e trahit çà et là ; l’amoureux, assez peu enthousiaste d’ailleurs ; l’
ami
reconnaissant et fidèle ; le bonhomme qui rêve en
tent pas, peuvent lire cet appendice. Première lettre. Mon très cher
ami
, Je suis arrivé à Riga le jeudi au soir, après a
e désirant plus ce que je cherchais, désespérant de tout, la vie, mon
ami
, me parut un poids insupportable ; et la seule id
i me rassura contre l’avenir, ce fut de penser que j’avais en vous un
ami
, et c’est la plus grande fortune qu’on puisse fai
ourir la poste avec le privilège de la Cour67 ! Adieu, mon très digne
ami
; le sommeil m’accable. Soyez persuadé que, parto
eil m’accable. Soyez persuadé que, partout où je serai, vous aurez un
ami
qui vous aimera et vous estimera plus qu’un frère
Randon, et à toute la charmante société. Votre très sincère et fidèle
ami
, Le Chevalier de Saint-Pierre. Ce vendredi à mi
dredi à minuit (1764). Deuxième lettre. Je vous écris, mon très cher
ami
, par l’occasion d’un jeune avocat qui retourne à
crire toujours un pied en l’air. J’ai tant de choses à vous dire, mon
ami
! Je suis triste et rien ne peut dissiper ma tris
ristesse. Je vous écrirai de Varsovie en homme reposé, ainsi qu’à mon
ami
de Treytorens que j’embrasse de tout mon cœur. Ai
juin 1764. P.-S. : Voici la seconde lettre. Vous pouvez croire, mon
ami
, que vous devez me faire réponse, en attendant qu
, je regrette le passé. Troisième lettre. Mon très cher et très digne
ami
, vous n’aurez pas lieu de vous plaindre de ma nég
es événements ont changé tout à fait. Le ciel, qui veillait sur votre
ami
, n’a pas voulu qu’il entrât dans cette carrière o
ellement et noblement. Je chercherais par inclination à m’en faire un
ami
, mais il n’y a pas moyen, tout le monde court apr
Votre Majesté : cela m’étourdit l’imagination. Vous croyez, mon cher
ami
, qu’on s’égorge ici, qu’on se tire jour et nuit d
ne sont terribles ou séduisantes que de loin. Pensez donc à moi, mon
ami
. Aidez-moi à regarder sans étonnement ces désordr
s il n’y a pas là un cœur qu’on puisse approcher du sien. Songez, mon
ami
, que je m’occupe de vous, que je parle de vous, l
C’est un bel homme qui connaît messieurs vos frères. Adieu, mon cher
ami
; soyez persuadé que je serai toujours Votre sinc
eu, mon cher ami ; soyez persuadé que je serai toujours Votre sincère
ami
, Le Chevalier de Saint-Pierre. Le jeune Duhamel
ue vous auriez été ravi75. Quatrième lettre. J’ai reçu, mon très cher
ami
, la lettre où vous me faites part du malheur qui
isser travailler là-dessus votre imagination. Je vous dirai, mon cher
ami
, car je ne vous cache rien, que j’ai fait ici une
’amour chez moi ne fait point de tort à l’amitié. Mes amitiés à notre
ami
M. le Docteur, auquel j’ai écrit. M. le colonel R
a de M. Hennin, Résident de France à Vienne. « Je suis, mon très cher
ami
, avec une amitié que rien n’égale, Votre très hum
ié que rien n’égale, Votre très humble et très obéissant serviteur et
ami
, Le Chevalier de Saint-Pierre. À Varsovie, ce 5
re. À Varsovie, ce 5 septembre 1764. Cinquième lettre. Mon très digne
ami
, j’ai fait toutes les diligences possibles pour v
n’a versé tant de joie dans mon âme. C’était peu de m’avoir donné un
ami
, l’amour ne m’a laissé rien à désirer ; c’est dan
r de la somme dont vous me faisiez offre. J’aurai recours à vous, mon
ami
, dans des temps d’orage. Je vous appellerai et je
pays et avec quels hommes vais-je me trouver ! Je laisse d’excellents
amis
derrière moi ; j’en ai quelques-uns à Vienne, que
de faire le voyage de Vienne que celui de Varsovie. Suivez donc votre
ami
jusqu’aux bords du Danube, et croyez que rien ne
es auxquelles je vous somme de répondre. Le temps me gagne, mon cher
ami
; c’en est assez pour aujourd’hui. Mes compliment
e. À Varsovie, le 26 septembre 1764. Sixième lettre. Monsieur et cher
ami
, je reçois, avec le plus grand plaisir, votre let
puisque je n’ai aucun ordre de chevalerie. Mes compliments à tous nos
amis
, que j’embrasse de tout mon cœur. À Saint-Romain-
nt-Romain-en-Caux, ce 18 mars 1766. Septième lettre. Monsieur et cher
ami
, le roi vient de me nommer son ingénieur à l’île
r je n’entends rien au commerce. Conservez-moi votre amitié, mon cher
ami
, et donnez m’en souvent des preuves en m’écrivant
t une réflexion qui doit souvent vous rendre heureux. Adieu, mon cher
ami
, je pars avec joie. Je me voyais fondre à Paris à
atre mois. Je suis avec le plus sincère attachement, Monsieur et cher
ami
, Votre très humble et très obéissant serviteur,
ierre. À Paris, ce 24 novembre 1767. Huitième lettre. Enfin, mon cher
ami
, me voilà dans l’autre monde. Je vous ai mandé ma
t. Les passagers et les officiers firent la manœuvre. Voilà, mon cher
ami
, le précis de mon journal. Je souhaite un jour vo
ommes, d’où nous sommes sortis et où nous rentrerons. Adieu, mon cher
ami
, jamais je ne vous oublierai. Puisse le ciel me r
m’avez rendus ! Je suis avec la plus constante amitié, mon très cher
ami
, Votre sincère ami, De Saint-Pierre. À l’île de
suis avec la plus constante amitié, mon très cher ami, Votre sincère
ami
, De Saint-Pierre. À l’île de France, ce 7 août
Docteur et à tous ceux qui s’intéressent à moi. Je n’ai plus d’autre
ami
qu’un petit chien qui boit, mange et dort depuis
Louis de l’île de France, ce 6 décembre 1768. Je ne saurais, mon cher
ami
, laisser échapper l’occasion de vous donner de me
si dégoûté que Sancho après son gouvernement. On est trop loin de ses
amis
. Une petite terre et une petite maison aux enviro
rendre meilleur ; voilà la bonne philosophie. Votre exemple, mon cher
ami
, m’a instruit plus que les traités de morale. Si
des Sibériens, des Tartares, des Indiens ses sujets, etc. Enfin, mon
ami
, je reviendrais par la Pologne, où… Mais à quoi s
ert de puces. J’entends le petit chien qui, depuis trois ans, est mon
ami
fidèle. Il s’appelle Favori et mérite le nom qu’i
du chevalier des Roches qui doit être ici gouverneur. Adieu, mon cher
ami
, portez-vous bien et donnez-moi de vos nouvelles.
i de vos nouvelles. Je suis, avec une constante amitié, Votre sincère
ami
, De Saint-Pierre. P.-S. Faites mes compliments
aine. Dixième lettre. Cette lettre vous sera remise, monsieur et cher
ami
, par un de mes anciens camarades d’études auquel
n plus grand service que de lui procurer votre connaissance. C’est un
ami
de dix-sept ans, du petit nombre de ceux auxquels
ct et de mon attachement. Je suis, avec une amitié inaltérable, Votre
ami
, De Saint-Pierre. À Paris, ce 29 juillet 1772.
ite terre agréable et la liberté de m’occuper, dans le voisinage d’un
ami
comme vous, de l’étude de la nature. Il faudrait
e pas souffrir, et voilà où je m’efforce d’atteindre. Adieu, mon cher
ami
, je vous embrasse, vous, votre chère épouse et vo
nfants que j’aime comme les miens. Onzième lettre. Monsieur et ancien
ami
, je n’ai point oublié les services que vous m’ave
r toutes mes dettes. En conséquence je vous écris, monsieur et ancien
ami
, comme au plus ancien de mes créanciers, vous pri
dre, ce qui me fit de la peine. Je vous prie donc, monsieur et ancien
ami
, de rejeter entièrement sur ma mauvaise fortune l
vous ; car j’ai éprouvé une suite d’événements si fâcheux, ou par les
amis
où j’avais mis ma confiance, ou par mes propres p
vos enfants. Je suis avec un sincère attachement, Monsieur et ancien
ami
, Votre très humble et très obéissant serviteur,
uvenir me sera toujours agréable. Douzième lettre. Monsieur et ancien
ami
, je n’ai point d’autres livres de compte de mes d
point d’autres livres de compte de mes dettes que les lettres de mes
amis
que je conserve précieusement. J’ai trouvé dans l
tre de Russie à Berlin, et acquitté une autre dette plus petite à mon
ami
M. de Taubenheim, administrateur des Finances à B
rables d’amitié avec lesquels je suis pour la vie, Monsieur et ancien
ami
, Votre très humble et très obéissant serviteur,
nt-Pierre. Treizième lettre. Je suis bien surpris, monsieur et ancien
ami
, de ce que vous ne m’avez point donné avis de la
e suis, pour la vie, Votre très humble et très obéissant serviteur et
ami
, De Saint-Pierre. À Paris, ce 23 décembre 1786
date du 8 juillet 1786. Bernardin de Saint-Pierre, en écrivant à ses
amis
, cherchait peu à varier ses expressions, et il se
ne espèce de circulaire que Bernardin de Saint-Pierre adressait à ses
amis
d’Europe, sans y faire de variantes.
pour que je ne saisisse pas l’occasion qui s’offre de les montrer aux
amis
comme aux ennemis, si elle pouvait en avoir encor
laces pour la première représentation de Lucrèce Borgia ? Vous êtes l’
ami
de Victor Hugo, et nous sommes, mon pseudonyme et
taires de cette Revue réunirent les principaux de leurs rédacteurs ou
amis
à un dîner chez Lointier, rue Richelieu. Mme Sand
déjà ancien, dans un véritable isolement moral, et se demandant quels
amis
et quel ami elle se pourrait choisir parmi tous c
dans un véritable isolement moral, et se demandant quels amis et quel
ami
elle se pourrait choisir parmi tous ces visages n
re présenter Jouffroy. L’idée d’Alfred de Musset, dont elle me savait
ami
, lui traversa dès lors l’esprit, mais elle la rej
vec des mots simples et profonds… Comme vous valez mieux que moi, mon
ami
! comme vous êtes plus jeune, plus vertueux et pl
s doute à mon propre point de vue, je lui conseillais de se faire des
amis
distingués, sérieux, et à force de m’écarter du g
y prêtant avec une sorte de docilité gracieuse : « Mardi soir, « Mon
ami
, je recevrai M. Jouffroy de votre main. Quelque p
d’autres qui me ressemblent ou ne me ressemblent pas. — Bon soir, mon
ami
. « Tout à vous, « George S. » Cependant la fatal
ve pour la vôtre. « G. Sand. » « Mercredi soir. » « (Mars 1833.) Mon
ami
, je vous envoie les feuilles que je vous ai promi
que moi, et cela me fâche. « George. » « (Mars 1833.) Eh bien ! mon
ami
, quand viendrez-vous dîner avec moi ? Que vous n’
s mes efforts pour me bien porter. « Je vous en souhaite autant, mon
ami
, et vous recommande d’être heureux le plus possib
x le plus possible. « George S. » « Vendredi. » « (11 mai 1833.) Mon
ami
, vous êtes venu et j’étais sortie. Quand vous rev
: ce sera neuf et surprenant. — Sermonneur ou pénitent, je suis votre
amie
à présent et toujours. « George. » « Mon ami, m’
énitent, je suis votre amie à présent et toujours. « George. » « Mon
ami
, m’avez-vous encore une fois oubliée ? Je ne vous
ermets pas, moi. » « (20 juin 1833.) Qu’est-ce que vous devenez, mon
ami
? Il y a bientôt quinze jours que je ne vous ai v
laisser, entendez-vous ? « A v. « George. » « (18 juillet 1833.) Mon
ami
, tout cela est bien cruel, bien triste, bien malh
rs qui nous sont comptés pour voir, ne fût-ce qu’une heure, un visage
ami
, pour presser une main sincère, pour entendre des
e vains besoins du cœur qu’il faut étouffer, car à cette heure-là nos
amis
sont occupés ailleurs : l’un songe à la gloire, l
n eût entendu sur leurs lèvres d’amers et justes reproches pour leurs
amis
. « Et nous aurions tort après tout de nous accus
d’orgueilleux et de menteurs. « Faites donc comme vous voudrez, mon
ami
, je ne vous tourmenterai pas davantage. Êtes-vous
ent sujette. George Sand fit donc appel en cette heure critique à ses
amis
. Je ne donnerai ici que ce qui se rapporte princi
que je continuais de tenir de mon mieux : « (21 septembre 1833.) Mon
ami
, vous rendrez compte de Lélia dans le National, n
lade, mais je suis bien. Et puis je suis heureuse, très-heureuse, mon
ami
. Chaque jour je m’attache davantage à lui ; chaqu
uce que sa préférence m’a été précieuse… Vous êtes heureux aussi, mon
ami
… Tant mieux. Après tout, voyez-vous, il n’y a que
ut à vous, « George Sand. » « (Septembre 1833.). J’ai bien tardé, mon
ami
, à vous remercier de votre bel et bon article. Je
je vous demanderai ce qu’il faut en faire. Vous êtes moral, vous, mon
ami
: le suis-je aussi, ou ne le suis-je pas ? Je ne
mieux et me sont bien plus utiles que les coups d’épée de mes autres
amis
. Il y a aussi des mots de sympathie qui m’ont été
« On me dit que votre santé est fort altérée. Soignez-vous donc, mon
ami
. Peut-être songez-vous trop. Personne ne comprend
oi quelquefois de vos nouvelles sans que je vous en demande. « Votre
amie
, « G. S.» On a souvent dit que les hommes de notr
(14 novembre 1833.) J’ai été bien reconnaissante et bien touchée, mon
ami
, de votre prédilection pour Métella. Maintenant,
ce qui me semble précieuse. Je n’ai pas le désir de faire de nouveaux
amis
: j’ai tout ce qu’il me faut en ce monde ; ma vie
i écrire, mais je n’ai pu m’y décider. Je suis très-orgueilleuse, mon
ami
, et plus on dit de mal de moi, plus je deviens ha
vraies idées. Si elles sont défavorables, je ne vous impose pas, mon
ami
, la corvée de me les dire, mais vous pouvez d’un
à y aller avec lui, si je ne craignais que ce fût inutile. Adieu, mon
ami
, nous vous aimons quand même. Je voudrais que vou
ien mieux. Donnez-moi de vos nouvelles et parlez-moi de vous. « Votre
ami
, George. « Mercredi. » « Mardi. « (27 novembre 18
re ami, George. « Mercredi. » « Mardi. « (27 novembre 1833.) Non, mon
ami
, vos critiques ne m’ont pas fâchée contre vous, m
s constructions que vous m’avez signalées. Merci donc mille fois, mon
ami
, et pour vos avis utiles et pour la peine que vou
veille d’un départ pour le Berri : « Mercredi. « (Été de 1834.) Mon
ami
, je vous remercie de votre aimable envoi. Je vous
r 1883), les lettres que je lui écrivis en 1845 et 1846 26). Quelques
amis
m’ayant témoigné les avoir lues avec intérêt, je
vec intérêt, je les reproduis ici : Tréguier, 24 août 1845, Mon cher
ami
, Peu d’événements considérables, mais beaucoup de
. C’est une barre de fer ; il n’entend pas raison. Pardonnez-moi, mon
ami
, un souhait comme celui que je viens d’énoncer, e
servir plus sincèrement qu’en se vouant à ce qu’il croit la vérité ?
Ami
, pardonnez-moi ce que je viens de vous dire. Ah !
ssent ni l’homme ni l’humanité tels qu’ils existent de fait. Oui, mon
ami
, je crois encore : le prie, je dis le Pater avec
que je ne leur parle pas allemand. D’ailleurs, je vous l’ai dit, mon
ami
, telle est ma position intellectuelle, que je pui
eut se connaître lui-même sans craindre sa faiblesse ? En vérité, mon
ami
, n’est-il pas vrai que Dieu m’a joué un bien mauv
i puisse me faire du mal à moi-même. Je pense souvent à vous, mon bon
ami
; vous devez être bien heureux. Un avenir favorab
sentez encore à m’appeler votre frère. Quant à mon affection, mon bon
ami
, elle vous est acquise, pour toujours… Paris, 1
rs… Paris, 12 novembre 1845. Ce n’était pas sans surprise, mon cher
ami
, que j’avais vu se terminer les vacances sans rec
l’époque où nous pourrons nous entretenir. Que de réflexions, mon bon
ami
, fit naître en moi cette nouvelle inattendue qui
la vie domestique si calme, si insoucieuse. Vous le comprendrez, mon
ami
, quand je vous aurai exposé les épreuves par lesq
partie ni du séminaire ni de la maison des Carmes. Que de liens, mon
ami
, rompus en quelques heures ! J’en étais effrayé ;
ait en avant, et il n’y avait plus moyen de reculer. C’est alors, mon
ami
, que je passai les jours les plus cruels de ma vi
plus cruels de ma vie. Figurez-vous l’isolement le plus complet, sans
ami
, sans conseil, sans connaissance, sans appui au m
pice, et là je cherchais à croire ; mais je ne pouvais. Oh ! oui, mon
ami
, ces jours compteront dans ma vie ; s’ils n’en fu
ssi ennuyeuses qu’elles me furent pénibles. Figurez-vous votre pauvre
ami
courant des journées entières de visite en visite
e. C’est une miniature exacte de M. Bautain, dont il est l’élève et l’
ami
. Nous entrâmes, dès la première minute, en contac
pouvais si facilement poursuivre mes projets actuels ? Ceci est, mon
ami
, une des passes les plus singulières de ma vie ;
nul ne l’a, je pense, bien compris. C’est encore le devoir. Oui, mon
ami
, la même raison qui m’a obligé à quitter Saint-Su
mplement de prendre dans Paris une chambre d’étudiant. Telle est, mon
ami
, ma position actuelle. J’ai pris une chambre comm
lement n’y mêlaient encore bien des peines. Venez donc avec moi, cher
ami
, et nous passerons ensemble d’agréables moments.
ement avec les divisions de mon esprit. Et pourtant il le faut. Ô mon
ami
, qu’il est cruel d’être gêné dans son développeme
cience, littérature, etc., qui est Dieu, suivant moi. Ainsi donc, mon
ami
, je regarde comme probable que je viserai aux let
au premier vent qui souffle 27… Il faut aussi que je vous parle, mon
ami
, d’un fait intellectuel qui m’a beaucoup soutenu
ion de ce projet me paraît au moins bien ajournée… Adieu, bon et cher
ami
, pardonnez-moi de ne vous avoir parlé que de moi.
ardonnez-moi de ne vous avoir parlé que de moi. Pour vous et pour vos
amis
, je vous supplie de ménager votre santé durant la
à ma bien sincère amitié. Paris, 5 septembre 1846. Merci, mon cher
ami
, pour votre excellente lettre. Elle m’a été une g
it des jouissances les seules chères à mon cœur. Mais qu’y faire, mon
ami
? Je ne me repens de rien, et il y a à souffrir p
out ou rien, les néo-catholiques sont les plus sots de tous. Non, mon
ami
, ne craignez pas de me dire que je suis dans cet
ues de ma vie en apparence plus sereines. Il faut se garder, mon cher
ami
, de croire sur le bonheur certaines généralités t
en fera abstraction. Nous ne sommes heureux qu’à la dérobée, mon cher
ami
; mais qu’y faire ? Le bonheur n’est pas quelque
e d’une parfaite raison. Vous trouverez peut-être singulier, mon cher
ami
, que, ne croyant pas au christianisme, je puisse
Expliquez-moi donc un peu comment vous faites pour croire. Mon pauvre
ami
, c’est trop tard pour vous dire : « Prenez garde
y, jurer de l’avenir de sa pensée !… J’ai été désolé que notre pauvre
ami
X*** se soit lié ; je parierais mille contre un q
un qu’il a douté ou qu’il doutera. On verra dans vingt ans. Mon cher
ami
, je ne sais ce que je vous dis ; mais je ne puis
e me repentirais jamais de ma promesse. Et je ne m’en repens pas, mon
ami
, et je répète sans cesse avec bonheur ces douces
inférieures à la sainte poursuite du beau et du vrai. Jusque-là, mon
ami
, me rappellerai sans regrets le jour où je les pr
en coûter les plus pénibles sacrifices. Je vous écris ces lignes, mon
ami
, à la hâte et tout préoccupé du travail, fort peu
tre qui me rafraîchisse un peu au milieu de ces aridités. Adieu, chez
ami
, croyez à la sincérité de mon affection et promet
rt d’admirables exemples : Kant, Herder, Jacobi, Gœthe même. Mon cher
ami
, excusez-moi, je vous prie, de vous écrire de la
core, je jouerais le rôle réfutatif, à meilleur droit sans doute. Mon
ami
, concevoir certaines choses, c’est être appelé à
, il passait toutes ses soirées au palais de la Cancellaria, chez son
amie
. Ce bonheur insolent excita l’envie du clergé rom
e-ci fut pour moi la plus terrible, car toute espérance de revoir mon
amie
était désormais incertaine et éloignée.” II
me, recommence sa vie errante. Il va d’abord à Sienne chez son fidèle
ami
Francesco Gori Gandinelli. Les grands souvenirs d
ille, “toujours pleurant, rimant toujours”, il voit à Masino son cher
ami
de Lisbonne, l’excellent abbé de Caluso ; il voit
a passion pour les vers s’étaient développés ensemble ; séparé de son
amie
, il sentait sa troisième passion, celle des cheva
’héritier des Stuarts s’empressait d’écrire, trois jours après, à son
ami
le roi de Suède, ou plutôt le comte de Haga. De t
Rome, du 24 mars. Je me mets entièrement dans les bras d’un si digne
ami
que vous êtes, Monsieur, car je ne connais person
sincères sentiments de reconnaissance et d’amitié, je suis votre bon
ami
, « C. d’Albanie 1. » « Les conditions de la sép
uivante, en effet, aux premiers beaux jours de l’été, le poète et son
amie
, volontairement séparés pendant l’hiver, accourro
blement l’amour qu’elle conservait pour Alfieri la rapprochait de son
ami
, toujours errant sur ses traces. « Alfieri l’ind
l’indique, mais en termes trop vagues : “Au mois de février 1788, mon
amie
reçut la nouvelle de la mort de son mari, arrivée
veuve, désormais libre de sa personne, fût très loin d’avoir perdu un
ami
, je vis, à ma grande surprise, qu’elle n’en fut p
ns consécutives de ses tragédies, surveillées tantôt à Sienne par son
ami
Gori, tantôt par lui-même. Peu de temps avant son
nt à Rome toutes les quatre, imprimées très correctement, grâce à mon
ami
; mais, chacun a pu le voir, très salement imprim
uelque temps certains propos sortis de la maison du beau-frère de mon
amie
, par où je savais que lui et toute sa cour se réc
r pour l’avoir jamais racontée à personne ; je la dis seulement à mon
amie
quelque temps après. Si je l’ai rapportée, c’est
chevaux anglais ; j’y avais laissé le quinzième, sous la garde de mon
ami
Gori : c’était mon beau cheval bai, mon Fido 2, l
nce, et m’enflammèrent de plus en plus du désir de revoir bientôt mon
amie
. Cette possibilité devint si vraisemblable, qu’un
ble, qu’un beau jour, ne pouvant plus y tenir, je ne confiai qu’à mon
ami
où je voulais me rendre, et, feignant une excursi
moitié de moi-même, je ne savais pas qu’en embrassant ce rare et cher
ami
, quand je croyais ne me séparer de lui que pour s
ur les rendre ; j’ai fait de mon mieux. J’arrivai le 16 août chez mon
amie
, près de qui deux mois passèrent comme un éclair.
avait duré que huit jours. Si je ne me fusse pas trouvé auprès de mon
amie
en recevant ce coup si rapide et si inattendu, le
n a quelqu’un pour pleurer avec soi, les pleurs sont moins amers. Mon
amie
connaissait aussi et elle aimait tendrement ce ch
imée, sans savoir, cette fois, pour combien de temps, et privé de mon
ami
avec la certitude cruelle que c’était pour toujou
’à Sienne, où j’arrivai dans les premiers jours de novembre. Quelques
amis
de mon ami, et qui m’aimaient à cause de lui, com
ù j’arrivai dans les premiers jours de novembre. Quelques amis de mon
ami
, et qui m’aimaient à cause de lui, comme moi-même
ur de Milan, l’année précédente, j’avais de grand cœur accepté de mon
ami
, et dans sa maison, un petit appartement solitair
uer par des chevaux que par des tragédies. « Sur ces entrefaites, mon
amie
était partie de Bologne et avait pris, au mois d’
ur me rendre en Alsace, la route ordinaire des Alpes Tyroliennes. Mon
ami
que j’avais perdu à Sienne, ma bien-aimée qui dés
seconde réunion ne dura et ne pouvait guère durer que deux mois, mon
amie
devant passer l’hiver à Paris. Au mois de décembr
reprochais de n’avoir point payé à la mémoire adorée de mon vénérable
ami
, François Gori. J’imaginai, en outre, et je dével
que dans une de ses lettres toujours si fréquentes et si chères, mon
amie
, comme par hasard, me raconta qu’elle venait d’as
pas davantage, je n’en touchai même pas un mot dans ma réponse à mon
amie
, mais, sur-le-champ et avec la rapidité de l’écla
e matin, à peine éveillé, j’écrivais aussitôt cinq ou six pages à mon
amie
; je travaillais ensuite jusqu’à deux ou trois he
es circonstances qui lui étaient personnelles ayant alors empêché mon
amie
de me rejoindre à notre maison de campagne, et me
mal jusqu’à la fin du mois d’août, où la présence tant désirée de mon
amie
fit évanouir tous ces maux d’une imagination méco
à peu près abandonné l’idée. Mais le rayon vivifiant des yeux de mon
amie
me rendit alors ce qu’il fallait pour cela de cou
s par la voix séculaire de Mirabeau, et il n’en parle pas. Seulement,
ami
de quelques philosophes de seconde ligne, il écri
Bastille. Ainsi l’ennemi des rois et des reines qui pensionnaient son
amie
, Alfieri, flagornait à Paris le peuple qui devait
ait encore quatre chevaux de selle, ayant vendu tous les autres à son
ami
pour monter sa maison à Paris ; En règle enfin av
es espèces de singes, et nous sommes malheureusement dans ce cas, mon
amie
et moi, doivent passer leur vie à craindre un dén
et dit notre prophète politique, Machiavel. » — Les intérêts de mon
amie
, ajoute-t-il, me retiennent seuls à Paris. — Quel
tte maison de Hanovre qui avait été, en 1746, si impitoyable pour les
amis
du prétendant, c’est là un contraste qui devait e
ait que jamais ce jour dût venir. Dans cette position incertaine, mon
amie
et moi, comme aussi tous ceux qui alors étaient à
seul jour, et ma première, mon unique pensée étant de soustraire mon
amie
à tous les dangers qui pouvaient la menacer, je m
s déjà obtenu, en qualité d’étrangers, moi de l’envoyé de Venise, mon
amie
de celui de Danemark, qui, seuls à peu près de to
m’ayant fait signe de remonter dans ma voiture où j’avais laissé mon
amie
(en quel état ! on peut l’imaginer), je m’y jetai
ndre, où la guerre se poussait vivement. En arrivant à Bruxelles, mon
amie
voulut se remettre un peu de la peur qu’elle avai
un peu la démence et la stupidité de ces gens-là !) pour arrêter mon
amie
et la conduire en prison. Pourquoi ? cela va sans
harmonieux pays. Le plaisir de me sentir libre et de fouler avec mon
amie
ces mêmes chemins que plusieurs fois j’avais parc
la veuve royale de sa liaison avec Fabre, le jeune peintre français,
ami
et commensal du poète. Il y a des âmes où les plu
us n’avons jamais reçu aucune confidence irrespectueuse pour ses deux
amis
. XIV Au sein de ce repos, Alfieri, devenu p
que moi ; le même motif me fit alors aussi composer l’épitaphe de mon
amie
et la mienne, et je les donnerai ici en note, par
celles que je veux et non pas d’autres, et qu’elles ne disent de mon
amie
et de moi que la vérité pure, dégagée de toute fa
couleur. Ce même jour, peu d’heures avant l’arrivée des Français, mon
amie
et moi, nous nous retirâmes dans une villa du côt
dans cette villa, où nous ne recevions qu’un très petit nombre de nos
amis
de Florence, et rarement encore, de peur d’éveill
our moi, je faisais des vers, je faisais du grec, et je rassurais mon
amie
. Cette situation déplorable dura depuis le 25 mai
avoir pris, cela va sans dire, tout ce qu’ils pouvaient emporter. Mon
amie
et moi, nous n’avions pas mis le pied à Florence
eaux-arts. Il plut à ces messieurs (je ne saurais les nommer, car mon
ami
Caluso s’était démis de sa place de secrétaire de
l’abbé, je leur renvoyai la lettre sans l’ouvrir, et je chargeai mon
ami
de leur dire, de vive voix, que je n’acceptais po
parole pour rimer quatorze vers sur ce sujet, et je les envoyai à mon
ami
; mais je n’en gardai point copie, et ni ceux-ci,
de prouver toute sa vie à la comtesse d’Albany. L’abbé de Caluso, son
ami
de Turin, qu’il avait engagé à venir le voir à Fl
qu’on va lire les sentiments que j’ai apportés sur la tombe de notre
ami
. » Et comme en Italie tout commence et tout fini
t qu’il les garda jusque sur le trône, au moins tant que ses premiers
amis
vécurent. Si j’avais suivi toute ma pensée, j’aur
heures à lire, à écrire, à faire de la musique, à disserter avec des
amis
. Il s’est surtout fait une solitude très animée,
sberg ou Remusberg qui est près de là : « Nous sommes une quinzaine d’
amis
retirés ici, qui goûtons les plaisirs de l’amitié
s qu’un usage raisonnable des plaisirs. Il écrivait cela à un de ses
amis
M. de Suhm, envoyé de Saxe en Prusse, et l’une de
aimables et les plus attachantes qui se dessinent parmi ces premiers
amis
du grand Frédéric. M. de Suhm s’était mis à tradu
te estime que j’ai pour vous. Il nous définit, à d’autres jours, son
ami
en des termes moins métaphysiques et charmants de
et qui déborde prophétiquement en toutes ses paroles. Il voit dans l’
ami
ce que sera le monarque, et mieux qu’il ne sera,
int aux traits sous lesquels vous me dépeignez. Ne voyez en moi qu’un
ami
sincère, et vous ne vous tromperez jamais ; mais
e ; on sent qu’il rougit, en effet, d’être si loué, si admiré par son
ami
; il se rabat toujours, en lui parlant, à n’être
umanité, digne de lui pourtant par le cœur, et capable d’apprécier un
ami
« qui fait revivre les temps sacrés d’Oreste et d
caractère. Il rappelle plus d’une fois son généreux et plus confiant
ami
, M. de Suhm, à la réalité et à l’expérience : les
ela. » Dans sa douce et studieuse retraite de Remusberg, regrettant l’
ami
absent : Il me semble, lui écrit-il (16 novembre
ce qu’il perd d’agrément et de ressources dans les entretiens de son
ami
, il craint pour sa santé dont la délicatesse est
lité. Mais Frédéric n’est pas encore roi, il n’a rien à offrir à son
ami
que ses sentiments pour le retenir ; loin de disp
étouffais. La santé de M. de Suhm justifia trop les craintes de son
ami
: après plus de trois années de séjour en Russie,
déric par certaines questions politiques précises qu’il adresse à son
ami
: une lettre de lui, datée de Berlin 27 juillet 1
itre, et je vous assure que j’y préférerai constamment ceux de fidèle
ami
, d’homme compatissant aux misères des hommes, et
en parlant ainsi, dissimule, ni qu’il veuille donner le change à son
ami
, et il en faut conclure qu’à cette date M. de Suh
à l’agonie), d’estime pour les honnêtes gens et de tendresse pour mes
amis
. Vous que je compte au nombre de ces derniers, vo
e de l’exécution, Frédéric se montrait fidèle à ce qu’il disait à son
ami
dès l’origine de leur liaison, et à ce qu’il n’av
our des fonctions dont il était chargé, et voler dans les bras de son
ami
. C’est ce qu’il se hâta de faire, mais ses forces
r une dernière lettre de Frédéric roi ; elle manque. Il attendait son
ami
; il comptait sur lui chaque jour ; il apprit sa
N’en doutons pas : nous le verrons pleurer bientôt à la mort d’autres
amis
, et il semble que, de tous, M. de Suhm lui ait ét
our les tristes événements. Je viens d’apprendre la mort de Suhm, mon
ami
intime, qui m’aimait aussi sincèrement que je l’a
homme au fils de celui qui avait été son meilleur et son plus tendre
ami
. L’enthousiasme, hélas ! ne dure qu’un moment : c
parable amitié si M. de Suhm avait vécu, ce qu’il aurait pensé de son
ami
le philosophe en le voyant devenu guerroyeur et c
Suhm est comme le Vauvenargues de Frédéric, qui n’eut plus ensuite d’
ami
aussi parfait ni aussi charmant. Toutefois ne cal
u’en ait dit Voltaire et qu’il nous en ait donné à accroire, était un
ami
solide et sûr ; on le retrouvait le même le lende
les aima toujours, et ce n’est que quand cette première génération d’
amis
véritables lui manqua, qu’on le vit, faute d’avoi
s piquants avec des parasites d’esprit. Je suis loin d’avoir épuisé l’
ami
en Frédéric : ses correspondances avec Jordan, av
lles parties, celles surtout qui sont propres à caractériser en lui l’
ami
sincère. 55. [NdA] Causeries du lundi, t. III.
d’un discours que j’avais prononcé autrefois sur la tombe d’un de mes
amis
, le docteur Armand Paulin, discours qui n’avait p
de Mélanges, publiés depuis. Le critique, un docteur Joulin, que ses
amis
appellent un homme d’esprit, me dénonçait pour ce
ranges en conduite. Quoi ! je suis appelé à parler sur la tombe d’un
ami
intime, j’écris ce discours le matin même de la c
atin même de la cérémonie funèbre ; je le prononce devant des témoins
amis
et émus ; le Moniteur, où j’écrivais alors, insèr
ue j’y célébrais. Depuis lors, je garde fidèlement le souvenir de mon
ami
, mais je ne pense plus à mon discours. Et vous, c
ers, qui lui a été présenté par cet étrange docteur. Armand Paulin, l’
ami
médecin que nous perdions le 7 septembre 4 857, é
sur une tombe, et je n’ai pu qu’esquisser une rapide image ; mais les
amis
présents ont tous reconnu celui qu’ils avaient ai
lieu d’un grand concours de médecins, de membres de l’Université et d’
amis
, dont un bon nombre a suivi le convoi jusqu’à Aut
fet des Études à Sainte-Barbe. M. Sainte-Beuve, l’un des plus anciens
amis
du docteur Paulin, a prononcé sur la tombe les pa
ans lui adresser un dernier adieu, les restes du médecin habile, de l’
ami
excellent, du cœur dévoué que nous perdons. C’est
noble cité était devenue pour Armand Paulin une seconde patrie ; ses
amis
de Metz sont restés fidèles jusqu’à la fin à cet
s Armand Paulin (et les maîtres de l’art, qui furent presque tous ses
amis
, ne me démentiront pas) un diagnostic prompt, fin
les vaincus, tous les souffrants, applaudir à tous les succès de ses
amis
et les propager par ses sympathies ardentes : cha
amis et les propager par ses sympathies ardentes : chaque succès d’un
ami
était véritablement une de ses fêtes. Durant ces
e, — qui le reçoit aujourd’hui dans cette tombe. « Digne et excellent
ami
! il avait ce qui aurait pu consoler, l’estime de
ntention : il dit un peu plus que se souvenir. Car, comme Metz et les
amis
de Metz fêtaient le docteur Paulin chaque fois qu
r une esquisse fidèle. Telle, dans le temps, elle a paru aux nombreux
amis
du bon docteur. Ce n’est pas le docteur Joulin qu
’a vu, le plus fidèle, le plus aimable et le plus désintéressé de ses
amis
. J’étais alors moi-même en correspondance quotidi
xpire et où le cardinal Consalvi meurt moralement avec le pontife son
ami
: « Nous sommes ici dans les plus tristes agitat
nsez s’il est malheureux ; il perd son maître, et dans son maître son
ami
! » III Le cardinal Consalvi ne pouvait su
ville tintait par-dessus les murailles les obsèques prochaines de son
ami
. Selon les rites du sacré collège, le corps du ca
ture, en descendit, et pleura un moment en silence sur le sein de son
amie
; puis, par une de ces inconséquences de la doule
ressentait de revoir une dernière fois le visage encore visible de l’
ami
de sa vie, avant que le marbre de son monument re
pas la force de sa volonté : elle tomba inanimée dans les bras de son
amie
, qui la reconduisit à son palais, vide désormais
ne dut rien ignorer de ces pressions exercées par les besoins de son
ami
sur Charles X ; mais on n’en trouve pas trace dan
quelque jalousie secrète, motivée par des distractions de cœur de son
ami
. Nous recevons à l’instant même une preuve écrite
se involontaire du retour de madame Récamier à Paris au moment où son
ami
allait bientôt quitter la France pour Rome. On ne
rouvai déjà écrivant sur une petite table d’auberge une dépêche à son
amie
, pendant que les servantes de l’hôtel de la Galèr
ité madame de Beaumont pendant les années de la Révolution. Le pauvre
ami
Joubert me montrait souvent un chemin de sable qu
is dans les dictionnaires d’adresses de Rome ou de Paris. Deux de mes
amis
et moi nous fûmes recherchés par une de ces Angla
verrai-je tous les jours ? » écrit-il ému de ces réminiscences à son
amie
de l’Abbaye-aux-Bois. « Faites représenter à Pari
ule et des plaisirs de l’hiver. » On voit qu’après avoir employé son
amie
à son ambition pendant qu’il était à Londres il l
es lettres. « Soyez tranquille sur tous les points », écrit-il à son
amie
qui avait sans doute manifesté quelque inquiétude
que je dois aller passer le reste de ma courte vie. « Moquez-vous des
amis
qui vont vous effrayer de la chute de Moïse. Lord
ré mille fois que je ne pourrais rester ambassadeur qu’autant que mon
ami
La Ferronnays serait ministre. Je donnerais donc
ce en me reléguant dans un coin obscur d’un ministère obscur. « Chère
amie
, je vais vous chercher, je vais vous ramener avec
r madame Récamier à sa nièce absente. Ce fut alors, pour plaire à cet
ami
, qu’elle commença à former autour d’elle ce salon
lus dangereuse des oppositions en politique c’est l’opposition de nos
amis
. Un prince peut donner satisfaction à des princip
lgence, de patience, de pardon, de tendresse et d’abnégation pour son
ami
. C’est pour lui faire son public que madame Récam
ter et pour conserver un cercle littéraire et politique autour de son
ami
. Madame Récamier avait été toute sa vie une grand
la retraite douce ; elle ouatait son salon de visages agréables à son
ami
; elle tapissait son escalier de roses, pour que
an de l’amitié ; il fallait autant de patience que de tendresse à son
amie
pour le distraire de ses passions littéraires et
allanche les lettres suivantes. Ballanche restait à Paris auprès de l’
amie
commune. « Genève, 12 juillet 1831. « L’ennui, m
ie commune. « Genève, 12 juillet 1831. « L’ennui, mon cher et ancien
ami
, produit une fièvre intermittente ; tantôt il eng
cette rotondité. Grand bien lui fasse ! Notre pauvre nation, mon cher
ami
, est et sera toujours au pouvoir : quiconque régn
sa chute, quand il crut se faire un destin de sa volonté. « Mon vieil
ami
, je vous envie ; vous pouvez très bien vous passe
lle amitiés. » « 31 juillet 1831. « Votre lettre, mon cher et vieil
ami
, est venue à la fois me tirer de mon inquiétude e
du silence. Cette fois je n’écris pas directement à notre excellente
amie
; mais dites-lui, de ma part, que je compte aller
s tendres et tristes comme la vieillesse de M. de Chateaubriand à son
amie
. On y sent le poète qui ne vieillit pas sous les
ame Récamier lui conservait ou lui recrutait d’anciens ou de nouveaux
amis
, pour que son salon le rappelât et le retînt par
s ingratitudes à réparer à l’histoire de leur temps. Presque tous les
amis
de madame Récamier entrèrent, en effet, successiv
, et donnaient occasion à des restes de correspondance entre les deux
amis
. Ces billets sont les dernières gouttes d’un cœur
t de renoncement aux vanités du style dans ses derniers billets à son
amie
. La note vraie remplace la note sonore. Il doit à
nion qu’elle avait pour moi quelque préférence. M. Legouvé, un de mes
amis
et des siens, me donnait hier de cette indulgence
veur sur ce livre, madame Récamier reprit la parole, seule contre ses
amis
, et me défendit avec une chaleur de discussion et
on cœur et son esprit : deux forces qu’elle mettait au service de ses
amis
présents ou absents, quand l’occasion demandait d
and l’occasion demandait du courage. XXVII Revenons à son grand
ami
et à ses dernières correspondances ; elles ressem
e ses propres tristesses, et comme il associe tout au souvenir de son
amie
! XXVIII On sait que la jeunesse légitimist
qu’il fut le privilégié, car il n’aurait pu supporter la mort de son
amie
. Il expira en regardant de son lit la fenêtre en
lle mourut chez sa nièce, au milieu d’un petit groupe de famille et d’
amis
courageux et fidèles qui bravèrent la contagion d
ion du choléra pour passer la suprême nuit auprès d’elle. Deux de mes
amis
l’assistaient et lui adoucissaient les derniers s
et M. de Cazalès, Ampère lui parlant d’amitié, et Cazalès de Dieu, l’
ami
suprême. XXXI Ainsi tout finit, et les toil
uville, Sosthène de La Rochefoucauld, son fils ; Camille Jordan, leur
ami
; M. de Genoude, une de leurs plumes apportant da
hine, maîtresse d’un salon religieux tout voisin de ce salon profane,
amie
de madame Récamier, élève du comte de Maistre, fe
grâce avec madame Récamier dans son salon ; la marquise de Lagrange,
amie
de cette reine, quoique ornement d’une autre cour
hesse de Maillé, âme sérieuse, qui faisait penser en l’écoutant ; son
amie
inséparable la duchesse de La Rochefoucauld, d’un
dieu Terme de ce salon ; Aimé Martin, son compatriote de Lyon et son
ami
, qui y conduisait sa femme, veuve de Bernardin de
et modèle de l’immortelle Virginie : il était là le plus cher de mes
amis
, un de ces amis qui vous comprennent tout entier
immortelle Virginie : il était là le plus cher de mes amis, un de ces
amis
qui vous comprennent tout entier et dont le souve
modeste cercueil, couvert d’un linceul blanc et suivi d’un cortège d’
amis
, est sorti de cette grille de l’Abbaye-aux-Bois ?
oire, qu’il jette, comme les fleurs de sa vie, sur le cercueil de son
amie
. Mathieu de Montmorency et le duc de Laval dormen
siècle qu’il était grand dans son cœur. Je ne l’ai connue que par ses
amis
et je ne l’ai admirée que par sa fille, madame la
Étienne de La Boétie. L’
ami
de Montaigne. Lundi 14 novembre 1853. La Boéti
un sentiment plus général, à celui que porte tout antiquaire et tout
ami
des souvenirs dans l’objet favori de son culte, d
es, à quelques résultats nouveaux sur la vie et sur les écrits de cet
ami
de Montaigne : il a trouvé surtout, à la Biblioth
qu’il pousse jusqu’à l’apparence de l’illusion lorsqu’il parle de son
ami
. Ainsi, il proclame hardiment cet homme de mérite
dresser à Montaigne pour entendre une plainte, pour apprendre que son
ami
était si loin d’être à la place où l’appelait son
emment dans ses Essais, pour donner une idée du talent précoce de son
ami
, lorsqu’il s’aperçut qu’il avait été devancé par
étie au jeune homme mûr, guéri de sa première fièvre, au bon citoyen,
ami
et gardien des lois de son pays, et au frère d’al
lutôt de celui de La Boétie, en ce sens que c’est lui qui exhorte son
ami
et qui, l’aîné des deux, paraît aussi le plus fer
eux, Montaigne serait plutôt le juge de l’esprit et des écrits de son
ami
, et La Boétie le juge des mœurs. On a trois pièce
1560) ; elle ne s’adresse pas à Montaigne seul, mais aussi à un autre
ami
, M. de Bellot : Montaigne, toi le juge le plus é
i, Bellot, que la bonne foi et la candeur antique recommandent, ô mes
amis
, ô mes chers compagnons, s’écrie le poète (je tra
accueille dans ma fatigue (et plût à Dieu que ce fût avec vous, ô mes
amis
!), non, jamais je ne pourrai arracher de mon cœu
ire nos noms (si toutefois le destin nous prête vie) sur la liste des
amis
célèbres. Toutes greffes ne conviennent point à t
mais c’est moins de lui-même à cet égard qu’il s’inquiète que de son
ami
; car, lui, il se considère comme moins propre au
au contraire, dit-il à Montaigne, il y a plus à combattre, toi, notre
ami
, que nous savons propre également aux vices et au
is-je demandé quelquefois, s’il avait rencontré de bonne heure un tel
ami
; si, jeune, au lieu des liaisons frivoles et dis
ne. Heureux qui, dès sa jeunesse, trouve dans un compagnon et dans un
ami
une seconde et quelquefois une première conscienc
bonté de cœur, d’attachement, de services et de complaisance dans les
amis
, pour faire en plusieurs années bien moins que ne
x ? sont-ce deux frères ? on ne sait pas bien ; ce pourrait être deux
amis
: il se trouve à la fin que le poète a songé à de
l se trouve à la fin que le poète a songé à des amants. Dans ses Deux
Amis
du Monomotapa, les craintes de l’ami qui se lève
ngé à des amants. Dans ses Deux Amis du Monomotapa, les craintes de l’
ami
qui se lève la nuit à cause d’un songe et qui cou
un mauvais rêve, d’envoyer de grand matin savoir des nouvelles de son
ami
. Sénèque, dans sa lettre 9e à Lucilius, a dit : «
l’amitié, il en est pour ainsi dire la folie. » Ici, dans le cas des
amis
de La Fontaine, l’amitié aussi a sa douce folie e
trempe de Montaigne, Saint-Évremond, trouva également dans sa vie un
ami
parfait, M. d’Aubigny ; mais Saint-Évremond alors
s entretiens ; et, quand il perdit M. d’Aubigny, il le pleura comme l’
ami
qui faisait sa joie, et dans la conversation duqu
elles, Mme de Staal-Delaunay, ce qu’elle dit de sa dernière et intime
amie
Mme de Bussy, et de sa douleur pénétrée, de son a
ffreuses sur l’amitié des hommes (« Dans l’adversité de nos meilleurs
amis
, nous trouvons toujours quelque chose qui ne nous
n ; et toutes les fois qu’il lui arrivera plus tard de resonger à son
ami
et d’en parler, Montaigne redeviendra ce qu’il ét
out entiers, grâce au généreux témoignage de Montaigne, le nom de son
ami
se présentera, et au-dessous de Pascal, sur un ma
Saint-Jacques. 37. [NdA] Notice bio-bibliographique sur La Boétie, l’
ami
de Montaigne, suivie de la Servitude volontaire,
u’on oublie Télémaque. Télémaque a fait de nos rois des guides et des
amis
… Il n’est pas impossible, à la rigueur, que l’éd
nce de bonheur durable ; est-ce ma vie que je démens ? père, enfants,
amis
, amies ? est-ce ma tendresse pour vous que je vai
bonheur durable ; est-ce ma vie que je démens ? père, enfants, amis,
amies
? est-ce ma tendresse pour vous que je vais désav
nce que ses plaisirs et ses peines répondent à un autre cœur. Si deux
amis
peuvent réussir à confondre leurs existences, à t
cun d’eux n’éprouve le bonheur ou la peine que par la destinée de son
ami
; si se confiant mutuellement dans leurs sentimen
n exclut du tête-à-tête tout jugement comparatif sur le mérite de son
ami
et sur le sien, et qu’on s’est connu sans se clas
donc qu’une ambition pareille, ou contraire, ne brouillera point deux
amis
: comme il est impossible de séparer l’amitié des
n résulter ; et qui peut se répondre que le succès des efforts de son
ami
n’influera pas sur vos sentiments pour lui ! si l
sentiments pour lui ! si l’on n’est pas content de l’activité de son
ami
, si l’on croit avoir à s’en plaindre, à la perte
e joindre le chagrin plus amer de douter du degré d’intérêt que votre
ami
mettait à vous seconder. Enfin, en mêlant ensembl
agite du vide qu’il laisse, on en accuse le peu de sensibilité de son
ami
, et quand on éprouverait l’un pour l’autre un sen
bonheur d’un tel lien ? Et d’ailleurs, celle qui croirait posséder l’
ami
le plus parfait et le plus sensible, l’amie la pl
le qui croirait posséder l’ami le plus parfait et le plus sensible, l’
amie
la plus distinguée, sachant mieux que personne to
me la destinée de tous, la plus rare des chances morales. Enfin, deux
amis
d’un sexe différent, qui n’ont aucun intérêt comm
, on s’aperçoit tout à coup que lui seul vous réunissait. Si ces deux
amis
, au contraire, n’ont point de premier objet, ils
ssentir ; on se soumet d’avance et sans peine à la préférence que son
ami
accorde à sa maîtresse ; mais on ne s’accoutume p
e, c’est son propre cœur. Celui qui consacre sa vie au bonheur de ses
amis
et de sa famille ; celui qui prévenant tous les s
la comtesse, emportées à Montpellier par Fabre après la mort des deux
amis
, lettres brûlées par la main sévère d’un troisièm
mort des deux amis, lettres brûlées par la main sévère d’un troisième
ami
, puritain de décence, le prouvent. Si le mariage
avait eu lieu, il aurait été attesté par cette correspondance, et les
amis
zélés pour la mémoire religieuse de la comtesse n
cette conclusion. Quel est l’amant qui imprimerait sous l’œil de son
amie
un sonnet où il attesterait lui-même sa propre in
nent qu’elle ait pu aimer après lui le moins poétique des hommes, les
amis
de Fabre peuvent s’étonner à leur tour qu’il ait
cependant que dès l’année 1803 la veuve du dernier Stuart, la vieille
amie
de l’ardent poète piémontais, avait déjà cette ph
il fallait un homme, au gouvernail de cette demeure, soit un peintre,
ami
ou amant, peu importait aux mœurs du pays et du t
u’elle avait commencée à Paris avant la révolution. Elle recevait des
amis
assidus, dont j’ai particulièrement connu le plus
r M. Saint-René-Taillandier dans son intéressante biographie des deux
amis
. Le premier cité est le comte Baldelli, époux d’u
fiées par la lecture du comte de Maistre, le séparèrent plus tard des
amis
florentins de la comtesse d’Albany. C’était un ho
elli, de ma douleur par la manière dont je vivais avec l’incomparable
ami
que j’ai perdu. Il y aura samedi sept semaines, e
lecture ! Il ne m’est plus possible que de lire les ouvrages de notre
ami
, qui a laissé beaucoup de manuscrits pour l’impre
lus de bonheur pour moi dans ce monde, après avoir perdu à mon âge un
ami
comme lui, qui, pendant vingt-six ans, ne m’a pas
certain qu’il y a peu de femmes qui puissent se vanter d’avoir eu un
ami
tel que lui ; mais aussi je le paye bien cher dan
eur, et le seul qui puisse m’arriver, ce serait d’aller rejoindre cet
ami
incomparable. Il s’est tué à force d’étudier et d
in. Je sais que vous avez de l’amitié pour moi et que vous aimiez cet
ami
incomparable : c’est ce qui fait que je me livre
toute espèce, que je ne puis rassembler deux idées4. J’espère que mon
ami
sera arrivé sans accident à Venise. L’air de Flor
Alfieri qui puisse vous être désagréable, et surtout à son admirable
amie
, aux pieds de laquelle je vous prie de mettre mes
rdé, et rien ne troubla les obsèques du grand homme ni la paix de son
amie
. VI Dans le même temps elle se ressouvint
e lui répondit : « Paris, 1801. « Combien je vous remercie, ma chère
amie
, de l’intérêt touchant que vous nous accordez, à
ai jamais vue sans l’intérêt le plus tendre ; je me persuade que nos
amis
sont réunis, et je vous demande de penser quelque
sa fortune en France et en Angleterre était dans ces ménagements. Un
ami
de Mme de Staël, M. de Sismondi, Toscan d’origine
us envoyant les deux premiers volumes de mon histoire. Si votre noble
ami
avait vécu, c’est à lui que j’aurais voulu les pr
comme un gage de ce qu’ils pouvaient être encore. Il me semble que l’
amie
d’Alfieri, celle qui consacre désormais sa vie à
lle, l’Italie sera reconnaissante. — Vous aurez su, madame, que notre
amie
a éprouvé de nouveaux désagréments. Vous en aurez
ur une année entière ; mais j’espère voir bientôt ici un autre de nos
amis
communs, M. de Bonstetten, qui doit avoir eu, il
sa patrie, par des liens bien plus forts que ceux de la société ; ses
amis
, quelques personnes chères à son cœur, et qui seu
rare. — Nous allons donc bientôt voir ceux où l’âme antique de votre
ami
s’exprime avec toute sa fierté, toute son énergie
s brillante dont nous ayons été témoins, mais elle est complète : les
amis
mêmes n’osent pas le dissimuler, et, quoiqu’on sa
En personne prudente, elle n’eut garde de se montrer à Genève, où ses
amis
de Coppet espéraient bien l’arrêter au passage. «
vaincu de l’île d’Elbe, se fit nommer au conseil d’État pour que son
ami
Benjamin Constant ne fût pas seul dans l’apostasi
pris un caractère passionné. Mme d’Albany ne pouvait comprendre qu’un
ami
de Mme de Staël pardonnât si facilement ; elle ne
al Consalvi, ministre du cœur de Pie VII ; lord Byron ; Hoblouse, son
ami
; Thomas Moore, le poète de l’Inde ; lord Russell
cipales parts. Fabre, après avoir accompli tout ce qu’il devait à son
amie
et à la ville de Florence, obtint du prince l’aut
séduisante à seize ans, puisque la cour de France, et le conseil des
amis
du prétendant, qui voulaient perpétuer la race de
spirituels, quoique vulgaires, rappelaient si fidèlement ceux de son
amie
, je me suis demandé souvent si la maternité n’éta
iter le scandale de cette inconvenante fréquentation du palais de son
ami
. Il s’éloigne et va à Naples. Pendant cette absen
s de son ami. Il s’éloigne et va à Naples. Pendant cette absence, son
amie
sollicite et obtient du roi et de la reine de Fra
ler et menace leur fortune et leur vie. Il entraîne en Angleterre son
amie
, qu’il consent à voir humilier publiquement devan
rance révolutionnaire. Il en fait faire dix copies qu’il confie à ses
amis
, pour que l’injure ne risque pas de mourir avec l
isme, le patriotisme, le puritanisme de ce modèle des citoyens ! Son
amie
lui survit et prend un autre serviteur. Elle meur
, secrétaire de légation auprès de la cour pontificale, attendait son
amie
à Florence ; il la conduisit à Rome et ne la quit
is pas, je t’en prie, à cette coupe qui te ferait oublier tes anciens
amis
.” »
us. Je suis dans ce cas depuis quelque temps. Grâce à de respectables
amis
que j’ai en Hollande et qui sont en partie les hé
al, j’ai pu lire une Correspondance tout intime d’un des plus fidèles
amis
du poète, de l’un de ceux qui l’assistèrent dans
rniers instants. Par lui, par M. Vuillart (c’est le nom de cet humble
ami
), nous avons quelques détails de plus, parfaiteme
tion religieuse véritable, de son âme en un mot : et c’est elle qu’un
ami
du dedans va nous découvrir dans toute sa sincéri
de-Beauvais, tout à la prière, à l’étude et aux services à rendre aux
amis
. Il relisait avec M. de Tillemont les volumes man
s à corriger pour les éditions d’ouvrages du Père Quesnel et d’autres
amis
, et il ajoute : « Mon ami M. Racine a été longte
ns d’ouvrages du Père Quesnel et d’autres amis, et il ajoute : « Mon
ami
M. Racine a été longtemps malade. Il me coûtait,
e à Racine. L’apparence de sa guérison ne laissait pas de tromper les
amis
; ils espéraient ce qu’ils désiraient : « Sa con
lui qui ménagea le parti le plus sortable à la fille de son illustre
ami
: « Mais voici, dit-il (31 décembre 1698), une n
je tiendrais aux personnes qui m’en parleraient comme me croyant son
ami
. Alors il m’ouvrit son cœur et m’expliqua confide
hes qu’il convient pour parvenir à ces bons comptes qui font les bons
amis
. Tout a cadré à souhait. On est très-content de p
e Raphaël de cette alliance, et dit le dernier jour au pasteur et bon
ami
de Saint-Séverin100 qu’il n’oublierait jamais l’o
conviés de part et d’autre, et M. Despréaux avec le Raphaël, les deux
amis
des époux et des deux familles. Cet article est u
onze heures. Il n’v eut point d’autres garçons de la noce, ou plutôt
amis
des époux, que M. Despréaux et moi. Ainsi l’on y
re abbesse de Port-Royal, grande tante de l’épouse, et de l’excellent
ami
que vous allez reconnaître, monsieur, à son style
onsieur, à son style ordinaire auquel vous êtes fait102. Comme il est
ami
de M. Racine qu’il avait su mon voisin, à la rue
es l’entremetteur ou plutôt le médiateur, médiateur entre Dieu et vos
amis
, car un bon mariage ne peut venir que de Dieu : D
, en vue de l’éternité. Mais voici encore autre chose. Le respectable
ami
auquel écrivait M. Vuillart, M. de Préfontaine, e
comme à une source sacrée. M. Vuillart, entrant dans la pensée de son
ami
, pensée qui eût fait sourire un profane, mais où
de candeur, de droiture, de probité, qui le rend plus précieux à ses
amis
et aux honnêtes gens que son bel esprit. Son gend
intéressent : De par l’abbé Testu, qu’en mitre Ne verront jamais ses
amis
, On a convoqué le Chapitre De nos seigneurs les b
n est touché, car vous connaissez mieux qu’un autre son cœur pour ses
amis
. Le roi et Mme de Maintenon ont paru prendre un f
u Deffand, après avoir vécu dix années dans l’intimité avec elle. Les
amis
furent forcés alors d’opter, entre l’une ou l’aut
s, ce concert flatteur de regrets qui s’adressaient à la mémoire de l’
amie
de d’Alembert n’aurait laissé d’elle qu’une idée
oi dans la société où vivaient encore, à cette date, quelques anciens
amis
de Mlle de Lespinasse. On déplora fort cette publ
être un roman et plus qu’un roman. Quelque jour, écrivait-elle à son
ami
, je vous conterai des choses qu’on ne trouve poin
lle de Lespinasse quitta brusquement le couvent de Saint-Joseph ; ses
amis
se cotisèrent pour lui faire un salon et une exis
rent pour lui faire un salon et une existence rue de Bellechasse. Ces
amis
, c’étaient d’Alembert, Turgot, le chevalier de Ch
meilleur air, et le décida à aller demeurer tout simplement avec son
amie
. Depuis ce jour, d’Alembert et Mlle de Lespinasse
publication des lettres. Les contemporains de Mlle de Lespinasse, ses
amis
les plus proches et les mieux informés, n’y avaie
mystère que par la lecture de certains papiers, après la mort de son
amie
. Ne cherchons donc la vérité sur les sentiments s
à Fontainebleau dans l’automne de 1771, M. de Mora avait écrit à son
amie
vingt-deux lettres en dix jours d’absence. Les ch
fois emphatiques et romantiques, en regard des lettres de sa brûlante
amie
. M. de Guibert, au départ, a déjà un tort. Il dit
di, et il se trouve qu’il n’est parti que le jeudi 20, et sa nouvelle
amie
n’en avait rien su. Il est évident que ce n’est p
, et l’autre désir de vivre pour M. de Guibert : « Concevez-vous, mon
ami
, l’espèce de tourment auquel je suis livrée ? J’a
qualités de M. de Guibert : il brouille volontiers les lettres de son
amie
, il les mêle à ses autres papiers, il les laisse
er l’idée de ce qui est partout à l’état de lave et de torrent : Mon
ami
, je vous aime comme il faut aimer, avec excès, av
me il faut aimer, avec excès, avec folie, transport et désespoir… Mon
ami
, je n’ai plus d’opium dans la tête ni dans le san
rien, je pardonne tout, et je n’ai jamais un mouvement d’humeur. Mon
ami
, je suis parfaite, car je vous aime en perfection
n seriez jamais douté, si je ne vous l’avais dit. Vous n’êtes pas mon
ami
, vous ne pouvez pas le devenir : je n’ai aucune s
enir ne me présentent que douleur, regrets et remords ; eh bien ! mon
ami
, je pense, je juge tout cela, et je suis entraîné
it ; vous voudriez secourir, soulager cette infortunée. Eh bien ! mon
ami
, c’est moi ; et ce malheur, c’est vous qui le cau
e toutes les paroles : De tous les instants de ma vie (1774). Mon
ami
, je souffre, je vous aime, et je vous attends. I
même que les femmes espagnoles pussent entrer en comparaison avec son
amie
: « Oh ! elles ne sont pas dignes d’être vos écol
ue la passion m’est naturelle, et que la raison m’est étrangère ! Mon
ami
, jamais on ne s’est fait voir avec cet abandon. »
ment et de délire, Mlle de Lespinasse voit le monde ; elle reçoit ses
amis
tant qu’elle peut ; elle les étonne bien parfois
’était l’horreur qu’elle avait de sa propre dissimulation avec un tel
ami
. Cette longue agonie eut son terme. Mlle de Lespi
révèlent aussi en plus d’un endroit, et nous font apprécier la digne
amie
de Turgot et de Malesherbes. Quand elle cause ave
avenir, elle a un moment de transport et d’espoir quand elle voit ses
amis
devenus ministres, et qui mettent courageusement
et y retrouve quelques-unes de ses connaissances et de ses meilleures
amies
de Genève, Mme Necker, reine d’un salon, les duch
ame bien apprise et convenablement sentimentale devra se choisir pour
ami
de cœur un des beaux officiers suisses de Versail
isse, — cette même histoire dont l’honneur était réservé à l’illustre
ami
de Bonstetten, Jean de Muller. — Bonstetten, dont
, chez Mme Necker ; jusque dans le château de La Rocheguyon, chez ses
amies
les duchesses de La Rochefoucauld, qui elles-même
te de l’enthousiasme du Nord. L’influence de Bonstetten sur son jeune
ami
fut salutaire et bienfaisante : il contribua à le
çu, et, devenu prêcheur à son tour, il pousse, excite et soutient son
ami
dans la grande carrière. Un voyage d’Italie en 17
renage de la machine, et devient lui-même un des rouages. En vain son
ami
Muller le prêche à son tour, essaye de le piquer
lation et à l’accomplissement d’une œuvre immortelle : Pourquoi, mon
ami
, vous consumer dans une oisiveté pleine de fatigu
fatigues ? Vous avez en vous un trésor de connaissances, vous avez un
ami
; pourquoi ne pas jouir d’un bonheur qui est en v
e fils trouvera vos sollicitudes bien ridicules. Et cependant, toi, l’
ami
et l’élève éclairé des sciences ; toi, mon ami, t
. Et cependant, toi, l’ami et l’élève éclairé des sciences ; toi, mon
ami
, tu cherches avec plus d’ardeur à te faire confon
l’amitié des véritables grands de la terre ! Toi, le concitoyen et l’
ami
d’un Haller, un bonnet de conseiller flatte plus
monuments honorables que t’élèverait la postérité ! Éveille-toi, mon
ami
! rappelle-toi nos anciens amis, les grands homme
verait la postérité ! Éveille-toi, mon ami ! rappelle-toi nos anciens
amis
, les grands hommes que nous avons lus, que nous a
yeux fixés sur le but qui t’est offert. Ainsi écrivait Muller à son
ami
. Le voisinage et l’influence littéraire de Rousse
tten ne passa guère qu’une année dans ce curieux pays primitif où son
ami
Muller le vint voir et qu’ils explorèrent en tous
t s’inspira sans cesse de l’homme de lettres éclairé, bienveillant et
ami
sincère de l’humanité. Nous avons vu Bonstetten,
avait la société et l’amitié. Il s’était fait en ces années un nouvel
ami
intime, moins héroïque et moins épique que Muller
ravissement : — Quel bonheur, écrivait-il, de sentir à ses côtés un
ami
, et un ami tel que Matthisson, avec lequel je pou
t : — Quel bonheur, écrivait-il, de sentir à ses côtés un ami, et un
ami
tel que Matthisson, avec lequel je pouvais sortir
sprit avec lui qui court le plus fréquemment. Il disait encore de son
ami
, en laissant voir bien ingénument toute la différ
de quelque beau poème. Le matin, en s’éveillant dans son cabinet, mon
ami
jouissait de la belle vue ; puis il travaillait j
n’avait pas attendu d’être si proche voisin de Coppet pour devenir un
ami
particulier des Necker et pour connaître familièr
t-il encore, je ne suis né pour aucun combat. » Bienveillant, modéré,
ami
d’un sage progrès et des lumières graduelles, pre
des écrivains de l’Assemblée constituante ou de madame de Staël, son
amie
de jeunesse, et si vous revêtez ces qualités du c
expulsés ou dévorés par leur patrie. Madame de Staël, dont il était l’
ami
, lui avait ouvert l’asile de son château de Coppe
devenu homme et son parti devenu vieux reconnaîtraient (sauf de rares
amis
) cette fidélité et ce dévouement au droit et au m
jeune femme résume toute sa correspondance de vingt-cinq ans avec son
amie
. « Je voudrais réunir tous les droits d’un père,
ie. « Je voudrais réunir tous les droits d’un père, d’un frère, d’un
ami
, obtenir votre amitié, votre confiance entière, p
qu’elle était assez clairvoyante pour lire entre les lignes ce que l’
ami
se cachait à lui-même ; mais elle jouait avec le
tint de Bonaparte, à force d’intercessions, la liberté du père de son
amie
, mais la destitution fut maintenue. Le ressentime
té de caractère, l’indépendance de cœur et l’étendue d’idées dans cet
ami
de son amie. C’est un beau symptôme pour un homme
tère, l’indépendance de cœur et l’étendue d’idées dans cet ami de son
amie
. C’est un beau symptôme pour un homme d’État à so
s regrets dans la solitude, madame Récamier céda aux instances de son
amie
, madame de Staël ; elle alla habiter avec elle so
ertu publique. XIV Ce fut pendant son séjour à Coppet, chez son
amie
madame de Staël, que madame Récamier connut le pr
é, tous les souvenirs de sa patrie. « La passion qu’il conçut pour l’
amie
de madame de Staël, dit madame Lenormant, était e
dit. Le prince quitta Schaffhouse après y avoir vainement attendu son
amie
. « J’espère, écrivit-il, que ce trait me guérira
s attachée à madame de Staël, partagea généreusement les exils de son
amie
, tantôt à Coppet, tantôt dans des châteaux à quar
persécutions gantées de Napoléon nourrissaient dans le cœur des deux
amies
; la grâce et le génie se coalisaient sourdement
ubliciste et un orateur aussi estimable que brillant, Camille Jordan,
ami
de Mathieu de Montmorency, l’entretenait des espé
coup d’œil dans madame Récamier. Il ne se fit ni son soupirant ni son
ami
, il se fit son esclave ; il abdiqua toute personn
de de la rue de Sèvres d’où il pouvait voir la fenêtre en face de son
amie
, madame Récamier. Ballanche laisse dans le cœur d
mais non son âme ; cette âme voyageait partout où allait sa nouvelle
amie
. La correspondance entre Juliette et lui fut de t
affluait avec les chefs des armées alliées ; elle y retrouva tous ses
amis
et un grand nombre de nouveaux admirateurs. Lord
ame Récamier n’avait rien des sibylles que la beauté. Elle perdit son
amie
madame de Staël. La Providence lui renvoya Ballan
ue peu riche, avait acheté à lui seul cette petite maison à un prix d’
ami
. C’était sans valeur autre que la valeur poétique
t contracté au couvent dans son enfance, soit sous l’influence de son
ami
Mathieu de Montmorency, était très assidue tous l
a messe avec recueillement dans un coin reculé de l’église. Un de mes
amis
, M. de Genoude, protégé alors par la femme célèbr
qu’il s’agenouillait pour entendre la messe derrière la chaise de son
amie
, et qu’il oubliait quelquefois l’ardeur de ses pr
e la supériorité était dans la main et dans le caractère ; M. Bertin,
ami
de Chateaubriand, critique expérimenté des hommes
e maintenant, supérieur toujours, qui aurait été le plus agréable des
amis
s’il n’avait pas eu les humeurs et les susceptibi
la sévérité antique des opinions, de l’amant par l’enthousiasme, de l’
ami
par la constance, de l’enfant par le dévouement v
prince de Carignan, depuis Charles-Albert, y affilie étourdiment ses
amis
de Turin, les compromet, les laisse violenter son
voit cela de Berlin, où il sollicite un congrès, ouvre son âme à son
amie
dans une lettre du 14 avril 1821. « Ce vaillant
égitimistes invétérés à Paris. « Me voici à Londres », écrit-il à son
amie
; je ne fais pas un pas qui ne m’y rappelle ma je
fais pas un pas qui ne m’y rappelle ma jeunesse, mes souffrances, les
amis
que j’ai perdus, les espérances dont je me berçai
péniblement l’atmosphère de tendresse qui respire dans ces lettres d’
ami
intéressé, d’amant ambitieux, d’homme d’État agit
i se combattent et qui se neutralisent dans un même cœur. Malheur aux
amies
d’hommes d’État ! Le découragement et la tristess
our de M. de Chateaubriand à Paris. Il en coûtait trop sans doute à l’
amie
fidèle et négligée de contempler de près les négl
’amie fidèle et négligée de contempler de près les négligences de son
ami
. Il est difficile d’expliquer autrement certaines
uche de l’œil au ministère, sans trop de scrupule d’en précipiter son
ami
Mathieu de Montmorency. Voyez cependant combien s
é équivoques, il monte au ministère des affaires étrangères, d’où son
ami
M. de Montmorency descend ; il y monte sous préte
bassadeur de France. Elle y retrouva la duchesse de Devonshire, autre
amie
inconsolable, qui venait de perdre le cardinal Co
s, il me paraît impossible que je vous survive ! » Voilà le véritable
ami
de Juliette, l’ami de l’âme ; l’autre n’était que
ossible que je vous survive ! » Voilà le véritable ami de Juliette, l’
ami
de l’âme ; l’autre n’était que l’ami de la beauté
le véritable ami de Juliette, l’ami de l’âme ; l’autre n’était que l’
ami
de la beauté ; et cependant c’est l’autre qui éta
ric, était là avec Keyserlingk, Fouqué et le major Stille. C’était un
ami
de fondation ; Frédéric le consultait sur ses écr
amitié, lui répond Frédéric (31 août 1745) : je pense qu’un véritable
ami
est un don du ciel. Hélas ! j’en ai perdu deux (J
oire de Chotusitz (17 mai 1742), Frédéric écrit à Jordan : Voilà ton
ami
vainqueur pour la seconde fois dans l’espace de t
les gazettes et ensuite dans l’histoire m’a séduit. Les lettres de l’
ami
qui guerroie à l’ami casanier qui est resté dans
te dans l’histoire m’a séduit. Les lettres de l’ami qui guerroie à l’
ami
casanier qui est resté dans sa bibliothèque sont
emeure fidèle à son rôle de savant, d’homme paisible et de philosophe
ami
de l’humanité. L’esprit est un peu masqué dans ce
ais ce que je deviendrai. Si ma destinée est finie, souviens-toi d’un
ami
qui t’aime toujours tendrement ; si le ciel prolo
e t’écrirai dès demain et tu apprendras notre victoire. — Adieu, cher
ami
, je t’aimerai jusqu’à la mort. De même il fera l
e suivante à la bataille de Chotusitz ; cette fois le roi écrit à son
ami
du champ de bataille même, le soir de la victoire
première pensée après la victoire, à un bon et digne bibliophile son
ami
, qui n’a rien de brillant et qui ne lui est utile
er trop le genre humain et de penser tristement. Frédéric gronde son
ami
de s’être formalisé et d’avoir pris au sérieux un
e, tandis que la guerre se prolonge, de calmer les inquiétudes de son
ami
, d’adoucir son humeur noire et de lui insinuer de
er sa fusée comme il pourra, et bornez-vous à partager le sort de vos
amis
, c’est-à-dire d’un petit nombre de personnes. C’e
ras de rimes et dans ces confidences presque toutes littéraires entre
amis
. Dès l’entrée en campagne, le roi a confiance en
ille de Soor (30 septembre 1745) ; Frédéric alors écrivit à son autre
ami
et ancien précepteur Duhan, pour qu’il eût à lui
engagé dans sa seconde guerre, lorsque la maladie de poitrine de son
ami
s’aggrava au point de ne laisser aucun espoir. Jo
e la religion que dans l’état de souffrance. Frédéric répondit à son
ami
avec tendresse par deux billets consécutifs, dont
pour ma consolation. Frédéric arriva lui-même à Berlin ; il vit son
ami
au lit de mort (23 mai 1745). Quand le frère de J
s pas un officier de réputation, honnête homme, et de plus mon ancien
ami
. » Quoique Frédéric n’ait que cinquante-quatre an
enaît de ses cendres. Mais le plus souvent il craint de donner à son
ami
des regrets en lui parlant des choses auxquelles
mai (1770), jour de la bataille de Prague. — Je vous envoie, mon cher
ami
, du vieux vin de Hongrie pour vous en délecter, l
de sottise du leur, on en peut venir à bout. Mais j’ai perdu tous mes
amis
, s’écrie-t-il, mes proches et mes plus intimes co
. » Aussitôt la paix conclue, Frédéric se fait une joie de revoir son
ami
le Milord Maréchal, et, quand celui-ci l’a quitté
ns-Souci, et ne passait pas un jour sans le voir. Ce vieil et dernier
ami
, objet de ses respects et de ses soins, ne mourut
e la huitième période) — Mort de Molière. Nouvelles directions de ses
amis
. — Madame Scarron concentrée dans l’éducation des
our elle commence à percer. — Madame Scarron commence à voir quelques
amies
. — Légitimation des trois bâtards du roi. Le com
es particularités concernant madame Scarron. « Il y a chez une de ses
amies
», dit madame de Coulanges, « un certain homme qu
atiemment son absence. Elle est cependant plus occupée de ses anciens
amis
qu’elle ne l’a jamais été. Elle leur donne le peu
Il est évident que ce certain homme c’était le roi, et que celle des
amies
de madame Scarron, chez qui se trouvait ce certai
ui… Je vis dans une action continuelle ; pas un moment à donner à mes
amis
; les bontés du roi ne sauraient me dédommager de
tembre 1673, madame de Sévigné écrit à sa fille : « J’ai soupé avec l’
amie
de Quanto (avec madame Scarron). Vous ne serez po
l y a de principal dans le pays. Madame de Coulanges et deux ou trois
amies
sont allées voir le dégel (madame Scarron) dans s
tait changée en une condition plus douce. La visite des deux ou trois
amies
suppose que le mystère dont le roi et madame de M
u noir. Vous me demanderez d’où vient cela : c’est que l’orgueil de l’
amie
(madame Scarron) la rend révoltée contre les ordr
s de 1675), « Elle rend compte à l’un et point à l’autre. On gronde l’
ami
(le roi) d’avoir trop d’amitié pour cette glorieu
velle : « Cependant, dit-elle, elle est plus occupée de ses anciennes
amies
qu’elle ne l’a jamais été. » Cependant vient bien
indifférence (comme cela aurait pu lui arriver dans d’autres feuilles
amies
et libérales), mais aussi une sympathie sûre et d
communion d’idées. MM. Nefftzer et Scherer n’étaient pas pour lui des
amis
d’hier seulement5, et s’il m’était permis de cite
d’un an, si l’on veut le savoir, que M. Sainte-Beuve avait dit à ses
amis
que s’il était jamais libre, il accepterait la co
e de tout le mal), M. Sainte-Beuve ne comptait plus au Sénat que cinq
amis
, qui lui donnèrent jusqu’à la fin des marques de
la tribune et en séance. — Je ne parle pas (bien entendu) de ses deux
amis
de tous les temps et confrères de l’Académie, M.
maître et qui essayait de le retenir : « (Ce 30 décembre 1868.) Cher
ami
, je réfléchis encore, vous parti : quel que soit
une nouvelle lettre à M. Dalloz : « (Ce 31 décembre 1868.) Mon cher
ami
, j’apprends le conflit : il était imprévu pour mo
il ne pouvait aller lui-même) pour en entendre la lecture. Ce fut un
ami
, l’éditeur M. Charpentier, présent et témoin, dan
que dans leur ensemble ; mais il sait que ce journal, dont il a pour
amis
les principaux rédacteurs, est un journal général
cabinet même, près du lit où il rendit le dernier soupir, étaient ses
amis
MM. le docteur Veyne, Paul Chéron (de la Biblioth
soin de ses dernières volontés, sont M. Marc Fabre, son notaire ; son
ami
et ancien secrétaire, le poète Auguste Lacaussade
fier d’une action bien simple, mais il y donne des explications à des
amis
qui s’étaient émus de tout le tapage fait, à cett
quette cérémonieuse. On n’y dînait d’ailleurs qu’à portes closes. Les
amis
de M. Sainte-Beuve pouvaient y parler librement e
core après cela que tout ce qu’on a raconté de cette réunion intime d’
amis
dans une certaine presse que l’on peut à bon droi
t faux et archifaux ? « … On rougirait, écrivait M. Sainte-Beuve à un
ami
peu de jours après (le 28 avril 1868), d’avoir à
troite intimité, au fond d’un faubourg, sans bruit et sans éclat, six
amis
auxquels le jour était indifférent, et dont l’un,
. — Je retrouve la minute d’une lettre de M. Sainte-Beuve à son vieil
ami
, le poète romantique Ulric Guttinguer, qui est mo
s années, de nos ardeurs qui ne vivent plus qu’en vous et en un autre
ami
que peut-être vous avez oublié, Victor Pavie d’An
longtemps encore, quand il est mort, que M. Sainte-Beuve disait à un
ami
en face de lui, dans une de ces conversations fam
agny ; j’y retrouve Nefftzer, Scherer ; nous sommes là toujours entre
amis
; on ne craint pas d’y exprimer tout haut ce que
Moniteur gouvernemental. Je suis un peu mauvaise tête, même avec mes
amis
… »
es années par les morts et les pertes réitérées de ses filles, de son
ami
Thomas, de sa mère : il en sortit le grand vieill
aroles de Job dans l’abondance de sa douleur : « J’ai semé, mon cher
ami
; qu’ai-je recueilli ? Nous vivons dans un temps,
’a conduit ; je le remercie de la tendre mère qu’il me laisse, et des
amis
qu’il m’a donnés, et surtout de pouvoir descendre
dre dans mon cœur, sans le trouver méchant et corrompu. Ah ! mon cher
ami
, reposons toujours notre tête fatiguée sur ce che
ne, après soixante-dix ans d’une vie exemplaire. Vous savez, mon cher
ami
, combien elle m’aimait. Elle a été ma mère dans m
son cœur, comme elle m’a porté dans son sein. Grâce à Dieu, mon cher
ami
, j’ai presque fini ma carrière, qui n’a été qu’un
seront comptées dans un monde où tout est justice et vérité. Mon cher
ami
, j’ai mis ma confiance dans le Dieu de ma mère ;
e sens-là, s’en accommodent comme ils le pourront ; il écrivait à son
ami
Hérault de Séchelles, commissaire de la Conventio
ont-Blanc ! Comme votre âme et celle de Thomas, votre maître et notre
ami
, ont été ravies à la vue de ce grand spectacle !
n cœur et de sa muse : « Que me parles-tu, Vallier, écrivait-il à un
ami
, de m’occuper à faire des tragédies ? La tragédie
scène. C’est un rude drame que celui où le peuple joue le tyran. Mon
ami
, ce drame-là ne peut se dénouer qu’aux Enfers. Cr
et qui sont trop tentés d’oublier que cet art brillant, loin d’être l’
ami
des mœurs déréglées et de ne jamais mieux s’inspi
e, dans l’oreille, dans les yeux. » (Avril 1798.) « Bonjour, mon cher
ami
, mon Othello, mon Farhan, mon Macbeth, mon Polyni
e saison est ma muse, comme vous êtes mon admirable acteur et mon bon
ami
. » (Octobre 1803.) Il refait pour lui le dénouem
es nerfs d’Hercule sous les formes d’Antinoüs. C’est lui, c’est notre
ami
commun Talma, qui me fait encore songer au cothur
VIII (21 décembre 1799). « Cette lettre est pour vous seul, mon cher
ami
. Je commence par vous plaindre, par mêler ma doul
e que je regretterai jusqu’au dernier soupir. Puissiez-vous, mon cher
ami
, être plus heureux que moi et ne pas voir encore
dire : Anima men defecit in gemitibus. Il ne me reste plus, mon cher
ami
, que quelques années peu heureuses qui attendent
ciété et avec les places. Je vous donne ma parole d’honneur, mon cher
ami
, que j’aimerais mieux mourir tout doucement à Ver
lettre que M. Gérusez a publiée, et dans laquelle, en justifiant son
ami
et en restituant à son refus son vrai caractère,
ignard peu élevé. Il faut tenir compte des différences entre les deux
amis
: Bernardin de Saint-Pierre cassé, caduc et charg
dmirablement à sa manière, quand il disait peu après, parlant au même
ami
qui venait de se remarier : « Vous connaissez mo
ans héros, — je ne les aime point du tout, — vous me feriez, mon cher
ami
, un très grand plaisir. Il faut que ma tête et qu
n 1814 et en 1816 il ait pris la teinte marquée que lui voulaient ses
amis
d’alors, et qui est surtout sensible dans les por
r, du 7 novembre 1806, souvent citée, est tout bonnement sublime. Cet
ami
l’avait averti un peu trop charitablement, ce sem
je trouve cela trop commode pour y rien changer. Que voulez-vous, mon
ami
? il n’y a point de fruit qui n’ait son ver, poin
n prenne au potier qui a façonné ainsi mon argile ! Soyez assuré, mon
ami
, que je n’ai nul souci sur l’avenir. Je ne dois r
oubli ! l’oubli ! quel chevet pour un voyageur fatigué ! » « Oui, mon
ami
, j’ai épousé le désert, comme le doge de Venise é
e qu’elle en a l’air ; et avec toutes ces austères résolutions, si un
ami
arrive, il est du plus loin le bienvenu : « Il y
nt Jérôme de la poésie. Ducis, le bon et le grandiose, a gardé plus d’
amis
qu’on ne croit en bien des coins et dans bien des
commentateurs, et ne s’adresser qu’à l’homme. Mais voilà que de vrais
amis
se mettent encore entre l’homme et nous ; gens d’
ous ce malin, ce taquin, qui emportait la pièce et offensait tous ses
amis
, et se les attachait toutefois et leur restait fi
ai rendu, j’ai reproduit fidèlement l’impression de quelques sincères
amis
du poëte, et il était juste qu’elle se fît jour p
s branches importantes ; ce n’est pas la faute de l’éditeur. Tous Les
amis
intimes de Béranger (M. Lebrun, par exemple, et d
cela ne suffit-il pas pour faire aimer l’existence ? Ajoutez que les
amis
ne m’ont jamais manqué, et que ma raison, plus fo
manité en beau. Je suis celui qui console encore ; car tous mes vieux
amis
sont bien découragés : seul, j’entrevois un ciel
bel âge assurément : « J’ai à dîner, ce triste jour, quelques vieux
amis
, les seuls qui vous pardonnent de vieillir, parce
lumière attachée au chapeau, mais qui ne suffit pas pour rallier les
amis
. Voilà le risque que je cours, bien qu’aujourd’hu
t qu’on lui donnât une sérénade et qu’on lui fît quelque ovation. Ses
amis
de Paris l’en avaient menacé. « Je mourais de pe
on rassasiement des hommes ; il sentait le besoin du monde, des vieux
amis
ou même des jeunes visages nouveaux, et il se rap
. Il faillit en mourir. Il pensa même, un moment, au suicide. Un seul
ami
, à qui il s’ouvrit de son état moral, accourut, l
s, s’arracha le trait du cœur et pansa sa plaie en silence. Quand ses
amis
le revirent, rien n’y parut. Mais un sentiment ta
nger paya son tribut complet à la nature. Aussi, à l’un de ses jeunes
amis
qui se mariait (M. Édouard Charton) il avait le d
ureux en faisant des heureux ; vous méritez un pareil sort : tous vos
amis
s’en féliciteront, et les vieux garçons comme moi
vec des faiblesses et de légers travers, on le voit donc foncièrement
ami
des hommes et philanthrope dans le juste sens du
l’indisposer, sous prétexte de changement d’opinion, contre un de ses
amis
, alors ministre (M. Barthe), qu’il sollicitait so
ours prêt à le servir ; il répondait à M. Joseph Bernard : « Mon cher
ami
, je ne peux pas être dur avec leshommes qui aimen
rd sans doute il eût voulu pouvoir corriger ? — Vous sentez, mon cher
ami
, que c’est une phrase à faire, dont je vous indiq
eptibilité et une fierté naturelle qui ne transigea jamais. Quand une
amie
généreuse, mais imprudente, le sachant gêné, song
e, à Latouche, auquel il reprochait sa paresse à publier : « Mon cher
ami
, il ne vous a manqué que de mourir de faim : cela
urir les petits polissons après toi… Pardonne ces conseils à un vieil
ami
qui te parle avec expérience, et garde tes vers d
écouter de près, et pour ceux qui le croyaient des leurs, c’était un
ami
terrible. Il se dédommageait de son inaction par
à lui adressées par Béranger, moins encore à titre d’administré que d’
ami
. Il est trop tard pour que j’en profite ; mais je
tes et en prose, qui ne fut point imprimée, mais qu’elle lisait à ses
amis
. Nous en savons le sujet et le titre ; cela s’app
ièce, ce que doivent produire les combats de la maîtresse et des deux
amis
. » L’amitié demeure la plus forte ; ils veulent s
t tous ses procédés alors et depuis, sont d’une parfaite et généreuse
amie
. Veut-on savoir comment elle répond, par exemple,
regarde comme une qualité nécessaire et flatteuse à trouver dans les
amis
. Les personnes si modérées, si désintéressées et
elle n’était occupée que de lui, et de lui ménager, par ses nombreux
amis
à l’étranger, un asile sûr et à son choix, soit e
t pourrez-vous vivre, si vous vous obstinez à refuser à vos meilleurs
amis
le plaisir et la gloire de vous secourir ? Tranqu
e véritables devoirs. C’en est un sans doute de se conserver pour ses
amis
, de leur montrer de la reconnaissance, de l’estim
recommandation pour vous, Monsieur, et pour d’autres personnes de mes
amis
. Je m’acquitte de ma promesse, et je ne puis pas,
copiant de la musique, que de recevoir les bienfaits de ses meilleurs
amis
qui s’empressaient de réparer sa mauvaise fortune
u était déjà arrivé à Londres, et il s’empressa d’y écrire à quelques
amis
pour le recommander. Mais ce n’était qu’un projet
mercier de l’avoir conduit en Angleterre, de l’y avoir présenté à ses
amis
, de lui avoir ménagé un asile commode et riant à
que de Mme de Boufflers et de la conduite qu’elle tint avec ses deux
amis
, quand la rupture éclata entre eux et qu’elle les
un scélérat. » Par malheur, il eut l’idée d’écrire sur ce ton à ses
amis
de Paris, et non pas d’abord à Mme de Boufflers q
uillet 1766 ; répandue, colportée a l’instant par le baron et par ses
amis
, elle fit dans Paris l’effet d’une bombe qui écla
vous m’avez promise. » Puis, en venant au fond, elle estime que son
ami
le philosophe s’est laissé bien vivement emporter
e toute la querelle, avec prière de la communiquer, non-seulement aux
amis
de Paris, mais même à M. de Voltaire, c’est-à-dir
que j’ai déjà écrit. » Enfin, pour faire des deux côtés son devoir d’
amie
, elle adresse en même temps, deux jours après (27
que vous lui avez écrite31. Je n’en vis jamais de semblable. Tous vos
amis
sont dans la consternation et réduits au silence.
s suffisantes pour vous garantir de l’erreur. Vous avez en Franco des
amis
et des protecteurs : vous n’en avez consulté aucu
nous sommes forcés vous nuit plus que toute chose. » Ainsi à chaque
ami
elle a dit sa vérité avec franchise, la vérité en
Rousseau, sa réputation, celle de Pope, d’Isaac Newton, même de votre
ami
Shakspeare, et trouver ce doute dans mon cœur. «
partout le mérite et l’honneur trouvent de l’appui, des secours, des
amis
. Une vanité mal entendue, une trop haute opinion
en-Moultou et Jules Levallois, qui a pour titre : J.-J. Bousseau, ses
Amis
et ses Ennemis (1805). J’y remarque, pour les pas
Mme Riccobini, quoiqu’elle restât en dehors de tout parti, était une
amie
de Hume, et on la trouve nommée dans la Vie et Co
puis quelque temps. Cet homme rare, qui n’était bien connu que de ses
amis
, a rendu dans sa vie de grands services aux Lettr
à ensevelir : il aimait à perdre ses travaux dans la renommée de ses
amis
. Élève du lycée Charlemagne, où il fut condiscipl
osophie et science du beau : M. Viguier, — de concert avec ses jeunes
amis
, Cousin, Loyson, Patin, Guigniaut et d’autres enc
ue chose ou pour beaucoup dans la traduction du Platon de son célèbre
ami
; que le Manuel de l’Histoire de la Philosophie d
e ; il les recueillait chemin faisant à plaisir, air et paroles : ses
amis
se surprirent plus d’une fois à sourire, en lui e
de trop, il y appliquait tout son savoir avec justesse. Quelque jeune
ami
, — et il en avait de cet âge, et un particulièrem
ttres pleines d’effusion et nourries de détails qu’il adressait à ses
amis
de France durant ses voyages d’Allemagne et d’Ita
s et touchantes que j’ai sous les yeux, écrites de Vienne à son vieil
ami
Théodore Gaillard, des aveux et des semblants de
oudrais pas, avec ce faux air de cosmopolite, perdre la sympathie des
amis
de mon village et de mon voisinage, auxquels je p
t tout, il faut compter sur le poste final de la famille et des vieux
amis
, où nous attendent le dernier banc au soleil ou à
Journal des Débats : il y rendait un juste et complet témoignage à l’
ami
de toute sa vie. A cette même date du 7 novembre
d’un agréable passage. — De Munich, le 8 mai 1853, il écrivait à son
ami
M. Gaillard, laissant bien voir tout ce qu’il y a
l trop ardent pour ma pauvre tête chenue. Je reviendrai donc vers mes
amis
, c’est mon désir, avant d’y être forcé par un exc
’espère que le bon Dieu voudra bien me rappeler à temps auprès de mes
amis
, avant le grand rappel définitif… » Parlant de s
au, il en a de gratuits et par surérogation comme menteur, mal élevé,
ami
de Richelieu, sans décence et sans dignité dans s
us de l’honnête Beccaria avec son petit livre. « Voyez-vous, mon cher
ami
, comme je me laisse aller à bavarder, parce que l
u connue dans le monde, est et restera présente et chère à tous ? ses
amis
, — une figure qui ne ressemblait à nulle autre. P
e mariage avec M. Roland, dont la connaissance première était due aux
amies
d’Amiens. On alla y demeurer, et on y resta quatr
ent d’éclore et de se former. Les lettres de Mme Roland à ses jeunes
amies
me démontrent la vérité de cette idée : l’être mo
emière de la destinée et n’y point paraître trop déplacée encore. Ses
amis
, tout en regrettant pour elle que le cadre fût si
e, en fait des extraits, et s’en entretient, non sans étude, avec son
amie
: « Car, dit-elle très-judicieusement, on n’appre
s ris), surabondent par moments : « Tu sais, écrit-elle un jour à son
amie
, que j’habite les bords de la Seine, vers la poin
é prévenue (prévenue par la Grâce, style de Nicole), un peu après son
amie
; elle a agi jusqu’à onze ans par cette espèce de
ur rusé qui m’attrape toujours quelque chose. Unissons-nous, ma bonne
amie
, pour lui faire la guerre ; je lui jure une haine
opres luttes épineuses sur l’article de la vanité : « Voilà, ma bonne
amie
, une peinture ingénue des révolutions dont mon cœ
r aux cinq Pater et aux cinq Ave ; en septembre de la même année, les
amies
d’Amiens en sont à prier pour sa conversion. Elle
rdire, et qu’elle se plaisait à confondre avec le regret de l’absente
amie
. Si un dimanche, au sortir d’une messe de couvent
ses préceptes, je vis heureuse : je chante mon Dieu, mon bonheur, mon
amie
: je les célèbre sur ma guitare : enfin, je jouis
us séduisant de son rêve. C’est que La Blancherie, ce jeune sage, cet
ami
de Greuze, avec ses vers, ses projets, ses consei
t au moindre bruit ; je tremble comme un voleur. » Il ne tient qu’à l’
amie
en ces moments de se croire plus nécessaire, plus
du Greuze, pourquoi conciuez-vous si passionnément la lettre à votre
amie
: « Reçois les larmes touchantes et le baiser de
e chérie qu’elle a perdue : « Tu imagines, écrit la jeune fille à son
amie
, tout ce que pouvait m’inspirer sa présence à par
; Sophie avait eu l’idée, un momeni, de se faire religieuse. Les deux
amies
n’étaient plus l’une à d’autre tout un monde. On
Je viens de nommer Henriette, la sœur aînée, la seconde et plus vive
amie
. Ou était en 93 ; bien des années d’absence et le
t voir Rousseau ; elle crut inventer un moyen pour cela. Un Genevois,
ami
de son père, avait à proposer à l’illustre compat
ersation même. Elle nous donne particulièrement à apprécier un de ses
amis
très-affectueux et très-mûrs, M. de Sainte-Lette,
rte d’horreur, non sans quelque attrait caché. On en faisait part aux
amis
avec mystère ; ainsi de M. de Wolmar, ainsi de M.
e ; ainsi de M. de Wolmar, ainsi de M. de Sainte-Lette ; ainsi pour l’
ami
de Rousseau, Deleyre. De nos jours, les trois qua
voisin d’une croyance ? M. Roland, avec une lettre d’introduction des
amies
d’Amiens, se présente de bonne heure ; mais on es
ui se prodigue peu ; elle qui fait si volontiers les portraits de ses
amis
, elle ne se croit pas en droit d’entreprendre le
e la Cour, dans le cortège de Ninon, un peu son amant et beaucoup son
ami
; il correspondit quelquefois avec elle pendant s
aussi capables de secret et de confiance que les plus fidèles de nos
amis
. J’en connais qui n’ont pas moins d’esprit et de
ans ces conjonctures, que le prince de Condé, son ancien amant et son
ami
toujours, intervînt en personne pour lui donner à
lant pour conjurer la colère de ses ennemis et donner le signal à ses
amis
de la défendre. Elle ne partit point ; elle conti
ande licence. Elle revint à son quartier du Marais, et là, entourée d’
amis
, vivant à sa guise, mais avertie par l’air du deh
finir, et qui a pu faire dire au sévère Saint-Simon : Ninon eut des
amis
illustres de toutes les sortes, et eut tant d’esp
s soutiennent rarement avec des faiblesses. Elle eut de la sorte pour
amis
tout ce qu’il y avait de plus trié et de plus éle
étrange ! qu’elle s’était acquise, le nombre et la distinction de ses
amis
et de ses connaissances, continuèrent à lui attir
plaisir d’une bagatelle, elle aime à faire une innocente guerre à ses
amis
… Mais, parmi toute cette disposition qu’elle a po
it, car elle a le cœur tendre et sensible, elle sait pleurer avec ses
amies
affligées ; elle sait rompre avec les plaisirs qu
e avec les plaisirs quand l’amitié le demande ; elle est fidèle à ses
amis
; elle est capable de secret et de discrétion ; e
amants qui l’ont fort aimée, et les plus honnêtes gens de France pour
amis
. Jusqu’à quatre-vingt-dix, elle fut recherchée en
’Aubigné ; il a bien besoin des levons de Leontium 18. Les avis d’une
amie
aimable persuadent toujours plus que ceux d’une s
trop en amant, c’est-à-dire avec une demi-infidélité, et pas assez en
ami
. Il fit en ce sens quelque plaisanterie qui ne fu
s vos charmes, et, au moment qu’un amant vous découvre sa passion, un
ami
peut vous confier son secret. Votre parole est la
gret ou de badiner de la vieillesse avec agrément. Ninon regrette son
ami
et le voudrait près d’elle : « J’aurais souhaité
te toutes les ressources dont elle dispose : « Il a trouvé ici de mes
amis
qui l’ont jugé digne des louanges que vous lui do
mbler plus triste que tout : Vous disiez autrefois, écrit-elle à son
ami
, que je ne mourrais que de réflexions : je tâche
’en aperçoivent eux-mêmes à leur tour, à l’heure où ils perdent leurs
amis
les plus chers. Ninon voit mourir Charleval, son
ent leurs amis les plus chers. Ninon voit mourir Charleval, son vieil
ami
le plus fidèle ; Saint-Évremond voit mourir Mme d
Chevreuse, qui croyait en mourant qu’elle allait causer avec tous ses
amis
en l’autre monde, il serait doux de le penser. »
moins, prochain et une récompense, à défaut de la postérité les deux
amis
se donnent des louanges et des compliments d’une
ans, pour cela, se rendre jamais digne de l’autre21. 18. Leontium,
amie
et disciple d’Épicure : c’était le surnom philoso
ment de détail : il a groupé et construit sur le compte de son ancien
ami
quantité de minuties et de misères, pour en faire
é. Marmontel, dans ses Mémoires, a dit : « Grimm, alors secrétaire et
ami
intime du jeune comte de Friesen, neveu du maréch
particulièrement M. Grimm pour sentir ce qu’il vaut. Il n’y a que ses
amis
qui soient en droit de l’apprécier, parce qu’il n
iendront, sur son compte, à l’impression d’une femme d’esprit et d’un
ami
délicat. Sur ces entrefaites, Mme d’Épinay eut un
caractère de Jean-Jacques : on peut dire qu’il fut le premier de ses
amis
qui vit avec certitude sa folie poindre, et qui l
ais que c’est l’avantage de l’esprit républicain ; mais je me défie d’
amis
si chauds : il y a quelque but à cela. D’un autre
e désire. Mais comment quitter Grimm, Diderot et vous ? Ah ! ma bonne
amie
, que je suis tourmenté ! Là-dessus Mme d’Épinay
. La solitude achèvera de noircir son imagination ; il verra tous ses
amis
injustes, ingrats, et vous toute la première, si
es fausses vues indulgentes où retombait sa gracieuse et trop prompte
amie
: « Je suis persuadée, disait de Rousseau Mme d’É
seau commençaient à éclater : « Je ne saurais trop le dire, ma tendre
amie
, écrivait Grimm, le moindre de tous les maux eût
eau, je suis plus sensible qu’un autre ; si j’ai quelque tort avec un
ami
qui vive dans le monde, il y songe un moment, et
couche : mon cœur n’a pas un instant de relâche, et les duretés d’un
ami
me donnent dans un seul jour des années de douleu
de fermeté, d’avoir trop oublié cet autre mot touchant de son ancien
ami
: « Il n’y eut jamais d’incendie au fond de mon c
e du séjour de Rousseau à l’Ermitage (1756-1757) ; il avait perdu son
ami
le comte de Friesen, enlevé dans la fleur de la j
s attentions de cœur et des nuances n’est pas toujours du côté de son
amie
. À peine il l’a quittée, il lui écrit de Metz ces
leur éducation. Elle consultait à ce sujet, Rousseau, Grimm, tous ses
amis
; mais l’exemple de cette vertu et de cette honnê
urs et les préceptes, et il en souffrait : Une des choses, ma tendre
amie
, écrivait-il, qui vous rendent le plus chère à me
! c’est un de vos vieux défauts d’aller toujours trop vite. Ma chère
amie
, la nature agit lentement et imperceptiblement :
tte exigence du bon sens qui va rarement sans quelque sécheresse. Ses
amis
, en plaisantant, l’avaient surnommé le Tyran. Mal
de précision, et de vue saine sur ce cœur malade. Il communique à son
amie
de sa perspicacité et de sa netteté de décision.
oirceurs : Le mal est fait, dit Grimm ; vous l’avez voulu, ma pauvre
amie
, quoique je vous aie toujours dit que vous en aur
osée à recevoir des lettres insultantes. On peut tout pardonner à ses
amis
, excepté l’insulte, parce qu’elle ne peut venir q
us célèbre de l’Europe ; pourvu que vous rien vouliez pas faire votre
ami
intime, tout ira bien. On voit de quelle manière
femme de M. de Custine, prisonnier pendant la Teneur, pénètre avec un
ami
dans la prison et propose à son mari de le faire
le marché et risque sa tête pour de l’argent. « Il a refusé », dit l’
ami
au duc de La Trémouille, qui attendait en bas, dé
plus de figures comme l’auteur des Trophées, qui fut non seulement l’
ami
de ceux qui l’ont connu, mais le type même du Maî
mple de désintéressement et de noblesse » ; et « qu’il eut beaucoup d’
amis
et méritait d’en avoir ; et que je n’en connaissa
as. J’ai « dénigré systématiquement Moréas. » Enfin, M. Souday et ses
amis
me reprochent de n’avoir absolument « rien compri
à raconter des faits qui se sont passés publiquement devant tous ses
amis
et qui n’atteignent ni la parfaite a honnêteté »
ù Albalat s’est plu à inscrire pour la postérité les noms de tous ses
amis
, et j’avoue franchement, au risque d’attirer sur
oir hautement rendu justice à la mémoire de Moréas, en admirant notre
ami
pour le talent qu’il avait et non pour le talent
user avec Alphonse Daudet, c’était être traité en égal et devenir son
ami
. Il proposait ses idées, il ne les imposait pas.
s ses confrères. Il est possible qu’il ait parfois plaisanté chez ses
amis
la drôlerie qui le frappait à première vue et qu’
a s’illusionnait étrangement, quand il affirmait sur sa tombe que son
ami
avait collaboré à la même œuvre que lui. Les roma
a production traitée avec cette conscience et ce respect. Malgré ses
amis
et ses admirateurs, l’auteur du Nabab n’évita pas
. L’Évangéliste venait de paraître. Un monsieur réclamait au nom d’un
ami
qui se prétendait photographié sous les traits pa
nnait en pensée, je lui en citai quelques-uns, entre autres un de nos
amis
, excellent prêtre, peintre et poète provençal, qu
es lettres qu’il avait reçues de Flaubert, dont il fut certainement l’
ami
préféré. On peut regretter que cette correspondan
du Petit Chose avait des relations dans tous les partis ; il était l’
ami
de Barrès comme il fut l’ami de Gambetta, et l’on
ations dans tous les partis ; il était l’ami de Barrès comme il fut l’
ami
de Gambetta, et l’on sait dans quels termes il a
ge, du subterfuge, et, grâce à toi, on voit des honnêtes gens devenus
amis
des coquins, pourvu qu’ils soient du même parti.
lui suggérait son esprit fin et pénétrant, chaque fois que son noble
ami
répétait le nous, qui à ses yeux représentait le
le réactionnaire qui sommeillait chez le père. Ce fut pour tous les
amis
d’Alphonse Daudet une surprise poignante de const
t suprême », si bien rendue par la statue des Champs-Élysées, que les
amis
d’Alphonse Daudet reverront éternellement le cher
délices du travail. La jeunesse se retrempait au contact de ce grand
ami
, qui vous dirigeait, vous conseillait et, au beso
ue pouvaient offrir des confidences faites non seulement à de récents
amis
, mais quelquefois même à des inconnus. Heredia av
inclination à recevoir tant de jeunes écrivains, un romancier de ses
amis
me dit un jour : « C’est pour ne pas être étrangl
quel point Heredia poussait la franchise. Un homme de lettres de ses
amis
vint un jour lui annoncer son mariage avec une fe
re quelques courtes apparitions au salon, où Mme Heredia recevait ses
amies
. Le poète commençait par vous montrer le pot à ta
mais la quantité de lettres de recommandation qu’il écrivait pour ses
amis
. Fraîchement débarqué de province, je vivais à ce
? Mendès a beaucoup de relations dans le monde des Théâtres. C’est un
ami
». J’emportai précieusement la lettre qu’il griff
s’il ne réussissait pas à rendre service. L’auteur des Trophées fut l’
ami
et l’élève préféré de Leconte de Lisle qui, entre
l’helléniste Louis Ménard, l’auteur des Rêveries d’un Païen mystique,
ami
de Leconte de Lisle. Par leurs formules d’art et
it à déclamer des passages, debout sur une table, dans des réunions d’
amis
. Heredia louait ses ouvrages sans restriction et
t-il chez eux quelque beau vers oublié, il en faisait part à tous ses
amis
. Il aimait la poésie de Coppée, si différente de
ent aussi leur place. A cette époque, Heredia voyait très souvent son
ami
le ministre Hanotaux. Il nous dit un jour, d’un t
ent aussi leur place. A cette époque, Heredia voyait très souvent son
ami
le ministre Hanotaux. Il nous dit un jour, d’un t
rs, une courte digression qui eût certainement intéressé Heredia. Mon
ami
, l’excellent poète Ernest Jaubert, m’a écrit la l
encore préférable… Mais revenons à Heredia. On pense si notre grand
ami
fut entouré de sollicitations, quand il fut nommé
et sur lesquels il aimait à raconter d’aimables anecdotes. D’anciens
amis
avaient disparu ; de nouveaux survinrent. On fut
errières avec Bismark. J’ai le plaisir de connaître un des meilleurs
amis
de Paul Hervieu, M. Fernand Gavarry, ministre plé
r feuilleter la collection de lettres et de manuscrits écrits par son
ami
, au cours de longues années de correspondance et
encore préférable… Mais revenons à Heredia. On pense si notre grand
ami
fut entouré de sollicitations, quand il fut nommé
et sur lesquels il aimait à raconter d’aimables anecdotes. D’anciens
amis
avaient disparu ; de nouveaux survinrent. On fut
errières avec Bismark. J’ai le plaisir de connaître un des meilleurs
amis
de Paul Hervieu, M. Fernand Gavarry, ministre plé
r feuilleter la collection de lettres et de manuscrits écrits par son
ami
, au cours de longues années de correspondance et
an d’Hervieu, l’Inconnu, fut présenté et refusé à l’Illustration. Son
ami
Gavarry lui conseilla de le porter à la Revue des
Hartmann, Léopardi et Shopenhauer furent ses premières lectures. Son
ami
Gros-Claude le ravissait par ses charges et ses c
Ils avaient fondé une tontine de raseurs. » Il écrivait un jour à son
ami
Gavarry : « Je me suis livré ces jours-ci à une
Theuriet, l’auteur de Sauvageonne et de la Princesse verte, qui fut l’
ami
de tous les écrivains illustres de son temps, Gau
edia et plus tard au café Vachette, où il faisait, avec Moréas et ses
amis
, de bruyantes et interminables parties de dominos
, si simple d’accueil et de manières ; le vieux peintre Jules Breton,
ami
personnel d’Heredia ; Porto Riche, l’Auteur d’amo
retard, tire sa montre, s’excuse et se désole. C’est un caractère, un
ami
sûr et un critique de goût classique. Il venait,
un mot si pittoresque, une nuit qu’il couchait sous les ponts avec un
ami
: « — C’est égal, on s’en souviendra de cette pl
ette année-là, Moréas poussa jusqu’à Menton, où se trouvait alors son
ami
le musicien Dubreuilh. Dès son arrivée à la gare,
discuter et pérorer ; il y en a qui vont au café pour retrouver leurs
amis
, pour savoir ce qui se dit, ce qui se passe, et p
8 C’est le même sentiment qui faisait dire à Verlaine causant avec un
ami
qui venait le voir dans son hôpital, par un beau
du monde. Il avait la manie d’appeler près de lui non seulement ses
amis
, mais de simples connaissances : « Tiens ! voilà
qui c’était ; « Comment ! vous ne le connaissez pas ? C’est un de mes
amis
. Un imbécile. Je vous le présenterai. » Il avait
d’y mettre un peu d’exagération volontaire. Il entre un jour avec un
ami
chez un marchand de vin et demande la carte. « —
veux Valaques et la réclame que lui faisait une infatigable escorte d’
amis
. Je sais maintenant que c’est un homme charmant,
un peu plus haut, boulevard Saint-Michel, retrouver un petit cercle d’
amis
, Golstein, Maindron, Durand, Gillouin, Dubreuilh,
aisait pas. Ce barbare, avide de sociabilité, semblait rechercher les
amis
pour les dominer. On finissait par accepter cette
e m’arriva plus d’être en désaccord et nous demeurâmes les meilleures
amis
du monde. Après quelques résistances de politesse
sant à Athènes, rendit visite à la mère du Maître dont il avait été l’
ami
. Ils causèrent du disparu et, à la grande stupéfa
le séduisit. Il ne jura plus que par Chateaubriand et Flaubert ; ses
amis
l’entendirent réciter les imprécations de Iockana
l’incorrigible rêveur. Conduit au violon, Gérard adressa un mot à son
ami
Arsène Houssaye, alors directeur de la Comédie-Fr
oréas n’eût pas été ravi d’être traîné au poste avec des apaches. Ses
amis
connaissent le mot qu’il dit un soir à des gens d
l’inspiration aux Halles et qu’il y ait composé beaucoup de vers. Un
ami
, qui l’accompagnait dans ces pérégrinations, avai
es du matin. Un jour qu’on réclamait sa signature, on courut chez cet
ami
à trois heures de l’après-midi. Il était encore a
chez soi ! L’obligation de passer la nuit décourageant ses meilleurs
amis
, il finissait par y aller seul, à peu près sûr de
nissait le soir, il y a des années de cela, rue de Rennes, chez notre
ami
l’éditeur Putois-Crété. Il y eut là des séances m
ami l’éditeur Putois-Crété. Il y eut là des séances mémorables. Notre
ami
Desrousseaux ne faisait pas encore de la politiqu
il laissa retomber ses bras de découragement, et se tournant vers son
ami
le musicien Dubreuilh, il dit en martelant les mo
té de tout ». Moréas a traîné son ennui de café en café, aux bras des
amis
qui voulaient bien le suivre, dans ce Paris noctu
moindre rumeur, on le voyait errer dans la rue, à la recherche de ses
amis
. Une après-midi de mardi-gras, sur les boulevards
nde molle fut un abîme que rien ne put combler. Beaucoup de ses vieux
amis
étaient morts et, sans le cercle de jeunes gens d
fois ce peu modeste parodoxe. Il sortait un jour du Vachette avec son
ami
Durand. Il s’agissait de prendre une voiture. Dur
part ; au bout de cent mètres, la voiture oscille et dépose nos deux
amis
sur le trottoir. Moréas se relève sans lâcher son
avait parfois de jolies reparties d’ironie pince-sans-rire. Un de nos
amis
, un peu folâtre, lui ayant offert son premier vol
ateurs, en pleine maturité d’âge et de talent, devinrent ses fervents
amis
, le journaliste anglais Scherard, entre autres, q
un dîner de treize couverts. Il arriva un soir en retard à un repas d’
amis
qui comptait douze convives. On s’écria joyeuseme
à une petite table. Georges Doncieux doit être aussi compté parmi les
amis
de Moréas et les disparus du Vachette. Ironique f
poésies fugitives lui inspira l’idée de faire l’épitaphe de tous ses
amis
. Le pauvre garçon mourut le premier et personne n
fit la sienne. Doncieux se piquait de bravoure et de dandysme. Notre
ami
Auguste Gautier le mit un jour au défi d’entrer d
e fer, pendant que le dompteur cinglait les bêtes hurlantes. Tous les
amis
assistèrent à ce spectacle, entre autres, s’il m’
te et ne se gênait pas pour le déclarer. Se trouvant un jour avec son
ami
Durand, il invita un tout jeune homme qu’on lui a
ncertait son esprit classique. Cette vanité de Moréas réjouissait ses
amis
. Maindron, qui était la franchise même, s’étant p
ader qu’aucune supériorité ne manquait à sa poésie. Il disait à notre
ami
Gillouin le philosophe : « — Vous savez qu’il n’
vez qu’il n’y a rien de plus philosophique que mes vers », et à notre
ami
Vulliaud, qui s’occupait d’ésotérisme : « Il y a
se publie aux frais de l’auteur, qui le distribue à la presse et aux
amis
. La critique n’en parle pas, et le prix de l’édit
emps cette vie de paresse, et ne tarda pas à perdre de vue son ancien
ami
du boulevard Saint-Michel. Moréas s’est servi de
e disparates amulettes. Ce procédé de mosaïque fit la gloire de notre
ami
, parce qu’il sut y mettre du tact, et que cette m
’ai moi-même écrit plusieurs fois sous sa dictée, en l’absence de son
ami
. Desrousseaux arrivait au Vachette, portant sous
ionnées. Nous le plaisantions sur le discours qu’il prononcerait. Son
ami
, le musicien Dubreuilh, qui imitait à la perfecti
Fichez-moi la paix ! Je n’ai besoin d’aucun repos. Je cause avec mes
amis
. C’est ça qui me repose. » Les obsèques (2 avril
derrière les grands murs nus, on procédait à l’incinération de notre
ami
. Jamais la mort ne m’a donné une telle impression
fut un exemple de désintéressement et de noblesse. Il eut beaucoup d’
amis
; il méritait d’en avoir, et je n’en connais pas
chette. On rencontrait aussi dans cet établissement non seulement les
amis
du poète, mais les amis de ses amis, qui finissai
ussi dans cet établissement non seulement les amis du poète, mais les
amis
de ses amis, qui finissaient tôt ou tard par pren
t établissement non seulement les amis du poète, mais les amis de ses
amis
, qui finissaient tôt ou tard par prendre nos habi
ui ne jure plus que par la Grèce et l’époque Mycénienne ; l’excellent
ami
optimiste La Tour du Villard, qui fut longtemps s
son droit et qui s’improvisa éditeur en publiant une plaquette de son
ami
Rigal ; Durand, l’inséparable compagnon de Moréas
alvy, le futur ministre qui venait faire sa partie de cartes avec ses
amis
Toulousains ; l’extra-méridional Mistralien Jules
vre sur Dieu, d’après des documents nouveaux, et qui dit un jour à un
ami
, en montrant dans un théâtre un monsieur ayant au
posant à de fréquentes demandes d’argent, il secourait volontiers ses
amis
, mais toujours avec un peu de résistance et certa
itude lui était alors insupportable. Il adressait un jour à un de ses
amis
une dépêche ainsi conçue : « Viens me voir. Je s
t à point ; il n’était jamais pressé de la publier. Il écrivait à son
ami
Fréjaville : « Mon cher ami, que la province est
pressé de la publier. Il écrivait à son ami Fréjaville : « Mon cher
ami
, que la province est maussade et qu’on y est seul
ois très exigeant sur le chapitre des louanges qu’il attendait de ses
amis
. Ses vers, quand il les lisait lui-même, perdaien
ujours un tour pittoresque, comme ces quatre vers qu’il envoyait à un
ami
avec une carte postale représentant le village de
unetière, Avec son œuvre toute entière. Charles Guérin n’eut que des
amis
, et aucun d’eux, je puis le dire, ne l’a oublié.
vétéré, célèbre par son embonpoint et par son esprit, causeur exquis,
ami
sûr, optimiste imprévoyant, mangeur et connaisseu
iale et bourgeoise. Mon désir de connaître Faguet faisait sourire mon
ami
Doncieux, qui mangeait à la même pension. « Vous
ux tout pétillants de sympathie, l’allure empressée et familière d’un
ami
heureux de vous retrouver. Le plus difficile, com
e, évoquer sa présence, ajouter quelques traits aux souvenirs que ses
amis
ont le devoir de publier pour faire mieux connaît
dans un restaurant du Boulevard Saint-Michel, où quelques-uns de nos
amis
allaient régulièrement. Tous les jours à midi on
même pas conscience que ces choses pussent être remarquées. Un de nos
amis
, Henri Rigal, peu intéressant bohême, qui mangeai
ois ou quatre jours. » L’éditeur revint trois jours après. « Mon cher
ami
, dit Faguet, j’ai déjà écrit mille lignes. » (Il
e du commun des hommes. « Il ressemblait aussi peu que possible à son
ami
Brunetière, dont l’humeur pourfendeuse excita, pl
nir par avoir raison d’une santé qui faisait l’étonnement de tous ses
amis
. Quelques dix ans avant sa mort, une crise d’aném
rive en pantoufles et lui dit derrière la porte : « Désolé, mon cher
ami
; la bonne m’a enfermé. Elle est allée au marché
rou… » Il aimait les plaisanteries et les relevait avec plaisir. Des
amis
, se trouvant à Lille le jour de son élection à l’
l’amitié ». Je doute cependant que Faguet ait jamais eu un véritable
ami
, sauf peut-être Brunetière, dont il a magnifiquem
nt il a magnifiquement parlé. En tout cas, ce n’est pas pour voir ses
amis
qu’il venait au café. Il se contentait d’y lire s
lendemain, il causait avec elle encore. Il se consolait de vivre sans
amis
, sachant bien qu’à Paris on a des relations et po
ivre sans amis, sachant bien qu’à Paris on a des relations et point d’
amis
. Il l’a dit lui-même spirituellement : « De nos
vie trop violente, pour que l’amitié ait beaucoup d’autels. On a des
amis
, mais on ne cultive plus l’amitié. Plus de longue
mais on ne cultive plus l’amitié. Plus de longues conversations entre
amis
, plus de longues lettres. Les oisifs même, dans l
ttres de faire part vous apprennent le plus souvent qu’il a existé un
ami
que vous auriez pu avoir. On remet toujours à aim
solitaire trépidant et souriant était, pour son compte, fidèle à ses
amis
et ne perdait pas une occasion de se rappeler à e
ipault, à Payen, à Delzons, à Petit, à Mocquant, à Comtes, à tous les
amis
. Je vous serre la main très affectueusement. J’ou
oubliais Chaumeix. Et puis, ailleurs, Grenet. Em. FAGUET. Mon cher
ami
, Pourriez-vous 1° Rechercher le numéro des Débats
Vous serez aussi un grand dans le Ciel. N’êtes-vous pas à présent un
ami
de Dieu ? » Faguet répondit avec malice : « Oui…
et de malice. Un pauvre diable de bohème alla le voir un jour avec un
ami
— « Je vais, dit-il, lui emprunter cinq louis. Je
très sensible à ces choses-là. Je suis sûr qu’il me les prêtera. » L’
ami
attend dans le vestibule. Un instant après, son c
urtout quand je considère avec quelle aisance Flaubert écrivait à ses
amis
, en une matinée, des lettres de vingt pages, qui
t connu que les feux d’artifice d’esprit de ce prodigieux garçon. Ses
amis
savent quelle sensibilité cachait cette somptueus
à donner l’adresse. Le cocher ne put s’empêcher de rire. — Riez, mon
ami
, dit sévèrement Mariéton. Je… je… continuerai qua
de répéter en s’en allant : « Filons… historien juif ». Il dit d’un
ami
qui lui empruntait de l’argent avec des phrases p
ce de plaisanterie. Mariéton entre un jour dans un restaurant avec un
ami
, à 9 heures du soir — « Quel est le prix du dîner
onsieur. — Et le prix du déjeuner ? — Cinq francs — Très bien, mon
ami
. Servez-nous à déjeuner. Il prétendait qu’on avai
grand poète. Il redescendit aussitôt et, se jetant dans les bras de l’
ami
qui l’accompagnait, il lui dit en pleurant : « C
go est mort. Quelle solitude ! » — Il te reste moi, dit naïvement son
ami
— Ah ! toi, dit Mariéton, ce n’est pas la même ch
ines ; puis tout à coup on le perdait de vue. C’est ainsi qu’il fut l’
ami
du colonel Marchand et de Léon Daudet. Je voyais
lusieurs personnes, heureusement étrangères à la Littérature : « Mon
ami
, le docteur Pagello ». Ces facéties lui donnaient
ne jurait que par le colonel Marchand, dont il était devenu l’intime
ami
. M. de Nalèche fut obligé de partir aussitôt aprè
Mistralienne. On sait avec quel enthousiasme il organisa, avec notre
ami
Boissy, les premiers grands spectacles du théâtre
presque autant que sa chère Provence et où il comptait de si dévoués
amis
. Ce fut une nature splendide, un de ces êtres de
us là. Chapitre VI Guy de Maupassant et sa mère. La nièce et les
amis
de Gustave Flaubert. On a quelque peine aujou
son arrivée, prenaient une importance soudaine de témoins oubliés, d’
amis
retrouvés. Ils lui faisaient l’effet de ces gens
brimades, les farces, les grosses plaisanteries. De concert avec deux
amis
, Eugène Gavarry et Paul Hervieu, il a monta », co
ervieu, il a monta », comme on dit, une histoire extraordinaire à une
amie
galante nommée Hélène qui, paraît-il, était fort
lets de mille francs, tout en racontant ses folles aventures avec ses
amis
les souverains d’Europe. La naïve Hélène tomba da
it dire à Hélène : — Quel ignoble type, cet Hervieu ! Il a vendu son
amie
au comte italien ! Cette anecdote eût pu figurer
e gardait à Guy un culte d’adoration inconsolable. Elle avait été son
amie
de tous les instants ; elle travaillait avec lui,
au ébranlé par la douleur que lui causait la perte de son mari. « Des
amis
bien intentionnés, lisons-nous dans le Mercure, s
ard rue Alboni et avenue Victor Hugo, un salon où elle réunissait ses
amis
Normands et Parisiens, hommes de lettres ou artis
jeunesse dans l’intimité de Flaubert et fréquenté ses plus illustres
amis
, Poitevin, Bouilhet, Du Camp, Gautier, Mme Frankl
ontrait à ces dîners de la rue Commaille d’abord les fidèles et vieux
amis
, le peintre Rochegrosse, illustrateur de Salammbô
villa Tanit. C’est là que je vis pour la première fois le père Didon,
ami
de Flaubert, célèbre par son talent oratoire auta
’un Christianisme sincère. Chapitre VII Mme Juliette Adam et ses
amis
, Paul Bourget, Loti, Aicard, etc. — Mlle Read et
vers 1890. J’eus le plaisir d’être invité à diner avec elle chez des
amis
communs qui l’avaient priée de venir passer quelq
uteur. « L’anticléricalisme, disait-elle, m’a brouillée avec tous mes
amis
. C’est un crime national. Je l’ai dit à Jules Fer
ompromettre sa santé. Elle se réfugiait alors à la campagne, chez des
amis
de Marseille. Mais son labeur la poursuivait et e
ieillesse ait ralenti son infatigable activité. Chez elle ou chez des
amis
, elle n’a jamais souffert que quelqu’un l’aidât à
la suite d’une discussion, Mme Adam appelle du haut de sa fenêtre son
ami
Loti, dont la chambre était au-dessous de la sien
ir-là Salammbô à l’Opéra, et il devait, après le diner, rejoindre ses
amis
dans la loge de Reyer. Avec son sourire d’idole e
s littéraires, qui furent ses filleuls préférés : Pierre Loti et son
ami
Jean Aicard. J’ai connu Jean Aicard vers 1890. Je
carrière facile et vagabonde, il s’était fait le long de la route des
amis
fidèles, comme Pierre Loti, l’auteur de Pêcheur d
fois l’attention des sergents de ville. On s’expliquait, et les deux
amis
continuaient leur étude dans le silence nocturne.
es réunions que préside si éloquemment le beau portrait de l’ancienne
amie
de la famille, Mme Ackermann. Le charme de bonté
à tout pour mieux se donner à tous. Si bien qu’au lieu de perdre ses
amis
le long de la route, des amis toujours plus nombr
tous. Si bien qu’au lieu de perdre ses amis le long de la route, des
amis
toujours plus nombreux se sont groupés autour d’e
toutes ces raisons, n’être presque jamais chez elle, elle reçoit ses
amis
trois fois par semaine, dans le grand salon qu’el
uve cela tout naturel, parce que c’est elle. Sa présence suffit à ses
amis
; ils ne lui demandent que d’être là. Elle n’a po
iteurs ne prêtent plus aucune attention. Mlle Read, on le sait, fut l’
amie
irréprochable et maternelle de Barbey d’Aurevilly
sa présence font partie de la vie parisienne. Mlle Read fut aussi l’
amie
et la garde-malade de François Coppée. C’est dans
peut-être le plus travaillé, Boileau, méprisait les dictionnaires. Un
ami
entre chez lui et le trouve embarrassé pour faire
martyre de cet homme. Les regrets qu’il a laissés dans le cœur de ses
amis
sont un témoignage auquel on peut toujours faire
romans, l’Impossible pardon, me fit indirectement demander par notre
ami
Chouart, qui dirigeait le Supplément illustré de
s avez compris mon désir, qui est de faire entendre post mortem à mes
amis
des considérations sur la mort, leur montrant que
Romaines. Ses odes ne sont que ses billets du matin ou du soir à ses
amis
et à ses amies de Rome et de Naples. Tout est de
odes ne sont que ses billets du matin ou du soir à ses amis et à ses
amies
de Rome et de Naples. Tout est de circonstance da
un flacon du falerne écumeux a répandu l’ivresse à la fin du festin d’
amis
, si les cheveux dénoués de la jeune Napolitaine L
lui plaît, malheur à celles qui le trahissent, bonheur immortel à ses
amis
! Son livre est l’écho de son cœur et l’écho de s
de musique et pavoisée de voiles qui portait Mécène, Horace et leurs
amis
pendant le voyage de Brindes ; la treille de Tibu
eille de Tibur entre deux colonnes à l’ombre desquelles le nonchalant
ami
de Mécène écrit une strophe entre deux sommeils ;
maître du monde ; Virgile, moins aimable, l’enthousiasmait. Ces deux
amis
, incapables de jalousie, ne rivalisaient que d’af
pour la Grèce. Écoutez ce chant du départ que lui adresse Horace, son
ami
, demeuré attaché par son indolence et par son bon
mitié, qui est sérieuse. Il s’adresse au vaisseau qui va emporter son
ami
; le mètre plaintif et tombant ajoute à l’attendr
invocation touchante à la planche fragile qui répond à Horace de son
ami
. Mais tout à coup, le cœur de l’ami satisfait, le
ragile qui répond à Horace de son ami. Mais tout à coup, le cœur de l’
ami
satisfait, le poète reparaît, et, par un retour b
te, exposa la vie des hommes aux périls qui le font trembler pour son
ami
. « Celui-là avait du bois de chêne et un triple
il maudit, il condamne ; le vers, de femme dans l’invocation pour son
ami
, devient viril et de flamme dans l’imprécation co
ez-en une autre d’un accent plus doux : il s’agit d’inviter un de ses
amis
, Sextius, à faire trêve aux soucis, ces frimas de
iptif Horace prépare Sextius à ses conseils de sage jouissance de ses
amis
: « L’âpre hiver se détend à la douce vicissitud
a patrie, au lieu de roucouler pour ses amours ou de badiner pour ses
amis
. XII Lisons encore. Voici une invitation à
mé par le peuple en reparaissant au Cirque. Horace, avec le cœur d’un
ami
et avec le bon goût d’un homme de cour, rappelle
leurs c’est une larme versée dans le sein de Virgile sur le sort d’un
ami
commun, Quinctilius. Chacun de ces vers est resté
a abandonné ; et, quand les tonneaux sont vidés avec la lie, les faux
amis
s’enfuient, bien décidés à ne pas s’associer au j
it ainsi en action ses préceptes de modération et de médiocrité à son
ami
. Mécène, en les lisant, enviait Horace, car le la
fermé avec ses livres, il se donnera les aises de la vie ; toi, ô mon
ami
tutélaire ! il te reverra, si ton cœur t’y porte,
le il passe de là à la délicatesse de Mécène, qui n’importune pas son
ami
de dons et de faveurs difficiles à refuser ; puis
e Vacuna : « Salut ! au nom d’un amateur des champs, à Fuscus, notre
ami
, amateur du séjour des villes ! En cela seul nous
qui ne sait pas se contenter de peu. Le petit billet suivant à son
ami
Bullatius, pour le détourner de longs voyages, es
retraites, disons mieux, les demeures enchantées qui préservent votre
ami
des influences de l’automne. » Voilà comment il
voir composées à loisir. Les soupers de Frédéric avec Voltaire et ses
amis
à Sans-Souci, ce Tibur soldatesque de la Prusse,
t la géographie badine d’un poète ; il est à croire que Mécène et ses
amis
avaient chargé Horace de rédiger en plaisanterie
céius, chargé d’une importante mission par Auguste, puis par un autre
ami
de Mécène, Fontéius Capito, homme accompli ad ung
mon voyage et de mes vers. » L’itinéraire est gai comme un souper d’
amis
au bord de la mer, exact comme une carte de géogr
son chemin de Rome à l’Adriatique, le voyage d’Horace à la main. Les
amis
se séparent à Brindes ; Horace alla seul, ou peut
pas là une larme sur ses cordes : c’est le poète du sourire, c’est l’
ami
des heureux. Mais si vous êtes seulement un homme
fortune est suffisante pour votre bien-être borné ; si vous avez pour
amis
quelques amis puissants, amis eux-mêmes des maîtr
ffisante pour votre bien-être borné ; si vous avez pour amis quelques
amis
puissants, amis eux-mêmes des maîtres du monde, a
tre bien-être borné ; si vous avez pour amis quelques amis puissants,
amis
eux-mêmes des maîtres du monde, avec lesquels vou
rs, Horace est le poète qui vous a été préparé de toute éternité pour
ami
; c’est le poète de la bonne humeur, c’est l’ami
toute éternité pour ami ; c’est le poète de la bonne humeur, c’est l’
ami
des heureux, c’est le philosophe des insouciants,
hoses aux hommes. » C’est ce qu’écrivait Léopold Robert à l’un de ses
amis
, et toute sa vie le prouve. En revenant aujourd’h
ls font. Léopold Robert, en ses épanchements naïfs et suivis avec ses
amis
, ne se doutait pas qu’il serait un jour pris pour
tres de qui Léopold Robert relevait le plus, et dont il écrivait à un
ami
: J’ai été enchanté de me rapprocher autant avec
qui il était arrivé une fois par exception de recevoir d’avance d’un
ami
le prix d’un tableau qui n’était pas commencé, en
compte en litige, et nous n’en avons jamais. À votre égard, excellent
ami
, voyez quelle exception ! Je ne me reconnais vrai
t de Rome (22 décembre 1829) à M. Marcotte, son digne et incomparable
ami
de tous les temps, il lui exprimait, d’une manièr
nt racontée, vint servir à souhait Léopold à son début, ainsi que son
ami
Schnetz, qu’il ne faut point séparer de lui dans
actère de tête et de leur expression : J’ai admiré, écrivait-il à un
ami
, des têtes superbes qui pourraient servir avec be
des Judith, des Rébecca, et même des Vierges. Je vous avouerai, cher
ami
, qu’en faisant ces observations, je ne pouvais m’
s, en un mot, à frapper fort qu’à toucher divinement. Léopold Robert,
ami
avant tout de la réalité, quand il la rencontre g
blât à Corinne, à cette date : Je suis en travail, écrivait-il à son
ami
Navez, sur mon tableau de Corinne… Il pourra bien
n mérite, parvenir à la goûter : Ma foi, mon cher, écrivait-il à un
ami
, malgré son amabilité (affectée bien souvent), je
de ses lettres, écrites de Rome à la date de 1820, et adressées à son
ami
Navez, qui venait de quitter la petite colonie ro
bien-être qui est trop peu connu ! En novembre 1825, il félicite son
ami
Navez du mariage ; c’est une idée qui reviendra s
avait décidée à venir passer quelque temps à Rome, il écrivit au même
ami
M. Navez ces paroles tout empreintes d’affection
ement, bien moins un protecteur que le plus tendre et le plus délicat
ami
, il aura des choses charmantes à lui dire, et il
hypocrite, ce qu’il n’est pas. Nous nous sommes quittés les meilleurs
amis
du monde. Il revenait souvent sur cet exemple d’
ait du fond de l’âme comme le premier maître de notre âge et comme un
ami
. Il y a dans Léopold Robert et dans sa théorie de
comme il aimait à le faire dans les dernières années, à entretenir un
ami
de ses espérances religieuses et de sa confiance
qu’on peut faire et en montrer le résultat par ses œuvres. Mais, cher
ami
, ne soyez pas étonné, je vous prie, de ce que je
llée qu’arrose la Lahn un séjour si cher. Mais, par bonheur, un génie
ami
a depuis longtemps pris ce soin, et l’a excité, d
re, et, s’il reste inactif, il a du regret : Je suis si heureux, mon
ami
, dit-il54, si abimé dans le sentiment de ma tranq
rte et nous soutient flottants sur une mer d’éternelles délices ; mon
ami
, quand le monde infini commence ainsi à poindre d
oir de ton âme, comme ton âme est le miroir d’un Dieu infini !… » Mon
ami
… Mais je sens que je succombe sous la puissance e
respectueux, patients, que le mariage devait couronner. Il y devint l’
ami
de Goethe, qu’il eut le mérite d’apprécier du pre
Jérusalem, occasionnée par sa malheureuse passion pour la femme d’un
ami
, l’éveilla comme d’un songe et lui fit faire avec
une longue queue et des agrafes d’or, et je monte en voiture avec mes
amis
. Arrivés au Mein, nous y trouvons mon fils qui pa
a silhouette reste là suspendue comme par le passé. Qui plus est, une
amie
qui revient de la noce lui apporte le bouquet de
e vous en avertis pour que vous ne vous en fâchiez pas. — Adieu, mes
amis
(que j’aime tant que j’ai été forcé de prêter et
richesse de mon amour à la représentation fictive du malheur de notre
ami
). Vous saurez plus tard le sens de cette parenthè
e notre ami). Vous saurez plus tard le sens de cette parenthèse. Cet
ami
, c’est Werther. En juin 1774, dans une lettre à C
nt sous ce nom : « Adieu, ma chère Lotte, je vous enverrai bientôt un
ami
qui me ressemble beaucoup, et j’espère que vous l
de répondre, d’expliquer, de se justilier, de demander un répit à ses
amis
irrités et alarmés pour qu’ils pussent juger de l
imaginez-le, après dix-huit mois de mariage, recevant de son meilleur
ami
, en cadeau, ce petit volume, où il est crayonné d
ieuses, par lesquelles on le plaignait de son accident, d’avoir eu un
ami
si entreprenant, si malheureux, et qui avait dû t
sé au fond qu’il aurait droit de l’être : « Vous voyez, écrit-il à un
ami
, que vous n’avez pas eu raison de me plaindre. C’
l n’est que bien modéré quand il s’échappe jusqu’à dire : « Un de mes
amis
m’écrivait dernièrement : Sauf le respect pour vo
« Un de mes amis m’écrivait dernièrement : Sauf le respect pour votre
ami
, il est dangereux d’avoir un auteur pour ami. Il
uf le respect pour votre ami, il est dangereux d’avoir un auteur pour
ami
. Il a bien raison. » Il est assez disposé, d’aill
as le savoir, pour qu’il soit plus circonspect dorénavant. Excellent
ami
! il était dans le vrai en pardonnant : pourtant
a senti bien vite, même à travers les premières irritations des deux
amis
, qu’ils ne lui en veulent pas mortellement, et il
ndait à ceux qui le questionnaient sur cet étrange et assez dangereux
ami
: « Vous ne vous imaginez pas comment il est. Mai
Ces joies ne furent que lointaines et telles que les peut procurer un
ami
, homme de génie, à ceux qui, séparés par les situ
l reviendra. Mais il apprendra avec plaisir que j’ai écrit à son cher
ami
, car je ne saurais vous dire combien il a toujour
’année qui suivit celle de la publication de Werther, Goethe devint l’
ami
du jeune duc de Saxe-Weimar, et bientôt son princ
a souri, et qu’il a pardonné enfin sans aucune réserve à ce glorieux
ami
dont il devient, bon gré mal gré, le compagnon da
pourtant un peu en vue de ce gros public qu’il a immolé en partie ses
amis
, ou du moins sacrifié la pudeur de l’amitié ? 3.
s beaux vers de Parme à Florence, de Florence à Rome ; il donna à ses
amis
, et surtout à Boccace, le plus cher et le plus af
honnête de tous les motifs qui peuvent déterminer les hommes) ; quels
amis
pourrais-je avoir dans un désert où le nom même d
ur maître. « Enfin, si je manque à la parole que j’avais donnée à mes
amis
, ils doivent me le pardonner : c’est l’effet de c
t un moment de ce loisir dans sa solitude par l’arrivée de son ancien
ami
politique, Rienzi, à Avignon. Rienzi, le tribun d
« Quoique j’aie encore de riches habits, écrit-il à cette date à son
ami
le prieur des Saints-Apôtres, vous me prendriez p
s par le souvenir de tout ce que j’ai aimé, de la société de tous les
amis
avec lesquels j’ai vécu et de ceux qui sont morts
de toutes les grandes âmes. Virgile et Cicéron étaient les véritables
amis
du solitaire de Vaucluse, comme l’amant, le philo
de Vaucluse, comme l’amant, le philosophe, le poète de Vaucluse est l’
ami
des hommes sensibles et supérieurs de notre temps
mon âme avec une volupté qui n’est jamais suivie de dégoût. J’ai des
amis
que je regarde comme mon bien le plus précieux, p
sputait l’honneur de lui offrir un asile. Malgré les instances de son
ami
, le cardinal de Talleyrand, il ne voulut pas même
i reprochèrent son penchant pour la cause de l’empereur. — « Vous, l’
ami
et le grand orateur de la liberté, lui écrivit le
Bohême ! » XVI Galéas Visconti, dont Pétrarque était devenu l’
ami
et le conseiller après la mort de Jean Visconti,
a route de Milan au lac de Côme. Le compte qu’il rend de sa vie à son
ami
Lélio de Vaucluse ressemble à une page des Confes
plus en plus la solitude et le silence, mais je suis causeur avec mes
amis
; mes amis partis, je redeviens muet… Dès que j’a
s la solitude et le silence, mais je suis causeur avec mes amis ; mes
amis
partis, je redeviens muet… Dès que j’ai senti les
ion nous procure… Je n’ai à déplorer que la perte de plusieurs de mes
amis
. » Puis, venant à parler de son fils Jean, qu’il
éraient pendant l’hiver la sévérité de sa solitude pendant l’été. Son
ami
Boccace venait de Florence le visiter ; Boccace n
ernelles, et il donne à mes amours un plus saint aliment. » Les deux
amis
se communiquaient leurs pensées : jamais deux gra
op vite ! Je ne puis pas me consoler d’avoir vu partir de chez moi un
ami
de ce prix ! » Boccace, de retour à Florence, e
oigné de la ville. « La maison est située de manière, écrit-il à son
ami
Socrate, à Vaucluse, qu’il est facile d’y échappe
que leur soleil baisse, leur âme semble grandir avec leur génie. Son
ami
Boccace, converti par une vision à une vie chréti
lui dit-il ; voulez-vous en savoir la raison ? C’est que de mes vieux
amis
vous êtes presque le seul qui me reste. Rendez-vo
t mieux corriger, ce me semble, que par la gaieté des propos avec ses
amis
, nous irons à Capo d’Istria, à Trieste, où l’on m
it de Pavie à Pétrarque. L’auteur du Décaméron n’avait pas trouvé son
ami
chez lui en arrivant à Pavie, mais il avait renco
se, où vous étiez alors. Des pluies continuelles, les discours de mes
amis
qui ne voulaient pas me laisser partir, ce que j’
t que je ne renonçasse à mon projet ; mais des affaires dont quelques
amis
m’avaient chargé, et surtout le désir de voir deu
dans votre lettre. Sachez que, quand même je n’aurais point trouvé d’
amis
qui m’eussent reçu chez eux, j’aurais été descend
issance amène, nous nous sommes assis dans votre jardin avec quelques
amis
qui étaient avec nous ; alors elle m’a offert vot
e. Il écrivit son testament plein de souvenirs posthumes légués à ses
amis
: à celui-ci ses chevaux, à celui-là ses tableaux
à l’autre son bréviaire, pour que ce manuel de prières rappelle à cet
ami
de prier pour lui ; cinq cents écus d’or à Boccac
ssa pas en repos. Une société de philosophes vénitiens, jusque-là ses
amis
et ses disciples, avaient puisé dans le contact d
acé en entendant celle pour laquelle j’ai tant de fois pâli me dire :
Ami
! maintenant je t’aime, maintenant je t’honore, p
de ce grand homme. « J’ai bâti, écrit-il à cette époque à un de ses
amis
, une maison petite et décente sur les collines eu
Laure, des hymnes adressés au Ciel et quelques lettres à Boccace, son
ami
, à Florence. Sa fièvre d’automne était devenue pr
a sans doute l’entretien, l’amitié et l’amour ailleurs. — « Adieu les
amis
! adieu les correspondances ici-bas ! » écrivit-i
e permettent pas de douter de son bonheur), mais pour moi et pour ses
amis
, qu’il a laissés dans ce monde comme un vaisseau
Jacobo Ortiz. Voici comment il décrit, dans une de ses lettres à son
amie
Thérésa ***, ses impressions à Arquà ; nous y avo
de gazon de son cellier de Tibur, il me semble qu’Horace a été un des
amis
de ma jeunesse, non pas précisément un de ces ami
orace a été un des amis de ma jeunesse, non pas précisément un de ces
amis
sérieux, chéris ou estimés, dont le souvenir fait
nter la religion au cœur et les larmes aux yeux ; non, mais un de ces
amis
légers, insoucieux du lendemain, amoureux de tout
passe, convives de tout festin sous le lambris ou sous le feuillage,
amis
qu’on se repent d’aimer parce qu’on ne les estime
alement dépravé dans l’art des lettres. C’est vous dire assez que les
amis
d’Horace ou de La Fontaine ne sont pas mes amis.
us dire assez que les amis d’Horace ou de La Fontaine ne sont pas mes
amis
. Horace et La Fontaine sont de charmants tableaux
e bas, rien de sordide, rien de honteux ; si enfin je suis cher à mes
amis
, c’est à mon excellent père que je le dois. Lui,
nnut Horace dans la société des jeunes Bibulus, Cicéron, Messala, ses
amis
. Il y distingua ce fils d’affranchi déjà célèbre
g. XI Le jeune Horace, son compagnon d’armes, son poète et son
ami
, après avoir bien combattu, raisonna plus juste ;
occasion, il ne fut point lâche ; il n’imita pas ses camarades et ses
amis
qui firent défection à la république en passant a
dans lesquelles les vices et les ridicules des vainqueurs ou de leurs
amis
étaient livrés à la malignité du peuple romain. O
de visage, il était paresseux et bienveillant de caractère, il était
ami
de la table et de ce que les Romains appelaient a
r les livres d’opposition que les livres dictés par les triumvirs ; l’
ami
de Mécène et d’Auguste commença donc par être le
prince ; rien en lui ne rappelait le tyran ; il ne voulait être que l’
ami
couronné de tous les Romains ; sa cour n’était qu
ampagne dans les marais de Mantoue, n’avait jamais été, comme Horace,
ami
de Brutus et tribun militaire d’une légion de Cas
ogues, le second dans son Iliade. Les délicatesses qui retenaient son
ami
Horace loin des puissants du jour lui échappaient
Mécène d’Horace et à Horace de Mécène ; il voulait rejoindre ses deux
amis
. Horace, qui avait contre Mécène les préventions
ppelez, et vous me déclarez qu’il faut que je compte au nombre de vos
amis
. Je m’en suis enorgueilli, et avec juste raison,
devinrent inséparables. Horace avait besoin d’un patron, Mécène d’un
ami
; ces deux hommes, d’autant d’esprit l’un que l’a
toine et de Lépide. Auguste était un ambitieux du repos ; Mécène, son
ami
, un voluptueux sans ambition, n’ayant pas même vo
a magnifique villa des Cascatelles ; il avait ainsi à toute heure son
ami
à sa portée ; de la terrasse de Mécène à Tibur on
; ils prouvent qu’une certaine élégance attique avait pénétré avec l’
ami
de Mécène jusque dans ces cantons reculés. Le tem
ù, en présence des dieux de mon humble foyer, je me restaure avec mes
amis
, au milieu d’heureux serviteurs auxquels je fais
er un souper de Mécène ou d’Auguste quand il retrouvait ses puissants
amis
à Rome. Sa douce et commode philosophie, qui n’ét
t les fleuves, saisis par l’âpre gelée, ont suspendu leur cours. Cher
ami
, désarme l’hiver en prodiguant le bois à ton foye
jeta une ombre sur l’âme d’Horace. Virgile vivait plus encore que son
ami
dans la familiarité d’Auguste ; après cette mort
, je n’ai eu besoin de personne pour les lettres que j’écrivais à mes
amis
; mais actuellement que je fléchis sous la multip
uvait qu’un vin ordinaire trempé d’eau. Les repas qu’il donnait à ses
amis
étaient de la plus extrême simplicité ; il les ég
c’est la délicatesse seule de votre santé qui y a mis obstacle. Notre
ami
Septimus pourra vous dire que je suis loin de vou
adressée. Avez-vous peur que la postérité ne sache que vous étiez mon
ami
? » Horace ne tarda pas à adresser à l’empereur
ec un charme toujours nouveau. « Cher Quintius, écrit-il à un de ses
amis
de Rome, pour vous dire en détail la nature et la
stomac. Telle est l’agréable et délicieuse retraite qui protège votre
ami
contre les influences malignes de septembre. » L
gne romaine. XXIV C’est là qu’Horace se prêta aux désirs de ses
amis
lettrés, les Pisons, en écrivant ces épîtres, plu
ur le poète romain, bien que Boileau fût infiniment moins poète que l’
ami
de Mécène ; mais Horace ne prétendait qu’à faire
depuis trois ans Mécène. En se sentant mourir il légua à Auguste son
ami
Horace comme la meilleure partie de ses biens ter
sagement d’une honnête opulence, À vivre avec soi-même, à servir ses
amis
, À se moquer un peu de ses sots ennemis, À sortir
amabilité, voilà le génie qui préside à la vie comme à la poésie de l’
ami
de Mécène. L’amabilité peut se définir le don d’a
is c’est là qu’elle conçut et chanta sa belle invocation au Soleil :
Ami
de la pâle indigence, Sourire éternel au malheur,
amation. Elle avait rencontré, en effet, sur sa triste route bien des
amis
qui n’avaient été ni insensibles ni inactifs ; ma
me vous chercher à domicile. Elle écrivait en mai 1826 à un excellent
ami
, M. Duthillœul, juge de paix à Douai : « … On dis
p peu d’une faveur, « qui, disait-il, n’a rien que d’honorable ». Son
amie
, Mme de Launay, informée de la nouvelle par les j
le passa plusieurs années comme sous-maîtresse et plutôt encore comme
amie
dans le pensionnat de Mme Bascans, à Chaillot. J’
t en ces années la critique littéraire. Elle écrivait à ce sujet à un
ami
: « En rentrant le soir, j’ai trouvé votre lettr
bien des jours. C’est une douceur profonde que de trouver de pareils
amis
dans le passé, et de pouvoir vivre encore avec eu
! qu’importent les noms ! ah ! qu’importent les sphères ! Âmes de nos
amis
, nous demeurons vos frères. ………………………………………………… D
ne cesse pas d’aimer ta triste sœur. » « (8 mars 1847)… Tu vois, mon
ami
, que je t’écris seulement aujourd’hui pour te dir
ois fois le privilège de l’Odéon à des hommes que Valmore croyait ses
amis
et pour lesquels il avait sollicité le ministre.
camarades et au prochain ; mais, pour ceux qu’elle aimait, elle était
amie
sûre, loyale, essentielle et positive. Ses lettre
on génie et dans sa grâce inimitable : je l’aimais profondément comme
amie
fidèle que nos infortunes n’ont jamais refroidie.
lle que je la pleure. Je suis donc une femme bien désolée, mon pauvre
ami
!… « Ondine est toujours à Chaillot, au milieu d’
t’écrire plus tôt, ne pouvant même affranchir ma lettre. Tu vois, mon
ami
, que l’attente d’une place à présent est comme un
notre famille en sort du côté de la mère de papa. Qu’en crois-tu, mon
ami
? Mon oncle n’avait-il pas, en effet, une figure
montre à nu en toute sincérité : « (8 août 1847)… Mon bon frère, ton
ami
Devrez80, qui, va partir pour nos chères Flandres
ont dédaignés, les rendre même fiers d’être nos alliés ou nos anciens
amis
, il y a encore là de quoi bénir la vie. » Aucune
e transport au cerveau, et qu’elle recommande au plus humain, au plus
ami
des médecins, à celui qui aurait sauvé, si elle a
er novembre 1826 ; elle lui écrivait, en bonne royaliste toujours, en
amie
spirituelle et sensée, mais qui n’entendait rien
on saint Marceline à recueillir les dons de la Providence. Tiens, mon
amie
, la main qui te l’a donnée est bien la main du pl
i bonne, si tendre, comment peux-tu ne pas l’aimer ? Crois-moi, chère
amie
, Charles X est digne de nous deux. Allons, va rec
u je me fâche. » Mme de Launay eût encore moins compris sa singulière
amie
si on lui avait dit que sa pensée avait été d’abo
e lettre est adressée de Lyon au docteur Veyne lui-même par un de ses
amis
, M. Claude Turpault, esprit très élevé, mathémati
as au public, dans sa prose la moins travaillée, dans une lettre à un
ami
.
ne de nos connaissances particulières, et, peu s’en faut, l’un de nos
amis
. Le comte Joseph de Maistre, né en 1754, à Chambé
es qui aspiraient à la morceler : Rien ne marche au hasard, mon cher
ami
, écrivait-il au baron de Vignet (octobre 1794), t
le ni à l’anglaise : pourtant « soyez persuadé, écrivait-il à ce même
ami
, que, pour fortifier la monarchie, il faut l’asse
lein Consulat et qui aspirait manifestement à l’Empire. Une dame, une
amie
de M. de Maistre, s’effrayait de cette installati
, M. de Maistre ne trouve jamais que de hautes et belles paroles. À l’
ami
et au confident de Louis XVIII, au marquis d’Avar
que c’est que la guerre s’il n’y a son fils », écrivait le père à un
ami
. À ce fils lui-même, à la veille de la bataille d
lier, en leur disant de revenir avec ou dessus : Cependant, mon cher
ami
, ou avec cela, ou sur cela. Dieu me préserve de v
ommes, on peut lire même pour la société civile. Allez donc, mon cher
ami
, et revenez ou emmenez-moi avec vous. Cet esprit
études. Le soir, il se fait traîner chez quelque dame ou chez quelque
ami
, cherchant un peu de cette conversation substanti
ecommande, entre autres, la délicieuse lettre à Mme Huber, sa vieille
amie
genevoise et protestante : on y sent combien, dan
ne me manquerait rien. Quand vous avez la bonté de dire avec le digne
ami
: Quels souvenirs ! quels regrets ! Prêtez l’orei
uels regrets ! Mais la lettre est à peine écrite, que cette vieille
amie
meurt, et M. de Maistre répond au comte Golowkin,
e vieille amie meurt, et M. de Maistre répond au comte Golowkin, leur
ami
commun, qui lui avait appris cette triste nouvell
et son badinage grave (quel admirable portrait !). Elle était ardente
amie
, quoique froide sur tout le reste. Je ne passerai
ans retour de tout ce qui m’est cher, j’apprends la mort de mes vieux
amis
; un jour les jeunes apprendront la mienne. Dans
efface difficilement, ou ne s’efface point du tout : le soleil et les
amis
. » L’idée de ne plus jamais quitter ce pays du No
l’homme ; mais qu’il est terrible lorsqu’il tombe sur la patrie, les
amis
et le printemps ! Les souvenirs dans certaines po
se ferme d’un côté que pour se rouvrir d’un autre : « Ma famille, mes
amis
et mes livres suffisent aux jours qui me restent,
t, et dont il ne prétend pas s’excuser : Cependant, écrivait-il à un
ami
, si j’avais le plaisir de vivre quelque temps ave
de reconnaître en moi le roi des paresseux, ennemi de toute affaire,
ami
du cabinet, de la chaise longue, et doux même jus
c’est l’intérêt que chacun met à sa passion : « Croyez-moi, mon cher
ami
, entre l’homme et Dieu il n’y a que l’orgueil. Ab
semble qu’il y ait souvent colère en elle, lors même qu’il s’agit des
amis
, écoutez et sachez bien distinguer : c’est la col
les plus sages des femmes commencent à oser. Mme de La Tour avait une
amie
intime dont on ignore le nom ; ces deux femmes, e
e plaisir. Claire surtout, plus vive, n’hésita pas à déclarer que son
amie
était Julie toute pure et dans la perfection, Jul
n à mon style : je ne suis tout au plus que sa cousine, ou plutôt son
amie
, autant que l’était Claire. » C’était l’amie de M
a cousine, ou plutôt son amie, autant que l’était Claire. » C’était l’
amie
de Mme de La Tour, qui faisait ici le rôle de Cla
rmé pour votre sexe, et même pour le mien ; car, quoiqu’en dise votre
amie
, sitôt qu’il y aura des Julie et des Claire, les
p il s’enflamme à l’idée de retrouver quelque part une image des deux
amies
inséparables qu’il a rêvées ; l’apostrophe, cette
igure favorite qui est son tic littéraire, lui échappe : « Charmantes
amies
! s’écrie-t-il, si vous êtes telles que mon cœur
e pas moins, c’est le ton, le style des lettres, tant celles des deux
amies
que les billets de Rousseau lui-même. J’y remarqu
as à le prouver. Et encore, parlant des éloges que Glaire donne à son
amie
, il dira : « Avec quel plaisir son cœur s’épanche
res, et desquelles on n’attend rien autre chose que ce charme même. L’
amie
de Mme de La Tour, la soi-disant Claire, qui avai
a soi-disant Claire, qui avait engagé la correspondance au nom de son
amie
, fut la première et la seule à y renoncer. Elle s
es étaient rudes en effet à de certains jours, surtout quand les deux
amies
exigeaient de lui des lettres, des réponses, ce q
ouvent. Un jour qu’il s’était vu trop harcelé et chicané par les deux
amies
sur la rareté et la brièveté de ses réponses, Rou
sion finale de Rousseau n’était rien moins qu’une grossière injure. L’
amie
de Mme de La Tour, Claire, se le tint pour dit :
donné trois fiers coups de poing sur la poitrine, écrivait-elle à son
amie
, du commerce que je me suis avisée de lier entre
es, plus que vous ne le croyez. » Mme de La Tour ne lit pas comme son
amie
Claire ; elle ne se découragea point. Ce n’était
rée et furieuse de recevoir si peu : « Votre laconisme me désole, mon
ami
. » Elle voudrait savoir comment on l’a trouvée da
occupation que d’écrire et recevoir des lettres, entend que tous ses
amis
ne soient occupés non plus que du même objet… Je
sonne… Et il lui fait sentir, à elle qui se croyait déjà une vieille
amie
, qu’elle n’est pour lui qu’une amie nouvelle, qui
e qui se croyait déjà une vieille amie, qu’elle n’est pour lui qu’une
amie
nouvelle, qui fait nombre avec tant d’autres, et
ublia, sans se nommer, une Lettre toute favorable au caractère de son
ami
, elle qui savait cependant si bien à quel point i
d’abord au camp de Boulogne, où il servait sous M. Petiet, son ancien
ami
, qui était, à cette date, intendant général97, et
uerre, n’avait trouvé en M. Daru qu’un visage immuable, averti par un
ami
de ce dernier, se mit tout d’un coup à lui parler
ses veilles, pour l’amitié, pour les consultations détaillées de ses
amis
les poètes d’alors, pour leurs confidences et leu
arlé et médit. Ce n’était d’abord, comme on le voit, qu’une réunion d’
amis
à peu près intimes, déjeunant tantôt chez l’un, t
lieu dans sa fortune, et cela ne l’empêcha point d’y être nommé. Ses
amis
, lui dit spirituellement Arnault qui le recevait,
trigue de Figaro. M. Daru y parlait de lui-même avec modestie, de ses
amis
hommes de lettres avec un juste sentiment de réci
e la plus pénible des corvées, celle de parler de soi… Ensuite, digne
ami
d’Horace, vous avez décomposé l’art dramatique av
ié : C’est bien lui ! Dans les années suivantes, les lettres de ses
amis
de l’Académie, ou de ceux qui n’étaient encore qu
premier agrément, M. Roger, qui, à la recommandation de ses puissants
amis
, venait d’être nommé membre du Corps législatif,
j’attende la paix pour payer mes dettes. Je laisse les lettres de mes
amis
s’accumuler pendant la guerre qui ne me permet pa
ute, mais j’en ai profité. » D’un caractère à part dans ce groupe des
amis
d’alors ; ombrageux, jaloux, très sensible à la c
ait-il à M. Daru, alors à Posen ou à Varsovie (24 décembre 1806). Nos
amis
en sont fort contents : je le suis aussi ; mais,
les preuves sous les yeux ; et chaque fois, en lisant la pièce à ses
amis
, il a le regret de sentir que l’ouvrage (il se l’
de guerre ; et en réunissant ainsi autour de lui tous les noms de ses
amis
, les littérateurs distingués de son époque, je vo
r, si je ne veux pas que Paris manque d’opéra. Ah ! mon cher et digne
ami
, qu’il y a loin de là à la comédie ! que je regre
istration de la Grande Armée et d’une partie notable de l’Europe, ses
amis
de France le choisissaient ainsi volontiers pour
us d’un trait pour sa Petite Ville, M. de Larnac, du Languedoc, vieil
ami
de M. Daru, lui écrivit un jour une lettre désesp
de tous le lui eussent volontiers déféré. En dehors de lui et de ses
amis
, et dans une certaine opposition de goût et de do
ans ces discussions animées où son actif génie se délassait. Mais les
amis
de M. Daru, ceux que j’ai montrés rassemblés auto
, moins exclusifs et d’une continuité plus modérée : entre eux et les
amis
de Fontanes, il tenait en quelque sorte la voie d
mme par le cœur, qui, morte à son tour, vient livrer, par les soins d’
amis
pieux, le parfum de son âme et de ses secrets épa
dressés en ce temps à M. Hippolyte Morvonnais, un poète breton de ses
amis
, vers élevés de douce inspiration et de ferme str
prose et vers, lettres et fragments d’art, grâce aux soins des mêmes
amis
qui se sont voués à l’honneur de son nom et à la
qui vous déplaît et vous fait tant de mal à l’âme, écrivait-elle à un
ami
de son frère… Peut-être il aurait vécu davantage,
l’éternité : « Ma plus grande consolation, dit-elle en écrivant à un
ami
de son frère, je la trouve dans sa mort pieuse, d
cet intérêt chrétien qui suit l’âme dans l’autre vie. » Et comme cet
ami
(M. Morvonnais) devait écrire quelques pages sur
Revue des deux mondes n’avait pu que se taire : « Mais vous tous, ses
amis
, qui l’avez connu, faites mieux, et écartez, s’il
ciel ! » Il est vrai qu’elle ajoutait aussitôt, s’adressant à ce même
ami
de son frère, qu’affligeait le veuvage du cœur :
e cela vous console, on a toujours cela avec son bon ange, le céleste
ami
; consolation un peu spirituelle, si vous voulez,
ris pour aller passer quelques mois à Nevers et aux environs chez une
amie
. Ici nous sommes déjà dans sa confidence ; elle é
use causerie, elle a des soupirs, des velléités d’au-delà : Marie (l’
amie
chez qui elle était) fait de la musique dans le s
que les lettres lui viennent ; elle en reçoit de son cher midi et des
amies
d’enfance : 19 mai. — Une lettre de Louise, plei
aire. Déchirante apparition du passé : berceau et tombe… Maurice, mon
ami
, qu’est-ce que le ciel, ce lieu des amis ? Jamais
erceau et tombe… Maurice, mon ami, qu’est-ce que le ciel, ce lieu des
amis
? Jamais ne me donneras-tu signe de là ? Ne t’ent
e. » Elle se reproche de chercher des consolations dans les lettres d’
amis
: Écrit à Louise comme à Marie ; il fait bon écr
t bon écrire à celle-là. Et lui, pourquoi ne pas écrire, ton frère (l’
ami
le plus intime de Maurice) ? serait-il mort aussi
ent qu’elle-même s’approche du retour vers le cher absent : Ce grand
ami
perdu, il ne me faut rien moins que Dieu pour le
es une belle place, la place qui paraisse la plus naturelle. Les deux
amis
nous promettent une édition prochaine des œuvres
observée. » Racine acceptait et rapportait ces faits favorables aux
amis
sans concevoir ni admettre l’ombre d’un doute ; i
de Celui qui peut tout et pour qui la nature n’a pas d’obstacles. Son
ami
Rollin sentait de même ; M. Vuillart également. L
où la famille a souhaité que j’accompagnasse le fils ainé de mon cher
ami
. Il ne faut pas omettre qu’il laisse 800 livres à
récit : « Ce dimanche de Quasimodo, 26 avril. — Enfin voilà mon cher
ami
M. Racine au lieu du repos qu’il a choisi. Je cro
z ordinairement. M. Renaudot y a bien mis au vrai le caractère de son
ami
: il s’est mépris seulement à la qualité de genti
: « Hélas ! Quelle perte pour nous, gens de cour, que celle d’un tel
ami
! car tout ce que nous y étions de gens qui pensi
aître107 pour d’autres études, qu’il disait un jour confidemment à un
ami
de qui je le tiens : « Je ne me soucierais pas d’
e, qui approche de sept ans. Pardonnez tout ce détail, monsieur, à un
ami
qui s’étend volontiers sur tout ce qui regarde un
sieur, à un ami qui s’étend volontiers sur tout ce qui regarde un tel
ami
, dont ces restes vivants lui sont précieux. » Te
’en était pas ainsi de Boileau, et puisqu’on ne sépare guère les deux
amis
, et que, lorsqu’on a à parler de l’un, on est con
M. Despréaux est droit d’esprit et de cœur, plein d’équité, généreux
ami
; mais la nécessité de pardonner une injure, où e
ù je le vis, et peut-être plus encore les prières de son incomparable
ami
M. Racine ; car, comme il avait le cœur fort péni
et courut aussitôt. Le bon M. Vuillart qui envoyait volontiers à son
ami
les nouveautés littéraires, fut lent pour celle-c
y eut une réponse assez flasque de La Chapelle ou de quelqu’un de ses
amis
. Ainsi finit cette petite guerre, peu digne des f
ncérité, d’amour du vrai, de haine du faux. Il est généreux et fidèle
ami
. Il aime fort l’Écriture, et surtout les Psaumes.
rticle de la mort. 107. Le grand M. Le Maître, c’est ainsi que les
amis
de Port-Royal parlaient volontiers de ce chef des
ance. — Je donne cette étymologie d’après M. Vuillart qui, on tant qu’
ami
intime de M. de Tillemont, devait savoir là-dessu
e demander pour cette année-là un petit été de grâce en faveur de son
ami
Despréaux.
s encouragements dont il prétend que madame de Maintenon fortifia son
amie
, sont des fables démenties par une lettre de mada
e roi. Ne craignez rien ; je lui parlai en chrétienne et en véritable
amie
de madame de Montespan. » Cette lettre, qui n’est
politique s’accordent avec le christianisme, et que le conseil de ses
amis
ne soit que la même chose avec celui de M. de Con
les jardins d’Armide en sont une légère description. La femme de son
ami
solide (la reine) lui fait des visites, et la fam
t 3 juillet, la conformité des principes d’honnêteté dont elle et ses
amies
étaient animées, avec tes principes religieux de
ue de Condom, madame de Maintenon, madame de Sévigné, et leurs nobles
amies
l’avaient entendu. Voici comment M. de Beaussel,
en va à Fontainebleau, c’est Madame qui le veut. Il est certain que l’
ami
de Quantova (le roi) dit à sa femme et à son curé
ès ce qu’on vient de lire, madame de Sévigné écrit à sa fille : « Les
amies
de la voyageuse (mesdames de la Fayette, de Coula
en plaisanterie. » Il eut été, en effet, de fort mauvais goût que des
amies
de madame de Maintenon consentissent à regarder l
la nouvelle à sa fille, le 11 septembre 1675. « Il est certain que l’
ami
(le roi) et Quanto (madame de Montespan) sont vér
espan) est fréquente et même jusqu’aux larmes, de voir à quel point l’
ami
s’en passe bien, Il ne pleurait que sa liberté et
i tenait plus au cœur. Il a retrouvé cette société qui lui plaît (les
amis
de madame de Montespan). Il est gai et content de
anges : je crois qu’un si heureux voyage réchauffera le cœur des deux
amies
. » 10 novembre. « Rien ne fut plus agréable que
n de tout le monde, et que le proverbe a fait son effet en elle ; mon
amie
de Lyon (madame de Coulanges) m’en paraît moins c
et cela fait faire des réflexions morales et chrétiennes à ma petite
amie
(probablement madame de Vins, belle-sœur de M. de
e (probablement madame de Vins, belle-sœur de M. de Pomponne). » Les
amies
de madame de Maintenon, persuadées de sa faveur,
ues de madame de Montespan, les empressements de la cour, ceux de ses
amis
, qui se méprennent à l’embarras que sa situation
célébrité ; c’est un legs fait à cette Bibliothèque par Du Peyrou, l’
ami
de Jean-Jacques. On avait plusieurs fois puisé à
mmandaient à aucun titre. M. Streckeisen-Moultou, petit-fils d’un des
amis
de l’illustre Genevois, et qui fait honneur à sa
iderot, par exemple. Je le trouve un peu sévère pour quelques-uns des
amis
mondains de Jean-Jacques, notamment pour Mme de B
lus ou du moins, des questions secondaires à vider entre soi et entre
amis
; le public de nos jours n’en a que faire et pren
sorte un portrait de femme, celui de la marquise de Verdelin, une des
amies
les plus fidèles et les plus effectives du pauvre
’époque, ne soit pas sortie des rangs et ne se soit pas offerte comme
amie
et comme Antigone au noble poète indigent. Les sa
il émut, il enflamma par ses seuls écrits ! Que de protectrices ou d’
amies
il intéressa et affectionna passionnément à sa de
II. Mme de Verdelin mérite d’être distinguée entre les diverses dames
amies
de Rousseau, en ce qu’elle n’était nullement bel
oulait pas. » Mme de Verdelin, avec un mari si peu aimable, avait un
ami
, un fort honnête homme, M. de Margency, pour lequ
titre et qualité gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, était un
ami
de Rousseau ; il avait été du monde de d’Holbach
premières atteintes dans le temps de la maladie et de la mort de son
ami
, le poète Desmahis, qui, dans ses derniers jours,
battre. » — Je l’ai rarement ouïe parler en bien de quelqu’un de ses
amis
absents, sans glisser quelque mot à leur charge.
. Ce qu’elle ne voyait pas en mal, elle le voyait en ridicule, et son
ami
Margencv n’était pas excepté. Ce que je trouvais
point de temps à donner à des connaissances, je n’en ai que pour mes
amis
. » À ces brusqueries et à ces boutades peu congr
it l’honneur de me dire que vous vouliez des années pour éprouver vos
amis
: il y en a si peu que j’ai celui d’être connue d
le cas de le voir peu, et presque toujours avec du monde. Enfin, son
ami
(Foncemagne) me dit qu’il devenait sublime et qu’
allait être entre les mains d’un grand faiseur. Peu de jours après, l’
ami
nous ayant laissés seuls, je vis son visage prend
es ne la remplaçassent près de lui et ne fissent oublier les premiers
amis
: « Hélas ! voilà l’absence, mon cher voisin. Vo
Hélas ! voilà l’absence, mon cher voisin. Vous trouverez partout des
amis
qui seront empressés de remplacer ceux que vous a
e retrouverai pas mon voisin. Je vous assure que je ne cherche plus d’
amis
; ceux que j’ai eus m’ont trompée : je n’ai que v
t, et surtout le procédé froid, compassé, moins que consolant, de son
ami
Margency, l’avaient amenée à un état de faiblesse
sieurs années, ne laissant pas de voir de temps en temps ce singulier
ami
de son choix, mais avec discrétion et en toute co
colère. Loin de là, il écrivait à celle qu’il appelait cette fois son
amie
: « Quatre jours avant l’arrivée de votre derniè
lle francs que vous aviez si peur qui n’arrivassent jamais assez tôt.
Amie
unique, je n’aurai pas assez de tout mon cœur et
ance) ; quant à présent, rien ne presse. Il est donc sûr que j’ai une
amie
au monde ; toutes mes afflictions ne sont plus ri
ui afflige mon âme, et cela pour ne pas faire usage des offres de vos
amis
. Vous avez une trop douce délicatesse ; c’est ôte
amitié la plus grande jouissance. Rendre et recevoir des soins de ses
amis
, voilà le seul plaisir que je me sois réservé. »
ses ennuis ; et après avoir parlé d’un service qu’il put rendre à un
ami
, en contribuant par le canal de Milord Maréchal à
la vérité, n’est pas fait pour vivre à Berlin. Je connais une femme,
amie
intime de M. de Maupertuis, qui me disait que le
intérêt : la confiance entière n’existe plus ; cette aimable et douce
amie
est enveloppée par lui dans le sombre voile qui l
l et que j’ai légèrement retouchés. 69. Jean-Jacques Rousseau. Ses
amis
et ses ennemis. — Correspondance de Diderot, Ducl
sé ; c’est dans une lettre à lui adressée qu’elle disait : « Oh ! mon
ami
, que vous m’avez rendue difficile ! Je l’éprouve
vant ; « J’oubliais de vous dire que, par le conseil de notre aimable
amie
(Mme de Verdelin), j’allai voir, il y a deux mois
aire l’étude du sage, et cette bienveillance inaltérable que tous les
amis
promettent et qu’on ne trouve dans aucun. Votre a
is heureux… » — Et le 30 octobre : « Je vois chaque jour mieux quelle
amie
m’est restée en vous, et j’oublie presque toutes
i avait beaucoup fréquenté cette aimable femme. Il est possible que l’
amie
de Rousseau repose aux bords de la Charente. » —
ent et s’enchaînent avec contraste : on ne s’attendait guère à voir l’
amie
de Jean-Jacques et sa voisine de Montmorency émue
ur les Aveugles tout ce qu’il voudra ; elle ne vous a pas déplu ; mes
amis
la trouvent bonne : cela me suffit. Le sentiment
eur d’être, etc. VII. À la Condamine9. 16 décembre 1752. Notre
ami
M. d’Alembert me renvoie à vous, monsieur, pour a
pourquoi attendez-vous à la dernière extrémité pour les appeler ? Vos
amis
ont assez d’honnêteté et de délicatesse pour vous
s à me faire, je serai peu touché des vôtres. Le point important, mon
ami
, c’est que l’injustice ne soit pas de mon côté. J
nc à D… ce qu’on ne refuse à personne, et vous marquez toujours à vos
amis
de la défiance ; eh mordieu ! allez droit votre c
ettre. Adieu, portez-vous bien, et tenez-vous-en sur le compte de vos
amis
au témoignage de votre conscience. Ce n’est pas e
’ai à vous proposer, cependant vous la refusez et m’en remerciez. Mon
ami
, je ne vous ai jamais rien proposé qui ne fut hon
re réponse, vous ne reprocherez point au ciel de vous avoir donné des
amis
. Que le ciel vous pardonne leur inutilité ! Je su
et qui n’a point de devoir dont il soit esclave ! Scipion avait pour
amis
tout ce qu’il y avait de grands dans la républiqu
s suivrait, et l’intérêt qu’ils prennent à Mme Levasseur ; vivez, mon
ami
, vivez et ne craignez pas qu’elle meure de faim.
un procédé qui m’aurait affligé et dont vous auriez eu à rougir. Mon
ami
, croyez-moi, n’enfermez point avec vous l’injusti
ntendre qu’en vous le reportant je vous exposerais à maltraiter votre
ami
. Oh ! Rousseau, vous devenez méchant, injuste, cr
y va à Genève et je n’entends point dire que vous l’accompagniez. Mon
ami
, content de Mme d’Épinay, il faut partir avec ell
lle aura besoin d’amusements et de distractions. L’hiver ! voyez, mon
ami
, l’objection de votre santé peut être beaucoup pl
iger jusqu’à un certain point celui des autres hommes ? Au reste, mon
ami
, c’est pour m’acquitter avec vous et avec moi que
Au même. [Automne 1757]. Il est certain qu’il ne vous reste plus d’
amis
que moi ; mais il est certain que je vous reste.
is dont mon cœur ne peut se détacher. Une bonne fois pour toutes, mon
ami
, que je vous parle à cœur ouvert. Vous avez suppo
vous parle à cœur ouvert. Vous avez supposé un complot entre tous vos
amis
pour vous envoyer à Genève, et la supposition est
’ai rien entendu des autres que je ne susse comme eux. Pour Dieu, mon
ami
, permettez à votre cœur de conduire votre tête et
rler de vos affaires que quand vous me consulteriez ? Mais tenez, mon
ami
, je m’ennuie déjà de toutes ces tracasseries ; j’
e assez, qu’est-ce que cela signifierait ? Rien. Ne suis-je pas votre
ami
, n’ai-je pas le droit de vous dire tout ce qui me
irai qu’il est honnête de faire, ce n’est pas mon devoir ? Adieu, mon
ami
, je vous ai aimé il y a longtemps, je vous aime t
ent l’honnêteté et une sorte d’intérêt qui reste au fond du cœur d’un
ami
qui lui est dévoué depuis longtemps, l’énormité d
nt froid qui m’a affligé. J’ai peur qu’il ne soit endurci. Adieu, mon
ami
; soyons et continuons d’être honnêtes gens : l’é
ens : l’état de ceux qui ont cessé de l’être me fait peur. Adieu, mon
ami
; je vous embrasse bien tendrement… Je me jette d
avais à côté de moi un damné : il est damné, cela est sûr. Adieu, mon
ami
… Grimm, voilà l’effet que je ferais sur vous, si
ais éprouvé un trouble d’âme si terrible que celui que j’ai. Oh ! mon
ami
, quel spectacle que celui d’un homme méchant et b
ndait ses cris jusqu’au bout du jardin ; et je le voyais ! Adieu, mon
ami
, j’irai demain vous voir ; j’irai chercher un hom
fondes à côté de lui.… Il sera souvent le tourment de ma pensée ; nos
amis
communs ont jugé entre lui et moi ; je les ai tou
e aucun. C’est une action atroce que d’accuser publiquement un ancien
ami
, même lorsqu’il est coupable ; mais quel nom donn
u’il est coupable ; mais quel nom donner à l’action s’il arrive que l’
ami
soit innocent ? Et quel nom lui donner encore si
tends au dernier moment22. XIX À Grimm, à Genève. Eh bien ! mon
ami
, êtes-vous arrivé, êtes-vous un peu remis de votr
de faire contre-signer cet énorme paquet. Tandis que vous alliez, nos
amis
nous supposaient tous deux à la campagne ; ils n’
Croismare. Chacun bavarda à sa guise sur cet événement. Bonjour, mon
ami
: bonjour, jouissez de votre voyage, écrivez-moi
ce qu’il entendra de moi ; car je suis fait pour dire la vérité à mes
amis
, et quelquefois aux indifférents ; ce qui est plu
rviteur à l’Encyclopédie. J’aurai perdu quinze ans de mon temps : mon
ami
d’Alembert aura jeté par la fenêtre une quarantai
mille de Goldoni avait été faite par M. Deleyre et celle du Véritable
Ami
par M. de Forbonnais, la connaissance que j’ai eu
XXV. À Voltaire. Le 28 novembre 1760. Monsieur et cher maître, l’
ami
Thiriot aurait bien mieux fait de vous entretenir
housiasme qui nous saisit ici, à l’hôtel de Clermont-Tonnerre, lui, l’
ami
Damilaville et moi, et des transports d’admiratio
andis qu’on me joue pour la troisième fois, je suis à la table de mon
ami
Damilaville et je vous écris sous sa dictée que s
phie fait plus de gens de bien que la grâce suffisante ou efficace. L’
ami
Damilaville vous dira que ma porte et ma bourse s
nisme ? Adieu, grand frère, portez-vous bien, conservez-vous pour vos
amis
, pour la philosophie, pour les lettres, pour l’ho
e rapidité et quel nombre ! Adieu, encore une fois. M. Thiriot, votre
ami
et le nôtre, vous aura dit combien je vous suis a
était réservé à eux seuls de faire le bien, souffrent de vous voir l’
ami
des hommes, le père des orphelins, et le défenseu
blime, honnête et cher Anté-christ. XXIX. À Naigeon. Voici, mon
ami
, ce qu’un Genevois qui aurait de l’esprit et de l
autres innocents, justes, honnêtes, sans y réfléchir. Tout cela, mon
ami
, un peu mieux arrangé, embarrasserait un peu l’am
ir. Tout cela, mon ami, un peu mieux arrangé, embarrasserait un peu l’
ami
Jean-Jacques ; surtout si l’on ajoutait : Si vous
r. Ceci rendrait l’apologie plus difficile encore, et l’embarras de l’
ami
Jean-Jacques plus grand. XXX. À le Breton.
pour mon ouvrage, et que c’est presque le vôtre que vous leur donnez.
Amis
, ennemis, associés élèveront leur voix contre vou
à aller dîner chez M. le baron d’Holbach, avec la société de tous ses
amis
et les miens. Ils auraient vu mon désespoir (le t
l vous en dira. XXXI. À d’Alembert36. [1765.] Grand merci, mon
ami
. Je vous avais déjà lu et vous m’avez fait grand
t ce qui me convient beaucoup, j’ai l’obligation de mon bonheur à mon
ami
et à une souveraine qui a tout fait pour vous app
rtez-vous mieux. XXXII. À Suard38. [1765.] Je ne suis, mon cher
ami
, ni ingrat, ni paresseux, ni négligent ; mais je
oupable. XXXIII. À Grimm39. 3 décembre 1765. Si je savais, mon
ami
, où trouver Sedaine, j’y courrais pour lui lire v
. Comment, mordieu ! vous connaissez des gens comme cela ? » Oui, mon
ami
, oui, voilà le vrai goût, voilà la vérité domesti
iez à côté de moi ! XXXIV. À Damilaville40. 1766. Je viens, mon
ami
, de recevoir votre dissertation sur les moines, o
t au-delà duquel l’obscurité semble renaître. J’en appelle à tous mes
amis
, à vous-même ; je ne suis aucunement tyran des op
dans un autre temps et dans d’autres circonstances. Si j’ai dit à nos
amis
que vous m’écriviez de la déraison, ce n’est pas
x qui nous écoutent y mettent encore moins d’importance que nous. Mon
ami
, je pense que l’Amour est un maître sauvage et cr
traduites en d’autres termes pour devenir d’un ridicule comique. Mon
ami
, lisez Térence, Plaute, Molière, Regnard et les a
ésintéressement singulier de l’artiste ont tout fait. Je perds un bon
ami
que le prince de Galitzin m’enlève ; et l’honneur
qu’il a plantés, le jardin qu’il cultivait lui-même de ses mains, des
amis
qui lui sont chers ; il renonce à la méditation,
tous ces détails que pour supplier Votre Excellence d’épargner à mon
ami
toutes sortes de regrets, de lui accorder votre p
et les assurances que je lui ai faites. Vous avez à remplir avec mon
ami
toutes les promesses que je lui ai faites. Le duc
t rien à personne. Je supplie Votre Excellence déjuger à ce trait mon
ami
. Le traité ne porte donc que deux cent mille fran
Votre Excellence me permette de lui représenter que le travail de mon
ami
lui rend environ dix mille francs à Paris, et qu’
ent que vous sachiez que les ouvriers qui accompagnent ou suivent mon
ami
ont, la plupart, femme et enfants qu’ils laissent
les mœurs, les usages du pays, on peut attendre du bon esprit de mon
ami
qu’il se prêtera à toutes les rectifications qui
ée en âge ; et qu’il est difficile de l’arracher à ses parents, à ses
amis
et à son petit foyer. C’est que je suis père d’un
’une jeune fille à qui je dois l’éducation ; c’est que j’ai aussi des
amis
. Il faut donc les laisser, ces consolateurs toujo
yez qui m’avez écrit la lettre pleine d’intérêt et d’estime que notre
ami
commun m’a remise, je sens toute la reconnaissanc
l’asile qu’ils auront choisi, fût-ce au bout du monde, j’irai. Notre
ami
m’a fait lire un ouvrage nouveau46. Je tremble po
mourir comme lui pour mériter de lui être comparé. Illustre et tendre
ami
de l’humanité, je vous salue et vous embrasse. Il
s de l’État, à la Bastille ou à Bicêtre, et la fantaisie de mon jeune
ami
serait de mériter cette faveur et de ne pas l’obt
je serais bien fâché que vous ne me comptassiez pas au nombre de vos
amis
. XXXIX. À l’Académie impériale des beaux-arts
rais d’en appeler sur ce point même au témoignage de M. Falconet, mon
ami
; il serait heureux pour moi messieurs, que vous
i me remplit expirent sur les bords de ma lèvre. Monsieur, prenez mon
ami
Falconet par la main ; conduisez-le au pied du tr
nos habiles gens ; ce sont tous nos honnêtes gens ; ce sont tous mes
amis
. Depuis que la nouvelle des bienfaits récents de
tions du voyage de Falconet, Ah ! vous me promettez le bonheur de mon
ami
, de Falconet ; monsieur, après m’être jeté aux pi
mmeil. Je n’ai point douté, monsieur, que vous ne reconnussiez en mon
ami
les lumières, l’honnêteté, le talent et les mœurs
dront en tout temps et partout votre mémoire chère et précieuse à vos
amis
et la justice qui vous a été rendue d’une manière
où votre amabilité et vos manières affables vous avaient gagné tant d’
amis
; et nonobstant tous les divertissements que nous
iter à cette occasion et à joindre mes compliments à ceux de tous les
amis
de l’humanité, qui certainement ne voulut jamais
eur d’être, etc. XLII. À Suard (?)54. Cela m’est bien doux, mon
ami
, de me donner du temps pour le morceau et de ne m
ère était forgeron, mon père l’était aussi. Ces deux ouvriers étaient
amis
intimes. La fortune de mon père était dix fois au
prier de donner au porteur un bel exemplaire de Perse : c’est pour un
ami
, souscripteur de Térence. Je vous remercie de l’e
s la liberté de nous adresser à des commerçants de province ; que nos
amis
, qui sont au loin, n’auront pas celle de s’adress
uisse deviner pourquoi. J’ai fait ce que j’ai pu pour en pourvoir mes
amis
, sans y réussir. J’avais un exemplaire de présent
e une bonne lettre qu’il enverrait à celui qu’il appelait à Paris son
ami
. Il y aurait dans ce sacrifice moins à perdre qu’
qui ne doit s’attendre ni à l’indulgence du public, ni à celle de ses
amis
; et c’est ce que je me ferais un devoir de lui d
Tâchez d’entendre ce petit logogriphe. Je vous avais écrit hier, mon
ami
; j’allai porter ma lettre à votre porte, où elle
tre à aller à toutes jambes vers l’un, et comme ils y vont ! Et notre
amie
, à ce mot : « Mais il a des désirs… — Des désirs…
a satisfaction qui perce par tous les points du visage… et puis votre
ami
qui en fait la remarque et qui le dit. Si tout ce
sacrifierez à des égards, à des bienséances et cætera. Je crois, mon
ami
, que vous n’en ferez rien. Je vous conjure de vou
ge. LIII. Au même. Au Grandval, 21 octobre 1770. Vous êtes, mon
ami
, très-fin, très-délié, mais pour cette fois je cr
’écrire et par conséquent s’engager à répondre, etc. Oh ! ma foi, mon
ami
, si l’on a bien résolu de refuser à cet homme-là
le fond de son cœur ? et cette femme-là garde quelque mesure avec son
ami
? Convenez, mon ami, que je suis au moins traité
? et cette femme-là garde quelque mesure avec son ami ? Convenez, mon
ami
, que je suis au moins traité très-légèrement, con
si ? N’est-elle pas à présent maîtresse des événements ? Bonjour, mon
ami
, bientôt je n’aimerai vraiment que vous, et je n’
ous, et se conduire après cela à sa fantaisie ? On le fait périr, mon
ami
, à coups d’épingle ; la vie se passe en bouderies
ne souffre point, je ne souffrirai pas, et tout sera bien. Mais, mon
ami
, je sais bien ce qu’elle prétend ; reste à savoir
e, lorsqu’on en a fait presque des feux de joie ? Je crains bien, mon
ami
, que je ne sois tenté de rester où je fais le bie
importe peut-être que je reste. Tâchez de faire entendre cela à notre
amie
. Je voudrais que ce foutu musicien de Bâle fût au
d’ici. Qu’avez-vous donc mis dans ces lettres, direz-vous ? Rien, mon
ami
, que de la raison, de l’honnêteté et de la tendre
l ne tiendra qu’à elle que l’autre le soit incessamment. Bonsoir, mon
ami
. LV. Au même. Au Grandval, 10 novembre 1770.
LV. Au même. Au Grandval, 10 novembre 1770. Il faut pourtant, mon
ami
, que je cause encore une fois avec vous avant de
nurge, je vous donnerais la lettre que je lui ai préparée. Enfin, mon
ami
, il est rare que je sois tout à fait content de l
distractions que vous causent mes affaires de cœur. Je vous jure, mon
ami
, que jusqu’à présent le tour tout au moins équivo
vais pas, moi, par quatre chemins ; lorsqu’il s’agira de chasser mon
ami
ou un indifférent, je ne serai jamais embarrassé
plomb, et où les nôtres sont légères comme des plumes. Et puis, « mes
amis
, restez-moi ; vous suffisez au bonheur de ma vie
au scrupule qu’il n’est qu’un sot », et ainsi du reste. Bonsoir, mon
ami
, aimez-moi bien, vous ; car c’est sur cette infid
. Si quelqu’un nous a trompés, il n’y a plus de fonds à faire sur les
amis
; si quelqu’un a joué à notre égard un rôle de fa
rpe n’a pas et n’aura jamais. Je n’effacerai point votre éloge, bonne
amie
, parce que j’aime à louer ; mais je me garderai b
elque chose de grand, et c’est la montagne en travail. Pour Dieu, mon
amie
, abandonnez-moi les poëtes et les orateurs : c’es
e goût, M. de La Harpe et lui seraient sur la même ligne. Eh oui, mon
ami
, tout ce que tu dis du Télémaque est vrai ; mais
ans ; me voilà loin de ma femme, de ma fille, de mes parents, de mes
amis
et connaissances ; tout cela pour rendre hommage
, noir ou blanc peu importe, un pot d’eau claire, quelques livres, un
ami
, et de temps en temps les charmes d’un petit entr
me donneront fort à faire pour m’accommodera leurs folies ; vers des
amis
qui, dix contre un, m’imposeront un mois de peine
porte. C’est d’un de ses ancêtres que Henri IV, son souverain et son
ami
, disait : « Voilà l’homme le plus brave de tout m
licé. LXII. À madame Diderot78. La Haye, ce 9 avril 1774. Chère
amie
, je suis arrivé à La Haye le 5 de ce mois, après
autres raisons qui te viendront sans que je te les dise. Ainsi, bonne
amie
, prépare-toi incessamment à déménager. Je t’avert
par quelque autre accident. » Elle me répondit à cet article : « Mon
ami
(ce sont ses mots), comptez sur moi, vous me trou
que j’ai donné. — Quoi ! madame, vous avez de ces scrupules-là entre
amis
? » Elle sourit. Tiens, ma femme, j’ai peine à te
édé. LXIII. À M. M***, à Paris79. La Haye, ce 9 avril 1774. Mon
ami
, après avoir fait quinze cents lieues et la moiti
s une de nos promenades. Je vous parle dans l’exacte vérité. Ah ! mon
ami
, le beau voyage que j’ai fait ! la grande, l’extr
reconnaissance, toujours un peu suspecte d’exagération. Écoutez, mon
ami
: voici en quatre mots l’histoire de mon voyage.
que les courriers n’en emploient dans la belle saison. Cependant, mon
ami
, nous avons laissé en chemin quatre voitures frac
t qui s’est dissipée presque aussi promptement qu’elle est venue. Mon
ami
, c’est ici le pays des grands phénomènes, tant au
prolongation de mon exil ; je laisse crier ma femme, mes enfants, mes
amis
et mes connaissances et je m’occupe sans cesse de
a que plus facile ; M. de Sartine n’est pas mon protecteur, c’est mon
ami
de trente-cinq ans ; il m’a écrit deux fois penda
ions comme eux. M. de Sartine, je ne dis pas mon protecteur, mais mon
ami
de trente ans, remplace M. de La Vrillière ; juge
les autres grands malfaiteurs de ce monde. Mais cet ingrat, constant
ami
de l’humanité, a quelquefois secouru le malheureu
ugie, et ma femme pour monter et descendre d’un quatrième étage ; mes
amis
ont pour moi et j’ai pour eux une tendresse que t
t de Socrate qui disait que l’avare était celui qui craint d’avoir un
ami
pauvre. Bonjour, monsieur le chevalier ; je vous
ure, les grandes leçons de la vie et les pratiquer à côté d’une bonne
amie
. Je vais faire ce que vous feriez à ma place. On
tes tantôt frivoles, tantôt fausses et méchantes, et qui exercent nos
amis
à la sensibilité qui conduit toujours à la bienfa
e bonne conscience. LXXXII. À Damilaville106. Je vous prie, mon
ami
, de recevoir de ma part la personne qui vous reme
qui sera en mon pouvoir pour le servir ; il suffit qu’il soit de vos
amis
. Notre quatrième volume d’Encyclopédie est tout p
de réussir ; quand on a réussi, s’en réjouir et boire frais avec ses
amis
. Secondement, en cas de non succès, se signer, en
la première fois, ainsi que les deux autres, dans J.-J. Rousseau, ses
amis
et ses ennemis, correspondance publiée par MM. St
jointes par Grimm aux traductions du Père de Famille et du Véritable
Ami
, de Goldoni, faites par Deleyre pour disculper Di
ur Pâques. Les dessins en sont déjà tous faits par M. Gravelot, votre
ami
et le mien, qui pense, ainsi que M. Diderot, que
que Diderot insiste plus bas sur ce point, en l’appelant « mon jeune
ami
». » (G. C.) 50. George Colman, célèbre auteur d
ec de très-légères variantes et cette note : « Diderot pria un de ses
amis
d’exprimer sa reconnaissance pour l’achat de sa b
. V. le Voyage à Bourbonne. 67. Mme de Prunevaux. 68. Dans les Deux
Amis
de Bourbonne. Voir t. V, p. 263. 69. Galiani. 7
est le résultat d’un libre échange contracté entre elle et une de ses
amies
, qui s’est condamnée à la Titus, à la condition q
eaux bossués, ses vieux souliers et ses vieux Arthurs. Dernièrement l’
amie
vint voir Mademoiselle X…, et la supplia de lui a
de ses parents détenu pour dettes. Il s’informait, auprès d’un de ses
amis
, du plus court chemin qu’il fallait prendre pour
ant reçu dans tous les salons. — De cent couverts… répondit un de ses
amis
. *** M. X… fut appelé dernièrement par le direct
e des renseignements sur son galant départemental, et s’adressa à une
amie
. — Tu peux y aller, répondit celle-ci, M*** est
a terminé une composition, il va la soumettre à un journaliste de ses
amis
pour prendre son avis. Dimanche dernier, il lui a
ps, la discorde est dans le ménage. — Un divorce est à l’horizon. Une
amie
de madame de G… lui demandait des nouvelles de se
ché, le roule en gracieuse arabesque sur le bord de son assiette. Ses
amis
le considèrent avec stupeur. Tout à coup… . L. L…
es sortes de parties, il est toujours blessé— légèrement. — Un de ses
amis
vint lui rendre visite. — On m’a raconté que tu
comme un des bons morceaux de son rédacteur. *** Un matin, un de ses
amis
qui se rendait à son bureau, rencontre P… planté
avait surnommés, à cause de leur agilité, les écureuils limousins. L’
ami
, pressé, échange un bonjour et continue sa route.
t, ils se dispersent en hurlant. Dernièrement, M… attendait un de ses
amis
pour chasser. L’ami vint au rendez-vous. — On déj
en hurlant. Dernièrement, M… attendait un de ses amis pour chasser. L’
ami
vint au rendez-vous. — On déjeûne copieusement ;
ous. — On déjeûne copieusement ; M… laisse un moment, au dessert, son
ami
seul avec les chiens qui léchaient les plats. — L
au dessert, son ami seul avec les chiens qui léchaient les plats. — L’
ami
, qui avait des raisons pour désirer une seconde d
nutes après, M… rentrait dans la salle avec sa femme, et trouvant son
ami
tout seul au coin de la cheminée : — Où sont don
hiens ? demande-t-il. — Je ne sais pas ce qui leur a pris, répondit l’
ami
, qui saluait la dame de la maison. — Et il racont
ne veut jamais faire comme tout le monde. *** M. Michel Carré et son
ami
Jules Barbier ont entrepris avec succès le rajeun
e ils semblent s’attacher exclusivement, il est résulté pour les deux
amis
et collaborateurs, une singulière habitude. À for
s de lui chez son portier, c’est en ces termes qu’il s’exprime : Mon
ami
Michel Carré Est-il dehors ou rentré ? Vous, que
res franchises de tout impôt de ce genre, voulait y emmener un de ses
amis
. — Ma foi, non, répondit celui-ci, je ne vais pa
mais double fat et totalité d’imbécile, un individu, qui n’a sur ses
amis
que la supériorité de pouvoir faire à lui seul au
périorité de pouvoir faire à lui seul autant de sottises que tous ses
amis
réunis, le jeune L… couronne, dit-on, l’œuvre de
Stéphanie qui a du monde à dîner. — Je me vengerai. — C’est ça, dit l’
ami
, la première fois que ce sera ton jour d’avoir St
même d’entendre le bien qu’on dit de lui, ou le mal qu’on dit de ses
amis
. — Dans un repas de chasseurs, où il se trouvait,
r. — M… qui n’entendait pas, continuait à causer avec son voisin. Son
ami
, impatienté, prend un fusil et le décharge par la
. — Qu’y a-t-il ? fit M… en se retournant. — C’est moi, répondit son
ami
, qui te demande si tu veux du pâté de foie gras.
*** Une célèbre crinoline, revenant de Mabille, rencontre une de ses
amies
. — Eh bien ! lui demande celle-ci, es-tu content
é sa tenue négligée, il n’essaye pas moins de faire croire à tous ses
amis
qu’il fréquente la plus haute société parisienne
e et qu’il y est admis libre de toute étiquette… Ces jours passés, un
ami
de T… le rencontre, comme celui-ci mirait avec sa
allait comme un gant, — à un manchot. — Comme te voilà beau ! dit l’
ami
. Et, flattant la manie de T…, il ajoute : — Tu es
rsonnalité, entre autres la servante-modèle de M. Dumas fils, que les
amis
de celui-ci ont surnommée le verrou. Plus d’une f
sa carte dans les bureaux du journal qui l’avait publiée. *** Un des
amis
de Lafontaine fit un jour à Adolphe la politesse
dit-il, je crois qu’il est question de vous. Quelques jours après, l’
ami
, étant revenu, lui demande ce qu’il pense de l’ou
de ne point l’épouser à la fin de la journée. Dernièrement, un de nos
amis
, qui se promenait aux Tuileries, s’aperçut qu’une
’une dame âgée, venait de laisser tomber son gant derrière eux. Notre
ami
s’empresse de le ramasser et le remet galamment à
nt chargé de ses intérêts. — Le futur souhaitait que ce fût un de ses
amis
nouvellement pourvu d’une charge et auquel il ava
e. Au milieu de la discussion qui commençait à s’échauffer survint un
ami
commun des deux conjoints : — Bonjour, mes enfan
e la lune de miel n’avait eu qu’un quartier, — rencontrant une de ses
amies
, déposait dans son sein le bilan de ses illusions
puis pas sortir quand je veux. — Ton mari est donc jaloux ? demanda l’
amie
. — Oh ! ma chère, répondit la jeune épouse, — il
ces, M. M…, avec lequel il avait été très-lié autrefois. — Eh ! cher
ami
, que je suis content de vous voir, — vous allez m
’on me dit là-bas que vous avez fait une grosse fortune ? — Eh ! cher
ami
, répondit modestement M. M…, il faut bien faire q
affaires, et demanda au préfet de la Seine, qui était alors un de ses
amis
, l’autorisation de rassembler ses créanciers dans
qui a toujours eu le goût de la représentation, invitait souvent des
amis
à dîner chez lui. On était, au reste, fastueuseme
yant à sa table cinq personnes convoquées pour manger du gibier qu’un
ami
lui avait expédié, s’aperçoit que les trois grive
abondamment l’unique plat du repas. — Tu avais raison, dit-il à son
ami
, — ça manquait de poivre rouge. *** Un monsieur,
de gêne, de vous traiter avec la plus grande rigueur. *** Un de nos
amis
se trouvait pas hasard à dîner chez un monsieur d
on se mit à dire un peu de mal du prochain et de la prochaine. Notre
ami
, invité à faire sa partie, raconta une mésaventur
la contrariété. — Aurais-je déplu à notre amphitryon ? demanda notre
ami
à un de ses voisins. — Vous avez, lui répondit ce
vée, M. Meyerbeer s’approche du pompier sympathique. — Eh bien ! mon
ami
, il paraît que ce petit ouvrage vous amuse ? — Am
de son admirateur et lui dit tout bas à l’oreille : — Eh bien ! mon
ami
, puisque vous êtes content, je puis, si vous le d
aution. — Puisque tu étais avec ton mari, lui dit tout bas une de ses
amies
, c’était inutile. *** Le docteur A…, allant fair
* M*** possède une singulière spécialité de jettatore. Au dire de ses
amis
, il est de mauvais augure de le rencontrer quand
s, exact comme un billet de l’échéance, ou comme les compliments d’un
ami
, le lendemain d’un four. — On s’attache au soin d
n vers osanores. *** Un ancien député des chambres de Louis-Philippe,
ami
du père Saint-Alme, lui disait un jour en faisant
uelques anecdotes un peu vives publiées par le Corsaire : — Mon cher
ami
, votre journal est bien amusant, malheureusement
ntation de cette jolie chose ? Je mourrais de dépit si j’étais de vos
amis
le seul à l’ignorer. — Trop bon ! cher… cela ne
à l’heure, un de ces messieurs m’annonçait le prochain mariage de son
ami
le vicomte de S…, dont la fortune est très-obérée
uit, ces lumières… — Madame est seule ? — Oh ! non…, j’ai une de mes
amies
avec moi ; nous sommes venues ici malgré nous, bi
nous n’avons plus trouvé notre clef. C’était la femme de chambre de l’
amie
chez qui je demeure qui l’avait emportée avec ell
i je demeure qui l’avait emportée avec elle au bal de l’Opéra, où mon
amie
lui avait permis d’aller… — C’est bien contraria
plaisir… mais… je ne suis pas seule. Et tenez, voici précisément mon
amie
qui vient me chercher. Arrive, en effet, un seco
on… — Parlez, ange ! — Eh bien ! je vais quelquefois chez une de mes
amies
… madame Camille… — Camille, tiens ! — Rue des Tr
roder une bourse pour votre fête, pour que vous exposiez votre pauvre
amie
qui vous a tout sacrifié, comme Marguerite Gauthi
— Vous dites donc que cette petite Rosine… le beau-père. — Ah ! mon
ami
, délicieuse… Des pieds… des mains… des yeux… un v
inquiétantes pour son amour. En parlant de sa maîtresse, un officieux
ami
viendra lui dire : Toi, qui connais madame une te
ne. Ces Turcs sont volages, mais on les dit si aimables ! — Un de nos
amis
, entré dans la salle, à minuit, sans avoir eu la
et promesse en échange d’un verre d’eau sucrée à la glace. Une de ses
amies
, témoin de ce miracle, l’a appelé la fonte des ne
’amphithéâtre, sans pouvoir trouver un pauvre petit coin. — Un de ses
amis
, témoin de son embarras, lui proposa une place da
s Mlle X… et moi nous ne nous voyons plus… — Ah ! pardon, répliqua l’
ami
en se remémorant ; c’est vrai… j’avais oublié… El
…, qui avait vidé non-seulement ses poches, mais encore celles de ses
amis
par les emprunts qu’il leur avait faits, vit arri
je lâche votre chapeau. Le lendemain, en racontant l’aventure à ses
amies
, l’actrice terminait ainsi : — Le lâche ! — Croi
M*** avait la plus grande confiance dans la danseuse, et, si quelques
amis
sceptiques lui donnaient plaisamment à entendre q
’a pas de défense, accepte la transaction. — Comment ! lui disait un
ami
, tu vas t’embarrasser de cette grande B… ? — Ell
il devait être fils d’un lézard et d’une ligne horizontale. Un de ses
amis
, qui arrive de faire le tour du monde, — unissant
s’écria C… — Toi si paresseux, tu ferais ce long voyage ? — Eh ! mon
ami
, sans doute, puisque ce serait pour aller dans un
lques jours au lit. — Comme elle entrait en convalescence, une de ses
amies
vint la voir et s’informa de sa santé. — Oh ! je
— Sans doute, fit B. — Certainement, ajouta madame D… — Eh bien, mes
amis
, soyez heureux… Vos vœux sont exaucés ; il n’y au
intéressant. — Un jour, le grand romancier invita une douzaine de ses
amis
à venir dîner dans cette fameuse maison des Jardi
Comme tout le monde se récriait sur l’inutilité de ces excuses entre
amis
et entre artistes, on se mit à table, et pendant
mais chez lui ! Au milieu de cette improvisation plaisante, un de ses
amis
s’était échappé, fouillant tous les coins et reco
t des nouvelles chaque fois qu’il rencontrait son confrère. Quand son
ami
vint lui annoncer la découverte qu’il venait de f
pendant longtemps il entretint toute la ville de ce beau trait de ses
amis
. *** M…, littérateur très-sérieux et qui réunissa
vait jamais revu le ministre, avait un service à lui demander pour un
ami
. Il pensa qu’il n’y aurait pas d’indiscrétion à s
n mot, elle prend une voiture et court au galop le répéter à tous ses
amis
et connaissances, ou l’affiche sur la glace dans
issances, ou l’affiche sur la glace dans les foyers de théâtres ; des
amis
complaisants le tirent à autant d’éditions que l’
ois ou quand ils ne produisent pas d’effet, elle en fait cadeau à ses
amies
. — Une personne qui n’avait pas l’honneur de conn
’est un drame, il dira que l’ouvrage manque de gaîté. S’il a amené un
ami
avec lui, il en fait un compère qui lui donnera l
arger de ses corvées. — Cependant, il ne peut refuser ce service à un
ami
avec qui il est à tu et à toi. — D’abord, il prof
ent par ces mots : « Cédant aux nombreuses sollicitations de quelques
amis
d’un goût sûr et approuvé, l’auteur de ce volume
ain, il arrive avec son article dans la main, et il court avertir ses
amis
et connaissances qu’il va écrire dans tel on tel
donc ce particulier que *** bourre comme ça ? — ce ne peut être qu’un
ami
intime ou un domestique. Quand il aura franchi ce
colonnes des Petites-Affiches. Il embrasse l’auteur, il l’appelle son
ami
, — son sauveur. — Il s’arrache les cheveux de dés
ouvrage, quitte à répondre, quand celui-ci l’apportera : — Mon cher
ami
, je suis désespéré ; mais je n’ai pas de place. S
rieurement une rallonge aux félicitations que lui viennent offrir ses
amis
. Ceux-ci ont mis dans leur poche le crêpe qu’ils
rtant du théâtre, l’auteur rencontre quelquefois deux ou trois de ses
amis
, qui s’excusent de n’avoir pas été le complimente
ieur Bourdin, rédacteurs en chef du Figaro. Tu te rappelles, mon cher
ami
, que le 22 juillet au soir, et au moment où je m’
n’ayant pas abouti, — Nadar trouve un biais, — trois ou quatre de ses
amis
resteront debout dans le wagon ; — de celle maniè
e l’amitié. Nadar répond par cet axiome : — En wagon, il n’y a pas d’
amis
, il n’y a que des coins. Au moment de partir, un
de l’autre côté de la Manche. II Comme je te l’ai dit, mon cher
ami
, il est décidé que Nadar et moi nous partons pour
rambe, si c’était mon instrument. Mais tu ne m’as pas donné, mon cher
ami
, la mission de découvrir que l’Angleterre était l
e. — Si tu savais comme ces gens-là ont la tête dure, lui répondit l’
ami
; voilà six ans que je vis avec eux et ils n’ont
Figure-toi la Cité des Mystères de Paris restituée par un architecte
ami
du sombre et de la malpropreté. Le nom de ce quar
’adresse. Chargée ! très chargée ! IV Te rappelles-tu, mon cher
ami
, de cette époque déjà lointaine où nous n’aurions
— et tu sais si ça tient, ces bêtes-là ! Mais puisque je retrouve un
ami
si fidèle, Ma fortune va prendre une face nouvell
er sa journée. — Si vous étiez venu cinq minutes plus tôt, me dit mon
ami
, j’avais dix mille francs en or. Mais je viens de
re. L’un d’eux, qui était sergent, s’est approché de notre monumental
ami
pour se mesurer avec lui. — L’avantage de la tail
éclairé par une lampe. *** Un soir, le mécanicien invite deux de ses
amis
à venir prendre le thé chez lui, et, désignant la
s une soirée, reprit gravement le mécanicien ; et conduisant les deux
amis
dans la chambre voisine, avant que le poids suppl
ds. Il faut dire aussi qu’il n’y avait qu’une demi-chambrée, quelques
amis
, comme à l’Odéon les jours de tragédie classique.
t des rappels. Il y a bien dans la salle quelques parents et quelques
amis
qui donnent le la à l’enthousiasme britannique— m
emier ténor ou sa prima donna. En conséquence, — un nombreux groupe d’
amis
— attendait l’instant où le dernier artiste aurait
est le départ. Je fais ma malle, — ce ne sera ni long ni lourd. *** L’
ami
qui me reconduit au chemin de fer m’a glissé dans
sage qu’il avait tracé au milieu de la boue. — Et bien ! lui dit mon
ami
qui à la même heure mettait les volets à son maga
nt sa gloire, publiait à un petit nombre d’exemplaires, pour quelques
amis
de régiment et pour quelques voisins de campagne,
lencieuse, intime, pour ainsi dire, chuchotée à l’oreille de quelques
amis
et qui fait dire au coin du feu de la famille : «
, mais qu’on les glisse seulement de la main à la main entre quelques
amis
discrets, comme une confidence du talent échappée
la confidence ne reste pas longtemps un secret entre l’auteur et ses
amis
; le public écoute aux portes, l’admiration passe
été européenne. J’étais protégé auprès de lui par quelques-uns de ses
amis
, entre autres par les deux maîtres de notre diplo
déroute de Leipsik. VII Cette femme illustre et lettrée était l’
amie
de M. de Talleyrand. Je ne connaissais pas la pri
pas adressé ; elle l’avait écrit avant le jour à un de mes plus chers
amis
, M. Alain, médecin et commensal du prince de Tall
à mon réveil le billet ci-joint ; je vous l’adresse pour votre jeune
ami
, afin que le plaisir que cette impression du gran
était puissant, il était l’oracle du monde politique, il avait été l’
ami
et le disciple de Mirabeau sans se tromper à son
es hautes affaires d’État, ma vraie et entière vocation, quoi que mes
amis
en pensent et que mes ennemis en disent. Je ne me
Alexandre nous paraît devoir exceller. Il écrit, à ce que disent ses
amis
, un poème épique familier dont la vie privée, san
Athènes après une si bonne réception, raconte en vers familiers à ses
amis
son voyage pédestre, ses entretiens intimes avec
lyrique intitulé les Vendanges : Saint-Point, octobre 185... À un
ami
. Ami ! je poursuis seul notre pèlerinage Aux gran
ue intitulé les Vendanges : Saint-Point, octobre 185... À un ami.
Ami
! je poursuis seul notre pèlerinage Aux grands ma
nds maîtres vivants ou morts que nous aimons ; Guidé par un poète, un
ami
de mon âge, J’ai pris l’âpre chemin des pâtres su
J’ai pris l’âpre chemin des pâtres sur les monts. C’est un des vrais
amis
de cette idole à terre, Qui, de son vieux perron,
gnes fécondes, Au vent de la montagne exhalaient leur gaieté ; Et les
amis
rêveurs montaient entre deux mondes, En haut la s
de muet, ce moderne brahmane, Vit entouré d’oiseaux et de chiens pour
amis
. Là finit le premier chant de ce poème pédestre.
…………………………………………… Mais il n’écoutait plus la voix de son génie, Ni l’
ami
, ni l’oiseau, ni le vent dans les bois ; Il sonna
on ciel était nu. Au retour, un autre homme apparut ; la nature, Les
amis
revenus, les haltes ici, là, La paix du soir avai
D’un geste familier sa main gauche caresse Ses deux blancs lévriers,
amis
et fils d’amis, Dans l’épaisse fourrure à ses pie
ilier sa main gauche caresse Ses deux blancs lévriers, amis et fils d’
amis
, Dans l’épaisse fourrure à ses pieds endormis. L’
1857. Le vieux manoir réunissait une nombreuse tribu de famille et d’
amis
de la famille, plusieurs jeunes nièces avec leurs
out de celle qu’on appela la faction de l’avenir. Deux de ces poètes,
amis
de M. Alexandre, sont pleins de vertu, de patriot
moins plaisant qu’un syllogisme, fût-il en beaux vers. Que leur jeune
ami
, M. Alexandre, sache bien qu’une opinion, quelle
ien de chercher mieux ; qu’il se garde de vouloir, à l’exemple de ses
amis
, planer plus haut que nature dans le vague espace
avec leur ombre de leurs cimes ; les sentiers battus par les pieds d’
amis
s’effacent, le château est désert ; le cheval Sap
, beaucoup plus riche de gloire et de richesse, et en fonds de quatre
amies
qui l’aiment, chacune d’elles comme quatre ; ce s
Lespinasse, écrivant de ces eaux de Barèges où il s’était fait tant d’
amies
. Son ton s’est singulièrement adouci, et il est p
ne suis ni inconnu ni indifférent ; le souvenir tendre de mes anciens
amis
; le charme d’une amitié nouvelle, mais solide, a
moment où elle avait appris le succès ». Elle chargea Rulhière, comme
ami
de l’auteur, de le complimenter de sa part, ce qu
ière par cinq vers très doucereux. Chamfort, on le sait, rangeait ses
amis
en trois classes : « mes amis qui m’aiment, mes a
eux. Chamfort, on le sait, rangeait ses amis en trois classes : « mes
amis
qui m’aiment, mes amis qui ne se soucient pas du
it, rangeait ses amis en trois classes : « mes amis qui m’aiment, mes
amis
qui ne se soucient pas du tout de moi, et mes ami
qui m’aiment, mes amis qui ne se soucient pas du tout de moi, et mes
amis
qui me détestent ». On n’est pas embarrassé de sa
urait adouci tout autre : J’ai toujours été choqué, écrivait-il à un
ami
, de la ridicule et insolente opinion, répandue pr
portant. Aussi Chamfort ne l’était-il pas. Se justifiant auprès d’un
ami
du reproche de fierté et de dureté de cœur à l’en
che de fierté et de dureté de cœur à l’encontre des bienfaits : « Mon
ami
, lui écrit-il, je n’ai point, je crois, les idées
x mois de parfaite félicité. Il s’était retiré à la campagne avec une
amie
plus âgée que lui, mais avec laquelle il se senta
sque mon cœur a besoin d’attendrissement, je me rappelle la perte des
amis
que je n’ai plus, des femmes que la mort m’a ravi
étails de son caractère, et surtout de ses faiblesses, à son meilleur
ami
. » C’est ce grand monde uniquement qu’il avait en
9. Mirabeau, dans des lettres intimes à Chamfort, lui parle comme à l’
ami
non seulement le plus cher et le plus sympathique
amfort était l’homme qui fournissait le plus d’idées et de vues à ses
amis
en causant ; il suffisait de le mettre sur un suj
physique de Chamfort de celui que trace Mirabeau ? Soutenant que son
ami
, malgré ses souffrances, est « un des êtres les p
nt point en mouvement, alarmeront et induiront toujours en erreur vos
amis
sur votre force. » Et il en conclut que chez lui,
» Un peu avant la Révolution, Chamfort, qui habitait chez son grand
ami
le comte de Vaudreuil, c’est-à-dire en plein mond
ui avait toujours eu l’Académie en vue, qui avait mis en jeu tous ses
amis
, même ses amis de cour, jusqu’à ce qu’il y eût ét
rs eu l’Académie en vue, qui avait mis en jeu tous ses amis, même ses
amis
de cour, jusqu’à ce qu’il y eût été admis, cet ho
t ne s’arrêta pas même au 10 août : il écrivait deux jours après à un
ami
, en lui racontant qu’il était allé faire son pèle
nseigne. Est-ce ma faute si jugeant à l’œuvre, en 1848, plusieurs des
amis
de M. Hetzel, je n’ai pas appris à les estimer ?
ose aveugle, brutale et déraisonnable ; il est très vrai que… Mais un
ami
me tire par l’oreille et m’avertit : « Que vous ê
e à lui : « J’ai une santé délicate et la vue basse, écrivait-il a un
ami
(vers 1782) ; je n’ai gagné jusqu’à présent dans
u Palais-Royal, autrement dit Maison-Égalité. C’était Bosc, le fidèle
ami
de Mme Roland, qui se hâtait de donner cette prem
devait l’être en effet. Ce qu’il y a de certain, c’est qu’au gré des
amis
de l’auteur, Bosc ne prit point encore assez de p
é certains traits cruels et injustes. La Décade, organe des plus purs
amis
de Mme Roland, s’exprimait en ces termes par la p
t une exagération soit en bien, soit en mal, qui peut mécontenter les
amis
de ceux que l’auteur loue, presque autant que les
écontenter les amis de ceux que l’auteur loue, presque autant que les
amis
de ceux qu’elle censure. Quelques adoucissements,
l’éditeur. L’idée récente encore et, pour ainsi dire, présente de son
amie
était si grande et si honorable, son image emprei
si grande et si honorable, son image empreinte dans l’âme de tous les
amis
de la patrie et de l’humanité était si noble et s
timent analogue qui, le lendemain de la mort de Pascal et lorsque ses
amis
avaient à publier ses Pensées qui ne sont pour la
est pas un seul d’entre nous qui, chargé au lendemain de la mort d’un
ami
célèbre de mettre en ordre ses papiers et d’en ti
étaient les reproches adressés par la Décade et par les contemporains
amis
au premier éditeur : écoutons le dernier éditeur
s qu’avec peine ; que je n’en ai jamais ouvert la bouche à une intime
amie
qui eut toute ma confiance ; que je l’ai constamm
les indiquerai pas avec plus de précision. Eh bien ! franchement, si
ami
que je sois de la réalité, je regrette que Mme Ro
’admettant pas qu’elle pût avoir placé tous ses trésors de cœur sur l’
ami
respectable qu’elle avait agréé, on a cherché que
nte, affectueuse, toute à ses devoirs, indulgente et enjouée avec ses
amis
. « Faire, disait-elle, le bonheur d’un seul et le
isait encore en ces années dans une lettre à Bosc, l’un de ses jeunes
amis
, — et dans ce tableau d’une de ses journées elle
passe au cabinet, aux travaux que j’ai toujours partagés avec mon bon
ami
. Après dîner, nous demeurons quelque temps tous e
rare jusqu’à présent, pour me promener un peu l’après-dîner avec mon
ami
et Eudora. À ces nuances près, chaque jour voit r
ernir ; car ils donnent l’expression vraie et fidèle. À un moment, un
ami
s’était joint à eux, Lanthenas, une de ces âmes t
isait à l’oreille quand on causait de Mme Roland entre admirateurs et
amis
bien informés, comme il en était un certain nombr
nuer, ou du moins qui ne le grandissait pas. Fauris de Saint-Vincens,
ami
de Vauvenargues et de trois ans plus jeune que lu
ait ses classes, il répare cela en les faisant dans ses lettres à ses
amis
. Il risque la tirade, il la pousse et la place où
s difficultés de situation et de fortune. Vauvenargues avait pour cet
ami
une extrême tendresse et lui accordait une confia
ns nous permet de nous figurer en la personne de ce dernier un de ces
amis
dont La Fontaine avait vu des exemples autre part
ine avait vu des exemples autre part encore qu’au Monomotapa : Qu’un
ami
véritable est une douce chose ! Il cherche vos be
, Saint-Vincens avait dû, en plus d’un cas, lire dans les yeux de son
ami
ses besoins et ses désirs, et aller au-devant de
argent prêté entre pour quelque chose dans ce ralentissement, que son
ami
en a besoin peut-être et n’ose le lui dire ; il s
t, il offre de s’acquitter, et il a ensuite à se justifier envers son
ami
qui a cru voir de l’aigreur dans la chaleur de se
trer, à qui que ce soit qu’il s’adresse ; mais il est riche, il a des
amis
; cela ne le touchera guère ; il trouvera bien à
emprunteurs. M. Gilbert, faisant à merveille son devoir d’avocat et d’
ami
de Vauvenargues, observe d’ailleurs avec justesse
vous estimez trop ce petit succès. Il s’en faut de beaucoup, mon cher
ami
, que la gloire soit attachée à si peu de chose ;
r montre lui-même une route plus noble, s’ils osent la suivre : Ô mes
amis
, leur dit-il, pendant que des hommes médiocres ex
érature que comme un pis-aller : contemporain de Voltaire et déjà son
ami
, il estime pourtant qu’elle ne compte point assez
is que vous ne doutez pas de mes sentiments. Je vous remets, mon cher
ami
, la disposition de tout ce qui me regarde : offre
sincérité touchante en bien des endroits, a besoin d’être lue par des
amis
pour être interprétée sans défaveur et tout à l’a
Le Vauvenargues ferme et digne, tel qu’il se présentait à ses autres
amis
, même au milieu de ses plus affreuses gênes et de
longue n’aurait pu faire, et elle n’a interrompu la destinée de notre
ami
que pour la couronner. Nous publions les vers de
eurs : son goût, ses études, son talent original, les conseils de ses
amis
les plus influents, le portaient vers la philosop
ute, Farcy se logea dans la rue d’Enfer, près de son maître et de son
ami
M. Victor Cousin, et se disposa à poursuivre les
transparente Deux couples par l’amour conduits, Tandis qu’une déesse
amie
Jetait sur la vague endormie Le voile parfumé des
urant son séjour à Ischia ; il les envoyait en France à son excellent
ami
M. Viguier, qu’il avait eu pour maître à l’École
t une larme. Nous signalons surtout au lecteur la pièce adressée à un
ami
victime de l’amour ; elle est sublime de gravité
idées le prirent à cette époque : il avait dû aller en Grèce avec son
ami
Colin ; mais ce dernier ayant été obligé par des
vint à Paris, où il ne passa que huit jours, et ne vit qu’à peine ses
amis
, pour éviter leurs conseils et remontrances, puis
le Brésil. Nous le retrouvons à Paris en avril 1829. Tout ce que ses
amis
surent alors, c’est que cette année d’absence s’é
à Gravesend : c’est de là que j’ai adressé mes derniers adieux à mes
amis
de France. J’ai encore éprouvé une fois combien l
ine, et le reste du temps il vivait à Paris, jouissant de ses anciens
amis
et des nouveaux qu’il s’était faits. Le monde pol
her les yeux d’Hélène sous leurs paupières abaissées. « Oh ! ma belle
amie
, lui dit-il en la retenant, comme un bon chrétien
force de froideur et de réserve un bonheur si grand. Et moi, ma belle
amie
, vous m’avez mis à une école trop sévère pour que
élicieuse vie. Il réalisait pour son compte le vœu qu’un poëte de ses
amis
avait laissé échapper autrefois en parcourant ce
, à la nouvelle du combat, il arrivait à Paris, rue d’Enfer, chez son
ami
Colin, qui se trouvait alors en Angleterre. Il al
a droit à une panoplie d’armes rares suspendue dans le cabinet de son
ami
, et il se munit d’un sabre, d’un fusil et de pist
arut d’abord plus incertain qu’il n’aurait souhaité ; il vit quelques
amis
: les conjectures étaient contradictoires. Il cou
ire. Farcy survécut près de deux heures à sa blessure. M. Littré, son
ami
, qui combattait au même rang et aux pieds duquel
oyson lui demanda s’il désirait faire appeler quelque parent, quelque
ami
; Farcy dit qu’il ne désirait personne ; et comme
désirait personne ; et comme M. Loyson insistait, le mourant nomma un
ami
qu’on ne trouva pas chez lui, et qui ne fut pas i
, et entre autres M. Guigniaut, prononcèrent de touchants adieux. Les
amis
de Farcy n’ont pas été infidèles au culte de la n
n’est pas celui d’un regret vulgaire ; en songeant à la mort de notre
ami
, nous serions tenté plutôt de l’envier. Que ferai
ct nous empêche de la nommer ; mais Béranger l’a chantée, et tous ses
amis
la reconnaîtront ici sous le nom d’Hortense. 79.
, Sur le bord de la mer un matin m’aborda, Me parla de Paris, de nos
amis
de France, De Rome qu’il quittait, puis de quelqu
saient tes rêves, Ta bouche eut un instant la douceur de Platon ; Tes
amis
souriaient, … lorsque, changeant de ton, Tu devin
herchais au Louvre. Paix à toi, noble cœur ! ici tu fus pleuré Par un
ami
bien vrai, de toi-même ignoré ; Là-haut, réjouis-
dans le monde même de Victor Hugo et chez une partie de ses premiers
amis
l’invasion, en apparence barbare, de ces jeunes r
ue son compatriote l’aimable poète Ulric Guttinguer, des plus anciens
amis
littéraires de Hugo, des amis qui dataient de 182
oète Ulric Guttinguer, des plus anciens amis littéraires de Hugo, des
amis
qui dataient de 1824 environ, qui s’étaient ralli
et il était reparti pour la Normandie. Auguste Le Prévost, alors son
ami
intime, et qui le blâmait de tant de susceptibili
érieur romantique de ce temps-là : « J’ai joué de malheur avec notre
ami
Ulric. En arrivant ici (à Rouen), j’ai appris qu’
ous que je compte pour triompher de ses résolutions à ce sujet. Notre
ami
se trompe en voulant demander à une pareille puis
ir été écrit par un géant. Pour moi, je ne penserai jamais à faire un
ami
de l’homme qui a écrit ces trois ou quatre pages,
remarquables. Le premier fut avec son élève en poësie, & son bon
ami
Racan. Ils se brouillèrent au point d’être plusie
a lire à Racan, excellent juge en cette matière, & d’ailleurs son
ami
. La lecture achevée, il demande bien vîte à Racan
i qu’il n’a presque rien entendu : Vous avez au moins , dit-il à son
ami
, mangé la moitié des vers. C’étoit la plus grand
d’Is : Vous les nommé-je pas tous dix ? Un célèbre écrivain, de ses
amis
& de ses admirateurs, veut lui représenter l’
proteste qu’il ne reviendra jamais de son aversion pour sa famille. L’
ami
persiste à vouloir qu’il dépose cette haine. Ne p
rsation s’échauffe. Elle alloit avoir des suites fâcheuses, lorsqu’un
ami
commun arrive, & les appaise tous deux. On ra
isoit-il, n’en ont point d’autre que celle de leur prince. Un de ses
amis
, ayant été le voir, un samedi lendemain de la Cha
matin, il le trouva mangeant du jambon. Ah ! monsieur , lui dit cet
ami
, la Vierge n’est plus en couche, elle est relevée
’âge de soixante-treize ans, il voulut se battre contre de Piles. Ses
amis
lui représentant que la partie n’étoit pas égale
surtout et toujours, puis à parler de ses pensées, à les écrire à ses
amis
, à ses maîtresses ; à les jeter dans des articles
ntes, que nous détachons presque au hasard ? « Faisons en sorte, mon
amie
, que notre vie soit sans mensonge ; plus je vous
de la constance, la plus difficile et la plus rare de nos vertus… Mon
amie
, tout peut s’altérer au monde ; tout, sans vous e
excepter ; tout, excepté la passion que j’ai pour vous. » « Oh ! mon
amie
, ne faisons point de mal ; aimons-nous pour nous
et j’ai pensé qu’elle ne valait pas la douce folie que m’inspire mon
amie
, j’ai entendu leurs discours sublimes, et j’ai pe
rs discours sublimes, et j’ai pensé qu’une parole de la bouche de mon
amie
porterait dans mon âme une émotion qu’ils ne me d
eurs images m’échauffaient ; mais j’aurais encore mieux aimé voir mon
amie
, la regarder en silence, et verser une larme que
gère et trompeuse ; et je brûlais de la trouver entre les bras de mon
amie
, parce qu’elle s’y renouvelle quand il lui plaît,
avec les miens. — Vous mourrez tous deux ; — et je disais : — Si mon
amie
meurt avant moi, je la pleurerai et je serai heur
mme d’esprit et philosophe, capitaine des chasses, amateur du sexe et
ami
de Diderot : « Si vous saviez combien je l’aime,
ne fois, de ne les surprendre plus ; et elles de se taire. Voilà, mon
ami
, ce qu’on appelle une idylle que je vous fais, ta
ns équinoxiales qu’il entreprit au commencement de ce siècle avec son
ami
le botaniste Bonpland, et qui est une date mémora
rre ; je l’ai relu pendant bien des années, avec mon compagnon et mon
ami
, M. Bonpland… Là, tandis que le ciel du Midi bril
ement par la Hollande et par Lübeck, se faisant le long du chemin des
amis
; car il avait de l’attrait, du charme et une ing
Bernardin n’eût mis qu’un rayon. En Russie, Bernardin s’était fait un
ami
intime d’un homme cordial et bon qu’il y avait re
que je ne suis rien et qu’il faudra bientôt renoncer à tout cela ; un
ami
solide et accrédité conviendrait mieux à mon cara
ardonner et admirer. M. Hennin voulant obliger sérieusement son jeune
ami
, s’est informé en France dans les bureaux, et il
et un tour très net dans ce Voyage, écrit sous forme de lettres à un
ami
; ce sont de vives esquisses, plutôt que des tabl
rs années, chercher fortune ; ils avaient quitté leurs parents, leurs
amis
, leur patrie, pour passer leurs jours dans un lie
lui un protecteur puissant, tandis qu’il ne retrouvait en effet qu’un
ami
sage, fidèle, solide, essayant de le servir avec
beaucoup les réponses de M. Hennin ont été supprimées ; que ce digne
ami
qui ne répond pas toujours agit plus qu’il ne par
u tard. » Il lui donne, en finissant, des conseils affectueux : « Mon
ami
, vous vous êtes trop séquestré du monde ; vous ne
e, et il y a des moments où vous semblez avoir pris pour modèle votre
ami
Jean-Jacques, le plus vain de tous les hommes. »
esse de solliciter auprès de tous les ministères, et, grâce à de bons
amis
, parmi lesquels M. Hennin se retrouve toujours, i
rsailles, le 3 décembre 1780. Il est très vrai, monsieur et très cher
ami
, que vous soutîntes un jour chez moi les principe
ous appelez ce secours une aumône, vous le rejetez, et vous rudoyez l’
ami
qui, après trois ans de soins, est parvenu à déci
décider. Vous m’affligez à un point extrême, vous affligerez tous vos
amis
; vous ne serez pas même exempt de reproches. Jam
umônes. Vous êtes à cent lieues du vrai dans toute cette affaire. Mon
ami
, vous vous êtes trop séquestré du monde ; vous ne
Versailles, le 13 août 1785. J’étais à Paris hier, monsieur et ancien
ami
, lorsque la lettre que vous m’avez fait l’honneur
e, et il y a des moments où vous semblez avoir pris pour modèle votre
ami
Jean-Jacques, le plus vain de tous les hommes. Di
ue vous me faites votre confession, je vous dois la vérité comme à un
ami
de vingt-quatre ans, dont le bonheur est pour moi
céder, dans le cas présent, à son instruction et à son plaisir. « Mon
amie
, nous dit Alfieri, en donnant les raisons qu’il a
, qui est comme la Sévigné de la littérature anglaise, écrivait à son
amie
miss Berry, qui voyageait alors en Italie : Jeud
Chambre, s’il veut faire quelque entreprise nuisible à la nation, ses
amis
l’abandonnent, comme il arriva dans la guerre de
nnées qu’elle lui survécut. II. Les dix années qu’elle passa avec son
ami
furent tout entières consacrées par elle à adouci
elli, de ma douleur par la manière dont je vivais avec l’incomparable
ami
que j’ai perdu. Il y aura samedi sept semaines, e
lecture ! Il ne m’est plus possible que de lire les ouvrages de notre
ami
, qui a laissé beaucoup de manuscrits pour l’impre
lus de bonheur pour moi dans ce monde, après avoir perdu à mon âge un
ami
comme lui, qui, pendant vingt-six an ?, ne m’a pa
certain qu’il y a peu de femmes qui puissent se vanter d’avoir eu un
ami
tel que lui ; mais aussi je le paye bien cher dan
n. Je sais que vous avez de l’amitié pour moi, et que vous aimiez cet
ami
incomparable : c’est ce qui fait que je me livre
respondant qu’on ne nomme pas : « Voilà cinq mois que j’ai perdu cet
ami
incomparable, et il me paraît que c’est hier ; je
x ans, et que je ne supportais que parce que j’étais nécessaire à mon
ami
. Si vous saviez combien de fois j’appelle la mort
lle ne vient que pour ceux qui sont utiles à leurs parents ou à leurs
amis
. Il y a une injustice dans les choses de ce monde
je les ai éprouvés, mais le plus grand de tous est celui de perdre un
ami
incomparable. Aussi la vie ne m’est plus rien, je
t Mme d’Albany était sincère en exprimant un tel deuil pour son grand
ami
disparu ? IV. Voyons donc les choses humaines com
de Rome, s’était arrêté à Florence et avait fait le portrait des deux
amis
. Amateur et curieux, un peu paresseux comme le so
nait dans un ordre parfait. Elle recevait aussi la visite de quelques
amis
les plus intimes. Elle-même ne faisait que peu de
ts de revenir un jour, et bientôt, sur l’un des correspondants et des
amis
de Mme d’Albany, sur Sismondi, dont M. Saint-René
ières années de sa maturité et jusque dans son extrême vieillesse, un
ami
constant, fidèle et sur, un autre Fabre, Fauriel.
e, tout en restant fidèle à cette noble mémoire, avait près d’elle un
ami
sans faste, honnête, sûr, un appui intime de tous
emarquable par l’esprit et la droiture comme par le talent. Un de mes
amis
, bibliophile avec passion et avec choix, a ressen
uvons pas moins rempli auprès de Mlle Le Couvreur par un autre de ses
amis
, par d’Argental. Mlle Le Couvreur, dans sa premiè
peut-être, est « pardonnable à un homme qui a été son admirateur, son
ami
, son amant, et qui, de plus, est poète ». Voilà q
du monde. Il peut être utile à sa patrie ; il fera les délices de ses
amis
; il vous comblera de satisfaction et de gloire :
fit lire, et seulement alors il put connaître en entier le cœur de l’
amie
qu’il avait perdue. Tout nous le dit déjà : Mlle
ela ne vous dit-il pas le mot de l’énigme ? » Mme de Lambert était l’
amie
de Fontenelle, de La Motte, de Mairan. On l’accus
les personnes de bel air, Mlle Le Couvreur se plaisait à recevoir ses
amis
: Ma vanité, disait-elle, ne trouve point que le
u’elle pouvait, de l’approbation des sots, et s’en tenait à celle des
amis
. Ces amis, honnêtes gens qu’elle préférait à tout
vait, de l’approbation des sots, et s’en tenait à celle des amis. Ces
amis
, honnêtes gens qu’elle préférait à tout, c’étaien
sagères. Je trouve, dans des lettres inédites adressées par elle à un
ami
dont on ignore le nom, des paroles qui viennent c
i viennent confirmer de sa part ce sentiment habituel et sincère. Cet
ami
était parti brusquement sans le lui dire, sans le
vous instruire de mes principes. Quand il est question d’écrire à mes
amis
, je ne songe jamais qu’il faille de l’esprit pour
s devoirs auxquels, dans dix ans, on sera obligé auprès d’une vieille
amie
. Elle veut qu’on se propose tout cela à l’avance,
t apprendre de lui. Mlle Le Couvreur, après avoir pris conseil de ses
amis
, se rendit au lieu indiqué en se faisant accompag
e péril. Elle donna donc un second rendez-vous à l’abbé, consulta ses
amis
, et le comte de Saxe lui-même ; il fut décidé que
nté d’empoisonner Mlle Le Couvreur. L’abbé Aunillon du Gué de Launay,
ami
des Bouillon, dans les mémoires plus intéressants
compte de sa cervelle brouillée, serait de peu de valeur, si l’un des
amis
de la duchesse, mais galant homme, l’abbé Aunillo
i étant au lit de mort, sept ans après, fit, à haute voix, devant ses
amis
et toute sa maison, une confession générale de se
onc enlevé de nuit dans un fiacre ; deux portefaix guidés par un seul
ami
, M. de Laubinière, allèrent l’enterrer dans un ch
ière Lettre. À M. D. L., Rédacteur de la Démocratie pacifique. Mon
ami
, Dans vos feuilletons du 10 septembre, du 15 oct
us le jure, à regret, à contrecœur ; comme on cède aux instances d’un
ami
qui, au milieu d’un accès de fausse gaieté, nous
heure, nous étions frères, qui donc nous a faits rivaux ? Hélas ! mon
ami
, la force des choses, les événements, les hommes.
uoi je ne fais plus de drames comme Christine. Soyez tranquille, mon
ami
; je vous répondrai à ce sujet tout à l’heure. Vo
et passons à M. François Buloz. M. François Buloz…, mais pardon, mon
ami
, M. François Buloz nous mènerait trop loin pour c
Tout et toujours à vous, Alexandre Dumas. Deuxième Lettre. Mon
ami
, En mettant la main à la plume pour vous écrire
ommissariat royal se répandit dans le public, j’écrivis à l’un de ses
amis
logeant dans la même maison que lui, le voyant à
l étaient écrites ces deux lignes : « J’autorise M. Alex. Dumas, mon
ami
, à diriger la répétition du Gladiateur, et à fair
ur compléter sa mise en scène. Je recueille les avis de deux ou trois
amis
de Soumet qui assistaient à la répétition ; ils s
ne nous fais pas peur ! Alexandre Dumas. Troisième Lettre. Mon
ami
, Je vous ai dit que je connaissais M. Buloz de l
plume. Ma plume, vous le savez, a toujours été fort au service de mes
amis
, et même de mes connaissances. Je répondis à M. B
onne. Cette nouvelle eut nom Claude Gueux. Vous vous le rappelez, mon
ami
; car c’est un des beaux plaidoyers qui aient été
uanges en vers et en prose, et M. Gustave Planche appelle M. Hugo son
ami
. M. Hugo, l’ami de Gustave Planche ! Enfin, c’est
t en prose, et M. Gustave Planche appelle M. Hugo son ami. M. Hugo, l’
ami
de Gustave Planche ! Enfin, c’est M. Gustave Plan
dit dans la Revue du mois de mars 1834. « J’arrive à votre nom, mon
ami
, qui n’est pas le moins glorieux de cette illustr
. Buloz de se venger du refus de M. Victor Hugo. Il lâcha sur lui son
ami
M. Gustave Planche. Écoutez-le cette fois. Il est
respectent rien. Heureux ceux que ces gens-là cessent d’appeler leur
ami
! « Ce n’est pas le sujet de la pièce que nous b
te impardonnable bévue ; si le mot bronze nous a valu Louis onze, les
amis
de M. Hugo feront bien de l’entretenir souvent de
rois colonnes et demie d’injures. Attendez, Eugène Sue, attendez, mon
ami
, car vous n’êtes pas au bout de la colère de M. l
qui composent sa riche et nombreuse famille. Vous rappelez-vous, mon
ami
, avoir vu passer dans la demi-teinte projetée sur
lier d’Harmental. Je fus puni par où j’avais péché. Écoutez ceci, mon
ami
. Une fois, par hasard, M. le directeur des deux R
de ma poche 1 500 fr. à M. Dujarrier. Mais, que voulez-vous, mon cher
ami
, j’en suis à ne plus compter les bonnes actions q
orité royale. Alexandre Dumas. Quatrième Lettre. Intermède. Mon
ami
, M. Buloz est un adversaire commode, et je le re
ation au commissariat royal, il aurait écrit une lettre à l’un de mes
amis
, exprimant son pronostic funèbre à ce sujet. La l
de la Revue des Deux Mondes, nous allons le dire, nous. Écoutez, mon
ami
, je n’ai rien encore écrit de si curieux. M. Soum
et détruisent l’effet des vers qui les précèdent. » Je m’arrête, mon
ami
, je n’ai pas assez d’haleine pour vous dire quatr
ritique, et surtout lorsque cette critique frappe un de mes meilleurs
amis
. M. Magnin écrivit à Soumet une lettre désespérée
bout. Je ne vais pas les chercher, moi, elles m’arrivent. Lisez, mon
ami
. « Mon cher Dumas, « Dans votre très spirituelle
or. « Votre dévoué confrère, L. Belmontet. » Attendez, attendez, mon
ami
, nous ne sommes pas au bout. M. Buloz veut des le
recteur de la Revue de Paris sur M. Bonnaire. Lisez ceci : « Mon bon
ami
, si vous m’eussiez consulté plus tôt sûr les habi
’auteur de ce compte rendu, et cet auteur vous savez qu’il est de vos
amis
, M. Buloz racontait, dis-je, que vous aviez contr
iré d’un ordre inférieur, vous aidera peut-être à vous consoler, cher
ami
; car il vous prouvera qu’à la Revue il y a décid
justifier, une lettre de M. Cavé. L’avez-vous lue, cette lettre, mon
ami
? Si non, lisez-la ; si oui, relisez-la encore. E
s qui ont à se plaindre de M. Buloz, et tu m’oublies ! — Pardon, mon
ami
, mais tu le comprends bien, l’oubli peut se répar
s ses étroits corridors. Alexandre Dumas. Cinquième Lettre. Mon
ami
, J’ai tardé à vous écrire cette cinquième lettre
ise comme excuse de sa mauvaise défense. Vous me direz peut-être, mon
ami
, qu’un publiciste qui, depuis six mois, fait insu
trace dans la mémoire de l’illustre académicien et dans celle de ses
amis
. Je la tiens de Soumet, qui est un de ses amis. R
n et dans celle de ses amis. Je la tiens de Soumet, qui est un de ses
amis
. Revenons à ce qu’a fait M. Buloz pendant ce mois
roi, c’est le mode de salutation qui la termine. Comprenez-vous, cher
ami
, que M. Buloz ait pris au sérieux une lettre qui
l’on a ou que l’on n’a pas pour eux ; vous voyez donc bien, mon cher
ami
, que M. Scribe, comme M. Cavé, se moquait de M. B
pensait de M. Buloz avant qu’il se réunit au Corsaire ? Écoutez, mon
ami
, c’est assez curieux. « Toutes les fois qu’on e
art : malheureusement, je le trouve un peu partout. D’abord, mon cher
ami
, si l’on faisait jamais l’histoire de la prime, c
us lui répondrions par ces quelques lignes que nous recevons de notre
ami
Vacquerie : « Mon cher Dumas, « Non seulement Vi
x mille francs de recette au susdit Théâtre-Français. Maintenant, mon
ami
, voulez-vous savoir, au compte de M. Buloz lui-mê
uis la première jusqu’à la dernière ligne, écrits de ma main. Or, mon
ami
, mettons les volumes à 4 000 fr. l’un dans l’autr
, Macbeth si bien rendu, si bien exprimé et resserré au vif par notre
ami
Jules Lacroix, ce mouleur habile et consciencieux
r. Mais Ducis était encore moins artiste que père, fils, époux, veuf,
ami
: toutes ces belles qualités de cœur et de famill
nuisaient autant qu’elles lui servaient. Sa femme ou ses filles, son
ami
Thomas à soigner, ses deuils fréquents, que sais-
de ces lettres de Thomas que je lis à propos de la mort d’un de leurs
amis
communs, Saurin : « Il ne sera pas aisément rempl
ur sujet de pièce nouvelle : « Tout le monde me gronde ici, mon cher
ami
, écrit-il de Versailles à Delevre, à cause du gen
re dans les situations. » Et continuant sa pensée, il explique à son
ami
pourquoi, entre autres choses, il ne saurait réus
’idée. Je n’ai su qu’aimer et me donner sans réserve. » Et comme son
ami
lui avait écrit qu’il s’était mis à relire l’Aria
est très possible, je crois, d’être plus tendre encore que lui. » L’
ami
à qui il écrivait de la sorte mérite d’être connu
» L’ami à qui il écrivait de la sorte mérite d’être connu. Deleyre,
ami
de Jean-Jacques Rousseau, qui l’estimait plus qu’
qui, en ces années de crise, s’est fait son conseiller, son directeur
ami
, et qui est plus fait que personne pour comprendr
rsailles, 25 juillet 1775 « Votre tristesse opiniâtre m’afflige, mon
ami
. Il y a des moments où mon amitié pour vous serai
olique, et surtout très voisin de Versailles, parce que vous êtes mon
ami
et mon malade. Il est bien convenu que nous ne ve
s le lui annonçait en termes souriants : « Eh bien ! mon mélancolique
ami
, le brave M. Le Roy vous a déterré un antre de sa
t pas de montrer une assez bonne gaieté72. » Ducis craignait pour son
ami
songeur le trop de solitude et le manque de distr
ux, voilà le point ! » Mais combien il a plaisir à apprendre que son
ami
a des jours de calme et qui ressemblent presque à
ce de la victoire et l’étendue même du sacrifice ; ces triomphes, mon
ami
, sont dignes de vous. » De loin, il cherche à le
nds rien de tout cela. » En revanche il apprend avec plaisir que son
ami
s’est livré, comme un bon paysan, aux travaux de
, écrit-il à Deleyre (janvier 1779), mais vous ne sauriez croire, mon
ami
, combien ce travail me déplaît et me fatigue. C’e
ipé et venu à Paris, s’était concilié aussitôt des protecteurs et des
amis
par ses qualités aimables ; Montesquieu, Duclos,
deviendrez (pardon, je vous prie), un misanthrope consommé, et votre
ami
ne sera plus philanthrope. Vous m’avez donné de s
riez sans remède. Si l’estime que j’ai conçue pour vous, ô mes divins
amis
, pouvait être une illusion, faites quelle soit ét
était selon sa nature. « Cher Deleyre, lui disait-il, sans être votre
ami
, j’ai de l’amitié pour vous. » Et moyennant cette
’autres invoquent les dieux avant le sommeil ; pour moi, je bénis mes
amis
. » — Il avait pourtant des jours et des heures où
e. Oh ! la jolie porte, faite comme celle de votre cœur pour de vrais
amis
, et où l’on ne peut entrer deux à la fois ! quand
ion et qui semblait sur le point de se régénérer : « En un mot, cher
ami
, je cherche un pays où je n’entende point le peup
ns aucune de celles qui sont adressées à Ducis) : « Hélas ! mon cher
ami
, s’écriait-il, vous avez bien raison : sur ce gra
ues membres de l’Académie, Condillac, Watelet, M. de Beauvau : « Mon
ami
, je regarde nos quarante fauteuils comme quarante
en lui, et desquels se compose son essence ; et voulant rassurer son
ami
, il se dépeint et se développe soudainement à nos
trait : « (5 février 1784). Je me retrouve et me reconnais, mon cher
ami
, dans une bonne partie de ce que vous me dites su
vous suivre. » Puis la réflexion morale toujours : « Mon Dieu ! mon
ami
, que la nature est belle à étudier, quand c’est u
La Ferté-Milon, et qui doit le ramener sous le toit champêtre de son
ami
Deleyre : « Je vous écrirai de mon presbytère po
c’est qu’une vraie et réelle douleur : « 4 mai 1783. « Il faut, mon
ami
, que je me prive pour le moment du plaisir de vou
trailles ne manqueraient pas de s’émouvoir à la vue d’un père et d’un
ami
malheureux. Mon enfant est encore dans mon cœur,
Dieu les élans d’une première ferveur et d’un vif amour ! » Mon cher
ami
, ce n’est que là qu’on peut trouver quelque conso
itude de la rejoindre ; car on ne veut point être consolé. Adieu, mon
ami
, il faut vivre au jour le jour, et ne compter sur
se et non en vers, et qu’il a le langage plus naturel, écrivant à ses
amis
des lettres charmantes, toutes semées de mots sim
nt malade de ce dernier excès de fatigue parisienne, il écrivait à un
ami
: Bon Dieu ! comme je fuirais la capitale si j’a
par des contes terribles… » Il exprimait assez bien par là ce que son
ami
avait d’inculte, d’outré et de populaire. Thomas,
ce sujet, en faisant un retour sur lui-même et en se comparant à son
ami
Thomas, soigné par sa sœur : Il y a une espèce d
homas était à Lyon, partit de Chambéry (juin 1785) pour rejoindre son
ami
, et il eut, en traversant les montagnes, un accid
maison de campagne, à Oullins près de Lyon, et bientôt après les deux
amis
célébrèrent leur joie d’être ensemble, leur tendr
t froids. La mort de Thomas, survenue à l’improviste au moment où son
ami
venait de guérir, arrêta l’impression de ridicule
ranlable sur le chapitre de la foi religieuse et de l’orthodoxie. Les
amis
littéraires parmi lesquels il acheva de vivre, et
ndépendant et plus calme. Ducis était de cette race de philosophes, d’
amis
de la retraite et de la Muse, qui n’entendent rie
donnerais un grand coup à quiconque voudrait m’en arracher. Mon cher
ami
, le monde ira comme il plaira à Dieu : je me suis
monde ira comme il plaira à Dieu : je me suis fait ermite. Oui, mon
ami
, j’ai épousé le désert, comme le doge de Venise é
comme mon pouls et mes affections innocentes et pastorales. Mon cher
ami
, je lis la vie des Pères du Désert : j’habite ave
s’apprennent pas, c’est la famille qui les inspire. Je suis, mon cher
ami
, comme un pauvre hibou, tout seul, sicut nycticor
mme un ours qui philosophe dans le creux de sa montagne. Et vous, mon
ami
, vous regardez le berceau de votre petit enfant,
t ce qu’il avait perdu, cela le menait à dire : Que voulez-vous, mon
ami
? il n’y a point de fruit qui n’ait son ver, poin
n bouquet, le seul sans doute que la saison eût pu lui offrir : « Mon
ami
, ajouta-t-il avec une figure dont l’expression m’
monestations, « n’écarter les criminels que comme on congédierait des
amis
. » L’Église constitutionnelle, en affectant d’iso
même plus tard un sujet habituel de discussion entre lui et son pieux
ami
Matthieu de Montmorency, qui eût voulu l’amener à
e en 1802, se rapprochant au fond du premier plus que du second, plus
ami
de la liberté réelle de tous les cultes que parti
’y a pas une famille qui n’ait à y pleurer la perte d’un parent, d’un
ami
: la réaction dont on se plaint n’est-elle donc p
me. Il résistait à se dérober par la fuite : il fallut que son intime
ami
Degérando l’arrachât de son lit dans la nuit du 1
et l’emmenât dans une retraite sûre qu’il lui avait ménagée chez une
amie
généreuse, rue de la Planche. C’est là que fut co
ravir… Dites-vous bien que telle est en France l’immense majorité des
amis
de l’ordre, que, même après qu’elle est décimée,
rait voulu partager, et il n’eut de repos que quand, grâce à lui, son
ami
eut réussi à passer la frontière. Les deux insépa
s, et de l’autre Camille Jordan aux siens : Robespierre aux frères et
amis
, et Camille Jordan aux fils légitimes de la monar
u Consulat, Camille Jordan vint à Paris, et l’on nous dit qu’avec son
ami
Degérando il fut l’hôte de Mme de Staël à Saint-O
. Vous ne savez pas combien vous serez remonté par l’affection de vos
amis
. Vous passerez l’été à Saint-Ouen, vous y ferez u
ettres de cette femme supérieure. Cela me rappelle un mot d’un de ses
amis
, le duc de Laval, et qu’il prononçait avec une ce
lque habitation près de Paris et vous viendrez m’y voir. C’est de mes
amis
et non de Paris que j’ai besoin. Oh ! quel tissu
, n’en parlez pas absolument, car il ne faut pas refroidir les autres
amis
par cette idée. — Oublier tout ce qui m’oppresse
jamais que je vous ai écrit un seul mot, c’est important. — Oui, mon
ami
, l’on est lassé du temps et bientôt aussi de la v
mon roman. J’espère que vous me soignerez d’autant plus qu’un de mes
amis
me manquera. Je vous le répète, j’arriverai vous
ock : « Ce 3 juillet (1803126, Coppet). « Comment vous exprimer, mon
ami
, l’enthousiasme que m’a fait éprouver votre tradu
e puis vous dire tout ce que je voudrais, mais devinez-moi. Un de mes
amis
que vous connaissez assez froid, du moins en appa
lques jours, et le tout ne vous éloignerait pas plus d’un mois de vos
amis
. Réfléchissez à mon projet, et n’allez pas le cro
cœur est bien rempli de pensées et de douleurs. Adieu, mon excellent
ami
. Parlez de moi à Annette128. J’écrirai à Camille
indre. Il me semblait que la mort menaçait mon père, mes enfants, mes
amis
, et ce sont des sensations de ce genre qui doiven
ncfort. Adieu, cher Matthieu, ne vous lassez pas d’aimer votre pauvre
amie
. (Que dit-on) à Paris de mon histoire ? — Je vous
me montrer de l’intérêt. — Je n’aime pas trop, j’en conviens, que mes
amis
se marient ; mais quand ils le sont, ce ne serait
licitude avec laquelle elle entrait dans toutes les affections de ses
amis
: « Voulez-vous bien, mon cher Camille, me reten
ts : « Ce 16 avril (1812 ?). « Lady Webb écrit à une personne de mes
amies
que vous êtes inquiet de la santé de Mme Camille.
témoigne de la dernière intimité avec Camille : « J’arrive ici, cher
ami
, à temps pour mettre mon mot d’amitié à la fin de
r mettre mon mot d’amitié à la fin de cette lettre. J’ai trouvé notre
amie
contente de son passage à Lyon, et de ce qu’elle
n’était occupée qu’à épier le moment et le moyen pour s’échapper. Ses
amis
s’affligeaient de ce trouble extrême et étaient q
ve ridicule d’imiter le baron de Voght, c’est-à-dire d’abandonner une
amie
pour des places ; mais quand il s’agirait de l’ex
ouleur que de le braver, et je me meurs à la lettre du malheur de mes
amis
, — Ma santé, qui était forte, est détruite, et il
s que Mme de Staël croyait avoir à se plaindre de quelques-uns de ses
amis
. Dans la disgrâce évidente où elle était, elle se
l’homme du 18 fructidor, celui qui se risquait généreusement pour un
ami
; le bon était resté bon, mais il était devenu ti
écrit par discrétion. Je disais comme Du Breuil à Pechméja144 : « Mon
ami
, ma maladie est contagieuse, et il ne doit y avoi
de lui, à Lyon, les derniers mois de 1812. Il lui avait présenté son
ami
Ballanche, qui, du premier jour, se voua à elle c
e dans les premiers mois de 1813, elle avait désiré que l’un des deux
amis
vînt l’y retrouver. Ballanche seul fit le voyage.
tous les esprits et faire le fond de toutes les conversations. Notre
ami
, le comte Alfieri, a un prodigieux succès comme m
ht pour vous en parler. — Il a laissé de bons souvenirs ici, et votre
ami
Deg. (Degérando), pour lequel c’était bien plus d
ns la plus haute exaltation religieuse. — J’ai vu aussi M. de Chabot,
ami
de Matthieu, un jeune homme aimable et bon, passa
olice, M. de Norvins, m’a parlé de vous ; il connaît plusieurs de vos
amis
et des miens, et parle de vous comme tout le mond
ire un ennemi, et d’être suivi dans sa retraite de l’affection de ses
amis
et de la haute estime des indifférents. — Ce M. d
ention de Camille avec le vœu que formait pour lui alors sa généreuse
amie
: « Parlez de moi, je vous prie, à Camille Jorda
et offre comme le résumé de toute sa vie publique. Ce que lui et son
ami
Royer-Collard avaient tenté avant fructidor pour
ction de député (octobre 1818) : désapprouvé, blâmé fortement par ses
amis
politiques (Royer-Collard, M. Guizot, même M. Lai
incre ; mais en le revoyant ils purent trop bien reconnaître que leur
ami
faisait un sacrifice au devoir. Chaque discours d
. Et cette autorité, ne vous semble-t-il pas qu’il l’ait léguée à son
ami
Royer-Collard, à cet autre lui-même qui en hérita
du mensonge, de l’intrigue, de l’injustice. Cela étonnait un peu ses
amis
du monde et de salon, qui se demandaient comment
de Gravillon, petit fils de Camille Jordan, qui, à la demande de mon
ami
M. R. de Chantelauze, a bien voulu rechercher, da
vait m’intéresser. M. A. de Gravillon est lui-même un esprit cultivé,
ami
des lettres, digne héritier, par ce côté, de son
es sciences de Berlin, 1802. 125. Mme de Staël n’aimait pas voir ses
amis
se marier ; elle le disait naïvement. Dans une le
t d’une santé débile, il vivait à Saint-Germain-en-Laye auprès de son
ami
le docteur Du Breuil, On les citait tous deux com
ami le docteur Du Breuil, On les citait tous deux comme le modèle des
amis
. Le mot de Du Breuil à Pechméja se retrouve, empl
Paris les deux personnes que j’aimais le plus au monde. L’un était un
ami
, le fils du célèbre comte de Virieu, de l’Assembl
chez Virieu dans l’isolement et dans l’obscurité. Mon camarade et mon
ami
habitait alors dans l’immense cour du vaste et sp
es excès de paroles. Je la connus plus tard, sous les auspices de mon
ami
; j’en fus très-favorablement reçu, comme jeune h
t’attend ce soir vaut mieux que ce vain tumulte. » IV Quand mon
ami
, avant d’aller dans le monde, entrait un moment d
ue le dernier visiteur est retiré du salon, et pour laisser place à l’
ami
inconnu qui rôde dans le voisinage, comme l’âme c
r, fils du président de l’Assemblée constituante, M. de Rayneval, son
ami
, les plus spirituels et les plus aimables des hom
lait ma vie et je ne la sentais pas couler. Quand elle fut morte, mon
ami
, qui la vit au dernier moment, me remit mes lettr
nd je me rappelai que ce même écrivain, toujours pur selon lui et ses
amis
, avait fait la cour à l’empereur pour obtenir la
terminé ce livre, qu’il l’apporta à Paris et le communiqua à quelques
amis
de son premier temps, les uns mûris par les vicis
pétrissait dans ses mains un monde nouveau. Fontanes amena son jeune
ami
au futur empereur ; c’était lui amener, dans un m
ère entrevue. XVI Fontanes ne s’y trompa pas. Quels étaient les
amis
de France qui eurent sur lui tout d’abord une inf
et si heureuse ? M. de Chateaubriand avait, nous le savons, un tendre
ami
, Fontanes ; cet ami était intimement lié avec M.
de Chateaubriand avait, nous le savons, un tendre ami, Fontanes ; cet
ami
était intimement lié avec M. Joubert ; M. Joubert
ain travaillait courageusement à corriger son œuvre sous l’œil de ses
amis
, il débuta dans la publicité en brisant une lance
aurait eu besoin plutôt de modérateur : dans une Lettre écrite à son
ami
, mais destinée au public, et qui fut en effet imp
mes laissent à désirer. XVII Ce fut l’époque où M. de Fontanes,
ami
de la princesse Élisa, l’introduisit dans la fami
e à la ville et à la campagne. Et il fut évidemment le commensal et l’
ami
de tous ces jeunes hommes et de toutes ces jeunes
tente de son fils et dans l’abandon. La lettre était cruelle : « Mon
ami
, nous venons de perdre la meilleure des mères : j
es vagues que la mer roule dans une tempête. » M. Joubert, un de ses
amis
de ce temps, écrivait confidentiellement à madame
croit entendre à l’avance un conseil de Vauvenargues à quelque jeune
ami
, dans la bouche de cette mère issue d’une bourgeo
e marquis d’Argenson (1733). Il y avait quinze ans que j’étais de ses
amis
particuliers et qu’elle m’avait fait l’honneur de
iche, faisait un bon et aimable usage de ses richesses, du bien à ses
amis
, et surtout aux malheureux. Élève de Bachaumont,
s rangs pour l’Académie française. Elle l’assurait du suffrage de ses
amis
, qui étaient fort nombreux dans cette compagnie :
son influence croissante, combinée à celle de La Motte et des autres
amis
de Mme de Lambert, contribua à donner à l’Académi
des mêmes reproches, non pas chez un ennemi, mais sous la plume d’un
ami
, M. de La Rivière, le même qui fut le gendre de B
t sous un jour assez particulier : C’était, dit-il, ma plus ancienne
amie
, et ma contemporaine… Elle était née avec beaucou
Avis à son fils et à sa fille, elle y fut aidée par quelqu’un de ses
amis
qui n’est autre que lui-même. Il lui avait suggér
mble avoir eu en vue le public. Elle avait prêté ses manuscrits à des
amis
qui furent indiscrets, selon l’usage. Les conseil
t pas été entièrement satisfait, à cet égard, des dispositions de son
amie
. Il dit quelque part d’elle assez ingénument, en
pour vos domestiques. Un ancien dit qu’il faut les regarder comme des
amis
malheureux… Songez que l’humanité et le christian
, d’une acception nette et vive. Elle dira, par exemple, à propos des
amis
et du soin qu’il faut prendre en les choisissant
il faut prendre en les choisissant : « Il faut songer de plus que nos
amis
nous caractérisent : on nous cherche dans eux… »
rmi le tumulte du monde, ayez, mon fils, lui dit-elle encore, quelque
ami
sûr qui fasse couler dans votre âme les paroles d
ions, et la recherche s’y fait plus d’une fois sentir. Parlant de son
ami
La Motte, et pour caractériser la facilité de ses
te au sujet d’Homère, Mme de Lambert, tout en penchant du côté de son
ami
, plus poli et plus délicat, essaya d’introduire l
ous les agréments, les mœurs et les grâces. Le commerce de ses autres
amis
lui était agréable, mais celui de M. de Sacy lui
ne un si noble usage, a été donnée dès longtemps par un de ses autres
amis
que j’ai déjà nommé, le judicieux marquis d’Argen
ock, Documents pour l’histoire de la Bibliothèque impériale.) 26. Un
ami
me fait apercevoir que cette pensée, qui m’étonna
votre pardon, recouvrer votre honneur, et pour me consoler moi et vos
amis
, que de confesser vos torts et de détruire vous-m
par les médecins et à obéir aux conseils de vos protecteurs et de vos
amis
, au nombre desquels sachez bien que je suis et qu
moignages pareils, quand on considère que le cardinal Albano était un
ami
des Médicis peu favorable à la maison d’Este ? Qu
cesse, si Léonora a été pour le Tasse plus qu’une bienfaitrice et une
amie
? Mais cet amour même et l’enthousiasme de la cou
que de Venise, où le Tasse comptait déjà tant d’admirateurs et tant d’
amis
, n’allaient-ils pas protester unanimement contre
poète, et plus féroce que la nature : l’amitié se lassa en lui, et l’
ami
se changea en persécuteur. C’est par là qu’il enc
à Lucrézia et à Léonora, les deux sœurs de son persécuteur, les deux
amies
de ses belles années. « À vous deux, disent ces
re donner, sous ses propres yeux, une édition avouée et correcte. Son
ami
Ingegneri, qui se fit renfermer avec lui pour ce
radation du génie. La princesse de Mantoue et Scipion de Gonzague son
ami
vinrent le visiter dans sa prison ; la princesse
le laissait passer des jours et des semaines dans les maisons de ses
amis
. Il raconte lui-même les fêtes de Ferrare auxquel
er pendant six ans de captivité. « Je suis à Mantoue, écrit-il à son
ami
Licinio, logé auprès de l’illustrissime prince, s
uc de Mantoue et l’élévation au trône du jeune prince de Mantoue, son
ami
, le rappelèrent encore dans cette ville. Ce princ
age néanmoins fut un triomphe, partout où il se fit reconnaître à ses
amis
et à ses admirateurs. Il s’arrêta d’abord à Bolog
es amis et à ses admirateurs. Il s’arrêta d’abord à Bologne, chez son
ami
Constantin ; la ville savante se pressa tout enti
de de corps, égaré d’esprit, le cœur oppressé, la mémoire perdue, les
amis
devenus indifférents, la fortune obstinément adve
itait le rôle de Mécène du seizième siècle, et qui, après avoir été l’
ami
du Tasse, devint plus tard l’ami de Milton, attac
me siècle, et qui, après avoir été l’ami du Tasse, devint plus tard l’
ami
de Milton, attachant ainsi, par la plus rare des
une voix mourante, elle prononce en tombant ces paroles dernières : «
Ami
, tu as vaincu ; je te pardonne : toi-même, pardon
a. « J’ai retrouvé ici », écrit-il, « toutes mes peines, mais non mes
amis
; je n’ai pas même de quoi acquitter les droits d
l est impossible de vivre ici sans un cheval, et je n’ai ni cheval ni
ami
pour me conduire dans son carrosse, ni robe de ch
mois après, dans ses lettres, fatigué de Florence, et demandant à son
ami
Constantin un asile dans le palais de Santa Trini
is j’avoue que je me ruine en médicaments. » Le marquis de Villa, son
ami
de Naples, lui envoya quelques ducats pour renouv
ntin, qui était de retour à Rome ; il craignait même d’importuner cet
ami
. « Maintenant », lui écrit-il, « me voilà décidé
our être consigné comme un honneur dans les archives de la ville. Ses
amis
de Naples prirent congé de lui aux portes de Capo
Abruzzes, interceptait le passage. « Hier », écrivit le Tasse à son
ami
Constantin, « le chef de brigands Sciarra a pillé
rivait ce poème, les nécessités de son procès et les instances de ses
amis
le rappelèrent encore à Naples. Il quitta, non sa
et tous les seigneurs lettrés de Naples lui firent une cour assidue d’
amis
; néanmoins son instinct voyageur lui fit tourner
négociait ainsi en vain son raccommodement avec la maison d’Este, son
ami
le jeune cardinal Cinthio négociait pour lui aupr
saint Benoît, un des patrons qu’il s’était choisis dans le ciel. Son
ami
le cardinal Cinthio, les membres de la famille du
emain de son installation à Saint-Onufrio, une touchante lettre à son
ami
Constantin. Nous la traduisons comme la dernière
comme la dernière parole échappée de son cœur. « Que dira mon pauvre
ami
Antonio quand il apprendra la mort de son Tasse ?
On le rapporta anéanti de faiblesse et d’extase dans sa cellule ; son
ami
, le cardinal Cinthio, apprenant qu’il touchait au
solation. » Cinthio accourut à Saint-Onufrio apporter lui-même à son
ami
cette suprême faveur de son oncle. Le Tasse la re
onfiance au murmure des psaumes du poète couronné que le cardinal son
ami
, le prieur et deux frères du couvent, récitaient
moire qu’à sa vie, lui fit préparer un sépulcre monumental. Son autre
ami
, le marquis Manso, de Naples, accouru à Rome pour
Manso, de Naples, accouru à Rome pour pleurer sur le cercueil de son
ami
, revendiqua le droit de revêtir aussi sa cendre d
s effets nécessaires. Un vieil évêque de Spire dit à dame Uote: « Nos
amis
veulent se rendre à cette grande fête ; que Dieu
et de flûtes s’éleva le matin de bonne heure, au moment du départ. L’
ami
embrassa encore tendrement ceux qu’il aimait. La
e prince burgonde, parla: « Il me faudra en ce jour pleurer la mort d’
amis
bien-aimés, puisque nous n’avons pas les batelier
Hagene, veillez bien, chevaliers et varlets. Qu’on suive de près ses
amis
, voilà ce qui me paraît bon. Je vais vous faire c
sur les terres de Ruedigêr, ils y sont reçus en frères par cet ancien
ami
; il donne la main de la princesse sa fille à Gîs
s noces est de l’épique le plus gracieux. Volkêr, le brave ménestrel,
ami
de Hagene, chante son lai aux femmes. Ruedigêr le
q cents chevaliers. Le seigneur, en partant, embrassa tendrement son
amie
; ainsi fit aussi Gîselher, comme le lui conseill
uraient et aussi maintes vierges. Elles avaient grand regret de leurs
amis
bien-aimés, que depuis elles ne revirent plus jam
t se tenait à une fenêtre. Elle attendait ses parents ; ainsi fait un
ami
pour ses amis. Elle vit venir maint homme de sa p
une fenêtre. Elle attendait ses parents ; ainsi fait un ami pour ses
amis
. Elle vit venir maint homme de sa patrie. Le Roi,
orait ainsi des faits qui s’étaient passés autrefois. Il revoyait son
ami
de Troneje, qui dans sa jeunesse lui avait rendu
u de grands services. Bientôt, en sa vieillesse, Hagene lui tua maint
ami
très-chéri. XXIII Les deux héros dignes d
és pour sortir du palais, s’adressa à son compagnon d’armes: « Voyez,
ami
Hagene, comme elle s’avance superbe, celle qui no
t d’hommes portant l’épée à la main et armés en guerre. « Savez-vous,
ami
Hagene, s’ils ont de la haine contre vous ? S’il
échapper et retourner au pays des Burgondes. « Maintenant, dites-moi,
ami
Volkêr, consentez-vous à me secourir, si les homm
s’entre-regarder. XXIV Hagene, le brave ménestrel, Volkêr son
ami
passent la nuit aux portes extérieures de la sall
fils, il parla affectueusement aux parents de sa femme: « Voyez, mes
amis
, c’est mon fils unique, celui de votre sœur. Auss
pourra bien vous servir. « C’est pourquoi, je vous en prie, mes chers
amis
, quand vous retournerez vers le Rhin, emmenez ave
nne épée, regarda par-dessus son épaule et s’écria: « Malheur ! que d’
amis
j’ai perdus ! Maintenant je dois tout seul, hélas
qui étaient dehors voulaient pénétrer à l’intérieur, où étaient leurs
amis
. Mais ils gagnaient peu de terrain du côté de la
gnon, mon frère lutter contre les Hiunen sous leurs coups redoublés ?
Ami
, sauve-moi mon frère, ou nous perdrons ce héros.
rel cria au-dessus des têtes de la foule: « La salle est bien fermée,
ami
sire Hagene. Oui, les mains de deux héros ont mis
avait de grands soucis, il n’en pouvait être autrement. — Ah ! que d’
amis
chéris furent tués sous ses yeux, — et lui-même é
uelqu’un des siens. « Je le vois sur la table faire signe de la main.
Amis
et parents du pays burgonde, cessez le combat ; l
oi il s’agissait, et il dit: « Très-noble Dietrîch, qu’est-ce que mes
amis
vous ont fait ici ? Je suis prêt à en faire amend
lle, faites-le nous savoir. Une paix constante doit régner entre bons
amis
. » Gîselher du pays burgonde répondit: « Paix et
s hommes vous nous êtes fidèles. C’est pourquoi sortez d’ici avec vos
amis
sans nulle inquiétude. » Quand le seigneur Ruedig
n. Si jamais nous rentrons dans notre patrie, je veux être encore son
ami
fidèle. « Maintenant, vois, noble roi, combien Vo
porter de magnifiques vêtements. » De tous les parents et de tous les
amis
des Hiunen, aucun n’avait échappé. Le bruit cessa
margrave en conçut un indomptable orgueil. Alors Irinc s’écria: « Mes
amis
, sachez qu’il faut que vous m’armiez à l’instant.
à m’adresser ? Que vous avais-je fait ? Je suis venu vers ce pays en
ami
. « — Oui, répondirent-ils, c’est votre bonté qui
t que nous sommes ici ; car je ne trahirai ma foi envers aucun de nos
amis
. » Le hardi Dancwart parla, — il ne lui convenait
force de leurs bras. Bientôt maintes belles femmes en perdirent leurs
amis
bien-aimés. Les brandons enflammés tombaient de t
it engagé d’honneurs envers Etzel son souverain et combat ses anciens
amis
; il le leur déclare avec franchise, et meurt sur
es. « En pensant à vous-mêmes et à votre affliction, à la mort de vos
amis
et à vos rudes combats, ô héros superbes, votre â
urs ! Vous n’avez guère pensé à ma désolation et à la vôtre. Tous mes
amis
sont là gisant, tués par vous. Jamais je ne pourr
t. « Journée de prières et de pieuse consolation : pèlerinage de ton
ami
, le saint abbé de Rivières, à Andillac, où il a d
mbe. Oh ! que cela m’a touchée ; que j’ai béni dans mon cœur ce pieux
ami
agenouillé sur tes restes, dont l’âme, par-delà c
n âme vit dans un cercueil. Oh ! oui, enterrée, ensevelie en toi, mon
ami
; de même que je vivais en ta vie, je suis morte
si finissent ceux qui s’en vont dans la vie meilleure. « Maurice, mon
ami
, qu’est ce que le ciel, ce lieu des amis ? Jamais
vie meilleure. « Maurice, mon ami, qu’est ce que le ciel, ce lieu des
amis
? Jamais ne me donneras-tu signe de là ? Ne t’ent
les souffrances du corps : “Soulagez-moi, vous qui m’aimez.” Oui, mon
ami
, par la prière. Je vais prier ; je l’ai tant fait
orts, c’est la rosée du purgatoire. « Sophie m’a écrit, cette Sophie,
amie
de Marie, qui m’aime en elle et vient me consoler
la bague ? ” Oh ! qu’elle m’est triste à voir et que je l’aime ! Mon
ami
, tout m’est relique de toi. « La mort nous revêti
Le 25 août. « Tristesse et communion ; pleuré en Dieu ; écrit à ton
ami
; lu Pascal, l’étonnant penseur. J’ai recueilli c
« Saint Augustin aujourd’hui, ce saint qui pleurait si tendrement son
ami
et d’avoir aimé Dieu si tard. Que je n’aie pas ce
e la vie, c’est d’en rompre les relations. « Je voulais envoyer à mon
ami
les deux grenades du grenadier dont il a travaill
on Dieu que tu as reçu dans cette petite église. C’est ton frère, ton
ami
, le bien-aimé souverain que tu ne verras pas mour
! Je regrettais d’être seule à le voir. J’ai pensé à notre peintre et
ami
, M. Augier, lui qui sent si bien et prend sitôt l
Je veux que tu m’écrives là ton tous les jours à Paris. » Oh ! pauvre
ami
! je l’ai bien écrit, mais il ne l’a pas lu ! Il
étions ensemble à pareil jour l’an dernier ; que j’avais un frère, un
ami
que je ne puis plus ni voir ni entendre. Plus de
as Dieu avec soi en cet effroi, que devenir ? Que devenez-vous, vous,
ami
tant atterré par sa mort, quand votre douleur se
part, pas même ici !… Repris pour noter une lettre de Marie, ma belle
amie
, qui tremble de me croire malade. Hélas ! non, je
ne me ressuscite de ce tombeau où j’ai l’âme ensevelie. Maurice, mon
ami
! il n’en était pas ainsi de moi quand je l’avais
quelques heureux jours en Berry, au château de Saint-Martin, chez son
amie
, Mme de Maistre. À Saint-Martin. « Lire, écrire,
n’étant plus retenue par un amour ni par un devoir, elle mourut. Ses
amis
recueillirent ce Journal et une partie de sa corr
act avec le monde, qui pénètre dans sa solitude avec son frère et les
amis
de son frère, leur doute, leur changement d’opini
puis ce frère Maurice, dans l’âme duquel elle se transvase, puis les
amis
de ce frère, dans lesquels elle voit encore et to
de tendre dans la fille, de dévoué dans la sœur, d’affectueux dans l’
amie
, de religieux dans le sentiment, de pittoresque d
possible de lire Mlle de Guérin sans se dire à soi-même : « C’est mon
amie
! » Son âme est de même famille que la mienne, et
il fît d’intéressantes recrues, il acquit un certain nombre de jeunes
amis
et de fidèles qui avaient du mouvement, du liant,
e Strogonof se fut résigné à un autre mariage, Mme Swetchine devint l’
amie
la plus sûre et la plus fidèle de sa femme. » S’
r de se laisser prendre trop vivement aux choses de la terre. Une des
amies
de jeunesse de Mme Swetchine était Mlle Roxandre
milité, elle se mettait toutefois fort au-dessous de son incomparable
amie
. La céleste Roxandre, en ce temps-là, était l’obj
trice de Constantinople ou de Trébizonde. Ce qu’échangeaient les deux
amies
de sentiments élevés, exquis et mystérieux, est i
désabusement personnel profond ; elle souhaitait passionnément à son
amie
ce qui lui avait manqué à elle-même : « Chère Ro
rez des jours dont le reflet encore suffira pour embellir ceux de vos
amis
. » A tout moment elle trahit son impétuosité de
éfaut, me restera-t-il une vertu ? Voyez vous-même, chère, bien chère
amie
. Si j’avais jamais osé demander quelque chose, né
ées, la Religion eut pour moi ce caractère ; et le croiriez-vous, mon
amie
? c’est cinq minutes d’exaltation religieuse qui
entier abandon de son être au sein de Dieu : « Ces sentiments, chère
amie
, sont de très ancienne date : le premier germe en
s de retraite : elle est revenue de Photius à saint Pierre. Ses pieux
amis
ont le droit de l’en révérer davantage, et de se
, dans un voyage qu’elle fit à Paris, cette charmante Roxandre, cette
amie
de jeunesse de Mme Swetchine et qui était devenue
roideur ou de réserve qu’elle rencontrait désormais dans son ancienne
amie
et qu’elle attribuait à la différence de communio
urément ne saurait être plus flatteur que de compter presque autant d’
amis
qu’autrefois d’adorateurs. Peut-être cependant, s
est encore aux vieux qu’on plaît le moins. » Or, plusieurs des jeunes
amis
de Mme Swetchine étaient de l’Assemblée, prenaien
ait échapper à la colère, disait-elle vers ce temps à une spirituelle
amie
, comme un profond sentiment de l’infirmité humain
» Je ne sais rien qui lui fasse plus d’honneur, dans tout ce que ses
amis
nous ont transmis d’elle, que sa manière de senti
mes, chez les mêmes libraires, 1861. 28. Ce passage a contrarié les
amis
de MmeSwetchine qui avaient écrit le contraire ;
e ferait que déguiser les noms. C’était une manière d’apprendre à ses
amis
bien des choses qu’elle n’était pas fâchée qu’ils
e remplace point. Mme d’Épinay suivit assez bien les conseils de son
ami
. Elle ne court pas après l’imagination, qui n’est
ns passés, un peu embellie si l’on veut, ou du moins vue par des yeux
amis
, un jour de beauté et de soleil. Ce qu’elle était
plus plaisantes du monde. Un jour qu’elle écrivait de chez lui à son
ami
Grimm, il voulut rester dans la chambre pendant q
t état de vague et de langueur, la jeune femme s’excuse auprès de son
amie
: « Je crois que ce sont des vapeurs, je me sens
; dites-moi tout ce qui se passe dans cette jolie tête. Je suis votre
amie
, je le serai toute ma vie ; ne me cachez rien de
e le dépeindre, qui se sacrifie pour vous et se contente d’être votre
ami
, sans pousser ses prétentions jusqu’à vouloir êtr
issait qu’il fallait cependant cacher quelque chose à cette prétendue
amie
, qui portait si hardiment la main à ces tendresse
ivre tout de bon, il n’est plus aussi exact ni attentif auprès de son
amie
: les mauvaises mœurs du temps l’ont gagné. C’est
arler, droit et adroit. Il ne laissera plus désormais que l’idée d’un
ami
dangereux, d’un despote mordant, cynique et traît
urable vanité. Grimm, tel qu’il ressort pour moi du témoignage de ses
amis
(les seuls qui soient en droit de l’apprécier, di
une fois choisis. Laissez un peu Rousseau à part : auquel donc de ses
amis
Grimm a-t-il jamais manqué ? Il aima Mme d’Épinay
sprit aussitôt de l’apprécier par ce mérite essentiel, et de sentir l’
ami
sérieux qui lui venait. Dès les premiers temps de
se par les incidents de sa vie première, si calomniée par ses anciens
amis
, était en voie de devenir meilleure dans le temps
perdait de la jeunesse. Il conseilla quelque chose de semblable à son
amie
. Quand il était obligé de quitter Paris, c’était
. [Note.] On lit dans une notice que M. Brunet a consacrée à son
ami
M. Parison après le décès de celui-ci, et quand o
on du manuscrit qui renfermait les Mémoires de Mme d’Épinay, pria son
ami
de le revoir et de le mettre en état d’être impri
Jamais M. Parison n’a voulu avouer, si ce n’est peut-être à quelques
amis
, qu’il fût l’éditeur de ces singuliers mémoires ;
Maucroix, l’
ami
de La Fontaine. Ses Œuvres diverses publiées par
enons tout simplement à un disciple d’Horace. Le chanoine Maucroix, l’
ami
et le camarade de La Fontaine, n’était pas autre
de l’inclination pour lui. » C’est Tallemant qui nous peint ainsi son
ami
, et qui nous raconte l’historiette romanesque. Ml
prix : Le 13 avril 1695, mourut à Paris mon très cher et très fidèle
ami
M. de La Fontaine ; nous avons été amis plus de c
s mon très cher et très fidèle ami M. de La Fontaine ; nous avons été
amis
plus de cinquante ans, et je remercie Dieu d’avoi
. Il a fait d’assez jolis vers, doux ou railleurs, mais sans haleine.
Ami
de Tallemant des Réaux presque autant que de La F
lières, desquels il aurait pu dire comme Pline le Jeune envoyant à un
ami
ses hendécasyllabes : « Ce sont de petits vers da
onheur secret n’a que lui de témoin. Un charmant vers, et qui sent l’
ami
des Géorgiques. Il se remet aux grands des soin
rentré au nid, se promit bien de s’y tenir coi et ne plus quitter ses
amis
ni ses compères : Voilà nos gens rejoints ; et j
e. Les lettres qu’il écrit durant le temps de ce séjour à Paris à son
ami
le chanoine Favart nous peignent à ravir et au na
s compliments en corps qu’on va faire au roi sur ses victoires : Mon
ami
, tout le monde va ici en masque ; tout le monde,
il avait causé avec Tallemant des Réaux : il se hâte d’en régaler ses
amis
de Reims. Mais la fatigue inaccoutumée d’une tell
Dieu qu’il me reste de vie, et un peu de griffonnage45 ! Tel était l’
ami
de La Fontaine, de celui qui disait sans doute un
et que je vous revoyais encore, comme autrefois, avec tous ces chers
amis
que nous avons perdus, et qui ont disparu velut s
ent à personne. C’est comme la moralité de l’immortelle fable de son
ami
, Le Vieillard et les Trois Jeunes Hommes. Le nom
nes Hommes. Le nom de Maucroix est devenu inséparable de celui de cet
ami
; il l’est surtout maintenant qu’on a la plupart
air… Au jeu, elle a la tête appuyée familièrement sur l’épaule de son
ami
. On croit que cette affectation était pour dire :
a faveur était extrême, dit madame de Sévigné dans sa lettre du 26. L’
ami
de Quanto (le roi) en parlait comme de sa premièr
. L’ami de Quanto (le roi) en parlait comme de sa première ou seconde
amie
: il lui avait envoyé un illustre (Le Nôtre) pour
bre, madame de Sévigné écrit à sa fille : « Tout le monde croit que l’
ami
(le roi) n’a plus d’amour, et que Quanto (madame
. Madame de Sévigné écrit, le 2 octobre, à sa fille « que la veille l’
ami
et l’amie (le roi et madame de Montespan) avaient
de Sévigné écrit, le 2 octobre, à sa fille « que la veille l’ami et l’
amie
(le roi et madame de Montespan) avaient passé tou
n donne pour l’ameublement de la maison. Le maréchal d’Albret, ancien
ami
de madame de Maintenon, était mort dans le mois d
ouleur profonde que madame de Maintenon ressentait de la perte de cet
ami
: il fait placer le portrait du maréchal d’Albret
dont l’histoire se trouve presque confondue avec celle de son aimable
amie
. C’est la même que Boileau désignait pour la femm
joignait une exactitude naturelle, et, comme le disait sa spirituelle
amie
, une divine raison qui ne lui fit jamais faute ;
de, etc. » Cette héritière perfectionnée de Mme de Rambouillet, cette
amie
de Mme de Sévigné toujours, de Mme de Maintenon l
Sévigné, et Mme de La Fayette, plus jeune de six ou sept ans que son
amie
, ajoutèrent donc à un fonds excellent une culture
a Vergne, Laverna, comme il disait102. Plus tard, il lui présenta son
ami
le docte Huet, qui devint aussi pour elle un cons
l’expliquerai plus bas, elle avait choisi hors de ce tourbillon pour
ami
de cœur M. de La Rochefoucauld, âgé déjà de cinqu
nt. » C’est toujours sous ces traits jeunes et à jamais fixés par son
amie
, que Mme de Sévigné nous apparaît immortelle. Qua
u 1666. Mme de La Fayette écrit cette lettre à Mme de Sablé, ancienne
amie
de M. de La Rochefoucauld, la même qui eut tant d
tre. Enfin je ne veux pas qu’il en pense rien, sinon qu’il est de mes
amis
, et je vous prie de n’oublier non plus de lui ôte
e qu’à cette époque, qu’il me semble que l’influence sur lui de cette
amie
affectueuse est expressément contraire aux Maxime
nous la montre, se régla complétement. Les lettres de l’incomparable
amie
, qui vont d’une manière ininterrompue précisément
e arrange et quelle échange sans cesse entre sa fille et sa meilleure
amie
. Même quand Mme de La Fayette n’alla plus à Versa
baumé, dans la maison de Gourville à Saint-Maur, où elle s’habitue en
amie
franche, à Fleury-sous-Meudon, où elle va respire
tesse de Mme de La Fayette ne pouvait supporter le départ d’une telle
amie
. Un jour on parlait devant elle, M. le Duc présen
de ces paroles rapportées et de ces conjectures qui déplaisent entre
amis
: « L’idée d’entrer en religion ne m’est jamais v
ui arrivait trop souvent, elle y était plus simple à coup sûr que son
amie
sous ce manteau couleur de feuille morte qu’elle
rte, un miroir embelli où recommençait sa jeunesse117. Ainsi ces deux
amis
vieillis remontaient par l’imagination à cette pr
ière jeunesse, enfin de tout ce qui est le plus loin d’elle et de son
ami
, en leur liaison tardive. Dans la teneur de la vi
avec l’amant. En achevant leur roman idéal, il est clair que les deux
amis
, — que M. de La Rochefoucauld et elle, — en venai
te si pleine de ce malheur et de l’extrême affliction de notre pauvre
amie
, écrit Mme de Sévigné, qu’il faut que je vous en
uvera à sa place ; mais où Mme de La Fayette retrouvera-t-elle un tel
ami
, une telle société, une pareille douceur, un agré
dont le temps puisse moins consoler. Je n’ai pas quitté cette pauvre
amie
tous ces jours-ci ; elle n’alloit point faire la
une Mme de Schomberg donna quelque éveil curieux et jaloux aux autres
amies
plus anciennes : on ne voit pas que cet effort d’
ne et Boileau avaient tué. Elle voyait Fontenelle, elle comptait pour
amis
particuliers des hommes comme Segrais, Huet, qui
our enfin, qui avait attaqué la Princesse de Clèves, était l’élève, l’
ami
intime de tous deux. Après cela, Mme de La Fayett
eux ou trois jours après le jour funeste, et déplore la mort de cette
amie
de quarante ans : « … Ses infirmités, depuis deux
eut le tort d’en user trop longtemps sans réserve, comme on fait d’un
ami
sûr, a écrit d’elle quelque chose en ce sens, et
109. Elle n’aurait pas dit la même chose de Malebranche, et, en digne
amie
de Huet, elle avouait à Ménage, sur la Recherche
entions de vouloir remplacer Mme de Sablé, qui éloignèrent d’elle ses
amis
et rendirent sa maison déserte : on ne peut tranc
de Caylus, Cavoye, Valincour, Despréaux et Racine lui-même : « Votre
amie
Mme de La Fayette, écrit ce dernier, nous a été d
enu de rendre ce que nous devons à la mémoire du plus regretté de nos
amis
littéraires et du plus sensiblement absent de nos
rés ne sauraient le lui dire. Les personnes qui, sans connaître notre
ami
, l’ont lu pendant dix années et l’ont suivi dans
s grande place. Ces lettres sont adressées à l’un de ses plus tendres
amis
, M. Jules Macqueron, qui faisait lui-même d’agréa
Les journées n’étaient pas rares pour lui où il pouvait écrire à son
ami
, après des pages toutes remplies d’effusions : «
rles Louandre, fils du savant bibliothécaire d’Abbeville, et les deux
amis
avaient projeté de concert une Histoire des Prédi
en d’autres temps se diviser entre la presse et la tribune. Les deux
amis
poussèrent vivement les préparatifs de leur commu
’études se pressait dans les premiers mois de 1836 et avant que notre
ami
eût accompli ses vingt ans. Il avait à cette heur
dio de fonte leporum , admirable cri de ce Lucrèce tant aimé de notre
ami
? Quelle qu’en fût la cause, l’étude passionnée à
t-il de Paris à M. Jules Macqueron, le 30 décembre 1835) ; mon pauvre
ami
, ma santé est à peu près perdue, et il est fort p
que mon pèlerinage sera court. Je dirais tant mieux, si je n’avais ni
amis
ni parents. Ne crois pas que je me drape ici en p
le dos à l’avenir, et du passé ils disaient ce qui est devant. Notre
ami
avait toujours ce grand passé littéraire devant l
sermonnaires. C’en était peut-être le plus piquant épisode, et notre
ami
l’a élevé aux proportions d’un ouvrage dont il se
chappent parfois à l’érudit. Eh bien ! l’esprit vif et léger de notre
ami
triompha le plus habituellement de l’épaisseur du
nscience, qualités qui distinguent cet investigateur laborieux. Notre
ami
, toujours bienveillant et en éveil, s’était empre
ion de la Ménippée, j’ai besoin d’ajouter ici dans l’intérêt de notre
ami
quelques raisons subsidiaires qu’il eût pu donner
u généreux pamphlet, M. Bernard ne chercha pas moins querelle à notre
ami
, qui n’était coupable que d’avoir suivi, dans le
assez insister sur ce principal épisode de la vie littéraire de notre
ami
. Ainsi Charles Labitte trouvait moyen vers le mêm
ps de son séjour à Rennes (fin de février 1842) et adressée à ce même
ami
d’enfance, M. Jules Macqueron, un touchant tablea
gentes et illustres amitiés qui me restent fidèles, écrivait-il à son
ami
en songeant sans doute à MM. Villemain et Cousin
rait dans ce détroit de la seconde jeunesse, la noble nature de notre
ami
ne se dépouillait pourtant qu’autant qu’il le fal
se de Lucrèce. Ce dernier projet nous touche surtout, en ce que notre
ami
s’y montre à nous comme ayant sondé plus avant qu
ux expressions de trouble et de douleur que s’attachait surtout notre
ami
; le livre III, où il est traité à fond de l’âme
fecit, et ille Mensibus atque annis qui multis occidit ante. » Notre
ami
était donc en train d’attacher ses travaux à des
ec les nôtres, montrer cette ambition honorable que poursuivait notre
ami
, non point l’édilit comme Julius Avitus, mais la
lieu sûr ce que nous portons de plus cher avec nous, la mémoire de l’
ami
mort dans la traversée et enseveli à bord du navi
tants, comme Rousseau : il ne prend aucune peine quand il écrit à ses
amis
, et l’on s’en aperçoit, bien que son style garde
plus qu’aucune recherche d’agrément : il croyait n’écrire que pour l’
ami
à qui il s’adressait, sur ce qui l’occupait dans
cer qu’après sa mort : « J’ai toujours pensé, écrivait-il à son vieil
ami
le président de Ruffey, qu’un homme sage doit plu
ait encore mieux que ses ouvrages ou du moins autant : vivre avec ses
amis
, les posséder, vaquer à ses devoirs et à ses rela
si vantés des Saisons, des Mois et des Jardins. Eh bien ! ma discrète
amie
(c’est à Mme Necher qu’il écrit cela), ils m’ont
ent de Brosses demeure pour lui jusqu’à la fin « le plus digne de ses
amis
comme le plus savant de nos littérateurs. » L’hom
le était allée faire un voyage en Bourgogne) ; mais vous savez, bonne
amie
, qu’ils ne sont ni l’un ni l’autre bien ardents s
s la même lettre qu’on lit encore : « Dites-moi, jour par jour, bonne
amie
, votre marche et les lieux que vous habitez ; je
un culte, une adoration réciproque ; des deux côtés, c’est le sublime
ami
; la sublime amie ; l’adorable, la céleste, la di
ration réciproque ; des deux côtés, c’est le sublime ami ; la sublime
amie
; l’adorable, la céleste, la divine amie ; ils ne
le sublime ami ; la sublime amie ; l’adorable, la céleste, la divine
amie
; ils ne s’en lassent pas. Ces deux esprits émine
ntes, et toutes les fois que je me rappelle votre image, mon adorable
amie
, le noir sombre se change en un bel incarnat. » I
s’écrie-t-il, dès qu’une fois mon cœur a prononcé le nom de ma grande
amie
; mais aujourd’hui c’est une émotion, un transpor
heur. « J’irai en pèlerinage à cette tour. » Mais quand, mon adorable
amie
? Bientôt, sans doute. Fixez de grâce mon âme inc
de gazette de lundi dernier. Je vous supplie donc à genoux, ma divine
amie
, de venir en effet illuminer de vos rayons célest
era la porte ? » Une lettre de M. Ballanche, disciple plus encore qu’
ami
de M. de Chateaubriand, leur apprit son passage à
a distinction et la bonté qu’ils croyaient devoir à la personne d’une
amie
du défenseur de l’Église. « Un jour, je la menai
mmobile. Tout était fini ! » XLIV Il fit ensevelir cette femme
amie
dans l’église des Français, Saint-Louis, et quitt
té, date de ce jour-là. Bonaparte ne témoigna aucun ressentiment. Les
amis
mêmes du prochain empire ne se retirèrent pas. M.
la veille. Le Journal des Débats, dont le chef, M. Bertin, était son
ami
, se dévoua à lui et lui prêta sa publicité ambigu
a publicité ambiguë. Il rallia ainsi, dans une coalition néfaste, les
amis
et les ennemis de la Restauration dans une agress
ne, cette maladie organique de la France, ne laissa plus de doute aux
amis
des Bourbons sur leur ruine prochaine. LII
sans dignité dans son style, sans sincérité dans ses démonstrations ;
ami
de Carrel et de Béranger en France, et ami des Bo
dans ses démonstrations ; ami de Carrel et de Béranger en France, et
ami
des Bourbons exilés en Allemagne, flairant la pop
ochaine, faux des deux côtés. LV Il lui fallait, cependant, une
amie
à laquelle il pût offrir, au moins en apparence,
e convertit en assiduité de vieillesse entre les deux amants toujours
amis
. L’Abbaye-au-Bois, séjour de madame Récamier, dev
aubriand : le matin, en tête-à-tête ; le soir, avec un petit nombre d’
amis
du grand homme. Bien que M. de Chateaubriand n’eû
écamier pour moi. « Comment, lui demandait un jour M. Ballanche, son
ami
, pouvez-vous concilier votre amitié pour M. de Ch
rtine ? — C’est, répondit-elle, parce que M. de Chateaubriand est mon
ami
, et que M. de Lamartine est mon héros. » Ce mot
asile, à la table que M. de Chateaubriand avait cédée à son illustre
ami
. Ses arbres et ses fontaines semblaient le pleure
re, en opposition avec Bonaparte, n’eurent donc pas le succès que ses
amis
en avaient attendu. Il en eut, par les souscripti
fidèles domestiques. Sa gloire, réduite à la voix d’un petit nombre d’
amis
, parmi lesquels on remarquait le publiciste de la
e rattacher aux douces habitudes de son imagination comme à d’anciens
amis
éprouvés avec lesquels on vient prier dans les mê
correspondance qu’il entretint de Rome et de Londres avec sa nouvelle
amie
, madame Récamier, en est la preuve. Parvenu au bu
possible de ne pas croire. À la fin, madame Récamier, suivie par deux
amis
dévoués, Ballanche et Ampère, et par une jeune et
oile de l’absence et de la distance pouvait excuser aux yeux de leurs
amis
communs. Cela était d’autant plus nécessaire, que
it à faire les honneurs de la France à Rome. M. de la Ferronnays, son
ami
, tenait le gouvernail des affaires étrangères, à
ier, il n’y eut autour de lui, dans sa maison solitaire, que quelques
amis
de la dernière heure qui jouissaient de leur fidé
mie plus encore qu’aux faits, laisse sans doute à désirer ; un de nos
amis
, M. Charles Eynard, à qui l’on doit déjà une Vie
trer, s’étonne, la rassure, la gronde : « Mais quelle folie, ma chère
amie
! Pouviez-vous croire que je courusse le moindre
ions. Il est deux points qui m’ont toujours choqué chez mes meilleurs
amis
jansénistes, c’est quand ils insistent sur la dam
, qui venait de donner Atala, no négligeant point pour cela son vieil
ami
Saint-Pierre, accueillant les poëtes et n’oublian
compte de son deuil, et en y paraissant comme forcée par ses nombreux
amis
et par ses admirateurs. Pour monter à souhait cel
i écrivait-elle ; faites faire par un bon faiseur des vers pour noire
amie
Sidonie. Dans ces vers que je n’ai pas besoin de
hanteresse191, mais qui peut peindre ce qui te fait remarquer ? — Mon
ami
, c’est à l’amitié que je confie cela : je suis ho
: vous me ferez connaître La Harpe, auprès duquel est déjà un de vos
amis
. Je travaillerai auprès de Bernardin de Saint-Pie
la piété, la nature et l’étude, heureuse, etc., etc… Voilà, mon cher
ami
, ce que je vous demande pour elle, et je vous exp
latanisme qui met en évidence et qui fait aussi qu’on peut servir ses
amis
. Je brûle de savoir votre projet et de travailler
ni délicat ni beau. Dans ce même temps, Mme de Krüdner écrivait à une
amie
plus simple, à Mme Armand, restée en Suisse, et e
vertu, en faisant déjà intervenir la Providence : « Quel bonheur, mon
amie
! Je ne finirais pas si je vous disais combien je
rités qu’on invoque le plus volontiers quand il s’agit de sa fervente
amie
. « Lézay prétend (dit Chênedollé) que Mme de Krüd
recevoir sa communion. » Le mot est vif, il est sanglant, venant d’un
ami
intime ; mais il marque quelle était alors la dis
passé pour elles n’est point mort, il n’est qu’absent. « Le meilleur
ami
à avoir, c’est le passé. « Dire aux hommes ne suf
aient montées pour saluer son apparition. Aucune ne manqua son effet.
Amis
dévoués, journalistes, littérateurs indépendants,
re jour : Il y a quelque chose de surnaturel dans ce succès. Oui, mon
amie
, le Ciel a voulu que ces idées, que cette morale
st le plus aimable de tous. » Le livre de M. Eynard est dédié A mes
amis
Alfred de Falloux et Albert de Rességuier , avec
pour le diriger. C’est un vif chagrin pour leurs ennemis, pour leurs
amis
une grande joie, et pour eux-mêmes surtout une bo
ys. Si son cœur t’accueille avec bienveillance, espère alors voir tes
amis
et retourner dans ton élégante maison et dans ta
. de Lamartine, à Saint-Point. Scène orientale. « J’achève, mon cher
ami
, de lire l’idylle antique que vous avez intitulée
onuments que vous érigez pour le peuple à la mémoire de ses meilleurs
amis
. Virgile, qui lui doit sa plus touchante inspirat
gue, et garde ta voix au fond de ton cœur. « Telles étaient, mon cher
ami
, les grandes idées religieuses émanées du culte d
de notes pour la seule femme qu’il ait aimée, en lui recommandant ses
amis
, et en la recommandant à ceux qu’il laissait aprè
t ceux qui chérissent la haute littérature, — moi, — j’avais perdu un
ami
! Adolphe Dumas [XI (suite)] Et toi
son front : — Ah ! c’est Lamartine, s’écria-t-il ; eh quoi ! mon cher
ami
, dévoré du temps comme vous êtes, et préoccupé ju
nt, et des soucis pour oublier les miens en pensant aux soucis de mes
amis
! Il y a près d’un mois que je ne vous ai vu, je
un être désespéré, la douleur me fait chrétien ! Croyez-moi, mon cher
ami
, il y a quelque grand secret dans les larmes : vo
le vent. Tout ce qui soulage vient de Dieu ; vous êtes très fort, mon
ami
, vous êtes héroïque dans vos tortures comme Philo
Quelques jours après ce jour, le soir, à l’heure où quelques rares
amis
, que la mort décime d’année en année, viennent ca
le devinent. Voyez le chien du Lépreux dans Xavier de Maistre, votre
ami
, comme c’est vrai, comme c’est compris, comme c’e
aussi, Madame, et moi aussi ; après ma mère, mes frères, ma sœur, mes
amis
, ce que j’ai le plus aimé, le plus regretté, le p
sur la terre, c’est un pauvre oiseau, c’est ma tourterelle ; c’est l’
amie
, c’est la compagne du solitaire. Vous l’avez conn
ictimes. C’est un enfant qui s’amusa à tordre le cou à la tourterelle
amie
de Dumas. — Oh ! lisez-nous les vers que vous ave
uand on peut dans cette triste vie, ajouta-t-il, je n’avais que cette
amie
à pleurer : voilà ! Et il récita, au lieu de les
re Qui nous fait rire tous les deux. Elle se dit : Voilà mon
ami
qui travaille. Et vole sur les toits chercher un
s pleurions ensemble Tous les jours et toutes les nuits. Mes
amis
le disaient, je puis bien le redire ; Elle avait
rance ; il était du village d’Eyragues, voisin, presque contemporain,
ami
et tuteur de ce Mistral qui nous apporta un beau
blées de tribun sur la place publique. Nous nous retrouvâmes toujours
amis
après les orages et les revers. Lui aussi, il éta
a tête aux pieds aux yeux de celle qu’il aimait. Il ne dit rien à ses
amis
, ni à sa fiancée ; il disparut pendant plus d’un
sa pauvreté vaillante dans ce couvent, Adolphe Dumas avait amené une
amie
, une compagne au cœur chagrin, aux fidèles amours
u des armées dans ces choses ; mais il n’abandonna jamais ceux de ses
amis
qui avaient combattu sous le drapeau de la Républ
Job trouve dans l’entretien perpétuel et solitaire avec son invisible
ami
. Relisons ici les derniers mots de Jules Janin, q
, errant, oublié, négligé, sans doute il a manqué de confiance en ses
amis
, en sa famille qui lui fut toujours bonne et prop
ices où il est tombé ! Mais il n’y est pas tombé sans soutien et sans
amis
pour le soutenir, et pour retourner sa tête sur s
dit témoin des tendresses vraiment paternelles de son frère et de ses
amis
, quand ils vinrent eux-mêmes à Paris le chercher,
ngulier jeu de la Providence, qui ramène à la fin de sa vie le poète,
ami
de la nature, dans l’humble chaumière où il a pas
laissait ici-bas ce qui console de vivre, une famille du sang, et des
amis
, famille de cœur. Je suis le dernier qui lui serr
supérieur où tu vis ! Triomphe, âme sublime et tendre ! prie pour les
amis
que tu as laissés ici-bas, et entre dans ta vraie
c’est une connaissance, et, mieux que cela, c’est une voisine et une
amie
. Tous ceux qui travaillent à nous en rendre la le
re, vient combler la mesure. Sur Mme de Sévigné et son monde, sur ses
amis
et connaissances, et les amis de ses amis, grâce
ur Mme de Sévigné et son monde, sur ses amis et connaissances, et les
amis
de ses amis, grâce aux recherches infatigables de
vigné et son monde, sur ses amis et connaissances, et les amis de ses
amis
, grâce aux recherches infatigables de son curieux
rien eu autre chose à faire. Vous connaissez ce bon d’Hacqueville, l’
ami
, le confident empressé de Mme de Sévigné et de to
s moins obligeant et indulgent pour cela, incapable de négliger aucun
ami
absent ou présent, se multipliant de sa plume et
ouvenir de ce temps-là, à nous entretenir de Mme de Sévigné et de ses
amis
, à vouloir tout nous dire et ne rien oublier ; im
qui que ce soit. Elle disait elle-même, en se souvenant d’un ancien
ami
: « J’ai vu ici M. de Larrey, fils de notre pauvr
nt d’un ancien ami : « J’ai vu ici M. de Larrey, fils de notre pauvre
ami
Lenet, avec qui nous avons tant ri ; car jamais i
ttre, que cet esprit allait jusqu’à éblouir les yeux. Un homme de ses
amis
(l’abbé Arnauld), qui avait aussi peu d’imaginati
t de cette gaieté de couleurs. Elle est tout le contraire de ses bons
amis
les jansénistes, qui ont le style triste. Mme de
cs, les plus graves calvinistes eux-mêmes. Elle avait trouvé alors un
ami
dévoué et fidèle dans un gentilhomme nommé Du Bou
lay qui eut l’idée de réunir, pour les faire lire en confidence à ses
amis
, les lettres et les papiers de Mme de Courcelles
es années précédentes et que l’écrira bientôt, nous l’espérons, notre
ami
Ampère, ou quelqu’un de pareil. En choisissant av
ière était une âme forte. Près de mourir, en 1804, elle écrivait à un
ami
particulier, à propos d’une visite importune et i
je doute s’ils sont plus grands que les inconvénients. Quand on a des
amis
, les uns meurent, les autres souffrent ; il en es
a peu d’imprévus ; l’on n’y est pas si sensible. La bonne santé d’un
ami
ne nous réjouit pas tant que ses maladies nous in
ouvez autant d’avantage à pouvoir verser notre cœur dans le sein d’un
ami
, à lui découvrir nos fautes et nos alarmes, à rec
é. Ses lettres, qui suivent celles de Juliane, et qu’il adresse à son
ami
d’enfance, Godefroy Dorville, à Hambourg, nous dé
billets ; un de ces billets, il en a disposé assez légèrement pour un
ami
de comptoir qui était présent lorsqu’il recevait
envie que j’en eusse, que de reprendre le billet et de venir sans mon
ami
. Pour lui, il ne s’est point douté du tout que j’
et de protection. — Je tâcherai de danser une contredanse avec votre
ami
, m’a dit Mlle de La Prise d’un air qui m’a enchan
lui a promis la quatrième contredanse, et à moi la cinquième pour mon
ami
, et la sixième pour moi-même. J’étais bien conten
; mais elle-même va directement se révéler. Elle écrit à sa meilleure
amie
, Eugénie de Ville, qui est depuis un an à Marseil
re a beau gronder depuis ce jour-là, cela ne trouble pas ma joie. Mes
amies
ne me paraissent plus maussades : vois-tu, je dis
joie. Mes amies ne me paraissent plus maussades : vois-tu, je dis mes
amies
, mais c’est par pure surabondance de bienveillanc
es, mais c’est par pure surabondance de bienveillance ; car je n’ai d’
amie
que toi. Je te préfère à M. Meyer lui-même, et si
la question : savoir, si M. Meyer sera l’âme de la vie entière de ton
amie
, ou si je n’aurai fait qu’un petit rêve agréable,
ose. Adieu. » Cette amante si résolue, c’est la même qui écrit à son
amie
qu’on veut marier là-bas, cette autre page toute
pas autrement que tu ne l’aimes. Dis-lui, par exemple, que tu as une
amie
qui t’aime chèrement, et que tu n’aimes personne
ieu. » Et Meyer est digne d’elle, même par l’esprit ; écrivant à son
ami
Godefroy, il n’est pas en reste, à son tour, pour
ar un temps de pluie, au retour d’une promenade, conduit Meyer et son
ami
le comte Max à faire compagnie à Mlle de La Prise
ve rien de mieux dans sa droiture que de prier le comte Max, le loyal
ami
de Meyer, de s’asseoir aussi près d’elle, et là,
et repassent, y répondant avec sourire, puis reprenant avec les deux
amis
le fil plus serré de son récit, elle dit tout, et
gaie, et, aux yeux de Meyer, plus imposante. Une lettre d’elle, à son
amie
Eugénie, achève de nous ouvrir son cœur. Elle aim
Adieu, chère Eugénie, je ne te le céderais plus. » Une maladie de son
ami
Godefroy force Meyer de partir pour Strasbourg in
Prise ; Max la lui remet sans affectation et à haute voix, comme d’un
ami
: elle prend une carte, et, tout en y dessinant q
ise dans le précédent224. La mère de Cécile écrit régulièrement à une
amie
et parente du Languedoc ; elle ne lui parle que d
moralité, faut-il la dire ? c’est qu’au moment où, à côté de nous, un
ami
éploré et repentant s’accuse d’avoir brisé un cœu
terre dans le pays de Vaud ; mais il est allé à Orbe, à la noce d’un
ami
, et il se met à envier ce bonheur. Malgré son bon
s. Bref, étant un jour à Genève, il y rencontre, dans la famille d’un
ami
, une jeune personne honnête, instruite, charmante
que de succès central, s’y fait sentir. Elle compose pour elle et ses
amis
, au jour le jour, à bâtons rompus, c’est-à-dire q
ces gens-là sont sujets non-seulement à préférer leur gloire à leurs
amis
, mais à ne voir dans leurs amis, dans la nature,
lement à préférer leur gloire à leurs amis, mais à ne voir dans leurs
amis
, dans la nature, dans les événements, que des réc
our après la visite de quelqu’un de qui elle espérait beaucoup, votre
ami
l’abbé n’a pas répondu à mon rêve ; nous en cause
ôt de l’avis de celui qui lui écrivait : « Sauf le respect pour votre
ami
, il est dangereux d’avoir un auteur pour ami. » —
uf le respect pour votre ami, il est dangereux d’avoir un auteur pour
ami
. » — Les raisons de Gœthe pourtant, au point de v
lendemain il est pour la Charte ; il écrit dans les journaux, dans L’
Ami
du Roi . Il cherche une mesure entre ses regrets
l eut l’honneur de défendre plus d’une fois M. Cuvier dont il était l’
ami
, l’allié, le protégé, et qui, par sa participatio
Mme Dufrenoy reçut la sienne des mains de Fontanes dont elle était l’
amie
dès les premières années de la Révolution. Pouvai
uis dit : Je vais me venger et lui jouer un bon tour, je resterai son
amie
. » Mme Dufrenoy avait pensé à peu près la même ch
is à une mère, à un fils distingué, avait de plus, en ces années, une
amie
du nom de Jenny, qui paraît avoir éprouvé pour M.
t éprouvé peut-être quelque chose de ce même sentiment pour son jeune
ami
. Il y a des lueurs, des velléités qui percent çà
e la roideur classique qui en gâte pour nous le charme ? « Adieu, mon
ami
, écrivait-elle un jour à M. Coulmann, je désire q
tral qui m’arrête et me fait fuir. Mme Sophie Gay a été aussi une des
amies
et des correspondantes du jeune M. Coulmann. Cett
bonne grâce et cordialité. À propos d’une visite qu’elle fait à leur
ami
commun, M. de Jouy, condamné à un mois de prison
« Encore tout heureuse de votre lettre, j’ai été la montrer à notre
ami
prisonnier ; il se porte à merveille et reçoit pl
n’avait pas le bonheur d’être pour les galères. Alors, me supposant l’
amie
d’un homme à pendre, je suis devenue l’objet de l
très nouvelles pour moi, je vous jure ; j’en ai bien fait rire notre
ami
. Cette histoire est la comédie du genre : celle d
t la Reine de l’injure », disait-il ensuite en parlant de sa violente
amie
, mais sans lui en vouloir du tout. Elle avait fai
Jouy, surtout, Jouy, le meilleur des hommes et le plus chaleureux des
amis
, prêtait à ses épigrammes, et cela même passait q
ardés de me dire un mot, et j’aurais eu peu de visites. J’excepte mes
amis
… » Benjamin Constant n’était pas de ceux qu’il e
torien et l’apologiste équitable : 13 décembre 1830. « Oui, ma jeune
amie
, j’ai éprouvé une singulière émotion de la mort d
Il a quelques bons portraits, notamment celui de M. de Salvandy, son
ami
particulier, dont il retrace avec vérité la physi
Chapitre XII I. L’
Ami
des Femmes. — II Les Idées de madame Aubray.
XII I. L’Ami des Femmes. — II Les Idées de madame Aubray. I. L’
Ami
des femmes La représentation de l’Ami des femm
s de madame Aubray. I. L’Ami des femmes La représentation de l’
Ami
des femmes a été non pas un triomphe ou une défai
nc des femmes M. de Ryons s’il était leur ennemi, au lieu d’être leur
ami
en titre ? Il les raille et il les méprise ; il l
. Entre l’amour et le mariage, il s’est créé une spécialité. Il est l’
ami
des femmes, leur cavalier servant et leur confide
t le dégoût efface toute autre impression. Cependant, voici venir une
amie
de madame Leverdet, madame Jane de Simerose, une
e et charmante femme, dont M. de Ryons s’institue à brûle-pourpoint l’
ami
intime, selon sa coutume ! Zadig, dans le conte d
pentant. Cependant M. de Ryons observe, étudie, commente, analyse son
amie
nouvelle ; il pratique sur son cœur chastement fe
se bien tenir ; son présent et son passé appartiennent désormais à l’
Ami
des femmes. « Mieux vaudrait un sage ennemi ! » L
déjà, dans sa cachette, comme un tigre à jeun dans sa cage. Certes, l’
Ami
des femmes rend là un service insigne à sa protég
l’esprit ébloui. Son vice organique est le personnage qui la mène. L’
Ami
des femmes est l’ennemi de la pièce, il la refroi
austérité stoïque pourrait encore expliquer sa misanthropie ; mais l’
Ami
des femmes est, à l’occasion, leur amant d’un jou
. J’ai beau chercher, je ne trouve pas la moralité de ce moraliste. L’
Ami
des femmes n’a qu’une excuse, c’est qu’il n’exist
ion a été celle de la salle entière à la première représentation de l’
Ami
des Femmes. On admirait en protestant ; on se cab
aches. Le lys n’est point un attribut viril. Madame Aubray a un vieil
ami
, nommé Barantin, éprouvé par des infortunes conju
s de la comédie. Son scepticisme pratique rabat l’enthousiasme de son
amie
lorsqu’il prend un vol trop sublime dans l’empyré
a remue, la foi qui ranime. Qui reconnaîtrait le pessimiste amer de L’
Ami
des Femmes dans le croyant attendri des Idées de
s ; une heure est bientôt passée : j’arrive devant le café Hardi, mes
amis
me font signe ; il faut bien déjeuner. — Mais enf
montée la tête pour l’auteur. Mais il se trouve que ce jeune auteur,
ami
du père de la jeune personne, est un vieillard de
c ; généreux de mœurs et désintéressé, mais faisant mille tours à ses
amis
et à lui-même. » D’un cœur ardent, passionné, d’
é aussi des fragments qui avaient vivement excité l’intérêt des rares
amis
de la muse. Depuis la mort de Marie-Joseph Chénie
. de Latouche est là tout entier. Se promenant un jour avec un de ses
amis
, la veille de la première et de l’unique représen
lus innocentes, c’est l’épître en vers qu’il adressait à notre ancien
ami
M. Ulric Guttinguer, un jour que ce poète aimable
aurait que des sifflets pour le ministère corrupteur. Cette fois, ses
amis
même trouvèrent que le procédé passait les bornes
ation naturelle qu’il cultivait avec un art infini. M. Jal, un de ses
amis
, lui disait souvent : « Vous êtes une incarnation
ment et dans le plein un sujet, pas plus les choses que les gens. Ses
amis
, et il en eut, n’échappaient pas à ses humeurs, à
us sa forme la plus innocente et la plus légère. À la tragédie de son
ami
Guiraud, Les Macchabées, et à celle de son ami So
. À la tragédie de son ami Guiraud, Les Macchabées, et à celle de son
ami
Soumet, Cléopâtre (deux succès), il y avait deux
it pas tarder ; de sorte que le lendemain, quand il revoyait son cher
ami
l’auteur, il avait droit de le désoler, tout en s
re impossible à analyser, c’est l’histoire d’un hermaphrodite. Un des
amis
de M. de Latouche, en causant, lui avait donné l’
chose dans une composition politique, oui, politique ! écrit-il à cet
ami
dans une lettre que j’ai sous les yeux, et je me
ets d’émotions et de souvenirs. Et si c’est là qu’on a eu son premier
ami
, si deux cœurs de dix-sept ans s’y sont ouverts à
ui empêche le comédien d’oser se présenter familièrement à son ancien
ami
, malgré l’instance qui lui en est faite ; car ce
en, il est catholique et dévot ; il révère, il adore presque dans cet
ami
, qu’il tutoyait la veille, le vicaire de Jésus-Ch
; lui qui a dit tant de mal des succès intimes et dont on jouit entre
amis
, il s’y était livré d’abord avec complaisance, av
e dans ses haines. Au moment de ses plus grandes manœuvres contre ses
amis
de l’école romantique, vers la fin de 1829, la Ma
suspendit ses hostilités : Ce que je voulais de vous hier, mon cher
ami
, écrivait-il à M. Jal, c’était vous montrer un ar
cle sur M. de Latouche, je me suis adressé à plusieurs de ses anciens
amis
ou qui passaient pour tels, dans le désir qu’on m
appelle sa fille. C’est là qu’il vit, entre sa fille, ses livres, ses
amis
très choisis et ses rares compatriotes, allant de
rivains, dans la description et dans la mort de ce pauvre chien, seul
ami
et seul consolateur de l’homme. Les larmes qu’on
nes gens du voisinage venant passer leurs semestres dans les familles
amies
, occupés à faire l’agrément des jeunes filles, à
et la plus intéressante de ces nouvelles. Elle est intitulée les Deux
Amis
. Voyez comme cela commence, comme toute chose et
commence, comme toute chose et comme tout le monde. RÉCIT Les Deux
Amis
Au printemps de l’année 181…, un jeune homme d
a catégorie des gens illettrés. Par leur extérieur, les deux nouveaux
amis
ne différaient pas moins l’un de l’autre. Avec sa
gé habituel. Son village n’était qu’à une demi-verste de celui de son
ami
, et très souvent il n’y retournait pas. Il coucha
animé, et coupé par de longs intervalles et de longs repos. Les deux
amis
parlaient des incidents de la veille, de la pluie
n veut savoir quelle était, la plupart du temps, la causerie des deux
amis
, en voici un échantillon : Pierre, ayant retenu d
ter au dressage des jeunes chevaux. Quelquefois Pierre conduisait son
ami
jusque dans son village et le faisait entrer dans
l aimait à donner à dîner, et s’efforçait surtout de bien traiter son
ami
Boris. Mais, par l’inhabileté de Marthe, qui, dan
re l’estomac. Le plus souvent, après la promenade, Boris ramenait son
ami
dans sa demeure plus confortable. Pierre apportai
dant ce temps, Boris lisait les journaux étrangers. Le soir, les deux
amis
se rejoignaient encore dans une même salle. Quelq
oix n’était ni très juste ni très harmonieuse. À dix heures, les deux
amis
se disaient bonsoir et se quittaient, pour recomm
souffla fortement dans le tuyau pour le nettoyer. « Qui vous dit, mon
ami
, repartit Boris, que je ne songe pas à me marier
erre, et il changea d’entretien. Deux jours après, il arriva chez son
ami
, non plus avec son paletot sac, mais avec un frac
chapeau. Boris but un demi-verre d’eau-de-vie, et se dirigea avec son
ami
vers sa voiture. « C’est uniquement par condescen
a dans la calèche. Après un moment de silence pendant lequel les deux
amis
se tenaient immobiles l’un à côté de l’autre : «
e que rarement dans les provinces. En descendant de voiture, les deux
amis
trouvèrent sur le seuil de la porte un domestique
ême façon. Pierre le pria de l’annoncer à sa maîtresse, ainsi que son
ami
. Le domestique répondit qu’elle les attendait, et
atique, Sophie se pencha vers Boris et lui dit à voix basse : « Votre
ami
se complaît dans le paradoxe. — Je ne m’en étais
mps, il s’avançait vers l’antichambre. Sophie offrit sa main aux deux
amis
, pour leur donner le shakehand, à la façon anglai
t pas mieux. L’une est trop sémillante, l’autre trop timide. Les deux
amis
se rendirent chez un autre voisin, qui vivait seu
de partie de la journée. Un matin, il se présenta de nouveau chez son
ami
, dans ses vêtements d’apparat, et invita Boris à
mpatienté de cette froide réserve, lui dit un matin : « Eh quoi ! mon
ami
, est-ce à moi à présent de vous rappeler vos prom
si bizarre ! — Qu’importe ? Allons, Pierre Vasilitch, allons, mon bon
ami
, faites-moi connaître Mlle… Comment l’appelez-vou
vec toute son étrangeté, il était très bon et très hospitalier. Si un
ami
, à sa table, lui disait : « Savez-vous, Étienne,
ager de sa pelisse, et lui dit : « Ayez la bonté d’entrer. » Les deux
amis
s’avancèrent dans le salon, et Pierre présenta so
r. » Les deux amis s’avancèrent dans le salon, et Pierre présenta son
ami
à Étienne. « Très content… toujours… lui dit le l
abli comme s’il faisait usage de ce meuble depuis longtemps. Tous les
amis
de Barçoukof, en s’asseyant là, avaient la même a
ème. Une robe grise lui serrait gracieusement la taille. Boris et son
ami
se levèrent vivement à son approche. Elle s’incli
ts Viéra sortit. Boris la suivit du regard, puis se tournant vers son
ami
: « Elle est très agréable, lui dit-il. Quelle ai
le balancement du traîneau, s’était assoupi. « Pierre ! lui cria son
ami
après un long silence. — Qu’y a-t-il ? répliqua P
bien plus encore lorsque, le lendemain de cette première visite, son
ami
lui dit : « J’ai envie d’aller voir Étienne Barço
, naturellement, répondit qu’il était tout prêt à partir. Et les deux
amis
se mirent en route. Comme la première fois, il y
rré la main. Elle pensa que c’était un usage de Pétersbourg. Les deux
amis
retournèrent souvent chez Étienne. Quelquefois mê
eux ; seulement il la trouvait trop réservée et trop raisonnable. Son
ami
Pierre avait cessé de lui parler d’elle. Un matin
e son affection. — Mais elle, demanda Boris en regardant fixement son
ami
, m’aime-t-elle ? — C’est ce que je ne puis affirm
au de Karentef ne s’en allait pas. » Boris se tut. Il sentait que son
ami
avait raison. Ce Karentef était un étudiant, d’un
répulsion. « Eh bien ! Pierre, dit Boris en se plaçant en face de son
ami
, je dois l’avouer : vous avez raison. Il y a long
. Boris s’assit près de la fenêtre, absorbé dans ses méditations. Son
ami
n’essaya point de l’en arracher. Il lançait en l’
jetant dans ses bras et en le tutoyant pour la première fois : « Mon
ami
, félicite-moi ! J’ai son consentement, j’ai celui
be de chambre, cria : « Marthe, du thé ! » Puis, se tournant vers son
ami
: « Si tout est fini, lui dit-il, que le ciel te
t arrangées ? » Il est à remarquer qu’à partir de ce moment, les deux
amis
se tutoyaient comme s’ils ne s’étaient jamais par
ute. Je n’avais plus rien à attendre de la vie. » Pierre écoutait son
ami
en silence, prenant de temps à autre quelques cui
is-là, Boris n’insista pas. Mais peu à peu il s’aperçut que, sans son
ami
, son intérieur était fort peu récréatif. Sa femme
dait de nouveau qu’il craignait de le déranger : « Tu te trompes, mon
ami
, répondit Boris, tu ne nous gênes nullement quand
erre comme avant son mariage. Viéra se plaisait aussi à voir ce vieil
ami
. Elle aimait, elle estimait son mari, mais, avec
seulement comprenaient sa situation : c’étaient son vieux père et son
ami
Pierre. Quand elle allait voir son père, il l’acc
çait une tout autre nouvelle. Elle était ainsi conçue : « Mon cher
ami
, mon bon Pierre, j’ai longtemps réfléchi à la faç
ans ma maison, je compte sur toi comme sur un appui invariable. « Ton
ami
Boris Viasovnin. « P. S. Fais remettre, en automn
a à la voir. Il était son plus intime, ou pour mieux dire, son unique
ami
. Un jour qu’il se trouvait seul avec elle, il la
s n’est point oublié dans ce cercle d’affections. Pierre parle de son
ami
avec une vive cordialité. Chaque fois qu’il en tr
t l’amitié d’un homme pour ce complément de l’homme, un pauvre chien,
ami
qui comprend par le cœur tout ce que l’intelligen
ami qui comprend par le cœur tout ce que l’intelligence révèle à son
ami
. L’homme qui a trouvé ces pages dans son âme a pl
fatal incident, il songeait à se suicider le lendemain, son ténébreux
ami
lui fit observer qu’il était temps d’aller se cou
Fauriel, l’élève et le rejeton, ce semble, de la société d’Auteuil, l’
ami
filial de Cabanis, sera le devancier, l’initiateu
ffections : on s’apercevait, en le rencontrant, du retour de certains
amis
qui lui étaient chers, sans avoir besoin de lui e
ur que M. Fauriel racontait ce souvenir en présence de M. Guizot, son
ami
de tout temps, celui-ci, l’interrompant, lui dit
son berceau : « C’était sur les bords de la Loire, écrivait-il à un
ami
, très-près des montagnes où elle prend sa source
Assomption ; un jour qu’il passait par là, il en fit la remarque à un
ami
. Une note imprimée dans le Bulletin de Saint-Etie
toire, à étudier la langue turque, et il avait donné commission à cet
ami
qui partait pour Constantinople de lui envoyer gr
s autre but que de fixer ses idées, et il se contentait de lire à ses
amis
particuliers ses essais d’ouvrages. Un séjour de
Maisonnette, dans le voisinage de Meulan, auprès de sa noble et digne
amie
, la belle madame de Condorcet. Il eut d’abord que
on de Fauriel sur le public se fit longtemps et surtout à travers ses
amis
. Il faut revenir par eux à lui, pour le connaître
n analyse, ses convictions de philosophe et son culte assez fervent d’
ami
de la vérité. Le jeune secrétaire de Fouché, qui
t faire comprendre aux détracteurs de la philosophie, à ceux qui sont
amis
du pouvoir nouveau (et il y en avait beaucoup dan
e du 6. J’y réponds le jour même : arrivera-t-elle à temps chez votre
ami
? Cette incertitude me gêne. Est-ce à vous que je
re, et dénonce la bienveillance active de tous deux : « Un homme des
amis
de Mathieu47, M. de La Trémouille, est arrêté de
ement oublié son auteur. Il me semble que nous sommes faits pour être
amis
, et je l’attends, votre amitié, comme cette moiti
avait rencontré Fauriel, le ministre lui avait fait entendre que son
ami
, puisqu’il était parti, ferait aussi bien de ne p
egrettant le bien, cœur triste, appréciant le bonheur sans l’espérer,
ami
affectueux du moins et reconnaissant. Fauriel pen
lgré les interruptions de Fauriel, qui était plus prompt à servir ses
amis
qu’à leur écrire, de lui faire part de ses travau
nsion chez lui pour une quinzaine sa Notice sur Mme de Sévigné et ses
amis
. Le côté neuf de ce travail sur La Rochefoucauld
e époque. Il écrivit longtemps pour lui seul et pour le cercle de ses
amis
particuliers, en présence des sujets qu’il approf
nt satisfait de l’article, et une discussion s’engagea entre les deux
amis
sur quelques endroits. Cette discussion, au reste
Dans le critique de Villers, il nous a été possible de reconnaître l’
ami
de Cabanis. Fauriel eut, en effet, avec Cabanis u
etrouvons Fauriel agissant, et agissant jusqu’à point de modifier son
ami
; car le même esprit qui exercé de près tant d’ac
’occupa de philosophie, il la prit par un côté qu’avaient négligé ses
amis
et ses premiers maîtres ; il s’adressa historique
orique de Fauriel l’ait déjà gagné : « Vous savez mieux que moi, mon
ami
, lui dit-il, combien de lumières jette sur l’hist
r tout comprendre, que, presque au même moment où il interrogeait son
ami
Cabanis sur la grande question des causes premièr
ères, il était où il allait être lui-même discrètement touché par son
ami
Manzoni à cet endroit délicat de la croyance reli
e douleur pour Fauriel ; il avait d’abord eu le projet de payer à son
ami
sa dette dans une notice étendue, mais ce trop gr
aurait été dans tous les temps une juste cause d’affliction pour ses
amis
, vous ait été doublement sensible, dans un moment
fleur de bonté, de douceur et d’affection qu’il avait reconnue dans l’
ami
de son ami, Manzoni ne trouvait rien de mieux qu’
nté, de douceur et d’affection qu’il avait reconnue dans l’ami de son
ami
, Manzoni ne trouvait rien de mieux qu’un mot qui
temps une grande confiance dans les lumières et les conseils du jeune
ami
de Cabanis, et il y recourut plus d’une fois ; il
le peint naïvement : « N’allez pourtant pas croire, mon bien aimable
ami
, que ces maux soient sans remède, et ne vous attr
s à plaindre que je ne suis malheureux 63 ; mais cela doit consoler l’
ami
qui voit plus loin, car, sachant une fois pour to
te, et il s’était hâté de donner cette adresse de son invention à ses
amis
; mais les lettres qu’on lui adressait (c’était t
ien de plaisir il me fait que personne ne s’appelle Fauriel, hors mon
ami
… Pour ce qui regarde ma Violette, j’y renonce dès
; mais mes trois fils grandissent et le sauront un jour, mon meilleur
ami
M… le saura, et puis la postérité ; c’est tout ce
original pour une future édition, et se fit pardonner auprès du poëte
ami
, qu’il voulait avant tout servir, ses conseils ju
à-dire bien plus beau que je ne suis… » Et encore : « Moi, mon cher
ami
, je ne vous demande qu’une chose, comme à mon tra
gesen allait plus loin, et où, ravi des conseils si appropriés de son
ami
, il voyait déjà en lui un poëte, que sais-je ? un
ssé que dans un avenir indéfini, on croit reconnaître comme de loin l’
ami
de Cabanis et le partisan, celui qui l’a été ou q
ge), il nous le pardonnera en faveur du témoignage qu’il y rend à son
ami
: …….Col tuo secondo duca Te vidi io prima, e d
je m’approchai plein de confiance. Et cet aimable guide, ce courtois
ami
, dont l’image me sera toujours chère et honorée t
s, restera toujours la même ; elle continuera de mûrir entre les deux
amis
, et acquerra plutôt, en vieillissant, des saveurs
instruits, Mustoxidi, Basili ; ce dernier lui parlait de « notre bon
ami
Coray, qui vous aime et vous estime infiniment. »
lections de plantes, et qu’il faisait volontiers, en compagnie de son
ami
, M. Dupont, « des excursions cryptogamiques à Meu
occupait de littérature proprement dite que quand son intérêt pour un
ami
l’y poussait, comme il le fit pour Baggesen et po
oni, jeune, tenait à honneur de se dire non-seulement son plus tendre
ami
, mais son disciple. Un tel mot, de poëte à critiq
edire à la louange des deux. Fauriel le rendait bien d’ailleurs à son
ami
, moins encore par la manière dont il le louait qu
son tout premier début, sur la mort de Carlo Imbonati, cet admirable
ami
que venait de perdre sa mère. Fauriel, en faisant
il embrasse avec bonheur cette fraîche et tranquille vallée, les deux
amis
allaient discourant entre eux du but suprême de t
nce de Brusuglio, près de Milan ; il revenait voir en France ses bons
amis
de la Maisonnette, et donnait Fauriel pour parrai
1810, aux idées religieuses et à la pratique chrétienne, père, époux,
ami
, il se livrait de bonne foi aux sentiments humain
portèrent forcément une grande interruption dans le commerce des deux
amis
. C’est vers cet intervalle que Manzoni publia ou
parés ; sans doute le souvenir médité des anciens entretiens avec son
ami
y contribua beaucoup. Au printemps de 1816, nous
t autre chose que réaliser avec originalité le vœu déjà ancien de son
ami
, et donner la vie poétique aux idées qu’ils avaie
1819, les jeunes rédacteurs du journal intitulé il Conciliatore, tous
amis
de Manzoni, et dont le groupe nous offre plus d’u
Carmagnola, le remettait en communication active, habituelle, avec l’
ami
dont il était séparé depuis des années. On se ret
ôté, à songer à son roman des Promessi Sposi. Vers le même temps, son
ami
Grossi s’occupait d’un grand poëme historique, le
Il s’agissait, par exemple, comme question principale entre les deux
amis
, de la mesure selon laquelle l’histoire et la poé
avec quelque précision et avec quelque suite, sur la foi d’un témoin
ami
qui croit avoir fidèlement retenu. Les conditions
bien belle encore et bien grande ; il osait sans doute renvoyer à son
ami
un reproche qu’il en avait souvent reçu, et l’eng
ière fois justice, et sous tous les points de vue, au talent de notre
ami
; cela va devenir on ne saurait plus utile à sa r
r la cause. Fauriel, qui dut se trouver si heureux du triomphe de son
ami
, avait assisté de près à la composition de l’ouvr
mais différé toujours : il avait perdu, au mois de septembre 1822, l’
amie
constante à laquelle il avait consacré sa vie, et
les premiers chants grecs modernes qu’il avait entendu réciter à ses
amis
Mustoxidi et Piccolos, Fauriel en avait été entho
evait, avant cette interruption, être déjà fort avancé. Ses meilleurs
amis
et les plus initiés à ses projets, Augustin Thier
être qualifié ce qu’il était véritablement, un esprit nourricier. Ses
amis
les historiens durent s’en ressentir. Placé au ce
t-être indiscrètement, un témoignage de vif et profond souvenir : cet
ami
, ce conseiller sûr et fidèle, dont je regrette ch
ent avec l’habitude si différente et le procédé temporisateur de leur
ami
. Mais il faut se borner et passer outre. Quelques
Exegi monumentum œre perennius. » « (Bonn, 20 avril 1822.) Très-cher
ami
et généreux protecteur de mes études, il y a un t
e fois la description : « La maison que j’occupe est spacieuse, et un
ami
brahmanique y serait commodément. » Fauriel se dé
son rang caché. La révolution de 1830 produisit enfin Fauriel, et ses
amis
, en arrivant au pouvoir, songèrent aussitôt à met
, malgré les fréquentes discussions qu’il soutint à ce sujet avec ses
amis
, ne se laissa jamais entamer à leurs théories plu
en relation avec Fauriel par M. Cousin, dont il était le médecin et l’
ami
. Les chants bretons devinrent bientôt l’entretien
10 mai 1845. 95. Ils ont été légués par l’auteur à Mlle Clarke, à l’
amie
la plus dévouée et la plus attentive à s’acquitte
Adressé à mon
ami
Mr Grimm Ne vous attendez pas, mon ami, que je
Adressé à mon ami Mr Grimm Ne vous attendez pas, mon
ami
, que je sois aussi riche, aussi varié, aussi sage
z davantage. Nous retirerons encore quelquefois des greniers de notre
ami
M. le baron d’Holbach ces immenses portefeuilles
voyage d’Italie si souvent projeté, il ne se fera jamais. Jamais, mon
ami
, nous ne nous embrasserons dans cette demeure ant
nce à l’amitié même la plus intime et la moins réservée. Eh bien, mon
ami
, nous mourrons donc sans nous être parfaitement c
e une fois, consolez-vous ; il est plus doux d’estimer infiniment son
ami
, que d’en être infiniment estimé. Une autre raiso
d’Oudri, qui décore à droite notre synagogue attendoit le baron notre
ami
. Jusqu’à lui, personne ne l’avait regardée ; pers
nne n’en avait senti le mérite ; et l’artiste était désolé. Mais, mon
ami
, ne nous refusons pas au récit des procédés honnê
s à rien. Je n’accepterai rien ; et ma chienne vous restera. Ah ! Mon
ami
, la maudite race que celle des amateurs ! Il faut
davantage qu’eux, et qu’ils feroient les entendus. Dussiez-vous, mon
ami
, me comparer à ces chiens de chasse, mal discipli
séquent une seule partie d’un tout qui n’ait souffert ; scais-tu, mon
ami
, ce que tes plus anciens prédécesseurs ont fait.
ent point ; c’est toujours travailler d’après une copie. Et puis, mon
ami
, croyez-vous qu’il n’y ait aucune différence entr
t Falconnet dans Athènes et devant Agasias. C’est un vieux conte, mon
ami
, que pour former cette statue, vraie ou imaginair
cris d’un autre que j’ai conçu et qui n’existe pas… or il n’y a, mon
ami
, aucune espèce de poëte à qui la leçon de Garrick
re. Regardons ; regardons longtems ; sentons et jugeons. Surtout, mon
ami
, comme il faut que je me taise ou que je parle se
envoyez-lui toujours des papiers qui l’amusent. La première fois, mon
ami
, nous épousterons Michel Van Loo. Voici mes criti
M. de Lacretelle Lamartine et ses
amis
. [Le Constitutionnel, 26 août 1878.] I Tit
utionnel, 26 août 1878.] I Titre faux ! Il fallait écrire : Les
Amis
de Lamartine et Lamartine. Lamartine, en premier,
une histoire apologétique de la République de 1848 et de ceux-là, ses
amis
, morts ou vivants encore, — c’est comme s’ils éta
clou pour faire regarder le tableau. Je ne me soucie pas beaucoup des
amis
de Lamartine, qui avait, lui, ses raisons pour le
le livre de M. Henri de Lacretelle, en nous parlant beaucoup trop des
amis
de Lamartine, cette pâle constellation de médiocr
ne sera pas plus une gloire pour lui que ce livre de Lamartine et ses
amis
, qu’il aurait mieux valu intituler : Les Amis de
vre de Lamartine et ses amis, qu’il aurait mieux valu intituler : Les
Amis
de Lamartine, à commencer par moi, Henri de Lacre
mettre, l’œuvre pour laquelle il n’y a ni aide, ni collaborateur, ni
amis
comme pour faire une République, et qui était un
ation qui l’a sténographié était humble… L’auteur du Lamartine et ses
amis
a la coquetterie heureuse de se faire voir, dans
r à cette grosseur de lui-même, et ne pas l’étendre à tous les autres
amis
de Lamartine, qui empiètent trop dans le volume s
’est que M. Henri de Lacretelle est, dans son livre, comme Sosie, « l’
ami
de tout le monde », et que tout le monde de son l
entre ma notion de Lamartine et celle de l’auteur de Lamartine et ses
amis
. J’ai dit la pensée et les sentiments de ce livre
it ce regret, nous nous mettions en relation avec un des plus anciens
amis
de Sainte-Beuve, M. Juste Olivier, de Lausanne, e
rais, — un ancêtre, en Chronique littéraire, du temps de Louis XIV, l’
ami
de Boileau, le correspondant de Bayle, alors en H
ires littéraires de Paris : après quoi, le philosophe conseille à son
ami
d’avoir en Hollande ce que Sainte-Beuve appellera
e-Beuve appellera tout à l’heure un autre lui-même, — c’est-à-dire un
ami
sûr et fidèle interprète de sa pensée, — à qui il
i il adressera les éléments d’un Journal, publié par les soins de cet
ami
, de ce fidus Achates. Somme toute, c’est une gaze
ée analogue. A mon retour de la Suisse française où j’avais gardé des
amis
, vers 1840, je concevais un parfait journal litté
é durant les années dont je parle (1843-1845). J'avais en ces pays un
ami
, un de ceux de qui l’on peut dire qu’ils sont una
en France qu’on ne juge plus, mais qu’on loue ou qu’on attaque. Leurs
amis
les célèbrent sur tous les tons, leurs ennemis le
es, assourdi par les sons discordants de mille intérêts blessés, sans
amis
, entouré de haine et d’humeur, je quittai un pays
amitié qui l’appelait lui vint du Nord, de Copenhague où il avait une
amie
, Mme Brun, sœur de l’érudit et pieux évêque de Se
s’est contenté de dire : « Quel rare bonheur que la réunion de trois
amis
auprès du monument du plus aimable sage de l’Anti
ours à Copenhague ; il avait obtenu l’indigénat, et invitait même son
ami
Muller à le venir rejoindre ; car il n’avait que
s liens d’amitié avec l’illustre historien ; en acquérant de nouveaux
amis
, il ne renonçait pas aux anciens, et il justifiai
de la mort. » Vingt-cinq ans après, écrivant à une jeune et brillante
amie
qui faisait ce voyage : « Que je voudrais voir l’
à cet affectueux patron, aima toujours à le lui rapporter ; et à des
amis
de Bonstetten qui le visitaient trente ans après,
lait trop tôt disparaître ; Dumont, l’interprète de Bentham, l’ancien
ami
de Mirabeau ; le médecin Butini ; l’illustre natu
r pour l’Italie avec sa mère (1828). Serait-elle infidèle à son vieil
ami
comme tant de belles voyageuses ? il le craignait
t des bontés de madame votre mère… Vous êtes de l’or dont on fait les
amis
; et voilà les cases vides de mon cœur, où logeai
douleur, la perte d’un frère tué à Silistrie, affligeait cette jeune
amie
: Ne faites pas comme à Genève, ne vous faites
vient briller sur les douleurs qui tenaient votre âme captive. Chère
amie
, que vous méritez d’être heureuse, puisque vous s
aussi consolée que vous pouvez l’être. Je viens de vous découvrir une
amie
que je ne vous connaissais pas ; c’est Mme Saladi
r dans les ténèbres. — Je me réjouis de faire connaissance avec votre
ami
, quoique j’aie peur de le voir. Il a trop bonne o
es sont seuls en honneur. » 96. [NdA] Le Benthamiste. 97. [NdA] Une
amie
russe qui venait de mourir en Italie. 98. [NdA]
. [NdA] Une amie russe qui venait de mourir en Italie. 98. [NdA] Une
amie
des derniers temps, qui avait beaucoup voyagé. 9
it sur les coteaux du voisinage, en quête de vues nouvelles, de vieux
amis
, ou d’étrangers de bonne compagnie, fraîchement i
Quant aux mémoires, Bonstetten, cédant enfin aux importunités de ses
amis
, consentit à jeter sur le papier quelques-uns de
s Souvenirs parut à Genève en 1831, et devint aussitôt fort rare, les
amis
du vieux sage s’étant partagé respectueusement le
nfin, l’affection passionnée que Goethe portait à son prince et à son
ami
, le duc de Weimar, tout cela avait promptement re
es échafauds de la Terreur. Son retour à Weimar fut une fête pour ses
amis
. « J’arrivai chez moi, dit-il, à minuit ; la scè
n secours me fut d’une grande utilité dans les établissements que mes
amis
et moi (le duc et la duchesse Amélie) nous nous p
nt assujettis. « Ô Charles ! écrivait-il à cette époque à son premier
ami
, le monde réel où je suis jeté est tout autre que
nom supposé dans un château désert appartenant à la mère d’un de ses
amis
. Il y devient platoniquement amoureux de la sœur
n de ses amis. Il y devient platoniquement amoureux de la sœur de cet
ami
, fiancée à un autre. La jeune fille ne se doute p
et se réfugia à Leipsick. On voit par une de ses lettres à un de ses
amis
, qui habitait Leipsick, combien il lui fallait pe
lus vénal que sincère pour une jeune Saxonne d’une grande beauté. Ses
amis
l’enlevèrent au piège et le conduisirent à Weimar
iller lui-même, ne manqua pas une occasion de faire valoir son nouvel
ami
à la cour de Weimar. Frappé des beautés frustes,
dant les années qui suivirent 1789, que Goethe et Schiller, désormais
amis
, entretinrent cette correspondance intime qui les
deur. Écoutez quelques mots de ce dialogue à portes closes entre deux
amis
sur leurs ouvrages, et même sur leurs ébauches le
atible avec son rang, mais qui pouvait être utile à la fortune de son
ami
. « Mon esprit, écrit Schiller à Goethe, le 23 ao
« Je vais avoir quinze jours de liberté, écrit Goethe à son nouvel
ami
, pendant un voyage de ma cour ; venez me voir pen
ir, nous causerons de nos Heures ; nous ne verrons que quelques rares
amis
qui pensent comme nous. Vous vivrez entièrement à
nt ainsi entre nous. » — « J’irai », écrit à l’instant Schiller. Les
amis
se rencontrent, s’entretiennent et se séparent.
son enthousiasme nous ont donné une idée du caractère de Goethe, son
ami
. Jamais son image ne s’est effacée de notre souve
été la sienne. — « Qu’il me paraît étrange, écrivait Schiller à son
ami
, ministre et favori d’un souverain, de vous voir
que Goethe le pleura comme un homme vulgaire. « Il faut, dit-il à son
ami
Schiller, laisser ses droits à la nature et pleur
u grand homme en Allemagne. Mais reprenons la correspondance des deux
amis
. X On avait pris souvent en Allemagne des p
it pas, comme on va le voir, de cette promiscuité de gloire entre son
ami
et lui. « Que l’on nous confonde dans nos talents
ue de mon jardin d’Iéna (c’est le 1er mai 1797), écrit Schiller à son
ami
et à son maître ; je m’y suis installé ce matin.
eprésenter sur la scène de Weimar. Goethe préside en l’absence de son
ami
aux répétitions. Il appelle Schiller à Weimar, le
elle, sur Goethe et Schiller, l’éblouissement de son esprit. Les deux
amis
, en Allemands un peu ombrageux, parce qu’ils sont
ettina accrut son amour en nourrissant sa mélancolie. Elle avait pour
amie
une femme poète, Caroline de Günderode, chanoines
ettina à la mère de Goethe, dont elle avait fait sa confidente et son
amie
à Francfort pendant que son fils vivait et trônai
sur les bords du Rhin, continue-t-elle, de ne pas vous écrire sur mon
amie
, la jeune Caroline Günderode. Hier j’ai été visit
oit me suffire ! » XVII Bettina revient ici à la pensée de son
amie
Günderode. « Lorsque je revins visiter sa tombe,
e cette longue passion de la chanoinesse Günderode est décrit par son
amie
Bettina en pages de Werther ; on sent que le géni
de Werther ; on sent que le génie de Goethe a déteint sur ces jeunes
amies
. Goethe parut sensible à cet amour moitié naïf, m
uragan ; je suis sortie pour voir le soleil qui réparait tout. Ô cher
ami
! quelle joie de savourer la brume du matin, de r
Boileau : Racine ne nous dit-il pas, en 1698, que la dévotion de son
ami
est de fraîche date ? Mais à coup sûr, il avait é
vaient quelque chose, et le prudent Chapelain avait sacrifié de vieux
amis
, Ménage et Pellisson, pour se faire bien venir d’
son application aux belles-lettres ». Avoir un frère académicien, et
ami
de M. Chapelain, c’était une bonne fortune pour u
l serait plus vrai de dire que l’auteur des Satires ne pouvait être l’
ami
de Chapelain et de Cotin, ni de leurs amis. On co
s Satires ne pouvait être l’ami de Chapelain et de Cotin, ni de leurs
amis
. On conte que « Despréaux alla lire une de ses pr
de vingt-trois ans trouva vite des alliés, et à défaut de frère, des
amis
: Furetière d’abord, esprit mordant et sensé, pui
mpéraments très divers, et de talents très inégaux, tous ces nouveaux
amis
du satirique sont des gens que la littérature à l
e, l’un brûlant de passion, l’autre content de vivre et d’être libre,
ami
du rire et des malins propos. On se réunissait ch
ui donnait six sous pour aller disputer à la Régence ; Boileau et ses
amis
, s’il faut en croire la tradition, consommaient p
’avisèrent un jour, quand après les premières Satires Racine mena son
ami
chez l’illustre Chapelain, à qui il le présenta s
ait maintenant les nobles compagnies. J’imagine qu’il avait connu ces
amis
qualifiés au cabaret, ou chez les comédiennes, pr
is qualifiés au cabaret, ou chez les comédiennes, près desquelles son
ami
Racine l’avait introduit. Et notons-le, pour sais
s Gourville n’ont pas l’esprit plus réglé que les mœurs ; Barillon, l’
ami
de La Fontaine, appartient à ce groupe sceptique
spoir de Racine, qui était infiniment plus courtisan, et menaçait son
ami
de ne plus se montrer avec lui à la cour. Sa fran
« renonça » dès lors à la poésie : non pas aussi complètement que son
ami
, il n’en avait pas les mêmes raisons intimes ; ma
ne le recherchait plus, et ne le voyait guère. En dehors de quelques
amis
très intimes et de son rang, il n’avait guère hab
nt son attachement au grand Arnauld ; Racine se demandait comment son
ami
prenait impunément des libertés que lui-même n’eû
ntradiction pour l’animer. Nous avons peine à nous figurer entre deux
amis
intimes, deux poètes surtout, ce ton de politesse
ls ou le marquis de Termes, plus souvent quelques voisins, et de bons
amis
, le chirurgien Félix, le musicien Destouches, l’a
irurgien Félix, le musicien Destouches, l’abbé de Châteauneuf, ancien
ami
de Ninon, qui vers ce temps-là fut parrain du fil
nt à Auteuil jusqu’en 1699, ce fut Racine. Il y venait dîner avec des
amis
communs et causer belles-lettres ; ou bien il ame
vaincu du temps, je cède à ses outrages. Et voyant entrer un de ses
amis
, un moment avant d’expirer : « Bonjour et adieu,
Ils y sont encore souvent lus, souvent feuilletés par moi et par mes
amis
. Saint-Point était alors un port tranquille où je
qui peuvent m’y chercher tous les mois, et je la radoube grâce à mes
amis
, tous les jours, pour gagner un port aventuré. Sa
es, avait besoin de vous. Mme Récamier, M. de Chateaubriand, vos deux
amis
du passé, étant morts, vous ne deviez rien à pers
cela suffisait, durant la semaine, aux consolations chétives de notre
ami
; depuis, il nous a peint lui-même ses soirées du
nquième et l’hiver, tout se réunissait cette fois contre notre pauvre
ami
, qui, par caractère encore, n’était que trop disp
paraissent estimables ; il ne demande au ciel qu’une jeune et fidèle
amie
, avec laquelle il s’unisse saintement jusqu’au to
livrer une pièce du même ton, intitulée : Promenade. Relisez-la, mon
ami
. C’est encore vous à vingt ans : PROMENADE. ……
ugitive, ou entendre la pluie tomber sur le feuillage. René. À mon
ami
*** Où vas-tu, bel enfant ? tous les jours je te
isse à ton chant inouï ; Qu’écoutant tes soupirs de flamme, Comme à l’
ami
qui la réclame, Dans l’ombre elle réponde : Oui ;
n France, vous étiez redevenu vous-même. Il vous fallait un Dieu pour
ami
. Je pense, sans le savoir à fond, que Chateaubria
1830, vous n’aviez pas voulu des dépouilles ; vous me paraissiez peu
ami
du gouvernement amphibie, qui cherchait à faire a
ce lointain passé. « Ce 16 juin 1862. » * * * À VICTOR H. « Mon
ami
, ce petit livre est à vous ; votre nom s’y trouve
ière ; qu’en elle-même et en son travail intérieur ; et qu’en une âme
amie
, qui soit sa sœur par la ressemblance. » C’est au
ets où se poser ; et quel convalescent surtout n’a besoin d’un bras d’
ami
qui le soutienne dans sa promenade et le conduise
romenade et le conduise sur la terrasse au soleil ? « L’amitié, ô mon
ami
, quand elle est ce qu’elle doit être, l’union des
croire à cette vie elle-même, à cette vie passagère”. Le devoir de l’
ami
clairvoyant envers l’ami infirme consiste donc à
même, à cette vie passagère”. Le devoir de l’ami clairvoyant envers l’
ami
infirme consiste donc à lui ménager cette initiat
humaine. À la prendre de ce côté, je puis répéter devant vous, ô mon
ami
, que l’amitié des hommes n’est pas sûre, et vous
s sens, dans les jouissances de l’étude et de l’art, “de causer entre
amis
, de s’approuver avec grâce, de se complaire en ce
e, si vous ne pouvez vous faire à l’idée d’être oublié un jour de ces
amis
si bons, ô Vous, qui que vous soyez, ne mourez pa
ui reste comble aisément le vide de ce qui n’est plus ; la pensée des
amis
morts, quand par hasard elle s’élève, ne fait que
is morts, quand par hasard elle s’élève, ne fait que mieux sentir aux
amis
vivants la consolation d’être ensemble, et ajoute
vous êtes humble, obscur, mais tendre et dévoué, et que vous ayez un
ami
sublime, ambitieux, puissant, qui aime et obtienn
èteront ce mot insignifiant qui aura glissé dans son cœur. « Si votre
ami
est beau, bien fait, amoureux des avantages de sa
s, est dédaigneuse, volage, et se dégoûte aisément. « Si vous avez un
ami
riche, heureux, entouré des biens les plus désira
ni trop délaissé du monde, ni malade sur un lit de douleurs ; car cet
ami
, tout bon qu’il sera, vous ira visiter une fois o
eut-être un sujet de morale. « Si, malheureux vous-même, vous avez un
ami
plus malheureux que vous, consolez-le, mais n’att
ée, et sera intérieurement tout plein de lui-même. « Si vous aimez un
ami
plus jeune que vous, que vous le cultiviez comme
ssera d’être à vous et par vous, et vous le perdrez. Si vous aimez un
ami
plus vieux, qui, déjà arrivé bien haut, vous pren
ors vous pèsera, ou vous lui porterez ombrage. « Que sont devenus ces
amis
du même âge, ces frères en poésie, qui croissaien
humaines, même des meilleures, sont donc vaines et mensongères, ô mon
ami
; et c’est à quelque chose de plus intime, de plu
t monte avec nous, et nous élève au pied du saint Trône. Tel est, mon
Ami
, le refuge heureux que j’ai trouvé en votre âme.
ants de charité et de grâce. Nous parlons souvent de tout cela, ô mon
ami
, dans nos longues conversations d’hiver, et nous
vous déplaît, déchirez-les. « Adieu, et mille amitiés à vous et à nos
amis
. « Lamartine. » « Ce fut dans l’été de 1830 que
le cri des combattants. Les symptômes sont alarmants ; vos paisibles
amis
de Paris, qui font de la politique avec leur encr
es qu’elles donnaient que je devais tous ces témoignages. « Parmi mes
amis
du Globe ou qui appartenaient par leurs idées à c
que immaculé, de la Révolution, sa dame d’honneur, sa favorite et son
amie
. La jeune princesse en avait fait sa sœur ; elle
on premier enfant. On peut concevoir ce qu’une telle mort d’une telle
amie
laissa dans son âme d’énergie, d’horreur et de te
nt sa vie. Cette mort, qui lui assurait un ange au ciel au lieu d’une
amie
sur la terre, ne lui laissa point de tristesse, m
, venait assidûment dans cette maison. Il était camarade des pages et
ami
du jeune Raigecourt ; Raigecourt devait être rich
hôtel de sa belle-mère, au milieu de la rue de l’Université. Quelques
amis
et quelques courtisans de sa mélancolie étaient a
amitié. Je répondis timidement de mon mieux. De ce moment nous fûmes
amis
. Je passai peu de jours sans le voir. Il n’avouai
l’accompagner dans sa résidence d’été, et d’y passer avec lui et ses
amis
quelques jours. Je ne m’y refusai pas. Il vint me
nexplicables dans les circonstances où la monarchie des Bourbons, vos
amis
, se trouve engagée. Je n’approuve pas les tendanc
ujourd’hui ; je ne vous en aimerai pas moins comme un de mes premiers
amis
. » Nous nous fîmes ces adieux. Je fis mon discour
le beau portrait de Gérard, qu’il avait légué à madame Récamier, son
amie
, avec la clause qu’elle me le léguerait elle-même
. Necker, et pendant les tempêtes de 1789 ; celui de madame Récamier,
amie
de madame de Staël et à laquelle il se consacrait
amartine au poste de ministre à l’étranger », disait-il souvent à ses
amis
et aux miens. J’étais heureux de ma résidence à N
e d’Espagne. Revenu à Paris, M. de Chateaubriand prit la place de son
ami
; cette ingratitude, qui avait l’air d’une perfid
oulait pas qu’un seul mot de lui pût aggraver les torts de son ancien
ami
. Quelque temps après, Charles X nomma M. de Montm
partis en lutte firent exiler avec le Dante, son contemporain et son
ami
. Pétrarque reçut le jour à Arezzo, petite ville d
une consolation et une fortune. Jacques Colonna était digne d’un tel
ami
, Pétrarque était digne d’un tel protecteur. Ils p
rreau dans un jeune homme dont Cicéron était l’oracle et l’idole. Son
ami
Jacques Colonna l’encourageait de son exemple et
es conseils à persévérer dans la philosophie et dans la poésie. « Cet
ami
, écrit-il lui-même, était le plus aimable de tous
grave dans la pensée, tendre pour ses parents, fidèle et sûr pour ses
amis
, affable et libéral pour tous malgré le beau nom
s. « Je vous vois avec douleur, lui écrit-il, dans la maison de votre
ami
l’évêque de Lombez, Jacques Colonna, la lyre à la
nce historique bizarre comme ce temps avait valu à Jacques Colonna, l’
ami
de Pétrarque, l’évêché de Lombez et la faveur du
ns les ordres, reçut en récompense l’évêché de Lombez. Il supplia son
ami
Pétrarque de l’accompagner dans cette résidence o
heureux de ma vie », écrit-il à cette époque. Cette société de jeunes
amis
revint après un été et un automne à Avignon, rapp
s, la Flandre, Cologne et Lyon ; en revenant à Avignon, il trouva son
ami
Jacques Colonna parti et Laure aussi cruelle. Un
litude, voici ce que je lis dans une de ses lettres à un autre de ses
amis
. J.-J. Rousseau n’a rien de plus extatique. « Co
livres et ses vers suffisaient à sa vie. Voici comment il parle à ses
amis
mondains, qui lui reprochaient sa fuite du monde
nt pas qu’on puisse y renoncer. Ils ignorent mes ressources. J’ai des
amis
dont la société est délicieuse pour moi. Mes livr
dez pour moi », écrivit-il le même jour au soir à son patron et à son
ami
le cardinal Colonna ; vous êtes mon conseil, mon
à son ami le cardinal Colonna ; vous êtes mon conseil, mon appui, mon
ami
, ma gloire ! » La famille des Colonne, jalouse
onnement pour leur ville, décida pour Rome. Le roi de Naples, Robert,
ami
et admirateur passionné de Pétrarque, contribua p
congé, se dépouilla de la robe qu’il portait et en fit présent à son
ami
, pour qu’il la revêtît le jour de son couronnemen
tes les langues, toutes les plumes, se sont aiguisées contre moi, mes
amis
sont devenus mes ennemis ! J’ai porté la peine de
ux regards de Laure, il repartit pour Avignon. La maison des Corrége,
amis
des Colonne et par conséquent les siens, l’arrête
alais des rois ! » « Ici », ajoute-t-il dans une de ses lettres à son
ami
Pastrengo, « je travaille toujours, aspirant au r
spiritualiste dans l’âge chrétien. XX La mort prématurée de son
ami
Jacques Colonna, l’évêque de Lombez, le fit renon
à la main, rappelèrent Pétrarque à Parme. Il composa pour Rienzi, son
ami
, cette ode patriotique : Italia mia beneche il p
à vieillir, disait-il au cardinal Étienne Colonna, son patron et son
ami
; tout change avec le temps ; mes cheveux mêmes c
ses derniers adieux à ce séjour d’amour et de paix. Mais Rienzi, son
ami
, le rappelait par le grand bruit que ce tribun fa
ape dissimulait à Avignon. Quant à Pétrarque, il crut revoir dans son
ami
le restaurateur de cette Italie antique, dont l’i
ambassadeurs ; Pétrarque seul persistait dans son fanatisme pour son
ami
. Clément VI caressait cependant encore le poète ;
à Parme, son Vaucluse italien, pleurant à la fois sur la perte de ses
amis
les Colonne et sur la perte de Rome. Rienzi, en e
certitude de l’avenir. « Quand elle fut à l’agonie, ses parentes, ses
amies
, ses voisines, se rassemblèrent autour d’elle, qu
s perdre une compagne qui était l’âme de nos plaisirs innocents ; une
amie
qui nous consolait dans nos chagrins, et dont l’e
1788 ; pour les voir à leur point de vue comme les voyaient alors ses
amis
et ses maîtres, je demande à citer quelques passa
rd à vingt ans, ni le petit maître à soixante. Actuellement, mon cher
ami
, je ne prêche plus, et ma santé s’en trouve bien
ire, et je crois que cette lecture vous fera du bien. Adieu, mon cher
ami
, continuez de vous faire homme, et aimez-moi comm
et toujours utiles. Le conseil habituel du père Lefebvre à son jeune
ami
, c’est de profiter de son heureuse flexibilité qu
a Guerre sous le Directoire. Une lettre écrite par Daru à l’un de ses
amis
, et où se trouvaient ces mots ironiques : « J’att
es amis, et où se trouvaient ces mots ironiques : « J’attends ici nos
amis
les Anglais qui, dit-on, vont débarquer bientôt,
péter ce que je trouve écrit dans les lettres que lui adressaient ses
amis
à lui-même ; car Daru était de cette école de lit
fois les satrapes d’Asie. En critiquant Daru et en remarquant que ses
amis
, consultés par lui, et au milieu de leurs éloges,
administratives comme commissaire ordonnateur. En l’an IV (1796), son
ami
Petiet étant ministre de la Guerre, Daru fut appe
t précédemment les Odes et les Épîtres), et il correspondait avec son
ami
Nougarède de Montpellier, lui envoyant une à une
; les correspondances de cette date entre lui et quelques-uns de ses
amis
littérateurs et auteurs de pièces de théâtre (Cre
té comme eût fait Andrieux, et il a réussi. Bien des années après, un
ami
de Daru, un ancien oratorien, grand vicaire d’Orl
pouvait ne sembler d’abord qu’ennui et corvée inévitable, imposée à l’
ami
des Muses, devient sa gloire la plus sûre auprès
pendant quelques années encore, vous ne faites des vers que pour vos
amis
. Cherchez-en pourtant de sévères… » (31 décembre
Horace que son ancien élève lui avait dédiée : « Je croyais, mon cher
ami
, disait-il, m’être guéri à force de philosophie d
asse, dînait ce jour-là à la table de son chef d’institution, Picard,
ami
de ce dernier, et qui était du dîner, disait gaie
la statue de Henri IV, et dit en se retournant vers sa troupe : « Mes
amis
, saluons celui-ci ; il en vaut bien un autre ! »
L’Utilité des États provinciaux (1750), soit dans maint chapitre de L’
Ami
des hommes (1756), soit dans la Théorie de l’impô
lui demandez pas de se soigner, de se relire : « Mes affaires et mes
amis
, dit-il, ont besoin de moi, et le peu de temps qu
ait pu réaliser une partie de ces réformes indiquées par des citoyens
amis
du trône, ce trône aurait eu chance de durer. Tou
d’écrire au bas de cette lettre, pour que Vauvenargues la montre aux
amis
, la réponse qu’il y a faite et qui consiste en ce
et qui lui gâtera sa vie, d’ailleurs intègre : « La volupté, mon cher
ami
, est devenue le bourreau de mon imagination, et j
lu un régiment dans un service étranger, je savais où le trouver. Mes
amis
et ma famille s’y sont opposés : on m’a représent
re au jour la journée : « Nous avons besoin de nous joindre, mon cher
ami
; vous appuieriez sur la raison, et je vous fourn
il n’en est point que l’on ne puisse commettre au papier qui va à son
ami
. Mirabeau faisait alors des vers, des tragédies
rt et ce qui dénote le galant homme, c’est de convier si vivement son
ami
à ce qu’il croit un des éléments du bonheur, et d
et il proteste à Mirabeau qu’il n’est pas si homme de livres que son
ami
se le figure : Je ne passe point ma vie sur les
dans son livre toutes les sentences des anciens. » — S’il convie son
ami
à s’ouvrir à lui, il lui donne largement l’exempl
ai longtemps… Adieu, mon cher Vauvenargues. Vous voyez l’âme de votre
ami
toute nue ; je ne doute pas qu’au travers de ses
où Mirabeau n’eût plus été admis à dire à Vauvenargues : « Aimez vos
amis
avec leurs défauts ; je vous passe trop de sagess
e recevoir des conseils ; il aime et excelle à en donner. Il voit son
ami
s’oublier à Bordeaux depuis un an, attaché par qu
s et sur la vie. 2. [NdA] Les curieux peuvent aller chercher dans L’
Ami
des hommes (3e partie, chap. 8), une certaine com
Révolutions, publié et retiré de la publicité par les conseils de ses
amis
, pour être remplacé par le Génie du Christianisme
aise, ne fait que le torturer. Il ne faut rien moins que la main d’un
ami
pour panser les plaies du cœur, et pour vous aide
de loin la lumière de leurs fêtes, lui qui eut aussi des fêtes et des
amis
! Il ramène ensuite ses regards sur quelque petit
riser au loin sur les côtes où il fit naufrage. Après la perte de nos
amis
, si nous ne succombons à la douleur, le cœur se r
imables des dieux ; et le sauvage en élevant le mont du tombeau à son
ami
, la mère en rendant à la terre son petit enfant,
aris l’auteur de l’Essai ; il l’avait introduit auprès de ses propres
amis
: M. Joubert, qui n’a laissé que des Pensées et q
mable, le reçut discrètement aux Ternes. De là on le conduisit chez l’
ami
de M. de Fontanes, M. Joubert, son premier hôte,
i de M. de Fontanes, M. Joubert, son premier hôte, resté à jamais son
ami
. Quelques littérateurs médiocres qu’il avait conn
tanes, attaché alors aux charmes de madame Bacciochi, se conduisit en
ami
sincère et désintéressé, et présenta Chateaubrian
ne encore, mais déjà mûr d’idées et souple de caractère ; M. Joubert,
ami
de tous les malheureux ; M. de Bonald ; M. de Fon
m, ancien ambassadeur en Espagne, membre de l’Assemblée constituante,
ami
de M. Necker, mais plus encore de Louis XVI, étai
té qui n’était que charmes, vivait dans une retraite, visitée par les
amis
de sa famille. M. de Fontanes lui présenta son no
ée par les amis de sa famille. M. de Fontanes lui présenta son nouvel
ami
, M. de Chateaubriand. Ces deux caractères semblèr
promptement écoulés ! C’était ordinairement dans ces soirées que mes
amis
me faisaient parler de mes voyages ; je n’ai jama
d’œuvre dans sa vie ; elle disparut pour longtemps. Le dévouement aux
amies
loyales ne faisait point partie des prescriptions
u Murat à Milan, il reprit sa route. Il arriva à Rome le 27 juin. Mon
ami
, M. Artau, le conduisit à Saint-Pierre. « Il sen
, dont la valeur individuelle est si intimement liée aux maîtres, aux
amis
, à toute la génération qu’il représente, et à l’e
ageait pas, et il lui arrivait quelquefois de dire à l’un de ses bons
amis
lyonnais, M. Lenoir ou M. Ballanche : « Crois-tu
dans cette histoire de la formation intellectuelle et morale de notre
ami
, à ce qui devait durer et prédominer. Ce fut le 1
Loups, Ampère y passa également quelques semaines en compagnie de son
ami
Alexis de Jussieu, qui y avait un pied-à-terre. P
se trouvaient ces chères reliques qu’il a été donné à bien peu de ses
amis
, même de ceux qui vivaient le plus près de lui, d
ccupait avec tant d’intérêt du Globe, des articles d’Ampère et de ses
amis
, que le jeune homme, venant de Bonn où il avait p
repasse en revue mes souvenirs, je fais en idée le recensement de nos
amis
d’alors, et il me semble qu’aucun, en effet, n’ét
politiques. Ernest Descloseaux aussi eût donné une bonne idée de ses
amis
, lui qui des premiers chez nous connut bien Shake
e se faire bien venir. Mme Récamier, un peu faible à l’endroit de ses
amis
et ne perdant aucune occasion de leur faire plais
ique, je me promenais dans le parc avec le fils de Goethe et quelques
amis
; nous approchâmes de sa petite maison sans faire
le rejetait lui-même au second plan, soit qu’il lui en voulût, comme
ami
, de certaines souffrances et de certains ennuis d
ant un pli géologique du sol, on sent à l’exactitude du signalement l’
ami
d’Élie de Beaumont ; s’il parle de la végétation,
e un pays, un degré de latitude à une plante, à une mousse, on sent l’
ami
d’Adrien de Jussieu ; s’il montre du doigt la tou
t arriver à l’exécution, à la composition. Vous passez votre vie, mon
ami
, à faire des projets, des plans, à amasser des ma
le soir, combien de fois, rentrant vers minuit, Ampère retrouvait son
ami
veillant encore, et là, assis au bord du lit, le
, dans sa douce habitude, lui procurait des liaisons agréables et des
amis
à tous les degrés. Je ne répondrais même pas qu’e
ait pris ! Eh bien, malgré tout cela, Ampère avait encore besoin d’un
ami
intime en dehors de l’ordinaire, d’un ami dont il
re avait encore besoin d’un ami intime en dehors de l’ordinaire, d’un
ami
dont il eût la plus haute idée et avec qui il fût
ence à tous les instants. M. Mohl, calme et sage, ne pouvait être cet
ami
-là ; il n’eût répondu à bien des ébullitions, à d
r Ampère avait besoin d’un Étienne de La Boëtie. Il avait besoin d’un
ami
du Monomotapa à qui courir raconter, dès le matin
its, sur les deux derniers volumes de sa Démocratie en Amérique, et l’
ami
consulté ne manque pas de trouver, contrairement
s volumes encore supérieurs aux premiers. Ampère n’était pas pour ses
amis
un critique très-sûr ; l’affection le fascinait.
s même si je ne me hasardai pas, un jour que je rencontrai mon ancien
ami
, à le lui dire un peu brusquement : il me répondi
douceur et d’indulgence pour ma boutade que tout le inonde, parmi ses
amis
, n’était pas de mon avis. Il y a des degrés d’int
teuse que de lui parler d’Ampère. « C’est un sujet, écrivait-il à son
ami
(12 mai 1857), qu’on entame volontiers avec moi p
le mettre en train. J’ai surtout remarqué deux hommes d’esprit de vos
amis
, Doudan et Molli, qui m’ont dit sur vous des chos
année du règne de Louis-Philippe, je lis : « Paris, 1847. — Mon cher
ami
, M. Guizot est venu hier à mon banc me demander s
concentré son orgueil et sa tendresse sur une jeune femme aimable97,
amie
de l’esprit et profondément atteinte dans sa sant
vie. L’intimité avec Tocqueville ne fut pas sans s’en ressentir. Cet
ami
, dont la santé continuait elle-même de s’altérer
à constater le changement, et, allant au-devant des scrupules de son
ami
, il s’appliqua à le tranquilliser, à le dégager.
aisons les plus fortes vous en empêchaient. J’ajoute, mon bon et cher
ami
, que non-seulement je ne vous ai pas attendu, san
mi effacés par des larmes : « Marseille, 26 avril (1859). « Mon cher
ami
, « Je vous écris de Marseille, où il y a eu hier
emblait la partager, et une lettre écrite par Mme Bunsen à une de ses
amies
de Rome le 29 mars dernier parlait de convalescen
ue je savais auprès de lui depuis quelque temps et de passer avec mon
ami
convalescent un mois agréable comme un mois de To
ent à Cherbourg, où il m’avait reconduit. Ses frères étaient là et un
ami
d’enfance, Louis de Kergorlay. Celui-ci devait ra
n, ce me sera un vrai soulagement de serrer la main de quelques vrais
amis
comme vous et les vôtres. Communiquez, je vous pr
ndant son respect pour les convenances était tel, ses égards pour ses
amis
allaient si loin, sa sensibilité par moments empi
l eût été moins aimable, moins délicieux en société, moins cher à ses
amis
, peut-être moins digne de l’être. Au lieu de se p
inte-Beuve, qui lui tombe au dernier moment sous la main : « Mon cher
ami
, Jean Reynaud que j’ai vu hier veut vous parler ;
une mémoire inspira dignement et que je n’ai jamais vu si simple. Des
amis
intimes de M. Duparquet ont tout fait pour me con
edire ou infirmer de semblables témoignages ! J’ai répondu à l’un des
amis
survivants de M. Duparquet, qui tenait absolument
ns fugitive dans laquelle il se trouve en écrivant. Des lettres à des
amis
sont de la conversation commencée : la conversati
Aujourd’hui que le voilà dans la maturité de l’âge et du talent, ses
amis
désirent ardemment qu’il fasse enfin converger ve
famille Cheuvreux. 97. Mme Guillemin, leur fille. 98. « Un de mes
amis
, qui l’a beaucoup connu à Rome, me contait derniè
ionnais que l’approbation de ma conscience et le suffrage de quelques
amis
. Plus jaloux de préparer des regrets après ma mor
d’autre soin que de prévenir le moment de la lassitude. Au reste, mon
ami
, peut-être n’ai-je rien fait de ce que vous atten
sse, du goût, de la philosophie, de la hardiesse ; toutes annoncent l’
ami
des hommes, l’ennemi des méchants, et l’admirateu
d’un inconnu, fait un acte pieux ; celui qui élève un monument à son
ami
, donne de l’éclat à sa piété : que ne vous dois-j
us les grands hommes de l’antiquité, un des plus doux liens entre mes
amis
et moi, entre les hommes instruits de tous les âg
es amis et moi, entre les hommes instruits de tous les âges, et leurs
amis
. Tu es resté le sujet de nos fréquents entretiens
oulagerai en te vengeant de l’un et des autres. Pourquoi faut-il, mon
ami
, que les accusations soient écoutées avec tant d’
s été inutile, la gloire de la tentative. A cet avantage tâchons, mon
ami
, d’en ajouter un second, plus précieux peut-être
ntiment ou par la religion, cet infini du cœur. Wilhelm Schlegel, son
ami
et son compagnon de voyage en Allemagne, lui four
déjà mourir ? J’étais belle aussi, c’est ce qui a fait ma perte ; mon
ami
était alors près de moi ; il est maintenant bien
rguerite ! Marguerite ! MARGUERITE, attentive. C’était la voix de mon
ami
. (Elle se précipite vers Faust, et ses fers tombe
ard. MARGUERITE. Quoi ! tu ne réponds point à mes embrassements ? Mon
ami
, il y a si peu de temps que nous nous sommes quit
u fait de ton amour ? Qui me l’a ravi ? FAUST. Viens, suis-moi, chère
amie
; prends courage ; je t’aime avec transport ; mai
D’où viens que tu n’as pas horreur de Marguerite ? Sais-tu bien, mon
ami
, sais-tu bien qui tu délivres ? FAUST. Viens, vie
emeure éternelle : je ne puis aller que là. Tu veux partir ? Oh ! mon
ami
, si je pouvais.... FAUST. Tu le peux, si tu le ve
e n’ai que trop fait ce que tu as voulu. FAUST. Le jour paraît, chère
amie
! chère amie ! MARGUERITE. Oui, bientôt il fera j
op fait ce que tu as voulu. FAUST. Le jour paraît, chère amie ! chère
amie
! MARGUERITE. Oui, bientôt il fera jour ; mon der
ns le fond du cachot la voix de Marguerite qui rappelle vainement son
ami
. Faust ! Faust ! La pièce est interrompue après
dèle de la révolution et le type de constitution que M. Necker et ses
amis
rêvaient pour la France. Tel était le texte que m
le serra longtemps la main de M. de Lafayette, et lui dit devant deux
amis
qui mêlaient leurs vœux aux siens. « Dans ce caho
e ménager un peu d’abord même ceux qu’il appelait des Idéologues, vos
amis
Tracy, Sieyès, Volney, Garat ; mais, moi, il me h
, Volney, Garat ; mais, moi, il me hait, il hait en moi mon père, mes
amis
, nos opinions à tous, l’esprit de 1789, la charte
chère madame. » Et peu de minutes après, madame de Staël et quelques
amis
plus affidés de sa personne et de sa famille étai
e madame de Staël, tout en gémissant sur la versatilité de son ancien
ami
, eut, sinon quelque faiblesse, au moins quelques
’impression fugitive de cette apparition, dans une lettre à un de nos
amis
d’enfance qui nous a été restituée après la mort
n de nos amis d’enfance qui nous a été restituée après la mort de cet
ami
; nous demandons pardon au lecteur d’en détacher
que tous les jours en se promenant en voiture avec ses enfants et ses
amis
. La voir était assez pour moi ; je me hâtai de pr
je ne vis plus qu’elle. Elle m’aperçut, et me montra du regard à son
amie
, qui se pencha à son tour pour regarder de mon cô
l, etc., etc. » LVII La rencontre que je racontais ainsi à mon
ami
avait lieu précisément le jour et à l’heure où le
d’agitation, tant de génie et tant d’amour, commençait à languir. Son
amie
, madame Necker de Saussure, raconte qu’à ses dern
« Quand je n’aurais pas la certitude d’une vie future, dit-elle à ses
amis
, je rendrais encore grâce à Dieu d’avoir vécu. To
sseau, son maître, de Voltaire, son voisin, de Byron, son hôte et son
ami
. Heureuse dans son berceau, heureuse dans sa vie,
ersation même. Elles sont à la gauloise, sans cérémonie aucune, à des
amis
avec qui il pense tout haut et à qui il raconte s
trace du moins le plan, son grand but, après avoir embrassé ses bons
amis
de Lyon, les Spon, les Falconnet, ce serait d’all
a été nourri et dans laquelle il persévère jusqu’à la fin, entouré d’
amis
qui la partagent plus ou moins, des Gassendi, des
igne, Charron, Grotius, Heinsius, Saumaise, Fernel, feu M. de Thou (l’
ami
de Cinq-Mars et le décapité), et notre bon ami M.
nel, feu M. de Thou (l’ami de Cinq-Mars et le décapité), et notre bon
ami
M. Naudé… Il y avait encore trois autres portrait
de feu M. de Sales, évêque de Genève, M. l’évêque de Bellev, mon bon
ami
, Justus Lipsius ; et enfin de François Rabelais,
ettres. Il y a des moments où, quand il cause en tête à tête avec ses
amis
Gassendi et Gabriel Naudé, il a l’air d’aller bie
1), sentant le poids et les devoirs qu’elle lui impose, il écrit à un
ami
: « Je me recommande à vos grâces et à vos bonnes
Il reste donc royaliste et anti-Mazarin. Si, sur ces entrefaites, son
ami
l’incomparable M. de Saumaise écrit « en faveur d
souhaite autant de mal qu’ils en ont fait à leur roi. » Si son autre
ami
, et bien plus intime, Gabriel Naudé, écrit en fav
ades d’août 1648. Le président de Blancmesnil a coutume de dire à ses
amis
que Gui Patin n’est pas seulement son médecin gué
des gens de bien sont sérieuses, et lui-même il a fait la sienne. Cet
ami
des Frondeurs est royaliste par le côté du bon Lo
fait son temps de doyen, Gui Patin succéda au Collège de France à son
ami
et maître Riolan, qui se démit en sa faveur (octo
les sont vives chez lui et sincères. Avec Spon, avec Falconnet et ses
amis
de Lyon, avec Gabriel Naudé son ami de jeunesse,
Avec Spon, avec Falconnet et ses amis de Lyon, avec Gabriel Naudé son
ami
de jeunesse, il est plein de chaleur, de cordiali
pagne attendent les galions. Le 12 septembre 1664, pensant à un autre
ami
bien cher, il lui écrit : « Il y a aujourd’hui vi
inistre enragé, fit couper la tête dans votre ville à mon bon et cher
ami
M. de Thou : Heu dolor ! scribere plura vetant la
nderaient plus de développement. Nous savons qu’un littérateur de nos
amis
, et bien connu du public, a, depuis longtemps, pr
qui se passent tantôt entre lui et Sophie, tantôt entre Sophie et une
amie
(Mme de Saint-Belin), sont écrits avec pureté et
mais il y a des gens qui ne mettent point en colère. Je n’ai pas une
amie
à Pontarlier : j’y ai vingt espions et cent criti
on lui tendit dans une société médisante et rétrécie, quelles fausses
amies
essayèrent de s’insinuer près d’elle, quels adora
était amoureux de moi, et qu’il me convenait d’autant mieux qu’étant
ami
de M. de Monnier, ma réputation et mon repos dome
u’il était indigne d’un honnête homme de regarder la confiance de son
ami
comme une facilité pour le tromper, et que cette
te jeune qu’elle est ; elle a donc fait son testament en faveur d’une
amie
(Mme de Saint-Belin), et, au premier éclat qu’ell
respectueux, il est familier, il est fraternel ; c’est par moments l’
ami
et presque le camarade, qui veut obliger le camar
ments l’ami et presque le camarade, qui veut obliger le camarade et l’
ami
: Ce n’est point mon amour que je veux vous fair
essé… Ne soyez point femme en cet instant. Supposez que vous êtes mon
ami
; que vous ne pouvez vous absenter d’ici ; qu’il
veux point désirer en ce moment aucune autre félicité ; je suis votre
ami
; je veux l’être : j’en remplirai les devoirs ava
e déguise. En vain me répéteriez-vous que vous ne voulez être que mon
ami
, vous m’avez déjà parlé comme un amant. Je ne vou
ère quand vous vous serez exposé pour moi. À votre âge on n’est pas l’
ami
d’une jeune femme, et je ne veux point être votre
écembre 1775, c’est-à-dire du mois suivant, et qu’elle adressait à un
ami
, magistrat à Pontarlier, on lit simplement ces mo
phe, mais avec un caractère visible d’ingénuité. La voici : Ah ! mon
ami
, que ne puis-je faire passer dans votre âme le se
rabeau écrivait encore, et il n’y a pas lieu de le démentir : « Ô mon
amie
, d’un bout à l’autre, ils sont bien uniques, nos
dans le cinquième Dialogue, où elle est censée s’entretenir avec une
amie
: Le comte, au milieu d’une crise si imprévue, s
s jusqu’à la porte du salon, et il me dit qu’il retournerait chez son
ami
. Le marquis n’eut pas l’ombre d’un soupçon : il l
erot (grand prévôt) avec ses deux filles et Mlle de Saint-Belin, leur
amie
. On annonça le marquis de Lancefoudras, et, sous
ster toujours, il rendit bientôt madame Guyon aux empressemens de ses
amies
. Libre, elle vole à Versailles, est introduite da
amp; de beaux esprits, souhaité partout, & ne se livrant qu’à des
amis
intimes, aimant & rendant aimable la vertu, f
s’exposoit à perdre sa place & ses espérances. Il conseille à son
amie
de se mettre entre d’autres mains, de choisir un
aque. Bossuet, après s’être longtemps regardé comme le maître & l’
ami
du second des hommes pour l’éloquence, & du
, en étoit devenu le rival. L’attention de Fénélon à lui renvoyer son
amie
, comme au seul oracle qu’il falloit consulter, av
détacher l’abbé de Fénélon de la personne & des sentimens de son
amie
. On lui parle, on lui écrit, on le presse ; mais
rompée elle-même. L’orage contre Fénélon grossissoit chaque jour. Ses
amis
lui cherchèrent un port assuré dans le sein de la
excepter les PP. la Rue & Bourdaloue, qui ne furent jamais de ses
amis
. La Rue fit en chaire une sortie contre le livre
. Sa disgrace entraîna celle de la plupart de ses parens & de ses
amis
. Ils furent privés de leurs emplois, ou chassés d
riantes & naturelles. Les peuples trouvent, dans cet ouvrage, un
ami
zèlé qui ne cherche qu’à les rendre heureux ; &am
a composition de différens ouvrages ; faisant les délices de quelques
amis
intimes & tendres ; consulté des grands, &
On peut assurer uniquement que mademoiselle Desvieux vécut toujours l’
amie
de l’évêque de Meaux, & qu’on respecta leur u
de la même admiration pour Socrate ; il avait été son disciple et son
ami
, il l’avait vu traîner dans les fers, il avait vu
larmes ; ils faisaient paraître leurs enfants, leurs proches et leurs
amis
, pour obtenir par la compassion ce qu’ils n’aurai
amné à mourir : « Comme il plaira aux dieux, dit Socrate. » Alors son
ami
le conjure de vouloir bien se conserver lui-même
une cause qui lui est étrangère, examine s’il doit fuir ou rester : «
Ami
Criton, dit-il, il n’y a qu’une règle, la justice
tes enfants que tu voudrais vivre ? Tes enfants ! et n’as-tu pas des
amis
? Socrate, laisse-toi persuader, et ne préfère ni
du crime, si en mourant elle n’a pour elle-même que Dieu et quelques
amis
qui l’entourent, si cependant elle pardonne à la
ordres pour sa maison, quand il fait éloigner les femmes ; quand ses
amis
mesurent avec effroi la course du soleil, qui bie
mander un heureux voyage, et l’instant où il boit, et les cris de ses
amis
dans ce moment, et la douceur tranquille avec laq
nière parole, et son dernier, et son éternel silence au milieu de ses
amis
qui restent seuls. Dans cette Athènes soumise auj
inspiration maladive de l’âme. Revenu à Paris, j’appris de M. D…, son
ami
, comment il était mort. Les deux premières journé
faisaient un charme, cela en effet ne pouvait durer ; et ceux de mes
amis
(il en est) qui auraient voulu me fixer et comme
ne parenté de cœur (et qui dure encore en se resserrant), avec un des
amis
les plus intimes de Beyle, M. de Mareste, connu,
et laisse des larmes pour toutes les blessures, un homme qui, comme l’
ami
de Cicéron, se serait retiré au fond de la Grèce
il en souriant, avec un air de bonne foi communicatif. Mareste, notre
ami
, m’a dit que vous aviez mille fois plus d’esprit
tre loisir, une admiration sincère et passionnée pour vous. Venez, un
ami
vous attend ! » Or, si un livre si rempli de Divi
gard ravissant et respecté de cette charmante femme de votre meilleur
ami
, épars sur ce groupe de ses beaux enfants à peine
IX La troisième Consolation, adressée à M. Auguste Le Prévost, un
ami
de l’auteur, peint admirablement l’impression du
il, Et je disais les noms de chaque jeune fille. Du curé, du notaire,
amis
de la famille, Pieux hommes de bien, dont j’ai rê
J’aspirais vos regards, je lisais dans vos yeux, Comme aux yeux d’un
ami
qui vient d’un long voyage ; Je rapportais au cœu
enir, Où l’on pense aux absents, aux morts, à l’avenir, Votre parole,
ami
, me revient et j’y pense ; Et consacrant pour moi
omme heureux ! Juillet 1829. XI Et cette Consolation à deux
amis
qu’il avait quittés pour quelques jours, et dont
UX ABSENTS. Vois ce que tu es dans cette maison ! tout pour toi. Tes
amis
te considèrent : tu fais souvent leur joie, et il
llant, vous qui m’avez admis Dès longtemps comme un hôte à vos foyers
amis
, Qui m’avez laissé voir en votre destinée Triomph
us plongez à demi ; Doux bruits, moins doux pourtant que la voix d’un
ami
: Vous, noble époux ; vous, femme, à la main votr
premier. Ils passent ; mais sans eux votre existence est pleine. Et l’
ami
le plus cher, absent, vous manque à peine. Le mon
outte de plus dans vos fraîches rosées ; Et bien que le cœur sûr d’un
ami
vaille mieux Que l’Océan, le monde et les astres
vaille mieux Que l’Océan, le monde et les astres des cieux, Ce cœur d’
ami
n’est rien devant la plainte amère D’un nouveau-n
uvé seul et j’ai beaucoup gémi, Et je me suis assis sous l’arbre d’un
ami
. Ô vous dont le platane a tant de frais ombrage,
lui parviendront pas, nous les lui envoyons, ces vers, comme un vœu d’
ami
dans le voyage. » Un jour, c’était au temps des
te venait de passer ! » J’ai été coupable de la même faute, mon cher
ami
, dans Raphaël ; j’ai voulu allier dans le même li
n homme d’Israël. Ce n’est pas l’amour-propre qui se réjouit, c’est l’
ami
qui se retrouve ! XIV Ce furent vos dernièr
ur poli, même après Catulle et après Lucrèce. C’est par Théocrite, en
ami
des champs, qu’il commença. De retour dans le dom
guste ou d’Apollon. « Sénèque, dans une lettre à Lucilius, parle d’un
ami
de ce dernier, d’un jeune homme de bon et ingénu
ur moi, j’appartiens à cette classe dont Sénèque a dit : ‘Ils sont si
amis
de l’ombre, qu’ils considèrent comme étant dans l
ament qu’Horace, Virgile s’abandonna avec moins d’emportement que son
ami
, mais avec aussi peu de scrupule, aux plaisirs de
ien à l’idée qu’on a de lui et ce qui le distingue à cet égard de son
ami
Horace, de la retenue jusque dans la vivacité du
crer sa famille à l’empire, et l’empire à sa famille. Il pria Horace,
ami
de Virgile et de Mécène, de consentir à lui servi
t continua de souper familièrement avec lui et avec Mécène.” Les deux
amis
introduisirent Virgile dans cette intimité. C’est
gagner péniblement le pain de mes créanciers avec les subsides de mes
amis
! Lamartine. 24. M. Laurent de Jussieu, l’u
s ! Lamartine. 24. M. Laurent de Jussieu, l’un des plus anciens
amis
de Lamartine. 25. « Dans ces traductions, je me
l ne restait en hommes, à madame de Rambouillet, que ses plus anciens
amis
, Chapelain, Cottin, Ménage, Vaugelas, Montausier
on n’était plus que la réunion très bornée de la famille et ces vieux
amis
; ce n’était plus le fameux hôtel de Rambouillet,
de ceux qui restent. En nommant Chapelain, Cottin, Ménage entre les
amis
qui demeurèrent attachés à la marquise octogénair
, dît-il dans sa préface, pour faire valoir l’esprit de ses illustres
amies
, et pour ne rien ôter à si reconnaissance et à le
t ses premiers regards sur la société, sur ses connaissances, sur ses
amis
; réglant son esprit à mesure qu’il se développe,
c’étaient à peu près les mêmes gens, excepté que l’abbé Testu, intime
ami
de madame de Richelieu, dominait à l’hôtel de Ric
reux de madame Scarron, mais maltraité comme amant, fort estimé comme
ami
, n’était pas ce qu’il y avait de moins bon dans c
Huet, évêque d’Avranches, fut aussi de sa société habituelle ; mais l’
ami
le plus ancien et le plus intime fut le duc de La
de La Fayette où était M. de La Rochefoucauld. Quelquefois les trois
amis
se trouvaient ensemble à l’hôtel de Longueville.
sy-Rabutin la placent entre les talents épistolaires ; elle avait des
amis
d’un rang et d’un mérite très distingués. Sa fort
ntaine, il a pu le connaître ou, tout au moins, il a pu connaître ses
amis
il étudia, nous dit donc l’abbé d’Olivet, sous d
e comme maître des eaux et forêts. A cette époque, il avait de grands
amis
, et à Château-Thierry, et à Reims qui n’est pas b
Fontaine qui sont de 1647 : c’est son mariage et le canonicat de son
ami
Maucroix. Tous les deux, la même année, faisaient
’intermédiaires. Racine fils a su la chose de Racine son père, ou des
amis
de Racine le père, et Racine la savait de La Font
; aussi un jour La Fontaine vint trouver Poignant et lui dit : « Mon
ami
, viens me parler un peu tête-à-tête ! » Ils allèr
lors La Fontaine, prenant un air très sérieux, dit à Poignant : « Mon
ami
, voilà, il faut nous battre Nous battre Le pu
qu’elle est si drôle, infiniment arrangée, infiniment adornée par les
amis
de La Fontaine et de Racine, qui l’a racontée à s
ne savons rien de précis sur la conduite de MIle de La Fontaine. Les
amis
de La Fontaine car il a des amis très chauds, tr
onduite de MIle de La Fontaine. Les amis de La Fontaine car il a des
amis
très chauds, très passionnés, même encore, même a
me au point de vue de sa vie, de sa biographie, de son caractère les
amis
de La Fontaine, en ce moment-ci, ou il y a quelqu
t si vrai que Racine, envoyant une petite production littéraire à son
ami
La Fontaine, la recommandait, non pas à l’indulge
de déclarer. Il y avait là Pellisson bien entendu ; c’était le grand
ami
de Fouquet ; — il y avait le spirituel et bouffon
igner, en restant dans leur chambre, sans compter ceux-là, furent des
amis
déclarés, et qui s’exprimaient avec éclat, de Fou
. Il n’a jamais pardonné à ceux qu’il connaissait comme ayant été les
amis
déclarés de Fouquet. Vous savez la lettre de Mme
Je remarque même que Jannart s’étant arrêté à Châtellerault chez des
amis
et chez des parents de La Fontaine, et La Fontain
uvent il va à Château-Thierry, qu’il s’y plaît, qu’il y fréquente ses
amis
, beaucoup moins sa femme. Mais la vie de La Fonta
Paris est maintenant celle-ci : c’est la vie de la société des quatre
amis
, comme on l’a appelée. La société des quatre amis
société des quatre amis, comme on l’a appelée. La société des quatre
amis
, La Fontaine, Molière, Racine, Boileau, d’après t
vent dans les parties de plaisir et dans les conversations des quatre
amis
. Cette amitié se brisa assez vite, d’abord par le
t extraordinaire comme femme s’intéressant aux sciences. Elle était l’
amie
de Sauval, de Bernier, de Roberval ; elle était v
te magistrature, surtout un homme très fastueux, depuis longtemps son
ami
. Il se retira donc chez M. d’Herwart, et vous sav
rier 1695, c’est-à-dire bien peu de temps avant sa mort : « Oh ! mon
ami
, la mort n’est rien, mais tu sais comme j’ai vécu
▲