, Émile (1820-1889) [Bibliographie] La Ciguë, comédie en deux
actes
(1844). — Un Homme de bien, comédie en trois acte
ë, comédie en deux actes (1844). — Un Homme de bien, comédie en trois
actes
et en vers (1845). — L’Aventurière, trois actes (
ien, comédie en trois actes et en vers (1845). — L’Aventurière, trois
actes
(1848). — Gabrielle, cinq actes (1849). — L’Habit
n vers (1845). — L’Aventurière, trois actes (1848). — Gabrielle, cinq
actes
(1849). — L’Habit vert, un acte, avec Alfred de M
rois actes (1848). — Gabrielle, cinq actes (1849). — L’Habit vert, un
acte
, avec Alfred de Musset (1849). — Le Joueur de flû
vert, un acte, avec Alfred de Musset (1849). — Le Joueur de flûte, un
acte
(1850). — La Chasse au roman, comédie tirée d’un
édie tirée d’un roman de Jules Sandeau (1851). — Diane, drame en cinq
actes
(1859). — Philiberte, trois actes en vers (1853).
deau (1851). — Diane, drame en cinq actes (1859). — Philiberte, trois
actes
en vers (1853). — La Pierre de touche, cinq actes
— Philiberte, trois actes en vers (1853). — La Pierre de touche, cinq
actes
, avec Jules Sandeau (1854). — Le Gendre de M. Poi
, cinq actes, avec Jules Sandeau (1854). — Le Gendre de M. Poirier, 4
actes
, avec Jules Sandeau (1854). — Le Mariage d’Olympe
rier, 4 actes, avec Jules Sandeau (1854). — Le Mariage d’Olympe, cinq
actes
(1855). — Ceinture dorée, trois actes, avec Ed. F
4). — Le Mariage d’Olympe, cinq actes (1855). — Ceinture dorée, trois
actes
, avec Ed. Foussier (1855). — Les Pariétaires, poé
ussier (1855). — Les Pariétaires, poésies (1855). — La Jeunesse, cinq
actes
en vers (1858). — Les Lionnes pauvres, avec Ed. F
Les Lionnes pauvres, avec Ed. Foussier (1858). — Les Effrontés, cinq
actes
en prose (1861). — Le Fils de Giboyer, cinq actes
Les Effrontés, cinq actes en prose (1861). — Le Fils de Giboyer, cinq
actes
en prose (1862). — Maître Guérin, cinq actes en p
Le Fils de Giboyer, cinq actes en prose (1862). — Maître Guérin, cinq
actes
en prose (1864). — La Contagion (1866). — Paul Fo
ctes en prose (1864). — La Contagion (1866). — Paul Forestier, quatre
actes
en vers (1868). — Le Post-scriptum, un acte (1869
— Paul Forestier, quatre actes en vers (1868). — Le Post-scriptum, un
acte
(1869). — Lions et renards, cinq actes en prose (
(1868). — Le Post-scriptum, un acte (1869). — Lions et renards, cinq
actes
en prose (1869). — Jean de Thommeray, cinq actes,
ons et renards, cinq actes en prose (1869). — Jean de Thommeray, cinq
actes
, tiré d’une nouvelle de Jules Sandeau (1878). — M
iré d’une nouvelle de Jules Sandeau (1878). — Madame Caverlet, quatre
actes
(1876). — Le Prix Martin, trois actes, avec Labic
878). — Madame Caverlet, quatre actes (1876). — Le Prix Martin, trois
actes
, avec Labiche (1877). Les Fourchambault, trois ac
ix Martin, trois actes, avec Labiche (1877). Les Fourchambault, trois
actes
(1878). — Œuvres diverses renfermant les Pariétai
Enterrement, vaudeville (1826). — Henri III et sa cour, drame en cinq
actes
, en prose (1829). — Stockholm, Fontainebleau et R
en prose (1829). — Stockholm, Fontainebleau et Rome, trilogie en cinq
actes
, en vers, avec prologue et épilogue, intitulée d’
rance (1831). — Charles VII chez ses grands vassaux, tragédie en cinq
actes
et en vers (1831). — Richard Darlington, pièce en
en cinq actes et en vers (1831). — Richard Darlington, pièce en trois
actes
et en prose (1831). — Térésa, drame en cinq actes
ton, pièce en trois actes et en prose (1831). — Térésa, drame en cinq
actes
(1832). — La Tour de Nesle, pièce en cinq actes e
Térésa, drame en cinq actes (1832). — La Tour de Nesle, pièce en cinq
actes
et 9 tableaux (1832). — Angèle, drame en cinq act
le, pièce en cinq actes et 9 tableaux (1832). — Angèle, drame en cinq
actes
(1833). — Impressions de voyage en Suisse (1833).
essions de voyage en Suisse (1833). — Catherine Howard, drame en cinq
actes
(1834). — Souvenirs d’Antony, nouvelles (1835). —
les (1835). — Don Juan de Marana ou La Chute d’un ange, drame en cinq
actes
(1836). — Kean, drame en cinq actes et en prose (
La Chute d’un ange, drame en cinq actes (1836). — Kean, drame en cinq
actes
et en prose (1836). — Piquillo, opéra-comique en
en cinq actes et en prose (1836). — Piquillo, opéra-comique en trois
actes
, en collaboration avec Gérard de Nerval (1837). —
laboration avec Gérard de Nerval (1837). — Caligula, tragédie en cinq
actes
et en vers (1837). — Paul Jones, drame en cinq ac
tragédie en cinq actes et en vers (1837). — Paul Jones, drame en cinq
actes
(1838). — Mademoiselle de Belle-Isle, drame en ci
ame en cinq actes (1838). — Mademoiselle de Belle-Isle, drame en cinq
actes
et en prose (1839). — L’Alchimiste, drame en cinq
drame en cinq actes et en prose (1839). — L’Alchimiste, drame en cinq
actes
, en vers (1839). — Bathilde, pièce en trois actes
iste, drame en cinq actes, en vers (1839). — Bathilde, pièce en trois
actes
, en prose (1839). — Quinze jours au Sinaï (1839).
ais (1840). — Othon l’Archer (1840). — Un mariage sons Louis XV, cinq
actes
, en collaboration (1841). — Excursions sur les bo
— Le Speronare (voyage en Sicile) (1842). — Lorenzino, pièce en cinq
actes
et en prose (1842). — Aventures de Lydéric (1842)
ures de Lydéric (1842). — Les Demoiselles de Saint-Cyr, pièce en cinq
actes
et en prose (1843). — Louise Bernard, pièce en ci
èce en cinq actes et en prose (1843). — Louise Bernard, pièce en cinq
actes
et en prose (1843). — Georges (1843). — Ascanio (
te de Monte-Cristo (1844-1845). — Le Garde forestier, comédie en deux
actes
et en prose (1845). — Une fille du Régent (1845).
(1854). — Les Mohicans de Paris (1854-1858). — Romulus, comédie en un
acte
, en prose (1854). — L’Arabie heureuse (1855). — L
se (1854). — L’Arabie heureuse (1855). — L’Orestie, tragédie en trois
actes
et en vers (1856). — Le Verrou de la reine, trois
édie en trois actes et en vers (1856). — Le Verrou de la reine, trois
actes
(1856). — L’Invitation à la valse, comédie en un
a reine, trois actes (1856). — L’Invitation à la valse, comédie en un
acte
(1857). — Les Compagnons de Jéhu (1857). — Les Gr
rands hommes en robe de chambre (1857). — L’Honneur est satisfait, un
acte
(1858). — Salvator (1855-1859). — Les Louves de M
l (1869). — Le Caucase (1869). — La Dame de Montsoreau, drame en cinq
actes
(1860). — De Paris à Astrakan (1860). — La Route
Madame de Chambly (1863). — La Jeunesse de Louis XIV, comédie en cinq
actes
et en prose (1864). — Les Mohicans de Paris, dram
cinq actes et en prose (1864). — Les Mohicans de Paris, drame en cinq
actes
(1864). — La San-Felice (1864-1865). — Les Blancs
çaise sous la Restauration (1853).] Jules Janin La scène du IVe
acte
, entre Monaldeschi et Sentinelli (dans Christine)
VII à l’Odéon. Ce fut un four, comme on dirait aujourd’hui… Les cinq
actes
se déroulèrent au milieu d’un silence morne… Je n
outrance de la forme, la couleur « moyenâgeuse », le cerf du premier
acte
, le chapelain, le burnous de Jacoub sentent déjà
ice, Paul (1818-1905) [Bibliographie] Falstaff, drame en cinq
actes
, avec Vacquerie et Th. Gautier (1842). — Le Capit
ctes, avec Vacquerie et Th. Gautier (1842). — Le Capitaine Parole, un
acte
en vers, avec Vacquerie (1863). — Antigone, tragé
un acte en vers, avec Vacquerie (1863). — Antigone, tragédie en cinq
actes
, avec Vacquerie, d’après Sophocle (1844). — Hamle
, avec Vacquerie, d’après Sophocle (1844). — Hamlet, tragédie en cinq
actes
en vers, avec Dumas et Maquet, d’après Shakespear
aquet, d’après Shakespeare (1847). — Benvenuto Cellini, drame en cinq
actes
(1852). — Paris, drame en cinq actes (1855). — Fa
Benvenuto Cellini, drame en cinq actes (1852). — Paris, drame en cinq
actes
(1855). — Fanfan la Tulipe, drame en cinq actes (
Paris, drame en cinq actes (1855). — Fanfan la Tulipe, drame en cinq
actes
(1858). — Le Maître d’école, drame en cinq actes,
ulipe, drame en cinq actes (1858). — Le Maître d’école, drame en cinq
actes
, avec F. Lemaître (1858). — Le Roi de Bohême et s
ix châteaux (1809). — Les Beaux Messieurs de Bois-Doré, drame en cinq
actes
, avec George Sand (1862). — François les Bas bleu
tes, avec George Sand (1862). — François les Bas bleus, drame en sept
actes
(1863). — Le Drac, trois actes, avec George Sand
François les Bas bleus, drame en sept actes (1863). — Le Drac, trois
actes
, avec George Sand (1864). — Le Pavillon des amour
n des amours, avec V. Vernier (1866). — Les Deux Diane, drame en cinq
actes
(1865). — La Vie nouvelle, comédie en cinq actes
Diane, drame en cinq actes (1865). — La Vie nouvelle, comédie en cinq
actes
(1867). — Les Misérables, drame en cinq actes, av
uvelle, comédie en cinq actes (1867). — Les Misérables, drame en cinq
actes
, avec Victor et Charles Hugo (1870). — La Brésili
, avec Victor et Charles Hugo (1870). — La Brésilienne, drame en cinq
actes
, avec Mathey (1878). — Quatre-vingt-treize, drame
Le Songe d’une nuit d’été, féérie (1886). — Struensée, drame en cinq
actes
et en vers (1898). OPINIONS. Alfred Barbo
graphie] Les Parasites, satires en vers (1860). — Le Parasite, un
acte
, en vers (1860). — Le Mur mitoyen, deux actes, en
1860). — Le Parasite, un acte, en vers (1860). — Le Mur mitoyen, deux
actes
, en vers (1861). — Le Dernier Quartier, deux acte
Mur mitoyen, deux actes, en vers (1861). — Le Dernier Quartier, deux
actes
, en vers (1863). — Le Second Mouvement, trois act
er Quartier, deux actes, en vers (1863). — Le Second Mouvement, trois
actes
, en vers (1865). — Le Monde où l’on s’amuse, troi
ement, trois actes, en vers (1865). — Le Monde où l’on s’amuse, trois
actes
, en prose (1868). — Les Faux Ménages, quatre acte
’on s’amuse, trois actes, en prose (1868). — Les Faux Ménages, quatre
actes
, en vers (1869). — Prière pour la France, poème (
n vers (1869). — Prière pour la France, poème (1871). — Hélène, trois
actes
, en vers (1873). — L’Autre Motif, un acte, en pro
me (1871). — Hélène, trois actes, en vers (1873). — L’Autre Motif, un
acte
, en prose (1873). — Petite Pluie, un acte (1876).
(1873). — L’Autre Motif, un acte, en prose (1873). — Petite Pluie, un
acte
(1876). — L’Étincelle, un acte (1879). — L’Age In
e, en prose (1873). — Petite Pluie, un acte (1876). — L’Étincelle, un
acte
(1879). — L’Age Ingrat, trois actes (1879). — Le
un acte (1876). — L’Étincelle, un acte (1879). — L’Age Ingrat, trois
actes
(1879). — Le Chevalier Trumeau, un acte, en vers
1879). — L’Age Ingrat, trois actes (1879). — Le Chevalier Trumeau, un
acte
, en vers (1880). — Pendant le Bal, un acte, en ve
— Le Chevalier Trumeau, un acte, en vers (1880). — Pendant le Bal, un
acte
, en vers (1881). — Le Monde où l’on s’ennuie, tro
t le Bal, un acte, en vers (1881). — Le Monde où l’on s’ennuie, trois
actes
, en prose (1881). — Le Narcotique, un acte, en ve
e où l’on s’ennuie, trois actes, en prose (1881). — Le Narcotique, un
acte
, en vers (1883). — La Poupée, recueil de vers (18
eil de vers (1884). — Discours académiques (1886). — La Souris, trois
actes
(1887). — Amours et haines, poésies (1888). — Émi
et haines, poésies (1888). — Émile Augier (1889). — Cabotins ! quatre
actes
(1894). — Pièces et morceaux (1897). OPINIONS.
— Les Vieillards, poème (1834). — Louise de Lignerolle, drame en cinq
actes
(1838). — Édith de Falsen, roman (1840). — Guerre
es (1838). — Édith de Falsen, roman (1840). — Guerrero, drame en cinq
actes
, en vers (1845). — Adrienne Lecouvreur, drame en
e en cinq actes, en vers (1845). — Adrienne Lecouvreur, drame en cinq
actes
, avec Scribe (1849). — Les Contes de la Reine de
Reine de Navarre, avec Scribe (1850). — Par droit de conquête, trois
actes
(1855). — Médée, tragédie en cinq actes (1856). —
Par droit de conquête, trois actes (1855). — Médée, tragédie en cinq
actes
(1856). — Les Doigts de la fée, comédie en cinq a
ragédie en cinq actes (1856). — Les Doigts de la fée, comédie en cinq
actes
(1858). — Le Pamphlet, comédie en deux actes (185
la fée, comédie en cinq actes (1858). — Le Pamphlet, comédie en deux
actes
(1859). — Béatrix ou la Madone de l’art, drame en
en deux actes (1859). — Béatrix ou la Madone de l’art, drame en cinq
actes
(1861). — La Cigale chez les Fourmis, comédie en
e en cinq actes (1861). — La Cigale chez les Fourmis, comédie en deux
actes
, avec Labiche (1876). — La Fleur de Tlemcen, comé
deux actes, avec Labiche (1876). — La Fleur de Tlemcen, comédie en un
acte
(1877). — Anne de Kerviller, drame en un acte (18
Tlemcen, comédie en un acte (1877). — Anne de Kerviller, drame en un
acte
(1879). — La Matinée d’une étoile (1882). — Théât
te à l’heure indiquée la suggestion reçue dans l’état d’hypnotisme, l’
acte
qu’il accomplit est amené, selon lui, par la séri
tats sont en réalité des effets, et non des causes : il fallait que l’
acte
s’accomplît ; il fallait aussi que le sujet se l’
accomplît ; il fallait aussi que le sujet se l’expliquât ; et c’est l’
acte
futur qui a déterminé, par une espèce d’attractio
volonté est capable de vouloir pour vouloir, et de laisser ensuite l’
acte
accompli s’expliquer par des antécédents dont il
iationnisme, il est difficile d’affirmer l’absolue détermination de l’
acte
par ses motifs, et celle de nos états de conscien
ité quelconque ; dans la position où je me tiens est comme préformé l’
acte
à accomplir ; aussi n’ai-je qu’à conserver cette
ssociationnisme est d’avoir éliminé d’abord l’élément qualitatif de l’
acte
à accomplir, pour n’en conserver que ce qu’il a d
rver que ce qu’il a de géométrique et d’impersonnel : à l’idée de cet
acte
, ainsi décolorée, il a fallu associer alors quelq
n extérieure de cet état interne sera précisément ce qu’on appelle un
acte
libre, puisque le moi seul en aura été l’auteur,
C’est de l’âme entière, en effet, que la décision libre émane ; et l’
acte
sera d’autant plus libre que la série dynamique à
davantage à s’identifier avec le moi fondamental. Ainsi entendus, les
actes
libres sont rares, même de la part de ceux qui on
mpression et cette idée ont fini par se lier l’une à l’autre. Aussi l’
acte
suit-il l’impression sans que ma personnalité s’y
conscients et même intelligents, ressemblent par bien des côtés à des
actes
réflexes. C’est à ces actions très nombreuses, ma
vibrer. Quand nos amis les plus sûrs s’accordent à nous conseiller un
acte
important, les sentiments qu’ils expriment avec t
tard que nous reconnaîtrons notre erreur. Mais aussi, au moment où l’
acte
va s’accomplir, il n’est pas rare qu’une révolte
ui se pénètrent, se renforcent les uns les autres, et aboutiront à un
acte
libre par une évolution naturelle. Mais le déterm
e dynamisme interne comme un fait. Bref, nous sommes libres quand nos
actes
émanent de notre personnalité entière, quand ils
le sommes approprié. En un mot, si l’on convient d’appeler libre tout
acte
qui émane du moi, et du moi seulement, l’acte qui
nt d’appeler libre tout acte qui émane du moi, et du moi seulement, l’
acte
qui porte la marque de notre personne est véritab
e liberté, que dans un certain caractère de la décision prise, dans l’
acte
libre en un mot. Mais le déterministe, sentant bi
ure, et affirme la détermination nécessaire, à ce moment précis, de l’
acte
futur ; tantôt, supposant par avance l’action acc
vre sur ce nouveau terrain, et à introduire dans leur définition de l’
acte
libre — non sans quelque danger peut-être — la pr
rd le témoignage de la conscience, laquelle nous fait saisir, outre l’
acte
même, la puissance d’opter pour le parti contrair
des premiers implique, en effet, qu’à des antécédents donnés un seul
acte
possible correspond ; les partisans du libre arbi
upposent, an contraire, que la même série pouvait aboutir à plusieurs
actes
différents, également possibles. C’est sur cette
pas pour s’en servir. C’est dans ce sens qu’on dira, en parlant d’un
acte
libre, que l’action contraire était également pos
volontairement, presque inconsciemment, dès que l’on distingue dans l’
acte
libre plusieurs phases successives, représentatio
vité du moi, il n’y a pas de raison pour détacher cette activité de l’
acte
auquel elle aboutira, et qui fait corps avec elle
us supposerez alors arrivé au terme, et assistant par imagination à l’
acte
final. Bref, cette figure ne me montre pas l’acti
assisté à la délibération du moi dans toutes ses phases, et jusqu’à l’
acte
accompli. Alors, récapitulant les termes de la sé
ret, sur le progrès dynamique, par lequel la délibération aboutit à l’
acte
? Et pourtant, une fois la figure construite, on
que l’argumentation des déterministes revêt cette forme puérile : « L’
acte
, une fois accompli, est accompli » ; et que leurs
s accompli, est accompli » ; et que leurs adversaires répondent : « L’
acte
, avant d’être accompli, ne l’était pas encore. »
ine nuance ou qualité de l’action même, et non dans un rapport de cet
acte
avec ce qu’il n’est pas ou avec ce qu’il aurait p
de côté, dira-t-il, les actions accomplies, considérons seulement des
actes
à venir. La question est de savoir si, connaissan
dire, les états profonds de notre âme, ceux qui se traduisent par des
actes
libres, expriment et résument l’ensemble de notre
à ce qui suit, enfin que je détermine la part qui lui revient dans l’
acte
final. Et je le déclarerai plus ou moins intense,
éclarerai plus ou moins intense, plus ou moins important, selon que l’
acte
final s’expliquera par lui ou sans lui. Au contra
avance l’histoire ultérieure de la personne dont on s’occupe, et les
actes
auxquels cette multiplicité d’états ou d’inclinat
mancier qui sait où il conduit ses personnages, Paul connaisse déjà l’
acte
final de Pierre, et puisse joindre ainsi, à l’ima
savoir si, les antécédents seuls étant donnés, Paul pourra prévoir l’
acte
final. Nous voici donc obligés de modifier profon
t point, vous ne pourriez les juger insignifiants que par rapport à l’
acte
final, lequel, par hypothèse, n’est pas donné. Vo
it l’importance du sentiment, pris dans son ensemble, par rapport à l’
acte
final, lequel demeure précisément dans l’ombre. M
mais simplement d’agir. Ici encore tout essai de reconstitution d’un
acte
émanant de la volonté même vous conduit à la cons
fait accompli. C’est donc une question vide de sens que celle-ci : l’
acte
pouvait-il ou ne pouvait-il pas être prévu, étant
ser par la même série d’états, et à revenir ainsi au moment même où l’
acte
s’accomplit ; il ne pourra donc plus être questio
plus être question de le prévoir. Dans le second cas, on présuppose l’
acte
final par cela seul qu’on fait figurer, à côté de
rtance. Ici encore les uns sont conduits à constater simplement que l’
acte
n’est pas encore accompli au moment où il va s’ac
mpli joint à la somme de ses antécédents. Certes, une fois consommé l’
acte
final, je puis assigner à tous les antécédents le
antécédents étant connus ainsi que leur valeur, on pouvait prédire l’
acte
final, c’est commettre un cercle vicieux ; c’est
tour, en impliquent une troisième, et que la question de savoir si l’
acte
pouvait ou ne pouvait pas être prévu revient touj
prévision de ce genre n’a pas la moindre ressemblance avec celle d’un
acte
volontaire. Même, comme nous allons voir, les rai
ble à la position d’une planète dans l’espace, la connaissance de cet
acte
ne me servira guère à apprécier l’influence du se
ncera à alléguer la possibilité de prévoir dès aujourd’hui un certain
acte
ou état de conscience à venir, mais affirmera que
n certain acte ou état de conscience à venir, mais affirmera que tout
acte
est déterminé par ses antécédents psychiques, ou,
es mêmes causes produisent les mêmes effets. Il faudra donc, ou que l’
acte
soit indissolublement lié à ses antécédents psych
e à en découvrir un quatrième et pourtant ne cessera de répéter que l’
acte
est indissolublement lié à ses antécédents. Nous
pelle sentiment de l’effort. Et de l’idée à l’effort, de l’effort à l’
acte
, le progrès a été si continu que nous ne saurions
nu que nous ne saurions dire où l’idée et l’effort se terminent, où l’
acte
commence. On conçoit donc qu’en un certain sens o
d’effort indéterminé, celle d’un effort qui n’a pas encore abouti à l’
acte
et où cet acte n’existe encore qu’à l’état d’idée
rminé, celle d’un effort qui n’a pas encore abouti à l’acte et où cet
acte
n’existe encore qu’à l’état d’idée. En d’autres t
ence n’affirme pas, ne comprend même pas la détermination absolue des
actes
à venir : voilà donc tout ce que l’expérience nou
à nos yeux la même forme que le rapport dynamique de notre force à l’
acte
qui en émane ; mais en revanche ce dernier rappor
et n’a aucune ressemblance avec le rapport de la force psychique à l’
acte
qui en émane. Le moment est venu d’ajouter : le r
ption de la liberté. On appelle liberté le rapport du moi concret à l’
acte
qu’il accomplit. Ce rapport est indéfinissable, p
e la liberté donnera raison au déterminisme. Définira-t-on en effet l’
acte
libre en disant de cet acte, une fois accompli, q
au déterminisme. Définira-t-on en effet l’acte libre en disant de cet
acte
, une fois accompli, qu’il eût pu ne pas l’être ?
’on vient d’énoncer, au plus inflexible déterminisme. Définira-t-on l’
acte
libre, « celui qu’on ne saurait prévoir, même qua
données, c’est, dans la durée concrète, se placer au moment même où l’
acte
s’accomplit. Ou bien alors on admet que la matièr
berté, on aboutira donc encore au déterminisme. Définira-t-on enfin l’
acte
libre en disant qu’il n’est pas nécessairement dé
s les mêmes effets. On admet donc que les antécédents psychiques d’un
acte
libre sont susceptibles de se reproduire à nouvea
git du temps écoulé ; non, si vous parlez du temps qui s’écoule. Or l’
acte
libre se produit dans le temps qui s’écoule, et n
pulsions. Appétits, instincts, volitions. III. Diverses théories de l’
acte
volontaire. IV. Les moments de la volition. V. La
e postérieur et plus complet : de même, dans la psychologie, tous les
actes
réfléchis ou instinctifs, avec leur variété actue
suivie de mouvement, sans intercalation d’un plaisir distinct ni d’un
acte
de volonté distinct : la représentation semble el
n renaissante inséparable d’impulsions renaissantes. A la longue, les
actes
destinés à satisfaire l’appétit sont devenus plus
sant à des idées. Ces idées sont alors les raisons conscientes de nos
actes
, leurs motifs. Les liaisons rationnelles par exce
alité même, c’est la volonté réfléchie. III Diverses théories de l’
acte
volontaire On peut diviser en deux grandes cla
peut diviser en deux grandes classes les théories sur la nature de l’
acte
volontaire. Les unes l’expliquent par l’action de
ées et jugements. Examinons successivement ces diverses théories de l’
acte
volontaire. Pour qu’un acte soit voulu, d’une vol
successivement ces diverses théories de l’acte volontaire. Pour qu’un
acte
soit voulu, d’une volition véritable, suffit-il,
éritable, suffit-il, comme Spencer et Münsterberg le croient, que cet
acte
soit simplement précédé de l’image du mouvement à
iser malgré nous. On se rapproche davantage du véritable domaine de l’
acte
volontaire quand on le fait consister, non plus d
de la similitude et non le fait même de la similitude qui provoque l’
acte
. C’est là, comme nous l’avons fait voir plus haut
e principe à l’hypnotisme. La somnambule, a-t-on remarqué, exécute un
acte
uniquement parce qu’elle en a l’image dans l’espr
niquement parce qu’elle en a l’image dans l’esprit c’est pourquoi son
acte
est machinal et automatique ; nous, nous exécuton
i son acte est machinal et automatique ; nous, nous exécutons le même
acte
parce que, outre l’image, nous jugeons l’acte uti
nous exécutons le même acte parce que, outre l’image, nous jugeons l’
acte
utile ou nécessaire. Le sujet hypnotisé « copie a
et moi je copie volontairement un dessin : c’est que le sujet fait l’
acte
uniquement parce qu’il pense à l’image de cet act
ue le sujet fait l’acte uniquement parce qu’il pense à l’image de cet
acte
et sans juger qu’il fait un acte semblable au mie
t parce qu’il pense à l’image de cet acte et sans juger qu’il fait un
acte
semblable au mien ; moi, je copie en pensant à la
relativement à la fin et à ses moyens. Donc, en somme, il y a dans l’
acte
volontaire un jugement de causalité, mais différe
de notre indépendance subjective qui devient le motif directeur de l’
acte
: la conscience du moi se voit donc produire elle
as moins raisonnée et délibérée. Lorsque nous ne concevons pas même l’
acte
contraire comme possible en soi et pour un autre
de la décision finale. La décision, troisième et dernier moment de l’
acte
volontaire, est un jugement accompagné d’émotion
uvaise ; tout jugement, pratique est la représentation anticipée d’un
acte
et de son rapport avec notre sensibilité, avec no
ec notre intelligence, avec notre volonté. Or, la représentation d’un
acte
, par exemple d’un serment à prêter, est toujours
me de cette parole intérieure qui est une esquisse de mouvements et d’
actes
. De ce que tout jugement enveloppe ainsi du voulo
oir avec conscience et en se disant à soi-même : « Je veux tel ou tel
acte
», c’est avoir une idée qui, par association, peu
ent un secours. Enfin et surtout il faut considérer le caractère. Nos
actes
sont le produit non d’une détermination partielle
d’une détermination totale. C’est moi tout entier qui conditionne mon
acte
. Quand donc je dis : « j’ai agi par tel motif »,
il ne faut pas croire qu’un motif détaché, à lui seul, conditionne l’
acte
. Au reste, il n’y a pas de motif détaché : toute
utre, comme on en a fait souvent la remarque, les explications de nos
actes
que nous donnons après coup ne sont jamais complè
nneurs à outrance, et nous avons l’habitude de « maximiser » tous nos
actes
: c’est-à-dire que nous découvrons toujours quelq
écouvrons toujours quelque maxime générale dont nous présentons notre
acte
comme conséquence. Même nos fautes, nous les élev
alors même que nous avons agi sans connaître les vraies causes de nos
actes
, nous leur imaginons encore telles et telles rais
d’être raisonnable ; il cherche donc instinctivement des motifs à ses
actes
, et il en trouve toujours. Tout acte est associé
nstinctivement des motifs à ses actes, et il en trouve toujours. Tout
acte
est associé dans notre esprit à une foule d’idées
croyons que ces principes ont dû plus ou moins obscurément inspirer l’
acte
, alors même qu’en réalité la suggestion serait ve
nnes, vous consulter. — La suggestion hynoptique ne peut exciter à un
acte
sans susciter la tendance à expliquer cet acte pa
e ne peut exciter à un acte sans susciter la tendance à expliquer cet
acte
par des raisons ; l’initiative du sujet trouve en
ois, Georges (1863-1927) [Bibliographie] Mélie, comédie en un
acte
(1892). — Le Congrès des poètes (1894). — Bêtes e
(1894). — Bêtes et gens de lettres (1895). — Avant la fin du jour, un
acte
(1895). — La Demande, un acte, en collaboration a
tres (1895). — Avant la fin du jour, un acte (1895). — La Demande, un
acte
, en collaboration avec Jules Renard (1895). — Par
Parisienne à François Coppée (1896). — Le Pont aux ânes, farce en un
acte
, en vers (1897). — Théâtre bref, en collaboration
boration avec Lucien Métivet (1897). — On demande un jeune ménage, un
acte
, en collaboration avec Em. Marchais (1898). — Le
en collaboration avec Em. Marchais (1898). — Le Facteur bien noté, un
acte
, avec Em. Marchais (1898). — En voulez-vous des c
. Marchais (1898). — En voulez-vous des chansons ? pièce bouffe en un
acte
, avec Em. Coden (1898). — Boulogne en 80 minutes,
vue, avec Henri Caudevelle (1898). — Madame Bigarot n’y tient pas, un
acte
, en collaboration avec Félix Cressan (1899). O
aturge perspicace, Docquois a donné au Théâtre-Libre : Mélie, un long
acte
, d’après une nouvelle de M. Jean Reibrach. Mais i
e s’honorer et s’applaudir d’un tel choix. — Avant la fin du jour, un
acte
en vers, lumineux, souple, entraînant par la grâc
bliographie] Léonce ou Propos de jeune homme, vaudeville en trois
actes
(1838). — Versailles, poésie (1840). — Un jeune h
— Versailles, poésie (1840). — Un jeune homme, comédie-drame en trois
actes
et en vers (1841). — L’Avocat de sa cause, comédi
trois actes et en vers (1841). — L’Avocat de sa cause, comédie en un
acte
et en vers (1842). — Le six juin 1806, à-propos e
édie en un acte et en vers (1842). — Le six juin 1806, à-propos en un
acte
et en vers (1842). — Le Baron de Lafleur ou les D
t en vers (1842). — Le Baron de Lafleur ou les Derniers Valets, trois
actes
en vers (1842). — Velasquez, cantate (1846). — La
Velasquez, cantate (1846). — La Chasse aux fripons, comédie en trois
actes
et en vers (1846). — Le Dernier Banquet de 1847,
leaux et en vers (1847). — Les Ennemis de la maison, comédie en trois
actes
et en vers (1850). — Le Fruit défendu, comédie en
n trois actes et en vers (1850). — Le Fruit défendu, comédie en trois
actes
et en vers (1857). — La Considération, comédie en
trois actes et en vers (1857). — La Considération, comédie en quatre
actes
et en vers (1860). OPINIONS. Jules Sandea
866-1874). — La Chanson des heures (1874-1878). — Dimitri, opéra en 5
actes
(1876). — Les Ailes d’or (1878-1880). — Myrrha, s
0). — Myrrha, saynète romaine (1880). — Monsieur, comédie-bouffe en 3
actes
(1880). — Le Pays des roses (1880-1882). — Galant
Le Pays des roses (1880-1882). — Galante Aventure, opéra-comique en 3
actes
(1882). — Le Chemin des étoiles (1882-1885). — Le
grassouillets (1883). — Chroniques du temps passé (1883). — Aline, 1
acte
, en vers (1883). — Henri VIII, opéra en 4 actes e
ssé (1883). — Aline, 1 acte, en vers (1883). — Henri VIII, opéra en 4
actes
et 6 tableaux (1883). — En pleine fantaisie (1884
Histoires belles et honnestes (1884). — Pedro de Zanalea, opéra en 4
actes
(1884). — La Tési, 4 actes (1884). — Le Dessus du
tes (1884). — Pedro de Zanalea, opéra en 4 actes (1884). — La Tési, 4
actes
(1884). — Le Dessus du panier (1885). — Les Cas d
ys du rire (1888). — Fabliaux gaillards (1888). — Jocelyn, opéra en 4
actes
(1888). — Roses d’octobre (1884-1889). — L’Or des
s salés (1891). — Le Célèbre Cadet-Bitard (1891). — Sapho, pièce en 1
acte
, en vers (1891). — Le Commandant Laripète, opéret
ète, opérette-bouffe en 4 tableaux (1891). — Grisélidis, comédie en 3
actes
, en vers libres, avec Eugène Morand (1891). — Por
Histoires abracadabrantes (1893). — Le Nu au Salon (1893). — Sapho, 1
acte
, en vers (1893). — Fantaisies galantes (1894). —
aimer (1897). — La Sculpture au Salon (1897). — Tristan de Lionois, 3
actes
, 7 tableaux, en vers (1897). — Belles histoires d
us ne savions pas encore son nom : notre admiration n’est donc pas un
acte
de complaisance. [Préface aux Rimes neuves et vie
s la Jalousie de Barbouille un canevas, quoique informe, du troisième
acte
de George Dandin. La première pièce régulière en
troisième acte de George Dandin. La première pièce régulière en cinq
actes
qu’il composa, fut l’Étourdi. Il représenta cette
lousie : il finit en demandant la permission de donner une pièce d’un
acte
, qu’il avait jouée en province. La mode de représ
is ce temps, l’usage a toujours continué de donner de ces pièces d’un
acte
, ou de trois, après les pièces de cinq. On permit
nce. L’ÉTOURDI, OU LES CONTRE-TEMPS, Comédie en vers et en cinq
actes
, jouée d’abord à Lyon, en 1653, et à Paris au moi
que le Menteur. LE DÉPIT AMOUREUX, Comédie en vers et en cinq
actes
, représentée au théâtre du Petit-Bourbon, en 1658
gue a le défaut d’un roman, sans en avoir l’intérêt ; et le cinquième
acte
employé à débrouiller ce roman, n’a paru ni vif n
nues des lieux communs. LES PRÉCIEUSES RIDICULES, Comédie en un
acte
et en prose, jouée d’abord en province, et représ
que d’ailleurs elle estimait. LE COCU IMAGINAIRE, Comédie en un
acte
et en vers, représentée à Paris le 28 mai 1660.
ge du roi retenait toute la cour hors de Paris. C’est une pièce en un
acte
, où il entre un peu de caractère, et dont l’intri
NAVARRE, OU LE PRINCE JALOUX, Comédie héroïque en vers et en cinq
actes
, représentée pour la première fois le 4 Février 1
ort de l’auteur. L’ÉCOLE DES MARIS, Comédie en vers et en trois
actes
, représentée à Paris le 24 Juin 1661. Il y a gran
dans la plaisanterie. LES FÂCHEUX, Comédie en vers et en trois
actes
, représentée à Vaux devant le roi, au mois d’Août
evait se servir. L’ÉCOLE DES FEMMES, Comédie en vers et en cinq
actes
, représentée à Paris, sur le théâtre du Palais-Ro
avec quelle adresse Molière avait su attacher et plaire pendant cinq
actes
, par la seule confidence d’Horace au vieillard, e
les récits. Il semblait qu’un sujet ainsi traité ne dût fournir qu’un
acte
. Mais c’est le caractère du vrai génie, de répand
e Racine. LA CRITIQUE DE L’ÉCOLE DES FEMMES, Petite pièce en un
acte
et en prose, représentée à Paris, sur le théâtre
Contre-Critique. L’IMPROMPTU DE VERSAILLES, Petite pièce en un
acte
et en prose, représentée à Versailles le 14 octob
e, que Molière fit jouer la Princesse d’Élide, comédie-ballet en cinq
actes
. Il n’y a que le premier acte et la première scèn
ncesse d’Élide, comédie-ballet en cinq actes. Il n’y a que le premier
acte
et la première scène du second, qui soient en ver
l’insipidité. LE MARIAGE FORCÉ. Petite pièce en prose et en un
acte
, représentée au Louvre le 24 janvier 1664, et au
olière, qu’il prit l’habitude de faire jouer après les pièces en cinq
actes
. Il y a dans celle-ci quelques scènes tirées du t
llet, où Louis XIV dansa. L’AMOUR MÉDECIN, Petite comédie en un
acte
et en prose, représentée à Versailles le 15 septe
. DON JUAN, ou LE FESTIN DE PIERRE. Comédie en prose et en cinq
actes
, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 15
sa comédie : c’était une nouveauté inouïe alors, qu’une pièce de cinq
actes
en prose. On voit par là combien l’habitude a de
été imprimée depuis. LE MISANTHROPE, Comédie en vers et en cinq
actes
, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 4
Misanthrope de Molière. LE MÉDECIN MALGRÉ LUI, Comédie en trois
actes
et en prose, représentée sur le théâtre du Palais
ude. LE SICILIEN, OU L’AMOUR PEINTRE, Comédie en prose et en un
acte
, représentée à Saint-Germain-en-Laye en 1667, et
-Royal le 10 juin de la même année. C’est la seule petite pièce en un
acte
, où il y ait de la grâce et de la galanterie. Les
Ballet des Muses, en décembre 1666. Molière n’a jamais fait que deux
actes
de cette comédie ; le roi se contenta de ces deux
fait que deux actes de cette comédie ; le roi se contenta de ces deux
actes
dans la fête du Ballet des Muses. Le public n’a p
lacent jamais le génie. AMPHITRYON, Comédie en vers et en trois
actes
, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 13
rythme dans son Agésilas. L’AVARE, Comédie en prose et en cinq
actes
, représentée à Paris sur le théâtre du Palais-Roy
GEORGE DANDIN, OU LE MARI CONFONDU, Comédie en prose, et en trois
actes
, représentée à Versailles le 15 de juillet 1668,
ans la préface de l’auteur au devant du Tartuffe. Les trois premiers
actes
avaient été représentés à Versailles devant le ro
! MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, Comédie-ballet en prose et en trois
actes
, faite et jouée à Chambord, pour le roi au mois d
e. LE BOURGEOIS GENTILHOMME, Comédie-ballet en prose et en cinq
actes
, faite et jouée à Chambord, au mois d’octobre 167
admirable, Le Bourgeois gentilhomme est plaisant. Les quatre premiers
actes
de cette pièce peuvent passer pour une comédie ;
eaugnac. LES FOURBERIES DE SCAPIN, Comédie en prose et en trois
actes
, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 24
ne l’a pas ? PSYCHÉ, Tragédie-ballet en vers libres et en cinq
actes
, représentée devant le roi, dans la salle des mac
La Fontaine venait de donner en 1669. Il ne put faire que le premier
acte
, la première scène du second, et la première du t
tels hommes. Psyché n’est pas une excellente pièce, et les derniers
actes
en sont très languissants ; mais la beauté du suj
er ses défauts. LES FEMMES SAVANTES, Comédie en vers et en cinq
actes
, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 11
res. LES AMANTS MAGNIFIQUES, Comédie-ballet en prose et en cinq
actes
, représentée devant le roi à Saint-Germain, au mo
tus eram tibi. LA COMTESSE D’ESCARBAGNAS, Petite comédie en un
acte
, et en prose, représentée devant le roi à Saint-G
nt répandus de proche en proche. LE MALADE IMAGINAIRE, En trois
actes
, avec des intermèdes, fut représenté sur le théât
de fait elles ne se connaissent pas, toute leur force, tendue vers l’
acte
, est aveugle sur elle-même. Au contraire le poète
tacle. Cependant, à pénétrer plus profondément dans le mécanisme de l’
acte
qui aboutit à connaître, il apparaît que malgré l
reflet des objets. Si l’on retranche cette joie, comme étrangère à l’
acte
même de la connaissance, voici le pur contemplati
ion contraire aboutit à un même résultat. La tendance à accomplir des
actes
avec perfection, en vue seulement de leur utilité
t réalisée. Cet automatisme, qui semble probable en ce qui touche aux
actes
pourtant complexes de certains insectes, les abei
automatisme se peut observer également à l’égard de toute une série d’
actes
habituels qui sont exécutés tout d’abord sous le
’une façon parfaite, s’accomplissent par la suite inconsciemment. Ces
actes
cessent en quelque sorte d’exister pour celui qui
préciées en un temps postérieur, alors que la complexité des nouveaux
actes
à commettre a fait surgir chez l’individu l’appar
éliminer l’accident et l’imprévu, des suites beaucoup plus longues d’
actes
automatiques. En idéalisant l’hypothèse on irait
s et que l’on ne conçoit, à vrai dire, soustraite au néant, que par l’
acte
de perception consciente que l’on fait en l’imagi
autre en une tendance à prendre conscience, à titre de spectacle, des
actes
accomplis, c’est que cette réalité qui a pour sup
joue un rôle un peu niais, une scène bien conduite et bien agencée. (
Acte
II, scène 6.) Et savez-vous bien qu’il y en a une
par dire : « Eh bien ! oui ! c’est de Varney que je suis la femme. » (
Acte
IV, scène 5.) Voyez-vous se dérouler la tragédie
il écrit tout de suite, tant, chez lui, l’imagination est prompte à l’
acte
et impatiente de se satisfaire. Il écrit mille ve
bon nombre qui sont fort beaux, et il jette sur la liasse le mot : «
Acte
1er », ce qui veut dire, vous entendez bien : « C
er », ce qui veut dire, vous entendez bien : « Ceci pourra servir à l’
acte
I, entrer dans l’acte I, au besoin. » Et maintena
, vous entendez bien : « Ceci pourra servir à l’acte I, entrer dans l’
acte
I, au besoin. » Et maintenant comment cela se rat
intime. À lire les Jumeaux, du moins (et vous feriez sur le troisième
acte
, avec son colossal monologue de Mazarin, les même
acieuse élégie, un peu molle de ton, mais charmante, par où s’ouvre l’
acte
II : Le sommeil ne met pas mon âme en liberté ;
s et des oiseaux. La Tempête de Shakespeare et le merveilleux premier
acte
de Fantasio sont tout entiers, à très peu près, é
on divin maître. Ainsi, faites cette preuve : relisez tout le premier
acte
de Fantasio. Il ne faut pas barguigner : Shakespe
n’a jamais fait aussi bien, aussi purement, qu’il n’a jamais écrit un
acte
où la fantaisie aventureuse, mélancolique et spir
ans la turlupinade ou sans écart dans le coq-à-l’âne. Mais passez à l’
acte
II. Ah ! ah ! c’est encore bien joli. Mais cepend
ergiquement, le dénouement que le public repoussait depuis le premier
acte
de toutes les forces de ses préjugés. Rien qui ca
esse dans un élan et dans un effort, c’est en ces œuvres qui sont des
actes
et qui sont des assauts, et qui réussissent à êtr
tion, pour le centenaire de George Sand, de Claudie Drame en trois
actes
représenté pour la première fois à Porte-Saint-Ma
; est, si vous voulez, productrice d’un défaut ? Parce que le premier
acte
est un poème rustique à lui tout seul et d’une be
raît présenter un défaut. On est un peu tenté de trouver le troisième
acte
, sinon vide, du moins un peu moins plein que les
ennent, consentent à revenir, la pièce est finie, et que le troisième
acte
ne contient que le long châtiment de Ronciat, leq
ou d’arrangement ; mais il faut bien faire attention que ce troisième
acte
, ce n’est pas tant le supplice de Ronciat que ce
tendri par le plaidoyer de Rémi — tout à fait comme dans le quatrième
acte
de Denise, sur quoi nous reviendrons. C’est de ce
i nous reviendrons. C’est de ce biais qu’il faut prendre le troisième
acte
de Claudie ; c’est ainsi que je l’ai toujours pri
ujours bien trouvé. Du reste, à part quelques parties de ce troisième
acte
que, tout compte fait, on peut trouver insuffisam
onnable et l’autre un raisonneur. D’où il résulte que si le troisième
acte
de Claudie est un peu froid, celui de Denise est
juillet 1904, a été un triomphe. Comme il était à prévoir, le premier
acte
a fait le plus grand effet, et il y a eu, au troi
ais. 4 juillet 1904. Victorien Sardou La Piste, comédie en trois
actes
. La Piste, comédie en trois actes, de M. Vict
dou La Piste, comédie en trois actes. La Piste, comédie en trois
actes
, de M. Victorien Sardou, a remporté aux Variétés
rté aux Variétés un très vif succès et parfaitement mérité ; car deux
actes
sur trois sont excellents et du meilleur comique
ble ! » Il m’est absolument impossible de vous dire à quel point cet
acte
est divertissant, ni de vous dire aussi quel succ
aussi bonne demi-heure au théâtre. Il n’y a rien à dire du troisième
acte
, si ce n’est qu’il serait insupportable s’il n’ét
’est qu’il serait insupportable s’il n’était très court. Ce troisième
acte
, dans les idées, je crois, de tout spectateur, de
non pas M. Jobelin, etc. ? Là, pour le spectateur, était le troisième
acte
. Et en effet, cela se trouve dans l’acte III, mai
ectateur, était le troisième acte. Et en effet, cela se trouve dans l’
acte
III, mais à peine indiqué. C’est l’affaire de tro
e gale. 19 février 1906. Catulle Mendès. Glatigny, drame en cinq
actes
, en vers. Ce n’était pas une mauvaise idée à M
peu lent, très adroitement composé et coupé avec beaucoup d’art. Cinq
actes
, le dernier en deux tableaux. Au premier acte, Gl
c beaucoup d’art. Cinq actes, le dernier en deux tableaux. Au premier
acte
, Glatigny, tout jeune, dans sa petite ville de No
le suit longtemps du regard en disant : « Pauvre petit ! » Au second
acte
, nous sommes, ce qui d’abord nous surprend un peu
s pour un mystificateur genre Romieux et ne sera jamais ministre. Cet
acte
, un peu trop invraisemblable, parce que Girardin
ment impétueux et allègre qui est excellemment théâtral. Le troisième
acte
est plus sinistre. Nous sommes à la brasserie qui
et « où est le fil ». Le fil, on l’a bien à peu près perdu au second
acte
, où vraiment Lisane apparaît un peu trop peu (quo
oulu qu’elle parût), mais le fil n’est pas du tout perdu au troisième
acte
; car Glatigny est là, se mêlant aux propos et di
e antiacadémique est donc justifiée. Voilà qui est bien. Au quatrième
acte
nous retrouvons Glatigny au café-concert où il a
sûr. Il tombe foudroyé de honte, de colère et de désespoir. Cinquième
acte
: retour au colombier du pigeon aventureux, traîn
dame de la poste au désespoir. Une nuit (second tableau du cinquième
acte
), une froide nuit de cet affreux novembre qui pré
articulière. Elle n’est nulle part et elle est un peu partout. Chaque
acte
et chaque scène sont, à mon avis, parfaitement lu
nés à être classiques. M. Paul Adam. Les Mouettes, pièce en trois
actes
. Vous connaissez le Serpent noir de M. Paul Ad
mile Bergerat. La Fontaine de Jouvence, comédie mythologique en deux
actes
, en vers. La Comédie-Française a donné une rep
vée. » Fi ! Bonsoir ! » Voilà où nous en sommes, à la fin du premier
acte
. Au second, — vous connaissez le mythe d’Ève, vou
énéral les femmes ont quelque inclination à la curiosité, — au second
acte
, la même pensée est venue à la jeune Néère et à l
rrais citer encore. Le petit monologue de Daméta au commencement de l’
acte
Il est véritablement, sinon d’un grand poète, du
précieux comme forme. M. Jean Jullien. La Poigne, pièce en quatre
actes
. Ah ! que voilà une pièce qui aurait pu, non s
de président Magnaud qui serait avocat. Pendant une moitié du premier
acte
ce rapprochement se présente à chaque instant à l
scur. Toujours est-il que voilà Perraud préfet. On le voit, au second
acte
, dans ses fonctions. Mais cet acte est un peu vid
raud préfet. On le voit, au second acte, dans ses fonctions. Mais cet
acte
est un peu vide, parce que Perraud n’y est représ
rraud, non plus que sur le style d’un notaire par la rédaction de ses
actes
. Cependant le nouveau caractère de M. Perraud rel
M. Perraud relativement à sa famille nous est montré un peu dans cet
acte
trop creux. Il a auprès de lui une brebis bêlante
le et qui y fait ce qu’il y doit faire. Voilà pourquoi tout ce second
acte
, quoique tout plein de détails assez amusants, pa
suites très importantes, comme vous le verrez. En effet, au troisième
acte
, Perraud décidément paraît avec un caractère un p
tout il n’importe, — son fils, donc, que nous avons vu dès le premier
acte
flirtant avec une très honnête jeune fille, Mlle
Seulement Perraud le fils nous a tellement horripilés pendant tout un
acte
, et nous l’avons tellement pris en grippe, que no
uère. Elle prend un air de quelque chose d’accidentel. Toutefois, cet
acte
est violent. C’est quelque chose. Cela secoue tou
chute du rideau se fait dans de fort bonnes conditions. Le quatrième
acte
est, malheureusement, le plus indécis de tous. Ap
aller plus loin, je donne un conseil aux jeunes gens. Plus de dernier
acte
avec grève grondant à la cantonade ! Le public en
ant à la cantonade ! Le public en a assez. La sédition des cinquièmes
actes
classiques a fait son temps ; le duel des cinquiè
cinquièmes actes classiques a fait son temps ; le duel des cinquièmes
actes
(1850) a fait son temps. La grève des cinquièmes
des cinquièmes actes (1850) a fait son temps. La grève des cinquièmes
actes
contemporains a remplacé l’antique sédition et le
pas du tout, sauf, et non pas très fort, à quelques moments du second
acte
et du dernier. Elle est écrite soigneusement, non
embre 1900. M. Franz-Adam Beyerlein. La Retraite, drame en quatre
actes
, mis en français par MM. Maurice Rémon et N. Vale
est le contraire ; que nous sentons gronder l’orage et que ce premier
acte
nous en promet un second un peu dramatique. Prome
n’a frappé qu’en état de légitime défense. Donc Helbig, au troisième
acte
, passe en conseil de guerre. Sont témoins Queiss,
. Toujours est-il que Claire a avoué ; et alors… ah ! que cette fin d’
acte
est belle ! Comme l’auteur a bien senti que nous
! Comme il a bien compris, à un autre point de vue, que, le quatrième
acte
devant porter sur Volkhardt, c’était sur Volkhard
, mon capitaine ; il faut que ça aille ! » Rideau. — Un des meilleurs
actes
que je sache, malgré ses défauts et peut-être la
ctes que je sache, malgré ses défauts et peut-être la meilleure fin d’
acte
que j’aie jamais vue. Le quatrième acte est moins
peut-être la meilleure fin d’acte que j’aie jamais vue. Le quatrième
acte
est moins bon, beaucoup moins ; intéressant encor
répond à un sentiment très juste, tandis que le mot de Lauffen et son
acte
, quoique courageux, ne sont pas justes, parce qu’
n beau-père. Par tout pays il faut savoir subir la conséquence de ses
actes
. — Tant il y a que devant son supérieur, et surto
espoir admirables, incroyablement beau, particulièrement au troisième
acte
. Tout près de lui, M. Gauthier, d’une vérité et d
20 février 1905. Jules Lemaître. La Massière, comédie en quatre
actes
. La Massière est une charmante comédie du « g
etc. Tout cela nous est exposé clairement et finement dans un premier
acte
amusant, papillotant, qui nous met en même temps
aurait pu s’aviser qu’il est un peu vide. L’action s’engage au second
acte
, qui est le meilleur de l’ouvrage et qui est déli
up. Elle a déchaîné le drame dans sa maison. » Il y est, au troisième
acte
, le drame, il y est pleinement. D’une part, Marèz
eulement, je n’ai pas le temps de la réfuter. Tout compte fait, trois
actes
et demi sur quatre, dans cette pièce, sont délici
à et là avant de le faire mettre sous les presses. Avec deux premiers
actes
délicieux, un second un peu vide, un dernier d’un
13 mars 1905. M. Paul Hervieu La Loi de l’homme, pièce en trois
actes
. La Loi de l’Homme, drame sombre, dur et atro
c lui dire pourquoi ? C’est sur cette incertitude que finit le second
acte
. La pièce précédente de M. Hervieu s’appelait les
e la nouvelle pièce de M. Hervieu, — et particulièrement le troisième
acte
, — devrait s’appeler l’Etau. Mme de Raguais, et d
la femme (car l’auteur nous a prévenus), la femme qui dit au premier
acte
: « Sans recours à la loi, je me défendrai comme
à cette indication, s’étant dit, dès les premières scènes du premier
acte
, que Mme de Raguais était le personnage qu’il dev
raisonne, elle raisonne mal. Ce divorce auquel elle songe au premier
acte
, nous savons qu’elle pouvait très bien l’obtenir,
et au théâtre, sauf un ou deux propos un peu énigmatiques dans trois
actes
, il écrit la langue de Dumas fils. Vive le théâtr
! 22 février 1897. M. Paul Hervieu. Le Réveil, comédie en trois
actes
. Quand je m’amusais, il y a quelque temps, à v
elle promet d’être demain au 398 de la rue Passy-Yincennes. Au second
acte
, nous le voyons, le petit pavillon sus-annoncé. I
ire de la politique quand il est à Paris. Cette combinaison de second
acte
de vaudeville nous désoblige un peu. D’abord elle
il rend au prince Jean sa liberté. Quelle impression fait ce second,
acte
? Cela dépend. Sur le public, je parle du public
randes lignes ! — Enfin, ce n’est pas ennuyeux ? — Non ! Au troisième
acte
, nous voyons la pauvre Mme de Mégée revenir au lo
cet effet de scène et pour ce mot que toutes les scènes du troisième
acte
et quelques-unes du premier ont été faites ! Eh b
temps. Du talent, du reste, du vrai, dans certaines scènes du premier
acte
, et, presque partout, cette habileté dramaturgiqu
ragédienne dans le rôle de Mme de Mégée. Ce n’est pas dans son second
acte
, avec ses effets très faciles de porte de droite
t que tout cela jette le public dans l’extase ; mais en son troisième
acte
, où il faut montrer de véritables qualités de gra
ard. 23 décembre 1905. M. Henri Lavedan. Le Duel, pièce en trois
actes
, en prose. Le Duel, pièce en trois actes, que
Le Duel, pièce en trois actes, en prose. Le Duel, pièce en trois
actes
, que la Comédie-Française a donnée lundi dernier,
pour cette raison que je dis que cette duchesse part mal. Ce premier
acte
est bon, pourtant. Il est intéressant, Il excite
parés à entendre de grandes choses. Nous sommes chez l’abbé au second
acte
. Il reçoit la duchesse, qui n’a pas été à son ren
e toutes ses colères. Chacun d’eux est tout entier en mouvement et en
acte
. Le docteur plaide la cause du bonheur humain et
ent pendant cinq minutes. J’en étais, n’en doutez point. Le troisième
acte
a refroidi cet enthousiasme sans rien diminuer de
l’estime que l’on avait pour cet ouvrage très distingué. Au troisième
acte
, le duc de Chailles est mort, comme c’était son d
au couvent. L’abbé aussi. L’évêque qui nous a été présenté au premier
acte
, et qui représente le bon sens dans cette folle a
uestion et très dramatique ; l’honneur aussi d’avoir écrit un premier
acte
très original et un second presque puissant, et p
rcheur de vérité qui sait la trouver. Une faute, pourtant. Au premier
acte
, nous sommes dans le cabinet du docteur dans la m
1905. M. Maurice Donnay. Le Retour de Jérusalem, pièce en quatre
actes
. J’ai trouvé faible la dernière comédie, si at
in extraordinaire. Le maître Maurice Donnay se retrouve là. Au second
acte
, nous assistons au « retour de Jérusalem ». Judit
tout le monde applaudit. Mais si tout le public comprend cette fin d’
acte
, il y a des choses que déjà il comprend moins. Ce
pas sur un terrain sûr. De plus, et ceci se marquera plus encore à l’
acte
suivant, mais déjà commence à poindre, il nous se
ée ; et, puisqu’il ne tenait pas du tout, nous l’avons vu, au premier
acte
, à lier sa vie à celle de Judith, il aurait bien
es doutes, qui sourdent dans l’esprit du spectateur pendant le second
acte
, éclatent au troisième, encore qu’il soit étincel
t au troisième, encore qu’il soit étincelant de beautés. Au troisième
acte
nous voyons Aubier et Judith dans leur ménage et
patriotes de tous les hommes, vous qui, depuis le commencement de cet
acte
III, qui, du reste, est souvent admirable, prouve
aient eu le loisir de s’en apercevoir beaucoup plus tôt. Le quatrième
acte
sera intitulé dans les théâtres de province, qui
ulé dans les théâtres de province, qui aiment à donner des titres aux
actes
: « La Goutte d’eau ». Rien de plus grave que ce
emme divorcée de M. Aubier. Nous ne l’avons pas vue depuis le premier
acte
. Elle revient dire à son ancien mari qu’elle se r
ndre possible et assez naturel un dénouement heureux. Tout le premier
acte
donc paraît combiné en vue d’un dénouement heureu
s, réelles, en même temps que leurs défauts. Mais il y a un troisième
acte
où il est très difficile à un public de ne pas tr
— peints aussi peu que possible à leur avantage. C’est à ce troisième
acte
que le public s’est attaché. « C’est incontestabl
e. 30 mai 1904. M. Maurice Donnay. L’Escalade, comédie en quatre
actes
. La nouvelle pièce de M. Maurice Donnay est ex
es psychométriques. Seulement il a été un peu question, au cours de l’
acte
, de l’amour par disparité, qui est une chose très
besoin de nous dire qu’il est scientifique. On s’attend donc que, à l’
acte
suivant, Soindres soit amoureux de Cécile, et nou
ais enfin, comme il y a toujours la manière, nous attendons le second
acte
et toute la pièce avec un mélange d’appréhension
toute la pièce avec un mélange d’appréhension et d’espoir. Ce premier
acte
, du reste, comme détails, est ravissant. Seulemen
t. Seulement, je n’ai pas le temps d’entrer dans le détail. Au second
acte
, qui est le meilleur comme vérité et comme précis
ce n’est pas fini, et l’auteur a précisément insisté dans un dernier
acte
sur ce qu’il y a d’inquiétant dans cette union, e
ent à l’égard du dénouement fâcheux ou alarmant. Il forme son dernier
acte
— abstraction faite de certains hors-d’œuvre qui
petite Motreff que nous avons vue flirter avec Soindres au troisième
acte
. Or : d’abord Soindres est un peu piteux, que ces
treff épouse Soindres. A tous les égards cette scène, qui est tout un
acte
, ou est inutile, ou, si elle est utile, est contr
rais pas par quatre chemins : je supprimerais simplement ce quatrième
acte
. Enfin Soindres et Cécile se marient. C’est un ma
el. 7 novembre 1904 M. Maurice Donnay. Paraître, pièce en quatre
actes
et cinq tableaux. La dernière pièce de M. Donn
ou cinq histoires qui se présentent à nous au cours des deux premiers
actes
laquelle est la principale et celle que nous avon
n’y peuvent rien faire ; mais il n’est très sensible que pendant deux
actes
sur quatre. Et enfin un défaut encore est la vulg
t très profond de la part de Juliette Margès. Guéri, — c’est la fin d’
acte
, — Jean Raidzell supplie Juliette de l’épouser. J
vait fait la bêtise d’épouser une fille plus riche que lui. Au second
acte
, trois ans se sont passés. Jean Raidzell n’aime p
. C’est la meilleure 4e l’ouvrage. Elle devrait être la dernière de l’
acte
, à mon avis ; mais nous avons encore à connaître
m’ont un peu étonné. Voilà l’incident important qui termine le second
acte
. Du reste il ne servira à rien du tout dans la pi
rincipale. C’est un aérolithe, cet incident-là. A partir du troisième
acte
, la pièce proprement dite file d’un assez bon tra
quelques longueurs et remplissages encore. Nous sommes, au troisième
acte
, chez Paul Margès, l’avocat député socialiste. Il
cène ne s’enchaîne à rien), je ne sais déjà plus où se place dans cet
acte
une querelle entre Mme de Guingois et Mme Margès
ême, sans aucune influence sur l’action et sans intérêt. Au quatrième
acte
, nous sommes à la villa de Raidzell, sur le bord
d’autres qui sont plus mauvaises. Parce que l’auteur avait, au second
acte
, introduit dans sa pièce, où elle n’avait que fai
à Juliette. » — Et de là cette scène pénible de délation au quatrième
acte
. Il était si facile de nous montrer Juliette déco
vement difficultueux, qui demande du temps, n’est pas bon. Pour qu’un
acte
impulsif soit naturel, il faut qu’il puisse être
9 avril 1906. M. Alfred Capus. Notre Jeunesse, comédie en quatre
actes
. Notre Jeunesse est une comédie-mélo d’une ex
son but précis et semblant se chercher elle-même pendant plus de deux
actes
; elle est aussi beaucoup moins spirituelle comme
en sommes là, et nous n’en sommes encore que là à la fin du deuxième
acte
, ce qui indique suffisamment qu’il y a deux actes
à la fin du deuxième acte, ce qui indique suffisamment qu’il y a deux
actes
d’exposition. Si nous n’en sommes qu’à la fin du
deux actes d’exposition. Si nous n’en sommes qu’à la fin du deuxième
acte
, c’est qu’il y a beaucoup de petites scènes épiso
» Point du tout, Monsieur. Serquy ne fait rien de grand pendant deux
actes
; il ne fait même rien du tout ; il n’a pas plus
Je vous épouse ! » — Voilà un petit exemple. Bref, les deux premiers
actes
m’ont paru et bien longs et un peu vides, malgré
même des choses pénibles, fût beaucoup plus marqué dans les premiers
actes
, où, en vérité, il ne l’est point. Ce qu’on remar
s beaucoup de choses essentielles et substantielles dans le quatrième
acte
, en dehors de scène à faire. Il y a des propos, d
e scène à faire a été assez adroitement retardée et reculée jusqu’à l’
acte
IV et dernier. A mon avis, elle n’est pas mauvais
t enfin conquis, tout est fini. Nous assistons seulement, comme fin d’
acte
et épilogue, au départ du vieux têtu à qui l’on p
e. » La toile tombe. Telle est cette comédie, dont les deux premiers
actes
sont un peu vides, dont le troisième est faux et
d-mère qui ne s’attendrirait pas devant sa petite-fille, au quatrième
acte
; une grand-mère qui n’ouvrirait pas son giron à
la femme qui ne sait pas ce qu’elle veut, — pendant les deux premiers
actes
; et de véhémence fébrile, — la femme qui a enfou
éhémence fébrile, — la femme qui a enfourché un dada,, — au troisième
acte
. Elle a sauvé le rôle. M. Leloir a été merveilleu
. 20 novembre 1904. M. G. Courteline. La Conversion d’Alceste, un
acte
, en vers. Rarement l’anniversaire de Molière a
janvier 1905. M. Henry Bataille. Maman Colibri, comédie en quatre
actes
. Le principal défaut — nous commencerons par l
e la curiosité est satisfaite d’avance. On sait assez bien au premier
acte
ce qui se passera au second, très bien au second
ue, surnommée Maman Colibri, par ses fils mêmes, s’éprend, au premier
acte
, du petit vicomte Georges de Chambry, âgé de ving
ude qu’elle est au moins la demi-maîtresse de Georges de Chambry. A l’
acte
suivant, en une maison de campagne voisine de Tro
ucement éliminée, et de fuir pour ne pas être chassée. Au moment où l’
acte
finit, on sent qu’elle va partir demain. Cet acte
sée. Au moment où l’acte finit, on sent qu’elle va partir demain. Cet
acte
est un peu ennuyeux, malgré de très agréables dét
était bien intransigeant et terriblement rude au premier et au second
acte
; maintenant il est tout douceur et il cède au pr
s grande qu’il ne le croit. Ce qui est meilleur, c’est la partie de l’
acte
où apparaît M. de Rysbergue, le père. — Ne vous r
s été très bon dans les scènes de colère, froide ou chaude, du second
acte
, a repris toute son autorité sur le public au qua
u second acte, a repris toute son autorité sur le public au quatrième
acte
où il a mis admirablement en lumière la désolatio
i et très sympathique. Mme Berthe Bady a été bien mauvaise au premier
acte
. Elle est absolument incapable de représenter une
embre 1904. M. Henry Bataille. La Marche nuptiale, pièce en quatre
actes
. La nouvelle pièce de M. Henry Bataille est un
spectueuse. On sent que Grâce pourra l’aimer. Voilà les deux premiers
actes
, qui sont bien faits, somme toute, et singulièrem
hoses se gâtent. Qu’est-ce que nous trouvons devant nous au troisième
acte
? Grâce à la maison de campagne de Lechâtelier, m
on (quatre kilomètres). Ce n’est pas qu’il soit mauvais, ce troisième
acte
: il a du mouvement, de l’éclat, des morceaux ora
e. Ah ! c’est de l’art ; mais ce n’est pas de l’art simple. Quatrième
acte
. C’est le lendemain matin. Grâce est revenue à Pa
évolte. Elle n’a plus rien de la tendre et indulgente sœur aimée de l’
acte
II. Elle n’est plus capable de résignation. Nous
! » 30 octobre 1905. Henry Bataille. Poliche, comédie en quatre
actes
. Je sais bien que Poliche est une pièce ennuye
n. Rosine de Rinck n’en est pas moins femme à caprices, et au premier
acte
, en une auberge de Saint-Cloud, où toute cette ba
faire comprendre l’immense trouble d’âme du pauvre Poliche. Au second
acte
, Poliche est navré et expose tout son désespoir à
tement. Le masque tombe, l’homme reste et Gigolo s’évanouit. La fin d’
acte
est triste et mélancolique, quoique Rosine semble
nt. Mais encore il est sur la bonne voie ! Oh ! comme, pendant quatre
actes
, l’absence de M. Saint-Vast nous a été douce ! Au
e, eût été d’un intérêt extrêmement vif. Remarquez comme au troisième
acte
, contre le gré peut-être de l’auteur, l’attention
ciel. 17 décembre 1906. M. Brieux. La Robe rouge, drame en quatre
actes
. La Robe rouge est quelque chose comme un che
ue ! Dans ce qui est supérieur le mauvais ne compte pas. Le quatrième
acte
, le quatrième acte ! Eh bien ! le quatrième acte
t supérieur le mauvais ne compte pas. Le quatrième acte, le quatrième
acte
! Eh bien ! le quatrième acte est mauvais comme u
te pas. Le quatrième acte, le quatrième acte ! Eh bien ! le quatrième
acte
est mauvais comme un dénouement de Molière. Voilà
nt dit marche et court, — en un relief prodigieux. Ces trois premiers
actes
ne sont pas autre chose qu’un chef-d’œuvre. Le tr
ntécédent à elle qu’elle a toujours caché à son mari. Et cela fait un
acte
qui est une des choses les plus fortes que j’aie
habileté, d’une adresse, d’une virtuosité extraordinaires. Ce second
acte
est, à lui seul, une œuvre d’art incomparable. Et
ses doutes et abandonne l’accusation. C’est l’acquittement. Tout cet
acte
est plein encore de beautés suprêmes, passionnant
eintes. Telle est cette œuvre… Car je ne veux considérer le quatrième
acte
que comme un épilogue quelconque et comme « quelq
ue-là a porté sur autre chose ; mais vraiment qu’importe, après trois
actes
de la comédie la plus vigoureuse, la plus dense e
t tout au premier rang. M. Brieux. Les Hannetons, comédie en trois
actes
. La pièce intitulée les Hannetons (titre obscu
ses qui disent toujours la même chose ne peuvent guère soutenir trois
actes
. Tout ce qui est, dans les Hannetons, en dehors d
détail du suicide. Cette curieuse pièce devrait être ramassée en deux
actes
; c’est précisément ce qu’elle comporte. Ainsi co
écieux. 5 février 1906. M. Edmond Rostand. L’Aiglon, drame en six
actes
. L’Aiglon, drame en six actes et trente monol
ond Rostand. L’Aiglon, drame en six actes. L’Aiglon, drame en six
actes
et trente monologues, m’a surtout furieusement en
. Cette sensation, je ne l’ai pas eue tout d’abord. Les deux premiers
actes
sont assez vivants. On y fait connaissance avec l
omédie historique, est relativement agréable. Mais voici le troisième
acte
. Le prince dort dans sa chambre solitaire. Le vie
ut de drame d’action. Or, le prince est sensiblement le même à chaque
acte
. Il oscille de la faiblesse à la fougue, oui ; ma
e au premier, au deuxième, au troisième, au quatrième et au cinquième
acte
. Oscillation continue et loquacité perpétuelle ;
! » 10 mars 1900. M. Edouard Rod. Le Réformateur, pièce en trois
actes
. L’Œuvre a donné au Nouveau-Théâtre deux repré
respect mêlé d’une forte dose de brusquerie. Certainement ce premier
acte
, au point de vue de l’action, est un peu vide ; m
i fût fait pour que le reste fût complètement intelligible. Au second
acte
, d’une part (complexité du sujet, sus-indiquée) l
l’impression du flirt de Jean-Jacques avec la jeune fille du premier
acte
, récrimine et invective contre Jean-Jacques. Elle
t cette Mégère qui est quelque chose comme une Euménide. Au troisième
acte
, l’orage extérieur reprend avec une singulière in
me, que le séjour à Motiers-Travers ennuyait fort. La pièce au second
acte
se dirigeant de ce côté-là, on s’attendait à trou
u’elle y parût, ni qu’invisible ou présente, Thérèse fût du troisième
acte
… Reprenons. Donc Montmollin a parlé, et toute la
deux. 4 juin 1906. Henry Bernstein. Le Bercail, comédie en trois
actes
. Le Gymnase nous a donné le Bercail, comédie e
trois actes. Le Gymnase nous a donné le Bercail, comédie en trois
actes
de M. Henry Bernstein. Le Bercail n’est ni très
qu’à l’admiration. Et, pour commencer par le commencement, le premier
acte
n’est pas délicieux, n’est pas charmant ; mais il
equel les auteurs modernes donnent avec tant de complaisance en leurs
actes
I et par quoi ils pensent jeter poudre aux yeux a
s. — ! » Tu peux y compter. » La toile tombe. Il y a dans tout cet
acte
une fermeté, une rectitude sans sécheresse, une f
reste, le public et moi, visiblement, nous étions d’accord. Le second
acte
a indisposé les spectateurs. Je reconnais que la
n-là. » Où je suis un peu plus avec le public, c’est à la fin de cet
acte
. Un personnage influent et qu’on ménage parce qu’
e le public avait résisté, silencieusement, mais enfin résisté, à cet
acte
II. En y songeant, je me dis (Salut, ombre de Dum
mas fils !) qu’il aurait suffi peut-être d’une légère préparation à l’
acte
I pour que le spectateur, s’attendant à voir l’ac
e préparation à l’acte I pour que le spectateur, s’attendant à voir l’
acte
II tel qu’il est, et peut-être pire, avalât cet a
tendant à voir l’acte II tel qu’il est, et peut-être pire, avalât cet
acte
II tel qu’il est, sans sourciller. Il aurait suff
ât cet acte II tel qu’il est, sans sourciller. Il aurait suffi qu’à l’
acte
I, Jacques Foucher, tout en exaltant Éveline par
facile ! Il y a là son ami Angel. A quoi sert-il, l’ami Angel, dans l’
acte
I, comme du reste dans toute la pièce ? A rien du
ous aurions été fixés, Éveline non ; et c’est ce qu’il fallait ; et l’
acte
II eût passé comme un acte civil, ce qu’il faut c
ine non ; et c’est ce qu’il fallait ; et l’acte II eût passé comme un
acte
civil, ce qu’il faut convenir qu’il n’est pas. Fa
qu’il en faut, et lesquelles. Le public a été moins frigidifié par l’
acte
III et même un peu ramené par lui. Tant mieux, mo
ieu ! Moi, à parler franc, je ne le trouve pas trop bon. Le troisième
acte
, comme vous le pensez bien, c’est le retour au be
son fils. Ce bon Landry nous paraît bien changé ; autant, au premier
acte
, il avait de fermeté dans le vouloir et de nettet
demi-tour. C’est fini. « Éveline ! » c’est le « Denise ! » du dernier
acte
de Denise. Et il me souvient qu’à ce propos je di
a que le Landry du IIl est le flottement même et qu’il en résulte un
acte
dont on ne sait pas pourquoi il finit d’une façon
’or des métiers (1851). — Le Roman du village, comédie en vers, en un
acte
(1853). — Paris démoli (1853). — Les Lanternes (1
ues et littéraires (1855-1863). — L’Hôtesse de Virgile, comédie en un
acte
et en vers (1859). — Le Vieux neuf (1859). — Énig
du Pont-Neuf (1862). — Corneille à la butte Saint-Roch, comédie en un
acte
et en vers (1862). — La Fille de Molière, comédie
ie en un acte et en vers (1862). — La Fille de Molière, comédie en un
acte
et en vers (1863). — L’Espagne et ses comédiens (
(1864). — L’Art de la reliure (1864). — Racine à Uzès, comédie en un
acte
et en vers (1865). — La Valise de Molière, comédi
e en un acte et en vers (1865). — La Valise de Molière, comédie en un
acte
et en prose (1868). — Gutenberg, drame en cinq ac
re, comédie en un acte et en prose (1868). — Gutenberg, drame en cinq
actes
et en vers (1869). — Le Théâtre et les pauvres (1
vers, comme le Passant de M. Coppée, si nous n’en avions pas eu cinq
actes
! La fortune du Passant de M. Coppée, c’est qu’il
at, Émile (1845-1923) [Bibliographie] Une amie, comédie en un
acte
, en vers (1865). — Les Deux Waterloo (1866). — Le
(1870). — Poèmes de la guerre (1871). — Père et mari, drame en trois
actes
(1871). — Ange Bosari, drame en trois actes, avec
e et mari, drame en trois actes (1871). — Ange Bosari, drame en trois
actes
, avec Armand Silvestre (1873). — Séparés de corps
ctes, avec Armand Silvestre (1873). — Séparés de corps, comédie en un
acte
(1873). — Théophile Gautier, entretiens, souvenir
tiens, souvenirs et correspondances (1879). — Le Nom, comédie en cinq
actes
(1883). — Enguerrande, avec préface de Théodore d
. — Mes Moulins (1885). — La Nuit bergamasque, tragi-comédie en trois
actes
(1887). — Le Livre de Caliban (1887). — Figarisme
Fracasse, comédie héroïque, tirée du roman de Théophile Gautier, cinq
actes
et sept tableaux (1896). — Le Cruel Vatenguerre (
e jour il était « reçu » à la Comédie-Française où il avait déposé un
acte
en vers, titre : Une amie. Il débutait ainsi, à d
rès belle scène, qui était précisément la scène à faire, au quatrième
acte
; un fort joli acte d’intermède, le second ; un d
était précisément la scène à faire, au quatrième acte ; un fort joli
acte
d’intermède, le second ; un dénouement pathétique
n (1868-1952) [Bibliographie] Le Ménage Brésil, comédie en un
acte
(1893). — Raphaël, comédie en trois actes (1896).
Ménage Brésil, comédie en un acte (1893). — Raphaël, comédie en trois
actes
(1896). — L’Enfant malade, pièce en quatre actes
ël, comédie en trois actes (1896). — L’Enfant malade, pièce en quatre
actes
(1897). — Cœurblette, comédie en deux actes (1899
t malade, pièce en quatre actes (1897). — Cœurblette, comédie en deux
actes
(1899). — Le Marquis de Carabas, comédie-bouffe e
n deux actes (1899). — Le Marquis de Carabas, comédie-bouffe en trois
actes
et en vers (1900). — Exodes et ballades (1900). —
ncipal de la pièce. On ne fait que l’entrevoir dans les deux premiers
actes
; il ne paraît, effectivement, qu’au troisième. I
son éternel sourire. C’est à lui qu’a été le succès, et le troisième
acte
des Amants de Sazy a reçu de lui son charme malic
avril 1872. Œuvres. — La Belle au Bois-Dormant, féerie lyrique, en 3
actes
, en collaboration avec M. Robert d’Humières (non
ure de France, 1897, in-18, — L’Enchantement, comédie dramatique en 4
actes
, jouée à l’Odéon en 1900. — Têtes et Pensées (Por
érem, Willy). Paris, Ollendorff, 1901. — Le Masque, comédie en quatre
actes
(Vaudeville, 1902). — Résurrection, drame en cinq
die en quatre actes (Vaudeville, 1902). — Résurrection, drame en cinq
actes
, adapté de Léon Tolstoï (Odéon, 14 nov. 1902, Por
r par lui-même, Fasquelle, 1904, in-18. — Maman Colibri comédie, en 4
actes
(Vaudeville, 1904), Fasquelle, 1905, in-18. (Ce v
-16. < — Contes Âmers, Clerget, 1900, in-18. — Le Droit du Mari, 1
acte
(Théâtre municipal de Montpellier, mars 1900, H.C
vue) (Ancienne Revue des Revues), 1900-1004. — Poussier des Mottes, 1
acte
et 2 tableaux (Théâtre Cluny, 1905). Dovy, 1905,
sies, éd. de La Revue Dorée, 1902, in-16 carré. — L’Âme Bourgeoise, 1
acte
en prose (Nouveau Théâtre) Revue Dorée, in-18, 19
prose (Nouveau Théâtre) Revue Dorée, in-18, 1902. — C’est pas chic, 1
acte
en prose (Capucines, 5 juin 1905), en collaborati
on avec André de Fouquières, Sansot et Cie, in-18. — J’attends Zoé, 1
acte
en prose (tournée Max. Dearly, Rozenberg, 1905),
5. Cladel (Judith-Jeanne), née à Paris en… Œuvres. — Le Volant, 3
actes
(L’Œuvre 1895), A Lemerre, 1895, in-18. — Auguste
’une Amante, roman, Mercure de France, 1904, in-18 — Maître Mignon, 5
actes
, d’après. Balzac, Théâtre du Parc, Bruxelles, 190
. — Quatuor (nouvelles), id. 1897. — La Mort aux berceaux, Noël, en 1
acte
. id. 1899. — La Route d’Émeraude, roman, id. 1899
00 (Société française d’imprimerie et de librairie). — La Dinette, un
acte
(Villereille) 1901 ; — Rhodène et Conesculus, con
glay, 200 ex. ord. numér. 2 japon, 10 hollande. — L’Une et l’Autre, 1
acte
en prose. (Coll. Serge Raffalovich) joué à la Bod
an, E. Petit, 1905, couv. de Marc Leclerc. — Le Retour de Chérubin, 1
acte
en vers. Bouffes-Parisiens, mars 1905. Sansot et
(Edmond), né le 22 mars 1879. Œuvres. — M. et Mme Taste, comédie en
acte
(La Bodinière, mars 1901. — L’amour s’en mêle, co
en acte (La Bodinière, mars 1901. — L’amour s’en mêle, comédie en un
acte
(Théâtre municipal de Montpellier, 1992). — La Fa
héâtre municipal de Montpellier, 1992). — La Farandole, comédie en un
acte
(Théâtre municipal de Nîmes), 1904. — L’Ouvrier d
ernière Heure, (l’Œuvre), 1904. — La Mémoire des Dates, comédie en un
acte
(Grand Guignol), 1905. — Le Bel Atout, comédie en
omédie en un acte (Grand Guignol), 1905. — Le Bel Atout, comédie en 3
actes
(Trianon), 1905. — Cricri, comédie en un acte, (E
el Atout, comédie en 3 actes (Trianon), 1905. — Cricri, comédie en un
acte
, (Eldorado), 1905. — Le Gardien de Square (Théâtr
ue. Anthologie-Revue, Milan, 1895, in-16. — Le Bonheur des Hommes, un
acte
en prose, Sansot et Cie, 1903, in-18. — Maurice D
use, Vialelle et Perry, 1895, in-18. — Le Retour, pièce lyrique en un
acte
et en vers, Toulouse, Vialelle et Perry, 1896, in
es Hommes, Paris, Fasquelle, 1898, in-18. — Le Tocsin, drame en trois
actes
(Théâtre du Capitole, Toulouse, 22 juillet 1900),
ème de la Jeunesse, Paris, Fasquelle, 1901, in-18. — L’Or, drame en 3
actes
(Nouveau-Théâtre, rep. des Poètes), 1901, non pub
re, rep. des Poètes), 1901, non publié. — Le Dernier Rêve, pièce en 1
acte
(Odéon, 1902), Fasquelle, 1902. — L’Histoire merv
Amour, suivie d’autres contes, E. Fasquelle, 1903. — Le Vieil Ami, un
acte
, (Théâtre Antoine 1904), E. Fasquelle, 1904. — Le
orff, 1895. — La Rouille du Sabre, G. Havard, 1897. — Dans la Nuit, 5
actes
(coll. A. de Lorde), joué aux Escholiers, 1897, R
choliers, 1897, Revue Blanche, 1897, in-18. — Loreau est acquitté, un
acte
en collab. avec A. de Lorde. Comédie Parisienne,
. — Terre Promise, roman, Revue Blanche, 1898. — L’Affaire Boreau, un
acte
(coll. A. de Lorde), lib. Théâtrale, 1899. — Les
Revue d’Art dramatique. — Teintes du Nord, id., 1900. — Stella, trois
actes
(avec Jules Case), Renaissance, 1902, Ollendorff,
La Parfaite Maraîchère, E. Fasquelle, 1904. — La Dernière Torture, un
acte
, coll. A. de Lorde (Grand Guignol, 1904), E. Fasq
(François), né à Lavelanet (Ariège). Œuvres. — Andrée, comédie en 1
acte
en prose, jouée au Théâtre du Capitole à Toulouse
s), né à Alais (Gard), le 13 décembre 1875. Œuvres. — Vers la Vie, 1
acte
en prose, Montpellier, La Coupe, 1898. — Tiphaine
es, chez Ed. Girard, in-16, Soleil, 1900. 1900. — L’Âme des Choses, 1
acte
en vers (Théâtre des Poètes, 1903) (non publié).
te en vers (Théâtre des Poètes, 1903) (non publié). — L’Amour vole, 1
acte
en vers joué au Théâtre Victor Hugo, Librairie Mo
tants de Ville, poésie. Mercure de France, 1808, in-18. — Le Saint, 1
acte
en prose, Revue d’Art dramatique, 1902, in-8º. —
rose, Revue d’Art dramatique, 1902, in-8º. — La Médaille Militaire, 1
acte
en prose, Le Libertaire, 1903. — L’Impuissance d’
ablettes romaines, — Odes vernales (1902, Ermitage). — Le Bandeau, un
acte
(1903, Revue d’art dram.). — Les Joues d’Hélène,
erre, 1899. — Le Songe de l’Amour, id. 1900. — La Peur de Souffrir, 1
acte
en prose (Th. Antoine, déc. 1899), A. Lemerre, 19
, Soc. du Mercure de France, 1904, in-18. — Phyllis, tragédie en cinq
actes
et en vers (jouée le 30 mars 1905 aux Bouffes-Par
’Haïti, conférence. Nouvelle Revue Moderne, 1903, in-8º. — Impéria, 4
actes
en vers joués au Théâtre des Poètes (salle du Nou
4 mars 1883. Œuvres. — La Belle Paule (en coll. avec Gh. Gallié), 1
acte
en vers, Toulouse, Petite Revue Méridionale, 1904
rité, roman, Calmann-Lévy, 1905, in-18. — La Mascarade interrompue, 1
acte
(adapté de E. Poë), Grand Guignol, juillet 1905.
a Maison des Souvenirs, poésies, 1906. — La Vieillesse de Pierrot, un
acte
en vers, 1892. — L’Amoureuse Chasteté, roman, 189
— L’affaire Syveton, ouvrage documentaire, 1905. — La Comédienne, un
acte
en prose, 1895. — Inceste d’âmes, cinq actes en c
1905. — La Comédienne, un acte en prose, 1895. — Inceste d’âmes, cinq
actes
en collaboration avec Jean Laurenty (Théâtre Libr
Césarine (1880). — La Glu, roman (1881). — Nana-Sahib, drame en cinq
actes
, en vers (1882). — La Glu, drame en cinq actes (1
a-Sahib, drame en cinq actes, en vers (1882). — La Glu, drame en cinq
actes
(1883). — Miarka, la fille à l’ourse (1883). — Ma
Les Blasphèmes (1884). — La Mer (1885). — Monsieur Scapin, drame en 3
actes
, en vers (1886). — Braves gens (1888). — Le Flibu
es, en vers (1886). — Braves gens (1888). — Le Flibustier, drame en 3
actes
, en vers (1888). — Le Cadet, roman (1890). — Trua
drame lyrique avec musique de Massenet (1891). — Par le glaive, en 5
actes
et en vers (1892). — La Miseloque (1892). — L’Aim
ésie (1894). — Mes Paradis, poésie (1894). — Vers la Joie, conte en 5
actes
(1894). — Flamboche, roman (1895). — Les Grandes
des Amoureuses (1896). — Théâtre chimérique (1896). — Le Chemineau, 5
actes
(1897). — Le Chien de garde, 5 actes (1898). — Co
érique (1896). — Le Chemineau, 5 actes (1897). — Le Chien de garde, 5
actes
(1898). — Contes de la décadence romaine (1898).
ctes (1898). — Contes de la décadence romaine (1898). — La Martyre, 5
actes
(1898). — Les Truands (1899). — La Gitane (1899).
prit toute aryenne, qui a écrit presque entièrement les deux premiers
actes
, et que le Touranien a mis la main au dernier plu
pièce, roman ou poème ; moi je conseillerai à M. Richepin de prendre
acte
de ce conseil bienveillant, mais de n’en point pr
t pas de quoi s’y plaire… Il est délicieux, il est exquis, ce premier
acte
; tout parfumé de l’odeur des blés qu’on coupe, t
convention que celles du théâtre « rosse ». J’aime moins les derniers
actes
. … Le Chemineau n’en reste pas moins une œuvre in
de causalité. Sans doute la base de la liberté est l’attribution des
actes
au moi comme sujet, de telle sorte qu’ils aient l
s, comme il s’agit de savoir si et comment je suis cause, moi, de mes
actes
, la liberté doit, en somme, se définir par rappor
qu’on n’a pas le droit de qualifier liberté plutôt que hasard. Qu’un
acte
se produise sans cause et sans raison, ou tout au
on complète ; est-ce une raison pour qu’il attribue la mort soit à un
acte
de libre arbitre, soit à un hasard, soit à un mir
objet. Notre pensée eût-elle épuisé toutes les raisons possibles d’un
acte
, il resterait toujours quelque chose dont elle ne
e qui n’est pas tout entière expliquée par ses objets ; si bien que l’
acte
intelligent ne paraît jamais lui-même complètemen
à bon droit que les explications trop claires et trop simples de nos
actes
ne nous satisfont pas. Quand les motifs et mobile
indétermination réelle. Si, dans les causes passées et présentes d’un
acte
tout n’est pas pour nous déterminé, à plus forte
d il s’agit de l’avenir. De plus, parmi les causes ou conditions de l’
acte
se trouve alors l’idée même de l’indétermination
de l’avenir par rapport à nous est la condition sine qua non de notre
acte
volontaire. On a soutenu que l’avenir devait appa
nous ne pouvons complètement analyser ni les causes internes de notre
acte
ni celles de notre existence comme sujets conscie
s. Admettre un indéterminisme quelconque, c’est admettre que certains
actes
, considérés sous tel rapport, ne sont pas détermi
ues, que rien de ce qui les a précédés n’entraînait à sa suite. Or un
acte
qui, sous un rapport quelconque, n’a pas de raiso
n capable d’expliquer pourquoi il est tel et non tel, n’est-ce pas un
acte
de liberum arbitrium indifferentiæ ? On répond :
ation des déterministes sur le passé revête cette forme puérile : « l’
acte
une fois accompli est accompli », ni qu’on puisse
u’on puisse ramener à cette tautologie l’assertion déterministe que l’
acte
contraire était impossible. « Il ne saurait être
it impossible. « Il ne saurait être question, dit-on, ni de prévoir l’
acte
avant qu’il s’accomplisse, ni de raisonner sur la
ditions, c’est, dans la durée concrète, se placer au moment même de l’
acte
et non plus prévoir. » — Sans doute on se donne t
es les conditions seront données, y compris telle condition ultime, l’
acte
aura lieu ; en quoi cette prévision est-elle chim
’éclipse ? — On nous répondra que l’éclipse « revient », tandis qu’un
acte
concret et profond ne revient pas. Mais la même é
erminer des relations entre votre caractère supposé connu et certains
actes
compatibles ou incompatibles avec ce caractère ;
re avec le nouveau, avec le changeant, avec l’hétérogène. De ce qu’un
acte
de libre arbitre introduirait une nouveauté absol
L’homme s’est toujours cru libre, surtout dans l’accomplissement des
actes
moraux, et il a toujours fait consister cette lib
igent qui opère la synthèse des différents termes, des motifs et de l’
acte
. Si nous pouvions n’agir qu’en vertu de motifs to
nations, et notre moi se reconnaîtrait tout entier dans chacun de ses
actes
. Ce serait donc la parfaite attribution au moi, q
es tendances vont à l’opposé du mouvement centrifuge qui entraîne à l’
acte
. Psychologiquement, les idées provoquent ce qu’on
puissance en l’air et sans objet, mais du pouvoir de se décider à tel
acte
déterminé, par exemple adresser des excuses à que
, c’est pouvoir agir et vouloir dans telles circonstances, sans que l’
acte
ou la volition soit l’effet de tel et tel ordre d
l’effet de tel et tel ordre de causes ou de raisons. Dira-t-on que l’
acte
indépendant ou la volition indépendante doivent ê
rbitrairement, encore une fois, mais en se voulant elle-même dans tel
acte
particulier et concret qu’elle ne veut pas pour l
tellectuelle, qui permettent au moi de se prendre pour fin et, dans l’
acte
moral, de prendre en même temps pour fin l’être u
e. C’est par un préjugé invétéré qu’on donne pour caractéristique des
actes
libres l’impossibilité de les prévoir. En ce qui
même temps que la reprise de l’admirable scène religieuse du premier
acte
de Parsifal, ont témoigné du succès spontané obte
s’est porté au Châtelet. Nous avons eu, à l’Eden-Théâtre, le premier
acte
, éternellement tronqué, de la Valkyrie, l’ouvertu
rnellement tronqué, de la Valkyrie, l’ouverture de Rienzi, le premier
acte
encore de Tristan, mais avec une Isolde insuffisa
extravagantes paroles. Quant à la fantaisie a piacere sur le deuxième
acte
de Siegfried intitulé « les Murmures de la Forêt
ire un agréable poème symphonique sur les motifs maritimes du premier
acte
de Tristan, avec un titre comme « les Voix de la
t et chœur des Pèlerins, 5 Mars : Concert Lamoureux : 3e scène du 1er
acte
de La Walküre ; ouv. de Tannhæuser. 13 Mars : Con
ne ; Marche et chœur de Tannhæuser. 13 Mars : Concert Lamoureux : 1er
acte
de Tristan (Van Dyck, Blauwaert, mesdames Leroux,
e programme. Mars : Concert Lamoureux : même programme. 27 Mars : 1er
acte
de Tristan. 27 Mars : Concert Pasdeloup : Scène f
tats et ses mouvements. Il y a dans Parsifal deux grands tableaux par
acte
, et plusieurs modifications lentes ou instantanée
t plusieurs modifications lentes ou instantanées. Celles-ci pendant l’
acte
des enchantements. Dans les tableaux fixes, la lu
es colonnades et par l’axe de la pyramide que formeront à la fin de l’
acte
le cercle des chevaliers prosternés à la base, le
e ; mais tout ceci se passe dans l’ombre du premier plan. Au deuxième
acte
, nous sommes chez le nécromancien ; le zig-zag et
ction de Kundry et l’erreur attachée au héros vainqueur. Au troisième
acte
, le premier plan très sombre forme une sorte de g
du chœur sont surtout remarquables dans le second tableau du premier
acte
: on peut dire que c’est ce qui a fait le plus d’
tant l’empreinte d’une désolation, à la chute du jour. Avec le second
acte
, surgit devant nous une rapide apparition de tout
ême, le regarde disparaître et le suit d’un long regard. Le troisième
acte
est séparé en deux tableaux comme le premier. Au
l : on aperçoit une clairière au milieu de la forêt, comme au premier
acte
; au fond monte la prairie ; une hutte adossée au
assistons à ce moment au changement de décor, comme celui du premier
acte
, mais allant dans une direction contraire, Wagner
iolente, qui se passe sur le devant de la scène, tandis qu’au premier
acte
tout se perdait dans le lointain. L’arrivée de Pa
couragé, et semble s’abîmer dans la forêt. En résumé, dans le premier
acte
, sauf ce mouvement de pitié qui l’a saisie, ses g
issonnante, tantôt complètement raidie dans son immobilité. Au second
acte
, après l’évocation de Klingsor, nous voyons surgi
elève et le suit d’un long regard. Nous arrivons enfin à ce troisième
acte
, où le rôle de Kundry, sauf les deux mots : diene
onner comme exemple à tous nos acteurs : elle arrive, dans ce dernier
acte
, où elle n’a rien à chanter, où elle ne fait que
l’expression : « d’un seul coup ». Nous avons montré dans le premier
acte
cette émotion intérieure que l’innocent éprouvait
et qu’il quitte le jardin, vainqueur. Quand il apparaît au troisième
acte
, fatigué de son voyage d’épreuve, couvert d’une a
ncline et prie ; mais sa prière n’est plus désespérée comme au second
acte
, au contraire, c’est avec une foi ardente et tris
Monnaie. Le public rappelle invariablement les artistes après chaque
acte
, après le deuxième tout aussi bien qu’après les a
ini est vraiment dramatique dans les scènes du premier et du deuxième
acte
et Mlle Balensi chante avec beaucoup d’autorité l
e « l’orchestre joue une fugue en matière d’introduction » au premier
acte
. Mais son appréciation du drame et la sincérité d
amyes », la scène des « filles-fleurs », c’est-à-dire la scène 2 de l’
acte
II. Parsifal rencontre dans le jardin enchanté du
8, p. 245-255. L’apparition de ce drame au théâtre a donné lieu à un
acte
ministériel inouï. Le lendemain de la première re
Ce 23 novembre. » Le premier mouvement de l’auteur fut de douter. L’
acte
était arbitraire au point d’être incroyable. En e
d’une pièce de théâtre après la représentation n’est pas seulement un
acte
monstrueux de censure et d’arbitraire, c’est une
lle. Nous le répétons, dans le temps où nous vivons, lorsqu’un pareil
acte
vient vous barrer le passage et vous prendre brus
es secondes seulement dans les intérêts. Le pouvoir s’est trompé. Son
acte
brutal a révolté les hommes honnêtes dans tous le
d’ennemis que le persécuteur. Si maintenant, après avoir établi que l’
acte
ministériel est odieux, inqualifiable, impossible
t la malédiction de M. de Saint-Vallier. Écoutez. Vous êtes au second
acte
. Cette malédiction, sur qui est-elle tombée ? Sur
ême, mais voyons. Probablement rien d’immoral au premier et au second
acte
. Est-ce la situation du troisième qui vous choque
Est-ce la situation du troisième qui vous choque ? Lisez ce troisième
acte
, et dites-nous, en toute probité, si l’impression
t pas profondément chaste, vertueuse et honnête ? Est-ce le quatrième
acte
? Mais depuis quand n’est-il plus permis à un roi
avez d’un côté l’homme et son œuvre ; de l’autre le ministère et ses
actes
. À présent que la prétendue immoralité de ce dram
nant la plaie d’autrui. Il n’est que trop vrai qu’il y a au troisième
acte
de cette pièce un vers ou la sagacité maladroite
est curieux. C’est un de ces instants de fatigue générale où tous les
actes
despotiques sont possibles dans la société même l
lassitude. Il lui sera demandé sévèrement compte un jour de tous les
actes
illégaux que nous voyons s’accumuler depuis quelq
qui n’a d’autre mérite que de ne pas trop dépareiller la collection d’
actes
arbitraires a laquelle il fait suite. Mais si l’o
héâtre, 5e série (1888-1890). — Dix contes (1889). — Révoltée, quatre
actes
(1889). — Le Député Leveau (1891). — Mariage blan
. — Le Député Leveau (1891). — Mariage blanc (1891). — Flipote, trois
actes
(1893). — Impressions de théâtre, 6e et 7e séries
e théâtre, 8e série (1894). — Myrrha (1894). — L’Âge difficile, trois
actes
(1895). — Le Pardon, trois actes (1895). — Les Ro
rha (1894). — L’Âge difficile, trois actes (1895). — Le Pardon, trois
actes
(1895). — Les Rois, cinq actes (1895). — La Bonne
trois actes (1895). — Le Pardon, trois actes (1895). — Les Rois, cinq
actes
(1895). — La Bonne Hélène, deux actes (1896). — L
actes (1895). — Les Rois, cinq actes (1895). — La Bonne Hélène, deux
actes
(1896). — Les Contemporains, 6e série (1896). — I
ions de théâtre, 9e série (1896). — Poésies (1896). — L’Aînée, quatre
actes
(1898). — Impressions de théâtre, 10e série (1898
Barbier, Jules (1825-1901) [Bibliographie] Un poète, cinq
actes
(1848). — L’Ombre de Molière, à-propos en un acte
Un poète, cinq actes (1848). — L’Ombre de Molière, à-propos en un
acte
(1849). — Amour et Bergère, comédie en un acte, e
olière, à-propos en un acte (1849). — Amour et Bergère, comédie en un
acte
, en vers (1849). — André Chénier, trois actes en
t Bergère, comédie en un acte, en vers (1849). — André Chénier, trois
actes
en vers (1849). — Jenny l’Ouvrière, drame en cinq
hénier, trois actes en vers (1849). — Jenny l’Ouvrière, drame en cinq
actes
, avec M. Ad. Decourcelle (1850). — Laurence, dram
cinq actes, avec M. Ad. Decourcelle (1850). — Laurence, drame en deux
actes
, avec M. Th. Barrière (1850). — Les Contes fantas
1810-1889) [Bibliographie] Les Deux Serruriers, pièce en cinq
actes
(1841). — Cédric le Norvégien, pièce en cinq acte
ers, pièce en cinq actes (1841). — Cédric le Norvégien, pièce en cinq
actes
(1842). — Mathilde, pièce en cinq actes (1842). —
c le Norvégien, pièce en cinq actes (1842). — Mathilde, pièce en cinq
actes
(1842). — M. Jules Janin jugé par lui-même (1844)
. — M. Jules Janin jugé par lui-même (1844). — Diogène, pièce en cinq
actes
(1846). — Le Chiffonnier de Paris, pièce en cinq
pièce en cinq actes (1846). — Le Chiffonnier de Paris, pièce en cinq
actes
(1847). — Lettres d’un proscrit (1851). — Loisirs
(1869). — Les Inassermentés (1870). — L’Homme de peine, drame en cinq
actes
(1885). — La Folle d’Ostende. (1886). OPINION.
50-1901) [Bibliographie] Mademoiselle de Vigan, comédie en un
acte
et en vers (1883). — Les Fils de Jahel, drame en
comédie en un acte et en vers (1883). — Les Fils de Jahel, drame en 5
actes
, en vers (1886). — 1802, à-propos à l’occasion du
saire de Victor Hugo (1886). — L’Oiseau bleu, fantaisie poétique en 9
actes
et 3 tableaux, en vers (1895). — Jeanne d’Arc, dr
5). — Jeanne d’Arc, drame en vers (1895). — Jahel, drame lyrique en 4
actes
et 5 tableaux, avec Gallet (1899). OPINION.
là bien des noms et de bien illustres qu’a réunis, dans un seul petit
acte
, une jeune femme, hier inconnue et qui signe Simo
y avait de quoi trembler pour l’œuvre et pour l’auteur. Mais ce petit
acte
a le souffle. Mais sur un fond banal de vers quel
llions et les Apaisements (1871). — Pygmalion, poème dramatique en un
acte
(1872). — Mascarille, à-propos en un acte (1872).
ion, poème dramatique en un acte (1872). — Mascarille, à-propos en un
acte
(1872). — Mascarille, un acte en vers (1878). — L
te (1872). — Mascarille, à-propos en un acte (1872). — Mascarille, un
acte
en vers (1878). — La Vénus de Milo, documents (18
t Noré, poésies (1880). — Othello ou le More de Venise, drame en cinq
actes
et en vers (1881). — Lamartine, poème (1883). — S
en vers (1881). — Lamartine, poème (1883). — Smilis, pièce en quatre
actes
et en vers (1884). — Emilio, drame en quatre acte
s, pièce en quatre actes et en vers (1884). — Emilio, drame en quatre
actes
, en prose (1884). — Le Dieu dans l’Homme (1885).
bord du désert, poésies (1888). — Le père Lebonnard, pièce en quatre
actes
, en vers (1889). — Roi de Camargue (1890). — Jésu
iennes, chants patriotiques (1867). — Ulm le Parricide, drame en cinq
actes
et en vers (1870). — Rome vaincue, tragédie en ci
ame en cinq actes et en vers (1870). — Rome vaincue, tragédie en cinq
actes
et en vers (1873). — Séphora, poème biblique en d
ie en cinq actes et en vers (1873). — Séphora, poème biblique en deux
actes
(1877). — Le Triomphe de la paix, ode symphonique
l’âme, poésies (1883). — La Jeunesse de François Ier , drame en cinq
actes
et en vers (1884). — L’Inflexible, drame en cinq
drame en cinq actes et en vers (1884). — L’Inflexible, drame en cinq
actes
, en prose (1884). — Le Théâtre en France : la tra
Francisque Sarcey Il est vraiment beau, très beau le quatrième
acte
d’Ulm le Parricide. Voulez-vous que je vous en pa
e vous ne deviez probablement jamais le voir. Ulm a tué, au troisième
acte
, son père, le roi du Scandinave, dont il était hé
Siècle, et vous savez que le clou de la pièce qui remplit le premier
acte
est l’accès de delirium tremens qui s’empare de T
dire.) « Ce crescendo qui nous pousse du commencement à la fin de cet
acte
est d’une véhémence sans exemple. » Allons, Paris
il parlait d’une quantité de choses à propos de cette action en trois
actes
, — c’est le mot qu’il substitue à celui d’opéra,
: aux deux premières, c’est le roi lui-même qui donnait, après chaque
acte
, le signal des acclamations.75 L’écho de ces b
é et tiré sur le volet, comme celui de Munich, d’entendre ainsi trois
actes
pendant lesquels il n’y a pas le plus petit inter
, entre autres points lumineux, le magnifique couronnement du premier
acte
, cette conclusion rayonnante à laquelle on tend,
par la force supérieure du génie, amassée et décuplée au courant d’un
acte
entier : il y a là un effet inouï d’accumulation
les Maîtres Chanteurs et Parsifal. Que dire de la partition ? Chaque
acte
, pris en soi, forme une scène gigantesque, d’une
attendant sa fiancée au rivage : — voilà pour les épisodes du premier
acte
, que l’auteur a traduits avec une vérité et une v
de l’œuvre est pour le moins égale à ce qui précède, et le troisième
acte
, en particulier, rempli tout entier par les plain
r d’accent et d’une force d’étreinte incomparables. Quant au deuxième
acte
, qui s’ouvre par une scène charmante entre Iseult
et les infinis bruissements de la forêt pendant la nuit ; ce deuxième
acte
, qui finit d’une façon si grandiose sur les pater
or enchanté d’obéron, entre autres dans la Vision de Rézia au premier
acte
, dans le premier choeur des esprits, mais renvers
usque dans le commencement du choeur des esclaves qui ouvre le second
acte
, etc. Voilà en quelque sorte « le pivot sur leque
te de Portici, quand Masaniello dans son accès de folie, au cinquième
acte
entonne sa barcarolle du deuxième acte, on rencon
n accès de folie, au cinquième acte entonne sa barcarolle du deuxième
acte
, on rencontre une inspiration qui a fait école ;
nt de Valentine : « Quoi, Raoul », lorsque celui-ci, vers la fin de l’
acte
, s’agenouille devant Valentine évanouie, pendant
rche du Sacre du Prophète : « Le voilà le Roi Prophète » du quatrième
acte
dans le récit du Songe, est d’un effet des plus i
même que le retour, dans les violoncelles, de la Pastorale du second
acte
dans la scène de la tente, devant Munster : « Je
mystérieux en trémolo des cordes au moment où, vers la fin du second
acte
, le futur Roi-Prophète s’échappe pour écouter à l
trop incomplet, indiquer encore une Réminiscence dramatique au second
acte
d’HAYDEE (1847), où le traître Malipiéri révèle d
e du fameux Secret, en fredonnant l’air de la grande scène du premier
acte
: « Ah ! que Venise est belle … » Du reste, l’emp
œuvres ; Wagner lui-même a usé de cette idée ; voir dans le troisième
acte
des Maîtres Chanteurs le moment, où surgissent de
Tristan, l’apparition du motif du cygne de Lohengrin dans le premier
acte
de Parsifal, etc., et enfin l’emploi de divers th
même que, dans la Walkirie, celui du songe de Sieglinde, au deuxième
acte
(retour, dans les violoncelles en sourdine, de la
s violoncelles en sourdine, de la mélodie du chant d’amour du premier
acte
). [NdA] 84. Voir dans le grand ouvrage de M. Jah
unow, 1873. [NdA] 85. Voir, dans la scène des deux femmes du premier
acte
, l’apparition fragmentaire du thème du duo du tro
premier acte, l’apparition fragmentaire du thème du duo du troisième
acte
: Hin nimm die seele mein ! [NdA] bc. André Suar
ccès si la pièce tenait ce que promet un si beau prologue ! Au second
acte
, nous sommes dans le salon de la baronne de Montl
baronne est inexplicable, son caractère est un quiproquo. Au premier
acte
, une lettre de notaire la présentait au comte de
a faillir à l’honneur. Toute sympathie se retire de lui dès ce second
acte
. « Où est la femme ? » demandait le juge italien
point de circonstance attenuante : sa cause est perdue. Au troisième
acte
, nous retrouvons Jean de Thommeray, avec ses nouv
uveaux amis, dans son hôtel, battant neuf, de parvenu financier. D’un
acte
à l’autre, il s’est furieusement corrompu à la ca
ces portes ouvertes et fermées, ne fait point un pas durant tout cet
acte
, et Jean de Thommeray achève de s’y discréditer a
triste énigme, et elle ne vaut pas la peine qu’on cherche son mot. L’
acte
suivant nous mène à Trouville, où Jean de Thommer
ué pourtant par son aspect mélodramatique qui rappelle les cinquièmes
actes
de la Porte-Saint-Martin et de l’Ambigu. Justemen
blic s’est ensuite visiblement refroidie ; mais cette glace, formée d’
acte
en acte, s’est faite sans bruit et sans craquemen
st ensuite visiblement refroidie ; mais cette glace, formée d’acte en
acte
, s’est faite sans bruit et sans craquement, et le
épouvantail pour les pères en quête de marier leurs fils. Ce premier
acte
est un peu froid et tourne un peu court ; le joli
ant ranimé : il y jette la chaleur et la clarté d’un rayon. Au second
acte
, la situation semble se nouer et se tendre. Le ma
ment où le drame éclate, l’unique éclair qu’il dégage. On rentre, aux
actes
suivants, dans la monotonie d’une situation trist
n de mari le ravale encore. Il était évident, du reste, dès le second
acte
, qu’une somme quelconque désarmerait ce fantoche,
à grande sensation serait donné, à dix heures et demie, au quatrième
acte
. Je n’ai vu le plan de la ville du Havre, où l’ac
M. Augier, qui compte déjà trois ou quatre chefs-d’œuvre. Le premier
acte
nous introduit, près du Havre, dans une villa d’I
jeune fille la déflore ici. C’est l’esprit qui règne dans ce premier
acte
. Les personnages y montrent déjà leurs caractères
t touchés : on est amusé avant d’être ému. L’émotion vient, au second
acte
, avec une des plus belles scènes de la pièce. La
n détresse, se dévoue à lui sans l’aimer. Nous rentrons, au troisième
acte
, dans la maison Fourchambault, pleine de récrimin
Sganarelle, il leur plairait d’être battues quelquefois. Le quatrième
acte
a une scène délicieuse, celle de la conversion d’
i la relève et la corrige, qui la réhabilite et la purifie. Un pareil
acte
est, sans doute, une exception ; la question est
eu un fils âgé de trois ans, lorsque la toile se lève sur un premier
acte
qui est un prologue. Sternay est riche, et il lai
erteur, qu’elle ne parvient pas à rejoindre. Vingt ans plus tard, aux
actes
suivants, Jacques Vignot, qui se croit Jacques de
jorité envers ses parents. On est froissé de l’entendre, au troisième
acte
, déclarer, tout haut, son amour dans un salon ple
bref et net qu’elle prend pour signifier d’avance à sa grand’mère les
actes
respectueux qui lui permettront d’épouser Jacques
. Pour rentrer dans le mouvement même de la pièce, à partir du second
acte
, l’action semble visiblement épuisée. Elle ne vit
lents, le prologue, comme le malade de Millevoye. Nous apprenons, à l’
acte
suivant, que Clara Vignot doit ses cinq cent mill
scène émouvante et vraie de l’abandon du prologue, les deux premiers
actes
fortement conduits, et où chaque situation fait c
de prise sur la nature mobile du comte, ont mordu sur lui. Le premier
acte
pose, de pied en cap, le brillant et séduisant pe
façon des sangsues, l’or et la vie qu’ils ont soutirés. Dans ce même
acte
, M. de Tournas fait vis-à-vis d’Albertine, dont i
le voilà trouvé. Une excellente scène à noter encore, dans ce premier
acte
, est le dialogue de diplomatie domestique entre l
terdire lui-même. Et le comte accepte, et il signe, de bonne grâce, l’
acte
notarié de sa déchéance ; et ce débat, qui remue
parfait d’enjouement et de confiance affectueuse. C’est au troisième
acte
que l’action s’engage véritablement. On se rappel
avait raison, son fils ne l’aime plus ! La rupture est consommée, à l’
acte
suivant. André s’est retiré à Fontainebleau ; le
retour d’amour paternel désarmant si noblement la colère. Au dernier
acte
, le comte, avant de partir pour son duel, vient à
ses de ce bon côté, on redevient très-indulgent à la pièce. Le second
acte
a des parties énergiques dans le rôle du ministre
traité à merveille. Mais le chef-d’œuvre de la pièce est au quatrième
acte
, dans la scène où le vicomte de Saint-André, pres
vée, il ne s’est plus agi que de l’encadrer, de l’amener : les quatre
actes
qui précèdent peuvent sembler un peu longs pour c
nd M. Scribe, dans sa première manière du Gymnase, procédait par deux
actes
, l’action courait plus vite, et les préparatifs s
ntendu comparer la pièce à un bonbon exquis (cette scène du quatrième
acte
) qui serait enveloppé dans quatre boîtes de carto
e pièce de la Calomnie est très-commode, par cette dilatation en cinq
actes
, qui ne sont pas tous également remplis, pour étu
point de vue du métier : il y a une scène surtout, à la fin du second
acte
, une préparation de musique vocale qu’on voit ven
t Cie (1890). — Potiron (1890). — Lidoire (1891). — Boubouroche, deux
actes
, en prose (1893). — Les Facéties de Jean de la Bu
unesse ! (1894). — Ombres parisiennes (1894). — La Peur des coups, un
acte
(1895). — Le Droit aux étrennes, un acte (1896).
94). — La Peur des coups, un acte (1895). — Le Droit aux étrennes, un
acte
(1896). — Un client sérieux (1897). — Hortense, c
n acte (1896). — Un client sérieux (1897). — Hortense, couche-toi, un
acte
(1897). — M. Badin, un acte (1897). — Les Bouling
érieux (1897). — Hortense, couche-toi, un acte (1897). — M. Badin, un
acte
(1897). — Les Boulingrin, un acte (1898). — La ci
toi, un acte (1897). — M. Badin, un acte (1897). — Les Boulingrin, un
acte
(1898). — La cinquantaine, un acte (1898). — Gros
acte (1897). — Les Boulingrin, un acte (1898). — La cinquantaine, un
acte
(1898). — Gros chagrin (1898). — Une lettre charg
développements épiques. Voyez plutôt comme tout se tient : quand les
actes
sont séparés par un certain laps de temps, et que
éroule, forcément, dans des milieux divers, on ne saurait passer d’un
acte
à l’autre comme on passe, dans un roman, d’un cha
nous le verrons. En outre, puisqu’il se passe tant de choses entre un
acte
et l’autre, il faut mettre le spectateur au coura
’autre, il faut mettre le spectateur au courant, et c’est dans chaque
acte
une petite exposition qui suspend l’action. Or, c
où l’on s’écrase, des vestibules à courants d’air, et le reste… D’un
acte
à l’autre, votre enthousiasme a le temps de se re
ères pièces d’Alexandre Dumas fils. Monsieur Alphonse (1873) a trois
actes
, dans un seul et même décor (chez Montaiglin ; un
s un seul et même décor (chez Montaiglin ; unité stricte). Le premier
acte
commence à 11 heures du matin ; le deuxième suit
heures du soir. Temps total : six heures. L’Étrangère (1876) a cinq
actes
, dont quatre se passent dans le même salon de la
mistress Clarkson (à Paris aussi ; unité presque stricte). Le premier
acte
commence au soir, assez tard ; le deuxième se pas
s en quatre jours consécutifs. La Princesse de Bagdad (1881) a trois
actes
qui se passent à Paris, dans deux maisons diverse
. Total : pas tout à fait vingt-quatre heures. Denise (1885) a trois
actes
qui se passent dans le même lieu, « entre le déje
déjeuner et le dîner » (unités strictes). Francillon (1887) a trois
actes
dans le même lieu (unité stricte). Le premier com
xaminer ses douze drames. Les Soutiens de la société (1877) ; quatre
actes
, dans le même salon-véranda du consul Bernick (un
s le même salon-véranda du consul Bernick (unité stricte). Le premier
acte
: un après-midi d’été ; le deuxième : le lendemai
s. Total : quatre jours consécutifs. Maison de poupée (1879) ; trois
actes
, dans la même chambre de la maison Helmer (unité
dans la même chambre de la maison Helmer (unité stricte). Le premier
acte
commence la veille de Noël, au soir ; le deuxième
soir. Total : trois jours consécutifs. Les Revenants (1881) ; trois
actes
, chez Mme Alving, toujours dans la même chambre (
ez Mme Alving, toujours dans la même chambre (unité stricte). Premier
acte
: dans la matinée ; deuxième : après déjeuner ; t
ain. Total : vingt heures à peine. Un ennemi du peuple (1882) ; cinq
actes
, dans la même ville ; le premier, dans le salon d
heures en quatre jours consécutifs. Le Canard sauvage (1884) ; cinq
actes
, dont le premier chez Werle, et les quatre autres
es dans l’atelier de Ekdal (unité presque stricte). Les deux premiers
actes
remplissent une soirée ; acte III : le lendemain
té presque stricte). Les deux premiers actes remplissent une soirée ;
acte
III : le lendemain matin ; acte IV : à la fin de
emiers actes remplissent une soirée ; acte III : le lendemain matin ;
acte
IV : à la fin de l’après-midi ; acte V : au matin
acte III : le lendemain matin ; acte IV : à la fin de l’après-midi ;
acte
V : au matin suivant. Temps total : trente-six he
uivant. Temps total : trente-six heures. Rosmersholm (1886) ; quatre
actes
; I, III et IV dans le salon de Rosmer ; II dans
soir. Total : quarante-huit heures. La Dame de la mer (1888) ; cinq
actes
; I : véranda chez Wangel ; II : une colline derr
ante heures en trois jours consécutifs. Hedda Gabler (1890) ; quatre
actes
, dans le même salon chez Tesman (unité stricte).
r. Total : trente-six heures. Solness le constructeur (1892) ; trois
actes
, tous chez Solness ; bureau, petit salon, véranda
chez Solness ; bureau, petit salon, véranda (unité presque stricte).
Acte
I : fin d’après-midi ; acte II : le matin suivant
t salon, véranda (unité presque stricte). Acte I : fin d’après-midi ;
acte
II : le matin suivant ; acte III : au soir du mêm
ue stricte). Acte I : fin d’après-midi ; acte II : le matin suivant ;
acte
III : au soir du même jour. Total : vingt-quatre
u même jour. Total : vingt-quatre heures. Petit Eyolf (1894) ; trois
actes
, chez Allmer : véranda, bosquet, jardin (unité pr
ir. Total : trente-six heures. Jean-Gabriel Borkmann (1896) ; quatre
actes
; I et III dans le salon de Madame Borkmann ; II
ntation. Quand nous nous réveillons d’entre les morts (1899) ; trois
actes
: une station de bains sur la côte de Norvège — u
rités immatérielles exprimées par certains procédés ; die implique un
acte
de foi. En d’autres termes, plus réalistes : la n
ut autre la psychologie du lecteur. 59. À remarquer que ce cinquième
acte
devrait se dérouler, logiquement, dans trois lieu
; ne vous étonnez point si elle nous arrête à chaque pas. Le premier
acte
met en jeu presque tous les personnages de la piè
reux. Brenu est le prête-nom de ses stellionats, le signataire de ses
actes
fictifs et de ses contrats usuraires ; Brenu est
fièvre jaune, c’est qu’il a la vue basse, comme tous les amants. D’un
acte
à l’autre, un an s’est passé ; la toile se relève
lle de ces pièces d’argent et d’affaires qui, lorsqu’elle est en cinq
actes
, vous fait l’effet du Code à cinq tranches. On y
cinq tranches. On y parle en style de papier timbré, on y dresse des
actes
de vente et des contrats de mariage, à dérouter u
nts signaient, et tout était dit. Je regrette fort, pour ma part, ces
actes
en l’air bâclés à la diable : Allons monsieur, s
te fausse dans tout le rôle ; le personnage est complet. Le troisième
acte
nous reconduit chez madame Lecoutellier presque r
t brisé qu’on peut faire mouvoir, mais qui ne joue plus. Au quatrième
acte
, le drame bifurque et nous fait, en quelque sorte
rte d’un masque d’avare pour repousser d’elle celui qu’elle aimait. L’
acte
devrait finir par cette brûlante et chaste explos
oie principale de la comédie, et prendre l’embranchement du quatrième
acte
; cette petite cause ne vaut pas le voyage. Il y
. Nous allons voir si, à l’œuvre, il y gardera son aplomb. Le premier
acte
nous introduit dans la maison de M. Tenancier, un
sous la garde de la marquise, dans cette maison d’adoption. Au second
acte
, l’action n’avance guère ; elle est remplacée, du
e, nous parions aussi qu’elle en sortira saine et sauve. Le troisième
acte
accélère l’action retardée. Je voudrais en retran
te tirer d’affaire sans m’épouser ! » lui dit Navarette. Depuis deux
actes
, le public a presque perdu de vue l’ingénieur ; i
ousser des cris inhumains. Cette lettre, nous l’avons vue, au premier
acte
, égarée par M. Tenancier, sur son bureau, au mome
bé des mains du père dans la poche du fils, et qui menace, au dernier
acte
, d’empêcher le mariage de Lucien et d’Aline Lagar
vre supérieure par bien des endroits. La scène admirable du troisième
acte
suffirait à la maintenir. Un tel fragment est une
ferait le bruit d’une victoire. M. Emile Augier a refait le cinquième
acte
de la Contagion. Je reconnais ce qu’a d’honorable
st ; ses défauts mêmes font partie de sa raison d’être. Lui couper un
acte
, c’est l’amputer d’un membre ; le remplacer par u
soit un dossier bien mince pour la grande affaire d’un drame en cinq
actes
. Mais cette simple variante suffit pour me faire
trigaud. On se souvient que, dans la première version de ce cinquième
acte
, le jeune Lucien venait faire à son père, en larm
ibue. Posé d’abord en aventurier du grand monde, d’Estrigaud tombe, d’
acte
en acte, au niveau des fripons infimes qui jouent
sé d’abord en aventurier du grand monde, d’Estrigaud tombe, d’acte en
acte
, au niveau des fripons infimes qui jouent les tra
e était lorsqu’elle a paru. En ce sens, on peut dire que ce cinquième
acte
est une cinquième roue. Il restera du moins à M.
e l’état civil tout ce qu’on pouvait espérer d’y rencontrer en fait d’
actes
de naissance, de mariage ou de décès. Comment s’y
pour atteindre quelque autre source de documents précis ? Il y a des
actes
notariés : il est impossible que Molière et ses
Il s’agissait avant tout, pour cela, de mettre la main sur un premier
acte
qui menât à d’autres. M. Soulié, raisonnant métho
res. M. Soulié, raisonnant méthodiquement, s’est dit que, d’après les
actes
trouvés par Beffara, Molière n’avait laissé qu’un
sieur de Montalant, s’était retirée avec son mari à Argenteuil. Leurs
actes
de décès, donnés par M. Taschereau, constataient
conque (un titre de propriété), laquelle le renvoya à d’autres, à des
actes
passés à Paris, et comment, de contrat en contrat
de il y a environ cent cinquante ans ; vous devez avoir minute de tel
acte
passé par-devant ce prédécesseur, et je viens pou
de dossiers, morts dès longtemps à la lumière ; pour trouver un seul
acte
, il faut étaler, dépouiller tout cela, il faut to
audé à Rome au sortir de chez les bouquinistes, mais tenant en main l’
acte
qu’il désirait, qu’il avait flairé et dénoncé à l
issier du roi ; il n’eut cette charge qu’en avril 1631, en vertu d’un
acte
de résignation d’un sien frère cadet, Nicolas Poq
é dans la société, Molière en devient le chef. Son nom, dans tous les
actes
, précède toujours celui de ses associés ; en même
er de la somme par lui avancée, « d’autant plus, est-il relaté dans l’
acte
, que ce qu’en a fait ledit sieur Aubry n’a été qu
ur Molière se font jour ici, à travers les formules inséparables d’un
acte
notarié. Voilà ce que M. Soulié a reconquis de ce
ées à plaisir et auxquelles M. Bazin a fait rude guerre, mais par des
actes
positifs dont minute doit se trouver dans des étu
eur Molière), je lui demanderai s’il sait quelle est la pièce en cinq
actes
, avec cinq personnages principaux, trois surtout
en douter. Horace et Agnès ne se rencontrent en scène qu’au cinquième
acte
. Ce n’est pas l’effet d’un calcul ni d’une préméd
ïve de l’humanité, une représentation de la grande comédie « aux cent
actes
divers », se déroulant, se découpant à nos yeux e
sommes tentés de prendre la connaissance de nos états passés pour un
acte
simple et spirituel. VI. Mécanisme de la mémoire.
sommes tentés de prendre la connaissance de notre état actuel pour un
acte
simple et spirituel. — La représentation, concept
me lorsqu’il voit une comédie nouvelle de Dumas fils ; vingt fois par
acte
, nous avons une ou deux minutes d’illusion complè
e, puis recommence à croire, puis cesse encore de croire ; chacun des
actes
de foi finit par un démenti, et chacun des élans
e illusion de la conscience. — Quand un psychologue observe un de ses
actes
de mémoire, il remarque d’abord que c’est une con
examine alors cette connaissance, il est tenté de la prendre pour un
acte
simple et nu, dépourvu de tout caractère, sauf so
bjet. Partant il est disposé à considérer cette connaissance comme un
acte
pur d’attention, acte d’espèce unique, incomparab
isposé à considérer cette connaissance comme un acte pur d’attention,
acte
d’espèce unique, incomparable à tout autre, dont
ement qu’il nous met en communication avec notre passé. — Mais si cet
acte
lui paraît spirituel et pur, c’est qu’il est vide
fabriquer avec eux l’objet. En effet, ce qui constitue le souvenir ou
acte
de mémoire, c’est l’image présente qu’a laissée e
nsation, pour les reporter sur la sensation elle-même ; elle était un
acte
plein, vous faites d’elle un acte abstrait ; comm
sensation elle-même ; elle était un acte plein, vous faites d’elle un
acte
abstrait ; comme cet acte ne renferme plus rien,
était un acte plein, vous faites d’elle un acte abstrait ; comme cet
acte
ne renferme plus rien, on n’en peut rien dire ; o
dans la perception extérieure, nous avons le tort de dédoubler notre
acte
intérieur, et ici, comme dans la perception extér
ôté, comme c’est en nous et présentement qu’il se passe, il est notre
acte
présent ; de l’autre côté, comme il est hallucina
ent passé. Tant qu’on n’a pas fait cette remarque, on le dédouble, en
acte
intérieur et en objet connu. Dans cette opération
édouble, en acte intérieur et en objet connu. Dans cette opération, l’
acte
perd tout ce que l’objet gagne ; il se fait un tr
ans le souvenir comme dans la perception extérieure, l’esprit fait un
acte
sui generis, simple, irréductible à tout autre, m
; comme il s’agit d’une connaissance, on veut absolument y trouver un
acte
de connaissance et un objet connu ; on se la figu
y a pas en moi deux événements, d’un côté ma conception, de l’autre l’
acte
par lequel je la connais, mais un seul événement,
inctifs, il ne nous reste plus rien pour constituer de l’autre côté l’
acte
de connaissance. Cet acte est vide ; d’où il arri
plus rien pour constituer de l’autre côté l’acte de connaissance. Cet
acte
est vide ; d’où il arrive que nous l’estimons pur
la coulisse) les quelques mesures de l’alto solo, à la fin du premier
acte
de Parsifal. Un troisième Marke, M. Gura, déjà ch
qui vont vivre la vie terrible de l’amour jusqu’à la mort. Le premier
acte
, c’est l’instant décisif où, après de longues lut
ntrevoient la suprême délice de leur libération ; enfin, le troisième
acte
, dans ce paysage de mer et de plage dont les brui
désirs, — Parsifal. Les souffrances d’Amfortas, emplissent le premier
acte
; et le second acte c’est la lutte de ces deux co
Les souffrances d’Amfortas, emplissent le premier acte ; et le second
acte
c’est la lutte de ces deux contraires, le désir e
55, Parsifal, à la recherche du Saint-Gral, devait, dans le troisième
acte
, arriver en pèlerin à Karéol (Bayr. Bl., 1885, 28
t tous ces projets de côté, il se remit au Ring et composa le premier
acte
de Siegried. C’est pendant ce travail que, le jou
s qu’il ne savait pas encore de quelle manière il ferait le troisième
acte
de Tristan (R. Pohl, Musik. Woch., 1883, 337) ; i
ner se remit à Siegfried après avoir terminé la composition du second
acte
, il reprit son projet de Tristan et, pendant deux
… » Dans le Ring et dans Tristan (que le maître considérait comme un
acte
du Ring) Wagner avait créé l’image de la vie-réel
ande, dirigée par M. Roeder. Tannhaeuser. Grand-opéra romantique en 2
actes
, paroles et musique de Richard Wagner, 1855. In-8
musique de Richard Wagner, 1855. In-8°. Tannhaüser : Opéra en trois
actes
de Richard Wagner. Représenté pour la première fo
teur, Libraire de l’Opéra. 1861. Petit In-8°. Rienzi : Opéra en cinq
actes
. Paroles et Musique de Richard Wagner. Traduction
Librairie dramatique, 1869. Petit in-8°. Lohengrin : Opéra en trois
actes
de Richard Wagner, traduction de Charles Nuitter.
es Gens de Lettres. 1870. in-8° Le Vaisseau Fantôme : Opéra en Trois
Actes
de Richard Wagner. Traduction française de Charle
nche : à 7 heures du soir, le rheingold ; Lundi : à 4 heures, premier
acte
de la Walküre, à 6 heures deuxième, à 8 heures tr
« Pour obtenir le juste effet scénique il faut pendant la durée de l’
acte
diminuer l’éclairage de la salle au point de rend
, être et faire misérable, souffrir ; hélas ! et voilà que son propre
acte
se tourne contre elle-même, et c’est le suicide i
sont rendus au festival. [NdE] aq. L’Africaine est un opéra en cinq
actes
de Meyerbeer sur un livret de Scribe. Il fut créé
n. [NdE] as. Frédéric Ier est un projet d’opéra historique en cinq
actes
datant des années 1846-1849. [NdE] at. Ce nom es
. [NdE] at. Ce nom est une allusion au livret de Parsifal. Au second
acte
, Klingsor appelle Kundry ainsi : « Rose infernale
ée dans un profond sommeil dont la tire violemment Wotan au troisième
acte
de Siegfried. [NdE] ax. L’expression « Pur et Fo
mités (1868). — Les Poèmes modernes (1869). — Le Passant, drame en un
acte
et en vers (1869). — Les Deux Douleurs, drame en
drame en un acte et en vers (1869). — Les Deux Douleurs, drame en un
acte
et en vers (1870). — L’Abandonnée, drame en deux
rs, drame en un acte et en vers (1870). — L’Abandonnée, drame en deux
actes
, en vers (1871). — Fais ce que dois, un acte, en
andonnée, drame en deux actes, en vers (1871). — Fais ce que dois, un
acte
, en vers (1871). — Les Bijoux de la délivrance (1
rs (1871). — Les Bijoux de la délivrance (1872). — Le Rendez-vous, un
acte
, en vers (1872). — Les Humbles, poésies (1872). —
5). — Une idylle pendant le siège (1875). — Le Luthier de Crémone, un
acte
, en vers (1876). — Le Trésor (1877). — L’Exilée (
ies (1878). — La Korigane, ballet (1881). — Madame de Maintenon, cinq
actes
, en vers (1881). — Les Contes en prose (1882). —
en vers (1881). — Les Contes en prose (1882). — Severo Torelli, cinq
actes
, en vers (1883). — Les Jacobites, cinq actes, en
. — Severo Torelli, cinq actes, en vers (1883). — Les Jacobites, cinq
actes
, en vers (1885). — Les Contes rapides (1886). — L
résenter hier à l’Odéon plus de talent que dans cette comédie en cinq
actes
que je pourrais vous citer, si je ne craignais pa
semaine, l’Abandonnée, de M. François Coppée, un petit drame en deux
actes
et en vers. — Pour M. François Coppée, ce n’est q
le Cuisinier grand homme, tableau politique à propos de lentilles (un
acte
en vers), publié sous le nom de M. Beuglant, poèt
laboration avec M. Alexandre Dumas (1837). — L’Alchimiste, drame en 5
actes
et en vers, avec M. Alexandre Dumas (1839). — Léo
t en vers, avec M. Alexandre Dumas (1839). — Léo Burclart, drame en 5
actes
, en prose, avec M. Alexandre Dumas (1839). — Scèn
la vie orientale (1848-1850). — Les Monténégrins, opéra-comique en 3
actes
, en collaboration avec M. Alboize (1849). — Le Ch
on avec M. Alboize (1849). — Le Chariot d’enfant, drame en vers, en 5
actes
et 7 tableaux, traduit du drame indien du roi Sou
magier de Harlem ou la Découverte de l’imprimerie, drame-légende en 5
actes
et 10 tableaux, en prose et en vers, en collabora
menade autour de Paris (1855). — Misanthropie et repentir, drame en 5
actes
, en prose, de Kotzebue, traduction (1855). — La B
essayions de faire valoir auprès de lui la nouveauté au théâtre de l’
acte
de l’Opéra ; il nous répondait que cela avait été
Vaudeville. Ce que le Théâtre-Français retrancherait, dans le premier
acte
, sera retranché partout ailleurs et avec les même
mes, sur les intelligentes indications de M. Thierry, notre troisième
acte
, pour adoucir, au point de vue de la scène, ce qu
ans les Correspondances. Le Nord signalait et racontait notre premier
acte
, en lui prêtant les couleurs d’une turpitude immo
e nous, aussi soucieux de leur dignité, et qui ne croyaient pas faire
acte
d’insolence envers le public, en consultant le pr
elle parlait du morne silence dans lequel avait été écouté le second
acte
, de l’attitude somnolente du public au troisième.
ont les bouts les moins roussis et les moins usés ! Sifflé un premier
acte
dont le réalisme n’a même pas le charme de la nou
du Mardi-Gras sont moins retroussés et plus joyeux ! Sifflé un second
acte
dont la fantaisie court à travers un monde d’apho
t au baiser ridicule d’une femme de quarante ans. Sifflé au troisième
acte
… Oh ! le troisième acte !… N’est-ce pas du Girard
ne femme de quarante ans. Sifflé au troisième acte… Oh ! le troisième
acte
!… N’est-ce pas du Girardin, première édition, no
qu’ils ont applaudi, en dehors du magnifique jeu des acteurs, un seul
acte
, une seule scène, une situation, un mot, et nous
elle pièce, Henriette Maréchal. Il faut que la toile tombe au premier
acte
. « Signé : PIPE DE BOIS. » « 11 décembre 1865. »
ons théâtrales ordinaires, trouvant déjà assez brave d’avoir risqué l’
acte
du bal masqué, un acte qui avait le mérite de la
es, trouvant déjà assez brave d’avoir risqué l’acte du bal masqué, un
acte
qui avait le mérite de la nouveauté, et d’un espr
événements, j’ai à craindre qu’ils ne découvrent, en notre troisième
acte
— écrit en 1867, dans la prévision certaine de la
. Je ne tiens pas compte toutefois d’un Étienne Marcel, drame en cinq
actes
et en vers, commis en rhétorique par mon frère, e
avoir l’honneur d’être admis parmi ses membres. Le vaudeville en deux
actes
, terminé et baptisé Sans Titre, nous nous trouvio
donc ? J’allai chercher le manuscrit et je lus une partie du premier
acte
. — Vous me faites poser, me jeta mon ami en m’int
tte fois, directement au Palais-Royal, un nouveau vaudeville en trois
actes
intitulé : Abou-Hassan, que M. Coupart nous retou
t proverbe qui devait s’appeler : La Nuit de la Saint-Sylvestre 30. L’
acte
fait, Janin nous donne une lettre pour Mme Allan.
ine-Montigny, à la date d’avril 1852, me parlant de la fraîcheur d’un
acte
au Bas-Meudon, et qui me rappelle vaguement que n
anière des vieux bouffons italiens, intitulée : Mam’selle Zirzabelle,
acte
pour lequel, je ne suis pas bien sûr que mon frèr
n ces années, où nous nous occupions historiquement du Directoire, un
acte
présenté au Théâtre-Français, que je regrette de
faite sur le Directoire, bien avant les pièces à succès. Et ce petit
acte
appelé par nous : Incroyables et Merveilleuses, c
ryon du roman qui a pour titre aujourd’hui Charles Demailly. Les cinq
actes
terminés dans l’été de 1857, nous les lisions à n
elle le paraissait à mes auditeurs. Enfin la pièce, réduite en quatre
actes
, était présentée au Vaudeville et sa réception d’
ante à toutes les pièces du monde, il n’y a jamais eu pour nous qu’un
acte
original et bien personnel à nous : le Bal masqué
original et bien personnel à nous : le Bal masqué. Et quand, dans cet
acte
, nous jetions cette poésie soupirante d’un jeune
tion fut commencée en octobre 1857. L’esquisse orchestrale du premier
acte
porte la date du 15 janvier 1858 ; la partition d
u premier acte porte la date du 15 janvier 1858 ; la partition de cet
acte
fut envoyée à MM. Breitkopf le 3 avril 1858, L’es
cte fut envoyée à MM. Breitkopf le 3 avril 1858, L’esquisse du second
acte
est de l’été 1858, au moins en partie. Au mois d’
ée, Wagner quitta Zurich définitivement. C’est à Venise que le second
acte
fut terminé ; l’esquisse orchestrale porte la dat
trale porte la date du 9 mars 1859. La première esquisse du troisième
acte
est sans doute aussi de 1858, et a été terminée à
omne 1856 il se mit vaillamment à Siegfried. Mais arrivé au troisième
acte
, l’obsession devait nécessairement le reprendre,
e cadre tracé par son Ring ; au contraire, que cela en formerait « un
acte
complémentaire » (VI, 479). Je crois qu’on trouve
Et, en vérité, quel effet prodigieux feraient le premier et le second
acte
chantés et joués par des Italiens qui seraient à
arle des nuits passées sur son balcon à Venise. Il écrivait le second
acte
à ce moment, et esquissait le troisième. III
ples détails je signalerais, pour exemple, ce beau passage du premier
acte
, lorsque Tristan tend son épée à Isolde pour qu’e
aire les paroles de Wagner, un jour qu’il jouait à une amie le second
acte
: « Déjà les anciens avaient reconnu dans Eros le
nner que, parmi les choses essentielles, le roi Marke et le troisième
acte
en entier sont de tous points la création du maît
ce sujet ; mais on fera bien de ne point la lire. — Dans le troisième
acte
, on remarquera surtout ce trait caractéristique,
ge un mot qui a rendu plus d’un critique perplexe : « Action en trois
actes
. » Des admirateurs y ont vu une intention profond
(Bulletin distribué avec les programmes lors des auditions du premier
acte
de Tristan en 1884 et signé Charles Lamoureux). E
ple plus parfait de ce système que la phrase d’Isolde dans le premier
acte
: « Mir erkoren, — mir verloren, — hehr und heil,
si à celle de Tristan et d’Isolde, Le discours du roi Marke au second
acte
est particulièrement instructif ; car il exprime
es et pleines de reproches, elle ressemble à celle de Wotan au second
acte
de la Walküre ; lorsque la douleur l’accable, l’a
te, soigneusement. Et à cet effet je lui recommande surtout le second
acte
, depuis l’entrée de Tristan jusqu’au « Sink herni
tan’s Ehre. hoechste Treu, etc. »89. — Et on trouvera dans ce premier
acte
un troisième genre de précision de la parole : c’
de saisir le tout à une première audition. Nous avens donc un premier
acte
avec un langage toujours précis, et très attrayan
ayant psr la variété de sa précision. Combien différent est le second
acte
! Déjà la première scène, entre Isolde et Brangae
maine dénomme l’Inexprimable » (IV, 218). Et dans cette fin du second
acte
, la musique devient donc l’interprète presque exc
uprême volupté d’amour). L’espace me manque pour étudier le troisième
acte
ainsi que je viens d’étudier le premier et le sec
unité vivante et organique. Wagner a dit lui-même, à propos du second
acte
: « Il ne se passe ici presque rien que de la mus
ai jamais vue citée, à la tête de ceux qui avilissent précisément cet
acte
et son auteur, en prêtant soit à l’un, soit à l’a
ui, sérieusement, nous demandent plus d’action dans les deux derniers
actes
de Tristan. Dans un livre intéressant et impartia
vol. VII des Écrits. — Il y a deux passages importants dans le second
acte
, qui ne se trouvent pas dans la partition, et pui
première esquisse, Parsifal devait arriver à Karéol dans le troisième
acte
; de nouveau un trait emprunté au roman français.
mourir promis ! ». Traduction d’André Miquel, Folio Théâtre, 1996.
Acte
I, scène 2 de Tristan. [NdE] bi. Sur le style de
ie énoncée par la voix céleste descendant de la coupole à la fin de l’
acte
I : « Durch Mitleid wissend, der reine Tor »,
bjective au nom de laquelle le groupe puisse demander à l’individu un
acte
de soumission intellectuelle ? — Impossibilité d’
du premier. Son scepticisme à l’endroit de l’hérédité correspond à un
acte
de foi fanatique dans la vertu de l’éducation. Il
bées, à la conception d’une communion transcendantale des moi, dans l’
acte
religieux ou dans l’acte esthétique. Un pas de pl
ne communion transcendantale des moi, dans l’acte religieux ou dans l’
acte
esthétique. Un pas de plus et les adeptes de cett
ource personnelle pour se hausser et se guinder vers l’idée pure ou l’
acte
pur ou quelque autre révélation transcendantale,
éduit à une soumission nominale, à la signature d’un formulaire, à un
acte
tout formel d’obédience. Toutes les Églises, tout
d’abord de sources purement intérieures22. » La science multiplie les
actes
de foi nécessaires à la vie sociale. En nous fami
s enseigneuses de fraternité. La science, dit A. Comte, multiplie les
actes
de foi nécessaires à la vie sociale. Soit ; mais
iale. Soit ; mais la science n’a-t-elle pas supprimé autant ou plus d’
actes
de foi, qu’elle n’en a fondé ? N’a-t-elle pas été
sole des incertitudes de l’esprit humain en matière de science par un
acte
de foi en l’avenir de la fraternité. M. Brunetièr
telligence, fait le vide en elle, qui supprime non seulement tous les
actes
de foi, mais toutes les pensées et se dresse, gri
développement de l’esprit critique aboutit forcément à supprimer tout
acte
de foi. En fait la critique de beaucoup de penseu
t appliquée qu’à un nombre limité de questions : en rejetant certains
actes
de foi primés, ils en conservaient ou même en ins
nète. C’est que toute activité théorique ou pratique suppose certains
actes
de foi. Ces actes de foi peuvent être très réduit
ute activité théorique ou pratique suppose certains actes de foi. Ces
actes
de foi peuvent être très réduits en nombre ; ils
un pur irrationaliste serait logiquement réduit au silence. Parmi les
actes
de foi qui ont tenu une grande place dans l’histo
ans l’histoire des idées au cours du xixe siècle, il faut signaler l’
acte
de foi dans la bonté de la nature humaine. Commen
’acte de foi dans la bonté de la nature humaine. Comment entendre cet
acte
de foi et comment l’expliquer ? Cet acte de foi n
umaine. Comment entendre cet acte de foi et comment l’expliquer ? Cet
acte
de foi nous semble intervenir aux époques de tran
des fluctuations de la pensée. Tous les novateurs sont conduits à cet
acte
de foi par une sorte de fatalité historique. La d
où l’homme est livré à lui-même et où par conséquent il doit faire un
acte
de foi en lui-même, il ne faut pas d’ailleurs con
e un acte de foi en lui-même, il ne faut pas d’ailleurs confondre cet
acte
de foi avec un appel aux instincts primitifs de l
de foi avec un appel aux instincts primitifs de l’humanité. C’est un
acte
de foi en ce que nous sommes aujourd’hui, avec to
’hui, avec toutes nos hérédités, avec toutes nos acquisitions. Et cet
acte
de foi est obligatoire, quelles que soient ces hé
us serons plus faibles encore si nous ne croyons pas en nous-mêmes. L’
acte
de foi dans la bonté de la nature humaine répond
s-mêmes. L’acte de foi dans la bonté de la nature humaine répond à un
acte
d’énergie, à une affirmation de vitalité de la pa
s, pour se lancer à la poursuite de l’inconnu. Tel est le rôle de cet
acte
de foi dans l’évolution intellectuelle de l’human
sation à laquelle il collabore. Le penseur individualiste fait ici un
acte
de foi en un idéal qui le dépasse. * * * Mais la
un idéal qui le dépasse. * * * Mais la question est de savoir si cet
acte
de foi n’est pas une duperie. Le progrès intellec
ant de se représenter ce que pourrait être le mode de production d’un
acte
libre, on est contraint de faire appel à des élém
ppel à des éléments qui entrent nécessairement dans la genèse de tout
acte
, dont il est impossible de jamais faire abstracti
il faut bien reconnaître qu’ils ne sont pas sous notre dépendance. Un
acte
libre, et qui semble supposer un choix entre plus
’intervention de la conscience : il faut admettre qu’en présence d’un
acte
à accomplir plusieurs réalisations possibles se r
que l’être libre, que l’on imagine procédant à cet examen, choisit l’
acte
à accomplir et le réalise. Or de quelque ordre de
ments que l’on vient de dire, l’action de ces éléments, facteurs de l’
acte
, combinée elle-même avec l’inclination dominante,
’est pas choisie librement : elle. sort de l’inconnu physiologique. L’
acte
même par lequel un esprit veut se rendre attentif
e la conscience des motifs de se résoudre nouveaux et plus forts, cet
acte
même ne suppose aucune liberté, car il est accomp
de ce que l’on confond constamment le fait de prendre conscienced’un
acte
, d’une intention, d’un effort, ou d’un désir de s
un désir de s’efforcer, le pouvoir spectaculaire de constater que cet
acte
, cette intention, cet effort, ce désir se sont él
t élevés de l’inconnu physiologique, — avec le pouvoirde susciter cet
acte
, cette intention, cet effort, ce désir. Si d’autr
upposerait en effet chez l’homme le pouvoir de conformer toujours ses
actes
aux conclusions de sa raison. Or cette raison lui
bien moral, une seule et même inclination suffit à expliquer tous les
actes
. Elle y réussit en effet dès que l’on retranche l
automates trop parfaits ; l’extrême complexité des mouvements et des
actes
qu’ils sont capables d’accomplir masque la nécess
uelques circonstances se sont ajoutées ou ont fait défaut autour de l’
acte
à accomplir : un bon conseil a manqué, quelque al
, invisible, innommable qui décide avec nécessité de la tournure de l’
acte
. Mais parce que précisément les ficelles qui font
agissent sur la plupart des hommes pour les empêcher de commettre un
acte
— la présence d’autres hommes, la certitude du ch
rès puissant qui fait prendre à celui-ci pour un avantage personnel l’
acte
par lequel il va combler le vœu de l’espèce et se
ction consiste pourtant à relier entre eux par un lien mnémonique les
actes
successifs des différents groupes d’instincts qui
1848-1913) [Bibliographie] Le Dîner de Pierrot, comédie en un
acte
, en vers, avec J. Truffier (1881). — Régine, comé
n acte, en vers, avec J. Truffier (1881). — Régine, comédie en quatre
actes
(1885). — Le Dr Mirimus, avec Cressonnois (1891).
, avec Cressonnois (1891). — Le Dîner de Pierrot, opéra-comique en un
acte
(1893). — La Double Épreuve, comédie en un acte,
, opéra-comique en un acte (1893). — La Double Épreuve, comédie en un
acte
, avec Endel (1894). — La Nuit blanche, pantomime
tomime (1894). OPINION. L.-K C’est un bien délicieux petit
acte
que ce Dîner de Pierrot dû à la collaboration de
ire la représentation et la détermination des effets particuliers des
actes
et des tableaux, dans lesquels se décomposent la
un état d’équilibre à observer. Pour monter telle pièce, c’est faire
acte
de goût que de tempérer l’éclat de la mise en scè
clat de la mise en scène ; pour monter telle autre pièce, c’est faire
acte
d’habileté que de détourner l’attention du specta
ayant une valeur intrinsèque incontestable, mais dont les différents
actes
ont une puissance dramatique inégale, on est obli
le décorateur ne peuvent de la même manière associer la nature à des
actes
humains. Le premier peut saisir la nature dans un
assassin. Le peintre a ainsi associé une tourmente de la nature à un
acte
criminel. La représentation n’en serait pas possi
rait voulu obtenir ; et si l’effet persistait après l’achèvement de l’
acte
associé, il redeviendrait contradictoire comme il
spectateur se trouve ainsi préparé à telle évolution du drame, à tel
acte
tragique d’un personnage, à tel dénouement. Le dr
ndra jamais. Transportons-nous dans le salon de Célimène, au deuxième
acte
du Misanthrope. Lorsque Basque avance des sièges
orter à la mise en scène des Femmes savantes. À la seconde scène de l’
acte
III, lorsque le valet approche les sièges sur les
, le grand art consiste à surprendre le spectateur par un trait ou un
acte
final, qu’il a la satisfaction de déduire immédia
inouï dans les annales dramatiques, dans un tableau qui ouvre un des
actes
de Quatre-Vingt-Treize, le poète a soudain suppri
esse, la Cigale, etc., s’éloignent à chaque instant de la réalité des
actes
et des contingences possibles de la vie. Les comé
soin dans la composition du matériel figuratif. Dans une pièce où un
acte
d’observation se mêlerait à plusieurs actes de fa
atif. Dans une pièce où un acte d’observation se mêlerait à plusieurs
actes
de fantaisie, on verrait de même la nécessité de
ssités scéniques. On en a un exemple frappant dans Ma Camarade, où un
acte
d’observation et de fine comédie s’intercale entr
e, où un acte d’observation et de fine comédie s’intercale entre deux
actes
de pure fantaisie. Tandis que dans ceux-ci la mis
endrai un exemple dans l’Ami Fritz. Le repas que l’on sert au premier
acte
nécessite un grand nombre d’accessoires, qui ont
onçue. C’est ainsi que sont réglés le repas de don César au quatrième
acte
de Ruy Blas, celui d’Annibal et de Fabrice dans l
sante. C’est ce que beaucoup de spectateurs ont pu observer au second
acte
du Marquis de Villemer. Dans un trophée d’armes,
d, par exemple, on examine à ce point de vue la décoration du premier
acte
des Rantzau, on remarque tout d’abord une grande
pathétique des situations. Elle se fait souvent sentir dès le second
acte
, et il suffit d’une idée, d’un vers, d’un mot, d’
vent enfin en une seule, qui se fait sentir, en général, au quatrième
acte
, après lequel il ne reste plus au poète qu’à apai
nance constante de l’idée sur le fait et du développement moral sur l’
acte
matériel. Dans la mise en scène d’une œuvre tragi
hèdre approchent de leur maîtresse, lorsque, à son entrée, au premier
acte
, elle est près de défaillir. Le second peut être
sable de l’interprétation défectueuse du rôle. En dehors du cinquième
acte
, où Thésée écoute le récit de Théramène, accablé
poser que Thésée prenne un siège ; c’est au commencement du quatrième
acte
. Quand la toile se lève, Thésée est assis (pour c
endait à son retour dans son palais. Toute cette première partie de l’
acte
a un caractère délibératif qui permet à Thésée d’
ndrait les imprécations qu’il lance contre Hippolyte. Si au quatrième
acte
il ne s’assied point, c’est qu’à la colère a succ
sur la modification de costume qui s’impose à Théramène au cinquième
acte
. Est-ce vraiment dans cet accoutrement flottant,
te autre produisant un effet analogue) concorderait avec la série des
actes
accomplis par Théramène ; et, lorsqu’il se présen
À la scène, les comédiens modifient leur costume selon les différents
actes
de la vie ; et les femmes, soit qu’elles recherch
à demi décolletée et ses bras sont nus jusqu’aux épaules. Au premier
acte
, un simple voile de gaze est fixé sur sa tête. Sa
lus saisissant, parce qu’ils trahiront l’effort. Dans tout le premier
acte
, Phèdre est sous l’empire du mal qui la tue, et l
rte revêtu l’aspect extérieur du personnage. Mais à la fin du premier
acte
, combien change la situation ! En apprenant la mo
que trop au-devant du coupable espoir qui lui fait horreur. Au second
acte
, elle n’est plus la femme mourante, qui, tout à l
farouche Hippolyte. Le contraste entre ce costume et celui du premier
acte
prépare la scène entre Phèdre et Hippolyte, et le
ons qui s’imposent dans le costume de Phèdre, au premier et au second
acte
. La raison en est certainement dans une fausse co
la marche de l’action et avec la situation des personnages. Au second
acte
, Clytemnestre et Iphigénie doivent porter des cos
êtement, il ne doit pas en être de même d’Iphigénie, qui au troisième
acte
doit paraître le front couronné de fleurs et enve
’aux pieds d’un voile d’une éblouissante blancheur, dont au cinquième
acte
, en s’abandonnant aux mains des soldats, elle se
odifications qu’exigerait le costume d’Agamemnon. On peut, au premier
acte
, admettre et conserver celui qu’il porte actuelle
e, et s’abandonne aux mouvements généreux de son âme. Mais, au second
acte
, le jour s’est levé ; Agamemnon va paraître aux r
juvénile éclat de celui d’Achille. Dans la superbe scène du quatrième
acte
, où les deux héros se mesurent, on aurait devant
re où il faut l’exécuter, et que dans une scène, et par suite dans un
acte
, les positions relatives des personnages sont lié
oite et à gauche de la porte par laquelle elle va sortir. Au deuxième
acte
du Misanthrope, dans la scène des portraits, Céli
Célimène occupe le centre optique ; mais au dénouement, au cinquième
acte
, c’est Alceste qui prend cette place, tandis que
lacés à peu près à la même distance de la ligne optique. Au troisième
acte
du Marquis de Villemer, celui-ci est à droite éva
u décor. Dans Il ne faut jurer de rien, la scène charmante du dernier
acte
entre Valentin et Cécile se passe sur un banc, au
ant soit peu rapprocher la charmille du lieu optique. Dans le dernier
acte
du Monde où l’on s’ennuie, très habilement mis en
s principes de statique théâtrale. La disposition scénique du premier
acte
ne me paraît pas heureusement conçue. La place qu
avec l’importance psychologique et dramatique du personnage dans cet
acte
. C’est d’ailleurs une faute, à mon sens, que de f
r la gauche et de la faire asseoir du même côté, de telle sorte que l’
acte
s’achève sans que le personnage principal, non se
’acte s’achève sans que le personnage principal, non seulement de cet
acte
, mais encore du drame tout entier, ait mis le pie
tique. Cette place à gauche est celle qui lui conviendra au cinquième
acte
, lorsqu’elle sort mourante de ses appartements. L
entre optique. Mais la situation est absolument différente au premier
acte
. Si d’ailleurs mes souvenirs me servent bien, il
ns. On peut citer comme exemple le rôle de la figuration au cinquième
acte
d’Athalie. Au moment où Joad s’écrie : Soldats d
a là un point de contact remarquable avec la physiologie. Au dernier
acte
d’Œdipe roi, le rôle du chœur est plus important
, j’ai vu supprimer la Figuration dans la dernière scène du cinquième
acte
, ce qui est absolument contraire au texte de Raci
ue dans l’humour et dans l’esprit du dialogue. Chapitre XXX Des
actes
et des tableaux. — Confusion fréquente. — Unité d
actes et des tableaux. — Confusion fréquente. — Unité dramatique des
actes
. — Du théâtre espagnol, anglais, allemand. — Les
jour de vingt-quatre heures. L’action se divisait en général en cinq
actes
qui représentaient cinq moments successifs. Toute
i le reprochait au théâtre étranger, un personnage, enfant au premier
acte
, est barbon au dernier. Quant à l’unité de lieu,
ernier. Quant à l’unité de lieu, non seulement le lieu a pu changer d’
acte
en acte, mais encore, à l’exemple de ce qui a lie
Quant à l’unité de lieu, non seulement le lieu a pu changer d’acte en
acte
, mais encore, à l’exemple de ce qui a lieu dans S
exemple de ce qui a lieu dans Shakspeare, les différentes scènes d’un
acte
se passent la plupart du temps dans des lieux dif
r nos affiches, nous voyons à chaque instant annoncé un drame en cinq
actes
et douze tableaux. Je dis douze pour prendre un e
l’esthétique, les douze tableaux devraient se répartir dans les cinq
actes
, de telle sorte que la représentation mît en lumi
ports que doivent avoir entre eux les tableaux renfermés dans un même
acte
. Or, en général, il n’en est absolument rien, et
à quel tableau en est la pièce, ils perdent rapidement la notion des
actes
et sont dans l’impossibilité de dire à quel acte
ement la notion des actes et sont dans l’impossibilité de dire à quel
acte
appartient tel ou tel tableau. Cela tient à ce qu
uns des autres par des entr’actes, absolument comme s’ils étaient des
actes
. Il n’y a que demi-mal quand il s’agit de pièces
. Il n’y a que demi-mal quand il s’agit de pièces modernes, où le mot
acte
et le mot tableau sont si fréquemment confondus,
mot tableau sont si fréquemment confondus, et où l’expression de cinq
actes
n’est qu’une phraséologie de convention. Dans ce
uteur drame en sept tableaux. Mais, alors, pourquoi pas drame en sept
actes
? C’est un hommage tacite rendu à l’antique divis
n dramatique. Ainsi nous constatons une confusion constante entre les
actes
et les tableaux, et il est manifeste que parfois
ot tableau uniquement parce que la durée paraît un peu petite pour un
acte
, ce qui est une très mauvaise raison, un acte n’a
t un peu petite pour un acte, ce qui est une très mauvaise raison, un
acte
n’ayant pas en soi de durée déterminée. D’un autr
présentation des chefs-d’œuvre étrangers. Hamlet est un drame en cinq
actes
et vingt tableaux ; Othello, un drame en cinq act
un drame en cinq actes et vingt tableaux ; Othello, un drame en cinq
actes
et quinze tableaux. Or, pour les adapter à la scè
mont, représenté il y a deux ans à l’Odéon, est dénommé drame en cinq
actes
, huit tableaux. On a fait une économie de sept ta
on dramatique, de telle sorte qu’Othello est devenu une pièce en huit
actes
. Il est clair ici que je ne m’en prends pas à l’a
x exigences théâtrales. C’est donc à la mise en scène que j’en ai. Un
acte
est une division dramatique qui doit avoir un com
et avec le nombre d’événements qu’il imagine s’être passés entre deux
actes
. Donc, en allongeant un entr’acte, nous ne rendon
continuation, après interruption, du moment précédent de l’action. Un
acte
représente une suite de sensations étroitement as
tement associées ; si donc, entre deux tableaux appartenant à un même
acte
, on intercale un entr’acte, on brise un anneau-de
mal à propos un temps de silence. Je n’ignore pas que la division en
actes
des drames de Shakspeare est postérieure au poète
orcément opérer la division des tableaux, dont la répartition en cinq
actes
a etc le résultat d’un travail critique réfléchi,
tât la division générale et qu’on n’altérât pas l’intégrité de chaque
acte
par l’introduction d’entr’actes entre les divers
e et sommaire qui permît de faire à vue, entre les tableaux d’un même
acte
, tous les changements de décorations nécessités p
tent un terme à la confusion qui dure depuis trop longtemps entre les
actes
et les tableaux, et qu’ils réservent le nom d’act
ngtemps entre les actes et les tableaux, et qu’ils réservent le nom d’
acte
à toute suite de scènes formant un tout dramatiqu
comme exemple le drame d’Antony. Si, entre le second et le troisième
acte
, ainsi qu’entre le quatrième et le cinquième, on
er absolument cette objection. Au surplus, quand je dis qu’entre deux
actes
, liés par le pathétique d’une même situation, l’e
il ne s’agit jamais que de la représentation de la vie et de tous les
actes
qui la composent, ni l’auteur, ni le metteur en s
ocratique, étalez devant ses yeux les crimes les plus monstrueux, les
actes
vertueux les plus rares, il s’écriera ingénument
Smilis, joué récemment à la Comédie-Française, on voyait, au premier
acte
, deux vieux amis, l’un amiral, l’autre commandant
le simulacre du baiser, qui aux yeux de la plupart des hommes est un
acte
entaché d’un peu de ridicule. Voilà donc une légè
limite au-delà de laquelle on choquerait la bienséance. Au cinquième
acte
, lorsque Chérubin, croyant embrasser Suzanne, emb
le mari apparaît, l’amant a pu être surprisse livrant à tels ou tels
actes
plus ou moins caractéristiques ; mais ce sont là
cteur pourra se croire permis d’ajouter quelque trait particulier à l’
acte
simple qui est la représentation de l’idée généra
cédents, nous avons parlé du jeu de scène, en le considérant comme un
acte
isolé, détaché d’un ensemble dramatique ou comiqu
e, on a remonté à la Comédie-Française Bertrand et Raton, dont un des
actes
se passe dans le modeste magasin de soieries de R
ique, et de son rapport avec le sentiment d’un personnage. Au premier
acte
du Monde où l’on s’ennuie, lorsque le sous-préfet
ble profond de la jeune fille. Si nous nous transportons au cinquième
acte
d’Hernani, au moment où doña Sol voudrait entendr
Borgia vient de leur faire verser du poison ? Au premier et au second
acte
de Marie Tudor, la même romance chantée par Fabia
e les versets du chant lugubre qui se rapproche. Ruy Blas, au second
acte
, nous offre encore un bel exemple d’intervention
et chaque fois d’une manière différente. Au commencement du deuxième
acte
, au moment du départ des moissonneurs pour les ch
pendant, en dehors de l’effet touchant qu’il prépare pour la fin de l’
acte
, il n’offre guère que l’intérêt de l’exécution mu
agnement, que lorsqu’elle parle. Néanmoins, cette première scène de l’
acte
prépare surtout la dernière. En effet, quand Sûze
ée, mais qui est conforme à l’esthétique du drame moderne. Le premier
acte
de l’Ami Fritz présente un emploi de la musique p
sent non au développement poétique et moral des personnages, mais à l’
acte
qu’ils accomplissent ; non à la vérité générale q
ets et de la confrontation des êtres particuliers qu’a réunis un même
acte
criminel ou une même situation comique. Ce nouvea
e peut en général être résolu. Je prendrai cet exemple dans le second
acte
de l’Ami Fritz :, et je rappellerai aux lecteurs,
Elle ne doit être, en effet, qu’une cause seconde ; c’est ainsi que l’
acte
de venir puiser de l’eau à la fontaine, dans l’ex
elle. Pour éclaircir cette question, prenons un exemple. Au troisième
acte
de Il ne faut jurer de rien, le décor, à la Coméd
éaliser le paysage nocturne décrit par le poète. Au commencement de l’
acte
, de lourds nuages sombres passeraient sur le ciel
re le plus éloquent du drame, soit qu’ils expliquent la fatalité d’un
acte
par l’influence du milieu traversé, soit que par
(1891). — Savoir attendre (1891). — Ailleurs (1892). — Lysistrata, 4
actes
en prose, prologue en vers (1893). — Éducation de
en vers (1893). — Éducation de prince (1894). — Folle entreprise, un
acte
(1894). — Phryné (1894). — Chères Madames (1895).
un acte (1894). — Phryné (1894). — Chères Madames (1895). — Amants, 5
actes
(1896). — La Douloureuse, 4 actes (1897). — L’Aff
Chères Madames (1895). — Amants, 5 actes (1896). — La Douloureuse, 4
actes
(1897). — L’Affranchie, 3 actes (1898). — La Clai
, 5 actes (1896). — La Douloureuse, 4 actes (1897). — L’Affranchie, 3
actes
(1898). — La Clairière, avec L. Descaves (1900).
subsister que la partie saine et virile de l’œuvre. Pas de mots, des
actes
. [La Revue blanche (25 janvier 1893).] Henry B
re, Louis (1851-1908) [Bibliographie] Célimène, comédie en un
acte
, en vers (1885). — Cynthia, comédie en un acte, e
élimène, comédie en un acte, en vers (1885). — Cynthia, comédie en un
acte
, en vers (1885). — Beaucoup de bruit pour rien, c
acte, en vers (1885). — Beaucoup de bruit pour rien, comédie en cinq
actes
, en vers, d’après Shakespeare (1887). — Colibri,
die en cinq actes, en vers, d’après Shakespeare (1887). — Colibri, un
acte
(1889). — Jean Darlot, trois actes (1892). — Ce q
s Shakespeare (1887). — Colibri, un acte (1889). — Jean Darlot, trois
actes
(1892). — Ce que disent les fleurs ; le Son d’une
Tarquin un asile dans sa maison ; c’est encore lui qui, au cinquième
acte
, s’écrie : Mais quand nous connaîtrons le nom de
ce à la crainte, du trouble à la joie : c’est l’artifice du cinquième
acte
de Tancrède. L’auteur n’a, pour occuper la scène,
e pièce de théâtre, dont le plan est jeté sur le papier, distribué en
actes
divisés par scènes, et dont l’objet est clairemen
l’auteur. On trouve, dans les œuvres de Racine, le canevas du premier
acte
d’Iphigénie en Tauride, qui peut servir de modèle
dans ses parties conformément aux règles du théâtre, c’est-à-dire, en
actes
et en scènes. Si l’on est bien rempli de son suje
caractère qu’on veut leur donner. Cela fait, on divise son sujet par
actes
et les actes par scènes, de manière que chaque ac
’on veut leur donner. Cela fait, on divise son sujet par actes et les
actes
par scènes, de manière que chaque acte, quelque g
se son sujet par actes et les actes par scènes, de manière que chaque
acte
, quelque grandes situations qu’il amène, en fasse
iétude de ce qui doit arriver jusqu’à l’entier dénouement. Le premier
acte
est toujours destiné à l’exposition du sujet ; ma
fassent spectacle. En conséquence, on distribue les scènes de chaque
acte
, faisant venir pour chacune les personnages qui y
intérêt de l’action. Les parties du drame étant ainsi esquissées, ses
actes
bien marqués, ses incidents bien ménagés et encha
es uns dans les autres, et qui mettent une espèce d’unité dans chaque
acte
. Cette méthode produit nécessairement deux effets
les incidents et les passions. C’est un sujet d’incidents, lorsque, d’
acte
en acte et presque de scène en scène, il arrive q
dents et les passions. C’est un sujet d’incidents, lorsque, d’acte en
acte
et presque de scène en scène, il arrive quelque c
ance, en Allemagne, avant eux, Herbart et Müller168, ramener tous nos
actes
psychologiques à des modes divers d’association e
, irréductible de notre vie mentale ; qu’elle est au fond de tous nos
actes
; qu’elle ne souffre point d’exception ; que ni l
l’enchaînement de nos idées. La découverte de la loi dernière de nos
actes
psychologiques aurait donc cela de commun avec bi
chaud. Dans tout sentiment il y a donc deux états opposés, dans tout
acte
de connaissance deux choses qui sont connues ense
attention, observation, concentration de l’esprit, doit s’ajouter à l’
acte
de la discrimination pour que la connaissance com
nts nerveux. C’est dans les hémisphères cérébraux que la cohésion des
actes
associés se produit : deux courants de force nerv
ffaiblie. La pensée, dit ingénieusement M. Bain, est une parole ou un
acte
contenu ». « La tendance d’une idée de l’esprit à
, imagination ou idée, à l’action qu’ils représentent, — à produire l’
acte
et non pas seulement à le penser, — c’est là auss
sens musculaire. La perception d’un objet externe n’est nullement un
acte
aussi simple qu’il semble au vulgaire ; pour qu’e
capables d’examiner l’existence d’un monde matériel indépendant : cet
acte
en lui-même serait une contradiction. Nous ne pou
Que l’on remarque d’ailleurs ce que nous mettons de nous-mêmes dans l’
acte
de la perception. La solidité, l’étendue et l’esp
loi fondamentale de l’intelligence, que la condition inhérente à tout
acte
de connaissance, et sans laquelle il n’est point
nsition d’un état à un autre, et les deux états sont renfermés dans l’
acte
de connaître l’un ou l’autre. » Cette nécessité,
qui frappe tout d’abord, dans l’appétition, c’est le renouvellement d’
actes
et de mouvements déjà accomplis antérieurement. P
un certain degré les sentiments et les mouvements impliqués dans les
actes
de poursuivre, de saisir, de dévorer. Cette excit
essentir à un faible degré les états de conscience impliqués dans les
actes
de prendre, de tuer et de dévorer, c’est avoir le
le penchant à prendre, à tuer et à dévorer. Le penchant à produire un
acte
n’est autre que l’excitation naissante des états
re que l’excitation naissante des états psychiques impliqués dans cet
acte
. » On a fait à cette théorie, d’ailleurs incomplè
ontraire, vous admettez dans la remémoration une tendance à achever l’
acte
commencé, et alors cette tendance est un élément
t non déduit. — Voici ce qu’on peut répondre. La tendance à achever l’
acte
commencé est le corrélatif mental de cette loi mé
t commencé dans l’organisme se continue, se propage et se traduise en
actes
. Or, la tendance du mouvement à se continuer exis
se préexistait sous une autre forme dans la force de tension, ainsi l’
acte
particulier et le sentiment particulier sont la s
ents. Toute idée peut donc avoir une double force, 1° une force comme
acte
de représentation, qui fait qu’elle tend à croîtr
Spinoza, parce que nous les désirons. En effet, peut-on dire, dans l’
acte
même de désirer, elles se trouvent mises en rappo
uer l’appétition sensible par des complications purement mécaniques d’
actes
réflexes. Les sensations ont ce caractère qu’elle
ale d’activité n’exprime point une faculté réelle et distincte de ses
actes
concrets, une entité métaphysique. Mais ce qui es
edise ? À la commune voix veut-on qu’il se réduise ? Le Misanthrope,
acte
II, scène v. Le comique est le contraire du tra
urge qui sert une divinité plus puissante, et qui subit dans tous ses
actes
la tutelle et le contrôle de la raison. Or, le ca
point poétique. Revenons au Bourgeois gentilhomme. Les deux derniers
actes
en sont plus poétiques que les premiers. Pourquoi
Molière est un maître. Voilà mon entrée en campagne, et le premier
acte
d’hostilité de ma critique. Si quelqu’un s’en éto
ces interruptions si éminemment comiques dans la suite naturelle des
actes
et des scènes, surtout lorsqu’elles n’ont aucun r
es, ou de ressorts étrangers à la pièce, qui interviennent au dernier
acte
, comme un Deus ex machina. Seulement, ils regarde
’art dans la manière dont le vol de la cassette est amené. Au premier
acte
, dans une scène imitée de Plaute, Harpagon exprim
lque soupçon de son trésor. Il se tranquillise ensuite pendant quatre
actes
, on n’entend plus parler de ses inquiétudes, et l
ans intermèdes, sans baisser la toile, sans marquer la séparation des
actes
que par un air d’orchestre interrompu, sans laiss
s spectateurs et le personnage, et Alceste a le front si morose, cinq
actes
durant, que tous les spectateurs contractent leur
2. La place m’est heureuse à vous y rencontrer. L’École des femmes,
acte
IV, scène vi. 23. Les personnages historiques
eptième leçon. 60. Ibid. 61. Shakespeare, Henri IV, Ire partie,
acte
Ier, scène ii. Traduction de M. Guizot. 62. Acte
nri IV, Ire partie, acte Ier, scène ii. Traduction de M. Guizot. 62.
Acte
III, scène iii. 63. Sixième leçon. 64. Textuel.
. Schlegel. Lui-même ne cite jamais rien. 72. Le Malade imaginaire,
acte
III, scène iii. 73. L’Amour médecin, acte II, s
2. Le Malade imaginaire, acte III, scène iii. 73. L’Amour médecin,
acte
II, scène i. 74. La Princesse d’Élide, acte I,
73. L’Amour médecin, acte II, scène i. 74. La Princesse d’Élide,
acte
I, scène iii. 75. La Critique de l’École des f
scène vii. 76. Le Mariage forcé, scène vi. 77. L’Amour médecin,
acte
IV, scène v. 78. Toutefois, bien d’autres en
imaginées chez les étrangers, etc. — Douzième leçon. 79. L’Avare,
acte
Ier, scène v. 80. Acte Ier, scène x. 81. Aulu
gers, etc. — Douzième leçon. 79. L’Avare, acte Ier, scène v. 80.
Acte
Ier, scène x. 81. Aulularia, II, 2. 82. Les
te Ier, scène x. 81. Aulularia, II, 2. 82. Les Femmes savantes,
acte
V, scène ii. 83. Acte V, scène iii. 84. Ce qu
Aulularia, II, 2. 82. Les Femmes savantes, acte V, scène ii. 83.
Acte
V, scène iii. 84. Ce qui s’éloigne entièrement
u de la fausseté et de la corruption du monde. — Douzième leçon. 85.
Acte
III, scène ii. 86. Nous aurons toujours présen
73), nous avons supposé qu’il faisait allusion ici à la scène vi de l’
acte
III. 89. Textuel. — Nous n’avons voulu supprimer
uelques scènes près, ce n’est pas une comédie. — Douzième leçon. 91.
Acte
I, scène vi. 92. Acte V, scène viii. 93. Prés
n’est pas une comédie. — Douzième leçon. 91. Acte I, scène vi. 92.
Acte
V, scène viii. 93. Présenter toujours à côté d
erez mutins, Plus vous me fournirez matière aux traits malins. 96.
Acte
I, scène vi. 97. Acte V, scène i. 98. Le Misa
me fournirez matière aux traits malins. 96. Acte I, scène vi. 97.
Acte
V, scène i. 98. Le Misanthrope, comme on sait,
on la donna avec ce chef-d’œuvre, et cela cinq fois seulement ». 99.
Acte
IV, scène iii. 100. Acte II, scène vii. 101.
’œuvre, et cela cinq fois seulement ». 99. Acte IV, scène iii. 100.
Acte
II, scène vii. 101. L’auteur comique doit évit
r cela ramènerait infailliblement le sérieux. — Septième leçon. 102.
Acte
IV, scène iii. 103. Le but de l’auteur a été d
tième leçon. 105. Prologue, scène vi. 106. Quatorzième leçon. 107.
Acte
Ier, scène ii. 108. Tout ceci est textuel. — Dou
ci est textuel. — Douzième leçon, t. II, p. 277. 109. Textuel. 110.
Acte
Ier, scène iii. 111. Sixième leçon. 112. Acte I
109. Textuel. 110. Acte Ier, scène iii. 111. Sixième leçon. 112.
Acte
Ier, scène iii. 113. Le Roi de Cocagne, farce e
e cesse jamais d’être légère et inoffensive. — Douzième leçon. 114.
Acte
II, scène viii. 115. Acte II, scène xi. 116. Te
e et inoffensive. — Douzième leçon. 114. Acte II, scène viii. 115.
Acte
II, scène xi. 116. Textuel. 117. Textuel. 118.
(1896, réédité 1898). — Le Diable marchand de goutte, pièce en trois
actes
(1895). — Morteville, drame en trois actes (1896)
de goutte, pièce en trois actes (1895). — Morteville, drame en trois
actes
(1896). — Le Sotrè de Noël, farce rustique en tro
me en trois actes (1896). — Le Sotrè de Noël, farce rustique en trois
actes
, en collaboration avec Richard Auvray (1897). — L
té, drame en trois parties. — Le Lundi de la Pentecôte, comédie en un
acte
(1898). — Chacun cherche son trésor, comédie en t
édie en un acte (1898). — Chacun cherche son trésor, comédie en trois
actes
, en vers et en prose, musique de Lucien Michelot
France en danger. Le genre comique n’a pas été négligé à Bussang : un
acte
amusant, le Lundi de la Pentecôte, a mis en joie
tendue au dialogue. On nomma épisode ce que nous appelons aujourd’hui
acte
, et qui se trouvait renfermé entre les chants du
le chœur parlait dans les entr’actes de ce qui s’était passé dans les
actes
précédents, et c’était une répétition fatigante ;
répétition fatigante ; ou il prévoyait ce qui devait arriver dans les
actes
suivants, et c’était une annonce qui pouvait déro
tinuité de l’action. Outre ces chants, qui marquaient la division des
actes
, les personnages du chœur accompagnaient quelquef
grets de acteurs sur des accidens funestes arrivés dans le cours d’un
acte
: rapport fondé sur l’intérêt qu’un peuple prend
pos à l’esprit, dont l’attention ne pourrait se soutenir pendant cinq
actes
, et n’est point assez relâchée par les chants du
tait là en majorité ; il était chez soi. Le troisième et le quatrième
acte
ont paru parfois languir à la scène. C'est moins
(Tullie,) laquelle s’était allée coucher aussitôt après le troisième
acte
, où son rôle finit. Le parterre avait très-bien j
une tragédie du genre de Genséric, de madame Deshoulières. Le premier
acte
a très-bien réussi ; mais au second acte, la froi
ame Deshoulières. Le premier acte a très-bien réussi ; mais au second
acte
, la froideur, les madrigaux d’Holopherne, d’Holop
mées des Hébreux expulsés hors de la ville ? car c’est dès le premier
acte
qu’il a paru. Ce chat parmi la famine de Béthulie
un échec, une chute honnête. La Presse donne ce matin 26 le premier
acte
entier. Vous verrez s’il justifie le succès de ce
II Un jour, à Bayreuth, sortant d’une représentation du premier
acte
de Tristan et Isolde et gravissant avec un ami la
ttend l’adultère, et le trappe, qui un jour par le vouloir d’Atè et l’
acte
filial sera puni ; telle, dans l’amplitude serein
itation avait pris son esprit mieux expérimenté ; arrivé au troisième
acte
de Siegfried, devant l’efflorescence musicale qui
la fable légendaire, du texte littéraire, des décorations. Au premier
acte
la fable a assez d’importance pour conduire quelq
ues ajoutent peu à la précision des psychologies. Mais, dès le second
acte
, comme s’efface le racontage d’anecdotes ! l’acti
voulait faire chanter à ses voix des paroles articulées. Le troisième
acte
montre plus évidente encore l’exclusive expansion
ive expansion de la musique ; l’historiette qui encombrait le premier
acte
est annulée ; ce n’est plus que le fait moral ; u
rates éléments en vue d’un drame anecdotique. Remémorons les premiers
actes
; le premier acte en majeure partie musical (l’éc
ue d’un drame anecdotique. Remémorons les premiers actes ; le premier
acte
en majeure partie musical (l’éclosion d’une adole
ddendas de faits positifs et de secrets de forge dévoilés ; le second
acte
très incertain, incessamment et au cours de chaqu
la pitié des quelconques chercheurs d’idéal. Alors vient ce troisième
acte
composé après un très long intervalle ; et entend
ux scènes corrélatives de Wotan en face de son rêve et en face de son
acte
, fondamentales du drame, et nécessairement mêlées
point ; il disait notamment les insignes faiblesses du duo du second
acte
, l’homme subitement et immotivement illuminé et d
le plus belle que la Sucher, le Vogl eut-il un plus beau moment à cet
acte
que le Gudehus… » puisque vous êtes en une œuvre
mme par l’opposition des deux contraires désirs, fin et cause de tous
actes
sensibles ; métaphysique un peu factice et à laqu
messe, sous l’entrouvrement d’un voile au spectacle d’âme. Le premier
acte
: — Une longue préparation, d’abord, à des choses
religieuse et concupiscente ! Et s’éloignent les cortèges. Le second
acte
: — Maléfices psychologiques, crie le prélude ; l
et vers l’authentique accomplissement elles aspirent. » Le troisième
acte
: — Au prélude, le morne et le frémissant qui sui
cadavre de Kundry parmi un écroulement cyclique tombe (fin du second
acte
). Troisième acte : dans un passage de nimbes et d
y parmi un écroulement cyclique tombe (fin du second acte). Troisième
acte
: dans un passage de nimbes et d’aube précurseur
hard Wagner (p. 1732). [NdE] ag. La Favorite est un opéra en quatre
actes
de Gaetano Donizetti sur un livret en langue fran
rbeer fut créé à l’opéra de Paris en 1849. Les Troyens, opéra en cinq
actes
d’Hector Berlioz sur un livret du compositeur, in
Le terme de Verwandlungsmusik désigne un passage important du premier
acte
de Parsifal appelé « la scène de transformation
our d’eux. [NdE] ai. Il s’agit d’une réplique de Parsifal au premier
acte
. Gurnemanz découvre le jeune homme et l’interroge
iss ich ihrer Keinen mehr). [NdE] aj. Dujardin fait ici allusion à l’
acte
II de Parsifal. La réplique « ich sah ihn » est
t presque strictement des forces en action, qui se révèlent par leurs
actes
et qui tracent la ligne de leurs caractères par l
qui tracent la ligne de leurs caractères par l’enchaînement de leurs
actes
. Vais-je dire que pour cela ils sont plus vrais q
rsonne n’a mieux su ce que c’est, et n’a mieux montré par une série d’
actes
dérivant tous du même principe, ce que c’est qu’u
l veut émettre, lui Shakespeare, et en lui faisant commettre tous les
actes
qui sont nécessaires à l’auteur pour obtenir ses
, voilà de l’action. Victor Hugo s’amusait à intituler ainsi les cinq
actes
de Bérénice : Premier acte : Titus. — Second acte
Hugo s’amusait à intituler ainsi les cinq actes de Bérénice : Premier
acte
: Titus. — Second acte : Bérénicem. — Troisième a
ler ainsi les cinq actes de Bérénice : Premier acte : Titus. — Second
acte
: Bérénicem. — Troisième acte Invitus. — Quatrièm
rénice : Premier acte : Titus. — Second acte : Bérénicem. — Troisième
acte
Invitus. — Quatrième acte : Invitam. — Cinquième
tus. — Second acte : Bérénicem. — Troisième acte Invitus. — Quatrième
acte
: Invitam. — Cinquième acte : Dimisit. » Plaisant
em. — Troisième acte Invitus. — Quatrième acte : Invitam. — Cinquième
acte
: Dimisit. » Plaisanterie à part, et elle est amu
ar conséquent il ne voyait pas de drame. M. Michaut intitule les cinq
actes
, sans plaisanterie, d’une autre façon : « Premier
tule les cinq actes, sans plaisanterie, d’une autre façon : « Premier
acte
: L’Illusion de Bérénice. — Second acte : Les pre
d’une autre façon : « Premier acte : L’Illusion de Bérénice. — Second
acte
: Les premières inquiétudes de Bérénice. — Troisi
e. — Second acte : Les premières inquiétudes de Bérénice. — Troisième
acte
; La vérité connue de Bérénice. — Quatrième acte
érénice. — Troisième acte ; La vérité connue de Bérénice. — Quatrième
acte
: Le désespoir de Bérénice. — Cinquième acte : La
de Bérénice. — Quatrième acte : Le désespoir de Bérénice. — Cinquième
acte
: La résignation de Bérénice. » Et voilà un drame
de tuer Britannicus, mais recule devant l’exécution jusqu’au dernier
acte
. Et quand on voit Titus, non seulement reculer de
st précisément ce que Racine a voulu. M. Michaut a donné à chacun des
actes
de Bérénice un titre où le nom de Bérénice paraît
me chose avec le nom de Titus, sauf, je le reconnais, pour le premier
acte
. Premier acte : L’Illusion de Bérénice. — Second
le nom de Titus, sauf, je le reconnais, pour le premier acte. Premier
acte
: L’Illusion de Bérénice. — Second acte : Titus s
pour le premier acte. Premier acte : L’Illusion de Bérénice. — Second
acte
: Titus se décide à renvoyer Bérénice, mais ne se
à renvoyer Bérénice, mais ne se décide pas à le lui dire. — Troisième
acte
: Titus, sentant qu’il ne pourra jamais dire lui-
ement, et il faut bien, bon gré, mal gré, que pendant trois ou quatre
actes
, elle soit pleine d’élégies amoureuses. — Nous vo
nt d’arriver à Rome. Ceci, c’est un très bon auxiliaire. » Au second
acte
, Titus apprend que Bérénice est à Ostie, qu’elle
cependant elle ne considère pas la partie comme perdue. Au troisième
acte
, nous voyons avec un certain étonnement Domitian
peur. Je veux réfléchir sur tout ceci. » La scène est très belle. A l’
acte
IV, nous voyons Bérénice, suivant très bien son i
e propos obscurs et qui ne sont que comiques quand on les entend. A l’
acte
V, Domitie devient menaçante. Elle fait entendre
m’en croire absolument. De Tite et Bérénice, il n’a lu que le premier
acte
. Il est plus intéressant, pour savoir ce que le d
à l’autre Domitian-Domitie permet de ne pas montrer Titus au premier
acte
. Autant de gagné. Seulement Racine, en ce premier
tus au premier acte. Autant de gagné. Seulement Racine, en ce premier
acte
, nous montre déjà Bérénice, et il a bien raison.
emier acte, nous montre déjà Bérénice, et il a bien raison. Au second
acte
, dans Racine comme dans Corneille, Titus veut par
ns Racine comme dans Corneille, Titus veut parler et ne parle pas. Un
acte
de gagné, quoique, du reste, la pièce marche. Au
s. Un acte de gagné, quoique, du reste, la pièce marche. Au troisième
acte
, Racine a tout l’avantage, parce que, pendant que
adresse dans l’invention de l’élément latéral et dans la conduite des
actes
dans Racine ; mais disposition, cependant, approx
ependant, approximativement la même. Enfin, dirai-je que le cinquième
acte
de Corneille me paraît décidément meilleur que ce
ent meilleur que celui de Racine ? Voltaire s’excite sur le cinquième
acte
de Racine et le proclame un chef-d’œuvre. A moi i
aller avec dignité, je m’en vais. » Racine a voulu, en son cinquième
acte
, se hausser jusqu’à la tragédie et il s’y est gui
quoi ? Il y a tant de maladresses de détail dans les quatre premiers
actes
, et Domitian et Domitie sont si ennuyeux, qu’on n
tie sont si ennuyeux, qu’on ne peut pas, quand on arrive au cinquième
acte
, le trouver bon. Ce n’est pas possible. Pour mont
es de La Rochefoucauld de 1665. La démission de Bérénice au cinquième
acte
: J’éprouve du Sénat l’amour et la justice Et n’
croire, l’objet des épigrammes de nos parodistes. A la fin du premier
acte
d’Hernani, les auteurs de la parodie mettent dans
ni ont remarqué les deux dénouements d’Hernani ? « Après le quatrième
acte
on croit la pièce finie » était un mot qui courai
née ; tout le monde l’aurait pensé comme vous ; mais il y a encore un
acte
, pour le second et le vrai dénouement de l’ouvrag
e par cor, Ruy Gomez, repoussant les instances d’Hernani au cinquième
acte
, s’écrie : Quoi, remettre à demain ! Tu voudrais
satisfait. La parodie, de nos jours, s’est réfugiée dans le troisième
acte
des revues de fin d’année, « l’acte des théâtres
s’est réfugiée dans le troisième acte des revues de fin d’année, « l’
acte
des théâtres ». Elle y est infinitésimale et se r
8 à 1870 environ. En 1848, elle donna à la Comédie-Française un petit
acte
, pour un anniversaire de Molière sans doute, inti
e, plus explicite, fut plus dur. Il loua la gaieté des trois premiers
actes
, puis fit remarquer (non sans raison) que les deu
siècle ». — « Ah ! s’écriait-il, avec l’accent de l’accablement, cinq
actes
de ces fanfaronnades, de ces amours sans printemp
me qui la méprise, de ce picaro qui vit aux dépens d’une fille ; cinq
actes
d’une comédie dans l’enfance de l’art dramatique,
es, et le spectateur aime à se demander naïvement, à la fin de chaque
acte
, ce qu’ils vont penser et ce qu’ils vont résoudre
mentale « il y a l’étude approfondie de tous les types et de tous les
actes
, bons et mauvais, qui influent fatalement sur une
ituation piquante de Pauline et sa scène admirable avec Sévère au IVe
acte
… » C’est-à-dire que Voltaire n’a vu, dans Polyeu
uelle richesse ! Cela fait pitié ! Et — remarquez-vous — au troisième
acte
, « au moment où Thésée, qu’on croyait mort, arriv
die-Française. La Fontaine de Jouvence, comédie mythologique en deux
actes
, en vers, de M. Emile Bergerat. La Comédie-Fra
ervée. Fi ! Bonsoir ! » Voilà où nous en sommes, à la fin du premier
acte
. Au second — vous connaissez le mythe d’Eve, vous
énéral les femmes ont quelque inclination à la curiosité, — au second
acte
, la même pensée est venue à la jeune Néère et à l
rrais citer encore. Le petit monologue de Daméta au commencement de l’
acte
Il est véritablement, sinon d’un grand poète, du
Juillet 1906. Comédie-Française. La Plus Faible, comédie en quatre
actes
de M. Marcel Prévost. La dernière œuvre de M.
ue nous avons entrevu un instant, sans nécessité du reste, au premier
acte
. Première invraisemblance. Pourquoi diable Jacque
une maîtresse femme, qui n’aime pas les femmes maîtresses. Ce second
acte
, malgré une légère réserve que j’ai été forcé de
Enfin, j’étais dans un très bon état d’esprit à l’issue de ce second
acte
. Je n’ai pas eu beaucoup d’agrément à partir de c
’ai pas eu beaucoup d’agrément à partir de ce moment-là. Au troisième
acte
, les maladresses et les invraisemblances s’accumu
e, les maladresses et les invraisemblances s’accumulent. Le troisième
acte
c’est, comme il sera intitulé sur les affiches de
: la machination, horribles détails. Au commencement de ce troisième
acte
, onze jours s’étant passés depuis le précédent, J
re de la vérité moyenne et courante. Comme nous sommes loin du second
acte
, qui, lui, était si vrai et d’une vérité, sinon f
oins précise et prégnante ! C’est ainsi préparé, — et si ce troisième
acte
est plein d’invraisemblance et d’outrances, il fa
cques. Nous sentons que Jacques est perdu pour Germaine. Au quatrième
acte
, il revient cependant chez lui. Supposez, ce qui
remière, est renvoyée à une certaine distance, quelquefois à un autre
acte
. Voyez Horace, voyez Bérénice. Seulement, permett
mble n’être qu’un expédient arbitraire pour permettre qu’un quatrième
acte
ait lieu. Par conséquent, durant cette seconde pa
rième acte ait lieu. Par conséquent, durant cette seconde partie, à l’
acte
IV, de la scène du III, nous dirons sans cesse, n
public : « Hé ! imbéciles ! voilà ce que vous auriez dû vous dire à l’
acte
III », et tout ce qu’ils diront de raisonnable à
vous dire à l’acte III », et tout ce qu’ils diront de raisonnable à l’
acte
IV ne fera que mettre en lumière toute leur imbéc
à l’acte IV ne fera que mettre en lumière toute leur imbécillité de l’
acte
troisième. L’auteur me dira qu’une scène peut trè
Comédie-Française. Laïs et Démosthénès, poème tragique en quatre
actes
, par M. Albert du Bois Ces temps derniers, un
apparences sont contre lui, et le fait condamner à l’exil. Au dernier
acte
, Démosthène meurt à Calaurie, comme vous savez, a
lassiques. Août 1904. Vaudeville Décadence, pièce en quatre
actes
, de M. Albert Guinon Décadence, longtemps int
dire, et voilà la gaucherie, et elle est un peu bien forte. Au second
acte
, qui, à mon avis, est le meilleur, Jeannine est l
eut-être pas la première fois, et qu’elle y va. Ici, comme au premier
acte
, une maladresse extraordinaire, la même du reste,
retient-il pas sa femme en lui disant ce qu’il lui dira au quatrième
acte
et ce qu’évidemment il sait aussi bien ce soir qu
ncement de la pièce. Ah ! voilà ! C’est pour qu’il y ait un quatrième
acte
, d’abord, et, ensuite, pour qu’il y ait un quatri
n quatrième acte, d’abord, et, ensuite, pour qu’il y ait un quatrième
acte
à effet. Nous verrons si le quatrième acte y gagn
r qu’il y ait un quatrième acte à effet. Nous verrons si le quatrième
acte
y gagne en effet et y gagne effectivement ; pour
en disputant avec elle, et que son mari ne retient pas. Au quatrième
acte
nous sommes chez M. de Chérancé, le matin. Jeanni
discrétion de Jeannine à cet égard, que nous avons admirée au premier
acte
, elle l’a gardée toujours depuis avec une sorte d
indécis. Écoutée avec beaucoup d’attention pendant les deux premiers
actes
, elle a été, pendant les deux actes suivants, éco
tention pendant les deux premiers actes, elle a été, pendant les deux
actes
suivants, écoutée avec une résistance évidente pa
d honneur au théâtre du Vaudeville. Le Bourgeon, comédie en trois
actes
de M. Georges Feydeau Il arrivera un moment —
Je ne sais pas, à ce moment, que j’en verrai bien d’autres. Au second
acte
, Maurice est à Paris, encore en soutane, mais non
t elle est folle absolument depuis la visite de ce médecin du premier
acte
. Si elle avait un grain de bon sens, un grain ; s
rès sous nos yeux. Je n’ai pas besoin de vous dire qu’après ce second
acte
j’étais exaspéré encore plus, s’il est possible,
nfesseur de ses impressions, et je dois déclarer que le succès de cet
acte
a été étourdissant. — Eh bien, vous avez été exas
lus me mêler à leurs récréations. Il n’en sera que cela. Le troisième
acte
m’a rassis un peu. Il est banal, mais n’a plus ri
puisse me révolter… Si ! un instant. Une jeune fille qui, au premier
acte
, a soigné un jeune noyé qui était étendu sur la p
t moi étions d’accord. Sauf cet incident, bref en somme, le troisième
acte
est normal et prévu, trop prévu, mais de nature à
dit qu’à un seul moment il fût intéressant. Somme toute, ce troisième
acte
, quoique un peu en dissonance avec les deux autre
urs. Mars 1906. Comédie-Française. La Courtisane, pièce en cinq
actes
, en vers, de M. André Arnyvelde La Comédie-Fra
le l’emmènera à la cour. Elle l’y emmène, en effet, et, dès le second
acte
, il y fait un personnage très considérable. C’est
r ou plutôt cette évolution très naturelle de son amant. Au troisième
acte
, la réforme est faite. Ne me demandez pas trop co
mplir sa réforme pendant l’entracte et nous la montre toute faite à l’
acte
III. Il ne pouvait guère procéder autrement. Touj
nna, selon le cours que prendront les événements. Ci fin du troisième
acte
. Cependant le roi meurt. Il a laissé la couronne
ome sinistre que nous voyons circuler autour d’elle depuis le premier
acte
, personnage équivoque, moitié fou de cour, moitié
na. La voilà bien, la grande courtisane ; la voilà bien. Au cinquième
acte
les forces hostiles sont en présence et se heurte
ce et se heurtent de plein contact, comme il convient en un cinquième
acte
. Robert a ses partisans parmi le peuple. Pyrenna,
tobre 1906. Comédie-Française. La Maison d’argile, pièce en trois
actes
, de M. Émile Fabre Le Supplice d’une femme… r
brûlerai la cervelle. La pauvre mère écrit à son notaire. Ce premier
acte
est long, rempli de détails minutieux et reste ob
n dix minutes et ce serait clair. » Enfin, voyons la suite. Au second
acte
, Jean apparaît. Il y avait complot entre le père
t a transformé en triomphe le succès mérité, du reste, de cette fin d’
acte
. Le public a peut-être compris l’acte III. Je déc
érité, du reste, de cette fin d’acte. Le public a peut-être compris l’
acte
III. Je déclare, en toute loyauté, qu’il a été po
its ! » Mais ne tenez aucun compte de ce que je vous dis du troisième
acte
: je n’y ai littéralement rien compris ; et Dieu
faute autre que mienne. La pièce a eu un très grand succès de second
acte
; elle a été mollement applaudie à la fin. Elle e
discrétion. Mars 1907. Vaudeville. Le Ruisseau, comédie en trois
actes
, de M. Pierre Wolff Pièce d’agrément, mais ave
peintre qui a pour maîtresse une femme du monde s’aperçoit au premier
acte
que si cette charmante femme trompe son mari avec
s’intéresse à une fille de « ruisseau » et il l’emmène. Au troisième
acte
, elle est sa maîtresse en titre et il envoie prom
le détail que la pièce vaut et puisqu’elle vaut beaucoup. Le premier
acte
a une première moitié qui est étincelante de gaie
Grandval : « Vous êtes une guenipe » et il l’expulse. L’effet de cet
acte
, quoique un peu atténué par la scène finale, qui
être originale, et qui ne l’est pas, a été, somme toute, excellent. L’
acte
suivant nous mène dans un cabaret de Montmartre.
ront pour l’exprimer. Je n’ai pas besoin de dire que le succès de cet
acte
a été triomphal. Le troisième acte a paru intéres
esoin de dire que le succès de cet acte a été triomphal. Le troisième
acte
a paru intéresser le public presque autant que le
tache de boue, on ne s’avise de la ramasser. Enfin tout ce troisième
acte
m’a refroidi, jusqu’au dernier mot inclusivement.
, quoiqu’il y ait de l’agréable encore, un peu dans tout ce troisième
acte
. Allez voir le Ruisseau, cependant. Vous vous y a
rs 1907. Divers théâtres Les Hommes de proie, pièce en trois
actes
, de M. Charles Méré Au Théâtre antique (ce qui
entre elles un lien suffisant et, si l’on ne peut pas dire que chaque
acte
de la pièce est une pièce entière, l’ouvrage ayan
chaque acte de la pièce est une pièce entière, l’ouvrage ayant trois
actes
, du moins il semble qu’une pièce se déroule penda
du moins il semble qu’une pièce se déroule pendant les deux premiers
actes
et, qu’une autre, beaucoup trop sommaire, est res
ence à naître qu’avec la seconde pièce, et c’est-à-dire au début de l’
acte
troisième et dernier. Nous sommes d’abord en prés
tre de l’heure », et le retient prisonnier. Ceci est la fin du second
acte
. Jusqu’ici il y a peu d’intérêt. Il nous semble q
oureux et ne manque pas d’une certaine originalité. Avec le troisième
acte
, nous nous apercevons que tout cela, ce n’était p
ec l’énergie qui semble le caractériser. Le Secret de Thérèse, un
acte
en vers, de Jacques Linné Le « Théâtre du rire
suré la confiance dans l’âme de son fils ; puis l’Emmuré, drame en un
acte
de MM. Servy, Desplanques et d’Arcourt, atroce et
e que celle qui a présidé à l’élaboration de le Secret de Thérèse, un
acte
en vers de Jacques Linné. Deux ménages : d’une pa
Théâtre antique de la nature. Le Dieu nouveau, tragédie en trois
actes
, en vers, de M. Paul Souchon Connaissez-vous l
e remet à le traiter. Il s’agit de le Dieu nouveau, tragédie en trois
actes
, de M. Paul Souchon, représentée pour la première
et Lazare se remettant à la recherche de leurs compagnons. Au second
acte
, des pêcheurs provençaux qui ont vu aborder mirac
i je marche vers le Sud : je vais convertir Marseille. » Au troisième
acte
, très court, on voit « les gens d’Arles », qui so
). — L’Émigrant alsacien (1873). — Le Troisième larron, comédie en un
acte
, en vers (1875). — Beaumarchais, à-propos en vers
— La Poésie de la Science, poème (1879). — L’Amiral, comédie en trois
actes
et en vers (1880). — Paravents de salons et de tr
fantaisies de salon et de théâtre (1881). — L’Auréole, comédie en un
acte
et en vers (1882). — Les Moineaux francs (1887).
Moineaux francs (1887). — Le Réveil (1888). — Musotte, pièce en trois
actes
, en collaboration avec Guy de Maupassant (1891).
(1894). — Soleils d’hiver (1897). — Douceur de croire, pièce en trois
actes
et en vers (1899). OPINIONS. Paul Ginisty
ration faible qui se perd dans la masse, sans acquérir le relief d’un
acte
distinct. Dès que je fais attention, il y a déjà
le relief d’un acte distinct. Dès que je fais attention, il y a déjà
acte
évident, concentration des mouvements cérébraux e
ncentration des mouvements cérébraux et même musculaires. Ne voir des
actes
que là où les bras font de grands gestes et où le
nfin, 4° d’extension au dehors et de rapport à l’étendue. Penser à un
acte
de violence, c’est commencer la violence en pensé
de violence, c’est commencer la violence en pensée, c’est esquisser l’
acte
de violence dans sa tête ; on peut s’en tenir là,
e ; on peut s’en tenir là, on n’en a pas moins déjà commis un premier
acte
; on a eu non seulement une « mauvaise pensée »,
veloppement interne, puis externe. La séparation de la pensée et de l’
acte
est artificielle ; penser, c’est accomplir l’acte
e la pensée et de l’acte est artificielle ; penser, c’est accomplir l’
acte
avec les cellules cérébrales ; exécuter, c’est l’
ns pas faire, à ce que nous déclarons énergiquement ne pas vouloir, l’
acte
d’attention par lequel nous pensons la chose est
La volonté n’apparaît pas et n’intervient pas tout d’un coup, par des
actes
spéciaux et des fiat, soit pour faire attention à
paraissent également sûrs de choses opposées149. Nous avons dit qu’un
acte
volontaire, du côté mental, suppose la représenta
membre est un son rythmé qui éclate. Nous avons donc en somme, dans l’
acte
volontaire, conscience d’une motion continue qui
ganisme. Ces trois degrés correspondent d’abord à la simple idée de l’
acte
, puis à la prévalence de l’idée, enfin à l’exécut
cipe fondamental des idées-forces, selon lequel toute conception d’un
acte
implique la représentation d’un mouvement et cell
jouter aux idées et à la volonté même, comme un intermédiaire entre l’
acte
de conscience et le mouvement musculaire, est une
rateurs de Richard Wagner : c’est les auditions des premier et second
actes
de Tristan et Isolde chez M. Lamoureux, et la rep
tragique ou la couronne de fleurs d’oranger qu’on se met au troisième
acte
, et, les deux poings sur les hanches, regrettant
tres. II Un trille étincelant sert de début au prélude du second
acte
. Les flûtes perçantes égrènent follement au-dessu
rand jour de Saint-Jean. Le scherzo, si prestement ébauché au premier
acte
, s’anime à travers cette scène jusqu’à l’arrivée
ner ont pris une physionomie inoubliable. La mise en scène du premier
acte
est également empruntée à Wagenseil. « L’assemblé
sa libre fantaisie. On se souvient qu’à la scène deuxième du premier
acte
des Meistersinger, David, l’apprenti d’Hans Sachs
eil la nomenclature baroque des fautes, que dans le finale du premier
acte
, Beckmesser met à la charge de son rival. Mais l’
Chevauchée (avec les solistes) 8 Février. Concert Lamoureux : Premier
acte
de Tristan et Yseult (version française de M. Vic
rche religieuse de Lohengrin. 15 Février. Concert Lamoureux : Premier
acte
de Tristan et Yseult. 15 Février. Concert du Cons
use de Lohengrin. 15 Février. Concert Lamoureux (1er mars) : Deuxième
acte
de Tristan et Yseult (première audition). NANCY
Gœtterdæmmerung ; l’Agape des Apôtres ak : Prélude de Lohengrin ; 3e
acte
de Parsifal. 16 Février. Concert Wagner : Mélodie
ier. Opéra : Les Maîtres Chanteurs. BERNE 7 Février. Concert : 1er
acte
de Lohengrin, scène fin du 1er acte de Parsifal.
BERNE 7 Février. Concert : 1er acte de Lohengrin, scène fin du 1er
acte
de Parsifal. 8 Février. Concert : 1er acte de Loh
ohengrin, scène fin du 1er acte de Parsifal. 8 Février. Concert : 1er
acte
de Lohengrin, scène fin du 1er acte de Parsifal.
arsifal. 8 Février. Concert : 1er acte de Lohengrin, scène fin du 1er
acte
de Parsifal. BRÊME 14 Février. Opéra : Siegfrie
CHESTER 27 Février. Concert Ch. Hallé : Introduction et final du 1er
acte
de Parsifal. MAYENCE 25 Février. Opéra : Loheng
Volant. PLAUEN 22 Février. Concert-Wagner : Marche d’Hommage ; 1er
acte
de la Walküre (Unger, Torek, mad. Unger-Haupt) ;
Opéra tchèque : Lohengrin, 7 Février. Concert : Duo de Lohengrin (2e
acte
) ; Romance. 8 Février. Opéra allemand : Rienzi. 1
sabeth ; romance de l’Etoile ; Air de concours ; duo de Lohengrin (3e
acte
) ; Chœur des Matelots ; rêverie d’Elza ; scène et
ier concert populaire de Bruxelles (12 avril) sera exécuté le premier
acte
de la Walküre, traduit en français par M. Victor
ai. L’article de Fourcaud sur Les Maîtres chanteurs présente l’œuvre
acte
par acte, parfois scène par scène. Au-delà de cet
ticle de Fourcaud sur Les Maîtres chanteurs présente l’œuvre acte par
acte
, parfois scène par scène. Au-delà de cette vulgar
l (1697). Voir à ce sujet l’article de l’Encyclopédie Richard Wagner (
Actes
Sud 2010) d’Alain Perroux. Wilder ne développe pa
de 5 000 francs à l’auteur d’un ouvrage dramatique en cinq ou quatre
actes
, en vers ou en prose, représenté avec succès, pen
oir à désigner cette année aucun ouvrage dramatique en quatre ou cinq
actes
, qui réunisse les conditions exigées pour mériter
de 3 000 francs proposée « à l’auteur d’un ouvrage en moins de quatre
actes
, en vers ou en prose, représenté avec succès, pen
une prime de 5 000 francs « à l’auteur d’un ouvrage en cinq ou quatre
actes
, en vers ou en prose, représenté à Paris avec suc
s-unes se recommandaient par des mérites sérieux, une comédie en cinq
actes
et en vers, Les Familles, de M. Ernest Serret, qu
mission a eu à examiner, elle a distingué La Mendiante, drame en cinq
actes
, par MM. Anicet-Bourgeois et Michel Masson, qui a
se doit être décernée à chacun. Quant aux ouvrages en moins de quatre
actes
, représentés pendant l’année sur d’autres théâtre
ières Feuilles, poésies (1845). — Le Mariage de Luther, drame en cinq
actes
et en vers (1845). — Le Monde renversé, comédie e
). — Le Fils de la terre, roman (1864). — Agamemnon, tragédie en cinq
actes
(1868). — La Fille de Roland, drame en quatre act
tragédie en cinq actes (1868). — La Fille de Roland, drame en quatre
actes
(1875). — Les Noces d’Attila, drame en quatre act
, drame en quatre actes (1875). — Les Noces d’Attila, drame en quatre
actes
(1881). — Poésies complètes, 1850-1881 (1881). —
connaître qu’en effet elles ne s’y retrouvent pas. Jusqu’au troisième
acte
, nous ne savons pas très nettement où nous pouvon
illeure au théâtre, et M. de Bornier a prouvé encore dans son premier
acte
qu’il s’entend au vers scénique. Par la suite, il
puleux de leurs romans, cet immense déroulement d’êtres, d’aspects, d’
actes
, d’événements, de houles humaines, de méditations
és de tout le particularisme de l’individualité et manifestés par des
actes
et des paroles, situés en des lieux décrits, part
dhésion à tout l’existant, à toutes les scènes du paysage, aux grands
actes
humains du dehors, aux événements plus discrets d
modifie et détermine les sensations, les volontés et conditionne les
actes
. Aussi, quand ce sont non pas les premières qui d
considérations exposées par l’auteur, en son nom personnel, mais des
actes
mêmes, des paroles et des manifestations de la fo
ations, d’épisodes, de faits et gestes que la trame continue de leurs
actes
nous apparaît en effet, presque ininterrompue, et
ces, illogiques ; une être réellement vivant est un cours continuel d’
actes
, de pensées, d’émotions, de mouvements ; on le co
r ces personnages longuement suivis. La démonstration par situations,
actes
et paroles des dramaturges, les monologues à la S
tement différencié, d’un visage distinct, d’un grand sens et dont les
actes
ne sauraient être prévus sur l’énoncé d’une formu
r est donc contraint, pour donner essor à la multiplicité d’images, d’
actes
et d’âmes qui le hante, à traiter négligemment le
les récits, les épisodes, les digressions, les crises de pensées, les
actes
et les échecs s’entrelacent en ces étranges roman
s chacun longuement et isolément, simplement et immédiatement, par un
acte
qui les suscite dans l’esprit, du lecteur, non co
ersonnages s’accusent en mots confus et vagues ; les descriptions des
actes
principaux, entamées avec une fiévreuse ardeur, f
evoir s’incliner devant celui qu’il méprisait. Que l’on rapproche ces
actes
d’un sérieux humain singulièrement profond et sim
usément ou nettement la nécessité de justifier devant eux-mêmes leurs
actes
et souffrent de l’impossibilité où est tout homme
recherche d’une règle, d’un mot magique qui donne quelque sens à ses
actes
, et rencontre en plein désespoir, un singulier pe
rchands. La grandeur du mal, la beauté artistique des vices, tous ces
actes
coupables, passionnés et calculés qui souillent d
xplication, et préférant la stupide inaction de Koutouzoff à tous les
actes
déterminants de ses lieutenants et de ses adversa
omancier sectaire prosélytisant. L’homme le plus près d’accomplir cet
acte
d’adhésion à tout le réel, qui est le principe de
infortune de porter un jugement définitif entre les phénomènes et les
actes
que lui montrait le cours de la vie. Il a réprouv
dée folle d’exclure, en ce monde de guerre, la violence et le mal des
actes
des hommes, telles furent les phases de la transf
et subjectifs, de cette connaissance des corps, des physionomies, des
actes
, des situations, des conditions, à la sorte de mo
connaissance, le rappel, l’imagination des personnes, sur celles des
actes
purs, des drames, des histoires, l’on aura énumér
’acquiescement, suivent plus particulièrement la vue et le souvenir d’
actes
immédiatement bienfaisants à l’homme, que l’écriv
idant progressivement ce sentiment, lui laisse déterminer ses propres
actes
et ses mobiles, aussitôt le spectacle du monde ét
la première représentation ; le vendredi 11, la seconde12. Le premier
acte
, et la scène finale avaient été chantés, en allem
c toute la Tétralogie et une fois séparément. En français, le premier
acte
seul avait été exécuté, au concert, sous les paro
ici les trois coupures que j’ai notées à la première représentation :
Acte
II, scène I : depuis nimm ihm das Schwert, jusqu’
cène I : depuis nimm ihm das Schwert, jusqu’à was verlangst du ; Même
acte
, scène II : depuis was Keinem in Worten, jusqu’à
onvenable, je signale de lamentables exagérations ; ainsi, au premier
acte
, l’apparition, sous le clair de lune d’un jardin
et sommes plein d’indulgence pour le pont de chemin de fer du second
acte
; mais, au troisième, l’incendie final est d’une
que celui de sa musique. Même contre-sens dans la tempête du premier
acte
: on pouvait se passer des sifflements du vent da
ane n’est apparu qu’une fois, au début de la seconde scène du premier
acte
, et une minute à peine13. Espérons que, peu à peu
ce qu’attendaient les plus optimistes d’entre nous. Chacun des trois
actes
a soulevé ces bravos prolongés ; le premier surto
ins à produire des impressions saisissantes : le monologue du premier
acte
, le chant du Printemps, l’arrachement de l’épée o
hevalier au cygne, le fils de Parsifal. Le sublime prélude du premier
acte
nous la fait entrevoir ; le motif du Gral, né aux
amiliarisées avec les œuvres de Wagner. Il en est de même du deuxième
acte
, si puissant, déjà si hardi, et enfin de ce trois
u deuxième acte, si puissant, déjà si hardi, et enfin de ce troisième
acte
, de cette longue merveille qu’on ne peut se lasse
acré que donnent seules les œuvres supérieures. Au début du troisième
acte
, dans les jubilantes fanfares qui s’échappent de
ien de Paris 6 Février : Concert Colonne : Scène religieuse du 1er
acte
de Parsifal. 6 Février : Concert Lamoureux : Prél
fal. 6 Février : Concert Lamoureux : Prélude, 1re et 3e scènes du 1er
acte
de la Walküre ; ouv. de Tannhæuser. 13 Février :
de Tannhæuser. 13 Février : Concert Colonne : Scène religieuse du 1er
acte
de Parsifal. 13 Février : Concert Lamoureux : Ouv
ie] Les Vignes folles (1857). — L’Ombre de Callot, prologue en un
acte
et en vers (1863). — Vers les Saules, comédie en
ologue en un acte et en vers (1863). — Vers les Saules, comédie en un
acte
et en vers (1866). — Les Flèches d’or (1864). — P
s (1866). — Les Flèches d’or (1864). — Pès de Puyanne, drame en trois
actes
(1866). — Prologue pour l’ouverture des Délasseme
). — Le Compliment à Molière (Odéon, 1873). — Le Singe, comédie en un
acte
(1872). — Gilles et Pasquins, poème (1872). — L’i
Gilles et Pasquins, poème (1872). — L’illustre Brisacier, drame en un
acte
(1873). OPINIONS. Théophile Gautier L
torité scientifique. Il est vrai que l’homme se croit l’auteur de ses
actes
: il peut être bon qu’il le croie pour la persévé
l’âme et le corps sont comme deux horloges dont les mouvements et les
actes
se produisent spontanément en vertu d’une harmoni
de la volonté ce qu’Aristote a dit de la pensée, qu’elle est le seul
acte
de la vie humaine qui n’ait pas besoin d’organe.
uvements réglés de locomotion ; qu’enfin le cerveau les transforme en
actes
de volonté. Si, au contraire, l’activité de l’ani
ce de l’animal, ne l’est point pour les mêmes phénomènes et les mêmes
actes
chez l’homme ? Comment admettre que le cerveau es
aître, je ne fus plus maître de les concevoir autrement que comme les
actes
d’un cerveau vivant4. » La nouvelle école physio
manière dont il explique les phénomènes moraux, particulièrement les
actes
volontaires, fait comprendre comment l’analyse ps
let d’explication des phénomènes psychiques. On avait montré que tout
acte
de la vie psychique a pour condition physique tel
s psychologues appellent volonté ? M. Lhuys vous expliquera comment l’
acte
volontaire n’est que la répercussion plus ou moin
rs, et se transforment en idées, en jugements, en raisonnements. Tout
acte
intellectuel n’est qu’une impression transmise au
sorielles dont il fait successivement des perceptions, des idées, des
actes
instinctifs ou volontaires ? D’où lui vient cette
e démérite n’ont plus de sens. L’homme, n’ayant pas la liberté de ses
actes
, ne peut plus être qu’un agent bienfaisant ou mal
urait nier. Elles établissent d’une manière irréfragable que tous les
actes
de la vie psychique, depuis les simples sensation
sensations jusqu’aux pensées et aux volitions, c’est-à-dire jusqu’aux
actes
proprement humains, ont pour condition le jeu des
étudié ce sujet sont prêts à admettre l’hypothèse suivante : que tout
acte
de conscience, que ce soit dans le domaine des se
euse, mais celui qui s’accomplit en pleine conscience des motifs de l’
acte
, et par une calme résolution de la volonté ? En c
berté. A prendre l’homme en effet par le dehors, c’est-à-dire par les
actes
extérieurs qui manifestent sa volonté, il est cer
oir les choses de l’âme humaine au point de vue où il s’est placé : l’
acte
volontaire lui apparaît comme lié et enchaîné à t
n ne regarde qu’au résultat de l’activité volontaire sans atteindre l’
acte
lui-même. Qu’importe que le résultat total soit r
homme a été libre, responsable, méritant ou déméritant, dans tous les
actes
de sa vie normale et réellement personnelle ? Que
n de la raison dans l’exercice de la volonté détruise la liberté de l’
acte
volontaire, on peut dire qu’il en favorise le dév
de notre personnalité, de notre responsabilité, de la moralité de nos
actes
, comment se fait-il qu’en tout temps et aujourd’h
ière, en s’emparant du fond, eût conservé la nuance. Dans la scène v,
acte
IV, Mascarille querelle son maître sur ses distra
n répétée, bien tournée et retournée, sert non seulement à filer cinq
actes
, mais nous en fournit encore quinze ou vingt autr
uteurs, elles ont toutes une exposition, un nœud, un dénouement. Les
actes
. — Tous riches en comique de situation, et termin
hes en comique de situation, et terminés de manière à faire désirer l’
acte
suivant. La contexture. — Comme les incidents se
pièce, quand voilà tout à coup mon Lélie qui, en ramassant la bourse,
acte
Ier, scène vii , étend les bras, s’élance sur la
r, ni du ton faux, ni de l’attitude forcée de l’acteur. À la fin de l’
acte
II, lorsque Mascarille dit à son maître, qui s’ob
t, qu’un enfantillage pour le moins déplacé, et non de l’étourderie.
Acte
IV, scène ire , Lélie paraît vêtu en Arménien ; j
que la tradition veut accréditer ne sont pas heureuses ; par exemple,
acte
Ie r, scène ii, Mascarille dit à Lélie : Moquez
issent-ils aussi bien le but de Mascarille ? Dans la scène iii de l’
acte
V, « Andrés tombe des nues, dit un commentateur,
n, Andrés tombera bien plus des nues pour le spectateur. Dans le même
acte
, la scène xiii est souvent retranchée comme inut
d’apprendre tout ce qu’il doit raconter dans la scène suivante. Même
acte
, scène xiv , l’on passe le récit que fait la viei
re, et je lui soumettrai celle qui me paraît nécessaire à la fin de l’
acte
III. Trufaldin verse un vase de nuit sur la tête
s au spectateur n’offrez rien d’incroyable. La scène de Métaphraste,
acte
II, est tirée du Déniaisé, comédie de Gillet de l
. — Mauvaise ; il faut en convenir, puisqu’elle n’a lieu qu’au second
acte
, et qu’Ascagne y rend compte de l’avant-scène à u
un an. Quelqu’un dira peut-être : employa-t-il ce temps à composer un
acte
? Nous lui répondrons avec notre auteur : voyons,
e une année durant laquelle Molière ne donna qu’une seule pièce en un
acte
; elle fut jouée sur le théâtre du Petit-Bourbon,
elle, ou le Cocu imaginaire, est tiré d’une comédie italienne en cinq
actes
, intitulée : Il Ritratto, Le Portrait ; ou Arlech
de Molière, contentons-nous d’extraire de la pièce italienne le seul
acte
qu’il ait jugé digne d’être imité. Précis de l’
alienne le seul acte qu’il ait jugé digne d’être imité. Précis de l’
acte
italien. Magnifico veut marier Eleonora, sa
et durant lesquelles il n’avait mis au jour que deux pièces d’un seul
acte
, en donna trois dans le courant de celle-ci, Dom
c la française. Précis de Il Principe Geloso, Tragi-Comédie en cinq
actes
. Don Rodrigue, roi de Valence, voit Delmire,
dition aurait dû s’en rapporter à lui. Par exemple, dans la scène vi,
acte
Ier, Ergaste dit à son maître, en parlant du tute
oulu faire rire, ignore-t-il que le public est censé n’être pas là ?
Acte
II, scène viii, Valère reçoit une lettre d’Isabel
-t-il pas toute l’absurdité ? Vers le milieu de la scène xiv du même
acte
, Molière indique « qu’Isabelle, en feignant d’emb
re personne. Dans ce moment, se fait leur véritable mariage ; et cet
acte
imposant, cet acte… pour ainsi dire religieux… ne
ce moment, se fait leur véritable mariage ; et cet acte imposant, cet
acte
… pour ainsi dire religieux… ne demande-t-il pas,
se cacher sous un triple voile, lorsqu’elle viendra nous dire au IIIe
acte
: ………… Allons, sans crainte aucune, À la foi d’u
ridicule la question que je vais leur faire. N’importe ; la voici :
Acte
II, scène ix 26, Valère prie Sganarelle de dire
aiblesse ou dans la force, blesse la vérité ! Veut-on, dès le premier
acte
, juger un acteur dans le rôle d’Arnolphe, on n’a
ans doute avoir le mérite de la brièveté ; je n’en réclame pas moins,
acte
III, scène ire , les vers dans lesquels Arnolphe
Où l’on plonge, à jamais, les femmes mal vivantes ? Je réclame, même
acte
, scène ii , les maximes du mariage qu’on abandonn
naïveté, pour en faire mieux ressortir le piquant. Je réclame encore,
acte
IV, scène v , le monologue que les comédiens rédu
rincipaux chefs de la cabale, affecta de sortir avec fracas au second
acte
de L’École des femmes, en s’écriant : « qu’il ne
voulait la scène plus exacte, Le vicomte, indigné, sortait au second
acte
. Un autre original, nommé Plapisson, ne rougit p
einture des mœurs du temps : que faut-il de plus dans une pièce, d’un
acte
surtout, pour mériter d’être appelée une comédie
fort mauvais ouvrages. Devisé crut se signaler par une comédie en un
acte
et en prose, où, pour mettre les femmes de son pa
u peintre, ou la Contre-Critique de l’École des femmes, comédie en un
acte
et en vers, de Boursault, qui avait cru se reconn
si l’on en croit M. de Montesquieu ; il l’invite à lui en apporter un
acte
par semaine, lui reproche amicalement d’avoir dér
ns la cinquième ; le soir de la sixième, on essaya les trois premiers
actes
du Tartuffe ; et le dernier jour, la comédie du M
iage forcé. Cette bagatelle fut d’abord jouée au Louvre, en trois
actes
, avec des intermèdes, les 29 et 31 janvier, intit
entée le 15 février suivant, sur le théâtre du Palais-Royal, en trois
actes
, et sans intermèdes, elle prit le titre qu’elle p
rsifier sa pièce que jusqu’à la moitié de la première scène du second
acte
; c’est, dit-on, pour faire sa cour aux deux rein
contre lui, et les faux dévots, qu’alarmaient déjà les trois premiers
actes
du Tartuffe, empruntèrent le nom d’un sieur de Ro
t loin de penser que le faux médecin soit l’amant de sa fille. Dans l’
acte
II, scène ire , Lisette avance que, « par bonnes
famille ? Belle Philis, on désespère Alors qu’on espère toujours.
Acte
II, scène v, Éliante dit : L’amour, pour l’ordin
nt de faire, Il plaît à tout le monde et ne saurait se plaire. Même
acte
, scène vii, Alceste s’écrie : Hors qu’un command
n caractère en opposition avec le sien, et qu’avant la fin du premier
acte
, composé de trois scènes, on connaît déjà, non se
assez fortes, pour qu’il pût être l’unique objet d’une pièce en cinq
actes
, le met en opposition avec une prude, un bel espr
temps ; qu’on juge par là du plaisir qu’on aurait si, dans le second
acte
du Misanthrope, les personnages qui composent le
’impatience de Louis XIV ne permit pas d’achever, ne parut qu’en deux
actes
; elle fit partie du Ballet des Muses, donné à Sa
x ! et par où commencer ? Après la représentation des trois premiers
actes
de cette comédie, qui eut lieu, comme nous l’avon
des gens capables de la juger avec discernement ». Ces trois premiers
actes
furent encore joués à Villers-Cotterêts, chez Mon
d’un rapport fondé sur des faits. Orgon, pressé par son beau-frère,
acte
I, scène vi , de tenir la parole qu’il a donnée à
iel voudra de Molière, a bien plus le mérite de l’à-propos. Molière,
acte
II, scène iii , par ce vers : Ah ! pour être dév
he amore mi constrigne a cosi fare. Molière faisait dire à Tartuffe,
acte
III, scène vi : Ô ciel ! pardonne lui comme je
r un écolier : quelle erreur ! c’était l’auteur d’une comédie en cinq
actes
; il me prie d’entendre sa pièce, et de lui en di
e aux jolies mines, dès qu’elle blesse la raison. Par exemple, dans l’
acte
V, scène iv, Dorine, quoique très applaudie, a un
menacer Elmire du poing, en quittant la scène, à la fin du quatrième
acte
; outre qu’un pareil geste blesse toutes les conv
déjà été découvert pour ce qu’il est par un homme caché, au troisième
acte
; Molière se sert ici du même moyen à peu près, l
ante dont je parle me semble négliger un peu trop cette règle. Dans l’
acte
I, scène vi, Orgon et Cléante sont seuls ; le pre
gé d’une convalescente peut avoir sa coquetterie, même son opulence.
Acte
III, scène iii, Tartuffe met la main sur les geno
baise point le bras qu’on lui présente si complaisamment. Elmire dit,
acte
IV, scène iv : Au moins je vais toucher une étr
que, pour prolonger son bonheur, il a triplé la durée de la nuit.
Acte
premier. Sosie, tremblant parce qu’il est nui
chez Alcmène, et le renvoie vers le port, à grands coups de bâton.
Acte
deux. Amphitryon arrive avec Sosie, qu’il gro
a chercher des témoins pour attester la vérité de ce qu’il avance.
Acte
trois. Jupiter, toujours sous la figure d’Amp
à Jupiter, il ordonne à Sosie d’aller inviter le pilote Blépharon.
Acte
quatre. Amphitryon n’a pas trouvé les témoins
mais Jupiter vient mettre le holà, et Sosie se range de son parti.
Acte
cinq. La servante d’Amphitryon annonce qu’Alc
rimailleurs du temps avaient persuadé au public qu’une pièce en cinq
actes
devait être rimée pour avoir quelque mérite ; et
il fou, et nous prend-t-il pour des grues, de nous faire essuyer cinq
actes
de prose ? A-t-on jamais vu plus d’extravagance !
s, et qu’Harpagon est déjà prévenu contre son intendant. Le cinquième
acte
de la pièce de Plaute n’était point parvenu en en
as, a tendu deux fils qui ne devaient servir à rien. Harpagon, dans l’
acte
Ier, scène vi , annonce qu’il destine une veuve à
Ier, scène vi , annonce qu’il destine une veuve à son fils, et dans l’
acte
IV, scène ire , Frosine veut dégoûter Harpagon de
es plus grandes difficultés ; on n’est pas aisément bête pendant cinq
actes
, et l’acteur est perdu, si quelques naïvetés, son
aractère, le titre l’annonce. Les divertissements. — Ceux du premier
acte
sont bons, parce qu’ils nous peignent l’extravaga
ce du héros. Il est encore tout simple que dans l’intermède du second
acte
, les garçons tailleurs dansent pour se réjouir de
, nous pouvons assurer que, placée entre le quatrième et le cinquième
acte
, elle refroidit nécessairement le spectateur, et
il lui disait : comme cette cérémonie est longue. Encore un reproche,
acte
IV, scène ii , madame Jourdain surprend son époux
faites. Un dialogue précis rempli d’images agréables : des scènes, un
acte
inutiles. Le ridicule versé à pleines mains sur l
poésie lyrique. Corneille. La pièce, à l’exception du premier
acte
et des premières scènes du second et du troisième
au chien du logis il s’efforce de plaire. Dans l’Asinaire de Plaute,
acte
Ier, scène iii , une matrone donne ce conseil à u
moins négliger, et je leur offre pour modèle la cinquième scène de l’
acte
III des Femmes savantes. Vadius et Trissotin s’y
ns doute à remarquer combien il a fallu d’invention pour trouver cinq
actes
dans un sujet aride ; combien il a fallu d’art po
dans un sujet aride ; combien il a fallu d’art pour nourrir ces cinq
actes
, d’une fable toujours vive et variée, sans l’emba
sous le titre de Ballet des Ballets. Ces deux pièces composaient sept
actes
qui étaient précédés d’un prologue, et qui étaien
pprimée ; mais il en détacha La Comtesse d’Escarbagnas, comédie en un
acte
, qu’il fit paraître à Paris, avec succès, en juil
nne pour certain que le nom de cette dame ne se trouve point dans les
actes
par lesquels la terre du Bagnas a passé d’une fam
rir les hommes d’une maladie aussi universelle que dangereuse. Chaque
acte
, chaque scène, chaque mot de sa pièce nous l’ont
des beautés qui ont échappé à l’auteur ; par exemple, dans le dernier
acte
, scène xxi, Angélique fond en larmes aux pieds de
rs : C’est un homme… qui… ah !… un homme… un homme enfin. Tartuffe,
acte
I, scène vi . 1. Il y a dix ans qu’un libra
elques éditeurs ont cru que la pièce avait été faite d’abord en trois
actes
, et ce n’est pas sans fondement, puisque le théât
résents et à venir, sur le mot tarte à la crème : si après avoir dit,
acte
I, scène ire , je veux qu’elle réponde , ils s’
icule du poète de qualité vous désigne bien davantage ». 47. Dans l’
acte
i, scène ire , Alceste dit : Non, l’amour que je
fauts en moi n’affaiblit pas la preuve. Le changement que l’on fait,
acte
II, scène ire , ne me paraît pas aussi satisfais
’on gâte une pièce dans laquelle il y a du trait, de la verve, un bel
acte
, en osant l’intituler Le Philinte de Molière. 52
s, il est bon cependant d’avertir qu’on trouvera dans celui du second
acte
, une des premières imitations qu’on ait faites de
a pris, mot à mot, et le sonnet et l’épigramme que débite Trissotin,
acte
iii, scène ii. Boileau, dit un commentateur, les
accolé à une comédie. L’endroit de la soudure est à la fin du second
acte
et au commencement du troisième. L’auteur a été h
il est impossible que le duc de Richelieu, lorsqu’à la fin du second
acte
il se dirige à tâtons vers sa tendre proie, ne s’
saute dessus ; le public a fait de même. M. Dumas ouvre le troisième
acte
en nous entraînant.’ Si l’invraisemblance n’avait
u, dès le second pas dans l’ombre, qu’il était mystifié, le troisième
acte
devenait tout différent, ou plutôt il n’y avait p
cte devenait tout différent, ou plutôt il n’y avait plus de troisième
acte
, mais seulement une dernière scène comique, un ch
ux de savoir, on ne s’attarde pas à chicaner en arrière. Le quatrième
acte
est très heureusement rempli. Le personnage du du
instant. Le drame moderne reprend sa revanche et domine au cinquième
acte
: la lutte, encore une fois violente, entre madem
i tombe dans une bénédiction nuptiale, peut-être y aurait-il un petit
acte
purement comique à ajouter au drame : Deux Ans ap
te pièce, où nous nous trouverons, du reste, en pays de connaissance.
ACTE
PREMIER Fulvio et Cintio, tous deux amoureux de l
oint d’accord24 ». Pour plus de détails, voyez la scène iv du premier
acte
de L’Étourdi de Molière ; l’imitation est des plu
e lorsque Scapin lui explique dans quel but il avait conçu ce projet.
ACTE
DEUXIÈME L’étudiant Cintio Fidenzio vient acheter
duite de qui, en sa qualité de correspondant, il est tenu de veiller.
ACTE
TROISIÈME Cintio s’est déguisé en serrurier pour
les soupçons de Mezzetin et empêche de nouveau le succès de la ruse.
ACTE
QUATRIÈME Le capitaine Bellorofonte entre en scèn
r son valet. Le capitaine se hâte de reprendre Celia et de l’emmener.
ACTE
CINQUIÈME Scapin se fait un point d’honneur de t
expression métaphorique qu’emploie Trufaldin à la scène iv du premier
acte
de L’Étourdi : Et vous, filous fieffés, ou je me
, Bertrand et Raton, l’Ambitieux et la Camaraderie. Les deux premiers
actes
se passent dans une auberge d’Allemagne, à quelqu
u’il parte ! s’écrie la chanoinesse en poussant M. Conrad. Ce premier
acte
est habilement conduit ; il a de jolis mots, de j
e jolies scènes, des coups de pinceau assez fins. — Lorsque le second
acte
commence, l’attention est parfaitement éveillée.
prison. Deux ans se sont écoulés, et nous nous trouvons, au troisième
acte
, dans un château dépendant de la succession du fe
de Moldaw, et il a choisi pour avocat le jeune fou des deux premiers
actes
, qui, ramené par le régime de la prison à des idé
e Vurzbourg est-il amoureux d’Amélie de Moldaw, qu’à la fin du second
acte
il maudissait et détestait avec une sorte de rage
indissolubles, quelle part peut être faite à la prétendue liberté des
actes
humains ? Que devient l’autonomie de nos mouvemen
degré à franchir ; c’est de confondre avec les actions cérébrales les
actes
psychiques proprement dits, regardés jusqu’ici co
le spiritualisme part d’en haut pour expliquer cette même série par l’
acte
qui en est le type le plus élevé, l’acte de la pe
iquer cette même série par l’acte qui en est le type le plus élevé, l’
acte
de la pensée et de la volonté. A la formule que l
nscience. La liberté ainsi entendue n’est plus que la spontanéité des
actes
; elle a perdu son caractère psychologique pour e
aiguillon de la grâce intérieure, comme dirait un théologien, est un
acte
plus libre que de le faire avec choix et réflexio
res et les conditions propres de la moralité ? N’est-ce pas oublier l’
acte
pour l’effet, le devoir pour le bien ? Que l’amou
dre bien supérieur ; pourtant, s’il réalise le bien, il ne fait pas l’
acte
de vertu. Voilà ce que montre l’analyse des moral
on l’état de réflexion de l’âme humaine dans l’accomplissement de ses
actes
. Tout en convenant que l’effet du progrès moral e
la conscience de l’homme religieux de fixer le degré de mérite de ses
actes
. Encore une contradiction entre la théologie et l
les transforme en les confondant et même en les identifiant avec les
actes
de la nature divine. Ce qui est constant, c’est q
de supprimer, le témoignage de la conscience touchant la liberté des
actes
et le mérite des œuvres ? Toutes ces hypothèses,
vérité subjective, comme la sensation, la pensée, la volonté et tout
acte
de la vie morale ? Si cela était, il n’y aurait p
faudrait qu’elle pénétrât jusqu’à l’être lui-même, sujet et cause des
actes
qu’elle perçoit. Or la conscience tout empirique
e témoignage. De quoi le moi a-t-il conscience ? Est-ce seulement des
actes
ou encore de la cause de ceux-ci ? Voilà toute la
de l’être humain. C’est que l’homme a conscience non-seulement de ses
actes
, mais de l’être qui les produit, du moi, sujet ou
vrai que l’homme ne sent tous ces attributs de son être que dans les
actes
qui les manifestent, que la conscience est le sen
physique que de faire la distinction de l’être en soi et de l’être en
acte
, et de prétendre que, si la conscience saisit l’u
e de dogmatisme philosophique. Le moi a conscience de la cause dans l’
acte
; et, comme pour une force agir c’est être, il s’
une méthode en vogue, que la conscience n’atteint directement que les
actes
, et que l’induction est nécessaire pour pénétrer
’elles ont de commun et d’essentiel, distinguent trois moments dans l’
acte
volontaire : la production des motifs et leur con
s que nous semblons capables sur le plus petit souhait de produire un
acte
, est le résumé et le comble d’un vaste ensemble d
ssentir du soulagement et à apprendre ainsi ce qu’il doit vouloir. Un
acte
aussi simple en apparence que celui de cracher, d
le, comme dans le mouvement du cœur, la sécrétion du suc gastrique, l’
acte
de rougir ; ou, quand elle s’exerce comme chez le
s ; il n’y a qu’un motif de leur nature qui puisse les neutraliser. L’
acte
volontaire qui se produit sous une concurrence ou
ésolution. La nature de la volonté, c’est de passer immédiatement à l’
acte
. Lorsqu’il y a quelque suspension, cela résulte d
s jamais sans dépense d’éléments nutritifs. Les actions réflexes, les
actes
habituels sont de cette nature, « Les actes volon
Les actions réflexes, les actes habituels sont de cette nature, « Les
actes
volontaires se distinguent des actions réflexes p
oublier que M. Bain se fondant sur la tendance de l’idée à passer à l’
acte
, ne sépare jamais la résolution de l’action. Cell
ntaire et en est le couronnement. Pour lui la résolution non suivie d’
acte
, est une demi-volition, une sorte d’avortement ps
Sophocle. Œdipe à Colone Adaptation en trois
actes
de M. Jules Gastambide, musique en scène de M. Fr
i tragédien, a bien dessiné Œdipe. On pourra dire qu’il a, au premier
acte
, des accents d’une force et d’une ampleur qui sur
otrou faisait mourir les deux frères dès le commencement du troisième
acte
. Le reste était en quelque sorte le commencement
nt en conflit et en altercation dès ce qu’on peut appeler « le second
acte
». — « C’est trop tôt ! s’écrie Racine ; c’est be
e, ne les place en face l’un de l’autre, tête à tête, qu’au troisième
acte
. Du temps de Cinna, il s’arrangeait de manière à
altercation décisive de Cinna et d’Auguste jusqu’au commencement de l’
acte
V. Voilà des tragédies bien faites. On verra, qua
a tête, si je mets Agrippine et Néron en face l’un de l’autre avant l’
acte
IV. Il faut absolument retarder la rencontre réel
clue, le combat cesse et le rideau tombe sur un espoir naissant. A l’
acte
II, Antigone et Hémon se rencontrent et ont une t
mbat, qui recommence. — Eh bien ! c’est très bien fait ! Le troisième
acte
, il faut le reconnaître, est presque vide. Ménécé
réon expose à Attale ses projets ambitieux… Oui, le IIl est vide. A l’
acte
IV, et seulement à l’acte IV, a lieu la grande al
rojets ambitieux… Oui, le IIl est vide. A l’acte IV, et seulement à l’
acte
IV, a lieu la grande altercation entre Etéocle et
lieu la grande altercation entre Etéocle et Polynice. Elle remplit l’
acte
tout entier, à bien peu près. Mais d’abord elle e
de leur haine et de leur colère. Ai-je besoin de dire qu’au cinquième
acte
ce petit Racine, qui connaît déjà tous les procéd
l’armée ennemie répandue dans la plaine immense. Et c’est le premier
acte
, qui déjà est pittoresque et qui déjà contient de
ivol-let y a songé pour nous faire des vers qui sont acceptables. A l’
acte
II conversation entre Antigone et Polynice, puis
uis il faut qu’il y ait tableau. « Tableau — Rideau. » — Au troisième
acte
, nous nous trouvons en présence de chèvres et d’u
it tourner à la gloire de M. Rivollet, soit lui opposer, ce troisième
acte
est très brillant et est certainement la partie l
t est certainement la partie la plus belle de l’ouvrage. Le quatrième
acte
a de la beauté aussi ; mais c’est assez singulier
e qui dans Euripide fait bien la matière de ce que nous appelons deux
actes
, il l’a tassé en un seul ; il a abrégé et condens
lligentes, et peut-être plus inintelligentes encore. Comme le premier
acte
est constitué par l’ambassade d’Oreste auprès de
ite ou à gauche, massifs de fleurs et d’arbustes, etc. Bien. Mais à l’
acte
suivant, la scène n’a pas changé, de sorte que no
one reçût Oreste dans son boudoir ; oui ; mais ç’aurait gêné pour les
actes
suivants, où le lieu de la scène n’est pas « figu
pas « figuré et marqué » et reste vague. De même (et même au premier
acte
) c’est la salle du trône, oui, rien de mieux. Mai
ommencement, représente Calchas très suffisamment, mais qu’au dernier
acte
il n’est plus qu’un messager venant annoncer l’év
faible. On sait qu’Agamemnon, pour qu’il puisse y avoir un cinquième
acte
, se relâche de sa résolution, donne un délai, exp
à tout une face imprévue », c’est la révélation d’Arcas au troisième
acte
. Certes, c’est, un fort beau coup de théâtre ; ma
nd diable de palmier qui ne me désoblige pas autrement pendant quatre
actes
; mais au cinquième, quand le vent se lève, comme
t et que la mer « blanchisse » comme le texte l’indique, au cinquième
acte
. Ce ne serait pas un scrupule exagéré d’exactitud
art de l’artiste un mince mérite. Mlle Desprès a été bonne au premier
acte
, excellente, mais là vraiment excellente, au seco
re ligne. Où Mlle Desprès a été la meilleure, en dehors de son second
acte
, ç’a été aux premières scènes du III, parce que l
nce redoutable. Je n’ai pas été content du public. Il a, aux premiers
actes
, acclamé Mlle Desprès au-delà de toute raison. Et
gération de l’enthousiasme des partisans de Mlle Desprès aux premiers
actes
qu’une partie du public a réagi par l’apothéose d
une légère exagération, une pièce dans laquelle nous trouvons tout un
acte
, le second, où l’action qui, du reste, à peine a
é, ne marche pas d’un pas ; dans laquelle nous trouvons tout un autre
acte
, le troisième, où l’action ne marche pas davantag
laquelle, enfin, il n’y a un peu d’action que dans les deux derniers
actes
. Le Misanthrope est une pièce bien faite (et mêm
Alceste et de Célimène, il n’y a exactement que quatre scènes en cinq
actes
: les deux scènes d’altercation entre Alceste et
nvient de rappeler et de présenter avec exactitude, est la suivante. (
Acte
V, scène I.) HENRIETTE Je vous estime autant qu’
ne se croit philosophe que par imitation de sa mère et jeune vanité. (
Acte
I, sc. I.) Un éminent critique écrivait, il y a q
ête, quand elle revient à sa philosophie et à son féminisme. Tous ses
actes
ne le prouvent-ils pas ? — A qui veut-elle appren
lle d’Alceste et de Célimène. Elle n’occupe que quatre scènes en cinq
actes
(les deux altercations entre Alceste et Célimène,
ête trop aux orages qui éclatent dans son cœur, à la fin du quatrième
acte
. Leur vérité et leur beauté font un peu tort au r
actère dans le Misanthrope, ni qu’Alceste soit différent au cinquième
acte
de ce qu’il était au premier. L’argumentation de
lus forts au commencement qu’à la fin. C’est à la première scène de l’
acte
I, et par conséquent, selon l’opinion générale, a
blir dans un certain caractère, comme on disait dans ce temps-là. A l’
acte
II, que dit Célimène d’Alceste ? Et ne faut-il d
r hasard, n’y songerait pas… — et enfin que dit Eliante d’Alceste à l’
acte
IV ? Dans ses façons d’agir il est fort singulie
dit vingt fois, que Don Juan a dix bonnes années de plus au cinquième
acte
qu’au premier et ne peut pas ne pas les avoir. Ma
fessions de foi misanthropiques du début, mais, ce qui vaut mieux, un
acte
froid, résolu, de misanthropie décisive, cela pro
rait fait une mine bien renfrognée si Alceste, jeune homme au premier
acte
, eût été à demi barbon au dernier. Dans ce manque
rend point du tout pourquoi la correction a été faite. A tel endroit (
Acte
I, scène VI) le manuscrit portait : J’ai craint
n quart d’heure en ce lieu de plaisance !… De même la scène III de l’
acte
I depuis le vers « Tout à l’heure, mon cher, il f
des plus comiques, qui ont été ajoutés. De même la sixième scène de l’
acte
I (c’est dans les deux premiers actes que Piron a
s. De même la sixième scène de l’acte I (c’est dans les deux premiers
actes
que Piron a ajouté le plus) était fort courte et
eureux. Béquet aussi la plus grande partie de la scène VIII du second
acte
, de la scène que je me suis amusé à appeler « la
également en 1798, Victor ou l’Enfant de la forêt, mélodrame en trois
actes
qui avait eu un immense succès et qui devait être
ns la capitale ; le Joueur de Ducange avait vingt-cinq ans au premier
acte
et quarante-cinq au dernier. La Fille de l’Exilé,
ui règne dans son ouvrage. Voulant représenter une jeune fille dont l’
acte
héroïque se manifeste par l’entreprise d’un très
ssi, s’appeler Vingt Ans de l’histoire de France, aurait pour premier
acte
1830, pour second 1840, pour troisième 1848, pour
er a été vraiment assez belle. Beaux décors, surtout celui du premier
acte
, et fort bonne interprétation. Mme Dufrène a été
ge de Catarina. M. de Max, pour lequel on avait restitué le troisième
acte
, d’ordinaire supprimé, afin qu’on le vît mourir,
plus épouvantable du tout et ne fait aucun effet. Et enfin le dernier
acte
, Hulot revenu chez sa femme, courtisant une cuisi
baron Hulot était un très bon mari et un très bon père (voir premier
acte
) ; il a fait la connaissance d’une mauvaise femme
t. 11 décembre 1905. Meilhac et Halevy La Boule, comédie en cinq
actes
. La Boule a pleinement réussi aux Variétés. C
particulière, et qui m’est peut-être particulière, c’est le troisième
acte
, le fameux acte du tribunal, qui m’a le moins plu
qui m’est peut-être particulière, c’est le troisième acte, le fameux
acte
du tribunal, qui m’a le moins plu. Je m’y suis am
; c’est peut-être tout simplement que nous en avons vu, hélas ! des «
actes
de tribunal » depuis 1874 et que la Boule porte i
nsabilité de tout ce qu’elle a enfanté ; car, si le juge du troisième
acte
a neuf filles, ce n’est pas par neuf qu’il faut c
illes, ce n’est pas par neuf qu’il faut compter les fils du troisième
acte
de la Boule ; c’est peut-être une autre raison qu
; mais enfin ce III ne m’a pas absolument transporté. En revanche, l’
acte
I, si joliment à mi-côte de la comédie et du vaud
l’acte I, si joliment à mi-côte de la comédie et du vaudeville, et l’
acte
II, « l’acte du théâtre », si réaliste et si fant
joliment à mi-côte de la comédie et du vaudeville, et l’acte II, « l’
acte
du théâtre », si réaliste et si fantaisiste à la
ontres inattendues et vraisemblables et ses « effets de neige » ; cet
acte
II m’a rempli de joie pure. A propos, le fameux «
té à la représentation de la Boule, c’est que le quatrième et dernier
acte
, celui où « tout s’arrange », est peut-être le me
par des moyens de vaudeville très adroitement préparés dès le premier
acte
, moitié par le cours naturel des choses, qui veut
proquement très agréable. La raison de la réconciliation du quatrième
acte
est dans le : « En voilà une enquête ! » du trois
es auteurs n’auraient peut-être pas eu tort d’insister un peu en leur
acte
III, qui n’en aurait rien perdu de sa verve bouff
s. 14 mars 1904. François Coppée Pour la Couronne, drame en cinq
actes
, en vers. (Théâtre Sarah-Bernhardt.) Pour l
specie œternitatis. Le public est moins transporté aux deux derniers
actes
qu’aux trois premiers, parce qu’il ne comprend pa
ortement imprimer dans l’esprit du public, au cours des deux premiers
actes
, que Constantin adore son père comme un Dieu, que
s, il ne peut pas faire autrement ; — et, dès lors, les deux derniers
actes
paraissaient au public tout aussi justes et plus
aura toujours un léger refroidissement à partir du commencement de l’
acte
IV. Mais les trois premiers sont si forts, si fer
lli ; mais surtout, j’ai mes Souvenirs du peuple : j’ai mon troisième
acte
de Pour la Couronne. » L’interprétation de Pour
mirable frénésie tragique et lyrique. Lui aussi, il a « son troisième
acte
de Pour la Couronne » Mme Tessandier est exactem
une façon raisonnable. D’où il suit, follement et logiquement, qu’à l’
acte
suivant Germaine et Jean sont mariés. C’est un jo
en voiture pour aller retrouver Henri. Vers la joie ! Rideau. Dernier
acte
… C’est le dernier acte des pièces de ce genre qui
etrouver Henri. Vers la joie ! Rideau. Dernier acte… C’est le dernier
acte
des pièces de ce genre qui est le plus difficile
haite pas, même à mes ennemis. Le public a très mal pris ce quatrième
acte
. C’est le meilleur. Vous savez que j’ai l’habitud
re de mon avis. C’est le meilleur. Je veux dire que c’est le meilleur
acte
de la pièce. Il faut éviter l’amphibologie. C’est
iathèse, a fait sa comédie comme il devait la faire, et son quatrième
acte
, comme il était vraisemblable d’après le reste de
ine, où il était humainement impossible qu’on s’attendît ! Un premier
acte
d’abord, selon la formule nouvelle, presque uniqu
» qui ne s’y conforme. Ce qu’on nous présente surtout, en ce premier
acte
, c’est la maîtresse de Jean et le mari de cette m
ez, surtout, d’ici quelques années, à ne jamais assister à un premier
acte
, jamais, de parti pris. Eh bien ! c’est une maniè
dislocation progressive d’une volonté. Il en fait du chemin en quatre
actes
! Eh bien ! nous ne voyons que les points saillan
1897. Georges Chesley. Brocéliande, légende dramatique en quatre
actes
et en vers. Il se publie en France trois ou qu
vois au moins que l’auteur sollicite d’être lu et je lis. Le premier
acte
, d’une très grande beauté pittoresque et d’une vr
Sois maudit et meurs. » Et elle attend les événements. A la fin de l’
acte
on la voit, sur le pont du vaisseau qui l’emmène,
istan ? » Et cette dernière scène est très lyrique et très belle et l’
acte
entier est déjà très dramatique. A l’acte II nous
lyrique et très belle et l’acte entier est déjà très dramatique. A l’
acte
II nous sommes en Cornouailles, à l’orée de la fo
e et ils répondent tous les deux à l’appel de leur nom. On leur lit l’
acte
d’accusation. Lutte de générosité entre eux. Iseu
rs entre Gherb et Iseut, le supplice d’Iseut et Tristan est décidé. L’
acte
IV est terriblement sinistre. Dans une crypte ou
s conjurés veillent. On a entendu parler de ces conjurés au cours des
actes
précédents. On les a même vus. Ce sont des Irland
Cette pièce est partagée d’une façon parfaitement égale. Elle a deux
actes
très beaux, vraiment, et deux actes ridicules. Ma
n parfaitement égale. Elle a deux actes très beaux, vraiment, et deux
actes
ridicules. Mais, ce qu’il y a de curieux et ce qu
mber dans le ridicule — qu’il y a de ces tirades-là même au quatrième
acte
et que, même, le quatrième acte en est tout rempl
a de ces tirades-là même au quatrième acte et que, même, le quatrième
acte
en est tout rempli. Quand Iseut veut convaincre T
Peut-être. 14 août 1905. Catulle Mendes. Scarron, pièce en cinq
actes
et en vers. Le Scarron de M. Catulle Mendès a
e de mise en scène, à Villarceaux lui-même et au public. Au troisième
acte
, le sentiment discret, combattu et un peu complex
sauver et le fait transporter et le suit dans sa maison. Le cinquième
acte
, c’est l’agonie physique et l’agonie morale de Sc
uvent, dans le rôle de Don Quichotte. La « tirade sur la justice »à l’
acte
des galériens, quoique trop moderne, mais qu’impo
prier. 6 novembre 1905. André Picard. Jeunesse, comédie en trois
actes
. Un premier acte charmant, un second assez vif
05. André Picard. Jeunesse, comédie en trois actes. Un premier
acte
charmant, un second assez vif, mais de peu de bon
ements unanimes et enragés. C’est qu’il est charmant ce petit premier
acte
. Il est vrai, — sauf ce que j’ai relevé, — dans t
infiniment plus. On se croyait parti pour un grand succès. Le second
acte
a sensiblement refroidi le public. Au second acte
d succès. Le second acte a sensiblement refroidi le public. Au second
acte
, tout ce que l’on pouvait prévoir est arrivé. Mau
re. Cette fille est un peu bizarre. Elle l’est bien plus au troisième
acte
, six mois après. Au troisième acte, elle aime tou
Elle l’est bien plus au troisième acte, six mois après. Au troisième
acte
, elle aime toujours Autran ; mais elle a épousé l
nte d’entrain, de verve, d’impétuosité étourdie et naïve. Son premier
acte
a été étincelant. Son second acte fort brillant e
sité étourdie et naïve. Son premier acte a été étincelant. Son second
acte
fort brillant encore, malgré certaines violences
circulaire, la giration. Une bande de provinciaux court pendant cinq
actes
après un chapeau de paille d’Italie pour remplace
chapeau identique qui a été mangé par un cheval ; et, au bout de cinq
actes
, elle s’aperçoit que c’est précisément le chapeau
urdain ne répète ni les mêmes gestes, ni les mêmes mots, ni les mêmes
actes
. Il a une idée fixe qui change à chaque instant d
nt les Affaires. Excellente pour notre démonstration ; car le premier
acte
est de pure comédie, de l’aveu de tous, et le tro
est le même pourtant. C’est le même personnage. Oui ; mais au premier
acte
on n’avait pas mesuré la portée des effets de sa
’avait pas mesuré la portée des effets de sa passion, et au troisième
acte
on la voit, et cette portée est effrayante ; — et
, Pierre (1849-1916) [Bibliographie] Les Écoliers d’amour, un
acte
, en vers (1875). — Le cousin Florestan, un acte,
Écoliers d’amour, un acte, en vers (1875). — Le cousin Florestan, un
acte
, en vers (1877). — Le Grand Frère, trois actes, e
Le cousin Florestan, un acte, en vers (1877). — Le Grand Frère, trois
actes
, en vers (1877). — Racine sifflé, un acte, en ver
). — Le Grand Frère, trois actes, en vers (1877). — Racine sifflé, un
acte
, en vers (1877). — Bug-Jargal, drame en sept tabl
aphie] Melænis, poème (1851). — Madame de Montarcy, drame en cinq
actes
et en vers (1856). — Hélène Peyron, drame en cinq
drame en cinq actes et en vers (1856). — Hélène Peyron, drame en cinq
actes
et en vers (1858). — Festons et astragales (1859)
vers (1858). — Festons et astragales (1859). — L’Oncle Million, cinq
actes
et en vers (1860). — Dolorès, quatre actes et en
). — L’Oncle Million, cinq actes et en vers (1860). — Dolorès, quatre
actes
et en vers (1862). — Faustine, cinq actes en pros
s (1860). — Dolorès, quatre actes et en vers (1862). — Faustine, cinq
actes
en prose (1864). — La Conjuration d’Amboise (1866
intensité au-dessous duquel elle ne descend jamais, c’est que, par un
acte
incessamment répété de volonté mentale, l’âme la
de pure imagination. L’imagination suppose toujours la mémoire ; son
acte
est une modification du souvenir ; un souvenir in
minuer, — bien au contraire, — la fréquence des répétitions d’un même
acte
. L’habitude corrigée par l’attention, associée à
t, nous trouvons chacune d’elles parfaite en soi ; car elle passe à l’
acte
par intervalles, au moment même où sa réalisation
moment même où sa réalisation est devenue un besoin de l’esprit ; son
acte
est toujours complet, sans lacune : un mot commen
la fin, ni simplifié par l’omission d’une syllabe médiane ; enfin cet
acte
est doué d’une intensité de conscience et d’une d
u près inaltérables ; — si maintenant nous envisageons ces différents
actes
dans leur succession, c’est-à-dire l’habitude tot
ux. Ainsi la parole intérieure, considérée comme puissance, est à son
acte
ce qu’une majeure générale est à une conclusion p
particulière ; c’est une puissance imparfaitement déterminée, dont l’
acte
n’est pas à l’avance rigoureusement fixé, mais se
itude totale n’est qu’une habitude générale 239 ; pour se réaliser en
actes
particuliers, mais complexes, elle doit appeler à
bitude, tout en demeurant générale, partant souple et variée dans son
acte
, n’était pas d’une réalisation facile, et, pour a
’était pas d’une réalisation facile, et, pour ainsi dire, proche de l’
acte
. La parole intérieure réunit ces deux qualités, e
qu’elle-même reste générale, c’est-à-dire indifférente à l’ordre des
actes
particuliers qui la réalisent. Mais elle est deve
Mais elle est devenue, par son incessante réalisation, si proche de l’
acte
que, tout en conservant la généralité, c’est-à-di
généralité, c’est-à-dire l’indifférence à la nature particulière de l’
acte
complexe qui la manifeste, elle ne peut plus se p
système de Stuart Mill, serait une habitude générale ; elle passe à l’
acte
sous la forme de lois particulières. 240. Durant
Comédie-Française : Reprise de Montjoye, comédie en cinq
actes
, d’Octave Feuillet. — Odéon : Le Capitaine Fracas
s Raymond. — Porte Saint-Martin : Les Bienfaiteurs, comédie en quatre
actes
, de M. Brieux. [Octave Feuillet — Montjoye]
t bout de champ, des financiers conspués, et repentants, au cinquième
acte
, jusqu’à la restitution… Et tout cela est très ge
uré le crime qu’il a dans son passé et qui est, à vrai dire, son seul
acte
d’homme fort ; mais la constitution même du perso
contre quelque chose. Au Vaudeville : Le Partage, pièce en trois
actes
, de M. Albert Guinon. — À l’Odéon : Les Perses, d
. Ferdinand Hérold. — À l’Œuvre : Peer Gynt, poème dramatique en cinq
actes
, de M. Henrik Ibsen, traduction de M. le comte Pr
crime de lèse-humanité. Et c’est pourquoi j’ai conservé, du troisième
acte
du Partage, un souvenir vague sans doute, mais pé
qui est le vrai poème ibsénien. Le monologue de Franck, au troisième
acte
(cent quatre-vingt-sept vers) serait sublime s’il
n exubérance. Àla Comédie-Française : l’Évasion, comédie en trois
actes
, de M. Brieux. — À la Renaissance : Lorenzaccio,
ux. — À la Renaissance : Lorenzaccio, d’Alfred de Musset, mis en cinq
actes
, par M. Armand d’Artois. — Au Gymnase : Idylle tr
r M. Armand d’Artois. — Au Gymnase : Idylle tragique, pièce en quatre
actes
et six tableaux, tirée par M. Pierre Decourcelle
mbe dans ses bras. Le drame est donc quelconque, et surtout au second
acte
. Je sais bien ce qu’on a dit : Lucienne est victi
ut-être parce qu’elle l’a aimé jadis : cela nous a été dit au premier
acte
. L’émoi que lui donne sa leçon de bicyclette ne s
uente avec elle-même, et qui ne marche point par le crime à son grand
acte
de vertu. Et Lorenzaccio n’est pas non plus Hamle
il a cru tous les hommes lâches et vils. Par suite, il a senti que l’
acte
libérateur qu’il méditait ne servirait à rien du
ant la foi, lui décolore la vie et lui souille la création ; ainsi un
acte
mauvais est en nous-même une semence de mal et co
onté ; ainsi la noblesse de notre âme est dépendante de chacun de nos
actes
et non d’un seul qu’il nous a plu de choisir… et
Nisus et Euryale ne se sont jamais quittés et se confient tous leurs
actes
et toutes leurs pensées. Or, Olivier et Pierre so
l, unique, de l’amitié qui lie Olivier et Pierre, les discours et les
actes
qu’elle leur inspire ne nous paraissent qu’étrang
s devient à peu près égal. Jean-Gabriel Borkman, pièce en quatre
actes
de M. Henrik Ibsen, traduction de M. Prozor. A
au cours des longues conversations qui remplissent les deux premiers
actes
. Ces événements ne laissent pas d’être un peu com
. Et, dans tout cela encore, il n’y a rien de mystérieux. Le deuxième
acte
nous introduit dans la chambre de Borkman. Une fi
l’action, que nous ne soyons pas plus avancés qu’à la fin du premier
acte
. Mais Ella a décidé Borkman à tenter une démarche
êmes qui auraient agi comme moi l’auraient fait pour une autre fin. L’
acte
n’eût plus été le même. » Et cependant Gunhild re
ù l’on domine tout le pays. Il recommence ses divagations du deuxième
acte
sur les millions captifs dans la terre, dans les
forêts, et qui attendent de lui la délivrance. Et, comme au deuxième
acte
, Ella lui répète ; « Tu as tué la vie d’amour dan
rt, sur son banc, d’une congestion causée par le froid. Et ce dernier
acte
non plus n’a rien d’énigmatique. Bref, chaque rép
ue. Bref, chaque réplique est claire, chaque scène est claire, chaque
acte
est clair : et le drame tout entier (lisez-le, je
faibles créations. Àla Renaissance ; Spiritisme, comédie en trois
actes
, de M. Victorien Sardou. — Au Vaudeville : La Dou
Victorien Sardou. — Au Vaudeville : La Douloureuse, comédie en quatre
actes
, de M. Maurice Donnay. — À la Comédie-Française :
onnay. — À la Comédie-Française : La Loi de l’Homme, comédie en trois
actes
, de M. Paul Hervieu. Ce mois-ci nous a apporté
les débats sur le spiritisme qui remplissent presque tout le premier
acte
et la moitié du troisième ? Ces conversations de
t, ce pourrait être encore mieux. L’avant-dernière scène du troisième
acte
est vraiment belle. C’est un entretien entre M. d
quelle grâce ! Elle a trois scènes, et commence au milieu du deuxième
acte
pour finir avec le troisième : mais que d’esprit
ne agréable scène qui dure cinq minutes et qui constitue le quatrième
acte
. J’ai tort de dire : « se remettent ensemble », p
ral, l’heure inévitable où l’on paye ses fautes. Hélène, au troisième
acte
, expie l’erreur d’avoir eu un premier amant, et d
goûter ce qu’on nous offrait. Ce n’a pas été notre cas. Elle premier
acte
? Il est bien joli. C’est une soirée dans le mond
ait que d’exquis, ce ne serait plus vraisemblable. — Vers la fin de l’
acte
, première apparition de la « douloureuse. » On ap
servation vraie jusqu’à l’évidence. Et la première moitié du deuxième
acte
? — Eh bien, réflexion faite, elle n’est point in
ar vous n’en trouvez pas d’autre raison), sur la terrasse du deuxième
acte
, dans un bon fauteuil de jardin, il a assis une «
e plus significative que si l’auteur concluait. — De même, au premier
acte
, suffoquée un moment par cette odeur de décomposi
qui l’a faite. — Enfin, dans ce grêle et peut-être superflu quatrième
acte
, il y a un endroit où Philippe nous conte qu’il a
ssé et violent, qui ne dure guère plus d’une heure ; scénario en deux
actes
, car l’affiche nous trompe et il n’y a nulle rais
aimer mieux, j’en ai peur. Àl’Odéon : Le Chemineau, drame en cinq
actes
, en vers, de M. Jean Richepin. — À la Renaissance
M. Jean Richepin. — À la Renaissance : La Carrière, comédie en quatre
actes
et cinq tableaux, de M. Abel Hermant. — Aux « Esc
, de M. Abel Hermant. — Aux « Escholiers » : Le Plaisir de rompre, un
acte
, de M. Jules Renard. — Lucien Biart. [Jean
oudra. Cela manque un peu de clarté, peut-être. Et la scène du second
acte
recommence, plus montée de ton. Yvonne se dérobe.
’a que le tort d’osciller entre le drame et le vaudeville, — un petit
acte
de M. Jules Renard : le Plaisir de rompre, qui a
Jules Renard : le Plaisir de rompre, qui a extrêmement plu. Ce petit
acte
n’est qu’une scène à deux personnages. Deux amant
its enfants de France. À la Renaissance ; Snob, comédie en quatre
actes
, de M. Gustave Guiches ; La Samaritaine, « évangi
onne beaucoup de prix, selon moi, à cette dernière scène du troisième
acte
. Il commence, chose assez naturelle, par être bru
ble que l’auteur n’ait littéralement rien à mettre dans son quatrième
acte
. Il a eu cependant l’esprit d’y mettre une scène
soit contre cette monstrueuse faute de goût. Par bonheur, le deuxième
acte
est fort beau. C’est que la personne de Jésus en
ster. Mme Éléonora Duse. — Au Gymnase : Rosine, comédie en quatre
actes
, de M. Alfred Capus. [Éléonora Duse] Elle
ue mesure. Mais la Dame aux Camélias, au moins dans les deux premiers
actes
, est une dame qui se doit maquiller professionnel
ils n’avait certainement pas prévu. Bref, elle joue les deux premiers
actes
délicieusement, mais comme elle jouerait Juliette
ens sont réduits à l’état de fugitifs comparses. Le souper du premier
acte
et le baccara du quatrième sont d’une bonhomie et
urplus, est déjà si loin, si loin ! Je passerai vite sur le troisième
acte
, celui du père Duval. Mme Duse doit être une pers
ous inquiète — que Mme Duse se permet d’ajouter à la fin du quatrième
acte
. Mais c’est que, précisément parce qu’elle n’est
Sarah Bernhardt ne se cache point de lui avoir empruntée. Au dernier
acte
, lorsqu’elle va chercher sous l’oreiller la lettr
Henry Meilhac. — À la Comédie-Française : La Vassale, pièce en quatre
actes
, de M. Jules Case. [Henry Meilhac et son thé
sque la pièce « mal faite » exprès, et même la « tranche de vie » (2e
acte
du Réveillon). En ce qui regarde le « milieu « ma
souvent qu’on ne l’a dit ; mais encore a-t-il su écrire le troisième
acte
de Gotte et le dernier acte du Mari de la Débutan
mais encore a-t-il su écrire le troisième acte de Gotte et le dernier
acte
du Mari de la Débutante. Il a fondé le théâtre an
avec quelle sûreté ! Et enfin n’oublions pas cet admirable troisième
acte
de Froufrou, où chaque effort de la jeune femme p
er de ses idées, de ne pas vouloir la comprendre. Et c’est le premier
acte
. L’auteur introduit alors les deux principaux asp
up de bonne volonté à laisser percer son secret. Et c’est le deuxième
acte
. Louise s’épanche alors dans le sein onctueux de
Cette pièce, souvent obscure, n’est du moins pas médiocre. Au dernier
acte
, Henri revient de chez Mme Gerboy, et Louise revi
embrouillamini. Àla Comédie-Française : Frédégonde, drame en cinq
actes
, en vers, de M. Alfred Dubout. — À la Bodinière :
, de M. Alfred Dubout. — À la Bodinière : Dégénérés, comédie en trois
actes
, de M. Michel Provins. [Alfred Dubout — Fréd
Frédégonde] La Comédie-Française a donné Frédégonde, drame en cinq
actes
et en vers, reçu il y a trois ans avec enthousias
ans le moment seul de la représentation. La grande scène du quatrième
acte
de Frédégonde est éminemment tragique. Nous avons
s deux, il n’y a point là d’impossibilité absolue. Mais, au quatrième
acte
de Frédégonde, ce sur quoi on nous prie d’être co
peut-être ce niveau indique à son tour celui de l’œuvre. Le quatrième
acte
de Frédégonde a réussi, mais pour les mêmes raiso
vertu distinguée et désirable. l’on Sang, « tragédie » en quatre
actes
, de M. Henry Bataille. — L’Enfant malade, pièce e
uatre actes, de M. Henry Bataille. — L’Enfant malade, pièce en quatre
actes
, de M. Romain Coolus. Ces deux pièces ont été
s. La vie d’une usine et d’un port de mer est mêlée à tout le premier
acte
. La vie d’un hôtel de voyageurs, Suisse ou Tyrol,
rêve à leur propre vie. (Voyez, notamment, le couplet de Grand’mère,
acte
II, scène 4, et certains propos de Maxime au troi
and’mère, acte II, scène 4, et certains propos de Maxime au troisième
acte
.) Le drame, malgré la violence des actions, demeu
pé de songerie. — Et je vois bien, par exemple, que les deux derniers
actes
ne valent pas les deux premiers. Mais, si j’essay
nde bonté et quelque clairvoyance. » Nous les retrouvons, au deuxième
acte
, mariés depuis huit mois ; et déjà cela ne va plu
naissant en elle un séduisant animal, et que, dans les trois premiers
actes
(cela est dit vingt fois), il n’a pour elle, tout
pierres : ce qu’il sera sans aucun doute après la réunion du dernier
acte
, puisque, là, il est amoureux. — Bref, l’abnégati
ection. L’auteur répondrait probablement que, dans les trois premiers
actes
, Jean, par point d’honneur, pousse jusqu’à l’extr
À la Comédie-Française : Reprise de la Vie de Bohème, comédie en cinq
actes
, de Henry Mürger et Théodore Barrière. — Geoffroy
théâtre » est d’ailleurs saugrenu, et tout l’arrangement du quatrième
acte
est d’une inconcevable ineptie. Et pourtant la sa
lède. — Au Gymnase : Les Trois filles de M. Dupont, comédie en quatre
actes
, de M. Brieux. [Paul Déroulède — La Mort de
fait exprès » morose et un peu déclamatoire sévit surtout au dernier
acte
. Julie veut le divorce. Antonin le lui refuse et
jette son dévolu, — un jeune homme que nous avons entrevu au deuxième
acte
et qui a bien l’air d’un sot prétentieux, — l’aur
mariage, ses généreuses colères et ses belles exigences du troisième
acte
n’ont plus aucun sens. Ce n’est plus une féminist
e caractère et le personnage des trois malheureuses sœurs. Le dernier
acte
des Trois filles de M. Dupont n’est, décidément,
tout ce que j’oublie. Au Vaudeville : Jalouse, comédie en trois
actes
, de MM. Alexandre Bisson et Leclercq. — Aux Nouve
sson et Leclercq. — Aux Nouveautés : Petites folles, comédie en trois
actes
, de M. Alfred Capus. — À la Comédie-Française : T
, de M. Armand Silvestre. — À l’Odéon : Les Corbeaux, comédie en cinq
actes
, de M. Henry Becque. — Au Théâtre-Antoine : Le Bi
nry Becque. — Au Théâtre-Antoine : Le Bien d’autrui, comédie en trois
actes
, de M. Émile Fabre. — Au Gymnase : Médor, comédie
rois actes, de M. Émile Fabre. — Au Gymnase : Médor, comédie en trois
actes
, de M. Albert Malin. [Bisson et Leclercq — J
surcroît, l’intérieur du vieux ménage provincial est peint, au second
acte
, de façon vraiment savoureuse. [Alfred Capus —
et sans savoir que c’est le même, le héros que chacune d’elles adore (
Acte
II, scène 5). Je dois à la vérité de reconnaître
question posée changent subitement entre le deuxième et le troisième
actes
, sans que les sentiments du personnage à qui elle
oup duré. Au Théâtre-Antoine : Le Repas du Lion, pièce en quatre
actes
, de M. François de Curel. Si je ne me trompe,
s surtout il est étrange que, de son christianisme des trois premiers
actes
, il n’ait rien retenu, absolument rien, pas même
devait pas prononcer, étant donné ce que nous ont appris de lui trois
actes
tout entiers. Et, si l’on nous dit que Jean de Sa
Il faut dire que, dans le drame paru en brochure, il y a un cinquième
acte
, tout plein d’horreur et d’incertitude. Là, Rober
up moins rare que le premier. C’est pourquoi je ne retiendrai, de cet
acte
supprimé à la représentation, que ce qui regarde
ement cette fois… En somme, il ne fait que balbutier, dans ce dernier
acte
, des idées confuses et contradictoires. Cependant
hoses qu’il disait à l’abbé Charrier après la conférence du quatrième
acte
, et qui contenaient déjà le germe de son achèveme
e ses personnages une « atmosphère » qui leur est propre. Son premier
acte
sent bien la vie noble, catholique et terrienne (
vie noble, catholique et terrienne (cf. les Fossiles) ; son deuxième
acte
est un beau drame d’usine et nous fait voir un be
rises… À la Porte Saint-Martin : Cyrano de Bergerac, drame en cinq
actes
, en vers, de M. Edmond Rostand. — À l’Odéon : Le
n vers, de M. Edmond Rostand. — À l’Odéon : Le Passé, comédie en cinq
actes
, de M. Georges de Porto-Riche. [Edmond Rosta
ce et d’une fantaisie qui sont « de chez nous. » Car, dans le premier
acte
, tout ce joli tumulte de comédiens et de poètes,
d revu par Théodore de Banville assisté de Jean Richepin. Au deuxième
acte
, nous sommes dans l’auberge de maître Ragueneau,
travesti de Marivaux, — et enfin par la Métromanie, par le quatrième
acte
de Ruy Blas, par Tragaldabas lui-même, et par les
élancolie voluptueuse dont il teint çà et là, dans ses trois derniers
actes
, ces choses d’autrefois ; excepté enfin ce par qu
s simple et plus court que celui de la Visite de noces, qui n’a qu’un
acte
et qui y tient à Taise. — Dominique Brienne, rest
nt trente-huit ans et se croit « sauvée. » À ce moment (fin du second
acte
) elle se retrouve en présence de François, qui se
uand même à la fatalité de son désir : nous l’avons vue, durant trois
actes
entiers, si mal défendue par sa haine du mensonge
Porte-Saint-Martin : Reprise des Deux Orphelines, drame en cinq
actes
et huit tableaux, de MM. A. d’Ennery et Cormon.
me fléchira soudainement, si l’Action l’exige. — Il y a, au troisième
acte
des Deux Orphelines, une scène d’un grand effet.
»… Comédie-Parisienne : La Lépreuse, tragédie légendaire en trois
actes
, de M. Henry Bataille. Vous résumer La Lépreus
a vieille Tili grommelle : « Buvez : ceci est mon sang ! » Au dernier
acte
, Matelinn et Maria apprennent le malheur de leur
vrage achevé !… Son sujet est conduit d’une belle manière ; Et chaque
acte
, en sa pièce, est une pièce entière2. Boileau, s
se plaisait à développer cette logique des passions, par laquelle les
actes
sortent de la succession et du combat des pensées
es, et un événement suprême qui punît ou récompensât chacun selon ses
actes
, voilà où portait tout l’effort de Racine. C’est
a prière, continuent l’action, et prolongent, pour ainsi dire, chaque
acte
jusqu’à l’acte suivant. Par exemple, la fin du pr
nuent l’action, et prolongent, pour ainsi dire, chaque acte jusqu’à l’
acte
suivant. Par exemple, la fin du premier acte nous
e, chaque acte jusqu’à l’acte suivant. Par exemple, la fin du premier
acte
nous a laissés sous l’impression des redoutables
ermir la foi d’Abner et en relevant le courage de Josabeth. Au second
acte
, Athalie vient d’interroger Joas. Le chœur chante
er. L’action marche ; elle gronde, pour ainsi dire. Dans le troisième
acte
, Mathan demande qu’on lui livre Joas. Joad le cha
ranquille paix D’un cœur qui t’aime ? Joas est couronné au quatrième
acte
. Le grand prêtre range les lévites en bataille ;
e qu’il fait pour eux. 2. Satire III. 3. Satire des satires. 4.
Acte
I, sc. V. 5. Acte II, sc. ii. 6. Acte I, sc. i.
ux. 2. Satire III. 3. Satire des satires. 4. Acte I, sc. V. 5.
Acte
II, sc. ii. 6. Acte I, sc. i. 7. « Cela n’est-
3. Satire des satires. 4. Acte I, sc. V. 5. Acte II, sc. ii. 6.
Acte
I, sc. i. 7. « Cela n’est-il pas bien touchant
mieux mettre Tredame. » (Entretiens de Brossette et de Boileau.) 8.
Acte
I, sc. V. 9. Mémoires de Louis Racine. 10. La
8. Acte I, sc. V. 9. Mémoires de Louis Racine. 10. La Thébaïde,
acte
I, sc. V. 11. Alexandre, acte II, sc. I. 12.
s de Louis Racine. 10. La Thébaïde, acte I, sc. V. 11. Alexandre,
acte
II, sc. I. 12. Le Cid, acte V, sc. I. 13. Ale
ébaïde, acte I, sc. V. 11. Alexandre, acte II, sc. I. 12. Le Cid,
acte
V, sc. I. 13. Alexandre, acte III, sc. vi. 14.
xandre, acte II, sc. I. 12. Le Cid, acte V, sc. I. 13. Alexandre,
acte
III, sc. vi. 14. Andromaque. acte I, sc. iv. 1
, acte V, sc. I. 13. Alexandre, acte III, sc. vi. 14. Andromaque.
acte
I, sc. iv. 15. Acte II, sc. ii. 16. Ibid. 17.
Alexandre, acte III, sc. vi. 14. Andromaque. acte I, sc. iv. 15.
Acte
II, sc. ii. 16. Ibid. 17. Que dans tous vos d
la passion émue Aille chercher le cœur, réchauffe et le remue. 18.
Acte
II, sc. I. 19. J’en vis un jour un exemple bien
e en action de la vérité pratique de ses tragédies. 20. Polyeucte,
acte
V. 21. Il veut s’arracher la vie : Il marche sa
ecours, Que sa douleur bientôt n’attente sur ses jours. (Britannicus,
acte
V, sc. viii.) 22. Λευχώλενος,. 23. Acte I, sc.
r ses jours. (Britannicus, acte V, sc. viii.) 22. Λευχώλενος,. 23.
Acte
I, sc. iv. 24. Page 18 de ce volume. 25. Iliad
e, qu’elle croit mort : Et veuve maintenant, sans avoir eu d’époux. (
Acte
1er, sc. ii.) 29. Britannicus, acte II, sc. i
nant, sans avoir eu d’époux. (Acte 1er, sc. ii.) 29. Britannicus,
acte
II, sc. iii. 30. Bérénice, acte V, sc. V. 31.
1er, sc. ii.) 29. Britannicus, acte II, sc. iii. 30. Bérénice,
acte
V, sc. V. 31. Acte IV, sc. iv. 32. Acte IV, sc.
. Britannicus, acte II, sc. iii. 30. Bérénice, acte V, sc. V. 31.
Acte
IV, sc. iv. 32. Acte IV, sc. iv. 33. « Titus la
I, sc. iii. 30. Bérénice, acte V, sc. V. 31. Acte IV, sc. iv. 32.
Acte
IV, sc. iv. 33. « Titus la renvoya de Rome, malg
elon quelques-uns, la protase des anciens revient à nos deux premiers
actes
; mais ceci a besoin d’être éclairci. Scaliger dé
fait en une scène, on n’a donc besoin pour cela, ni d’un, ni de deux
actes
. C’est la longueur du récit, sa nature et sa néce
plus ou moins de scènes, la renfermaient quelquefois dans le premier
acte
, et le second. Aussi, Vossius remarque-t-il que c
er appelle rei summa, ne se fait que dans la première scène du second
acte
; après quoi, l’action commence proprement. La pr
n commence proprement. La protase ne revient donc à nos deux premiers
actes
qu’à raison de la première place qu’elle occupait
lquefois être prise, mais il semble qu’il est mieux de s’en passer. L’
acte
est froid quand l’exposition n’est pas amenée par
re ému. Les règles veulent qu’il attende ; et il abandonne le premier
acte
, quelquefois davantage, aux besoins du poète, dan
ut être fondée : mais il n’y a guère que le défaut d’intérêt dans les
actes
suivants, qui rappelle au spectateur que le théât
ts, qui rappelle au spectateur que le théâtre était rempli au premier
acte
: témoin Brutus et les ouvrages déjà cités. Les p
ame qui était entre les chants du chœur ; elle équivalait à nos trois
actes
du milieu. Ce récit des acteurs, interposé entre
Un poète peu habile épuisera quelquefois tout son sujet dès le second
acte
, et se trouvera par là dans la nécessité d’avoir
sité d’avoir recours à des actions étrangères pour remplir les autres
actes
: c’était le défaut des premiers poètes français.
: c’était le défaut des premiers poètes français. Pour remplir chaque
acte
, ils prenaient des actions qui appartenaient bien
l’en séparer. Même artifice à peu près dans Iphigénie. Dès le premier
acte
, l’arrivée d’Ériphile est annoncée ; on explique
trophe ou le dénouement de l’intrigue, et répondait à notre cinquième
acte
: au lieu que l’épilogue était hors d’œuvre, et n
beauté de dialogue du premier ordre, la cinquième scène du troisième
acte
de Cinna. Émilie a déterminé Cinna à ôter la vie
ermione, opéra de Quinault, il y a, dans la dernière scène du premier
acte
, une très grande beauté de dialogue. Cadmus se tr
, Paul (1846-1914) [Bibliographie] Juan Strenner, drame en un
acte
et en vers (1869). — Les Chants du soldat (1872).
2). — Les Nouveaux Chants du soldat (1875). — L’Hetman, drame en cinq
actes
et en vers (1877). — La Moabite, drame en cinq ac
n, drame en cinq actes et en vers (1877). — La Moabite, drame en cinq
actes
et en vers (1880). — Les Marches et Sonneries (18
Histoire d’amour, roman (1890). — Messire Duguesclin, pièce en trois
actes
et en vers (1895). — Poésies militaires (1896). —
ésies militaires (1896). — La Mort de Hoche, drame en prose en quatre
actes
(1898). — La Plus Belle Fille du monde, conte dia
comédie en vers (1859). — Les Funérailles de l’honneur, drame en cinq
actes
(1862). — Jean Baudry, comédie en quatre actes (1
honneur, drame en cinq actes (1862). — Jean Baudry, comédie en quatre
actes
(1863). — Les Miettes de l’histoire (1863). — Le
63). — Les Miettes de l’histoire (1863). — Le Fils, comédie en quatre
actes
(1866). — Mes premières années de Paris (1872). —
. — Le Théâtre d’Auguste Vacquerie (1879). — Formosa, drame en quatre
actes
et en vers (1888). — Jalousie, drame en quatre ac
drame en quatre actes et en vers (1888). — Jalousie, drame en quatre
actes
(1888). — Futura, poèmes philosophiques et humani
es du cerveau, celles qui président à la direction des pensées et des
actes
, sont réduites à un arrêt plus ou moins considéra
uggérer au sujet des représentations et des actions, ces idées et ces
actes
maintiennent le dormeur dans un état de veille pa
hypnotisme sur l’idéation et la motion On a jadis prétendu que les
actes
des somnambules étaient tous inconscients et se r
dans un sommeil ultérieur. Il est donc impossible de voir dans leurs
actes
et leurs paroles des mouvements analogues à ceux
ifs des idées à mesure que se déroule la chaîne des associations. Les
actes
accomplis par les hypnotisés constituent une espè
e excitation extérieure par un mouvement est plus rapide que dans les
actes
volontaires. Or Beaunis, Stanley Hall et W. James
ience même. Parfois, au moment où nous accomplissons machinalement un
acte
, comme de remuer la jambe ou de nous gratter la t
ête, quelque circonstance fixe tout d’un coup notre attention sur cet
acte
; nous nous apercevons bien alors que nous le fai
n ; eh bien, si l’on tient compte des conditions de la production, un
acte
suggéré, pour le sujet, est l’idéal de la distrac
ar distraction. Il arrive ainsi qu’une série secondaire d’images et d’
actes
corrélatifs se développe automatiquement, au mili
dées. Précisément parce que ces autres idées sont sans rapport avec l’
acte
de tailler un canif, qui, relativement à elles, e
disponible ; la distraction portera sur les autres choses, non sur l’
acte
de tailler le crayon, tandis que, tout à l’heure,
Cette exécution a lieu de deux manières. Tantôt le sujet accomplit l’
acte
suggéré en l’attribuant. à sa volonté propre et e
libre arbitre, lorsque nous ne voyons pas les raisons cachées de nos
actes
, les liens de notre pensée actuellement dominante
érique alors qu’il a été suggéré du dehors. Le moi s’attribue alors l’
acte
et en imagine des raisons parfois invraisemblable
st venue, être ressaisi d’une sorte de vertige hypnotique, exécuter l’
acte
pendant un instant de somnambulisme, puis en perd
Il est ainsi envahi par le sommeil en même temps que par l’idée de l’
acte
à exécuter. Dans l’écorce engourdie et inhibée pa
ée par ce vertige soudain surgit alors une image unique, celle de tel
acte
à faire, et cette image unique entraîne sa réalis
e normale reprend le dessus, la mémoire consciente des suggestions ou
actes
du somnambulisme s’évanouit ; ainsi s’effacent, c
ses qu’on leur fait faire ; ils peuvent voir de fortes objections à l’
acte
suggéré et ne concevoir aucun motif plausible pou
qui manifeste le mieux cet état d’absorption dans une idée et dans l’
acte
correspondant. Alors éclatent les deux lois fonda
sme) : — Toute idée est une image, une représentation intérieure de l’
acte
; or la représentation d’un acte, c’est-à-dire d’
, une représentation intérieure de l’acte ; or la représentation d’un
acte
, c’est-à-dire d’un ensemble de mouvements, en est
uer une certaine attention de l’être conscient, et l’attention est un
acte
de la volonté. Ce qui est vrai, c’est que, dans l
uable que présente la catalepsie est l’imitation et la répétition des
actes
. Nouvel exemple de la force des idées et images ;
n avec l’attitude correspondante, etc. L’association des idées ou des
actes
a pour base, selon nous, l’association plus profo
à enchaîner, on est obligé de faire pour chacun de ces mouvements un
acte
d’attention réfléchie : on ressemble à l’aiguille
elle répondra qu’elle ne voit pas cet objet. C’est une comédie à cent
actes
divers, dont la comédienne est dupe toute la prem
nt comme des points d’application faciles et rapides pour une série d’
actes
conscients de volonté, à la fois commencés et ret
i. » Elle n’a compris ou retenu du commandement que l’heure, et non l’
acte
à exécuter. Une fois, cependant, M. Janet lui ava
l’origine. Par exemple, les anciens hommes plaçaient la faute dans l’
acte
, dans le fait matériel. Sophocle a écrit deux tra
n de ses rêves les plus chers : il nous a joué Tartuffe (le troisième
acte
), ce qu’il n’avait pu faire jusqu’ici que sur des
époux. Bref, Tartuffe nous apparaît, surtout dans les deux premiers
actes
, comme un truand de sacristie, une trogne à la Ca
e utile au roi et lui être particulièrement signalée (voir le dernier
acte
) ; ce bourgeois, qui doit avoir, après tout, les
enturier subtil, le « fourbe renommé » que l’on découvre au cinquième
acte
, c’est celui-là que M. Frédéric Febvre avait cout
sier, le dévot ridicule et debas étage qui nous est décrit au premier
acte
. Là est, non seulement pour les croyants, mais po
lui reproche son oisive vertu ; il lui rappelle que Dieu demande des
actes
. « — Vous me la baillez belle ! réplique Abner. Q
Marivaux Matinées classiques de l’Odéon : l’Epreuve, comédie en un
acte
, de Marivaux. 19 novembre 1888. J’ai fait je
cien Théâtre-Libre ancien : Isabelle grosse par vertu, farce en un
acte
, attribuée à Fagan. — Le Divorce, farce en trois
tu, farce en un acte, attribuée à Fagan. — Le Divorce, farce en trois
actes
, de Renard. — Arlequin poli par l’amour, féerie e
en trois actes, de Renard. — Arlequin poli par l’amour, féerie en un
acte
, de Marivaux. — Le Marchand de m….farce en un act
mour, féerie en un acte, de Marivaux. — Le Marchand de m….farce en un
acte
, de Thomas Gueullette. 1er avril 1889. Au mo
nfants en présence… (Tout à fait la machination de Néron au troisième
acte
de Britannicus ! ) Mais le rusé Trivelin, valet d
e Dumas Comédie-Française : Henri III et sa Cour, drame en cinq
actes
en prose, d’Alexandre Dumas. 7 janvier 1889.
e la duchesse laisse échapper, sans le vouloir, l’aveu de son amour. (
Acte
Ier, scène 5 ; deux pages. ) 2e Le duc de Guise,
e à écrire à Saint-Mégrin un billet qui l’attire dans un guet-apens. (
Acte
III, scène 5 ; cinq pages. ) Je vous donne le pas
te pages sur quatre-vingts, et il remplit notamment tout le quatrième
acte
, ce quatrième acte où, d’après Sarcey, doit être
-vingts, et il remplit notamment tout le quatrième acte, ce quatrième
acte
où, d’après Sarcey, doit être le point culminant
e acheté une, si le prix exorbitant qu’il faut y mettre… Et au second
acte
… c’est prodigieux, et Dezobry est enfoncé. Les mi
d’histoire (qui remplit notamment tout le second et tout le quatrième
acte
) a soixante pages et que le drame en a quinze (j’
Or, c’est à préparer et justifier cette scène que sert tout le second
acte
(où d’ailleurs il n’est nullement question de la
la défendre. Or, c’est à justifier cette fuite que sert le quatrième
acte
, où Saint-Mégrin provoque le duc de Guise. Saint-
Saint-Mégrin et les enluminures historiques du second et du quatrième
acte
. Enfin, une chose qui paraît si évidente à M. Sar
us que moi pourquoi le public s’amuse. 2e J’admets que tout le second
acte
soit nécessaire en effet, pour nous faire compren
moins de tort au vieux Dumas en donnant son deuxième et son quatrième
actes
pour de franches digressions, — qui peuvent être
tances ? Et, par exemple, après avoir proclamé la nécessité du second
acte
, il cite la phrase qui termine le premier (« Qu’o
ère partie de l’argumentation de M. Sarcey : car à quoi bon le second
acte
, si nous savons dès le premier de quoi est capabl
re un autre. Je vous ai dit qu’au jugement de M. Sarcey, le quatrième
acte
justifie le saut de Saint-Mégrin par la fenêtre.
tous ces beaux raisonnements que la merveilleuse utilité du quatrième
acte
consiste à amener, au cinquième, une complication
itique du Temps ? Oh ! que non. Il me fait remarquer que ce quatrième
acte
, qui, selon moi, « n’a pas ombre de rapport avec
Mais il n’est question, au contraire, que du drame dans ce quatrième
acte
!… » Pardon ! Il en est question, vous l’avez dit
. J’adore le Réveillon, bien qu’on en puisse distraire tout le second
acte
sans rien enlever de nécessaire à l’action. J’aur
ver de nécessaire à l’action. J’aurais aimé le second et le quatrième
acte
de Henri III, quoique indépendants du drame de pa
Dumas fils. Jules Lemaître Odéon : Révoltée, comédie en quatre
actes
, de M. Jules Lemaître. 15 avril 1889. Je me
ller sur la vertu d’Hélène. Telle est la situation exposée au premier
acte
, lequel se passé chez la comtesse de Voves, le jo
oisi pour amusette d’avoir un salon littéraire. Il se trouve dans cet
acte
une satire innocente et superficielle de travers
toche, comme vous voyez, et silhouette de pure fantaisie. Le deuxième
acte
se passe chez Mme Herbeau, dans un petit salon pe
ter aux lèvres… et la scène se termine par une provocation… Troisième
acte
: chez Pierre Rousseau. Hélène s’ennuie. Elle con
ende… » Et moi, docile, j’ajoutai Toto, et je remis la pièce en trois
actes
, — avec un dénouement gai. Et je m’aperçus qu’ell
est peut-être ce qui reste de meilleur en vous !… J’arrive au dernier
acte
. Il fallait finir, et cela m’embarrassait beaucou
’ai rendue à tous deux ; je suis content. » Vous voyez que ce dernier
acte
est fort médiocre… Maintenant j’en conçois un aut
orge Sand Comédie-française : François le Champi, comédie en trois
actes
, de George Sand. 1er octobre 1888. Ce qu’il
e, le 11 février 1734, par Christophe-Barthélemy Fagan, dans un petit
acte
en prose intitulé : la Pupille. Jusque-là, toutes
Barrière Variétés : Les Jocrisses de l’Amour, comédie en trois
actes
de Théodore Barrière et Lambert Thiboust. 25 f
. Ah ! que cet état d’esprit est admirable !… Je feuillette le second
acte
Armand vient d’apporter des boutons en diamants à
r Moulinier. Il est sage, prudent, avisé sur tout le reste. Au second
acte
, quand il va chercher Armand chez Léontine, il n’
mmeline Bouvenot ! Les deux nigauds qu’on leur a présentés au premier
acte
ne les ont seulement pas regardées ; ils se sont
vers sa Léontine et l’autre vers son caïman…..Et voilà qu’au dernier
acte
nous retrouvons nos deux idiotes follement amoure
s à volonté. Menus-Plaisirs : les Filles de marbre, drame en cinq
actes
, de Théodore Barrière et Lambert Thiboust. 4 m
e. Voyons, en effet, le « monstre » de près, et jugeons Marco sur ses
actes
, non sur les discours que lui tiennent ce jeannot
oposé. Vaudeville : reprise des Faux Bonshommes, comédie en quatre
actes
, de Barrière et Capendu. 13 mai 1889. La com
et quelles illusions sur les mobiles et sur la qualité morale de nos
actes
! et cela continuellement. Oui, les Faux Bonshomm
rière. Emile Augier Comédie-Française : Maître Guérin, en cinq
actes
, de M. Emile Augier (reprise). 23 avril 1889.
ndonné même de sa femme (une bête à bon Dieu qui s’insurge au dernier
acte
), reste seul « avec son déshonneur ». On a jugé q
est un saint, mais parce qu’il est un fou. Pendant les trois premiers
actes
, le vieux Desroncerets nous laisse assez indiffér
oint de plus belle dans la Recherche de l’absolu. Jusqu’au troisième
acte
, Mme Guérin n’est qu’une bonne femme qui adore so
qu’il n’en devinera pas les causes ? La démarche de Mme Guérin est un
acte
de passion maternelle, vraiment absurde et, en un
Dumas fils Gymnase : Reprise de Monsieur Alphonse, pièce en trois
actes
de M. Alexandre Dumas fils. 11 février 1889.
absolu chef-d’œuvre, si l’on ne nous y demandait d’abord un véritable
acte
de foi ; en d’autres termes, si toute une partie
core fraîche. Notez qu’en l’épousant il n’accomplira pas seulement un
acte
profitable, mais un acte moral, du moins selon le
l’épousant il n’accomplira pas seulement un acte profitable, mais un
acte
moral, du moins selon les idées de la société où
enfant. Rien que cela. (Il est vrai qu’il ne le lui a pas demandé ! »
Acte
II, sc. ix. ) M. Dumas nous explique, dans sa pré
et, si l’on fait abstraction des personnes pour ne considérer que les
actes
(ce qui est d’ailleurs un artifice d’une pratique
e larmes. Auguste Vacquerie Gymnase : Jalousie, drame en quatre
actes
, de M. Auguste Vacquerie. 10 décembre 1888.
e, simplement et largement. Je la résume en quelques mots. Au premier
acte
, Céline, piquée, essaye de reprendre Philippe et
organ sort d’une cachette et nous apprend qu’il se vengera. Au second
acte
, Jorgan commence d’attiser la jalousie de Gérard.
voir prévenir Gérard, qui se croit alors trahi par elle. Au troisième
acte
, scène d’explication entre les deux amoureux. Ils
ndez-vous nocturne que se sont donné Marcelle et Philippe. Au dernier
acte
, Gérard vient au rendez-vous et y trouve Jorgan.
istole sur Jorgan, qui s’est caché dans un fourré voisin… Dans chaque
acte
, des scènes d’une grande beauté, prises en elles-
uberty, Sophie Arnould. Il les appuyait d’une quantité de documents :
actes
de naissance, actes de mariage et de décès, notes
ld. Il les appuyait d’une quantité de documents : actes de naissance,
actes
de mariage et de décès, notes de fournisseurs et
les de Goncourt Thèâtre-Libre : La Patrie en danger, drame en cinq
actes
, d’Edmond et Jules de Goncourt. 25 mars 1889.
a Bastille, et que cela finira par l’échafaud. Et, en effet, les cinq
actes
de MM. de Goncourt s’intitulent : Le 14 juillet 1
esse, de ses titres et de ses privilèges. Lorsqu’elle dit, au premier
acte
: « Savez-vous, mon frère, que c’est à périr, cet
lque monotonie ? Mais il y a plus. Nous l’avons entendu, au quatrième
acte
, parler avec horreur des massacres et des mitrail
avec fureur, veut absolument mourir. Pas un des condamnés (au dernier
acte
) qui n’ait pour la mort le mépris le plus tranqui
bole. Il a été d’abord un fanatique de la religion. Il est au premier
acte
un fanatique de la « nature ». Comment s’est opér
a campagne. On ne sentait point, chez l’excellent bonhomme du premier
acte
, le plus petit germe de haine, et surtout il y av
x fanatismes précis et méchants, aux haines qui se traduisent par des
actes
… Et enfin, Boussanel, troisième manière, est trop
mon bras conspirait, je me le ferais couper ! etc… » Et au cinquième
acte
: « … j’ai rempli ma tâche, une dure tâche, celle
sont composés de la même manière que les figures. Prenons le premier
acte
. C’est une merveille d’ingénieuse mosaïque. Je ne
ous Auguste. Mais voyez les inconvénients de ce système qui fait d’un
acte
de drame une malle anglaise, une malle à document
e, une malle à documents. Les auteurs ont voulu terminer leur premier
acte
par le récit de la prise de la Bastille, et ils o
ou quatre scènes dont l’effet est assez dramatique : la fin du second
acte
, quand la chanoinesse et Blanche de Valjuzon, res
de Verdun ; enfin, au dénouement, l’appel des condamnés. Au troisième
acte
, M. Antoine a cru faire merveille en jetant sur l
ui de nous n’a fait cela, du moins en pensée ? Rodion, lui, passe à l’
acte
; mais, encore une fois, il est malade ! il souff
ne autre cause que la terreur, et plus profonde. C’est que, à peine l’
acte
par lequel il affirmait sa morale particulière ét
gtemps. Ostrowsky Théâtre Beaumarchais : L’Orage, drame en cinq
actes
et six tableaux, d’Ostrowsky, traduit du russe pa
riez Dieu pour moi ! » A ce moment repasse la vieille dame du premier
acte
, toujours suivie des deux valets à tricornes. Ell
uand elle a fini, il la reçoit, évanouie, dans ses bras. Au cinquième
acte
, ce Charles Bovary des steppes ouvre son cœur à l
oler, tuer, séduire une femme, etc. — c’est-à-dire commettre tous les
actes
qui forment nécessairement la trame des pièces de
et Halévy Variétés : Reprise de Barbe-Bleue, opéra-bouffe en trois
actes
, de MM. Henri Meilhac et Ludovic Halévy, musique
ne peur ! » Je ne vous parle pas du monologue de Popolani au deuxième
acte
, et du mot qui le termine : « Mon Dieu ! mon Dieu
Meilhac et Ganderax Comédie-Française : Pepa, comédie en trois
actes
, de MM. Henri Meilhac et Louis Ganderax. 5 nov
Mme de Chambreuil n’a point gardé de haine pour son mari. Au deuxième
acte
, Yvonne a demandé une entrevue a M. de Chambreuil
, qui l’accepte. (La chose va toute seule, car, justement, au premier
acte
, l’oncle Ramiro Vasquez voulait marier Chambreuil
is. Est-ce à dire que je m’en plains, moi ? Non point. Tout le second
acte
de Pepa est de l’observation la plus fine et du c
mour de Jacques de Guerches pour Pepa ne nous est indiqué, au premier
acte
, que par un mot et un geste. Puis, à l’acte suiva
s est indiqué, au premier acte, que par un mot et un geste. Puis, à l’
acte
suivant, nous revoyons Jacques encore plus transi
ues milliers de fois. De même, après que nous avons deviné, au second
acte
, que Chambreuil va aimer sa femme, les auteurs ne
signifie, nous ne sommes pas du tout étonnés de le revoir, au dernier
acte
, sciemment amoureux de sa femme, et nous devinons
méditées. Meilhac et Halévy Variétés : L’Ingénue, comédie en un
acte
, de MM. Henri Meilhac et Ludovic Halévy. 29 ja
de nos contemporains !… Théâtre-Libre : Rolande, drame en quatre
actes
, en prose, de M. Louis de Gramont. 12 novembre
pièce imparfaite, mais distinguée, de M. Louis de Gramont. Au premier
acte
, la comtesse de Montmorin est en train de mourir.
de billets. Moyennant quoi, on lui laisse Zizine… C’est le troisième
acte
. Ce n’est point pour sa hardiesse que je l’admire
gique, il n’en est vraiment plus assez question à partir du troisième
acte
. Après un premier engagement, Rolande disparaît,
que Montmorin ne fût point perdu, irrévocablement perdu dès le second
acte
, qu’il pût avoir encore, dans quelque scène avec
s sa garde… Que sais-je, moi ? Mais voilà ! Montmorin est, au premier
acte
, tel qu’il sera au dernier. Nous sentons, dès le
l’intérêt fût concentré sur elle. Au lieu de cela, à partir du second
acte
, c’est son incurable père qu’on nous met presque
ies (1870). — Éloge d’Alexandre Dumas (1872). — La Voix d’en haut, un
acte
, en vers (1872). — Garin, drame en cinq actes et
— La Voix d’en haut, un acte, en vers (1872). — Garin, drame en cinq
actes
et en vers (1880). — Le Fils de Corneille, à-prop
vers (1881). — Les Contes d’à présent (1881). — L’Aîné, drame en cinq
actes
(1883). — Le Centenaire de Figaro, à-propos (1884
s (1883). — Le Centenaire de Figaro, à-propos (1884). — Apothéose, un
acte
, en vers, à propos de la mort de Victor Hugo (188
liance ou de n’en pas être. Sûrement, il y a autre chose… » Le second
acte
original du jeune Empereur, ç’a été de briser l’h
t confusément que ce grand homme est l’homme du passé. Le troisième
acte
singulier de Guillaume II, ce sont les rescrits p
ance, dont un jacobin et un anarchiste. Bref, il vient d’accomplir un
acte
, non pas allemand, mais purement humain, comparab
pas allemand, mais purement humain, comparable, dans son essence, aux
actes
de la Révolution française. Que se passe-t-il don
pour le proposer et même pour le commencer, on le croirait. Un autre
acte
, bien entendu, serait lié à celui-là. Nous observ
moralement, le plus grand des pasteurs d’hommes, d’avoir accompli un
acte
prodigieusement méritoire et original, et d’avoir
s bien étudié, écrivait-il à son ami Gudin, tout le temps qu’a duré l’
acte
tragique du bois de Neustadt. À l’arrivée du prem
l n’en trouva pas assez d’abord. La pièce était primitivement en cinq
actes
, et elle parut longue ; faut-il le dire ? le prem
a. Il fut besoin, pour qu’elle réussît, que l’auteur la mît en quatre
actes
, qu’il se mît en quatre, comme on disait, ou plus
plaisir de mettre au titre : Le Barbier de Séville, comédie en quatre
actes
, représentée et tombée sur le théâtre de la Coméd
e genre et de la poésie. Les scènes de Rosine et du docteur au second
acte
, dans lesquelles la plus innocente, prise sur le
; celle de Bartholo qu’on rase pendant le duo de musique au troisième
acte
; l’excellente scène de stupéfaction de Bazile su
’un succès immense, moyennant de petits obstacles imprévus ou par des
actes
de bruyante bienfaisance qui rompent à temps la m
emble. Rien de charmant, de vif, d’entraînant comme les deux premiers
actes
: la comtesse, Suzanne, le page, cet adorable Ché
pas en avançant dans la pièce, jusqu’au fameux monologue du cinquième
acte
, est peut-être celui qui perd le plus. Il a bien
, et il s’en pique. Quand il s’arrête sous les marronniers au dernier
acte
, et qu’au lieu de songer tout simplement à ne pas
passionnée et pleine de flamme. Je n’ai jamais pu goûter les derniers
actes
du Mariage de Figaro, et c’est tout si j’ai jamai
térise bien l’époque, ce sont ces espèces de chapitres de Sterne, ces
actes
de bienfaisance sentimentale à la Geoffrin, qui s
llant de peinture me rappelle le joli passage de Plaute (Truculentus,
acte
II, scène iv) : …………………………… Ver vide : Ut tota f
q mille francs « à l’auteur d’un ouvrage dramatique en cinq ou quatre
actes
, en vers ou en prose, représenté avec succès pend
me de trois mille francs « à l’auteur d’un ouvrage en moins de quatre
actes
, en vers ou en prose, également représenté avec s
et neuve : par exemple, lorsque le personnage principal au quatrième
acte
se voit presque amené, à force d’humiliations d’a
rième de l’arrêté « réserve à l’auteur d’un ouvrage en cinq ou quatre
actes
, en vers ou en prose, représenté à Paris, pendant
is mille francs destinée « à l’auteur de l’ouvrage en moins de quatre
actes
, en vers ou en prose, représenté avec succès pend
, et le seul à ses yeux qui ait le mérite voulu, est un drame en cinq
actes
, L’Honneur de la maison, représenté à la Porte-Sa
seconde prime de trois mille francs à un ouvrage qui a plus de quatre
actes
, qui par conséquent est plus considérable qu’on n
ttrait. Je me souviendrai toujours du merveilleux Paris, au cinquième
acte
de Jean de Thommeray, les quais s’enfonçant dans
a nuit, avec leurs files de becs de gaz. Il est vrai que ce cinquième
acte
était très médiocre. Le décor semblait fait pour
au vide du dialogue. L’argument reste fâcheux aujourd’hui, car, si l’
acte
avait été bon, le décor ne l’aurait pas gâté, au
erait aujourd’hui la passion du naturalisme, qu’un jour, au cinquième
acte
de Didon, elle crut pouvoir paraître en chemise,
tte, pour qu’il y ait au moins un pétard de soie et de velours. Trois
actes
ou cinq actes en robes de laine paraîtraient une
l y ait au moins un pétard de soie et de velours. Trois actes ou cinq
actes
en robes de laine paraîtraient une démence ; dema
ent une démence ; demandez à un fabricant habile s’il risquerait cinq
actes
sans la grande toilette de rigueur. Eh bien, la v
tiers. Ainsi, pour me faire entendre, j’imagine qu’un auteur place un
acte
dans le carré des Halles centrales, à Paris. Le d
s se suivent tranquillement, la toile tombe sur une conversation, les
actes
sont coupés au petit bonheur. C’est une tragédie,
sécuté de notre mélodrame, dont l’innocence doit éclater au cinquième
acte
. Remarquez que la Mort civile a eu en Italie un i
homme qui pleure. Mais où il a été superbe surtout, c’est au dernier
acte
, lorsqu’il meurt. Je n’ai jamais vu mourir person
e. Et l’œuvre, en effet, avait une valeur bien médiocre. Les premiers
actes
surtout étaient d’un ennui mortel, mal bâtis, cou
e lui donna un grand éclat. Elle s’était ménagée pendant les premiers
actes
, montrant une froideur calculée ; puis, au quatri
s premiers actes, montrant une froideur calculée ; puis, au quatrième
acte
, sa passion éclata avec une fougue superbe qui en
tait une peinture charmante d’un coin de notre société ; les premiers
actes
surtout offraient les détails d’une observation t
lus comiques qu’on puisse voir. L’artiste avait surtout, au troisième
acte
, je crois, un interminable monologue, d’une drôle
notre presse parisienne, elle ne dit pas une parole, ne risque pas un
acte
, sans en calculer à l’avance le retentissement. N
toute l’œuvre. Le succès a été grand, surtout pour les deux derniers
actes
. Voici, d’ailleurs, exactement le bilan de la soi
ctes. Voici, d’ailleurs, exactement le bilan de la soirée. Un premier
acte
très large, le Sénat assemblé pour délibérer aprè
raconte la bataille dans un long récit fortement applaudi. Un second
acte
dans le temple de Vesta, décor superbe, mais acti
te et d’intérêt médiocre ; c’est là qu’Opimia se trahit. Un troisième
acte
dans le bois sacré de Vesta, le moins bon des cin
aidés par Vestaepor, se sauvent, grâce à un souterrain. Un quatrième
acte
, d’une grande beauté ; Opimia est revenue se livr
la condamne, et Postumia la dispute à ses juges. Enfin, un cinquième
acte
, dont le dénoûment reste superbe, encore un décor
ent des artistes simplement ciseleurs. II La tragédie en quatre
actes
et en vers, Spartacus, que M. Georges Talray vien
. Un homme qui s’ennuie et qui songe à écrire des tragédies en quatre
actes
, lorsqu’il pourrait donner des hôtels à des danse
s’est conduit au théâtre-Déjazet. Il s’agissait seulement d’un petit
acte
, je crois ; et les ouvreuses elles-mêmes ont reçu
’Ambigu, la solennité s’élargit. Songez donc ! une tragédie en quatre
actes
, quelque chose comme dix-huit cents vers ! Aussi
la scène, et la toile tombe sur la reprise des couplets du troisième
acte
. J’écoutais donc attentivement. L’impression des
’attendais de comprendre sans trop d’impatience. Au milieu du premier
acte
, cependant, comme j’étais de plus en plus attenti
rend vulgaire. Un autre point m’a beaucoup frappé. Après le troisième
acte
, je me demandais avec curiosité comment M. Paul D
osité comment M. Paul Delair allait encore trouver la matière de deux
actes
. Un acte d’exposition, un acte pour le meurtre, u
ent M. Paul Delair allait encore trouver la matière de deux actes. Un
acte
d’exposition, un acte pour le meurtre, un acte po
ait encore trouver la matière de deux actes. Un acte d’exposition, un
acte
pour le meurtre, un acte pour les remords, enfin
ière de deux actes. Un acte d’exposition, un acte pour le meurtre, un
acte
pour les remords, enfin un acte pour la punition
position, un acte pour le meurtre, un acte pour les remords, enfin un
acte
pour la punition : cela me semblait la seule coup
me semblait la seule coupe possible. Mais cela ne faisait que quatre
actes
, et j’étais d’autant plus surpris que le gros du
u drame, le spectre et tout le tremblement se trouvaient au troisième
acte
, ce qui demandait, pour la bonne distribution d’u
onne distribution d’une pièce, un dénoûment rapide, dans un quatrième
acte
très court. M. Paul Delair voulait cinq actes, et
apide, dans un quatrième acte très court. M. Paul Delair voulait cinq
actes
, et il a tout bonnement rempli son quatrième acte
elair voulait cinq actes, et il a tout bonnement rempli son quatrième
acte
par un interminable couplet patriotique. J’avoue
une voie déplorable, il s’apprête de grandes désillusions. Le premier
acte
de Garin a de la couleur, et ça et là on peut cit
plus aisément avec lui. De là, grande douleur de Geneviève. Puis, à l’
acte
suivant, lorsqu’un gredin lui dénonce le vol de V
. Catulle Mendès a accumulé tout son dédain de la prose. Le troisième
acte
, que l’on redoutait, est précisément celui qui a
flair des directeurs. Il n’y a qu’un monologue et une scène dans cet
acte
. Valenlin, seul dans son laboratoire, prépare sa
is sorti de la première représentation de Coq-Hardy, le drame en sept
actes
de M. Poupart-Davyl, brisé de fatigue, hébété d’e
à mon sens le comble de la drôlerie. Et quelle merveille encore, cet
acte
où l’on voit la reine et Louis XIV errer la nuit
ites du dialogue. Le succès de Coq-Hardy a été le combat du cinquième
acte
. Si la poudre parle, c’est que l’auteur n’a rien
l ! IV M. Poupart-Davyl a fait jouer à l’Ambigu un drame en six
actes
: les Abandonnés, qui a eu un très vif succès le
sont les modes, les formules vieillies. Il est certain que le dernier
acte
des Abandonnés, ce pavillon où Morgane vient assa
Sans doute ces deux personnages se rencontrent, lorsque, au quatrième
acte
, Ruskoé vient offrir le pardon à la femme qui a t
Je n’avais pu assister à la première représentation du drame en cinq
actes
de MM. Malard et Tournay : le Chien de l’Aveugle,
de génie en imaginant, après la réussite du crime, les deux derniers
actes
, où l’on voit Octave Froment, sorti de prison, ve
La Barre, qui se jette par une fenêtre. Cette situation du quatrième
acte
a exalté les critiques. Il paraît que cela est du
e m’a beaucoup frappé. Dans les Noces d’Attila, on voit qu’au dernier
acte
Ellack, un fils du conquérant, apprend de la bouc
ier du théâtre n’est point nécessaire, puisque voilà un drame en cinq
actes
, fort lourd, très mal bâti et complètement vide,
u tout. — Mais la patrie, Monsieur ! — L’intrigue recommence à chaque
acte
. — Mais le dévouement, Monsieur ! — Enfin, je m’e
la cour afin d’endormir les soupçons de Ladislas. Enfin, le quatrième
acte
est vide d’action, on y voit simplement Froll-Ghe
ictoire par des tirades sur les devoirs du soldat. Puis, au cinquième
acte
, nous retombons de nouveau dans l’unique situatio
t réussir sans action, sans situations variées et combinées. Les cinq
actes
se répètent, et pourtant les bravos n’ont pas ces
r de l’exemple, d’écrire un drame où l’action ne marchera pas, où des
actes
entiers ne seront qu’une composition de rhétorici
ois est doré, ne font pas mon affaire. Je préfère à l’Hetman un petit
acte
fin et vrai du Palais-Royal, le Roi Candaule, par
r une première fois son rival Raoul, qu’il tient entre ses mains. A l’
acte
suivant, la situation recommence : Raoul tombe de
mon honneur. » Mais alors toutes les querelles dramatiques du second
acte
et du troisième n’existeraient pas. La situation
ement une paire de gifles, malgré toute sa noblesse. Puis, au dernier
acte
, elle se pend au cou de Jean et lui déclare qu’el
e se pend au cou de Jean et lui déclare qu’elle l’adore. Le quatrième
acte
a suffi pour changer cette femme. C’est toujours
rès la première représentation des Noces d’Attila, le drame en quatre
actes
que M. Henri de Bornier a fait jouer à l’Odéon. L
on de ce terrible conquérant ! Tout le monde l’insulte pendant quatre
actes
. Les prisonniers, Herric, Hildiga, Gerontia, Walt
eux de ses soldats qui gardent le silence ; voir l’épisode du premier
acte
. D’autre part, il donne l’ordre de couper le cou
sublimes. Il y a tant de sublime là dedans, qu’à la fin du quatrième
acte
, j’aurais donné volontiers trois francs d’un simp
simple mot qui ne fût pas sublime. Mais c’est justement au quatrième
acte
que le sublime déborde et vous noie. Ainsi je n’a
et sont heureux. On prétend, il est vrai, que la pièce était en cinq
actes
et qu’on l’a réduite pour les besoins du Gymnase.
les besoins du Gymnase. Je serais bien curieux de connaître les deux
actes
que M. Montigny a fait couper. Et voyez le prodig
emière représentation au Gymnase de Châteaufort, une comédie en trois
actes
de madame de Mirabeau, m’a paru pleine d’enseigne
u a été de bâtir son action dans le vide. Ses personnages n’ont pas d’
acte
civil. On ne sait d’où ils viennent, qui ils sont
toile, ont fait jouer au Troisième-Théâtre-Français une pièce en cinq
actes
: l’Obstacle. Voici, en gros, le sujet. Un jeune
e : « Les blancs font mat en cinq coups. » Et ils ont joué leurs cinq
actes
. Oui, leurs personnages sont en bois, de simples
un jeune peintre, Montbrisson, qui arrive fort dépenaillé au premier
acte
, mais qui est un garçon de belle humeur et de tal
détails. Sa remarque est fort juste, en apparence. Pendant les trois
actes
, j’ai été blessé par un je ne sais quoi, par des
J. Claretie qui viennent de faire jouer au Gymnase un drame en quatre
actes
, le Père, dans lequel ils ont voulu prouver des v
d’obtenir les situations voulues, les auteurs ont imaginé le premier
acte
suivant. Georges attend M. Darcey, qui revient d’
, puis il se montre troublé, et une explication a lieu. A la fin de l’
acte
, le jeune homme, ajournant son mariage, part à la
’importe, Georges entend partir sur-le-champ, et il emmène Borel. Les
actes
suivants vont être consacrés à cette étrange chas
s’est écoulé, personne naturellement ne peut le renseigner. Le second
acte
ne contient guère que deux scènes, deux interroga
vec cette seule indication qu’il reprend ses recherches. Au troisième
acte
, Georges, qui va partout, se fait présenter par u
e sur le patron d’infamie que l’on désire. Le dénoûment, le quatrième
acte
, se passe encore dans l’auberge. Saint-André et s
VI Je retrouve M. Louis Davyl à l’Odéon, avec une comédie en trois
actes
: Monsieur Chéribois. Avant tout, j’analyserai l’
Henriette, et la vieille bonne de la famille, Marion. Tout le premier
acte
sert à peindre cet intérieur cossu et tranquille,
uleversée, et l’égoïste seul y dînera paisiblement le soir. Au second
acte
, madame Chéribois tente vainement de sauver son f
. Il ne cède pas, la situation reste plus tendue. Enfin, au troisième
acte
, le dénoûment est amené par une intrigue secondai
ne comprend que ce dénoûment est fâcheux ? Pendant les deux premiers
actes
, M. Louis Davyl s’est tenu dans une étude très si
ça, que ce serait trop nu, qu’il faut absolument corser le troisième
acte
. Alors, il ramasse cette vieille histoire des cen
rois le calcul fâcheux. L’effet obtenu aurait grandi, si le troisième
acte
avait continué la belle et touchante simplicité d
ic, de croire qu’il exige de la convention. Ce sont les deux premiers
actes
qui ont surtout charmé la salle. Jamais M. Louis
s peintures, à cette scrupuleuse minutie de chaque détail. Le premier
acte
est vraiment charmant de vérité ; on dirait le dé
t son tempérament d’auteur dramatique. VII La comédie en quatre
actes
de M. Albert Delpit : le Fils de Coralie a obtenu
ne d’explication entre elle et son fils, se produit alors. Au dernier
acte
, le mariage ne se ferait naturellement pas, si Ed
ses câlines des bonnes sœurs ! car je me plais à ajouter un cinquième
acte
, à voir Coralie mourir dans le sein de l’Église e
on le met en face des réalités pratiques de la vie. Les deux premiers
actes
sont consacrés à l’exposition. Rien de saillant,
t un dialogue qui n’est point vécu. Maintenant, je passe au troisième
acte
, le seul remarquable. Il mérite vraiment la discu
s raisons qui, selon moi, ont fait le grand et légitime succès de cet
acte
. Presque tous les critiques se sont exclamés sur
e. Presque tous les critiques se sont exclamés sur la coupe même de l’
acte
, sur la facture des scènes, sur le pur côté théât
plus simple. Tel est donc, pour moi, le grand mérite de ce troisième
acte
. Daniel reste en bois, sauf deux ou trois cris, c
. Mais Coralie se montre bien vivante, et cela suffit pour donner à l’
acte
un souffle de vie. Je le répéterai : l’acte a réu
la suffit pour donner à l’acte un souffle de vie. Je le répéterai : l’
acte
a réussi parce que, d’un bout à l’autre, il échap
caractère même des personnages. Je n’insisterai pas sur le quatrième
acte
, bien qu’il contienne peut-être la pensée morale
este un personnage en bois pour tout le monde, c’est que le quatrième
acte
empêchera toujours le Fils de Coralie d’être une
as en Angleterre, où l’on supporte parfaitement une pantomime en cinq
actes
durant toute une soirée. Notre génie national n’e
temps de se produire. De là le gros effet comique. J’avoue, au second
acte
, n’aimer que médiocrement le truc du spleeping-ca
le, le truc doit être abandonné. Les Hanlon ne trouvent donc dans cet
acte
qu’à exercer leur adresse et leur audace de gymna
s comme gaieté. Rien par dessous. Je préfère de beaucoup le troisième
acte
. L’entrée en scène est encore des plus étonnantes
charge pas de raconter les Dominos Roses, la nouvelle pièce en trois
actes
que MM. Delacour et Hennequin ont fait jouer au V
esse. J’ai bien suivi les impressions du public, au courant des trois
actes
. D’abord, j’ai constaté un peu de froideur. On vo
ues, qui accidentaient la route parcourue tant de fois. Dès le second
acte
, la salle ravie se croyait encore au Procès Veaur
toujours d’un effet sûr. Seulement, je trouve qu’il fatigue vite. Un
acte
suffirait. Au troisième acte de Bébé, je commença
lement, je trouve qu’il fatigue vite. Un acte suffirait. Au troisième
acte
de Bébé, je commençais à être ahuri. Rien d’énerv
sent la collaboration de M. de Najac. Il y a, dans les deux premiers
actes
, quelques scènes fort jolies, d’un comique très f
ister à la première représentation de Niniche, le vaudeville en trois
actes
que MM. Hennequin et Millaud ont fait jouer aux V
e de joie, du parterre au cintre. Et cela ne cessait point, les trois
actes
ne se sont pas refroidis un instant. Je me doute
te, que la pièce avait été faite cent fois ; j’avais beau trouver les
actes
vides, l’esprit grossier, le dénouement prévu à l
un grotesque à outrance qui fait songer aux cabanons de Bicêtre. D’un
acte
l’opérette s’est enflée jusqu’à cinq actes. Le pu
x cabanons de Bicêtre. D’un acte l’opérette s’est enflée jusqu’à cinq
actes
. Le public, au lieu de s’en tenir à un éclat de r
quand ils avaient une idée drôle, se contentaient de la traiter en un
acte
, et le plus souvent l’acte était bon, l’intérêt s
drôle, se contentaient de la traiter en un acte, et le plus souvent l’
acte
était bon, l’intérêt se soutenait jusqu’au bout.
t jusqu’au bout. Maintenant, il faut que la même idée fournisse trois
actes
, quelquefois cinq. Alors, fatalement, les auteurs
ve ralentie. C’est ce qui explique pourquoi, généralement, le premier
acte
des opérettes est amusant, le second plus pâle, l
ec une profonde stupeur que j’ai écouté Chatterton, le drame en trois
actes
d’Alfred de Vigny, dont la Comédie-Française a eu
eurs, l’autre soir, à la Comédie-Française. Pendant les deux premiers
actes
surtout, on se regardait, on se tâtait. Chatterto
te de Ketty sont obtenues par un effacement continu. Jusqu’au dernier
acte
, elle n’a pas une scène en relief. C’est une décl
ule situation. C’est une élégie en quatre tableaux. Les deux premiers
actes
sont complètement vides. On a, dans la salle, l’i
démodées qui passionnaient autrefois. Le premier tableau du troisième
acte
, long monologue de Chatterton dans sa mansarde, e
nnage important du drame. Remarquez quel en est le succès. Au premier
acte
, quand Chatterton apparaît en haut de l’escalier
’effet que s’il poussait simplement une porte sur la scène. Au second
acte
, quand les enfants de Ketty Bell montent des frui
se hisser sur chaque marche ; encore l’escalier. Enfin, au quatrième
acte
, le rôle de l’escalier devient tout à fait décisi
jourd’hui un seul de nos auteurs dramatiques qui pourrait composer un
acte
aussi large que le quatrième acte de Louis XI. Ce
ramatiques qui pourrait composer un acte aussi large que le quatrième
acte
de Louis XI. Certes, la tragédie classique est mo
caractéristique. Rien n’est long et pénible comme les trois premiers
actes
. Casimir Delavigne les a employés à peindre un Lo
ines, n’a d’autre intérêt que de ménager une belle scène au quatrième
acte
. Les personnages entrent, disent ce qu’ils ont à
roi son gant, que le dauphin relève. Mais, je l’ai dit, le quatrième
acte
garde encore aujourd’hui une belle largeur. Louis
à la netteté. Il faut citer encore la mort de Louis XI, au cinquième
acte
, l’épisode emprunté à Shakespeare du roi agonisan
du doigt au prologue, il faut qu’il laisse le corps entier au dernier
acte
. La langue étrange que parlent les personnages, l
nter un fait pour composer un chef-d’œuvre. Je me souviens du premier
acte
de Jane. Cela était très saisissant, en effet. Un
niquement parce qu’il ne savait pas la développer ! Donnez ce premier
acte
à un écrivain, et vous verrez quel tableau comple
M. d’Indy sur laquelle nous aurons à revenir, l’exécution du premier
acte
, presque entier, de la Walküre, au concert-Lamour
le de concert soient bien fâcheuses : aux quatre auditions du premier
acte
de la Walküre, public nombreux, attentif, ému, fi
étudier à l’orchestre, M. Lamoureux a décidément retranché du premier
acte
de la Walküre la scène de Hunding. Passe encore q
cte de la Walküre la scène de Hunding. Passe encore que d’un deuxième
acte
de Tristan on supprime la dernière scène : un cor
spectacle quelconque, cette première fois a vécu l’épopée du premier
acte
de la Walküre, —-l’une des plus brillantes pages
ichard Wagner, dans cette grande œuvre d’ensemble dont Parsifal est l’
acte
final. Ici non plus la morale n’est pas prêchée ;
de Parsifal lui vint. Pendant l’hiver de 1857, il compose le premier
acte
de Siegfried avec les chants de la forge, le deux
squissé. Bientôt la composition de Tristan fut commencée ; le premier
acte
était fini à la fin de l’année ; le silence magiq
silence magique de Venise l’inspirait lors de l’achèvement du second
acte
, et il finissait le troisième l’été de 1859 à Luc
, cependant, nous avaient été promis, tous deux. Peut-être le premier
acte
de Tristan sera-t-il donné, un Concert-populaire
Meunier, a eu un très vif succès. Le programme comprenait le premier
acte
et la scène troisième du troisième acte de la Wal
ogramme comprenait le premier acte et la scène troisième du troisième
acte
de la Walkyrie, version de M. H. La Fontaine, le
horale de M. Schwickerath donne le 20 et 21 avril, une audition du 3e
acte
de Parsifal et des Sept paroles de Schütz. La par
r le Petit-Bayreuth, En mars 1884, M. Schwickerath avait donné le 1er
acte
. LONDRES. — Du 3 mai au 7 juin, à Saint-Jame’s
Richter, 9 concerts organisés par M. Hermann Francke ! De Wagner, 2e
acte
de Tristan, 3e de Siegfried, prél. et fin. des Ma
e l’élite du monde romain. La partie qu’on avait choisie était le 1er
acte
ou l’agate sacrée, en réservant les autres partie
e porte, au bras d’un mari. C’est pourquoi nous la voyons, au premier
acte
, arriver, le front haut, chez M. Olivier de Jalin
t la Guerre de sa main gantée, et lui arrachant un sourire. Le second
acte
est, à lui seul, toute une piquante et originale
ste à prendre pour la plus noble et la plus immaculée des baronnes. L’
acte
suivant nous transporte sur le champ de bataille
ieu le veut. Et le diable donc ! Ainsi, lorsque commence le quatrième
acte
, la baronne d’Ange a, comme on dit, tous les atou
où il part avait le droit de l’appliquer. Il y a une scène, au second
acte
, lorsque la lutte va s’engager, où la baronne con
urir. M. de Jalin avertit un peu rudement la pauvre enfant, au second
acte
, du danger qu’elle court ; il prend par les ailes
ent d’intérêt, qui va s’accroissant et se renforçant jusqu’au dernier
acte
, dans un crescendo soutenu ! L’esprit fait rage,
nne maîtresse est dans ces trois mots. Il y a une scène, au troisième
acte
, lorsque la lutte va s’engager à outrance, où Suz
lité d’Olivier se produit discréditent encore sa moralité. Au premier
acte
, il parle, à son ami Hippolyte Richond, de sa lia
t et de son passé, la trahison même ; car la façon dont, au troisième
acte
, il dépose sur la table les lettres de Suzanne, d
mes en affaires, et les bons comptes font les bons succès. Au premier
acte
, tous les personnages de la comédie sont réunis d
e causerie brillante qui vous mitraille d’étincelles. Tout ce premier
acte
a le charme et l’entrain d’une engageante ouvertu
le voir partir par un gros temps, sur une mer houleuse. Au troisième
acte
, la question d’argent préoccupe à son tour M. de
ain de M. Giraud. C’est là sa réponse. La scène capitale du quatrième
acte
est celle du contrat. Ici, le paradoxe est flagra
Vous m’ennuyez, à la fin ! » Et il rappelle comme quoi, depuis trois
actes
, il se fait humble, gracieux, modeste, offrant à
e noire jusqu’aux limites des galères. Le bruit se répand, au dernier
acte
, que Jean Giraud vient de partir pour New-York. M
our une infinité de sujets, il ne semble pas possible de donner à cet
acte
une autre explication que le désir de prendre con
e de l’être. L’illusion du libre arbitre devient ici le reflet de cet
acte
arbitraire, c’est-à-dire échappant à tout détermi
aboli du lien qui fait de chaque être individuel une conséquence de l’
acte
métaphysique par où la représentation phénoménale
naugurée. Chaque individu perd de vue la valeur représentative de ses
actes
et de ses passions pour ne s’attacher qu’au bonhe
ssi dans leur âme toute nue germination de motifs, afin d’enraciner l’
acte
dans les régions profondes de leur volonté, de lu
es psychologiques qui jettent tant de trouble et de violence dans les
actes
humains. Par là donc est assuré l’intérêt d’un sp
gue (1892). — La Retraite de la vie (1894). — Nuit d’avril à Céos, un
acte
(1894). — La Coupe de Thulé (1895). — Pygmalion e
un acte (1894). — La Coupe de Thulé (1895). — Pygmalion et Daphné, un
acte
(1898). — Joseph d’Arimathée, trois actes (1898).
). — Pygmalion et Daphné, un acte (1898). — Joseph d’Arimathée, trois
actes
(1898). — Les Vaincus : Hypathie, Savonarole (190
e mérite un rappel à des titres divers, c’est Pygmalion et Daphné, un
acte
en vers fibres, de M. Gabriel Trarieux, avec cett
s qu’importe ? Soudraka. L’Œuvre : le Chariot de terre cuite, cinq
actes
, d’après la pièce du théâtre indien attribuée au
l ne vous échappera point que ceci est un symbole et que, par le même
acte
qui mue le chariot d’argile en un jouet éblouissa
âroudatta a l’évangile chevaleresque. Lorsque Vasantasena, au premier
acte
, se réfugie chez lui, il la prend d’abord, dans l
érence de M. Francisque Sarcey sur Atrée et Thyeste, tragédie en cinq
actes
, de Crébillon. Ne trouvez-vous pas qu’il y a b
déblayer la situation), tout cela, dis-je, est exposé dans le premier
acte
, sous la forme d’interminables et inextricables r
; et il est de nouveau furieux ; et nous sommes à la fin du troisième
acte
; et, pendant une bonne partie du quatrième, on p
la célébrer dans un banquet solennel. Ce banquet, c’est le cinquième
acte
. Atrée, dans l’entr’acte, a fait égorger Plisthèn
-être trop de le manger rance. Je vois aussi très nettement le second
acte
d’Atrée et Thyeste, selon d’Ennery. Le naufrage s
Alfred de Musset. Théâtre de l’Œuvre : Carmosine, comédie en trois
actes
, d’Alfred de Musset. Malgré, peut-être, quelqu
ut-être, quelques retardements nonchalants ou complaisants au premier
acte
et dans le commencement du deuxième ; malgré troi
sieur escorté d’une noce poursuit un chapeau de paille à travers cinq
actes
, et ne le trouve qu’à la fin du cinquième. Je vou
ouvrières et lui donne rendez-vous dans une guinguette pour le second
acte
… Mais, par un joyeux hasard, les commis et les de
s du Chapeau n’étaient encore que des fantoches. Mais tout le premier
acte
de la Cagnotte pourrait être celui d’une comédie
emoiselles. Henrik Ibsen. L’Œuvre : le Petit Eyolf, drame en trois
actes
, de M. Henrik Ibsen, traduction de M. le comte Pr
in de ses souffrances, le surcroît d’une souffrance inutile. C’est un
acte
de charité que ce supplicié implore de lui : rien
is j’ai bientôt senti que je n’étais qu’une faible femme… Mon dernier
acte
d’héroïsme fut de vous bannir de ma présence, san
courage dans la dure tâche que je vous propose. Nous répondons de nos
actes
, non de nos sentiments. Nous avons à accomplir un
renoncer à épouser la veuve ; la quitter, et pour toujours ; car, cet
acte
de collaboration à la mort d’un homme, si léger q
n qu’il ait d’empêcher cette intention de souiller et de détruire son
acte
de charité, c’est de lui ôter d’avance toute poss
l’immense effort qu’il devra faire et par cette considération que cet
acte
paradoxal, mais légitime, de fraternelle pitié, l
nner. Ce soir… je resterai ici… Demain… » Mais Eliane voit bien que l’
acte
de charité d’Edouard la sépare de lui à jamais ;
uard la sépare de lui à jamais ; que, sans cela, il ne serait plus un
acte
de charité : « Demain…, dit-elle, demain… aurons-
tte seulement que le débat intérieur d’Edouard, immédiatement avant l’
acte
, soit un peu étranglé. Dans le style, quelques tr
! Mlle Ellin Ameen. Théâtre de l’Œuvre : Une Mère, drame en trois
actes
de Mme Ellin Ameen, traduction de M. le comte Pro
, puis l’étouffe doucement sous des couvertures. Et c’est le deuxième
acte
. Au troisième, elle confesse à sa mère et au past
e dois l’affranchir de l’enveloppe de douleur qu’il tient de moi. Cet
acte
sera un acte d’amour, et pleinement désintéressé,
anchir de l’enveloppe de douleur qu’il tient de moi. Cet acte sera un
acte
d’amour, et pleinement désintéressé, puisque par
rgueil maternel combiné avec le goût de l’athlétisme. Car, au premier
acte
, Emma Oison passe un bon quart d’heure à explique
proche. Sudermann. Renaissance : Magda (le Foyer), drame en quatre
actes
, de M. H.Sudermann, traduction française de M. H.
pièce. A. Strindberg. Théâtre de l’Œuvre : le Père, drame en trois
actes
, de M. Auguste Strindberg, traduction de M. Georg
ne horrible belle chose. Et c’en est une aussi que la scène du second
acte
, quand l’éclat de rire de Laure achève la déroute
cédents nous sont révélés par Robert de Charzay à la fin du quatrième
acte
: « Vous êtes un voleur… Vous êtes un voleur… Vou
ration de Bourse est, pour les honnêtes gens, un jeu, c’est-à-dire un
acte
qui est sur l’extrême frontière des choses permis
. Édouard Brandès. Théâtre d’Appel : Sous la loi, comédie en trois
actes
, de M. Édouard Brandès, traduction de MM. Fritz d
’en a pas le courage. Et il embrasse sa fille en pleurant. Au dernier
acte
, Gerhart avoue à Hélène, assez piteusement, que «
odinière, sous le nom de Scènes vécues, des représentations de petits
actes
rapides et colorés, à deux ou trois personnages,
lexandre Dumas fils. Renaissance : La Femme de Claude, pièce en trois
actes
, de M. Alexandre Damas fils (reprise). Je croi
ous est redevenue nécessaire, et je pars pour chercher et lever notre
acte
de naissance légalisé. J’ai donc chance de voir d
ui, si l’on fait abstraction des personnes pour ne considérer que les
actes
(ce qui est d’ailleurs un exercice tout artificie
. Alfred Capus. Vaudeville : Brignol et sa Fille, comédie en trois
actes
de M. Alfred Capus. M. Alfred Capus, romancier
dre Dumas fils. Comédie française : l’Ami des femmes, comédie en cinq
actes
, de M. Alexandre Dumas fils (reprise). La comé
ignore jusqu’à présent et qu’il ne connaîtra qu’à la fin du quatrième
acte
, est assez singulière. M. de Simerose est, nous l
n dont l’ami des femmes découvre et défait le rendez-vous du deuxième
acte
; la façon dont il joue de Montègre et le lance s
et vous vous ferez conduire où vous avez affaire. » (Texte primitif,
acte
III, scène 8.) L’auteur est bien, ici, le fils de
é le « truc » habituel de M. de Ryons. Il explique à Jane, au dernier
acte
, pourquoi il l’a priée de lui répéter en anglais
lexandre Dumas fils. Gymnase : la Princesse de Bagdad, pièce en trois
actes
, de M. Alexandre Dumas fils (reprise). J’ai eu
té, par la logique secrète de leurs mouvements intérieurs et de leurs
actes
, à l’auteur du Demi-Monde. Mais, s’il y a là cont
t mort… (Toute cette histoire, contée en détail par Godler au premier
acte
, est d’une rare saveur.) Lionnette est donc fille
ut aussi la fille du roi… Donc, Lionnette est bien perdue. Au premier
acte
, elle tenait ce propos de grue qui se croit subli
gème de l’amant riche, écoutez le comte de Hun lui-même, au troisième
acte
: « Alors vous comprenez pourquoi je n’ai pas pro
gier. Comédie française : Reprise du Fils de Giboyer, comédie en cinq
actes
, d’Émile Augier. J’ai indiqué précédemment ce
p lentes à mon gré ; et M. Maréchal, un peu vaudevillesque au dernier
acte
, et dont M. Laugier a mieux traduit la niaiserie
Fernande n’est pas du tout une poupée, et que son baiser, au dernier
acte
, est peut-être le moyen le plus élégant et le plu
rsuadés. Victorien Sardou. Renaissance : Gismonda, drame en quatre
actes
, cinq tableaux, de M. Victorien Sardou. Vous s
dans ce drame, qui est le comble du métier, se détache, au troisième
acte
, une scène qui est le comble de l’art, et telle q
me, c’est ennuyeux : mais il n’y a pas à dire : vous avez juré. » À l’
acte
suivant, nous retrouvons Gismonda dans un joli co
vie, elle le fait enfermer dans une confortable prison. Au troisième
acte
, après quelques scènes sans grand intérêt et une
e grange que sa pièce était destinée) ; parmi tout cela, au troisième
acte
, une scène supérieure, d’une extrême beauté, et q
Victorien Sardou. Porte-Saint-Martin : Thermidor, drame en quatre
actes
et six tableaux, de M. Victorien Sardou. Frapp
ettre « à la hauteur ». Et cependant, le cas de Fabienne, au deuxième
acte
, avait de quoi nous toucher. Quand, pressée de qu
pour tomber dans les bras de son militaire ? » — De même, au dernier
acte
, quand Fabienne s’entête, pendant dix minutes, à
mplement… François Coppée. Odéon : Pour la couronne, drame en cinq
actes
, en vers, de M. François Coppée. Le drame de M
Constantin est sans repentir (il persiste à affirmer la bonté de son
acte
) ; mais nous voyons qu’il n’est point sans remord
Ajoutez à cela que la tradition a longtemps attaché la souillure à l’
acte
matériel, quelle que fût la pensée qui a dirigé l
Brancomir, quelque chose de cet instinctif « préjugé ». Au troisième
acte
, Constantin était dans la morale éternelle : il e
ustifier amplement la conduite de Constantin durant les deux derniers
actes
du drame. Le malheureux, qui voudrait mourir, fat
l Déroulède. Porte-Saint-Martin : Messire Du Guesclin, drame en trois
actes
et cinq tableaux, en vers, de M. Paul Déroulède.
1. Mais que ce récit est long ! Et, enfin, où donc est le drame ? À l’
acte
suivant… Eh bien ! c’est toujours la même chose.
ades. Marcel Prévost. Gymnase : les Demi-Vierges, comédie en trois
actes
de M. Marcel Prévost. La comédie de M. Marcel
tre la « demi-vierge » par excellence, n’a déjà plus, même au premier
acte
, — mais là, plus du tout ! — le langage ni les ma
là, elles prennent corps. À deux reprises, au premier et au deuxième
acte
, nous voyons venir toutes ces demoiselles au salo
moraliste. Henri Lavedan. Vaudeville : Viveurs ! comédie en quatre
actes
, de M. Henri Lavedan. Parmi nos jeunes peintre
nt, est en réalité dans les sincères discours moraux de son quatrième
acte
, je n’hésite pas à lui reprocher, à lui, ce que j
matique, — de toutes ces gorges et de toutes ces aisselles au premier
acte
. Le reste, — mots brutaux et poivrés, franches pe
u à certains endroits, — j’admets très aisément que les deux premiers
actes
soient, comme on dit, « sans action », et ne form
t qu’un tableau de mœurs, et que le drame ne commence qu’au troisième
acte
pour se dénouer, très rapidement, au dernier. Et
bjet. Du tableau de mœurs passons au drame. Il s’engage, au troisième
acte
, avec une souple brutalité. Nos principaux person
intervention, le mariage d’Alice et d’Octave est décidé. Au quatrième
acte
, l’auteur éprouve le besoin de « délivrer son âme
éterministe… Abel Hermant. Renaissance : La Meute, pièce en quatre
actes
, de M. Abel Hermant. Le sujet était admirable
l’idée que le gaillard s’en tirera. Et, en effet, nous voyons qu’à l’
acte
suivant cet homme aimé se trouve avoir le choix e
affaire, nous satisfait-il entièrement ? Oui, dans les trois premiers
actes
, où il nous apparaît comme une nouvelle « épreuve
e me trompe. Puis, cela est vraiment trop morcelé ; sauf au troisième
acte
, chaque scène commence invariablement par un coup
ont fort jolis ; que la scène de Lanspessade et de Lilian au deuxième
acte
est délicieuse ; que celle où Rennequin dit sa dé
vy. Variétés : reprise de la Chanson de Fortunio, opéra-comique en un
acte
, de MM. Hector Crémieux et Ludovic Halévy, musiqu
Edmond Rostand. Renaissance : la Princesse lointaine, pièce en quatre
actes
, en vers, de M. Rostand. Critiquerai-je la Pri
ormés de la même trame d’événements. Non seulement les pensées et les
actes
du protagoniste y influent sur le sort de plusieu
le, à qui il a juré aide et protection. Il sent bien que ce serait un
acte
criminel de le maintenir dans une alliance qui lu
lors, on ne sait plus, plus du tout. Cela ne saurait finir que par un
acte
arbitraire de la volonté ou, plus exactement, de
eux maréchal. Paul Adam. Théâtre-Libre : Le Cuivre, drame en trois
actes
, de MM. Paul Adam et André Picard. Lorsque, à
désarticulée, m’avaient permis d’entendre un peu mieux. Au troisième
acte
, la guerre rallumée, du haut d’une terrasse tragi
loppement… Auguste Dorchain. Odéon : Rose d’automne, comédie en un
acte
, de M. Auguste Dorchain. Une rose d’automne e
rgot. L’Âge difficile. Gymnase : l’Âge difficile, comédie en trois
actes
, de Jules Lemaître. De bons esprits condamnent
abîme infranchissable entre sentir ou penser, — et agir, traduire en
actes
mes sentiments. C’est comme si tout témoin me fai
y se retrouvera seul, effondré, désemparé… Ce sera la fin du deuxième
acte
. Toute cette partie de la pièce ne m’inquiète pas
a aussi à faire l’exposition : Jeanne, interrogée par elle au premier
acte
, lui apprendra justement tout ce que le spectateu
e. Maurice Donnay. Gymnase : Pension de famille, comédie en quatre
actes
, de M. Maurice Donnay. Je crois bien que perso
Il n’y en a pas. Ou, si vous voulez, il y en a trois. 1º Au troisième
acte
, la nuit, on entend, dans la coulisse, un coup de
e Donnay ! Maurice Donnay. Renaissance : Amants, comédie en quatre
actes
et cinq tableaux, de M. Maurice Donnay. Je rel
énie ni assez d’abondance ni assez de force pour attacher durant cinq
actes
leurs spectateurs par une action simple, soutenue
acine ; car celle de Racine est très fortement construite et ses cinq
actes
se tiennent et se « commandent » étroitement, ram
natur. Maurice Beaubourg. L’Œuvre : La Vie muette, drame en quatre
actes
, de M. Maurice Beaubourg. Si je n’étais tenu,
il se condamne à ne nous en montrer que les effets ; et qu’alors les
actes
de cet homme, coupés, pour ainsi dire, de leurs r
un troisième inconvénient, c’est que, Meyrueis gardant pendant trois
actes
le même silence sur ce que nous serions le plus c
eur, il a la brutalité simpliste d’un conte noir. À la fin du premier
acte
, Mme Meyrueis se penche, par-dessus le balcon, ta
de très profond ? Et que de façons, Seigneur ! À la fin du troisième
acte
, Mme de Meyrueis dit à son mari : « Il vous devie
que mal… Émile Fabre. Théâtre-Libre : l’Argent, comédie en quatre
actes
, de M. Émile Fabre. L’Argent me semble un des
st ce qui apparaît, avec un éclat dur, dans le second et le troisième
acte
de la comédie de M. Émile Fabre. Donc, cet abruti
acun voulant s’en décharger sur les autres…, toutes ces scènes, où un
acte
monstrueux s’atténue, se divise, devient insensib
plus. Romain Coolus. Théâtre de l’Œuvre : Raphaël, pièce en trois
actes
, de M. Romain Coolus. … Tout compte fait, Raph
nt pas tous l’occasion, ou le goût, ou la force de manifester par des
actes
, comme ce Daniel, la délivrance de leur âme. Dani
ne nous apprenne ou ne nous laisse entendre ces choses qu’au dernier
acte
) il a eu la haine de l’amour et le mépris attendr
. — Les Musardises, poésies (1890). — Les Romanesques, pièce en trois
actes
, en vers (1894). — La Princesse lointaine, pièce
rois actes, en vers (1894). — La Princesse lointaine, pièce en quatre
actes
, en vers (1895). — La Samaritaine, évangile en tr
leaux, en vers (1897). — Cyrano de Bergerac, comédie héroïque en cinq
actes
, en vers (1897). — L’Aiglon, drame en six actes,
édie héroïque en cinq actes, en vers (1897). — L’Aiglon, drame en six
actes
, en vers (1900). OPINIONS. Jules Lemaître
ey Telle est La Princesse lointaine, dont le premier et le dernier
acte
ont plu par le pittoresque de la mise en scène, d
898).] A.-Ferdinand Hérold De Cyrano de Bergerac, pièce en cinq
actes
et en vers, de M. Edmond Rostand, on ne peut dire
, une intrigue quelconque (elle ne commence, d’ailleurs, qu’au second
acte
) relie entre eux les épisodes nécessaires aux piè
Aristophane Grand-Théâtre : Lysistrata, comédie en quatre
actes
, de M. Maurice Donnay, musique de M. Dutacq. 3
est toute dans le merveilleux récit qu’elle fait à Néron au quatrième
acte
de Britannicus. Ce récit est en lui-même un pur c
bjet. Ibsen Théâtre-Moderne : La Dame de la mer, drame en cinq
actes
, de Henrik Ibsen (traduction Ad. Chénevière et H.
ulement, et ce, contre la lettre et pareillement contre l’esprit de l’
acte
consécutif du 27 germinal an XII, et des articles
ouilhet Odéon : Reprise de la Conjuration d’Amboise, drame en cinq
actes
, six tableaux, en vers, de Louis Bouilhet. 11
oison. Elle se presse un peu trop (ainsi qu’il sied dans un cinquième
acte
), car, tout à l’heure, on va venir annoncer au be
e Dumas fils Comédie française : Un père prodigue, comédie en cinq
actes
, de M. Alexandre Dumas (reprise). 16 Janvier 1
uvre d’un esprit anémique. C’est une pièce extrêmement touffue : cinq
actes
, 193 pages ; des pages de 35 lignes quand il y a
une tragédie classique, et deux fois le volume d’une comédie en trois
actes
, de celles qu’on nous donne communément aujourd’h
il y a du « trop » dans cette pièce. Moins diffuse, surtout au second
acte
, elle paraîtrait plus pleine ; et plus significat
sacrifiera, tout comme si c’était lui le père. — Et c’est le premier
acte
. Mais la mission dont s’est chargé André n’est po
ant ; et quel délicieux beau-père que le comte ! Et c’est le deuxième
acte
; et il ne vous échappera pas que c’est seulement
le pauvre homme, mon fils ne m’aime plus ! » — Et c’est le troisième
acte
. Mais ce n’est pas le comte, c’est André qui part
é si durement traité et qu’il adore toujours. — Et c’est le quatrième
acte
. Dès lors, le dénouement est facile à prévoir. Le
brillante et la plus ferme, et où par bonheur se trouve, au quatrième
acte
, une scène admirable, hardie, émouvante et poigna
t la figure reposante de la bonne Mme Godefroy, et encore, au premier
acte
, la saisissante peinture de ce ménage à la déband
Meilhac et Halévy Variétés : La Petite Marquise, comédie en trois
actes
, de MM. Meilhac et Halévy (reprise). 9 Janvier
point de vue ». Enfin on est tenté de croire, après les deux premiers
actes
, que la Petite Marquise est, sans y prétendre d’a
le des comédies, et de la conclusion la plus sévère ; mais le dernier
acte
nous détrompe ou, si vous voulez, nous rassure :
, interrompt Boisgommeux ; vous vous rappelez ? (De même, au deuxième
acte
, quand Henriette tombera chez lui, dans sa gentil
! « Oh ! que c’est moral ! » dirait Dupuis. Mais attendez le dernier
acte
. Vous vous dites peut-être que la petite marquise
sera plus nécessaire. Et si nous avions pu croire, après le deuxième
acte
, que MM. Meilhac et Halévy avaient voulu nous don
lfred de Musset Vaudeville : la Paix du foyer, comédie en trois
actes
de M. Auguste Germain ; — Odéon : Fantasio, coméd
ois actes de M. Auguste Germain ; — Odéon : Fantasio, comédie en deux
actes
et huit tableaux, d’Alfred de Musset. 29 Févri
d : « Comme tu voudras ! » prend son chapeau et sort. Tout ce premier
acte
est vivant et d’un franc comique. Deux mois après
ndu, de garder son amie ; et tout le monde sera content. Au troisième
acte
, Valentine a réintégré le domicile conjugal. Elle
encore, mais sévère, un avocat général que nous avons vu, au premier
acte
, prendre hypocritement parti pour la jeune femme
al. Porte-Saint-Martin : Le Voyage dans la lune, féerie en quatre
actes
et vingt-deux tableaux, de MM. Vanloo, Leterrier
orations : on les leur arrache à mesure qu’ils se distinguent par des
actes
méritoires… Tout ça, c’est des plaisanteries de c
Terre. Palais-Royal : Les Maris d’une divorcée, comédie en trois
actes
, de MM. Hippolyte Raymond et Jules de Gastyne.
. Hippolyte Raymond et Jules de Gastyne. 4 Avril 1892. Le premier
acte
des Maris d’une divorcée m’a plu par un comique b
é. Henri Meilhac Variétés : Brevet supérieur, comédie en trois
actes
, de M. Henri Meilhac. 19 Avril 1892. Il y a,
sérieux. — les arguments du petit vicomte de Champ-d’Azur au premier
acte
du Mari de la débutante, il explique que la femme
a Rochebardière à épouser son amie. Le reste, et notamment le dernier
acte
, est du Meilhac courant, un peu improvisé et hâté
ge. On jurerait qu’il est absent, si l’on peut dire, de son troisième
acte
. Cette absence n’a, au fond, rien de surprenant.
Georges Feydeau Palais-Royal : Monsieur chasse, comédie en trois
actes
, de M. Georges Feydeau. 2 Mai 1892. Monsieur
d’ailleurs n’a pas eu le temps de succomber, a le droit, au troisième
acte
, de faire une scène à son volage époux avant de l
a toute une partie de Monsieur chasse, — la première moitié du second
acte
, — dont l’effet est moins mystérieux, et qui se r
Matinée du Vaudeville : Reprise de Thérèse Raquin, drame en quatre
actes
, de M. Emile Zola. 23 Mai 1892. Je puis parle
les gêne ; l’idée leur vient de s’en débarrasser. Et c’est le premier
acte
. Donc, ils ont noyé Camille pendant une partie de
s un semblant de résistance. Le mariage est décidé. C’est le deuxième
acte
. Le troisième acte, c’est la nuit de noces de Lau
sistance. Le mariage est décidé. C’est le deuxième acte. Le troisième
acte
, c’est la nuit de noces de Laurent et de Thérèse.
des plus saisissantes. Mais, il n’y a pas à dire, pendant ces quatre
actes
, et surtout pendant les deux derniers, c’est touj
a de Thérèse Raquin. Gymnase : Charles Demailly, pièce en quatre
actes
et cinq tableaux, tirée du roman de MM. Edmond et
inférieur à Charles, et ainsi son horrible confession se ramène à un
acte
d’accusation dressé contre la destinée. Ce n’est
une pièce que vous ne regretterez pas d’avoir vue. Les deux premiers
actes
ne sont pas un instant ennuyeux. Le troisième vou
Henri Lavedan Vaudeville : Le Prince d’Aurec, comédie en trois
actes
, de M. Henri Lavedan. 6 Juin 1892. La soirée
il, que la pièce croulerait sous les sifflets avant la fin du premier
acte
. Ces propos sont trop ridicules pour que je puiss
que le prince, dans l’entr’acte, va avoir recours. Les deux premiers
actes
, c’est la comédie. Ils sont pétillants de verve,
e. On s’aperçoit à peine que l’action y manque un peu. — Le troisième
acte
, c’est le drame, c’est la liquidation des comptes
ra l’Argent ? Albert Guinon Théâtre-Libre : Seul, pièce en deux
actes
, de M. Albert Guinon. 14 Mars 1892. Baudelair
irs que les planches cyniques du Théâtre-Libre éveillent en nous. Les
actes
de ses personnages sont bien à peu près ceux auxq
ité moyenne. Pourquoi faut-il que, deux ou trois fois dans ce premier
acte
, nous nous heurtions à des mots où il semble que
s que la mère pût avoir des doutes. L’effet serait le même. Le second
acte
est excellent. Il me paraît d’une grande vérité.
e nous devons être jugés, et sur le fond de nos âmes plus que sur nos
actes
d’exception, — héroïques ou détestables ; — et c’
l Anthelm Théâtre-Libre : La Fin du vieux temps, pièce en trois
actes
, de M. Paul Anthelm. — Comédie Française : Athali
a Fin du vieux temps avait aussi contre elle le décor de son deuxième
acte
. Sous prétexte d’exactitude, M. Antoine, ayant à
oignez à cette odeur l’obscurité profonde où se joue tout ce deuxième
acte
. Pas d’autres luminaires que les deux ou trois fa
ent sinistrement. Que M. Antoine soit heureux. Sans doute, au premier
acte
, les parois du four tremblaient quand on enfourna
crime. Théâtre de la Tour-Eiffel : Paris en l’air, revue en deux
actes
, de MM. Armand de Caillavet et Franck. 20 Juin
ent. Ernest Daudet Gymnase : Un Drame parisien, pièce en quatre
actes
, de M. Ernest Daudet. 3 Octobre 1892. Nous so
e se résigne à l’écouter. Et je n’ai que du bien à dire de ce premier
acte
. Le froufrou des jupes trop richement chiffonnées
ir assez pour nous faire dire : « Tiens ! tiens ! tiens ! » Le second
acte
nous transporte dans le hall de l’hôtel de Véran.
t de tels. Donc, il envoie la pauvre Rose coucher au Dépôt. Troisième
acte
. La salle de la Cour d’assises ; les trois juges
d ; parmi le public, nous retrouvons les pieuses mondaines du premier
acte
et les soupeuses du second ; elles nous tournent
nant de fortes chances d’être acquittée. Tels sont les trois premiers
actes
. Ils sont d’un aménagement assez habile ; et, ce
on et en mouvements de scène. Mais il est clair que les deux premiers
actes
sont de pure exposition, que le troisième forme l
l’auteur. Brieux Odéon : Monsieur de Réboval, comédie en quatre
actes
, de M. Brieux. 19 Septembre 1892. Je vais vou
s mots, incapable de trouver en lui-même le principe directeur de ses
actes
… Au surplus, il a cru concilier ses deux devoirs.
ment excellentes ; mais elle n’est pas harmonieuse. Les deux premiers
actes
annoncent une étude, presque purement comique, su
devoir, tout cela est fort plaisamment traité. Mais les deux derniers
actes
forment un drame d’une rare noirceur, et que nous
dmis, l’enchaînement est rigoureux entre la comédie des deux premiers
actes
de Monsieur de Réboval et le drame des deux derni
Cluny : La Tournée Ernestin, vaudeville à grand spectacle, en quatre
actes
et cinq tableaux, de M. Léon Gandillot. 24 Oct
ayeront. Et, en outre, le régisseur soignera les amendes. Le deuxième
acte
nous transporte dans l’Amérique du Sud, à Santa-B
! Gaston Salandri Théâtre-Libre : Le Grappin, comédie en trois
actes
, de M. Gaston Salandri. 7 Novembre 1892. Le T
rlé jusqu’ici que des néo-vaudevilles et des scies d’atelier en trois
actes
. Mais il arrive aussi, par-ci par-là, que le Théâ
ésente donc un très sérieux intérêt. Et si, le long des deux premiers
actes
et dans le commencement du troisième, M. Salandri
une fleur de trottoir… Le passé continue à corrompre le présent. A l’
acte
suivant, le petit garçon de Jacques est mort, et
», au sens grossier et précis du mot, et nous l’avons vue, au second
acte
, repousser très nettement, avec une décision que
François de Curel Théâtre-Libre : Les Fossiles, pièce en quatre
actes
, de M. François de Curel. 4 Décembre 1892. C’
de vieillard, tout de même, et superbement maître de lui ! Ce premier
acte
a bien de la grandeur. C’est d’une immoralité tou
chef de la famille : commande, tous t’obéiront… Adieu 1 » Au dernier
acte
, Robert de Chantemelle est mort. Le corps est exp
d public le comprît et l’acceptât pleinement, nous expliquer, dans un
acte
ou dans quelques scènes préliminaires, des person
mon nom que je la fais. Vaudeville : L’Invitée, comédie en trois
actes
, de M. François de Curel. 30 Janvier 1893. El
qu’une bien jolie veine de comédie circule au travers de ce troisième
acte
. Cet excellent Bagadais a cru devoir avertir Hube
Les deux scènes d’Anna avec son mari, puis avec ses filles, au second
acte
, semblent se répéter au troisième : les attitudes
Louis Legendre Comédie française : Jean Darlot, drame en trois
actes
, de M. Louis Legendre. 28 Novembre 1892. Cett
’indolente Mme Boisset telle qu’elle nous est montrée dans le premier
acte
, qui est tout entier charmant ; si la pièce se fû
Paul Hervieu Vaudeville : Les Paroles restent, comédie en trois
actes
, de M. Paul Hervieu. 21 Novembre 1892. M. Pau
un instant une scène d’ailleurs admirable… Nous retrouvons au dernier
acte
, dans une maison de campagne des environs de Pari
svallières Nouveautés : Champignol malgré lui, vaudeville en trois
actes
, de MM. Georges Feydeau et Maurice Desvallières.
urprises du divorce ou même que la Famille Pont-Biquet, et le premier
acte
de Champignol malgré lui n’est point sans longueu
point sans longueurs, ni le troisième sans faiblesses. Mais le second
acte
est une des folies les plus irrésistiblement gaie
e s’éterniser que là où les intéressés n’ont pas la parole. Le second
acte
de Champignol malgré lui nous fait assister au to
illesque. Le Cercle Pigalle Pigalleria fumistuna, revue en trois
actes
, par les membres du Cercle. C’est à l’entrée d
ins heureusement « fumistana » que les précédentes. C’est surtout « l’
acte
des théâtres » qui nous a franchement amusés… En
sés… En sortant, je disais à Sarcey : « Mais il est très amusant, cet
acte
des théâtres. Il vaut mieux que tous ceux du même
ies qu’ils font des œuvres dramatiques de l’année, — en sorte que l’«
acte
des théâtres », affadi, ressemble presque toujour
e Bouchor Petit-Théâtre : La Dévotion à saint André, mystère en un
acte
, en vers, de M. Maurice Bouchor ; Le Songe de Khè
e, en vers, de M. Maurice Bouchor ; Le Songe de Khèyam, caprice en un
acte
, en vers, du même1. 7 Mars 1892. C’est un bie
îne et finit presque toujours lugubrement et misérablement le dernier
acte
de la comédie humaine ; au bout de tant d’années,
h distorted faces, And desperate censures, stab at Poesy. (Poetaster,
acte
I, sc. i.) 124. Voir le deuxième acte de Catili
s, stab at Poesy. (Poetaster, acte I, sc. i.) 124. Voir le deuxième
acte
de Catilina. 125. … Now I see your wisdom, judg
elf through rarified, and turn’d all flame In your affection. (Sejan,
acte
II, sc. i.) 126. livia. How do I look to-day ?
e came timely, lady, for your health… (Ibidem.) 128. Voy. Catilina,
acte
II, une très-belle scène, non moins franche et no
. Thy looks are vows to me… Thou art a man made to make consuls. Go. (
Acte
I, sc. ii.) 130. Cæsar, Live long and happy, g
ocence ! Guard His meekness, Jove ; his piety, his care, His bounty. (
Acte
III, sc. i.) 131. The majesty of great Tiberiu
nd noble ! second senator. Good and great Sejanus ! præco. Silence ! (
Acte
V, sc. x.) 132. « Some there be that would int
ion, thee and every relick Of sacred treasure in this blessed room ! (
Acte
I, sc. i.) 140. Letting the cherry knock again
l you have your inventory brought, sir ? Or see a copy of the will ? (
Acte
I, sc. i.) 142. MOSCA. His mouth Is ever gapin
hter ! MOSCA. And a virgin, sir… CORVINO. Wretch ! Covetous wretch ! (
Acte
II, sc. iii.) 146. Nous supplions le lecteur de
emember this. Will you disgrace me thus ? Do you thirst my undoing ? (
Acte
III, v.) 148. MOSCA. Sir, Signior Corvino… hea
l we have quite run through, And wearied all the fables of the Gods. (
Acte
III, sc. v.) 150. CORVINO. This woman, please
enough, methinks. VOLPONE. O, more than if I had enjoy’d the wench ! (
Acte
IV, sc. ii ; acte V, sc. i.) 152. Why would yo
VOLPONE. O, more than if I had enjoy’d the wench ! (Acte IV, sc. ii ;
acte
V, sc. i.) 152. Why would you stay here ? With
riting of your son, Perjured yourself ? Go home, and die, and stink. (
Acte
V, sc. i.) 153. CORVINO. Yes, And have mine ey
d rotten eggs. — ’Tis well. I am glad I shall not see my shame yet. (
Acte
V, sc. viii.) 154. Why, did you think you had
d stand with her hands thus, and a plaise mouth, and look upon you ? (
Acte
III, scène ii.) 155. Rogues, hell-hounds, Sten
roof, walls, and all my windows asunder, with their brazen throats. (
Acte
IV, scène ii.) 156. Comparez M. de Pourceaugnac
hich they threw one at another’s head over night ? (Cynthia’s Revels,
acte
I, sc. i.) 165. See, see the mourning fount, w
uiver, Give unto the flying hart Space to breathe, how short soever. (
Acte
V, sc. iii.) 169. A celebration of Charis. Misc
out, and made their solemn conjuration To last but while she lived. (
Acte
I, sc. ii.) But she, as chaste as was her name, E
deflower’d ; and now her sweet soul hovers Here in the air above us. (
Acte
III, sc. i.) 172. On pourra suivre cette idée e
ditoire. Et alors, tous deux lâchent Œdipe pendant les trois premiers
actes
. Et, pour les remplir, Corneille introduit Thésée
is se marier, sinon avec une très jeune fille, et dont il aurait vu l’
acte
de naissance. Comme cela, il aurait été tranquill
pas su ce qu’il faisait, et le pêché est dans la volonté, non dans l’
acte
matériel. — Évidemment ; et voici que nous presse
japonais Odéon : La Marchande de sourires, drame japonais en cinq
actes
et deux parties en prose, de Mme Judith Gautier,
nairement violents et féroces. Voici le très bref résumé du troisième
acte
d’un drame analysé par M. Lequeux, et qui s’appel
s est introduite, et, en la voyant, Omaya meurt de douleur. Au second
acte
, Cœur de Rubis met le feu à la maison de son nouv
nes fables du théâtre grec. Les trois ou quatre monologues du premier
acte
de la Marchande de sourires ne ressemblent pas ma
e. National de l’Odéon : Beaucoup de bruit pour rien, comédie en cinq
actes
et huit tableaux, en vers, de M. Louis Legendre,
oir même, dans l’église où s’est passée la scène cruelle du troisième
acte
, Claudio, devant le tombeau d’Héro, fait publique
jeune fille n’est pas morte, M. Legendre ne nous révèle qu’au dernier
acte
le pieux stratagème du vieux Leonato. — Enfin, il
n dans la vie de Mme de Maintenon ne nous autorise à lui attribuer un
acte
si exagéré de charité et de compassion. M. de Noa
et elle sait qu’elle ne peut plus avoir un autre dieu que le sien. —
Acte
de foi chrétienne ? Non ; acte de foi conjugale.
lus avoir un autre dieu que le sien. — Acte de foi chrétienne ? Non ;
acte
de foi conjugale. » Je vous donne seulement l’ess
fond, le Club de Gondinet, par exemple, et presque tous les premiers
actes
des comédies de Sardou appartiennent, peu s’en fa
ontemporains savent accommoder avec plus d’artifice les pièces ou les
actes
« à tiroirs ». Pour moi les Fâcheux sentent un pe
nnuie avec son récit interminable et médiocrement plaisant du premier
acte
. Ainsi, l’unité de la pièce n’est pas même dans u
sonnages représentaient la jeunesse et l’amour, et puis voilà tout. L’
acte
physique de l’amour (je traduis M. Dumas) a pris
t comme Dorine elle-même semble le croire dans un couplet du deuxième
acte
? Et le passé de Tartufe ? Nous aimerions à le co
On consacrait aux faits et gestes de M. Alphonse des comédies en cinq
actes
: L’Homme à la bonne fortune, le Chevalier à la m
e charge de la représentation du lendemain. — Dirait-on pas un second
acte
à la Gaîté, avec sonnerie et défilé d’habits bleu
s de gardes-françaises au baisser du rideau ? Mais voici le troisième
acte
, presque tragique. Le maréchal de Saxe devient am
tte phrase, dans les indications de la mise en scène pour le deuxième
acte
des Trois Sultanes : « … Un esclave place sur cet
impertinente « soit mise au rang des plus viles esclaves ». Troisième
acte
. Le Sultan est de moins en moins tranquille. La s
Comédie-Française : Le Cercle ou la Soirée à la mode, comédie en un
acte
, par Poinsinet ; — l’Anglais ou le Fou raisonnabl
cte, par Poinsinet ; — l’Anglais ou le Fou raisonnable, comédie en un
acte
, par Patrat. 14 février 1887. Il faut remerc
en quatre mots, la conversation, les vertus et les vices. » Le petit
acte
de Poinsinet eut du succès en son temps (surtout
nt. Vingt ans plus tard. L’Anglais ou le Fou raisonnable est un petit
acte
naïf, humoristique et touchant, qui sent en plein
eux grotesque d’il y a cent ans suffirait à sauver le bon vieux petit
acte
de Patrat. Mais il est, en outre, tout à fait cha
e mariage d’un valet qui est le sujet de cette énorme comédie en cinq
actes
. Voilà ce qui ne s’était pas encore vu. Et quel v
rubin est un « type ». M.Larroumet aurait pu ajouter que le troisième
acte
tient de la « comédie larmoyante » ou du « drame
ne perversité toute printanière et toute fraîche. La scène du premier
acte
, où Chérubin, avant d’aller rejoindre sa compagni
t fort éloquent de M. Larroumet. C’est à propos du cortège du premier
acte
: « Ce qui défile si gaiement devant nous, c’est
onventions qui ne valent pas toujours ce qu’elles coûtent ! Le second
acte
est fort amusant ; mais relisez-le, et vous verre
st absolument inutile à l’action principale. Les quipropos du dernier
acte
sont fort divertissants : mais il a fallu, pour l
ne Comédie-Française : Une famille au temps de Luther, drame en un
acte
, en vers, par Casimir Delavigne. 25 juin 1888.
gens qui raisonnent fort bien, — à leur façon. Examinons maintenant l’
acte
de Paolo. D’abord, c’est un frère qu’il assassine
édie-Française : Reprise d’Adrienne Lecourreur, comédie-drame en cinq
actes
, de Scribe et de M. Ernest Legouvé. 23 avril 1
ure est en germe dans cette pièce instructive. On discute, au premier
acte
, si la tragédie doit être chantée ou dite naturel
leurs petits travers sont doucement et paternellement raillés dans l’
acte
du « foyer de la Comédie-Française » ! Et comme t
rôles lui communiquent leur grandeur d’âme. Elle s’écrie au quatrième
acte
: « Ô mon vieux Corneille ! viens à mon aide ! vi
la femme avec qui elle s’est rencontrée dans l’obscurité au troisième
acte
, c’est parce que la princesse reconnaît sa voix p
tôt, dont ce drame n’est que le développement, est racontée au second
acte
par tante Mian, la vieille servante. Je ne puis m
te, se frotte contre lui… La scène est charmante et chaude. Au second
acte
, le péché est commis. Fanette a des remords que V
’amitié pour sa femme. Tout cela fait vingt autres vers. Au troisième
acte
, Fanette, qui s’est fait enlever par Véranet, sou
’est pas par sa violence et son atrocité extérieures que ce quatrième
acte
me déconcerte, me déplaît, et fait que je me sauv
ille Doucet Comédie-Française : Le Fruit défendu, comédie en trois
actes
, en vers, de M. Camille Doucet (reprise). 31 m
tenaire Chevreul ; Charles VII chez ses grands vassaux, drame en cinq
actes
, en vers, d’Alexandre Dumas (reprise). 6 septe
lions, un Bédouin d’Horace Vernet, et sceptique d’ailleurs (au second
acte
) comme serait un Bédouin de Voltaire. — Hermione
outrance de la forme, la couleur « moyen âgeuse », le cerf du premier
acte
, le chapelain, le burnous de Iacoub sentent déjà
Comédie-Française : Reprise de la Princesse Georges, pièce en trois
actes
, de M. Alexandre Dumas fils. 5 mars 1888. V
ureuse ; et puis, l’auteur ne veut pas perdre de temps. — Au deuxième
acte
, c’est un laquais qui découvre la lettre cachée p
e si chrétienne, je vous prie ? A cause de son monologue du troisième
acte
? Mais elle conclut à laisser tuer son mari. Si e
et Halévy9 Palais-Royal : Reprise du Réveillon, comédie en trois
actes
, de MM. Meilhac et Halévy. 16 janvier 1888.
se ! ) que je m’en vais vous communiquer. C’est d’abord que le second
acte
de cette comédie est entièrement inutile à l’acti
e est entièrement inutile à l’action : et c’est ensuite que ce second
acte
est une petite merveille d’une espèce très rare e
pas trop le droit de compter… Premier point : à savoir que le second
acte
ne sert pas du tout à l’action. — Je dois, pour q
résentera sous le nom de comte de Villebouzin. Cela, c’est le premier
acte
. A l’aurore, Tourillon, très gris, rentre à la pr
, et j’en ai dit assez pour ma démonstration. Cela c’est le troisième
acte
. Et le second ? Chose bizarre, j’ai pu vous racon
s faire pourtant la moindre allusion à ce qui se passe dans le second
acte
. Donc il est vain, superflu, postiche, adventice
n outre, fort amusant. Par où donc nous intéresse et nous retient cet
acte
sans action (excusez cette rencontre de mots) ? E
prison ? Mais cet intérêt d’attente serait insuffisant à soutenir un
acte
entier. Celui-là nous intéresse donc uniquement p
du moins je me le suis laissé dire. Deuxième point : à savoir que cet
acte
ne ressemble pas mal à un chef-d’œuvre qui tiendr
Edouard Pailleron Comédie-Française : La Souris, comédie en trois
actes
, de M. Edouard Pailleron. 21 novembre 1887.
dépêche de son notaire appelle Clotilde à Paris. Et voilà le premier
acte
. Clotilde a eu bien tort de s’en aller. Quand les
e, se séparent et s’esquivent comme s’ils étaient en faute… Troisième
acte
. Max, avec une atroce et bien naturelle cruauté,
ermine et Pepa tombent chez Mme de Moisand au commencement du premier
acte
. Hermine est une femme séparée ; toujours malade,
e chose d’adroitement distendu, d’agréablement « soufflé ». Les trois
actes
qui la composent sont de dimension considérable ;
e près, la matière n’en est pas beaucoup plus drue que celle du petit
acte
de l’Étincelle. Que dis-je ? C’est précisément l
s’adorer ! Marthe, qui a dix-sept ans, s’en donne dix-huit au premier
acte
, dix-neuf au second, vingt au dernier ; et, par u
ui, ce sera lui qui souffrira par elle, n’en doutez point… Au dernier
acte
de la Souris, Max, à genoux devant Marthe, s’aban
é. Ludovic Halévy Gymnase : L’Abbé Constantin, comédie en trois
actes
, tirée du roman de M. Ludovic Halévy, par MM. Hec
te du bon curé…, rien ne manque à cette comédie idyllique. Le premier
acte
et le troisième ne sont qu’un arrangement extrême
i est, comme vous savez, presque tout en dialogues). Pour le deuxième
acte
, MM. Crémieux et Decourcelles ont été obligés d’i
n. Ç’a été un grand succès d’édification, — d’édification amusante. D’
acte
en acte, on se sentait devenir meilleur. C’est d’
té un grand succès d’édification, — d’édification amusante. D’acte en
acte
, on se sentait devenir meilleur. C’est d’un catho
eu sans doute de Pauline. Espérons qu’il va le reconnaître au dernier
acte
. » Puis je me suis aperçu que c’était une appella
elaine pieuse ne s’est comportée ainsi. Je vous signalerai, au second
acte
, une erreur plus affligeante encore. M.Jean Reyna
hepin I. Comédie-Française : Monsieur Scarpin, comédie en trois
actes
, en Actes, de M. Jean Richepin. 1er novembre 1
I. Comédie-Française : Monsieur Scarpin, comédie en trois actes, en
Actes
, de M. Jean Richepin. 1er novembre 1886. Qua
ri, moins voltigeant, — plus direct et plus précis. Les deux premiers
actes
sont charmants, malgré quelques longueurs. Mais l
rs actes sont charmants, malgré quelques longueurs. Mais le troisième
acte
vient tout gâter. Quel dommage ! Et comment l’exp
vient tout gâter. Quel dommage ! Et comment l’expliquer, ce troisième
acte
, où l’idée initiale de ce délicieux pastiche dévi
prit toute aryenne, qui a écrit presque entièrement les deux premiers
actes
, et que le Touranien a mis la main au dernier plu
bien à ses inventions d’autrefois, et notamment à celle du troisième
acte
des Fourberies, que Scapin n’en croit pas un mot.
doute à cause du noble rôle que M. Richepin lui réserve au troisième
acte
; il veut épargner la honte des coups aux épaules
tc. Sentez-vous maintenant pourquoi l’auteur l’a écrit, ce troisième
acte
inutile et ennuyeux ? C’est uniquement pour cette
f-d’œuvre. II. Comédie-Française : Le Flibustier, comédie en trois
actes
, en vers, de M. Jean Richepin. 22 mai 1888.
rie-Anne lui fait un signe suppliant, et il se tait… C’est le premier
acte
. « Mais la méprise du bonhomme n’est-elle pas tro
ime ! » Ce mouvement n’est-il pas naturel et vrai ? Toute cette fin d’
acte
m’a paru fort belle. Je ne me rappelle pas bien l
belle. Je ne me rappelle pas bien l’ordre des scènes dans le dernier
acte
. Si celui que je donne ne vous paraît pas bon, di
fait prévoir, ne demande pas mieux, et tout finit bien. — Ce dernier
acte
est remarquable. Le « retournement » du grand-pèr
erconsin Comédie-Française : La Sortie de Saint-Cyr, comédie en un
acte
, de M. Verconsin. 28 juin 1886. L’été est en
e marnière Porte-Saint-Martin : La Grande Marnière, drame en cinq
actes
et huit tableaux, de M. Georges Ohnet10. 9 avr
e croiriez pas. Je raconterai la chose, sans commentaires. Le premier
acte
est charmant à voir. A droite, une auberge champê
ue, Doit et avoir Palais-Royal. : Doit et Avoir, comédie en trois
actes
, de MM. Cohen et Albin Valabrègue. 9 avril 188
s ; ils n’avaient qu’une valeur de symboles : ils n’étaient que des «
actes
» de modestie et de soumission à Dieu. Ainsi, d’u
mesure ; cela veut dire : « Sois mesuré dans tes paroles et dans tes
actes
», ou peut-être : « Mesure tout » ; en d’autres t
Châtelet : La Guerre, drame militaire à grand spectacle, en cinq
actes
et neuf tableaux, dont un prologue, de. MM. Erckm
cques Bonhomme Théâtre de Paris : Jacques Bonhomme, drame en cinq
actes
, de M. Maujan. 6 novembre 1886. Le Théâtre d
e sur le corps de Lucrèce, de se venger de leurs tyrans. Au troisième
acte
, nous sommes dans le château du baron de Saint-Le
ue commence le drame. Il ne vous a pas échappé que les trois premiers
actes
sont une espèce d’exposition, — un peu longue. Un
u’elle a paru sublime ; mais le sentiment est assez clair. Au dernier
acte
, Guillaume Bonhomme, moins clément que Jacques, e
rt et Bicoquet Renaissance : Cocart et Bicoquet, comédie en trois
actes
, de MM. Hippolyte Raymond et Maxime Boucheron.
pour une seconde évasion, la casquette et la fausse barbe du premier
acte
, il apparaît de nouveau à Mme Tringlot sous les e
e Cocart, ce qui éclaircit et arrange tout… c’est ce que le troisième
acte
nous expose avec aisance et bonne humeur. Francin
u divorce Vaudeville : Les Surprises du divorce, comédie en trois
actes
de MM. Bisson et Mars. 12 mars 1888. J’avais
ime11 Cercle funambulesque : Colombine pardonnée, pantomime en un
acte
, de MM. Paul Margueritte et Fernand Beissier, mus
Beissier, musique de Paul Vidal. — L’Amour de l’Art, pantomime en un
acte
et deux tableaux, de M. Raoul de Najac, musique d
Euripide Odéon : Alceste, drame lyrique en cinq
actes
, en vers, d’après Euripide, par M. Alfred Gassier
mion que sont imitées les Fourberies de Scapin) contienne, au premier
acte
, un récit si élégant et si tendre et, au dénoueme
peu. En revanche, il a très agréablement traduit le récit du premier
acte
, je veux dire traduit à sa façon, en y ajoutant d
née… Ibsen Théâtre-libre : Le Canard sauvage, drame en cinq
actes
, de Henrik Ibsen. Du 11 mai 1891. Je ne préte
t élémentaire. Telle est la situation exposée dans les trois premiers
actes
du Canard sauvage. L’exposition est longue : elle
ou. Rassurez-vous. Cela ne l’empêchera point de rentrer chez lui à l’
acte
suivant, d’y avaler une pile de tartines beurrées
ler une pile de tartines beurrées, de ramasser les deux morceaux de l’
acte
de donation et de les recoller avec soin. Et le «
ofondeurs de la mer »… Vaudeville : Hedda Gabler, drame en quatre
actes
, d’Henrik Ibsen. 21 décembre 1891. Le Vaudevi
toutes ses démarches « un reflet de beauté » ; mais cette beauté des
actes
et des attitudes, elle en a une conception très c
je brûle l’enfant ! » Dégagé du cabotinage qui le rend grotesque, cet
acte
d’Hedda est abominable, car c’est un acte de dest
qui le rend grotesque, cet acte d’Hedda est abominable, car c’est un
acte
de destruction égoïste, un acte purement méchant.
d’Hedda est abominable, car c’est un acte de destruction égoïste, un
acte
purement méchant. Hedda est méchante, parce que,
e de tante Julie, dont les deux apparitions, au premier et au dernier
acte
, nous sont un rafraîchissement. Hedda n’a été pré
ce demain ! » Mais le plus dur, c’est le passage du consentement à l’
acte
. Macbeth est un grand enfant aux volontés brusque
crime. S’il pouvait seulement être absent de son corps au moment de l’
acte
matériel ! Quand la main frappera, qu’aussitôt l
Va porter le calice empoisonné par nous ! Et il voit l’horreur de l’
acte
, et il s’attendrit sur la victime : … Et la Piti
que nous sommes bien réellement « au milieu du monde » ; que tous nos
actes
, bons ou mauvais, ont leurs origines et leurs rac
e la Nuit… Une autre vérité morale, c’est que c’est l’image même de l’
acte
qui, en se précisant et en nous obsédant, nous dé
e l’acte qui, en se précisant et en nous obsédant, nous détermine à l’
acte
. Et c’est pourquoi un poignard apparaît à Macbeth
guste Dorchain Odéon : Reprise de Conte d’Avril, comédie en quatre
actes
et six tableaux, en vers, de M. Auguste Dorchain.
cher à la cour de bassesses et de vilenies. C’est ensuite (au premier
acte
) la vénalité de la justice, alors universellement
pourtant ! Et avec ça c’est toujours moi qui ai tort ! » Au quatrième
acte
, il souffre dans son goût de logique et sa passio
pe. Quels étaient ses camarades à telle et telle époque ? Où sont les
actes
de baptême, de mariage et de décès de tous ces ge
s… Frédéric Mistral La Reine Jeanne, tragédie provençale en cinq
actes
, en vers, avec la traduction française, par Frédé
u plus loin, reprend et continue, et comme cela tout le long des cinq
actes
. Et, si je vous ai cité ce morceau, c’est qu’il e
utes destinées encore, si la reine devenait veuve. — Voilà le premier
acte
. Au second acte, bien que la réponse du Pape ne s
ncore, si la reine devenait veuve. — Voilà le premier acte. Au second
acte
, bien que la réponse du Pape ne soit pas encore a
antent dans le feuillage fin des oliviers bleu d’argent. Au troisième
acte
, la réponse du Pape est arrivée, qui déclare Jean
le consentement de la reine. Et, en effet, nous apprenons au dernier
acte
(un peu tard à vrai dire) que Jeanne, aussitôt le
Baux, d’arrêter les coupables et d’instruire le procès. Le quatrième
acte
(qui est charmant) est bien singulier. C’est une
nce, avec Jeanne, la scène de Galéas de Mantoue, déjà jouée au second
acte
par Louis de Tarente. Un vieil astrologue tire l’
phe par les consuls de la Canebière. On ne saurait rêver un quatrième
acte
plus joli, ni plus inutile à l’action. Acte cinqu
aurait rêver un quatrième acte plus joli, ni plus inutile à l’action.
Acte
cinquième. Au palais d’Avignon. Un pèlerin essaye
nouveaux… Balzac Théâtre-Libre : Le Père Goriot, drame en cinq
actes
, tiré du roman dé Balzac par M. Adolphe Tabarant.
resse, papa Goriot ? » Il répond : « Non, c’est ma fille. » Au second
acte
, Rastignac est dans sa mansarde, voisine de celle
infâme société, puis s’en est allé pour ne plus revenir. Au troisième
acte
, le père Goriot et Delphine installent leur grelu
ille et se livre à toutes sortes d’enfantillages attendris. Quatrième
acte
. — Les lilies du père Goriot continuent à n’avoir
llet et le remet à Anastasie, qui s’en va un peu calmée. Au cinquième
acte
, le père Goriot agonise. Pendant ce temps-là ses
umas Odéon : Reprise de Kean ou Désordre et Génie, comédie en cinq
actes
et six tableaux, d’Alexandre Dumas. 19 octobre
ant qui les princes et les lords n’ont qu’à bien se tenir… Au dernier
acte
, Eléna de Kœfeld, effrayée par l’algarade de Drur
au surplus, il ne pourra guère faire autrement. — Il se croit, dans l’
acte
de la taverne, profondément indigné de la scéléra
Labiche Comédie française : Les Petits Oiseaux, comédie en trois
actes
, d’Eugène Labiche. 4 août 1890. Je n’ai pas t
ranger, lui offre à son tour cinquante mille francs et lui apporte un
acte
d’association. Son frère François, qu’il croyait
pas changé de caractère, ou plutôt on ne sait, pas plus qu’au premier
acte
, si c’est vraiment de la bonté. Supposez qu’au mo
Dumas fils Comédie française : Une Visite de noces, comédie en un
acte
de M. Alexandre Dumas fils (reprise). 13 avril
du mariage, où l’amour n’est plus purement l’amour, où il devient un
acte
social et se modifie et se purifie par la paterni
n Sardou Vaudeville : Reprise de Nos Intimes, comédie en quatre
actes
, de M. Victorien Sardou. 26 octobre 1891. Il
me très sérieux et très violent surgit brusquement, vers le troisième
acte
, d’une comédie pure et, parfois, d’un pur vaudevi
nnerie, à grands traits caricaturaux. Si la grande scène du troisième
acte
, l’entrevue nocturne de Maurice et de Cécile, éta
ait songer à une adroite réduction des Faux Bonshommes ; un troisième
acte
qui rappellerait le duel de la Commode de Victori
essemblances de ton, sans m’occuper de la chronologie), et un dernier
acte
dont le comique rappellerait celui d’Un pied dans
y a là tout autre chose qu’une mesure d’ordre, il y a bel et bien un
acte
d’inquisition contre la pensée. Un orateur, dont
éon Laya Comédie française : Reprise du Duc Job, comédie en quatre
actes
, de Léon Laya. 22 septembre 1890. L’audacieus
op pressée seulement d’avoir une voiture. Et il lui faut quatre longs
actes
pour se décider à faire ce que son cœur et son am
ièce contre l’argent, où le héros ne soit pas millionnaire au dernier
acte
. Hector Crémieux et Hervé Menus-Plaisirs :
é Menus-Plaisirs : Reprise de l’Œil crevé, folie musicale en trois
actes
, de MM. Hector Crémieux et Hervé, musique de M. H
e : Penseriez-vous que ce fût héréditaire ? Voyez encore, au second
acte
, la turlupinade sur les trois roulements de tambo
Théâtre Libre Théatre-Libre : Dans le rêve, comédie-drame en un
acte
, de M. Louis Mullem. 13 juillet 1891. Paul R
mme m’a amusé, hélas ! Théâtre-Libre : L’Honneur, comédie en cinq
actes
, de M. Henri Fèvre. J’ai laissé voir, à plusie
, à la dernière pièce qu’il nous a donnée, l’Honneur, comédie en cinq
actes
, de M. Henri Fèvre. Mais la question n’est pas si
es choses honteuses… Lorsque M. Baugréant interroge Cécile au premier
acte
, je ne puis même vous indiquer ce qu’il lui insin
tion : — Un homme de bonne volonté, et qui croirait fermement que les
actes
qu’il prête à Baugréant, à Cécile et à sa mère so
— justesse. Théâtre-Libre : L’Envers d’une sainte, pièce en trois
actes
, de M. François de Curel. 8 février 1892. L’
me. A part trois admirables scènes (entre Julie et Jeanne, au premier
acte
; entre Julie et Christine, au second ; entre Jul
t été signé Ibsen… Jean Jullien Odéon : La Mer, pièce en trois
actes
, de M. Jean Jullien. 4 octobre 1891. La Mer
ue : Servetur ad imum. Si un personnage semble se contredire dans ses
actes
, l’auteur devra, par quelque artifice, expliquer
uelques hésitations, les deux hommes consentent ; et c’est le premier
acte
. Vous trouverez que voilà une combinaison bien cy
tuations morales. Voilà tout ce qui est sous-entendu dans le premier
acte
de la Mer ; voilà tout ce que nous sommes obligés
Peut-être est-ce un peu trop. Je suis tenté de croire que ce premier
acte
, qui est d’ailleurs rapide et émouvant, nous eût
enser d’eux, et quels mobiles les font successivement agir… Au second
acte
, nous apprenons que la combinaison d’Elisabeth n’
viennent : — Elisabeth est bien changée. Elle paraissait, au premier
acte
, capable sinon de finesse morale, du moins de pit
e leur cœur ? Il y a ici dix fois plus de sous-entendus qu’au premier
acte
, et, décidément, cela commence à nous gêner. Tout
mier acte, et, décidément, cela commence à nous gêner. Tout ce second
acte
roule sur cette question : « Les deux ménages éta
s entièrement justifiée, car l’histoire qui remplit vos deux premiers
actes
pourrait être histoire de terriens aussi bien que
e que nous ne sommes pas à Pithiviers, vous avez pris soin, au second
acte
, de placer, — trop près des principaux interlocut
u automatiques, et vous avez bien dû vous en apercevoir. Le troisième
acte
est, à mon avis, de beaucoup le meilleur. C’est q
ntinue à jeter sa longue lamentation : « Yves !… Yves !… » Ce dernier
acte
est tragique au plus haut point, et il l’est avec
’expérience dont je parlais. Enfin, voici. Dans une partie du premier
acte
et surtout du second, le drame est sans doute plu
Porto-Riche Théâtre d’application : L’Infidèle, comédie en un
acte
, en vers, de M. Georges de Porto-Riche. 28 avr
ication nous a donné, avec un grand succès, l’Infidèle, comédie en un
acte
, en vers, de M. Georges de Porto-Riche, l’auteur
idérez la fable, ce n’est rien ; rien, c’est-à-dire peu de chose : un
acte
en vers pour l’Odéon, une barcarolle rimée, avec
le plus paresseux des hommes. Odéon : Amoureuse, comédie en trois
actes
, de M. Georges de Porto-Riche. 4 mai 1891. Ne
hommes. M. Georges de Porto-Riche nous expose, dans les deux premiers
actes
d’Amoureuse, avec une lucidité et une âpreté extr
. Et cette rupture d’équilibre, il nous la montre, dans son troisième
acte
, irrémédiable, sinon par la pitié et par la chari
esserai qu’un reproche à M. de Porto-Riche, c’est d’avoir, au premier
acte
, prêté à la jeune épouse amoureuse des façons un
Toute cette situation nous est minutieusement exposée dans le premier
acte
. Un ami d’Etienne, Pascal Delannoy, aide à cette
s profonds. Vous verrez plus tard à quoi il doit servir. — Ce premier
acte
est étincelant ; il est presque tout en répliques
i qu’un autre ! » Tout ce que nous avons vu défait, aux deux premiers
actes
, par la fatalité d’un malentendu moral et physiqu
t l’égoïsme, — et par la faiblesse, — nous allons le voir, au dernier
acte
, refait et réparé tant bien que mal, par la doule
Le député Leveau Vaudeville : Le Député Leveau, comédie en quatre
actes
, de M. Jules Lemaître. 20 octobre 1890. Un de
és », il faut confesser que sa naïveté dépasse les bornes au deuxième
acte
Comment, sur une promesse aussi visiblement compl
besoin d’être expliquée, la crânerie d’attitude de Leveau au dernier
acte
, où il risque bien réellement sa vie. Enfin, il m
l m’a paru amusant que la lettre anonyme écrite par la femme fût, à l’
acte
suivant, envoyée par le mari… Mais je m’aperçois
a regretté que Mme Leveau et sa fille disparussent après le deuxième
acte
. On a dît : « Mais le véritable sujet, c’est la l
de la mère et de la fille contre Leveau et sa maîtresse. Au troisième
acte
, c’est une autre pièce qui commence. » Dans ma pe
, ce petit bourgeois, fils d’ouvrier ou de paysan, sera, au cinquième
acte
de ma pièce, le mari d’une marquise authentique.
Mariage blanc Comédie-Française : Mariage blanc, drame en trois
actes
, de M. Jules Lemaître. 23 mars 1891. Je comme
ues, tout à fait revenu des femmes, et d’ailleurs absorbé par le joli
acte
de charité où il se complaît, n’a pas fait attent
avec efficacité ; que ce qui perd Jacques, c’est qu’il entreprend un
acte
de charité proprement évangélique avec une âme qu
bon docteur Doliveux quelques-uns de ses propos : « Il y a dans votre
acte
de charité quelque chose de trop concerté, un fon
il ne me semblait pas qu’il fût immoral. Je mettais, certes, dans cet
acte
de charité imaginaire, un peu de la coquetterie e
éparé, très expliqué, moins odieux qu’il ne vous semble : une série d’
actes
passionnels, ou de surprises des sens, ou de défa
ar l’humble Marthe est fort éloignée de toute façon, et même dans ses
actes
méchants, d’une Hermione, d’une Roxane ou d’une P
tinuait à planer sur toute la pièce. Puis Jacques, très bon au second
acte
, beaucoup plus malheureux que coupable au troisiè
de la mort de Simone n’est point fixé ; on peut espérer au troisième
acte
qu’elle vivra ; Jacques ne dit plus de choses inq
fille déchaînée… C’est bien encore son dilettantisme qui corrompt son
acte
de charité et qui finit par tuer Simone, — mais b
e je subis ? Je ne sais ; mais au moment où je viens de faire quelque
acte
mauvais, je sens nettement l’amoindrissement, la
pour toutes, à suppléer à cette ignorance naturelle et fatale par un
acte
de foi. Mais cette piété n’est pourtant ni un men
la perception extérieure. — Nous sommes tentés de la prendre pour un
acte
simple et spirituel. — Illusion psychologique ana
e et spirituel. — Illusion psychologique analogue à propos des autres
actes
de connaissance. IV. Rôle de l’image substitut de
es. — Dans toutes les perceptions extérieures, souvenirs, prévisions,
actes
de conscience. — Tendance générale de l’esprit à
eption des choses du dehors, nous sommes tentés de la prendre pour un
acte
simple et nu, dépourvu de tout caractère sensible
mes sensations tactiles et visuelles, je ne trouve rien en moi qu’un
acte
d’attention pure, acte spirituel, d’espèce unique
s et visuelles, je ne trouve rien en moi qu’un acte d’attention pure,
acte
spirituel, d’espèce unique, incomparable à tout a
incomparable à tout autre. — Rien d’étonnant dans ce jugement ; si l’
acte
est spirituel et pur, c’est qu’il est vide ; nous
nous retranchons de la perception tout ce qui la constitue, et, d’un
acte
plein, nous faisons un acte vide ou abstrait. — N
eption tout ce qui la constitue, et, d’un acte plein, nous faisons un
acte
vide ou abstrait. — Nous avons déjà vu plusieurs
n verrons encore d’autres ; c’est ainsi que naissent les êtres et les
actes
spirituels dont la métaphysique et la psychologie
ls se figurent nos connaissances, perceptions extérieures, souvenirs,
actes
de conscience ou de raison, comme des actes d’une
s extérieures, souvenirs, actes de conscience ou de raison, comme des
actes
d’une nature spéciale et simple, desquels on ne p
en employant une expression de dégoût et d’horreur. Immédiatement cet
acte
suggéra fortement au sujet que l’eau était mauvai
refléter, en même temps que l’image des sentiments, des pensées, des
actes
individuels, l’image aussi des sentiments, des pe
des actes individuels, l’image aussi des sentiments, des pensées, des
actes
étrangers. À première vue encore, il semble que l
ptitudes et des inaptitudes, une virtualité qui le destine à certains
actes
, de préférence à d’autres actes. Cette hérédité l
virtualité qui le destine à certains actes, de préférence à d’autres
actes
. Cette hérédité le constitue intégralement, impli
aucoup plus grand de refléter des images de sentiments, de pensées, d’
actes
étrangers. Cela tient à un premier pouvoir, pouvo
ertaines représentations, à exécuter avec plus de perfection certains
actes
déterminés et ce legs héréditaire lui est commun
mais pour lui des images réelles, et qu’il lui faudra accepter par un
acte
de foi. C’est l’avantage de la notion de n’exiger
rieux à lire : Wagner l’a reproduit presque littéralement au deuxième
acte
de Siegfried. Dans la Saga de Sigurd telle qu’au
remier germe de l’admirable adieu de Brunnhilde à Sieglinde (Walkure,
acte
III). Un peu plus loin, dans la même Saga, nous t
reuves que le jeune Sigurd fait des épées qu’on lui forge (Siegfried,
acte
I). Qui ne se rappelle le grandiose réveil de Bru
I). Qui ne se rappelle le grandiose réveil de Brunnhilde (Siegfried,
acte
III) ; Heil dir, Sonne ! heil dir, Licht ! heil d
te de Woran vers Erda pour lui arracher ses secrets (voir la Walkure,
acte
II) n’est pas sans analogie avec celle de Faust v
) ; fragments des Maîtres Chanteurs (1882 et 1883) ; final du premier
acte
de Parsifal (1884) ; premier acte de la Walkyrie
s (1882 et 1883) ; final du premier acte de Parsifal (1884) ; premier
acte
de la Walkyrie ; idylle de Siegfried ; scène des
yrie ; idylle de Siegfried ; scène des Filles-Fleurs (1885) ; premier
acte
ce Tristan et Yseult (1886), etc. L’idée de trans
coupures. Il fallut tailler de-ci, de-là, dans la finale du deuxième
acte
, notamment, où la scène de Telramund disparut sou
re du comité belge, à qui l’on doit une traduction rythmée du premier
acte
de la Walkyrie 98, les pèlerins se font plus nomb
M. Jullien déclare qu’il veut « raconter la vie de Wagner, juger ses
actes
et ses œuvres … » Ainsi ce livre, qui eût pu être
rsifal et Tristan à Bayreuth. Parlant de la première scène du premier
acte
de Goettterdaemmerung : « Ces trois personnages,
feu ; ce qu’on appelle la scène d’amour de la Walkure est au premier
acte
; etc. ; encore : Madame Vogl est de Munich, Made
anche, signalons cette appréciation de la scène religieuse du premier
acte
: « Il est impossible de rendre l’impression qui
sur la Belgique dans Le Dictionnaire encyclopédique Richard Wagner, d’
Actes
Sud, « De Lohengrin en 1870 à Parsifal en 1914 […
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