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1 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre II : Variations des espèces à l’état de nature »
l, parce qu’alors la sélection naturelle entrerait en jeu. On connaît beaucoup de plantes qui produisent régulièrement des fleurs d
utant d’espèces distinctes. Nous avons toutes raisons pour croire que beaucoup de ces formes douteuses, ou étroitement alliées, ont
rande expérience semble devoir seule faire autorité. Il faut même, en beaucoup de cas, décider à la pluralité des voix entre les av
é mises par quelques botanistes au rang d’espèces. Encore a-t-il omis beaucoup de variétés de peu d’importance, qui, néanmoins, son
istance entre les stations occupées par deux formes douteuses dispose beaucoup de naturalistes à les ranger l’une et l’autre comme
sous le même vêtement. En fin de compte, on ne saurait contester que beaucoup de formes considérées comme des variétés par des jug
ces étroitement alliées, c’est-à-dire du même genre, ont été formées, beaucoup de variétés ou espèces naissantes doivent, en règle
n règle générale, être actuellement en voie de formation. Où il croît beaucoup de grands arbres, on peut s’attendre à trouver beauc
. Où il croît beaucoup de grands arbres, on peut s’attendre à trouver beaucoup de jeunes plants ; où plusieurs espèces d’un genre s
s, manifestent une tendance à le devenir de plus en plus, en laissant beaucoup de descendants dominateurs modifiés. Mais, comme nou
2 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre IV. Des Livres nécessaires pour l’étude de l’Histoire. » pp. 87-211
des portraits d’imagination. Le Christianisme n’y est pas traité avec beaucoup de ménagement ; le fatalisme y triomphe. On y voit,
les autres histoires dont je viens de parler. Or on doit compter pour beaucoup de diminuer le travail de la lecture, & d’abrége
e ; mais il ne les a pas recherchés avec trop de soin. L’auteur avoit beaucoup de discernement pour la critique, & de goût pour
ce du style & de la politesse du discours. Cependant comme il y a beaucoup de choses qui ne se trouvent point ailleurs, ce livr
t connoître tout ce qu’on sçavoit alors des Egyptiens ; c’est-à-dire, beaucoup de fables puériles, dont quelques-unes en imposent à
politique sous son pere, qui gouverna la République des Achéens avec beaucoup de gloire. Son histoire qui comprenoit tout ce qui s
le choix des circonstances, ni dans celui des réfléxions. Il ramasse beaucoup de minuties qui pouvoient être intéressantes dans le
ntes dans le tems, & des bons mots qui ne renferment pas toujours beaucoup de sel. Dacier a traduit les vies de Plutarque en 8.
Médes, des Perses, des Macédoniens & des Grecs. Cet ouvrage a eu beaucoup de succès parce que c’est la premiere compilation de
que les onze premiers, traduits par le P. le Jai Jésuite. On y trouve beaucoup de recherches, de jugement & de logique. D’aille
1743. deux vol. in-4°. & quatre vol. in-12. Cet ouvrage a séduit beaucoup de gens, dit le Président de Montesquieu, parce qu’i
it Capitaine. Il y fait voir que la Tactique des anciens peut fournir beaucoup de lumieres pour la Tactique des modernes. Anecdote
Madame de Motteville, in-12. Amsterdam 1723. six volumes. On y trouve beaucoup de petits faits, avec un grand air de sincérité. Ils
. Ces mémoires lus avec avidité lorsqu’ils parurent, sont écrits avec beaucoup de liberté, mais cette liberté va quelquefois jusqu’
in-12. On y trouve des choses vraies, quelques-unes de fausses, & beaucoup de hazardées ; ils sont écrits dans un style trop fa
e très-curieuses. Les Lettres qu’on a jointes aux mémoires renferment beaucoup de particularités ; mais les connoissances qu’on peu
istoire de cette Monarchie. Les faits principaux y sont ramassés avec beaucoup de goût & d’exactitude, présentés avec dextérité
son pinceau a le mérite de la vérité. Les faits y sont rapportés avec beaucoup de fidélité & d’exactitude. Vous trouverez des t
théatre d’une guerre sanglante à la fin du XVIme. siécle, essuyerent beaucoup de révolutions. Les combats de la liberté contre le
’Auguste, mais la vérité y manque souvent. Un air de raillerie, & beaucoup de partialité s’y font sentir aux lecteurs les moins
ngleterre ausquelles il a eu tant de part. Cet ouvrage est écrit avec beaucoup de force & de dignité. Les portraits de tout ce
y sont bien circonstanciés & bien liés ensemble, & il y regne beaucoup de feu & d’esprit. Mais ses expressions ne sont
traduite en françois dans le même nombre de volumes, & elle a eu beaucoup de succès. Il resteroit à parler de l’histoire des P
rincipaux traits de sa vie. M. d’Alembert traite cette Princesse avec beaucoup de sévérité. Mr. Lacombe en parle d’une maniere plus
timé. Le principal but de l’auteur est la religion, qu’il traite avec beaucoup de sagacité & d’exactitude. Il n’a pas manqué d’
3 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XVI. Miracles. »
tement à tout ce que les prophètes avaient prédit du Messie 732. Dans beaucoup de cas, ces rapprochements étaient tout extérieurs e
e genre. Les types des miracles évangéliques, en effet, n’offrent pas beaucoup de variété ; ils se répètent les uns les autres et s
ablissement, est souvent un remède décisif. Qui oserait dire que dans beaucoup de cas, et en dehors des lésions tout à fait caracté
ion de posséder les derniers secrets de cet art 753. Il y avait alors beaucoup de fous en Judée, sans doute par suite de la grande
épulcrales abandonnées, retraite ordinaire des vagabonds. Jésus avait beaucoup de prise sur ces malheureux 754. On racontait au suj
bien compte des faits qui ont donné lieu à ces bizarres imaginations. Beaucoup de circonstances d’ailleurs semblent indiquer que Jé
4 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 102-104
est, parmi les Poëtes, ce qu’est dans un Régiment un Lieutenant qui a beaucoup de Soldats au dessous de lui, & plusieurs Offici
nchet, qui n’a en sa faveur que de l’aisance, un peu d’harmonie & beaucoup de mollesse. Ses Tragédies lyriques sont fort inféri
rit, en employant les armes de la satire personnelle. Il avoit encore beaucoup de zele pour le progrès des jeunes gens qui cultivoi
5 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre VIII. Des romans. » pp. 244-264
dant quelque tems ; mais vers l’an 1730. quelques écrivains, nés avec beaucoup de talent pour ce genre, le réveillerent. Ils firent
veux parler de l’inépuisable Abbé Prévot, dont la vie fut remplie par beaucoup de ces incidens romanesques, qu’il sema dans ses écr
sses est plus propre à inspirer le vice, qu’à le corriger. L’auteur a beaucoup de feu & d’esprit ; il connoît le cœur humain ;
qu’il est aisé, suivant un homme d’esprit, de les faire. Ils trouvent beaucoup de lecteurs & ne coûtent guéres à leurs auteurs.
thèque de campagne en 24. vol. in-12. 1768. qui est une collection de beaucoup de petits romans que j’ai passé sous silence. Je n’a
aité de l’Usage des Romans en 1735. Un tel livre ne pouvoit que faire beaucoup de tort à un homme de son état. Il le désavoua, &
6 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre III. Des Livres nécessaires pour l’étude de l’Histoire sacrée & ecclésiastique. » pp. 32-86
fle de Dieu a répandue sur la face de la terre. On se plaint que dans beaucoup de chapitres cette histoire est plûtôt une compilati
dans l’Histoire sacrée celle de J. C. , vous en avez une écrite avec beaucoup de simplicité dans l’Histoire Sainte de Dom Calmet.
s continuer. Cette défense de les continuer. Cette défense ne fit pas beaucoup de peine au public. L’auteur écrivoit facilement, ma
n Hollande, & qui depuis est mort en France. Cet ouvrage renferme beaucoup de recherches ; mais il n’est pas écrit avec cette s
teté ; mais il manque souvent de pureté & d’agrémens. On y trouve beaucoup de latinisme, parce que l’auteur avoit d’abord écrit
x de cet auteur & en même tems le plus intéressant, est fait avec beaucoup de méthode & de choix. Mais il n’y faut pas cher
é M. Lenfant, illustre réfugié françois, de nous avoir développé avec beaucoup de soin tout ce qui regarde les Conciles de Pise, de
, qui affligea si long-tems l’Eglise. Ces trois ouvrages, écrits avec beaucoup de modération, pourroient être avoués par beaucoup d
rages, écrits avec beaucoup de modération, pourroient être avoués par beaucoup de Catholiques, à l’exception néanmoins de quelques
Courrayer, homme habile en qui j’avois toujours reconnu & admiré beaucoup de douceur, ait augmenté par ses notes les aigreurs
en quatre volumes in-12. L’auteur avoit de l’esprit. Il écrivoit avec beaucoup de facilité ; mais il se pressoit trop dans toutes s
7 (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Querelles générales, ou querelles sur de grands sujets. — Première Partie. Des Langues Françoise et Latine. — Les inscriptions des monumens publics de France doivent-elles être écrites en Latin ou en François. » pp. 98-109
e écrites en Latin ou en François. Cette question fut agitée, avec beaucoup de chaleur, sous Louis XIV, dans le temps de la rapi
amp; l’on ne crut pas qu’il eut raison. Cependant la harangue faisoit beaucoup de bruit, même parmi les gens du monde, de qui les p
toient à se livrer à la poësie Latine, pour laquelle ils lui voyoient beaucoup de talent. « J’aime mieux, leur répondit-il, être le
en tout ce qu’on eut pû dire en Latin. Avons-nous, dans cette langue, beaucoup de choses comparables aux quatre vers de Piron, fait
8 (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « L’abbé Prevost et les bénédictins. »
n’entre que de l’estime et de l’affection dans mes offres. C’est avec beaucoup de chagrin que je me suis vu privé ici du plaisir de
et de considération que je reçois de tout le monde. Je vis donc avec beaucoup de tranquillité et d’agréments. L’étude fait ma prin
se néanmoins qu’elle ne tardera pas trop longtemps ; car on me presse beaucoup de faire paroître la mienne. J’ai travaillé mes note
e beaucoup de faire paroître la mienne. J’ai travaillé mes notes avec beaucoup de soin, et je me flatte que cela donnera quelque av
à Paris. « Je vous souhaite, mon Révérend Père, une parfaite santé et beaucoup de contentement, et je forme ce souhait avec la même
Ces Prevost avaient la parole vive comme l’imagination, mais avec eux beaucoup de choses se passaient en paroles262. Les méchants p
9 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre XI : Distribution géographique »
nt depuis l’océan Pacifique oriental jusque dans la mer des Indes, et beaucoup de coquillages sont communs aux îles orientales de l
bstacles, et incapables d’émigrer de l’autre côté. Quelques familles, beaucoup de sous-familles, un grand nombre de genres et un pl
rtes de graines, la plupart différentes des miennes ; mais il choisit beaucoup de gros fruits, et aussi quelques plantes qui vivent
s et quatorze heures. Les poissons d’eau douce avalent les graines de beaucoup de plantes terrestres ou aquatiques ; ces poissons s
des dizaines et des centaines de mille ans, il serait miraculeux que beaucoup de plantes ne se fussent pas trouvées ainsi transpor
n des formes organiques pendant la Période Glaciaire. — L’identité de beaucoup de plantes et d’animaux qui vivent sur les sommets d
égions arctiques des deux hémisphères. Ainsi s’explique l’identité de beaucoup de plantes en des points aussi éloignés les uns des
endrait compte, d’après la théorie de modification, de la présence de beaucoup de formes alliées qui vivent aujourd’hui dans des ré
détachées. C’est ainsi, je pense, qu’on peut expliquer l’existence de beaucoup de formes représentatives modernes ou tertiaires sur
auteurs de Ceylan et sur les côtes volcaniques de Java se rencontrent beaucoup de plantes, soit identiques, soit représentatives le
rance et dans les parties tempérées de l’Australie. Comme on sait que beaucoup de plantes et d’animaux des tropiques peuvent suppor
ien que placées sous des conditions nouvelles ; car il est prouvé que beaucoup de plantes tempérées, lorsqu’elles sont protégées co
Entourées d’étrangers, elles ont eu à soutenir la concurrence contre beaucoup de nouvelles formes vivantes ; et il est probable qu
ins puissantes ; juste de la même manière que nous voyons aujourd’hui beaucoup de productions européennes couvrir le sol de la Plat
également considérée dans sa patrie naturelle. J’ai dit qu’il restait beaucoup de difficultés à résoudre. Quelques-unes des plus im
étruites et renouvelées périodiquement, pour expliquer l’existence de beaucoup de formes actuelles en certaines contrées, il faudra
rupture ou à la formation récente d’un isthme devraient donc être, en beaucoup de cas, supposés sans preuves, et même ne suffiraien
10 (1899) Esthétique de la langue française « Esthétique de la langue française — Chapitre III »
sition des mots selon ce système est donc illimité20. On forme encore beaucoup de nouveaux mots en faisant suivre d’un nom un verbe
et toute pommade est philocome 24 comme tout élixir odontalgique 25. Beaucoup de ces barbarismes sont assez fugitifs, mais il en d
’état de duelliste, mais aussi à ridiculiser l’état de chirurgien. Si beaucoup de mots nécessaires à la médecine et à l’anatomie (c
nscription latine de [mot en caractère grec] est Posidion 41. Il faut beaucoup de tact et beaucoup de prudence pour franciser des m
[mot en caractère grec] est Posidion 41. Il faut beaucoup de tact et beaucoup de prudence pour franciser des mots grecs, sans offe
11 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — V — Vicaire, Gabriel (1848-1900) »
t pleins de vie, de santé et de belle humeur. L’auteur, au rebours de beaucoup de ses confrères, s’exprime dans une langue ferme et
s petits poèmes paysans, d’une jovialité parfois attendrie. Et il y a beaucoup de croix de Jeannette dans ces bijoux poétiques. Le
beaucoup de croix de Jeannette dans ces bijoux poétiques. Le poète a beaucoup de goût pour ses payses. C’est l’amoureux des trente
12 (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Marie-Thérèse et Marie-Antoinette. Leur correspondance publiée par le chevalier d’Arneth »
sapprouve pas. » C’est spirituel et finement tourné ; nous voudrions beaucoup de lettres authentiques comme celle-là. La grande no
à aucune contention jusqu’à l’âge de douze ans. Un peu de paresse et beaucoup de légèreté m’ont rendu son instruction plus diffici
d elle le veut, elle est en général fort affable et populaire, et met beaucoup de grâce et d’agrément dans tout ce qu’elle fait et
ée quelquefois), avec lequel elle croit pouvoir se dispenser de faire beaucoup de façons et d’user de ménagements particuliers. Il
s du comte et de la comtesse de Provence ; mais elle répare cela avec beaucoup de grâce dans d’autres moments… » L’observateur mon
de nouvelles, de spectacles, d’intérêts particuliers de chacun et de beaucoup de frivolités. La reine est toujours de la conversat
aime pas l’application, elle ne veut pas de gêne ; elle ne trouve pas beaucoup de ressources dans la famille royale, et elle craint
13 (1767) Sur l’harmonie des langues, et en particulier sur celle qu’on croit sentir dans les langues mortes
ngues mortes et savantes, se remarque surtout dans ceux qui ayant mis beaucoup de temps à les étudier, se flattent de les bien savo
de toutes les langues vivantes et modernes. La mélodie du discours a beaucoup de rapport avec la mélodie musicale. Une mélodie qui
vraisemblablement cette question n’en serait pas une, s’il n’y avait beaucoup de gens intéressés à soutenir le contraire. Le franç
usage seul peut suggérer. C’est en effet de cette seule manière, avec beaucoup de temps, d’étude et d’exercice, qu’on peut devenir
de citer nous paraît plus que suffisant. Despréaux, quoique lié avec beaucoup de poètes latins de son temps, sentait bien le ridic
ranger qui écrirait en français, croirait, bien faire que d’emprunter beaucoup de phrases de Molière et se ferait moquer de lui ; f
i pour paraître bien posséder sa langue affecterait dans ses ouvrages beaucoup de gallicismes (même de ceux qu’on peut se permettre
énient n’est il pas à craindre dans un ouvrage où l’on aurait affecté beaucoup de latinismes ? Ce n’est pas tout : croit-on qu’un a
14 (1890) L’avenir de la science « Préface »
és de la société humaine ; je me résignai à un état de la création où beaucoup de mal sert de condition à un peu de bien, où une im
voulais avoir quelque audience des gens cultivés, il fallait laisser beaucoup de mon bagage à la porte. La pensée se présente à mo
des jeunes. Dans mes écrits destinés aux gens du monde, j’ai dû faire beaucoup de sacrifices à ce qu’on appelle en France le goût.
s valeurs et les faux billets. Mieux vaut un peu de bonne science que beaucoup de mauvaise science. On se trompe moins en avouant q
. On se trompe moins en avouant qu’on ignore qu’en s’imaginant savoir beaucoup de choses qu’on ne sait pas. J’eus donc raison, au d
15 (1759) Salon de 1759 « Salon de 1759 — À mon ami M. Grimm » p. 89
ue vous m’avez demandé. Je souhaite que vous puissiez en tirer parti. Beaucoup de tableaux, mon ami, beaucoup de mauvais tableaux.
aite que vous puissiez en tirer parti. Beaucoup de tableaux, mon ami, beaucoup de mauvais tableaux. J’aime à louer. Je suis heureux
16 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre XII : Distribution géographique (suite) »
à des stations discontinues ; et qu’elles se sont éteintes depuis en beaucoup de régions intermédiaires. Mais je crois qu’il faut
ointes à quelque autre terre. Une telle manière de voir simplifierait beaucoup de difficultés, il est vrai, mais elle n’expliquerai
x naturalisés ont totalement ou du moins presque totalement supplanté beaucoup de productions indigènes. Si l’on adopte l’hypothèse
dans ses anciennes habitudes, et, conséquemment, n’aura pas dû subir beaucoup de modifications. Si quelques-unes de ces espèces av
it l’être un organe rudimentaire, ou tel, par exemple, que sont, pour beaucoup de Coléoptères, les ailes plissées qu’ils gardent en
ons d’organisme à organisme. Je ne nierai point qu’il ne reste encore beaucoup de questions à résoudre, et qu’il ne soit encore trè
contraire, des formes très distinctes, et qui appartiennent, même en beaucoup de cas, à des genres jusque-là complétement inconnus
question : c’est que Madère et l’îlot voisin de Porto-Santo possèdent beaucoup de coquillages terrestres d’espèces distinctes, mais
où l’on rencontre beaucoup d’espèces proche-alliées, on observe aussi beaucoup de formes rangées par quelques naturalistes comme de
ère spécifique166. Ce fait, joint à ce que les graines et les œufs de beaucoup de formes inférieures sont très petits, et conséquem
nts. Nous sommes d’ailleurs amenés à cette doctrine, adoptée déjà par beaucoup de naturalistes, sous le nom de Centres uniques de c
17 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article »
rançoise est le premier Ouvrage qui ait paru en ce genre ; il suppose beaucoup de travail, beaucoup de recherches, mais les inexact
er Ouvrage qui ait paru en ce genre ; il suppose beaucoup de travail, beaucoup de recherches, mais les inexactitudes en affoiblisse
18 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre XVII. Morale, Livres de Caractéres. » pp. 353-369
hicane. Les autres écrits de Nicole ne valent pas celui-ci ; il offre beaucoup de vérités communes exprimées longuement ; quoiqu’on
mme l’a dit un homme d’esprit. Les bons livres de morale ont toujours beaucoup de succès ; c’est ce qui a si fort multiplié le nomb
cule. Depuis que l’égoïsme est devenu le ton du siécle, nous avons eu beaucoup de livres de morale & de caractères où l’on pren
une amie & les Caractères, par Mme. de Puisieux, sont écrits avec beaucoup de légéreté. Le pinceau d’une femme se fait remarque
19 (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Vernet  »
s les objets. Il y a toujours un grand travail ; une grande variété ; beaucoup de vérité ; beaucoup de talent ; mais on dirait volo
toujours un grand travail ; une grande variété ; beaucoup de vérité ; beaucoup de talent ; mais on dirait volontiers en les regarda
20 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre V. De la littérature latine, pendant que la république romaine durait encore » pp. 135-163
ionner, quand il est dispensé de découvrir. Le paganisme romain avait beaucoup de rapport avec le paganisme grec. Les préceptes des
s, à ce que le monde connu n’existait pas depuis longtemps. On trouve beaucoup de longueurs dans de certains sujets, de l’ignorance
u des rapports continuels avec Rome ; la langue latine avait emprunté beaucoup de mots et de règles grammaticales du grec éolique,
e que, pour qu’il existât un philosophe comme Cicéron, il fallait que beaucoup de siècles éclairés l’eussent précédé, tandis que c’
ètes n’ont laissé aucun genre sans l’avoir essayé ; et ils ont mérité beaucoup de louanges, en osant abandonner les traces des Grec
dans Horace ni dans Cicéron, qui mettaient l’un et l’autre cependant beaucoup de prix à faire valoir la littérature latine. Aux ve
21 (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Appendice à l’article sur Gabriel Naudé »
ue l’on dit qu’il n’est plus caressé que de M. Diodati, lequel encore beaucoup de ses amis tâchent de désabuser ; et il fait tous l
uod Petrarcha quondam de Roma : Multa suorum debet mendociis. Il sait beaucoup de choses, mais superficiellement : Multa quidem sci
ondes, une longue campagne, avec de la polémique de temps en temps et beaucoup de portraits analytiques et descriptifs ; — une guer
22 (1874) Premiers lundis. Tome I « Mémoires du marquis d’Argenson, ministre sous Louis XV »
se dispersèrent avec douleur ; beaucoup d’esprits furent découragés, beaucoup de projets demeurèrent imparfaits ; seul peut-être,
rs triviale ; il arrive donc souvent aux saillies à force de sens, et beaucoup de ses comparaisons sont piquantes parce, qu’elles s
rs des Perses, du moins celles de l’hôtel de Rambouillet ; il faisait beaucoup de cas de Balzac et fort peu de Voiture ; il croyait
23 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre VI. Des dictionnaires Historiques » pp. 220-228
historique en 1673. in-fol. Ce n’est pas que l’auteur ne se fût donné beaucoup de peine pour compiler tout ce qui pouvoit avoir rap
. un Dictionnaire historique portatif, en deux volumes in-8°. qui eut beaucoup de succès. On sentoit bien que ce livre étoit imparf
ugmentée d’un très grand nombre d’articles nouveaux, & revue avec beaucoup de soin. M. de Bonnegarde a publié cette même année,
24 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Introduction »
incomplet. Je suis obligé d’y exposer mes idées sans les appuyer sur beaucoup de faits ou de citations d’auteurs, et je me vois fo
vivent autour de nous, on ne peut s’étonner de ce qu’il reste encore beaucoup de choses inexpliquées au sujet de l’origine des esp
écu pendant toutes les époques géologiques écoulées. Bien qu’il reste beaucoup de choses obscures, et qui resteront telles longtemp
25 (1864) Cours familier de littérature. XVII « XCIXe entretien. Benvenuto Cellini (1re partie) » pp. 153-232
cagnolo pour le lui faire voir, par le jeune Paulin, qui lui dit avec beaucoup de grâce : M. Lucagnolo, Benvenuto vous envoie ce qu
a main, et je le quittai. Le pape Clément, qui avait vu mon vase, rit beaucoup de cette scène qui lui fut rapportée, et déclara hau
te scène qui lui fut rapportée, et déclara hautement qu’il me voulait beaucoup de bien ; ce qui rabattit beaucoup la fierté de mon
et, par le derrière de celle de Saint-Ange, nous arrivâmes, non sans beaucoup de peine, à la porte du château. Là, Rienzo de Cerri
rins. La première opération qu’il fit fut de venir à moi, de me faire beaucoup de caresses, et de me donner cinq bonnes pièces d’ar
tu auras reçu la communion, viens me retrouver, parce que je te veux beaucoup de bien. « Quand j’eus fini avec le pape, M. Salviat
fait lui-même. « Quand je sortis du palais avec Jacopin, il témoigna beaucoup de curiosité pour savoir ce que j’avais dit à Sa Sai
int rares dans ce pays. À la Selciata, je me défendis contre eux avec beaucoup de courage, et je m’en débarrassai. Quelques jours a
t fer qui s’y trouvait me déchira la main droite ; et, sans ressentir beaucoup de mal, ma main versait beaucoup de sang. « Étant en
la main droite ; et, sans ressentir beaucoup de mal, ma main versait beaucoup de sang. « Étant entré dans l’hôtellerie, je montai
avec ses gens, et, avec des paroles plus douces, me fit reporter avec beaucoup de ménagement, à cause de ma jambe, au lieu où ils m
si j’eusse été un vrai dragon. Le capitaine me dit : Nous venons ici beaucoup de gens armés, et avec grand bruit ; et vous ne daig
ui. On ne le reçut plus comme autrefois. Lamartine. 5. On y voit beaucoup de monuments de marbre, et de peintures de Cimabue e
26 (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « DES MÉMOIRES DE MIRABEAU ET DE L’ÉTUDE DE M. VICTOR HUGO a ce sujet. » pp. 273-306
tte à la statue et qui va s’élargissant chaque jour, couvre déjà pour beaucoup de spectateurs éblouis ces hideux aspects, mais ne l
rables dans le Saint-Simonisme ; mais ce souci que j’indique a usurpé beaucoup de place. Il y a donc eu, et il y a en ce moment abu
loppée sur la fin des loisirs de la Restauration et se poussant parmi beaucoup de pressentiments plus vrais de l’art de l’avenir. D
rts, et les torts plus méchants que le fond. Quant à sa vie publique, beaucoup de révélations successives avaient été faites, et av
ncues qu’on peut bien vouloir traquer, mais qu’on ne décourage guère. Beaucoup de gens s’apitoyaient récemment sur M. Victor Hugo ;
étails de sa vie et de ses aventures guerrières, il fallut à son fils beaucoup de soin et d’attention à se les procurer : car ce n’
ach ici que comme un homme d’esprit, éclairé quoique amateur, sachant beaucoup de faits de la science physique d’alors, n’ayant pas
ombreux sur les matières économiques, son Voyage en Italie, attestent beaucoup de justesse, de finesse et de connaissances ; ses de
27 (1875) Premiers lundis. Tome III « Instructions sur les recherches littéraires concernant le Moyen Âge »
crits, traitant de matières philosophiques, on n’aura pas à s’occuper beaucoup de ce qui peut s’être fait avant le xiie  siècle, 1º
des recherches patientes et bien dirigées, on arriverait à retrouver beaucoup de choses précieuses et nouvelles. Dans les siècles
n. Le xviie  siècle lui-même nous offre, dans la Bibliothèque du roi, beaucoup de morceaux inédits du père Lami, de l’Oratoire, élè
mmun de ces temps, mais aussi à l’étude philologique de notre langue, beaucoup de mots français, d’expressions françaises, plus ou
28 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 269-270
usieurs à sa bizarre destinée. Mais il est certain qu’il s’est attiré beaucoup de disgraces, par son imprudence & l’inquiétude
nces de sa conduite n’empêchent pas qu’on ne doive reconnoître en lui beaucoup de talent. Le Testament du Cardinal Alberoni, &
29 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 11, que les beautez de l’execution ne rendent pas seules un poëme un bon ouvrage, comme elles rendent un tableau un ouvrage precieux » pp. 71-72
comme des peintres dont je viens de parler. Le public ne fait jamais beaucoup de cas des ouvrages d’un poëte qui n’a pour tout tal
la prononciation le bruit que le sens de ces vers décrit, pour donner beaucoup de réputation au poëte qui ne sçauroit pas faire aut
30 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Quatrième partie. Élocution — Chapitre XI. De l’ignorance de la langue. — Nécessité d’étendre le vocabulaire dont on dispose. — Constructions insolites et néologismes »
et les syllabes, et qui en craint la dépense, a introduit en français beaucoup de barbarismes. Démissionner est venu remplacer donn
ner a chassé faire impression. En même temps, par un effet contraire, beaucoup de mots s’allongeaient, comme si l’ancien mot, par l
que je veux aussi approfondie, aussi vaste que possible. Elle demande beaucoup de délicatesse et d’attention ; car les mots qu’on e
31 (1874) Premiers lundis. Tome II « X. Marmier. Esquisses poétiques »
s 1831. Sous ce titre modeste, le petit volume de M. Marmier renferme beaucoup de pièces pleines de grâce et de naturel. Comme tous
urs été un ami sûr » ; et il ajoutait en souriant. « mais il a trompé beaucoup de femmes. » — Ceci rappelle la réponse du prince de
32 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 374-376
onnoît à présent que sa Pharsale, dont on a dit, dans tous les temps, beaucoup de bien & beaucoup de mal, & qui fournit éga
Pharsale, dont on a dit, dans tous les temps, beaucoup de bien & beaucoup de mal, & qui fournit également matiere à la lou
33 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XV. De l’imagination des Anglais dans leurs poésies et leurs romans » pp. 307-323
c les hommes réunis en société dans le seul but de se plaire. Il y a beaucoup de fautes de goût dans un poëme de Pope, qui était d
e savoir parler la langue des affections profondes ; faut-il attacher beaucoup de prix à tout le reste ? Quelle sublime méditation
es distinguées par leur esprit ou par leur rang, avaient, en général, beaucoup de gaieté ; mais la gaieté des premières classes de
r le trouble de l’âme. Les Anglais peuvent se permettre en tout genre beaucoup de hardiesse dans leurs écrits, parce qu’ils sont pa
34 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre I. Place de Jésus dans l’histoire du monde. »
nt des milliers d’années, s’égara de la manière la plus étrange. Chez beaucoup de races, il ne dépassa point la croyance aux sorcie
ransformations, d’Égypte et de Syrie sont des formes extérieures sans beaucoup de conséquence, ou des scories telles que les cultes
cependant ne pouvait venir de là, parce que ces vieux cultes avaient beaucoup de peine à se détacher du polythéisme et n’aboutissa
e chronologie certaine pour les textes zends et pehlvis laisse planer beaucoup de doute sur ces rapprochements entre les croyances
35 (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série « Prosper Mérimée. »
et dégoûté un jour de la part énorme de superflu que contiennent même beaucoup de belles œuvres. Oui, la peinture des mouvements de
l faut voir comment elle naît et de quoi elle est faite. Elle suppose beaucoup de science et de désenchantement  et beaucoup de pud
est faite. Elle suppose beaucoup de science et de désenchantement  et beaucoup de pudeur et d’orgueil. Au fond de ces contes si ale
36 (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Querelles générales, ou querelles sur de grands sujets. — Première Partie. Des Langues Françoise et Latine. — De la langue Latine. » pp. 147-158
De la langue Latine. On combattit avec beaucoup de vivacité, au seizième siècle, pour & contre l
vie chez Alde-Manuce, au métier de correcteur d’imprimerie, laissoit beaucoup de fautes que l’ivresse l’empêchoit de remarquer. En
naissance passa toujours pour suspecte, & fit tenir à ses ennemis beaucoup de propos ridicules. On voit encore, à Basle, dans u
37 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 397-399
p; de l’Institution oratoire de Quintilien. Il est vrai qu’il y regne beaucoup de méthode, beaucoup d’érudition, beaucoup de citati
Il est vrai qu’il y regne beaucoup de méthode, beaucoup d’érudition, beaucoup de citations, beaucoup d’observations ; mais les Ouv
38 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 416-419
t de discernement que de succès. En suivant cette méthode, qui prouve beaucoup de sagacité, beaucoup de connoissances, il est parve
de succès. En suivant cette méthode, qui prouve beaucoup de sagacité, beaucoup de connoissances, il est parvenu à donner non seulem
39 (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Challe  » pp. 141-142
sagesse de l’art antique. Il faut avoir beaucoup vu de bas reliefs ; beaucoup de médailles ; beaucoup de pierres gravées. Le Socra
e. Il faut avoir beaucoup vu de bas reliefs ; beaucoup de médailles ; beaucoup de pierres gravées. Le Socrate est la seule figure t
40 (1903) Considérations sur quelques écoles poétiques contemporaines pp. 3-31
ntre Ronsard et son école : « Un poète récita de ses vers et je pris beaucoup de plaisir à voir sa contenance… Or, les poètes prés
contenance… Or, les poètes présents émirent de grosses disputes pour beaucoup de choses de néant où ils s’attachoient et laissoien
uelque rêveur qu’ils suivoient en tout et partout… Ils vinrent à dire beaucoup de mots anciens, qui leur sembloient fort bons et tr
eur coryphée, en avoit défendu l’usage. Tout de même, en disoient-ils beaucoup de choses louables, nous renvoyant encore à ce maîtr
eux, un poète à rimes insuffisantes ne vaut rien, témoin Musset, que beaucoup de Parnassiens, — sinon peut-être tous, — n’aiment p
41 (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre II — Chapitre premier »
és d’amour et de morale ; sa gravité, sa réputation de vertu, donnent beaucoup de poids à ses avis. De là une quantité d’idées déli
ité d’idées délicates, d’observations fines, exprimées avec grâce, et beaucoup de créations charmantes dans la langue des sentiment
guerite n’a que le talent d’écrire d’un esprit bien doué, préparé par beaucoup de culture, mais auquel le génie a manqué. Il faut m
miracles. Par un tour d’esprit charmant que rend d’autant plus malin beaucoup de bonté au fond, dame Oysille, après un récit où fi
e qu’il avait dû lire dans le texte même : Turpe senilis amor. Il y a beaucoup de traits communs dans la vie de Marot et celle de V
d’avoir sauvé sa pel par une requête en grâce faite à propos, montre beaucoup de verve et d’originalité. Marot parlant fièrement à
42 (1867) Le cerveau et la pensée « Chapitre I. Les travaux contemporains »
himérique même qu’ait paru la phrénologie, et quoiqu’il s’y soit mêlé beaucoup de charlatanisme, c’est elle cependant qui a été le
vraie voie, et même qu’il n’ait établi certains faits importants avec beaucoup de solidité ; en un mot, il est impossible de traite
ie de M. Longet et son Traité du système nerveux, où nous avons puisé beaucoup de faits ; mais l’ouvrage le plus riche et le plus c
43 (1899) Esthétique de la langue française « La métaphore  »
et en portugais, cabrite. Le chevron se dit en polonais koziel, bouc. Beaucoup de ces mots ont également servi à former des dérivés
former des dérivés dont le sens, tout métaphorique, est identique en beaucoup de langues. Un animal qui a échappé à la métamorphos
ée186 et son nom populaire français, goutte de sang, lui est donné en beaucoup de pays. On trouve en Italie gozze de sangue (Vérone
en français fourmillon. Comme l’idée de fourmi-lion se retrouve dans beaucoup de langues d’Europe, son absurdité doit sans doute ê
i de la fleur. NdA 187. Graine noire » est le nom de la nielle dans beaucoup de dialectes arabes. NdA 188. Le latin d’officine
s noms de toutes les plantes de son pays ; dans la liste que j’ai vue beaucoup de mots sont des déformations évidentes des noms du
orpetto ; etc. NdA 196. Corps, pour corset, est resté en usage dans beaucoup de provinces, notamment dans le centre (Glossaire de
44 (1809) Quelques réflexions sur la tragédie de Wallstein et sur le théâtre allemand
en une seule les trois pièces de l’original. Cette entreprise offrait beaucoup de difficultés ; une traduction, ou même une imitati
petites circonstances répandent dans le tableau présenté de la sorte beaucoup de vie et de vérité. Dans le Goetz de Berlichingen d
la Fiancée de Messine, toujours de Schiller. Je m’y étais rendu avec beaucoup de préjugés contre cette imitation de l’antique. Néa
vrage destiné à faire connaître le théâtre allemand, et j’ai supprimé beaucoup de petits incidents de la nature de ceux dont j’ai p
superstition, par une force mystérieuse dont il ne peut s’affranchir. Beaucoup de gens n’y voient qu’une faiblesse puérile. Je suis
Richard III réunit à ces vices, qui sont de nécessité dans son rôle, beaucoup de choses qui ne peuvent appartenir qu’à lui seul. S
sous le second, il est commun à l’homme et à Dieu. Il en résulte que beaucoup de choses qui nous paraissent des inconvenances, par
45 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 12, des masques des comédiens de l’antiquité » pp. 185-210
n oeil bleu et l’autre noir. Les masques des anciens mettoient encore beaucoup de vraisemblance dans ces pieces excellentes, où le
cette supposition est si peu vraisemblable parmi nous, que nous avons beaucoup de peine à nous y prêter. Dans la representation des
Son geste étoit vif, ses mouvemens étoient empressez, et il hazardoit beaucoup de choses capables de faire siffler un autre que lui
s et sur les representations. Ils nous auroient du moins instruits de beaucoup de choses que nous ignorons, s’ils ne nous avoient p
46 (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « L’empire russe depuis le congrès de vienne »
ver, toute la force de l’empire russe est soupçonnée de n’être, comme beaucoup de choses, qu’une simple question de clair-obscur. U
Beaumont-Vassy est un de ces esprits qui peuvent toucher impunément à beaucoup de sujets et les laisser exactement à la place où il
redoutables diplomates, mais, sans caractère comme tous ceux qui font beaucoup de personnages, ils n’ont à eux ni leur élégance, ni
! Bien avant ce moment, on y verra des académies, et même des gens de beaucoup de talent et à leur manière des écrivains, mais cela
47 (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Charles Monselet »
ssentielles du poète, il a (comme nous allons le voir tout à l’heure) beaucoup de celles du romancier et du conteur. Non ! il n’est
i qui est un panier fleuri11 d’érudition littéraire. Il nous citerait beaucoup de vers charmants et perdus, qui n’ont pu parvenir à
t le pivot sur lequel il s’amuse à faire tourner, et quelquefois avec beaucoup de souplesse de grâce, les divers épisodes d’une com
ciosité (Monselet s’est aussi comparé à Voiture), avec la fausseté de beaucoup de rapprochements qui ont trompé un œil qu’on ne tro
48 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre XII. Des livres de jurisprudence » pp. 320-324
u’on a ajouté aux nouvelles. Tous les écrits de M. d’Héricourt ont eu beaucoup de succès. On trouvera beaucoup de choses relatives
s les écrits de M. d’Héricourt ont eu beaucoup de succès. On trouvera beaucoup de choses relatives au droit canonique dans ses Œuvr
49 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre IX : Insuffisance des documents géologiques »
ngs intervalles de temps. Cette opinion a été chaudement soutenue par beaucoup de géologues et de paléontologistes, qui, comme F. F
mais encore toute la série des terrains paléozoïques supérieurs. Dans beaucoup de régions, les roches métamorphiques et granitiques
pèces distinctes. On sait sur quelles différences presque insensibles beaucoup de paléontologistes ont fondé leurs espèces, et ils
et pouvoir constater. Ainsi les derniers dépôts tertiaires renferment beaucoup de coquilles que la majorité des naturalistes croien
; et, au contraire, pendant les périodes de soulèvement, il y aura eu beaucoup de variations ; mais, d’autre côté, les documents gé
lles se trouveront enfouies dans un autre étage de la même formation, beaucoup de paléontologistes, suivant les principes actuels,
ns, si près voisins qu’ils soient, n’en seraient pas moins rangés par beaucoup de paléontologistes comme autant d’espèces distincte
pparence consécutives, intervalles peut-être plus longs cependant, en beaucoup de cas, que le temps qui a été nécessaire à l’accumu
dans la bataille de la vie ; car ils existent en grand nombre et sous beaucoup de formes spécifiques diverses. Je ne suppose pourta
ongtemps avant cette époque géologique, et qui différait probablement beaucoup de tous les animaux connus. Quelques-uns des fossile
50 (1874) Premiers lundis. Tome I « Diderot : Mémoires, correspondance et ouvrages inédits — II »
Voland en a un peu plus de quarante-cinq. Il y a toujours sans doute beaucoup de tendresse et de douce intimité dans les lettres d
et nous y étions encore à une heure et demie du matin. Nous parlâmes beaucoup de M***, je lui prédis qu’avant trois mois elle en e
tion que son secrétaire avait été chargé de lui demander : « On parle beaucoup de la statue de Voltaire et elle se fera. Il paraît
51 (1874) Premiers lundis. Tome II « Doctrine de Saint-Simon »
à la surface, et qui rayonne par le fond ; une clarté profonde, sans beaucoup de transparence ; une pensée solidaire qui se manife
ci de l’écorce ; une allure simple, grave, un peu enveloppée, faisant beaucoup de chemin sans affecter beaucoup de mouvement ; souv
e, grave, un peu enveloppée, faisant beaucoup de chemin sans affecter beaucoup de mouvement ; souvent de ces mots brefs et compréhe
52 (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préfaces de « Han d’Islande » (1823-1833) — Préface de 1833 »
ans le roman en particulier, pour qu’il soit bon, il faut qu’il y ait beaucoup de choses senties, beaucoup de choses observées, et
pour qu’il soit bon, il faut qu’il y ait beaucoup de choses senties, beaucoup de choses observées, et que les choses devinées déri
53 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre XI. Des Livres sur la Politique & le Droit Public. » pp. 315-319
vre a amusé les lecteurs frivoles & instruit les penseurs. Il y a beaucoup de choses, vraies, hardies & fortes. Plusieurs c
que ses idées systématiques sur le climat, sur la religion, souffrent beaucoup de difficultés ; que tout le livre est fondé sur une
54 (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « Appendice »
isissait point l’Atréide Agamemnôn, prince des peuples, et il roulait beaucoup de pensées dans son esprit.‌ De même que l’Epoux de
] Ne tenait pas Agamemnon fils-d’Atrée,‌ Pasteur des peuples, Agitant beaucoup de pensées‌ Dans son esprit. Et comme lorsque l’épou
55 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Parodi, D.-Alexandre (1842-1902) »
 La Reine Juana (1893). OPINIONS. Francisque Sarcey Il y a beaucoup de talent, mais beaucoup de talent dans cette œuvre
OPINIONS. Francisque Sarcey Il y a beaucoup de talent, mais beaucoup de talent dans cette œuvre nouvelle (Ulm le Parricid
56 (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « Francisque Sarcey »
maire… il faudrait, comme on dit en vers latins, une bouche de fer et beaucoup de temps devant soi pour énumérer seulement les suje
écile pour ne pas saisir ! Et de là, peut-être, le grand reproche que beaucoup de nigauds et même de gens d’esprit lui font : « Est
t là tout son fait. Il est de bonne race gauloise. Et à cause de cela beaucoup de choses, sans échapper à son intelligence, restent
omme il est très sincère, il nous a confessé lui-même qu’il avait mis beaucoup de temps à goûter la poésie de Victor Hugo, celle du
ïveté de réclamer au théâtre la vérité complète. Mais il leur faut ou beaucoup de poésie ou beaucoup d’observation ou beaucoup d’es
matières, précisé et jeté dans la circulation une foule d’idées dont beaucoup de critiques se servent sans le dire, et même ceux q
57 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre II. Des poëtes étrangers. » pp. 94-141
ou plûtôt une imitation du Roland Amoureux. Il a été forcé d’y faire beaucoup de changemens. Le Poëte italien, très-ignorant en Gé
fond de morale philosophique. On y sent un homme dont la vie a essuyé beaucoup de traverses, & qui a formé son jugement dans l’
équent languissantes, des scènes dont l’excessive prolixité fatigue ; beaucoup de jeux de mots reprouvés dans notre langue. D’aille
gardé comme un des beaux monumens de la langue italienne. On y trouve beaucoup de feu, d’imagination & de gaieté. Rien de plus
in-12. six vol. 1749. 1754. Les changemens que le traducteur a fait à beaucoup de piéces, rend la lecture des ouvrages anglois beau
ieux, ils mettent tout en sentiment. On a traduit depuis quelque tems beaucoup de productions des Muses germaniques. Sans parler du
58 (1913) La Fontaine « III. Éducation de son esprit. Sa philosophie  Sa morale. »
peu plus tard, semble-t-il, il s’est mis à Horace, puisqu’il dit avec beaucoup de netteté : Horace, un peu plus tard, me dessilla
avis très réel. Cependant, La Fontaine admet, et semble admettre avec beaucoup de complaisance et de plaisir, la notion de la Provi
la notion de la Providence, mais cette notion revient très souvent, à beaucoup de reprises, dans ses fables. Ai-je besoin de vous c
iter sait mieux ce qu’il nous faut que nous autres. Je pourrais citer beaucoup de fables dans le sens de la croyance en la Providen
oujours, le travail. Il faut travailler. La Fontaine n’a pas consacré beaucoup de fables à cette idée morale, mais il en a consacré
hées aux fonctions élevées, et où tout cela est exposé avec, non plus beaucoup de bonhomie, mais avec beaucoup d’éloquence, et d’él
59 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XXI. Dernier voyage de Jésus à Jérusalem. »
r sensible et bon de Jésus réussit à se créer un asile où il jouit de beaucoup de douceur. Après avoir passé la journée aux dispute
e trois personnes, deux sœurs et un frère, dont l’amitié eut pour lui beaucoup de charme 957. Des deux sœurs, l’une, nommée Marthe,
« Marthe, Marthe, lui disait Jésus, tu te tourmentes et te soucies de beaucoup de choses ; or, une seule est nécessaire. Marie a ch
ans tact lui font subir 972. En général, il se tirait d’embarras avec beaucoup de finesse. Ses raisonnements, il est vrai, étaient
60 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre II. Des livres de géographie. » pp. 5-31
varie toujours utilement ou agréablement leurs rélations. Nous avons beaucoup de voyages de France, d’Italie, de Grèce ; mais celu
de choses & de sens, de raison, de philosophie, de vues, que dans beaucoup de gros volumes, où la forme est absorbée par la mat
de l’Egypte n’auroit pas été moins estimable, si l’on avoit supprimé beaucoup de phrases inutiles, & un grand nombre de détail
; mais il est plus ingénieux que sensé ; & s’il y a dans ce livre beaucoup de choses intéressantes, il y a aussi un grand nombr
61 (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. LOUIS DE CARNÉ. Vues sur l’histoire contemporaine. » pp. 262-272
et à des affections monarchiques très-profondes ; beaucoup d’études, beaucoup de modération, quoique dans la première et fervente
x soutiens. Nous aimons de tels ouvrages, parce que, s’il en naissait beaucoup de cette sorte dans des rangs qui ne sont pas les nô
es et pratiquées d’un chacun, offriront sans doute, surtout au début, beaucoup de variété et de bigarrure ; mais il suffira qu’on s
62 (1874) Premiers lundis. Tome II « E. Lerminier. De l’influence de la philosophie du xviiie  siècle sur la législation et la sociabilité du xixe . »
dents ouvrages, M. Lerminier y a été sévère, et il a paru toutefois à beaucoup de lecteurs trop préoccupé d’un soin qu’il vaut mieu
ach ici que comme un homme d’esprit, éclairé quoique amateur, sachant beaucoup de faits de la science physique d’alors, n’ayant pas
ombreux sur les matières économiques, son Voyage en Italie, attestent beaucoup de justesse, de finesse et de connaissances ; ses de
63 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre II. Enfance et jeunesse de Jésus. Ses premières impressions. »
uait. Cette province comptait parmi ses habitants, au temps de Jésus, beaucoup de non-Juifs (Phéniciens, Syriens, Arabes et même Gr
, la ville de Nazareth, au temps de Jésus, ne différait peut-être pas beaucoup de ce qu’elle est aujourd’hui 110. Les rues où il jo
s pays sémitiques. Les maisons, à ce qu’il semble, ne différaient pas beaucoup de ces cubes de pierre, sans élégance extérieure ni
64 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 381-387
que M. de la Mothe étoit un homme qui avoit eu le talent de se faire beaucoup de partisans dans la Société. Nous aimons mieux croi
a Mothe où les talens de cet Académicien nous ont paru appréciés avec beaucoup de justesse & de sagacité. C’est dommage que le
65 (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Étienne Dolet, et François Floridus. » pp. 114-119
ançois I, jusqu’en 1539, sans compter des harangues, des traductions, beaucoup de critiques, quatre livres de poësies, intitulées P
mposé par celui-ci. Dolet crut entrevoir dans ce livre, qui fit alors beaucoup de bruit, des idées contraires aux siennes. Il attaq
66 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre IV. Des Ecrits sur la Poétique & sur divers autres genres de Littérature. » pp. 216-222
Poésie & la Peinture en 3. vol. in-12., par l’Abbé du Bos, ont eu beaucoup de lecteurs. Les savans se sont un peu refroidi depu
éclairé & philosophe. Il y a dans le traité des Etudes de Rollin beaucoup de choses relatives à la Poésie. Mais cet auteur, ab
67 (1925) La fin de l’art
urs thèmes, par exemple celui de la transmutation des métaux ; il y a beaucoup de différence entre les deux séries de recherches, m
ble, qu’un accroc peut disqualifier, pour un tableau qui a déjà perdu beaucoup de beauté originelle et qui en perdra un peu tous le
its contemporains que se constate surtout cette absence de sentiment. Beaucoup de gens qui écrivent arrivent facilement à dire tout
appris avec plaisir que celui-ci était né en 1813. On parlait encore beaucoup de lui au temps de ma jeunesse. Ce fut même son gran
it, un nommé Jean Laforgue, professeur de français à Dresde. On a dit beaucoup de mal de lui, qu’il a défiguré le texte de Casanova
is fréquenté les courtisanes ou s’en est aussitôt repenti. S’il avait beaucoup de vulgarité, il avait aussi une certaine délicatess
sont des lettres de Verlaine et cela suffit. Il n’avait pas toujours beaucoup de distinction dans sa prose et il y en a moins que
de la vie et sur lesquels la vie n’a laissé aucune empreinte, il faut beaucoup de complaisance pour faire semblant de ne pas les mé
decins ne comprirent pas ce mécanisme physiologique et persuadèrent à beaucoup de leurs clients de ne boire que de l’eau : les cas
ception des races, opposée à la conception des nationalités, mettrait beaucoup de trouble dans les esprits et dans les manuels hist
une petite division du territoire français. Cela tient aussi à ce que beaucoup de noms de départements sont très mauvais : Seine-In
68 (1908) Promenades philosophiques. Deuxième série
, le moindre instinct conservateur du feu. Le chat et le chien, comme beaucoup de carnassiers et de rongeurs, savent cacher en lieu
hypothèse, si l’on accorde aux mythes quelque lien avec la réalité : beaucoup de peuples se reconnaissaient comme les enfants d’un
emps qu’il découvre la nature. Or, ce qu’il a trouvé une fois, il y a beaucoup de chances pour qu’il ne le retrouve pas une seconde
renne sculpté et gravé avec une pointe de silex11, se rapproche déjà beaucoup de la civilisation antique ; elle connaît l’essentie
s les traces de travail, fort douteuses. J’ai examiné la vitrine avec beaucoup de soin et je crois que le doute est, en effet, des
voici que la température, vers le début du pléistocène, se refroidit. Beaucoup de grands mammifères herbivores s’éteignent ; d’autr
qui favorisa l’expansion des herbivores, les graminées reculèrent et beaucoup de leurs espèces ont vraisemblablement disparu : le
la préhistoire, le premier fondeur, le premier forgeron ? J’étonnerai beaucoup de lecteurs en disant que les premiers âges de l’hum
matière à une pure conception de l’esprit. Une encyclopédie, qui cite beaucoup de ses ouvrages, omet son œuvre capitale, sa Philoso
philosophes. Le Dictionnaire des sciences philosophiques conclut avec beaucoup de naïveté : « Il est aisé de voir le vice de cette
que l’on en peut tirer. » Or voici que ces mêmes hommes tentent, avec beaucoup de maladresse d’ailleurs, de détourner à leur profit
es résultats d’une nouvelle théorie scientifique qui commence à faire beaucoup de bruit dans le monde, la loi de constance vitale.
préparations, voici l’esprit de vin ! Cette opération est admirable. Beaucoup de personnes croient que, dans la pratique, elle a d
rfait de la femme à l’aise, que rien ne trouble jamais, réplique avec beaucoup de raison à son amant : « Vous saviez bien que j’éta
le mariage légal, coûteux et compliqué ? C’est ce que se disent aussi beaucoup de personnes dans les milieux où les préjugés ne son
ner au vieux Ducis des idées galantes Le vin a facilité le travail de beaucoup de poètes. C’est l’ivresse du vin qui mettait en éta
percevons pas, ou que nous ne percevons que quand ils sont accomplis. Beaucoup de personnes font tous les jours la même chose. Elle
rondelles dans les lèvres, le tatouage sont des pratiques totémistes. Beaucoup de sauvages se font tatouer sur la poitrine l’image
a plupart des petits insectes. Pline, quoique très bien renseigné sur beaucoup de points, est donc très loin d’avoir l’idée de la c
écond est encore la confiance en soi-même. Utilité des paysages Beaucoup de Français, à cette heure, se désintéressent de l’a
es. Alors, à quoi bon les entretenir ? Il faut le reconnaître, il y a beaucoup de sagesse dans ce raisonnement populaire, et les ar
ulent faire sa connaissance. Il faut lui plaire, et pour cela montrer beaucoup de docilité, beaucoup de patience. Des présomptueux,
sance. Il faut lui plaire, et pour cela montrer beaucoup de docilité, beaucoup de patience. Des présomptueux, tous les étés, arrive
part des Ligures. En leur langue, ils appelaient Faune qui accompagne beaucoup de rivières, alisos, alsia ou alison  ; ils donnèren
land, la Glane ; de vernos, aune, ils ont, comme les Ligures, baptisé beaucoup de rivières, le Vern, le Vernaison, le Vernazon ; de
 ; mais l’instinct suffirait peut-être à faire leur éducation. Il y a beaucoup de curieuses observations dans la première partie du
isse. Alors il devient un chat à demi-sauvage, très coureur et, comme beaucoup de ses pareils, il meurt dans une aventure amoureuse
ton de la caresse. Le chat n’est pas le mieux doué sous ce rapport : beaucoup de chats n’arrivent même pas à répondre à leur nom,
bon exemple. Le sadisme Il y a des crimes devant lesquels on a beaucoup de peine à garder son sang-froid. Un monstre surgit
poux est tout petit et que les araignées n’ont pas coutume de montrer beaucoup de sensibilité : ayant accompli sa fonction, ce pauv
compagne affamée qu’une nourriture vivante, comme les mouches. Il y a beaucoup de cruauté dans la nature, surtout parmi les insecte
responsables. Psychologie du goût On a fait ces temps derniers beaucoup de recherches sur l’alimentation rationnelle. Connai
69 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre X. Prédictions du lac. »
geant l’homme a une lutte perpétuelle contre le dehors, font attacher beaucoup de prix aux recherches du bien-être et du luxe. Au c
 492 ! Le brigandage, qui était très enraciné en Galilée 493, donnait beaucoup de force à cette manière de voir. Le pauvre, qui n’e
de Jésus à l’oreille de Marthe : « Marthe, Marthe, tu t’inquiètes de beaucoup de choses ; or une seule est nécessaire. » Grâce à J
70 (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Fontenelle, et le père Baltus. » pp. 2-16
é du raisonnement à un stile qui lui est particulier & qui a fait beaucoup de mauvais imitateurs ; ayant plus d’esprit que de g
me qu’il lui plaisoit de nommer par la bouche de Tirannus son prêtre. Beaucoup de femmes avoient reçu cet honneur avec respect. » A
âtarde. Mais tout le bien qu’on dit de la première reine, est mêlé de beaucoup de reproches qu’on lui fait. « Mréo vouloit que tous
71 (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Auguste de Chatillon. À la Grand’Pinte ! »
oup de bon vin la récompense ! » Évidemment, chez ce M. de Châtillon, beaucoup de pensées, — celles-là que le cœur garderait, — son
commence par la strophe : Je veux décrire une merveille Intéressant beaucoup de nous ; C’est une maison sans pareille, Comme il d
e alors qu’on n’a plus faim ! Le vers n’est pas mauvais et il en est beaucoup de cette tournure en ces poésies de cabaret qui ont
72 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre VI. Des Livres qui traitent de la Rhétorique. » pp. 294-329
gard de l’ordre & de la méthode, la Rhétorique de M. Gibert tient beaucoup de celle d’ Aristote ; & M. Rollin semble s’être
1688. in-12. par le P. Bouhours, confrere du Pere Rapin, offre aussi beaucoup de pensées plus brillantes que solides. On y donne d
bonnes raisons. Aussi tous ses lecteurs ne sont-ils pas de son goût. Beaucoup de pensées qu’il approuve, qu’il loue, ne paroissent
pellé son livre le Dictionnaire des Pensées fines, parce qu’il y en a beaucoup de ce genre, & qu’il peut servir à en faire naît
usieurs autres sujets que nos meilleurs Prédicateurs ont traités avec beaucoup de solidité. Il convient de l’importance des Sermons
73 (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « GLANES, PÖESIES PAR MADEMOISELLE LOUISE BERTIN. » pp. 307-327
anciennes, décorées et embellies encore par le souvenir. Oui, quoique beaucoup de ces pièces nous arrivent datées depuis 1840, on e
aimerais mieux Glanures) : c’est dire que la moisson est faite ; mais beaucoup de ces épis, tant ils sont mûrs, auraient pu être de
matin pour chasser le sanglier, et je suis rentré le soir ayant pris beaucoup de cigales. » Mais les cigales sont harmonieuses. — 
enommée finale des poëtes actuels, leur classement définitif dépendra beaucoup de ce qui viendra après. Et ils ont intérêt, chose s
74 (1867) Le cerveau et la pensée « Chapitre III. Le cerveau chez l’homme »
e corrélation incontestable entre le cerveau et la pensée, mais aussi beaucoup de faits contradictoires et embarrassants. D’abord,
ordre des poids cérébraux. M. Broca discute ces différents faits avec beaucoup de sagacité et d’adresse, et il essaye de leur faire
s poissons, qui ne passent pas pour de très grands penseurs, contient beaucoup de phosphore. De plus M. Lassaigne, qui a analysé de
race nègre a donné un correspondant à l’Institut30 ; connaissez-vous beaucoup de singes dont on puisse en dire autant ? Je suis d’
75 (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — Essai, sur, les études en Russie » pp. 419-428
e sans pratique. On monte dans ces gymnasia de classe en classe avec beaucoup de solennité. Ordinairement les écoles sont sous l’i
langues anciennes pourrait être abrégée considérablement, et mêlée de beaucoup de connaissances utiles. En général, dans l’établiss
elle la promotion, qui se fait tous les ans dans les universités avec beaucoup de cérémonies. Indépendamment des examens, le candid
Oxford, d’Edimbourg, de Glasgow. Il y aura peut-être dans leurs plans beaucoup de pédanteries ; mais Dieu, qui a favorisé son ointe
76 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XII. Du principal défaut qu’on reproche, en France, à la littérature du Nord » pp. 270-275
t l’esprit. Le mérite négatif ne peut donner aucune jouissance ; mais beaucoup de gens ne demandent à la vie que l’absence de peine
peuvent, en Angleterre, triompher de ses défauts : mais ils diminuent beaucoup de sa gloire parmi les autres nations. La surprise e
77 (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « Furetière »
r. Son appréciation du livre de Furetière nous semble devoir fixer en beaucoup de points l’opinion sur cet homme de science et d’ac
nt la réalité, et quelquefois jusqu’au cynisme, est caractérisée avec beaucoup de bonheur par Charles Asselineau. À en croire le je
78 (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre cinquième »
rs d’autrui comme il faisait les siens. Il n’est pas besoin de savoir beaucoup de grammaire ni de Versification pour noter dans Mér
uand le poète met en scène un personnage fameux, il éveille à la fois beaucoup de curiosité et quelque crainte ; on veut voir du gr
us son travail qu’il ne l’a respecté lui-même ? Il est vrai qu’il y a beaucoup de bon dans les deux choses auxquelles il compare se
es. On n’est pas un poète tragique même de troisième ordre sans avoir beaucoup de talent ; on n’a pas beaucoup de talent sans avoir
ue même de troisième ordre sans avoir beaucoup de talent ; on n’a pas beaucoup de talent sans avoir exprimé en perfection quelques
eur. Il n’était point incapable de politique ni d’affaires ; il avait beaucoup de cet esprit qu’il a si bien défini : Esprit, rais
fre une scène à comparer à ses belles scènes. C’est ce qui prouve que beaucoup de talent ne suffit pas pour la tragédie, et qu’il f
79 (1828) Préface des Études françaises et étrangères pp. -
se, il faut de l’esprit, de la raison et de l’érudition, et qu’il y a beaucoup de tout cela en France ; tandis que pour juger la po
eaubriand et madame de Staël ont été les premiers poètes de l’époque. Beaucoup de gens s’en sont contentés ; on se contenterait à m
est-il vrai, que si les pères de la tragédie française n’ont pas créé beaucoup de personnages, ni de fables, on ne peut leur refuse
is d’excepter les caractères de chevaliers que Voltaire a tracés avec beaucoup de charme et une fidélité de couleur plus que suffis
utres titres, on nous joue perpétuellement la même chose, nous voyons beaucoup de continuateurs… En vérité, jusqu’à ce qu’il se pré
ne savent pas écrire du tout. Il en est de même de la versification. Beaucoup de personnes s’imaginent que hors de la facture de R
mot est carotte ou chien-dent… Ce qu’il y a de plus triste c’est que beaucoup de nos auteurs ont transporté ce feux langage dans l
80 (1874) Premiers lundis. Tome II « Alexis de Tocqueville. De la démocratie en Amérique. »
es digressions sentimentales auxquelles s’abandonnent trop volontiers beaucoup de nos jeunes historiens et publicistes. Il n’est pa
s un peu didactique et théorique, et procédant par formes abstraites. Beaucoup de faits et de détails historiques rejetés dans les
is entre nous. Je ne puis m’empêcher de croire qu’il existe pour nous beaucoup de points de contact et qu’une sorte d’intimité inte
81 (1913) Les antinomies entre l’individu et la société « Chapitre IX. L’antinomie politique » pp. 193-207
et de bons offices, un esprit de corps et une camaraderie qui exigent beaucoup de souplesse et d’intrigue, mais nulle originalité d
mais il compte surtout sur les associations libres. Un pays où il y a beaucoup de ces associations permet aux individus d’agir sur
rand-chose aux changements de régime politique. M. Faguet expose avec beaucoup de force l’antinomie qui existe entre le dogme de la
82 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XXII. Machinations des ennemis de Jésus. »
ie de Jésus. Au sortir de la ville, le mendiant Bartimée 1009 lui fit beaucoup de plaisir en l’appelant obstinément « fils de David
25, et il ne la perdit que l’an 36. On ne sait rien de son caractère. Beaucoup de circonstances portent à croire que son pouvoir n’
n vieux pontife, ayant gardé le secret des traditions, vu se succéder beaucoup de fortunes plus jeunes que la sienne, et conservé a
83 (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Royalistes et Républicains »
leur apporte, ils ne s’y regarderont pas ! On peut dépenser avec eux beaucoup de morale, beaucoup de brochures et beaucoup de modé
e s’y regarderont pas ! On peut dépenser avec eux beaucoup de morale, beaucoup de brochures et beaucoup de modération parlementaire
n peut dépenser avec eux beaucoup de morale, beaucoup de brochures et beaucoup de modération parlementaire, mais l’épée de Napoléon
84 (1868) Curiosités esthétiques « VII. Quelques caricaturistes français » pp. 389-419
e Vernet et de l’école, manque de liberté ; mais, en revanche, elle a beaucoup de sérieux, une dureté qui plaît, une sécheresse de
vater. Du reste, celles de ses œuvres datées de ce temps-là diffèrent beaucoup de ce qu’il fait aujourd’hui. Ce n’est pas la même f
ntelligents ont clairement vu dans ses ouvrages. Henri Monnier a fait beaucoup de bruit il y a quelques années ; il a eu un grand s
i-même les légendes de ses dessins, et quelquefois très-entortillées. Beaucoup de gens préfèrent Gavarni à Daumier, et cela n’a rie
esse du quartier latin avait subi l’influence de ses étudiants, comme beaucoup de gens s’efforcent de ressembler aux gravures de mo
85 (1919) L’énergie spirituelle. Essais et conférences « Chapitre IV. Le rêve »
omme dans la veille ? Fermons les yeux et voyons ce qui va se passer. Beaucoup de personnes diront qu’il ne se passe rien : c’est q
’est qu’elles ne regardent pas attentivement. En réalité, on aperçoit beaucoup de choses. D’abord un fond noir. Puis des taches de
le monde, et il fournit, sans aucun doute, l’étoffe où nous taillons beaucoup de nos rêves. Déjà Alfred Maury et, vers la même épo
les sensations provoquées par une lumière réelle sont à l’origine de beaucoup de nos rêves. Une bougie qu’on allume brusquement fe
e mot, ou même chaque mot de chaque phrase ? Vous ne liriez pas alors beaucoup de pages dans votre journée. La vérité est que vous
86 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 26, que les jugemens du public l’emportent à la fin sur les jugemens des gens du métier » pp. 375-381
s les illusions dont nous venons de parler, ne laissent point d’avoir beaucoup de part à la premiere réputation d’un ouvrage nouvea
e blâmer un ouvrage par ceux qui le connoissent, ils peuvent empêcher beaucoup de gens de le connoître en les détournant de l’aller
87 (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxviiie entretien. Littérature germanique. Les Nibelungen »
était appelée Kriemhilt, et c’était une belle femme ! À cause d’elle beaucoup de héros devaient perdre la vie. « De vaillants guer
pays d’Etzel. « Ils habitaient en leur puissance à Worms sur le Rhin. Beaucoup de fiers chevaliers de leurs terres les servirent, a
ait doué d’une grande force ; dans sa jeunesse, il avait aussi acquis beaucoup de gloire. « Ces trois rois étaient, comme je l’ai d
s comme vassaux des trois rois. Ceux-ci avaient encore à leur service beaucoup de héros que je ne puis nommer. « Danewart était mar
r. » « Dans la pratique des plus hautes vertus, la noble vierge vécut beaucoup de jours heureux, et elle ne connaissait personne qu
nquit en ce monde ! « Ce brave guerrier s’appelait Sîfrit ; il visita beaucoup de royaumes, grâce à son indomptable courage. Par la
gloire s’attachait à son nom, et combien son corps était beau ! Aussi beaucoup de femmes charmantes l’avaient aimé. « On l’éleva av
re, sans avoir vu la femme si digne d’amour, par qui lui vint ensuite beaucoup de bonheur et beaucoup d’affliction. « Pendant que S
é de femmes jolies. « On les voyait toutes sortir d’une grande salle. Beaucoup de héros s’y pressaient, pleins du désir de voir le
nts. « Et la mère de Kriemhilt lui offrit également ses services avec beaucoup de bonté. « Je vous dirai plus encore, ajouta l’homm
s ! Kriemhilt ne vit plus jamais son époux vivant. « Au-delà du Rhin, beaucoup de chevaux les précédaient, apportant aux chasseurs
qui en peu de temps conduisit le chef dans un endroit où se trouvait beaucoup de gibier. Les compagnons chassèrent tout ce qui se
une mort cruelle. « On leur donna lettre et message. Ils emportaient beaucoup de richesses et pouvaient vivre grandement. Etzel et
ux vous dire quel était ce Volkêr : c’était un homme de haute lignée. Beaucoup de bons guerriers du pays des Burgondes lui étaient
88 (1848) Études critiques (1844-1848) pp. 8-146
téristiques de notre opinion au sujet des romans. Il va sans dire que beaucoup de détails et même de détails importants, manquent d
er, car ces Magdeleines qui ne se repentent point, lisent d’ordinaire beaucoup de romans, et auraient eu plus d’une occasion de se
ment ; nous sommes loin de tenir les auteurs pour aussi coupables que beaucoup de gens les font. Néanmoins nous ne prétendons pas,
puis le début du livre jusqu’aux deux tiers de l’ouvrage il n’y a pas beaucoup de variantes sur ce texte aussi borné que l’individu
’un livre allemand quand il y a tant de livres français, nous aurions beaucoup de réponses très péremptoires à donner. Entre autres
pas dans les salles fermées d’un livre. Nous passerons donc à côté de beaucoup de choses, par-dessus beaucoup d’autres, et quelquef
que des Débats. M. Janin est de ce temps-ci un homme rare ; qu’il ait beaucoup de talent, qu’il en ait peu, qu’il n’en ait pas du t
dans l’esprit de M. Janin deux facultés entre autres qui lui donnent beaucoup de rapport avec l’esprit des enfants et aussi beauco
ui lui donnent beaucoup de rapport avec l’esprit des enfants et aussi beaucoup de son charme. C’est d’abord une facilité d’enthousi
e lui nier ce qu’il possède incontestablement. On a pu reprocher avec beaucoup de raison à M. Janin l’instabilité de son opinion et
éraires qui se sont soulevées autour de M. Janin ont été entachées de beaucoup de ridicule, et ce n’est pas lui qui apportait la pl
boutades curieuses et inattendues et que c’est un grand dommage qu’à beaucoup de naïveté et d’amour pour les belles choses, il ne
elle façon de traiter l’examen littéraire, il perce beaucoup d’amour, beaucoup de goût, une véritable passion pour les lettres. C’e
il ne s’attache jamais qu’à une petite partie de leur talent. Il y a beaucoup de l’antiquaire dans l’affection de M. Sainte-Beuve
89 (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Halévy, secrétaire perpétuel. »
toute sa carrière d’artiste. Une grande et belle victoire (la Juive), beaucoup de combats heureux, s’il en eut de contestés, nombre
t du mouvement, tout cela marche. Ajoutez que M. Raoul-Rochette avait beaucoup de mérite réel, beaucoup de savoir et plus solide qu
marche. Ajoutez que M. Raoul-Rochette avait beaucoup de mérite réel, beaucoup de savoir et plus solide qu’on ne l’a pensé (quelque
une grande mémoire, faisant à tout une grande attention. « Il savait beaucoup de choses, même dans les sciences, en histoire natur
90 (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « Racine — II »
iant peut-être, et comme un voyageur simplement curieux qui a déjà vu beaucoup de siècles et de pays, mais qui n’est pas las encore
es, je le demande ? Où voulaient-elles le ramener ? Différaient-elles beaucoup de l’Élégie à la voix gémissante ; Au ris mêlé de
e lui-même se serait probablement entendu avec lui pour critiquer sur beaucoup de points la diction de Molière. La sienne est scrup
ru ; il est, autant qu’aucun autre, et à force de finesse, sinon avec beaucoup de saillie, marqué au coin d’une individualité disti
91 (1899) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Septième série « Les deux Tartuffe. » pp. 338-363
t antipathique, cela ne serait rien ; il pourrait être sauvé soit par beaucoup de comique, soit par un peu de terreur. Mais il est
de Tartuffe qu’il s’agit. À en juger par les lettres que j’ai reçues, beaucoup de Français en France désirent que le Tartuffe de Mo
ins loyaux. On n’ignore pas que la gourmandise est le péché mignon de beaucoup de personnes religieuses et même d’ecclésiastiques e
cules pouvaient fort bien toucher un bourgeois qui, sans doute, comme beaucoup de ses contemporains, lisait encore régulièrement la
92 (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Lettres de Mme de Graffigny, ou Voltaire à Cirey. » pp. 208-225
me trouve, sans passion désagréable, sans ambition, sans envie, avec beaucoup de connaissances, peu d’amis et beaucoup de goûts.
s ambition, sans envie, avec beaucoup de connaissances, peu d’amis et beaucoup de goûts. Je voudrais que Newton eût fait des vaud
s de l’état où il me vit ; il me fit de vives excuses ; il me demanda beaucoup de pardons, et j’eus l’occasion de voir toute la sen
rbonne et abbé, s’était fait présenter chez elle, car elle réunissait beaucoup de gens de lettres. Souvent même il quittait le cerc
93 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 24, des actions allegoriques et des personnages allegoriques par rapport à la peinture » pp. 183-212
l les orne. Car bien que l’inscription apprenne leur nom, on a encore beaucoup de peine à deviner la valeur et le merite de tous le
ces compositions allegoriques de la seconde espece, ou pour exprimer beaucoup de choses qu’ils ne pourroient pas faire entendre da
ombe par terre dans cet effort inutile. Il seroit superflu de prendre beaucoup de peine pour persuader aux peintres qu’on peut fair
t être trop faciles à entendre. On voit dans la galerie de Versailles beaucoup de morceaux de peinture dont le sens enveloppé trop
94 (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Histoire de la querelle des anciens et des modernes par M. Hippolyte Rigault — [Introduction] » pp. 132-142
cet esprit un peu extravagant, et qui mêlait quelques bonnes idées à beaucoup de chimères, devancier de Chateaubriand en théorie e
e et combine. M. Rigault n’oublie rien, et il découvre chemin faisant beaucoup de choses ; il dessine au passage quantité de figure
n d’Homère et des anciens, il s’est trompé en homme de pensée et avec beaucoup de distinction. On en jugera. Ce n’est pas d’une sta
95 (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Querelles générales, ou querelles sur de grands sujets. — Première Partie. Des Langues Françoise et Latine. — Les traductions. » pp. 125-144
critique accompagne néanmoins ses observations de ménagement & de beaucoup de politesses ; mais il mit, dans la suite, plus de
l, que les grands poëtes de l’antiquité ont été traduits en vers avec beaucoup de succès chez nos voisins, & ridiculement chez
 ; par tel rimailleur, le mépris & l’effroi des gens sensés ; par beaucoup de ces auteurs condamnés à subsister de leur plume,
96 (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « VIII »
de grand talent. L’auteur des Etudes et des Harmonies a peut-être dit beaucoup de sottises, et nous ne les défendrons pas ; mais on
st sans restriction admirable. Que Fénelon soit parfait écrivain dans beaucoup de ses ouvrages, c’est une chose que nous avons reco
at, de plus incolore que la prose de d’Arlincourt ? Il y a décidément beaucoup de choses que ce monsieur ne comprend pas.‌ « Ce jug
97 (1799) Dialogue entre la Poésie et la Philosophie [posth.]
bien loin d’en être offensée, je puis vous protester que je vous veux beaucoup de bien. LA POÉSIE. Vos protestations pourraient bie
e bons, ils voient que tout le monde les lit avidement. Comme ils ont beaucoup de justesse d’esprit, ils en concluent que ce ne son
t qu’une pensée sans image, quoique ces derniers puissent avoir aussi beaucoup de mérite. Serez-vous d’un avis contraire ? LA POÉSI
98 (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Madame de Créqui »
llets ! Souvent nous avons vu un peu de grâce faire passer par-dessus beaucoup de folie, mais que dire de beaucoup de grâce consacr
de grâce faire passer par-dessus beaucoup de folie, mais que dire de beaucoup de grâce consacrée à nous faire aimer beaucoup de bo
olie, mais que dire de beaucoup de grâce consacrée à nous faire aimer beaucoup de bon sens ? III Nous avons dit le seul défau
99 (1892) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Cinquième série « Le théâtre annamite »
romantiques ont pénétré dans tant de cervelles, même bourgeoises, que beaucoup de badauds s’extasient sur le pittoresque de ces mon
uis bien plutôt le frère de mon chien ! Il y a entre mon chien et moi beaucoup de sentiments communs et de commencements de pensées
100 (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Girac, et Costar. » pp. 208-216
lzac. Cette réfutation étoit intitulée Défense de Voiture. Il y avoit beaucoup de chaleur & quelques saillies plaisantes. Jama
t que cette réponse fût un chef-d’œuvre, comme il le croyoit. Il noya beaucoup de remarques judicieuses dans un fatras de verbiage.
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