on doive prononcer la pei
e prononcer la peine portée par les ordonnances ; mais dans le second
cas
il est aussi certain qu’on ne peut ordonner que l
a question, tandis que l’innocent débile y succombe. » Il n’y a qu’un
cas
où Voltaire admet la torture et la question ordin
ion ordinaire et extraordinaire, et, comme on le pense bien, c’est le
cas
de lèse-majesté. Il est là-dessus de l’avis des r
royaliste que le roi, car Catherine II abolit la torture même dans le
cas
qui l’intéressait personnellement. Lorsque l’Impé
’abolir la torture crut qu’il était honnête de soutenir que les seuls
cas
pour lesquels elle pût être conservée étaient les
r que les seuls cas pour lesquels elle pût être conservée étaient les
cas
de lèse-majesté. L’Impératrice lut son mémoire et
s républicains il y aura peut-être quelque exception à faire pour les
cas
qui sont des crimes de haute trahison : comme, pa
t de ses complices pour trancher la racine de la conjuration, dans ce
cas
je crois que le bien public voudrait qu’on donnât
ontre la sûreté de l’Etat : « J’oserais croire qu’il n’y a qu’un seul
cas
où la torture paraît nécessaire : et c’est l’assa
tera que toutes les raisons données par Voltaire contre la torture en
cas
ordinaire s’appliquent au cas de lèse-majesté, et
nnées par Voltaire contre la torture en cas ordinaire s’appliquent au
cas
de lèse-majesté, et que l’on risque tout autant,
r pas vu la contradiction ; mais il répondrait sans doute que dans le
cas
de lèse-majesté, il s’agit moins de trouver des c
e à qui l’on demande quelque argent ne sera condamné par défaut qu’au
cas
que la dette soit avérée ; mais s’il s’agit de la
teau ou plié en morceaux sur une roue de charrette. » Il n’y a qu’un
cas
où Voltaire réclame éloquemment la peine de mort
qu’un cas où Voltaire réclame éloquemment la peine de mort : c’est le
cas
où quelqu’un commet le crime de n’être pas de son
’est : « Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les
cas
déterminés par la loi et selon les formes qu’elle
IX, 1789). C’est encore : « Tout acte exercé contre un homme hors des
cas
et sous les formes que la Loi détermine est arbit
ndum, , soit par l’expédient des mandats impératifs ; — dans tous les
cas
, république démocratique, l’oligarchie étant le p
e au collectivisme ? Je ne le crois pas ; mais il est possible. En ce
cas
l’organisation collectiviste demande un tel déplo
té, soit comme forme supérieure de la causalité même. Dans le premier
cas
, la liberté sera par définition l’inexplicable, l
on l’inexplicable, la limite aux raisons explicatives. Dans le second
cas
, elle sera l’explication par certaines raisons d’
mencement » d’une série soumise pour le reste à la causalité. En tout
cas
, une pareille notion n’a rien à voir dans la psyc
st en même temps partie agissante et dirigeante, et même, en certains
cas
, déterminante, comment n’aurions-nous pas, dans l
e liberté de choix, — ce qui est toujours une raison. Dans ce dernier
cas
, nous choisissons encore, en réalité, de prendre
ientes, plus fortes que les motifs conscients et visibles, et dans ce
cas
il y a déterminisme, ou bien elle est le résultat
t pas à priori des éléments compatibles avec le déterminisme. En tout
cas
, c’est de cette définition, nous, que nous parton
e du premier sur le second. Il faut d’ailleurs remarquer que, dans le
cas
qui nous occupe, le mode de l’action contraignant
ements dont la passion est en grande partie le reflet et qui, en tout
cas
, contribuent à lui donner sa physionomie propre,
ir sous le sentiment de la rationalité, par amour de la raison. En ce
cas
, non seulement les différents termes sont embrass
ce physique subordonnée à des conditions tout extérieures. Même en ce
cas
, la force dynamométrique est augmentée par l’idée
river que toute ma puissance réside de fait dans cette idée ; en tout
cas
, si je ne l’eusse pas conçue, aucune volonté d’ex
me, mais en vue d’une autre fin ; et cette fin peut être, en certains
cas
, totalement ou partiellement, d’exercer notre vou
étend que nous avons « conscience » de ce pouvoir. Certes, il y a des
cas
où nous avons en effet conscience d’un pouvoir ré
ra difficile que les diverses manières dont ils se combinent dans les
cas
particuliers présentent des ressemblances assez f
ciétés de cette espèce ; quelques-unes suffiront. Même, dans bien des
cas
, ce sera assez d’une observation bien faite, de m
nt de manière à former une espèce nouvelle. On en connaît au moins un
cas
; c’est l’Empire romain, qui comprenait dans son
rtout quand les éléments composants sont peu nombreux ; ce qui est le
cas
des segments sociaux. La gamme des combinaisons p
ela n’empêche pas qu’il y ait des espèces. On dira seulement dans les
cas
de ce genre que l’espèce ne compte qu’un individu
t y avoir entre elles aucune communauté morale. 56. N’est-ce pas le
cas
de l’empire romain, qui paraît bien être sans ana
exprime directement ses émotions, ses idées, ses tendances. C’est le
cas
pour la poésie lyrique ou descriptive, pour les s
errière lesquels il semble parfois s’effacer et disparaître. C’est le
cas
pour la poésie épique, le roman, les pièces de th
rsonnages sont ou bien créés de toutes pièces par l’auteur ou en tout
cas
interprétés et en une certaine mesure formés ou d
courte, simple, violente, réduite à une crise rapide, comme c’est le
cas
dans nos tragédies classiques ? Est-elle complexe
dices révélateurs d’un ensemble d’opinions et qui peuvent en certains
cas
devenir le point de départ de conjectures intéres
sens. Tantôt l’unité a été réalisée par une dynastie, comme c’est le
cas
pour la France ; tantôt elle l’a été par la volon
tôt elle l’a été par la volonté directe des provinces, comme c’est le
cas
pour la Hollande, la Suisse, la Belgique ; tantôt
l, tardivement vainqueur des caprices de la féodalité, comme c’est le
cas
pour l’Italie et l’Allemagne. Toujours une profon
e raison d’être a présidé à ces formations. Les principes, en pareils
cas
, se font jour par les surprises les plus inattend
t Poincaré. L’essai de Pierre-Quint s’articule autour de trois grands
cas
faisant l’objet d’interminables discussions parmi
ute publication, une double autorisation est nécessaire et qu’en tout
cas
il faut le consentement de l’auteur de la missive
peuvent pas examiner un article qu’ils recherchent. Peut-on, dans ce
cas
-là, faire défense à un marchand d’autographes de
es clients, soit en cadeau à ses amis. Et encore je n’envisage pas le
cas
où cette publication « hors-commerce » serait fai
disent-ils, il est même interdit par les lois de la négocier. Dans ce
cas
, elle est bien mise » hors commerce »18, comme le
illets en demi-teintes. Il serait également un obstacle dans certains
cas
pour des héritiers en mal d’argent, toujours prêt
ions morales, ce sont toujours les premiers qui l’emportent8. Dans le
cas
présent, d’ailleurs, les intérêts des marchands d
de textes, s’écrient-ils d’un commun accord ! Il faut noter, en tout
cas
, que celui que nous proposons est court et qu’il
jurisprudence à la codification écrite ? Il est vrai que si tous les
cas
de chaque question étaient envisagés, les jurisco
mes tels qu’ils sont, ou qu’elle les rejette de son Panthéon. En tout
cas
, il lui est interdit de les défigurer sous le fal
pas fait de testament, et c’est une précaution souvent impossible en
cas
de mort fortuite, ou à laquelle l’artiste ne pren
e sur la véritable figure de l’artiste qui vient de mourir. Ce fut le
cas
pour Anatole France21. Et cependant ces divers «
te objection basée sur le prétendu respect dû aux « tiers », c’est le
cas
typique du De Profundis d’Oscar Wilde. Wilde a lé
débarrasser à titre gracieux, ou les mettre en vente. Dans ce dernier
cas
, n’importe quel collectionneur inconnu et maniaqu
d’insupportables importuns, comme les ennemis de leur repos. Certains
cas
sont plus nets encore. Les représentants de la fa
mme Lautréamont, nous n’avons aucun document34. Parfois, tel a été le
cas
de Jacques Rivière, c’est le lendemain même de sa
espect généralisé de l’histoire et de l’art et dont bénéficient en ce
cas
les vestiges architecturaux. Naturellement le goû
us que les législateurs devraient réglementer le commerce (et dans ce
cas
comment) des lettres privées, qui peuvent actuell
ral ressortissant dudit article. Il en serait ainsi notamment dans le
cas
de lettres confidentielles, présentant un caractè
re donnée, sans distinction entre son corps et son âme. Dans bien des
cas
, elle constitue une réponse, un don en paiement d
en principe, ouvrant la porte à l’appréciation des tribunaux pour des
cas
d’espèce ; et réservant bien entendu, les lettres
t pas des épistoliers me paraît exagérée ou dangereuse. Sauf dans des
cas
très particuliers, une lettre privée ne saurait ê
ns doute la jurisprudence a essayé d’étendre les articles actuels aux
cas
nouveaux, mais qui ne sont cependant pas compris
peut-être qu’ils ne diffèrent actuellement l’un de l’autre. En pareil
cas
, il nous est donc impossible de reconnaître la fo
de l’autre, par exemple qu’un Cheval soit issu d’un Tapir ; or, en ce
cas
, des chaînons directement intermédiaires doivent
ns, ou entre les descendants et leurs ancêtres, a dû rendre un pareil
cas
très rare ; car c’est une loi générale que les fo
l’époque de la craie. Parmi les Mollusques, le genre Chiton offre un
cas
en partie analogue. À l’égard des espèces terrest
ccumuler sur un bas-fond en voie de s’affaisser lentement ; en pareil
cas
, aussi longtemps que la vitesse d’affaissement et
’affaissement. Or, d’après mes impressions générales, je crois que le
cas
doit être au moins très rare. Puisque la question
haîne de ces formes transitoires ne forme cependant pas en ces divers
cas
, ou en aucun autre, une série droite d’une espèce
climat qui troublent l’économie générale de la contrée. Or, en pareil
cas
, les habitants de l’archipel émigreraient, et les
sécutives, intervalles peut-être plus longs cependant, en beaucoup de
cas
, que le temps qui a été nécessaire à l’accumulati
il avait extrait lui-même de la craie de Belgique. Ce qui rendrait le
cas
plus remarquable encore, c’est que ce Cirripède s
été les ancêtres de nos nombreuses espèces tertiaires et modernes. Le
cas
d’apparition subite d’un groupe entier d’espèces
courant qui apporte les alluvions est plus forte. Il doit donc en ce
cas
se manifester un changement des formes organiques
, les phénomènes doivent se manifester dans le même ordre que dans le
cas
précédent, mais avec une rapidité et une intensit
les anciennes, sont dégradées et détruites. Il en est de même dans le
cas
où une terre émergée s’affaisse lentement ; mais
ascensionnel de ce même continent en quelque autre point. Tel est le
cas
pour la péninsule Scandinave. (Trad.) 133. Nous
s idées sont différentes. — Exemples. — La loi générale s’applique au
cas
dont il s’agit. — Différence absolue entre le pro
eau. Mais comment faire cette déduction ? Au fond, ce n’est pas là un
cas
de déduction logique ; c’est tout au plus un cas
, ce n’est pas là un cas de déduction logique ; c’est tout au plus un
cas
d’association empirique. — Vous pourrez répondre
dévier l’aiguille aimantée dans une direction définie. Mais les deux
cas
diffèrent en ceci, que, si l’on ne peut démontrer
pour que nous concevions à sa place deux faits différents. Tel est le
cas
pour les objets que nous connaissons par les sens
événement plus général dont ils seraient des formes distinctes et des
cas
particuliers ; nous déclarons d’avance que leur n
nde organique s’étend le monde inorganique, et le premier n’est qu’un
cas
du second. Il est construit avec les mêmes substa
affections bonnes ou mauvaises, est très commode pour imaginer des «
cas
». Et le mobile égoïste, on le trouve toujours, e
lie, et qui s’efforcerait de trouver, pour chaque catégorie, quelques
cas
particuliers, arriverait sans trop de peine à un
tre trop impertinentes, on ajoute : souvent, quelquefois ; il est des
cas
… Nous appellerons cela la pensée paradoxale. Ap
i elle ne vise pas la règle, elle visera l’exception. Dans le premier
cas
, le lecteur dira : « Comme c’est vrai ! » et dans
emier cas, le lecteur dira : « Comme c’est vrai ! » et dans le second
cas
: « Tiens ! tiens ! c’est vrai tout de même » — à
out de même » — à moins qu’il ne se contente de dire, dans le premier
cas
: « Hum ! si on veut ! » et dans le second : « Da
il faut que cette personne ne soit point la première venue. C’est le
cas
pour Pascal, La Rochefoucauld, La Bruyère, Jouber
i les phrases pompeuses, lors même que j’en saurais faire ! En pareil
cas
, ce sont les témoins les plus immédiats qui parle
de toutes, c’est le défaut de linge, si nécessaire pourtant en pareil
cas
. Avec le conseil de M. le docteur Le Taillis et m
i chemin faisant, et à plus d’une porte, ainsi qu’il arrive en pareil
cas
, des humiliations et des refus ! Le bon curé se m
Commission est d’avis à l’unanimité qu’elle ne rentre dans aucun des
cas
prévus par l’article 26 de la Constitution et que
e, aiment à voir agir en tout l’expérience, ne recourent que dans les
cas
extrêmes aux principes de métaphysique, toujours
vrai que, par ce mot plus général de conjoint, elle prévoit aussi le
cas
où ce serait la femme qui serait auteur, qui sera
iction avec ce qui a été remarqué de favorable à la femme. Il est tel
cas
, en effet, rare sans doute, mais à prévoir, et do
soin de reproduire sa pensée et d’exercer ses droits. Il est d’autres
cas
encore où, même sans disposition formelle de sa p
rt. Aujourd’hui le laps étendu de cinquante ans s’applique à tous les
cas
. Ce n’est qu’une étape, disent les partisans de l
à côté d’elle, près d’elle ; il cesse de lui être étranger ; en tout
cas
, il n’a plus aussi complètement rompu avec elle,
s automatiquement ; et l’obéissance au devoir, si l’on s’en tenait au
cas
le plus fréquent, se définirait un laisser-aller
oir lui-même comme une chose raide et dure ? C’est évidemment que des
cas
se présentent où l’obéissance implique un effort
as se présentent où l’obéissance implique un effort sur soi-même. Ces
cas
sont exceptionnels ; mais on les remarque, parce
ombattre ce qui s’oppose à elle, un être raisonnable. Dans ce dernier
cas
, la tendance éclipsée peut reparaître ; et tout s
’engageant successivement sur plusieurs d’entre elles. Dans le second
cas
, des problèmes nouveaux se posent, plus ou moins
s donner au soldat de raison, il en imaginera une. Si nous voulons un
cas
d’impératif catégorique pur, nous aurons à le con
nt fonctionne pour le plus grand bien de l’ensemble. Pas plus dans un
cas
que dans l’autre, d’ailleurs, il n’y a proprement
u’à présent une préparation à la défense ou même à l’attaque, en tout
cas
à la guerre. Nos devoirs sociaux visent la cohési
gnité de la personne humaine, le droit de tous au respect. Ni dans un
cas
ni dans l’autre nous n’arrivons a l’humanité par
surface, autre chose un soulèvement des profondeurs. Dans le premier
cas
l’effet se disperse, dans le second il reste indi
t désigné par le même mot toutes les attentions prêtées dans tous les
cas
possibles, elle ne voit plus entre elles, supposé
alité, que des différences de grandeur. La vérité est que dans chaque
cas
l’attention est marquée d’une nuance spéciale, et
citement la sensibilité, plus susceptible de se diversifier selon les
cas
particuliers. Mais alors on n’appuie pas assez su
l’auteur et son sujet, c’est-à-dire d’une intuition. Dans le premier
cas
l’esprit travaille à froid, combinant entre elles
ie parmi celles que nous éprouvons couramment dans la vie, et en tout
cas
vide de représentation. Mais l’émotion provoquée
d’exécution, l’espérance que le cercle finira par être rompu. En tout
cas
, nous ne saurions trop le répéter, ce n’est pas e
ettre en danger la structure originelle. Nombreux sont d’ailleurs les
cas
où l’homme a trompé ainsi la nature, si savante e
çoit-on pas à son enseignement même ? Si les propos inspirés, en tout
cas
lyriques, qu’il tient en maint endroit des dialog
re avec le néoplatonisme alexandrin, avec Ammonius peut-être, en tout
cas
avec Plotin, qui se déclare continuateur de Socra
sairement dans la égion de la pure contemplation, et pratique en tout
cas
naturellement, ne s’en tenant plus à l’un et n’ét
a grosse question est de savoir pourquoi nous sommes obligés dans des
cas
où il ne suffit nullement de se laisser aller pou
z pas ne pas poser ce soulèvement de l’âme qu’est l’émotion : dans un
cas
vous avez l’obligation originelle, et, dans l’aut
e, quelque chose qui en devient le prolongement ; mais, dans les deux
cas
, vous êtes devant des forces qui ne sont pas prop
t qui attend seulement une occasion de se réveiller ? Dans le premier
cas
, la personne s’attache à l’impersonnel et vise à
ne. Qu’on pratique d’ailleurs l’une ou l’autre méthode, dans les deux
cas
on aura tenu compte du fond de la nature humaine,
us aux objets que nous percevons, et l’inconscient joue dans les deux
cas
un rôle du même genre. Mais nous éprouvons beauco
t capricieux. L’ordre des représentations est donc nécessaire dans un
cas
, contingent dans l’autre ; et c’est cette nécessi
e l’existence ; mais les exigences de l’action sont inverses, dans un
cas
, de ce qu’elles sont dans l’autre. Mais nous touc
s l’une et l’autre, elles soient inégalement remplies. Ainsi, dans le
cas
des états internes actuels, la connexion est moin
nt ainsi les choses. Plutôt que d’admettre la présence, dans tous les
cas
, des deux éléments mêlés dans des proportions div
trouvera la force de franchir le seuil de la conscience dans tous les
cas
où nous nous désintéresserons de l’action efficac
de plus instructif, à cet égard, que ce qui se produit dans certains
cas
de suffocation brusque, chez les noyés et les pen
son action, ne s’isolent et ne se manifestent pleinement que dans des
cas
exceptionnels. Dans la vie normale, ils se pénètr
e est fondée, la mémoire sera très diversement atteinte dans les deux
cas
. Dans le premier, aucun souvenir ne sera distrait
e chimiquement altérée, sera mécaniquement diminuée. Pas plus dans un
cas
que dans l’autre, d’ailleurs, les souvenirs ne se
e ni par le raisonnement ni par les faits. La vérité est qu’il y a un
cas
, un seul, où l’observation semblerait d’abord sug
des troubles de la reconnaissance auditive ou visuelle. C’est le seul
cas
où l’on puisse assigner à la maladie un siège con
irconvolution déterminée du cerveau ; mais c’est précisément aussi le
cas
où l’on n’assiste pas à l’arrachement mécanique e
psychologie, impuissance signifie inconscience. Dans tous les autres
cas
, la lésion observée ou supposée, jamais nettement
ture en tout conforme à la prononciation : il se contenta en quelques
cas
d’adoucir les aspérités, d’émonder quelques super
t se prononcer avec douceur, on en mette une aussi sous le t dans les
cas
où il est doux et où il doit se prononcer comme l
t. — A quoi je réponds : Non, émouvoir ne suffit pas ; car il est des
cas
où j’emploierai émotionner et où j’en aurai besoi
as d’émouvoir, il veut émotionner » ; — eh bien ! émotionner, dans ce
cas
-là, je le demande, n’est-il pas français et selon
ourd ou plus faible : je la fonde ou je l’établis ? » Donc il y a des
cas
où le mot est juste, où il est plus à sa place qu
l’emploie indifféremment pour exprimer, énoncer. Mais il est bien des
cas
, pourtant, où il trouverait sa place. On dira trè
les de loi. » Exprimer, enfin, ne remplace pas formuler dans certains
cas
où l’on appuie sur le sens. M. Royer-Collard n’ex
outils, mais surtout emploi restreint chez lui de ladite méthode. Ce
cas
nous semble encore celui de Huysmans, observateur
is le sujet dans ma tête ; il y a longtemps que je voulais décrire un
cas
de lèpre, avec tous les phénomènes qui accompagne
ple analysable de cette troisième méthode. Nous nous sommes arrêté au
cas
d’éthylisme chronique qui se déroule, à travers l
gué, le Dr Motet — est-ce bien ce nom-là ? — qui nous a assuré que le
cas
de tante Dide était tout au moins vraisemblable.
ous l’empire des divers. Pour l’hérédité, il n’avait admis que quatre
cas
: l’hérédité directe, représentation des collatér
ement, pour montrer que chez eux la folie n’existe pas. Dans les deux
cas
, l’inexpérience est la même ; aussi le résultat e
tre actuelle étude, à cette observation involontaire et géniale, le «
cas
Hamlet ». Nous avons ainsi nos deux termes extrêm
aitement exacts, je me contente de faire remarquer que, dans tous ces
cas
, c’est la moindre partie de l’Intelligence qui es
omplètement d’intelligence. 2° On nous cite bien un certain nombre de
cas
où la maladie aurait amené un développement extra
ine à croire que ce soit là autre chose qu’une plaisanterie : en tout
cas
, c’est une bizarrerie tellement arrangée et si pe
s grands hommes, ou qu’ils rapportent sur eux-mêmes. Dans beaucoup de
cas
le doute est permis. Lorsque Napoléon montre au g
bre d’ailleurs, c’est que l’hallucination a pu coexister, en certains
cas
, avec le génie ; en un mot, que le génie n’exclut
llement. Dans la table biographique qui termine son livre, il y a 179
cas
cités. Sur ce nombre, combien croit-on qu’il cite
au nombre de ces malades que l’histoire admire. Je ne dis pas que le
cas
soit si grave ; mais, à coup sûr, celui qui a fai
de survivances dans la société que dans l’organisme. Il y a même des
cas
où soit une pratique, soit une institution social
ntenir le développement. Seulement, outre qu’ils ne peuvent, en aucun
cas
, faire quelque chose de rien, leur intervention e
s étaient l’émigration, le suicide, le crime. Or, dans la moyenne des
cas
, les liens qui nous attachent à notre pays, à la
mplir, cette fonction consiste, au contraire, au moins dans nombre de
cas
, à maintenir la cause préexistante d’où ils dériv
il ne serve à rien pour être nuisible par cela même, puisque, dans ce
cas
, il coûte sans rien rapporter. Si donc la général
adhésion ? D’abord, elle est forcée, car, dans l’immense majorité des
cas
, il nous est matériellement et moralement impossi
es, que l’on peut apporter à de tels problèmes, ne sauraient en aucun
cas
affecter la méthode d’après laquelle doivent être
lations, qu’elles n’expriment alors que très imparfaitement. C’est le
cas
de l’Angleterre dont la densité matérielle est su
venir sur les difficultés qu’implique une pareille hypothèse, en tout
cas
, la loi qui exprime ce développement ne saurait a
l’action des uns et des autres est nécessairement confondue. C’est le
cas
de certains faits socio-psychiques. Ainsi, un fon
ertaine mesure, au service d’idées personnelles. Mais on voit que ces
cas
sont dus à des accidents individuels et, par suit
de sympathique ; car il a l’excuse d’une quasi-nécessité en certains
cas
de tyrannie masculine et d’impossible union ; il
pas nouvelle, si elle existe plus grave, plus triste encore dans les
cas
de séparation, correctifs déjà anciens des mariag
au scandale public, ou bien celle qui interdit aux deux complices, en
cas
d’adultère constaté, de réparer leur faute en s’é
té ont été maintes fois débattus par le roman et le théâtre ; que des
cas
de conscience84, comme en présente par dizaines l
nt pour les auteurs le bannissement, la Bastille, et même en certains
cas
la mort. On connaît le mot de Duclos. Défense éta
primer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les
cas
déterminés par la loi. » Ce droit, solennellement
able de la conscience des lecteurs ; il ne relève de la loi qu’en des
cas
très exceptionnels, par exemple quand il prend le
où la presse rencontre des barrières à son expansion. Comme en pareil
cas
, les sujets politiques et religieux sont d’ordina
onstructions réelles. — Hypothèse de la vitesse uniformément accrue ;
cas
des corps pesants qui tombent. — Mobile animé d’u
rme et d’un autre mouvement dont la vitesse est uniformément accrue ;
cas
des planètes. — Comment les cadres préalables doi
s choses générales : j’entends par là des choses communes à plusieurs
cas
ou individus ; ce sont des caractères ou groupes
upe de caractères qui se présente ou peut se présenter dans plusieurs
cas
ou individus naturels. Voilà un nouvel objet de c
aissance. De même qu’il y a en nous des pensées qui correspondent aux
cas
et individus particuliers, de même il y a en nous
multipliée et précisée précise et multiplie les circonstances et les
cas
de cette attraction. Peu à peu, nous laissons tom
onformité. Non pas que l’adaptation soit toujours exacte ; il y a des
cas
où elle n’est qu’approximative. De cette espèce s
ire, cette coïncidence n’est qu’assez lointaine ; mais, même dans les
cas
les plus favorables, elle manque sur quelque poin
scrit. Il y a une cause à cette impuissance ; et, si nous prenons les
cas
dont la théorie est faite, nous pouvons nous l’ex
e la géométrie, et les faits se conforment aux cadres dans le premier
cas
de la même manière et au même degré que dans le s
iversels ; car, plus ils sont généraux, plus le nombre d’individus ou
cas
où ils se retrouveront est considérable, et, s’il
atine ou du plomb exempts de tout alliage, sans être sûrs qu’en aucun
cas
la nature les fournisse ou que l’art les obtienne
eux auxquels nous souhaitons que les choses se conforment, et dans ce
cas
le besoin de conformité devient pour nous un ress
▲