re semble vraiment s’imposer au nomenclateur. Ayant à nommer l’oiseau
appelé
roitelet, l’idée de petit roi est celle qui vient
ses petits bras de lézard et me dit »144 … ; alors je suis assuré qu’
appeler
lézard le bras est, aujourd’hui comme il y a des
iverselle. Comme nous disons grue un oiseau et une machine, les Grecs
appelaient
[mot en caractères grecs] l’oiseau et la « gloire
es grecs] notre machine vulgaire à lever les fardeaux ; les Allemands
appellent
l’oiseau kranich et la machine, krahn ; les Polon
portugais, et mula, bâton en italien. Les paysans qui marchent à pied
appellent
volontiers leur bâton, mon cheval ; plaisanterie
aen ; danois et luédois ; hane ; polonais, kurek. Le nom de la plante
appelée
chiendent, parce que le chien la mordille volonti
epelue et chattepeleuse 150. Est-ce une déformation ? Les Portugais l’
appellent
lézard, lagarta ; pour les Polonais, c’est une pe
du cloporte ; c’est le nom populaire opposé à oniscus ; en Italie on
appelle
aussi les cloportes, porcellini, les petits cocho
partie de la France151. Enfin, rapprochement inattendu, le cloporte s’
appelle
, en suédois, le cochon gris, grasugga. L’idée de
es ; ce petit cochon se retrouve en anglais, pig-nut 152. Les Anglais
appellent
également pig le lingot que nous disons saumon et
d’ailleurs être surpris de rien au pays des métaphores ; les Grecs n’
appelaient
-ils pas du même mot, struthio, le moineau et l’au
our un nom pareil et disaient linaria ; les Allemands et les Polonais
appellent
la linotte, l’oiseau du chanvre, haenfling konopk
(l’), loriol, devenu loriot ; c’est l’oiseau d’or, et les Allemands
appellent
également le loriot goldamsel, le merle doré ; le
ment oriolo et oropendula, l’horloge d’or. Mais pourquoi les Danois l’
appellent
-ils le Suédois (Swenske) et les Flamands, le Wall
vink ; en suédois, tistelfink ; en anglais thistle-finch. L’Anglais l’
appelle
aussi goldfinch, pinson doré. Brochet. Bélier.
ue font encore les Vénitiens, disant nasello. Le poisson que le latin
appelait
mustela, l’italien l’appelle donnola, et nous all
disant nasello. Le poisson que le latin appelait mustela, l’italien l’
appelle
donnola, et nous allons voir plus loin que ces de
ns, comme le renard, comme la fouine, dont elle est parente. Or, on l’
appelle
à l’envi la jolie, la belle, la douce ! Son nom f
umanie, les malae divae, les mauvaises fées, les Ièlé, ne sont jamais
appelées
que les Bonnes, les Puissantes, les Belles, les B
est le plongeur en allemand, taucher, le pélican (en latin platea) s’
appelle
en allemand l’oie à cuillère, loffler, loffelgans
iens, la lanterne, lucerna. Il y a un poisson volant ou sautant qu’on
appelle
hirondelle de mer ou le volant, le papillon ; c’e
nols, le zee swaluwe des Hollandais. Un autre poisson à gros yeux est
appelé
par Pline, oculata ; c’est l’ochiado du populaire
ulaire, à Rome, et le nigr’oil du même populaire, à Marseille où l’on
appelait
aussi dans le même temps (au xvie siècle) la tor
que l’idée de soleil n’entre pas dans le nom de la grande fleur jaune
appelée
tournesol ; elle ressemble exactement aux faces d
stitua en plusieurs régions l’idée de rouge, et le latin du moyen âge
appelle
rubiola, la plante que la science qualifie de pap
lais, butter-rose, golden cup, horse-gold : cette dernière image, qui
appelle
les fleurs de la renoncule l’or du cheval, est pa
al, est particulièrement curieuse. Un dialecte suédois et l’islandais
appellent
le bouton d’or fleur du soleil (solœga et soley)
ée. Burbaun184 traduit centinodia par wegetritt. Une renonculacée est
appelée
populairement queue de souris ; c’est aussi le no
cette herbe garantit les maisons du tonnerre, d’après Opilius, qui l’
appelle
vesuvium. Cette idée se rencontre en Allemagne et
etrouver, il faut aller chercher les formes verbales où la nielle est
appelée
l’herbe au poivre187 et voici la poivrette, la pi
Anémone. Il y a une violette sauvage, très pâle et sans odeur, qui s’
appelle
dans une grande partie de la France violette de c
s donnent du mot chèvrefeuille cette plaisante interprétation : ainsi
appelé
parce que les chèvres aiment à brouter ses feuill
c’est la plante chèvre, la plante grimpante, tout simplement. Varron
appelle
caprea la vrille de la vigne et l’italien dit dan
hore analogue, mais bien moins jolie et bien moins juste, les Anglais
appellent
la prunelle de l’œil eye-apple et les Flamands, o
mme de l’œil. Le polonais qui a le verbe zrzeniac, commencer à mûrir,
appela
zrzenica la prunelle de l’œil ; je ne sais dans q
sement considérés comme le produit naturel de cet être mythique qu’on
appelle
le Peuple. Pas plus que les contes ou les chanson
ontal qui sert à élever ou à descendre des fardeaux. » On a également
appelé
singe, et cela rentre dans la série singe-singer,
rbres sont en anglais catkin et cat-tail. NdA 151. Le charançon est
appelé
varkentor en flamand (varken, cochon). NdA 152.
ance la bergeronnette se dit bergère et l’on en distingue une variété
appelée
bergère jaune ou lavandière (Glossaire du comte J
us les formes les plus amusantes, dans les dialectes italiens où on l’
appelle
codratremola, codacinciola, squazzacoa, cotretola
ecs] 162. L’ancien français disait broche. NdA 163. Le brochet est
appelé
selon l’âge : lançon et lanceron, poignard, carre
us se retrouve sans doute dans luts et lieu, noms donnés à un poisson
appelé
aussi colin. 164. Mot normand qui correspond à
erbe aux verrues, l’éclaire. NdA 175. Malheureusement le soleil est
appelé
aussi héliotrope et l’héliotrope, tournesol ; con
et les hommes. C’est ce qui explique pourquoi les vassaux roturiers s’
appellent
homines dans la langue du droit féodal. D’homines
Chez les anciens Romains, l’obsequium était inséparable de ce qu’ils
appelaient
opera militaris, et de ce que nos feudistes appel
e de ce qu’ils appelaient opera militaris, et de ce que nos feudistes
appellent
militare servitium ; longtemps les plébéiens roma
tion primitive est le travail d’un paysan pendant un jour. Les Latins
appellent
operarius ce que nous entendons par journalier. —
me les bêtes de somme que l’on disait pasci gregatim. Par analogie on
appelait
les héros pasteurs ; Homère ne manque jamais de l
opposition à leurs vassaux ou homines, les seigneurs des fiefs furent
appelés
barons dans le sens où les Grecs prenaient héros,
les temps héroïques jointe à celle du sexe féminin. Les barons furent
appelés
seigneurs, du latin seniores. Les anciens parleme
é composé par Romulus des nobles les plus âgés. De ces patres, on dut
appeler
patroni ceux qui affranchissaient des esclaves, d
gés de suivre leurs actores devant les tribunaux ; cette obligation s’
appelait
vadimonium. En appliquant nos principes aux étymo
venaient ses alliés, c’était de cette sorte d’alliance que les Latins
appelaient
fœdus inæquale. Ils étaient amis du peuple romain
rre à leurs propres dépens, comme dans les temps modernes les vassaux
appelés
angarii et perangarii. — Les précaires du moyen â
lations revint ce qui dans l’ancienne jurisprudence romaine avait été
appelé
proprement cavissæ, par contraction caussæ ; au m
s l’acte de la mancipation, les pactes que les jurisconsultes romains
appelaient
stipulata, de stipula, la paille qui revêt le gra
un acte d’hostilité contre la patrie, perduellio. Tout meurtre était
appelé
parricidium, meurtre d’un père, c’est-à-dire, d’u
commencèrent à faire partie de la cité, le meurtre de tout homme fut
appelé
homicide. Lorsque les universités d’Italie commen
’enceinte même de la Grèce que l’on plaça d’abord la partie orientale
appelée
Asie ou Inde, l’occidentale appelée Europe ou Hes
plaça d’abord la partie orientale appelée Asie ou Inde, l’occidentale
appelée
Europe ou Hespérie, la septentrionale, nommée Thr
idionale, dite Lybie ou Mauritanie. Les parties du monde furent ainsi
appelées
du nom des parties du petit monde de la Grèce, se
om d’Asie eut passé à cette vaste partie orientale du monde, que nous
appelons
ainsi dans un sens absolu. Au contraire, la Grèce
contraire, la Grèce, qui était à l’occident par rapport à l’Asie, fut
appelée
Europe, et ensuite ce nom s’étendit au grand cont
om s’étendit au grand continent, que limite l’Océan occidental. — Ils
appelèrent
d’abord Hespérie la partie occidentale de la Grèc
omme la dernière Hespérie. — Les Grecs d’Italie, au contraire, durent
appeler
Ionie la partie de la Grèce qui était orientale r
e situation entre la Grèce proprement dite et la Grèce Asiatique, fit
appeler
Ionie, par les habitants de la première, la parti
e qu’on ne peut entendre que des Maures de la Grèce, dont le pays est
appelé
encore aujourd’hui la Morée blanche. — Les Grecs
pelé encore aujourd’hui la Morée blanche. — Les Grecs avaient d’abord
appelé
Océan toute mer d’un aspect sans bornes, et Homèr
isine de l’Europe, celle qui n’en est séparée que par l’étroit bassin
appelé
Propontide ; cette terre dut donner son nom à la
fable, était né à Chalcis, dans cette ville grecque de l’Eubée qui s’
appelle
maintenant Négrepont. — La première Crète dut êtr
ompte environ quarante Hercules, et il affirme que celui des Latins s’
appelait
Dius Fidius ; les Égyptiens, aussi vains que les
me militaire ; lorsqu’ils l’eurent observé dans les Carthaginois, ils
appelèrent
les stratagèmes punicas artes, les arts puniques
me dans la classe des plébéiens, et que, dans le langage poétique, on
appela
dans la suite Arcadiens ceux d’entre les vaincus
s’étendre à tout le pays dépendant de chaque cité héroïque, lequel s’
appelait
aussi Ager, lorsqu’on le considérait sous le rapp
uites par l’esprit et que ces reproductions mentales des sensations s’
appellent
idées. De même toute sensation de plaisir et de d
dée de goûter du sucre ne cause pas un plaisir. L’idée d’un plaisir s’
appelle
désir ; l’idée d’une douleur s’appelle aversion.
plaisir. L’idée d’un plaisir s’appelle désir ; l’idée d’une douleur s’
appelle
aversion. Les sensations agréables ou désagréable
mme future, mais sans qu’on en soit certain, cet état de conscience s’
appelle
espoir ; si l’on en est certain, il s’appelle joi
et état de conscience s’appelle espoir ; si l’on en est certain, il s’
appelle
joie. Quand une sensation désagréable est conçue
mme future, mais sans qu’on en soit certain, cet état de conscience s’
appelle
crainte ; si l’on en est certain, il s’appelle ch
t état de conscience s’appelle crainte ; si l’on en est certain, il s’
appelle
chagrin (sorrow). Une sensation agréable ou l’idé
, etc. ; 3° Les objets qualifiés de beaux et de sublimes. On pourrait
appeler
, comme on le voit, ces causes éloignées de nos pl
de plaisirs ou de peines. De là une affection imparfaite. Les objets
appelés
beaux ou sublimes et leurs contraires sont pour n
ées, mais une seule. » Un son, une couleur, un objet quelconque sont
appelés
beaux ou sublimes, selon les idées qu’ils éveille
st de même totalement indifférent à un grand nombre de sons, que nous
appelons
Beaux. Pour le paysan, le couvre-feu marque simpl
d’esprit particulier, caractérisé par la tendance à l’action et qu’on
appelle
proprement motif. Un motif c’est l’idée d’un plai
sur une association d’idées qui se termine à un plaisir. Ainsi, nous
appelons
prudence ce qui produit un bien ou évite un mal ;
use a fort obscurci la controverse, sur cet état de l’esprit que nous
appelons
volonté. On considérait invariablement et avec ra
est trouvé être tout à fait imaginaire. Dans la séquence d’événements
appelée
cause et effet, on imaginait une troisième chose
d’événements appelée cause et effet, on imaginait une troisième chose
appelée
force ou puissance, qui n’était pas la cause, mai
de la théorie de l’association. Suivant l’esthéticien anglais, « nous
appelons
beaux ou sublimes les objets qui expriment une id
rit même d’où elles étaient sorties. Aussi les premiers hommes furent
appelés
poètes, c’est-à-dire, créateurs, dans le sens éty
es hurlements, se figurèrent le ciel comme un grand corps animé, et l’
appelèrent
Jupiter43. Ils présumèrent que par le fracas du t
ter. C’est de nuere, faire signe, que la volonté divine fut plus tard
appelée
numen ; Jupiter commandait par signes, idée subli
ïennes crurent posséder cette langue dans la divination, laquelle fut
appelée
par les Grecs théologie, c’est-à-dire, science du
emple Dieu dans l’attribut de sa Providence, et les premiers hommes s’
appelèrent
poètes théologiens, c’est-à-dire sages qui entend
ot devins, qui vient de divinari, deviner, prédire. Cette science fut
appelée
muse, expression qu’Homère nous définit par la sc
C’est encore, d’après cette théologie mystique que les poètes furent
appelés
par les Grecs, μύσται, [qu’Horace traduit fort bi
re de la Méthode (l’homme n’espérant plus aucun secours de la nature,
appelle
de ses désirs quelque chose de surnaturel qui pui
ncipes et les origines de l’histoire universelle, en partant de l’âge
appelé
par les Égyptiens âge des Dieux, par les Grecs, â
auquel ils attribuèrent bientôt une Providence, naquit le droit, jus,
appelé
ious par les Latins, et par les anciens Grecs Δία
aux hommes les choses cachées ; ceux qui possédaient cette science s’
appelaient
Mages, et tenaient dans leurs rites une verge qui
aux lois de Jupiter. C’est du mot μαθηματα, que les astrologues sont
appelés
mathématiciens dans les lois romaines. — Quant à
ains, selon Tacite, adoraient leurs Dieux dans des lieux sacrés qu’il
appelle
lucos et nemora , ce qui indique sans doute des
des temples dans leur élévation prodigieuse. Le point le plus élevé s’
appelait
, selon Pausanias, αετος l’aigle, l’oiseau des aus
ordre du mérite comme dans celui du temps. (Vico.) 46. On continua à
appeler
dans le droit, nos auteurs, ceux dont nous tenons
ents Les premiers furent les jugements divins. Dans l’état qu’on
appelle
état de nature, et qui fut celui des familles, le
t recourir à la protection des lois qui n’existaient point encore, en
appelaient
aux dieux des torts qu’ils souffraient, imploraba
em ; tel fut le premier sens, le sens propre de cette expression. Ils
appelaient
les dieux en témoignage de leur bon droit, ce qui
Juste Lipse), pour agere, excipere. D’après ces orationes, les Latins
appelèrent
oratores ceux qui défendent les causes devant les
, des temples de l’exécration. Ceux qui étaient ainsi dévoués étaient
appelés
αναθήματα nous dirions excommuniés ; ensuite on l
(axiome 40). Les hommes ainsi dévoués furent sans doute ce que Plaute
appelle
Saturni hostiæ . On trouve le caractère tout rel
ractère tout religieux de ces jugements privés dans les guerres qu’on
appelait
pura et pia bella. Les peuples y combattaient pro
ient considérées comme divines. Les hérauts qui déclaraient la guerre
appelaient
les dieux de la cité ennemie hors de ses murs, et
étaient considérés comme des hommes sans Dieu ; aussi les esclaves s’
appelaient
en latin mancipia, comme choses inanimées, et éta
n respect scrupuleux des paroles. Des jugements divins resta ce qu’on
appelait
la religion des paroles, religio verborum ; génér
être utile dans chaque cause (axiome 112) ; c’est alors qu’on peut l’
appeler
proprement le droit de la nature, fas naturæ, le
corrumpi seculum vocant , corrompre et être corrompu, voilà ce qui s’
appelle
le train du siècle, seculum répond à peu près à s
définit l’art de parler, devrait être définie l’art d’écrire, comme l’
appelle
Aristote. — D’un autre côté, caractères signifie
qui cherche la définition du fait, et qu’en médecine la partie qu’on
appelle
nomenclature est celle qui définit la nature des
i, titre de la monnaie. Enfin au moyen âge, la loi ecclésiastique fut
appelée
canon, terme par lequel on désignait aussi la red
de ce dieu Jous, dérivèrent les génitifs Jovis et juris. — Les Latins
appelaient
les terres prædia, parce que, ainsi que nous le f
les lois romaines, jura prædiorum, pour désigner les servitudes qu’on
appelle
réelles, et qui sont attachées à des immeubles. C
ont attachées à des immeubles. Ces terres manucaptæ furent sans doute
appelées
d’abord mancipia, et c’est certainement dans ce s
èrent la chose sous le même aspect que les anciens Latins, lorsqu’ils
appelèrent
les terres poderi, de podere, puissance ; c’est q
esas terrarum, pour dire les champs avec leurs limites. Les Espagnols
appellent
prendas les entreprises courageuses ; les Italien
ini pour paroles, expression qui est restée dans la scholastique. Ils
appellent
encore les armoiries insegne, d’où leur vient le
n d’une langue plus ancienne que la sienne, qui est l’héroïque ; il l’
appelle
langue des dieux . D’abord dans l’Iliade : Les
elle langue des dieux . D’abord dans l’Iliade : Les dieux, dit-il,
appellent
ce géant Briarée, les hommes Égéon ; plus loin,
indis chez les hommes ; et au sujet du fleuve de Troie, les dieux l’
appellent
Xanthe, et les hommes Scamandre . Dans l’Odyssée,
. Dans l’Odyssée, il y a deux passages analogues : ce que les hommes
appellent
Charybde et Scylla, les dieux l’appellent les Roc
logues : ce que les hommes appellent Charybde et Scylla, les dieux l’
appellent
les Rochers errants ; l’herbe qui doit prémunir
ntre les enchantements de Circé est inconnue aux hommes, les dieux l’
appellent
moly . Chez les Latins, Varron s’occupa de la lan
les signes héroïques avec lesquels écrivaient les héros, et qu’Homère
appelle
σήματα. Conséquemment, ces symboles durent être d
t presque tous les mots par al, et l’on dit que les Huns furent ainsi
appelés
parce qu’ils commençaient tous les mots par hun.
partout les oracles répondaient en vers de cette mesure. Ce vers fut
appelé
par les Grecs pythien, de leur fameux oracle d’Ap
Grecs pythien, de leur fameux oracle d’Apollon Pythien. Les Latins l’
appelèrent
vers saturnien, comme l’atteste Festus. Ce vers d
Les Égyptiens écrivaient leurs épitaphes en vers, et sur des colonnes
appelées
siringi, de sir, chant ou chanson. Du même mot vi
que les premiers auteurs de la langue latine furent les poètes sacrés
appelés
saliens ; il nous reste des fragments de leurs ve
onicus, le premier écrivain latin, avait écrit dans un poème héroïque
appelé
la Romanide, les annales des anciens Romains. Au
s âges poétiques. Ensuite vint Ésope, symbole des moralistes que nous
appellerons
vulgaires ; Ésope, antérieur aux sept sages de la
énérales ; ils ne pouvaient les concevoir avant que les faits qui les
appelaient
se fussent présentés. Dans le procès du jeune Hor
ait que de nobles auxquels l’accusé déjà condamné pouvait toujours en
appeler
. (Vico.)
ρίαι, (peut-être de φρέαρ, puits), comme les premiers villages furent
appelés
pagi par les Latins, du mot πάγη, fontaine. Les R
rigine comme frères et sœurs. Le dieu du foyer de chaque maison était
appelé
lar ; d’où focus laris. C’était là que le père de
commença la croyance universelle de l’immortalité des âmes humaines,
appelées
dii manes, et dans la loi des douze tables, deive
hilologues et les philosophes ont pensé communément que dans ce qu’on
appelle
l’état de nature, les familles n’étaient composée
es Latins vernæ, tandis que les fils des héros, pour se distinguer, s’
appelaient
liberi. Du reste, ces derniers n’avaient aucune a
alis répond à l’italien gentile. Chez les Latins les maisons nobles s’
appelaient
gentes ; ces premières gentes se composaient des
s furent libres dans les premières cités. Les serviteurs furent aussi
appelés
clientes, et ces clientèles furent la première im
le droit naturel des peuples civilisés (gentium humanarum) ; il les
appelle
civilisés ou humains, par opposition aux barbares
rantie, si on n’avait point stipulé en cas d’éviction la cause pénale
appelée
stipulatio duplæ, est aujourd’hui le plus favorab
pulatio duplæ, est aujourd’hui le plus favorable de tous les contrats
appelés
de bonne foi, parce que naturellement elle doit y
s excellente. Le fleuve qu’on a fait entrer dans celui de Zenderoud s’
appelle
Mamhoud Kèr 15. Les montagnes dont il sort sont d
Nous commençâmes par faire travailler sur notre projet deux molla (on
appelle
ainsi les prêtres et docteurs mahométans), et à i
s très-importants. Il parvint de là à la qualité de nazir (nâzir): on
appelle
ainsi le surintendant général, ou maître de la ma
tent parfaitement, le tenant pour hérésiarque et pour tyran) ; « on l’
appelle
chien, cruel et maudit ; le voilà ressuscité en l
ants s’imaginaient qu’on pouvait tout faire impunément. Saroutaki fit
appeler
Daoud-Kan à la cour, et le pressait de rendre com
s sont le long d’une galerie, ou relais ou parapet, comme on voudra l’
appeler
, haut de terre d’environ cinq pieds, et profonds
quinze à seize et élevées de deux doigts sur la galerie. Les Persans
appellent
ces galeries ou rebords de pierre, qui règnent au
à divers coins de rue, mais qu’aussi il y a des hommes gagés, qu’ils
appellent
sacab (sâqâb) ou porteurs d’eau, qui vont dans le
Le grand portail donne, comme je l’ai dit, sur la place Royale. On l’
appelle
Aly capi (A’âly qâpi), c’est-à-dire la porte Haut
s présentées au roi ; et dans l’autre, le grand maître d’hôtel, qu’on
appelle
, en Perse, chef des maîtres de la porte, tient so
bureau public. À côté, il y a deux autres salles plus petites, qu’on
appelle
salles des gardes, parce qu’elles ont été faites
tite mosquée dans laquelle ils s’assemblent tous les vendredis, qu’on
appelle
taous cané 24, comme qui dirait, maison de culte,
sance. Vis-à-vis de ces jardins, à main gauche, est le pavillon qu’on
appelle
Talaar tavileh 25, c’est-à-dire le salon de l’écu
côté de ces magasins de livres et des relieurs, est le magasin qu’on
appelle
la grande garde-robe, parce qu’on y renferme ces
parce qu’on y renferme ces habits, ou calaat (khil’at), comme on les
appelle
, que le roi donne pour faire honneur. Elle consis
illion d’écus. Tout proche est le magasin des coffres, et celui qu’on
appelle
la petite garde-robe, où l’on ne travaille que po
le magasin du café, le magasin des pipes, celui des flambeaux, qu’on
appelle
la maison du suif, parce que la plus commune lumi
and et le plus somptueux corps de logis de tout le palais royal. On l’
appelle
Tchehel-seton 28, c’est-à-dire le Quarante Pilier
rsane de mettre le nombre de quarante pour un grand nombre: ainsi ils
appellent
nos lustres: quarante lampes, parce qu’ils ont be
magasins, des galeries d’ouvrage, et le quartier des femmes, que nous
appelons
le sérail, et que les Persans appellent haram ou
quartier des femmes, que nous appelons le sérail, et que les Persans
appellent
haram ou lieu sacré 29. Ce sérail contient plus d
s-à-vis du petit arsenal ; la troisième, qui est la principale, qu’on
appelle
la porte des Cuisines, et il y en a une autre, à
qu’ils sont à cent cinquante pas de distance l’un de l’autre. L’un s’
appelle
Méheemancané (Méhmân-khâunéh), c’est-à-dire le pa
mes et les filles qu’on fait voir au roi pour leur beauté. Un autre s’
appelle
Amarath ferdous, comme qui dirait le paradis, le
est bâti au devant d’un étang de vingt pieds de diamètre. Les Persans
appellent
mer royale les étangs et les bassins d’eau, qui s
à trois étages, soutenu sur des colonnes de bois doré, qu’on pourrait
appeler
une grotte, car l’eau y est partout, coulant auto
n a cinq principales: la première et la plus éminente est celle qu’on
appelle
la porte haute ou glorieuse, qui est ce grand por
l est celle qui mène à la porte du sérail ; la troisième est au nord,
appelée
la porte des Quatre-Bassins ; la quatrième est à
ins ; la quatrième est à l’occident, vers la porte de la ville, qu’on
appelle
Impériale ; la cinquième est vis-à-vis du petit a
ppelle Impériale ; la cinquième est vis-à-vis du petit arsenal, qu’on
appelle
la porte de la Cuisine, parce que les cuisines du
parce que la vaisselle d’or a son office particulier, et celui qu’on
appelle
le magasin des Valets de pied, parce qu’on y dist
Royale, et en continuant sa route, on entre dans une belle rue, qu’on
appelle
la rue de Gueda Alybec (Guèdah A’ly-beyg), qui ét
, tournant à l’orient, on rencontre d’abord une maison fameuse, qu’on
appelle
la maison de la Douze-Tomans, comme qui dirait la
terrain que la ville. Je commencerai par la Grande Allée, qu’on peut
appeler
le cours d’Ispahan, et qui est la plus belle que
n les mène d’ordinaire dans des espèces de cunes ou de berceaux qu’on
appelle
cajavé (kadjâbah, ou Kadjâvah), qui est une machi
assises à l’aise pour prendre le frais. Les jardins qui sont à côté s’
appellent
le jardin Octogone et le Jardin de l’Âne ; et en
’eau, est aussi petit que l’autre. Les jardins, qui sont aux côtés, s’
appellent
le jardin des Vignes et le jardin des Mûriers. On
et beaucoup de beau monde qui va et qui vient à cheval. Cette allée s’
appelle
Tchar-bag (ou Tchéhâr bâgh), c’est-à-dire Quatre
ent à la fois passer ce merveilleux pont par différentes routes. On l’
appelle
communément le pont de Julfa 36, parce qu’il join
des degrés pratiqués dans les arches. Le jardin, qui est au bout, est
appelé
Mille-Arpents, non pas qu’il contienne en effet m
contre tant de voix ? Cela arriva néanmoins d’une façon que l’on peut
appeler
miraculeuse, tant pour les circonstances que nous
ne demanderait pas, par exemple, à l’expérience de décider si je dois
appeler
une droite AB ou bien CD. D’un autre côté, je ne
érons-nous comme égales ces deux figures que les géomètres euclidiens
appellent
deux cercles de même rayon ? C’est parce qu’en tr
es euclidiennes. On n’a donc pas démontré qu’il était déraisonnable d’
appeler
droites les côtés des triangles non-euclidiens ;
a démontré seulement que cela serait déraisonnable si on continuait d’
appeler
mouvements sans déformation les mouvements euclid
; mais on aurait montré tout aussi bien qu’il serait déraisonnable d’
appeler
droites les côtés des triangles euclidiens si l’o
sonnable d’appeler droites les côtés des triangles euclidiens si l’on
appelait
mouvements sans déformation les mouvements non-eu
i l’un de ces univers est notre monde euclidien, ce que ses habitants
appelleront
droite, ce sera notre droite euclidienne ; mais c
notre droite euclidienne ; mais ce que les habitants du second monde
appelleront
droite, ce sera une courbe qui jouira des mêmes p
rapport au monde qu’ils habitent et par rapport aux mouvements qu’ils
appelleront
mouvements sans déformation ; leur géométrie sera
ts ainsi choisis arbitrairement parmi tous ceux de C formera ce que j’
appellerai
la ou les coupures. Reprenons sur C deux éléments
n la même idée ; pour diviser l’espace, il faut des coupures que l’on
appelle
surfaces ; pour diviser les surfaces il faut des
le surfaces ; pour diviser les surfaces il faut des coupures que l’on
appelle
lignes ; pour diviser les lignes, il faut des cou
pelle lignes ; pour diviser les lignes, il faut des coupures que l’on
appelle
points ; on ne peut aller plus loin et le point n
lons correspondront aux diverses valeurs de n grandeurs indépendantes
appelées
coordonnées. On aura ainsi une image du continu p
rs objets et un homme qui est extérieur à moi, mais que je conviens d’
appeler
moi. La difficulté sera-t-elle résolue quand on c
gements que peuvent subir nos impressions en deux catégories que j’ai
appelées
d’un nom peut-être impropre : 1° les changements
changements externes : ceux qui peuvent être ainsi corrigés, nous les
appelons
changements de position ; et les autres, changeme
nées. L’ensemble de ces sensations formera une sorte de coupure que j’
appellerai
C, et il est clair que cette coupure suffit pour
individuel dont ces philosophes font un prétendu droit dans ce qu’ils
appellent
les droits de l’homme, existait, la société cesse
e l’individu. Cette révolte instinctive de l’égoïsme individuel qu’on
appelle
la liberté sans limites est donc un crime et une
a voulu le toucher du doigt. II La seule chose que l’on puisse
appeler
, encore improprement, de ce nom, par habitude plu
inte à l’État, c’est-à-dire à l’intérêt de tous. Mais encore ce qu’on
appelle
liberté n’est que tolérance de la société général
fléchissez à la nature de la société politique. Où donc est ce qu’on
appelle
liberté ? Et pourquoi tant parler d’une chose qui
la même obligation d’obéir ; dans aucun il n’y a place pour ce qu’on
appelle
liberté dans la langue de J.-J. Rousseau et des p
perfection dans le gouvernement ? Faisons donc peu de cas de ce qu’on
appelle
liberté égoïste dans le sens que J.-J. Rousseau a
ainsi qu’il est devenu droit, qu’il est devenu devoir, et qu’il a pu
appeler
Dieu et les hommes à le protéger, à le défendre,
un a la force de tous, et tous ont le droit de chacun. C’est ce qu’on
appelle
gouvernement. Les formes de ce gouvernement sont
ine. Dieu l’a déposée dans les instincts des premiers-nés de la terre
appelés
hommes, et même dans les instincts organiques des
ngent-ils la nature de cette bête de somme plus ou moins repue qu’ils
appellent
la société humaine ? Leurs droits de l’homme se p
de telles dégradations de notre nature ! Le vrai contrat social ne s’
appelle
pas droit, il s’appelle devoir ; il n’a pas été s
de notre nature ! Le vrai contrat social ne s’appelle pas droit, il s’
appelle
devoir ; il n’a pas été scellé entre l’homme et l
er dans une unité défensive de tendresse et de mutualité sainte qu’on
appelle
famille, première patrie des cœurs qui impose le
blables qui ne sont pas encore nés ; devoir surnaturel que les hommes
appellent
héroïsme, et que Dieu appelle sainteté ! Voyez co
és ; devoir surnaturel que les hommes appellent héroïsme, et que Dieu
appelle
sainteté ! Voyez comme vous êtes déjà loin de la
ec les autres hommes ; au lieu d’être un droit, chacune de ces lois s’
appelle
un devoir. Devoir de l’ordre qui lui fait personn
it l’ordre apparent, n’est que le désordre suprême. Dieu ne peut être
appelé
en témoignage pour le ratifier ; la moitié meille
ion et de disparition, les destinées de cette noble catégorie d’êtres
appelés
hommes ; que ces êtres ne sont pas bornés dans to
aturel et arcadien, l’autre emphatique et olympien), devaient bientôt
appeler
l’attention sur leur nom et sur leurs œuvres. M.
torien des célébrités de Lyon, raconte que le peuple de cette ville l’
appelait
la Sainte. La solitude rendit son esprit indépend
main, tout citoyen affranchi de la puissance paternelle, est lui-même
appelé
père de famille. Les serviteurs, au contraire, ét
ué par son courage et par sa présence d’esprit ; de tels chefs furent
appelés
rois, du mot regere, diriger. De cette manière, o
rent avoir uni leurs intérêts privés dans un intérêt commun, que l’on
appela
patria, sous-entendu res, c’est-à-dire intérêt de
passage de la Genèse où Moïse, énumérant les descendants d’Ésaü, les
appelle
tous rois, duces (c’est-à-dire capitaines) dans l
es Romains, pour distinguer leur droit de celui des autres peuples, l’
appelèrent
jus Quiritium romanorum. Si cette dénomination av
t été Cureti et non Quirites ; et si cette capitale des Sabins se fût
appelée
Cere, comme le veulent les grammairiens latins, l
r ambition jusqu’à s’allier aux familles des nobles, ce qui se serait
appelé
connubia cum patribus. Ils demandèrent seulement
r des taxes et des tributs, lorsqu’elles ont à exercer ce droit que j’
appelle
domaine du fond public (dominio de’ fundi), et qu
dominio de’ fundi), et que les écrivains qui traitent du droit public
appellent
domaine éminent. Mais les souverains ne peuvent l
r constitue la cité, il arriva que le domaine civil ne fut plus ainsi
appelé
dans le sens de domaine public, quoiqu’il eût été
t plus ainsi appelé dans le sens de domaine public, quoiqu’il eût été
appelé
civil du mot de cité. Il se divisa entre tous les
ésigna le citoyen riche, même sans naissance. Depuis cette époque, on
appela
comices par centuries les assemblées dans lesquel
essein, ils s’accordèrent dans cette généralité du bien social, qu’on
appelle
république. Maintenant recourons à ces preuves di
les matériaux, pour ainsi parler, n’attendaient plus que la forme. J’
appelle
matériaux les religions, les langues, les terres,
. Ce trident n’était qu’un croc pour arrêter les barques ; le poète l’
appelle
dent par une belle métaphore, en ajoutant une par
s garçons et les jeunes filles des côtes de l’Attique. Les antennes s’
appelaient
cornua navis. Nous y voyons encore le monstre qui
lé sur lequel Persée vient la délivrer. Les voiles du vaisseau furent
appelées
ses ailes, alarum remigium. Le fil d’Ariane est l
de ce nom, caractère bien différent de celui des temps héroïques, est
appelé
par les souhaits des peuples affligés ; les philo
ctions héroïques. (Vico.) 71. Bernardo Segni, traduit ce qu’Aristote
appelle
une république démocratique, par republica per c
aduire en grec les mots légitimes de la langue française et de ne pas
appeler
céphalalgie 17 le mal de tête 18. Le français, to
i bien que les photographes (encore un joli mot) et le tournebroche s’
appellerait
pompeusement l’obéliscotrope 22 ! Cinézootrope a
nd que le sieur Mauriceau, accoucheur, ayant inventé un instrument, l’
appela
tire-tête. Ce médecin osait encore parler françai
pillaires et l’extrait panchimagogue. Ce fut un grand progrès d’avoir
appelé
histérotomotocie l’opération césarienne31, scolop
au vulgaire. Le Dr Bazin, qui avait du mérite, aurait rougi de ne pas
appeler
un cor, tylosis 32. La petite maladie des paupièr
udront plus. Déjà les médecins qui ont de l’esprit n’osent plus guère
appeler
carpe le poignet ni décrire une écorchure au pouc
as usités en quelque métier ? Mais le médecin des yeux eût rougi de s’
appeler
œilliste, comme le médecin des dents s’appelle de
es yeux eût rougi de s’appeler œilliste, comme le médecin des dents s’
appelle
dentiste ; déjà la qualification d’oculiste, insu
peuple donna aux fleurs ! Ainsi l’adonis aestivalis ou autumnalis est
appelé
: goutte de sang, sang de Vénus, sang de Jésus ;
s, le fourmi-lion38 devient le myrméléon. Il y a un oiseau que Buffon
appelle
courlis de terre ou grand pluvier ; Belon, pour l
rte que l’unique mot grec. NdA 19. Cavallotti avait fondé un journal
appelé
Gazzettino rosa, nous disons de même une femme ch
basses, les écoles à lire, à écrire et à compter. En Allemagne on les
appelle
Lese-Schreib und Rechen-Schulen 5. Ces écoles y s
odique rétribution. IV. La seconde sorte d’écoles sont ce qu’on
appelle
en Allemagne, dans les pays protestants, gymnasia
rtagés en six ou sept classes. Dans les uns c’est la plus basse qui s’
appelle
la première, dans les autres c’est la plus haute.
surintendant ou le chef du clergé, qui se chargent de ce soin. On les
appelle
scolarches. Ils doivent présider à la visite des
sont introduits par les scolarches dans la classe supérieure. Cela s’
appelle
la promotion, à laquelle, comme à tous les actes
e sa première éducation à ces sortes de fondations. En France, cela s’
appelle
des bourses. Il en est d’autres encore qu’on appe
n France, cela s’appelle des bourses. Il en est d’autres encore qu’on
appelle
stipendia ; car, en tout, on a cherché à décorer
ité. Quatre facultés constituent l’essence d’une université, qui ne s’
appelle
ainsi que parce que toutes les études y sont rass
t un professeur particulier, et c’est la réunion de ces chaires qui s’
appelle
faculté, comme la réunion des facultés s’appelle
de ces chaires qui s’appelle faculté, comme la réunion des facultés s’
appelle
université. Les professeurs des universités ont u
du séjour de la jeunesse. X. Le chef suprême de l’université s’
appelle
recteur magnifique. Il est choisi parmi les profe
d’honneur de recteur de l’université, et alors le recteur véritable s’
appelle
prorecteur. Son conseil est composé de tous les p
ceux qui se présentent pour obtenir ces honneurs académiques. Cela s’
appelle
la promotion, qui se fait tous les ans dans les u
t religieux ouvraient mille routes aux recherches des philosophes, et
appelaient
leurs méditations sur les plus hautes questions d
ite relativement à une sagesse plus élevée (riposta) ; de sorte qu’on
appellerait
avec raison les premiers le sens, les seconds l’i
lles qui concernent le bien de tout le genre humain ; les premières s’
appellent
divines, les secondes humaines ; la véritable sag
us grand bien possible. Il est à croire que Varron, qui mérita d’être
appelé
le plus docte des Romains, avait élevé sur cette
l’Odyssée, la science du bien et du mal ; cette science fut ensuite
appelée
divination, et c’est sur la défense de cette divi
sa Providence ; aussi, de divination, l’essence de Dieu a-t-elle été
appelée
divinité. Nous verrons dans la suite que dans ce
ondèrent la civilisation grecque. Les Latins tirèrent de là l’usage d’
appeler
professeurs de sagesse ceux qui professaient l’as
ns toutes leurs parties élémentaires selon des lois constantes, que j’
appelle
les lois de la nature, et comme la science parfai
ue je vois : Tout se passe comme si, dans cet ensemble d’images que j’
appelle
l’univers, rien ne se pouvait produire de réellem
emblables au mien, la configuration de cette image particulière que j’
appelle
mon corps. J’aperçois des nerfs afférents qui tra
és dans le cerveau sont des images encore. Pour que cette image que j’
appelle
ébranlement cérébral engendrât les images extérie
e vois bien comment les images extérieures influent sur l’image que j’
appelle
mon corps : elles lui transmettent du mouvement.
es d’une manière déterminée, calculable même, conformément à ce qu’on
appelle
les lois de la nature. Comme elle n’aura pas à ch
son heure aura sonné. Mais j’ai supposé que le rôle de l’image que j’
appelle
mon corps était d’exercer sur d’autres images une
nant, sans toucher aux autres images, modifier légèrement celle que j’
appelle
mon corps. Dans cette image, je sectionne par la
es où le scalpel n’a opéré qu’un changement insignifiant est ce qu’on
appelle
généralement le monde matériel ; et, d’autre part
ption » de la matière. D’où, provisoirement, ces deux définitions : J’
appelle
matière l’ensemble des images, et perception de l
une importance capitale pour cette partie de la représentation que j’
appelle
mon corps, car ils en esquissent à tout moment le
aussi en termes beaucoup plus clairs. Voici un système d’images que j’
appelle
ma perception de l’univers, et qui se bouleverse
e que l’effet reste toujours proportionné à la cause : c’est ce que j’
appelle
l’univers. Comment expliquer que ces deux système
ges aux changements absolus qu’on aura posées d’abord, celle que nous
appelons
notre cerveau, et on conférera aux états intérieu
rmes, donnons-nous ce système d’images solidaires et bien liées qu’on
appelle
le monde matériel, et imaginons çà et là, dans ce
le présence les convertît en représentations. Or, voici l’image que j’
appelle
un objet matériel ; j’en ai la représentation. D’
e matérielle simplement possible on isolera l’objet particulier que j’
appelle
mon corps, et dans ce corps les centres perceptif
ndétermination laissée aux démarches de cette image spéciale que vous
appelez
votre corps. Et par suite, inversement, l’indéter
ces zones doivent précisément se rencontrer sur le trajet de ce qu’on
appelle
le processus sensori-moteur ; et dès lors tout do
à mon activité motrice : chaque question posée est justement ce qu’on
appelle
une perception. Aussi la perception est-elle dimi
ombre beaucoup moins grand, cette fois, de ces éléments nerveux qu’on
appelle
sensoriels. Mon activité est donc bien réellement
iel en général, pour limiter progressivement ce centre d’action qui s’
appellera
mon corps et le distinguer ainsi de tous les autr
eux ? Voici, au milieu de toutes les images, une certaine image que j’
appelle
mon corps et dont l’action virtuelle se traduit p
, soumis, vis-à-vis des autres objets, à ces règles inflexibles qu’on
appelle
les lois de la nature. Dans la seconde, au contra
rivons au second. Le second fait allégué consisterait dans ce qu’on a
appelé
pendant longtemps « l’énergie spécifique des nerf
s des modifications chimiques ; or ce sont ces modifications que nous
appelons
, dans tous les cas, des saveurs. D’autre part, si
erturbation électro-magnétique, on peut dire inversement que ce qu’il
appelle
ici une perturbation électro-magnétique est de la
un point déterminé de mon corps. Considérez ce système d’images qui s’
appelle
le monde matériel. Mon corps est l’une d’elles. A
’autre, j’en perçois l’intérieur, le dedans, par des sensations que j’
appelle
affectives, au lieu d’en connaître seulement, com
tinctes, se fondent en une perception unique, répondant à ce que nous
appelons
un point de l’espace. Supposons cette question ré
ce double travail entre deux catégories d’organes, dont les premiers,
appelés
organes de nutrition, sont destinés à entretenir
images qui l’influencent, cette image particulière que chacun de nous
appelle
son corps. Telle est la théorie simplifiée, schém
dont le rôle n’est plus alors — nous le prouverons plus loin — que d’
appeler
le souvenir, de lui donner un corps, de le rendre
eption pure, à ne plus connaître qu’un seul genre de phénomène, qu’on
appellera
tantôt souvenir et tantôt perception selon que pr
is, en fait, il n’y a jamais pour nous d’instantané. Dans ce que nous
appelons
de ce nom entre déjà un travail de notre mémoire,
alisme, la mémoire pure, en nous ouvrant une perspective sur ce qu’on
appelle
l’esprit, devra de son côté départager ces deux a
par là même s’éclaircirait peut-être en partie la nature de ce qu’on
appelle
l’esprit, et la possibilité pour l’esprit et la m
elle qu’ils placèrent non moins sagement l’essence de la vie [l’amant
appelait
sa maîtresse medulla, et medullitùs voulait dire
quides, ils les réduisaient à une seule espèce, à celle du sang ; ils
appelaient
sang la liqueur spermatique, comme le prouve la p
r semble formée du plus pur de notre sang. Avec la même justesse, ils
appelèrent
le sang le suc des fibres, dont se compose la cha
instinct, cette dernière vérité ; et dans les poèmes d’Homère ils ont
appelé
l’âme (animus), une force sacrée, une puissance m
cipe supérieur, ils disaient un dieu l’a voulu ainsi. Ce principe fut
appelé
par les Latins mens animi. Ainsi, dans leur gross
magination pour génie, esprit. [Le biographe contemporain de Rienzi l’
appelle
uomo fantastico pour uomo d’ingegno.] En effet,
le foie, qui est défini le laboratoire du sang (officina). Les poètes
appellent
cette partie præcordia ; ils attachent au foie de
ire, que lorsqu’ils étaient agités par les passions. De là les Latins
appelaient
les sages cordati, les hommes de peu de sens, vec
faire un monde sans modèle, ces systèmes insulteurs du passé et que j’
appellerais
parricides, car ils mordent au sein la tradition
elles agissent toujours, malgré les différences d’époque et ce qu’on
appelle
à cette heure, avec une arrogance si impérieuse,
cette croix qui s’élève ; le monde moderne y commence ; et ce qu’on a
appelé
le Moyen Âge n’est que la jeunesse du monde chrét
directeur de l’œuvre commerciale avant d’être magistrat municipal, s’
appela
prévôt des marchands jusqu’au 15 juillet 1789 : «
ineté populaire, et plus tard Louis XI, ce roi conventionnel, comme l’
appelle
F. Lacombe avec une audace d’expression qui est u
rs de chaque profession — dit-il — se réunissent et rédigent ce qu’on
appelait
autrefois des cahiers, où ils inscriront libremen
de base à l’organisation du travail que l’Assemblée nationale va être
appelée
à édifier sur les ruines du monopole et de l’indi
nous ne pouvons qu’applaudir à de telles idées, et on ne saurait trop
appeler
sur elles le regard des hommes qui peuvent les co
nous disons que l’imagination, ce singe de l’intelligence , comme l’
appelle
Schiller, nous pipe souvent avec une image. Le mo
ession, jus gentium Gallorum ; chez les Romains il peut très bien s’
appeler
jus gentium Romanarum, en ajoutant l’épithète her
temps eussent connu la tendresse paternelle. La loi des douze tables
appelait
un agnat, même au septième degré, à exclure le fi
ltes romains du dernier âge ont cru que la loi des douze tables avait
appelé
les filles à hériter du père mort intestat, et le
les, et plus tard le sens d’adgnatus aux sœurs consanguines. Elle fut
appelée
moyenne, précisément pour avoir ainsi adouci la r
it naturel changea de dénomination ; dans les aristocraties, il était
appelé
droit des gens, dans le sens du latin gentes, mai
scrupule et sévérité. L’observation des lois divines a continué de s’
appeler
religion. Ces lois doivent être observées, en sui
bservateurs rigides de la loi des douze tables, en sorte que Tacite l’
appelle
finis omnis æqui juris . En effet, après celles
rigoureusement qu’il fallut toute l’éloquence de Crassus (que Cicéron
appelait
le Démosthène104 romain), pour que la substitutio
nce de fait ; les tribuns n’eurent jamais dans la république ce qu’on
appelait
imperium. Sous le même Auguste, un tribun du peup
des phénomènes matériels de l’univers cette portion limitée que nous
appelons
un corps, un cerveau, la pensée est-elle à ce cer
lle, serait un mouvement vibratoire d’un milieu élastique conjectural
appelé
éther. On a donc raison de dire que la lumière pr
vement ; mais, prise en soi, elle n’a rien de semblable à ce que nous
appelons
lumière, et tant qu’elle n’a pas rencontré un suj
e, à la suite de laquelle a lieu la sensation de lumière. Ce que nous
appelons
lumière nécessite donc la rencontre d’un objet se
échappe à nos sens, produit sur nos organes un certain effet que l’on
appelle
la sensation de chaleur, et par suite on a donné
ations contraires. Eh bien ! cette cause extérieure inconnue que nous
appelons
chaleur peut, dans certaines conditions, disparaî
pour la lumière, qu’une vibration de ce fluide impondérable que l’on
appelle
l’éther. Ainsi objectivement la chaleur, comme la
la pensée, soit que l’on admette, soit que l’on rejette ce que l’on a
appelé
les idées innées, on est forcé de reconnaître qu’
urs de forces subordonnées. On voit en quel sens le cerveau peut être
appelé
l’organe de la pensée. Mais, s’il en est ainsi, l
re ne sait rien des conditions d’existence auxquelles il sera un jour
appelé
, et il peut croire que l’heure de la naissance es
’y a qu’une seule loi qui gouverne ces esprits de premier ordre qu’on
appelle
des hommes de génie, — et cette loi, évidente dan
fléchit pas plus que le principe qui fait du chêne un chêne et qu’on
appellera
du nom qu’on voudra, mais que je me permettrai d’
e et qu’on appellera du nom qu’on voudra, mais que je me permettrai d’
appeler
le principe du génie. Principe qui fait d’eux bie
une phrase ou d’un mot qui est tout de Maistre, et ce mépris que j’ai
appelé
un jour la seule colère d’un gentilhomme. III
tent, elles rentrent toutes les unes dans les autres. Soit qu’elles s’
appellent
: Fragment sur la France, Bienfaits de la Révolut
s œuvres le sens de l’Histoire. Il ne croit qu’en elle. On pourrait l’
appeler
le mystique de la Tradition ! L’Histoire, pour lu
e précisément un examen de la philosophie de Rousseau, qui pourrait s’
appeler
: Une mise en charpie. C’est merveilleux de déchi
son génie, non moins réelle que la tendresse de son âme, continuent d’
appeler
un esprit absolu et dur parce qu’il ne croit pas
résignation la nécessité du sacrifice. Que ce sacrifice nécessaire s’
appelle
la maladie, la guerre, le bourreau, c’est toujour
philosophes à systèmes. C’est le doux Emmanuel Kant, que Henri Heine
appelait
suavement un second Robespierre ; c’est Fichte, q
on un philosophe. Dans les Quatre chapitres inédits sur la Russie, il
appelle
l’Histoire : « la vérité expérimentale », et, pou
, notez bien que ces principes ne sont jamais, pour ce solide esprit,
appelé
paradoxal par les esprits fragiles, que des concl
affranchissement doit avoir lieu en Russie, il s’opérera par ce qu’on
appelle
la nature. Des circonstances tout à fait imprévue
1860] I Est-ce elle qui s’élève, cette doctrine, si cela peut s’
appeler
une doctrine ? — ou plutôt est-ce le monde philos
xposition de la philosophie et de la religion positives, au lieu de l’
appeler
Exposition de la philosophie positive, tout simpl
e le principe de l’invariabilité des lois naturelles (page 81). Et il
appelle
cela « nulle réponse ! » Et les conditions sine q
n métaphysique, par exemple, M. Comte donne à ce que nous, chrétiens,
appelons
de ce beau nom de charité, tombé du dictionnaire
s, qui a besoin d’une autre définition pour qu’on l’entende, et qu’il
appelle
l’ordre continu ? Est-ce l’idée, qu’il dit être l
u’au fin fond de sa dernière illusion ! C’est avec cela que vous vous
appelez
ou qu’on vous appelle le seul philosophe des temp
rnière illusion ! C’est avec cela que vous vous appelez ou qu’on vous
appelle
le seul philosophe des temps futurs, le démonstra
sophe des temps futurs, le démonstrateur, le positiviste. Faites-vous
appeler
poseur plutôt ! Ce sera mérité et plus juste. Je
grave sujet de philosophie, je n’ai pu résister à la mordante envie d’
appeler
les choses par leur nom, et ce n’est point ma fau
de faire. — En somme, l’exemple et l’éducation n’ont guère servi qu’à
appeler
son attention sur des sons que déjà elle ébauchai
eption de l’objet s’est précisée, que l’image ou perception du père a
appelé
sur ses lèvres le son papa, que ce son prononcé p
dinaire. On lui a montré d’autres enfants en lui disant bébé ; on l’a
appelée
elle-même de ce nom ; à présent, elle y répond. D
d elle s’y voit. — Partant de là, elle a étendu le sens du mot ; elle
appelle
bébés toutes les figurines, par exemple les statu
ième semaine ont commencé des sons d’un tout autre caractère et que j’
appellerais
volontiers des sons intellectuels. En tout cas, i
d’allumette, que l’on faisait tourner devant lui. À présentoir ne les
appelle
plus ainsi ; par contre, il donne ce nom à des mo
la psychologie. Selon lui, il y a deux sortes de langages, l’un qu’il
appelle
émotionnel et qui nous est commun avec les brutes
elle émotionnel et qui nous est commun avec les brutes, l’autre qu’il
appelle
rationnel et qui est propre à l’homme. Le langage
résentations sensibles, mais des concepts généraux ; à ce titre, on l’
appelle
rationnel, parce que la raison est la faculté de
énéraux. Il y a dans toute langue une couche de mots qui peuvent être
appelés
purement émotionnels : cette couche est plus ou m
classe d’objets semblables. « Ces concepts sont formés par ce qu’on
appelle
la faculté d’abstraire, mot très bon, qui désigne
formé par un autre concept, celui d’étouffer ou étrangler. Ils furent
appelés
ahi en sanscrit, ἔχις en grec, anguis en latin, d
plus prolifique des animaux domestiques. L’homme a trois noms : on l’
appelle
celui qui est fait de terre (homo), celui qui meu
uée, chaque langue a parcouru trois étapes. La première184 qu’on peut
appeler
l’époque des racines, « est celle où chaque racin
ngue entre dans la seconde époque. — Cette seconde époque, qu’on peut
appeler
l’étape des terminaisons, est celle où, deux ou p
ent se coller à la première intacte. — La troisième étape, qu’on peut
appeler
celle des inflexions, a ses meilleurs représentan
fú-mú parents. Pareillement, en chinois, un bipède avec des plumes s’
appelle
kin, un quadrupède avec du poil sheu, et les anim
Quand les Romains virent pour la première fois des éléphants, ils les
appelèrent
bœufs de Lucanie. De même des tribus sauvages qui
canie. De même des tribus sauvages qui n’avaient jamais vu de chevaux
appelaient
les chevaux gros cochons. » [Lectures on M. Darwi
nutes, mais troussées et si vite et si bien que cela ne pouvait pas s’
appeler
« Un spectacle dans un fauteuil », — le fauteuil
femme qui prend le parti de nous écrire un roman ! II Elle l’a
appelé
l’Orpheline 55, — et elle aurait pu l’appeler d’u
oman ! II Elle l’a appelé l’Orpheline 55, — et elle aurait pu l’
appeler
d’un autre nom, et même de plusieurs autres noms
le type de l’Orpheline, de cette impeccable Madelaine, qu’on pourrait
appeler
la mécanique du devoir continu, remontée par son
’elle mette par-dessus le diamant ! V Eh bien, si ! cela peut s’
appeler
: « Un spectacle dans un fauteuil ». Et un fauteu
mais qui est une chose adorable faite avec les deux. VII Cela s’
appelle
Monsieur Adam et Madame Ève 56, et c’est la longu
on accent et montrer à l’ironique railleur qui l’a nommée, et qu’elle
appelle
son parrain dans sa dédicace, qu’elle pouvait, ma
s hommes la comprenons et l’écririons. Et ce n’est pas assez encore d’
appeler
le livre de Monsieur Adam et Madame Ève simplemen
e Ève. Douglas Jerrold a publié un livre d’un titre expressif. Il l’a
appelé
hardiment : Sous les Rideaux. Seulement, sous les
la valeur de talent qu’elle a dans ce livre que nous avons le droit d’
appeler
aussi : Un spectacle dans un fauteuil ? Je le cro
est juste pourtant de consacrer quelques mots à celui que Stuart Mill
appelle
« le premier père de l’Association. » D’ailleurs,
elles laissent certaines traces ou images d’elles-mêmes que l’on peut
appeler
idées simples. » (Prop. 8.) Ce n’est pas tout ; l
reproduire sous forme de vibrations beaucoup plus faibles que Hartley
appelle
des vibrationcules, et qui sont à ses yeux « des
y les explique de la même manière. Il en distingue deux espèces qu’il
appelle
automatiques et volontaires ; les premiers dépend
s automatiques, qui répondent à peu près à ceux que, de nos jours, on
appelle
réflexes (mouvements du cœur, des poumons, etc.),
ec une sensation ou une idée. Ainsi se forme cet état mental que nous
appelons
volonté et qui est en réalité « une somme de vibr
tragiques ; enfin la carrière eût été fermée par Euripide qu’Aristote
appelle
le tragique par excellence, τραγικώτατος. Ils pla
es héros qui ne sont plus 90. Les nouveaux lyriques furent ceux qu’on
appelait
melici, ceux qui écrivirent ce genre de vers que
qu’on appelait melici, ceux qui écrivirent ce genre de vers que nous
appelons
arie per musica ; le prince de ces lyriques est P
gens, comme le font encore aujourd’hui les vendangeurs de la Campanie
appelée
proverbialement le séjour de Bacchus. Le mot saty
93. C’est de là peut-être que chez nous les vendangeurs sont encore
appelés
vulgairement cornuti. (Vico.) 94. Lex per satyr
’association42. Sous le nom de termes privatifs, il examine les idées
appelées
d’ordinaire négatives. Comme il est presque impos
continu d’une ligne, d’une surface, d’un volume. C’est là ce que nous
appelons
l’idée d’une étendue infinie, et que quelques-uns
e que nous appelons l’idée d’une étendue infinie, et que quelques-uns
appellent
idée nécessaire ; ce qui signifie simplement que
ssoluble, et que nous ne pouvons l’empêcher. L’idée d’infini, qu’on a
appelée
une idée simple, est en réalité une idée extrêmem
hercher, ce sont les sensations sur lesquelles nous nous fondons pour
appeler
un corps « mouvant » ; le mouvement étant simplem
3), n’est pas l’existence entre deux choses d’un lien mystique qu’on
appelle
Relation, auquel on suppose une réalité vague et
donner un à mon tour, non à Pontmartin, mais à Roger de Beauvoir. Il
appelle
le volume qu’il vient de publier : Les meilleurs
e cet autre poète, que Corneille, qui n’y faisait pas tant de façons,
appelle
le Menteur, dans un titre brutal. Mais n’importe
ons trop respirés dans cette ardente cassolette d’or et de jais qui s’
appelle
Les Contes d’Espagne et d’Italie, pour ne pas êtr
s et dans son âme, un des plus brillants jeunes gens du siècle, qui s’
appelait
Roger comme celui qui, dans l’Arioste, monte l’Hi
le de cristal sonore à travers lequel on voit et l’on entend et qui s’
appelle
Paris. D’ailleurs il en parle lui-même. Les poète
de parler de leurs misères et de leurs douleurs. On l’a vu, il s’est
appelé
Scarron ! Scarron ! cette victime expiatoire de l
lus morose le fêtait ; Comme il buvait, comme il chantait ! Cet ami s’
appelait
le Rire… Nous montions aux mêmes balcons, Nous
ur n’a pas besoin de s’appuyer sur lord Byron pour justifier ce que j’
appelle
nettement un défaut de composition permanente. Le
le plus considérable et le meilleur de ces poèmes. Les deux autres s’
appellent
Franz et Rosa mystica. Ces trois poèmes, d’une do
re inventé par M. de Laprade forcera-t-il d’en créer plus tard), nous
appellerions
ce genre le montagnisme. Déjà la Critique bienvei
e, qui s’enferre quelquefois elle-même sur sa propre bienveillance, a
appelé
M. de Laprade « le poète des sommets », et en eff
mérité de l’auteur des Idylles héroïques, qui devraient bien plutôt s’
appeler
les Idylles grimpantes : mais peut-être y a-t-il
re à pleins poumons. La vitale odeur des résines ! Il
appelle
même cette montagne : Un jardin d
! Montagnard hardi qui fait d’un souffle un jardinier ! Du reste, il
appelle
encore Dieu le laboureur d’en haut. Est-ce de Die
re à être celle même du mouvement de la Terre à travers l’éther. Nous
appellerons
v la vitesse de la Terre, c la vitesse de la lumi
l’on adoptait un observatoire immobile, l’éther 4. Plus généralement,
appelons
S un système immobile dans l’éther, et S′ un autr
tion . Mais l’habitant de la Terre n’en sait rien. Plus généralement,
appelons
encore S un système immobile dans l’éther, et S′
en parties égale, mais en parties proportionnelles à c + v et c − v.
Appelons
x la première de ces deux parties. Nous aurons
evrait marquer. Quand l’aiguille est au point que nous conviendrons d’
appeler
t’ (nous réservons la désignation t pour le temps
la droite équation indique la direction du mouvement du système, et
appelons
l la longueur de cette droite. Quand l’horloge H₁
arqués légitimement comme contemporains : je conviendrai alors de les
appeler
contemporains encore, pour ne pas avoir à envisag
relations, toutes tes explications. En dénommant succession ce que j’
appelais
simultanéité, j’aurais un monde incohérent, ou co
x ; elle coïnciderait avec x équation . Et par conséquent ce que tu
appelles
x est équation (x′+vt’). Voilà le problème réso
Mesurée du bateau, la vitesse v′ du voyageur est équation , si l’on
appelle
par exemple x′ la longueur que le voyageur trouve
Einstein (Hibbert Journal, avril 1920). 6. Il va sans dire que nous
appelons
horloge, dans ce paragraphe, tout dispositif perm
esure du temps, étant donné par conséquent deux mouvements, on pourra
appeler
zéro n’importe quel point, arbitrairement choisi
nos propres impressions. En un sens, la théorie classique, comme on l’
appelle
, convient par un côté à notre philosophie, car el
ement qui est la liberté, la personnalité. Elle croit que l’homme est
appelé
à se faire sa destinée à lui-même dans la vie com
t ce travail que nous essayerons de faire ici. Voici d’abord ce que j’
appellerai
la première théorie de M. Nisard. Toute œuvre lit
a deux sortes de vérités littéraires selon M. Nisard : les unes qu’il
appelle
simples ou philosophiques, par exemple la peintur
peinture des mœurs, des sentiments et des passions ; les autres qu’il
appelle
morales, et qui sont des vérités de commandement.
Au nom du sens commun, M. Nisard combat de toutes ses forces ce qu’il
appelle
le sens propre, c’est-à-dire la raison individuel
t, se forme peu à peu la raison générale, le sens commun. Ce que vous
appelez
d’ailleurs la raison est une pure abstraction ; c
augmente, c’est à la condition qu’il y ait de ces chercheurs que vous
appelez
des chimériques ou des utopistes, qui ne trouvent
uteur de Miréio, le poète, et du moraliste qui a écrit le roman qui s’
appelle
: — Le Marquis des Saffras ! Seulement, parce qu’
et simples auxquelles une intelligence, que nous n’avons pas craint d’
appeler
épique, a donné la plus héroïque des tournures, l
qu’il a au fond de sa poitrine ce souffle immortel du paganisme qu’on
appelle
l’amour des spectacles et qu’ils ont tous, ces Ro
homme, en effet, ce potier-terrailler qui est de la montagne et qui s’
appelle
Espérit, EIzear Siffrein Veran Espérit, citoyen d
riquet qu’il tenait de sa maison adossée à ces rochers de sable qu’on
appelle
dans le pays des saffras. « Le pic et le ciseau j
s, quand l’esprit a frappé trop fort sur le cerveau d’un homme. Ils l’
appellent
l’esprit de la lune, l’espérit des ciales, et mêm
très-vrais. Après nous avoir donné cet admirable Espérit que j’oserai
appeler
une création, le premier inventeur à qui il ne fa
s fortes passions qu’ils contiennent. Dans ce roman, — qu’on pourrait
appeler
une immense tragi-comédie à tiroirs, et à tiroirs
té inconnue. M. de Chateaubriand, qui ne lui consacre que deux pages,
appelle
cela une élégie. Quelle élégie que ce rugissement
re persécuteur. De quel nom te nommer ? Ô fatale puissance ! Qu’on t’
appelle
Destin, Nature, Providence, Inconceva
accepté ? En effet, y a-t-il quelque chose de plus monstrueux que d’
appeler
à la vie (et quelle vie !) et de réveiller de la
squ’au miaulement du chat tigre imitant le vagissement des mères pour
appeler
les petits sous sa griffe ! L’homme, enfin, le bo
peu de temps, aucun temps même, si nous comparons ce clignement d’œil
appelé
une vie à l’incommensurable durée des éternités s
pirer un certain nombre infiniment petit de souffles avec un soufflet
appelé
poumon, qui fait battre un organe appelé cœur, et
de souffles avec un soufflet appelé poumon, qui fait battre un organe
appelé
cœur, et circuler une sève rouge appelée sang, pu
on, qui fait battre un organe appelé cœur, et circuler une sève rouge
appelée
sang, puisée dans ce réservoir commun appelé air.
circuler une sève rouge appelée sang, puisée dans ce réservoir commun
appelé
air. Vivre veut dire, si vous l’aimez mieux, voir
vez quatre-vingts ans) se lever et se coucher un grand globe lumineux
appelé
soleil sur un globe ténébreux appelé terre. Ôtez-
coucher un grand globe lumineux appelé soleil sur un globe ténébreux
appelé
terre. Ôtez-en les nuits, qui en forment la moiti
ilibre et à balbutier sans parole pendant les premières années, qu’on
appelle
heureuses parce qu’elles sont celles où l’homme a
tises, dont se compose, pour l’homme, la pensée de sa tribu, ce qu’on
appelle
la civilisation, s’il est civilisé, ou la barbari
ait. À peine avez-vous respiré quelques vagues d’air respirable qu’on
appelle
vie, à peine avez-vous pris l’habitude de cet ine
le vie, à peine avez-vous pris l’habitude de cet inexplicable mystère
appelé
l’existence, à peine vous êtes-vous attaché, par
de la brièveté et de l’inanité de toute chose et de vous-même, qui s’
appelle
mélancolie, dégoût de vivre, et qui n’est que l’o
sur un homme d’Europe, sur un homme exténué et aminci par ce que nous
appelons
civilisation ! sur un homme d’intelligence ordina
s même de la justesse des idées conçues par un de ces hommes que nous
appelons
professionnels, exclusivement renfermés dans la m
res, de comptoirs ou de bibliothèques ; hommes unius libri, comme les
appelaient
les anciens, hommes ne sachant lire que dans un s
ntôme qui revient, à travers l’effrayante et vivante réalité que l’on
appelle
la République. Les révolutionnaires intransigeant
ieront : « Vous nous perdez avec une imprudence ! » qu’ils pourraient
appeler
sublime, mais qu’ils nommeront d’un autre nom, et
peut-être pas, si elle était seule, que pour cet esprit moderne qui s’
appelle
, par duperie ou par trahison, « le libéralisme »,
que l’aïeul partisan de ces manigances hypocrites ou basses que l’on
appelle
des transactions. Aussi les maquignons du royalis
n génie, avait partagé l’erreur commune — cette erreur qu’on pourrait
appeler
la grande erreur du xixe siècle ! — sur les tran
manifestations politiques, a accepté tout ce que les révolutionnaires
appellent
fièrement les conquêtes de la Révolution victorie
olutionnaire a pu être d’un exemple contagieux pour celui qui devra s’
appeler
Henri V, et c’est par les expériences et les aveu
u système mobile traversant réellement l’éther. Pour fixer les idées,
appelons
encore S et S′ les deux systèmes qui se déplacent
qu’elles indiquent par eux entre les phénomènes, — relations que nous
appelons
les lois de la nature. Cette différence est d’ail
cette impossibilité : le degré d’impossibilité est justement ce qu’on
appelle
distance, et c’est de la distance que tient compt
re chose. Le boulet est parti d’un canon attaché à la Terre immobile.
Appelons
Pierre le personnage qui reste près du canon, la
e que nous disions de la simultanéité intuitive, celle qu’on pourrait
appeler
réelle et vécue. Einstein l’admet nécessairement,
pend d’un réglage d’horloges effectué par un échange de signaux, ne s’
appelle
encore simultanéité que parce qu’on se croit capa
lui en simultanéité intuitive, et c’est la raison pour laquelle il l’
appelle
simultanéité. Ceci posé, considérons deux système
le font effectivement, du moment que le système est immobile. Si l’on
appelle
Hm et Hn les points où sont les deux horloges, un
succession, et par conséquent aussi de la simultanéité. Il convient d’
appeler
successives les indications concordantes d’horlog
et de simultanéité réelles ? C’est de la réalité, si l’on convient d’
appeler
représentative du réel toute convention une fois
parce qu’elle était convertible en simultanéité intuitive, que vous l’
appeliez
simultanéité. Maintenant, S′ étant censé en mouve
hie. Vous créeriez pour elle un mot, n’importe lequel, mais vous ne l’
appelleriez
pas simultanéité, car elle devait ce nom uniqueme
la pensée immobilise de nouveau le système. Du point de vue que nous
appelions
celui de la relativité unilatérale, il y a un Tem
arfaite réciprocité et jouissent d’une égale indépendance. Enfin nous
appellerons
plus généralement M′ tout point de la ligne A′ B′
s l’une et dans l’autre certaines relations entre grandeurs, que nous
appelons
les lois de la nature, seront les mêmes, et cette
ire en langage de physicien, il faut se placer dans ce que nous avons
appelé
l’hypothèse de la relativité unilatérale. Et comm
e autre, selon qu’on le rapportera à tel ou tel système de référence.
Appelons
v sa vitesse. Nous savons que lorsque des horloge
ceux de l’histoire à venir du lieu P′ le long de P′ K′. Nous pourrons
appeler
ligne de simultanéité la droite, passant par le p
urs l’ont effectivement lu. Sans nous attacher encore à ce schéma (il
appellerait
tout un ensemble d’explications dont nous pouvons
pas, réellement, la même grandeur ? Répétons encore une fois que nous
appelons
ici réel ce qui est perçu ou perceptible. Nous de
Mais nous le supposerons maintenant préoccupé surtout de ce que nous
appelons
réel, c’est-à-dire de ce qu’il perçoit ou pourrai
ême loi, ces articulations et relations étant précisément ce que nous
appelons
les lois de la nature. Mais notre observateur ter
c cette théorie, bien loin d’exclure l’hypothèse d’un Temps unique, l’
appelle
et lui donne une intelligibilité supérieure.
moyen de cette autre force, non moins aveugle et capricieuse, qu’ils
appellent
l’inspiration. M. Claude Bernard s’est appliqué à
rtu dormitive et toutes les facultés occultes : c’est ce que Leibnitz
appelait
la philosophie paresseuse, qui prend les mots pou
tions étaient nécessaires. Or, il ne saurait en être ainsi : ce qu’on
appelle
exception est simplement un phénomène dont une ou
oduit par rien. Il lui faut un au-delà, un noumène, comme on voudra l’
appeler
, une substance, une cause. Cette cause ne sert à
age, où l’auteur développe à sa façon le principe que les philosophes
appellent
principe des causes finales, prouve qu’il y a dan
peut compromettre en rien l’existence du principe immatériel que nous
appelons
l’âme pensante, car, si la vie se distingue des f
oit les joueurs croire à quelque divinité occulte de ce genre, qu’ils
appellent
la chance, et qui se joue de toutes les combinais
chute des pierres, on ne voit guère par où elles mériteraient d’être
appelées
libres. Le mot de liberté n’exprimerait que la pa
autres hommes : il s’agit en un mot de la liberté d’une cause seconde
appelée
l’homme, et si cette cause seconde est assimilée
et et l’âme au sujet. Si donc il y a dans l’homme quelque chose qu’on
appelle
la liberté morale, c’est dans le sujet qu’il faut
ent de cette activité productrice continue qui nous fournit les idées
appelées
métaphysiques, les idées de cause, de substance,
, on doit admettre avec Kant l’existence de deux règnes, comme il les
appelle
, le règne de la nature et le règne de la liberté
, il prétendait avoir son Outre-Tombe. On savait que cet homme, qu’on
appelait
malheureux parce qu’il avait été la cause d’un dé
vi pour faire sa justice est d’une simplicité presque élémentaire. Il
appelle
les choses par leur nom. Seulement, dans une soci
etteté de l’expression passe pour une indécence ou pour une tyrannie,
appeler
les choses par leur nom est une hardiesse qui doi
e un roseau et perça la main de son maître, n’est point ce qu’on peut
appeler
brutalement un traître. Il est certain que Judas
é le bon sens de l’historien, rien n’a fait fléchir sa droiture. Il a
appelé
la chose par son nom, et il a ajouté : « Des mili
délicat et de fier, cette distinction hautaine, ce luxe du bien qu’on
appelle
l’honneur. » Magnifique langage ! Le duc de Ragu
’impressions forme un continu physique C. Et chacun de ces systèmes s’
appellera
un élément du continu C. Combien ce continu a-t-i
ts d’une manière tout à fait arbitraire. L’ensemble de ces éléments s’
appellera
une coupure. Parmi les suites Σ qui relient A à B
siques et des objets finis. Les divers éléments de l’espace, que nous
appelons
points, sont tous semblables entre eux, et, pour
nts externes susceptibles d’être corrigés par un changement interne s’
appellent
changements de position, ceux qui n’en sont pas s
ellent changements de position, ceux qui n’en sont pas susceptibles s’
appellent
changements d’état. Les changements internes susc
changements internes susceptibles de corriger un changement externe s’
appellent
déplacements du corps en bloc ; les autres s’appe
ment externe s’appellent déplacements du corps en bloc ; les autres s’
appellent
changement d’attitude. Soient maintenant α et β d
cement. Cela posé, nous pouvons imaginer un continu physique que nous
appellerons
le continu ou le groupe des déplacements et que n
tactiles qui nous sont transmises par le nerf du doigt que nous avons
appelé
le premier doigt, que ces sensations tactiles, di
nt les impressions tactiles du doigt D′ est l’une des séries que j’ai
appelées
σ′ . Inversement si l’on prend une série σ′ quelc
end une série σ′ quelconque, S′ + σ′ + S sera une des séries que nous
appelons
σ. Ainsi si S est convenablement choisie. S + σ +
rès souvent (c’est-à-dire beaucoup plus souvent que ce que je viens d’
appeler
« souvent ») que quand la série σ a conservé l’im
chose que nous ne devons pas oublier et sur laquelle j’ai d’ailleurs
appelé
plus d’une fois l’attention. Ces faits expériment
de surface que de sommités dans ses créations ; il se forme ce qu’on
appelle
en géométrie une moyenne d’intelligence et de vol
ujours à égale distance du génie et de l’imbécillité ; c’est ce qu’on
appelle
médiocrité. On peut dire, avec une parfaite exact
aque nation civilisée et littéraire apporte son contingent à ce qu’on
appelle
l’idée. Pourquoi l’a-t-on appelée l’idée moderne
e apporte son contingent à ce qu’on appelle l’idée. Pourquoi l’a-t-on
appelée
l’idée moderne ? Parce qu’elle date de la renaiss
de Louis XIV fut à la fois l’apogée et la clôture. Pourquoi l’a-t-on
appelée
l’idée française ? Parce que la France, en vertu
du globe. Cette révélation par la raison, cette idée moderne, quoique
appelée
l’idée française, ne datait ni de Descartes ni de
s lettré. Cette langue était acceptée partout comme celle de ce qu’on
appelait
l’idée ; elle l’était également comme la langue d
ns tout l’univers. Le véhicule des idées générales était créé et il s’
appelait
la littérature française. En peut-on douter quand
e l’impulsion et la grandeur du but que l’idée française (puisqu’on l’
appelle
ainsi) portait en elle en commençant, en poursuiv
n’est point un accident ; c’est la méconnaître et la rétrécir, que d’
appeler
hasard ou malheur ce qui fut réflexion et volonté
l’apparition de ce livre. C’était une calomnie par anticipation. J’en
appelle
à ceux qui ont lu le livre. Où la justice a-t-ell
ts à la bête féroce par qui on est poursuivi pour lui échapper ; elle
appela
le peuple au spectacle quotidien de la mort sur l
de ses ennemis. Ah ! nous acceptons fièrement le reproche, et nous en
appelons
au temps pour prononcer entre nos accusateurs et
e, pour apprivoiser ce peuple avec la liberté qui eut le malheur de s’
appeler
une fois la terreur ! Nous ajournons sans hésitat
ni loisir, ni attention dans les âmes pour ce luxe de l’esprit qu’on
appelle
les lettres. Il était sorti seulement de temps en
r le gouvernement mexicain, et que ce Français, ce jeune homme, qu’on
appelait
au Mexique le vainqueur d’Hermosillo, du nom de s
les courages, Gaston de Raousset, même quand il fut le plus ce qu’on
appelle
un franc jeune homme, ivre de ce pauvre luxe dont
aloir un empire s’empara de lui et lui fit jouer sur le dé pipé qu’on
appelle
le sort des armes une vie qu’il y a laissée ! Ce
mme une source ! Les brigands mexicains qui, de son vivant, osaient l’
appeler
« le Pirate » (et il faut dire que le gouvernemen
ent qui l’a tué a eu la pudeur, dans sa sentence de mort, de ne pas l’
appeler
de ce nom), les brigands mexicains savaient bien
amais, Bientôt tu perdras tout ! Des jours que tu rêvais, Des soleils
appelés
par ton âme ravie, Peut-être les rayons luiront-i
uits visitera ta tombe ?… On ne cite de tels vers que parce qu’ils s’
appellent
La Sorcière, — parce que cet homme qui a manqué u
aston de Raousset dès son enfance, — le petit loup, comme les paysans
appelaient
cet enfant à la tête fauve, dont la fierté sauvag
elles ; et si, par un premier acte de cette société instinctive qu’on
appelle
l’amour maternel, l’enfant est nourri d’abord d’u
à l’abrutissement, à la mort ! Et voilà l’homme qu’un siècle entier a
appelé
philosophe ! IV Le second axiome est celui-
propres enfants à la voirie publique et aux gémonies du hasard qu’on
appelle
Hospice des enfants abandonnés, pour les punir sa
e sanction de la loi ? Donc le législateur, ce n’est ni le rêveur qui
appelle
loi ses chimères, ni le tyran qui appelle loi ses
, ce n’est ni le rêveur qui appelle loi ses chimères, ni le tyran qui
appelle
loi ses caprices : ces lois-là emportent avec ell
parce qu’aucune loi n’est obéie. La véritable autorité sociale, qu’on
appelle
souveraineté, est donc divine ; divine, parce qu’
parfaits, est le travail le plus persévérant de l’humanité, ce qu’on
appelle
la civilisation, ou le perfectionnement des condi
u rapport de l’homme spiritualisé avec Dieu, plus elles sont ce qu’on
appelle
morales, plus elles ennoblissent, sanctifient, di
s des nations ; les autres, et en très petit nombre, sont ce que l’on
appelle
organiques, c’est-à-dire résultantes de l’organis
actes attentatoires à la société qui est la vie de tous, et que tous
appellent
crimes. Voulez-vous avoir la nomenclature sommair
té a aveuglé, en les éblouissant, ces insurgés contre la nature qu’on
appelle
socialistes, sans doute comme on appelait à Rome
urgés contre la nature qu’on appelle socialistes, sans doute comme on
appelait
à Rome les destructeurs d’empires du nom des nati
ource d’où il a coulé et qui y remonte par la mémoire en action qu’on
appelle
tendresse des fils pour leur père et leur mère ;
dividu. De ce point de vue de l’individu abstrait et isolé que l’on a
appelé
les droits de l’homme, elle a dit, et elle a dû d
XV Quant à l’égalité civile en elle-même, il y a deux choses qu’on
appelle
de ce nom et qu’il faut bien distinguer, si l’on
ale par l’appel à la force de la légalité de l’État. C’est ce qu’on a
appelé
avec parfaite raison l’égalité devant Dieu et dev
ple, riches ou pauvres, avec l’avantage ou le désavantage de ce qu’on
appelle
le fait accompli ? Doit-elle planer comme une Ném
e et dans la conversation, est un vice assez ordinaire aux gens qu’on
appelle
beaux parleurs : il consiste à dire, en termes bi
rhétorique, la philosophie, les mœurs et la religion. Humanités. On
appelle
ainsi le temps qu’on emploie dans les collèges à
ustice qui est due aux soins de la plupart des maîtres ; mais nous en
appelons
en même temps à leur témoignage, et nous gémirons
itue. D’ailleurs, quel latin que celui de certains collèges ! nous en
appelons
au jugement des connaisseurs. Un rhéteur moderne,
d’application et d’intelligence qu’on ne le croit communément ; j’en
appelle
à l’expérience : et si, par exemple, on leur appr
é Barthélemy, de l’Académie des belles-lettres. Dictionnaire On
appelle
ainsi un dictionnaire destiné à expliquer les mot
ts, qui seront comme les racines philosophiques de la langue : je les
appelle
ainsi pour les distinguer des racines grammatical
e ce mot ne doit pas renfermer deux sens à la fois, c’est là ce que j’
appelle
le sens vague, parce qu’il renferme à la fois le
tions commenceront à s’autoriser par l’exemple et l’usage de ce qu’on
appelle
la bonne compagnie. J’en dis autant de l’impropri
quantité était à volonté longue ou brève, et que pour cette raison on
appelle
communes. Nous en avons plusieurs de cette espèce
s vérité, sans choix et sans goût dans les dictionnaires latins qu’on
appelle
ordinairement dans les collèges du nom de synonym
nce d’expression et de construction constitue principalement ce qu’on
appelle
le génie des langues, qui n’est autre chose que l
ujours, en ces occasions, de remuer le peuple en le convainquant, ils
appelèrent
éloquence le talent de persuader, en prenant pour
e les anciens, lorsqu’ils ont borné l’éloquence à la persuasion. J’ai
appelé
l’éloquence un talent et non pas un art, comme on
l’éloquence pathétique a sans doute pour objet de toucher : mais j’en
appelle
aux âmes sensibles, les mouvements pathétiques so
ication du mot disertus : il ne répond certainement pas à ce que nous
appelons
en français disert ; Diderot l’a très bien prouvé
rsuader par le discours, c’est-à-dire, qui possède ce que les anciens
appelaient
eloquentia. Ils appelaient eloquens celui qui joi
est-à-dire, qui possède ce que les anciens appelaient eloquentia. Ils
appelaient
eloquens celui qui joignait à la qualité de diser
le commencement du traité de Cicéron, intitulé Orator, on verra qu’il
appelait
diserti les orateurs qui avaient eloquentiam pop
serti les orateurs qui avaient eloquentiam popularem , ou comme il l’
appelle
encore, eloquentiam forensem, ornatam verbis atq
’est-à-dire diserti dans le premier sens, qu’il n’y en a qu’on puisse
appeler
diserti dans le second : or Marc-Antoine, suivant
rd aux différents objets que peut avoir le discours : le style qu’ils
appelaient
simple, est celui qui se borne à des idées simple
s les langues a aussi la sienne : les anciens l’avaient bien vu ; ils
appelaient
ῥυθμος le nombre pour la prose, et μέτρον celui d
les périodes trop longues et les phrases trop courtes, ou, comme les
appelle
Cicéron, à demi closes, le style qui fait perdre
Et demeurez en cet endroit Jusqu’à ce que je vous
appelle
. Il fait noir comme dans un four, Le c
es grands écrivains, que toute la prévention des pédants. Ce que nous
appelons
ici harmonie dans le discours, devrait s’appeler
édants. Ce que nous appelons ici harmonie dans le discours, devrait s’
appeler
plus proprement mélodie : car mélodie en notre la
oint la musique à plusieurs parties, du moins au même degré que nous,
appelaient
harmonia ce que nous appelons mélodie. En transpo
ies, du moins au même degré que nous, appelaient harmonia ce que nous
appelons
mélodie. En transportant ce mot au style, nous av
chargé d’ornements, de métaphores, d’antithèses et d’épithètes, qu’on
appelle
, je ne sais par quelle raison, style académique.
la lecture réfléchie des sermons de Massillon, surtout de ceux qu’on
appelle
le Petit-Carême, combien la véritable éloquence d
nt connus que des savants seuls ; ils resteraient ignorés de ce qu’on
appelle
le public ; et la considération dont jouit l’Acad
u naturel un autre esprit que le sien : en cherchant à l’imiter, j’en
appelle
à l’expérience, on ne lui ressemblera que par les
i-là revient bientôt, et que ceux-ci s’opiniâtrent. Éloquent On
appelle
ainsi ce qui persuade, touche, émeut, élève l’âme
ur éloquent, un discours éloquent, un geste éloquent. Érudit On
appelle
de la sorte celui qui a de l’érudition. Ainsi, on
’essayerai de le découper dans son livre et de le montrer ici. Chacun
appelait
alors Dagobert le vieux général : il l’était de s
oute nouvelle. Plein de zèle et bouillant d’ardeur, aimé des soldats,
appelé
d’eux tous le caporal Dagobert, parce qu’il était
s contre l’invasion des Espagnols et pour conserver Mont-Louis (alors
appelé
Mont-Libre), cette clef des montagnes. Cependant
es, homme droit et sensé, contraria peu Dagobert, qu’il se plaisait à
appeler
mon général, supporta ses humeurs et ses paroles
le général en chef Barbantane ayant résigné ses fonctions, le peuple
appelle
à grands cris à la tête des troupes le seul génér
Perpignan, Dagobert se trouve en désaccord avec ceux mêmes qui l’ont
appelé
; sa montre n’est plus à l’heure, il y a du retar
ng des rampes, par-delà les cols et les gorges, et les Espagnols ne l’
appelaient
plus que le Démon. Ses soldats avaient fini par l
e général de brigade, comme on traite un gouvernement. Voilà ce qui s’
appelle
connaître les hommes et les prédire. À la tête de
e dernière fois dans sa vie, entre les belles causes qui demandent et
appellent
l’étincelle sacrée ! 8. 2 volumes in-8° avec at
ité, l’idée du moi tend à se réaliser elle-même en réalisant ce qu’on
appelle
la satisfaction de soi. L’être conscient veut se
tre idée du moi individuel, nous ayons, en second lieu, ce qu’on peut
appeler
un moi social. Il ne faut pas entendre par là la
cidons en quelque sorte avec les autres membres du groupe. — Pourquoi
appeler
cette partie un moi social ? — Parce qu’elle est
ations, d’émotions et de désirs qui répond à notre vie sociale peut s’
appeler
aussi un moi, une centralisation de la société da
l de ma personne dans le temps, et si cependant il mérite bien d’être
appelé
moi en vertu de son lien avec le moi actuel, je p
tre appelé moi en vertu de son lien avec le moi actuel, je puis aussi
appeler
moi la conception symbolique de ma personne en ta
ient unité immédiate pour la conscience et « s’intégre » avec le tout
appelé
moi. Sans cette intégration, les idées de Patrie
cette sorte de quintessence d’actions et réactions collectives qu’on
appelle
le langage. III. — L’idée de la simplicité du mo
nce qui est le contraste de l’accord avec le désaccord, et qu’on peut
appeler
un sentiment concret, immédiat, d’harmonie vitale
elles de la philosophie anglaise. Une politique, que je ne suis point
appelé
à retracer, avait abattu les courages. Le sensual
artient au xviiie siècle, et en même temps il ouvre un autre siècle,
appelé
à une tout autre destinée en philosophie comme en
ne grande clarté logique, il y a très peu de cette autre clarté qu’il
appelle
esthétique, et qui naît de l’art de faire passer
après le despotisme est venue l’anarchie, et cet esprit de rébellion
appelé
le scepticisme. Dans ces derniers temps une certa
attent depuis des siècles dans cette arène de disputes sans fin qu’on
appelle
la métaphysique, et le public de notre temps, qui
s la proposition en question, et dans toute proposition semblable, il
appelle
les élémens particuliers variables et accidentels
ons sensibles pour en composer cette connaissance des objets que nous
appelons
expérience ? Nulle connaissance ne précède l’expé
’expérimental et quelque chose qui ne vient pas de l’expérience. Kant
appelle
connaissances empiriques ou à posteriori (Erkennt
qui non-seulement présupposent l’expérience, mais en dérivent, et il
appelle
connaissances à priori (Erkenntnisse à priori) ce
res, il faut encore distinguer. Il y a d’abord des principes qui sont
appelés
à juste titre à priori, puisqu’ils n’ont pas leur
terdings) indépendans de toute expérience, et qu’à cause de cela Kant
appelle
purs (reine) tels sont les principes mathématique
aissance que nous avions déjà, sans y rien ajouter réellement, il les
appelle
jugemens explicatifs. Comme, au contraire, les ju
qu’ils ajoutent à cette connaissance une connaissance nouvelle, Kant
appelle
les jugemens synthétiques jugemensextensifs, parc
deux espèces. La vérité des uns repose sur l’expérience, et Kant les
appelle
jugemens synthétiques à posteriori ; la vérité de
ne repose pas sur l’expérience, mais sur la raison seule, et Kant les
appelle
jugemens synthétiques à priori. Faites encore cet
lles qui sont fondées sur des jugemens synthétiquesà priori, et qu’il
appelle
sciences théorétiques (theoretische Wissenschafte
même temps Kant n’hésite pas à proclamer qu’elle est possible ; il en
appelle
au besoin éternel de la nature humaine ; il compa
riori. Or, comme il plaît à Kant, dans la langue qu’il s’est faite, d’
appeler
transcendental ce qui porte le double caractère d
philosophie du xixe siècle n’est pas encore écrite. Kant n’était pas
appelé
à cette œuvre ; la sienne était bien différente :
et de compliment. On ne voit pas trace que Sénecé ait jamais ce qu’on
appelle
travaillé. Des aventures romanesques vinrent agit
ssir. À son issue se rencontre le pays qu’habite le Bon Goût et qu’on
appelle
les Plaines allégoriques : c’est un pays assez in
côté, sur la montagne la moins élevée, on voit une autre ville qui s’
appelle
Imitation, et qui paraîtrait aussi fort belle si
it dont l’ouverture est entièrement occupée par un grand fleuve qu’on
appelle
Imagination. Il est extrêmement rapide… Et voilà
ines Scaliger, Vossius et autres, les « petits bateaux couverts qu’on
appelle
métaphores », et dont quelques-uns échappent à gr
, parlant ailleurs de Racine dans une épigramme ou épitaphe, Sénecé l’
appelle
le grand Racine ; mais ce qui lui est propre et c
années, et par suite de la mort de la reine, sous le coup de ce qu’il
appelait
sa disgrâce et son exil. Acanthe, assis au pied d
s mots ont moins d’énergie et de jeu, il faut, en terminant, ce qu’on
appelle
le trait et la pointe. C’est là aussi la théorie
é des relations avec l’évêque de Fréjus, le cardinal de Fleury ; il l’
appelait
son patron et son protecteur, et lui adressait de
de l’inédit, et que la postérité (car c’est bien ainsi que nous nous
appelons
par rapport à lui) s’occupe, ne fût-ce qu’un inst
r jour. Voltaire, que l’auteur de la nouvelle Vie de Marie Leckzinska
appelle
léger, et qui est moins grave en effet que l’abbé
cesses et aux dames du palais toutes les bagatelles magnifiques qu’on
appelle
sa corbeille : cela consistait en bijoux de toute
à Marianne ; elle a ri à l’Indiscret ; elle me parle souvent, elle m’
appelle
mon pauvre Voltaire. Un sot se contenterait de to
ar son intelligence et son caractère, au-dessus du commun et ce qu’on
appelle
proprement un galant homme. Si, étant né prince,
e, comme une avarice dernière. Le malheur de la reine (qu’on hésite à
appeler
la jeune reine, puisqu’elle avait six ou sept ans
t de voir tomber, presque en arrivant, le prince ministre qui l’avait
appelée
, à qui elle devait reconnaissance, et de voir suc
obscur de simple demoiselle, Sur le trône des Lys par mon choix vous
appelle
. Après une suite de recommandations insistant su
clair, étincelle, feu d’enfer ou feu sacré, de quelque nom qu’on vous
appelle
, quand des particulières qui ne savent qu’en fair
ements et à ces intrigues. Un mois après le retour d’Issy et ce qu’on
appelait
alors une seconde Journée des dupes, il nous fait
épondis : « Je crois, Madame, le cœur du roi bien éloigné de ce qu’on
appelle
amour : vous n’êtes pas de même à son égard ; mai
lui-même à qui il cite De Maistre ; il met en groupe tous ceux qu’il
appelle
les hommes d’entre-deux et qu’il a depuis enjambé
ses infractions partielles ce Savonarole de nos jours, ainsi que l’a
appelé
M. d’Eckstein, à écouter ses menaces pleines de p
de l’agneau, nous dit naïvement : « L’exemple seul de Moïse, que Dieu
appelle
le plus doux de tous les hommes, quoiqu’il eût tu
y a des hommes par le monde qui ont le droit d’être fiers de ce qu’on
appelle
intelligence humaine et raison. Ce sont les écriv
ceux même qui se montraient les plus ardents à les attaquer. Ce qu’on
appelait
bien, on l’appelle mal, et réciproquement. Ce qu’
traient les plus ardents à les attaquer. Ce qu’on appelait bien, on l’
appelle
mal, et réciproquement. Ce qu’on représentait com
s l’attaque ou dans la promesse : en un mot quelque chose de ce qu’on
appelle
expérience humaine, tempérant et guidant la fougu
te pensée… » Esprit élevé et candide, mais ainsi prévenu par ce qu’il
appelle
une longue erreur, il se doit, il doit à tous, en
u présent volume deux phrases sévères, l’une contre le Protestantisme
appelé
système bâtard, etc., l’autre contre ces tentativ
a de plus, envers le Saint-Simonisme, qui, à un certain moment, s’est
appelé
le nouveau christianisme, une sorte d’ingratitude
que le caprice ? Dans la conception dont je viens de parler (et que j’
appellerai
la conception scientifique), toute loi n’est qu’u
facteur évolutif proprement dit, ni pour n’importe quoi qu’on puisse
appeler
contingence. J’ajoute, pour éviter une confusion,
c’est que nous les avons artificiellement transformées en ce que j’ai
appelé
plus haut un principe. Cette transformation, nous
ute la suite des temps. Nous pourrions envisager ce que l’on pourrait
appeler
les séquences, je veux dire des relations entre a
rui seront pour nous un monde éternellement fermé. La sensation que j’
appelle
rouge est-elle la même que celle que mon voisin a
nsation que j’appelle rouge est-elle la même que celle que mon voisin
appelle
rouge, nous n’avons aucun moyen de le vérifier. S
nsation A. Il est clair que nous n’en saurons jamais rien ; puisque j’
appellerai
rouge la sensation A et vert la sensation B, tand
ppellerai rouge la sensation A et vert la sensation B, tandis que lui
appellera
la première vert et la seconde rouge. En revanche
t que cette émotion soit associée chez Jean à la sensation A que Jean
appelle
rouge, tandis que parallèlement elle est associée
rallèlement elle est associée chez Pierre à la sensation B que Pierre
appelle
rouge ; soit mieux parce que cette émotion est pr
s entre deux blessures. Hippocrate déjà, barbe peu galante, les avait
appelées
des animaux malades, mais Michelet a déterminé la
t tout cela. De leur temps déjà, les anciens, ces ignorants d’infini,
appelaient
l’océan Père des choses ! C’est donc sur la mer q
que les femmes préfèrent à tout, c’est le joli et le petit, qu’elles
appellent
« le gentil », avec des passions dans la voix. Ah
il », avec des passions dans la voix. Ah ! l’Oiseau ! Si au lieu de l’
appeler
l’Oiseau, Michelet avait appelé son livre « l’Air
oix. Ah ! l’Oiseau ! Si au lieu de l’appeler l’Oiseau, Michelet avait
appelé
son livre « l’Air », eût-il eu un succès égal ?…
frais éclos. En ces petits livres vraiment curieux que l’on pourrait
appeler
« les petites métamorphoses de Michelet », la sci
premières ivresses de la vie ! VII Le livre de Michelet, qu’il
appelle
la Mer, avec une simplicité trop grandiose, n’est
la Mer libre, la Mer fermée, Mare liberum, Mare clausum. Il devrait s’
appeler
la Mer civilisée, car c’est particulièrement de c
u, elles le font oublier. Au lieu de cette grosse explication qu’on a
appelée
longtemps la Nature, et dont Joseph de Maistre, n
t pour les charmantes, mettez le chapitre sur le corail, que l’auteur
appelle
, comme en Orient, la Fleur du sang, et le chapitr
ême dire probable ? — que quelque chose du même ordre que ce que nous
appelons
un choc nerveux soit la dernière unité de conscie
variés et les plus complexes L’étude analytique, qu’on pourrait aussi
appeler
subjective, par opposition à la précédente qui es
simplicité singulière. Tels sont le germe de la levure, le champignon
appelé
protococcus nivalis, la cellule parasite qui caus
s unissant les cellules sont les corrélatifs objectifs de ce que nous
appelons
les rapports. Il en résulte que de même que l’ass
t à perdre le caractère automatique qui les distingue, et ce que nous
appelons
instinct se perdra graduellement dans quelque cho
i se forme cette succession d’idées régulière ou irrégulière que nous
appelons
mémoire. Voyons maintenant comment la mémoire red
degré. A cela il faut ajouter le sentiment que les phrénologistes ont
appelé
amour de l’approbation. Quand on se voit préféré
xcitation sur chaque autre, forment l’état psychique composé que nous
appelons
amour. Et comme chacun de ces sentiments est en l
ce qui, quand il aboutit finalement à l’action, détermine ce que nous
appelons
une volition. » Les phénomènes de la vie affecti
lus, leur ressemblance est la plus haute possible : c’est celle qu’on
appelle
égalité ou identité. Le raisonnement quantitatif
u général), il faut ajouter, un troisième mode, « celui que M. Mill a
appelé
le raisonnement du particulier au particulier »,
spontanément, coordonne les attributs par un procédé naturel, on peut
appeler
la perception une classification organique. « Dir
ation du son), il en résulte dans le sujet une perception de ce qu’on
appelle
vulgairement une propriété seconde du corps ; mai
u’on appelle vulgairement une propriété seconde du corps ; mais qu’on
appellera
plus proprement une propriété dynamique ; 2° Si l
n une mesure égale, le sujet perçoit ces sortes de résistance qu’on a
appelées
secundo-premières, mais que je préfère classer so
perçue est de l’espèce qu’on nomme communément premières, mais qu’on
appellera
ici statiques. L’auteur, dans une analyse longue
raisonnement qui est si près d’être automatique qu’on ne doit plus l’
appeler
un raisonnement. L’astronome qui, par des raisonn
L’astronome qui, par des raisonnements quantitatifs élaborés que nous
appelons
calculs, conclut que le passage de Vénus commence
s d’états de conscience à peu près parallèles, que M. Herbert Spencer
appelle
l’agrégat vif (le monde extérieur) et l’agrégat f
s être indiqués ; 10° Appartiennent à un tout restreint à ce que nous
appelons
mémoire La différenciation complète du sujet et
commune, de l’enfant du paysan ? — Nullement ; c’est ce que l’auteur
appelle
le réalisme transfiguré. Pour le faire comprendre
ar le cube sur le cylindre représente cet état de conscience que nous
appelons
une perception. Nous savons que la figure projeté
tilitaire, conseillerait plutôt l’égoïsme. Par deux côtés, donc, elle
appelait
un contrepoids. Ou plutôt elle en était déjà muni
onc le rôle, telle est la signification de la religion que nous avons
appelée
statique ou naturelle. La religion est ce qui doi
oses ne diffèrent-elles pas au point de s’exclure, et de ne pouvoir s’
appeler
du même nom ? Il y a bien des raisons, cependant,
radicalement de nature et qui ne sembleraient pas, d’abord, devoir s’
appeler
de la même manière. Le contraste est frappant dan
était d’une intellectualité supérieure ; une seconde, qu’on pourrait
appeler
orphique, aboutit au pythagorisme, c’est-à-dire à
en société, et, par l’effet d’une fonction naturelle, que nous avons
appelée
fabulatrice, il projette autour de lui des êtres
aration : le recours à la boisson enivrante que les uns et les autres
appelaient
« soma ». C’était une ivresse divine, comparable
circulairement. Elle s’arrête, comme si elle écoutait une voix qui l’
appelle
. Puis elle se laisse porter, droit en avant. Elle
, et cette agitation dans le repos est caractéristique de ce que nous
appelons
le mysticisme complet : elle exprime que l’élan a
émotion où son âme se sentait fondre tout entière, ce qu’on pourrait
appeler
l’humilité divine ? Déjà dans le mysticisme qui s
des rites, des cérémonies, des croyances même de la religion que nous
appelions
statique ou naturelle. C’était son intérêt, car s
enrichisse de son mysticisme. Par là s’explique le rôle qu’il se sent
appelé
à jouer d’abord, celui d’un intensificateur de la
paraît la divinité de tous les hommes, il importe peu que le Christ s’
appelle
ou ne s’appelle pas un homme. Il n’importe même p
té de tous les hommes, il importe peu que le Christ s’appelle ou ne s’
appelle
pas un homme. Il n’importe même pas qu’il s’appel
s’appelle ou ne s’appelle pas un homme. Il n’importe même pas qu’il s’
appelle
le Christ. Ceux qui sont allés jusqu’à nier l’exi
ibué autant que le prophétisme juif à susciter le mysticisme que nous
appelons
complet, celui des mystiques chrétiens. La raison
rait de sa perfection ; 2º pourquoi, ayant posé ce principe, l’a-t-il
appelé
Dieu ? Mais à l’une et à l’autre la réponse est f
té une Pensée qui est à peine, semble-t-il, un Être pensant, que nous
appellerions
plutôt Idée que Pensée. Par là, le Dieu d’Aristot
l’on envisage Dieu du point de vue aristotélique et si l’on consent à
appeler
de ce nom un être que les hommes n’ont jamais son
on. Remarquons d’abord que les mystiques laissent de côté ce que nous
appelions
les « faux problèmes ». On dira peut-être qu’ils
’il ne s’agissait que des médiocres habitants du coin d’univers qui s’
appelle
la Terre. Mais, nous le disions jadis, il est vra
stion, l’intuition mystique la pose en y répondant. Des êtres ont été
appelés
à l’existence qui étaient destinés à aimer et à ê
ssi un progrès éventuel de notre connaissance. Voilà pour ce que nous
appellerions
l’expérience d’en bas. Transportons-nous alors en
ent agissant chez les grands mystiques chrétiens M. Henri Delacroix a
appelé
l’attention dans un livre qui mériterait de deven
ençait à être las des drames de M. Hugo, qui étaient fous quand ils s’
appelaient
Ruy Blas et ennuyeux quand ils s’appelaient les B
étaient fous quand ils s’appelaient Ruy Blas et ennuyeux quand ils s’
appelaient
les Burgraves. Le moment était bien choisi pour s
place était prise, et je me disais tout bas qu’il serait dur de ne s’
appeler
que Thomas Ponsard. La Fille d’Eschyle parut, et
s uniquement l’Archimède… M. Autran est, en poésie, ce qu’on pourrait
appeler
un rude travailleur, et, s’il ne l’est pas, si, e
ssus de tout cela ! Cette pauvre petite comédienne de Lyon… comment l’
appelez
-vous ?… » Et lui-même avait aussitôt retrouvé le
le mutuel attachement de Mme Valmore et de M. Raspail, celui qu’elle
appelait
« bon Socrate », — « bon et sublime prisonnier »,
ille adoptive106, qui la comprenez si bien ; et permettez-moi de vous
appeler
ma muse, puisque mon prosaïque lot ne me donne au
er ma muse, puisque mon prosaïque lot ne me donne aucun droit de vous
appeler
ma sœur ; et soyez sûre qu’en vous admirant, je v
avez été bercé par la poésie, vous avez été élevé par une muse que j’
appelais
la dixième, la muse de la vertu. Restez, monsieur
e plus grand esprit féminin de notre temps. » Je me contenterais de l’
appeler
« l’âme féminine la plus pleine de courage, de te
vos productions et se révèle dans toutes vos paroles. » — Brizeux l’a
appelée
: « Belle âme au timbre d’or. » — Victor Hugo, en
nomme encore aujourd’hui le chant ambroisien, que quatre modes, qu’on
appelle
les autentiques. Ce chant en étoit toujours plus
opres et fréquens au théatre. Saint Grégoire qui regla le chant qu’on
appelle
gregorien, environ cinquante ans, après que les t
e voix imitez de la prononciation des étrangers. Voilà ce que Ciceron
appelle
une nouvelle mode venuë d’ailleurs. Jugeons, fait
lamation qu’il censure, de dégenerer quelquefois en criaillerie. Il l’
appelle
, (…). Cet auteur raconte encore que Domitius Afer
ement parlant, qu’une suite de notes longues, et ce que les musiciens
appellent
quelquefois du gros fa. Le mouvement de l’executi
, et quand il commença de composer pour les ballets de ces airs qu’on
appelle
des airs de vitesse. Comme les danseurs qui execu
ulli d’en composer qui fussent à la fois et vîtes et caracterisez. On
appelle
communément des airs caracterisez ceux dont le ch
ut encore observer qu’en Grec à marque 1. Privation, & alors on l’
appelle
alpha privatif, ce que les Latins ont quelquefois
dmire. En terme de Grammaire, & sur-tout de Grammaire Greque, on
appelle
a pur un a qui seul fait une syllabe comme en φιλ
aire, c’est-à-dire qui commence, qui n’est pas encore bien savant. On
appelle
aussi Abécédaires les personnes qui montrent à li
ges. C’est ainsi que Priscien, frappé de l’un des usages de ce cas, l’
appelle
cas comparatif ; parce qu’en effet on met à l’abl
Paulus est doctior Petro ; Paul est plus savant que Pierre. Varron l’
appelle
cas latin, parce qu’il est propre à la Langue Lat
vec une inflexion différente : Lutetioe est dans un cas oblique qu’on
appelle
génitif, dont l’usage est de déterminer le nom au
. imperante Coesare Augusto, deleto exercitu, sont des ablatifs qu’on
appelle
communément absolus, parce qu’ils ne paroissent p
elle est supprimée devant les ablatifs que les Grammairiens vulgaires
appellent
absolus, il faut la suppléer, si l’on veut rendre
ais usage que nous pouvons faire des facultés de notre entendement, s’
appelle
Logique. Nous avons vû divers animaux cesser de v
la ligne commence ; l’autre, celui où elle finit : ces termes je les
appelle
points, & je n’attache à ce concept que l’idé
m, supin du verbe accinere qui vient de ad & cancre : les Grecs l’
appellent
προσῳδία, modulatio quoe syllabis adhibetur, vena
n des mots, & qui a divers usages. & ᾠδὴ, cantus, chant. On l’
appelle
aussi τόνος, ton. Il faut ici distinguer la chose
ce que M. l’Abbé d’Olivet, dans son excellent Traité de la Prosodie,
appelle
accent national. Pour bien parler une langue viva
le rabaissent ensuite sur la même syllabe. Le ton élevé est ce qu’on
appelle
accent aigu ; le ton bas ou baissé est ce qu’on n
, la colere & les autres passions c’est ce que M. l’Abbé d’Olivet
appelle
l’accent oratoire. 5. Enfin, il y a à observer le
nciation par des points, & par d’autres signes que les Hébraïsans
appellent
accens ; desorte qu’ils donnent ce nom, non-seule
ier. Telle est, pour ainsi dire, la substance du mot, c’est ce qu’ils
appellent
nominis positio : ensuite ils ont fait des observ
abli : le mot Lion a été d’abord destiné à signifier cet animal qu’on
appelle
Lion : je viens de la foire, j’y ai vû un beau Li
uent de quelque mode, de quelque tems, ou de quelque personne, on les
appelle
défectifs. A l’égard des prépositions, elles sont
ACCUSATIF ACCUSATIF, s. m. terme de Grammaire ; c’est ainsi qu’on
appelle
le 4e cas des noms dans les Langues qui ont des d
dit Varron, afin que celui qui parle puisse faire connoître, ou qu’il
appelle
, ou qu’il donne, ou qu’il accuse. Sunt destinat
ui de premier, second, & ainsi de suite jusqu’à l’ablatif, qu’ils
appellent
le sixieme cas. Mais il suffit d’observer que l’u
raint à celui que leur dénomination énonce. Tel est un Seigneur qu’on
appelle
Duc ou Marquis d’un tel endroit ; il n’en est pas
les verbes actifs ont une voix active & une voix passive : on les
appelle
aussi actifs transitifs, parce que l’action qu’il
nner à ces objets les qualifications dont nous venons de parler, nous
appellerons
ces sortes d’adjectifs adjectifs physiques. Remar
s qui expriment ces sortes de vûes ou considérations, sont ceux que j’
appelle
adjectifs métaphysiques, ce qui s’entendra mieux
dit, voilà le premier ; de sorte que l’arbre que chacun de ces hommes
appelle
le premier est le dernier par rapport à l’autre h
arquer le singulier. Le substantif est-il de la classe des noms qu’on
appelle
masculin : l’adjectif doit avoir le signe destiné
une maniere établie pour marquer les rapports ou points de vûe qu’on
appelle
cas : l’adjectif doit encore se conformer ici au
tif ; parce qu’il n’est qu’un avec lui. C’est ce que les Grammairiens
appellent
la concordance de l’adjectif avec le substantif,
ue ; ce qui fait voir que le g de long est le g fort que les Modernes
appellent
gue : il est bon dans ces occasions d’avoir recou
nent pas à la main la liberté de faire de ces figures inutiles qu’ils
appellent
traits ; il faut regarder cet x comme une véritab
e parler, les adjectifs sont encore sujets à un autre accident, qu’on
appelle
les degrés de comparaison, & qu’on devroit pl
t que les mots ont entr’eux dans la proposition que ces mots forment,
appellent
adjoint ou adjoints les mots ajoûtés à la proposi
ent un point exclamatif ; ce point se marque ainsi ! Les Imprimeurs l’
appellent
simplement admiratif, & alors ce mot est subs
ont en usage, & regardés comme formant un ensemble, sont ce qu’on
appelle
la langue de cette société. C’est le concours d’u
mplir ce dessein, firent enfin imaginer ces signes particuliers qu’on
appelle
lettres, dont chacune fut destinée à marquer chac
ion des mots de cette langue, & cette table ou liste est ce qu’on
appelle
l’alphabet d’une langue. Ce nom est formé des deu
quoiqu’avec bien de la peine, la distinction de l’u consonne v, qu’on
appelle
ve, & qu’on n’écrit plus comme on écrit l’u v
si a. 2°. L’italique, a. 3°. L’alphabet de l’écriture que les Maîtres
appellent
françoise, ronde, ou financiere, où l’e se fait a
dum pulcherrima. Virg. Ecl. vj. v. 20. Il y a une autre figure qu’on
appelle
épanadiplose, qui se fait, lorsque de deux propos
l’analogie. Par exemple, il y a dans le ciel une constellation qu’on
appelle
lion ; l’analogie qu’il y a entre ce mot & le
rendre favorables, & pour se faire un bon augure ; c’est ce qu’on
appelle
euphémisme, c’est-à-dire, discours de bon augure
ait au milieu du mot, c’est une syncope ; s’il se fait à la fin, on l’
appelle
apocope. (F) APOCOPE APOCOPE, s. f. (Gram
pport aux différentes especes de chiens ; car il y a des chiens qu’on
appelle
dogues, d’autres limiers, d’autres épagneuls, d’a
APPOSITION, s. f. terme de Grammaire, figure de construction, qu’on
appelle
en Latin epexegesis, du Grec ἐπεξήγησις, composé
APRE, terme de Grammaire Greque : Il y a en Grec deux signes qu’on
appelle
esprits ; l’un appellé esprit doux, & se marq
ettre comme une petite virgule, ἐγὼ, moi, je. L’autre est celui qu’on
appelle
esprit âpre, ou rude ; il se marque comme un peti
levation est suivie de l’abaissement de la voix, & c’est ce qui s’
appelle
thesis, θέσις, depositio, remissio. Par exemple,
ans la suite, surtout par les exemples. Les mots que les Grammairiens
appellent
articles, n’ont pas toûjours dans les autres lang
inaisons des noms, sont indiquées en Hébreu par des prépositifs qu’on
appelle
préfixes, & qui sont liés aux noms, à la mani
pareille disposition d’esprit, se sont fait de ces prépositifs qu’on
appelle
articles ; nous nous arrêterons principalement à
ut énoncer l’objet qui est le terme de ce motif, & c’est ce qu’on
appelle
le complément de la préposition : par exemple, il
formés de l’article & de da, qui signifie par, che, de. Buommatei
appelle
ces trois mots di, a, da, des segnacasi, c’est-à-
Pilate mirent sur la tête de Jesus-Christ, S. Marc (ch. xv. v. 17.) l’
appelle
spineam coronam, & S. Matth. (ch. xv. v. 29.)
i n’a point les qualités communes & particulieres à tout ce qu’on
appelle
animal. Médor eut donc alors trois noms, Médor, c
us a donné lieu de nous former ces divers noms d’espece, est ce qu’on
appelle
la différence. On peut remonter de l’individu jus
une classe particuliere que je place d’un côté sous être & que j’
appelle
animaux ; & de l’autre côté je place les être
des minéraux ; chacune de ces classes en a d’autres sous elle, on les
appelle
les especes inférieures, dont enfin les dernieres
ement. Ce sont ces trois sortes de vûes de l’esprit que les Logiciens
appellent
l’étendue de la préposition. Tout discours est co
on : ainsi il a de l’argent, c’est il a une portion de ce tout, qu’on
appelle
argent, esprit, &c. La préposition de est alo
moi quelque chose de le pain, de ce tout spécifique individuel qu’on
appelle
pain ; le nombre des pains que vous avez apportés
er ou singulier ; ce seroit tomber dans le sophisme que les Logiciens
appellent
passer de l’espece à l’individu, passer du généra
iaris, & signifie qui vient au secours. En terme de Grammaire, on
appelle
verbes auxiliaires le verbe être, & le verbe
ms sont appellés tems composés. Il y a dans les verbes des tems qu’on
appelle
simples, c’est lorsque la valeur du verbe est éno
énoncés en deux mots. Il y a même des tems doublement composés, qu’on
appelle
sur-composés, c’est lorsque le verbe est énoncé p
nt le plus à les exprimer ; ainsi le b est une des cinq lettres qu’on
appelle
labiales, parce que les levres sont principalemen
voyelles sont quelquefois suivies d’un son nasal, qui fait qu’on les
appelle
alors voyelles nasales. Ce son nasal est un son q
e, pour répondre à une façon de parler futile. Festus dit que Noevius
appelle
butubata ce qu’on dit des phrases vaines qui n’on
oir, recevoir, &c. alors on met sous le c une petite marque qu’on
appelle
cédille, ce qui pourroit bien être le même sigma
urd’hui à lire, à Paris, donnent une double dénomination au c ; ils l’
appellent
ce devant e & devant i, ainsi en faisant épel
ils font dire ce, e, ce : ce, i, ci. A l’égard du c dur ou sec, ils l’
appellent
ke ou que ; ainsi pour faire épeler cabane, ils f
ux prononciations : c’est pourquoi Diomede, lib. II. cap. de litterâ,
appelle
le g lettre nouvelle. Quoique nous ayons un carac
arlant du croissant que les sénateurs portoient sur leurs souliers, l’
appelle
τὸ Ῥωμαϊκὸν κάππα ; faisant assez voir par-là que
aux, & en emblématiques. Les caracteres nominaux sont ce que l’on
appelle
proprement des lettres qui servent à écrire les n
ain ; 1°. la batarde, qui est le plus en usage, & que les maîtres
appellent
aussi italienne ; 2°. la ronde ou financiere nomm
r exprimer les nombres ; ce sont des lettres ou des figures, que l’on
appelle
autrement chiffres. Les especes de caracteres, qu
vi, pour exprimer les nombres. Le caractere commun est celui que l’on
appelle
ordinairement le caractere Arabe, parce que l’on
té inventé par les Astronomes Arabes ; quoique les Arabes eux-mêmes l’
appellent
le caractere Indien, comme s’ils l’avoient emprun
teres Arabes, savoir, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 0, dont le dernier s’
appelle
en latin cyphra ; en France, on donne en général
ers ou rompus. + Est le signe de ce qui existe réellement, & on l’
appelle
signe affirmatif ou positif, il fait comprendre q
pour ainsi dire, en d’autres terminaisons, fait les autres cas qu’on
appelle
obliques. Nominativus sive rectus, cadens à suâ t
e qu’on en a sans aucune modification ; & c’est pour cela qu’on l’
appelle
aussi le cas direct, rectus : quand un nom est au
’infinitif. Voyez Accusatif . Le vocatif sert à appeller ; Priscien l’
appelle
aussi salutatorius, vale domine ; bon jour monsie
ans un certain ordre toutes les terminaisons d’un nom, c’est ce qu’on
appelle
décliner : c’est encore une métaphore ; on commen
e de ces trois lettres, ils y souscrivent la cedille, c’est ce qu’ils
appellent
c con cedilla, c’est-à-dire c avec cedille. Au re
ent des mots sage, second, si, sobre, sucre (F) * Le c avec cedille s’
appelle
, soit en Fonderie de caracteres, soit en Imprimer
premiere est appellée la premiere de la deuxieme, & la deuxieme s’
appelle
la deuxieme de la deuxieme. Chaque partie est div
ngenii. Ce que Quintilien en dit, doit plûtôt se rapporter à ce qu’on
appelle
parmi nous faire composer & donner les places
e des caracteres dont on s’est servi pour les écrire ; c’est ce qu’on
appelle
lettres en chiffres. Voyez Chiffre & Déchiffr
rte *, … a ; ainsi des autres signes. Or ces sortes d’alphabets qu’on
appelle
clés en terme de Stéganographie, c’est une métaph
lesquels la Bruyere les a cachés ; cette liste, dis-je, est ce qu’on
appelle
la clé de la Bruyere. C’est ainsi qu’on dit la cl
ars bestiis objecti. On rapporte ces constructions à une figure qu’on
appelle
syllepse ; d’autres la nomment synthese : mais le
s se sont servi de ce mot pour désigner le signe de ponctuation qu’on
appelle
les deux points. Mais nos Grammairiens François d
t ; la victoire s’arrête ; la fortune chancele ; c’est ce que Cicéron
appelle
incisim dicere. Cic. orat. chap. lxvj. & lxvi
céron appelle incisim dicere. Cic. orat. chap. lxvj. & lxvij. On
appelle
aussi comma une sorte de ponctuation qui se marqu
tion à l’égard des verbes. Pour bien entendre ce que les Grammairiens
appellent
genre commun, il faut observer que les individus
mot désigne également un homme ou une femme. A l’égard des verbes, on
appelle
verbes communs ceux qui, sous une même terminaiso
roposition ou dans la même énonciation, entre ce que les Grammairiens
appellent
les accidens des mots, dictionum accidentia ; tel
être au même genre, au même nombre, & au même cas. C’est ce que j’
appelle
uniformité d’accidens, & c’est ce qu’on appe
. C’est ce que j’appelle uniformité d’accidens, & c’est ce qu’on
appelle
concordance ou accord. Les Grammairiens distingu
des cas. Tel est l’effet du rapport d’identité, & c’est ce qu’on
appelle
concordance. 2. A l’égard du rapport de détermin
endres, de chaux vive, d’huile, &c. En termes d’arithmétique, on
appelle
nombre concrets ceux qui sont appliqués à quelque
si, comme le soufre & le mercure forment le concret naturel qu’on
appelle
cuivre, de même l’humanité jointe à un tel sujet
sens à un autre sens ; la conjonction & est une conjonctive, on l’
appelle
aussi copulative. La disjonctive est opposée à l
rapprocher ces deux sens, & en former l’un de ces ensembles qu’on
appelle
période, j’apperçois d’abord de la disconvenance,
Les Grammairiens, sur chaque partie du discours, observent ce qu’ils
appellent
les accidens ; or ils en remarquent de deux sorte
°. la simplicité & la composition ; c’est ce que les Grammairiens
appellent
la figure. Ils entendent par ce terme, la proprié
n. 1°. Conjonctions copulatives. Et, ni, sont deux conjonctions qu’on
appelle
copulatives du Latin copulare, joindre, assembler
veut, tantôt il ne veut pas. Ces conjonctions, que M. l’abbé Girard
appelle
alternatives parce qu’elles marquent une alternat
Si, soit, pourvû que, à moins que, quand, sauf, M. l’abbé Girard les
appelle
hypothétiques, c’est-à-dire condition elles, parc
t, néanmoin, toutefois. Il y a des conjonctions que M. l’abbé Girard
appelle
extensives, parce qu’elles lient par extension d
ion que : ce mot est d’un grand usage en François, M. l’abbé Girard l’
appelle
conjonction conductive, parce qu’elle sert à cond
ems à vivre, & nous ne cherchons qu’à le perdre. M. l’abbé Girard
appelle
alors cette conjonction restrictive. Au fond cet
n les employe aussi au singulier : c’est ce qu’un de nos Grammairiens
appelle
le singulier de politesse. Il y aussi un singulie
A ce, deux nombres les Grecs en ajoûtent encore un troisieme, qu’ils
appellent
duel : les terminaisons du duel sont destinées à
un usage particulier du mot de personne par rapport au discours. Ils
appellent
premiere personne celle qui parle, parce que c’es
ins, quelques grammairiens pratiques en ajoutent une cinquieme qu’ils
appellent
mixte, parce qu’elle est composée de la troisieme
re réguliers, & ceux qui ont des terminaisons particulieres, sont
appelles
anomaux, c’est-à-dire, irréguliers, (R. [non repr
e verbe est rapporté à son espece suivant la terminaison du thême. On
appelle
thême, en termes de grammaire greque, la premiere
es tems. La premiere espece de conjugaison est celle des verbes qu’on
appelle
barytons, de βαρύς grave, & de τόνος ton, acc
abe ; & quoique aujourd’hui cet accent ne se marque point, on les
appelle
pourtant toujours barytons, τείνω tendo ; τύπτω v
figurative, c’est-à-dire, la lettre qui précede la terminaison : on l’
appelle
aussi caractéristique, ou lettre de marque. On do
ment du verbe, lorsqu’on change une breve en une longue, est ce qu’on
appelle
augment ; ainsi il y a deux sortes d’augments. 1.
de consonnance, & selon la variété de la position des mots : ils
appellent
paranomasie la consonnance qui résulte du jeu des
on. Ce mouvement par lequel les poumons reçoivent l’air, est ce qu’on
appelle
inspiration. Quand la poitrine s’affaisse, l’air
al par où l’air extérieur entre dans les poumons & en sort : on l’
appelle
trachée-artere ; trachée, c’est-à-dire rude, à ca
qui donne passage à l’air que nous respirons ; c’est ce que le peuple
appelle
la pomme ou le morceau d’Adam. Les Anatomistes la
la glotte ; ce qui les empêche d’entrer dans la trachée-artere, on l’
appelle
épiglotte ; ἐπὶ, super, sur, & γλῶττα ou γλωτ
font sonner comme les cordes d’un instrument de musique : M. Ferrein
appelle
ces rubans cordes vocales. Les muscles du larynx
’y sont pas accoûtumés. Nous n’avons de son guttural que le hé, qu’on
appelle
communément ache aspirée : cette aspiration est l
on s’énonce avec une sorte de modulation particuliere, c’est ce qu’on
appelle
accent national ou accent provincial. On en contr
ettre B que j’ai observée dans les mots Babylone, Bibus, &c. je l’
appellerai
be, comme on le prononce dans la derniere syllabe
spagnols marquent ce son par un n surmonté d’une petite ligne, qu’ils
appellent
tilde, c’est-à-dire titre… [non reproduit]Montaña
ire naître dans l’esprit de ceux qui savent la langue, c’est ce qu’on
appelle
syntaxe. La syntaxe est donc la partie de la Gram
nciative, c’est celle par laquelle seule les mots font un sens : on l’
appelle
aussi construction simple & construction natu
isieme sorte d’arrangement est le plus en usage ; c’est pourquoi je l’
appelle
construction usuelle. 1°. De la construction simp
tte montre ; Auguste vainquit Antoine ; c’est ce que les Grammairiens
appellent
la voix active : ou bien la construction énonce l
à l’agent, selon le langage des philosophes ; ce que les Grammairiens
appellent
a voix passive : le monde a été créé par l’Etre t
en tel ou tel de ces accidens qui donnent lieu à ce que les Logiciens
appellent
des dénominations externes : il est aimé, il est
ue M. de Pourceaugnac est atteint & convaincu de la maladie qu’on
appelle
mélancholie hypochondriaque ; & qu’ainsi ne s
cognoscere causas rerum est felix. Il y a une sorte d’ellipse qu’on
appelle
zeugma, mot gree qui signifie connexion, assembla
culiers, & qu’il est sousentendu en chacun. Voilà l’ellipse qu’on
appelle
zeugma. Ainsi le zeugma se fait lorsqu’un mot exp
c’est un pléonasme. III. La troisiéme sorte de figure est celle qu’on
appelle
syllepse ou synthese : c’est lorsque les mots son
ns les meilleurs auteurs Latins on observe des phrases greques, qu’on
appelle
des hellenismes : c’est par une telle imitation q
&c. VI. On rapporte à l’hellenisme une figure remarquable, qu’on
appelle
attraction : en effet cette figure est fort ordin
oisieme sorte de construction est composée des deux précédentes. Je l’
appelle
construction usuelle, parce que j’entens par cett
ver autant que la convenance des différens styles le permet, ce qu’on
appelle
le nombre, le rythme, l’harmonie, &c. Je ne m
ranger les mots selon l’ordre dont nous parlons, & c’est ce qu’on
appelle
faire la construction ; après quoi on accoûtume l
itions ont alors entre elles, forment un sens total que les Logiciens
appellent
proposition composée ; & ces propositions qui
bre de la période, κῶ λον. Si le sens est énoncé en peu de mots, on l’
appelle
incise, κόμμα, segmen, incisum. Si tous les sens
énoncés en peu de mots ; c’est le style coupé : c’est ce que Cicéron
appelle
incisim dicere, parler par incise. C’est ainsi, c
tre le sujet personnel & l’attribut d’une autre proposition qu’on
appelle
proposition principale, parce que celle-ci contie
be entre le sujet & l’attribut de la proposition principale, on l’
appelle
proposition incidente ; qui en est le sujet : ce
sition principale ; celui étant le sujet, est ce que les Grammairiens
appellent
le nominatif du verbe. Ne marche point dans les
e ensuite singularisée, appliquée, déterminée par un autre mot, qu’on
appelle
par cette raison le complément de la préposition
n jugement, mais quelque considération particuliere de l’esprit. On l’
appelle
énonciation Les propositions et les énonciatio
ion absolue ou complette, Proposition relative ou partielle. On les
appelle
aussi correlatives. L’ensemble des propositions
atives dont les Logiciens ne font qu’une proposition composée, qu’ils
appellent
proposition disjonctive. Telles sont encore les
z bien, vous deviendrez savant ; voilà une proposition composée qu’on
appelle
conditionnelle. Ces propositions sont composées d
d’où dépend un effet que l’autre énonce. Celle où est la condition s’
appelle
l’antécédent, si vous étudiez bien ; celle qui én
vant & vertueux. Voilà une proposition composee que les Logiciens
appellent
causale, du mot parce que qui sert à exprimer la
elle ne peut pas ôter la vertu : voilà une proposition composée qu’on
appelle
adversative ou discrétive, du latin discretivus (
ions particulieres, & qui par cette liaison forment un tout qu’on
appelle
proposition composée. On fait ensuite aisément la
nstruction détaillée de chacune des propositions particulieres, qu’on
appelle
aussi partielles ou correlatives. Je ne parle poi
, tel est l’hébreu, où le verbe indique même le genre. Voilà ce que j’
appelle
rapport ou raison d’identité, du latin idem. II.
ntité : urbs Roma, Roma quoe est urbs ; c’est ce que les Grammairiens
appellent
apposition. C’est ainsi que nous disons le mont P
ition. Ces sortes de sens sont souvent exprimés en un seul mot, qu’on
appelle
adverbe. Sans souci, voilà encore une prépositio
ui ont des cas, il est indiqué par une terminaison particuliere qu’on
appelle
accusatif ; ensorte qu’après que toute la phrase
s passions. Il y a donc ici une de ces propositions que les Logiciens
appellent
adversative ou discrétive. Nous, est le sujet ;
ction que dans la proposition précédente. Et déchirer un coeur qui l’
appelle
à son aide, Est tout l’effet qu’elle produit. La
s propositions grammaticales ; car il y a trois verbes à l’indicatif,
appelle
, est, produit. Déchirer un coeur est tout l’effe
est donc le sujet ; & est tout l’effet, c’est l’attribut. Qui l’
appelle
à son aide, c’est une proposition incidente. Qui
en est le sujet ; ce qui est le pronom relatif qui rappelle coeur. L’
appelle
à son aide, c’est l’attribut de qui ; la est le t
e à son aide, c’est l’attribut de qui ; la est le terme de l’action d’
appelle
; appelle elle, appelle la raison. Qu’elle produ
de, c’est l’attribut de qui ; la est le terme de l’action d’appelle ;
appelle
elle, appelle la raison. Qu’elle produit, elle p
tribut de qui ; la est le terme de l’action d’appelle ; appelle elle,
appelle
la raison. Qu’elle produit, elle produit lequel
ent il n’y a là qu’une seule proposition. Et déchirer un coeur qui l’
appelle
à son aide : ces mots font un sens total, qui est
ause de leur accent. Il y a deux sortes de contractions ; l’une qu’on
appelle
simple, c’est lorsque deux syllabes se réunissent
chrese. Il y a une autre sorte de contraction que la méthode de P. R.
appelle
mêlée, & qu’on nomme crase, mot grec qui sign
ment à l’état ordinaire du mot où il est sans figure. La figure qu’on
appelle
crase se fait lorsque deux voyelles se confondant
explication, un mot en une autre langue, & autres semblables. On
appelle
aussi crochets, certains signes dont on se sert d
ns les rudimens latins. Sanctius & quelques autres grammairiens l’
appellent
casus praepositionis, c’est-à-dire cas affecté un
ont des cas, on donne alors au nom une terminaison particuliere qu’on
appelle
accusatif, pour la distinguer des autres terminai
e patrem est à l’accusatif ? c’est parce qu’il a la terminaison qu’on
appelle
accusatif dans les rudimens latins. Mais si selon
lieu aux Grammairiens de les ranger sous un mode particulier, qu’ils
appellent
optatif ; mais en latin comme les mêmes inflexion
a langue. Il y a des noms dont la terminaison ne varie point ; on les
appelle
indéclinables : tels sont en latin veru & cor
naison absolue ; musa, dominus, &c. C’est ce que les Grammairiens
appellent
le cas direct, in recto. Les autres terminaisons
ur de le, au pour à le, des pour de les, & aux pour à les. On les
appelle
définis, parce que ce sont des prénoms ou préposi
de mettre la préposition de ou la préposition a, que les grammairiens
appellent
alors mal-à-propos articles indéfinis ; ainsi le
ont quitté la signification passive ; & c’est pour cela qu’on les
appelle
déponens, du latin deponens, participe de deponer
deponens, participe de deponere, quitter, déposer. M. de Valenge les
appelle
verbes masqués, parce que sous le masque, pour ai
comme quand on dit le dérivé suppose un autre mot dont il dérive. On
appelle
dérivé, un mot qui vient d’un autre qu’on appelle
dont il dérive. On appelle dérivé, un mot qui vient d’un autre qu’on
appelle
primitif. Par exemple, mortalité est dérivé de mo
diphthongues en vraies ou propres, & en fausses ou impropres. Ils
appellent
aussi les premieres, diphthongues de l’oreille, &
un e, ne sont diphthongues qu’aux yeux ; c’est improprement qu’on les
appelle
diphthongues. Nos voyelles sont a, é, è, é, i, o,
jectif : mais on fait souvent ce mot substantif ; une conjonctive. On
appelle
aussi ces conjonctions alternatives, partitives,
ne les syllabes qui peuvent y entrer, & on y joint le tiret qu’on
appelle
division, parce qu’il divise ou sépare le mot en
, vis-à-vis, &c. en ces occasions il n’y a que les Imprimeurs qui
appellent
ce signe division ; les autres le nomment trait d
ar un e muet moins foible : Rien ne peut l’arrêter Quand la gloire l’
appelle
. Cet eu qui est la forte de l’e muet, est une vé
sent & s’y appuient, & voilà pourquoi, encore un coup, on les
appelle
enclitiques. Il y a, sur-tout en grec, plusieurs
vent de la respiration, un soufle. En termes de Grammaire greque, on
appelle
esprit, un signe particulier destiné à marquer l’
ne, héros, & que de plus nous avons une h qu’on écrit, mais qu’on
appelle
muette, parce qu’on ne la prononce point, comme d
la fin d’un mot, les Grammairiens disent que c’est une figure qu’ils
appellent
paragoge. Parmi nous, dit M. l’abbé Regnier, dans
u discours. Je l’ai vû, dis-je, vû, de mes propres yeux vû, Ce qu’on
appelle
vû. Moliere, Tartuffe, act. v. sc. 3. Et je ne
rdre de cet alphabet. Le f est aussi la quatrieme des consonnes qu’on
appelle
muettes, c’est-à-dire de celles qui ne rendent au
dectes, mot grec, quoique ce livre ne fût écrit qu’en latin. Quand on
appelle
ce recueil digeste, on le cite en abregé par la p
singuliers qui s’éloignent de cette premiere destination, & qu’on
appelle
figures. Je vais faire entendre ma pensée par des
gez l’état original du mot, vous vous en écartez par une figure qu’on
appelle
syncope : c’est ainsi qu’Horace a dit evasti pour
e amari, être aimé, vous disiez amarier, vous faites une figure qu’on
appelle
paragoge. Autre exemple : ces deux mots Céres &am
guere à faire l’amour quand or n’a pas dequoi vivre : cette figure s’
appelle
métonymie. I. Les figures sont distinguées l’une
qui arrivent aux lettres ou sons dont les mots sont composés : on les
appelle
figures de diction. II. Ou par rapport à la const
e diction. II. Ou par rapport à la construction grammaticale ; on les
appelle
figures de construction. III. La troisieme classe
on. III. La troisieme classe de figures de mots, ce sont celles qu’on
appelle
tropes, par rapport au changement qui arrive alor
II. Le retranchement se fait de même. 1°. Au commencement, & on l’
appelle
aphérese, ἀφαίρεσις, comme dans Virgile temere po
syllabes se réunissent en une sans rien changer dans l’écriture : on
appelle
cette contraction synérèze ; comme lorsqu’au lieu
our mihi-ne ? Ces diverses altérations, dans le matériel des mots, s’
appellent
d’un nom général, métaplasme, μεταπλασμὸς, transf
subditos, suppléez officium, &c. Il y a une sorte d’ellipse qu’on
appelle
zeugma, mot grec qui signifie connexion, assembla
e, commence par une transposition : dans une contrée d’Espagne, qu’on
appelle
la Manche, vivoit, il n’y a pas long-tems, un gen
insi que dans les auteurs latins on observe des phrases greques qu’on
appelle
des hellénismes, qu’on doit pourtant toûjours réd
ber dit que synchysis est ordo dictionum confusior, & que Donat l’
appelle
hyperbate : en voici encore un exemple tiré d’Hor
ont mal à l’estomac ». Voici une cinquieme sorte d’hyperbate, qu’on
appelle
anacholuthon, ἀνακόλουθον, quand ce qui suit n’es
eurs disent que cela est un exemple incontestable de la figure qu’ils
appellent
antiptose, du grec, ἀντὶ, pro, qui entre en compo
e les voit que telles qu’elles sont. Il y a des figures de mots qu’on
appelle
tropes, à cause du changement qui arrive alors à
pris la peine de donner assez inutilement des noms particuliers. Ils
appellent
climax, lorsque le mot est répété, pour passer co
ures qui ont du rapport à celles dont nous venons de parler : l’une s’
appelle
similiter cadens, c’est quand les différens membr
par des tems dont la terminaison est semblable. L’autre figure qu’on
appelle
similiter desinens, n’est différente de la précéd
e ont un nombre de syllabes à-peu-près égal. Enfin observons ce qu’on
appelle
polysyndeton, πολυσύνδετον, de πολὺς, multus, σὺν
parler des figures de pensées ou de discours que les maîtres de l’art
appellent
figures de sentences, figuroe sententiarum, schem
ste à faire attendre une pensée qui surprend. Il y a une figure qu’on
appelle
congeries, assemblage ; elle consiste à rassemble
quelque mouvement pathétique placé à propos. Il y a une figure qu’on
appelle
optatio, souhait ; on s’y exprime ordinairement p
ntre atome & divisible ; étendu est donc un troisieme terme qu’on
appelle
le medium ou moyen, par lequel on apperçoit la co
vec les deux autres termes de la conclusion, est ce que les Logiciens
appellent
figure. 1°. Quand le moyen est sujet en la majeur
ifférens sens qui ne sont point le sens littéral, ni le sens moral, s’
appellent
aussi en général Sens tropologique, c’est-à-dire
urel & littéral de l’auteur dont on les emprunte ; c’est ce qu’on
appelle
sensus accommodatitius, sens adapté. Dans les pan
dre) a égalé sa vertu, & son bonheur n’a jamais eu de pareil … On
appelle
cela, dit il, une construction louche, parce qu’e
ue action ou impression faite en certaines parties du corps, que l’on
appelle
les organes des sens, qui communiquent cette impr
ux l’appeller une détermination de l’esprit à recevoir des idées ; il
appelle
sensations, les idées qui sont ainsi apperçues, o
auxquels nous donnons les noms de beaux & d’harmonieux ; que l’on
appelle
ces idée de beauté & d’harmonie, des percepti
u’on pouvoit donner la vue à un aveugle né, en lui abaissant ce qu’on
appelle
des cataractes, qu’il soupçonnoit formées dans se
amp; d’autres hommes que moi au monde. 2°. Il y a quelque chose qui s’
appelle
vérité, sagesse, prudence ; & c’est quelque c
as purement arbitraire. 3°. Il se trouve dans moi quelque chose que j’
appelle
intelligence, & quelque chose qui n’est point
ligence, & quelque chose qui n’est point intelligence & qu’on
appelle
corps. 4°. Tous les hommes ne sont point d’accord
onnement & de la réflexion. C’est-là ce que les autres moralistes
appellent
instinct moral, sentiment, espece de penchant ou
orps, & s’arrêtent sur la langue pour produire la sensation qu’on
appelle
le goût, & qui differe principalement de l’od
icate evangelium omni creaturae : Marc. xvj 15. C’est encore ce qu’on
appelle
la synecdoque du genre, parce qu’alors un mot gén
chant : il y a dans le chant une proportion qui se compte. Les Grecs
appellent
aussi ῥυθμὸς numerus, tout ce qui se fait avec un
qu’une espece particuliere, se prend pour le genre. C’est ainsi qu’on
appelle
quelquefois voleur un méchant homme : c’est alors
croyances2. C’était une coutume, à la fin de la cérémonie funèbre, d’
appeler
trois fois l’âme du mort par le nom qu’il avait p
ur le tombeau, les Platéens prononçaient une formule par laquelle ils
appelaient
les morts à venir prendre ce repas. Cette cérémon
les épithètes les plus respectueuses qu’ils pussent trouver ; ils les
appelaient
bons, saints, bienheureux28. Ils avaientpour eux
Grèce et en Italie. L’Hindou devait procurer aux mânes le repas qu’on
appelait
sraddha . « Que le maître de maison fasse le srad
» Ces âmes humaines divinisées par la mort étaient ce que les Grecs
appelaient
desdémons ou deshéros43. Les Latins leur donnaien
t Apulée, que les Mânes, lorsqu’ils étaient malfaisants devaient être
appelés
larves, et ils les appelaient Lares lorsqu’ils ét
rsqu’ils étaient malfaisants devaient être appelés larves, et ils les
appelaient
Lares lorsqu’ils étaient bienveillants et propice
46 ; et dans Cicéron : « Ceux que les Grecs nomment Démons, nous les
appelons
Lares47. » Cette religion des morts paraît être
lereprésente mesurant ses dons au culte qu’on lui rend58. Les Grecs l’
appelaient
le dieu de la richesse, κτήσιος59. Le père l’invo
ens lui offrent le vin, l’Hindou lui verse la liqueur fermentée qu’il
appelle
soma. Le repas est aussi un acte religieux, et le
mposait à toute religion. L’autel du feu sacré fut personnifié ; on l’
appela
έστία, Vesta ; le nom fut le même en latin, et en
lui remet. Dans un autre passage, Énée invoquait ces mêmes dieux les
appelle
à la fois Pénates, Lares et Vesta78. Nous avons v
, Lares et Vesta78. Nous avons vu d’ailleurs que ceux que les anciens
appelaient
Lares ou Héros n’étaient autres que les âmes des
au milieu de leur maison. Tous ces dieux, Foyer, Lares, Mânes, on les
appelait
les dieux cachés ou les dieux de l’intérieur95. P
. En échange de ces offrandes, ils réclament leur protection ; il les
appellent
leurs dieux, et leur demandent de rendre le champ
ent dans des temples et d’offrir à ces dieux des sacrifices, que l’on
appelait
les préludes du mariage107. Mais la partie princi
ui étaient revêtus chez les Grecs d’un caractère sacerdotal et qu’ils
appelaient
hérauts110. La jeune fille est ordinairement plac
r d’elle un hymne religieux, qui a pour refrain ὦ ὑμήν, ὦ ὑμέναιε. On
appelait
cet hymne l’hyménée, et l’importance de ce chant
devait durer qu’autant que durait la famille. Aussi les lois de Manou
appelaient
-elles le fils aîné « celui qui est engendré pour
n mariage religieux. Le bâtard, l’enfant naturel, celui que les Grecs
appelaient
νόθος et les Latins spurius, ne pouvait pas rempl
la religion domestique. Aussi, dans le vieil Eschyle, le fils est-il
appelé
le sauveur du foyer paternel144. L’entrée de ce f
dixième ou le douzième145. Ce jour-là, le père réunissait la famille,
appelait
des témoins, et faisait un sacrifice à son foyer.
it admis dans cette sorte de société sainte et de petite église qu’on
appelait
la famille. Il en avait la religion, il en pratiq
re de la famille. Chapitre V. De la parenté. De ce que les Romains
appelaient
agnation. Platon dit que la parenté est la com
on Émilien. Ils sont donc parents entre eux ; chez les Hindous on les
appellerait
samanodacas. Dans la langue juridique et religieu
ut, et la parenté par la naissance fut reconnue en droit. Les Romains
appelèrent
cognatio cette sorte de parenté qui était absolum
onies du culte s’accomplissent, ni même qu’il ait vue sur lui : aussi
appelle-t
-on ces dieux les dieux cachés, μύχιοι ou les dieu
ux âges primitifs de la race aryenne. L’enceinte sacrée que les Grecs
appellent
ἕρκος et les Latinsherctum, c’est l’enclos assez
laçait quelques grosses pierres ou quelques troncs d’arbres, que l’on
appelait
des termes. On peut juger ce que c’était que ces
z les Étrusques. Les Hellènes avaient aussi des bornes sacrées qu’ils
appelaient
ὅροι, θεοὶ ὅριοι188. Le Terme une fois posé suiva
duits que fort tard dans le droit romain. La langue juridique de Rome
appelle
le filsheres suus, comme si l’on disaitheres sui
ieux qui permettait à l’un de continuer le culte de l’autre. Ce qu’on
appelait
la parenté n’était pas autre chose, comme nous l’
conservait le souvenir d’un temps où il n’était pas connu ; car elle
appelait
le filshéritier sien et nécessaire. Cette formule
mps de Démosthène ; mais il subsistait encore à cette époque ce qu’on
appelait
le privilège de l’aîné241. Il consistait, paraît-
lui-même : c’est la religion domestique, c’est ce dieu que les Grecs
appellent
le foyer-maître, ἑστία δέσποινα, que les Latins n
de la prière. Toute la religion réside en lui. Le nom même dont on l’
appelle
, pater, porte en soi de curieux enseignements. Le
trument de travail ou le céder à un autre. Le céder, c’était ce qu’on
appelait
vendre le fils. Les textes que nous avons du droi
ère partie de leur histoire. Nous voulons parler de ce que les Latins
appelaient
gens et les Grecs γένος. On a beaucoup discuté su
uirinal. Dans la seconde guerre punique, un autre Fabius, celui qu’on
appelle
le bouclier de Rome, tient tête à Annibal ; assur
mais par devoir295 ». Si un membre delagens n’avait pas le droit d’en
appeler
un autre devant la justice de la cité, c’est qu’i
qu’il était d’usage à Rome que tout patricien portât trois noms. On s’
appelait
, par exemple, Publius Cornélius Scipio. Il n’est
ua avec le même soin qu’elle perpétuait son culte. Ce que les Romains
appelaient
proprementnomen était ce nom de l’ancêtre que tou
e au-dessus de laquelle il n’en est aucune autre à laquelle on puisse
appeler
. Tout ce dont l’homme a rigoureusement besoin pou
errier, par sa loi comme juge. Plus tard, quand la justice de la cité
appellera
le client, le patron devra le défendre ; il devra
règles du droit privé nous a fait entrevoir, par-delà les temps qu’on
appelle
historiques, une période de siècles pendant lesqu
certain nombre de familles formèrent un groupe, que la langue grecque
appelait
une phratrie, la langue latine une curie317. Exis
e divinisé, unhéros. De lui la tribu tirait son nom aussi les Grecs l’
appelaient
-ils lehéros éponyme. Il avaitson jour de fête ann
divers, reçut des hommes différents noms. Le soleil, par exemple, fut
appelé
ici Héraclès (le glorieux), là Phœbos (l’éclatant
ée chaque année à la mémoire dupeuple par une fête anniversaire qu’on
appelait
le jour natal de Rome366. Cette fête a été célébr
er les mânes de leurs ancêtres, ainsi les contemporains d’Épaminondas
appelaient
à eux leurs héros, leurs ancêtres divins, les die
e quitter. Toute ville était un sanctuaire ; toute ville pouvait être
appelée
sainte374. Comme les dieux étaient pour toujours
llement le feu sacré ; c’était lui qui, par ses prières et ses rites,
appelait
les dieux et les fixait pour toujours dans la vil
de la cité était renfermé dans l’enceinte d’un bâtiment que les Grecs
appelaient
prytanée381 et que les Romains appelaient temple
d’un bâtiment que les Grecs appelaient prytanée381 et que les Romains
appelaient
temple de Vesta382. Il n’y avait rien de plus sac
ure que ceux de la religion primitive des familles. Comme eux, on les
appelait
Lares, Pénates, Génies, Démons, Héros388 ; sous t
dieu ne pouvait pas résister à la demande des hommes. Le dieu, ainsi
appelé
passait donc à l’ennemi, et la ville était prise4
dieux protecteurs ; ils pensaient que, les ennemis ne pouvant jamais
appeler
ce dieu par son nom, il ne passerait jamais de le
que la principale cérémonie du culte domestique était un repas qu’on
appelait
sacrifice. Manger une nourriture préparée sur un
upe a immolé neuf taureaux en l’honneur des dieux. Ce repas, que l’on
appelle
le repas des dieux, commence et finit par des lib
ce. Aristote dit qu’elle existait anciennement chez les peuples qu’on
appelait
Œnotriens, Osques, Ausones446. Virgile en a consi
fût rajeunie chaque année par une nouvelle cérémonie religieuse ; on
appelait
cette fête le jour natal ; tous les citoyens deva
s plus importantes de la religion de la cité, il y en avait une qu’on
appelait
la purification457. Elle avait lieu tous les ans
a paix. Il y avait dans les villes italiennes des collèges de prêtres
appelés
féciaux qui présidaient, comme les hérauts chez l
ue ; chaque tribu avait de même son chef religieux, que les Athéniens
appelaient
le roi de la tribu. La religion de la cité devait
titres : comme il était, avant tout, prêtre du prytanée, les Grecs l’
appelaient
volontiers prytane ; quelquefois encore ils l’app
les Grecs l’appelaient volontiers prytane ; quelquefois encore ils l’
appelaient
archonte. Sous ces noms divers, roi, prytane, arc
ux, mais à ces hommes qui tiennent leur dignité du foyer, et que l’on
appelle
, ici rois là prytanes, ailleurs archontes492. » A
nes des Lacédémoniens493. Il trouve encore que le personnage que l’on
appelait
indifféremment de l’un de ces trois noms, peut-êt
mais les nouveaux monarques ne se crurent jamais le droit de se faire
appeler
rois et se contentèrent d’être appelés tyrans512.
nt jamais le droit de se faire appeler rois et se contentèrent d’être
appelés
tyrans512. Ce qui faisait la différence de ces de
moins de qualités morales qui se trouvaient dans le souverain ; on n’
appelait
pas roi un bon prince et tyran un mauvais ; c’éta
d’archonte prévalut. À Thèbes, par exemple, le premier magistrat fut
appelé
de ce nom ; mais ce que Plutarque dit de cette ma
t la prière et le sacrifice519. Parmi ces neuf archontes, celui qu’on
appelait
Roi était surtout le chef de la religion ; mais c
s morts. Ce qui nous est resté des plus anciennes lois de Rome, qu’on
appelait
lois royales, s’applique aussi souvent au culte q
e, ils devaient plaider devant le pontife ou devant des prêtres qu’on
appelait
frères arvales538. Voilà pourquoi les mêmes homme
antait548. Il en est resté des souvenirs dans la langue ; les Romains
appelaient
les loiscarmina549, des vers, lesGrecs disaient ν
eurs, qui étaient comme les rites de cette cérémonie religieuse qu’on
appelait
contrat ou qu’on appelait procédure en justice. C
s rites de cette cérémonie religieuse qu’on appelait contrat ou qu’on
appelait
procédure en justice. C’est par cette raison que
re elles en enlevant au coupable sa qualité de citoyen. Cette peine s’
appelait
ἀτιμία575. L’homme qui en était frappé ne pouvait
temps l’interdiction du culte ; il contenait ce que les modernes ont
appelé
l’excommunication. Exiler un homme, c’était, suiv
as un supplice plus doux que la mort591. Les jurisconsultes romains l’
appelaient
une peine capitale. Chapitre XIV. De l’esprit
revenir sur le passé. Chaque ville tenait fort à sonautonomie ; elle
appelait
ainsi un ensemble qui comprenait son culte, son d
d l’historien veut donner les noms de ceux qu’en langage moderne nous
appellerions
les signataires du traité, il dit : Voici les nom
ouze colonies ioniennes en Asie Mineure avait son temple commun qu’on
appelait
Panionium622 ; il était consacré à Poseidôn Hélic
e année, ils se réunissaient dans ce lieu sacré pour célébrer la fête
appelée
Panionia ; ils offraient ensemble un sacrifice et
qui étaient revêtus momentanément d’un caractère sacerdotal et qu’on
appelait
des théores, des pylagores, ou des hiéromnémons.
n et de parenté entre les deux villes. Celle qui l’avait fourni était
appelée
cité-mère642. Celle qui l’avait reçu était vis-à-
s la situation d’une fille643. Deux colonies de la même ville étaient
appelées
entre elles cités-sœurs644. La colonie avait le m
ents d’une femme en travail. Il célèbre une autre fête annuelle qu’on
appelle
Oschophories et qui est comme la pantomime du ret
u de chose vis-à-vis de cette autorité sainte et presque divine qu’on
appelait
la patrie ou l’État. L’État n’avait pas seulement
p d’influence et qu’il pouvait devenir dangereux, s’il le voulait. On
appelait
cela l’ostracisme ; cette institution n’était pas
la même, et son omnipotence n’a guère été diminuée. Le gouvernement s’
appela
tour à tour monarchie, aristocratie, démocratie :
, voter, nommer des magistrats, pouvoir être archonte, voilà ce qu’on
appelait
la liberté ; mais l’homme n’en était pas moins as
u’au chef de la famille. Ses fils, ses frères, ses serviteurs, tous l’
appelaient
ainsi. Voilà donc dans la constitution intime de
xerce la triple autorité de maître, de magistrat et de prêtre. On les
appelle
de noms qui varient suivant les lieux ; celui de
a famille invoque dans ses prières. Comme il descend d’un pater, on l’
appelle
en latin patricius. Le fils d’un client, au contr
térieures a conservé un vestige de cette ancienne règle dans ce qu’on
appelait
jus applicationis698. L’argent même du client n’e
tres. Il est permis de ne pas croire Cicéron quand il dit que Romulus
appela
pères les sénateurs pour marquer l’affection pate
qui devint plus nombreuse à Rome que dans aucune autre cité, y était
appelée
la plèbe. Il faut voir l’origine et le caractère
e faisait pas partie, du moins dans les premiers siècles, de ce qu’on
appelait
le peupleromain. Dans une vieille formule de priè
stocratie des chefs de famille, ceux que la langue officielle de Rome
appelait
patres, que les clients appelaient reges, que l’O
eux que la langue officielle de Rome appelait patres, que les clients
appelaient
reges, que l’Odyssée nomme βασιλεῖς ou ἄνακτες. A
’était comme lui dans sagens ; c’était même à Rome un antique usage d’
appeler
chacun de ces puissants patrons du nom de roi ; à
écutif lui fut ôté ; on le confia à des magistrats annuels qui furent
appelés
éphores. Ilest facile de juger par les attributio
dès lors subordonnée au Sénat des eupatrides. Les historiens modernes
appellent
cette période de l’histoire d’Athènes l’archontat
étèrent le nombre de neuf magistrats annuels, qu’on prit l’habitude d’
appeler
les neuf archontes, du nom du premier d’entre eux
ple ; une même table réunit le chef et les serviteurs. Ces chefs sont
appelés
d’un nom qui devint dans d’autres sociétés un tit
νακτες, βασιλεῖς. C’est ainsi que les Athéniens de l’époque primitive
appelaient
β ;σιλεύς le chef du γένος et que les clients de
ιλεύς le chef du γένος et que les clients de Rome gardèrent l’usage d’
appeler
rex le chef de la gens. Ces chefs de famille ont
e la gens. Ces chefs de famille ont un caractère sacré ; le poète les
appelle
les rois divins. Ithaque est bien petite ; elle r
ns la pierreuse Ascra, nous trouvons une classe d’hommes que le poète
appelle
les chefs ou les rois ; ce sont eux qui rendent l
mmait les Basilides745. Dans les villes d’Eubée la classe maîtresse s’
appelait
les Chevaliers746. On peut remarquer à ce sujet q
a royauté et fut-elle gouvernée tout d’abord par une aristocratie. On
appelait
cette classe les Géomores, c’est-à-dire les propr
e moment, on distingua deux catégories de sénateurs, les uns que l’on
appelait
patres, les autres que l’on appelait conscripti75
s de sénateurs, les uns que l’on appelait patres, les autres que l’on
appelait
conscripti752. Tous étaient également patriciens
pour sujets la foule des clients ou serviteurs que l’ancienne langue
appelait
thètes759. Ce régime paraît avoir pesé lourdement
obable que ce fut cet affranchissement que les contemporains de Solon
appelèrent
du nom de σεισαχθεία (secouer le fardeau). Les gé
ent homme libre et citoyen. Il reste soumis au maître. Autrefois on l’
appelait
client, maintenant on l’appelle affranchi ; le no
ste soumis au maître. Autrefois on l’appelait client, maintenant on l’
appelle
affranchi ; le nom seul est changé. Quant au maît
changé. Quant au maître, son nom même ne change pas ; autrefois on l’
appelait
patron, c’est encore ainsi qu’on l’appelle. L’aff
ange pas ; autrefois on l’appelait patron, c’est encore ainsi qu’on l’
appelle
. L’affranchi, comme autrefois le client, reste at
e, il réussit généralement à se donner des chefs ; ne pouvant pas les
appeler
rois, parce que ce titre impliquait l’idée de fon
es et ne pouvait être porté que par des familles sacerdotales, il les
appela
tyrans775. Quel que soit le sens originel de ce m
nous dit que dans Mégare, sa patrie, il y a deux sortes d’hommes. Il
appelle
l’une la classe desbons, ἀγαθοί ; c’est, en effet
et, le nom qu’elle se donnait dans la plupart des villes grecques. Il
appelle
l’autre la classe desmauvais, κακοί ; c’est encor
eût une population nombreuse. Aussi les rois avaient-ils accueilli et
appelé
tous les étrangers, sans avoir égard à leur origi
et de frondeurs. Chaque classe se partageait en compagnies, que l’on
appelait
centuries. La première en comprenait, dit-on, qua
u créancier, se liait à lui par une sorte d’opération que les Romains
appelaient
nexum.C’était une façon de vente qui se faisait p
e loi étrange, et chacun récita une formule de prière par laquelle il
appelait
sur soi la colère des dieux, s’il violait la loi,
les autorisait à convoquer la plèbe : ils la convoquent. Rien ne les
appelait
au Sénat : ils s’asseyent d’abord à la porte de l
ent de plus en plus d’importance et devinrent insensiblement ce qu’on
appela
les grands comices. En effet dans le conflit qui
n eux le caractère sacré qui permettait de prononcer les prières et d’
appeler
la protection divine sur la cité. Le plébéien n’a
les obliger à se soumettre, c’est l’intérêt public. Ce que les Latins
appellent
res publica, les Grecs τὸ κοινόν, voilà ce qui re
puissant argument de la tradition et de la piété. Elle ne pouvait pas
appeler
à son secours les ancêtres et les dieux. Elle n’a
’avènement de la démocratie, si l’on avait pu fonder ce que Thucydide
appelle
ὀλιγαρχία ἰσόνομος, c’est-à-dire le gouvernement
é déjà discuté et étudié par le Sénat. Le peuple n’avait pas ce qu’on
appelle
en langage moderne l’initiative ; le Sénat lui ap
e aux lois existantes. Athènes avait des magistrats spéciaux, qu’elle
appelait
les gardiens des lois. Au nombre de sept, ils sur
laborieux. Voyez à quoi se passe la vie d’un Athénien. Un jour il est
appelé
à l’assemblée de son dème et il a à délibérer sur
urs et à appliquer les lois. Il n’y avait guère de citoyen qui ne fût
appelé
deux fois dans sa vie à faire partie du Sénat des
igion et la loi éloignaient d’eux894 ; puis, encore une classe, qu’on
appelait
les inférieurs, ὑπομείονες895, et qui étaient peu
ut cela s’élevait la classe aristocratique, composée des hommes qu’on
appelait
les Égaux, ὅμοιοι. Ces hommes étaient, en effet,
devient par cela seul « un des maîtres du gouvernement898 ». « On les
appelle
Égaux, dit-il encore, parce que l’égalité doit ré
t seuls les droits complets du citoyen ; ils formaient seuls ce qu’on
appelait
à Sparte le peuple, c’est-à-dire le corps politiq
sse sortaient par voie d’élection les 28 sénateurs. Entrer au Sénat s’
appelait
dans la langue officielle de Sparteobtenir le pri
Les hommes finirent par s’apercevoir que les êtres différents qu’ils
appelaient
du nom de Jupiter, pouvaient bien n’être qu’un se
argent917. Les familles Potitia et Pinaria descendaient de ceux qu’on
appelait
les compagnons d’Hercule, et leur descendance éta
temps de Philippe : le parti aristocratique, dans toutes les villes,
appela
de ses vœux la domination de la Macédoine. Au tem
ciat928. À Ardée, l’aristocratie et la plèbe étant en lutte, la plèbe
appela
les Volsques à son aide, et l’aristocratie livra
orter dans Rome ; mais, alors même, les procédés et ce qu’on pourrait
appeler
les artifices du gouvernement restèrent aristocra
t, une classe aristocratique ; de l’autre, un parti populaire ; l’une
appelait
la domination de Rome, l’autre la repoussait. Ce
cette dépendance était toujours au gré du plus fort. Ces villes qu’on
appelait
libres, recevaient des ordres de Rome, obéissaien
utions municipales périssaient donc aussi bien chez les peuples qu’on
appelait
alliés que chez ceux qu’on appelait sujets ; il y
aussi bien chez les peuples qu’on appelait alliés que chez ceux qu’on
appelait
sujets ; il y avait seulement cette différence qu
de de publier, à leur entrée dans la province, un code de lois qu’ils
appelaient
leur Édit, et auquel ils s’engageaient moralement
qu’un seul État, una civitas ; n’ayons qu’un seul nom, et qu’on nous
appelle
tous également Romains946. » Annius énonçait ains
n avoir qu’en devenant citoyens romains. La guerre qui s’ensuivit fut
appelée
laguerre sociale ; c’étaient en effet les alliés
n’appartenait ni à une caste ni à une corporation. Dès son début, il
appelait
à lui l’humanité entière. Jésus-Christ disait à s
des Juifs ? non, certes, il l’est aussi des gentils… Les gentils sont
appelés
au même héritage que les Juifs. » Il y avait en
pplice des grands criminels la privation de la sépulture. 16. Cela s’
appelait
en latin inferias ferre, parentare, ferre solemni
e parentat avis. — Ces offrandes auxquelles les morts avaient droit s’
appelaient
Manium jura. Cf. Cicéron, De legib., II, 21. Cicé
réjouissent les morts, le lait, le miel doré, le fruit de la vigne ;
appelons
l’âme de Darius et versons ces breuvages que boir
et donnez-leur la victoire. » — c’est en vertu de cette idée qu’Enée
appelle
son père mort Sancte parens, divinus parens ; Vir
acravimus aras. Le grammairien Nonius Marcellus dit que le sépulcre s’
appelait
un temple chez les anciens, et en effet Virgile e
ι, καθάπερ θεῶν ὶερὰ τιμῶντες τὰ τῶν πατέρων μνήματα. — On continua à
appeler
ara la pierre élevée sur le tombeau (Suétone, Nér
amiliaris par : Κατ´ οἰκίαν ἣρως (Antiq. rom., IV, 2). 48. Les Grecs
appelaient
cet autel de noms divers, βῶμος, ἐσχάρα ; ce dern
age et fut le mot dont on désigna ensuite la déesse Vesta. Les Latine
appelaient
le noème autel vesta, ara ou focus. In primis ing
is de Manou, III, 138 ; III, 274. 88. C’est ce que la langue grecque
appelle
ποιεῖν τὰ νομιζόμενα (Eschine, In Timarch., 40 ;
le tombeau « où reposent tous ceux qui descendent de Bousélos ; on l’
appelle
le monument des Bousélides c’est un grand emplace
e. 93. Isée, De Cironis hereditate, 15-18. 94. Cette enceinte était
appelée
ἕρκος. 95. Θεοὶ μύχιοι, dii Penates. Cicéron, De
Lois, V, p. 729 ; Di generis, Ovide, Fast., II, 631. 101. Les Védas
appellent
le feu sacré la cause de la postérité masculine.
ρτα εἶναι (In Stephanum, II, 18). Cette partie de l’acte du mariage s’
appelait
aussi ἔκδοσις, traditio, Pollux, III, 35, Déonost
ad Æn., II, 156. 159. Aulu-Gelle, XV, 27. Comparer ce que les Grecs
appelaient
ἀποκήρυξις. Platon, Lois, XI, p. 928 : ῾Υπὸ κήρυκ
o deteb : si non fecerit, suo capite luat. 204. Isée, VI, 51. Platon
appelle
l’héritier διάδοχος θεῶν, Lois, V. p. 740. 205.
archi hered., 5 ; Démosthène, in Leocharem, 10. La fille unique était
appelée
ἐπίκληρος, mot que l’on traduit à tort par hériti
Isée, De Cironis hereditate, 1, 15, 16, 21, 24, 25, 27. 224. On ne l’
appelait
pas petit-fils ; on lui donnait le nom particulie
ivision qui, si faible qu’il soit, mérite pourtant d’être signalé. On
appelait
sors un lot de terre, domaine d’une famille ; sor
pater vocatur, et Saturnus et Janus et Liber, et ceteri. Pluton était
appelé
Dis Pater (Varron, De ling. lat., V, 66 ; Cicéron
res ; Tiberine Pater, te, Sancte, precor (Tite-Live, II, 10). Virgile
appelle
Vulcain Pater Lemnius, le dieu de Lemnos. 255. U
r., n° 385. Ross, Demi Attici, 24. La gens chez les Grecs est souvent
appelée
πάτρα : Pindare, passim. 286. Harpocration, v° Γ
lien de droit entre la gens et le client ; or ce lien de droit s’est
appelé
aussi gentilitas. Par exemple, dans Cicéron, De o
ont rapportés, l’un par Plutarque, l’autre par Cicéron. C. Hérennius,
appelé
en témoignage contre Marius, allégua qu’il était
que, Strabon nous dit que dans les temps les plus reculés l’Attique s’
appelait
Ionia et Ias. Mais on a tort de faire du fils de
er). 376. Pindare, Pyth., V, 117-132 ; Olymp.. VII, 143-146. Pindare
appelle
le fondateur « père des cérémonies sacrées » (Hyp
ne, 190 : Γὴν πατρῴαν καὶ θεοὺς τοὺς ὲγγενεῖν. Ces dieux sont souvent
appelés
δαίμονες ἐγχώριοι. Comparer, chez les Latins, les
, 9 ; VIII, 36. 403. Hérodote, I, 61-88. Pausanias, III, 3. 404. On
appelait
ces dieux θεοὶ πολίεις (Pollux, IX, 40), πολιοῦχο
Saturn., I, 14 ; I, 15. 456. Censorinus, De die natali, 22. 457. On
appelait
cette opération καθαίρειν ou ἁγνεύειν πόλιν. Hipp
oyez Hésiode, Opera et dies, v. 710 et suivants. Les jours néfastes s’
appelaient
ἡμέραι ἀπόφραδες (Lysias, Pro Phania, fragm., éd.
étranger pouvait obtenir par faveur individuelle ce que le droit grec
appelait
ἔγκτησις, ce que le droit romain appelait jus com
duelle ce que le droit grec appelait ἔγκτησις, ce que le droit romain
appelait
jus commercii. 569. Démosthène, In Neæram, 16. A
, 143 : Coloniæ nostræ item conditæ ut Roma. 642. Les Athéniens sont
appelés
pères des Ioniens par Hérodote, VII, 51 ; VIII, 2
Plutarque, Lycurgue, 12 ; Agis, 11 ; Apophth. lac., p. 221. Aristote
appelle
l’éphorat ἀρχὴ κυρία τῶν μεγίστων (Polit., II, 6,
e romaine. Ce qui le prouve, c’est 1° que cette assemblée est souvent
appelée
l’armée par les écrivains latins : urbanus exerci
on, V, 91), deux étendards flottant sur la citadelle, l’un rouge pour
appeler
l’infanterie, l’autre vert foncé pour la cavaleri
transformé quand Ciceron, dans un mouvement oratoire, à la vérité, l’
appelait
sanctissimus magistratus (Pro Sextio, 38). 810.
tait d’ailleurs le mode de votation que cette centurie n’était jamais
appelée
à donner son suffrage. 855. Aristote, Politique,
, 26. Cf. Gaïus, I, 95. 949. Tite-Live, XXXIX, 3. 950. Aussi est-il
appelé
dès lors, en droit, res mancipi. Ulpien, XIX, 1.
tit. 5-17). On sait d’ailleurs par Spartien que Caracalla se faisait
appeler
Antonin dans les actes officiels. Dion Cassius di
ce, comme pour l’ingénieux corrupteur de la morale et de l’âme qu’ils
appellent
le bon La Fontaine, m’a toujours fait une certain
Horace était né à Venusia, en Apulie, contrée de l’Italie que nous
appelons
aujourd’hui les Calabres. Sa petite ville natale,
tout sont l’illustration de leur paysage. IV Le père d’Horace s’
appelait
Flaccus ; il avait ajouté à ce nom celui de Quint
illustrer son fils qu’à l’enrichir ; il se contentait de son aisance
appelée
par les Romains la médiocrité dorée. Puisqu’il av
llant de caractère, il était ami de la table et de ce que les Romains
appelaient
alors les amours, c’est-à-dire les licences des y
d’Amérique, vers lequel les derniers généraux de Bonaparte, en 1816,
appelaient
leurs soldats laboureurs par toutes les images de
ent et tour à tour à cette classe équivoque des femmes romaines qu’on
appelait
les courtisanes. Ces femmes n’avaient aucune anal
mmes n’avaient aucune analogie avec les victimes du libertinage qu’on
appelle
ainsi de nos jours. L’Inde, la Grèce et Rome leur
ersation ; elles rappelaient complétement, aux mœurs près, ce qu’on a
appelé
de nos jours, à Londres et à Paris, les femmes de
sans doute avec le secours de Mécène, une de ces charges de finances
appelée
la charge de scribe du trésor. Cette charge paraî
ure son ami à sa portée ; de la terrasse de Mécène à Tibur on pouvait
appeler
Horace aux heures du souper ou de la conversation
a de Mécène, on voit à sa droite les groupes de montagnes de ce qu’on
appelle
la Sabine ; la Sabine est une espèce d’Auvergne o
ou le berger de tout ce troupeau de collines. C’est ce mont qu’Horace
appelait
aussi Lucrétile. On ne pénétrait et on ne pénètre
rouvé les vestiges mêmes de sa maison de maître au milieu d’une vigne
appelée
aujourd’hui les vignes de Saint-Pierre ; une peti
nts et purs qui ont creusé le marbre avant de couler en rivière. On l’
appelait
la Fontaine d’Horace dans le moyen âge, maintenan
ses œuvres. Ce volume choisi était très court. Auguste, après l’avoir
appelé
par badinage un petit homme, un délicat, un débau
sons, en écrivant ces épîtres, plus didactiques qu’agréables, qu’on a
appelées
son Art poétique. C’est un cours de littérature a
mer Horace comme à lire et à aimer ce grand enfant très vicieux qu’on
appelle
chez nous La Fontaine. Il y a de l’éternelle jeun
hasard il n’est point de science : S’il en était, on aurait tort De l’
appeler
hasard, ni fortune, ni sort, Toutes choses très i
es traits De certaine philosophie Subtile, engageante et hardie. On l’
appelle
nouvelle : en avez-vous ou non Ouï parler ? Ils d
, sans volonté : L’animal se sent agité De mouvements que le vulgaire
appelle
Tristesse, joie, amour, plaisir, douleur cruelle,
r en souriant : L’animal se sent agité De mouvements que le vulgaire
appelle
Tristesse, joie, amour, plaisir, douleur cruelle…
Voilà des mouvements mécaniques qui sont bien, en vérité, ce que nous
appelons
tous des sentiments et qui en sont, sinon exactem
ans l’ordre qu’il donne à ses preuves. J’arrive aux fables que j’ai
appelées
« les fables naturistes ». Toutes les fables de L
ux et formant un récit, formant un poème de la nature. C’est ce que j’
appelle
une narration, et non pas une description de la n
a fin. C’est le Héron. Le Héron est tout à fait une des fables que j’
appelle
naturistes. C’est une description d’un jour charm
rait prendre parce que c’est un être dédaigneux, susceptible, je l’ai
appelé
« neurasthénique » dans une conférence précédente
order la fable naturiste sur la fable proprement dite. La fable que j’
appelle
naturiste encadre, en quelque sorte ici, plus qu’
a fidélité à l’objet ; et l’objet, c’est la nature. C’est ce que l’on
appelle
, comme on voudra, car je ne tiens pas au mot, des
a pas eu tort. La poésie narrative, la poésie descriptive, qu’il faut
appeler
la poésie pittoresque pour lui donner un nom hono
doué de toutes les qualités littéraires, aussi bien de celles qu’on a
appelées
romantiques que de celles qu’on a appelées réalis
ssi bien de celles qu’on a appelées romantiques que de celles qu’on a
appelées
réalistes, a, de plus, le sentiment de la vérité,
entiment de la vérité, c’est-à-dire de la mesure, c’est ce que l’on a
appelé
le goût. Eh bien ! toutes les qualités de toutes
s niant la Providence. Ces deux sectes isolent l’homme et devraient s’
appeler
philosophies solitaires. Au contraire nous admett
ge des dieux, pour parler comme les Égyptiens (Voy. l’axiome 28), est
appelé
par Varron le temps obscur des Romains ; les Roma
d’une langue plus ancienne que l’héroïque dont il se servait, et il l’
appelle
langue des dieux. (Voy. livre 2, chap. 6.) 30. Va
er d’abord récolte de glands, d’où l’arbre qui produit les glands fut
appelé
illex, ilex ; de même que aquilex est incontestab
ttres, et d’en faire comme un faisceau pour former chaque parole, fut
appelée
legere, lire. 66-96. Principes de l’histoire
ous voyons Tullus Hostilius juge d’Horace29. Les rois de Rome étaient
appelés
rois des choses sacrées, reges sacrorum. Et même
; et il en résulte une démocratie effrénée, une anarchie, qu’on peut
appeler
la pire des tyrannies, puisqu’il y a autant de ty
qui fit descendre Troie jusqu’à la plaine voisine de la mer, et qui l’
appela
Ilion. 99. Selon une tradition ancienne, Tyr, fon
où s’étaient établies déjà d’autres nations. Ainsi Naples fut d’abord
appelée
Sirène, d’un mot syriaque, ce qui prouve que les
s, ou Phéniciens, y avaient d’abord fondé un comptoir. Ensuite elle s’
appela
Parthenope, d’un mot grec de la langue héroïque,
ens. De même sur les rivages de Tarente il y eut une colonie syrienne
appelée
Siri, que les Grecs nommèrent ensuite Polylée ; M
clans) commencèrent avant les cités ; du moins celles que les Latins
appelèrent
gentes majores, c’est-à-dire, maisons nobles anci
composa le sénat, et en même temps la cité de Rome. Au contraire, on
appela
gentes minores, les maisons nobles nouvelles fond
dieux consacrés par les peuples, comme Romulus, que le peuple romain
appela
après sa mort Dius Quirinus. Ces trois axiomes mo
s ce qui est nécessaire au maintien de la société . C’est ce que nous
appelons
raison d’état. 111. La certitude de la loi n’est
out d’un manuscrit autographe de Saint-Martin, que je ne crains pas d’
appeler
son meilleur ouvrage. Ce manuscrit intitulé Mon p
chiffre de quatre ; il croit avoir eu plusieurs exemples de ce qu’il
appelle
les rapports quaternaires, qui ont eu de l’import
manation et d’onction dans l’intimité. Sa destinée divine, comme il l’
appelle
, lui semblait douce et belle si on l’eût laissé f
avoir eu des obligations inexprimables à Martinez de Pasqualis, qu’il
appelle
un homme extraordinaire pour les lumières, « le s
e Boechlin, de connaître les ouvrages allemands de Jacob Boehm, qu’il
appelle
le Prince des philosophes divins, il crut pouvoir
s XVI, il n’en est qu’un seul, L’Homme de désir, imprimé en 1790, qui
appelle
l’attention des profanes et à la fois des sincère
u’assez légèrement, et n’interrompent qu’à peine le cours de ce qu’il
appelle
sa délicieuse carrière spirituelle : En réfléchi
t-être été bien malheureux sur la terre si j’avais eu ce que le monde
appelle
du pain ; car il ne m’aurait rien manqué. Or, il
vraient tous s’en apporter que les fruits et les fleurs. Ceux que j’
appelle
réellement mes amis, je voudrais les voir à toute
que la première division des temples, celle qui contenait l’autel, s’
appelait
βῆμα : « Ce nom Béma, dit-il aussitôt, sonne trop
et qu’il faut la présenter, donner mon acquit et toucher ma somme, j’
appelle
cela un procès. » 51. [NdA] Le duc de Richelieu
e que donnèrent, dans le temps, les amis de Pascal lui-même, M. Arago
appelle
cette dernière l’édition de d’Arnaud. J’ai cru d’
j’ai été forcé de reconnaître, à ma grande surprise, que celui qu’on
appelait
, au xviie siècle, le grand Arnauld, était bien m
it M. Arago d’un écrivain qui, ayant à parler du géomètre Fontaine, l’
appellerait
chaque fois, par mégarde, La Fontaine ? En un aut
on le voit, à cette esquisse bienveillante. Mlle de Lespinasse, qui n’
appelle
jamais Condorcet que le bon Condorcet, sentait bi
aux apparences d’une douceur et d’une bonhomie inaltérables, l’a fait
appeler
, dans la société même de ses meilleurs amis, le m
ut ce qui n’est pas de l’avis et du bord de celui qui écrit, est vite
appelé
canaille en toutes lettres. En un mot, au sein de
dans une médiocrité universelle les facultés supérieures et ce qu’on
appelle
les dons de nature ; il se réjouit du jour futur
hé à son nom, et dans lequel il cherchait à concilier encore ce qu’il
appelait
ses principes philanthropiques et sa prétention à
au peuple (29 juillet 1792). Si quelques-uns de ses collègues, qu’il
appelle
des factionnaires habitués des Tuileries, se plai
laisseraient-elles un moment charmer à la voix de cette sirène qu’on
appelle
le génie. De talent véritable, au sens littéraire
iniâtrement logé au sein des plus vastes connaissances et de ce qu’on
appelle
lumières, un germe de fanatisme et de malignité d
histoire la vulgarité. Le bon sens est une grande chose, et Bossuet l’
appelle
« le maître des affaires », mais le petit sens es
st de toutes ces fantasmagories qu’il a fait jaillir une figure qu’il
appelle
la vraie, et qui est peut-être la fausse, car où
, et n’y a-t-il plus rien à y ajouter ? Cette caserne éclatante qui s’
appelle
Rome, a-t-elle un instant sérieux de grandeur int
l’éteint comme un ornement inutile. Saint Léon, que l’Église romaine
appelle
le Grand et que l’Église grecque appelle le Sage,
t Léon, que l’Église romaine appelle le Grand et que l’Église grecque
appelle
le Sage, saint Léon, le pontife sauveur, au-dessu
e cette manière, l’esclavage de beaucoup d’esprits, et que nous avons
appelée
au commencement de ce chapitre : Le bourgeoisisme
ice pour M. Amédée Thierry d’être le frère de celui que Chateaubriand
appela
l’Homère de l’histoire. Non ! il y a pour lui un
historien, il a des préjugés, il a des partis pris et ce que j’oserai
appeler
, moi, des pusillanimités. C’en est une, par exemp
l’histoire romaine au cinquième siècle, que l’auteur eût mieux fait d’
appeler
Récits goths et ostrogoths, car l’intérêt barbare
couleur, il en a diminué les férocités dans un sujet qui, toutes, les
appelle
; s’il s’est raccourci par la mesure, ainsi qu’hé
idées en ruine, parce qu’il avait, dans ce misérable brimborion qu’on
appelle
une plume, une goutte d’immortalité ! 5. Quan
ou lui donner la nuance précise que la pensée exige : c’est ce qu’on
appelle
les figures de construction. Enfin par certaines
ment marquer l’exact degré et la couleur particulière. C’est ce qu’on
appelle
les figures de pensées, figures de passion, d’ima
s deux objets, et les autres ce que l’on compare en eux. Ainsi Rotrou
appelle
les jeunes martyrs du christianisme : Ces fruit
un attribut, une propriété, un caractère, sur lequel le mot propre n’
appellerait
pas suffisamment l’attention : ainsi lorsqu’Alfre
artiennent aux catégories que j’ai énumérées en dernier lieu et qu’on
appelle
proprement métonymies et synecdoches, seront dans
e qu’un mortel, l’épée que le fer, la cloche que l’airain. Mieux vaut
appeler
la chose par son nom, qui évoquera mieux les idée
me montrer comme les autres ; après, il faudra disparaître. Tout nous
appelle
à la mort ; la nature, comme si elle était presqu
e valeur selon l’occasion. « Il y a des lieux, dit Pascal, où il faut
appeler
Paris Paris, et d’autres où il le faut appeler ca
dit Pascal, où il faut appeler Paris Paris, et d’autres où il le faut
appeler
capitale du royaume. » La condition essentielle s
Ironie ; hyperbole ; litote ; euphémisme. 12. C’est la figure qu’on
appelle
catachrèse. 13. Métonymie, synecdoche, antonomas
très consciencieux, et animé toujours des sentiments les plus nobles,
appela
un jour l’Affaiblissement de la Raison, cette bro
i elle est tardive ! S’il vivait, il pourrait être tranquille. Elle s’
appelle
, comme son livre : Infaillibilité ! II L’i
e, mais différent de raisons et de preuves, et qu’il n’a pas craint d’
appeler
, du nom de la question même : l’Infaillibilité. A
sur un sujet, — catholique en ceci encore qu’il admet et que même il
appelle
toutes les compétences de l’esprit. Pour ceux qui
s épointé, ce jour-là, par le préjugé philosophique, n’a pas craint d’
appeler
« un marguillier ». Un marguillier ! Il était bie
clarté française d’un titre qui dit bien ce qu’il doit dire, qui ne s’
appelle
ni l’inconscient ou le surconscient, ni le un-tou
r élévation même et ne se courbent pas au niveau de cette masse qu’on
appelle
le public… « Il faut que tout se paye toujours !
loi sublime, il la montre et la suit dans tous les phénomènes qu’ils
appellent
, eux, le mal de la vie : la faim, — tout commence
iques. L’auteur de la Douleur a souvent des élancements vers ce qu’il
appelle
l’Infini, qui ressemblent aux Exclamations de sai
qui ressemblent aux Exclamations de sainte Thérèse vers Celui qu’elle
appelait
« son Dieu ». Son livre, qui traite de « la Doule
plus. Elle a passé une partie de sa vie en habit d’homme. Elle s’est
appelée
elle-même un voyou dans ses Lettres d’un voyageur
le-même un voyou dans ses Lettres d’un voyageur. Si vous voulez, je l’
appellerai
Monsieur George Sand, au lieu de Madame, dans le
ablement de talent est la grande affaire dans ce diable de pays qu’on
appelle
la France, Mme George Sand a joui, sans conteste,
et exaltée, — et cette Critique, formidable par le nombre, pourrait s’
appeler
légion — qu’à la Critique qui l’a diminuée, — et
a thèse du suicide qui n’est ni plus vraie ni plus morale, et qu’elle
appelle
le droit (le DROIT !!!) d’être désespéré … Voilà
es, dénonciateurs, pourvoyeurs de ministères publics, comme elle nous
appelle
(page 106), cette charmante, qui l’avons barbouil
aujourd’hui et tire son petit pistolet de livre ! C’est nous qu’elle
appelle
, pour nous humilier et nous aplatir, les sergents
hiers ; mais il était petit… Chateaubriand osa un jour (riait-il ?) l’
appeler
le plus grand homme de son époque. Qui, de l’homm
t, que ces métaphores épuisées, traînées et fourbues, puisse jamais s’
appeler
du nom de grand écrivain, déjà lourd à porter par
C’est ce fort dont nous allons examiner la solidité. I M. Cousin
appelle
raison la faculté ou pouvoir qu’a l’esprit de pro
e ne pourrai tirer de cette idée la notion de l’étendue infinie qu’on
appelle
l’espace. Je me connais moi-même par la conscienc
très-simple qu’on ne tire pas d’une chose ce qu’elle ne contient pas.
Appelons
ces axiomes vérités absolues ; à l’instant la thé
est le sujet des vérités nécessaires et absolues, d’un seul mot on l’
appelle
Dieu44. » M. Cousin, au dernier chapitre, rassem
ment deux opérations, l’addition et la soustraction que nous venons d’
appeler
abstraction. Vous nous avez interdit l’addition,
et persistant, dont ces sensations sont des moments isolés, et que j’
appelle
moi. En d’autres termes, ces sensations sont des
nnées extraites d’une donnée plus complexe, le moi. À ce titre je les
appelle
qualités, et j’appelle la donnée plus complexe su
onnée plus complexe, le moi. À ce titre je les appelle qualités, et j’
appelle
la donnée plus complexe substance. Par abstractio
à trois dimensions se confond absolument avec celle des corps, qu’on
appelle
étendue : ce qu’on exprime en disant que les corp
, dans un système S immobile, l’expérience Michelson-Morley (fig. 7).
Appelons
« ligne rigide » ou « ligne » tout court une lign
e » ou « ligne » tout court une ligne géométrique telle que OA ou OB.
Appelons
« ligne de lumière » le rayon lumineux qui chemin
respond, comme nous allons voir, à ce que la théorie de la Relativité
appelle
un allongement du temps ; 2° l’effet longitudinal
a durée psychologique de l’observateur en S. Alors, par extension, on
appelle
encore temps les lignes de lumière, cette fois al
d pour substitut du temps une ligne de lumière extensible, et si l’on
appelle
simultanéité et succession des cas d’égalité et d
oints 0, B, A de notre première figure. Ordinairement, quand nous les
appelons
des points fixes, nous les traitons comme s’ils é
en cause. Mais la combinaison des effets dans le Temps donne ce qu’on
appelle
une contraction de longueur dans l’Espace. On sai
5. 39. Cf. BOREL, L’espace et le temps, p. 25. 40. Nous les avons
appelés
mathématiques, au cours du présent essai, pour év
ons qui déterminent la production des phénomènes, on fait ce que l’on
appelle
des expériences : on supprime telle ou telle circ
n. C’est ce qui a lieu dans ce cruel et mystérieux phénomène que l’on
appelle
la folie, ce désordre si étrange que quelques méd
eur Baillarger : celui-ci ramène la folie à un fait fondamental qu’il
appelle
l’automatisme de l’intelligence. Selon lui, la fo
t fatal avec lequel les idées se reproduisent d’elles-mêmes sans être
appelées
. Dans l’état normal, ce même fait se reproduit so
très-positif de l’entendement, une perversion des affections morales.
Appelez
ce désordre comme il vous plaira, je l’appelle un
es affections morales. Appelez ce désordre comme il vous plaira, je l’
appelle
une maladie, et si vous reconnaissez l’âme comme
tellectuels anormaux. En outre, parmi les causes de la folie que l’on
appelle
des causes morales, il en est qui certainement n’
se bête, — qui d’ailleurs est si bête, — et qui de temps immémorial s’
appelle
le Veau d’Or. Nous savions bien, et qui ne le sai
d’Amérique ! Le divorce, que Bellegarrigue, dans son style mécanique,
appelle
un mariage à soupape, pour l’opposer au mariage e
sses, jouissent d’une liberté illimitée. Le grand moraliste américain
appelle
cela : « Apprendre la vie ! Dans de pareils établ
» Or, dans ces maisons où l’on ne s’ennuie pas, et que Bellegarrigue
appelle
des maisons d’éducation précisément parce que l’é
rialistes du xviiie siècle et de tous les panthéistes du xixe . Il s’
appelle
légion. Il a appliqué plus ou moins légèrement de
un monde ; mais on dirait pourtant qu’il a ce genre d’invention qui s’
appelle
hâblerie dans le vocabulaire des voyageurs. C’est
, la destination de l’homme fait à l’image de Dieu. En Europe, ceci s’
appellerait
du cynisme. Nous avons parlé de Diogène, mais que
t avant moi, en 1862, un écrivain catholique, que les hommes du monde
appelleraient
« un voyant » en matière humaine et littéraire, e
ait vainement le ranz du ciel ! Il eut cette effroyable logique qu’on
appelle
l’impénitence finale, et ce sera sa damnation aus
de Platon que des fils de Jésus. Si Michelet revenait au monde, on l’
appellerait
« une vieille barbe », comme on l’a dit même de V
justes, au milieu des enivrements terribles de la guerre. Desaix fut
appelé
: « le Sultan juste » par les Mameloucks. Michele
tes entre elles, — avait la simplicité de ces pauvres en esprit qu’on
appelle
bienheureux dans le Sermon sur la Montagne. Sa br
nadiers dont il était le premier. Il était de ceux-là que les soldats
appellent
: « les charmeurs de balles », et pour leur faire
ous ceux-là, disais-je, qui montent autour de la colonne, comment les
appelle-t
-on ?… Ils montent, aveugles, intrépides ; ils mon
lorsqu’elles sont spirituelles, mais que les douillets de la sottise
appellent
des méchancetés, pour s’en plaindre et pour s’en
intuition et de certitude à lui qu’il se réclame de Blumenbach, qu’il
appelle
son maître, et, d’un autre côté, il a si peu de f
nature », dit ce tulipier de la phrase, et pardonnez-nous de l’avoir
appelé
: un beau parleur scientifique, après cela ! Du r
cents lettres par mois de tous les badauds de l’Europe, — lesquels l’
appelaient
tous « jeune vieillard », sans s’être donné le mo
iste sur ce point, le mordant survenu à Humboldt, qui se contentait d’
appeler
, comme un vieux libéral qu’il était, les ministre
méchant pour se tromper sur le compte de Philarète Chasles et pour l’
appeler
« vulgaire dans les idées comme dans le langage »
et sa Correspondance l’atteste. Il avait la haine des prêtres, qu’il
appelle
les hommes noirs , comme Béranger, et il bat par
lorsqu’elles sont spirituelles, mais que les douillets de la sottise
appellent
des méchancetés, pour s’en plaindre et pour s’en
ntuition et de certitude à lui, qu’il se réclame de Blumenbach, qu’il
appelle
son maître, et, d’un autre côté, il a si peu de f
nature », dit ce tulipier de la phrase, et pardonnez-nous de l’avoir
appelé
« un beau parleur scientifique » après cela ! Du
re cents lettres par mois de tous les badauds de l’Europe, lesquels l’
appelaient
tous « jeune vieillard » sans s’être donné le mot
ste sur ce point : le mordant survenu à Humboldt, qui se contentait d’
appeler
, comme un vieux libéral qu’il était, les ministre
chant pour se tromper sur le compte de M. Philarète Chasles et pour l’
appeler
« vulgaire dans les idées comme dans le langage »
et sa Correspondance l’atteste. Il avait la haine des prêtres, qu’il
appelle
les hommes noirs , comme Béranger, et il bat par
son nouveau roman et que la Critique, en rendant compte du livre, est
appelée
à examiner. II Je dis : son nouveau roman,
moins la voix qu’il renvoie à cette pauvre chanteuse, à l’écho qu’on
appelle
fastueusement la gloire. III Et, d’abord, d
s déporté si vulgaire ! Le roman de Wey est plus viril que cela. Il s’
appelle
Christian, et, s’il s’appelle ainsi, ce n’est pas
an de Wey est plus viril que cela. Il s’appelle Christian, et, s’il s’
appelle
ainsi, ce n’est pas, certes !… pour des cerises.
comme toutes celles qu’on aime dans les romans et dans la vie. Elle s’
appelle
du nom idéal d’Éliane de Talavère. Élevée au couv
l’histoire, bien plus trahie que racontée, de ces impressions, que j’
appelle
là troisième partie du roman de Francis Wey. Élia
trempé dans cette source de courage et de mépris miséricordieux qu’on
appelle
le Christianisme, il serait peut-être misanthrope
as abandonné lui-même, et il est entré dans une phase nouvelle, que j’
appellerai
la phase de la polémique. Sans doute, la polémiqu
e à quel moment par exemple est né le nouveau mouvement d’opinion qui
appelle
à tant de titres l’attention de la critique philo
y l’idéaliste était évêque. L’oratorien Malebranche, qu’on n’a jamais
appelé
un révolutionnaire, pensait assez mal à l’égard d
je ne puis concevoir soit un mouvement, soit une pensée, est ce que j’
appelle
la substance. C’est de la même façon que mon espr
prouver, puisqu’elles sont premières. Notre seule ressource est d’en
appeler
à une raison désintéressée, non à celle qui fait
ais à celle qui les juge, et, en dernière analyse, à ce que Descartes
appelle
le bon sens, « c’est-à-dire à cette puissance de
cipal est de savoir si nous l’avons, et non pas comment nous l’avons.
Appelez
cette opération, si vous le voulez, abstraction :
te opération, si vous le voulez, abstraction : M. Cousin lui-même l’a
appelée
abstraction immédiate. Ce qui est évident, c’est
néralement comme un interprète des idées allemandes et de ce que l’on
appelle
les idées panthéistes : il passe et se donne volo
ittéraire qu’il mettait à l’abri du nom de Spinoza : c’était ce qu’il
appelait
la faculté maîtresse. Il y avait, suivant lui, da
la philosophie de M. Taine et celle de M. Renan : la première, que j’
appellerais
volontiers la philosophie du fait, et la seconde,
n je ne sais quoi dans la nature et dans l’homme. Ce je ne sais quoi,
appelons
-le âme, Dieu, ordre moral, et voilà un nouveau sp
octrines de M. Renan. Quant à son système philosophique (si l’on peut
appeler
système une esquisse où l’imagination a plus de p
dessous ou au dedans de cette série flottante : c’est ce que M. Taine
appelle
« la loi », et M. Renan « l’infini » ou « l’idéal
Que sera-ce si cette rencontre ou combinaison de phénomènes que vous
appelez
un homme n’est que le résultat de l’activité aveu
raordinaire, si original, si inattendu dans cette série graduée qu’on
appelle
la nature, il tranche tellement sur le reste, qu’
pparition d’une force nouvelle, qui est précisément ce que les hommes
appellent
l’âme ? Pourquoi dans cette force nouvelle, la pl
al de la matière brute à la vie, la voilà qui invente un être qu’elle
appelle
force vitale ; ne pouvant expliquer la pensée, el
uvant expliquer la pensée, elle invente une force spirituelle qu’elle
appelle
âme ; ne pouvant expliquer toutes les causes de n
étache cette force par abstraction, de la nature elle-même, et elle l’
appelle
Dieu. Ainsi chacune des affirmations spiritualist
connues ne cesseront pas d’être des inconnues, lorsque vous les aurez
appelées
force vitale, âme, libre arbitre, cause première.
ne formule créatrice », qui, à l’origine des choses, place ce qu’elle
appelle
« les premiers abstraits », et ramène ces premier
hes s’obstinent à exposer dans ces sciences vides et creuses que l’on
appelle
la morale et le droit naturel. Tel est le mouveme
ques fournies par les sciences positives. Sur ce terrain solide, elle
appelle
et exigerait une sérieuse discussion ; quelques m
mais non pas indifféremment l’un et l’autre, car ce que les Allemands
appellent
le sujet-objet, — l’indifférence absolue, — ce n’
e bien y penser, et il avouera qu’il n’existe pas une sorte d’entité,
appelée
matière organisée, qui serait douée, on ne sait p
accommodatrice dans la matière (car n’est-ce pas là ce que M. Littré
appelle
la propriété de s’ajuster à des fins ?), c’est re
et la nature possèdent de perfections incomplètes. C’est ce que l’on
appelle
l’intuition pure, l’intuition immédiate du divin.
e la vertu a pour but de réaliser. Ce modèle est ce que les stoïciens
appelaient
« le sage. » Jamais un tel sage n’a existé, jamai
e qu’il possédera l’être dans sa plénitude absolue, C’est ce que nous
appelons
sa perfection. Mais ce qu’il y a surtout de profo
tous ses attributs et dans toutes ses qualités ? Or c’est là ce que j’
appelle
la perfection, c’est-à-dire la plénitude d’existe
e quantité et un infini de qualité : c’est là ce que les scolastiques
appellent
l’infini d’extension et l’infini d’intensité. Je
es et naturelles. Reconnaissons de bonne foi ce qui nous manquait. On
appelait
paix des esprits leur indifférence et leur langue
faut-il bien distinguer la génération vraiment spontanée de ce qu’on
appelle
aujourd’hui l’hétérogénie. Dans la véritable idée
onneur, politique, homme d’État, Thucydide, lui, ne pourrait jamais s’
appeler
le bon Thucydide. Aristophane, ce roué d’esprit q
ïveté que la sienne. Le naïf, seul, n’aurait pas suffi… Rollin, qu’on
appelle
aussi le bon Rollin, et qui, dans son Histoire an
malicieux, tous les divins commérages de cette histoire qu’Hérodote n’
appelle
pas une Histoire, mais ses Histoires, échappent à
ouvantablement passionnée, qu’il fut ce miracle… ou ce monstre, qu’on
appelle
Pascal ! Jugez par là de ce qu’était cette langue
stume du leur, quels que soient les sujets qu’ils traitent, finit par
appeler
« chrétien » Hérodote, comme il rayait appelé « u
ls traitent, finit par appeler « chrétien » Hérodote, comme il rayait
appelé
« un gentilhomme grec ». « Une chose que je ne ve
r n’en pas parler, et l’on a pu croire à cette vieille tactique qui s’
appelle
la conspiration du silence et qui n’est peut-être
, de plus, tout ce qui peut choquer le courage de ce fier héros qui s’
appelle
monsieur Tout-le-Monde. Au xixe siècle, la Socié
qu’un pas entre le chouan et le bandit, on franchira ce pas, et on l’
appellera
… un bandit de lettres. Parce qu’enfin son livre e
parmi ces compositions graves et consciencieuses qu’il est convenu d’
appeler
de l’Histoire. Quel est l’être vivant, en effet,
ssance politique et ses vices, le Régent, à qui Crétineau-Joly, que j’
appelais
une coquette de vérité il n’y a qu’un moment, acc
t regardé plus longtemps, lui aurait expliqué ce piètre règne qu’on a
appelé
le règne du juste milieu pour en dissimuler, sous
es, au ministère des affaires étrangères, qu’on avait bien le droit d’
appeler
, à ce propos, des affaires étranges ! Oui ! franc
peut-être trop peu, l’Introduction que le publicateur de Saint-Simon
appelle
son Introduction générale. Voilà la divertissante
ouvent trouvé dans les magnifiques peintures de ses Mémoires ce qu’on
appelle
vulgairement des « ombres au tableau ». Même les
es coutumes, supérieures à toute loi écrite, à tous ces papiers qu’on
appelle
« des constitutions », que l’épée du premier venu
et qui allait mourir par les bâtardises ; car toutes les bâtardises s’
appellent
comme l’abîme appelle l’abîme. Les bâtardises de
les bâtardises ; car toutes les bâtardises s’appellent comme l’abîme
appelle
l’abîme. Les bâtardises de rois font les bâtardis
ule pourraient seules porter, le Mémoire sur les légitimés pourrait s’
appeler
hardiment : « la Bâtardise dans l’Histoire », car
a bâtardise. Va-t-on crier ? Les bâtards crient toujours quand on les
appelle
des bâtards, au lieu d’effacer par leur mérite la
bempré, et tant d’autres de princes, de seigneurs et de particuliers,
appelés
ainsi de leur temps, sans qu’ils eussent d’autres
s et de toutes les traditions pour lesquelles ce vieux héros, comme l’
appellerait
Carlyle, ce vieux pair de Saint-Simon, qui n’ente
casse à chaque instant, nos aperçus rapides et fugitifs, ce que nous
appelons
traits d’esprit, saillies, reflets, étincelles au
gine de l’Empire, un air d’opposition. Lorsqu’en 1804, l’Institut fut
appelé
à émettre un vote sur le nouvel établissement imp
la plénitude de leur vie, les savants ne seraient point légitimement
appelés
et invités à concourir de leurs lumières à la cho
cette Correspondance si intéressante pour les géomètres. J’ai entendu
appeler
cet article de M. Biot « une mauvaise action. » I
M. Biot s’était de tout temps occupé de la branche de physique qu’on
appelle
Optique, et qui se traite à la fois par l’expérie
. Berthelot et M. Pasteur. Ce dernier a raconté que le jour où il fut
appelé
dans le cabinet de M. Biot que l’Académie lui ava
er travail inséré dans les Annales de Chimie et de Physique, et qu’il
appelait
son testament scientifique (mai-août 1860). Son t
cientifique (mai-août 1860). Son testament philosophique, ou ce qu’il
appelait
moins justement de ce nom, se trouverait dans le
ons aussi concassées que les cailloux d’une mosaïque, ne peuvent vous
appeler
à leur aide sans que leurs voisins à leur tour n’
peuvent vous appeler à leur aide sans que leurs voisins à leur tour n’
appellent
aussi à leurs secours d’autres nations protectric
, que voulez-vous faire ? Une intervention française à perpétuité n’y
appellerait
-elle pas une intervention anglaise, un champ d’in
coalisée contre vous ? Sera-ce cette petite Macédoine moderne, qu’on
appelle
le Piémont, auquel vous livrez si aveuglément auj
avant de tarir, en faisant ce petit bruit que les historiens profanes
appellent
gloire, civilisation, puissance, et que les philo
nes appellent gloire, civilisation, puissance, et que les philosophes
appellent
néant ! Car la géographie, surtout, enseigne la s
un navire qui aurait fait la circumnavigation du globe et du temps, j’
appellerais
un à un mes petits géographes, compagnons de notr
veau. Dans le temps donc que Saint-Gelais, créature gentille, comme l’
appelle
Marot, aiguisait quelques douzains à la manière i
ile, nés eux-mêmes avec le don des vers, avaient rêvé pour leur pays,
appelé
pour la première fois par eux du beau mot latin p
une véritable déclaration de guerre. Ceux qui y souscrivirent furent
appelés
la Brigade. Une fois maîtres du terrain, la victo
tant au cerveau, la brigade se mit de ses propres mains au ciel, et s’
appela
la Pléiade. Toutes les tendances de l’esprit fran
sur lui-même. Aucune de ces pièces n’est digne de ce poëte futur, qu’
appelait
le vœu de Du Bellay ; aucune ne réalise les presc
où la critique littéraire ait été éloquente, qui donnent à ce poëte,
appelé
par ses contemporains l’Ovide français, une place
rageuse dans une poétique écrite en présence et à la face de ce qu’on
appelait
alors la queue de Ronsard. Toute la suite et la f
s. On lui constitua un marquisat dans le pays de Thrace, vulgairement
appelé
Bulgarie ; on estima que la bataille de Pavie, qu
our les poëtes contemporains89 et pour Marot luimême, quoiqu’il l’ait
appelé
« la seule lumière « en ses ans de la vulgaire po
s’imagine un mélange de subtilités italiennes et de ce que Du Bellay
appelait
fort justement mignardises françaises, cousues à
mploi de mots composés à la manière de la langue grecque, et ce qu’il
appelait
le provignement des vieux mots. Il voulait qu’on
e n’était pas assez des emprunts faits à tous les patois, que Ronsard
appelle
des dialectes, ni des mots composés, ni des vieux
ns, comme fit Henri Estienne, ou contre les cicéroniens, que Rabelais
appelle
les latinisants, c’était la thèse de tous les éru
ne vision réelle ; l’expression correspond tout au plus à ce que nous
appelons
une vision fantasmatique. D’ordinaire, nous nous
ité est de mettre toutes ces visions au même rang. La vision que nous
appelons
réelle ne serait que l’une des visions fantasmati
différence L2 — c2 T2 reste constante. C’est cette différence que j’
appelais
autrefois l 2. » Ainsi, prenant c pour unité de t
ectangulaires dans un espace à deux dimensions, est équation si l’on
appelle
x₁, y₁, x₂, y₂, leurs distances respectives aux d
ors à une somme de quatre carrés que nous aurons affaire. Convenons d’
appeler
équation les quatre différences équation , équ
quand on passe de x₁ à x₂, de y₁, à y₂, de z₁ à z₂ de équation et
appelons
équation l’intervalle entre les deux points A′
fois quelconque, occupant à la fois de l’Espace et du Temps, que nous
appellerons
AB. Nous l’écrirons : équation expression q
ue l’aspect superficiel et spatial d’une réalité solide qui devrait s’
appeler
temps et espace à la fois. Bref, la forme d’une c
si leur prédétermination. Mais ces parties, constitutives de ce qu’on
appelle
le monde physique, sont encadrées dans d’autres,
visible, indéterminé. Ne me prenez pas pour un métaphysicien, si vous
appelez
ainsi l’homme des constructions dialectiques. Je
intervalle entre les deux événements devenus successifs aurait beau s’
appeler
du temps, il ne pourrait contenir aucun événement
r l’observateur en S′. Nous revenons à notre première notation : nous
appellerons
équation le temps de l’événement A′ et équatio
mporelles de l’une et de l’autre. 45. Sur ce point, sur ce que nous
appelions
« le mécanisme cinématographique de la pensée » e
atholique, 15 février et 15 mars 1848.] Quand un homme qu’on pourrait
appeler
le dernier des prophètes, écrivait, au commenceme
dont l’Angleterre est le théâtre depuis plusieurs années, et surtout
appeler
l’attention sur un homme qui aura toujours la glo
es motifs de révolte fut, à coup sûr, l’hérésie de Henri VIII qui fut
appelée
l’Anglicanisme. Du moins, dans Luther, on pouvait
eurs de la foi ; rien de plus. Quant à cette œuvre de perdition qu’on
appelle
La Réforme de ce nom général et absolu qui embras
qui se sentaient vigoureux de leur union comme de leurs principes, en
appelèrent
à l’Université. Ils eurent pour eux 336 voix, qua
ourant d’idées que nous sondons ! Voyez ce qui sépare encore ce qu’on
appelle
l’anglo-catholicisme du véritable catholicisme, d
t ces cataclysmes de l’erreur, dans la conscience foudroyée, que l’on
appelle
des conversions. Étudiez-les. Elles n’ont ni rete
’un des esprits les plus distingués de son Église, il avait noblement
appelé
sur sa tête la condamnation qui avait frappé Ward
’agonie est pire que la mort. Et le sentiment d’une position que nous
appellerions
fatale si le mot était plus chrétien, qui n’en a
ieilles entrailles de l’Angleterre de Henri VIII et d’Élisabeth. Il s’
appelait
: le Papisme d’Oxford, confronté, désavoué et rép
l’antéchrist. Peter Maurice examina — si une chose si violente peut s’
appeler
de ce nom si calme : examiner, — les principaux é
encore, mais dans les idées. L’anglo-catholicisme du Dr Pusey, qu’on
appelle
aussi du romanisme, conduira avant peu l’Angleter
sses profondément enfouies, afin que tu saches que c’est moi qui t’ai
appelé
, avant que tu ne m’aies connu. » Le roi de cet én
appelé, avant que tu ne m’aies connu. » Le roi de cet énorme empire s’
appelait
par excellence le « Grand Roi ». « Longue-Main »
te par tas et par hécatombes. La « Bouche du Roi », comme l’étiquette
appela
plus tard ce service, était un gouffre qui englou
pait de mort l’audacieux qui osait paraître devant lui sans avoir été
appelé
. — « J’irai donc chez le Roi » — dit à Mardochée
ë qu’elle était, la conscience de son aristocratie native lui faisait
appeler
« Barbares » ceux qui vivaient hors de ses mœurs
ir, et filait en même temps sa quenouille. La « dame » — Dam, comme l’
appelait
la vieille langue aryenne, — maîtresse de la mais
re cette œuvre immense, de détails concentrés et d’ensemble, que l’on
appelle
l’histoire d’une société. L’histoire d’une sociét
le croirait-on ? ces frères siamois de la littérature — comme on les
appelle
déjà — sont aussi les neveux siamois de l’auteur
nie. Seulement, nous croyons qu’alors, dans cette vaste galerie qui s’
appelle
l’histoire d’une société, il y aurait — si on rec
grandes villes un exemplaire plus pur que Paris lui-même de ce qu’on
appelait
la société française, de ce mélange heureux et si
portière et à annoncer ceux qui entrent. Les gens qui font cela ne s’
appellent
point des historiens. Et d’ailleurs, dans le livr
ssurément, s’ils avaient eu conscience de leur œuvre, s’ils l’avaient
appelée
du nom modeste qu’elle devait porter, nous n’euss
mille § 1. — Cette société primitive, naturelle, fondamentale qui s’
appelle
la famille se compose du père, de la mère, des en
née et contre nature. Le marquis d’Argenson, un fort honnête homme, l’
appelle
« un droit furieux ». Il en fait gaillardement l’
célibat, aux vœux perpétuels, aux couvents. Que veulent-ils donc ? J’
appelle
un apologue du temps à mon aide pour expliquer le
pièce ? J’oserais dire que c’est Emilie, celle que les contemporains
appelaient
« une adorable furie ». N’est-ce pas elle qui ani
cine (chez qui l’homme bien souvent prend sa revanche) celui qu’elles
appelaient
« leur vieil ami ». Prédilection bien naturelle !
; et on peut le constater à chaque instant. Les chefs des Frondeurs s’
appellent
souvent de noms empruntés à des héros de roman ;
berté d’opinions et une franchise de style qui distinguèrent ce qu’on
appela
, dans l’entourage du jeune roi Louis XIV, l’ancie
? Musset avouait que ses pièces étaient faites surtout pour ce qu’il
appelait
son public de petits nez roses ; et j’ai entendu
ue ingénument et ne craint point qu’on veuille les violenter. L’une s’
appelle
Agnès ou Isabelle et n’a que de l’aversion pour c
tôt montrer l’épanouissement progressif de cette fleur délicate qui s’
appelle
un enfant, tantôt rajeunir ces souvenirs du premi
retraites. Le sort veut qu’il soit maintenant au service : mais ne l’
appelez
pas laquais ! Fi donc ! Vous froissez sa délicate
’un procès qui serait la fin des lettres. Ces trois critiques, je les
appellerai
brièvement la critique des honnêtes gens, la crit
encore sortie, de la critique qui reste parlée, de ce qu’on pourrait
appeler
l’eau-mère de la critique. Il s’agit non d’une co
Notez que cela est écrit au septième volume d’un grand ouvrage qui s’
appelle
les Contemporains. Il est peu probable que Jules
fort bien se trouver dans une revue ou dans un volume. Mais ce que j’
appelle
critique de journal, c’est la critique des œuvres
excepté celle de Montaigne. » Faguet n’a pas tort. Un journal peut s’
appeler
le Figaro ou le Voltaire. On ne lui voit pas ce n
r dramatique n’a pas plus le droit de se dérober à l’invitation qui l’
appelle
à la répétition générale d’une rapsodie qu’à une
rime en France sur tous les marchés, et c’est là, en partie, ce qu’on
appelle
l’esprit du xviie siècle. Le délégué à l’autorit
, ce fut Chapelain, un homme considérable qui fonda ce qu’on pourrait
appeler
la critique de conseil : je veux dire qu’avec Cha
xviiie , nous voyons la littérature renouvelée par ce qu’on pourrait
appeler
un sentiment extraordinaire de la curiosité. Non
e nouvelle, et personne n’en a mieux rédigé que lui ce qu’on pourrait
appeler
l’acte de naissance. C’est un des grands avantag
rouver cette institution, il nous faut arriver à La Harpe. Brunetière
appelle
La Harpe « un homme que je ne souhaite que d’égal
ines distincts, qui chassent dans leurs garennes propres, et que nous
appelons
critique parlée, critique d’artiste et critique p
Précisément les leçons de La Harpe correspondent à ce qu’on pourrait
appeler
une laïcisation du sermon. Le besoin d’entendre b
l’intermédiaire de Rousseau. S’il n’avait pas eu horreur de ce qu’il
appelait
la littérature personnelle et du Connais-toi toi-
ines à côté de cette condition nécessaire et presque suffisante qui s’
appelle
goûter. * * * Je dis goûter avec tout l’élément s
ritique qui amènera l’homme à juger contre son goût. Ou bien alors on
appellera
critique ce qui est morale, comme Gorenflot appel
u bien alors on appellera critique ce qui est morale, comme Gorenflot
appelait
carpe ce qui était volaille. L’éducation du goût,
t ; non pas à telle époque, mais dans toutes ; enfin l’idée qu’il est
appelé
à représenter. » Cela était déclamé et gesticulé
roduction. Eh oui ! Aujourd’hui ces bâtiments d’Exposition, que Taine
appelait
des palais d’idées, sont à bas. La critique unive
qu’on met dans ses pensées, le discours ainsi entendu peut bien être
appelé
le style même de la critique, puisque, entre les
es, il propage de l’ordre et du mouvement. On me dira : « Ce que vous
appelez
la critique professionnelle, pourquoi ne l’appele
ra : « Ce que vous appelez la critique professionnelle, pourquoi ne l’
appelez
-vous pas la critique historique ? » Mon Dieu ! je
ide et ce plein. Mais nous venons de voir qu’on pourrait aussi bien l’
appeler
une critique morale, et même (si les incursions d
es romanciers, écrit Brunetière, nous ne sommes que ce qu’on pourrait
appeler
les annonciers de la littérature ; et quand nous
ette ou des Misérables que de ses bonshommes de Port-Royal, comme les
appelait
Flaubert. Voilà donc les critiques professionnel
tière, Lemaître, Faguet. Chateaubriand a baptisé cette critique. Il l’
appelle
la critique des beautés. Mais on peut en discerne
re de M. de Meaux. Devrons-nous nous contenter, comme Sainte-Beuve, d’
appeler
cette critique de Fénelon « élégante et fine » ?
ne prend, avec ce nom, conscience d’elle-même que dans un livre qui s’
appelle
le Génie du Christianisme. La familiarité avec le
ui se pratique en rhétorique). Mais lorsque par exemple Chateaubriand
appelle
les œuvres d’Homère, de Dante, de Shakespeare, de
de la France de Michelet), d’une littérature ou d’un homme, on peut l’
appeler
critique d’intuition ou de sympathie. Laissons de
oésie en Hugo. La place centrale est occupée par ce que l’on pourrait
appeler
, en jargon de critique, la théorie des treize gén
l les a peints comme il les a vus. Mais Hugo lui-même, et ce que nous
appelons
en un langage de myope l’orgueil démesuré de Hugo
est faite des grands professeurs. Qui annonce-t-elle de partout ? Qui
appelle-t
-elle comme son achèvement ? La critique ordonnée
ant qui le porte, ce sont ces formes de l’élan vital littéraire qu’on
appelle
les genres. Brunetière a eu raison de voir là le
ns-nous sans les changer aux mains de la dixième Muse, comme Voltaire
appelait
la critique ? Montaigne regrettait que les magist
’il sait tout… Je m’excuse de citer encore Cicéron, mais je l’ai déjà
appelé
le patron de la corporation oratoire, fort honnêt
œuvres littéraires, c’est un état particulier de la sensibilité qui s’
appelle
le goût, Il faut se garder de confondre des réali
très éloignées, et dont le type le plus complet est ce qu’on pourrait
appeler
la grande artère, le grand central du goût : la c
très bon goût nous ne disons jamais que c’est un goût précis, nous l’
appelons
un goût délicat ou bien un goût sûr. Quelle diffé
nous le verrions peut-être chez certains amateurs, ceux que Voltaire
appelle
des gens de lettres qui n’écrivent pas, et chez q
critique, ou plutôt d’esprits constructifs appliqués à la critique. J’
appellerai
ces quatre ordres : l’ordre générique, l’ordre tr
pour qui le monde extérieur existe. Au xviie et au xviiie siècle on
appelle
critique, en France, un homme pour qui les genres
des grands écrivains qui y figurent et qui le constituent, on peut l’
appeler
la grande construction de la critique française.
cette idée de génération, en étudiant les traits propres de ce qu’il
appelle
les cinq générations rousseauistes, sans qu’il lu
le taxe de germanisme et de romantisme, et que nous pouvons peut-être
appeler
septentrionaux. Cette critique nationaliste de Mé
et pour contrepoids une critique de tradition cosmopolite, qu’on peut
appeler
critique genevoise, et qui prend son origine dans
s avec l’imitation, mais elle en a avec ce genre de déformation qui s’
appelle
la parodie. Celui qui a produit une bonne parodie
dépourvus de réaction toute envie de lire le livre. La parodie peut s’
appeler
une critique constructrice, constructrice puisqu’
veux parler du Génie du Christianisme. Les Français, que Nietzsche a
appelés
le plus chrétien de tous les peuples, avaient pri
classique, charpentée par l’idée de l’esprit français, ne peut-elle s’
appeler
un Génie du Classicisme ? Brunetière a repris ce
pressions que les objets exterieurs font sur elle ; et c’est ce qu’on
appelle
sentir : ou bien elle s’entretient elle-même par
ons sur des matieres, soit utiles, soit curieuses ; et c’est ce qu’on
appelle
reflechir et mediter. L’ame trouve penible, et mê
s. Voilà ce qui les porte à courir avec tant d’ardeur après ce qu’ils
appellent
leur plaisir, comme à se livrer à des passions do
s l’affliction ou dans l’ennui. Quand les hommes dégoutez de ce qu’on
appelle
le monde prennent la resolution d’y renoncer, il
ogrès des connaissances. S’ils eussent vécu dans les siècles que nous
appelons
barbares, ils eussent alors regardé l’ignorance c
ts. Plus on a d’esprit, plus on est mécontent de ce qu’on en a ; j’en
appelle
aux gens d’esprit de tous les temps et de toutes
r propre conservation, ils ne préférassent l’étude des sciences qu’on
appelle
exactes à la culture des sciences agréables ; c’e
t point les talents comme elles ne les donnent pas. J’ai osé d’avance
appeler
préjugé l’opinion qui suppose que les grands ont
que le talent facile et si commun de faire de mauvais ouvrages, qu’on
appelle
du terme honnête d’ouvrages de société, fût un ti
u à obtenir cinq ou six suffrages déjà assurés avant la lecture. J’en
appelle
à ces productions avortées que leurs illustres au
bas ceux qui les connaissent, après les avoir louées tout haut ; j’en
appelle
surtout à la manière dont le public en pense, lor
ne place publique, où une foule d’empiriques montés sur des tréteaux,
appellent
les passants, et en imposent au peuple qui commen
mais qu’ils se croient obligés d’admettre par respect pour ce qu’ils
appellent
le public. Je leur conseille de suivre en pareill
onsidérations semblent devoir être principalement utiles à ceux qu’on
appelle
beaux-esprits, et dont les ouvrages étant faits p
la prudence de tenir secrète ; ces hommes si faibles se font pourtant
appeler
philosophes, comme si la philosophie, avant de ré
savants. Quand je dis les savants, je n’entends pas par là ceux qu’on
appelle
érudits ; c’est une nation jusqu’ici assez peu co
d’avantage qu’ils croient trouver dans ce commerce ; c’est ce qu’ils
appellent
considération, et qu’il ne faut pas confondre ave
es. Mais méritent-ils qu’on en coure les risques ? Lucien, qu’on peut
appeler
le Swift des Grecs, parce qu’il se moquait de tou
tyle le modèle des philosophes. Il n’en est pas de même de ceux qu’on
appelle
beaux esprits. Pour peindre les hommes dans un ou
prétend reconnaître aujourd’hui les auteurs qui fréquentent ce qu’on
appelle
la bonne compagnie, mais à qui cette fréquentatio
ération, est cette fureur de protéger qui produit parmi nous ce qu’on
appelle
des Mécènes. Que le favori d’Auguste serait surpr
rotection et sans crédit. Dans leurs mémoires périodiques, qu’on peut
appeler
, comme M. de Voltaire appelle l’histoire, d’immen
leurs mémoires périodiques, qu’on peut appeler, comme M. de Voltaire
appelle
l’histoire, d’immenses archives de mensonge et d’
estre L’auteur des artistes vivants Mon cher Silvestre, L’abîme
appelle
l’abîme. Je n’ai pas la fatuité de croire que j’e
mitié. Mais ce n’est pas tout, mon cher Silvestre… Après que l’ami a
appelé
l’ami, le critique, à son tour, appelle le critiq
r Silvestre… Après que l’ami a appelé l’ami, le critique, à son tour,
appelle
le critique. Nous faisons tous les deux le même m
quelquefois la bête surmenée. Elle a crié sa plainte. La favorite l’a
appelée
: « Envieuse. » Le Maître a déclaré : « Il est ju
aître s’est laissé persuader. Et il y a eu des prostitués qui se sont
appelés
bouffons, philosophes, prêtres, poètes, artistes
, dont le travail augmentait, se sont plaints. Les prostitués les ont
appelés
: « Envieux. » Et le Maître a répondu : « Leur in
eur désir. Et quelques-uns récrivent avec opportunité, comme d’autres
appellent
une dot par les petites annonces des journaux. Je
s d’autres qui, avec plus ou moins de succès, employèrent un volume à
appeler
: « Quelle femme riche veut m’acheter, corps et â
des vers charmans. Fable IV. V. 5. Relevé. Mauvaise rime qu’on
appelle
suffisante ; La Fontaine pouvait mettre d’un pas
elque sorte de ses grands vassaux. Au surplus, ce récit ne peut pas s’
appeler
une fable ; c’est une petite histoire allégorique
t, un quatrième. Un quart voleur survient, etc. Voilà les conquérans
appelés
voleurs, c’est-à-dire par leur nom. Nous sommes b
nt. Ce vers de six syllabes, suivi d’un autre de trois, si l’on peut
appeler
ce dernier un vers, ne me semble qu’une négligenc
nt a la méthode des Turcs, Dieu nous en préserve. La voici : Le juge,
appelé
Cadi, prend une connaissance succincte de l’affai
assez de fonds pour remplir le vide du temps, sans ce que le vulgaire
appelle
des affaires. Il ne manquerait cependant à l’oisi
u’un meilleur nom, et que méditer, parler, lire et être tranquille, s’
appelât
travailler. » Il se flatte aujourd’hui d’avoir à
t proposé, d’avoir vécu en sage et en philosophe, étranger à ce qu’on
appelle
succès, indifférent à ce qu’on appelle gloire, et
hilosophe, étranger à ce qu’on appelle succès, indifférent à ce qu’on
appelle
gloire, et de s’être uniquement « attaché, en cul
, etc., etc., mérite peu qu’on s’y arrête. Ce sont des à-peu-près qui
appelleraient
, des remarques plus précises, des rectifications
resque tous les noms propres, il écrit l’abbé Gerbot pour Gerbet ; il
appelle
M. Pasquier, le comte Pasquier, comme un homme qu
s avantages contre les classiques de seconde et de troisième main. Il
appelait
l’alexandrin un cache-sottise ; il demandait pour
évée du classicisme, le meilleur avocat d’une vieille platitude. » Il
appelait
de tous ses vœux un digne adversaire et un vrai c
te. Sa sévérité étrange pour un si ancien ami et un si piquant esprit
appelle
la nôtre à son égard et la justifierait, s’il en
ieu est à l’univers, et ce que l’ouvrier est à la montre. Ceci peut s’
appeler
la métaphysique des métaphores ; des fautes de st
ou portions interceptées et distinguées dans ce tout continu que nous
appelons
nous-mêmes, comme le seraient des portions de pla
st un membre séparé du sujet. L’étendue est une portion du tout qu’on
appelle
matière ; la pesanteur est une portion du tout qu
ut qu’on appelle matière ; la pesanteur est une portion du tout qu’on
appelle
pierre ; la végétation est une portion du tout qu
ut qu’on appelle pierre ; la végétation est une portion du tout qu’on
appelle
plante ; l’éclat est une portion du tout qu’on ap
du tout qu’on appelle plante ; l’éclat est une portion du tout qu’on
appelle
soleil. Donc quand vous dites : Je souffre, je jo
; l’homme qui perçoit les objets extérieurs parce qu’il a la faculté
appelée
perception extérieure ; l’âme qui ressent l’émula
plus loin : percez une seconde enveloppe ; remarquez que ce que nous
appelons
une hallucination, une vision, une représentation
nissez ce fait découvert, et le vulgaire n’aura plus le droit de vous
appeler
impuissant. C’est que vous avez imité le liste da
apparaît alors indéfiniment divisible. Remarquons, en effet, que nous
appelons
subjectif ce qui paraît entièrement et adéquateme
irtuelle, de subdivisions dans l’indivisé est précisément ce que nous
appelons
objectivité. Dès lors, il devient aisé de faire l
s l’étendue, cette qualité devient quantité en un certain sens ; on l’
appelle
intensité. Ainsi la projection que nous faisons d
et les juxtapose ; cet acte sui generis ressemble assez à ce que Kant
appelait
une forme a priori de la sensibilité. Que si main
elles comme les notes d’une mélodie, de manière à former ce que nous
appellerons
une multiplicité indistincte ou qualitative, sans
s grandeurs dites intensives, si toutefois les intensités pouvaient s’
appeler
des grandeurs ; à vrai dire, ce n’est pas une qua
’est parce que je dure de cette manière que je me représente ce que j’
appelle
les oscillations passées du pendule, en même temp
e espèce d’échange se produit, assez analogue à ce que les physiciens
appellent
un phénomène d’endosmose. Comme les phases succes
nous créons pour elles une quatrième dimension de l’espace, que nous
appelons
le temps homogène, et qui permet au mouvement pen
nnus égaux entre eux, on dira que le mouvement est uniforme : et l’on
appellera
vitesse du mobile l’un quelconque de ces interval
petit que toute quantité donnée. C’est cette limite commune vm qu’on
appellera
vitesse du mobile A au point M. — Or, dans cette
ait séparément. L’espace employé à cet usage est précisément ce qu’on
appelle
le temps homogène. Mais une autre conclusion se d
ultiplicité distincte sans considérer parallèlement ce que nous avons
appelé
une multiplicité qualitative. Quand nous comptons
ans l’espace, sous forme de multiplicité numérique, ce que nous avons
appelé
une multiplicité qualitative, et de considérer l’
r notre conscience entre la position actuelle et ce que notre mémoire
appelle
les positions antérieures fait que ces images se
tant que sensations pures, et donnent encore lieu à ce que nous avons
appelé
un progrès dynamique : mais sachant que la même c
déploierons, isolés les uns des autres, dans ce milieu homogène qu’on
appellera
maintenant, comme on voudra, temps ou espace ? To
n enfer et qui en revenait », et le rayonnant Apollon, qui se faisait
appeler
monsieur le conseiller de Gœthe, anobli, décoré,
s m’aviez tout l’air de dire de fort belles choses. ÉLIE. Voilà qui s’
appelle
deviner. Diotime était en verve. Elle entreprenai
et par les honnêtes gens sur Dante ou sur Gœthe. Depuis Voltaire, qui
appelle
la Comédie un salmigondis, jusqu’à M. Alexandre D
Dante ou Durante des Alighieri (la coutume florentine voulait qu’on s’
appelât
tantôt d’un sobriquet, tantôt d’un diminutif : Da
te. Un chirurgien qui remettait un membre, faisait une équation, il s’
appelait
alors, en Italie, comme encore aujourd’hui en Esp
utait aussi ; l’Inquisition avait l’œil sur eux, craignant ce qu’elle
appelait
les profanations de l’anatomie, sévèrement interd
Guinicelli, de Bologne, que Dante, en l’accostant dans le Purgatoire,
appelle
Padre mio, et qui fut bientôt suivi de Cino da Pi
le plus beau des idiomes et ce génie si subtil que le pape Boniface l’
appelait
le cinquième élément de l’univers, elle s’épanoui
a Maiano qui correspondait en vers avec une poétesse sicilienne qu’il
appelait
« sa noble panthère », et qui s’était éprise de l
hère », et qui s’était éprise de lui ou de sa gloire jusqu’à se faire
appeler
la Nina di Dante. VIVIANE. Eh quoi ! cette Nina n
uant à Guido Cavalcanti, on ne lui reconnaissait point d’égaux ; on l’
appelait
« le Prince de la poésie amoureuse. » VIVIANE. Es
de composer dans la langue française un ouvrage encyclopédique qu’il
appela
le Trésor, et auparavant dans son idiome natal, r
ncore à cette heure pour le dictionnaire de la Crusca ce que celui-ci
appelle
un texte de langue. Ajoutons, pour couronner la g
te de Villani sont des œuvres italiennes. Enfin paraît Dino Compagni,
appelé
tour à tour le Salluste ou le Thucydide de la Tos
xactement l’action divine dans ces êtres pleins de mystère que nous n’
appelons
pas sans motif des hommes de génie, c’est-à-dire
is d’un dieu. » À sa vue, l’enfant poëte sent à ces profondeurs qu’il
appellera
plus tard le foyer le plus secret de l’âme, l’esp
de chaleur, de lumière et d’électricité n’avaient pénétré ce que nous
appellerions
aujourd’hui le corps social, ce que l’on appelait
tré ce que nous appellerions aujourd’hui le corps social, ce que l’on
appelait
alors en Italie la patrie, la cité : grands mots
a méditation des pensées d’autrui, de l’impression reçue, de ce que j’
appellerai
la consolation passive, qui vient à nous du dehor
ate, Boccace, après avoir reproché à Dante ses amours mondaines qu’il
appelle
sans euphémisme « sa luxure », le tance vertement
orso Donati que le peuple, à cause de son antiquité et de sa superbe,
appelait
le baron, comme s’il n’y en eût eu qu’un seul, n’
ration, et j’entendais récemment attribuer à celui que les Florentins
appellent
, comme jadis Corso Donati, le baron, par excellen
re bestiale, la nourriture spirituelle, le pain des anges, comme il l’
appelle
, qui fait la joie des âmes d’élite. Il écrit auss
es peines, de lui offrir le triomphe poétique. Giovanni da Virgilio l’
appelle
à Bologne pour y recevoir la couronne de lauriers
hieri exhala son dernier soupir dans cet asile de Ravenne qu’il avait
appelé
« amica solitudo » et où l’on peut croire, en eff
oment, Grifagno hésita ; il ne savait s’il suivrait la voiture d’où l’
appelait
Élie, ou bien Viviane qui, du bout de sa cravache
NE. Mais la Comédie n’est pas la Bible. DIOTIME. Elle a été longtemps
appelée
le poëme sacro-saint, il sacratissimo poema, et,
Dieu. MARCEL. Comment ! ces Florentins du diable ont eu le front de s’
appeler
le Peuple de Dieu ? DIOTIME. Tout comme les Hébre
certes pas. Savonarole, en leur donnant pour roi Jésus-Christ, ne les
appelle
pas autrement ; et, cent ans auparavant, le carde
a acquises, la somme, comme on eût dit alors, de son savoir, ce qu’il
appelle
lui-même, dans son langage métaphorique, le pain
l’action que les personnages de bois exprimaient par leurs gestes. On
appelait
ces explications narratives des cantiques. DIOTIM
onza, par le marquis de Santillane, et la préface que j’ai feuilletée
appelait
ce poëme une allégorie tragique. MARCEL. Voilà qu
position des Cantiques (c’était, si je ne me trompe, en 1373), ne les
appelle
encore que le Livre de Dante. MARCEL. Et on les l
enne ! Et pourquoi ? DIOTIME. L’essor de cette belle langue, que l’on
appelait
alors nouvelle, c’était l’essor de l’esprit nouve
e en Allemagne, que le poëme dantesque est tout pénétré de ce qu’elle
appelle
l’élément réformateur. Lorsque l’inquisition d’Es
, ont eu de lui compassion. L’une, il ne la nomme pas ; l’autre, il l’
appelle
Lucie ; la troisième est Béatrice. C’est cette de
aux négociants italiens la connaissance d’une langue orientale, qu’il
appelle
le Coman, et dont il ne reste plus d’autre trace.
prits ; les mœurs rustiques étaient en grand dédain à Florence ; on y
appelait
la noblesse nouvelle, que l’on détestait, le part
, les guelfes, qui servaient les intérêts temporels de l’Église, sont
appelés
loups et louveteaux, lupi, lupicini. Vous voyez d
lus guère en doute ce qui vous a tant surpris d’abord, ce que Fauriel
appelle
la négation audacieuse de Virgile, c’est-à-dire c
sont emportées les âmes qui ont failli par amour, celles que l’Église
appelle
luxurieuses, et parmi lesquelles Dante voit passe
perbes, c’est-à-dire les mécréants, les hérésiarques, les impies, est
appelé
par le poëte la cité de Dité. VIVIANE. Qu’est-ce
ell’ altro magnanimo », c’est ainsi que le désigne Dante (ailleurs il
appellera
Florence, mère des magnanimes), sans changer de v
t du Purgatoire, il fait expier ce même vice à Guido Guinicelli qu’il
appelle
il padre mio e degli altri miei miglior. On avait
t sacerdotal comme le génie de Gœthe, ramène toutes choses à ce qu’il
appelle
, dans son Convito, la religion universelle de la
u souffle de la grâce divine, dans cette admirable cantique que Balbo
appelle
si bien un crescendo d’amor ! ÉLIE. Mais, si mes
ion, mais une réalité, ma chère Viviane. Le florin, il fiorin giallo,
appelé
plus tard zecchino, était une monnaie de l’or le
ns la science divine, des philosophes, des théologiens, de ceux qu’on
appelait
les flambeaux du monde. ÉLIE. Qui docti fuerint,
mour, a paru à quelques interprètes de Dante l’emblème de ce que nous
appellerions
aujourd’hui la vie collective de l’humanité, de c
appellerions aujourd’hui la vie collective de l’humanité, de ce qui s’
appela
longtemps en Europe la république chrétienne, de
ini sont d’accord. Ils ne diffèrent que dans les mots. Ce que Mazzini
appelle
« la contemplation prophétique » d’un ordre unive
ntemplation prophétique » d’un ordre universel, le roi Jean de Saxe l’
appelle
« un gibelinisme idéal » ; et tous deux déclarent
conçu, dans son vaste génie, tout cet ensemble d’idées que M. Littré
appelle
l’esprit qui vivifie la société moderne, et dont
mouvement fut de fuir, mais trop tard ; on nous avait aperçues, on m’
appelait
. Il fallut s’approcher. Le vieillard me sourit ;
e maternelle la chute de l’usurpateur (c’est ainsi que les royalistes
appelaient
alors Bonaparte). Gœthe devait donc avoir alors s
r selon la mode du xvie siècle, avait latinisé son nom et se faisait
appeler
Textor. C’était un jurisconsulte distingué ; il r
et plus grandioses, lui ouvrent, comme à Dante, ce que l’on pourrait
appeler
les horizons épiques. Le tremblement de terre de
es années de Wolfgang, une influence sensible, dominante, de ce que j’
appellerai
l’idéal féminin dans l’amour et dans l’amitié ; e
au front de Béatrice ; si l’auteur de Faust n’a pas réalisé ce qu’il
appelle
« le beau et pieux dessein » d’immortaliser son a
t-il se plaire auprès d’un laideron ? DIOTIME. Ce païen, comme vous l’
appelez
et comme on l’appela longtemps en Allemagne, étai
d’un laideron ? DIOTIME. Ce païen, comme vous l’appelez et comme on l’
appela
longtemps en Allemagne, était, plus que personne,
s femmes. MARCEL. Mais cette Christiane, si j’en crois Bettina, qui l’
appelle
quelque part « une saucisse enragée », loin d’êtr
tz von Berlichingen, le roi faisait pleuvoir le sarcasme sur ce qu’il
appelait
« une imitation détestable des abominables pièces
cles. Par la bouche du « Vieux de Kœnigsberg », c’est ainsi que Gœthe
appellera
Kant, elle se proclame libre et souveraine ; elle
vant Dieu et devant le sage. Avec les rêveurs du xiiie siècle, il en
appelle
de la lettre des Écritures à l’esprit de l’Évangi
cherche, dans l’enthousiasme de son hellénisme renaissant, ce qu’elle
appelle
l’éducation humaine des belles individualités, et
. Auprès d’elles, les plus hauts esprits apprennent la simplicité. On
appelle
à soi les petits enfants, les humbles. La sympath
se nouent ; tout va s’épurer, s’attendrir. Un désintéressement que j’
appellerai
féminin, tant il me semble naturel à notre sexe,
er de Virgile, il souffle de sa belle lèvre adolescente dans ce qu’on
appelait
alors la « flûte douce. » Il rime ses premiers Li
par le secret aiguillon du génie, ils se relèvent. Dans ce que Dante
appelle
« le combat des pensées diverses, la battaglia de
ès de la femme qu’il aime, un malaise inexplicable le tourmente. Il s’
appelle
Légion, dit-il, et il se sent seul. Il cherche l’
ans la patrie de Gœthe. Nous autres Mitternachtskinder, comme on nous
appelle
en Allemagne, nous découvrons les trésors. À cet
des écoliers errants, scholastici vagantes ou bacchants, comme on les
appelait
, qui rapportent des universités de Tolède, de Sal
re ; en me remettant à l’esprit tout cet art naïf d’un temps que l’on
appelle
barbare, toute cette poésie qui coulait intarissa
par la douleur que lui cause la mort de son ami Guido et parce qu’il
appellera
lui-même le cose presenti, les choses présentes,
llemand affectionne ce que notre goût français repousse, ce que Gœthe
appellera
quelque part, à propos même de sa tragédie, « les
tre, les monades parfaites, essentielles, entéléchiques, comme il les
appelait
, celles que la raison pure, l’amour désintéressé,
s, mais du Spinosa véritable, de notre Spinosa à nous, de celui que j’
appelle
un saint, tant sa vie a été pure et désintéressée
prit, les découvertes, les entreprises ; où la vie contemplative ne s’
appellerait
plus que la vie oisive. MARCEL. Mais il me semble
te fois le bon Dieu lui demande des nouvelles du docteur Faust, qu’il
appelle
son serviteur et qu’il qualifie d’homme juste. Mé
côté, la plume au chapeau, le manteau court sur l’épaule, qui se fait
appeler
M. le baron et sait par cœur son Voltaire. C’est
tie de l’expédition en Cochinchine, m’a décrit ce que les bouddhistes
appellent
le Jour du pardon. Pour apaiser l’ange du fleuve,
om de beauté, per sopranome di bellezza, Primavera. Quant à Gœthe, il
appelait
le printemps la saison lyrique, et se plaisait à
tiques le consternent, car il voit que, s’il a eu la puissance de les
appeler
, il ne saurait ni les retenir ni les comprendre.
rue qui traverse les airs la puissance de l’instinct qui la guide. Il
appelle
à son aide les génies qui planent invisibles entr
nt les conditions, il se montre de tout point supérieur à celui qu’il
appelle
avec dédain « un pauvre diable », et la pensée in
he comme pour Dante, mon cher Marcel, la femme dans ce qu’on pourrait
appeler
sa double nature, doublement mystérieuse et sacré
me de Faust est tout éblouie encore des splendeurs célestes, elle est
appelée
à l’initier aux clartés du jour nouveau. Vergönn
justice de Dieu. Gericht Gottes, dir hab’ ich mich übergeben ! Elle
appelle
à son secours le chœur des anges. Sa voix est ent
quer une obscurité par une autre obscurité, un nom par un nom, je les
appellerais
les Parques du panthéisme. MARCEL. Mon ami, le he
ssiques et des romantiques qui passionnait ses contemporains ; il les
appelait
les guelfes et les gibelins du xixe siècle. Chac
MARCEL. La maison rose, dites-vous ? quel nom singulier ! ÉLIE. On l’
appelait
ainsi, cette maison qui ne ressemblait à aucune a
elle de tromper le diable ! Et, dans ses perplexités, Méphistophélès
appelle
à son aide toute l’engeance des diables inférieur
rth, je suppose), célébrer les noces épiques de celui que l’Allemagne
appelait
l’Olympien, avec la fille de Léda, la blonde et d
ésonner au loin de longues notes vibrantes et douces qui semblaient s’
appeler
et se répondre à travers l’espace. C’étaient deux
était né sous cette double étoile de Montesquieu et de Voltaire qu’il
appelle
tous deux « les créateurs de l’esprit de leur siè
ur, et, sous le ministère de la Guerre de M. de Saint-Germain, il fut
appelé
à une place de création extraordinaire, celle d’i
le de M. de Meilhan. Ce dernier fut donc remercié presque aussitôt qu’
appelé
, et il retourna faire les fonctions d’intendant d
, est d’une magnifique exécution. Le jeune administrateur, comme on l’
appelait
encore, s’y montre avec tous ses avantages de phy
s, il nous rend bien le caractère général de cette époque, ce qu’il a
appelé
le « caractère sexagénaire » du siècle. Les révol
êlées et confondues, et avec un frottement si continuel, que ce qu’on
appelle
les gens du monde n’ont plus ni état ni âge, ni r
hez pas le génie, dit-il, l’esprit, un caractère marqué dans ce qu’on
appelle
la bonne compagnie. Ceux qui possèdent ces avanta
ont pour abîmer une monarchie de plusieurs siècles. Lui-même que l’on
appelait
encore complaisamment en 1787 un jeune magistrat,
ais je puis encore y penser. Ce qui survit ainsi à la sensation, je l’
appelle
« une copie, une image de la sensation, quelquefo
te copie c’est l’idée23. La faculté générale d’avoir des sensations s’
appelle
la sensation : la faculté générale d’avoir des id
ns s’appelle la sensation : la faculté générale d’avoir des idées est
appelée
par l’auteur l’Idéation. Comme l’idée est la copi
trois principaux éléments : 1° un état de conscience actuel que nous
appelons
le moi se souvenant ; 2° un état de conscience qu
nous appelons le moi se souvenant ; 2° un état de conscience que nous
appelons
le moi qui a perçu ou conçu ; 3° les états de con
éunissons les objets de nos sens et de nos idées en certains agrégats
appelés
classes33. Mais en quoi consiste ce procédé par l
s qualités (le substratum), et le substratum avec ses qualités nous l’
appelons
l’objet38. Ainsi donc dans notre croyance aux obj
rités verbales. » Le procédé par lequel est produite cette croyance s’
appelle
le jugement. La proposition est la forme de l’aff
et attendre avec une pleine conscience la mort qu’il avait voulue et
appelée
. On le dépouilla alors de ses vêtements 1167, et
boisson ordinaire des soldats romains, mélange de vinaigre et d’eau,
appelé
posca. Les soldats devaient porter avec eux leur
en odieux jeux de mots : « Ah ! le voilà, disait-on, celui qui s’est
appelé
Fils de Dieu ! Que son père, s’il veut, vienne ma
vaguement au courant de ses idées apocalyptiques, crurent l’entendre
appeler
Élie, et dirent : « Voyons si Élie viendra le dél
en dehors de la ville. L’existence d’un caveau sépulcral (celui qu’on
appelle
« Tombeau de Joseph d’Arimathie ») sous le mur de
1° qu’Adrien l’ait élevé ; 2° qu’il l’ait élevé sur un endroit qui s’
appelait
de son temps « Golgotha » ; 3° qu’il ait eu l’int
els qui sont sortis d’eux, de tous ces eunuques de naissance que je n’
appellerai
même pas des petits crevés révolutionnaires ; car
ais n’est pas seulement un caricaturiste de premier ordre, comme j’ai
appelé
Carlyle au commencement de ce chapitre. C’est le
e politique n’est pour lui que l’expression morte d’une formule (il l’
appelle
même par moquerie l’homme-formule), et il n’a tan
la passion et de la vie. Que dis-je ? C’est une résurrection. Je l’ai
appelé
, un jour, un résurrectionniste. Positivement, il
d anglais le brouillard germanique. C’est un amateur de Goethe, qu’il
appelle
(pour le louer !!) : « l’incompréhensible », dans
Mais s’il en a la force, en a-t-il la fécondité ?… Il avait une fois
appelé
Robespierre « l’homme verdâtre », et cela avait t
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