r qu’on est grand. Chacun a sa manière. Quant à moi, qui parle ici, j’
admire
tout, comme une brute. C’est pourquoi j’ai écrit
, j’admire tout, comme une brute. C’est pourquoi j’ai écrit ce livre.
Admirer
. Être enthousiaste. Il m’a paru que dans notre si
êtise était bon à donner. III N’espérez donc aucune critique. J’
admire
Eschyle, j’admire Juvénal, j’admire Dante, en mas
donner. III N’espérez donc aucune critique. J’admire Eschyle, j’
admire
Juvénal, j’admire Dante, en masse, en bloc, tout.
N’espérez donc aucune critique. J’admire Eschyle, j’admire Juvénal, j’
admire
Dante, en masse, en bloc, tout. Je ne chicane poi
s ; je trouve beau le visage de mon hôte. Gilles Shakespeare, soit. J’
admire
Shakespeare et j’admire Gilles. Falstaff m’est pr
sage de mon hôte. Gilles Shakespeare, soit. J’admire Shakespeare et j’
admire
Gilles. Falstaff m’est proposé, je l’accepte, et
speare et j’admire Gilles. Falstaff m’est proposé, je l’accepte, et j’
admire
le empty the jordan. J’admire le cri insensé : un
staff m’est proposé, je l’accepte, et j’admire le empty the jordan. J’
admire
le cri insensé : un rat ! J’admire les calembours
et j’admire le empty the jordan. J’admire le cri insensé : un rat ! J’
admire
les calembours de Hamlet, j’admire les carnages d
admire le cri insensé : un rat ! J’admire les calembours de Hamlet, j’
admire
les carnages de Macbeth, j’admire les sorcières,
’admire les calembours de Hamlet, j’admire les carnages de Macbeth, j’
admire
les sorcières, « ce ridicule spectacle », j’admir
ages de Macbeth, j’admire les sorcières, « ce ridicule spectacle », j’
admire
the buttock of the night, j’admire l’œil arraché
ères, « ce ridicule spectacle », j’admire the buttock of the night, j’
admire
l’œil arraché de Glocester. Je n’ai pas plus d’es
are a fait est fait une fois pour toutes. Il n’y a point à y revenir.
Admirez
ou critiquez, mais ne refaites pas. C’est fait. U
point de vue de la science. Il y a, certes, bien peu à apprendre et à
admirer
dans les poèmes latins du Moyen Âge et en général
e turque au même titre que la littérature allemande, pour y trouver à
admirer
, ont bien raison de sourire de ceux qui y consacr
ntiques, à quel titre leur décernons-nous le prix de la beauté ? Nous
admirons
une méditation de M. de Lamartine, une tragédie d
pyramide égyptienne, dans les cavernes d’Elora ? Non, certes. Nous n’
admirons
qu’à la condition de nous reporter au temps auque
ant obstinément au point de vue moderne, ne peuvent se résoudre à les
admirer
, ou y admirent précisément ce qui n’est pas admir
t au point de vue moderne, ne peuvent se résoudre à les admirer, ou y
admirent
précisément ce qui n’est pas admirable ou ce qui
n d’une aussi haute morale que l’Évangile ; les amateurs du Moyen Âge
admirent
de grotesques statuettes devant lesquelles les pr
tes mille fois plus beau que nos temples d’or et de marbre, élevés et
admirés
par des gens qui ne croient pas en Dieu. Un peu d
n’est pas tel poème de l’Inde qui est beau, c’est la vie indienne. Qu’
admirons
-nous dans le Télémaque ? Est-ce l’imitation parfa
ur place que plaquées par petits morceaux sur les murs d’un musée ? J’
admire
profondément les vieux monuments religieux du Moy
L’admiration absolue est toujours superficielle : nul plus que moi n’
admire
les Pensées de Pascal, les Sermons de Bossuet ; m
n’admire les Pensées de Pascal, les Sermons de Bossuet ; mais je les
admire
comme œuvres du XVIIe siècle. Si ces œuvres parai
xécute. » Les rhéteurs, qui prennent tout par le côté littéraire, qui
admirent
le poème et sont indifférents pour la chose chant
laissé la plus merveilleuse des épopées en action. Grande folie que d’
admirer
l’expression littéraire des sentiments et des act
ion littéraire des sentiments et des actes de l’humanité et de ne pas
admirer
ces sentiments et ces actes dans l’humanité ! L’h
Louvre dans les salles du musée espagnol, il y a plaisir sans doute à
admirer
de près tel tableau de Murillo et de Ribéra. Mais
la science des produits de l’esprit humain. Le vulgaire et le savant
admirent
également une belle fleur ; mais ils n’y admirent
lgaire et le savant admirent également une belle fleur ; mais ils n’y
admirent
pas les mêmes choses. Le vulgaire ne voit que de
ie intime et de ses mystères. Ce n’est pas précisément la fleur qu’il
admire
, c’est la vie, c’est la force universelle qui s’é
verselle qui s’épanouit en elle sous une de ses formes. La critique a
admiré
jusqu’ici les chefs-d’œuvre des littératures, com
que a admiré jusqu’ici les chefs-d’œuvre des littératures, comme nous
admirons
les belles formes du corps humain. La critique de
mirons les belles formes du corps humain. La critique de l’avenir les
admirera
comme l’anatomiste qui perce ces beautés sensible
a botanique un fleuriste amateur qui se contenterait de caresser et d’
admirer
les pétales de chaque fleur. La belle et grande c
renonce à la haute admiration. Elle seule, au contraire, a le droit d’
admirer
; seule elle est sûre de ne pas admirer des bévue
e, au contraire, a le droit d’admirer ; seule elle est sûre de ne pas
admirer
des bévues, des fautes de copistes ; seule elle s
ent qu’ils ne comprennent pas et qui font semblant de comprendre et d’
admirer
. Ce sont les faux dévôts de ce culte. Ils en usen
est un vêtement où quiconque peut se couler et, s’y étant introduit,
admirer
ou goûter la figure qu’il y fait. Un texte obscur
es vrais dévôts de ce culte-ci, assez nombreux encore, qui ne peuvent
admirer
que ce qu’ils ne comprennent pas. Ils existent ;
nos prises, nous défie. Par jeu, je disais dans ma jeunesse : « Je n’
admire
que ce que je ne comprends pas, que ce que je me
un certain tour de main, que je n’ai pas, je le ferais. Donc je ne l’
admire
pas, je l’approuve ; je ne l’admire pas, je le re
i pas, je le ferais. Donc je ne l’admire pas, je l’approuve ; je ne l’
admire
pas, je le reconnais ; il ne m’éblouit pas, il au
conséquent, m’impose ; il m’intimide ; il me fait un peu peur ; je l’
admire
; il y a dans toute admiration un peu de terreur.
rs à cette hauteur ou à cette profondeur, à cette distance de moi ; j’
admire
, je suis éperdu, je suis au moins inquiet, d’admi
ection 32, que malgré les critiques la réputation des poëtes que nous
admirons
ira toujours en s’augmentant La destinée des éc
stile se corrompe, quoiqu’on abuse de la langue, on ne laisse point d’
admirer
toujours le stile des auteurs qui ont écrit quand
comme l’Arioste, immortels sans vieillir. En second lieu, nos voisins
admirent
ceux des poetes françois que nous admirons déja,
n second lieu, nos voisins admirent ceux des poetes françois que nous
admirons
déja, et ils rédisent aussi volontiers que nous,
notre conduite, ont rendu justice au mérite de nos poetes. Comme nous
admirions
et comme nous traduisions leurs poetes dans le se
comme nous traduisions leurs poetes dans le seiziéme siecle, ils ont
admiré
et traduit les nôtres dans le dix-septiéme. Ils o
défier de l’approbation des anglois. Ils louent cependant Racine. Ils
admirent
Corneille, Despreaux et Moliere. Ils leur ont fai
que les critiques à venir fassent remarquer dans les écrits que vous
admirez
des fautes si grossieres, que ces écrits devienne
prouver l’excellence d’un poëme, et pour soutenir qu’il sera toujours
admiré
. Un systême faux peut, comme je viens de l’expose
ns ceux qui nous élevent, ceux qui nous instruisent durant l’enfance,
admirer
l’éneïde, leur admiration laisse en nous un préju
jugé, à moins que nous ne fussions fanatiques. Or, non-seulement nous
admirons
autant l’éneïde quand nous sommes des hommes fait
mirons autant l’éneïde quand nous sommes des hommes faits, que nous l’
admirions
durant l’enfance, et quand l’autorité de ceux qui
donc pas sa reputation aux traducteurs ni aux commentateurs. Il étoit
admiré
avant que d’avoir eu besoin d’être traduit, et c’
poëme excellent, parce qu’on leur eut dit au college qu’il le falloit
admirer
. Ils n’en avoient pas encore : mais parce qu’ils
emarques, qu’ils reconnoissent déja des fautes dans les poemes qu’ils
admirent
, et qu’ils ne changeront pas de sentiment, parce
ent donner lieu à plusieurs critiques bien fondées. Cependant ils ont
admiré
ces écrivains illustres autant que nous. Que nos
utoriserait au besoin, vous ne savez plus, hélas ! vous ne savez plus
admirer
! Admirer en présence des orateurs et des poètes
t au besoin, vous ne savez plus, hélas ! vous ne savez plus admirer !
Admirer
en présence des orateurs et des poètes qui ont en
ligence autant d’amour filial que de respectueuse fidélité. Celui qui
admire
trahit par le feu de ses regards, par l’intellige
leur volontaire abaissement devant les anciens qu’ils ont égalés. On
admirait
alors comme l’on croyait : car l’admiration est u
. Placez avec moi devant ces classiques aimés le jeune homme qui sait
admirer
: transporté par l’essor de l’imagination dans le
t ses yeux. Car il aura vu distinctement, à travers les chefs-d’œuvre
admirés
, le plus sublime des spectacles, la vertu couronn
ront point abandonner la lecture. On continuera de les lire et de les
admirer
, à moins que les poëtes à venir ne produisent que
ssi-bien que les anciens, les hommes continueront à les lire et à les
admirer
, et cette véneration ira toujours en s’augmentant
les que nous reverons pour avoir donné le jour à ces ouvrages. Nous n’
admirons
pas l’Iliade, l’éneïde et quelques autres écrits,
n les lisant, parce que tous les hommes qui les ont entenduës les ont
admirées
dans tous les temps. Enfin, parce que plusieurs s
verte, croit que cela lui plaît, et à mesure qu’il y comprend moins l’
admire
davantage, il n’a pas le temps de respirer, il a
t porté jusqu’aux cieux par de certaines gens qui se sont promis de s’
admirer
réciproquement, il croit avec quelque mérite qu’i
ce qui est fort intelligible. Un auteur cherche vainement à se faire
admirer
par son ouvrage. Les sots admirent quelquefois, m
auteur cherche vainement à se faire admirer par son ouvrage. Les sots
admirent
quelquefois, mais ce sont des sots. Les personnes
les vérités et de tous les sentiments, rien ne leur est nouveau ; ils
admirent
peu, ils approuvent. Je ne sais si l’on pourra ja
our pouvoir s’en passer, même à l’égard de ceux qui cherchent moins à
admirer
qu’à rire dans un auteur. Rabelais surtout est in
soutenue, et où un seul a suffi pour le projet et pour la dépense, j’
admire
deux choses, la tranquillité et le flegme de celu
ssé par un tout autre intérêt que par celui du public ou de l’équité,
admire
un certain poème ou une certaine musique, et siff
vant que des sujets indignes et fort au-dessous de ce qu’elle vient d’
admirer
, je m’étonne qu’elle soit capable pour eux de la
s peint tels qu’ils sont : il y a plus dans le premier de ce que l’on
admire
, et de ce que l’on doit même imiter ; il y a plus
ts justes, doux, modérés, non seulement ne les atteignent pas, ne les
admirent
pas, mais ils ne les comprennent point, et voudra
tique est-elle celle des beautés ou celle des défauts. — Du pouvoir d’
admirer
ou d’aimer. — Difficulté de découvrir et de compr
autres termes, le critique par excellence est celui qui sait le mieux
admirer
ce qu’il y a de beau, et qui peut le mieux enseig
mieux admirer ce qu’il y a de beau, et qui peut le mieux enseigner à
admirer
. Dans la connaissance qu’on prend d’un beau livre
ont l’horreur de la banalité, ils ont raison ; mais il n’est banal d’
admirer
que pour ceux qui ont l’admiration banale. La que
l, et il refuse à cet esprit les qualités ou les défauts variés qu’il
admire
ou pardonne chez toute autre nation. Tel d’entre
e nous qui se refuse encore à comprendre les bonnes pages de Zola, si
admiré
en Russie et relativement si classique dans les g
nt à son aide : la vie ne se vérifie pas, elle se fait sentir, aimer,
admirer
. Elle parle moins à notre jugement qu’à nos senti
go n’est pas principalement du siècle. Il est notre Verbe. Aussi je l’
admire
premièrement aux autres. Franz Ansel. — No
ilosophe. Et, pour regarder la poésie sous cet angle, nous ne pouvons
admirer
entièrement les écrivains du xixe siècle, qui on
e Musset, soliste intensément humain. Hippolyte Buffenoir. — J’
admire
et j’aime profondément Victor Hugo, Lamartine et
xtraits de son théâtre. Albert Cloüart. — Mon poète ! Certes j’
admire
Hugo pour ses imageries somptueuses, son souffle
la poésie et toute la pensée du xixe siècle. » Il est de ceux que j’
admire
sans les aimer : j’admire moins et je hais Baudel
sée du xixe siècle. » Il est de ceux que j’admire sans les aimer : j’
admire
moins et je hais Baudelaire (que je puis relire)
j’admire moins et je hais Baudelaire (que je puis relire) ; j’aime et
admire
Sagesse, la Bonne Chanson, Jadis et Naguère, le n
oureux émois à l’audition des grandes et magistrales orgues du Père —
admiré
— Hugo, et aux violons si câlinement tendres ou p
plus humbles étangs. Hugo universel et magnanime n’empêche pas que j’
admire
toujours à ses côtés et que j’aime autant que lui
ndré Foulon de Vaulx. — Votre question m’embarrasse beaucoup. Je n’
admire
jamais un artiste au détriment de ses égaux et je
siter Hugo. Mais vous me demandez quel est parmi eux, non celui que j’
admire
le plus, mais celui que j’aime le mieux. Tout en
ire, je n’ai pas de poète, aucun n’ayant écrit selon mon cœur. Mais j’
admire
les vers de tous les vrais poètes, particulièreme
ur cosmique, quel retentissement infini… Et cela ne m’empêche point d’
admirer
autant que personne la magnificence d’Hugo ; mais
nthèse, mais en puissance. En ce sens, il est panique. Et chez lui, j’
admire
tout, comme une brute. André Lemoyne. — Vi
, par ses remous, ses tempêtes, son ardeur toujours renouvelée ; mais
admirez
-le de loin, ne vous penchez pas trop sur lui, vou
en des talents aux affirmations très espacées l’excellence de beautés
admirées
incomplètes chez les plus grands génies. Et je su
ée : il la caresse avec superstition, puissance et gaucherie. Il ne l’
admire
jamais mieux que lorsqu’il la contemple de très l
s imaginer un instant qu’il ait vécu en un autre temps que le mien. J’
admire
Vigny, Lamartine, Hugo, Musset, Baudelaire, et d’
Adolphe Retté. — Mon poète, c’est Victor Hugo. Non pas que je l’
admire
exclusivement, mais parce qu’il est le poète du x
xe siècle qui a su émouvoir le plus d’hommes. Les esprits cultivés l’
admirent
pour certaines parties de son œuvre, la foule pou
u telle nation, mais à l’Humanité toute entière : si donc j’aime et j’
admire
passionnément lord Byron, Lamartine et Baudelaire
est mon poète. Sans hésiter je réponds que c’est lui : Hugo. Certes j’
admire
Vigny, Lamartine, Musset, Baudelaire, Verlaine. I
entre les œuvres de l’esprit humain, lorsqu’il s’agit d’induire et d’
admirer
. Il est temps que la raison cesse de critiquer le
iais d’ordinaire que l’admiration que l’on voue à l’Antiquité. On n’y
admire
pas ce qu’elle a d’original et de véritablement a
me son admiration ; on se figure enthousiaste du beau antique et on n’
admire
en effet que sa propre niaiserie. Admiration tout
former à l’usage, et parce qu’on se tiendrait pour un barbare si on n’
admirait
pas ce que les connaisseurs admirent. De là les t
iendrait pour un barbare si on n’admirait pas ce que les connaisseurs
admirent
. De là les tortures qu’on se donne pour s’exciter
trouver que des phrases simples et ne savent à quoi s’en prendre pour
admirer
, incapables qu’elles sont de concevoir la beauté
y a si peu de personnes capables d’avoir un jugement esthétique ! On
admire
de confiance et pour ne pas rester en arrière. Co
opos d’œuvres qu’on leur a bien persuadé d’avance être belles. Fréron
admire
Sophocle pour avoir respecté certaines convenance
t avec raison) que la Bible est admirable, tout le monde prétend bien
admirer
la Bible. Il est résulté de cette disposition fav
. Il est résulté de cette disposition favorable qu’on y a précisément
admiré
ce qui n’y est pas. Bossuet, que l’on croit si bi
e et infinie beauté de la nature humaine. Le savant seul a le droit d’
admirer
. Non seulement la critique et l’esthétique, qu’on
e. Tout est à la fois admirable et critiquable, et celui-là seul sait
admirer
qui sait critiquer. Comment comprendre par exempl
savant, sans connaître l’antique, sans avoir le sens du primitif ? Qu’
admire-t
-on d’ordinaire dans ces vieux poèmes ? De petites
e, de tel ou tel. 140. J’entendais, il y a quelques mois, un orateur
admiré
classer ainsi les religions du haut de la chaire
érités, c’est un péché. Un jour que je visitai M. Michelet, il me fit
admirer
autour de son salon les plus beaux sujets chrétie
r du Génie du Christianisme en lui refusant le titre d’helléniste. Il
admire
(Génie du Christianisme, liv. V, chap. I ou II) l
nt tôt ou tard une partie de la bataille. » I. La difficulté de faire
admirer
et goûter les Anciens à ceux qui n’en veulent pas
erfection morale naturelle qui ne s’est plus rencontrée depuis ; il y
admire
une morale primitive et populaire « qui ne se tra
ur infinie variété, des formes à la fois sévères et gracieuses, qu’on
admire
sans effroi : nulle part de ces immensités qui hu
er à celle des anciens rhéteurs et des humanistes. Ceux-ci, en effet,
admirent
les Anciens d’abord et ensuite, en tout et partou
en leur excellence ; le lecteur doit être convaincu que, s’il ne les
admire
point pleinement, c’est sa faute et non la leur.
i ouvrira les yeux de plus en plus, jusqu’à ce qu’il ait appris à les
admirer
, jamais autant qu’il le méritent, assez du moins
on de douter de sa propre sagesse, il est bon de croire, il est bon d’
admirer
. En tenant continuellement les regards élevés, no
beau nous communiquent à nous-mêmes une partie des qualités que nous
admirons
; et ici, comme en toute autre chose, l’humilité
a chose impossible. Les auteurs ont toutes sortes de motifs de ne pas
admirer
, ni même goûter les ouvrages de leurs confrères,
. Il est un homme qui se détache de la troupe et qui prétend se faire
admirer
, au moins se faire écouter et nous divertir. Ce n
miner, comparer, raisonner, discuter, juger ; — le lecteur doit enfin
admirer
, s’il y a lieu, ce qui a comme passé successiveme
sympathie et par sa critique ; l’auteur doit enfin approuver et même
admirer
, s’il y a lieu, ce qu’il a conçu dans la foi et d
ligente, l’admiration consciente, l’admiration qui sait pourquoi elle
admire
? Donc, que devient le mot de La Bruyère ? Il est
’est une attestation de supériorité que l’on se donne, « Que d’autres
admirent
tel ouvrage ; c’est affaire à eux ; c’est bien po
en possession de l’auteur. Tout de même, ou à peu près tout de même,
admirer
, c’est avouer que l’on est ébloui, fasciné, étour
ant qui est de se contempler n’admirant point et de se féliciter de n’
admirer
pas. N’en doutez point, Martin, c’est toujours so
ession l’auroit obligé à faire sa principale étude de ces sciences, n’
admire
point l’étendue des connoissances des anciens, qu
homme à tout prendre, plus habile que les medecins d’aujourd’hui. Ils
admirent
sans prétendre les égaler, sa pratique et ses pré
t à ses contemporains. En effet, ces contemporains ne pouvoient point
admirer
les faux brillans et le stile hérissé de pointes
annoncerent la décadence des esprits, tandis qu’ils continueroient d’
admirer
le stile noble et simple des écrivains du siecle
s. En parlant de Massillon, je dirai comment Voltaire aurait pu moins
admirer
le Petit Carême sans cesser d’être juste. Quant a
utations et des rangs. La première fois qu’il traite du sermon, il en
admire
le plus parfait modèle dans Massillon ; il mentio
peut avoir pour effet d’ôter des lecteurs à Bossuet, et de faire trop
admirer
Massillon, est une erreur que la critique doit re
e ambition de la chaire chrétienne. Elle était digne de Bossuet, et j’
admire
qu’avec une science si profonde des cœurs, quand
roire. On n’en a pas fini avec les beautés de ces sermons, quand on a
admiré
la doctrine et la morale dont Bossuet élève les m
contre les courtisans, il laissa se glisser l’esprit de cour, et fit
admirer
aux grands la main habile qui leur portait des co
dmirable dans les livres, il ne nous avertit pas de tout ce qui est à
admirer
. Il est la partie la plus exquise du jugement dan
uvenargues. Quelques-uns rencontraient souvent la vérité, mais on les
admirait
plus souvent pour l’avoir manquée. C’est au beau
é de ces novateurs qui impatientent si fort Vauvenargues, et pour qui
admirer
le dix-septième siècle n’était qu’un préjugé pass
que juste, on risquait encore de n’avoir pas le public pour soi. Les
admirer
, c’était frapper au visage Fontenelle et ses amis
olémique. Il ne veut pas affliger de ses préférences Fontenelle qu’il
admire
, quoique sans illusions. On n’avait encore rien d
cine ; mais il a fallu que Voltaire lui apprît Corneille. Encore ne l’
admire-t
-il que par déférence : il ne conteste plus, il ne
e à Molière, il les lui prête. Et cependant, c’est dans Molière qu’il
admire
« ces dialogues qui jamais ne languissent, cette
ance. » 72. Ainsi, dans le sermon sur la Conception de la Vierge, il
admire
dans Marie « la fidélité de précaution et la fidé
éon Bloy. (Peut-être va-t-il m’interdire naïvement de l’aimer et de l’
admirer
, moi qui ne suis pas catholique, et qui fais des
qui ne suis pas catholique, et qui fais des réserves, et qui aime et
admire
autant des puissances et des beautés égales et di
e, sans injustice excessive, proclamer son néant. Il n’y a guère qu’à
admirer
la verve implacable avec laquelle Léon Bloy relèv
raisons d’espérer. Pour ma part, avec une inquiétude qui s’efforce d’
admirer
, je m’étonnais devant les Morticoles, devant le V
norme, superbe malgré les incohérences et l’absence de maîtrise. Je l’
admirais
comme un orage dont l’angoisse s’illumine à la br
ture, se crée d’artificiels sentiments, M. Léon Daudet semble parfois
admirer
un Kamtchatka5. » Je ne voyais pas, je ne voulai
commerce sont des catholiques. D’ordinaire, un vulgarisateur aime et
admire
les connaissances qu’il répand. M. Godard n’échap
jurer) in verba magistri, nous ne sommes pas assez volontaires, nous
admirons
chez les autres et chez nous tout ce qui nous en
ès favorable au grand Frédéric, rien de mieux ; mais non seulement il
admire
ses écrits, il admire encore (juin 1754) l’apolog
Frédéric, rien de mieux ; mais non seulement il admire ses écrits, il
admire
encore (juin 1754) l’apologie de sa politique : «
onne : il était son camarade de collège ; il le goûtait vivement et l’
admirait
; ministre, il avait tout fait pour l’employer, p
e que d’Argenson ne se fait aucune illusion sur l’homme éminent qu’il
admire
; il qualifie nettement ses défauts de caractère
re percent à la vérité quelquefois dans ce qu’il prise, dans ce qu’il
admire
et dans ce qu’il rejette. Au fond, il est avare e
onnaisse de cette science politique est l’abbé de Saint-Pierre, qu’il
admire
sans réserve, sauf la forme, et dont, selon lui,
. Ce n’est point l’art ni la difficulté surmontée que je cherche et j’
admire
. Mon esprit a peu de curiosité d’autres esprits,
ses doigts et chercher à lui donner les formes de la figure que l’on
admire
, quoi de plus naturel d’instinct ? quoi de plus s
est métamorphosé en marbre. Quiconque a vu ce bloc gigantesque, qu’on
admire
aujourd’hui dans la galerie du prince Torlonia à
el commentateur désintéressé la plus noble des passions, la passion d’
admirer
, qui fait tout comprendre ! XVIII Et maint
vie, si ce n’est pas la plus belle ! la part du dilettante, la part d’
admirer
et de jouir de ce que tu admires ! la part du bea
e ! la part du dilettante, la part d’admirer et de jouir de ce que tu
admires
! la part du beau pour le beau ! XIX Renonc
et stérile ; mon cœur cherchait à s’émouvoir, mes yeux cherchaient à
admirer
. Rien ! Je ne sentais que ce qu’on éprouve à la v
doit aller secouer le linceul et essuyer la poussière. Pour moi, je l’
admire
, et je m’en vais sans aucun désir de le revoir. L
s pour tailler, un peuple pour solder, et des yeux pour comprendre et
admirer
un pareil édifice ! Où retrouvera-t-on et une épo
op fort à l’aspect du premier de ces édifices, n’a plus de force pour
admirer
les autres. Il faut voir et s’en aller, en pleura
rs. L’œil ne peut s’en arracher ; on les regarde, on les suit, on les
admire
, on les plaint avec ce sentiment qu’on éprouverai
embrasse l’ordre des volontés divines, des destinées humaines ; elle
admire
qu’il ait été donné à l’homme de s’élever si haut
, de Praxitèle et de Phidias. LXIX Vous qui ne pouvez pas aller
admirer
ce génie sur place, lisez et relisez ces pages, e
Paris par un romancier naturaliste, on pourra croire que le lecteur n’
admirera
ce morceau que s’il est exact, c’est-à-dire s’il
ntes ressemblances entre ce qu’ils aiment et ce qu’ils sont. Stendhal
admire
le mélange de passion et de réalisme des ancienne
dant pour la sincérité de leur lyrisme ; Mérimée dénigre Victor Hugo,
admire
Stendhal et parfois Byron ; Musset ne cachait pas
yron ; Lamartine aimait Ossian ; Théophile Gautier et les parnassiens
admirent
Victor Hugo, dans lequel cependant ils préfèrent
penseur ; Baudelaire affectionne Poe, Gautier et Delacroix ; Flaubert
admire
à la fois Balzac, Hugo et certains livres de scie
balzacien avec un penchant vers Courbet et Musset ; Augustin Thierry
admirait
Chateaubriand et Walter Scott ; Michelet inclinai
, des tempéraments définis, une manière d’être dont les livres qu’ils
admirent
sont l’expression approchée. Certains auteurs son
organisation mentale de l’admirateur et celle de l’homme dont l’œuvre
admirée
est le signe. Nous avons vu plus loin comment les
s à la fois de l’organisation mentale générale des masses qui les ont
admirées
, signes de l’organisation mentale particulière de
us est accessible. Les âmes qui retrouvent en cette œuvre leur âme, l’
admirent
, se groupent autour d’elle et se séparent des hom
rce que celle-ci l’a produite, mais parce que celle-ci l’a adoptée et
admirée
, s’y est complue et reconnue. IV L’analyse
ort, selon moi, de ne voir absolument, dans les délicatesses que vous
admirez
et que vous semblez si bien goûter, qu’un résulta
és ; car j’y dois critiquer quelquefois ceux que je voudrais toujours
admirer
51. Chargé de diriger la marche encore incertaine
à la gloire littéraire du xixe siècle, et nous en sommes fiers, nous
admirons
beaucoup et nous espérons beaucoup, mais nous fai
un geste de l’orateur avait indiqué celui qu’il aurait voulu toujours
admirer
. S.-B.
Rambouillet l’entretint dans ce tour d’esprit, même après qu’elle eut
admiré
dans les écrits de Port Royal un style proportion
e : c’est le regret du passé, mêlé de je ne sais quel dépit d’avoir à
admirer
et à aimer ce qui le remplace. Tout cela est lége
Un autre avantage de Bossuet sur Saint-Simon, c’est que Bossuet sait
admirer
et que Saint-Simon l’ignore. A voir de quelle hau
es choses humaines. Aucun homme plus grand n’a pourtant trouvé plus à
admirer
. Au-dessus, par le caractère, de toutes les passi
de la conviction que la surprise. Saint-Simon nie ou critique ; il n’
admire
pas. Vrai type d’un certain esprit d’opposition,
tice et le mal par passion. S’il y a tant de choses et de personnes à
admirer
dans ses Mémoires, elles le doivent à son honnête
pas du reste la faute de son humeur, s’il y avait plus à blâmer qu’à
admirer
dans le temps dont il a tracé la chronique. Quand
1 . Ne cherchons donc pas ce qui manque à la langue de Saint-Simon ;
admirons
-y plutôt cette justesse rapide, ces grands traits
esse rapide, ces grands traits non tâtés, ces mâles appas que Molière
admire
dans la fresque. On peut être un grand écrivain e
lle ait été si mal critiqué dans un temps où il était si médiocrement
admiré
. Où Perrault ne voit qu’un brutal, Boileau n’admi
t si médiocrement admiré. Où Perrault ne voit qu’un brutal, Boileau n’
admirait
qu’un type de la colère. Il y a tout un Achille q
odernes. Il met au même rang les médiocres et les excellents, et il n’
admire
pas les excellents par les bonnes raisons. Bossue
qu’une sorte de mérite ; il en est un autre plus rare, qui consiste à
admirer
les beautés partout où elles sont. Pour qui n’a p
son peu de goût pour les anciens. Il n’a pas le sens de l’admiration.
Admirer
n’est pas éprouver une courte surprise après laqu
it son âme tout entière, réveillée par quelque apparition des beautés
admirées
toute sa vie et qu’il s’était comme incorporées.
up d’admiration pour le grand Corneille, son oncle ; je doute qu’il l’
admire
autant qu’il le dit. Si j’en juge par le ton de s
qui gênait son projet de vivre entre les vertus et les vices, ne rien
admirer
pour ne pas s’engager, se mettre au-dessus de tou
Jeune, il se moquait de l’admiration ; vieux, il n’empêche pas qu’on
admire
, et par moment, il nous y aide. De toutes les qua
rages durables. Mais ces ouvrages sont de ceux qu’on goûte et qu’on n’
admire
pas. Fontenelle n’a pas voulu de l’admiration pou
tromper. Cette précaution prise, on peut se donner le plaisir de les
admirer
, soit qu’ils appliquent à des réformes sensées le
oyez-moi, fermez Corneille maintenant et ouvrez Racine. » Madame Sand
admire
un peu malgré Leroux, qui ne trouve pas sans dout
eroux, qui ne trouve pas sans doute Lucrèce assez avancée : mais elle
admire
. Elle du moins est franche du collier et sans les
2° Le gros du monde, même des gens d’esprit, est dupe des genres : il
admire
à outrance, dans un genre noble et d’avance autor
n cercle nombreux m’environne et contemple de toutes parts en moi, et
admire
, en l’écoutant, les merveilles de l’organisation
e ayant consolé et rassuré le genre humain. Ce plan d’éducation que j’
admire
chez Rabelais, chez Montaigne, chez Charron et ch
ouvient de Lucien, ou mieux encore de Platon. Nul auteur n’a été plus
admiré
que Rabelais, mais il l’a été de deux manières et
mme par deux races, très distinctes d’esprit et de procédé. Les uns l’
admirent
encore moins qu’ils ne le goûtent ; ils le lisent
tirent comme la moelle de l’os, et qu’ils savourent. Cette manière d’
admirer
Rabelais est celle de Montaigne, qui le range par
t avait bien autant d’esprit que Rabelais. Il y a une autre manière d’
admirer
Rabelais, c’est de vouloir en faire un homme de s
beaucoup de mauvais tableaux. J’aime à louer. Je suis heureux quand j’
admire
. Je ne demandais pas mieux que d’être heureux et
eux quand j’admire. Je ne demandais pas mieux que d’être heureux et d’
admirer
…
qu’on prenait à décrire si longuement leurs mœurs, et surtout à faire
admirer
leur industrie : « Car enfin, disait-il, une mouc
en même temps de toutes les manières possibles, afin que l’homme pût
admirer
également et la magnificence de l’exécution et la
on a faite il y a seize ans d’un Buffon supérieur à celui qu’on avait
admiré
jusqu’ici, ne va-t-on pas lui prêter un peu, et d
ul m’empêche de multiplier ces citations. Voilà Buffon singulièrement
admiré
. Ce qui est vrai, c’est que les grandes hypothèse
bien l’importance qu’y accordent les nouveaux admirateurs de Buffon.
Admirons
Buffon, ne l’inventons pas, je vous prie. Dans un
ttre sur le front un nuage. On devrait toujours se demander, quand on
admire
si fort un génie du passé : « Qu’aurait-il dit de
ion pour cette apparence était féconde ; elle préparait les esprits à
admirer
l’art lui-même. A Jodelle succéda Garnier. Il con
t de regretter ce qui a manqué à Corneille, donnons-nous le plaisir d’
admirer
tout ce qu’il a créé. Il a créé toutes les formes
die depuis Nicomède et Don Sanche ; et, même dans ces deux pièces, on
admire
moins le mélange du tragique et du comique que le
i-même comme il eût fait d’un autre ; aimant ses qualités jusqu’à les
admirer
, comme s’il n’y avait eu aucun mérite ; critiquan
euvent être vertueux que dans la mesure de la faiblesse humaine. On a
admiré
l’esprit que déploie Corneille pour varier par le
cte, son chef-d’œuvre. Après ces grands ouvrages, on ne trouve plus à
admirer
que des actes dans des pièces imparfaites ; et pl
te, on garde néanmoins une préférence de cœur pour le Cid, si on ne l’
admire
pas plus, peut-être l’aime-t-on davantage. Un cha
s comme ils devraient être. Il y a plus dans Corneille de ce que l’on
admire
et de ce que l’on doit imiter33… » Ce jugement es
de choses touchent le cœur et contentent la raison, où il y a tant à
admirer
, rien n’étonne. Dès que les caractères se sont fa
partie de ses fautes à la charge de ses contemporains, il faut, pour
admirer
Racine sans superstition, laisser à l’époque plus
e semble que j’ai une oreille faite pour votre voix. Aussi je ne vous
admire
pas seulement du fond de l’âme, mais du fond du c
r, produire c’est charmer, et lorsqu’on écoute comme je sais écouter,
admirer
c’est aimer. [Lettre (14 mai 1838).] Auguste V
sans doute : le moment arrive toujours, même pour les poètes les plus
admirés
, où la réflexion reprend ses droits. Mais, si le
s de l’auteur, il est malaisé de ranger cette œuvre, tour à tour trop
admirée
et trop négligée, à sa place définitive. On est e
met À cette heure, nous sommes fatigués des spectacles, nous avons
admiré
et analysé trop de tours d’adresse et de force :
qui, s’ils l’osaient, le répéteraient tout haut. En tous cas, ceux-ci
admirent
beaucoup Teniersa sur parole ; mais je ne sache p
ait un libérateur, c’était un envoyé de Dieu pour les gens fatigués d’
admirer
Racine ; ils trouvaient dans ses livres une nourr
mais vous nous feriez haïr Shakespeare, si nous étions forcés de vous
admirer
en lui. Vous avez d’autres points de repère, me d
l nous faut une révolution. Il faut que nous ne soyons plus obligés d’
admirer
des choses comme Profils et Grimaces sous peine d
cie avec effusion les chenets qui se mettent dans le feu pour nous, j’
admire
les chaudrons… et il y a des moments où il me sem
et vous laissera vous mettre à son niveau pour que vous puissiez vous
admirer
, vous plaindre, vous bénir et vous remercier vous
s nous prêchez votre religion saugrenue, et vous voulez que l’on vous
admire
et qu’on croie votre orgueil justifié. J’ai dit v
otre avis, et croyez que ce n’est pas une raison, parce qu’on ne vous
admire
pas, pour qu’on soit un sot ou un envieux. On adm
ce qu’on ne vous admire pas, pour qu’on soit un sot ou un envieux. On
admire
autre chose, on admire toujours quelque chose. Et
pas, pour qu’on soit un sot ou un envieux. On admire autre chose, on
admire
toujours quelque chose. Et maintenant, adieu, je
ont faites. « Quant à lui personnellement, il doit se contempler et s’
admirer
à pied et à cheval ; tous ses désirs, ses pensées
a vie doivent lui être merveilles et prodiges à raconter. Celui qui s’
admirera
le mieux sera le plus grand. Il ne pourra rien co
livres : aussi tous les jours, des gens qui crient contre le Réalisme
admirent
sans le savoir des auteurs très réalistes. Le mot
arrêtés. Tel criera que Ponsard n’est bon que pour les bourgeois qui
admirera
M. Edm. About. D’autres se pâmeront autour de M.
t beau. Pourquoi donc tout rapporter à l’antique ? Ne suffît-il pas d’
admirer
ce qui mérite de l’être, sans copier sans cesse l
entations, pour d’autres, celle de conduire des visiteurs de province
admirer
tel ou tel acteur qui ne va pas en représentation
prit vulgaire. — Tous les gens qui font des vers, à Paris, feignent d’
admirer
, par esprit de corps. Cette œuvre est mauvaise :
sard à ces gens-là ? d’où leur vient ce dédain pour lui ! Mais, s’ils
admirent
M. Bouilhet, ils devraient en trouver cent autres
fourreau étaient une jolie chose, pour que les hommes soient forcés d’
admirer
aujourd’hui encore les robes à fourreau. Ce qui r
ait un libérateur, c’était un envoyé de Dieu pour les gens fatigués d’
admirer
Racine ; ils trouvaient dans ses livres une nourr
mais vous nous feriez haïr Shakespeare, si nous étions forcés de vous
admirer
en lui. Vous avez d’autres points de repère, me d
Il nous faut une révolution. Il faut que nous ne soyons pas obligés d’
admirer
des choses comme Profils et Grimaces, sous peine
cie avec effusion les chenets qui se mettent dans le feu pour nous, j’
admire
les chaudrons… et il y a des moments où il me sem
et vous laissera vous mettre à son niveau pour que vous puissiez vous
admirer
, vous plaindre, vous bénir et vous remercier vous
s nous prêchez votre religion saugrenue, et vous voulez que l’on vous
admire
et qu’on croie votre orgueil justifié. J’ai dit v
otre avis, et croyez que ce n’est pas une raison, parce qu’on ne vous
admire
pas, pour qu’on soit un sot ou un envieux. On adm
ce qu’on ne vous admire pas, pour qu’on soit un sot ou un envieux. On
admire
autre chose, on admire toujours quelque chose. Et
pas, pour qu’on soit un sot ou un envieux. On admire autre chose, on
admire
toujours quelque chose. Et maintenant, adieu ; je
x champs et il y voit l’humanité ! Et c’est là comprendre ; cela est
admiré
comme sublime. Il y a vraiment une lâcheté des mo
action de la conscience et pour le but lui-même, et non pour se faire
admirer
par les bourgeois et par le public. S’ils étaient
ète les œuvres des maîtres que l’œil est depuis longtemps accoutumé à
admirer
, il est rapidement remarqué et estimé ; tandis qu
e est ainsi fait qu’il tire vanité de ses admirations : il se pique d’
admirer
pour des raisons qui lui appartiennent, et il s’a
il se pique d’admirer pour des raisons qui lui appartiennent, et il s’
admire
alors lui même d’admirer avec tant d’originalité.
ur des raisons qui lui appartiennent, et il s’admire alors lui même d’
admirer
avec tant d’originalité. Par là, le critique même
eau encore, et je conçois que M. Oscar de Vallée l’ait si éloquemment
admiré
. Il l’a admiré avec un enthousiasme, un abandon,
je conçois que M. Oscar de Vallée l’ait si éloquemment admiré. Il l’a
admiré
avec un enthousiasme, un abandon, un frémissement
laté. Sans les Jacobins, nous ne l’aurions pas ! Madame de Staël, qui
admirait
Byron comme M. Oscar de Vallée admire Chénier, di
ns pas ! Madame de Staël, qui admirait Byron comme M. Oscar de Vallée
admire
Chénier, disait du Farewell qu’elle aurait voulu
éloquentes, il touche avec émotion les choses profondes. M. Villemain
admire
beaucoup, et nul ne sait mieux que lui varier les
es Martyrs, si attaqués à leur naissance, et donnait le signal de les
admirer
. Depuis lors, les choses ont bien changé ; la cri
La Henriade à juger, il donne toutes les bonnes raisons de ne point l’
admirer
, de ne la ranger à aucun degré à côté des œuvres
’aurai réellement pas à conclure, et que, tout balancé, je ne puis qu’
admirer
des deux parts sans incliner à une préférence. Le
paraît piètre penseur, mal renseigné et peu spéculatif, autant nous l’
admirons
pour son génie incomplet et puissant ». Je l’admi
, autant nous l’admirons pour son génie incomplet et puissant ». Je l’
admire
aussi, en un sens plus familier, pour la bonne fo
prendre Zola autrement que les rastaquouères, mais je crois qu’elle l’
admirera
. — Ce succès à faux, quoique mérité, ne tourmente
les scenes bien liées entre elles seront froides. Voilà pourquoi nous
admirons
plusieurs poëmes qui ne sont rien moins que regul
emiers chapitres du livre suivant, qu’il ne laisse rien à faire que d’
admirer
sa penetration et son grand sens. Cette partie de
hanté par la poësie du stile de ces ouvrages ne se lasse point de les
admirer
, et il les place fort au-dessus de plusieurs autr
ntes, qui conviennent si bien à tout homme qui a le malheur de ne pas
admirer
tout ce qu’admirent les gens en possession de l’o
nt si bien à tout homme qui a le malheur de ne pas admirer tout ce qu’
admirent
les gens en possession de l’opinion publique, san
; des vieux lierres, des coins noirs, des sentiers, des odeurs. On y
admirait
un reste de façade écroulée avec des masques de p
ue souffrant, il avait tenu à me conduire sur le balcon pour me faire
admirer
le décor mouvant des verdures. Il dut rentrer pré
gue tout ce qu’elle contient, tout ce qu’elle cache ? Pourquoi ne pas
admirer
M. Victor Hugo, quand il lui arrive, dans ses ing
ciel, on sent qu’il ne regarde pas à ses pieds ; on s’inquiète, on l’
admire
avec je ne sais quelle crainte… C’est qu’au bout
ne ; sinon encore que nos fils ne se donneront pas tant de peine pour
admirer
le bon et critiquer le mauvais, et que le nom de
lgence pour un grand poète. » Ne nous fermons pas le cœur pour ne pas
admirer
de belles choses, et, quand nous avons dit ou écr
ginal ; telle liberté de pensée effrayera dans l’imitation qui serait
admirée
de confiance dans la Bible. J’explique ces scrupu
trois mille ans, qui ne touche à aucune passion contemporaine ; on l’
admire
sans préjugé ni préoccupation désobligeante ; on
te des temps hébraïques, sous l’esprit de Dieu, doit-on craindre de l’
admirer
, parce qu’il est arrivé par l’art, les souvenirs,
s adieux d’amour du jeune Athénien à la fille de Lesbos, Symétha, qui
admire
naïvement la mer et lui jette des fleurs, et n’éc
rien de si sot, pour l’amour-propre, que de venir, après les autres,
admirer
ceux dont on a méprisé les débuts. J’ai bien peur
rechercher quelle influence ou quel bienfait la Providence y a mis. J’
admire
qu’on nous dise : « Il n’y a plus de poésie possi
oètes ? C’est qu’ils croient pouvoir produire ce qu’ils ne peuvent qu’
admirer
. Autrement, qui expliquera que des hommes honorab
de ceux qui méprisent philanthropiquement le passé, ni de ceux qui l’
admirent
savamment, mais qui se sent ému à la vue d’un mon
vastes intelligences. Le génie de Pétrarque s’épuisait paisiblement à
admirer
des littératures éteintes ; il n’inventait que po
on pour une belle renommée, mais point par besoin. Et moi-même, qui l’
admire
et qui l’aime, mais qui sens ma fibre poétique en
e condescendance qui s’estime haut et qui se fait payer cher ; nous n’
admirons
guère que quand notre amour-propre a été surpris,
n’admirons guère que quand notre amour-propre a été surpris, et nous
admirons
si froidement, que, pour peu qu’une personne impo
tume contre les personnes, tout en augmentant en moi la disposition à
admirer
; parce qu’elle me rend docile aux conseils de ce
st que les plus beaux noms de la littérature facile commencent à être
admirés
en province. Or, à un mouvement de hausse en prov
ontes d’hommes ; mais ils prouvent seulement qu’il y a des femmes qui
admirent
et qui envient le talent de nos conteurs : c’est
i condamnent au péché de sottise et d’ignorance quiconque résiste à l’
admirer
; le drame, grand préfacier, dont apparemment les
le, sous une raison sociale, avec profils et dépens communs, que de l’
admirer
avec profits tout d’un côté et dépens de l’autre,
é à son talent, qui a fait passer tant de paradoxes : il a mieux aimé
admirer
en masse la jeune littérature que la défendre en
a jeune littérature que la défendre en détail, et de quel air il vous
admire
, messieurs ses confrères, les glorieux collaborat
, les glorieux collaborateurs au même œuvre ! Quel malheur que d’être
admiré
ainsi ! Jules Janin plaidant pour la jeune littér
x grands poètes, quelques vérités d’art et de goût qui les lui feront
admirer
avec plus de discernement. Février 1871. III.
défauts étaient expliqués et par conséquent atténués, et les beautés
admirées
hors de toute mesure, ceux-là mêmes commencent à
, qui est né avec ce siècle, qui a donné tant d’espérances, qui a été
admiré
par ceux mêmes qui ne l’aimaient point, en serait
ager. Ce n’est pas ce concours admirable de toutes les facultés qu’on
admire
dans les ouvrages, d’ailleurs si distingués, de M
e l’imagination, qui les colore. Ce n’est pas la description que nous
admirons
dans les antiques épopées, cette description simp
et pourtant ses ouvrages n’excitent pas une curiosité médiocre. On l’
admire
, on ne l’aime pas ; il occupe ses contemporains d
ennent et se lient. On aime peut-être encore plus Béranger qu’on ne l’
admire
. L’Angleterre craignait lord Byron. C’est par l’a
nnaît cette faiblesse à M. de Lamartine, lequel passe, dit-on, pour s’
admirer
lui-même plus que ne font tous ses amis ensemble,
ui. Celui qui s’approuve peut quelquefois se juger ; mais celui qui s’
admire
ne se juge jamais. Que ne faut-il pas craindre d’
amoureux de ce qu’il vient d’écrire, Ravi d’étonnement, en soi-même s’
admire
; ajoute : Mais un esprit sublime en vain veut
e opinion de soi n’est plus qu’une répartition équitable des rangs. J’
admire
même que M. de Lamartine soit demeuré dans cette
es, soit naturellement, soit par imitation, critiqué avec admiration,
admiré
avec adoration, comparé tantôt à l’aigle qui rega
ritiques pour défaut de compétence, et pour se consoler de n’être pas
admiré
de son vivant. La théorie de l’art pour l’art ne
nd, que, vingt ans après sa mort, Boileau n’osait pas encore ne pas l’
admirer
. Tous les yeux n’ont-ils pas été tournés un momen
saient pas seulement aux écoliers, aux femmes, à tous les esprits qui
admirent
sans juger ; ils plaisaient aux hommes sérieux, a
avec un rare talent, cet autre caprice d’imagination qui a fait tant
admirer
à nos pères l’art de la périphrase, n’est-il pas
ame de Sévigné, l’amie du vieux Corneille, qui s’est résignée enfin à
admirer
quelque chose de Racine. Qu’admire-t-elle donc ?
eille, qui s’est résignée enfin à admirer quelque chose de Racine. Qu’
admire-t
-elle donc ? C’est, dans Mithridate, l’amour de Xi
négligées ou méconnues ? Pourquoi, si je n’ai pas perdu la faculté d’
admirer
, ne conclurais-je pas que ce que j’ai pu cesser d
a faculté d’admirer, ne conclurais-je pas que ce que j’ai pu cesser d’
admirer
n’a jamais été admirable ? Je regarde donc comme
tat apathique et contemplatif des Indiens ? Il faut peu de temps pour
admirer
; mais il en faut beaucoup pour lire. Qu’on nous
rcé sur moi, et qui n’a pas cessé avec sa vie, que, ne l’ayant jamais
admiré
qu’avec des réserves, je n’ai jamais été content
dit pour défaut d’exactitude. Si ce n’est pas là tout Carrel, on ne l’
admirera
que plus pour ce que j’aurai omis d’en dire ; et
s ennemis du leur. Les amis politiques sont durs et exigeants ; ils n’
admirent
dans leurs chefs que les qualités d’un instrument
a critique qui pourra m’être faite des deux côtés, d’avoir mieux su l’
admirer
que le juger. J’écris ces pages pour un grand nom
el, les autres professant même une croyance différente, l’ont aimé et
admiré
pour l’honneur qu’un tel homme faisait à son pays
agéré ni dans l’illusion. I. Carrel homme politique Les partis n’
admirent
dans un homme politique que l’unité et l’immobili
ait-il ; ceci eût été plus spécieux et nous eût plus embarrassés. » J’
admirais
d’autant plus cette flexibilité d’esprit, que ces
l ne le voyait mieux, ni de plus près, ni d’un œil moins troublé Nous
admirions
son sang-froid, surtout dans les circonstances gr
e plus d’honneur à l’homme et sont d’un plus grand exemple. Aussi les
admire-t
-on plus que ces dernières, et les estime-t-on si
m’en ont dit ses amis ce que j’en ai connu plus tard, je ne puis trop
admirer
que le même homme, qui avait été si difficile, fû
on l’excitait Nous parlions quelquefois de l’éducation des Grecs ; il
admirait
beaucoup qu’on y eût attaché de la gloire aux exe
su de la même source que, rentrant un jour de l’Opéra, où il venait d’
admirer
la charmante Taglioni, il se mit à danser, disant
ge, preuve que leur cause n’est pas la sienne. Leurs consciences sont
admirées
; qui ne les admirerait pas ? mais leurs idées so
use n’est pas la sienne. Leurs consciences sont admirées ; qui ne les
admirerait
pas ? mais leurs idées sont jugées avec sévérité.
ême temps que les débuts de Carrel, soit un certain penchant à ne pas
admirer
de trop bonne heure un homme qu’il faudra bientôt
nt à ne pas admirer de trop bonne heure un homme qu’il faudra bientôt
admirer
sans réserve ? Les débuts littéraires de Carrel o
opulaires. L’armée peut commander par une certaine manière d’obéir. J’
admirerais
moins cette vue dans un écrivain chez qui aucune
ifier n’auraient troublé la spéculation pure ; mais je ne puis trop l’
admirer
dans un homme de vingt-huit ans, écrivain faute d
c une grandeur qui laissera de longs souvenirs. Cette polémique a été
admirée
de ceux mêmes qui la craignaient, soit qu’on la c
qu’en France on n’ait jamais assez peur du talent pour se priver de l’
admirer
! Il est certain qu’entre les mains de Carrel le
es témoignages de personnes considérables, qui n’ont pas l’habitude d’
admirer
au hasard. L’Angleterre a justement un petit recu
pour épier, tous les matins, sa liberté aventureuse ; d’autres qui l’
admirent
le désavouent ; la masse, qu’il trouble dans son
n ! On prête à M. le duc d’Orléans un mot sur la mort de Carrel, où j’
admire
plus qu’une générosité de bon goût. « C’est, aura
té deux en l’écrivant. Or cela n’arrive qu’aux très honnêtes gens. On
admire
justement le mot de Pascal : « On cherchait un au
s écrire. Quand les enfants de M. Saint-Marc Girardin seront en âge d’
admirer
ce qu’il a écrit de si fin sur les bons instincts
peu lue, ou même oubliée, M. Saint-Marc Girardin trouve des choses à
admirer
. Au lieu d’accabler tout d’abord un ouvrage en le
’air de les créer, et qu’il ne nous humilie pas de son rare savoir. J’
admire
surtout avec quelle douce autorité il nous fait a
n penser. Tout cela se passe au fond d’eux, et il n’en paraît rien. J’
admire
les beaux côtés de cette double discrétion ;, mai
r pour quelques-uns, tentateur pour le plus grand nombre, Byron était
admiré
de tous. Le petit nombre même que l’âpreté d’une
blées, et bientôt il ne fut plus possible autour de lui de ne point l’
admirer
et de ne point le blâmer. Lord Byron en fut ébran
pays, ce poëte si populaire se retirait devant les mœurs nationales,
admiré
pour son génie, chassé pour l’usage qu’il en avai
ts qui passent. Celle-ci, comme la plus extérieure, avait été la plus
admirée
; ce fut aussi la première dont on se lassa. La g
e seulement l’effet de ces usages sur les mœurs de la nation, et je l’
admire
. Cette association des idées positives, si fort d
ecteur l’admiration ou le blâme. Que disent ces poésies, autrefois si
admirées
, soit à ceux qui les lisent pour la première fois
ent été sagement combinés. Tel qu’il est, c’est un chaos digne d’être
admiré
; lumière et ténèbres, esprit et poussière, passi
prouve que ce n’était pas chose si simple et si sûre de l’impunité, d’
admirer
publiquement, dans le Journal des Débats, en 1829
loüe Virgile d’avoir enrichi ses georgiques. Il n’est personne qui n’
admire
le genie et la verve de Lucrece, l’énergie de ses
eré de pouvoir dire en langage des dieux : mais Lucrece est bien plus
admiré
qu’il n’est lû. Il y a plus à profiter dans son p
toujours attaqué. S’il est attaqué avec plus de vivacité qu’il n’est
admiré
, c’est que nous l’admirons par raison et l’attaqu
st attaqué avec plus de vivacité qu’il n’est admiré, c’est que nous l’
admirons
par raison et l’attaquons par tempérament. Je m’e
ain, qui commençait à poindre, y était admis ; il avait, disait-il, «
admiré
et réadmiré » le poème. L’œuvre paraissait enfin,
it parmi les auteurs, avec le désir d’imiter ce qu’il était de mode d’
admirer
. On lisait à l’envi, on se passait de mains en ma
ntateurs pour expliquer ses poésies à un public qui s’obstinait à les
admirer
sans les comprendre Ce que j’ai cité plus haut de
a de la dureté, Si par un art soigneux il n’est pas ajusté. a Chacun
admire
en ce visage a La lumière de deux soleils : « Si
de ses amis. Gare à son épée de garde française, si l’on hésite à les
admirer
! Gomberville, le grand ennemi du mot car, enjoig
s fautes des uns et dans le mérite de l’autre, pour blâmer comme pour
admirer
dans de justes bornes. § V. Des obstacles et d
les point trouver admirables. Mme de Sévigné, cet esprit si naturel,
admirait
les Précieuses, et quelquefois en était. Elle ne
ortait sur d’autres que ses amis. Mme de Sévigné s’obstinait à ne pas
admirer
Racine et à admirer Mlle de Scudéry, dont les liv
que ses amis. Mme de Sévigné s’obstinait à ne pas admirer Racine et à
admirer
Mlle de Scudéry, dont les livres lui plaisaient,
t de la confesser aux autres, mais de se l’avouer à lui-même. Je n’en
admire
que plus Boileau d’avoir fait cet effort, et d’av
es ? Ainsi tous ces poètes étaient les jouets de leur vanité. S’ils s’
admirent
si fort, c’est qu’ils se mesurent aux louanges do
ui prouve que, dans nos admirations, c’est notre propre goût que nous
admirons
. Les éloges que Boileau donne à ses illustres ami
née ; c’est celle que doit inspirer le beau ; c’est de cette façon qu’
admire
la postérité. Le caractère de Boileau, la dignité
ornés d’une main habile. A la différence de Racine, où il y a tant à
admirer
, même quand on en ôte les vers, dans Boileau, les
, si riche en détails charmants, est pourtant un ouvrage froid ? J’en
admire
avec tout le monde les belles parties. Cette fine
vait rencontré Chapelain aux lectures de l’Adone et avait comme lui «
admiré
et réadmiré » l’œuvre. Il semble que l’œuvre impr
t, Cousin lisait : «… dans l’enceinte de ce raccourci d’abîme » Et il
admirait
! Il admirait ! Il y avait : « dans l’enceinte de
it : «… dans l’enceinte de ce raccourci d’abîme » Et il admirait ! Il
admirait
! Il y avait : « dans l’enceinte de ce raccourci
ce serait souvent trop pénible et trop humiliant136, pour ceux qui l’
admirent
, que de l’accompagner. Le résultat chez lui vaut
u genre est là : c’est l’aphorisme aiguisé et poli. Si Racine se peut
admirer
après Sophocle, on peut lire La Rochefoucauld apr
qui saigne et ne veut pas se fermer. XXVI. Jeunes, nous aimons, nous
admirons
à chaque pas ; nous croyons aimer les autres : c’
s aimons en eux. — Mais quelques-uns, après la jeunesse, continuent d’
admirer
et d’aimer. — Heureuses natures ! c’est leur jeun
une fois leur réputation est faite, chacun y passe à son tour et les
admire
; si elle était à faire, bien d’autres qui sont s
I. Le gros du monde, même des gens d’esprit, est dupe des genres : il
admire
à outrance, dans un genre noble et d’avance autor
n, l’épée hors du fourreau, et voudrait tout saccager. XLV. Aimez-le,
admirez
-le, couronnez-le ! mais pensez comme Platon, du p
et critique comme nous-même. 129. Depuis maréchal d’Albret. 130. N’
admirez
-vous pas la franchise ? Durant la Fronde, le sobr
moyen. Cependant, ce n’est ni l’action ni les coups de théâtre qu’on
admire
le plus dans Zaïre et dans Mérope : ce sont les c
approche, n’en font sortir aucun accent inattendu. Il y a même lieu d’
admirer
l’industrie avec laquelle le poète diversifie par
our complaire aux gens avec lesquels il en partageait la paternité. J’
admire
la Harpe de juger du même style doctrinal les piè
ouches à toute réquisition. Certes, les amis de ce peintre pourraient
admirer
fort un ouvrage où chacun d’eux aurait mis du sie
cine. C’est même une de ses mille qualités d’avoir su imiter ce qu’il
admirait
. Mais ces beaux échantillons de style ne suffisen
et le brillant c’est l’amorce où la jeunesse se laisse prendre. Aussi
admirai
-je Tibère, outre que la politique du temps50, qui
tir sur cette pièce qui ne doit pas porter la peine de ce que je l’ai
admirée
. Il ne faut pas être ingrat, même envers les illu
J’ai lu des lettres où il parle de ses pièces, non en auteur qui s’y
admire
, mais en père qui se complaît dans des enfants ho
e-là par admiration pour le grand Goethe. Certes ! il est honorable d’
admirer
le Génie, mais est-on en droit de lui faire, à si
es esprits. On était si las de la rhétorique de ce lâche menteur trop
admiré
, qu’on trouva d’une sensation délicieuse un livre
ar tous les moyens à ces saillies que Goethe, s’il revenait au monde,
admirerait
. Le mot de Bélise à Trissotin est bien drôle : «
que ne pourrait faire Goethe, puisqu’il est mort, les Allemands qui l’
admirent
le feront pour lui. Ils s’étonneront avec la cand
rt de l’imitateur qui sçait nous plaire, même sans nous toucher. Nous
admirons
le pinceau qui a sçu contrefaire si bien la natur
ceux de Raphaël et du Poussin. Les tableaux de l’école lombarde sont
admirez
, bien que les peintres s’y soïent bornez souvent
de bonne foi n’auraient eu alors qu’à approuver le plus souvent et à
admirer
la force et l’ingénieux de la démonstration. La l
et où l’éclat et la magnificence même n’épargnent pas la fatigue. On
admire
cette drue végétation, cette sève verdoyante, iné
que l’histoire soit respectueuse et que l’art soit original. Il faut
admirer
ce que nous avons et ce qui nous manque ; il faut
ort, selon moi, de ne voir absolument, dans les délicatesses que vous
admirez
et que vous semblez si bien goûter, qu’un résulta
l’objection, lorsqu’il dit tout au commencement de son livre. « J’ai
admiré
souvent, et j’avoue que je ne puis encore compren
oître quelques-unes de ses Pieces, tous les esprits se réunirent pour
admirer
l’élévation de son style, la délicatesse & la
lise, adoptées dans le plus grand nombre des Dioceses. C’est là qu’on
admire
à la fois tout ce que le sentiment a de plus vif,
teurs n’ont pu le définir. Depuis quinze ou vingt ans que la France l’
admire
, On ne sait ce qu’il est ni ce qu’il veut nous di
, et qui paie a raison. Je veux que l’on m’achète, et surtout qu’on m’
admire
. De l’office au boudoir, je veux me faire lire ;
Je ne veux point ici blesser la modestie Des prosateurs fameux qu’
admire
ma patrie ; Mais je loûrai leur style et leurs de
leur dit-il non de plus de longue durée que vostre vie, seront reçus,
admirés
et adorés. » « J’ay tousjours estimé, ajoute-t-il
langue, qui me fera indigner, apayser, esjouyr, douloir, aymer, hayr,
admirer
, estonner bref qui tiendra la bride de mes affect
. » Il attaque les rimeurs, et principalement les courtisans, « qui n’
admirent
qu’un petit sonnet pétrarquisé ou quelque mignard
leurs admirateurs les plus sincères. C’est par l’imagination que nous
admirons
les contemporains, et de là nos illusions ; c’est
la sienne ; qualifié de prodige de la nature et de miroir de l’art ;
admiré
par Montaigne et consulté par le Tasse, qui lui l
ne se juger que par le bruit qu’il faisait. Aucun poëte ne s’est plus
admiré
, parce qu’aucun de son vivant n’eut plus d’admira
i devait lui coûter si cher, a été d’un bon exemple. Ses vers si fort
admirés
, et ses préceptes si obéis, attirèrent les esprit
ce d’Urfé antérieur au nôtre ; en poésie, Spenser, le féerique, qu’il
admire
au-delà de tout. À le décrire et à le dépeindre c
besoin de ne pas me fatiguer et même le désir de me plaire à ce que j’
admire
. Lui, la force et la grandeur lui vont, et il s’y
. S’il haïssait trop les sots auteurs et les méchants poètes, il n’en
admirait
que mieux les bons et les grands. Il avait du Mal
ux-mêmes la douce manie. N’ayons pas deux poids et deux mesures. Vous
admirez
Balzac ; vous le citez plus d’une fois, vous l’in
l’inspiration et de la verve ; c’est original du moins, et on y doit
admirer
une faculté de transposition singulière et puissa
r la formation définitive du genre Louis XIV, il m’a été impossible d’
admirer
à aucun degré (j’excepte bien entendu Corneille e
l’art et où il se pique de faire valoir ses poëtes, de nous les faire
admirer
presque à la loupe, les négligences soient poussé
situdes du poëte, n’a pas de peur plus grande que celle de paraître l’
admirer
; sa parole discrète et correcte est comme armée
alomnies et des sots propos, il est trop constant (et M. Gautier l’en
admire
plus qu’il ne l’en blâme) que l’orgie fut d’abord
t et prendre son plaisir, mais il ne faut pas avoir tellement l’air d’
admirer
. Parlant du poëme de la Pucelle, si vanté en son
Ici tu admets la lâcheté, tout simplement. Ailleurs, tu admets et tu
admires
le « noble amour de la patrie ». Tu admets aussi
La morale du boutiquier approuve le geste utile, comme son esthétique
admire
un canal ou un chemin de fer. Avant que d’écrire
le classique estime ou blâme. Le romantique s’extasie ou s’indigne, «
admire
comme une brute » ou brandit un fouet ivre. Le pa
civiques, la phrase, d’un rythme souvent admirable et qui toujours s’
admire
, s’étale comme une queue-de-paon. Elle porte le c
olitudes errantes de François d’Assise ou parmi nos collectivistes. J’
admire
en la méprisant un peu cette souplesse d’Alcibiad
parentes que réelles, appréciait sa vieille amie à tout son prix et l’
admirait
extrêmement. Il revint plusieurs fois à Paris exp
pourquoi sommes-nous sur terre, et surtout pourquoi vieillit-on ?… J’
admirais
hier au soir la nombreuse compagnie qui était che
lle s’est récriée comme à la découverte d’un monde nouveau : « Oh ! j’
admire
votre Shakespeare. Je lus hier Othello, je viens
systématique. Comme on ne lui avait pas dit d’avance ce qu’il fallait
admirer
, elle n’avait que son avis net, son instinct fran
on pût lire à la fois Shakespeare et La Guerre de Genève de Voltaire,
admirer
Mme de Sévigné et se plaire aux romans d’un Crébi
un obstacle plutôt qu’un avantage… Le beau mérite que d’entendre et d’
admirer
ce que tout le monde admire et comprend ! » Ainsi
tage… Le beau mérite que d’entendre et d’admirer ce que tout le monde
admire
et comprend ! » Ainsi parlait un critique, qui es
ette gloriole de notre esprit. Que ceux qui arrivent à conquérir et à
admirer
ces fortes choses à la sueur de leur front, en ai
bien nécessaire d’en passer par la méthode de Gervinus pour sentir et
admirer
La Fontaine ? Pour faire à Gresset sa vraie place
sprit dans la beauté qu’on aime et dé bon sens dans les talents qu’on
admire
. XIII. Quand nous intervenons, nous d’une générat
XIV. Les hommes se mettent beaucoup trop en frais, ce me semble, pour
admirer
le génie de l’homme, c’est-à-dire pour s’admirer
, ce me semble, pour admirer le génie de l’homme, c’est-à-dire pour s’
admirer
eux-mêmes. La masse (y compris les gens appelés s
ne l’accuse pas tous les jours de faire danser l’anse du panier. Je l’
admire
surtout quand il se déguise en homme et en camelo
fen et Sedan. Il ouvre certains jours un musée forain où nous pouvons
admirer
les merveilles de l’hypnotisme. D’autres fois, il
orante à qui l’éprouve et presque à qui la produit. En voilà un qui «
admire
comme une brute ». Son estomac avide n’a pas enco
e lui ; on a souvent attaqué Platon comme philosophe, on l’a toujours
admiré
comme écrivain. En se servant de la plus belle la
ans la prison, et il dort. Criton approche, contemple le vieillard et
admire
ce sommeil profond ; il craint de le troubler, et
es enfants, ni ta vie, ni rien même à la justice. » Criton cède ; il
admire
Socrate qui finit par lui dire : « Marchons par o
ler avec cette douceur agréable, avec cette égalité tempérée que nous
admirons
dans les orateurs, paraît inégal et sans suite à
mêlée dans l’auguste simplicité de ses paroles. De là vient que nous
admirons
, dans ses admirables épîtres, une certaine vertu
sait qu’il était si jaloux, il vit pour ainsi dire toutes les vies. J’
admire
aussi ce naturel auquel les contemporains se mépr
soire et l’arrangement ; c’est pour cela que ses sermons furent moins
admirés
que ceux de Bourdaloue, chez qui l’accessoire et
de la politique ; qu’il fait la part des vices et des vertus ; qu’il
admire
les conquérants et les législateurs ; qu’il s’éme
peur de se montrer sensible à tout ce que l’homme y fait de grand. Il
admire
librement, dans les nations et dans les hommes su
les de la sagesse humaine, sachant bien qu’il n’a pas longtemps à les
admirer
, qu’encore un moment et toute cette sagesse se se
nde inégalité entre deux mondes également sortis de ses mains ; et il
admirait
naïvement ces vertus nées d’elles-mêmes dans le m
ns son beau traité de la Connaissance de Dieu et de soi-même, et l’on
admire
avec quelle clarté et quelle force sont exposées
, douce pour les personnes, inexorable pour les choses. Il faut aussi
admirer
cette force d’imagination par laquelle Bossuet, p
en public. » Mais il accepte toutes les fermes de gouvernement, et il
admire
dans l’ancienne Rome l’état républicain. Ce qui l
vait de la beauté, beaucoup d’esprit, et ce tour de piété que Fénelon
admirait
dans les mystiques : elle le charma. Une amitié,
es deux plus grands prélats de la chrétienté, et cette suite d’écrits
admirés
de ceux même que touchait médiocrement la questio
fond et grave théologien, je ne puis qu’estimer ce que j’y entends et
admirer
ce que je n’y entends pas. » Un style sec, quoiqu
de précision et de clarté, dans une matière de théologie si ardue. On
admirait
cet air de résignation et de candeur ; on se lais
ez-en tant qu’il vous plaira, divertissez la ville et la cour, faites
admirer
votre esprit et votre éloquence, et ranimez les g
naturellement un mauvais fond. » Fénelon sait bien ce que les hommes
admirent
en lui ; c’est par là qu’il se fait voir. On sent
gique, un tout ingénieux, une pensée vive, qui peuvent servir à faire
admirer
son génie. Qu'on le lise attentivement, & l'o
à son Siecle, à sa Nation. Notre but n'est pas d'empêcher qu'on ne l'
admire
, mais d'empêcher qu'on ne le croye toujours sur s
es beaucoup plus chastes que les trois quarts des scènes triviales qu’
admirent
et célèbrent nos critiques dans les romans de cha
raordinaire plutôt que belle, et a effrayé plutôt que charmé ceux qui
admirent
sur la foi de leur cœur. Comme la donnée premièr
lus de calme dans la conception, et une continuité plus réfléchie, on
admire
cette rare faculté de style et cette source varié
n eux sur tout autre genre d’estime : ils excitent l’homme à se faire
admirer
; mais ils ne portent point un regard inquiet ou
ourir aux anciens pour le goût simple et pur des beaux-arts ; on doit
admirer
leur énergie, leur enthousiasme pour tout ce qui
principe de toutes les actions des Grecs ; ils étudiaient, pour être
admirés
; ils supportaient la douleur, pour exciter l’int
hors de ses livres comme une carpe met la sienne hors de l’eau, il l’
admirait
naïvement et passait sa vie à l’entendre. Elle qu
e leurs écrits, et qui, pour cette raison, nous les feraient aimer et
admirer
davantage. Oui ! il est impossible qu’il n’y en a
e, et le nom de Madame de Staël amorce l’amateur. D’ailleurs, il peut
admirer
de bonne foi et trouver très beau et très intéres
la pensée. Pascal est encore un de ces écrivains que M. Nisard aime,
admire
, juge en perfection, et qui néanmoins se concilie
soumis la théologie au bon sens ; je parle des Pensées. Or, M. Nisard
admire
les Pensées autant que qui que ce soit, et ce gra
le plus de gré ; mais ici encore je ferai quelques réserves, et, si j’
admire
ces poètes, c’est à titre de poètes vrais et non
u poëte l’honnêteté, la dignité, la fierté du cœur, je l’aime et je l’
admire
avec M. Nisard, et je ne lui chicane pas le titre
les littératures du monde que Platon, vous vous oubliez à nous faire
admirer
son bon sens, à nous montrer les limites de ses p
luxe que notre siècle, peu accoutumé à ces généreux spectacles, a pu
admirer
quand le duc de Northumberland vint, comme ambass
on pour la médiocrité de trouver des ridicules au génie. Cela venge d’
admirer
. C’est exquis ! Le ridicule de Saint-Simon, pour
respectueuse qui s’y déchire, c’est le prosternement de l’homme qu’il
admire
et que le crime de celui qui admire humilie plus
le prosternement de l’homme qu’il admire et que le crime de celui qui
admire
humilie plus bas que la poussière, et qui se déba
de l’écrivain ; mais j’ai le secret maintenant de cette passion, et j’
admire
encore qu’après ce crime de Louis XIV, qu’il a so
génie paraissait seulement l’essai maladroit d’un art grossier, qu’on
admirait
, par inexpérience, autant que le génie même. Je s
décesseur de son nom, auteur de quelques froids sonnets, et cependant
admiré
jusqu’à la passion par une jeune fille poëte, qui
, dans les calamités qu’eux-mêmes infligeaient aux vaincus. Vous avez
admiré
dans le poëte l’appareil de terreur et de vengean
la trace les blanches lueurs de cette grande poésie, que nous avions
admirée
dans la Grèce et qui revient, à longs intervalles
ortie d’Égypte. » Ces images peuvent nous rappeler ce que nous avons
admiré
dans Pindare, et ce que Dante n’avait pas ln, ces
il est enchanté , nous ne saurions nous empêcher d’aimer davantage, d’
admirer
davantage une pièce moins comique, moins folle et
ont assez sûrs de leur définition pour pouvoir se livrer au plaisir d’
admirer
, sans craindre d’être contredits par leur formule
éfini le beau, et sa définition ne lui interdit-elle pas absolument d’
admirer
L’École des femmes ? Voilà la fin du spectacle. O
e laisse prendre aux choses avec candeur et bonne foi. Elle rit, elle
admire
. Elle ouvre librement, largement, sans réserve, s
euse analyse elle a su tirer tant de choses, du fait d’être émue et d’
admirer
. Pourquoi ce bon Marquis ne goûte-t-il pas L’Écol
i nécessaire qu’une des lois qui régissent le monde. Aujourd’hui elle
admire
, elle aime les objets de ses colères d’autrefois,
ses sens ou ne touchent que son cœur, sans pouvoir être en même temps
admirées
, ni d’elle, ni de personne. Et, d’autre part, qua
ssible que le sens moral et poétique de l’humanité s’abuse au point d’
admirer
quelque chose où rien ne serait admirable. Qu’un
limites tracées par la raison, Uranie suit la nature, et lorsqu’elle
admire
, elle sait qu’elle peut se laisser aller avec con
légations de villes et de pays qui défilaient pour son plaisir ; elle
admirait
les monumentales couronnes de fleurs portées sur
famille qui nous a rendu, etc. » Victor Hugo ne pouvait se lasser d’
admirer
les exemples de conduite loyale que léguait à ses
l, vous connaissez ma sympathie et mon admiration ». Cette majesté si
admirée
était Guillaume IV, roi de Prusse et frère de l’e
me, pendant la réaction bourgeoise, il calomnie les insurgés, dont il
admire
les actes de délicate probité. Une étrange fatali
les, au vers son harmonie véritable, à la prose son artifice parfait…
admiré
des docteurs, honoré des rois, objet des acclamat
as les jugements des contemporains. Mais la critique historique qui n’
admire
ni ne blâme, mais essaye de tout expliquer, adopt
u’il était pétri des mêmes qualités qu’eux. Ils se contemplaient et s’
admiraient
dans Hugo, ainsi que dans un miroir. La Bourgeois
e jamais les productions poétiques et romantiques de son père, il les
admirait
beaucoup. Dans une lettre adressée au général, et
rlant de lui-même : « … J’ai seize ans… Je lis l’Esprit des lois et j’
admire
Voltaire. » (Victor Hugo rac. Tome I. 308). 25.
statue qu’à demi brisée. On est donc réduit à commenter l’œuvre, à l’
admirer
, à rêver l’auteur et le poète à travers. On peut
e temps pour donner à ceux qui, comme moi, ont le tort peut-être de n’
admirer
qu’incomplètement le célèbre romancier, une idée
e court pas risque, en le jugeant, d’inventer des beautés à faux et d’
admirer
à côté, comme cela est inévitable quand on s’en t
mes, qualités et défauts, dans leur grand représentant. Dis-moi qui t’
admire
et qui t’aime, et je te dirai qui tu es. Mais il
louer, et les défaillances d’un esprit que vous n’avez fait que pour
admirer
votre perfection. Rien ne ressemble moins à la m
rejeter les preuves de l’existence de Dieu tirées de la nature : « J’
admire
, dit-il ironiquement, avec quelle hardiesse ces p
curieux de remarquer que la phrase un peu méprisante de Pascal : « J’
admire
avec quelle hardiesse, etc. », avait d’abord été
le plus cher de l’humanité. Allons voir à Londres, allons visiter et
admirer
le Palais de cristal et ses merveilles, allons l’
vrir de mépris & d’infamie les Journalistes gagés par elle, qui n’
admirent
& ne louent que ce qui est marqué à son vénér
és depuis à ce grand homme d’Etat, dont la Nation & les Etrangers
admirent
également la sagesse & la probité ; qui ne do
les idées ou par la force sans comprendre bien, suivant leurs moyens,
admirons
-les ! Je ne vois qu’une chose debout : l’Homme gr
propre à nous les faire connaître intimement et par conséquent aimer,
admirer
, ou haïr et ridiculiser. Étant donné que toute œu
les parties de la peinture y sont encore. Le savant, l’ignorant, les
admire
sans avoir jamais vu les personnes, c’est que la
s empruntés des antiques qu’il a étudiés, des tableaux qu’il a vus et
admirés
et de ceux qu’il a faits ; c’est qu’il est savant
de la dissimulation, et n’excluent point la générosité ; elle devait
admirer
Achille, le héros de la force. Homère déjà vieux
froidies par la réflexion, mère de la prudence. La Grèce devait alors
admirer
Ulysse, le héros de la sagesse. Au temps de la je
a fille ; on la raillait de son empressement à la produire et à faire
admirer
ses perfections : mais qu’y a-t-il de plus innoce
ce cœur le calice est amer : Le génie est une âme, on l’oublie ; on l’
admire
, Elle saurait aimer. » XIX Sa
s rivages si beaux, Où le Tibre immortel coule entre des tombeaux ! J’
admirai
de ses bords la superbe misère ; Mais les flots s
enu À gravir dans la gloire un sommet inconnu. Tout jeune, je faisais
admirer
mon courage ; Comme un vaillant aiglon, j’aspirai
tous ces familiers, ou aimables ou célèbres, que nous y avons aimés,
admirés
ou entrevus, elle était le lien : le lien brisé,
, d’âme sensible et de main magistrale, qui ne rougit ni d’aimer ni d’
admirer
, Paulin de Limayrac ; une femme qui a perdu son s
ié qui veut rassurer, et de la compassion qui souffre et qui doute. J’
admirai
ce hasard qui réunissait ainsi, dans un espace de
. Anatole France ; (c’est là, question de sentiment). J’y disais : J’
admire
Baudelaire tout en estimant Lamartine. Il est pr
isit à cette assertion, car, à la vérité, il me semble avoir toujours
admiré
Lamartine autant que Baudelaire, je n’ose pas ajo
Prodigue le carcan. Tantôt, comme M. Verlaine, dans un sonnet très
admiré
, il s’imaginera qu’il est à lui seul l’empire rom
on qui inspirait ses écoles. La plupart des statues antiques que nous
admirons
sont des répliques. Les sculpteurs grecs répétaie
, pour le reste, la plus prolixe controverse ne saurait aboutir. Vous
admirez
Lamartine, tout en estimant, j’aime à le croire,
, tout en estimant, j’aime à le croire, Charles Baudelaire ; et moi j’
admire
Baudelaire tout en estimant Lamartine. L’ultime e
eur, légèrement exagéré par une disposition bienveillante1. Descartes
admire
dans les lettres de Balzac précisément ce qui en
es mœurs tout conformes à celles de ces grands hommes de l’antiquité,
admirera
la candeur et l’ingénuité de cet esprit élevé au-
ents, il sera bientôt le maître des maîtres. » Duperron et Coeffeteau
admiraient
dans ce jeune homme ce qui manquait à leurs écrit
parut réaliser Balzac. Aussi ses premières lettres furent-elles très
admirées
. Duperron ne les avait vues qu’en manuscrit, quan
ité générale, avec toutes les parties du discours. Ce que Descartes y
admirait
n’a pas cessé d’être admirable. Ce mérite de comp
lignes qui suivent : « Et ici, Ménandre, avant que de passer outre,
admirons
ensemble les moyens dont Dieu se sert pour procur
eussent rassemblé pour lui comme de flottants souvenirs : L’étranger
admirait
dans votre auguste cour Cent filles de héros con
de Bénédict, qui le précède et l’annonce, et dont Valentine a de loin
admiré
le chant ; cette arrivée à la ferme par les jardi
is les jambes pendantes sur un tronc de chêne au-dessus des eaux, est
admiré
pour la première fois et trouvé beau par Valentin
. La vraie esthétique suppose la science. Le savant seul a le droit d’
admirer
. XI La philologie envisagée comme moyen d’éduca
philosophie de l’histoire et la critique littéraire. Sotte manière d’
admirer
l’antiquité. Le savant seul a le droit d’admirer.
ire. Sotte manière d’admirer l’antiquité. Le savant seul a le droit d’
admirer
. Influence des résultats de la haute science sur
Baucis de M. Philémon-Quinet, et qui, depuis des années, l’adore et l’
admire
, ce que je trouverais très bien, de moralité édif
fiante et de difficulté vaincue, si elle ne voulait pas nous le faire
admirer
, à nous qui n’avons l’honneur ni le bonheur, d’êt
es misères et relever son cœur humilié : « Je ne sais pas si l’Europe
admire
Paris, mais j’ai vu pleurer mon mari !!! » Et c’e
e bien souveraines quand il s’agit d’un classique aussi séculairement
admiré
, par exemple, que Thucydide. Non qu’en beaucoup d
u’à l’imperceptibilité, M. Girard est un béat malgré ses finesses. Il
admire
Thucydide comme, je crois, il ne faut admirer per
malgré ses finesses. Il admire Thucydide comme, je crois, il ne faut
admirer
personne, sans restriction d’aucune sorte, et pla
ait pu lire les ouvrages de ses deux disciples, il eût peut-être plus
admiré
l’un, mais il eût plus tendrement aimé l’autre. C
ectacle des choses humaines, qui ne s’échauffe pas, ne s’éblouit pas,
admire
avec tranquillité et blâme sans indignation ; sa
ge n’était pas la défense la plus sûre pour un grand homme. Antipater
admire
en écoutant : il semble qu’au spectacle d’un homm
ce côté ; tout ce qui est faible est porté, par sa faiblesse même, à
admirer
ce qui est puissant ; mais si ce sujet qui comman
frappés de ses grandes qualités de ministre et d’homme d’état, l’ont
admiré
sans réserve. Ils l’ont peint comme un esprit sou
vont jusqu’à lui faire un reproche de cette politique si vaste, tant
admirée
par d’autres. Ils remarquent qu’au-dehors comme a
: Je sais ce que je vaux, et crois ce qu’on m’en dit. Pour me faire
admirer
je ne fais point de ligue ; J’ai peu de voix pour
entra dans l’imitation espagnole par le Menteur, comédie dont il faut
admirer
bien moins le comique (Corneille n’y entendait ri
, mais non moins réelle, non moins belle que l’autre, et comme nous l’
admirons
dans quelques pièces de Shakspeare, comme les Sch
s l’admirons dans quelques pièces de Shakspeare, comme les Schlegel l’
admirent
dans Calderon. Ajoutez à ces imperfections nature
sans tache : comme pères, comme amants, comme amis ou ennemis, on les
admire
et on les honore ; aux endroits pathétiques, ils
ue de politique. Il se refusa à condamner, comme théologien, ce qu’il
admirait
comme homme, comme poëte et comme ami. Bossuet fu
on, et le contraindre à réprouver ainsi comme pontife, ce qu’il avait
admiré
comme ami. Fénelon s’alarma au premier moment d’u
un hérésiarque à foudroyer, Fénelon ne leur offrait qu’une victime à
admirer
. « On est très-étonné, s’écrie Bossuet lui-même,
emier bruit, est un roman. Ce livre partage les esprits : la cabale l’
admire
, le reste du monde le trouve peu sérieux et peu d
prospérités, la gloire hautaine de tout son règne, qu’il faut surtout
admirer
Fénelon. C’est surtout au milieu des complication
que ces dialogues où Platon fait raisonner Socrate, ces dialogues si
admires
des anciens, sont aujourd’hui insoûtenables, parc
voir ; 4°. nous savons bon gré de la peine que l’on a pris ; 5°. nous
admirons
le soin que l’on a de combattre sans cesse la nat
uefois c’est la facilité ; & comme dans un jardin magnifique nous
admirons
la grandeur & la dépense du maître, nous voyo
dans la chambre ; sa voix, sa déclamation, le souvenir de l’avoir vûe
admirer
, que dis-je, l’idée de la princesse jointe à la s
ment de la grace, & souvent l’habillement des bergeres en a. Nous
admirons
la majesté des draperies de Paul Veronese ; mais
i étaient comptés comme des qualités. On tenait plus à approuver qu’à
admirer
. Il s’ajoutait à cette première illusion un espri
orable pour la France de n’avoir pas de poème épique du tout que d’en
admirer
un médiocre ! Pour se défendre d’une prévention s
use, on abandonne d’autant plus aisément le médiocre qu’on y trouve à
admirer
l’excellent. J’en veux moins à la Henriade qu’à s
franchises de leur poétique. André Chénier y servit. Plus d’un qui l’
admirait
à son profit, et pour se louer plus commodément s
u’on ne doit pas dire. Tacenda loquuntur. Elles furent cependant très
admirées
, et elles en durent la fortune au dégoût pour le
nègres, dévouée au premier regard pour ce qui souffre ; on se plaît à
admirer
une enfance si franche et si comblée des plus ric
sont les plus prompts à vous chicaner sur le second. Ils veulent bien
admirer
une fois pour toutes un mérite en vous, mais deux
elques mois après, Catulle Mendès, le raffiné, notre hôte à son tour,
admira
autant que l’avait fait ce fils des sillons : Ta
quons le vers libre, s’il nous plaît, laissons le poète tranquille et
admirons
. [Stella (janvier 1895).] Hubert Krains Peu
caractérise ses Poésies lyriques ; mais on seroit injuste de ne pas y
admirer
une raison supérieure, une poésie nerveuse, une f
souhaiter qu'on pût louer le sujet de toutes ses Epigrammes, comme on
admire
la maniere dont il l'a traité ; mais on ne doit p
acte employé à débrouiller ce roman, n’a paru ni vif ni comique. On a
admiré
dans Le Dépit amoureux la scène de la brouillerie
ssions bizarres, qui composaient un jargon nouveau, inintelligible et
admiré
. Les provinces, qui outrent toutes les modes, ava
a crème, les enfants faits par l’oreille. Mais aussi les connaisseurs
admirèrent
avec quelle adresse Molière avait su attacher et
; ce qui confirma l’opinion où l’on était que cette pièce serait plus
admirée
que suivie. Ce peu d’empressement qu’on a d’un cô
comédies gaies et amusantes, mais qu’il n’estime guère ; et ce qu’il
admire
n’est pas toujours réjouissant. Il en est des com
pièce, peut-être refroidissent un peu l’action, pendant qu’elles font
admirer
l’auteur ; enfin dans le dénouement, qui, tout bi
n’y en a aucun qui ne soit bon, et celui du Tartuffe est parfait. On
admire
la conduite de la pièce jusqu’au dénouement ; on
u Misanthrope, soutint la pièce longtemps. Plus on la vit, et plus on
admira
comment Molière avait pu jeter tant de comique su
toute sombre. Cependant je sens que je commence à te goûter, et je l’
admire
comme un rare génie, surtout pour le temps où il
beau faire, il est trop Français à sa date, il ne peut venir à bout d’
admirer
Dante. Ce sont là les dispositions naturelles et
u poète, et même quelques morceaux assez généralement beaux pour être
admirés
par toutes les nations. » On en était là au comme
; elles ont pourtant coûté une grande peine, et il est de ceux qu’on
admire
, en étant obligé de les conquérir à chaque pas et
re cela également des nations ? faut-il que celles que l’on a le plus
admirées
et plaintes, le plus exaltées et célébrées, nous
e. II. Il y eut chez nous une réaction contre la Grèce. On se lasse d’
admirer
ce qu’on a admiré, on change de veine ; on parlai
z nous une réaction contre la Grèce. On se lasse d’admirer ce qu’on a
admiré
, on change de veine ; on parlait pour, on parle c
dans la Troade commencent invariablement, on le sait, par vérifier et
admirer
l’exactitude et le piitoresque de la plupart des
côté profane, mon côté faible, il m’est impossible, à parler franc, d’
admirer
autant qu’on le fait cette sécheresse extrême de
t-il, que je ne me lasse point de lire ; que, par pressentiment, j’ai
admiré
toute ma vie ; qui réunit tous les genres ; qui e
core pourquoi, après les chefs-d’œuvre produits, et même quand on les
admire
, on s’en écarte ; pourquoi il y a l’âge des Sénèq
emble se disposer dans le seul ordre qui lui convienne. J’avoue que j’
admire
cette première partie au moins autant que les deu
noms et d’idées propres à troubler les esprits timides « On pourrait
admirer
, au troisième acte de Ma camarade, une psychologi
et jusqu’au précieux le plus avéré. Racine serait fort étonné d’être
admiré
pour « ses à-fond d’une brutalité froide et la so
tribué que lui à mettre à la mode le parti pris très distingué de les
admirer
sans réserve, de tout voir chez eux, même des cho
st assurément à cause de leurs œuvres, mais aussi par la raison qu’il
admire
tant Gambetta (et en général tous ceux qui ont jo
académisables, bien des hommes auraient la courageuse franchise de n’
admirer
ni Salammbô ni Les Fleurs du Mal. 3º NULLE. Les l
yautey ? Cette Académie comprend un certain nombre d’écrivains, (j’en
admire
quelques-uns) qui se réunissent pour des raisons
tave Uzanne Pourquoi l’Académie serait-elle en décadence ? Il faut
admirer
en elle la conscience nette qu’elle conserve de s
te la force au terme. Peut-être un grammairien académique y fera-t-il
admirer
à nos petits-fils une hardie figure pour laquelle
t, autant qu’à l’immortalité. Avant lui, notre Nation étoit réduite à
admirer
chez les Anciens ou les Etrangers les beautés du
& il falloit un génie supérieur pour le rendre aussi intéressant.
Admirons
encore dans cet Ecrivain in comparable, l’idée su
ons sur la Grammaire, la Rhétorique, la Poétique & l’Histoire, on
admire
le Littérateur éclairé, l’Erudit sans étalage, l’
us est accessible. Les âmes qui retrouvent en cette œuvre leur âme, l’
admirent
, se groupent autour d’elle et se séparent des hom
rce que celle-ci l’a produite, mais parce que celle-ci l’a adoptée et
admirée
, s’y est complue et reconnue. » En ces quelques
figurerait fréquemment sur plusieurs listes de nos tableaux. On peut
admirer
dans l’œuvre d’autrui des qualités qu’on n’apport
crit que parce qu’on hait ou qu’on aime, parce qu’on méprise ou qu’on
admire
. Sauf cela, qui écrirait l’histoire ? qui agitera
el servait Mascarille, D’un autre côté, Cousin, en voulant nous faire
admirer
les Cathos princesses, nous a autorisés, nous aut
er les Cathos princesses, nous a autorisés, nous autres démocrates, à
admirer
toutes les espèces de Cathos. Il n’y eut point de
lle des chefs de la Révolution dans les choses de la Révolution qu’il
admirait
le plus. Il a effacé Robespierre dans son histoir
ieds avec une hauteur et un calme que l’Histoire, malgré son horreur,
admire
encore. Le monde romain stupéfié se tut devant Sy
ésolument, tout le temps de son livre, et que je ne puis m’empêcher d’
admirer
. Il n’y a pas dans son histoire un grand portrait
lise, cette apothéose du plafond que la postérité regarde d’en bas et
admire
; ce n’est plus le Bossuet de Versailles dont la
touche à la patience et que rien n’est impossible à l’amour ! Floquet
admire
Bossuet comme Kepler admirait le monde. Aussi, da
rien n’est impossible à l’amour ! Floquet admire Bossuet comme Kepler
admirait
le monde. Aussi, dans son livre, quoique vous y v
ls de la vie, qui répugne à tout ce qui est inférieur, et qui faisait
admirer
au vieux Mirabeau le rouge que se mettait Mazarin
on fond même… Cette coupe d’ivoire, incrustée d’argent, que j’ai tant
admirée
, je la vois bien encore ici, mais elle ne renferm
l s’était, de si longue main et de si bonne grâce, préparé à ce qu’il
admirait
le plus : — silencieusement mourir !
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