auvais voisin », ainsi qu’elle l’appelle, a tous les torts dans cette
affaire
de la succession bavaroise, qu’il se conduit en d
es violentes et précipitées de son fils ; elle sentait bien que cette
affaire
n’avait pas été assez liée ni concertée avec les
moment, qu’une altercation légère qui portait moins sur le fond de l’
affaire
que sur la forme ou les moyens, tandis que la dis
e bien nette. (25 mars 1778.) » Novice qu’elle est dans ces sortes d’
affaires
, elle ne démêle pas très distinctement les motifs
er de reine : « Après avoir causé avec Mercy sur le mauvais état des
affaires
, j’ai fait venir MM. de Maurepas et de Vergennes
rler encore, peut-être même on présence du roi. Il est cruel dans une
affaire
aussi importante d’avoir affaire à des gens qui n
ésence du roi. Il est cruel dans une affaire aussi importante d’avoir
affaire
à des gens qui ne sont pas vrais. (19 avril 1778.
su. Il est inouï le talent qu’ont les ministres d’ici pour noyer les
affaires
dans un déluge de mots ! Néanmoins, d’après tout
réflexions que je ne puis m’empêcher de faire à chaque instant sur l’
affaire
la plus importante de ma vie, je les ai tant pres
é celle qui est partie, il y a huit jours. Je n’entends pas assez les
affaires
pour en juger ; mais Mercy, qui ne me paraît pas
et en reine qui sent aussi le poids de sa couronne. Elle eût évoqué l’
affaire
, s’en fût emparée par l’intelligence comme par le
! Cela ira toujours en augmentant. » C’est à ceux qui s’occupent des
affaires
présentes de l’Allemagne et du conflit persistant
se chercher chez les barbares. » Elle fait un léger mea culpa sur l’
affaire
de la Pologne, sur ce partage où l’Autriche s’est
n avait pas eu autant. L’empereur son époux, qui n’osait se mêler des
affaires
du gouvernement, se jeta dans celles du négoce… »
rlant avec une sorte de sévérité de Joseph II pour sa conduite dans l’
affaire
de la succession de Bavière, je dois dire que je
ue, homme de finance, négociant, homme de lettres : égal à toutes les
affaires
par son esprit, à toutes les conditions par son i
argent comme il le gagnait. Ce maître intrigant, ce hardi brasseur d’
affaires
, peu scrupuleux sur les moyens, fut mêlé dans bie
e Beaumarchais, que ses médiocres drames n’avaient pas fait percer. L’
affaire
La Blache venait en appel devant le Parlement Mau
eçu les quinze louis. Beaumarchais se fâche ; le conseiller apprend l’
affaire
, essaie de faire mettre le plaignant à la Bastill
n critique : il sort à peine du For-l’Évéque ; l’arrêt d’appel dans l’
affaire
La Blache la condamné ; ce n’est pas la ruine, c’
ument déconsidérés. 3. « Le Barbier de Séville » Quand éclata l’
affaire
Goëzman, Beaumarchais avait une pièce reçue à la
’effet. Beaumarchais garde toujours la lucidité d’esprit du faiseur d’
affaires
: il administre posément sa fantaisie, son exubér
, c’est lui : le mariage qu’il procure, c’est le sien ; et dans cette
affaire
, les subalternes, les comparses, ce sont ses maît
epuis la duègne ridée jusqu’à la petite niaise de Fanchon, la commune
affaire
de tous les personnages, c’est la chasse au plais
de secrétaire du roi (1761). Paris-Duverney l’intéresse dans quelques
affaires
, notamment dans une exploitation de forêts en Tou
ison de calomnie. Entre temps Beaumarchais s’est mis sur les bras une
affaire
avec le duc de Chaulnes, qui l’a insulté, assommé
For-l’Évêque. Il se fait un autre procès contre son rapporteur dans l’
affaire
La Blache, contre le conseiller Goëzman (1773). C
e, et relâché de même. Il entre dans une Compagnie des eaux de Paris,
affaire
qui le met aux prises avec Mirabeau ; puis il se
prises avec Mirabeau ; puis il se lance en chevalier généreux dans l’
affaire
Kornman, où il ne retrouve pas le succès des Mémo
y, mais lui plus qu’aucun, avaient charge d’avoir l’œil à cette grave
affaire
, de s’entendre avec l’ambassadeur du roi d’Anglet
s esprits, le coup d’œil du seul biais par où on arriverait à mener l’
affaire
à bien. En attendant, et pendant qu’on se prépara
cette occasion au secrétaire d’État M. de Villeroi : « Monsieur, les
affaires
ont des saisons, et sont quelquefois pleines de d
s de difficultés, puis tout à coup deviennent faciles. » Cependant l’
affaire
générale de la paix n’avançait pas et la saison é
discours du président, est plus exact et plus conforme au détail des
affaires
. Tous deux s’accordent à reconnaître l’éloquence,
fection, et n’ont eu ensemble qu’un même avis en la conduite de cette
affaire
… La plus grande prudence aux affaires d’importanc
ême avis en la conduite de cette affaire… La plus grande prudence aux
affaires
d’importance est de se servir de l’opportunité, e
assisté à ses funérailles, mais nous étant ici sur la résolution des
affaires
pour lesquelles il a plu au roi de m’y envoyer, j
les finances, dont il eût le maniement en chef, soit dans toutes les
affaires
si compliquées de la régence et des premières ann
rités : « La médisance contre ceux qui sont employés au maniement des
affaires
publiques, écrivait-il à M. de Bouillon, est un d
tout entières par un seul trait de plume. Jamais il n’embrassa plus d’
affaires
qu’il n’en pouvait expédier… Jamais il ne flatta
s étudié à servir qu’à plaire ; ne mêla jamais ses intérêts parmi les
affaires
publiques. Ce prud’homme était digne d’un siècle
t à son gendre détermina le vieillard à sa retraite de la Cour et des
affaires
; il avait plus de quatre-vingts ans. Il se prépa
ouverain depuis l’âge de quinze ans, initié dès lors aux plus grandes
affaires
, qui avait reçu coup sur coup en héritage des roy
t un jour à renoncer à tout cela en plein démêlé, en plein écheveau d’
affaires
, à se démettre à l’âge de cinquante-cinq ans, à s
u patient, ne se hâtant pas de régner par lui-même, très appliqué aux
affaires
, mais écoutant les conseils de son ancien gouvern
e à entendre : Assez ! Après donc avoir donné ses soins à réparer ses
affaires
, à les régler une dernière fois et à les remettre
u’il sentit défaillir en soi la fermeté et la force pour conduire les
affaires
avec la gloire qu’il y avoit acquise : Solve sene
ge de Charles-Quint, les consultations à lui adressées sur toutes les
affaires
politiques de l’Europe et les réponses, on a un d
z clairement de cette lecture que Charles-Quint ne put s’abstenir des
affaires
aussi entièrement qu’il l’aurait désiré peut-être
et qu’il se l’était proposé en prenant le parti, de la solitude. Les
affaires
sont si accoutumées à lui qu’elles le cherchent p
na, gouvernante des royaumes d’Espagne en l’absence du roi : dans une
affaire
délicate qui se traitait avec le Portugal, il sub
r des fautes, des lenteurs préjudiciables dans la conduite de quelque
affaire
importante, il ne se contient plus et donne des a
ontient plus et donne des avis : il se montre surtout pressant dans l’
affaire
des Luthériens qu’on a découverts et arrêtés dans
rdente et active. Peut-on s’étonner qu’il fut vite repris du goût des
affaires
? C’est le contraire qui eût été trop invraisembl
du dehors ; surtout il ne voulut jamais paraître se mêler en rien des
affaires
de l’intérieur du royaume ; et le solitaire, quoi
rit, si occupé d’autres choses encore que d’horloges, si attentif aux
affaires
du dehors et voué aux intérêts de sa race et de s
ant de l’y intéresser et de la tenter (27 décembre 1700) : La grande
affaire
dont je veux vous parler, madame, regarde le mari
c’est l’envie que j’ai de solliciter moi-même à la cour de Madrid des
affaires
considérables que j’ai dans le royaume de Naples.
es services. Je n’ai pas cru pouvoir vous engager à entrer dans cette
affaire
, madame, qu’en vous y faisant trouver un gros int
erez la seule personne sur qui j’appuierai toute la conduite de cette
affaire
. La maréchale de Noailles, en effet, n’avait pa
us habile que moi. M. le marquis de Torcy ne sait rien de toute cette
affaire
; il verra, quand vous prendrez la peine de lui e
ue j’attends de votre activité la meilleure partie du succès de cette
affaire
. J’ai cru devoir prévenir les Espagnols en ma fav
ne me suis hasardée de lui écrire que pour ne manquer à rien dans une
affaire
que j’ai si fort à cœur. La seule difficulté qui
aise de faire sa cour à la petite-fille de son roi et qui a aussi des
affaires
à Madrid. Ce que je vous dis là, madame, doit suf
es autres mesures prendre pour assurer davantage la réussite de cette
affaire
: il ne me reste, ce me semble, qu’à supplier Mme
ectueux dans ma personne. En effet, Mme de Maintenon s’en mêle, et l’
affaire
se consomme. Mme des Ursins, en recevant les ordr
ui suffit ; elle ne restera que juste autant qu’il le faudra pour ses
affaires
et autant que le roi le lui commandera : elle n’e
les (28 octobre 1709), à Mme de Maintenon (11 novembre 1709), sur les
affaires
publiques, sur les fautes commises, sur le précip
s : Mme des Ursins était née et ne vivait que pour brasser de grandes
affaires
et pour avoir la haute main dans de magnifiques t
tait au lit malade, arrêté comme si on ne savait pas à qui l’on avait
affaire
et comme s’il était un faux-monnayeur, traité ind
qui fait plaisir à ceux qui ne font que l’observer et qui n’ont point
affaire
à lui. » Maintenant, voici les Mémoires mêmes qu
lui paraît de plus important dans cette seconde version, ce sont les
affaires
ecclésiastiques, les luttes qu’il y soutient et l
ur où cette passion régnait fort : il se jeta tout à fait du côté des
affaires
. Ce signalement que nous donne Choisy de l’abbé
voyais un domestique fort inutile. Je n’avais aucune part ni dans les
affaires
publiques, ni dans les secrets de mon maître : ce
grand commerce et me donnait une grande facilité pour entrer dans ses
affaires
et dans ses secrets. Sitôt qu’il était seul avec
omestiques. Pour lui, Cosnac, qui y joint des idées de politique et d’
affaires
un peu plus étendues, il trouve le moyen d’être u
asin : Pour moi, nous dit l’abbé, je ne cherchais à me mêler que des
affaires
du parti, non seulement dans la vue de me rendre
de Conti s’en remet sur ses domestiques du soin de mener à bien cette
affaire
; et en attendant qu’il épouse une nièce et devie
s, reste quelque temps encore attaché à sa maison comme chargé de ses
affaires
; il le sert et le mécontente à la fois par son t
Cela fit rire, et aux dépens de Villeroi. Un autre jour Cosnac avait
affaire
au secrétaire d’État Le Tellier qui ne l’aimait p
d’un homme qui n’avait pas encore plié sous le régime de Louis XIV. L’
affaire
alla en Conseil par-devant le roi ; Cosnac fut ad
e et fit rire le roi, « et ce fut par là, dit Cosnac, que finit cette
affaire
». Je cherche à donner idée de l’esprit de Cosnac
son retour, il eut prouvé son habileté et son utilité réelle dans les
affaires
de son ordre, on ne lui demanda pas de supprimer
inal me donnait. Ce pronostic le trompait du tout au tout, et il eut
affaire
, dans Monsieur, à un jeune prince qui était infin
s choses telles qu’elles sont et les hommes tels qu’ils ont été est l’
affaire
déjà d’une intelligence qui se désintéresse, et u
ivre avec vous à votre campagne, que je ne suis occupé du succès de l’
affaire
que nous entreprenons. La grande affaire et la se
e suis occupé du succès de l’affaire que nous entreprenons. La grande
affaire
et la seule qu’on doive avoir, c’est de vivre heu
ait autant de peine épargnée. Ce qui est très sûr, c’est que si notre
affaire
échoue, j’ai une consolation toute prête dans la
travaillant à ses tragédies, à son poème épique, Voltaire songe à ses
affaires
de fortune. Par un canal sûr qu’il a auprès du ré
ltaire est à Villars ; il s’y oublie un peu ; les gens intéressés à l’
affaire
le pressent et lui font dire qu’il est urgent qu’
ue j’ai de vous faire ma cour, plus que par l’empressement de finir l’
affaire
. Je ne l’ai pas négligée, quoique je sois resté à
e. Ces messieurs se moquent du monde de s’imaginer que le succès de l’
affaire
dépende de me voir arriver à Paris le 15 plutôt q
-le-champ à Versailles, dont je ne partirai qu’après avoir consommé l’
affaire
, ou l’avoir entièrement manquée. Vous me mandez q
fois, je choisirai la compagnie qui me plaira. On voit que dans les
affaires
comme dans la littérature, comme dans le monde, e
ire à vingt-quatre ans de faire des tragédies, un poème épique et des
affaires
! Il prévoyait, dit-on, qu'il fallait être riche
loin de lui ; il y prenait part, il y prenait feu ; il s’occupait des
affaires
des autres, et, pour peu que sa fibre en fût émue
commencé, nous l’avons vu, par dire à Mme de Bernières : « La grande
affaire
et la seule, c’est de vivre heureux » ; et, bon g
de 1726, et devait se rapporter au moment où Voltaire venait d’avoir
affaire
au chevalier de Rohan et se disposait à quitter l
ul étant en état, par ses talents, de porter le poids d’une si grosse
affaire
qu’il avait préparée et suscitée. Ce ne sont là q
cole, était si étendu ; qui était le centre de tant de choses ! Que d’
affaires
, que de desseins, que de projets, que de secrets,
se déclare charmé, tandis que tout esprit politique et qui a tâté des
affaires
humaines sent aussitôt que ce n’est pas ainsi que
aire d’État en survivance dès l’âge de quinze ans, nourri au sein des
affaires
, eut l’art, auprès de Louis XIV son aîné de bien
lieu, pour s’instruire de tout sans bruit, sans appareil, et comme d’
affaires
de sa maison ; il voit de près et touche de ses m
n, et Colbert sur ce chapitre était inexorable. Louvois tira Vauban d’
affaire
; il ne lui sauva pas seulement sa très-médiocre
lui aura semblé faute ; mais je loue Dieu de ce que lui et moi avons
affaire
à un ministre éclairé qui, en matière de fortific
re chemins : « Il est de la dernière conséquence d’approfondir cette
affaire
, tant à l’égard du préjudice que le service du ro
eur, et les preuves qu’ils offrent de vous donner. Que si vos grandes
affaires
vous occupent trop, commettez-y quelque honnête h
ncore une fois, il est de la dernière conséquence d’approfondir cette
affaire
. Ne craignez point d’abîmer Mongivrault et Voilan
Et sur cela, Monseigneur, je prendrai la liberté de vous dire que les
affaires
sont trop avancées pour en demeurer là ; car je s
mot, Monseigneur, vous jugez bien que, n’approfondissant point cette
affaire
, vous ne me sauriez rendre justice ; et ne me la
endre un compte exact de la marche et de la conduite suivie en chaque
affaire
. Pour eux tous M. Camille Rousset est juste et il
les enfans des Rois ; mais ne parler des Rois mêmes, qu’à propos des
affaires
, & ne relever aucune circonstance de leur vie
e, ou cette femme, qu’à ce que le Roi de leur temps a fait. Quand les
affaires
publiques font le fil de l’Histoire, il est toujo
c bien plus d’agrément, que lorsqu’on se met en tête de ne parler des
affaires
que selon qu’elles servent à relever ou diminuer
treprend d’écrire sa Vie en particulier ; alors on peut ne parler des
affaires
, que pour le faire paroître tel qu’il a été : mai
c’est de les instruire : & c’est une raison de rapporter tout aux
affaires
publiques, & de leur faire connoître qu’il n’
rtout l’auteur nous peint l’intérieur d’une cour dans un temps où les
affaires
publiques n’étaient guère que des affaires privée
cour dans un temps où les affaires publiques n’étaient guère que des
affaires
privées, s’il nous montre au naturel d’augustes p
on assiduité à la toilette, l’auteur n’y paraît que peu instruite des
affaires
de cour ; elle nous transmet çà et là des mots éc
seul : indè iræ ; on sent qu’un pareil temps est déjà loin de nous. L’
affaire
du collier fait la partie principale du livre ; l
lomniée. Quoi qu’il en soit de tant d’opinions diverses, et sur cette
affaire
en particulier, et sur la vie entière de Marie-An
e scrutin lui donnait la majorité relative. Le boulangisme, surtout l’
affaire
Dreyfus, c’est-à-dire des manques graves de flair
indéfinissable sens spirituel. Le Vive la République ! du temps de l’
affaire
Dreyfus en aura peut-être été l’expression la plu
ilitaire des instituteurs à partir de 1889, puis, à partir de 1898, l’
affaire
Dreyfus, changèrent tout cela : la férule se dres
s en écrivains de droite et écrivains de gauche est courante depuis l’
affaire
Dreyfus. Et, dans l’état actuel des lettres et du
qu’ayant livré une grande bataille, une bataille générale, celle de l’
affaire
Dreyfus, il l’a perdue. L’affaire Dreyfus a vraim
, une bataille générale, celle de l’affaire Dreyfus, il l’a perdue. L’
affaire
Dreyfus a vraiment ôté une direction à la réactio
ieur, à une opposition stérile, à une élégante démission politique. L’
affaire
Dreyfus n’a pas diminué la situation littéraire d
u’il ait prise est celle d’une ligne de repli des catholiques après l’
affaire
Dreyfus. En tant que parti il n’a guère survécu à
ès passionné, et il ne souhaite rien au monde, après le succès de ses
affaires
particulières, que le triomphe de son parti et l’
cents pages de son livre sans rappeler un instant qu’en ce temps de l’
Affaire
, le libéralisme des bonapartistes, des royalistes
rner en France ces éléments libéraux, que Faguet y déclarait, après l’
Affaire
, introuvables et impossibles ? Or voici une remar
lisme avait reçu de Spuller le nom d’« esprit nouveau », et jusqu’à l’
affaire
Dreyfus le temps de Méline peut être compris sous
eille barbe. L’expérience libérale de l’esprit nouveau échoua, avec l’
affaire
Dreyfus, non du fait de la République, mais du fa
endant Coppet et Faguet avaient raison. L’esprit nouveau, mort avec l’
affaire
Dreyfus, est revenu avec la séparation, ou après
, celui de Carnot et celui de Loubet, après le boulangisme et après l’
affaire
Dreyfus, ont pu être abondamment chansonnés par M
achat, les destinées promises par là à des rois de l’industrie et des
affaires
, succédant aux empires détruits, aux princes roma
r pied la législation ouvrière de la République radicale qui suivit l’
affaire
Dreyfus. Très cultivé, très artiste, aussi famili
rtiste, aussi familier avec le monde des lettres qu’avec le monde des
affaires
, l’un des fondateurs, avec Desjardins, de l’Union
re de la République, et un néo-opportunisme, soutenu par le monde des
affaires
, comme l’ancien l’a été en France sous Grévy, et
a tradition révolutionnaire, la substitution d’un conseil municipal d’
affaires
à ce conseil municipal politique, qui, en 1887, e
comme son produit direct, du cléricalisme militant qui va de 1815 à l’
affaire
Dreyfus. Ce mouvement de démocratie interne modér
ité de sa plume. La seconde fois par Drumont, qui créa et entretint l’
affaire
Dreyfus. Veuillot et Drumont, journalistes des pr
émoire tenace. Pour s’être laissé conduire par la Libre Parole dans l’
affaire
Dreyfus, le clergé français a paru devant le pays
giste contre la République, la période qui s’étend du boulangisme à l’
affaire
Dreyfus est celle de l’apaisement et de l’esprit
ent et de l’esprit nouveau. Puis l’Église, prise dans le courant de l’
affaire
Dreyfus, entre dans des remous politiques qui rap
Luther, le sac de Rome avec Bourbon. Comme l’Église de France après l’
affaire
Dreyfus, ses fautes l’avaient instruit. Il est mê
l’aristocratie, la bourgeoisie, les familles militaires, c’est dur. L’
affaire
de l’Action française a mis en pleine lumière des
e l’Église, avec un libéralisme international, et, trente ans après l’
affaire
Dreyfus, elle a, par un coup d’État spirituel, sé
raine, un de ceux qui expliquent le mieux l’extension et le rôle de l’
affaire
Dreyfus. Mais précisément l’Affaire, ici comme ai
mieux l’extension et le rôle de l’affaire Dreyfus. Mais précisément l’
Affaire
, ici comme ailleurs, a marqué, presqu’autant que
ocratie théorique de la doctrine, telles furent les conséquences de l’
Affaire
, le début d’une évolution qui n’est pas achevée,
lle des idées de la Révolution contre l’anti-Révolution au temps de l’
affaire
Dreyfus. Chef, enfin, le grand chef, au grand mom
oloniale a été, contre sa volonté, imposée par des groupes d’hommes d’
affaires
intelligents et prévoyants. Les idées et les homm
lisme. On s’est étonné du contraste entre le Clemenceau militant de l’
affaire
Dreyfus et le Clemenceau ministre du temps de gue
des procédés parfois analogues à ceux du 2e bureau, monta comme trois
affaires
Dreyfus les affaires Caillaux, Malvy, Judet. Nous
analogues à ceux du 2e bureau, monta comme trois affaires Dreyfus les
affaires
Caillaux, Malvy, Judet. Nous n’avons, pour compre
t la découverte du faux Henry, prolongea de deux ans l’agitation de l’
affaire
Dreyfus parce qu’il n’osa prendre de décision san
au de Spuller fut pour elles un coup de foudre dans un ciel serein. L’
affaire
Dreyfus eût été leur âge d’or, si elle ne s’était
out le monde en bas ! » et remonter le Cartel où, comme au temps de l’
affaire
Dreyfus, sonnait l’heure de la République. Elle s
ur la faillite ou l’apothéose de la science, — sorte d’ouverture de l’
affaire
Dreyfus, où l’on se disputa fort le jeune Françai
parti socialiste, dirigé par Jaurès, en faveur de Millerand pendant l’
affaire
Dreyfus, et celle de Guesde, ministre sans portef
iré le faire pour le Félibrige, il l’a voulu, depuis la bataille de l’
affaire
Dreyfus, présent partout. Il y a un esprit de Jau
arxistes allemands, il faudrait joindre cette remarque que, jusqu’à l’
Affaire
Dreyfus, il y a eu un socialisme patriote françai
rien de son lotharingisme. Tout ce monde-là fut rejeté à droite par l’
affaire
Dreyfus. Avant de revêtir la robe du pacifisme in
étienne, ou le christianisme populaire, ont retrouvé intacts, après l’
affaire
Dreyfus et durant la génération que nous venons d
e l’un à l’autre ! » Tout le monde a vu ce fantôme d’acteur lors de l’
affaire
Dreyfus. Des yeux perspicaces l’ont aperçu ailleu
industrialiste on entend à peu près, tout simplement, le système des
affaires
. On remarquera que système des affaires ne signif
ut simplement, le système des affaires. On remarquera que système des
affaires
ne signifie pas nécessairement système des hommes
tème des affaires ne signifie pas nécessairement système des hommes d’
affaires
. Dans la Machine à Gloire de Villiers de l’Isle A
pour procurer un succès, c’est : À bas la claque ! Certain À bas les
affaires
et les affairistes ! se révélera toujours, pour u
ujours, pour un malin, d’un affairisme plus efficace qu’un Vivent les
affaires
! Le radicalisme est un parti d’idées ; de là vie
e électorale. C’est justement pourquoi il y a parfois plus d’hommes d’
affaires
dans les cadres du parti radical (le parti social
ti socialiste n’est pas plus exempt) que dans les cadres du parti des
affaires
, de même que la marchandise « donnée » rapporte a
qui s’appelle le Radical appartient à un entrepreneur, et un avocat d’
affaires
de gauche a plus de clients qu’un avocat d’affair
r, et un avocat d’affaires de gauche a plus de clients qu’un avocat d’
affaires
de droite. Quel qu’il soit, tout parti politique
roite. Quel qu’il soit, tout parti politique risque de s’alourdir d’«
affaires
» dans la mesure où s’étendra sa puissance parlem
ure où s’étendra sa puissance parlementaire. C’est pourquoi parti des
affaires
ne veut pas dire parti des hommes d’affaires. Enc
C’est pourquoi parti des affaires ne veut pas dire parti des hommes d’
affaires
. Encore moins parti d’idées ne signifie parti des
enons de nous servir, l’industrialisme, (ou si l’on veut le système d’
affaires
), ne vaut, ne porte fruit d’idées que s’il est gr
r les cartes murales et dans la carte morale, — greffe, en somme, des
affaires
sur le patriotisme. Quand les industriels de l’It
républicains radicaux. Quant à savoir si cela durera, c’est une autre
affaire
. Au spirituel, il est hors de doute que les idées
et ont couru tous trois la carrière de l’ambition pour rétablir leurs
affaires
. Quant à leur moralité, celle de l’un n’a pas été
que trop prouvé que dès lors le pli était pris. Le Directoire, par l’
affaire
d’Amérique, mit ce côté véreux de Talleyrand dans
ns n’avaient rien de bien neuf ni de relevé : quand on voulait qu’une
affaire
réussît avec M. de Talleyrand, il fallait finance
r. Il est vrai qu’il ne se chargeait pas indifféremment de toutes les
affaires
, et il ne les traitait pas non plus directement.
du crédit auprès de M. de Talleyrand, qui se servait de lui pour ses
affaires
d’argent avec les princes d’Allemagne. Ce fut par
ussi absolument qu’il l’a prétendu contre toute intervention dans les
affaires
d’Espagne : sans cela, l’empereur ne lui aurait p
t le même : reproches et récriminations sur le duc d’Enghien, sur les
affaires
d’Espagne, sur les vols et affaires d’argent, sur
ons sur le duc d’Enghien, sur les affaires d’Espagne, sur les vols et
affaires
d’argent, sur de sourdes intrigues en jeu27. Les
e rôle de marmiton dans toutes les cuisines politiques, eut vent de l’
affaire
, et il me conta (c’est Berryer qui parle) l’anecd
tré chez moi, je décidai que le seul moyen de prendre pied dans cette
affaire
était d’y faire entrer un personnage politique im
la campagne d’Espagne) qu’il s’était mis à mes genoux pour empêcher l’
affaire
d’Espagne, et il me tourmentait depuis deux ans p
nné vingt mémoires pour le prouver. C’est la même conduite que pour l’
affaire
du duc d’Enghien ; moi, je ne le connaissais pas
ans sa relation avec le président de Brosses avec qui il est entré en
affaires
d’intérêts. La correspondance de tous deux, publi
ellissements qu’à chauffer la ville de Genève. » Cependant les gens d’
affaires
qui sont sur les lieux, le notaire M. Girod (gran
inventaire et une reconnaissance de la terre. Au moment où les gens d’
affaires
vont commencer cette reconnaissance, Voltaire cou
ney, et recevant les honneurs comme tel. Ces honneurs sont une grande
affaire
. Le jour où Voltaire a fait son entrée seigneuria
, le seigneur haut-justicier se trouve responsable des frais pour une
affaire
criminelle supportée par un des sujets dans un pe
n détail, et il faut bien en venir à la plus grosse et à la misérable
affaire
qui fit la rupture. Lorsque Voltaire prit possess
résident le lui devait ou le lui avait donné en cadeau. Cette chétive
affaire
, qui vint couronner les autres, prit des proporti
rché assez inutilement à mettre M. de Brosses en mouvement pour cette
affaire
qui flattait sa passion dominante et sa haine, Vo
piqué. Dans la lettre très sage que le président lui répondait sur l’
affaire
du curé de Moëns et sur le mauvais effet, en pare
fera assigner, voilà tout : De vous à moi il n’y a rien, et, faute d’
affaires
, point d’arbitrage. C’est le sentiment de M. le p
re sano 20. Pour en finir avec les impressions que fait naître cette
affaire
, je dirai que peut-être, à certains moments, le p
ils se mangent les uns les autres. » Le mot était jeté à propos d’une
affaire
très secondaire et comme en courant ; on n’a l’ai
résident du parlement de Bourgogne, de lui écrire au sujet de quelque
affaire
qu’il lui recommandait (novembre 1776) : « Pour m
hapitre III I. La classe moyenne. — Ancien esprit du Tiers. — Les
affaires
publiques ne regardaient que le roi. — Limites de
choses d’État ; à peine s’il y coulait un regard furtif et rare ; les
affaires
publiques étaient « les affaires du roi ». — Poin
ulait un regard furtif et rare ; les affaires publiques étaient « les
affaires
du roi ». — Point de fronde alors, sauf dans le b
« Je crois qu’il faut faire son emploi avec honneur, sans se mêler d’
affaires
d’État sur lesquelles on n’a ni pouvoir ni missio
it. — Il prête à l’État. — Danger de sa créance. — Il s’intéresse aux
affaires
publiques. Aussi bien, l’embrasement est tardi
emprunt de capitaux, il devient le débiteur universel ; dès lors les
affaires
publiques ne sont plus seulement les affaires du
niversel ; dès lors les affaires publiques ne sont plus seulement les
affaires
du roi. Ses créanciers s’inquiètent de ses dépens
et, du même coup, il devient mécontent Car, on ne peut le nier, ces
affaires
où il est si fort intéressé sont mal conduites. U
olvable, tous les gens qui, de près ou de loin, sont engagés dans ses
affaires
, se consultent avec alarme, et ils sont innombrab
mêmes devenus des bourgeois, je veux dire des oisifs qui, retirés des
affaires
, causent et s’amusent. — Sans doute ils s’amusent
fère-t-elle de lui ? Quelle éducation supérieure, quelle habitude des
affaires
, quelle expérience du gouvernement, quelle instru
nt plus généralement dans le Tiers-état, dont l’esprit est exercé aux
affaires
». — Quant à la théorie, le roturier en sait auta
en démordre ; quant à savoir ce qu’il entend par là, c’est une autre
affaire
. Impossible de rien démêler dans ses explications
ourgeois, des praticiens, des avocats sans aucune instruction sur les
affaires
publiques, citant le Contrat Social, déclamant av
portées dans les boutiques, dans les magasins et dans les cabinets d’
affaires
, elles y ont trouvé des matériaux combustibles, d
oire de La Marsaille ne parut guère rien changer à l’état général des
affaires
, l’effet moral fut produit. Cette bataille perdue
inat qu’à celle de Tessé : c’est sur ce dernier que le principal de l’
affaire
semble rouler désormais, et la diplomatie prime l
en nombre, le roi ne nous fournira que les troisièmes. Or, nous avons
affaire
ici à tout ce que l’Empereur a de meilleures et d
6 : « L’échange des otages va se faire aujourd’hui… C’est une grande
affaire
que d’avoir l’épine de cette guerre ici hors du p
essan, déjoua partout Catinat et le rejeta derrière l’Oglio. Ce fut l’
affaire
de deux mois. Ici tout change, tout a changé, et
s et neuves. Catinat a trouvé son maître ; c’est un bon général qui a
affaire
à un grand capitaine. La méthode qui veut être en
avais mandé, écrivait-il à cette même date à Catinat, que vous aviez
affaire
à un jeune prince entreprenant : il s’est engagé
désagrément amer, et n’a qu’un désir, contribuer encore au succès des
affaires
, à leur rétablissement, et payer de ses conseils
laquelle vous m’informez de tout ce qui se débite contre moi sur les
affaires
d’Italie. J’y ai fait de mon mieux ; les événemen
onjonctures, c’est que j’en connais les grandes conséquences pour les
affaires
générales de l’État ; la perte de mes biens me la
ntinua donc de servir, en évitant tout air de plainte. Il assista à l’
affaire
de Chiari (1er septembre), où Villeroy fut battu
t un chevalier de Grammont sérieux, et qui s’est appliqué aux grandes
affaires
. — Je crois que M. le maréchal Randon avait en ef
ui à M. d’Émery, contrôleur général des finances, au sujet de quelque
affaire
. Il en parla si bien que, peu de jours après, le
votre part. » Cela donne occasion à Gourville de faire ses premières
affaires
auprès de M. d’Émery, tout à l’avantage et au pro
ue cavaliers, de ceux-là mêmes que j’avais fait venir de Paris pour l’
affaire
de M. le coadjuteur. On les fit partir, et ils ré
eté naturelle et de cet esprit de plaisanterie qui sert à couvrir les
affaires
sérieuses et qui les rend plus faciles. La paix c
u prince de Condé pour lui porter des paroles d’accommodement. Mais l’
affaire
manque, et Gourville parvient au camp de M. de Tu
gociateur par excellence. Tout lui est une occasion d’observations, d’
affaires
et de profits qu’il imagine pour les autres comme
ménageait de plus grands revers : on le choisit entre tous les gens d’
affaires
de l’entourage de Fouquet pour servir d’exemple m
j’étais né avec la propriété de me faire aimer des gens à qui j’ai eu
affaire
, et que c’est cela proprement qui m’a fait jouer
habile serviteur s’était donné. Il s’était chargé de débrouiller les
affaires
de cette maison qui étaient dans un effroyable dé
était bien aise de s’entretenir avec un petit nombre de gens sur les
affaires
présentes ; et je ne me présentais jamais à la po
fît entrer ou ne me fît dire d’attendre un peu de temps pour finir l’
affaire
qui l’occupait. Je ne sais si le plaisir que j’av
essus ; il y tient son coin original et distingué. La race des gens d’
affaires
est immortelle : puisse-t-il s’en trouver beaucou
tiniani, évêque de Verceil, le désir d’entrer en négociation pour les
affaires
religieuses de France. Le cardinal Spina fut envo
es années de sa jeunesse, et dans lequel il était revenu discuter les
affaires
publiques sous le pontificat précédent, et où il
mier ministre, le comte de Cobenzel, y résidant actuellement pour les
affaires
d’Autriche ; qu’il fallait connaître comme il les
ts. Il conclut enfin en m’avouant que plus il réfléchissait sur cette
affaire
, plus il persistait dans son idée, et qu’il me su
. Cacault lui paraissaient raisonnables et fondés ; que toutefois, en
affaires
si délicates, il ne voulait pas agir sans demande
ai en déclarant que le choix de ma personne nuirait très sûrement à l’
affaire
par les motifs déduits plus haut. « Aucun des car
ne sut que répondre qu’il arrivait de la campagne, où il traitait des
affaires
d’Autriche avec le comte de Cobenzel ; qu’étant a
ns le grand repas de cette journée ou la signature ou la rupture de l’
affaire
. « On imagine facilement dans quelle consternatio
que je vous dis que vous avez cherché à rompre, et que je considère l’
affaire
comme terminée, et que Rome s’en apercevra et ver
y amener lui-même. Le comte de Cobenzel, qui traitait avec Joseph des
affaires
d’Autriche, en était fort bien vu. Il lui parla c
nt consacrées à la discussion de ce fatal article. Pour bien saisir l’
affaire
, il est indispensable d’entrer (rien que sur ce p
à l’Église. Il envoya le cardinal Caprara à Paris et passa à d’autres
affaires
. Mais il était maître du pape par l’amitié, maîtr
aire portant à Paris le nouveau refus de Pie VII à propos des grandes
affaires
qui étaient l’objet des convoitises ambitieuses d
es civil et religieux. Ni les uns ni les autres ne parlèrent de cette
affaire
. « Tout le monde était pêle-mêle, attendant l’heu
désiraient, ainsi que du reste la politique le suggérait, arranger l’
affaire
, ils avouèrent que si l’Empereur avait entendu ce
il importait de ne pas revenir sur la non-intervention du Pape dans l’
affaire
, car cette non-intervention était ce qui irritait
ventualités ; que nous ne prétendions point nous ériger en juges de l’
affaire
, mais que nous ne pouvions transiger en aucune fa
Ils parlèrent en pleine liberté de la manière dont ils appréciaient l’
affaire
, et devinrent ainsi les principaux auteurs du rej
onsignerait au ministre des cultes, personnage le plus important de l’
affaire
et chargé par l’Empereur de l’exécution de ses or
entretiens confidentiels ; que l’idée de voir le Pape exclu de cette
affaire
avait été la véritable cause de notre abstention
ous les autres répondirent dans le même sens. « C’est ainsi que cette
affaire
a été conduite jusqu’à cette heure. Seule la Prov
e de l’obligation et du bienfait. Cependant Beaumarchais allait avoir
affaire
à des adversaires plus dangereux que le pouvoir m
is aimait (et assez sincèrement, je le crois) à recouvrir ses propres
affaires
et ses spéculations d’intérêt : Tels furent mes
une exagération, c’était une absurdité et une folie. Dans toute cette
affaire
, Beaumarchais avait surtout cédé à la manie du si
chez lui à tant de mécomptes, le fit s’engager en mars 1792 dans une
affaire
qui avait couleur de patriotisme et qui l’abreuva
quelques hommes dans les bureaux ayant intérêt, non à faire manquer l’
affaire
, mais à la tirer des mains de Beaumarchais pour y
i ce moment-là. Je sortis. Il sort, mais il va suivre au ministère l’
affaire
des fusils. Dans une discussion du Conseil à laqu
is, à tous les ministres qui se succèdent : Monsieur, finissez donc l’
affaire
des armes qui sont en Hollande ! Un vertige s’est
ndres et de se remettre aux mains de la Convention pour plaider cette
affaire
, et avoir raison de la dénonciation de Lecointre,
le rigide tient peu de place, et qui, dans l’âge de l’activité et des
affaires
, se sert du oui ou du non, selon l’occasion, et s
qui m’a souvent consolé de l’injustice des hommes… Je me délasse des
affaires
avec les belles-lettres, la belle musique et quel
onnages : il portait plus de facilité que d’industrie dans toutes les
affaires
d’argent32. Il y était bien plus trompé que tromp
i et a été grand officier de la couronne ; j’ai étudié assidûment les
affaires
politiques depuis sept ans ; M. le cardinal le sa
ns, dit-il, et des méditations fort sérieuses que j’ai faites sur les
affaires
d’État, commencent à percer beaucoup dans le mond
se. Or, qui deviendrait chancelier de France avec des connaissances d’
affaires
de l’État pourrait, dans l’âge et les circonstanc
de l’élocution, qui ne répond pas au reste ; et comme c’est en partie
affaire
d’habitude, il convient que lui et son frère s’en
cœur ne se mette de la partie, soit pour, soit contre, soit pour les
affaires
, soit pour les hommes ; je m’affectionne ou je m’
allèle secret entre son frère et lui : Qui prendra, dit-il, pour des
affaires
sérieuses son choix à la figure, aux airs importa
n air dans la dépense et dans le maintien, fera toujours une mauvaise
affaire
; ce n’est là que la superficie, et même la perfe
nson conseiller au conseil royal, à la condition qu’il quitterait les
affaires
du duc d’Orléans, car on ne peut servir deux maît
y en avait une germanique, une batave, une helvétique, la plus grande
affaire
qui se fût traitée en Europe depuis longtemps. »
it fait passer en dernier lieu près du roi pour « incapable de toutes
affaires
publiques (pour un utopiste comme nous dirions)19
il faut plaire pour réussir ; les hommes sont plus difficiles que les
affaires
20 ». Son premier étonnement passé, il redevint
érité qu’il pèche ; le Caton était fort tempéré en lui, et on a moins
affaire
ici à un censeur qu’à un spectateur. Sorti du min
i tenue ; je n’en aurais pas d’autre si cela était à recommencer. Les
affaires
difficiles, et dont le succès a quelque chose ae
étrée. Il faut que ce soit des gens du métier et qui suivent bien une
affaire
. » Et dans le même temps : « Notre campagne n’e
r la campagne aussi loin qu’elle a été, sans exposer tout le gros des
affaires
. Il est vrai que les ennemis auraient pu faire de
lus faire subsister, et soutenir notre frontière avec l’infanterie. L’
affaire
qui vient d’arriver à Suse est un bon témoignage.
ez tous les partis qui seront les plus avantageux pour le bien de mes
affaires
. Il vaut mieux hasarder que les ennemis fassent q
cevoir les honneurs. Vous en prêterez le serment quand le bien de mes
affaires
vous permettra de vous rendre auprès de moi. ».
ents qui m’ont procuré tant d’honneur, et toutes les raisons pour une
affaire
deviennent bien faibles contre me seule qui les f
fois pour toutes, le roi doit être informé que cette dame à part aux
affaires
et qu’elle est aimée. Elle est jeune et plus bell
ssus : je suis dans une douleur qui me perce le cœur, par rapport aux
affaires
du roi. J’ai été quatre ou cinq jours bourrelé et
ières et la tranquillité de son esprit, s’il était chargé en chef des
affaires
de ce pays-ci : je crois qu’il y serait pour le m
de tout ce qui se dit, mais bien de la dureté et de la difficulté des
affaires
dont je suis chargé. » La patience lui donna fin
du même jour, il n’était pas décidé encore si l’on en viendrait à une
affaire
décisive. » On en croira ce qu’on voudra, mais i
truction des gens de guerre. J’ai eu part à tant de négociations et d’
affaires
très secrètes de tous les États ennemis de la Fra
ent ce qui se passe dans le monde, qu’on le saura bien sans moi. Les
affaires
secrètes auxquelles il avait été initié depuis so
ère, on nous dit que le chevalier de Bonneval assista aux principales
affaires
maritimes, et qu’il s’y distingua. Mais une quere
, ce semble, de réaliser : puis tout à coup, à un certain moment, une
affaire
d’honneur, de vrai ou de faux point d’honneur, l’
ns les rangs opposés l’avait remarqué avec estime. C’est alors qu’une
affaire
de comptabilité vint à la traverse des espérances
Il importe assez peu aujourd’hui de savoir le détail et le fond de l’
affaire
. Il y avait eu de la part de Bonneval une levée d
avec le secrétaire d’État de la Guerre Chamillart. Bonneval exposa l’
affaire
à sa manière et ne put se tenir de dire en termin
du peuple et de la bourgeoisie, quand tout à coup éclata sa fâcheuse
affaire
avec le marquis de Prié, gouverneur. On ne saurai
bre). Cependant Bonneval adresse de tous côtés des relations de cette
affaire
, des facturas et lettres à l’Empereur, au Suprême
choses personnelles qui se sont passées entre Prié et moi dans cette
affaire
, s’il reste encore digne de ma colère, quand elle
ce démêlé et à l’éclat qu’il en a fait : Je dois songer à la grande
affaire
qui est de vaincre, écrivait-il à un ami de Bruxe
t après s’être un peu amusé à La Haye où il fit tout pour empirer ses
affaires
, se rendait à Vienne où il était mandé, quand il
prononcer avec exactitude sur son degré d’insuffisance à la tête des
affaires
, et sur les motifs d’excuse qui sont à sa décharg
mon cher comte, lui écrit-il (20 septembre 1757), a un peu brusqué l’
affaire
de la convention. Jamais acte n’a été ni moins ré
à cette date, de direction ni dans les armées ni dans le cabinet. Les
affaires
de la guerre se trouvent encore, par les subalter
e l’État, et à désirer que sa conservation et celle de vos amis ? Les
affaires
de Rome seront encore très bien entre vos mains.
sort de notre amie. Son bonheur et sa sûreté dépendent de l’état des
affaires
; je ne vous en dirai pas davantage. Il revient
ner notre amie, pour la sauver de la rage de Paris, pour rétablir nos
affaires
sur un ton et un pied que je n’ai pu réussir à fa
our-là et celle de Rome sont les seules aujourd’hui où nous ayons des
affaires
épineuses. Ainsi supposez que je sois mort, et il
rôle que je joue tous les mardis vis-à-vis les ministres étrangers. L’
affaire
du Danemark est affreuse. Je voudrais bien savoir
us affecté qu’il ne convient à un homme chargé de conduire de grandes
affaires
, et que la responsabilité ministérielle était dés
qui commence ainsi : « Je suis fâché, monsieur l’abbé-comte, que les
affaires
dont je vous charge affectent votre santé au poin
çant sa disgrâce à la cour de Rome ; il lui parle ensuite de quelques
affaires
particulières qu’il a à cœur, et pour lesquelles
’ambition et de conquête, il put vite s’apercevoir qu’il allait avoir
affaire
à des opposants d’un autre genre, et non pas les
jamais été absent de Paris avec de si mauvais pressentiments sur les
affaires
publiques. Sans prévoir rien de ce que l’on fera,
je ne saurai plus comment va le monde, surtout s’il y a censure. — L’
affaire
Maubreuil, que je lis dans les journaux35, me par
orable pour l’Angleterre. Pendant vingt-quatre heures, il n’y a eu ni
affaires
, ni occupations, ni intérêts d’aucun genre. La ro
it en vain et que je n’aie plus à m’adresser qu’à ses mânes42 ! Cette
affaire
de Rome ne serait pas encore en suspens, s’il ava
e répond, ce sera par vous. — Figurez-vous que l’on m’écrit ici que l’
affaire
de Rome est arrangée, et qu’on a accepté et à Rom
que sa fin était proche. Il voulut, comme on dit, mettre ordre à ses
affaires
; avec l’art et le calme qui le distinguaient, il
omtesse Mollien, à laquelle ces lettres étaient adressées. 35. Cette
affaire
Maubreuil, dont Talleyrand va parler si négligemm
age tout placide de la lettre de M. de Talleyrand, qu’il s’agît d’une
affaire
si récente et si chaude. 36. Je mettrai encore
aité signé par les trois puissances qui interviennent un peu dans les
affaires
de la Grèce. — C’est pour nous autres, vieux dipl
st générale dans cet inattaquable pays. Alors les Turcs auront plus d’
affaires
qu’ils ne peuvent. — Voilà la petite politique de
re, M. Voisin : « … Connaître les hommes, j’avoue que ce n’est pas l’
affaire
d’un jour. Moi qui vous parle, quoique je les étu
u’une seconde bataille comme celle de Malplaquet n’avancerait pas les
affaires
. Les suites étaient faites, comme il le disait, p
longueur, à intercepter des convois, et à se rattraper sur de petites
affaires
de détail où il avait le grappin sur l’ennemi. C’
r française. Aller en avant et à l’arme blanche est bien plutôt notre
affaire
. D’autres projets de défense, conçus par des offi
quelque chose : lui qui avait recommandé la prudence et d’éviter une
affaire
générale tant que la négociation se poursuivait a
dans ces conditions-là, c’est-à-dire dans un pays boisé où il aurait
affaire
à toute l’infanterie ennemie, appuyée à des ligne
e et décisif (ô fortune aléatoire de la guerre !) que tout à coup les
affaires
changèrent de face ; le projet de la Sambre fut a
ontesquiou, qui semblait avoir fait de cette opération sur Denain son
affaire
, insista pour continuer ; on arriva à l’Escaut à
nier y a joint un Appendice essentiel et toute une dissertation sur l’
affaire
de Denain. 37. M. de Balzac. 38. Ces lettres ne
jugea point la plaine d’au-delà de la Sambre aussi défavorable à une
affaire
générale que le disait Villars. 40. Le récit du
es maximes et, ce qui était déjà à la mode, il trouvait, au sujet des
affaires
du Parlement et sur ces interminables conflits où
l est hasardeux de conjecturer au-delà. Ici, au contraire, nous avons
affaire
à un personnage des plus étudiés, des plus éclair
s choses de rien pour l’amusement, et de dérider et d’égayer même les
affaires
les plus sérieuses et les plus épineuses, sans qu
fassent une réputation d’application et de bons mots, on les charge d’
affaires
, et on en fait les premiers personnages du théâtr
multiplicité des Conseils. Il ne travailla à débrouiller le chaos des
affaires
que par de nouveaux désordres. Il se fit des créa
t des créatures par le moyen de son crédit ; mais quant à ses propres
affaires
, il les a toujours plus mal gérées encore que cel
r ses boutades, par ses travers et ses ridicules : « Il ne répond aux
affaires
les plus sérieuses que par de mauvais proverbes,
ur en Angleterre, à Venise, à Constantinople. Nombre de ses lettres d’
affaires
ont été publiées par M. Charrière, dans le recuei
age 338, des Mémoires du duc de Luynes, un Discours politique sur les
affaires
présentes, que les railleurs prêtaient au ministr
r les affaires présentes, que les railleurs prêtaient au ministre des
Affaires
extérieures et qui est censé tout composé de phra
douée d’un esprit supérieur et hardi, se jeter avec vigueur dans les
affaires
et ne pas s’y ménager. Sans mystère ni scrupule,
ociété, mais, en même temps, un obstacle à l’intelligence des grandes
affaires
. En s’approchant du trône, elle ne changea pas ;
ne suis qu’une particulière assez peu importante ; je ne sais pas les
affaires
, on ne veut point que je m’en mêle, et je ne veux
es autres. Il est vrai, ajoute-t-elle, que je n’aime pas à me mêler d’
affaires
, que je suis naturellement timide, mais il est vr
moi qui ai désiré ardemment l’archevêché de Paris : quelles terribles
affaires
avons-nous contre un prélat (le cardinal de Noail
été besoin, la grandeur de son propre avenir. Maurice prit aussitôt l’
affaire
à cœur. Il était bien avec Mme de Pompadour ; il
nne s’applaudit : « Enfin, Sire, que vous dirai-je ? Je trouve cette
affaire
avantageuse de tout point pour votre maison, et j
rieuses revanches, l’eussent grandi ! Au lieu de cela, n’ayant pas eu
affaire
à un adversaire de sa force, il n’a pas donné tou
ères Paris (Montmartel et Du Verney) l’ont fort aidé dans toute cette
affaire
, à la fois comme amis de la favorite et comme aya
N’oublions pas qu’il a vingt-cinq ans de moins que celui auquel aura
affaire
plus tard, à son tour, une nouvelle dauphine, Mar
iage : « Il ne tient donc plus qu’à vous, écrivait-il, de conclure l’
affaire
qui est grande, belle et magnifique, et aura des
cher petit Bruhl ; je vous aimerai à la folie si vous finissez cette
affaire
. Jusque-là je me défierai toujours de vous, car v
sa besogne qui est immense : moyennant quoi, tout va au diable ; les
affaires
ne s’expédient pas ; il est noyé par les affaires
va au diable ; les affaires ne s’expédient pas ; il est noyé par les
affaires
et ne peut plus se mettre au courant ; il est haï
e de M. Bignon. Le roi de Saxe auprès de qui se traitaient toutes les
affaires
de Pologne, avait alors pour ministre des Affaire
ères, et auquel il accordait une confiance presque exclusive pour les
affaires
du duché, le comte de Senfft, personnage distingu
s du crédit auprès de M. de Talleyrand qui se servait de lui pour ses
affaires
d’argent avec les princes d’Allemagne. Ce fut par
ion opposée, et que son bon sens resta incorruptible dans les grandes
affaires
. Une vénalité tempérée par de la modération et de
e d’une tète froide qui ne se laisse point accabler sous le poids des
affaires
, et son âme n’était pas de la trempe qu’il aurait
stions d’étiquette trouvent moyen de se glisser au milieu des grandes
affaires
. M. de Senfft se plaint en deux endroits, soit du
onsistances de l’abbé de Pradt. Écoutons pourtant ; nous allons avoir
affaire
à l’abbé à Varsovie, où il remplacera M. Bignon,
écrit ne lui en sut aucun mauvais gré. Quelque temps après, ayant eu
affaire
, pour une sœur compromise du baron de Stein, à Fo
intimidé du premier coup de main, s’est rendu. Je m’étends sur cette
affaire
, parce qu’il n’y a rien de plus terrible. Panneti
une division, disait Bonaparte, sans avoir éprouvé, par deux ou trois
affaires
, le général qui doit la commander. » Joubert avai
aires, le général qui doit la commander. » Joubert avait eu ses trois
affaires
, et au-delà ; il était éprouvé, il était mûr. La
rmser plus que jamais bloqué et enfermé dans Mantoue, on allait avoir
affaire
aux débris de toutes ces armées, à l’armée d’Alvi
le centre et le noyau de Rivoli, qu’il a porté le premier poids de l’
affaire
, qu’elle a roulé longtemps sur lui, qu’il avait c
nstant de séparer Joubert de Napoléon dans toute la conduite de cette
affaire
ni dans ses suites. C’est le plus admirable lieut
sur l’Adige et sans soldats : tel est en abrégé le résultat de cette
affaire
. Mais à la guerre rien n’est fait tant qu’il res
de grands seigneurs, de dévots, de gens de lettres surtout, il avait
affaire
à tous ensemble ou à chacun tour à tour, et il en
aire sur la médecine. Presque tous ceux qui ont joué un rôle dans les
affaires
publiques n’aiment point à voir écrire sur la pol
mps de M. de Malesherbes et de le suivre dans quelques-unes des mille
affaires
contentieuses qu’il eut à démêler. On appréciera
sir d’être utile à l’humanité, autant qu’un écrivain peut l’être. » L’
affaire
avait pris des proportions effrayantes. Le Parlem
Parlement s’en mêlait, et, sur le bruit public, prétendait évoquer l’
affaire
, en s’arrogeant le droit de juger le livre, et en
prévalu sur toute autre considération ». L’éclat que produisit cette
affaire
du livre De l’esprit, la position fausse où elle
mit à rédiger ses intéressants Mémoires sur la librairie. Une seconde
affaire
où l’on trouve M. de Malesherbes en difficulté, n
avec le Parlement et avec le chancelier, mais avec les auteurs, est l’
affaire
de L’Écossaise de Voltaire. Dans cette comédie, V
es choses à tout le monde. » L’Encyclopédie fut une des plus grosses
affaires
de l’administration de M. de Malesherbes. Dans le
tier serait d’intimider ceux qui seraient assez malheureux pour avoir
affaire
à moi. Je ne sais pas si j’aurais la vertu de cet
joignit une lettre à l’abbé Morellet, qui s’était entremis dans cette
affaire
, et il lui disait : Pour les gens de lettres, l’
us voïons les hommes s’embarasser de tant d’occupations frivoles et d’
affaires
inutiles. Voilà ce qui les porte à courir avec ta
ites fâcheuses, même par leur propre experience. L’inquietude que les
affaires
causent, ni les mouvemens qu’elles demandent, ne
us l’ennui qui suit l’inaction, et ils trouvent dans le mouvement des
affaires
et dans l’yvresse des passions une émotion qui le
on, sitôt qu’ils ont comparé ce qu’ils souffroient par l’embarras des
affaires
et par l’inquietude des passions avec l’ennui de
inistère, n’est pas cependant la moins fatigante. En effet, en chaque
affaire
, il nous expose au long ce qu’il a dit dans le Co
Gratz ; Louis XIII, par le conseil de Richelieu, veut évoquer à lui l’
affaire
; et, comme la guerre de Piémont se prolonge malg
pour traiter avec l’ambassadeur d’Espagne qui y réside, jugeant que l’
affaire
se réglera mieux auprès de sa personne ; il envoi
de délivrer le royaume d’un nouveau favori, ils ne songent qu’à leurs
affaires
particulières. Les voyant arriver à Angers, Riche
ont-de-Cé, c’est lui encore qui contribuait le plus à raccommoder les
affaires
, et à ménager une paix dans laquelle Luynes vainq
é par tes charges, qu’ils se sont plus tôt vus au-dessus que dans les
affaires
, et ont été maîtres des Conseils avant que d’y êt
connaissance particulière, de peur de le voir aussitôt à la tête des
affaires
: « J’ai eu ce malheur, dit-il, que ceux qui ont
sprits, dit Richelieu, sont plus dangereux qu’utiles au maniement des
affaires
; s’ils n’ont beaucoup plus de plomb que de vif-a
eté de telles gens n’est pas moins dangereuse en l’administration des
affaires
publiques, que la malice de beaucoup d’autres. Il
Alexandre Dumas fils L’
Affaire
Clémenceau. [Le Nain jaune, 4 juillet 1866.] I
i aussi, j’ai ma présentation à faire. Il faut que je vous présente L’
Affaire
Clémenceau 27. II Déjà les journaux en ont
c, c’était la commune ambition de moraliste et de législateur. Dans L’
Affaire
Clémenceau, il y a tout un côté Girardin qui touc
égislation à la fille-mère, toutes ces questions sont touchées dans L’
Affaire
Clémenceau avec une curiosité enfantino-frémissan
superbes de fausseté et de déclamation. Telle est l’histoire de cette
Affaire
Clémenceau. Comme tous les écrivains qui ne sont
e portaient les grands coups et que se jouait le sort du royaume. Les
affaires
d’ailleurs, au moment où il les prit en main, éta
ir la manière dont il présenta constamment, et de plus en plus, cette
affaire
, après tout sinistre, de Malplaquet. Il n’y a que
e pour la France, eût un terme. Villars, en 1712, n’allait plus avoir
affaire
du moins qu’au seul prince Eugène, et sa cour aus
trouva justifié : « Il ne faut qu’un moment pour changer la face des
affaires
peut-être du noir au blanc. » Villars, libre enfi
1. [NdA] On a publié, depuis, toutes les pièces qui se rapportent à l’
affaire
de Denain, et d’où l’on peut déterminer, avec cer
ant d’un grand homme de guerre et qui, lui-même, avait dû causer de l’
affaire
avec Villars et avec le prince Eugène : À l’affa
t dû causer de l’affaire avec Villars et avec le prince Eugène : À l’
affaire
de Denain, le maréchal de Villars était perdu, si
a cavalerie qui était dans ce poste. — Les effets que produisit cette
affaire
sont inconcevables : elle fit une différence de p
réel pour la France. Or cette paix était, dit-il, fort antérieure à l’
affaire
de Denain. Il ne s’est pas posé un seul instant c
tre mobile tout-puissant, surtout dans un pays nouveau où « la grande
affaire
est incontestablement d’accroître sa fortune. » E
pas oublier toutefois quelle légèreté M. de Choiseul apporta dans ces
affaires
mêmes des colonies, et d’après quel « plan insens
s gens résistèrent et ébruitèrent la proposition. C’est à cette laide
affaire
que sir Henry Bulwer fait allusion dans une note
e Talleyrand sans Montrond, ni de Montrond sans Talleyrand. Une telle
affaire
avérée, comme le mensonge dont je parlais l’autre
sser l’opinion publique, fort indisposée contre lui, surtout pour les
affaires
d’Amérique, Reinhard fut conservé dans les premie
ne raison pour que je me rende coupable d’une sottise23. » Quant à l’
affaire
du Concordat et aux négociations qui l’amenèrent,
en usa, il fut désavoué et ne réussit qu’à demi. — Et à ce propos des
affaires
romaines, il avait une maxime qui résultait sans
l’avoir entendu de sa bouche. 23. Le rôle de Talleyrand dans cette
affaire
du duc d’Enghien mérite d’être examiné à part et
r vous dire que jusqu’à présent j’ai bien voulu laisser gouverner mes
affaires
par feu M. le cardinal, mais que dorénavant j’ent
fait avait utilement réussi. Il me chargea encore de quelques autres
affaires
; et, étant fort content de moi, cela me fit espé
dant) ; on achetait ces anciens billets pour rien, et, en faisant des
affaires
avec le roi, on obtenait de Fouquet, comme condit
es finances. On attendait un grand et infaillible secours de quelques
affaires
extraordinaires, rentes et augmentations de gages
des quittances et des contrats. Girardin, le plus hardi des hommes d’
affaires
, avait promis deux millions d’avance, mais il éta
vaient les charges. Tout le monde alors dans les finances faisait des
affaires
; le tort de Fouquet fut d’en faire plus qu’un au
taient à charge. L’abondance paraissait en même temps chez les gens d’
affaires
, qui d’un côté couvraient toutes leurs malversati
ncroyable. Il n’avait songé d’abord qu’à éloigner le surintendant des
affaires
; mais le voyant si plein de projets et d’humeur
out cela n’avait pour effet que d’associer Beaumarchais à des gains d’
affaires
, à des intérêts dans les vivres, et de le rendre
ureux parfois et bien ennuyé s’il n’avait pas sur les bras toutes ces
affaires
, profite de cette occasion nouvelle2 pour donner
evienne la dupe du fourbe qu’il a démasqué et serré de si près. Cette
affaire
de famille terminée, et sorti des périls qu’elle
chais resta encore toute une année en Espagne, à essayer de faire des
affaires
et des entreprises importantes au nom d’une compa
e de l’à-propos pour tirer sur le temps, comme on dit, pour pousser l’
affaire
des quinze mille livres devant le Parlement ; il
utrance, il est vaincu, écrasé ; il n’a plus pour ressource, dans une
affaire
désormais jugée et de nature déshonorante, qu’un
tilement de pénétrer jusqu’au conseiller Goëzman, rapporteur dans son
affaire
, et rapporteur prévenu et défavorable. C’est alor
i retourner l’opinion, n’oublions pas que ce Parlement à qui il avait
affaire
était celui que le chancelier Maupeou avait subst
ivait de si agréables romans, mais qui n’entendait pas moins bien les
affaires
positives, jugea que cette pupille était un bon p
t de son caractère, il nous dit : J’ai un défaut effroyable pour les
affaires
, qui gâte et qui détruit tout ce que je pourrais
quelqu’un qui lui déplaise, il grossit des bagatelles et en fait une
affaire
importante : cependant il est si faible et si lég
le, il s’imagine que c’est de lui et contre lui qu’on parle… Dans les
affaires
qu’il a, il se sert tantôt de discours captieux e
où il veut aller, croyant être bien fin… Jamais il ne va au bien de l’
affaire
, soit qu’il soit question de l’État, de sa famill
mbien de verrous, avec quelqu’un de ses secrétaires ; et ceux qui ont
affaire
à lui, après avoir cherché longtemps, trouvent à
armée ou pour gouverner un État : il ne connaît ni les hommes ni les
affaires
, et n’en juge jamais par lui-même ; il n’a point
mplit les premières places. De plus, il est paresseux ; il craint les
affaires
, et il aime le plaisir ; peut-être que de grands
ués aux hommes, sans qu’il soit nécessaire qu’ils les aient. Dans les
affaires
, chacun pense et imagine pour eux, ils n’ont qu’à
ble à la campagne qu’ailleurs ; on lui trouve la tête débarrassée des
affaires
et des intrigues du monde ; il est affamé de conv
seulement dans l’exercice du pouvoir politique, c’est dans toutes les
affaires
de la vie qu’il faut accepter la lutte du bien co
roit bien ou vrai sans transaction, on ne ferait pas même ses propres
affaires
; il faudrait se renfermer dans l’inaction. Je su
us, et d’autant plus, permettez-moi de l’ajouter, que la pratique des
affaires
et des hommes pourra vous rapprocher de ces malhe
l, qu’on ait pris part à de si grandes choses, touché à de si grandes
affaires
et vécu en telle compagnie, et qu’on n’ait que ce
ne pouvait se résoudre à dire avec Montaigne, « La vertu assignée aux
affaires
du monde est une vertu à plusieurs plis, encoignu
ée, de ce que nous appelons nos grandes révolutions et de nos grandes
affaires
… Il faut travailler pourtant : car c’est la seule
re pour apprendre à supporter paisiblement le mouvement de toutes les
affaires
de ce monde. Mais à quel âge et par quels procédé
rsonne et dont je ne me laisserai plus détourner même par les grandes
affaires
et les controverses très vives où son nom se trou
lettres toutes seules ne lui suffisaient pas. Il était temps que les
affaires
et le monde revinssent occuper cette vive et bril
Au moins celui-là sait lire et écrire. » Je les ai quittées pour les
affaires
, sans les avoir oubliées, et je les retrouve avec
hemin à titre de témoin et de confident diplomatique dans les grandes
affaires
de Rome. J’ai lu avec soin les principaux ouvrage
e, qui la rendent respectable et aimable. Je suis persuadé qu’après l’
affaire
des Jésuites tout le monde en sera content. Elle
e départira plus. Quant au rôle que lui-même eut à remplir dans cette
affaire
de la suppression des Jésuites, qui dura quatre a
on aurait pu les bien gouverner sans les détruire. » Mais, une fois l’
affaire
entamée, il estime qu’il est politique et presque
autre. » Le résumé de la conduite de Bernis en cette grande et longue
affaire
est dans cette parole. Il fut médiateur le plus q
ôt doux et reposé que brillant8. La conduite de Bernis dans quelques
affaires
délicates telles que le procès du cardinal de Roh
atins prendre ses ordres, et en même temps raisonner avec lui sur les
affaires
générales de l’Europe. Il croyait à la guerre pro
nécessité. L’aide de camp du jour n’entrait dans sa chambre que pour
affaire
de service, ou bien quand il était appelé, et c’é
te ensemble, et voyant à quelle nature d’homme comme il faut il avait
affaire
, Jomini ne lui fit pas mystère de sa mission. Il
ressions successives pendant les diverses péripéties de l’action. — L’
affaire
s’était engagée vers 9 heures du matin. Soult ava
devant lui les brigades détachées de l’ennemi, et venant rétablir les
affaires
. Napoléon rentra dans la ville. Jomini, dès le ma
bridé. Le 8, à neuf heures du matin, l’Empereur monta à cheval, et l’
affaire
s’engagea. Au premier coup de canon, le major gén
-major de ces troupes qui ont contribué à la défense de la Suisse aux
affaires
de Frauenfeld, Zurich, Dettingen ; au Grimsel, à
mp, a bien voulu le citer d’une manière honorable dans le rapport des
affaires
d’Ulm, qui a été adressé à S. Exc. le ministre de
ois que « s’il y avait de la ressemblance dans les résultats des deux
affaires
, il y avait une grande différence dans les dispos
tor-Amédée, duc de Savoie (suite et fin.) Lundi 25 janvier 1864. L’
affaire
de Casai en Italie, la prise de possession de cet
Mantoue, et qu’on se flattait d’avoir gagné, promettait de conclure l’
affaire
moyennant finance ; il y avait déjà production de
istre des trésors de rancune qui devaient sortir à leur moment. II. L’
affaire
de Casai, sourdement menée jusqu’alors, qui passa
lé proposer. Et pourtant elle commençait à connaître à qui elle avait
affaire
désormais en la personne du jeune duc. Voici le p
nts fort élevés, et beaucoup d’inclination pour la guerre et pour les
affaires
. » Le duc de Savoie marchait sur ses dix-huit an
ractions ou même les liaisons déclarées. D’ailleurs il s’adonnait aux
affaires
et ne laissait personne lire dans ses pensées. Un
orénavant il voudrait, s’il lui était possible, négocier et traiter d’
affaires
sous terre. » On ne savait jamais au juste, en ef
ner et à harceler Louis XIV par les variations de son humeur. Il fait
affaire
de tout ; il additionne grief sur grief pour en f
ment de Bordeaux, Montaigne se retira avant quarante ans du train des
affaires
et de l’ambition pour vivre chez lui, dans sa tou
et sans violence. » Il serait bien fâché, tout en prenant en main les
affaires
de la ville, de les prendre si à cœur qu’il l’a v
il dira encore que, s’il se laisse quelquefois pousser au maniement d’
affaires
qui lui sont étrangères, il promet « de les prend
ien ; il ménageait le plus doucement qu’il pouvait les esprits et les
affaires
; il usait utilement pour tous de ce don d’ouvert
en pratique ? » Loin donc de désirer que le trouble et la maladie des
affaires
de la cité vînt rehausser et honorer son gouverne
période de sa vie publique. « Cette lettre (dit M. Payen) est toute d’
affaires
. Montaigne est maire ; Bordeaux, naguère agité, s
ndra au courant de tout, et il le supplie de revenir aussitôt que les
affaires
le lui permettront : « Nous sommes après nos port
retourne en son manoir rural le plus souvent qu’il peut, et quand les
affaires
de sa charge, qui tire à sa fin, ne l’obligent po
t vient le blé, et la tête leur tourne quand elles entendent parler d’
affaires
. Les nôtres, au contraire, soit prudes, soit gala
ne coquette avec son galant, s’ils ne leur avaient parlé ce jour-là d’
affaires
d’État ; elles veulent tout voir, tout connaître,
atisfaites, et je suis bien heureux de ce qu’elles ne se mêlent pas d’
affaires
d’État, car elles gâteraient assurément tout en E
Jusque-là ses ambitions et ses intrigues s’étaient dispersées sur des
affaires
accessoires et secondaires. Elle sentit que le je
is. Il lui fallait passer par ces soins domestiques pour arriver aux
affaires
d’État et pour y conduire peu à peu ce jeune coup
avec elle aux séances de la Junte, et, sous prétexte de l’initier aux
affaires
, elle-même elle en pénétrait le secret. Elle sava
gnorais, et n’a songé qu’à contredire ceux qui ont été chargés de nos
affaires
. Si elle avait eu un fidèle attachement pour vous
il survient des choses heureuses qui changent absolument la face des
affaires
. — Je pense, dit-elle encore, que la fortune peut
ale ; on peut en entretenir les Anglais aussi longuement que de leurs
affaires
particulières ; et les auteurs, confiants dans ce
de perfection dont elle est susceptible. Ayant plus souvent servi aux
affaires
qu’à la littérature, elle manque encore d’un très
r aux affections personnelles. On applique en Angleterre l’esprit des
affaires
aux principes de la littérature ; et l’on interdi
us entraînant, plus dramatique que celui des Anglais ; l’habitude des
affaires
s’y montre moins, et le besoin des succès de l’es
5. L’orateur de l’opposition n’étant point chargé de la direction des
affaires
, doit montrer presque toujours plus d’éloquence q
rit et multipliez si adroitement les incidents et la procédure qu’une
affaire
blanchisse dans votre étude avant que d’être jugé
pos de banqueroute, tenez-vous que cela puisse rétablir les mauvaises
affaires
d’un homme ? Ce serait un beau secret. ARLEQUIN.
ce une seule fois en sa vie n’est-il pas pour jamais au-dessus de ses
affaires
? Voilà comme je parlerais à mon frère si j’en av
? PERSILLET. Apparemment, messieurs, vous me croyez plus mal dans mes
affaires
que je ne suis. LE DOCTEUR. À Dieu ne plaise que
T touchant dans la main de La Ressource. N’en parlons plus, c’est une
affaire
faite. (Se tournant vers Scaramouche et le Docteu
E. C’est tout comme ici. Et les usuriers, seigneur, y font bien leurs
affaires
? ARLEQUIN. Fi, au diable ! je ne souffre point d
re à son service un petit laquais sans répondant ; et qu’on fasse une
affaire
de cette importance, où l’on voit tous les jours
ire, mais se prenant lui-même pour sujet unique de son étude. C’est l’
affaire
des Lettres et des Mémoires. Le dix-septième sièc
d’esprit qui n’y connaissent rien de plus important que leurs propres
affaires
, et qui mêlent Louis XIV, Turenne, Condé, les gue
bien d’aimables, s’ils n’eussent écrit qu’à ceux auxquels ils avaient
affaire
! Une des peines attachées à ces lettres sans suj
e. « Qu’écrire à une femme, lui dit-il, si on ne lui peut parler ni d’
affaires
ni d’amour ? » Balzac, plus fait pour cet apparat
rmé, et d’un esprit qui n’a pas connu l’abandon. On y voit la femme d’
affaires
, qui excelle à donner des conseils, à parler de l
vrai, ni l’indépendance, mais qui les accommodent à la nécessité des
affaires
, et qui n’ajoutent pas aux difficultés des choses
oses en offensant les personnes. Saint-Simon était pourtant capable d’
affaires
; il savait les comprendre et les démêler. Aucune
lait recueillir des notes pour des Mémoires. Il est plus d’une petite
affaire
qu’il a prise pour une grande, surtout parmi cell
a fait le piquant de ses Mémoires. Il n’est pas, en effet, de petite
affaire
dans son récit, parce qu’il n’en est pas une qui
nce de ce règne futur, qui devait restaurer la noblesse et rendre les
affaires
aux évêques et aux ducs. Tous les deux secouent l
ge où l’on est encore dans les Pages, Hugues de Lionne était dans les
affaires
. Il commençait déjà de glisser vers le pouvoir, l
grand seigneur, qui est peut-être un vice, un parti énorme ; car, en
affaires
, les hommes sont subjugués par l’aisance, la larg
de ses travaux et de ses passions, jeune encore, mais exténué par les
affaires
et par les plaisirs, ce robuste, taillé pour tous
Barberini, le duc de Parme, tous les hommes, enfin, à qui Lionne eut
affaire
, en ces deux négociations, dans lesquelles, il fa
finies, — et on se sent pris, pour ces petits travailleurs en grandes
affaires
, du mépris qu’avait pour la médiocrité des meneur
e la fierté, de la force, de l’autorité, intervenir avec eux dans les
affaires
publiques. Voilà donc que peu à peu la nation ang
r à l’arc, aller aux assemblées, au jury, payer et raisonner pour les
affaires
communes ; l’homme important et estimé est celui
les hommes au-dessus de trente ans qui viennent à Londres pour leurs
affaires
: les traits sont tirés, les visages pâles, les y
s les yeux à droite et à gauche, attendant qu’il se montre. La grande
affaire
est de le démêler, d’avoir le meilleur, de ne pas
s, ses fermiers, intéressé plus que personne par ses grands biens aux
affaires
de la commune, expert en des intérêts que sa fami
passer un jour à la campagne ; c’est qu’ils ont convocation pour les
affaires
de leur commune ou de leur Église ; il sont justi
me jusqu’au bout du monde, fidèlement attendu le soir, libre dans ses
affaires
qu’il ne communique pas. Il y en a dans la famill
ocessions, des ligues, ils ne démoliront pas l’État ; ils n’ont point
affaire
à un compartiment de fonctionnaires plaqué extéri
e, me disait un Anglais, c’est de cette façon-là que nous faisons nos
affaires
. Chez nous, quand un homme a une idée, il l’écrit
nfin apporte un projet au Parlement ; le Parlement refuse, ou remet l’
affaire
; cependant le projet prend du poids ; la majorit
t que dans la science il y a deux parts. On peut la traiter comme une
affaire
, ramasser et vérifier des observations, combiner
ir des choses idéales et parfaites. Prenons le jour où le silence des
affaires
laisse aux aspirations désintéressées un libre ch
anton le guide des idées, comme son voisin le squire est le guide des
affaires
. S’il ne marche pas au même rang que les penseurs
ent le parti, en étaient maintenus et faisaient le plus souvent leurs
affaires
aux dépens de tous. Ce qui est certain, c’est que
a celle du cardinal de Richelieu, introduit par La Vieuville dans les
affaires
; voilà comme tous ces favoris se servent fidèlem
us en adversité ». Il le redira plus tard en vingt endroits : « Qui a
affaire
à un peuple qui ne trouve rien de difficile à ent
nt, venait si à contretemps au roi en cette saison où il avait tant d’
affaires
au dehors, que la plupart de ceux de son conseil
ne action glorieuse au dehors » ; qu’il n’y a pas moyen de faire deux
affaires
considérables à la fois ; que le mal interne, fût
l, n’eût peut-être pas pris ce chemin qui, étant le meilleur pour les
affaires
, n’était pas le plus sûr pour ceux qui les traita
peut de faire ce qu’on veut », et sentant que les grandes et diverses
affaires
que le roi avait pour lors sur les bras ajournaie
occuper les troupes du roi par une suite d’escarmouches et de petites
affaires
, sentait bien que le fort de l’action se passait
he souterraine et quelquefois très-basse ; il emploie, pour faire ses
affaires
et avoir de l’argent, de petites intrigues dont u
ntroduire, il a écrit (c’est son expédient ordinaire dans les grandes
affaires
, quoique jusqu’ici il y ait assez mal réussi) ; s
es ces Correspondances princières divulguées font, en définitive, les
affaires
de l’opinion populaire et de la démocratie ? Le f
son époux, s’il lui demandait un avis et lui parlait amicalement des
affaires
. Les éloges se mêlent aux réprimandes, car on sen
de cet enthousiasme français pour la suite. Le peu que j’entends des
affaires
me fait voir qu’il y en a de fort difficiles et e
la discrétion et de l’influence, qu’elle ne s’ingérât point dans les
affaires
, mais qu’elle y entrât doucement et s’accoutumât
mais seul : on en est toujours, à quelque degré, complice. Sans cette
affaire
de bracelets et d’autres pareilles, on n’aurait p
pouse, compagne constante, amie fidèle, confidente sûre, entendue aux
affaires
, capable de raisonner de tout avec lui, et, au be
ue son peuple, sinon les gentilshommes1 ? — Sire, écoutez mes petites
affaires
. J’ai des créanciers, donnez-moi des lettres d’Ét
vèle2. Mes voitures me coûtent gros ; soulagez-moi en m’accordant une
affaire
. Le comte de Grammont a saisi un homme qui fuyait
toujours bon. — Et comme le roi, en véritable père, entrait dans les
affaires
privées de ses sujets, on ajoutait : Sire, ma fem
it seul comprendre. Le roi confère gravement, longuement, comme d’une
affaire
d’État, du rang des bâtards ; et pour établir ce
té violente est la moitié du génie ; pour arracher les hommes à leurs
affaires
, pour leur imposer ses douleurs et ses joies, il
t-Simon ne voulait pas donner des lettres d’État, essentielles pour l’
affaire
. « Je l’interrompis et lui dis que c’était chose
sé de foudre contre les délinquants. Ainsi fut bâclée cette sanglante
affaire
, et immédiatement après signée, scellée, enregist
jour, au sortir d’un conseil où, après l’avoir forcé de rapporter une
affaire
que je savais qu’il affectionnait, et sur laquell
ix pas, et lui qui en place n’avait osé répondre un seul mot que de l’
affaire
même avec l’air le plus embarrassé et le plus res
vie, puisque après avoir perdu tant d’années et nouvellement depuis l’
affaire
d’Espagne, meule nouvelle qui l’avait nouvellemen
aint-Simon, toute histoire paraît décolorée et froide. Il n’est pas d’
affaire
qu’il n’anime, ni d’objet qu’il ne rende visible.
sont que les effets de la passion ; voici la passion pure : Prenez l’
affaire
la plus mince, une querelle de préséance, une pic
e souscrire la censure d’Arnauld en Sorbonne. Il se conduisait en ces
affaires
, même ecclésiastiques, à la manière d’un galant h
puté à Rome pour y soutenir les intérêts communs. Il s’agissait d’une
affaire
très-compliquée, d’un procès qui durait depuis dé
une question de régularité et de discipline ; Rome était saisie de l’
affaire
et paraissait, selon son usage, plus favorable à
es de ses adresses d’autrefois. À un certain moment, comme il jugea l’
affaire
perdue, il se crut inutile, et, laissant le reste
’air d’amoindrir M, de La Mennais ; l’éloquent et agréable auteur des
Affaires
de Rome sait trop bien la vie de Rancé pour ne pa
antes, avant la dernière heure de Molière. M. de Pomponne entrait aux
affaires
, et allait prêter à ce noble bon sens du monarque
’à trois discussions de ce genre dans lesquelles il eut plus ou moins
affaire
à des hommes de Port-Royal : la première avec M.
e dureté. Ce n’est pas ici le lieu d’exposer à fond et de démêler ces
affaires
auxquelles il faudrait apporter un grand détail p
démission forcée ; il fut lui-même trop employé à la Cour dans cette
affaire
pour qu’on puisse douter des circonstances qu’il
ps de nos pères, dans la retraite ou dans un demi-loisir, faisant aux
affaires
, aux inévitables ennuis leur part, et se réservan
uelquefois l’égarent. Sans mettre officiellement la main au timon des
affaires
, ils sont en réalité les maîtres et les rois. Com
sions peu nombreuses, mais éclairées, qui se chargent d’instruire les
affaires
. Toutes les opinions se font jour dans leur sein
bandonne la sphère des idées, où il trouvait sa force, pour celle des
affaires
, où il l’épuisé. Il n’écrit plus ; il gouverne. D
conseils, les audiences, les devoirs de toute sorte, les soucis, les
affaires
, les plaisirs qui sont des affaires, suffisent et
s de toute sorte, les soucis, les affaires, les plaisirs qui sont des
affaires
, suffisent et au-delà pour absorber tous ses inst
les autres. Il résulte même un bien de ce contact des lettres et des
affaires
: le corps entier des auteurs reçoit de proche en
D’ailleurs, le talent qui ne s’anéantit pas dans la vie orageuse des
affaires
s’y fortifie et s’y renouvelle. Si parfois, par u
temps d’avoir du talent. Ne les entraînez pas dans le tourbillon des
affaires
: laissez-les flotter tranquillement au bord ; ma
ésigner au sacrifice. Connaissez-vous Licidas ? il a vieilli dans les
affaires
sans y prendre une idée, sans atteindre à un résu
cle à bien voir que l’esprit, les gens d’esprit n’entendent point les
affaires
. Licidas, il est vrai que vous n’avez pas d’espri
rivains célèbres ne mettre de prix qu’à leurs faibles succès dans les
affaires
publiques ; des guerriers, des ministres courageu
-mêmes pour but de leurs efforts. Quand la part qu’elles ont dans les
affaires
naît de leur attachement pour celui qui les dirig
a salle des délibérations a suffi seule pour changer la direction des
affaires
en France. D’abord on n’accordait aux applaudisse
enfante la vanité, dégoûtera pour jamais l’ambition des places et des
affaires
; on ne s’en approchera plus que par amour pour l
II. Subordination des autres intérêts et devoirs. — Indifférence aux
affaires
publiques. — Elles ne sont qu’une matière à bons
ques. — Elles ne sont qu’une matière à bons mots. Négligence dans les
affaires
privées. — Désordre du ménage et abus de l’argent
re chose, même pour les choses qui touchent l’homme de plus près, les
affaires
publiques, le ménage, la famille. — J’ai déjà dit
ce compte, on peut prévoir qu’ils seront aussi insouciants dans leurs
affaires
privées que dans les affaires publiques. Ménage,
ils seront aussi insouciants dans leurs affaires privées que dans les
affaires
publiques. Ménage, administration des biens, écon
omestique, à leurs yeux tout cela est bourgeois, et de plus insipide,
affaire
d’intendant et de maître d’hôtel. À quoi bon des
i délicat ? Pour les hommes et les femmes ce sera plus tard la grande
affaire
; c’est pourquoi c’est déjà la grande affaire pou
era plus tard la grande affaire ; c’est pourquoi c’est déjà la grande
affaire
pour les enfants. Avec les grâces de l’attitude e
C’est le dernier trait du régime qui, après avoir dérobé l’homme aux
affaires
publiques, à ses affaires propres, au mariage, à
régime qui, après avoir dérobé l’homme aux affaires publiques, à ses
affaires
propres, au mariage, à la famille, le prend avec
souffrir par bonne éducation. On n’avait pas de ces préoccupations d’
affaires
qui gâtent l’intérieur et rendent l’esprit épais.
. « C’est à des amours-propres faciles à s’irriter qu’elle a toujours
affaire
, en sorte que le plus léger défaut de mesure sera
ier, et ce qu’on fera demain ; on s’occupe du dîner-souper comme de l’
affaire
la plus importante de la vie, et l’on ne se plain
lles étaient familiarisées d’une manière étonnante avec la marche des
affaires
; elles savaient par cœur le caractère et les hab
rs facultés, de leurs ressources ; s’imaginant que c’était une grande
affaire
qu’ils entreprenaient, et préoccupés de leur effo
ien écrire. » Les autres, les hommes d’action, qui traitent de leurs
affaires
, ne sont écrivains que d’occasion et par nécessit
qui se succèdent fréquemment en ces années, sont moins d’amour que d’
affaires
; elles se terminent par quelques galanteries emp
u passage de la Garonne, à son retour du Béarn, où il était allé pour
affaires
et aussi par amour. Il s’en tira en habile chasse
rs, montrent à quel point il commence à s’occuper sérieusement de ses
affaires
, et, à cet âge de trente-trois ans où il est arri
ssa jamais entraîner au point d’y sacrifier l’intérêt pressant de ses
affaires
. Dès 1587, nous voyons Henri se plaindre à la com
est également attesté par les contemporains : si elle était capable d’
affaires
et de dévouement utile, elle l’était aussi de ran
de la France. Il n’échappa pourtant à cette tentation qu’à demi. Son
affaire
principale, dans le moment présent, était de tire
nous rassurer, et il estime que de ce côté, qui est la plus glorieuse
affaire
consommée alors par Louvois, l’utilité n’était po
qui veut que chaque chose arrive en son lieu et à son heure. Dans les
affaires
humaines, cette loi est plus absolue encore ; ell
mandé en retour de compensation d’aucune sorte ni d’équivalent. Cette
affaire
de Strasbourg dont il fit la sienne fut conduite
de Chamilly se mêle de son domestique et de rien autre chose sur les
affaires
de cette nature. Les soins de Mme de Chamilly son
s, quand il n’était pas traversé de cupidités étrangères, et dans les
affaires
de son service direct, était suprême. N’oublions
l’œil à tout, qui se plaint de tout, et qui fait de toutes choses une
affaire
d’État. » Strasbourg, en maintenant sa communion
but et ses mécomptes. Il avait espéré être nommé résident ou chargé d’
affaires
de Pologne à Paris ; M. de Béthune l’appuyait aup
de la reine ; mais celle-ci protégeait un M. Letrens qui faisait les
affaires
de Pologne à Paris sans le titre et sans les qual
n’avoir jugé de l’âme des hommes que par ce que je sentais. Voilà une
affaire
manquée ; c’est la troisième depuis six mois. Il
et une fierté qui vous paraîtra extraordinaire pour un homme dont les
affaires
ne sont pas en meilleur état que les miennes. » C
pas à donner, et qu’on ne puise que dans le maniement d’une première
affaire
, même lorsqu’on n’y a pas réussi. Être épicurien,
sinue si bien par son esprit, qu’il devient le maître absolu de leurs
affaires
, l’intendant et l’arbitre de leurs plaisirs. Ces
rtant par un coin essentiel : Noyé dans les plaisirs, mais capable d’
affaires
, dit-il. Ceci nous ramène à sa position chez les
ainsi l’exposé de la bataille de Pultava, ainsi un curieux récit de l’
affaire
de Denain au point de vue du prince Eugène11 ; ai
iers petits-maîtres à cette date, a dit : « C’est donc le besoin des
affaires
qui nous a réduits à nous servir d’étrangers : le
’Argenson qui n’a l’air de le désapprouver qu’à demi et qui, ayant eu
affaire
au comte de Saxe, précisément dans une négociatio
i que d’en inventer ou d’en rechercher un autre. Aussi n’est-ce pas l’
affaire
de tous les hommes ; mais c’est un malheur pour l
n’inspire que de la méfiance, ce qui nuit plus que chose du monde aux
affaires
. Poniatowski et Fritsch étaient les vraies gens p
crire à Votre Majesté que la France voulait terminer rapidement cette
affaire
, et je crois qu’elle lui rendra un service agréab
et dernier effort, savait mieux apparemment à quoi s’en tenir sur ses
affaires
que MM. Guizot, Topin et Villemain. (Voir sur cet
n’y a qu’à savoir le renouveler par d’habiles dispositions : c’est l’
affaire
du général… » — Dans une lettre au roi de Prusse,
la voit, pendant les dix années qui suivent, au premier rang dans les
affaires
. Jusque-là, son pouvoir avait été précaire et con
érité, qu’elle voudrait être une de vos élèves. » Berwick répara les
affaires
, et par la victoire d’Almanza rendit quelque sécu
’est au milieu de ces adoucissements de toutes sortes que les grandes
affaires
arrivent à l’oreille délicate et craintive de la
pond discrètement qu’en France on n’aime pas que les femmes parlent d’
affaires
, « tant mieux alors, s’écrie-t-elle avec l’orguei
ntchevreuil de former de ce qu’il y avait à vendre. Voyez-le… point d’
affaire
plus importante pour mon repos. Si vous voyez mad
et l’indifférence de madame de Montespan sur tout ce qui regarde mes
affaires
essentielles. » Une lettre, datée de Versailles,
respire le contentement, et la confiance dans la faveur du roi. « Vos
affaires
, lui dit-elle, ne vont pas si bien que les mienne
lle le remercie plus bas, dans une lettre, du soin qu’il prend de ses
affaires
et de l’exactitude de ses comptes. « Je vous reme
ctitude de ses comptes. « Je vous remercie de tous vos soins pour nos
affaires
et de l’exactitude de vos comptes. Il y en a enco
r lequel il est fréquemment consulté sur la conduite à tenir dans les
affaires
publiques. Cet homme, j’allais oublier de vous di
ec bien du plaisir que vous ne vous occupiez plus qu’à votre aise des
affaires
d’État. Continuez à prendre ce parti, car quiconq
r. Quand ce moment sera venu, vous pourrez reprendre un peu place aux
affaires
publiques, veiller un peu plus à ce qui se passe
en que les quinze années passées par moi au service, au maniement des
affaires
de la république, je ne les ai employées ni au je
un Bossuet pour illuminer la politique et fixer la grande langue des
affaires
. La littérature politique, illustrée en Grèce par
nt des chefs-d’œuvre de sagacité, de clarté, de style, appropriés aux
affaires
. Nous ne vous donnerons ici ni le récit de ces ci
ême temps de cette cour militaire de César Borgia tellement rompu aux
affaires
politiques et aux intrigues d’ambition que nul ne
er des politiques de son temps, des conseils pour le gouvernement des
affaires
d’Italie. Il l’appela même à sa cour. Machiavel,
ce Périclès des papes. Il y eût été libre, heureux, puissant sur les
affaires
. Il craignit un piège où il n’y avait de la part
re composé, est le commentaire de l’histoire romaine par le génie des
affaires
. Machiavel y suit Tite-Live événement par événeme
e et toute naturelle. Les Italiens, poursuit-il, n’entendent rien aux
affaires
de guerre, et les Français rien aux affaires d’Ét
il, n’entendent rien aux affaires de guerre, et les Français rien aux
affaires
d’État ! » XV Dans un chapitre qui semble
XLVIII Ce 4 mars 1844
affaire
d’otaïti. — intrigues parlementaires. — talent él
lait si assis et si sur de lui au commencement de la session ? Dans l’
affaire
d’Otaïti pourtant, il y a eu quelque maladresse o
rsaires est déjouée, et c’est partie remise jusqu’à quelque prochaine
affaire
imprévue. — Le spectacle de ces manœuvres parlem
était de son côté, et que Jansénius l’avait mal compris. Il eut fort
affaire
pour se tirer de cette position très aventurée ;
nd, captateur habile, endormeur ou enjôleur d’un adversaire, il avait
affaire
à quelqu’un qu’il avait tout intérêt à concilier
e suivre avec son panégyriste durant ce premier épiscopat. Il eut des
affaires
fort délicates, une entre autres où il se mit au
de mœurs, de discipline, de liturgie. En même temps qu’il savait les
affaires
et qu’il était en mesure de parler et de répondre
on ; sa faveur et sa capacité le faisaient aspirer au ministère ; les
affaires
du Clergé, d’une part, et du roi, de l’autre, ave
hevêque de Paris, et, sous ce titre, l’arbitre écouté et influent des
affaires
ecclésiastiques du royaume. C’est dans ce rôle d’
et de persuasion ! Quelle capacité facile et agréable ; et combien d’
affaires
, et des plus délicates, dans le grand règne, dont
ons de faire bien. » Ce que la reine disait là de son inaptitude aux
affaires
et de son peu de goût d’y entrer était très vérit
aves et aux événements qui changèrent toute la direction de sa vie. L’
affaire
du Collier, l’impudence des vils agents, auteurs
avait voulu un procès et un éclat, on aurait mieux fait d’étouffer l’
affaire
, selon l’avis prudent de M. de Vergennes. Mais ce
calomnie habile était à l’œuvre et la travaillait. Vouloir étouffer l’
affaire
, c’était laisser le champ libre à toutes les supp
ous pouvez jouir du moins de la douceur de ne point entendre parler d’
affaires
. Quoique dans le pays des Chambres haute et basse
ppui : « La répugnance que vous me savez de tout temps de me mêler d’
affaires
est aujourd’hui fortement à l’épreuve, et vous se
, malgré un reste de répugnance, elle dut s’occuper de manœuvres et d’
affaires
d’État avec suite ; elle avait marqué son influen
mpudemment, et il n’est plus question pour le moment que d’étouffer l’
affaire
. L’abbé d’Estrades, ambassadeur du roi à Turin, t
enferma à trois dans une chambre ; on parut traiter sérieusement de l’
affaire
, et, à un moment, l’abbé d’Estrades étant sorti s
’on supposerait chez un personnage d’un de nos mélodrames modernes. L’
affaire
manquée, Catinat revint vite à son métier de guer
l’année passée79, je vous en donne avis, afin que, prétextant quelque
affaire
de famille, vous mandiez à vos amis en Flandre qu
uses et de mensonges. Il y avait auprès du duc de Mantoue un chargé d’
affaires
de Louis XIV, fort sage, fort entendu, l’abbé Mor
leurs instructions par trop de zèle. On suit ce conseil : pourtant l’
affaire
se continue avec instance, et l’on désire à Versa
urtout, dans le IIIe et le IVe volume, les chapitres qui traitent des
affaires
du Piémont. 75. Mémoires et Correspondance du m
Chapitre X. Les sociales [Émile Zola] Cette
affaire
Dreyfus7 est un vomissement. Je ne parle pas des
uleur fut impuissante à insuffler en cette fange militaire une âme. L’
affaire
est finie, bien finie. Celui qui souffrait injust
umaine ». Pourquoi Zola recueille-t-il en volume ses articles sur « l’
affaire
» ? Désir de ne rien laisser perdre, sans doute,
égitime inquiétude est l’état déplorable dans lequel sont tombées les
affaires
. » Les affaires, dans la pensée de ce bourgeois c
de est l’état déplorable dans lequel sont tombées les affaires. » Les
affaires
, dans la pensée de ce bourgeois comme dans celle
dinaires et le geste de ta main te cache l’univers. Tu t’occupes de l’
affaire
Dreyfus ; aussitôt l’affaire Dreyfus devient « un
in te cache l’univers. Tu t’occupes de l’affaire Dreyfus ; aussitôt l’
affaire
Dreyfus devient « un drame géant » qui te « sembl
étermine comme les politiques par des raisons d’utilité et en vue des
affaires
. Sur ce que Mme de Maintenon lui avait mandé que
lement élevé au-dessus des petites choses, et qui ne prend jamais les
affaires
par leurs petits côtés ni par les minuties. La po
le maréchal de Berwick le 25 avril 1707, restaura pour longtemps les
affaires
de Philippe V, qui reconquit sa capitale et une b
ur fait pas d’honneur ; car, dans quelque mauvais état que soient les
affaires
, les grands esprits et les grands courages se rai
rais montrer votre lettre ; on n’aime pas ici que les dames parlent d’
affaires
. » À toutes ces ironies fines et serrées, son adv
eux, répond-elle, si on n’aime pas en France que les femmes parlent d’
affaires
! nous aurons bien des choses à reprocher aux hom
, puisque nous n’avons pas les moyens de flatter son avarice. » Cette
affaire
de souveraineté acheva de rompre l’accord entre e
et son correspondant intime : « Quand mon âme est lasse du fracas des
affaires
publiques, et que mes oreilles sont assourdies pa
ge si compétent, c’est qu’au moment où il est le plus engagé dans les
affaires
de la république, il peut ramener l’entretien sur
par rétablir une troisième fois la concorde de la paix en Italie. Les
affaires
intérieures appelaient aussi sa prudence. La démo
i d’assassinats ; de jour et de nuit, tout individu peut vaquer à ses
affaires
avec la plus parfaite sécurité : on n’y connaît n
ndante en hommes distingués par leur mérite dans l’administration des
affaires
publiques, illustres dans les arts et dans les sc
é d’une condition privée, qu’il parvint à régler par ses conseils les
affaires
de la république de Florence, plus considérable a
ndit son nom illustre, et lui donna la plus grande influence dans les
affaires
de l’Italie ; mais, convaincu d’ailleurs que l’ag
ge qui en résulte pour la santé, on a le temps de penser à toutes les
affaires
de la journée et de les expédier ; vous trouverez
ances, de parler à Sa Sainteté et d’intercéder auprès d’elle pour des
affaires
particulières. Ayez soin, dans ces commencements,
; c’est toujours à celle-ci que vous vous en tenez. Mais, venons à l’
affaire
de votre manuscrit ; c’est un ouvrage capable de
ne sommes pas vis-à-vis l’un de l’autre. Vous finirez en même temps l’
affaire
du manuscrit du Baron, soit avec Pissot, soit ave
rrangements pour le vôtre, et peut-être arrangerez-vous une troisième
affaire
dont je me réserve à vous parler quand vous viend
que ce soit là le ton de la raison. Vous ne savez quelle peut être l’
affaire
que j’ai à vous proposer, cependant vous la refus
elle vous m’avez écrit m’avait déterminé à ne plus vous parler de vos
affaires
que quand vous me consulteriez ? Mais tenez, mon
ency aura mauvaise grâce. Eh bien, quand je me mêlerais encore de vos
affaires
sans les connaître assez, qu’est-ce que cela sign
rez châtié par la perte pécuniaire et par le déshonneur : c’est votre
affaire
: vous étiez d’âge à savoir combien il est rare d
tend ne vous avoir rien écrit de pareil à vos lignes soulignées sur l’
affaire
du précepteur manqué. Car je me suis plaint sincè
vues, qu’il ne me reste presque aucun mérite dans le succès de cette
affaire
. L’affabilité charmante du prince et le désintére
il en faut rabattre, et pour le temps et pour la dépense, quand on a
affaire
à un honnête homme et à un habile homme. Il est à
s miens, s’ils avaient le moindre soupçon que je me suis mêlé de leur
affaire
. Le mémoire de la sœur et celui des deux frères n
e que j’ai l’honneur de vous exposer, je me constitue juge dans cette
affaire
. J’appelle devant moi la fille de Desgrey, je l’i
incipes. Voilà, monsieur, tout ce que je connais de cette malheureuse
affaire
dont je me mêle bien malgré moi. J’espère que le
e 28 août 1768. Monsieur, J’ai l’honneur de vous réitérer que dans l’
affaire
de la demoiselle Desgrey et de ses frères, je sui
avageances des frères ; ils étaient sans mœurs ; ils se faisaient des
affaires
fâcheuses ; ils s’enrôlèrent ; et c’était toujour
nt ; et c’était toujours aux dépens de la maison qu’ils se tiraient d’
affaire
. Pour les encourager à leur métier, le père, chez
t sa pusillanimité, son inexpérience, les mauvais conseils des gens d’
affaires
qui l’ont empêchée de dire franchement la vérité
reur qu’on avait conçue du ressentiment des frères a mené toute cette
affaire
en province, et que la dissimulation habituelle d
ar leurs vertus que par leur dignité, vous attesteraient que dans une
affaire
de la plus grande importance et qui me serait per
rpentés. Le fait ne peut être su que par moi. Il est étranger à votre
affaire
. Je pense encore avoir des démêlés d’intérêts ave
vernis d’homme noir. Après s’être donné une entorse à un pied dans l’
affaire
de la Compagnie des Indes, il ne faudrait pas s’e
J’en ai besoin ici. Je me mettrai demain matin à Félix ; ce sera une
affaire
faite dans la matinée. Oh ! la sotte chose que la
faut bien que je vous dédommage des distractions que vous causent mes
affaires
de cœur. Je vous jure, mon ami, que jusqu’à prése
général. Le parlement de la province défend son magistrat, et voilà l’
affaire
portée devant le parlement de la capitale ; le pa
celer la constitution avait eu lieu avant l’expulsion des Jésuites, l’
affaire
pourrait être terminée ; tous les tribunaux eusse
veux le cicéro. Si M. Luneau n’exerce pas ce despotisme-là, c’est son
affaire
; mais je vois qu’il vous suppose une importance
me je vous menais ; et je préviens tout libraire auquel je puis avoir
affaire
à l’avenir que je n’en userai pas autrement avec
lu. J’ai étendu ou resserré les objets comme il m’a plu. Votre unique
affaire
a été de payer les travailleurs que j’occupais, e
toire, en littérature, en philosophie, en tout autre genre. Quant à l’
affaire
de M. de Réaumur, je la lui aurais expliquée de m
it constitué médiateur entre lui et le syndic de la communauté dans l’
affaire
de la saisie73 il a dit une vérité ; mais si par
dit une vérité ; mais si par hasard il avait entendu ma médiation à l’
affaire
de l’Encyclopédie, il aurait dit un mensonge impu
re que M. Luneau ne pourrait être soupçonné. À juger du fond de cette
affaire
par la lecture de votre Mémoire, le seul que je c
Dieu, mon amie, abandonnez-moi les poëtes et les orateurs : c’est mon
affaire
. J’ai pensé envoyer votre analyse sans correctif.
C’est alors que je mets les fers au feu, et que je m’occupe de votre
affaire
, comme j’attendrais de votre amitié qu’elle s’occ
prêcher à sa fantaisie, et cela, sans offenser ni se compromettre. L’
affaire
des religions est purement historique. J’en charg
etc., ce qui, joint à notre revenu courant, arrangerait très-bien nos
affaires
. Mais il faut garder un profond silence là-dessus
que tu trouves un logement dans un quartier qui s’arrange avec cette
affaire
. Cette fois-ci, cette Encyclopédie me vaudra quel
e, ce que vous me prescrirez. Comment ! vrai ! l’Encyclopédie est une
affaire
décidée ! Point de mauvaise plaisanterie, docteur
rieusement, la circonspection de M. le général ne me surprend plus. L’
affaire
d’intérêt ne pouvait pas être aussi claire pour l
ont tous de fort honnêtes gens ; mais ces honnêtes gens-là ont tant d’
affaires
, comme de boire, manger et dormir, dans toutes le
ne vous entendraient pas. L’intérêt remue et déplace trop les gens d’
affaires
pour en espérer la lecture suivie d’un ouvrage qu
i suivront. Je passe ma vie à la campagne, presque aussi étranger aux
affaires
de la ville qu’oublié de ses habitants. Permettez
yait pour m’attacher à sa personne, elle me disait que le courant des
affaires
journalières consumait tout son temps, et qu’en m
une âme insensible, ou le coffre-fort d’un roi, et d’un roi dont les
affaires
ne soient pas dérangées. Avec une âme insensible
ma femme, mes enfants et petits-enfants, et arranger quelques petites
affaires
domestiques. J’y retourne ce soir ; et ne croyez
er de l’égard que vous avez bien voulu avoir pour mes intérêts dans l’
affaire
des dédicaces. Pour me conformer à l’esprit de ce
ces dames surent bientôt qu’il se chargeait du délit de Grimm, mais l’
affaire
en resta là. » 25. Inédite. Communiquée par M.
ussissent pas. Nous avons donné gîte à une de nos compatriotes qu’une
affaire
malheureuse avait appelée à Paris. Elle s’est amu
e le sieur Luneau de Boisjermain. Imp. Le Breton, in-4°, 74 p. 73. L’
affaire
de la saisie a été définitivement jugée le 30 jan
augiron, qui tenait la copie de cette lettre de M. Gaillard, chargé d’
affaires
de France en Hollande et depuis garde du dépôt de
santé de Pierre, qui le rendait incapable de supporter le travail des
affaires
publiques dans une ville aussi agitée que Florenc
, il leur fit le récit de toute sa conduite dans l’administration des
affaires
publiques, leur donna des détails exacts et très-
esprit de Laurent par des voyages et l’initia promptement aux grandes
affaires
. Les Pitti et les Acciajuoli, familles puissantes
t par l’étude, peuvent se soustraire de temps en temps au fardeau des
affaires
publiques et à la sollicitude des intérêts privés
mettront probablement bientôt dans le cas de prendre la direction des
affaires
de la république. En effet, mon cher Laurent, quo
r il n’y a point d’homme qui soit en état de conduire avec succès les
affaires
publiques, s’il n’a commencé par se faire des hab
er son esprit, en faisant entièrement abstraction des intérêts et des
affaires
purement mondaines. Laurent, qui ne se borne pas
ieu des fêtes magnifiques, du tumulte de la ville et des embarras des
affaires
publiques, il sentit naître en lui un attrait inc
i l’intéressèrent dans certaines entreprises, appliqué et entendu aux
affaires
d’argent, guettant les bons placements, il commen
lus qu’une question de temps515. Voltaire, tracassier et chipoteur en
affaires
, eut avec le juif Hirsch des démêlés bruyants qui
mots aigres, toujours colportés et envenimés par des amis communs. L’
affaire
de Maupertuis fit éclater la rupture : Maupertuis
e matériel, le plus de bien-être possible, et que l’humanité a plutôt
affaire
de sage administration que de glorieuse politique
le mit à même de consulter nombre de personnes qui avaient touché aux
affaires
, hanté la cour, ou que leurs pères avaient instru
vernement intérieur, quatre des sciences, lettres et arts, quatre des
affaires
ecclésiastiques, et il termine par un chapitre sa
apitres représentaient le gouvernement intérieur, commerce, finances,
affaires
ecclésiastiques. Enfin, cinq ou six chapitres, ét
arts étaient réduits à quatre, et transposés devant les chapitres des
affaires
ecclésiastiques, qui étaient développées en quatr
s finances, pour la justice, pour les règlements militaires, pour les
affaires
du dehors, il ne témoigne pourtant aucun empresse
’être judicieux et raisonneur : c’est un esprit positif, qui aime les
affaires
, qui y trouve de l’agrément par l’utilité, et qui
l avantage qu’ils ont eu de naître en des temps où l’état général des
affaires
publiques avait une juste proportion avec leur hu
une négociation se termine. Il vaut bien mieux achever plus tard les
affaires
que de les ruiner par la précipitation ; et il ar
l’exécuter ; il veut lui apprendre à trouver avec lenteur dans chaque
affaire
l’expédient facile. De même, dans mainte réflexio
tre un digne contemporain de Nicole et de Bourdaloue. Jusque dans les
affaires
de guerre et dans les sièges qu’il entreprend, il
remplissaient l’âme de ce prince à ce moment. Il s’était exposé à une
affaire
deux jours auparavant, et, comme on le lui reproc
oire détaillée et intime jusqu’à l’âge de vingt-cinq ans. Les grandes
affaires
, dans lesquelles il fut bientôt engagé de plus en
4. Cette seconde partie de ses Mémoires, qui le montre s’occupant des
affaires
d’intérêt public et du ménage politique de la Pen
rne, traitant avec Franklin, observait que son caractère principal en
affaires
était « de ne point s’embarrasser de faire naître
; il ne croit nullement que la première condition pour bien faire les
affaires
du public soit de commencer par mal faire les sie
’applique avec suite et fixité à son objet, et quand il s’en fait une
affaire
. À ses heures de spéculation, il laissait volonti
our vouloir porter la tête trop haute. Il commença à entrer dans les
affaires
publiques proprement dites en 1736, à l’âge de tr
ait une place pour lui très importante en elle-même, et en raison des
affaires
d’impression qu’elle lui procurait. La première a
en attendant, les actions vaines ne prennent pas moins de place. Les
affaires
et les gens vous assiègent, vous cherchent, vous
mbre ; il faut peu à peu s’y faire. Si quelqu’un entre alors pour une
affaire
particulière, quelque subalterne surtout, on le r
a chute récente, sur l’ingratitude des hommes, sur l’état général des
affaires
publiques qui se gâte et devient tout à fait affl
s ; M. de Villèle, moins idéal et plus positif, s’en allait faire les
affaires
de sa province, de sa commune et de sa municipali
fait encore : sur une échelle ou sur une autre, est-ce que toutes les
affaires
ne se ressemblent pas ? Dans le vieux temps, Sull
aite que le remplacement de nos ministres fasse un bon effet dans les
affaires
, que ceux qui leur succéderont soient meilleurs e
en Amérique, salué de ses compatriotes et ressaisi par le courant des
affaires
publiques, Franklin porte souvent un regard de so
passe un peu plus de deux années à prendre la part la plus active aux
affaires
locales. Il est dans l’Assemblée le chef de l’opp
oyé de la Pennsylvanie devient bientôt l’agent général et le chargé d’
affaires
des autres principales colonies, il commence à ex
céder. Le mérite de Franklin dans cette longue et à jamais mémorable
affaire
, fut de ne jamais devancer l’esprit de ses compat
lord Chatham qui avait fait une motion à la Chambre des lords sur les
affaires
d’Amérique : La visite d’un si grand homme et po
eine pour me faire affront devant le Conseil privé. Le jour de cette
affaire
devant le Conseil, Franklin était vêtu d’un habit
des exploits du vaillant chef dauphinois Montbrun, qui dans une rude
affaire
a eu l’honneur de triompher des bataillons suisse
si votre douceur accoutumée et bienséante à la dignité royale et les
affaires
présentes n’y contredisaient, d’un clin d’œil vou
, le roi poursuivit : « C’est celui sur la cervelle duquel toutes les
affaires
de la Ligue se reposaient ; voilà les mêmes raiso
atisfaction d’imprimer leurs fantaisies, sauf à s’attirer bientôt des
affaires
sur les bras et à ne trop savoir comment en sorti
excellent esprit, à qui il donne quelquefois plus de liberté que les
affaires
de ce temps ne permettent. Je lui dis souvent qu’
u sur le bon roi Thoas et la pauvre Iphigénie. Le voyage terminé, les
affaires
et les intrigues diplomatiques recommencèrent. M.
ce du Conseil, M. le maréchal de Ségur soumettait à la délibération l’
affaire
de Hollande et sollicitait une décision prompte,
ait à écouter ; il était tard lorsqu’on engageait la discussion, et l’
affaire
principale était renvoyée à un autre Conseil. On
on ne sait rien de la vie militaire de Malherbe. On connaît mieux ses
affaires
de ménage et d’économie, qu’il a exposées en homm
e « depuis que le roi lui avait fait l’honneur de l’employer dans ses
affaires
, il avait tout à fait quitté cet exercice, et qu’
iomphé de sa mauvaise étoile et de celle des poètes. Il sut faire ses
affaires
. On peut trouver qu’il demande un peu trop. Des Y
re homme d’ordre et d’autorité ; il est d’avis qu’il faut laisser les
affaires
d’État à ceux qui y sont commis ; et ce n’est pas
contrainte et du temps perdu. « Si vous voulez que je vous parle des
affaires
publiques, écrivait donc Malherbe à M. de Mentin,
qui s’y est fait, et si, sans sortir de la modération requise en une
affaire
si épineuse, la dignité royale n’a pas été remise
vi les longueurs tant pratiquées autrefois par ceux qui maniaient les
affaires
, et tant célébrées par je ne sais quels discoureu
compense qu’il se propose. Il est vrai que le roi, lui commettant ses
affaires
, lui fit expédier un brevet de vingt mille écus d
e de toutes les diversités propres au soulagement d’un esprit que les
affaires
ont accablé : il a oublié le plaisir qu’il en rec
xpresse de faire indifféremment fermer la porte à ceux qui pour leurs
affaires
le viendront persécuter. Voilà, certes, une bonté
e qui fait de si grandes différences entre pas et point, qui traite l’
affaire
des gérondifs et des participes comme si c’était
déplaise à Balzac, n’était donc pas ridicule, surtout quand il avait
affaire
à Balzac. Il est vrai, d’ailleurs, qu’il avait sa
t eu à triompher, entre autres difficultés, dans la conduite de cette
affaire
, de la légèreté ou du peu d’habileté du propre am
nser si j’en dois espérer bonne issue. Sitôt que j’en serai hors (des
affaires
), je m’en vais lui rendre en rime ce qu’il m’aura
r comme je prie pour un homme qui m’a dit qu’il veut faire toutes mes
affaires
. » Mais tout, cela sans être aussi grandiose que
rde hors d’elle-même, et sa sympathie cherche d’autres objets que les
affaires
ou les états de son propre cœur. Lectrice des phi
romans ; puis il s’associe avec un imprimeur. Il a l’imagination des
affaires
: il passe son temps à inventer des combinaisons
e qualité littéraire pour représenter par le roman une société où les
affaires
et l’argent tenaient tant de place. Pour solder s
Treize, dans la Dernière Incarnation de Vautrin, dans Une ténébreuse
affaire
, dans la Femme de Trente Ans, dans maint épisode
e, tel bredouillement ou bégaiement, engagé dans telles particulières
affaires
. Voyez l’envieuse : c’est la cousine Bette, une v
t nous reconnaissons la France issue de la Révolution. D’une vulgaire
affaire
de cour d’assises. Stendhal a fait une étude prof
temps à autre, de peur que nous ne l’ignorions, que ce n’est pas son
affaire
de faire un roman, et qu’il ne s’est mis ci conte
r des récits étranges, qui nous laissent dans le doute, si nous avons
affaire
à un mystificateur ou réellement à un miracle. Ce
, clerc de notaire, puis associé avec un imprimeur, fait de mauvaises
affaires
; il publie divers romans sous des pseudonymes de
Suzanne lui répond : « Allons donc ! Au moindre mot, il se ferait une
affaire
avec M. de Nanjac, et il n’en a pas envie. Il rec
d’Ange doit savoir que M. de Jalin n’est pas un pleutre craignant une
affaire
et d’humeur à subir un affront sans le relever. L
s les salons romanesques du Demi-Monde, mais dans le froid bureau des
affaires
, devant la dette, devant la gêne, devant le milli
ouble, ni drame qui entraîne, ni émotion qui aveugle : nous sommes en
affaires
, et les bons comptes font les bons succès. Au pre
fortune princière, que pille effrontément une bande noire d’hommes d’
affaires
et de fournisseurs. Et la dame de tous ces biens
nd seigneur ni du fermier général. Il a gagné six millions au jeu des
affaires
, et il porte cet insolent bonheur sans trop d’ins
rler pour lui. Cette part faite au sentiment, le banquier revient aux
affaires
. C’est une scène excellente que celle où M. Durie
ugues en Belgique, il évoque devant lui, du fond de je ne sais quelle
affaire
de mines, le spectre de M. Gogo. A quoi Jean Gira
naire ; mais cette fausse sortie, exécutée sur le théâtre sérieux des
affaires
, conduirait tout droit son homme en police correc
nvie et de jalousie contre lui, qu’ils lui susciteraient de fâcheuses
affaires
, qu’ils lui feraient la guerre ; qu’il serait plu
licité amicale, et le désennuyait quelquefois, ce qui était la grande
affaire
. Cette demoiselle de Chausseraye, qui était de l’
dit qu’il était vrai qu’il se trouvait extrêmement tracassé de cette
affaire
de la Constitution ; qu’on lui proposait des chos
ens, sa volonté ; que ces bons messieurs ne se souciaient que de leur
affaire
et point du tout de sa santé, aux dépens de laque
e l’électeur de Bavière (l’empereur Charles VII), et ensuite chargé d’
affaires
à Vienne ; il y a trouvé, dit-il, des parties tex
’est qu’un abréviateur ; il l’est avec trait, je l’ai dit, quand il a
affaire
à l’abbé Le Grand ; il l’est avec un certain goût
’est avec un certain goût et avec un adoucissement relatif quand il a
affaire
à Saint-Simon ; dans l’un et dans l’autre cas pou
rance. Doctrine et méthode pratiques. Propagande effrénée et limitée.
Affaires
Calas, Sirven, La Barre, etc. Réformes dans la ju
ée la ville de la Réforme ; le maintien de l’austérité morale y était
affaire
de gouvernement. Voltaire établi aux portes de la
ltat, pour faire triompher la raison dans le règlement définitif de 1
affaire
, et, s’il se peut, par une mesure générale qui ré
; il fait reviser le jugement ; pendant trois ans c’est sa principale
affaire
, et il finit par arracher la réhabilitation de Ga
tait tuée : Calas réhabilité, Voltaire s’occupe de Sirven (1765). Ces
affaires
lui ont révélé les vices de la procédure judiciai
et de l’humanité, il fit le pirate pour son compte. Chargé de tant d’
affaires
, il trouva toujours le temps de se colleter avec
d’un manque de logique. Il avait le sens de la vie matérielle et des
affaires
, du commode et du pratique : ses idées sur la mis
, sur le conseil du cardinal de Richelieu, le croit très propre à ses
affaires
en ces contrées, à cause des qualités mixtes et v
sultatif, s’y résolut, et le 27 juin se livra le combat dit de Luvin,
affaire
très hardie, où, avec son peu de troupes et par d
scence, soit que Rohan ne soit plus tout à fait le même, soit que les
affaires
aient empiré, il ne voit plus moyen de concilier
re fastidieux en insistant longuement sur les détails de cette triste
affaire
, si brillamment commencée et si mal finie, et en
al, qu’il avait jusques alors porté à un haut point glorieusement les
affaires
du roi en la Valteline ; mais sa dernière action,
ure. Il devait savoir mieux que personne le point de la difficulté. L’
affaire
était désespérée, selon lui, et tenir plus longte
avaient pas dû à l’exercice des charges publiques et au maniement des
affaires
le sens et l’intelligence supérieure qu’ils porta
opposition de la théorie et de la pratique, de la spéculation et des
affaires
, de l’art et de la vie. Cependant Bonstetten, san
art. Mandé chez l’avoyer, il s’attendait à ce que celui-ci lui parlât
affaires
et s’ouvrît avec lui des secrets d’État : il repa
llement arrivés qui devaient dîner avec moi ; je suis appelé pour une
affaire
imprévue ; en sortant du salon pour passer dans m
étourdiment la porte à double tour, et mets la clef dans ma poche. L’
affaire
qui me réclamait était grave ; il fallait aller s
en pâle démocrate, aux autres un patricien infidèle. Il se retira des
affaires
. Sa carrière était brisée ; il avait cinquante-tr
a jeunesse les mêmes qualités à des objets en vue et en estime, à des
affaires
publiques et d’État. Ce fils probe et déjà poli,
t bien venir du trésorier, et aussi du dauphin à qui il avait souvent
affaire
, et qui l’emmenait avec lui dans ses voyages pour
s ! Un jour qu’il était commis pour interroger un prisonnier dans une
affaire
de faux, il dut le présenter à la question, faire
ls, mais qu'on voudrait, chaque fois, un peu plus développés, sur ses
affaires
, son mariage, sur une quête même qu’elle fit avan
d’Ormesson ayant épousé un Coulanges : M. d’Ormesson note donc, comme
affaire
quasi de famille, tout ce qui se rapporte à cette
7. [NdA] « Je vous mandai samedi comme M. d’Ormesson avait rapporté l’
affaire
et opiné ; mais je ne vous parlai point assez de
d’un rivage à l’autre, de l’Hellespont. Dans ce court intervalle des
affaires
, ils jouaient au Tibulle ou à l’Anacréon. J’avais
se sent transporté dans le monde de l’instinct » ; qu’on sent qu’on a
affaire
à des passions du monde enfant ou adolescent ; qu
t guère jamais eu d’entretien pour prendre ses ordres sans qu’après l’
affaire
traitée il ne fût dit quelques mots de la Grèce e
t-il, dans un tel état de faiblesse que je lui proposai de remettre l’
affaire
à un autre jour. Mais il insista pour que je deme
use sur ce vers qui lui rappelait la haute part qu’il avait prise aux
affaires
publiques : « Tu ne me verrais point combattre mo
videment tout ce qu’on y verse. Plus tard, la place est occupée ; les
affaires
, les soucis, les soins de chaque jour la rempliss
l, en un mot, dont la singularité, l’honneur, est de n’être point une
affaire
. Dimanche 20 février Un jour de la fin du m
tionnelle devant la 6e chambre. C’était une chambre pour ces sortes d’
affaires
, une chambre dont on était sûr et qui avait fait
nt un bain de pieds dans Le Chapeau de paille d’Italie, fourré dans l’
affaire
comme un comique en un imbroglio, et qui avait de
Et le maître de la voiture, pour lequel notre procès était une grosse
affaire
de représentation, s’était fait faire pour la cér
op favorable. » Et cependant ce fut notre salut que cette remise de l’
affaire
. Dans la semaine le procureur général était chang
s, est en conférence avec des messieurs étranges, au sujet de quelque
affaire
extravagante, comme le monopole des sangsues du M
ssent pour « sérieux » et « modérés » ont commencé par garder sur ces
affaires
un silence tenace. On en a, depuis, cherché les r
? Ils y perdraient ; ils payeraient plus d’impôts. » Cela, c’est leur
affaire
; ce serait à eux de juger si le contentement de
il s’agit de politique extérieure, par appréhension de « se faire des
affaires
» et par la lamentable désaccoutumance de se sent
était habile, il écrivait pour les petits et contre les prêtres. Ses
affaires
, d’abord brillantes, périclitèrent : on se lasse
tase et Sosthène ne sont qu’habiles brasseurs ; Luc se perd en basses
affaires
; Antonin ignore le monde et Moïse le connaît tro
s enverront l’éloge de leur produit : ils y joindront pour les gens d’
affaires
un bulletin des valeurs et des marchandises, pour
consultait et se laissait assez volonvtiers diriger par elle dans les
affaires
qui touchaient à la politique ; et un second temp
r là qu’elle fit son premier apprentissage en politique, traitant les
affaires
de ce petit État avec l’ambassadeur de Vienne qui
ins d’un quart d’heure, avec cinq ou six petits oui ou non, finir des
affaires
qui traînaient depuis des mois. Il avait trouvé c
urellement indulgente, je m’attirais la confiance de ceux qui avaient
affaire
avec moi, parce que chacun sentait que la plus ex
polémistes, encore refusé à l’historien. Nous n’avons prétendu avoir
affaire
ici qu’a la Catherine antérieure, celle des Mémoi
s, friandes assez pour la bouche d’un roi. » De plus, il avait mainte
affaire
avec les dames du pays, même avec la lieutenante
elle, rien ne me touche ; c’est, à mon avis, le principal point. » L’
affaire
était glissante, et ce n’est point sa faute s’il
qu’il y a bien plutôt gagné d’agréables rêves, L’agréable, voilà son
affaire
; à regarder ses fines lèvres sensuelles, on devi
Force est trop affligée, et il y aurait de l’inhumanité à rire d’une
affaire
qui la fait pleurer si amèrement. » Quoique distr
pleurer si amèrement. » Quoique distrait et indifférent à ses propres
affaires
, sitôt que des gens affligés venaient le consulte
s savaient qu’il a perdu le droit de commander. Il a un rendez-vous d’
affaires
, et il a besoin de savoir l’heure ; sa montre, su
upe ou en brigue toutes les places ; par ses financiers et ses gens d’
affaires
, elle en tire tout l’argent. C’est sa chose, et p
ls en user avec eux ? Les considérer comme les agents nécessaires des
affaires
humaines, et, tantôt par le concours, tantôt par
pacotille qui arrivent au crédit par l’argent, et à l’argent par les
affaires
, c’est-à-dire par le bien d’autrui. Nous étions m
rités méconnues, que la France aveuglée avait trop tardé à mettre aux
affaires
. Ami voleur, Mercure vous a été propice : prenez
vie, se sont acquis le droit de dire aux princes, selon le besoin des
affaires
: oui ou non. L’éloquence et les avocats polit
bas le verset : « Ayez pitié de nous ! » * Je me résigne à l’avocat d’
affaires
, puisqu’il manque un ordre de juges pour juger to
ires, puisqu’il manque un ordre de juges pour juger tous les procès d’
affaires
sans le mensonge des plaidoiries. J’honore l’avoc
ment par la parole, le moyen, pas plus que le temps, ne fait rien à l’
affaire
. Et vous avez réussi avec éclat. Il est vrai que
e autres choses. Le bon roi David les connaissait bien, pour avoir eu
affaire
à eux. Écoutez plutôt ce qu’il en dit en deux end
e qui fait l’honneur et la protection de tous, que celle qui fait les
affaires
de quelques-uns ? Que le vénéré duc de Broglie, d
r, à leur insu, le désir secret d’être en passe, à leur tour, d’avoir
affaire
à ce droit ? Il est donc vrai que, même chez les
isfaction de se croire consultés et écoulés dans la conduite de leurs
affaires
. De là à s’intéresser à ce que les habiles appell
ais resté à ma place, attendant le moment de parler au ministre d’une
affaire
que j’avais à cœur. Je n’imaginais pas qu’il prit
se alors, et la seule que j’aie jamais eue, me fit voir à qui j’avais
affaire
. Ma qualité de journaliste m’avait jusque-là valu
rticle passera tel qu’il est. Si M. Thiers s’en plaint, j’en fais mon
affaire
. L’article parut le lendemain. J’ignore comment l
es du contrecoup de la guerre d’Amérique. Comparant l’ensemble de nos
affaires
avec les États-Unis avant et après le traité, il
d’amour-propre de notre attention, ou plutôt de notre admiration ? L’
affaire
était une de celles auxquelles il avait le plus p
e au même niveau, ses premiers épanchements étaient des confidences d’
affaires
. Là était son génie particulier, là était son cœu
que par son talent de parole, son inclination était restée fidèle aux
affaires
. Un peu plus qu’avocat éminent dans la politique,
x affaires. Un peu plus qu’avocat éminent dans la politique, dans les
affaires
il était homme d’État du premier ordre. Son plus
avoir fait servir la politique à la préparation ou à l’achèvement des
affaires
qui ne pouvaient pas se passer de son concours. S
nt divers. Elle n’en portera qu’un bon sur le ministre et l’orateur d’
affaires
. Parmi les noms dont s’honorent, dans cet ordre d
mes souvenirs, un naïf témoignage de la préférence qu’il donnait aux
affaires
sur la politique. Je dînais chez lui le jour de l
mon cabinet, de l’air embarrassé d’un solliciteur qui craint d’avoir
affaire
à un chef de service prévenu. Peut-être avait-il
onses évasives, la seule civilité y suffit. Juger des ouvrages, c’est
affaire
de conscience. J’entends la conscience de l’espri
chantier, soit par des moments d’attention qu’il faut bien donner aux
affaires
publiques, sous peine de n’être ni de son temps n
», voilà qui me surprend et m’attriste. Mais sachant à quel cœur j’ai
affaire
, force m’est bien de me dire que, si chez M. Rous
nant, devant les boutiques de denrées alimentaires, essayant de faire
affaire
avec des marchands ambulants, et refusant 45 fran
it sans façon : — C’est que vous ne savez pas observer. Mais il avait
affaire
à des maîtres de la science, dont le plus âgé, Ba
un métaphysicien. Sur la cause première, je n’ai pas d’opinion. C’est
affaire
de foi, non d’expériences. Mais croire aux causes
l’importuner, soit dans le cabinet de la direction, pour y causer des
affaires
que nous avions à régler en commun. Il n’est aucu
côte, la glace est bientôt rompue. Aux premiers mots, on se conte ses
affaires
, on parle des autres, et l’on ne se tait pas sur
d, que je savais mal disposé pour l’Empire par le mauvais état de ses
affaires
et par la lecture quotidienne des journaux à un s
t la plus délicate manière de parler sur toute chose Elles ont su les
affaires
de tous les états du monde, toutes les intrigues
nnes, marquis de Rambouillet, qu’une grande fortune, amassée dans les
affaires
du domaine, et dont il dépensa une partie à const
ire. C’était aussi un garçon d’esprit. Lauzun l’employa utilement aux
affaires
politiques dont il était chargé. Quand mademoisel
e compagnie. La Fare joue à la bassette. Voilà la fin de cette grande
affaire
qui attirait l’attention de tout le monde. Voilà
ujet ne coûte, et qui pendant toute la vie que Dieu leur prête, n’ont
affaire
que de multiplier les preuves de leur infatigable
n’a pas besoin de la subtilité d’outre-monts pour savoir traiter une
affaire
, mais à voir de quel ton, combien longuement il d
piration aura toute sa valeur : rondeaux, ballades, virelais, c’est l’
affaire
de quelques vers, et pas plus. Ses sujets sont pe
uantaine, alors que délivré de sa longue prison, sans grand souci des
affaires
publiques ni même de ses prétentions princières,
et à l’eau, par ordre de l’évêque d’Orléans : peut-être pour la même
affaire
où son ami Colin de Cayenne « perdit sa peau », v
dent. Ceux que sa faveur politique avait courbés ou accablés dans les
affaires
privées, relèvent la tête : marchands alléguant d
tient. Commynes eut de l’ordre, de l’économie, de l’application à ses
affaires
: il faisait des aumônes régulières ; sans passio
le paya, par l’usage qu’il en fit. Commynes eut pour département les
affaires
de Bourgogne, de Suisse, des Allemagnes, et celle
opriété de la seigneurie ne fut tout à fait terminé qu’en 1560. Trois
affaires
princplaes se distinguent : l’une contre le suzer
e, qu’il n’aurait voulu que de sa façon et dans sa dépendance ; toute
affaire
lui offrait matière à plaisanterie, et tout indiv
e vicomte de Ségur, « qui s’amusait à dire des mots plaisants sur les
affaires
, au lieu de s’en mêler. » Lui il en disait aussi,
es moyens qu’ils employaient. » Il le fait et il s’en vante. — Dans l’
affaire
du duel entre le comte d’Artois et le duc de Bour
r d’ironie qui ne l’avait pas quittée depuis le commencement de cette
affaire
; j’y opposai un air d’aisance qu’on prétend qui
femme aimable et trop peu souveraine, pour lui faire prendre goût aux
affaires
ou du moins au choix des ministres, pour lui prép
de M. Necker sur tant de points, se plaît à le nommer son sauveur. L’
affaire
traîna ; il fut, par décision de l’Assemblée, tra
ofession d’enseigner le droit. Je conviens que j’y gagnerais pour mes
affaires
domestiques, et encore plus du côté de la réputat
ais dire, le plus sensible ! presque chaque jour il est dérangé ; les
affaires
, les amis lui prennent ses heures, — les amis, di
i conçue : M. Casaubon, je désire vous veoir et vous communiquer ung
affaire
que j’ay fort à cueur : c’est pourquoy vous ne fa
— Ce soir, de Fontainebleau, ce 28e jour d’avril 1600. Henry. Cette
affaire
que Henri IV avait tant à cœur n’était pas la plu
e grand Duplessis n’avait rien fait ce jour-là de digne de lui, que l’
affaire
avait été entamée à la légère, conduite à l’avent
au milieu de ces fatigues et des voyages qu’elle entreprend pour les
affaires
de la famille, avait peine à s’acclimater en Angl
plus ici à la hauteur où M. de Suhm nous a portés ; nous n’avons plus
affaire
à un métaphysicien, homme du monde, homme d’affai
9), toutes les louanges que vous me donnez : nous nous sommes tirés d’
affaire
par des à-peu-près. » Ainsi en pleine guerre, et
; je me porte bien. Tu apprendras par les nouvelles publiques que les
affaires
de l’État prospèrent. — Adieu ; aime-moi un peu,
exerçons à présent de corps et d’âme (avril 1764), pour remettre nos
affaires
en bon train. Cela commence à reprendre, et je vo
ails auxquels on s’attendait si peu, on est heureux de sentir qu’on a
affaire
à des hommes, rien qu’à des hommes. Les sentiment
d’y parvenir, et, s’il connaissait les politiques avec lesquels j’ai
affaire
, il les trouverait bien autrement intraitables qu
yés auprès de Philippe, roi de Macédoine, pour traiter avec lui d’une
affaire
importante ; mais leur ambassade ne réussit point
la ville d’Athènes. On attend avec impatience l’issue de cette grande
affaire
. Eschine, comme accusateur, parle le premier. Att
imagine alors d’envoyer une coupe d’or à Démosthène, qui la reçoit. L’
affaire
d’Harpalus est remise en délibération ; grand emb
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