e à notre imagination, ne peut être considérée comme valable, si l’on
admet
les propositions suivantes : C’est d’abord que le
son état présent par une suite de changements graduels. Il faut bien
admettre
que la théorie de sélection naturelle présente qu
e chapitre. Que les documents géologiques soient incomplets, chacun l’
admet
; mais qu’ils soient incomplets au point que ma t
nt les unes aux autres de pures différences individuelles. Or, chacun
admet
qu’il y a au moins des différences individuelles
à l’état de nature. Outre ces différences, tous les naturalistes ont
admis
aussi l’existence de variétés, qu’ils ont trouvée
rides ? Combien, au contraire, ce fait s’explique simplement, si l’on
admet
que ces espèces soient descendues d’un ancêtre ra
ent du Pigeon biset bleu rayé de noir. Du point de vue ordinaire, qui
admet
chaque espèce comme indépendamment créée, pourquo
r un lien généalogique. Quant à la distribution géographique, si l’on
admet
qu’il y ait eu pendant le long cours des âges de
s îles de la côte d’Afrique ont un aspect tant africain. Il faut bien
admettre
que ces faits restent inexpliqués dans la théorie
percent jamais la gencive de sa mâchoire supérieure : or nous pouvons
admettre
que chez l’animal adulte les dents se sont résorb
raction ou de la pesanteur ? Nul ne se refuse cependant aujourd’hui à
admettre
toutes les conséquences qui résultent de cet élém
ce à d’autres espèces distinctes, c’est que nous répugnons toujours à
admettre
tout grand changement dont nous ne voyons pas les
minents ont exprimé depuis peu la croyance qu’une multitude d’espèces
admises
dans chaque genre ne sont pas de vraies espèces,
emment, ont tous les caractères extérieurs de véritables espèces. Ils
admettent
qu’elles sont le produit d’une suite de variation
es et quelles sont celles que les lois secondaires ont produites. Ils
admettent
la variabilité comme vera causa dans un cas, ils
de « la moindre action », dû à Maupertuis, sollicite l’entendement à
admettre
plus volontiers le plus petit nombre possible d’a
s se soient formés de quelque forme inférieure intermédiaire. Si nous
admettons
ce point de départ, il faut admettre aussi que to
férieure intermédiaire. Si nous admettons ce point de départ, il faut
admettre
aussi que tous les êtres organisés qui ont jamais
nean Journal, ou enfin lorsque des vues analogues seront généralement
admises
sur l’origine des espèces, on peut vaguement prév
a existé, ce ne peut être que la planète elle-même. Rien n’empêche d’
admettre
que cette matrice universelle n’ait eu à l’une de
istribuer, mais qui n’épargne jamais les germes. Si, au contraire, on
admet
la multiplicité infinie de ces germes primitifs,
sous l’influence, partout la même, de la loi organique. Il faut donc
admettre
au contraire que chacun de nos règnes et de nos e
ns de vie ont pu altérer, mais non détruire. Ce qu’on pourrait encore
admettre
comme probable, mais non pas comme prouvé, c’est
n sont tirés. Pour mesurer le temps, ils se servent du pendule et ils
admettent
par définition que tous les battements de ce pend
durée de rotation de la terre, qui est l’unité constante du temps. On
admet
, par une définition nouvelle substituée à celle q
rvons du pendule pour mesurer le temps, quel est le postulat que nous
admettons
implicitement ? C’est que la durée de deux phéno
t reconnaissons-nous lequel est la cause et lequel est l’effet ? Nous
admettons
que le fait antérieur, l’antécédent, est la cause
Notre conscience nous apprend immédiatement que B′ précède C′ et nous
admettons
que B et C se succèdent dans le même ordre. Cette
artificiels ; pour nous rendre compte de la définition implicitement
admise
par les savants, voyons-les à l’œuvre et cherchon
-dire comment il a mesuré la vitesse de la lumière. Il a commencé par
admettre
que la lumière a une vitesse constante, et en par
nt différente de celle que nous avions énoncée plus haut. Ce postulat
admis
, voyons comment on a mesuré la vitesse de la lumi
a lumière une valeur un peu différente de la valeur adoptée, et si on
admettait
que la loi de Newton n’est qu’approchée ? Seuleme
observent un phénomène astronomique tel qu’une éclipse de lune et ils
admettent
que ce phénomène est aperçu simultanément de tous
es, et non point comme causes. Ne serait-il pas possible, en effet, d’
admettre
qu’il s’est opéré chez un très grand nombre d’hom
que nous pourrons des deux âges qui ont précédé ; et surtout il faut
admettre
que l’âge actuel ne pourrait pas exister, tel qu’
homme pour penser, et alors il a pu graduellement inventer la parole.
Admettons
, quant à présent, et sans examen, ces deux systèm
té de penser indépendamment de la parole. Je suis loin, sans doute, d’
admettre
, quant à moi, la séparation de la parole et de la
uissance de faire des lois ; ceux qui, par conséquent, sont obligés d’
admettre
un contrat primitif. Ceux-là pensent que les libe
ci le lieu d’entrer dans le fond même de la question, puisque je dois
admettre
, quant à présent, les deux hypothèses. Si les hom
s. Si une fois cette division des hommes en deux classes pouvait être
admise
, il en résulterait une explication simple de plus
es de discussions. D’abord il a pu paraître assez singulier que j’aie
admis
aussi facilement une hypothèse que je regarde com
déjà que cette théorie de la séparation de la pensée et de la parole,
admise
par moi comme moyen d’explication de plusieurs ph
iété une lumière nouvelle, en annonçant, comme une vérité qui va être
admise
, que l’homme n’a pas le pouvoir de créer sa langu
pas dans la nature brute, et qui par conséquent leur sont spéciaux. J’
admets
, en effet, que les manifestations vitales ne saur
s, mais c’est là une pure hypothèse qu’il n’est pas même nécessaire d’
admettre
pour affirmer que la méthode expérimentale est ap
st là un axiome fondamental de sa logique, et nous n’hésitons pas à l’
admettre
. Admettre des phénomènes indéterminés, c’est adme
xiome fondamental de sa logique, et nous n’hésitons pas à l’admettre.
Admettre
des phénomènes indéterminés, c’est admettre des p
ésitons pas à l’admettre. Admettre des phénomènes indéterminés, c’est
admettre
des phénomènes sans cause. Par la même raison, il
s, c’est admettre des phénomènes sans cause. Par la même raison, il n’
admet
pas d’expériences contradictoires, car une même c
t cette idée générale, nous n’avons aucune raison de nous refuser à l’
admettre
, d’abord parce qu’il nous manquerait l’autorité n
r la raison serait produit par le pur hasard. Il ne suffit pas même d’
admettre
une cause quelconque, un pouvoir d’agir, une facu
ude Bernard se fait de la vie est encore conforme à cette grande loi,
admise
par tous les métaphysiciens, à savoir que l’infér
sans règle, sans loi : c’est donc tout l’opposé du déterminisme, qui
admet
la liaison des phénomènes suivant des lois fixes
le pouvoir, nul n’étant tenu à l’impossible. En conséquence, on doit
admettre
avec Kant l’existence de deux règnes, comme il le
les mettre en harmonie l’un avec l’autre, les faire marcher d’accord.
Admettrons
-nous donc que ces deux règnes coexistent sans se
aux lois de la liberté ? Comment les lois de la liberté peuvent-elles
admettre
, sans être détruites, l’action de la nature ? Com
le plus déclaré du libre arbitre ne peut éprouver aucun difficulté à
admettre
le déterminisme rigoureux des fonctions organique
s actuelles de la nature ne sont pas exactement celles que nous avons
admises
; ou bien on peut supposer que les lois de la nat
ser que les lois de la nature sont actuellement celles que nous avons
admises
, mais qu’il n’en a pas toujours été ainsi. Il est
des lois naturelles. D’autre part supposons une pareille évolution ;
admettons
, si l’on veut, que l’humanité dure assez pour que
gitude de Jupiter ait changé considérablement dans l’intervalle. Nous
admettons
par exemple que l’état des corps éloignés ne peut
des réserves sur cette proposition paradoxale, nous devons néanmoins
admettre
que rien n’est objectif qui ne soit transmissible
bable en tout cas que ce mouvement ne serait pas identique à celui qu’
admettaient
les partisans de l’ancienne théorie, on pourrait
l en reste quelque chose, puisque entre les courants hypothétiques qu’
admet
Maxwell, il y a les mêmes relations qu’entre les
, il y a les mêmes relations qu’entre les mouvements hypothétiques qu’
admettait
Fresnel. Il y a donc quelque chose qui reste debo
tre. Affirmer l’une, en niant l’autre, au sens cinématique, ce serait
admettre
l’existence de l’espace absolu. Mais si l’une nou
llaxe de ces mêmes étoiles. Est-ce par hasard que toutes les planètes
admettent
une inégalité dont la période est d’un an, et que
t pas que tous les plaisirs sont de même qualité, si l’on ne veut pas
admettre
que le but de la civilisation soit de fournir de
vec la doctrine générale des idées-forces, qui consiste précisément à
admettre
l’universelle présence du vouloir et du mouvoir d
la conscience sensorielle, le tout continu de la conscience motrice n’
admet
aucun mouvement venu de nous qui ne nous apparais
nthétisés dans la sensation d’harmonie ? Il y a deux faits qu’il faut
admettre
et qu’il ne faut pas confondre : le fait des chan
ieur. Le total attire ou repousse le chiffre nouveau ; la cœnesthésie
admet
ou rejette les sensations survenantes, comme l’en
te les sensations survenantes, comme l’ensemble des mouvements vitaux
admet
ou repousse les mouvements synergiques ou antagon
u moins senti. Tout psychologue est obligé, — même quand il prétend n’
admettre
que des sensations, soit nouvelles, soit renouvel
n’admettre que des sensations, soit nouvelles, soit renouvelées, — d’
admettre
encore que l’être vivant n’est pas neutre entre s
hésiques. Est-ce là une thèse vraiment démontrée ? M. Bastian, lui, l’
admet
sans preuves, et il ajoute, pour nous donner une
s mécaniques qui existent entre les diverses parties du corps vivant,
admettre
que certains points finissent par jouer d’ordinai
econnaît que plusieurs physiologistes allemands, Wernicke, Lichtheim,
admettent
cette subordination. M. Bastian, comme on va le v
im, admettent cette subordination. M. Bastian, comme on va le voir, l’
admet
aussi ; tellement tout cela est « incontestable »
nce de l’effort dans l’Evolutionnisme des idées-forces. 153. Bastian
admet
, comme nous, que le sentiment d’effort « est lié
ophie et la théologie ne doivent pas cesser d’être distinctes, même n’
admît
-on pas de théologie révélée, à plus forte raison
e n’admît-on pas de théologie révélée, à plus forte raison si l’on en
admet
une. La question que la philosophie pose et veut
avec tout le chœur des philosophes empiriques et sceptiques, ne veut
admettre
ni cause ni substance. Un groupe de phénomènes, v
x théories ne sont pas solidaires l’une de l’autre. Je puis très-bien
admettre
des idées universelles et nécessaires sans les vo
s idées universelles et nécessaires sans les voir en Dieu. Kant les a
admises
, il est vrai, comme de simples lois de l’entendem
s qui a conduit les philosophes à supposer deux facultés différentes.
Admettez
d’ailleurs que ces termes soient perçus ou connus
tes ces raisons aussi, M. Renan est bien moins éloigné que M. Taine d’
admettre
des causes immatérielles et métaphysiques, quoiqu
faut qu’elle fasse un saut, si petit qu’il soit. Dès lors, pourquoi n’
admettrait
-on pas tout aussi bien des intervalles d’essence
isant, c’est trop ou trop peu : trop pour les esprits positifs, qui n’
admettent
que les faits, trop peu pour les vrais idéalistes
e précision qui ne lui convient pas, ils négligent celui qu’elle peut
admettre
; ils oublient ou ils ignorent des distinctions i
u médicatrice de l’école hippocratique. En quoi est-il plus absurde d’
admettre
dans la matière organisée la propriété de se guér
sophie, y compris la sienne. Si en effet l’esprit humain ne doit rien
admettre
que les faits constatés et les lois démontrées, i
l a conservé quelques-uns de ses principes les plus essentiels. Il en
admet
d’abord le principe fondamental, à savoir que la
it se souvenir un peu plus lui-même dans sa théodicée. Comme nous, il
admet
que l’âme n’est pas une résultante ou un composé,
hologie toute spiritualiste, il fonde une morale toute stoïcienne, il
admet
avec Kant et Jouffroy une loi morale, absolue et
contraire est absurde et impossible : mais il n’y a rien d’absurde à
admettre
, au moins avant démonstration, que l’idéal absolu
e Platon, qui ramenait chaque classe d’êtres à un type absolu, et qui
admettait
l’homme en soi, l’animal en soi, le feu en soi, m
e part de reconnaître que le monde est Dieu, et que de l’autre vous n’
admettez
rien de réel en dehors du monde ! — M. Vacherot p
e plus. Je suppose que vous ayez à juger le stoïcisme. Cette doctrine
admet
un certain type, un certain modèle que la vertu a
ffit pas à distinguer une doctrine d’une autre, car quel philosophe n’
admet
pas un certain idéal ? Je réponds : « Où. est l’i
facilement confondues : l’idée d’infini et l’idée de parfait12. Nous
admettons
cette distinction, et les subtiles et profondes a
res, pourquoi la philosophie n’aurait-elle pas les siens ? Pourquoi n’
admettrait
-on pas que l’essence de Dieu nous est cachée, quo
car il serait alors un pur zéro13; il serait le rien, le vide absolu.
Admettez
-vous cela ? Non, sans doute, car de ce vide, de c
gnorance) : il lui reproche d’être un mystère, et il dit que, si l’on
admet
un mystère en philosophie, il ne voit pas pourquo
l’on admet un mystère en philosophie, il ne voit pas pourquoi l’on n’
admettrait
pas tous les mystères de la religion chrétienne.
ent les mystères chrétiens, elle ne vaut pas même contre eux. Si l’on
admet
en effet un mystère (c’est-à-dire une limite à la
limite à la raison sur un point donné), ce n’est pas un motif pour en
admettre
deux, trois, qui n’auraient aucune liaison avec c
re deux, trois, qui n’auraient aucune liaison avec celui-là. En outre
admettre
un mystère philosophique, si l’on y est contraint
si l’on y est contraint par le raisonnement, n’engage point du tout à
admettre
des mystères théologiques, lesquels sont fondés s
ment différents. Il y a plus : M. Vacherot, si sévère contre ceux qui
admettent
le mystère de la création, n’hésite pas lui-même
ne possède pas soi-même toutes les perfections dont il est la source.
Admettons
un instant la non-existence de cet être parfait,
rendre qu’un infini de temps soit réalisé ? Et cependant il faut bien
admettre
que quelque chose a existé de toute éternité. Que
-ce cela, sinon un infini de durée, un absolu de durée ? Il faut bien
admettre
aussi, quelque nom qu’on lui donne, qu’il y a que
r soi-même et sans cause, c’est-à-dire un absolu d’existence. Il faut
admettre
que ce quelque chose, soit qu’on le confonde avec
es dans l’espace. Voilà un absolu d’espace. Dès lors, pourquoi ne pas
admettre
, quand même on ne le comprendrait pas davantage,
ble que l’infini de qualité, et pourtant M. Vacherot n’hésite pas à l’
admettre
, obéissant en cela même à une nécessité logique i
dernière difficulté14. Les anciennes écoles athées se contentaient d’
admettre
un principe quelconque qui, grâce à un temps infi
ns le monde, c’est là un ensemble d’impossibilités que l’on peut bien
admettre
, quand on a un système et qu’on y tient, mais qu’
aient quelque analogie avec cette intelligence. Il est raisonnable d’
admettre
dans la nature comme une tendance vers l’intellig
sissent, mais qu’il est naturel qu’ils réussissent, il est légitime d’
admettre
qu’il y a dans les choses une tendance à l’ordre,
ppose un tout donné, un concept dont elle se propose l’analyse ; elle
admet
, dans ce concept, des éléments juxtaposés, et ne
s : supposons que (a − 1) + 1 = 1 + (a − 1). Si cette supposition est
admise
, en ajoutant 1 à chacun des deux membres, nous av
mpliquent des éléments impénétrables à la pensée. On est forcé de les
admettre
; on ne peut pas dire qu’on les voie clairement d
mathématique règne effectivement dans le monde. Tout ce que l’on peut
admettre
, avant cette étude expérimentale, c’est qu’il y a
férence du mouvement et du repos. On part de cette opposition et l’on
admet
que la matière est, par elle-même, à l’état de re
non uniforme. Pour expliquer cette modification du mouvement, il faut
admettre
qu’une force vient du dehors agir sur le mobile.
roduisant par des actes distincts tous les détails de son œuvre. Mais
admettre
l’existence d’une telle force, n’est-ce pas resta
introduit ce sujet matériel qui manquait au mécanisme cartésien ; il
admet
, comme condition du mouvement, des corps doués de
; et, à mesure qu’il serre le problème de plus près, il est réduit à
admettre
en lui des éléments destructeurs. En principe, l’
nt raisonne-t-on pour écarter la nécessité mécanique ? Le sens commun
admet
que l’âme peut produire les mouvements ; mais c’e
le corps serait réelle, mais métaphysique et non mécanique. Descartes
admet
que, dans la nature, la quantité de mouvement res
pour la mise en train d’une machine peut être indéfiniment diminuée,
admet
un cas limite où ce travail serait nul. Il serait
ppartenant, par exemple, aux organismes ou à la pensée. M. Boussinesq
admet
qu’il existe des cas où l’état initial d’un systè
ns philosophes s’efforcent d’atténuer ou de faire évanouir. Descartes
admettait
en ce sens que, lorsqu’une passion se produit en
ait la même si tous les corps étaient anéantis. Mais, en revanche, il
admet
une harmonie préétablie entre les corps et les es
rents peut-être, mais également inflexibles ? Mais ce système fût- il
admis
, il ne nous donnerait que médiocrement satisfacti
cette transmutation des forces que rien dans la science n’autorise à
admettre
. Selon M. Renouvier, ce qui se conserve est propr
ce, en tant qu’elle veut concevoir la nature comme intelligible, doit
admettre
la possibilité d’une telle réduction, ne fût-ce q
rendre à la lettre le déterminisme qui, pour un phénomène physique, n’
admet
d’autre cause qu’un autre phénomène également phy
ie se distingue véritablement de la physique, et cela en tant qu’elle
admet
des espèces de corps distincts, substratum de ce
tion qu’on s’est faite de l’inertie. Les anciens atomistes, en effet,
admettaient
que la matière possède en elle-même un principe d
existence des atomes, l’action divine est réduite au minimum, on ne l’
admet
que dans la mesure où l’on ne peut pas s’en passe
scientifiques, la conception de l’être et de l’idéal a changé : elle
admet
aujourd’hui, si elle ne les exige, le progrès, le
ne, par conséquent de l’intelligible à l’obscur. D’autre part, chacun
admet
que le déterminisme physico-chimique peut agir su
n’empêche a priori que le déterminisme physico-chimique à son tour n’
admette
l’intervention de quelque déterminisme supérieur,
ces idées directrices, il repousse la doctrine de l’unité de plan et
admet
quatre plans fondamentaux : celui des vertébrés,
s partisans du discontinu sont en même temps les classificateurs. Ils
admettent
donc que les espèces ne sont pas complètement sép
uestion, ressemblent fort à des préjugés. En effet, on dit souvent qu’
admettre
la fixité des espèces, c’est, du même coup, faire
t la doctrine de la création. Dès lors, tenir pour la fixité, c’était
admettre
un créateur ; nier la fixité, c’était, en convain
ition est irréalisable. Mais, outre la pensée et l’étendue, Descartes
admet
, comme réalité irréductible, l’union de l’âme et
uer le jugement d’existence impliqué dans toute expérience, si l’on n’
admet
une action de l’esprit. Cette action se trouve do
emps encore saisi que par la conscience ; mais nous sommes en droit d’
admettre
qu’il correspond à un processus physiologique qui
venue du dehors et l’action visible correspondante, il est naturel d’
admettre
une continuité de phénomènes physiques. Le psycho
ne prétendent pas à l’élimination de tout élément à priori. Helmholtz
admet
la causalité en un sens kantien ; Wundt superpose
certain équivalent mécanique représente chacun des états d’âme, c’est
admettre
que ceux-ci sont en quelque sorte des entités fix
es, les faits y doivent être reliés à des conditions, non à des fins.
Admettons
que la sociologie doive être une science. Quelle
gner. Il ne suffit pas, pour s’entendre, de ne pouvoir se comprendre.
Admettons
toutefois que la division du travail soit une sol
le domaine de la science proprement dite était peu étendu, on pouvait
admettre
qu’en dehors de ce domaine, il y avait place pour
L’idée fondamentale en a été formulée par Descartes ; elle consiste à
admettre
qu’il y a un point de coïncidence entre le sensib
initions, axiomes, faits fondamentaux, les mathématiciens philosophes
admettent
, soit comme venant de l’expérience, soit comme ve
thématiques y décèle mainte détermination contingente, maint artifice
admis
surtout parce qu’il réussit. Ainsi la nécessité m
de la pensée, supposer l’homme libre et sa liberté efficace, c’était
admettre
que l’esprit meut la matière. Mais cela était inc
ue l’on supposât que l’esprit crée de la force motrice, soit que l’on
admît
que ce qui soi-même n’est pas mouvement peut dire
ussi quelque probabilité dans la manière de voir d’Andrew Knight, qui
admet
que la variabilité est en connexion partielle ave
tion fixe des simples déviations de type. Mais je suis très disposé à
admettre
que les causes de variabilité les plus fréquentes
ns altérer les ovules ou le pollen. Or, la plupart des physiologistes
admettent
qu’il n’y a aucune différence essentielle entre u
e nombreux exemples dans son grand travail sur ce sujet. Les éleveurs
admettent
en règle que de longs membres sont presque toujou
iations de structure étranges et rares s’héritent réellement, on doit
admettre
que des déviations moins extraordinaires et même
ques, il y a des présomptions, ou même une forte évidence, pour faire
admettre
que toutes les variétés qu’on possède sont descen
été poussé à l’extrême et à l’absurde par quelques naturalistes. Ils
admettent
que toute race qui se reproduit pure, si légers q
lusieurs races particulières de Bœufs, de Moutons, etc., il nous faut
admettre
que de nombreuses races domestiques se sont produ
é pour expliquer l’origine de nos diverses races domestiques, il faut
admettre
alors l’existence préalable des formes les plus e
selon l’hypothèse des origines multiples de nos Pigeons, il faudrait
admettre
qu’au moins sept ou huit espèces ont été assez co
s extraordinaires et les plus anormales ; de plus, il faudrait encore
admettre
que toutes ces espèces se sont éteintes depuis ou
une même espèce mère, que pourrait en ressentir tout naturaliste pour
admettre
la même conclusion à l’égard des nombreuses espèc
s qui rattachent entre elles de longues lignées généalogiques, et qui
admettent
cependant que beaucoup de nos races domestiques d
avaux des agriculteurs, et lui-même excellent juge en fait d’animaux,
admet
que le principe de sélection donne à l’éleveur no
la race d’une façon permanente par ce moyen. Néanmoins, nous pouvons
admettre
que ce procédé, continué durant des siècles, modi
caractères chez les diverses races du Pigeon domestique, il faudrait
admettre
ou que le Pigeon Biset, bien que ne les présentan
p. v, Lois de la variabilité, § X). Pourtant on pourrait à la rigueur
admettre
que la huppe et les pieds emplumés de beaucoup de
rosse-Gorge ou du Culbutant, chez des espèces sauvages ; et l’on peut
admettre
que toutes ces variations sont un effet de l’héré
ut imperes, du moins le divide ut liber sis. Je ne sais si M. Bouglé
admettrait
toutes les conséquences et toutes les application
héros d’un récit de M. Anatole France103. À Saint-Omer, tout le monde
admet
l’existence de Putois, bien que personne ne l’ait
met l’existence de Putois, bien que personne ne l’ait jamais vu. On l’
admet
parce que l’existence de Putois offre une explica
e trouve pas l’auteur. M. Bergeret père, pour être un bon Audomarois,
admet
comme tout le monde l’existence de Putois. Mais,
t comme tout le monde l’existence de Putois. Mais, bien entendu, il l’
admet
sans l’admettre ; il y croit sans y croire. Il fa
le monde l’existence de Putois. Mais, bien entendu, il l’admet sans l’
admettre
; il y croit sans y croire. Il fait semblant d’y
ur l’existence de Putois. Être un excellent Audomarois consisterait à
admettre
l’existence de Putois, parce que les autres l’adm
consisterait à admettre l’existence de Putois, parce que les autres l’
admettent
, sans la commenter ni la critiquer, et à en arriv
notions qu’on leur propose. Ceux d’entre eux qui acceptent les idées
admises
dans leur groupe savent la plupart du temps à quo
-il, ne paraissent avoir aperçu tout ce qu’il y a de contradictoire à
admettre
que l’individu soit lui-même l’auteur d’une machi
social. C’est la solution de Guyau et en général des sociologues qui
admettent
l’existence d’une sorte d’altruisme et de sociali
la solidarité inconsciente de la tribu. — Il nous paraît difficile d’
admettre
à aucun moment une socialisation aussi complète d
discipline du groupe. Il semble résulter de tout cela que M. Durkheim
admet
un conflit possible entre l’individu et le groupe
rer à la fois de celle de Guyau et de celle de Spencer. M. Durkheim n’
admettrait
pas avec Guyau que l’homme, l’individu, est spont
été et résistance sérieuse et profonde de l’individu à la société. Il
admet
l’existence de ces résistances mais il croit en m
’autre part M. Durkheim nous paraît différer de Spencer en ce qu’il n’
admet
pas, comme ce philosophe, une solution globale, u
de cette solution unique et en quelque sorte rectiligne, M. Durkheim
admettrait
plutôt des évolutions partielles, variables avec
déprécie comme Nietzsche le christianisme et ses valeurs morales et n’
admet
d’autre supériorité que la supériorité ethnique.
n ne saurait confondre la philosophie avec les religions. La religion
admet
, outre le témoignage de la raison, l’autorité de
nsiste à prendre pour point de départ du système une idée évidente ou
admise
comme telle, et d’y rattacher toutes les idées se
e troisième, et ainsi de suite ; de telle sorte que la première étant
admise
, toutes les autres en sortent sans solution de co
systèmes philosophiques importants, le positivisme par exemple, qui n’
admettent
pas l’existence de l’absolu. On ne saurait exclur
sens commun est large. Il pourra fort bien, dans différents systèmes
admettre
comme ne lui répugnant pas, des solutions contrad
lement les lois générales qui régissent les phénomènes. On ne saurait
admettre
des conclusions aussi absolues. La philosophie es
ience distincte suffisent à montrer que cette théorie ne saurait être
admise
. De nos jours s’est produite une autre idée : on
ique. La méthode psychophysique, pour toutes ces raisons ne peut être
admise
. Pour vaincre cette dernière difficulté, une autr
fin, s’écouter parler est une expression quotidienne. On ne peut donc
admettre
la seconde objection. Enfin, à la troisième on ré
ns qui puissent servir de base à une division en groupes. Autant nous
admettrons
de groupes, autant nous aurons formé de facultés
. Malgré tout, nous tenons à la vie pour elle-même quand bien même on
admettrait
qu’elle renferme plus de douleur que de plaisir,
é absorbât les deux autres. Toutes ces unifications ne sauraient être
admises
: ces trois sentiments non seulement ont leur rai
par nous en dehors de l’expérience. Mais, sans trancher la question,
admettons
la solution du sens commun qui voit là deux conna
érie donnée, plus sa différence avec l’unité est faible. Il faut donc
admettre
que le nombre infini n’existant pas réellement, l
e de tout état de conscience. Les états de conscience inconscients qu’
admet
M. Taine au début de son raisonnement impliquent
nt impliquent contradiction. Mais, objectent les positivistes, nous n’
admettons
point l’inconscience des états de conscience. Cha
ce. l’expérience suffit-elle à tout expliquer, ou est-il nécessaire d’
admettre
chez nous d’autres facultés, c’est ce que nous al
ns la perception extérieure. C’est une vérité presque universellement
admise
que les corps tombent suivant la verticale. Nous
ons un autre exemple. Je dis : « L’homme est un être sensible. » Nous
admettons
cela, mais nous concevons un être qui aurait tout
nter la contradictoire, la proposition forcément sera universellement
admise
. Néanmoins, à cause de la difficulté signalée plu
admise. Néanmoins, à cause de la difficulté signalée plus haut, nous
admettrons
purement et simplement la première expression et
ouvrage dans ce sens : De la raison impersonnelle. La raison que nous
admettons
est au contraire, absolument personnelle. Elle ne
onnés a priori, il énonçait ainsi le premier des deux principes qu’il
admettait
: Tout ce qui est a une raison d’être. Quoi qu’il
, je ne conclus point à la coexistence des notes émises. Il faut donc
admettre
l’origine a priori de ces idées. On voit là dans
fuse. C’est l’hypothèse de la finalité immanente. Ou bien, si on ne l’
admet
pas dans les choses, il faut supposer en dehors d
iers ne sont que des divisions du premier. Il nous semble difficile d’
admettre
que l’idée d’absolu nous soit donnée a priori. Il
quand bien même ils s’interdiraient systématiquement de le sonder, d’
admettre
l’existence de quelque chose en dehors du relatif
pirisme Il y a une doctrine qui nie l’existence de la raison, et n’
admet
que la perception extérieure et la conscience. Su
faculté de construire autre chose que ce qui lui est donné, ce que n’
admettent
point les empiriques anciens. Ce genre d’empirism
ssité des jugements rationnels. Pour cela, il nous fait voir que nous
admettons
comme vrais des jugements qui jadis ont paru absu
ibilité de séparer les termes qu’elle tend à unir ? Nous ne pouvons l’
admettre
. Il y a en effet des idées que nous unissons touj
les cas. Le vice de ce raisonnement consiste en ce que la mineure est
admise
sans démonstration, et rien ne permet à Stuart Mi
ose que le principe de causalité. En effet, pour qu’on ait le droit d’
admettre
d’une manière générale cette universalité d’un ra
échapper aux objections que nous lui avons faites. Une école anglaise
admet
que les jugements rationnels sont innés chez l’in
pas. Donc tout empirisme arrive à cette conclusion, qu’on ne saurait
admettre
: L’esprit n’a d’existence réelle qu’en même temp
ment on ne peut se représenter l’esprit avant l’expérience, si l’on n’
admet
pas l’innéité des principes rationnels ; mais en
lectus). Puisque la raison ne peut être dérivée de l’expérience, nous
admettons
donc que les idées et principes rationnels sont i
rnes de l’intelligence, c’est-à-dire un monde transcendental. Si l’on
admet
avec Kant, comme d’ailleurs nous l’avons admis, q
ranscendental. Si l’on admet avec Kant, comme d’ailleurs nous l’avons
admis
, que l’esprit possède une nature propre, il doit
il ne donne pas à l’esprit de nature propre, déterminée. Mais si l’on
admet
avec Kant que l’esprit est quelque chose de défin
ntithèse. Pour expliquer ces contradictions, il n’y a selon lui, qu’à
admettre
que la thèse se rapporte au monde des noumènes, l
au monde des noumènes, l’antithèse à celui des phénomènes. Si l’on n’
admet
pas la distinction de ces deux mondes on n’expliq
Le seul moyen de sauver le principe de contradiction, dit Kant, est d’
admettre
cette doctrine. Mais cet argument ne vaut que si
cune chose composée n’est composée de parties simples. Or, nous avons
admis
, en étudiant la nature du monde extérieur, que l’
s comme composé d’instants successifs et discontinus. De même si l’on
admet
que l’étendue est composée d’éléments discontinus
aient l’emplacement des forces élémentaires dont nous avons plus haut
admis
l’existence. De même, l’effet n’est pas le dévelo
ès bien que la ressemblance seule produit l’association. Il faut donc
admettre
au moins deux types : l’association par contiguït
plus que les autres. Il est vrai, ses conceptions ne doivent pas être
admises
sans contrôle ; mais c’est à l’entendement à en v
devaient nécessairement nous donner des idées. D’ailleurs nous avons
admis
que le moi était tout entier conscient. Si donc l
on devient de plus en plus forte. La genèse de Condillac ne peut être
admise
. Ce qui distingue l’attention est qu’elle est l’œ
té existante. C’est là la théorie réaliste. D’autres au contraire ont
admis
que les idées générales étaient purement subjecti
liquent suffisamment par la communauté d’origine. Nous ne pouvons pas
admettre
davantage le pur nominalisme. Quand nous pensons
fection suprême, et c’est celle-là qui est identique au beau. Si l’on
admettait
cette dernière définition du beau, le beau serait
qu’il n’était qu’un système d’actions réflexes. Descartes avait déjà
admis
une théorie analogue. L’instinct pour lui n’est p
ler l’école cartésienne, mais la science aujourd’hui ne permet plus d’
admettre
une pareille théorie : il est bien prouvé aujourd
sée par Darwin, dans son ouvrage De l’origine des espèces, et qui est
admise
par Herbert Spencer. En voici les principes : Qua
vation. 2. Pour expliquer la tendance de l’acte à se produire il faut
admettre
qu’il se développe en dehors de la volonté à la s
l’on a tenté de faire de l’idée de liberté ne sont pas valables, nous
admettrons
comme juste la preuve directe de notre liberté ti
d’indifférence. Mais sans discuter ces exemples, il est impossible d’
admettre
des actions sans motifs. Une pareille hypothèse e
a main, à la disposition des guinées dans ma poche. Dans le cas idéal
admis
par Reid il y a une première raison qui détermine
celui sur lequel il porte l’attention à ce moment. Quand bien même on
admettrait
des actions sans motifs, ce serait une pauvre obj
rait ainsi aux adversaires la majeure partie de leur thèse. Ce serait
admettre
que nos actions les plus importantes sont absolum
eux pour résoudre cette difficulté a été fait par Kant. Ce philosophe
admet
qu’il y a dans l’homme deux hommes, dans le moi d
mement tenus pour vrais. Pour expliquer cette diversité, il faut bien
admettre
que ces espèces de jugement sont dépourvues de cr
ons un grand écart entre leur valeur et notre certitude. Il faut donc
admettre
dans cette sorte de certitude l’intervention d’él
te erreur n’est donc pas une privation de vérité. D’ailleurs, si on l’
admet
, il reste à expliquer comment il se fait que nous
Les sceptiques convaincus n’hésiteront pas à douter de leur doute, à
admettre
que l’existence même de l’incertitude n’est pas c
e défaillance, un anéantissement complet de l’esprit qu’on ne saurait
admettre
. Mais examinons en lui-même l’argument sceptique
’est seulement l’idée d’une chose qu’on exprime par un terme. Comment
admettre
que « La géométrie est la science des grandeurs »
lle est vraie, parce qu’elle est identique à une partie des prémisses
admises
comme vraies. Les modes du syllogisme dépendent d
te des sophismes n’est ni assez exacte, ni assez complète. Nous avons
admis
deux sortes de raisonnements, nous avons donc deu
trer qu’il y ait des signes naturels. D’ailleurs, il est impossible d’
admettre
que l’enfant avant l’expérience possède tant d’id
els que soient ces signes, quel qu’en soit le nombre, nous ne pouvons
admettre
cette hypothèse. Que l’on nous donne comme nature
les premiers mouvements par lesquels nous exprimons nos pensées, nous
admettons
bien qu’on s’en servira plus tard comme signes, m
ponsable d’une action commise aujourd’hui. Il est vrai, la loi civile
admet
qu’on n’est plus responsable au bout d’un certain
existence de la loi morale, que nous avons démontrée, nous ne pouvons
admettre
qu’à l’état de nature le droit de chaque homme so
iéner la mienne : je n’en aurai pas moins commis une action immorale.
Admettons
-nous donc l’autre doctrine ? Si elle n’est pas co
térieures. Nous devons donc partir des états de conscience et ne rien
admettre
qui ne soit nécessaire à leur explication. Notre
re théorie échappe à l’objection faite au spiritualisme courant qu’il
admet
dans le monde deux sortes de réalité, ce qui est
il admet dans le monde deux sortes de réalité, ce qui est difficile à
admettre
, et introduit ainsi une solution de continuité da
ainsi une solution de continuité dans la nature. Notre spiritualisme
admet
au contraire que l’âme n’est pas une réalité d’un
tiplier inutilement les causes et les principes. Or, le spiritualisme
admet
deux réalités, deux principes irréductibles. Cela
plutôt de l’âme et des esprits animaux qui font mouvoir le corps ; il
admettait
comme un fait irréductible les rapports de la sub
nisme et l’âme guidée par le dynamisme. Mais il y a des doctrines qui
admettent
pour la vie des propriétés un principe spécial. L
demander si Dieu existe, c’est se demander quelle raison nous avons d’
admettre
l’existence de l’absolu. Bien des démonstrations
e démonstration sont les principes de perfection que nous n’avons pas
admis
comme réellement a priori, les principes de causa
dans l’expérience et qui semblent ne pouvoir s’expliquer que si l’on
admet
l’existence d’une intelligence qui ait disposé le
suppose en nous l’idée innée de perfection. Or, nous ne l’avons point
admise
au nombre des idées rationnelles, car elle ne ren
s attributs qui le composent. En second lieu, le syllogisme n’est pas
admis
à déduire de la définition d’une chose son existe
on, une pareille explication équivaut à un refus d’expliquer. Comment
admettre
que le hasard seul ait présidé à l’harmonie si co
en supprimant la finalité ne met à sa place que le hasard, n’est plus
admise
de personne. Elle a été remplacée par une philoso
oisines, il résulte qu’ils subissent des influences inégales. » Cela
admis
, reste à expliquer la coordination. Comment les é
voir continuer à vivre, il lui faut des organes moteurs. Mais comment
admettre
que le seul besoin qu’il a de ces organes les pro
logique, comment serait-elle possible sans conscience ? Hartmann, qui
admet
des phénomènes psychologiques inconscients, n’est
tte difficulté ; mais ayant réfuté cette théorie nous sommes forcés d’
admettre
une finalité transcendante. Il y a donc de l’ordr
s hommes aient l’idée de Dieu ; en outre, quand bien même cela serait
admis
, cela ne donnerait qu’une présomption en faveur d
, c’est là une idée que nous avons déjà réfutée. Nous ne pouvons donc
admettre
cette méthode. La seconde consiste à partir de la
erfection : il y aurait contradiction si la perfection que nous avons
admise
n’était que la réunion de toutes les qualités rée
Les panthéistes nous dénient ces deux attributs ; mais nous les avons
admis
comme réels, nous ne pouvons donc admettre leur s
tributs ; mais nous les avons admis comme réels, nous ne pouvons donc
admettre
leur système. Enfin, le panthéisme n’explique pas
de Dieu et du monde ne se bornent pas à l’acte créateur : on ne peut
admettre
qu’après avoir fait le monde, il l’abandonne et s
ngue deux sortes de Providence : générale et particulière. La seconde
admet
une intervention effective de Dieu dans les affai
qu’ils ne soupçonnent même pas, la gloire du peuple de Dieu. Bossuet
admet
comme également vraies, quoique inconciliables, l
uissance de Dieu, mais aux dépens de sa dignité. Nous ne pouvons donc
admettre
la Providence particulière. La Providence est don
t à recourir à l’intervention d’un miracle145. Il est universellement
admis
que, dans la plupart des cas, l’aire habitée par
corder une foi entière aux arguments employés par Forbes, il faudrait
admettre
qu’à peine il existe une seule île qui ne se soit
ments tels dans leur position ou leur étendue, que nous ayons droit d’
admettre
qu’à une époque encore récente ils aient tous été
aux autres, ainsi qu’aux diverses îles des océans qui les séparent. J’
admets
volontiers l’existence antérieure de nombreuses î
ux d’une forme plus ou moins circulaire qui les surmontent. Lorsqu’on
admettra
pleinement, comme on le fera un jour, je pense, q
olutions géographiques aussi prodigieuses que celles dont il faudrait
admettre
la réalité, d’après les vues de Forbes, adoptées
vement violent, comme dans ces expériences. Il serait donc plus sûr d’
admettre
que les 10/100 des plantes d’une flore, après avo
ces vivant en divers points du globe très distants, sans qu’on puisse
admettre
la possibilité de leur migration successive d’un
r Olivez. Par des raisons que j’ai déjà mentionnées, je crois pouvoir
admettre
que nos continents sont demeurés, depuis des temp
ie de la période totale. En attendant des preuves contraires, on peut
admettre
au moins comme probable que l’action glaciaire a
es deux versants de la partie méridionale du continent. Une fois ceci
admis
, il est difficile de s’empêcher de croire que pen
leur contrée natale, couvrirent le sol jusqu’au pied des Pyrénées. J’
admets
qu’à cette époque d’extrême froid le climat des t
variétés convergentes sorties de deux espèces distinctes, il faudrait
admettre
chez l’une et chez l’autre une tendance de révers
ologique successive, ces difficultés sont très nombreuses. Si on peut
admettre
que pendant la série entière des âges géologiques
ts aujourd’hui complétement et profondément submergés ; il ne faut qu’
admettre
un affaissement plus considérable de l’aire qu’il
que M. Darwin a constatées dans ces parages. D’ailleurs, il faut bien
admettre
que ces îlots volcaniques ont une base quelconque
efroidissement général que M. Darwin suppose. Mais peut-on réellement
admettre
cette inégalité de température des espaces inters
l’Évangile l’avantage d’une authenticité incontestée. Mais passons et
admettons
que les évanouissements traditionnels du soleil p
e tant d’autres faits analogues, que toute hypothèse, tendant à faire
admettre
une période de refroidissement totale et simultan
tre la statue et les mêmes invectives contre les Genevois en masse. J’
admets
qu’on les aime modérément ; mais pourquoi, chaque
les causes et les effets, sur les lois de l’esprit humain. Cet homme
admet
bien, comme vous, l’idée générale de Création, et
ais après cette idée de Création il s’arrête, il ne peut concevoir ni
admettre
que l’Intelligence et la Puissance infinie se soi
homme, parce qu’il ne peut absolument (à moins de se faire hypocrite)
admettre
votre idée à vous, avec toutes ses conséquences,
’insulterez ! Quoi encore ? — Cet autre homme, lui, est chrétien ; il
admet
la divinité, une émanation plus ou moins directe
is pas au bout : — Cet homme, — un autre homme encore, — est arrivé à
admettre
, à comprendre, à croire non-seulement la Création
Intelligence ici-bas dans un homme divin, dans l’Homme-Dieu ; mais il
admet
encore la tradition telle qu’elle s’est établie d
t à dire sur la formule nouvelle de la poésie française ; et l’auteur
admet
que cela peut avoir quelque utilité, non seulemen
’indépendance auxquels Banville a recours contre les classiques. Nous
admettons
, comme lui, que Corneille, Racine, Molière et La
en avoir un meilleur. Nous sommes si d’accord avec Banville que nous
admettons
sa définition : « Le Vers est la parole humaine r
binaire, aux jeux pairs de syllabes, dans sa dimension la plus grande
admise
, l’alexandrin. Banville dit : « Le vers de douze
tible. » C’est un des fondateurs du Parnasse, qui nous explique qu’il
admet
l’alexandrin, mais non le classique, l’alexandrin
e donnant l’occasion de clarifier quelques notions : « Il faut bien
admettre
que, ainsi des mœurs et des modes, les formes poé
i la durée serait-elle restreinte à douze, à quatorze syllabes ? Sans
admettre
que le vers devienne un verset complet, et là le
trouvera l’argument victorieux à l’objection — soit un livre. Mais j’
admettrai
plutôt que ces grandes œuvres, loin de se limiter
conscience étant considérée comme ayant son siège dans le cerveau, on
admet
naturellement que l’impression, tant qu’elle n’at
toutes ces sensations doivent être les éléments de la conscience. On
admet
aussi que parmi ces excitations, celles-là seulem
ns d’adopter l’hypothèse de Descartes sur les bêtes-machines, il faut
admettre
que les animaux plus humbles ont cette forme de l
, pour le singe. « A moins de jeter la science aux vents, nous devons
admettre
que tous les animaux sont conscients (ont des sen
orie de M. Lewes qui étend le sensorium à tous les centres nerveux, n’
admet
plus entre l’action du cerveau et celle de la moe
uce essuyer l’acide irritant, je ne vois pas pourquoi on refuserait d’
admettre
que te bras sent, quoique l’homme ne sente pas. I
cessaires, comme la respiration, la sécrétion, etc. ; 2° ceux qui ont
admis
autrefois une alternative dans le choix des moyen
variables encore dans certaines limites (les instincts) ; 3° ceux qui
admettent
diverses alternatives pour arriver à une fin (act
ne des idées. Mais ceux qui refuseraient de les suivre jusque-là et d’
admettre
que l’hérédité puisse trancher une des questions
e la transformation de l’un en l’autre est inintelligible. Aussi je n’
admets
pas cette transformation : et quand on me dit qu’
és qui sont en fonction l’une de l’autre, il n’y a aucune raison d’en
admettre
une troisième qui n’expliquerait rien. D’un autre
us les corps vivants le théorème de la conservation de l’énergie. Car
admettre
l’universalité de ce théorème, c’est supposer, au
lité même du principe de la conservation de l’énergie ne saurait être
admise
qu’en vertu de quelque hypothèse psychologique. À
s de l’étendue. Leibnitz l’attribuait à une harmonie préétablie, sans
admettre
qu’en aucun cas le mouvement pût engendrer la per
amplement à celui qui, pour des raisons d’ordre psychologique, a déjà
admis
la détermination nécessaire de nos états de consc
sidérer la loi ainsi formulée comme tout à fait générale, puisqu’elle
admettait
une exception évidente dans le cas du choc centra
ition première. On conçoit du moins ce retour comme possible, et l’on
admet
que, dans ces conditions, rien ne serait changé à
retour en arrière ne s’est jamais effectué chez un être vivant. Mais
admettons
que l’absurdité soit purement apparente, et tienn
quelque sorte à l’appel du premier. Elle le montre en effet ; et nous
admettrons
sans peine, quant à nous, l’existence d’une relat
le caractère absolu que le spiritualisme lui prête quelquefois ; elle
admet
des degrés. — Car il s’en faut que tous les états
sociales, nous avions tout intérêt à ne pas percer cette croûte et à
admettre
qu’elle dessine exactement la forme de l’objet qu
de chemin OX, pas de direction OY. Poser une pareille question, c’est
admettre
la possibilité de représenter adéquatement le tem
un mouvement que l’on pense ; c’est un rapport entre des rapports. On
admet
, sans bien s’en rendre compte peut-être, que le m
spondent. De là un déterminisme qui a son origine dans la nécessité d’
admettre
une harmonie préétablie, et point du tout dans la
s de conscience ; les choses ne durent plus alors comme nous, et l’on
admet
pour les choses une préexistence mathématique de
olue entre la durée concrète et son symbole spatial : et dès que l’on
admet
cette équivalence, on aboutit, par le développeme
ète, se placer au moment même où l’acte s’accomplit. Ou bien alors on
admet
que la matière de la durée psychique peut se repr
nt, avons-nous dit, à traiter le temps comme un milieu homogène, et à
admettre
sous une nouvelle forme l’équivalence absolue de
mes causes internes ne provoqueront pas toujours les mêmes effets. On
admet
donc que les antécédents psychiques d’un acte lib
intelligences, mais dans l’évidence d’une intuition individuelle ; on
admettra
la possibilité d’une certaine insociabilité intel
intenant dirigées ses attaques. — Si M. Draghicesco ne va pas jusqu’à
admettre
la théorie absolue de Weismann sur la non-transmi
sur la non-transmissibilité des variations individuelles acquises, il
admet
une théorie mitoyenne qui peut se formuler ainsi
où elle n’agit plus ? De quel droit nier son action ici après l’avoir
admise
là ? Beaucoup de physiologistes ne croient pas à
ais il les nie pour l’avenir. Conclusion arbitraire : car il suffit d’
admettre
que les races furent autrefois un élément de diff
de ce raisonnement consiste en ce que, le principe de M. Draghicesco
admis
, le lecteur ne peut plus affirmer qu’il y a une d
une pleine et entière soumission d’esprit ? Nombre de philosophes ont
admis
l’existence d’une semblable vérité. C’est pourquo
’une vérité objective ne semble pas incompatible avec le pragmatisme.
Admettre
avec Nietzsche que les principes les plus générau
es mathématiques elles-mêmes relèvent du principe de commodité ; bref
admettre
que notre connaissance est tout entière fonction
ette dernière n’étant elle-même qu’une forme de notre utilité vitale,
admettre
, dis-je, tout cela, ce n’est pas compromettre l’o
é psychologique existe entre les individus qu’ils seront contraints d’
admettre
les mêmes vérités. Or, quand on passe des princip
s de l’utilité. 13. De Gobineau, partisan de l’inégalité des races,
admet
en principe que des individualités fortes ne peuv
élangées, les individualités fortes sont rares. Toutefois de Gobineau
admet
que les soubresauts de l’atavisme, les combinaiso
volume du Monde comme volonté. — Ailleurs, il est vrai, Schopenhauer
admet
l’existence d’une autre intuition, mystique, tran
férieurs, de l’œil plus complexe chez les animaux supérieurs. Si l’on
admet
, avec certains physiologistes et psychologues, qu
ns diverses jusqu’à produire parfois une apparente indifférence. Nous
admettons
volontiers que le plaisir et la peine constituent
du bleu et la sensation d’une piqûre d’épingle il est difficile de n’
admettre
qu’une différence de plaisir et de douleur ; le b
e prémusculaires, fabriquer les autres sensations ? Nous voulons bien
admettre
qu’il y a des sensations musculaires ou prémuscul
la simplicité aperçue de la simplicité réelle12 ». — Nous ne saurions
admettre
cette théorie. On peut bien dire que ce qui appar
is, qu’elle soit simple pour être inexpliquée, c’est ce qu’on ne peut
admettre
. L’impossibilité de l’explication peut venir au c
iqueurs. Si les partisans de la chimie mentale n’ont point le droit d’
admettre
une entière identité de composition entre l’excit
ique, les adversaires de la chimie mentale, eux, n’ont pas le droit d’
admettre
qu’à des conditions complexes d’excitation répond
plus original et de plus spécifique qu’un composé très complexe. Nous
admettons
donc, pour notre part, la possibilité d’une fusio
les distinctions de James Ward, nous irons plus loin que lui, et nous
admettrons
un élément sensitif, mais moins caractérisé, jusq
les actes primitifs de la conscience sont des raisonnements. « Nous n’
admettons
pas d’abord, dit-il, des idées d’où sortent des j
dt est une sorte de platonisme rationaliste et abstrait. On peut bien
admettre
que le raisonnement est la forme naturelle de la
me des trois sortes de mouvements est constante. Dès lors, on ne peut
admettre
qu’une certaine quantité de mouvement antérieur à
uvé le besoin de s’ajouter cet étrange « épiphénomène ». Il faut donc
admettre
que la sensation est un facteur efficace dans la
5, que tous les grands penseurs qui ont étudié ce sujet, sont prêts à
admettre
l’hypothèse suivante : que tout acte de conscienc
e l’état physique du cerveau aux faits correspondants du sentiment. —
Admettons
qu’une pensée définie corresponde simultanément à
ses de phénomènes serait toujours intellectuellement infranchissable.
Admettons
que le sentiment amour, par exemple, corresponde
r, ainsi que tant d’autres théories physiques et psychologiques, elle
admet
en ligne de compte le jeu d’optique, l’influence
aîne infailliblement celle de l’autre. — Nous sommes donc autorisés à
admettre
que l’événement cérébral et l’événement mental ne
et physique. Voilà une confirmation directe et notable de l’hypothèse
admise
, et l’on comprend maintenant pourquoi l’événement
ère est la traduction de la seconde. Sur cette indication, nous avons
admis
que le texte, quoique invisible à nos yeux, doit
in a reçues et les limites de son travail scientifique. Je ne saurais
admettre
la parité que vous établissez entre l’opposition
soit par la philosophie. Par exemple, les philosophes spiritualistes
admettent
certains principes nécessaires ou vérités premièr
ncipes ils fondent la démonstration de l’existence de Dieu. M. Guizot
admet
les mêmes principes, les mêmes vérités, et il s’e
cts, et, jusqu’à nos jours du moins, profondément hostiles : l’un qui
admet
entre Dieu et l’homme des intermédiaires sacrés,
ne seule, ce n’est pas une petite différence que celle qui consiste à
admettre
ou à rejeter la pratique de la confession. Lorsqu
et l’autre, c’est être sceptique et non chrétien. Il est difficile d’
admettre
que M. Guizot, malgré sa sympathie évidente pour
déclaration d’articles de foi est arbitraire. M. Guizot, par exemple,
admet
cinq dogmes fondamentaux dans le christianisme :
ique que l’on a déclarée insuffisante, et cette explication, une fois
admise
, rend inutile toute autre hypothèse, y compris ce
u tout ? Comment l’aurais-je fait, si je n’étais pas né ? A moins d’
admettre
ou la préexistence des âmes, ou une sorte de pant
é pour les hommes ? Là est la racine d’un scepticisme irrémédiable. J’
admets
une justice surhumaine, c’est-à-dire une justice
iste Les Décadents dissemblaient des Symbolistes en ce sens qu’ils
admettaient
l’émotion directe, la traduction exacte des phéno
era de l’idéal poursuivi. « L’émotion esthétique a pour cause (étant
admise
la réalité du monde extérieur, mais comme une réa
ues évoquées. « Elles exprimeront le sujet par correspondance. Étant
admise
la théorie spinosiste de l’unité de substance, le
uent en sens inverse de l’opinion de M. Girard, impossible, si on les
admet
, d’admettre l’historien grec et son œuvre sur le
ens inverse de l’opinion de M. Girard, impossible, si on les admet, d’
admettre
l’historien grec et son œuvre sur le pied immense
univers. C’est cette raison humaine, philosophique, didactique, qui n’
admet
ou du moins ne veut admettre que ce qu’elle conço
n humaine, philosophique, didactique, qui n’admet ou du moins ne veut
admettre
que ce qu’elle conçoit en elle-même ; c’est cette
etc. Et il n’a pas même l’air de se douter qu’il est des raisons pour
admettre
l’emploi de tel procédé ou de telle manière, en d
mais la science qui prétend atteindre au fond des choses ne peut pas
admettre
qu’il y ait deux manières de concevoir le fond de
ont été analysés par les Écossais d’une manière que toute école peut
admettre
; ainsi de la méthode inductive dans Bacon, de la
oins bonnes, il y a quelque chose à emprunter, car il est difficile d’
admettre
que des écoles sérieuses puissent avoir eu des se
, c’est-à-dire précisément un des systèmes qu’il s’agit d’expliquer ?
Admettre
cette explication, ne serait-ce pas absorber tous
iomphé. Rien de plus ordinaire aujourd’hui, rien de plus généralement
admis
(excepté dans les plus bas degrés de la controver
mite de ce que nous pouvons et de ce que nous ne pouvons pas savoir ?
Admet
-on que la raison atteint l’absolu, si peu que ce
a raison atteint l’absolu, si peu que ce soit, c’est Kant qui a tort.
Admet
-on au contraire qu’elle ne l’atteint pas, c’est K
res, il y a des individus, il y a des forces indépendantes. Si l’on n’
admet
pas cela, Dieu est tout ; si Dieu est tout, tout
tion de M. Flourens est d’autant moins fondée de sa part que lui-même
admet
certaines localisations ; il distingue l’organe d
e ne pas être frappé des paroles suivantes de M. Broca : « Je ne puis
admettre
, dit-il, que la complication des hémisphères céré
iolet lui-même, tout opposé qu’il est à la théorie des localisations,
admet
cependant que les parties antérieures du cerveau
videmment quelque différence dans le rôle de ces parties. De plus, il
admet
dans le cerveau des départements distincts, non p
e sens contiennent plusieurs variétés de filaments élémentaires. Gall
admettait
dans le nerf optique l’existence d’autant d’éléme
sonne. » Ce qui paraît du reste certain, c’est qu’il est impossible d’
admettre
autant d’espèces de nerfs qu’il y a d’espèces de
stuler une harmonie préétablie vraiment providentielle, on ne saurait
admettre
que, dès l’origine, l’homme portât en lui à l’éta
utorité possible, par la méthode historique, ne devra être finalement
admise
qu’après avoir été rationnellement rattachée, d’u
’origine du gouvernement politique et du gouvernement religieux71. Il
admet
, il est vrai, que, une fois formée, la société ré
voit pas comment elle aurait pu se produire. Car, alors, il faudrait
admettre
qu’elle a pour moteur quelque ressort intérieur à
s ; alors même que l’un ou l’autre de ces deux postulats devrait être
admis
, le développement historique ne serait pas, pour
’objet n’avaient pas la vertu de les tirer du néant. En un mot, étant
admis
qu’elles sont les moyens nécessaires pour atteind
loin ; mais qu’est-ce qui nous incite à aller plus loin ? Il faudrait
admettre
alors une tendance interne qui pousse l’humanité
tifiquement déterminée, ni déterminable. D’ordinaire, il est vrai, on
admet
que l’évolution se poursuivra dans le même sens q
t que, si on les applique à la biologie et à la psychologie, on devra
admettre
que la vie individuelle, elle aussi, s’élabore to
seau ne paraissent avoir aperçu tout ce qu’il y a de contradictoire à
admettre
que l’individu soit lui-même l’auteur d’une machi
qu’elle se présente à l’individu sous l’aspect de la contrainte, nous
admettons
avec les autres qu’elle est un produit spontané d
aléopithèque aux autres espèces du groupe, cependant rien n’empêche d’
admettre
que ces espèces de transition n’aient existé à de
erres avec ses pieds, et se servant de ses ailes sous l’eau. Ceux qui
admettent
que chaque être a été créé tel que nous le voyons
la Frégate montre que cet organe est en voie de se modifier. Ceux qui
admettent
des créations distinctes et innombrables diront q
t la même chose, seulement en un langage plus métaphorique. Lorsqu’on
admet
le principe de concurrence vitale et celui de sél
incipe de concurrence vitale et celui de sélection naturelle, il faut
admettre
aussi que chaque espèce vivante s’efforce constam
nière absurdité de supposer que l’œil si admirablement construit pour
admettre
plus ou moins de lumière, pour ajuster le foyer d
explicables autrement que par la théorie de descendance modifiée. Ils
admettront
que même un organe aussi parfait que l’œil de l’A
dont les deux surfaces changent lentement de forme. De plus, il faut
admettre
qu’il existe un pouvoir intelligent, et ce pouvoi
rmée en un complément de la vessie natatoire. Tous les physiologistes
admettent
que la vessie natatoire est homologue, c’est-à-di
turalistes ont protesté récemment contre la doctrine utilitariste qui
admet
que chaque détail de la structure d’un être a pou
e doctrine était vraie, elle serait fatale à ma théorie. Cependant, j’
admets
pleinement que certains organes ne sont pas d’une
es actuelles des espèces qui en sont pourvues. Ainsi nous ne saurions
admettre
que les pieds palmés de l’Oie terrestre de Magell
ertions à cet égard qui soit de quelque poids à mes yeux. Ainsi, l’on
admet
que le Serpent à sonnettes a des crochets à venin
nt les viscères, ce qui cause inévitablement leur mort ? Mais si l’on
admet
que l’aiguillon de l’Abeille ait existé originair
des Pingouins. Je sais combien il est difficile, au premier abord, d’
admettre
qu’un organe aussi parfait que l’œil ait jamais p
’être lentement accumulées par sélection naturelle. Mais nous pouvons
admettre
comme certain que beaucoup de modifications entiè
’après ma théorie, de la plus stricte exactitude. Il est généralement
admis
que le développement de tous les êtres organisés
nt naissance à notre ordre actuel des Chéiroptères ; car si l’on peut
admettre
, comme nous le verrons plus loin, qu’une forme er
ons exclusivement confinés dans les eaux douces ; de sorte qu’on peut
admettre
qu’une espèce marine appartenant à un groupe comp
Bien que je n’aie pas constaté le fait, cependant l’analogie me fait
admettre
comme possible qu’un Héron volant d’étang en étan
us distants du globe. J’ai déjà dit que je ne saurais, en conscience,
admettre
les hypothèses de Forbes sur les anciennes extens
hypothèses dont les conséquences légitimement déduites conduiraient à
admettre
que pendant la durée de la période actuelle toute
lent des régions continentales d’égale étendue : M. Alph. de Candolle
admet
cette règle quant aux plantes, et M. Wollaston qu
erficie égale au cap de Bonne-Espérance ou en Australie, il faut bien
admettre
qu’indépendamment de la différence des conditions
de la création indépendante de chaque espèce distincte, il faut alors
admettre
que sur chaque île océanique il n’a pas été créé
édiaires ; il ne reste plus de difficulté insurmontable qui empêche d’
admettre
que tous les individus de la même espèce, en quel
ions d’eau douce. Si l’on ne trouve aucune difficulté insurmontable à
admettre
que dans le cours prolongé du temps les individus
s des mers aujourd’hui vastes et vides. Ainsi on peut tout aussi bien
admettre
, avec Ed. Forbes, qu’un ancien continent a rattac
nte à la fois espèce, genre, classe, etc. Mais, d’autre côté, il faut
admettre
aussi comme probable que la forme d’atavisme ou d
ce-mère qui l’a produite. En résultante générale, on pourra peut-être
admettre
, au moins comme probable, que si, en effet, actue
ervations, soit pour faire des expériences. En effet, si l’on voulait
admettre
que l’observation est caractérisée par cela seul
vérifier l’exactitude d’une vue de l’esprit. D’un autre côté, si l’on
admettait
, comme il a été dit plus haut, que l’expérience e
ffère de celle que nous avons examinée en premier lieu, en ce qu’elle
admet
qu’il n’y a expérience que lorsqu’on peut faire v
ues et qu’il en institua ensuite une autre sur le haut de la tour, on
admet
qu’il fit une expérience, et, cependant ce ne son
es, et se contenter de raisonner sur les faits observés. Mais si l’on
admet
qu’il faille ainsi se limiter et si l’on pose en
habileté manuelle ou le perfectionnement de certains sens. Mais si j’
admets
la spécialité pour ce qui est pratique dans la sc
déduction logique que l’on ne soumet pas à l’expérience, parce qu’on
admet
, comme en mathématiques, que, le principe étant v
se passent autrement. De sorte que c’est toujours par hypothèse qu’on
admet
le principe absolu. C’est pourquoi l’application
s modes d’expression de sa sensibilité et de sa volonté. De plus nous
admettons
encore qu’il y a un rapport nécessaire entre les
e d’une tentative expérimentale, soit comme corollaires d’une théorie
admise
. Ce qu’il faut seulement noter pour le moment, c’
périences instituées d’une manière illogique par rapport aux théories
admises
. L’astronomie a assez de confiance dans les princ
nce, mais elles sont évidemment destinées à changer, à moins que l’on
admette
que la science ne doive plus faire de progrès, ce
ecoue non seulement le joug philosophique et théologique, mais elle n’
admet
pas non plus d’autorité scientifique personnelle.
de raisonnement inductif et de raisonnement déductif. Ils ont encore
admis
deux méthodes scientifiques, la méthode inductive
osa des divinités attachées à chaque phénomène. Aujourd’hui le savant
admet
des forces ou des lois ; c’est toujours quelque c
seront interprétés pour s’y adapter. L’expérimentateur au contraire n’
admet
jamais de point de départ immuable ; son principe
ueilleux et intolérant et n’accepte pas la contradiction, puisqu’il n’
admet
pas que son point de départ puisse changer. Ce qu
e lui-même et de ses interprétations, mais il croit à la science ; il
admet
même dans les sciences expérimentales un critériu
vent ; il n’y a pas à raisonner, il faut s’y soumettre. Sans doute, j’
admets
que les faits sont les seules réalités qui puisse
el, quel qu’il soit, étant donné, jamais un expérimentateur ne pourra
admettre
qu’il y ait une variation dans l’expression de ce
en ce qu’on les oppose toujours en disant : C’est un fait, il faut l’
admettre
. La science rationnelle fondée, ainsi que nous l’
he dans les phénomènes est trouvée. Pour cela, elle supprime la cause
admise
pour voir si l’effet persiste, s’appuyant sur cet
our s’élever contre l’expérimentation chez les êtres vivants. Ils ont
admis
que la force vitale était en opposition avec les
qui serait nier simplement la science biologique ; ou bien ce serait
admettre
que la force vitale doit être étudiée par des pro
ns des corps bruts qui a porté les physiologistes, dits vitalistes, à
admettre
dans les premiers une force vitale qui serait en
aussi bien dans les corps vivants que dans les corps bruts Il faut
admettre
comme un axiome expérimental que chez les êtres v
cience n’étant que le déterminé et le déterminable, on doit forcément
admettre
comme axiome que dans des conditions identiques,
s autres, en ce sens qu’elle nous est parfaitement inconnue. Que l’on
admette
ou non que cette force diffère essentiellement de
s dans la nature brute, et qui, par conséquent, leur sont spéciaux. J’
admets
en effet que les manifestations vitales ne saurai
des résultats discordants ou même contradictoires, on ne devra jamais
admettre
des exceptions ni des contradictions réelles, ce
un autre tout différent. Que faire dans cette situation ? Faudra-t-il
admettre
que les faits sont indéterminables ? Évidemment n
ables ? Évidemment non, puisque cela ne se peut. Il faudra simplement
admettre
que les conditions de l’expérience qu’on croyait
s que notre imagination peut enfanter, nous sommes toujours obligés d’
admettre
que tout cela se passera d’après les lois de la p
les faits qu’ils observent ; tandis que le physiologiste est porté à
admettre
une finalité harmonique et préétablie dans le cor
physiologique, il importe que nous développions notre pensée. Il est
admis
en général que la synthèse reconstitue ce que l’a
ommes avant de les avoir étudiées soigneusement sur les animaux. Je n’
admets
pas qu’il soit moral d’essayer sur les malades da
forment la science médicale vraiment active. Dans la biologie on peut
admettre
des points de vue divers qui constituent, en quel
pensée, il en est seulement le substratum. On pourrait, si l’on veut,
admettre
la distinction de de Blainville, mais elle serait
essentielle, c’est-à-dire sans lésion ; ce qui est absurde, car c’est
admettre
un effet sans cause. On a donc compris qu’il fall
tes les altérations anatomiques sont toujours primitives, ce que je n’
admets
pas, croyant, au contraire, que très souvent l’al
puisse devenir ensuite un germe morbide pour d’autres symptômes. Je n’
admettrai
donc pas que les cellules ou les fibres des tissu
a base essentielle de la physiologie expérimentale. En effet, il faut
admettre
que, chez un animal, les phénomènes vitaux ne var
oncourent à l’expression de l’ensemble du phénomène ; et ensuite elle
admet
que ces corps ne se combinent point de manière à
ndes salivaires, on aurait obtenu un rapport plus approché, mais je n’
admets
pas qu’on puisse calculer la quantité de salive s
oujours sujet à contestation. Mais, même par hypothèse, je ne saurais
admettre
que les faits puissent jamais être absolument ide
es sont sensibles, par exemple : 25 fois sur 100 ? Ou bien fallait-il
admettre
, d’après la théorie de ce qu’on appelle la loi de
rt, on aura toujours la guérison dans un cas déterminé. On ne saurait
admettre
, en effet, que les cas qui ont eu des terminaison
e sur un cas particulier, même de l’aveu des mathématiciens ; car ils
admettent
que, si la boule rouge est sortie cinquante fois
nomène se soit montré une seule fois avec une certaine apparence pour
admettre
que dans les mêmes conditions il doive se montrer
ale peut reposer sur l’indéterminé ; mais une science expérimentale n’
admet
que des phénomènes déterminés ou déterminables. L
ussée plus loin, qui a pu expliquer les dissidences anatomiques. Je n’
admets
donc pas qu’il puisse y avoir dans les sciences d
ulus savoir dans quel organe ce sucre alimentaire disparaissait, et j’
admis
par hypothèse que le sucre que l’alimentation int
à cette époque et qui devait être naturellement mon point de départ,
admettait
que le sucre qui existe chez les animaux provient
’une manière absolue. Ici nous avions une théorie d’après laquelle on
admettait
que le règne végétal avait seul le pouvoir de cré
e règle indispensable de critique expérimentale (P. 237) de ne jamais
admettre
sans preuve l’existence d’une cause d’erreur dans
les qui précèdent ? Il doit en conclure que les idées et les théories
admises
, dans l’état actuel de la science biologique, ne
xactement déterminés. I. Le principe du déterminisme expérimental n’
admet
pas des faits contradictoires Premier exemple
sir, comme le croit M. Longet, entre ces deux résultats ; il faut les
admettre
tous deux, mais seulement les expliquer et les dé
onne ne discute plus. M. Longet lui-même59 et tous les physiologistes
admettent
le fait de la sensibilité récurrente comme consta
ientifiquement le déterminé et l’indéterminé, mais qu’elle ne saurait
admettre
l’indéterminable, car ce ne serait rien autre cho
urait admettre l’indéterminable, car ce ne serait rien autre chose qu’
admettre
le merveilleux, l’occulte ou le surnaturel, qui d
expérimentateur doit soumettre ses idées au critérium des faits, je n’
admets
pas qu’il doive y soumettre sa raison ; car alors
le cœur du crapaud. Or, pour être logique, il fallait nécessairement
admettre
que les fibres musculaires du cœur du crapaud son
ur les unes n’agit pas sur les autres. Cela devenait impossible ; car
admettre
que des éléments organiques identiques quant à le
ntal se présente avec une apparence simple et logique pour que nous l’
admettions
, mais nous devons encore douter et voir par une c
a nécessaire ou non, je répète qu’il faut, pour éviter tout embarras,
admettre
l’expérience comparative comme une véritable cons
dit-il, des expériences de Brodie et de Magendie est juste, mais je n’
admets
pas la conclusion générale que vous en tirez. En
d pas toujours compte d’une manière rationnelle de ce qu’il fait et j’
admets
qu’il en conclue que la science médicale est enco
rons. On doit scientifiquement adopter l’idée de Pinel sans cependant
admettre
cette expérience comparative à longue échéance qu
a médecine, repousse le déterminisme dans les phénomènes de la vie et
admet
facilement que les phénomènes des êtres vivants s
rien en fait de traitement ou de guérison de maladies ; elle croit et
admet
tout, pourvu que cela soit fondé sur l’observatio
médicale. Mais le médecin expérimentateur, tout en étant le premier à
admettre
et à comprendre l’importance scientifique et prat
e un remède dont on doute, c’est manquer à la moralité médicale. Je n’
admets
pas ce raisonnement qui conduirait à chercher à s
déterminé retombant nécessairement dans le domaine scientifique. Je n’
admets
donc pas la philosophie qui voudrait assigner des
une convention allégeante et salutaire que l’écrivain nous demande d’
admettre
un instant. « Il n’y a rien… absolument rien… La
r des assemblages singuliers de mots et d’images… » Voilà ce que nous
admettons
implicitement lorsque nous lisons une page de Gro
nt : « Ce n’est pas sans une respectueuse émotion que nous avons été
admis
en présence de ce vieux lutteur… La glorieuse loc
arquez-le, est un puits de profondeur, puisqu’on y suppose couramment
admise
une pensée qui passe elle-même pour surprenante e
L’architecture nouvelle Je vois bien peu d’esprits prêts à
admettre
que ce que nous nommons communément beau, n’est q
, se réclamait d’une esthétique trop médiocre et trop restreinte pour
admettre
un poète aussi libre, aussi tumultueux, aussi exu
x arts, nous découvrons le même phénomène La peinture, par exemple, n’
admettait
avant ce siècle qu’un nombre restreint de sujets,
beau s’élargit insensiblement, que le nombre des choses et des êtres
admis
par l’esthétique s’accroit de siècles en siècles,
otre sens esthétique en demeure faussé, à tel point qu’il nous paraît
admis
que la vie moderne ne peut engendrer que laideurs
ividuels. D’abord, la disposition qu’il faut donner à son esprit pour
admettre
les dogmes de certaines religions, est souvent, e
i ne lui permet plus de se relever par elle-même, la sensibilité fait
admettre
ce qui conduit à la destruction de la sensibilité
ents sont nécessairement lassés de ce qui est, et lorsqu’une fois ils
admettent
quelque chose de surnaturel, il n’y a plus de bor
qu’on en pourrait lire. J’ai donc dû, de toutes les manières, ne pas
admettre
la religion parmi les ressources qu’on trouve en
t renvoyé pour la signature réciproque si les corrections eussent été
admises
. Ce fut encore avec son approbation que le Saint-
tout neuf, et ne se croyait choisi que pour légaliser des conventions
admises
de part et d’autre. « Moi, je n’oserais pas, auj
tet, en affirmait autant, et protestait ne rien savoir, et ne pouvoir
admettre
ce que j’avançais sur la diversité de la rédactio
bé Bernier, et que je n’avais qu’un de ces deux partis à prendre : ou
admettre
cet article tel quel et signer le concordat, ou r
l le maintiendrait précisément tel qu’il l’avait proposé, et que je n’
admettrais
aucune modification. Il reprit très vivement qu’i
re aussi que cet article, je le veux absolument tel quel, et que je n’
admets
pas de changements.” Et là-dessus il nous tourna
ier consul déclarer qu’il restait inébranlable sur le point de ne pas
admettre
de changement dans l’article controversé, il étai
quences si fatales à la religion, et qu’il était résolu, lui aussi, à
admettre
l’article et à le signer tel quel. Spina ajoutait
de clarté possible, en restant dans la concision de l’histoire, qui n’
admet
pas les développements d’une dissertation théolog
aires et des princes du sang. Enfin, quand vint leur tour, ils furent
admis
. La fonction consistait à entrer lentement un à u
t ; mais, qu’en respectant ses ordres, nous ne pouvions pas néanmoins
admettre
notre culpabilité pour le crime de rébellion et d
e aspect. « Il arriva donc qu’un de nous, perdant un peu l’équilibre,
admit
les formules proposées et même les copia avec ass
seulement les réminiscences ancestrales ; pourtant il est plausible d’
admettre
que le calme des heures de repos goûtées par le g
à faire sortir de la conscience ou à en tenir éloignée28. » Ces faits
admis
, on voit immédiatement la conséquence que doivent
l faut qu’il se dépense pour se conserver. S’il en est ainsi, peut-on
admettre
avec Léon Dumont que l’accumulation de la force,
force relativement persistant ; c’est de la rente consolidée. Si nous
admettons
un bien-être distinct des plaisirs tranchés et ém
s un bien-être distinct des plaisirs tranchés et émotionnels, faut-il
admettre
aussi un état d’indifférence ? C’est là un problè
ement une lutte pour l’existence, sans rien de plus ? Darwin semble l’
admettre
; car son principe est « le combat universel pour
mme moteur unique de la volonté est intimement liée à la doctrine qui
admet
que le plaisir a pour essence, ou tout au moins p
a conscience d’une faiblesse et d’une impuissance. Mais, si Descartes
admet
ainsi que le plaisir sensible côtoie la peine, il
héritage sur lequel on ne comptait pas. Pour toutes ces raisons, nous
admettons
qu’il existe des plaisirs de surcroît, qui tienne
croissement de plaisir, c’est qu’il y a excédent véritable, à moins d’
admettre
que je ne sois forcé de faire croître aussi la pe
lui-même et a un prix intrinsèque dans la vie. Nous ne saurions donc
admettre
la doctrine de Leslie et de Delbœuf, qui placent
antérieur de la vie manifestée par le mouvement : il est plausible d’
admettre
sous ce mouvement vital, avant la peine rudimenta
nt et à maintes et maintes reprises, comme la plupart des géologues l’
admettent
aujourd’hui, il n’en est pas moins vrai que depui
s ! IV. De la pauvreté de nos collections paléontologiques. — Il est
admis
par chacun que nos collections paléontologiques s
s la plus grande erreur quand nous partons de ce principe, tacitement
admis
par presque tous, qu’un immense dépôt de sédiment
e soulèvement graduel du sol les fait lentement émerger. Il faut bien
admettre
que des masses sédimentaires, considérables en ét
et d’une certaine étendue soit aisément détruite ; mais j’ai moi-même
admis
que des formations puissantes, solides et d’une g
ans les schistes métamorphiques le noyau primitif du globe en fusion,
admettront
probablement que ces mêmes roches doivent avoir s
n, le revêtement primitif peut n’avoir pas été très épais128. Si l’on
admet
que des roches, telles que le gneiss, le micaschi
enses où ces rochers se montrent à nu et affleurent le sol, à moins d’
admettre
qu’elles ont été postérieurement dénudées ? Or, d
nions ont un grand poids, je veux parler de Bronn et de Woodward, ont
admis
en règle générale que la durée moyenne de chaque
ment aucune différence avec leurs représentants vivants, ou à moins d’
admettre
que la grande majorité des naturalistes ont tort,
a dû passer pour se former137 ; mais je ne trouve aucune difficulté à
admettre
qu’il pourrait devenir avantageux aux descendants
ure différente, et solidifiées depuis longtemps, est plus difficile à
admettre
, parce qu’elle exigerait un concours extraordinai
est fausse, la conséquence sera fausse aussi. Si les jurisconsultes n’
admettent
pas le principe invoqué, si les témoins démentent
; 2º Celle qu’a excitée Norbanus est de ce genre-là. Ces deux points
admis
, l’innocence de Norbanus est incontestable, et so
ent on ne fait qu’aller de l’un à l’autre. On a une grande facilité à
admettre
l’évidence des choses qu’on croit ou qu’on aime :
loin qu’on aille dans la preuve, il faudra s’arrêter quelque part, et
admettre
comme évidente sans démonstration une dernière vé
utera point l’essence et l’origine, et, quoiqu’on pense là-dessus, on
admettra
les définitions vulgaires du bien et du mal. Il y
légère part faite par l’auteur à l’inspiration individuelle, on peut
admettre
qu’en poésie comme ailleurs l’individu compte pou
itives. Il est absorbé dans le groupe et annihilé par lui. « Que l’on
admette
un milieu social guerrier, Sparte par exemple, di
ces variations fortuites que la théorie de la sélection est forcée d’
admettre
, un homme doué de sentiments délicats et pacifiqu
Beaucoup regardent l’art comme un divertissement et un passe-temps et
admettent
que de même que chacun a le droit de prendre son
imentale présente des degrés et des aspects infinis. Il faut tous les
admettre
Si chaque homme et, en tous cas, l’artiste qui pa
rent la famille chrétienne pendant près de soixante-dix ans. Il était
admis
que quelques-uns des disciples verraient le jour
prédiction du Christ un sens plus adouci 800. En même temps que Jésus
admettait
pleinement les croyances apocalyptiques, telles q
ptiques, telles qu’on les trouve dans les livres juifs apocryphes, il
admettait
le dogme qui en est le complément, ou plutôt la c
nde des ressuscites, on mangerait, on boirait, on se marierait. Jésus
admet
bien dans son royaume une pâque nouvelle, une tab
es anges, si développée dans le Livre d’Hénoch, était universellement
admise
dans le cercle de Jésus. Épître de Jude, 6 et sui
soi-même la mesure de la vérité, et par conséquent il entendait bien
admettre
l’existence des divers individus. Berkeley, qui n
e des divers individus. Berkeley, qui niait la réalité de la matière,
admettait
expressément l’existence des esprits. Fichte enfi
panthéisme, qui réduit tout à l’unité, se place le spiritualisme, qui
admet
les unités secondaires entre l’unité première et
it, de l’esprit avec Dieu. Le spiritualisme subsiste, pourvu que l’on
admette
ces deux vérités fondamentales : l’unité de centr
rsonnalité divine soit venue de l’école de Hegel ; cette école, qui n’
admet
que le sujet, que la pensée, que l’idée, devait d
dans un certain nombre de romans et de tragédies du temps : Boileau n’
admet
pas qu’on représente la cour et la ville sous le
’il se contente de nous contrecarrer, c’est lui qui se trompe. Nous n’
admettons
pas que tant de sensibilités, d’intelligences et
ibilité au théâtre. Comme Molière et comme Racine, Boileau ne saurait
admettre
que la poésie n’ait pas pour objet de plaire. Il
débattre la question s’il y a des poèmes en prose, et semblant même l’
admettre
, quand il appelle de ce nom les romans, Boileau,
tique de la comédie : Le comique, ennemi des soupirs et des pleurs, N’
admet
point en ses vers de tragiques douleurs. Entre l
églementation rigoureuse, et par là même arbitraire, de Boileau. Nous
admettrons
que, certaines formes littéraires étant liées à c
choses qu’à en fouiller la structure intime, il est naturel que nous
admettions
, dans la comédie par exemple, une variété d’émoti
ité où ils se renfermaient autrefois : nous ne serions pas éloignés d’
admettre
que le changement et la contradiction sont marque
, par l’hérédité, enfin par l’éducation et le milieu, à moins qu’on n’
admette
l’hypothèse scientifiquement étrange du libre arb
l’avenir et que l’avenir réalisera peut-être. Ainsi, ayant nous-même
admis
que l’émotion esthétique supérieure est une émoti
ins, et tout naturellement, à persister dans son état moral. Que l’on
admette
un milieu social guerrier, Sparte par exemple, et
ces variations fortuites que la théorie de la sélection est forcée d’
admettre
, un homme doué de sentiments délicats et pacifiqu
réer l’œuvre, et qui peut en être déduite. » Personne, par exemple, n’
admet
une si cette description description ne lui paraî
ron un médiocre poète, Léon X un bon dilettante. » Ces considérations
admettent
pourtant bien des exceptions. Napoléon Ier lisait
nouveau ; il montre seulement qu’il faut, sous une forme ou l’autre,
admettre
un tel principe. Et en effet, qu’il y ait initiat
s ouvriers ne croient guère à la vérité de l’Assommoir, tandis qu’ils
admettent
facilement le maçon ou le forgeron idéal des feui
e l’expérience externe qu’il s’agit ; de plus, beaucoup de kantiens n’
admettent
l’extensivité que pour la vue et le toucher. Quan
un bain d’été, qui s’étend, à tout notre corps. Rien n’empêche donc d’
admettre
une extensivité plus ou moins vague comme caractè
tre ordonnées dans l’espace l’une en dehors de l’autre. Or, Kant ne l’
admet
que pour les sensations de la vue et du tact. Cet
l’intuition comme pour les catégories. Un psychologue français qui n’
admet
point l’a priori des catégories et qui, par une i
int l’a priori des catégories et qui, par une inconséquence curieuse,
admet
celle de l’espace et du temps, ajustement objecté
orce à mettre les uns à droite, les autres à gauche. Mais, ceci étant
admis
(et il faut l’admettre par force), nous n’avons p
s à droite, les autres à gauche. Mais, ceci étant admis (et il faut l’
admettre
par force), nous n’avons plus besoin du cadre à p
’extensivité est inhérente au sentiment de la vie corporelle. Si nous
admettons
une expérience primitive d’extensivité, il n’en r
nalistes, soit empiristes, — se sont donné carrière. Nous ne saurions
admettre
avec eux que la coexistence soit construite dans
s, n’est telle que par rapport à d’autres points donnés. Il faut donc
admettre
que c’est seulement l’ensemble des sensations qui
space est une représentation exclusivement visuelle. Nous ne saurions
admettre
cette affirmation absolue : on vient de voir que
été ; elle portait dans l’absurde même les règles du bon sens. Elle n’
admettait
l’irrationnel, le miracle, que dans la mesure str
perdue. Certes, la critique elle-même veut que, dans certains cas, on
admette
une réponse subtile comme valable. Le vrai peut q
fendre la même thèse, dix, cent, mille réponses subtiles doivent être
admises
comme vraies à la fois, c’est la preuve que la th
rines catholiques les plus mitigées sur l’inspiration ne permettent d’
admettre
dans le texte sacré aucune erreur caractérisée, a
es justifier, lui si exact en fait de citations, qu’il avait fini par
admettre
en principe que les deux Testaments, chacun de le
onalisme exagéré ; de l’autre, de m’avoir présenté comme nécessaire à
admettre
le summum de l’orthodoxie ; si bien qu’en même te
mple adhésion à une coterie. Ils en prennent et ils en laissent ; ils
admettent
tel dogme, repoussent tel autre, et s’indignent a
seraient fait scrupule de me laisser aucune illusion sur ce que doit
admettre
un catholique. Le catholicisme que j’ai appris n’
séquence, au moins provisoirement. Dieu me condamnera-t-il pour avoir
admis
simultanément ce que réclament simultanément mes
s. Le Figaro l’abandonne, et lui ne s’indigne pas ; il comprend : « J’
admets
très bien, pour un journal, la nécessité de compt
ce qui apparaît à tes yeux naïfs la grande bataille de ton siècle, tu
admets
qu’on sacrifie la justice à un intérêt personnel
, abandonnant sans armes ses compagnons de combat. Ah ! bourgeois, tu
admets
bien des choses. Ici tu admets la lâcheté, tout s
mpagnons de combat. Ah ! bourgeois, tu admets bien des choses. Ici tu
admets
la lâcheté, tout simplement. Ailleurs, tu admets
n des choses. Ici tu admets la lâcheté, tout simplement. Ailleurs, tu
admets
et tu admires le « noble amour de la patrie ». Tu
Ailleurs, tu admets et tu admires le « noble amour de la patrie ». Tu
admets
aussi que notre honneur dépend d’autrui. Tu repro
sur toutes les horreurs et les infamies de l’histoire. C’est enfin d’
admettre
l’optimisme absolu d’une science absolue, car, un
in d’admettre l’optimisme absolu d’une science absolue, car, une fois
admise
, cette terrible notion d’absolu se répercute en m
religion qu’il fait, lui, avec sa propre philosophie ?… Pouvons-nous
admettre
autrement que comme une précaution, — que certes
l’hypocrisie de ce siècle, lequel a déplacé Tartuffe, — pouvons-nous
admettre
autrement que comme une précaution ce respect pou
Chacun de ces faits s’accorde parfaitement avec ma théorie ; car je n’
admets
l’existence d’aucune loi fixe et nécessaire, obli
et Woodward, bien que fort opposés aux opinions que je soutiens ici,
admettent
néanmoins la généralité de cette loi, si remarqua
dans le monde entier. Je puis répéter ici ce que j’écrivais en 1845 :
admettre
que les espèces deviennent généralement rares ava
t s’étonner lorsqu’elles achèvent de disparaître, c’est comme si l’on
admettait
que la maladie chez l’individu soit l’avant-coure
rte qu’en ce qui concerne les époques les plus récentes, nous pouvons
admettre
que la production de formes nouvelles a causé l’e
nchés et moins éloignés l’un de l’autre qu’aujourd’hui. C’est un fait
admis
maintenant que, plus une forme est ancienne, et p
, avec les représentants plus récents des mêmes classes, il faut bien
admettre
que cette observation renferme une grande part de
ibles, toutes les formes organiques éteintes et vivantes. Quiconque n’
admet
pas cette manière d’envisager la nature et l’éten
pour reconstituer une histoire complète du règne organique ne saurait
admettre
ma théorie ; car autrement on pourrait demander e
timent général et mal défini qui porte beaucoup de paléontologistes à
admettre
que l’organisation a progressé, du moins quant à
is exacte, de cette première expérience ; ou bien, au contraire, vous
admettez
dans la remémoration une tendance à achever l’act
p. Voilà donc un premier triage, une première sélection. Nous pouvons
admettre
cette loi de Bain et de James Ward : « Un mouveme
sse par tel plaisir ou telle peine. IV Il faut, en définitive,
admettre
sous le désir intentionnel et conscient de son ob
entir et penser pour agir. » Il n’y a d’autre moyen d’en sortir que d’
admettre
, dans l’être primordial, une unité immédiate de l
réagissent ; il faut donc toujours, sous une forme ou sous une autre,
admettre
quelque part une activité. Il y a là un élément u
ques-unes, nommées axiomes, d’où dépendent toutes les autres et qu’on
admet
sans les démontrer. III. Deux sortes de preuves p
près le grand nombre des lois constatées en nous et autour de nous, l’
admettre
pour notre petit univers, ou tout au moins nous e
ou notre défaite par la conformité ou la divergence de la supposition
admise
et des faits ultérieurs. C’est ainsi que nous che
forces ne pourrait le produire, c’est-à-dire que le double antécédent
admis
est non seulement possible, mais le seul possible
ar elles-mêmes ; du moins il semble au lecteur attentif que, pour les
admettre
, il n’a pas besoin de preuve : il lui suffit de l
est sous-entendu dans une foule de propositions ; c’est parce qu’on l’
admet
implicitement qu’on les admet explicitement. Par
e de propositions ; c’est parce qu’on l’admet implicitement qu’on les
admet
explicitement. Par exemple, quelqu’un vous dit :
ins et subtils analystes grecs ont défini la ligne droite ; Euclide n’
admet
pas au début qu’elle soit la plus courte ; il le
a prolonge, elle coïncidera avec le prolongement de la première. Car,
admettons
qu’en un point quelconque elle cesse de coïncider
on vient de voir que ce scandale peut disparaître, et que les axiomes
admis
sont des théorèmes capables de preuve. Selon d’Al
e tout de suite on découvre dans la notion d’un cercle carré. Cela
admis
, reprenons notre construction. Nous supposons que
sur une base, je les suis indéfiniment par l’imagination sans pouvoir
admettre
qu’en un point quelconque du trajet elles se rapp
. Pendant toute l’antiquité et tout le moyen âge, les philosophes ont
admis
des tendances au repos ou au mouvement, diverse ?
seconde, c’est-à-dire dans le même laps de temps, la droite AB. Nous
admettons
ainsi pour A deux mouvements simultanés et différ
tion. — De nos deux hypothèses, que suit-il ? Par la première, il est
admis
que la ligne AB, remontant en A′B′, devient A′B′
insi au bout d’une seconde B se trouve en B′. Par la deuxième, il est
admis
que le mobile situé en A se transporte de A en B,
esprit n’a pas constaté leur liaison, il l’a fabriquée. Il faut donc
admettre
que ces propositions nous révèlent une fatalité d
nstante, c’est-à-dire une association de fait. Avec Stuart Mill, nous
admettons
que, à l’origine et dans beaucoup d’esprits, elle
e chances de devenir cette sorte d’expérience héréditaire et innée qu’
admet
Spencer. Passons au troisième mode d’évolution cé
t cette dernière explication que, pour sa part, W. James adopte. Il n’
admet
la valeur de l’explication empiriste que pour les
ps, relations qui se reflètent évidemment dans notre esprit ; il ne l’
admet
pas pour les relations de causalité, de ressembla
nous nous mouvons dans un seul sens à la fois et que notre cerveau n’
admet
ni impressions contradictoires ni réactions contr
s sont, ils le sont en eux-mêmes et radicalement. Si, par exemple, on
admet
que tout se réduit à de la matière (pure hypothès
nt présentés ensemble et comme la main dans la main. Si d’ailleurs on
admet
, avec Spencer, que l’identité avec soi est une lo
est une loi de tout ce qui fait partie de l’univers, pourquoi ne pas
admettre
qu’elle est, par cela même, une loi essentielle d
de l’identité avec soi, tout comme ce qu’il reflète. Nous ne saurions
admettre
que l’acte de conscience soit déshérité au point
du néant absolu, nous considérons la réalité, il est contradictoire d’
admettre
des principes identiques produisant en un même in
nt des conséquences opposées, mais il ne semble plus contradictoire d’
admettre
que des principes identiques, en deux instants di
ieur par lequel il est sensation et appétition. Nous ne saurions donc
admettre
que le principe des causes finales et idéales soi
Eloge de Descartes, envoyé trop tard à l’Académie Francoise pour être
admis
au concours. Il l’emporte sur celui de Sully. Qui
l'expression qui les anime & à la netteté qui les rend sensibles,
admettra
sans peine Madame de Saint-Chamond parmi les la F
e. La croyance en Dieu n’a donc rien ni à gagner ni à perdre, si l’on
admet
la présente théorie. Il en est de même pour l’imm
les idéalistes nous abandonnent et la difficulté grandit. On pouvait
admettre
à la rigueur que le monde extérieur est une colle
t-il ? Des perles éparses et non plus un collier. Notre auteur semble
admettre
que le lien, « l’union organique », qui existe en
e métaphysique ne fait que la redoubler ? « M. Mill, outre les faits,
admet
l’ordre entre les esprits. De plus, il accorde au
ous étions seuls au monde. Nous sommes très religieux ; jamais nous n’
admettrons
qu’il n’y ait pas une loi de l’honnêteté, que la
que la destinée de l’homme soit sans rapport avec l’idéal. Mais nous
admettons
parfaitement que chacun se taille à sa guise son
taille à sa guise son roman de l’infini. Nous allons plus loin ; nous
admettons
, pour ceux qui croient bien à tort qu’eux seuls o
rigoureuses entre l’intelligence et le cerveau. Mais enfin, tout cela
admis
, n’y a-t-il pas lieu de se demander si, en fait e
ent toujours s’achopper à des exceptions inexplicables. Fort bien ; j’
admets
cette conclusion qui me paraît en effet le résult
hésite pas cependant à écrire : « Nous ne devons pas considérer comme
admis
que chaque amélioration des facultés de l’âme dép
; au point de vue particulier des sciences de la nature on ne saurait
admettre
, avec M. Bernheim, qu’une idée « actionne le cerv
ne différent pas en structure des autres artères ; nous pouvons donc
admettre
que l’activité spéciale d’une partie quelconque d
ts qui augmentent d’un côté ce qui a diminué de l’autre. On peut donc
admettre
la loi proposée par Wundt : « Quand une partie co
ertions dogmatiques semblent d’autant plus exagérées qu’elles ne sont
admises
ni par l’école de Nancy, ni par M. Delbœuf, ni pa
é, pour le sujet, est l’idéal de la distraction178 ». Nous ne pouvons
admettre
cette similitude. Les vraies distractions sont ce
on une possibilité purement abstraite. » Toutefois, nous ne saurions
admettre
entièrement l’explication que M. Pierre Janet don
ons donc, en définitive, outre la sensation musculaire du bras tendu,
admise
par M. Pierre Janet, une direction simultanée de
er de nouveaux détails dans la représentation totale183. On peut donc
admettre
que les images hypnotiques, même quand elles sont
al exerce par ses conditions physiques sur le physique ? Il faut bien
admettre
une contagion des ondulations cérébrales, corresp
ence, qui est le siège même du sommeil hypnotique. En un mot, on peut
admettre
une certaine tension cérébrale, nerveuse et muscu
ents du moi. Nous trouvons en effet, de nos jours, à côté de ceux qui
admettent
l’inconscience absolue, d’autres psychologues por
qui admettent l’inconscience absolue, d’autres psychologues portés à
admettre
dans un même individu trop de consciences et de p
ne réaction exagérée contre l’ancienne doctrine de l’unité du moi. On
admet
volontiers aujourd’hui, comme éléments primitifs
e la conscience, la psychologie nouvelle doit, dans une foule de cas,
admettre
une simple alternance d’états de conscience. Nous
petit Coq de Bruyère (Tetrao Tetrix) couleur de tourbe, il faut bien
admettre
que ces nuances particulières sont utiles à ces e
inutiles ? Une telle anomalie apparente s’explique aisément, si l’on
admet
que des croisements accidentels entre individus d
bien rarement être transporté sur un autre. On pourrait tout au plus
admettre
ce transport entre les fleurs du même arbre, qui
la sélection naturelle agisse toujours avec une extrême lenteur, je l’
admets
pleinement. Son action dépend des places vacantes
isantes pour annuler l’action sélective ? Je n’en crois rien ; mais j’
admets
que la sélection naturelle n’agit que très lentem
formes étant continuellement en voie de se produire, à moins qu’on n’
admette
que le nombre des espèces peut s’accroître indéfi
espèces domestiques. Nous y trouverons quelque chose d’analogue. L’on
admettra
qu’une accumulation faite au hasard pendant quelq
nécessairement à élever l’organisation74. Car tous les physiologistes
admettent
que la localisation des organes, leur permettant
les pas partout supplanté et exterminé les inférieures ? Lamarck, qui
admettait
chez tous les êtres organisés une tendance nature
ai à peine besoin de dire ici que la science, dans son état actuel, n’
admet
pas en général que des êtres vivants s’élaborent
uirait pas à prendre la place de la seconde et à l’exterminer. Il est
admis
en physiologie que le cerveau, pour acquérir une
ance de la loi de divergence des caractères, dont il paraît cependant
admettre
l’existence ; mais il croit que la convergence de
utes les combinaisons possibles de chaleur, d’humidité, etc. ; mais j’
admets
pleinement que les relations réciproques des être
isitées par nos Abeilles. » Trad. 68. Cependant il est généralement
admis
aujourd’hui en physiologie végétale que l’individ
un lien nécessaire avec les théories de M. Darwin, qui, on le voit, n’
admet
pas que les générations spontanées soient un fait
a au moins trois sensations élémentaires de couleur. — Il suffit d’en
admettre
trois. — Théorie de Young et d’Helmholtz. — Confi
t, en étudiant la composition du spectre, on trouve qu’il suffit d’en
admettre
trois, l’une analogue à celle du rouge, l’autre a
t chacune un temps si prodigieusement court. Tout ce que nous pouvons
admettre
avec assurance, c’est que la sensation élémentair
des substances liquéfiées qui agissent sur les nerfs gustatifs ; nous
admettons
qu’il est chimique, mais à cela se réduit notre c
se aux centres nerveux ; or, conformément à tous les faits connus, on
admet
que deux sensations différentes indiquent deux ét
isection, nulle observation micrographique n’a confirmée. Il suffit d’
admettre
que le même nerf ou le même groupe de nerfs est c
a vitesse, la grandeur et l’ordre de leurs éléments ; et nous pouvons
admettre
que, selon l’ordre de leurs éléments, ils éveille
s élémentaires. Dans l’hypothèse anatomique ou physiologique, le fait
admis
est incertain ; car il n’est pas certain qu’il y
ait trois genres d’actions. Dans l’explication psychologique, le fait
admis
est positif ; car il est certain que les trois se
hénomènes intellectuels, par le Dr Onimus. — Plusieurs physiologistes
admettent
que ce déplacement des molécules nerveuses peut ê
gréable, sérieux et familier, auquel une dizaine d’auditeurs seraient
admis
, et M. Zeller, avec son bon et droit esprit, a ré
de repère. Ces époques, telles que la critique incomplète d’alors les
admettait
ou les suggérait, seront pour l’histoire ancienne
ns avoir eu aucune peine pour cela, sans avoir jamais, à aucun temps,
admis
ni connu le doute. Je conçois au Moyen-Age de gra
Moïse, s’élevaient déjà autour de lui ; il n’en tenait compte ; il n’
admettait
un moment la discussion que pour la fermer presqu
nous reviendrons ensuite à la véritable histoire, à celle que Bossuet
admettait
sans doute, et qu’il traitait, quand il le voulai
ière, comme en notre temps. 2º L’Académie a eu tort, sans doute, de n’
admettre
dans son sein ni Balzac, ni Flaubert, ni Baudelai
rit profondément anti-académique que l’Académie française ne pourrait
admettre
sans se placer en contradiction entière avec elle
aussi une tendance fâcheuse à nommer des hommes influents. Peut-être
admettrait
-elle un Flaubert, mais il est à peu près sûr qu’e
y, ni Verlaine, pas plus aujourd’hui qu’hier n’auraient chance d’être
admis
par la douairière qui ne peut vraiment goûter l’i
« Il y a un esprit artiste, un esprit libre que l’Académie ne saurait
admettre
sans se placer en contradiction avec elle-même »
lement inadmissible quand il s’agit des faits sociaux, est couramment
admis
des autres règnes de la nature. Toutes les fois q
de ceux qui se passent dans les consciences solitaires, il faut bien
admettre
que ces faits spécifiques résident dans la sociét
s contestations sont très souvent venues de ce que l’on se refusait à
admettre
, ou de ce que l’on n’admettait pas sans réserves,
ent venues de ce que l’on se refusait à admettre, ou de ce que l’on n’
admettait
pas sans réserves, notre principe fondamental : l
; et c’est le but principal de nos efforts. 3. On voit que, pour
admettre
cette proposition, il n’est pas nécessaire de sou
z-vous à mes préfaces, manifestes et interviews. » Quant à ceux que j’
admets
dès aujourd’hui dans mon escorte, ils sont trois
D’autres se joindront à nous s’ils veulent, mais je ne saurai jamais
admettre
aucun de ces impuissants symbolistes qui m’ont dé
es que la mémoire, dépendent des actions matérielles ; fait qui a été
admis
, quoique à regret, par les partisans d’un princip
On peut se poser encore un autre problème, dit M. Bain. Nous venons d’
admettre
que les forces mentales sont convertibles avec le
ales sont convertibles avec les forces physiques, mais ne peut-on pas
admettre
aussi que les forces mentales sont convertibles e
rue d’Ulm, à ne plus considérer le romantisme comme un bloc, mais à y
admettre
, à la suite des critiques écrivains, quatre bans,
les Mémoires du temps à l’histoire sociale et politique. Je veux bien
admettre
que l’acteur d’une période ne peut la décrire com
rent les prémisses de tirer la conclusion. En tout cas, on a toujours
admis
volontiers le rôle de ceux qui sont venus dire :
rand public, Mallarmé et Verlaine, et que Villiers de l’Isle-Adam, qu’
admettaient
ou plutôt qu’admiraient tous les novateurs. Lafor
temps. Ce malheureux temps est bien loin d’être normal ; et, si l’on
admet
que c’est une des gloires du Moyen Âge, que dans
on a vu disparaître l’épitre, le conte, la satire ; M. de Banville n’
admet
plus, en somme, qu’une ode multiforme ; Baudelair
Banville n’admet plus, en somme, qu’une ode multiforme ; Baudelaire n’
admet
plus que la notation brève de multiples sensation
re de poèmes écrits dans les mêmes tonalités. J’inclinerais à ne plus
admettre
qu’un poème évoluant sur lui-même, présentant tou
ntiel, être ramenés à un petit nombre de faits généraux, et que, ceci
admis
, l’œuvre littéraire à faire consiste à grouper le
ez l’être ou les êtres avec lequel il est en contraste. Il faut donc
admettre
que ces quelques phénomènes généraux contiennent
oli. Et d’abord pourquoi une restitution du xve siècle ? car il faut
admettre
que les jeunes écrivains utilisent un temps écoul
concentré en ses parcelles purement poétiques, est difficile à faire
admettre
; or, le vers ne peut avoir lieu que pour dire un
ationale), toutes les utilisations de la poésie et des versifications
admises
ou créées par Victor Hugo. Il y a de tout dans ce
ncipaux de la littérature du commencement de ce siècle, se refusant à
admettre
les méthodes de pensée et d’écriture et l’apparen
note particulière de la cérébralité de M. de Banville, qu’il me faut
admettre
que si, dans la Forêt mouillée, on trouve des res
rait d’abord ranger Flaubert parmi les poètes animateurs de symboles,
admettre
que M. de Goncourt, dilettante, s’est surtout pré
nsfiguration des Frères Zemganno ne sont pas du naturalisme ; il faut
admettre
que chez M. Daudet une préoccupation de faire un
tes de Jules Laforgue, volume durement accueilli alors par ceux qui n’
admettent
pas encore son auteur et bonne partie de ceux qui
Dieu cet état de croyance à des entités philosophiques. Verlaine, qui
admet
la sanction, une main tantôt lourde tantôt caress
tif et veut dire ici didactique et enseignant, car il est difficile d’
admettre
que l’auteur d’Eurêka ne fût sensible à l’attrait
de découvertes qui se sont ensevelies, de même qu’il est impossible d’
admettre
que Baudelaire, après les poèmes en prose, n’eût
rs la littérature du vers, au moins en mon avis spécial. Il faut bien
admettre
que, ainsi des mœurs et des modes, les formes poé
truits sur les seules bases esthétiques et scientifiques que le poète
admet
. M. Paul Bourget réunit en deux massifs volumes d
et émanée d’un Dieu. C’est la foi, la foi philosophique que Villiers
admet
comme constat de la vie, avec ses troubles et ses
i bruit. On préféra croire que d’aller voir et l’on fut d’accord pour
admettre
, sans examen, que les parodies de Floupette étaie
itement risibles ceux qui déclarent ne rien voir en cette œuvre, nous
admettons
qu’à certains égards Rimbaud est un auteur diffic
êcher de les publier là, pour la première fois. Il serait difficile d’
admettre
que c’est par une humilité toute chrétienne que R
er au passé, ses désirs d’Antée se bornent à la Grèce. Sans doute, il
admettrait
la définition de Michelet : « la Grèce est une ét
te de Lisle, moins celle qu’ils portaient à Théodore de Banville. Ils
admettent
Hugo comme un très grand poète, mais non point co
oyens de structure), ils négligeaient de placer exactement la césure,
admettaient
le hiatus, abolissaient les rimes pour l’œil, la
’est eux les poètes d’une génération qui, par un singulier contraste,
admet
toute leur beauté verbale, et rejette leurs idées
avait pris en tant que prosateur un superbe développement. L’Académie
admit
Leconte de Lisle pour siéger où avait été Hugo ma
tes utopies d’organisation, éparses dans les livres^ théoriques, nous
admettons
qu’un penseur puisse donner, sans transition obli
rait celle de M. de Gourmont dans sa préface du livre des Masques : «
Admettons
que le symbolisme c’est même excessive, même inte
oulions de ces jeunes gens contiennent encore de trop facile, on peut
admettre
que les vers de M. Viollis ou de M. Laforgue, aux
et de rythmique traditionnelle. Maintenant que la liberté du vers est
admise
, que la recherche des analogies, l’imprévu de la
droit à la vie vraie sans rhétorique qu’il réclamait sont en principe
admis
, le symbolisme se développera encore, fera éclate
son exécution livresque. L’idéal qui sortit des efforts de Zola et qu’
admettait
la moyenne des écrivains tenait davantage de Maup
térèrent pas la vision de ceux qui avaient à les étudier, car il faut
admettre
chez les aînés ces robustes attachements à d’anci
ion des générations glorieuses n’est pas assez scientifique pour être
admis
en matière de critique littéraire. En transposant
rain informé et d’un intéressé : M. Catulle Mendès, dont nous pouvons
admettre
comme source historique la Légende du Parnasse co
selon lui, ce kohinnor d’après les Parnassiens. Il faut, d’ailleurs,
admettre
que le Parnasse est, sur ce point, peu cohérent d
ans la Légende du Parnasse contemporain, Verlaine et Mallarmé ne sont
admis
que très sur la lisière. M. Catulle Mendès, en re
re, en 1884, qu’il conçoit seulement la technique de Mallarmé, sans l’
admettre
, et dit, à propos de Verlaine, que les Fêtes Gala
e, son rayonnement, ses adeptes. Dans le premier Parnasse, les aînés
admis
sont Gautier, Banville, Leconte de Lisle, Vacquer
ully Prudhomme soit absolument qualifié pour cela, et nous ne pouvons
admettre
cette extension de son livre, que par suite de l’
ffacer de la versification ce qu’elle avait de mnémotechnique. Nous n’
admettons
même pas qu’il y ait versification, mais seulemen
et qui fut académisée en eux, avant, bien que M. Leconte de Lisle fût
admis
dans la Compagnie. M. de Heredia se détache du de
conçu l’espérance ni le désir ni d’être couronné par elle, ni d’être
admis
à en faire partie. Pour n’engager personne, je sp
u romantisme : on ne pourrait, d’ailleurs, rien lui reprocher si l’on
admettait
les théories du romantisme dont il est la sénile
icle ; ce serait peine perdue : l’admiration des poètes, soit qu’elle
admette
l’œuvre en son ensemble, soit qu’elle choisisse,
n, mieux vaut prêter aux gens les motifs les plus nobles possible, et
admettre
, presque contre l’évidence, que M. Doumic n’a ins
x et lui, Verlaine, tout l’intervalle de sa supériorité. Nous pouvons
admettre
le point de vue prudent et même réactionnaire de
bonne foi n’est pas suffisamment aidée de clairvoyance, nous pouvons
admettre
l’erreur qui est humaine, même quand elle prend u
retentissante, ne dise que des pauvretés. Ce que nous ne pouvons pas
admettre
, c’est ce ton d’insulte envers un poète qui n’est
e lâche attaque à un mort dans son talent et dans son caractère. On n’
admettrait
pas qu’un homme quelconque qui n’a point fait de
onnel, fruit de tant de tâtonnements ; en parlant de tâtonnements, il
admet
donc l’empirisme des méthodes qui le créèrent. 1
dans la tête le désordre le plus complet. Shakespeare, dans Macbeth,
admet
du fatalisme ce qu’il en faut pour faire pardonne
le, les fautes réelles qu’il a commises, et les beautés hardies que n’
admettent
pas les sévères règles de la tragédie en France.
nstances vulgaires placées avec art, et qu’à tort nous n’oserions pas
admettre
sur notre théâtre. Shakespeare a fait, dans ses t
e la nature lui ait donné la mort. Le théâtre de la France république
admettra-t
-il maintenant, comme le théâtre anglais, les héro
l’avait en vain évoqué. Quand une fois la puissance de la parole est
admise
dans les intérêts politiques, elle devient de la
française. Il n’existe pas un auteur de quelque talent qui n’ait fait
admettre
une tournure ou une expression nouvelle ; et le t
i une tournure heureuse qui dût produire une égale impression. Un mot
admis
pour la première fois dans le style soutenu, s’il
ication dans les plus petits détails du style. Enfin il ne faut point
admettre
un mot nouveau, à moins qu’il ne soit harmonieux.
i particulier, voilà l’écueil du réalisme, parce que personne ne veut
admettre
dans son aspect spécial ce qui était perdu dans l
ils repoussent tout ; il n’y a que les soldats qu’ils veuillent bien
admettre
, mais toujours à condition de leur donner de la t
très beaux aussi. Balzac a fait un livre curieux sur la démarche, on
admettra
bien que Balzac, comme sentiment, comme observati
t ce qui est faux de pensée ou d’expression est mauvais. Ce critérium
admis
, l’école romantique est jugée. Si je prends à par
e manière, mais tout autant que ceux qu’il attaquait. Pour nous, nous
admettons
le laid, parce qu’il est vrai ; nous admettons le
quait. Pour nous, nous admettons le laid, parce qu’il est vrai ; nous
admettons
le beau, parce qu’il est vrai aussi ; nous admett
est vrai ; nous admettons le beau, parce qu’il est vrai aussi ; nous
admettons
le vulgaire comme l’extraordinaire, parce que tou
l’extraordinaire, parce que tous deux sont vrais ; mais ce que nous n’
admettons
pas, et ce qui a tué le romantisme, c’est la mani
e de héros » et qu’« une croupe vaut un torse », je me crois obligé d’
admettre
que la croupe de M. Vacquerie vaut le torse de M.
moquez-vous-en, je le permets ; ne l’écoutez pas, j’y consens ; mais
admettez
que tout le monde peut ne pas être de votre avis,
en une mélodie. Dans le cas où, après audition, on se verrait forcé d’
admettre
la chose comme possible, on se fait fort d’obteni
s nouvelles formes soit dans les arts, soit dans l’industrie, ne sont
admises
de prime abord que par les gens très érudits ou p
mais on n’est pas écouté. À peine cinquante personnes, je ne dis pas
admettront
, mais seulement se rendront compte de ce Journal.
e et la médiocrité soient ces teintes neutres, je ne le nierai pas, j’
admettrai
leur nécessité à ce prix, mais pas plus qu’on ne
en France, mais qu’on me le pardonne et puisque Réalisme a bien voulu
admettre
un Allemand à sa collaboration, qu’il permette à
e le monde. — C’est une grande conquête du bon sens que d’avoir enfin
admis
le peuple à être peint comme l’aristocratie, d’y
ir enfin admis le peuple à être peint comme l’aristocratie, d’y avoir
admis
tout le monde. — Toutefois si l’on veut émouvoir
t ce qui est faux de pensée ou d’expression est mauvais. Ce critérium
admis
, l’école romantique est jugée. Si je prends à par
e manière, mais tout autant que ceux qu’il attaquait. Pour nous, nous
admettons
le laid, parce qu’il est vrai ; nous admettons le
quait. Pour nous, nous admettons le laid, parce qu’il est vrai ; nous
admettons
le beau, parce qu’il est vrai aussi ; nous admett
est vrai ; nous admettons le beau, parce qu’il est vrai aussi ; nous
admettons
le vulgaire comme l’extraordinaire, parce que tou
l’extraordinaire, parce que tous deux sont vrais : mais ce que nous n’
admettons
pas, et ce qui a tué le romantisme, c’est la mani
e de héros » et « qu’une croupe vaut un torse », je me crois obligé d’
admettre
que la croupe de M. Vacquerie vaut le torse de M.
Moquez-vous-en, je le permets ; ne l’écoutez pas, j’y consens ; mais
admettez
que tout le monde peut ne pas être de votre avis,
soin d’être coupé en douze syllabes ; mais la nécessité du vers n’est
admise
que pour ces choses qui en prose, je le répète, s
n cours, la petite note manuscrite ci-jointe : « Les dames ne seront
admises
qu’après l’exposé de la théorie générale de la gé
à aller entendre M. Serres avant la fin de l’exposé ; elle ne seront
admises
chez M. Serres que quand le professeur en sera ar
énéneux très-divers, nous conserverons le nom de curare, généralement
admis
en Europe, pour désigner un poison américain qui
re le suc et prépare le poison. D’après ce qu’il a vu, M. de Humboldt
admet
que la composition du curare est exclusivement vé
ur les végétaux que pour les animaux ; cela est inexact. D’autres ont
admis
, sur la foi des récits, que les exhalaisons de cu
épouiller les faits de toutes les interprétations mystérieuses pour n’
admettre
que ce que l’expérience nous prouvera directement
edit point les observations et les données de l’art, et je ne saurais
admettre
l’opinion de ceux qui croient que le positivisme
contre l’emploi de l’expérimentation chez les êtres vivants. Ils ont
admis
que la force vitale était en opposition avec les
ement et simplement la physiologie expérimentale, ou bien il faudrait
admettre
que la force vitale doit être étudiée suivant une
its qu’ils observent et que le physiologiste au contraire est porté à
admettre
une finalité harmonique et préétablie dans le cor
s que notre imagination peut enfanter, nous sommes toujours obligés d’
admettre
que tout cela se passera d’après les lois de la p
rience une autorité impersonnelle qui domine toute la science. Elle n’
admet
pas d’autorité personnelle ; elle repousse d’une
ronnent. Une fois que la recherche du déterminisme des phénomènes est
admise
comme but unique de la méthode expérimentale, il
déterminé retombant nécessairement dans le domaine scientifique. Je n’
admets
donc pas la philosophie qui voudrait assigner des
ent à ce dernier organe, on a cru devoir faire des réserves et ne pas
admettre
que l’expression métaphysique des facultés intell
us et distincte de cette fonction physiologique du cerveau, Descartes
admet
l’âme, qui donne à l’homme la faculté de penser ;
, à des phénomènes de mécanique, de physique et de chimie ; mais on n’
admet
pas que la pensée, l’intelligence, la volonté se
e. Je repousse, tant qu’à moi, cette dernière opinion, parce que je n’
admets
pas que la vérité scientifique puisse ainsi se fr
le ? Cependant nous sommes certains que ces altérations existent, car
admettre
le contraire serait admettre un effet sans cause.
rtains que ces altérations existent, car admettre le contraire serait
admettre
un effet sans cause. Quand le poison a cessé d’ag
bat la solution par des arguments de tendance. Les uns ne veulent pas
admettre
que le cerveau soit l’organe de l’intelligence, p
lles de Descartes. Comme lui, il sépare l’âme du corps, et, quoiqu’il
admette
entre eux une concordance préétablie par Dieu, il
ions de principes intelligents, d’esprits recteurs ou d’archées. Il n’
admet
qu’une seule âme, l’âme immortelle, chargée en mê
que le principe de la vie soit distinct de l’âme ; mais avec lui ils
admettent
une force vitale, un principe vital recteur dont
il considère que la vie est une lutte entre des actions opposées ; il
admet
que les propriétés vitales conservent le corps vi
reconnaissaient des forces et des puissances vitales. Kepler lui-même
admettait
un esprit recteur sidéral par l’influence duquel
naisons elles-mêmes. En résumé, l’opposition, l’antagonisme, la lutte
admise
entre les phénomènes vitaux et les phénomènes phy
oumis à aucune loi précise, à aucune condition fixe et déterminée, et
admettre
que ces phénomènes ainsi définis constituent une
ne et appréciant la perpétuelle mutation de l’organisme, ont refusé d’
admettre
que ce mouvement de rénovation moléculaire fût pr
de l’époque, des mœurs qui l’ont formé, et qu’ainsi, cette assertion
admise
, on peut remonter de l’œuvre à l’auteur et de cel
e de la littérature anglaise, Essai sur La Fontaine), M. Taine paraît
admettre
une certaine influence directe des lieux sur les
ces variations fortuites que la théorie de la sélection est forcée d’
admettre
, un enfant doué de sentiments pacifiques et délic
Pratique de l’analyse sociologique ; faits particuliers. — Étant donc
admis
qu’un artiste ne dépend pas essentiellement de so
ce qu’une autre aura jugé faux. Il est juste en effet que personne n’
admet
le réalisme de la description d’un objet imaginai
s ouvriers ne croient guère à la vérité de l’Assommoir, tandis qu’ils
admettent
facilement le maçon ou le forgeron idéal des roma
e expriment ceux de l’organisation mentale de l’autre. A moins donc d’
admettre
qu’une même particularité esthétique correspond à
ce. Mais rien de moins juste que cette conclusion ; elle conduirait à
admettre
que l’on choisit, en général, plus librement, par
aussi contraire ne peuvent représenter le même milieu ; il faut donc
admettre
qu’ils représentent des milieux divers comme eux-
ualiste que son maître en ce qui concerne l’âme pensante, puisqu’il n’
admet
pas qu’elle ait besoin d’organes pour agir, Arist
de mouvements au sein de la substance universelle. Pour Leibniz, qui
admet
la distinction et l’activité propre des substance
la vie physique. Au siècle dernier, l’école de la sensation, qu’elle
admette
ou non la spiritualité de l’âme, tend, en vertu d
ble, que Maine de Biran avait reléguées dans la vie animale, Jouffroy
admet
avec Platon, Aristote, Descartes, Maine de Biran,
t pour les mêmes phénomènes et les mêmes actes chez l’homme ? Comment
admettre
que le cerveau est l’organe de la perception et d
« A ce point de vue, qui est le seul vrai, les volitions, ainsi que l’
admettent
plusieurs physiologistes modernes, peuvent et doi
isme censé ne conteste point. Ce n’est pas tout. On peut certainement
admettre
le parallélisme entre les deux ordres de faits cé
ois que tous les grands penseurs qui ont étudié ce sujet sont prêts à
admettre
l’hypothèse suivante : que tout acte de conscienc
ns et des idées qui s’anastomosent, on est tenté de se demander s’ils
admettent
réellement la distinction des deux ordres de fait
décomposables pour les composer entre eux. Or, par cela même que l’on
admet
la possibilité de diviser l’unité en autant de pa
lique une multiplicité de parties, perçues simultanément. Or, si l’on
admet
cette conception du nombre, on verra que toutes c
ité en propriété fondamentale des corps, connue de la même manière et
admise
au même titre que la pesanteur ou la résistance p
ans le domaine de la conscience pure. De toute manière, on ne saurait
admettre
définitivement deux formes de l’homogène, temps e
à un son ou à un mouvement unique, demeurera inefficace. Il faut donc
admettre
que les sons se composaient entre eux, et agissai
t-ce donc que les oscillations du pendule mesurent ? À la rigueur, on
admettra
que la durée interne, perçue par la conscience, s
ns entre elles, et ainsi de suite indéfiniment. Force est donc bien d’
admettre
qu’il y a ici une synthèse pour ainsi dire qualit
nt ainsi espace et mouvement. — Nous ne croyons donc pas nécessaire d’
admettre
, même après la fine et profonde analyse d’un pens
multanées d’Achille et de la tortue à un moment donné, ou lorsqu’elle
admet
a priori la rencontre des deux mobiles en un poin
ait là, disions-nous, une multiplicité qualitative. Bref, il faudrait
admettre
deux espèces de multiplicité, deux sens possibles
a, ne passa point tout d’une voix de son vivant : elle n’était point
admise
encore dans la quatrième édition du Dictionnaire
ion, publiée de nos jours, en 1835, que l’innovation importante, déjà
admise
par la généralité des auteurs modernes, trouva gr
lus compromis d’avance. Émotionner est assurément un vilain mot. Ne l’
admettons
pas dans le Dictionnaire, dira-t-on ; ne lui donn
verbe baser, et que quelques-uns ne semblaient pas trop éloignés de l’
admettre
, il coupa court à la discussion en disant : « S’i
i se présentait marqué d’un astérisque, Absolutisme, a été débattu et
admis
. Radicalisme le sera aussi. L’Académie est dans l
e ce mot, la philosophie ne peut avoir pour antagonistes que ceux qui
admettent
ou des contradictions dans les idées ou des cause
quelles il faut croire sans les approfondir, des principes qu’il faut
admettre
en se gardant de les analyser, enfin une sorte d’
que exemple : un à un, tout diffère dans l’ordre moral ; mais si vous
admettez
cent mille chances, si vous calculez d’après cent
torité rend la persuasion superflue ; mais ces moyens ne peuvent être
admis
lorsqu’on discute les intérêts des hommes. La for
’établissent dans la même tête, et y existent simultanément. L’esprit
admet
une à une chaque proposition, sans avoir essayé d
eil rapprochement, fortuit à certains égards. L’indulgence du lecteur
admettra
facilement que de brèves allocutions, parties du
ent qu’à lui-même, car c’est un être libre, c’est un être moral. On n’
admet
plus qu’il soit permis de persécuter les gens pou
ipe de raison explicative. — Inclination naturelle que nous avons à l’
admettre
. — Emploi qu’en font les savants pour induire. —
re le suivant, et ainsi de suite jusqu’à l’état actuel. Ainsi Laplace
admet
que notre système était d’abord une immense nébul
traits principaux de l’intermédiaire qui nous échappe encore. — Nous
admettons
que, si deux masses s’attirent, c’est en vertu d’
de deux masses par la poussée continue d’un éther environnant. — Nous
admettons
que, si l’oxygène présente tels ou tels caractère
distances, les mouvements intestins de ses atomes composants. — Nous
admettons
que, si un liquide sans forme s’organise en une c
les droits équivaut la somme des angles d’un quadrilatère quelconque.
Admettons
cette fois qu’il a sous la main une quantité de q
rs appuis. Au commencement de toute recherche nouvelle, les savants l’
admettent
; et ils y sont bien obligés ; car, sans lui, ain
des résultats discordants ou même contradictoires, on ne devra jamais
admettre
des exceptions ou des contradictions réelles, ce
is sont connues, il ne saurait y avoir d’exception… On doit forcément
admettre
comme axiome que, dans les conditions identiques,
principe est aussi l’ordre des idées obscures grâce auxquelles nous l’
admettons
avant qu’il soit démontré. Ayant constaté dans te
it que le supposer vrai, provisoirement et par analogie ; nous avions
admis
que, parmi les accompagnements et précédents d’un
aussi sa raison explicative, sa nécessité interne. Les mathématiciens
admettent
aujourd’hui que la quantité réelle est un cas de
aines conditions qui manquent dans les autres cas. Ne pourrait-on pas
admettre
de même que l’existence réelle n’est qu’un cas de
nsi de suite, tant qu’enfin, au terme de l’analyse, on est autorisé à
admettre
des sensations infinitésimales, toutes semblables
uances : « Je diffère, dit-il274, de l’École Écossaise, en ce qu’elle
admet
une croyance irrésistible en un monde extérieur,
e admet une croyance irrésistible en un monde extérieur, et que moi j’
admets
une connaissance. » La critique qu’il fait de Ber
dant sur l’apparent. M. Bailey a vivement combattu cette théorie pour
admettre
expressément une vision directe et immédiate. Quo
pas entré dans la voie de leur véritable explication. Bichat a encore
admis
avec Stahl et les vitalistes l’opposition des phé
entaire organisée, qui est la seule partie réellement vivante. Lordat
admet
un principe vital quand il dit : « La vie est l’a
ènes sous la diversité des » influences extérieures. » Müller paraît
admettre
une sorte de principe vital. Il y a, selon lui, d
n qui constitue précisément leur défaut. Presque tous les auteurs ont
admis
implicitement ou explicitement que les manifestat
nt pour cause un principe qui leur donne naissance et les dirige. Or,
admettre
que la vie dérive d’un principe vital, c’est défi
éfini dans la définition. Il est vrai que d’autres physiologistes ont
admis
, sans en donner de meilleures définitions, que la
ruction organiques. Si, au point de vue de la matière inorganique, on
admet
avec raison que rien ne se perd et que rien ne se
matérialiste. Comme headartes, il sépare l’âme du corps, et quoiqu’il
admette
entre eux une concordance préétablie, il leur ref
nnaît et accepte sans démonstration physique avec ce que l’on ne doit
admettre
qu’expérimentalement et après démonstration compl
active d’un principe vital. La seule force vitale que nous pourrions
admettre
ne serait qu’une sorte de force législative, mais
x. Ils craignent que la liberté morale puisse être compromise si l’on
admet
le déterminisme physiologique absolu. Récemment m
ique de Leibnitz. Les philosophes dont nous parlons ne refusent pas d’
admettre
que les phénomènes inférieurs de l’animalité pour
iste du champ de la physiologie. Dans la troisième partie, nous avons
admis
le déterminisme comme un principe nécessaire de l
pugné à le croire, mais il est des cas où l’expérience nous obligea l’
admettre
. Dans le règne végétal, les graines, et dans le r
intérêt particulier ; leur objet est de démontrer que l’on ne saurait
admettre
dans les êtres vivants un principe vital libre pu
exemple, attendent pour éclore le retour du printemps ; mais on doit
admettre
que la vie n’y a pas été complètement suspendue.
utrition n’est pas directe, comme l’enseignent les théories chimiques
admises
, mais qu’au contraire elle est indirecte et se fa
étroites se montrent dans leur pleine évidence. Nous ne saurions donc
admettre
dans les êtres vivants un principe vital libre, l
des graines des phanérogames vint bientôt renverser cette opinion. On
admet
aujourd’hui que le protoplasma, seule partie acti
est relative à l’idée d’une nutrition directe que la théorie dualiste
admet
et que la physiologie contredit. La théorie duali
oment il suffira de rappeler les grands traits de la question. Il est
admis
aujourd’hui35 que les phénomènes de synthèse chez
que dans ses phénomènes essentiels et généraux, ne nous permet pas d’
admettre
une dualité des animaux et des végétaux, une phys
imale. Ces derniers auteurs, supposant que la combustion est directe,
admettaient
que la chaleur produite dans le corps est représe
ues plus parfaits, dans toute la nature, que les putréfactions. » On
admet
donc que dans les organismes il peut y avoir des
ux manières différentes. Schwann, fondateur de la théorie cellulaire,
admettait
que les cellules peuvent se former indépendamment
permis de constater des faits identiques, et dès à présent l’on doit
admettre
qu’ils offrent une généralité véritable dans le r
uefois cependant elle semble en dissolution véritable. Les botanistes
admettent
que cette substance est un produit de l’activité
fait connaître l’action synthétique exercée par la matière verte. On
admet
, depuis leurs travaux, que la chlorophylle possèd
ssent mieux en rapport avec le petit nombre des faits connus. Il faut
admettre
d’abord que la matière verte, la chlorophylle, n’
ue pour les voir instantanément se colorer en vert. M. Armand Gautier
admet
que, sous l’influence de l’oxygène de l’air, la c
parties vertes. C’est en effet une tendance générale des chimistes d’
admettre
ce retour inverse, semblable dans son mécanisme q
rce chimique nécessaire à la décomposition du gaz carbonique ? Il est
admis
que c’est dans la radiation solaire. Le soleil es
ans ce sens que M. Boussingault et avec lui quelques chimistes ont pu
admettre
que les végétaux (il faudrait dire : la matière v
: Alors, la force vitale est vaincue par les forces chimiques. Nous n’
admettons
pas de force vitale exécutive ; nous nous sommes
s matières grasses donnant naissance à du sucre dans le sang. Lehmann
admit
que la fibrine du sang en traversant le foie se d
illeurs leur principe d’activité. La doctrine régnante depuis Galien,
admise
par headartes, la doctrine des esprits animaux, e
ours) qui ont poussé l’esprit de système et l’invraisemblance jusqu’à
admettre
, dans la sensitive, l’existence d’un appareil ner
, au point de vue physiologique nous sommes nécessairement conduits à
admettre
l’identité de la sensibilité et de l’irritabilité
tions sont fort incertaines et fort problématiques. Pour nous, nous n’
admettons
de morphologie réelle que lorsque nous voyons le
végétaux se produit de cette façon. Quant aux éléments animaux, on a
admis
depuis un certain nombre d’années que la division
it par ses méditations a priori et ses expériences sur les pucerons à
admettre
la préformation ou préexistence du germe non pas
s autres. C’est cette vue qu’adopta le philosophe genevois Bonnet. Il
admit
qu’un animal ne créait pas véritablement les être
e quatre types de développement ou d’évolution. Baër, en particulier,
admettait
quatre procédés embryologiques, qui se caractéris
modernes en contredisent bien des parties. Des quatre types primitifs
admis
par Baër, il y en a un, l’evolutio contorta, qui
ieurement rejeté ; un autre, l’evolutio radiata, ne saurait plus être
admis
qu’avec d’expresses réserves. Néanmoins, et en l’
uiront les observations si minutieuses des zoologistes modernes. Baër
admettait
donc quatre types de développement, de même que C
Baër admettait donc quatre types de développement, de même que Cuvier
admettait
quatre types d’organisation. Il les caractérisait
dents ont observée et non dans un but et par un mobile actuel. Nous n’
admettons
donc pas que les forces particulières qui travail
ctionnée se répare et se cicatrise. C’est à tort, à notre avis, qu’on
admettrait
, dans l’homme comme dans les animaux, une force o
l faut encore n’en point faire abus. On peut, dans cet ordre d’idées,
admettre
comme physiologiste philosophe une sorte de final
phénomènes physico-chimiques de la nutrition ; mais il faudrait aussi
admettre
que ces facultés deviennent les formes ou les pri
u moins apparent. Il y a donc des fonctions que tous les naturalistes
admettent
et reconnaissent : la circulation, la respiration
êtres divers, s’il s’agit d’organismes élémentaires, d’éléments, nous
admettons
la réalité de cette loi. Nous avons dit, en effet
ur appartenons point. Car, envisageant l’état actuel des choses, nous
admettons
une modalité spéciale dans les phénomènes physico
rganisme. — Sommes-nous parmi les vitalistes ? Non encore, car nous n’
admettons
aucune forme exécutive en dehors des forces physi
e magasin, comme celui que saint Augustin décrit éloquemment, ou l’on
admet
la présence « latente » des idées ; on introduit
te presque seuls sous l’influence de la lumière blanche. On peut donc
admettre
, avec Bain et Spencer, que, pour se rappeler la c
; 3° comme une disposition persistante dans le cerveau. Th. Ribot, n’
admet
guère que la troisième hypothèse. Il semble la cr
ez, dans votre tête, faire tenir le firmament. On peut donc très bien
admettre
, parmi les conditions matérielles du souvenir, de
eil « se souvienne des rayons solaires » ; nous ne saurions davantage
admettre
avec Richet qu’une corde pincée qui continue de v
ions sous forme de chaleur. Les physiologistes croient se dispenser d’
admettre
l’élément psychologique en attribuant comme propr
idées dans la mémoire, lorsqu’on n’y pense pas actuellement ? — Nous
admettons
, contre Th. Ribot et Richet, qu’il y a ici quelqu
lair que la théorie de la Relativité elle-même ne pourra s’empêcher d’
admettre
les deux simultanéités que nous venons de décrire
cation de l’horloge « voisine » H′. Car si l’on ne commençait pas par
admettre
une simultanéité de ce genre, absolue, et qui n’a
chématiquement sur une feuille de papier la totalité de l’univers. On
admet
donc implicitement la possibilité de réduire sans
livre admirable, un mathématicien philosophe affirmait la nécessité d’
admettre
une advance of Nature et rattachait cette concept
a durée est tenue pour réelle et même pour agissante pourra fort bien
admettre
l’Espace-Temps de Minkowski et d’Einstein (où d’a
t ne pas les déclarer irréels, au moins en tant que « temporels » ? J’
admets
que le physicien trouve commode de les appeler en
euse suive ou même accompagne le sentiment agréable, nous ne saurions
admettre
que ce soit cette représentation même qui le prod
es idées, mais sur leur relation mutuelle et leur forme ; or, comment
admettre
que nous soyons ainsi indifférents au contenu, pa
ir pour sentir immédiatement une brûlure ou un coup. Nous ne saurions
admettre
avec M. Richet « qu’une douleur si rapide qu’on n
traste de qualité qu’on puisse concevoir. Maintenant, pourquoi ne pas
admettre
dans le plaisir même des différences de qualité q
de réalisation. Un germe de beauté n’existe pas seulement, comme on l’
admet
d’ordinaire, dans les plaisirs de la vue et de l’
Verlaine, parnassien de transition. Aujourd’hui un poète, même s’il n’
admet
pas le vers libre, consent non au vers sans césur
véritables, « possédant leur existence propre et intérieure » 207. On
admettrait
cela volontiers, si la première partie du raisonn
| et s’y versant | dans l’ombre goutte-à-goutte (Contemplations) qui
admet
jusqu’à deux ou trois accents indépendants de l’a
stème que nous avons indiqué et dont nous avons critiqué le principe.
Admettons
-le, cependant, mais pourvu qu’il s’agisse des ver
, français, ou allemand213, il faut bien lui donner un nom nouveau et
admettre
qu’à la suite du vers mélodique et en même temps
ales ont aussi commencé ; l’homme a commencé également, Or, à moins d’
admettre
que la vie est le résultat des forces de la matiè
on nécessaires. Dieu, qui les a faites, peut les suspendre. Quiconque
admet
la liberté humaine, peut et doit admettre au moin
peut les suspendre. Quiconque admet la liberté humaine, peut et doit
admettre
au moins la liberté divine. L’athéisme seul et le
alisme, admettant la personnalité divine, n’a pas le même droit. S’il
admet
en outre, comme il le fait en général, la créatio
commandés au début par quelques enthousiastes seulement. Il faut donc
admettre
qu’une cause particulière détermine le succès de
cularités comme l’école historique moderne s’est appliquée à le faire
admettre
; la France, l’Allemagne plus encore, dont la lit
de d’un tarif à fixer par l’État est contraire aux idées généralement
admises
aujourd’hui en bonne économie politique. Ces sort
ndent de plus en plus à disparaître. Il semblerait plus raisonnable d’
admettre
ce que demandent en troisième lieu les pétitionna
tés à attribuer l’invention du langage à l’homme. En effet, à force d’
admettre
, dans tous les moyens qui ont été donnés à l’homm
communiquer ses sentiments et ses pensées, à force, disons-nous, d’y
admettre
des choses de convention, nous avons délayé et pe
ant que celui-là manquât d’une manière absolue, ce que je suis loin d’
admettre
, ainsi qu’on a pu le voir, ou en supposant qu’il
science « comme de quelque chose de vrai en soi, et qu’il désire voir
admis
comme tel par tout le monde, y compris moi-même »
est donc inutile, pour l’idée du parfait comme pour celle d’infini, d’
admettre
en nous une faculté particulière qui en serait l’
d’expérience et tantôt des choses en dehors de l’expérience. Une fois
admis
que la conscience ne s’explique pas par le dehors
inconnaissable et cependant connu comme éternellement réel ! Comment
admettre
que cette notion à formes changeantes soit absolu
tronçons discontinus qui ne peuvent se réunir. Il est plus logique d’
admettre
que le sujet pensant et voulant a un mode d’actio
ciale, et surtout de les empêcher de s’aggraver en étant reconnues et
admises
, c’est de les nier. C’est là un procédé à demi ar
quelques croyances traditionnelles une conception analogue. Lui aussi
admet
l’harmonie naturelle, et qu’elle va se réaliser,
sible, mais supposer que les autres s’y conforment et leur demander d’
admettre
que nous nous y conformons aussi. Il est de la bi
contribué au développement de cette tendance à obéir, à se conformer.
Admettons
que des réflexions sur la supériorité physique, i
que je croie à tel et tel devoir, précisément évoqués. Il faut que j’
admette
l’infaillibilité de ma conscience, en tant qu’ell
ements n’ont la même idée du bien. Plus large chez quelques-uns, elle
admet
le libre jeu de plus de pensées et de plus de dés
plots contre elle et chercher à la renverser ? Quelle patrie pourrait
admettre
la trahison ? Je ne veux point dire que l’esprit
ilier l’animal, que nous allons le transformer en un être supérieur).
Admettons
qu’il y en ait autant, et de la même qualité. Mai
suis imposé de vérifier dans l’original toutes les citations que j’ai
admises
, sans en excepter une seule. La collaboration que
e Jean. Si donc cet ouvrage n’est pas réellement de l’apôtre, il faut
admettre
une supercherie que l’auteur s’avouait à lui-même
croire que les discours au moins ne sont pas du fils de Zébédée, nous
admettons
donc que c’est bien là « l’Évangile selon Jean »,
el des quatre guides que nous avons pour la vie de Jésus. En somme, j’
admets
comme authentiques les quatre évangiles canonique
ifie souvent les anciennes traditions pour leur donner ce tour 76. Il
admet
dans ses premières pages des légendes sur l’enfan
’on ne peut croire que tout cela répondît à une doctrine généralement
admise
. Tantôt l’on raisonna ainsi : « Le Messie doit fa
est textuel ; à peine nos procès verbaux sténographiés le sont-ils. J’
admets
volontiers que cet admirable récit de la Passion
principe de critique historique, qu’un récit surnaturel ne peut être
admis
comme tel, qu’il implique toujours crédulité ou i
ette locution, est une certaine raison publique. Faute de préjugés on
admet
des fictions convenues : il ne s’agit pas de savo
des mœurs. D’un autre côté, par la même raison, serons-nous obligés d’
admettre
que les mœurs doivent aussi rester indépendantes
temps qui vont éclore, professe sans idolâtrie le culte des ancêtres,
admet
les choses nouvelles, sans toutefois repousser da
e sont fait un devoir de l’impartialité, les opinions de ceux qui ont
admis
le 20 mars comme fait nouveau, et qui en ont dédu
struit, aimait à réunir chez lui les condisciples de son fils. Je fus
admis
dans le petit cénacle ; nous formions une espèce
sa rhétorique et apprit assez de grec et de philosophie pour se faire
admettre
en 1813 à l’École normale. Ce fut là que se manif
siècle des cris d’anathème et de désespoir, ces scènes fantastiques s’
admettent
dans la situation et dans le monde où l’auteur no
envoie à Faust ou à Salomon, et s’écrie : Étudiez, apprenez ! Mais on
admet
moins aisément que Napoléon, qui est ensuite évoq
ulu laisser ignorer au lecteur que ce sont des opinions plus ou moins
admises
par la plupart des archéologues qui se sont occup
a parole, ou que la parole lui a été enseignée. Je suis donc obligé d’
admettre
nécessairement la révélation de la parole. On me
amilles de langues, évidemment distinctes dans leurs origines, et qui
admettent
des procédés fort différents pour compléter un sy
spenser d’adopter une révélation première du langage, on est obligé d’
admettre
une série de miracles qui se renouvellent tous le
nos hommages. On trouverait cependant bientôt une grande difficulté à
admettre
cette hypothèse, quelque bien liée qu’elle soit e
umaines à des chances contingentes : mais lorsqu’on est décidé à tout
admettre
, même le hasard, rien ne coûte. Au reste, si les
prêtres de l’Égypte ou de l’Inde furent, et je ne refuserai pas de l’
admettre
, pourvus de vastes et profondes intelligences ; m
e me semblait incompatible avec la théorie de l’évolution universelle
admise
par les esprits scientifiques. Si tout évolue, l’
enter les tissus. Mais quel fut le premier tissu ? il est difficile d’
admettre
que le métier à tisser, qui est une construction
e de cette période, selon la théorie de M. de Lapparent, généralement
admise
. Un cabotage, venant d’Egypte, contournant l’Espa
telligence plutôt que du génie. En suivant les faits tels qu’ils sont
admis
, on y voit une suite de tâtonnements, aboutissant
bles de l’infini, cependant qu’un Poincaré, las de tant de stérilité,
admet
tout en contestant tout et établit magnifiquement
nt et toujours pareille à elle-même. Aucune n’est plus propre à faire
admettre
, sans qu’il soit besoin de longues explications,
semblent persister à travers toutes les transformations des corps, on
admettait
, pour cette raison, qu’ils sont indestructibles..
mettait, pour cette raison, qu’ils sont indestructibles... La science
admet
maintenant que les atomes sont formés de tourbill
ui aussi et elles sont de telle sorte que la géologie moderne a dû en
admettre
le principe : que la présence des coquilles marin
eau, ceux qui vivent sur terre, ceux qui vivent dans l’air. Enfin, il
admettait
, tout comme la Bible, que l’homme était le dernie
nt une pareille représentation. Qu’il nous suffise de comprendre et d’
admettre
qu’aucune de nos actions n’est un commencement de
sairement Une doctrine sociale. Un déterministe ne saurait sans doute
admettre
l’idée de châtiment, mais il admettra très bien c
erministe ne saurait sans doute admettre l’idée de châtiment, mais il
admettra
très bien celle de répression. Et tout cela revie
ord avec le docteur Grasset37 et aussi avec les faits et le bon sens,
admettre
qu’il y a des malades mentaux, que ces malades so
les arguments se pressent sous sa plume. Il est insensé, dites-vous d’
admettre
que Jésus se soit incarné, l’an 1800 à Copenhague
e serais plutôt porté à me plaindre de leur rareté, si l’on veut bien
admettre
qu’il n’y a de livres dignes de ce nom que ceux q
ce que cela ne devrait pas être une vaste assurance mutuelle ? Il est
admis
que l’Etat cherche à compenser les dommages causé
ion, mais si l’on veut bien prendre garde à ceci, que les Australiens
admettent
parfaitement pour les animaux le mécanisme nature
tte vue, qui est la mienne, je ne pense pas qu’elle soit généralement
admise
; les hommes, pour s’y plaire, sont encore trop i
y eut parfois renversement de ces attributions. Au temps de Pline, on
admet
le naturel pour les phénomènes humains et le surn
naît d’un œuf, il fallut encore deux cents ans et Pasteur pour faire
admettre
cette proposition rationnelle que l’expérience a
critique, disons-le, autant qu’il est possible en ces matières. Il n’
admet
pas tout, et il assigne aux phénomènes qu’il rése
ce n’est que possible : je n’y crois donc pas, étant bien décidé à n’
admettre
jamais que l’évidence, et pour expliquer la télép
térêt de ses combinaisons, de ses émotions, sont donc, leur bonne foi
admise
, victimes d’une illusion : ils se jugent autres q
té, le peuple italien a fini par la comprendre. Le peuple de France l’
admettra
peut-être un jour ; mais il y a à craindre qu’il
peu les épaules, les envoie rouler au fond des précipices. Pour être
admis
en sa familiarité, il faut lui faire la cour, il
lorure de sodium est un témoignage des origines marines de la vie, ou
admettre
que le laboratoire animal fabrique lui-même les é
appelé l’opposition que leur fît M. Thiers. Cet homme peu clairvoyant
admettait
que les chemins de fer pussent servir à transport
à l’affranchissement intellectuel, tout le système d’Epicure, nous l’
admettons
aujourd’hui. Il faut également admettre sa morale
le système d’Epicure, nous l’admettons aujourd’hui. Il faut également
admettre
sa morale pratique. Le principe de cette morale n
manifestations primitives de la civilisation, c’est ce que je ne puis
admettre
, malgré M. Reinach, malgré Tylor. C’est le préjug
92
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« VII »
euve et Flaubert, sans oublier Boileau, Racine et Gœthe, qui tous ont
admis
et conseillé hautement l’imitation d’Homère. L’in
s et à parler franc, les motifs mêmes qui empêchent nos adversaires d’
admettre
l’imitation d’Homère sont précisément ceux qui no
crée, ou qu’on imagine, ou qu’on invente ? Les « semeurs de doute » n’
admettent
pas l’hypothèse : « On ne devrait jamais raconter
té était voué au néant. Lorsque, plus tard encore, la parole écrite a
admis
les explications de la parole traditionnelle, il
’on voudra bien la tolérer en faveur de son extrême justesse. Ainsi j’
admets
la liberté de la presse comme un moyen d’obvier a
par conséquent, à l’imployable rigidité de la lettre. La nécessité d’
admettre
, tôt ou tard, la coopération du jury dans les jug
n autre chose que ces placides citations faites par M. de Barthélemy…
Admettons
, si l’on veut, que cet esprit très haut eut le ca
choses très hautes, — des choses placées dans le voisinage du ciel, —
admettons
que ce sagittaire pour la Vérité contre l’erreur
toujours resté poli, — il avait la critique Louis-quatorzienne… Il n’
admettait
pas la critique sans maître, sans enseignement, s
r l’individu dans le groupement professionnel. Les modernes syndicats
admettent
l’idée d’une discipline plus tyrannique et plus u
la fleur de la civilisation économique. L’individualiste aristocrate
admet
que la société n’ayant d’autre but que de produir
capitalisme et libéralisme. Si l’homme le plus libéral est celui qui
admet
la plus grande variété de jouissances, la plus gr
ssibles à l’intelligence et à la sensibilité de tous. Le socialisme n’
admettra
que des valeurs plébéiennes, égalitaires. La mora
valeurs moyennes ». « Il faut arriver à ce que les valeurs moyennes
admises
par la presque totalité des hommes redeviennent t
rités de la vie domestique ou populaire ; puis, entre les privilégiés
admis
sur un terrain de choix, un code très sévère de b
proscrit les mots anciens, sous prétexte qu’ils sont surannés ; il n’
admet
guère eu fait de néologismes que des mots étrange
r compromise ; l’étiquette règne sur la scène comme à la cour. Il est
admis
, en ce temps-là, qu’un prince ne marche pas, ne p
n Io, la chèvre en Amalthée, la bergère en Amaryllis. La nature n’est
admise
qu’en toilette, humanisée, civilisée, dénaturée.
nte y fut politique, littéraire, philosophique ; si la société qu’il
admit
fut triée sévèrement ou mêlée, nationale ou cosmo
près Quintilien, qu’on ne saurait trop égayer les narrations, et il n’
admet
pas même qu’on discute ce précepte. « C’est assez
ement du monde n’ont eu d’autre raison d’être que de le préparer ; il
admet
implicitement que tout ce qui change est par là m
éparée en ordres et en castes. La tragédie est une grande dame, qui n’
admet
chez elle que des personnes de choix, un ton et d
régnantes, usages ou règles acceptés, conceptions du monde couramment
admises
, transformations subies par la langue, qui est l’
elle des genres littéraires. Au temps de Boileau, par exemple, il est
admis
que l’élégie, l’ode, la comédie, la tragédie ont
t plus simplement qu’une idée est sociale lorsqu’elle est communément
admise
par les individus qui composent une société. Mais
société. Mais encore, à quels signes reconnaître une idée communément
admise
? Tous les individus prennent-ils une égale consc
t manquer de s’exprimer par les transformations des autres. À moins d’
admettre
en elles que les institutions et les mœurs sont c
Et sans doute il est, suivant les États, inégalement réalisé. Tous n’
admettent
pas encore, par exemple, le suffrage. Universel ;
Droit nouveau, élargi par les édits des préteurs. Le Droit quiritaire
admettait
, entre les classes d’hommes comme entre les espèc
s tirées des objets les plus sauvages, de la nature la plus farouche.
Admettons
cependant qu’Homère a été forcé de les choisir ai
à travers le camp des Grecs, pour racheter le cadavre d’Hector ; il l’
admet
à sa table, et pour un mot que lui arrache le reg
l n’est qu’un rapport. Trompés par le langage et par l’habitude, nous
admettons
qu’il y a là une chose réelle, et, réfléchissant
i-même ou tout ou moins une portion du moi ; plusieurs spiritualistes
admettent
même, avec Leibniz, que le moi n’est autre chose
t pour désigner la liaison constante du second avec le premier. S’ils
admettent
des forces différentes, c’est que, dans l’état pr
même coup. Jusqu’ici, les plus fidèles sectateurs de l’expérience ont
admis
, au fond de tous les événements corporels, une su
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