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1 (1874) Premiers lundis. Tome I « [Préface] »
[Préface] En réunissant en volumes les plus anciens articles de M. Sainte-Beuve, insérés dans Le Globe à parti
nt, dit-il, si je vis, de donne dans un volume à part la suite de mes articles au Globe ; on me dit que ce ne serait pas sans in
aissé persuadera. » Mais nous ne nous sommes pas borné seulement aux articles du Globe, qui sont le point de départ et comme la
élanges. Mais partout où nous avons acquis la preuve matérielle qu’un article , un bulletin littéraire, une chronique étaient de
ur mieux détourner dans l’avenir du dessein de rechercher ses anciens articles , le critique disait encore : « Après le Globe sa
suite d’obligeantes ouvertures de Carrel. J’y ai donné d’assez rares articles littéraires, dont quelques-uns se trouvent recuei
s quand il est mort. Nous sommes déjà tout justifié en ce qui est des articles du Globe que nous avons réimprimés ; quant à ceux
autres sur Jefferson, qu’on trouvera à leur date dans ces volumes. Un article du même temps sur M. Louis de Carné, qu’il avait
s Ma Biographi.d, que ne pourrait le faire supposer le petit nombre d’ articles , que l’on a réunis à cette date. Mais comme ils n
nt plus difficile à saisir, qu’elle s’est fondue quelquefois dans des articles écrits avec Pierre Leroux, de telle sorte qu’on s
ait dit encore dans cette courte notice sur lui-même que ses premiers articles un peu importants dans le Globe furent ceux qu’il
e janvier 1826), nous avons maintenu dans ce volume, à leur date, les articles qui précèdent, et qu’il avait fait copier. Mais,
jours eu égard lui-même au jour de la semaine où avait paru un de ses articles , pour le faire entrer dans les Causeries du Lundi
qui connaît bien l’œuvre de M. Sainte-Beuve, signalons nous-même deux articles qui auraient leur place marquée ici et que nous n
 Je ne le quittai point pour cela, dit-il, et j’y mis encore quelques articles . » Mais, à partir de l’année 1831, il est telleme
fait, à défaut d’indications suffisantes sur les véritables auteurs d’ articles qui ne laissaient pas d’être très-tentants sur Mé
its littéraires, tome I, à partir des pages 297 et 314) ; et dans son article de 1868, sur J.-J. Ampère [Nouveaux Lundis, tome 
indications sont de celles qui manquent le plus, pour ce dernier. e. Article sur la cérémonie expiatoire en mémoire des Quatre
2 (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Préface »
Préface Ce volume devrait s’intituler Derniers Lundis. Les articles qui le composent, à partir du premier, sont pour
le XIIe volume. On se souvient de l’importance et de l’étendue de ces articles . Deux des principales physionomies, extraites du
hes dont il eut à se garer le lendemain de l’insertion de son premier article au Temps. Il n’en persista pas moins dans sa réso
g lui-même, comme on le verra par la suite de ce volume (à la fin des articles sur M. de Talleyrand). D’ailleurs le Sénat, qu’on
Sénat, M. Sainte-Beuve écrivit pour la première fois dans Le Temps un article qui avait trait directement à la politique : ce f
gnal donné par M. Dalloz, improvisa au pied levé et sur sa demande un article sur un livre qu’il parcourait depuis deux jours,
qu’il parcourait depuis deux jours, et où il avait vu l’élément d’un article « d’entrée et de début, disait-il ; il faut être
veut… » Il ne doutait point que M. Dalloz ne voulût. Il lui envoya l’ article qu’on va relire sur l’Enseignement des jeunes fil
 Sainte-Beuve n’avait point prévue, M. Dalloz non plus peut-être. Cet article courtois de forme (c’est le moins qu’on en puisse
Je me suis trompé. Je ne veux pas vous susciter d’ennui. Je retire l’ article , je me retire en même temps. Je me réserve d’expl
—    « Tout à vous, « Sainte-Beuve. » Et M. Sainte-Beuve reprit son article et l’envoya au Temps ; ou plutôt il fit prier M. 
s ces tiraillements et conflits, qui suspendaient la publication d’un article déjà imprimé et corrigé, tout prêt à paraître, qu
charger d’avertir M. Nefftzer. M. Sainte-Beuve ne changea rien à son article . Ce fut l’épreuve même du Moniteur qui servit de
r mettre obstacle à l’engagement qu’il vient de prendre d’envoyer des articles de littérature au journal le Temps. « Ces démarch
s on insiste, on allègue qu’il est étonnant qu’un sénateur envoie des articles , même purement littéraires, à un journal de l’opp
à donner aucune explication, si ce n’est qu’on lise et qu’on juge ses articles en eux-mêmes. Quant au voisinage, il en est seul
d’opposition. Personne n’a eu à demander compte à M. Sainte-Beuve des articles qu’il a fait récemment insérer dans la Revue des
ent insérer dans la Revue des Deux Mondes : il en sera de même de ses articles au Temps. « On insiste encore, et l’on dit que si
idée ; que sais-je encore ? « M. Sainte-Beuve n’a pas à se prononcer, article par article, sur les doctrines professées par le
ais-je encore ? « M. Sainte-Beuve n’a pas à se prononcer, article par article , sur les doctrines professées par le Temps, et il
ier qu’un sénateur, resté écrivain, croie ne pouvoir mieux placer des articles littéraires que dans un journal d’opposition, cel
’autres que pour moi. » 3. Nous l’avons complété à l’aide d’autres articles de M. Sainte-Beuve, empruntés à différents Recuei
es. Il nous faisait voir comment il disposait ces choix et mélanges d’ articles , dans le cas où il ne serait plus là lui-même pou
nte-Beuve était passé aux orléanistes ! 5. Il avait fait en 1860 un article sur M. Scherer (Causeries du Lundi, t. XV). — Je
ve, de M. Edmond Scherer, qui avait écrit dans le journal le Temps un article sur moi. Ulric Guttinguer en avait pris occasion
3 (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « [Note de l’auteur] » pp. 422-425
i-même les papiers de Mme de Sablé, j’y ai trouvé le premier projet d’ article destiné au Journal des savants et de la façon de
peut les voir et les comprendre sans peine. » En envoyant ce projet d’ article à M. de La Rochefoucauld, Mme de Sablé y joignait
son éloge pour un journal ; il va ôter juste ce qui lui en déplaît. L’ article , en effet, fut inséré dans le Journal des savants
it encore que depuis trois mois, et déjà on y arrangeait soi-même son article . Les journaux se perfectionnant, l’abbé Prévost e
r la comédie, La Rochefoucauld demanda à Mme de Sablé de lui faire un article dans le seul journal littéraire du temps, qui com
nnée même, le Journal des savants, et la complaisante amie écrivit un article qu’elle lui soumit. Elle y faisait en quelque sor
u’il paraît, n’y put réussir, et elle adressa de nouveau son projet d’ article à La Rochefoucauld, lui avouant qu’elle a laissé
laissé ce qui lui avait été sensible, mais l’engageant à user de son article comme il lui plairait, à le brûler ou à le corrig
Rochefoucauld prit au mot Mme de Sablé ; il usa très librement de son article , il supprima les critiques, garda les éloges, et
rte, M. Cousin met en note et en les présentant en regard le projet d’ article et l’article imprimé, « afin, dit-il, qu’on en sa
n met en note et en les présentant en regard le projet d’article et l’ article imprimé, « afin, dit-il, qu’on en saisisse mieux
4 (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Appendice — Une discussion dans les bureaux du Constitutionnel »
du Constitutionnel 163 M. Sainte-Beuve résista toujours à faire un article sur l’Histoire de César. Une discussion, qui s’es
hes au Constitutionnel, dans l’après-midi, relire les épreuves de son article sur la mise en pages, avant le tirage définitif :
l’opposition, sous l’empire, avait fait des siennes à la Chambre. Un article de réfutation était de rigueur. La tâche en incom
omme une chose qui allait de soi : « Eh bien, Sainte-Beuve, à quand l’ article  ? — Quel article ? — Eh ! sur César : est-ce qu’i
i allait de soi : « Eh bien, Sainte-Beuve, à quand l’article ? — Quel article  ? — Eh ! sur César : est-ce qu’il peut être quest
ticle ? — Eh ! sur César : est-ce qu’il peut être question d’un autre article en ce moment ? Je l’ai promis ce matin à Conti :
voulez me laisser dire tout cela dans le Constitutionnel, je ferai l’ article … » — « Allons, allons, dit M. Limayrac, ne vous f
lui, M. Sainte-Beuve, piqué au jeu, dicta à son secrétaire le début d’ article que nous reproduisons intégralement, et auquel il
ore sénateur, ce qui prouve bien que sa nomination ne tenait pas à un article , comme ont pu le croire certains de ses confrères
5 (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Ma biographie »
 Dubois, qui m’y appliqua aussitôt et m’y essaya à quantité de petits articles . Ils sont signés S.-B., et il est facile à tout b
ntenant vous savez écrire, et vous pouvez aller seul. » Mes premiers articles un peu remarquables furent sur les premiers volum
Ballades de Victor Hugo, je fis dans les premiers jours de 18275 deux articles qui furent remarqués de Gœthe6. Je ne connaissais
Vaugirard, lui au n° 90, et moi au 94. Il vint pour me remercier des articles , sans me trouver. Le lendemain ou le surlendemain
ticité que je ne partageais pas. J’avais même fait dans le Globe 7 un article sévère sur le Cinq-Mars de M. de Vigny, dont le c
tres, je m’y portai. Je donnai au Globe, dans le courant de 1827, les articles sur la Poésie française au xvie  siècle qui furen
ron fonda la Revue de Paris. Je fis dans le premier numéro le premier article intitulé Boileau 9, et je continuai cette série d
dées, et je lui en servais. J’y servais aussi mes amis littéraires. L’ article du Globe sur Hugo, cité dans le livre de Hugo rac
-simoniens, je ne le quittai point pour cela. J’y mis encore quelques articles . Mes relations, que je n’ai jamais désavouées, av
e notice qui puisse remplir votre objet. J’ai eu souvent à me louer d’ articles très-bienveillants, et, autant que je pouvais me
au jeune étudiant en médecine son entrée au Globe pour l’insertion d’ articles littéraires : ces premiers articles littéraires q
ntrée au Globe pour l’insertion d’articles littéraires : ces premiers articles littéraires qu’il y donna depuis 1824 et dans les
leau. Cela le conduisit à insérer dans le Globe, en 1827, une série d’ articles qui furent recueillis en 1828 sous ce titre : Tab
-Beuve parmi les novateurs. « Et, en effet, dès le 2 janvier 1827, un article de lui inséré dans le Globe et qui fut remarqué d
e de Paris, fondée par le docteur Véron, M. Sainte-Beuve insérait des articles plus étendus que ceux qu’il pouvait donner dans l
rticles plus étendus que ceux qu’il pouvait donner dans le Globe, des articles sur Boileau, La Fontaine, Racine, Jean-Baptiste R
uivirent cette Révolution, collabora plus activement au Globe par des articles non signés ; et l’année suivante, il se rattachai
i fournit un cadre commode à ses études critiques. Il y débuta par un article sur Georges Farcy, jeune professeur de philosophi
ne professeur de philosophie tué pendant les journées de Juillet. Ces articles critiques de M. Sainte-Beuve, tant ceux de la Rev
sous le titre de Critiques et Portraits littéraires. Mais depuis, ces articles , continuellement accrus et augmentés, furent autr
mencer dans le journal le Constitutionnel qu’il dirigeait une série d’ articles littéraires paraissant tous les lundis. Ces artic
eait une série d’articles littéraires paraissant tous les lundis. Ces articles réussirent et donnèrent le signal d’une reprise d
te dans le Moniteur, devenu journal de l’Empire. La collection de ces articles en volumes se fit à partir de 1851, sous le titre
amée de nouveau par le journal le Constitutionnel, et il y reprit ses articles littéraires du Lundi à dater du 16 septembre 1861
re 1861. Il remplit de nouveau toute une carrière, et la série de ces articles , recueillis à partir de 1863 sous le titre de Nou
ait intérieurement désigné la place où il fallait l’introduire dans l’ article en cours de composition. J’arrivais : il fallait
dès le matin, au pied levé, avant même de nous être mis au travail, l’ article qu’on écrivait depuis deux jours ; mais le maître
Eyma, plus tard de M. Georges Bell… (M. Sainte-Beuve rappelle ici les articles de M. Xavier Eyma dans le journal l’Époque, et un
N° du 8 juillet 1826. M. Sainte-Beuve a recueilli tout récemment cet article en appendice dans le IIe volume, donné de son viv
à l’Hôtel-Dieu pour remplacer un interne absent. 9. Avril 1829. Cet article ouvre aujourd’hui la série des Portraits littérai
littéraires. 10. M. Sainte-Beuve a recueilli depuis, à son tour, cet article dans le tome XI des Causeries du Lundi. Il en est
i. Il en est le couronnement et la fin. — Je rappellerai ici un autre article de lui (n° du 20 septembre 1830), de ce nouveau G
it depuis, dans ces dernières années (mais pour lui seul), un début d’ article plus long, plus vif et plus complet sur César, qu
à chacune desquelles M. Sainte-Beuve ajoutait quelque chose dans ses articles  ; enfin les trois volumes qui ont porté de onze à
signaler, parmi ce que M. Sainte-Beuve a omis d’indiquer, les quatre articles sur Proudhon, de la Revue contemporaine (octobre,
eu à publier, depuis la mort de M. Sainte-Beuve, un dernier et nouvel article sur Mme Tastu, qui lui avait été demandé par les
ion doit compter en dernier lieu dans sa Bibliographie. — Son dernier article , et qu’il n’a pas achevé, a été sur les Mémoires
épublique française, une et indivisible. — Citoyen, en exécution de l’ article dix du titre sept de la loi du 21 pluviôse, relat
blique. — Je te requiers en conséquence, sous les peines portées en l’ article 13 du titre 7 de la loi ci-dessus, de payer sous
6 (1875) Premiers lundis. Tome III « De la loi sur la presse »
’une superstition judaïque, elle se met à distinguer entre tel ou tel article rétrospectif chez tous les journaux indistincteme
discuter les actes du Corps législatif ou du Sénat, que de faire des articles incomplets, insuffisants. Quant à moi, si j’avais
ire des articles incomplets, insuffisants. Quant à moi, si j’avais un article à écrire à propos d’une séance pareille, il me se
ger les différentes opinions en présence. Mais prenons garde : si mon article est trop bien composé et conçu, s’il met le lecte
dispense de recourir aux comptes rendus officiels, si, en un mot, cet article net et lucide se suffit à lui-même comme il est d
ouvernement même une disposition restrictive auxiliaire de la leur. L’ article premier du projet de loi était le plus important5
entrailles de mère. De là, après cette éclatante conquête du premier article , tout le terrain qu’on a successivement reperdu e
r de la juridiction. M. le président Bonjean m’a déjà prévenu sur cet article et a plaidé devant vous le bon droit à grand renf
uvelle pour les droits de timbre et les droits postaux : ce serait un article à insérer dans une loi future de finance. L’espér
Goerg et d’autres députés, amendement ayant pour objet de supprimer l’ article 28 du décret du 17 février 1852 et de faire reviv
rimer l’article 28 du décret du 17 février 1852 et de faire revivre l’ article 20 de la loi du 26 mai 1819, qui, dans les cas d’
t tout, laissez-moi, pour abréger et sans plus tarder, en venir à cet article 11 qui s’est introduit comme in extremis dans la
être exercée que sur la plainte de la partie intéressée. » Tel est l’ article qui, s’il est vain et non appliqué, est une tache
t ; je les entends dire : « C’est affaire à vous de parler contre cet article  ; bien vous eût pris qu’il eût déjà été en vigueu
r. M. Sainte-Beuve. Permettez-moi. Je continue. Je parlerai donc de l’ article il comme j’en ai pensé le jour où il a inopinémen
où il a inopinément surgi et où il a été si subitement accepté : Cet article (à l’attaquer au fond, et sinon dans l’esprit par
i et en faveur du dérèglement des actions. Aux yeux du moraliste, cet article inscrit dans une loi paraîtra un jour bien digne
si la chronique les effleure. Je dirais volontiers aux partisans de l’ article 11 : Vous voulez parer à un scandale ; mais avez-
andale ; mais avez-vous songé au scandale contraire ? Prenez garde, l’ article , s’il est rigoureusement appliqué, revient à ceci
ement. Apparemment on nous jugeait déjà trop Athéniens comme cela ; l’ article de la loi nouvelle y mettra bon ordre. Tout fait
mplement de jeter à la rivière. Avec la loi actuelle, aux termes de l’ article 11, l’abbé Cottin ou Chapelain pourraient faire c
e toujours sous son application. Il est indirectement atteint par cet article 11 ; il en reçoit un plomb dans l’aile. On se pla
des plus réputées libérales, qui sont ainsi. Et vous allez armer d’un article de loi toutes ces susceptibilités et tous ces amo
ez-le bien, ce qui me touche le plus ; et, pour moi, ce malencontreux article m’est surtout odieux en ce qu’il tend à altérer e
ridicule : c’est un principe du goût, et la loi le méconnaît par cet article 11. Les lois précédentes concernant la diffamatio
si ingrate qu’on se le figure et que toute cette loi (sauf le premier article ) le suppose. Je demande si elle a jamais manqué d
’a pas : vous les lui donnez, Messieurs, après l’adoption du premier article , j’étais prêt, moi aussi, à voter la loi des deux
7 (1888) Revue wagnérienne. Tome III « IV »
recommence à préoccuper les esprits. Le 20 mars, le Figaro publie un article humoristique de M. Albert Millaud, énonçant les f
oumis les auditeurs de Lohengrin. Le même jour, la Revanche publie un article assez violent contre l’entreprise de M. Lamoureux
mars, la France : « Chez un marchand de musique » par M. Emile Cère ; article très agressif sur M. Lamoureux qui est appelé « d
Lohengrin — la représentation à Paris d’un opéra de Richard Wagner », Article de première page, plus hostile encore que le préc
s que j’ai fait ma profession de foi à cet égard. Ceux qui lisent mes articles de critique musicale dans la Liberté, savent à qu
les garder pour nous seuls. » Le 2 avril, l’Intransigeant publie un article de M. de Rochefort, « Wagnérophobie », dont voici
z que… et que… et attendons encore. 3 avril, la Liberté : raisonnable article (non signé) demandant la représentation de Loheng
annès Weber. Citons le début, certainement légitime, de cet excellent article . On parle beaucoup en ce moment-ci de l’Eden-Thé
u de se poser en avocat de Berlioz ou de Wagner. 5 avril, Gil Blas : article de M. Octave Mirbeau : Le patriotisme, une des p
e expression de l’Art au dix-neuvième siècle… 6 avril, l’Événement : article de M. Louis Besson… Le moment peut être mal chois
aro (9 avril), et du Gaulois (11 avril). 10 avril, le Cri du Peuple : article de M. Félix Piat ; campagne patriotico-socialisti
x Piat ; campagne patriotico-socialistico-antiwagnérienne. Même jour, article de la Revanche contre M. Lamoureux. Nous pouvons
a Revanche contre M. Lamoureux. Nous pouvons dès ici, mentionner deux articles de la Revanche (13 et 17 avril), antérieurs au pr
17 avril), antérieurs au procès du 16 avril (voir à cette date), tous articles d’une violence en somme peu dangereuse. Sous le t
« Gallus », la France du 10 avril publiait en première page le court article suivant : « … Wagner vient. Enfin, nous allons e
e c’était M. Gounod lui-même (Paris, 15 avril). 12 avril, le Figaro : article en première page de M. de Bonnières. Plaidoyer ha
ra plus nous en contester le droit. Mentionnons ici, au 17 avril, un article de M. Anatole France dans le Temps. C’est un réci
nti-wagnériens n’hésitèrent pas et nous allons voir toute une suite d’ articles incriminant de la façon la plus ouverte les relat
rnaux spécialement anti-prussiens ou anti-wagnériens, répondit par un article où sont ces lignes (19 avril) : … Puisqu’il plaî
orces, même modestes, du parti wagnérien ?… Nous ne pouvons citer les articles , dès lors quotidiens, de la Revanche. Le même jou
s, dès lors quotidiens, de la Revanche. Le même jour, le 19 avril, un article intitulé « l’esthétique wagnérienne en amour », c
heveux étonnants et des pardessus aveuglants… » Même jour, Gil-Blas : article de Nestor (M. Henry Fouquier). « … Cette œuvre, i
intérêt de l’entendre et de la connaître… » Même jour, XIXe Siècle : article de M. Henry Fouquier. Renée et Lohengrin. Le même
La Lanterne du 22 (datée du 23) publiait la note suivante, résumé des articles des journaux anti-wagnériens : Lohengrin. A l’E
journaux de Paris et du dehors contient, quotidiennement, au moins un article ou une note sur la question Lohengrin. Nous nous
dernier numéro que notre correspondant de Bruxelles avait publié son article sur la Valkyrie dans la Réforme, il faut lire : d
avec une causerie sur Lohengrin de M. Adolphe Jullien (1er mars), un article de M. Ernest Thomas sur l’ajournement de Lohengri
es sur les questions musicales actuelles. Le Guide Musical, avec des articles hebdomadaires sur la question Lohengrin. Le Guide
Lohengrin. Le Guide Musical ne donne d’ailleurs d’intéressant que les articles toujours curieux de M. Kufferath, et ceux, trop r
on à des divergences d’opinion sur ces très hautes questions avec les articles que j’ai pu publier dans la Revue. Je suis heureu
e «  la fille Wagner  » ou «  un sodomiste  », cités plus loin dans l’ article . Sur cette question, on se reportera à l’article
tés plus loin dans l’article. Sur cette question, on se reportera à l’ article «  Homosexualité  » du Dictionnaire encyclopédiqu
8 (1886) Revue wagnérienne. Tome I « Paris, 8 avril 1885. »
s écrits théoriques de Richard Wagner ont peu d’importance. C’est les articles écrits à Paris de 1840 à 1841, et publiés alors p
larité ; le stabat mater de Rossini ; une étude sur l’ouverture ; des articles sur le Freischutz, la Reine de Chypre ; le Retour
te sur l’ouverture dramatique, et dans la série, citée plus haut, des articles écrits à Paris en 1840 et 1841, Wagner fait voir
er mieux encore les caractères de l’esprit allemand. Dans une série d’ articles au journal de Bayreuth, il faut noter, d’abord, u
fin de l’étude sur l’esprit allemand, se retrouve dans un magnifique article publié sous ce titre : Voulons-nous espérer ? (18
re d’art s’est complétée par la considération du public idéal. En ses articles sur les Poètes et les Compositeurs, sur la Musiqu
Opéra : Lohengrin. ZURICH 17 Mars : Concert : Siegfried-Idyll. Articles des journaux De nombreux articles ont été écri
Concert : Siegfried-Idyll. Articles des journaux De nombreux articles ont été écrits sur les Maîtres Chanteurs, peu sur
ton de M. Dayrolles (France Libre du 10 février) ; sur le second, des articles de M. Victor Wilder (Gil Blas), Fourcaud (Gaulois
5. Sur Les Maitres Chanteurs Presse Francaise Le Gaulois(8 mars) : article de M. Fourcaud. Citons toute la première partie,
oute la première partie, judicieuse et excellente, qui complètera les articles publiés en cette Revue sur les Maîtres Chanteurs 
se (Edmond Stoullig), compte-rendu de la soirée. Le Matin (8 mars) : article de reportage sur la soirée, exact, complet, et sy
, exact, complet, et sympathique à l’œuvre. Figaro(8 mars) : Perkéo. Article voulu éclectique, en somme favorable ; éloges et
ariations sur une seule corde. » Moniteur (9 mars) : Jacques Trézel. Article d’un ennemi de la musique wagnérienne, forcé à co
nalistes parisiens, des défenseurs de la cause wagnérienne ; ses deux articles sur les Maîtres Chanteurs sont aussi précis, comp
i les œuvres de Richard Wagner. La Presse (15 mars) : Saint-Arroman. Article hostile, aussi peu intelligemment que possible.
entré dans le suprême repos, appartient à l’impartiale postérité… L’ article de M. Camille Benoit est un compte-rendu de la ré
u drame de Wagner. Gil Blas (18 et 19 mars) : Victor Wilder. Premier article  : Le succès des Maîtres Chanteurs, il ne faut pa
xplication juste, aisée et utile. Enfin, l’analyse du poème. Deuxième article  : L’opéra ancien et le drame wagnérien ; ce qu’es
ue et philosophique. L’Étoile belge (7 et 8 mars) : M. G. Eeckhoudt. Article apologétique ; les Maîtres Chanteurs seraient l’œ
. Appréciation simple et sincère d’un auditeur, très favorable. Autre article , plus admiratif, de M. Jean d’Ardenne (M. Dommart
mars). La Flandre libérale (10 mars) : M. Edmond Evenepoel. Très bel article , enthousiaste, et solide. Le Journal de Bruxelle
 ; observations curieuses. L’Art moderne (15 mars) : M. Octave Mans. Article hardi, très agressif aux ennemis ou demi-ennemis
en. L’Écho musical(19 mars) ; éloges et réserves. La Réforme (trois articles ) : M. Max Waller, directeur de la Jeune Belgique.
çais par Johannnès Weber (1 vol. in-18, 3 fr. 50). C’est un recueil d’ articles de critique écrits par M. Paul Lindau, littérateu
, surtout en les derniers chapitres, favorable à Richard Wagner ; les articles sur Parsifal et la mort de Wagner laissent voir u
udwig Nohl : — Rénovation de la musique sacrée protestante. — Dans un article fort intéressant, M. Nohl retrace l’histoire de l
on sur les affaires de la fondation ; 2° Motions des membres (selon l’ article 18 des statuts). On sait que la précédente assemb
eçues dès à présent. 9. Nous ne parlerons pas, en cette étude, des articles de critique, ou de circonstance de Wagner, les pr
n, les plans pour le théâtre de Bayreuth, la juiverie en musique, les articles des Bayreuther Blaetter, etc. [NdA] 10. Lire l’é
tre, toutefois, M. Saint-Saëns n’a t-il point voulu dire cela, en son article . Combien Wagner avait raison, exigeant que le mus
r, Paris, 1983) qui en donnent de nombreux exemples. On voit dans cet article combien les termes de wagnéristes, de wagnériens
rture de l’opéra, comme Baudelaire en avait déjà proposé une dans son article de 1861. Le procédé est classique, le style l’est
ui aussi associe la harpe à la couleur blanche. [NdE] aq. Le premier article sur les œuvres théoriques de Wagner est de Dujard
exte de référence du wagnérisme français. Baudelaire le cite dans son article Richard Wagner et Tannhäuser (1861). On se report
son article Richard Wagner et Tannhäuser (1861). On se reportera à l’ article de Jean-François Candoni dans le Dictionnaire enc
a littérature wagnérienne. Avant la révolution dresdoise de 1849, des articles de peu d’importance paraissent dans la Revue et g
aussi bien sur la littérature, la peinture, que la musique. Ses trois articles de mai à juillet 1886 sont en ce sens des référen
ipatriotique et lutte contre les représentations wagnériennes. (cf. l’ article de Nicolas Southon dans Le Dictionnaire encyclopé
1932), historien et critique musical, est l’auteur, outre de nombreux articles , de Richard Wagner, sa vie et ses œuvres, ouvrage
arcelone en 1854. Auteur d’ouvrages de médecine, il écrivit aussi des articles sur la littérature, la musique… Il est en particu
9 (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Sainte-Beuve » pp. 43-79
alué ? On a versé sur Sainte-Beuve et sur sa mémoire les tombereaux d’ articles , de phrases, d’anecdotes et de détails de toute e
s nom spécial auquel je me risque à donner celui-ci : un articlier. L’ article de journal est devenu la grande chose de cette pe
la grande chose de cette petite, — la littérature du xixe  siècle. L’ article de journal a remplacé le livre, la brochure, tout
l’espace, de la réflexion et de l’exposition plus ou moins savante. L’ article de journal, c’est le lingot tombé en menue monnai
on dans sa vie que d’arrondir et de timbrer ses pièces de dix sous. L’ article , son article a concentré tous ses efforts, toutes
e que d’arrondir et de timbrer ses pièces de dix sous. L’article, son article a concentré tous ses efforts, toutes ses heures ;
Toujours est-il qu’aucune mort que la sienne n’interrompit jamais son article . Il est sublime comme articlier ! C’était Mme de
orte des prunes. Mais ce n’est pas ainsi que Sainte-Beuve portait des articles . Il se démenait pour en produire, comme le prunie
e-Beuve se renseignait et notait, et notait, et notait pour faire son article , comme Trublet compilait, compilait, compilait. S
pilait. S’il sortait de chez lui ou s’il y rentrait, c’était pour son article . Sobre, s’il dînait en ville c’était pour son art
’était pour son article. Sobre, s’il dînait en ville c’était pour son article . C’était pour son article qu’il conversait, cet h
obre, s’il dînait en ville c’était pour son article. C’était pour son article qu’il conversait, cet homme qui n’aimait pas tant
t la conversation qu’on l’a dit, si ce n’est dans les intérêts de son article . C’est encore pour son article qu’il allait à l’A
, si ce n’est dans les intérêts de son article. C’est encore pour son article qu’il allait à l’Académie, et qu’il lâchait ses s
s coins et recoins et rapporter à la maison de petites notes pour son article . Il avait poussé l’amour de son article si loin,
son de petites notes pour son article. Il avait poussé l’amour de son article si loin, qu’il avait pris un professeur de grec,
il avait pris un professeur de grec, vrai grec, pour la beauté de son article  ! Enfin, il aurait gratté la terre avec ses ongle
n article ! Enfin, il aurait gratté la terre avec ses ongles pour son article . Il en eût fait sur n’importe quoi. Il n’était pa
ulement littéraire : il était encyclopédiste ; il était tout pour son article . Son dernier article n’est-il pas sur le général
il était encyclopédiste ; il était tout pour son article. Son dernier article n’est-il pas sur le général Jomini ?… Il en aurai
lupté, la sœur aînée des dames Bovary et des demoiselles de Maupin, l’ article l’avait saisi comme une pince et l’articlier avai
algré son titre d’histoire, n’est pas autre chose qu’une succession d’ articles , enfilés comme des cerfs-volants. Je serai juste,
fs-volants. Je serai juste, pourtant. Il y a deux ou trois excellents articles (puisque articles il y a) dans le Port-Royal, ent
ai juste, pourtant. Il y a deux ou trois excellents articles (puisque articles il y a) dans le Port-Royal, entre autres celui-là
sa ceinture, mais qui, au contraire, la rebouclait sans cesse pour l’ article , vous n’étiez jamais pour lui que l’intérêt d’un
10 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « TABLE » pp. 340-348
ame de Girardin     30 IX. — Causes du succès de Lucrèce      33 X. —  Articles sur Lucrèce. — Libri et les journaux de sacristie
I. — L'Université et les jésuites. — Les Anti-Lucrèce.      53 XIV. —  Article de Charles Magnin sur Lucrèce dans la Revue des D
s. — Tibère, tragédie de Marie-Joseph Chénier, au Théâtre-Français. —  Article scandaleux de Janin     158 XXXIX. — Préface d’Èv
XL. — Réponse au Journal du Léman166     166 XLI. — Année stérile. —  Article de M. Paulin Limayrac sur les Mystères de Paris. 
e. — Discours du roi moins universitaire que celui de M. Villemain. —  Article de M. Forcade sur le parti légitimiste. — Maladie
ur l’enseignement supérieur à la Chambre des pairs. — Réfutation d’un article de M. Émile Saisset sur l’éclectisme     209 LV. 
    231 LXI. — Les fêtes de juillet. — Curiosité sans enthousiasme. —  Article de Lerminier sur l’Ultramontanisme de Quinet. — R
6 LXVII. — Volney, plat courtisan de Napoléon. — La tasse de café. —  Articles de Molènes contre Mérimée.  —  La femme de quaran
ix Pyat. — La politique chôme     277 LXX. — Insuccès des Nuées. — Un article de M. de Rémusat dans le Constitutionnel. — Consi
  300 LXXVII. — Histoire du Consulat et de l'Empire, par M. Thiers. —  Article de M. Villemain sur cet ouvrage. — Esprit des ins
11 (1875) Premiers lundis. Tome III « Sur le sénatus-consulte »
on. À une exception près pourtant, je veux parler de ce malencontreux article 2 : « Les ministres ne dépendent que de l’empereu
contreux article 2 : « Les ministres ne dépendent que de l’empereur » article qui d’ailleurs a été soigneusement maintenu. Je n
a peut-être été tenu.) Toutes les discussions qui ont eu lieu sur cet article , et les explications de M. le rapporteur, ne m’on
à. On devrait savoir par expérience ce que vaut dans la pratique tout article 14. Et s’il y a des contradictions (et il y en a,
le de 1857, ne mentionnait, au nom du critique des Lundis, qu’un seul article oublié par nous70. Mais, lorsque nous nous croyio
hanger deux ou trois mots et y mettre un ou deux pâtés d’encre72. « L’ article du National au lendemain de la blessure de Carrel
nal au lendemain de la blessure de Carrel dans son duel avec Lahorie, article qui fut accepté également de la Tribune, et qui p
t signée Guizot. « La lettre d’un vieux ami de province, citée dans l’ article de George Sand sur Maurice de Guérin, (Revue des
ue des deux mondes, 15 mai 1840), est de moi. J’ai fait au Moniteur l’ article qui a paru le lendemain des funérailles de Bérang
nistre d’État, n’y a effacé que deux mots)73. « J’ai fait également l’ article sur le Prince Jérôme dans le Moniteur du 6 juille
s que j’y ai travaillé activement, j’ai eu mainte fois à faire de ces articles collectifs et impersonnels. « Dans tous ces artic
s à faire de ces articles collectifs et impersonnels. « Dans tous ces articles ou morceaux, faits pour d’autres et quelquefois s
pas besoin d’autre Préface ni d’autre explication. J. T. 68. Cet article était précédé, dans le Temps, de la lettre suivan
main de M. Sainte-Beuve sur une épreuve du numéro du Globe. 73. Cet article est entré depuis dans les Causeries du Lundi, tom
12 (1886) Revue wagnérienne. Tome I « Paris, 8 février 1885. »
ette foi qui subjuguent, émeuvent et entraînent. » Et il termine son article par le fameux serment : « Si telle est cette rel
outes les lois théâtrales… » M. Gasperini envoya à la France un long article  ; voir encore la Saison musicale de 1866 ; Gasper
e ou la quatrième représentation de Tristan, fut le seul qui, dans un article français, il y a vingt ans, célébra le drame nouv
est dans la Revue Populaire de Paris de 1867 qu’on peut lire les deux articles où Tissot épancha son admiration : « Le second a
où Tissot épancha son admiration : « Le second acte, dit-il, dans l’ article du 1er juin, est un sublime hosannah d’amour : on
terre et qui parlent une langue inconnue… » Il y a pourtant dans cet article autre chose que des mots : « L’opéra, dit-il, re
ée à la glorification de Wagner. C’est en citant la fin de ce premier article que nous terminerons l’analyse des enthousiasmes
mission » à « son art ! ». La Revue et Gazette reproduisit encore un article de la Revue des Deux Mondes, par Blaye de Bury (s
Bagnera (1882) ; 10. La mort de Richard Wagner (13 février 1883). Articles de journaux Durant le mois de janvier il y eut
s de janvier il y eut, en somme, peu de faits wagnériens ; donc peu d’ articles de journaux consacrés à Wagner. Mais le public a
Wagnérienne Universelle qui a succédé au Patronat. Elle a publié des articles de Richard Wagner, et des articles des principaux
édé au Patronat. Elle a publié des articles de Richard Wagner, et des articles des principaux critiques d’art : elle traite surt
inguistique et de philosophie. Le numéro de janvier 1885 contient les articles suivants : 1° Richard Wagner : motifs extraits de
s suivants : 1° Richard Wagner : motifs extraits de ses écrits. — Cet article composé de passages pris aux livres de Wagner, ex
e in-18, chez Marpon et Flammarion, Paris, 1885. [NdA] y. Le premier article de la Revue wagnérienne insiste sur la différence
e nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris. Il publia de nombreux articles dans Le Figaro et Le Gaulois. Il est l’auteur de 
’enjeu est bien la naissance d’un nouvel art français. [NdE] aa. Cet article cite quelques wagnériens d’importance qu’il est j
aimait s’attaquer à la musique de l’avenir. Plus loin, l’auteur de l’ article cite deux brochures apologétiques. Il s’agit de l
auteur de l’article cite deux brochures apologétiques. Il s’agit de l’ article fondateur de Baudelaire : « Richard Wagner et Tan
ennes. Critique musical, Léon Leroy (1832-1887), a rédigé de nombreux articles sur Wagner, le défendant près de Gasperini. Édoua
e autre rubrique consacrée aux publications wagnériennes ainsi qu’aux articles de journaux. [NdE] ac. La traduction de Camille
its avant cette édition complète ou présentés et analysés dans divers articles . [NdE] ad. La Revue de Bayreuth (Bayreuther Blät
ue consacrée à la diffusion de son œuvre dès 1850 (voir à ce propos l’ article de J. F. Candoni dans l’Encyclopédie Wagner, Acte
ls avaient été reçus par le compositeur. Elle avait ensuite publié un article passionné sur la création de L’Or du Rhin. (cf. l
13 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XLI » pp. 167-171
XLI Ce 3 janvier 1844. année stérile. —  article de m. paulin limayrac sur les mystères de paris. 
e. — discours du roi moins universitaire que celui de m. villemain. —  article de m. forcade sur le parti légitimiste. — maladie
Dans la Revue des Deux Mondes du 1er janvier, nous avons un excellent article sur le parti légitimiste à Londres : voilà le vra
nce. — La Revue des Deux Mondes du 1er donne un très-bon et judicieux article sur les Mystères de Paris par M. Paulin Limayrac.
ne pas nous croire trop provincial ni trop dupe. Et remarquez que cet article de M. Limayrac est le seul jusqu’ici qui ait trai
squ’ici qui ait traité ce livre détestable comme il convient ; si cet article n’était pas venu, il n’y en aurait eu aucun dans
écessité d’un enseignement religieux. Lisez et notez les nuances. — L' article sur le parti légitimiste de la Revue des Deux Mon
14 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre VI. Des dictionnaires Historiques » pp. 220-228
ement multiplié les recherches inutiles, les fausses généalogies, les articles de savans inconnus, les détails sur des choses qu
les plus révoltantes. Il enfla son énorme recueil de plus de six cens articles de ministres luthériens, de professeurs calvinist
s allemands que personne ne connoît, ni ne veut connoître. Cherchez l’ article de César, vous trouverez Jean Cesarius, professeu
isme dans tout son livre ; mais il n’y a pas une seule page, dans les articles des anciens philosophes & des hérétiques, qui
à une foi médiocre de n’être pas ébranlée. Et c’est surtout dans ces articles dangereux, qu’il fait briller le plus sa dialecti
style. Le sien est lourd, incorrect & quelquefois embarrassé. Ses articles offrent de recherches curieuses & multipliées
acheter l’édition de Paris, 1771., augmentée d’un très grand nombre d’ articles nouveaux, & revue avec beaucoup de soin. M. d
s plus utiles de ces deux auteurs, ne renferme qu’un certain nombre d’ articles choisis, traités avec plus ou moins d’étendue, su
15 (1866) Nouveaux lundis. Tome V « M. Charles Magnin ou un érudit écrivain. »
d’écrivain classique au service de la cause romantique. Ses premiers articles remarqués furent ceux qu’il donna sur Parseval-Gr
tions (pourquoi Méditations ?), il n’a pas assez donné de ces anciens articles de circonstance. Il voulait, dit-on, les unir, le
Portugal était proprement son domaine, et il préludait ainsi par des articles , en quelque sorte préparatoires, à son morceau ca
eur et presque une gageure d’amour-propre : il la gagna, et ses trois articles , relus aujourd’hui, nous semblent un chef-d’œuvre
urellement, il voulait le forcer, envers lui, à une juste estime. Les articles faits et de la manière la plus agréable pour M. A
tons et les bulletins d’Hernani : c’est de lui (sans compter le grand article qui suivit), c’est de lui que sont les entrefilet
nt ému. J’ai sous les yeux et je viens de parcourir la plupart de ses articles au National : l’impression que j’en reçois est bi
tional : l’impression que j’en reçois est bien mélangée. Il y fit des articles sérieux, serrés, parfaitement raisonnés, sur le p
ublic paraît très bien s’en accommoder. M. Magnin fit au National des articles plus sérieux sur le plébéianisme dans les arts, s
, sur la Confédération germanique. Le mot et l’idée du premier de ces articles et tous les renseignements statistiques du second
J’ai le regret de rencontrer dans les colonnes du National trop peu d’ articles littéraires de M. Magnin, quelques-uns de loin en
Renaissance de la liberté en Italie, par M. de Sismondi, un très bon article sur un drame du théâtre chinois traduit par M. Sl
re : nous discernerons plus sûrement ensuite ce qui est bien à lui. L’ article sur la reine Nantechild, publié dans la Revue (15
tteur en œuvre, de rédacteur ingénieux et élégant. M. Magnin dans cet article si remarqué, et il ne l’avait pas assez dit, n’ét
ellent de tout point. M. Vitet toutefois, en félicitant l’auteur de l’ article , put lui écrire avec une légère pointe d’ironie :
avait beaucoup alors, qui, sur la foi du magnifique programme et de l’ article révélateur, allaient droit à lui comme à quelqu’u
te, ne comptèrent que par les résultats écrits, par les livres ou les articles qui en sortirent. M. Magnin, pas plus que Fauriel
las. Je ne dirai plus qu’un mot de l’accessoire : j’appelle ainsi ses articles de critique concernant les écrivains du jour, Qui
critique concernant les écrivains du jour, Quinet, Hugo, Ponsard. Ces articles très-développés, de la seconde manière de M. Magn
ot décisif qu’on attendait de lui. Cet embarras perce encore dans son article sur la Lucrèce de M. Ponsard. Il compliqua de tro
sseur et obligé soi-même de traiter les mêmes sujets) la série de ses articles sur l’ancien théâtre français dans le Journal des
fixement ! Il serait difficile cependant de surprendre dans aucun des articles écrits par lui, qui se rapportent à sa dernière p
ses préoccupations austères et sombres, si ce n’est peut-être dans un article du Journal des Savants d’octobre 1859 : à l’occas
16 (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Appendice. — Post-scriptum sur Alfred de Vigny. (Se rapporte à l’article précédent, pages 398-451.) »
Post-scriptum sur Alfred de Vigny. (Se rapporte à l’ article précédent, pages 398-451.) M. Louis Ratisbonne,
gny pour les choses littéraires et poétiques, m’a fait savoir que mon article sur son ami lui avait déplu ; il me l’a témoigné
s tracé dans la Revue des Deux Mondes en 1835 : « S.-B. fait un long article sur moi. Trop préoccupé du Cénacle qu’il avait ch
Magnin, qui fit bientôt, en effet, sur les Poèmes de M. de Vigny, un article capital inséré dans le Globe le 21 octobre 1829.
décembre  1829 (je venais d’écrire dans la Revue de Paris un premier article sur Racine) : « Je suis distrait, et outre cela
quelque temps, deux heures avec vous sans vous rien dire de votre bel article sur Racine, et je venais d’en parler toute la mat
u à ses drames. Le reproche m’en a été fait, et, même pour ce dernier article de 1864, le bon sens de Buloz me l’a dit : « Vous
ancier. » J’écris en ce moment comme on cause. Si je ne considérais l’ article de 1835 que comme un portrait provisoire, je ne p
nom de la poésie, leur maîtresse commune. Pour en finir au sujet de l’ article contesté par M. Ratisbonne, je citerai la lettre
17 (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Variétés littéraires, morales et historiques, par M. S. de Sacy, de l’Académie française. » pp. 179-194
t dans ce cadre qui est le sien. Je regrette qu’au lieu de ranger ses articles sous des divisions un peu arbitraires, il ne les
mais on aurait le fruit dans toute la succession de sa maturité. Les articles de M. de Sacy ne sont pas des études proprement d
t comme venant de se retremper vivement au bouillon de la source. Ses articles littéraires (ainsi qu’autrefois ses articles poli
uillon de la source. Ses articles littéraires (ainsi qu’autrefois ses articles politiques) rendent bien l’ensemble de son impres
ais pas attendu, pour les conserver, que M. de Sacy eût recueilli ses articles  ; j’en ai sous les yeux la plupart, classés par m
favorite, gallicane, universitaire, des États généraux, etc. Mais les articles qui sortent de ligne, et dont tous ceux qui lisen
ouvenir avant de les retrouver dans les présents volumes, ce sont les articles sur le De oratore, sur le Télémaque, sur La Roche
le et modeste Nicole, par les mœurs. Un de ses bons, de ses meilleurs articles , est celui qu’il a fait sur les Maximes de La Roc
tien, pourra être un déclamateur ; élevé, il ne le sera jamais. » Cet article de M. de Sacy est un de ceux où il se dessine le
ion, ma liste d’auteurs, que je ne veux cependant pas épuiser. Mais l’ article mémorable et tout à fait distingué, chef-d’œuvre
urs. Pour moi, les deux morceaux de M. de Sacy que je préfère, sont l’ article sur L’Orateur de Cicéron et cet article sur les c
e Sacy que je préfère, sont l’article sur L’Orateur de Cicéron et cet article sur les catalogues : Cicéron et les beaux livres,
Augustins, 35. 40. [NdA] Je serai plus clair, en réimprimant ici cet article , que je n’avais cru devoir l’être d’abord dans le
18 (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « M. de Féletz, et de la critique littéraire sous l’Empire. » pp. 371-391
étonnés si, un matin, nous trouvions au bas de nos journaux les mêmes articles de variétés, les mêmes feuilletons, et sur les mê
, quand on revient, après quelques années d’intervalle, sur d’anciens articles de critique et de polémique, on est frappé de la
de polémique, on est frappé de la disproportion qui paraît entre ces articles mêmes et l’effet qu’ils ont produit ou le souveni
es dernières années de la Restauration. Reprenez-le aujourd’hui : les articles semblent tout petits, tout incomplets ; ils nous
des lecteurs. Je prétends qu’en relisant les anciens journaux et les articles de critique qui y ont eu le plus de succès, nous
ont eu le plus de succès, nous n’y trouvons jamais que la moitié de l’ article imprimée : l’autre moitié n’était écrite que dans
s La Décade. Enfin, Le Moniteur trahissait quelquefois, dans certains articles impétueux, un journaliste d’une nature extraordin
peut-être le dernier livre moderne qu’il ait lu. En général, dans ses articles de L’Année littéraire, il visait plus à la justes
e au théâtre, une voiture pour s’y rendre, sans compter le reste. Ses articles , relus aujourd’hui, ont fort perdu. Les gens du m
abordait aussi toutes sortes de sujets. Je distingue, à l’origine, un article de lui sur Gil Blas. Il prend plaisir, en regard
ua ni de vigueur ni de piquant. Geoffroy répondit, le 20 mars, par un article intitulé Mon retour et ma rentrée. Il avait recon
ous le masque, mais il répondit mal ; au lieu de se disculper sur les articles essentiels, il s’exalta lui-même, il parla avec e
orti de Sainte-Barbe, et se ressouvint toujours de sa rhétorique. Ses articles , recueillis sous le titre d’Annales littéraires,
e sait manier et faire jouer les personnages. Dans un de ses piquants articles sur M. de Pradt, il traduisit un jour le badin ar
ait d’ailleurs les sujets sérieux et suivis : il a écrit des séries d’ articles sur le magnétisme, sur la crânologie, sur la géog
t pas la raillerie, quand elle avait à sortir, de se glisser dans ses articles je ne sais comment, dans le tour, dans la réticen
19 (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Macaulay »
Ces deux volumes des Œuvres diverses n’ont pas épuisé la liste des articles que Lord Macaulay écrivit dans la Revue d’Édimbou
este, dès sa jeunesse, le whig tenait si fort Macaulay, que, dans son article sur Milton, — certainement une des plus belles ch
lairent ni l’œuvre qu’on juge, ni l’homme qu’on veut pénétrer, en ces articles qui perdaient par là de leur beauté et de leur pu
ravaux de Macaulay à la Revue d’Édimbourg, et vous trouverez sur onze articles , en totalité, que renferment ces deux volumes, ci
, nous en pouvons juger la supériorité et la justesse dans les autres articles purement littéraires. Cependant, ces articles, — 
ustesse dans les autres articles purement littéraires. Cependant, ces articles , — excepté le Milton, qui est, comme profondeur d
actérisation du génie d’un poète, de la plus souveraine beauté, — ces articles ne sont pas les plus beaux de la collection de Ma
’en doutait. Personne n’en avait la pensée. Aussi, quand les premiers articles de Macaulay parurent, vers 1823, dans cette Revue
’un seul coup de pied, des soldats, on s’étonna, on fut charmé de ces articles substantiels et légers qui n’étaient plus de la c
, cette forme qui n’était plus le livre et qui n’était pas non plus l’ article de journal, était née. Tout ce qui écrivait voulu
rbulente à l’impersonnalité du critique, apparaissent encore dans cet article sur Southey, que M. Guillaume Guizot aurait pu re
ation, il n’est pas difficile de la pardonner. Excepté, en effet, cet article sur les entretiens politiques de Robert Southey,
tiens politiques de Robert Southey, le lauréat et le tory, les autres articles du volume sont choisis avec discernement par l’ex
tique tacher la pureté littéraire d’un travail aussi magnifique que l’ article consacré à Milton, par exemple, et l’espèce d’irr
s semblent parfois des paradoxes, comme, par exemple, le passage de l’ article de Dryden, qui tout à la fois éblouit et navre, s
es. Né d’un père très riche, il débuta par le coup de tonnerre de son article sur Milton dans la Revue d’Édimbourg, qui ouvrit
20 (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1853 » pp. 31-55
de la cuisine chinoise, et qui apportait, d’un air diplomatique, des articles artistiquement pointus ; et c’était Louis Énault,
une voix de cinquième acte : — Le journal est poursuivi. Il y a deux articles incriminés. L’un est de Karr ; l’autre, c’est un
Il y a deux articles incriminés. L’un est de Karr ; l’autre, c’est un article où il y a des vers… Qui est-ce qui a mis des vers
un article où il y a des vers… Qui est-ce qui a mis des vers dans un article , ce mois-ci ? — C’est nous ! disions-nous. — Eh b
us. — Eh bien ! c’est vous qui êtes poursuivis avec Karr. Or, voici l’ article qui devait nous faire asseoir sur les bancs de la
elle, absolument comme des messieurs arrêtés dans une pissotière. Cet article , paru le 15 décembre 1852, avait pour titre : Voy
uatre heures, l’idée de poursuivre en police correctionnelle, dans un article de je ne sais qui du Paris, une ligne de points,
an. Il nous déclara que pour lui, il n’y avait aucun délit dans notre article , mais qu’il avait été forcé de poursuivre sur les
ose à dire sur les vers de Tahureau, ni sur une femme qui, dans notre article , rentrait de dîner, son corset dans un journal (l
s un journal (le second passage souligné au crayon rouge), passa à un article de notre cousin de Villedeuil, qui mettait en dou
dant au tribunal comment on osait requérir contre nous, à propos d’un article non incriminé, et dont l’auteur n’était pas avec
e l’audience, du jugement dont voici le texte : « En ce qui touche l’ article signé Edmond et Jules de Goncourt, dans le numéro
, du 11 décembre 1852 ; « Attendu que si les passages incriminés de l’ article présentent à l’esprit des lecteurs des images évi
ieuses et dès lors blâmables, il résulte cependant de l’ensemble de l’ article que les auteurs de la publication dont il s’agit
ntenant, c’est à peine si j’accroche un volet ! » 2. J’ai donné l’ article en son entier dans Pages retrouvées, volume publi
21 (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Essais de politique et de littérature. Par M. Prevost-Paradol. »
ées déjà, je remarque de lui, surtout dans le Journal des Débats, des articles de littérature, de philosophie, d’histoire, de po
re, de philosophie, d’histoire, de politique toujours, mais enfin des articles très variés et sur toutes sortes de sujets, et je
« La Gazette de Liège est poursuivie par le ministère public pour un article sur la dernière crue de la Meuse. Le journal belg
on seulement il le fit le premier jour d’une manière directe, mais un article de lui suivit peu après, moitié sur Pétrone, moit
prétexte de traductions plus ou moins récentes de ces deux auteurs. L’ article , en soi, était très bon ; l’ironie qu’il recèle e
être conservé à ses amis. M. Prevost-Paradol, à son tour, écrivant un article sur Tocqueville, répondit à cette pensée, et, dan
ême en ne voulant parler que littérature. J’essaye de trier parmi les articles si distingués que j’ai sous la main : en voici un
ces, etc. » Voilà comme je l’aimerais plus souvent. Puis viennent des articles , parfaits dans leur brièveté, sur Démosthène, sur
a même quelquefois malice partout. Mais je ne veux ici parler que des articles qui ont le poison à l’extrémité, non de ceux qui
poison à l’extrémité, non de ceux qui en sont tout pétris et saturés ( article Hérodien). Dans ses jours même les plus innocents
ent politique. Si j’ouvre le volume où il a réuni quelques-uns de ses articles , qu’y vois-je d’abord en effet ? J’ai à traverser
françaises ; et cependant ses conclusions n’admettent guère, sur cet article capital, de différence de régime d’un pays à l’au
tail cependant, sur le chapitre de la presse, par exemple, qui est un article bien essentiel de ce Credo, il a lui-même établi
de ne pas indiquer, sur l’Enfer, sur l’autre vie ; un charmant et bel article sur Spinosa. Je ne parle pas de ce talent de prof
22 (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Armand Carrel. — II. (Suite.) Janvier 1830-mars 1831. » pp. 105-127
mes. Le premier numéro du National (3 janvier 1830) contient un court article de Carrel sur Rabbe, ce Méridional mort à quarant
mique, je dirais : Mettez-y une goutte de la bile de Rabbe. Dans deux articles écrits à l’occasion de l’Histoire de la Restaurat
ration de M. Lacretelle (24 et 30 janvier 1830), et dans un troisième article écrit à l’occasion des derniers volumes de Bourri
vitude, mais l’enchantement de tous les esprits. Il y a là, dans cet article du 24 janvier, une admirable page d’histoire. Car
le œuvre qu’il aurait aimé à attacher la gloire de son nom. Ces seuls articles que je cite prouveraient que le projet était déjà
l participe en toute occasion à ce plan concerté, et notamment par un article intitulé : « Le livre du Contrat social et la Cha
s en pairie, dit-il, et nous vivrons bien désormais avec elle. » Cet article , un peu enveloppé à cause du but, est d’ailleurs
premiers mois de la collaboration de Carrel au National, ce sont les articles de variétés et de littérature qu’on ne s’attendra
t lieu entre lui et M. Victor Hugo. Le poète, à la lecture du premier article de Carrel sur les représentations d’Hernani, lui
que, et, venant d’un esprit aussi rigoureux, il honore. Mais, dans un article sur les obsèques de Sautelet (16 mai), Carrel lui
, et même dans les moindres ? Ce caractère restrictif et négatif, à l’ article de la poésie moderne, n’est point particulier à C
et d’une mémoire si vengeresse contre le père. On remarque encore un article mâle et simple sur Vandamme (23 juillet), qu’il d
r écrivain, à prendre la rédaction en chef du National, et il fit son article de déclaration le 30 août 1830. Pendant le mois é
omme de son humeur : cela perce déjà dans les dernières lignes de cet article tout pacifique et d’expectative ; il prévient les
it : et combien de fois déjà ne s’était-elle pas montrée à la fin des articles de Carrel ! Là est un faible, et qui, transporté
aucun prétexte, il n’est déclamatoire : un de ses beaux et très beaux articles d’alors, est celui qu’il fit (22 septembre) au su
ume. Il ne s’agit point pour nous de suivre Carrel dans cette série d’ articles des premiers mois de 1831, ni dans le tous-les-jo
23 (1860) Ceci n’est pas un livre « Une conspiration sous Abdul-Théo. Vaudeville turc en trois journées, mêlé d’orientales — Prologue » pp. 213-214
gination, ont évidemment droit à tout le luxe possible ; — Arrêtons : Article premier. — À partir du 15 janvier 1864, les homme
ront transportés à Constantinople sur des galères richement décorées. Article  2. — Le transport se fera aux frais de l’État. Ar
ment décorées. Article 2. — Le transport se fera aux frais de l’État. Article 3. — Aussitôt après leur installation, les susdit
ef suprême et absolu qui portera le titre de Commandeur des Croyants. Article  4. — La dénomination de « république des lettres 
t et demeure abolie, comme jurant avec la couleur locale de l’Orient. Article  5. — M. Théophile Gautier est nommé Commandeur de
24 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « X » pp. 37-38
X Ce 3 mai 1843. articles sur lucrece. — libri et les journaux de sacristie
ur lucrece. — libri et les journaux de sacristie. Vous aurez lu les articles sur Lucrèce. Janin n’a pas été mal. Gautier écriv
directeur rival opposé aux succès de l’Odéon. Voilà l’histoire de ces articles . L'anecdote de M. Portelance, citée par Molènes,
contre Buloz et a voulu être juste ! ! Magnin n’en fera pas moins son article , je pense, mais à loisir. Ce qu’il faut dire, c’
de, moins bon juge sans doute que ce primitif parterre d’étudiants. L' article de Libri13 plaît peu ici, même aux non-catholique
25 (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Poésies, par Charles Monselet »
ontinué, l’intérêt a redoublé, j’ai regardé la signature : le piquant article , vers ou prose, scène de mœurs, esquisse populair
ù je serais las du sérieux, où je relèverais de quelque gros ou grave article , au lendemain de considérations sur les destinées
r d’abord, il s’éleva aux faits divers, à l’entrefilet, puis au petit article . Solar l’appela à Paris quand il fonda l’Époque,
on le vit un peu partout ; romans, nouvelles, feuilletons de théâtre, articles de critique, il ne se refusa rien : Le principal
touffée Sous le journal, rude fardeau ; La servante chassa la fée ; L’ article tua le rondeau. L’article ne tua rien. Sous sa p
de fardeau ; La servante chassa la fée ; L’article tua le rondeau. L’ article ne tua rien. Sous sa plume il était léger, et sou
t volume, Statues et Statuettes contemporaines (1852), bon nombre des articles de sa première jeunesse. J’en distingue un sur M.
de sa destination un certain air officiel, coudoie dans le volume un article sur Paul de Kock, — que dis-je, une Visite à Paul
re Mercier dont l’An 2440 inspirait, il y a peu de mois, un excellent article à M. Léon Plée, et qui s’intitulait lui-même « le
agination, philosophie. Depuis quinze jours je fais dans ce journal l’ article Variétés… C’est avec un sentiment de douleur bien
ne puis me soustraire. Ainsi sur Monselet, depuis que j’ai écrit cet article , que de jolis feuilletons sont venus agacer et ju
manière de Sarcey : il échappe le plus qu’il peut, il fuit, il fait l’ article à côté : mais ces articles à côté sont souvent de
appe le plus qu’il peut, il fuit, il fait l’article à côté : mais ces articles à côté sont souvent de petites créations d’une ex
26 (1874) Premiers lundis. Tome II « Des jugements sur notre littérature contemporaine à l’étranger. »
mière vue, même par des étrangers qui ne feraient que passer. Mais un article du Quarlerly Review, reproduit par la Revue brita
voir passé six mois en Touraine, comme a fait peut-être l’auteur de l’ article . Je m’en remettrais encore très volontiers à des
s jusqu’au sein d’un même talent : de loin, il n’y a qu’à renoncer. L’ article du Quarterly Review peut être bon, suffisant, rel
 ; ce serait trop d’exigence à nous de nous plaindre. L’auteur de cet article courroucé peut, et même doit être un homme instru
ens, scholar distingué, sachant le grec, l’histoire, les langues. Son article , pour nous autres Français, est tout simplement…
n morale qui semble depuis quelque temps s’organiser, et à laquelle l’ article reproduit par la Revue britannique vient prêter s
s une littérature, même un peu plus patiente que ne l’est la nôtre. L’ article en question est, dans son genre, une manière de g
cence) tout ce qu’il impute à cette littérature un peu relâchée. Si l’ article était resté là où il a paru, c’est-à-dire hors de
isir de plus de la savoir là et de la retrouver. Que si l’auteur de l’ article ou autres de son bord me demandaient où se dérobe
27 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XIV » pp. 58-60
XIV Ce 29 mai 1843. article de charles magnin sur lucrèce dans la revue des d
la vallière, par adolphe dumas. — éloge de daunou, par m. mignet. L' article de Magnin sur Lucrèce passe décidément dans la Re
e Ponsard en Dauphiné des détails qui pourront être intéressants. Cet article , qui va enfin paraître, est, somme toute, très-bo
finitif, à réagir un peu contre tout ce qui s’était dit de trop, et l’ article satisfait généralement à ces conditions d’un rapp
âlons dans l’Univers ; lettre de l’évêque de Chartres. Je vois, par l’ article des Débats de ce matin 29, que le chanoine de Lyo
28 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XV » pp. 61-63
s le Constitutionnel de ce matin la lettre de Ponsard à Viennet sur l’ article de Magnin. Ponsard a droit de ne pas être content
sur l’article de Magnin. Ponsard a droit de ne pas être content de l’ article de Magnin, qui a cette justesse stricte qui n’est
est sans cordialité ; mais il a tort de se plaindre par écrit, car l’ article est loyal, et Magnin a pu parfaitement user d’art
ar écrit, car l’article est loyal, et Magnin a pu parfaitement user d’ articles de M. Ponsard imprimés et signés de ses initiales
au ministre, laissons-leur la liberté à tous, moyennant un bon petit article de police qui suffira. » — Le roi est peut-être m
29 (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Lamennais — Note »
Note Cette suite d’ articles sur La Mennais exprime et accuse plus nettement q
ce que j’ai écrit ex professo sur La Mennais, il faudrait y joindre l’ article sur la Correspondance publiée par M. Forgues au t
pondance publiée par M. Forgues au tome I des Nouveaux Lundis, et les articles sur la Correspondance publiée par M. Blaize insér
ainsi tout l’ensemble de mon jugement. — En ce qui est des précédents articles , ils s’expliquent assez d’eux-mêmes. Je m’étais p
u fond, un critique. Quel effet produisirent sur M. de La Mennais ces articles d’abord tout favorables, puis terminés par un tem
u de nous rendre complices. Je crois me rappeler qu’en effet, après l’ article sur les Affaires de Rome, je rencontrai un jour s
30 (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Armand Carrel. — I. » pp. 84-104
férentes, pourvu qu’ils fussent braves et gens d’honneur. Dans un des articles sur la guerre d’Espagne que Carrel inséra en 1828
eût jamais excité les transports et les ardeurs qui accueillirent les articles de Carrel : c’est qu’avec lui, en lisant et en ju
ision et de l’exactitude. Vers le même temps, Carrel donnait quelques articles au recueil intitulé Le Producteur, et dans lequel
nt le développement de leurs doctrines. Je lis, dans le numéro 10, un article de Carrel où, à l’occasion d’une brochure de M. d
evant nous. » Carrel donna encore dans Le Producteur quelques autres articles de polémique, et il en fit aussi sur le commerce
meillant. Les premiers morceaux très remarqués de lui furent les deux articles qu’il donna à la Revue française (mars et mai 182
entre Carrel et ses deux amis : le plus simple examen, la lecture des articles que Carrel inséra dans le journal durant toute ce
dans les bureaux du National que Carrel était très bon pour faire un article à loisir, à tête reposée ; mais, dès qu’il fallai
sa rédaction au National et avant les événements de Juillet, depuis l’ article sur la mort de Rabbe, qui est dans le premier num
s noms des auteurs sont indiqués d’une manière authentique au bas des articles (presque tous alors anonymes), me permettra de l’
senter au public avec certitude. Mais, auparavant, j’ai à parler d’un article qu’il donna à la Revue de Paris en juin 1830, et
s de Virgile sur le groupe sinistre des suicides : tout ce début de l’ article est triste et morne, méditatif, un peu austère, e
ut dégoûter du suicide une âme mâle et ferme, c’est la lecture de cet article de Carrel. Hélas ! ce qu’il dit là contre le suic
ort volontaire, il a passé comme un frisson d’épouvante. C’est un bel article , sombre, fier, tendre sans faiblesse, moral sans
31 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LXI » pp. 237-241
4 août 1844. les fêtes de juillet. — curiosité sans enthousiasme. —  article de lerminier sur l’ultramontanisme de quinet. — r
n mesure de faire la leçon à Quinet là-dessus : tout le détail de cet article et les remarques sur cette érudition confuse et f
pâture et qui ne trouve guère où fourrager, se replie en pays ami. L' article de M. de Rémusat a de très-belles pages sur les j
e, Rémusat, un des plus charmants causeurs et des plus fertiles.) — L' article de M. Sainte-Beuve sur Daunou nous a appris à bie
ien qu’il se soit dérobé. On dirait volontiers de ses travaux, de ses articles , et de l’effet qu’ils produisent : « si l’on s’at
stinction et le soin du détail, nous le concevons très-bien d’après l’ article , rien de ce qu’a écrit ou pensé le docte écrivain
32 (1765) Articles de l’Encyclopédie pp. 5482-9849
ion établie à partir de l’édition numérisée de l’ARTFL Voltaire, articles de l’Encyclopédie ELEGANCE Elegance
étre remarquée. Voyez Eloquence, Eloquent, Style, Goût , &c. Cet article est de M. de Voltaire . ELOQUENCE ELOQUE
 de Voltaire . ELOQUENCE ELOQUENCE, s. f. (Belles-Lettres) L’ article suivant nous a été envoyé par M. de Voltaire, qui
’honneur de nous écrire à ce sujet, il a la modestie de ne donner cet article que comme une simple esquisse ; mais ce qui n’est
le vulgaire s’en apperçoive. Voyez Eloquence, Elégance , &c. Cet article est de M. de Voltaire . FACILE FACILE, a
 : & foible est celui qui laisse prendre sur lui trop d’autorité. Article de M. de Voltaire . FACTION Faction (P
mots synonymes en plusieurs cas, qui cessent de l’être dans d’autres. Article de M. de Voltaire . FANTAISIE Fantais
est avoir des goûts extraordinaires qui ne sont pas de durée. Voyez l’ article suivant. Fantaisie en ce sens est moins que bisar
ttise pommée, folie fieffée, pour dire sottise & folie complette. Article de M. de Voltaire . FASTE Faste (Gram
es consulaires n’étoient que la liste des consuls. Voyez ci-après les articles Fastes (Histoire.) Les fastes des magistrats ét
parade de sa vertu, met du faste jusque dans l’humilité même. Voyez l’ article suivant. Le faste n’est pas le luxe. On peut vivr
u des faveurs du roi, on dit, il a eu les faveurs d’une dame. Voyez l’ article suivant. L’équivalent de cette expression n’est p
d’un commerce hasardé ; faveurs de Vénus, faveurs cuisantes, &c. Article de M. de Voltaire . FAVORI, FAVORITE FAV
dans les romans & les historietes du siecle passé. Voyez Faveur . Article de M. de Voltaire . FAUSSETÉ FAUSSETÉ, s.
rits faux sont insupportables, & les coeurs faux sont en horreur. Article de M. de Voltaire . FÉCOND FECOND, adj. (
fertiles en crimes. L’usage enseigne toutes ces petites différences. Article de M. de Voltaire . FÉLICITÉ Felicite
er, parce qu’il est d’une prononciation plus douce & plus sonore. Article de M. de Voltaire . FERMETE Fermete (
a un style ferme, & que d’autres écrivains n’ont qu’un style dur. Article de M. de Voltaire . FEU Feu (Littérat
on n’a point de génie sans feu, mais on peut avoir du feu sans génie. Article de M. de Voltaire . FIERTÉ Fierte (Mo
a fierté du pinceau, pour signifier des touches libres & hardies. Article de M. de Voltaire . FIGURÉ Figuré
langues beaucoup de proverbes communs qui sont dans le style figuré. Article de M. de Voltaire . FINESSE Finesse (
itable caractere de ce vers est plûtôt la délicatesse que la finesse. Article de M. de Voltaire . FLEURI Fleuri (Li
riantes. Le second est plus dénué de ces fleurs ; il n’est que doux. Article de M. de Voltaire . FOIBLE Foible (Gr
olide. Il peut se dire de presque tous les êtres. Il reçoit souvent l’ article de : le fort & le foible d’une épée ; foible
les endroits que Racine, & Campistron son imitateur, ont traités. Article de M. de Voltaire . FORCE Force (Gram
é inhérente à la matiere, comme le dit le dictionnaire de Trévoux à l’ article Inhérent. La force de tout animal a reçu son plus
e mouvement, de force, à mesure qu’ils manquent de chaleur. Voyez les articles suivans. Article de M. de Voltaire . FRANCHI
rce, à mesure qu’ils manquent de chaleur. Voyez les articles suivans. Article de M. de Voltaire . FRANCHISE Franchi
’audace ; parler avec trop de franchise, c’est trop ouvrir son coeur. Article de M. de Voltaire . FRANÇOIS, ou FRANÇAIS
nçois n’ayant point de déclinaisons, & étant toujours asservi aux articles , ne peut adopter les inversions greques & lat
pre pour le style lapidaire. Ses verbes auxiliaires, ses pronoms, ses articles , son manque ce participes déclinables, & enfi
olitesse si aisée, si naturelle, qu’on appelle improprement urbanité. Article de M. de Voltaire . FROID Froid (Belle
quoi se corriger. On peut modérer son feu. On ne sauroit en acquérir. Article de M. de Voltaire . GALANT GALANT, adj.
aire par des soins agréables, par des empressemens flatteurs. Voyez l’ article Galanterie . Il a été très galant avec ces dames
techniques ont une signification plus précise & moins arbitraire. Article de M. de Voltaire. GARANT Garant (Hist
on a reconnu que la force est le meilleur garant qu’on puisse avoir. Article de M. de Voltaire . GAZETTE GAZETTE, s.
urs à la longue, les firent tomber dans le mépris & dans l’oubli. Article de M. de Voltaire . Une espece de gazette très-ut
ut être le maître de son habitude, & ployer à son gré son génie ? Article de M. de Voltaire . GENS Gens de Lett
ent plus de la société ; ils sont juges, & les autres sont jugés. Article de M. de Voltaire . GLOIRE Gloire, gl
constance rendoit respectable aux hommes le Dieu qu’ils annonçoient. Article de M. de Voltaire . GOUT Gout [Voltai
[Voltaire] Gout, (Gramm. Litterat. & Philos.) On a vû dans l’ article précédent en quoi consiste le goût au physique. C
; que le goût n’a été le partage que de quelques peuples de l’Europe. Article de M. de Voltaire . GRACE Grace
ent des agrémens par leurs attitudes & par leurs regards. Voyez l’ article suivant. Les graces de la diction, soit en eloque
n’est pas encore employé par les bons écrivains dans le style noble. Article de M. de Voltaire . GRAND Grand, gran
ons y atteindre, vengeons-nous par en médire. Voyez Grandeur & l’ article suivant. Article de M. de Voltaire . GRAVE
vengeons-nous par en médire. Voyez Grandeur & l’article suivant. Article de M. de Voltaire . GRAVE Grave, Grav
se criminelle que d’un procès civil. Maladie grave suppose du danger. Article de M. de Voltaire . HABILE HABILE, (Gram
mple, Bossuet ayant à traiter dans l’oraison funebre du grand Condé l’ article de ses guerres civiles, dit qu’il y a une péniten
sident à ce grand & important Ouvrage doivent traiter au long les articles des Arts & des Sciences qui instruisent le pu
ui instruisent le public ; & ceux auxquels ils confient de petits articles de littérature doivent avoir le merite d’être cou
 ; & ces nuances sont ce qui détruit les synonymes. On a fait cet article le plus court qu’on a pû, par les mêmes raisons q
x qui ont approfondi le coeur humain en diront davantage sur ce petit article . HÉMISTICHE HÉMISTICHE, sub. m. (Littéra
Littérature.) moitié de vers, demi-vers, repos au milieu du vers. Cet article qui paroît d’abord une minutie, demande pourtant
des inversions, dans les verbes auxiliaires, dans le plus ou moins d’ articles , dans le mêlange plus ou moins heureux des voyell
en peu de chose qu’un hémistiche : ce mot sembloit à peine mériter un article  ; cependant on a été forcé de s’y arrêter un peu 
oxe, toute opinion hasardée, mais qui exige que tout soit approfondi. Article de M. de Voltaire . HEUREUX, HEUREUSE, HEUREU
: c’est au lecteur à faire là-dessus ses réflexions ; il y a bien des articles sur lesquels il peut s’en dire plus qu’on ne lui
ni son auteur, ni ses lecteurs. Voyez d’ailleurs, si vous voulez, les articles Bien , & Bienheureux de ce Dictionnaire. Il
rions dans la barbarie dont les seuls Philosophes nous ont tirés. Cet article est de M. de Voltaire . HISTOIRE Histo
t attesté par des hommes animés de l’esprit divin. Voilà pourquoi à l’ article Certitude de ce Dictionnaire, c’est un grand par
la saine Métaphysique. Ce Dictionnaire est consacré à la vérité ; un article doit corriger l’autre ; & s’il se trouve ici
rendre les Carthaginois odieux ? Ouvrez le dictionnaire de Moréri à l’ article Régulus, il vous assure que le supplice de ce Rom
its célebres & reçus, dont il faut douter. Mais les bornes de cet article ne permettent pas de s’étendre. Les monumens, le
e l’esprit ; beaucoup de préceptes, & peu de grands artistes. Cet article est de M. de Voltaire . IDOLE, IDOLATRE, IDO
st utile de remarquer ici que le dictionnaire de Trévoux commence cet article par dire que tous les Payens étoient idolatres, &
ues tartares, qui ayent persévéré dans la religion de leurs ancêtres. Article de M. de Voltaire. Voyez Oracles, Religion, Supe
reçue ; les exemples en sont innombrables, & celui qui écrit cet article en a vû de si frappans, qu’il démentiroit ses yeu
e en est indépendante. Il n’est peut-être pas inutile d’ajoûter à cet article , que par ces mots perception, mémoire, imaginatio
ns que par leurs effets, sans pouvoir rien connoître de cet être. Cet article est de M. de Voltaire . MAGES, secte des
33 (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Appendice. »
Appendice. (Voir page 95. —  Article sur Salammbô. ) Je donnerai ici, comme je l’ai pr
re détaillée que M. Gustave Flaubert m’a adressée à l’occasion de mes articles sur son livre. Je me contenterai de faire remarqu
pendant les trois semaines dans l’intervalle desquelles parurent ces articles , je le rencontrai plus d’une fois à dîner ou en s
u’on va lire : « Décembre 1862. « Mon cher maître, « Votre troisième article sur Salammbô m’a radouci (je n’ai jamais été bien
pas sobre. Rien de plus compliqué qu’un Barbare. Mais j’arrive a vos articles , et je me défends, — je vous combats pied à pied.
emède contre la lèpre : voyez le Dictionnaire des sciences médicales, article Lèpre ; mauvais article d’ailleurs et dont j’ai r
voyez le Dictionnaire des sciences médicales, article Lèpre ; mauvais article d’ailleurs et dont j’ai rectifié les données d’ap
z, vous ne m’en avez pas moins fait trois grands saluts, trois grands articles très-détaillés, très-considérables et qui ont dû
r soir, et je la relis ce matin. Je ne regrette plus d’avoir fait ces articles , puisque je vous ai amené à sortir ainsi toutes v
om d’une bataille, de plusieurs batailles. Je compte faire ceci : mes articles restant ce qu’ils sont, en les réimprimant je met
. » Ce sera l’impression générale et définitive… » (Voir page 428. —  Article sur le Père Lacordaire.) Je donnerai ici une let
rai peut-être un jour une lettre qu’il m’a adressée à l’occasion de l’ article que je fis sur lui dans le Constitutionnel le 31
ui dans le Constitutionnel le 31 décembre 1849. Un passage de ce même article m’a depuis attiré une question d’un de ses discip
sur lui, principalement au point de vue intime et religieux. « Dans l’ article publié par vous, monsieur, dans le tome I des Cau
e tous, que je n’ai point nommé jusqu’ici et à dessein, mériterait un article à part. Il y aurait pour lui une exception à fair
du sien. Toutes les traductions d’anglais que j’ai insérées dans mes articles ont passé sous ses yeux et aussi sous les yeux de
’avait cru d’abord, à parler du temple de Thugga. 97. Dans un de ses articles de l’Opinion nationale sur Salammbô. 98. Express
34 (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Essai sur Talleyrand (suite et fin.) »
ges, restait pour M. de Talleyrand un autre point délicat à régler, l’ article de la mort. Elle était moins simple pour lui que
mposition de sa vie. [Note de Jules Troubat] À l’occasion de ces articles sur Talleyrand, M. Sainte-Beuve reçut un grand no
parti pour écrire ici, en manière d’appendice ou de post-scriptum, un article final et inédit, qui eût été un dernier mot sur T
ipaux autour desquels M. Sainte-Beuve a établi la discussion dans ses articles sur Talleyrand. Qu’on se rassure d’ailleurs ! Je
le est adressée à M. Jules Claretie, qui, après la publication de ces articles dans le journal le Temps, avait envoyé à M. Saint
r donne le récit d’un de ces témoins mêmes. « J’ai du reste écrit ces articles sans aucun parti pris ; je comptais d’abord n’en
athie, M. Sainte-Beuve écrivait, après la publication complète de ses articles dans le Temps : « (Ce 12 mars 1869.) — Cher mons
je retrouve dans le dossier, il disait : « J’ai écrit de bien longs articles , et pourtant ils sont des plus abrégés et des plu
des plus incomplets, je le sens, sur un tel sujet. Ce ne sont pas des articles , ce n’est pas un Essai qu’il faudrait faire sur T
qui survint au Temps pendant la publication et dans l’intervalle d’un article à l’autre, et qui avait tout l’air d’une menace J
le procès serait une vengeance (sous forme détournée)… J’ai fait mes articles sans prévention ni parti pris, reconnaissant les
e expresse à ce sujet que m’a écrite, après mon premier ou mon second article , M. Troplong lui-même. Enfin, au premier mot de d
déclaration de guerre, je vous propose de vous donner un supplément d’ article où je traiterai ce point : « M. de Talleyrand éta
ires que recherchent tous les gens de goût. J’ai lu vos deux derniers articles sur ce bon sujet de Talleyrand, comme disait M. d
oment de la mort de Casimir Perier, qu’on a pu lire dans le précédent article , a été supposée par moi adressée à Mme de Dino, s
M. Louis Veuillot à écrire tout un premier-Paris de l’Univers sur mes articles . C’est l’éternel honneur de Voltaire qu’on ne pui
anes et anicroches à l’aide desquelles on avait essayé d’entraver les articles de M. Sainte-Beuve au Temps, lui écrivait, lorsqu
pondre aux reproches et aux injures, celui de confirmer par un nouvel article le parti si simple en lui-même que vous avez suiv
35 (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Études sur Blaise Pascal par M. A. Vinet. »
ompétents : Néander à Berlin, la Revue d’Édimbourg par un remarquable article de janvier 1847277, sont entrés dans la lice : il
M. Vinet viennent de recueillir, et qui se compose des leçons et des articles qu’il a donnés en différents temps sur ce sujet.
. Vinet ; il serait difficile d’analyser ici une série de leçons et d’ articles critiques qui sont déjà des analyses. Une idée qu
de m’envoyer la livraison de la Revue des Deux-Mondes, où se trouve l’ article que vous avez bien voulu me consacrer. Il me sera
rieux rapports, d’être jugé avec une si extrême bienveillance dans un article dont vous êtes l’auteur et que vous avez signé. I
et j’accepte avec reconnaissance les vœux par où vous terminez votre article . Oui, je désire être lu, et je vous remercie de m
euse, VINET. « Montreux, 27 septembre 1837. » 277. L’auteur de cet article est M. Henry Rogers. 278. Juin 1839. 279. Le sc
36 (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Œuvres complètes d’Hyppolyte Rigault avec notice de M. Saint-Marc Girardin. »
ir un défaut. Rigault débuta dans la critique proprement dite par des articles de la Revue de l’Instruction publique, fort belle
out temps et dont il était plein. Depuis 1853, il donna également des articles littéraires au Journal des Débats, avec redoublem
a fait Rigault à ce moment ? Il a écrit sur Baour-Lormian un agréable article (25 janvier 1855), mais qui n’est pas du tout exa
c à la veille d’être proclamée si heureuse et de triompher ? Dans cet article de Rigault, le polémiste, (à mon égard) était spi
nt de départ. Il se sentait tout poussé dans cette voie. Il a de bons articles sur Lamennais, un charmant sur le Civilisateur de
s sur Lamennais, un charmant sur le Civilisateur de Lamartine, un bon article sur M. Poujoulat et Bossuet, de fort bons sur M. 
leton moral où il renouvelait le genre d’Addison. Quelques-uns de ces articles ont fort réussi. Dans le premier, il commit une f
e bonnes rencontres. Dans ce genre Addison, je n’ai qu’à rappeler des articles (antérieurs de date peut-être) sur les Jouets d’E
et le conseil. Je suis moins frappé, je l’avoue, en relisant d’autres articles qui appartiennent à cette série. Dans tous il y a
jolis passages, mais ils sont achetés et préparés industrieusement. L’ article sur la Noblesse du jour et sur nos Bourgeois gent
os petits livres de dévotion et de piété fine, est bien compliquée. L’ article où il est parlé de la petite maison romaine du pr
sées se termine par un trait d’une justesse fort équivoque. Cet autre article dans lequel il est question de Robert Emmet, roma
37 (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Notes et pensées » pp. 441-535
as, travaillant dans le cabinet à un ouvrage suivi, m’éparpillant aux articles , me dispersant au monde, laissant manger mes heur
ur l’impression, il les cultive tous les matins. Le poème paraît, les articles paraissent aussi. Tout a été si bien calculé que
ît, les articles paraissent aussi. Tout a été si bien calculé que les articles s’appuient coup sur coup, comme des salves succes
ire Jocelyn et qui n’ont pu en venir à bout. Carrel a exprimé dans un article (non signé) du National le désappointement et le
es grâces d’un esprit supérieur par un portrait littéraire et par des articles de la Revue des deux mondes, à l’occasion de ses
lle renonce donc à ces sujets ! » — Juste au même moment pour le même article , Magnin est dans une admiration qui ne se contien
se contient pas : Jouffroy de même. XXXVII Lamartine, dans son article de La Presse du 24 août (1840) sur la guerre et c
XLV L’autre jour, dans son journal de Mâcon, Lamartine faisait un article qui commençait : « Le pauvre a faim, et la France
deux mondes, il s’empressait de les effacer dès qu’il recueillait ses articles en volumes. Il ne citait en note que lui-même, re
usin. Ses procédés envers M. Faugère sont connus : il fit traduire un article de l’Edinburgh-Review sur Pascal, de manière à y
soufflets donnés à de grands noms. XC De Vigny, au sujet de mon article sur les Poésies inédites d’André de Chénier, comm
he (L’Artiste, je crois), on envoya, la veille du numéro, au soir, un article de lui à l’imprimerie ; les imprimeurs dirent qu’
es imprimeurs dirent qu’ils n’auraient jamais le temps de composer un article si tard ; mais, sitôt qu’ils apprirent que c’étai
t que c’était de Planche, ils se ravisèrent en disant que son dernier article , inséré dans le dernier numéro, n’était pas encor
il y avait nécessairement déjà un grand nombre des phrases du nouvel article qui étaient toutes composées. Cette remarque des
clarer ; — On ne saurait méconnaître, etc. (Voir un quelconque de ses articles .) XCIX M. de Bissy était un beau vieillard,
personnage n’y regardait pas de si près. CXVII Après un de ces articles de la Revue des deux mondes, dans lesquels M. Gui
Étienne, sur la recommandation de Manuel, me plaça, me fit faire des articles  ; mon premier article fit quelque bruit ; le lend
andation de Manuel, me plaça, me fit faire des articles ; mon premier article fit quelque bruit ; le lendemain on m’appointa, o
nçai si vertement, moi nouveau venu, qu’il en fit deux jours après un article au Constitutionnel, sur la jeunesse du jour. C’ét
iment, très peu. Nodier l’a payé alors de son imitation par un de ces articles de louange exagérée et banale qu’il n’accordait p
es poètes du xvie  siècle. Il a fait sur quelques-uns d’entre eux des articles dans le Bulletin du bibliophile. Ses articles, d’
ues-uns d’entre eux des articles dans le Bulletin du bibliophile. Ses articles , d’ailleurs élégamment écrits, sont dénués de tou
ou élégance ornée. L’atticisme ! on abuse de ce mot. Dans un très bon article des Débats sur le Patelin publié par Génin (29 fé
vendredi, c’est-à-dire l’un des jours où par exception, en vertu d’un article du réglement, les livres ne sortent pas. K… le pr
. Sur ces entrefaites, comme il m’arriva d’écrire sur M. de Bonald un article fort respectueux d’ailleurs, mais qui parut à M. 
gnant le progrès à droite et la modération à gauche. M. Dubois fit un article plus chaleureux que l’auteur ne l’avait attendu,
vait dans Le Globe. Le Globe ne s’en tiendrait pas, dit-il, à un seul article sur Cromwell ; c’était lui-même qui ferait les au
ais au Globe dès l’origine (1824), mais je ne commençai à y faire des articles qui pouvaient mériter quelque attention que dans
journal, ne m’y employait d’abord et ne m’y appliquait qu’à de petits articles , comme un élève : ces moindres articles de moi ét
m’y appliquait qu’à de petits articles, comme un élève : ces moindres articles de moi étant signés des initiales S.-B., il serai
tai les volumes, et quelques jours après je vins lire à M. Dubois mon article , en lui disant que je n’avais pas trouvé l’auteur
ticle, en lui disant que je n’avais pas trouvé l’auteur si barbare. L’ article parut dans Le Globe du 2 janvier 1827, et c’est m
on vînt à moi. Il ne put être question non plus, dans cette visite, d’ articles à faire sur le Cromwell qui n’avait point paru, e
es trois mois qui suivirent la révolution de Juillet, je fis nombre d’ articles de tout genre, mais je ne perdais point de vue la
é par un témoin de sa vie, l’auteur a cru devoir citer tout au long l’ article du journal qui venait à propos en aide au poète e
éralisme de ses sentiments auprès des générations modernes. Voici cet article du Globe, cet en-tête qui est de moi : La poésie
 : À la jeune France.) Je suis tout fier aujourd’hui en relisant cet article  : dans un détroit difficile et toujours assez pér
aide le noble vaisseau à doubler l’écueil ou à trouver la passe. Cet article nous amena des démarches du côté des amis de Chat
a suite, et je n’ai voulu en tout ceci que revendiquer l’honneur de l’ article du Globe, cité au tome deuxième, page 341, de Vic
38 (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. DE VIGNY (Servitude et Grandeur militaires.) » pp. 52-90
ections poétiques. J’insiste sur ce point, parce qu’un très-spirituel article , inséré dans la Revue des Deux Mondes 22, et auss
ou dans les vastes savanes sous l’azur illimité. M. Brizeux, dans un article du Mercure 24 à propos d’Éloa, rapprochait du nom
d’œuvre, qu’il savait à peine construire une phrase de prose pour les articles de critique ou de complaisance qu’il insérait dan
complaisance qu’il insérait dans la Muse française. On peut y voir un article sur M. de Sorsum, et quelques autres pages d’une
nuer mes critiques. (M. de Vigny est mort le 17 septembre 1863.) Cet article sur De Vigny demande plus d’une explication et no
s la mort de De Vigny, écrit sur lui dans la Revue des Deux Mondes un article qui, par son caractère de vérité, n’avait content
l m’est imposé aujourd’hui de discuter : « Sainte-Beuve fait un long article sur moi. Trop préoccupé du Cénacle qu’il avait ch
cepter par Planche qui, déjà brouillé avec Victor Hugo, avait dans un article de la Revue des Deux Mondes caressé en ce sens la
sens la susceptibilité du chantre d’Éloa. Lorsque j’eus à mon tour un article à écrire, je me gardai bien d’aller consulter De
il était absent de Paris pour brusquer en apparence et faire passer l’ article , dont il n’aurait ensuite qu’à prendre son parti.
nt il n’aurait ensuite qu’à prendre son parti. C’est ce qui arriva. L’ article , au milieu des éloges, portait sa dose de vérité.
dié le talent de M. de Vigny. En 1826, j’avais écrit sur Cinq-Mars un article inséré dans le Globe du 8 juillet (Voir l’Appendi
j’essayais alors pour la première fois avec quelque étendue dans mes articles de la Revue de Paris : De Vigny qui en parlait de
quelque temps deux heures avec vous sans vous rien dire de votre bel article sur Racine, et je venais d’en parler toute la mat
sont pleines d’une onction et d’une sensibilité qui m’enchantent. Cet article est composé comme une vie de ce temps-là même, fi
re lettre qui, par sa date, est précisément de quelques jours après l’ article incriminé : « Comment se voit-on si peu, quand o
ition de 1829. 21. M. Antoni Deschamps. 22. 1er août 1832, C’est un article de M. Planche. 23. Globe, octobre 1829 ; et aus
notre opinion, nous reproduisons dans l’Appendice du présent volume l’ article du Globe dont il s’agit. 26. Cette histoire d’An
39 (1925) Méthodes de l’histoire littéraire « I. Leçon d’ouverture du Cours d’éloquence française »
es extraits et discussions d’un nombre infini d’études, de notices, d’ articles de revue, d’articles de journaux où Marivaux étai
sions d’un nombre infini d’études, de notices, d’articles de revue, d’ articles de journaux où Marivaux était apprécié. Larroumet
e du sujet. Là viendront s’alimenter les essais de vulgarisation, les articles des revues mondaines, dont le premier devoir est
s que sa thèse a passé, on a continué d’écrire sur Marivaux ; de bons articles , de jolis livres ont été faits. Quelques nuances,
t dans la bonne voie : comment y était-il entré ? Je l’ai demandé aux articles de ses dernières années où il a semé parfois des
isposition avisée à ne voir la nature ni en noir ni en bleu. Dans les articles rapides de ses dernières années, il s’est laissé
nd il ne faisait pas grand cas de cette besogne. Mais dans les grands articles de Revue, dans les conférences de l’Odéon, dans l
, parce qu’il croyait le devoir à son auteur, à son lecteur. Tous ses articles révèlent la même étendue d’information, la même s
spéciale. Voyez, par exemple, Messieurs, sa conférence sur Pinto, ses articles sur M. Brunetière, le Lys Rouge ou les Morticoles
40 (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Chateaubriand — Note »
Note Tels sont ces articles sur Chateaubriand qui m’ont valu, par la suite, t
oésie française au xvie siècle, les Poésies de Joseph Delorme, et des articles dans le Globe et dans la Revue de Paris ; il me p
Revue de Paris ; il me prit tout d’abord à partie sur un des derniers articles , celui de Jean-Baptiste Rousseau. Il rentra avec
. de Chateaubriand. Ses amis ne furent point très-contents d’un petit article de moi qui parut dans le Globe du 19 août 1830 et
and. Dans l’intervalle, je m’émancipai un peu sur son compte dans mon article de l’Abbé Prevost. Je m’en fis même une objection
blait pas connaître. Le livre passa donc sans que je le saluasse d’un article . J’en écrivis mes raisons détaillées à Ampère, et
41 (1914) Boulevard et coulisses
la Madeleine et le faubourg Montmartre, où ils n’écrivissent quelque article qui faisait sensation. Les approcher semblait imp
r et l’impression qu’elle me fit. Comment eus-je l’audace d’écrire un article et de le porter rue Grange-Batelière, à la rédact
nal du soir la mort de Darwin, et à tout hasard j’essayai d’écrire un article sur le grand Anglais. Notre génération était tout
ent de la fin de la philosophie. J’écrivis donc en quelques heures un article enthousiaste et naïf sur Darwin, et j’allai le po
instants. − Je me suis permis, lui dis-je en balbutiant, de faire un article sur Darwin qui vient de mourir… rai pensé que vou
même… continua le secrétaire du Gaulois. Et il parcourut vaguement l’ article . Puis il me dit : − Voulez-vous repasser vers min
Meyer, dit en outre Cornély, voici un jeune homme qui nous apporte un article sur Darwin. Entre dix heures du soir et minuit, D
et que notre conversation avait assez duré. Cornély ajouta : − Votre article passera dans le numéro de demain et en tête. Atte
e précipitai sur le Gaulois et, en tête du journal, à la place de mon article , je lus un récit de l’expulsion de tous les rédac
à la persécution. Et quand, par hasard, on nous payait bien un de nos articles , nous n’éprouvions aucune fierté, car nous savion
a salle de rédaction, où il comptait beaucoup de camarades. Un de mes articles lui avait plu et il me commanda une pièce, à moi,
ux qui disparaissaient. Nous écrivions tantôt une nouvelle, tantôt un article d’actualité, au hasard des événements et des circ
n jour, Arthur Meyer me dit : « Le prince de Sagan m’a parlé de votre article en déjeunant chez Bignon. » Je n’eus pas l’audace
er une petite augmentation : « Impossible. Car vous ne faites que des articles humoristiques, et l’humour ne sera pas à la mode
’un esprit si original et d’un ton si neuf, qu’il venait, en quelques articles , de créer un genre dans le journalisme. Il sortai
étaire d’un préfet, et maintenant il écrivait au Gil Blas une série d’ articles intitulés les Gaietés de la Semaine, qui ne furen
donné le jour. » Mais il n’y avait pas que de la cocasserie dans les articles de Grosclaude : il s’y trouvait de très profondes
ervieu, qui sortait de l’École de droit, écrivait dans le Gaulois des articles d’une acuité singulière et dont quelques-uns semb
ommes politiques et, en général, l’ensemble de la société. Le premier article de Mirbeau fut intitulé tout simplement : Ode au
institutions, et en somme de tout détruire pendant qu’il y était. Cet article était destiné à inquiéter les bourgeois, et il le
42 (1874) Premiers lundis. Tome II « Loève-Veimars. Le Népenthès, contes, nouvelles et critiques »
ntemporains, assure qu’il a besoin de remettre au net même de simples articles de journal. En un mot, à chaque fait un peu génér
a verve pourtant, de l’haleine dans ces pages qu’il jette. Un certain article intitulé la Vie de Molière pourrait être un des p
petits romans à la façon de la vicomtesse de Chamilly, un ensemble d’ articles déjà publiés dans le Feuilleton dramatique dont e
Feuilleton dramatique dont est chargé au Temps M. Loève-Veimars. Ces articles , écrits tous à l’occasion de quelque représentati
cette rancune. 13. M. Saint-Beuve a déjà détaché un fragment de cet article , ainsi que des deux qui suivent immédiatement sur
s avons cru néanmoins pouvoir reprendre à l’ancien National ces trois articles in extenso, dans la crainte de nuire à leur clart
eillis ne pourrait que faire double emploi, dans le cours de certains articles , nous nous sommes contentés de renvoyer le lecteu
43 (1904) Prostitués. Études critiques sur les gens de lettres d’aujourd’hui « Chapitre III. Soubrettes et bonnes à tout faire »
otte, est aussi le fabricant des Transatlantiques. Mais ça c’est de l’ article à treize, de la camelote avouée. Et il a travaill
ire, c’est peut-être Jules Claretie. Il sait cuisiner un discours, un article de journal, un roman, un volume de critique ou pr
e et en camelot. Parmi ces braves gens toujours prêts à nous offrir l’ article d’actualité, question du jour ou portrait du gran
vous affirmerai pas que les marchandises de Jules Claretie soient des articles solides et durables. Pourtant la maison est inscr
iqué pour l’anniversaire et publié en 1902. Mais c’est fait d’anciens articles retapés par quelqu’un qui ne laisse rien perdre e
ne laisse rien perdre et qui n’a pas de temps à perdre, Autrefois ces articles parlaient au présent de faits récents. Claretie a
t-être temps de désencombrer mon siècle. » Que contiennent ces vieux articles mal repeints que Claretie et Fasquelle nous vende
44 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — H — article » pp. 489-496
par d’autres bons Ouvrages qu’il étoit capable de donner. N. B. Cet article , tel qu’on vient de le lire, a servi de texte à f
titre est des Dictionnaires de calomnies *, auxquels il fourniroit un article des mieux conditionnés. Oh ! pour celui-ci, M., i
vec fureur, & de déchirer son cadavre. Lisez, M., je vous prie, l’ article Helvétius dans les différentes éditions des Trois
de modération sur le Livre de l’Esprit. Je me suis acquitté, dans cet article , de ce que je devois au Public & à M. Helvéti
ce dernier Ouvrage, & la Philosophie, & l’honnêteté [Voyez l’ article Condorcet]. La crainte d’une inimitié redoutable
45 (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Hommes et dieux, études d’histoire et de littérature, par M. Paul De Saint-Victor. »
ment qu’adressait Victor Hugo à M. de Saint-Victor après avoir lu son article sur les Travailleurs de la mer, un de ces beaux m
tent avec eux leur flamme. Et Eugène Delacroix, qui venait de lire un article de lui sur le Cid, lui écrivait : « Je penserai à
l n’est pas homme à se contenter aisément. Recueillir la totalité des articles qu’il prodigue en toute occasion, au gré des exig
. J’ai là devant moi quantité de numéros de la Presse, renfermant des articles de lui, dont je voulais me souvenir, et sur l’un
e Saint-Victor ne conserve pas et ne recueille pas dans les volumes d’ articles revus qu’il prépare ; il s’agit de je ne sais que
vec une distinction rare. M. de Saint-Victor, en revoyant ses anciens articles , les a dégagés de tout ce qui était de circonstan
ursuive donc, qu’il nous donne résolûment le recueil de ses meilleurs articles dans les diverses branches de critique où son bea
46 (1848) Études sur la littérature française au XIXe siècle. Tome III. Sainte-Beuve, Edgar Quinet, Michelet, etc.
x premiers ne diffèrent des leurs. Nous y avons fait place à quelques articles que les premiers éditeurs avaient cru devoir négl
s articles que les premiers éditeurs avaient cru devoir négliger. Des articles sur Sainte-Beuve les éditeurs de 1848 n’avaient r
ombre. Nous avons également fait place — sous forme d’appendice — à l’ article que Vinet donna au Courrier suisse lors de la pub
ce qui concerne Quinet, nos prédécesseurs n’avaient recueilli que des articles relatifs au Prométhée. Nous donnons aussi les tro
que des articles relatifs au Prométhée. Nous donnons aussi les trois articles que Vinet écrivit sur l’Ahasvérus. Les articles s
nnons aussi les trois articles que Vinet écrivit sur l’Ahasvérus. Les articles sur Michelet et Mignet se retrouvent dans notre é
re édition tels qu’ils sont dans la précédente. J’en dirai autant des articles sur Soumet, à cela près qu’on lira plus loin dans
oumet, qui figurent dans le corps du volume. Rien de nouveau pour les articles qui concernent Güttinger, Souvestre, Georges Sand
iminé quelques études qui trouveront leur place ailleurs. Ce sont les articles relatifs à des écrivains suisses (notre Société s
d’histoire littéraire (Merle d’Aubigné, Sayous, Saint-Marc Girardin), articles pour lesquels nous avons également prévu une autr
ecteur sur les circonstances dans lesquelles Vinet écrivit les divers articles de ce volume. Nous nous sommes borné, la plupart
’écrire.   SAINTE-BEUVE   En janvier 1832, Vinet donnait au Semeur un article sur « la poésie sacrée », dans les dernières lign
Beuve, et il le jugeait fort bien. Vinrent ensuite, en 1834, les deux articles sur Volupté 2. Je lis dans l’Agenda de Vinet : 26
e Sainte-Beuve. 29 juillet : Lu Volupté. 31 juillet : Fait un premier article sur Volupté. 1er août : Envoyé au Semeur le premi
n premier article sur Volupté. 1er août : Envoyé au Semeur le premier article sur Volupté. Ces notes nous montrent que Vinet li
même au même (1er août) : Vous devez recevoir aujourd’hui un premier article sur Volupté ; je venais de vous l’expédier quand
ns les termes que voici : J’ai à remercier profondément l’auteur des articles sur Volupté, et pour la grande bienveillance et i
. Si ma prétention d’écrivain a été plus que satisfaite en lisant ces articles , j’y ai trouvé à réfléchir fructueusement en m’ex
’été de 1837, il eut l’idée d’écrire pour la Revue des Deux-Mondes un article sur la littérature de la Suisse romande, et plus
ttérature de la Suisse romande, et plus particulièrement sur Vinet. L’ article paru le 15 septembre. Sainte-Beuve l’a recueilli
il l’assurait, celle des esprits. Vinet remercia Sainte-Beuve de son article  ; voici comment : Monsieur, On vient de m’envoye
de m’envoyer la livraison de la Revue des Deux-Mondes où se trouve l’ article que vous avez bien voulu me consacrer. Il me sera
rieux rapports, d’être jugé avec une si extrême bienveillance dans un article dont vous êtes l’auteur, et que vous avez signé.
et j’accepte avec reconnaissance les vœux par où vous terminez votre article . Oui, je désire être lu, et je vous remercie de m
ée d’être imprimé tout vif dans la Revue des Deux-Mondes ! et dans un article signé du jeune Sainte-Beuve ! C’était, dit justem
uve le pensa, et que c’est pour ce motif qu’il ajouta plus tard à son article la note où il fait observer que le langage qu’on
e-Beuve a parfaitement vu et apprécié tout cela, non seulement dans l’ article du 15 septembre 1837, mais dans bien d’autres end
usanne qui figure à la fin du tome Ier de Port-Royal, et enfin dans l’ article nécrologique qu’il donna aux Débats le 17 mai 184
te Frédéric Chavannes une interprétation moins rigoureuse. Il y a des articles de Vinet, ceux, par exemple, qu’il a écrits sur J
Vinet de la Correspondance, jamais contentieux, au Vinet de certains articles où il s’agissait de mettre le public en garde et
ustice. (Voir Post-Scriptum, page LXVIII.) Je n’en ai pas fini avec l’ article du 15 septembre 1837. Vinet écrivait à Lutteroth
écrivait à Lutteroth le 3 octobre de la même année : Vous avez lu l’ article de M. Sainte-Beuve. Ce qui m’a amusé, c’est que,
aire suivre du commentaire que voici : « Il s’agit sûrement des deux articles anonymes sur Jacques Esprit, parus dans le Semeur
le 29 juillet et le 2 août 1835. En effet, on lit dans une note de l’ article de Sainte-Beuve (Revue des Deux-Mondes, 4e série,
mi les études les plus remarquables de M. Vinet, il faut signaler les articles sur M. (sic) de la Rochefoucauld, sur M. (sic) Es
e Chateaubriand, sur Arthur, etc., etc. Il est à noter que, lorsque l’ article a reparu dans les Portraits contemporains, la men
sciencieux Vinet, qui n’avait pas supporté qu’on lui fît honneur d’un article qui n’était pas de lui. Toutefois, il n’est pas q
i en parler de vive voix. » Et maintenant, qui est l’auteur des deux articles sur Jacques Esprit ? — Lutteroth, comme le suppos
quelque autre ? Je l’ignore. Cependant, si Vinet avait signé tous ses articles , il aurait épargné une petite bévue à Sainte-Beuv
que peine à ses éditeurs. Il y a peut-être lieu, pour en finir avec l’ article du 15 septembre 1837, de dire ici quelques mots d
onstant écrivit à l’âge de douze ans à sa grand’mère. Au cours de son article , et avant d’arriver à Vinet, Sainte-Beuve, parlan
avait en effet un besoin urgent de la lettre du petit bonhomme pour l’ article qu’il donnait à la Revue des Deux-Mondes 12 et qu
n note, mais il faut croire aussi qu’au moment où il faisait paraître article et note, il ne savait pas encore la raison pour l
é les lettres de Mme du Châtelet au comte d’Argental et fait quelques articles sur les ouvrages de Mme de Staël dans le monde de
e, il ne songe qu’à la Chrestomathie de Vinet. Et dans la note de son article sur Benjamin Constant et Mme de Charrière il dit 
ttira l’attention de Vinet sur ce point. Aussi bien dans la note de l’ article que je viens de rappeler, après avoir donné le te
qui a trompé de bons juges. » La note est au bas d’une des pages de l’ article sur Mme de Charrière (1839). On lit encore dans S
Charrière (1839). On lit encore dans Sainte-Beuve, dans la note de l’ article sur Benjamin Constant et Mme de Charrière (Portra
temps à ces sortes de supercheries et d’espiègleries littéraires. » L’ article sur Benjamin Constant et Mme de Charrière, est, j
ent, l’un de 1839, l’autre de 1844, contemporains l’un et l’autre des articles au bas desquels on les lit, donc du temps où Vine
nt de cet âge, mais il la donna néanmoins, d’après M. Vinet, dans son article sur Benjamin Constant et Mme de Charrière. Plus t
que ce n’était que longtemps après avoir reproduit la lettre dans son article , que Sainte-Beuve « avait restitué définitivement
clésiastiques. Sainte-Beuve connaissait très bien Châtelain. Dans son article du 15 septembre 1837, il le félicite, sans le nom
le que ce n’est qu’après 1856 que Sainte-Beuve mit au bas d’un de ses articles la première des deux notes ou parties de notes qu
aimerait à savoir combien il lui fallut de temps pour écrire ses deux articles sur les Pensées d’Août. Ce que nous savons en rev
avec lesquels je n’ai eu aucun rapport personnel ; et vous avez lu l’ article de M. Sainte-Beuve. (Inédit.) Au surplus, il éta
lut donc et trouva le moyen de rendre compte. Le premier de ses deux articles était parti et le second l’allait suivre, quand i
oureuse admiration ». Assurément, comme on le peut voir dans les deux articles sur Pensées d’Août, il se doutait bien un peu que
rice littéraire, une fantaisie d’artiste. Et il ajouta à son deuxième article sur les Pensées d’Août un petit blâme, dont le te
placera en partie l’objet de ma visite. J’ai fait pour le Semeur deux articles sur les Pensées d’Août, et je me suis donné le pl
Pontivy dans les termes suivants. (Suit le texte qui se trouve dans l’ article que nous publions.) Voilà, Monsieur, ce que j’écr
à Lutteroth, en lui envoyant le nouveau texte de la fin de son second article  : 1er janvier 1838. Ce que vous trouverez, d’une
une nouvelle édition des lignes par lesquelles se termine mon second article sur M. Sainte-Beuve. Je vous prie de substituer c
ai fini avec les Pensées d’Août et la dame de Pontivy ; je passe aux articles sur Port-Royal. Il conviendrait sans doute ici de
loisirs, l’année d’avant. Et voici comme il évoque ce souvenir dans l’ article nécrologique qu’il donna aux Débats en 1847 : Le
donc et je me borne à transcrire ici quelques documents relatifs aux articles sur Port-Royal, et tirés : 1° De l’agenda : 11 ma
e de P.-R. de Sainte-Beuve. 23 mai : Écrit pour le Courrier suisse un article sur le Port-Royal de M. S.-B. (On trouvera à la f
(On trouvera à la fin du volume, en appendice, la reproduction de cet article qui aurait dû figurer à côté des autres articles
a reproduction de cet article qui aurait dû figurer à côté des autres articles sur Port-Royal, mais dont j’ai eu connaissance ta
mai : Achevé le premier volume de P.-R. 24 octobre 1840 : Préparé un article sur P.-R. 13 nov. : Commencé un article sur P.-R.
24 octobre 1840 : Préparé un article sur P.-R. 13 nov. : Commencé un article sur P.-R. 16 nov. : Travaillé à l’article sur P.-
P.-R. 13 nov. : Commencé un article sur P.-R. 16 nov. : Travaillé à l’ article sur P.-R. 17 déc. : Commencé le 2e article sur P.
R. 16 nov. : Travaillé à l’article sur P.-R. 17 déc. : Commencé le 2e article sur P.-R. 18 déc. : Continué… 19 déc. : Achevé et
t expédié… 21 déc. : J’ai envoyé hier au Semeur des corrections à mon article sur P.-R. 2 janv. 41 : Envoyé au Semeur, avec un
e sur P.-R. 2 janv. 41 : Envoyé au Semeur, avec un errata pour mon 2e article sur P.-R., quelques réflexions sur le culte de la
lettres de Vinet à Lutteroth : 24 nov. 1840 : Voici enfin un premier article sur Port-Royal : je ferai tout mon possible pour
harge, Monsieur, de vous dire qu’il espère bientôt vous envoyer le 2e article sur Port-Royal. 20 déc. 1840 : Il ne faut scandal
vous prier, avec bien des excuses, de faire quelques changements à l’ article que je vous ai envoyé hier. Suivent quelques addi
sanne en 1839, et qui ne devait plus le revoir, fut très sensible à l’ article du Courrier suisse. Il le remercia très chaleureu
tait vraiment trop déférent à l’égard de son « critiqué ». Le second article de M. Vinet sur Soumet est quasi ridicule de révé
encore, le 2 juin : Dites bien à M. Vinet qu’il ne baisse pas : ses articles sont très beaux ; je les trouve seulement trop be
ire d’une belle amitié.   QUINET   Voici quelques notes relatives aux articles de Vinet sur l’Ahasvérus et le Prométhée. Ahasvé
rus d’Edgar Quinet. 21 juillet : J’ai fait la plus grande partie de l’ article sur Ahasvérus. 22 juillet : Envoyé au Semeur l’ar
de partie de l’article sur Ahasvérus. 22 juillet : Envoyé au Semeur l’ article 1er sur Ahasvérus. 29 juillet : Envoyé au Semeur
meur l’article 1er sur Ahasvérus. 29 juillet : Envoyé au Semeur le 2e article sur Ahasvérus. 1er août : Reçu de M. Lutteroth un
la Revue de Paris. J’ai écrit aussitôt un Postscriptum à mon deuxième article déjà envoyé. Lettre à Lutteroth (sans date, mais
isque je ne reçois point la Revue de Paris. Vous avez reçu mon second article quand je recevais votre lettre. Je laisse l’artic
z reçu mon second article quand je recevais votre lettre. Je laisse l’ article subsister ; mais j’y ajoute un postscriptum que v
 : Commencé à m’occuper du Prométhée de Quinet. 16 juin : commencé un article sur Prom. 17 juin : continué, mais languissamment
t. sur Pr. 19 juin : commencé un 2e art. id. 21 juin : continué le 2e article sur Prométhée. 22 juin : achevé id. 23 juin : exp
. 22 juin : achevé id. 23 juin : expédié id. 30 juin : commencé le 3e article sur Pr. 2 juillet : continué id. 3 juillet : ache
t expédié id. 14 juillet : Lettre de M. Lutteroth. Me remercie de mes articles et de leur sévérité. Lettres à Lutteroth : 19 avr
ots de M. Michelet, que j’ai [ici le papier est coupé]. 18 juin : Cet article sera suivi, D. a. [= Dieu aidant] d’un deuxième e
d il reviendra, il ne sera plus temps de parler des ouvrages dont ces articles présentent l’analyse57. 22 juin : Hélas ! il y au
cles présentent l’analyse57. 22 juin : Hélas ! il y aura un troisième article , pour l’examen littéraire de l’ouvrage ! 24 juin 
ongtemps. Je ne sais pas même trop bien quand je pourrai faire mon 3e article sur Prométhée. — Je vous ai envoyé hier le 2e art
ai faire mon 3e article sur Prométhée. — Je vous ai envoyé hier le 2e article sur Prométhée. Ces 2 articles sont deux chapitres
rométhée. — Je vous ai envoyé hier le 2e article sur Prométhée. Ces 2 articles sont deux chapitres, auxquels j’aurais donné des
6 juillet : Je me suis laissé entraîner à faire, sur Prométhée, trois articles fort longs, dont le dernier seul est de critique
il que ce qui lui conviendra, de donner un titre particulier à chaque article , comme je l’ai fait en rendant compte de l’ouvrag
ant compte de l’ouvrage de M. Merle, et ainsi, d’intituler le premier article  : De la substance propre du christianisme, le 2e 
e 3e vol. de l’Histoire de France, de Michelet. 11 juin : Continué un article sur le 3e volume de Michelet. 12 juin : Achevé et
ur Michelet, 3e vol. 9 juillet : envoyé au Semeur une addition pour l’ article sur Michelet. Lettres à Lutteroth : 6 juillet 183
t bien considéré, j’attendrai le Semeur du 4 ; s’il ne contient pas l’ article sur Michelet, je vous enverrai aussitôt l’additio
, et j’y ai renoncé. Cependant, je vous envoie quelque chose pour cet article . C’est une addition à mon jugement sur le style d
ieur, que je prends et que je vous donne une peine inutile, puisque l’ article est probablement déjà imprimé. Mais la simple pos
d. : Parcouru le 5e volume de Michelet. 13 février 1847 : Commencé un article sur les tomes IV et V de Michelet. 14 id. : Conti
ncé un article sur les tomes IV et V de Michelet. 14 id. : Continué l’ article sur Michelet. 17 : Achevé le premier article. 19 
let. 14 id. : Continué l’article sur Michelet. 17 : Achevé le premier article . 19 : Envoyé au Semeur l’article sur Michelet. 27
sur Michelet. 17 : Achevé le premier article. 19 : Envoyé au Semeur l’ article sur Michelet. 27 : Travaillé au 2e article sur M.
e. 19 : Envoyé au Semeur l’article sur Michelet. 27 : Travaillé au 2e article sur M. 28 : Achevé le 2e article. 3 mars : Envoyé
e sur Michelet. 27 : Travaillé au 2e article sur M. 28 : Achevé le 2e article . 3 mars : Envoyé au Semeur le 2e article sur Mich
cle sur M. 28 : Achevé le 2e article. 3 mars : Envoyé au Semeur le 2e article sur Michelet. 5 : Ecrit à Lutteroth en lui envoya
sur Michelet. 5 : Ecrit à Lutteroth en lui envoyant une addition à l’ article deuxième sur Michelet. Lettres à Lutteroth61 : 14
tion. 18 février 1847 : Je vous envoie, cher ami, le premier des deux articles dont le second est sur le chantier ; si je puis t
évr. 47 : Cher ami. Je m’avise d’une erreur que j’ai commise dans mon article sur Michelet. C’est dans une note. J’ai indiqué,
acer ce nom… Espérons que je pourrai m’occuper sans partage du second article sur Michelet, que j’aurais commencé hier sans un
ateur… » et qui finit par « … politique supérieure », dans mon second article sur Michelet. — Cela importe, puisqu’il s’agit de
e omission de mon auteur. 22 mars 47 (de Vinet fils) : Dans le second article sur Michelet, à l’endroit où mon père dit, d’aprè
de Commines, livre VI, chap. 12. Dans l’addition envoyée pour ce même article , tout au commencement, au lieu de plus que Mr. M.
e morceau sur la guerre de la succession. 19 oct. : Achevé le premier article sur Mignet. 20 id. : Envoyé au Semeur l’article a
. : Achevé le premier article sur Mignet. 20 id. : Envoyé au Semeur l’ article achevé hier. 11 décembre : Achevé l’article (seco
id. : Envoyé au Semeur l’article achevé hier. 11 décembre : Achevé l’ article (second) sur Mignet, commencé hier. 14 déc. : Env
nd) sur Mignet, commencé hier. 14 déc. : Envoyé au Semeur le deuxième article sur Mignet.   SOUMET   Je néglige l’agenda. Du 6
’imprudents amis. 13 janv. : Le plus tôt que je pourrai, j’enverrai 2 articles sur le poème de M. Soumet, dont je viens d’acheve
Épopée. 26 mars : Pendant que mon fils achevait la copie de ce pauvre article , je me disposais à vous écrire cette incluse, qui
qu’il en soit, je vais essayer si je suis en état de faire ce second article . » 7, 8 et 9 avril (longue lettre où il est quest
d travail. Il n’en est rien. Seulement, je n’ai jamais tant raturé. L’ article d’ailleurs était facile à faire. Le suivant le se
t de vue. 1er mai : J’avais un peu espéré remettre à M. Bridel mon 3e article  ; mais il n’est pas achevé. Je pense que (je) le
a plume aurait très mal servi ma pensée. Je me suis, dans deux de mes articles , beaucoup étendu sur la question religieuse. C’ét
moi qui, ne voyant pas tout, n’abrège pas tout) une nouvelle série d’ articles pour constater dans la Divine Épopée la première
ns tout le cours d’une vaste narration ; — il me faudrait une série d’ articles pour étudier le caractère et pénétrer le secret d
de la reconnaissance est le seul qui m’eût été inspiré par vos beaux articles , renfermant assez d’éloges pour consoler de toute
j’ai passé une demi-journée des plus pénibles.… Écrit deux pages de l’ article sur Arthur. 12 juin : Achevé le 1er art. sur Arth
le puis ; mais j’en dirai quelque chose, en renvoyant aux précédents articles mes lecteurs et M. Guttinguer lui-même, qui, je c
genda et des lettres à Lutteroth. Agenda : — 6 février 1834 : Fait un article sur les Confessions poétiques de M. Drouineau. 7
rt. sur Drouineau. 10 id. : J’ai du regret de quelques phrases de mon article sur M. Drouineau. Sans être injuste, j’ai l’air d
a réplique augmente mon regret. J’étais aussi mécontent du début de l’ article  ; et il y a une apparence d’ironie, qui ne me va
vangile aussi bien que moi, renferme plus de sève évangélique que mon article .   SOUVESTRE   Sur les relations de Vinet et de S
Écrit à Souvestre pour le remercier de ce qu’il a dit de moi dans son article sur Bâle67. 31 id. : Visite de Mme Falkner. Elle
n article sur Bâle67. 31 id. : Visite de Mme Falkner. Elle parle de l’ article de M. Souvestre que j’ai lu trop légèrement et do
t pauvre. 20 : Achevé la lecture de Riche et pauvre. 21 : Commencé un article sur Riche et pauvre. 22 : Continué l’art. id. 26 
: Refait, sur les avis de Sophie [Madame Vinet], la conclusion de mon article sur R. et P.. 28 : Envoyé au Semeur l’art. sur R
e contre le jugement trop sommaire que Souvestre avait fait, dans son article , de l’Université de Bâle. — Voir Agenda, 31 oct.,
passage cité plus haut.) On me fait remarquer qu’une phrase [de votre article ] pourrait, contre votre intention, faire croire q
ien vrai que je me suis laissé aller, je ne sais comment, à faire cet article sur George Sand, auquel j’avais renoncé. Peut-êtr
Le fait est que l’auteur m’avait envoyé son livre ; sans demander un article  ; mais j’ai pensé qu’il y comptait, et il m’a sem
entions et son œuvre même méritaient d’être appréciées. J’ai laissé l’ article trois semaines et plus dans mon tiroir, puis je n
e n’ai pu m’empêcher d’y revenir ; et il s’est trouvé fait70. Dans un article du Semeur (1843), Vinet mentionne « les funestes
’on vient de lire était imprimée quand j’ai eu connaissance d’un long article de M. Frédéric Chavannes, paru dans le numéro du
éric Chavannes a tiré des conséquences excessives. Après avoir lu son article , la réponse que firent à cet article MM. Charles
s excessives. Après avoir lu son article, la réponse que firent à cet article MM. Charles Secrétan et Eugène Rambert, premiers
tâche, à l’examen littéraire, qui doit faire la sujet de notre second article . Nous ne finirons pas celui-ci sans remercier l’a
était arrivé à l’époque dont nous parlons. Sévère et inflexible sur l’ article de l’autorité, qui est pour lui la question de vi
et si vous ne revenez avec les mêmes impressions que l’auteur de cet article , vous comprendrez pourquoi, tout au moins, il ajo
qu’ils l’ont d’abord plus vivement frappée. Post-scriptum Cet article était écrit depuis longtemps, et prêt à imprimer,
e mauvaise petite vanité et peu de candeur à retirer maintenant notre article  ; qu’il reste donc, et qu’il accuse tant qu’il vo
paraît bien plus triste encore. [Vinet avait inséré dans son second article du Semeur, à la place que nous avons indiquée pag
omplie, c’est le vers. On a pu voir, au commencement de notre premier article , que notre admiration pour le style d’Ahasvérus n
immense, un réjouissant progrès. Il nous sera doux, dans notre second article , d’en offrir la preuve à nos lecteurs ; et nous a
sur un plan différent ; cependant s’il était permis à l’auteur de cet article de juger des autres par lui-même, il croirait pou
e aussi rapidement que cet ouvrage si sérieux et si fort. Un prochain article sera consacré à l’analyse de cette production rem
e. De ce nombre est l’écrivain dont le nom décore le titre du présent article . Il est bien de son siècle, en ce qu’il s’en est
eau ; mais entre les deux citations, je pense qu’on peut hésiter. Cet article , n’étant dans notre intention qu’une simple annon
s dit non plus tout ce que je voudrais dire quand j’aurai enrichi cet article d’une ou deux citations qui ne présenteront pas,
atif la parole qu’il lui avait ôtée depuis dix ans217. Dans un autre article nous rendrons compte des Mémoires dont le second
une traduction, n’importe. Nous arrivons à la fin de notre troisième article , et nous n’avons pas fini. C’est dépasser de beau
elle surtout que nous avons écrit. Nous avons, dans nos deux derniers articles , discuté, à l’occasion de M. Soumet, la religion
a prochaine édition, de quelques idées développées dans votre dernier article . Je conçois que la religion réformée s’émeuve à l
e à cette heure qu’un catholique eût pu écrire et pourrait signer nos articles . Il est vrai qu’entre un protestant et un catholi
a plume aurait très mal servi ma pensée. Je me suis, dans deux de mes articles , beaucoup étendu sur la question religieuse. C’ét
moi qui, ne voyant pas tout, n’abrège pas tout) une nouvelle série d’ articles pour constater dans la Divine Épopée la première
ns tout le cours d’une vaste narration ; — il me faudrait une série d’ articles pour étudier le caractère et pénétrer le secret d
de la reconnaissance est le seul qui m’eût été inspiré par vos beaux articles , renfermant assez d’éloges pour consoler de toute
sonnelle et comme résultat imprévu d’une libre enquête, une thèse, un article de foi, un morceau de symbole. Entendons-nous bie
ceux que peut-être elle avait rebutés ailleurs en se présentant comme article de foi, comme anticipation téméraire de la logiqu
honteux de toutes ces critiques minutieuses. L’objet principal de cet article était plus sérieux. Qu’il me soit permis d’y reve
an, si admirablement racontée par M. de [sic] Sainte-Beuve, mérite un article à part. D’autres pourront donner quelque idée de
est celle que Vinet avait recueillie dans ses Essais. 2. De ces deux articles , l’un fut recueilli par Vinet dans ses Essais, d’
volume Ier de Philosophie morale et sociale, pages 216-233 ; c’est un article où il n’est point parlé de Sainte-Beuve et de son
icle où il n’est point parlé de Sainte-Beuve et de son livre. L’autre article n’avait jamais été recueilli. Et c’était grand do
e. 6. Sainte-Beuve, t. I, p. 196. 7. Il faut noter aussi, dans cet article , le rapprochement que fait Sainte-Beuve de Vinet
te-Beuve, l’année d’avant (1836), avait beaucoup loué Du Guet dans un article sur Mme de La Fayette. Le souvenir de Du Guet s’e
vois, ne nuira pas à notre connaissance. » Il s’agit évidemment de l’ article du 15 septembre et de la lettre qu’on vient de li
e de Sainte-Beuve, II, 317.) 38. Paris, Calmann-Lévy, 1892. 39. Cet article se trouve à la page 4 du numéro du Courrier suiss
mardi …. 1840. Elle est évidemment de quelques jours postérieure à l’ article du Courrier suisse (29 mai 1840). 41. Sainte-Beu
. 47. A la même, id., p. 268. 48. Id., id., p. 295. Les principaux articles de Vinet sur Guiraud se trouvent dans le volume d
e Sainte-Beuve est battu sur mon dos. » Et le 4 nov. 1842 : « Voici l’ article sur le livre de M. Michiels. Quel qu’il soit, je
s le volume de cette édition intitulé : Variétés théologiques. 60. L’ article sur Michelet III a paru le 25 juillet. Lettre iné
th, p. 238-242. 65. Voir Lettres de Vinet, II, p. 38. 66. Il y a un article sur le Manuscrit vert dans le Semeur, mais il n’e
’un autre sur l’Ironie. 67. Revue des Deux-Mondes, ler oct. 1836. L’ article est intitulé : La ville de Bâle, Holbein et les B
t.) 69. Inédit (Archives Vinet.) 70. Inédit (Archives Vinet.) 71. Article sur le Mariage au point de vue chrétien, par Mme 
e vue chrétien, par Mme de Gasparin. 72. Semeur (20 août 1834). Cet article sur Volupté a été précédé d’un autre article sur
meur (20 août 1834). Cet article sur Volupté a été précédé d’un autre article sur le même ouvrage, mais d’un genre tout différe
mbre 1840. 106. La phrase entre crochets est des éditeurs de 1851. L’ article paru dans le Semeur du 30 septembre 1840 ne renfe
térieur, sur la base de la loi morale. 148. [Voir, à la suite de cet article , p. 126.] 149. Semeur, 1er août 1838. 150. III
I. 161. Pages XXXIX-XLI. 162. Epître de saint Jacques, 1, 17. 163. Article du Semeur, du 17 janvier 1838, sur les Poésies ch
du 17 janvier 1838, sur les Poésies chrétiennes de F. Chavannes. Cet article a été réimprimé en 1851, dans les Etudes sur la L
l’étude de M. Vinet sur la Divine Epopée avait été publiée en quatre articles . La réponse de M. Vinet n’a pas été adressée au p
47 (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Œuvres choisies de Charles Loyson, publiées par M. Émile Grimaud »
l’étudiait avec suite, non-seulement dans ses poésies, mais dans ses articles de journaux et dans ses brochures, comme je viens
cieux ornement si l’on n’y récitait la Chute des feuilles, de même un article sur Loyson serait sans sa couronne si l’on n’y me
courant de croyances élevées. Tout récemment encore, dans un fort bon article sur Byron, M. Claveau, un de nos meilleurs critiq
fâché que l’éditeur des Œuvres choisies n’ait pas connu notamment un article que Loyson écrivit au sujet du tome Ier de l’Essa
l’Essai sur l’Indifférence, à l’occasion de la deuxième édition. Cet article était digne d’être lu et reproduit. La Mennais en
e me passerais bien volontiers : je ne sais que faire de cela. » Cet article de Loyson, dans lequel il saluait avec joie l’avé
décoché qu’un peu plus tard. J’avais toujours négligé, dans les deux articles que j’ai consacrés à Loyson, de rappeler cette ma
titre : Êpigramme-quatrain sur un jeune doctrinaire qui fait de gros articles et de petits vers : Au Pinde pourquoi voltiger,
Un vol. in-8°, chez J. Albanel, libraire, 15, rue de Tournon. 126. L’ article a été recueilli dans le tome II des Portraits con
ure anglaise, et je trouve dans le tome I du Spectateur, page 153, un article de lui sur l’auteur des Lettres de Junius : il y
48 (1870) Portraits contemporains. Tome IV (4e éd.) « M. THIERS. » pp. 62-124
arti vers ce temps-là même pour la capitale. Nous retrouvons dans un article du Constitutionnel (30 novembre 1821) un extrait
Thiers. C’est bien le même qui, dix ans plus tard, dans un admirable article sur les Mémoires de Gouvion Saint-Cyr21, après av
de ses aperçus. Nous pourrions remarquer et choisir plus d’un de ces articles de début ; mais aucun ne nous paraît plus caracté
s sentiments très-mesurés, très-apparents, respirent dans l’excellent article que le jeune publiciste, par une forme anticipée,
ne se montre guère disposé à de grandes illusions sur les hommes. Cet article pourrait se dire assez justement un article-minis
re de 1822, dont il rendit compte dans le Constitutionnel ; ces mêmes articles parurent durant l’année, réunis en brochure, Quoi
rs abondera de tout temps en ces sortes de diversions), je noterai un article de lui sur l’architecture gothique,24, à propos d
cher en cet endroit sans anachronisme. Nous n’avons noté en passant l’ article sur l’œuvre de Boisserée que pour prendre acte de
l’Histoire de la Révolution, je leur ai consacré dans le Globe quatre articles que j’aimerais encore à signer aujourd’hui27. Au
olution, ou peu après l’avoir terminée, il laissait échapper quelques articles ou morceaux de critique, soit au Constitutionnel
ique de M. Thiers. M. Duchâtel parla de ce travail sur Law, dans deux articles du Globe (2 et 12 août 1826), et discuta, avec qu
rs, je signalerai encore, dans la Revue française (novembre 1829), un article développé sur les Mémoires du maréchal Gouvion Sa
is ce seraient les personnes qui l’auraient posée elles-mêmes. » Cet article du 19 février et un autre de Carrel du jour précé
bien ! qu’allez-vous faire ?…. de l’opposition dans les journaux, des articles  ?….Allons donc ! il faut un acte. — Et qu’entende
vé, quelques-uns dirent : « Bon ! nous mettrons la protestation comme article dans nos journaux. » — Non pas, il faut des noms
un politique, et depuis qu’il a son drapeau sur la même rive. Dans un article du National (24 juin) sur les Mémoires de Napoléo
ude, cordiale et franche ; c’est du Diderot simple. 23. Voir, dans l’ article de M. de Rémusat sur M. Jouffroy, les belles page
s, a fort égayé l’un des rédacteurs du Quarterly Review, qui, dans un article des plus injurieux à M. Thiers (septembre 1845),
lations d’un pays avec les autres qu’en connaissant bien sa carte. » ( Article de M. Thiers sur les Mémoires du maréchal Gouvion
0 et 19 janvier 1826, 28 avril et 12 mai 1827 ; je n’en sépare pas un article corrélatif au sujet du Tableau historique de M. M
sujet du Tableau historique de M. Mignet, 28 mars 1826. 28. Dans les articles du Globe précédemment indiqués. 29. Chronique d
au Constitutionnel. Félix Bodin, qui ne savait pas de qui étaient les articles du Globe, dit un jour à M. Dubois : « Mais on vou
29. 35. On reproduit ici ce Post-Scriptum qui parut à la suite de l’ article précédent et qui fut écrit sous l’impression d’un
49 (1920) Action, n° 4, juillet 1920, Extraits
e Max Jacob. L’intérêt pour les lettres étrangères se confirme avec l’ article de Pol Michels sur l’expressionnisme allemand sui
de Pol Michels sur l’expressionnisme allemand suivi de poèmes et d’un article du yougoslave Boško Tokin sur le futurisme, tandi
d’un article du yougoslave Boško Tokin sur le futurisme, tandis que l’ article de Follin rappelle l’ancrage politique de la revu
evue. La part des arts plastiques croît : il leur est consacré quatre articles , dont un de Théodore Duret, ami de la grand-mère
turista est l’organe de futuristes-arditis. Dans un récent numéro, un article de F. Arari sous le titre : Le théâtre aérien fut
q abonnements recevra la revue gratuitement pendant un an. a. Cet article a été repris avec quelques notes dans la revue Qu
nçais, critique d’art et critique littéraire. (NdE) c. Le titre de l’ article d’Élisabeth de Gramont, duchesse de Clermont-Tonn
s les jours, jusqu’à sa mort. À la demande d’Apollinaire, il écrit un article sur lui qui paraît quelques jours avant sa mort,
quelques jours avant sa mort, le 15 octobre 1918, dans L’Éventail. L’ article est repris dans Les Pas perdus. (NdE) y. René L
Aktion et publie dans la revue luxembourgeoise La Voix des jeunes un article en six parties sur le futurisme entre septembre 1
il revient alors à la peinture traditionnelle, retour consacré par un article paru dans le numéro de novembre-décembre 1919 de
ralement dans ce numéro d’Action, de « Vols dialogués » à la fin de l’ article . Tokine opère quelques coupes, notamment du premi
50 (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Victor Hugo — Note »
Note En les relisant aujourd’hui, j’avouerai que ces articles sur Victor Hugo ne me satisfont que très-imparfai
ent. Ce sont pourtant (si l’on y ajoute deux anciens et tout premiers articles sur les Odes et Ballades insérés dans le Globe à
ami, de ces misérables escamoteurs politiques qui font disparaître l’ article 14 et qui se réservent la mise en état de siège d
gnant le progrès à droite et la modération à gauche. M. Dubois fit un article plus chaleureux que l’auteur ne l’avait attendu e
vait dans le Globe. Le Globe ne s’en tiendrait pas, dit-il, à un seul article sur Cromwell ; c’était lui-même qui ferait les au
la poésie ; Mme Hugo me demanda à brûle-pourpoint de qui donc était l’ article un peu sévère qui avait paru dans le Globe sur le
51 (1921) Enquête sur la critique (Les Marges)
2º Il semble très difficile, pour ne pas dire impossible, de faire un article de critique littéraire qui compte dans le cadre d
faire un article de critique littéraire qui compte dans le cadre d’un article de journal. Seule la revue ou les feuilletons du
, mais qui l’accomplissent avec une indifférence qui perce dans leurs articles , car ils n’ont accepté leur rubrique que pour la
n’a-t-il pas su imposer pendant des années à de nombreux lecteurs un article quotidien de plusieurs colonnes, et sur des sujet
ze dernières années n’auront qu’à apprendre l’espagnol, pour lire les articles impartiaux, intelligents, documentés, que le bon
issements du nouveau-né ou la musique du pétomane ! Le lendemain, des articles en première page du Temps et de ses émules inform
ses émules informeront de votre manifestation Paris et l’univers. Ces articles seront plutôt ironiques ? Qu’importe ! Le tout es
neuf ans, Remy de Gourmont put donnera un grand quotidien une série d’ articles sur la littérature, et principalement la poésie,
araît comme l’écrivain qui toute la semaine travaillait en vue de son article , de son Lundi. Il ne faisait rien d’autre. Aussi
adaire ; pour les revues, des chroniques bimensuelles ; en outre, des articles de fond pour les grands livres, dans les journaux
s correspondants se sont accordés sur la difficulté de faire de longs articles dans les journaux contemporains. « Seule la revue
adaire ; pour les revues, des chroniques bimensuelles ; en outre, des articles de fond pour les grands livres, dans les journaux
l’espagnol pour lire, dans les magazines de l’Amérique du Sud, « les articles impartiaux, intelligents, documentés, que le bon
52 (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Monsieur de Malesherbes. » pp. 512-538
s proposer de la proscrire entièrement, mais leur délicatesse sur cet article est si grande, que, si l’on y avait tout l’égard
s qu’elle se rassoit, elle n’est pas devenue très raisonnable sur cet article de la presse. Les écrivains eux-mêmes sont devenu
t plus qu’il ne s’en accorde ordinairement. C’est un de ses meilleurs articles , le meilleur peut-être ; c’est presque du Janin d
onsieur, écrivait-il, je vous prie en grâce de me la passer. Tout mon article n’est fait que pour amener cette chute, et je sui
rage. Pour parer aux inconvénients à l’avenir, on exigea que tous les articles seraient soumis à des censeurs théologiens, même
ous les articles seraient soumis à des censeurs théologiens, même les articles qui semblaient le plus étrangers à la théologie.
janvier) : Monsieur, Il m’est impossible de vous envoyer la note des articles encyclopédiques où je suis directement ou indirec
e. D’ailleurs, ces Messieurs me font venir à propos de botte dans les articles les plus indifférents, et où je ne soupçonnerais
ne soupçonnerais jamais qu’il fût question de moi. On m’a dit qu’à l’ article Cependant, par exemple, il y avait deux traits, l
il y avait deux traits, l’un contre Dieu, l’autre contre moi. Mais l’ article où ils se sont le plus déchaînés sur mon compte,
is l’article où ils se sont le plus déchaînés sur mon compte, c’est l’ article Critique ; il y en a mille autres que je ne me ra
eille race, avait très nettement embrassé la société moderne dans ses articles fondamentaux ; il l’avait d’avance prévue et anti
les enfants ; une personne aimable et distinguée, après avoir lu cet article dans Le Constitutionnel, me fait l’honneur de m’é
53 (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Prévost-Paradol » pp. 155-167
s était ressuscité ! On investit Paradol du droit d’écrire beaucoup d’ articles , et ce sont ces articles qu’il a publiés. Propre
nvestit Paradol du droit d’écrire beaucoup d’articles, et ce sont ces articles qu’il a publiés. Propre à tout, d’une facilité de
ent son secret, et m’ont dit sa mélancolie. Je viens de les lire, ces articles de tout genre, qui, à bien des places, pourraient
uver bon, — parce que cela ne les rend pas meilleurs, — c’est que les articles de Prévost-Paradol portent partout l’empreinte et
ûler la cervelle, ils continuent de se la vider dans une ribambelle d’ articles pinces de dépit ou jaunes d’acrimonie. Se faire,
rentes où le moi de l’auteur se voit seul. Mais, dans le cours de ces articles sur tant· de sujets, je n’ai pas senti une seule
, qu’il ne s’en déchargea point, mais on n’en sent pas moins dans les articles qu’il y a écrits cette gestation douloureuse et p
54 (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME GUIZOT (NEE PAULINE DE MEULAN) » pp. 214-248
etc., etc., on ne saurait se faire une idée, à moins de parcourir les articles mêmes, du talent varié, de la fécondité et de la
ont été presque en entier formés de pages extraites çà et là dans ses articles , de débuts piquants et originaux de feuilletons à
lant des mêmes choses, et plus d’un qu’on ne redira pas. Les premiers articles que Mlle de Meulan donna au Publiciste furent rec
ances que le parfum bienveillant qui s’en exhalait. Dans ces premiers articles d’elle, il avait été question de Mme de Staël. A
aison digne et fine de Mlle de Meulan. Atala était appréciée dans un article par ce critique si intelligent et si mûr au début
itoyen La Harpe et le citoyen Vauxcelles, qui avaient pris sujet d’un article d’elle sur l’Éducation des Filles de Fénelon, pou
Conseils de Morale, ont été discernées et tirées du milieu de quelque article sur un fade roman, sur un plat vaudeville ; elles
le, à coup sûr, mais trop minutieux et trop long, de relever dans les articles non recueillis de Mme Guizot la quantité de droit
grands critiques moralistes. Je trouve, en juillet et août 1809, des articles d’elle sur Collin d’Harleville ; elle distingue e
on. Il était difficile qu’on ne parlât pas beaucoup dans le monde des articles de Mlle de Meulan, et qu’on n’en parlât pas en di
pre un moment son travail ; mais une lettre arrive, qui lui offre des articles qu’on tâchera de rendre dignes d’elle durant tout
le temps de l’interruption. L’auteur de la lettre non signée, et des articles qu’après quelque première difficulté elle agréa a
trouve en effet, dans le Publiciste de ces mois, un certain nombre d’ articles de mélanges de littérature et de théâtre, signés
pratique. Elle préluda en cette voie, dès après son mariage, par des articles , contes et dialogues, insérés dans les Annales de
ucation et d’essayer ses idées à ce sujet. Dès 1802, nous trouvons un article d’elle à propos d’une réimpression du petit trait
xion la portait surtout remarquer en quoi nous en différions. Dans un article des Archives littéraires (tome III, page 395) : «
99. Il a été ravi depuis dans la fleur de la jeunesse. 100. Voir l’ article du Globe, 7 août 1827, de M. de Guizard.
55 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Lettres de m. l’Abbé Sabatier de Castres ; relatives aux trois siecles de la littérature françoise.ABCD » pp. -641
umelle, Clément, Rigoley de Juvigny, &c. avoient fourni plusieurs articles à cet Ouvrage. On l'a même insinué dans un Journa
ur. Telles sont celles de quelques Personnes de Geneve, au sujet de l’ article de feu M. Abauzit. On m’a écrit de cette Ville pl
e ; telle est celle dont je m'exprimerois, si j'avois à retoucher son Article . Je promets même de le faire à la premiere occasi
ggestion de quelqu'un d'eux. Donnez-vous la peine de lire vous-même l' article où vous vous croyez blessé : vous verrez, Monsieu
éraires ; aucune, qui puisse donner à entendre qu’il ait fait un seul Article des Trois Siecles ; aucune, qu’il ait coopéré à c
e de foi, qui ait vu, avant la publication des Trois Siecles, un seul Article , une seule phrase de cet Ouvrage, écrite de la ma
oir aidé de ses conseils & quelquefois de ses critiques, pour les Articles concernant les Prédicateurs & les Ecrivains a
iecles, & qui m'ont servi ou qui étoient destinées à composer les Articles des Auteurs qui en sont l'objet : 3°. que les Let
it pour titre, Problême Littéraire, & pour but de prouver que les Articles les moins foibles des Trois Siecles sont de la fa
uvelles Productions, mais votre personne. Il publie à présent que les Articles que vous avez ajoutés à votre Ouvrage depuis la m
urs de M. Ducis me seroit parvenu avant qu'on eût achevé d'imprimer l' article Voltaire, de la nouvelle Edition des Trois Siecle
ntre beaucoup plus sévere que moi à l'égard de M. de Voltaire, dans l' Article qu'il a consacré* à la mémoire de ce Patriarche d
erne Philosophie. Je ne sais si vous en penserez comme moi ; mais cet article me paroît sage. Il annonce un Esprit aussi zélé p
Discours préliminaire de la quatrieme Edition* des Trois Siecles, les Articles Condorcet & Helvétius, ainsi que les Lettres
mes adversaires avec qui je ne pusse combattre à armes égales sur cet article  ; je vous ferai seulement remarquer combien cette
nt les Trois Siecles. *. Voyez la Lettre suivante. *. On trouve cet Article dans le Supplément au Dictionnaire de l'Abbé Ladv
t au Dictionnaire de l'Abbé Ladvocat, 1779. *. Il a fourni plusieurs articles à l'Encyclopédie. *. M. Fabre du Vernai est frer
56 (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Monsieur Michaud, de l’Académie française. » pp. 20-40
ait dignement, avec équité et bienveillance, je dois excepter un seul article , c’est celui qui a paru dans le Supplément de la
Biographie universelle, publiée par le frère même de M. Michaud. Cet article signé Parisot, mais qui a la valeur d’un acte de
royait dévotement que les rédacteurs très mondains dont il lisait les articles étaient tous des abbés. Cette idée amusait beauco
; mais je la montre telle qu’elle était. M. Michaud écrivait peu. Ses articles étaient courts pour la plupart ; ce sont de simpl
de l’esprit devant lui. Quand un de ses collaborateurs lui lisait un article et que cela devenait ennuyeux, il fallait le voir
tres, qu’il plaçait très à propos) ; mais l’esprit revenait-il dans l’ article , M. Michaud revenait aussi, et on le voyait renaî
qua pas de le faire, dès le début de la seconde Restauration, dans un article très calculé et très perfide du Journal général d
urnal général de France, numéro du 19 août 1815. Il fut répondu à cet article par une lettre fort mesurée d’un ami de M. Michau
d’Alembert le lui demandait. Voltaire, en lui répondant sur d’autres articles , avait oublié celui-là : « Je rouvre ma lettre, a
Parisot, homme instruit et même savant, ne soit pas le rédacteur de l’ article dont il est le signataire ; mais il est trop évid
aud l’éditeur ; et c’est ce qui donne à chacun le droit de dire que l’ article est peu fraternel. 3. [NdA] Pour ceux qui trouve
57 (1866) Nouveaux lundis. Tome V « M. Littré. »
rite, et sans que lui, de son côté, il fît rien pour l’en avertir. Un article qu’il écrivit un jour à la recommandation du libr
ustre astronome, sur l’Étude de la philosophie naturelle, un très bel article tout animé du souffle newtonnien et où il s’inspi
vain philosophe. M. Littré, du vivant de Carrel et après lui, fit des articles et rendit des services au National, mais sans jam
e concentra pendant des années son principal effort intellectuel. Les articles publiés par lui dans la Revue des Deux Mondes dep
e. Je ne puis cependant omettre de signaler quelques-uns de ces beaux articles qui montraient dès lors en M. Littré le médecin e
de poésie. Je voudrais la lui arracher et j’en désespère59. Dans ses articles sur les âges du monde antérieurs à l’homme, il a
érations d’un ordre si étendu et si vaste. Béranger, qui avait lu ces articles de la Revue républicaine, en avait été vivement f
r de la Revue des Deux Mondes depuis 1836, il ne cessa d’y donner des articles excellents où sa littérature, toujours forte, s’a
ujours forte, s’animait et s’ornait davantage. C’est là que parut cet article en l’honneur de nos vieux trouvères, qui fit sens
de ceux qui y contribuèrent le plus dans les années suivantes par des articles de fond, philologiques, historiques, dont une par
térature du moyen âge) a été recueillie. Je distingue, entre tous ces articles sévères, d’analyse et de discussion, celui qui tr
. Littré a donné de plus au Journal des Débats, depuis 1852, nombre d’ articles littéraires très remarqués et toujours instructif
tingue, à propos de traductions nouvelles de la Divine Comédie, trois articles sur Dante, où il y a force, gravité, beauté et mê
us le nom courant de Dictionnaire en 30, est rempli de ses excellents articles . Je remarquerai seulement, à propos du Dictionnai
otre Journal des Savants avec analyse et discussion, dans une suite d’ articles aujourd’hui recueillis, et dont quelques-uns en l
qu’il a écrits tout d’une teneur. On me raconte qu’entre les nombreux articles par lesquels il contribua au Dictionnaire de méde
esquels il contribua au Dictionnaire de médecine en trente volumes, l’ article Cœur fut dicté par lui à un collaborateur en une
unir en brochure, sous le titre de Notice sur M. Littré, trois de mes articles du Constitutionnel, ce que j’ai fait, en les revo
ent pas nos cieux ! 60. Voici encore l’éloquente conclusion d’un article de M. Littré, dans la Revue des Deux Mondes du 1e
58 (1920) Action, n° 3, avril 1920, Extraits
autre inconnu, Jean Charazac, qui lui ont été envoyés par sa veuve. L’ article de Dora Marsden confirme l’inscription d’Action d
n dans un réseau de revues internationales : il s’agit là du deuxième article repris à la revue The Egoist, après « La musique 
roduction d’œuvres de Braque et Mortier, sans qu’elles répondent à un article , peut alors se comprendre en lien avec cette expo
numéros précédents de la revue, les ouvrages à paraître et publie un article de Duthuit sur Matisse qui se révèle un extrait d
re Dada. Les prophètes de la société dite de chez nous — entendez des articles de Paris qui monopolisent l’esprit français — tre
ndant à l’avant-garde des idées modernes. Cependant de la plupart des articles d’informations écrits sur l’affaire Dada, il ress
nul désir de comprendre un peu plus loin que les apparences. Seul un article de Lenormandb fît preuve de clairvoyance en n’usa
, naturellement. Ce sont là raisons pour moi d’apprécier ce recueil d’ articles parus à la Revue de Paris. J’y notai d’excellente
rre Alibert souligne que la condamnation de Dada par Gleizes dans cet article d’Action doit être reliée à l’engagement social d
1920, p. 1. Michel Sanouillet souligne l’importance historique de cet article malgré son schématisme : liant le dadaïsme à la r
uction aux Œuvres complètes de Lautréamont, en 1919 et 1920 plusieurs articles accompagnent l’édition des Chants de Maldoror aux
, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1970, p. 25-26). L’ article de Malraux est repris dans le numéro spécial du D
ror, Paris, Éditions de La Sirène, 1920, p. III. Cette préface est un article du Mercure de France déjà repris dans Le Livre de
évolutionnaire (1910-1944), Dijon, Université de Bourgogne, 2000 et l’ article du même auteur, « Un poète face à la Grande Guerr
des lettres, parues de 1919 à 1929 chez Flammarion en reprennent les articles (Revue de Paris : 15 mars 1918-15 octobre 1920, R
s. À titre d’expérience, placez en regard de son étude sur Flaubert l’ article de Sainte-Beuve sur Madame Bovary, et vous sentir
59 (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Monsieur de Latouche. » pp. 474-502
eurs se nomment en allemand Wergiss mein nicht, Ne m’oubliez pas ! L’ article passa le lendemain 16 juillet 1817, et Le Constit
nues et signées, comme on signait alors ces sortes de paix, moyennant article de finance. Tant de facilité cachait un piège. M.
doctrinaire, vers 1827, mais il s’arrangea si bien que ce seul petit article fit scandale ; il y avait fourré toutes sortes d’
t que cela, allait à leur adresse. Qu’on relise aujourd’hui le fameux article sur « La camaraderie littéraire » (Revue de Paris
ous hier, mon cher ami, écrivait-il à M. Jal, c’était vous montrer un article de la Revue de Paris que j’ai supprimé à cause de
M. Gustave Planche publia dans la Revue des deux mondes (novembre) l’ article « De la haine littéraire » dont M. de Latouche ét
la haine littéraire » dont M. de Latouche était le sujet. Ce sanglant article acquittait d’un seul coup un long arriéré de repr
ettres et le charme innocent des muses. Note. Avant d’écrire cet article sur M. de Latouche, je me suis adressé à plusieur
savais, et j’ai dit, je l’avoue, tout ce que j’en ai su. Depuis que l’ article a paru, j’ai reçu un témoignage tardif, mais d’un
. [NdA] On me dit que ce fut à Pont-le-Voy. 47. [NdA] Je lis dans un article du Journal de l’Indre du 21 mars 1851, où Μ. E. P
ien haut le républicanisme du jeune employé des droits réunis. Tout l’ article de M. Périgois est affecté de cette illusion rétr
tutionnel de 1817, devait être bien informée. Selon cette personne, l’ article de M. de Latouche, qui fit supprimer le journal,
a payé son tribut à la mémoire de M. de Latouche par trois charmants articles insérés dans le journal Le Siècle (18, 19 et 20 j
60 (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Roederer. — II. (Suite.) » pp. 346-370
avec Sieyès. — Lendemain du 9 Thermidor. — Période de l’an III, — Les articles du Journal de Paris. — Madame de Staël. — Le géné
. Ginguené, quelques jours auparavant, lui avait proposé de faire des articles d’économie politique également, pour son recueil
autres collaborateurs, mais que vous importe ? ils répondent de leurs articles , vous des vôtres. Ils tirent de l’honneur de votr
re une à moi tout seul. » (11 mars.) Une fois, Sieyès fut blessé d’un article de Roederer (article du 12 août 1796). C’était da
l. » (11 mars.) Une fois, Sieyès fut blessé d’un article de Roederer ( article du 12 août 1796). C’était dans la discussion du p
nom qu’au commencement de 1795 dans le Journal de Paris. La suite des articles intitulés « Esprit public », et que le journal pu
Il s’appliqua à en donner des bulletins suivis et utiles. Son premier article contient une anecdote, ou, si l’on veut, un apolo
bins, et qu’il appelle « la troupe légère de l’opinion publique ». Un article très piquant sur les travers et les ridicules des
sentaient. Il a recueilli plus tard en trois volumes plusieurs de ses articles du Journal de Paris ; mais il en est de cette dat
aissance ; j’ai pris la plus grande idée de votre talent en lisant un article que vous avez fait contre moi il y a deux ans. »
r de fait ; car je faisais ce que vous demandiez que je fisse. » — L’ article auquel Bonaparte faisait allusion, et qui était d
nation et les percepteurs à main armée du gouvernement. Le sens de l’ article était donc : Prenez garde aux généraux qui mainte
61 (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « À M. le directeur gérant du Moniteur » pp. 345-355
, et me laisser vous rappeler tout ce qui s’est passé à la suite de l’ article , mêlé de critique et d’éloge, que j’ai écrit sur
a le silence sur Les Fleurs du mal. » Il est vrai que l’auteur de cet article diffamant avait publié, vers le temps où paraissa
otés. Il a eu, d’ailleurs, une récompense qui vaut mieux que tous les articles du dehors : le maître de nos romanciers, une natu
que ce passage ait donné prétexte à un rédacteur des Débats, dans un article du 1er avril 1860, de dire que j’ai invoqué ici,
er avril 1860, de dire que j’ai invoqué ici, pour me protéger, en cet article aventureux, « mon titre de professeur dans une éc
es siècles. 68. [NdA] Chez Dentu, éditeur, Palais-Royal. 8. [NdA] L’ article que voici, et qui fut adressé sous forme de lettr
replacer la question littéraire et d’art sur son véritable terrain. L’ article , au reste, fit beaucoup de bruit, et eut des rico
62 (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Appendice — II. Sur la traduction de Lucrèce, par M. de Pongerville »
udis d’Académie, le pressait aussi beaucoup, de son côté, de faire un article sur sa traduction de Lucrèce. M. Sainte-Beuve y r
avait des engagements plus pressants d’abord envers le public, et son article du Globe reste encore son dernier et unique mot s
n’eût été occupé désormais que de la pensée philosophique. Son ancien article , qu’il faut relire, n’aurait plus été qu’un comme
ici le tableau de ce vaste système qu’il a déjà exposé à la fin d’un article sur la Pluralité des mondes de M. Flammarion182 :
pas. Il aurait eu le droit de s’en faire une devise.   Voici enfin l’ article du Globe (il est temps d’y arriver) qu’il écrivit
réimprimer dans un de ses livres, comme il a déjà fait pour d’autres articles de sa jeunesse au Globe et au National ; il en a
uer la marche à ses éditeurs posthumes, en la laissant inachevée. — L’ article sur M. de Pongerville est du mois d’avril 1830 ;
63 (1874) Premiers lundis. Tome I « Alexandre Duval de l’Académie Française : Charles II, ou le Labyrinthe de Woodstock »
du problème, à faire des tiers de vaudevilles, ou à mettre de petits articles dans les journaux littéraires ; et que notamment
r M. Alex. Duval, de l’Académie française. 13. Ceci nous rappelle un article assez récent du Constitutionnel, où la cause de M
pomucène Lemercier, qui eut un grand succès en 1800. 16. Ce prochain article , annoncé par M. Sainte-Beuve, n’a probablement pa
t même. On remarquera, en effet, que nous passons brusquement, dans l’ article qui suit, de juillet 1828 au mois d’avril 1830, s
Joseph Delorme. On comprend que nous n’ayons pas eu à répéter ici les articles que l’auteur lui-même a recueillis, dès ce temps-
e par les curieux : pourquoi ne retrouve-t-on pas ici quelques autres articles dont la signature saute çà et là aux yeux dans le
ire relever. Ces suppressions se bornent d’ailleurs à trois ou quatre articles . — Enfin, avant de prendre définitivement congé d
64 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « SAINTE-BEUVE CHRONIQUEUR » pp. -
représentée, à partir de l’année 1834, que par un très-petit nombre d’ articles . Justement, dans le temps même où M. Despois expr
une Correspondance de la nature de celle que nous publions. Dans ses articles sur Mathieu Marais (Nouveaux Lundis, tome IX), il
rente ans, pour l’histoire littéraire5. Jules Troubat. 1. Voir son article sur Sainte-Beuve dans la Revue politique et litté
s proposer de la proscrire entièrement, mais leur délicatesse sur cet article est si grande, que, si l’on y avait tout l’égard
u l’on n’est pas impuissant, passons. » (Causeries du Lundi, tome II, article sur Balzac.) 4. M. Olivier est mort tout récemme
65 (1874) Premiers lundis. Tome II « H. de Balzac. Études de mœurs au xixe  siècle. — La Femme supérieure, La Maison Nucingen, La Torpille. »
ire. Mais prenons garde, en le trop décrivant, de l’imiter. 34. Cet article et les suivants, extraits de la Revue des Deux Mo
points de suspension. Le premier morceau, qui précède immédiatement l’ article ci-dessus, a été interrompu par M. Sainte-Beuve à
nte publication de M. de Balzac… » Il se relie donc naturellement à l’ article qu’on va lire. — Nous avons éprouvé néanmoins que
nom de Charles Labitte. Mais une note de la même Table, à propos de l’ article sur l’École du monde (1er février 1840), qu’on li
cert entre MM. Sainte-Beuve et Labitte, et signale particulièrement l’ article sur l’École du monde comme étant de M. Sainte-Beu
66 (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME DE STAEL » pp. 81-164
, à celui de ses admirateurs. Fontanes, en 1800, terminait les fameux articles du Mercure par ces mots : « En écrivant, elle cro
c lesquels seulement elle s’arrêta. On peut voir d’elle, au reste, un article de journal conservé dans ses œuvres, seule expres
le livre de la Littérature parut, la Décade philosophique donna trois articles ou extraits sans signature et sans initiales : c’
ts (du 11 messidor an viii) accueillit, en le tronquant toutefois, un article amical de M. Hochet ; mais trois jours après, com
me revenu de cette surprise, il publia, sous le titre de Variétés, un article sans signature où Mme de Staël n’est pas nommée,
iser beaucoup les projets des factieux, etc. » Mais les plus célèbres articles du moment, au sujet de Mme de Staël, furent les d
staurait solennellement la critique littéraire, et déclarait, dans un article de Geoffroy (30 prairial an viii), que « l’extinc
’est dans le premier numéro de ce renouvellement que parut le premier article de Fontanes contre Mme de Staël. Avec Fontanes y
omme j’arrangerais une bonne fois ces anti-philosophes ! » Le premier article du Mercure est terminé par ce post-scriptum mémor
e du Mercure est terminé par ce post-scriptum mémorable : « Quand cet article allait à l’impression, le hasard a fait tomber en
vrais de ces deux contemporains illustres. Dans son second extrait ou article , Fontanes venge les Grecs contre l’invasion du ge
ecture confidentielle, qui venait de lui être faite, de René 47 ? Ces articles sont remplis, au reste, de détails justes et fins
on traduisît ses doctrines philosophiques en opinions factieuses. Les articles de Fontanes eurent grand éclat et excitèrent les
et modéré, acquis à ses futures entreprises. Est-il besoin, après les articles de Fontanes, de mentionner deux morceaux de Geoff
tyle encore supérieure à celle-là. Sa seconde édition donna lieu à un article des Débats, où il était dit en terminant, comme p
voit que c’est à Geoffroy que Ginguené imputait, peut-être à tort, l’ article des Débats. Il est naturellement amené à citer un
pensée plus restreinte que dans le rôle opposé49. Le plus remarquable article auquel donna lieu le livre de la Littérature est
eurs, trop bucoliques pour elle, de l’autre chef-d’œuvre ; le célèbre article qui fit supprimer le Mercure en 1807, lui arracha
on originale, eclatante, extraordinaire. M. de Chateaubriand, dans un article du Mercure sur M. de Bonald (décembre 1802), rele
e nouveau flagrantes. Le Journal des Débats (décembre 1802) publia un article signé A, c’est-à-dire de M. de Feletz, article pe
cembre 1802) publia un article signé A, c’est-à-dire de M. de Feletz, article persiflant, aigre-doux, plein d’égratignures, mai
très-mauvais ouvrage écrit avec beaucoup d’esprit et de talent. » Cet article parut peu suffisant, je pense ; car la même feuil
n’entra pas dans la querelle, et se montra purement favorable dans un article fort bien senti de M. Hochet. Vers le même temps,
, surtout au point de vue moral, ne put s’empêcher de s’étonner qu’un article écrit de ce style se trouvât dans le Mercure, à c
é à cause de l’initiale, écrivit au Journal de Paris pour désavouer l’ article , qui était effectivement de l’auteur de la Dot de
de Staël s’indignèrent, et elle fut énergiquement défendue. Des deux articles insérés par Ginguené dans la Décade, le premier c
guené paraît avoir imputé à Geoffroy, qu’il avait sur le cœur, un des articles hostiles que nous avons mentionnés plus haut), l’
a liberté philosophique dans les choses de l’esprit, donna trois bons articles signés D. D., qui doivent être de Mlle de Meulan
ux beaux-arts. Un M. C. (dont j’ignore le nom) fit dans le Mercure un article sans malveillance, mais sans valeur. Eh ! qu’impo
ans s’affaiblir, est allé s’épurant. 41. 1833, 1er volume, p. 185. L’ article est de Loève-Veimars. 42. C’est cette idée assez
te réel qu’il n’a laissé de réputation. — J’ai depuis reconnu que ces articles étaient de M. Fauriel, fort lié à une certaine he
e certaine heure avec Mme de Staël (voir mes Portraits contemporains, article Fauriel) 45. La lettre que Mme de Staël lui écri
e cette critique amère et spirituelle. » J’ai recherché vainement cet article , qui probablement ne porte pas le titre direct de
ès, dans quelques parties d’elle-même. Je me contenterai d’indiquer l’ article sur Mme de Staël ambassadrice, donné par M. Geffr
67 (1805) Mélanges littéraires [posth.]
jet si important, je dois prévenir les lecteurs désintéressés que cet article pourra choquer quelques personnes, quoique ce ne
rtante. Mœurs et religion. Nous rendrons, sur le premier de ces deux articles , la justice qui est due aux soins de la plupart d
les des synonymes qu’on donnera, que chacun des mots qui composent un article de synonymes, fournisse dans cet article un nombr
un des mots qui composent un article de synonymes, fournisse dans cet article un nombre égal d’exemples : ce serait une puérili
ce que les exemples sont par ce moyen plus aisés à retenir. Enfin, un article de synonymes n’en sera pas quelquefois moins bon,
s de la syntaxe y soient expliquées, surtout celles qui regardent les articles , les participes, les prépositions, les conjugaiso
ns de certains verbes : on pourrait même, dans un très petit nombre d’ articles généraux étendus, y donner une grammaire presque
x étendus, y donner une grammaire presque complète, et renvoyer à ces articles généraux dans les applications aux exemples et au
yer à ces articles généraux dans les applications aux exemples et aux articles particuliers. J’insiste légèrement sur tous ces o
t sur tous ces objets, tant pour ne point donner trop d’étendue a cet article , que parce qu’ils doivent, pour la plupart, être
onjugaison est irrégulière ; il est bon même, en ce cas, de faire des articles séparés pour chacun de ces temps, en renvoyant à
faire des articles séparés pour chacun de ces temps, en renvoyant à l’ article principal : c’est le moyen de faciliter aux étran
— —. À l’égard de l’orthographe, la règle qu’on doit suivre sur cet article , dans un dictionnaire, est de donner à chaque mot
de toutes ces différentes orthographes, et d’en faire même différents articles avec un renvoi à l’article principal : cet articl
thographes, et d’en faire même différents articles avec un renvoi à l’ article principal : cet article principal doit être celui
e même différents articles avec un renvoi à l’article principal : cet article principal doit être celui dont l’orthographe para
l’auteur du dictionnaire à choisir lequel des deux il prendra pour l’ article principal : mais si, par exemple, il choisit temp
icle principal : mais si, par exemple, il choisit temps, il faudra un article tems, avec un renvoi à temps. À l’égard des mots
sçavant est encore assez en usage, il faudra faire des renvois de ces articles . Il faut de même user de renvois pour la commodit
ère façon ; et, ne s’avisant peut-être pas de l’autre, croiraient cet article oublié. Mais il faut surtout se souvenir de deux
ionnaire une critique tout à la fois très vraie et très injuste ! Dix articles faibles qu’on relèvera, contre mille excellents d
ngue par une autre, tout ce que nous avons dit au commencement de cet article sur les définitions dans un dictionnaire de langu
s de nos humanistes modernes sont quelquefois tombés en faute sur cet article . Ainsi, quand on cite Térence, par exemple, ou Pl
syntaxe et l’emploi des mots, ce qui a été prescrit plus haut sur cet article pour les dictionnaires de langue vivante maternel
ous paraît pas moins réelle. On parlera plus au long, à la fin de cet article , des différentes qualités que le style doit avoir
rand maître servirait à confirmer tout ce que nous avons dit dans cet article sur l’élocution considérée par rapport à l’éloque
i nous paraît mériter l’attention des lecteurs, et qui appartient à l’ article que nous traitons, donnons en peu de mots, d’aprè
llabes rudes, celui des voyelles, sans affectation néanmoins (voyez l’ article Élision) ; à ne pas mettre entre les membres des
és du style en général dans toutes sortes d’ouvrages. Je finis cet article par une observation qu’il me semble que la plupar
al les opinions avancées ou soutenues ailleurs que dans leurs propres articles , puisque tout est libre dans cet ouvrage, excepté
s vacances pendant les mois de septembre et d’octobre. 2. Voyez cet article traité d’une manière différente : page 274. 3.
68 (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Charles Labitte »
ique biographique achevé de forme autant qu’il est complet de fond. L’ article sur Varron est un modèle parfait de ce genre d’ér
; l’étude sur Lucile également ; et nous pourrions citer vingt autres articles gracieux et sensés, et finement railleurs, qui at
temps quelque chose dans le Mémorial d’Abbeville, mais de plus muni d’ articles de haute critique comme il disait en plaisantant,
et, etc. ; une grande partie des matériaux amassés ont paru depuis en articles dans la Revue de Paris et ailleurs. Tout ce confl
ments ; c’était la lassitude de la vie qui parlait en lui. Le premier article de quelque étendue par lequel il débuta véritable
rte, ne se faufile qu’à la faveur et sous le couvert des citations. L’ article que Charles Labitte lui consacrait, et qui n’offr
t avec oubli. Nous ne le suivrons point ici pas à pas dans la série d’ articles qu’il laissa échapper durant les premières années
ile et le plus effronté des Moniteurs. Il réussit bien mieux qu’aucun article du Moniteur n’a jamais fait, il laissa son public
s ; que si, dans ses hardiesses de doctrine, elle anticipait quelques articles du catéchisme de 1793, elle en reproduisait encor
ns l’introduction mise en tête du Recueil, éclatèrent surtout dans un article critique fort rude qu’il lança peu après233 contr
onnel, reprit en main la discussion et la mena vigoureusement dans un article de cette Revue, intitulé Une Assemblée parlementa
trace de cet autre agréable maître M. Patin ; puis, bientôt, par des articles approfondis sur des auteurs de son choix, il déga
ux avait de quoi s’y plaire ; la conciliation était à point. Les deux articles sur Varron et sur Lucile 239 résolvaient entièrem
nt ingénieux, et attestent l’invention critique : il avait préparé un article sur les Femmes de la Comédie latine, particulière
69 (1888) La critique scientifique « La critique scientifique — Évolution de la critique »
cement du nôtre. Il n’est pas d’essayiste qui ne s’y soit adonné. Les articles bibliographiques des journaux et des revues, les
anger dans cette catégorie, la plupart des portraits d’écrivains, les articles savants et partiaux de M. Brunetière, la majeure
e-Beuve et le but qu’il poursuivit sont indiqués suffisamment dans un article sur Chateaubriand jugé par un ami intime, dans le
et de M. France abondent en dissertations charmantes et futiles. Les articles de M. Geffroycg sont de pure appréciation et les
nts. M. Schérer n’est pas le seul (…) » (E. Zola, « Protestantisme », article cité par B. Marchal, La Religion de Mallarmé, Jos
, José Corti, 1988, p. 33). Schérer recueillit entre 1863 et 1895 ses articles du Temps dans une série de 10 volumes intitulés «
èrent à faire connaître la philosophie hégélienne en France (voir son article « Hegel et l’hégélianisme », Revue des Deux Monde
70 (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « M. Jouffroy »
a Restauration comme plus favorable à la pensée que l’Empire. Dans un article de M. Jouffroy sur les Lettres de Jacopo Ortis, i
gieux qu’on aurait voulu alors lui entendre nommer, on disait dans un article du Globe de décembre 1830 : « Comme un pasteur so
l’était déjà. En 1823, notre philosophe écrivait dans la solitude cet article , Comment les Dogmes finissent, où éclatent la ver
onique de Flodoard pour la collection de M. Guizot, écrivait quelques articles aux Tablettes universelles, qui trop tôt manquère
utre cas analogue, mais c’est tout. M. de Barante n’a fait qu’un seul article  ; M. de Broglie n’y a jamais écrit. Les prétendus
six ans, l’honneur d’y rencontrer leur visage. La verdeur de certains articles allait, de temps à autre, éveiller leur sévérité
évérité et raviver les nuances. M. Royer-Collard réprouva hautement l’ article pour lequel M. Dubois fut mis en cause et condamn
professer Delorme comme résumé de son Histoire de la Révolution, ces articles ingénieux étaient regardés comme de purs jeux de
le politique ému et acéré, le critique chaleureux. Indépendamment des articles recueillis dans le volume des Mélanges, M. Jouffr
à l’énergie morale d’un chacun ; il n’y imposait pas, comme dans ses articles sur mistress Trolloppe, le calme et le quiétisme
ginal que la préface en tête des Esquisses morales de Stewart, et ses articles , la plupart recueillis dans les Mélanges : l’intr
s flèches, comme Pâris caché derrière le tombeau d’Ilus ! » 107. L’ article , écrit en 1823, n’a été publié qu’en 1825, dans l
s le Globe. 108. Le mot distingué, qui revient fréquemment dans cet article et qui s’applique si bien à la génération qu’on y
71 (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Journal et Mémoires, de Mathieu Marais, publiés, par M. De Lescure  »
mon gré et dont je louerais le plus volontiers la direction, sont ses articles sur la littérature française pendant l’émigration
l’humanité et la société! Des deux, c’est Boileau qui pensait sur cet article en homme d’État. Toujours Mathieu Marais maintien
oi, je la crois sérieuse, et je n’en veux d’autre preuve que le petit article suivant que je lis dans le Journal de Mathieu Mar
uvrez le recueil des pensées et dires de Sorbière, le Sorberiana, à l’ article Scarron ; vous y trouvez ce charmant éloge de Mme
c’est Pellisson, à qui le livre était dédié, qui, s’apercevant qu’à l’ article Scarron il y avait des choses qui n’auraient pas
sont en effet distinctes, n’allait pas cependant jusqu’à lui passer l’ article David où l’érudit s’était par trop émancipé en ma
Bayle sans retourner à sa critique : c’est ce qui m’est arrivé, car l’ article censuré m’amuse, puis me mène au suivant, et j’ou
ion de la maison de Sorbonne. Les docteurs, depuis si vigilants sur l’ article de la philosophie, ne paraissaient pas se douter
s. Trois avaient paru (librairie Firmin Didot), lorsque je donnai ces articles . — On écrivait autrefois Matthieu Marais : l’édit
laquelle j’ai promis de faire droit au moment où je réimprimerais ces articles . « Je suis bien désespéré, m’écrivait donc M. Poi
lle d’Estrées, et que vous ayez accueilli cette imputation dans votre article du 24 octobre. M. de L. n’a lu ni ma première ni
72 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre V. Histoire littéraire. » pp. 212-219
uit quelquefois qu’un mandement, ou qu’une lettre moins étendue que l’ article qu’on leur a donné dans l’histoire littéraire. On
nce. Pour qu’il eût produit cet effet, il auroit fallu traiter chaque article plus au long & avec plus de profondeur, conno
onnoître la plûpart de ces Eloges, dans le chapitre des Orateurs, à l’ article des discours académiques. Un autre ouvrage qui pe
la faute du rédacteur. Plusieurs auteurs n’ont pas voulu fournir leur article  ; de-là des omissions & des erreurs. Pour qu
73 (1920) La mêlée symboliste. I. 1870-1890 « Le lyrisme français au lendemain de la guerre de 1870 » pp. 1-13
n, Victorien Sardou. On y fustige les rimeurs malhabiles. Une suite d’ articles sur « les poètes morts jeunes » ne manque ni de v
s vues générales, la responsabilité absolue demeure, à chacun, de ses articles  ». La précaution était sage. On y trouve peu de c
rses politiques ou religieuses. Toutefois il est bon de souligner cet article de Sainte-Beuve, le plus caractéristique en ce se
ue pensez-vous de ce petit homme aimable et spirituel ? En lisant cet article , nous songions aux vieux Français, à Rabelais, à
dances. Des influences étrangères se font jour. Ainsi Burty écrit des articles sur le japonisme mis à la mode par les Goncourt d
74 (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Théophile Gautier (Suite et fin.) »
De même qu’on réduit une symphonie au piano, il réduit un tableau à l’ article . Et tout ainsi que pour la symphonie transposée e
et réduite, ce sont toujours des sons qu’on entend, de même dans ses articles ce n’est pas de l’encre qu’il emploie, ce sont de
parle a fait dans le sien. » Et c’est ainsi que, terminant le premier article sur Eugène Delacroix lors de l’Exposition univers
faisons notre art à travers notre métier. » Un autre petit finale d’ article des plus achevés en son genre, qui me revient en
obtenue sans effort ! » Il le redit, non moins excellemment, dans un article sur Ary Scheffer, en faisant remarquer que cet es
traits sont aussi vrais que distingués de couleur et de ton. Dans des articles déjà assez anciens sur Diaz, je crois avoir remar
ice, tout en luttant de lustre et d’éclat avec elle, dans une série d’ articles de son meilleur et de son plus neuf vocabulaire.
où une double haie de bourgeois et de marauds ébahis l’admire. 56. Article de M. Ernest Chesneau, dans le Constitutionnel du
vision dans son volume les Beaux-arts en Europe, et il a mis les deux articles sur Delacroix bout à bout. Personne n’est plus né
75 (1865) Cours familier de littérature. XIX « CXe entretien. Mémoires du cardinal Consalvi, ministre du pape Pie VII, par M. Crétineau-Joly (2e partie) » pp. 81-159
it promis, quoique avec une indicible répugnance, d’accepter tous les articles convenus, mais que pour celui que nous avions lai
le chargeant de me dire que lui, Bonaparte, il voulait absolument cet article , tel qu’il l’avait fait rédiger dans l’exemplaire
t que je n’avais qu’un de ces deux partis à prendre : ou admettre cet article tel quel et signer le concordat, ou rompre toute
é à rompre du côté du Pape, dès qu’on s’est mis d’accord sur tous les articles , à la réserve d’un seul, pour lequel j’ai prié qu
t ou rien. Je répliquai que je n’avais pas le droit de négocier sur l’ article en question, tant qu’il le maintiendrait précisém
conciliation, et tomber d’accord, quand il n’y avait plus qu’un seul article en litige. Je lui répliquai qu’il était impossibl
endait obstinément ne pas retrancher ou ajouter une seule syllabe à l’ article débattu, comme s’en exprimait le premier consul,
vouloir bien leur permettre de chercher le moyen d’introduire dans l’ article en litige quelque changement propre à satisfaire
termination de ne souffrir aucune addition, aucun retranchement à cet article , d’autant plus que c’est vraiment une calamité de
une calamité de consommer une aussi regrettable rupture pour un seul article , quand on a combiné tout le reste à l’amiable. « 
décisive, et le cardinal pourra s’en aller. Je déclare aussi que cet article , je le veux absolument tel quel, et que je n’adme
oyen de conciliation, et que de l’autre, en même temps, il exigeait l’ article tel quel, sans aucun changement, ce qui excluait
ait inébranlable sur le point de ne pas admettre de changement dans l’ article controversé, il était déterminé, pour sa part, à
nt de proportion, ajoutait-il, entre la petite perte provenant de cet article et la perte immense qui résulterait de la rupture
fatales à la religion, et qu’il était résolu, lui aussi, à admettre l’ article et à le signer tel quel. Spina ajoutait encore qu
iais simplement de renvoyer à la fin l’annonce de leur adhésion à cet article , si, ne parvenant pas à concilier la chose, on ét
ze heures pour le moins furent consacrées à la discussion de ce fatal article . Pour bien saisir l’affaire, il est indispensable
76 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LXX » pp. 279-280
LXX Ce 5 novembre 1844. insuccès des nuées. — un article de m. de rémusat dans le constitutionnel. — consi
nforme spéculation. — On lit dans le Constitutionnel du 5 novembre un article de M. de Rémusat sur la littérature actuelle. Dan
bre un article de M. de Rémusat sur la littérature actuelle. Dans cet article le spirituel écrivain a l’air d’épuiser toutes le
77 (1864) Nouveaux lundis. Tome II « M. Biot. Essai sur l’Histoire générale des sciences pendant la Révolution française. »
dont nous avons si longtemps goûté les beaux, exacts et un peu froids articles dans le Journal des Savants. Celui qui écrivait a
mplète de la Révolution. Les volumes de Mélanges contiennent quelques articles insérés au Mercure de France, à ce Mercure déjà m
ssusciter en 1809, sous le titre de Nouveau Mercure. Dans l’un de ces articles intitulé : De l’influence des idées exactes dans
en vieillissant. Littérateur correct et instruit, il établit dans cet article un principe qu’il pousse un peu loin, et sur lequ
ds13. Toutes les critiques qu’il adresse à Chateaubriand dans ce même article sont justes, excepté une seule. Il se moque en pa
de foyer. J’aurai pourtant à faire remarquer plus tard que, dans ses articles des dernières années au Journal des Savants, sa m
date aux dix premières années du siècle, et si l’on excepte quelques articles insérés dans la Biographie universelle, on ne ret
hie universelle, on ne retrouve plus M. Biot littérateur que dans les articles de sa vieillesse au Journal des Savants. Que s’ét
78 (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 mars 1886. »
stes et des anti-Wagnéristes. Enfin, le 6 décembre, un très important article de M. de Fourcaud, dans le Gaulois, posait la que
ue. Veuillez agréer mes meilleurs sentiments L. Carvalho.   Suite des articles de journaux : Dans le Monde Illustré du 12 décemb
1, de M. Johannès Weber, dans le Temps. Le 13, dans le Ménestrel, un article , signé Moreno (Heugel), qui inaugure ce plan de c
udissez, sifflez si vous voulez, mais écoutez-le ! …   Paris du 17 ; article signé Caribert :   … Ce n’est point que nous prat
: toujours la distinction de l’homme et de l’œuvre. Le Soleil du 20 : article de Jean de Nivelle :   Le cabotinisme règne, par-
t pas au monde de plus grand cabotin que Wagner …   Gil Blas du 22 ; article de M. Louis Ulbach : La question se réduit à ce
-rendu de la représentation du Chevalier Jean, à Cologne, publiait un article où, distinguant la question artistique de toutes
nes que M. Saint-Saëns répondit, dans la France du 24 décembre, par l’ article suivant, intitulé « la musique en province » :  
die avait excité les susceptibilités allemandes, et plus récemment un article de ce compositeur, publié dans la France, avait é
al s’étonnait que la Société philharmonique de Berlin eut répondu à l’ article de la France en engageant M. Saint-Saëns, et en a
ut mieux ne pas jouer Lohengrin. Le Succès du 6 ; le « Wagnérisme », article signé L. Passant :   … M. Carvalho s’obstinant da
e aux problèmes rencontrés pour jouer cette œuvre à Paris. Le premier article montre jusqu’où pouvait aller la question de la r
un pamphlet de Wagner : Une capitulation dont il est question dans l’ article de Wolff cité plus loin. Wolff dénonce un texte p
l était connu pour son franc parlé et son « bon sens » bourgeois. Ses articles pour le Figaro portaient le titre révélateur de «
lique et privée, un misérable… », comme on peut le lire à la fin de l’ article . Cette question est encore un sujet de polémique
79 (1895) La science et la religion. Réponse à quelques objections
Avant-propos Lorsqu’au mois de janvier 1894 j’ai publié l’ article que je réimprime aujourd’hui, j’espérais bien qu’
de tout cela n’était bien neuf ni bien extraordinaire. Mais puisque l’ article a excité tant de tumulte et que, depuis trois moi
et plus profondément, quand il écrivait, en 1884, dans un remarquable article sur la Crise actuelle de la morale : « Sachons vo
is parlé de la science, le Figaro a publié, le matin de ce banquet, l’ article que je reproduis, non pas certes pour « compléter
’ai pas si mal résolu. Depuis trois mois, en effet, que j’ai publié l’ article que l’on « conspuera » ce soir, à défaut de moi-m
nteries aussi, d’injures et d’insultes ? Tant de bruit ! pour un seul article , d’un écrivain si « pâteux », dans un recueil d’a
e « physicien » ou de « chimiste ». Elle n’en a pas moins défrayé des articles entiers ! Et pourquoi encore ai-je écrit si quelq
aussi bien ce que font les vrais savants, et aux textes cités dans l’ article , c’est ce qui nous dispense d’en ajouter d’autres
en ajouter d’autres : ceux de M. Berthelot nous suffisent, — dans son article de la Revue de Paris, du 1er février 1895, sur la
ce et la Morale. Je ne parle pas ici, ni pour le moment, du fond de l’ article  : je n’en retiens que la conclusion : « Nous voyo
hilosophes et de certains savants, — ainsi M. Charles Richet, dans un article de la Revue Rose sur la Banqueroute de la science
la Revue Rose sur la Banqueroute de la science, en réponse au présent article , — c’est le contraire qu’il faudrait dire ; et la
tinus. Je ne puis me tenir ici de transcrire un éloquent passage de l’ article de M. Richet : « Quelles idées en morale, s’écrie
igue de la paix ». Ai-je besoin maintenant de justifier Bossuet sur l’ article du « respect de la vie humaine » ou celui de l’« 
des erreurs de Michel Servet. J’ai pris d’ailleurs contre eux, sur l’ article de leurs variations, — dont ils ont l’air tantôt
ut cas, j’ai voulu dire, et je le répète en le développant : 1° Sur l’ article du protestantisme, — que, pour les protestants co
par le côté social. C’est cependant aussi un point de vue ! 2° Sur l’ article du catholicisme. — Pour ce qui est du mérite des
attaque. Mais qu’importe ? Il a besoin de le supposer pour faire son article , dont toute la force n’est faite que de la faible
, on avouera que c’est une étrange méthode. Et peut-être, si dans son article le docteur Clémenceau n’a pas fait autre chose, t
rès avoir répondu de mon mieux à quelques-unes des objections que cet article a soulevées, j’ai pensé qu’il pourrait être intér
correspondants qui me les ont adressées. I « Monsieur, « … Après cet article , il y en aura dans les parlements qui vous traite
olique… » II « Monsieur, « J’ai lu avec le plus grand intérêt votre article du dernier numéro de la Revue des Deux-Mondes. Qu
80 (1845) Simples lettres sur l’art dramatique pp. 3-132
remaniée par nos Lycurgues à cinq cents francs, avait, à ses anciens articles , ajouté cet article nouveau, conservateur des dro
urgues à cinq cents francs, avait, à ses anciens articles, ajouté cet article nouveau, conservateur des droits de l’art : « So
t M. Buloz, faites-nous donc de ce que vous venez de raconter là deux articles pour la Revue. J’hésitai longtemps ; je croyais c
. M. Buloz me prouva que j’avais tort, et j’écrivis les deux premiers articles de mes Impressions de voyage, c’est-à-dire la pêc
st-ce pas miraculeux, dites-moi, de lire dans une même Revue ces deux articles écrits de la même main, signés du même nom ? Ah !
fut vers l’époque où parut dans la Revue des Deux Mondes une suite d’ articles dans le genre de celui-ci, que notre grand poète,
ns une nuit. Les avis restèrent partagés4. C’est particulièrement à l’ article Chronique littéraire du mois de décembre 1836 que
que littéraire du mois de décembre 1836 que M. V. Hugo répondait. Cet article est assez curieux, surtout mis en regard avec un
t. Cet article est assez curieux, surtout mis en regard avec un autre article sur le même sujet, paru en 1835, pour que nous le
onnaient en chœur des louanges de Mme Sand. On faisait dans l’une des articles sur Jacques, dans l’autre des articles sur Lélia 
and. On faisait dans l’une des articles sur Jacques, dans l’autre des articles sur Lélia ; dans toutes deux, des articles sur le
Jacques, dans l’autre des articles sur Lélia ; dans toutes deux, des articles sur les œuvres complètes. C’était un hosannah gén
qu’il en écrit maintenant : je me contenterai de rapporter le dernier article qu’il a fait contre moi ; c’est le cinquième ou s
Nous ne parlons pas d’Alfred de Vigny, maltraité par M. Buloz dans l’ article qui rendait compte de son admirable drame de Chat
ouffleur, comme trois mille personnes peuvent l’attester. « Quant à l’ article de la Divine Épopée dans la Revue des Deux Mondes
nt, comme le public ignore ce que M. Soumet veut dire en parlant de l’ article de la Revue des Deux Mondes, nous allons le dire,
va chez M. Magnin, qui devait faire dans la Revue des Deux Mondes un article sur la Divine Épopée, lui dit qu’il est important
es un article sur la Divine Épopée, lui dit qu’il est important que l’ article passe avant la représentation du drame, lui repre
ticle passe avant la représentation du drame, lui reprend des mains l’ article commencé, sous prétexte que l’article sera plus r
drame, lui reprend des mains l’article commencé, sous prétexte que l’ article sera plus rapidement fait à la Revue des Deux Mon
evue des Deux Mondes, et surtout mieux approprié à la circonstance. L’ article paraît huit jours avant la représentation !!! En
r., à l’Europe littéraire (concurrence redoutable pour M. Buloz), des articles qui ne vous étaient payés que 150 fr. à la Revue.
81 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Errata. » pp. -
able aveugle ; lisez un pauvre aveugle. Pag. 26. mettez à la fin de l’ article de Térence, que la traduction de ce Poëte, par M.
mp; qu’on en est généralement content. Pag. 68. ajoutez à la fin de l’ article de Perse, que ses Satyres ont été traduites en 17
udibras. Pag. 131. lig. 8. M. d’Young ; lisez Young. A la fin du même article Young : L’ame de Milton elle-même respire dans ce
82 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « II » pp. 9-11
, et sur ce joli chapitre de Saint-Cyr. Vous pourrez profiter, pour l’ article sur les Amschaspands, ou, comme on dit, les chena
les Amschaspands, ou, comme on dit, les chenapans de Lamennais, de l’ article des Débats du 1er mars, lequel article est de M.
s chenapans de Lamennais, de l’article des Débats du 1er mars, lequel article est de M. Cuvillier-Fleury. On attend patiemment
83 (1887) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Troisième série « (Chroniqueurs parisiens I) MM. Albert Wolff et Émile Blavet »
sont pas autre chose. Mais cette définition convient aussi au moindre article de journal, avec cette différence qu’il s’agit, d
es fatigue jamais. Ce procédé est fort simple. Une seule idée dans un article  ; que dis-je ? une seule phrase. L’article est gé
le. Une seule idée dans un article ; que dis-je ? une seule phrase. L’ article est généralement divisé en quatre paragraphes. Vo
er des arts. » Et dans l’intervalle de ces phrases, rien, des mots. L’ article est fait. Tel est le procédé pour les chroniques
ramène de temps en temps un thème, un refrain. Voici le refrain d’un article sur M. Rochefort (La Gloire à Paris) : 1° « L’act
auteur de Boule de suif et de Mademoiselle Fifi. Je lis dans un autre article  : « Quand un homme a tenu une telle place dans l’
84 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XLVI » pp. 183-185
il excite bien des réclamations en sens contraire. Il y a un certain article 17 (voyez-le, sur la concession, je crois, faite
-compromettant pour l’Université et même destructif. On doute que cet article soit adopté sans modification. Le danger de cette
entière du manuscrit des Pensées. Le Journal des Savants contient des articles de M. Flourens sur les diverses éditions de Buffo
85 (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Madame Desbordes-Valmore. »
egré l’identité de sa poésie et de sa vie. Avant d’écrire sur elle un article à la Revue de Paris, il désira savoir quelques dé
vertir, d’abord d’une manière générale, à la fin de son très gracieux article de la Revue de Paris (18 décembre 1836), ensuite
lement depuis peu de jours que j’ai eu connaissance de vos excellents articles sur Mme Desbordes-Valmore. Je vous dois un double
eur, une très douce émotion… » — M. Sainte-Beuve a composé un dernier article sur Mme Tastu, — et ç’a été le dernier travail qu
ant à son fils Hippolyte, alors en pension à Grenoble.) — Lorsque cet article parut dans le Temps, il s’éleva à Lyon une polémi
r du Salut public pour récriminer contre les vers de Mme Valmore et l’ article de M. Sainte-Beuve, auquel ce journal avait empru
ait avoir été écrite instantanément sous l’inspiration de cette fin d’ article . Elle est d’une plume que cette question de l’int
st venue un instant embarrasser et presque intimider l’éditeur de ces articles et de ces notes : voulant tenir compte de toutes
reçues, au contraire, après l’apparition en journal de chacun de ces articles . — Mais la discussion ne peut se prolonger sur ce
ité de sénateur, jusqu’à la fin de sa vie (voir à la fin d’un premier article sur la Réforme sociale en France, par M. Le Play,
pas le premier mot écrit à l’avance) cette grande et dernière série d’ articles qui suivit, et qui commencera le tome XIII, sur
86 (1926) L’esprit contre la raison
tionnelle est brandie contre les avant-gardes : même Rivière dans ses articles — et il faut se souvenir qu’en 1920, il est en di
ute une génération dans les tranchées. L’essai de Crevel réagit à des articles , livres et chroniques, qui sont dans l’actualité
ns formelles et c’est ainsi que le professeur Curtius, dans un récent article sur Louis Aragon, a pu le louer d’« avoir vaincu
e de ce texte préfacé et annoté par Virginie Tahar. c. Elle cite un article plus que sceptique et distant de Crevel, « Après
les et quelques formulations chocs dans « Pour la simple honnêteté », article paru dans Les Cahiers du mois n° 21-22 en 1926, r
nse de l’Occident d’Henri Massis, ne paraît qu’en 1927 chez Plon, les articles dans lesquels il voit la révolution russe comme u
t « étendu » de Massis. La réception élogieuse d’Anabase en 1924, les articles enthousiastes de Crevel, résonnent sur cet arrièr
le n°3, 15 avril 1925, « L’Europe et l’Asie ». h. Plus clairement l’ article des Cahiers du mois explicitait la comparaison :
nt à la paronomase boulon/bouton qu’à la période mécanomorphe) dans l’ article des Cahiers du mois de juin 1926, Pour la simple
le du procès auquel il n’avait pu participer. al. Les cinq premiers articles de son acte d’accusation contre Barrès développen
-1983), ami de Claudel, écrivain critique, est l’auteur d’essais et d’ articles sur Rimbaud, ainsi que de Notre Baudelaire (1926)
iée partiellement dans le n°8 du 1er décembre 1926, p. 26-27. ap. L’ article « Pour la simple honnêteté » publié dans Les Cahi
soi, la pusillanimité du sujet résistant à la mouvance des choses. L’ article des Cahiers du mois (n° 20-21 juin 1922) était pl
Jardin de Bérénice, François Perrin, 1891. au. Figure aussi dans l’ article des Cahiers du mois de juin 1926, éd. cit. p. 37.
iste semble acquise. bp. Marcel Arland emploie l’expression dans un article que lui a commandé Rivière et qu’il intitule : « 
sche Welt, le 13 novembre 1925, « Louis Aragon par E. R. Curtius ». L’ article repris dès le 14 janvier 1926 par La Revue nouvel
87 (1864) Nouveaux lundis. Tome II « M. Ernest Renan »
efs de tous les esprits de son ordre. Chose étonnante ! en lisant son article , je lui donnais raison presque à chaque phrase, e
tion constante et qui sait y allier tant de sagacité et de finesse. L’ article lu, je me disais : C’est égal, après tous les gra
ais, mais il y habite un Dieu). » Il lui est échappé un jour, dans un article sur Feuerbach, de se prononcer sur le sens du mot
s, une existence indéfinissable, inconnue, mais réelle. À la fin de l’ article sur M. Vacherot, il a adressé au Père céleste une
pour expliquer les vivacités et les impatiences de Pétrarque sur cet article  : « Ce Toscan, plein de tact et de finesse, ne po
n le presse et qu’on veut l’embrasser tout entier, ce serait moins un article de critique qu’il conviendrait de faire sur lui c
rois pas que ce chiffre de quarante ait une telle vertu historique. L’ article est très-spirituel, le sujet était beau, mais, si
oyée et de cette interprétation trop idéale des faits. C’est dans cet article sur l’Académie que M. Renan a rendu hommage à l’é
88 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre XIV. Des Livres sur le Commerce & sur ce qui y a rapport. » pp. 329-332
s-peu au nouveau rédacteur. M. l’Abbé Morellet a retravaillé tous les articles anciens, & en a ajouté un grand nombre d’autr
primé à Bouillon, in-4°. 1770., dans lequel on a fait entrer tous les articles nouveaux qui intéressent les négocians, le Dictio
rbonnais, en deux vol. in-12., 1754. Sont un assemblage des différens articles qu’il avoit fournis à l’Encyclopédie sur cette ma
89 (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Nouvelle correspondance inédite de M. de Tocqueville (suite et fin.) »
qu’il n’entendait pas raillerie, ni peut-être même discussion sur cet article , et je me le tins pour dit désormais. De moi à lu
de grands éloges, en même temps que le Moniteur officiel publiait des articles qui tendaient à en faire la critique. Ceux-ci éta
taient signés de vous90. Or savez-vous l’impression que me firent ces articles  ? C’est que, tout en distribuant çà et là le blâm
ille ? S’il y a l’ombre d’un inconvénient, ne me le dites pas. » Mes articles faits et publiés (ceux qu’on vient de lire), le d
mble que, s’il se fût agi d’un mien ouvrage, j’aurais été ravi de vos articles . Et d’abord ces articles en eux-mêmes et comme œu
d’un mien ouvrage, j’aurais été ravi de vos articles. Et d’abord ces articles en eux-mêmes et comme œuvre littéraire sont, etc.
homme, vous ayez su être si équitable envers ses œuvres ? J’ai lu des articles sur Tocqueville qui étaient plus bienveillants, j
 : « Je viens de lire, Monsieur, dans le journal le Temps d’hier, un article de vous dont il me tarde de vous remercier. Les c
oie, de quelque part qu’elles vinssent ; mais le nom de l’auteur de l’ article ajoute encore à mes yeux un nouveau prix à ce que
joute encore à mes yeux un nouveau prix à ce que contient d’aimable l’ article même. Vous êtes du nombre de ceux que le public a
90 (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Madame Desbordes-Valmore. »
nt. Elle abandonna le premier trimestre à son oncle Desbordes. 72. L’ article de M. Vinet parut dans le journal protestant le S
titution à Grenoble, chez qui son fils était en pension : « J’ai lu l’ article littéraire que vous m’avez signalé. Je le trouve
d’une éternité de peines. — Quelques mois après la publication de ces articles , M. Sainte-Beuve écrivait à la respectable veuve
ecture avait beaucoup émue et remuée, mais qui n’acceptait pas pour l’ article de son mari une interprétation et une portée auss
 : « (24 juillet 1869). — … Il ne faut pas vous trop inquiéter de cet article sur Mme Valmore. Il était sévère en effet ; il ét
stre, et il accordait presque toujours. — À propos de ce passage de l’ article , un littérateur distingué, professeur à la Facult
Je tiens à vous dire avec quelle vive satisfaction j’ai lu, dans les articles de Sainte-Beuve sur Mme Desbordes-Valmore, la tou
irerais bien (et beaucoup d’autres sans doute avec moi) que ces beaux articles soient réunis en livret par Sainte-Beuve. Il a ét
un sentiment général l’impression laissée par la lecture de ce second article , et qui répond à un scrupule de la fin. Je l’empr
nt de sympathies, écrivait à M. Sainte-Beuve, lorsque parut ce second article  : « (Strasbourg, le 9 avril 1869.) Monsieur, Mme 
91 (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. NISARD. » pp. 328-357
’il devait se poser avec importance. En même temps qu’il écrivait des articles au National, M. Nisard se préparait au rôle qu’il
l le donne à connaître ; et lui-même, en tête de je ne sais plus quel article écrit vers le temps de sa polémique, il a naïveme
ce criante et la latitude de la conjecture. En lisant et relisant cet article , je le conçois si peu en lui-même, que je cherche
ant les trois derniers siècles. Ce qui précède est fort léger, et son article du Roman de la Rose sera à refaire, quand ceux qu
it de pouvoir dire : Cela est beau comme de la belle prose !162 Les articles sur Bernardin de Saint-Pierre et sur M. de Chatea
n, M. Nisard nous semble l’avoir continuée à certains égards dans cet article sur Carrel où de fort bonnes pages et des vues ju
des parties du biographe les moins correspondantes à son modèle. Cet article a soulevé des récriminations diverses et animées 
nore qui lui était certes le plus antipathique : car l’épigraphe de l’ article , en somme, et malgré ses bonnes parties, ne me se
ce qu’on appelle le premier Paris dans les journaux politiques est l’ article du commencement non signé, et dans lequel, quand
ce. 163. Par exemple, M. Augustin Thierry (M. Nisard, depuis que cet article est écrit, n’a fait que justifier de plus en plus
92 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Discours préliminaire, au lecteur citoyen. » pp. 55-106
le droit d’en jouir aussi-tôt qu’il jouit de sa raison Encyclopédie, article Autorité.. Si, réglant les droits des Souverains
e renvoyer les calomniateurs à ce que j’ai dit de M. Helvetius dans l’ article qui porte son nom, ajoutant que j’ai été, non son
t à m’enlever la partie la moins foible de mon travail ; il termine l’ article dont il m’a gratifié dans la derniere édition de
. L’Auteur de la Lettre d’un Théologien, dont nous avons parlé dans l’ article de M. Condorcet, attribue judicieusement les morc
ulu que m’éclairer & m’encourager. J’ai refait en entier quelques articles  ; plusieurs ont été corrigés & augmentés ; j’
rt goûté du Public, on n’a pas cru devoir le supprimer. Encyclopédie, article Autorité. Syst. de la Nat. Part. I, pag. 142. L
état de travailler à l’Encyclopédie [Voyez, dans les Trois Siecles, l’ article Perrault]. Ce sont des Philosophes qui ont décrié
uit à fort peu de chose le mérite de l’inimitable Lafontaine [Voyez l’ article de ce Poëte], qui ont appelé la satire un métier
timent, l’entortillage à la clarté, la glace au pathétique [Voyez les articles Diderot, Thomas, &c.], qui ont les premiers i
ui a si bien parlé de la Révélation & du Christianisme [Voyez son article ], ni J. J. Rousseau, qui a dit des Philosophes du
93 (1890) Les princes de la jeune critique pp. -299
rivait sur son grand livre : « Doit Jules Janin à Amédée Achard, pour article avec encens triple, un excellent compte rendu de
fleurs de rhétorique, Villemessant ajoutait sur le gros registre : «  Article d’Amédée Achard, remboursé intégralement aujourd’
journal que lui. Je veux croire qu’on ne trouverait pas davantage des articles inspirés par la rancune contre un compétiteur heu
’être considérable. Comparez, si vous êtes curieux de le mesurer, les articles que Sainte-Beuve écrivait et signait dans les jou
’en sais qui pour plus de sûreté n’ont jamais recueilli en volume les articles qu’ils ont ainsi semés à l’aventure. On l’envie s
sons un code officiel du beau, dont nous appliquerons aveuglément les articles . Comme ce sera commode et rapide ! » Eh non ! je
maître Au mois de janvier 1885, paraissait dans la Revue bleue un article littéraire qui fit tapage. M. Renan, qui en était
gal inattendu, relevé, comme il convient, d’une pointe de scandale. L’ article était signé Jules Lemaître. Mais qui connaissait
n a jamais beaucoup ?) avaient pu remarquer ce nom au bas de quelques articles parus à la même place ; des critiques croyaient b
ontraires, non plus successives, mais simultanées. Au cours d’un même article il aime à se contredire, à se réfuter, à plaider
fut pas toujours un critique aussi fugace. Si l’on relit ses premiers articles sur le néo-hellénisme, sur M. Sully Prudhomme, on
t les sujets mêmes quelque chose qui l’affriole et le chatouille. Ses articles sur l’Abbesse de Jouarre et M. Catulle Mendès son
es prédilections et des antipathies marquées, on peut extraire de ses articles le pourquoi de ses sentiments, les causes qui les
tre n’a pas toujours résisté à la tentation d’y recourir. Relisez son article sur Toute la Lyre de Victor Hugo, je veux dire so
on article sur Toute la Lyre de Victor Hugo, je veux dire son premier article , le second étant naturellement consacré à détruir
est-ce pas cela ou peu s’en faut ? Je sais bien que dans ses premiers articles le style était encore d’une correction timide, d’
ssion efface les autres ? Je ne sais, mais comptez combien de fois un article , où il a lardé un pauvre auteur de mots piquants,
che. Je crois même qu’il devient jeune de jour en jour ; ses derniers articles sont plus modernes que les premiers. Il avait peu
ls rendent la morale ennuyeuse en l’assénant hors de saison. Mais ses articles sont d’une décence irréprochable. Il a trouvé moy
ui lui imposent ses jugements. Il nous faut donc pénétrer jusqu’à ces articles fondamentaux de son code littéraire. Il ne les a
’il entend les démontrer et non pas les recevoir ni les imposer comme articles de foi ; qu’il invoque la raison plus que l’autor
isparates, lui échappent-ils souvent. En faut-il un exemple ? Dans un article , d’ailleurs plein de suc, il remarque avec raison
x caprices de la folle du logis. Je ne vois guère que le début de son article sur Diderot où sa fantaisie se soit donné carrièr
ez elle, Quand on voudra se divertir. Et il faut bien avouer que ces articles si substantiels ne sont pas toujours d’une digest
à s’en féliciter de si bon cœur. Il lui arrive encore d’émailler ses articles de citations dont il a la malice de ne pas indiqu
d’approuver. Je suis heureux de pouvoir ajouter que dans les derniers articles de M. Brunetière on est moins exposé à rencontrer
critique étant œuvre laïque, il est avocat plus que sermonnaire. Ses articles prennent d’eux-mêmes la forme du plaidoyer et sur
ons qualifiées crimes par la loi ; « Par ces motifs, et en vertu de l’ article  99 du code Boileau révisé par Nisard ; « Ordonner
dans la bataille, pensant que les forts soutiendraient les faibles. L’ article où l’on peut le mieux saisir sur le fait ce procé
illeries contre les moliéristes ou les cafés-concerts, et surtout son article sur un manuel de géographie allemand. Dans le feu
le France Que va dire M. Anatole France, si par hasard il lit cet article  ? Il professe qu’un critique a pour fonction de p
t-il pas ainsi à quiconque veut le bien connaître ! Rien que dans ses articles du Temps (je ne veux pas parler d’autre chose), i
longue perspicacité. » Cela n’empêche pas le moqueur de parfumer ses articles d’une vague odeur d’encens, d’y citer souvent le
eux qui aiment à se promener sans effort à la surface des choses. Ses articles ne sont pas tous d’un intérêt égal, et comment po
t ce n’est pas un mince mérite de faire tant de choses dans un simple article de journal. D’autant que l’article est en général
aire tant de choses dans un simple article de journal. D’autant que l’ article est en général de peu d’étendue. M. Anatole Franc
mme on prend le voile et le scapulaire ». Étonnez-vous ensuite si tel article , destiné à expliquer pourquoi la jeune génération
près tout il est plus poète que philosophe ? V. L’auteur de cet article reprend ici la parole. Il est pris d’un doute et
t par adresser un reproche : c’est de n’avoir pas réuni en volume ses articles  ; ils me paraissent mériter autant et plus que bi
on pense bien que M. Ganderax n’a eu garde d’y manquer. II. Ses articles ont d’abord un mérite plus rare qu’il ne faudrait
uvé presque toujours ; mais on sent çà et là qu’il a été cherché. Ses articles sont composés avec un soin et un art auxquels il
nt pas, le cas échéant, de les tirer de fort loin ; je me rappelle un article sur l’Affaire Clémenceau, en tête duquel s’étale
araît être l’« Assommoir de la bourgeoisie ». M. Ganderax émaille ses articles d’une quantité de paillettes semblables. Beaucoup
bles pour revivre dans la nôtre. III. Au moment où j’achève cet article sur les articles de M. Ganderax, je ne saurais tr
e dans la nôtre. III. Au moment où j’achève cet article sur les articles de M. Ganderax, je ne saurais trop dire si le cri
itre d’Essais de psychologie que portent ses deux premiers recueils d’ articles conviendrait à tous ses romans. Son développement
e le tableau tracé par lui s’est trouvé plus vrai le lendemain de ses articles que la veille. En constatant l’action exercée sur
at d’origine. M. Bourget parle en jeune prêtre de la psychologie. Ses articles sont de la trame la plus serrée du monde. Les par
nent d’une façon à la fois solide et subtile. Il arrive même que d’un article à l’autre un trait d’union s’établit ; l’auteur r
94 (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Jean-Jacques Ampère »
re de ses nouvelles études se produisit d’abord agréablement dans des articles du Globe : le dépouillement exact de sa contribut
urnal n’a jamais été fait ni par d’autres ni par lui-même. Le premier article que je rencontre sous sa signature (26 mars 1825)
e, soit au retour, et il nous en fait part. Ce qui me frappe dans cet article de début (maiden-article), c’est le choix du suje
intention fugitive, car on ne l’y reprendra plus. — Il terminait cet article sur l’état de la campagne romaine en disant : « 
s ?… Mais ne devançons pas les temps. L’amitié lui inspira son second article , du 4 juin 1825, sur le Théâtre de Clara Gazul. I
porté. » (N° du 18 juin 1825.) — Ampère se remit au pas dans un autre article du 9 juillet suivant. J’en tire seulement cette c
lettre du 12 mai, c’est-à-dire dans l’intervalle du premier au second article , le grand poète en écrivait au comte Reinhard :
fermées dans mon être intime, exposées et commentées suffisamment… Un article (de M. Ampère) sur la traduction de mon théâtre m
tres. Mais ce qui me plaît surtout, c’est le ton sociable de tous ces articles  : on voit toutes ces personnes penser et parler a
voix que l’on entend. » Goethe revint souvent en ces années sur ces articles d’Ampère à son sujet ; il les traduisit en allema
dans le temps où Goethe s’occupait avec tant d’intérêt du Globe, des articles d’Ampère et de ses amis, que le jeune homme, vena
es, et elle sut si bien, à la longue, adoucir et mater Ampère sur cet article délicat de Chateaubriand, qu’à partir d’un certai
en 1833 sous le titre de Littérature et Voyages, il a réuni nombre d’ articles à ce sujet ; ce n’était qu’un commencement, et pa
dans notre tête. « Je préfère de lui, à ses discours d’ouverture, les articles Edda, Voluspa, Hava-Mal, Rig ; au moins ici nous
me dont il était très-capable, firent les frais de deux très-piquants articles de M. Guessard, professeur à l’École des chartes9
ait la partie, même quand il avait raison. Je connais de lui bien des articles de complaisance, je n’en connais pas un de polémi
it s’élancer et croître : on n’en eut que des fruits épars. Les beaux articles sur le Roman de la Rose, sur Joinville, sur Amyot
qui n’avait jamais, il faut bien le savoir, écrit dans sa vie un seul article politique, comme nous tous avions fait plus ou mo
moi-même un mot que m’écrivait M. de Rémusat après la lecture de mes articles sur Fauriel : « Il est original, me disait-il, pa
re grande liaison, m’écrivait de Bellevue dans l’été de 1845 : « Vos articles sur Fauriel m’ont fait un plaisir bien vif et bie
rno, e’l mese e l’anno, etc. (J’emprunte ce passage de lettre à des articles du Correspondant, 5 mai et 25 juillet 1864, signé
indiscrétion à la plume élégante et fine de Mme Lenormant ; ces deux articles pourraient s’intituler ; Ampère vu de l’Abbaye-au
cet épisode délicat de la vie morale d’Ampère ; mais dans son premier article du Correspondant, Léon Arbaud, c’est-à-dire Mme L
as et qu’on ne l’éprouve jamais. « Et encore Magnin a-t-il fait des articles politiques dans les Journaux auxquels il collabor
95 (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. CHARLES MAGNIN (Causeries et Méditations historiques et littéraires.) » pp. 387-414
intermède et il nous fait le plaisir de publier un recueil d’anciens articles très-goûtés en temps et lieu lorsqu’ils parurent,
du Globe ; il allait surtout s’y faire une position spéciale par ses articles sur les représentations théâtrales, et d’abord su
Magnin n’a pas recueilli, dans les deux volumes qu’il nous donne, ses articles concernant les nouveautés de la scène française ;
on croit y respirer, par moments, comme l’odeur de la poudre, et tel article , écrit le soir dans la chaleur de l’applaudisseme
rceaux d’un autre genre, un des plus délicieux et des plus fins est l’ article sur Paul-Louis Courrier à propos de ses mémoires
l’éloquence du factum jusqu’à une sorte d’élancement lyrique. Dans l’ article sur Henri Fonfrède, qu’il apprécie d’ailleurs ave
par lui et proposés du premier jour à l’indulgence. En parcourant les articles qui composent son premier volume, on pourra être
fonde, et daté du 16 mars 1831. Est-ce donc par inadvertance que cet article , un peu disparate, s’est glissé là ? M. Magnin co
autels qu’ils avaient pu ébranler. 178. Dictionnaire philosophique, article Critique. 179. En veut-on un très-gros exemple 
96 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LXXVII » pp. 306-312
5 avril 1845. histoire du consulat et de l’empire, par m. thiers. —  article de m. villemain sur cet ouvrage. — esprit des ins
Ce dernier, en effet, a donné dans le journal la Presse du 29 mars un article très-spirituel sur les volumes de M. Thiers. Depu
t et reprennent le galop avec plus de frémissement et de vigueur. Cet article de la Presse est remarquable à plus d’un titre. L
gnola et d’Adelchi. 52. Sainte-Beuve renvoie ici aux passages de l’ article de Villemain concernant Sieyes, Guizot et Pitt.
97 (1888) Revue wagnérienne. Tome III « III »
é de l’auteur sur l’acteur, dit-il, doit être sans limite. » Dans son article sur les représentations de 187624 : « A cette rep
es de sa seconde manière. Plus de mélodies… Ab uno disce omnes. Les articles sont signés : Edm. C.   L’Office de Publicité :
articles sont signés : Edm. C.   L’Office de Publicité : Un pauvre article témoignant tout au plus que M. « Hébé » est absol
ités, atteint les plus hauts sommets de l’art musical… L’auteur de l’ article est néanmoins d’avis que le drame lyrique de Wagn
ronique : Un double courant d’idées s’est produit dans les différents articles publiés par ce journal. Certains de ces articles
dans les différents articles publiés par ce journal. Certains de ces articles (signés Jean d’Ardenne) étaient enthousiastes ; d
presque un phénomène physique… M. Francis Nantet, le signataire de l’ article , a découvert que « l’orchestre joue une fugue en
t certes pas commise un chroniqueur sachant la musique. Le Progrès : Article pleinement élogieux d’un wagnérien, M. Octave Mau
fois que le Buhenfestspielhaus rouvre ses portes. L’Indépendance : L’ article de M. Edouard Fétis marque une conversion dont il
riomphe de l’œuvre et la beauté de l’interprétation. L’Art Moderne : Article wagnérien de M. O. Maus, contenant d’intéressante
obtenu un énorme succès.[NdA] 31. Ajoutons à cette liste l’excellent article que notre correspondant, M. Edmond Evenepoel, a p
rs, et préférait les concerts populaires à ceux du conservatoire. Les articles , conjugués aux programmations des concerts, initi
s domaines et défendit ouvertement Wagner. On attribue la plupart des articles à Octave Maus, un des membres du comité belge du
98 (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « PENSÉES ET FRAGMENTS. » pp. 495-496
suite d’obligeantes ouvertures de Carrel. J’y ai donné d’assez rares articles littéraires, dont quelques-uns se trouvent recuei
us un jour, comme échantillon de vos folles tentatives. A mon premier article du National sur Boerne, s’il m’en souvient), on m
pourtant, si je vis, de donner dans un volume à part la suite de mes articles au Globe ; on me dit que ce ne serait pas sans in
99 (1874) Premiers lundis. Tome II « De l’expédition d’Afrique en 1830. Par M. E. d’Ault-Dumesnil, ex-officier d’ordonnance de M. de Bourmont. »
nt son premier projet plus vaste, il inséra dans l’Avenir une série d’ articles remarquables, où, avec une bonne foi et une indép
ur vrai point de vue les faits et les hommes. C’est le recueil de ces articles composant une brochure assez volumineuse que nous
ou, puisque nous l’avons nommé, nous prépare en ce moment une série d’ articles sur les systèmes métaphysiques de l’Allemagne, do
100 (1864) De la critique littéraire pp. 1-13
croit toujours plus propre à celui d’autrui. De ce que j’ai écrit des articles de critique, il ne s’ensuit pas que j’aie les qua
l ne songe même pas, à se prémunir contre elle ou à s’en corriger. Un article de critique n’est pas une ode ; il y faut de l’im
errait à l’école, et chacun faisant son métier, tout irait bien ; les articles de critique ne seraient peut-être pas très amusan
trouvait pas son compte, et qu’il n’y avait guère moyen de réunir ces articles sous un titre plus ou moins modeste : « Mélanges,
ceux-ci le leur rendent assez souvent. Il faut excepter toutefois les articles qui sont à leur louange. Je connais un poète qui
eur, mon plus fort grief. Les jeunes gens débutent aujourd’hui par un article de critique, comme on débutait jadis par une ode
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