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1 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Errata Du Tome second. » pp. -
ez quelquefois. Pag. 71. lig. 10. effacez pourtant. Pag. 85. lig. 29. ajoutez , l’Abrégé de l’Histoire Ecclésiastiaque de M. Mac
de M. Macquer a été réimprimé en trois vol. in-8°. Pag. 89. lig. 17. ajoutez , Justin a été traduit en françois par l’Abbé Favi
Pag. 103. lig. 9. tous les ; lisez la plûpart des. Pag. 117. lig. 28. ajoutez , Patercule a été très-bien traduit en françois pa
. Pag. 122. lig. 19. traduction complette ; mettez édition. Pag. 122. Ajoutez avant l’alinea Dion & Suetone Tasite a été tr
ancé. Ibid. lig. 27. M. Lenglet ; mettez Linguet. Pag. 123. lig. 25. ajoutez M. de la Harpe & M. Ophellot de la Pause ont
l’autre est fidéle, sans affectation d’élégance. Pag. 155. lig. 18. ajoutez que les Mémoires de la Ligue ont été réimprimés à
quel ce Journal s’est perfectionné. Pag. 259. lig. 15. de les faire ; ajoutez , & de s’en défaire. Pag. 261. & 262. M. d
262. M. de Marmontel ; lisez toujours M. Marmontel. Pag. 292. lig. 7. ajoutez à la fin de l’alinea; que les principaux défauts
isez Hecquet. Pag. 365. lig. 21. après ces mots, bagatelles morales ; ajoutez , & les autres écrits de M. l’Abbé Coyer.
2 (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préface et note de « Notre-Dame de Paris » (1831-1832) — Note ajoutée à l’édition définitive (1832) »
Note ajoutée à l’édition définitive (1832) Paris, 20 octobre
En effet, si par nouveaux on entend nouvellement faits, les chapitres ajoutés à cette édition ne sont pas nouveaux. Ils ont été
Notre-Dame de Paris. Il y a plus, l’auteur ne comprendrait pas qu’on ajoutât après coup des développements nouveaux à un ouvra
vivre ou mourir comme il est. Votre livre est-il manqué ? tant pis. N’ ajoutez pas de chapitres à un livre manqué. Il est incomp
c un prix particulier à ce que le public sache bien que les chapitres ajoutés ici n’ont pas été faits exprès pour cette réimpre
tion telle quelle du poëte. C’est pour cela surtout que les chapitres ajoutés à cette édition complèteront Notre-Dame de Paris,
3 (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre quatrième. La connaissance des choses générales — Chapitre II. Les couples de caractères généraux et les propositions générales » pp. 297-385
econde fois une circonstance unique bien définie ; cette circonstance ajoutée ou retranchée, étant la seule différence qui sépa
ux deux moyens par lesquels nous démêlions la condition inconnue s’en ajoute un troisième. Nous la démêlions, en éliminant les
ment diminue du même pas que la résistance, et qu’à tout degré ôté ou ajouté à la résistance correspond un degré égal ôté ou a
t degré ôté ou ajouté à la résistance correspond un degré égal ôté ou ajouté au ralentissement. Ce que l’on fait par les deux
trement. Même par-delà les dernières nébuleuses, deux faits ou objets ajoutés à trois faits ou objets de la même classe font ci
s deux axiomes suivants : si, à deux grandeurs égales entre elles, on ajoute deux grandeurs égales entre elles, les sommes son
ables avec des jetons ; si, ayant compté deux gros tas égaux, il leur ajoute deux petits tas pareillement comptés et aussi éga
ns induire, par la méthode des concordances, que des grandeurs égales ajoutées à des grandeurs égales donnent des sommes égales,
e nous supprimons l’égalité des grandeurs primitives ou des grandeurs ajoutées , l’égalité des totaux obtenus disparaît. Sitôt qu
oulons dire par là que, en fait ou par la pensée, on peut au troupeau ajouter un ou plusieurs moutons, ajouter au groupe une ou
u par la pensée, on peut au troupeau ajouter un ou plusieurs moutons, ajouter au groupe une ou plusieurs unités, ôter au troupe
pouvons prouver l’axiome. Soient deux grandeurs égales auxquelles on ajoute des grandeurs égales. Selon l’analyse précédente,
tion contient un certain nombre d’individus ou d’unités, qu’on lui en ajoute un certain nombre, que la seconde collection cont
le même nombre d’individus ou d’unités que la première, qu’on lui en ajoute le même nombre qu’à la première, que, dans les de
e nombre qu’à la première, que, dans les deux cas, le même nombre est ajouté au même nombre, et que, partant, les deux collect
que, partant, les deux collections finales contiennent le même nombre ajouté au même nombre, c’est-à-dire le même nombre total
grandes ; nous voulons dire par là qu’en fait ou mentalement on peut ajouter ou ôter une ligne à la ligne, une surface à la su
rs, nous pouvons aussi prouver l’axiome. Soient deux grandeurs égales ajoutées à deux grandeurs égales. Selon l’analyse précéden
ne certaine ligne, surface, etc., primitive, est donnée, qu’on lui en ajoute une complémentaire, qu’une seconde ligne primitiv
e son emplacement distinct, est la même que la première, qu’on lui en ajoute une complémentaire, la même, sauf son emplacement
cas, abstraction faite des emplacements distincts, la même ligne est ajoutée à la même ligne, et que, partant, les deux lignes
ligne, et que, partant, les deux lignes complétées sont la même ligne ajoutée à la même ligne, c’est-à-dire la même ligne total
. Par suite, au point de vue inverse, addition faite de ce qu’il faut ajouter , la même grandeur se transforme en deux grandeurs
ait invariablement le même office. Voilà la réminiscence sourde qui s’ ajoute à la suggestion des yeux et devance les vérificat
exactement semblables, c’est-à-dire la même unité répétée ; puis j’ai ajouté la seconde à la première, 1 à 1, en supposant qu’
de unité était la même, en d’autres termes, que le second 1, une fois ajouté , demeurait intact et absolument tel que d’abord.
lui l’opération que je viens de faire sur le premier, et partant lui ajouter 1. Puisque le second 1, après son adjonction au p
ument tel que d’abord, je puis, lorsqu’il est adjoint au premier, lui ajouter 4 comme lorsqu’il est seul. Je puis donc ajouter
oint au premier, lui ajouter 4 comme lorsqu’il est seul. Je puis donc ajouter 1 à 1 + 1, c’est-à-dire à 2, comme j’ai déjà ajou
ul. Je puis donc ajouter 1 à 1 + 1, c’est-à-dire à 2, comme j’ai déjà ajouté 1 à 1. Un raisonnement analogue prouve qu’on peut
ajouté 1 à 1. Un raisonnement analogue prouve qu’on peut pareillement ajouter 1 à 3, puis à 4, à 5, à 6, et en général à tout n
notre vision en lui donnant plus de portée ; l’œil interne ne fait qu’ ajouter un télescope à l’œil externe ; partant, nous ne p
4 (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre II. Quelques traditions sur Pindare. »
s, ce génie du poëte thébain si difficile à expliquer et à traduire : ajoutons -y quelques souvenirs de l’antiquité sur sa vie. L
les figures de style, la mélodie, le rhythme, ne sont qu’un agrément ajouté aux choses mêmes ». Le jeune homme, averti, comme
temples à part, dans un lieu pur, loin de l’habitation des hommes, il ajoute , apparemment par cette liaison d’idées naturelle
d’être la seule divinité qu’il n’eut pas encore célébrée, elle avait ajouté qu’il, le ferait du moins lorsqu’il serait venu p
à l’enlèvement de Proserpine. Pausanias, en rapportant la remarque, n’ ajoute rien, et n’affirme pas que le génie du poëte se r
5 (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Appendice — Une discussion dans les bureaux du Constitutionnel »
re révision ou pour collationner une note, quelque passage important, ajouté dès le matin même, et dont il craignait que la re
ve amena très-énergiquement le nom du beau roi Nicomède : « Pourquoi, ajouta-t -il, ces vices de César sont-ils dissimulés dans c
e début d’article que nous reproduisons intégralement, et auquel il n’ ajouta pas un mot depuis. J’affirme qu’en ce temps-là M.
de ses dernières œuvres. Il nous a semblé que les détails que nous y ajoutions avaient leur intérêt, et c’est là notre seule exc
6 (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Adrienne Le Couvreur. » pp. 199-220
restait d’elle, et, comme il a la main heureuse, il a trouvé de quoi ajouter sur quelques points à ce qu’on savait déjà. En at
arrachés son indignation sur l’enterrement de la célèbre comédienne, ajoute que cette indignation, trop vive peut-être, est «
êtes et les projets que cette inquiétude vous fait faire. Je pourrais ajouter que je n’ai pas moins de douleur de savoir que vo
madame, il n’est pas juste qu’il soit malheureux en tant de façons. N’ ajoutez rien à mes injustices ; cherchez plutôt à l’en dé
out) : « Vraiment, dit l’une, elle fait la merveilleuse ! » Une autre ajoute  : « C’est que nous ne sommes pas titrées ! » Si j
nt de quelques bontés, vous sentez bien ce que la reconnaissance peut ajouter à de tels sentiments, et assurément je ne fus jam
attée, et dont j’ose me croire digne par la façon dont je le sens ; j’ ajoute même par celle dont je l’ai inspiré plus d’une fo
i assurait 600 livres de pension et une somme de 6 000 livres. L’abbé ajoutait qu’il avait paru consentir à tout, et qu’il venai
e de réputation la malheureuse duchesse dont on empruntait le nom. Il ajoute que celle-ci étant au lit de mort, sept ans après
ur l’abbé ; je n’ai point oublié vos pauvres dans mon testament. » On ajoute , il est vrai, que, se retournant vers un buste du
7 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre cinquième. Principales idées-forces, leur genèse et leur influence — Chapitre sixième. Genèse et action des idées de réalité en soi, d’absolu, d’infini et de perfection »
que celle d’objet en général, d’existence en général, à laquelle nous ajoutons les attributs en soi et par soi. L’existence, nou
it. Nous ne pouvons atteindre le tout ; mais l’idée du tout nous fait ajouter sans cesse les parties aux parties, et elle est p
, par opposition au simple fait d’exister. « Il n’y a aucune science, ajoute-t -on, qui ne parle de ce que les choses sont en ell
ité et de raison suffisante. Par exemple, soit le nombre 1. Je puis l’ ajouter une fois à lui-même, et j’ai 1 + 1 ou 2. Ce secon
ajouter une fois à lui-même, et j’ai 1 + 1 ou 2. Ce second 1 que j’ai ajouté est absolument identique au premier, car j’ai fai
Donc, je puis faire au second 1 la même addition qu’au premier et lui ajouter encore 1 ; j’ai alors 1 + 1 +1, ou 3. Les mêmes r
trer de limite, car la limite serait une unité qui ne pourrait plus s’ ajouter à elle-même, qui ne serait plus identique aux aut
à la définition d’un objet. Pareillement, soit la ligne AB. Je puis l’ ajouter une fois à elle-même. Ainsi ajoutée, elle demeure
ment, soit la ligne AB. Je puis l’ajouter une fois à elle-même. Ainsi ajoutée , elle demeure toujours identique à soi ; donc je
joutée, elle demeure toujours identique à soi ; donc je puis encore l’ ajouter à elle-même, et ainsi de suite, sans fin. La fin
8 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 16, des pantomimes ou des acteurs qui joüoient sans parler » pp. 265-295
ils alloient représenter avec leur jeu muet. Même encore aujourd’hui, ajoute ce pere, il y a des vieillards qui se souviennent
isanne, et dont l’art consiste à prononcer avec son geste. Cependant, ajoute-t -il, toute la ville se met en mouvement pour lui v
s et de barbarie. Après avoir cité les horreurs de l’amphithéatre, il ajoute , en parlant des pantomimes, qu’on dégrade les mâl
de la souplesse, de la legereté et de l’oreille qu’il doit avoir, il ajoute , qu’il n’est pas plus difficile de trouver un vis
é des tragédies et des comédies qui se représentoient sur ce théatre, ajoute donc : orchestarum… etc. si l’on en croit Martial
, se fussent anéanties, et que le nom de leur instituteur fut oublié, ajoute . La mémoire d’aucun pantomime célebre ne s’éteint
e les hommes et les femmes avoient alors pour les pantomimes. On peut ajouter à cela ce que dit Gallien dans ses pronostics : q
c’est que Tacite immédiatement après les mots que je viens de citer, ajoute une circonstance qui prouve bien que Neron n’avoi
9 (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre quatrième. La connaissance des choses générales — Chapitre premier. Les caractères généraux et les idées générales. » pp. 249-295
— Aux caractères généraux dont le groupe constitue une classe nous en ajoutons d’autres. — Cette addition n’a pas de terme. — Co
généraliser, et nim en vint à signifier toute chose mangeable ; il y ajoutait , selon l’occasion, tantôt le mot bon, tantôt le m
ond ; car il suffira toujours de trouver un corps nouveau pour lui en ajouter une. Au commencement du siècle, la découverte du
tainement l’eau manifesterait des propriétés inconnues qu’il faudrait ajouter à sa liste. — En attendant, pour tout objet, cett
e plus variée, nous déterminons les caractères constatés et nous leur ajoutons une file de caractères nouveaux. — D’autre part,
ts les nombres. Or, chacun sait que tout nombre est formé par l’unité ajoutée à elle-même ; c’est donc la notion d’unité que no
ur, les doigts de la main ouverte. Il n’y a rien de plus facile que d’ ajouter des cailloux, un à un, de manière à en faire un t
es d’unités abstraites, et, à mesure qu’un doigt ou caillou visible s’ ajoute au groupe des doigts ou cailloux visibles, une un
s’ajoute au groupe des doigts ou cailloux visibles, une unité pure s’ ajoute au groupe des pures unités. À présent, à ces subs
d on passe d’un nom de nombre au nom suivant, un doigt se lève pour s’ ajouter au groupe précédent des doigts levés, une unité a
s’ajouter au groupe précédent des doigts levés, une unité abstraite s’ ajoute au groupe précédent des unités abstraites, et le
chiffres distincts pour représenter les neuf premiers à nombres ; on ajoute à cette liste un zéro pour représenter l’absence
oigts remplaçaient de pures unités. À ces éléments ainsi représentés, ajoutez -en un autre, le mouvement ; il se rencontre aussi
t, aux deux directions simples selon lesquelles chemine la planète, s’ ajoutent d’autres directions perturbatrices. Par conséquen
mis ; à la considération des directions primitives ou principales, on ajoutera alors celle des directions perturbatrices, soit u
é, c’est de l’accroître toujours de la même manière, c’est-à-dire d’y ajouter des accroissements égaux dans des temps égaux. »
10 (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « VIII »
de choses qui m’aient donné autant de plaisir à écrire. Je pourrais y ajouter d’autres raisons, mais cela n’irait pas sans ennu
qu’elles sont bonnes. Si Fénelon, par simple désir d’orner son style, ajoute délibérément une expression banale ou une épithèt
uteurs ont toujours l’intention de signifier quelque chose, quand ils ajoutent une épithète qui ne signifie rien, et il est non
r dos à dos, et tout article est inutile. Après cela, est-il besoin d’ ajouter que ces messieurs ne sont pas partisans des ratur
ème siècle, ce fut précisément à cause de ses défauts. « La banalité, ajoutions -nous, est toujours applaudie. » Mais voici qu’on
 C’est, dit-il, l’Egypte ou la Touraine. Une plaine quelconque… Et il ajoute  : « L’originalité, la forte empreinte d’un génie
11 (1925) Méthodes de l’histoire littéraire « III. Quelques mots sur l’explication de textes »
er exactement le contenu, en expliquer le sens sans l’altérer, sans y ajouter , sans en perdre ? Faites l’expérience, et vous ve
esque tout dans les plus jeunes classes, et peu à peu tout le reste s’ ajoutera . On n’expliquera pas de même avec des élèves pour
ui lira pour se cultiver. Du point de vue spécialement pédagogique, j’ ajouterai que l’explication est l’exercice le plus profitab
e. On emploie l’acquis antérieur à l’éclaircir et l’interpréter. On n’ ajoute guère à cet acquis. Les multiples enquêtes qu’imp
lités ; il excellait à sous-entendre, à suggérer, à donner le désir d’ ajouter par une recherche personnelle à ce qu’il avait fa
roduit et des nations qui l’ont adopté. 4. C’est peut-être là que j’ ajouterais quelque chose à la belle leçon de M. Albert Cahen
ances. » (Les Caractères, ch. xiv : De quelques usages.) 7. Je puis ajouter que la valeur de cet exercice a été depuis une vi
12 (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Louis Wihl »
j’aime mieux mourir seul. Je les hais. Ce ne sont que des braillards, ajouta-t -il avec mépris, tandis que vous, vous êtes un poè
aux lèvres de ce Léger incorrigible : — Vous qui êtes bien avec lui, ajouta-t -il, ne sauriez-vous me faire pardonner ?… — Reven
erci pourtant. Prenez-moi la main. Vous m’avez fait du bien. Merci… — ajouta affectueusement l’auteur des Reisebilder. Heine n
espace, de cette patrie tuée et dont il n’a pas même vu le cadavre, a ajouté à la nostalgie fiévreuse de l’exil ce qui l’aurai
de Madagascar, voilà le bagage poétique de Louis Wihl, auquel il faut ajouter le poème intitulé Le Mendiant pour la Pologne 36,
13 (1865) Cours familier de littérature. XIX « CXe entretien. Mémoires du cardinal Consalvi, ministre du pape Pie VII, par M. Crétineau-Joly (2e partie) » pp. 81-159
ui qui ne se laissait pas persuader l’épouvantait, disait-il. Cacault ajoutait que le genre des matières traitées, fort peu comp
ifs du pape, Bonaparte se rendrait nécessairement à leur évidence. Il ajouta que si Sa Sainteté leur prêtait plus de force par
qu’une relation simple et franche ; mais quand j’arrivai au second, j’ ajoutai que, dans l’hypothèse de la mission, je ne croyai
cer ainsi. Il disait ne savoir que penser de tout ce qu’il voyait. Il ajouta tenir de la bouche du premier consul que tout éta
laissé non réglé, il était demeuré aussi inflexible qu’irrité. Joseph ajouta que le premier consul avait terminé l’entretien e
aximes que professe le Saint-Siège. “Dans les choses ecclésiastiques, ajoutai -je, on ne peut faire tout ce qu’on ferait dans le
e se concilier, lorsqu’on prétendait obstinément ne pas retrancher ou ajouter une seule syllabe à l’article débattu, comme s’en
litige quelque changement propre à satisfaire les deux parties. Puis, ajouta Cobenzel, j’aime à penser que votre désir de donn
dance dont le pape userait dans ce cas. Il n’y a point de proportion, ajoutait -il, entre la petite perte provenant de cet articl
ésolu, lui aussi, à admettre l’article et à le signer tel quel. Spina ajoutait encore que, si je jugeais que leur signature ne p
, n’ayant rien à riposter et ne voulant surtout désigner personne. Il ajouta  : “Mon cher Monsieur le cardinal, ne savez-vous p
ès le concordat et après avoir été premier ministre si longtemps”. Il ajouta quelque chose sur les qualités personnelles qu’il
mariage. Ils nous firent part de leurs inquiétudes, et ce que je vais ajouter prouvera qu’ils ne s’étaient pas trompés. « Le jo
is différent du nôtre, et qu’on n’avait pas accepté ce moyen terme. J’ ajoutai qu’entretenir d’abord du complot l’oncle de celui
à les lui communiquer. Les deux ministres répliquèrent que Napoléon n’ ajouterait pas foi à leur relation, qu’il la considérerait c
en conséquence l’audience n’avait pas eu lieu. Le ministre des cultes ajoutait qu’il ne serait pas en son pouvoir de suspendre l
14 (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Lettres inédites de la duchesse de Bourgogne, précédées d’une notice sur sa vie. (1850.) » pp. 85-102
loisir, a dit Ovide, vous supprimez tout l’art de l’amour ; et moi j’ ajoute  : vous supprimez tous les amours délicats et les
 la vicomtesse de Noailles ; et, pour être indiscret jusqu’au bout, j’ ajouterai que ce n’est point la première qui est l’auteur d
nt tout de réussir en entrant, et de représenter toujours. « Je pris, ajoute Dangeau, la liberté de lui demander, comme il ren
: « Il la fit causer, regarda sa taille, sa gorge, ses mains, et puis ajouta  : Je ne voudrais pas la changer en quoi que ce so
e de me retrouver. À dix heures du soir, avant de se coucher, le roi ajoutait en post-scriptum : Plus je vois la princesse, pl
lettres qu’on publie d’elle aujourd’hui ne sont que des billets qui n’ ajouteront pas beaucoup à l’idée qu’on a de son esprit ; une
ui, en admettant le goût de la princesse pour M. de Nangis, se hâte d’ ajouter  : « La seule chose dont je doute, c’est que cette
s à toute heure et partout, elle était à la source pour cela. Le roi, ajoute l’historien, eut la preuve de cette perfidie par
15 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 416-419
son Original, l’Auteur dont nous parlons s’est permis de refondre, d’ ajouter , de retrancher, toutes les fois qu’il l’a jugé né
u assez suivi de l’Histoire de l’Eglise. Les Notes qu’il a cru devoir ajouter , pour éclaircir certains points, soit de l’Histoi
onnoissances qu’elles supposent, prouvent combien il seroit capable d’ ajouter à sa réputation littéraire, s’il n’en faisoit le
16 (1782) Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur la vie et les écrits de Sénèque pour servir d’introduction à la lecture de ce philosophe (1778-1782) « Essai, sur les règnes, de Claude et de Néron. Livre second » pp. 200-409
; mais il a changé d’avis. Lorsque, comparant l’amour et l’amitié, il ajoute que l’amour est presque la folie de l’amitié, il
s : qui saurait qu’il exista un Idoménée sans celles d’Epicure ? » Il ajoute  : « J’ai aussi quelques droits sur les races futu
. » Croit-on que cette pensée déparât celles de La Rochefoucauld ? Il ajoute  : « Nous mourons plus mauvais que nous ne naisson
ore quel Dieu, mais il habite un Dieu… » Belle idée ! Sénèque pouvait ajouter  : Et dans le sein du méchant, j’ignore quel démon
ublime avec simplicité, et énergique sans effort. » C’est le même qui ajoute « que, si l’on trouve l’apologiste de Sénèque tro
moins on ne peut pas être plus sévère en jugeant ses ouvrages. » Et j’ ajouterai que, si Sénèque vivait, il serait bien plus fâché
aignons ni son analyse de quelques beaux vers de Lucrèce, ni ce qu’il ajoute sur la véritable éloquence et sur les langues.
’un à aimer » ; comme si ce quelqu’un-là se trouvait en un moment. Il ajoute  : « La douleur est, de tous les tableaux, celui d
uce illusion : notre vanité nous excepte d’une loi générale ; et nous ajoutons foi à cette espèce d’engagement des vivants avec
s poutres courbées s’amollissent à la chaleur humide : pourquoi donc, ajoute-t -il, l’âme même endurcie dans le vice ne se corrig
sse arriver le destin sans oser faire un pas au-devant de lui… » Et j’ ajouterai  : A quoi bon rester, quand on n’est plus propre q
té que de s’affliger ou de s’offenser quand elle ne vient pas ; c’est ajouter à l’éclat que de la repousser quand elle vient. E
c une injure, juge dans votre propre cause, la prudence veut que vous ajoutiez du poids aux services que vous avez reçus, et que
 ! Sénèque, vous êtes trop sévère. La difficulté de vaincre un ennemi ajoute à l’éclat de la victoire. Dans la même Lettre, il
avoir la vertu sans l’aimer.  » Cela est vrai. « On ne peut l’aimer, ajoute-t -il, sans l’avoir. » Cela ne me le paraît pas. Il
édit ou d’une loi, qu’un préambule qui les motive. « Prescrivez-moi, ajoute-t -il, ce que vous voulez que je fasse ; je ne veux
ladies, et les maladies à proportion des cuisiniers…284 » On pourrait ajouter  : et les maladies difficiles à guérir à proportio
dois la vie, et c’est la moindre des obligations que je lui ai… » Il ajoute , dans une autre Lettre (Lettre CIV)  : « Ne pouva
oi et ta longue postérité ; veux-tu être, ou ne pas être ?… » Puis il ajoute  : « Marcia, on a choisi pour vous. » « Je vois to
la nature ? Est-elle utile, même modérée ? Augmente-t-elle la force ? ajoute-t -elle au courage ? Y a-t-il des circonstances qui
supposée d’un coupable, fût-ce d’un parricide, et d’un infracteur : j’ ajoute et d’un infracteur, car il y a toujours deux déli
t il était parvenu à une si longue vieillesse (et comment, pouvait-on ajouter , il avait conservé une aussi constante faveur), e
convient de recevoir, mais ce qu’il me convient de donner… » Sénèque ajoute  : « Le mot est d’un fou… » Ce n’est point le mot
lois, que dans l’ambition qui les poursuit. Aux maximes qui précèdent ajoutons quelques-uns de ces faits intéressants qu’elles e
de n’avoir pas rassemblé sur lui tous ses dons. Me permettra-t-on d’ ajouter une raison à toutes celles qu’il en donne, et de
plus d’esprit que de solidité dans la raison qu’il en donne… « C’est, ajoute le philosophe, que les pères se voient revivre da
découper les viandes, quelle figure font-ils autour d’un philosophe ? Ajoutez , si vous voulez, pourquoi ces possessions au-delà
’avec circonspection ; c’est même l’avis de Sénèque. « Et qu’importe, ajoute-t -il, par quels motifs le sage embrasse la retraite
t fixés vers la ville, sur le rivage qu’il venait de quitter. Sénèque ajoute  : « De vos enfants, l’un est parvenu aux dignités
je ne la trouve plus ! » ■ Et Sénèque n’est pas pathétique, lorsqu’il ajoute  : « Vous revoyez les lieux témoins de nos caresse
de la médecine, malgré les travaux d’une multitude d’hommes de génie, ajoutés et surajoutés successivement aux travaux de ce gr
ffront, l’injure et la vengeance, je regrettais le chapitre qu’il eût ajouté à son ouvrage s’il eût vécu chez des barbares, où
avait déjà oublié que Phèdre avait composé des fables325. Ce qui peut ajouter quelque poids à cette conjecture, c’est la rareté
lation à Polybe est-elle de Sénèque ? Non, dit son historien… » Et il ajoute  : « Nous nous rangeons de son sentiment, qu’il ap
tu et la vérité, non plus que trouver beau ce qui est hideux. Sénèque ajoute dans un autre endroit : « Votre règne est plein d
que Sénèque encourage Lucilius à se dire est très-séduisant ; puis il ajoute avec une perfidie incroyable : « Peut-être croire
e : mais doit-on la même indulgence à celui qui atteste le crime ? Il ajoute  : « On ne peut douter que Sénèque ne fût un homme
re ; mais je lui aurais dit, moi : « Quel avantage y a-t-il que Néron ajoute un second crime à un premier, et qu’il mêle le sa
ire que d’en accuser sa propre fureur ? Il était difficile de croire, ajoute Tacite356, qu’une femme échappée aux flots eût en
incertaine et faible ce dont je suis vivement persuadé… C’est-à-dire, ajouta son père, qui avait gardé le silence jusqu’à ce m
, corrigez-vous… En mettant à part des éloges que je ne mérite pas, j’ ajouterai 360  : Quelle est l’âme honnête et sensible qui,
onnaît l’homme de génie, le grand écrivain, et l’homme sensible. Et j’ ajouterai que, de ces trois qualités, je n’accepte que la d
de goût se proposait de restituer au Vocabulaire de l’Académie ? Et j’ ajouterai que, si quelque terme nous manque, s’il peint à l
puis longtemps il n’avait paru d’ouvrage si digne de l’affliger. Et j’ ajouterai que je n’ai pas la vanité de prendre la partie de
eurs dignités, l’étendue et la variété de leurs connaissances ? Et j’ ajouterai que l’homme rare370 à qui l’on s’empresse de rend
asp l’ancien373 qui attestait par serment et qui ne parlait pas. Et j’ ajouterai qu’il est un secret que la plupart des écrivains
appartiendrait d’éloge ou de blâme à chacun de ces personnages ? Et j’ ajouterai  : Ceci n’est pas de la mauvaise plaisanterie, mai
maîtres de disposer de leur présent lorsqu’il nous importunait. Et j’ ajouterai que la notion générale de la bienfaisance et de t
close pour celui qui n’entend pas l’Interprétation de la Nature. Et j’ ajouterai que, si l’on est quelquefois arrêté dans un ouvra
devenus le stoïcisme et le mépris de la mort ?… » Nous n’avons rien à ajouter à ce que l’auteur a dit sur cette difficulté ; no
’un écolier présomptueux qui se chargerait du rôle d’accusateur. Et j’ ajouterai qu’il faut être décent et s’interdire un ton qu’o
ât à sortir de son caractère et à se déplaire ensuite à luimême. Et j’ ajouterai encore, que l’aristarque qui a proposé la difficu
ins rapidement la ruine des choses les plus sagement ordonnées ! Et j’ ajouterai qu’après s’être choqué de cet écart, si c’en est
on dont on se repent ensuite de s’être distrait si mal à propos. Et j’ ajouterai qu’après un court éloge de Voltaire, quelques pag
m’enlaçant de ses bras, et me pressant tendrement contre sa poitrine, ajouta  : « Vous avez raison, et voilà ce que j’attendais
ue ses souverains ont rarement obtenus d’elle… » Et les critiques ont ajouté  : Fade mensonge390  !… Il est vrai que de cette n
ns la capitale la plus éclairée de l’univers…  » Et les critiques ont ajouté avec une hardiesse qui ne se dément pas : Parade
istribuées… » — Serait-ce encore une burlesque parade que cela ? — On ajoute  : « Et c’est méchamment qu’on a fait courir le br
on les lit, et qui est rarement celui dans lequel ils ont écrit. Et j’ ajouterai qu’il faut distinguer deux sortes d’harmonie : l’
nstruisent pas toujours, ils n’offensent jamais. Et il me permettra d’ ajouter qu’il serait un ingrat, s’il ne publiait que Sa M
ommettra toutes les fois qu’un peu de mérite fixera ses regards. Et j’ ajouterai que je sais, à la vérité, un assez grand nombre d
avec soi-même, savoir s’accuser et ignorer l’art de s’absoudre. Et j’ ajouterai encore que je pourrais bien avoir été un apologis
himie, les sciences et les arts ne lui sont nullement étrangers. Et j’ ajouterai que, quand l’aristarque l’appela apprenti philoso
décider cette question. (DIDEROT.) 274. Mot de défense personnelle ajouté à la seconde édition. 275. Je ferai ici une rem
ermes, commenter, étendre ou abréger le passage de ce rhéteur, sans y ajouter une seule observation nouvelle, et qui ne soit ou
un parricide que de l’excuser. Spartien, d’où ce récit est tiré, n’y ajoute aucune foi, et rapporte seulement ce fait comme u
t, sans m’astreindre à une traduction littérale, mais aussi sans rien ajouter à son texte. « Scio de Papiniani nece multos ita
nse, les répliques de Diderot sont celles qui suivent les mots : Et j’ ajouterai . Ce qui précède est de Marmontel. (Br.) 361. Jo
ient du journal Annonces, Affiches et Avis divers qui, en 1778, avait ajouté à son titre celui de Journal général de France. L
17 (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Mémoires de Marmontel. » pp. 515-538
trace de cette famille patriarcale et de ses joies du coin du feu : Ajoutez au ménage trois sœurs de mon aïeule, et la sœur d
connaissait mal : aussi sa prédiction ne s’est-elle pas accomplie », ajoute l’excellent homme qui, plus sage et mûri par l’ex
e, presque avant que d’avoir pensé. Et ne se sentant pour la poésie, ajoute-t -il, qu’un « talent médiocre », il s’adresse à Mme
raillé des diverses cabales, des factions théologiques et autres, il ajoute  : « Les chefs de ma faction sont Horace, Virgile
d’homme de lettres la plus complète qu’on pût souhaiter. Ses ouvrages ajoutaient beaucoup à ses revenus : ses grands opéras, ses o
êcher bientôt d’en faire à ses enfants. Encore aura-t-il grand soin d’ ajouter qu’ il ne s’est peint qu’en buste . Et, en effet,
oût que d’habiller ainsi Rotrou à la moderne : « Mais cette remarque, ajoute-t -il sévèrement, ne peut se faire que pour ceux qui
par l’abbé Maydieu (1787) ; on y trouve, p. 95-99, quelques détails à ajouter à ceux que donne Marmontel sur Mlle Navarre. 71.
eut le courage de se lever seul. Quoique je ne fusse pas de son avis, ajoute Bailly, j’admirai sa fermeté qui lui fit honneur
18 (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCIIe entretien. Vie du Tasse (2e partie) » pp. 65-128
e s’était améliorée par l’héritage de sa mère, elle serait heureuse d’ ajouter à mon traitement, de son trésor, tout ce qui pour
hèque Pitti, et que j’y ai lues, dément les circonstances romanesques ajoutées par ses premiers biographes à cette aventure. Ces
n pour moi ; paroles qui ont été confirmées par beaucoup d’autres. Il ajouta que je ne devais pas m’étonner si mon affaire ava
arquis de Monti de lui envoyer un de ses vassaux pour domestique ; il ajoute que, pour prévenir toute pensée de trahison dans
entaient à le recevoir et à répondre de sa santé par leurs soins ; il ajoute que, dans le cas contraire, le Tasse pouvait reve
n d’attiédir ses tendresses pour ce frère absent, n’avaient fait qu’y ajouter la sollicitude et la pitié. Cependant le Tasse, a
qui murmurent entre les collines et qui serpentent dans les vallées. Ajoutez -y la fertilité de ce vaste plateau, la sérénité d
ne tardèrent pas à lui faire désirer un autre séjour. Il est juste d’ ajouter à cette inconstance du poète le sentiment délicat
euse puisse constater entre Léonora et le Tasse. Nous sommes obligé d’ ajouter que, si le Tasse eut des torts à se reprocher dan
ourrait en être la conséquence (8e volume des Lettres). Je l’ai fait, ajoute-t -il, d’abord pour complaire au duc et gagner sa fa
, au centre des bois, tous les raffinements du luxe des villes. Mais, ajoutai -je, vous en êtes peut-être le maître ? Non, répon
vénérable ; la blancheur de ses cheveux et de sa barbe, qui semblait ajouter à son âge, augmentait la dignité de sa personne.
ourir les étrangers. Je le remerciai de sa courtoisie. Plaise à Dieu, ajoutai -je, que je puisse un jour reconnaître cette génér
19 (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « Léopold Ranke » pp. 1-14
ble histoire. » Et, pour mieux creuser sa pensée, le critique anglais ajoutait  : « Dans les sciences, il est des œuvres qu’on pe
ins profondes, quand la Réflexion et le Recueillement n’y avaient pas ajouté leur concentration enflammée ? Pourquoi enfin son
d elle n’est pas fausse et fausse dès qu’elle s’avise de préciser, on ajoute la gravité, ce masque des têtes vides qui cache s
de faits nouveaux à chercher dans son Histoire de France, laquelle n’ ajoutera pas plus à sa renommée qu’elle n’ajoutera à notre
toire de France, laquelle n’ajoutera pas plus à sa renommée qu’elle n’ ajoutera à notre instruction. Ranke est tombé dans un véri
20 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 358-361
ccedent les unes aux autres, avec un ordre & un développement qui ajoutent un nouveau degré de lumiere aux premieres idées q
preuves qu’il développe avec supériorité, & auxquelles son génie ajoute une nouvelle force, qui les met dans un jour nouv
qu’à condition qu’il ne lui donneroit qu’un jour par an. C’est ainsi, ajoute un homme d’esprit qui rapporte cette anecdote, qu
21 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 19, de la galanterie qui est dans nos poëmes » pp. 143-146
e jargon plein de fadeur, selon lui, qu’on appelle galanterie. C’est, ajoute l’auteur anglois, un sentiment qui n’est pas dans
onsieur Woton a défendu la même cause que Monsieur Perrault : je dois ajouter que Monsieur Woton en mettant le sçavoir des mode
que lui-même dans le chapitre que j’ai déja cité. Voici même ce qu’il ajoute  : Monsieur Perrault n’étoit point assez sçavant,
22 (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Le marquis de Lassay, ou Un figurant du Grand Siècle. — II. (Fin.) » pp. 180-203
ien qui ne soit facile à supposer et qui n’ait dû être ; mais si l’on ajoutait  : « Il existe une trentaine de lettres écrites pa
dans les moindres détails son bourreau et le fléau des autres, Lassay ajoute  : « Voilà le portrait de M. le Prince. Ceux qui n
mable des hommes, et tel qu’on voit le Conti de Saint-Simon ; puis il ajoute d’une manière neuve et très judicieusement, au mo
anière secondaire et inférieure à ce qu’il avait vu chez d’autres, il ajoute que pour l’esprit de connaissance et de discernem
monde a perfectionnés en les usant, qui ont peu d’imagination, qui n’ ajoutent rien aux choses, et qui prisent avant tout une ob
le réflexions qu’il a faites, est plus vif qu’à l’ordinaire. Mais il ajoutait qu’il n’y fallait point séjourner trop longtemps,
onne grâce, en lui donnant raison sur le fond : Quant à l’extérieur, ajoutait -il, il faut faire à peu près comme les autres, et
e classe d’ambitieux qui y aspirent en affectant de les dédaigner, il ajoutait  : « Malheureux celui qui les méprise en y courant
us les éloges que lui paraissait mériter une si belle littérature, il ajoutait  : « C’est singulier ! il arrive quelquefois jusqu
23 (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Oscar de Vallée » pp. 275-289
isqu’ils n’étaient pas des principes !… Tout cela a dû nécessairement ajouter à l’admiration morale et littéraire que M. Oscar
oi, on gagne toujours quelque chose à être chrétien… Le Christianisme ajoute au génie comme il ajoute à la vertu, et M. Oscar
lque chose à être chrétien… Le Christianisme ajoute au génie comme il ajoute à la vertu, et M. Oscar de Vallée, qui doit être
enchante de les citer, seront donc, je crois, citées en vain. Elles n’ ajouteront rien à l’opinion du monde, et il n’y aura que des
ant d’être immortel, comprimé par la volonté d’être un prosateur et d’ ajouter cette flèche de l’arbalète humaine à son carquois
24 (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Lamartine — Lamartine, Recueillements poétiques (1839) »
osophiques, politiques et poétiques, que nous notons, il en est une à ajouter encore, celle même que nous autres critiques, en
elle quelque révérence en retour. « Vous savez comment je les écris, ajoute-t -il en parlant de ses pièces de vers, vous savez c
le disent… (Suit un exposé de ses nobles doctrines sociales.) Voilà, ajoute-t -il, la politique telle que nous l’entendons, vous
e moins possible, un certain soin quelconque aide à l’exécution, et y ajoute , y retranche à l’extérieur par le goût ce que l’â
baron du moyen âge. Toute harmonie est troublée. J’aurais beaucoup à ajouter  ; je pourrais poursuivre en détail dans les conce
eux ! Qu’a-t-il fait ? Ambitieux et négligent à la fois, il a voulu y ajouter des cordes en tous sens ; au lieu d’une lyre, c’e
ion et comment il est arrivé à perdre sa voix dans le grand chœur, il ajoute  :   Alors, par la vertu, la pitié m’a fait homme 
25 (1900) Poètes d’aujourd’hui et poésie de demain (Mercure de France) pp. 321-350
. Ils acceptèrent des données et des moyens poétiques antérieurs et y ajoutèrent peu, se contentant d’en user avec discernement, p
e culture et qu’il n’ait mis au jour d’importantes vérités poétiques. Ajoutons même que les principes sur lesquels il fonda son
et poussé à l’extrême outrance. Ce n’est pas chose aisée, d’ailleurs, ajoute Théophile Gautier, que ce style méprisé des pédan
s le goût du bizarre et l’antinaturalisme. Rien de plus vrai, si l’on ajoute que ces deux tendances furent l’une, momentanée,
ujourd’hui le nom sous lequel on les désigna. Cette caractéristique s’ ajoute aux tendances idéalistes que j’ai déjà signalées
l’Imitation de N.-Dame la Lune. M. Gustave Kahn à ses Palais Nomades ajoutait ses Chansons d’amant et répondait aux improvisati
ourmont. M. Marcel Schwob s’y trouverait auprès de M. Pierre Louÿs. Y ajouterais -je Paul Fort ou André Gide que je n’aurais pas en
ent achevé l’œuvre entreprise. La plupart sont encore juste à l’âge d’ ajouter à ce qu’ils ont fait jusqu’à présent les producti
26 (1707) Discours sur la poésie pp. 13-60
j’en prendrai occasion de dire un mot de leur caractére ; à quoi je n’ ajouterai que quelques réflexions sur les poëtes françois q
ette proposition, c’est que tous les arts ont une fin : l’utile qu’on ajoute ne sert qu’à rendre la proposition équivoque ; à
y peut faire, on fût toujours prêt d’admettre ce qu’on y peut encore ajouter . Pindare ne pouvoit choisir d’occasion plus écla
ant cette mesure ne remplit pas tout le caractére de l’ode. Il y faut ajouter la hardiesse du langage, qui ne lui est commune q
les pensées qui étonnent l’esprit, ou qui flatent l’orgueil humain. J’ ajoute l’élégance et la briéveté, sans lesquelles tout c
ue vous ayez réveillé quelque idée, ou quelque image ; si ce que vous ajoutez , ne produit pas un nouvel effet, l’esprit du lect
honneur ; et l’on ne peut sans témérité résister à tant de suffrages ajoutés à l’admiration de ses contemporains. Il est vrai
’est plus en usage. J’ai développé quelquefois ses pensées, et j’y ai ajouté quelques transitions, pour ne pas trop heurter no
, et cette mesure étoit violée, lorsqu’un sens suspendu obligeoit d’y ajouter de nouveaux nombres ; ou si l’on ne faisoit aucun
er les muses, j’y devois adopter des préjugés qui leur font honneur ; ajoutez que la chose est quelquefois véritable, et qu’il
27 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 13, de la saltation ou de l’art du geste, appellé par quelques auteurs la musique hypocritique » pp. 211-233
e d’apprendre ce qu’on doit être obligé de faire un jour. D’ailleurs, ajoute-t -il, la chironomie ou l’art du geste est un art co
rt pour signifier un malade. Rien n’est plus vicieux dans un orateur, ajoute Quintilien, que d’emploïer dans sa déclamation de
ns, ce sont les gestes simples et naturels. Les comédiens déplaisent, ajoute-t -il, lorsqu’ils font des gestes ineptes, ce qui le
l’appelloit plus que Dyonisia. C’étoit le nom d’une célebre danseuse, ajoute Aulugelle, qui fait ce récit. D’un autre côté l’
iculant, mais non pas en dansant à notre maniere. D’ailleurs ce poëte ajoute en plaisantant, qu’il y a du mérite à couper la p
28 (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Les Femmes d’Amérique » pp. 95-110
de théories pourrissent. Dorénavant, elle n’y manquera plus, et elle ajoutera la supériorité de son infection aux autres miasme
er le diamant de sa découverte psychologique, le foudroyant moraliste ajoute à la page 9, après avoir froncé son terrible fron
’en fais ici une propriété nationale de cet excentrique pays… » Et il ajoute , pour l’apaisement d’un scrupule : « Je ne veux p
le principe de la famille. » Et plus bas, devenant plus explicite, il ajoute  : « Le passage de l’Européen outre-mer a toujours
appelle cela : « Apprendre la vie ! Dans de pareils établissements, —  ajoute-t -il, page 19, avec une délicatesse bien touchante,
29 (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « L’abbé Christophe »
en ces deux inutiles héros : Huniade et Scanderbeg, auxquels il faut ajouter ce Constantin Paléologue qui eut une minute subli
tte France à laquelle on fait honneur en l’appelant chrétienne, qui y ajouta un troisième schisme, celui du conciliabule de Pi
i-là, l’abbé Christophe ne l’écrira pas. À l’optimisme de sa nature s’ ajoute , du moins pour l’expression de sa pensée, la modé
radicale erreur, tombée de si haut dans le monde, ne fût-ce que pour ajouter à la force d’opinion qui doit un jour l’emporter 
ient lapider la papauté avec son cadavre. L’abbé Christophe n’a point ajouté à la défense et aux justifications commencées par
30 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVII » pp. 193-197
arquables que Louis XIV dans l’histoire des mœurs, et n’ont pas moins ajouté à son influence par leur concours, qu’il n’a ajou
t n’ont pas moins ajouté à son influence par leur concours, qu’il n’a ajoute à leur gloire par sa protection. Voilà donc un vé
lle est admis parmi eux comme homme d’esprit, comme bon convive, pour ajouter à leur attrait mutuel la joie et la gaîté qu’il p
31 (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Vaugelas. Discours de M. Maurel, Premier avocat général, à l’Audience solennelle de la Cour impériale de Chambéry. »
oi. On me permettra de les citer, car je les crois inédites, et elles ajoutent au portrait ; on y verra de plus, par l’exemple d
vancement du Dictionnaire. Et je vous proteste qu’il ne s’y peut rien ajouter , et que si l’ouvrage réussit un peu long, ce n’es
ir disposé de tous ses effets pour acquitter ses dettes, le testateur ajoutait  : « Mais comme il pourrait se trouver quelques c
s la rate ou l’estomac, autorisa l’autopsie après sa mort. Mais, pour ajouter une foi entière à la citation et à l’anecdote, il
né dans son sein, et dont la beauté a été si bien reconnue. » Elle y ajoutait un petit nombre d’Observations pour marquer en pe
ves, pour quantité de ces petits mots qui se disent en parlant et qui ajoutent de la grâce quand on écrit ; le commun des gramma
rfection ; elle en est du moins bien voisine. « Ce sont des maximes, ajoute-t -il en parlant des siennes, à ne jamais changer, e
32 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre deuxième. L’émotion, dans son rapport à l’appétit et au mouvement — Chapitre deuxième. Rapports du plaisir et de la douleur à la représentation et à l’appétition »
t précisément ce qui nous fait jouir ou souffrir ? Il ne suffit pas d’ ajouter à l’estimation l’inconscience pour la changer en
l’attente de l’avenir et le souvenir du passé à l’horreur du présent, ajoute la douleur morale à la douleur physique ; mais ce
e. La perception peut être indifférente, le plaisir et la douleur s’y ajoutent . Ce qui la confirme encore, selon de Hartmann, c’
che à aucun lieu, et la localisation ne concerne que la perception. » Ajoutons qu’à la perception se mêlent des souvenirs, des i
nc il n’y a au fond qu’une couleur plus ou moins intense à laquelle s’ ajoutent des modifications étrangères à la couleur même. C
ultats suivants : 1° l’élément affectif du plaisir ou de la douleur s’ ajoute aux impressions sensibles ou s’en retranche sans
r même vis a tergo ; le plaisir est aussi une force, mais attractive. Ajoutons que la peine et le plaisir apparaissent sous des
33 (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre deuxième. Le génie, comme puissance de sociabilité et création d’un nouveau milieu social »
ues à l’homme ; par conséquent enfin, il en fait une société nouvelle ajoutée par l’imagination à la société où nous vivons rée
pas un prolongement de l’autre, une nouvelle nature dans la nature ? Ajoutez la nature humaine à la nature universelle, vous a
sur quelques points importants. » A ces diverses qualités, il faut en ajouter une dont Darwin ne parle pas et dont ses biograph
donnée n’aurait pas fait prévoir. En outre, le propre du génie est d’ ajouter au fond même, à l’ensemble d’idées, s’il s’agit d
 homme intérieur » souvent très différent de « l’homme social » ; or, ajoute-t -il, on ne peut connaître cet homme intérieur que
facultés inutiles. Les hommes à vocation native présentent rarement, ajoute M. un désaccord Hennequin, accusé entre leurs dél
et sur les déductions possibles de l’un des termes à l’autre, il faut ajouter une théorie fondée sur le principe opposé. M. Tai
la génération (qui la nutrition comprend même) ; sans doute, peut-on ajouter , la génération n’est encore qu’une ondulation qui
présentent des génies » différents et opposables ». Il serait facile, ajoute-t -il, de « multiplier ces exemples à un tel point q
34 (1865) Cours familier de littérature. XX « CXIXe entretien. Conversations de Goethe, par Eckermann (1re partie) » pp. 241-314
ase solide, et avait été médité avec soin. « Je veux l’expédier vite, ajouta-t -il ; aujourd’hui j’écris à Cotta par le courrier,
rester à Iéna jusqu’à son retour. « Je me suis occupé d’un logement, ajouta-t -il, et j’ai pris tous les soins nécessaires pour
ser à fond avec vous sur ce qui peut vous convenir. Aujourd’hui, je n’ ajoute pas un mot. Le départ de Marienbad me préoccupe e
cet hiver près de moi à Weimar. » Ce furent là ses premiers mots ; il ajouta  : « Ce qui vous convient le mieux, c’est la poési
connaissance. — C’est aussi comme toi, Ottilie, un ami du théâtre », ajouta-t -il, et nous nous félicitâmes mutuellement de notr
r le théâtre. Je lui dis tout le plaisir qu’il me donnait, et enfin j’ ajoutai  : — Oui, cela va si loin, que malgré tout le plai
ais qu’il regardait comme une relique et qu’il tenait cachée. J’avais ajouté foi à ces bruits, parce qu’ils étaient tout à fai
plus heureux, et j’aurais fait bien plus aussi comme poète16. » Il ajoutait  : « Pour moi, dans ce que j’ai eu à faire et à m
vorables ; du moins je reconnus leur manière de voir et de penser. Il ajouta que j’avais fait des traductions du français, et
uste, et j’avoue qu’il y a dans ce passage un manque de vérité. Mais, ajoutai -je, on doit peut-être pardonner au poète d’employ
qu’elles appartenaient à une époque sans lumières. « “— De nos jours, ajouta-t -il, que nous veut-on avec la fatalité ? La politi
lus oublier de remarquer que, lorsqu’il avait exprimé une opinion, il ajoutait presque toujours : Qu’en dit monsieur Goethe ?… «
près M. de Müller, Napoléon, en parlant de la tragédie, aurait encore ajouté  : « — La tragédie doit être l’école des rois et d
35 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 92-99
des dignités un amour aussi éclairé qu’intrépide pour le bien ; avoir ajouté à ces qualités une application infatigable à cult
en conserve souvent toute la douceur & toutes les graces. Nous n’ ajoutons pas ici le détail de ses vertus ; la Postérité en
la Magistrature en fera sa gloire. Qu’il nous soit seulement permis d’ ajouter , que, si la Religion avoit besoin de suffrages po
36 (1856) Leçons de physiologie expérimentale appliquée à la médecine. Tome II
e, car ces déductions ont été bientôt épuisées, et rien ne s’est plus ajouté à la science qui ne soit venu par une autre voie.
qui ne soit venu par une autre voie. Mais, Messieurs, il faut encore ajouter que, si ces déductions anatomiques ont paru servi
ent inductif, il faut toujours que la preuve expérimentale vienne s’y ajouter pour permettre une conclusion rigoureuse et défin
e physiologique d’après un cadre anatomique préalablement tracé. J’ai ajouté que la méthode inverse me paraissait préférable.
succès, d’arriver à ce diagnostic micrographique. Il est important d’ ajouter que les anatomistes les plus versés dans les étud
écipité albumineux. Dans deux autres portions de cette même salive, j’ ajoutai à l’une un excès de sulfate de soude cristallisé,
époque, les deux opinions sont restées dans la science ; mais il faut ajouter que, dans ces derniers temps, les dissections qu’
est résulté une espèce de pâte grisâtre excessivement gluante ; on y ajouta ensuite de l’eau et on laissa pendant vingt-quatr
ant, très abondant, insoluble dans un excès. Le bichlorure de mercure ajouté à cette salive, de même que la salive sous-maxill
nt broyées : il en résulta une espèce de pâte couleur de chair ; on y ajouta de l’eau, et le mélange forma une espèce de liqui
raité par l’alcool et privé de cet alcool par la distillation. On y a ajouté du chlorate de potasse, du chlorure ferrique et d
pharynx et de l’œsophage qui parviennent encore dans l’estomac, et s’ ajoutent à la salive. Chez certains animaux, tels que le c
ide ; 4° Que les féculents humides (fécule et son), auxquels on avait ajouté assez d’eau pour que l’aliment pût être avalé san
évidents, qu’ils parlent d’eux-mêmes sans qu’il soit besoin d’y rien ajouter davantage. Nous allons actuellement examiner un a
e, sont aujourd’hui fort connues. Voici de la fécule hydratée. Si j’y ajoute une goutte de teinture d’iode, vous voyez apparaî
et empois d’amidon ne contient aucune trace de glucose. Nous allons y ajouter maintenant une certaine quantité de salive mixte
enons, quelques instants après, cette fécule dans laquelle nous avons ajouté de la salive, et que nous la traitions par l’iode
acide ; le papier de tournesol s’y colore fortement en rouge. Si nous ajoutons à ce liquide de la teinture d’iode, vous voyez au
le moment ; mais elle la reprend au bout de quelques jours. Lorsqu’on ajoute un acide, tel que l’acide chlorhydrique ou sulfur
a vessie : une émission urinaire sucrée est bientôt rendue. Lorsqu’on ajoute des acides à de la salive pure et fraîche de chie
par la chaleur, ce qui constitue déjà deux faits importants ; mais il ajoute que l’on ne sait pas encore à quoi pouvait servir
pour amener des désordres dans la sécrétion pancréatique. Nous devons ajouter encore que le fait même de l’opération, qui consi
suc pancréatique n’existe pas dans ces liquides ; car, dès qu’on leur ajoute un peu de suc pancréatique, ils prennent la propr
contact avec ce chlore, donnaient la coloration très évidente quand j’ ajoutais de nouveau du chlore ; ce qui montrait que la pré
é s’altérer jusqu’à ce qu’il présentât une odeur très putride. On y a ajouté alors du sous-acétate de plomb qui a produit un p
avons obtenu la coloration par l’addition du chlore. De même si nous ajoutions préalablement dans le liquide du carbonate de pot
emment l’alcali seul qui empêchait cette réaction ; car si, au lieu d’ ajouter du carbonate de potasse, on ajoutait de la potass
ette réaction ; car si, au lieu d’ajouter du carbonate de potasse, on ajoutait de la potasse caustique, alors, malgré la réactio
empêche la réaction, c’est que si, dans le mélange cité plus haut, on ajoute du carbonate de potasse ou de soude, on verse gou
té de développer une couleur rouge plus ou moins intense, lorsqu’on l’ ajoute dans des liquides qui contiennent cette matière c
t, par exemple, la matière colorante de la bile, etc. Nous devons ici ajouter que, pour employer le chlore comme réactif, il fa
ous en avez déjà vu établir ; nous le mettons dans un tube, et nous y ajoutons de l’huile ; il nous suffit d’imprimer un léger m
iquide visqueux, car elle persistera indéfiniment, alors même qu’on y ajoute de l’eau, tandis que, dans l’autre cas, les deux
x, et possédant tous les caractères du fluide pancréatique normal, on ajouta dans un tube fermé par un bout 1 gramme d’huile d
e expérience. — Sur 2 grammes de suc pancréatique frais et normal, on ajouta dans un tube fermé par un bout 1 gramme de beurre
fiée. 4e expérience. — Sérum du sang. — 1 gramme d’huile d’olive fut ajouté à 2 grammes de sérum du sang provenant d’un chien
ile, donne lieu à une véritable émulsion persistante, même quand on y ajoute de l’eau. Cette émulsion par les alcalis n’est pa
neutralise la salive avec du suc gastrique qui est acide, et qu’on y ajoute ensuite de l’huile, on a beau agiter le mélange,
é que j’avais extrait sur un chien bien portant et en digestion, on a ajouté quelques décigrammes de mono-butyrine, et mainten
. L’éther a été évaporé au bain-marie. Au résidu qu’il a laissé, on a ajouté un peu d’eau, et comme ce résidu présentait une r
est sans action sur la teinture aqueuse de tournesol, mais, si l’on y ajoute un peu d’alcool tiède, la teinture rougit aussitô
ar l’éther le mélange de graisse de porc et de suc pancréatique, on a ajouté de l’eau à ce mélange non encore épuisé, on a fil
rthelot 15 grammes environ de la salive du même animal, auxquels il a ajouté quelques centigrammes de monobutyrine, composé fo
ction du pancréas. On avait, afin de rendre ce symptôme plus évident, ajouté une assez forte proportion de graisse à leurs ali
thoracique des chiens qui étaient à jeun depuis plusieurs jours. Nous ajouterons , en terminant, une dernière expérience qui prouve
is très déformés ; — c, grains de fécule déjà altérés, car, lorsqu’on ajoute de l’iode, l’enveloppe devient jaune et le centre
seaux chylifères renfermant de la graisse émulsionnée, ce qui prouve, ajoutent -ils, de la manière la plus formelle que le suc pa
i on ingère dans l’estomac du lapin de la matière grasse, et l’auteur ajoute que toujours il a vu dans ces circonstances les v
vient acide quand on la maintient à une douce température ; si l’on y ajoute de l’eau, il y a une émulsion parfaite. On peut v
mélange de butyrine et de tournesol, était ramené au rouge quand on y ajoutait un peu de tissu pancréatique. La meilleure manièr
aire que l’on veut essayer et on le pose sur une lamelle de verre. On ajoutera ensuite sur ce tissu une goutte ou deux d’alcool
euvent en imposer et rendre la réaction acide moins évidente. L’éther ajouté directement au tissu glandulaire ne change aucune
e même pancréas, et la coloration du liquide reste bleue tant qu’on n’ ajoute pas de butyrine capable de donner naissance à une
ontre toujours la présence d’une matière coagulable ; mais quand on y ajoute du chlore, on voit se manifester une coloration r
moins intense. Pour que cette coloration se manifeste, il ne faut pas ajouter une trop grande quantité de la dissolution de chl
pour séparer toutes les matières coagulables par la chaleur. Alors on ajoutera dans cette infusion, peu à peu, du réactif chloré
on rouge se manifester dans le liquide, puis augmenter à mesure qu’on ajoutera du chlore, puis arriver à un certain degré d’inte
ir fait bouillir, l’infusion pancréatique ainsi décomposée et qu’on y ajoute du chlore, on ne voit plus apparaître comme précé
faire paraître la matière colorante, on constate alors que, si l’on y ajoute du carbonate de soude ou une autre substance alca
ster son action. Il faut, pour faire reparaître la matière colorante, ajouter à l’infusion un acide pour saturer l’alcali ; apr
sulfurique et une partie d’acide nitrique. C’est ce mélange que l’on ajoute dans la dissolution pancréatique, pour faire appa
n pancréatique, pour faire apparaître la matière colorante. Tantôt on ajoute l’acide peu à peu, et, en agitant le liquide, on
ne pas disparaître sous l’influence d’un excès de réactif. Tantôt on ajoute l’acide tout d’un coup en le faisant couler le lo
ncipes protéiques qui se rapprochent de la caséine. En effet, si l’on ajoute dans une infusion pancréatique un excès de sulfat
si la fécule n’était pas hydratée, l’action n’aurait pas lieu, et d’y ajouter du tissu pancréatique broyé ou coupé en morceaux,
10 degrés. On voit peu à peu l’amidon se fluidifier et bientôt l’iode ajouté au mélange ne donner plus la coloration de l’iodu
une réaction manifestement acide. Le suc gastrique auquel nous avons ajouté une trace d’acide acétique, et même d’acétate de
n, il n’est pas produit par la décomposition d’un chlorure. Lorsqu’on ajoute au suc gastrique qui, comme on le sait, contient
de l’eau contenant 2 millièmes d’acide chlorhydrique, à laquelle on a ajouté du chlorure de calcium. Cette seule expérience dé
a réaction acide, malgré l’excès de carbonate calcaire. Ce caractère, ajouté à ceux qu’ont donnés les différents auteurs, indi
distillant de l’eau acidulée par l’acide lactique à laquelle on avait ajouté un peu de chlorure de sodium, nous avons obtenu u
n fait bouillir de l’amidon avec de l’acide chlorhydrique auquel on a ajouté un lactate soluble en excès, on remarque que la f
liquide est pour eux une cause considérable d’épuisement. Nous devons ajouter que cela a lieu d’une manière générale pour toute
e désagrégation qui constitue l’action du suc gastrique. Mais si l’on ajoute de la bile dans le mélange, immédiatement le trav
ile dans l’estomac trouble la digestion. Du suc gastrique auquel on a ajouté une proportion de bile perd également ses proprié
uillir sans produire en lui la moindre décomposition ; mais si l’on y ajoute un peu d’eau sucrée par du glycose, immédiatement
u réactif cupro-potassique une réduction très manifeste, et si nous y ajoutons une dissolution de gélatine, vous allez voir que
c gastrique contenant en dissolution des matières azotées ; puis nous ajoutons à ce suc gastrique un peu de bile. Nous voyons im
voyons immédiatement un précipité abondant avoir lieu ; puis, si nous ajoutons à ce précipité un peu de suc pancréatique, nous v
caséine ou des parties de muscles non encore dissoutes, et que nous y ajoutions du suc pancréatique, après les avoir soumises à l
de la bile n’était pas intervenue et si le suc pancréatique avait été ajouté directement après le suc gastrique. Cette dernièr
avons opéré : On prend de la bile fraîche de bœuf ou de chien et l’on ajoute dans cette bile du suc pancréatique. Mais ce méla
putréfierait bientôt ; pour empêcher sa décomposition, il suffit d’y ajouter un peu de matière grasse qui donne immédiatement
s propriétés digestives. Si l’on n’a pas de suc pancréatique, on peut ajouter dans la bile un morceau de tissu de pancréas frai
uelques grumeaux de matière muqueuse. A ce suc pancréatique alcalin j’ ajoutai un peu de beurre, et je maintins le mélange à une
encore dans la vessie A environ 1 gramme de suc pancréatique que l’on ajouta à celui précédemment obtenu, et qui servit aux ex
érieure du tube. On décanta ensuite l’alcool avec précaution, et l’on ajouta de l’eau à la température de 30 à 40 degrés, qui
lieu aux mêmes réactions sur la graisse et sur l’amidon ; et il faut ajouter de plus qu’il jouit aussi exactement de cette mêm
37 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXVIIIe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 65-128
el ici, qui n’inspire ni pitié ni intérêt à personne, c’est celui-là, ajouta-t -il en me montrant du doigt et de loin la loge de
peraient sa poitrine n’en briseraient-elles pas deux ? Et puis enfin, ajoutai -je avec un rayon d’espérance dans le cœur, puisqu
coutant et en dévorant mes pauvres mains de ses lèvres ; mais quand j’ ajoutai que ma pensée était de gagner de plus en plus la
onnant tant de mauvais jours. Gaie !… Elle ne le sera pas longtemps, ajouta-t -il à voix basse et en se parlant à lui-même. Je p
idée du supplice d’un misérable qui ne t’est rien, pas plus qu’à moi, ajouta-t -elle, et pourtant je n’ai pas pu m’empêcher de pâ
er à mon gré les rations des prisonniers, et cela dans votre intérêt, ajoutai -je, car si on venait à visiter les poches des dét
plir les greniers de farine et les celliers d’outres de vin. Et puis, ajouta-t -il, voilà l’aumône de l’esprit. Écoutez-moi bien.
certainement pas jusqu’à l’échafaud les peines du pauvre criminel. Il ajouta que, même après le jugement, on avait encore le r
de la prison. Eh bien ! vous me croirez si vous voulez, pauvres gens, ajouta-t -il, mais avant que l’Ave Maria eût sonné dans les
ri, mort des fièvres en revenant des Maremmes ; et, bien plus encore, ajouta-t -il, l’air que j’ai entendu si souvent jouer dans
38 (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Madame Geoffrin. » pp. 309-329
e l’étude et du talent ; dans le cas présent de Mme Geoffrin, il faut ajouter , bien du bon sens. Mme Geoffrin ne nous apparaît
é, comme Mme de Staël regrettait celui de la rue du Bac. Mme Geoffrin ajoute un nom de plus à cette liste des génies parisiens
ouvrage était intéressant, mais que l’auteur se répétait un peu ». On ajoute que, lisant un volume de l’Encyclopédie ou de Bay
application constante de Mme Geoffrin par une image : elle avait fait ajouter après coup une perruque (une perruque en marbre,
xions et de comparaisons bien garni pour le reste de ma vie. Et elle ajoute dans un sentiment aussi touchant qu’élevé, sur so
endre les peuples heureux, et chacun d’inventer de grandes choses : «  Ajoutez -y, dit-elle, le soin de procurer des plaisirs, ch
tre la jeunesse, la beauté, la poésie, les grâces, l’étoile au front, ajoutons , une bonté non pas plus ingénieuse, mais plus ang
39 (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Le duc de Lauzun. » pp. 287-308
cesse ; sa timidité plaît, son petit air effarouché intéresse. Elle ajoute bien quelques mots de mauvais augure, mais qui ne
Walpole. Elle vient de parler du duc de Choiseul : Le petit Lauzun, ajoute-t -elle, n’est point bien avec lui ; … il trouve son
onner, puisqu’il pensait ainsi. « Il excusa le duc d’Orléans ; … il m’ ajouta qu’il ne l’approuvait pas, mais qu’étant l’ami de
er les caprices de leur temps, quand ils en dépendent ! M. de Bouillé ajoute que, le lendemain, le duc de Biron vint chez lui,
ne d’huîtres », lui dit gaiement Biron, et il lui offrit un verre. On ajoute que, dans un sentiment plus élevé, il s’écria à l
r infliger son châtiment à celui qui les a écrits, il n’y aurait qu’à ajouter à la fin du volume tous les éloges et les témoign
ant vécu de la sorte, ne pouvait avoir droit à tous les bénéfices, ni ajouter , à l’excès des prodigalités et des jouissances pa
40 (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Notice historique sur M. Raynouard, par M. Walckenaer. » pp. 1-22
réflexion fait apercevoir que, si dans ce cas le nombre des Templiers ajoute à l’idée qu’on peut prendre de leur croyance et d
mêmes trois mille qui n’abjurèrent pas. Tout cela dit, et quand on a ajouté que la trame de ce style est sans véritable éclat
avait mis, rien n’avait été perdu. Aussi, plus tard, ne cessa-t-il d’ ajouter une grande importance en toutes choses à ce qu’il
taient trois mille ! » des Templiers. Prenez note de l’expression, et ajoutez -la, si vous le voulez, en marge au Traité du subl
ait assez vécu pour tenter en vers l’apothéose de Napoléon, Raynouard ajoutait  : Le chantre de Napoléon l’aurait représenté d’a
it été couvert d’applaudissements : « Le trait était hardi en 1807 », ajoute-t -il en note. On vient de voir que, si c’était là u
lle fût donnée à la Cour ». Stanislas Girardin, qui rapporte ce fait, ajoute , après avoir donné une analyse détaillée de la pi
41 (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Montesquieu. — II. (Fin.) » pp. 63-82
and ouvrage que Montesquieu préparait depuis vingt ans, M. d’Argenson ajoutait  : J’en connais déjà quelques morceaux qui, soute
ars 1747) ; je compte de me reposer le reste de mes jours. » L’idée d’ ajouter à son ouvrage une digression sur l’origine et les
ppuyé d’un interlocuteur : « Quant aux conversations de raisonnement, ajoutait -il, où les sujets sont toujours coupés et recoupé
n ce sens qu’il a eu raison de parler de la majesté de son sujet et d’ ajouter  : « Je ne crois pas avoir totalement manqué de gé
rdiez toutes les pierres que les fourmis ont mises sur votre chemin. Ajoutez -y ce léger accent gascon qu’il avait conservé, et
e réfutation, et qu’il la devait à un homme de lettres du temps. On a ajouté que Montesquieu, dès qu’il en eut connaissance, f
arut, deux de ses amis et lui se mirent à le lire en l’examinant ; il ajoute que ce n’est pas pour le public qu’on a fait impr
42 (1913) Le bovarysme « Troisième partie : Le Bovarysme, loi de l’évolution — Chapitre I. Le Bovarysme de l’individu et des collectivités »
tion et d’adaptation, c’est-à-dire qu’il sera un moyen pour un être d’ ajouter quelque chose à sa personnalité, de la modifier s
rt individuel dans cette forme transmissible, les générations peuvent ajouter bout à bout la suite de leurs efforts et en forme
nalité future dans le prolongement de l’ancienne : que l’une puisse s’ ajouter à l’autre, bout à bout. — Le moraliste pourrait a
e conception nouvelle est assez proche de l’ancienne pour pouvoir s’y ajouter . De la sorte le Bovarysme est le mode même de la
de réalisation ; la conception nouvelle qu’il réalise se doit pouvoir ajouter à l’ancienne, de façon à former avec elle une som
qu’elle est plus proche de ses origines. Ce pouvoir virtuel, faut-il ajouter , se trouve paralysé, si cette réalité a été reten
43 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre cinquième. La Bible et Homère. — Chapitre IV. Suite du parallèle de la Bible et d’Homère. — Exemples. »
ageant son désordre, lui dit au singulier, pourquoi montes-tu ? et il ajoute , en foule, collectif. « Il vous jettera comme une
e suspendu, et attend quelque grande comparaison, lorsque le prophète ajoute , comme une tente dressée pour une nuit. On voit l
e là le plus jeune de vos frères, dont vous m’aviez parlé ? Mon fils, ajouta-t -il, je prie Dieu qu’il vous soit toujours favorab
et leur dit : Approchez-vous de moi ; et s’étant approchés de lui, il ajouta  : Je suis Joseph votre frère, que vous avez vendu
s doivent être maintenant les seuls à entendre l’explication qu’il va ajouter à voix basse : ego sum, Joseph, frater vester, q
44 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 9, de la difference qui étoit entre la déclamation des tragedies et la déclamation des comedies. Des compositeurs de déclamation, reflexions concernant l’art de l’écrire en notes » pp. 136-153
mposer des tragedies et des comedies n’y réussissoient pas également, ajoute  : que le genre tragique et le genre comique deman
es supportables à peine dans la bouche d’une femme. Peut-on souffrir, ajoute Lucien, qu’Hercule couvert d’une peau de lion, et
e pour relever davantage les endroits qu’il vouloit faire briller, il ajoute  : le succès de cette pratique est si certain que
e enseigne même aux danseurs comment ils doivent porter leurs bras. J’ ajouterai encore que quoique sa corégraphie n’ait été publi
45 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 6, que dans les écrits des anciens, le terme de chanter signifie souvent déclamer et même quelquefois parler » pp. 103-111
s chant la récitation de toute sorte de poësie. Il y eut encore plus, ajoute Strabon, on continua de dire chanter pour reciter
t uniment et sans affecter des accents trop fréquens et trop marquez, ajoute  : lorsque j’entens parler Laelia, je crois entend
s avons rapporté, défendu à l’orateur de chanter comme les comediens, ajoute , qu’il est fort éloigné de lui interdire une décl
46 (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre huitième. »
uis-je dans l’antre du lion ? suis-je à la cour ? On pourrait presque ajouter que l’illusion se prolonge jusqu’à la fin de cett
en ce point… Est une transition très-heureuse. Et quand La Fontaine ajoute qu’il s’amuserait du conte de Peau-d’âne, il pein
qui n’appartînt à l’autre. Après ce vers qui dit tout, La Fontaine n’ ajoute plus rien. Quelle grâce encore et quelle mesure d
sont remplis De Démocrites infinis. Je ne sais pourquoi La Fontaine ajoute ces deux vers. Il n’est pas absurde de dire qu’il
47 (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « II — L’arbitrage et l’élite »
cours a le mérite d’être un excellent résumé de la question et je n’y ajouterai que quelques détails complémentaires. On peut tro
l’Institut « la codification de ce droit ». « Il est une autre tâche, ajoutait le promoteur de l’entreprise, concrète et acciden
de litige entre deux pays, un arbitrage international décide… Si l’on ajoute à ces grands traités l’immense quantité de conven
impérieusement une juridiction commune pour ses intérêts communs. » ‌ Ajoutons à cette brève nomenclature, un exemple tout récen
48 (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « Madame Roland, ses lettres à Buzot. Ses Mémoires. »
t de Mme Roland. Après cette peinture un peu embellie de sa vie, elle ajoute , revenant à son cher objet, à cette autre existen
mement à Mme Roland était assez grande sans qu’il fût besoin d’y rien ajouter aux dépens de son mari : « J’acceptai cette miss
rtus qu’il avait. » Ces deux mots de Daunou suffisent à son épitaphe. Ajoutez qu’une dernière teinte, — comment dirai-je ? de d
audacieux Maury, etc. » ; et, se reprenant à ce nom de Mirabeau, elle ajoutait en manière de rétractation et de repentir : « Le
ces belles choses est que chacun y revient, et, en y revenant, veut y ajouter et renchérir sur les prédécesseurs. On force les
larmes et que j’étais violemment ému : elle y parut sensible, mais n’ ajouta que ces deux mots : « Du courage ! » De son côté
pagne devant lesquelles on passe et dont est bordée cette rive, et il ajoute  : « C’est, je pense, dans les environs de ce pay
49 (1860) Cours familier de littérature. X « LVe entretien. L’Arioste (1re partie) » pp. 5-80
le qui, après la perfection, ne soit tombé dans la décadence. Hélas ! ajoutons , ce qui est plus juste, qu’elles ne nous en montr
e son pays et de son temps. À ces observations de Voltaire il faut en ajouter une, qui donne seule le secret de la composition
de mépris sur les lèvres. Jeune homme, ne donnez pas dans ce travers, ajoutaient -ils souvent. L’Italie n’a que trois poètes : l’un
de tout concilier. Prêtez-moi votre divin poème, mon cher professeur, ajouta-t -il en se tournant vers son ami le rhétoricien éru
odeste et touchante à l’amitié de ce prince. Hélas ! le pauvre poète, ajouta-t -il, il n’avait pas besoin d’enfler sa voix pour c
les autres belles de la cour aux yeux du duc d’Albanie. « Imprudente, ajoute-t -elle, je le recevais en secret dans l’appartement
phalement pour elle, à qui sa vertu n’est pas suspecte. « Cependant, ajoute Olinde, le prince perfide qui a abusé de mon amou
errompre le combat entre Lurcins et le chevalier inconnu. « Car l’un, ajouta-t -il, croit combattre pour la vertu, et combat pour
ants qui soit dans la mémoire des hommes. Ah ! vous aurez beau faire, ajouta-t -elle en souriant, vous ne ferez jamais rien de su
e ne sait pas encore pourquoi elle pleure. Ce sont les belles larmes, ajouta-t -elle encore en badinant et en passant, pour les é
faibles de la tragédie avec les stances simples et pleines du poème. Ajoutons , à l’honneur de Voltaire, qu’il reconnaissait le
t bien plus.... — Tu veux dire, maman, que c’est un grand enchanteur, ajouta vivement Thérésina. Jamais aucun des livres que t
50 (1867) Le cerveau et la pensée « Chapitre V. Le génie et la folie »
veuse. Et enfin, pour qu’aucun nuage ne reste sur sa pensée, l’auteur ajoute quelques pages plus loin : « La constitution de b
ussi forte que le cœur de l’homme peut la supporter sans se rompre », Ajoutez à cela que, parmi les hommes de génie, dont l’aut
onnées longtemps après l’événement, et par des témoins peu spéciaux ! Ajoutez à cela que tous ceux qui connaissent la critique
n d’entre eux sont remarquables par la vigueur de leur constitution ! Ajoutez qu’ils sont loin d’être difformes, et que nos dan
semblablement un certain nombre dans les parents d’un homme de génie. Ajoutez que l’auteur ne se borne pas aux ascendants, ni m
ouvrage ne serait pas un faible argument en faveur de son opinion. J’ ajoute que, sans être de son avis, sur le fond de la que
51 (1856) Leçons de physiologie expérimentale appliquée à la médecine. Tome I
’urine. Celle-ci est trouble, alcaline, fait effervescence quand on y ajoute un acide, elle contient fort peu d’urée. Nous avo
cure. Cette espèce de revue rétrospective nous permettra d’ailleurs d’ ajouter des faits nouveaux que nous avons vus depuis la p
n suivant un système de circulation assez peu connu. Mais nous devons ajouter que M. Bouchardat lui-même, dans son dernier trav
un peu d’une dissolution de sucre de betteraves parfaitement pur, j’y ajoute une dissolution concentrée de potasse caustique à
s dans un autre tube un peu d’une dissolution de sucre de fécule, j’y ajoute la même solution de potasse caustique, et je fais
ière dissolution de sucre de betterave ; je la chauffe, après y avoir ajouté quelques traces d’acide sulfurique ; vous voyez l
ès avoir saturé l’acide sulfurique par la craie et avoir filtré, si j’ ajoute de la dissolution de potasse dans cette liqueur e
évidente, si, au lieu d’employer la potasse caustique, seule, nous y ajoutons un sel de cuivre. Mais il importe de rappeler les
et 40 grammes de carbonate de soude dans un tiers de litre d’eau. On ajoute ensuite à cette dissolution 30 grammes de sulfate
près avoir fait bouillir le mélange, on le laisse refroidir et l’on y ajoute 40 grammes de potasse préalablement dissoute dans
d’une lessive de soude dont le poids spécifique est de 1,12 ; et l’on ajoute une quantité d’eau suffisante pour que le volume
rester parfaitement transparent et la couleur bleue n’a pas varié. J’ ajoute , au contraire, le réactif à une dissolution de su
vant d’employer le réactif, et, s’il est un peu ancien, il faudra lui ajouter un peu de potasse caustique fraîche pour lui rend
’étain, proposée par M. Maumené, et le chromate de potasse, auquel on ajoute un acide. Nous ne nous arrêterons pas à ces réact
ir. La liqueur est limpide et d’une couleur jaune brunâtre ; quand on ajoute environ un volume égal de ce réactif à un liquide
s, tandis que l’alcool passera avec le liquide filtré. Il est utile d’ ajouter encore que l’acide urique, l’urée et l’albumine p
On le remplit compléter ment du liquide supposé sucré dans lequel on ajoute de la levure de bière. On le bouche ensuite à sa
es coaguler par la chaleur. Si le sang est frais, il suffira même d’y ajouter une fois ou deux son poids d’eau acidulée avec un
e de la petite quantité de sucre dont il est chargé, on ne veut pas y ajouter d’eau, on aura un très bon résultat en ajoutant a
ée, qui a été apportée de la Charité, du service de M. Rayer ; nous y ajoutons du sang, de telle sorte que les réactions avec la
contenue dans le liquide que l’on veut purifier. Si, par exemple, on ajoute au sang la moitié ou les deux tiers de son poids
au sang la moitié ou les deux tiers de son poids d’eau, il suffit d’y ajouter du charbon de manière à obtenir une bouillie épai
d’être humide et qu’elle soit redevenue pulvérulente. Alors, si l’on ajoute de l’eau à ce charbon, toute la matière sucrée es
voudra, par exemple, dans une clinique, faire cet essai, il suffira d’ ajouter un peu de noir animal à l’urine, on jettera sur u
e vous avons indiqués ici que d’une manière abrégée, nous réservant d’ ajouter les détails que nous aurions omis ici à propos du
nt incolore ; nous en mettons dans un tube bouché par un bout, nous y ajoutons une quantité égale de réactif cupro-potassique, n
On distille ensuite environ le tiers du liquide qui a fermenté, on y ajoute un peu de chaux, on place le mélange dans un tube
un feu doux, et lorsque l’ébullition commence à se manifester, nous y ajoutons directement, ainsi que vous le voyez, avec précau
uinolent qui était sucré autant que possible, puisqu’on n’y avait pas ajouté d’eau. On fit ensuite coaguler au bain-marie tout
ate de plomb. Le charbon animal suffit toujours ; seulement il faut l’ ajouter en très grande proportion. C’est avec des liqueur
le sucre identique avec celui de diabète. Après ce premier examen, on ajouta de la levure de bière au liquide hépatique, et on
entation, la déviation a été complétement nulle. Cette contre-épreuve ajoute , ainsi que vous le voyez, une grande rigueur à l’
ût redevenu pulvérulent, comme vous le voyez ici. C’est alors qu’on a ajouté de l’eau au mélange pour dissoudre le sucre. On a
ane, et qu’on en trouve de grandes quantités dans le sang après. Nous ajoutons de la levure à ces deux dissolutions, et vous ver
al, pour retenir toutes les matières colorantes et albuminoïdes. On y ajoute ensuite de l’eau pour dissoudre la matière sucrée
es substances ont pu apporter une quantité plus considérable de sucre ajoutée à celle qui se forme normalement. Nous ouvrons l’
qui se séparent des parties solides contractées et coagulées, nous y ajoutons dans les tubes où nous les versons parties égales
trouvons une matière visqueuse jaunâtre, colorée par la bile ; nous y ajoutons un peu d’eau et nous jetons le tout sur un filtre
blement égales, de 1,50 à 1,88 pour 100. Le sucre venu du dehors ne s’ ajoute pas comme tel au sucre hépatique, mais il est cha
sucrée contenant 60 grammes pour 100 de sucre de fécule ; nous avons ajouté une certaine quantité de prussiate jaune à cette
à ne laisser aucun doute dans votre esprit, que nous avons eu soin d’ ajouter à la dissolution sucrée du prussiate de potasse.
ogique, complétée par les matières sucrées de l’alimentation venant s’ ajouter purement et simplement au sucre hépatique ; ce su
rive ou non dans l’organisme du sucre par une autre voie. Nous devons ajouter encore que le sucre arrivant du dehors, à l’état
on glycogénique de ce même organe. Ce serait là un argument de plus à ajouter à cette proposition que nous avons énoncée bien s
elles sont toujours troubles ; j’en prends une portion, à laquelle j’ ajoute du perchlorure de fer, et la formation du bleu de
fonctionne que dans une période déterminée de la vie. Il faut encore ajouter que le sucre du foie est le plus fermentescible,
truction est toujours supérieure à la formation glycogénique. Si l’on ajoute du sucre dans le sang d’un animal, jusqu’à une ce
us la peau 1 gramme de sucre dissous dans 25 grammes d’eau pure, nous ajoutions à la solution 2 grammes de sel marin, dont l’équi
rès les chiffres, que la quantité de sucre détruit diminue quand on y ajoute en même temps du sel marin, et cela a lieu même p
rmentation qu’on a rempli avec la même décoction, et dans lequel on a ajouté de la levure de bière ; vous verrez dans quelques
eux parts : l’une que j’abandonnais à elle-même, l’autre à laquelle j’ ajoutais un peu d’une dissolution sucrée. Or, dans la prem
ue des cellules de levure de bière se produisent à leur tour. Si l’on ajoute alors, sous le microscope, un peu de teinture d’i
venons de signaler paraît encore démontrée par ce qui arrive quand on ajoute dans ces liquides des substances capables d’empêc
s ne contredisent point les découvertes de la chimie organique, ils s’ ajoutent à la masse des connaissances acquises ; et l’ense
sion tirera-t-il de là ? Et s’il n’a vu qu’un cas, quelle foi peut-on ajouter à sa conclusion ? C’est là cependant la position
mencées. Voici le liquide provenant du sang de la veine porte, nous y ajoutons du tartrate cupro-potassique, nous chauffons, pas
la tête de mouton, aliment dont nous nourrissons les chiens ; nous y ajoutons du tartrate de cuivre : vous voyez qu’il n’y a pa
e le sucre se forme dans le foie. Nous aurons encore, par la suite, à ajouter bien d’autres preuves à celles que nous vous avon
er successivement les trois substances que nous avons injectées. Nous ajoutons dans l’une de ces portions le réactif cupro-potas
assé dans la salive. Si nous prenons la seconde portion et que nous y ajoutions du persulfate de fer, qui est lui-même acide, ou
nous prenons la troisième portion du liquide recueilli et que nous y ajoutions de l’empois d’amidon, vous voyez la coloration bl
coloration bleue y déceler l’existence de l’iode, quand nous y avons ajouté quelques gouttes d’acide sulfurique pour mettre l
l’animal soit devenu nettement diabétique. Voici les urines ; nous y ajoutons du tartrate cupropotassique, nous chauffons, et v
ns le liquide résultant de la ponction d’un hydropique ; seulement on ajoute que le malade mangeait habituellement beaucoup de
présence de la matière sucrée. Mais il y a encore un troisième cas à ajouter aux deux premiers, c’est celui où les urines sont
acée un peu plus haut. A cette raison déjà suffisante nous pouvons en ajouter beaucoup d’autres : ainsi les mouvements respirat
se, et l’accroissement de l’action produit un effet d’autant moindre. Ajoutons que ces limites elles-mêmes peuvent encore change
dance, de séparer leurs poumons et leurs muscles, de les laver et d’y ajouter de l’eau en proportion telle que les tissus soien
dans de l’eau alcoolisée. Si je prends le liquide de macération, j’y ajoute du tartrate cupro-potassique et je fais bouillir,
le sucre, que nous concentrions par une évaporation suffisante. Nous ajoutions de nouveau de l’eau aux tissus pulmonaire et musc
re le résidu en deux parties : l’une soluble et l’autre insoluble. On ajoute , dans la partie alcoolique soluble, de l’acide su
de partie de l’alcool par une distillation au bain-marie, après avoir ajouté un excès de carbonate de plomb et un peu d’eau, o
omb. On sépare la majeure partie de l’alcool par la distillation ; on ajoute de l’eau et l’on se débarrasse par l’ébullition d
tance très acide ; on distille l’éther au bain-marie, et, après avoir ajouté de l’eau à la liqueur brunâtre acide, on la divis
our cela Lehmann fit dissoudre cette substance dans de l’alcool, puis ajouta de l’acide nitrique, et porta le mélange à l’ébul
ur les reins et le système capillaire des membres, etc. Mais, si l’on ajoute à l’eau du sucre, même en petite quantité, l’infi
ous vos yeux. Voici une dissolution de gélatine à laquelle nous avons ajouté du sucre de raisin en très faible proportion, nou
insi que nous le faisons toujours. Il faut savoir encore que, si l’on ajoute de l’ammoniaque à ce réactif, il ne réduit plus ;
ur lequel j’avais opéré contenait, sur 100 parties, 0,248 de glucose. Ajoutons que le sang des veines mésentériques renfermait a
u sang au-dessus du foie, et puis, dans le détail de l’expérience, on ajoute que l’on a ouvert la veine cave à son embouchure
me, et non à l’entrée de l’oreillette droite du cœur. Enfin, l’auteur ajoute , deux lignes plus bas : « On a laissé au glucose
de bière, avec production d’acide carbonique et d’alcool. Nous devons ajouter que nous agissons quelquefois en mélangeant direc
52 (1892) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Cinquième série « Les legs de l’exposition philosophie de la danse »
iolente, voilà tout. Notre vraie danse à nous (valse, quadrille, et j’ ajoute nos danses historiques et toutes celles de nos pr
e révérences, de gestes galants et courtois, et ne faisaient guère qu’ ajouter un rythme et une cadence au cérémonial compliqué
-gaz ? lui demandait-on. Elle qualifia durement son ancienne amie et ajouta  : — Elle a eu le toupet de faire écrire par un j
53 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 169-178
arrêt terrible contre les Ecrits de M. Diderot. Que sera-ce, si nous ajoutons avec Quintilien, que plus un Ecrivain est médiocr
mais à quoi serviroient tous ces éloges, si on ne peut se dispenser d’ ajouter que la plupart sont impies, & le reste hasard
optif dont Bacon & Chambers ne l’avoient pas fait légataire. Nous ajouterons ensuite, que l’excellent Prospectus qui l’annonço
54 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre premier. De la première époque de la littérature des Grecs » pp. 71-94
us énergiques, et les oppositions les plus simples. Les pensées qu’on ajoute à la poésie, sont un heureux développement de ses
que la plupart des coutumes modernes ; et chez les Grecs ces coutumes ajoutaient toutes à l’effet des événements et à la dignité d
u’une philosophie plus morale, une sensibilité plus profonde, peuvent ajouter à la poésie même, en y mêlant des idées et des im
nspirait à eux-mêmes leur penchant à l’enthousiasme. Tout ce qui peut ajouter à l’éclat des noms fameux, tout ce qui peut excit
arre, la masse des hommes est jalouse des efforts que l’on tente pour ajouter à ses plaisirs, ou mériter son approbation. 13.
55 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre premier. Les signes — Chapitre III. Des idées générales et de la substitution à plusieurs degrés » pp. 55-71
e désigné par 36 est le même que le groupe désigné par 35, si à 35 on ajoute 1. 36 est donc un terme collectif qui en remplace
ne addition, tendance différente de la première, en ce que, au lieu d’ ajouter un objet à un objet, on ajoute ici un objet à un
de la première, en ce que, au lieu d’ajouter un objet à un objet, on ajoute ici un objet à un groupe de quatre objets réunis.
ens, nous ne trouvons qu’un nom, celui du chiffre inférieur auquel on ajoute l’unité ; la même chose arrive à celui-ci, et ain
gure, la seconde étant combinée avec la première, comme une condition ajoutée à une condition. En d’autres termes, un caractère
56 (1863) Le réalisme épique dans le roman pp. 840-860
nsmis sur les Phéniciens de l’Afrique, tous les commentaires qu’y ont ajoutés les modernes, il paraît les connaître. Polybe, Ap
nt des enfants à Saturne jusqu’au proconsulat de Tibère. » Tertullien ajoute que le magistrat romain fit crucifier les sacrifi
ien étudiée des machines de guerre dans le monde antique, M. Flaubert ajoute ce détail au sujet des ravages que causent les ca
artiste. Qu’il se souvienne ou qu’il invente, qu’il supprime ou qu’il ajoute , son œuvre est fausse. De l’atmosphère salubre de
o paraissait furieux, qu’il a crié, qu’il s’est endormi, et si elle n’ ajoute rien de plus, c’est peut-être, nous dit le romanc
les multitudes féroces, s’agiter, se démener, accumuler les détails, ajouter traits sur traits, figures sur figures, et prolon
criptions de M. Flaubert sont inintelligibles. À chaque trait nouveau ajouté par le peintre, à chaque mouvement des acteurs, o
inspiré du dégoût ; Salammbô, malgré un énergique effort, n’a fait qu’ ajouter au dégoût la fatigue et l’ennui. Après cette doub
57 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre troisième. Le souvenir. Son rapport à l’appétit et au mouvement. — Chapitre troisième. La reconnaissance des souvenirs. Son rapport à l’appétit et au mouvement. »
stituer une conscience et une mémoire ». On peut très bien concevoir, ajoute-t -il, un être sensible qui serait « le sujet de cha
us forte raison une mémoire. A la bonne heure ! mais que faut-il donc ajouter pour produire la conscience ? S’il fallait en cro
oduire la conscience ? S’il fallait en croire Spencer, il suffirait d’ ajouter la régularité dans le changement même : « La cons
ions explicable par les lois des changements mécaniques » ; mais nous ajoutons  : — Rien, excepté la sensation même85. II Con
qu’un automate à peine conscient. » Les esprits bornés ou routiniers, ajoute le même auteur avec finesse, réalisent cette hypo
pouvaient devenir aussi automatiques que celles de la vie organique, ajoutent -ils, elles seraient bien supérieures à ce qu’elle
sans efficacité, la simple révélation d’un travail inconscient », il ajoute  : « Au seul point de vue de la survivance du plus
onsciente, aveugle, accidentelle, dépendante des circonstances, s’est ajoutée une adaptation consciente, suivie, dépendante de
58 (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. J. Autran. Laboureurs et Soldats, — Milianah. »
beauté, est de création supérieure à l’homme. Il les reçoit, et il y ajoute ou y retranche, mais il ne peut les conquérir.
ions purement lyriques pour aborder le terrain de la réalité. » Et il ajoute , en chiffonnant une idée juste : « A l’origine de
es grands écrivains de ce temps-ci. Non, certes, que la poésie ne pût ajouter à la beauté du fait qu’elle raconte et élever une
us ces trésors, le Critique optimiste pantelait d’admiration. Mais il ajoutait que le vers de l’avenir et le vers qui caractéris
59 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 563-564
argés de tendresse, des éternels bras dont elle ne savoit que faire;  ajouter à cela des gentillesses que la plume d’une femme
étend qu’elle n’eût pas dû oublier celui de la Femme Bel-Esprit. Nous ajoutons qu’elle a fait encore un Livre de Conseils, où ce
60 (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxiiie entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff »
eprendre si l’auteur lui-même ne m’y avait encouragé. Est-il besoin d’ ajouter qu’au lieu de suivre le procédé un peu trop commo
e trouver dans ces pages rien qui n’appartienne à l’auteur. Si j’y ai ajouté quoi que ce soit de ma façon, ce sont les fautes
r dans l’œuvre originale et qui, par un cachet particulier de vérité, ajoutent encore à l’effet qu’elle produit dans son ensembl
ait au besoin imprimer à ses yeux clairs un clignotement gracieux qui ajoute encore à la séduction de ses prévenances. Il s’ha
ié, et pâlit. — Il me semble que je t’adresse une question, mon ami ? ajouta Arcadi Pavlitch avec calme, et il le regarda fixe
ns ensemble et vous coucherez à Chipilofka. C’est cela ! c’est cela ! ajouta-t -il, sans attendre une réponse. C’est arrangé. Eh 
, et ayant rejeté ses cheveux en arrière par un mouvement de tête, il ajouta que Safrone était allé à Pétrova, mais qu’on l’av
enir nous visiter ! Votre petite main, mon père, votre main chérie, —  ajouta-t -il en tendant les lèvres avec ardeur. Arcadi Pavl
unir ; … mais suivant moi, il n’était pas coupable. Quant à Arina… qu’ ajouter à cela ? Il n’y a vraiment rien à dire ; j’ordonn
ît que la pluie ne cessera pas de sitôt. Ah ! le voilà qui détale ! —  ajouta-t -il à demi-voix en entendant le bruit que faisaien
du même genre ; mais les faits que j’ai rapportés doivent suffire. J’ ajouterai cependant ce qui suit : Une vieille propriétaire
ble. C’était un ténor léger, un tenore di grazia en kaftane russe. Il ajoutait tant d’ornements aux paroles de la chanson qu’il
baldouï ; et il se dirigea vers le comptoir. — À ton compte, frère, —  ajouta-t -il en s’adressant à l’entrepreneur. Celui-ci fit
qui l’emportera. L’entrepreneur chante vraiment bien. — Fort bien, —  ajouta la femme de Nikolaï Ivanovitch, et elle regarda I
de lire ; mais avant de prendre congé de lui, je ne puis m’empêcher d’ ajouter encore quelques remarques sur la chasse. La chass
61 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
, publié par le même Somaise en 1661, deux volumes in-12. Je pourrais ajouter en cinquième lieu une notice composée par Segrais
princesse de Conti, et sa cour, y étaient venues avec le prince pour ajouter à l’éclat de sa présidence ; c’était Marie Martin
s’écria que la chose était faisable. Didamie (madame de Ladurandière) ajouta que c’était même facile et que pour peu que Clari
énie (madame de Saint-Loup) se préparèrent à décider ce qu’il fallait ajouter ou diminuer dans les mots. On décida qu’on ôterai
e charme des vers cités. Remarquez au reste, comme preuve de la force ajoutée par la diphtongue oi aux mots foi, roi, foi, qu’e
es sévères ; ni les unes ni les autres ne sont invincibles. » De Pure ajoute qu’elles font solennellement vœu de subtilité dan
tous leurs procèdes, qui est extrêmement déplaisante. » La princesse ajoute  : « Il y en a peu qui dansent, parce qu’elles dan
ue la pièce entière résiste à l’application qu’on en veut faire, nous ajouterons à nos précédentes observations que la pièce sembl
es, mais celles qui les imitaient mal. Adroite précaution oratoire », ajoute-t -il en note. 52. « J’étais, dit Ménage, à la pre
62 (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Correspondance inédite de Mme du Deffand, précédée d’une notice, par M. le marquis de Sainte-Aulaire. » pp. 218-237
ent le plus naturellement sur elle après cette lecture ; mais il faut ajouter aussitôt : jugement droit et net, excellent espri
crédit sur lui et passe pour l’idolâtrer toujours. — Mais j’en doute, ajoute Walpole, elle prend trop de peine pour le faire c
assant un peu dans sa réponse le sens et la portée de la question, il ajoutait , après quelque éclaircissement : Voilà tout ce q
t d’en perdre le souvenir. Ce n’est pas nous qui prendrons plaisir à ajouter notre commentaire au sien et à l’écraser du voisi
Choiseul a bien les honneurs de cette correspondance ; son nom doit s’ ajouter désormais à la liste des femmes qui ont bien pens
voix. 49. [NdA] Tout bas, je demanderai à l’éditeur de vouloir bien ajouter à ces deux excellents volumes deux choses, l’une
63 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre troisième. Les sensations — Chapitre premier. Les sensations totales de l’ouïe et leurs éléments » pp. 165-188
température qui se produisent lorsqu’un certain degré de chaleur est ajouté ou ôté à notre température propre ; telles sont l
ticules nerveuses. — Mais ces progrès, si grands qu’on les imagine, n’ ajoutent rien à notre idée des sensations ; ils nous éclai
ndes produites par deux sons chantés à l’unisson, les condensations s’ ajoutent et deviennent deux fois plus fortes ; ce qui expl
ourquoi, dans les sensations de son ainsi produites, les intensités s’ ajoutent et deviennent deux fois plus grandes. Donc, étant
uple est plus intense que le son total du second. — Si au son total s’ ajoutent des sons complémentaires moins intenses et deux,
deux autres ; alors le son est plus ou moins intense. — Au même son s’ ajoutent divers groupes de sons moins intenses, mais dont
64 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Quatrième partie. Élocution — Chapitre IV. Des figures : métaphores, métonymies, périphrases »
pas conformes aux rigoureuses prescriptions de la grammaire, on peut ajouter au sens où la construction régulière des mêmes mo
cesse s’enrichissant depuis les temps anciens, et elles y ont encore ajouté . Un bon nombre de mots de la langue française ne
son ombre. » Ailleurs Bossuet compare l’homme à un édifice ruiné, et ajoute  : « Il est tombé en ruine par sa volonté dépravée
Où est la vérité ? où est la règle ? La règle de Condillac, « ne rien ajouter qui ne soit dans l’analogie du premier trope », n
le de donner à la pensée l’expression adéquate, transparente, qui n’y ajoute rien et n’en retranche rien : Multipliez vos jou
mauvais. Il faut donc que la périphrase à cette parfaite transparence ajoute quelques avantages positifs, qu’elle présente des
65 (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Mémoires d’outre-tombe, par M. de Chateaubriand. » pp. 432-452
ervalle, plus d’un personnage officiel s’est créé en lui, s’est comme ajouté à sa nature, et que même en secouant par moments
t au physique et au moral des plus vivants : Sa voix était flexible, ajoutait -il, ses modulations suivaient les mouvements de s
ron de l’avoir imité sans le nommer et sans lui en faire honneur ; il ajoute que, dans sa propre jeunesse, le Werther de Goeth
ans ce chapitre où il reproche à Byron de ne l’avoir jamais nommé, il ajoute  : Point d’intelligence, si favorisée qu’elle soi
d’antique noblesse ; il est vrai qu’après cet exposé généalogique il ajoute  : « À la vue de mes parchemins, il ne tiendrait q
r oublié quelque peu les impressions, ou du moins il les change, il y ajoute après coup ; il surcharge. Ce sont les gestes d’u
66 (1880) Une maladie morale : le mal du siècle pp. 7-419
 : je veux dire un penchant très prononcé pour les jouissances ; et j’ ajoute , surtout pour celles de l’ordre matériel. Sans ex
prit de liberté que rien n’avait pu vaincre. « Cet esprit de liberté, ajoute -il, me vient moins d’orgueil que de paresse, mais
ste et de poète dans une société d’hommes de cour. Mais il convient d’ ajouter que Torquato ne présente pas les dangers de Werth
de qui, publiée seulement en 1825, est cependant antérieure à René, n’ ajoute rien à la physionomie du héros. A la Louisiane ou
à Mme Récamier. Parlant d’une visite au château de Fontainebleau, il ajoute  : « J’étais si en train et si triste que j’aurais
s siens, périssent sur l’échafaud ; des déceptions de cœur viennent s’ ajouter à ces douleurs. C’est alors que, restée veuve, Mm
il montre bien qu’elles lui étaient habituelles à lui-même, quand il ajoute  : « Le fond de cette âme n’avait pas échappé à to
bleau. Cependant, à la fin, le malheur use ses forces, et l’épilogue, ajouté à son journal par une main amie, nous le montre s
velle énergie, quand je sentais des feux qui me consumaient ! » Et il ajoute  : « Ernest, j’ai quitté tous ces témoins de mon i
on ne se corrige pas en se déplaçant, l’on se trouve seulement avoir ajouté des remords aux regrets, et des fautes aux souffr
es du livre. Après avoir parlé du plaisir qu’il prenait à le lire, il ajoutait  : « Je crois bien que j’en ressens plus encore, p
: elle s’usait en vaines émotions, et en vœux superflus. Nous pouvons ajouter qu’il resta toujours ce que nous l’avons vu jusqu
circonstances extérieures, et ceux que des fautes personnelles y ont ajoutés . Benjamin Constant ne peut échapper au blâme qu’i
la lecture au milieu d’un profond silence. « Nous nous levâmes alors, ajoute-t -il, nous rejoignîmes nos camarades, et nous reprî
vateur, dont j’ai reproduit un passage sur la secte des sentimentaux, ajoutait  : « Les sentimentaux ont leurs hypocrites, comme
ement les traces dans les lieux illustrés par son souvenir. Inutile d’ ajouter , d’ailleurs, que Childe Harold par son ennui repr
par des larmes. » Jusque-là il n’y avait guère que du ridicule. Mais, ajoute lord Macaulay, « il s’établit bientôt dans le cœu
igine du mot, Mme de Staël émettait une observation juste, quand elle ajoutait que la poésie romantique était volontiers compliq
n délicieuse. » Une autorité plus haute et plus incontestable vient s’ ajouter à ces témoignages. Gœthe l’a dit, en 1829, repren
de la lecture de grands auteurs mélancoliques français ou étrangers. Ajoutez à cela que, pendant plusieurs années, à l’âge où
l’éducation ; il a ce qu’on appelle du talent, etc., etc. Et si l’on ajoutait  : ce jeune homme est le plus malheureux des êtres
es dans lesquelles il retrouvait une maladie qui avait été la sienne. Ajoutons que Sainte-Beuve souffrait, comme Joseph Delorme,
faitement inspirer l’intérêt qu’il éprouve pour son sujet. M. Damiron ajoute que cette « âme d’élite était dès lors inquiétée
es inquiétudes que de telles dispositions jettent dans l’âme. » Mais, ajoute-t -il, « dans le temps où j’étais né, il était impos
a tempête de sa pensée sur les bords arides de l’incrédulité ?  » Si, ajoute-t -il, en perdant la foi, j’avais perdu le souci des
tourner un regard de regret vers le joug qu’il avait brisé. Et Ozanam ajoute  : « ils font peine ces philosophes du rationalism
res âmes ce qu’elles rêvent de perfection en elles-mêmes. On en fait, ajoute-t -il, un héros de Juillet, ce n’était pas cela, c’é
ivit les romans d’Ourika (1823) et d’Édouard (1825), auxquels il faut ajouter une nouvelle inédite, Olivier. Ce dernier ouvrage
mbeau cette mélancolie première, ce mal qui date de la Terreur, mais, ajoute d’une façon trop absolue M. Sainte-Beuve, qui sor
lté étrangère à celui qui la subit ; le héros de Beyle, au contraire, ajoute par les inquiétudes de son caractère aux malheurs
soir vifs sentiments de plaisir et joie complète d’exister. Ce jour, ajoute-t -elle, a été une vie entière. » Cette mobilité mal
e n’est possible que de nos jours. » Une dernière appréciation doit s’ ajouter à ces jugements. Dans un écrit sur lequel je revi
blessés. Après avoir dit à Bastide tu souffres autant que moi, Ampère ajoutait  : « Et Franck ! et Stapfer ! » Ce dernier, traduc
re, après avoir fait à son ami le récit d’une passion malheureuse, il ajoutait , non sans éloquence : « L’irréparable, le passé,
nt peine, que la plupart « avaient la jaunisse » de frayeur ; et elle ajoute  : « J’ai remarqué, au reste, que la génération né
s connus ont néanmoins répandu une ombre et quelque chose de grave. » Ajoutons qu’à l’âge même où l’avenir se décide d’ordinaire
et de souvenirs qui ne peuvent rendre la réalité disparue ! « Hélas ! ajoute-t -il, Hélas ! naître pour vivre en désirant la mor
, Mourir, en regrettant la vieillesse et la vie ! Encore un soupir à ajouter à tous ceux que provoque, depuis le commencement
’apprête à fêter une grande solennité : la conversion d’un classique. Ajoutons que chacun, en attendant ce moment, fait honneur
om de Vidame de Tyannes, autre anagramme tiré d’un nom que sa famille ajoutait à celui de Dondey. Le Vidame ou Philotée n’était
rnier ; mais, aux traits prêtés par la peinture allemande, le poète a ajouté toutes les ressources que fournissait la mélancol
ai le rire à la bouche et la tristesse au cœur. « Pris par moments, ajoute Boulay-Paty, de la funeste épidémie morale du siè
é et sceptique : « Je désire que les journaux qui annonceront ma mort ajoutent cette déclaration à leur article : Escousse s’est
sse que je cherche à dissiper ; je la lis dans ses yeux. » Et sa sœur ajoute ce commentaire navrant : « Mon pauvre ami, qu’as-
et voilà qu’à trente ans d’intervalle une jeune femme solitaire vient ajouter à ces autorités son témoignage modeste mais préci
a meilleure explication des troubles dont ils ont souffert tous deux. Ajoutons -y les impressions d’une enfance austère, et nous
ce moment, elle a déclaré qu’elle lui était restée fidèle, « fidèle, ajoutait -elle, comme au père qui m’a engendré, car s’il ne
es, puisqu’il est l’essence même des intelligences élevées. » Et elle ajoute , que ces aspirations sont accompagnées de souffra
été décrits avec plus d’amertume et de vigueur. L’autorité de Lélia s’ ajoute donc à celle des solitaires dont j’ai déjà rappel
gens qui vivent sans chercher la cause et le but de la vie. » Et elle ajoutait  : « Ceux qui liront plus tard l’histoire de ma vi
heures à la lecture de quelques livres pieux, auxquels il se permet d’ ajouter les œuvres de Lamartine, « et les Consolations de
les croit sinon ridicules, du moins funestes à celui qui s’y livre. » Ajoutez à cette disposition « des instincts charmants de
me, espère ; et son esprit qui lui disait : doute, méprise, crains. » Ajoutons qu’Arthur ne guérit pas, et que, s’il paraît à la
uence de cette littérature ; mais lui-même que fait-il, si ce n’est y ajouter une nouvelle page, et des plus perfides, et appor
vie il ne lui faudrait que la résolution d’un moment. Pourquoi donc, ajoute-t -il, ne le voudrais-je pas ? Et se faisant lui-mêm
nce est sensible. Le soin que l’auteur a pris d’embellir cette figure ajoutait donc encore au danger que recélait sa thèse. Tous
d débordant en enjambements désespérés dans des stances fatales. » Il ajoute ce mot important à recueillir : « La maladie de R
ement ; toute action disparaît, et toute puissance s’éteint. C’était, ajoute M. Montégut, un type symbolique de toutes les idé
usqu’au double de celui qu’il atteignait en 1830. Aucun commentaire n’ ajouterait rien à la force de cette statistique. Ainsi le ma
67 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 295-296
s ont été comparées, par des Journalistes, à celles de Catulle ; nous ajouterons que la plupart de ses Epigrammes Françoises sont
Monde & l’Homme de Lettres. Quelques-unes des réflexions qu’il a ajoutées , manquent de justesse, & plusieurs ne sont pa
68 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « SAINTE-BEUVE CHRONIQUEUR » pp. -
aussi les matériaux qu’il recevait d’autres personnes et ceux qu’il y ajoutait de son propre fonds. Aussi est-il impossible de d
aiguillon, ainsi qu’il l’a dit ailleurs de ses Poésies. « En France, ajoutait -il, on n’a que ma critique écrite de ce temps-là,
Bayle conseillait à Mathieu Marais : « J'ai eu souvent, je l’avoue, ajoute Sainte-Beuve, une idée analogue. A mon retour de
69 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XIX. De la littérature pendant le siècle de Louis XIV » pp. 379-388
i ; et, dans aucune circonstance, la vulgarité62 des manières ne peut ajouter à la force des idées, ni à celle des expressions.
multipliait les convenances que l’on devait ménager. Ces difficultés ajoutaient souvent à l’éclat du génie qui savait les vaincre
is s’il faut une réflexion approfondie pour démêler ce qu’on pourrait ajouter encore à de tels chefs-d’œuvre, les bornes de la
70 (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre quatrième. »
erveilleusement le délire de la vanité ; mais La Fontaine a eu tort d’ ajouter V. 17. Et la dernière main que met à sa beauté U
n. La Fontaine n’évite rien autant que d’être sec. Voilà pourquoi il ajoute ces vers qui sont charmans, quoiqu’il pût s’en di
La Fontaine, et personne ne l’avait eu avant lui. Il était inutile d’ ajouter et non pas par envie ; le désir de surpasser un a
71 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 487-488
e qui est utile. Aux lumieres d’une raison saine, M. l’Abbé Pernety a ajouté les richesses de l’érudition. L’Homme sociable es
ues, dévoilées & réduites au même principe ; & dans les Notes ajoutées aux Recherches sur les Américains, Ouvrage où le
72 (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Appendice à l’article sur Joseph de Maistre »
ites montrent surabondamment que nous n’avions rien exagéré, et elles ajoutent encore des traits précieux à l’intime connaissanc
ettre datée de Turin, 19 décembre 1819, on lit : « On ne saurait rien ajouter , monsieur, à la sagesse de toutes les observation
t beaucoup de vérité dans le proverbe : A tout seigneur tout honneur, ajoutons seulement sans esclavage. Or il est très-certain
it, je crois, aucun tort, et l’on vous rend un grand service… » Et il ajoutait en post-scriptum : « Je laisse subsister tout exp
73 (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Gustave Rousselot  »
ns, qui sont des défaillances et qui ne sont pas sans remède, il s’en ajoute d’autres plus coupables, qui viennent de perversi
cet enivré de la vie, à ce grisé de jouvence, pour parler comme lui, ajoutât son insolence à tout ; et voilà comme, à la poési
outât son insolence à tout ; et voilà comme, à la poésie même, il l’a ajoutée  ! Voici comme ce marmot-Titan, qui demandait dans
est pourquoi j’ai modifié le nombre ordinaire de syllabes… Mon idée — ajoute-t -il — est même que le poète a le droit de compter
74 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Introduction, où l’on traite principalement des sources de cette histoire. »
. On sent seulement qu’une main chrétienne a retouché le morceau, y a ajouté quelques mots sans lesquels il eût été presque bl
très délicate. Dans le Talmud, au contraire, la forme n’a aucun prix. Ajoutons qu’avant la Mischna de Juda le Saint, qui a fait
fondateur avait produite, et qui semble lui avoir longtemps survécu ? Ajoutons que les évangiles dont il s’agit semblent proveni
plique pas si l’on ne place le quatrième évangile à son berceau même. Ajoutons que la première épître attribuée à saint Jean est
u’il était arrivé à prendre pour la vérité. S’il faut tout dire, nous ajouterons que probablement Jean lui-même eut en cela peu de
e primitif. En effet, certaines parties du quatrième évangile ont été ajoutées après coup ; tel est le XXIe chapitre tout entier
ine carrière. On sent le procédé factice, la rhétorique, l’apprêt 55. Ajoutons que le vocabulaire de Jésus ne se retrouve pas da
rit, ou plutôt n’attachant aucune importance à cette particularité. J’ ajoute que, dans mon opinion, cette école savait mieux l
qui est resté le plus ancien, le plus original, celui où sont venus s’ ajouter le moins d’éléments postérieurs. Les détails maté
a le plus de charme ; car à l’incomparable beauté du fond commun, il ajoute une part d’artifice et de composition qui augment
75 (1928) Les droits de l’écrivain dans la société contemporaine
nnalités aux confins des mondes juridique et littéraire. Viennent s’y ajouter des lamentations concernant le commerce abusif de
sa composition et de sa rédaction. Telle rature nous en dit long. » J’ ajoute que sans croire à une harmonie universelle prééta
ans des tiroirs secrets plutôt que de servir de cornets de papier. J’ ajoute que les abus  auxquels je fais allusion dans ce p
, Henri-Robert, Sébastien Charles Leconte, Marcel Coulon. Enfin, j’ai ajouté des textes de M. Paul Souday, de M. Francis de Mi
écis : « Le commerce des lettres privées est interdit (quant à moi, j’ ajouterais  : du vivant de l’auteur de ces lettres), sauf s’i
jourd’hui — une sécurité dont ils seraient les premiers à bénéficier. Ajoutons que dès à présent un grand nombre de marchands on
state encore dans les réponses des juristes l’étrange souci de ne pas ajouter une loi nouvelle aux lois actuellement existantes
retienne plus et que leur raison ne s’y perde. Craintes bien vaines, ajoutait ce critique de sa propre profession, car, contrai
que l’appréciation de ces faits est laissée aux tribunaux. Cependant, ajoutent les juristes eux-mêmes, la question n’est pas trè
ésiré transformer ce tableau en celui d’un ancêtre de sa famille, lui ajoutât des moustaches et une barbe28. Aujourd’hui, les é
nt nuancées, mais qui témoignent un certain accord, nous avons tenu à ajouter le point de vue opposé de quelques écrivains et c
as dû lui soumettre l’original, qui l’eût éclairé ? M. Valery Larbaud ajoute  : « Voilà donc cette citation, qui peut être un f
torisation de l’auteur. « C’est là-dessus que je tenais à insister. J’ ajoute que l’importance donnée depuis quelque temps aux
oser toutes les dimensions. Domaine, c’est déjà vaste. Mais si vous y ajoutez le mot public, ne sentez-vous pas que la chose de
qui justement inspire au lecteur une curiosité grandissante. Si vous ajoutez à cela les inconvénients de la notoriété propreme
ulé : La Propriété Littéraire sous l’Ancien Régime. [NdA] 18. La loi ajoute  : « Quel que soit le métier et la destination de
bliothèque ou d’une Académie. [NdA] 26. Voir l’Appendice. [NdA] 27. Ajoutons d’ailleurs que M. Berthélemy ne présente la possi
76 (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Mémoires de madame de Staal-Delaunay publiés par M. Barrière »
livre de La Bruyère, qui semble avoir donné son cachet à leur esprit, ajoutez encore, si vous voulez, qu’elles ont lu dans leur
es objets, il les rend comme la glace d’un miroir les réfléchit, sans ajouter , sans omettre, sans rien changer. » Selon moi pou
ur quiconque a commencé par dire : Je pense, donc je suis. Ce qu’elle ajoute ne prête pas moins à l’observation : « Son image
fournirait autant qu’elle de pensées neuves, vraies, irrécusables, à ajouter au chapitre des Femmes, de même qu’elle a passé p
écrivait Mme de Staal dans l’intimité, et en ses meilleurs jours elle ajoutait  : « Ma santé est assez bonne, ma vie douce, et, à
77 (1921) Enquête sur la critique (Les Marges)
du troisième. Les enquêteurs obtinrent une trentaine de réponses. Ils ajoutèrent bravement deux zéros, et même quelque chose de pl
du jour… Puisque vous voulez bien me demander mes goûts personnels, j’ ajouterai que, si mes préférences sont acquises à la critiq
on, et c’est déjà prendre la question par le côté négatif. M. Souchon ajoute que les critiques n’ont jamais été plus nombreux,
rasson : « Il n’y a pas de renouveau de la critique. » Elle se hâte d’ ajouter , il est vrai, que nous avons, d’ailleurs, quantit
qui, apparemment, rallie tous les suffrages. Mais quand ce philosophe ajoute  : « Aujourd’hui ce sont les principes qui sont en
’on demande à un critique, instinct littéraire et talent, M. Montfort ajoute  : « Du caractère. » De toutes les réponses qui n
académiques, indépendants, universitaires et artistes, il convenait d’ ajouter le créateur. Mais c’est un problème, que résolven
78 (1864) William Shakespeare « Conclusion — Livre III. L’histoire réelle — Chacun remis à sa place »
selle. Ce que Pitt a coûté à l’Angleterre et au monde, le voici. Nous ajoutons ce bas-relief à son piédestal. Premièrement, la d
t forcée, a dépensé en boucheries pour la gloire militaire, et aussi, ajoutons -le, pour la défense du territoire, cinq millions
de bataille a coûté à l’Angleterre seule douze cent cinquante francs. Ajoutez le chiffre de l’Europe ; chiffre inconnu, mais én
assiste le crime, la présence inerte est une abjection encourageante. Ajoutons qu’une corruption préalable a commencé la complic
, dérivent de cette histoire. Le bourreau en est. Joseph de Maistre l’ ajoute , divinement, au roi. En Angleterre, ce genre d’hi
prendra sa stature réelle ; les coiffures de tiares et de couronnes n’ ajouteront aux nains qu’un ridicule ; les agenouillements st
u’est ceci ? demanda-t-il. — C’est mon encrier, dit l’écrivain. Et il ajouta  : c’est de la stéatite. Admirez la nature qui d’u
79 (1889) Essai sur les données immédiates de la conscience « Chapitre II. De la multiplicité des états de conscience. L’idée de durée »
uffit pas de dire que le nombre est une collection d’unités ; il faut ajouter que ces unités sont identiques entre elles, ou du
eure lorsqu’on passe au suivant, et attende, pour ainsi dire, qu’on l’ ajoute aux autres : comment attendrait-il, s’il n’était
ments successifs du temps indépendamment de l’espace ; mais lorsqu’on ajoute à l’instant actuel ceux qui le précédaient, comme
lité de traiter un nombre quelconque comme une unité provisoire qui s’ ajoutera à elle-même, inversement les unités à leur tour s
un espace donné ; mais les parties ainsi isolées se conservent pour s’ ajouter à d’autres, et une fois additionnées entre elles
un moment du temps, nous le répétons, ne saurait se conserver pour s’ ajouter à d’autres. Si les sons se dissocient, c’est qu’i
’idée du nombre comme indépendante de l’idée d’espace. On croit alors ajouter quelque chose à la représentation de deux ou plus
— ou si ces qualités sont inétendues par essence, l’espace venant s’y ajouter , mais se suffisant à lui-même, et subsistant sans
s resteront ce qu’elles sont, sensations inextensives, si rien ne s’y ajoute . Pour que l’espace naisse de leur coexistence, il
saurait revêtir pour lui la forme d’une ligne ; mais ses sensations s’ ajouteront dynamiquement les unes aux autres, et s’organiser
étrospective pour faire la somme des quatre coups déjà sonnés, et les ajouter à ceux que j’entends. Si, rentrant en moi-même, j
80 (1892) Journal des Goncourt. Tome VI (1878-1884) « Année 1883 » pp. 236-282
ssi grand qu’il était bon, car il était le meilleur des hommes ! » Il ajoute  : « Au fond, on ne le sait pas, mais ce qu’il aim
ous serons un jour les maîtres de l’Académie de Médecine, et alors… — ajoutait -il avec ce ton vainqueur et goguenard qu’il avait
encore plus en lui, depuis le décès de sa mère. Après un silence, il ajoute que cette mort a fait un trou dans le nihilisme d
e tout à fait bien. » Et s’affalant sur le canapé à côté d’elle, elle ajoute  : « Au fait je suis fichue !… vous allez bientôt
tre, une adresse que Daudet lui dicte : « Là, ou au café de Madrid », ajoute-t -il. Et quand Ebner sort : « N’est-ce pas, c’est b
’amour était tout animal, sans la tendresse de la caresse humaine. Il ajoutait que dans les sentiments de pure affection, le bai
qu’à cela. « Et voyez la providence des apparents malheurs de la vie, ajoutait Lavoix, si je n’avais pas échoué à l’École normal
arions nous-mêmes. » Et nommant son mari, un voisin de campagne, elle ajoute  : « Voilà deux ans que je le roulais… Je m’étais
81 (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Le président Hénault. Ses Mémoires écrits par lui-même, recueillis et mis en ordre par son arrière-neveu M. le baron de Vigan. » pp. 215-235
ne… C’est Grimm qui vient de parler si méchamment. Ceux qui voudront ajouter foi à un récit qui fut sans doute inventé ou tout
quent, le pathétique auteur d’Adélaïde du Guesclin et de Tancrède, il ajoutait ceci à l’adresse du soi-disant abbé Bazin : Je n
endre M. de Moras qui fut ministre également : dans ces Mémoires on y ajoute ce détail singulier (p. 204), que M. de Suselly a
l n’a pas échappé plus qu’un autre au vaudeville, à la chanson, et il ajoute quelques réflexions sur ce genre de raillerie à l
près révision, après collation totale de l’imprimé avec le manuscrit, ajouter au plus vite un ample Errata, accompagné de quelq
ondre au désir de l’arrière-neveu de l’auteur, qui a été, dit-il, « d’ ajouter quelques feuillets aux diverses collections qui e
82 (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Diderot. (Étude sur Diderot, par M. Bersot, 1851. — Œuvres choisies de Diderot, avec Notice, par M. Génin, 1847.) » pp. 293-313
nthousiaste ; mais je ne fus jamais tel que vous me voyez là… » Et il ajoute , car il nous importe dès l’abord de le bien voir 
er, l’empreinte imposante d’un esprit vaste, lumineux et fécond. » On ajoute que Lavater crut y reconnaître des traces d’un ca
ine et rapide, il manquait de foi en lui-même. L’ensemble du profil, ajoute le même Meister, se distinguait par un caractère
y répandre plus d’onction attendrie : « Voilà un morceau de peinture, ajoute-t -il, d’après lequel on ferait toucher à l’œil à de
ontre, il s’attache à lui, il le traduit, l’interprète, l’explique, y ajoute et ne le lâche plus : « Je suis peut-être un peu
isait-il, cette furieuse tête métaphysique » ; et quand il l’a vu, il ajoute  : « C’est un gentil garçon, bien doux, bien aimab
83 (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre quatrième. L’expression de la vie individuelle et sociale dans l’art. »
Flaubert, comprenant lui-même le caractère exclusif de cette théorie, ajoute  : « Si je continuais longtemps de ce train-là, je
ension sans limites ; c’est par elle surtout que nous pouvons espérer ajouter quelque chose à l’œuvre humaine, c’est par elle q
rons soutenus par l’idée que le fidèle accomplissement de notre tâche ajoutera un nouveau maillon à la grande chaîne du savoir h
et d’organique, nous sentons qu’il ne vit pas ses idées. On peut même ajouter que, d’après les données actuelles de la science,
particulier. Le style, c’est l’homme même, conséquemment l’individu ; ajoutez que c’est en même temps la société présente à cet
va le progrès général de la pensée humaine et aussi de l’art humain. Ajoutons que le signe d’un sentiment spontané et intense,
84 (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Chateaubriand, jugé par un ami intime en 1803 » pp. 2-15
des coteries. » Et, pour me consoler, cet étranger, qui est Anglais, ajoutait qu’une telle disposition à se révolter contre une
dans nos apparentes sévérités d’hier, nous n’avons rien inventé, rien ajouté du nôtre, et que nous n’avons fait que nous tenir
l’on sent la résistance à l’habitude. Voilà le Chateaubriand social. Ajoutez à cela quelques manies de grand seigneur, l’amour
vol. in-18, chez Didier, quai des Augustins, 35. — On me permettra d’ ajouter que cette édition a été revue avec un soin tout p
85 (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Appendice — II. Sur la traduction de Lucrèce, par M. de Pongerville »
hirait une découverte récente.” Et là-dessus M. Ajasson de Grandsagne ajoute avec le plus grand sérieux : “On dirait d’un de c
 ! Asservissons l’amour à nos tendres caprices ; Une sage inconstance ajoute à ses délices. « De la sorte, l’énergique et bru
lume du traducteur : Que dis-je ! ô Memmius, à cet affreux supplice Ajoute la fatigue et la honte du vice, D’un lâche égare
ie au secret protecteur ! Le mal conduit au mal et punit son auteur ; Ajoute à cette horrible et longue inquiétude D’un avenir
86 (1818) Essai sur les institutions sociales « Addition au chapitre X de l’Essai sur les Institutions sociales » pp. 364-381
dix-neuvième siècle, et un article inséré dans le Globe m’obligent à ajouter ici quelques mots. Mais, avant tout, je dois reme
enu de faire sa langue pour la conformer à sa pensée ? « D’ailleurs, ajoute mon contradicteur, quand on reporte son attention
es, le prix fut prorogé à 1828 ; et de nouveaux développements furent ajoutés au programme, pour mieux expliquer les conditions
l’hébreu ; et je n’ai point assez de science, ni assez d’espace. Je n’ ajouterai rien à ce que j’en ai dit plus haut, page 233. Ce
87 (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Alexandre de Humboldt »
à cet illustre nomenclateur, qu’après avoir reconnu ses cinq races il ajoute  : « Il n’en est pas moins vrai qu’aucune différen
fond une branche quelconque de l’histoire naturelle. Mais je crois —  ajoute-t -il, page 126 de la Correspondance, — que je m’exp
ui ne savent pas ou qui savent peu. « Le but véritable de mon livre —  ajoute encore Humboldt — est de voir de haut l’ensemble
aisons qui ont poussé à cette exagération universelle. J’aurais pu en ajouter beaucoup d’autres, moins élevées que celles que j
88 (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXIV. Alexandre de Humboldt »
cet illustre nomenclateur, qu’après avoir reconnu ses cinq races, il ajoute  : « Il n’en est pas moins vrai qu’aucune différen
fond une branche quelconque de l’histoire naturelle. Mais je crois, —  ajoute-t -il page 126 de la Correspondance, — que je m’expr
qui ne savent pas ou qui savent peu. « Le but véritable de mon livre, ajoute encore Humboldt, est de voir de haut l’ensemble d
aisons qui ont poussé à cette exagération universelle. J’aurais pu en ajouter beaucoup d’autres, moins élevées que celles que j
89 (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXXI. De Mascaron et de Bossuet. »
ux, qu’on se souvienne qu’ils commandent à des légions ». Plus bas il ajoute , « Que les grands ont une certaine inquiétude dan
s hommes ordinaires n’ont point de trône à perdre ; mais leur intérêt ajoute à leur pitié, quand un exemple frappant les avert
sur cette triste immortalité que nous donnons aux héros ! » Enfin il ajoute ces mots si connus, et éternellement cités. « Po
que et de tendre. Il n’y a pas jusqu’à l’harmonie de ce morceau qui n’ ajoute au sentiment, et n’invite l’âme à se recueillir,
90 (1895) La science et la religion. Réponse à quelques objections
point fait de corrections, même de style ; et je me suis contenté d’y ajouter de nombreuses notes qui en doublent à peu près l’
gles de la morale… se nourrissant de sentiments doux et purs. » Et il ajoutait  : « Tel est le point où doivent infailliblement l
nous avec une clarté et une simplicité surprenantes. » Mais, de plus, ajouterons -nous, « l’hypothèse mosaïque de la création » nou
pétence, aux méthodes, aux prises enfin de la science. Ai-je besoin d’ ajouter qu’à plus forte raison les sciences naturelles ne
nt, c’est justement ce que nous ignorons, et je crains qu’on ne doive ajouter  : c’est ce que nous ignorerons toujours. Sommes-n
exemple, ont reconnu le plus pur esprit de la doctrine évolutive ? J’ ajoute que l’impuissance radicale de la science à résoud
acez Ignace de Loyola à Oxford, — a-t-on dit, et je n’ai pas besoin d’ ajouter que c’est un protestant qui l’a dit, — il y devie
, et aux textes cités dans l’article, c’est ce qui nous dispense d’en ajouter d’autres : ceux de M. Berthelot nous suffisent, —
ns de l’esprit humain, c’est ainsi qu’on les traite ! » Ils pouvaient ajouter , ils le peuvent, s’ils le veulent : « Celui qui l
el est aujourd’hui « le gouvernement » qui respecterait mon scrupule. Ajoutez qu’il suffit à un gouvernement des consciences de
e plus de « fécondité sociale » que dans le principe protestant. Et j’ ajoute que tout effort que les protestants feront pour l
s doute la première condition de la recherche « scientifique. » J’ose ajouter que si quelqu’un n’a jamais prêché « le laissez f
d’une protestante, et la troisième d’un libre-penseur. Il convient d’ ajouter que je ne connais personnellement aucun des corre
ront le nouveau concordat »; mais il s’est heureusement relu, et il a ajouté légitimes en surcharge : « … son concours à ceux
91 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 179-181
rt rebattues. On y reconnoît sans peine ce que M. l’Abbé Dinouart y a ajouté . Il seroit difficile de douter, par exemple, que
sous le menton. Il faut cependant prendre garde, en relevant la tête, ajoute-t -il, d’imiter le mouvement des oiseaux qui boivent
92 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre I : Variations des espèces à l’état domestique »
la source de tous les plus beaux produits de nos jardins. Je pourrais ajouter que, comme certains organismes se reproduisent vo
tomber les sabots de toutes les variétés, sauf des noirs. L’un d’eux ajouta  : « Nous choisissons, pour les élever, tous les i
i de générations, ce serait contraire à toute expérience. Je pourrais ajouter qu’à l’état de nature, quand les conditions de vi
vers. Je ne nierai point que l’une et l’autre de ces facultés n’aient ajouté largement à la valeur de nos produits domestiques
ses sous-espèces géographiques53. En faveur de cette opinion, je puis ajouter encore quelques arguments : c’est d’abord que la
uran lui envoyaient des oiseaux très rares. » Et le chroniqueur royal ajoute que « Sa Majesté, en croisant les races, méthode
n que possède l’homme. La nature fournit les variations ; l’homme les ajoute dans une direction déterminée par son utilité ou
beaucoup favorisé la formation de nouvelles races. Je pourrais encore ajouter que les Pigeons multiplient beaucoup et vite, et
t de beaucoup la plus puissante. 48. La troisième édition anglaise ajoutait ici : « Sous ce point de vue, les récentes expéri
x paragraphes nous ont été envoyés par l’auteur avec plusieurs autres ajoutés et modifications lors de notre seconde édition. I
93 (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Les cinq derniers mois de la vie de Racine. (suite et fin.) »
Champs au pied de la fosse de M. Hamon. Ce sont ses termes. A quoi il ajoute qu’il supplie très-humblement la Mère Abbesse et
sieur, mot pour mot, les termes du petit testament de mort106, sans y ajouter ni diminuer le moins du monde : ils ont fait une
e déchargeait et se chargeait de tout pour lui. « Ce n’est plus cela, ajouta le roi : il faut que vous soyez seul chargé de to
lart revient sur le sujet qui lui est cher et qui nous intéresse ; il ajoute de dernières particularités : « J’ai de petits p
ères semences de la Religion et de la Vérité qu’il avait aimées. Il y ajouta quelques mots sur la tempête qui s’était élevée c
94 (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Notes sur l’Ancien-Régime »
l’ordinaire 305. Total 20 745 religieux en 2 489 couvents. Il faut y ajouter les Pères de l’Oratoire, de la Mission, de la Doc
stiques. Selon Raudot (La France avant la Révolution, 84), il faut ajouter moitié en sus à l’évaluation officielle ; selon B
me la quadrupler. — Je pense que, pour les sièges épiscopaux, il faut ajouter moitié en sus, et que, pour les abbayes et prieur
66 c. X 2,53 = 42 fr. 15 c. sur 100 francs de revenu. À quoi il faut ajouter 11 fr. pour les deux vingtièmes et les 4 sous pou
faut ajouter 11 fr. pour les deux vingtièmes et les 4 sous pour livre ajoutés au premier vingtième ; total, 53 fr. 15 c. d’impô
95 (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « La comtesse Diane »
pourrait qu’elles fussent charmantes sans être bien neuves, qu’elles ajoutassent peu de chose au vieux trésor des anciens moralist
y a des larmes qui remercient. La pensée est faite ; vous n’avez qu’à ajouter  : et des sourires qui reprochent. A moins que vou
nt un air profond. Quand elles risquent d’être trop impertinentes, on ajoute  : souvent, quelquefois ; il est des cas… Nous ap
femme nous fait, en se donnant, un don complet auquel elle ne saurait ajouter sans le diminuer par là même ! Nous appellerons c
’il est bon de connaître pour vivre en paix avec les hommes. » Et j’y ajouterais comme épigraphe, le mot de Mme de Sévigné, qui ré
96 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre VII : Théorie de la raison par M. Cousin »
s profitez ainsi d’une équivoque pour faire une pétition de principe. Ajoutez que cette conclusion fausse engendre des absurdit
e alternes internes ; l’angle 2 égale l’angle 4 pour la même raison ; ajoutons des deux parts une même quantité, l’angle 3 ; la
s. Soit 2, c’est 1 + 1. J’observe dans ce cas particulier que j’ai pu ajouter 1 à 1. Mais le second 1 est absolument semblable
puis donc faire sur lui la même opération que sur le premier, et lui ajouter 1, ce qui donne 3. Ce troisième 1 a la même natur
le qu’une seconde unité tout à fait semblable à la première peut être ajoutée à la première. Cette loi engendre une addition ét
97 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Deuxième partie. Invention — Chapitre IX. Du rapport des mots et des choses. — Ses conséquences pour l’invention »
hoses. — Ses conséquences pour l’invention Je n’ai plus qu’un mot à ajouter . Tout le travail que je viens de recommander devi
le style : « Quand on a donné au style la clarté et la propriété, on ajoute la brièveté. » Sur de telles conceptions, si gros
98 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Quatrième partie. Élocution — Chapitre XII. Dernière et nécessaire opération, qui consiste à corriger ce que l’on a écrit »
fier, à raccourcir. Il y aura presque toujours plus à retrancher qu’à ajouter , et l’on doit avoir toujours en mémoire le précep
ter, et l’on doit avoir toujours en mémoire le précepte de Boileau : Ajoutez quelquefois et souvent effacez. Pour faire cette
99 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 111-114
rité du P. Daniel. M. de Voltaire en trouve le style trop foible ; il ajoute que l’Auteur n’intéresse pas, qu’il n’est pas Pei
oires, & que celui du P. Daniel en est véritablement une. On peut ajouter encore avec M. de Voltaire lui-même, que cet Hist
100 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 459-462
uité a le plus admiré en fait d’éloquence. « Il est vrai, devons-nous ajouter par un esprit d’impartialité, avec l’Auteur du Si
leur lâchoit une douzaine de Missionnaires. Dans un autre endroit, il ajoute  : Ils ne pourront plus dire qu’il n’y a que de pe
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