re : malentendus qui en résulteront. — Mouvement relatif et mouvement
absolu
. — Propagation et transport. — Systèmes de référe
celle d’une relativité simple, où l’on pose encore un point de repère
absolu
, un éther immobile. Même quand on conçoit la rela
a été ainsi immobilisé, il devient provisoirement un point de repère
absolu
, un succédané de l’éther. Bref, le repos absolu,
nt un point de repère absolu, un succédané de l’éther. Bref, le repos
absolu
, chassé par l’entendement, est rétabli par l’imag
t. Que le système S, adopté comme système de référence, soit au repos
absolu
dans l’éther, ou qu’il soit en repos seulement pa
ais il n’en est pas de même pour le philosophe. Car si S est en repos
absolu
, et tous autres systèmes en mouvement absolu, la
e. Car si S est en repos absolu, et tous autres systèmes en mouvement
absolu
, la théorie de la Relativité impliquera effective
t à S′ ? Simplement parce que S était censé participer à l’immobilité
absolue
de l’éther. Mais il n’y a plus d’éther 8, plus de
lité absolue de l’éther. Mais il n’y a plus d’éther 8, plus de fixité
absolue
nulle part. Nous pourrons donc dire, à volonté, q
déplacement est la manifestation à nos yeux d’un changement interne,
absolu
, se produisant quelque part dans l’espace. Nous a
eulement il peut garantir que ce sont des actes réels, des mouvements
absolus
. Déjà pour les mouvements accomplis par les autre
orps dans l’espace. Nous n’avons donc pas à tenir compte du mouvement
absolu
dans la construction de la science : nous ne savo
isée Einstein. Or, ce dynamisme impliquait l’existence d’un mouvement
absolu
. On pouvait encore admettre la relativité du mouv
mouvement de rotation semblait attester qu’on avait affaire ici à un
absolu
véritable ; et il fallait aussi bien tenir pour a
faire ici à un absolu véritable ; et il fallait aussi bien tenir pour
absolu
tout autre mouvement accéléré. Telle est la théor
é. Si nous jugions nécessaire, quant à nous, d’admettre un changement
absolu
partout où un mouvement spatial s’observe, si nou
, si nous estimions que la conscience de l’effort révèle le caractère
absolu
du mouvement concomitant, nous ajoutions que la c
ment concomitant, nous ajoutions que la considération de ce mouvement
absolu
intéresse uniquement notre connaissance de l’inté
r, si tout mouvement est relatif et s’il n’y a pas de point de repère
absolu
, pas de système privilégié, l’observateur intérie
n pouvait être ainsi, de toute manière, quand on croyait au caractère
absolu
du mouvement accéléré. Mais du moment qu’on écart
r ce que nous disions jadis de l’idée de corps, et aussi du mouvement
absolu
: cette double série de considérations permettait
e à l’intérieur d’elle : devrions-nous, puisqu’elles ont un caractère
absolu
, les appeler encore des mouvements ? D’autre part
tions réelles, éléments d’une qualité et participant à ce qu’il y a d’
absolu
dans la qualité, se propagent à travers l’espace,
rence ? Tant que l’on conserve un éther stationnaire et des positions
absolues
, l’immobilité appartient pour tout de bon à des c
n éther fixe, constituant un système de référence privilégié, unique,
absolu
. Mais l’hypothèse de l’éther, convenablement amen
Chapitre sixième Genèse et action des idées de réalité en soi, d’
absolu
, d’infini et de perfection I. Idée de la réali
e la réalité en soi, du noumène et de l’inconnaissable. II. Idée de l’
absolu
. III. Idée de vérité absolue et universelle. IV.
ène et de l’inconnaissable. II. Idée de l’absolu. III. Idée de vérité
absolue
et universelle. IV. Idée de l’infini. Infini math
il consacré spécialement aux fondements de l’éthique. II Idée de l’
absolu
Puisque l’être en soi est supposé exister en l
relation à nous connue. Or, le contraire du relatif, nous le nommons
absolu
. L’être en soi sera donc pour nous l’absolu, c’es
relatif, nous le nommons absolu. L’être en soi sera donc pour nous l’
absolu
, c’est-à-dire une réalité non relative à notre pe
ions et que tout objet de notre connaissance est ainsi conditionné, l’
absolu
sera ce qui échappe à toute condition, ce qui est
par soi-même, non par l’effet d’autre chose, on en vient à définir l’
absolu
l’être par soi. Existe-t-il réellement un tel êtr
ment, nous n’étudions qu’au point de vue psychologique la notion de l’
absolu
, ses caractères et son origine. Or, cette origine
e. Or, cette origine, nous pouvons maintenant la déterminer. L’idée d’
absolu
n’est autre que celle d’objet en général, d’exist
ose de premier en soi, non plus seulement pour moi, je forme l’idée d’
absolu
. Cette idée est donc tout entière réductible à de
ience que nous combinons et auxquels nous affectons des négations : l’
absolu
est un objet non relatif, un non-moi non connaiss
rme infranchissable, etc. La pensée crée de toutes pièces la notion d’
absolu
en niant ses propres conditions, et en supposant
autre manière que nous ne l’avions pensé. Kant a établi que l’idée d’
absolu
ne nous donne aucune connaissance de son objet et
ible de la connaissance suivant les lois de l’expérience. L’idée de l’
absolu
, en ce sens, est une idée-force, un aiguillon qui
mènes, aucun objet de l’expérience ne peut satisfaire notre idée de l’
absolu
, ne peut constituer une expérience totale, adéqua
r une expérience totale, adéquate à la réalité entière. Dans l’idée d’
absolu
, il n’y a de positif que l’idée du tout de la réa
sent être derrière le miroir où on les voit. » III Idée de vérité
absolue
et universelle Les platonisants font de l’idée
e perception actuelle. La science présuppose donc l’idée d’une vérité
absolue
. » A cette théorie nous répondrons d’abord que,
place pas pour cela au point de vue d’une conscience pure concevant l’
absolu
; je me place au point de vue de relations autres
i-même » ; il se place donc et me place avec lui au point de vue de l’
absolu
, au moment même où il prétend m’en exclure. — Non
s observations et raisonnements qu’il fait, je penserais comme lui. L’
absolu
n’est ici qu’une identité de relations. Dire : il
s relations que moi, sentirait la faim. Il participerait, non au même
absolu
, mais à la même relativité, subirait les mêmes re
s que nous, aurait faim : c’est cette universalité qui donne un air d’
absolu
à notre affirmation d’une relativité radicale, s’
s supposer une autre solution ni sortir de notre propre expérience. L’
absolu
est donc ici tout négatif. Ce qui est positif, c’
de la pensée, il n’est pas nécessaire d’avoir a priori une idée de l’
absolue
vérité, encore moins d’être cette idée même prena
s en un tout, l’idée de perfection n’aura pas d’unité ; or, « l’unité
absolue
» est le caractère de la perfection. — On peut ré
onclusion la plus inattendue et, disons le mot, la plus énorme, sur l’
absolu
. « Par conséquent, dit-il, la force dont nous aff
ent, dit-il, la force dont nous affirmons la persistance est la force
absolue
, dont nous avons nécessairement conscience comme
alité inconditionnée, sans commencement et sans fin. » Ainsi, c’est l’
absolu
, l’inconditionné, le « noumène » dont Spencer, al
t des énergies actuelles ; ici, c’est au sens métaphysique : la force
absolue
(ce qui est inintelligible), le noumène inconnais
le comique disparaît au point de vue de la science et de la puissance
absolues
. Or, en inversant les deux propositions, il en ré
igure de Virginie, qui symbolise parfaitement la pureté et la naïveté
absolues
. Virginie arrive à Paris encore toute trempée des
à l’homme, infiniment vile et basse relativement au Vrai et au Juste
absolus
. Melmoth est une contradiction vivante. Il est so
infinie et d’une misère infinie, misère infinie relativement à l’Être
absolu
dont il possède la conception, grandeur infinie r
est naturel de croire qu’avant qu’elles aient atteint la purification
absolue
promise par certains prophètes mystiques, les nat
itif qui se rapproche beaucoup plus de la vie innocente et de la joie
absolue
que le rire causé par le comique de mœurs. Il y a
hauteur proportionnelle. J’appellerai désormais le grotesque comique
absolu
, comme antithèse au comique ordinaire, que j’appe
t étant visiblement double : l’art et l’idée morale ; mais le comique
absolu
, se rapprochant beaucoup plus de la nature, se pr
valeur ; c’est une question de rapidité d’analyse. J’ai dit : comique
absolu
; il faut toutefois prendre garde. Au point de vu
omique absolu ; il faut toutefois prendre garde. Au point de vue de l’
absolu
définitif, il n’y a plus que la joie. Le comique
’absolu définitif, il n’y a plus que la joie. Le comique ne peut être
absolu
que relativement à l’humanité déchue, et c’est ai
st ainsi que je l’entends. VI L’essence très-relevée du comique
absolu
en fait l’apanage des artistes supérieurs qui ont
s supérieurs qui ont en eux la réceptibilité suffisante de toute idée
absolue
. Ainsi l’homme qui a jusqu’à présent le mieux sen
chaque titre de catégorie. D’ailleurs, nous trouvons dans le comique
absolu
et le comique significatif des genres, des sous-g
réation. La première est créée par la séparation primitive du comique
absolu
d’avec le comique significatif ; la seconde est b
, tel artiste allemand ou anglais est plus ou moins propre au comique
absolu
, et en même temps il est plus ou moins idéalisate
éalisateur. Je vais essayer de donner des exemples choisis de comique
absolu
et significatif, et de caractériser brièvement l’
ynonymique du comique innocent, avec un degré de plus, est le comique
absolu
. En France, pays de pensée et de démonstration cl
ise, de toute science, de tout art français est de fuir l’excessif, l’
absolu
et le profond, il y a conséquemment ici peu de co
peu de comique féroce ; de même notre grotesque s’élève rarement à l’
absolu
. Rabelais, qui est le grand maître français en gr
La rêveuse Germanie nous donnera d’excellents échantillons de comique
absolu
. Là tout est grave, profond, excessif. Pour trouv
ement saisissante. Une des choses les plus remarquables comme comique
absolu
, et, pour ainsi dire, comme métaphysique du comiq
me comique absolu, et, pour ainsi dire, comme métaphysique du comique
absolu
, était certainement le début de cette belle pièce
sang dans le ventricule. Qu’est-ce que ce vertige ? C’est le comique
absolu
; il s’est emparé de chaque être. Léandre, Pierro
rrais tirer de l’admirable Hoffmann bien d’autres exemples de comique
absolu
. Si l’on veut bien comprendre mon idée, il faut l
, d’une certaine dose de comique significatif avec le comique le plus
absolu
. Ses conceptions comiques les plus supra-naturell
o Fava. Il faut ajouter qu’un des signes très-particuliers du comique
absolu
est de s’ignorer lui-même. Cela est visible, non-
e fois qu’on retrouve l’idée dominante de supériorité dans le comique
absolu
comme dans le comique significatif, ainsi que je
primer plus clairement, je dis que quand Hoffmann engendre le comique
absolu
, il est bien vrai qu’il le sait ; mais il sait au
ments comment Maine de Biran a pu dire que l’âme, considérée dans son
absolu
, c’est-à-dire dans son essence intime, est un x,
matière ne peut devenir esprit. L’âme, considérée en soi, comme chose
absolue
, n’est donc pas un nombre, une harmonie, comme le
ive et les consciences discontinues. En d’autres termes, la pluralité
absolue
n’explique point l’unité du moi, — l’unité absolu
rmes, la pluralité absolue n’explique point l’unité du moi, — l’unité
absolue
n’explique pas la pluralité des moi. Entre le mat
ématiquement écarté. Le moi l’occupait tout entier, et la pensée de l’
absolu
et du divin semblait dormir dans les profondeurs
n, c’est-à-dire de réalité, qui doit être conçu en Dieu d’une manière
absolue
. On n’aurait pas dû oublier que, Descartes admett
ligence elle-même qui est en Dieu, mais ce qu’il y a d’essentiel et d’
absolu
dans l’intelligence. On arrive ainsi à s’écrier a
son, Dieu est la vérité de l’esprit, il est l’esprit en soi, l’esprit
absolu
. Aussi Hegel est-il plus hardi que Fénelon, et ne
que le sujet, que la pensée, que l’idée, devait définir Dieu le sujet
absolu
, ce qui est la plus haute idée que l’on puisse se
ns le sujet31. Toute vérité était donc dans le sujet et dans le sujet
absolu
. Il est certain que Hegel n’a jamais bien défini
certain que Hegel n’a jamais bien défini ce qu’il entendait par sujet
absolu
, esprit absolu, et ce n’est pas le lieu ici de co
el n’a jamais bien défini ce qu’il entendait par sujet absolu, esprit
absolu
, et ce n’est pas le lieu ici de controverser sur
nomène de l’obstacle ou de la résistance pour remonter de là au sujet
absolu
, qui est, si l’on veut, l’identité des deux terme
personne-Dieu, où tout aboutit. » Entre le sujet relatif et le sujet
absolu
, entre ces deux personnalités, quels sont les rap
eu qui se disperse dans la conscience humaine, il n’y a plus d’esprit
absolu
. Nous maintenons fermement la distinction du suje
us d’esprit absolu. Nous maintenons fermement la distinction du sujet
absolu
et du sujet relatif : c’est ici la limite ferme e
’est pas tout de distinguer le sujet humain et le sujet divin, le moi
absolu
et le moi fini ; il faut les unir. Ici encore je
quel faible degré ! Comme il oublie vite le sujet pensant pour l’être
absolu
et la psychologie pour la physique ! Combien l’ho
es les citoyens, et dont le souverain, c’est-à-dire Dieu, est le type
absolu
de la sainteté et de la justice. 30. Ampère lui
Schelling est appelé idéalisme objectif, et celui de Hegel idéalisme
absolu
, ce qui correspond bien à la différence que nous
nce. I. La philosophie de M. Taine Il n’y a pas de commencement
absolu
dans les choses humaines, et il serait difficile
s recherches dans un intérêt moral préconçu. Elle a soutenu les idées
absolues
du vrai, du beau et du bien parce que c’est moral
recherche ; mais la libre recherche ne doit pas imposer à l’homme une
absolue
indifférence sur ce qui l’intéresse le plus au mo
s la science n’apporte qu’une lumière incomplète. Ce n’est que dans l’
absolu
que la science et la foi pourraient se confondre
que les nôtres le sont également, car qui prétend posséder la science
absolue
? Mais, au nom du ciel, ne nous ramenez pas en ar
le sujet et l’objet s’unissent sans intermédiaire, et cela est d’une
absolue
vérité. Cette théorie des idées-images que M. Tai
prouver que la distinction du bien et du mal suppose un certain ordre
absolu
, c’est-à-dire une coordination des fins à laquell
e particulier est essentiellement différente d’une idée nécessaire et
absolue
dont le contraire est impossible. Allons un peu p
possibilité d’une exception, et d’une limite, tandis que l’autre est
absolue
? Dire que je dois affirmer de toute partie d’éte
ifique est la méthode spéculative, celle qui se place d’emblée dans l’
absolu
, et qui, partant d’une première intuition, descen
uses, les droits et les devoirs, et enfin le principe suprême, l’être
absolu
. Condillac et son école expliquent ce passage, si
surabondamment qu’une telle méthode ne peut conduire à aucune vérité
absolue
. Dans ce système, il n’y a que des vérités généra
aissance. Toutes les notions qui pour Kant et Hegel, sont des notions
absolues
, sont pour Condillac et son école des notions abs
ne incarnation de l’idée éternelle, c’est par la participation avec l’
absolu
et avec le divin qu’un homme est grand. Les circo
est très-subtile et très-difficile à saisir), il n’y a pas de vérité
absolue
, ou, s’il y en a une, elle est inaccessible à l’h
tention, je dirais presque la folie, est d’être précisément la vérité
absolue
, la science absolue. En effet, aucune philosophie
resque la folie, est d’être précisément la vérité absolue, la science
absolue
. En effet, aucune philosophie dans aucun temps n’
ltat. Voilà, dans un cas particulier, l’opposition du relatif et de l’
absolu
, de l’historique et du rationnel. M. Renan ne dis
es des autres ; elles ne cesseraient pas pour cela d’être des vérités
absolues
. La génération logique des idées (qu’elle se fass
sique de Hegel ne cesse jamais un instant d’être la métaphysique de l’
absolu
. Quelle fiction de lui imposer la doctrine contra
imposer la doctrine contraire, à savoir que l’homme ne connaît rien d’
absolu
, qu’il est un relatif dans le relatif, un phénomè
e Dieu ? Le mot Dieu peut avoir deux sens, un sens relatif et un sens
absolu
. Au premier sens, Dieu est dans l’univers, il est
sciences de l’univers dans une conscience unique, dans une conscience
absolue
. De là ce singulier rêve, que l’on a admiré dans
ture toujours en mouvement. Il est l’infini, il est l’idéal, il est l’
absolu
. Il est l’ordre où la métaphysique, les mathémati
qu’une catégorie de la pensée. En effet, il est le lien des sciences
absolues
; mais les sciences absolues n’ont pas le réel po
e. En effet, il est le lien des sciences absolues ; mais les sciences
absolues
n’ont pas le réel pour objet. Il est l’absolu lui
s ; mais les sciences absolues n’ont pas le réel pour objet. Il est l’
absolu
lui-même ; mais rien d’absolu ne peut exister. No
n’ont pas le réel pour objet. Il est l’absolu lui-même ; mais rien d’
absolu
ne peut exister. Nous apercevons maintenant, nous
t immortelle. Survivre en Dieu, c’est survivre dans l’idéal et dans l’
absolu
, c’est survivre dans ce qui n’existe pas. Quelque
s deux idées vont se perdre l’une et l’autre dans l’idée commune d’un
absolu
phénoménisme. Pour tous deux, la nature n’est qu’
’autres formes d’activité supérieures à celles-là, et enfin une force
absolue
, jouissant du plus haut degré et de la plus haute
et de simplifier les causes, pourquoi affirmerions-nous d’une manière
absolue
qu’il en est ainsi à tous les degrés de l’échelle
yant à une destinée divine et immortelle, en invoquant une loi morale
absolue
, en affirmant des droits abstraits. Toutes ces gr
ecueillerait encore dans la raison humaine l’idée de l’infini et de l’
absolu
, qu’on ne trouvera jamais dans le monde extérieur
, car ce que les Allemands appellent le sujet-objet, — l’indifférence
absolue
, — ce n’est autre chose que la nature même à son
uvoir pressentir une voie de progrès qui ne serait pas le renoncement
absolu
à ce qui est acquis, ce qui est trop facile et à
, mais évidente) pour le matérialisme, en second lieu par sa négation
absolue
de toute métaphysique. Sur le premier point, M. L
cette école me paraît manquer d’esprit philosophique est sa négation
absolue
et exclusive de toute métaphysique. Je n’entrerai
ui serait déjà un problème métaphysique) de savoir s’il y a des idées
absolues
dans l’esprit humain, et si à ces idées correspon
umain, et si à ces idées correspond en dehors de nous quelque chose d’
absolu
; mais, prenant la question du dehors, je dis que
’énergique expression d’Hamilton, « exorcisé à jamais le fantôme de l’
absolu
» ? Comme les hommes sont surtout sensibles aux r
Tout dépend de la définition du mot science. Si l’on prend pour type
absolu
les sciences rigoureusement démonstratives, par e
que la métaphysique prétend connaître l’inaccessible, c’est à-dire l’
absolu
, je réponds que vous posez ce qui est en question
ce qui est en question, à savoir que l’homme ne possède aucune notion
absolue
et ne doit s’occuper que du relatif, proposition
même que vous excluez. D’ailleurs il faut distinguer l’invisible de l’
absolu
, et quand même on accorderait que l’homme ne peut
penchant vers la généralité n’aurait-il pas sa source dans une idée d’
absolu
, inconsciente d’elle-même ? Et lorsque M. Littré
onsciente d’elle-même ? Et lorsque M. Littré rejette l’hypothèse d’un
absolu
transcendant et nous représente la nature comme u
à soi-même, que fait-il donc autre chose que de transporter l’idée d’
absolu
de Dieu à la nature, et comment une telle vue pou
rale toute stoïcienne, il admet avec Kant et Jouffroy une loi morale,
absolue
et universelle, qui s’impose à toute conscience a
distincte de l’intérêt, au droit et au devoir fondés sur des rapports
absolus
. Ainsi, sur la plupart des grandes questions de l
hoses relatives et contingentes, nous porte à l’affirmation d’un être
absolu
, nécessaire et parfait. Partout où quelque degré
dans la nature, nous transportons par la pensée cette réalité dans l’
absolu
, et Dieu est ainsi le lien de toutes les idées et
penser l’infini, le contingent sans le nécessaire, le relatif sans l’
absolu
; mais nous pouvons percevoir l’imparfait sans af
rien d’absurde à admettre, au moins avant démonstration, que l’idéal
absolu
n’existe pas réellement en dehors de notre pensée
a dialectique de Platon, qui ramenait chaque classe d’êtres à un type
absolu
, et qui admettait l’homme en soi, l’animal en soi
t-il au contraire d’un individu, ce n’est plus alors l’être infini et
absolu
: c’est un certain être, c’est-à-dire quelque cho
ire quelque chose de limité et par conséquent d’imparfait. Le parfait
absolu
implique donc contradiction. Ainsi il est évident
ue ce dieu est trop grand pour qu’aucune puissance, même la puissance
absolue
, atteigne jamais à cette grandeur ! Avant de disc
lure que je me trompe sur son essence, à savoir sur la réalité de son
absolue
perfection. Par exemple, suivant M. Vacherot, un
semblent profondément sages, car s’il y a une perfection primitive et
absolue
à l’origine de toutes choses, qu’ai-je besoin de
lurait-on de là qu’en dehors de ces choses imparfaites une perfection
absolue
ne saurait exister ? Bossuet a dit ces paroles pr
oute-puissance, — quelque raison, la toute raison ; — quelque être, l’
absolu
de l’être ? Le premier, quoi qu’il soit, ne peut
inimum, car il serait alors un pur zéro13; il serait le rien, le vide
absolu
. Admettez-vous cela ? Non, sans doute, car de ce
onc un maximum, c’est-à-dire qu’il possédera l’être dans sa plénitude
absolue
, C’est ce que nous appelons sa perfection. Mais c
, c’est que le principe qui est par soi-même, qui possède l’existence
absolue
, ne soit pas absolu dans tout ce qu’il est, c’est
pe qui est par soi-même, qui possède l’existence absolue, ne soit pas
absolu
dans tout ce qu’il est, c’est-à-dire ne possède p
ns la philosophie de M. Vacherot, le rôle de loi suprême et de modèle
absolu
? Il faut alors renoncer à tout espoir et à toute
éal est l’objet d’une conception vraiment rationnelle. C’est une idée
absolue
, dégagée de l’expérience par la vertu de la raiso
e éternité. Quel philosophe oserait dire qu’il y a eu un commencement
absolu
, avant lequel rien n’était, absolument rien ? Qu’
était, absolument rien ? Qu’est-ce cela, sinon un infini de durée, un
absolu
de durée ? Il faut bien admettre aussi, quelque n
a quelque être qui existe par soi-même et sans cause, c’est-à-dire un
absolu
d’existence. Il faut admettre que ce quelque chos
et de puissance, est immense et sans limites dans l’espace. Voilà un
absolu
d’espace. Dès lors, pourquoi ne pas admettre, qua
ni d’existence, d’espace et de durée est infini dans tous les sens et
absolu
dans tout ce qu’il est, dans tous ses attributs e
e qu’en Dieu les perfections de la nature, sous une forme éminente et
absolue
, se concilient avec les perfections de l’esprit d
et l’objet, l’être et la pensée soient conçus en Dieu, dans leur type
absolu
et éminent, et non pas comme les vagues puissance
oit le seul endroit que Dieu puisse habiter ! Quel miracle que l’être
absolu
et subsistant par soi-même soit incapable d’attei
re à la perfection, et qu’un des phénomènes passagers dans lequel cet
absolu
se manifeste soit capable de se créer à soi-même
être ainsi de la philosophie : elle ne parle pas au nom d’une vérité
absolue
une fois trouvée ; elle cherche, elle tâtonne, el
se confondre avec ‘lui. Or, comme il n’y a aucune raison de fixer à l’
absolu
ou à l’être en soi tel degré de perfection ou de
t33 : « Selon lui la philosophie doit s’élever d’abord jusqu’à l’Être
absolu
, substance commune et commun idéal du moi et du n
mais qui les comprend tous deux, et en est l’identité. Cette identité
absolue
du moi et du non-moi, de l’homme et de la nature,
helling avait déjà publié son écrit le plus net : Bruno ou de l’Unité
absolue
, et que, pour n’y point voir le panthéisme, il fa
monde n’est qu’une apparence, et qu’il n’y a qu’un seul être, l’unité
absolue
, vous êtes panthéiste. — On aurait pu lui répondr
partant il ne dépend de rien, on peut l’appeler l’inconditionnel et l’
absolu
. Ce type étant donné, ils sont donnés ; on peut d
Donc si, en résumé, on veut exprimer sa nature, on devra dire : l’un,
absolu
, l’inconditionnel, la substance, la cause, qui de
on, l’idéal de toute beauté, l’infini, la substance, l’être en soi, l’
absolu
, c’est une cause aussi ; non pas une cause relati
ussi ; non pas une cause relative, contingente, finie, mais une cause
absolue
. Or, étant une cause absolue, l’unité, la substan
tive, contingente, finie, mais une cause absolue. Or, étant une cause
absolue
, l’unité, la substance ne peut pas ne pas passer
pas ne pas passer à l’acte, elle ne peut pas ne pas se développer… L’
absolu
est la cause absolue, qui absolument crée, absolu
l’acte, elle ne peut pas ne pas se développer… L’absolu est la cause
absolue
, qui absolument crée, absolument se manifeste, et
ous36. » 2° Préface, p. 66. « Dieu n’étant donné qu’en tant que cause
absolue
, à ce titre, selon moi, il ne peut pas ne pas pro
ion sur le trône désert d’une éternité silencieuse et d’une existence
absolue
qui ressemble au néant même de l’existence ; c’es
et humanité. » Cours de 1828, p. 123. « L’unité en soi, comme cause
absolue
, contient la puissance de la variété et de la dif
l’homme. » — « Qu’est-ce que Dieu ? c’est la pensée en soi, la pensée
absolue
avec ses moments fondamentaux37. » Toutes formule
a question de la certitude. Elle est résolue d’avance. Le scepticisme
absolu
, le scepticisme modéré, tout scepticisme est immo
fins constitue donc bien la liberté. Si cette indépendance peut être
absolue
, il y aura liberté absolue ; si elle ne peut être
a liberté. Si cette indépendance peut être absolue, il y aura liberté
absolue
; si elle ne peut être que relative, il n’y aura
sation de tension physique ne suppose nullement l’ambiguïté réelle et
absolue
des futurs. Il n’y en a pas moins ici la révélati
puissance même des idées ? Que, là encore, il n’y ait point ambiguïté
absolue
ni arbitraire, cela est certain ; encore y a-t-il
t d’une indépendance complète. Nous érigeons ainsi en quelque chose d’
absolu
la partie des relations que nous n’apercevons pas
pas d’une conscience claire, et nous nous attribuons le libre arbitre
absolu
, le pouvoir absolu de choisir. Ce pouvoir de choi
e claire, et nous nous attribuons le libre arbitre absolu, le pouvoir
absolu
de choisir. Ce pouvoir de choisir est, en réalité
omplète raison ; sous ce rapport, ils constituent des « commencements
absolus
», des nouveautés absolues, que rien de ce qui le
apport, ils constituent des « commencements absolus », des nouveautés
absolues
, que rien de ce qui les a précédés n’entraînait à
hangement et quelque nouveauté dans les causes. Enfin l’hétérogénéité
absolue
qu’on imagine dans la conscience est chimérique.
érogène. De ce qu’un acte de libre arbitre introduirait une nouveauté
absolue
dans le monde, il n’en résulte nullement que les
l’on commence par définir la liberté : « ce qui est en contradiction
absolue
avec le déterminisme et inconciliable par définit
i se balancent ; et quoique cette indépendance n’ait pas le caractère
absolu
que lui prêtent les métaphysiciens du libre arbit
ntraire du déterminisme, c’est-à-dire une puissance d’indétermination
absolue
, le psychologue peut encore et doit se demander :
liberté pût être un but. Mais la liberté, étant le maximum relatif ou
absolu
de puissance indépendante et spontanée pour le mo
ncevoir indépendant ou se désirer indépendant, d’une manière vague et
absolue
, dans l’abstrait, ce serait à coup sûr un faible
on positive et particulière. Si donc l’idée chimérique d’indépendance
absolue
n’est pas sans entraîner certains effets, par le
rbitre vont, nous l’avons vu, jusqu’à considérer la spontanéité comme
absolue
et, en conséquence, comme constituant un « premie
le produit tel et non tel. Par-là la spontanéité devient contingence
absolue
, c’est-à-dire possibilité des contraires dans les
tes répondrons-nous, on ne peut réaliser l’idée d’une indétermination
absolue
de la volonté, comme celle qu’admettent les parti
niquement pour vouloir, dans l’abstrait, en un état d’indétermination
absolue
: il faut toujours en venir à vouloir quelque cho
se paie pas de chimères ? En somme, de même que l’idée de spontanéité
absolue
engendre une spontanéité relative, l’idée de cont
éité absolue engendre une spontanéité relative, l’idée de contingence
absolue
engendre une contingence relative. Nous ne pouvon
ir, seraient restés latents. En outre, si la contingence ne peut être
absolue
, du moins elle peut s’étendre de plus en plus loi
t voir que le choix n’est pas pour cela arbitraire, indéterminable et
absolu
; il est relatif : 1° à notre caractère ; 2° à no
dehors de la liberté vraie : tout ce qui n’est pas d’une transparence
absolue
pour soi retombe du coup dans les impulsions aveu
on superbe, froide, mais naïve, de pénétrer les essences, de saisir l’
absolu
dans sa notion la plus précise et la plus profond
Nature et l’Esprit, « termes différents, comme il dit, du syllogisme
absolu
de la connaissance des êtres », et que cette intr
les logomachies de ce Bouddhiste de la logique, qui a créé la science
absolue
, c’est-à-dire la science qui se connaît par l’idé
ne notion fausse et folle de la force humaine. Il croit à une science
absolue
que l’on peut construire à l’aide d’une méthode a
à une science absolue que l’on peut construire à l’aide d’une méthode
absolue
. Déification de la science et de l’homme, tout si
urs et les infamies de l’histoire. C’est enfin d’admettre l’optimisme
absolu
d’une science absolue, car, une fois admise, cett
e l’histoire. C’est enfin d’admettre l’optimisme absolu d’une science
absolue
, car, une fois admise, cette terrible notion d’ab
d’une science absolue, car, une fois admise, cette terrible notion d’
absolu
se répercute en mille échos et fait craquer la cr
a Science qui est cette religion comme elle est tout, puisqu’elle est
absolue
; « c’est la lumière de la pensée pure, — comme d
ailleurs, puisqu’il a l’orgueilleuse faiblesse de croire à la science
absolue
, ce M. Vera, assez ferme de regard pourtant, pour
is Aristote jusqu’à Brunetière, se soient trompés d’une manière aussi
absolue
, aussi irrémédiable, sur la valeur des genres lit
tinguer, dans toute œuvre littéraire, la valeur relative de la valeur
absolue
. La valeur relative d’une œuvre littéraire est d
e où elle fut écrite : faits matériels, psychologie, idées. La valeur
absolue
est dans la vérité et la beauté universelles, éte
mpression » nous semble la vérité ; notre relatif nous apparaît comme
absolu
. La postérité met les choses au point ; oubliant
hoses aux historiens et ne conserve du passé que les œuvres de valeur
absolue
. Ce jugement de la postérité, seul légitime pour
s avoir, et il exagère fréquemment l’influence qu’une œuvre de valeur
absolue
exerça sur son époque. Un exemple : quand on parl
tre admiration pour Corneille, Racine, Molière, très justifiée dans l’
absolu
, est par trop sommaire pour l’histoire ; je dirai
. Certes (est-il besoin de le dire ?), une œuvre littéraire de valeur
absolue
est une des beautés les plus exquises de l’univer
ttons-les à la place d’honneur, ces poètes dont le génie entra dans l’
absolu
; mais n’oublions pas les légions d’ouvriers mode
nt, non pas ici ou là, mais toujours et avec méthode, entre la valeur
absolue
et la valeur relative. Du point de vue historique
; elles eurent souvent un succès plus grand que les œuvres de valeur
absolue
; chez celles-ci, c’est l’individu en ce qu’il a
atholique ; de 1500 environ à la Révolution, c’est l’ère des royautés
absolues
; de 1800 à nos jours, c’est l’ère des nationalit
uvent par sa richesse et sa variété ; la valeur relative et la valeur
absolue
se confondent, les goûts se contredisent, les idé
d’ailleurs l’importance très grande que je donne à l’art, à la valeur
absolue
de l’œuvre littéraire. — Il me reste donc à expos
pe est localisé, relatif ; le principe est universel et fragment d’un
absolu
. Si le principe coïncidait avec les intérêts du g
et c’est alors qu’apparaît la foi nouvelle, une autre face de l’idéal
absolu
. De là les trois périodes d’une ère, périodes qui
ce qu’on a appelé le progrès en spirale. Tout est dans tout, c’est l’
absolu
; mais nous ne marchons que pas à pas, de relativ
mais nous ne marchons que pas à pas, de relativité en relativité ; l’
absolu
, ce serait la béatitude, l’immobilité ; l’ascensi
sance, une nouvelle délivrance ; ici encore, le principe universel et
absolu
ne peut se réaliser que dans la relativité des gr
relativité des groupes de contiguïté ; en politique, c’est la royauté
absolue
, qui donne à la nation française sa forme solide
omme vers l’humanité, de l’esclave vers la liberté, du relatif vers l’
absolu
. En distinguant ainsi, par l’histoire littéraire,
xtérieure des formes, qui confondra la valeur relative avec la valeur
absolue
, la tradition avec la création, ou qui, dédaigneu
nelles ; les œuvres de valeur relative préparent les œuvres de valeur
absolue
; elles les expliquent…, jusqu’à un certain point
encore : d’où vient ce désir de perfection, cette soif éternelle de l’
absolu
chez l’homme que la réalité relative étreint de t
oute création. Qu’est-ce d’ailleurs que la création ? Au sens propre,
absolu
, du mot, il n’y a pas de création ; il n’y a que
ive d’une époque, d’un milieu, vécue par un artiste, prend une valeur
absolue
: elle n’est plus une abstraction, elle est un fa
ternel ; elle nous ravit, comme au premier jour, dans la lumière de l’
absolu
: Luce intellettual, piena d’amore ; Amor di ver
upes et des temps. Procéder ainsi, c’est faire de l’acrobatie, dans l’
absolu
, avec des éléments disjoints et méconnaître à la
en est assez facile à comprendre. Dans une science qui a pour objet l’
absolu
, il n’y a pas de milieu, à ce qu’il semble, entre
fait que chaque nouvelle école, se croyant en possession de la vérité
absolue
, chasse et extermine autant qu’il est en elle les
principe très-vrai et très-équitable, c’est qu’il n’y a pas d’erreur
absolue
, que toute erreur n’est que l’exagération d’un po
e même personne et tous ressemblants (aucun d’eux n’étant un portrait
absolu
, ce qui est contradictoire), de même les divers s
ort ni raison, et le vrai et le faux vont se perdre dans l’abîme de l’
absolue
indifférence. Cette objection, tant répétée il y
, d’en faire un faisceau, de les lier, et de se donner ainsi un credo
absolu
avec tous ses avantages et tous ses inconvénients
nous inspire cette croyance que nul homme ne se trompe d’une manière
absolue
? Au lieu de deux classes d’hommes, les réprouvés
ce que nous ne pouvons pas savoir ? Admet-on que la raison atteint l’
absolu
, si peu que ce soit, c’est Kant qui a tort. Admet
elles peuvent être de plus en plus larges, les intermédiaires entre l’
absolu
et le relatif peuvent être plus ou moins bien con
le relatif peuvent être plus ou moins bien connus ; mais l’éclectisme
absolu
, comme la science absolue (et ce serait la même c
lus ou moins bien connus ; mais l’éclectisme absolu, comme la science
absolue
(et ce serait la même chose), n’est qu’en Dieu et
nier mot de tout. Le point de vue qui l’a frappé lui paraît la vérité
absolue
: il coordonne tout autour de ce point de vue uni
d’une chose ce qu’elle ne contient pas. Appelons ces axiomes vérités
absolues
; à l’instant la théorie se complète. « Comme tou
de même la vérité suppose un être en qui elle réside, et les vérités
absolues
supposent un être absolu comme elles, où elles on
un être en qui elle réside, et les vérités absolues supposent un être
absolu
comme elles, où elles ont leur dernier fondement.
tre absolu comme elles, où elles ont leur dernier fondement. Cet être
absolu
et nécessaire, puisqu’il est le sujet des vérités
solu et nécessaire, puisqu’il est le sujet des vérités nécessaires et
absolues
, d’un seul mot on l’appelle Dieu44. » M. Cousin,
ttributs sans sujet. Et comme il s’agit ici du vrai, du beau, du bien
absolus
, leur substance ne peut être que l’Être absolu. »
rai, du beau, du bien absolus, leur substance ne peut être que l’Être
absolu
. » Cette théorie repose sur deux pétitions de pri
s absurdités. Si « le sujet de la vérité est la raison universelle et
absolue
», si les vérités nécessaires ne sont pas dans le
employé l’analyse ou abstraction pour découvrir en elle la similitude
absolue
de toutes les parties, et la propriété que possèd
u, etc., p. 101. « Le sujet de la vérité est la raison universelle et
absolue
. » 47. Du vrai, etc., p. 68.
causes, à savoir l’exagération même du vrai, l’ambition des principes
absolus
, l’imprévoyance et la précipitation de l’esprit h
s œuvres, mais en lui attribuant l’infinie supériorité d’essence et l’
absolue
omnipotence. Enchaîné dans les limites du monde,
possession de la vérité ; mais il lui reste à conquérir cette liberté
absolue
qui caractérise la philosophie proprement dite. C
tous les philosophes, de faire usage de leur raison avec une liberté
absolue
. Au moyen âge, Abélard, Albert, saint Thomas, Rog
du résultat, immobile à l’intérieur et les yeux fixés sur le principe
absolu
qui seul existe d’une véritable existence. » Tel
raine d’un ordre social sans dignité, d’un gouvernement arbitraire et
absolu
, et d’un gouvernement absolu qui lui-même succomb
dignité, d’un gouvernement arbitraire et absolu, et d’un gouvernement
absolu
qui lui-même succombait de faiblesse et de corrup
on à deux, l’unité et la variété, l’identité et la différence, l’être
absolu
et l’être relatif, la cause absolue et la cause r
’identité et la différence, l’être absolu et l’être relatif, la cause
absolue
et la cause relative, l’infini et le fini ; 3º le
miné et borné, ou l’espace de tous les espaces particuliers, l’espace
absolu
. S’occupe-t-elle de l’existence, considère-t-elle
qu’elles existent ? elle ne peut concevoir que l’idée de l’existence
absolue
ou l’idée de l’existence relative ? Songe-t-elle
déterminé, le temps à proprement parler, ou le temps en soi, le temps
absolu
qui est l’éternité, comme l’espace absolu est l’i
u le temps en soi, le temps absolu qui est l’éternité, comme l’espace
absolu
est l’immensité. Songe-t-elle aux formes ? elle c
des forces, des causes bornées, relatives, secondaires, ou une force
absolue
, une cause première au-delà de laquelle, en matiè
é et de la multiplicité, de la substance et du phénomène, de la cause
absolue
et des causes relatives, du parfait et de l’impar
l’infini. Chacune de ces propositions a deux termes, l’un nécessaire,
absolu
, un, essentiel, parfait, infini ; l’autre imparfa
x ; elle identifie d’une part l’immensité et l’éternité, la substance
absolue
et la cause absolue, l’absolue perfection et l’ab
’une part l’immensité et l’éternité, la substance absolue et la cause
absolue
, l’absolue perfection et l’absolue unité ; et, de
’immensité et l’éternité, la substance absolue et la cause absolue, l’
absolue
perfection et l’absolue unité ; et, de l’autre, l
, la substance absolue et la cause absolue, l’absolue perfection et l’
absolue
unité ; et, de l’autre, le multiple, le phénoména
l’unité. L’unité, la perfection, le nécessaire, l’éternité, l’espace
absolu
, l’infini nous paraissent la chose réelle et posi
é morte, une unité qui, restant dans les profondeurs de son existence
absolue
et ne se développant jamais, est pour elle-même c
l’existence multiple, variée, mobile et négative, ni cette existence
absolue
, éternelle, infinie, qui est elle-même comme le n
sont ces premiers termes ? c’est l’immensité, l’éternité, l’infini, l’
absolue
unité. Nous verrons un jour comment l’école d’Élé
ité de la perfection, l’idéal de toute beauté, l’infini, la substance
absolue
, l’être en soi est une cause aussi, non pas une c
aussi, non pas une cause relative, contingente, finie, mais une cause
absolue
. Or, étant une cause absolue, elle n’a pas besoin
tive, contingente, finie, mais une cause absolue. Or, étant une cause
absolue
, elle n’a pas besoin d’une force étrangère pour s
pour se développer. Soit donné seulement l’être en soi, la substance
absolue
sans causalité, le monde est impossible. Mais si
t impossible. Mais si l’être en soi est aussi une cause, et une cause
absolue
, le mouvement et le monde suivent naturellement.
une cause absolue, le mouvement et le monde suivent naturellement. L’
absolu
véritable n’est pas le pur être en soi : c’est la
ce et du phénomène, de la cause première et des causes secondes, de l’
absolu
et du relatif, du nécessaire et du contingent, de
vous pouvez exprimer, selon les cas, par l’un et le multiple, l’être
absolu
et l’être relatif, l’unité et la variété, etc. En
rnité, etc., le premier terme de la formule, est cause aussi et cause
absolue
; et en tant que cause absolue, il produit sponta
e la formule, est cause aussi et cause absolue ; et en tant que cause
absolue
, il produit spontanément le second terme, la mult
’autres termes, que la raison en soi a quelque chose d’universel et d’
absolu
; qu’elle oblige tous les individus, et qu’un ind
le Dieu que je cherche ? » La raison en elle-même est universelle et
absolue
, et par conséquent elle serait infaillible, mais
te de notre raison ; son sujet véritable est la raison universelle et
absolue
, cette intelligence incorruptible dont la nôtre e
ternelle. Or, la manière d’être de la raison éternelle et de l’esprit
absolu
, c’est une manière d’être tout intellectuelle et
fférence. Transportez ceci de l’intelligence humaine à l’intelligence
absolue
, c’est-à-dire rapportez les idées, j’entends les
ence générale de Dieu à l’homme, la différence de la cause suprême et
absolue
à une cause relative et secondaire. Je produis un
pe de l’existence61. Son caractère éminent étant une force, créatrice
absolue
qui ne peut pas ne pas passer à l’acte, il suit n
non-moi qui lui est tout ensemble analogue et contraire. Cet être est
absolu
, comme le moi et le non-moi sont relatifs ; c’est
C’est dans la spontanéité de la raison que se déclare l’indépendance
absolue
et l’impersonnalité des vérités rationnelles. — R
débutons pas par la réflexion, mais par l’intuition et l’affirmation
absolue
. De là encore il suit que nous ne débutons pas pa
ctif, et que les vérités qui nous sont ainsi données sont des vérités
absolues
, subjectives sans doute par leur rapport au moi q
elle-même, dans son principe, est la substance véritable et l’essence
absolue
. Le fait que je viens de vous signaler est univer
c’est l’identité de la spontanéité, dans la race humaine, avec la foi
absolue
qu’elle engendre, qui constitue l’identité du gen
uelque vérité. Par conséquent l’erreur n’est pas une erreur totale et
absolue
; car dans l’erreur totale et absolue périrait to
n’est pas une erreur totale et absolue ; car dans l’erreur totale et
absolue
périrait toute conscience. Il n’y a donc de possi
toujours de la vérité dans la conscience. On m’objectera le sceptique
absolu
, celui qui nie tout. Je répondrai : Nie-t-il qu’i
ue élément de vérité dans la pensée, même pour le scepticisme le plus
absolu
en apparence. Dans des jours de crise et d’agitat
tre. Cela seul qui ne commence pas ne finit jamais. La vérité pure et
absolue
n’est pas de ce monde ; elle ne commence pas un j
s lois et les gouvernements pèsent sur l’individu du poids de l’unité
absolue
, et soumettent la vie sociale au joug d’une unifo
tout étant sous la domination de l’idée de l’infini, de l’unité, de l’
absolu
, tout sera plus ou moins immobile. L’industrie se
la chimie, les sciences naturelles. L’État y sera le règne de la loi
absolue
, fixe, immuable : à peine s’il reconnaîtra des in
rs qu’un mysticisme grossier ou subtil sur l’être en soi, l’infini, l’
absolu
, sans forme aucune ou les prenant toutes76. Enfin
âme ; tout autre sentiment languit devant celui-là ; l’idée de l’être
absolu
couvre d’abord et offusque toutes les autres. Le
e, de la toute-puissance, de l’éternité, de l’existence et de l’unité
absolue
. L’homme débute par une conception vague sans dou
t remplie de l’idée de l’infini, de l’idée de l’unité, de l’idée de l’
absolu
et de l’éternité. C’est une époque d’immobilité p
ariété sort de l’unité, le fini de l’infini, l’être relatif de l’être
absolu
; nous avons fait voir que l’unité, l’infini, l’a
atif de l’être absolu ; nous avons fait voir que l’unité, l’infini, l’
absolue
substance, étant cause aussi et cause absolue, ne
ue l’unité, l’infini, l’absolue substance, étant cause aussi et cause
absolue
, ne pouvait pas ne pas produire la variété, le fi
esuré ! Quoi ! l’homme et ses ouvrages auront le caractère de l’unité
absolue
et de l’uniformité, là où tout tend à la division
ue tout est contingent, variable, fini, que l’infini, la substance, l’
absolu
, sont des chimères, que l’âme se réduit à une sim
fini, et s’enfonce dans les profondeurs de l’un, du nécessaire, de l’
absolu
, de l’infini. Voilà le terrain de la métaphysique
est le contingent et le nécessaire, c’est la substance et la cause, l’
absolu
et le relatif, l’infini et le fini. La philosophi
e qui est particulier et borné peut exprimer la vérité universelle et
absolue
. Comment ces différences des différents peuples v
en soi ce qui n’est vrai que relativement ; il tient comme la vérité
absolue
ce qui, n’étant qu’une vérité relative avec la pr
i, n’étant qu’une vérité relative avec la prétention d’être la vérité
absolue
, est une erreur. Les idées particulières des diff
paix perpétuel dans l’espèce humaine est l’hypothèse de l’immobilité
absolue
. Ôtez toute guerre, et au lieu de trois époques i
z une époque du monde où l’idée dominante fut celle de l’infini, de l’
absolu
, de l’unité ; car toutes ces catégories de la pen
grands hommes. Mais descendez de ces hautes régions où l’infini et l’
absolu
règnent seuls dans leur toute-puissance accablant
i français ; Richelieu, le génie de l’ordre ; Louis XIV, la monarchie
absolue
sur son déclin, dans sa majesté et dans sa faible
ichte, Dieu est le sujet même de la pensée conçu en soi et en tant qu’
absolu
; c’est donc le moi encore ; seulement Fichte dis
bjective de Kant, est arrivé à son dernier terme dans la subjectivité
absolue
de la doctrine de Fichte. Et comme cette doctrine
a lumière de la conscience, révèle à l’homme la substance et la cause
absolue
, nécessaire, infinie, etc., Dieu en un mot. Dieu,
ni et de l’infini, du contingent et du nécessaire, du relatif et de l’
absolu
, etc. ; en dernière analyse, sur l’idée de cause
tre pur sans mouvement, l’infini en soi sans aucun rapport au fini, l’
absolu
sans aucun rapport au relatif, l’unité sans diver
l’autre. Son Dieu n’est pas le Dieu de l’abstraction, renfermé dans l’
absolue
unité de son essence, dépourvu d’attributs et du
hin, que rencontrez-vous en Allemagne ? Est-ce toujours la domination
absolue
de l’idéalisme subjectif de Kant et de Fichte ? N
velle philosophie, ne pouvant s’arrêter au système de la subjectivité
absolue
et pour ainsi dire sur la pointe de la pyramide d
n génie propre et sa destinée. Il y avait derrière le Rhin des trônes
absolus
, mais paternels ; une noblesse belliqueuse, qui v
quent pleins d’avenir, pénétrés de l’esprit nouveau, et en même temps
absolus
dans leur forme et militaires dans leurs mœurs. V
l’Allemagne n’est pas autre chose au fond que la lutte des monarchies
absolues
et de la démocratie. Le résultat de cette lutte a
démocratie en France et l’affaiblissement considérable des monarchies
absolues
en Allemagne. Vous le savez, ce ne sont pas les p
systèmes qui aujourd’hui ont également fait leur temps, la monarchie
absolue
et la démocratie. Aussi d’un bout de l’Europe à l
on relative qui n’est qu’un degré d’imperfection, mais une perfection
absolue
, une infinité qui n’est pas seulement le fini mul
main peut toujours accroître, mais une infinité vraie, c’est-à-dire l’
absolue
négation de toutes bornes dans toutes les puissan
cable, elle le conçoit. De même elle ne peut comprendre d’une manière
absolue
l’infinité divine, mais elle la comprend en quelq
ion sur le trône désert d’une éternité silencieuse et d’une existence
absolue
qui ressemble au néant même de l’existence : c’es
que cause et cause qu’en tant que substance, c’est-à-dire étant cause
absolue
, un et plusieurs, éternité et temps, espace et no
ré, comme si tout ce qui n’est pas n’était pas le néant même ! L’être
absolu
possède l’unité absolue, sans aucun doute, comme
i n’est pas n’était pas le néant même ! L’être absolu possède l’unité
absolue
, sans aucun doute, comme il possède l’intelligenc
de l’unité absolue, sans aucun doute, comme il possède l’intelligence
absolue
; mais, encore une fois, l’unité absolue, sans un
me il possède l’intelligence absolue ; mais, encore une fois, l’unité
absolue
, sans un sujet réel d’inhérence, est destituée de
connaître Dieu, le considèrent, disent-ils, dans son essence pure et
absolue
, dégagée de toute détermination limitative. Je cr
ns, et par conséquent des qualités et des attributs, détruise l’unité
absolue
d’un être ; la preuve infaillible en est que mon
t l’abstraction de l’être humain ou divin, fini ou infini, relatif ou
absolu
, c’est le néant. » Fragments de philosophie mode
ine dans les hauteurs inaccessibles d’une éternité et d’une existence
absolue
, vide de pensée, d’activité, de liberté, d’amour,
pur de M. Hegel me paraît donc beaucoup ressembler à l’être infini et
absolu
de Spinoza. « La philosophie de Platon n’a rien à
le plus désintéressé. « Mais cet être en soi, cet être pur, cet être
absolu
, est-ce bien un être pour qu’il soit le principe
l’apparente unité du tout n’est qu’une harmonie et non pas une unité
absolue
, une harmonie qui admet une variété infinie, laqu
sible placé au-dessus et en dehors de ce monde, type sacré de l’unité
absolue
, au-delà duquel il n’y a plus rien à concevoir et
plus rien à concevoir et à chercher. Mais une fois parvenu à l’unité
absolue
, il n’est plus aisé d’en sortir et de comprendre
lue, il n’est plus aisé d’en sortir et de comprendre comment, l’unité
absolue
étant donnée comme principe, il est possible d’ar
est possible d’arriver à la pluralité comme conséquence : car l’unité
absolue
exclut toute pluralité. Il ne reste donc plus, re
a pluralité de ce monde visible comme une ombre mensongère de l’unité
absolue
qui seule existe, une chute à peine compréhensibl
t se séparer pour tendre sans cesse au seul être véritable, à l’unité
absolue
, à Dieu. Voilà le système opposé au panthéisme. A
le sein d’une unité vague et abstraite, sans sujet fixe ; car l’unité
absolue
n’est certainement dans aucune des parties de ce
onc serait-elle dans leur ensemble ? Comme nul effort ne peut tirer l’
absolu
et le nécessaire du relatif et du contingent, de
st pas plus réelle que la pluralité sans unité n’est vraie. Une unité
absolue
, qui ne sort pas d’elle-même ou ne projette qu’un
s dans la cause. Le système opposé au panthéisme est celui de l’unité
absolue
, tellement séparée du monde qu’elle lui est étran
s attaques. — Si M. Draghicesco ne va pas jusqu’à admettre la théorie
absolue
de Weismann sur la non-transmissibilité des varia
elle représente le sociologisme poussé à l’extrême, le monisme social
absolu
. Elle est intéressante encore par la tendance qu’
ns qu’il convient de réhabiliter contre les partisans du sociologisme
absolu
la physiologie, l’hérédité et la race. Voyons d’a
st pas que nous leur demandions d’être pour nous des révélateurs de l’
absolu
, des introducteurs dans l’au-delà métaphysique, c
z plus d’un, la pensée sociale s’installe de bonne heure en maîtresse
absolue
; elle dit à l’intuition comme Tartufe à Orgon :
et des degrés. * * * Il se présente chez Stirner comme une théorie d’
absolue
insociabilité intellectuelle. Le fondement de l’i
aîner sa pensée, de la laisser se cristalliser. Aussi professe-t-il l’
absolue
mobilité intellectuelle. Stirner n’est sûr ni de
alement. Ce qui se dégage de son œuvre, c’est le pyrrhonisme complet,
absolu
, sans atténuation aucune dans ce qu’il a de parad
ent après l’autre. Tel est l’individualisme stirnérien ; théorie de l’
absolue
insociabilité intellectuelle ; négation absolue d
nérien ; théorie de l’absolue insociabilité intellectuelle ; négation
absolue
de la pensée sociale. * * * Ce qu’il y a d’outran
s de hardiesse. C’est pourquoi à côté de l’individualisme stirnérien,
absolu
, purement négatif et destructif, égalitaire au fo
Cet individualisme n’est plus, comme celui de Stirner, un pyrrhonisme
absolu
, un pyrrhonisme qui, d’emblée, détruit tout devan
ellectuelle de l’humanité. C’est ce rôle que méconnaît le pyrrhonisme
absolu
de Stirner et que comprennent par contre les repr
soi-même. L’individualisme stirnérien vaut encore par son précepte d’
absolue
sincérité, d’absolue probité intellectuelle, par
alisme stirnérien vaut encore par son précepte d’absolue sincérité, d’
absolue
probité intellectuelle, par son absolue bravoure
écepte d’absolue sincérité, d’absolue probité intellectuelle, par son
absolue
bravoure intellectuelle ; par la résolution de vo
rnière différence, l’individualisme stirnérien implique une antinomie
absolue
entre l’individu et la société, une absolue insoc
en implique une antinomie absolue entre l’individu et la société, une
absolue
insociabilité intellectuelle. L’individualisme ar
s rien de gaulois, de romain ni de tudesque, et dont on affirmerait l’
absolue
simplicité, si l’histoire ne nous faisait assiste
s ou du raisonnement, cherchant une évidence pour avoir une certitude
absolue
, dogmatique et pratique à la fois, objectivant se
e basse jalousie, d’insouciante polissonnerie et d’une inintelligence
absolue
de tous les intérêts supérieurs de la vie ; ou le
difficiles à démêler, qui surprend, charme, et parfois confond par l’
absolue
justesse, où l’expression d’abord fait goûter l’i
es universels et nécessaires Deux grands besoins, celui de vérités
absolues
, et celui de vérités absolues qui ne soient pas d
Deux grands besoins, celui de vérités absolues, et celui de vérités
absolues
qui ne soient pas des chimères. Satisfaire ces de
uent, nécessaires quoique mêlés à des choses contingentes, infinis et
absolus
à nos propres yeux, tout en nous apparaissant dan
sans les axiomes et sans les définitions, c’est-à-dire sans principes
absolus
. Que deviendrait la logique, ces mathématiques de
notre activité. On ne se rappelle pas ce qu’on a fait dans le sommeil
absolu
ou dans la défaillance, parce qu’alors on a perdu
pes universels et nécessaires dont elle est pourvue, sont des vérités
absolues
; la raison ne les fait point, elle les découvre.
nce que de servir en quelque sorte de miroir à la raison. Les vérités
absolues
sont donc indépendantes de l’expérience et de la
s placés à côté des deux premiers, j’aperçois cette vérité de la plus
absolue
certitude que ces deux pierres et ces deux autres
car mille ne sont pas plus près que un de l’infini, de l’universalité
absolue
. Il en est de même, et plus évidemment encore, de
essaires, irrésistibles. La conviction qu’ils entraînent est toujours
absolue
; seulement elle n’est pas toujours accompagnée d
es sciences, qui règlent nos actions, ont-ils en eux-mêmes une vérité
absolue
ou ne sont-ils que les lois régulatrices de notre
les lois nécessaires de notre esprit, donc ils n’ont point de valeur
absolue
en dehors de notre esprit ; nous devrions dire bi
sprit ; nous devrions dire bien plutôt : ces principes ont une valeur
absolue
en eux-mêmes, voilà pourquoi nous ne pouvons pas
uivant le langage de l’Allemagne, qui atteint immédiatement la vérité
absolue
, presque sans nulle intervention personnelle de n
a forme de la première est une affirmation accompagnée d’une sécurité
absolue
et sans soupçon même d’une négation possible ; la
’est pas mienne, qui, sous le prétexte d’être universelle, infinie et
absolue
dans son essence, ne tombe pas sous la perception
à Reid d’avoir dédaigné ce problème, de s’être borné à répéter que l’
absolue
vérité des principes universels et nécessaires re
e surprend dans le fait de l’intuition intellectuelle une affirmation
absolue
, inaccessible au doute ; elle la constate, et cel
le-là, c’est demander à la raison l’impossible, puisque les principes
absolus
, étant indispensables pour toute démonstration, n
pes Objet de la leçon : Quel est le dernier fondement de la vérité
absolue
? — Quatre hypothèses : La vérité absolue peut ré
nier fondement de la vérité absolue ? — Quatre hypothèses : La vérité
absolue
peut résider ou dans nous, ou dans les êtres part
s le monde, ou en elle-même, ou en Dieu. 1º Nous apercevons la vérité
absolue
, nous ne la constituons pas. 2º Les êtres particu
a constituons pas. 2º Les êtres particuliers participent de la vérité
absolue
, mais ils ne l’expliquent pas ; réfutation d’Aris
pas toute la raison, comment expliquerait-il la vérité, et la vérité
absolue
? L’homme borné et passager aperçoit la vérité né
i cette justice qu’il n’a jamais osé dire : Ma vérité. Si les vérités
absolues
sont hors de l’homme qui les aperçoit, encore une
ction, car tous les êtres de la nature sont imparfaits. Les principes
absolus
dominent donc tous les faits et tous les êtres ;
elèvent point. Faudra-t-il en arriver à cette opinion que les vérités
absolues
, n’étant explicables ni par l’humanité ni par la
que les précédentes ; car, je le demande, qu’est-ce que des vérités,
absolues
ou contingentes, qui sont par elles-mêmes, hors d
r le plaisir de la combattre. Hâtons-nous de faire sortir les vérités
absolues
de cet état ambigu et équivoque. Et comment ? En
de même la vérité suppose un être en qui elle réside, et les vérités
absolues
supposent un être absolu comme elles, où elles on
un être en qui elle réside, et les vérités absolues supposent un être
absolu
comme elles, où elles ont leur dernier fondement.
es ont leur dernier fondement. Nous parvenons ainsi à quelque chose d’
absolu
qui n’est plus suspendu dans le vague de l’abstra
straction, mais qui est un être substantiellement existant. Cet être,
absolu
et nécessaire, puisqu’il est le sujet des vérités
solu et nécessaire, puisqu’il est le sujet des vérités nécessaires et
absolues
, cet être qui est au fond de la vérité comme son
seul mot on l’appelle Dieu34. Cette théorie, qui conduit de la vérité
absolue
à l’être absolu, n’est pas nouvelle dans l’histoi
elle Dieu34. Cette théorie, qui conduit de la vérité absolue à l’être
absolu
, n’est pas nouvelle dans l’histoire de la philoso
res dont il n’y a plus à se rendre compte, c’est-à-dire aux attributs
absolus
de Dieu56. » Même doctrine dans les Principia ph
essais sur l’entendement humain, livre II, chap. xvii. « L’idée de l’
absolu
est en nous intérieurement comme celle de l’être.
dée de l’absolu est en nous intérieurement comme celle de l’être. Ces
absolus
ne sont autre chose que les attributs de Dieu, et
qu’à Leibnitz, les plus grands métaphysiciens ont pensé que la vérité
absolue
est un attribut de l’être absolu. La vérité est i
aphysiciens ont pensé que la vérité absolue est un attribut de l’être
absolu
. La vérité est incompréhensible sans Dieu, comme
vrai est résolu : nous sommes en possession du fondement des vérités
absolues
. Dieu est la substance, la raison, la cause suprê
Ses égarements. — Mysticisme philosophique. Plotin : Dieu, ou l’unité
absolue
aperçue sans intermédiaire par la pensée pure. —
s de plus : elle ne se contente point de la vérité, même de la vérité
absolue
, convaincue qu’elle la possède mal, qu’elle ne la
essentiellement mobiles et individuelles, en une règle universelle et
absolue
. Il n’en est pas ainsi de la raison ; elle est co
i la gouvernent, ne peut s’en tenir à la vérité, pas même aux vérités
absolues
de l’ordre intellectuel et de l’ordre moral ; ell
e moral ; elle rattache toutes les vérités universelles, nécessaires,
absolues
, à l’être qui seul les peut expliquer, parce qu’e
s peut expliquer, parce qu’en lui seul sont l’existence nécessaire et
absolue
, l’immutabilité et l’infinité. Dieu est la substa
nt des vérités qui la manifestent67, et il s’imagine posséder ainsi l’
absolu
pur, l’unité pure, l’être en soi. L’avantage que
ction du sujet intelligent et de l’objet intelligible. Un dieu dont l’
absolue
unité exclut l’intelligence, voilà le dieu de la
es beautés terrestres à qui l’a une fois entrevue77. Le beau, le bien
absolu
est trop éblouissant pour que l’œil d’un mortel p
t encore quand nous disons unité, nous la déterminons. La vraie unité
absolue
doit donc être quelque chose d’absolument indéter
une manière d’être. Ainsi l’être et la pensée sont exclus de l’unité
absolue
. Si l’alexandrinisme les admet, ce n’est que comm
particulière79. Dans la vérité des choses, la raison conçoit l’unité
absolue
comme un attribut de l’être absolu, mais non pas
choses, la raison conçoit l’unité absolue comme un attribut de l’être
absolu
, mais non pas comme quelque chose en soi, ou si e
ait qu’elle ne considère qu’une abstraction. Veut-on faire de l’unité
absolue
autre chose qu’un attribut d’un être absolu, ou u
Veut-on faire de l’unité absolue autre chose qu’un attribut d’un être
absolu
, ou une abstraction, une conception de l’intellig
ns ses qualités. Ainsi ni la raison ni l’amour ne peuvent atteindre l’
absolue
unité du mysticisme. Pour correspondre à un tel o
ute division, toute détermination doit être absente pour répondre à l’
absolue
unité de son objet. Ce mode de communication pure
dont il croit l’homme capable. L’homme, pour communiquer avec l’être
absolu
, doit sortir de lui-même. Il faut que la pensée é
sme philosophique repose sur une notion radicalement fausse de l’être
absolu
. À force de vouloir affranchir Dieu de toutes les
ré, comme si tout ce qui n’est pas n’était pas le néant même ! L’être
absolu
possède l’unité absolue, sans aucun doute, comme
i n’est pas n’était pas le néant même ! L’être absolu possède l’unité
absolue
, sans aucun doute, comme il possède l’intelligenc
de l’unité absolue, sans aucun doute, comme il possède l’intelligence
absolue
; mais, encore une fuis, l’unité absolue sans un
me il possède l’intelligence absolue ; mais, encore une fuis, l’unité
absolue
sans un sujet réel d’inhérence est destituée de t
s la condition nécessaire et la condamnation de la théorie de l’unité
absolue
. Sans l’unité absolue, comme objet direct de la c
ire et la condamnation de la théorie de l’unité absolue. Sans l’unité
absolue
, comme objet direct de la connaissance, à quoi bo
le sentiment. Entre un être fini tel que l’homme, et Dieu, substance
absolue
et infinie, il y a le double intermédiaire et de
érités universelles et nécessaires. Nous avons établi, contre Kant, l’
absolue
autorité de la raison et des vérités qu’elle nous
t variable de notre sensibilité que nous exprimons, c’est le jugement
absolu
que la raison dicte à tous les hommes. Confondez
e principe, et de reconnaître que le jugement du beau est un jugement
absolu
, et, comme tel, entièrement différent de la sensa
ments sur les beautés particulières ? Comment cette idée de la beauté
absolue
enveloppée dans tous nos jugements sur le beau, c
ans l’infini, c’est-à-dire en Dieu ; ou pour mieux parler, le vrai et
absolu
idéal n’est autre que Dieu même. Dieu étant le pr
ie, il s’appelle aussi l’éternel, l’invisible, l’infini, l’immense, l’
absolue
unité et l’être des êtres. Ces attributs redoutab
rce que, lui seul, il est l’unité du sublime et du beau. Ainsi l’être
absolu
, qui est tout ensemble l’absolue unité et l’infin
é du sublime et du beau. Ainsi l’être absolu, qui est tout ensemble l’
absolue
unité et l’infinie variété, Dieu est nécessaireme
re. Sans doute, en un sens, l’art est une imitation ; car la création
absolue
n’appartient qu’à Dieu. Où le génie peut-il prend
l n’en est point ainsi de l’obligation. Elle n’est point, ou elle est
absolue
. L’idée d’obligation implique celle de quelque ch
ispose ne sont pas elle188, car elle n’en dispose point d’une manière
absolue
. Le seul pouvoir libre est celui de la volonté, m
sque sa volonté est elle-même l’expression de la justice éternelle et
absolue
qui réside en lui. Dieu veut sans doute que nous
la justice et de la vérité. En effet, les vérités morales sont aussi
absolues
que les vérités métaphysiques Dieu ne peut faire
ces faits : 1º Du jugement et de l’idée du bien. Que ce jugement est
absolu
. Rapport du vrai et du bien. — 2º De l’obligation
personnes, et l’obligation qui m’est imposée me paraît inviolable et
absolue
. Soumis à cette obligation, je me crois par cela
bligation morale, comme la vérité morale qui en est le fondement, est
absolue
. De même que les vérités nécessaires ne sont pas
que obligé : on l’est tout à fait ou pas du tout. Si l’obligation est
absolue
, elle est immuable et elle est universelle. Car s
le-même, elle serait relative et contingente. Ce fait de l’obligation
absolue
, immuable, universelle, est si certain et si mani
ués au crime et à la vertu dans une proportion légitime ? le jugement
absolu
du bien, le jugement absolu de l’obligation, le j
ans une proportion légitime ? le jugement absolu du bien, le jugement
absolu
de l’obligation, le jugement absolu du mérite et
ement absolu du bien, le jugement absolu de l’obligation, le jugement
absolu
du mérite et du démérite subsistent inviolables e
et leur mobilité, ils ne peuvent être les fondements de l’obligation
absolue
qui doit être égale pour tous, mais ils lui sont
me, c’est à celui-ci que celle-là emprunte son caractère universel et
absolu
. Le bien obligatoire, c’est la loi morale. Là est
r, et par la nature même des choses. De là vient que l’obligation est
absolue
. Le respect de la personne morale en nous, tel es
le entre les mains de la puissance paternelle, qui dans l’origine est
absolue
et par conséquent doit demeurer telle. Ou bien se
ois et un appui : cette règle s’appelle la loi. La loi universelle et
absolue
, c’est la justice naturelle, qui ne se peut écrir
chaque chose la justice naturelle, qui est la justice universelle et
absolue
, il s’ensuit qu’une des conditions nécessaires d’
âtiments et des crimes ? Cette question ne peut recevoir une solution
absolue
. Ce qu’il y a ici d’immuable, c’est que l’acte co
le reste est relatif. Les constitutions des États ont quelque chose d’
absolu
par leur rapport aux droits inviolables qu’elles
choses vraies se rapportent, celles-ci à une unité qui est la vérité
absolue
, et celles-là à une autre unité qui est la beauté
t la vérité absolue, et celles-là à une autre unité qui est la beauté
absolue
, de même tous les principes moraux participent d’
bien. Nous nous élevons ainsi à la conception du bien en soi, du bien
absolu
, supérieur à tous les devoirs particuliers, et qu
voirs particuliers, et qui se détermine dans ces devoirs. Or, ce bien
absolu
peut-il être autre chose qu’un attribut de celui
ose qu’un attribut de celui qui seul est, à proprement parler, l’être
absolu
? Serait-il possible qu’il y eût plusieurs êtres
arler, l’être absolu ? Serait-il possible qu’il y eût plusieurs êtres
absolus
, et que l’être en qui se réalisent le vrai absolu
ût plusieurs êtres absolus, et que l’être en qui se réalisent le vrai
absolu
et le beau absolu ne fût pas aussi celui qui est
absolus, et que l’être en qui se réalisent le vrai absolu et le beau
absolu
ne fût pas aussi celui qui est le principe du bie
et le beau absolu ne fût pas aussi celui qui est le principe du bien
absolu
? L’idée même de l’absolu implique l’absolue unit
pas aussi celui qui est le principe du bien absolu ? L’idée même de l’
absolu
implique l’absolue unité. Le vrai, le beau et le
i est le principe du bien absolu ? L’idée même de l’absolu implique l’
absolue
unité. Le vrai, le beau et le bien ne sont pas tr
e. En même temps il est impossible de moins perdre ; car étant l’être
absolu
, il se répand et se donne éternellement sans en ê
orsqu’il fait le mal. Ce principe est universel et nécessaire, il est
absolu
. Si ce principe n’a pas son application dans ce m
me de Voltaire est encore plus contraire à l’ensemble des faits qu’un
absolu
optimisme. Entre ces deux extrémités systématique
que Dieu est juste et que la loi du mérite et du démérite est une loi
absolue
. Or, rejeter ces deux principes c’est renverser d
ntiment et de l’instinct. Toute chose a sa fin. Ce principe est aussi
absolu
que celui qui rapporte tout événement à une cause
s élève vers un autre monde, le monde de l’éternel, de l’infini, de l’
absolu
. Cette grande philosophie a toutes nos préférence
essentielle entre le bien et le mal ; que l’idée du bien est une idée
absolue
tout comme l’idée du beau et celle du vrai ; que
tte autre maxime : le fondement direct de la science, c’est la vérité
absolue
; le fondement direct de l’art, c’est la beauté a
est la vérité absolue ; le fondement direct de l’art, c’est la beauté
absolue
; le fondement direct de la morale et de la polit
’est le devoir, c’est le droit, et ce qui nous révèle ces trois idées
absolues
du vrai, du beau et du bien, c’est la raison. Le
t d’avoir restitué à la raison le pouvoir de s’élever à des principes
absolus
placés au-dessus de l’expérience, bien que l’expé
ributs sans sujet. Et comme ici il s’agit du vrai, du beau et du bien
absolus
, leur substance ne peut être que l’être absolu. C
i, du beau et du bien absolus, leur substance ne peut être que l’être
absolu
. C’est ainsi que nous arrivons à Dieu. Encore une
us avons défendu contre une interprétation trop étroite272, la vérité
absolue
est en Dieu : c’est Dieu même sous une de ses fac
cipation de la raison divine que notre raison possède quelque chose d’
absolu
. Tout jugement de la raison enveloppe une vérité
connaître Dieu, le considèrent, disent-ils, dans son essence pure et
absolue
, dégagée de toute détermination limitative. Je cr
ions et par conséquent des qualités et des attributs détruise l’unité
absolue
d’un être ; la preuve infaillible en est que mon
l’abstraction de l’être, humain ou divin, fini ou infini, relatif ou
absolu
, c’est le néant274. La théodicée a deux écueils :
s que son essence y soit épuisée, un Dieu qui est tout ensemble unité
absolue
et unité multipliée, infini et vivant, immuable e
n est la faculté même de connaître ; elle nous a fourni des principes
absolus
, et ces principes absolus nous ont conduits à des
onnaître ; elle nous a fourni des principes absolus, et ces principes
absolus
nous ont conduits à des vérités absolues. Le sent
pes absolus, et ces principes absolus nous ont conduits à des vérités
absolues
. Le sentiment, qui tient à la fois de la sensatio
ou en d’autres termes que la raison a quelque chose d’universel et d’
absolu
, qu’à ce titre elle oblige tous les individus, et
nte de notre raison. Son sujet véritable est la raison universelle et
absolue
. » 60. Voyez plus haut, iie leçon, p. 41, etc.
mouvement, la vie, l’âme, l’intelligence ne conviennent pas à l’être
absolu
? que cet être ne vit ni ne pense, et qu’il demeu
e réciprocité de désirs ne nous autoriserait ni l’un ni l’autre à cet
absolu
sacrifice, par ce que le désir ne peut jamais êtr
; elle n’est pas moins mortelle à la vie de l’être moral que le vide
absolu
à la respiration de l’être physique. Que deviendr
ine dans les hauteurs inaccessibles d’une éternité et d’une existence
absolue
, ville de pensée, de liberté, d’amour, semblable
n relative qui n’est qu’un degré d’imperfection, mais une perfection
absolue
, une infinité qui n’est pas seulement le fini mul
main peut toujours accroître, mais une infinité vraie, c’est-à-dire l’
absolue
négation de toutes bornes dans toutes les puissan
’inexplicable, elle le conçoit. Elle ne peut comprendre d’une manière
absolue
l’infinité, mais elle la comprend en quelque degr
ien de troublé ni d’anormal ; tout se passe suivant des lois qui sont
absolues
, c’est-à-dire toujours normales et déterminées. L
sans l’idée qui sollicite la réponse. Je considère donc, en principe
absolu
, que l’expérience doit toujours être instituée en
our ce qui est pratique dans la science, je la repousse d’une manière
absolue
pour tout ce qui est théorique. Je considère en e
ce consiste en ce que le scolastique impose son idée comme une vérité
absolue
qu’il a trouvée, et dont il déduit ensuite par la
plus générales, mais sans jamais oser prétendre qu’il tient la vérité
absolue
. Celle-ci, en effet, si on la possédait sur un po
on la possédait sur un point quelconque, on l’aurait partout ; car l’
absolu
ne laisse rien en dehors de lui. L’idée expérimen
nt, l’expérience lui donne la conscience de son ignorance relative et
absolue
. En instruisant l’homme, la science expérimentale
prit a conscience et qui apportent en lui le sentiment d’une évidence
absolue
et nécessaire. En effet, les plus grandes vérités
jamais à son esprit que sous la forme d’une relation ou d’un rapport
absolu
et nécessaire. Mais ce rapport ne peut être absol
on ou d’un rapport absolu et nécessaire. Mais ce rapport ne peut être
absolu
qu’autant que les conditions en sont simples et s
ports, une fois trouvés, sont acceptés par l’esprit comme des vérités
absolues
, c’est-à-dire indépendantes de la réalité. On con
créé ces conditions pour en posséder la connaissance et la conception
absolues
. Toutefois l’homme doit croire que les rapports o
es, la science expérimentale a saisi certains rapports qui paraissent
absolus
. Telles sont les propositions qui servent de prin
nt. De sorte que c’est toujours par hypothèse qu’on admet le principe
absolu
. C’est pourquoi l’application de l’analyse mathém
ts à deux critériums, l’un intérieur et conscient, qui est certain et
absolu
; l’autre extérieur et inconscient, qui est expér
sans jamais pouvoir prouver à l’esprit qu’il la possède d’une manière
absolue
. L’expérimentateur qui se trouve en face des phén
il faut croire à la science, c’est-à-dire au déterminisme, au rapport
absolu
et nécessaire des choses, aussi bien dans les phé
ntal fondé sur elles. Mais encore ne doit-il jamais donner une valeur
absolue
à ces théories. De nos jours, on a vu des grands
lus ou moins sur l’observation et qu’ils considèrent comme une vérité
absolue
. Alors ils raisonnent logiquement et sans expérim
nsi que nous le ferons plus loin, le déterminisme qui est le principe
absolu
de la science d’avec les théories qui ne sont que
dans les sciences. C’est un guide, une lumière, mais non une autorité
absolue
. La révolution que la méthode expérimentale a opé
sciences expérimentales. Les vérités mathématiques étant immuables et
absolues
, la science s’accroît par juxtaposition simple et
rimentales les grands hommes ne sont jamais les promoteurs de vérités
absolues
et immuables. Chaque grand homme tient à son temp
de ces principes. Seulement quand la certitude du principe n’est pas
absolue
, il s’agit toujours d’une déduction provisoire qu
i que je l’ai déjà dit ailleurs, le principe du mathématicien devient
absolu
, parce qu’il ne s’applique point à la réalité obj
d’autres conditions que celles qu’il a déterminées, le principe reste
absolu
, conscient, adéquat à l’esprit, et la déduction l
conscient, adéquat à l’esprit, et la déduction logique est également
absolue
et certaine ; il n’a plus besoin de vérification
bitative quand le point de départ ou le principe n’est pas une vérité
absolue
. Or nous avons vu qu’il n’y a de vérité absolue q
n’est pas une vérité absolue. Or nous avons vu qu’il n’y a de vérité
absolue
que pour les principes mathématiques ; pour tous
oire connaître ce qu’il ne connaît pas, et à prendre pour des vérités
absolues
des vérités qui ne sont que relatives. De sorte q
quement toutes les conséquences, mais sans jamais le considérer comme
absolu
et en dehors des atteintes de l’expérience. Les c
’autre. C’est précisément le scolastique qui croit avoir la certitude
absolue
qui n’arrive à rien : cela se conçoit puisque, pa
solue qui n’arrive à rien : cela se conçoit puisque, par son principe
absolu
, il se place en dehors de la nature dans laquelle
rimentateur, qui doute toujours et qui ne croit posséder la certitude
absolue
sur rien, qui arrive à maîtriser les phénomènes q
en lui montrant qu’il ignore. Peu importe au savant d’avoir la vérité
absolue
, pourvu qu’il ait la certitude des relations des
les sciences expérimentales un critérium ou un principe scientifique
absolu
. Ce principe est le déterminisme des phénomènes,
fique absolu. Ce principe est le déterminisme des phénomènes, qui est
absolu
aussi bien dans les phénomènes des corps vivants
ui lui servent de point de départ ; c’est pourquoi il est de précepte
absolu
de soumettre toujours son idée au critérium expér
es une fois acquises, avons-nous dit, sont des vérités conscientes et
absolues
, parce que les conditions idéales de leur existen
xistence sont également conscientes et connues par nous d’une manière
absolue
. Les vérités expérimentales, au contraire, sont i
tés expérimentales n’en reposent pas moins sur des principes qui sont
absolus
parce que, comme ceux des vérités mathématiques,
adressent à notre conscience et à notre raison. En effet, le principe
absolu
des sciences expérimentales est un déterminisme n
e et indépendant de l’expérience, et il est forcément mathématique et
absolu
. Nous arrivons ainsi à voir que le principe du cr
utre, ce principe est exprimé par un rapport des choses nécessaire et
absolu
. Seulement dans les sciences expérimentales ces r
cherche de la vérité dans les sciences naturelles, et le déterminisme
absolu
des phénomènes dont nous avons conscience a prior
nne. Malgré nos efforts, nous sommes encore bien loin de cette vérité
absolue
; et il est probable, surtout dans les sciences b
; mais jamais il ne pourra lui venir à l’idée de nier le déterminisme
absolu
des phénomènes, parce que c’est précisément le se
de sans la contre-épreuve. L’analyse ne peut se prouver d’une manière
absolue
que par la synthèse qui la démontre en fournissan
rs la manifestation de leurs propriétés étant enchaînée d’une manière
absolue
aux conditions physico-chinùques qui les environn
rimentateur n’agira pas sur la vie. Seulement, il y a un déterminisme
absolu
dans toutes les sciences parce que chaque phénomè
ue nous marchons dans la bonne voie. En effet, il y a un déterminisme
absolu
dans tout phénomène vital ; dès lors il y a une s
la loi d’un phénomène, on connaît donc non seulement le déterminisme
absolu
des conditions de son existence, mais on a encore
lexité des phénomènes qu’on y rencontre. V. Il y a un déterminisme
absolu
dans les conditions d’existence des phénomènes na
nditions d’existence de tout phénomène sont déterminées d’une manière
absolue
. Ce qui veut dire en d’autres termes que la condi
plus les mêmes, le phénomène cesse d’être identique. Ce principe est
absolu
, aussi bien dans les phénomènes des corps bruts q
à une science infuse et indéterminable. Le sentiment du déterminisme
absolu
des phénomènes de la vie, mène au contraire à la
liés à leurs conditions d’existence par un déterminisme nécessaire et
absolu
. J’emploie ici le mot déterminisme comme plus con
ngé pour cela, et le savant n’en est pas plus près d’une connaissance
absolue
de l’essence des choses. Toutefois il a gagné ce
ilieu. En effet, si par la pensée nous isolons un corps d’une manière
absolue
, nous l’anéantissons par cela même, et si nous mu
ue nous ne pouvons pas les localiser dans un seul corps d’une manière
absolue
. Pour le physicien, l’attraction universelle n’es
lever le mouvement à la matière. Ce que nous venons de dire est aussi
absolu
pour les phénomènes des corps vivants que pour le
néral. Mais il n’en existe pas moins toujours le déterminisme le plus
absolu
dans leur milieu interne, qui, par suite de ce mê
de chaque rouage intérieur est déterminé par des conditions physiques
absolues
, et dont il connaît la loi. De même pour le physi
e milieu intérieur de la machine vivante, il y trouve un déterminisme
absolu
qui doit devenir pour lui la base réelle de la sc
a se conçoit d’ailleurs ; la connaissance de la nature intime ou de l’
absolu
, dans le phénomène le plus simple, exigerait la c
cet univers, dans l’harmonie duquel il entre pour sa part. La vérité
absolue
, dans les corps vivants, serait encore plus diffi
onde (microcosme) dans le grand univers (macrocosme). La connaissance
absolue
ne saurait donc rien laisser en dehors d’elle, et
e. L’homme se conduit comme s’il devait parvenir à cette connaissance
absolue
, et le pourquoi incessant qu’il adresse à la natu
rité. Notre sentiment nous porte à croire, dès l’abord, que la vérité
absolue
doit être de notre domaine ; mais l’étude nous en
dre les mécanismes variés, mais toujours reliés par des déterminismes
absolus
. Nous verrons, par des exemples rapportés plus lo
s, on peut avoir à volonté la glande successivement à l’état de repos
absolu
ou dans un état de fonction exagérée ; les deux e
aux ? Quant à moi, je pense qu’on a ce droit d’une manière entière et
absolue
. Il serait bien étrange, en effet, qu’on reconnût
rganes. Par ces réserves je ne nie pas l’utilité ni même la nécessité
absolue
de la vivisection dans l’étude des phénomènes de
deux animaux. L’expérimentation comparative est une règle générale et
absolue
en médecine expérimentale et elle s’applique à to
glandes salivaires du chien nus en expérience n’est pas une quantité
absolue
; elle aurait été nulle, si l’on n’avait pas exci
t, car sans cela la statistique conduirait à un résultat scientifique
absolu
, tandis qu’elle ne peut donner qu’une probabilité
moi, ne peut être fondée que sur une certitude et sur un déterminisme
absolu
et non sur une probabilité. Ce serait sortir de m
sur un cas donné, mais jamais une certitude, jamais une détermination
absolue
. Sans doute la statistique peut guider le pronost
minables. Le déterminisme dans l’expérience donne seul la loi qui est
absolue
, et celui qui connaît la loi véritable n’est plus
les phénomènes. Certainement nous n’arriverons jamais au déterminisme
absolu
de toute chose ; l’homme ne pourrait plus exister
les dupes de nos propres œuvres ; on ne saurait donner aucune valeur
absolue
aux classifications scientifiques, ni dans les li
d’avec les théories et ne jamais croire à ces dernières d’une manière
absolue
. Ici nous avions une théorie d’après laquelle on
sucre dans leur organisme. Si j’avais cru à la théorie d’une manière
absolue
, j’aurais dû conclure que mon expérience devait ê
-elles jamais définitives et ne doit-on jamais y croire d’une manière
absolue
. On a vu, par les exemples qui précèdent, que, si
e physiologique La critique expérimentale repose sur des principes
absolus
qui doivent diriger l’expérimentateur dans la con
s. Les principes sont les axiomes scientifiques ; ce sont des vérités
absolues
qui constituent un critérium immuable. Les théori
aux formules de la science, il faut croire au contraire d’une manière
absolue
à ses principes. Ceux qui croient trop aux théori
e se tromper ainsi ! Il paraît impossible même d’éviter d’une manière
absolue
ces sortes d’erreurs. Mais nous voulons seulement
erminisme des phénomènes, nous devons affirmer a priori d’une manière
absolue
qu’en 1822 et en 1839, Magendie n’a pas vu le phé
critique, et, en science, ce procédé doit être repoussé d’une manière
absolue
, parce que jamais la science ne se constitue par
c établir comme principe de la critique expérimentale le déterminisme
absolu
et nécessaire des phénomènes. Ce principe, bien c
apparence rationnelle n’est pas trompeuse. Ce précepte est de rigueur
absolue
, surtout dans les sciences médicales qui, à raiso
comparative, parce que j’étais convaincu par principe de sa nécessité
absolue
: ce qui veut dire que je suis convaincu qu’en ph
regardées que comme des théories provisoires et non comme des vérités
absolues
auxquelles il faille faire plier les faits. L’inv
aux travaux des autres, doit toujours être fondée sur le déterminisme
absolu
des faits. La critique expérimentale, ainsi que n
ser et de ramener à une signification définie. C’est donc un principe
absolu
en méthode expérimentale de prendre toujours pour
faut pas croire pour cela que les théories soient jamais des vérités
absolues
; elles sont toujours perfectibles et par conséqu
ne que dans les autres sciences expérimentales, c’est le déterminisme
absolu
des phénomènes. Nous avons donné le nom de déterm
systèmes au contraire sont séduisants parce qu’ils donnent la science
absolue
réglée par la logique seule ; ce qui dispense d’é
et des préceptes qui devront être suivis d’une manière rigoureuse et
absolue
par un expérimentateur. J’ai voulu seulement exam
e donner des explications superflues ou de tracer une règle unique et
absolue
, parce que je pense que le rôle d’un maître doit
ude de l’Être universel, qui n’a conscience de sa misère devant cette
absolue
perfection de la Divinité ? Dans cet empire de la
sens commun n’entendent rien, mais qu’il donne pour l’expression de l’
absolue
vérité. « Toute la métaphysique, a dit M. Renouvi
utre pas plus décisif dans la voie de l’unité. Pour arriver à l’unité
absolue
de mouvements, il ne reste plus qu’un degré à fra
nuité. Elle est tout entière comprise dans une seule formule, l’unité
absolue
de l’être par la réduction au mouvement de tous l
t constituerait le système entier de l’univers ! Dans ce déterminisme
absolu
, que deviennent la liberté et la personnalité de
ulement rien de tout cela n’est pour ce matérialisme la vérité vraie,
absolue
, définitive. Derrière cette scène extérieure et a
C’est cette nécessité du bien que le spiritualisme appelle la liberté
absolue
. Nous voici bien loin des enseignements de la con
tueront à la nature la force et la vie, mais en l’attribuant à l’Être
absolu
, le seul être dans la vraie acception du mot, en
ut-il remarquer que, si aucun de ces docteurs ne va jusqu’à l’abandon
absolu
de la personnalité dans l’union de l’âme avec Die
u moyen de les réunir. La contradiction est plus ou moins forte, mais
absolue
, entre les conclusions de la pensée spéculative e
Entre la raison et l’expérience, il y a donc ici encore contradiction
absolue
: d’où il résulte que la liberté n’est qu’un noum
volonté libre, qui constitue la loi morale, c’est-à-dire l’obligation
absolue
, sans conditions et sans restrictions, de faire l
le ni l’imagination ne résistent à l’absorption des êtres dans l’être
absolu
, par la raison que l’expérience sensible et l’ima
ien de métaphysique ; il ne s’adresse ni à l’être infini, ni à l’être
absolu
, ni à l’être universel, tous êtres abstraits qui
sent trop le fatalisme ; c’est la formule usuelle de cette nécessité
absolue
qui est la suprême loi de la nature. Ce mot ne co
ace en dehors de la théorie de la Relativité, on conçoit un mouvement
absolu
et, par là même, une immobilité absolue ; il y au
ivité, on conçoit un mouvement absolu et, par là même, une immobilité
absolue
; il y aura dans l’univers des systèmes réellemen
cé loin de Pierre, se mouvant en ligne droite d’un mouvement uniforme
absolu
vers le point B et revenant ensuite, en ligne dro
int B et revenant ensuite, en ligne droite et d’un mouvement uniforme
absolu
encore, au point A. Mais, du point de vue de la t
int de vue de la théorie de la Relativité, il n’y a plus de mouvement
absolu
, ni d’immobilité absolue. La première des deux ph
de la Relativité, il n’y a plus de mouvement absolu, ni d’immobilité
absolue
. La première des deux phases que nous venons de d
sont les suivantes : les deux mobiles M₁, et M₂, sont en coïncidence
absolue
aux événements A et B ; entre ces événements, leu
t plus grande… Nous n’avons pas encore tenu compte de la coïncidence
absolue
des mobiles M₁ (en translation uniforme) et M₂ (m
ation de M₂ qui a créé la dissymétrie : on reconnaît ici le caractère
absolu
de l’accélération.] D’étranges conséquences se dé
quation semble nous placer hors de tout système de référence, dans l’
Absolu
, en face d’une entité comparable à l’Idée platoni
erminé à chacun des autres systèmes, puisqu’il n’y a pas de mouvement
absolu
. Il peut jeter son dévolu sur l’un quelconque des
s’il n’était nulle part, tous ces mouvements seraient des mouvements
absolus
, toutes ces immobilités seraient des immobilités
s mouvements absolus, toutes ces immobilités seraient des immobilités
absolues
: il faudrait dire adieu à la théorie de la Relat
c du mouvement que des changements de longueur ; et comme les valeurs
absolues
de la distance variable entre un point et un axe,
oints de repère auxquels on le rapporte, et il n’y a pas de mouvement
absolu
. Mais les choses changent déjà d’aspect quand on
ulier comme relatif traitent de la totalité des mouvements comme d’un
absolu
. La contradiction a été relevée chez Descartes, q
ue » 94, formule les lois du mouvement comme si le mouvement était un
absolu
95. Leibniz, et d’autres après lui, ont signalé c
i se meut et c’est moi qui me repose 97. » Mais s’il y a un mouvement
absolu
, peut-on persister à ne voir dans le mouvement qu
nt de heu ? Il faudra alors ériger la diversité de lieu en différence
absolue
, et distinguer des positions absolues dans un esp
diversité de lieu en différence absolue, et distinguer des positions
absolues
dans un espace absolu. Newton est allé jusque-là
fférence absolue, et distinguer des positions absolues dans un espace
absolu
. Newton est allé jusque-là 98, suivi d’ailleurs p
pêcher ni de tenir tout heu pour relatif, ni de croire à un mouvement
absolu
. Dira-t-on alors que le mouvement réel se disting
lativité. Aussi les physiciens qui cherchent le principe du mouvement
absolu
dans la force ainsi définie sont-ils ramenés, par
ls ramenés, par la logique de leur système, à l’hypothèse d’un espace
absolu
qu’ils voulaient éviter d’abord 100. Il faudra do
l’obscurité, entre des couleurs, entre des nuances, la différence est
absolue
. Le passage de l’une à l’autre est, lui aussi, un
mouvement, si mouvement il y a, comme une simple relation : c’est un
absolu
. — Entre ces deux extrémités viennent se placer l
tière soulève ; elle n’a pas seulement le tort d’attribuer une valeur
absolue
à cette division de la matière qui paraît surtout
ysique, — mécanisme ou dynamisme, — le dynamisme érigeant en autant d’
absolus
les coupes successives que nous pratiquons le lon
ouvement, cela est clair pour celui qui fait de la durée une espèce d’
absolu
, et la met soit dans la conscience soit dans quel
ience. Pendant qu’une portion déterminée de cette durée consciente ou
absolue
s’écoule, en effet, le même mobile parcourra, le
rs principes. » — On a dit enfin : La philosophie est la science de l’
absolu
. On peut faire voir que toutes ces définitions re
s définitions reviennent au même. Il faut d’abord pour cela définir «
absolu
. » On appelle absolu ce qui est par soi-même, ce
ent au même. Il faut d’abord pour cela définir « absolu. » On appelle
absolu
ce qui est par soi-même, ce qui ne dépend de rien
oi-même, ce qui ne dépend de rien, ce qui est sans relation aucune. L’
absolu
serait indépendant de l’espace et du temps. Sacha
rons que toutes ces définitions donnent pour objet à la philosophie l’
absolu
. En effet, la première cause c’est l’être ou les
remière cause et le premier principe, c’est rechercher le primitif, l’
absolu
, tant dans le monde de la connaissance que dans c
ssance que dans celui de l’existence. Or, dans le premier, quel est l’
absolu
? C’est l’esprit de l’homme. Dans le second ? C’e
nitions viennent donc à celle-ci : La philosophie est la science de l’
absolu
. Voici maintenant à quelles objections cette défi
s, mais qui ne saurait en tout cas être prise pour point de départ. L’
absolu
n’est évidemment pas ce que l’on recherche en com
nts, le positivisme par exemple, qui n’admettent pas l’existence de l’
absolu
. On ne saurait exclure de la philosophie des syst
a définition serait enfermée dans le domaine du relatif. L’étude de l’
absolu
en serait exclue. La métaphysique, imposée à tort
de leurs conditions. Cette définition convient à tous les systèmes. L’
absolu
est-il, n’est-il pas une des conditions des états
égissent les phénomènes. On ne saurait admettre des conclusions aussi
absolues
. La philosophie est une science, et il n’est pas
nous les éprouvons nous sommes passifs. Il n’y a pas, à vrai dire, d’
absolue
passivité dans la vie psychologique. Nous réagiss
es que nous avons sur ces sentiments, nous n’en sommes jamais maîtres
absolus
. C’est là l’illusion des stoïciens et des épicuri
est dire que la passion introduit dans la vie psychologique une unité
absolue
. Cette analyse de la passion nous permet de juger
qu’un certain nombre d’états subjectifs sont soumis à un déterminisme
absolu
. De cette réfutation de la théorie de Stuart Mill
de Hartmann qu’il n’y a pas dans la vie psychologique d’inconscience
absolue
. Leçon 16 La conscience : De l’origine de l’id
encore à la raison d’autres notions que l’on peut ramener à trois : l’
absolu
, l’infini, le parfait. Même, suivant Platon, ces
la connaissance. Pour connaître le relatif, il faut le rapporter à l’
absolu
. Le fini, à l’infini. L’imparfait au parfait. C’e
ées comme étant a priori. Ces 3 idées peuvent se ramener à celle de l’
absolu
. L’absolu, c’est ce qui est achevé, ce qui existe
étant a priori. Ces 3 idées peuvent se ramener à celle de l’absolu. L’
absolu
, c’est ce qui est achevé, ce qui existe en soi et
esoin d’être rapporté à autre chose qu’à soi-même. L’infini, c’est l’
absolu
en quantité. Dire qu’une chose est infinie, c’est
pporter à quelque chose d’autre qui la limite. La perfection, c’est l’
absolu
en qualité. Quand nous parlons d’une chose plus o
la perfection en elle-même n’est rapportée à rien autre qu’elle-même.
Absolu
, infini, perfection, ces trois mots reviennent do
ivisions du premier. Il nous semble difficile d’admettre que l’idée d’
absolu
nous soit donnée a priori. Il y a au contraire an
er, il nous faut absolument rapporter les choses à une condition et l’
absolu
est libre de toute condition comme de toute relat
de toute condition comme de toute relation. Nous ne pouvons penser l’
absolu
sans le rendre relatif, au moins au relatif au te
glais, c’est conditionner. La connaissance est avant tout relative. L’
absolu
ne peut donc être pensé. Nous ne voulons pas par
eut donc être pensé. Nous ne voulons pas par là nier l’existence de l’
absolu
. C’est une question que nous ajournons simplement
produites ensemble est incontestable. Mais va-t-elle jamais jusqu’à l’
absolue
impossibilité de séparer les termes qu’elle tend
plus déplaisant. Mais rien ne prouve que les objets présentent cette
absolue
unité. Tout semble faire présumer au contraire, q
des principes rationnels. Aucune même ne les possède à un degré moins
absolu
que nous. Sans doute, les spéculations de ces peu
par l’action de l’esprit sur les choses. Ces deux théories sont trop
absolues
. L’empirisme est du moins logique, car il ne donn
l’esprit et les choses une antinomie complète plutôt qu’une harmonie
absolue
. Ces deux hypothèses sont gratuites. Il est vrai
e seraient pas solubles, cela ne prouverait pas qu’il y a antagonisme
absolu
entre ce qui est et ce que nous connaissons. Rien
ller à volonté. Tous ces faits s’expliquent s’il n’y a pas de sommeil
absolu
du moi. Il est certain qu’une des causes importan
c’est la monomanie. Tantôt elle est générale. C’est la folie ou manie
absolue
. Un seul point est attaqué dans le premier cas ;
onnaissons déjà la chose signifiée. Le nominalisme, comme le réalisme
absolu
, sont [sic] donc en opposition avec les faits. Ma
erfection dans un sens plus large ; on a indiqué par là la perfection
absolue
. Ce n’est plus la perfection d’une chose, mais la
Si l’on admettait cette dernière définition du beau, le beau serait l’
absolue
perfection s’incarnant dans une forme matérielle.
ne perfection relative et non pas, comme on le disait, une perfection
absolue
. Le beau, bien que très voisin de l’utile, de l’a
toute notre connaissance. Plus nous nous rapprochons de l’unification
absolue
de cette multiplicité et plus le plaisir intellec
. Cependant cette immutabilité de l’instinct n’est pas rigoureusement
absolue
. L’instinct peut changer sous l’influence du mili
que tous les phénomènes qui s’y passent sont soumis à un déterminisme
absolu
. Si nous avons cette idée, c’est que nous nous vo
re que réclame le principe de finalité ne suppose pas un déterminisme
absolu
comme le demande le principe de causalité. Puisqu
e dans la mathématique, car là seulement on peut établir une identité
absolue
, les termes présents étant aussi simples et dépou
t du reste des choses, il nous apparaît comme un tout indépendant, un
absolu
qui ne relève que de lui-même, qui est libre. Or,
lieu qu’à l’égard de certains usages de nos facultés. Le scepticisme
absolu
est aussi illogique que le dogmatisme absolu. Cel
facultés. Le scepticisme absolu est aussi illogique que le dogmatisme
absolu
. Celui-ci part de cet acte de foi, que nos facult
uction consiste à passer de l’accident à la substance, du relatif à l’
absolu
, et vice versa. Ainsi l’on dira : un tel a guéri
es questions de doctrine, et s’il est vrai de dire que l’indépendance
absolue
de l’esprit est un devoir de l’homme envers lui-m
généralement d’accord pour lui en reconnaître trois : elle doit être
absolue
, universelle, obligatoire. 1. Absolue, c’est-à-di
onnaître trois : elle doit être absolue, universelle, obligatoire. 1.
Absolue
, c’est-à-dire qu’elle doit commander sans restric
doit pas être relative à telle ou telle fin, mais être posée comme un
absolu
. 2. Universelle. Ici se présente une difficulté.
séquence de l’idée de devoir ; il pose tout d’abord celui-ci comme un
absolu
sans en donner les raisons : la loi communale en
leur fin ; il faut donc d’abord qu’ils déterminent cette fin avec une
absolue
sincérité, c’est-à-dire, en se soustrayant à tout
Comment ? De la foule sortira un homme qui sera investi d’un pouvoir
absolu
et qui garantira la permanence du contrat. Ce mon
pouvoir absolu et qui garantira la permanence du contrat. Ce monarque
absolu
sera le gardien du droit, le soustraira aux fanta
érêt, et cette convention est garantie par un homme armé d’un pouvoir
absolu
. Examinons cette théorie. Évidemment un homme, qu
nt le droit et le devoir d’exercer sur les enfants une autorité aussi
absolue
que possible, de faire effort pour leur inculquer
ée. Mais faut-il pour cela passer de l’esclavage complet à la liberté
absolue
? Non. Rousseau suppose que l’enfant est naturell
orme la plus parfaite de l’amitié. Ce qui définit l’amitié, c’est une
absolue
confiance d’une part, une entière égalité de l’au
ette fonction, tout lui est permis : on a dans ce cas un gouvernement
absolu
, que ce soit un roi ou une assemblée qui gouverne
ale, qui leur confère à tous le même caractère d’obligation. Elle est
absolue
en elle-même, il n’y a pas par conséquent de dist
it, nous avons été amenés à établir l’existence d’une loi universelle
absolue
et obligatoire. Puis, quand il s’est agi de donne
timent populaire, le sens commun, nous affirment sans hésiter l’unité
absolue
de l’être humain. Or, cette unité ne saurait s’ex
le en cette vie n’est donc suffisante. La raison réclame une harmonie
absolue
entre le bonheur et la vertu, et cette harmonie n
nition aussi vague ne saurait nous suffire : pour nous, Dieu, c’est l’
absolu
. L’absolu c’est ce qui existe en soi et par soi,
si vague ne saurait nous suffire : pour nous, Dieu, c’est l’absolu. L’
absolu
c’est ce qui existe en soi et par soi, en dehors
’est se demander quelle raison nous avons d’admettre l’existence de l’
absolu
. Bien des démonstrations ont été tentées dans ce
introduire de l’ordre dans l’exposition de ces preuves. Dieu, c’est l’
absolu
. Les preuves de son existence devront donc montre
ier ces perfections relatives sinon en les comparant à une perfection
absolue
? Il y a donc en nous l’idée d’une perfection abs
une perfection absolue ? Il y a donc en nous l’idée d’une perfection
absolue
. Or cette idée ne peut nous venir que d’un être p
que, Dieu. Il nous apparaît comme le but où va le monde, comme la fin
absolue
des choses. 2. La nature se présente à nous comme
son lie, organise les phénomènes que nous percevons, mais Dieu est un
absolu
, hors de leur portée par conséquent. Reprenons ma
hacun leur fin spéciale ? S’il en était ainsi, nous serions loin de l’
absolu
et par conséquent de Dieu. En second lieu, quand
ment d’un être raisonnable et libre. Nous n’aurions pas dans ce cas l’
absolu
que nous cherchons ; l’existence de Dieu ne serai
ité, jointe au principe du nombre et la finalité, nous avons vu que l’
absolu
devait exister ; nous sommes arrivés sur le rivag
a condition de la sanction morale. Nous avons prouvé qu’il y avait un
absolu
et par conséquent que Dieu existait, puisque nous
et par conséquent que Dieu existait, puisque nous avons défini Dieu l’
absolu
. Leçon 78 De la nature et des attributs de Die
me une personne. Attributs métaphysiques 1. Infinité. Dieu étant
absolu
ne peut être fini ; car s’il était limité, il ser
i-même, mais en fonction des éléments qui le composent. Mais Dieu est
absolu
; il est donc nécessaire qu’il soit un. 3. Perfec
erfection divine la somme de toutes les qualités des êtres élevés à l’
absolu
. C’est la faire déchoir la divinité. Toutes les q
en d’autre que lui. Perfection n’est donc pour nous que le synonyme d’
absolu
. [en grec dans le texte], absolutus ont d’ailleur
ns le texte], absolutus ont d’ailleurs le double sens de parfait et d’
absolu
. 4. Immortalité. Dieu est immuable, car il n’y a
déduction ne peut pas nous servir ; la notion toute métaphysique de l’
absolu
ne peut pas nous donner des attributs moraux. Mai
autre part aucune cause extérieure ne peut agir sur lui puisqu’il est
absolu
. Ces attributs moraux nous font voir Dieu comme u
; l’infinité divine n’est alors qu’une autre forme de son caractère d’
absolu
. De même pour ce qui est de la perfection : il y
ur maximum d’intensité. Mais pour nous parfait est presque synonyme d’
absolu
; or, il n’y a nulle contradiction entre l’idée d
n’y a nulle contradiction entre l’idée de personnalité et celle de l’
absolu
; tout au contraire la personne parfaite a pour i
e de l’absolu ; tout au contraire la personne parfaite a pour idéal l’
absolu
. Leçon 79 Des rapports de Dieu et du monde. D
ère existait de toute éternité. Mais alors cette matière est un autre
absolu
qui limite la puissance de Dieu, ce qui est contr
il montre qu’étant des êtres créés, nous ne pouvons être parfaits ; l’
absolu
seul peut posséder la perfection. Le mal métaphys
l’intelligence respective des animaux, doit-on se contenter du poids
absolu
des cerveaux comparés ? Ne faudrait-il pas tenir
homme, ait un cerveau beaucoup plus gros ? Ce n’est donc pas le poids
absolu
du cerveau qu’il faut considérer, mais le poids r
Quoi qu’il en soit, la méthode du poids relatif, comme celle du poids
absolu
, donne également des résultats très-équivoques, e
ceptionnels et contraires sont encore plus nombreux que pour le poids
absolu
, car d’après cette mesure l’homme serait inférieu
us compliqué, de question plus difficile. » Le poids du cerveau soit
absolu
, soit relatif, étant un symptôme si difficile à d
l’ordre des mammifères, il est très difficile d’attribuer une valeur
absolue
à la forme cérébrale, car s’il est vrai que le si
c encore là un fait auquel on puisse attribuer une valeur décisive et
absolue
. 6. Notre ami et médecin M. le docteur Millard,
ommes dans l’hypothèse de la Relativité et il n’y a plus de mouvement
absolu
. Quand vous parlez de l’orbite décrite par la Ter
té que le mouvement provoquait dans S′. Maintenant, plus de mouvement
absolu
, et par conséquent plus de repos absolu : des deu
Maintenant, plus de mouvement absolu, et par conséquent plus de repos
absolu
: des deux systèmes, qui sont en état de déplacem
quent. La plus ancienne, celle du système privilégié en état de repos
absolu
, aboutirait bien à poser des Temps multiples et r
ations de l’univers prises de tous les points de vue qu’il a le droit
absolu
(mal assuré à l’ancienne physique) de s’en tenir
ne dépend d’aucun réglage des événements sur les horloges ; elle est
absolue
30. Si elle n’existait pas, si la simultanéité n’
passé, des coupes instantanées d’un Temps unique et des simultanéités
absolues
d’événements. Seulement, du point de vue de la ph
ème. La première exprime quelque chose du système lui-même ; elle est
absolue
. La seconde est changeante, relative, fictive ; e
our l’observateur intérieur au système, situé en quelque sorte dans l’
absolu
, et pour l’observateur du dehors, dont la relatio
ue nous appelions celui de la relativité unilatérale, il y a un Temps
absolu
et une heure absolue, le Temps et l’heure de l’ob
lui de la relativité unilatérale, il y a un Temps absolu et une heure
absolue
, le Temps et l’heure de l’observateur situé dans
us dit-on, au-delà de E′ dans la direction E′ H′, une région de passé
absolu
, et au-delà de F′ dans la direction F′ K′ une rég
absolu, et au-delà de F′ dans la direction F′ K′ une région d’avenir
absolu
; rien de ce passé ni de cet avenir ne peut faire
ans l’hypothèse de l’immobilité du système, la simultanéité est chose
absolue
; je veux dire que, les horloges y ayant été régl
en P′, à côté d’événements que l’on consent à laisser dans le « passé
absolu
» ou dans l’« avenir absolu » pour l’observateur
ue l’on consent à laisser dans le « passé absolu » ou dans l’« avenir
absolu
» pour l’observateur en N′, tout un ensemble d’év
, l’égalité des deux longueurs AB et A′ B′ ? Égalité ne prend un sens
absolu
, supérieur à toute convention de mesure, que dans
crupule. Quelle ne serait pas ma confusion si le concept d’immobilité
absolue
prenait tout de même un sens, et s’il se révélait
en ne cause plus de malentendus dans les sciences morales que l’usage
absolu
des noms par lesquels on désigne les systèmes. Le
on serait par elle immédiatement abrogée ; car elle serait souveraine
absolue
. Il en fut ainsi en 89. La révolution était mûre
aussi bien que le reste, comme étant toujours les mêmes d’une manière
absolue
, ont des anathèmes contre les faits les plus néce
. Mais cette manière de voir a vieilli ; l’esprit humain a passé de l’
absolu
à l’historique ; il envisage désormais toute chos
e et ses grands résultats, l’indice du droit. Les défenseurs du droit
absolu
, comme les juristes, et du fait aveugle, comme Ca
à avancer Dieu est permis. Nous autres, Français, qui avons l’esprit
absolu
et exclusif, nous tombons ici en d’étranges illus
se fasse chair. Au point de vue de l’individu, la liberté, l’égalité
absolues
semblent de droit naturel. Au point de vue de l’e
re parfaits dans leur mesure. Je dis dans leur mesure ; car l’égalité
absolue
est aussi impossible dans l’humanité que le serai
absolue est aussi impossible dans l’humanité que le serait l’égalité
absolue
des espèces dans le règne animal. L’humanité, en
la dernière autorité. Il est si commode pourtant de se reposer sur l’
absolu
, d’embrasser de toute son âme une petite formule
t, c’est-à-dire à l’inverse de toute perfection sociale, à la liberté
absolue
de l’individu, ce qui veut dire, comme nous venon
dividu, ce qui veut dire, comme nous venons de le voir, à l’esclavage
absolu
de tous ses semblables et de tous les éléments, à
dans les êtres ! Quelle plus vile profession de foi d’un matérialisme
absolu
, réduisant toute la sociabilité, même celle de l’
gation. Démocratie, aristocratie, monarchie représentative, monarchie
absolue
, démagogie sans limites, sans capacité et sans re
e, selon lui et ses disciples, que la souveraineté, cette régulatrice
absolue
et nécessaire de toute société politique ? C’est,
aineté, c’est-à-dire l’autorité et l’obéissance sont deux conditions,
absolues
aussi, de toute société grande et petite, voilà d
e dans tous ses instincts le germe de toutes ses lois et la condition
absolue
de cette souveraineté sans laquelle aucune sociét
ltiple, comme dans les républiques, ou une, comme dans les monarchies
absolues
, ou mixte, comme dans les royautés limitées, ou r
e, est donc de souveraineté naturelle, de droit divin, de sociabilité
absolue
. Supposez, en effet, que le père en mourant empor
à fait inégales ; on se demande si le droit de tester, ce despotisme
absolu
du propriétaire, qui est aussi le supplément de l
rs évidences, le principe, infiniment moins évident, infiniment moins
absolu
, de l’unité ou de la division de l’héritage, flot
l’hérédité même des trônes. L’âge patriarcal, souveraineté paternelle
absolue
, mais providentielle, du père, première image de
e race, admet partout le droit d’aînesse dans l’hérédité, ou le droit
absolu
de tester en faveur du favori, du benjamin du pèr
es, morales, et je tâcherai d’en toucher quelques-unes. Les doctrines
absolues
en toute chose ont rencontré leurs limites, et le
les bons esprits commencent à s’éclairer par l’expérience. La liberté
absolue
des théâtres a des inconvénients et des dangers f
. On ne saurait, dans aucun cas, assimiler cette liberté à la liberté
absolue
de la presse. Un théâtre offre aux yeux en même t
qui soutiennent l’édifice s’écroule, il vient un moment où le besoin
absolu
qui se fait sentir à tous peut amener une réparat
cratie put, un certain temps, subsister en France, grâce à ce pouvoir
absolu
même qu’elle frondait le plus souvent et qu’elle
à où il y a une différence profonde et sentie, comme entre la liberté
absolue
du théâtre et celle de la presse, de ne pas aboli
mais tous ses développements d’alors roulent sur deux ou trois idées
absolues
, opiniâtres, presque fixes : il défend la Pologne
eux ; il a deux ou trois grands thèmes, ou plutôt un seul, la liberté
absolue
. Ce thème est pour lui un point de foi, un sujet
e M. Berryer lui donnait en le félicitant : « Vous êtes un esprit non
absolu
; mais résolu. » Généreux éloge que nous le suppl
s de sa jeunesse ; il put y développer sans interruption ses théories
absolues
, qui eussent fait frémir dans une autre bouche, m
mbert, dès le premier jour, entra en lice, je l’ai dit, avec une idée
absolue
. Tout enfant, il avait fait contre l’Université l
, continuait de faire ses réserves en faveur de la liberté entière et
absolue
. Il dénonçait chez nous les manifestations et ce
d’autre que la société de l’ancien régime : pour lui c’est la société
absolue
. Le pouvoir illimité d’un seul appuyé sur deux or
n de la France les éléments de résistance qu’elle opposait au pouvoir
absolu
. Lui-même était plein de fierté et ne supportait
ort, refusa la sépulture, il est aussi ennemi que personne du pouvoir
absolu
; il veut que l’on fonde l’ancienne société avec
composé de monarchie, d’aristocratie et de démocratie, comme le bien
absolu
; ils y voyaient un régime définitif ; les libéra
lle, irresponsable, qui a hérité de tous les pouvoirs de la monarchie
absolue
. Les économistes sont les premiers, parmi les par
de l’État, non moins chère aux démocrates qu’aux partisans du pouvoir
absolu
. Enfin, le trait principal de l’école économiste
près avoir prié de nouveau le lecteur de ne pas attacher un sens trop
absolu
aux quelques mots qui nous restent à dire, nous r
du point de vue purement humain. Alors don Salluste serait l’égoïsme
absolu
, le souci sans repos ; don César, son contraire,
pects sont justes et vrais, mais aucun d’eux n’est complet. La vérité
absolue
n’est que dans l’ensemble de l’œuvre. Que chacun
u grand fait de la royauté. Seulement, dans Hernani, comme la royauté
absolue
n’est pas faite, la noblesse lutte encore contre
ne se fait pas bandit, il se fait bohémien. — On sent que la royauté
absolue
a passé pendant de longues années sur ces nobles
; et 2° la notion précise du relatif à l’hypothèse indéterminée de l’
absolu
. J’ai tâché de montrer, dans une précédente étude
e sens différens peuvent s’interpréter ces mots de « relatif » et d’«
absolu
» ; comment Comte n’avait eu garde de confondre l
ou de l’insecte ; — et réciproquement. Nous ne savons donc rien de l’
absolu
, pas même, — pour le moment, — s’il existe ; et l
ons des lois de la nature n’a rien de plus « objectif », ou de plus «
absolu
», que celle que nous pouvons acquérir des lois d
justifier. Elle en a moins encore s’il s’agit de la « remplacer ! » L’
absolu
n’est pas le relatif ! Un système de rapports n’e
un non relatif réel. Si nous ne postulons pas un non relatif réel, un
absolu
, le relatif lui-même devient absolu, ce qui est u
ulons pas un non relatif réel, un absolu, le relatif lui-même devient
absolu
, ce qui est une contradiction. Et l’on voit, en e
encore que le raisonnement de Spencer « revenait au fond à supposer l’
absolu
», qu’on lui déniait. Et on a conclu de là qu’en
ial et irrémédiable à ses yeux, qui est, comme l’on dit, de « poser l’
absolu
» pour en déduire le relatif, ce qui s’appelle ré
est précisément toute philosophie qui débute par l’affirmation de l’«
absolu
. » Mais au contraire la vraie « métaphysique », l
aie « métaphysique », la bonne, la sienne ! est celle qui n’affirme l’
absolu
, — ou l’Inconnaissable — qu’autant qu’elle s’y es
ame antique diffère essentiellement du drame moderne. — Histoire de l’
Absolu
. — Théorie de la tragédie. — III. L’Antigone de S
par rapport à une cause plus générale, mais dans l’histoire même de l’
Absolu
. L’Esprit universel, après s’être adoré en Asie d
’ombre de la Némésis tragique, comme l’Harmonie suprême et la Justice
absolue
, qui brisera la justice relative de toutes les vo
e dans sa foi religieuse complote, il maintient la neutralité la plus
absolue
, et rendant à tous les Dieux un honneur égal, il
ions de famille. V L’individu connut son prix, lorsque l’Esprit
absolu
se saisit lui-même et se révéla dans un homme, qu
e de courir à son dénouement nécessaire, le retour du Divin à l’unité
absolue
de son essence : de là la simplicité du drame gre
es-mêmes, mais partielles, exclusives et contradictoires, filles de l’
Absolu
, mais détachées et précipitées de son sein sur la
i ne peuvent périr que pour ressusciter à la vie divine de l’Identité
absolue
: c’est leur masque impudent et leur mensongère a
rs et à leur public à se retirer en eux-mêmes pour y chercher le type
absolu
de tout ce que la comédie voue au néant par le ri
our s’enfermer, d’une façon exclusive et jalouse, dans l’indépendance
absolue
de son être individuel. Ce fut l’illusion de quel
naturellement un rôle essentiel217, on ne saurait en faire une règle
absolue
. Aristophane, dans ses Parabases, entre directeme
qui est celui de l’art classique. La comédie est 2º : l’indifférence
absolue
des Dieux, témoins impassibles et souriants de l’
nt en laissant entrevoir la justice éternelle qui, dans sa domination
absolue
, brise la justice relative des fins et des passio
ù l’Esprit universel, dans son développement qui constitue l’histoire
absolue
, entre en harmonie avec, lui-même, est marqué par
obligation de ne pas représenter ce qui est en soi le vrai, la raison
absolue
, comme ce qui est faux et se détruit de soi-même,
. II, p. 363. 210. Comme Aristophane met en scène la contradiction
absolue
de la véritable nature des Dieux, des vrais princ
mmuns. d) Personnages : a′) extérieur : * Simples ; beauté, laideur
absolues
** Doubles ; beauté sinistre, laideur bonne *** B
exaltant : — de grandiosité — de redondance. Ton. 2° Par le caractère
absolu
des mots, c’est-à-dire par le fait que le mot com
et ces effets, soit : verbalisme par surabondance de mots, caractère
absolu
des mots, leur caractère borné, exagérant, etc. C
de l’irréalisme. Pour leurs admirateurs : Verbalisme, les caractères
absolus
et bornés du mot ; irréalisme général du public d
nt davantage à l’étreinte des lois : il érige donc le fait en réalité
absolue
, et la loi en expression plus ou moins symbolique
proposons de montrer d’abord qu’elle n’entraîne pas la détermination
absolue
de nos états de conscience les uns par les autres
ausalité que nous critiquerons en détail un peu plus loin, tient pour
absolue
la détermination des faits de conscience les uns
placé au dehors, rien ne distinguera notre activité, d’un automatisme
absolu
. Il importe donc de se demander si l’extension qu
au point de vue de l’associationnisme, il est difficile d’affirmer l’
absolue
détermination de l’acte par ses motifs, et celle
moi tout entier. En ce sens, la liberté ne présente pas le caractère
absolu
que le spiritualisme lui prête quelquefois ; elle
action accomplie aboutit, par un prolongement naturel, à en établir l’
absolue
nécessité. Bref, défenseurs et adversaires de la
nts futurs, quelque intelligence supérieure pourrait prédire avec une
absolue
certitude la décision qui en sortira. » — Nous co
s’accomplissant au sein de ce fluide équivaut en fait à l’immobilité
absolue
, puisque avant, pendant et après le mouvement rie
comme une courbe de son asymptote. Le principe d’identité est la loi
absolue
de notre conscience ; il affirme que ce qui est p
e qui est pensé est pensé au moment où on le pense ; et ce qui fait l’
absolue
nécessité de ce principe, c’est qu’il ne lie pas
nous la forme d’une succession dans le temps, fût équivalente, dans l’
absolu
, à l’unité divine : il supposait ainsi, d’une par
rente entre les phénomènes se ramenait à un rapport d’identité dans l’
absolu
, et, d’autre part, que la durée indéfinie des cho
el l’un devient l’autre ; tantôt on fixe son esprit sur la régularité
absolue
de ces phénomènes, et de l’idée de régularité on
et la conscience n’affirme pas, ne comprend même pas la détermination
absolue
des actes à venir : voilà donc tout ce que l’expé
ion — comme l’assertion contraire — implique l’idée d’une équivalence
absolue
entre la durée concrète et son symbole spatial :
milieu homogène, et à admettre sous une nouvelle forme l’équivalence
absolue
de la durée et de son symbole. En approfondissant
ceux qu’on regarde comme instruits et cultivés est dans l’incapacité
absolue
d’y atteindre. Oui, je l’avoue, la religion ratio
is tristes et solitaires ! Mais ils posséderaient l’infini, la vérité
absolue
, qu’ils devraient souffrir de les posséder seuls
ementales ; 2° qu’il n’y a pas, à l’époque où il est établi, de dogme
absolu
; que l’humanité, à ce moment, est sans foi et da
ssionne le plus est le plus vivant et le plus vrai. Ceux qui aiment l’
absolu
et les solutions claires en appellent volontiers
e façon aussi simple. On aura beau faire, on ne trouvera d’autre base
absolue
que la raison, et, avant que l’humanité soit arri
elle-ci a en elle sa raison et sa sanction. Le gouvernement est alors
absolu
et se fait au nom de la doctrine acceptée de tous
disait autrefois, que l’esprit est au-dessus de la chair. Et ce règne
absolu
n’est pas la tyrannie. La tyrannie ne commence qu
ciété entière accepte un dogme et proclame que ce dogme est la vérité
absolue
, et cela sans opposition, on est charitable en pe
elle, un seul acte de sévérité à faire pour maintenir sa souveraineté
absolue
, et cela devait être ; cette souveraineté était l
; cette souveraineté était légitime, acceptée ; nul homme ne fut plus
absolu
et moins tyran. La Restauration, au contraire, fu
sont pas mûres ; de même que ce n’est pas la force des gouvernements
absolus
, mais la dépression des sujets qui maintient les
ement il y a un demi-siècle à la cour de Weimar, sous un gouvernement
absolu
, que dans notre pays qui a livré tant de combats
les qu’il n’en eût trouvé à Tubingue ou à Iéna sous des gouvernements
absolus
. D’où viendrait l’obstacle ? De la timidité intel
fer. Si l’Église redevenait ce qu’elle a été au Moyen Âge, souveraine
absolue
, elle devrait reprendre ses maximes du Moyen Âge,
e plus que le protestant, l’athée plus que le déiste, et le sceptique
absolu
plus encore que l’athée. Quelques-uns essayent d’
aison de ses impressions. Il n’y a donc ni vrai ni faux d’une manière
absolue
; il n’y a que ce qui paraît vrai ou ce qui paraî
à l’affaire. On va même jusqu’à soutenir que l’hypothèse d’une vérité
absolue
est radicalement opposée à la liberté de penser,
roit de préférer le faux au vrai ? Tous ceux qui croient à une vérité
absolue
, et qui par conséquent se persuadent qu’ils sont
ment liées l’une à l’autre. Prétendre d’ailleurs qu’il y a une vérité
absolue
, ce n’est pas dire que cette vérité soit en la po
ue la vérité soit individuelle et qu’il n’y ait pas en soi une vérité
absolue
que chacun atteint dans la mesure où il le peut,
eur, et à celui-ci un autre, jusqu’à ce que vous arriviez à un tuteur
absolu
de la société tout entière ? Qui donc aurait le c
versent l’un l’autre et viennent successivement se déclarer principes
absolus
, il n’y a qu’une garantie pour tous, c’est la lib
ent, elles ne peuvent par conséquent nous renseigner sur le mouvement
absolu
de la Terre. C’est du moins ce qui est vrai en pr
Étoiles, et que les différences nous feraient connaître le mouvement
absolu
de la Terre dans l’espace. Ce serait là, sous une
me de seconde, mais après tout, disent quelques personnes, la vitesse
absolue
totale de la Terre est peut-être beaucoup plus gr
procédés physiques sont impuissants à mettre en évidence le mouvement
absolu
; je suis persuadé qu’il en sera de même des proc
if : car, si je sais d’avance que ce qui m’est enseigné est la vérité
absolue
, pourquoi me fatiguer à en chercher la démonstrat
e l’esprit humain engagé dans les voies du rationalisme à une rupture
absolue
, que d’abord il repousse, avec toute religion pos
illeuse, devenue à jamais impossible. Tout ou rien ; supernaturalisme
absolu
ou rationalisme sans réserve. La foi simple a ses
l’esprit humain comme une machine parfaitement exacte et adéquate à l’
absolu
. Des vues, des aperçus, des jours, des ouvertures
e, au contraire, ne conçoit en aucune circonstance ni la rétractation
absolue
ni l’immobilité prédécidée. Il veut que l’on se p
s’en tiendrait aux assertions du passé, en les acceptant comme vérité
absolue
et irréformable, ce jour serait le dernier de la
ique, en morale, en politique, l’homme aspire à tenir quelque chose d’
absolu
. Ceux qui font reposer la connaissance humaine et
ux vaut donc rester dans le champ de la nature humaine, ne chercher l’
absolu
que dans la science et renoncer à ces timides pal
devrait poser à la nature humaine ne serait plus alors de porter à l’
absolu
toutes ses puissances ; la civilisation aurait so
ée est supérieure selon l’esprit à celle qui l’opprime. Les partisans
absolus
de la nationalité ne peuvent être que des esprits
ignité, il faut placer un autre dogmatisme encore plus étroit et plus
absolu
, celui d’un bon sens superficiel, qui n’est au fo
rement politiques ; ce que je ne pense pas. Descartes était un esprit
absolu
, tout à fait dépourvu de critique ; il a bien pu
ode entre les faits ; mais on ne les prend pas comme ayant une valeur
absolue
et correspondant à des réalités physiques. 44. «
ans un but et par des moyens d’inutilité apparente et de satisfaction
absolue
. D’autre part, l’expression industrielle ou scien
la beauté. La poésie est une expression individuelle orientée vers l’
absolu
. La poésie est, par la beauté, l’expression humai
tir, la notion de Dieu se ramène fatalement à un développement vers l’
absolu
de la notion humaine. C’est l’histoire logique de
ement de l’homme tel que nous le connaissons : en d’autres termes, un
absolu
d’humanité. — Or, comment l’absolu pourrait-il au
nnaissons : en d’autres termes, un absolu d’humanité. — Or, comment l’
absolu
pourrait-il augmenter ou diminuer ? Il est ! Que
Sa forme, toutefois, varie. À travers les siècles et les latitudes l’
absolu
humain change indéfiniment. Mais ces variations n
soi, ou plutôt telle que la peut concevoir l’esprit humain illuminé d’
absolu
, est si naturelle, si instinctive, si foncière ch
e sensiblement constant. Ne serait-ce pas là un reflet du caractère d’
absolu
de la notion de beauté ? Constance de la quantité
ion et du caractère successif des conquêtes de la connaissance, que l’
absolu
de la vérité n’est pas une proie naturellement hu
’absolu de la vérité n’est pas une proie naturellement humaine. Car l’
absolu
ne saurait se décomposer et s’acquérir pièce à pi
omènes de la mémoire, n’est point en état de concevoir par soi-même l’
absolu
de la vérité. C’est pourquoi, malgré le respect q
illeusement le caractère successif de l’esprit humain et le caractère
absolu
de la vérité : en supposant le problème résolu !
irable, le prêtre et le martyr du plus haut idéal humain, le rêveur d’
absolu
, notre gloire et notre exemple, l’homme vraiment
éshéritée. Mais, disions-nous, la science ne dispose pas de la vérité
absolue
qui seule peut combler la soif de voir et de savo
lles, industrielles. Ces inventions qu’il sème dans son chemin vers l’
absolu
lui méritent l’estime des passants. Mais le Poète
res de nos jugements étaient données par la logique et par les formes
absolues
du langage ; Kant a déduit de ces formes absolues
e et par les formes absolues du langage ; Kant a déduit de ces formes
absolues
les notions a priori de l’entendement. De Brosses
ne abstrait et général, en vertu de la faculté fondamentale du moi, l’
absolu
, qui tient à notre nature d’être infini ; comment
ien plus éloigné qu’il ne le croyait. Et cependant il avait reconnu l’
absolu
dans le moi de l’homme exprimant par le son un ra
dans nos langues modernes : c’est l’individu frappé d’une incapacité
absolue
d’entrer jamais dans la communion civile. Ensuite
st-ce que l’immédiation, les modes mixtes de l’existence sensitive, l’
absolu
de la substance ? Le beau style ! Cet homme met d
titutrice du moi et l’idée de la notion de mon être au titre de force
absolue
, par la raison que je pense et entends la réalité
re de force absolue, par la raison que je pense et entends la réalité
absolue
de mon être, de la même manière que j’aperçois ou
stitutrice du moi et ridée de la notion de mon être au titre de force
absolue
, par la raison que je pense et entends la réalité
re de force absolue, par la raison que je pense et entends la réalité
absolue
de mon être de la même manière que j’aperçois ou
constitutrice du moi, idée de la notion de mon être au titre de force
absolue
, réalité absolue de mon être, immédiation entre l
moi, idée de la notion de mon être au titre de force absolue, réalité
absolue
de mon être, immédiation entre l’aperception et l
aissent, il est indispensable d’ajouter un nouveau principe également
absolu
: le principe de raison suffisante. Celui-là sera
ons en syllogismes. Qu’est-ce que le concept ? Ce n’est pas une unité
absolue
, car il doit, pour expliquer les choses, envelopp
s, envelopper la multiplicité. Ce n’est pas non plus une multiplicité
absolue
, car il ramène le divers à l’unité. Il représente
? La logique est, à coup sûr, le type le plus parfait de la nécessité
absolue
, mais elle présente un minimum d’objectivité. Ell
é, même si les êtres sont considérés comme libres. Elle est un maître
absolu
, mais infiniment éloigné de nous, une barrière in
atiques ? Il existe, semble-t-il, un moyen de maintenir l’objectivité
absolue
des mathématiques, en dépit des difficultés que l
er dans le monde ? Ces lois sont encore bien voisines de la nécessité
absolue
; mais elles sont aussi bien éloignées des choses
troit que les lois logiques, on ne peut dire quelles y introduisent l’
absolue
nécessité, car déjà elles ne comportent une déduc
e les ramener tous à l’unité, d’établir entre nous et eux, en un sens
absolu
, la relation métaphysique de sujet à objet ? Sans
us loin. En admettant même que nous éprouvions ce besoin impérieux et
absolu
de penser les choses, est-il certain que les caté
re qu’on se la représente : tous ces symboles, pris pour des réalités
absolues
, deviennent inintelligibles, ce qui ne paraîtra p
comprendre véritablement. Fichte, sous le moi conscient, place le moi
absolu
, de qui l’activité précède l’intelligence, et c’e
hoc inexplicable, explique le moi comme le non-moi. Chez Schelling, l’
absolu
deviendra l’identité du moi et du non-moi ; chez
dernière question : les lois mécaniques fondent-elles un déterminisme
absolu
? Il est peu d’hommes et même de métaphysiciens q
u ? Il est peu d’hommes et même de métaphysiciens qui acceptent comme
absolu
le déterminisme mécanique. On croit communément q
les conditions mêmes de la pensée, une conscience indéfinie de l’être
absolu
est posée comme nécessaire. (Prem. Princ., § 60 e
iel, comme toute induction, et il est difficile de la concevoir comme
absolue
. En effet, soit un ensemble de forces. Ou ce syst
s de déterminisme ne peuvent prétendre à l’exactitude et à la rigueur
absolues
. Elles ne peuvent, par elles-mêmes, dénoter un en
ence nous y autorise sensiblement. Mais qui nous dit qu’elles sont un
absolu
, qu’il existe ainsi un côté de la nature qui se s
l’on n’entend pas, au nom de la science, ériger l’atomisme en vérité
absolue
. Mais la métaphysique vient à l’appui de cette th
deurs ; mais on ne peut les mesurer absolument, car on manque d’unité
absolue
de mesure, et l’on ne saurait comparer l’atome au
nt, la flexibilité. Dès lors l’immutabilité n’est plus la marque de l’
absolu
, mais du relatif. La masse et l’énergie sont immu
ur ce point au témoignage de la conscience, c’est douter de la valeur
absolue
du mécanisme. Mais, dira-t-on, comment concevoir
ssent à la métaphysique, non à la science. Cela est vrai de l’origine
absolue
de l’être, non de l’origine chronologique du phén
un mot. Si nous croyons que le progrès de l’organisation a une valeur
absolue
, nous attribuerons aussi une valeur à l’intellige
classiques, repose sur un dualisme qui empêche le déterminisme d’être
absolu
. L’être est fait de deux pièces : la vérité, empi
tes, celle-ci incertaine. Intimement unies, elles fondent une science
absolue
de la réalité sensible elle-même. Les mathématiqu
ont parfaitement intelligibles et sont l’expression d’un déterminisme
absolu
; 2° les mathématiques s’appliquent exactement à
re et simple. Les premières expriment une nécessité rigoureuse, sinon
absolue
, mais restent abstraites et incapables de détermi
nd Sebond : mais justement le sens de tous ces beaux discours est une
absolue
condamnation du dessein de ce théologien, et dans
ire : la chose est grave. Plus grave encore cette lacune : le silence
absolu
que garde Montaigne sur sa mère : elle lui a surv
orances, erreurs, incohérences et contradictions, et conclut au doute
absolu
, universel. Logé au centre du livre, il en dégage
plus doux que prudent et juste : je quête partout sa piste… C’est une
absolue
perfection et comme divine, de savoir jouir loyal
st pas moins le fond et l’âme des Essais que le scepticisme. Avec une
absolue
conviction, Montaigne s’applique à jouir loyaleme
le gouvernement démocratique. Il conseillera la soumission au pouvoir
absolu
, et il n’estimera rien de plus dans le christiani
ce » ; il hait toute duplicité, toute trahison : il fait profession d’
absolue
franchise. Nulle utilité publique ou privée ne lu
tique, il achète la paix, l’ordre, de l’entière soumission au pouvoir
absolu
. En religion, il se règle sur le prince. En philo
les bases de la vie ; mais leur confiance dans l’esprit humain était
absolue
. C’étaient des croisés, à leur manière ; ils héri
n réalité, de fougueux croyants. Ils pratiquaient le désintéressement
absolu
; ils aimaient la glorieuse pauvreté. À toutes le
ions fondamentales de la marche de l’univers) a voulu qu’il planât un
absolu
mystère. En cet ordre d’idées, il faut se garder
enter à nous avec le double caractère d’impossibilités physiques et d’
absolues
nécessités morales. Si je vois la vertu songer tr
naire, de sage réserve et de prudente raison. Sa foi dans le bien fut
absolue
; les mobiles inférieurs de la vie, l’intérêt, le
, les croyances qu’elle déconseille au nom de notre ignorance de tout
absolu
, je viens, aux pages qui précèdent, d’en faire un
faction qui est le terme de la béatitude humaine. » Votre dévouement
absolu
à la science vous donnait le droit, Monsieur, de
, charmant, non pas le vrai arbitraire des métaphysiciens, ou le vrai
absolu
et abstrait du savant, mais ce vrai solide et épr
nos croyances, s’arrête seulement devant nos opinions, mais un doute
absolu
, qui embrasse tout, qui détruit tout pour tout re
ore que l’on proteste contre ceux qui voulaient imposer d’une manière
absolue
à tous les pays et à tous les temps cette concept
s’est trompé quand il a vu l’idéal des gouvernements dans la royauté
absolue
tempérée par des lois fondamentales. » Mais ce ne
une certaine mesure, peu à peu supprimées et absorbées par le pouvoir
absolu
; c’était l’histoire de l’Europe au moyen âge, au
ie de ce qui peut être. On est utopique en considérant comme un idéal
absolu
et éternel l’état de choses dans lequel on vit ;
? N’avait-il pas, lui aussi, le besoin de régner, le goût du pouvoir
absolu
, une involontaire répulsion contre tous ceux qui
par elle- même. « Il y a aux yeux de la raison une équation parfaite,
absolue
, nécessaire, entre l’idée de fin et l’idée de bie
e de finalité lui est apparu86. » Puisque la fin est le bien, la fin
absolue
de la création est le bien absolu ; or, ce bien n
Puisque la fin est le bien, la fin absolue de la création est le bien
absolu
; or, ce bien nous apparaît comme sacré ou obliga
. Et comme la fin de chaque être particulier est un élément de la fin
absolue
, le bien de chaque être particulier est un élémen
in absolue, le bien de chaque être particulier est un élément du bien
absolu
; il est donc sacré et obligatoire. En d’autres t
tique de la vertu. Mais d’autre part, en vertu de l’axiome que la fin
absolue
d’un être est appropriée à sa nature, et en vertu
stantisme, qui venait de chasser les Stuarts et d’abolir la monarchie
absolue
, paraissait le gardien de la Constitution et le l
a vitesse par rapport au Soleil ou aux Étoiles fixes, mais sa vitesse
absolue
. Je sais bien ce qu’on va dire, ce n’est pas sa v
tesse absolue. Je sais bien ce qu’on va dire, ce n’est pas sa vitesse
absolue
que l’on mesure, c’est sa vitesse par rapport à l
hose, nous serons toujours libres de dire que ce n’est pas la vitesse
absolue
, et si ce n’est pas la vitesse par rapport à l’ét
té, il n’aura aucun moyen de savoir s’il est en repos ou en mouvement
absolu
. Cela malheureusement ne suffit pas, et il faut d
ère2 pas plus qu’aucune température ne peut tomber au-dessous du zéro
absolu
. Pour un observateur, entraîné lui-même dans une
sant l’attitude contraire, de se supprimer elle-même. Par le triomphe
absolu
de l’attitude subjective, il arriverait en effet
ême que comme objet, s’abîmerait dans l’inconscience. Par le triomphe
absolu
de l’attitude objective, l’objet, faute d’un suje
ec elle quelque réalité, qu’autant qu’elle ne parvient pas à un règne
absolu
, qu’autant qu’elle demeure limitée et définie par
s du monde psychologique et physique comme des formules d’une rigueur
absolue
: mais le progrès de l’esprit scientifique ne tar
Toutes les autres règles sont fautives et mensongères dans leur forme
absolue
. Les règles générales ne sont que des expédients
losophie comme l’étude de l’homme envisagé d’une manière abstraite et
absolue
, et non comme l’étude de l’éternel fieri. La scie
la catégorie de l’être, la conception du relatif à la conception de l’
absolu
, le mouvement à l’immobilité. Autrefois tout étai
on parlait de droit, de religion, de politique, de poésie d’une façon
absolue
99. Maintenant tout est considéré comme en voie d
s orientalistes se rendent souvent ridicules en attribuant une valeur
absolue
aux littératures qu’ils cultivent. Il serait trop
te, les contradictions. Je voudrais bien savoir comment les critiques
absolus
feraient pour prouver que ce poème est en effet s
i rationnelle devinée par miracle au milieu des saturnales du pouvoir
absolu
. La vraie littérature d’une époque est celle qui
nt des fragments de dessins empruntés aux vieux temples. L’admiration
absolue
est toujours superficielle : nul plus que moi n’a
des œuvres primitives est possible. Tout point de vue dogmatique est
absolu
, toute appréciation sur des règles modernes est d
es traces des apologistes. Ceux-ci prenaient la Bible comme une œuvre
absolue
, en dehors du temps et de l’espace ; Voltaire la
levé de verve. Sa conclusion est que l’Art échappe à toute définition
absolue
, que l’idée de Beauté est essentiellement variabl
rs, c’est que, dans les œuvres du génie s’affirme avec une continuité
absolue
la concordance des rêves artistiques avec les dir
due avec la simplicité, leur paraissaient des conditions nécessaires,
absolues
de l’œuvre d’art, et ils n’admettaient comme arti
cultes distincts de la même religion chrétienne. Enfin, dans un sens
absolu
, on entend par Religion ce sentiment mal défini e
car il n’est plus libre, puisqu’il doit se conformer à des doctrines
absolues
et formelles. Nous aurions ainsi un art sectaire,
nt l’inexorable cruauté de la vie, il se met en opposition manifeste,
absolue
, avec la religion de son temps, avec le dogme rom
. Les idées thématiques sont d’une plasticité admirable, d’une clarté
absolue
; les combinaisons thématiques, les contrepoints,
tous dans un même sens, mais à des degrés divers, et non d’une façon
absolue
et identique. Voilà ce que le comte Tolstoï sembl
tion. Les poèmes dramatiques de Wagner ne sont pas des drames au sens
absolu
du mot : il y a beaucoup trop de lyrisme en eux p
œuvre d’art où ces deux modes d’expression réunis tireraient de leur
absolue
pénétration réciproque la faculté d’exprimer, de
de la vie idéale, au sentiment de la généralité, à la vision du monde
absolu
, intégral dont il n’est lui-même qu’une manifesta
t, il dit naïvement : Il est parti. Et cette image est d’une justesse
absolue
. Il semble que nous soyons transportés dans un au
ion en Dieu, c’est-à-dire dans le principe d’unité, dans la substance
absolue
, tout comme la jouissance esthétique. Nous retrou
? n’est-ce pas l’effacement, l’abandon de notre personnalité, le don
absolu
de soi qui nous plonge dans le ravissement, qui n
ns plus de corps ; nous sommes de purs esprits ; c’est le ravissement
absolu
de l’intuition. C’est là le triomphe de l’Art ; q
commet l’imprudence de faire de la contagion artistique le critérium
absolu
de la valeur artistique d’une œuvre : « C’est, di
de beaucoup, qu’on la puisse ériger en élément essentiel, en critère
absolu
. L’émotion unissant momentanément un grand nombre
inférieur une œuvre d’ordre supérieur. La contagion n’est complète et
absolue
que lorsque les facteurs en jeu sont d’égale vale
que nous puissions goûter. Tout cela est d’ailleurs en contradiction
absolue
avec la thèse socialiste de Tolstoï ; il ne sait
cherché à détruire cette vérité, parce qu’elle était en contradiction
absolue
avec l’idée qu’il a du but humanitaire, mi-social
à l’autre et dont l’union intime peut seule constituer l’œuvre d’art
absolue
. À l’élément dionysien se rattachent toutes les s
forme des phénomènes ; elle constitue elle-même une forme abstraite,
absolue
et complète. C’est pourquoi, ainsi que Wagner l’a
laisir particulier, précisément parce qu’elle est elle-même une forme
absolue
, une représentation complète en soi et par soi, d
duire au moyen des sons l’extériorité des choses, n’est plus, au sens
absolu
, de la musique. Et Wagner a raison lorsque, dans
son domaine propre. Elle cesse d’être la poésie intime, l’expression
absolue
de la vérité ; elle n’est plus qu’une contrefaçon
rime à la traduction de nos sentiments, tout en leur laissant la plus
absolue
vérité, qui fait qu’elle ajoute tant de force aux
nt portés, grâce à la faculté de généralisation de la Musique, à leur
absolue
puissance expressive, et vous comprendrez ce que
préoccuper de l’exactitude historique de son exposé ni de la rigueur
absolue
de ses déductions, Wagner nous dit les doutes qui
par l’impérieuse beauté de l’art wagnérien avait eu la compréhension
absolue
et complète du phénomène esthétique dont il est l
téristique : le sentiment tragique est d’une sincérité, d’une naïveté
absolues
. La conception pessimiste de la vie est fondament
raître la véritable musique moderne, celle qu’on a appelée la musique
absolue
, la musique pure, dégagée de toute alliance avec
xprime l’idée de la souffrance irrémédiable de la vie, de la Détresse
absolue
et éternelle de l’humanité, d’une façon plus poig
mot, à la nature, par quoi lui vient ce caractère du nécessaire, de l’
absolu
dont parle Nietzsche. Toute œuvre d’art véritable
ite de tout cela, la note dont il s’agit n’a aucun sens, elle est une
absolue
aberration, puisque Emile Geyer était bien authen
choc de deux individualités supérieures l’une et l’autre, entières et
absolues
l’une comme l’autre et qui se sont heurtées avec
Bonn ; il n’y a aucune apparence qu’il reprenne jamais le complet et
absolu
empire qu’il exerça au début de ce siècle. Beetho
es révoltes qui attestent la complexité de sa nature. Il est un homme
absolu
et complet, un produit fruste et merveilleusement
de son temps et le détache de lui. Il n’est pas transitoire : il est
absolu
et supérieur, en dépit des particularités qui le
es notations : « Sébastien Bach. — Quand ce n’est pas en connaisseur
absolu
et expert du contrepoint et de toutes les espèces
ils ont raison. Nietzsche est loin d’ailleurs de prêcher une liberté
absolue
à cet égard ; il est plutôt classique et conserva
la notion exacte des choses. Revenant à ce qu’on appelle la « musique
absolue
», il n’a pas su se retrouver, ni retrouver en el
ace et de culture différentes, un même rythme jamais. Le rythme est l’
absolu
de la musique ; il en est la loi mathématique ; i
plus tôt serait autre que s’il était venu dix ans plus tard. Cela est
absolu
. Mendelssohn développant un jour cette idée devan
me paraît établir avec une parfaite rigueur qu’il y a un déterminisme
absolu
des phénomènes tout aussi bien dans l’ordre de la
Enfin ils le placent jusqu’en Dieu lorsqu’ils lui prêtent une volonté
absolue
, supérieure au bien et au mal, au vrai et au faux
al, au vrai et au faux, décidant et créant par un sic volo, sic jubeo
absolu
. Ils ne s’aperçoivent pas que cette volonté souve
entendre et se concilier. Il est même telle question où la séparation
absolue
est impossible, et où le métaphysicien ne peut pa
y a donc un circulus vital, mais qui n’a pas en lui son commencement
absolu
, et qui, même lorsqu’il nous apparaît comme entiè
à l’état de nos connaissances, et nul ne peut affirmer d’une manière
absolue
que deux ordres de causes ne se réduiront pas plu
ard lui-même signale le fait caractéristique qui sépare d’une manière
absolue
les corps vivants des corps bruts, et il n’hésite
t que la raison arrive à déclarer qu’ils ne constituent pas la vérité
absolue
. Il n’y a pas un seul anneau de cette chaîne qu’o
une pensée prolongée. D’un autre côté, niez l’immortalité d’une façon
absolue
, et aussitôt le monde devient pâle et triste. Or,
pièce, il sera donc réduit à nier et exclure. La critique mesquine et
absolue
vient toujours de ce qu’on envisage chaque dévelo
s nous résigner à croire que l’une possède plus que l’autre la vérité
absolue
. Tout en reconnaissant volontiers que la grande o
atique, nous ne percevons pas avec moins de certitude l’impossibilité
absolue
de renfermer à l’avenir l’esprit humain dans aucu
trines, et comment concilier avec une telle vue réfléchie la croyance
absolue
? Il faut donc dire sans hésiter qu’aucune secte
tôt un fantaisiste connaisseur qu’un critique intégral, transcendant,
absolu
, il n’en veut pas moins être un critique. Il a eu
politique n’a ni la profondeur, ni l’unité, ni les qualités nettes et
absolues
d’une histoire. Excepté dans deux chapitres dont
épouvante, à Chasles le protestant, le libéral moderne, le haïsseur d’
absolu
tout le long de son livre, c’est cet absolu de Jo
al moderne, le haïsseur d’absolu tout le long de son livre, c’est cet
absolu
de Joseph de Maistre. Eh bien ! Chasles, plus int
u beau. Il l’eut moins, pourtant, quand il se rencontra avec un autre
absolu
dans son chapitre sur Macaulay. Il y trouva Jacqu
Il y trouva Jacques II (Histoire de Guillaume III), Jacques II, aussi
absolu
dans l’ordre de l’action que J. de Maistre dans l
d’erreur, lorsque ainsi le relatif nous apparaît comme la forme de l’
absolu
sur la terre, l’absolu comme un but éternellement
i le relatif nous apparaît comme la forme de l’absolu sur la terre, l’
absolu
comme un but éternellement poursuivi mais éternel
avait suffi ; maintenant l’examen devient un devoir. L’autorité et l’
absolu
ont disparu du même coup, et puisque la vérité n’
est un des nobles types des esprits sérieux qui croient à une vérité
absolue
, qui, même lorsqu’ils ont le sourire fin, ne l’on
tant usé et abusé des mots passé et avenir ; ils ont pour lui un sens
absolu
; ce sont des êtres complets, déterminés, des abs
lus complexes, sur une réalité moins précise, sur des principes moins
absolus
, et il est souvent fort délicat de retenir le fil
cela témoigne que le but de l’art n’est pas l’imitation rigoureuse et
absolue
. Poussant plus loin l’étude des faits, on remarqu
monde peut réclamer le privilège par le premier axiome, et la défense
absolue
devient une tolérance générale ; et comme en géné
ne faut pas, dans un raisonnement, se fonder, à moins d’une nécessité
absolue
, sur les décisions paradoxales du sens propre, ma
roit égal des autres activités. Mais quand on en déduit que l’égalité
absolue
, toute supériorité abolie avec toute distinction,
On peut distinguer ici deux sens du mot antinomie : un sens strict ou
absolu
et un sens large ou relatif. Au sens strict, ant
’une est, l’autre n’est pas. — Si l’on donne au mot antinomie ce sens
absolu
, on ne peut parler d’antinomie entre l’individu e
est le seul acceptable. Il ne peut être question d’antinomies au sens
absolu
qu’à propos de thèses et d’antithèses métaphysiqu
et qui ne sont que des couples de notions contradictoires érigées en
absolus
, chacune de son côté, par la vertu d’un artifice
ipaux représentants de la pensée individualiste. Stirner est un athée
absolu
dans l’ordre social et moral comme dans l’ordre r
re. Maintenant, dans un Journal, comme celui que je publie, la vérité
absolue
sur les hommes et les femmes, rencontrés le long
es instantanés, la vérité agréable, l’autre vérité qui fera la vérité
absolue
, viendra vingt ans après ma mort. Edmond de Gonc
ont Tertullien, Luther, Pascal, Lamennais, et en général les croyants
absolus
et extrêmes ; ou bien la considérer comme une pré
’est que la foi, quand elle est acceptée, a un caractère de confiance
absolue
qu’une opinion philosophique, quelle qu’elle soit
qu’une sorte de philosophie. Enfin n’oublions pas que cette confiance
absolue
que donne la foi, elle la donne dans toutes les r
out tous les problèmes, que le peut être le chrétien. Cette confiance
absolue
peut donc se rencontrer avec l’erreur, et n’est p
vous n’aurez d’abord rien prouvé : supériorité ne signifie pas vérité
absolue
. La religion des Turcs est supérieure à celle des
En un mot, il n’y a que deux états d’esprit qui donnent la certitude
absolue
: la foi et la science. D’une part, la certitude
d’autre autorité que l’Écriture, et donne à chaque individu le droit
absolu
de décider en matière de foi ? On sait de plus qu
domaine de la religion est d’une tout autre nature ; c’est la vérité
absolue
. Il n’y a qu’une vraie religion, il n’y en a pas
ossibilité de nous « substituer » l’un à l’autre ? Or l’hétérogénéité
absolue
de deux êtres semble leur interdire a priori, en
habitudes et leurs dieux, leur race91. Que des différences juridiques
absolues
coexistent avec des ressemblances physiques sensi
ogénéité. » Devons-nous donc conclure de tout ceci que l’homogénéité
absolue
des groupements est la condition nécessaire et su
randir sans perdre de son homogénéité. D’où il suit que l’homogénéité
absolue
des cercles sociaux parce qu’elle entraîne leur é
its propres à la personne soient formellement méconnus. L’homogénéité
absolue
fait les sociétés non pas seulement fermées, mais
œuvres ». Devons-nous donc conclure de tout ceci que l’hétérogénéité
absolue
des sociétés est la condition nécessaire et suffi
également des hommes. Il faut donc le reconnaître ; si l’homogénéité
absolue
d’une société nous empêche de voir l’individu, so
olue d’une société nous empêche de voir l’individu, son hétérogénéité
absolue
nous empêche de voir l’humanité ; et, par suite,
portance immortelle, mais consent à jouir sans fracas d’une pérennité
absolue
; ici, la vanité, remplaçant l’orgueil, écarte l’
nnité absolue ; ici, la vanité, remplaçant l’orgueil, écarte l’idée d’
absolu
, ou, se déclarant incapable de l’atteindre, s’acc
parade et qui perd en bruit répandu par le monde ce que l’immortalité
absolue
gagne en profondeur et en orgueilleuse humilité.
égitime et qui concorde assez bien avec les faits, car les déchéances
absolues
sont presque aussi rares que les réhabilitations
e. La découverte même d’un papier inaltérable ne serait pas une cause
absolue
de survie, à cause de la tentation d’employer à m
es morts et les survivants sont des héros. On peut juger de la valeur
absolue
, mais non de la valeur relative de ce qui reste :
n’a fait que poser un axiome physiologique et d’une vérité humaine si
absolue
, qu’elle eût été comprise par les plus anciens et
elle n’a ni commencement, ni fin ; elle est ce qu’elle est, elle est
absolue
. Cependant le désaccord est complet entre la véri
atérielle ; l’organe meurt, par lequel l’homme se pense immortel et l’
absolu
est vaincu par la réalité. Le désaccord est compl
y a une esthétique, cela nous oblige à reconnaître qu’il y a un beau
absolu
, et que les œuvres sont jugées belles en proporti
complexes du mensonge21. Il est bien évident qu’il n’y a pas de beau
absolu
, non plus que de vérité, de justice, d’amour. La
ur heureuse et méritoire d’avoir fait du cerveau de l’homme le centre
absolu
de l’homme ; mais c’est une erreur. Le seul but n
ces, d’habitudes, et il s’est formé un canon dont la forme, sans être
absolue
, n’oscille à un moment donné qu’entre certaines l
oût et comme l’odorat. Jadis on avait imaginé un goût en soi, un goût
absolu
qu’on adorait dans un temple. Rien de plus ridicu
roit d’exiger de nous le partage de ses enthousiasmes. Il n’y a pas d’
absolu
esthétique. Ce qui est beau, c’est ce qui nous ém
e science, son intérêt et sa légitimité ne lui confèrent pas un droit
absolu
à la régence des esprits. On conviendrait même vo
e future, l’instruction peut avoir une importance très grande et même
absolue
; elle peut être la condition nécessaire de certa
ulière : les aiguilles de bois ou de fer représentent la civilisation
absolue
. Il faut en tout distinguer l’essentiel et ce qui
nconsciente ; le mensonge est la base même du langage et sa condition
absolue
. L’analyse des faits linguistiques démontre cela
pent presque jamais. Ceux qui parlent de la loi, de l’impératif, de l’
absolu
, les aprioristes en un mot, se trompent presque t
iproquement. Mais il ne faut pas créer par esprit de contradiction un
absolu
antinomique à l’absolu chrétien. Il n’y a que des
faut pas créer par esprit de contradiction un absolu antinomique à l’
absolu
chrétien. Il n’y a que des accidents. Il y a des
qui ne sont pour lui que des erreurs ; car il croit à la Vérité, à l’
absolu
, à la prédestination, au ciel et à l’enfer. Ce n’
n’y a presque plus rien d’évangélique. Cette morale qui nie la morale
absolue
n’est autre chose qu’une suite de conseils critiq
e distinguo, c’est le nom enfantin de la dissociation. Il n’y a pas d’
absolu
, il faut à chaque pas, le long du chemin des idée
e celle de l’empirisme. La morale est l’expression de la volonté de l’
absolu
, ou rien, ou un code d’usages. Dieu écarté, la mo
s mots « saints » ! La conscience morale, pour cet esprit simple, est
absolue
. Elle ne comporte aucun degré. Tous les hommes on
testé). En conclusion, ou bien l’idéalisme engage au désintéressement
absolu
de la vie sociale ; ou bien, s’il condescend à la
mment ce mot qui semble strict et précis, implique, au contraire, une
absolue
licence d’idées et de formes, j’invoquerai de pré
omme personnel, c’est-à-dire comme transitoire, et que ce qu’il y a d’
Absolu
vraiment est incogniscible et hors d’être formulé
ible et hors d’être formulé en symboles ; ce n’est donc qu’au relatif
absolu
que vise le Symbolisme, à dire ce qu’il peut y av
use au joug d’une formule passagère, mais il dénie la domination de l’
absolu
humain, — lequel n’est d’ailleurs que la moyenne
gements, des plaisances de la moyenne humanité. Il peut violenter cet
absolu
, il peut balafrer la Beauté, — et répondre : « Vo
enter cet absolu, il peut balafrer la Beauté, — et répondre : « Votre
Absolu
n’est pas le Mien », et : « Il me plaît de balafr
— et différentes variétés de génies selon que ces prédominances sont
absolues
ou mélangées. Donc, si les êtres supérieurs diffè
s » de la part de l’implorant. On l’invoquait encore avec une presque
absolue
sécurité contre la stérilité, à condition toutefo
ussi est une proie ; mais sa capture ne lui enlève qu’un peu de force
absolue
. Sa force relative n’est pas atteinte, puisque to
uvre soit voulue en même temps d’art et de moralité ; l’antinomie est
absolue
. Cependant la tendance des hommes est de faire se
et quelques autres reporters. 54. Schopenhauer. 55. Quant au sujet
absolu
, la substance, elle ne peut pas être dans les phé
énomènes extérieurs, autrement, elle serait conditionnelle et non pas
absolue
. Pour que cette substance devienne une pensée, il
oi ; elle dépendra alors du sujet pensant. Pour que la substance soit
absolue
, il faut qu’elle soit la substance des phénomènes
on ? Il y a même ici, pour le continuateur du chef-d’œuvre, un mérite
absolu
qu’il ne partage plus et qui reste exclusivement
faire jeter son cri le plus pathétique et le plus vrai. Or, ce mérite
absolu
, qui appartient en propre au continuateur du chef
puissantes sensations. Conçue avec une rare grandeur et un dévouement
absolu
à l’art et à la science, les deux choses auxquell
religion pour sa pensée, les illusions de tous ceux qui pensent que l’
absolu
peut se réaliser sur la terre ? Seulement, ce jou
, mais pour qu’il en fût ainsi, il faudrait une indépendance d’esprit
absolue
, presque aussi rare que ce diamant bien, — l’orig
philosophie et archaïste en littérature — une supériorité tranchée et
absolue
, doit-il être pour nous une pareille supériorité
tat de théorie, et qui a droit de retour et de despotisme si elle a l’
absolu
d’une vérité ; Or, pour M. Girard, elle l’a certa
de son faire, jamais la raison humaine, la raison profonde, la raison
absolue
… Et je le crois bien ! Thucydide lui-même, ce Gre
de produire, avec toutes les prétentions à la science et à la vérité
absolue
(il faut bien dire le mot, quoiqu’il répugne), de
s annonçait, et qu’il n’y eût plus, après lui, qu’à faire une théorie
absolue
et élever à la hauteur d’une loi le désespoir imp
llemands dont il a été, selon M. Caro, le précurseur dans la négation
absolue
, dans l’inepte mépris de l’existence, dans l’impi
ssimistes de la science et de la pensée, qui veulent supprimer le mal
absolu
, le mal ontologique de la vie, sont je ne sais qu
onne un intérêt momentané, mais qui leur ôte par là même cette valeur
absolue
à laquelle prétend l’œuvre d’art. Il existe, au-d
qu’aux idées étrangères. Formée à l’époque classique de la monarchie
absolue
, la langue française a gardé de cette tutelle que
cesse autour d’un centre inabordable, ils ont l’âme comme béante d’un
absolu
qui leur échappe. Si l’obligation morale ne s’aff
’infini. Dès lors, il est vrai, l’infini change de nom et s’appelle l’
absolu
. L’obligation morale possède seule le pouvoir de
L’obligation morale possède seule le pouvoir de nous faire réaliser l’
absolu
dans la dépendance. Voilà ce qu’Amiel n’a jamais
ependant la loi morale nous a toujours rassuré. Ce qui est soumis à l’
absolu
de ses impératifs ne saurait périr, parce qu’il p
solu de ses impératifs ne saurait périr, parce qu’il participe de cet
absolu
. Quand la vie de l’homme ne serait qu’une seconde
erdu la mesure des réalités terrestres : « Une fois qu’on a tâté de l’
absolu
, tout ce qui pourrait être autrement qu’il n’est
’acte, il faut avoir foi dans l’importance de cet acte. La conscience
absolue
de notre contingence aboutirait au bouddhisme. De
étend maintenir ses commandements, même irréalisables, comme la norme
absolue
de ce qui doit être. Prétentions sublimes, mais a
toutes les apparences contraires, que le bien est voulu d’une volonté
absolue
. » Magnifique triomphe de la foi sur la vue, dont
nt de la littérature et des hontes de la passion, avec une incapacité
absolue
d’abdiquer le métier d’homme de lettres et de qui
formations qu’elle amène, surtout lorsqu’elles s’accomplissent avec l’
absolue
sincérité que l’on voit en Scherer et chez un hom
ettrons aussi celle de l’intelligence et nous trouverons dans le fait
absolu
de l’obligation le point d’appui et le critère in
tée du maître. D’où il résultait que l’inspiration était littérale et
absolue
; que le fond et la forme, l’esprit et la lettre
droit divin ? Cela était presque inévitable. Ajoutez que le besoin d’
absolu
propre aux convictions impérieuses, l’ignorance h
prêche de temps à autre avec l’irrésistible efficace des convictions
absolues
et ferventes. M. E. de Pressensé, dans sa magistr
e ces subterfuges, de ces préjugés ou de ces indolences. Son besoin d’
absolu
, l’intrépide sincérité de son esprit répugnaient
de ces faits, le Nouveau Testament peut-il remplir le rôle d’autorité
absolue
vis-à-vis, soit du simple fidèle, soit même du sa
choses qu’il nous importe le plus de connaître ; c’est une certitude
absolue
que réclame notre foi ; et la rédemption est pour
ers l’espace vide de la spéculation dialectique ; cherchant en vain l’
absolu
, libérateur de ses doutes, et ne le trouvant que
e que le pécheur, placé sous l’influence de son péché, le sente comme
absolu
et irrévocable, c’est-à-dire comme péché, et il s
itiative personnelle et vivante d’un amour suprême qui oppose au fait
absolu
du péché le fait absolu du pardon. La conception
vivante d’un amour suprême qui oppose au fait absolu du péché le fait
absolu
du pardon. La conception de Scherer abolit la cro
pas libre. Ce qui revient à dire que l’homme n’est pas libre au sens
absolu
, mais seulement au sens relatif du mot. » « Le se
Elle se montre et ne se démontre pas. Scherer a raison : « La liberté
absolue
ou liberté d’indifférence est une notion qui se p
niverselle, primaire et permanente, parce que seule réalisant un mode
absolu
, l’obligation se trouve aux sources mêmes de la v
l’homme n’est pas libre, Dieu ne l’est, pas davantage, et le monisme
absolu
préside à l’évolution cosmique. C’est le sujet de
onstitue sa vérité. L’édifice du monde ancien reposait sur la foi à l’
absolu
. Religion, politique, morale, littérature, tout p
on maîtresse de Scherer, peut-être son unique passion, fut celle de l’
absolu
. Un noble et pressant besoin d’unité synthétique
nelle. La crise qu’il traversa se peut définir : une banqueroute de l’
absolu
. Seulement, à mesure que l’absolu se dérobait à s
peut définir : une banqueroute de l’absolu. Seulement, à mesure que l’
absolu
se dérobait à son esprit, la soif de l’absolu sub
ulement, à mesure que l’absolu se dérobait à son esprit, la soif de l’
absolu
subsistait dans son esprit, en sorte que, par un
e que, par un revirement naturel, il se fît du relatif même un nouvel
absolu
et s’y attacha aussi absolument qu’il s’était att
olu et s’y attacha aussi absolument qu’il s’était attaché d’abord à l’
absolu
. Sa seconde croyance devint impérieuse autant qu’
Scherer n’a jamais trahi sa passion dominante, et que le besoin de l’
absolu
inspirait la pensée du sceptique de Versailles co
! Et si c’est vrai, — ce que j’ose hasarder, — si les hommes de force
absolue
n’ont pas, comme je le crois, dans leur vie, de v
s écrasant de clarté que dans le Pape, mais il y est intégral (déjà),
absolu
, péremptoire, avec cet éclair à la cime d’une phr
i fut peut-être le plus calme des hommes de génie (il a le calme de l’
absolu
), comme le plus violent des violents ; mais c’est
ns réelle que la tendresse de son âme, continuent d’appeler un esprit
absolu
et dur parce qu’il ne croit pas que la vérité se
’on peut tout dire aux Français ; la manière fait tout. » Les esprits
absolus
et cruels se soucient bien de la manière ! Resten
oseph de Maistre en ces quelques pages qu’on pourra juger de l’esprit
absolu
de cet absolutiste tout d’une pièce, que nous mai
isser tranquilles ? À quoi bon tant d’agitation ? Constitutionnels ou
absolus
, le plus avantageux pour les souverains est de ne
quable, c’est que, cherchant les moyens de remplir sa mission de chef
absolu
d’un grand peuple, l’Empereur a appelé à ses cons
ici dans le rêve que pourrait-on attendre aujourd’hui d’un monarque
absolu
qui, un siècle après la Révolution, aurait, au fo
ançois Ier inaugure une royauté nouvelle. II. — Ère de la royauté
absolue
: de 1520 à la Révolution Je dénomme cette deu
hui. Le principe de la raison universelle est à la base de la royauté
absolue
; il atteint son apogée dans la gloire du xviie
ecte aux contradictions de l’individu, mène insensiblement à l’empire
absolu
de la raison. Qui lit Montaigne par fragments, de
e Longueville. La raison d’État, qui s’impose avec une évidence aussi
absolue
, mène à l’héroïsme, qu’il ne faut pas confondre a
e complication, le caractère cornélien serait une ligne droite dans l’
absolu
. Si l’offenseur de Don Diègue n’était pas, par ha
d’hui universellement admiré. Cette admiration va même si loin dans l’
absolu
, qu’elle néglige tout un côté de Molière, le dram
et l’imprévu vous soulèvent dans une saine gaîté, dans une allégresse
absolue
de l’esprit ; mais il a autre chose encore : il a
ariés, dans les œuvres de valeur relative comme dans celles de valeur
absolue
; par exemple : le moule rigide étouffant l’espri
ique incomplet. Son art fait précisément qu’on voit surtout la valeur
absolue
des Caractères ; leur valeur relative est considé
légiée, l’idée de la raison universelle au rationalisme. — La royauté
absolue
a perdu la conscience de ses devoirs ; elle décli
et non par les dynasties, il fallait bien qu’à la chute des royautés
absolues
les nations prissent conscience d’elles-mêmes, s’
ffet. » L’esprit peut deviner, par intuition, une loi logique, dans l’
absolu
; les formes innombrables de la relativité lui éc
de l’époque a trouvé, créé, sa forme adéquate ; ce sont des œuvres d’
absolue
beauté. Ailleurs, il y a le plus souvent conflit
listes, ils sont bien de leur temps ; précieux à consulter. La valeur
absolue
de Dumas ? La sympathie que j’ai pour ses idées (
é et la théocratie ont fait la France en la menant jusqu’à la royauté
absolue
; la royauté, supprimant la féodalité, a développ
éé une littérature européenne où la France ne règne plus en maîtresse
absolue
; mais son rôle au xxe siècle n’en demeure pas m
er que des sentiments excessifs, la haine la plus violente ou le plus
absolu
dévouement. Lui-même ne ressentait rien à demi. S
nt à un fond de choses que nous croyons en lui expirant. La peur de l’
absolu
, qui a fait se taire Villemain devant cette figur
lle il ne touchera pas (et ce livre-ci nous en console), la peur de l’
absolu
a-t-elle troublé un esprit fait pour le regarder
oire VII, presque autant que pour la penser, il faut avoir en soi cet
absolu
que Grégoire avait dans le génie, dans le caractè
rapport à la masse du corps : il ne compense donc pas son infériorité
absolue
par une supériorité relative. » Enfin Gratiolet n
des fonctions n’entraîne pas nécessairement l’idée d’une infériorité
absolue
. Vient ensuite la comparaison des différentes rac
èbre romancier avait déjà exposé cette théorie dans la Recherche de l’
absolu
. « L’homme, disait-il, est un matras. Selon moi,
la forme fait défaut, on invoque le poids : tantôt on parle du poids
absolu
, tantôt du poids relatif. Faut-il chercher la sol
erait qu’à être cultivée. D’ailleurs, pour pouvoir nier d’une manière
absolue
l’aptitude de telle ou telle race à la civilisati
ermes que d’appeler démocratie le règne et le progrès de la monarchie
absolue
? Sans méconnaître ce que Henri IV, Richelieu et
’école doctrinaire, que le seul souverain légitime, le seul souverain
absolu
, ce n’est pas le prince, ce n’est pas le sénat, c
d progrès dans la science d’avoir établi que nulle souveraineté n’est
absolue
, pas même celle du peuple ; mais ce point une foi
s plus sages gouvernent, mais cela ne constitue pas pour eux un droit
absolu
: je dois de la déférence à celui qui est plus sa
queville, car cet esprit de nivellement à outrance appelle le pouvoir
absolu
, soit qu’il triomphe, soit qu’il succombe. Il en
Il nous semble que M. de Tocqueville pose la question en termes bien
absolus
, lorsqu’il n’admet aucun milieu entre la foi avec
vinés à priori. Sans doute on peut bien fonder une sorte de politique
absolue
en partant de l’idée de la nature humaine et de l
lativité de notre connaissance ou qu’elle prétende s’installer dans l’
absolu
, une philosophie est généralement l’œuvre d’une p
que le cadre contient. A un dogmatisme métaphysique, qui érigeait en
absolu
l’unité factice de la science, succédera maintena
hilosophie oscillera désormais entre la doctrine qui tient la réalité
absolue
pour inconnaissable et celle qui, dans l’idée qu’
non pas le détail de sa réalisation, on peut dire qu’elle touche à l’
absolu
. Au contraire, c’est par accident, — chance ou co
e notre connaissance, scientifique ou métaphysique, se relève. Dans l’
absolu
nous sommes, nous circulons et vivons. La connais
volonté : c’est dire que nous ne tombons jamais dans cette passivité
absolue
, pas plus que nous ne pouvons nous rendre absolum
la même chose) parce qu’il n’attribuait pas à la durée une existence
absolue
, ayant mis a priori le temps sur la même ligne qu
assurée, selon les cas, et qu’elle prend le caractère d’une certitude
absolue
lorsque le microcosme considéré ne contient que d
a bouillir aujourd’hui comme elle faisait hier, et que cela est d’une
absolue
nécessité je sens confusément que mon imagination
tous les genres sur le même rang, à leur attribuer la même existence
absolue
. La réalité devenant ainsi un système de genres,
ne et définitive, embrassant la totalité du réel et coïncidant avec l’
absolu
, les anciens durent s’en tenir, en fait, à une tr
e tout entière, comme le voulaient les anciens, en coïncidence avec l’
absolu
. C’est un fait remarquable que l’éclipse du probl
contraire, de le subir ; mais, si peu qu’elle l’entamât, c’est dans l’
absolu
même qu’elle aurait mordu. Allons plus loin : l’a
ment conçus comme relatifs. Que si l’on veut se les représenter comme
absolus
, on s’aperçoit qu’involontairement on va et vient
s adversaires, qu’il n’y a pas de durée réellement agissante et que l’
absolu
— matière ou esprit — ne saurait prendre place da
la matière avec l’espace abstrait, et par conséquent une extériorité
absolue
de toutes les parties de la matière les unes par
se toute imagination et qui équivaut, pratiquement, à l’impossibilité
absolue
88. En réalité, le problème est insoluble si l’on
répète et que tout est donné. Elles ont raison de croire à la réalité
absolue
de la personne et à son indépendance vis-à-vis de
r Plotin, comme Platon, érigea les essences mathématiques en réalités
absolues
. Surtout, elle se laissa tromper par l’analogie t
la famille doivent avoir une sorte d’unité, mais non point une unité
absolue
. Avec cette unité poussée à un certain point, l’É
se croire des droits, mais que tous ont tort de se croire des droits
absolus
: les riches, parce qu’ils possèdent une plus lar
ste de ses compagnons. Aussi a-t-on bien tort de blâmer d’une manière
absolue
la tyrannie et le conseil que Périandre donnait à
uste ; mais il est tout aussi évident qu’il n’est point d’une justice
absolue
. « Dans la cité parfaite, la question est bien au
es autres. La république ou l’État parfait doit participer du pouvoir
absolu
par la vigueur de l’autorité, du pouvoir oligarch
aux circonstances, ou la meilleure possible d’une manière générale et
absolue
. « Le principe essentiel de l’aristocratie paraît
à côté de l’extrême indigence, ces deux excès amènent ou la démagogie
absolue
, ou l’oligarchie pure, ou la tyrannie ; la tyrann
. La démagogie est née presque toujours de ce qu’on a prétendu rendre
absolue
et générale une égalité qui n’était réelle qu’à c
nt également libres, ils ont cru qu’ils devaient l’être d’une manière
absolue
. L’oligarchie est née de ce qu’on a prétendu rend
e manière absolue. L’oligarchie est née de ce qu’on a prétendu rendre
absolue
et générale une inégalité qui n’était réelle que
oique ceux-là n’usent jamais de ce droit ; mais, de fait, l’inégalité
absolue
n’est raisonnable que pour eux. Ce qui n’empêche
lus haut : les uns, égaux en un point, se croient égaux d’une manière
absolue
; les autres, inégaux à un seul égard, veulent êt
es au spectre Religion dont parle Lucrèce. La théorie du Devoir un et
absolu
est un autre mensonge éthique supposé et réclamé
pourtant, nous ne nous trouvons pas en présence d’un devoir unique et
absolu
; mais en présence de devoirs multiples, relatifs
nétré de la conscience de classe se fait de son devoir une conception
absolue
et intransigeante. M. G. Sorel a montré l’existen
édiocre et servile. À vrai dire cette morale n’exclut pas d’une façon
absolue
l’idée de société et de sociabilité. Parfois même
voir, levant, d’un geste, nos yeux vers l’éblouissement interdit de l’
absolu
, d’avoir obscurci en nous le sens de la clarté. [
anale, il se réserva le droit de refondre, en un alliage neuf, inouï,
absolu
, les vieux vocables discrédités. [La Plume (1893)
on œuvre comme à chaque ride de son front ; de par cette aristocratie
absolue
qui le faisait vivre à l’écart et qui, à peine su
et nous échappera toujours, nous nous mouvons parmi des relations, l’
absolu
n’est pas de notre ressort, arrêtons-nous devant
impression mobile, est une intelligence qui touche quelque chose de l’
absolu
. L’idée nous serait-elle jamais venue de mettre e
L’idée nous serait-elle jamais venue de mettre en doute cette valeur
absolue
de notre connaissance, si la philosophie ne nous
plongions nos racines dans la nature, pour nous élancer droits vers l’
Absolu
. Plus les bulbes de la plante humaine s’irradient
bsorbera la nature entière, — affolent le cerveau des hommes en mal d’
absolu
et l’obligent à rajeunir sans fin ses méthodes d’
e procède par analyse et n’atteint que le relatif, l’autre touche à l’
absolu
par le moyen d’une sympathie intellectuelle qu’on
nthèse, un acte simple. Cette coïncidence, une intuition. Je tiens un
absolu
: je ne réfléchis rien, je suis cela. * * * Dès
que les gestes pétrifiés d’une Âme, que les attitudes incarnées d’un
Absolu
, que l’image amoindrie d’une plus belle Réalité.
bsolu, que l’image amoindrie d’une plus belle Réalité. Cette âme, cet
Absolu
, cette Réalité, qu’il les considère, suivant sa r
plus avec son entendement seul, mais avec son tout moi 42, à penser l’
Absolu
directement, à rendre « Dieu sensible au cœur ».
le strict domaine de la psychologie. Soit, exorcisons le fantôme de l’
Absolu
, pour ne parler que d’états d’âme. Là encore, il
pour notre agrément le trajet pas à pas. D’un bond ils sautent dans l’
absolu
et leur âme éclate en chaque mot. C’est peut-être
de l’intuition. Je crois au contraire à la possibilité d’atteindre l’
absolu
en le concevant sur le modèle de notre âme, comme
déal de la parfaite intelligibilité. Seulement, pour l’atteindre, cet
absolu
, et communier avec tout le réel, il faut que mon
rdent leurs cadres respectifs. 9. Est-ce à dire que le subjectivisme
absolu
soit le vrai ? Il est clair, comme j’ai tendu à l
Le Mysticisme vit de symboles, seule représentation mentale par où l’
Absolu
puisse s’introduire dans notre relative expérienc
tématise son hypocondrie, entre l’ascétisme morose des mystiques et l’
absolu
renoncement des pessimistes allemands. A l’origin
onstante, d’un acquiescement résigné à toutes les vicissitudes, d’une
absolue
dépendance des circonstances extérieures, qui se
eintes, vers une existence monacale, solitaire et recluse, enfin leur
absolu
pessimisme, leur misanthropie acerbe, leur dégoût
ale de leurs sentiments, aux anathèmes du catholicisme ou à ceux plus
absolus
et aussi peu fondés de Schopenhauer. Tous ces tra
arce que plus inutile se rapproche clandestinement de la supériorité
absolue
, satisfait certains goûts très nobles de la natur
he aux dogmatiques de prétendre connaître les choses en soi dans leur
absolu
, dans leur essence intime et première. Ainsi le p
ns pas, il ne se connaît pas non plus dans son essence, dans son fond
absolu
. L’âme dans l’absolu, dit Maine de Biran, est un
aît pas non plus dans son essence, dans son fond absolu. L’âme dans l’
absolu
, dit Maine de Biran, est un x. Sur ce point, je l
raîtra tout signe extérieur de conscience. Cette disparition est-elle
absolue
, ou n’est-elle qu’une transition à un autre état
sans qu’on puisse affirmer qu’il y ait jamais un état d’inconscience
absolue
. L’esprit semble ainsi retourner par degrés vers
ts forts… Si la monarchie vous paraît forte à mesure qu’elle est plus
absolue
, dans ce cas, Naples, Madrid et Lisbonne doivent
s le pli tout de suite. Son enfance a été labeur énorme et obéissance
absolue
. Ce sont les deux traits essentiels de l’enfant d
it respectable dans son dessein de se séparer ; il en aurait le droit
absolu
. La patrie est une association, sur le même sol,
s. Voilà de Maistre théoricien politique. C’est un patricien hautain,
absolu
, avec un léger mélange de mysticisme. Mépris du p
doute une épreuve ? — Et de Maistre rentre dans son rêve de monarchie
absolue
, et tempérée seulement par elle-même. III. Sa
rgueil ou de l’envie ; ce sont des formes de la justice. Et votre roi
absolu
, quelque adresse que vous mettiez à l’habiller ho
satisfaire, que voulez-vous qu’ils pensassent, sinon que l’injustice
absolue
était un acte religieux ? — Et qu’ils l’aient pen
lé à leur gré de bien, c’est-à-dire un plus grand désordre que le mal
absolu
, un mal capricieux et arbitraire, un mal qu’on pe
l’essence des obligations royales. On dit que le pouvoir des rois est
absolu
; c’est leur devoir qui est absolu, puisqu’ils so
On dit que le pouvoir des rois est absolu ; c’est leur devoir qui est
absolu
, puisqu’ils sont obligés, non devant l’opinion ca
vant l’opinion capricieuse ou une constitution fragile, mais devant l’
absolu
lui-même. On dit que leur puissance est illimitée
si le peuple a peu de devoirs, si les grands en ont davantage, le roi
absolu
a comme un devoir inépuisable ; aux mains de Dieu
de la vérité. L’autre, grave, sincère et d’une probité intellectuelle
absolue
, serait au désespoir d’inquiéter les simples, évi
hommes, c’est qu’il se sentait gouverné par elles. Il est l’idéologue
absolu
. Il raille l’idéologie quelque part : « Idéologie
mépriser : « Les esprits supérieurs sont naturellement portés vers l’
absolu
et tendent toujours à simplifier leurs idées… Le
tat. — Il a donc fallu que l’homme fût pouvoir sur lui-même, mais non
absolu
, qu’il disposât de ses organes, mais dans certain
t, de même, dans la famille, le père est le pouvoir, mais non pouvoir
absolu
. Son « ministre » et ses « sujets » ne lui doiven
r, qui est le roi. — Et, de même, dans la société, le roi est pouvoir
absolu
au sens humain du mot ; ses ministres et ses suje
fidèles à l’idée de création ne peuvent guère s’en faire une idée si
absolue
, et la voir si directe et si contraignante. Sans
XVIII couché dans le lit de Napoléon » ; c’est bien un pur souverain
absolu
. En vérité, il n’est pas assez réactionnaire. Il
on époque, sensibilité romanesque, excès de sociabilité, foi naïve et
absolue
dans les idées. Cette éducation l’a faite idéolog
s des triomphes, rapportés à cette fin. Ils auraient le bonheur moral
absolu
, et il n’y a pas d’autre bonheur que le bonheur m
age qu’elle sera devenue à son arrivée la passion intolérante la plus
absolue
. Je veux que la révolution soit la pensée de Rous
rai », et la pire manière d’être faux, c’est d’avoir du vrai. Le faux
absolu
serait moins grave ; car, « marque certaine d’err
certaine d’erreur, il le serait de vérité », Dieu nous donne le faux
absolu
! Ce qui trompe Mme de Staël, et en a trompé bien
félicité religieuse sont le sacrifice de nous » et la forme même de l’
absolu
désintéressement. Se ramenant toujours à ces quel
nnaître cette révélation à l’exaltation même de l’âme, à la confiance
absolue
avec laquelle elle écoute et obéit, et maintenir
; ils voulurent « accorder à un petit nombre de principes le pouvoir
absolu
que s’était arrogé jusque-là un petit nombre d’ho
sans appui dans le passé, sans assiette sur le réel, et fondant sur l’
absolu
, ils « traitaient la France comme une colonie. »
is toutes supposant, non la réparation, mais la ruine et l’effacement
absolu
de ce qui était ; et, n’ayant réussi que dans ses
écorée d’un trône. Du premier bond, la France passait de la monarchie
absolue
à la Convention. Car la première Convention ça ét
istocratie ouverte et prudemment renouvelée. Ils ont voulu la liberté
absolue
des cultes, ce qui conduisait nécessairement, en
des cultes, ce qui conduisait nécessairement, en un temps donné, à l’
absolue
liberté de la pensée. Ils ont eu un sentiment trè
ment qu’il n’a pas songé à « faire effet. » L’accent de sincérité est
absolu
. Il y a eu peu d’hommes plus loyaux en leurs conf
st plus et ne peut revivre, la sensation du néant et de l’impuissance
absolue
de créer ; — certes, c’est un beau cauchemar, qui
la justement est aussi une des choses qui donnent l’idée de la beauté
absolue
. Par sa nature même, il n’admet pas le métier, le
emps de commerce et de lumières, parce qu’en un tel temps, le pouvoir
absolu
d’un seul est impossible ; or, dès que le despoti
et d’absorber, et elle doit être traitée comme le serait un souverain
absolu
: la révolte est juste contre elle. — La souverai
raineté de la loi est un despotisme impersonnel. Voilà le libéralisme
absolu
. Il revient à déclarer qu’il n’y a aucune espèce
ceux mêmes qui déclarent l’obéissance aux lois de devoir rigoureux et
absolu
exceptent toujours de cette règle la chose qui le
igeant et persécuteur, comme on le devient toujours contre ce qui est
absolue
négation et condamnation à mort de ce qu’on est s
istre dirigeant, mais le pouvoir, plus restreint en son action, aussi
absolu
et plus absolu dans sa sphère étroite, du magistr
, mais le pouvoir, plus restreint en son action, aussi absolu et plus
absolu
dans sa sphère étroite, du magistrat, du député i
s l’avenir. La souveraineté d’autrefois, c’était la monarchie presque
absolue
; la souveraineté à venir, c’est la souveraineté
ue absolue ; la souveraineté à venir, c’est la souveraineté du peuple
absolue
. La souveraineté d’autrefois, c’était la monarchi
le absolue. La souveraineté d’autrefois, c’était la monarchie presque
absolue
. — Elle l’était, quoi que Royer-Collard ait dit d
avait une souveraineté. Cependant, elle n’était vraiment que presque
absolue
. Il y avait des droits en France, à côté, au-dess
n’a fait que déplacer la souveraineté, tout en la faisant, de presque
absolue
qu’elle devenait, absolue sans aucune restriction
ouveraineté, tout en la faisant, de presque absolue qu’elle devenait,
absolue
sans aucune restriction. « La Révolution n’a lais
nous sommes sur un chemin qui mène de l’ancienne souveraineté presque
absolue
à une nouvelle souveraineté qui sera littéralemen
ement écrasante. Nous sommes tout préparés à tomber sous le joug de l’
absolue
souveraineté populaire. Nous l’avons subie à l’ét
elative, puisque la charte existe, qui existe en ce moment, ni celle,
absolue
à cette fois, que nous aurons probablement demain
été d’un seul, tout ce qui limite, arrête ou contrebalance le pouvoir
absolu
ou d’un maître ou de tout le monde ; mais encore
us puissant au monde. C’est précisément au temps où monarchie presque
absolue
, démocratie égalitaire, empire, tous renchérissan
ion de centralisation, de compression et de despotisme. Le despotisme
absolu
, c’est l’Etat-Église. L’école de la liberté, c’es
solument seule, qui empêche que le parlement ne soit une souveraineté
absolue
. Ils y tiennent encore plus en république qu’en r
nt démocratique direct, plus oppressive que le gouvernement personnel
absolu
. Le gouvernement direct serait absurde en ce qu’i
a nation. La souveraineté parlementaire est plus oppressive qu’un roi
absolu
, parce que l’isolement est une responsabilité qu’
d’être. La démocratie est un fait historique, analogue à la monarchie
absolue
, et c’est précisément pour cela que, la liberté a
uver aussi à travers le despotisme de l’omniarchie. Sous la monarchie
absolue
, ou qui voulait l’être, la liberté s’établissait
tranchant comme les médailles neuves. Il avait la conviction pleine,
absolue
, superbe et imperturbable d’un olympien, que dis-
e ne pousse la certitude jusqu’à une manière d’immodestie. La loyauté
absolue
le voudrait pourtant, et c’est cette loyauté que
té que puisse trouver une nation en dehors de la monarchie exactement
absolue
. Pascal a dit : « La multitude qui ne se réduit p
j’y gagne d’être éclairé ; j’y gagne d’être déchargé de l’entière et
absolue
responsabilité ; j’y gagne surtout de ne pas lais
était fausse, parce que ce n’est pas la classe moyenne, à l’exclusion
absolue
de ce qui est au-dessus d’elle et de ce qui est a
ose qui doit être plus que toutes animée et vivante. Mais enfin, si l’
absolue
uniformité est un grand péril, on conviendra que
la transition évidemment naturelle et rationnelle entre la monarchie
absolue
d’autrefois et la démocratie pure vers laquelle l
tés à pousser comme lui la tentative littéraire vers le paradoxe de l’
absolu
, et que la« crise du concept de littérature » es
re du rêve, proclamant son incompétence sur « toute autre chose que l’
absolu
», il avait, autant que l’orgueil de sa solitude,
lui-même enfin l’éternité le change. Mallarmé, par sa passion même d’
absolu
, était détourné de la culture livresque. Dans l’é
le sourire nécessaire — son incompétence sur toute autre chose que l’
absolu
. Il rappelle, notons-le, le « lointain » que « co
rité qu’au seul point de vue psychologique, parce qu’il n’y ajamais d’
absolue
obscurité littérale dans un écrit de bonne foi. U
la défection dans les curiosités que de recourir à quelque puissance
absolue
, comme d’une Métaphore. Vite, dégoiser jusqu’à l’
péché originel, parce qu’elle se produit non en vertu de sa nécessité
absolue
, mais selon un accident du temps où elle reste ac
’accompagne, sont la somme des atteintes portées à cette hantise de l’
absolu
dont vécut l’art mallarméen Et — second degré dan
cubiques comme des pavés d’ours : systématiser l’ironie, en déduire l’
absolu
! Mallarmé peut-être a dépassé la mesure dans le
on systématique de l’hégelianisme aux lettres françaises. L’idéalisme
absolu
de Hegel, de Fichte et de Schelling avait déjà te
ne pulpe élastique et fraîche, la matière, mieux que l’idée, comme un
absolu
, est figurée à la ferveur du poète. Il semble que
Il idéalise de même le Livre, ses formats, qui ont leur racine dans l’
absolu
, ses instruments, le papier et l’encre, ses marge
solitairement sur sa plus limite pensée. La recherche fanatique de l’
absolu
ne paraît chez lui concorder que par un biais trè
acle90 ». « L’absence d’aucun souffle unie à l’espace, dans quel lieu
absolu
vivais-je ?91 ». La nullité du théâtre actuel, de
à la possibilité d’autre chose. « Nous savons, captifs d’une formule
absolue
, que, certes, n’est que ce qui est. Incontinent é
. Si Mallarmé, dans un fanatisme de pureté, l’a poussé à une outrance
absolue
, sous divers visages s’en aperçoivent les formes
quatrième vers dans une parenthèse, et traiter le septième en ablatif
absolu
?) Pénétrer ce délicieux poème me donne une volup
he un thème pour la Mort de la Mort. Chapitre XVII. Recherche de l’
absolu
« Je l’exhibe avec dandysme, mon incompétence
« Je l’exhibe avec dandysme, mon incompétence sur autre chose que l’
absolu
», dit-il, oubliant que le brummelisme orthodoxe
mais se souvenant peut-être que l’incompétence sur autre chose que l’
absolu
ne signifie pas la compétence sur l’absolu. Il es
ence sur autre chose que l’absolu ne signifie pas la compétence sur l’
absolu
. Il est de fait pourtant que cette apparence de q
ur l’absolu. Il est de fait pourtant que cette apparence de quêteur d’
absolu
frappa premièrement, comme un signe très visible,
ible », dit Jules Lemaître. « Je ne comprends pas la philosophie de l’
absolu
, et je suis de la sorte trop mal fait pour expliq
xpliquer M. Mallarmé », dit Anatole France. Avec cette recherche de l’
absolu
concordent et se mêlent les pentes que j’ai essay
sayé de discerner jusqu’ici. Écrire, déjà, n’est-ce point s’ériger en
absolu
, et, pour légitimer son existence, construire un
avérer qu’on est bien là où on doit être107 » ? Si l’écriture tente l’
absolu
, de quel religieux respect, doit s’environner son
naturel et nécessaire — entre le fanatisme de l’intelligence éprise d’
absolu
et la timidité courtoise de l’existence, entre l’
l’orgueil de songer à écrire et l’hésitation à écrire. Son culte à l’
absolu
, il le rendait sous la forme de ses scrupules. Po
nte de toute autre forme d’expression. Là est la découverte certaine,
absolue
, du symbolisme ». Du symbolisme en tant qu’il des
s plus raillés des symbolistes : c’est, en effet, la direction de cet
absolu
que jalonnent les vers faits aux trois quarts de
de la synthèse et une harmonie de la vie. Aussi la préoccupation de l’
absolu
poétique pose vite chez Mallarmé le problème de l
l on aurait pu naître. A moins que la recherche du définitif et de l’
absolu
ne le séduisît précisément par la valeur musicale
e celle communiquée, il les a poussées, elles aussi, à leur extrémité
absolue
, à leur hyperbole de poésie pure. Il voulait que
fort bien Remy de Gourmont. « Fuir, là-bas fuir », fuir, tourmenté d’
absolu
, en une flèche où la matière s’allège à ne plus ê
telle architecture du papier imprimé. Ces pressentiments tourmentés d’
absolu
se mêlent bien dans une certaine mesure à sa poés
de conscience se termine, aux heures lucides, toute spéculation sur l’
absolu
. Pour l’idéaliste, l’existence n’est point nécess
nt la terre, le poète rajeunit les siennes en contemplant un ciel, un
absolu
, le ciel qui n’est tel, qui n’est bleu, que parce
aise à songer. Tout honneur est la reconnaissance ou la création d’un
absolu
: le poète met son honneur à faire du Livre un ab
a création d’un absolu : le poète met son honneur à faire du Livre un
absolu
. « Impersonnifié, le volume, autant qu’on s’en sé
un diamant. Une idée du poète pur se rencontre, sur les chemins de l’
absolu
, avec la notion de la poésie pure. Tout ce qui es
moyenne bouffée de banalité124 ». Incompétence en autre matière que l’
absolu
: rien qui vaille la peine d’être écrit, sinon l’
glisse, un son, de sorte aussi que le mot se termine non dans un vide
absolu
, mais dans un vide saturé de latente musique. Et
lans réguliers de son esprit. Pour enlever au mot Pénultième le poids
absolu
, effarant, qui l’incruste, il raisonne en grammai
de, arrêtée, constante : rattachons-y un idéalisme qui, pour placer l’
Absolu
, n’a plus que la vacance, l’absence, le non-être.
s de l’alphabet à travers tous les âges, et quelle était presque leur
absolue
signification, tantôt devinée, tantôt méconnue pa
faut prendre dans l’âme humaine des états, des lueurs d’une pureté si
absolue
que bien chantés et bien mis en lumière, cela con
eu vaines. Il le remplace par un vers purement mallarméen, un ablatif
absolu
, de beaux vocables juxtaposés, sans syntaxe, qui
t y porter un jugement244 » Pour la même raison l’emploi du participe
absolu
. « Sa présence convoquée, en même temps que scrut
ation de vérités ou de sentiments pratiquée avec une justesse presque
absolue
, ou simplement littéraire dans le vieux sens du m
s seulement le vers en tant que terminé par la rime. De là la liberté
absolue
de l’enjambement, l’absurdité de la règle classiq
nnelle de la prose. Les pages d’Un coup de Dés mènent vers un étrange
absolu
logique cette recherche de Mallarmé. Du tiret, qu
es. Mallarmé vit dans le Livre non un substitut de la parole, mais un
absolu
, une part infiniment épurée : la parole n’en est
entif307. » Le blanc du Livre, forme visuelle du silence, symbolise l’
absolu
, vers lequel les poèmes sont autant de mouvement
omme celui que mange Saint-Jean, le Livre, Bible ou Coran, ossifié en
absolu
, est un vaste et unique hiéroglyphe. Il semble qu
Écrire c’est dévider cette ténèbre, c’est étoiler de mystère humain l’
absolu
immaculé du blanc. Idée du livre qui devient le r
evoit la matière désordonnée d’où quelque distillation pourra tirer l’
absolu
du Livre, Calices balançant la future fiole, «
a mesure où la clarté lui paraît préférable) ses idées sur un théâtre
absolu
, à rêver le Chien, constellation céleste, au-dess
Richard Wagner s’intitule Rêverie d’un poète français. Rêvant dans l’
absolu
, pensant « avec la certitude de n’être impliqué d
enchanté en elle. Mais il en a gardé l’idée de ce que j’appellerai l’
absolu
de métier, l’œuvre définitive enfermée dans le Li
autorité en matière de vision n’est pas moindre que celle d’un prince
absolu
) dispose avec la pensée seule de toutes les dames
lopper par la rêverie éveillée du lecteur^ Telle est l’œuvre poétique
absolue
, irréalisée, l’Hyperbole sinon conçue, du moins n
l’ardeur du vœu va succéder le repliement sur soi, à l’hyperbole de l’
absolu
une variante sur la conclusion de Candide : culti
ns sa dernière œuvre, une sorte de droit à la folie, c’est-à-dire à l’
absolu
de sa logique, comme il est, pour l’abbesse de Jo
rellement à la prose, non au vers, à qui ses moyens anciens, intacts,
absolus
, suffisent. Mais plutôt une telle forme permet «
des secrets de son impuissance — il veut réaliser son œuvre comme un
absolu
: tendance d’ailleurs liée au caractère du vers (
tendance d’ailleurs liée au caractère du vers (un vers est une ligne
absolue
) et qui paraît ainsi comme l’hyperbole du métier
’hyperbole du métier poétique. Et il éprouve que cela même qu’il veut
absolu
lui est suggéré par le hasard, par les circonstan
-être, quoiqu’il se raidisse contre le cliché). Pareillement l’idée d’
absolu
est, pour un philosophe critique, contradictoire,
re, puisque penser c’est établir une relation, et que l’on ne pense l’
absolu
que comme un objet relatif au sujet qui le pense.
relatif au sujet qui le pense. Croire que l’on a réalisé, arrêté, un
absolu
, revient à nier la vie qui engendre comprend et t
e poésie que j’ai groupés plus haut sous ce titre : la Recherche de l’
absolu
. Tout poème, toute œuvre, est un accident, un fru
de grâce, dans lequel réaliser l’œuvre parfaite, rêvée, imagination d’
absolu
, que déçoit tout moment vivant, et dont l’inspira
I. — Introduction du motif : la tentative humaine pour créer l’œuvre
absolue
. Coup de dés, jeu du moment, en le hasard. Ce cou
conclusion qui formule le nécessaire échec. Le nombre si idéalisé, si
absolu
qu’on le fasse, figuré même sur le tableau, sur l
oup de dés dernier, pour une constellation décisive et pour une œuvre
absolue
? La fin du poème a le poids et le mystère de cet
gieuse de l’esprit. Et celui qui nous accueillait ainsi était le type
absolu
du poète 392. » « On entrait chez Mallarmé, dit M
ivre ? Elles font antérieur ce qui est postérieur. Elles supposent un
absolu
, alors que cet absolu ne peut être pensé qu’après
rieur ce qui est postérieur. Elles supposent un absolu, alors que cet
absolu
ne peut être pensé qu’après le relatif et comme s
aussi en réaction contre lui, un effort de qualité, quelque tentative
absolue
par-delà la littérature même. Et la transition no
e : la double figure de l’art mallarméen, perfection d’abord de fruit
absolu
, mûr comme une tirade racinienne ou un morceau do
son désir au Jour mauvais plus ne s’accroche, Aspiration à des hymens
absolus
; — Ainsi le Pur, en qui les Mondes ne sont plus,
désir inexprimable d’être aimé, à quitter la région éthérée de pureté
absolue
, dans laquelle il vit, pour venir se mêler aux ho
n mélodique dans Lohengrin est, en grande partie, celle de la mélodie
absolue
(III, 311 ; IV, 212), se rapprochant de la mélodi
profonde conviction ; elle est ce que Wagner nommait le « pessimisme
absolu
», (X, 326), celui « qui se contente de constater
daemmerung ! Si Wagner avait achevé son drame de négation, — négation
absolue
, mais mâle et affirmative, — Jésus de Nazareth (I
compositeur de génie lui-même, qui embrasse cet art, à une immobilité
absolue
». De même qu’il veut que le récitatif ait « une
es comme Cherubini. La musique n’est pas le langage de l’éternelle et
absolue
vérité ; plus qu’aucun autre art, elle est fatale
État : mais c’est ainsi qu’on fait toujours ; on est pour la doctrine
absolue
jusqu’à ce que la passion ou l’intérêt s’en mêlen
tout doucement. Je reviens. — Le fait est qu’il n’y a pas de doctrine
absolue
pour les États et que tout est relatif, subordonn
ons politiques de l’ancienne France établira-t-il la vérité complète,
absolue
, sans objection, de l’histoire qu’il a entreprise
cques l’étaient pour l’art, admettaient que le droit du magistrat fût
absolu
; et il l’était à tous les degrés de la magistrat
la tête ferme des Romains de cette chose toute romaine : — le pouvoir
absolu
. Et bien en prit au monde entier, du reste ! Bien
me la religieuse, est Romaine. Il opposa le romanisme vrai du pouvoir
absolu
au romanisme faux de la Révolution française, don
ons comme eux. Nous l’avons par le fait de cette loi physiologique et
absolue
, que tout ce qui est vieux a toujours bavardé. Po
deur future, — représente pourtant, sinon le plus haut degré du génie
absolu
de l’Église, au moins le plus haut point de sa fo
sans limites, c’est le plein vent de la liberté, c’est le radicalisme
absolu
! Je vais dire un mot qui peut-être aurait révolt
igne que Proudhon. Tous deux sont des individualistes et des radicaux
absolus
: l’un dans l’ordre politique, l’autre dans l’ord
elle peut être l’explication scientifique. Elle comporte la précision
absolue
et une évidence complète ou croissante. En dirait
ons qu’il coïncide avec un de ces mouvements incontestablement réels,
absolus
, que nous produisons nous-mêmes. Cette fois nous
nt ce voile interposé, nous revenons à l’immédiat et nous touchons un
absolu
. De ces premières réflexions sortirent des conclu
e dès lors, pour passer de l’intellection à la vision, du relatif à l’
absolu
, il n’y a pas à sortir du temps (nous en sommes d
sur la relativité de la connaissance et l’impossibilité d’atteindre l’
absolu
. La science positive s’adresse en effet à l’obser
essentielles de notre intelligence ne fonctionnent avec une précision
absolue
que lorsqu’elles s’appliquent à la géométrie. San
oyons donc pas pourquoi la science de la matière n’atteindrait pas un
absolu
. Elle s’attribue instinctivement cette portée, et
alement de l’expérience, et qui est à même, elle aussi, d’atteindre l’
absolu
: nous l’appellerions science, si la science ne p
en soi », qu’on en fasse la Substance de Spinoza, le Moi de Fichte, l’
Absolu
de Schelling, l’Idée de Hegel, ou la Volonté de S
nitial des systèmes philosophiques. Ils croient nous renseigner sur l’
absolu
en lui donnant un nom. Mais, encore une fois, le
sque nous ne pourrions pas vivre sans elles. La croyance à la réalité
absolue
des Idées en général, peut-être même à leur divin
isse seulement l’effleurer. Se représenter la possibilité du désordre
absolu
, à plus forte raison du néant, serait pour elle s
l’absence de tout ordre et de toutes choses, c’est-à-dire du désordre
absolu
et de l’absolu néant, est prononcer des mots vide
ut ordre et de toutes choses, c’est-à-dire du désordre absolu et de l’
absolu
néant, est prononcer des mots vides de sens, flat
it donc que transporter dans l’ordre de la spéculation, — élevées à l’
absolu
et vidées par là de tout sens, de tout contenu ef
Rien de plus naturel, si l’on n’a pas remarqué que l’idée de désordre
absolu
est contradictoire ou plutôt inexistante, simple
t humain, par la science et par la métaphysique, la connaissance de l’
absolu
. Nous revenons donc encore à notre point de dépar
omme à la métaphysique, nous avons attribué le pouvoir d’atteindre un
absolu
. Nous avons seulement demandé à la science de res
a relativité de toute connaissance et à l’impossibilité d’atteindre l’
absolu
. Le succès du positivisme et du kantisme, attitud
ule. De ce côté, l’intelligence finirait, en principe, par toucher un
absolu
. Elle serait alors complètement elle-même. Vague
r dans le réel, à la matérialité. Elle touche alors un des côtés de l’
absolu
, comme notre conscience en touche un autre quand
de relatif, elle s’imagine que la réalité comble je ne sais quel vide
absolu
. Or, si la méconnaissance de la nouveauté radical
À supposer, en effet, que l’expérience nous présentât jamais un vide
absolu
, il serait limité, il aurait des contours, il ser
absences. En d’autres termes, cette prétendue représentation du vide
absolu
est, en réalité, celle du plein universel dans un
Et l’idée d’une suppression de tout ordre, c’est-à-dire d’un désordre
absolu
, enveloppe alors une contradiction véritable, pui
ération qui, par hypothèse, en comprenait deux. Ou l’idée de désordre
absolu
ne représente qu’une combinaison de sons, flatus
e nouveauté imprévisible. La philosophie y gagnera de trouver quelque
absolu
dans le monde mouvant des phénomènes. Mais nous y
y avait, interposé entre les deux, quelque chose qui est la passivité
absolue
, nous exprimerions de l’intuition originelle de B
notre action a besoin, nous l’érigeons en réalité, nous en faisons un
absolu
, et nous voyons dans le mouvement quelque chose q
sion directe d’un changement, d’un mouvement : il aura un sentiment d’
absolue
indivisibilité. J’arrive alors au second point, q
essible à notre expérience. L’instabilité radicale, et l’immutabilité
absolue
ne sont alors que des vues abstraites, prises du
ntre elles les définitions de la métaphysique et les conceptions de l’
absolu
, on s’aperçoit que les philosophes s’accordent, e
u relatif ; de la seconde, là où elle est possible, qu’elle atteint l’
absolu
. Soit, par exemple, le mouvement d’un objet dans
me place en dehors de l’objet lui-même. Quand je parle d’un mouvement
absolu
, c’est que j’attribue au mobile un intérieur et c
ue sorte, de chez moi, mais du dedans, en lui, en soi. Je tiendrai un
absolu
. Soit encore un personnage de roman dont on me ra
e relatif. Seule, la coïncidence avec la personne même me donnerait l’
absolu
. C’est en ce sens, et en ce sens seulement, qu’ab
me donnerait l’absolu. C’est en ce sens, et en ce sens seulement, qu’
absolu
est synonyme de perfection. Toutes les photograph
l la vue a été prise ou que les symboles cherchent à exprimer. Mais l’
absolu
est parfait en ce qu’il est parfaitement ce qu’il
pour la même raison, sans doute, qu’on a souvent identifié ensemble l’
absolu
et l’infini. Si je veux communiquer à celui qui n
mence à compter, l’opération se poursuivra sans fin. Vu du dedans, un
absolu
est donc chose simple ; mais envisagé du dehors,
inépuisable est, par définition même, un infini. Il suit de là qu’un
absolu
ne saurait être donné que dans une intuition, tan
être que par une intuition. En ce sens, une connaissance intérieure,
absolue
, de la durée du moi par le moi lui-même est possi
plus être qu’une forme sans matière. Ce sera l’indéterminé et le vide
absolus
. Aux états psychologiques détachés, à ces ombres
s celles enfin qui contestent à notre esprit le pouvoir d’atteindre l’
absolu
. Mais, de ce que nous échouons à reconstituer la
mouvant et adopte la vie même des choses. Cette intuition atteint un
absolu
. La science et la métaphysique se rejoignent donc
iers il répond que le fait physiologique est régi par un déterminisme
absolu
et que la physiologie est, par conséquent, une sc
référence) et qui constitue, par conséquent, un ensemble de relations
absolues
. Rien de plus contraire à la relativité telle que
emple, il y a un système de référence absolument privilégié, un repos
absolu
et des mouvements absolus. L’univers se compose a
de référence absolument privilégié, un repos absolu et des mouvements
absolus
. L’univers se compose alors, à tout instant, de p
l’univers la figure qu’on lui trouverait en le percevant ainsi dans l’
absolu
. Si donc le physicien par excellence est celui qu
e proposons nullement ici un moyen de reconnaître si un mouvement est
absolu
ou s’il ne l’est pas ? Nous définissons simplemen
ons simplement ce qu’on a dans l’esprit quand on parle d’un mouvement
absolu
, au sens métaphysique du mot. 22. Les images don
— avec toute la ferveur de la jeunesse, avec tout le dégagé et tout l’
absolu
d’une première entreprise ! En examinant ce livre
ut y mettre, ils finissent tous également par une espèce de prophétie
absolue
. Cette pensée ardente ne mesure pas le temps à la
isamment approprié aux besoins d’une époque de lutte entre le pouvoir
absolu
des princes et la liberté des peuples, dont le tr
ui s’enchaînait à tout jamais à des principes faux, et l’indépendance
absolue
, il dut réfléchir beaucoup, dit-il, et aujourd’hu
à un jeune homme de vingt ans, enthousiaste, enorgueilli de doctrines
absolues
, la plus haute leçon de philosophie pratique (soi
our, les vieilles littératures reviennent quelquefois à la simplicité
absolue
. Une extrême sensibilité artistique exercée par l
ien a pris à Pierre Loti de passer par la désespérance et la négation
absolues
; car, à partir de ce moment, il parcourt le mond
r ni à se contraindre et goûte d’ailleurs le plaisir de la domination
absolue
. Il jouit de la variété inépuisable des aspects d
ifférents pays que traverse le poète : amour sensuel et rêveur, amour
absolu
chez la femme ; amour curieux, orgueilleux, parfo
pittoresque en est merveilleux, l’émotion pénétrante et la simplicité
absolue
. C’est, dans Pêcheur d’Islande, la pêche et les m
es entre telles et telles limites. Cette certitude cependant est-elle
absolue
? Ne pourrait-il exister dans l’univers quelque m
pe, examinons la question qui nous occupe. Non, il n’y a pas d’espace
absolu
; ces deux propositions contradictoires : « la Te
utre, au sens cinématique, ce serait admettre l’existence de l’espace
absolu
. Mais si l’une nous révèle des rapports vrais que
reste vrai bien qu’il n’y ait pas et qu’il ne puisse y avoir d’espace
absolu
. Voilà pour la rotation de la Terre sur elle-même
is phénomènes et cela encore est vrai bien qu’il n’y ait pas d’espace
absolu
. Dans le système de Ptolémée, les mouvements des
’emploie que la première méthode, l’observation directe, et le manque
absolu
de comparaisons historiques est l’une des lacunes
la démocratie est de considérer cette forme de société comme un type
absolu
et idéal qui, une fois réalisé ici-bas, donnerait
où il n’est intervenu qu’une fois pour décerner à un seul le pouvoir
absolu
, ne se réservant plus rien pour lui-même. Dans ce
eaucoup d’autres avaient dit déjà que nul pouvoir humain ne doit être
absolu
, que la toute-puissance est en soi une chose mauv
me est aujourd’hui ébranlée dans sa foi sans bornes à la souveraineté
absolue
de l’État, et qu’elle est envahie par l’individua
s de perfection. Le fait des langues classiques n’a d’ailleurs rien d’
absolu
. Les littératures grecque et latine sont classiqu
ure des langues classiques que de donner à cette dénomination un sens
absolu
, et de la restreindre à un ou deux idiomes, comme
ait universel de linguistique et leur choix, de même qu’il n’a rien d’
absolu
pour tous les peuples, n’a rien d’arbitraire pour
créer, on pense devoir mettre en évidence ce fait : l’incompatibilité
absolue
qu’il a fallu constater — entre l’existence d’une
gard de la conscience, comme le seul état parfait ; il emporte la foi
absolue
en lui-même et fait tenir le nombre illimité des
plus de la comparer avec un modèle idéologique d’une valeur présumée
absolue
, dont on sait maintenant l’origine arbitraire, av
ui. Le front ouvert, l’œil sublime du premier, annoncent la puissance
absolue
: ses cheveux d’hyacinthe, se partageant sur son
ans mélange de chagrins évanouis, ou de chagrins à naître. Un bonheur
absolu
nous ennuie ; un malheur absolu nous repousse : l
, ou de chagrins à naître. Un bonheur absolu nous ennuie ; un malheur
absolu
nous repousse : le premier est dépouillé de souve
on, qui sépare les élus et les damnés de toute éternité par un décret
absolu
et irrévocable de Dieu. Le foyer du jansénisme, e
pris en haine ces indociles, dont la résistance choque son instinct d’
absolue
autorité. En 1708, la communauté de femmes est su
crivain ; dans aucune de ses polémiques, il ne fit un de ces livres «
absolus
» qui dépassent l’occasion d’où ils naissent et l
ances contingentes qui lui ont donné l’être, et de revêtir un intérêt
absolu
, universel. Toutes les sortes d’éloquence y sont
parvenir jusqu’à Dieu, par la raison ou par toute autre voie, dans l’
absolue
impossibilité de savoir, il n’en faudrait pas moi
logicien, que le principe de la science, la croyance au déterminisme
absolu
des phénomènes, excluant Dieu de l’univers connai
scepticisme transcendant s’attache à mettre en lumière l’impuissance
absolue
de la raison : suspendu entre les deux abimes de
cientifique, et cela désespère ce grand esprit, avide d’une certitude
absolue
et infinie. Mais par là se découvre à nous une vé
bases. M. Émery, prêtre instruit et gallican modéré, par la confiance
absolue
qu’il sut inspirer à Napoléon, obtint les autoris
xie dont il ne discuta jamais sérieusement les titres ; sa placidité,
absolue
. Il a composé une Histoire littéraire de Fénelon,
pour la conscience d’un jeune homme. Laliberté qu’il me laissa était
absolue
. Comme il voyait l’honnêteté de ma nature, la pur
fesseur de mathématiques et de physique, étaient en tout le contraste
absolu
de M. Gosselin. M. Gottofrey, jeune prêtre de vin
catholicisme, il eût été révolutionnaire et positiviste. Les natures
absolues
ont besoin de ces partis tranchés. La physionomie
deur d’âme des savants ; on le citait comme un exemple de la gratuité
absolue
des dons de Dieu. Tout cela constituait une divis
andonnai ainsi sans scrupule à mon goût pour étude. Ma solitude était
absolue
. Pendant deux ans, je ne vins pas une seule fois
Thomas Reid une grande aversion pour la métaphysique et une confiance
absolue
dans le bon sens. Posuit in visceribus hominis sa
s ceci est dit, — et ceci est plus qu’une critique, c’est la négation
absolue
de l’histoire religieuse que j’avais rêvée et qui
olique, dans le sens le plus incompatible, le plus impérieux, le plus
absolu
. Né en Espagne, d’une mère espagnole, il était l’
moureux de Dieu comme on l’était au Moyen Âge et un serviteur de Dieu
absolu
, — absolu comme l’amour ! Et ne fût-il que cela,
Dieu comme on l’était au Moyen Âge et un serviteur de Dieu absolu, —
absolu
comme l’amour ! Et ne fût-il que cela, ce serait
out, religieuse. C’est son caractère particulier, profond, essentiel,
absolu
, d’être religieuse… Or, Forneron ne l’est pas. C’
siècle à l’outrage mérité du genre humain et qui l’a sauvé du mépris
absolu
de l’Histoire. Oui ! le fanatisme religieux, cet
a en elle que deux choses ; il n’y en a pas trois. Il y a l’anarchie
absolue
, permanente et stupide, que Bonaparte n’étouffa m
d, et qui, à eux deux, la résument d’une manière complète, exclusive,
absolue
. Et, ne vous y trompez pas ! ce cannibalisme dont
abinets : X « Il y a deux partis à prendre, quand on est maître
absolu
de ses décisions, le lendemain d’un événement qui
, c’est ce qu’on appelle en ce moment le principe sacré, supérieur et
absolu
des nationalités. Les publicistes quotidiens de P
est-ce qu’un principe ? C’est une vérité qui s’applique d’une manière
absolue
partout et toujours, et sans se démentir jamais,
rai là ; s’il est absurde en Angleterre et en France, il ne peut être
absolu
nulle part ; ce n’est plus un principe, c’est une
’ont pas le privilége de la vérité. Il faut donc chercher un principe
absolu
de diplomatie ailleurs que dans ce principe de l’
l, celui qu’on appelait le cocher de l’Europe, était ministre presque
absolu
de Louis XV. C’était un homme léger de ton, étour
ambitions. On prévoyait que l’Allemagne, monarchique, ecclésiastique,
absolue
dans ses éléments, serait promptement en antipath
M. DE BALZAC (La Recherche de l’
Absolu
.) 1834 Il est temps d’en venir, dans cette gale
t enlève à cent lieues les conclusions : ainsi dans sa Recherche de l’
Absolu
, dont nous aurons tout à l’heure à parler ; ainsi
t cette mine d’or dont il a la faculté de les enrichir ; ainsi dans l’
Absolu
, ainsi dans Eugénie Grandet, ainsi dans le conte
dont les parents n’ont connu que les sourires ? » La Recherche de l’
Absolu
, dernière publication de M. de Balzac, n’est pas
l en soit, Claës se livre, à partir de ce moment, à la recherche de l’
absolu
, ce qui veut dire pour lui la transmutation des m
n intrigant qui se disent : J’ai eu tort. » Et dans la Recherche de l’
Absolu
, dès les premiers chapitres, à propos de Claës :
i ne fût pour la vérité et selon la nature. Il avait mis la sincérité
absolue
dans sa pensée, la simplicité absolue dans son st
ture. Il avait mis la sincérité absolue dans sa pensée, la simplicité
absolue
dans son style. À propos d’une querelle de théolo
e de l’imitation de la nature introduit dans l’art un élément fixe et
absolu
, un principe d’unité et d’universalité, partant l
sale d’une coquette. Il estimait sans doute que, quand par la probité
absolue
de son expression, l’artiste impose le sentiment
ents de l’âme et à leur expression littéraire. Il attribue une valeur
absolue
à des choses toutes relatives, et s’imagine trop
rne, il devait tendre à faire une trop large part à l’immuable et à l’
absolu
dans la nature et dans l’esprit humain. Selon les
iel. » Car l’espoir d’un petit surcroît de félicité dans la béatitude
absolue
(chose d’ailleurs contradictoire) ne saurait prov
ectables et sacrés. Et pensez un peu à ce que c’est que la continence
absolue
, la nécessité de promener partout sa robe noire,
faire connaître le train du monde ; puis, leur confiance en Dieu est
absolue
, et elle ne peut être absolue que si elle est fol
onde ; puis, leur confiance en Dieu est absolue, et elle ne peut être
absolue
que si elle est folle, si elle trouve le miracle
s doute le goûter ; mais on connaît, d’autre part, l’état de sujétion
absolue
où les prêtres sont tenus par leurs évêques. Lors
lle doit être de plus en plus, par la force des choses, une monarchie
absolue
dans le monde des âmes, une théocratie. En vain J
si l’on ne commençait pas par admettre une simultanéité de ce genre,
absolue
, et qui n’a rien à voir avec des réglages d’horlo
ité de réduire sans déformer. On estime que la dimension n’est pas un
absolu
, qu’il y a seulement des rapports entre dimension
valle énorme ; et il n’accorderait pas l’existence d’une simultanéité
absolue
, intuitivement aperçue, entre leurs indications.
substituées à nos deux horloges « voisines ». La simultanéité qui est
absolue
à nos yeux serait relative aux siens, car il repo
os yeux serait relative aux siens, car il reporterait la simultanéité
absolue
aux indications de deux horloges microbiennes qu’
ité entre événements lointains, s’il étend au second cas le caractère
absolu
du premier, c’est parce qu’il est habitué à croir
s défilés possibles dans la marche des choses humaines. Le philosophe
absolu
a beau vous dire : « En histoire, j’aime les gran
ourd’hui. En 1826, la leçon s’adressait à la royauté qui voulait être
absolue
, et aux ultra. En 1850, elle s’adresse à la démoc
es en particulier, la conclusion de M. Guizot me paraît beaucoup trop
absolue
. Cromwell, dites-vous, n’a réussi qu’à moitié par
conservé. Voilà la seule philosophie pratique de l’histoire : rien d’
absolu
, une expérience toujours remise en question, et l
inconnue. Je pourrais choisir encore quelques autres assertions aussi
absolues
, aussi gratuites, et qui me font douter de la rai
▲