Section 25, des personnages et des
actions
allegoriques, par rapport à la poësie Parlons p
entement de l’usage qu’on peut faire en poësie des personnages et des
actions
allegoriques. Les personnages allegoriques que la
lle donne un corps et une ame, et qu’elle rend capables de toutes les
actions
et de tous les sentimens des hommes. C’est ainsi
personnages imparfaits ne sont point propres à jouer un rolle dans l’
action
d’un poëme, à moins que cette action ne soit cell
propres à jouer un rolle dans l’action d’un poëme, à moins que cette
action
ne soit celle d’un apologue. Ils peuvent seulemen
n apologue. Ils peuvent seulement comme spectateurs, prendre part aux
actions
des autres personnages, ainsi que les choeurs pre
la peinture. Ils n’y doivent pas jouer un des rolles principaux d’une
action
, mais ils y peuvent seulement intervenir, soit co
ages allegoriques dans ces tems-là. Quant aux poëtes qui traitent des
actions
qui ne se sont point passées entre des païens, il
et Jupiter même ne doivent pas y jouer un rolle principal. Quand aux
actions
allegoriques, les poëtes n’en doivent faire usage
’application des leçons qu’il prétend nous donner. C’est à l’aide des
actions
allegoriques que plusieurs poëtes nous ont dit, a
es conversations que les fables supposent entre les animaux, sont des
actions
allegoriques, et les fables sont un des plus aima
sont un des plus aimables genres de poësie. Je ne crois point qu’une
action
allegorique soit un sujet propre pour les poëmes
ques. D’ailleurs il est impossible qu’une piece dont le sujet est une
action
allegorique, nous interesse beaucoup. Celles que
ingenieux et traiter un sujet historique. Le brillant qui naît d’une
action
metaphorique, les pensées délicates qu’elle sugge
exige de la verité dans la fiction même, et quand on lui présente une
action
allegorique, il ne peut se résoudre, pour parler
es nettes et élegantes que consiste l’art du poëte. Mais inventer une
action
chimerique et créer des personnages du même genre
er une action chimerique et créer des personnages du même genre que l’
action
, c’est être imposteur plûtôt que poëte. Je n’igno
trop masquer ses personnages, ni trop déguiser ses sujets. Ainsi une
action
et des personnages allegoriques étoient plus prop
riques étoient plus propres à son dessein, que des personnages et une
action
à l’ordinaire. D’ailleurs ses trois dernieres com
du moins suivant l’ordre où elles sont arrangées, ont pour sujet une
action
humaine et vrai-semblable. Les françois se sont m
dramatiques qui meritassent d’avoir un nom. Ils crurent alors que des
actions
allegoriques pouvoient être des sujets de comedie
rt Emanuel duc de Savoye, et de la soeur de notre roi Henri II dont l’
action
est purement allegorique. Paris y paroissoit comm
puis quelques années ont voulu le renouveller n’y ont pas réussi. Les
actions
allegoriques ne conviennent qu’aux prologues des
a morale. Monsieur Quinault a montré comment il y falloit traiter ces
actions
allegoriques et les allusions qu’on y pouvoit fai
S’il est plus aisé de faire une belle
action
qu’une belle page. (fragment inédit.) Page 46
taqué, c’est celui où j’avance qu’il est plus aisé de faire une belle
action
qu’une belle page. J’y ai pensé, et voici mes rai
es peut-être plus que parmi les peuples policés ; on y fait de belles
actions
, et il s’écoulera des siècles avant qu’on y sache
ion du monde, et je n’aurais pas si tôt fait celle, je ne dis pas des
actions
héroïques, mais des héros dans tous les genres ;
s, mais des héros dans tous les genres ; cependant quelle multitude d’
actions
étonnantes que l’histoire n’a point célébrées ! I
génie. Au moment où j’écris, je ne doute point qu’il ne se fasse cent
actions
fortes sur la surface de la terre ; il s’en fait
ndrienne est faite, mais elle ne se refera plus ; quelle est la belle
action
dont on en puisse dire autant ? Quand le moule d’
té entre les grands écrivains qu’entre les grands hommes ; une grande
action
diffère moins d’une grande action qu’une page sub
ntre les grands hommes ; une grande action diffère moins d’une grande
action
qu’une page sublime d’une autre page sublime. Qu’
’une page sublime d’une autre page sublime. Qu’on me nomme une grande
action
, et vingt fois pour une l’histoire m’en fournira
seur de la belle page ! Il n’en faut point à celui qui fait la grande
action
. L’éducation, la circonstance, le moment, un tour
passager précipitent l’homme au fond du gouffre et l’entraînent à une
action
qui tient l’univers étonné dans le silence de l’a
citer des femmes et en citer un grand nombre qui ont fait de grandes
actions
; où est celle qui ait écrit un bel ouvrage, une
agédie, un beau poëme, une belle harangue ? On fait souvent une belle
action
comme un sot dit un bon mot, comme Chapelain fait
ion, chez aucun peuple, ne s’est élevée sans faire éclore une foule d’
actions
héroïques. Que demain la ville de Paris soit en f
ment de Lisbonne, qui n’a duré que quelques minutes, a produit plus d’
actions
fortes que toute la durée des siècles n’a produit
décombres. Toutes les belles pages sont connues ; combien de grandes
actions
sont ignorées, et celles qu’on ignore n’en sont q
celles qu’on ignore n’en sont que plus grandes. Si toutes les grandes
actions
avaient été célébrées par de belles pages, il y a
ar de belles pages, il y aurait autant de belles pages que de grandes
actions
. Que le genre humain serait à plaindre, s’il n’ét
assez mal, et je sens en moi tout ce qu’il faut pour faire une grande
action
. Je conçois mille circonstances où la vie et la f
aysan, un homme, une femme du peuple, une bête est plus voisine d’une
action
héroïque qu’un D’Alembert, un Buffon ou quelque a
llustre d’une académie. Tous ces gens-ci calculent trop, et la grande
action
demande presque toujours qu’on ne calcule point.
as la première fois que j’éprouve qu’il est plus aisé d’être grand en
action
qu’en parole. Bonjour. Si vous étiez bien aimable
is alors une belle page comme tous les hommes peuvent faire une belle
action
. Mais l’être rare par excellence, c’est celui qui
confirmée par le raisonnement est que notre corps est un instrument d’
action
, et d’action seulement. À aucun degré, en aucun s
le raisonnement est que notre corps est un instrument d’action, et d’
action
seulement. À aucun degré, en aucun sens, sous auc
is ce qui s’explique par le cerveau dans nos perceptions, ce sont nos
actions
commencées, ou préparées, ou suggérées, ce ne son
essée : mais toujours elles négligent le rapport de la perception à l’
action
et du souvenir à la conduite. Or, on peut concevo
émoire et une perception désintéressées ; mais, en fait, c’est vers l’
action
que perception et mémoire sont tournées, c’est ce
st vers l’action que perception et mémoire sont tournées, c’est cette
action
que le corps prépare. S’agit-il de la perception
fait esquisser simultanément ainsi un nombre de plus en plus grand d’
actions
possibles. Considère-t-on la mémoire ? Elle a pou
e d’un être vivant paraît bien mesurer avant tout la puissance de son
action
sur les choses, et n’en être que la répercussion
comme du principe véritable ; supposons que le corps est un centre d’
action
, un centre d’action seulement, et voyons quelles
éritable ; supposons que le corps est un centre d’action, un centre d’
action
seulement, et voyons quelles conséquences vont dé
es réactions de mon corps sur les corps environnants, d’esquisser mes
actions
virtuelles. C’est donc que percevoir consiste à d
t donc que percevoir consiste à détacher, de l’ensemble des objets, l’
action
possible de mon corps sur eux. La perception n’es
t laisser à la perception son rôle véritable, qui est de préparer des
actions
. C’est ce que ne fait pas l’idéalisme. Pourquoi é
dessine simplement, dans l’ensemble des choses, ce qui intéresse mon
action
possible sur elles : je comprends que tout le res
de notre perception consciente, vers la connaissance pure, non vers l’
action
. — Mais supposons maintenant que cet espace homog
due précède l’espace ; supposons que l’espace homogène concerne notre
action
, et notre action seulement, étant comme un filet
ace ; supposons que l’espace homogène concerne notre action, et notre
action
seulement, étant comme un filet infiniment divisé
avons montré, de ce qu’on ne dissocie pas les deux points de vue de l’
action
et de la connaissance. Nous y gagnons surtout de
s une continuité étendue, et, dans cette continuité même, le centre d’
action
réelle qui est figuré par notre corps, cette acti
qui nous environne. Tout se passera comme si nous laissions filtrer l’
action
réelle des choses extérieures pour en arrêter et
’action réelle des choses extérieures pour en arrêter et en retenir l’
action
virtuelle : cette action virtuelle des choses sur
extérieures pour en arrêter et en retenir l’action virtuelle : cette
action
virtuelle des choses sur notre corps et de notre
a substance cérébrale donnent ainsi à tout moment l’esquisse de notre
action
possible sur les choses, l’état cérébral correspo
s, le duplicat : il la continue simplement, la perception étant notre
action
virtuelle et l’état cérébral notre action commenc
, la perception étant notre action virtuelle et l’état cérébral notre
action
commencée. IV. Mais cette théorie de la « p
u’est-ce qu’une affection ? Notre perception, disions-nous, dessine l’
action
possible de notre corps sur les autres corps. Mai
mps : c’est pourquoi notre perception de ces corps ne dessine que des
actions
possibles. Au contraire, plus la distance décroît
ntraire, plus la distance décroît entre ces corps et le nôtre, plus l’
action
possible tend à se transformer en action réelle,
es corps et le nôtre, plus l’action possible tend à se transformer en
action
réelle, l’action devenant d’autant plus urgente q
tre, plus l’action possible tend à se transformer en action réelle, l’
action
devenant d’autant plus urgente que la distance es
t-à-dire quand le corps à percevoir est notre propre corps, c’est une
action
réelle, et non plus virtuelle, que la perception
on leur attribue un rôle tout spéculatif ; et comme on a négligé ces
actions
réelles et virtuelles avec lesquelles elles font
équilibrant les unes les autres par des réactions toujours égales aux
actions
, s’empêchent réciproquement de faire saillie. Mai
eption entretienne avec son concomitant physiologique le rapport de l’
action
virtuelle à l’action commencée, c’est ce que nous
ec son concomitant physiologique le rapport de l’action virtuelle à l’
action
commencée, c’est ce que nous ne pouvions établir
idérable qui les sépare de l’état corporel présent, c’est-à-dire de l’
action
. Aussi n’a-t-il pu expliquer ni comment le souven
’est en réalité un souvenir moins rêvé, c’est-à-dire plus proche de l’
action
et par là même plus banal, plus capable de se mod
t pourtant le vice originel de l’associationnisme. Entre le plan de l’
action
, — le plan où notre corps a contracté son passé e
transporter sur un plan de conscience plus étendu, à s’éloigner de l’
action
dans la direction du rêve. Localiser un souvenir
tour sur ces deux plans extrêmes que nous avons appelés le plan de l’
action
et le plan du rêve. Dans le premier ne figurent q
: elles finissent par s’opposer sur cet autre plan extrême où aucune
action
n’adhère plus aux images. Le choix d’une ressembl
e la mémoire, qui, selon qu’elle incline davantage à s’insérer dans l’
action
présente ou à s’en détacher, se transpose tout en
éjà dans une certaine activité de l’esprit, dans un mouvement entre l’
action
et la représentation. Et c’est pourquoi il sera t
la perception pure et le souvenir pur, projeter quelque lumière sur l’
action
réciproque de l’esprit et de la matière. En fait,
pace abstrait, tendu par nous au-dessous d’elle pour les besoins de l’
action
, que nous constituons l’étendue multiple et indéf
t à nous tout naturellement, car il résulte des nécessités mêmes de l’
action
que l’étendue se découpe pour nous en objets abso
objet. Mais si la division de l’étendue est purement relative à notre
action
possible sur elle, l’idée de corpuscules indépend
omportent des degrés, des abstractions rigides, nées des besoins de l’
action
, qu’on ne peut que prendre ou laisser, et de pose
stème nerveux capable de canaliser des excitations et d’organiser des
actions
: plus les centres supérieurs se développent, plu
les voies motrices entre lesquelles une même excitation proposera à l’
action
un choix. Une latitude de plus en plus grande lai
. Mon corps, objet destiné à mouvoir des objets, est donc un centre d’
action
il ne saurait faire naître une représentation. M
représentation. Mais si mon corps est un objet capable d’exercer une
action
réelle et nouvelle sur les objets qui l’entourent
explorer la région d’alentour, ni de s’essayer par avance à plusieurs
actions
simplement possibles. L’action nécessaire s’accom
i de s’essayer par avance à plusieurs actions simplement possibles. L’
action
nécessaire s’accomplira d’elle-même, quand son he
uelle les corps environnants sont assurés, en quelque sorte, contre l’
action
immédiate de mon corps. À mesure que mon horizon
ntes de mon corps. Les objets qui entourent mon corps réfléchissent l’
action
possible de mon corps sur eux. Je vais maintenan
té de mouvement nécessaires pour agir sur elles. Voilà qui concerne l’
action
, et l’action seulement. Pourtant c’est ma percept
nt nécessaires pour agir sur elles. Voilà qui concerne l’action, et l’
action
seulement. Pourtant c’est ma perception qui s’éva
s l’ensemble des images, à la manière d’une ombre ou d’un reflet, les
actions
virtuelles ou possibles de mon corps ? Or, le sys
s images, et perception de la matière ces mêmes images rapportées à l’
action
possible d’une certaine image déterminée, mon cor
faire aucune idée ; enfin, pour remplir la conscience, on invente une
action
incompréhensible de cette matière sans forme sur
s destinés à préparer, en la commençant, la réaction de mon corps à l’
action
des objets extérieurs. Images eux-mêmes, ils ne p
e varie pour elle-même et dans la mesure bien définie où elle subit l’
action
réelle des images environnantes, l’autre où toute
t pour une seule, et dans la mesure variable où elles réfléchissent l’
action
possible de cette image privilégiée ? Toute image
té réflexe du système médullaire. Que se passe-t-il, en effet, dans l’
action
réflexe ? Le mouvement centripète communiqué par
onnaissance : ils ne font qu’esquisser tout d’un coup une pluralité d’
actions
possibles, ou organiser l’une d’elles. C’est dire
jours plus complexes : ainsi grandit la latitude qu’il laisse à notre
action
, et en cela consiste justement sa perfection croi
est construit, d’un bout à l’autre de la série animale, en vue d’une
action
de moins en moins nécessaire, ne faut-il pas pens
s se règle sur le sien, est tout entière orientée, elle aussi, vers l’
action
, non vers la connaissance pure ? Et dès lors la r
monde matériel, et imaginons çà et là, dans ce système, des centres d’
action
réelle représentés par la matière vivante : je di
igoureuse relie l’étendue de La perception consciente à l’intensité d’
action
dont l’être vivant dispose. Si notre hypothèse es
aussi s’accroît la distance à laquelle se fait sentir sur l’animal l’
action
de l’objet qui l’intéresse. Par la vue, par l’ouï
l’amplitude de la perception mesure exactement l’indétermination de l’
action
consécutive, et par conséquent énoncer cette loi
loi : la perception dispose de l’espace dans l’exacte proportion où l’
action
dispose du temps. Mais pourquoi ce rapport de l’
; nous avons vu des mouvements transmis ou inhibés, métamorphosés en
actions
accomplies ou éparpillés en actions naissantes. C
smis ou inhibés, métamorphosés en actions accomplies ou éparpillés en
actions
naissantes. Ces mouvements nous ont paru intéress
llés en actions naissantes. Ces mouvements nous ont paru intéresser l’
action
, et l’action seulement ; ils restent absolument é
ns naissantes. Ces mouvements nous ont paru intéresser l’action, et l’
action
seulement ; ils restent absolument étrangers au p
ngers au processus de la représentation. Nous avons considéré alors l’
action
elle-même et l’indétermination qui l’environne, i
, de transmettre la totalité de ce qu’elle reçoit, d’opposer à chaque
action
une réaction égale et contraire, de n’être enfin
Ils se laisseront traverser, en quelque sorte, par celles d’entre les
actions
extérieures qui leur sont indifférentes ; les aut
se heurtent quelque part à une certaine spontanéité de réaction, leur
action
est diminuée d’autant, et cette diminution de leu
ction, leur action est diminuée d’autant, et cette diminution de leur
action
est justement la représentation que nous avons d’
de nouveau. Les objets ne feront qu’abandonner quelque chose de leur
action
réelle pour figurer ainsi leur action virtuelle,
bandonner quelque chose de leur action réelle pour figurer ainsi leur
action
virtuelle, c’est-à-dire, au fond, l’influence pos
é de la matière consiste dans la totalité de ses éléments et de leurs
actions
de tout genre. Notre représentation de la matière
tout genre. Notre représentation de la matière est la mesure de notre
action
possible sur les corps ; elle résulte de l’élimin
lus complète que la nôtre, puisque ce point recueille et transmet les
actions
de tous les points du monde matériel, tandis que
t sentir, en qualité et en quantité, variables selon la distance, les
actions
exercées par tous les atomes de la matière. Avec
si l’on considère un lieu quelconque de l’univers, on peut dire que l’
action
de la matière entière y passe sans résistance et
cran. Elles n’ajoutent rien à ce qui est ; elles font seulement que l’
action
réelle passe et que l’action virtuelle demeure. C
ce qui est ; elles font seulement que l’action réelle passe et que l’
action
virtuelle demeure. Ce n’est pas là une hypothèse.
bstance cérébrale, non sans y avoir séjourné, et s’épanouira alors en
action
volontaire. Voilà le tout du mécanisme de la perc
ion ; et, par suite, toute lésion de ces éléments, en diminuant notre
action
possible, diminuera d’autant la perception. En d’
voir d’où le mouvement sort à volonté, toujours le même pour une même
action
, quel que soit le genre d’image qui l’a sollicité
rd l’ensemble des images ; il y a, dans cet ensemble, des « centres d’
action
» contre lesquels les images intéressantes semble
nt se réfléchir ; c’est ainsi que les perceptions naissent et que les
actions
se préparent. Mon corps est ce qui se dessine au
ces perceptions ; ma personne est l’être auquel il faut rapporter ces
actions
. Les choses s’éclaircissent si l’on va ainsi de l
e monde matériel en général, pour limiter progressivement ce centre d’
action
qui s’appellera mon corps et le distinguer ainsi
utes les images, une certaine image que j’appelle mon corps et dont l’
action
virtuelle se traduit par une apparente réflexion,
s, des images environnantes. Autant il y a pour mon corps de genres d’
action
possible, autant il y aura, pour les autres corps
n réfléchirait d’autres en les analysant au point de vue des diverses
actions
à exercer sur elles. Et par suite, chacune des qu
, le rôle de la conscience est nettement défini : conscience signifie
action
possible ; et les formes acquises par l’esprit, c
mme nous allons voir, que chacun de ses éléments dits sensitifs a son
action
réelle propre, qui doit être de même genre que so
itifs a son action réelle propre, qui doit être de même genre que son
action
virtuelle, sur les objets extérieurs qu’il perçoi
Il n’y a guère de perception qui ne puisse, par un accroissement de l’
action
de son objet sur notre corps, devenir affection e
à un moment plutôt qu’à un autre, cette propriété nouvelle, source d’
action
positive, qu’on nomme douleur. Revenons maintenan
era à des éléments moteurs. Il semble donc qu’elles aient renoncé à l’
action
individuelle pour concourir, en qualité de sentin
ne espèce de centre d’où se réfléchit, sur les objets environnants, l’
action
que ces objets exercent sur lui : en cette réflex
ique : c’est un corps, exposé, comme tous les corps de la nature, à l’
action
des causes extérieures qui menacent de le désagré
résiste à l’influence de ces causes. Il ne se borne pas à réfléchir l’
action
du dehors ; il lutte, et absorbe ainsi — quelque
ction du dehors ; il lutte, et absorbe ainsi — quelque chose de cette
action
. Là serait la source de l’affection. On pourrait
le-même. La perception, entendue comme nous l’entendons, mesure notre
action
possible sur les choses et par là, inversement, l
mesure notre action possible sur les choses et par là, inversement, l’
action
possible des choses sur nous. Plus grande est la
rps, séparé de notre corps par un intervalle, n’exprime jamais qu’une
action
virtuelle. Mais plus la distance décroît entre ce
res termes, le danger devient urgent ou la promesse immédiate, plus l’
action
virtuelle tend à se transformer en action réelle.
promesse immédiate, plus l’action virtuelle tend à se transformer en
action
réelle. Passez maintenant à la limite, supposez q
notre propre corps soit l’objet à percevoir. Alors ce n’est plus une
action
virtuelle, mais une action réelle que cette perce
objet à percevoir. Alors ce n’est plus une action virtuelle, mais une
action
réelle que cette perception toute spéciale exprim
ste en cela même. Nos sensations sont donc à nos perceptions ce que l’
action
réelle de notre corps est à son action possible o
onc à nos perceptions ce que l’action réelle de notre corps est à son
action
possible ou virtuelle. Son action virtuelle conce
ion réelle de notre corps est à son action possible ou virtuelle. Son
action
virtuelle concerne les autres objets et se dessin
tuelle concerne les autres objets et se dessine dans ces objets ; son
action
réelle le concerne lui-même et se dessine par con
lui. Tout se passera donc enfin comme si, par un véritable retour des
actions
réelles et virtuelles à leurs points d’applicatio
ient réfléchies par notre corps dans l’espace qui l’environne, et les
actions
réelles arrêtées par lui à l’intérieur de sa subs
images détachée telle quelle de leur substance, comme si, exprimant l’
action
virtuelle de l’objet sur notre corps ou de notre
re corps n’est pas un point mathématique dans l’espace, de ce que ses
actions
virtuelles se compliquent et s’imprègnent d’actio
ce, de ce que ses actions virtuelles se compliquent et s’imprègnent d’
actions
réelles, ou, en d’autres termes, de ce qu’il n’y
ction entre la perception et la sensation, — celle-ci enveloppant une
action
réelle et celle-là une action simplement possible
a sensation, — celle-ci enveloppant une action réelle et celle-là une
action
simplement possible, — ne peut plus trouver entre
s de la conscience immédiate ? Il nous est indispensable, en vue de l’
action
, de traduire notre expérience affective en donnée
’expérience de la double faculté que ce corps possède d’accomplir des
actions
et d’éprouver des affections, en un mot par l’exp
lonnent autour d’elle dans l’ordre même où elles pourraient subir son
action
; de l’autre, j’en perçois l’intérieur, le dedans
simplement à sa surface, siège d’affection en même temps que source d’
action
: c’est cette image particulière que j’adopte pou
le soit ce qu’elle est plutôt que tout autre chose, nous partons de l’
action
, c’est-à-dire de la faculté que nous avons d’opér
s centres d’indétermination, caractéristiques de la vie. Pour que des
actions
rayonnent de ces centres, il faut que les mouveme
sance d’agir de l’être vivant, l’indétermination du mouvement ou de l’
action
qui suivra l’ébranlement recueilli. Cette indéter
e de la connaissance, de l’indétermination de notre volonté. — Mais l’
action
de la mémoire s’étend beaucoup plus loin et plus
titue notre perception pure, c’est, au sein même de ces images, notre
action
naissante qui se dessine. L’actualité de notre pe
sais quelle connaissance désintéressée : comme si, en l’isolant de l’
action
, en coupant ainsi ses attaches avec le réel, on n
le de la perception ; montrons, dans la perception pure, un système d’
actions
naissantes qui plonge dans le réel par ses racine
ments, qui, reçus sous forme d’excitation, sont transmis sous forme d’
action
réflexe ou volontaire. C’est dire qu’on attribuer
e la cause, que la matière est ici, comme ailleurs, le véhicule d’une
action
et non le substrat d’une connaissance, alors la t
u’elle est. Ayant attribué au corps l’unique fonction de préparer des
actions
, force nous sera bien de rechercher pourquoi la m
ôle du cerveau dans la perception — le cerveau serait un instrument d’
action
, et non de représentation. Nous ne pouvions deman
er la survivance, qu’il concerne, dans la perception remémorée, notre
action
plutôt que notre représentation, on pourra infére
eption elle-même, et que sa fonction était simplement d’assurer notre
action
efficace sur l’objet présent. Notre première conc
observations des physiologistes. III. Le nerf est un conducteur. — L’
action
moléculaire doit se propager depuis son bout term
son bout central. — Quel que soit le point de son trajet d’où parte l’
action
moléculaire, la sensation est la même. — Illusion
on moléculaire, la sensation est la même. — Illusion des amputés. — L’
action
du nerf ne provoque la sensation que par un inter
L’action du nerf ne provoque la sensation que par un intermédiaire, l’
action
des centres nerveux. — En quoi consiste le mouvem
obin. — La condition suffisante et nécessaire de la sensation est une
action
des centres nerveux. IV. Les diverses portions d
La protubérance annulaire. — Expériences de Longet et de Vulpian. — L’
action
de la protubérance est la condition suffisante et
x ou quadrijumeaux. — Expériences de Flourens, Longet et Vulpian. — L’
action
de ces tubercules est la condition suffisante et
s sensations visuelles. — Existence probable d’un autre centre dont l’
action
est la condition suffisante et nécessaire des sen
la condition suffisante et nécessaire des sensations olfactives. V. L’
action
, de ces centres est la condition suffisante et né
ence avec leur volume et avec l’étendue de cette substance grise. — L’
action
des lobes cérébraux est la condition suffisante e
ion des données psychologiques. — Un élément des hémisphères répète l’
action
des centres sensitifs et la transmet aux autres é
t latentes. — Coexistence de plusieurs groupes d’images mentales et d’
actions
corticales. — En quoi consiste la prépondérance d
l y a l’événement physique extérieur, ondulation aérienne ou éthérée,
action
chimique du corps liquide ou volatil, presque méc
ièrement les mouvements extérieurs d’un certain type, il a son type d’
action
propre ; c’est un ressort qui, de quelque façon q
é d’événements extérieurs différents, contact et pression mécaniques,
actions
chimiques des caustiques, de l’air et du sang, ch
ndulations éthérées ou aériennes, section du bistouri ; toujours leur
action
aboutit à une sensation de contact, de pression,
spèce différente, les sensations excitées seront différentes. La même
action
électrique éveille, selon le nerf qu’elle met en
s nerfs tactiles. — Ainsi chaque nerf d’espèce distincte a son mode d’
action
personnel et distinct. Il suit de là que tous les
rraient manquer ; si, en leur absence, le nerf entrait de lui-même en
action
, nous aurions la même sensation en leur absence q
s centres nerveux. — Mais rien de plus fréquent dans le toucher que l’
action
spontanée des nerfs ; il suffit de citer les névr
ux ou amer. — En somme, la condition directe de la sensation, c’est l’
action
ou mouvement moléculaire du nerf ; peu importent
s, ils ne font rien ; on pourrait se passer d’eux. Il suffirait que l’
action
du nerf fût toujours spontanée, comme elle l’est
ion du nerf fût toujours spontanée, comme elle l’est parfois ; si son
action
se produisait encore selon l’ordre et avec les de
t les mêmes images et les mêmes idées. Voyons donc de plus près cette
action
nerveuse, puisqu’il n’y a pas de sensation sans e
t à provoquer la sensation. III Quand un nerf sensitif entre en
action
, un mouvement moléculaire se propage tout le long
oscillations d’une corde vibrante, comme le fil de fer qui transmet l’
action
électrique. On s’en assure par deux expériences.
n trajet. — D’autre part, sur toutes les parties de son trajet, cette
action
aboutit au même effet111. Quel que soit le point
tte qu’au premier jour. — On voit que, pour provoquer la sensation, l’
action
du nerf lui-même est accessoire ; il n’est qu’un
autre mouvement moléculaire dans les centres nerveux ; pareillement l’
action
électrique qui court le long du fil du télégraphe
rselle de tous les conducteurs qui d’ordinaire mettent l’encéphale en
action
, nos images faibles et vagues deviennent intenses
provenait du nerf, il faudrait que ses diverses fibres entrassent en
action
dans l’ordre compliqué et avec le degré exact que
on visuelle » ; ayant agi une première fois, il rentre de lui-même en
action
deux ou trois fois encore. « Je ne crois pas que
nte et nécessaire de la sensation et partant des images, une certaine
action
ou mouvement moléculaire des centres nerveux, c’e
à chercher, parmi les diverses parties de l’encéphale, celles dont l’
action
est la condition nécessaire et suffisante de la s
e intact lorsqu’il est soumis à une vive irritation. » C’est donc une
action
de la protubérance qui est la condition nécessair
tre qu’ils offrent complètement ici les mêmes caractères. » — Enfin l’
action
de la protubérance est encore la condition nécess
oction amère. » Voilà donc un centre spécial, la protubérance, dont l’
action
est la condition suffisante et nécessaire de plus
es sensations. Les tubercules quadrijumeaux fournissent donc par leur
action
la condition suffisante et nécessaire des sensati
d’expériences nettes pour déterminer la portion de l’encéphale dont l’
action
est leur condition nécessaire et suffisante ; mai
un centre distinct des lobes cérébraux eux-mêmes. — Provoquées par l’
action
des nerfs sensitifs, les cellules de ces centres
quadrijumeaux, la protubérance, et peut-être un autre ganglion dont l’
action
éveille les sensations pures, et de l’autre côté
e les sensations pures, et de l’autre côté les lobes cérébraux dont l’
action
éveille les images, c’est-à-dire répercute, prolo
nt propres à l’homme, ont pour condition suffisante et nécessaire une
action
des lobes cérébraux. Elles sont donc attachées à
ire une action des lobes cérébraux. Elles sont donc attachées à cette
action
; elles naissent, périssent, s’altèrent, s’accélè
, du sang, du pus. Les mêmes causes, suivant le lieu où se porte leur
action
, entraînent souvent la perte du mouvement volonta
oportionnée de nos images. S’ils deviennent impropres à tel système d’
actions
, tel système d’images, et partant tel groupe d’id
partant tel groupe d’idées ou de connaissances, fait défaut. Si leur
action
s’exagère, les images plus intenses échappent à l
ns leur imposent et se changent en hallucinations. Si, en outre, leur
action
se déconcerte, les images perdent leurs associati
erdent leurs associations ordinaires et le délire se déclare. Si leur
action
s’annule, toute image, et partant toute idée ou c
e, et toutes les inductions s’accordent pour rattacher les images à l’
action
de l’écorce grise. En effet, c’est cette écorce d
ptiques. Transmise par les fibres rayonnantes des couches optiques, l’
action
qui, dans les tubercules quadrijumeaux et la prot
iaires, se propage d’un point à l’autre de la substance grise ; cette
action
des cellules corticales est la condition suffisan
in sans tomber dans les hypothèses ; nous ne pouvons ni définir cette
action
, ni préciser cette propagation, et tout ce que no
pouvons le dire avec précision ; mais chacun de ces éléments, par son
action
, suffit à susciter toutes les images normales, to
spontanément. Tout cela s’accorde avec la doctrine physiologique. Une
action
se produit dans les centres sensitifs proprement
es quadrijumeaux ; elle y éveille la sensation primaire ou brute. Une
action
exactement semblable se développe par contrecoup
cérébraux et y éveille la sensation secondaire ou image. La première
action
est incapable, et la seconde est capable de renaî
érébrale est étendue, plus elle a d’éléments capables de se mettre en
action
les uns les autres. Plus elle a d’éléments capabl
n les uns les autres. Plus elle a d’éléments capables de se mettre en
action
les uns les autres, plus elle est un instrument d
rébrale est composée d’éléments similaires mutuellement excitables, l’
action
de la protubérance, des tubercules et, en général
ienne à la première ; l’exemple est grossier, mais clair. Telle est l’
action
qui parcourt les éléments similaires de l’écorce
aintenant que, par une excitation nouvelle des centres sensitifs, une
action
différente vienne à se produire dans un des éléme
a fois dans deux états différents, ni partant produire à la fois deux
actions
différentes. Les éléments corticaux seront donc s
ux seront donc sollicités en deux sens différents, et, comme les deux
actions
sont incompatibles, une seule se propagera. Laque
ompatibles, une seule se propagera. Laquelle se propagera ? Puisque l’
action
corticale est la correspondante exacte de l’image
les mêmes conditions qui déterminent la propagation de telle ou telle
action
. De même que les images luttent entre elles pour
tion. De même que les images luttent entre elles pour prédominer, les
actions
luttent entre elles pour se propager. Grâce à cer
la première place dans notre esprit ; grâce à ces mêmes conditions, l’
action
correspondante prend ou perd la première place da
les images ou idées latentes, il faut aussi compter toutes celles des
actions
que l’on exécute, l’esprit occupé par une autre i
gulier se produit : tout de suite elle se transforme en impulsion, en
action
, en expression, par suite en contraction musculai
la contraction effective. Plus on imagine nettement et fortement une
action
, plus on est sur le point de la faire. Dans les n
cérébrale. Des myriades d’images mentales et, partant, des myriades d’
actions
corticales, y subsistent ensemble à divers degrés
événements moraux ; pour nos sensations brutes144, c’est une certaine
action
ou mouvement moléculaire de la protubérance, des
e l’encéphale ; pour nos images, nos idées et le reste, c’est la même
action
ou mouvement moléculaire répété et propagé dans l
ns l’encéphale, un mouvement moléculaire inconnu, qui, provoqué par l’
action
des nerfs sensitifs, provoque l’action des nerfs
e inconnu, qui, provoqué par l’action des nerfs sensitifs, provoque l’
action
des nerfs moteurs, et qui, selon toutes les analo
ulaire de l’encéphale, un événement de l’ordre moral. — D’ailleurs, l’
action
des nerfs moteurs qu’il met en jeu n’est pas déso
oviennent, si l’on excite les nerfs sensitifs, le segment, entrant en
action
, mettra en jeu les nerfs moteurs, et l’on verra d
e149. — On ne finirait pas si l’on voulait énumérer tous les cas de l’
action
réflexe. Intermittents ou continus, la plupart de
ux, encéphale, bulbe, moelle épinière, comme perpétuellement mises en
action
par le jeu des nerfs sensitifs pour provoquer le
que l’on observe dans le système nerveux, on n’y voit jamais que des
actions
réflexes ; elles peuvent être plus ou moins compl
ordon blanc conducteur. Ces trois mouvements ainsi liés constituent l’
action
réflexe ; moelle épinière, protubérance, lobes cé
e la même façon. Or, dans la protubérance et les lobes cérébraux, son
action
éveille des événements moraux, tous de la même es
emporaires ou sensations réviviscentes. On doit donc admettre que son
action
éveille partout des événements moraux d’espèce vo
apparaît pas à la conscience, rien n’empêche que, dans la moelle, son
action
n’éveille aussi des événements moraux analogues à
total. — Pareillement il y aurait trois degrés de complication dans l’
action
des centres nerveux. Au plus bas degré, dans la m
des centres nerveux. Au plus bas degré, dans la moelle, naissent des
actions
fragmentaires peut-être analogues à celles qui pr
s pour la conscience. Au degré moyen, dans la protubérance, ces mêmes
actions
transmises s’assemblent en une action totale qui
ans la protubérance, ces mêmes actions transmises s’assemblent en une
action
totale qui provoque la sensation totale ordinaire
sensation totale ordinaire. Au plus haut degré, dans les lobes, cette
action
totale, une seconde fois transmise, est répétée i
réviviscentes que nous nommons les images. — On conçoit ainsi, pour l’
action
des centres nerveux comme pour les événements mor
duit et fragmentaire, d’autant plus réduit et plus fragmentaire que l’
action
nerveuse qui les provoque est plus simple. — On v
es lignes principales, et la correspondance établie ci-dessus entre l’
action
nerveuse et l’action mentale nous permet de condu
, et la correspondance établie ci-dessus entre l’action nerveuse et l’
action
mentale nous permet de conduire l’analyse au-delà
mécanisme analogue ; car toutes comprennent parmi leurs éléments une
action
réflexe, et dans presque toutes l’action réflexe
ent parmi leurs éléments une action réflexe, et dans presque toutes l’
action
réflexe aboutit, non pas à la contraction isolée
e l’air et des vésicules pulmonaires provoque nécessairement, par une
action
réflexe du bulbe, un système alternatif et toujou
e sont les deux temps du mouvement respiratoire. Ainsi, par une autre
action
réflexe du bulbe, le contact d’un aliment et en g
l forme une chaîne continue de groupes nerveux qui sont des centres d’
action
réflexe. Grâce à cet enchaînement, les divers cen
t enchaînement, les divers centres distincts peuvent coordonner leurs
actions
distinctes, et ils sont nombreux ; car, sans comp
ourant simple ou à branches multiples, il n’y a là évidemment que des
actions
réflexes. — En quoi consiste une action réflexe ?
n’y a là évidemment que des actions réflexes. — En quoi consiste une
action
réflexe ? Une onde de changement moléculaire se p
vidents, sans qu’on puisse déterminer, dans aucune direction, quelque
action
particulière. — L’ablation d’une moitié du cervea
Chapitre cinquième Genèse et
action
des principes d’identité et de raison suffisante.
et sociale. — Leur part dans notre structure intellectuelle. III. 5°
Action
de la volonté consciente, origine radicale de not
sante et d’intelligibilité universelle. — Son origine radicale dans l’
action
de la volonté consciente. V. Principe des lois de
trent comme facteurs essentiels dans toute connaissance et dans toute
action
. Ce sont les conditions les plus générales de la
’une même chose est et n’est pas ; 2° d’attribuer (par paroles ou par
actions
) une raison à toute chose. La connaissance est, o
eurs origines, qui, selon nous, se ramènent aux cinq suivantes : 1° l’
action
directe du milieu sur le cerveau et sur la consci
ns a-t-on prouvé sa non-existence. Ce qui semble certain, c’est que l’
action
des habitudes acquises sur l’espèce (nous ne diso
’expérience individuelle ne s’applique exactement qu’au mode direct d’
action
exercé par les objets extérieurs, qui, par le can
facteurs de l’évolution intellectuelle, sans distinguer deux modes d’
action
sur le cerveau : la voie indiquée par Lamarck et
: désirer, vouloir. C’est, dans l’appétition ou volonté, subissant l’
action
du dehors et réagissant en conséquence, que doive
e, mais pour le besoin impérieux de vivre et d’agir. Toute vie, toute
action
est une divination consciente ou inconsciente : «
sque notre organisme est composé d’une multitude d’organismes. Si les
actions
et réactions de notre cerveau n’étaient pas en ha
ions et réactions de notre cerveau n’étaient pas en harmonie avec les
actions
et réactions de notre corps entier, nous ne pourr
et de la persévérance dans l’être, vienne se formuler au cerveau, en
actions
d’abord, en idées ensuite. Il faut, de même, que
ans le corps social, des intermédiaires deviennent indispensables : l’
action
directe doit être remplacée par l’action indirect
eviennent indispensables : l’action directe doit être remplacée par l’
action
indirecte, qui s’exerce à distance dans l’espace,
es comme s’ils pouvaient à la fois être et n’être pas, comme si leurs
actions
pouvaient exister sans cause ou changer indépenda
a prison, du moins le cabanon. Il y a donc eu, à travers les siècles,
action
et réaction mutuelle de tous les cerveaux humains
ses semblables. La logique, en un mot, est l’expression des lois de l’
action
réciproque au sein de toute société, c’est-à-dire
s dents à son tour : voilà tout le langage dont il dispose, langage d’
action
qui accomplit ce qu’il signifie en même temps qu’
avers l’espace. III Origine radicale du principe d’identité dans l’
action
de la volonté consciente Avons-nous atteint l’
est de savoir si la constitution fondamentale de l’existence et de l’
action
nous est révélée uniquement par les phénomènes ex
plus qu’une forme de la pensée et de la conscience : c’est un mode d’
action
et un déploiement de la volonté. Que saisit conti
nté. Que saisit continuellement la conscience en elle-même, sinon une
action
exercée ou subie, et qui n’est jamais en contradi
ement, je désire, je veux : tout cela, c’est accomplir ou subir telle
action
, non telle autre ; la vie n’est qu’action et réac
st accomplir ou subir telle action, non telle autre ; la vie n’est qu’
action
et réaction perpétuelle. Si on va plus au fond en
u’action et réaction perpétuelle. Si on va plus au fond encore, toute
action
apparaît en nous comme un vouloir unique, tantôt
de l’intelligence à la nature radicale de la volonté, ou plutôt à son
action
radicale et à son développement spontané. La pers
sable. IV Origine radicale du principe de raison suffisante dans l’
action
de la volonté L’idée d’intelligibilité s’expli
e devant le feu, une voie cérébrale sera déjà creusée par la première
action
entre la représentation du feu comme douloureux e
en faire un milieu approprié à notre activité. Elle exprime le mode d’
action
et de réaction déterminées qui existe de fait ent
tissent extérieurement au résultat mécanique de la réaction égale à l’
action
, conforme à l’action ; aussi ont-elles fini par s
t au résultat mécanique de la réaction égale à l’action, conforme à l’
action
; aussi ont-elles fini par s’imprimer mécaniqueme
n rôle proprement intellectuel s’est de plus en plus développé. Toute
action
est déjà un raisonnement explicite ou implicite,
le soleil, la chaleur de la vie, l’effervescence du mouvement ou de l’
action
; mais ces ténèbres éternellement vivantes et éte
s que tout mouvement de ce genre forme un arc dont les deux branches,
action
du dehors et réaction du dedans, ont leur point c
un avant et un après, par un sentiment constant de succession entre l’
action
et la réaction ; quand nous sentons l’une, nous c
un cas des lois générales du mouvement ou du choc. Point de choc ou d’
action
sans réaction, de pression sans résistance, de ré
les choses dans le même temps. Tout dépend donc de la valeur et de l’
action
que nous attribuons au temps. Si nous concevons u
t qui entraîne notre activité dans la même voie : c’est la ligne de l’
action
la plus facile, c’est le résultat d’une force pos
otre ignorance n’ont qu’une valeur abstraite et hypothétique, non une
action
réelle. De plus, répétons que la raison suffisant
les caractères trop particuliers, et nous ne conservons que l’idée d’
action
en général, ou de causation. Nous changeons ainsi
onséquences en une série réelle de causes et d’effets, c’est-à-dire d’
actions
et de réactions mutuelles. Par là nous donnons la
e telle chose a fait une fois et ce que telle autre a souffert de son
action
arrivera encore de la même manière, selon une loi
très ultérieure, dont nous avons montré plus haut la genèse. L’idée d’
action
immanente nous vient évidemment de la conscience
descriptions, qui seraient toujours plus ou moins objectives. C’est l’
action
transitive qui constitue la causation proprement
proprement dite, c’est-à-dire le rapport, d’agent à patient. L’idée d’
action
en général est plus simple que l’idée de causatio
nt un rapport do quelque agent à quelque patient, ne peut expliquer l’
action
même et la présuppose ; elle est l’action produis
atient, ne peut expliquer l’action même et la présuppose ; elle est l’
action
produisant un effet ; elle est ce que l’on a appe
ayons point conscience d’agir, car Hume confond l’effectuation avec l’
action
, la conscience du lien de l’effet à l’acte avec l
conscience de l’acte même. En d’autres termes, au lieu de parler de l’
action
, Hume parle du caractère transitif de l’action et
au lieu de parler de l’action, Hume parle du caractère transitif de l’
action
et de son effet sur un patient quelconque, qui, à
ant, la conscience (illusoire ou non) d’être actifs et non passifs. L’
action
interne du vouloir n’est pas une simple « séquenc
ubjectif même, elle ne peut s’objectiver ni s’extérioriser. Quant à l’
action
transitive et au lien avec l’effet produit en deh
t le pâtir ; quand nous pâtissons, nous voyons l’effet interne sans l’
action
externe ; quand nous agissons, nous voyons l’acti
et interne sans l’action externe ; quand nous agissons, nous voyons l’
action
interne sans l’effet externe, qui ne nous est rév
eraient donnés. Il y a dans l’effort musculaire : 1° une conscience d’
action
tout interne ; 2° des sensations afférentes tout
voyons une séquence constante, mais nous ne voyons pas comment notre
action
produit l’effet extérieur. C’est dans l’effort me
orce plus ou moins intense amenant l’un à la suite de l’autre par une
action
nécessitante. Parmi les éléments d’explication de
vifie, elle s’anthropomorphise, elle devient, elle aussi, une série d’
actions
, de passions, de réactions, de nouvelles passions
inanimés, nous ne pouvons-nous représenter leur réalité que comme une
action
, car ce qui ne produit pas sur nous un effet quel
vec lesquels il est en connexion nécessaire, grâce à une communauté d’
action
réciproque. Un phénomène isolé serait un phénomèn
ents états du monde, nous faisons circuler de l’un à l’autre une même
action
causale, que nous appelons assez improprement sub
r ordinaire et même des sensations de saveur pure. — Leurs types. — L’
action
des nerfs olfactifs et gustatifs a probablement p
Analogie de cet antécédent et de, la vibration éthérée qui provoque l’
action
de la rétine. — Indices sur le mode d’action des
n éthérée qui provoque l’action de la rétine. — Indices sur le mode d’
action
des nerfs olfactifs et gustatifs. — Très probable
ifs et gustatifs. — Très probablement il consiste en une succession d’
actions
semblables et très courtes qui excitent chacune u
ions. — Opinion de Weber. — Ces conditions sont des types distincts d’
action
pour le même nerf. — Expériences de Fick. — Les c
. — Lacunes de la théorie. — Recherches qui pourront les combler. — L’
action
nerveuse qui provoque une sensation n’est jamais
lle met ensemble, comme des faits semblables, le passage du repos à l’
action
et le passage de l’action au repos, en les notant
s faits semblables, le passage du repos à l’action et le passage de l’
action
au repos, en les notant comme contraires, sans dé
et le goût des réductions aussi avancées. Nous connaissons le mode d’
action
de l’air ou de l’éther ; c’est une ondulation don
inductions sur les sensations correspondantes. D’ailleurs, ce mode d’
action
est uniforme, et de plus le nerf est construit sp
eille excitent à travers le nerf. Le nerf est donc lui-même capable d’
actions
uniformes ; c’est pourquoi il est naturel que les
s ; c’est pourquoi il est naturel que les sensations excitées par son
action
se laissent elles-mêmes ramener à un type simple,
ebours pour les autres groupes de sensations. Nous ignorons le mode d’
action
des substances volatilisées qui agissent sur les
y a d’autres nerfs profonds du canal alimentaire qui entrent aussi en
action
; la sensation totale est composée d’une sensatio
plus, elle naît autrement ; elle n’a pas besoin, comme l’autre, d’une
action
chimique pour se produire ; un simple contact l’e
plusieurs bonbons. — Enfin les divers points de la bouche, soumis à l’
action
du même corps, éveillent des sensations différent
aissent. Comme toutes les autres, elles ont pour stimulant direct une
action
du nerf transmise aux centres nerveux ; or, confo
tats différents des centres nerveux, et, si le nerf est le même, deux
actions
différentes du nerf. — Il reste donc à savoir de
erminer l’événement extérieur à la suite immédiate duquel il entre en
action
. Rien de plus facile que de savoir les précédents
ite directe duquel le nerf olfactif ou les nerfs gustatifs entrent en
action
. Un corps n’a de saveur que s’il est en dissoluti
nt une combinaison chimique avec l’oxygène de l’air. — En sorte que l’
action
du nerf olfactif, comme celle des nerfs gustatifs
les éléments ni préciser le type93. Voilà l’antécédent immédiat de l’
action
de chaque filet olfactif ou gustatif ; et il est
de ne pas remarquer combien il ressemble à l’antécédent immédiat de l’
action
du nerf optique, sauf cette différence que, dans
nt que par la quantité, les ramener tous à un type unique, désigner l’
action
élémentaire correspondante du nerf optique et du
molécule un système de mouvements atomiques, et dans la fibrille une
action
correspondante suit ; une seconde molécule sembla
mouvements atomiques se produit, et dans la même fibrille une seconde
action
correspondante toute semblable suit. Les deux act
ille une seconde action correspondante toute semblable suit. Les deux
actions
nerveuses semblables ont éveillé deux actions cér
emblable suit. Les deux actions nerveuses semblables ont éveillé deux
actions
cérébrales semblables et deux sensations élémenta
ons élémentaires semblables. Mais le nombre de ces sensations, de ces
actions
et de ces systèmes de mouvements qui se succèdent
et le massage, ils provoquent une jouissance. À tous ces égards, leur
action
est la même que celle des nerfs de la peau ; ils
raccourcissement des muscles. Mais ce n’est point là une différence d’
action
, c’est une différence d’excitant ; il n’y a dans
. À un degré moindre, le nerf n’est plus capable de ce type spécial d’
action
qui éveille la sensation de douleur, quoique à ce
uleur, quoique à ce degré il soit encore capable de ce type spécial d’
action
qui éveille la sensation de pression et de contac
t-bras et dans les deux derniers doigts de la main la sensation que l’
action
nerveuse située aux environs du coude vous fait é
onséquent, lorsque vous avez une sensation du froid, ce n’est point l’
action
immédiate du froid sur le nerf qui vous la donne
d les modifie, et leur modification imprime au nerf un type spécial d’
action
qui éveille en nous la sensation spéciale de froi
yser le nerf, la propriété qu’ils ont d’imprimer au nerf ce rhythme d’
action
; nous n’aurons plus la sensation spéciale de fro
dans tous les cas, ce qui s’éveille en nous, c’est un type spécial d’
action
pour le nerf, et ce qui éveille dans le nerf ce t
action pour le nerf, et ce qui éveille dans le nerf ce type spécial d’
action
, c’est une modification spéciale de ses appendice
le même groupe de nerfs est capable de plusieurs types ou rhythmes d’
action
différents, et que chacun de ces rhythmes est pro
de blanc partielles et simultanées qu’il y a de filets nerveux mis en
action
; sur la rétine. En second lieu, chaque sensation
iles. Nous constatons que l’antécédent spécial et immédiat qui met en
action
les nerfs olfactifs et gustatifs est un système d
tème de déplacements se traduit en eux par un système correspondant d’
actions
nerveuses, et se traduit en nous par un système c
nous n’avons aucun moyen de déterminer ou de conjecturer le rhythme d’
action
que les nerfs tactiles reçoivent et transmettent
e les nerfs tactiles reçoivent et transmettent aux centres nerveux. L’
action
élémentaire nerveuse et, partant, la sensation él
ors de nos prises. Tout ce que nous savons, c’est qu’il y a une telle
action
et, partant, une telle sensation ; car, quel que
toujours de même et d’une façon qui leur est propre ; leur rhythme d’
action
est spécial et ne change pas ; la preuve en est q
et la vitesse du mouvement moléculaire dont la répétition constitue l’
action
nerveuse. En attendant, la théorie des sensations
quelle que soit la structure des nerfs et des centres nerveux dont l’
action
provoque une sensation, si diverse que vous suppo
ps, on n’aperçoit jamais que la mécanique ; en sorte que les diverses
actions
nerveuses qui provoquent les diverses sensations
être conçues que comme des systèmes de mouvements : ainsi toutes ces
actions
, diverses en quantité, sont les mêmes en qualité.
ité. — Donc, d’après la correspondance connue entre la sensation et l’
action
nerveuse, les sensations diverses en quantité son
aque nerf trois fibres différentes ni qu’une fibre ait trois genres d’
actions
. Dans l’explication psychologique, le fait admis
s, il indique, par approximation ou par hypothèse, les divers types d’
action
qui, dans le même nerf, excitent en nous des sens
her Moleküle besteht. Voyez aussi : De la vibration nerveuse et de l’
action
réflexe dans les phénomènes intellectuels, par le
dans ses livres : nature de la vie, la conscience et ses formes, les
actions
réflexes, l’instinct, les sensations, le sommeil,
e n’est point la source des phénomènes, mais leur personnification. L’
action
de la vie est semblable à celle d’un mécanisme et
ugnent à une pareille conception. La vie leur semble l’antithèse de l’
action
mécanique. Cette répugnance diminuera si l’on se
’organisme est un mécanisme et il agit mécaniquement, en tant que ses
actions
sont nécessairement déterminées par rajustement d
mécanisme en ce qu’il a la sensibilité pour grand ressort et que ses
actions
dites automatiques sont toutes déterminées par l’
e fait : un corps vivant conserve sa forme et ne semble pas céder à l’
action
destructive des agents chimiques ; tandis que, dè
iques sont contrôlées par la vitalité, il faut dire qu’il n’y a pas d’
action
vitale possible, sans l’action incessante et comp
talité, il faut dire qu’il n’y a pas d’action vitale possible, sans l’
action
incessante et compliquée des affinités chimiques
affinités chimiques : nutrition, sécrétion, mouvement, tout dépend d’
actions
chimiques. La vie précède-t-elle l’organisation ?
e nerf moteur transmet l’impulsion à un muscle ; et ainsi réduite une
action
non suggérée, non accompagnée de sensation quelco
nt des sensations, mais des impressions sensitives qui produisent des
actions
réflexes, sans conscience de la part de ranimai.
tant ; ce sont des impressions inconscientes qui peuvent conduire à l’
action
, mais ne sont pas des sensations. Les expressions
générale qui est composée de la somme des sensations, excitées par l’
action
incessante et simultanée des stimulus internes et
endre inappréciable la lumière stellaire, mais elle n’empêche pas son
action
. De même, la quantité de sensation qui provient d
s autres centres ; mais quoique inappréciable, elle ne peut être sans
action
; elle est une des parties intégrantes de la tota
r les sensations inconscientes se rattache étroitement la théorie des
actions
réflexes. Il est frappant et instructif de remarq
uctif) : mais il y a tout un ordre de faits (perceptions insensibles,
actions
réflexes, instincts, etc.) par lesquels les deux
si la science est une analyse, le monde est une synthèse. L’étude des
actions
réflexes est la continuation de celle de la consc
dans la théorie courante, le sensorium étant restreint au cerveau, l’
action
qui a son centre dans la moelle épinière est dite
i étend le sensorium à tous les centres nerveux, n’admet plus entre l’
action
du cerveau et celle de la moelle épinière qu’une
i en découlent. Il veut « donner le coup final250 » à la théorie de l’
action
réflexe, à laquelle il n’épargne pas même la rail
me la raillerie. La doctrine des écoles, dit-il, est celle-ci : « Les
actions
nerveuses mentales, les actes de sensation et de
en idées. Il est le généralissime qui contrôle, dirige et inspire les
actions
de tous les officiers subordonnés. Mais supposer
e que le mécanisme réflexe est indépendant de la sensibilité, que les
actions
réflexes ont lieu sans sensation 254. » Il ne peu
r la faiblesse d’évidence qui sert de base à la célèbre « théorie des
actions
réflexes255. » Pour prouver que les actions réfle
la célèbre « théorie des actions réflexes255. » Pour prouver que les
actions
réflexes sont indépendantes de la sensation, il e
ndantes de la sensation, il est nécessaire de prouver d’abord que les
actions
du cordon spinal sont indépendantes de la sensati
de notre compétence, de suivre M. Lewes dans sa longue étude sur les
actions
réflexes ; il nous suffira d’en résumer les point
pour débrouiller toutes les serrures. Schiff soutient que toutes les
actions
cérébrales, aussi bien que spinales, sont réflexe
ux de l’animal qui n’en a pas, on a inventé une théorie qui dit : ces
actions
sont réflexes. Mais, dans l’animal sain il y a ac
qui dit : ces actions sont réflexes. Mais, dans l’animal sain il y a
action
réflexe, plus la transmission d’une impression au
ce qui produit la sensation ; dans l’animal décapité, nous voyons une
action
réflexe, moins la transmission au cerveau. » Un
vexations qu’on lui cause, se débrouille, accomplit plusieurs de ses
actions
ordinaires ; mais on dit qu’il fait tout cela san
ces insulaires ; mais l’âme est partie, suivant eux. La théorie de l’
action
réflexe a remis en mémoire à M. Lewes cette bizar
tentif et répété d’animaux décapités fournit une abondante évidence d’
actions
spontanées259. Passons au choix. M. Lewes soumet
ncipe. Laissons de côté un second argument, tiré de ce que beaucoup d’
actions
ont lieu sans éveiller une conscience ou une atte
irer, digérer, etc.). Cet argument ne prouve rien ou prouve trop. Une
action
peut être sensationnelle, sans produire ce sentim
é sommaire des opinions de notre auteur, sur la doctrine courante des
actions
réflexes. Peut-être aura-t-elle paru un peu en de
d’égards les plus curieux à étudier et les plus féconds. En résumé, l’
action
réflexe est un processus de groupement qui fait l
nomènes psychiques. Ses genres les plus élevés sont la sensation et l’
action
. Nous avons déjà vu que M. Herbert Spencer assign
tion. Nous avons déjà vu que M. Herbert Spencer assigne une place à l’
action
réflexe dans l’évolution ascendante de la vie psy
de la sensibilité que toute sensation doit se décharger, soit en une
action
réflexe, soit en un sentiment réflexe, soit dans
u’on allait représenter, à les préparer à entrer plus aisément dans l’
action
et à en suivre le fil. Quelquefois aussi, il cont
nommaient prologue, était censé parler à des personnes présentes à l’
action
même, et avait, au moins pour le prologue, un car
ne se fait que dans la première scène du second acte ; après quoi, l’
action
commence proprement. La protase ne revient donc à
dans le cours de la pièce, par le récit de quelques événements que l’
action
suppose nécessairement. C’est d’elle que Despréau
nt. C’est d’elle que Despréaux a dit : Que, dès les premiers vers, l’
action
préparée, Sans peine du sujet aplanisse l’entrée.
dre une tragédie dans laquelle les divers intérêts et les principales
actions
des personnages ont un rapport essentiel à quelqu
un rapport essentiel à quelque autre grand événement qui influe sur l’
action
théâtrale, qui détermine les incidents, et qui pr
êt principal dont on veut les occuper. Mais comme la tragédie est une
action
, il faut que le poète se cache dès le commencemen
expositions de nos tragédies ressemblent bien moins à une partie de l’
action
qu’à des prologues des anciens, où un comédien ve
des anciens, où un comédien venait mettre le spectateur au fait de l’
action
qu’on allait lui représenter, en lui racontant fr
ante, auguste, attendrissante ; elle forme en même temps le nœud de l’
action
. La première règle de l’exposition est de bien fa
i on parle et celui dont on parle, le lieu où ils sont, le temps où l’
action
commence : Que, dès les premiers vers, l’action
sont, le temps où l’action commence : Que, dès les premiers vers, l’
action
préparée, Sans peine du sujet aplanisse l’entrée
tout d’un coup entrer en matière ; les spectateurs sont au fait de l’
action
commencée, dès les premiers vers, sans obscurité
i ménage par là de grandes émotions. On doit tâcher de mettre tout en
action
jusqu’à l’exposition. On en impose au spectateur,
position en sera plus facile et plus claire. Il est à souhaiter que l’
action
commence dans un jour illustre ou désiré, remarqu
ètes conçurent leurs épisodes de la sorte, et les tirèrent d’une même
action
; pratique si généralement établie du temps d’Ari
ou le permît. Parmi nous, l’épisode se prend pour un incident ou une
action
détachée qu’un poète insère dans son ouvrage et l
une action détachée qu’un poète insère dans son ouvrage et lie à son
action
principale, pour y jeter une plus grande diversit
principale, pour y jeter une plus grande diversité d’événements. Les
actions
les plus simples sont les plus sujettes à cette i
d acte, et se trouvera par là dans la nécessité d’avoir recours à des
actions
étrangères pour remplir les autres actes : c’étai
premiers poètes français. Pour remplir chaque acte, ils prenaient des
actions
qui appartenaient bien au même héros, mais qui n’
ui fournisse les incidents et les obstacles qui doivent concourir à l’
action
principale ; mais lorsque le sujet n’en suggère p
ux modèles admirables de la manière dont un épisode doit être lié à l’
action
. Dans Andromaque, Oreste, ouvrant la scène, décla
le spectateur, qu’on est tenté de prendre cet amour épisodique pour l’
action
principale. Il est le représentant de la Grèce ;
nder à Pyrrhus le fils d’Hector ; enfin, son rôle est si bien lié à l’
action
qu’il est impossible de l’en séparer. Même artifi
nom de comédie ne leur convient nullement puisque la comédie est une
action
et emporte dans son idée l’unité d’action ; mérit
puisque la comédie est une action et emporte dans son idée l’unité d’
action
; mérite qui manque absolument à ces ouvrages, qu
ète introduit deux intrigues dans sa pièce, il doit conduire les deux
actions
de manière que leur mouvement soit égal et ne se
t avoir égard à deux choses : la première, que les intrigues des deux
actions
soient légères ; la seconde, que le caractère les
stitution, parce que c’est cette partie qui forme comme le corps de l’
action
théâtrale, que la protase ne fait que préparer, e
e, dans la bouche des personnages qui, s’ils n’ont pas un intérêt à l’
action
du poème, en ont du moins un très fort qui les at
qui, à la vérité, fait bien partie du poème ancien, mais non pas de l’
action
théâtrale ; c’est un discours qui s’adresse aux s
l’histoire, en attendant l’entrée du chœur, où commence précisément l’
action
, selon Aristote. Les deux comiques latins que nos
es qu’ils doivent savoir ; mais il faut chercher, dans la vérité de l’
action
, quelque raison qui l’ait pu obliger à faire ce d
gue retiendrait sa voix, il faudrait que l’autre remarquât toutes ses
actions
, comme d’un homme qui rêverait profondément et qu
tour. Dialogue. Le dialogue est proprement l’art de conduire l’
action
par les discours des personnages, tellement que c
logue, c’est la vivacité ; et comme, dans la tragédie, tout doit être
action
, la vivacité y est d’autant plus nécessaire. Il n
scours n’empêche pas qu’il n’y ait une sorte de dialogue, parce que l’
action
muette d’un des personnages a exprimé quelque cho
nt déterminé ; en sorte que le dialogue ne servît qu’aux progrès de l’
action
. Chaque réplique serait un nouveau pas vers le dé
is, dans la distribution primitive, on laisse des intervalles vides d’
action
; ce sont ces vides qu’on veut remplir, et de là
is corrigé qu’à la dernière extrémité. Au reste, quand je parle d’une
action
théâtrale, je parle d’un appareil, d’une cérémoni
sent les yeux quand on ne sait pas parler aux oreilles et à l’âme.
Action
théâtrale. On se propose de réunir ici quelque
e propose de réunir ici quelques remarques préliminaires concernant l’
action
théâtrale. On tâchera surtout de développer l’art
cipales règles de l’art dramatique, qu’on peut voir ci-après aux mots
action
, intrigue, intérêt, unité, et autres, on sait qu’
ir de dessein ; de manière enfin que le spectateur suive toujours une
action
et ne sente jamais un ouvrage : autrement l’illus
entend d’abord ; et il passe de là aux progrès et au dénouement de l’
action
, comme à des suites naturelles du premier état où
es naissent. En un mot, tout est art du côté de celui qui arrange une
action
théâtrale ; mais rien ne le doit paraître à celui
on art. Poème dramatique. Le poème dramatique, représentation d’
actions
merveilleuses, héroïques ou bourgeoises, est ains
héroïques ou bourgeoises, est ainsi nommé du mot grec δραμα (drama),
action
, représentation, parce que, dans cette espèce de
ntation, parce que, dans cette espèce de poème, on ne raconte point l’
action
comme dans l’épopée, mais qu’on la montre elle-mê
qu’on la montre elle-même dans les personnages qui la représentent. L’
action
dramatique est soumise aux yeux et doit se peindr
t dit, la raison le dit assez. On y exige encore, non seulement que l’
action
soit une, mais qu’elle se passe toute en un même
même lieu. La raison de tout cela est dans l’imitation. Comme toute l’
action
se passe en un lieu, ce lieu doit être convenable
n. La tragédie partage avec l’épopée la grandeur et l’importance de l’
action
, et n’en diffère que par le dramatique seulement
le nom qu’on donne à la fable d’une tragédie ou d’une comédie, ou à l’
action
qui y est représentée. Chambers ajoute que ce mot
eseret hunc, nec lucidus ordo. Il faut bien discerner le moment où l’
action
doit commencer et où elle doit finir, bien choisi
dise que ce qui est convenable et qui tend à augmenter l’intérêt de l’
action
. Les parties du drame étant ainsi esquissées, ses
très clairement toutes ses parties, comme si nous étions mêlés dans l’
action
, nous trouverons bien sûrement ce qui sied, et no
re échappées. Il veut encore qu’en composant on imite les gestes et l’
action
de ceux qu’on fait parler ; car, de deux hommes q
ne des meilleures règles pour bien former un plan, c’est de diviser l’
action
principale en cinq parties bien distinctes, qui f
nommons encore l’histoire ou le roman : c’est le fonds principal de l’
action
d’une tragédie ou d’une comédie. Tous les sujets
presque de scène en scène, il arrive quelque chose de nouveau dans l’
action
; c’est un sujet de passion, quand, d’un fonds si
nom qu’on donne quelquefois au tissu d’événements qui entrent dans l’
action
. Ce mot sert aussi quelquefois à désigner les piè
es, en fables simples et en fables implexes ; il appelle simples, les
actions
qui, étant continues et unies, finissent sans rec
se étrangère. La fable de la comédie consiste dans l’exposition d’une
action
prise de la vie ordinaire, dans le choix des cara
enveloppent ainsi une foule d’éléments sensitifs et de tendances à l’
action
renaissantes, qui se rapportaient originairement
comme complication et comme difficulté, à la science sociale, où les
actions
et réactions mutuelles semblent, par leur variété
où semble venir toute lumière, et la volonté d’où semble sortir toute
action
; mais le grand ressort de l’intelligence et de l
et Schneider. Imaginez des individus chez qui le plaisir soit lié aux
actions
nuisibles, la douleur aux actions utiles. Il a dû
us chez qui le plaisir soit lié aux actions nuisibles, la douleur aux
actions
utiles. Il a dû se produire à l’origine des êtres
eur. Elle nous montre que le plaisir devait finalement s’attacher aux
actions
utiles, à la vie individuelle ou spécifique ; que
ique ; que la douleur, au contraire, devait finalement s’attacher aux
actions
nuisibles. Ce n’est pas là, il est vrai, une appl
de souffrir, il finira par ne trouver agréables, en moyenne, que les
actions
utiles à sa vie individuelle ou à la vie de son e
les en sont les conditions, les causes immédiates, indépendamment des
actions
et réactions ultérieures que produira la lutte po
quée. Est-ce seulement par hasard que le plaisir s’est trouvé lié aux
actions
utiles et en quelque sorte vitales ? Faut-il pous
loi de travail, de dépense incessante : — Travaille ou meurs. Mais l’
action
même fortifie, le dépense enrichit. C’est que la
aire à la « survivance de l’individu ou de l’espèce. » En fait, toute
action
normale et proportionnée d’un nerf suffisamment n
la loi fondamentale de la sensibilité serait ainsi l’équilibre, non l’
action
efficace. Spencer lui-même finit par placer le pl
s on l’affaiblit. Cette apparente exception à la loi de l’intensité d’
action
ne fait donc que la confirmer. La sélection natur
par la modération même. Autre problème. Pourquoi le changement dans l’
action
est-il nécessaire ? C’est là encore une loi dériv
rincipe que se tirent ces diverses conséquences. Le changement dans l’
action
n’est encore qu’un moyen d’assurer l’intensité de
ent dans l’action n’est encore qu’un moyen d’assurer l’intensité de l’
action
efficace : il fait travailler d’autres nerfs pend
ment plutôt qu’à l’état même, qu’à l’existence continue, ou mieux à l’
action
continue. Seule la douleur implique par elle-même
oint, en dernière analyse, d’état purement statique ; il y a toujours
action
dynamique et, en raison du milieu résistant, il y
ons donc toujours en présence de l’intensité et de son rapport avec l’
action
. Jouir, c’est toujours agir, agir le plus possibl
périorité sur les autres espèces. Maintenant, l’intensité finale de l’
action
et sa victoire dans la lutte pour l’existence est
orme, elle n’a pas disparu. La qualité du mouvement, c’est d’être une
action
, et une action vitale, une augmentation de la vit
pas disparu. La qualité du mouvement, c’est d’être une action, et une
action
vitale, une augmentation de la vitalité générale
ec les forces emmagasinées. Psychologiquement, c’est l’intensité de l’
action
déployée, et volontairement déployée, qui, en pro
ntairement déployée, qui, en produisant une conscience plus vive de l’
action
et de son indépendance, produit aussi du plaisir.
bent directement les liquides par la peau réagissent fortement sous l’
action
des liquides amers. Les réactions de ce genre, qu
s. L’amertume n’est donc qu’une intégration et un raffinement local d’
actions
et de réactions qui, jadis, ont pu être générales
mentaire, l’intensité est celle d’une qualité ou, mieux encore, d’une
action
appétitive, non pas seulement d’une quantité pure
re, d’une action appétitive, non pas seulement d’une quantité pure. L’
action
, enfin, doit toujours se trouver en rapport avec
l’organe, il rencontrera bientôt des obstacles dans l’organe même : l’
action
sera contrebalancée par des résistances et tourne
peuvent expliquer par aucune forme de sélection, non plus que par les
actions
héréditaires de l’habitude ou du manque d’usage.
ouvons donc parler d’une « faim mécanique » comme cause de toutes les
actions
des organismes vivants. En correspondance avec ce
rieure. Ici donc le plaisir se révèle directement et uniquement comme
action
, la peine comme résistance et passion. Ce fait es
, entre l’équilibre antérieur et le surcroît d’excitation vitale ou d’
action
qui lui succède ? Est-il nécessaire d’aller cherc
rgie, et l’équilibre n’est atteint que quand la satiété fait cesser l’
action
. Le sentiment d’équilibre ne constitue qu’un bien
enter de dire, avec Spencer, que le plaisir est l’accompagnement de l’
action
normale ; selon nous, le plaisir, comme émotion d
comme émotion distincte, apparaît précisément lorsque la limite de l’
action
normale a été franchie, puisqu’il suppose, sur qu
d plaisir à la place de celui qui est présent et qu’alors la fin de l’
action
, consciente ou inconsciente, est bien le plaisir
r peut bien être la fin, mais la peine seule peut être le mobile de l’
action
. » Cette théorie touche aux problèmes les plus o
t de la morale. Selon nous, la doctrine de la peine comme moteur de l’
action
, — de la peine-force, — ne serait vraie que si to
l’inquiétude, comme disaient les anciens, est-ce l’essence même de l’
action
ou seulement le résultat des limites de l’action,
l’essence même de l’action ou seulement le résultat des limites de l’
action
, de son défaut, de la résistance extérieure qu’el
de vraisemblance que le plaisir est au contraire le complément d’une
action
assez intense pour produire tout son effet et « a
iser toute sa puissance. » idéal plus que réalité, sans doute ; car l’
action
de l’être vivant, n’étant jamais solitaire, s’exe
e même. Au moment précis et dans la mesure où nous jouissons de notre
action
, — par exemple, dans la contemplation d’une scène
mme le soutiennent Rolph et Leslie ; mais aucune jouissance et aucune
action
ne peut demeurer longtemps au même niveau d’inten
Nous voyons donc de nouveau que ce qui est vraiment primitif, c’est l’
action
identique à l’être et au bien-être, d’où naissent
stance extérieure, le rudiment de plaisir ou de bien-être attaché à l’
action
intérieure. L’étude qui précède nous paraît about
a seconde conséquence, c’est que le plaisir est immédiatement lié à l’
action
, le bien-être à l’être et au déploiement de la vi
’est pas, comme l’ont cru certains pessimistes, le principe même de l’
action
intérieure et du vouloir, mais seulement celui de
steront d’après Aristote sur la nécessité d’une rigoureuse unité de l’
action
: mais le précepte est lettre morte pour eux. Car
cepte est lettre morte pour eux. Car ils ne savent ce que c’est que l’
action
dramatique. Elle n’est ni une ni multiple chez eu
malgame deux ou trois sujets de tragédies antiques, il ne corse pas l’
action
: elle reste aussi vide, aussi nulle ; le poète n
uère en disant que leurs tragédies ont à peu près le même rapport à l’
action
dramatique que les livrets de Benserade à la pant
qu’elle tendait à dévier la poésie dramatique vers la bigarrure de l’
action
extérieure et romanesque. Il n’est donc pas vrai,
evant le vrai public, le premier traité les sujets antiques comme des
actions
dramatiques, et non comme des thèmes poétiques. C
osition de tous les lieux nécessaires au développement successif de l’
action
. Par exemple, pour une pièce perdue de Hardy, le
le ni de la poésie, ni du pittoresque de Virgile ne subsiste ; mais l’
action
, la vie, la lutte, Hardy a senti tout cela : il d
de laquais et de filous, ce public aimait le mouvement scénique, les
actions
embrouillées et surprenantes : Hardy lui fournit
romanciers, mais, manifestement, aimant mieux découper en scènes une
action
racontée, et fixer lui-même les éléments du drame
es érudits. Les Italiens les avaient extraites d’Aristote, celle de l’
action
du moins, et celle du temps. Les Espagnols en ava
que et du comique ; au nom du plaisir, il autorise la dispersion de l’
action
dans le temps et dans l’espace. On bataille dans
e journée : mais l’idéal où l’on tend, c’est de réduire la durée de l’
action
à la durée de la représentation. Ainsi l’établiss
l’espace et dans le temps, c’est-à-dire pour placer l’intérêt dans l’
action
morale et dans le mouvement des caractères plutôt
: on regrette le gros bon sens avec lequel il maniait ses sujets, son
action
directe et rapide, ses sentiments peu raffinés, m
rt de César de Scudéry, où Plutarque n’est pas mal découpé, mais où l’
action
trop visiblement ne sert que de prétexte aux exer
ge de Rodrigue, qui était devenu tout son drame. Il avait retranché l’
action
extérieure, purement sensible, le mouvement et co
x préjugés mondains de son temps. Il avait défini les caractères de l’
action
tragique : elle doit être morale et intérieure en
nt, c’est le sentiment, et les faits extérieurs, même nécessaires à l’
action
, ne valent que comme donnant une expression aux f
entrevue de Rodrigue et de Chimène, qui rend sensible le progrès de l’
action
morale, en enregistrant les plus légers changemen
l’obstacle ? Ainsi ils font eux-mêmes leur fortune : le principe de l’
action
tragique est dans la définition première de leurs
définition première de leurs caractères. Et le développement de cette
action
, la suspension pathétique du dénouement vient de
écouter son amour. Cette discordance intime ou réciproque est toute l’
action
. Ainsi se dégage la formule de la tragédie : ce s
ais une démonstration, non pas une description, où les âmes seront en
action
, en conflit. La lutte des passions et des volonté
de Mores et diseur de pointes : il n’a gardé du caractère local de l’
action
et du héros, que ce qui était indispensable à la
Section 24, des
actions
allegoriques et des personnages allegoriques par
une composition historique, c’est-à-dire dans la répresentation d’une
action
qu’on croit être arrivée réellement comme est le
une composition purement allegorique ; c’est-à-dire qu’il invente une
action
qu’on sçait bien n’être jamais arrivée réellement
lieu du genie et des autres figures allegoriques, qui entrent dans l’
action
du tableau, y avoit fait paroître celles des femm
itons, comme les autres divinitez fabuleuses peuvent avoir part à une
action
. Ce sont les compositions qui répresentent des év
nt réellement. Mais ces mêmes divinitez ne doivent pas avoir part à l’
action
dans les compositions historiques qui répresenten
tions allegoriques. Une telle composition est la répresentation d’une
action
qui n’arriva jamais, et que le peintre invente à
t au fonds de la galerie du Luxembourg, sont une composition mixte. L’
action
du tableau est feinte, mais le peintre introduit
L’action du tableau est feinte, mais le peintre introduit dans cette
action
qui est le type de l’arrêt du parlement par leque
avec les ennemis de l’état, et il avoit fait une partie de ses belles
actions
quand il ne portoit pas les armes pour sa patrie.
ns la galerie de Chantilly. Mais d’un autre côté quelques-unes de ces
actions
comme le secours de Cambrai, et la retraite de de
qui lui avoit suggeré le moïen d’éterniser le souvenir de ces grandes
actions
, en témoignant qu’il le vouloit éteindre. Il fit
nnes, retraite de devant Arras ; enfin le titre de toutes les belles
actions
du prince De Condé durant son séjour dans les Paï
elles actions du prince De Condé durant son séjour dans les Païs-Bas,
actions
dont tout étoit loüable à l’exception de l’écharp
grand usage que les compositions purement allegoriques. Quoique leur
action
soit feinte ainsi que celle des compositions pure
position historique, ou pour répresenter en un seul tableau plusieurs
actions
dont il semble que chacune demandât une toille se
mieres des mieux instruits. Tout le monde est informé des principales
actions
de la vie du feu roi qui fait le sujet de tous le
nombre de ces figures qui ne peuvent point nous parler, comme tant d’
actions
qui ne sçauroient nous interesser. Or, comme nous
es de notre religion, se servir d’une composition allegorique, dont l’
action
exprimera quelque verité, qui ne sçauroit être re
gmes de notre religion. Ils peuvent tout au plus introduire dans leur
action
, qui doit toujours imiter la verité historique, q
Christ, intercedent pour le monde, sans que Jesus-Christ suspende son
action
. Mais ce qui convient au lieu où le tableau se tr
eputé un poëte plein de verve. On merite le nom de poëte en rendant l’
action
qu’on traite capable d’émouvoir, ce qui se fait e
esse, ce qui vit pour moi, et, pour tout dire, ce qui me provoque à l’
action
, au lieu que mon passé est essentiellement impuis
élémentaires ; et l’avenir immédiat, en tant que se déterminant, est
action
ou mouvement. Mon présent est donc à la fois sens
indivisé, ce mouvement doit tenir à cette sensation, la prolonger en
action
. D’où je conclus que mon présent consiste dans un
r lui et la matière sur laquelle il influe, mon corps est un centre d’
action
, le lieu où les impressions reçues choisissent in
présent, c’est mon attitude vis-à-vis de l’avenir immédiat, c’est mon
action
imminente. Mon présent est donc bien sensori-mote
conséquent sensation au moins naissante, qui peut collaborer à cette
action
, s’insérer dans cette attitude, en un mot se rend
gique, conscience ne serait pas synonyme d’existence mais seulement d’
action
réelle ou d’efficacité immédiate, et l’extension
ions corporelles, la conscience ait surtout pour rôle de présider à l’
action
et d’éclairer un choix. Elle projette donc sa lum
jà perçu. Or, le passé n’a plus d’intérêt pour nous ; il a épuisé son
action
possible, ou ne retrouvera une influence qu’en em
erception présente. Au contraire, l’avenir immédiat consiste dans une
action
imminente, dans une énergie non encore dépensée.
jets situés autour de nous représentent, à des degrés différents, une
action
que nous pouvons accomplir sur les choses ou que
sur les choses ou que nous devrons subir d’elles. L’échéance de cette
action
possible est justement marquée par le plus ou moi
l’utile et rejette momentanément le superflu. Toujours tendue vers l’
action
, elle ne peut matérialiser de nos anciennes perce
ance dans l’espace, en revanche il lui est utile, pour éclairer cette
action
, de sauter par-dessus l’intervalle de temps qui s
mes radicalement différentes de l’existence ; mais les exigences de l’
action
sont inverses, dans un cas, de ce qu’elles sont d
placés, en vertu de la loi fondamentale de la vie, qui est une loi d’
action
: de là la difficulté que nous éprouvons à concev
Elle fait que nous nous adaptons à la situation présente, et que les
actions
subies par nous se prolongent d’elles-mêmes en ré
s du corps, avec ses mécanismes qui symbolisent l’effort accumulé des
actions
passées, la mémoire qui imagine et qui répète pla
ant partie du plan P, cette image se borne à recevoir et à rendre les
actions
émanées de toutes les images dont le plan se comp
es hauteurs de la mémoire pure jusqu’au point précis où s’accomplit l’
action
. En d’autres termes, c’est du présent que part l’
auquel le souvenir répond, et c’est aux éléments sensori-moteurs de l’
action
présente que le souvenir emprunte la chaleur qui
s hommes parfaitement adaptés à la vie ? Ce qui caractérise l’homme d’
action
, c’est la promptitude avec laquelle il appelle au
ède ainsi est un impulsif. Mais celui-là n’est guère mieux adapté à l’
action
qui vit dans le passé pour le plaisir d’y vivre,
r conduite. Ils suivent d’habitude l’impression du moment, et comme l’
action
ne se plie pas chez eux aux indications du souven
r, inversement leurs souvenirs ne se limitent pas aux nécessités de l’
action
. Ils ne semblent retenir avec plus de facilité qu
sque tout entier caché parce qu’il est inhibé par les nécessités de l’
action
présente, il retrouvera la force de franchir le s
de la conscience dans tous les cas où nous nous désintéresserons de l’
action
efficace pour nous replacer, en quelque sorte, da
est néanmoins dans l’universel qu’il évoluerait, l’habitude étant à l’
action
ce que la généralité est à la pensée. Mais ces de
ne mémoire toute motrice qui imprime la marque de la généralité à son
action
, ne s’isolent et ne se manifestent pleinement que
entourage reste sans prise sur eux : cette identité de réaction à des
actions
superficiellement différentes est le germe que la
générale, en effet, est de se mouvoir sans cesse entre la sphère de l’
action
et celle de la mémoire pure. Reportons-nous en ef
uelles il oseille ; elle fera coïncider l’idée générale tantôt avec l’
action
qui la joue ou le mot qui l’exprime, tantôt avec
juste assez de l’idée pour qu’elles puissent concourir utilement à l’
action
présente. De cette conception de la vie mental
oduisent, et peuvent même entraîner à leur suite un nombre indéfini d’
actions
coordonnées à la première. Nous saisissons donc i
es événements de notre vie écoulée. Une conscience qui, détachée de l’
action
, tiendrait ainsi sous son regard la totalité de s
alité de notre passé, exerce une poussée en avant pour insérer dans l’
action
présente la plus grande partie possible d’elle-mê
r conséquent, ressemble à la perception présente au point de vue de l’
action
à accomplir. En d’autres termes, la mémoire intég
nce et se contracte ainsi plus ou moins, sans se diviser, en vue de l’
action
, l’autre de rotation sur elle-même, par lequel el
mage pure, là plus disposée à la réplique immédiate, c’est-à-dire à l’
action
. Classer ces systèmes, rechercher la loi qui les
ussi de ceux qui le suivent. Tandis qu’au point où se concentre notre
action
dans l’espace, la contiguïté ne ramène, sous form
nirs s’adossent comme à des points d’appui. Plus on se rapproche de l’
action
, par exemple, plus la contiguïté tend à participe
blance ou par contiguïté. Au contraire, plus nous nous détachons de l’
action
réelle ou possible, plus l’association par contig
se l’intervalle compris entre ses deux limites extrêmes, le plan de l’
action
et le plan du rêve. S’agit-il d’une décision à pr
ans ce que nous appelons son caractère, il la fera converger vers des
actions
où vous trouverez, avec le passé qui leur sert de
matière, la forme imprévue que la personnalité leur imprime ; mais l’
action
ne sera réalisable que si elle vient s’encadrer d
st ému d’une certaine passion, quand même il ne le dépeint pas dans l’
action
, parce qu’il n’est pas de passion de l’ame qui ne
l’expression de ce sentiment là. Comme le tableau qui répresente une
action
, ne nous fait voir qu’un instant de sa durée, le
u contraire la poësie nous décrit tous les incidens remarquables de l’
action
qu’elle traite, et ce qui s’est passé jette souve
vant la supposition de l’artisan, doivent prendre un égal interêt à l’
action
principale du tableau. L’âge, la patrie, le tempe
ment, et même du vêtement des personnages qu’il veut introduire à son
action
principale. On ne lui pardonneroit jamais une énu
n l’évangeliste répresenté jeune comme il l’étoit, est dépeint avec l’
action
d’un jeune homme : il applaudit avec le mouvement
elle puisse introduire un grand nombre de personnages interessez à l’
action
. Tels sont les sujets dont nous avons parlé, et t
perflu d’indiquer. L’émotion des assistans les lie suffisamment à une
action
, dès que cette action les agite. L’émotion de ces
motion des assistans les lie suffisamment à une action, dès que cette
action
les agite. L’émotion de ces assistans les rend, p
acrifice de la fille de Jephté, ne pourroit faire intervenir dans son
action
qu’un petit nombre d’acteurs très-interessez. Des
-interessez. Des acteurs qui ne prennent pas un interêt essentiel à l’
action
, dans laquelle on leur fait joüer un rôle, sont f
’excès en poësie. Le peintre au contraire peut faire intervenir à son
action
autant de spectateurs qu’il le juge convenable. D
s de dire qu’un personnage qui ne prend qu’un interêt médiocre dans l’
action
, devient un personnage ennuieux. S’il y prend un
e a l’avantage de pouvoir mettre sous nos yeux ceux des incidens de l’
action
qu’elle traite, qui sont les plus propres à faire
dire, que l’imitation d’une imitation et une seconde copie. Quoique l’
action
qu’on nous montre dans un recit, pour parler ains
nte par elle-même, elle nous émouvra moins que ne le feroit une autre
action
moins tragique, mais qui se passeroit sous nos ye
ttentifs et nous faire voir même tous les principaux évenemens de son
action
sans être reduit au secours des recits. Ce discer
. De quatre tableaux du Poussin, il y en a trois qui répresentent une
action
tirée de la bible. Les principaux évenemens de l’
ment comme elle l’est en Lombardie. Saint Martin coupant son manteau,
action
dans laquelle les peintres et les sculpteurs le r
guerre de Troye si souvent mis au théatre, que d’imaginer à plaisir l’
action
de votre tragedie, ou de tirer de la poussiere de
simplement une coloration particulière et un caractère spécifique des
actions
portant la « marque du moi ». Liberté serait ains
isonné, il n’est pas tout entier transparent pour soi. Quand donc une
action
dérive de notre caractère, nous n’en voyons pas t
i-même ni dans son origine, ni dans ses éléments intimes, ni dans son
action
et ses effets. Etre déterminé par son caractère,
t ambiguïté absolue ni arbitraire, cela est certain ; encore y a-t-il
action
réelle. La résolution, enfin, ne peut pas ne poin
et nous les pensons comme quelque chose qui n’est plus notre moi ni l’
action
de notre moi. De là un double effet : ces objets
comme sur un être encore incomplètement déterminé en dehors de cette
action
. Je ne m’apparais pas comme tout fait et immuable
d’illusion que renferme l’idée du libre arbitre vient de ce que notre
action
est déterminée d’abord par des états psychiques q
ne pouvons donner de raison. Nous avons conscience d’être incités à l’
action
par le dedans et psychiquement, non par le dehors
norance du total des causes et l’impossibilité de calculer toutes les
actions
ou réactions dont notre choix résulte. Et ce n’es
nt ; d’autre part, nous sommes incapables de calculer la totalité des
actions
exercées par les motifs et mobiles sur notre cara
s mêmes conditions, puisque nous avons à chaque fois le souvenir de l’
action
précédente, avec un motif de faire l’action contr
que fois le souvenir de l’action précédente, avec un motif de faire l’
action
contraire pour montrer notre pouvoir même, ou enc
ntraire pour montrer notre pouvoir même, ou encore de répéter la même
action
pour montrer qu’aucun ordre fixe ne nous enchaîne
t à l’identité des effets que par l’identité des causes. En un mot, l’
action
est libre, selon cette doctrine, parce que « le r
l’action est libre, selon cette doctrine, parce que « le rapport de l’
action
à l’état d’où elle sort ne saurait s’exprimer par
te avant qu’il s’accomplisse, ni de raisonner sur la possibilité de l’
action
contraire une fois qu’il est accompli ; car se do
que toutes les conditions prévues n’existeront qu’au moment même de l’
action
? Niera-t-on aussi la possibilité de prévoir une
ne revient pas. Mais la même éclipse ne revient pas plus que la même
action
; jamais le soleil, ni la terre, ni la lune ne so
sont précisément indépendantes de la durée. Enfin on veut prêter une
action
à la durée vraie, à la « durée concrète », en la
lors que nous sommes libres non pas seulement dans nos résolutions et
actions
, mais aussi dans nos sentiments profonds, dans no
rministes et par les indéterministes : l’idée de la liberté et de son
action
? Le déterminisme est-il complet s’il n’étudie pa
mment, au point de vue psychologique, pourra se réaliser l’idéal de l’
action
libre. Il ne sera pas inutile d’examiner, sous un
nce, un lien s’établit entre les deux termes, sans supprimer encore l’
action
nécessitante du premier sur le second. Il faut d’
t d’ailleurs remarquer que, dans le cas qui nous occupe, le mode de l’
action
contraignante exercée par la douleur échappe à la
ême conscience, mais encore le lien de ces termes entre eux et avec l’
action
est conscient, réfléchi, raisonné. On peut dire q
us les degrés, la liberté est désirable, et son idée doit exercer une
action
. Déterminons davantage la nature de cette action.
dée doit exercer une action. Déterminons davantage la nature de cette
action
. Au point de vue à la fois psychologique, on dist
ime. Le seul fait de penser d’avance soit à une sensation, soit à une
action
, prépare à recevoir la sensation et la rend plus
prépare à recevoir la sensation et la rend plus intense, prépare à l’
action
et la rend plus facile. L’attente a des effets co
que, sans que l’idée de ma puissance personnelle vienne y ajouter son
action
. La réalité concrète enveloppe à la fois et l’idé
rd de toute cause autre que moi. Mais, pour me porter ensuite à telle
action
déterminée, il faudra quelque raison positive et
lément de l’idée de liberté est l’idée de spontanéité, c’est-à-dire d’
action
ayant son origine dans le moi, d’initiative perso
l’énergie accumulée. L’idée de spontanéité doit donc aussi avoir une
action
. De fait, elle produit un effet inhibiteur sur to
ns l’idée même de notre activité personnelle, un point d’appui pour l’
action
, un motif toujours présent et toujours capable de
s ? — Cette idée, objectera-t-on, n’est ni une image, ni l’idée d’une
action
, ni l’idée d’un objet ; elle n’est pas même l’idé
le bras arbitrairement, de le mouvoir à droite ou à gauche, etc. Mon
action
a donc ici, comme éléments déterminés : 1° la fin
lative. Nous ne pouvons pas faire, en concevant le contraire de telle
action
, qu’il soit possible absolument, mais nous pouvon
berté à l’intelligence, alors qu’elle est l’intelligence exerçant son
action
sous l’idée de sa propre causalité. Par cela même
ce extérieure, non de telle passion, qui se réduirait elle-même à une
action
extérieure et à une perturbation nerveuse. J’embr
ingués en deux groupes : les sensations périphériques causées par des
actions
externes ; les sensations périphériques causées p
r des actions externes ; les sensations périphériques causées par des
actions
internes. Bref, nous arrivons à cette classificat
e il y a une correspondance constante, nécessaire. Ce n’est que par l’
action
du dehors sur le dedans, et par la réaction du de
assertion paraîtra incroyable. Mais s’il est certain que de la simple
action
réflexe par laquelle l’enfant tette, jusqu’aux ra
ntre les actes automatiques des êtres les plus bas et les plus hautes
actions
conscientes de la race humaine, on peut disposer
ns conscientes de la race humaine, on peut disposer toute une série d’
actions
manifestées par les diverses tribus du règne anim
chien ; si nous mettons à côté les plus élevés des primates, dont les
actions
sont tout aussi raisonnables que celles d’un peti
nt de moins en moins, c’est-à-dire qui ne peuvent plus modifier leurs
actions
selon les circonstances et sont guidés par un imm
deviennent de moins en moins complexes ; si de là nous en venons à l’
action
réflexe et « si des animaux chez qui cette action
nous en venons à l’action réflexe et « si des animaux chez qui cette
action
implique l’irritation d’un nerf et la contraction
nce de charbon au-dessous, lui permet de mettre en correspondance ses
actions
avec des coexistences situées à mille pieds en de
leur incapacité apparente à voir les conséquences futures, que leurs
actions
ne répondent qu’aux « phénomènes les plus saillan
ple série. Il suffit d’accorder la plus courte attention aux diverses
actions
continuelles qui constituent la vie du corps en g
nuelles qui constituent la vie du corps en général, pour voir que ces
actions
sont synchroniques, — que la digestion, la circul
utuelle. La plus courte étude sert aussi à montrer clairement que les
actions
qui constituent la pensée, se présentent, non en
ie qu’en théorie et n’aboutit jamais à sa réalisation complète. « Les
actions
vitales qui sont l’objet de la psychologie, quoiq
ment, dans les diverses parties de son corps Chez les mollusques, les
actions
des divers ganglions sont très imparfaitement coo
nt qu’il est en mouvement, le corps continuera d’avancer par la seule
action
des pieds, et la même chose se produira dans les
ce, examinons maintenant les phases successives de son développement.
Action
réflexe à son plus bas degré, elle devient instin
ison ; d’autre part les puissances affectives : sentiment, volonté. L’
action
réflexe est à peine un mode de la vie psychique.
reignant à sa signification propre, l’instinct peut être défini : une
action
réflexe composée. Strictement parlant, on ne peut
ment parlant, on ne peut tirer de ligne de démarcation entre lui et l’
action
réflexe simple, de laquelle il sort par des compl
quelle il sort par des complications successives. » Tandis que dans l’
action
réflexe simple, une seule impression est suivie d
seule contraction ; tandis que dans les formes plus développées de l’
action
réflexe, une seule impression est suivie d’une co
qui tendent à la fois à diriger et à exécuter. La transformation de l’
action
réflexe simple en action réflexe composée, c’est-
iriger et à exécuter. La transformation de l’action réflexe simple en
action
réflexe composée, c’est-à-dire en instinct, s’exp
ir un moment où leur coordination ne sera plus régulière. « Alors ces
actions
commenceront à perdre le caractère automatique qu
sus, dans le sentiment de l’amour est impliquée une grande liberté d’
action
. À l’égard des autres personnes, notre conduite d
. « Quand, par suite de l’organisation de l’expérience accumulée, les
actions
automatiques deviennent si complexes, si diverses
hénomènes de mouvement approprié naissent, mais ne peuvent passer à l’
action
immédiate, à cause de l’antagonisme de certains a
se produit un état de conscience qui, quand il aboutit finalement à l’
action
, détermine ce que nous appelons une volition. »
sion résultant d’un groupe d’états psychiques, accomplit une certaine
action
, affirme d’ordinaire qu’il a résolu d’accomplir c
certaine action, affirme d’ordinaire qu’il a résolu d’accomplir cette
action
, et l’a accomplie sous l’influence de cette impul
s l’erreur de supposer que ce n’est pas l’impulsion qui a déterminé l’
action
. Mais, comme le groupe entier des états psychique
roupe entier des états psychiques qui constituaient l’antécédent de l’
action
, constituaient le moi en ce même moment, on peut
t, on peut dire aussi, en un sens, que « c’est le moi qui a produit l’
action
. » En d’autres termes, nous disons qu’un acte est
naturel que le sujet de tels changements psychiques dise qu’il veut l’
action
; car, considéré au point de vue psychique, il n’
ce moment rien de plus que l’état de conscience composé par lequel l’
action
est excitée. Mais dire que la production de l’act
osé par lequel l’action est excitée. Mais dire que la production de l’
action
est pour cette raison le résultat du libre arbitr
ire qu’il détermine les cohésions des états psychiques par lesquels l’
action
est excitée ; et comme ces états psychiques const
ujet seul est actif, si ce qui occupe la conscience, ce n’est pas une
action
ou réaction de l’objet, mais quelque chose qui a
on de l’objet, mais quelque chose qui a été connu par le moyen de ces
actions
et réactions (comme la figure, la forme, la posit
essus contraires par lesquels la conscience subsiste ; ce sont là les
actions
centrifuges et centripètes, grâce auxquelles son
ncts, cela implique une intégration d’états de conscience. Donc toute
action
mentale quelconque, considérée sous son aspect le
ux mêmes processus contraires sont communs à l’un et à l’autre. Par l’
action
de l’oxygène, chaque tissu est différencié, mais
une intégration de la nourriture. C’est dans l’équilibre de ces deux
actions
que consiste la vie organique. Chaque nouvelle in
son mode de formation, mais dans ses manifestations, elle est d’abord
action
réflexe, puis instinct, qui n’est qu’une action r
ons, elle est d’abord action réflexe, puis instinct, qui n’est qu’une
action
réflexe composée. Là commence, à proprement parle
s petits ouvrages de poësie est très-court. S’ils font le recit d’une
action
, il faut qu’ils aïent, ainsi que les pieces de th
position, une intrigue et un dénouëment. S’ils ne contiennent pas une
action
il faut qu’il y ait un ordre ou sensible ou caché
eau, c’est un arrangement ingenieux des figures inventé pour rendre l’
action
qu’il répresente plus touchante et plus vrai-semb
-semblable. Elle demande que tous les personnages soient liez par une
action
principale, car un tableau peut contenir plusieur
tableau peut contenir plusieurs incidens, à condition que toutes ces
actions
particulieres se réunissent en une action princip
à condition que toutes ces actions particulieres se réunissent en une
action
principale, et qu’elles ne fassent toutes qu’un s
jet. Les regles de la peinture sont autant ennemies de la duplicité d’
action
que celles de la poësie dramatique. Si la peintur
ans les tragedies, qu’ils soient liez avec le sujet, et que l’unité d’
action
soit conservée dans l’ouvrage du peintre comme da
le tableau des figures oiseuses, et qui ne prennent point de part à l’
action
principale. Elles ne servent qu’à distraire l’att
n’a pas réussi dans la composition poëtique. Il n’y a point d’unité d’
action
dans la plûpart de ses grands tableaux. Un de ses
s un traité plus régulier. Dans le premier, je m’arrête au choix de l’
action
, à l’amour qu’on trouve trop dominant dans nos tr
de l’invention pour se faire une fable, pour arranger et combiner une
action
de maniere qu’interessante dès le commencement, e
desseins rebatus, ou les circonstances me manquoient pour remplir mon
action
: par tout de la ressemblance ou du vuide ; et en
ts ouvrages ; bien résolu d’attendre pour chausser le cothurne qu’une
action
théatrale me frapât par sa singularité et par sa
re des Machabées, les conditions que je cherchois : la nouveauté de l’
action
au théatre ; car qu’y a-t-il qui ressemble à la s
elle auroit pû l’être naturellement pour le sauver ? La grandeur de l’
action
; car qu’y a-t-il de plus grand, que de vaincre l
terminer, le bonheur d’imaginer des circonstances propres à étendre l’
action
, en la rendant en même-tems plus grande et plus p
oit pour déguiser seulement une matiere usée. Pour la grandeur d’une
action
, voici les idées que je m’en suis faites. Je pens
me eux. Selon ces idées, où trouveroit-on plus de grandeur que dans l’
action
de la mere des Machabées ? Elle surmonte les sent
i par conséquent de si propre à enlever toute notre admiration. Cette
action
cependant, toute grande qu’elle est, ne suffiroit
in d’imaginer des circonstances qui multiplient, pour ainsi dire, une
action
trop simple, qui mettent le même caractere et la
ici, les poëtes n’ont-ils de ressource que l’amour, pour étendre une
action
théatrale ? Nous n’avons presque point de tragédi
. On pourroit même pour l’avantage de la piéce changer absolument des
actions
et des caracteres obscurs ; la raison en est que
teur n’aportant à la représentation aucune idée déterminée, ni pour l’
action
, ni pour les personages, il est prêt de prendre p
e prononçons plus que sur ses traits : mais il n’en est pas ainsi des
actions
et des caracteres célébres. La plûpart des specta
plus séduisantes ; et j’ai pris garde sur tout que dans le cours de l’
action
, ni lui, ni sa mere n’hésitassent jamais un momen
On ne traite d’ordinaire que des trois unités, de lieu, de tems et d’
action
; et j’y en ajouterois une quatriéme, sans laquel
r la vraisemblance. Il n’est pas naturel que toutes les parties d’une
action
se passent dans un même apartement ou dans une mê
dans les opera ; et c’est même une regle de cette sorte d’ouvrage. L’
action
en paroît-elle moins vraie, et l’imagination s’av
cette unité forcée, qui coûte souvent au spectateur des parties de l’
action
qu’il voudroit voir, et ausquelles on ne peut sup
es on ne peut supléer que par des recits toujours moins frapans que l’
action
même. L’unité de tems n’est pas plus raisonnable,
r comme l’unité de lieu : car en ce cas il ne faudroit prendre pour l’
action
que le tems de la représentation même ; et cela p
st-elle pas encore violée dans les opéra, sans qu’on s’en plaigne ? L’
action
d’Alceste et celle d’Armide s’étendent sans doute
les nous réduit à mettre en recit comme des parties essentielles de l’
action
. Qu’on ne s’imagine pas aux réflexions que je fai
s sacrifier dans le besoin à des beautés plus essentielles. L’unité d’
action
est sans doute plus fondamentale, et on pourroit
ont tous dignes que j’entre dans leurs passions, il y a alors unité d’
action
et non pas unité d’interêt ; parce que souvent en
eurs son caractere par quelque grande qualité, je répons encore que l’
action
ne le comportoit pas ; il n’avoit à exercer dans
ois, que tout cela, dis-je, ne demande que le tems que j’y employe. L’
action
du quatriéme au cinquiéme acte n’est que la procl
pas assez d’attention au voisinage des lieux et à l’interruption des
actions
qu’on imagine, sans y penser, d’une plus grande é
arrivent, qu’une suite naturelle de l’état où l’on suppose d’abord l’
action
et les personnages. Ce début de la tragedie deman
t principal dont on veut les occuper : mais comme la tragedie est une
action
, il faut que le poëte se cache dès le commencemen
sitions de nos tragedies ressemblent beaucoup moins à une partie de l’
action
qu’à ces prologues des anciens, où un comédien ve
des anciens, où un comédien venoit mettre le spectateur au fait de l’
action
qu’on alloit lui représenter, en lui racontant fr
parfait modele d’une exposition adroite, qui est elle-même une grande
action
. C’est celle de la mort de Pompée, où Ptolomée ti
e grandes émotions. Je reviens à dire que toute la tragedie doit être
action
, et s’il se peut, la premiere scene aussi-bien qu
n me permettra de le remarquer ; la premiere scene de Romulus est une
action
. C’est le secret d’Hersilie surpris et comme arra
, j’aurois toûjours fait dire les mêmes choses par la convenance de l’
action
particuliere de la scene. C’est par cette méthode
e doivent pas se démentir ; qu’un homme vaillant ne sauroit faire une
action
de poltronerie, ni un homme sage, une démarche im
he imprudente : mais on ne sait pas de même qu’il faut que toutes les
actions
d’un personnage répondent au total du caractere ;
au total du caractere ; et qu’il ne suffit pas, pour en justifier une
action
particuliere, qu’elle soit conforme à une de ses
ssence, et que pourtant elle n’a gueres parmi nous ; je veux dire ces
actions
frappantes qui demandent de l’appareil et du spec
dialogues et des récits ; et ce qu’il y a de surprenant, c’est que l’
action
même qui a frappé l’auteur et qui l’a déterminé à
ortent à l’excès, cela pourroit bien être : car il y a sans doute des
actions
qui ne seroient pas bonnes à mettre sous les yeux
soit par l’horreur des objets représentés. Par le premier défaut les
actions
les plus sérieuses deviennent puériles et comique
la cruauté. Mais, en supposant une fois ces défauts évités, combien d’
actions
importantes que le spectateur voudroit voir, et q
our ne les remplacer que par des récits insipides, en comparaison des
actions
mêmes : car il faut le dire en passant, ces récit
pas l’étenduë que demanderoit la curiosité du spectateur. Mettez les
actions
à la place des récits, la seule présence des pers
e nous avons une maxime contraire, puisque nous reculons des yeux les
actions
les plus frappantes, pour ne leur en laisser que
e promettre d’un récit, quel qu’il eût été, l’effet que produit cette
action
. Pouvois-je y remplacer les sentimens et les circ
ux ? Qu’il me soit permis par occasion, et en parlant toûjours de ces
actions
de spectacle, de me justifier d’une faute qu’on m
qui exposeroit sa vie. C’est par cette résolution qu’elle continuë l’
action
qui étoit prête à finir : on prétend au contraire
, devoit s’opposer fortement à cet himen ? Comment peut-on croire une
action
finie, quand l’obstacle annoncé est présent ? Et
on a été frappé d’abord : mais au contraire, en reculant ces grandes
actions
à la fin des pieces, la simplicité du reste y ajo
auts, a cette avantage sur la tragedie, qu’il offre aux yeux bien des
actions
qu’elle n’ose que raconter. Calliroé est au théa
r renaît ; il satisfait à l’oracle, et s’immole pour la sauver. Cette
action
représentée dans sa force, a fait le succès de l’
Quoiqu’il en soit, je crois toûjours que cette seule différence de l’
action
même et du simple récit peut décider du succès ou
loire qu’il se propose, est de ravaler jusqu’au bas et au boufon, une
action
qui vient de paroître grande et pathétique. L’art
art de ces travestissemens est bien simple. Il consiste à conserver l’
action
et la conduite de la piece, en changeant seulemen
e garde, on verroit que ces quatre grands ont tous une vraïe part à l’
action
, les uns par leur silence même, comme les autres
ignore qu’en bien des occasions le silence y peut être une véritable
action
, et que l’ame en est quelquefois plus fortement r
que la vertu exige qu’elles se soient ; que leurs discours, que leurs
actions
soient tout ensemble passionnées et raisonnables,
ec nous. Une autre cause du plaisir propre à la tragedie, c’est que l’
action
soit portée dès le commencement à un haut point d
de la moitié du précepte. Les poëtes sont suffisamment avertis que l’
action
doit croître ; mais ils ne songent pas assez qu’e
trop de tragedies où des actes entiers se perdent en préparations. L’
action
s’échaufe vers le milieu ; et enfin la catastroph
ent nécessaire. Je conviens de la difficulté ; et que même beaucoup d’
actions
ne comportent pas une gradation de si longue hale
itié ; et tout acte qui n’en excite pas, n’est qu’un allongement de l’
action
qui en doit produire. Si j’avois un avis à donner
r ; et peut-être qu’avec quelque opiniatreté, il inventeroit dans son
action
des circonstances qui encheriroient encore sur so
encheriroient encore sur son début : mais s’il croit avoir assez de l’
action
principale ; s’il y sent assez de force pour assu
user bien des desseins que je n’ai pû y assujetir, c’est de diviser l’
action
principale en cinq parties bien distinctes, qui f
uis le diviser aussi heureusement ; et en faire en quelque sorte cinq
actions
qui n’en soient qu’une. Je regarde encore comme u
aussi-bien que par leurs intérêts, ils entrent tous intimement dans l’
action
. Je crois, sans m’en prévaloir, que c’est une nou
antage désirable dans une tragedie ; et que toutes choses égales, une
action
en est toûjours plus vive, quand on n’y employe q
héros, que pour aucune autre utilité ; ils n’ont pas plus de part à l’
action
que les spectateurs. Il suit de là qu’un grand no
t de confidentes, il y aura la moitié des scenes en pure perte pour l’
action
qui n’y sera remplacée que par des plaintes plus
le prend sur elle d’en accuser Hypolite, ce qui par l’importance de l’
action
, la fait devenir un personnage du premier ordre.
sentimens, ou vifs, ou délicats, aussi intéressans que le cours de l’
action
même. Il faut encore convenir que par les raisons
ien, quoi qu’ils ne l’observent pas toûjours, qu’il faut distribuer l’
action
de maniere que les scenes d’un acte, liées les un
voir de dessein, de maniere enfin que le spectateur voïe toûjours une
action
, et ne sente jamais un ouvrage : car dès que l’au
l entend d’abord ; et il passe de là aux progrès et au dénoûment de l’
action
, comme à des suites naturelles du premier état où
es naissent. En un mot, tout est art du côté de celui qui arrange une
action
théatrale ; mais rien ne le doit paroître à celui
’indulgence du public. Le dialogue est proprement l’art de conduire l’
action
par les discours des personnages, tellement que c
ialogue, c’est la vivacité ; et comme dans la tragédie tout doit être
action
, la vivacité y est d’autant plus nécessaire. Exce
errompu. Je ne puis trop le répéter, le spectateur veut toûjours de l’
action
. Les personnages n’agissent dans la plûpart des s
scours n’empêche pas qu’il n’y ait une sorte de dialogue, parce que l’
action
muette d’un des personnages a exprimé quelque cho
ons, certaines circonstances d’une piece, en conséquence desquelles l’
action
devroit prendre un autre cours que celui qu’on lu
pourquoi, me dira-t’on, si peu de gens y ont-ils pensé ? C’est que l’
action
est passée, quand Hyppolite parle du privilége du
revenir sur ses pas ; au lieu que si cette circonstance eût précédé l’
action
, Racine auroit senti lui-même l’obstacle qu’elle
e ; et l’on y tombe de trois manieres. Premierement : en rapelant des
actions
passées qui flétrissent le personage. Secondement
aces, Horace tue sa soeur au quatriéme acte, ce qui fait une nouvelle
action
, où il ne s’agit plus que de juger un coupable ;
er un coupable ; et la piece n’est pas si vicieuse par la duplicité d’
action
, que par cette idée d’un héros qui se termine en
us innocentes. Eh quelle étoit l’idée des anciens d’imaginer dans les
actions
humaines des crimes indépendans de la volonté ! O
e suis procuré l’avantage de pouvoir entrer d’abord dans le fort de l’
action
, sans crainte de l’épuiser trop tôt ; et je n’int
d’une tragedie. J’étois encore frapé d’un défaut considerable dans l’
action
d’Oedipe, telle que les poëtes l’ont arrangée ; c
r rassembler les éclaircissemens, et les démarches dans le cours de l’
action
présente, avoient besoin de l’ignorance et de l’i
t besoin de l’ignorance et de l’imprudence des personnages : mais une
action
qui ne marche qu’à ce prix, et où l’on sent toûjo
cene de maniere qu’ils ne dussent se déveloper que dans le cours de l’
action
; et que Jocaste et Oedipe n’eussent pas dû plutô
’avoir rien ômis de ce qu’ils devoient faire ; et je rétablis ainsi l’
action
dans toute sa force, en lui rendant toute sa vrai
s les soins que j’ai donnés à la continuité et à l’accroissement de l’
action
; j’aime mieux me faire justice sur un endroit où
a représentation découvre plus surement la force ou la foiblesse de l’
action
. Quelquefois un homme d’un bon sens ordinaire sen
sentimens n’en paroîtroient-ils pas plus réels ; et par cela même, l’
action
n’en deviendroit-elle pas plus vraye ? Autrefois
ne proposition fausse. Pour ce qui me regarde, j’ai trouvé l’unité d’
action
, fondamentale ; et les deux autres, utiles ; j’en
unité de tems et de lieu dans les Horaces ; et cependant il y a deux
actions
. Il y a unité d’action dans le Judith de Boïer, c
u dans les Horaces ; et cependant il y a deux actions. Il y a unité d’
action
dans le Judith de Boïer, car les noms ne font rie
faut qu’elle puisse avoir, elle n’en prouvera pas moins que l’unité d’
action
n’est pas détruite par la multiplicité des lieux.
ités, puisque dans le Cid il n’y a unité ni de tems, ni de lieu, ni d’
action
, et que cependant l’unité d’intérêt y subsiste to
ien en passant que l’unité d’intérêt est très distinguée de l’unité d’
action
. Comment avez-vous pu penser un moment que l’unit
l’unité d’action. Comment avez-vous pu penser un moment que l’unité d’
action
entrainât celle de lieu ? Consultez la nature et
us contredit également. Dans la nature, il n’est jamais arrivé qu’une
action
aussi étenduë que celle de nos tragédies, se soit
er vraisemblables, ne pouvant les appeller vrayes. Au théatre même, l’
action
la plus une, a plusieurs parties qui se passent d
assemble les récits dans le même lieu : mais ces récits ne sont pas l’
action
; et n’est-il pas vrai qu’elle consiste beaucoup
de lieu : car puisque dans nos tragédies les différentes parties de l’
action
se passent dans différens lieux, sans violer l’un
raconte ce qui s’y est passé, me faudroit-il plus de tems pour voir l’
action
, que pour en entendre le récit ? Non sans doute :
dessein. Il n’en est pas de même d’une tragédie : elle représente une
action
successive et qui en renferme plusieurs autres. I
manquer de s’y méprendre. J’ai distingué l’unité d’intérêt de celle d’
action
. Vous croyez que c’est la même chose ; mais je me
le et le votre pour la preuve complete de mon sentiment. Quelle est l’
action
de l’Oedipe de Corneille ? C’est la recherche du
e, la découverte et le châtiment du coupable qui forment évidemment l’
action
de la tragédie. L’action est une. Vous allez voir
âtiment du coupable qui forment évidemment l’action de la tragédie. L’
action
est une. Vous allez voir cependant que dans le co
’action est une. Vous allez voir cependant que dans le cours de cette
action
unique il y a deux intérêts qui se succedent. Le
n’est plus dans le reste de la tragédie qu’un personnage insipide. L’
action
est la même dans votre Oedipe. C’est la découvert
Je ne comprens pas ce que ce peut être qu’unité d’intérêt et unité d’
action
, si les idées que je viens d’en donner ne sont pa
idées mêmes. J’ai profité de la faute de Corneille et de la vôtre. L’
action
est la même dans ma tragédie : mais l’intérêt y e
hantassent. Depuis on inventa des spectacles où l’on représentoit les
actions
et les avantures des héros ; en un mot, on fit de
plaisir que produisoit l’alliance de l’harmonie et de l’imitation des
actions
humaines, conclut sans hésiter sur la foi de son
l’imitation ; et puisque les hommes ne parlent point en musique, les
actions
et les sentimens n’en paroîtroient que plus vrais
ère en elle qu’une qualité et qu’un nom. Même choix s’il s’agit d’une
action
. Le moraliste ne regarde pas si elle est utile ou
ni amuser ni tromper. — Cette suppression des caractères supprimera l’
action
, car l’action est le mouvement et la vie, et nos
romper. — Cette suppression des caractères supprimera l’action, car l’
action
est le mouvement et la vie, et nos acteurs sont i
is l’amour de la preuve, qui vient de retrancher les personnages et l’
action
, éteint aussi l’expression. Plus de ces mots hard
se primitive que, dans ses effets dérivés, la loi unique que dans son
action
multiple, la force intime que dans sa vie extérie
er en objets, où les forces ne sont reçues que pour être déployées en
actions
. Elle ne s’éloigne du point d’arrivée que pour re
dont elle est un membre, et sera active parce qu’elle concourt à une
action
. Si enfin l’usage impérieux nous contraint de la
iendra historien. — Cette recomposition des personnages recomposera l’
action
. Ils sont si vivants et si présents dans l’imagin
Entre ses apparitions éparses, que d’obscurité et de vide ! Combien d’
actions
indifférentes ! Que ce visage est terne, et qu’il
son caractère dans les petits détails communs d’une foule de petites
actions
communes, et le héros n’est héros que par excepti
la nature n’a pu accomplir son dessein, que ses lois ont entravé son
action
, que son oeuvre n’est pas égale à son génie. Inac
oeuvre soit une simple copie du réel. Nous aurons des caractères, une
action
, des dialogues, car tout cela est dans la nature
aits qu’à la longue, parce qu’ils sont dispersés dans ses différentes
actions
. Ajoutez que, si je suis un copiste exact, je ne
ts, tous seront semblables, et aucun saisissant. — Même défaut dans l’
action
, puisqu’elle dépend des caractères. Notre acteur
e s’évanouira. — Que deviendra le style dans cet affaiblissement de l’
action
et des caractères ? Il gardera encore l’harmonie
pourra naître en lui à l’aspect de ces figures indistinctes et de ces
actions
si peu parlantes. Pour soulever une émotion viole
sons une âme faible de volonté, facile aux séductions, accoutumée à l’
action
, à qui les idées s’attachent d’une prise subite,
ncore qu’imaginaire, ébranle tellement mon pauvre être d’homme, que l’
action
y est étouffée dans l’attente, et que rien n’est
écit, et sa parole reprendra un accent. A chaque instant, il jugera l’
action
ou le personnage, et ce jugement sera un résumé ;
pas l’immobilité et le vide, puisqu’elle est remplie de détails et d’
action
. Cette fable qui répète la nature et que gouverne
itaires. Elles sont à nos yeux tournées non vers le fait, mais vers l’
action
. Appliquée aux sociétés, l’idée de l’égalité se d
ciés ont à nos yeux un prix en eux-mêmes et pour eux-mêmes. Centres d’
action
et de passion, mesures de toutes valeurs et valeu
alité l’uniformité des sanctions que la société devrait appliquer aux
actions
des individus, c’est oublier qu’égalité n’est pas
Reconnaître aux individus mêmes droits n’est pas demander qu’à leurs
actions
, pour inégales qu’elles soient, les mêmes sanctio
nt réservées, mais seulement que ces sanctions soient départies à ces
actions
inégales suivant les mêmes poids et les mêmes mes
négalité des sanctions fût exactement proportionnée à l’inégalité des
actions
individuelles, il importerait que les conditions
galité des actions individuelles, il importerait que les conditions d’
action
fussent les mêmes pour tous les individus : qui v
galitaire. C’est pour apprécier justement les différentes valeurs des
actions
individuelles qu’elle veut que rien n’en soit pré
s qu’une société doit prendre pour ajuster, aux différentes espèces d’
actions
qui l’intéressent, les différentes espèces de san
ultés réelles, mais les mêmes droits, — et réclamant enfin qu’à leurs
actions
diverses des sanctions soient distribuées, non un
s uns physiques, les autres psychologiques. Tantôt on allègue que nos
actions
sont nécessitées par nos sentiments, nos idées, e
vibratoires, tantôt de translation ; et les phénomènes physiques, les
actions
chimiques, les qualités de la matière que nos sen
le monde environnant : de là les mouvements réflexes, de là aussi les
actions
dites libres et volontaires. Comme d’ailleurs le
té de l’univers, dont la position ne soit déterminée par la somme des
actions
mécaniques que les autres atomes exercent sur lui
ables de l’influencer, calculerait avec une précision infaillible les
actions
passées, présentes et futures de la personne à qu
possibles. La conscience nous avertit en effet que la plupart de nos
actions
s’expliquent par des motifs. D’autre part, il ne
l’hypothèse d’une force consciente ou volonté libre, qui, soumise à l’
action
du temps et emmagasinant la durée, échapperait pa
la forme de l’objet qu’elle recouvre. Nous dirons maintenant que nos
actions
journalières s’inspirent bien moins de nos sentim
rce que j’ai tout avantage à l’être. On verrait que la plupart de nos
actions
journalières s’accomplissent ainsi, et que grâce
nts, ressemblent par bien des côtés à des actes réflexes. C’est à ces
actions
très nombreuses, mais insignifiantes pour la plup
st là précisément, dans certains cas, la meilleure des raisons. Car l’
action
accomplie n’exprime plus alors telle idée superfi
res et même indifférentes de la vie. On montrerait sans peine que ces
actions
insignifiantes sont liées à quelque motif détermi
à ce moment précis, de l’acte futur ; tantôt, supposant par avance l’
action
accomplie, il prétend qu’elle ne pouvait se produ
éjugés du langage, ce que la conscience toute pure nous apprend sur l’
action
future ou passée. Nous saisirons ainsi par un aut
rté l’entendent : et ils affirment que lorsque nous accomplissons une
action
librement, quelque autre action eût été également
nt que lorsque nous accomplissons une action librement, quelque autre
action
eût été également possible. Ils invoquent à cet é
déterminisme prétend que, certains antécédents étant posés, une seule
action
résultante était possible : « Quand nous supposon
t possibles. C’est sur cette question de l’égale possibilité, de deux
actions
ou de deux volitions contraires que nous nous arr
e de l’opération par laquelle la volonté choisit. J’hésite entre deux
actions
possibles X et Y, et je vais tour à tour de l’une
t se développe par l’effet de ses hésitations mêmes, jusqu’à ce que l’
action
libre s’en détache à la manière d’un fruit trop m
vir. C’est dans ce sens qu’on dira, en parlant d’un acte libre, que l’
action
contraire était également possible. Et, même si l
mbolisme grossier sur lequel on prétendait fonder la contingence de l’
action
accomplie aboutit, par un prolongement naturel, à
eurs et adversaires de la liberté sont d’accord pour faire précéder l’
action
d’une espèce d’oscillation mécanique entre les de
uvrirai un postulat commun : les uns et les autres se placent après l’
action
X accomplie, et représentent le processus de mon
par imagination à l’acte final. Bref, cette figure ne me montre pas l’
action
s’accomplissant, mais l’action accomplie. Ne me d
Bref, cette figure ne me montre pas l’action s’accomplissant, mais l’
action
accomplie. Ne me demandez donc pas si le moi, aya
ra : « Vous oubliez que l’on ne pourra parler de chemin qu’une fois l’
action
accomplie ; mais alors il aura été tracé. » — Les
’il faut chercher la liberté dans une certaine nuance ou qualité de l’
action
même, et non dans un rapport de cet acte avec ce
question sous une nouvelle forme : « Laissons de côté, dira-t-il, les
actions
accomplies, considérons seulement des actes à ven
rare encore qu’on ne puisse dire d’une personne connue que certaines
actions
paraissent assez conformes à sa nature, et que ce
mme des conditions qui, une fois connues, eussent permis de prédire l’
action
future de Pierre, vous serriez de plus près l’exi
s ses moindres détails, et vous arriviez ainsi au moment précis où, l’
action
s’accomplissant, il ne pouvait plus être question
eux ; c’est oublier qu’on se donne, avec la valeur des antécédents, l’
action
finale qu’il s’agit de prévoir ; c’est supposer à
rit cette ligne. Mais vous ne prouvez plus ainsi que Paul ait prévu l’
action
de Pierre ; vous constatez seulement que Pierre a
é de durée, une période astronomique ? Lors donc qu’on demande si une
action
future pourrait être prévue, on identifie inconsc
’une : ou bien que, les antécédents étant donnés, on eût pu prévoir l’
action
future ; ou que, l’action une fois accomplie, tou
técédents étant donnés, on eût pu prévoir l’action future ; ou que, l’
action
une fois accomplie, toute autre action apparaît,
ir l’action future ; ou que, l’action une fois accomplie, toute autre
action
apparaît, dans les conditions données, comme impo
vain nous alléguons qu’il ne saurait être question ni de prévoir une
action
future à la manière d’un phénomène astronomique,
e à la manière d’un phénomène astronomique, ni d’affirmer, une fois l’
action
accomplie, que toute autre action eût été impossi
onomique, ni d’affirmer, une fois l’action accomplie, que toute autre
action
eût été impossible dans les conditions données. E
ormer en rapports d’inhérence les rapports de succession, à annuler l’
action
de la durée, et à remplacer la causalité apparent
la conséquence mathématique dans le principe, et à supprimer ainsi l’
action
de la durée. Que sous l’influence des mêmes condi
ertaine, mais simplement comme possible. Toutefois, entre l’idée et l’
action
sont venus se placer des intermédiaires à peine s
faudra ajouter que cette préformation est fort imparfaite, puisque l’
action
future dont on a l’idée présente est conçue comme
omme une représentation confuse qui ne sera peut-être pas suivie de l’
action
correspondante. Mais on ne s’étonnera pas que cet
he ce dernier rapport prend l’aspect d’une dérivation mathématique, l’
action
humaine sortant mécaniquement, et par suite néces
physicien pourra parler de forces, et même s’en représenter le mode d’
action
par analogie avec un effort interne, mais il ne f
, au lieu de le laisser passer aussi rapidement que les autres. Cette
action
sur la durée n’est pas moins importante que l’act
es autres. Cette action sur la durée n’est pas moins importante que l’
action
sur l’intensité, car l’idée maintenue dans la con
nt, veut et se meut. Ses jugements sont tous pratiques : ils sont des
actions
succédant à des sensations, des actions différent
tous pratiques : ils sont des actions succédant à des sensations, des
actions
différentes succédant à des sensations différente
, des actions différentes succédant à des sensations différentes, des
actions
semblables succédant à des sensations semblables.
-forces, nous venons de le voir, que les jugements sont eux-mêmes des
actions
, les actions des jugements ou même des raisonneme
venons de le voir, que les jugements sont eux-mêmes des actions, les
actions
des jugements ou même des raisonnements en acte.
soit entre les sensations mêmes, soit entre telle sensation et telle
action
. 2. Quelle est maintenant (chose plus importante
tualité de la conscience même : c’est une passion introduite dans mon
action
et qui contraint mon intelligence par cela même q
alité victorieuse. Mais, en vertu de l’égalité entre la réaction et l’
action
, il m’est impossible de subir une action, sous fo
alité entre la réaction et l’action, il m’est impossible de subir une
action
, sous forme de sensation consciente, sans réagir
on à son objet est donc le lien qui unit la pensée, d’une part, à une
action
subie et sentie, d’autre part à une action exercé
pensée, d’une part, à une action subie et sentie, d’autre part à une
action
exercée. Quand nous avons des représentations ass
qu’on la réalise en mouvements et qu’on y conforme son activité104. L’
action
est l’actualité par excellence. Pour affirmer que
out se réduit à de simples mots, qui deviennent les substituts de ses
actions
comme de ses sensations. Ainsi comprise, l’affirm
ce qui précède que l’affirmation complète suppose une direction de l’
action
, conséquemment une direction de la volonté. Desca
irmation est un prélude à faction : c’est même la conscience de cette
action
commençante qui est, avons-nous dit, la principal
ur. Un jugement ou assertion implique donc une exertion, une certaine
action
commençante des muscles, qui n’est pas encore act
de de ma volonté telle que, par la suite, quand l’occasion viendra, l’
action
sera entreprise et menée jusqu’au bout. L’affirma
on sera entreprise et menée jusqu’au bout. L’affirmation est donc une
action
à la fois commencée et suspendue, une volition bo
cle intérieur, a modifié l’aspect intellectuel de ce spectacle. Cette
action
indirecte ne saurait constituer la liberté de la
ve et active, d’un conflit de représentations dont chacune tend à une
action
conforme ; elle est l’effet final des idées-force
es et idéalistes ont tant disserté, s’explique en grande partie par l’
action
appétitive et motrice qui appartient à toute repr
nomène mort-né. Déjà une brûlure vive dans mon pied, qui provoque par
action
réflexe une contraction énergique de la jambe, es
ve va croissant. Enfin, la portée pratique se ramenant à un système d’
actions
et de mouvements, on peut dire de nouveau que c’e
ir et de réagir, un certain mode de sentiment lié à un certain mode d’
action
et de mouvement. Ce sentiment n’est autre, en der
t être vraiment général ; mais ce qui est général, c’est le pouvoir d’
action
et de mouvement dont j’ai conscience comme dépass
ment est une sorte d’expérimentation idéale et anticipée, une série d’
actions
imaginaires, conséquemment une esquisse de voliti
jetons en arrière pour éviter de tomber dans un trou, c’est à la fois
action
réflexe, instinct et induction spontanée. Les ind
une régularité et un rythme dans les mouvements par le seul effet des
actions
et réactions mutuelles. L’induction suppose, selo
duit ainsi une certaine direction de la pensée en même temps que de l’
action
: d’autre part, aucune autre expérience n’est enc
tion est elle-même une persistance dans le mouvement commencé, dans l’
action
commencée. Le principe de ce qu’on nomme impropre
forces capables d’empêcher l’acte de l’appétition. Troisième terme :
Action
en ce sens. Mouvement, induction et volonté sont
cessaires des choses sans en saisir le fond intuitif et vivant. V
Action
constructive de l’imagination L’analyse que no
is et les phénomènes réels de l’univers. Elle est alors la science en
action
, où la force des idées devient manifeste. Dans la
peut représenter l’idéal par des formes, par des sentiments, par des
actions
: de là naissent l’art, la religion, la morale mê
e là naissent l’art, la religion, la morale même, car c’est un art en
action
que la moralité : les génies créateurs et invente
dans la morale sont ceux qui ont pu trouver et représenter dans leurs
actions
les formes les plus hautes de la bonté, du courag
outes nos représentations des choses, tous nos sentiments, toutes nos
actions
, toute notre philosophie et notre science même so
sévérer dans une direction quelconque, à maintenir et à continuer mon
action
, diffère-t-il de ce qu’on appelle l’affirmation ?
s modifications qu’il subit, on peut dire déjà que j’affirme, car mon
action
, en même temps qu’elle est faite et sentie, est p
souvenir et de la prévision. Il n’explique donc point pourquoi il y a
action
et évolution, plutôt que repos et indifférence. E
ie. Le vouloir fondamental exprime ce que l’être est en lui-même, son
action
propre ; chaque sensation particulière exprime l’
lui-même, son action propre ; chaque sensation particulière exprime l’
action
du milieu sur lui ; chaque impulsion particulière
’organisme s’est compliqué, il y a eu entre les cellules de nouvelles
actions
et réactions mécaniques, accompagnées de sensatio
illaient leur éducation ; ils assistaient aux effets de leurs propres
actions
. Si l’ammophile apportait une chenille à ses larv
ories sur la nature de l’acte volontaire. Les unes l’expliquent par l’
action
de l’intelligence sur les appétitions, qui résult
ence. La première théorie, à son tour, qui explique la volition par l’
action
de l’intelligence sur les inclinations, peut se s
t se subdiviser selon qu’on considère dans l’intelligence même : 1° l’
action
de l’image sensitive ; 2° l’action des idées et j
re dans l’intelligence même : 1° l’action de l’image sensitive ; 2° l’
action
des idées et jugements. Examinons successivement
non plus sur leurs simples qualités sensitives, et il en résulte des
actions
d’ordre supérieur. Pourquoi un animal agit-il sem
r en nous-mêmes une idée et un désir constituant la fin dernière de l’
action
. En effet, même lorsque cette action est désintér
constituant la fin dernière de l’action. En effet, même lorsque cette
action
est désintéressée, nous avons en nous l’idée et l
ir. — C’est, répondrons-nous, que le désir proprement dit n’est pas l’
action
même de l’intelligence, qui le trouve déjà formé
t alors le désir à ce que nous considérons comme réalisable par notre
action
). La volition est le désir déterminant d’une acti
lisable par notre action). La volition est le désir déterminant d’une
action
comme possible par nous et seulement par nous. —
inverse du sentiment que nous avons de notre intelligence et de notre
action
propre ; au contraire, la force de la volition es
hose que le sentiment même de notre intelligence et de la puissance d’
action
qui appartient à l’idée de notre moi indépendant.
n’est plus être poussé comme a tergo : c’est s’entraîner soi-même à l’
action
, quoique selon les lois déterminées de l’intellig
même de l’idée du moi intelligent sur les passions aveugles. De là l’
action
contraire du désir et de la volition. Un désir tr
us l’idée du moi, s’oppose aux désirs plus ou moins aveugles nés de l’
action
du non-moi, des objets extérieurs, de l’organisme
de colère frappe sans hésiter ; l’homme généreux accomplit une belle
action
sans hésiter. Dans l’un des cas, la force qui ent
, d’une force encore cachée ; qu’il ait gouverné la délibération et l’
action
finale comme le ressort invisible d’une montre go
imitives des motifs ; elle n’est pas une vaine lumière sans effet : l’
action
finale est, en partie, la résultante de ce proces
amais entièrement abstraits, car ils sont toujours relatifs à quelque
action
, que nous affirmons être agréable ou pénible, uti
. Enfin, lorsqu’il sait parler, il substitue la parole intérieure à l’
action
en disant : l’épine fait mal. Cette proposition s
on des lois, qui sont les lois mêmes de la pensée et du désir. Il y a
action
et réaction mutuelle des idées et appétitions, c’
aves, intéresse la personnalité entière, qui tout entière détermine l’
action
. En outre, comme on en a fait souvent la remarque
rs, mais qui témoignent de temps en temps la part qu’ils prennent à l’
action
par des discours qui y sont liés, sans pourtant e
ors unité dans le spectacle. Le chœur devint partie intéressée dans l’
action
, quoique d’une manière plus éloignée que les pers
vant d’un temple, d’un palais, ou quelque autre endroit public ; et l’
action
se passant entre les premières personnes de l’éta
t le chœur. De plus, il n’est pas naturel que des gens intéressés à l’
action
, et qui, en attendent l’issue avec impatience, re
persuadés qu’il devait en être la base. Le chœur, ainsi incorporé à l’
action
, parlait quelquefois, dans les scènes, par la bou
r la scène : ce qui augmentait la vraisemblance et la continuité de l’
action
. Outre ces chants, qui marquaient la division des
ôte à la tragédie une partie de son lustre. On trouve ridicule que l’
action
tragique soit coupée et suspendue par des sonates
l n’y paraît qu’à son tour, et seulement lorsqu’il est nécessaire à l’
action
, ou qu’il peut contribuer à l’ornement de la scèn
e sorte d’amertume et de misanthropie, qui exclut beaucoup des bonnes
actions
que l’on fait pour être regardé, sans anéantir to
l égarement dans son âme, qu’il est impossible d’expliquer toutes ses
actions
par l’intérêt du but qu’il veut atteindre : le cr
une rage intérieure qui force à agir sans autre motif que le besoin d’
action
. On ne peut guères comparer cet état qu’à l’effet
mis dans l’idée qu’il se fait de la haine qu’il mérite ; par-delà les
actions
atroces qu’il commet à nos yeux, il sait encore q
rrivés à un certain excès, il n’est aucun but qu’ils ne dépassent ; l’
action
du lendemain est commandée par l’atrocité même de
ésir qui, d’une manière quelconque, est toujours le principe de toute
action
au-dehors, l’agrandissement de soi se retrouve da
de celui qui retient, mais de celui qui excite de plus en plus à des
actions
violentes ; c’est une sorte de crainte qui précip
image de ce besoin d’agir, même sans objet, qui force un criminel à l’
action
la plus pénible, dès qu’elle le soustrait à ce qu
ette vie, il y a quelque chose de sensible ou de philosophique dans l’
action
de se tuer qui est tout à fait étranger à l’être
rement, c’est une émotion, c’est un moyen, c’est un espoir, c’est une
action
; mais ces mêmes hommes, quoique les plus malheur
il est bon que les véritables scélérats soient incapables d’une telle
action
; ce serait une souffrance pour une âme honnête,
vers de liaison. C’est comme dans les ballets de la rue Pelletier ; l’
action
doit être faite uniquement pour amener de beaux p
e. Pourquoi exigez-vous, dirai-je aux partisans du classicisme, que l’
action
représentée dans une tragédie ne dure pas plus de
palais ? L’Académicien. — Parce qu’il n’est pas vraisemblable qu’une
action
représentée en deux heures de temps, comprenne la
nvraisemblable et impossible ; mais il est impossible également que l’
action
comprenne vingt-quatre ou trente-six heures 1. L
ise que nous ayons l’absurdité de prétendre que la durée fictive de l’
action
doive correspondre exactement avec le temps matér
es ; en Allemagne depuis cinquante ans, on donne des tragédies dont l’
action
dure îles mois entiers, et l’imagination des spec
ée en Angleterre, pour détrôner le sanguinaire Macbeth. Cette série d’
actions
exige nécessairement plusieurs mois. L’Académici
ssayez d’écarter pour un moment le voile jeté par l’habitude, sur des
actions
qui ont lieu si vite, que vous en avez presque pe
temps réellement écoulé. Le fait est que le spectateur entraîné par l’
action
, n’est choqué de rien ; il ne songe nullement au
qui nous déçoit par une apparence trompeuse. Illusion signifie donc l’
action
d’un homme qui croit la chose qui n’est pas, comm
s, comme dans les rêves, par exemple. L’illusion théâtrale, ce sera l’
action
d’un homme qui croit véritablement existantes les
semblables. Eh bien ! ce soldat avait de l’illusion, croyait vraie l’
action
qui se passait sur la scène. Mais un spectateur o
e romain Manlius ; Manlius ne fait rien de digne d’être applaudi, son
action
est fort simple et tout à fait dans son intérêt.
éation et la motion. IV. Effets de l’hypnotisme sur la vie organique.
Action
curative de l’hypnotisme. V. Communications possi
mulent, ne le laissent plus passer dans les nerfs du mouvement. Cette
action
a son parallèle dans l’opposition mutuelle (les i
dépensent à susciter d’autres représentations au lieu de susciter les
actions
musculaires. Dans l’hypnotisme, au contraire, les
entière des excitations externes : elle emmagasine donc simplement l’
action
du dehors sur nous. — Cette opinion, soutenue par
est le point de départ de la théorie des idées-forces. Il n’y a pas d’
action
du dehors sur nous qui ne provoque une réaction i
tre en activité, dit-il, il reçoit un plus grand afflux de sang par l’
action
réflexe du mécanisme vaso-moteur, et ce changemen
de plus, il continue de suggérer au sujet des représentations et des
actions
, ces idées et ces actes maintiennent le dormeur d
. Cette nutrition est même exagérée proportionnellement au reste. Aux
actions
vaso-motrices si bien analysées par Lehmann, il c
si bien analysées par Lehmann, il convient d’ajouter, avec Wundt, les
actions
neuro-dynamiques qui en sont inséparables. De mêm
dt : « Quand une partie considérable de l’organe central, par suite d’
actions
inhibitoires, se trouve en état de latence foncti
s encore connue et qui rend les nerfs du sujet sensibles à la moindre
action
de l’opérateur. Il y a des lois de statique et de
’état de veille normal. C’est la suggestion, dit M. Bernheim, c’est l’
action
de l’idée sur le corps qui détermine tous les phé
d’établir une communication anormale entre deux systèmes nerveux. Les
actions
inhibitoires ne semblent pas être ce qu’il y a de
a de plus important dans l’hypnose, et il faut surtout considérer les
actions
excitantes, qui sont liées aux premières ou qui s
endant le sommeil ordinaire. Les hypnotisés accomplissent une foule d’
actions
et prononcent une foule de paroles qui dénotent u
t une intelligence très éveillée : s’ils ne se souviennent pas de ces
actions
au réveil, ils s’en souviennent dans un sommeil u
ons concurrentes du toucher ou de la vue. Il est donc bien vrai que l’
action
se rapproche alors du réflexe par la rapidité. El
ence de quelque excitation du dehors. Ce sont là encore des espèces d’
actions
ou de paroles réflexes, en ce sens qu’il y a répo
rement physiologiques. Supposez maintenant un état de l’esprit où les
actions
et paroles soient encore automatiques et constitu
ypnotique, avec ses effets sur la motion. M. Pierre Janet compare les
actions
des hypnotisés à celles des gens distraits. « On
ense, parce qu’elle est seule. Il en résulte qu’elle exerce une forte
action
sur les idées ou sensations antagonistes : elle l
les sont comme si elles n’étaient pas. L’hypnotisme peut se définir l’
action
à la fois réflexe et consciente ; c’est l’action
me peut se définir l’action à la fois réflexe et consciente ; c’est l’
action
sous la domination d’une idée qui est presque seu
, par exemple, appellera nécessairement l’idée d’écrire et celle-ci l’
action
. Ce qui se repose dans l’hypnotisme, ce qui s’est
vements, en est le premier moment, le début, et est ainsi elle-même l’
action
commencée, le mouvement à la fois naissant et rép
commencée, le mouvement à la fois naissant et réprimé ; l’idée d’une
action
possible est donc une tendance réelle, c’est-à-di
latante confirmation. IV Influence des idées sur la vie organique.
Action
curative de l’hypnotisme L’influence des idées
; il va jusqu’à l’organe qui est en rapport avec lui, il y exerce son
action
, il le modifie dans son propre sens. L’hypnotiseu
psychologues appellent « les signes locaux ». On connaît d’ailleurs l’
action
vaso-motrice et secrétoire du système nerveux. De
. On explique aussi par là, dans une certaine mesure, une partie de l’
action
des remèdes ordinaires. En calmant les symptômes,
leur et idée impliquent certains processus de l’onanisme qui ont leur
action
propre dans le résultat final. « Dans certains ca
veau de l’hypnotisé conserve l’idée de l’hypnotiseur et reconnaît son
action
à des signes subtils, qui échappent à tout autre,
u de la somnambule, l’hallucination réapparaît aussitôt, comme si une
action
quelconque exercée par lui avait passé au travers
omètres. Le même sujet, que son père endormait aussi, reconnaissait l’
action
de M. Dusart et la distinguait de toute autre. Le
nt sa volonté : l’auto-suggestion est donc insuffisante ; il faut une
action
directe de l’opérateur. Non seulement on peut end
aindre la malade par un ordre intérieurement parlé… Première minute :
action
nulle ; deuxième minute : agitation dans la main
. M. Dessoir, dans son livre du Double Moi (Das Doppel Ich), cite les
actions
automatiques comme preuve de l’existence en nous
en ayant l’esprit absorbé ailleurs et sans savoir ce qu’on fait : ces
actions
appartiennent donc à une « conscience inférieure.
iriger le train dans la bonne voie. Mais, quand nous avons répété une
action
un grand nombre de fois, les rails sont orientés,
ensation et appétition, par conséquent une opposition de fait entre l’
action
de l’extérieur et la réaction de l’intérieur. Cet
des animaux : cette sensation enveloppe la conscience immédiate d’une
action
qu’il exerce au milieu d’un monde réel qui réagit
autre, si bien que la première ne soupçonne même pas l’existence ou l’
action
de la seconde, et réciproquement. C’est ce qui pa
subconsciente de la personne, avec celle qui avait été précisément en
action
dans l’hypnotisme, le doigt se lève pour dire oui
mentale de mots sans laquelle nous ne pourrions vraiment penser. Les
actions
et idées un peu complexes ne peuvent se conserver
du langage, sortes de gestes intérieurs et cérébraux substitués à des
actions
plus complexes. La parole n’est autre chose qu’un
s curatifs de l’hypnotisme. 186. M. Delbœuf rapproche de ces faits l’
action
calmante exercée par la présence du docteur, par
nts d’un milieu qui les leur fournit sans cesse. Les seconds, par une
action
discontinue, concentrée en quelques instants, con
ndance est essentielle au règne animal, que travaille le besoin d’une
action
de plus en plus étendue, de plus en plus efficace
la faculté d’utiliser un mécanisme à déclanchement pour convertir en
actions
« explosives » une somme aussi grande que possibl
vait d’abord être qu’un moyen. Mais, chez l’animal, tout converge à l’
action
, c’est-à-dire à l’utilisation de l’énergie pour d
sensori-moteur soit vraiment dominateur. La durée et l’étendue de son
action
seront indépendantes, dans une certaine mesure au
Morat et Dufourt 55. Si la fonction glycogénique du foie dépend de l’
action
des nerfs excitateurs qui la gouvernent, l’action
du foie dépend de l’action des nerfs excitateurs qui la gouvernent, l’
action
de ces derniers nerfs est subordonnée à celle des
’esprit. Et notre plus ardent enthousiasme, quand il s’extériorise en
action
, se fige parfois si naturellement en froid calcul
, c’est-à-dire comme une transition d’espèce à espèce, la vie est une
action
toujours grandissante. Mais chacune des espèces,
rmes de l’activité psychique, avant tout, deux méthodes différentes d’
action
sur la matière inerte. Cette manière un peu étroi
n nouveau, et ainsi, au lieu de fermer, comme l’instinct, le cercle d’
action
où l’animal va se mouvoir automatiquement, il ouv
re deux manières d’agir sur la matière brute. Elle peut fournir cette
action
immédiatement en se créant un instrument organisé
instinct est inconscient ? Quand nous accomplissons machinalement une
action
habituelle, quand le somnambule joue automatiquem
conscience ne peut plus déborder. La représentation est bouchée par l’
action
. La preuve en est que, si l’accomplissement de l’
la conscience peut surgir. Elle était donc là, mais neutralisée par l’
action
qui remplissait la représentation. L’obstacle n’a
on trouverait que la conscience est la lumière immanente à la zone d’
actions
possibles ou d’activité virtuelle qui entoure l’a
e à la zone d’actions possibles ou d’activité virtuelle qui entoure l’
action
effectivement accomplie par l’être vivant. Elle s
ar l’être vivant. Elle signifie hésitation ou choix. Là où beaucoup d’
actions
également possibles se dessinent sans aucune acti
Là où beaucoup d’actions également possibles se dessinent sans aucune
action
réelle (comme dans une délibération qui n’aboutit
e délibération qui n’aboutit pas), la conscience est intense. Là où l’
action
réelle est la seule action possible (comme dans l
t pas), la conscience est intense. Là où l’action réelle est la seule
action
possible (comme dans l’activité du genre somnambu
t l’activité réelle. Elle mesure l’écart entre la représentation et l’
action
. On peut dès lors présumer que l’intelligence ser
econd point de vue, qui est celui de la connaissance et non plus de l’
action
, la force immanente à la vie en général nous appa
ssance intérieure et pleine, non pas explicite, mais impliquée dans l’
action
accomplie. La seconde, au contraire, ne possède n
t au point de vue de la connaissance qu’on se place, et non plus de l’
action
. Mais connaissance et action ne sont ici que deux
issance qu’on se place, et non plus de l’action. Mais connaissance et
action
ne sont ici que deux aspects d’une seule et même
nous tenons l’intelligence humaine pour relative aux nécessités de l’
action
. Posez l’action, la forme même de l’intelligence
ntelligence humaine pour relative aux nécessités de l’action. Posez l’
action
, la forme même de l’intelligence s’en déduit. Cet
ns, partie intégrante de la réalité. Les philosophes répondront que l’
action
s’accomplit dans un monde ordonné, que cet ordre
ommettons une pétition de principe en expliquant l’intelligence par l’
action
, qui la présuppose. En quoi ils auraient raison,
suffit de se placer au point de vue du sens commun. Partons donc de l’
action
, et posons en principe que l’intelligence vise d’
qui fixe notre attention, parce que c’est sur lui que se règle notre
action
présente. Ainsi la discontinuité est pensée pour
rement que le discontinu. D’autre part, les objets sur lesquels notre
action
s’exerce sont, sans aucun doute, des objets mobil
une position à une autre, progrès qui est le mouvement même. Dans les
actions
que nous accomplissons, et qui sont des mouvement
immobile que nous fixons notre esprit. Ce qu’il y a de mouvant dans l’
action
ne nous intéresse que dans la mesure où le tout e
domaine de la spéculation une méthode de penser qui est faite pour l’
action
. Mais nous nous proposons de revenir sur ce point
bien, en effet, une intelligence tournée vers la spéculation. Mais l’
action
, et en particulier la fabrication, exige la tenda
la sous-tendrait. Cet espace est donc, avant tout, le schéma de notre
action
possible sur les choses, encore que les choses ai
celui de l’homme, aux nécessités de la vie en commun. Il fait qu’une
action
commune devient possible. Mais ces nécessités de
fait qu’une action commune devient possible. Mais ces nécessités de l’
action
commune ne sont pas du tout les mêmes pour une fo
ces sociétés reposent sur l’instinct, et par conséquent sur certaines
actions
ou fabrications qui sont plus ou moins liées à la
ignifiée. Au contraire, dans une société humaine, la fabrication et l’
action
sont de forme variable, et, de plus, chaque indiv
dont elle ne veuille avoir l’idée, fût-il sans rapport direct avec l’
action
pratique. Voilà pourquoi nous disions qu’il y a d
es de l’intelligence tendent à transformer la matière en instrument d’
action
, c’est-à-dire, au sens étymologique du mot, en or
ns que notre intelligence prolonge, est celui qui donne prise à notre
action
. Il faut, pour que nous puissions modifier un obj
it, s’il s’intériorisait en connaissance au lieu de s’extérioriser en
action
, si nous savions l’interroger et s’il pouvait rép
onnements. Tantôt en fait de l’instinct une intelligence dégradée : l’
action
jugée utile par l’espèce ou par quelques-uns de s
ire appel à des considérations de ce genre. Elle ne doit pas mettre l’
action
avant l’organisation, la sympathie avant la perce
du dehors, on pourrait donc la prendre pour un simple auxiliaire de l’
action
, pour une lumière que l’action allume, étincelle
prendre pour un simple auxiliaire de l’action, pour une lumière que l’
action
allume, étincelle fugitive qui jaillirait du frot
l’action allume, étincelle fugitive qui jaillirait du frottement de l’
action
réelle contre les actions possibles. Mais il faut
e fugitive qui jaillirait du frottement de l’action réelle contre les
actions
possibles. Mais il faut remarquer que les choses
rveux, en donnant à l’organisme le choix entre un plus grand nombre d’
actions
, lancerait un appel aux virtualités capables d’en
, comme dans la première, la conscience serait bien l’instrument de l’
action
; mais il serait encore plus vrai de dire que l’a
nstrument de l’action ; mais il serait encore plus vrai de dire que l’
action
est l’instrument de la conscience, car la complic
l’action est l’instrument de la conscience, car la complication de l’
action
avec elle-même et la mise aux prises de l’action
la complication de l’action avec elle-même et la mise aux prises de l’
action
avec l’action seraient, pour la conscience empris
n de l’action avec elle-même et la mise aux prises de l’action avec l’
action
seraient, pour la conscience emprisonnée, le seul
isme : plus le cerveau se compliquera, augmentant ainsi le nombre des
actions
possibles entre lesquelles l’organisme a le choix
Vertébrés ont dû faire effort pour se maintenir dans les conditions d’
action
les plus favorables, celles mêmes où la vie s’éta
ations purement intellectuelles, telles que la mémoire, dépendent des
actions
matérielles ; fait qui a été admis, quoique à reg
mment de son compagnon matériel, 2° Nous avons lieu de croire que nos
actions
mentales sont accompagnées d’une suite non interr
ue d’actes matériels. Il est contraire à tout ce que nous savons de l’
action
du cerveau de supposer que la chaîne matérielle d
avons de l’action du cerveau de supposer que la chaîne matérielle des
actions
nerveuses se termine brusquement à un vide occupé
cette substance agisse seule, puis communique les résultats de cette
action
à la substance matérielle : « il y aurait ainsi d
ait, les choses ne se passent pas ainsi et lorsque nous parlons d’une
action
de l’esprit, nous avons toujours une cause à deux
d’un état particulier du cerveau et du système. « Ainsi, il n’y a pas
action
de l’esprit sur le corps et du corps sur l’esprit
able), entre la somme des opérations physico-mentales et la somme des
actions
purement physiques. Les unes et les autres sont c
renvoyons le lecteur à ce chapitre. Il verra que pour l’auteur « les
actions
les plus élevées de l’esprit ont essentiellement
lus élevées de l’esprit ont essentiellement le même caractère que les
actions
réflexes, mais sont bien plus compliqués. » C’est
ment n’est pas lui-même une représentation, il résulte du moins d’une
action
réciproque des représentations. Quand, par exempl
un ami que j’ai perdu, l’image de la personne aimée se trouve subir l’
action
de deux séries de représentations en sens contrai
ons purement intellectuelles. Ce sont des états ou plutôt des modes d’
action
et de réaction du sujet même, qui indiquent comme
er les divers plaisirs en les rapportant tous au plaisir radical de l’
action
, il n’en résulte nullement qu’il n’existe aucune
é générale que présentent toutes les libres cérébro-spinales sous les
actions
destructives et désintégratives. » Si, au lieu d
s actions destructives et désintégratives. » Si, au lieu de placer l’
action
sous le sentiment, on place au contraire le senti
l’action sous le sentiment, on place au contraire le sentiment sous l’
action
, on aboutit alors, avec Horwicz et Stumpf, à des
la jouissance ou la souffrance sans y être pour rien lui-même par son
action
. Tout est actif excepté lui, et comme on en peut
pte d’autrui. L’hypothèse de la primauté du sentiment par rapport à l’
action
n’explique donc pas le sentiment même. De plus, e
n’explique donc pas le sentiment même. De plus, elle n’explique pas l’
action
, puisqu’elle la fait dériver tout entière d’une p
tre. Dans l’hypothèse contraire, il reste assurément un mystère sur l’
action
primordiale, identique à la vie ou à l’être et so
gisse pour agir, si un sentiment agréable est la conséquence de toute
action
, et un sentiment plus agréable la conséquence d’u
e action, et un sentiment plus agréable la conséquence d’un surplus d’
action
efficace. L’activité primordiale est alors l’expa
e avec cette expansion active : « Au commencement, dit Faust, était l’
action
. » Aussi ne pouvons-nous nous empêcher de placer
de la force motrice et de la résistance, en un mot de l’être et de l’
action
mutuelle des êtres. Là se cache la vraie et radic
s, est une activité mêlée de passivité, où l’élément agréable lié à l’
action
efficace est continuellement contrarié et contreb
sistance subie. Voilà pourquoi nous agissons, et aussi pourquoi notre
action
tend toujours à du changement intérieur et à quel
se satisfait, qu’il est déterminé par le plaisir à continuer la même
action
. Nous commençons par peiner, dans tous les sens d
on motrice : c’était mieux qu’un simple penchant, c’était une mise en
action
. Cette mise en action peut parfaitement et même d
ieux qu’un simple penchant, c’était une mise en action. Cette mise en
action
peut parfaitement et même doit recommencer sous u
’impulsion, au point de vue physiologique, est donc un commencement d’
action
et de mouvement, dont la direction est déterminée
e tend à se réaliser au dehors comme au dedans, par le mouvement et l’
action
extérieure comme par l’attention intérieure. Mais
ion ou de conscience que parce qu’elle se trouve être une intensité d’
action
et de jouissance actuelle ; dans le cas contraire
ndamentale qui s’exerce sans se représenter encore le résultat de son
action
. Elle agit parce qu’elle agit et pour agir. En ag
loppe qu’une sourde conscience d’agir, un sourd bien-être attaché à l’
action
et un sourd malaise attaché à la limite de l’acti
-être attaché à l’action et un sourd malaise attaché à la limite de l’
action
. Au reste, nous ne pouvons avoir sur le fond des
liques. Métaphysiquement, on ne comprend pas l’existence sans quelque
action
qui la manifeste, ni le plaisir ou la douleur san
i le plaisir ou la douleur sans une facilité ou difficulté dans cette
action
. D’autre part, comment et pourquoi agir si on ne
nt de l’être, de la vie, de la conscience, avec lesquels d’ailleurs l’
action
ne fait qu’un. Nous sommes certains de notre exis
pas l’existence d’une activité comme faculté, c’est l’existence de l’
action
même, de l’action réelle, de l’agir ; or, c’est c
’une activité comme faculté, c’est l’existence de l’action même, de l’
action
réelle, de l’agir ; or, c’est cette action dont,
nce de l’action même, de l’action réelle, de l’agir ; or, c’est cette
action
dont, nous avons perpétuellement conscience dans
dernière analyse, concevoir le sujet voulant et pensant que comme une
action
. 47. Nous avons montré le contraire dans nos
u’elle se détermine et se développe par la sélection naturelle, par l’
action
du milieu et par la réaction de l’appétit ou de l
z l’être vivant90 ; il nous reste à montrer maintenant que cette même
action
réciproque de l’appétit et du milieu dégage les r
les entre les sensations, rapports attribués par les platoniciens à l’
action
du pur esprit. Le tort commun des idéalistes et d
ssance. Le contenu sensible de notre conscience a été déterminé par l’
action
du monde extérieur et par la réaction motrice de
ou de malaise, ayant pour objet essentiel non la spéculation, mais l’
action
, le vouloir, la force et le mouvement. Les sensat
le mouvement. Les sensations ne sont que les organes supérieurs de l’
action
. On ne sent pas la lumière pour sentir, mais pour
conception enfantine. La plus élémentaire des sensations suppose une
action
exercée sur un organisme qui réagit et dont les m
ntanéité. La douleur que cause la faim a pour facteur non seulement l’
action
des objets extérieurs, mais une certaine modifica
de combinaison ne peuvent être attribués à notre conscience, mais à l’
action
plus ou moins immédiate des choses extérieures. C
intérieure, telle qualité propre. Ce qui est irréductible à la seule
action
des objets externes, au seul mécanisme, c’est pré
est-à-dire la réaction motrice plus ou moins énergique qui répond à l’
action
successive (ou momentanément simultanée) de deux
oduit dans le passage du plaisir à la douleur est une résistance, une
action
contrariée. Après le sentiment du bien-être, nous
ce produite comme effort. Dans toute sensation, il y a nécessairement
action
subie et réaction exercée ; il s’y trouve donc to
ransition, de contraste, de changement, une impression particulière d’
action
subie et de réaction proportionnelle. Cette impre
ui vient brusquement nous tirer de l’état ancien ; nous répondons à l’
action
du dehors par la réaction intellectuelle et motri
de l’autre. L’autre, c’est ce qui résiste, fait effort, contrarie une
action
quelconque, comme quand un bras nous entraîne mal
pposées, se superposent et se réconcilient : il y a harmonie, accord,
action
sans obstacle ; tout cela se sent et se fait, ava
de différence, fixées dans le langage, seront devenues des centres d’
action
et de mouvement, des idées-forces groupant autour
s de nos jours. Il y a d’abord une chose qui demeure irréductible à l’
action
du dehors et qui suppose quelque coopération du d
port propre de la conscience, irréductible au mécanisme et à la seule
action
des objets matériels. En d’autres termes, la sens
ons plus loin que tout jugement, toute affirmation est un prélude à l’
action
et au mouvement, et que c’est même la conscience
à l’action et au mouvement, et que c’est même la conscience de cette
action
commençante qui est caractéristique de l’affirmat
ignifie : Je sais. Toute idée, tout sentiment n’existe qu’en vue de l’
action
et tourne en action. Quelque étrange que la chose
oute idée, tout sentiment n’existe qu’en vue de l’action et tourne en
action
. Quelque étrange que la chose paraisse, nous iron
as seulement un songe, pas même un songe bien lié, mais qu’elle a une
action
réelle, qu’elle est effective et conséquemment ob
James, sa « valeur fonctionnelle », son usage, son importance pour l’
action
. Une vague et passive modification, qui serait to
apports de ses fantaisies. Seule, la force de l’idée, son lien avec l’
action
et le mouvement permet de lui attribuer une valeu
concrètes qui président au développement de nos appétitions et de nos
actions
, parce qu’elles sont les conditions de notre exis
arti pour l’affirmative, sans s’arrêter à ce prétexte spécieux qu’une
action
ou une passion inconsciente de l’esprit est inint
le somnambulisme, nous révèlent des connaissances ou des habitudes d’
action
que nous n’avions aucune conscience de posséder d
» Dans le cas du soldat blessé pendant la bataille et que le feu de l’
action
empêche de sentir sa blessure, l’hypothèse la plu
plus complexes. Mais ce qui rend sa tâche très difficile, c’est que l’
action
réunie des diverses causes produit quelquefois de
onté qu’une cause physique comme une autre ; qu’elle est cause de nos
actions
corporelles, de la même manière que le froid est
ité, que je n’agis pas comme un automate, mais que je participe à mes
actions
. Ces deux doctrines ont en partie tort et en part
iens, c’est d’entendre par la nécessité qu’ils reconnaissent dans nos
actions
plus qu’une simple uniformité de succession qui p
lupart irrésistibles, on voit combien son application aux mobiles des
actions
humaines est inexacte. « Il y a des successions p
te ou l’emploi d’une pompe stomacale peut quelquefois prévenir. » Les
actions
humaines sont dans cette catégorie. En somme, la
sante cette question : Comment peut-on justifier le châtiment, si les
actions
humaines sont déterminées par des motifs ? Mais u
simple, — le fatalisme asiatique ou celui d’Œdipe, — soutient que nos
actions
ne dépendent pas de nos désirs. Une puissance sou
nduite. Le fatalisme, que l’on peut appeler modifié, soutient que nos
actions
sont déterminées par notre volonté, notre volonté
pour nous et non par nous, nous n’en sommes point responsables ni des
actions
auxquelles il nous conduit, et que nous tenterion
ainement de le modifier. Enfin, la vraie doctrine de la causalité des
actions
humaines maintient, contrairement aux deux précéd
st que le seul critérium possible de la justice ou de l’injustice des
actions
consiste dans leurs conséquences calculables, c’e
l’observation et le raisonnement ont montré constamment que certaines
actions
— par exemple, dire la vérité — tendent en généra
nt en général à augmenter le bonheur de l’humanité ; et que certaines
actions
contraires — par exemple, mentir, — tendent à por
la loi d’association, c’est-à-dire d’une loi d’habitude mentale, les
actions
de la première espèce étant associées constamment
oduit le bonheur, deviennent elles-mêmes un objet d’approbation : les
actions
contraires étant associées constamment, dans l’ex
e la vie et de ses conditions d’existence, quelles sont les espèces d’
actions
qui tendent nécessairement à produire le bonheur
nt nécessairement à produire le bonheur et quelles sont les espèces d’
actions
qui tendent au contraire. Cela fait, ses déductio
croire que, bien qu’un seul acteur parût et récitât, il supposait une
action
réelle, et qu’il venait, dans les intervalles du
ant, avec Aristote, qu’un acteur ; mais, après tout, ces récits d’une
action
qu’on ne voyait pas n’étaient qu’une espèce de po
ger crayon ; car, outre que le sujet des récits de l’acteur était une
action
suivie, l’accessoire l’emporta peu à peu sur le p
econnaissances, des intrigues ; et tout cela suppose une ou plusieurs
actions
. Homère, guidé par la raison, n’en a choisi qu’un
un poème qu’on doit lire peut prolonger ou raccourcir la durée de son
action
un peu plus ou un peu moins, sans autre règle, si
sonnablement en alléguer d’autres. Mais il n’en est pas de même d’une
action
mise en spectacle : c’est une autre sorte d’édifi
ns repos et sans interruption. Il est donc naturel que la mesure de l’
action
ne passe pas de beaucoup celle de la représentati
à Eschyle, et plus nettement à ses successeurs, en considérant qu’une
action
représentée doit essentiellement ressembler à l’a
idérant qu’une action représentée doit essentiellement ressembler à l’
action
réelle dont elle est l’image ; car, sans cela, il
és, peut faire illusion au spectateur, et lui montrer avec succès une
action
dont la durée exige huit ou dix heures, quoique l
c’est que l’impatience du spectateur, qui aime à voir la suite d’une
action
intéressante, lui aide à se tromper lui-même, et
peu la durée de la représentation dans l’espace qu’ils ont donné à l’
action
de leurs tragédies. Je me contente de remarquer,
s personnages, que quand on veut mettre les spectateurs au fait d’une
action
, sans qu’ils s’aperçoivent qu’on ait eu dessein d
e et d’acte en acte. Mais la beauté des intrigues dépend du choix des
actions
; et ce choix est souvent l’effet du bonheur plut
e devons pas en conclure que des tissus identiques donnent lieu à des
actions
physiologiques différentes ; ce serait une conclu
extérieur et étudie les influences réciproques qui résultent de leur
action
mutuelle ; et, à mesure qu’il rencontre des phéno
phénomènes généraux viennent plus ou moins modifier ou compliquer les
actions
locales qu’on a déterminées. On peut alors, si l’
l faut que les agents mécaniques de la digestion puissent exercer une
action
plus énergique sur ces substances ; et en effet,
iment, nous avons à considérer dans l’appareil digestif deux ordres d’
actions
: les actions physiques ou mécaniques excessiveme
ons à considérer dans l’appareil digestif deux ordres d’actions : les
actions
physiques ou mécaniques excessivement variables,
développement des organes destinés à les accomplir ; les autres, les
actions
chimiques, présentant une très grande généralité
ariations dans les organes qui les effectuent. Ce sera surtout de ces
actions
chimiques que nous aurons à nous occuper. Elles s
tes les glandes salivaires et intestinales auxquelles il attribue une
action
dissolvante sur les aliments. Il avance que la sa
. Dans ses Recherches anatomiques sur la position des glandes et leur
action
, il donne déjà quelques notions physiologiques su
s salivaires réunies, et qui s’obtient directement chez l’homme par l’
action
de cracher. Toutefois les anatomistes attribuaien
ordinaire, on filtra les deux mélanges. Le liquide qui filtra après l’
action
du sulfate de soude coagulait comme auparavant, t
coagulait comme auparavant, tandis que le liquide qui filtra après l’
action
du sulfate de magnésie ne coagulait plus, parce q
tion ne saurait être expliquée de cette façon. Elle est le fait d’une
action
nerveuse directe, dont nous aurons plus tard à ét
ion gustative, et cette impression gustative réagit sur la glande par
action
réflexe, c’est-à-dire que l’impression, après êtr
n est liée à cette fonction, se manifeste, comme vous le voyez, par l’
action
réflexe ordinaire qui a lieu de la langue à la gl
qui a lieu de la langue à la glande sous-maxillaire ; toutefois cette
action
n’est pas limitée à une seule glande, et quand no
re, nous avons coupé les nerfs de retour par lesquels se produisait l’
action
réflexe ; tandis qu’en excitant le bout périphéri
ls sont coupés, on peut déterminer une sécrétion de suc gastrique par
action
réflexe et l’on produit également une sécrétion d
ait plus forte au moment de la sécrétion. On ignore comment s’opère l’
action
du système nerveux sur un appareil glandulaire, m
ulfocyanure de potassium. — Usage des salives. — La salive n’a aucune
action
sur les matières albuminoïdes ni sur les matières
ord chez l’homme, la salive mixte peut être obtenue directement par l’
action
de cracher. Seulement on excite ordinairement la
gestion. Il n’est pas une question, à propos de ce mucus, solubilité,
action
des acides, précipitation par les divers réactifs
contraire, suivant Berzelius et d’autres, rendu opaque, rétréci par l’
action
du même acide. Il en est de même pour la matière
e du canal de Sténon, avant que l’air ait pu sensiblement exercer son
action
. Il est un fait remarquable à cet égard et qui a
re n’existe pas dans la salive à l’état normal, mais qu’il est dû à l’
action
de l’alcool sur la matière salivaire. J’ai égalem
visqueux, l’intérieur n’en contenant pas. M. Riquet n’a pas essayé l’
action
de ce fluide sur les matières alimentaires, et pe
culentes pour les transformer en sucre. La salive n’a aucune espèce d’
action
sur les matières albuminoïdes ni sur les matières
on en glucose, et l’on s’était hâté d’en conclure que la salive a une
action
toute spéciale sur les aliments amylacés, et que,
ltats ? On avait vu que les salives prises isolément n’avaient aucune
action
sur la fécule, il fallait se demander si leur act
n’avaient aucune action sur la fécule, il fallait se demander si leur
action
ne résultait pas de leur mélange. J’ai donc pris
le produit et la sécrétion des petites glandes buccales. Pour avoir l’
action
réelle de la salive mixte des animaux sur l’amido
ux opérait cette transformation, quoique cependant elle produisît une
action
moins énergique que la salive mixte de l’homme. V
éjà, comme vous le voyez, par le réactif cupro-potassique ; et, par l’
action
de la levure de bière, nous pouvons obtenir de l’
ment à celle des animaux, pour plusieurs motifs : d’abord parce que l’
action
de la salive est très lente et très faible ; ensu
ès lente et très faible ; ensuite parce que, dans tous les cas, cette
action
ne s’exerce ici que sur la fécule cuite ou hydrat
s l’influence de la salive. Nous verrons plus loin à quoi tient cette
action
particulière de la salive mixte qui ne se rencont
ire pris isolément. Je veux seulement dire ici qu’il semble que cette
action
chimique n’est pas essentielle ; je crois même qu
les causes qui peuvent accélérer les décompositions favorisent cette
action
. Toutes les causes qui arrêtent les décomposition
n. Toutes les causes qui arrêtent les décompositions arrêtent aussi l’
action
des ferments : tels sont les acides forts, l’ébul
aire d’un chien, au moment même où elle est extraite, elle n’a aucune
action
sur l’empois d’amidon pour le transformer en dext
le ne tarde pas à acquérir ses propriétés actives sur l’empois. Cette
action
n’a rien de spécial, comme nous l’avons dit plus
e propriété de transformer l’amidon en sucre, ce qui prouve que cette
action
des acides ou de l’ébullition, en empêchant au fe
tion, en empêchant au ferment de se développer, ne permet pas à cette
action
transformatrice de se manifester. C’est ce qui a
rice de se manifester. C’est ce qui a lieu aussi dans l’estomac par l’
action
du suc gastrique. Cette action de la salive sur l
qui a lieu aussi dans l’estomac par l’action du suc gastrique. Cette
action
de la salive sur l’amidon hydraté peut, dans cert
ec assez d’activité, de manière à empêcher la salive de continuer son
action
. Il arrive alors que, dans l’estomac, les matière
ives pures. — On voit la coupe de l’instrument, qui est représenté en
action
. a, conduit de Sténon venant s’ouvrir à la face i
le ganglion de Gasser de la branche maxillaire inférieure n’a pas une
action
, sur la sécrétion de la glande parotide, analogue
la digestion. 1752. BRYAN ROBINSON attribua une grande importance à l’
action
du suc pancréatique. 1755. GEORGES HEUERMANN déco
la salive et du suc pancréatique ; il nia que la première eût aucune
action
sur la digestion, et accorda seulement qu’elle se
enir en bon état les orifices des vaisseaux chylifères, à exercer une
action
dissolvante sur les aliments, d’où la nécessité d
alimentaires et à favoriser leur assimilation ; ils pensent que cette
action
est due surtout au mélange des principes azotés d
l’expérience devait vérifier, et nous fûmes amené ainsi à chercher l’
action
du suc pancréatique sur les matières grasses. On
etc. ; nous avons étudié les propriétés de ce liquide, et surtout son
action
dans les phénomènes de la digestion. Depuis cette
és de la salive, tandis qu’elles font une impression profonde sur les
actions
digestives, et en particulier sur la sécrétion pa
éaction du chlore caractéristique du suc et du tissu pancréatiques. —
Action
du chlore sur le tissu et sur le suc : 1° à l’éta
n du premier jour et le lendemain ne donnait plus de coloration par l’
action
directe du chlore. Nous avons dit plus haut que l
du suc pancréatique très ancien, ne donnant plus de coloration par l’
action
directe du chlore ; puis nous l’avons traité, com
re colorante débarrassée des substances qui peuvent la masquer. Or, l’
action
du chlore est considérée comme oxydante, et, dans
la limite, la couleur disparaît. Cependant les substances qui ont une
action
analogue à celle du chlore ne produisent pas le m
ration, il était difficile de concilier l’idée d’une oxydation avec l’
action
de cet acide. C’est pour cela que nous avons repr
ux qui agissait dans ces circonstances, et nous avons pu rapprocher l’
action
oxydante de cet acide de l’action du chlore. Nous
nces, et nous avons pu rapprocher l’action oxydante de cet acide de l’
action
du chlore. Nous avons ensuite essayé l’action de
dante de cet acide de l’action du chlore. Nous avons ensuite essayé l’
action
de l’acide azotique, et nous avons vu que cet aci
ncréatique est très ancien et que les carbonates alcalins empêchent l’
action
du chlore, l’action a toujours lieu par l’acide a
ancien et que les carbonates alcalins empêchent l’action du chlore, l’
action
a toujours lieu par l’acide azotique, parce qu’il
surtout à l’acide azotique, dont nous comprenons maintenant le mode d’
action
. Mais la matière organique du suc pancréatique, e
le du tissu de cet organe, peuvent encore être caractérisées par leur
action
spéciale sur les corps gras qu’ils acidifient rap
ns la séance prochaine. Onzième leçon 6 juin 1855. SOMMAIRE :
Action
physiologique du suc pancréatique : le suc pancré
’acidification des graisses. — Expériences à ce sujet. — Preuves de l’
action
physiologique du suc pancréatique : 1° par l’anat
du suc pancréatique : 1° par l’anatomie ; 2° par la suppression de l’
action
physiologique. — Expériences de Brunner ; elles s
ère coagulable active qui lui donne cette spécialité de propriétés. L’
action
du suc pancréatique s’exerce réellement sur toute
ses différences mêmes de position, fournir une preuve à l’appui de l’
action
spéciale du suc pancréatique. Ainsi, chez les chi
s anatomiques, nous avons une preuve bien plus directe à fournir de l’
action
spéciale du suc pancréatique sur les matières gra
l’action spéciale du suc pancréatique sur les matières grasses. Cette
action
sera démontrée par la méthode des digestions arti
allons faire l’expérience devant vous pour vous montrer combien cette
action
est rapide. Voici du suc pancréatique normal obte
rine et en acide gras. Dans le tube où du beurre avait été soumis à l’
action
du suc pancréatique, l’acide butyrique était reco
ou de l’économie que nous avons essayés n’exercent pas une semblable
action
sur les matières grasses neutres. Il est encore t
es. La salive mixte du chien et celle du cheval furent également sans
action
sur l’huile d’olive. 3e expérience. — Suc gastri
a pas eu émulsion véritable. Il est facile maintenant, en comparant l’
action
de la bile, de la salive, du suc gastrique, du sé
evenu aqueux, sans viscosité, et ne coagulant pas par la chaleur, son
action
sur les matières grasses est à peu près nulle, et
plète, et que, si ce fluide coagule encore un peu par la chaleur, son
action
sur la graisse existera, mais d’une manière impar
nner les matières grasses alors même qu’il est neutre, en vertu d’une
action
sur la graisse spéciale à sa matière organique co
survient dans l’émulsion pancréatique est également le résultat d’une
action
spéciale de sa matière coagulable sur la graisse,
butyrine. Ce corps avait donc été presque entièrement décomposé par l’
action
du suc pancréatique. (b.) Le liquide aqueux évapo
sé. Ce sel répond précisément à l’acide butyrique libre produit par l’
action
du suc pancréatique sur la butyrine. (B.) Le liqu
gras qu’il abandonne par l’évaporation. Cette matière grasse est sans
action
sur la teinture aqueuse de tournesol, mais, si l’
r éprouver encore les résultats précédents en tant que relatifs à une
action
spéciale du suc pancréatique, j’ai donné à M. Ber
nt avec les propositions physiologiques que nous avons établies sur l’
action
du suc pancréatique sur les matières grasses, et
ns de ces faits. Tout ce que nous avons dit jusqu’ici se rapporte à l’
action
du suc pancréatique sur la graisse en dehors de l
sse en dehors de l’animal vivant. Nous allons maintenant examiner son
action
chez l’animal vivant. Et, d’après ce qui a été ét
se trouvant toujours à l’état normal, il sera facile de constater son
action
spéciale sur les matières grasses neutres aliment
aux lactés blancs, parce que la suppression absolue de la sécrétion d’
action
du pancréas est difficile à obtenir complète, car
alors à injecter la matière même sur laquelle le pancréas exerce une
action
, la matière grasse, espérant que le tissu de l’or
de se distinguait également de la salive mixte en ce qu’il était sans
action
sur l’eau d’empois d’amidon. Dans ces deux cas la
es. — Absorption du sucre, des matières albuminoïdes, des graisses. —
Action
du suc pancréatique sur les matières féculentes.
lentes. Messieurs, Nous avons dit, dans la séance précédente, que l’
action
du suc pancréatique sur les matières grasses, en
ent des conduits pancréatiques et biliaires, éloignement qui permet l’
action
isolée de ces deux fluides. Nous devons maintenan
e ces deux fluides. Nous devons maintenant nous occuper de cette même
action
du suc pancréatique sur les matières grasses à un
e lymphe ; — d, globule du sang. Nous venons de montrer que cette
action
mécanique s’exerce dans l’intestin sur l’animal v
déversement du suc pancréatique. Il faudrait chercher maintenant si l’
action
chimique a également lieu dans le canal intestina
cide gras et glycérine, soit effectuée. Mais avant de savoir si cette
action
existe, nous devons examiner encore à quel état l
r dans le vaisseau chylifère central, et cela serait le produit d’une
action
des cellules d’épithélium, chargées de recevoir l
ents de nutrition de l’animal. Maintenant, Messieurs, nous avons vu l’
action
physique et l’action chimique du suc pancréatique
l’animal. Maintenant, Messieurs, nous avons vu l’action physique et l’
action
chimique du suc pancréatique dans l’émulsion et l
acidification des matières grasses. Nous nous sommes demandé si cette
action
était spéciale à ce liquide et si d’autres fluide
aleur même au point de vue de la réalité du phénomène mis en avant. L’
action
du suc pancréatique sur les matières grasses, qui
mbre d’autres petites glandules jouant le même rôle. Mais leur faible
action
n’empêche pas la plus grande partie de la matière
à vides de leur fécule, ainsi qu’on peut le voir dans la figure 45. L’
action
du suc pancréatique sur la fécule se prouve encor
l’enveloppe seule devient jaune. Le suc pancréatique a encore une
action
importante qu’il nous resterait à examiner : c’es
t quand on les met en contact avec le suc pancréatique. Mais si cette
action
est essayée sur les mêmes matières après qu’elles
e qui vous sera clairement démontré plus tard quand nous étudierons l’
action
du suc pancréatique non plus isolément, mais dans
M. Blondlot, etc. Messieurs, Jusqu’à présent nous avons considéré l’
action
du suc pancréatique historiquement, et, après avo
acidifie pas. Mais quand même le liquide intestinal aurait une légère
action
émulsive, ce que je n’ai jamais nié, puisque mes
suc pancréatique, que cette objection n’a aucune valeur, parce que l’
action
du suc pancréatique représente l’activité de la d
irmé nos expériences en montrant que la graisse était acidifiée par l’
action
de ce liquide. Herbst a plus récemment fait une o
astrique émulsionne la graisse, et que le suc pancréatique n’a aucune
action
sur elle. Il doit montrer également que le suc ga
e, après nous, a constaté les mêmes propriétés, et particulièrement l’
action
acidifiante que ce liquide exerce sur la graisse,
les matières grasses. Mais nous savons déjà ce qu’il faut penser de l’
action
du suc pancréatique sur les autres aliments, et n
tissu pancréatique sont de plusieurs ordres : les unes relatives à l’
action
du tissu pancréatique sur la graisse ; les autres
sous l’influence de divers agents chimiques. Nous commencerons par l’
action
sur la graisse du tissu pancréatique, ou du suc a
ramenée au rouge, et servir par conséquent d’indice à la spécialité d’
action
qu’exerce le tissu du pancréas. L’expérience répo
pointe d’une aiguille, de manière qu’il soit bien imbibé d’alcool. L’
action
de l’alcool, dans ce cas, a pour but d’enlever l’
de ou une autre substance alcaline, le chlore cesse de manifester son
action
. Il faut, pour faire reparaître la matière colora
uence du chlore ou de l’acide nitrique, il est probable que c’est une
action
oxydante, analogue à ce qui a lieu pour d’autres
ière à en faire de l’empois, car si la fécule n’était pas hydratée, l’
action
n’aurait pas lieu, et d’y ajouter du tissu pancré
ens de se le procurer. — Composition chimique du suc gastrique. — Son
action
sur les divers aliments. — Sur les matières grass
s la dernière séance que les digestions artificielles, c’est-à-dire l’
action
des liquides digestifs étudiés séparément sur les
ent un mélange de tous les liquides les uns avec les autres, mais une
action
successive et déterminée par la position qu’occup
verrons que, dans le mélange successif des liquides, il se passe des
actions
mixtes qui sont le résultat du mélange de plusieu
actions mixtes qui sont le résultat du mélange de plusieurs liquides,
actions
qu’on n’avait pas pu prévoir par le procédé des d
pendant tenir compte dans les phénomènes ultérieurs, et à propos de l’
action
finale du suc pancréatique. Le suc gastrique est
euret et Lassaigne. Chez l’homme même, on eut l’occasion d’observer l’
action
et les propriétés du suc gastrique, et W. Beaumon
, et nous nous hâtons d’arriver à l’étude de ses propriétés et de son
action
chimique sur les aliments. Le suc gastrique est u
rique, qui ne réside ni dans l’un ni dans l’autre, et résulte de leur
action
simultanée. En effet, si l’on neutralise le suc g
que la suppression de l’un de ces agents suffit pour détruire toute l’
action
du suc gastrique. On a beaucoup discuté sur la na
t le liquide digestif unique : mais comme le suc gastrique n’a qu’une
action
très limitée dans les phénomènes de la digestion,
ve, ainsi que nous le verrons en étudiant plus tard comparativement l’
action
des différents sucs gastriques. Avant d’examiner
ur les matières grasses à l’état liquide, le suc gastrique n’a aucune
action
. Pour celles qui sont encore contenues dans des v
c le suc gastrique. Quant aux aliments azotés, le suc gastrique a une
action
très évidente sur eux. La viande, par exemple, se
ucoup d’autres éléments complexes sur lesquels le suc gastrique a une
action
particulière : tel est, par exemple, le lait coag
fin, il y a des substances sur lesquelles le suc gastrique n’a aucune
action
: telles sont les matières épidermiques végétales
sont les matières épidermiques végétales et animales. Dans toutes ces
actions
, le suc gastrique agit par ses deux éléments, et
es ces actions, le suc gastrique agit par ses deux éléments, et cette
action
peut être regardée comme physiologique. Il peut c
vait pas le mélanger à des solutions alcalines qui neutraliseraient l’
action
du suc gastrique sur le fer. Ces considérations p
e l’acide du suc gastrique, mais les glandules ont été excitées par l’
action
de l’alcali à en sécréter une beaucoup plus grand
se sécrètent. Telle est en résumé, et d’une manière très succincte, l’
action
apparente du suc gastrique sur les principales ma
entaires ; nous aurons plus tard à considérer l’essence même de cette
action
. Les modifications dont nous venons de parler son
les avons indiquées que pour voir maintenant par comparaison si cette
action
est la même quand le suc gastrique est mélangé av
est la même quand le suc gastrique est mélangé avec la salive, dont l’
action
précède la sienne, et avec les autres fluides qui
is de l’estomac. — Grenouilles et anguilles digérées vivantes. — De l’
action
combinée de la salive et du suc gastrique. — De l
la salive et du suc gastrique. — De la rapidité de l’acte stomacal. —
Action
réciproque des aliments. — Qualités différentes d
astrique avec le mucus et la salive apporte une modification dans son
action
. Mais avant, nous devons rappeler une question qu
i, au lieu d’être à jeun, le chien eût été en pleine digestion, cette
action
digestive aurait marché bien plus rapidement. Qu’
otecteur de l’épithélium, montre que la vie n’est pas un obstacle à l’
action
du suc gastrique, qui se produit énergiquement su
salive peuvent, mises en contact avec du suc gastrique, en éprouver l’
action
plus facilement que des substances qui n’ont pas
ique, en rendant le contact du suc gastrique plus étendu, a rendu son
action
plus intense. Cette dernière supposition paraît ê
iture mécaniquement une substance alimentaire, et qu’on la soumet à l’
action
du suc gastrique, elle s’y altère à peu près auss
s aliments et les a digérés. De tout cela, nous devons conclure que l’
action
de la salive n’intervient pas sensiblement dans l
de quitter les phénomènes de la digestion stomacale, et d’examiner l’
action
que les fluides versés dans le duodénum exercent
uc gastrique, en un mot, a opéré chez tous sur les mêmes aliments une
action
identique. Les expériences que nous avons rapport
s expériences que nous avons rapportées dans la dernière séance sur l’
action
du suc gastrique sont relatives à l’action du suc
s la dernière séance sur l’action du suc gastrique sont relatives à l’
action
du suc gastrique du chien. Nous avons essayé de r
s se séparent ensuite longitudinalement, comme on le voit en d. L’
action
de ces différentes espèces de sucs gastriques n’e
endant admettre qu’il y a des différences dans l’énergie et le mode d’
action
de ce liquide. L’énergie paraît être en rapport a
la dernière leçon. Si nous voulons maintenant nous rendre compte de l’
action
intime du suc gastrique sur les aliments, nous po
cuisson dans l’eau bouillante. En effet, examinons comparativement l’
action
de la cuisson à l’eau bouillante, et celle du suc
es matières azotées, sur lesquelles le suc gastrique paraît avoir une
action
plus spéciale. Nous avons dit que le suc gastriqu
strique dans la préparation microscopique des tissus. La preuve que l’
action
du suc gastrique dissout une matière gélatineuse
aisse ; — e, e, e, fécule ; — q, granulations moléculaires. Cette
action
a lieu surtout parce qu’on diminue l’acidité du s
llition produit exactement le même effet, en sorte qu’en définitive l’
action
la plus générale que le suc gastrique semble exer
ur toutes les substances alimentaires serait de leur faire éprouver l’
action
que produit l’ébullition prolongée (fig. 59.)
(fig. 59.) Dix-septième leçon 27 juin 1855. SOMMAIRE : — De l’
action
combinée de la bile et du suc gastrique. — Réacti
cupro-potassique en présence de l’albuminose. — Sécrétion biliaire. —
Action
de la bile sur les matières azotées. — Influence
animal ; la sécrétion aurait eu lieu, car elle dépend uniquement de l’
action
physique exercée par le contact d’une substance q
res musculaires dissociées. C’est cette désagrégation qui constitue l’
action
du suc gastrique. Mais si l’on ajoute de la bile
duodénum, comme pour leur faire subir d’une manière plus prolongée l’
action
des liquides digestifs qui s’y rencontrent. Dans
s liquides digestifs qui s’y rencontrent. Dans cette précipitation, l’
action
du suc gastrique a complétement été annihilée, de
le liquide qui passe à travers le filtre, on n’a plus aucune espèce d’
action
digestive, bien qu’on acidule ce liquide, s’il s’
e suc gastrique, a de nouveau été précipitée à l’état insoluble par l’
action
de la bile. C’est, en effet, le suc pancréatique
it un moyen sûr de reconnaître lorsqu’une matière azotée avait subi l’
action
du suc gastrique, parce qu’alors elle avait acqui
astrique et la bile, sans qu’on ait pu déterminer au juste son mode d’
action
. Nous avons dit ailleurs qu’il va dans le duodénu
s acidifie pas. Quoi qu’il en soit, nous allons maintenant examiner l’
action
de la bile et des autres liquides intestinaux sur
dans cet état, sans pourrir, ce qui a fait dire que la bile avait une
action
antiseptique ou antiputride ; de sorte que la bil
étés du suc gastrique dont le rôle finit au pylore, sans que jamais l’
action
se continue dans l’intestin, excepté lorsque la b
la bile reflue dans l’estomac en assez grande quantité. Mais après l’
action
de la bile il intervient d’autres fluides dont no
éparatoire ; l’autre, la digestion intestinale, qui est définitive. L’
action
de la bile s’interpose entre ces deux digestions,
la digestion. Il est important de savoir quelle idée on se fait de l’
action
du système nerveux sur un phénomène chimique. Nou
nerveux sur un phénomène chimique. Nous examinerons successivement l’
action
du système nerveux sur les mouvements du canal in
ux, et l’on eut encore le même résultat ; ce qui prouverait que cette
action
sur les intestins se fait par action réflexe et p
at ; ce qui prouverait que cette action sur les intestins se fait par
action
réflexe et par l’intermédiaire de la moelle. En e
lle. Quant aux influences que les phénomènes chimiques reçoivent de l’
action
nerveuse, elles sont encore très peu connues. On
étion biliaire et pancréatique est peu étudiée : cependant il y a des
actions
nerveuses qui font couler plus activement la bile
i font couler plus activement la bile ou le suc pancréatique ; et ces
actions
sont généralement sous l’influence du grand sympa
que les mouvements de l’intestin grêle et de l’estomac. En résumé, l’
action
des nerfs sur les sécrétions est encore fort obsc
es faits que nous connaissons, on doit la considérer plutôt comme une
action
mécanique destinée à mettre en mouvement des liqu
ésultat de leurs propriétés physico-chimiques. Mais le nerf n’a pas d’
action
spéciale sur la formation de la matière elle-même
e, formation qui a lieu par une évolution organique indépendante de l’
action
du système nerveux, ainsi que cela se voit dans l
estion intestinale : bol alimentaire après l’imprégnation biliaire. —
Action
du suc pancréatique et de la bile réunis. — Ident
anément avec elle, est le suc pancréatique, dont nous avons examiné l’
action
isolément, et dont nous devons étudier maintenant
ue nous y ajoutions du suc pancréatique, après les avoir soumises à l’
action
de la bile, nous voyons la digestion s’opérer ; c
nous voyons la digestion s’opérer ; ce qui n’aurait pas eu lieu si l’
action
de la bile n’était pas intervenue et si le suc pa
s avons indiqué : 1° suc gastrique ; 2° bile ; 3° suc pancréatique. L’
action
que le suc pancréatique exerce sur les matières a
c pancréatique exerce sur les matières azotées ne paraît pas être une
action
qui lui soit propre, puisqu’il ne peut l’opérer q
ce qui a lieu, et nous avons dans le duodénum et dans l’intestin des
actions
physiologiques qu’on ne pourrait rapporter ni à l
ntestin des actions physiologiques qu’on ne pourrait rapporter ni à l’
action
du suc gastrique seul, dont les propriétés ont ce
es propriétés ont cessé au pylore, ainsi que nous l’avons dit, ni à l’
action
isolée du suc pancréatique, mais à son action sim
ous l’avons dit, ni à l’action isolée du suc pancréatique, mais à son
action
simultanée avec la bile. On peut, en effet, prouv
ères grasses, il prend une réaction acide. Cette réaction est due à l’
action
spéciale du suc pancréatique sur les matières gra
avons vu ailleurs que le suc gastrique présente des variétés dans son
action
chez les herbivores et chez les carnivores, tandi
ières albumineuses, il faut que celles-ci aient été modifiées par une
action
semblable à celle qu’opère le suc gastrique. Or n
matières alimentaires à la manière de la cuisson. Si cela est vrai, l’
action
du suc gastrique devra pouvoir être remplacée par
strique devra pouvoir être remplacée par la cuisson, relativement à l’
action
du liquide que nous examinons. C’est en effet ce
u’on ne l’avait fait, et, au lieu de voir en lui un liquide qui a une
action
isolée sur une substance alimentaire unique, nous
r importance. Maintenant nous allons revenir, après cette analyse des
actions
différentes des liquides, sur l’explication des p
héliales de l’intestin grêle. Actuellement que nous avons considéré l’
action
du suc pancréatique en connexion avec les autres
ativement à une alimentation déterminée, on pourrait supposer que son
action
est relative au développement des épithéliums et
on alimentaire ; — E, estomac où les aliments séjournent pour subir l’
action
du suc gastrique ; ils arrivent ensuite dans le d
strique ; ils arrivent ensuite dans le duodénum, où ils subissent les
actions
de la bile, du suc pancréatique ; ils traversent
ie des animaux, on doit toujours retrouver les mêmes liquides doués d’
action
déterminée, sécrétés par des organes physiologiqu
des matières grasses et à favoriser leur absorption. En effet, cette
action
spéciale d’émulsionner et d’acidifier la graisse
les reptiles, on doit cependant penser que ce fluide exerce les mêmes
actions
sur la digestion intestinale en se mélangeant ave
, comme cela a été dit pour les autres animaux, sous l’influence de l’
action
fermentescible du suc pancréatique. Mais l’absorp
expériences tendent évidemment à démontrer que le pancréas exerce une
action
chimique sur les aliments, et que cette action n’
le pancréas exerce une action chimique sur les aliments, et que cette
action
n’est pas limitée à une seule classe de matières,
orte que la fonction intermédiaire que nous signalons ici n’est pas l’
action
directe du tissu du foie sur le sang qui le trave
positions académiques, contraintes, apprêtées, arrangées, toutes ces
actions
froidement et gauchement exprimées par un pauvre
r par un professeur, qu’ont-elles de commun avec les positions et les
actions
de la nature ? Qu’ont de commun l’homme qui tire
elui qui n’ayant pas le même fardeau à tirer, simule gauchement cette
action
, avec ses deux bras en haut, sur l’estrade de l’é
a. Cependant la vérité de nature s’oublie, l’imagination se remplit d’
actions
, de positions et de figures fausses, apprêtées, r
ns y retrouver par-ci par-là quelques-unes de ces figures, positions,
actions
, attitudes académiques qui déplaisent à la mort à
ement et du repentir. Demain allez à la guinguette ; et vous verrez l’
action
vraie de l’homme en colère. Cherchez les scènes p
isons, et vous y prendrez des idées justes du vrai mouvement dans les
actions
de la vie. Tenez, regardez vos deux camarades qui
tre quelque chose. Autre chose est une attitude, autre chose est une
action
. Toute attitude est fausse et petite ; toute acti
tre chose est une action. Toute attitude est fausse et petite ; toute
action
est belle et vraie. Le contraste mal entendu est
iéré. Il n’y a de véritable contraste que celui qui naît du fond de l’
action
, ou de la diversité soit des organes soit de l’in
nous apprendre de la vérité, elle ne peut nous servir que de règle d’
action
. On reconnaît là la théorie philosophique connue
te est impossible. Peut-être devrons-nous conclure au « primat » de l’
action
; toujours est-il que c’est notre intelligence qu
ue c’est notre intelligence qui conclura ainsi ; en cédant le pas à l’
action
, elle gardera de la sorte la supériorité du rosea
cisément de savoir, c’est si elle sera. § 2. — La science, règle d’
action
Pour M. Le Roy, la science n’est qu’une règle
ce, règle d’action Pour M. Le Roy, la science n’est qu’une règle d’
action
. Nous sommes impuissants à rien connaître et pour
pour tirer à pile ou face. La règle du tric-trac est bien une règle d’
action
comme la science, mais croit-on que la comparaiso
’aurait pas été moins bonne. Au contraire, la science est une règle d’
action
qui réussit, au moins généralement et, j’ajoute,
Si donc les « recettes » scientifiques ont une valeur, comme règle d’
action
, c’est que nous savons qu’elles réussissent, du m
st parce qu’elle prévoit qu’elle peut être utile et servir de règle d’
action
. J’entends bien que ses prévisions sont souvent d
Si la science ne réussissait pas, elle ne pourrait servir de règle d’
action
; d’où tirerait-elle sa valeur ? De ce qu’elle es
ne permet pas de prévoir, et alors elle est sans valeur comme règle d’
action
; ou bien elle permet de prévoir d’une façon plus
ns valeur comme moyen de connaissance. On ne peut même pas dire que l’
action
soit le but de la science ; devons-nous condamner
irius, sous prétexte que nous n’exercerons probablement jamais aucune
action
sur cet astre ? À mes yeux au contraire, c’est la
? À mes yeux au contraire, c’est la connaissance qui est le but, et l’
action
qui est le moyen. Si je me félicite du développem
nc servir à rien, ni comme moyen de connaissance, ni comme principe d’
action
. Quand je dis : le phosphore fond à 44°, je veux
clurait alors que la loi en question, qui peut nous servir de règle d’
action
à nous qui habitons la Terre, n’a cependant aucun
grands principes dont l’origine est analogue, et comme leur « rayon d’
action
» pour ainsi dire est moins grand, on n’a plus de
énètre entre les molécules de notre matière à nous, sans avoir aucune
action
sur elle ni sans subir aucune action qui en vienn
atière à nous, sans avoir aucune action sur elle ni sans subir aucune
action
qui en vienne. Je suppose que des êtres soient se
e de la scène extérieure, se laisse apercevoir au fond du théâtre une
action
moins animée, moins brillante, moins intéressante
e de physiologie sociale où la personnalité nationale s’efface sous l’
action
sourde, incessante et irrésistible des causes éco
ette force des choses dont la science moderne nous montrera si bien l’
action
toujours dominante et parfois écrasante. Les pers
lle toute l’indépendance, toute l’énergie, toute l’initiative de leur
action
individuelle. Ce n’est point à dire que la réalit
lès, Démosthène, Alexandre, Caton, César, ne doutent point, dans leur
action
politique ou militaire, des effets de leur éloque
s orateurs, les hommes d’État, les hommes de guerre, avaient donc une
action
très-grande sur les destinées de la république. I
iècle où l’on avait une foi si entière à l’influence des idées et à l’
action
des volontés, et qui a fini par un drame révoluti
t, saisir les mêmes traits, les mêmes caractères dans cette variété d’
actions
, de pensées, d’institutions, de mœurs, de langues
omère, Romulus, ne sont qu’une personnification des sentiments et des
actions
de leur époque ou de leur nation, chose dont l’an
où l’influence des causes économiques et physiques se combine avec l’
action
des causes morales et personnelles pour produire
le travail interne des causes ethnographiques et économiques, double
action
qui concourt, avec les causes politiques et moral
les voyaient et ne les représentaient que dans l’indépendance de leur
action
politique, ou bien que dans l’originalité de leur
ère les acteurs apparaissent les causes. Où Hérodote n’avait vu que l’
action
des hommes dans la lutte entre la Grèce et l’Orie
Césars, tout cela en vertu de nécessités supérieures qui ont dominé l’
action
des individus et des partis. Ceci n’empêche point
me celui du chœur antique qui pouvait au moins mêler ses plaintes à l’
action
des personnages. En historien économiste, Sismond
e les acteurs d’un pareil drame n’ont jamais eu leur pleine liberté d’
action
, soit pour le mal, soit pour le bien, dans le for
rque ; ils ne conservent, dans leur éloquence passionnée ou dans leur
action
furieuse, que tout juste ce qu’il faut de conscie
r de fort et de durable sans le concours de ces grandes forces dont l’
action
sourde et invisible n’en est pas moins souveraine
e rôle que lui assignait l’antiquité dans la destinée des sociétés. L’
action
de cette fatalité, connue sous le nom de force de
ctateur d’un tel drame plus de curiosité d’observation que de désir d’
action
personnelle. Un éminent critique de notre temps,
espèce, physiques, physiologiques, économiques, sociales, qui ont une
action
si générale, si irrésistible par leur permanence
on Quichotte ? La conscience est là, dira-t-on, pour vous commander l’
action
. « Fais ce que dois, advienne que pourra. » Sans
sion conservera-t-il dans ce rôle de pure protestation ? Pour aimer l’
action
, pour s’y mettre tout entier, l’homme a besoin de
mettre tout entier, l’homme a besoin de croire à un résultat de cette
action
; il entend faire une œuvre efficace dans la mesu
é, fait voir aussi le progrès qui tend à substituer de plus en plus l’
action
des forces vraiment morales, des sentiments et de
’action des forces vraiment morales, des sentiments et des idées, à l’
action
de ces forces aveugles qu’on nomme les instincts
intelligente, toujours accessible, même dans les jours de crise, à l’
action
des sentiments et des idées, la dictature, nous e
non-seulement fait son devoir, mais accompli le bien dans sa sphère d’
action
. A chacun sa tâche : aux grands hommes, aux Péric
c à des chefs n’ayant plus la conscience nette ni l’entière liberté d’
action
. Aux hommes qui voulaient diriger le mouvement ré
s chapitres de ce livre : c’est que le corps, toujours orienté vers l’
action
, a pour fonction essentielle de limiter, en vue d
té vers l’action, a pour fonction essentielle de limiter, en vue de l’
action
, la vie de l’esprit. Il est par rapport aux repré
els nous aurions prise : notre perception, qui mesure justement notre
action
virtuelle sur les choses, se limite ainsi aux obj
celui qui complétera et éclaircira la situation présente en vue de l’
action
finale. Il est vrai que cette seconde sélection e
n’en est pas moins vrai que l’orientation de notre conscience vers l’
action
paraît être la loi fondamentale de notre vie psyc
perception pure ? En faisant de l’état cérébral le commencement d’une
action
et non pas la condition d’une perception, nous re
ute dénaturée, arrangée en tout cas pour la plus grande facilité de l’
action
et du langage. Justement parce que ce morcellemen
nde commodité de la connaissance usuelle. Alors nous avons cru voir l’
action
sortir de ses antécédents par une évolution sui g
r une évolution sui generis, de telle sorte qu’on retrouve dans cette
action
les antécédents qui l’expliquent, et qu’elle y aj
as exceptionnel et unique où nous spéculons sur la nature intime de l’
action
, c’est-à-dire dans la théorie de la liberté. Une
écoupé artificiellement. Bien plus, en démontrant de mieux en mieux l’
action
réciproque de tous les points matériels les uns s
vrait à l’infini. Elle représente, en effet, une forme ordinaire de l’
action
utile, mal à propos transportée dans le domaine d
-on jusqu’à des corpuscules, artificiels comme le corps lui-même, les
actions
et réactions de ce corps vis-à-vis de tous les au
tome comme solide, plutôt que liquide ou gazeux, ni de nous figurer l’
action
réciproque des atomes par des chocs plutôt que de
a science ait mise au-dessus de toute contestation, c’est celle d’une
action
réciproque de toutes les parties de la matière le
nguions, dans notre expérience journalière, des choses inertes et des
actions
exercées par ces choses dans l’espace. Comme il n
deviennent pour nous sa limite réelle, et nous voyons alors dans son
action
un je ne sais quoi qui s’en détache et en diffère
ction de ce rythme particulier de durée qui était la condition de mon
action
sur les choses, ces choses rentrent en elles-même
qui lie tous les objets de l’univers matériel, la perpétuité de leurs
actions
et réactions réciproques, prouve assez qu’ils n’o
la forme de leur résidu ; elle les termine au point où s’arrête notre
action
possible sur eux et où ils cessent, par conséquen
u des choses. Elle prolonge le passé dans le présent, parce que notre
action
disposera de l’avenir dans l’exacte proportion où
tion, grossie par la mémoire, aura contracté le passé. Répondre à une
action
subie par une réaction immédiate qui en emboîte l
damentale de la matière : en cela consiste la nécessité. S’il y a des
actions
libres ou tout au moins partiellement indéterminé
e leur perception et le degré de leur liberté. L’indépendance de leur
action
sur la matière ambiante s’affirme de mieux en mie
duire enfin des changements véritables ; ce sont les schèmes de notre
action
sur la matière. La première erreur, celle qui con
de division et de solidification introduits dans le réel en vue de l’
action
, et non de la connaissance, qui attribuerait aux
is si la divisibilité de la matière est tout entière relative à notre
action
sur elle, c’est-à-dire à notre faculté d’en modif
dépouillons davantage de ce qu’on pourrait appeler les préjugés de l’
action
: la sensation reconquiert l’extension, l’étendue
si, à mesure qu’il évolue ainsi vers l’actualité, c’est-à-dire vers l’
action
, l’état d’âme se rapproche davantage de l’extensi
ments de cette matière pour s’en servir et pour se manifester par des
actions
qui sont la raison d’être de son union avec le co
entre la matière et l’esprit pleinement développé, l’esprit capable d’
action
non seulement indéterminée, mais raisonnable et r
30-33. 100. En particulier Newton. 101. Voir, à ce sujet, MAXWELL,
Action
at a distance (Scientific papers, Cambridge, 1890
arpenter. — Expériences du Dr Tuke. — Prédominance des images et de l’
action
des hémisphères. V. Conséquences. — Présence des
composées de sensations plus élémentaires, qu’à côté de celles-ci les
actions
réflexes en indiquent d’autres rudimentaires égal
, nous construisons des objets idéaux. Voilà les principaux groupes d’
actions
qui sont des connaissances. — Comment un être com
xplications verbales, héritage des scolastiques. Expliquer une de ces
actions
, c’est en démêler les éléments, montrer leur ordr
du nerf, ce qui a lieu dans l’illusion des amputés ; supprimez toute
action
du nerf, ce qui a lieu dans l’hallucination propr
lucination proprement dite ; ne laissez subsister que la sensation ou
action
des centres sensitifs, il y a hallucination, et p
ant jugement affirmatif. — Au contraire, supprimez cette sensation ou
action
des centres sensitifs, en gardant tous les autres
ment affirmatif se produise, il faut et il suffit que la sensation ou
action
des centres sensitifs se produise. — En ceci, les
’homme au suicide et détruirait l’harmonie ordinaire qui ajuste notre
action
à la marche de l’univers. III De là suit un
squ’aux centres sensitifs est celle des rayons rouges. Et cependant l’
action
des centres sensitifs est celle que provoqueraien
et jaunâtres, tels qu’en lancerait une véritable tête de mort. Cette
action
des centres sensitifs, en d’autres termes cette s
ssion de la rétine est propagée le long des nerfs optiques, lorsque l’
action
des centres sensitifs y correspond, la sensation
ciale et simple, desquels on ne peut rien dire, sinon qu’ils sont une
action
et un rapport, l’action d’un être simple, qui, pa
s on ne peut rien dire, sinon qu’ils sont une action et un rapport, l’
action
d’un être simple, qui, par eux, entre en rapport
entôt faite ; il n’y a rien à chercher ni à trouver dans une pareille
action
, puisqu’elle est simple ; une fois qu’on l’a nomm
rception extérieure, ni les autres prises de connaissance ne sont des
actions
simples qui s’appliquent et se terminent à des ob
de qui corresponde à tel sentiment, qui soit le commencement de telle
action
, qui indique la présence de tel objet ; spontaném
mplète cette attitude, et aussitôt il éprouve le sentiment, il fait l’
action
, il croit à la présence de l’objet. — Vous penche
’est l’idée de boxer qui surgit. » Et aussitôt l’hypnotisé complète l’
action
, je veux dire qu’il se met à boxer, à soulever pé
ensante. Tous sont des fantômes d’objets extérieurs, des simulacres d’
action
, des semblants de sensation, reconnus à l’instant
de la vie. Telle est la manière dont j’ai envisagé depuis longtemps l’
action
des substances toxiques1, et suivant laquelle je
les procédés de préparation fussent complétement perdus. Quant à son
action
sur les êtres vivants, le curare a toujours été r
entourer de merveilleux l’histoire de ce poison, dont l’origine et l’
action
étaient mal connues. Ici notre tâche sera de dépo
s flèches sur des animaux qui fuient ; néanmoins la paralysie due à l’
action
du poison arrive assez vite pour que l’animal s’a
près il était mort. « En un mot, dit Watterton, depuis le moment où l’
action
du poison commença à se montrer chez le paresseux
s un instant dans cette machine vivante qui va devenir le théâtre des
actions
délétères que nous nous proposons de définir et d
, cachée à nos regards. Elles ne sont toutes que des résultantes de l’
action
réciproque et simultanée d’un grand nombre de par
t jamais l’organisme d’emblée et dans sa totalité ; mais il porte son
action
toxique et paralysante sur un élément organique e
ment nerveux moteur, et l’élément musculaire. Le point de départ de l’
action
physiologique se trouve dans l’élément nerveux se
a fibre musculaire, d’où résulte finalement la contraction. Dans leur
action
d’ensemble, ces éléments ont des relations tellem
’abord sur quel élément organique particulier du corps il a porté son
action
toxique, et à déterminer ensuite le mécanisme par
ivens et l’organe ultimum moriens. En outre la démonstration de cette
action
nette et caractéristique du curare, qui tue l’élé
les se sont trouvées successivement refoulées et comme envahies par l’
action
paralytique du poison. En effet, dans ce corps sa
que. Rappelons-nous pour un instant que le curare ne peut exercer son
action
toxique qu’après avoir été porté par les artères
agination des poëtes a inventé se trouve produit dans la nature par l’
action
du poison américain. Nous pouvons même ajouter qu
. Dans notre analyse physiologique, nous sommes arrivés à localiser l’
action
du poison américain sur l’élément nerveux moteur
a substance toxique imprime à l’élément organique pour en paralyser l’
action
. Quant à présent, nous ignorons complétement quel
s par des procédés physiologiques dont la science comprend et règle l’
action
. Si la blessure a eu lieu dans un membre, la prem
. Cet envahissement progressif de l’appareil locomoteur provient de l’
action
d’une dose graduellement croissante de poison int
qu’il y a des éléments nerveux moteurs qui sont plus accessibles à l’
action
du curare que d’autres. En effet, bien qu’il s’ag
propriétés d’un élément organique, les excite à petite dose. Quand l’
action
du curare est arrivée à son summum, l’élimination
sons violents, à entrer dans la classe des remèdes héroïques ; mais l’
action
thérapeutique des poisons, qui est encore aujourd
scientifiquement que par l’étude physiologique des empoisonnements. L’
action
médicamenteuse n’est au fond qu’un empoisonnement
ganisation qu’il faut remonter pour saisir le mécanisme de toutes ces
actions
. Ces recherches sont longues et entourées de diff
isée, et en nous soumettant à ces lois nous pourrons faire varier les
actions
qui en dépendent. Les physiciens et les chimistes
essaires à donner, car elles nous aideront à mieux faire comprendre l’
action
du système nerveux sur le cœur. Nous devons déjà
s dans tous les organes musculaires du corps, tandis qu’ils sont sans
action
sur les battements du cœur. J’ai décrit dans la R
ceptible pour un observateur non prévenu. En outre, à la suite de ces
actions
légères ou modérées, les battements cardiaques re
our lent et plus ou moins difficile de ses battements, tandis que les
actions
modérées ne provoquent qu’un arrêt extrêmement fu
fs moteurs, qu’ils soient volontaires ou involontaires, subissent son
action
réflexe. On a appelé réflexes toutes les actions
taires, subissent son action réflexe. On a appelé réflexes toutes les
actions
sensitives qui réagissent sur les nerfs moteurs e
eur. Il serait inutile de nous étendre davantage sur le mécanisme des
actions
nerveuses réflexes, qui forment aujourd’hui une d
r que tous les mouvements involontaires sont le résultat de la simple
action
de la sensibilité ou du nerf sensitif sur le nerf
turel, qui est la volonté ou la sensibilité ; mais les résultats de l’
action
nerveuse motrice sont toujours les mêmes. On verr
grenouille, on n’arrête pas le cœur en pinçant la peau : il faut des
actions
beaucoup plus énergiques. Mais chez des animaux é
mais il est devenu en outre un centre où viennent retentir toutes les
actions
nerveuses sensitives. Les influences nerveuses qu
surface nerveuse la plus délicate de toutes : d’où il résulte que les
actions
sensitives qui proviennent de cette source sont c
l’arrêt léger du cœur est suivi d’une intensité plus grande dans son
action
, il y a distribution d’une plus grande quantité d
Chez les animaux à sang chaud, c’est tout différent : la cessation d’
action
du cœur amène très-rapidement la disparition des
te le point de départ de l’impression nerveuse sensitive ; mais par l’
action
réflexe sur les nerfs moteurs du cœur l’influence
culminants de la machine vivante sont dans des rapports incessants d’
action
et de réaction. Le cœur et le cerveau se trouvent
ion. Le cœur et le cerveau se trouvent dès lors dans une solidarité d’
actions
réciproques des plus intimes, qui se multiplient
. Les sentiments que nous éprouvons sont toujours accompagnés par des
actions
réflexes du cœur ; c’est du cœur que viennent les
sent le cœur au cerveau venaient à être détruits, cette réciprocité d’
action
serait interrompue, et la manifestation de nos se
On sait que par sa volonté l’homme peut arriver à dominer beaucoup d’
actions
réflexes dues à des sensations produites par des
sentiments moraux. L’homme peut arriver par la raison à empêcher les
actions
réflexes sur son cœur ; mais plus la raison pure
nt tendrait à s’éteindre. La puissance nerveuse capable d’arrêter les
actions
réflexes est en général moindre chez la femme que
lité entre les conditions des fonctions vitales et les conditions des
actions
minérales, il faut au contraire constater entre c
és du milieu intra-organique. Quand un médicament exerce sur nous son
action
, ce n’est point dans notre estomac qu’il agit, ma
s en physiologie, m’a servi à déterminer d’une manière plus précise l’
action
des substances toxiques sur les divers éléments d
chine admirable, douée des propriétés les plus merveilleuses, mise en
action
à l’aide des mécanismes les plus complexes et les
struction de l’organisme par suite de la rupture ou de la cessation d’
action
d’un ou de plusieurs de ces mécanismes vitaux.
les elles empruntent leurs procédés d’investigation et leurs moyens d’
action
. Le corps vivant est pourvu sans doute de proprié
t leur déterminisme, c’est-à-dire leurs moyens de manifestations et d’
action
, dans les conditions physico-chimiques des milieu
e l’intelligence. De même, quand nous savons que le frottement et les
actions
chimiques développent l’électricité, cela nous in
és, rien ne se passe dans le liquide ; la levure engourdie reste sans
action
sur le sucre, et il ne se forme ni acide carboniq
lité harmonique et préétablie dans le corps organisé, dont toutes les
actions
partielles sont solidaires et génératrices les un
cesse renaissant, jusqu’à l’heure où le dérangement ou la cessation d’
action
d’un élément organique nécessaire amène un troubl
amènent à un déterminisme complexe, ayant pour déterminisme initial l’
action
physico-chimique du poison sur un élément organis
r les nerfs sensitifs périphériques, venant retentir sur l’organe par
action
réflexe, peut être remplacée par une excitation p
rme pour opérer l’anesthésie. Dans la première période excitante de l’
action
chloroformique, on voit le cerveau se congestionn
enlevée par un verre de montre exactement appliqué, afin d’empêcher l’
action
irritante de l’air extérieur. Les animaux survive
système nerveux, qui tiennent sous leur dépendance toutes les autres
actions
vitales. Les expériences ont montré que le tissu
e ne se borne pas à provoquer des paralysies locales qui suppriment l’
action
de la volonté sur certains appareils organiques ;
dans le sang des substances toxiques diverses destinées à porter leur
action
sur les éléments anatomiques des organes laissés
ux une concordance préétablie par Dieu, il leur refuse toute espèce d’
action
réciproque. « Le corps, dit-il, se développe méca
Willis, etc., qui expliquaient tous les phénomènes de la vie par des
actions
chimiques : fermentations, alcalinités, acidités,
donc, suivant Stahl, une force vitale qui conserve le corps contre l’
action
des forces chimiques extérieures qui tendent sans
le doctrine avait quelque chose d’étrange et de contradictoire, car l’
action
d’une âme raisonnable sur les actes vitaux semble
ntpellier. Comme eux, il considère que la vie est une lutte entre des
actions
opposées ; il admet que les propriétés vitales co
t clair, ajoute Cuvier, que cette séparation est l’effet naturel de l’
action
de l’air, de l’humidité, de la chaleur, en un mot
ormes, leur plan particulier, et ils sont susceptibles d’éprouver les
actions
perturbatrices du milieu ambiant. La force physiq
ces deux phases du travail physiologique. Quand on veut modifier les
actions
vitales, c’est dans leur évolution cachée qu’il f
néral des combustions, l’oxygène, et à son défaut les ferments dont l’
action
désassimilatrice peut intervenir dans les profond
a mort », ou encore celle de Béclard : « la vie est l’organisation en
action
», celle de Dugès : « la vie est l’activité spéci
a vie, c’est la vie. Kant a défini la vie : « un principe intérieur d’
action
». Cette définition, qui rappelle l’idée d’Hippoc
similation organique, qui rentre complètement dès maintenant dans les
actions
chimiques ; ces décompositions dans les êtres viv
ier abord d’une nature vitale tout à fait spéciale, irréductibles aux
actions
chimiques générales ; mais ce n’est encore là qu’
évolution, car ce sont deux choses tout à fait distinctes. En tant qu’
actions
synthétiques, il est évident que ces phénomènes n
rganisation cellulaire nutritive. Il est bien évident que ce sont des
actions
purement chimiques ; mais il est non moins clair
des actions purement chimiques ; mais il est non moins clair que ces
actions
chimiques en vertu desquelles l’organisme s’accro
ans la route qu’ils suivent, dans l’ordre qui les enchaîne. Ainsi les
actions
chimiques synthétiques de l’organisation et de la
ant, et que le physiologiste ne peut avoir à tenir compte que de leur
action
; Nous dirons avec Descartes : on pense métaphysi
ouver ce que j’avance. Je me bornerai à rappeler mes recherches sur l’
action
du curare publiées dans la Revue, et dans lesquel
e sensations douloureuses ou agréables ; par conséquent, ils sont des
actions
et réactions ; et tel est le rapport sous lequel
rs parce que tous les phénomènes de l’univers sont essentiellement en
action
et réaction réciproque que les uns peuvent être a
r un spectateur. La question de savoir si les marées représentent les
actions
combinées du soleil, de la lune et de l’océan, pr
lune et de l’océan, présuppose celle de savoir en quoi consistent ces
actions
combinées. De même, la question de savoir si ma p
savoir si ma pensée représente les phénomènes extérieurs présuppose l’
action
combinée des mouvements externes et de mes sensat
tout intellectuel, la psychologie des idées-forces doit substituer l’
action
; elle doit considérer les idées comme des formes
onde réel, jamais conçu comme isolé dans un moi sans fenêtres et sans
action
sur autrui. Toute image qui est seule dans l’espr
int de vue physiologique, la force des idées ne consiste pas dans une
action
qu’elles exerceraient mécaniquement, mais dans la
dépend : 1° de la direction du mouvement, qui peut avoir pour but une
action
cérébrale, comme quand on cherche à se souvenir,
rale, comme quand on cherche à se souvenir, à raisonner, etc., ou une
action
musculaire, comme quand on veut soulever un poids
tout état de conscience est la résultante d’un ensemble prodigieux d’
actions
et de réactions entre nous et l’extérieur, et il
idées ne sont pas, selon nous, doués d’une force « détachée » ; leur
action
est celle même de la conscience tout entière, don
de représentation, grâce auquel nous nous figurons dans l’espace des
actions
et réactions qui, par elles-mêmes, peuvent et doi
ine mesure, par le pouvoir qu’elles ont de s’affirmer en pensée et en
action
. IV Après avoir établi que le psychologue s
devons passer à un autre aspect du même problème : — Par quel mode d’
action
se manifeste le sujet conscient ? — Ici encore s’
e, très différents des lois de causalité purement physique. Le mode d’
action
du sujet sentant est la tendance à une fin. Là en
alors même qu’il ne connaît point ce bien et ne connaît pas sa propre
action
. L’être n’est plus seulement absorbé dans le prés
et des sortes d’atomes. On n’échappe pas pour cela au contraste de l’
action
subie et de la réaction exercée : parce qu’on a t
ace, etc. Il n’est pas étonnant que cette forme ou ce sujet soit sans
action
. On ne peut ni vouloir, ni agir à vide, pas plus
résentations, à laquelle nous voudrions substituer la psychologie des
actions
et réactions. Voici la réponse de M. James aux ob
i-même trop objectif, il n’empêche point le sujet-je, entendu comme l’
action
même d’avoir conscience ; et cette action n’est p
e sujet-je, entendu comme l’action même d’avoir conscience ; et cette
action
n’est pas, comme Münsterberg le prétend, une pure
nous reconnaissons qu’elle est un ensemble de sensations possibles, d’
actions
possibles sur nos sens, et que ces actions ne sau
de sensations possibles, d’actions possibles sur nos sens, et que ces
actions
ne sauraient se concevoir sans un degré d’intensi
ns agir. Pour vider l’étendue, nous réduisons à un minimum uniforme l’
action
et la réaction. VII Dans un premier volume,
-t-il en nous une volonté ? Quelle en est la nature ? Quelle en est l’
action
? — C’est cette volonté qui donne aux idées et re
ports de « représentation » elle cherche à découvrir leurs rapports d’
action
réciproque ; enfin elle montre comment la représe
ervables ; enfin elle y montre l’indissolubilité de la pensée et de l’
action
, avec sa manifestation finale dans le mouvement.
lontaire : la production des motifs et leur conflit, la résolution, l’
action
qui la traduit. On ne s’occupe ni du premier ni d
activité spontanée, et le lien qui existe entre nos sentiments et les
actions
qui les traduisent. Nous avons déjà vu (ch. 1er,
la volonté se trouve dans le lien naturel qui unit le sentiment et l’
action
. (V. ch. i, § 3.) La loi de conservation de soi-m
donc, la spontanéité ou le hasard doit toujours produire d’abord les
actions
liées à nos sensations et sentiments : l’activité
dans l’histoire de son développement ; voyons par quels procédés des
actions
déterminées se lient à des sentiments déterminés,
n’y a à l’origine aucune liaison entre la souffrance physique et les
actions
calculées pour la soulager. Il y a une tendance g
iques sont si intimement liées avec les mouvements musculaires, que l’
action
de ceux-ci peut souvent les exciter ou les arrête
u bien par leur existence actuelle, réelle, présente, ou bien par une
action
idéale, par une influence de pure prévision : les
u’avec conscience, mais jamais sans dépense d’éléments nutritifs. Les
actions
réflexes, les actes habituels sont de cette natur
uels sont de cette nature, « Les actes volontaires se distinguent des
actions
réflexes par l’intervention d’une conscience, et
» V « Tout ce qui a été exposé jusqu’ici188 relativement aux
actions
volontaires des êtres vivants, implique la prédom
ntier. La question de la liberté de choix consiste donc à savoir si l’
action
est mienne ou si une autre personne s’est servie
ance de l’idée à passer à l’acte, ne sépare jamais la résolution de l’
action
. Celle-ci fait partie du développement volontaire
Conduite de l’
action
dramatique. Intérêt. L’intérêt est ce qui
ignité des personnages et de la grandeur de leurs intérêts. Quand les
actions
sont de telle nature que, sans rien perdre de leu
uvent il sert plus à la facilité du dénouement qu’à l’importance de l’
action
, et le péril de la mort n’y sert pas quelquefois
u’il les combatte avec force, et en soit à la fin surmonté. Alors ces
actions
sont véritablement importantes par la grandeur de
combats de l’amour, et nobles par sa défaite. Pour la grandeur d’une
action
, voici les idées que je m’en suis faites. Je pens
On ne traite d’ordinaire que de trois unités, de temps, de lieu et d’
action
: or, j’en ajouterai une quatrième, sans laquelle
re l’intérêt ; mais la première règle, c’est de choisir un sujet, une
action
déjà capable d’intéresser par elle-même, et propr
en peut vaincre la stérilité : il ne peut mettre du pathétique dans l’
action
qu’il imite, qu’en deux manières : ou bien il emb
l’action qu’il imite, qu’en deux manières : ou bien il embellit cette
action
par des épisodes, ou bien il change les principal
es épisodes, ou bien il change les principales circonstances de cette
action
. S’il choisit le premier parti, l’intérêt qu’on p
rend à ces épisodes, ne sert qu’à mieux faire sentir la froideur de l’
action
principale, et il a mal rempli son titre. Si le p
mpli son titre. Si le poète change les principales circonstances de l’
action
, que l’on suppose être un événement connu, son po
est souvent ce qui l’intéresse le moins. Gradation d’intérêt. L’
action
doit être très intéressante dès le commencement,
t le spectateur doit être saisi, n’est qu’un allongement inutile de l’
action
. C’est à l’auteur de chercher, dans son sujet, de
épique et du poème dramatique. L’unité, la continuité, la durée de l’
action
, les mœurs, les sentiments, les épisodes, et tout
e, sans s’embarrasser, le moins du monde, des choses arrivées avant l’
action
qui se présente. Les narrations du passé importun
nt des choses qui arrivent et se passent derrière le théâtre depuis l’
action
commencée, produisent toujours un bon effet, parc
’elles sont attendues avec quelque curiosité, et font partie de cette
action
qui se présente. Une des raisons qui donnent tant
que les conjurés sont prêts pour le lendemain, il avancerait autant l’
action
que par les cent vers qu’il emploie à rendre comp
ne qui n’est point un nouveau pas vers la fin, est vicieuse. Tout est
action
sur le théâtre ; et les plus beaux discours même
ements divers, et qu’elles y excitent des combats. La simplicité de l’
action
, chez les Grecs, ne permettait pas qu’ils fussent
Incident. On a appelé ainsi un événement quelconque lié avec l’
action
principale, et qui sert à en augmenter l’intérêt,
es, et tendant tous à faire naître l’incident principal qui termine l’
action
. Les incidents qui le précèdent, sont appelés aus
l’âme par degrés jusqu’au comblé de la terreur ou de la pitié ; si l’
action
est comique, de pousser le ridicule ou l’indignat
me il fait, des fables reçues ; c’est-à-dire, on peut représenter des
actions
qui se font par des gens qui agissent avec une en
peut aussi faire agir des gens qui ne connaissent pas l’atrocité de l’
action
qu’ils commettent, et qui viennent ensuite à reco
és, comme l’Œdipe de Sophocle. (Il est vrai que, dans Sophocle, cette
action
d’Œdipe est hors de la tragédie.) Voici des exemp
anières, au moins, qui soit propre à la tragédie ; car il faut qu’une
action
se fasse ou ne se fasse pas, et que l’un ou l’aut
en est pas de même de celle de Pompée ; elle n’est pas nécessaire à l’
action
. Ptolomée pouvait délibérer en son cabinet s’il r
is. Racine a bien senti la nécessité de lier ces sortes de scènes à l’
action
. Il commence par préparer avec soin la propositio
se (de descendre en Italie) fut en partie cause de sa mort, qui est l’
action
de ma tragédie. J’ai encore lié ce dessein de plu
cènes sont en danger d’ennuyer, du moment qu’on peut les séparer de l’
action
, et qu’elles l’interrompent, au lieu de la condui
uvelle religion à l’univers ; elle est d’ailleurs intimement liée à l’
action
. Zopire, en refusant la proposition de Mahomet, l
personnages ; il est le principe et le premier mobile de toutes leurs
actions
; par exemple, l’ambition dans César, la jalousie
sans exemple, et l’on y tombe de trois manières : 1º En rappelant des
actions
passées qui flétrissent le personnage ; 2º En lui
a passion du héros paraisse dans tous ses discours et dans toutes ses
actions
; mais qu’il ne soit jamais discoureur d’amour, c
, ce que la vertu exige qu’elles soient ; que leurs discours et leurs
actions
soient tout ensemble passionnés et raisonnables :
nt douloureux pour lui. C’est de ces combats que naît la chaleur de l’
action
théâtrale et le pathétique des mouvements. Pour a
dents qui, en produisant chacun leur effet et menant insensiblement l’
action
à sa fin, opèrent sur nous cette appréhension sal
ousiasme momentané qui élève et transporte l’âme à la vue d’une belle
action
ou d’un beau sentiment, est devenu parmi nous un
x héros que pour aucune autre utilité, ils n’ont pas plus de part à l’
action
que les spectateurs. Il suit de là qu’un grand no
t de confidentes, il y aura la moitié des scènes en pure perte pour l’
action
qui n’y sera remplacée que par des plaintes plus
prend sur elle d’en accuser Hippolyte : ce qui par l’importance de l’
action
, la fait devenir un personnage du premier ordre.
sentiments ou vifs ou délicats, aussi intéressants que le cours de l’
action
même. Néarque, dans Polieucte, montre comment un
tels sont le contraste du geste avec le discours, du discours avec l’
action
, etc. Le comique bas, ainsi nommé parce qu’il imi
t la décence. Le ridicule se trouve partout : il n’y a pas une de nos
actions
, de nos pensées, pas un de nos gestes, de nos mou
ns qui composent la société. Opéra. L’opéra est un drame dont l’
action
se chante, et réunit le pathétique de la tragédie
ent belle, sensible, il en fait une enchanteresse. Dès-lors, dans une
action
simple, tout devient magique et surnaturel. Dans
esprit ; il cherche plutôt à produire un spectacle enchanteur, qu’une
action
où la vraisemblance soit exactement observée. Il
ses de la tragédie ; et s’il a quelque égard à l’unité d’intérêt et d’
action
, il viole sans scrupule les unités de temps et de
ent. Les personnages subalternes, quelque intérêt qu’ils prennent à l’
action
, ne peuvent avoir les accents passionnés de leur
a manière la plus simple et la plus intéressante. Tout y doit être en
action
, et viser aux grands effets. Jamais le poète ne d
riantes, des tableaux galants ? Notre opéra veut des fêtes liées à l’
action
et sorties de son sein ; l’opéra italien s’en dis
des lignes de notre intelligence dessinent la forme générale de notre
action
sur la matière, et que le détail de la matière se
e, et que le détail de la matière se règle sur les exigences de notre
action
. Intellectualité et matérialité se seraient const
que, plus un animal est intelligent, plus il tend à réfléchir sur les
actions
par lesquelles il utilise les choses et à se rapp
il utilise les choses et à se rapprocher ainsi de l’homme ; mais ses
actions
adoptaient déjà, par elles-mêmes, les principales
actions adoptaient déjà, par elles-mêmes, les principales lignes de l’
action
humaine, elles démêlaient dans le monde matériel
eraction universelle. Nos perceptions nous donnent le dessin de notre
action
possible sur les choses bien plus que celui des c
tours et routes se sont accusés au fur et à mesure que se préparait l’
action
de la conscience sur la matière, c’est-à-dire, en
’espace, une matière découpée selon les lignes mêmes que suivra notre
action
, se donne par avance, toute faite, l’intelligence
ence du raisonnement de nous enfermer dans le cercle du donné. Mais l’
action
brise le cercle. Si vous n’aviez jamais vu un hom
e par l’intelligence ; mais, si l’on accepte franchement le risque, l’
action
tranchera peut-être le nœud que le raisonnement a
e le faire, car à cette condition seulement le vivant offrira à notre
action
la même prise que la matière inerte. Mais la véri
ne de la matière inerte. Sur cette matière s’exerce essentiellement l’
action
humaine, et l’action, comme nous le disions plus
te. Sur cette matière s’exerce essentiellement l’action humaine, et l’
action
, comme nous le disions plus haut, ne saurait se m
gitime, au sens scientifique du mot. Si la science doit étendre notre
action
sur les choses, et si nous ne pouvons agir qu’ave
’elle nous fournit devient symbolique, relative aux contingences de l’
action
. Sur ce nouveau terrain la philosophie devra donc
nous ressaisissons nous-mêmes à ce point : ils ne font qu’un avec nos
actions
vraiment libres. Et, même alors, nous ne nous ten
ans l’avenir en l’entamant sans cesse. En cela consistent la vie et l’
action
libres. Laissons-nous aller, au contraire ; au li
té, lequel, jeté sur la matière, la divise comme les besoins de notre
action
l’exigent. Ainsi, l’espace de notre géométrie et
géométrie et la spatialité des choses s’engendrent mutuellement par l’
action
et la réaction réciproques de deux termes qui son
pas comme relative. Notre perception, dont le rôle est d’éclairer nos
actions
, opère un sectionnement de la matière qui sera to
aposées entrent les unes dans les autres, chacune d’elles subissant l’
action
du tout qui lui est, par conséquent, présent en q
se posent à notre activité, celles que l’intelligence extériorisée en
action
résout avant même qu’ait paru l’intelligence réfl
e induction, aidée de la déduction, retrouve. Cet ordre, auquel notre
action
s’adosse et où notre intelligence se reconnaît, n
. Dans ses formes les plus hautes il est plus que finalité, car d’une
action
libre ou d’une oeuvre d’art on pourra dire qu’ell
t naturel que ce caractère commun, essentiel au point de vue de notre
action
, rapprochât les deux ordres l’un de l’autre, en d
qui se ressemblent simplement par la facilité qu’ils donnent à notre
action
sur les choses. On rapproche deux termes en vertu
le la matière inerte en corps distincts, guidée par les intérêts de l’
action
, guidée par les réactions naissantes que notre co
n l’autre par une opération semi-artificielle, toute relative à notre
action
future sur les choses. Néanmoins, les anciens n’h
la nature, mais non pas soutenir au-delà de quelques instants. Dans l’
action
libre, quand nous contractons tout notre être pou
istent et survivent à leur organisation. Mais si un simple arrêt de l’
action
génératrice de la forme pouvait en constituer la
enons fort bien : cette création est un acte simple de l’esprit, et l’
action
n’a qu’à l’aire une pause, au lieu de se continue
notre esprit sur le devenir. Il n’y a pas de choses, il n’y a que des
actions
. Plus particulièrement, si je considère le monde
automatique et rigoureusement déterminée de ce tout bien lié est de l’
action
qui se défait, et que les formes imprévues qu’y d
de se prolonger elles-mêmes en mouvements imprévus, représentent de l’
action
qui se fait. Or, j’ai tout lieu de croire que les
uleuses en voie de concentration. Si, partout, c’est la même espèce d’
action
qui s’accomplit, soit qu’elle se défasse soit que
t. Dieu, ainsi défini, n’a rien de tout fait ; il est vie incessante,
action
, liberté. La création, ainsi conçue, n’est pas un
ntradictoire avec elle-même, représentation vide et vaine. Mais que l’
action
grossisse en avançant, qu’elle crée au fur et à m
s devient clair quand on se reporte au flux. Même, les modalités de l’
action
créatrice, en tant que celle-ci se poursuit dans
ement. Là où l’entendement, s’exerçant sur l’image supposée fixe de l’
action
en marche, nous montrait des parties infiniment m
un ordre infiniment savant, nous devinerons un processus simple, une
action
qui se fait à travers une action du même genre qu
devinerons un processus simple, une action qui se fait à travers une
action
du même genre qui se défait, quelque chose comme
mme une machine à agir qui se reconstruirait tout entière pour chaque
action
nouvelle, comme si elle était de caoutchouc et po
essentiellement à capter de l’énergie utilisable pour la dépenser en
actions
explosives, elle choisit sans doute dans chaque s
ce n’est pas autre chose. En réalité, un être vivant est un centre d’
action
. Il représente une certaine somme de contingence
ce s’introduisant dans le monde, c’est-à-dire une certaine quantité d’
action
possible, — quantité variable avec les individus
e nerveux d’un animal dessine les lignes flexibles sur lesquelles son
action
courra (bien que l’énergie potentielle à libérer
eur configuration, le choix plus ou moins étendu qu’il aura entre des
actions
plus ou moins nombreuses et compliquées. Or, le r
latitude de choix lui est laissée et qu’une somme plus considérable d’
action
lui est départie, il est clair que le développeme
écisément parce qu’un état cérébral exprime simplement ce qu’il y a d’
action
naissante, dans l’état psychologique correspondan
choix dont l’être vivant dispose ; elle est coextensive à la frange d’
action
possible qui entoure l’action réelle : conscience
se ; elle est coextensive à la frange d’action possible qui entoure l’
action
réelle : conscience est synonyme d’invention et d
elle anime, bien qu’elle en subisse certaines vicissitudes. Comme les
actions
possibles, dont un état de conscience contient le
u de création inhérente à l’acte libre, toujours elle substituera à l’
action
elle-même une imitation artificielle, approximati
erament qu’on leur prête, et l’interêt qu’on leur fait prendre dans l’
action
. Elle consiste à observer dans son tableau ce que
que tous les spectateurs deviennent des acteurs dans un tableau, leur
action
néanmoins ne doit être vive qu’à proportion de l’
Le peintre y exprime parfaitement bien la difference qui est entre l’
action
naturelle des personnes de chaque temperament, qu
ux du Poussin. Suivant ces regles, il faut répresenter les lieux où l’
action
s’est passée tels qu’ils ont été si nous en avons
n évenement arrivé dans ce païs-là. Le Poussin qui a traité plusieurs
actions
, dont la scene est en égypte, met presque toujour
u’on se conforme à celles de leurs coûtumes qui ont du rapport avec l’
action
du tableau. Ainsi le peintre qui fera un tableau
table, mais bien couchez sur des lits. L’erreur d’introduire dans une
action
des personnages qui ne purent jamais en être les
tre les témoins, pour avoir vêcu dans des tems éloignez de celui de l’
action
, est une erreur grossiere où nos peintres ne tomb
e capacité du drame. — 2. Les auteurs : Dumas ; la couleur locale ; l’
action
; le pathétique brutal et physique. V. Hugo : le
e mélodrame ne reste « classique » que par la rectitude rapide de son
action
et par la grosse honnêteté bourgeoise de sa moral
n artistique par excellence. Il garde aussi le ramassé vigoureux de l’
action
, la concentration qui fait du drame une crise. Ai
istique aussi sera la conception du drame. La foule ne demande qu’une
action
, les femmes de la passion. Le drame romantique of
ieux burgs. Pour la couleur locale, le poète détendra la raideur de l’
action
: il y coulera des scènes désintéressées de conte
mantique sera l’œuvre d’un penseur : il contiendra une philosophie. L’
action
historique, les individus réels et connus, seront
e pas à jeter ses cours ou ses tableaux d’histoire à la traverse de l’
action
dramatique, sans souci de la ralentir ou de la re
sont machinés à merveille pour la scène. Surtout Dumas a le sens de l’
action
: en dépit de la sentimentalité romantique, il fa
raits dans les caractères, les drames de V. Hugo sont enfantins par l’
action
. Il est loin d’avoir l’instinct scénique de Dumas
re Ruy Blas, d’espérer sur cette donnée de haute fantaisie élever une
action
sérieusement attendrissante et tragique, c’est vr
ante et tragique, c’est vraiment manquer de sens commun. Nulle part l’
action
n’est vraie, directement tirée de la réalité comm
issance la vision poétique du passé : en dépit des extravagances de l’
action
, Ruy Blas évoque devant nos yeux l’effondrement d
a destinée que ce qui en fait un type. Point d’intrigue, un minimum d’
action
: « C’est l’histoire d’un homme qui a écrit une l
onse jusqu’au soir ; elle arrive, et le tue ». Ici, dit le poète, « l’
action
morale est tout ». On voit combien cette pièce ro
utes les formes que se plaît à créer l’imagination du poète, formes d’
actions
et formes de caractères, ne sont pas autre chose
temps et des lieux selon sa fantaisie, pour assortir la forme de son
action
à la qualité de son rêve triste ou joyeux. Et ce
le point de départ, l’imagination fera le reste ; elle organisera une
action
, un dénouement conformes à cette situation premiè
e. Ils ont dégoûté le public du « palais à volonté » où s’enferme une
action
abstraite, où des tirades pompeuses tombent lourd
i d’aucun temps ni d’aucun pays. Il faut désormais du spectacle, de l’
action
extérieure, du pittoresque, des détails locaux et
représentation dure deux heures, et ressemblerait parfaitement, si l’
action
qu’elle représente n’en demandait pas davantage p
tons point ni aux douze ni aux vingt-quatre heures, mais resserrons l’
action
du poème dans la moindre durée qu’il nous sera po
de, s’il n’arrive guère à faire coïncider dans le temps et l’espace l’
action
réelle et la représentation de l’action, tandis q
r dans le temps et l’espace l’action réelle et la représentation de l’
action
, tandis que Racine n’a jamais subi la gêne des rè
illés, écrasés deux caractères faibles. Toutes les complications de l’
action
sont des complications morales. Et si l’on veut b
morale semble souvent continuer un roman ou s’y superposer, et si son
action
semble parfois, soit au début, soit dans le cours
e leur suscitaient des ennemis dans le moi ou hors du moi. Si enfin l’
action
tragique dans Corneille ne reste pas intérieure j
re à réaliser ses déterminations, elle est active ; de là vient que l’
action
, chez Corneille, ricoche constamment de l’intérie
t rationaliste, bien plutôt que poétique. Il demande à l’histoire des
actions
éclatantes, extraordinaires, mais vraies : il rep
laisse passer que les actes qu’elle approuve. Comment donc soutenir l’
action
morale ? Par l’action extérieure : en fournissant
actes qu’elle approuve. Comment donc soutenir l’action morale ? Par l’
action
extérieure : en fournissant à la volonté toujours
s d’effort à faire ; plus de passion, partant, ni de violence. Plus d’
action
aussi. Que reste-t-il ? Il n’est pas besoin qu’el
ti, et il a cherché une compensation à l’insuffisance dramatique de l’
action
morale par l’énergie dramatique de l’action extér
uffisance dramatique de l’action morale par l’énergie dramatique de l’
action
extérieure. Il choisit, comme suite des causes ps
st analysé, pesé, dosé, de façon à concourir dans la juste mesure à l’
action
totale, et dans chaque effort fait paraître tout
il fit du meurtre, du crime, le point culminant du drame, que toute l’
action
y tendit, s’y adaptât, et tous les caractères. De
anique : il ne voit, et son style ne note que les forces qu’il met en
action
. Il ne crée pas, avec les mots, les images, les h
rence et une continuité d’apparence — ne se comprend encore que par l’
action
continue du vouloir-vivre et par le mouvement per
liberté est chimérique, il n’est nullement chimérique de dire que nos
actions
sont des mouvements ayant leurs principaux antécé
s et cérébrales, dont elle est le terme et l’expression sensible. Les
actions
particulières — comme lever le bras, mouvoir les
aussi sûrement que, dans le monde physique, la réaction résulte de l’
action
. On ne pourra plus affirmer alors que la réaction
en des choses à la fois. On l’a vu, nous ne nous représentons pas une
action
sans en poser les premières conditions et en esqu
n, un mauvais vouloir, et, en définitive, on a déjà fait une mauvaise
action
, dont on se repent aussitôt, et dont on réprime l
durée, qu’un millimètre est toujours une étendue, que la pensée d’une
action
est toujours une action, que l’idée d’un mouvemen
est toujours une étendue, que la pensée d’une action est toujours une
action
, que l’idée d’un mouvement est toujours ce mouvem
l’empêche point d’avoir existé tout d’abord. Quand nous pensons à une
action
simplement possible pour nous, nous voulons déjà
s à une action simplement possible pour nous, nous voulons déjà cette
action
et nous la commençons. Bien plus, quand nous pens
’est nulle part, ou elle est partout en nous ; nous sommes partout en
action
et en mouvement : c’est là la vie, et la volonté
ettement dans l’espace. C’est ce que le vulgaire appelle proprement l’
action
; mais, en réalité, l’action a toujours été prése
ce que le vulgaire appelle proprement l’action ; mais, en réalité, l’
action
a toujours été présente, et la volonté aussi, et
a sensation implique un mouvement transmis à un centre qui oppose à l’
action
une réaction en sens contraire ; le centre mû meu
iné aussi des centres spéciaux d’inhibition. De même qu’on trouve les
actions
contraires de l’attraction et de la répulsion dan
i un mouvement commencé, on se met dans l’impossibilité d’expliquer l’
action
de la volonté sur les muscles sans recourir final
l’appétition dirigée vers la perception au lieu d’être dirigée vers l’
action
musculaire. M. Bastian ajoute ensuite que « l’att
s. Et elle crée aussi du nouveau à l’intérieur d’elle-même, puisque l’
action
volontaire réagit sur celui qui la veut, modifie
t rien de semblable, puisqu’ils ne font qu’étendre arbitrairement aux
actions
volontaires une loi vérifiée dans des cas où la v
ntense d’explosifs toujours mieux utilisables : il suffit alors d’une
action
extrêmement faible, comme celle d’un doigt qui pr
nté jusqu’à son complet épanouissement dans des organismes capables d’
actions
libres. Mais, encore une fois, je ne veux pas ins
tes, attitudes et mouvements du corps, ce que l’état d’âme contient d’
action
en voie d’accomplissement, ou simplement naissant
dans le cadre. Ainsi pour le cerveau et la conscience. Pourvu que les
actions
relativement simples — gestes, attitudes, mouveme
ire par des changements de direction extérieure, je veux dire par des
actions
et des gestes capables de dessiner dans l’espace
pagnent ? Ces mouvements, par lesquels la pensée s’extérioriserait en
actions
, doivent être préparés et comme préformés dans le
pas la pensée même. En d’autres termes, la pensée est orientée vers l’
action
; et, quand elle n’aboutit pas à une action réell
ensée est orientée vers l’action ; et, quand elle n’aboutit pas à une
action
réelle, elle esquisse une ou plusieurs actions vi
lle n’aboutit pas à une action réelle, elle esquisse une ou plusieurs
actions
virtuelles, simplement possibles. Ces actions rée
quisse une ou plusieurs actions virtuelles, simplement possibles. Ces
actions
réelles ou virtuelles, qui sont la projection dim
pensée restent tendus sur la vie réelle et par conséquent capables d’
action
efficace. Disons, si vous voulez, que le cerveau
l’ensemble des dispositifs qui permettent à l’esprit de répondre à l’
action
des choses par des réactions motrices, effectuées
peine à évoquer ? C’est tout simplement que les verbes expriment des
actions
, et qu’une action peut être mimée. Le verbe est m
C’est tout simplement que les verbes expriment des actions, et qu’une
action
peut être mimée. Le verbe est mimable directement
ous allons du verbe au nom propre, nous nous éloignons davantage de l’
action
tout de suite imitable, jouable par le corps ; un
conscience soit assez détachée de l’avenir, assez désintéressée de l’
action
, pour s’employer exclusivement à embrasser le sen
nisme qui extraira de la conscience tout ce qui est utilisable pour l’
action
, quitte à obscurcir la plus grande partie du rest
l’amène à limiter le plus souvent sa vision, mais aussi à rendre son
action
efficace. C’est dire que l’esprit déborde le cerv
oureusement par la tyrannie des formes les réalités de sentiment et d’
action
qui pourraient servir de modèle à la tragédie. Or
tion-active, sans cesse occupée à emmêler et à démêler les fils d’une
action
romanesque. La qualité des matériaux lui est indi
, — sans le connaître : excuse. Éclairé sur sa victime, il se tuera :
action
horrible — et bienséante. Là-dessus, les amants s
a très bien vu dans Corneille et dans Racine que la tragédie est une
action
où se développent les types complets des caractèr
s principes moraux des faits, avaient banni à peu près toute espèce d’
action
de nos tragédies, qui étaient devenues d’assez vi
hakespeare, de l’intensité des passions, de la rapidité sensible de l’
action
matérielle : et si barbares qu’il les jugeât, ell
ait de la malencontreuse idée que la Comédie eut un jour de mettre en
action
le dénouement d’Iphigénie. C’est tricherie de sur
prit du public ; la vérité s’y rencontre, si elle peut. Il dirige son
action
, il donne « le coup de pouce », pour amener telle
ût mondain, Voltaire ne pouvait pas non plus mettre dans ses pièces l’
action
qu’il rêvait. Il s’en tint à des inventions extér
décor et de costume. Il croyait avoir fait merveille d’avoir porté l’
action
dramatique hors du monde mythologique gréco-romai
forces physiques, dans une science historique qui explique tout par l’
action
irrésistible des grandes forces naturelles et soc
me et le corps ne sont l’un pour l’autre qu’une cause occasionnelle d’
action
et de mouvement ; c’est Dieu qui est le véritable
ritable moteur. Pour Spinosa, il n’y a qu’une simple correspondance d’
actions
et de mouvements au sein de la substance universe
bilité, cette sensibilité au jeu des fibres, et le jeu des fibres à l’
action
des objets. Bichat rapporte toutes les fonctions
tème organique, depuis les organes extérieurs jusqu’au cerveau, que l’
action
des objets étrangers produit une impression, que
é transmet, à travers tout le système des organes intermédiaires, son
action
aux nerfs moteurs et aux muscles qui déterminent
aux ou quadrijumeaux abolit sur-le-champ la contractilité des iris, l’
action
de la rétine et du nerf optique, ce qui permet de
estion des rapports de l’âme et du corps. Il ne s’agit plus ici d’une
action
certaine, mais vague, du physique sur le moral, t
désirs, et par une fausse conséquence on a cru que la volonté et les
actions
manquaient également de liberté. » Entre les main
volitions ne sont jamais primitives ; elles ne peuvent engendrer une
action
qu’à la condition d’être précédées par une idée q
s modernes, peuvent et doivent être envisagées comme des phénomènes d’
actions
réflexes5. » Cette analyse de la volonté n’est qu
antérieure, par conséquent qu’un effet dont la véritable cause est l’
action
organique extérieure. Voulez-vous voir sortir tou
organiques. Les idées élémentaires s’agglomèrent à notre insu sous l’
action
incessante des cellules cérébrales et par une sor
on ?. La prévalence du plus fort motif, établie par la régularité des
actions
humaines dans le cours ordinaire de la vie et par
éterminer que par cette espèce de motifs qui ont pour conséquence des
actions
utiles. C’est encore là, nous le reconnaissons, u
nce démontre la correspondance entre les opérations psychiques et les
actions
physiques du cerveau et de l’organisme entier, ma
ne affection organique quelconque résulte une certaine faiblesse de l’
action
volontaire et une certaine incapacité de travail
ble), entre la somme des opérations physico-mentales, et la somme des
actions
purement physiques. Les unes et les autres sont c
bservation qui les constatent ? Comment confondre une impression, une
action
, un mouvement cérébral, avec un sentiment, une id
s bien plutôt de l’avis des moralistes qui ont vu dans cette tragique
action
l’une des manifestations les plus énergiques de l
aloir contre la conscience ; on fait des mobiles et des motifs de nos
actions
des forces qui entraînent, des lois qui détermine
ent de sa vie normale l’homme se détermine librement à telle ou telle
action
, il ne l’est pas moins qu’il ne veut guère et ne
la liberté. L’obstacle à l’exercice du libre arbitre n’est pas dans l’
action
des idées sur la volonté ; il est dans l’action d
itre n’est pas dans l’action des idées sur la volonté ; il est dans l’
action
des instincts et des passions. N’est-ce pas une v
out. Au contraire, tout devient cohérent et sans contradiction avec l’
action
des motifs, le conflit des motifs, et la victoire
le monde n’est entièrement livré à la fatalité mécanique, que, sous l’
action
des lois mécaniques, physiques et chimiques, tout
’en peut vaincre la sterilité, il ne peut jetter du pathetique dans l’
action
indifferente qu’il imite qu’en deux manieres : ou
ifferente qu’il imite qu’en deux manieres : ou bien il embellit cette
action
par des épisodes, ou bien il change les principal
es épisodes, ou bien il change les principales circonstances de cette
action
. Si le parti que le poëte choisit est celui d’emb
tte action. Si le parti que le poëte choisit est celui d’embellir son
action
par des épisodes, l’interêt qu’on prend à ces épi
prend à ces épisodes ne sert qu’à faire mieux sentir la froideur de l’
action
principale, et on lui reproche d’avoir mal rempli
mpli son titre. Si le poëte change les principales circonstances de l’
action
que nous devons supposer être un évenement genera
ture. Que les peintres et les poëtes examinent donc serieusement si l’
action
qu’ils veulent traiter nous toucheroit sensibleme
ituations, rien ne distrait de la beauté des vers, de la logique de l’
action
, de la justesse des pensées, de l’effet émotionne
obtenir et à négliger la conception de leur œuvre et la conduite de l’
action
. L’abus ou l’excès de la mise en scène est donc a
matique inégale, on est obligé de masquer la langueur momentanée de l’
action
par un habile déploiement de mise en scène. Ce qu
tant sur les muscles du rire. Les contrastes qui ne résultent ni de l’
action
ni des péripéties du drame sont au nombre des cau
de poète dramatique, qui doit se renfermer dans le lieu immédiat de l’
action
. Chapitre XI La décoration doit avoir une v
xions importantes. Un tableau ne représente jamais qu’un moment d’une
action
, tandis que la mise en scène doit s’adapter à des
coration ne peut varier ses effets selon les moments successifs d’une
action
, elle doit être, soit dans le mouvement, soit dan
t, soit dans le ton des choses inanimées, en relation générale avec l’
action
et non en relation spéciale avec un des moments p
et non en relation spéciale avec un des moments particuliers de cette
action
. Un décorateur qui voudrait associer sa toile ave
er chez le spectateur une sensation rapide, destinée à s’associer à l’
action
, et qu’il ne détournera pas l’attention de celui-
nte et du matériel figuratif. — Leurs relations avec le drame. — Leur
action
différente sur l’esprit du spectateur. En peint
rit, par le double moyen de la déduction et de l’induction, devance l’
action
même dans la voie où elle s’avance vers un dénoue
spectateur enveloppe la scène, interroge tous les objets témoins de l’
action
qui va se dérouler, scrute jusqu’au moindre détai
e l’esprit du spectateur dès que la toile se lève et avant même que l’
action
commence. Tout ce que son œil juge peint et sans
mpossible, entre ces objets sans réalité et un moment quelconque de l’
action
. Si, par exemple, une porte est peinte sur un des
tion, et il devine un rapport particulier entre tel ou tel objet et l’
action
du drame. Ce sera un secrétaire, une bibliothèque
ique, et qui, en tout cas, à un moment inopportun, aurait compliqué l’
action
d’un élément nouveau et distrait l’attention du p
t une grande faute ; car, puisqu’on a jugé que tel objet, inutile à l’
action
, ne devait pas figurer en réalité sur la scène, i
e qu’elles soient peintes toutes deux, ou que, si l’une est utile à l’
action
, elles soient toutes deux réelles. Il est inutile
ons dit que le matériel figuratif avait un rapport particulier avec l’
action
, il suit de là qu’aucun des objets réels qui le c
; dans une œuvre dramatique, ils sont liés d’une façon nécessaire à l’
action
qui va se développer sous nos yeux. Dans un salon
par cet exemple comment la mise en scène conspire à l’évolution de l’
action
dramatique, en fondant ses dispositions quelquefo
uite du drame. Ainsi, à la Comédie-Française, tel meuble, inutile à l’
action
, ne sera a a priori qu’un témoignage de confortab
tentés, a priori, de regarder ce même meuble comme indispensable à l’
action
ou même comme une boîte à surprise possible. Donc
ait-ce une faute, quand il s’agit des œuvres de Scribe, de détacher l’
action
sur un décor trop étudié, trop nature en quelque
s brillantes bulles de savon qu’un souffle fait évanouir ; de même, l’
action
et la diction des acteurs, les péripéties tristes
gination est tellement instante et puissante, à tous les moments de l’
action
, qu’un jour, fait inouï dans les annales dramatiq
ans les pièces fondées sur le sentiment, les ressorts principaux de l’
action
sont les émotions morales, tendres ou tristes, do
gestes et leur diction sans emphase. Il faut, en un mot, resserrer l’
action
, la maintenir et la dénouer dans un milieu pureme
tait si amusant, tandis que ceux des autres officiers mêlés à la même
action
étaient si choquants. C’est qu’en effet c’est une
elégués au deuxième et troisième plan d’importance par la marche de l’
action
théâtrale. Si nous nous transportons dans un autr
Il ne faut insister que sur les détails qui ont un lien étroit avec l’
action
; dès que l’attention du public se détourne vers
a mise en scène pour en tirer une induction sur le développement de l’
action
, tout rentre dans la décoration peinte ; et le ma
s’expliquer l’un sans l’autre. On peut donc dire qu’une pièce dont l’
action
se déroule dans un milieu très éloigné de celui o
présente les mêmes difficultés de représentation qu’une pièce dont l’
action
a été placée à une époque de beaucoup antérieure
, dans Les Danicheff, intéresser le public français à un drame dont l’
action
n’aurait pu se dérouler dans le milieu où nous so
ans l’humanité moderne. Mais qu’il s’agisse de monter un drame dont l’
action
se déroulerait en Turquie, on éprouvera des diffi
isemblables. C’est pourquoi, dans la mise en scène d’une pièce dont l’
action
se déroule dans un autre temps, toute recherche t
’exposition et ne s’attachent que médiocrement aux préliminaires de l’
action
. Mais peu à peu l’intérêt s’accroît, à mesure que
nérale à jouer dans des décors de style pompéien les tragédies dont l’
action
nous reporte au-delà des temps historiques de la
colonnes élevées. L’aspect du décor a de la grandeur et convient à l’
action
héroïque du drame. À travers la colonnade du fond
pole par excellence, qui est celle d’Athènes. Sans doute le lieu de l’
action
est clairement indiqué dès le début de la tragédi
imposé par la mise en scène et favorisait, soit le développement de l’
action
, soit le jeu des acteurs. Or, et c’est là la seul
scène, cet hémicycle, non seulement est inutile au développement de l’
action
, mais encore nuit au jeu des acteurs et a la plus
forte tension musculaire qui s’oppose au fléchissement nécessaire à l’
action
de s’asseoir. Prendre un siège c’est, pour l’acte
costume de Thésée. — Les accessoires doivent convenir au texte et à l’
action
. — Du costume d’Hippolyte. La réforme du costum
mes qui sont censés reproduire ceux de l’époque à laquelle se passe l’
action
. Il ne faut pas toutefois, ainsi que nous l’avons
offrent un sujet d’étude intéressant, mais le rapport du costume à l’
action
et à la situation des personnages et son influenc
passons à l’examen du costume de Thésée, nous verrons la marche de l’
action
exiger, au contraire, une uniformité absolue, san
té qui n’est pas dans son caractère entier et violent. La marche de l’
action
exige donc l’uniformité dans le costume de Thésée
me dépend d’une loi qui a sa raison d’être dans le développement de l’
action
dramatique. Le rôle de Phèdre nous montrera, avec
costumes, qu’on a tort de ne pas mettre d’accord avec la marche de l’
action
et avec la situation des personnages. Au second a
importance qu’ils prennent alternativement dans le développement de l’
action
. Dans la plupart des cas, l’intuition, le goût, l
ossible du centre optique, ou tout au moins sur la ligne optique si l’
action
l’exige. Ainsi, dans le dénouement de l’Aventuriè
importance des groupes par rapport à la situation et à la marche de l’
action
, et surtout du rôle qui est dévolu à la figuratio
t passif. Il est actif quand la présence du chœur est un élément de l’
action
dramatique, quand il agit sur les personnages du
nte dernières années, l’esthétique dramatique s’est modifiée. Jadis l’
action
devait être une, se dérouler dans le même lieu pe
eu pendant l’unité de temps qui est le jour de vingt-quatre heures. L’
action
se divisait en général en cinq actes qui représen
iple entrave, ou plutôt ils n’en ont conservé qu’une seule, l’unité d’
action
. On a si bien transgressé l’unité de temps que pa
s ou moins grand de temps, supposé écoulé entre les deux moments de l’
action
au milieu desquels il s’intercale. La durée d’un
ition absolue du spectacle, un signe manifeste de l’interruption de l’
action
dramatique. Une partie de cette action est dès lo
nifeste de l’interruption de l’action dramatique. Une partie de cette
action
est dès lors accomplie, et l’esprit du spectateur
ux, et une continuation, après interruption, du moment précédent de l’
action
. Un acte représente une suite de sensations étroi
non seulement un temps d’arrêt, mais encore un mouvement de recul. L’
action
du drame, au lieu d’avancer, rétrograde, et l’imp
le de ce sentiment de lenteur qui nous fait juger sous un jour faux l’
action
ininterrompue tracée par le poète. C’est une impr
ançaise un des drames de Shakspeare. Il me semblait que par moments l’
action
ne marchait pas et je n’étais pas loin d’en accus
en scène, je ne fus pas long à découvrir que l’ennui, provenant d’une
action
qui semblait trop lente ou stagnante, avait pour
té du spectacle, ces drames conserveraient leur physionomie propre, l’
action
son allure réelle et les différents moments de ce
propre, l’action son allure réelle et les différents moments de cette
action
leur marche ininterrompue. Dans ce système, il fa
pour la plantation du décor. La vérité dramatique et la logique de l’
action
opposent donc des bornes naturelles à l’exagérati
e qu’elle n’altère en rien la contiguïté des différents moments d’une
action
partielle qui pour leur esprit reste une et indis
isolé, détaché d’un ensemble dramatique ou comique. Nous avons pris l’
action
dans un moment particulier. Nous devons maintenan
la mise en scène d’un rôle et son rapport avec le développement de l’
action
, mais en nous préoccupant exclusivement de l’aspe
nombre d’images similaires, correspondant aux différents moments de l’
action
. C’est la variété qu’il s’agit dès lors d’introdu
s laisser perdre ; elles doivent se retrouver à tous les moments de l’
action
, dans toutes les attitudes, dans les moindres ges
caisses, et, dans l’angle de la décoration, un ascenseur, inutile à l’
action
, mais montant et descendant alternativement dans
inuera à empiéter de plus en plus sur le domaine littéraire et déjà l’
action
qui relie tous les tableaux d’un drame est ténue
nt le langage ou du caractère général aux impulsions duquel se plie l’
action
dramatique. Largeur, simplicité, sobriété, mais p
mais, point important à noter, elle reste complètement en dehors de l’
action
. C’est un moyen d’agir sur le système nerveux du
ne pile électrique. Dans le vaudeville, l’union de la musique et de l’
action
est plus intime. Un vaudeville est une comédie mê
gage parlé au chant, et en les accompagnant renforce leur puissance d’
action
sur l’âme du spectateur. Quant aux personnages, l
loie l’auteur, aidé du musicien, pour donner à ses personnages plus d’
action
sur l’âme des spectateurs. Si la musique n’est pl
ame, en dehors du spectacle, elle n’en reste pas moins en dehors de l’
action
dramatique. L’ancien vaudeville était presque tou
aie, aimable, dans laquelle à et là une pointe de sentiment, née de l’
action
, était habilement saisie par l’auteur, qui fixait
t devenue une puissance subjective ; elle fait partie intégrante de l’
action
dramatique, et le point où s’applique directement
ue l’émotion que provoque en nous la musique n’est plus étrangère à l’
action
, mais au contraire naît en nous sympathiquement d
evenue une puissance dramatique ; et, comme telle, elle s’associe à l’
action
, y contribue par l’émotion qu’elle développe dans
XXVII De l’exécution musicale. — Des rapports de la musique avec l’
action
dramatique. — Le Monde où l’on s’ennuie. — Le thé
ôle de François Ier dans le Roi s’amuse. Le rôle de la musique dans l’
action
dramatique est multiple, mais tend toujours à pro
ident. Elle facilite singulièrement à l’auteur la mise en marche de l’
action
, et évite aux personnages l’ennui de faire et au
dans son âme des paroles enflammées d’amour. Considéré en dehors de l’
action
dramatique, le chant des lavandières n’aurait pou
mpés sur la mise en œuvre du ressort musical. Sans me préoccuper de l’
action
du drame, je dirai que c’est le tableau contraire
regards des spectateurs, c’est le personnage sur qui doit s’exercer l’
action
musicale. Je ne puis résister au désir de citer u
ellectuelles et morales toutes particulières. Elles ne séparent pas l’
action
tragique ou comique de la possibilité réelle, ram
’un trait qui nous serre le cœur. En un mot, elles sont frappées de l’
action
tragique et en sont impressionnées comme elles le
il faut rassembler ces éléments épars, les faire concourir à une même
action
, et par une logique sévère, qui ne réside que rar
qui ne réside que rarement dans l’esprit des êtres réels, mener cette
action
d’un commencement à une fin. Cette nécessité théâ
entatives prochaines, car laisser le théâtre en dehors de sa sphère d’
action
serait pour l’école un aveu d’impuissance. Après
spectateur est ramenée et se fixe sur le personnage humain. Dès que l’
action
dramatique éveille en nous la sympathie que nous
e, et de créer un milieu adapté à l’émotion née du développement de l’
action
dramatique. La mise en scène a donc été jusqu’à p
n devenir aussi un des personnages et concourir au développement de l’
action
elle-même ? Sans doute on ne peut comparer la nat
ruit, double phénomène dont la représentation ne change pas le mode d’
action
. Quelle qu’en soit la raison d’ailleurs, nous som
la vue de l’eau qui éveille chez Sichel le désir de boire, et c’est l’
action
de boire à la cruche que penche la jeune fille qu
e conséquence de la condition de Sûzel et du milieu où se développe l’
action
; il se rattache donc logiquement aux données mêm
compte de ce que, précisément, y mettra le spectateur, pour peu que l’
action
dramatique ait incliné son âme vers tel ou tel ét
sentir, leur mode de penser et leur mode d’agir. Deuxièmement, nulle
action
dramatique, née du conflit de passions humaines,
milieux sur les caractères et sur les passions ; mais, à mesure que l’
action
s’approchera du dénouement, elle devra de plus en
andis que dans celui-là s’épanouissent la jeunesse et le bonheur. Une
action
tragique on comique ne se développe pas dans le v
r plan. Si ce sont les personnages qui disparaissent, il n’y a plus d’
action
dramatique ; mais si ce sont les tableaux qu’on s
e pièce naturaliste. Il s’agit de peindre les différents moments de l’
action
au milieu des tableaux animés où celle-ci s’est s
humain. Prenez l’Andromaque de Racine, vous en pourrez transporter l’
action
dans tous les mondes, depuis le plus raffiné jusq
’école est condamnée à n’introduire dans ses tableaux qu’un minimum d’
action
dramatique, et c’est à cela, en effet, qu’elle te
doctrine maintenant admise que la force nerveuse est engendrée par l’
action
de la nourriture fournie au corps, et que, par su
e humain, en attribuer une partie à la chaleur animale, une autre à l’
action
des viscères, une autre à l’activité du cerveau,
qui a pour objet les sensations liées aux mouvements du corps ou à l’
action
des muscles, ne peut être confondu avec les cinq
us verrons plus tard qu’elle importe. Les modifications diverses de l’
action
musculaire nous font connaître trois choses : d’a
oids et les propriétés mécaniques de la matière. La continuation de l’
action
musculaire donne des idées de durée et d’étendue.
s viscères, elles n’ont point d’organes qui leur soient propres. Leur
action
sourde, obscure, mais continue, exerce une incont
ujet s’en aperçoive ; au contraire, si les muscles de la main sont en
action
, la variation n’est plus possible que de 1 1/2 à
ence163. On peut dire que c’est un pouvoir non appris d’accomplir des
actions
de toute sorte, et plus particulièrement celles q
e l’intelligence. Ces actes instinctifs forment cinq groupes : 1° Les
actions
réflexes ; 2° Le mécanisme spécial de la voix ; 3
itifs qui rendent possibles l’harmonie et la combinaison de certaines
actions
; 4° La liaison du sentiment et de ses manifestat
part dans cet ouvrage, comme faculté psychologique. Quelles sont les
actions
qui sont dues en nous aux impulsions primitives d
tamment son liquide, le laisse échapper avec plus d’abondance, sous l’
action
des émotions tendres. Tous ces faits et nombre d’
il ne les arrête pas, à certains mécanismes moteurs, déterminés si l’
action
est réflexe, choisis si l’action est volontaire.
mécanismes moteurs, déterminés si l’action est réflexe, choisis si l’
action
est volontaire. Tout doit donc se passer comme si
oteurs, et de dispositifs moteurs seulement, qu’il peut emmagasiner l’
action
du passé. D’où résulterait que les images passées
ordinaire de la mémoire, l’utilisation de l’expérience passée pour l’
action
présente, la reconnaissance enfin, doit s’accompl
enfin, doit s’accomplir de deux manières. Tantôt elle se fera dans l’
action
même, et par la mise en jeu tout automatique du m
st toujours situé au point précis où mon passé vient expirer dans une
action
. Et, par conséquent, ces images particulières que
ns le présent, leur point d’attache avec le réel, c’est-à-dire avec l’
action
. Coupez cette attache, l’image passée n’est peut-
souvenirs disposés le long du temps aux mouvements qui en dessinent l’
action
naissante ou possible dans l’espace. Les lésions
tude, il a exigé la décomposition d’abord, puis la recomposition de l’
action
totale. Comme tout exercice habituel du corps, en
lation nécessaires : ce n’est donc plus une représentation, c’est une
action
. Et, de fait, la leçon une fois apprise ne porte
e, la pente de notre vie passée. Mais toute perception se prolonge en
action
naissante ; et à mesure que les images, une fois
émoire profondément différente de la première, toujours tendue vers l’
action
, assise dans le présent et ne regardant que l’ave
évoquer le passé sous forme d’image, il faut pouvoir s’abstraire de l’
action
présente, il faut savoir attacher du prix à l’inu
ger ces états intermédiaires, et faire dans chacun d’eux la part de l’
action
naissante, c’est-à-dire du cerveau, et la part de
sans qu’aucun souvenir explicite intervienne. Elle consiste dans une
action
, et non dans une représentation. Je me promène da
re sensori-moteur d’un système nerveux tendu entre la perception et l’
action
, cette mémoire attend simplement qu’une fissure s
résent, un effort est nécessaire, par lequel nous nous dégageons de l’
action
où notre perception nous incline : celle-ci nous
lle. Dans la seconde, au contraire, ces lésions intéresseraient notre
action
naissante ou possible, mais notre action seulemen
ésions intéresseraient notre action naissante ou possible, mais notre
action
seulement. Tantôt eues empêcheraient le corps de
ernière phase de la réalisation du souvenir, supprimant la phase de l’
action
, elles empêcheraient par là aussi le souvenir de
ception présente : il y aura d’abord une inhibition de mouvement, une
action
d’arrêt. Mais sur cette attitude générale viendro
eptions aussitôt dissipées que reçues, celles que nous éparpillons en
actions
utiles. Mais toute perception attentive suppose v
lus dans le corps un point d’application, un moyen de se prolonger en
action
. Dans le premier cas, la lésion portera sur les m
es deux hypothèses : il y a, dans ces divers phénomènes, plus que des
actions
absolument mécaniques, mais moins qu’un appel à l
itude corporelle. Alors les verbes, dont l’essence est d’exprimer des
actions
imitables, sont précisément les mots qu’un effort
e les noms propres, étant, de tous les mots, les plus éloignés de ces
actions
impersonnelles que notre corps peut esquisser, so
antif rebelle lui-même : ne pouvant penser le mot juste, il a pensé l’
action
correspondante, et cette attitude a déterminé la
des excitations émanant du dedans peuvent donner naissance, par leur
action
sur l’écorce cérébrale ou sur d’autres centres, à
apes ; c’est le prélude à une réaction motrice, le commencement d’une
action
dans l’espace. En d’autres termes, l’image virtue
virtuels, et, en pénétrant plus avant dans le mécanisme intérieur des
actions
psychiques et psychophysiques, montrer par quel p
le. Avec Wundt nous estimons que la perception distincte implique une
action
centrifuge, et par là nous sommes conduits à supp
ement des impressions sensorielles. Mais tandis que, d’après Wundt, l’
action
centrifuge consiste dans une « stimulation aperce
lle d’ordinaire la fixation de l’attention, nous prétendons que cette
action
centrifuge revêt dans chaque cas une forme distin
a à la périphérie des organes de perception réelle, influencés par l’
action
de l’objet. Voir la Psychologie physiologique, t.
, sans s’embarrasser de rien. L’art n’intervient pas. Quand plusieurs
actions
se développent pendant une certaine durée en des
dre : on choisit une unité de temps, d’après laquelle on coupe chaque
action
en fragments égaux, et l’on montre successivement
stration financière : mais les rapports de ces parties entre elles, l’
action
et la réaction réciproques de la politique extéri
plusieurs individus ou de plusieurs groupes : dans la dispersion des
actions
particulières, il y a de temps à autre comme des
lières, présenter les personnages, marquer les caractères, annoncer l’
action
qui va mettre aux prises ces personnages et ces c
ffrir les personnages, dénouer enfin le sujet, c’est-à-dire pousser l’
action
et les caractères vers un but où l’une s’achève e
placés pour produira leur plus grand effet, ce progrès constant de l’
action
, cette rigoureuse analyse des passions, l’appropr
récit. Il faut observer, dans le choix des détails qui exprimeront l’
action
et les caractères, que tout ce qui est réel et vr
xpressif, qui contribue à peindre les caractères ou à faire avancer l’
action
. Pareillement, quand vous faites parler vos perso
ine et ses Fables. — Cf. surtout le chapitre ide la 3e partie, « de l’
Action
», p. 227-287.
COMÉDIE, s. f. (Belles-Lettres.) c’est l’imitation des mœurs mise en
action
: imitation des mœurs, en quoi elle differe de la
oi elle differe de la tragédie & du poëme héroique : imitation en
action
, en quoi elle differe du poëme didactique moral &
ourent à rapprocher par la vraissemblance la fiction de la réalité, l’
action
de la comédie nous étant plus familiere que celle
Hecyre : si toutefois Térence a eu dessein de faire une comédie d’une
action
toute pathétique, & d’où il écarte jusqu’à la
mœurs. D’abord on osa mettre sur le théatre d’Athenes des satyres en
action
, c’est-à-dire des personnages connus & nommés
ien à cette défense ; la ressemblance des masques, des vêtemens, de l’
action
, désignerent si bien les personnages, qu’on les n
se traîne après l’original pour avilir par une imitation burlesque, l’
action
la plus noble & la plus touchante : genres mé
dissipateur. Il est des caracteres trop peu marqués pour fournir une
action
soûtenue : les habiles peintres les ont groupés a
diateur mourant. La nature varie sans cesse : chaque position, chaque
action
différente la modifie diversement : c’est donc la
les moeurs privées, il est du moins incontestable qu’elle décide des
actions
publiques. Pat exemple, il n’est point de préjugé
ages, l’épopée ne différant plus de la tragédie que par le tissu de l’
action
, les moeurs, les sentimens, les caracteres, sont
is lorsque le poëte paroît & prend la place de ses personnages, l’
action
devient purement épique : c’est un homme inspiré
es caracteres annoncés se soûtiennent jusqu’au bout. Ecartez de votre
action
tout détail froid, tout ornement superflu. Intére
ue la bassesse des personnages, & dans les deux poëmes d’Homere l’
action
en elle-même n’a rien de grand (le P. le Bossu, l
n elle-même n’a rien de grand (le P. le Bossu, l. II. c. xjx.). Que l’
action
de votre poëme ne dure pas moins de 40 jours, ni
om qu’il plaira à ceux qui disputent sur les mots. Faites durer votre
action
le tems qu’elle a dû naturellement durer ; pourvû
ctere, & non sur leurs titres ; un grand nom n’annoblit point une
action
, comme une action héroïque annoblira le nom le pl
ur leurs titres ; un grand nom n’annoblit point une action, comme une
action
héroïque annoblira le nom le plus obscur. En un m
xpression & le mouvement de la voix, d’où l’art hypocritique ou l’
action
théatrale, que les Grecs appelloient orchesis, le
s cette partie n’est plus d’aucune autorité pour nous. A l’égard de l’
action
, sur les théatres de Rome & d’Athenes l’expre
la dissonance monstrueuse de ces traits fixes & inanimés avec une
action
vive & une succession rapide de sentimens sou
mme par ressorts ; & dans cette supposition comment concevoir une
action
libre & naturelle ? Cependant il est à présum
a suite de cet article ; mais elle n’a que des momens, & dans une
action
suivie il n’est point d’expression qui supplée à
e suivant sur déclamation des anciens, où l’on traite du partage de l’
action
théatrale, & de la possibilité de noter la dé
t, on oublioit l’acteur & le poëte : la beauté majestueuse de son
action
& de ses traits répandoit l’illusion & l’
eux-mêmes en état d’y suppléer. La troisieme (mais celle-ci regarde l’
action
, dont nous parlerons dans la suite), c’est l’étud
quité. Celui qui se distingue le plus aujourd’hui dans la partie de l’
action
théatrale, & qui soûtient le mieux par sa fig
es ; la réflexion profonde n’en veut aucun : le sentiment demande une
action
simple comme lui : l’indignation, le mépris, la f
es yeux & du visage ; un regard, un mouvement de tête, voilà leur
action
naturelle ; le geste ne feroit que l’affoiblir. Q
n’est point de scene, soit tragique, soit comique, où cette espece d’
action
ne doive entrer dans les silences. Tout personnag
nte & un mouvement reprimé. Le personnage qui s’abandonneroit à l’
action
devroit, par la même raison, se hâter de prendre
des langues ne feroit qu’affoiblir, dans lesquels la parole retarde l’
action
, & rend l’expression traînante & lâche. L
lences éloquens, qu’ils veulent tout dire, & ne laissent rien à l’
action
. Les Poëtes gémissent de leur côté de ne pouvoir
tre, contribue plus qu’on ne pense à la vérité & à l’énergie de l’
action
; mais nous nous proposons de toucher cette parti
de décence sont une imitation de la belle nature, comme doit l’être l’
action
dont elles retracent le lieu. Un homme célebre en
Le poëte a beau vouloir transporter les spectateurs dans le lieu de l’
action
; ce que les yeux voyent, devient à chaque instan
e passée ? On se plaint que nos tragédies sont plus en discours qu’en
action
; le peu de ressource qu’a le poëte du côté du sp
e. Le dénouement de l’épopée est un événement qui tranche le fil de l’
action
par la cessation des périls & des obstacles,
ée celui de la Pharsale, la mort de Turnus celui de l’Enéide. Ainsi l’
action
de l’Iliade finit au dernier livre, celui de la P
unément amené avec plus d’art. Tantôt l’évenement qui doit terminer l’
action
, semble la noüer lui-même : voyez Alzire. Tantôt
ituation des personnages, & rompre à la fois tous les noeuds de l’
action
: voyez Mithridate. Cet évenement s’annonce quelq
terme : voyez Iphigénie. Le dénouement le plus parfait est celui où l’
action
long-tems balancée dans cette alternative, tient
consiste à le préparer sans l’annoncer. Le préparer, c’est disposer l’
action
de maniere que ce qui le précéde le produise. Il
de la maniere dont se terminera la piece, il faut que la marche de l’
action
en écarte la réminiscence, au point que l’impress
des personnages intéressés dans l’intrigue, est durant le cours de l’
action
comme un vaisseau battu par la tempête : ou le va
inévitable, échappe aux yeux des spectateurs. Plus ils se livrent à l’
action
, & plus leur attention se dirige vers le term
ention se dirige vers le terme où elle aboutit ; or le terme prévû, l’
action
est finie. D’où vient que le dénouement de Rodogu
l’opinion, il ne faut pas moins que la chaleur de l’enthousiasme. Une
action
où doit entrer le merveilleux demande plus d’élev
demande plus d’élevation dans le style & dans les moeurs, qu’une
action
toute naturelle. Il faut que le spectateur emport
oracle. Dans ceux-là, l’entremise des dieux n’est point étrangere à l’
action
, & les Poëtes n’ont eu garde d’y observer ce
Si l’on se sert d’une machine, il faut que ce soit toûjours hors de l’
action
de la tragédie ; (il ajoûte) ou pour expliquer le
caractere, le mariage est plûtôt l’achevement que le dénouement de l’
action
. Voyez le Misantrope & l’Ecole des Maris, &am
le noeud, toutes les solutions dans le dénouement. Dans la Comédie l’
action
finit heureusement par un trait de caractere. Et
st dans leur ame qu’un écrivain philosophe cherche la source de leurs
actions
; & tout lecteur intelligent sent bien qu’on
logue, sa chaleur douce & tempérée ne peut soûtenir long-tems une
action
intéressante. Delà vient que les bergeries de Rac
seroient encore plus au théatre ; quoique le style, les caracteres, l’
action
même de ces bergeries s’éloignent de la simplicit
nguiroient eux-mêmes, si les moeurs en étoient purement champêtres. L’
action
de l’églogue, pour être vive, ne doit avoir qu’un
dre dans ce poëme les emportemens de l’amour, ni d’en faire aboutir l’
action
à quelque vérité cachée. La fable doit renfermer
-tout lorsqu’elle n’est que l’expression naïve du caractere & des
actions
d’un homme de bien. Les vertus privées ont droit
ts, lui dit l’un de ces braves soldats, si l’on n’avoit pas mis cette
action
à prix d’argent. Il en est des bons vers comme de
s mis cette action à prix d’argent. Il en est des bons vers comme des
actions
courageuses. Voyez Eloge. Quelques auteurs ont f
ses ayeux dont on lui fait l’histoire souvent chimérique ; ses belles
actions
& ses sublimes vertus qu’on passe sous silenc
EPOPÉE, s. f. (Belles-Lettres.) c’est l’imitation, en récit, d’une
action
intéressante & mémorable. Ainsi l’épopée diff
’histoire, qui raconte sans imiter, du poëme dramatique, qui peint en
action
; du poëme didactique, qui est un tissu de précep
héros ? Ce n’est pas la premiere fois qu’on a confondu, en Poésie, l’
action
avec le mouvement. Voy. Tragédie. Il n’y a poin
Horace ; l’importance & l’intérêt, l’agrément & l’utilité. L’
action
d’un poëme est une, lorsque du commencement à la
rté romaine défendue par Pompée & succombant avec lui, toutes ces
actions
ont le caractere d’unité qui convient à l’épopée
vice de l’art, non du sujet. Ces exemples ont fait regarder l’unité d’
action
comme une regle invariable ; cependant on a pris
ui reste à examiner. Voyez Intérêt. Quoi qu’il en soit, l’unité de l’
action
n’en détermine ni la durée ni l’étendue. Ceux qui
vement d’Helene vengé par la ruine de Troye n’en seroit pas moins une
action
unique, & telle que l’admet l’épopée dans sa
& telle que l’admet l’épopée dans sa plus grande simplicité. Une
action
vaste a l’avantage de la fécondité, d’où résulte
dens pleins de noblesse & d’intérêts, parties essentielles de son
action
, l’auroient suffisamment remplie ; peut-être même
ssi loin que la mémoire. Soit que l’épopée se renferme dans une seule
action
comme la tragédie, soit qu’elle embrasse une suit
une seule action comme la tragédie, soit qu’elle embrasse une suite d’
actions
comme nos romans, elle exige une conclusion qui n
re, ou de ne pas assez développer le dénouement. Voyez Dénouement. L’
action
de l’épopée doit être mémorable & intéressant
ié : ceci demande quelque détail. Un poëte qui choisit pour sujet une
action
dont l’importance n’est fondée que sur des opinio
e une fiction puérile, ou comme une vérité méprisable. Ainsi ce que l’
action
de l’Enéide a de grand est pris dans la nature, c
ris dans la nature, ce qu’elle a de petit est pris dans le préjugé. L’
action
de l’épopée doit donc avoir une grandeur & un
on le croiroit d’un ami de Caton. La grandeur & l’importance de l’
action
de l’épopée dépendent de l’importance & de la
ton tel que nous le peint Séneque, inter ruinas publicas erectum ? L’
action
de l’épopée semble quelquefois tirer son importan
choses, soit pour le bonheur, soit pour le malheur de l’humanité, son
action
aura toute l’importance qu’exige la dignité de l’
qu’exige la dignité de l’épopée. On a dit : il n’est pas besoin que l’
action
de l’épopée soit grande en elle-même, pourvû que
t pas besoin que les personnages soient d’un rang élevé, pourvû que l’
action
soit grande en elle. même. Il semble que l’intérê
. Il semble que l’intérêt de l’épopée doive être un intérêt public, l’
action
en auroit sans doute plus de grandeur, d’importan
ition qu’on le supposât, seroit un héros digne de l’épopée, & son
action
mériteroit un Voltaire ou un Fenelon. On éprouve
la fable se nomme simple ; ou il laisse derriere lui une partie de l’
action
pour se replier sur le passé, & la fable se n
d’Achille prolonge ce tissu de périls & de combats qui forment l’
action
de l’Iliade ; mais cette colere, toute fatale qu’
n’a qu’à les supposer au théatre. Voyez Tragedie. Cependant comme l’
action
de l’épopée est moins serrée & moins rapide q
ntérêt particulier, il faut qu’elle concoure à l’intérêt général de l’
action
; que ce qui la suit en dépende, & qu’elle dé
p; par des combats de passion & d’intérêt, noüer & soûtenir l’
action
. Telle étoit la forme de l’Iliade & de la Pha
e en poëte, ou les personnages ou les tableaux que lui présentoit son
action
? les caracteres de Pompée & de César, de Bru
ux & le reflux naturel à la passion qui le domine ; au lieu que l’
action
du poëme épique étant étendue à un plus long espa
tion des plantes, l’instinct des animaux, les développemens du feu, l’
action
de l’air, &c. les mécaniques, l’astronomie, l
u’il peut tirer des peintures dignes de remplir les intervalles d’une
action
héroïque : encore doit-il être avare de l’espace
ueroit pas d’arriver, si, par exemple, dans l’un des intervalles de l’
action
on employoit mille vers à ne décrire que des jeux
ménager les descriptions est donc de les présenter dans le cours de l’
action
principale, comme les passages les plus naturels,
fois fait rire où l’on eût dû pleurer ; mais quand le pathétique de l’
action
est soûtenu, la plaisanterie ne se soûtient point
ologue, (Belles-Lettres.) instruction déguisée sous l’allégorie d’une
action
. C’est ainsi que la Mothe l’a définie : il ajoûte
ie dont la fable est une espece. Mais l’allégorie ainsi réduite à une
action
simple, à une moralité précise, est communément a
l’ont déguisée au théatre & dans l’épopée, sous l’allégorie d’une
action
, & ce ménagement l’a fait recevoir sans révol
principale ; & les traits accessoires répandus dans le cours de l’
action
, passent trop rapidement pour ne pas s’effacer l’
, ce n’est pas un conteur qui plaisante ; c’est un témoin présent à l’
action
, & qui veut vous y rendre présent vous-même.
Voyez Fiction . Dans les poëmes épique & dramatique, la fable, l’
action
, le sujet, sont communément pris pour synonymes ;
ception plus étroite, le sujet du poëme est l’idée substantielle de l’
action
: l’action par conséquent est le développement du
s étroite, le sujet du poëme est l’idée substantielle de l’action : l’
action
par conséquent est le développement du sujet, l’i
sposition considérée du côté des incidens qui nouent & dénouent l’
action
. Tantôt la fable renferme une vérité cachée, comm
us heureux, un poëte doit sans doute avoir égard dans le choix de son
action
, à l’influence qu’elle peut avoir sur les moeurs
ade renferme la même vérité que l’une des fables d’Esope, & que l’
action
qui conduit au développement de cette vérité, est
commencé par se proposer cette vérité ; qu’ensuite il ait choisi une
action
& des personnages convenables, & qu’il n’
ue se décide le choix du poëte : Homere lui-même en est un exemple. L’
action
de l’Odyssée prouve, si l’on veut, qu’un état ou
ement n’a pas eu dessein de faire voir. De même on peut conclure de l’
action
de l’Enéïde, que la valeur & la piété réunies
nt inventé la fable de leurs poëmes qu’en vûe de la moralité, toute l’
action
n’aboutiroit qu’à un seul point ; le dénouement s
t une galerie de la vie d’un homme, n’en feroient-ils pas d’une seule
action
? un tableau n’a qu’un moment, une action en a qu
eroient-ils pas d’une seule action ? un tableau n’a qu’un moment, une
action
en a quelquefois cent où l’on verroit l’intérêt c
iaison des parties, dans leur correspondance mutuelle & dans leur
action
réciproque ; & c’est à quoi les plus grands p
accoûtumé à les voir se réunir pour rendre un témoignage éclatant aux
actions
vraiment glorieuses. Que l’on suppose ce concert
mais les vertus elles mêmes n’ont droit d’y aspirer qu’à ce titre. L’
action
de Virginius immolant sa fille, est aussi forte &
ois & de la patrie. Il y avoit peut-être bien de l’orgueil dans l’
action
de Brutus, peut-être n’y avoit-il que de l’orguei
out, ou sembloit faire tout pour Rome ; & Rome, qui n’a regardé l’
action
de Virginius que comme celle d’un honnête homme &
que comme celle d’un honnête homme & d’un bon pere, a consacré l’
action
de Brutus comme celle d’un héros. Rien n’est plus
de l’union de l’ame & du corps, de leur dépendance & de leur
action
réciproque, des opérations qui résultent du conco
e. Mais la dignité positive dans un grand est l’accord parfait de ses
actions
, de son langage, de sa conduite en un mot, avec l
e l’irritation, est certainement quant à présent irréductible à toute
action
physico-chimique, et cependant dès à présent il p
ant qu’une apparence. Les propriétés vitales elles-mêmes n’entrent en
action
que sous l’influence des agents physico-chimiques
serait tenté de croire que l’agent vital est presque indépendant des
actions
physico-chimiques, lorsqu’on le voit supporter av
haleur, électricité, humidité, etc.) nécessaires à la provocation des
actions
vitales. Ce milieu intérieur est le sang. C’est l
sympathiquement : cependant on peut analyser cette machine, isoler l’
action
de chacune de ces pièces distinctes, sauf à les r
e ces pièces distinctes, sauf à les replacer ensuite toutes dans leur
action
totale. Il est également possible de transporter
il faut encore que cette cause, cette faculté soient déterminées à l’
action
par quelque raison particulière, par quelque cond
la respiration, la digestion, la sécrétion, sont en grande partie des
actions
chimiques, et Hegel a pu définir avec justesse la
s autres phénomènes physiques. Or, on conviendra aisément que, si les
actions
de l’âme sont gouvernées par les mêmes lois que l
mot de liberté n’exprimerait que la partie inconnue des causes de nos
actions
: à mesure que ces causes seraient connues, la pa
s phénomènes physiques sont aussi des causes occultes, dont le mode d’
action
interne nous est inconnu, et cependant nous ne su
car, s’il est un ordre de choses auquel nous devons coopérer par nos
actions
, il est de toute évidence qu’un tel devoir suppos
ysiquement, mécaniquement sur elles, et qui, tout en déterminant leur
action
d’une façon en quelque sorte métaphysique, leur l
ent parler, ce sont des idées, et ces idées suffisent pour empêcher l’
action
ou la déterminer. Lorsque le besoin que j’ai d’un
elle en accélère les mouvements. Il y a donc mélange des deux règnes,
action
et réaction de l’un sur l’autre. Comment ce comme
les lois de la liberté peuvent-elles admettre, sans être détruites, l’
action
de la nature ? Comment ce déterminisme physiologi
t. Elle est soumise aux mêmes règles, aux unités de temps, de lieu, d’
action
, d’intérêt, de dessein. Les moyens seuls sont dif
e. Dans la première, aucun des personnages n’a dessein de traverser l’
action
, qui semble devoir aller d’elle-même à sa fin, ma
alets. Amphytrion est le modèle des pièces de ce genre. Il offre une
action
que les personnages n’ont aucun dessein de traver
nt de Jupiter produit une brouillerie entre Amphytrion et Alcmène : l’
action
est toujours conduite ainsi, jusqu’au moment où l
Il ne manque à cette comédie que la simplicité dans le principe de l’
action
: celui des Ménechmes est encore plus vicieux. D
n évidence le caractère qu’il veut peindre : expressions, sentiments,
actions
, incidents, épisodes, tout doit se rapporter à ce
e l’importance sociologique du roman. Le roman raconte et analyse des
actions
dans leurs rapports avec le caractère qui les a p
l ou naturel où elles se manifestent ; suivant que l’on insiste sur l’
action
, ou le caractère, ou le milieu, le roman devient
sychologique et sociologique, car on s’intéresse d’autant mieux à une
action
qu’on l’a vue naître, avant même qu’elle n’éclate
sages intéressent davantage quand ils ne font que servir de cadre à l’
action
, qu’ils l’appuient ou lui font repoussoir, qu’ils
oute la logique des événements, tuent un grand homme au moment où son
action
allait devenir prépondérante, font avorter brusqu
nce réciproque et un équilibre parfait de toutes les parties ; mais l’
action
, qui est la manifestation même de la vie, est pré
a chair, comme le sang même. Toute vie complète, à chaque moment de l’
action
, tend à devenir ainsi symbolique, c’est-à-dire ex
ue mêmes. Le caractère est toujours révélé pour nous et précisé par l’
action
: nous ne pouvons nous flatter de bien connaître
nt que nous ne nous sommes point vus à l’œuvre. C’est pour cela que l’
action
est si nécessaire dans le roman psychologique. El
une toute autre manière. Ici ce n’est pas le côté extraordinaire de l’
action
qu’on recherche, mais son côté expressif, — moral
xpressif, — moral et social. Un accident ou un incident n’est pas une
action
. Il y a des actions vraiment expressives du carac
t social. Un accident ou un incident n’est pas une action. Il y a des
actions
vraiment expressives du caractère constant ou du
nt ou du milieu social, et d’autres plus ou moins accidentelles ; les
actions
expressives sont celles que le romancier doit cho
’un miroir brisé peut encore réfléchir un visage, de même dans chaque
action
, fragment détaché d’une vie humaine, doit se pein
clamatoire. Tout vient aboutir à cette scène ; on s’attend donc à une
action
, à un événement, à un heurt de forces et d’hommes
termes, le roman idéal, en ce genre, est celui qui fait ressortir les
actions
et réactions des événements sur le caractère, du
nuité, mais il faut aussi qu’il y ait progression. Dans la réalité, l’
action
des événements sur le caractère produit des effet
Un roman doit donc ménager la progression dans toutes les phases de l’
action
; quant aux événements divers, ils se trouvent li
agir, il ira à Charlotte et, repoussé, il accomplira enfin la grande
action
née de toute sa vie contemplative, et l’on peut d
distincts l’un de l’autre. La vie doit produire sur chacun d’eux une
action
particulière, mais non isolée, qui retentisse ens
après avoir pour ainsi dire traversé le premier, arriver au second. L’
action
totale du drame est une sorte de chaîne sans fin
s toutes deux, hostiles au fond, se résume dans un geste qui vaut une
action
: « Prenant la fleur de cassie qu’elle avait à la
ond de sauvagerie du caractère de Carmen ; c’est de la psychologie en
action
. Cette scène de violence se fond aussitôt dans un
rt que moi. » A partir de ce moment, les événements très simples de l’
action
se suivent avec la rigueur d’une déduction, rappr
aimes encore et c’est pour cela que tu veux me tuer. » Durant toute l’
action
, l’un des traits distinctifs des deux caractères,
une petite croix57. » Il n’y a qu a compliquer ainsi cette étude des
actions
et réactions entre les caractères, le milieu, l’é
endhal analyse donc, et dans la perfection, les motifs conscients des
actions
, mais il ne fait que de l’analyse, rien que de l’
’enchaîner. Ces deux amours admis, non expliqués, il va déduisant les
actions
et leurs mobiles. Stendhal analyse des idées, mai
a la connaissance de l’homme, la connaissance scientifique, dans son
action
individuelle et sociale. Le roman expérimental se
vie d’opulence ou d’indigence absolue, de souffrances tragiques ou d’
actions
éclatantes. Je me détourne sans regret, de vos si
simple, initial, pour arriver ensuite au déterminisme complexe dont l’
action
a suivi. On peut prendre l’exemple du baron Hulot
nt détruite, toutes sortes de drames secondaires se produisant sous l’
action
du tempérament amoureux de Hulot74. Comme on voit
t aboutir à des dilemmes moraux, à de grandes pensées et à de grandes
actions
; et c’est ainsi, à force d’élévation morale, que
consacré à perpétuer dans le souvenir, par le merveilleux idéal, les
actions
des dieux, les hauts faits des héros, les fondati
e ces qualités, ou les réunir. La simple est, selon lui, celle dont l’
action
est unique, sans péripétie, sans reconnaissance,
le présente dans une situation égale et permanente : telles sont les
actions
qui se passent dans le ciel ou dans l’enfer entre
et le caractère sont immuables. Il entend par l’implexe celle dont l’
action
est double, s’opère à l’aide de changements du so
de véritables épopées. Le poète épique n’étant que le narrateur d’une
action
peinte par le récit, ne dut jamais paraître dans
tout s’entraîne pour causer le plaisir, l’intérêt, et l’étonnement. L’
action
, que dis-je ? les actions sans nombre qui marchen
er le plaisir, l’intérêt, et l’étonnement. L’action, que dis-je ? les
actions
sans nombre qui marchent gaîment ou fortement lié
e l’intrigue. Est-ce, dites-moi, en rapetissant ainsi les mobiles des
actions
humaines qu’on assied sur un fondement extraordin
si grand n’a paru sur tes bords. Si le héros était le seul dieu de l’
action
, le récit des Nymphes l’agrandirait-il autant que
s remparts l’honneur et la patrie ? Qui ne croirait pas assister à l’
action
, entendre les exhortations du Dieu, et voir son v
onnaître qu’une seule que nous définirons ainsi ; récit en vers d’une
action
héroïque et merveilleuse, et que nous nommerons s
épopée sérieuse. L’héroï-comique est, de même, le récit en vers d’une
action
merveilleuse, mais tour à tour noble, gaie, grave
e dans son cours de littérature : ces ouvrages ne contiennent pas une
action
entière, mais une suite d’actions successives et
ces ouvrages ne contiennent pas une action entière, mais une suite d’
actions
successives et détachées les unes des autres. Je
ces deux ouvrages, malgré leur aspect fabuleux, ne présentent pas une
action
simple et complète, nous ne pouvons pas plus rece
principaux : ne conviendrez-vous pas qu’il faut à un poème épique une
action
entière que l’on nomme le fait ou la fable, sujet
t ou la fable, sujet du récit ? Ne faut-il pas que la mesure de cette
action
ait une certaine étendue qui en laisse discerner
r de ce vraisemblable plus recommandé que le vrai, soit à l’égard des
actions
des dieux, soit relatif à celles des hommes ? Ome
ons remplies ne produit-elle pas le complément du récit en vers d’une
action
héroïque et merveilleuse ? Il n’est pas un de vou
gt-huitième séance. Du fait ou de la fable épique ; de la mesure de l’
action
. Messieurs, Les qualités qui constituent géné
sse alternativement du ton noble au ton badin, selon que le demande l’
action
racontée. J’attribue à ces trois espèces que nous
pour l’épopée ainsi que pour le genre théâtral, doit se fixer sur une
action
soit historique, soit fabuleuse. C’est en cela qu
moraux et scientifiques, ne se fondent pas sur le simple récit d’une
action
: il est donc indubitable que cette condition a b
tant plus l’attention du poète qu’il ne lui suffit pas de trouver une
action
à chanter, si cette action n’a les qualités relat
ète qu’il ne lui suffit pas de trouver une action à chanter, si cette
action
n’a les qualités relatives au mode de ses chants.
c une première preuve de génie donnée par le poète que de choisir une
action
digne d’exciter l’étonnement dans tous les lieux
ussi trouvons-nous que les plus habiles n’ont chanté que les sublimes
actions
des dieux ou des hommes presque divinisés. Aussi
de la grandeur idéale de l’imagination. À cette qualité générale de l’
action
épique, s’il se joint celle d’être particulière a
pour l’enlèvement de Médée ». Homère a donc supérieurement choisi son
action
, et l’on ne doit pas s’étonner qu’elle ait flatté
viennent s’y fondre avec éclat ! Un court extrait de cette véhémente
action
vous en retracera les beautés. Je ne vous le fera
fable de notre seul poème national. Le choix en est irréprochable : l’
action
de la Henriade peut entrer en concurrence avec ce
vérité. Ces exemples nous démontrent en quoi consiste la beauté d’une
action
épique : il faut qu’elle soit précisément saisie
par les deux peuples les plus belliqueux de la terre, répandait sur l’
action
une influence toute merveilleuse, puisée dans le
bras, « Comme un héros dissout les ligues des états. Cette dernière
action
de Philippe-Auguste appartient plus à l’épopée qu
me paraît un des meilleurs. On présumerait, aux exemples cités, que l’
action
épique se borne au récit des entreprises guerrièr
son exemple, bien digne qu’un Homère l’eût consacré, témoigne qu’une
action
, pour être héroïque et merveilleuse, n’a pas beso
si en personne, mais afin d’imprimer une réalité plus apparente à son
action
toute imaginaire : vous le suivez dans les périls
’enfance remplis des menaces et des promesses de la justice divine. L’
action
du poète qui se passe au-delà de l’existence maté
ait : mais il garde partout l’empreinte de l’épopée, par le récit des
actions
surnaturelles, actions les plus difficiles à raco
tout l’empreinte de l’épopée, par le récit des actions surnaturelles,
actions
les plus difficiles à raconter, et qui veulent la
imériques, où l’auteur du Paradis perdu sut faire jouer hardiment une
action
principale entre les puissances des anges et des
els, n’étant pas encore déchus de leur dignité primitive ; et toute l’
action
se conduit par un mystère qui la rend presque div
’en philosophe, né sous le règne de Tibère, vous jugiez le héros de l’
action
dépouillé d’attributs divins, et n’étant plus qu’
re ineffable de l’homme-Dieu, combien vous semblera plus magnifique l’
action
de la miséricorde céleste se personnifiant pour r
e son espèce, s’il n’eût choisi ce point lumineux pour y concentrer l’
action
de son indomptable paladin. Les règles se déduise
la base d’une censure générale qui frappe la multitude des hommes. L’
action
de Boileau acquiert du poids en ce qu’elle expose
siveté monastique et la gourmandise des prélats et des chapelains ; l’
action
de Pope, superficielle en apparence, reçoit une s
serions tous pris à l’une ou à l’autre. 2e Règle. La mesure de l’
action
. La seconde condition épique, c’est la mesure
ure de l’action. La seconde condition épique, c’est la mesure de l’
action
, règle très différente dans l’épopée et dans la p
que n’a point de limite exacte. L’espace de quarante jours renferme l’
action
de l’Iliade ; deux mois suffisent à la fable de l
moins de temps que la Jérusalem délivrée ; et le Lutrin accomplit son
action
en deux jours : au sujet du Paradis perdu il ne f
eployant ainsi sur le présent par un ingénieux artifice, raccourcit l’
action
en la complétant, et varie ses formes en resserra
vée dans Ithaque, que la relation de ces faits détachés ralentirait l’
action
principale : mais le héros, échappé des gouffres
i devait orner son poème. Il se jette impétueusement au milieu de son
action
, et rappelle avec art, dans la suite de ses chant
a compagne et de leurs sensations diverses à l’aspect de la nature. L’
action
reprend son cours et ces détails incidentels n’en
t point la juste proportion. Ce n’est pas avec la même justesse que l’
action
de la Henriade est mesurée : l’auteur ne la comme
r, on trouve à ce chant la mort de Valois, catastrophe antérieure à l’
action
personnelle de Henri IV, et placée là comme elle
la fable aurait un plus large espace pour se déployer entièrement. L’
action
de la Henriade est belle, grande : nous l’avons d
personnages n’est point une règle, mais un moyen d’introduire dans l’
action
les choses qui n’en sont pas absolument dépendant
raient économes du moyen qu’il prodigua, et comment l’étendue de leur
action
absorbait la variété des récits qui s’y mêlaient.
aut qu’au bon choix de la fable ils ajoutent la mesure convenable à l’
action
. Le sage Despréaux leur dit : « N’offrez point u
e, et grandeur dans son. Argonautique, poème plus régulier, quant à l’
action
, que l’admirable Énéide. Voilà ce qui charme, ce
x premières conditions du genre épique sont le choix convenable d’une
action
, et la mesure propre à cette action, qui, dans l’
ue sont le choix convenable d’une action, et la mesure propre à cette
action
, qui, dans l’épopée comme dans la tragédie, doit
s entre elles, et dépendantes les unes des autres : « de même, dans l’
action
d’un poème, on veut, dit-il, une certaine d’étend
nt la difficulté de ce genre, et surtout dans les poèmes où l’unité d’
action
est observée. 3e Règle. L’unité. Cette trois
nt à un seul homme, on ne peut faire un seul événement : de plusieurs
actions
que fait un seul homme, on ne peut faire une seul
plusieurs actions que fait un seul homme, on ne peut faire une seule
action
: ceux qui ont composé des Héracléides, des Thésé
Hellespont, et des pièges de la tyrannie qui conjurait sa mort. Cette
action
est une, et liée en toutes ses parties animées, c
imées, comme le sont les membres d’un corps vivant. Duplicité de l’
action
de l’Énéide. L’Énéide, bien préférable à l’Arg
é de la mettre au-dessus de tout, par la raison même qui condamne son
action
. Ils ont estimé que des deux faits consécutifs qu
l’établissement d’Énée en Italie, étant annoncé au commencement de l’
action
, son trajet sur les mers, qui en est le milieu, e
? Je ne le pense pas : il faudrait avoir oublié que cette principale
action
est commencée du plus haut possible, par les déma
se terminait pas en abordant les côtes d’Italie ? Mais le récit d’une
action
n’est pas celui d’une vie. Le sort du Télémaque,
res, n’est pas résolu définitivement à son retour dans ses foyers ; l’
action
épique est néanmoins entière ; il l’eut doublée e
pressément qu’ un poète doit être poète, plus par la composition de l’
action
que par celle des vers . La prose harmonieuse de
des poètes. Unité absolue de la Jérusalem délivrée. En effet l’
action
du Tasse, poète inférieur à Virgile, est de soi-m
e aux enfers : mais leur opinion se partage sur l’effet de la seconde
action
, et la durée de plusieurs siècles n’a pas réuni l
urs des deux sexes et de tous les âges, par la totalité de son unique
action
. Un tel effet peut-il avoir une autre cause ? Non
rdu, nous rappelle très bien qu’Homère, pour conserver l’unité de son
action
se transporte au milieu des choses, comme Horace
du siège de Troie, il est évident que le poème aurait été un tissu d’
actions
différentes. Je ne sais où le commentateur anglai
ut regarder plutôt comme des excroissances que comme des parties de l’
action
. Au contraire, le poème dont il s’agit ici n’a d’
té la colère d’Achille et le voyage d’Énée en Italie : « Selon moi, l’
action
de Milton surpasse encore en ce point les deux pr
uoiqu’inspiré par celui que Milton composa sur la chute d’Adam. Ici l’
action
soutient le parallèle avec la grandeur de celle d
rs que, même dans l’épopée, leur sublime Klopstock garde les unités d’
action
et de lieu, et presque celle de temps, puisqu’il
ur l’unité, la plupart des louanges qu’à méritées le Paradis perdu. L’
action
unique de Klopstock ne se passe que dans l’imagin
on, en louant le sujet autant que l’unité de ce poème. Duplicité d’
action
dans la Henriade. Cet éloge d’un grand poète a
ions de la langue : revenons à la règle de l’unité. Multiplicité d’
actions
dans le Roland furieux. Nous la chercherons pl
èreté du chantre de la folie de Roland. Entrons dans son labyrinthe d’
actions
, et tirons-nous-en le mieux possible. Les lumière
stinguent son esprit, en démêlant la contexture embrouillée des trois
actions
que le poète enlace et, pour ainsi dire, tresse l
e tableau du siège de la capitale de la France : Voilà le centre de l’
action
! voilà ce qui domine sur toutes les autres fable
r baptisé épouse sa fidèle et belliqueuse Bradamante. Ainsi la triple
action
est couronnée par un triple dénouement. Renonçons
de celle qu’on exige dans le genre scénique. L’unité se borne ici à l’
action
, et ne s’étend pas au lieu et au temps. Le poète
ux, ne connaissant point les limites du temps, conduisant de plus son
action
par les machines merveilleuses, et la prolongeant
nt associer ce principe à cette autre nécessité de ne raconter qu’une
action
merveilleuse, et par conséquent hors de la croyan
res. Les héros, les divinités se manifesteront nécessairement par des
actions
et des paroles surnaturelles, mais toujours en ra
essaire au récit du fait, et le rend burlesquement invraisemblable. L’
action
épique devant composer un tout, les parties qui n
elle et de Bourbon peuvent être supprimées de la Henriade, sans que l’
action
y perde rien. Les amours d’Énée et de Didon ne po
uvent unis, n’ont pourtant pas d’identité. Une forme gigantesque, une
action
héroïque, bien que naturelles, sont extraordinair
es sont rares : une forme idéale, conventionnelle ou monstrueuse, une
action
supérieure à la puissance humaine, étant surnatur
ythologie grecque dans un sujet de notre histoire sainte, ou dans une
action
de notre chevalerie : Le Tasse et Milton, comme i
spécial qu’on doit chercher, ou savoir inventer, et dont toute grande
action
est susceptible. On me croirait fort en oppositio
nt à grossir les objets pour faire plaisir à ceux qui les écoutent. L’
action
de l’épopée, devant être grande et héroïque par e
merveilleux reçoit une extension indéfinie, et pour cela convient aux
actions
et aux paroles des dieux, dont les attributs ne p
e résulte que d’une complète analogie avec l’époque, les mœurs et les
actions
des personnages. Supposez un moment que la Vierge
elon le législateur de nos muses, « Dans le vaste récit d’une longue
action
, « Se soutient par la fable et vit de fiction. «
ux trop souvent indécis, vague, et toujours secondaire au milieu de l’
action
épique. Ces demi-déités, telles que la Discorde,
dis qu’il aurait dû les peindre, la Discorde, mobile continuel de son
action
, va trouver la Politique à la cour du Vatican, où
Voltaire peint selon son usage, moins par sa physionomie que par ses
actions
), qui prend cette fois,
les créations des dieux qui passent notre intelligence, et que leurs
actions
qui toutes sont des mystères impénétrables. Nous
aisons de l’aiguille aimantée vers le fer et vers les pôles, dans les
actions
de l’électricité, des substances volcaniques et d
suprême moteur des choses, par qui tous les phénomènes et toutes les
actions
se produisent, et qui ordonne et gouverne tout. Q
ue les caractères principaux sont ceux qui impriment le mouvement à l’
action
de l’épopée, ainsi qu’à celle du drame ; que les
ter : il ne considère ici que l’espèce de grandeur qui relevait leurs
actions
à l’égal de celles du roi dont il a loué la jeune
acte conformité d’humeurs distingue les personnages introduits dans l’
action
, ils se placeront d’eux-mêmes, d’un bout à l’autr
es vertus civiles et militaires, afin de redoubler le pathétique de l’
action
, en dévouant ce héros à la fatalité de la guerre.
iers, et tous restent semblables à eux-mêmes d’un bout à l’autre de l’
action
. Descendez de ce ciel dont il a rangé les dominat
s premiers leviers de cette grande machine. Elles seules produisent l’
action
qui cesse dans l’épopée comme en nous, dès qu’ell
me rassure, c’est la certitude de la mort. » En ses discours, en ses
actions
, tout respire la passion du bien, du juste et du
rétien, prisonnier à Massoure, entrât dans les circonstances de cette
action
épique, et fût célébré par le Tasse, au lieu de l
sité. Tout ce que nous avons dit relativement au choix de la fable ou
action
épique, comprend les différentes sortes d’intérêt
cette règle à laquelle s’attache celle des péripéties, comme dans les
actions
théâtrales. 9e Règle. L’intérêt, ou nœud épiqu
t le vif intérêt du nœud de ce poème, si ce n’est de sa belle unité d’
action
? Tous les sujets où cette unité règne comportent
ent soutenu par sa valeur et par l’amour de Médée ? Là l’intérêt de l’
action
est au comble par l’effet de ce nœud qui rend les
que fil de la contexture entière, et qu’il se resserre au centre de l’
action
, qu’on croit un moment prête à se rompre, et qui
point où s’engage le plus profondément l’intérêt de cette pathétique
action
. Le génie n’a pas tissu de nœud plus habilement f
antiquité : où trouver le nœud central qui le constitue dans les deux
actions
successives de l’Énéide ? L’inobservation de cett
il en est plein partout ; car ses moindres incidences sont de courtes
actions
qui toutes ont leur nœud attachant ; et même son
ages en mouvement, que ses périodes poétiques comportent chacune leur
action
que lie un nœud fait pour intéresser dans tous se
res, et qu’il manque d’un haut point d’intérêt central, parce que son
action
est partagée. Nullité d’intérêt central dans l
qui ne présente qu’une catastrophe par laquelle s’achève une première
action
? Trouve-t-on ce nœud dans les galantes et inutil
édomine aux approches de la bataille de Pharsale, nœud principal de l’
action
historique, nœud solide, nœud auquel tout remonte
ar la création de Lucain ? Cet intérêt est fort et plein, parce que l’
action
est une et entière ; et comme il embrasse à la fo
règles. Une habileté semblable à former, comme il faut, le nœud d’une
action
fait exceller Boileau dans les péripéties enjouée
au contraire, nous connaissons la nature des objets humains, dont les
actions
et les sentiments sont en relation avec notre ent
. Tel est en premier lieu le sublime des sentiments, duquel celui des
actions
et des discours sort et découle abondamment ; mai
soit du vice. La terrible sublimité de ce discours se soutient dans l’
action
jusqu’à la fin ; et quand Satan réalise son vœu,
Homère devient plus évidemment juste à l’égard de Philémon et Baucis,
action
simple et merveilleuse à la fois, à laquelle s’ad
distingue qu’une même espèce de sublimité soutenue par la nature de l’
action
, et par l’uniforme pureté du style. Ses beautés n
que, la Jérusalem délivrée, la Lusiade, sont des épopées, et que leur
action
totale n’aboutit pas à une moralité définitive :
utaire moralité : celui de nos braves qui saura le mieux la mettre en
action
, deviendra le libérateur de tous, et le sauveur d
déplacements, enfin les désintégrations de la conscience, soit sous l’
action
de la maladie, soit sous celle de l’hypnotisme et
ême toujours accomplie s’ils n’avaient pas été arrêtés, inhibés par l’
action
du cerveau, qui les a réduits à une inertie relat
es de la moelle sont presque réduits chez l’homme à l’automatisme des
actions
réflexes, il n’en est plus de même à mesure qu’on
et où, pour ainsi dire, nous nageons, mais comment discerner à part l’
action
des myriades de gouttes d’eau qui nous pressent e
es moteurs sont précisément ceux dont la mise en activité amènerait l’
action
de couper avec des ciseaux : il y aura donc décha
e le cerveau, qui l’ignore, ne pourra plus l’inhiber ni la diriger. L’
action
se rapproche alors des actes réflexes accomplis p
tions peuvent provoquer des émotions, des pensées, des volitions, des
actions
; c’est le déplacement et la transformation de l’
aussi entre le cerveau et la moelle épinière. Supprimez ou diminuez l’
action
du cerveau : vous augmentez généralement l’intens
cerveau : vous augmentez généralement l’intensité et la rapidité des
actions
réflexes provenant de la moelle ; sous la moindre
ctivité dans le cerveau, « vous modérez ou inhibez » généralement les
actions
de la moelle épinière. Dans les faits d’habitude,
te du temps, est cause aussi que nous agissons continuellement. Toute
action
est un empiétement sur l’avenir. Retenir ce qui n
écanismes dont chacun contient, prête à se déclencher, telle ou telle
action
compliquée que le corps accomplira quand il le vo
s pu vérifier cette loi sur lui-même. Qu’arrive-t-il quand une de nos
actions
cesse d’être spontanée pour devenir automatique ?
uvrent à elle. Elle peut s’orienter dans le sens du mouvement et de l’
action
— mouvement de plus en plus efficace, action de p
ens du mouvement et de l’action — mouvement de plus en plus efficace,
action
de plus en plus libre : cela, c’est le risque et
ez l’être vivant, la représentation qui précède l’acte, et non plus l’
action
même. A quel signe reconnaissons-nous d’ordinaire
l’action même. A quel signe reconnaissons-nous d’ordinaire l’homme d’
action
, celui qui laisse sa marque sur les événements au
l’avenir pour presser contre les éventualités qui se préparent : son
action
, semblable à une flèche, se décoche avec d’autant
on contracte ainsi les événements de la matière, c’est pour que notre
action
les domine ? Supposons par exemple que la nécessi
conscience qui voudrait néanmoins insérer dans le monde matériel une
action
libre, ne fût-ce que celle qu’il faut pour faire
ent tenir dans un instant unique de la vie consciente, de sorte que l’
action
voulue, accomplie par la conscience en un de ses
fit. Elle opère par deux méthodes complémentaires — d’un côté par une
action
explosive qui libère en un instant, dans la direc
si la première est l’inverse de la seconde, si la conscience est de l’
action
qui sans cesse se crée et s’enrichit tandis que l
n qui sans cesse se crée et s’enrichit tandis que la matière est de l’
action
qui se défait ou qui s’use, ni la matière ni la c
nde réussite de la vie. Mais créateur par excellence est celui dont l’
action
, intense elle-même, est capable d’intensifier aus
i dont l’action, intense elle-même, est capable d’intensifier aussi l’
action
des autres hommes, et d’allumer, généreuse, des f
ici-bas, la conscience se trempe comme de l’acier et se prépare à une
action
plus efficace, pour une vie plus intense ? Cette
ait pu théoriquement révoquer en doute la connexion des motifs et des
actions
. La vie pratique dépend tout entière de ce princi
es encore plus nombreux ; elle est en grande partie une enquête sur l’
action
des motifs, et elle se fonde sur ce principe que
s tout, peut-on objecter, quand nous prédisons ou calculons ainsi les
actions
volontaires de nos semblables, nous ne regardons
te de latitude qui prévaut, et nous permet de ne pas supposer que ces
actions
dépendent de causes régulières et invariables. A
nes moraux. En somme, deux faits incontestables, dit M. Bailey 1. Les
actions
volontaires résultent de motifs et peuvent être c
motifs et peuvent être constamment prédites ; 2. En accomplissant ces
actions
, nous n’en faisons pas moins ce qui nous plaît ;
faire une chose, — ce qui implique naturellement que je prévois votre
action
: — ce n’est pas vous forcer à la faire. Les même
évois votre action : — ce n’est pas vous forcer à la faire. Les mêmes
actions
humaines peuvent être voulues avec une liberté pa
s Grecs, chacune des pièces qui composaient leurs trilogies avait son
action
particulière, qui se terminait dans la pièce même
ier plus étroitement entre elles les trois pièces de son Wallstein. L’
action
ne commence qu’à la seconde, et ne finit qu’à la
nit qu’à la troisième. Le Camp est une espèce de prologue sans aucune
action
. On y voit les mœurs des soldats, sous les tentes
conde pièce a pour titre les Piccolomini. Dans cette pièce commence l’
action
; mais la pièce finit sans que l’action se termin
. Dans cette pièce commence l’action ; mais la pièce finit sans que l’
action
se termine. Le nœud se forme, les caractères se d
dant en Allemagne. Les Allemands tolèrent ainsi tantôt une pièce sans
action
, le Camp de Wallstein ; tantôt une action sans dé
ainsi tantôt une pièce sans action, le Camp de Wallstein ; tantôt une
action
sans dénouement, les Piccolomini ; tantôt un déno
conde espèce d’acteurs, spectateurs eux-mêmes, en quelque sorte, de l’
action
principale, qui n’exerce sur eux qu’une influence
grecques. Ces chœurs portaient un jugement sur les sentiments et les
actions
des rois et des héros, dont ils contemplaient les
e chœur des anciens. Il n’avait pas osé le laisser aussi étranger à l’
action
qu’il l’est dans les meilleures tragédies de l’an
paisible que le sort semblait lui avoir destinée. Il recule devant l’
action
qu’il se trouve forcé de commettre. Ses mains, en
s de force par l’apparition d’une troupe de personnages étrangers à l’
action
, et qui n’ont avec elle aucun rapport ultérieur.
leurs une foule d’acteurs qui ne contribuaient point à la marche de l’
action
, et ne reparaissaient plus dans le cours de la pi
s différentes, tant d’hommes qui se croient honnêtes, à commettre des
actions
que leur sentiment intérieur condamne, parce qu’à
onvenance. J’avais essayé de mettre en récit ce que Schiller a mis en
action
. Je m’étais appliqué surtout à faire ressortir l’
mettre en récit ce que, sur d’autres théâtres, on pourrait mettre en
action
, est un écueil dangereux pour les tragiques franç
légitimes et même respectables, parce qu’ils croient y reconnaître l’
action
d’un sentiment céleste. Il y a de la vérité dans
antit l’accomplissement de tous les autres. Il ne peut conduire à des
actions
coupables, il ne peut descendre au crime, ni même
rêtres comme lui et de quelques esprits qui ont la foi des prêtres. L’
action
du talent du prêtre, si grande encore du temps de
glise intégrale, c’est tout un. Qui dit Gouvernement des Papes, dit l’
action
de saisir et de diriger les hommes par tous les c
mporel ne cessa jamais de représenter la justice, la miséricorde et l’
action
morale sur la terre. Après l’avoir opposée, cette
ricorde et l’action morale sur la terre. Après l’avoir opposée, cette
action
morale inconnue avant lui dans l’histoire, aux Pa
ettrait pas, d’ailleurs, de l’oublier, — c’était principalement cette
action
morale intervenant dans les choses humaines au no
dait en défendant son gouvernement temporel, comme c’était encore son
action
morale qu’elle sauvegardait dans son gouvernement
Foi. Rien de plus frappant et qu’on puisse moins contester que cette
action
morale du gouvernement, même temporel, de la Papa
e vue, la grandeur morale — quand elle fut la plus politique — de son
action
. Mais ce que j’ai été bien obligé d’omettre en ce
la vie dramatique ; il y est l’information. Il ne peint que par leurs
actions
seules les hommes, qu’un esprit moins grave et mo
que ce qui est de nature à éclairer la situation présente, à aider l’
action
qui se prépare, à donner enfin un travail utile.
rrions exercer en un certain point de l’espace : c’est le plan de nos
actions
éventuelles qui est renvoyé à nos yeux, comme par
ous apercevons les surfaces et les arêtes des choses. Supprimez cette
action
et par conséquent les grandes routes qu’elle se f
x suivent, en quelque sorte, le pointillé des lignes sur lesquelles l’
action
passerait. Mais le corps qui exercera cette actio
s sur lesquelles l’action passerait. Mais le corps qui exercera cette
action
, le corps qui, avant d’accomplir des actions réel
corps qui exercera cette action, le corps qui, avant d’accomplir des
actions
réelles, projette déjà sur la matière le dessin d
ir des actions réelles, projette déjà sur la matière le dessin de ses
actions
virtuelles, la corps qui n’a qu’à braquer ses org
de tenir pour métaphorique toute expression qui attribue au temps une
action
efficace et une réalité propre. L’observation imm
our fonction essentielle d’éclairer notre conduite, de préparer notre
action
sur les choses, de prévoir, pour une situation do
se répéter, c’est-à-dire sur ce qui est soustrait, par hypothèse, à l’
action
de la durée. Ce qu’il y a d’irréductible et d’irr
r, le procédé par lequel on passerait de la définition d’une certaine
action
vitale au système de faits physico-chimiques qu’e
ainsi, peut-être, l’intégration des éléments physico-chimiques d’une
action
proprement vitale ne déterminerait cette action q
ysico-chimiques d’une action proprement vitale ne déterminerait cette
action
qu’en partie : une part serait laissée à l’indéte
i volontiers que les physiologistes au caractère physico-chimique des
actions
vitales. A vrai dire, ni l’une ni l’autre des deu
iginellement, nous ne pensons que pour agir. C’est dans le moule de l’
action
que notre intelligence a été coulée. La spéculati
e intelligence a été coulée. La spéculation est un luxe, tandis que l’
action
est une nécessité. Or, pour agir, nous commençons
ts ; et cette habitude elle-même a pour objet ordinaire de guider des
actions
inspirées par des intentions ou, ce qui revient a
Ainsi l’intelligence humaine, en tant que façonnée aux exigences de l’
action
humaine, est une intelligence qui procède à la fo
e intelligence ont détaché de la réalité, précisément parce que notre
action
, sur laquelle tout l’effort de notre intelligence
cette vague intuition ne nous est d’aucun secours pour diriger notre
action
sur les choses, action tout entière localisée à l
ne nous est d’aucun secours pour diriger notre action sur les choses,
action
tout entière localisée à la surface du réel, on p
ue sorte, la résultante mécanique. Et l’on dira aussi bien que chaque
action
est l’accomplissement d’une intention. En ce sens
ité partout, dans l’évolution de notre conduite. Mais, pour peu que l’
action
intéresse l’ensemble de notre personne et soit vé
end beaucoup plus loin. Cela ne veut pas dire, encore une fois, que l’
action
libre soit l’action capricieuse, déraisonnable. S
in. Cela ne veut pas dire, encore une fois, que l’action libre soit l’
action
capricieuse, déraisonnable. Se conduire par capri
t aux conditions extérieures une influence positive et les autres une
action
négative : dans la première hypothèse, cette caus
rgentes ? Une variation accidentelle, si minime soit-elle, implique l’
action
d’une foule de petites causes physiques et chimiq
nients et qu’elle en utilise les avantages, enfin qu’elle réponde aux
actions
extérieures par la construction d’une machine qui
un perfectionnement de la fonction. Ainsi, par une série indéfinie d’
actions
et de réactions entre la fonction et l’organe, et
érieurs : cette tache a fort bien pu être produite physiquement par l’
action
même de la lumière, et l’on observe une foule d’i
ce qui en est inséparable, on fait intervenir tout autre chose que l’
action
directe de la lumière. On attribue implicitement
e, mais la cause n’influe pas sur la qualité de l’effet : plus, par l’
action
du ressort, le cylindre tournera longtemps, plus
lodie entendue, on de la portion que j’en entends, ne dépend pas de l’
action
du ressort. En réalité, c’est dans le premier cas
u’en réalité germen et soma aient simplement subi, l’un et l’autre, l’
action
d’une même cause. Ceci posé, admettons que le som
luence des circonstances extérieures, intervenant directement par une
action
sur les tissus ou indirectement par la sélection
on puisse les insérer les unes dans les autres et obtenir d’elles une
action
commune. On les dispose, pour ainsi dire, autour
lles une action commune. On les dispose, pour ainsi dire, autour de l’
action
qui en est déjà le centre idéal. La fabrication v
des sciences déjà avancées, et la matière vivante ne se prête à notre
action
que dans la mesure où nous pouvons la traiter par
ibles à notre regard. Mais une telle vision ne se prolongerait pas en
action
; elle conviendrait à un fantôme et non pas à un
e l’arrangement. Les uns rapporteront la position de chaque grain à l’
action
que les grains voisins exercent sur lui : ce sero
D’autres voudront qu’un plan d’ensemble ait présidé au détail de ces
actions
élémentaires : ils seront finalistes. Mais la vér
sé, étant la forme globale d’une résistance et non pas une synthèse d’
actions
positives élémentaires. C’est pourquoi, si l’on d
vant tout, une tendance à agir sur la matière brute. Le sens de cette
action
n’est sans doute pas prédéterminé : de là l’impré
é des formes que la vie, en évoluant, sème sur son chemin. Mais cette
action
présente toujours, à un degré plus ou moins élevé
choix. Or, un choix suppose la représentation anticipée de plusieurs
actions
possibles. Il faut donc que des possibilités d’ac
e de plusieurs actions possibles. Il faut donc que des possibilités d’
action
se dessinent pour l’être vivant avant l’action mê
que des possibilités d’action se dessinent pour l’être vivant avant l’
action
même. La perception visuelle n’est pas autre chos
re chose 49 : les contours visibles des corps sont le dessin de notre
action
éventuelle sur eux. La vision se retrouvera donc,
ancrage politique de la revue. Le lien entre la revue et les Éditions
Action
est assuré de nouveau par la publicité, notamment
otamment pour le Voyage en autobus de Sauvage à paraître aux Éditions
Action
dont il est donné ici un extrait (le recueil para
t la valorisation des créateurs affirmés par le programme-manifeste d’
Action
. On remarque enfin la présence du « suburbanisme
é trace et qui nous paraît marquer le goût de la blague dont témoigne
Action
, et notamment Fels, comme le démontreront ses « C
parti dans la politiquesac » Politique à ici la belle signification d’
action
spirituelle qui détruira un jour la néfaste menta
e allemand et sa vie réalisera alors la synthèse de personnalité et d’
action
: révolutionnaire et poète ! N’ayez pas peur des
, on arrive aisément à composer de véritables dialogues et de grandes
actions
dramatiques. Tous ceux qui ont assisté à des comb
’air, stimulera d’une façon décisive l’aviation. À nos lecteurs
ACTION
n’est point faite pour la satisfaction de quelque
d’œuvres ardentes et novatrices qui garantissent notre force vitale.
ACTION
accepte la collaboration de quiconque veut exprim
en essais de tous genres, économiques, philosophiques et artistiques.
ACTION
situe et commente les problèmes du temps présent
la recommandation de Suarès, est le premier roman de Pierre Benoit. L’
action
se déroule peu de temps avant l’éclatement de la
s consacrées à l’expressionnisme. (NdE) ag. Alfred Wolfenstein. Voir
Action
, n° 2, mars 1920, p. 60, note 64. (NdE) ah. Kurt
ments, Lausanne, L’Âge d’homme, 1973, p. 66. (NdE) aj. Tokine : voir
Action
, n° 2, mars 1920, p. 51, note 48. (NdE) ak. Arde
898-1930). Le texte est repris presque intégralement dans ce numéro d’
Action
, de « Vols dialogués » à la fin de l’article. Tok
la revue futuriste Pœsia en 1920 (n° 1-9, avril-décembre 1920). Voir
Action
, n° 6, décembre 1920, note 40. Vieri : nous n’avo
, et il ne lui est pas plus permis d’embrasser deux instants que deux
actions
. Il y a seulement quelques circonstances où il n’
une qui soit du même vert, pas un de ces individus qui soit le même d’
action
et de position. Regardez ensuite la masse dans le
omme la même diversité subsiste dans les sacrifices, même diversité d’
actions
et de positions. Et le moment du tumulte et le mo
étude, d’académie, d’école, de technique, est faux. Ce n’est plus une
action
qui se passe en nature, c’est une action apprêtée
est faux. Ce n’est plus une action qui se passe en nature, c’est une
action
apprêtée, compassée, qui se joue sur la toile. Le
m’indigner d’abord ; tu récréeras mes yeux après, si tu peux. Chaque
action
a plusieurs instants ; mais je l’ai dit et je le
isi, soit dans les attitudes, soit dans les caractères, soit dans les
actions
, des traces subsistantes du moment qui a précédé.
e. J’aimerais donc mieux, s’il était possible, reculer le moment de l’
action
, pour être énergique, et me débarrasser des pares
qu’il appartient aussi de célébrer, d’éterniser les grandes et belles
actions
, d’honorer la vertu malheureuse et flétrie, de fl
e grand et sublime, et qui n’a point de modèle en nature, et dans les
actions
et les mouvements des figures, si loin des action
ature, et dans les actions et les mouvements des figures, si loin des
actions
et des mouvements réels. Vous voyez bien, mon ami
ositions purement techniques, y sacrifier la vérité rigoureuse de son
action
, voilà l’origine du style antithétique et petit.
uivant la quantité d’énergie vitale de l’individu ; suivant le mode d’
action
de cette énergie (adaptation ou domination), suiv
revanche les plus intéressantes pour le psychologue plus curieux des
actions
individuelles que des actions collectives. Les vo
es pour le psychologue plus curieux des actions individuelles que des
actions
collectives. Les volontés ne diffèrent pas seulem
e par les déceptions et restent fidèles jusqu’au bout à la vie et à l’
action
. Sur le point de disparaître, elles sont prêtes à
accroît aussi notre dépendance sociale ; car, en un sens, moins notre
action
personnelle est liée à celle des autres et plus e
Dans nos sociétés, la pauvreté est un obstacle presque invincible à l’
action
indépendante et à la mise en valeur de l’original
put aisément répandre ses doctrines dans ce petit pays de Judée où l’
action
du pouvoir central n’existait pas ou du moins éta
l, la part de l’imitation, du conformisme, de la réglementation, de l’
action
routinière et imposée va croissant ; celle de l’a
entation, de l’action routinière et imposée va croissant ; celle de l’
action
personnelle, vraiment réfléchie et voulue, va en
héroïque : c’est l’individualisme de ceux qui s’originalisent par une
action
utile et durable exercée sur leurs semblables. L’
técédent immédiat du fait psychique. Si le corps était un milieu sans
action
qui transmit sans altération l’excitation produit
que la faculté correspondante le titre d’activité. 2. Suivant que nos
actions
sont libres ou non, suivant que notre activité es
s ce qu’on appelle du plaisir ou de la douleur. Ce n’est point là une
action
: tout au contraire, ce nouveau groupe présente d
’activité. En effet, le plaisir et la douleur peuvent bien résulter d’
actions
, mais ils se produisent en nous sans que nous le
s. Ce n’est pas agir ou sentir : c’est avoir la connaissance de notre
action
ou de notre sensation. D’une manière générale il
our être joints les uns aux autres. L’activité est caractérisée par l’
action
. La sensibilité par la passivité. l’intelligence,
se de plaisir, sinon dans la liberté ? Le plaisir de l’être c’est son
action
propre, [Phrase en grec]. Cette théorie d’ailleur
sous l’observation de la conscience, ce qui n’est pas. N’ayant pas d’
action
, il ne serait que le fondement des actions du moi
ui n’est pas. N’ayant pas d’action, il ne serait que le fondement des
actions
du moi. Le seul rôle que lui donne de Biran est d
té. Le moi est une cause. Nous sentons que c’est nous qui causons nos
actions
. Nous pouvons voir l’action sortir, pour ainsi di
s sentons que c’est nous qui causons nos actions. Nous pouvons voir l’
action
sortir, pour ainsi dire, de notre volonté. Nous s
d, c’est évident, qu’il soit un et identique. Il faut de plus que les
actions
qu’il produit émanent de lui et rien que de lui.
ouvement. La personne au contraire a pour qualité propre de tirer son
action
d’elle-même. Tous les hommes sont au même degré u
uns et identiques. Mais tous ne sont pas au même degré cause de leurs
actions
. Il est vrai de dire que chez aucun la causalité
avoisinantes. Ils ne font rien que par une impulsion étrangère. Leurs
actions
ne sont que l’écho du monde extérieur. Tous les m
tue. Pour certains philosophes, les vérités nécessaires sont dues à l’
action
exercée sur notre esprit par un monde supra expér
l’âme est matérielle comme les corps d’après la théorie qu’il n’y a d’
action
que du semblable sur le semblable ; en outre, il
la cause première à plusieurs reprises différentes, de lui prêter des
actions
diverses. À cette hypothèse inadmissible, le tran
’une forme développée de l’instinct. L’instinct lui-même n’est qu’une
action
réflexe perfectionnée. Ainsi, comme Stuart Mill,
non centralisés et dont les effets sont assez bien représentés par l’
action
réflexe. À mesure que le système nerveux se perfe
nécessairement dès lors laisser dans la connaissance une trace de son
action
. Mais pourquoi cette influence serait-elle assez
lique la connaissance en disant qu’elle est produite uniquement par l’
action
des choses sur l’esprit. Ici l’objet est l’unique
onnaissance. Pour Kant, la connaissance est produite uniquement par l’
action
de l’esprit sur les choses. Ces deux théories son
thétique était un plaisir. Or, le plaisir chez nous est produit par l’
action
sur notre esprit d’un objet conforme à sa nature
e, et leur donne l’unité. — L’Activité enfin se compose d’une masse d’
actions
, d’instincts ; c’est la multiplicité. Le moi inte
nstinct L’activité est la faculté par laquelle nous produisons nos
actions
. Elle se présente à nous sous trois formes différ
l’instinct. L’instinct est la faculté que nous avons de produire des
actions
non déterminées par une expérience antérieure. C’
ité. L’instinct n’est pas capable de produire un nombre indéterminé d’
actions
différentes. Chaque instinct est spécial. C’est u
nct est spécial, a une forme déterminée ; il produit toujours la même
action
. 5. Généralité. L’instinct est commun à l’espèce.
rien de psychologique. On a souvent dit qu’il n’était qu’un système d’
actions
réflexes. Descartes avait déjà admis une théorie
us voyons sans cesse, sous l’influence de l’instinct, se produire des
actions
des animaux qui ne peuvent avoir pour base l’expé
n objet précis : ainsi on acquiert l’habitude de faire telle ou telle
action
, de retenir tel ou tel genre de style et rien que
spéciale que soit l’habitude, elle peut toujours être modifiée par l’
action
de la volonté ; celle-ci n’est esclave que si ell
propre par laquelle les mouvements s’attirent les uns les autres. Une
action
, même simple, tend à se répéter. L’enchaînement d
oduction, les rend plus aisés, explique le besoin plus vif de faire l’
action
habituelle. Mais ce n’est pas là une condition né
e. La volonté se fige pour ainsi dire, sur un point, elle détermine l’
action
une fois pour toutes, et par la suite nous dispen
té par laquelle nous sommes la cause déterminante de certaines de nos
actions
; c’est grâce à elle que certains de nos actes se
la volonté produit son effet. Ce dernier moment est l’exécution ou l’
action
. Tels sont les cinq moments de l’acte volontaire.
finit la liberté, cette faculté qu’a l’homme de commencer une série d’
actions
. C’est là ce qui distingue la volonté. Tandis que
e autre genèse plus rigoureuse. Nous avons, dit-il, conscience de nos
actions
, mais non des causes de cette action. Je sens que
vons, dit-il, conscience de nos actions, mais non des causes de cette
action
. Je sens que je remue mon bras, mais je ne sens p
séquence. Cette idée de liberté se réduit donc à la conscience de nos
actions
, jointe à l’ignorance des causes de ces actions,
la conscience de nos actions, jointe à l’ignorance des causes de ces
actions
, ignorance qui fait que nous imaginons être cette
adiction sans sortir du monde intérieur : ils ont cherché alors à nos
actions
des lois fixes, mais toutes psychologiques. Tantô
Nous étudierons aujourd’hui le déterminisme psychologique. Voici une
action
: je sors. Pourquoi ai-je pris cette résolution ?
, qu’une occupation m’appelait au dehors. Il y a donc une cause à mon
action
: c’en est le motif ; le motif a donc entraîné l’
e cause à mon action : c’en est le motif ; le motif a donc entraîné l’
action
, elle n’est donc pas libre. La liberté n’est qu’u
e causalité est violé. La seconde hypothèse étant contradictoire, nos
actions
sont guidées par nos motifs, qui dérivent de notr
itudes. Point de contingence ; les motifs entraînent nécessairement l’
action
. Mais, dit-on, il y a des cas où les motifs sont
lus fréquent. Comment plusieurs motifs peuvent-ils n’entraîner qu’une
action
? C’est qu’entre ces divers motifs s’établit une
te de lutte, de balancement, où le plus fort l’emporte et détermine l’
action
. Les déterministes résument leur doctrine dans ce
motifs produits par notre constitution entraînent nécessairement les
actions
. Telle est la doctrine déterministe de Stuart Mil
er cette doctrine on a examiné la question de savoir s’il y avait des
actions
sans motif. C’est l’opinion de Reid. « J’ai dans
n marche, je pars du pied droit plutôt que du pied gauche ? Voilà des
actions
sans motif. » Supposons que j’aie en main un sty
ce. Mais sans discuter ces exemples, il est impossible d’admettre des
actions
sans motifs. Une pareille hypothèse est inintelli
l il porte l’attention à ce moment. Quand bien même on admettrait des
actions
sans motifs, ce serait une pauvre objection au dé
e objection au déterminisme. Si cette théorie était juste, les menues
actions
de la vie pourraient bien être libres, mais les p
versaires la majeure partie de leur thèse. Ce serait admettre que nos
actions
les plus importantes sont absolument guidées et d
elle forme à cette doctrine. Il distingue deux sortes de causes à nos
actions
: les mobiles, qui viennent de la sensibilité ; l
la puissance d’agir sur la volonté. Si donc il est bien vrai que les
actions
accomplies sous l’influence des mobiles sont déte
minées, celles que produisent les motifs sont libres. Il y a donc des
actions
libres. Mais cette doctrine affirme ce qui est co
ons agir rien que sous l’empire d’une idée. L’idée ne sollicite pas l’
action
. Il y a entre elle et l’activité un abîme qu’elle
n fait son devoir parce qu’on l’aime. L’idée seule du bien n’a aucune
action
sur la volonté. Un motif doit toujours être doub
volonté. Un motif doit toujours être doublé d’un mobile. Si donc les
actions
ne sont pas libres, comme le croit Jouffroy, qui
comme le croit Jouffroy, qui sont déterminées par des mobiles, aucune
action
ne le serait ; le déterminisme aurait encore gain
à la théorie déterministe : une fois le motif le plus fort trouvé, l’
action
est déterminée. Mais il n’en résulte pas que nous
ce de la liberté dans l’acte volontaire. Cette faculté de suspendre l’
action
est ce qui nous distingue des êtres inférieurs. L
rapport au suivant. Supposons que l’homme puisse agir librement. Son
action
, étant libre, devra changer quelque chose dans le
it impossible, qu’il n’y ait nulle contingence en dehors de nous, nos
actions
extérieures ne sont plus libres, la liberté n’exi
te doctrine conserve une liberté non point réelle, mais possible. Les
actions
de notre vie, étant purement phénoménales, seraie
ou nie avec certitude. Cette dernière n’est donc plus produite par l’
action
du jugement sur l’esprit, mais au contraire de l’
as expérimenté. L’expérimentation, a-t-on dit, est caractérisée par l’
action
de l’expérimentateur sur les phénomènes observés.
s anciens fixaient sur des monuments le souvenir de leurs principales
actions
publiques et privées. Ces inscriptions nous sont
orale. Que l’homme soit responsable, on ne le peut nier : il juge ses
actions
, les déclare bonnes ou mauvaises, reconnaît même
justiciable d’une loi : le compte que l’on sent avoir à rendre de ses
actions
, c’est à la loi qu’on le doit rendre. La dépendan
dans vingt ans, dans trente ans, je me sens encore responsable d’une
action
commise aujourd’hui. Il est vrai, la loi civile a
de prescription. La responsabilité morale survit perpétuellement à l’
action
; un instant suffit à accomplir un acte, mais on
ilité morale : 1. On est responsable, c’est-à-dire justiciable de ses
actions
devant une loi. 2. On est justiciable à perpétuit
sabilité morale ? Pour que je puisse être tenu de rendre compte d’une
action
, il faut que j’en sois la cause et la seule cause
ton, la responsabilité consiste à être récompensé ou puni suivant ses
actions
). Si l’homme a mal agi, dit Platon, il a beau ne
me. Si nous ne sommes pas libres, nous ne saurions nous reprocher une
action
ou en être satisfaits. Or, c’est ce remords et ce
us avons vu d’autre part que nous étions toujours responsables de nos
actions
. Que faut-il pour que le moi d’aujourd’hui puisse
ur que nous soyons responsables, et responsables à perpétuité, de nos
actions
. Mais pour que la Responsabilité soit tout entièr
l. Il y a en nous un instinct qui nous fait juger mauvaises certaines
actions
, bonnes certaines autres. Suivons ce sentiment na
s les esprits, être universelle. Comment donc reconnaîtra-t-on si une
action
doit être faite ou non ? Toutes les fois que la m
t être faite ou non ? Toutes les fois que la maxime qui a guidé notre
action
peut être érigée en règle universelle de conduite
notre action peut être érigée en règle universelle de conduite, notre
action
est bonne ; nous avons mal agi dans le cas contra
is comment cette loi agira-t-elle sur la volonté ? Pourquoi faire des
actions
dont la règle puisse être érigée en loi universel
catégorique. Un impératif est une formule qui commande, une maxime d’
action
. Kant distingue l’impératif hypothétique, qui s’a
lle il ne soit qu’un moyen. » Aussi Kant estime-t-il que pour qu’une
action
soit morale, il ne suffit pas qu’elle soit confor
. Ainsi, si vous rendez service à quelqu’un parce que vous l’aimez, l’
action
est conforme à la loi, mais n’a rien de moral, ca
es jours par la seule raison que la loi le défend, voilà le type de l’
action
morale. La loi demande donc à être obéie pour ell
e l’action morale. La loi demande donc à être obéie pour elle-même. L’
action
cesse d’être morale dès que s’y mêle le plus peti
manifestement impossible que l’homme agisse sans être intéressé à ses
actions
(mais prenons le mot intérêt dans son sens le plu
is prenons le mot intérêt dans son sens le plus large) ; une maxime d’
action
qui n’agirait pas sur l’homme par un mobile quelc
if hypothétique. Nous devons agir de telle sorte que la maxime de nos
actions
puisse être érigée en loi universelle, si nous vo
voulons être vraiment des hommes. Voilà la raison qui nous commande l’
action
et en voilà le but. D’ailleurs Kant, après avoir
cette personnalité se comprend logiquement et devient la raison de l’
action
morale. Kant ne se contente donc plus dans cette
cette formule de déterminer les caractères extérieurs, la forme de l’
action
morale, mais il nous dit ce que doit être cette a
la forme de l’action morale, mais il nous dit ce que doit être cette
action
en elle-même. Il a été ainsi amené presque fatale
u’une loi morale purement formelle ne pouvait exercer sur l’homme une
action
suffisante : il a été forcé de reconnaître que po
seul que l’homme existe d’une certaine façon, il est apte à certaines
actions
, impropre à certaines autres. Il en est de l’homm
t agie. La personne au contraire, étant libre, se peut soustraire aux
actions
extérieures et tirer d’elle-même toute son action
eut soustraire aux actions extérieures et tirer d’elle-même toute son
action
. Si puissantes que soient les influences du dehor
nce morale est pour ainsi dire un juge qui rend des sentences sur nos
actions
et sur celles d’autrui. C’est parce que nous nous
dée présente ce double avantage : 1. qu’elle implique immédiatement l’
action
sans qu’il soit nécessaire de faire intervenir le
nière permanente. La vertu ne consiste pas dans une ou même plusieurs
actions
isolées, mais dans une disposition, une sorte de
voir. Cette loi morale limite donc ses droits, en ordonnant certaines
actions
, et en proscrivant d’autres. Les droits à l’état
de, en centre principal, puis d’autres petits centres subordonnés à l’
action
du premier. Les familles sont des centres seconda
remier. Les familles sont des centres secondaires. Dissolvez-les et l’
action
du cerveau ne se transmettra plus à l’ensemble du
l et avoir avec la pleine responsabilité, la pleine initiative de ses
actions
. Mais à l’obéissance doivent survivre l’amour et
qui dépasse la portée de nos regards. Nous ne pouvons connaître que l’
action
extérieure, et l’intention qui l’a dirigée et qui
e gâter que de le rendre meilleur. On dira que s’il est puni pour une
action
mauvaise, il n’osera plus la commettre par craint
ière préventive, par la peine dont est menacé quiconque commettra une
action
contraire aux lois. Il nous reste à voir quelles
ent où je dois aliéner la mienne : je n’en aurai pas moins commis une
action
immorale. Admettons-nous donc l’autre doctrine ?
de ces pouvoirs, il devra se renfermer dans une certaine limite ; son
action
sur le pays devra toujours s’arrêter à un certain
ter atteinte à la personnalité des citoyens. Il peut exiger d’eux les
actions
indispensables à la vie sociale, mais ne doit pas
u telle opinion. La pensée devra toujours rester libre, soustrait à l’
action
du gouvernement et disposer librement de tous les
ivisés en deux espèces : les devoirs positifs qui nous commandent une
action
; les devoirs négatifs qui se contentent de l’int
and il n’est pas obligatoire ; il ne dépend que de la difficulté de l’
action
morale à accomplir. Dans un don de générosité, un
raison, rend un dépôt que la loi lui permettait de garder. La seconde
action
, action plus obligatoire, est aussi plus méritant
rend un dépôt que la loi lui permettait de garder. La seconde action,
action
plus obligatoire, est aussi plus méritante car el
et pourquoi Rousseau a pu trouver immorale la société, qui facilite l’
action
morale. En effet, elle élève peu à peu le niveau
yés de retour est une des plus grandes difficultés qui s’opposent à l’
action
morale. Le progrès a pour effet de vulgariser la
. Autrefois au contraire la moralité étant moins répandue, la moindre
action
nous semble alors méritoire. Il est injuste de di
vivre esclave, ce qui serait l’anéantissement de la personnalité, une
action
immorale au premier chef par conséquent. Mais, au
es extérieures. Les biens extérieurs emmagasinent pour ainsi dire nos
actions
, les empêchent de disparaître une fois produites.
roduit dans notre corps les mouvements correspondants. Il n’y a pas d’
action
immédiate d’une substance sur l’autre : c’est Die
ctrine vient de ce que les individus n’y sont pas les causes de leurs
actions
, mais seulement les occasions à propos desquelles
oit les joindre par un mécanisme qui leur donne l’une sur l’autre une
action
continuelle — c’est la théorie courante ; soit pl
les rapports de la pensée et de l’étendue, mais on s’explique bien l’
action
de deux forces l’une sur l’autre. Toutefois, il f
même source. D’ailleurs n’avons-nous pas une certaine conscience de l’
action
que l’âme exerce sur le corps ? Le sens vital ne
efficacité pour le corps de l’hygiène morale. Est-ce à dire que cette
action
de l’âme sur le corps soit complètement conscient
elle serait comme si elle n’était pas, et ne pourrait exercer aucune
action
sur la volonté ; dépourvue de toute autorité, com
iquent nos semblables ; 3. les sanctions matérielles résultant de nos
actions
mêmes ; 4. les sanctions morales que nous nous ap
li. Inversement, le méchant traîne partout avec lui le remords de ses
actions
immorales. Assurément ces sanctions sont beaucoup
it en effet d’après lui que nos idées fussent produites en nous par l’
action
d’un objet extérieur. Que cet objet soit matériel
interne, de ce que ces côtés ne sont pas également près des sources d’
actions
voisines, il résulte qu’ils subissent des influen
un agrégat quelconque, composé d’unités dissemblables, est soumis à l’
action
d’une force, ses unités se séparent les unes des
jugements avec une justice parfaite, il faut qu’il soit soustrait à l’
action
de toute cause extérieure et d’autre part aucune
ns, mais qu’il peignoit quelquefois, qu’il décrivoit avec son geste l’
action
de plusieurs personnages. Par exemple, si quelque
les pantomimes pouvoient venir à bout de décrire intelligiblement une
action
, et de donner à entendre par le geste les mots pr
la terre, un homme, etc. Aussi-bien que les verbes qui marquoient des
actions
ou des affections. Mais, dira-t-on, comment pouvo
Cid et des autres pieces les plus connuës, en choisissant celles où l’
action
demande que le comédien prenne plusieurs attitude
ément que toutes leurs démonstrations étoient plus vives, et que leur
action
étoit beaucoup plus animée que celle des comédien
our eux. Le pantomime au contraire étoit entierement le maître de son
action
, et son unique soin étoit de rendre intelligiblem
peine à réussir parmi les nations septentrionales de l’Europe, dont l’
action
naturelle n’est pas fort éloquente ni assez marqu
trations, qui signifient presque autant que des phrases entieres. Son
action
rend intelligible bien des choses que notre actio
ases entieres. Son action rend intelligible bien des choses que notre
action
ne feroit pas deviner, et ses gestes sont encore
ent toucher infiniment des grecs et des romains, dont ils imitoient l’
action
naturelle. J’alleguerai comme une espece de preuv
ïoit avoir besoin de la faveur de la multitude, cherchoit à faire des
actions
qui lui fussent agréables. Par exemple, Domitien
ntraire la bonne intelligence en assure le succès ? Il est vrai que l’
action
de l’iliade réduite à ces termes, contient en eff
e la fable devoit-elle dépendre d’un prodige ? D’ailleurs, quoiqu’une
action
fournisse une réflexion morale, ce n’est pas une
te une vérité ; et je ne crois pas qu’il soit possible d’imaginer une
action
, qui malgré qu’on en ait, ne soit susceptible d’u
differens modeles ; cela nous met un peu plus au large. Il faut que l’
action
soit feinte, qu’elle soit grande, qu’elle se pass
vois rien d’absolument essentiel au poëme épique, que le récit d’une
action
. Que cette action soit grande, pathétique, ou sim
ument essentiel au poëme épique, que le récit d’une action. Que cette
action
soit grande, pathétique, ou simplement agréable :
ais sens. Je ne sçais pourquoi j’ai restreint le poëme au récit d’une
action
. Peut-être que la vie entiere d’un héros, maniée
in, Homere a employé le merveilleux. Tout le ciel est intéressé à son
action
. Il y a des dieux grecs et des dieux troyens ; et
e et de pouvoir, fait aux dieux un abrégé exact de tout le reste de l’
action
; de sorte qu’on est tenté d’en demeurer là, et q
core pis, quoiqu’Homere l’ait fait, par une prédiction toute crue des
actions
que l’on doit décrire. C’est encore sur la nature
ans leurs desirs, imprudence dans leurs projets, injustice dans leurs
actions
. Ils se laissent surprendre les uns aux autres, j
et qu’il leur avoit fait joüer la comedie dans les entr’actes de son
action
, pour delasser le lecteur que la continuité des c
st de ceux-là qu’il établit d’abord le caractere, et qu’il décrit les
actions
par préférence à d’autres. Agamemnon, par exempl
s’il la connoissoit, cette grandeur d’ame qui nous porte par goût aux
actions
loüables, sans envisager les loüanges, et à qui i
. Il opte pour la gloire, au mépris de la mort : et dès-là toutes ses
actions
, toutes ses démarches sont autant de preuves de s
re des hommes. L’histoire les représente en détail ; elle raconte les
actions
de tels et de tels hommes qui ont eu le plus de p
énemens célébres ; mais elle ne s’embarasse pas de faire convenir ces
actions
entr’elles ; elle n’est responsable que de la vér
idée si vive ni si distincte. L’histoire représenteroit les diverses
actions
d’Achille et d’énée, de quelques motifs différens
norance. Des différens genres d’éloquence Nous avons parlé de l’
action
et des personnages de l’iliade ; l’ordre veut que
faits ; il faut examiner le caractere de sa narration. Il décrit des
actions
et des objets. Il faut voir de quelle maniere il
que c’est un défaut de tout le poëme, considéré comme le récit d’une
action
. Ce défaut regne dans Homere, à un excès qui ne d
étes déja répétées mille fois, et qui n’ont souvent aucun rapport à l’
action
présente, ni au mouvement du personnage. Il nomme
, qui rebuttent par la longueur, et qui désunissent désagréablement l’
action
du poëme. J’entrevois ici que l’on pourroit me re
qu’elles soient bien placées, c’est-à-dire, qu’elles conviennent aux
actions
et aux événemens dont on parle ; car si l’esprit
e combat : les conseils veulent des paroles, et la guerre demande des
actions
. Cette maxime est sans doute fort belle, et il s
oute leur ressemblance. Ainsi ne suffiroit-il pas dans un poëme que l’
action
fût bien imaginée, que ses différentes parties fu
ble, d’avoir laissé dans son expression deux jugemens si opposés de l’
action
de Glaucus ? étoit-il donc indifférent de le donn
de toutes les fautes. Un ordre donné à des soldats dans le fort d’une
action
, peut-il être trop clair ; et peut-on risquer de
il me paroît au contraire, qu’il porte souvent des jugemens faux des
actions
qu’il représente. Je prends pour les jugemens du
il donne pour bonnes ; et enfin la maniere dont il peint les diverses
actions
, dans laquelle on sent bien, pour peu qu’on y pre
passe aux jugemens du poëte renfermés dans les sentimens et dans les
actions
de ses dieux. Thétis au premier livre, conseille
dieux. Thétis au premier livre, conseille à Achille la plus mauvaise
action
qu’il pût jamais faire ; c’est-à-dire, de se reti
e justice dans ces exemples ? Il y a enfin une maniere de peindre les
actions
qui en renferme un jugement. Si le poëte juge l’a
e peindre les actions qui en renferme un jugement. Si le poëte juge l’
action
odieuse, il ne choisit que des couleurs propres à
l’imitation, soit des objets de la nature, soit des sentimens et des
actions
des hommes. Il s’étoit instruit, apparemment par
nt grossier ; les idées de morale y sont confuses ; il est vrai que l’
action
du poeme est grande et pathétique ; mais elle est
tre qu’une versification négligée peut trouver quelque indulgence : l’
action
, la prononciation la soûtiennent et la corrigent
ra bien qu’il m’a été facile d’abréger, sans qu’il en coûtât rien à l’
action
principale. Je me flatte de l’avoir fait, et je c
fait, et je crois même avoir rapproché les parties essentielles de l’
action
, de maniere qu’elles forment dans mon abrégé, un
e de grands intérêts. D’ailleurs, les principaux personnages de cette
action
, sont devenus si fameux, par le poëme même d’Home
tout ce qui doit arriver dans l’acte suivant ? Approuveroit-on que l’
action
des principaux personnages y fût interrompue par
travail si difficile à appercevoir et à déchiffrer. Pour les diverses
actions
des mêmes figures, diroit-on qu’elles étoient rép
aginé un bouclier qui n’eût point ces défauts. Je n’y place que trois
actions
liées même l’une à l’autre. Les nopces de Thétis
apport au poëme ; il n’y a point de confusion ; et je ne peins chaque
action
que dans un instant, quoique par la maniere dont
s : danger qui enhardit Achille à le poursuivre, et qui fait même une
action
héroïque, de la poursuite d’un ennemi désarmé. En
ux dont la vocation est d’écrire. Il a probablement écrit parce que l’
action
pour laquelle il était fait ne lui fut pas toujou
is, des Joseph de Maistre et des Bonald. Seulement il était l’homme d’
action
et de caractère de ce groupe dont ils étaient, eu
ement pas lu, mais il l’avait deviné. C’était là le type de l’homme d’
action
qui avait toujours préoccupé comme un idéal et ty
ce et l’intrépidité froide et rusée qui forment le génie des hommes d’
action
en politique comme à la guerre. C’est là ce qu’av
, de son sobre éclat, que ce genre de bon sens sur place des hommes d’
action
, qui sont tous, avec l’uniforme ou sans l’uniform
dans la logique de l’esprit de Vaublanc qui, en sa qualité d’homme d’
action
exagère dans l’histoire l’action des hommes et ne
aublanc qui, en sa qualité d’homme d’action exagère dans l’histoire l’
action
des hommes et ne voit qu’eux. Fusilier militaire
ul sens, qui est pratique, de ce mot. Vaublanc, qui n’exerça jamais d’
action
supérieure et unitaire sur les hommes et les chos
ouveau. Il devait sortir un Catilina en sept actes, où l’on eût vu en
action
la scène du serment et la coupe de sang humain pr
ogune et ses beautés si périlleuses. Il définissait la tragédie « une
action
funeste qui doit conduire les spectateurs à la pi
nsi, Crébillon concevait ou empruntait à la Fable un caractère et une
action
atroces ; et pour les faire passer au théâtre, il
er au théâtre, il altérait le caractère ou adoucissait l’horreur de l’
action
par des atténuations de pure fantaisie. Cette ter
réserve de les imiter librement. Il crut que plus de rapidité dans l’
action
produirait des effets nouveaux, que plus de spect
t. Seulement il fallait prendre garde qu’en donnant plus de place à l’
action
et à la pompe, on n’ôtât quelque chose à l’essent
héâtre plus libre, celui de Shakspeare. Cette part nouvelle faite à l’
action
et au spectacle rendait nécessaire une double réf
entre deux plaisirs, n’aide guère le poète à trouver cette mesure. L’
action
qui l’emporte le rend indifférent aux discours qu
Un récit de la pomme eût fait tomber son Guillaume Tell ; la scène en
action
le fit réussir. Voltaire lui-même est l’exemple l
ses propres nouveautés. Trompé par son succès, il finit par mettre l’
action
et le spectacle au-dessus du reste, et il appela
e la raison, de la bonne foi même, pour se justifier, nous voyons des
actions
qui se précipitent, des péripéties imprévues, des
arts et de la civilisation, à l’époque et dans le pays où se passe l’
action
, ajoute à l’effet dramatique le profit d’une noti
es beautés. § IV. Zaïre et Mérope. Il ne faut pas chercher si l’
action
dans Zaïre et dans Mérope est simple et sans inci
peut faire à l’art l’irrégularité du moyen. Cependant, ce n’est ni l’
action
ni les coups de théâtre qu’on admire le plus dans
our faire parler un cœur de mère. Enfin, pour épuiser les réserves, l’
action
marche, les situations se compliquent, sans que l
ues, parce que nous nous reconnaissons dans leurs pensées, dans leurs
actions
, dans leur grandeur même, pour peu qu’elle ne soi
du genre humain ; le plan, que la suite invincible des pensées et des
actions
, et comme la trace encore fraîche que les personn
lle de César dans ses Mémoires. Ce qui s’y voit de grand, ce sont les
actions
; la simplicité des paroles, au lieu de les dérob
vénements leur ont mises sur les bras. « Qu’est-ce qu’un roman mis en
action
et en vers ? » disait excellemment Voltaire49. Ri
rence entre deux generations des habitans du même païs arrivera par l’
action
de la même cause qui fait que les années n’y sont
émanations qui s’échappent de tous les corps qu’il enserre ou que son
action
continuelle peut en détacher. Les physiciens prou
urs vicissitudes, qui proviennent des causes étrangeres, comme sont l’
action
du soleil diversifiée par sa hauteur, par sa prox
ture du terrain sur lequel ses raïons tombent. Il en est de même de l’
action
du vent qui souffle des païs voisins. Ces causes
ns où le travail d’imagination devient ingrat, et il les attribuë à l’
action
de l’air sur notre machine ; on peut dire en effe
ometres. On remarque même dans les animaux les effets differens de l’
action
de l’air. Suivant qu’il est sérain ou qu’il est a
eux. Si dans le cours d’une année il se commet à Rome vingt mauvaises
actions
, il s’en commet quinze dans les deux mois de la g
savant et même une liberté bien réglée asservissent plus ou moins les
actions
et les esprits. C’est ainsi qu’en France le siècl
ur se combattre, se déployaient sans se haïr, avec cette simplicité d’
action
qui prévient les frottements et bannit les amertu
it quelque chose à peindre ; ses premières forces se porteront vers l’
action
, vers l’action irrégulière telle que la provoque
e à peindre ; ses premières forces se porteront vers l’action, vers l’
action
irrégulière telle que la provoque l’impatience de
irrégulière telle que la provoque l’impatience de ses désirs, vers l’
action
violente si quelque obstacle vient se placer entr
à ce qu’il paraît, parmi ses émules. Le poëte est rarement propre à l’
action
; sa force est hors du monde réel, et elle ne l’é
ait pas, quelques scènes touchantes ou terribles intercalées dans une
action
dont il n’avait pas réglé la marche, l’art de tir
onvient d’abréger par le récit quelque partie moins intéressante de l’
action
, pour avertir le spectateur d’un changement de li
son art ce moyen factice et maladroit ; bientôt il devait instruire l’
action
à s’expliquer d’elle-même, à se faire comprendre
n reste de l’ancien usage, n’est qu’un ornement poétique étranger à l’
action
. Après Périclès, les représentations muettes ont
en contact, enlacées dans les mêmes faits, entremêlées dans les mêmes
actions
, si bien qu’à peine quelquefois apercevait-on, de
autre motif que la nécessité de faire commettre à ce personnage telle
action
qui produira telle situation dont le poëte veut t
nce à se former, perdra soudain ses fureurs et ses soupçons dès que l’
action
aura atteint le point où doit naître une situatio
a scène, participeront à tous les incidents, enlaceront dans une même
action
et les destinées plaintives des quatre amants, et
tout s’y passe sous l’empire de la féerie. Mais après avoir établi l’
action
dans ce monde fictif, le poëte la conduit sans in
aptitude à y jouer un rôle, apportent souvent, dans la conduite d’une
action
historique, moins de secours que d’embarras. La p
situation morale, un caractère fortement conçu étreint et renferme l’
action
dans un nœud puissant, d’où s’échappent, pour y r
e multitude d’incidents et de scènes destinés moins à faire marcher l’
action
qu’à la remplir. À mesure que les événements pass
, un caractère, et met dans la main de sa créature tous les fils de l’
action
. Les événements suivent leur route, l’homme entre
rplexités des sentiments divers ; rien de plus simple, au fond, que l’
action
de Shakespeare ; rien de moins compliqué que l’im
le crime ; ce qu’ils sont, ils le sont franchement, nettement ; leurs
actions
sont dessinées à grands traits ; l’œil le plus dé
’y méprendre. Et cependant, science admirable de la vérité ! dans ces
actions
si positives, si complètes, si conséquentes, vive
th a bien pris son parti sur le crime ; aucun fil ne retient plus ses
actions
à la vertu ; et cependant qui peut douter que, da
Qui pourrait nous faire trembler, comme lady Macbeth elle-même, de l’
action
qu’elle prépare avec si peu de crainte ? Mais s’a
un sonnet, que sa fortune « coupable déesse, dit-il de mes mauvaises
actions
», porte seule le reproche des « moyens publics »
uquel chacun se livre selon son penchant. Dans le cours prolongé de l’
action
dramatique, au contraire, tout change à chaque pa
ëte dramatique est obligé de renfermer, dans les vraisemblances d’une
action
, tous les moyens dont il a besoin pour la faire c
al dont la destinée nous occupe, que les événements prennent part à l’
action
; tout caractère dramatique les abandonne dès qu’
se perfectionne, elle intervient plus rarement dans le spectacle de l’
action
, presque exclusivement réservé à l’homme qui peut
tendue nécessité de satisfaire la raison en accommodant la durée de l’
action
réelle à celle de la représentation théâtrale ; c
ait hier. » Que nous importe en effet le temps qui s’écoule entre les
actions
dont Macbeth remplit sa carrière de crime ? Quand
on croit le voir pâle encore de l’apparition de Banquo. Aucune de ses
actions
ne s’est terminée sans rendre nécessaire l’action
quo. Aucune de ses actions ne s’est terminée sans rendre nécessaire l’
action
qui la suit ; elles s’annoncent et s’attirent l’u
che à l’ambition et aux nécessités du crime. Ainsi tous les fils de l’
action
sont d’abord exposés à nos yeux ; nous suivons, n
oyen peut avoir quelquefois son efficacité ; la rapidité d’une grande
action
exécutée, d’un grand événement accompli dans l’es
rte l’âme d’un mouvement auquel elle se livre avec ardeur. Mais peu d’
actions
comportent en réalité une action si soudaine ; pe
le se livre avec ardeur. Mais peu d’actions comportent en réalité une
action
si soudaine ; peu d’événements se composent de pa
et les distances, renferme toutes les parties d’un événement dans une
action
compacte où ne se laissent plus apercevoir les la
iers transports du More à sa dernière résolution ; il faut donc que l’
action
marche, se précipite et le précipite lui-même à s
attentif au but qu’il poursuit, il sait faire rentrer dans l’unité d’
action
ces artifices, ces moyens préparatoires qu’il emp
ion dramatique, et pour disposer librement de notre pensée. L’unité d’
action
, indispensable à l’unité d’impression, ne pouvait
i cependant ; dans Macbeth, Hamlet, Richard III, Roméo et Juliette, l’
action
, pour être vaste, ne cesse pas d’être une, rapide
qui consiste à placer le centre d’intérêt là où se trouve le centre d’
action
. Le personnage qui fait marcher le drame est auss
ation morale du spectateur. On a reproché à Andromaque la duplicité d’
action
ou du moins d’intérêt, et le reproche n’est pas s
e n’est pas sans fondement ; ce n’est pas que toutes les parties de l’
action
ne concourent au même but, mais l’intérêt y est é
on ne concourent au même but, mais l’intérêt y est épars, le centre d’
action
incertain. Si Shakespeare eût eu à traiter un par
rme à la nature de son génie, il eût fait d’Andromaque le centre de l’
action
aussi bien que de l’intérêt. L’amour maternel eût
e, une attention que Racine a trop souvent détournée sur les moyens d’
action
qu’il était contraint de puiser dans les vicissit
siècle à nos poètes dramatiques, Hermione devait être le centre de l’
action
, et elle l’est en effet. Sur un théâtre de plus,
ments des affections passives du cœur, mais elle ne constitue pas une
action
tragique ; et dans les développements qui ne cond
; et dans les développements qui ne conduisent pas immédiatement à l’
action
, l’intérêt court risque de s’égarer et de rentrer
direction où il se puisse maintenir. Quand, au contraire, le centre d’
action
et le centre d’intérêt sont confondus, quand l’at
s vives, vers l’auteur de tant de crimes ; et ainsi Richard, centre d’
action
, est en même temps centre d’intérêt ; car l’intér
ation sous laquelle succombent les tyrans. Tout peut rentrer dans une
action
ainsi ramenée à un centre unique d’où émanent et
et les présenter dans toutes les situations peut aussi tout mettre en
action
, c’est-à-dire demeurer constamment dramatique. Da
même. Mais ils ne sont que dans les discours ; ce que nous voyons en
action
, c’est Joad qui conspire avec les moyens que lui
nos yeux ; nous n’avons fait qu’entendre parler de la tyrannie. Que l’
action
nous eût révélé les maux que traîne avec soi l’op
bles » fût venue légitimer à nos propres yeux la conduite de Joad ; l’
action
ainsi complétée ne laisserait dans notre âme aucu
s fait bientôt passer leur croyance du côté de leurs désirs, ou leurs
actions
par-dessus leur croyance. Hamlet seul présente ce
e contre le faux idéalisme. Réalité intime du drame : simplicité de l’
action
et du style. Les femmes de Racine : variété des c
trate, c’est-à-dire des ressorts artificiels et puérils qui meuvent l’
action
et produisent les situations. Quinault fait une g
à la tragédie les caractères qui la définissaient chez Corneille : l’
action
enfermée dans les trois unités, l’intérêt placé d
départ si près du point d’arrivée, qu’un tout petit cercle contient l’
action
, l’espace et le temps. Au moment où il commence,
ntage, Phèdre surtout admettent certains faits du dehors à modifier l’
action
; mais il est remarquable que pour les deux derni
ne nécessité dans le théâtre français, de ne rien montrer qui ne soit
action
. Racine conçoit toutes les émotions, tous les éta
ulsion ou l’inhibition, jusqu’à ce qu’une secousse plus forte amène l’
action
définitive. Étudiez Phèdre, la grande passionnée
n travail, pour éloigner ou approcher tour à tour le personnage d’une
action
irréparablement bonne ou mauvaise. Voilà comment
exclut l’intrigue romanesque, les moyens compliqués ou surprenants. L’
action
se proportionnera aux sujets, et les ressorts qu’
’Esther et d’Athalie : Dieu peut tout, et c’est lui qui mène les deux
actions
. Mais voici une conséquence plus importante de la
ous les instincts violents, ambitieux, qui jetaient les hommes dans l’
action
politique et militaire, s’apaisent dans la vie de
oir la trompent : elle s’irrite et s’apaise follement, inégale en son
action
, maladroite et crédule. A côté d’elle, Néron, une
udain d’une peur toute physique, dans la détente de ses nerfs après l’
action
, et déprimé de voir la femme pour qui il avait fa
me passionnée ; un songe, un visage d’enfant, tout dévie ou rompt son
action
. Elle se débat plus qu’elle ne lutte. Elle figure
pure valeur dramatique et réaliste. Il est poète, et dans toutes les
actions
qu’il met en scène, il saisit une puissance poéti
t les reconnaissances deviennent le train ordinaire et journalier des
actions
théâtrales. A mesure que la tragédie s’affadit, o
aisir, elles contrefont la réalité perçue au point de se prolonger en
actions
: les autres créations imaginatives ont cette ten
e pourrait-on pas la fixer, l’intensifier, et surtout la compléter en
action
, car elle n’est devenue pure vision que par un af
ristote qu’à Platon, est incontestablement mystique. Si elle a subi l’
action
de la pensée orientale, très vivante dans le mond
l’espèce par sa matérialité, qui continuerait et prolongerait ainsi l’
action
divine. Telle est notre définition. Nous sommes l
ape pour arriver au point où, la contemplation venant s’abîmer dans l’
action
, la volonté humaine se confond avec la volonté di
langue admirable, mais qui n’est pas celle du mysticisme plein : « l’
action
, dit-il, est un affaiblissement de la contemplati
urquoi le Bouddhisme n’est pas un mysticisme complet. Celui-ci serait
action
, création, amour. Non pas certes que le Bouddhism
-être, au fond, la même chose — qu’il n’a pas cru à l’efficacité de l’
action
humaine. Il n’a pas eu confiance en elle. Seule c
ées une simple suggestion, un signal suffit. Admettons pourtant que l’
action
directe du christianisme, en tant que dogme, ait
er jusqu’au bout de son mysticisme, puisque le mysticisme complet est
action
. Mais viennent les machines qui accroissent le re
traordinaires. Qu’on pense à ce qu’accomplirent, dans le domaine de l’
action
, un saint Paul, une sainte Thérèse, une sainte Ca
elle, qui se reconnaît sans peine. Elle se manifeste par le goût de l’
action
, la faculté de s’adapter et de se réadapter aux c
timent, quelque chose d’elle reste en dehors . c’est la volonté : son
action
, si elle agissait, procéderait simplement d’elle.
ela n’était durable parce que tout cela n’était que contemplation : l’
action
ramenait l’âme à elle-même et la détachait ainsi
s’arrêtait à l’extase, c’est-à-dire à la contemplation, une certaine
action
était préformée. On éprouvait, à peine redescendu
re qu’ils aboutirent. Pour franchir l’intervalle entre la pensée et l’
action
il fallait un élan, qui manqua. Nous trouvons cet
de leur perfection. Tel est précisément, d’après Aristote, le mode d’
action
de la Pensée de la Pensée, laquelle n’est pas san
es à leur tour ! Elle eût vu qu’elles servent avant tout à préparer l’
action
de l’individu et de la société sur les choses, qu
cial. Que n’a-t-elle analysé, enfin, les conditions sociales de cette
action
individuelle, et la nature du travail que l’indiv
el et l’essentiel, justement parce qu’ils sont ce qui intéresse notre
action
sur les choses. Le repos devient ainsi pour nous
nous nous occupions, ont généralement été des hommes ou des femmes d’
action
, d’un bon sens supérieur : peu importe qu’ils aie
raduellement de l’énergie potentielle pour la dépenser brusquement en
actions
libres. On pourrait encore hésiter à l’admettre,
que nous pouvons mouvoir d’autres parties du grand corps. Et comme l’
action
est ce qui compte, comme il est entendu que nous
de notre très petit corps organisé (organisé précisément en vue de l’
action
immédiate) est le lieu de nos mouvements actuels,
ements actuels, notre très grand corps inorganique est le lieu de nos
actions
éventuelles et théoriquement possibles : les cent
perceptifs du cerveau étant les éclaireurs et les préparateurs de ces
actions
éventuelles et en dessinant intérieurement le pla
parties de nous-mêmes qui varient sans cesse et où ne siègent que des
actions
virtuelles, dans tout ce que nous percevons. Pren
se resserre pour ne livrer que ce qui est strictement nécessaire à l’
action
présente, jusqu’au plan extrême où elle étale tou
la tragédie grecque. Il y a des tragédies grecques qui sont pleines d’
action
, comme Philoctète, et qui sont pleines d’action e
es qui sont pleines d’action, comme Philoctète, et qui sont pleines d’
action
et d’intrigue jusqu’à en être de véritables mélod
grand poète. Il y a aussi des tragédies grecques où il n’y a point d’
action
du tout, je veux dire à peine, bien entendu, comm
d, du reste, elles étaient belles. Le genre de beauté des pièces sans
action
, c’est la beauté morale. Il y a dans les Supplian
elui-ci, se voyant priver de ses filles qu’on entraîne (ici, un peu d’
action
) — Œdipe en face de son fils Polynice et le maudi
ison, artistique. Les Grecs ne répugnent nullement aux dénouements en
action
, et ils en ont ; mais ils ont une tendance toute
ager nous transmet, pour ainsi dire. Une scène qui a été seulement en
action
ou même en tableau (mort de Britannicus dans Brit
e s’était fortement trompé, car enfin (n’est-ce pas ?) il n’y a pas d’
action
dans l’épisode Œdipe et Polynice, et il y en a da
rement dit avant tout, Œdipe est un hors-d’œuvre. Il n’est pas dans l’
action
. Quel est le sujet ? Etéocle et Polynice sont en
. Et Œdipe, qu’est-ce que nous en ferons ? Puisqu’il n’est pas dans l’
action
, nous ne le montrerons pas et même nous n’en diro
ns des intérêts tout nouveaux. Il avait réuni en une seule pièce deux
actions
différentes dont l’une sert de matière aux Phénic
ut à la fin, et après la fin, un Œdipe qui n’a nullement été mêlé à l’
action
, dont on n’a jamais entendu parler et dont, si l’
oit d’Euripide et dans la forte attache aux sévères lois de l’unité d’
action
. Non ; mais enfin ce qui dans Euripide fait bien
ns et de tous les crimes ; de rouler cela et de l’envelopper dans une
action
singulièrement obscure ; et la chose est faite. O
ièrement obscure ; et la chose est faite. On fait mieux à l’Ambigu. L’
action
très rapide et d’un assez beau mouvement au comme
et de jalousies, hors-d’œuvre qui ne servent qu’à rompre le fil de l’
action
. » Eh ! ce n’est pas si sot, pour un Leclerc, qu
chez ses contemporains, les hommes du dix-huitième siècle rêvaient en
action
tous les dénouements classiques, et cela n’a fait
er disait en riant : « Oh ! Monsieur Alexandre Dumas ! il mettrait en
action
Hippolyte traîné par des chevaux que sa main a no
. Je suis de ceux qui voudraient voir le dénouement de Britannicus en
action
, parce qu’Agrippine survenant dans la salle des f
ine avec commentaires, voudrait que la catastrophe d’Iphigénie fût en
action
sur le théâtre. « Nous n’avons, dit-il, qu’un reg
refois le lieu de la scène. Ce poète n’aurait pas manqué de mettre en
action
la catastrophe qu’il n’a mise qu’en récit. On eût
ing, ceci !], mais il serait bien difficile que sur le théâtre, cette
action
, qui doit durer quelques moments, ne devînt pas f
l faut savoir qu’un récit écrit par Racine est supérieur à toutes les
actions
théâtrales. » Avec ses qualités et ses défauts,
mps qu’une pièce dramatique ; d’avoir dit, enfin, qu’il n’y a guère d’
action
dans le Misanthrope. « Pardon ! me fait-il remar
ondre : il n’y a pas d’intrigue dans le Misanthrope, mais il y a de l’
action
, et même une action violente. » A mon tour je dis
d’intrigue dans le Misanthrope, mais il y a de l’action, et même une
action
violente. » A mon tour je dis : c’est aller un pe
n violente. » A mon tour je dis : c’est aller un peu loin. Il y a une
action
dans le Misanthrope, à coup sûr ; car s’il n’y av
une action dans le Misanthrope, à coup sûr ; car s’il n’y avait pas d’
action
du tout, il est bien certain que la pièce n’exist
, il est bien certain que la pièce n’existerait pas ; mais il y a une
action
très lente et à laquelle il est bien certain que
rtain que Molière n’a attaché aucune importance. J’appelle pièce sans
action
, avec une légère exagération, une pièce dans laqu
, une pièce dans laquelle nous trouvons tout un acte, le second, où l’
action
qui, du reste, à peine a commencé, ne marche pas
; dans laquelle nous trouvons tout un autre acte, le troisième, où l’
action
ne marche pas davantage, dans laquelle, enfin, il
tion ne marche pas davantage, dans laquelle, enfin, il n’y a un peu d’
action
que dans les deux derniers actes. Le Misanthrope
ler devant les yeux du spectateur. A prendre la pièce au point de vue
action
, c’est-à-dire à la prendre au point de vue de la
a pièce ou extérieurs à la pièce ; tableaux de la société du temps. L’
action
n’est donc qu’un léger fil destiné à relier entre
. Cela me paraît évident. C’est ce que j’appelle une pièce quasi sans
action
, et c’est cela que j’ai voulu dire, et dont je ne
ne me dédis point. Et maintenant que, réduite à la partie où elle est
action
, la pièce soit vive et forte et même presque viol
, quand Alceste est en présence de Célimène ou d’Arsinoé, il y a de l’
action
et qui marche à un but, et cette action ne laisse
ène ou d’Arsinoé, il y a de l’action et qui marche à un but, et cette
action
ne laisse pas, quelquefois, d’être assez forte. M
pas, quelquefois, d’être assez forte. Mais on n’appelle point pièce à
action
une pièce où l’action tient le quart de l’ouvrage
re assez forte. Mais on n’appelle point pièce à action une pièce où l’
action
tient le quart de l’ouvrage et s’interrompt sans
Dieu merci ! — à autre chose. Molière a méprisé, très évidement, et l’
action
et l’intrigue, celle-ci plus encore que celle-là,
’autre. Il paraît que j’ai dit que le Tartuffe, seul, est une pièce à
action
, tout en étant aussi autre chose ; que le Tartuff
. Capus m’ayant pris un peu à partie pour avoir dit qu’il n’y a pas d’
action
, ou si peu que rien, dans le Misanthrope et ayant
action, ou si peu que rien, dans le Misanthrope et ayant assuré que l’
action
dans le Misanthrope est considérable et même viol
de l’autre un tableau de mœurs, et qu’en vérité, pour y trouver de l’
action
, il faut y en mettre, ce qui ne l’empêche pas du
enter un effort pour vous déloger. « Vous accordez qu’il y a bien une
action
dans le Misanthrope ; mais c’est, dites-vous, une
y a bien une action dans le Misanthrope ; mais c’est, dites-vous, une
action
très lente et à laquelle il est bien certain que
il est bien certain que Molière n’a attaché aucune importance. Cette
action
, en effet, se réduit pour vous à la querelle d’Al
vous concluez, comme on peut s’y attendre, « qu’il n’y a donc guère d’
action
dans le Misanthrope et que cette pièce est bien p
ed de chacune de ces assertions et d’avancer, au contraire : 1° que l’
action
du Misanthrope est une action aussi rapide que fo
s et d’avancer, au contraire : 1° que l’action du Misanthrope est une
action
aussi rapide que forte ; 2° que cette action débo
n du Misanthrope est une action aussi rapide que forte ; 2° que cette
action
déborde, dépasse sensiblement en grandeur et en i
up plus, beaucoup mieux qu’un tableau, que c’est vraiment une pièce d’
action
, un drame ? « Je commence, si vous le voulez bien
auvais jeu de mots) de ma démonstration. Je déclare que le problème d’
action
du Misanthrope ne se ramène pas à connaître si Al
actère, il importe aussi de ne pas l’oublier si l’on veut découvrir l’
action
fondamentale, le vif et le plein du sujet dans la
misanthropie qui est le vrai sujet de la pièce ? Et, ainsi conçue, l’
action
du Misanthrope n’offre-t-elle pas une curieuse an
n sur ce point, vous conviendrez sans doute avec moi, Monsieur, que l’
action
du Misanthrope, envisagée de ce point de vue, n’e
— M. Capus l’affirmant, moi le niant — de prouver qu’il y a une forte
action
dramatique dans le Misanthrope. M. Le Bidois me
a même chose ; ce n’est pas du tout la question. Jamais on n’a appelé
action
dramatique une évolution de caractère. On appelle
n n’a appelé action dramatique une évolution de caractère. On appelle
action
dramatique une succession de faits menant une sit
tuation dramatique d’un certain point à un autre. Il y a toujours une
action
dramatique dans un drame : sans cela il n’y aurai
; mais il y en a plus ou moins. Tout le monde convient qu’il y a une
action
dramatique, rapide et violente, dans le Cid, dans
qu’il y en a peu dans Bérénice. Tout le monde convient qu’il y a une
action
dramatique rapide et forte dans Œdipe Roi et qu’i
même si l’on veut discuter. A qui me dit : « la preuve qu’il y a une
action
dans telle pièce, c’est qu’il y a une évolution d
éro ». Ce sont des choses indépendantes l’une de l’autre. Il y a de l’
action
dans Œdipe Roi et point d’évolution de caractère.
évolution de caractère dans Œdipe à Colone et il n’y a que très peu d’
action
. Il est stupide de triompher des divergences de s
iétés seulement pour éclairer les questions : M.Capus, prenant le mot
action
dramatique dans le sens où tout le monde l’entend
mêmes du Misanthrope, dans le duel Alceste-Célimène il y a beaucoup d’
action
dramatique. M. Le Bidois estime qu’on ne trouve d
a beaucoup d’action dramatique. M. Le Bidois estime qu’on ne trouve d’
action
dramatique dans le Misanthrope, qu’à la condition
pe très peu de place dans la pièce et que, quand on veut trouver de l’
action
dans le Misanthrope, on arrive vite à la chercher
e nos pères appelaient l’intrigue. Mais alors ce n’est plus du tout d’
action
dramatique qu’il s’agit. Il s’agit de variations
le Misanthrope sans penser davantage ni dire davantage qu’il y a une
action
vive et pressée dans le Misanthrope. 2° Mais je v
quelque façon qu’on la résolve, ne prouvera rien au point de vue de l’
action
dramatique dans le Misanthrope : y a-t-il dans le
ttre aisément d’accord. En m’attribuant l’opinion qu’« on ne trouve d’
action
dans le Misanthrope qu’à la condition de ne pas l
es-vous dire ce que je n’ai dit, ni ne pense. J’ai dit ceci : « Cette
action
déborde, dépasse sensiblement en grandeur et en i
te querelle de Célimène et d’Alceste qui est bien un des moments de l’
action
, et un moment à coup sûr très pathétique, très im
ortance inégale sans doute, mais qui tous font partie intégrante de l’
action
et influent sensiblement sur elle. « Et que me vo
des termes et, lorsque j’ai à faire la preuve qu’il y a une véritable
action
dramatique dans le Misanthrope, de me contenter d
ez-vous ; ce n’est pas du tout la même question. Jamais on n’a appelé
action
dramatique une évolution de caractère. On appelle
n n’a appelé action dramatique une évolution de caractère. On appelle
action
dramatique une succession de faits menant une sit
rez que je n’en cherche point d’autre pour y installer ma doctrine. L’
action
dramatique du Misanthrope, qu’est-ce donc ? Pas a
ceste. Et cette évolution, sans doute, n’est pas à elle seule toute l’
action
; aussi n’ai-je pas dit qu’elle le fût ; je n’ai
n ; aussi n’ai-je pas dit qu’elle le fût ; je n’ai dit que ceci : « L’
action
fondamentale, le vif et le plein du sujet dans la
u caractère misanthropique d’Alceste. » Evidemment, cela signifiait :
action
principale et foncière du Misanthrope, le dévelop
cière du Misanthrope, le développement de la misanthropie d’Alceste ;
actions
secondaires, parce que pures causes occasionnelle
querelle Célimène-Alceste, etc. Et le tout réuni, sans doute, forme l’
action
dramatique du Misanthrope ; mais ce qui, dans ce
pement, qu’une évolution de caractère puisse constituer le fond d’une
action
dramatique : qu’elle soit même l’action dramatiqu
isse constituer le fond d’une action dramatique : qu’elle soit même l’
action
dramatique dans ce que celle-ci a de plus solide
en tant que moyens, que moments (momenta, au sens étymologique) de l’
action
principale, telle que je viens de la définir. Et
lle que je viens de la définir. Et prétendre que Britannicus doit son
action
dramatique à telle ou telle fortuite rencontre de
ntité et je dirai la qualité des faits extérieurs, sans qu’au total l’
action
risque de faire défaut ? « Prenons, Monsieur, l’e
thrope et la « scène des caquets ». S’il est un endroit du drame où l’
action
paraisse stagnante, c’est, n’est-il pas vrai ? da
ntre la vilenie mondaine, cette pure conversation donne au drame de l’
action
. Et ainsi après cette scène où Alceste ne semblai
’est-à-dire qu’elle pèse d’un poids appréciable sur les ressorts de l’
action
et pousse au dénouement, et sans doute je ne prét
fait cette sorte de monstrueux chef-d’œuvre que serait un drame… sans
action
. Peut-être aussi en Molière, non plus le dramatis
s valeureux champions : MM. Capus, Le Bidois et Faguet, à propos de l’
action
dans le Misanthrope ? » « A ma honte, je confessa
s qui conviennent au genre tragique et peuvent seuls être mêlés à une
action
intense. « C’est à la seconde catégorie de misant
t ridicule. Aussi Molière n’aurait-il pas eu raison de le mêler à une
action
intense que devait être l’action spécifique d’une
t-il pas eu raison de le mêler à une action intense que devait être l’
action
spécifique d’une pièce sur la Misanthropie ? La l
contre la société, les heurts continuels qu’il en reçoit, qui font l’
action
du Misanthrope. Seulement, au lieu de nous montre
e tous ; il nous aurait violemment secoués par la plus dramatique des
actions
, et nous eussions applaudi aux châtiments nombreu
’un méchant. Mais il s’agissait d’un bon, de caractère aigri. « Cette
action
du Misanthrope, pour n’être pas tragique, puisqu’
n’a plus qu’à se séparer de ce monde pour lequel il n’est pas fait. L’
action
du Misanthrope est terminée. Au commencement de l
e la pièce, cette expérience est terminée, très concluante. « Voilà l’
action
du Misanthrope. Sans être intense, elle est grand
es péripéties de la lutte qu’il entreprend contre la société. « Cette
action
est avivée par le mouvement très marqué de chacun
scènes, de chacune des batailles livrées durant cette guerre. « Cette
action
de la comédie, ce mouvement des scènes suffiraien
érisent son siècle. Sa lutte contre la société, qui constitue toute l’
action
du Misanthrope, c’est sa lutte contre ce salon qu
Il ne faut pas exagérer et je ne crois pas que la littérature ait une
action
immense sur la vie des nations ; mais encore elle
cile, parce qu’il y a ici une mêlée, assez incommode à débrouiller, d’
actions
et de réactions. Ce qui vient du théâtre romantiq
Béranger. Ils sont moins bons que ceux de Béranger ; mais, grâce à l’
action
qu’exerce le théâtre, ils ont été répétés tout au
le troisième est un tel chef-d’œuvre, à tous les points de vue, comme
action
, comme tableau, comme coup de théâtre, comme éloq
eu plus qu’il ne faut. Un certain Georges ne fait rien du tout dans l’
action
, y intervient plusieurs fois, toujours avec un no
déroute autant qu’il nous ennuie. Certaines choses, essentielles à l’
action
, nous sont révélées juste au moment où l’auteur e
is il n’a aucune importance, il n’est pour rien, non seulement dans l’
action
matérielle, ce qui me serait très indifférent, ma
s l’action matérielle, ce qui me serait très indifférent, mais dans l’
action
morale. Il ne paraît, décidément, j’entends avec
qué. C’est la perfection même et ce n’est pas la perfection froide. L’
action
sur le public, le contact électrique a été incroy
e du comique, et il ne voit rien, en somme, de comique en dehors de l’
action
et des effets de l’automatisme. C’est aller, à mo
oient manquer aux poëtes tragiques, qui peuvent faire entrer dans une
action
des personnages ausquels ils donnent des caracter
ature, pour y demêler distinctement les differens principes des mêmes
actions
, et pour y voir comment les mêmes principes font
continuant d’étudier son modele, extraire, pour parler ainsi, de ses
actions
et de ses discours les traits les plus propres à
discerner le naturel qui est toujours varié. Ainsi la contenance et l’
action
des personnes qu’il peint, sont toujours variées.
poser demeurent noyez et confondus dans une infinité de discours et d’
actions
que les bienséances, la mode, la coûtume, la prof
ractere resulteroit de ces traits, si ces traits étoient détachez des
actions
et des discours indifferens, si ces traits, rappr
pieces dramatiques, parce qu’elles contribuent à nous interesser à l’
action
, en faisant sur nous une impression approchante d
niens, et cela dans des spectacles où ils eussent été émus déja par l’
action
d’une tragédie. Nous-mêmes ne sentons-nous pas qu
risées, contribuent donc beaucoup à nous faire prendre interêt dans l’
action
des opera, où l’on peut dire qu’elles joüent un r
qu’on appelle communément Logistille, joüe très-bien son rôle dans l’
action
où elle est introduite. L’action du cinquiéme act
ille, joüe très-bien son rôle dans l’action où elle est introduite. L’
action
du cinquiéme acte où elle est placée, consiste à
, elles aident beaucoup néanmoins à rendre le spectacle touchant et l’
action
pathétique. Par exemple, les accens funébres de l
usique qui nous émeuvent sensiblement, quand ils font une partie de l’
action
théatrale, plairoient même médiocrement, si l’on
leur plus grand mérite, c’est-à-dire, le rapport qu’elles ont avec l’
action
, où, pour parler ainsi, elles joüent un rôle. Les
l qu’elles arracheraient, à la nature, au caractère, au mouvement des
actions
qu’on se propose de rendre, et cet art-là n’est p
les deux ailes et sur le fond, ce sont des combats particuliers, des
actions
moins ramassées, plus éteintes, et fesant valoir
enre de peinture où il n’y a proprement ni unité de temps, ni unité d’
action
, ni unité de lieu. C’est un spectacle d’incidens
oi de tous les points de la toile. Si l’on ne s’en tenait point à des
actions
communes, (et j’appelle actions communes toutes c
e. Si l’on ne s’en tenait point à des actions communes, (et j’appelle
actions
communes toutes celles où un homme en menace ou e
manières d’ordonner une bataille, ou en pyramidant par le centre de l’
action
ou de la toile auquel correspond le sommet de la
sur ce champ des inégalités, y répandant les différents incidens, les
actions
diverses, les masses, les groupes liés par une lo
s au génie, tout se déploie et se fait valoir, c’est un instant d’une
action
générale, c’est un poëme, les trois unités y sont
her au bâtiment. à gauche, sur le fond, et fesant l’effet des petites
actions
ou mêlées ou latérales aux deux combats de terre,
on y a plus encore affecté la vigueur, il y a plus de papillotage ; l’
action
se passe au milieu des flots agités et écumeux.
Boisset. Vous ne verrez pas ses tableaux, mais vous saurez une de ses
actions
qui ne vous déplaira pas. Au bout de cinq à six m
s’arrêter, de se reposer sur aucun. Les combattans n’y manquent pas d’
action
; ce sont des turcs d’un côté, de l’autre des sol
rellement dessinées, leurs attitudes variées ; ses combattans bien en
action
, ses morts, ses mourans, ses blessés bien jettés,
le de leur personnalité. M. de Régnier, dont le fatalisme répugne à l’
action
, écarte de son art le mouvement ; il se manifeste
ttre que la tranquille stature est supérieure au geste impliquant une
action
momentanée puisque, par leur nature même, les œuv
ouvement qui indique l’état d’âme d’un instant laissent croire qu’une
action
nouvelle suivra l’instant d’après, avec son geste
le geste, moment de la durée et moment de l’étendue qui y symbolise l’
action
. Car l’émotion se traduit par un geste : le geste
entôt fondues. Mais, quoique ses vers ne développent pas toujours une
action
et qu’ils se complaisent parfois en des états d’â
tater, cette belle page de Régnier invoquant pour leur beauté toute l’
action
et toute la lutte, serait la meilleure épigraphe
’est en évoquant une silhouette immobile que le poète nous parle de l’
action
; le geste apparent du dernier vers n’est lui-mêm
plus individuel, de moins objectif que la noblesse. Celle-ci, dans l’
action
même, évoque le repos, en ce sens que chacun de s
aux Cygnes comme dans les Épisodes, elles restent des décors pour une
action
ou une idée, ou bien elles sont l’impalpable mant
te, tendue vers l’énergie, se complaise en un pays de vie facile où l’
action
ne suppose pas l’effort ? Quant aux vers de M. de
de l’univers ; c’est ce que Kant appelait l’universelle réciprocité d’
action
. La philosophie évolutionniste a confirmé cette d
onnellement à chacune des forces qui y sont emmagasinées ; je subis l’
action
de la plus lointaine des étoiles, quoique mes yeu
de mouvements qui viennent retentir en moi. A mon tour, j’exerce une
action
, si faible qu’elle soit, sur cette étoile, sur to
ns la composition des forces, je finirais par retrouver en moi-même l’
action
de l’univers et le raccourci de son histoire. En
rt des voies dans la matière organisée et s’y sont créé des centres d’
action
. Ces voies sont les nerfs, ces centres sont les o
d’autres termes, ont-ils eu d’abord pour objet la connaissance, ou l’
action
et la jouissance ? — Evidemment, l’utilité fut d’
èse, qui est une application des lois d’où naissent l’habitude et les
actions
réflexes. Ces lois se ramènent, en définitive, à
lui aussi ; il restera pourtant une trace, si faible soit-elle, de l’
action
qu’il avait subie dans l’intime arrangement de se
ntime arrangement de ses molécules. Soumis une seconde fois à la même
action
, il reprendra plus aisément son rôle d’organe mom
nes des sens et des sensations : c’est l’appétit. Spencer a bien vu l’
action
du dehors sur l’être vivant ; il n’a pas montré l
i constitue la vie, et toute sensation complexe résulte d’une série d’
actions
et de réactions entre l’appétit intérieur et le m
s les mouvements moléculaires des êtres organisés, a probablement une
action
plus décisive qu’aucune autre force, de laquelle
une saveur douce, celui d’un concours de forces. L’odorat révèle une
action
plus délicate, mais ayant toujours une certaine i
deux termes et un rapport. La résistance est une motion arrêtée, une
action
qui n’aboutit pas, une appétition qui ne peut pro
e choc nerveux, c’est-à-dire le coup, le tressaillement produit par l’
action
mécanique d’un objet. Un choc ou un coup fort peu
le processus mental, présuppose un élément quelconque d’appétition, d’
action
, de vouloir, de tendance, d’énergie, quel que soi
s mettaient en évidence, sous toutes les sensations, un mode commun d’
action
et de réaction, qui n’est pas la sensation même e
ations sont plus ou moins complexes, qu’elles enveloppent une somme d’
actions
et de réactions en des rapports déterminés, elles
seulement le rapport que nous sentons, mais les intensités mêmes des
actions
exercées sur nous. Nous sentons immédiatement une
ense par rapport à une autre ; mais, dans la réalité, l’énergie d’une
action
exercée sur notre organisme produit dans la consc
est un facteur efficace dans la lutte pour la vie, une des forces en
action
, au sens le plus général des forces, considérées
branche juge nécessaire de distinguer, des lois d’essence, les lois d’
action
ou d’existence, et il imagine, à ce sujet, sa thé
re passif, se faire « table rase », et recevoir, sans y rien mêler, l’
action
des choses extérieures. Mais Bacon, outre qu’il e
rase ; mais l’âme, par elle-même, réunit les idées simples que cette
action
du dehors lui fournit. Que valent, cependant, des
dépendent de nous, si nous sommes réellement capables d’agir, ou si l’
action
est une pure illusion. II. Les lois logiques
homme. Or, le mouvement apparaît chez l’homme comme le résultat d’une
action
de l’âme sur le corps. Donc on posera, au-dessus
rie le progrès de la science. Comment, en effet, mesurer et prévoir l’
action
d’une force immatérielle sollicitée par des raiso
, n’entend pas, par l’attraction, une force métaphysique analogue à l’
action
d’une âme. Ce n’est là pour lui qu’une expression
matiques et qu’il faut demander à l’expérience ? C’est la mesure de l’
action
que les corps exercent les uns sur les autres. En
e et rectiligne que prendrait un corps en mouvement soustrait à toute
action
étrangère, non plus que la persistance dans le re
i n’a pas reçu d’impulsion. La dualité de l’inertie et de la force, l’
action
de forces multiples, la composition de ces forces
et la force, et les atomes, et même l’attraction, ou tel autre mode d’
action
de la cause du mouvement. Dès lors surgissent les
uvoir sur autre chose et qui nous jette dans le progrès à l’infini, l’
action
d’un corps brut sur un autre, de quelque manière
ntion des lois mécaniques. En quoi peut bien consister, en réalité, l’
action
des choses dans la nature ? C’est ce que nous ne
t se trouve, au moins dans certains cas, l’activité de l’esprit ; les
actions
sont rapportées à la pensée comme à leur cause gé
la seule manière dont nous puissions nous représenter la réalité de l’
action
mécanique. C’est, pour nous, la dégradation de l’
réalité de l’action mécanique. C’est, pour nous, la dégradation de l’
action
véritable, l’activité suppléée par un lien entre
e par là même et rendue libre pour des tâches nouvelles. Si de telles
actions
existent, les lois mécaniques sont la forme que n
aire. On trouve chez les philosophes une explication plus subtile : l’
action
de l’âme sur le corps serait réelle, mais métaphy
ible l’intervention d’un pouvoir directeur. Ici viendrait se placer l’
action
attribuée par Claude Bernard à la vie comme idée
en ce sens que, lorsqu’une passion se produit en nous par suite d’une
action
extérieure, nous ne sommes pas condamnés à nous a
stématiser les manifestations. Quand nous nous demandons si le mode d’
action
des corps les uns sur les autres compromet notre
r qu’elles sont rigoureuses et qu’elles sont immuables ? S’il y a des
actions
dans la nature, ces actions sont tout autre chose
et qu’elles sont immuables ? S’il y a des actions dans la nature, ces
actions
sont tout autre chose que la prétendue action d’u
ns dans la nature, ces actions sont tout autre chose que la prétendue
action
d’un corps sur un autre, laquelle n’est qu’une re
ue, puisque de tels phénomènes ne sont que des abstractions, et que l’
action
, si elle existe dans la nature, est quelque chose
himie, on a tout d’abord expliqué les transformations des corps par l’
action
spontanée, soit de puissances surnaturelles, soit
’est ce rapport que représente excellemment un couple d’atomes dont l’
action
mutuelle dépend uniquement de leur distance. Conv
même un principe de mouvement : dès lors ils n’avaient que faire de l’
action
d’un Dieu. Chez les modernes, au contraire, on co
croit devoir recourir à Dieu pour expliquer l’existence des atomes, l’
action
divine est réduite au minimum, on ne l’admet que
vivant : 1° il n’y a pas de spontanéité, 2° la réaction est égale à l’
action
. L’élément commun de tous les tissus est le proto
tres vivants, comme dans le monde inorganique, il y a égalité entre l’
action
et la réaction. C’est ce dont on se rend compte d
t au protoplasma, dont la fonction est de réagir sous l’influence des
actions
extérieures ; en lui la spontanéité est nulle ; l
rieures ; en lui la spontanéité est nulle ; la réaction est égale à l’
action
. Mais, peut-on dire, cette réaction n’est pas que
du, se sert de ce qui l’entoure pour assurer sa propre subsistance. L’
action
réflexe qui le caractérise a deux faces : l’une,
nférieures, et il cherche l’explication de ces transformations dans l’
action
du milieu. Le milieu sollicite l’être vivant et c
èces, c’est, du même coup, faire appel, pour expliquer la nature, à l’
action
surnaturelle d’une providence, personnification t
ient signe de finalité, et c’est le changement qui dénote l’absence d’
action
providentielle. La preuve que l’interprétation qu
espèces n’a été constaté. Quant à l’explication de cette fixité par l’
action
de la Providence, elle est plutôt superposée à la
t à l’infini, on cherche à l’expliquer, et cela historiquement, par l’
action
du passé sur le présent, conformément à la loi d’
ement d’existence impliqué dans toute expérience, si l’on n’admet une
action
de l’esprit. Cette action se trouve donc, malgré
dans toute expérience, si l’on n’admet une action de l’esprit. Cette
action
se trouve donc, malgré qu’on en ait, au fond de t
mènes mentaux les plus compliqués se ramènent de proche en proche à l’
action
réflexe, et en tant que cette évolution elle-même
n ayons conscience. Et ainsi, entre l’impression venue du dehors et l’
action
visible correspondante, il est naturel d’admettre
’aux actes plus complexes, tels que la perception d’une différence, l’
action
de compter, de nommer, le raisonnement de plus en
, elles n’ont pas une telle portée. C’est une erreur de croire qu’une
action
est connue comme déterminée d’une façon nécessair
d’une idée sur la matière est inintelligible, en est-il de même d’une
action
exercée à travers une infinité d’intermédiaires t
mécanisme, loin de nous envelopper de toutes parts, est notre moyen d’
action
sur les choses. Nous avons prise sur le mécanisme
de les utiliser pour des fins posées par lui. Enfin, en sociologie, l’
action
du milieu ne suffit pas pour expliquer les phénom
posent aux êtres vivants, et les lois biologiques viennent mêler leur
action
à celle des lois physiques. En présence de ces ré
tre la pensée et le mouvement. Ces êtres forment une hiérarchie, et l’
action
circule entre eux de haut en bas et de bas en hau
vec ses 36,000 hommes l’extrême-aile droite, voilà le rôle, la part d’
action
qui lui revenait ; c’était clair. Plus la bataill
artillerie ? Drouot demandait deux ou trois heures : ce qui fit que l’
action
ne commença qu’à onze heures et demie ou midi. Ce
Soignes. On commença à notre gauche par une diversion qui devint une
action
trop principale autour de la ferme et du château
ans son ardeur, il est comme furieux et forcené de tout son arriéré d’
action
des jours précédents, de tous ses retards de la v
ien analysée. « Une bataille », a dit à ce propos Napoléon, « est une
action
dramatique qui a son commencement, son milieu et
tion possible des Prussiens et causa une perturbation sensible dans l’
action
principale ; le nœud n’était plus où il devait êt
pliquer la première et s’essayer à côté : il n’y avait plus d’unité d’
action
. Tandis que Reille à gauche, par ses lieutenants,
e, et deux fois plutôt qu’une. On saisit à merveille ces moments où l’
action
de Napoléon, libre alors et non plus partagé, s’a
laquelle est encore celle de Merlin ! Excepté le talent, qui a subi l’
action
du temps, non son action féconde, mais son action
de Merlin ! Excepté le talent, qui a subi l’action du temps, non son
action
féconde, mais son action funeste, excepté le tale
alent, qui a subi l’action du temps, non son action féconde, mais son
action
funeste, excepté le talent, je ne vois dans Merli
homme, fait pour les grandes besognes, et de prétention épique dans l’
action
comme dans la pensée, nous a donné ce ruminement
nommiez la Sagesse, la Beauté, la Force physique, la Perversité. Et l’
action
?… l’action entre ces quatre personnages sans ind
agesse, la Beauté, la Force physique, la Perversité. Et l’action ?… l’
action
entre ces quatre personnages sans individualité e
re ces quatre personnages sans individualité et même sans humanité, l’
action
a-t-elle une individualité davantage ? A-t-elle u
hose de plus malin et de plus profond, mais non de plus nouveau que l’
action
de cette épopée puérile et rabâcheuse, et c’est s
dée se formait Racine d’une excellente tragédie. — De la simplicité d’
action
. — § X. Que faut-il penser des trois unités ? — §
ore encore les biens et les maux, et qui semble se recueillir avant l’
action
. Mozart me fait revivre tous mes jours ; il me re
plication de ces règles à tout événement tragique, plutôt que par une
action
qui, en se développant selon la vérité et selon l
oilà pourquoi l’on se souvient plus des dénoûments de Corneille, de l’
action
dans Racine. Les coups que frappe le premier sont
e grande pensée, ni combiner, pour l’exécution de cette pensée, leurs
actions
et leurs paroles. C’est par de petites raisons qu
ne pas s’être jeté sur elle. En un jour, en quelques heures, dans une
action
qui ne souffre pas de délai, Racine a marqué tous
idée se faisait Racine d’une tragédie parfaite. — De la simplicité d’
action
. — Des trois unités. J’ai indiqué, au chapitre
déterminent les caractères et sont l’effet, souvent artificiel, d’une
action
complexe. Racine, venu à une époque où les modes
x principes les plus opposés aux expédients du théâtre espagnol : une
action
simple, des situations suscitées par les caractèr
nt pour quelques-uns et par la diversité des opinions ; tandis qu’une
action
simple, des caractères produisant des situations,
entement de tous. Racine reconnut dès l’abord dans cette simplicité d’
action
, si fort du goût des anciens36, non un procédé, c
dans l’histoire, des tragédies toutes faites, qui lui offrissent une
action
simple à remplir par la violence des passions, pa
e des passions, par le développement des sentiments, par l’analyse en
action
des caractères. De là ce qui a été dit de ses nom
ces pièces immortelles. Il est évident que dans un sujet où l’unité d’
action
, de temps et de lieu, est dans la nature des chos
monologues qui dissimulent le mauvais emploi du temps ; que, là où l’
action
marche, l’exécution ne languit pas ; que, là où c
bord sous l’empire de la catastrophe qui se prépare : voilà l’unité d’
action
. Il remarquera qu’ils se cherchent, se poursuiven
plus il se rapproche de l’idéal de l’art dramatique, la simplicité d’
action
. Par cette force de méditation qu’il sait si bien
pas l’artifice du poète qui enferme tous ces personnages dans la même
action
, dans le même lieu, dans la même heure ; c’est la
a convenance et l’à-propos du langage de chacun, dans le rapport de l’
action
au temps et au lieu ; en un mot, quand on compare
ge qui entre ne vient pas seulement pour remplacer celui qui sort ; l’
action
, en se personnifiant dans le premier, ne quitte p
t inquiet de ce qui se prépare au dehors. Nul ne se retire sans que l’
action
l’y force, ou ne revient sans qu’on l’attende ; a
s anciens lui avaient donné le chœur ; il le lia plus étroitement à l’
action
, et l’y intéressa par des sentiments plus personn
rimant tour à tour l’espérance, la crainte et la prière, continuent l’
action
, et prolongent, pour ainsi dire, chaque acte jusq
ateurs de Baal, le réveil qui doit interrompre leur songe passager. L’
action
marche ; elle gronde, pour ainsi dire. Dans le tr
Le dramatique des scènes, la beauté du spectacle, des tableaux que l’
action
rend nécessaires, une musique qui ne sent point l
’avoir admiré Racine si mal à propos ; mais je retins cette preuve en
action
de la vérité pratique de ses tragédies. 20. Po
foule demande presque exclusivement à l’œuvre dramatique, c’est de l’
action
; ce que les femmes y veulent avant tout, c’est d
eurs, voici ce qu’on remarque : la foule est tellement amoureuse de l’
action
, qu’au besoin elle fait bon marché des caractères
elle fait bon marché des caractères et des passions13. Les femmes, l’
action
intéresse d’ailleurs, sont si absorbées par les d
l’œuvre dramatique, ils en viennent presque à y être importunés par l’
action
. Cela tient à ce que la foule demande surtout au
le drame, don César la comédie, Ruy Blas la tragédie. Le drame noue l’
action
, la comédie l’embrouille, la tragédie la tranche.
; dans Ruy Blas, il se couche. 13. C'est-à-dire du style ; car si l’
action
peut, dans beaucoup de cas, s’exprimer par l’acti
style ; car si l’action peut, dans beaucoup de cas, s’exprimer par l’
action
même, les passions et les caractères, à très-peu
faites dans divers sens pour expliquer les phénomènes vitaux par des
actions
physico-chimiques, cependant la méthode anatomiqu
lois ordinaires de la physique et de la chimie générales. Ce sont des
actions
chimiques (combustion, fermentation) qui présiden
pour le physiologiste. Kant a défini la vie « un principe intérieur d’
action
». Dans son Appendice sur la téléologie, ou scien
nous le verrons plus loin, que spécieuse ou apparente. Le principe d’
action
des corps vivants n’est pas intérieur : on ne sau
ganisée. C’est ainsi que pour Béclard, « la vie est l’organisation en
action
. » Pour Dugès, « la vie est l’activité spéciale
tres vivants, ont leurs formes, leur plan particulier, et lorsque les
actions
perturbatrices du milieu ambiant les en écartent,
le gouverne. « Les corps vivants, dit-il, ont en eux leur principe d’
action
qui les empêche de tomber jamais en indifférence
ultat d’une combustion, d’une fermentation, d’une putréfaction, d’une
action
, en un mot, comparable à un grand nombre de faits
stes ou vitalistes ne considèrent dans les phénomènes de la vie que l’
action
d’un principe supérieur et immatériel se manifest
e entre eux une concordance préétablie, il leur refuse toute espèce d’
action
réciproque. « Le corps, dit-il, se développe méca
ur les soutenir ni pour les attaquer. Elle aussi, elle a sa liberté d’
action
, ses problèmes particuliers et ses méthodes spéci
ue les activités chimiques des tissus, et proportionnellement à cette
action
même. L’abaissement de la température entraîne un
mécaniques, physiques ou chimiques. Lorsqu’il examine, par exemple, l’
action
des substances anesthésiques sur la sensibilité,
es de la vie sont toutes matérielles et physico-chimiques. Il n’y a d’
action
possible que sur et par la matière. L’univers ne
nous formons du but de toute science expérimentale et de ses moyens d’
action
est donc générale ; elle appartient à la physique
e que, étant en dehors du monde physique, elle ne peut exercer aucune
action
rétroactive sur lui. Il faut donc séparer le mond
arce que, selon eux, les manifestations vitales auraient pour cause l’
action
spontanée efficace et comme volontaire et libre d
SOMMAIRE : La vie ne saurait s’expliquer par un principe intérieur d’
action
; elle est le résultat d’un conflit entre l’organ
quer, comme on l’avait cru, par l’existence d’un principe intérieur d’
action
s’exerçant indépendamment des forces physico-chim
ires à l’apparition des phénomènes. Sur les lois, nous n’avons aucune
action
, elles sont le résultat de ce que l’on peut appel
u précédemment, croyait que la vie dérivait d’un principe intérieur d’
action
qui empêchait l’être de tomber jamais dans l’état
ans changements appréciables dans l’atmosphère : il n’en reçoit nulle
action
, il n’en exerce aucune sur elle qui soit capable
elles périssent infailliblement. On a observé qu’il faut continuer l’
action
de l’humidité pendant des durées de temps très in
r artificiel. Si l’on soumet ces œufs pendant vingt-quatre heures à l’
action
d’une température de zéro degré, puis, que l’on f
vie latente, on pourra l’exposer à une température fort élevée ou à l’
action
de l’alcool prolongée, elle résistera à ces épreu
nnent aussi les phénomènes chimiques de la destruction vitale, dont l’
action
se trouve arrêtée par le fait même de la dessicca
es plus simples nous montrent que ces fermentations, comme toutes les
actions
chimiques, ne sauraient s’accomplir qu’au sein d’
une température et un degré d’humidité convenables ; faute de quoi l’
action
se suspend. J’ai depuis bien longtemps montré dan
e mis en contact avec l’amidon desséché sans qu’il se produise aucune
action
. Si l’on ajoute de l’eau, la transformation en su
ir d’agir : il était seulement dans l’impossibilité de manifester son
action
. Le suc gastrique desséché ne digère plus ; il pe
Tenrec, qui tombe, dit-on, dans un véritable état de léthargie sous l’
action
des plus grandes chaleurs. Les vertébrés les plus
rême. On doit se demander comment se produit l’engourdissement sous l’
action
du froid, et par quel mécanisme le retour de la c
léments organiques sont entourés d’un milieu refroidi dans lequel les
actions
chimiques se sont abaissées et proportionnellemen
grenouille par exemple, vient à s’engourdir, on pourrait croire que l’
action
du froid porte primitivement sur sa sensibilité,
l’élévation de température ? Ce n’est point, avons-nous dit, par une
action
nerveuse portant sur la sensibilité. J’ai fait, p
qu’il y a une mesure, une gradation et des nuances infinies dans les
actions
des agents physico-chimiques sur l’organisme. Il
empérature ; quand leur influence s’affaiblit par suppression de leur
action
ou par l’antagonisme d’autres influences nerveuse
terai seulement ce dernier trait. Quand on atténue considérablement l’
action
du système cérébrospinal en laissant persister pl
amental de la physiologie générale, à savoir que les deux phases de l’
action
vitale, la création et la destruction, au lieu d’
la façon du mécanicien qui soulève le poids d’une horloge ; par cette
action
, le travail des rouages est créé en puissance ; i
Latour, Turpin, Pasteur. — Ferments solubles, ferments figurés. — Les
actions
des ferments solubles se retrouvent dans le règne
ne, qui semblait n’intervenir que par sa présence. Berzélius appelait
actions
catalytiques les phénomènes de ce genre. C’est ai
ent ne sont pas comparables aux phénomènes que Berzélius appelait des
actions
catalytiques. Le ferment ne reste pas indifférent
décompositions qu’il provoque. Il est prouvé aujourd’hui que, dans l’
action
de la diastase sur l’amidon, la diastase s’use, e
a diastase s’use, et que son usure est en rapport avec l’énergie de l’
action
qu’elle a exercée. Aussi le ferment ne reste pas
t et se multiplie dans la liqueur où il agit et corrélativement à son
action
même. Il ne faut donc pas, d’après cela, rapproch
ènes d’ailleurs obscurs et inconnus que l’on a rangés sous le titre d’
actions
catalytiques. Berzélius avait en vue surtout la f
ne se multiplie pas, mais au contraire s’épuise et se détruit par son
action
même. Ces ferments sont capables de provoquer des
e sont pas, au fond, quant à leur nature essentielle, différentes des
actions
chimiques générales ; toutes, en effet, sont repr
cre de saccharose contenu dans leurs aliments. Nous avons dit que les
actions
du genre fermentatif sont extrêmement nombreuses
sont extrêmement nombreuses ; elles sont en effet le type général des
actions
vitales de destruction ; beaucoup ne sont encore
qui existe dans le suc gastrique ; la pepsine ne fait que commencer l’
action
; la trypsine, ferment de même nature, contenu da
de décompositions provoquées par des êtres organisés. Le type de ces
actions
est la fermentation alcoolique produite par la le
aleur, de sorte qu’ils attribuent ce nom à toute combinaison, à toute
action
chimique, qui s’accompagne d’un grand développeme
on répète l’expérience, elle donnera les mêmes résultats, seulement l’
action
de l’oxygène se continuera pendant un plus grand
s comprend celles qui exigent le concours de l’oxygène de l’air ; ces
actions
, appelées putréfaction, combustion lente, érémaca
et ammoniaque qui font retour à l’atmosphère. D’après M. Pasteur, ces
actions
sont dues encore à des organismes, mucédinées et
qui s’altèrent. Dans les circonstances ordinaires, les deux espèces d’
actions
se produisent simultanément ou successivement. Un
n sont aujourd’hui nos connaissances sur la putréfaction. Sont-ce des
actions
de ce genre identiques dans leur processus qui pe
transport de l’oxygène de l’atome hydrogène à l’atome carbone ; cette
action
se traduisant, dans quelques cas, par l’expulsion
es les mutations chimiques de l’organisme rentreraient dans ce type d’
action
théorique, et voilà la théorie que l’on proposera
faction comme la combustion se rattache aux fermentations. Toutes les
actions
de décomposition organique ou de destruction vita
tions, lorsqu’il a perdu la vésicule germinative, avant de recevoir l’
action
de la fécondation. L’élément anatomique que l’on
feuille verte avec un écran opaque, les parties ainsi soustraites à l’
action
de la lumière se décolorent ; la chlorophylle dis
hylle ; dans une plante déterminée toutes les parties soustraites à l’
action
de la lumière sont dans le même cas ; enfin, comm
nt précisé les conditions de cette expérience et ont fait connaître l’
action
synthétique exercée par la matière verte. On adme
stibles qui se déposent dans les organes verts. Comment s’opère cette
action
? À cet égard l’on n’a que des suppositions plus
endait à penser que « l’hydrate normal d’acide carbonique est, sous l’
action
de la chlorophylle, dédoublé en oxygène et aldéhy
thèses carbonées, dont les produits, fabriqués pendant le jour sous l’
action
des rayons solaires, sont utilisés comme matériau
f l’évolution d’un principe immédiat : sa formation synthétique par l’
action
d’un agent cellulaire particulier, puis sa destru
et le muscle ont en eux-mêmes ce qui est nécessaire à leur entrée en
action
, et qu’ils ne tirent pas d’ailleurs leur principe
sprits animaux, enseignait que les organes recevaient leur principe d’
action
d’une force centrale transmise et distribuée par
que le nerf séparé du corps s’éteint avant le muscle. Les principes d’
action
des deux tissus ne peuvent être les mêmes, puisqu
us devons ajouter une réflexion : le curare détruit un mécanisme, son
action
ne porte pas sur le protoplasma, c’est-à-dire sur
anifestation. Nous dirigerons plus particulièrement notre étude sur l’
action
des excitants et des anesthésiants de l’irritabil
ante et de la vie manifestée. Nous nous arrêterons au contraire sur l’
action
des anesthésiants de l’irritabilité, sur lesquels
eur, ce qui équivaut à sa suppression. Or nous avons trouvé que cette
action
des anesthésiques est générale, qu’elle ne s’adre
st au protoplasma que nous rattachons toutes les activités vitales. L’
action
des anesthésiques se traduit par des effets plus
ers tissus. Le premier point sur lequel il faut insister, c’est que l’
action
éthérisante s’étend successivement à tous les tis
plus délicat des centres nerveux que l’anesthésique porte d’abord son
action
, et ce sont en effet les phénomènes de la conscie
provoqués par des attouchements et des ébranlements ; d’autres par l’
action
de la lumière et de la chaleur ; d’autres, enfin,
a chaleur ; d’autres, enfin, semblent se produire spontanément sous l’
action
de causes internes. Nous citerons particulièremen
sensibilité animale : ainsi les secousses, les chocs, les brûlures, l’
action
des substances caustiques, les décharges électriq
Bientôt la vapeur éthérée remplit la cloche et agit sur la plante. L’
action
anesthésiante est plus rapide dans les temps chau
spéciale de la lumière solaire que nous constatons ici à propos de l’
action
de l’éther ou du chloroforme sur la sensitive, no
résoudre. Si l’analogie des effets se poursuit jusque dans le mode d’
action
, on conçoit quelle relation intime sera ainsi man
s les tissus et les éléments anatomiques. On explique ordinairement l’
action
de la substance anesthésique en disant que de tou
git pas exclusivement sur le système nerveux, il porte en réalité son
action
sur tous les tissus animaux : il atteint chaque é
mière en date. Ainsi tous les tissus répondent de la même manière à l’
action
de l’agent anesthésique : il y a dans tous une mê
posant de petits grains de noir animal, on les voit transportés par l’
action
des cils de la bouche à l’estomac. On peut suivre
il nu et on les voit aller même contre le sens de la pesanteur. Cette
action
des cils vibratiles de la membrane œsophagienne e
s a montré cette coagulation de l’élément musculaire déterminée par l’
action
de l’éther59. Si l’on place un muscle dans des va
me, sont bien les réactifs naturels de toute substance vivante ; leur
action
décèle dans la sensibilité, une propriété commune
niques, sensitif et moteur, que les agents anesthésiques portent leur
action
; ils atteignent aussi le protoplasma des élément
ection de M. Balbiani, et publié des observations intéressantes sur l’
action
des substances anesthésiques et autres sur les œu
esthésie de la fonction chlorophyllienne des plantes. — J’ai étudié l’
action
des anesthésiques sur des plantes aquatiques des
nt très rapidement les infusoires ; je n’ai pu réussir à en graduer l’
action
. Il n’en est pas de même des anguillules du blé n
c identiques, ou, si elles sont différentes, comment comprendre cette
action
commune exercée par les mêmes agents ? Ce sont là
des faits secondaires suivants : 1° Impression d’un agent extérieur (
action
mécanique sur un nerf périphérique) ; 2° Transmis
, ou l’irritabilité. Ces suppressions sont des degrés différents de l’
action
du même agent, et par conséquent les phénomènes e
ité de la sensibilité et de l’irritabilité60, à cause de l’identité d’
action
des anesthésiques sur ces manifestations vitales.
siques sur lesquelles nous ne pouvons pas par conséquent porter notre
action
. Nous n’atteignons réellement pas l’irritabilité,
loroforme produisent par leur contact avec le protoplasma nerveux une
action
physique encore peu connue, mais réelle. C’est ai
éditaire ou antérieure dont nous ne saurions effacer l’influence, une
action
primitive qui est liée à un ensemble cosmique gén
t-être pas à terme, son œil lui sera inutile ; il ne recevra jamais l’
action
de la lumière. Il en est de même dans le cas d’un
ge de celle que nous portons en nous, de la volonté qui préside à nos
actions
. « Ayant ainsi en lui le type de la cause finale,
e propre dans le lieu où ils sont placés, chacun suivant sa nature. L’
action
des poisons, qui porte primitivement sur tel ou t
n pouvait réaliser à chaque instant un milieu identique à celui que l’
action
des parties voisines crée continuellement à un or
total. Toute modification de l’organisme se résume toujours dans une
action
portée sur une cellule. C’est une loi qui a été f
nes physiologiques, pathologiques ou toxiques ne sont au fond que des
actions
cellulaires générales ou spéciales. Les anesthési
à des efforts multiples, d’un résultat où tendraient les éléments en
action
, on sort de la réalité objective, et l’esprit int
us devons placer le problème physiologique réel, qui se traduit par l’
action
du physiologiste sur les phénomènes de la vie. C’
toutes les sciences expérimentales. La science a pour but définitif l’
action
. headartes l’a déjà dit : « Connaissant la force
itif l’action. headartes l’a déjà dit : « Connaissant la force et les
actions
du feu, de l’eau, de l’air, des astres, des cieux
aîtriser les phénomènes qui éclatent autour de lui. La prévision et l’
action
, voilà ce qui caractérise l’homme devant la natur
des lois ; les sciences d’observation ne peuvent pas aller au-delà. L’
action
, qui appartient aux sciences expérimentales, est
ar un simple jeu d’isomérie. On lui a plus tard donné naissance par l’
action
réciproque du gaz chloroxycarbonique et de l’ammo
de) complètement sec. Dessaignes a refait de l’acide hippurique par l’
action
du chlorure de benzoïle sur le glycocolle zinciqu
LVIII, séance du 4 avril 1859). 58. Le mot anesthésie désigne ici l’
action
des substances anesthésiques, éther ou chloroform
avantageux, il y a tant d’esprit, de gaieté, de bons mots joints à l’
action
, de belle et vaillante humeur française, il est s
et qui en plusieurs années de service ne s’est pas trouvé à une seule
action
. » Pour lui, qui brûlait de parvenir, il briguait
alerie n’a rien à faire. » C’est encore à ce siège, et pour une autre
action
de Villars, que le roi dit de lui : « Il semble,
ef, où il ne cessa de combattre, bien que blessé au commencement de l’
action
, d’être nommé colonel de cavalerie ; il avait vin
e vieux Montluc, grand amateur et narrateur aussi d’escarmouches et d’
actions
particulières. Le maréchal de Schomberg, chargé d
néral doit être content, et, pour satisfaire un jeune colonel avide d’
actions
, il faut lui donner un parti de cinq cents chevau
meuré dans cette brigade lui valut d’avoir la meilleure part à quatre
actions
considérables qui se passèrent dans le reste de c
jesté y répondit deux fois avec bonté, et même avec des éloges de ses
actions
; mais, à la troisième, ce fut avec quelque aigre
périr. On ne peut nier qu’il n’ait, en effet, conquis par ses seules
actions
et ses services continuels l’avancement dont il f
, pour le cas où il faudrait à tout prix agir et remonter par quelque
action
hardie le moral des Français. Le mérite de Villar
. — § II. La Rochefoucauld, spéculatif jeté par les événements dans l’
action
. — Ses Mémoires. — § III. Des Maximes, et de ce q
§ II. La Rochefoucauld, spéculatif jeté par les événements dans l'
action
. Ce que j’ai dit ailleurs des convenances éter
a naissance, ses amitiés, les passions de sa jeunesse ont jeté dans l’
action
; qui paye fort décemment de sa personne, et qui
ui joue sa vie pour l’honneur de son nom, peut-être par dégoût pour l’
action
. Je vois le moraliste dans tout ce qu’il fait, et
ez mal ce qu’il veut dire. » Voilà qui ne convient guère à un homme d’
action
. Un peu plus loin, le futur moraliste s’annonce :
tout ce qu’on lit une réflexion, cela n’est pas non plus d’un homme d’
action
; ni ceci : « Je suis passionné dans la discussio
erminer les motifs. « Son jugement, dit-il, n’était pas exquis dans l’
action
. Il ne voyait pas tout ensemble ce qui était à sa
fortes que sa raison, avaient jeté dans une carrière d’intrigue et d’
action
. Cette contradiction laborieuse entre son caractè
as voulu confesser qu’il n’était pas né avec la décision des hommes d’
action
, mais le secret lui en échappe dans ce qu’il a ga
du cardinal de Retz, est une preuve de plus de son peu d’aptitude à l’
action
. Non que ces Mémoires ne soient remarquables. S’i
donc nécessairement autre que la raison : elles se suggèrent par une
action
originairement indépendante de la réaction intell
gine, par la conscience de leur similitude. Si cette conscience a une
action
pour lier ou renforcer le lien, c’est une action
tte conscience a une action pour lier ou renforcer le lien, c’est une
action
ultérieure, qui suppose un lien primitivement éta
ndée sur l’organisation stable du cerveau, qui elle-même résulte de l’
action
constante de la nature sur l’homme. Les rencontre
épris, fait les mêmes mouvements et prend les mêmes formes que sous l’
action
d’une saveur amère ou dégoûtante. Quant à la loi
a jouissance. Nous trouvons donc, en définitive, dans l’identité de l’
action
et dans le contraste primitif de l’action avec la
itive, dans l’identité de l’action et dans le contraste primitif de l’
action
avec la résistance extérieure la source première
la veille. La loi de contiguïté cérébrale est alors presque seule en
action
. Tant que cette loi prédomine, les choses s’assoc
de liaison d’images. L’intelligence n’est pas à part, reliant par une
action
exclusivement spirituelle des idées qui ne trouve
sont tenus trop exclusivement au côté physique et n’ont pas étudié l’
action
spontanée de l’appétit, puis l’action réfléchie d
physique et n’ont pas étudié l’action spontanée de l’appétit, puis l’
action
réfléchie de la conscience sur la conservation de
quelques aperçus nouveaux sur les motifs qui peuvent conduire à cette
action
, et sur ceux qui doivent en détourner. Je discute
de sous trois rapports différents : j’examinerai d’abord Quelle est l’
action
de la souffrance sur l’âme humaine ; secondement,
morale de l’homme sur cette terre. Première section. Quelle est l’
action
de la souffrance sur l’âme humaine ? On ne sau
ouleur physique et la douleur morale sont une et même chose dans leur
action
sur l’âme ; car la maladie est une peine aussi bi
erminent à se donner la mort, changent tout à fait la nature de cette
action
; car lorsqu’on abdique la vie pour faire du bien
r fait trop de mal. L’opinion exerce sur la plupart des individus une
action
poignante dont il est très difficile de diminuer
qu’on se fait de la Justice divine, car si nous ne comparions pas nos
actions
à ce type suprême de l’équité, nous n’aurions dan
il ne se croit pas le droit de se soustraire : car quoique parmi les
actions
humaines il y en ait un grand nombre de plus perv
ous dévorent comme le vautour de Prométhée, quand elles n’ont point d’
action
au dehors de nous, et le travail exerce et dirige
ttre la croyance en Dieu, sans supposer qu’il dirige le Sort dans son
action
sur l’homme ; nous ne pouvons donc considérer ce
de cet acte. J.-C. dans ses discours remonte plutôt aux principes des
actions
qu’à l’application détaillée de la loi : mais ne
nce, il doit renaître par elle et tout est subordonné à ce principe d’
action
auquel se rapporte en entier l’exercice de la lib
ainsi par le simple effet de la mobilité de notre nature : combien l’
action
sainte et secrète de la piété sur l’âme n’a-t-ell
ance ? Comment répondre de son sort éternel, lorsque les plus simples
actions
de cette courte vie ont souvent été pour nous l’o
ale de l’homme ; et cet examen nous conduira nécessairement à juger l’
action
d’immoler sa vie sous deux points de vue absolume
le tissu de la vie d’un être moral se compose presque en entier de l’
action
et de la réaction continuelle de la force intérie
peuvent produire de grands effets sur cette terre, mais dès que leur
action
a pour but l’ambition personnelle de celui qui le
endre ; et dans l’estimation des qualités morales, c’est le motif des
actions
qui seul en détermine la valeur. Hégésippe de Cyr
ur sortir ainsi de la vie ! Quoi ! cette femme se confie assez dans l’
action
qu’elle commet pour écrire en mourant : qu’elle
les intérêts vulgaires. Les belles âmes par leurs écrits ou par leurs
actions
dispersent quelquefois les cendres qui couvraient
est à ce seul titre que les hommes doivent admirer les paroles ou les
actions
d’un homme. Il y a des exemples de Suicide chez l
ucune autre nation n’eût été capable. Leur esprit est plus enclin à l’
action
qu’à la réflexion, et cette manière d’être les di
détourner. L’âme se concentre ainsi dans ses propres mystères, toute
action
extérieure serait plus terrestre que la résignati
n’est pas sans analogie avec l’admiration qu’inspire le spectacle des
actions
honnêtes. Les bizarreries, inventées ou naturelle
dans la morale la plus délicate. Les hommes peuvent abandonner leurs
actions
au vice, mais jamais leur jugement. Il n’est donn
oral et physique, un tressaillement d’admiration qui nous dispose aux
actions
généreuses. Les législateurs grecs attachaient un
isit entre ces expressions, comme son âme devrait se décider dans les
actions
de la vie ; et cette première habitude peut condu
utilité morale du talent littéraire, que cet opprobre imprimé sur les
actions
par l’art de les peindre10. Il me reste à parler
dents se succédant par hasard les uns aux autres. L’éclat de quelques
actions
pourrait frapper ; mais il faut une progression d
es poètes, les moralistes caractérisent d’avance la nature des belles
actions
; l’étude des lettres met une nation en état de r
’imagination, c’est la philosophie même qui relèvent l’importance des
actions
guerrières. Si vous laissez tout s’effacer, tout
que tous les citoyens qui l’habitent ont une part plus immédiate à l’
action
du gouvernement. Mais ce qui est également vrai,
a, dans le secret de sa pensée, un asile de liberté impénétrable à l’
action
de la force ; les conquérants ont souvent pris le
Mais l’art d’écrire serait aussi une arme, la parole serait aussi une
action
, si l’énergie de l’âme s’y peignait tout entière,
rtitude, la vertu doit être sa divination. Les suites quelconques des
actions
des hommes ne sauraient ni les rendre innocentes,
la conscience, tantôt s’efforcent de supposer d’indignes motifs à des
actions
généreuses : ils ne peuvent supporter que la mora
se, a quelque chose de moins frappant que celui qui se soutient par l’
action
, ou la représentation, tels que le Pastor Fido, l
y joignant la richesse sagement distribuée, dont est susceptible une
action
compliquée, qui différencie la Pastorale d’avec l
sujet même des situations touchantes sans faire intervenir une double
action
. Enfin on remarque dans presque toute cette Pasto
ges contens. L’unité de lieu n’y est pas exactement observée ; mais l’
action
est une, & sa durée ne s’étend que depuis le
mplicité des Grecs. L’intrigue est naturelle, la scène animée par les
actions
qui s’y passent, les mœurs sentent l’antique ; le
u sans supprimer des incidens qui lui ont paru agréables, consommer l’
action
en un jour, il en a pris deux. Pour l’unité de li
ur au Paradis perdu. La fable de ce Poëme n’est pas plus épique que l’
action
, elle n’a ni fiction, ni nœud, ni incident, ni va
Glover. Cet auteur est connu par un Poëme intitulé Leonidas. L’
action
de ce Roi de Sparte, qui à la tête de trois cents
amour que l’on doit à sa patrie. A l’aide de quelques fictions, cette
action
héroïque a fourni le sujet de l’ouvrage de M. Glo
rueux pour la forme, sans unité dans le dessein, sans moralité dans l’
action
, sans bienséance dans les détails. Son langage es
ns. Cette piéce est intéressante par le sujet, par la simplicité de l’
action
& du plan, par la régularité de la marche &am
détachées, qui n’ont d’autre liaison que celle qu’ont entr’elles les
actions
particuliéres exposées par la suite de cette hist
t depuis sa naissance jusqu’à ce qu’il eut vengé ses parens ; ainsi l’
action
de la piéce dure environ vingt ans. M. de V. en a
ne le touchent qu’en ce qu’elles lui semblent les exemplaires de ses
actions
présentes, et des actions futures qui les suivron
u’elles lui semblent les exemplaires de ses actions présentes, et des
actions
futures qui les suivront : il cherche dans leurs
es couleurs, ses émotions, par le choix des attitudes, les lieux et l’
action
des hommes, par les groupes et la perspective. L’
ie des sons, les prestiges de la pantomime, c’est-à-dire le langage d’
action
, peuvent-ils imiter autre chose que nos formes, n
lquefois au-dessus d’eux, c’est qu’elle représente, non seulement les
actions
extérieures, les passions visibles, mais ce qui e
velis au-dedans de lui. Le moindre exemple vous en convaincra : toute
action
déterminée peut se peindre ; mais qui peindra com
on et du respect. On éprouva ces mêmes sentiments à la vue des belles
actions
des hommes. Les héros parurent des images des die
le génie. On s’imagina que les grands hommes n’avaient exécuté leurs
actions
prodigieuses que par l’assistance des êtres immor
épique, apparaît clairement dans la poétique imitation produite par l’
action
feinte. Des vers chantés alternativement par deux
llut orner la fable et la parole par l’excellence des figures et de l’
action
, pour atteindre au dernier terme du beau, qu’un a
dans le merveilleux du sujet raconté, qu’elle borne à une principale
action
, entremêlée de ses épisodes. Les spectacles que d
chant de nos esprits qu’on doit leur reprocher d’autant moins que les
actions
et les prétentions des hommes méritent plus fréqu
n un livre polémique. Le compositeur d’éloges au lieu de soutenir les
actions
et la vie d’un héros, d’un saint ou d’un sage, pa
elle représente les choses à l’esprit, soit par le récit, soit par l’
action
. De ce dernier mode résultent les poèmes dramatiq
s hommes, des modèles plus qu’humains par leur sublimité, et dont les
actions
feintes deviennent les exemples vivants de la vér
sans lui, pourvu qu’il soit néanmoins antérieur au commencement de l’
action
, comme dans l’Œdipe-Roi. Il veut que les mœurs so
; la simple, l’implexe, la pathétique, et la morale. La simple, où l’
action
est continuée sans obstacles au but annoncé pour
ux en malheureux, et réciproquement. La pathétique, qui comprend les
actions
douloureuses et meurtrières. La morale, dont la
sses de l’univers que possède son imagination : l’auteur qui crée une
action
est contraint de la renfermer dans les bornes pre
hors de soi par l’enthousiasme qu’inspire un mot, un discours, ou une
action
, on s’écrie : Voilà le sublime ! Eh ! qu’est-ce q
t qui se prend ici dans le sens de la rhétorique ; enfin le sublime d’
action
, qui tient de la hauteur de l’âme ou de l’étendue
l’eût jugé le prototype du beau. La dernière espèce est le sublime d’
action
: celui-ci est particulier, surtout aux grands ho
té. Le sublime n’éclate pas toujours par les paroles, ni même par les
actions
; mais quelquefois, par le refus d’agir ou de par
sitôt à l’examen de l’art dramatique, c’est-à-dire l’art d’imiter les
actions
des hommes, par l’action feinte. Généralités su
dramatique, c’est-à-dire l’art d’imiter les actions des hommes, par l’
action
feinte. Généralités sur l’art dramatique. En
ention des dialogues encore grossiers des anciens mimes, et celle des
actions
étendues et merveilleuses de nos théâtres. Le has
acrée fait parler les demi-dieux, ou les disciples des prophètes. Son
action
se soutient par des ressorts célestes ; ses disco
motifs présumables, les circonstances ignorées qui purent causer les
actions
connues qu’elle représente. Sa grandeur consiste
en qu’affiché sous ce titre : car, il ne suffit pas de construire une
action
larmoyante et homicide pour avoir atteint le vrai
n de tragi-comédie, les belles pièces du Cid et de Nicomède, dont les
actions
ont une fin heureuse. On pourrait mettre dans cet
ud de la pièce ne s’y accumulent qu’au détriment des caractères : une
action
simple, demandant moins d’explications, laisse pl
dessinent par leurs grands traits de ridicule : une fois marqués, les
actions
qui les manifestent, n’étant que les conséquences
les personnages incidents ne sont amenés que pour le déploiement et l’
action
du seul rôle de Dom Juan ; mais la gaîté sinistre
es sentiments, et des manies ; la division des actes ; l’étendue de l’
action
, mais non sa conduite, sont conformes en ce genre
liers exigent. Si quelques scènes égayées suspendent agréablement son
action
pathétique, l’intérêt pressant qui domine laisse
rsonnages, et sans obstacles au projet formé dès le commencement de l’
action
. Exemples de la tragédie simple. En ce rang,
rs ne peuvent ébranler la constance du dieu protecteur des mortels. L’
action
se consomme ainsi qu’elle fut d’avance annoncée,
e implexe. La tragédie qu’Aristote nomme implexe, est celle dont l’
action
unique comporte un soudain changement de sort, un
ous saisissent d’attendrissement et nous arrachent des pleurs sur une
action
destructive. Ne cherchons plus dans Eschyle cette
endu par des chœurs, ou s’entrecoupant avec leur coryphée, dirige une
action
que rien ne gradue en sa marche ; ils s’y montren
pièces, va promptement au but sans y courir trop précipitamment : son
action
est bien une, et ses personnages bien différents
blimité monte parfois le genre dramatique. Aux premières règles d’une
action
unique, présentée en dialogue, entre des acteurs
re le goût français, trop timide, mais réglé, refroidit chez nous les
actions
tragiques ; et les parallèles que nous en offriro
riginelles entre la tragédie antique et la nôtre. Chez les anciens, l’
action
est nue, et dégagée de tout ornement inutile ; la
pareil dans le spectacle, même présence des chœurs, même simplicité d’
action
dans la fable. Le récitatif qui relève le dialogu
n’emploie que celui qui étonne la pensée : elle ne seconde point son
action
par la présence des chœurs, mais elle la continue
tion en est aisée : tous ceux dont la fable merveilleuse comprend les
actions
, les mœurs, et la présence des immortels, sont ho
acte entrecoupé par les chœurs, qui restaient en place durant toute l’
action
: elle se composait du prologue, devenu chez nous
aires et les monarques, il mit la politique, non en discours, mais en
action
; une ferme logique dirigea les arguments de ses
nt d’exemples depuis les Grecs jusqu’à nous. Or elle se compose d’une
action
divisée en cinq ou trois actes, présentée en dial
le ou le fait : deux espèces ; simple, et composé ; 2º La mesure de l’
action
; 3º La triple unité, qui ne se trouve exactement
l’action ; 3º La triple unité, qui ne se trouve exactement que dans l’
action
simple ; 4º Le vraisemblable : deux espèces ; nat
s l’exposition et dans les choses locales, simple et passionné dans l’
action
; 23º Le dialogue : deux espèces ; soutenu, et co
itiques n’aigrirent point son cœur : sa vie qui ne brilla pas par des
actions
, mais par des ouvrages, porte néanmoins ce caract
s, ou conditions de la tragédie : le fait ou la fable, la mesure de l’
action
, les trois unités, le nécessaire, et le vraisembl
ces, n’y est qu’accessoire au sujet de sa tragédie. Lorsque, dans une
action
, les événements naissent les uns des autres, ils
mpte à punir ses ennemis. Nous déduirons de ces deux événements que l’
action
tragique doit avoir une origine, une suite, et un
gédie italienne qu’Alfieri sut régulariser à l’imitation des Grecs. L’
action
du Cid est la même chez Guillén de Castroae et ch
st la même chez Guillén de Castroae et chez Corneille. Le choix d’une
action
imposante et triste est pareil, comme on le voit,
que de lui tout ce qu’il présente sur la scène. Il est convenu que l’
action
se-doit passer entre de grands personnages dont l
dans le style, il n’est pas au-dessous de lui par la marche unie de l’
action
. On doit le louer surtout d’avoir conservé, malgr
la fable présente le double destin des bons et des méchants, ou deux
actions
artistement liées, et causées l’une par l’autre.
L’Andromaque de Racine est un excellent exemple de la réunion de deux
actions
réagissantes entre elles, et je la cite de préfér
maque d’Euripide, à son Hécube, et à ses Héraclides, dont les doubles
actions
se succèdent, et ne s’associent pas indispensable
’ombre d’Hector, et trahit Hermione en l’épousant : voici la première
action
. Oreste adore Hermione, constante en sa passion p
embrasse sa vengeance, et assassine le roi d’Épire : voilà la seconde
action
. On a reproché cette duplicité de nœuds à l’intri
assagers, s’entrecoupent, se nuisent, et ne forment pas une véritable
action
. Un semblable vice, dans le plan des Héraclides,
d pourra juger toute entière. Une chose importante dans le choix de l’
action
, est d’intéresser directement le sort des individ
ais pas, dit-il, à un auteur de prendre pour sujet d’une tragédie une
action
aussi moderne que celle-ci, si elle s’était passé
oin qu’il prit de considérer toutes les circonstances convenables à l’
action
qu’il choisissait pour la scène, et combien il fu
es vagues prestiges que lui prête notre ignorance de ses annales. Les
actions
qui s’y sont passées ne nous sont transmises qu’à
’on le peut, des temps et des lieux reculés. 2e Règle. Mesure de l’
action
tragique. La seconde condition de la tragédie
n tragique. La seconde condition de la tragédie est la mesure de l’
action
. Aristote nous dit qu’elle ne doit pas excéder la
. Je me borne ici à ce qui regarde nos propres règles. La mesure de l’
action
tragique ne comportait, chez les Athéniens, qu’un
et les Français en cinq et en trois. Il est facile de distinguer les
actions
qui conviennent à l’une ou à l’autre de ces deux
a division des cinq actes est rigoureusement nécessaire ; autrement l’
action
, trop resserrée, y serait à l’étroit, ce qui lui
, dans sa jeunesse, sur les justes proportions de l’Œdipe-Roi, dont l’
action
, quoique unique et simple, se compose de situatio
n. Nous avons dit que le fait tragique se formait quelquefois de deux
actions
habilement jointes ; mais rarement ont-elles, com
ribution des rôles d’Ériphile et d’Aricie qui coopèrent à la première
action
, ne l’interrompent jamais, et ne sont pourtant ou
dans le genre opposé, en donnant l’étendue de cinq actes à la courte
action
de ses Horaces. Cette nécessité d’observer la mes
ction de ses Horaces. Cette nécessité d’observer la mesure propre à l’
action
est tellement considérable que la beauté des dram
grecque, italienne et française, est l’exactitude des trois unités d’
action
, de jour, et de lieu ; règle qui ne fut pas suivi
ituée par le caprice, et que son excellence, quant à ce qui regarde l’
action
, tient à l’obligation de suivre les effets de la
qui emporte avec elle l’unité d’intrigue. Ce n’est pas que plusieurs
actions
particulières, mais imparfaites, n’y puissent con
s’y confondre pour l’accomplir au dénouement. Il faut de plus que ces
actions
secondaires naissent du fonds même de la fable et
cause des autres. » Dans cette maxime est tout le secret de l’unité d’
action
. L’Œdipe-Roi, de Sophocle, Philoctète, Cinna, Pol
tes leurs scènes, et sans doute il serait à désirer que la durée de l’
action
n’excédât pas celle de sa représentation même, po
nécessairement les deux autres ; en effet, le peu de temps donné à l’
action
ne permet aux personnages de parcourir que peu d’
Héraclides, outrepasse l’unité de temps, et comporte une duplicité d’
action
. Le sacrifice de Polyxène, le partage des captive
) Vous en direz donc autant, Monsieur, d’Héraclius et de Rodogune ? L’
action
de l’un de ces ouvrages se passe, tantôt chez Pho
ntôt chez Léontine, ou dans un salon commun à tous les personnages. L’
action
de l’autre tragédie devient inexacte, si Cléopâtr
de lorsque d’autres les viennent remplacer, la rupture des liens de l’
action
, sont autant de vices que je ne prétends pas défe
sfait bien à la règle des trois unités, en ne donnant strictement à l’
action
que la mesure de la représentation même ; moins b
vengeance moins atroce. Il en est ainsi de la tradition adoptée sur l’
action
de la sœur de Philomèle meurtrière de l’enfant de
alors surnaturelle. Telles sont les deux espèces du nécessaire dans l’
action
. Le nécessaire consiste encore à presser inexacte
ficile à croire. Nous supposons des dieux ; leur volonté gouverne les
actions
des hommes, et les prodiges de ceux-ci, sans être
culier, qu’il distingue en ces deux sortes, dont l’une s’applique aux
actions
et aux paroles d’un roi, d’un général d’armée, d’
ns révolter les âmes : autrement le public douterait de l’horreur des
actions
et de la ressemblance des portraits. Cette obliga
e, un incestueux mari de sa mère, un frère de ses propres enfants ! L’
action
ici paraît accomplie : mais la pitié se prolonge
aux que les trois premiers, où trop d’événements se pressent : mais l’
action
, dégagée de toutes ses incidences dans les actes
i provient du péril d’un héros intéressant ; celle qui accompagne une
action
dénaturée, rendue possible et vraisemblable par l
e. La terreur qu’imprime le spectacle doit être plus souvent, dans l’
action
, l’accessoire que le principal : souvent même ell
dogune, implacables et ambitieuses ennemies, contraste durant toute l’
action
par son amitié fidèle et désintéressée pour son f
ent la force humaine, sans qu’elle paraisse affectée ni guindée : les
actions
et les paroles qui s’en suivront conséquemment, a
, par la figure poétique de la phrase qui applique la gloire de cette
action
aux seuls mânes de Pompée. Ces vers seraient irré
me poussé au crime par une fatalité supérieure qui règne dans toute l’
action
. L’ombre d’Hector, toujours présente à sa veuve,
ffectuent pas ne sont que des déclamations dialoguées, et le manque d’
action
les glace. Le spectacle des revers subits de la d
s d’admiration est d’autant plus rare, qu’elle vient du spectacle des
actions
généreuses ou des magnanimes dévouements. Ce sont
’homme, et que tous, ayant reçu d’un Dieu la faculté de diriger leurs
actions
, ne semblent échapper à l’influence de l’aveugle
s théâtrales d’Iphigénie en Aulide, et d’Athalie, du principe de leur
action
, l’armée des Grecs ne sera plus qu’une bande d’av
hef suprême ne puisse lutter contre l’empire mystérieux qui règle les
actions
des divinités et des hommes ; qu’un amant guerrie
aisant d’abord abstraction de la volonté divine qui plane sur toute l’
action
, le personnage de Joad n’est plus qu’un fanatique
t puisé dans la nature humaine : en effet que doit-elle peindre ? les
actions
remarquables des hommes ; et l’homme, à le bien c
s et intéresse par ses remords. Le tableau, qu’il trace lui-même de l’
action
terrible et furieuse qu’il a commise, montre en m
arde Zaïre. Qu’on s’aperçoive enfin que le roi Lear n’intéresse à ses
actions
déréglées que parce qu’il n’est pas moins en déme
rible de Médée, dans lequel l’amour n’est qu’une cause antérieure à l’
action
. On sait que l’Achille d’Euripide n’est pas plus
Un caractère est l’habitude constante des pensées qui dirigent nos
actions
, ou l’inconstance perpétuelle de notre esprit ; v
grande capacité de tête et le meilleur entendement. Les paroles, les
actions
d’un personnage n’étant que les conséquences rigo
ce marquées par les traits ineffaçables qu’ils gardent durant toute l’
action
. Les attaques réitérées de la nature, de l’hymen,
successive des faits inspire une curiosité qui tient à la marche de l’
action
. Mais partout ailleurs ce sont les attitudes des
atiguée de les suivre. Nous avons d’autres tragédies où le tissu de l’
action
est simple et presque nul, mais où les grandes pa
Électres, l’Iphigénie en Tauride ; ce ne sont point les hasards de l’
action
qui vous intéressent dans ces ouvrages, mais les
Phèdre pour exemple ? Au premier aperçu nous reconnaissons le vide d’
action
de cette tragédie : ce n’est proprement qu’une pa
anisme des drames. Boileau nous dit : « Que dès les premiers vers l’
action
préparée « Sans peine du sujet aplanisse l’entrée
pèces d’expositions. J’en trouve trois : l’exposition simple d’une
action
; l’exposition composée de plusieurs actions qui
l’exposition simple d’une action ; l’exposition composée de plusieurs
actions
qui marchent de front ; et l’exposition des passi
de front ; et l’exposition des passions ou des caractères, et non des
actions
. On voit que ces différentes espèces seront confo
u’il ne vous reste plus rien à apprendre pour concevoir la suite de l’
action
. L’excellence de cette exposition atteste combien
sence : leur entretien nécessaire prépare le développement de toute l’
action
, fait démêler les intérêts de chacun, leurs moyen
dans la tragédie : on sent qu’il ne se peut former qu’au milieu de l’
action
, puisque le commencement expose, et que le dénoue
s il vaut mieux qu’elle soit achevée lorsqu’il s’ouvre, et que déjà l’
action
s’engage : car notez qu’une exposition en action
ouvre, et que déjà l’action s’engage : car notez qu’une exposition en
action
est de toutes la meilleure. Le troisième et le qu
la logique du cœur, se placent avantageusement dans les derniers où l’
action
plus rapide tend à sa catastrophe. 21e Règle.
n de la fable et dans les choses locales ; simple et passionné dans l’
action
. Ces deux principes, bien développés, sont les él
n effet quel agréable souvenir garderions-nous d’une fable, dès que l’
action
nous en serait connue, si nous n’emportions avec
lus étrange que cette phrase ainsi dérangée de son ordre poétique ? L’
action
du verbe chatouiller peut-elle être imprimée à la
llait de mon cœur l’orgueilleuse faiblesse. Le verbe qui exprime une
action
physique, se trouve près du cœur, objet physique
me une action physique, se trouve près du cœur, objet physique de son
action
; et la qualité morale de ce cœur qui est la faib
es affligés « Imitaient son silence, autour de lui rangés. La double
action
que Racine peint ensuite est lente et égale : il
’apporta, recule épouvanté. « Tout fuit ; Ces deux syllabes ont une
action
rapide : les dix qui restent donnent un vers de c
rait votre rhétorique fleurie, on ne verrait plus les fondements de l’
action
qui doit commencer. Soyez avares de métaphores et
ement accouplée. Les bonnes tragédies, durant le cours entier de leur
action
, n’offrent presque jamais les mêmes personnages p
ou l’accord de leur pantomime : il assiste aux coups de théâtre que l’
action
commandera : il mesure la durée qu’aura l’entreti
dont ils sont agités les meuvent à la fois et les rattachent tous à l’
action
. Un amant superbe, c’est Achille, brûle de scelle
oi des vingt-six conditions. Simplicité du fait. Juste mesure de l’
action
Suivons graduellement le fil merveilleux d’Ath
mis sur le trône ; ainsi que l’énonce l’auteur dans sa préface. Cette
action
a son étendue nécessaire. Le secret qui couvre le
e. L’unité de jour ; les premiers discours de Joad avertissent que l’
action
commence le matin, et qu’elle sera terminée avant
e m’apprête, « Et du temple déjà l’aube blanchit le faîte. L’unité d’
action
; un seul personnage est principalement eu péril,
artout présent ; Dieu lui-même, Dieu préside à la marche entière de l’
action
; c’est Dieu qu’Athalie vient attaquer dans son s
. Si l’usage introduit sur nos théâtres de mêler l’amour à toutes les
actions
dramatiques, fait appeler tragédies sans passions
nce, qu’elle ne paraît qu’au second et au cinquième actes, bien que l’
action
entière se remplisse de la terreur que le personn
ités de l’exposition. Eh ! comment, en effet, nier l’intérêt d’une
action
exposée avec tant d’art et de pompe ? Son exposit
t s’anime : le troisième resserre le nœud ; et le ralentissement de l’
action
permet au poète de déployer les richesses de son
ième acte, tout semble se suspendre ; le calme règne sur la scène : l’
action
s’interrompt-elle ? Non, elle marche insensibleme
re de précéder dans Athalie, les secousses d’un cinquième acte mis en
action
. Si le quatrième ne ménageait un repos, le mouvem
célération. Il fallait que le tissu se relâchât un moment. En effet l’
action
se détend, mais elle continue : la scène se rempl
ons seulement qu’il est de l’espèce des dénouements mixtes, puisque l’
action
est implexe, et se compose du double et différent
ns les peintures locales ; elle est nette et simplement animée dans l’
action
. Vérité, noblesse du dialogue. Le dialogue,
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