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Paris
, Borel, illustrations de A. Calbet, 1898, in-32.
rel, illustrations de A. Calbet, 1898, in-32. — La Récompense, roman,
Paris
, Borel, illustrations de F. Schmid, 1901, in-16.
e, pet. in-18, 1902. Collaboration. — L’Effort (fondateur), Revue de
Paris
, Revue des Revues, Mercure de France, la Grande F
ter. — François Périlhou : Les Jeunes, conférence, Bibl. de l’effort,
Paris
, 1901. Visan (Tancrède de), né à Lyon le 16 dé
e, etc. Zuylen de Nyevelt (Hélène de Rotschild, baronne de), née à
Paris
en 1868. Œuvres. — Effeuillements, poèmes, A. Le
ration. — Je sais tout, août 1905. APPENDICE Gide (Paul-André), né à
Paris
en novembre 1869. Œuvres. — Cf. Bibliographie à
a Haye 1743. in-4°. Deidier a donné le Parfait ingénieur françois, à
Paris
1742. in-4°. Nous devons à M. le Blond l’Artiller
nce des Ingénieurs dans la conduite des travaux des fortifications, à
Paris
1729. in-4°. Ses Œuvres diverses sur l’Artillerie
peut y joindre les Elémens de l’art militaire, par M. d’Hericourt, à
Paris
1754., cinq vol. in-12. Il y a aussi un Dictionna
e, 3. vol. in-8°. dont on a fait plusieurs éditions fort augmentées à
Paris
& à Dresde, c’est un bon ouvrage. §. II.
c le plus de clarté. M. Clairaut a publié des Elémens de Géométrie, à
Paris
in-8°. 1741. qui sont à la portée de tout lecteur
la Pratique de Géométrie sur le papier & sur le terrein, in-8°. à
Paris
, 1764. Il y a une Méthode de lever les plans &
Méthode de lever les plans & les cartes de terre & de mer, à
Paris
1690 in-12. On a encore la Géométrie pratique de
itre, qui éclipsera le sien. Le Dictionnaire Mathématique d’Ozanam, à
Paris
1691., est un bon livre, mais inférieur pour l’un
es instrumens de Mathématiques, par Bion. La meilleure édition est de
Paris
1725. ou la Haye 1723. in-4°. Je ne sache guéres
nes & inventions approuvées par l’Académie Royale des Sciences, à
Paris
1735., six vol. in-4°., qui sont suite avec les M
mouvantes pour la pratique des arts & métiers, par M. le Camus, à
Paris
1472 in-12. C’est un petit ouvrage très-propre à
t de conduire, d’élever & de ménager les eaux, par Mr. Belidor, à
Paris
, quatre vol. grand in-4°. Pour l’Architecture nav
ont on a fait une nouvelle édition, que M. de la Caille a augmenté, à
Paris
1760. in-8°. Tout ce qui est répandu dans les ou
l art, ne peuvent se dispenser d’acheter le Vitruve de M. Perrault, à
Paris
, in-fol. ; le Palladio, Scamozzi, Serlio, trois A
é & commenté par Daviler, augmenté par Mariette & réimprimé à
Paris
en 1750. in-4°. Cette édition est augmentée de pl
ens qui paroissent vouloir prendre le dessus. M. Jombert, Libraire de
Paris
, a donné sous le titre de Bibliothèque portative
rs traités sur cette matiere. L’Architecture de Sebastien le Clerc, à
Paris
, in-4°. 1714., est un modèle de bon goût dans cet
s cette science. Les Œuvres de Jean le Pautre, en trois vol. in-fol.,
Paris
1751., chez Jombert, sont un recueil de plus de 7
re, enseigné dans l’Académie Royale d’Architecture, par M. Blondel, à
Paris
in-fol. 1698., est aussi un très-bon livre. Il y
on livre. Il y a un autre auteur du même nom, qui a publié en 1738. à
Paris
un Traité de la décoration des Edifices en généra
ol. in-4°. La Parallèle de l’Architecture de M. de Cambray, in-fol. à
Paris
, est un livre excellent pour la théorie, comme le
personne — écrit Montesquieu — qui ait quelque emploi à la cour dans
Paris
ou dans les provinces, qui n’ait une femme par le
notation musicale, 1741, que Rousseau arrivait de Genève ou de Lyon à
Paris
; et c’étaient les Pensées sur l’interprétation d
tude [Cf. sur ce sujet : Tabaraud, Histoire du philosophisme anglais,
Paris
, 1806 ; et Leslie Stephen, English Thought in the
, Jean-Jacques Rousseau et les origines du cosmopolitisme littéraire,
Paris
, 1895]. Si nous ne nommons ni Locke ni Bacon, c’e
ix derniers volumes de l’Encyclopédie se distribuaient librement dans
Paris
, 1765 ? Ce sont naturellement ceux qui contiennen
s hommes, à leur tour, dans l’Émile, dans la Lettre à l’archevêque de
Paris
, dans le Contrat social, crurent entendre gronder
ire en un jour que toute son œuvre en un demi-siècle. Le parlement de
Paris
répond en condamnant au feu le Dictionnaire philo
x Rocquain, L’Esprit révolutionnaire avant la Révolution, livre VII ;
Paris
, 1878]. Il ne leur reste plus, pour achever leur
Shakespeare, comme quelques autres imitateurs ont érigé depuis peu à
Paris
un Vauxhall, et comme d’autres se sont signalés e
et de Montesquieu [château de La Brède, près Bordeaux, 1689 ; † 1755,
Paris
] 1º Les Sources. — Maupertuis, Éloge de Monte
52 ; — Louis Vian, Histoire de la vie et des ouvrages de Montesquieu,
Paris
, 1879 ; — Albert Sorel, Montesquieu, dans la coll
Sorel, Montesquieu, dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1887. Bertolini, Analyse raisonnée de l’Esprit d
acy, Commentaire sur l’Esprit des lois, Philadelphie, 1811 ; et 1819,
Paris
; — Sclopis, Recherches historiques et critiques
es lois, Turin, 1857 ; — Laboulaye, Introduction à l’Esprit des lois,
Paris
, 1876. Voyez encore Auguste Comte, Cours de philo
oyez encore Auguste Comte, Cours de philosophie positive, t. V et VI,
Paris
, 1842 ; — Ernest Bersot, Études sur le xviiie si
V et VI, Paris, 1842 ; — Ernest Bersot, Études sur le xviiie siècle,
Paris
, 1855 ; — J. Barni, Histoire des idées morales et
Histoire des idées morales et politiques en France au xviiie siècle,
Paris
, 1865 ; — P. Janet, Histoire de la science politi
siècle, Paris, 1865 ; — P. Janet, Histoire de la science politique,
Paris
, 1858 ; et 2e édit., 1872 ; — Robert Flint, La Ph
obert Flint, La Philosophie de l’histoire en France, trad. française,
Paris
, 1878 ; — H. Taine, L’Ancien Régime, Paris, 1875
n France, trad. française, Paris, 1878 ; — H. Taine, L’Ancien Régime,
Paris
, 1875 ; — Émile Faguet, Dix-huitième siècle, Pari
, L’Ancien Régime, Paris, 1875 ; — Émile Faguet, Dix-huitième siècle,
Paris
, 1890. 2º L’Homme et l’Écrivain. — Les origines d
près toute l’Europe civilisée, 1728-1731 [Cf. Voyages de Montesquieu,
Paris
et Bordeaux, 1892, 1894, 1896]. — Il se fixe dans
dans ses Mémoires, et P. de Ségur, Le Royaume de la rue Saint-Honoré,
Paris
, 1897]. — Sa situation unique dans le monde litté
t : — l’édition Parrelle, dans la Collection des classiques français,
Paris
, 1826, Lefèvre ; — et l’édition Laboulaye, Paris,
classiques français, Paris, 1826, Lefèvre ; — et l’édition Laboulaye,
Paris
, 1875-1879, Garnier. II. — Pierre Carlet de Ch
II. — Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux [Paris, 1688 ; † 1763,
Paris
] 1º Les Sources. — D’Alembert, Éloge de Mariva
r, « Étude sur Marivaux », en tête de son édition du Théâtre complet,
Paris
, 1878 ; — Lescure, Éloge de Marivaux, Paris, 1880
ition du Théâtre complet, Paris, 1878 ; — Lescure, Éloge de Marivaux,
Paris
, 1880 ; — Jean Fleury, Marivaux et le marivaudage
de Marivaux, Paris, 1880 ; — Jean Fleury, Marivaux et le marivaudage,
Paris
, 1881 ; — G. Larroumet, Marivaux, sa vie et ses œ
audage, Paris, 1881 ; — G. Larroumet, Marivaux, sa vie et ses œuvres,
Paris
, 1882 ; — F. Brunetière, Études critiques, t. II
Deschamps, Marivaux dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1897. 2º L’Écrivain. — La famille de Marivaux. —
Marivaux. — Sa première éducation ; — ses premières fréquentations à
Paris
; — ses premiers protecteurs ou patrons littérair
’est pas d’ailleurs très bonne, est l’édition de 1781, en 12 volumes,
Paris
, chez la Vve Duchesne. III. — Antoine-François
raphique, à la fin de l’édition de Manon Lescaut, Glady frères, 1875,
Paris
; — F. Brunetière, Études critiques, t. III ; — H
e, Études critiques, t. III ; — Henry Harrisse, L’Abbé Prévost, 1896,
Paris
; — et diverses « Notices », en tête des éditions
age, formant ensemble 54 volumes, dont 39 pour Prévost, et publiées à
Paris
, l’une en 1783, et l’autre de 1810 à 1816. Les éd
— Pierre Claude Nivelle de La Chaussée [Paris, 1691 ou 1692 ; † 1754,
Paris
] 1º Les Sources. — D’Alembert, Éloge de La Cha
, t. III ; — Lanson, Nivelle de La Chaussée et la comédie larmoyante,
Paris
, 1887. 2º Les Origines du drame bourgeois. — Le p
38. La seule édition qu’il y ait de ses Œuvres complètes est celle de
Paris
, chez Prault, 1761-1762. V. — La première époq
— et dans les dix-huit volumes de sa Correspondance, édition Moland,
Paris
, 1878-1882 ; — Condorcet, Vie de Voltaire, 1787 ;
société française au xviiie siècle, deuxième édition, huit volumes,
Paris
, 1871-1876 ; — et G. Bengesco, Bibliographie des
et G. Bengesco, Bibliographie des œuvres de Voltaire, quatre volumes,
Paris
, 1882-1890. L’ouvrage de Desnoiresterres et celui
ire, six conférences, traduit de l’allemand sur la troisième édition,
Paris
, 1876 ; — James Parton, Life of Voltaire, Londres
— Premier exil à Tulle, puis à Sully-sur-Loire, 1716. — Son retour à
Paris
; — on lui attribue deux nouvelles satires ; — et
penseurs » anglais [Cf. Tabaraud, Histoire du philosophisme anglais,
Paris
, 1806 ; et Leslie Stephen, English Thought in the
Cirey [Cf. Eugène Asse, ses éditions des Lettres de Mme de Graffigny,
Paris
, 1879 ; et des Lettres de Mme du Châtelet, Paris,
de Mme de Graffigny, Paris, 1879 ; et des Lettres de Mme du Châtelet,
Paris
, 1882]. — Variété des travaux de Voltaire : — son
ur la nature du feu, 1737 [Cf. Émile Saigey, La Physique de Voltaire,
Paris
, 1873] ; — les Discours sur l’homme, 1738 ; — les
Desfontaines, 1738-1740 [Cf. Maynard, Voltaire, sa vie et ses œuvres,
Paris
, 1867, t. I ; et Nisard, Les Ennemis de Voltaire,
t ses œuvres, Paris, 1867, t. I ; et Nisard, Les Ennemis de Voltaire,
Paris
, 1853] ; — Zulime, 1740 ; — Doutes sur la mesure
érature dramatique, t. III ; Émile Deschanel, Le Théâtre de Voltaire,
Paris
, 1886 ; et H. Lion, Les Tragédies de Voltaire, Pa
tre de Voltaire, Paris, 1886 ; et H. Lion, Les Tragédies de Voltaire,
Paris
, 1896.] — Passion de Voltaire pour le théâtre ; —
Lambert ; — mort de Mme du Châtelet, 1749 ; — et retour de Voltaire à
Paris
. — Difficultés de sa situation ; — comme égalemen
— si l’amitié d’un grand homme est un bienfait des Dieux. — Parti de
Paris
en suspect, — et n’y comptant encore que comme un
e réception de l’abbé Millot, 1777 ; — le Père Daire, Vie de Gresset,
Paris
, 1779 ; — Maximilien Robespierre, Éloge de Gresse
de Gresset, Paris, 1779 ; — Maximilien Robespierre, Éloge de Gresset,
Paris
, 1785 ; — « Principaux traits de la vie de Gresse
ncipaux traits de la vie de Gresset », en tête de l’édition Renouard,
Paris
, 1811 ; — Campenon, Essai sur la vie et les ouvra
aris, 1811 ; — Campenon, Essai sur la vie et les ouvrages de Gresset,
Paris
, 1823 ; — E. Wogue, Gresset, Paris, 1894. 2º Le P
la vie et les ouvrages de Gresset, Paris, 1823 ; — E. Wogue, Gresset,
Paris
, 1894. 2º Le Poète ; — et que son unique mérite e
La meilleure édition de ses Œuvres est l’édition Renouard, 2 volumes,
Paris
, 1811. VII. — Luc de Clapiers, marquis de Vauv
e Clapiers, marquis de Vauvenargues [Aix, en Provence, 1715 ; † 1747,
Paris
] 1º Les Sources. — Suard, « Notice » ; et Sain
nçais ; — Gilbert, « Éloge de Vauvenargues », en tête de son édition,
Paris
, 1857 ; — Maurice Paléologue, Vauvenargues, dans
ogue, Vauvenargues, dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1890. 2º Le Moraliste. — Une destinée mélancoliq
ée de lui. C’est l’édition Gilbert, en 2 volumes in-8º ; Furne, 1857,
Paris
. VIII. — Charles Pinot Duclos [Dinan, 1704 ; †
, 1857, Paris. VIII. — Charles Pinot Duclos [Dinan, 1704 ; † 1772,
Paris
] 1º Les Sources. — Duclos, ses Mémoires (inach
IX, 1853 ; — Lucien Perey et G. Maugras, La Jeunesse de Mme d’Épinay,
Paris
, 1882 ; — L. Brunet, Les Philosophes et l’Académi
L. Brunet, Les Philosophes et l’Académie française au xviiie siècle,
Paris
, 1884. 2º L’Écrivain. — Sa jeunesse libertine, —
édition la plus complète des Œuvres de Duclos est celle de Villenave,
Paris
, 1821. Huitième Époque. L’Encyclopédie et le
es pour servir à l’histoire ecclésiastique pendant le xviiie siècle,
Paris
, 1806, et dernière édition, 1853-1857 ; — Fréron,
al encyclopédique. Les Œuvres complètes de D’Alembert, édition Belin,
Paris
, 1821 ; — de Diderot, édition Assézat et Maurice
lin, Paris, 1821 ; — de Diderot, édition Assézat et Maurice Tourneux,
Paris
, 1875-1877 ; — de Voltaire, édition Beuchot, et p
culièrement les Mélanges [t. 37 à 50] ; — d’Helvétius, édition Didot,
Paris
, 1795 ; — et de Condorcet, édition O’Connor et Ar
on Didot, Paris, 1795 ; — et de Condorcet, édition O’Connor et Arago,
Paris
, 1847-1849. Pour Diderot en particulier : sa Corr
7 ; — Naigeon, Mémoires historiques et philosophiques sur M. Diderot,
Paris
, 1821 ; — Rosenkranz, Diderot’s Leben und Werke,
the Encyclopædists, Londres, 1878 ; — Edmond Scherer, Diderot, étude,
Paris
, 1880. Pour la seconde époque de la vie de Voltai
dessus, p. 294 : — Correspondance de Mme du Deffand, édition Lescure,
Paris
, 1865 ; — Lucien Perey et G. Maugras, La Vie inti
— Lucien Perey et G. Maugras, La Vie intime de Voltaire aux Délices,
Paris
, 1885 ; — G. Maugras, Voltaire et Jean-Jacques Ro
lices, Paris, 1885 ; — G. Maugras, Voltaire et Jean-Jacques Rousseau,
Paris
, 1886. Pour d’Alembert : sa Correspondance avec F
miques, 1784 ; — Charles Henry, Correspondance inédite de D’Alembert,
Paris
, 1887 ; — J. Bertrand, D’Alembert, dans la collec
rtrand, D’Alembert, dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1889. On trouvera encore d’utiles renseignements
d’utiles renseignements dans Malesherbes, Mémoires sur la librairie,
Paris
, 1809 ; — Garat, Mémoires sur la vie de M. Suard,
la librairie, Paris, 1809 ; — Garat, Mémoires sur la vie de M. Suard,
Paris
, 1820 ; — Félix Rocquain, L’Esprit révolutionnair
820 ; — Félix Rocquain, L’Esprit révolutionnaire avant la Révolution,
Paris
, 1878 ; — J. Küntziger, La Propagande des Encyclo
J. Küntziger, La Propagande des Encyclopédistes français en Belgique,
Paris
, 1879 ; — Henri Francotte, La Propagande des Ency
au pays de Liège, Bruxelles, 1880 ; — Edmond Scherer, Melchior Grimm,
Paris
, 1887. Et on consultera enfin, à un point de vue
t de Diderot. II. — Jean Le Rond d’Alembert [Paris, 1717 ; † 1783,
Paris
] Sa naissance [il était fils de Mme de Tencin,
747 [Cf. Lescure, son édition de la Correspondance de Mme du Deffand,
Paris
, 1865] ; — ses relations avec Mme Geoffrin. — Il
vance de Maupertuis. III. — Denis Diderot [Langres, 1713 ; † 1784,
Paris
] La famille de Diderot ; — premières études de
La famille de Diderot ; — premières études de Diderot, Langres et
Paris
[collège d’Harcourt] ; — son refus d’être médecin
ion pour s’élever contre l’Encyclopédie. — L’abbé de Prades, exilé de
Paris
, part pour Berlin ; — Voltaire s’emploie pour lui
Helvétius son livre de l’Esprit, 1758. — Mandement de l’archevêque de
Paris
. — Le Parlement évoque à lui l’affaire ; — on li
téraire [Cf. Desnoiresterres, La Comédie satirique au xviiie siècle,
Paris
, 1885]. — Que cette tolérance du gouvernement n’a
éjà réalisé. VII. — Claude-Adrien Helvétius [Paris, 1715 ; † 1771,
Paris
] Fils et petit-fils de médecin ; — fermier gén
s littéraires et sa tragédie de Banise (en allemand). — Son arrivée à
Paris
; — ses liaisons avec Diderot, Rousseau, et la so
Cf. Adolphe Jullien, La Musique et les Philosophes au xviiie siècle,
Paris
, 1873]. — La Correspondance littéraire [1754-1790
ires de Marmontel et P. de Ségur : Le Royaume de la rue Saint-Honoré,
Paris
, 1897) ; — la société de Mlle d’Épinay [Cf. Mémoi
ociété de Mlle d’Épinay [Cf. Mémoires de Mme d’Épinay, édit. Boiteau,
Paris
, 1863], et L. Perey et G. Maugras [La Jeunesse de
Paris, 1863], et L. Perey et G. Maugras [La Jeunesse de Mme d’Épinay,
Paris
, 1882] ; — la société du baron d’Holbach [Cf. Did
vec Mlle Volland, et d’Avezac-Lavigne, La Société du baron d’Holbach,
Paris
, 1875] ; — et les amis de Mlle de Lespinasse [Cf.
ependant les lettres de Mme Butet, dans J. Cruppi : L’Avocat Linguet,
Paris
, 1895]. — Mais on en a du moins de leur diffusion
s Œuvres est celle de MM. Assézat et Maurice Tourneux, 20 vol. in-8º,
Paris
, 1875-1877, Garnier frères. Les principaux ouvrag
Musset], Histoire de la vie et des ouvrages de Jean-Jacques Rousseau,
Paris
, 1821 ; — G. H. Morin, Essai sur la vie et le car
H. Morin, Essai sur la vie et le caractère de Jean-Jacques Rousseau,
Paris
, 1851 ; — Saint-Marc Girardin, Jean-Jacques Rouss
— Saint-Marc Girardin, Jean-Jacques Rousseau, sa vie et ses ouvrages,
Paris
, 1848, 1851, 1852, 1856 et 1875. — Streckeisen-Mo
ances publiées par) : Jean-Jacques Rousseau, ses amis et ses ennemis,
Paris
, 1865 ; — John Morley, Rousseau, Londres, 1873 ;
3-1874 ; — Jean-Jacques Rousseau jugé par les Genevois d’aujourd’hui,
Paris
et Genève, 1878 ; — H. Beaudouin, La Vie et les œ
1878 ; — H. Beaudouin, La Vie et les œuvres de Jean-Jacques Rousseau,
Paris
, 1891. Tous ces ouvrages, d’un caractère assez gé
, Jean-Jacques Rousseau et les origines du cosmopolitisme littéraire,
Paris
, 1895. 2º L’Homme et l’Écrivain. A. Le Caractère
ation sentimentale. — Rousseau à Lyon. — Premier séjour de Rousseau à
Paris
, 1741 ; — son Projet concernant les nouveaux sign
8], et sa grande querelle avec M. de Montaigu, son patron. — Retour à
Paris
. — II remanie la Princesse de Navarre de Voltaire
f. Le Portefeuille de Mme Dupin, publié par M. de Villeneuve-Guibert,
Paris
, 1884] ; — la représentation des Muses galantes,
Épinay [Cf. Mémoires de Mme d’Épinay, édition L. Perey et G. Maugras,
Paris
, 1882 ; et Edmond Scherer, « Madame d’Épinay », d
usseau à Genève, et sa reconversion au protestantisme. — Son retour à
Paris
et son établissement à l’Ermitage, 1756. — La Let
e Héloïse, 1760 [Cf. Lettres inédites, de Rousseau à Marc-Michel Rey,
Paris
, 1858]. — Les origines réelles du roman ; — le dé
d’Houdetot [Cf. Lucien Brunet, La Nouvelle Héloïse et Mme d’Houdetot,
Paris
, 1888]. — L’imitation de Clarisse Harlowe ; — et
De l’imitation de Locke dans l’Émile [Cf. De l’éducation des enfants,
Paris
, 1721]. — Le grand défaut de l’Émile ; — et qu’ay
années de Rousseau. — Saisie, condamnation et brûlement de l’Émile à
Paris
[9 juin] ; — à Genève [19 juin] ; — et en Holland
son séjour de 1762 à 1765. — Il y compose sa Lettre à l’archevêque de
Paris
, 1762 ; — son Projet de constitution pour la Cors
-Pierre [octobre 1765] ; — et la Suisse ; — il passe quelques jours à
Paris
; — et se décide à s’établir en Angleterre, 1766.
ury ; — à Trye ; — à Grenoble ; — à Monquin ; — et son installation à
Paris
, 1770. — Ses relations avec Dusaulx, avec Rulhièr
ns la Révolution française [Cf. les Œuvres de Maximilien Robespierre,
Paris
, 1840 ; les Considérations sur la Révolution fran
e Contrat social, 1762 ; — l’Émile, 1762 ; — Lettre à l’archevêque de
Paris
, 1762 ; — Lettres de la Montagne, 1765 ; — Lettre
ié ; — le volume d’Œuvres inédites publié par M. Streckeisen-Moultou,
Paris
, 1861 ; — et de nombreux fragments épars dans div
ait beaucoup, dont les meilleures sont les éditions Petitain, 22 vol.
Paris
, 1819-1822 ; — et Musset-Pathay, 23 vol. Paris, 1
ions Petitain, 22 vol. Paris, 1819-1822 ; — et Musset-Pathay, 23 vol.
Paris
, 1823-1826 ; — que nous n’avons pas d’édition des
, VIII, 192-230]. II. — Michel-Jean Sedaine [Paris, 1719 ; † 1797,
Paris
] 1º Les Sources. — Grimm, dans sa Correspondan
V, comte de Toulouse, qui n’a été ni joué ni publié ; et Maillard ou
Paris
sauvé, imprimé, mais non représenté. III. — La
s Calas [Cf. Athanase Coquerel, Jean Calas et sa famille, 2e édition,
Paris
, 1869] ; — et dans celle des Sirven [Cf. Camille
Rabaud, Étude historique sur l’avènement de la tolérance, 2e édition,
Paris
, 1891]. — Il en profite aussitôt pour publier ses
ans l’affaire du chevalier de la Barre [Cf. Cruppi, L’Avocat Linguet,
Paris
, 1895 ; et Édouard Herz, Voltaire und die Strafre
umanité, 1777. — Ses démarches pour obtenir qu’on le laisse rentrer à
Paris
. — Il quitte Ferney le 5 février 1778 ; — et arri
rentrer à Paris. — Il quitte Ferney le 5 février 1778 ; — et arrive à
Paris
le 10 du même mois. L’Œuvre philosophique de Vol
— de toute notre littérature et du génie de notre race. Le retour à
Paris
et la mort. — Il ne reste plus qu’à rappeler briè
rappeler brièvement les circonstances du dernier séjour de Voltaire à
Paris
[Cf. Desnoiresterres, Voltaire et la société fran
sterres, Voltaire et la société française, etc., t. VIII]. — Arrivé à
Paris
le 10 février, il descend à l’hôtel de Bernières
tion d’Irène. — Le couronnement de Voltaire. — Il s’occupe de faire à
Paris
un établissement définitif. — Sa visite à la loge
iani, dans sa Correspondance. Garat, Mémoires sur la vie de M. Suard,
Paris
, 1820 ; — Louis Blanc, Histoire de la Révolution
Régime et la Révolution, 1856 ; — Mastier, La Philosophie de Turgot,
Paris
, 1862 ; — F. Cournot, Considérations sur la march
; — F. Cournot, Considérations sur la marche des idées, etc., t. II,
Paris
, 1872 ; — L. de Loménie, Les Mirabeau, t. I et II
tc., t. II, Paris, 1872 ; — L. de Loménie, Les Mirabeau, t. I et II ;
Paris
, 1879 ; — Rouxel, sa notice en tête de son éditio
879 ; — Rouxel, sa notice en tête de son édition de L’Ami des hommes,
Paris
, 1883 ; — A. Neymarck, Turgot et ses doctrines, 1
Turgot, 1887 ; — Aug. Oncken, son introduction aux Œuvres de Quesnay,
Paris
et Francfort, 1888. 2º La Doctrine. — Qu’on ne fa
pondance inédite de Turgot et de Condorcet, publiée par M. Ch. Henry,
Paris
, 1882] ; — si l’une des « Correspondances » les p
uis de Mirabeau avec Rousseau [Cf. Rousseau, ses amis et ses ennemis,
Paris
, 1865] ; — et si L’Ami des hommes, 1756 ; — ou l’
Le fondateur de la doctrine : François Quesnay [Mérey, 1694 ; † 1774,
Paris
] ; — ses débuts de chirurgien ; — sa nomination d
mis à Vincennes ; — et exilé dans sa terre du Bignon. — Son retour à
Paris
, — et sa première Lettre à Rousseau, 1766 ; — sa
e de l’économisme : Anne-Robert-Jacques Turgot [Paris, 1727 ; † 1781,
Paris
] ; — ses origines et ses études en Sorbonne ; — s
V. — Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais [Paris, 1732 ; † 1799,
Paris
] 1º Les Sources. — Gudin de la Brenellerie, Hi
s du lundi, t. VI, 1852 ; — L. de Loménie, Beaumarchais et son temps,
Paris
, 1855 ; — Jal, Dictionnaire critique, article Bea
nd Sonnenfels, Vienne, 1868 ; — Paul Huot, Beaumarchais en Allemagne,
Paris
, 1869 ; — Clément de Royer, Les Mémoires de Beaum
agne, Paris, 1869 ; — Clément de Royer, Les Mémoires de Beaumarchais,
Paris
, 1872 ; — Bettelheim, Beaumarchais, eine Biograph
Lintilhac, Beaumarchais et ses œuvres, d’après des documents inédits,
Paris
, 1887 ; — A. Hallays, Beaumarchais, dans la colle
lays, Beaumarchais, dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1897. 2º L’Homme et l’Écrivain. — Origine, famil
Comité de salut public, — en même temps que déclaré par la Commune de
Paris
suspect et émigré. — Son séjour à Hambourg ; — so
re édition de ses Œuvres complètes celle qu’en a donné son ami Gudin,
Paris
, 1809, Collin ; — l’édition Ledoux, Paris, 1821 ;
u’en a donné son ami Gudin, Paris, 1809, Collin ; — l’édition Ledoux,
Paris
, 1821 ; — et Furne, Paris, 1826. VI. — La Fin
, Paris, 1809, Collin ; — l’édition Ledoux, Paris, 1821 ; — et Furne,
Paris
, 1826. VI. — La Fin de la tragédie [1765-1795]
endant la Révolution ; — H. Welschinger, Le Théâtre de la Révolution,
Paris
, 1881. 2º La Concurrence des Espèces. — Influence
les curieux de fort belles éditions de Lemierre [en Œuvres choisies],
Paris
, 1811, F. Didot ; — de La Harpe, en Œuvres complè
1811, F. Didot ; — de La Harpe, en Œuvres complètes [moins le Lycée],
Paris
, 1820-1821, Verdière ; — et de Ducis [Œuvres comp
et de Ducis [Œuvres complètes, 3 vol., et Œuvres posthumes, 1 vol.],
Paris
, 1826, Nepveu. VII. — André-Marie de Chénier [
6, Nepveu. VII. — André-Marie de Chénier [Constantinople, 1762 ; †
Paris
, 1794] 1º Les Sources. — H. de Latouche, « No
tête de son édition des Œuvres, in-8º, 1862 ; et Documents nouveaux,
Paris
, 1875. — G.-L. de Chénier, « Notices » et « Notes
G.-L. de Chénier, « Notices » et « Notes » de son édition des Œuvres,
Paris
, 1874 ; — Caro, La Fin du xviiie siècle, t. II,
araszti, La Poésie d’André Chénier, traduit du hongrois par l’auteur,
Paris
, 1892. 2º Le Poète ; — et que, bien que son œuvre
n doit consulter au moins quatre éditions : l’édition H. de Latouche,
Paris
, 1819, l’édition Becq de Fouquières, Paris, 1862,
l’édition H. de Latouche, Paris, 1819, l’édition Becq de Fouquières,
Paris
, 1862, Charpentier ; — l’édition G. de Chénier, P
de Fouquières, Paris, 1862, Charpentier ; — l’édition G. de Chénier,
Paris
, 1874, Lemerre ; — et la dernière édition de Becq
aris, 1874, Lemerre ; — et la dernière édition de Becq de Fouquières,
Paris
, 1888, Charpentier ; — 2º de ses Œuvres en prose,
extrêmement important ; et qui a paru pour la première fois en 1842,
Paris
, Charpentier, dans l’édition usuelle des Œuvres d
VIII. — Georges-Louis Leclerc de Buffon [Montbard, 1707 ; + 1788,
Paris
] 1º Les Sources. — Grimm, Correspondance litté
orrespondance littéraire ; — Hérault de Séchelles, Voyage à Montbard,
Paris
, 1785 ; — Vicq d’Azyr, Discours de réception, 178
— Cuvier, Rapport historique sur les progrès des sciences naturelles,
Paris
, 1810 ; — Flourens, Histoire des travaux et des i
aris, 1810 ; — Flourens, Histoire des travaux et des idées de Buffon,
Paris
, 1844 ; et Des manuscrits de Buffon, 1859. Corre
inédite de Buffon, recueillie et annotée par Henri Nadault de Buffon,
Paris
, 1860. Sainte-Beuve, Causeries du lundi, t. IV, 1
1854, et XIV, 1860 ; — Émile Montégut, Souvenirs de Bourgogne, 1874,
Paris
; — F. Hémon, Éloge de Buffon, Paris, 1878 ; — N.
t, Souvenirs de Bourgogne, 1874, Paris ; — F. Hémon, Éloge de Buffon,
Paris
, 1878 ; — N. Michaut, Éloge de Buffon, Paris, 187
Hémon, Éloge de Buffon, Paris, 1878 ; — N. Michaut, Éloge de Buffon,
Paris
, 1878 ; — O. d’Haussonville, Le Salon de Mme Neck
de Buffon, Paris, 1878 ; — O. d’Haussonville, Le Salon de Mme Necker,
Paris
, 1882 ; — Émile Faguet, Dix-huitième siècle, Pari
lon de Mme Necker, Paris, 1882 ; — Émile Faguet, Dix-huitième siècle,
Paris
, 1890 ; — De Lanessan, « Introduction » en tête d
uffon, 1884 ; — Edm. Perrier, La Philosophie zoologique avant Darwin,
Paris
, 1884. 2º Le Savant et le Philosophe : A. La Jeun
f. Ernest Hæckel, Histoire de la création naturelle, trad. française,
Paris
, 1874]. 3º Les Œuvres. — On a eu le tort, dans to
u le tort, dans toutes les éditions de Buffon, y compris la première [
Paris
, 1749-1804], de vouloir remplir le titre qu’il av
ers en 1782-1789. — La meilleure édition est celle de M. de Lanessan,
Paris
, 1884, Le Vasseur. IX. — Jean-Antoine-Nicolas
rago, « Biographie de Condorcet », en tête de son édition des Œuvres,
Paris
, 1847-1849 ; — Sainte-Beuve, Causeries du lundi,
1863 ; — Ch. Henry, Correspondance inédite de Condorcet et de Turgot,
Paris
, 1883 ; — M. Gillet, L’Utopie de Condorcet, Paris
orcet et de Turgot, Paris, 1883 ; — M. Gillet, L’Utopie de Condorcet,
Paris
, 1883 ; — F. Picavet, Les Idéologues, Paris, 1891
t, L’Utopie de Condorcet, Paris, 1883 ; — F. Picavet, Les Idéologues,
Paris
, 1891 ; — Dr Robinet, Condorcet, sa vie et son œu
éologues, Paris, 1891 ; — Dr Robinet, Condorcet, sa vie et son œuvre,
Paris
, 1895 ; — Guillois, Madame de Condorcet, Paris, 1
, sa vie et son œuvre, Paris, 1895 ; — Guillois, Madame de Condorcet,
Paris
, 1896. 2º Le Philosophe ; — et que peut-être ne l
dorcet, ou la seule, pour mieux dire, est celle qu’en a donnée Arago,
Paris
, 1847-1849, Firmin Didot. X. — Jacques-Henri B
ages de Bernardin de Saint-Pierre, en tête de son édition des Œuvres,
Paris
, 1818 et 1826 ; — Correspondance de Bernardin de
tin, et précédée d’un Supplément aux Mémoires de sa vie, par le même,
Paris
, 1826 [On se souviendra en consultant ce Suppléme
in de Saint-Pierre, dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1891 ; — Fernand Maury, Étude sur la vie et les
d Maury, Étude sur la vie et les œuvres de Bernardin de Saint-Pierre,
Paris
, 1892. 2º L’Homme et l’Écrivain. — Sa famille et
à l’École normale [Cf. sur l’École normale, Picavet, Les Idéologues,
Paris
, 1891, et le Livre du centenaire de l’École norma
déologues, Paris, 1891, et le Livre du centenaire de l’École normale,
Paris
, 1895]. Importance littéraire du rôle de Bernardi
aite et très insuffisante, est celle d’Aimé Martin, en 12 vol. in-8º,
Paris
, 1826, Dupont, à laquelle il faut joindre une Cor
il faut joindre une Correspondance, très incomplète aussi, en 4 vol.,
Paris
, 1826, Ladvocat.
tées de 1822. Bonald et Lamennais, dans les salons aristocratiques de
Paris
, sont du petit nombre de ceux qui ont eu la prime
égie, de l’ode, du roman, et Cinq-Mars, Les Orientales, Notre-Dame de
Paris
, les Confessions de Joseph Delorme sont-elles, ou
Et il est bien certain que, de même que « l’on va très commodément de
Paris
en Auvergne sans avoir besoin d’un quart de cercl
I. — François-René de Chateaubriand [Saint-Malo, 1768 ; † 1848,
Paris
] 1º Les Sources. — Marie-Joseph Chénier, Tabl
r la vie et les ouvrages de Chateaubriand, t. I de l’édition Pourrat,
Paris
, 1838 ; — les « Préfaces » de Chateaubriand, dans
dans la même édition de ses Œuvres ; — et les Mémoires d’outre-tombe,
Paris
, 1859. Sainte-Beuve, Portraits contemporains, t.
illemain, M. de Chateaubriand, sa vie, ses ouvrages et son influence,
Paris
, 1858 ; — de Marcellus, Chateaubriand et son temp
influence, Paris, 1858 ; — de Marcellus, Chateaubriand et son temps,
Paris
, 1859 ; — L. de Loménie, Esquisses biographiques
1861, 1862 ; — J. Danielo, Les Conversations de M. de Chateaubriand,
Paris
, 1864 ; — H. de Bornier, Éloge de Chateaubriand,
ise sous le premier Empire, 1877 ; — Ém. Faguet, Dix-neuvième siècle,
Paris
, 1887 ; — de Lescure, Chateaubriand, dans la coll
Écrivains français, 1892. P. de Saman, Les Enchantements de Prudence,
Paris
, 1869 ; — A. France, Lucile de Chateaubriand, Par
ents de Prudence, Paris, 1869 ; — A. France, Lucile de Chateaubriand,
Paris
, 1879 ; — P. de Raynal, Les Correspondants de Jou
ubriand, Paris, 1879 ; — P. de Raynal, Les Correspondants de Joubert,
Paris
, 1883 ; — A. Bardoux, Mme de Beaumont, Paris, 188
rrespondants de Joubert, Paris, 1883 ; — A. Bardoux, Mme de Beaumont,
Paris
, 1884 ; et Mme de Custine, Paris, 1888 ; — G. Pai
883 ; — A. Bardoux, Mme de Beaumont, Paris, 1884 ; et Mme de Custine,
Paris
, 1888 ; — G. Pailhès, Mme de Chateaubriand, Borde
ateaubriand, Bordeaux, 1887 ; et Chateaubriand, sa femme et ses amis,
Paris
, 1896. 2º L’Homme et l’Écrivain. — Son origine, s
Navarre, 1786 ; — sa présentation à la cour ; — son premier séjour à
Paris
; — et son départ pour l’Amérique, 1791. — Il rev
age d’Orient. — Publication des Martyrs, 1809 ; et de l’Itinéraire de
Paris
à Jérusalem, 1811. — Élection à l’Académie, 1811.
de son vivant la publication de ses Œuvres complètes, en 36 volumes,
Paris
, 1836-1839, Pourrat, — nous pourrions nous borner
yrs, ou le Triomphe de la religion chrétienne, 1809 ; — Itinéraire de
Paris
à Jérusalem, 1811 ; — De Buonaparte et des Bourbo
ise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein [Paris, 1766 ; † 1817,
Paris
] 1º Les Sources. — « Notice sur les écrits et
r Mme Necker de Saussure], en tête de l’édition des Œuvres complètes,
Paris
, 1820 ; — O. d’Haussonville, Le Salon de Mme Neck
complètes, Paris, 1820 ; — O. d’Haussonville, Le Salon de Mme Necker,
Paris
, 1882 ; — Sainte-Beuve, Portraits de femmes, « Mm
1862 ; — A. Michiels, Histoire des idées littéraires au xixe siècle,
Paris
, 1843 ; — A. Vinet, Mme de Staël et Chateaubriand
. Merlet, Tableau de la littérature française sous le premier Empire,
Paris
, 1877 ; — Lady Blennerhasselt, Mme de Staël et so
erlin, 1890 ; — Ém. Faguet, Politiques et moralistes au xixe siècle,
Paris
, 1891 ; — Albert Sorel, Madame de Staël, dans la
l, Madame de Staël, dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1890 ; — G. Brandes, Die Hauptströmungen der Lit
g, 1897. Mme Lenormant, Madame de Staël et la grande-duchesse Louise,
Paris
, 1862 ; — Saint-René Taillandier, La Comtesse d’A
Louise, Paris, 1862 ; — Saint-René Taillandier, La Comtesse d’Albany,
Paris
, 1862 ; — Dejob, Mme de Staël et l’Italie, Paris,
a Comtesse d’Albany, Paris, 1862 ; — Dejob, Mme de Staël et l’Italie,
Paris
, 1890. 2º Le Rôle de Mme de Staël. — On peut rame
mune ; — et dont les caractères seront substantiellement les mêmes, à
Paris
et à Berlin, à Londres et à Saint-Pétersbourg. —
mis au pilon par la police impériale, et réédité à Londres en 1813, à
Paris
en 1814 ; — et des Réflexions sur le suicide, 181
ue de ses Œuvres complètes est l’édition de 1820-1821, en 17 volumes,
Paris
, Treuttel et Wurtz. III. — Idéologues, savants
ans son Histoire de la philosophie pendant la Révolution [1789-1804],
Paris
, 1889 ; — et par M. F. Picavet, dans son livre su
is, 1889 ; — et par M. F. Picavet, dans son livre sur Les Idéologues,
Paris
, 1891. Ils s’appelaient Saint-Lambert, Sieyès, Ga
Auteuil chez Mme Helvétius [Cf. Guillois, Le Salon de Mme Helvétius,
Paris
, 1894 ; et le même : La Marquise de Condorcet, Pa
e Mme Helvétius, Paris, 1894 ; et le même : La Marquise de Condorcet,
Paris
, 1896] ; — ou chez la veuve de Condorcet, devenue
de l’Encyclopédie [Cf. Jules Simon, Une académie sous le Directoire,
Paris
, 1884]. Quelques-uns d’entre eux touchaient à la
pe. IV. — Louis-Gabriel-Ambroise de Bonald [Millau, 1754 ; † 1840,
Paris
] 1º Les Sources. — H. de B[onald], Notice sur
onald], Notice sur la vie et les ouvrages de M. le vicomte de Bonald,
Paris
, 1841 ; — Barbey d’Aurevilly, Les Prophètes du pa
51 ; — A. Nettement, Histoire de la littérature sous la Restauration,
Paris
, 1853 ; — Ém. Faguet, Politiques et moralistes au
Paris, 1853 ; — Ém. Faguet, Politiques et moralistes au xixe siècle,
Paris
, 1891 ; — Henry Michel, L’Idée de l’État, Paris,
stes au xixe siècle, Paris, 1891 ; — Henry Michel, L’Idée de l’État,
Paris
, 1895. 2º Le Théoricien du pouvoir. — Deux mots s
tions des Œuvres de Bonald, dont la meilleure est l’édition Le Clère,
Paris
, 1817-1819, douze volumes, et, de plus, 1843, qua
s du passé, 1851 ; — Edmond Scherer, Mélanges de critique religieuse,
Paris
, 1853 ; — L. Binaut, « Joseph de Maistre », dans
tement, Histoire de la littérature française pendant la Restauration,
Paris
, 1853 ; — Albert Blanc, Mémoires et correspondanc
bert Blanc, Mémoires et correspondance diplomatique de M. de Maistre,
Paris
, 1858-1861 ; — G. Merlet, Tableau de la littératu
. Merlet, Tableau de la littérature française sous le premier Empire,
Paris
, 1877 ; — Ém. Faguet, Politiques et moralistes au
Paris, 1877 ; — Ém. Faguet, Politiques et moralistes au xixe siècle,
Paris
, 1891 ; — F. Descotes, Joseph de Maistre avant la
, Paris, 1891 ; — F. Descotes, Joseph de Maistre avant la Révolution,
Paris
, 1893, et Joseph de Maistre pendant la Révolution
Révolution, Paris, 1893, et Joseph de Maistre pendant la Révolution,
Paris
, 1895 ; — M. de Lescure, Le Comte Joseph de Maist
évolution, Paris, 1895 ; — M. de Lescure, Le Comte Joseph de Maistre,
Paris
, 1893 ; — G. Cogordan, Joseph de Maistre, dans la
Joseph de Maistre, dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1894. 2º L’Homme et l’Écrivain. — Ses origines,
t M. Albert Blanc, en 1858, les Mémoires politiques de J. de Maistre,
Paris
, Michel Lévy ; — suivis, en 1861, de la Correspon
y ; — suivis, en 1861, de la Correspondance diplomatique [1811-1817],
Paris
, Michel Lévy. Ses Œuvres complètes ont été réunie
e et les écrits de P.-L. Courier, en tête de l’édition de ses Œuvres,
Paris
, 1834 [la « Notice » est datée de 1829] ; — Saint
VI, 1852. — A. Nettement, Littérature française sous la Restauration,
Paris
, 1853. 2º L’Homme et l’Écrivain ; — et qu’il méri
Œuvres de P.-L. Courier est celle que nous avons citée, en 4 volumes,
Paris
, 1834, Paulin et Perrotin. VII. — Pierre-Jean
et Perrotin. VII. — Pierre-Jean de Béranger [Paris, 1780 ; † 1857,
Paris
] 1º Les Sources. — Sainte-Beuve, Portraits con
nal des Débats du 17 décembre 1859 ; — Paul Boiteau, Vie de Béranger,
Paris
, 1861 ; — N. Peyrat, Béranger et Lamennais, 1861
amennais, 1861 ; — Arthur Arnould, Béranger, ses amis et ses ennemis,
Paris
, 1864 ; — Jules Janin, Béranger et son temps, Par
s et ses ennemis, Paris, 1864 ; — Jules Janin, Béranger et son temps,
Paris
, 1866 ; — Brivois, Bibliographie de l’œuvre de Bé
temps, Paris, 1866 ; — Brivois, Bibliographie de l’œuvre de Béranger,
Paris
, 1876 ; — Legouvé, « Notice », en tête du Bérange
s] ; — et Désaugiers [Cf. Chansons et poésies diverses de Désaugiers,
Paris
, 1827, Ladvocat]. — Du caractère navrant de leur
s Chansons, dont les principaux recueils originaux sont ceux de 1815,
Paris
, chez Eymery ; — 1821, Paris, Firmin Didot ; — 18
ux recueils originaux sont ceux de 1815, Paris, chez Eymery ; — 1821,
Paris
, Firmin Didot ; — 1825, Plassan ; — 1827, Bruxell
, Paris, Firmin Didot ; — 1825, Plassan ; — 1827, Bruxelles ; — 1834,
Paris
, Perrotin ; — et 1857, Dernières chansons, chez l
II. — Hugues-Félicité-Robert de Lamennais [Saint-Malo, 1783 ; † 1854,
Paris
] 1º Les Sources. — Correspondance de Lamennais
. Janet, La Philosophie de Lamennais, 1890 ; — E. Spuller, Lamennais,
Paris
, 1892 ; — A. Roussel, de l’Oratoire de Rennes, La
r, S. J., Lamennais, d’après sa correspondance et de récents travaux,
Paris
, 1893. 2º Le rôle de Lamennais ; — et que peut-êt
x éditions des Œuvres complètes de Lamennais, l’une en douze volumes,
Paris
, 1836-1837, P. Daubrée et Cailleux ; — et l’autre
ris, 1836-1837, P. Daubrée et Cailleux ; — et l’autre en dix volumes,
Paris
, 1844, Pagnerre ; — toutes les deux fort incomplè
Sa Correspondance a été publiée, partie par Eug. D. Forgues, 2 vol.,
Paris
, 1859, Paulin et Lechevalier ; — partie par son n
9, Paulin et Lechevalier ; — partie par son neveu, A. Blaize, 2 vol.,
Paris
, 1866, Dentu ; — et partie par M. Eug. Forgues fi
Eug. Forgues fils, Correspondance de Lamennais avec M. de Vitrolles,
Paris
, 1884, Charpentier. IX. — Stendhal (Marie-Henr
tier. IX. — Stendhal (Marie-Henri Beyle) [Grenoble, 1783 ; † 1842,
Paris
] 1º Les Sources. — Journal de Stendhal, Paris,
oble, 1783 ; † 1842, Paris] 1º Les Sources. — Journal de Stendhal,
Paris
, 1888 ; Vie de Henri Brûlard, Paris, 1890 ; Souve
s Sources. — Journal de Stendhal, Paris, 1888 ; Vie de Henri Brûlard,
Paris
, 1890 ; Souvenirs d’égotisme, 1892, ouvrages post
es de Beyle », en tête de l’édition Hetzel de La Chartreuse de Parme,
Paris
, 1846. H. de Balzac, son article [20 septembre 18
de l’édition Hetzel de La Chartreuse de Parme ; — P. Mérimée, H. B.,
Paris
, 1850 ; — Sainte-Beuve, Causeries du lundi, t. IX
es du lundi, t. IX, 1854 ; — Taine, Essais de critique et d’histoire,
Paris
, 1866 [l’article ne figure que dans la 2º édition
ue dans la 2º édition] ; — A. Collignon, L’Art et la vie de Stendhal,
Paris
, 1868 ; — A. Paton, Henri Beyle, Londres. 1874 ;
turalistes, 1881 ; — P. Bourget, Essais de psychologie contemporaine,
Paris
, 1883 ; — Édouard Rod, Stendhal, dans la collecti
uard Rod, Stendhal, dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1892. 2º L’Écrivain ; — et d’abord, ce qu’il y a
partie, 1825 ; — la Vie de Rossini, 1824 ; — et Promenades dans Rome,
Paris
, 1829 ; 3º Ses Œuvres diverses, dont les deux pri
es, d’une part ; et de l’autre 4 volumes, intitulés Œuvres posthumes,
Paris
, 1853-1855, Calmann Lévy. On y a depuis ajouté :
X. — Alphonse-Marie-Louis Prat de Lamartine [Mâcon, 1790 ; † 1869,
Paris
] 1º Les Sources. — Lamartine lui-même, dans sa
es modernes, 1868 ; Eugène Pelletan, Lamartine, sa vie et ses œuvres,
Paris
, 1869 ; — Ch. de Mazade, Lamartine, sa vie littér
s, 1869 ; — Ch. de Mazade, Lamartine, sa vie littéraire et politique,
Paris
, 1870 ; — Émile Ollivier, Lamartine, Paris, 1874
e littéraire et politique, Paris, 1870 ; — Émile Ollivier, Lamartine,
Paris
, 1874 ; — Ernest Legouvé, Soixante ans de souveni
Lamartine, Paris, 1874 ; — Ernest Legouvé, Soixante ans de souvenirs,
Paris
, 1876 ; — Ch. Alexandre, Souvenirs sur Lamartine,
de souvenirs, Paris, 1876 ; — Ch. Alexandre, Souvenirs sur Lamartine,
Paris
, 1884 ; — F. Brunetière, « La poésie de Lamartine
m. Faguet, Dix-neuvième siècle, 1887 ; — Ch. de Pomairols, Lamartine,
Paris
, 1889 ; — Chamborand de Périssat, Lamartine incon
Lamartine inconnu, 1891 ; — F. de Reyssié, La Jeunesse de Lamartine,
Paris
, 1892 ; — Ém. Deschanel, Lamartine, Paris, 1893 ;
, La Jeunesse de Lamartine, Paris, 1892 ; — Ém. Deschanel, Lamartine,
Paris
, 1893 ; — Jules Lemaître, Les Contemporains, t. V
faires de France à Florence. — Composition des Harmonies ; — retour à
Paris
. — Réception à l’Académie française ; — et public
s-uns de ses Discours [Cf. L. de Ronchaud, La Politique de Lamartine,
Paris
, 1878] ; — et quelques-uns de ses pressentiments
ues-uns de ses pressentiments [Cf. E. M. de Vogüé, Heures d’histoire,
Paris
, 1893]. — Il lui appartient encore par son Histoi
ure. Il existe plusieurs éditions des Œuvres complètes de Lamartine :
Paris
, 1840, chez Gosselin, 13 volumes ; — Paris, 1845-
s complètes de Lamartine : Paris, 1840, chez Gosselin, 13 volumes ; —
Paris
, 1845-1849, Furne, 8 volumes [qui ne comprennent
nt en réalité que les Œuvres poétiques et le Voyage en Orient] ; — et
Paris
, 1860-1863, chez l’auteur, rue de la Ville-l’Évêq
; † 1874, le Val-Richer] ; — d’Abel Villemain [Paris, 1790 ; † 1870,
Paris
] — et de Victor Cousin [Paris, 1792 ; † 1867, Can
on. XII. — Jacques-Nicolas-Augustin Thierry [Blois, 1795 ; † 1856,
Paris
] 1º Les Sources. — Augustin Thierry, Dix ans d
ie. Il existe deux éditions des Œuvres complètes d’Augustin Thierry :
Paris
, 1859, Furne ; — et Paris, 1883, F. Didot. XII
s des Œuvres complètes d’Augustin Thierry : Paris, 1859, Furne ; — et
Paris
, 1883, F. Didot. XIII. — Le Théâtre romantique
— G. Schlegel, Cours de littérature dramatique, traduction française,
Paris
et Genève, 1814 ; — F. Guizot, sa « Préface » pou
uizot, sa « Préface » pour la réédition du Shakespeare de Letourneur,
Paris
, 1821 ; — Stendhal, Racine et Shakespeare, Paris,
peare de Letourneur, Paris, 1821 ; — Stendhal, Racine et Shakespeare,
Paris
, 1823-1825 ; — Ch. Magnin, « Le théâtre anglais à
Shakespeare, Paris, 1823-1825 ; — Ch. Magnin, « Le théâtre anglais à
Paris
», 1827-1828 [Dans ses Causeries et méditations,
glais à Paris », 1827-1828 [Dans ses Causeries et méditations, t. II,
Paris
, 1843] ; — Benjamin Constant, « De Wallenstein et
nstant, « De Wallenstein et du théâtre allemand », dans ses Mélanges,
Paris
, 1829 ; — Fauriel, Carmagnola et Adelghis, tragéd
vies d’une Lettre de Manzoni à M. C. sur l’Unité de temps et de lieu,
Paris
, 1834 [Cf. Waille, Le Romantisme de Manzoni, Alge
Victor Hugo, etc. Jules Janin, Histoire de la littérature dramatique,
Paris
, 1853, 1858 ; — Gustave-Planche, ses « Revues dra
ondes, 1832-1857 ; — Théophile Gautier, Histoire de l’art dramatique,
Paris
, 1859 ;-Saint-Marc Girardin, Cours de littérature
, Paris, 1859 ;-Saint-Marc Girardin, Cours de littérature dramatique,
Paris
, 1853. 2º L’évolution du romantisme au théâtre ;
— Lorenzino, 1842. XIV. — Alfred de Musset [Paris, 1810 ; † 1857,
Paris
] 1º Les Sources. — Sainte-Beuve, Portraits con
Confession d’un enfant du siècle, 1835 ; — George Sand, Elle et Lui,
Paris
, 1859 ; — Paul de Musset, Lui et Elle, Paris, 186
eorge Sand, Elle et Lui, Paris, 1859 ; — Paul de Musset, Lui et Elle,
Paris
, 1860 ; et Biographie d’Alfred de Musset, Paris,
Musset, Lui et Elle, Paris, 1860 ; et Biographie d’Alfred de Musset,
Paris
, 1877 ; — Mme O. Jaubert [née d’Alton Shée], Souv
Musset, Paris, 1877 ; — Mme O. Jaubert [née d’Alton Shée], Souvenirs,
Paris
, 1881 ; — Émile Montégut, Nos morts contemporains
, Souvenirs, Paris, 1881 ; — Émile Montégut, Nos morts contemporains,
Paris
, 1884 ; — Émile Faguet, Dix-neuvième siècle, Pari
rts contemporains, Paris, 1884 ; — Émile Faguet, Dix-neuvième siècle,
Paris
, 1887 ; — Jules Lemaître, Introduction au théâtre
emaître, Introduction au théâtre d’Alfred de Musset, édition Jouaust,
Paris
, 1889-1891 ; — Arvède Barine, Alfred de Musset, d
, Alfred de Musset, dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1893 ; — F. Brunetière, L’Évolution de la poésie
d’Alfred de Musset et de George Sand, publiées par M. S. Rocheblave,
Paris
, 1897. 2º Le Poète. — Son origine bourgeoise et s
raphique sur les œuvres d’Alfred de Musset, par le Vte de Spoelberch,
Paris
, 1867 ; et Derôme, Les Éditions originales des ro
is, 1867 ; et Derôme, Les Éditions originales des romantiques, t. II,
Paris
, 1887]. XV. — Prosper Mérimée [Paris, 1803 ; †
d’avril 1879 ; — Maurice Tourneux, Prosper Mérimée, sa bibliographie,
Paris
, 1876 ; et Prosper Mérimée, ses portraits, etc.,
bibliographie, Paris, 1876 ; et Prosper Mérimée, ses portraits, etc.,
Paris
, 1879 ; — Émile Faguet, Dix-neuvième siècle, 1887
; — Émile Faguet, Dix-neuvième siècle, 1887 ; — Aug. Filon, Mérimée,
Paris
, 1893 ; — Mérimée, Une correspondance inédite, 18
805 ; † 1859, Cannes] 1º Les Sources. — Sa Correspondance inédite,
Paris
, 1861 ; et sa Nouvelle correspondance inédite, Pa
ondance inédite, Paris, 1861 ; et sa Nouvelle correspondance inédite,
Paris
, 1865 ; — G. de Beaumont, « Notice sur Alexis de
ocqueville », en tête de ses Œuvres et correspondance inédites, 1861,
Paris
; — L. de Loménie, Esquisses historiques et litté
1861, Paris ; — L. de Loménie, Esquisses historiques et littéraires,
Paris
, 1859 ; — Sainte-Beuve, Premiers lundis, t. II, 1
Mondes du 1er février 1894 ; — G. d’Eichthal, Alexis de Tocqueville,
Paris
, 1897. 2º L’Historien. — Originalité de sa manièr
s-Unis. Ses Œuvres complètes ont été publiées par Mme de Tocqueville,
Paris
, 1864-1868, en neuf volumes in-8º, dont les deux
ècles » (1843-1859) I. — Honoré de Balzac [Tours, 1799 ; † 1850,
Paris
] 1º Les Sources 14. — Balzac, sa Correspondanc
[1819-1850], formant le tome XXIV de l’édition des Œuvres complètes,
Paris
, 1876 ; — et Lettres à l’étrangère [Mme Hanska, d
es à l’étrangère [Mme Hanska, depuis Mme de Balzac], dans la Revue de
Paris
, 1894, 1895, 1896. Sainte-Beuve, Portraits contem
; — Mme de Surville [sœur de Balzac], Balzac, sa vie et ses œuvres,
Paris
, 1858, et en tête du volume de la Correspondance.
d’histoire (l’article est de 1858) ; — Th. Gautier, Honoré de Balzac,
Paris
, 1859 ; — Edmond Werdet, Portrait intime de Balza
de Balzac, Paris, 1859 ; — Edmond Werdet, Portrait intime de Balzac,
Paris
, 1859 ; — Champfleury, Grandes figures d’hier et
Paris, 1859 ; — Champfleury, Grandes figures d’hier et d’aujourd’hui,
Paris
, 1861 ; — Lamartine, « Balzac », dans son Cours d
ne, « Balzac », dans son Cours de littérature, 1864, et en un volume,
Paris
, 1866 ; — Émile Zola, Le Roman expérimental, 1880
euvième siècle, 1887 ; — Marcel Barrière, L’Œuvre d’Honoré de Balzac,
Paris
, 1890 ; — Julien Lemer, Balzac, sa vie et son œuv
de Balzac, Paris, 1890 ; — Julien Lemer, Balzac, sa vie et son œuvre,
Paris
, 1891 ; — Paul Flat, Essais sur Balzac, 1893 ; et
is, 1891 ; — Paul Flat, Essais sur Balzac, 1893 ; et Nouveaux essais,
Paris
, 1895 ; — Edmond Biré, H. de Balzac, Paris, 1897.
1893 ; et Nouveaux essais, Paris, 1895 ; — Edmond Biré, H. de Balzac,
Paris
, 1897. Anatole Cerfbeer et Jules Christophe, Répe
atole Cerfbeer et Jules Christophe, Répertoire de la Comédie humaine,
Paris
, 1887. 2º Le Romancier. A. Sa jeunesse et ses dé
n de ceux où reparaît le romantique [Cf. Un grand homme de province à
Paris
, ou La Dernière incarnation de Vautrin], — immora
deux bonnes éditions des Œuvres de Balzac, la première en 20 volumes,
Paris
, 1855, Houssiaux ; — et la seconde en 24 volumes,
n 20 volumes, Paris, 1855, Houssiaux ; — et la seconde en 24 volumes,
Paris
, 1885, 1888, Calmann Lévy. II. — Jules Michele
t, Histoire de la littérature sous le gouvernement de Juillet, t. II,
Paris
, 1855 ; — H. Taine, Essais de critique et d’histo
5 et 1897 ; — O. d’Haussonville, Études biographiques et littéraires,
Paris
, 1876 ; — F. Corréard, Michelet, dans la Biblioth
siques populaires, 1886 ; — J. Simon, Notice historique sur Michelet,
Paris
, 1886 ; — Émile Faguet, Dix-neuvième siècle, Pari
ique sur Michelet, Paris, 1886 ; — Émile Faguet, Dix-neuvième siècle,
Paris
, 1887. 2º L’Écrivain ; — et pour quelle raison on
des Œuvres complètes de J. Michelet, en 40 volumes in-8º, Flammarion,
Paris
, commencée il y a déjà quelques années, et qui ap
e de son terme. III. — Victor-Marie Hugo [Besançon, 1802 ; † 1885,
Paris
]. 1º Les Sources. — Sainte-Beuve, Premiers lun
38 ; — A. Vinet, Études sur la littérature française au xixe siècle,
Paris
, 1851 ; — A. Nettement, Littérature française sou
re française sous la Restauration et sous le gouvernement de Juillet,
Paris
, 1853 ; — Ch. Baudelaire, « Notice » [très remarq
» [très remarquable], dans le Recueil des poètes français de Crépet,
Paris
, 1862 ; — Victor Hugo raconté par un témoin de sa
Crépet, Paris, 1862 ; — Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie,
Paris
, 1863 ; — Edmond Biré, Victor Hugo et la Restaura
ré, Victor Hugo et la Restauration, 1869 ; et Victor Hugo avant 1830,
Paris
, 1883 ; Victor Hugo après 1830, Paris, 1891 ; Vic
69 ; et Victor Hugo avant 1830, Paris, 1883 ; Victor Hugo après 1830,
Paris
, 1891 ; Victor Hugo après 1852, Paris, 1893 [cinq
1883 ; Victor Hugo après 1830, Paris, 1891 ; Victor Hugo après 1852,
Paris
, 1893 [cinq volumes formant ensemble la plus exac
, mais non pas la plus impartiale] ; A. Asseline, Victor Hugo intime,
Paris
, 1885 ; — Leconte de Lisle et A. Dumas fils, Disc
te de Lisle, 1887 ; — Ernest Dupuy, Victor Hugo, l’homme et le poète,
Paris
, 1887 ; — Émile Faguet, Dix-neuvième siècle, Pari
homme et le poète, Paris, 1887 ; — Émile Faguet, Dix-neuvième siècle,
Paris
, 1887 ; — G. Duval, Dictionnaire des métaphores d
Paris, 1887 ; — G. Duval, Dictionnaire des métaphores de Victor Hugo,
Paris
, 1888 ; — Émile Hennequin, La Critique scientifiq
ctor Hugo, Paris, 1888 ; — Émile Hennequin, La Critique scientifique,
Paris
, 1888 ; — G. Pellissier, Le Mouvement littéraire
ris, 1888 ; — G. Pellissier, Le Mouvement littéraire au xixe siècle,
Paris
, 1889 ; — F. Brunetière, L’Évolution de la poésie
n des Grands Écrivains français, 1893 ; — Ch. Renouvier, Victor Hugo,
Paris
, 1889-1893. 2º L’Homme et le Poète ; — et de quel
séniennes. — Marion Delorme, 1829 ; — Hernani, 1830 ; — Notre-Dame de
Paris
, 1831 ; — Les Feuilles d’automne, 1831 ; — et qu’
uilleton ; — l’auteur des Mémoires du Diable et celui des Mystères de
Paris
. — De l’esprit du roman ; — de l’art avec lequel
lande, 1823 ; — Le Dernier Jour d’un condamné, 1829 ; — Notre-Dame de
Paris
, 1831 ; — Claude Gueux, 1834 ; — Les Misérables,
ètes — moins la Correspondance — ont été réunies en 56 volumes in-8º,
Paris
, 1885-1888, Hetzel. IV. — George Sand (Amantin
bre 1832, août 1833, et octobre 1834 ; — Comte T. Walsh, George Sand,
Paris
, 1837 ; — A. Vinet, Études sur la littérature fra
mai 1857 ; — O. d’Haussonville, Études biographiques et littéraires,
Paris
, 1879 ; — Caro, George Sand, dans la collection d
rands Écrivains français, 1887 ; — Émile Faguet, Dix-neuvième siècle,
Paris
, 1887 ; — F. Brunetière, Évolution de la poésie l
on [Cf. lettre du 3 décembre 1830, et Indiana] ; — son installation à
Paris
et ses débuts littéraires. — Henri de Latouche et
ue ; — ils le sont d’une autre manière que Cinq-Mars ou Notre-Dame de
Paris
; — et toutes ces circonstances réunies expliquen
V. — Charles-Augustin Sainte-Beuve [Boulogne-sur-Mer, 1804 ; † 1869,
Paris
] 1º Les Sources. — Sainte-Beuve, d’abord : Por
ique, t. I, 1894 ; — Émile Faguet, « Sainte-Beuve », dans la Revue de
Paris
, février 1897. 2º L’Écrivain. — Son origine ; — e
ralisme (1859-1875) I. — Alfred de Vigny [Loches, 1797 ; † 1863,
Paris
] 1º Les Sources. — Journal d’un poète, publié
e, publié par M. Louis Ratisbonne ; et « Notice » en tête du Journal,
Paris
, 1867 ; — Sainte-Beuve, Portraits contemporains,
les progrès de la poésie, 1868 ; — Émile Faguet, Dix-neuvième siècle,
Paris
, 1887 ; — Maurice Paléologue, Alfred de Vigny, Pa
neuvième siècle, Paris, 1887 ; — Maurice Paléologue, Alfred de Vigny,
Paris
, 1891 ; — F. Brunetière, Essais sur la littératur
e lyrique, 1893, t. II ; — Dorison, Alfred de Vigny poète philosophe,
Paris
, 1892. 2º Le Poète. A. Les années romantiques. —
897. Il existe deux éditions des Œuvres, l’une en huit volumes in-8º,
Paris
, 1868-1870, Michel Lévy ; et l’autre en six vol.
in-8º, Paris, 1868-1870, Michel Lévy ; et l’autre en six vol. in-12,
Paris
, 1883-1885, A. Lemerre. II. — Pierre-Jules-Thé
erre. II. — Pierre-Jules-Théophile Gautier [Tarbes, 1811 : † 1872,
Paris
] 1º Les Sources. — Vte de Spoelberch de Lovenj
de Spoelberch de Lovenjoul, Histoire des œuvres de Théophile Gautier,
Paris
, 1887. Sainte-Beuve, Nouveaux lundis, t. VI, 1863
1868 ; — Émile Bergerat, Théophile Gautier, Entretiens et Souvenirs,
Paris
, 1877 ; — Émile Zola, Documents littéraires, Pari
iens et Souvenirs, Paris, 1877 ; — Émile Zola, Documents littéraires,
Paris
, 1881 ; — Maxime du Camp, Souvenirs littéraires,
s littéraires, Paris, 1881 ; — Maxime du Camp, Souvenirs littéraires,
Paris
, 1882-1884 ; et Théophile Gautier, dans la collec
Théophile Gautier, dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1890 ; — Émile Faguet, Études sur le xixe siècl
çais, Paris, 1890 ; — Émile Faguet, Études sur le xixe siècle, 1887.
Paris
; — F. Brunetière, Questions de critique, 1887 ;
e lyrique, t. II, 1893 ; — Maurice Spronck, Les Artistes littéraires,
Paris
, 1889. 2º L’Artiste. — Longue injustice de la cri
oire de l’art dramatique depuis vingt-cinq ans, 6 volumes, 1858-1859,
Paris
; — C. Enfin son œuvre de critique d’art. On a en
ions de circonstance. III. — Émile Augier [Valence, 1820 ; † 1889,
Paris
] 1º Les Sources. — Émile Montégut, Dramaturges
s auteurs dramatiques, 1881 ; — Hippolyte Parigot, Le Théâtre d’hier,
Paris
, 1890 ; — René Doumic, Portraits d’écrivains, Par
e Théâtre d’hier, Paris, 1890 ; — René Doumic, Portraits d’écrivains,
Paris
, 1892 ; — Maurice Spronck, « Émile Augier », dans
uisent à deux recueils de Poésies : Poésies complètes d’Émile Augier,
Paris
, 1852, Lévy ; — et Les Pariétaires, Paris, 1855,
s complètes d’Émile Augier, Paris, 1852, Lévy ; — et Les Pariétaires,
Paris
, 1855, Lévy ; — et à quelques brochures de peu d’
corrigée, selon l’antique usage] est celle de 1889, en sept volumes,
Paris
, Calmann Lévy. IV. — Octave Feuillet [Saint-Lô
ris, Calmann Lévy. IV. — Octave Feuillet [Saint-Lô, 1821 ; † 1890,
Paris
] 1º Les Sources. — Mme Octave Feuillet, Quelqu
Les Sources. — Mme Octave Feuillet, Quelques années de ma vie, 1894,
Paris
, et Souvenirs et Xorrespondances, 1896, Paris ; —
années de ma vie, 1894, Paris, et Souvenirs et Xorrespondances, 1896,
Paris
; — Émile Montégut, Revue des Deux Mondes, décemb
is, t. V, 1863 ; — Jules Lemaître, Les Contemporains, 3e série, 1887,
Paris
; — Ch. Le Goffic, Les Romanciers d’aujourd’hui,
e série, 1887, Paris ; — Ch. Le Goffic, Les Romanciers d’aujourd’hui,
Paris
, 1890 ; — F. Brunetière, Essais sur la littératur
ris, 1890 ; — F. Brunetière, Essais sur la littérature contemporaine,
Paris
, 1891 ; — René Doumic, Portraits d’écrivains, Par
re contemporaine, Paris, 1891 ; — René Doumic, Portraits d’écrivains,
Paris
, 1892. 2º Le Romancier. — Ses débuts romantiques
-René Leconte de Lisle [Saint-Paul, Île de la Réunion, 1818 ; † 1894,
Paris
] 1º Les Sources. — Charles Baudelaire, « Notic
re, « Notice », dans le Recueil des poètes français de Crépet, t. IV,
Paris
, 1865 ; — Th. Gautier, Rapport sur les progrès de
a poésie, 1867 ; — Paul Bourget, Essais de psychologie contemporaine,
Paris
, 1886 ; — Maurice Spronck, Les Artistes littérair
emporaine, Paris, 1886 ; — Maurice Spronck, Les Artistes littéraires,
Paris
, 1889 ; — Jules Lemaître, Les Contemporains, t. I
de littérature contemporaine, 1895 ; — Jean Dornis, Leconte de Lisle,
Paris
, 1895 ; — Henry Houssaye, Discours de réception,
de Rennes, et La Variété, Revue littéraire, 1840-1841. — L’arrivée à
Paris
et la collaboration aux journaux phalanstériens,
de « l’idéaliser ». VII. — Gustave Flaubert [Rouen, 1821 ; † 1880,
Paris
] 1º Les Sources. — Correspondance de G. Flaub
º Les Sources. — Correspondance de G. Flaubert, 4 volumes, 1887-1893,
Paris
, et, en tête du premier volume : « Souvenirs inti
vres complètes de Flaubert ; — Maxime du Camp, Souvenirs littéraires,
Paris
, 1882-1883. Sainte-Beuve, Causeries du lundi, t.
logie contemporaine, 1883 ; — Louis Desprez, L’Évolution naturaliste,
Paris
, 1883 ; — Maurice Spronck, Les Artistes littérair
turaliste, Paris, 1883 ; — Maurice Spronck, Les Artistes littéraires,
Paris
, 1889 ; — Émile Hennequin, La Critique scientifiq
ttéraires, Paris, 1889 ; — Émile Hennequin, La Critique scientifique,
Paris
, 1888. — J. Charles Tarver, Gustave Flaubert, Lon
pourrait appeler « l’accidentel » ou l’« unique » [Cf. Notre-Dame de
Paris
, La Confession d’un enfant du siècle, Colomba], —
t comprennent : 1º Ses romans : Madame Bovary, 1856 [dans la Revue de
Paris
], et 1857, Michel Lévy ; — Salammbô, 1862 ; — L’É
tes, moins la Correspondance, ont été réunies en sept volumes, in-8º,
Paris
, 1885, Quantin. VIII. — Hippolyte-Adolphe Tain
Quantin. VIII. — Hippolyte-Adolphe Taine [Vouziers, 1828 ; † 1893,
Paris
] 1º Les Sources. — Sainte-Beuve, Causeries du
re anglaise, 1863 ; — Caro, L’Idée de Dieu et ses nouveaux critiques,
Paris
, 1864 ; — abbé Guthlin, Les Doctrines positiviste
, Paris, 1864 ; — abbé Guthlin, Les Doctrines positivistes en France,
Paris
, 1865 ; — P. Janet, La Crise philosophique, Paris
tivistes en France, Paris, 1865 ; — P. Janet, La Crise philosophique,
Paris
, 1865 ; — F. Ravaisson, Rapport sur les progrès d
is, 1865 ; — F. Ravaisson, Rapport sur les progrès de la philosophie,
Paris
, 1868. Paul Bourget, Essais de psychologie contem
ie contemporaine, 1883 ; — Émile Hennequin, La Critique scientifique,
Paris
, 1888 ; — F. Brunetière, L’Évolution des genres,
Dernier Livre de Taine, 1894 ; — G. Monod, Renan, Taine et Michelet,
Paris
, 1894 ; — A. de Margerie, H. Taine, Paris, 1894 ;
, Renan, Taine et Michelet, Paris, 1894 ; — A. de Margerie, H. Taine,
Paris
, 1894 ; — E. Dowden, Literary Criticism in France
ormale [Cf. quelques lettres à ce sujet dans Gréard, Prévost-Paradol,
Paris
, 1895] ; — et ses débuts de professeur. — l’Essai
rage universel, 1871. IX. — Ernest Renan [Tréguier, 1823 ; † 1892,
Paris
] 1º Les Sources. — Sa Correspondance, dont il
paru encore que quelques parties : Lettres à sa sœur Henriette, 1896,
Paris
; et Lettres à M. Berthelot, dans la Revue de Par
Henriette, 1896, Paris ; et Lettres à M. Berthelot, dans la Revue de
Paris
d’août 1897 ; — Ernest Renan, Souvenirs d’enfance
ris d’août 1897 ; — Ernest Renan, Souvenirs d’enfance et de jeunesse,
Paris
, 1876-1882 ; — abbé Cognat, M. Renan hier et aujo
Paris, 1876-1882 ; — abbé Cognat, M. Renan hier et aujourd’hui, 1888,
Paris
. Sainte-Beuve, Nouveaux lundis, t. II, 1862, et t
Cf. ci-dessus] ; — Paul Bourget, Essais de psychologie contemporaine,
Paris
, 1883 ; — Jules Lemaître, Les Contemporains, t. I
s Contemporains, t. I, 1884. A. Ledrain, Renan, sa vie et ses œuvres,
Paris
, 1892 ; — James Darmesteter, Notice sur la vie et
1892 ; — James Darmesteter, Notice sur la vie et l’œuvre de M. Renan,
Paris
, 1893 ; — G. Séailles, Renan, Paris, 1895. 2º L’H
ur la vie et l’œuvre de M. Renan, Paris, 1893 ; — G. Séailles, Renan,
Paris
, 1895. 2º L’Homme et l’Écrivain. — Ses origines ;
dernière catégorie. X. — Charles Baudelaire [Paris, 1821 ; † 1867,
Paris
] 1º Les Sources. — Sainte-Beuve, Causeries du
la poésie, 1868 ; — Ch. Asselineau, Baudelaire, sa vie et son œuvre,
Paris
, 1869 ; — Charles Baudelaire, souvenirs, correspo
dance, bibliographie [par Charles Cousin et Spoelberch de Lovenjoul],
Paris
, 1872 ; — Maxime du Camp, Souvenirs littéraires,
de Lovenjoul], Paris, 1872 ; — Maxime du Camp, Souvenirs littéraires,
Paris
, 1882 ; — Charles Baudelaire, Œuvres posthumes et
s posthumes et correspondance inédite, publiées par M. Eugène Crépet,
Paris
, 1887 ; — Paul Bourget, Essais de psychologie con
e Crépet. Ses Œuvres complètes ont été réunies en sept volumes in-12,
Paris
, 1868-1870, Michel Lévy. XI. — L’Influence all
uve Schopenhauer [Cf. Foucher de Careil, Hegel et Schopenhauer, 1862,
Paris
, et Challemel-Lacour, dans la Revue des Deux Mond
es doctrines d’art qu’on en dégage [Cf. Éd. Schuré, Le Drame musical,
Paris
, 1875]. — Et, en dépit de la résistance d’un cert
encore plus superficiel que grossier. XII. — Alexandre Dumas fils [
Paris
, 1821 ; † 1895, Paris] 1º Les Sources. — Les «
l que grossier. XII. — Alexandre Dumas fils [Paris, 1821 ; † 1895,
Paris
] 1º Les Sources. — Les « feuilletons dramatiqu
littérature française, 1857-1858 ; — Léopold Lacour, Trois théâtres,
Paris
, 1880 ; — Émile Zola, Nos auteurs dramatiques ; e
0 ; — Émile Zola, Nos auteurs dramatiques ; et Documents littéraires,
Paris
, 1881 ; — Paul Bourget, Essais de psychologie con
ontemporaine, 1886 ; — Paul de Saint-Victor, Le Théâtre contemporain,
Paris
, 1889 ; — René Doumic, Portraits d’écrivains, 189
le théâtre contemporain, 1895-1897 ; — H. Parigot, Le Théâtre d’hier,
Paris
, 1893, et Génie et métier, Paris, 1894. 2º L’Homm
7 ; — H. Parigot, Le Théâtre d’hier, Paris, 1893, et Génie et métier,
Paris
, 1894. 2º L’Homme et l’Écrivain ; — et que pour l
1866 ; 2º Son Théâtre, dont la dernière édition, en 7 volumes in-12,
Paris
, 1890-1893, Calmann Lévy, se compose de : La Dame
de Balzac, par M. le vicomte de Spoelberch de Lovenjoul, 3e édition.
Paris
, 1888, Calmann Lévy.
imposer sa loi aux terres environnantes. La France a le sien, Lyon ou
Paris
. L’Allemagne a fini par retrouver le sien, Berlin
roisée générale de toutes les routes du pays, comme l’est par exemple
Paris
pour l’Ile-de-France, Reims pour la Champagne, Bo
la Wallonie, des journaux se fondent, les encouragements arrivent de
Paris
, et voilà née la nouvelle littérature belge. Cert
atre ont choisi la France pour patrie d’adoption : Rodenbach habitait
Paris
, Lemonnier y passe tous les ans plusieurs semaine
Et j’en citerais d’autres, de notoriété moindre, ou plus jeunes, que
Paris
retient !… Séjournant en France, contractant les
ent la silhouette falote d’un roman dont la séduction morbide conquit
Paris
jadis, Bruges-la-Morte, par Georges Rodenbach. C’
té de Gand en 1886, et venaient de publier leurs tout premiers vers à
Paris
dans La Pléiade de Rodolphe Darzens (où Maeterlin
mi-douzaine, apprécient trop fréquemment le monde depuis Bruxelles ou
Paris
. Encore que n’ayant jamais accordé de très longs
Au cours de ses voyages, il a vu Londres, Hambourg, Marseille ; après
Paris
, il a connu Berlin, Dresde, Vienne, l’Italie, l’E
urs écrits en 1888, parurent dans La Wallonie en 1889, furent joués à
Paris
une première fois le 5 février 1892 au Théâtre d’
lante, La Blessure, La Rivale, plus encore L’Instinct, l’ont révélé à
Paris
où, récemment, La Flambée lui valut un bel et lég
du cru bruxellois le plus pur, moins mousseux sans doute que celui de
Paris
, mais délicat et savoureux. Voilà de bonne comédi
nt prose et vers aux revues françaises et se font éditer couramment à
Paris
. Le Mercure de France en a plus hospitalisé, je c
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Ollendorff, 1898. — Adam et Ève. Paris, Ollendorff, 1899. — Théâtre.
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Ollendorff, 1899. — Théâtre. Paris, Ollendorff, 1899. — Le Bon Amour.
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— Le Bon Amour. Paris, Ollendorff, 1900. — Au cœur frais de la forêt.
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, Ollendorff, 1900. — Le Vent dans les moulins. Pa
té… (nouvelles). Paris, Ollendorff, 1900. — Le Vent dans les moulins.
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nt dans les moulins. Paris, Ollendorff, 1901. — Le Sang et les Roses.
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e Sang et les Roses. Paris, Ollendorff, 1901. — Les Deux Consciences.
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, Ollendorff, 1902. — Le Petit Homme de Dieu. Pari
Deux Consciences. Paris, Ollendorff, 1902. — Le Petit Homme de Dieu.
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Homme de Dieu. Paris, Ollendorff 1902. — Poupée d’amour (nouvelles).
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d’amour (nouvelles). Paris, Ollendorff, 1902. — Comme va le ruisseau.
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Comme va le ruisseau. Paris, Ollendorff, 1903. — La Maison qui dort.
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, 1884. — La Jeunesse Blanche. Paris, Lemerre, 1886. — L’Art en exil.
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, Quantin, 1889. — Le Règne du silence. Paris, Cha
, 1886. — L’Art en exil. Paris, Quantin, 1889. — Le Règne du silence.
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, Charpentier, 1891. — Bruges-la-Morte. Paris, Fla
. — Le Règne du silence. Paris, Charpentier, 1891. — Bruges-la-Morte.
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, Flammarion, 1892. — Le Voyage dans les yeux. Par
Bruges-la-Morte. Paris, Flammarion, 1892. — Le Voyage dans les yeux.
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, Ollendorff, 1893. — Musée de Béguines. Paris, Ch
e Voyage dans les yeux. Paris, Ollendorff, 1893. — Musée de Béguines.
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, Charpentier, 1894. — La Vocation. Paris, Ollendo
, 1893. — Musée de Béguines. Paris, Charpentier, 1894. — La Vocation.
Paris
, Ollendorff, 1895. — Les Vies encloses. Paris, Ch
r, 1894. — La Vocation. Paris, Ollendorff, 1895. — Les Vies encloses.
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, Charpentier, 1896. — Le Carillonneur. Paris, Fas
95. — Les Vies encloses. Paris, Charpentier, 1896. — Le Carillonneur.
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, Fasquelle, 1897. — Le Voile (théâtre). Paris, Ol
896. — Le Carillonneur. Paris, Fasquelle, 1897. — Le Voile (théâtre).
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, Ollendorff, 1897. — Le Miroir du ciel natal. Par
Voile (théâtre). Paris, Ollendorff, 1897. — Le Miroir du ciel natal.
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, Fasquelle, 1898. — L’Arbre. Paris, Ollendorff, 1
, 1897. — Le Miroir du ciel natal. Paris, Fasquelle, 1898. — L’Arbre.
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, Ollendorff, 1899. — L’Élite. Paris, Fasquelle, 1
aris, Fasquelle, 1898. — L’Arbre. Paris, Ollendorff, 1899. — L’Élite.
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orff, 1899. — L’Élite. Paris, Fasquelle, 1899. — Le Mirage (théâtre).
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, La Renaissance du livre, 1910. — Bruges-la-Morte
. — En exil. Paris, La Renaissance du livre, 1910. — Bruges-la-Morte.
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r, 1899. — La Solitude heureuse. Bruxelles, Dechenne, 1904. — Poèmes.
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la route, Les Flamandes, Les Moines. Paris, Mercure de France, 1895.
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, Mercure de France, 1900. — Les Villes tentaculai
oèmes. Nouvelle série : Les Soirs, Les Débâcles, Les Flambeaux noirs.
Paris
, Mercure de France, 1896. — Les Heures claires. B
illusoires, Les Apparus dans mes chemins, Les Vignes de ma muraille.
Paris
, Mercure de France, 1899. — Le Cloître (drame). B
0. — Petites légendes. Bruxelles, Deman, 1900. — Philippe II (drame).
Paris
, Mercure de France, 1901. — Les Forces tumultueus
I (drame). Paris, Mercure de France, 1901. — Les Forces tumultueuses.
Paris
, Mercure de France, 1902. — Les Villes tentaculai
902. — Les Villes tentaculaires, précédées des Campagnes hallucinées.
Paris
, Mercure de France, 1904. — Toute la Flandre, Les
1904. — Les Heures d’après-midi. Bruxelles, Deman, 1905. — Rembrandt.
Paris
, Laurens, 1905. — La Multiple Splendeur. Paris, M
an, 1905. — Rembrandt. Paris, Laurens, 1905. — La Multiple Splendeur.
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, Mercure de France, 1905. — Toute la Flandre, La
907. — Les Visages de la vie (Les Visages de la vie, Les Douze Mois),
Paris
, Mercure de France, 1908. — Toute la Flandre, Les
st et Cie, 1909. — Les Heures claires (avec Les Heures d’après-midi).
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, Mercure de France, 1909. — Helenas Heimkehr (dra
Leipzig, Insel-Verlag, 1909. — Deux drames (Le Cloître, Philippe II).
Paris
, Mercure de France, 1909. — Toute la Flandre, Les
s Villes à pignons. Bruxelles, Deman, 1909. — Les Rythmes souverains.
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, Mercure de France, 1910. — Toute la Flandre, Les
res du soir. Leipzig, Insel-Verlag, 1911. — Hélène de Sparte (drame).
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, éd. de la Nouvelle Revue française, 1912. — Les
Paris, éd. de la Nouvelle Revue française, 1912. — Les Blés mouvants.
Paris
, Crès, 1912. — Les Villes tentaculaires, précédée
La Belgique morale et politique (1830-1900), préface d’Émile Faguet.
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, Colin, 1902. — Études critiques sur la tradition
olin, 1902. — Études critiques sur la tradition littéraire en France.
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, Champion, 1909. 1. Histoire des lettres b
es, 1892. 2. Les Lettres françaises dans la Belgique d’aujourd’hui,
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, Sansot, 1906. 3. Histoire de la littérature be
vre, p. 334. Traduit de l’allemand par Paul Morisse et Henri Chervet.
Paris
, Mercure de France, 1910. 17. Sans doute, la pl
e du 5 octobre 1890. 25. Léon Bazalgette, Camille Lemonnier, p. 16.
Paris
, Sansot. 26. Un mâle, chap. I. 27. Au cœur fr
s. Dans Émaux et Camées, il se révèle miniaturiste merveilleux. 51.
Paris
, Mercure de France. 52. Lettre de Charles van L
La Joie ». 59. J.-M. de Heredia. Les Trophées, « Les Conquérants ».
Paris
, Lemerre. 60. Hors du siècle, « Les Conquérants
rture en couleur très artistique par Le Sidaner, chez Henri Tellier à
Paris
. 75. Entrevisions, « Les Lys qui filent ». 76.
dans La Roulotte. 77. Albert Mockel, Charles van Lerberghe, p. 34.
Paris
, Mercure de France. 78. La Chanson d’Ève, p. 4.
96. Remy de Gourmont, Le IIe Livre des Masques, « André Fontainas ».
Paris
, Mercure de France. 97. Les Vergers illusoires,
Mockel. Émile Verhaeren, note biographique de Francis Vielé-Griffin.
Paris
, Mercure de France. Léon Bazalgette, Émile Verhae
-Griffin. Paris, Mercure de France. Léon Bazalgette, Émile Verhaeren.
Paris
, Sansot. Stefan Zweig, Émile Verhaeren, ouvrage d
essions de théâtre (huitième série), « Maurice Maeterlinck », p. 151,
Paris
, Lecène, Oudin, 1895. 146. Théâtre, Préface, p.
47. Remy de Gourmont, Le Livre des Masques, « Maurice Maeterlinck ».
Paris
, Mercure de France. 148. Représentée au Théâtre
, avec Mme Georgette Leblanc dans le rôle de Joyzelle. 150. Monté à
Paris
, en 1911, avec Mme Georgette Leblanc dans le rôle
s. 152. Joué à Bruxelles au Théâtre du Parc, le 20 février 1900 ; à
Paris
, à l’Œuvre, le 8 mai 1900 ; à Villers (Belgique)
1901). Théâtre de l’Œuvre, les 9 et 10 mai 1904. 154. Représentée à
Paris
, sur la scène du Châtelet (grande saison de Paris
154. Représentée à Paris, sur la scène du Châtelet (grande saison de
Paris
), du 1er au 30 mai 1912, avec Mme Ida Rubinstein
l’anglais par K. Johnston avec une préface de M. Bliss Perry, p. 56.
Paris
, Mercure de France, 1912. 170. Le Double Jardin
la littérature moderne, deuxième série, « Dostoïewsky », p. 274, 275.
Paris
, Albert Savine. Bruxelles, Vve Monnom, 1889. 174
ittéraire en France, « L’Esthétique des symbolistes », p. 310 et 311,
Paris
, Champion, 1909. 175. Propos de littérature, p.
ourd’hui, sans un juste mépris, Voir l’Italie en France, et Rome dans
Paris
! … Je ne puis sans horreur et sans peine, Voir l
Voir le Tibre à grands flots se mêler dans la Seine, Et traîner dans
Paris
ses mêmes, ses farceurs, Sa langue, ses poisons,
ait la fidélité de cette imitation [Cf. L’Évolution des genres, t. I,
Paris
, 1889]. Ils ne les admiraient pas du tout d’être
férence d’Oudry dans le Dictionnaire des beaux-arts de Watelet, t. I,
Paris
, 1760.] Une dernière coïncidence, de celles que l
à la gloire » [Cf. Walckenaer, Mémoires sur Madame de Sévigné, t. II,
Paris
, 1844]. Ce n’était que festins, collations, prome
Considérations sur la marche des idées dans les temps modernes, t. I,
Paris
, 1872], que « le privilège de la France de Louis
ignominie [Cf. Ravaisson, Archives de la Bastille, t. IV, V, VI, VII,
Paris
, 1870-1875]. Si la France en masse est malheureus
rque » [Cf. Ézéchiel Spanheim, Relation de la Cour de France en 1690.
Paris
, 1882]. Épouse ou maîtresse, la vieille demoisell
alement préparée [Cf. Rébelliau, Bossuet historien du protestantisme,
Paris
, 1891]. Et pourquoi n’ajouterions-nous pas qu’on
sier. Rœderer : Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie,
Paris
, 1835 ; — Walckenaer, Mémoires sur Mme de Sévigné
Paris, 1835 ; — Walckenaer, Mémoires sur Mme de Sévigné, t. I et II,
Paris
, 1852 ; — V. Cousin, La Société française au xvii
II, Paris, 1852 ; — V. Cousin, La Société française au xviie siècle,
Paris
, 1858. — A. Fabre, La Jeunesse de Fléchier, Paris
e au xviie siècle, Paris, 1858. — A. Fabre, La Jeunesse de Fléchier,
Paris
, 1882. 2º Théorie générale de la Préciosité. A.
incarnation de la Préciosité. Vincent Voiture [Amiens, 1598 ; † 1648,
Paris
]. — Ses Poésies, — et qu’il y en a dans le nombre
ique. [Cf. sur Montausier, Montausier et son temps, par Amédée Roux ;
Paris
, 1860.] 4º Influence de la Préciosité. A. Sur la
1613 ; — Garasse, La Doctrine curieuse des Beaux Esprits de ce temps,
Paris
, 1623 ; — Tallemant des Réaux, Historiettes, arti
Deux Mondes du 1er décembre 1843 ; — Ch. Bartholmess, Giordano Bruno,
Paris
, 1847 ; — F. Fiorentino, Bernardino Telesio, ossi
ence, 1874 ; Alleaume, sa « Notice » en tête des Œuvres de Théophile,
Paris
, 1856 ; — T. Perrens, Les Libertins au xviie siè
héophile, Paris, 1856 ; — T. Perrens, Les Libertins au xviie siècle,
Paris
, 1896. Voyez encore, sur Théophile en particulier
e tentaient contre eux. 3º Théophile de Viau [Clairac, 1590 ; † 1626,
Paris
.] — Sa première éducation ; — ses relations avec
us avons signalée, de M. Alleaume, dans la Bibliothèque elzévirienne,
Paris
, 1896. Les meilleures éditions de Saint-Évremond
divisés en 14 tomes. III. — Alexandre Hardy [Paris, 1570 ; † 1631,
Paris
] 1º Les Sources. — Les frères Parfaict, Histo
, 1880-1881 ; — Eugène Rigal, Alexandre Hardy et le théâtre français,
Paris
, 1889. 2º La Seconde Époque du théâtre Français.
l, loc. cit. et sa brochure : Esquisse d’une histoire des théâtres de
Paris
de 1548 à 1653, Paris, 1887]. — L’invraisemblable
chure : Esquisse d’une histoire des théâtres de Paris de 1548 à 1653,
Paris
, 1887]. — L’invraisemblable fécondité d’Alexandre
83, 1884, Elwert. IV. — François de Malherbe [Caen, 1555 ; † 1628,
Paris
] 1º Les Sources. — Racan, « Vie de Malherbe »,
G. Allais, Malherbe et la poésie française à la fin du xvie siècle,
Paris
, 1891 ; — F. Brunot, La Doctrine de Malherbe, Par
du xvie siècle, Paris, 1891 ; — F. Brunot, La Doctrine de Malherbe,
Paris
, 1891 ; — V. Bourrienne, Points obscurs et nouvea
; — V. Bourrienne, Points obscurs et nouveaux de la vie de Malherbe,
Paris
, 1895 ; — Duc de Broglie, Malherbe, Paris, 1897.
eaux de la vie de Malherbe, Paris, 1895 ; — Duc de Broglie, Malherbe,
Paris
, 1897. 2º L’Homme, le Poète et le Réformateur. A
z Thomas Joli, avec les observations de Ménage ; — l’édition de 1757,
Paris
, chez Barbou ; — l’édition Charpentier, 1842, à l
on a joint les commentaires d’André Chénier ; — et l’édition Lalanne,
Paris
, 1862, Hachette. V. — Jean-Louis Guez de Balza
e Socrate chrétien ; — et la grande édition de 1665, en 2 vol. in-fº,
Paris
, chez Louis Billaine. Il n’y en a pas d’éditions
compte comme telle un « choix » en deux volumes, donné par M. Moreau,
Paris
, 1854, Lecoffre. VI. — Claude Favre de Vaugela
e. VI. — Claude Favre de Vaugelas [Meximieux (Ain), 1585 ; † 1650,
Paris
] 1º Les Sources. — Niceron, dans ses Hommes il
Louis XIV, t. III ; Moncourt, De la méthode grammaticale de Vaugelas,
Paris
, 1851 ; — Sayous, Littérature française à l’étran
Vaugelas, Paris, 1851 ; — Sayous, Littérature française à l’étranger,
Paris
et Genève, 1853, t. I, ch. t. 3 et 4. — Sainte-Be
tice », en tête de son édition des Remarques sur la langue française,
Paris
et Versailles, 1880. 2º Le rôle de Vaugelas. — Or
ste et d’Eugène.] 3º Les Œuvres. — Remarques sur la langue française,
Paris
, 1647, in-4º ; — et Quinte-Curce : de la vie et d
ons d’Alexandre le Grand, traduit par le sieur Cl. Favre de Vaugelas,
Paris
, 1653, in 4º. Nous avons signalé plus haut l’exce
par M. A. Chassang. VII. — Pierre Corneille [Rouen, 1606 ; † 1685,
Paris
] 1º Les Sources 10. — Bibliographie cornélienn
es ouvrages relatifs à Corneille et à ses écrits, par M. Émile Picot,
Paris
, 1876 ; — Fontenelle, Vie de Corneille, 1685, 172
855 ; — Marty-Laveaux, « Notice », en tête de son édition des Œuvres,
Paris
, 1862 ; — F. Bouquet : Les Points obscurs de la v
ris, 1862 ; — F. Bouquet : Les Points obscurs de la vie de Corneille,
Paris
, 1888. Corneille : Discours, et Examens de ses pr
l de dissertations sur plusieurs tragédies de Corneille et de Racine,
Paris
, 1740, chez Gisseq et Bordelet. — Voltaire, Comme
aux lundis, t. VII, 1864. — Desjardins, Le Grand Corneille historien,
Paris
, 1861. — Levallois, Corneille inconnu, Paris, 187
and Corneille historien, Paris, 1861. — Levallois, Corneille inconnu,
Paris
, 1876. — J. Lemaître, Corneille et Aristote, Pari
Corneille inconnu, Paris, 1876. — J. Lemaître, Corneille et Aristote,
Paris
, 1882. Frédéric Godefroy, Lexique de la langue de
e, Paris, 1882. Frédéric Godefroy, Lexique de la langue de Corneille,
Paris
, 1862 ; — Marty-Laveaux. Lexique, etc., Paris, 18
la langue de Corneille, Paris, 1862 ; — Marty-Laveaux. Lexique, etc.,
Paris
, 1868, formant les deux derniers volumes du Corne
Puibusque, Histoire comparée des littératures française et espagnole,
Paris
, 1842 ; et Jarry, Essai sur les œuvres dramatique
, Paris, 1842 ; et Jarry, Essai sur les œuvres dramatiques de Rotrou,
Paris
, 1858]. — Comment le romanesque y tend perpétuell
atique du théâtre [Cf. Arnaud, Théories dramatiques au xviie siècle,
Paris
, 1887]. — Des caractères de l’imagination de Corn
Marty-Laveaux, dans la collection des Grands Écrivains de la France,
Paris
, 1862, Hachette. VIII. — La fondation de l’Aca
des derniers Valois [Cf. sous ce titre le livre de M. Édouard Fremy,
Paris
, s. d.] ; — l’Académie florimontane. — Une phrase
llisson et d’Olivet, Histoire de l’Académie française, édition Livet,
Paris
, 1858 ; — Paul Mesnard, Histoire de l’Académie, P
édition Livet, Paris, 1858 ; — Paul Mesnard, Histoire de l’Académie,
Paris
, 1857 ; — les Préfaces successives du Dictionnair
ge ; — et l’abbé A. Fabre, Chapelain et nos deux premières Académies,
Paris
, 1890.] 2º L’Objet de l’Académie. — Qu’il ne diff
s ; — M. Philippson, La Contre-révolution religieuse au xvie siècle,
Paris
et Bruxelles, 1884 ; — Dejob, De l’influence du c
84 ; — Dejob, De l’influence du concile de Trente sur la littérature,
Paris
, 1884. Molina, Concordia liberii arbitrii cum gra
squ’en 1644, publiée [et arbitrairement mutilée] par l’abbé Domenech,
Paris
, 1861 ; — Sainte-Beuve, Port-Royal, t. I et II ;
vêque actuel de Beauvais], Les Jansénistes et leur dernier historien,
Paris
, 1876. 2º La Formation de la doctrine. — De l’imp
e des idées dans les temps modernes, t. I, liv. III, ch. 1, 2, 3, 4 ;
Paris
, 1872 ; — Fiorentino, Bernardino Telesio, Florenc
ilien Marie, Histoire des sciences mathématiques et physiques, t. IV,
Paris
, 1883-1885. A. Baillet, La Vie de Monsieur Descar
s, t. IV, Paris, 1883-1885. A. Baillet, La Vie de Monsieur Descartes,
Paris
, 1691. J. Millet, Histoire de Descartes avant 163
Descartes, Paris, 1691. J. Millet, Histoire de Descartes avant 1637,
Paris
, 1867 ; — Louis Liard, Descartes, Paris, 1882 ; —
oire de Descartes avant 1637, Paris, 1867 ; — Louis Liard, Descartes,
Paris
, 1882 ; — A. Fouillée, Descartes, dans la collect
ouillée, Descartes, dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1893. Bordas-Demoulin, Le Cartésianisme, Paris,
s Écrivains français, Paris, 1893. Bordas-Demoulin, Le Cartésianisme,
Paris
, 1843 ; — V. Cousin, Fragments philosophiques, t.
. Cousin, Fragments philosophiques, t. IV et V : Philosophie moderne,
Paris
, 1845 ; — Francisque Bouillier, Histoire de la ph
845 ; — Francisque Bouillier, Histoire de la philosophie cartésienne,
Paris
, 1854 ; — Ravaisson, Rapport sur le prix Victor C
no, op. cit., et J. Bertrand, Les Fondateurs de l’astronomie moderne,
Paris
, 1865]. — Quelques mots de Bacon, et de son peu d
Quelques mots de Bacon, et de son peu d’influence [Cf. Liebig, Bacon,
Paris
, 1866 ; et Claude Bernard, Introduction à la méde
, 1866 ; et Claude Bernard, Introduction à la médecine expérimentale,
Paris
, 1865]. — De la savante ignorance de Descartes ;
premières études au collège de la Flèche, 1604-1612 ; — ses débuts à
Paris
, et sa passion du jeu [Cf. Baillet, ch. 8] ; — sa
t son pèlerinage à Notre-Dame de Lorette, 1624-1625 ; — il séjourne à
Paris
, 1625-1629 ; — et il y compose probablement ses R
vol. in-4º, 1670-1683, et 9 vol. in-18, 1692-1713 ; — 2º l’édition de
Paris
, 1724-1729, 13 vol. in-12 ; — et 3º l’édition de
9, 13 vol. in-12 ; — et 3º l’édition de Victor Cousin, 11 vol. in-8º,
Paris
, 1824-1826, Levrault. M. Foucher de Careil a publ
e Careil a publié deux volumes de Supplément aux œuvres de Descartes,
Paris
, 1859-1860, Durand. XI. — Port-Royal et les Ar
étendant de 1644 à 1669], publiés par M. Léon Aubineau, 3 vol. in-8º,
Paris
, 1865 ; — Mémoires d’Arnauld d’Andilly, dans les
d et Poujoulat ; — P. Varin, La Vérité sur les Arnauld, 2 vol. in-8º,
Paris
, 1847 ; — P. Faugère, Lettres de la mère Agnès Ar
1847 ; — P. Faugère, Lettres de la mère Agnès Arnauld, 2 vol. in-8º,
Paris
, 1858. 2º Les Arnauld, et en particulier Antoine
De l’origine des romans », en tête de la Zayde de Mme de La Fayette,
Paris
, 1671 ; — Gordon de Percel [Lenglet-Dufresnoy], D
Oppeln et Leipzig, 1885-1887. — A. Lebreton, Roman au xviie siècle,
Paris
, 1890 ; — P. Morillot, Le Roman en France depuis
siècle, Paris, 1890 ; — P. Morillot, Le Roman en France depuis 1610,
Paris
, 1893. V. Cousin, La Société française au xviie
iété française au xviie siècle ; — Rathery, Mademoiselle de Scudéry,
Paris
, 1873 ; — René Kerviler, Marin Le Roy de Gombervi
Scudéry, Paris, 1873 ; — René Kerviler, Marin Le Roy de Gomberville,
Paris
, 1876. 2º L’Évolution du Roman. — Que l’action de
esthétique cartésienne [Cf. Émile Krantz, L’Esthétique de Descartes,
Paris
, 1882] ? — et qu’en tout cas on ne saurait s’en d
n Le Roy de Gomberville [Chevreuse ou Étampes, 1599 ou 1600 ; † 1674,
Paris
]. — Son Polexandre [1629-1637]. — Combinaison, da
d’Alexandre Dumas. C. Madeleine de Scudéri [Le Havre, 1607 ; † 1701,
Paris
]. — Si son rôle ne consisterait pas à avoir « emb
de Clèves. On a encore de Mlle de Scudéri des Conversations morales,
Paris
, 1886 ; — et une intéressante Correspondance.
. J. Duchesne, Histoire des poèmes épiques français du xviie siècle,
Paris
, 1870. Théophile Gautier, article Scudéry, dans s
l’abbé Fabre [évêque actuel de la Réunion], Les Ennemis de Chapelain,
Paris
, 1888. René Kerviler, Jean Desmarets de Saint-Sor
hapelain, Paris, 1888. René Kerviler, Jean Desmarets de Saint-Sorlin,
Paris
, 1879. H. Rigault, Histoire de la querelle des an
879. H. Rigault, Histoire de la querelle des anciens et des modernes,
Paris
, 1856 ; — P. Delaporte, S. J., Le Merveilleux dan
Merveilleux dans la littérature française sous le règne de Louis XIV,
Paris
, 1891. 2º Les Auteurs. — De la parenté naturelle
iens et des modernes. A. Georges de Scudéri [Le Havre, 1601 ; † 1667,
Paris
]. — Le premier vers de son Alaric : Je chante le
n d’une parodie de lui-même. B. Jean Chapelain [Paris, 1595 ; † 1674,
Paris
]. — Qu’on ne saurait être moins « parisien » et m
être moins « parisien » et moins « gaulois » que Jean Chapelain, né à
Paris
, qui vécut quatre-vingts ans à Paris, et mourut à
ulois » que Jean Chapelain, né à Paris, qui vécut quatre-vingts ans à
Paris
, et mourut à Paris. — Étrange idée qu’on a eue de
apelain, né à Paris, qui vécut quatre-vingts ans à Paris, et mourut à
Paris
. — Étrange idée qu’on a eue de vouloir le réhabil
e Polyeucte. C. Jean Desmarets de Saint-Sorlin [Paris, 1595 ; † 1676,
Paris
]. — Celui-ci a essayé de tout : — du roman, dans
Puibusque, Histoire comparée des littératures française et espagnole,
Paris
, 1843 ; — L. de Viel-Castel, « Essai sur le théât
ondes, 1840, 1841, 1846 ; — V. Fournel, Les Contemporains de Molière,
Paris
, 1863-1875. Goujet, Bibliothèque française, artic
I, et Quinault, t. XVIII ; — Morillot, Scarron, sa vie et ses œuvres,
Paris
, 1888 ; — G. Reynier, Thomas Corneille, Paris, 18
, sa vie et ses œuvres, Paris, 1888 ; — G. Reynier, Thomas Corneille,
Paris
, 1892. 2º La Transition de Corneille a Molière. —
n sept volumes, 1752, chez Wetstein ; — de Thomas Corneille, celle de
Paris
, en cinq volumes, 1748, chez David ; — et de Quin
Paris, en cinq volumes, 1748, chez David ; — et de Quinault, celle de
Paris
, chez la Vve Duchesne, 1778, en cinq volumes.
on de Rabelais ; — mais il est italien [Cf. Vianey, Mathurin Regnier,
Paris
, 1896] ; — et compliqué d’espagnol [Cf. toute la
leur plaît. XVI. — Blaise Pascal [Clermont-Ferrand, 1623 ; † 1662,
Paris
] 1º Les Sources. — Mme Périer (Gilberte Pascal
que et littéraire du 24 novembre 1877 ; — J. Bertrand, Blaise Pascal,
Paris
, 1891 ; — Ch. Adam, Pascal et Mlle de Roannez, Di
a principia reducta, 1643 ; — Escobar, Liber theologiæ moralis, 1656,
Paris
, 42e édition [Cf. sur le fond de la question : In
s, depuis celle de Frantin, Dijon, 1835, jusqu’à celle de M. Guthlin,
Paris
, 1896 ; — A. Vinet, Études sur Blaise Pascal, 183
un volume sous la date de 1848] ; — Victor Cousin, Études sur Pascal,
Paris
, 1842, 1844 ; — Sainte-Beuve, Port-Royal, t. III
y, Les Pensées de Pascal considérées comme apologie du christianisme,
Paris
, 1883 ; — Édouard Droz, Étude sur le scepticisme
me, Paris, 1883 ; — Édouard Droz, Étude sur le scepticisme de Pascal,
Paris
, 1886 ; — Sully Prudhomme, « La philosophie de Pa
y, Les Pensées de Pascal considérées comme apologie du christianisme,
Paris
, 1883.] — De quelques faits nouveaux dont l’apolo
de l’évolution [Cf. Brunetière, La Moralité de la doctrine évolutive,
Paris
, 1896]. — Que la valeur morale de l’apologie de P
58 [Cf. A. Desboves, Étude sur Pascal et les Géomètres contemporains,
Paris
, 1878]. Les principales éditions des Provinciales
ion de 1659, à Cologne, chez Nicolas Schouten ; — l’édition Maynard ;
Paris
, 1851, Firmin Didot ; — l’édition Derôme, Paris,
— l’édition Maynard ; Paris, 1851, Firmin Didot ; — l’édition Derôme,
Paris
, 1880-1885, Garnier ; — l’édition Faugère, Paris,
— l’édition Derôme, Paris, 1880-1885, Garnier ; — l’édition Faugère,
Paris
, 1886-1895, Hachette. Des Pensées : — l’édition o
ère, Paris, 1886-1895, Hachette. Des Pensées : — l’édition originale,
Paris
, 1669-1670, dont on connaît au moins cinq exempla
u moins cinq exemplaires assez différents ; — l’édition de Condorcet,
Paris
, 1776 ; — l’édition Frantin, Dijon, 1835, Lagier
776 ; — l’édition Frantin, Dijon, 1835, Lagier ; — l’édition Faugère,
Paris
, 1844, Andrieux ; — l’édition Havet, Paris, 1852,
ier ; — l’édition Faugère, Paris, 1844, Andrieux ; — l’édition Havet,
Paris
, 1852, 1887, Dezobry, et Delagrave ; — l’édition
idel ; — l’édition Rocher, Tours, 1873, Marne ; — l’édition Molinier,
Paris
, 1879, Lemerre ; — l’édition Guthlin, Paris, 1896
e ; — l’édition Molinier, Paris, 1879, Lemerre ; — l’édition Guthlin,
Paris
, 1896, Lethielleux ; — et l’édition Michaud, Frib
I. — François [VI], duc de La Rochefoucauld [Paris, 1613 ; † 1680,
Paris
] 1º Les Sources. — La Rochefoucauld lui-même,
adame de Sablé, 1858 ; — Éd. de Barthélémy, Les Amis de Mme de Sablé,
Paris
, 1865 ; — Gilbert, « Notice sur La Rochefoucauld
t, « Notice sur La Rochefoucauld » en tête de son édition des Œuvres,
Paris
, 1858 ; — d’Haussonville, Madame de La Fayette, P
ion des Œuvres, Paris, 1858 ; — d’Haussonville, Madame de La Fayette,
Paris
, 1891 ; — J. Bourdeau, La Rochefoucauld, Paris, 1
Madame de La Fayette, Paris, 1891 ; — J. Bourdeau, La Rochefoucauld,
Paris
, 1893. A Vinet, Les Moralistes français au xviie
s. La Haye, 1664, J. et D. Stencker, réimprimé par M. Alphonse Pauly,
Paris
, 1883, D. Morgand. — L’édition vraiment « origina
tion vraiment « originale » n’en demeure pas moins l’édition de 1665,
Paris
, chez Barbin. Nous avons encore de La Rochefoucau
meilleure édition des Œuvres est celle de MM. Gilbert et Gourdault ;
Paris
, 1868-1883, Hachette. II. — Jean-Baptiste Poqu
te. II. — Jean-Baptiste Poquelin de Molière [Paris, 1621 ; † 1673,
Paris
] 1º Les Sources 12. — Bayle, dans son Dictionn
1848,1849, 1851 ; — Soulié, Recherches sur Molière et sur sa famille,
Paris
, 1863 ; — Jal, dans son Dictionnaire critique de
aphie et d’histoire, articles Béjart et Molière, 1864, et 2e édition,
Paris
, 1872 ; — J. Loiseleur, Les Points obscurs de la
aris, 1872 ; — J. Loiseleur, Les Points obscurs de la vie de Molière,
Paris
, 1877 ; — L. Moland, Molière, sa vie et ses ouvra
ris, 1877 ; — L. Moland, Molière, sa vie et ses ouvrages, 2e édition,
Paris
, 1885 ; — Henri Chardon, Monsieur de Modène… et M
ris, 1885 ; — Henri Chardon, Monsieur de Modène… et Madeleine Béjart,
Paris
, 1886 ; — G. Larroumet, La Comédie de Molière, l’
1886 ; — G. Larroumet, La Comédie de Molière, l’auteur et le milieu,
Paris
, 1887 ; — Paul Mesnard, Notice, formant le tome X
is, 1864 ; — P. Stapfer, La Petite Comédie de la critique littéraire,
Paris
, 1866 ; — Louis Veuillot, Molière et Bourdaloue,
ue littéraire, Paris, 1866 ; — Louis Veuillot, Molière et Bourdaloue,
Paris
, 1863 et 1875 ; — F. Brunetière, « La philosophie
essions de théâtre, 1886-1896. F. Génin, Lexique comparé de Molière,
Paris
, 1845 ; — Paringault, De la langue du droit dans
845 ; — Paringault, De la langue du droit dans le théâtre de Molière,
Paris
, 1861 ; — Alexandre Dumas fils, dans la préface d
téraire, 1886 ; — Ch. Livet, Lexique comparé de la langue de Molière,
Paris
, 1895-1897. V. Fournel, Les Contemporains de Moli
Molière, Paris, 1895-1897. V. Fournel, Les Contemporains de Molière,
Paris
, 1863-1875. Samuel Chappuzeau, Le Théâtre françai
re français, accompagné d’une préface et de notes par Georges Monval,
Paris
, 1876 ; — Eugène Despois, Le Théâtre français sou
6 ; — Eugène Despois, Le Théâtre français sous Louis XIV, 4e édition,
Paris
, 1894. 2º L’Homme et le Poète. A. Les années de
ravers la province [Cf. Chardon, La Troupe du Roman comique dévoilée,
Paris
, 1876]. — Les étapes de Molière : — 1647, Carcass
urs moyens, comme : — si l’on recherchait quelles pièces ont réussi à
Paris
, de 1646 à 1658 ; — si l’on s’informait des auteu
qu’il eût imitées dans les siennes, et qu’il n’aurait jamais jouées à
Paris
[Cf. Les Visionnaires, de Desmarets ; Le Déniaisé
de Joly et La Serre, et les illustrations de Boucher], 6 vol. in-4º,
Paris
, Prault ; — et l’édition dite des Libraires assoc
sociés [avec le commentaire de Bret, et les illustrations de Moreau],
Paris
, 1773. La première est plus belle, et la seconde
armi beaucoup d’autres éditions : l’édition A. Regnier, 5 vol. in-4º,
Paris
, 1878, Imprimerie nationale ; — et l’édition de l
lection des Grands Écrivains, par MM. Eugène Despois et Paul Mesnard,
Paris
, 1873-1893, Hachette, 11 vol. in-8º. III. — Je
in-8º. III. — Jean de La Fontaine [Château-Thierry, 1621 ; † 1695,
Paris
] 1º Les Sources. — Baillet, Jugements des sava
11 ; — Walckenaer, Histoire de la vie et des ouvrages de La Fontaine,
Paris
, 1820, 1822, 1824, 1858 ; — Paul Mesnard, « Notic
hique » en tête du La Fontaine de la collection des Grands Écrivains,
Paris
, 1883. C. Robert, Fables inédites des xiie , xiii
inédites des xiie , xiiie et xive siècles et Fables de La Fontaine,
Paris
, 1825. — Lessing, Abhandlungen über die Fabel [17
ntaine et les fabulistes, cours fait en 1858-1859 et publié en 1867 ;
Paris
. — Max Muller, « La migration des fables », dans
tion des fables », dans ses Essais de mythologie comparée, Londres et
Paris
, 1870. Chamfort, Éloge de La Fontaine, 1774 ; — T
ort, Éloge de La Fontaine, 1774 ; — Taine, La Fontaine et ses fables,
Paris
, 1853-1860 ; — Sainte-Beuve, Portraits littéraire
estre, La Fontaine, dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1895. Damas-Hinard, La Fontaine et Buffon, Paris
Écrivains français, Paris, 1895. Damas-Hinard, La Fontaine et Buffon,
Paris
, 1861 ; — P. de Rémusat, « La Fontaine naturalist
1er décembre 1869 ; — Nicolardot, La Fontaine et la Comédie humaine,
Paris
, 1885. Marty-Laveaux, Essai sur la langue de La F
aine, Paris, 1885. Marty-Laveaux, Essai sur la langue de La Fontaine,
Paris
, 1853 ; — Th. de Banville, « La Fontaine », 1861,
à la suite de la 2e édition de son Petit traité de poésie française,
Paris
, 1881. 2º L’Artiste, l’Homme et le Poète. — La pr
même de Boccace [Cf. Marc Monnier, la Renaissance, de Dante à Luther,
Paris
, 1884]. — Comment les contemporains ont accueilli
fait comme un fief littéraire de la vie et de l’œuvre de La Fontaine,
Paris
, 1822, 1826, 1835, 1838, 1840 ; — l’édition Marty
1840 ; — l’édition Marty-Laveaux, dans la Bibliothèque elzévirienne,
Paris
, 1857-1877 ; — et l’édition H. Regnier, dans la c
; — et l’édition H. Regnier, dans la collection des Grands Écrivains,
Paris
, 1883-1892, Hachette. IV. — Jacques-Bénigne Bo
92, Hachette. IV. — Jacques-Bénigne Bossuet [Dijon, 1627 ; † 1704,
Paris
] 1º Les Sources. — Lévesque de Burigny, Vie d
y, Vie de Bossuet, 1761 ; — cardinal de Bausset, Histoire de Bossuet,
Paris
, 1814 ; — Floquet, Études sur la vie de Bossuet,
re de Bossuet, Paris, 1814 ; — Floquet, Études sur la vie de Bossuet,
Paris
, 1855 ; et Bossuet précepteur du dauphin, Paris,
ur la vie de Bossuet, Paris, 1855 ; et Bossuet précepteur du dauphin,
Paris
, 1864 ; — abbé Guettée, Journal [1 vol.] et Mémoi
bbé Guettée, Journal [1 vol.] et Mémoires [3 vol.] de l’abbé Le Dieu,
Paris
, 1856 ; — abbé Réaume, Histoire de Jacques-Bénign
eu, Paris, 1856 ; — abbé Réaume, Histoire de Jacques-Bénigne Bossuet,
Paris
, 1869 ; — abbé Delmont, Quid conferant latina Bos
, Quid conferant latina Bossuetii opera ad cognoscendam illius vitam…
Paris
, 1896. P. de La Rue, Oraison funèbre de Bossuet,
1772 ; — Jacquinet, Les Prédicateurs du xviie siècle avant Bossuet,
Paris
, 1863, et 2e édition, 1885 ; — abbé Vaillant, Étu
2e édition, 1885 ; — abbé Vaillant, Étude sur les sermons de Bossuet,
Paris
, 1851 ; — Gandar, Bossuet orateur, Paris, 1867 ;
sur les sermons de Bossuet, Paris, 1851 ; — Gandar, Bossuet orateur,
Paris
, 1867 ; et, à cette occasion, Edmond Scherer, dan
1867 ; — abbé Lebarq, Histoire critique de la prédication de Bossuet,
Paris
, 2e édition, 1891 ; — Freppel, Bossuet et l’éloqu
on, 1891 ; — Freppel, Bossuet et l’éloquence sacrée au xviie siècle,
Paris
, 1893 [leçons professées à la Sorbonne en 1855, 1
1857]. Gérin, Recherches sur l’assemblée du clergé de France en 1682,
Paris
, 1870, 2e édition ; — abbé J.-T. Loyson, L’Assemb
ition ; — abbé J.-T. Loyson, L’Assemblée du clergé de France en 1682,
Paris
, 1870 [Cf. les livres de J. de Maistre, Du Pape e
toire de l’humanité. Rébelliau, Bossuet, historien du protestantisme,
Paris
, 1891. Abbé Bellon, Bossuet, directeur de conscie
tantisme, Paris, 1891. Abbé Bellon, Bossuet, directeur de conscience,
Paris
, 1895. Abbé de La Broise, Bossuet et la Bible, Pa
r de conscience, Paris, 1895. Abbé de La Broise, Bossuet et la Bible,
Paris
, 1890. Th. Delmont, Bossuet et les saints Pères,
t et la Bible, Paris, 1890. Th. Delmont, Bossuet et les saints Pères,
Paris
, 1896. Tabaraud, Supplément aux histoires de Boss
s, 1896. Tabaraud, Supplément aux histoires de Bossuet et de Fénelon,
Paris
, 1822 ; — A. Bonnel, La Controverse de Bossuet et
tisme, Mâcon, 1850 ; — Guerrier, Madame Guyon, sa vie et sa doctrine,
Paris
, 1881 ; — Crouslé, Bossuet et Fénelon, Paris, 189
, sa vie et sa doctrine, Paris, 1881 ; — Crouslé, Bossuet et Fénelon,
Paris
, 1894. Sainte-Beuve, Causeries du lundi, t. X, 18
1857 ; et Nouveaux lundis, t. XII. — Poujoulat, Lettres sur Bossuet,
Paris
, 1854 ; — G. Lanson, Bossuet, Paris, 1891. 2º La
— Poujoulat, Lettres sur Bossuet, Paris, 1854 ; — G. Lanson, Bossuet,
Paris
, 1891. 2º La Vie, le Rôle et l’Influence de Bossu
e de magistrats ; — ses études à Dijon [collège des Godrans] ; — et à
Paris
, au collège de Navarre, et en Sorbonne. — Il est
ns [Cf. Gandar, et surtout Lebarq, Histoire critique]. — Il se fixe à
Paris
, 1659. A. Les Sermons de Bossuet. — Histoire des
s Sermons de Bossuet [Cf. Lebarq, Histoire critique]. — Il a prêché à
Paris
: le Carême de 1660, aux Minimes de la place Roya
son en est bien simple ; — c’est que Bourdaloue aborde les chaires de
Paris
au moment où Bossuet en descend, — pour n’y plus
’expliquent ; — son indulgence [Cf. Ingold, Bossuet et le jansénisme,
Paris
, 1897] pour le jansénisme ; — sa sévérité contre
e avec Leibniz [Cf. Foucher de Careil, Œuvres de Leibniz, t. I et II,
Paris
, 1867]. — Les Maximes sur la comédie, 1693. — L’a
. Griveau, Étude sur la condamnation du livre des Maximes des saints,
Paris
, 1878]. — Le parti du Dauphin et le parti du duc
oris. Ils ont été révisés par M. Lachat, pour son édition des Œuvres,
Paris
, 1862 et ann. suiv., Vivès. Enfin et plus récemme
r M. l’abbé Lebarq, dans son édition ses Œuvres oratoires de Bossuet,
Paris
, 6 vol. in-8º, 1890-1896 ; Desclée et de Brouwer.
’imprimerie de Lebel ; — et l’édition de M. Lachat, 31 volumes in-8º,
Paris
, 1862, Vivès. — Il y faut joindre aujourd’hui l’é
s Œuvres oratoires donnée, comme nous l’avons dit, par l’abbé Lebarq,
Paris
, 1890-1896. V. — Jean Racine [La Ferté-Milon,
Paris, 1890-1896. V. — Jean Racine [La Ferté-Milon, 1639 ; † 1699,
Paris
] 1º Les Sources. — La Correspondance de Racine
net, Les Poètes français du siècle de Louis XIV, cours de 1844-1845 ;
Paris
, 1861 ; — Sainte-Beuve, Portraits littéraires, 18
istoire, 1858 ; — F. Deltour, Les Ennemis de Racine au xviie siècle,
Paris
, 1859 ; — P. Robert, La Poétique de Racine, Paris
e au xviie siècle, Paris, 1859 ; — P. Robert, La Poétique de Racine,
Paris
, 1890 ; — F. Brunetière, Histoire et littérature,
de théâtre, 1886-1896. Marty-Laveaux, Lexique de ta langue de Racine,
Paris
, 1873, au tome VIII de l’édition Mesnard. 2º Les
es Plaideurs. Les principales éditions en sont : — l’édition de 1697,
Paris
, chez Barbin, qu’il n’est pas certain du tout que
édition de 1807, en 7 volumes in-8º, avec le commentaire de La Harpe,
Paris
, chez Agasse ; — l’édition de 1808, en 7 volumes
ion de 1808, en 7 volumes également, avec le commentaire de Geoffroy,
Paris
, chez Lenormand ; — la série des éditions d’Aimé
ion P. Mesnard, dans la collection des Grands Écrivains de la France,
Paris
, 1865-1873, Hachette. VI. — Louis Bourdaloue [
65-1873, Hachette. VI. — Louis Bourdaloue [Bourges, 1632 ; † 1704,
Paris
] 1º Les Sources. — Mlle de Pringy, « Éloge du
1866 ; — abbé Hurel, Les Prédicateurs sacrés à la cour de Louis XIV,
Paris
, 1872 ; — A. Feugère, Bourdaloue, sa prédication
Paris, 1872 ; — A. Feugère, Bourdaloue, sa prédication et son temps,
Paris
, 1874 ; — le P. Lauras, S. J., Bourdaloue, sa vie
aris, 1874 ; — le P. Lauras, S. J., Bourdaloue, sa vie et ses œuvres,
Paris
, 1881 ; — abbé Blarapignon, « Étude sur Bourdalou
e sur Bourdaloue », en tête de son Choix de sermons du P. Bourdaloue,
Paris
, 1886 ; — Sommervogel, article Bourdaloue, dans l
l, article Bourdaloue, dans la Bibliothèque de la Compagnie de Jésus,
Paris
, 1891. Louis Veuillot, Molière et Bourdaloue. 2º
existence ; — et unité de son œuvre. — Ses débuts dans les chaires de
Paris
, 1669 ; — et du mot de Voltaire : « que Bossuet n
34. Les meilleures éditions modernes sont : — l’édition de 1822-1826,
Paris
; — et l’édition Guérin, 1864, Bar-le-Duc. VII
ar-le-Duc. VII. — Nicolas Boileau-Despréaux [Paris, 1636 ; † 1711,
Paris
] 1º Les Sources 13 — Desmaizeaux, La Vie de M.
« Éloge de Despréaux », dans la collection de ses Éloges académiques,
Paris
, 1779 ; — Berriat Saint-Prix, Essai sur Boileau,
s académiques, Paris, 1779 ; — Berriat Saint-Prix, Essai sur Boileau,
Paris
, 1830. Sainte-Beuve, Portraits littéraires, t. I
dans la doctrine de Boileau ; — par son indifférence de bourgeois de
Paris
à la nature extérieure ; — par le goût qu’il tien
ssion. Les meilleures éditions posthumes sont : l’édition Saint-Marc,
Paris
, 1747, en cinq volumes ; — l’édition Berriat Sain
-Marc, Paris, 1747, en cinq volumes ; — l’édition Berriat Saint-Prix,
Paris
, 1830 ; — et l’édition Gidel, Paris, 1880. S
; — l’édition Berriat Saint-Prix, Paris, 1830 ; — et l’édition Gidel,
Paris
, 1880. Sixième Époque. De la cabale de « Phè
lyrique ; — « Vie de Quinault », en tête de l’édition de ses Œuvres,
Paris
, 1778 ; — Léris, Dictionnaire des théâtres. Nuitt
e des théâtres. Nuitter et Thoinan, Les Origines de l’Opéra français,
Paris
, 1886 ; — Romain Rolland, Histoire de l’Opéra en
nçais, Paris, 1886 ; — Romain Rolland, Histoire de l’Opéra en Europe,
Paris
, 1895. 2º Le Conflit de l’Opéra et de la Tragédie
et Lavinie, 1690. II. — Nicolas Malebranche [Paris, 1638 ; † 1715,
Paris
] 1º Les Sources. — Fontenelle, Éloge de Malebr
Le Père André : Vie du Père Malebranche, publiée par le Père Ingold,
Paris
, 1886. 2º Le Philosophe ; — et avant tout, du jus
existe qu’une édition de ses Œuvres complètes, en deux volumes in-4º,
Paris
, 1837. Jules Simon a publié en 1871 une édition d
n, Essai sur l’histoire de la philosophie en France au xviie siècle,
Paris
, 1846 ; — A. Sayous, La Littérature française à l
le, Paris, 1846 ; — A. Sayous, La Littérature française à l’étranger,
Paris
et Genève, t. I, 1853 ; — Lenient, Étude sur Bayl
l’étranger, Paris et Genève, t. I, 1853 ; — Lenient, Étude sur Bayle,
Paris
, 1855 ; — Arsène Deschamps, La Genèse du sceptici
as, Choix de la correspondance inédite de Pierre Bayle, Copenhague et
Paris
, 1890 ; — F. Brunetière, Études critiques, Ve sér
enhague et Paris, 1890 ; — F. Brunetière, Études critiques, Ve série,
Paris
, 1893. 2º La Critique de Bayle. A. La Jeunesse e
ète. IV. — Bernard le Bouvier de Fontenelle [Rouen, 1657 ; † 1757,
Paris
] 1º Les Sources. — Grimm, dans sa Corresponda
à l’histoire de la vie et des ouvrages de M. de Fontenelle, 2e édit.,
Paris
, 1761 ; — Villenave, « Notice », en tête de son é
llenave, « Notice », en tête de son édition des Œuvres de Fontenelle,
Paris
, 1818 ; — Garat, Mémoires sur la vie de M. Suard,
e Fontenelle, Paris, 1818 ; — Garat, Mémoires sur la vie de M. Suard,
Paris
, 1820 ; — Flourens, Fontenelle ou de la philosoph
d, Paris, 1820 ; — Flourens, Fontenelle ou de la philosophie moderne,
Paris
, 1847 ; — Sainte-Beuve, « Fontenelle », dans les
undi, t. III ; — J. Bertrand, L’Académie des sciences de 1666 à 1793,
Paris
, 1869. 2º L’Homme et l’Écrivain. — Le Cydias de L
tudes critiques, V]. VI. — Charles Perrault [Paris, 1628 ; † 1703,
Paris
] 1º Les Sources. — Perrault, ses Mémoires, pub
e Mlle Lhéritier. VII. — Jean de La Bruyère [Paris, 1645 ; † 1696,
Paris
] 1º Les Sources. — Suard, Notice sur la vie et
aer, « Étude sur La Bruyère », en tête de son édition des Caractères,
Paris
, 1845 ; — Sainte-Beuve, dans ses Portraits littér
t t. X ; — A. Vinet, Moralistes français des xvie et xviie siècles,
Paris
, 1859 ; — Édouard Fournier, La Comédie de La Bruy
siècles, Paris, 1859 ; — Édouard Fournier, La Comédie de La Bruyère,
Paris
, 1866 ; — Étienne Allaire, La Bruyère dans la mai
Paris, 1866 ; — Étienne Allaire, La Bruyère dans la maison de Condé,
Paris
, 1886. 2º L’Homme et l’Écrivain. A. Le Moraliste
Malebranche [Cf. Auguste Damien, Étude sur La Bruyère et Malebranche,
Paris
, 1866]. — Si les Caractères de Théophraste n’ont
celle de 1688, rééditée de nos jours dans le Cabinet du bibliophile,
Paris
, 1868, toutes les éditions qui ont suivi, jusqu’à
ion G. Servois, dans la collection des Grands Écrivains de la France,
Paris
, 1865-1878, Hachette. Deux éditions « classiques
P. Janet, Fénelon, dans la collection des Grands Écrivains français,
Paris
, 1892. O. Douen, L’Intolérance de Fénelon, 2e édi
rançais, Paris, 1892. O. Douen, L’Intolérance de Fénelon, 2e édition,
Paris
, 1875. Tabaraud, Supplément aux histoires de Boss
s, 1875. Tabaraud, Supplément aux histoires de Bossuet et de Fénelon,
Paris
, 1822 ; — A. Bonnel, La Controverse de Bossuet et
r Griveau, Étude sur la condamnation du livre des Maximes des saints,
Paris
, 1878 ; — Guerrier, Madame Guyon, sa vie et sa do
aints, Paris, 1878 ; — Guerrier, Madame Guyon, sa vie et sa doctrine,
Paris
, 1881 ; — Crouslé, Fénelon et Bossuet, Paris, 189
, sa vie et sa doctrine, Paris, 1881 ; — Crouslé, Fénelon et Bossuet,
Paris
, 1894. Emmanuel de Broglie, Fénelon à Cambrai, Pa
elon et Bossuet, Paris, 1894. Emmanuel de Broglie, Fénelon à Cambrai,
Paris
, 1884. Albert Le Roy, La France et Rome de 1700 à
ambrai, Paris, 1884. Albert Le Roy, La France et Rome de 1700 à 1715,
Paris
, 1892. Voyez encore, avec précautions, les Mémoir
Maury, Essai sur l’éloquence de la chaire ; — abbé Bayle, Massillon,
Paris
, 1867 ; — abbé Blampignon, Massillon, Paris, 1879
— abbé Bayle, Massillon, Paris, 1867 ; — abbé Blampignon, Massillon,
Paris
, 1879, et L’Épiscopat de Massillon, 1884 ; — F. B
copat de Massillon, 1884 ; — F. Brunetière, L’Éloquence de Massillon,
Paris
, 1881 ; — abbé Allais, Massillon, Toulouse, 1883
llection des classiques Lefèvre ; ou l’édition Vitu, citée plus haut,
Paris
, 1885. XII. — Jean-Baptiste Rousseau [Paris, 1
ondes, 1859 ; — Édouard Fournier, « Notice », en tête de son édition,
Paris
, 1874, 1875 ; — « Notice sur Dufresny », en tête
1875 ; — « Notice sur Dufresny », en tête de l’édition de ses Œuvres,
Paris
, 1747 ; — J. Lemaître, Le Théâtre de Dancourt, Pa
n de ses Œuvres, Paris, 1747 ; — J. Lemaître, Le Théâtre de Dancourt,
Paris
, 1882. 2º La Transformation de la comédie. A. Je
moins réels : le tuteur berné [Cf. Le Tuteur, 1695 ; — Les Enfants de
Paris
, 1699 ; — Les Trois Cousines, 1700 ; — Madame Art
ne, — et c’est ce qu’indique le pluriel de ses titres [Les Enfants de
Paris
, Les Bourgeoises à la mode, Les Agioteurs]. — Plu
théâtre français. C. Charles Rivière-Dufresny [Paris, 1648 ; † 1724,
Paris
]. Débuts tardifs de Dufresny. — Le valet de chamb
a meilleure ou la plus belle édition de ses Œuvres est celle de 1790,
Paris
, chez la Vve Duchesne. On n’a de Dancourt que son
; — Audiffret, « Notice sur Le Sage », en tête de l’édition de 1822,
Paris
; — Sainte-Beuve, Causeries du lundi, t. II ; et
etière, Études critiques, t. III ; — Léo Claretie, Le Sage romancier,
Paris
, 1890 ; — Lintilhac, Le Sage, dans la collection
Sage est l’auteur de Gil Blas, 1818, et en tête de l’édition Lefèvre,
Paris
, 1820 ; — Llorente, Observations critiques sur le
, 1820 ; — Llorente, Observations critiques sur le roman de Gil Blas,
Paris
, 1822 ; — Franceson, Essai sur la question de l’o
es Œuvres sont l’édition de 1810-1823, — et l’édition Renouard, 1820,
Paris
. XV. — Le salon de Mme de Lambert 1º Les S
e Lambert 1º Les Sources. — Lettres choisies de M. de La Rivière,
Paris
. 1751 : — Fontenelle, Éloge de Mme de Lambert ; —
sterres, Les Cours galantes ; — Ch. Giraud, La Maréchale de Villars ;
Paris
, 1881 ; — Lescure, « Étude » en tête de son éditi
scure, « Étude » en tête de son édition des Œuvres de Mme de Lambert,
Paris
, 1883 ; — Emmanuel de Broglie, « Les mardis et le
ces [Cf. les Lettres d’Adrienne Lecouvreur publiées par M. G. Monval,
Paris
, 1892, Plon] aux grandes dames [Cf. Giraud, La Ma
c l’abbé de Saint-Pierre [Cf. G. de Molinari, L’Abbé de Saint-Pierre,
Paris
, 1857 ; et Goumy, Étude sur la vie et les écrits
; et Goumy, Étude sur la vie et les écrits de l’abbé de Saint-Pierre,
Paris
, 1859] ; — et avec l’empire des salons se fonde l
à sa date [1876] dans la Bibliographie cornélienne de M. Émile Picot,
Paris
, Auguste Fontaine, 1 vol. in-8 de xv-552 pages. A
jazet. 12. Conférez la Bibliographie moliéresque de M. Paul Lacroix,
Paris
, 1875, Auguste Fontaine. 13. Consultez, dans l’é
Auguste Fontaine. 13. Consultez, dans l’édition Berriat Saint-Prix,
Paris
, 1830, Langlois et Delaunay, les « Notices biblio
ittéraire. [Cf. Janssen, L’Allemagne et la Réforme ; trad. française,
Paris
, 1887, t. I et II ; et Pastor, Histoire des Papes
887, t. I et II ; et Pastor, Histoire des Papes, trad. Furcy-Raynaud.
Paris
, 1888, t. I.] D’un autre côté, si le Moyen Âge av
s’il n’existait seulement pas une chaire de grec dans l’Université de
Paris
? En se portant aux sources grecques pour s’y abr
et plus profonds seulement. [Cf. Émile Egger, L’Hellénisme en France,
Paris
, 1869 ; et Voigt, Die Wiederbelebung des classisc
rckhardt, La Civilisation de la Renaissance en Italie, trad. Schmitt,
Paris
, 1885.] Qui ne connaît les querelles fameuses des
, t. XI ; — Ch. d’Héricault : Œuvres choisies de Marot, introduction,
Paris
, 1867 ; — O. Douen : Clément Marot et le Psautier
on, Paris, 1867 ; — O. Douen : Clément Marot et le Psautier huguenot,
Paris
, 1878 ; — G. Guiffrey : Œuvres de Marot, t. I et
1878 ; — G. Guiffrey : Œuvres de Marot, t. I et II, les seuls parus,
Paris
, s. d. 2º L’Homme et le Poète. — Quercynois ou No
533. — Marot et le protestantisme. — Le séjour de Ferrare. — Retour à
Paris
. — La traduction des Psaumes, 1541. — Marot à Gen
énin : « Notice sur Marguerite », en tête de son édition des Lettres,
Paris
, 1841 ; — Leroux de Lincy : « Notice », en tête d
Leroux de Lincy : « Notice », en tête de son édition de l’Heptaméron,
Paris
, 1853 ; — La Ferrière : Le Livre de dépenses de l
, 1853 ; — La Ferrière : Le Livre de dépenses de la reine de Navarre,
Paris
, 1862 ; — Marguerite de Valois, par l’auteur de
rite de Valois, par l’auteur de Robert Emmet [Ctesse d’Haussonville],
Paris
, 1870. 2º La Femme et l’Écrivain. — Les mésaventu
tion, 1559 ; — Lettres de Marguerite d’Angoulême, publiées par Génin,
Paris
, 1841, pour la Société de l’histoire de France ;
Dernières poésies de la Reine de Navarre, publiées par Abel Lefranc,
Paris
, 1896. La meilleure édition de l’Heptaméron est c
III. — François Rabelais [Chinon, 1483, ou 90, ou 95 ; † 1552 ou 53,
Paris
] 1º Les Sources. — Niceron, dans ses Hommes il
— J. Ch. Brunet : Recherches sur les éditions originales de Rabelais,
Paris
, 1834 ; et nouvelle édition, très augmentée, Pari
nales de Rabelais, Paris, 1834 ; et nouvelle édition, très augmentée,
Paris
, 1852 ; — A. Mayrargues : Rabelais, Paris, 1868 ;
le édition, très augmentée, Paris, 1852 ; — A. Mayrargues : Rabelais,
Paris
, 1868 ; — Eugène Noël : Rabelais et son œuvre, Pa
gues : Rabelais, Paris, 1868 ; — Eugène Noël : Rabelais et son œuvre,
Paris
, 1870 ; — Émile Gebhart : Rabelais et la Renaissa
on œuvre, Paris, 1870 ; — Émile Gebhart : Rabelais et la Renaissance,
Paris
, 1877, et 2e édition, Paris, 1893 ; — Jean Fleury
ile Gebhart : Rabelais et la Renaissance, Paris, 1877, et 2e édition,
Paris
, 1893 ; — Jean Fleury : Rabelais, Paris, 1877 ; —
, Paris, 1877, et 2e édition, Paris, 1893 ; — Jean Fleury : Rabelais,
Paris
, 1877 ; — Paul Stapfer : Rabelais, sa personne, s
877 ; — Paul Stapfer : Rabelais, sa personne, son génie et son œuvre,
Paris
. 1889 ; — René Millet : Rabelais, Paris, 1892, da
onne, son génie et son œuvre, Paris. 1889 ; — René Millet : Rabelais,
Paris
, 1892, dans la collection des Grands Écrivains fr
istie : Étienne Dolet, le martyr de la Renaissance, trad. Stryienski,
Paris
, 1886] ; — qui avaient failli le compromettre. —
orem cardinalium… — Il résigne sa cure de Meudon en 1552. — Sa mort à
Paris
, en 1553. 5º Les Œuvres. — Si l’on néglige quelqu
x, Amsterdam, 1741 ; J.-F. Bernard ; — l’édition D. L. (de L’Aulnaye)
Paris
, 1820, Desoer ; — et les éditions plus récentes,
naye) Paris, 1820, Desoer ; — et les éditions plus récentes, Rathery,
Paris
, 1857, F. Didot ; — Jannet, Paris, 1874, Picard ;
es éditions plus récentes, Rathery, Paris, 1857, F. Didot ; — Jannet,
Paris
, 1874, Picard ; — et Marty-Laveaux, Paris, 1868-1
1857, F. Didot ; — Jannet, Paris, 1874, Picard ; — et Marty-Laveaux,
Paris
, 1868-1881, Lemerre. IV. — Les Amadis On ne
douard Bourciez : Les Mœurs et la société polie à la cour d’Henri II,
Paris
, 1886 ; — Charles Boy : « Recherches sur la vie e
e et les œuvres de Louise Labé », au t. II des Œuvres de Louise Labé,
Paris
, 1887. 2º Les Poètes. — Une page de Michelet sur
et Pernette du Guillet » [Le Fort Inexpugnable de l’honneur féminin,
Paris
, 1555, Ian d’Allyer. Cf. Pasquier : Recherches de
rnière édition des Œuvres de Louise Labé est celle de M. Charles Boy.
Paris
, 1887, A. Lemerre. Deuxième Époque. À l’Écol
», dans les Nouveaux lundis, t. XIII. — A. Jeandel, Pontus de Tyard,
Paris
, 1860. — Plotz, Joachim du Bellay et son rôle dan
Laveaux : ses « Notices » dans la collection de La Pléiade française,
Paris
, 1867-1896. 2º La Poétique de la Pléiade. — La pr
la Franciade, 1572. II. — Joachim du Bellay [Liré, 1525 ; † 1560,
Paris
] 1º Les Sources. — Marty-Laveaux, Œuvres de Du
et VI de l’Énéide. Les principales éditions anciennes sont celles de
Paris
, 1561, Langelier ; — Paris, 1569, Frédéric Morel
ncipales éditions anciennes sont celles de Paris, 1561, Langelier ; —
Paris
, 1569, Frédéric Morel ; — et Rouen, 1597, chez F.
Lemerre. III. — Pierre de Ronsard [La Poissonnière, 1524 ; † 1585,
Paris
] 1º Les Sources. — Aux ouvrages déjà cités, il
Pindare, Metz, 1854 ; — La Famille de Ronsard, par A. de Rochambeau,
Paris
, 1869 ; — P. de Nolhac, Le Dernier Amour de Ronsa
ochambeau, Paris, 1869 ; — P. de Nolhac, Le Dernier Amour de Ronsard,
Paris
, 1882 ; — Mellerio, Lexique de la langue de Ronsa
e Ronsard, Paris, 1882 ; — Mellerio, Lexique de la langue de Ronsard,
Paris
, 1895 ; — et Pieri, Pétrarque et Ronsard, Marseil
diquer ici les principales éditions, qui sont : L’édition de G. Buon,
Paris
, 4 vol. in-16, 1560 ; — l’édition de 1567, Paris,
’édition de G. Buon, Paris, 4 vol. in-16, 1560 ; — l’édition de 1567,
Paris
, 5 vol. in-8º ; — l’édition de 1584, 1 vol. in-fº
parmi les éditions modernes : — l’édition Blanchemain, 8 vol. in-18,
Paris
, 1857-1867. Frank ; — et l’édition Marty-Laveaux,
iade française. IV. — Jean-Antoine de Baïf [Venise, 1532 ; † 1589,
Paris
] 1º Les Sources. — Cf. ci-dessus ; — et ajoute
e Marty-Laveaux ; — et L’Académie des derniers Valois, par Ed. Fremy,
Paris
, s. d. 2º L’Homme et le Poète. — Pour quelles rai
tres, t. XXXVI ; — A. Renouard, Annales de l’imprimerie des Estienne,
Paris
, 1843 — Léon Feugère, Caractères et portraits du
Caractères et portraits du xvie siècle, 1859 ; et nouvelle édition,
Paris
, 1875. — Sayous, Les Écrivains français de la Réf
is, 1875. — Sayous, Les Écrivains français de la Réformation, 2e éd.,
Paris
, 1881. 2º L’Éditeur, le Philologue et l’Écrivain.
de France, de Cimber et Danjou ; — de La Précellence, par L. Feugère,
Paris
, 1850 ; — de la Conformité, par le même, Paris, 1
lence, par L. Feugère, Paris, 1850 ; — de la Conformité, par le même,
Paris
, 1853 ; — de l’Apologie pour Hérodote, par P. Ris
ême, Paris, 1853 ; — de l’Apologie pour Hérodote, par P. Ristelhuber,
Paris
, 1879 ; — et des Deux Dialogues du langage frança
Paris, 1879 ; — et des Deux Dialogues du langage français italianisé,
Paris
, 1883. VI. — Jacques Amyot [Melun, 1513 ; † 15
ivile et ecclésiastique d’Auxerre ; — De Blignières, Essai sur Amyot,
Paris
, 1851 ; — Léon Feugère, Caractères et portraits d
aris, 1851 ; — Léon Feugère, Caractères et portraits du xvie siècle,
Paris
, 1859. 2º L’Homme et l’Écrivain. — Une page de Mo
ns ses Hommes illustres, t. XVII ; — Baudrillart, Bodin et son temps,
Paris
, 1853. 2º L’Homme et l’Écrivain. — Pauvreté des r
a ; — Édelestand du Méril, Du développement de la tragédie en France,
Paris
, 1869 ; — Émile Faguet, La Tragédie française au
Paris, 1869 ; — Émile Faguet, La Tragédie française au xvie siècle,
Paris
, 1883. 2º Les Auteurs et le développement de la t
Auteurs et le développement de la tragédie. — L’arrêt du parlement de
Paris
[17 novembre 1548] portant interdiction aux confr
Gotha, 1856 ; — Émile Faguet, La Tragédie française au xvie siècle,
Paris
, 1883 ; — P. Bernage, Étude sur Robert Garnier, P
u xvie siècle, Paris, 1883 ; — P. Bernage, Étude sur Robert Garnier,
Paris
, s. d. 2º L’Homme et le Poète. — Extraordinaire p
1847 ; — Rathery : Influence de l’Italie sur les lettres françaises,
Paris
, 1853 ; — Armand Baschet, Les Comédiens italiens
1853 ; — Armand Baschet, Les Comédiens italiens à la cour de France,
Paris
, 1882 ; — Ad. Gaspary, Storia della litteratura i
tez ; — Vauquelin de La Fresnaye : Art poétique, édit. G. Pellissier,
Paris
, 1885 ; — Mathurin Regnier, dans ses Satires, not
s, notamment Satire V et Satire IX ; — Émile Faguet, Seizième siècle,
Paris
, 1889 ; — Ferdinand Brunot, La Doctrine de Malher
me siècle, Paris, 1889 ; — Ferdinand Brunot, La Doctrine de Malherbe,
Paris
, 1891 ; — et Marty-Laveaux : La Langue de la Pléi
et, à un point de vue plus général : A. Couat, La Poésie alexandrine,
Paris
, 1882. 2º L’Œuvre de la Pléiade. — Au point de vu
protestante, article Palissy, 1857 ; — Louis Audiat, Bernard Palissy,
Paris
, 1863 et 1868 ; — A. Jacquemart, Les Merveilles d
863 et 1868 ; — A. Jacquemart, Les Merveilles de la céramique, t. II,
Paris
, 1868 ; — Louis Audiat, « Palissy, sa vie et ses
e de l’édition Fillon, Niort, 1888 ; — Ernest Dupuy, Bernard Palissy,
Paris
, 1891. 2º L’Artiste, l’Écrivain et le Savant. — D
1661 ; — Albert Desjardins, Les Moralistes français au xvie siècle,
Paris
, 1870 ; — H. Hauser, François de La Noue, Paris,
çais au xvie siècle, Paris, 1870 ; — H. Hauser, François de La Noue,
Paris
, 1892. 2º L’Homme et l’Écrivain. — Celui-ci aussi
e édition, 1867 ; — G. Pellissier, La Vie et les œuvres de Du Bartas,
Paris
, 1882. 2º Le Poète. — Son éducation protestante ;
Boétie, 1853 ; — Feuillet de Conches, Causeries d’un curieux, t. III,
Paris
, 1862 ; — A. Grün, La Vie publique de Montaigne,
rieux, t. III, Paris, 1862 ; — A. Grün, La Vie publique de Montaigne,
Paris
, 1855 ; — Th. Malvezin, Michel de Montaigne, Bord
gne, Bordeaux, 1875 ; — Paul Bonnefon, Montaigne, l’homme et l’œuvre,
Paris
, 1893 ; — Paul Stapfer, Montaigne, dans la collec
; — Paul Stapfer, Montaigne, dans la collection des Grands Écrivains,
Paris
, 1895, et La Famille de Montaigne, Paris, 1896 ;
ection des Grands Écrivains, Paris, 1895, et La Famille de Montaigne,
Paris
, 1896 ; — Villemain, Éloge de Montaigne, 1812 ; —
i et iii ; — Vinet, Moralistes français du xvie et du xviie siècle,
Paris
, 1859. — Gust. Allais, Les Essais de Montaigne, P
xviie siècle, Paris, 1859. — Gust. Allais, Les Essais de Montaigne,
Paris
, 1887 ; — D. Motheau, « Notice sur Montaigne », e
. Motheau, « Notice sur Montaigne », en tête de l’édition des Œuvres,
Paris
, 1886 ; — Eug. Voizard, Étude sur la langue de Mo
vres, Paris, 1886 ; — Eug. Voizard, Étude sur la langue de Montaigne,
Paris
, 1885. 2º La Vie de Montaigne. — L’origine des Ey
— et sur Shakespeare [Cf. Philarète Chasles, Études sur Shakespeare,
Paris
, s. d.]. — Nombreux emprunts de Shakespeare à Mon
l’Angelier [reproduite dans l’édition Motheau-Jouaust, 7 vol. in-18 ;
Paris
, 1872. 1875, Jouaust] ; — Les Essais, 5e édition,
el Sonnius [reproduite dans l’édition Courbet et Royer, 4 vol. in-8 ;
Paris
, 1872-1877, A. Lemerre]. On peut citer encore l’é
format, le volume des Voyages ; — l’édition de Naigeon, 4 vol. in-8,
Paris
, 1802, Didot, — et l’édition J.-V. Leclerc, 5 vol
in-8, Paris, 1802, Didot, — et l’édition J.-V. Leclerc, 5 vol. in-8,
Paris
, 1826, Lefèvre. — C’est cette édition qui est dev
Joignez l’introduction de Charles Labitte à son édition de la Satire,
Paris
, s. d. ; — et, du même : Les Prédicateurs de la L
Satire, Paris, s. d. ; — et, du même : Les Prédicateurs de la Ligue,
Paris
, 1841. 2º Le Pamphlet ; — et qu’il n’en faut exag
mois après la conversion, et trois mois après la rentrée d’Henri IV à
Paris
. — Toute la bravoure des auteurs ne consiste donc
e l’esprit français ». VI. — Pierre Charron [Paris, 1541 ; † 1603,
Paris
] 1º Les Sources. — Bayle, dans son Dictionnair
. XLIII ; — C. Sapey, Essai sur la vie et les ouvrages de G. du Vair,
Paris
. 1847 ; — E. Coligny, Guillaume du Vair, d’après
47 ; — E. Coligny, Guillaume du Vair, d’après des documents nouveaux,
Paris
, 1857. 2º L’Homme et l’Écrivain. — Injuste oubli
Sayous : La Littérature française à l’étranger, t. I, chap. i et ii,
Paris
, 1853 ; — Robiou : Essai sur la littérature penda
Essai sur la littérature pendant la première moitié du xviie siècle,
Paris
, 18589. 2º Le Controversiste, l’Écrivain, l’Orate
e protestants et catholiques à la matière de l’Église. — Son séjour à
Paris
en 1602 ; — et l’Oraison funèbre du duc de Mercœu
— Robiou, Essai sur l’histoire de la littérature et des mœurs, etc.,
Paris
, 1858 ; — Garsonnet, Étude sur Mathurin Regnier,
s mœurs, etc., Paris, 1858 ; — Garsonnet, Étude sur Mathurin Regnier,
Paris
, 1859 et 1877 ; — Courbet, « Notice », en tête de
et 1877 ; — Courbet, « Notice », en tête de son édition des Satires,
Paris
, 1875. — J. Vianey, Mathurin Regnier, Paris, 1896
son édition des Satires, Paris, 1875. — J. Vianey, Mathurin Regnier,
Paris
, 1896. 2º L’Homme et le Poëte. — Que Regnier, qua
de dix-neuf. La meilleure édition qu’on en ait est celle de Courbet,
Paris
, 1875, Lemerre ; — à laquelle deux opuscules de M
ée, dans la collection des Plaidoyers et œuvres diverses de M. Patru,
Paris
, 1681, Mabre-Cramoisy ; — Auguste Bernard, Les d’
. Patru, Paris, 1681, Mabre-Cramoisy ; — Auguste Bernard, Les d’Urfé,
Paris
, 1839 ; — Robert Bonafous, Études sur l’Astrée et
aris, 1839 ; — Robert Bonafous, Études sur l’Astrée et Honoré d’Urfé,
Paris
, 1846 ; — Louis de Loménie, « L’Astrée et le roma
es du 15 juillet 1858 ; — Émile Montégut, En Bourbonnais et en Forez,
Paris
, 1880 ; — Körting, Geschichte des französischen R
futures, les voir briser. Ce milieu, — allons droit au fait ! — c’est
Paris
. Et encore quel Paris !… Celui qui part du boulev
er. Ce milieu, — allons droit au fait ! — c’est Paris. Et encore quel
Paris
!… Celui qui part du boulevard Bonne-Nouvelle pou
mme vous voyez, — qui ne désespérerait pas un postillon ! De tous les
Paris
, — car il y en a plusieurs, dans ce Paris fait de
un postillon ! De tous les Paris, — car il y en a plusieurs, dans ce
Paris
fait de mille pièces comme un habit d’Arlequin, —
langue de la France, ni la langue de l’humanité ! C’est la langue de
Paris
, et d’un Paris spécial. Que Xavier Aubryet et Alb
rance, ni la langue de l’humanité ! C’est la langue de Paris, et d’un
Paris
spécial. Que Xavier Aubryet et Albéric Second me
ccupations, il devait donc mieux échapper à l’influence tyrannique de
Paris
qu’Albéric Second, bien plus homme d’esprit qu’ho
ndant Aubryet l’a tout autant subie, cette asservissante influence de
Paris
, dans son livre, qu’Albéric Second dans le sien…
as soustrait, avec le bond de la contradiction, à cette domination de
Paris
qu’en politique il sait éloquemment maudire ! En
avaler à tous, ferait-il exception pour ce crapaud-là, qui s’appelle
Paris
?… Toujours est-il que cette fulminante sensitive
t à cet accent parisien que je lui reproche. À travers cette odeur de
Paris
, comme dirait Veuillot, qui s’exhale trop de son
rit à lui-même, et ce parfum est aussi fort à sa façon que l’odeur de
Paris
à la sienne. C’est, en effet, un esprit musqué qu
nt le livre est plein, il faut bien l’avouer. Ce dénouement — article
Paris
— m’avait tout gâté… Et ce n’est plus qu’à la réf
de folie, fuyant son cabanon, se présentant, effaré, aux yeux de tout
Paris
, en plein théâtre Italien, dans la loge de la com
un mendiant. Par exemple, malgré sa loge aux Italiens et son hôtel à
Paris
, ce n’est pas, chose curieuse ! la comtesse Alice
u’aux crimes. C’est un crime bas, en effet, comme on n’en commet qu’à
Paris
, que l’inscription sur tous les murs, pour la dés
ères ces lâches horreurs. Pour cela, il faut la jolie civilisation de
Paris
, syphilisé, comme disait un jour Raymond Brucker,
ne comprendra peut-être que dans dix ans, à cent cinquante lieues de
Paris
. Grave inconvénient — je ne le dirai jamais assez
en iront peu à peu tant de romans et de compositions de notre pays où
Paris
, le tic de Paris, le parlage de Paris, les mœurs
u tant de romans et de compositions de notre pays où Paris, le tic de
Paris
, le parlage de Paris, les mœurs banales et coulée
e compositions de notre pays où Paris, le tic de Paris, le parlage de
Paris
, les mœurs banales et coulées de Paris, tiennent
le tic de Paris, le parlage de Paris, les mœurs banales et coulées de
Paris
, tiennent évidemment trop de place, — des œuvres
exemple, l’auteur de Parisine, et qui s’est flambé avec ce cigare de
Paris
! — les parisiens littéraires, pour défendre leur
, mais surtout Balzac, qui ont donné une importance si considérable à
Paris
dans la littérature contemporaine. Mais Eugène Su
lique par morceaux… Quant à Balzac, qui nous donna tant de choses sur
Paris
et sur ses mœurs, grandes ou petites, aristocrati
ogue et l’antiquaire de l’avenir, le peintre minutieux et fidèle d’un
Paris
disparu et qu’il sera curieux de retrouver. Mais
drale gothique — opus francigenum — n’a rien aussi de plus français à
Paris
qu’à Cologne, ou de plus allemand à Cologne qu’à
France, t. XXIV.] Sans doute, il y a Villon, François Villon, « né de
Paris
emprès Pontoise », vrai gibier de potence, mais v
us la domination romaine ; — Roger de Belloguet, Ethnogénie gauloise,
Paris
, 1861-1868 ; — Fustel de Coulanges, Histoire des
e des institutions politiques de l’ancienne France, t. I, 2e édition,
Paris
, 1887. G. Körting, Encyklopædie und Methodologie
anischen Philologie, Strasbourg, 1888-1896. Raynouard, Lexique roman,
Paris
, 1838-1844 ; — Édelestand du Méril : Essai philos
Méril : Essai philosophique sur la formation de la langue française,
Paris
, 1852 ; — F. Diez : Grammaire des langues romanes
nes, traduction française de Gaston Paris et Morel-Fatio, 3e édition,
Paris
, 1874-1876 ; — W. Meyer-Lübke, Grammaire des lang
übke, Grammaire des langues romanes, traduction Rabiet et Doutrepont,
Paris
, 1890-1895 ; — les Grammaires historiques de Brac
ea francese, Florence, 1884 ; — Léon Gautier, Les Épopées françaises,
Paris
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, 1870. Léopold Constans, La Légende d’Œdipe dans
, 1870. Léopold Constans, La Légende d’Œdipe dans le Roman de Thèbes,
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Paris
, 1837 ; — l’édition V. Génin, Paris, 1850, — l’éd
e signaler : l’édition F. Michel, Paris, 1837 ; — l’édition V. Génin,
Paris
, 1850, — l’édition ou les éditions Léon Gautier,
ronn, 1883 ; — la Chanson d’Aliscans, édition Guessard et Montaiglon,
Paris
, 1870 ; — la Chanson de Renaud de Montauban [Les
— la Chanson de Girart de Roussillon, édition ou traduction P. Meyer,
Paris
, 1884 ; — la Chanson de Raoul de Cambrai, édition
84 ; — la Chanson de Raoul de Cambrai, édition Paul Meyer et Longnon,
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, 1882 ; — et la Chanson du Chevalier au Cygne, éd
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Paris
, 1890 ; — le Roman de Troie, de Benoît de Sainte-
— le Roman de Troie, de Benoît de Sainte-More, publié par M. A. Joly,
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V. Jeanroy, Les Origines de la poésie lyrique en France au Moyen Âge,
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bulistes français] : — Léopold Sudre, Les Sources du Roman de Renart,
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, 1892 ; — T. Rothe, Les Romans de Renart examinés
Paris, 1892 ; — T. Rothe, Les Romans de Renart examinés et comparés,
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, 1845 ; — W. J. Jonckbloet, Étude sur le Roman de
Martin, indiquée ci-dessus. Il faut ajouter, de l’édition Méon, 1826,
Paris
: Le Couronnement Renart — Renard le Nouvel ; — e
ire, t. XXVIII ; — Langlois, Origines et sources du Roman de la Rose,
Paris
, 1891 ; — Gaston Paris, La Littérature française
ux que celui-ci [le Roman de la Rose], à moins que toute la France et
Paris
en tête ne se trompent sur son mérite. » — Nombre
Marot au commencement du xvie siècle, on peut citer l’édition Méon,
Paris
, 1813 ; — et l’édition de Pierre Marteau [pseudon
Sources. — Petit de Julleville, La Comédie et les mœurs au Moyen Âge,
Paris
, 1887 ; — Littré, Histoire de la langue française
u Moyen Âge, Paris, 1887 ; — Littré, Histoire de la langue française,
Paris
; — Lenient, La Satire en France au Moyen Âge ; —
ncipale édition de la Farce de Maître Pathelin est celle de F. Génin,
Paris
, 1854. VII. — François Villon [Paris, 1431…]
1º Les Sources. — A. Campaux, François Villon, sa vie et ses œuvres,
Paris
, 1859 ; — A. Longnon, Étude biographique sur Fran
, Paris, 1859 ; — A. Longnon, Étude biographique sur François Villon,
Paris
, 1877 ; — Aug. Vitu, Le Jargon du xve siècle, Pa
François Villon, Paris, 1877 ; — Aug. Vitu, Le Jargon du xve siècle,
Paris
, 1884 ; — Lucien Schöne, Le Jargon et Jobelin de
ris, 1884 ; — Lucien Schöne, Le Jargon et Jobelin de François Villon,
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, 1888 ; — A. Bijvanck, Essai critique sur les œuv
yde, 1883 ; — Œuvres de François Villon, publiées par M. Aug Longnon,
Paris
, 1892. 2º Le Poète ; — et qu’en saluant en lui le
Mystères 1º Les Sources. — Onésime Leroy, Études sur les mystères,
Paris
, 1837 ; — Charles Magnin, « Les origines du théât
Paris, 1837 ; — Charles Magnin, « Les origines du théâtre moderne »,
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, 1846, 1847, 1858, Journal des savants ; — Édeles
nts ; — Édelestand du Méril, Les Origines latines du théâtre moderne,
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, 1849 ; — Coussemaker, Drames liturgiques, Rennes
du théâtre moderne », dans le journal Le Monde, 1873 ; et Les Tropes,
Paris
, 1887 ; — Marius Sepet, Le Drame chrétien au Moye
Tropes, Paris, 1887 ; — Marius Sepet, Le Drame chrétien au Moyen Âge,
Paris
, 1877 ; — et Les Prophètes du Christ, 1878 ; — Pe
Les Prophètes du Christ, 1878 ; — Petit de Julleville, Les Mystères,
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, 1880 ; — A. d’Ancona, Origini del teatro in Ital
sion, d’Arnoul Gréban, publié par MM. Gaston Paris et Gaston Raynaud,
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, 1878 ; — Les Actes des Apôtres, de Simon et Arno
n, dans la collection des Documents inédits sur l’histoire de France,
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, 1862. On trouvera d’ailleurs d’excellentes analy
747 ; — Mlle Dupont, « Notice », en tête de son édition des Mémoires,
Paris
, 1840 ; — Kervyn de Lettenhove, Lettres et négoci
874 ; — Chantelauze, « Notice », en tête de son édition des Mémoires,
Paris
, 1880 ; — Fierville, Documents inédits sur Philip
aris, 1880 ; — Fierville, Documents inédits sur Philippe de Commynes,
Paris
, 1881. 2º L’Homme et l’Écrivain. — Le favori du T
es VIII. Les meilleures éditions modernes sont celles de Mlle Dupont,
Paris
, 1840 ; — et l’édition Chantelauze, Paris, 1881.
sont celles de Mlle Dupont, Paris, 1840 ; — et l’édition Chantelauze,
Paris
, 1881. 5. Comme nous ne suivons pas, — et pou
nature de leur contenu. 6. Nous empruntons ces deux listes de noms à
M. Gaston Paris
, dans son histoire de la Littérature française au
s’agit — ne plus, ne moins — de la Décentralisation littéraire. À bas
Paris
et la centralisation ! C’est à Paris que s’imprim
centralisation littéraire. À bas Paris et la centralisation ! C’est à
Paris
que s’impriment tous les journaux qu’on lit ; c’e
! C’est à Paris que s’impriment tous les journaux qu’on lit ; c’est à
Paris
que s’éditent tous les livres qu’on achète ; c’es
Paris que s’éditent tous les livres qu’on achète ; c’est le train de
Paris
que prennent obstinément tous les talents robuste
Paris que prennent obstinément tous les talents robustes et hardis ;
Paris
est la ville sainte, où toute royauté intellectue
mée ; rien de beau, rien de grand, qui ne se fasse et ne se défasse à
Paris
… Tout pour Paris et par Paris ! Et les départemen
u, rien de grand, qui ne se fasse et ne se défasse à Paris… Tout pour
Paris
et par Paris ! Et les départements restent seuls
and, qui ne se fasse et ne se défasse à Paris… Tout pour Paris et par
Paris
! Et les départements restent seuls avec leurs po
les colonnes de la province attendent, pour s’ébranler et marcher sur
Paris
… Qu’attendent-elles ? Le décentralisateur en chef
solation), et puis de se tenir tranquilles, — ils courent les rues de
Paris
en criant à la cabale et aux coteries ! Ou bien,
pourquoi ils fulminent contre la Centralisation, c’est-à-dire contre
Paris
. C’est que Paris adopte toute hardiesse, c’est qu
minent contre la Centralisation, c’est-à-dire contre Paris. C’est que
Paris
adopte toute hardiesse, c’est que Paris salue tou
-dire contre Paris. C’est que Paris adopte toute hardiesse, c’est que
Paris
salue toute nouveauté, pourvu que cette hardiesse
hardiesse soit une vérité, que cette nouveauté soit un enseignement.
Paris
ne demande pas à V. Hugo s’il est fils légitime d
mps déjà avant la Révolution. Cette unité implique un centre, qui est
Paris
. Comme en Allemagne, je vois des littérateurs, ma
sée, — l’unité littéraire se fait, la centralisation littéraire (avec
Paris
, ou Versailles qui est alors le pseudonyme de Par
littéraire (avec Paris, ou Versailles qui est alors le pseudonyme de
Paris
), la centralisation littéraire existe ; le seiziè
argument en faveur de la Décentralisation : Combien d’hommes de génie
Paris
, avec ses coteries et ses cabales (encore !) n’a-
vé, c’est par les protections et l’intrigue. » * * * Les coteries de
Paris
! — mais n’y en aura-t-il pas de bien plus puissa
pas de chez vous, mais qui sait tout ce qui s’y passe ; — tandis qu’à
Paris
, le voisin est simplement celui qui reste à côté.
, le voisin est simplement celui qui reste à côté. Pour mieux dire, à
Paris
le voisin n’existe pas. C’est une pure abstractio
à la Décentralisation littéraire, il n’aura plus, pour s’y réfugier,
Paris
« ce lieu d’asile » où toute force a raison tôt o
t l’échelle, aussitôt qu’il posera le pied sur le premier échelon ! Ô
Paris
, pays des coteries et des cabales ! Ô province, t
ndresses et des embrassades littéraires ! * * * La fièvre que donne
Paris
— (c’est trop joli !) voilà encore un des griefs
savoir, peut-être — de votre Décentralisation. C’est l’éloignement de
Paris
, direz-vous, c’est sa séquestration volontaire en
ervé au poète de Psyché cette pureté de pensées qu’on tache si vite à
Paris
. Les baisers platoniques qu’il reçoit de la muse
s conversations. Vous rencontrerez des Parisiens qui se plaindront de
Paris
, mais vous n’en trouverez pas qui se plaindront d
indront d’en être, ou mieux d’y être, car la plupart des habitants de
Paris
sont nés en province. La supériorité consiste don
encore parisienne, dans les sites rapprochés où passe le mouvement de
Paris
, et le voyage, si court qu’il soit, est encore tr
ant son tempérament et son éducation. L’un dira : — Quand j’ai quitté
Paris
, voilà deux jours, il faisait plus beau qu’ici. L
t paraître indifférente, mais qu’ils jugeraient fâcheuse. Ils sont de
Paris
. Ils vous en avertissent. Et vous le savez mainte
un concierge et un habitant de Bordeaux qui passait quelques jours à
Paris
et logeait chez un ami parisien. — Eh bien, monsi
siècle, n’est au fond qu’une Parisienne parisianisante, qui regrette
Paris
dès qu’elle a mis le pied en Bretagne. Elle fait
C’est que, à ces époques lointaines, la distance était immense entre
Paris
et la province. Se rendre à Paris constituait un
es, la distance était immense entre Paris et la province. Se rendre à
Paris
constituait un voyage pour un habitant de Limoges
de son village ; il disait aux beaux seigneurs et aux belles dames de
Paris
: « Je vous saluons, j’étions dans nout jardrin,
es de la ville prochaine, il se sentait mal à l’aise ; dans celles de
Paris
il était ridicule. Si la fâcheuse idée le prenait
e récuse Balzac, parce que tout le monde sait qu’il quittait fort peu
Paris
où le retenaient ses dettes et ses éditeurs, deux
é. Lorsqu’un jeune écrivain, né en quelque coin de province, arrive à
Paris
, son premier soin est de décrier son petit pays,
t d’ignorer la cour, la mode, les belles manières et le bel esprit de
Paris
. Est-il permis de répéter la formule au commence
s villes ou des gros bourgs, ils s’habillent précisément à la mode de
Paris
, qui est devenue la mode universelle. Il n’y a pa
annuels de toutes les modistes et couturières de province, qui vont à
Paris
s’informer de ce qu’on appelle la « dernière créa
ci un reproche à faire à cette bonne province, ce n’est pas d’ignorer
Paris
, c’est de le suivre de trop près et de s’habiller
e provinciale, la noblesse qui habite la province et celle qui habite
Paris
n’appartiennent certainement pas à des états de c
médisances de province. Mais pourquoi ne parle-t-on pas de celles de
Paris
, et la grande ville n’est-elle pas, à ce point de
incidents presque aux mêmes heures. L’article qu’on discute le soir à
Paris
sera commenté le matin dans les cafés de province
eux parties. Dans l’une, qui est immense, l’influence des journaux de
Paris
est exclusive ou prépondérante, parce que ceux-ci
et des cours du vin rouge. Voilà donc des Français, de province et de
Paris
, qui suivent les mêmes modes, qui lisent les même
’il en soit autrement ? Presque tous les provinciaux aisés traversent
Paris
plusieurs fois l’an, beaucoup de leurs fils font
ris plusieurs fois l’an, beaucoup de leurs fils font leur éducation à
Paris
, les autres rencontrent dans les collèges, et dan
enseignement libre et dans celles de l’État, des professeurs formés à
Paris
ou parlant le plus pur français. Les maîtresses,
s lui demandait. Les jeunes femmes d’aujourd’hui, en province comme à
Paris
, ont d’autres occupations et d’autres distraction
ues ou mieux les librairies, on ne s’ennuie pas plus en province qu’à
Paris
, à condition d’avoir un esprit capable d’autre ch
’ils ne se lassent point de décrire lorsqu’ils opposent la province à
Paris
, disparaissent de plus en plus. Elles deviennent
et par eux-mêmes cette France inconnue qui commence à la banlieue de
Paris
, je crois qu’ils seraient récompensés de leur eff
, découvriraient la France du silence, celle qui sème et récolte pour
Paris
qui fait tant de bruit ; ils apercevraient la gra
ar le constant apport d’éléments sains qu’elle envoie non seulement à
Paris
, mais dans toutes nos grandes villes. Ils reconna
et que la province fait les trois autres quarts ; que les ménages de
Paris
ne ressemblent pas tous, il s’en faut, à ceux de
re. Sur ce point, je n’ai point changé, et j’en préviens. Le siège de
Paris
, ce n’est donc pas moi qui vais en parler ici, c’
aire, car je ne sache pas qu’elle ait jamais écrit, avant le siège de
Paris
. Il n’a fallu rien moins que le siège de Paris po
rit, avant le siège de Paris. Il n’a fallu rien moins que le siège de
Paris
pour faire partir ce baril de poudre patriotique
r son nom et sa gloire ! À tout bout de champ de ce livre, intitulé :
Paris
, — journal du siège — et qu’il faudrait intituler
et a pour M. Quinet, son époux, tout le long de son livre du Siège de
Paris
. La Fontaine a dit quelque part : « Bref, il m’en
trois quarts, de profil, sur ce fond maudit, qu’il lui fait oublier !
Paris
, certes, est sublime, c’est M. Quinet qui l’a dit
journaux, comme si c’étaient là les bulletins de la Grande Armée… de
Paris
! Un jour, avec l’emphase propre aux Quinet, mari
ait autrement que sous les obus dans ce temps-là, quand on écrivait à
Paris
! Au 2 janvier, elle écrit encore : « Edgar Quine
cinée d’amour conjugal avait tracé ces mots incroyables pour consoler
Paris
de ses misères et relever son cœur humilié : « Je
res et relever son cœur humilié : « Je ne sais pas si l’Europe admire
Paris
, mais j’ai vu pleurer mon mari !!! » Et c’est ass
inet ! La bronchite s’est abattue sur lui comme les autres fléaux sur
Paris
, et voilà la femme qui a mal à la gorge de son ma
pendant le bombardement. ILS VONT paraître sous le titre du Siège de
Paris
et de la Défense nationale. Il a ajouté, au milie
dans le mariage, aussi joliment articulé ? Auriez-vous jamais cru que
Paris
bombardé, fumant, dévasté, aurait abrité, pendant
n changement de destinée. « Ce n’est plus l’heure de Berne, mais de
Paris
qui va (adorable puérilité !) désormais régler no
tenir de si immenses joies (de n’avoir plus l’heure de Berne, mais de
Paris
!!!) ! C’est à ce moment que la notion de l’étern
! je comprends la justice éternelle ! » — et c’est comme cela jusqu’à
Paris
! Quand elle est à Paris : « Oui, s’écrie-t-elle,
éternelle ! » — et c’est comme cela jusqu’à Paris ! Quand elle est à
Paris
: « Oui, s’écrie-t-elle, le bonheur immense qui n
que nous voyons là-bas, sont vides des criminels qui les habitaient.
Paris
est purifié…” » Mais en voilà assez ! Tournons ce
’oublier !… Mais il l’a méconnaît ! Ce livre de sa femme, ce siège de
Paris
, ces impressions dans lesquelles l’infortunée Mme
e les jeunes filles : — Madame Quinet !!! Oh ! Madame Quinet ! 9.
Paris
, — Journal du Siège.— Chez Dentu. [Article origin
Paris
, le 8 mars 1886. La question Lohengrin e 5
e qui subventionne les concerts ! » oublie-t-on que cette Ville c’est
Paris
, et que c’est Paris surtout qui a été cruellement
es concerts ! » oublie-t-on que cette Ville c’est Paris, et que c’est
Paris
surtout qui a été cruellement assiégé, affamé, bo
siégé, affamé, bombardé, ruiné par les Prussiens ! et parce que c’est
Paris
on ne dirait plus rien ! Ceci marque un degré de
s, en leur prenant leurs trop rares théâtres, mais en en élevant un à
Paris
où chacun viendra étudier les chefs-d’œuvre d’un
t vrai, mais il ne portait la livrée de personne. Philippe Gille.
Paris
, le 20 février 1886. I — Mars-octobre 1835 Pré
ement le commencement de l’affaire. La représentation de Lohengrin, à
Paris
, avait été plusieurs fois déjà discutée, sans rés
s de mars 1885, M. Gross, l’exécuteur testamentaire de Wagner, vint à
Paris
. Le directeur de l’Opéra-Comique lui demanda alor
les représentations de Parsifal, du théâtre de Bayreuth, viendrait à
Paris
, assisterait aux études et tiendrait la place du
est de protester publiquement contre la représentation du Lohengrin à
Paris
lors des représentations de cette œuvre à l’Opéra
, le Progrès artistique rapporta cette nouvelle : … Il s’est formé, à
Paris
, un comité qui aurait déjà recueilli pour 10 000
siste. Elle paraît inévitable. Faut-il passer outre ? Faut-il exposer
Paris
à se changer en champ de bataille ? Faut-il couri
amphlet plus imbécile qu’odieux qu’il a publié sur la capitulation de
Paris
. Que Wagner n’aimât pas Paris, c’était dans l’ord
x qu’il a publié sur la capitulation de Paris. Que Wagner n’aimât pas
Paris
, c’était dans l’ordre naturel des choses ; il n’a
ir récolté une seule satisfaction d’orgueil ; il ne pouvait pas aimer
Paris
et il le détestait. Personne n’eût été surpris qu
ez lui, eût manifesté son ressentiment et sa colère il a attendu que
Paris
souffrît de la famine et du froid pour rire de se
ien digne d’un artiste comme vous. Il leur a semblé, avec raison, que
Paris
dépassait toute mesure dans son ressentiment et q
qui est également le vôtre et le mien. Reste à connaître l’opinion de
Paris
; elle commence à se manifester d’une façon palpa
ommence à se manifester d’une façon palpable. Qu’est-ce que c’est que
Paris
, mon cher Carvalho ? C’est un peu de tout : il es
: il est bon par instinct, mauvais par caprice, irréfléchi toujours.
Paris
se compose de vingt ou trente mille personnes dés
rvalho, ne leur ferez pas au détriment de vos intérêts et du repos de
Paris
. Le grand mot est lâché ; car nous marchons, avec
u milieu de cinquante mille braves garçons, venus des quatre coins de
Paris
pour venger Paris d’un affront qu’ils ne connaiss
nte mille braves garçons, venus des quatre coins de Paris pour venger
Paris
d’un affront qu’ils ne connaissent pas et que, pa
a sur le premier acte du Lohengrin ? Est-il admissible que l’armée de
Paris
prenne position autour de l’Opéra-Comique pour dé
Reste à savoir si nous devons compromettre pour cette cause la vie de
Paris
déjà si troublée par la crise que nous traversons
lgique. Je suis par mes occupations quotidiennes attaché et retenti à
Paris
. Je commence à être agacé de lire sur des ouvrage
Ne me faites pas patriote à mon corps défendant. Combien êtes-vous à
Paris
si enragés que cela contre Wagner ! Quinze cents
musiciens s’accordent à trouver admirable dans son ensemble, et dont
Paris
ne connaît encore que quelques rares fragments. J
eront avec leur courte honte. La Patrie du 28 ; « Richard Wagner et
Paris
» (anonyme) : … Il ne s’agit pas d’art, mais de
Le 24, la lettre suivante était adressée à quelques notabilités :
Paris
, le 24 décembre 1885 LA NOUVELLE REVUE 25, boule
Direction Madame Adamm, avant de s’adresser aux femmes du Siège de
Paris
, prie M*** de vouloir bien venir l’assister de se
n garde M. Carvalho contre les agissements de la colonie allemande de
Paris
. Le Français du 11 : feuilleton de M. Adolphe Jul
s : le premier, dans le moment même où il était reçu à bras ouverts à
Paris
; le second, lorsque nous étions en déroute, écra
15 : lettre de Mme AdaM. En voici le texte A Monsieur Francis Magnard
Paris
, le …( ?) Mon cher ami, Je suis mise aujourd’hui
hit. Il se plaça sous la protection de Mme de Metternich, et revint à
Paris
protégé par l’Empire, lui que nous avions fait co
op violente. Je me reporte tout à coup aux derniers jours du siège de
Paris
, puis à la capitulation. Les portes sont ouvertes
ranger, je lis une phrase de Wagner, qu’on me cite : « Il faut brûler
Paris
! » Pour ceux qui comprennent le patriotisme d’un
e du 17 : … Il y a danger, danger sérieux à faire jouer Lohengrin à
Paris
… Le Télégraphe du 17 ; signé C. L. : … Tout
n masse, applaudissez, sifflez si vous voulez, mais écoutez-le ! …
Paris
du 17 ; article signé Caribert : … Ce n’est poi
laisser donner la preuve. Le 22, est mise en vente dans les mes de
Paris
la question Wagner par un Français, une brochure
atriotes a gardé et gardera le silence au milieu du bruit qu’excite à
Paris
la future représentation d’une œuvre de Richard W
a à son rang, en face des opéras du Prussien qui voulait faire brûler
Paris
. IV — Incident Saint-Saëns A cette époque s
L’Indépendance Belge du 25 l’annonça ainsi : Le bruit qui se fait à
Paris
au sujet de Lohengrin commence à trouver de l’éch
ention, si je ne me trompe, en 1881, de faire représenter Lohengrin à
Paris
, au théâtre des Nations, je fis tout ce qui était
que, parmi beaucoup d’autres artistes et personnalités distinguées de
Paris
, M. Camille Saint-Saëns a été un de ceux qui ont
t de représentations de Lohengrin, en 1881, au théâtre des Nations, à
Paris
. Signé : Angelo Neumann. Prague, 6 février 1886
n maniaque qui fut, dans sa vie publique et privée, un misérable …
Paris
du 22 ; feuilleton de M. de Lapommeraye : … La po
gouvernante, étant enfant, une dame Lambert ; plus tard, installée à
Paris
, la comtesse d’Agoult prit chez elle, comme demoi
rin », c’est-à-dire aux problèmes rencontrés pour jouer cette œuvre à
Paris
. Le premier article montre jusqu’où pouvait aller
ions présentées et réfléchir à la meilleure façon de le représenter à
Paris
. La campagne antiwagnérienne de 1886 le força à a
s manières très peu sauvages à l’aide desquelles on prend le succès à
Paris
. Et j’en fais mon compliment à Jules Vallès, et m
e ne vois que les petits. Oui ! les petits, — et encore les petits de
Paris
, visibles seulement à Paris, connus uniquement en
i ! les petits, — et encore les petits de Paris, visibles seulement à
Paris
, connus uniquement entre le Gros-Caillou et les B
lus dépravés des Chinois le sont à la leur. Ils sont exclusivement de
Paris
, et du Paris du xixe siècle. Ils sont de Paris c
des Chinois le sont à la leur. Ils sont exclusivement de Paris, et du
Paris
du xixe siècle. Ils sont de Paris comme les chif
sont exclusivement de Paris, et du Paris du xixe siècle. Ils sont de
Paris
comme les chiffonniers, qui valent mieux qu’eux,
s, d’aujourd’hui, mais, au contraire, voulant y entrer ! En dehors de
Paris
, en dehors de cette espèce de cuve qui a ses sorc
verve poignante. Pour cela, il est nécessaire de connaître la vie de
Paris
, les bouges de Paris, et surtout la littérature d
r cela, il est nécessaire de connaître la vie de Paris, les bouges de
Paris
, et surtout la littérature de Paris ; car, ne vou
re la vie de Paris, les bouges de Paris, et surtout la littérature de
Paris
; car, ne vous y trompez pas ! ces réfractaires d
ttérature de Paris ; car, ne vous y trompez pas ! ces réfractaires de
Paris
et de Vallès ont le rêve et la prétention littéra
qui avons connu à fond cette race de drôles, spéciale aux cabarets du
Paris
du xixe siècle, il n’y a guères d’intérêt dans l
eau-forte des Réfractaires suivie de l’eau faible des Irréguliers de
Paris
, qui sont encore des réfractaires, mais des clair
n réfractaire comme Vallès, et qui n’en devint pas moins bourgeois de
Paris
, académicien, père de famille, un gros bonhomme e
ânes indomptés de réfractaires, tout bonnement de braves bourgeois de
Paris
! Seulement, ce n’est pas tout que d’être sensibl
sque rien ne vous intéresserait plus au monde, pas même les choses de
Paris
ni les chroniqueurs parisiens. Je prends un étran
te le Figaro du jour, et vous parcourez, je suppose, le « Courrier de
Paris
» de M. Albert Wolff. Eh bien ! je vous promets u
etit groupe s’agite sur un point imperceptible du globe qui s’appelle
Paris
. Quant aux commentaires, vous y trouverez, neuf f
les petites choses qui se passent autour d’eux. Il y a cinquante ans,
Paris
n’avait guère qu’une dizaine de journaux, que se
’ailleurs, à l’affût de tout ce qui surgit un moment sur l’horizon de
Paris
; le journal-barnum, le mieux informé des journau
par une grâce spéciale d’en haut, l’esprit du boulevard. Il a fait de
Paris
sa chose ; il célèbre, il démontre, il encourage
. Il a fait de Paris sa chose ; il célèbre, il démontre, il encourage
Paris
; il est le gardien de ce lieu de plaisir. Les ti
titres de ses volumes marquent bien cette préoccupation : l’Écume de
Paris
, Paris capitale de l’art, la Gloire à Paris. M. W
de ses volumes marquent bien cette préoccupation : l’Écume de Paris,
Paris
capitale de l’art, la Gloire à Paris. M. Wolff pa
réoccupation : l’Écume de Paris, Paris capitale de l’art, la Gloire à
Paris
. M. Wolff patronne les grands hommes et les tutoi
le des gloires parisiennes, ce Parisien qui a le dépôt de l’esprit de
Paris
, est né à Cologne ; et je n’ai pu parvenir à comp
une meilleure explication. Vous vous souvenez que, dans les Odeurs de
Paris
, il appelle M. Wolff « Lupus le respectueux ». Il
paragraphes. Vous mettez, je suppose, au commencement du premier : «
Paris
est la capitale de l’art. » Puis, vers le milieu
Paris est la capitale de l’art. » Puis, vers le milieu du second : «
Paris
est véritablement la ville des artistes » Puis, q
s » Puis, quelque part dans le troisième : « Le centre de l’art est à
Paris
. » Et à la fin du quatrième : « Je ne crois pas t
fin du quatrième : « Je ne crois pas trop m’avancer en affirmant que
Paris
est le foyer des arts. » Et dans l’intervalle de
refrain. Voici le refrain d’un article sur M. Rochefort (La Gloire à
Paris
) : 1° « L’action très grande de Rochefort est dan
isien désireux d’entendre une grande parole qui jadis fit courir tout
Paris
à Notre-Dame, et je n’ai trouvé qu’un comédien de
aut s’attendrir, et il s’attendrit. S’il parle de Mgr l’archevêque de
Paris
, il sait qu’il convient que le digne prélat soit
-Herbes-Potagères, mais étourdi par la vie fascinante que je menais à
Paris
, je n’avais eu ni le loisir, ni l’amour-propre d’
ête de ce volume. J’ai un croquis fort bien fait que j’ai rapporté de
Paris
, et qui pourrait vous être fort utile si vous cro
! » Agréez donc toutes mes salutations, Van Engelgom. Lettres sur
Paris
à Monsieur le directeur de l’Indépendant. I.
se inspiration ai-je eue là, de choisir le carnaval de 1837 pour voir
Paris
! La reine de nos Tyrs et de nos Babylones ressem
, qui ne se relèvent qu’après huit jours de lutte contre l’épidémie ;
Paris
est un gigantesque hôpital, où la moitié des gens
. L’âge d’or reviendra, car un aussi beau soleil que celui qui nargue
Paris
depuis huit jours, ne peut se contenter d’éclaire
savez combien les voyageurs nous exaltent souvent leur Grand Opéra de
Paris
. Mon premier désir, ou mon premier besoin, en des
cle, mon cher Monsieur). Je dois vous dire que le foyer de l’Opéra de
Paris
est le salon de MM. les princes de la littérature
ma conclusion sans réclamer pour le royaume de Monaco ou un autre). —
Paris
est la capitale de France. — Le foyer de l’Opéra
itale de France. — Le foyer de l’Opéra est le salon le plus choisi de
Paris
…… Ainsi voyez, mon cher Monsieur, quelle olive !!
— Hippolyte Lucas, du Bon Sens, — Chaudes-Aigues, de la Chronique de
Paris
, — Lassailly, de tous les journaux possibles, — L
ie est à mon avis fort ingénieux. Vous sentez, mon cher Monsieur, que
Paris
s’occupe bien davantage de M. de Musset lorsqu’il
à la lecture de ses ouvrages, M. de Balzac n’a eu dans les salons de
Paris
que des succès sans conséquences. À peine cite-t-
t, est logé dans le quartier de l’Observatoire, c’est-à-dire, hors de
Paris
; que son mobilier passe pour être d’un luxe prin
it, à propos des calembours qu’il fait, ou qu’on fait sur les murs de
Paris
à son intention, un grand nageur. Même en 1828 ou
rr habite Saint-Maur, Saint-Ouen et tous les villages des environs de
Paris
auprès desquels il y a de l’eau. Les chaleurs att
la littérature, je vous dirai, mon cher Monsieur, que M. Karr jouit à
Paris
d’une grande réputation. Paris est une ville où l
mon cher Monsieur, que M. Karr jouit à Paris d’une grande réputation.
Paris
est une ville où l’on aime et où l’on comprend l’
parla contrefaçon. Vous voyez qu’on nous parle beaucoup contrefaçon à
Paris
, mais notez bien que nous sommes deux enfants de
n souvenir, et j’allais exactement, à son heure, lire les journaux de
Paris
chez madame Taquet, rue de la Madeleine. Je n’ai
M. Nestor que j’avais tort de ne pas connaître écrit dans la Revue de
Paris
quelques articles spirituels sous le pseudonyme d
mond. C’est un des habitués les plus fidèles de l’Opéra et du Café de
Paris
, ce restaurant par excellence de la fashion finan
othicaire, l’ancien directeur de l’Opéra, le fondateur de la Revue de
Paris
que M. Guizot, qui encourage les lettres, a décor
, essayer de me les rappeler. L’hiver, M. Sue habite rue Caumartin, à
Paris
. L’été, il reste à la campagne que possède à Sain
-frère, le Caillard, Laffitte-Caillard, des messageries si connues. À
Paris
, l’auteur de Plick et Plock est meublé avec un lu
combien ces fantaisies d’antiquités sont exorbitantes et ruineuses à
Paris
. On dit que M. Sue a dépensé pour son mobilier pl
nt toute cette soirée, et aussi pendant tout le reste de mon séjour à
Paris
. Il fut convenu que je m’appellerais désormais… A
us souciiez pas de les voir interrompues, ne donnez pas mon adresse à
Paris
à ceux qui pourraient vous écrire. Pour ce qui es
le savoir si près de moi. Il nous apprit que M. Corbière n’habite pas
Paris
, qu’il voyage au long cours ; et que M. Jules Lec
nses espérances et meurt dans un accès de colère. M. de B*** rentra à
Paris
perdant 70 000 fr. de rentes, parce que Mlle Déja
Thoré, le critique de peinture du journal le Siècle et de la Revue de
Paris
. M. Thoré porte une longue barbe et les cheveux r
t, nous sortîmes. Tout ce qu’il y a de riche, de célèbre, d’élégant à
Paris
, était alors dans les couloirs et dans les larges
vains. Je ne pourrais vous dire au juste à quoi se dissipe le temps à
Paris
, mon cher Monsieur, à peine suis-je habillé et fr
is-je habillé et frisé (un étranger doit se faire exactement friser à
Paris
), à peine ai-je déjeuné et écrit mes dépenses de
st fort grande : tout le monde le craint, et il ne craint personne. À
Paris
, les petits journaux (ces petits journaux sont le
é à Marseille, comme Méry et Barthélemy, il a quitté cette ville pour
Paris
, qu’il habite depuis huit ans environ. Il débuta
it desquels il s’était figuré, en quittant Marseille, pouvoir vivre à
Paris
. Plus tard il fut du Figaro-Bohain, et c’est là q
le à ces petites et fréquentes solennités tous les feuilletonistes de
Paris
. Or, comme la majeure partie des romanciers sont
ait frémir d’applaudissements enthousiastes les plus larges scènes de
Paris
. Il paraît que M. Dumas passe pour vouloir faire
, dit-on, un homme de beaucoup de talent. Mme Valmore, qu’un voyage à
Paris
m’a rendu assez heureux pour y rencontrer, appart
de son esprit. J’ai vivement demandé à mon compatriote s’il y avait à
Paris
des bureaux où l’on pût acheter des pièces de thé
petit nombre de ceux qui ont conservé une physionomie littéraire dans
Paris
. Il a ses familiers de chaque jour et ses invités
t devenue plus vraie qu’une vérité ; la voici : M. Romieu, traversant
Paris
en pleine nuit, après un souper copieux, soutenai
es monuments historiques, en France, le tiennent présentement hors de
Paris
. On m’a dit que c’était un jeune homme de 32 à 34
d’hui chef adjoint au bureau des archives du ministère de la marine à
Paris
. Il signe : Historiographe de la marine ; c’est u
il avait mêlé son art et sa marine : Cet ouvrage porte en titre : De
Paris
à Naples ; c’est aussi fort inconnu chez nous. Ce
titre : De Paris à Naples ; c’est aussi fort inconnu chez nous. Ce de
Paris
à Naples forme le compte-rendu d’un voyage que M.
Si ce n’était pas accorder une trop large part relative à l’auteur de
Paris
à Naples, que d’en parler plus longtemps, je vous
sessif qui est de si mauvais goût chez un écrivain. Si vous lisiez de
Paris
à Naples (je ne vous en veux nullement du reste,
a trois ou quatre ans, M. Landais courait les éditeurs subalternes de
Paris
, armé de petits romans qu’il leur vendait à grand
t une idée, et une idée vaut de l’or et de la réputation en France, à
Paris
. M. Landais inventa de faire pour la 333e fois un
bourgeoise toujours par Napoléon Landais. Ô Landais ! Il s’est fait à
Paris
, en 1832 ou 1833, un magnifique journal qui avait
itre, M. de Maynard vous est connu par sa collaboration à la Revue de
Paris
, où il a fait des articles d’un très beau style.
livre, mais un grand nombre d’articles, dont partie dans la Revue de
Paris
, est aussi rangé parmi les républicains ou patrio
rtier du Luxembourg, qui est presque un département pour le centre de
Paris
. Vous avez dû lire un volume intitulé : Madame de
intenant compris dans les œuvres complètes de Georges, qu’on publie à
Paris
. M. Jules Sandeau et Mme Dudevant ont eu ensemble
il féodal de quelque vieux suzerain, échu à l’auteur de Notre-Dame de
Paris
. Lorsqu’il reçoit, M. Hugo se tient dans ce faute
eue à la publication de ces manifestes ; c’est un fait connu de tout
Paris
. Si je n’apprends pas beaucoup de nouvelles chose
ordinaires. Mais à vous parler franchement, je commence à être las de
Paris
, où j’ai mangé beaucoup plus d’argent que ma tant
ci sera définitivement mon avant-dernière lettre, car je quitte enfin
Paris
, où je suis depuis deux mois. Le congé que m’avai
ne prenais seulement pas la peine de lui dire quel temps il faisait à
Paris
; c’est très blâmable, et j’en conviens ; mais là
us nous en rapportons à certains articles écrits dans la Chronique de
Paris
, à la suite d’un voyage de ce grand homme par nos
M. Gautier a fait ce qu’il appelle un tour en Belgique, et, rentré à
Paris
, s’est mis à écrire son tour, afin, sans doute, d
campagne. En tous cas, s’il se traite en voyage comme il s’habille à
Paris
, il ne doit guère épuiser ce qu’il a de bourse, c
l a de bourse, car je l’ai rencontré à Bruxelles, je l’ai rencontré à
Paris
, et soit en Belgique, soit à l’étranger, il est f
uelque peu besoin du fer, ou mieux encore des ciseaux. Ils partent de
Paris
, croyant visiter des contrées peu civilisées, etc
t allés à Bruxelles et à Anvers, par le chemin de fer, sont rentrés à
Paris
avec la prétention d’avoir pour dix feuilletons d
ues volumes de contrefaçon… et voilà un pays observé ! Ils arrivent à
Paris
et parlent Belges et Belgique ; écrivent, gratten
Parbleu ! si je voulais trouver des côtés plaisants, même ridicules à
Paris
et aux Parisiens, je pourrais aussi peut-être écr
te avaient sans doute altéré son cerveau. Ainsi il vivait autrefois à
Paris
de la façon la plus bizarre ; il logeait dans une
uquel vous devez connaître quelques articles insérés dans la Revue de
Paris
, et qui a publié, il y a plus d’un an, un bel ouv
ns, grand, fort, à l’air monacal et imposant. M. Planche connaît tout
Paris
littéraire, tout Paris artiste ; tout enfin ce qu
r monacal et imposant. M. Planche connaît tout Paris littéraire, tout
Paris
artiste ; tout enfin ce qui dans ce grand Paris n
aris littéraire, tout Paris artiste ; tout enfin ce qui dans ce grand
Paris
n’est pas le public qui regarde, lit ou écoute. L
and Paris n’est pas le public qui regarde, lit ou écoute. La Revue de
Paris
, la Revue des deux Mondes, sont les arènes famili
qui ont quelque valeur. Il en est bien quelques autres fort connus à
Paris
et qui sembleraient exclus avec injustice de mon
stice de mon inoffensive revue, mais ceux-là n’ont de réputation qu’à
Paris
, et ils sont totalement inconnus chez nous. À Par
e réputation qu’à Paris, et ils sont totalement inconnus chez nous. À
Paris
, si un écrivain est attaché d’une façon un peu ap
rable qu’on affecte de le dire. Moi je suis certain qu’il n’y a pas à
Paris
plus de quarante noms, parmi lesquels cinq ou six
ms formés par vingt succès, il n’acclame à rien. Que de jeunes gens à
Paris
sont dits ainsi jeunes gens d’avenir ! L’avenir,
ées de littérature que j’avais eues en vivant dans cet air ambiant de
Paris
; même je renonce, je crois, à ce roman dont je v
étaient régis, qui s’ameutaient contre les idées nouvelles laissées à
Paris
par Mistriss Smitson et Kemble, et ramassées par
. Vous avec certainement lu, ces temps derniers, dans les journaux de
Paris
qui vous parviennent, une autre lettre très curie
mmandée à l’imprimeur. Mais pendant la nuit, M. Dumas se ravisa. Tout
Paris
serait passé par le théâtre de la Porte Saint-Mar
ux. Le cabinet de M. Méry est sans contestation une des curiosités de
Paris
pour un artiste ; et tel peintre achèterait fort
moignages non équivoques de la reconnaissance des grands marchands de
Paris
. Alors la plume devient un véritable capital qui
ui peut fixer, jour par jour, le revenu qu’il lui convient d’obtenir.
Paris
entier devient un bazar où rien ne se dérobe à la
a rue Montagne-aux-Herbes-Potagères, pour monter dans la diligence de
Paris
! Que d’illusions perdues plus grandes et plus tr
r Monsieur, voilà probablement les dernières lignes que je daterai de
Paris
. Y reviendrai-je jamais ? je l’ignore absolument.
mpatriotes une des études les plus curieuses pour moi, de ce voyage à
Paris
, à travers ces gens de lettres. Il me restera mil
ir Nourrit faire ses adieux au public dans un bénéfice où tout ce que
Paris
intelligent, Paris artiste, Paris élégant et rich
s adieux au public dans un bénéfice où tout ce que Paris intelligent,
Paris
artiste, Paris élégant et riche renferme d’élite,
lic dans un bénéfice où tout ce que Paris intelligent, Paris artiste,
Paris
élégant et riche renferme d’élite, se trouvera ré
’ INDÉPENDANT. Bruxelles, le Mon cher Monsieur Pour m’être occupé de
Paris
et de ses hommes littéraires pendant les deux moi
avoir soulevées mes lettres à l’Indépendant sur le gent littéraire de
Paris
. On y conteste mon existence, on veut à toute for
rères, de leurs amis. Beaucoup d’autres particularités sont connues à
Paris
, jusqu’à la banalité la plus large ; aussi ne me
-Pons, que je n’ai pas lu), bien que cette aventure ait été publiée à
Paris
, presque en même temps qu’à Bruxelles, et par un
parisiennes font si bien, que les livres français n’obtiennent pas à
Paris
une critique aussi bienveillante que celle qui se
e des choses qui m’ont été racontées ou montrées pendant mon séjour à
Paris
, au milieu des gens de lettres dont je faisais ch
lus : je ne le ferai pas. Je l’ai déjà écrit : dans mes rencontres de
Paris
, j’ai vu maint homme descendre du piédestal où l’
des littérateurs dont j’ai parlé dans mes articles, m’ont rencontré à
Paris
, et me connaissent. Ils me connaissent pour un Be
’entrevoir ou dont on m’a parlé. D’ailleurs j’ai beaucoup interrogé à
Paris
, et il m’a beaucoup été répondu. Je n’ai dit que
nt de son père. 2. M. Léon Pillet, ex-rédacteur gérant du Journal de
Paris
. 3. Historique. De Paris à Naples. T. Ier. a. [
n Pillet, ex-rédacteur gérant du Journal de Paris. 3. Historique. De
Paris
à Naples. T. Ier. a. [NdE] Orthographié calembou
s qu’en d’autres années. à peine entendit-on deux coups de tonnerre à
Paris
l’été de 1716. Il y a tonné trente fois et plus l
re la difference qui se trouve entre la quantité de pluïe qui tombe à
Paris
dans le cours d’une année, et la quantité qui en
e dis que l’action du soleil ne varie point. Il monte et il descend à
Paris
toutes les années à une même hauteur. S’il y a qu
ux années que celle qui se trouve entre un été de Senlis et un été de
Paris
. La distance qui est entre Paris et Senlis du sud
entre un été de Senlis et un été de Paris. La distance qui est entre
Paris
et Senlis du sud au nord, revient à la hauteur qu
sud au nord, revient à la hauteur que le soleil peut avoir de plus à
Paris
en une année que dans une autre année. La differe
ntre la temperature des années est bien une autre variation. Il est à
Paris
des étez d’une chaleur insupportable. D’autres à
de gelée consécutive. Il est des années durant lesquelles il tombe à
Paris
vingt-deux pouces d’eau de pluïe. En d’autres ann
que fut cette chaleur en une certaine année. Le même été plus chaud à
Paris
qu’à l’ordinaire, supposeroit un été plus chaud à
été plus chaud à Madrid que les étez ordinaires. Un hyver très doux à
Paris
supposeroit qu’il seroit encore plus doux à Madri
res. C’est ce qui n’est point. L’hyver de 1699 à 1700 fut très-doux à
Paris
et très-rude à Madrid. Il gela quinze jours de su
inze jours de suite à Madrid, et il ne gela pas deux jours de suite à
Paris
. L’été de 1714 fut assez sec et très-chaud à Pari
x jours de suite à Paris. L’été de 1714 fut assez sec et très-chaud à
Paris
. Il fut très pluvieux et assez froid en Lombardie
Note ajoutée à l’édition définitive (1832)
Paris
, 20 octobre 1832. Notre-Dame de Paris, texte ét
l’édition définitive (1832) Paris, 20 octobre 1832. Notre-Dame de
Paris
, texte établi par Paul Meurice, in Œuvres complèt
par Paul Meurice, in Œuvres complètes de Victor Hugo. Roman, tome II,
Paris
, Imprimerie nationale, Librairie Ollendorff, 1904
me pensée, ils ont toujours fait partie du manuscrit de Notre-Dame de
Paris
. Il y a plus, l’auteur ne comprendrait pas qu’on
livre, c’est par une raison bien simple. À l’époque où Notre-dame de
Paris
s’imprimait pour la première fois, le dossier qui
es, d’ailleurs fort judicieuses, qui n’ont cherché dans Notre-Dame de
Paris
que le drame, que le roman. Mais il est peut-être
hie cachée dans ce livre, qui ont bien voulu, en lisant Notre-Dame de
Paris
, se plaire à démêler sous le roman autre chose qu
que les chapitres ajoutés à cette édition complèteront Notre-Dame de
Paris
, en n’admettant que Notre-Dame de Paris vaille la
on complèteront Notre-Dame de Paris, en n’admettant que Notre-Dame de
Paris
vaille la peine d’être complétée. L’auteur exprim
ce livre ; c’est là un des buts principaux de sa vie. Notre-Dame de
Paris
a peut-être ouvert quelques perspectives vraies s
ci seulement de ce qui se passe en province, mais de ce qui se fait à
Paris
, à notre porte, sous nos fenêtres, dans la grande
paisiblement à bien sous nos yeux, sous les yeux du public artiste de
Paris
, face à face avec la critique que tant d’audace d
s d’église et, gens de loi. Il fréquenta aussi la maison du prévôt de
Paris
, Robert d’Estouteville, dont la femme, Ambroise d
eux lettres de rémission pour le meurtre du prêtre, et les tripots de
Paris
le revirent. En décembre, avec cinq compagnons, i
prise et les | aveux de l’un d’eux, fermèrent à Villon les portes de
Paris
. Il erra en Poitou, fut un moment aux gages de Ch
. Villon eut soin de se faire remettre le vol de Navarre. Il revint à
Paris
, ayant en poche son Grand Testament. Était-il tou
: H. Thomassy, Essai sur les écrits politiques de Christine de Pisan,
Paris
, 1838, in-8. 115. Notamment dans le Dittié de J
un bourgeois de Baveux, frère cadet de Guillaume qui devint évêque de
Paris
, il servit Charles VI et Charles VII. Il fut char
n 1423 et 1424. Il mourut après 1439. Édition : André Duchesne, in-4,
Paris
, 1617. (l’Histoire de Charles VI et de Charles VI
lles le Bouvier.) — À consulter : Delaunay, Étude sur Alain Chartier,
Paris
, 1876, in-8. 117. Ou presque rien : notez quelq
ses du xive siècle, publié par Moland et d’Héricault (Bibl. elzév.),
Paris
, in-16, 1878. 121. Biographie : Né en 1391, fil
e de Clèves. Il mourut en 1465. Éditions : Champollion-Figeac, in-12,
Paris
, 1842 ; d’Héricault, chez Lemerre, 2 vol. in-16,
Beaufils, Étude sur la vie et les poésies de Charles d’Orléans, in-8,
Paris
, 1861. 122. Et très probablement pour Philippe
uis. 123. Éditions : Le Petit Jehan de Saintré, éd. Guichard, in-18,
Paris
, 1843 ; les Quinze Joyes de mariage, Bibl. elzév.
n-18, Paris, 1843 ; les Quinze Joyes de mariage, Bibl. elzév., in-16,
Paris
, 1853 ; les Cent Nouvelles nouvelles, Bibl. elzév
-16, Paris, 1853 ; les Cent Nouvelles nouvelles, Bibl. elzév., in-16,
Paris
, 1858. Œuvres de G. Coquillard, Bibl. elzév., in-
v., in-16, Paris, 1858. Œuvres de G. Coquillard, Bibl. elzév., in-16,
Paris
, 1857. Chansons du xve siècle, pub. Par G. Paris
ansons du xve siècle, pub. Par G. Paris (Soc des Anc. Textes), in-8,
Paris
, 1875. O. Maillard, Sermones de Adventu, in-4, 14
aillard, Sermones de Adventu, in-4, 1498 ; Quadragesimale opus, in-4,
Paris
, 1498 ; Deux autres recueils, in-8, Paris, 1545.
Quadragesimale opus, in-4, Paris, 1498 ; Deux autres recueils, in-8,
Paris
, 1545. Menot, Sermones Parisiis declamati, in-8,
ecueils, in-8, Paris, 1545. Menot, Sermones Parisiis declamati, in-8,
Paris
, 1530 ; Sermon tousseur (de Bruges), réimprimé en
1838 ; A. Bamonillan, Olivier Maillard, son temps et sa prédication,
Paris
, 1892. 124. Éditions : gothique, petit in-4, P.
cation, Paris, 1892. 124. Éditions : gothique, petit in-4, P. Levet,
Paris
, 1489 ; Galiot du Pré (éd. de Marot), Paris, 1533
ue, petit in-4, P. Levet, Paris, 1489 ; Galiot du Pré (éd. de Marot),
Paris
, 1533 ; Prompsault, 1832 ; Longnon, chez Lemerre,
— A consulter : A. Lorgnon, Étude biographique sur Fr. Villon, in-8.
Paris
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le Jargon des Coquillards en 1455 (Mém. de la Soc. de linguistique de
Paris
. I. VII, 1890) ; Byvanck. Essai critique sur les
8. Leyde, 1882 ; Un Poète inconnu de la société de Fr. Villon, in-12,
Paris
, 1891 ; M. Schwob, Fr. Villon, Revue des Deux Mon
867-74 ; Fierville, Documents inédits sur Philippe de Commynes, in-8,
Paris
, 1881 ; Faguet, xvie siècle. 126. L. VI, ch.
ontenant plusieurs beaux traités, oraisons et chants royaux, in-fol.,
Paris
, 1531 ; Chronique (prose), publiée par Buchon, 5
l., Paris, 1531 ; Chronique (prose), publiée par Buchon, 5 vol. in-8,
Paris
, 1828. Jean Meschinot. les Lunettes des Princes,
ames de rhétorique, in-fol., Moulins, 1878. Jean Marot, Œuvres, in-8.
Paris
, Coustelier, 1723. Jean Le Maire, le Temple d’hon
is, Coustelier, 1723. Jean Le Maire, le Temple d’honneur et de vertu,
Paris
, 1503 ; la Plainte du Désiré, Paris, 1509 ; Trois
le Temple d’honneur et de vertu, Paris, 1503 ; la Plainte du Désiré,
Paris
, 1509 ; Trois Livres des Illustrations de la Gaul
, 3 vol. in-8, 18S2-85. Guillaume Crétin, Chants royaux, etc., in-12,
Paris
, Coustelier, 1723. Sur toute cette école et en gé
ard, 1493 (réimprimé par Crapelet, Poésies des xve et xvie siècles,
Paris
, 1830-1832 ; le Jardin de plaisance et fleur de r
popées françaises, et G. Brunet, la France littéraire au xve siècle,
Paris
, 1865. 143. Aux ouvrages connus et multiples sur
de la Bouralière, les Débuts de l’imprimerie à Poitiers, in-8 raisin,
Paris
, 1893 : Delalain, Notices sur Galiot du Pré, 2 br
Quelques « billets du matin. »
Paris
, 24 avril 1889. MA CHÈRE COUSINE, J’ai voulu vo
ulez me faire plaisir, relisez le Manchy et la Ravine Saint-Gilles.
Paris
, 25 avril. « Nous mourons tous inconnus. » Je cro
t et d’un air de dignité indulgente : — Elle est familière, dit-il.
Paris
, 28 avril. M. Henry Becque publie, en deux volume
s pianistes et institutrices sans emploi qui pullulent sur le pavé de
Paris
. Et je me suis rappelé un petit fait, terriblemen
ment. — Ah ! les tristes dessous de notre délicieuse civilisation !
Paris
, 30 avril Cc billet, ma cousine, sera plus futile
souffle ces enfantillages. Je tâcherai d’être plus sérieux demain.
Paris
, 1er mai. J’ai visité le musée de la Révolution,
ette des femmes aux environs de 93 est tout simplement délicieuse ?
Paris
, 2 mai. Je viens de feuilleter, ma chère cousine,
e croyait, sur un chevalet de torture et parmi des sueurs d’agonie.
Paris
, 5 mai. On est très bien à Paris en ce moment, ma
ture et parmi des sueurs d’agonie. Paris, 5 mai. On est très bien à
Paris
en ce moment, ma chère cousine. Il n’y a jamais e
savez que le printemps, quand d’aventure il y en a un, est charmant à
Paris
La végétation y est en avance de huit jours sur c
s rend extrêmement aimables et expansifs… À Monsieur Ernest Renan.
Paris
, 7 mai. CHER MAÎTRE, L’examen de conscience, très
et que c’est bien quelque chose. Les étrangers continuent de venir à
Paris
, depuis que Paris est la capitale d’une vaste rép
quelque chose. Les étrangers continuent de venir à Paris, depuis que
Paris
est la capitale d’une vaste république démocratiq
le, nous reprendrions courage, et cela même nous aiderait à guérir.
Paris
, 8 mai. Je vais vous rapporter, aussi exactement
oli conte symbolique ? Et que d’applications on en pourrait faire !
Paris
, 10 mai. M. Ernest Renan m’a fait le grand honneu
rnest Renan m’a fait le grand honneur de m’écrire la lettre suivante.
Paris
, 9 mai. CHER AMI, Certes, j’aurais voulu répondre
s d’espérer en la raison, et croyez à ma vive amitié. ERNEST RENAN.
Paris
, 13 mai. Hélas ! ma chère cousine, j’allais l’oub
il faut être naïf ; et quand nous le sommes, on ne nous croit plus.
Paris
, 14 mai. J’étais hier, ma chère cousine, à la rép
senet, longues et caressantes comme des vagues ou comme des femmes…
Paris
, 15 mai. Elle est exquise, cette Exposition ! J’a
che ouverte comme les petits enfants ; on est parfaitement heureux.
Paris
, 18 mai. J’ai traversé les salons et les galeries
en sais pas de plus grand que d’être seul chez moi ou dans la rue.
Paris
, 24 mai. MA CHÈRE COUSINE, On vous a déjà parlé,
ffel ! On l’y distingue en y appliquant l’œil et en tâtonnant un peu.
Paris
, 27 mai. Je vous félicite de tout cœur, ma chère
fond dans les poches, voilà une sensation saine et orgueilleuse. »
Paris
, 30 mai. MA CHÈRE COUSINE, L’Intermédiaire des ch
ien plus de vingt ! Ah ! que ce monsieur me gêne avec sa question !
Paris
, 31 mai. J’ai remarqué dans un kiosque de journau
’Acropole. Soyons peuple, ma cousine ; ayons l’espérance et la foi.
Paris
, 4 juin. MA CHÈRE COUSINE, J’ai eu ces jours-ci u
er. J’étais heureux, je ne pensais à rien. Tout ce qui m’agite tant à
Paris
, je l’avais oublié. Les vipères que j’ai comme to
était le propriétaire. J’appris que c’était un monsieur qui vivait à
Paris
; je sus qu’il y faisait la fête et que c’était p
est-ce « envoyé » ? Encore une devinette, pour finir : « Il y a dans
Paris
une docte et illustre maison, amie sévère des let
ire. Que voulez-vous ? Nous ne sommes pas des félibres, nous autres !
Paris
, le 13 juin. Vous voulez, ma cousine, que je vous
ents si divers de l’immense humanité soient en ce moment rassemblés à
Paris
. C’est très probablement ce qui s’est vu de mieux
ar. Et, tout de même, je la crois encore plus belle et plus variée.
Paris
, 17 juin. J’ai fait hier, prudemment, un tour de
ne impression amusante. Il y a, dans le spectacle si varié de ce joli
Paris
, des changements à vue aussi instantanés que ceux
adémie des muses tourangelles, proposez-lui ce sujet-là de ma part.
Paris
, 18 juin. M. Raphaël Bischoffsheim, que vous conn
c ! » mais je crains bien qu’on ne lui ait soufflé. Resteront-elles à
Paris
, ces gamines de Java ? Qui sait si dans vingt ou
e d’elles sous un bonnet d’ouvreuse, ou gérante d’un family-hotel ?
Paris
, 24 juin. J’ai fait hier, ma cousine, pendant ma
la procession. Ah ! ma cousine, nous vivons dans des temps sévères.
Paris
, 25 juin. C’est grand dommage, ma cousine, que le
la cymbale, comme disait la vieille chanson des Mystères d’Éleusis.
Paris
, 25 juin. C’est presque toujours une chose infini
ar elle aimait Mounet barbu ; et Mounet rasé, ce n’est plus Mounet…
Paris
, 27 juin. Vous me demandez, à propos du Disciple,
Au fond, un montagnard pensif. Parfaitement ! Le malheur, c’est qu’à
Paris
on vous juge sur quelques traits qui ont d’abord
personne et de son caractère ?… Mais à une autre fois, ma cousine.
Paris
, 1er juillet. Ma cousine, le président de la Répu
recevait hier, dans l’après-midi, un ou deux milliers de bourgeois de
Paris
ou de la province. Il y a deux cents ans, une « f
de vous avertir, ô ma sage cousine, en ma qualité de vieux parent.
Paris
, 3 juillet. J’ai fait hier soir, ma cousine, un t
que, blotti dans l’herbe et dans les feuilles, je suis aussi loin de
Paris
que si je vivais dans la cellule de Macaire, au d
à l’ombre. J’en suis, dis-je, persuadé pour quelques jours encore.
Paris
, 10 juillet. Danse du ventre au café tunisien, da
rutalité ; c’est comme un joli raccourci de la cruauté universelle…
Paris
, 11 juillet. Paris s’amuse, ma cousine. Tous les
mme un joli raccourci de la cruauté universelle… Paris, 11 juillet.
Paris
s’amuse, ma cousine. Tous les soirs, du Gymnase j
norme de gens qui vont à leur plaisir. C’est vraiment aujourd’hui que
Paris
a l’air d’une ville qui se damne. Il devait y avo
ne doctoresse russe, un pianiste hongrois, un conseiller municipal de
Paris
, etc., etc… » Joignez à cela les Chinois, les Jap
uand nous sortons du restaurant, l’aube chaste baise déjà le front de
Paris
. L’heure est singulière : c’est l’heure blafarde.
encore en vous écrivant. A M. le vicomte Eugène Melchior de Vogüe.
Paris
, 13 juillet. Je viens de lire, monsieur, les page
prise de les exprimer publiquement, une façon de conducteur d’âmes…
Paris
, 15 juillet. S’il avait fait, le 14 juillet 1789,
par le mauvais temps. C’est de là qu’il faut voir la nuit tomber sur
Paris
et s’allumer peu à peu les traînées d’illuminatio
mystérieux m’a conduit au Chat-Noir. Je pense que c’est l’endroit de
Paris
où l’on a fait le plus de bruit la nuit dernière.
tement heureux. Il n’y a encore, voyez-vous, que les joies simples.
Paris
, 17 juillet. Sans doute, ma cousine, elle serait
iendraient ces deux petits, c’est du petit blanc que j’ai eu pitié.
Paris
, 18 juillet. MA COUSINE, J’ai pu hier soir, par l
d’Excelsior. C’est leur songe d’Athalie ou leur récit de Théramène…
Paris
, 22 juillet. MA COUSINE, J’aime beaucoup la conve
eur le major, il faut garder ça pour ceux qui ne sont pas gradés. »
Paris
, 23 juillet. MA COUSINE, Cela a commencé, il y a
iries « naturelles » autour de sa maison, je saurai où me réfugier.
Paris
, 25 juillet. À Mlle X…, élève du Conservatoire de
Roman comique. Encore une fois, tous mes compliments, Mademoiselle.
Paris
, 26 juillet. À Sa Majesté le tsar de toutes les
de votre illustre aïeul Pierre le Grand. Il eut beaucoup de succès à
Paris
. On recueillait ses mots ; les « philosophes » ch
üé. Si donc vous venez, sire, ah ! je vous promets une belle entrée à
Paris
et des acclamations comme vous n’en aurez pas sou
as neuf. C’est qu’en effet notre misère est vieille comme le monde.
Paris
, 31 juillet. MA COUSINE, Je suis rentré à Paris,
lle comme le monde. Paris, 31 juillet. MA COUSINE, Je suis rentré à
Paris
, hier, et j’ai eu bien de la peine à regagner ma
hez nous des lampes nouveau modèle, des téléphones et des articles de
Paris
. Peut-être qu’ils apprendraient là-bas l’amour du
ge se pouvait faire, c’est nous, sire, qui vous serions redevables.
Paris
, 7 août. Il va sans dire qu’elle était fort brill
s différentes… Mais il s’en ira, comme les autres fois, n’ayant vu de
Paris
qu’un vain décor. Sa présence officielle suffit à
dans Téhéran, nous connaîtrions mieux Téhéran que le shah ne connaît
Paris
après trois voyages. Plaignons les rois, ma cousi
x. G…, 13 août. MA COUSINE, La saison est venue où les bourgeois de
Paris
se répandent dans les villas, chalets, pavillons
qu’avant d’être un homme de lettres (hélas !) qui exerce son métier à
Paris
, je suis un paysan qui a son clocher, sa maison e
ce petit coin ombreux, que je me sens enveloppé d’une profonde paix.
Paris
est si loin ! Ce qui, à Paris, me semblait consid
me sens enveloppé d’une profonde paix. Paris est si loin ! Ce qui, à
Paris
, me semblait considérable, ce qui me troublait et
tout. J’ai le jugement bien meilleur et l’esprit bien plus large qu’à
Paris
. Rien de plus étroit que le point de vue d’un chr
que uniquement agricole et rurale. Je songe à ce qu’est la pauvreté à
Paris
. Certes, la misère existe à la campagne ; mais le
ne vieille amie, à qui je tâchais d’expliquer ce que j’allais faire à
Paris
, me répondit : « Tu diras tout ce que tu voudras,
nfaitrice d’écoles primaires et qui pouvez voir les choses de près.
Paris
, 4 septembre. J’ai feuilleté ce matin, ma cousine
rtisan ». Il ajoute que son abstention a été comprise et pardonnée.
Paris
, 5 septembre. « Doit-on le tuer ? » Pour résoudre
s d’y être malheureux que pour y devenir féroce. Et je ne veux pas.
Paris
, 7 septembre. Vous rappelez-vous, ma cousine, les
es circonstances. Pourquoi pas ?… Cela fut presque ainsi autrefois.
Paris
, 10 septembre. Il y avait bien deux mois que je n
sées, et, depuis, elles se parodient elles-mêmes ! Ainsi, l’esprit de
Paris
déteint sur ses hôtes. Il faut s’en réjouir. J’at
ous pouvons retirer du spectacle de toute cette exoticaillerie. *
Paris
, 11 septembre. Le second avantage, ma cousine, c’
des maux d’autrui, et même des nôtres quelquefois. Demain, je serai à
Paris
et reviendrai (il en est grand temps) aux choses
petit jeu innocent et pédant pour les soirées d’hiver à la campagne.
Paris
, 18 septembre. Jean-Paul Mounet faisait hier ses
scrupules de Jean-Paul. C’est amusant, ma cousine, de rencontrer dans
Paris
des acteurs qui, Dieu me pardonne ! ressemblent u
ints frères et ces vénérables comédiens. À Monsieur Édouard Hervé.
Paris
, 21 septembre. Vous êtes, monsieur, l’ami et le c
ptembre. Vous êtes, monsieur, l’ami et le confident de M. le comte de
Paris
, vous êtes membre de l’Académie française et dire
tion ! Des pans énormes de la longue palissade qui ferme le Jardin de
Paris
sont couverts d’affiches à votre nom. Il y en a d
depuis la candidature de M. Boulanger, on n’avait vu sur les murs de
Paris
affichage plus exubérant ni, si j’ose dire, plus
es des espaces si démesurés, j’ai cru bien faire en vous prévenant.
Paris
, 30 septembre. À Monsieur Osiris. MONSIEUR, Le di
tile de l’Exposition, et il paraît que maintenant vous voulez remplir
Paris
de statues. C’est ce que m’apprend un journal du
-vous. Nous en reparlerons demain, monsieur, avec votre permission.
Paris
, 1er octobre. MONSIEUR, J’ai oublié, dans ma lett
résolu de me composer un petit musée de statues à travers les rues de
Paris
. » Ainsi, monsieur, il vous est réellement imposs
nneur de la reine Amélie qui gardent le beau jardin du Luxembourg ?
Paris
, 3 octobre. Aimez-vous les mots d’enfants ? Vous
cinq-z-yeux et que tu m’en creuves six, combien qu’i’ m’en reste ?
Paris
, 3 octobre. La pauvre Amiati, la chanteuse de l’E
tenue sérieuse et digne. Son cas n’est-il pas amusant et touchant ?
Paris
, 5 octobre. Depuis qu’il fait froid, un des endro
obre. Depuis qu’il fait froid, un des endroits les plus solitaires de
Paris
, c’est assurément l’esplanade des Invalides, entr
Monsieur Bob, à propos du dernier livre de Gyp : BOB À L’EXPOSITION.
Paris
, 8 octobre. Je vous ai beaucoup aimé, mon cher Bo
ai de ne plus vous aimer. À M. Maurice Barrès, député boulangiste.
Paris
, 9 octobre. MONSIEUR, Je ne pense pas que les sep
’amuserez et, à cause de cela, je vous envoie tous mes compliments.
Paris
, 14 octobre. Le tsar a répondu en français au toa
eux que nous, ce qu’il a fait là nous a paru tout à fait spirituel.
Paris
, 15 octobre. Il faut, ma cousine, que vous ayez a
ême pour l’Atlantide, qui ne soit mélancolique. Changer de quartier à
Paris
, c’est se transporter d’une ville dans une autre.
génu et bohème. Ensuite, ayant passé les ponts et vivant au centre de
Paris
, j’ai acquis, à ce que je crois, un peu de sens p
sont-elles le triste effet des années autant que des déménagements…
Paris
, 18 octobre. … Toute réflexion faite, l’Expositio
turité. Hélas ! nous ne verrons pas l’Exposition en livrée d’hiver.
Paris
, 26 octobre. J’arrive de Bruxelles, où je crois a
llectionneur égoïste n’est qu’un receleur distingué. Parfaitement !
Paris
, 31 octobre. Hier soir, 30 octobre, au théâtre du
plus innocent, parce qu’il est celui qui contient le plus de bêtes.
Paris
, 5 novembre. Hier, dans une maison où j’étais, on
n divorce. Etc… « Le reste comme au Gymnase. » Ainsi parla la dame…
Paris
, 7 novembre. C’est fini. On l’a fermée hier : cel
ion de 1790, et soyons les gardiens vigilants de nos propres cœurs.
Paris
, 10 novembre. Je me suis trouvé par hasard à ce d
cieusement fortifiée par M. Madier de Montjau ?… Mais je suis loin de
Paris
et n’aurai les nouvelles que demain. Laissez-moi
géniosité ?… De là la grâce mélancolique répandue sur ce petit livre.
Paris
, le 15 novembre. Je viens de lire avec le plus vi
d’un prêtre ultramontain à deux biographes de l’ancien archevêque de
Paris
: l’abbé Guillermin et le cardinal Foulon. Je ne
tre l’Église, à l’archevêché, aux Tuileries, au Sénat, à Rome comme à
Paris
». Lors donc que l’abbé X… nous dit que Darboy n’
s douloureuse, que celui de Darboy. Qu’avait-il donc, l’archevêque de
Paris
?… Paris, 21 novembre. Il y a vraiment trop lon
se, que celui de Darboy. Qu’avait-il donc, l’archevêque de Paris ?…
Paris
, 21 novembre. Il y a vraiment trop longtemps, ma
i le branlebas des siphons secoués… Comprenez-vous quelle ivresse !
Paris
, 25 novembre. Un vestibule de château féodal gard
on ne met pas, devant l’âtre seigneurial, un misérable choubersky !
Paris
, 28 novembre. À feu le duc de Saint-Simon. Voule
nt sortis des mêmes magasins de bimbeloterie. C’est du bon article de
Paris
. Il y a une demi-douzaine de crayons, autant de b
ivent quel élégant déclin elle aurait pu avoir si elle avait voulu.
Paris
, 1er décembre. Je suis, je vous assure, un démocr
(et cette façon est claire, sincère et vivante), ses Rois en exil.
Paris
, 27 décembre 1889. Ma chère cousine, J’ai vu réce
ue de Bruzen de la Martiniere, dont la meilleure édition est celle de
Paris
1769. six vol. in-fol. Il y a dans ce livre d’exc
eur françois ou la connoissance de l’ancien & du nouveau monde, à
Paris
chez Vincent 1765. en plusieurs volumes in-12. L’
bien la Perse où il avoit fait six voyages qui ont été publiés in-4°.
Paris
1676. en trois volumes & réimprimés ensuite e
vit à peu-près les mêmes pays que Chardin. Dès sa jeunesse, il quitta
Paris
sa patrie, pour parcourir l’univers. Il ne vit né
t, en Perse, & aux Indes, depuis l’an 1662. jusqu’en 1667. in-4°.
Paris
1665-1674-1684. trois volumes sont très estimés.
gures. Les Mémoires de l’Empire du grand Mogol, par François Bernier,
Paris
1670. 4. vol. in-12. sont d’un voyageur qui réuni
iné par lui-même. Le Journal du voyage de Siam, par l’Abbé de Choisi,
Paris
1687. in-4°. est plus agréablement écrit ; mais i
uctions de la nature & de l’art : ouvrage traduit de l’Anglois, à
Paris
1763. quatre vol. in-12. “La multiplicité des liv
Diego Torres par M. le Duc d’Angoulême. Cette description est in-4°.
Paris
1667. trois vol. Quoique cet ouvrage soit fort hi
les de cette province, traduit de l’Arabe, par Pierre Vattier, in-12.
Paris
1666. Cet ouvrage est le meilleur & le plus j
fait en Egypte en 1672. & 1673. par le Sr. Michel Vansleb, in-12.
Paris
1677. Cette rélation, différente de celle qui pré
. Pidou de St. Aulon, Ambassadeur du Roi à Maroc, avec figures in-12.
Paris
1694. Cette rélation est courte, mais sage, judic
zielli, décrits par Jean Armand, dit Mustapha, Turc de nation, in-8°.
Paris
1633. Le Voyage de Lybie au Royaume de Sénégal, l
al, le long du Niger, par Claude Jannequin Sieur de Rochefort, in-8°.
Paris
1643. La Rélation & voyage des côtes d’Afriqu
des mœurs des habitans, par Nic. Villault, sieur de Bellefond, in-12.
Paris
1669. Le Voyage du Sieur le Maire, Chirurgien aux
en aux Isles Canaries, Cap verd, Sénégal & Gambie en 1682. in-12.
Paris
1695. La Rélation du premier voyage de la Compagn
gascar ou Dauphines, en 1665. par Urbain Sauchu de Renne-fort, in-12.
Paris
1668. §. V. Voyages en amérique. ON peu
parées aux mœurs des premiers tems, par le P. Lafitau, Jésuite, 1723.
Paris
2. vol. in-4°. est un livre intéressant. L’auteur
Gui Patin un avocat. Il le mit au collège à Beauvais, puis l’amena à
Paris
au collège de Boncourt, où le jeune homme fit sa
Enfin il triompha des difficultés, fut reçu docteur de la faculté de
Paris
en l’an 1624, et se maria cinq ans après à une fe
s depuis quelques années à rechercher les antiquités de la faculté de
Paris
, à faire collection de toutes les thèses qu’on y
l’aider à combler cette lacune. M. Belin suivait son cours d’études à
Paris
en 1593 et 1594, années de la Ligue finissante :
z beaucoup à contenter la curiosité de l’esprit d’un jeune médecin de
Paris
, qui, en récompense, vous servira en toute occasi
opiats, tablettes cordiales, etc. Quelques médecins de la faculté de
Paris
eurent l’idée de rompre cette routine et d’affran
plusieurs de ses confrères comme ayant introduit dans les familles de
Paris
« une médecine facile et familière, qui les a dél
province, à Loudun18, il conçut de bonne heure le projet d’établir à
Paris
un centre d’information et de publicité. Montaign
es ; Je cherche des perles à vendre ; Tel veut compagnie pour aller à
Paris
; Tel s’enquiert d’un serviteur de telle qualité
Mais il était médecin de la faculté de Montpellier et non de celle de
Paris
, et il voulait pratiquer à Paris sans l’autorisat
té de Montpellier et non de celle de Paris, et il voulait pratiquer à
Paris
sans l’autorisation de la Faculté, de l’École, co
s. On ne saurait donc s’étonner de la susceptibilité de la faculté de
Paris
et de sa protestation en forme contre la prétenti
audot, d’exercer et de diriger tout un système de médecine gratuite à
Paris
. La querelle éclata vers l’année 1641. Il y eut u
autre factum sous le titre : La Défense de la faculté de médecine de
Paris
contre son calomniateur, dédiée à l’Éminentissime
ent, qui n’est pas purement et simplement protéger ceux de l’école de
Paris
en l’action intentée contre ma charité envers les
des médecins, s’étant présentés au baccalauréat devant la faculté de
Paris
, il leur fallut déclarer par acte de notaire et p
rs comme lui et de la faculté de Montpellier. Cependant la faculté de
Paris
ne voulut pas être en reste, et, dans une affiche
rétendait que c’était là une imitation et une émulation de l’école de
Paris
qui s’était piquée d’honneur sur son exemple, et
irement des mémoires pour y employer. » Quand le roi était éloigné de
Paris
, il envoyait des courriers d’un bout du royaume à
ce qu’il devait insérer ; et plus d’une fois, lorsque le courrier de
Paris
qui était porteur de la Gazette éprouvait quelque
une synagogue de médecins », et concluent que chacun des médecins de
Paris
a le droit de prendre la verge à la main pour cha
re doyen a aussi harangué en latin, en présence du plus beau monde de
Paris
. Enfin M. l’avocat général Talon donna ses conclu
Gazetier ni ses adhérents n’avaient nul droit de faire la médecine à
Paris
, de quelque université qu’ils fussent docteurs, s
rs ruses. » C’est ce que disait l’avocat de la faculté de médecine de
Paris
dans une plaidoirie contre Renaudot. Cette allusi
consulter : Livet, la Grammaire et les Grammairiens au xvie siècle,
Paris
. 1859. A.-F. Didot, Observ. sur l’orthographe fra
iècle, Paris. 1859. A.-F. Didot, Observ. sur l’orthographe française.
Paris
. 1858. Thurot, Histoire de la prononciation, 2 vo
de pamphlets calvinistes. Œuvres complètes, p. p. L. Feugère, in-16,
Paris
, 1846 ; par P. Bonnefon, Paris, 1892. 188. Bio
es complètes, p. p. L. Feugère, in-16, Paris, 1846 ; par P. Bonnefon,
Paris
, 1892. 188. Biographie. Amyot, né à Melun en 1
e fidélité au roi. Il mourut en 1593. Éditions : Histoire êthiopique,
Paris
, 1547. Daphnis et Chloé, Paris, 1559 (sans nom de
1593. Éditions : Histoire êthiopique, Paris, 1547. Daphnis et Chloé,
Paris
, 1559 (sans nom de traducteur). Sept livres des h
ns nom de traducteur). Sept livres des histoires de Diodore Sicilien,
Paris
, 1554. Vies de Plutarque, 2 vol. in-fol., Paris,
de Diodore Sicilien, Paris, 1554. Vies de Plutarque, 2 vol. in-fol.,
Paris
, Vascosan, 1559 (1560) ; 3e édit., 8 vol. in-8,15
cosan, 1559 (1560) ; 3e édit., 8 vol. in-8,1567 ; (édit, définitive),
Paris
, Morel, 1619. Œuvres morales de Plutarque, in-fol
éfinitive), Paris, Morel, 1619. Œuvres morales de Plutarque, in-fol.,
Paris
, Vascosan, 1572 ; Paris, Morel, 1618 (édit. défin
, 1619. Œuvres morales de Plutarque, in-fol., Paris, Vascosan, 1572 ;
Paris
, Morel, 1618 (édit. définitive). Réimpressions du
25 vol. in-8, Didot. À consulter : A. de Blignières, Essai sur Amyot,
Paris
, 1851. 189. Coriolan ; Jules César ; Antoine e
e. Comme la plupart des esprits troublés de notre temps, ils ont pris
Paris
pour la France, et, au lieu de nous donner l’hist
gloire que les quelques pieds de l’Œil de-Bœuf ou les barrières de ce
Paris
devenu à son tour un Versailles, le Versailles de
ait sauver ! Ils ont cru, avec une véritable badauderie parisienne (à
Paris
, on a trouvé le moyen d’être à la fois très badau
té, la société française n’était pas claquemurée à quelques salons de
Paris
! Louis XIV, qui n’aimait pas la province, on sai
ns ses châteaux et dans ses grandes villes un exemplaire plus pur que
Paris
lui-même de ce qu’on appelait la société français
de populariser cette idée, dont tant d’esprits sont férus encore, que
Paris
, au point de vue politique aussi bien qu’au point
l’œuvre commencée par Louis XIV contre cette société qui n’est ni de
Paris
, ni de Versailles, et qui existait bien avant que
Versailles, et qui existait bien avant que Versailles fût bâti et que
Paris
lui succédât dans l’ardente et injuste préoccupat
inctement que jamais toutes les conséquences du système qui voit dans
Paris
le type de la France, lorsque l’histoire tout ent
éclairer la portée, le but, la marche elles contours. Oui ! analyser
Paris
, analyser la province, montrer ce que l’un et l’a
urait d’abord examiné ce qu’il y a de semblable et de différent entre
Paris
, ce caravansérail du monde et de la province, ce
province, ce home de la France, — comme diraient les Anglais, — entre
Paris
, le vaste déversoir de toutes les vagues sociales
e, cette multitude de baies où le flot se circonscrit et séjourne ; —
Paris
, patrie anonyme de tous les hommes qui ont brisé
e qui en garde plus austèrement l’honneur et les traditions ; — entre
Paris
enfin, spirituel, mobile, éloquent, au cœur un pe
llège de Sarlande, où il invente des histoires pour les « petits », à
Paris
même, où, fraîchement débarqué, de ses yeux de my
la réalité même. II Le poète des Amoureuses, jeté en arrivant à
Paris
dans un milieu de bohèmes pittoresques, bientôt a
ses plus longs séjours : Nîmes et la Provence, l’Algérie et la Corse,
Paris
enfin, Paris bohème, Paris populaire, Paris monda
s séjours : Nîmes et la Provence, l’Algérie et la Corse, Paris enfin,
Paris
bohème, Paris populaire, Paris mondain, Paris int
mes et la Provence, l’Algérie et la Corse, Paris enfin, Paris bohème,
Paris
populaire, Paris mondain, Paris interlope, Paris
e, l’Algérie et la Corse, Paris enfin, Paris bohème, Paris populaire,
Paris
mondain, Paris interlope, Paris pendant le siège.
la Corse, Paris enfin, Paris bohème, Paris populaire, Paris mondain,
Paris
interlope, Paris pendant le siège. Et sous ces di
enfin, Paris bohème, Paris populaire, Paris mondain, Paris interlope,
Paris
pendant le siège. Et sous ces différents chefs se
poser. La Provence remplit presque toutes les Lettres de mon moulin ;
Paris
sous ses différents aspects est le sujet de presq
ent Tartarin. A mesure que M. Alphonse Daudet avance dans son oeuvre,
Paris
, c’est-à-dire la modernité, l’attire davantage :
re, Paris, c’est-à-dire la modernité, l’attire davantage : d’abord le
Paris
tragique, touchant ou grotesque du siège ; puis l
: d’abord le Paris tragique, touchant ou grotesque du siège ; puis le
Paris
de tous les jours et tous les étages de Paris, du
sque du siège ; puis le Paris de tous les jours et tous les étages de
Paris
, du haut en bas (Voyez Mœurs parisiennes et les F
bout de conversation par l’intermédiaire d’un brave homme de garde de
Paris
: « Dites-y bien que j’ai jamais aimé que lui, qu
vence, de la Corse, de l’Algérie et des mondes divers dont se compose
Paris
, M. Alphonse Daudet fait de très spirituels mélan
. C’est ce pauvre aga Si-Sliman, décoré par erreur le 15 août, venu à
Paris
pour réclamer sa décoration, renvoyé de bureau en
Une situation singulière, une façon originale d’assister au siège de
Paris
, c’est assurément celle du peintre Robert Helmont
appelez-vous ? « Une lettre, père Azan Oui, monsieur… ; ça vient de
Paris
. Il était tout fier que ça vînt de Paris, ce brav
Oui, monsieur… ; ça vient de Paris. Il était tout fier que ça vînt de
Paris
, ce brave père Azan. » Puis c’est la place d’Eygu
ite en Egypte ; la Décollation de St Jean Baptiste, et le Jugement de
Paris
. Je ne sais ce que cet homme devient. Il est rich
s’entend un peu en peinture, que fera-t-il de ce mauvais Jugement de
Paris
[?] Qu’est-ce que ce Paris ? est-ce un pâtre ? es
e, que fera-t-il de ce mauvais Jugement de Paris [?] Qu’est-ce que ce
Paris
? est-ce un pâtre ? est-ce un galant ? Donne-t-il
galant ? Donne-t-il, refuse-t-il la pomme ? Le moment est mal choisi.
Paris
a jugé. Déjà une des déesses perdues dans les nue
r. Venus est à son triomphe, et oublie ce qui se passe à côté d’elle.
Paris
n’y pense pas davantage. C’est, mon ami, comme je
Venus, et m’inspire la corruption du juge ; tout, excepté le chien de
Paris
, que je ferais dormir à ses pieds. Que Paris me p
out, excepté le chien de Paris, que je ferais dormir à ses pieds. Que
Paris
me paraisse un pâtre important. Qu’il soit jeune,
ore le lieu de la scène ; que les trois déesses soient en présence de
Paris
; que Venus semble de préférence arrêter ses rega
C’est la pauvreté d’idées qui fait employer ces faux accessoires. Que
Paris
tienne la pomme, mais qu’il ne l’offre pas. Qu’il
e du local ; mais qui est-ce qui imaginera le caractère et la tête de
Paris
? qui est-ce qui donnera aux déesses leurs vraies
cution des résolutions prises depuis assez longtemps, l’université de
Paris
donnait cent écus à Grégoire Tifernas en 1457 pou
ns, renoncent à rien tirer de leurs professeurs. En 1500 paraissent à
Paris
les Adages d’Érasme ; c’est toute la lumière de l
ssard édite chez Gourmont le premier livre grec qui ait été imprimé à
Paris
, cet informe et touchant liber gnomagyricus, ou é
Enfer. Mais, à la fin du Miroir de l’âme pécheresse dans l’édition de
Paris
de 1533, sous les auspices donc de la reine de Na
orme se ressent du voisinage de Jean Crétin et de Jean Lemaire. 162.
Paris
, 1513. Œuvres de Jean Lemaire de Belges, édit. J.
1847, pet. in-fol. 165. À consulter : Egger, l’Hellénisme en France,
Paris
, 2 vol. in-8, 1869 ; Thurol, De l’organisation de
69 ; Thurol, De l’organisation de l’enseignement dans l’Université de
Paris
, Paris, in-8, 1850 ; G. Feugère, Erasme, Paris, 1
urol, De l’organisation de l’enseignement dans l’Université de Paris,
Paris
, in-8, 1850 ; G. Feugère, Erasme, Paris, 1874, in
t dans l’Université de Paris, Paris, in-8, 1850 ; G. Feugère, Erasme,
Paris
, 1874, in-8 ; Rebitté, G. Budé, Paris, 1846, in-8
n-8, 1850 ; G. Feugère, Erasme, Paris, 1874, in-8 ; Rebitté, G. Budé,
Paris
, 1846, in-8 ; A. Lefranc, Histoire du Collège de
Budé, Paris, 1846, in-8 ; A. Lefranc, Histoire du Collège de France,
Paris
, 1892, in-8 ; S. Berger, Quant notitiam haberunt
Le Fèvre à Blois, puis le reçoit en 1531 à Nérac. Elle fait prêcher à
Paris
, puis en Béarn, Gérard Roussel, qu’elle fait évêq
de Strasbourg, Sigismond de Hohenlohe, et tâche d’amener Mélanchlon à
Paris
pour conférer avec les théologiens. On brûle en 1
cheresse, Alençon, Simon du Bois, in-4, gothique, 1531, ibid., 1533 ;
Paris
. 1533 ; les Marguerites de la Marguerite des prin
ses, Lyon, Jean de Tournes, 1547 ; l’Heptaméron, éd. de P. Boaistuan,
Paris
, 1558 (incomplète), de Cl. Gruget, Paris, 1559. —
améron, éd. de P. Boaistuan, Paris, 1558 (incomplète), de Cl. Gruget,
Paris
, 1559. — Les Marguerites, etc., éd. F. Franck, Pa
, de Cl. Gruget, Paris, 1559. — Les Marguerites, etc., éd. F. Franck,
Paris
, Jouaust, 1873, 4 vol., in-16. L’Heptaméron, éd.
1543). Il meurt à Turin (1544). Éditions : l’Adolescence Clémentine,
Paris
, 1532 ; les Œuvres de Clément Marot. Lyon, Gryphi
res de Clément Marot. Lyon, Gryphius, 1539 ; Trente Psaumes de David,
Paris
, 1541 ; Cinquante Psaumes 1543 ; les Œuvres de Cl
uenot, 1878-79 ; Collelet, Notices biographiques sur les trois Marot,
Paris
, 1871, in-8 ; G. Lanson, Clément Marot, Revue sui
etc., par G. Colletet, publ. pur Gellibert des Séguins et Castaigne,
Paris
, 1863, in-8. 173. Éditions : Galiot du Pré, 1527
-8. 173. Éditions : Galiot du Pré, 1527 ; Soc. de l’Hist. de France,
Paris
, in-8, 1878. 174. Éditions : Les livres I à XII
nce, Paris, in-8, 1878. 174. Éditions : Les livres I à XII d’Amadis,
Paris
, 1540-1556, 12 part. en 4 ou 6 vol., in-fol. Les
sortir du sanglant et glorieux combat du 30 mars, Marmont, rentrant à
Paris
en son hôtel rue Paradis-Poissonnière, vit arrive
vait le sentiment pacifique et civil. Ce passage de quelques heures à
Paris
eut la plus grande influence sur sa manière d’agi
omme qui n’eût voulu rester que dans sa ligne de soldat. Il sortit de
Paris
le 31 mars au matin, ayant reçu un choc électriqu
it part alors. Le 31 mars au matin, il quitte avec toutes ses troupes
Paris
qui a capitulé, et il occupe la position d’Essonn
rniers événements. L’Empereur le loue fort de sa belle défense devant
Paris
et lui ordonne de lui préparer une liste de récom
ait là, arrivèrent les deux officiers que le maréchal avait laissés à
Paris
pour faire la remise des barrières aux Alliés, le
la Seine et d’aller attaquer l’ennemi là où on avait combattu devant
Paris
deux jours auparavant, il fallut que Marmont lui
ronter cette lutte et d’en supporter tout l’effort ? Les nouvelles de
Paris
se succédaient à chaque heure ; les décrets du go
. M. de Montessuy, ancien aide de camp du maréchal, lui fut envoyé de
Paris
cette journée même du 1er avril, avec des lettres
généraux de division, il les assembla, leur fit part des nouvelles de
Paris
, obtint leur adhésion unanime, et il fut résolu q
x et de Ney en particulier, fut : « Mais pourquoi ne venez-vous pas à
Paris
avec nous ? Vous nous y aiderez. » Marmont y cons
ut entendu et convenu à l’instant. Arrivés très tard dans la soirée à
Paris
, Marmont et les autres maréchaux furent reçus par
nd les armes et le salue d’un dernier cri. Un grand émoi régnait dans
Paris
: tout pouvait être grave alors. Aussi, quand, ce
Seine pour mander à l’instant Marmont, dont l’avis fut de tenir bon à
Paris
et de résister. De tels conseils étaient trop for
en ; il fit en sorte que cette lettre imprimée fût répandue dans tout
Paris
au moment même où elle était remise au ministre.
ait couché comme major général de service ; il se disposait à venir à
Paris
pour aller à l’Institut (il était membre libre de
le roi avait emporté en partant pour la chasse. Le maréchal arriva à
Paris
, rue de Surène où il demeurait, et se procura Le
Monsieur le maréchal, j’apprends qu’il y a quelques rassemblements à
Paris
. Vous allez vous y rendre pour y prendre le comma
Polignac, qui vous donnera des instructions. » Le maréchal, arrivé à
Paris
, passa chez le prince de Polignac, à l’hôtel des
t mépris sur le chiffre de l’effectif des troupes qui étaient alors à
Paris
, prenant ce mot d’effectif au pied de la lettre s
tre lieutenants généraux, et tous les quatre se trouvaient absents de
Paris
pour le moment. La plupart des officiers de la Ga
rvint au roi avant neuf heures. Après avoir rendu compte de l’état de
Paris
et des dispositions militaires qu’il prenait, il
ore sa cocarde tricolore le 12 avril 1814 à l’entrée de Monsieur dans
Paris
, il était le dernier maintenant à garder sur la t
e était destiné à être imprimé à la tête du Molière in-4°. édition de
Paris
. On pria un homme très-connu de faire cette vie e
rs ouvrages. C’est ce qui est arrivé dans l’édition de Racine faite à
Paris
en 1728. On tâchera d’éviter cet écueil dans cett
re aux sentiments du public éclairé. Jean-Baptiste Poquelin naquit à
Paris
en 1620 dans une maison qui subsiste encore sous
les fonctions de son emploi auprès du roi. Il suivit Louis XIII dans
Paris
. Sa passion pour la comédie, qui l’avait détermin
ctionnée. Avant l’année 1625, il n’y avait point de comédiens fixes à
Paris
. Quelques farceurs allaient, comme en Italie, de
es pour le nôtre, furent cause qu’une troupe de comédiens s’établit à
Paris
. Bientôt après, la passion du cardinal de Richeli
provinces, et avoir joué à Grenoble, à Lyon, à Rouen, il vint enfin à
Paris
en 1658. Le prince de Conti lui donna accès auprè
s les pièces de cinq. On permit à la troupe de Molière de s’établir à
Paris
; ils s’y fixèrent, et partagèrent le théâtre du
irer des conjectures de leur mouvement naturel. Molière se fit dans
Paris
un très-grand nombre de partisans, et presque aut
lques moments par deux de ces sœurs religieuses qui viennent quêter à
Paris
pendant le carême, et qu’il logeait chez lui. Il
n contre la comédie, déterminèrent Harlay de Chanvalon, archevêque de
Paris
, si connu par ses intrigues galantes, à refuser l
domestique et le pensionnaire, eut la bonté de prier l’archevêque de
Paris
de le faire inhumer dans une église. Le curé de S
Comédie en vers et en cinq actes, jouée d’abord à Lyon, en 1653, et à
Paris
au mois de Décembre 1658, sur le théâtre du Petit
Bourbon. Cette pièce est la première comédie que Molière ait donnée à
Paris
: elle est composée de plusieurs petites intrigue
était le goût du théâtre italien et espagnol, qui s’était introduit à
Paris
. Les comédies n’étaient alors que des tissus d’av
quentés assidûment. Aussi ce ne fut qu’après avoir bien vu la cour et
Paris
, et bien connu les hommes, que Molière les représ
e au théâtre du Petit-Bourbon, en 1658. Le Dépit amoureux fut joué à
Paris
, immédiatement après l’Étourdi. C’est encore une
se, jouée d’abord en province, et représentée pour la première fois à
Paris
sur le théâtre du Petit-Bourbon, au mois de novem
. Cette petite pièce, faite d’abord pour la province, fut applaudie à
Paris
, et jouée quatre mois de suite. La troupe de Moli
LE COCU IMAGINAIRE, Comédie en un acte et en vers, représentée à
Paris
le 28 mai 1660. Le Cocu imaginaire fut joué quar
’été, et pendant que le mariage du roi retenait toute la cour hors de
Paris
. C’est une pièce en un acte, où il entre un peu d
n voit que Molière perfectionna sa manière d’écrire, par son séjour à
Paris
. Le style du Cocu imaginaire l’emporte beaucoup s
’ÉCOLE DES MARIS, Comédie en vers et en trois actes, représentée à
Paris
le 24 Juin 1661. Il y a grande apparence que Moli
trois actes, représentée à Vaux devant le roi, au mois d’Août, et à
Paris
sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 Novembre de
’ÉCOLE DES FEMMES, Comédie en vers et en cinq actes, représentée à
Paris
, sur le théâtre du Palais-Royal, le 26 Décembre
OLE DES FEMMES, Petite pièce en un acte et en prose, représentée à
Paris
, sur le théâtre du Palais-Royal, le 1er Juin 166
un acte et en prose, représentée à Versailles le 14 octobre 1663 et à
Paris
le 4 Novembre de la même année. Molière fit ce p
pour embellir la fête. On a depuis représenté la Princesse d’Élide à
Paris
; mais elle ne put avoir le même succès, dépouill
ement les ouvrages faits pour des fêtes réussissent-ils au théâtre de
Paris
. Ceux à qui la fête est donnée, sont toujours ind
re de Convitato di Pietra. La troupe des comédiens italiens le joua à
Paris
, et on l’appela Le Festin de Pierre. Il eut un gr
ilas. L’AVARE, Comédie en prose et en cinq actes, représentée à
Paris
sur le théâtre du Palais-Royal le 9 septembre 166
en trois actes, représentée à Versailles le 15 de juillet 1668, et à
Paris
le 9 de novembre suivant. On ne connaît, et on ne
de jouer Le Tartuffe. La première représentation en fut donc faite à
Paris
le 5 août 1667. Le lendemain on allait la rejouer
e qu’il fait bien. On imprima contre lui vingt libelles ; un curé de
Paris
s’avilit jusqu’à composer une de ces brochures, d
, faite et jouée à Chambord, au mois d’octobre 1670, et représentée à
Paris
le 23 novembre de la même année. Le Bourgeois ge
ose, représentée devant le roi à Saint-Germain, en février 1672, et à
Paris
sur le théâtre du Palais-Royal, le 8 juillet de l
presque plus personne à ce même Tartuffe qui attirait autrefois tout
Paris
, tandis qu’on court encore avec empressement aux
ni sympathie ni curiosité, tout théâtre royal est perdu. Or, il y a à
Paris
deux théâtres royaux, les seuls sur lesquels on p
er contre la mort. M. Harel, l’un des hommes les plus intelligents de
Paris
, a eu le privilège de l’Odéon avec 170 000 francs
subvention et cent mille livres de rente ; il est situé au centre de
Paris
; il ouvre son péristyle sur une des rues les plu
ûmes un instant trembler, car cet homme existait. En effet, il y a à
Paris
, nous ne dirons pas un comédien de talent, mais u
agne, et le fécond présent du poète arrivé à son sommet. Il y avait à
Paris
un homme auquel l’art contemporain devait beaucou
argir sa table : vers la fin de 1833, je crois, il acheta la Revue de
Paris
des mains de M. Amédée Pichot. Dès lors M. Buloz
et commença d’être ingrat. M. de Balzac avait écrit, pour la Revue de
Paris
, La Grenadière, cette admirable nouvelle, perle d
s’écrie-t-il, notre procès avec M. de Balzac est terminé. La Revue de
Paris
a obtenu ce qu’elle tenait à obtenir : ses avance
vallée, que M. de Balzac ne lui livrera pas. Mais aussi, la Revue de
Paris
avait eu tort de se fier à la parole de M. de Ba
lus blanc que son Lys dans la vallée, qu’il avait vendu à la Revue de
Paris
, plante humble et inodore, oignon mal venu sur l
ix et la Guerre aux Démolisseurs. À peine propriétaire de la Revue de
Paris
, M. Buloz comprit de quelle importance il était d
uarante pages de M. Victor Hugo plaçaient du premier bond la Revue de
Paris
à la hauteur de sa devancière la Revue des Deux M
e Sue fit successivement pour la Revue des Deux Mondes et la Revue de
Paris
, c’est-à-dire pour M. Buloz, les Voyages et avent
t appartient à M. Véron toujours, bien entendu, dans la même Revue de
Paris
. « Celui qui écrit ces lignes est le seul qui pu
Cavalier, d’Arthur, du Morne au Diable, de Mathilde, des Mystères de
Paris
, mais encore de Latréaumont, drame en cinq actes
re-Français. Écoutez ! « Après le fantastique succès des Mystères de
Paris
, cet interminable roman, si vite élevé au rang de
ie, cher frère, entre Victor Hugo et George Sand, entre Notre-Dame de
Paris
et Consuelo, magnifiques édifices dont une seule
me c’était alors l’intérêt de M. Buloz que cette idée se propageât de
Paris
à la province, de la province à l’étranger, les d
loz pendant qu’il édite les œuvres complètes de Mme Sand. « Revue de
Paris
de 1837. « George Sand, ce talent ni vigoureux,
de M. Buloz quand il n’édite plus les œuvres de Mme Sand. « Revue de
Paris
de 1844. « Je ne connais rien de plus fatigant et
ndes ses Impressions de Voyages, et où il allait donner à la Revue de
Paris
son John Davys, ses Mémoires d’un Maître d’Armes,
comme M. Buloz n’était pas le seul éditeur et le seul publicateur de
Paris
, d’autres journalistes et d’autres libraires, éta
son côté M. Buloz me fit demander ces quatre volumes pour la Revue de
Paris
. J’en demande bien humblement pardon à Desnoyers
renvoyé, refusé à l’unanimité par le comité de lecture de la Revue de
Paris
. C’étaient deux mille francs dont M. Buloz me fai
un roman quelconque. Seulement, la chose était pressée ; la Revue de
Paris
devait entrer incessamment en retraite, la pauvre
esse ; Fernande vendue 1 500 fr. de plus à la Presse qu’à la Revue de
Paris
, et pour laquelle enfin je remboursai de ma poche
e reposant sur ma bonne action, quand j’appris que la pauvre Revue de
Paris
avait revêtu le cilice politique. Je la vis passe
le temps de repasser le pont des Arts. Si le pointeur de la Revue de
Paris
y avait vu plus clair, j’étais tué, ma foi. Le co
erons. M. Buloz déverse sa responsabilité de directeur de la Revue de
Paris
sur M. Bonnaire. Lisez ceci : « Mon bon ami, si
si vous m’eussiez consulté plus tôt sûr les habitudes de la Revue de
Paris
, je vous eusse appris, par un exemple personnel,
’on vous attribuait, M. Buloz, qui reçoit les épreuves de la Revue de
Paris
, racontait à l’auteur de ce compte rendu, et cet
s que 150 fr. à la Revue. « Hélas ! cette impartialité de la Revue de
Paris
, je l’ai trop bien éprouvée pour en douter ici. P
infortunes que vous avez mentionnées. Je lus un jour dans la Revue de
Paris
qu’on signalait au public mon style déshonoré pa
ée et par l’incorrection grammaticale , ce même style que la Revue de
Paris
avait bénévolement offert au même public dix mois
ant les comptes rendus, des premières représentations, de la Revue de
Paris
et de la Revue des Deux Mondes. Malheureusement l
mprends bien, l’oubli peut se réparer. Qu’as-tu fait pour la Revue de
Paris
? — Message, Un Mot, la première partie des Mémoi
de toi et d’Eugène Sue M. Buloz en 1836 et de moi, ouvre la Revue de
Paris
du mois de juin, et tu trouveras quelque chose de
veras quelque chose de curieux comparé à un feuilleton de la Revue de
Paris
du même mois de juin 1844. Adieu. » Et sur ce, So
ttéraire, et je pris en courant les deux notes suivantes : Revue de
Paris
, juin 1836. « Quant à la façon leste et pédante a
e de ces hommes qui ne sont que des écrivains français. » Revue de
Paris
, juin 1844. « Vous, capitalistes de l’imagination
M. Buloz peut autre chose contre lui que de traiter, dans la Revue de
Paris
, sa comédie nouvelle comme il traite celle de ses
Racine. Maintenant, il croit que c’est de Voltaire. —— « La Revue de
Paris
nous garde, dit-on, notre paquet : elle se propos
ur droit, et M. Buloz, qui en sa qualité de correcteur de la Revue de
Paris
et de la Revue des Deux-Mondes, connaît sans dout
ous allons faire ensemble ce petit calcul. M. Buloz, dans la Revue de
Paris
, annonce, sans pouvoir y croire cependant, que je
en, sur la scène où M. Buloz craint, comme il le dit dans la Revue de
Paris
, de voir déborder le trop plein de ma fabrication
us les peuples se désaltèrent à ce grand fleuve qui prend sa source à
Paris
, dont chaque flot est une pensée, et qui se répan
monuments publics, et deux cents millions pour les fortifications de
Paris
; demandez donc de temps en temps un demi-million
ont dans ce théâtre, ce journal qui se lit à haute voix chaque soir à
Paris
devant quarante mille spectateurs ; en France, de
mes qui saisissent et attirent le mieux la foule, en province comme à
Paris
. Nous n’avons pas besoin de rappeler quel mouveme
it par moi sur les notes de M. Dauzats, a été publié dans la Revue de
Paris
. 6. Les volumes du Juif Errant ont été payés 20
inement à Rouen sa Henriade, dont les exemplaires entraient la nuit à
Paris
dans les fourgons de la marquise de Bernière, Vol
e riche pour ne dépendre que de soi. Utilisant ses relations avec les
frères Paris
, qui l’intéressèrent dans certaines entreprises,
terre. En 1731, des exemplaires français des Lettres pénétraient dans
Paris
: le libraire était mis à la Bastille, et Voltair
âtelet. 2. Voltaire à Cirey et à la Cour A Cirey, assez près de
Paris
pour participer à la vie du siècle, de la frontiè
et autres folliculaires. Après dix ans d’absence, Voltaire reparaît à
Paris
; et soudain une méchante comédie faite pour le m
Lunéville qu’il perdit Mme du Châtelet (septembre 1749). Il revient à
Paris
, s’y installe une maison, que Mme Denis, une de s
pinion. Mais, dès ses premières attaques514, il sent que le séjour de
Paris
lui est impossible. Il accepte alors les offres d
ces, jusqu’au jour où Voltaire, sentant qu’il ne pouvait plus vivre à
Paris
, se décida à essayer de l’hospitalité du roi de P
t l’Alsace. Il passa quelques mois cruels, fuyant la Prusse, exclu de
Paris
, osant à peine se risquer en France. Il erra en A
e financés, de commerce : il se passionne pour les Embellissements de
Paris
517. Entre 1740 et 1750 se dessine nettement l’id
l suffira de citer ici les trois grandes éditions modernes : Beuchot,
Paris
, 1828 et suiv., 70 vol. in-8 ; table, 1840, 2 vol
ris, 1828 et suiv., 70 vol. in-8 ; table, 1840, 2 vol. in-8 ; Avenel,
Paris
, 1867 et suiv., 8 vol. in-4 ; Moland, Paris, Garn
40, 2 vol. in-8 ; Avenel, Paris, 1867 et suiv., 8 vol. in-4 ; Moland,
Paris
, Garnier, 1877-1883, 50 vol. in-8 ; table, 2 vol.
ites de Voltaire à Louis Racine, publiées par Ph. Tamisey de Laroque,
Paris
, p. in-4, 1893. — A consulter : Bengesco, Voltair
893. — A consulter : Bengesco, Voltaire, Bibliographie de ses œuvres,
Paris
, Perrin, 4 vol. in-8, 1882-1890. Condorcet, 17e d
uprès de Voltaire, in-8, 1807. Léouzon-le-Duc, Voltaire et la police,
Paris
, 1867. H. Beaune, Voltaire au collège, 1867. A. P
Desnoiresterres, Voltaire et la société française au xviiie siècle,
Paris
. 8 vol. in-8, 1867-1876. G. Maugras, Voltaire et
vol. in-8, 1867-1876. G. Maugras, Voltaire et Jean-Jacques Rousseau,
Paris
, in-S, 1886. Perey et Maugras, Voltaire aux Délic
in-S, 1886. Perey et Maugras, Voltaire aux Délices et à Ferney, in-8,
Paris
. E. Asse, Lettres de Mme de Graffigny, etc., sur
Lettres de Mme de Graffigny, etc., sur leur séjour près de Voltaire,
Paris
, in-18, 1879. E. Bersot, Études sur le xviiie si
. de la litt. fr. au xviiie s., D.-F. Strauss, Voltaire, tr. Littré,
Paris
, in-8, 1876. J. Morley, Voltaire, Londres, 1871,
C. Rabaud, Sirven, Étude historique sur l’avènement de la tolérance,
Paris
, 1892. E. Champion, Voltaire, in-18, 1892. E. Cam
Voltaire, in-18, 1892. E. Campardon, Documents inédits sur Voltaire,
Paris
, in-4, 1893. 509. Né à Paris, le 21 novembre 169
pardon, Documents inédits sur Voltaire, Paris, in-4, 1893. 509. Né à
Paris
, le 21 novembre 1694. 510. Mai 1716. 511. Il fu
ement parler, du moins de l’intimité et au service de l’archevêque de
Paris
, M. de Harlay de Champvallon, le beau, l’habile e
toutes les formes, abbé, docteur, archevêque de Rouen, archevêque de
Paris
, à tous les degrés de sa vie ou de ses dignités.
t faire son chemin par son talent, et il le fera : « Quand je vins à
Paris
, dit-il, j’avais beaucoup de pièces faites, néanm
stère, ses raisons d’agir et ses mobiles. L’abbé Legendre vint donc à
Paris
, très bien muni et avec des aptitudes heureuses ;
z parler, dit-il, des différents prédicateurs qu’on suivait le plus à
Paris
dans le temps que je commençai à tenir ma place p
t commencé par être archevêque de Rouen ; il succéda dans le siège de
Paris
à M. de Péréfixe en 1671. Paris n’avait un archev
e Rouen ; il succéda dans le siège de Paris à M. de Péréfixe en 1671.
Paris
n’avait un archevêque que depuis environ cinquant
’on lui en faisait voir les cahiers quand il était déjà archevêque de
Paris
. Sa thèse de philosophie avait eu de la célébrité
n jour, peu d’années avant sa mort, on lui annonce, à l’archevêché de
Paris
, qu’un vieux prêtre tout brisé par l’âge est à la
il demande à le voir, et se dit un de ses anciens amis, venu exprès à
Paris
pour lui faire un dernier adieu : c’était le curé
ensuite le temps perdu. Il reconquit la reine un jour qu’il prêcha à
Paris
en sa présence. Il venait de se signaler par tout
a guerre civile de telle sorte et si délicatement que le Parlement de
Paris
présent, et si fort intéressé dans ces souvenirs,
lait trouver son plus beau cadre et le plus apparent. L’archevêché de
Paris
devint vacant par la mort de M. de Péréfixe. Les
isait visiblement au monarque, qui, dès qu’il l’eut placé au siège de
Paris
, lui accorda, le vendredi de chaque semaine, une
la maturité de l’ambition, Harlay ne vit d’abord dans l’archevêché de
Paris
qu’un degré à une fortune plus éminente encore :
dants divers, a dit admirablement de lui45 : « Harlay, archevêque de
Paris
, né avec tous les talents du corps et de l’esprit
Harlay avait été sage, il se serait résigné à n’être qu’archevêque de
Paris
, et, sous ce titre, l’arbitre écouté et influent
tus, aussi modestes que manifestes, dans les derniers archevêques que
Paris
a possédés, seraient la plus grande des accusatio
e siècle avant Bossuet ; thèse présentée à la Faculté des Lettres de
Paris
par P. Jacquinet, ancien élève de l’École normale
vent en lui. 40. Éloge de Messire François de Harlay, archevêque de
Paris
, 1695. 41. Nouvel Éloge de Messire François de
uvait l’être, elle n’avait pas également la voix de la bourgeoisie de
Paris
et du peuple. Il lui est arrivé après plus d’un s
rs 1591, dans ces années où il guerroyait aux environs de Rouen et de
Paris
. Il s’était fait à Mantes comme une petite capita
débordements comme aux prouesses. Tant que Henri IV avait été hors de
Paris
, faisant la guerre pour reconquérir son royaume,
lieux où était sa maîtresse. Mais lorsque Henri eut fait son entrée à
Paris
et fut devenu le roi de tous, les détails de sa c
e, le mardi 13 septembre 1594, le roi vint se promener à la dérobée à
Paris
et s’en retourna le lendemain seul, avec Mme de L
t Groulard, mandé par le roi, le vint trouver à Saint-Germain, puis à
Paris
et à Montceaux, qui était la résidence favorite d
onsidérée sous un tout autre aspect par le peuple et les habitants de
Paris
. Les premières années qui suivirent l’entrée de H
de s’acharner au cœur du royaume, dans les provinces même voisines de
Paris
. Dès la fin de la première année (1594), la tenta
594), écrivait L’Estoile, on me fit voir un mouchoir qu’un brodeur de
Paris
venait d’achever pour Mme de Liancourt, laquelle
Le vendredi 17 mars (1595), dit L’Estoile, il fit un grand tonnerre à
Paris
avec éclairs et tempête, pendant laquelle le roi
, pendant laquelle le roi était à la campagne, qui chassait autour de
Paris
avec sa Gabrielle, nouvellement marquise de Montc
e était à cheval, montée en homme, tout habillée de vert, et rentra à
Paris
avec lui en cet équipage. Or, dans l’inventaire
lgré tout, malgré le soin qu’elle mettait à se concilier le peuple de
Paris
, elle avait peine à réussir ; et lorsqu’on apprit
e de diligence et de courage. Il est à remarquer que Gabrielle quitta
Paris
une heure avant lui en litière, ne s’y sentant pa
res et de l’avoir endormi dans les plaisirs. Il y avait contre elle à
Paris
, après cette prise d’Amiens, quelque chose de ce
de haute taille, de dix-sept à vingt-cinq ans, eussent à les amener à
Paris
, afin que sur icelles le roi élût pour femme cell
n amour. C’est sans doute ce que voulait dire Sully lorsque, quittant
Paris
pour passer à Rosny la Semaine sainte de 1599, il
leau, pour venir elle-même faire ses dévotions de la Semaine sainte à
Paris
. Elle y descendit dans la maison du financier ita
qui sont imprimées tant bien que mal dans les Voyages aux environs de
Paris
, par Delort (t. II, p. 46 et 260) ; elles sont ad
prennent moins de choses essentielles que le portail de Notre-Dame de
Paris
. Le travail enragé de presque tous les érudits su
t l’exquis Silvestre en se promenant sous les ombrages du Luxembourg.
M. Gaston Paris
est un des exemplaires accomplis de l’érudit lett
e ; et l’on ne sait ce qui est le plus intéressant dans ce volume, de
M. Paris
étudiant le moyen âge, ou du moyen âge étudié par
volume, de M. Paris étudiant le moyen âge, ou du moyen âge étudié par
M. Paris
. Je dirai donc un mot sur l’écrivain, puis un mot
ai donc un mot sur l’écrivain, puis un mot sur l’objet de ses études.
M. Gaston Paris
a d’abord, au plus haut degré, l’esprit scientifi
ec quelque chose de l’antique prestige des prêtres. Un des charmes de
M. Gaston Paris
, c’est que ce culte absolu du vrai s’allie chez l
entifique que je citais tout à l’heure a été donnée en plein siège de
Paris
; et, ce qu’il y a de touchant, c’est l’embarras
lorieuse d’un Mommsen ou d’un Renan. Et que dirons-nous des études où
M. Gaston Paris
n’expose que des idées générales, de celle qu’il
exposition n’est pourtant pas possible ; qu’un érudit de l’espèce de
M. Paris
absout des milliers d’érudits et justifie leur ex
on, de sa science, de sa vie entière. Vous y verrez que non seulement
M. Paris
comprend le moyen âge, mais qu’il le sent, qu’il
ifique, par la magie des mots. Cela est d’autant plus remarquable que
M. Gaston Paris
, uniquement préoccupé d’être clair, n’a point, en
place, sont d’un très grand effet. III Ce livre nous fait aimer
M. Gaston Paris
: il nous fait aimer aussi le moyen âge. M. Paris
s fait aimer M. Gaston Paris : il nous fait aimer aussi le moyen âge.
M. Paris
insiste sur ce point, qu’en dépit de la violente
les Montmorency ; et cela nous console amplement, et nous remercions
M. Gaston Paris
de s’être fait le généalogiste de nos intelligenc
Iliade et le Mystère de la Passion au-dessus des tragédies de Racine.
M. Paris
est un érudit si peu emporté qu’il se refuse à tr
seulement de quoi s’instruire, mais de quoi songer, dans le livre de
M. Gaston Paris
. J’y ai même trouvé de quoi divaguer agréablement
lement pour moi. 58. La poésie au moyen âge, leçon et lecture par
M. Gaston Paris
, de l’Institut, 1 vol. Hachette 59. La Bruyère :
e Devonshire, madame Récamier y avait retrouvé en partie son salon de
Paris
dans les ruines de la ville neutre entre ciel et
politique française de la Restauration eût été dans de telles mains à
Paris
, Charles X aurait évité les écueils et neutralisé
Nord. IV Cependant M. de Chateaubriand était tombé du pouvoir à
Paris
dans des accès de colère qui ébranlaient la monar
r l’ambassade de Rome, magnifique consolation de son ambition déçue à
Paris
. Il eut de la peine à s’y résigner, mais la majes
. de Chateaubriand s’acheminait vers Rome, madame Récamier revenait à
Paris
. Elle n’approuvait pas les fureurs d’Achille du m
st un des ressorts dont je me sers pour faire jouer mes personnages à
Paris
; et, tandis que cette femme vertueuse l’attendai
endait dans sa cellule de l’Abbaye-aux-Bois, il ramenait de Londres à
Paris
une autre négociatrice, et il voulait même la con
ans doute encore la cause involontaire du retour de madame Récamier à
Paris
au moment où son ami allait bientôt quitter la Fr
e plume à chaque auberge pour écrire un de ces retours de tendresse à
Paris
. VIII Je le rencontrai par hasard un soir à
par leur épanchement, vouloir regagner le temps perdu à Londres et à
Paris
. Ce sont peut-être les seules lettres vraiment pa
en m’éloignant ; il en sera ainsi jusqu’au jour où je serai revenu à
Paris
, ou jusqu’au moment où vous arriverez à Rome. »
-il quelques lettres plus loin. Venez vite ! Il n’y a plus que vous à
Paris
qui vous souveniez de moi. Mes dispositions d’âme
us les courriers sont toute ma vie. Tâchez donc de me faire revenir à
Paris
. » On voit par la vicissitude de ses désirs qu’il
s, mais des noms pris dans les dictionnaires d’adresses de Rome ou de
Paris
. Deux de mes amis et moi nous fûmes recherchés pa
ger errant sous les pins de la campagne de Rome un de ses danseurs de
Paris
. Je m’éloignai lentement en regardant avec regret
réminiscences à son amie de l’Abbaye-aux-Bois. « Faites représenter à
Paris
mon Moïse ; ce sera ma dernière ambition et ma de
onne de plus va bien, et on se range du côté du succès. On m’écrit de
Paris
mille bruits (sur ma destinée politique). Je ne v
r, où il s’était construit son nid, comme un naufragé sur la plage de
Paris
, cet océan du monde.) XIV Une allusion tran
ome quelques heures après moi et arrivera quelques heures avant moi à
Paris
. Elle va clore cette correspondance qui n’a pas m
enant, est-ce moi qui vous emmènerai à Rome ou vous qui me garderez à
Paris
? Nous verrons cela. Aujourd’hui je ne puis vous
’il y a de vraie sensibilité dans cette date ! XVII Il arriva à
Paris
le 27 mai 1829. « Son arrivée a ranimé ma vie »,
aire ; Dugas-Montbel, etc. J’aurais aussitôt fait de vous nommer tout
Paris
littéraire, etc. » XVIII Cependant M. de Ch
III Cependant M. de Chateaubriand avait quitté, après ce triomphe,
Paris
pour les Pyrénées. Le ministère du prince de Poli
apparence fut sa perte. XX M. de Chateaubriand était absent de
Paris
avec madame Récamier ; il y revint pendant la bat
duchesse de Luynes ; jusqu’à la Restauration, où elle était rentrée à
Paris
, comme victime couronnée de fleurs, non pour être
rnels ; l’ennui qui l’avait expatrié le ramenait six semaines après à
Paris
. C’est pendant une de ces tentatives d’émigration
qu’il écrivait à Ballanche les lettres suivantes. Ballanche restait à
Paris
auprès de l’amie commune. « Genève, 12 juillet 1
amie ; mais dites-lui, de ma part, que je compte aller la rejoindre à
Paris
du 15 au 20 de ce mois, pour m’entendre avec elle
aux bougies chez madame Récamier. L’ambassadeur, à peine de retour à
Paris
, révélait dans ces chapitres des nullités ou des
Venise ; que n’y êtes-vous ? Le soleil, que je n’avais pas vu depuis
Paris
, vient de paraître ; je suis logé à l’entrée du G
poétique d’Émile Deschamps, ce Saint-Évremond charmant des salons de
Paris
, en briguant pour lui le fauteuil de La Fare, de
endant une absence : « Vous êtes partie ; je ne sais plus que faire ;
Paris
est désert moins sa beauté. Où vous manquez tout
e que pour vous » (les heures de l’Abbaye-aux-Bois dans la journée de
Paris
). « J’en suis toujours à ma petite fumée du soir
nir de son amie ! XXVIII On sait que la jeunesse légitimiste de
Paris
voulut, à cette époque, être passée en revue à Lo
e Chateaubriand, après le retour de Londres et de Venise, reprirent à
Paris
les douces et monotones habitudes de leur salon à
eur Alexandre de Russie, vainqueur demandant pardon de son triomphe à
Paris
, comme le premier Alexandre demandait pardon à At
e ; moi-même enfin, de temps en temps, quand le hasard me ramenait à
Paris
. XXXII À ces hommes retentissants du passé
qui est l’histoire d’une certaine portion brillante et essentielle de
Paris
, l’histoire de sa vie littéraire et mondaine, de
munément aujourd’hui à la nôtre. Mais elle a vraiment un sens pour le
Paris
des quelques années dont je vous parle. Ce fut en
le. Ce fut en effet véritablement le passage d’un état à un autre, du
Paris
où le Parisien dominait au Paris où il n’est plus
le passage d’un état à un autre, du Paris où le Parisien dominait au
Paris
où il n’est plus le maître de sa ville ; du Paris
arisien dominait au Paris où il n’est plus le maître de sa ville ; du
Paris
où il était l’essentiel au Paris où il n’est plus
’est plus le maître de sa ville ; du Paris où il était l’essentiel au
Paris
où il n’est plus que l’accessoire, du Paris où il
ù il était l’essentiel au Paris où il n’est plus que l’accessoire, du
Paris
où il imposait ses façons d’être, ses goûts, ses
posait ses façons d’être, ses goûts, ses préjugés même, ses mœurs, au
Paris
où il subit les mœurs et les goûts de la province
s où il subit les mœurs et les goûts de la province et de l’étranger.
Paris
avait une certaine sensibilité particulière qu’on
ujourd’hui, il fallait naturellement une série de crises. Ces crises,
Paris
les a subies entre 1880 et 1885, et c’est pourquo
Or, où la littérature a-t-elle son centre et son maximum d’éclat ? À
Paris
. Dans quels lieux de Paris ? Dans les salons, sur
elle son centre et son maximum d’éclat ? À Paris. Dans quels lieux de
Paris
? Dans les salons, sur le boulevard, au théâtre.
s’entretenaient des choses de la ville. Seulement, la ville, c’était
Paris
, et les habitués, c’étaient les princes du journa
à à ne plus se sentir chez eux, et ils déploraient l’envahissement de
Paris
par les étrangers. Que de fois, dans ma jeunesse,
nté moi-même de dire à un jeune homme : « Ah ! si vous aviez connu le
Paris
de 1885 ! » Donc, un jeune débutant qui, amené pa
x rédacteurs. Quant à leurs directeurs, ils représentaient pour nous,
Paris
, la réputation, la fortune, la gloire. Aussi, à v
ntemporains se livraient à des travaux plus importants. Il y avait le
Paris
d’entre la Madeleine et le boulevard des Capucine
e suppose, le Disciple de Paul Bourget. Dans l’histoire littéraire de
Paris
, on rencontre toujours cette opposition et on la
it donc en 1880, et je sais parfaitement que le boulevard n’était pas
Paris
, Paris tout entier. Il n’en était qu’une portion
en 1880, et je sais parfaitement que le boulevard n’était pas Paris,
Paris
tout entier. Il n’en était qu’une portion étroite
ctrices fussent l’objet de la réprobation. Elles ont toujours mené, à
Paris
, hier comme aujourd’hui, une existence brillante
lques mois, devinrent un succès presque universel, et non seulement à
Paris
, mais en province. Cet écrivain était Étienne Gro
en somme, inconciliables. D’ailleurs, un journal se fonda, l’Écho de
Paris
, qui avait précisément pour programme de réaliser
mond, est un des maîtres de la presse actuelle et a fait de l’Écho de
Paris
, fondé par son père, un des plus importants journ
inancières des temps, contemporains, mais une date dans l’histoire de
Paris
. Quelques mois avant ce krack, on spéculait dans
e tout le monde à la fois gagnait et qu’il n’y avait pas de perdants.
Paris
avait un peu l’aspect, dans certains coins, d’une
ne de partage des eaux entre deux versants parisiens. À partir de là,
Paris
fut progressivement envahi par le cosmopolitisme
vement envahi par le cosmopolitisme de l’argent, et la physionomie du
Paris
moderne commença à apparaître. Je veux m’arrêter
Paris moderne commença à apparaître. Je veux m’arrêter au seuil de ce
Paris
-là et ne pas me livrer davantage au jeu un peu pu
illesse, des gens nous dire peut-être : « Ah ! si vous aviez connu le
Paris
de 1913 ! » Tâchons, par conséquent, quand nous o
mence à nous en fournir sa part. Sans forger autant de déclassées que
Paris
, elle se met à nous renvoyer à son tour son trop-
donné sa démission d’une administration publique. Elle est attirée à
Paris
par la lumière des théâtres, elle a des recommand
n ! que ce soit la ville de la jeunesse et de l’étude ! Entre elle et
Paris
qui l’entoure, la barrière est désormais tombée ?
ustice et la charité. Il fut de ceux qui tinrent à devoir de rester à
Paris
pendant la Ligue, et avec une inflexible droiture
du Parlement, travailler au salut du royaume et à la conservation de
Paris
. Il faisait provision d’énergie morale dans Épict
s faire. Il n’inventait pas une fiction, quand il donnait le siège de
Paris
pour cadre à son beau dialogue cicéronien de la C
tienne de l’usage. Des façons de parler proverbiales, des dictons de
Paris
émaillent ses propos, et leur donnent une saveur
dains, et des écrivains provinciaux, qui vivent loin de la cour et de
Paris
. Comme il n’y a pas encore de goût public, et qu’
te ans son Théâtre d’agriculture. Outre plusieurs séjours qu’il fit à
Paris
, il visita sans doute l’Allemagne, l’Italie et l’
et l’Espagne. Il mourut en 1619. Éditions : la Cueillette de la soie,
Paris
, in-8, 1599 ; Théâtre d’agriculture et Ménage des
soie, Paris, in-8, 1599 ; Théâtre d’agriculture et Ménage des champs,
Paris
, Jamet Métayer, 1600, ifpm. ; Paris, 1804, 2 vol.
agriculture et Ménage des champs, Paris, Jamet Métayer, 1600, ifpm. ;
Paris
, 1804, 2 vol. in-4. — À consulter : H. Baudrillar
s. d. (1601) ; Rouen, 1604 ; réimprimées par M. Petit de Julleville,
Paris
, Plon, 1891 (Bibl. elzév.) ; Traité de l’économie
politique, Rouen, in-4, s. d. (1615) ; réimprimé par Funck Brentano,
Paris
, Plon, 1889. — A consulter : éd. Petit de Jullevi
rs chrétiens, 1600 ; De la sagesse, en trois livres, Bordeaux, 1601 ;
Paris
, 1604 ; Petit Traité de la sagesse, 1606. Toutes
; Paris, 1604 ; Petit Traité de la sagesse, 1606. Toutes les œuvres,
Paris
, in-4, 1635. — A consulter ; Bayle, Dict. critiqu
istoire romaine (1621). — A consulter : l’abbé Urbain, N. Coeffeteau,
Paris
, in-8, 1893. 251. François de Sales (1567-1622),
rançois de Sales (1567-1622), né à Annecy, évêque de Genève, prêche à
Paris
en 1602, en 1604 à Dijon. On sait l’amitié qui l’
ley, Camus. Éditions : Œuvres complètes, Lyon, 1669, 2 vol. in-fol. ;
Paris
, 1821, 14 vol. in-8 ; Annecy, t. 1-V, in-8, 1892-
de Séez en 1607. Œuvres poétiques, éd. A. Chenevière (Bibl. eizév.),
Paris
, Plon, 1891, in-16. 253. Jean Vauquelin, né à la
es, 1605, Caen, gr. in-8 ; Caen, 1869, 2 vol. i n-8 ; l’Art poétique,
Paris
, Garnier, 1885, in-12. — A consulter : A.-P. Leme
ittéraire et morale sur les poésies de Jean Vauquelin de la Fresnaye,
Paris
, 1887, in-8. 254. Mathurin Régnier, de Chartres
onsulter : Guadet, Henri IV, sa vie, son œuvre et ses écrits, 2e éd.,
Paris
, 1882. 258. Les Antiquités de Fauchet paraissent
e-cinq ans qui séparent la mort de Henri II de l’entrée de Henri IV à
Paris
, deux hommes se tirent de pair par le talent orat
de la législation et de la procédure, il visitait les Parlements ; à
Paris
, à Rouen, à Bordeaux, il admonestait les juges, l
vivante, elles n’enregistrent soudain, à partir de l’entrée du roi à
Paris
, que des harangues de cérémonie, des discours d’o
une grande cause : en 1565, il soutint la requête de l’Université de
Paris
, qui contestait aux Jésuites le droit d’enseigner
éfiniment provisoire, l’Université, au lendemain de l’entrée du roi à
Paris
(1594), tenta un nouvel effort : l’avocat Arnauld
ail et les morceaux, plutôt que par l’ensemble : le misérable état de
Paris
, ce pathétique début, qui sonne comme une pérorai
ses aux grandes généralités, la facétieuse causticité du bourgeois de
Paris
à la rhétorique savante de l’humaniste, finit par
urut en 1573. Éditions : Œuvres, édit. Dufey de l’Yonne. 5 vol. in-8,
Paris
, 1824. — A consulter : Taillandier, Nouv. Recherc
le. 220. Guillaume du Vair (1556-1621), conseiller au Parlement de
Paris
en 1584, envoyé en Angleterre (1596), intendant d
ns : Œuvres, Cologne, 1617, 1641. — A consulter : Cougny, G. du Vair,
Paris
, 1857. Aubertin, Chabrier, ouvr. cités. 221. S
57. Aubertin, Chabrier, ouvr. cités. 221. Six discours prononcés à
Paris
, un à Marseille. La septième pièce, dans les Œuvr
r au commencement de 1594, sous le titre de Réponse d’un bourgeois de
Paris
à un écrit publié sous lu nom de M. le cardinal d
M. le cardinal de Sega. 222. À consulter : Douarche, l’Université de
Paris
et les Jésuites, Hachette, in-8, 1888. 223. Épi
e envoyée au tigre de la France (le card. de Lorraine), éd. Ch. Read,
Paris
, 1875. 224. Hotman, Franco-Gallia, 1573 ; trad.
luence des climats, l’idée du progrès, etc. Éditions : la République,
Paris
, 1576, in-fol. — À consulter : Bayle, Dictionnair
0, et ne fut échangé qu’en 1585. Il fut à Arques, à Ivry, au siège de
Paris
, et fut tué au siège de Lamballe. — Édition : Dis
-1596) de Troyes, avocat, plus tard procureur général au Parlement de
Paris
, grand érudit, Florent Chrestien (1540-159J), anc
de Paul Ferry, ministre de l’Église réformée. En 1659, il s’établit à
Paris
, et, pendant dix ans, se dévoue à peu près exclus
on nouvelle à sa vie : il ne reparaîtra désormais dans les chaires de
Paris
que pour de rares occasions. Après l’avoir nommé
controverses, et de grands emplois dont il fut revêtu à la Cour ou à
Paris
— premier aumônier de la Dauphine, puis de la duc
i enseignèrent la puissance de la douce simplicité. Quand il arrive à
Paris
, il est maître de son talent et de sa forma : cep
on esprit, ou bien au nouvel auditoire. Tant qu’il prêcha à Metz et à
Paris
, il ne se fia jamais à son expérience ni à sa fac
ns raffinées des esprits forts. Dans les paroisses aristocratiques de
Paris
, à Saint-Germain, au Louvre, il ne se lasse pas d
nt l’homme. 5. Bourdaloue Bossuet étant descendu des chaires de
Paris
dans toute la force de l’âge et du talent, le sou
il ne le dépassait pas438. Ce Père jésuite débuta dans les chaires de
Paris
en 1669 : dix ans de prédication en province l’av
les collèges de son ordre, quand on le força à prêcher : il débuta à
Paris
en 1698 ; son succès fut considérable. Il avait l
aidoyers, et autres actions publiques les plus curieuses de ce temps,
Paris
, G. de Luynes, in-4, 1651. A consulter : Aubertin
ubertin, l’Éloquence politique et parlementaire en France avant 1789,
Paris
, Belin, in-8, 1882. 429. Biographie : Antoine L
e et de goût. Éditions :les Plaidoyers et harangues de M. le Maistre,
Paris
(1657), dernière édition, 1664, in-4 ; les Plaido
ers et œuvres diverses de M. Patru, nouvelle édition augmentée, etc.,
Paris
, 1681, in-8 ; Recueil choisi, etc. (cf. plus haut
. I : Munier-Jolain, les Époques de l’éloquence judiciaire en France,
Paris
, Perrin, 1888, in-12. 430. À consulter : A. Lez
n-12. 430. À consulter : A. Lezat, De la prédication sous Henri IV,
Paris
, in-8, 1871. De Tréverret, Du panégyrique des sai
s, in-8, 1871. De Tréverret, Du panégyrique des saints avant Bossuet,
Paris
, 1808. Jacquinet, les Prédicateurs du xviie sièc
xviie siècle avant Bossuet, in-8. Lettres de saint Vincent de Paul,
Paris
, Dumoulin, 1882, 2 vol. in-8. 431. Éditions : R
raisons funèbres composées par messire Jacques-Bénigne Bossuet, etc.,
Paris
, chez la veuve de Sébastien Mabre Cramoisy. 1689,
oisy. 1689, in-12 ; Histoire des variations des églises protestantes,
Paris
, veuve de S. Mabre Cramoisy, 1688, 2 vol. in-4 ;
re Cramoisy, 1688, 2 vol. in-4 ; Discours sur l’histoire universelle,
Paris
, Mabre Cramoisy, 1681, in-4 ; 3e éd., Paris, Roul
r l’histoire universelle, Paris, Mabre Cramoisy, 1681, in-4 ; 3e éd.,
Paris
, Roulland, 1700, in-12. Œuvres complètes, éd. Déf
. in-4 ; éd. de Versailles, 1815 et suiv., 43 vol. in-8 ; éd. Lâchât,
Paris
, Vivès, 1862-4, 31 vol. in-8 ; Œuvres inédites, p
édites, publ. par Floquet, 1828, in-8 ; Œuvres oratoires. éd. Lebarq,
Paris
et Lille, 1890, in-8 (en cours de publication : t
S ; Bonnel, De la controverse de Fénelon et Bossuet sur le quiétisme,
Paris
, 1850, in-8 ; l’abbé Lebarq, Histoire critique de
ritiques, t. V) ; A. Rebel-liau, Bossuet historien du protestantisme,
Paris
, 1891, in-8 (cf. Brunetière, Revue des Deux Monde
; de 1659 à 1669 il prêche en province. En 1669, il prêche un Avent à
Paris
; en 1670, un carême à la cour, qui neuf fois enc
. du P. Bretonneau, 1707-1734, 16 vol. in-8 ; 17 vol. in-8, 1822-26 ;
Paris
, 1833-34, Lefêvre, 3 vol. gr. in-8. — À consulter
, De la correspondance de Fléchier avec Mme Deshoulières et sa fille,
Paris
, 1871, in-8 ; la Jeunesse de Fl., 1882, 2 vol. in
int évêque de Clermont en 1717. Éditions :Œuvres, 1715 ; éd. de 1817,
Paris
, 4 vol. in-8. — A consulter : l’abbé Blampignon.
’abbé Blampignon. la Jeunesse de Massillon, l’Épiscopat de Massillon,
Paris
, Plon, in-8, 1884 ; Ingold, l’Oratoire et le Jans
oire de la prédication parmi les réformés de France au xviie siècle,
Paris
, in-8. 1860. E.-A. Berthault, J. Saurin et la pré
in-8. 1860. E.-A. Berthault, J. Saurin et la prédication protestante,
Paris
. in-8. 1875.
nnet de Benserade sur Job partagent l’Hôtel de Rambouillet, puis tout
Paris
, en pleine Fronde ! La marquise, retirée chez ell
’exemple qu’elle a donné est imité de toutes parts : par tout le beau
Paris
d’alors, autour du Louvre et du Palais-Cardinal,
s frisés de ce siècle coquet ; on lui montra bien, quand il reparut à
Paris
après la mort de Richelieu, que ses vers et lui é
ui étaient des provinciaux. Déjà il ne se gagnait plus de gloire qu’à
Paris
, à la suite de la mode : la résidence était de ri
pagne, en Italie, écrivait des lettres aux amis qu’il avait laissés à
Paris
: il en écrivait de Paris aux amis qui s’en allai
des lettres aux amis qu’il avait laissés à Paris : il en écrivait de
Paris
aux amis qui s’en allaient aux armées ou en missi
Biographie : Th. Agrippa d’Aubigné, né en 1550 en Saintonge, étudia à
Paris
et à Genève, et prit les armes à dix-huit ans dan
s exigeant des serviteurs. Il assiste à Coutras (1587), aux sièges de
Paris
, à la campagne de Normandie. Il ne pardonna pas à
soixante-dix ans, et mourut en 1630. Éditions : Histoire universelle,
Paris
, 1886. 4 vol. in-8 (Soc. de l’Histoire de France)
J. Andrieu, Théophile de Viau, étude bio-bibliographique, Bordeaux et
Paris
, 1880, in-8. 271. Biographie : Honoré d’Urfé, né
ions : L’Astrée, lre partie, 1610, in-8 (1re éd. connue) ; 2e partie,
Paris
, 1612, in-8 ; 3e partie, 1619 ; 4e et 5e parties
es), publ. par Baro, secrétaire de l’auteur, 1627. Les cinq parties :
Paris
, 1633, 5 vol. in-8 ; Rouen, 1647, 5 vol. in-8. —
consulter : Patru, Plaidoyers et œuvres diverses, t. II, p. 8S9-906,
Paris
, 1681 ; A. Bernard, les D’Urfé, Paris, 1839, in-8
es diverses, t. II, p. 8S9-906, Paris, 1681 ; A. Bernard, les D’Urfé,
Paris
, 1839, in-8 ; N. Bouafous, Études sur l’Astrée, P
rd, les D’Urfé, Paris, 1839, in-8 ; N. Bouafous, Études sur l’Astrée,
Paris
, 1846, in-8. Sur l’influence de l’Espagne, Brunet
raduite en français par G. Chapuis, Lyon, 1582 ; puis par un anonyme,
Paris
, Du Brueil, 1613. 272. À consulter : Somaize, Di
év., 2 vol. ; in-16 Tallemant des Réaux, Historiettes, éd. Monmerqué,
Paris
, 1840, 10 vol. in-12. Et les œuvres de Sarrazin,
erer, Mémoire pour servir à l’Histoire de la société polie en France,
Paris
, 1835, in-8 ; Livet, Précieux et Précieuses, Pari
é polie en France, Paris, 1835, in-8 ; Livet, Précieux et Précieuses,
Paris
, 1859, in-8 ; Cousin, la Société française au xvi
e Mme de Longueville ; Mme de Longueville et la Fronde, 6 vol. in-12,
Paris
, Didier ; E. de Barthélémy, la Comtesse de Maure,
6 vol. in-12, Paris, Didier ; E. de Barthélémy, la Comtesse de Maure,
Paris
, in-16 ; 1863. Brunetière, Études critiques, etc.
de Richelieu. Il mourut en 1646, n’ayant fait que de rares séjours à
Paris
ou à la cour depuis 1615. Édition : Œuvres poétiq
séjours à Paris ou à la cour depuis 1615. Édition : Œuvres poétiques,
Paris
, Lemerre, 1885-88, 3 vol. in-12. 280. Honorât de
surintendant des finances. — Édition : Œuvres complètes, éd. Ubicini,
Paris
, 1855, 2 vol. in-18. — À consulter : Lettres du c
À consulter : Lettres du comte d’Avaux à Voiture, publ. par Am. Roux,
Paris
, 1858, in-8. 282. Le Père Lemoyne, Saint Louis,
1656-60, 10 vol. — À consulter : Rathery et Boutron, Mlle de Scudéry,
Paris
, Techener, in-8, 1873. Koerting, Geschichte des f
er le roi Ladislas Sigismond.Édition :Œuvres complètes, Bibl. elzév.,
Paris
, 1855, 2 vol. in-16. 286. À consulter : E. Roy,
5, 2 vol. in-16. 286. À consulter : E. Roy, Étude sur Charles Sorel,
Paris
, Hachette, 1891, in-8. 287. Paul Scarron (1610-1
aintenon. Le Roman comique est de 1651. — Édition : Œuvres complètes,
Paris
, 1786, 7 vol. in-8. — À consulter : P. Morillot,
ol. in-8. — À consulter : P. Morillot, Scarron et le Génie burlesque,
Paris
, 1888, in-8.
IV
Paris
, le 15 mai 1887. Chronique wagnérienne. La repr
gnérienne. La représentation de Lohengrin Lohengrin a été joué à
Paris
une fois, date mémorable dans l’histoire de l’art
trottoir : hier, levée déplumés — levée d’écailles aujourd’hui. Oui,
Paris
a eu ce spectacle : trois cents imbéciles, condui
e des actes bêtes et lâches, au nom d’un chauvinisme de Canaques ! Et
Paris
s’incline devant eux, et tout un peuple se met tr
e se met trembler… Ô mon pauvre pays ! Alfred Ernst. Lohengrin à
Paris
(printemps 1887) Les représentations de Loheng
Liebhaber ». 30 mars, la Lanterne : « Lohengrin — la représentation à
Paris
d’un opéra de Richard Wagner », Article de premiè
plus hostile encore que le précédent ; toujours Wagner l’insulteur de
Paris
: se termine par une diatribe contre M. Lamoureux
iatribe contre M. Lamoureux, « un industriel habile… il y a hélas ! à
Paris
assez de financiers allemands pour remplir sa sal
es de m’en abstenir. Voyez donc ! « On va jouer une œuvre de Wagner à
Paris
, sur une scène française ! » Cela seul dit tout.
de la question si complexe de l’acclimatation du théâtre de Wagner à
Paris
, vous vous trompez beaucoup ! Je trouve que mon o
st qu’il me paraît un peu ridicule que, sous prétexte de patriotisme,
Paris
reste la seule capitale du monde civilisé où Lohe
eur le directeur, Lohengrin est une œuvre superbe ; il est triste que
Paris
soit la seule capitale qui ne la connaisse pas. W
e faites l’honneur de me demander mon opinion sur l’œuvre de Wagner à
Paris
. Je vais essayer de la résumer en quelques lignes
e connaître en France une œuvre qui aurait dû être jouée à l’Opéra de
Paris
depuis plus de vingt ans. Veuillez agréer, monsie
en, puisse devenir quelqu’un par la représentation de son Lohengrin à
Paris
. C’est là une manière de voir étroite et mesquine
à un compositeur qui n’était rien avant que son opéra ait été joué à
Paris
. » M. Widor : « Paris capitulera, mais dans le s
’était rien avant que son opéra ait été joué à Paris. » M. Widor : «
Paris
capitulera, mais dans le sens biblique, devant un
opulaires, qui ont toujours marché en avant, est de faire connaître à
Paris
des œuvres qu’on peut ne pas admirer, mais qu’il
r, et M. Saint-Saëns a joué la marche de Lohengrin à son enterrement.
Paris
n’avait pas encore capitulé. Qu’importe ! Ah ! ou
la vraie capitale de la France ! La Monnaie est le premier théâtre de
Paris
. M. Wilder est le premier journaliste du monde, W
face de Wagner, M. Gounod, il apparut que c’était M. Gounod lui-même (
Paris
, 15 avril). 12 avril, le Figaro : article en prem
être donnée la première de Lohengrin ; le 23 au matin on apprenait à
Paris
l’incident de Pagny-sur-Moselle, l’arrestation de
sur notre frontière des fonctionnaires français, certains Français à
Paris
se préparent à faire à un musicien allemand une a
is à toute la colonie cosmopolite, acclameront Wagner, l’insulteur de
Paris
et de la France. Il y a des gens qui ont des préo
’ils oublient la patrie. A partir de ce jour, chacun des journaux de
Paris
et du dehors contient, quotidiennement, au moins
te. Nous avons reçu hier soir, à sept heures, la lettre suivante : «
Paris
, 25 avril 1887, 6 heures du soir. Monsieur le Réd
nelle. Cette partie du billet sera conservée par la personne invitée.
Paris
. — Imprimerie Chaix. — 10148.7 Enfin, dès le 1er
, les journaux publient ces deux notes : lettre de M. Lamoureux : «
Paris
le 5 mai 1887. Monsieur le Rédacteur en chef, j’a
d’aller représenter Lohengrin dans une ville étrangère, « distante de
Paris
de dix heures de chemin de fer. » Refus de quelqu
dans le drame musical comme dans tous les arts. Mois wagnérien de
Paris
3 avril : Concert Colonne : Scène des Floramye
Mercier Tableau de
Paris
. [Le Pays, 16 décembre 1852.] Non seulement la
lle est la question que nous nous sommes faite à propos du Tableau de
Paris
1. Gustave Desnoiresterres a taillé dans les douz
rembler pour Clarisse ne pouvait troubler personne pour le Tableau de
Paris
, œuvre informe à peu près oubliée, et sur laquell
nécessaires dans l’intérêt de l’ensemble. Et, en effet, le Tableau de
Paris
serait resté dans la poussière des bibliothèques
lle peu de chose. Or, la postérité est restée, à propos du Tableau de
Paris
, sous l’empire d’un mot cruel prononcé par un esp
élas ! — tout ce que nous avons du xviiie siècle, rend le Tableau de
Paris
, fût-il un chef-d’œuvre, moins piquant que ne le
et corrompu auquel répondaient parfaitement, ce semble, le Tableau de
Paris
, c’est-à-dire la topographie et la statistique de
c. Lui aussi a fait des Caractères comme La Bruyère, et un Tableau de
Paris
comme Mercier. Mais ce tableau et ces caractères,
n froid exceptionnel : voici les étrennes de 1871. Jamais, depuis que
Paris
est Paris, Paris n’a eu un pareil jour de l’an, e
ceptionnel : voici les étrennes de 1871. Jamais, depuis que Paris est
Paris
, Paris n’a eu un pareil jour de l’an, et malgré c
nel : voici les étrennes de 1871. Jamais, depuis que Paris est Paris,
Paris
n’a eu un pareil jour de l’an, et malgré cela, ce
des matelas, des oreillers. Samedi 7 janvier Les souffrances de
Paris
pendant le siège : une plaisanterie pendant deux
fé, du vin, du pain : c’est la nourriture de la plus grande partie de
Paris
. Ce soir, au chemin de fer, je demande mon billet
d’aujourd’hui, ne va plus qu’à Passy. Auteuil ne fait plus partie de
Paris
. Dimanche 8 janvier Cette nuit, je me deman
té du battement d’un piston de machine à vapeur. Je fais le voyage de
Paris
avec un marin de la batterie du Point-du-Jour. Il
e de la menace, qui serait arrivée aujourd’hui au ministère de brûler
Paris
, s’il ne capitulait pas, quelqu’un, dans un coin,
12 décembre Je vais faire un tour dans les quartiers bombardés de
Paris
. Ni terreur, ni effroi. Tout le monde a l’air de
découvert à un quatrième étage, peut-être du dernier veau existant à
Paris
. Deux cents tranches, à 6 francs, de la grandeur
t de faire rendre draps et palmiers. N’ayant pas le courage d’aller à
Paris
, et n’ayant rien à manger, je tue un merle dans l
e du spectacle était émotionnant et grandiose. Jeudi 19 janvier
Paris
tout entier, sorti de son chez soi, se promène da
tière. Il y a aujourd’hui sept mois qu’il est mort. Je retrouve dans
Paris
, sur le boulevard, le découragement navré d’une g
ais. « Nous y sommes ! nous y sommes ! » Et ils parlent de l’armée de
Paris
, ne voulant plus se battre, du noyau héroïque qui
un désastre dans une grande ville. Aujourd’hui on n’entend plus vivre
Paris
. Toutes les figures ont l’air de figures de malad
agitation, au milieu de laquelle, toutefois, je vois des gardiens de
Paris
regarder tranquillement des photographies, dans d
tulation signée, si elle ne sera pas rejetée par la portion virile de
Paris
? » Renan et Nefftzer font des signes de dénégati
ndent guère, ils seront joliment attrapés quand ils voudront entrer à
Paris
. » Mon ami s’attendait à l’annonce de feu grégeoi
cette apparente mansuétude était un piège de Bismarck ! Enfermer dans
Paris
cent mille hommes indisciplinés et démoralisés pa
N’est-ce pas se donner presque certainement un prétexte pour entrer à
Paris
? Dans un journal qui contient la capitulation, j
leurs bras, des pains de quatre livres, ces beaux pains blancs, dont
Paris
a été privé si longtemps. Ce soir, chez Brébant,
x, et fuyant les gens à renseignements. Un écœurant spectacle, que ce
Paris
avec tous ces mobiles, qui y traînent leur oisive
e font trop voir, ils manquent de discrétion. Samedi 11 février
Paris
commence à avoir de la viande et des choses à man
r Je monte chez Théophile Gautier, qui s’est réfugié de Neuilly, à
Paris
, rue de Beaune, au cinquième, dans un logement d’
rier Impossible de rendre la tristesse ambiante, qui vous entoure.
Paris
est sous la plus terrible des appréhensions, l’ap
il ! Cette banlieue aura été privée de communication avec le reste de
Paris
, saccagée par les mobiles, affamée, bombardée, et
elle aura encore la malechance de l’occupation prussienne. Ce matin,
Paris
n’a plus sa grande voix bourdonnante, et le silen
l’occupation, toute l’ambition de ma pensée. Je veux tenter d’aller à
Paris
, et malgré mon désir de ne pas voir de Prussiens,
umaines, qu’elles s’appellent la victoire d’Austerlitz ou la prise de
Paris
. Un temps splendide, mais sous un ciel, tout plei
statue, qui pleure sur des ruines. De la gargote historique, où tout
Paris
a dîné, il ne reste guère qu’un bout de mur du re
scours. Nous revenons. L’insurrection triomphante prend possession de
Paris
. Les gardes nationaux foisonnent, et partout s’él
on dit, autour de moi, l’armée en pleine retraite sur Versailles, et
Paris
au pouvoir de l’insurrection. Rue Caumartin, Neff
vant les bataillons de l’ordre du 30 octobre, ont-ils pu s’emparer de
Paris
? Comment la garde nationale de la bourgeoisie, s
choses et des événements mentent. Enfin, pour le moment, la France et
Paris
sont sous la main et la coupe de la populace, qui
’un anniversaire. Je respire. Et en ce moment même, Pélagie rentre de
Paris
, et m’annonce qu’on s’y bat. Le rappel, un rappel
x nouvelles. Passy a l’aspect d’une sous-préfecture, à cent lieues de
Paris
, dans l’émotion d’une révolution de la capitale,
aisies dans les groupes, il craint une défaite. Je pars de suite pour
Paris
. J’étudie la physionomie des gens, qui est comme
a garde nationale. Les hommes sont pâles, sérieux. On ne sait rien, à
Paris
, de l’issue de la journée. Les connaissances, les
ard retentit de cette nouvelle à sensation, jetée à tous les échos de
Paris
, par les aboyeurs du « Journal de la Montagne » :
demande le plat du jour : « Il n’y en a pas, il n’y a plus personne à
Paris
», me répond-on. Il ne dîne aujourd’hui qu’une vi
ge. En sortant de là, je suis frappé du peu de monde qu’on rencontre.
Paris
a l’air d’une ville où il y a la peste. Il n’y a
re, appartiennent à des étrangers. Le seul mouvement, la seule vie de
Paris
: ce sont de petits déménagements, entre chien et
ments de la journée, et je n’entends parler que du passé, du siège de
Paris
, des incidents de ce siège et de l’ineptie de la
on. Il a vu emporter des arcs et des flèches de sauvages. En allant à
Paris
, je vois passer, entre cinq gardes nationaux, un
que l’insuccès de la journée fasse ressortir des cachettes, un peu de
Paris
. Lundi 10 avril En cette durée de la lutte,
font le quart, dans les cafés, près de l’Opéra. Il semble planer sur
Paris
de mauvaises nouvelles. Les journaux annoncent un
oyage, le petit paquet, avec lequel il est seulement possible de fuir
Paris
. À ce qu’il paraît, les employés du Musée du Louv
laint, avec justice et éloquence, du manque de courage des députés de
Paris
. Il dit qu’ils auraient dû parcourir la ville, et
mait hier qu’on évaluait à 700 000 le nombre des personnes parties de
Paris
, depuis les élections. Sur le quai Voltaire, une
il se réjouit de ce qu’il n’y aura plus, dorénavant, de gens riches à
Paris
, persuadé qu’il est, que la réunion des gens rich
et la canonnade semblent toutes proches et comme dans l’intérieur de
Paris
. Sur les hauteurs du cimetière, que les morts rus
demain. » Et ce demain n’arrive jamais ! Samedi 22 avril Ici à
Paris
, je me sens vivre, comme par un voyage, dans une
me découvrir rue de l’Arcade. Le Jardin des Plantes a la tristesse de
Paris
. Les animaux sont silencieux. L’éléphant, abandon
les bouquets de mariées sous verre de la maison, prêts à partir pour
Paris
. Les survivants au bombardement, à la menace de l
igné des gens qu’il a vus, et dont beaucoup n’ont pas voulu rentrer à
Paris
. Il me raconte que passant avec une voiture d’amb
porte cochère, comme il leur avait crié, si elles voulaient rentrer à
Paris
, sa demande avait été accueillie par une espèce d
de commencer son attaque, il ne pouvait travailler à la reddition de
Paris
avec le concours de l’étranger. Maintenant, si la
éléguée sa femme. Dans les cafés, les rares gandins qui sont restés à
Paris
, enseignent, le soir, aux lorettes, à calculer la
lament l’application de tel ou tel article du Code pénal. Ce soir, le
Paris
du dimanche qui ne possède plus de banlieue ; qui
une. Mercredi 3 mai Des femmes de coiffeurs, il y en a encore à
Paris
, mais des coiffeurs peu, et des garçons coiffeurs
arin hollandais. Il a, sur son chevalet, un tableau de la banlieue de
Paris
avec une berge glaiseuse d’un tripotis délicieux.
d’un tripotis délicieux. Il nous fait voir des esquisses des rues de
Paris
, du quartier Mouffetard, des abords de Saint-Méda
rd, où l’enchantement des couleurs grises et barboteuses du plâtre de
Paris
semble avoir été surpris par un magicien, dans un
atteste le sens dessus dessous des choses humaines et divines ! Non,
Paris
a tout simplement l’aspect d’un Paris, au mois d’
oses humaines et divines ! Non, Paris a tout simplement l’aspect d’un
Paris
, au mois d’août, par une année très chaude. Oh !
t cela frappant plus durement sur Auteuil que sur tout autre point de
Paris
. Je n’ai vraiment pas été heureux jusqu’à ce jour
autant pour ceux qui périssent du côté de Versailles, que du côté de
Paris
. En sorte, dit-il, en entrant dans des explicatio
Patrie, de blêmes voyous, un ramassis de cette crapuleuse enfance de
Paris
, dont le métier est d’ouvrir les portières aux th
peinture de diplomates français et étrangers) où l’on ne parle que de
Paris
, et où il est beaucoup question de l’actrice. Les
la troisième partie, une autobiographie2. Tout ce qui reste encore à
Paris
de population, se tient au bas des Champs-Élysées
une fenêtre de ma maison. Le bombardement redouble. Aujourd’hui, dans
Paris
, grand mouvement d’artillerie et de camions de vi
t bien le clairon ! Je ressaute à la fenêtre… Le rappel bat dans tout
Paris
, et bientôt sur le tambour, sur le clairon, sur l
tes les églises — bruit lugubre qui me remplit de joie, et sonne pour
Paris
l’agonie de l’odieuse tyrannie. Lundi 22 mai
nous ressortons aussitôt pour nous rendre compte de la physionomie de
Paris
. Il y a un rassemblement devant la devanture du p
je vais regarder, par les fenêtres du boulevard, cette nuit noire de
Paris
, sans une lueur de gaz dans les rues, sans une lu
avec les branches de l’arbre, sous lequel il a été tué. L’incendie de
Paris
fait un jour qui ressemble à un jour d’éclipse. U
projectiles ne dépassent pas la barrière de l’Étoile. De là, on voit
Paris
dans l’enveloppement de la dense fumée, qui couro
ceaux de papier brûlé : la Comptabilité de la France, l’État civil de
Paris
… Je ne sais quelle analogie me vient à la pensée,
la tête. Toute la soirée, vu par la trouée des arbres, l’incendie de
Paris
: un incendie ressemblant, sur l’obscurité de la
nd à une maison d’Auteuil, sans que personne se soucie de l’éteindre.
Paris
est décidément maudit ! Au bout de cette sécheres
décidément maudit ! Au bout de cette sécheresse de tout un mois, sur
Paris
qui brûle, voici un vent qui est comme un vent d’
ajet de Saint-Denis à Versailles, et ramenant sur leurs banquettes, à
Paris
, des personnages, que le séjour en province a fai
piers de province, réalisant le type de Clodoche. D’Auteuil, ce soir,
Paris
semble tout entier la proie d’un incendie, avec,
er les propriétaires. Je quitte le ménage, et vais à la découverte du
Paris
brûlé ! Le Palais-Royal est incendié, mais ses jo
je n’ai pas revu depuis la mort de mon frère. Il est venu chercher à
Paris
un renseignement pour sa Tentation de saint Antoi
Saxe, contenant du tabac, comme lui seul avait le secret d’en avoir à
Paris
. Ce vieil homme distingué était le comte de Lurde
llègre, avec lequel ils touchent, de leurs semelles usées, le pavé de
Paris
. À Saint-Denis, des casques prussiens, et tout l
On s’étonne que la reconnaissance de son incapacité, si universelle à
Paris
, ne soit pas encore vulgarisée dans toute la Fran
le jour où devaient être signées les conditions de la capitulation de
Paris
, il attendait avec un ou deux confrères, à l’effe
onférence politique ? » Tel est le sérieux de l’homme — et le jour où
Paris
subissait une capitulation comme il n’en existe p
les de la vie éveillée. Jeudi 10 août Retour de Bar-sur-Seine à
Paris
. Mardi 15 août Dîner chez Brébant. Quelqu’u
était, ce matin, la voix de ma pauvre cousine. Samedi 7 octobre
Paris
. Je reçois, ce soir, la nouvelle de la mort de ma
titre de 50 000 livres de rente, deux jours avant l’investissement de
Paris
, un envoi de Richard Wallace, qui avait couché av
e, de la Chambre, de la Bourse, et dans les bidets du monde galant de
Paris
… On s’élève assez verveusement contre cette blagu
ne et littéraire. A cette date, Bossuet, Molière viennent d’arriver à
Paris
. Boileau commence à écrire. Racine va trouver sa
t d’Église malgré lui, pour conserver dans la famille l’archevêché de
Paris
: dès qu’il a reconnu la nécessité d’être prêtre
e un but, le ministère ; pour y atteindre, il prêche le bon peuple de
Paris
, il répand les aumônes ; il est populaire. La Fro
qui la royauté devra compter : de coadjuteur il devient archevêque de
Paris
. On négocie sa démission : il la vend, la retire,
roi une lettre où il abandonne tout ; il se démet de l’archevêché de
Paris
. Il a bien joué le coup de la grandeur d’âme : le
ineuse netteté. Il y a peu de pages qui donnent mieux la sensation du
Paris
des jours d’émeute, que son tableau des Barricade
es complètes, édit. Gilbert, coll. des Grands Ecrivains, 3 vol. in-8,
Paris
, 1868 ; OEuvres inédites, édit. de Barthélémy, in
352. Biographie : Paul de Gondi (1613-1679), neveu de l’archevêque de
Paris
, et son coadjuteur en 1643, s’allia dans la Frond
à Vincennes et à Nantes. Pendant sa prison, il devient archevêque de
Paris
(1653). Il s’évade, et ne rentre qu’en 1662. Il a
lètes, éd. Feillet et Chantelauze, coll. des Gr. Écriv., 9 vol. in-8,
Paris
, 1872-1887 (inachevé). 353. Principales correspo
uvoir retrouver ni faveur ni emploi. Éditions :Mémoires, éd. Lalanne,
Paris
, 1857, 2 vol. in-18 ; Correspondance, éd. Lalanne
éd. Lalanne, Paris, 1857, 2 vol. in-18 ; Correspondance, éd. Lalanne,
Paris
, 1858, 6 vol. in-12. 356. Charles de Saint-Denys
e, in-8, 1886. 358. Correspondance authentique, publ. Par Colombey,
Paris
, 1881, in-12. 359. Marie de Rabutin-Chantal (162
l en 1652. Elle maria sa fille à M. de Grignan en 1668. Elle vivait à
Paris
, où elle loua, en 1677, l’hôtel Carnavalet, ou à
Paris, où elle loua, en 1677, l’hôtel Carnavalet, ou à Livry, près de
Paris
, ou aux Rochers près de Vitré. Elle alla quelquef
. in-12, 1754, 8 vol. in-12. Édition Monmerqué, coll. des Gr. Écriv.,
Paris
, 1862, 14 vol. in-8. Lettres inédites, éd. Capmas
lle, très falsifiée, 1752 et 1756 ; éd. Lavallée, encore défectueuse,
Paris
, 1854 et suiv., 8 vol. in-18. Geffroy, Mme de Mai
n :Œuvres complètes de Mmes de la Fayette, de Tencin et de Fontaines,
Paris
, 1825, 5 vol. in-8, t. I-III. — A consulter : Tai
-16 ; éd. Colombey, 1880, in-8 ; Recueil des factums, éd. Asselineau,
Paris
, 1859, 2 vol. in-12. 363. Guy Patin (1602-1672)
e et doyen de la Faculté de médecine. — Lettres, éd. Réveillé-Parise,
Paris
, 1846, 3 vol. in-8. 364. Du Cange (1610-1688) :
roglie, Mabillon et la Société de l’abbaye de Saint-Germain des Prés,
Paris
, 1888, 2 vol. in-8 ; B. de Montfaucon et les Bern
Prés, Paris, 1888, 2 vol. in-8 ; B. de Montfaucon et les Bernardins,
Paris
, 1891, 2 vol. in-8.
f spirituel de Rome qu’autorisée et contrôlée par le chef temporel de
Paris
. La force du roi, c’est d’incarner pour le peuple
ue. C’était déjà quelqu’un au temps de saint Louis qu’un bourgeois de
Paris
: et jusque sur la flotte des croisés, en Egypte,
ble et tumultueuse des écoliers, 30 000, dit-on, au xive siècle pour
Paris
seulement, cette armée se recrute en majeure part
le droit a survécu et grandit sans cesse : en lace des théologiens de
Paris
, les décrétistes d’Orléans s’élèvent, serviteurs
igue de corps, aujourd’hui à Londres, demain en Écosse, cette année à
Paris
ou en Auvergne, l’autre en Avignon, en Béarn, en
deux recueils qu’on a sous les noms de Maurice de Sully110, évêque de
Paris
, et de saint Bernard. Encore ne sont-ce que des t
e idée des formes dans lesquelles l’éloquence latine du bon évêque de
Paris
parvint au peuple. Il est donc impossible de fair
mailles serrées du raisonnement scolastique. « Grande chose était de
Paris
, nous dit-on vers 1400, quand maître Eustache de
toire littéraire de la France au xive siècle, 2 vol. in-8, 2e édit.,
Paris
, 1865. 96. Renart le novel, par Jacquenart Gelé
de Charles V. — Éditions (partielles) : Tarbé, Reins, 1849, in-8 ; P.
Paris
(Société des bibliophiles), Paris, 1875. 100. B
es) : Tarbé, Reins, 1849, in-8 ; P. Paris (Société des bibliophiles),
Paris
, 1875. 100. Biographie : Né à Valenciennes en 1
is à Orthez. Il revient par Avignon. En 1389-90, on le trouve à Riom,
Paris
, Valenciennes, en Hollande, de nouveau à Paris (a
, on le trouve à Riom, Paris, Valenciennes, en Hollande, de nouveau à
Paris
(août 1389), en Languedoc, à Bourges et en Zéland
Zélande. Entre 1390 et 1392, rédaction du 3e livre. En 1392, il est à
Paris
; en 1393, à Abbeville : en 1394-95, en Angleterr
À consulter : Les notices de MM. K. de Lettenhove et Siméon Luce. P.
Paris
, Nouvelles Recherches sur la vie de Froissart . D
rches sur la vie de Froissart . Debidour, les Chroniqueurs, 2e série,
Paris
(Coll. Des classiques populaires). Boissier, Froi
À consulter : A. Sarradin, Eustache Deschamps, sa vie et ses œuvres,
Paris
, 1879, in-8 ; Picot, dans les Mélanges J. Hurt, p
p. 500-513. 103. À consulter : De Nolhac, Pétrarque et l’Humanisme,
Paris
, 1892, in-8. 104. À consulter : A. Thomas, De Jo
À consulter : A. Thomas, De Joannis de Monsterolio vita et operibus,
Paris
, 1883, in-8. 105. Il traduit le De amicitia et l
: C. Douais, De l’organisation des études chez les Frères prêcheurs,
Paris
, 1884, in-8. 108. Il fut avocat, du Roi. Il s’en
consulter : l’abbé L. Bourgain, la Chaire française au xiie siècle,
Paris
, 1879. I Lecoy de la Marche, la Chaire française
1879. I Lecoy de la Marche, la Chaire française au moyen âge, 2e éd.,
Paris
. 1886. Ch.-V. Langlois, l’Eloquence sacrée au moy
— Édition : le Dialecte poitevin au xiiie siècle, par A. Boucherie,
Paris
et Montpellier. 1873. 111. Édition : Foersler, E
rsler, Erlangen. 1885, in-8. 112. Guillebert de Metz, Description de
Paris
, cité par V. Le Clerc, t. I, p. 413. 113. Biogra
vers 1401, va représenter le roi, l’église de Sens et l’Université de
Paris
au concile de Constance (1414) ; il finit sa vie
— A consulter : Thomassy, Jean Gerson et le grand schisme d’Occident,
Paris
, 1852. L’abbé Bourrel. Essai historique et critiq
rel. Essai historique et critique sur les sermons français de Gerson,
Paris
. 1858.
Dans le succès de ses Mémoires, enivré d’être l’homme qui occupe tout
Paris
, il étire sa pièce en cinq actes, il y verse tout
ices, demain une veuve d’ouvrier du port Saint-Nicolas. Le Journal de
Paris
relevait vertement cc mélange de charité et de ré
e de Mme la marquise du Deffand avec ses amis, pub. p. M. de Lescure,
Paris
, 2 vol. in-8, 1865 ; Correspondance inédite de Mm
respondance inédite du roi Stan. Ang. Poniatowski et de Mme Geoffrin,
Paris
, in-8, 1878. 571. Mme de la Live d’Epinay (1726
de Mme d’Epinay ; les dernières années de Mme d’Epinay, 2 vol. in-8,
Paris
, 1883. 572. Suzanne Curchod de Nasse (1739-1794
our la musique. — Éditions : Lettres de Mlle de Lespinasse, éd. Asse,
Paris
, in-12 ; Lettres inédites de Mlle de Lespinasse à
s de Mlle de Lespinasse à Dalembert et Condorcet, pub. par Ch. Henrv,
Paris
, Charavay, in-8. 574. Voir le petit tableau d’Ol
us de montre, épouse Rolan en 1780, va habiter la province, revient à
Paris
en 1791, et meurt sur l’échafaud le 8 nov. 1793.
s : Lettres autographes de Mme Roland adressées à Bancal des Issarts,
Paris
, in-8, 1835 ; Lettres aux demoiselles Cannet, par
nd et son temps, suivie des lettres de Mme R. à Buzot, par C. Dauban,
Paris
, in-8, 1864 ; (Mémoires). Appel à l’impartiale po
pel à l’impartiale postérité par la citoyenne Roland, publ. Par Bose,
Paris
, an III. 576. Biographie : Pierre-Augustin Caro
Bose, Paris, an III. 576. Biographie : Pierre-Augustin Caron, né à
Paris
le 25 janvier 1732, fils d’un horloger, applique
sérieuse, et relâché de même. Il entre dans une Compagnie des eaux de
Paris
, affaire qui le met aux prises avec Mirabeau ; pu
urt en 1799. Éditions :Œuvres complètes, éd. Gudin de la Brenellerie,
Paris
, 7 vol. in-8. 1809. — A consulter : L. de Loménie
in-8. 1809. — A consulter : L. de Loménie, Beaumarchais et son temps,
Paris
, 1856, 2 vol. in-8. E. Lintilhac, Beaumarchais et
Paris, 1856, 2 vol. in-8. E. Lintilhac, Beaumarchais et ses oeuvres,
Paris
, 1885, in-8 ; Beaumarchais inédit, Rev. des Deux
. Cf. le récit de cette représentation dans Porel et Monval, l’Odéon,
Paris
, 2 vol. in-8, 1876-1882, au t. I. 579. Voici les
Paris
, le 15 décembre 1886. Chronique wagnérienne
’un drame wagnérien, de la Walkure, qui sera jouée cet hiver, loin de
Paris
, hélas ! Prudemment nantis du texte allemand, ils
’un talent. Les articles publiés dans la Revue et Gazette musicale de
Paris
tout en faisant connaître les diverses circonstan
n contrecoup en Belgique où l’on se piquait, à cette époque, d’imiter
Paris
dans ses préférences et dans ses aversions. Cela
1853, un essai de musique wagnérienne par l’ouverture du Tannhaeuser.
Paris
, en cela, devançait Bruxelles, car déjà le 24 nov
, soit aux concerts du Vaux-Hall. La chute éclatante du Tannhaeuser à
Paris
contribua dans une large mesure à retarder toute
rien ne faisait craindre que l’opposition dût se manifester, comme à
Paris
, d’une manière ostensible. Mais il fallait compte
Charles Nuitter, et l’opéra fut représenté sur le théâtre lyrique de
Paris
(direction Pasdeloup) en avril 1869. A côté de l’
i devint plus tard la femme de M. Vaucorbeil, directeur de l’Opéra de
Paris
, s’y révéla d’une façon très remarquable dans le
on. C’est une revanche de l’insultant échec subi par le Tannhaeuser à
Paris
. Aussi faut-il passer la frontière pour constater
andes impressions du drame lyrique. Attendra-t-on que les théâtres de
Paris
se disputent les œuvres de Wagner pour s’apercevo
esse et les premiers essais de Wagner. Chap. III : Les trois années à
Paris
. Chap. IV : Rienzi et le Hollandais Volant. Chap
. VIII : L’exil ; les écrits théoriques ; les Kibelungen. Chap. IX :
Paris
, concert aux Italiens, Tannhaeuser. Chap. X : Tr
en ; les Maîtres Chanteurs. Chap. XII : Triebchen (suite) ; Rienzi à
Paris
, le Rheingold et la Walkure à Munich ; installati
es détracteurs. Appendice : Les œuvres de Wagner dans les concerts de
Paris
; catalogue complet des œuvres musicales de Wagne
ame musical (jeunesse, vocation, premières œuvres de Wagner, séjour à
Paris
, jugement de Wagner sur ses contemporains, la thé
re d’autres pièces par lui acquises depuis 1881. Mois wagnérien de
Paris
31 octobre — Concert Pasdeloup : Méditation et
on d’un portrait de Wagner, et nous dit : « ce portrait fut dessiné à
Paris
, en 1840 ou 1841, par Ernest Kietz … voilà donc W
dentiquement le même que celui du concert donné au théâtre italien de
Paris
, le 25 janvier 1860. [NdA] 90. édité en flamand
A] 90. édité en flamand de chez De Ries, Bruxelles, 1871. [NdA] 91.
Paris
, J. Baur, 1878 [NdA] 92. Paris, S. Baur, 1879 [N
De Ries, Bruxelles, 1871. [NdA] 91. Paris, J. Baur, 1878 [NdA] 92.
Paris
, S. Baur, 1879 [NdA] 93. Audenaerde-Van-Eckhaute
les, fut même la première scène francophone entre 1870 et 1914 devant
Paris
qui eut tant de mal à dépasser sa relation confli
vue musicale en 1827 qui fusionna en 1835 avec la Gazette musicale de
Paris
. C’est dans cette Revue et Gazette musicale de Pa
ette musicale de Paris. C’est dans cette Revue et Gazette musicale de
Paris
que Wagner publia ses premiers textes, essais, cr
ntre Henri Evenepoel. Il est l’auteur du Wagnérisme hors d’Allemagne,
Paris
, Bruxelles et Leipzig, Fischbacher, Schott, Otto
de Fantin-Latour, reproduction photographique, etc. Mois wagnérien de
Paris
Correspondances A nos lecteurs Richard Wagner, po
re Bonnier Préface à Lohengrin, par Alfred Ernst Mois wagnérien de
Paris
Correspondances III — Avril 1887 Notes et
s (E. D.) Chronique wagnérienne, Lohengrin (A. E.) Mois wagnérien de
Paris
Parsifal (suite) La Valkyrie à Bruxelles par Ed
ienne, la représentation de Lohengrin, par Alfred Ernst Lohengrin à
Paris
(printemps 1887) (E. D.) Bibliographie : Musicien
es (Camille Benoit) ; Richard Wagner (Alfred Ernst) Mois wagnérien de
Paris
Correspondances V — Juin 1887 Question wag
uelques lettres de Wagner et du roi Louis II de Bavière Lohengrin à
Paris
(complément) Mois wagnérien Correspondances VI
avail d’analyse sur Eugène Sue romancier, à la veille des Mystères de
Paris
et avant cette conversion démocratique soudaine d
t auquel je n’avais pas d’abord pris garde. Sans cesse tiraillé entre
Paris
et la province, l’auteur se raille de tous deux,
province, l’auteur se raille de tous deux, et de la province comme de
Paris
; il abuse même étrangement du nom de Gigondas, l
r, pour être ainsi sans raison livré au ridicule ; mais enfin c’est à
Paris
qu’il en veut surtout, c’est Paris qu’il dénigre,
é au ridicule ; mais enfin c’est à Paris qu’il en veut surtout, c’est
Paris
qu’il dénigre, contre lequel il a à exercer ses p
igre, contre lequel il a à exercer ses plus amères rancunes ; c’est à
Paris
qu’il disait tous les six mois en le quittant et
me Danton, ce grand auteur, ou comme le boudeur Jean-Jacques : Adieu,
Paris
, ville de fumée et de boue !… Eh bien ! cela me d
mée et de boue !… Eh bien ! cela me donne envie d’aimer d’autant plus
Paris
, quand je vois ceux qui le maudissent commettre d
de bienséance, et, boutade pour boutade, je m’écrie à l’encontre : «
Paris
, ville de lumière, d’élégance et de facilité, c’e
le suis avec égard, avec politesse ; de quoi me plaindrais-je ? Oh !
Paris
, Paris de tous les temps, Paris ancien et nouveau
s avec égard, avec politesse ; de quoi me plaindrais-je ? Oh ! Paris,
Paris
de tous les temps, Paris ancien et nouveau, toujo
sse ; de quoi me plaindrais-je ? Oh ! Paris, Paris de tous les temps,
Paris
ancien et nouveau, toujours maudit, toujours regr
uivi ce procédé d’une détestable hygiène morale. Dans ses six mois de
Paris
, il veut en mettre trop ; de là un étourdissement
sant de ce qui la lui a donnée. Ce n’est pas ainsi qu’il faut prendre
Paris
; demandez plutôt à l’aimable et heureux Auber qu
emandez plutôt à l’aimable et heureux Auber qui n’en sort pas. Prenez
Paris
comme le café, tous les jours et à petites doses.
ris comme le café, tous les jours et à petites doses. C’est ainsi que
Paris
est attique. Monsieur de Pontmartin, — je revien
es, la reine, le jeune roi et Mazarin avec la Cour une fois enfuis de
Paris
(janvier 1649), que va faire le coadjuteur, tribu
, qui a pour titre : Contrat de mariage du Parlement avec la Ville de
Paris
. C’est une espèce de charte sous forme de contrat
teur », il est déclaré « qu’illustre et sage seigneur le Parlement de
Paris
y prend pour sa femme et légitime épouse puissant
s, à savoir qu’en la tendresse de l’âge du jeune roi, le parlement de
Paris
présentera pour le gouvernement de l’État des per
nt mis de la faction. Retz, qui sait mieux que personne son ménage de
Paris
, étale à nu au duc de Bouillon toutes les divisio
pour l’exciter suffisamment sans l’opprimer, ce serait d’avoir, non à
Paris
, mais hors de Paris, une armée, une véritable arm
samment sans l’opprimer, ce serait d’avoir, non à Paris, mais hors de
Paris
, une armée, une véritable armée au service de la
l’énergie nécessaire sans le menacer, tandis que l’action du peuple à
Paris
est trop dangereuse, trop immédiate. Retz, qui en
iers articles du Contrat de mariage entre le Parlement et la Ville de
Paris
avait été, nous l’avons vu, que les athées et lib
être, à son âge (il avait trente-sept ans), cardinal et archevêque de
Paris
? Et comment se peut-il mettre dans l’esprit que
s un homme de vertu pratique, d’intégrité et de foi, un archevêque de
Paris
comme l’était Retz, sincèrement ému des malheurs
, et fut un des principaux négociateurs de la rentrée de la Cour dans
Paris
. On lui en sut peu de gré, et, sa réputation pass
es obstinations dernières pour conserver son siège de l’archevêché de
Paris
, nous fourniraient trop de vues sur ses faiblesse
en Lorraine, il eut la permission de reparaître à Fontainebleau et à
Paris
en 1664. Il y revit tous ses amis et plusieurs de
t d’une affection particulière pour Mme de Grignan. Quand il venait à
Paris
sans la voir, il ne s’en consolait pas : « Vous l
ertu et de grâce. Pour bien apprécier Mme Necker, qui ne fut jamais à
Paris
qu’une fleur transplantée, il convient de la voir
n triomphe plus complet et plus honnête. Il est resté deux semaines à
Paris
; je l’ai eu tous les jours chez moi ; il était d
plutôt charmé de trouver désormais en Mme Necker, quand il viendra à
Paris
, une introductrice naturelle auprès de la meilleu
re, mais qu’il n’avait pas eu à créer : On croit chez les badauds de
Paris
, écrivait-il, que toute la Suisse est un pays sau
étonné si l’on voyait jouer Zaïre à Lausanne mieux qu’on ne la joue à
Paris
: on serait plus surpris encore de voir deux cent
e, dix ans plus tard, il écrivait à Mme Necker, devenue grande dame à
Paris
, et qui réunissait alors à son dîner des vendredi
i allait avoir vingt-quatre ans. Il fut décidé qu’elle partirait pour
Paris
, où l’emmenait une femme du monde, Mme de Vermeno
d’objet, et ce fut Mlle Curchod qui, après quelques mois de séjour à
Paris
, devint Mme Necker (1764). On a, dans une suite d
ues années, elle dira : « Malgré le préjugé, j’ai trouvé au milieu de
Paris
des gens de la vertu la plus pure, et susceptible
Mme Necker s’était formé une idée des auteurs et des gens d’esprit de
Paris
uniquement par les livres, et elle vit que le mon
le flatter. Ce qu’on appelait franchise en Suisse devenait égoïsme à
Paris
; négligence des petites choses était ici manque
cevait ce qu’il y avait de plus en vogue parmi les gens de lettres de
Paris
, jalouse d’y suffire et y parvenant, émule et dis
1771 à une amie de Suisse, c’est que, depuis le jour de mon arrivée à
Paris
, je n’ai pas vécu un seul instant sur le fonds d’
essor. Pour énumérer tout ce qu’elle recevait alors dans son salon de
Paris
ou dans son parc de Saint-Ouen, il faudrait dénom
que que cette sorte d’autel au bon et pudique mariage dressé en plein
Paris
et au milieu de la secte des philosophes. « J’ai
ication de l’esprit et la rectitude du cœur : Étrangère aux mœurs de
Paris
, Mme Necker n’avait aucun des agréments d’une jeu
qu’il est ordinaire aux personnes qui ont passé leur jeunesse loin de
Paris
, crut, en y arrivant, qu’il n’y avait sur ce poin
elle aime à y revivre. Tout en sentant d’abord ce qui lui manquait à
Paris
, elle en jugeait pourtant très bien le séjour en
a eu une inspiration à elle, un caractère. Entrée dans la société de
Paris
avec le ferme propos d’être femme d’esprit et en
J’aime mieux, me disait-il, être le premier à *** que — D’Audigier à
Paris
. » Jacques Monleau n’a qu’un ennemi. Mais, heureu
ire à *** des appréciations sur les opéras et les drames qu’on joue à
Paris
? — C’est bien simple, me répondit l’ami : il a l
ient de me dire ? Elle part demain matin pour Versailles, — non, pour
Paris
… Hé ! hé ! hé ! Elle va là-bas demander la main d
bâtisse vingt fois séculaire, — de l’âge des Thermes, rue de Cluny, à
Paris
; et tu murmures déjà le vers des Feuilles d’auto
est une ville artiste. — Il s’est trouvé un Marseillais pour dire que
Paris
n’était qu’un faubourg de Marseille. Il se trouve
— comme un seul journaliste, — le grand refrain de la saison : « Tout
Paris
est aux Eaux ! » Alors la roulette de Bade éveill
illes moyen âge qu’on exhume à point nommé ! et cela parce que « Tout
Paris
est aux Eaux. » Car, remarquez bien que, si Paris
la parce que « Tout Paris est aux Eaux. » Car, remarquez bien que, si
Paris
occupait son été à digérer la poussière du boulev
ots de la presse ! En vain, désormais, vous ferez courir le bruit que
Paris
est exclusivement habité par des cochers de fiacr
ser entre les herbes poussées sur le boulevard Montmartre ! Non, tout
Paris
n’est pas aux Eaux. Et le jeune Anacharsis est as
d’avoir couru la Grèce, sans le traîner de force en Allemagne ! Tout
Paris
, — moins quinze mille oisifs qui ont assez de for
fs qui ont assez de fortune pour aller faire celle des autres, — tout
Paris
est à Paris, et encore toute la province est à Pa
ssez de fortune pour aller faire celle des autres, — tout Paris est à
Paris
, et encore toute la province est à Paris. La preu
s autres, — tout Paris est à Paris, et encore toute la province est à
Paris
. La preuve, c’est que me trouvant dernièrement à
rand, — gagne, en général, assez pour mal vivre quatre mois sur six à
Paris
; comment voulez-vous, à moins de chercher une re
l prélève, sur les deux mois qui lui restent à ne pas vivre du tout à
Paris
, de quoi vivre seulement un peu à Luchon, — Lucho
, hélas ! L’Anglais fait marcher ses bataillons carrés de guinées sur
Paris
, — et un jour viendra où quelque maître d’hôtel l
spagnol à Luchon était une profession, — tout comme d’être Polonais à
Paris
. Mon désappointement fut cruel, je l’avoue. Au li
Ils sont ridicules ici comme ailleurs, ils promènent à Luchon comme à
Paris
leur physionomie satisfaite et nulle. Ils me font
a villa pas un cri qui annonce de la joie d’enfant, et à l’horizon un
Paris
, où le bruit semble mort. Lundi 8 août Je s
e ! En chemin, dans le galop de sa rapide voiture, courant chercher à
Paris
des nouvelles, des renseignements, Nubar me racon
, tous les hauts et les bas de l’espérance, par lesquels les nerfs de
Paris
ont passé, depuis le 6 août. Je suis frappé, en
int. ……………………………………………………………………………………………………… Quel aspect que celui de
Paris
, ce soir, sous le coup de la nouvelle de la défai
sent avoir oublié que les Prussiens sont à trois ou quatre marches de
Paris
, et qui, dans la journée chaude et grisante, vont
mmes entourés de quantités énormes de pétrole, déposées aux portes de
Paris
, et qui n’entrent pas à cause de l’octroi, que le
ège des Prussiens arrivera, comme sur des roulettes, sous les murs de
Paris
, mais songera-t-on à les faire sauter… Je pourrai
roche de la fenêtre, sous laquelle passe le va-et-vient insouciant de
Paris
, et me dit : « Voilà ce qui nous sauvera, c’est l
nt-du-Jour jusqu’à mi-chemin de Saint-Cloud, se disputant l’entrée de
Paris
, trois et quatre rangées de voitures de toutes so
biliers ruisselants d’eau, les mobiliers misérables de la banlieue de
Paris
, en haut desquels sont juchées, toutes branlantes
és par les lignards, leurs pains ronds fichés dans les baïonnettes. À
Paris
, dans toutes les rues et les boulevards nouveaux
nt au travers des têtes antiques de plâtre, je trouve la curiosité de
Paris
qui se repaît de la batterie de marine, installée
Vendredi 16 septembre Aujourd’hui je m’amuse à faire le tour de
Paris
par le chemin de fer de ceinture. C’est un curieu
la multitude de choses perdues, dans la précipitation de la rentrée à
Paris
, et semées sur le pavé. Un petit chausson d’un en
à la justice de l’Histoire. La conversation retombe sur la défense de
Paris
, et tous les convives montrent un grand scepticis
e… Vous ne savez donc pas qu’il y a des gens qui veulent faire sauter
Paris
, j’en connais un, je vous en préviens, oui, un ré
n, je vous en préviens, oui, un rédacteur du Réveil doit faire sauter
Paris
avec soixante tonneaux de pétrole… Il dit que cel
roles amères, blasphématrices, quelqu’un jette : « Tiens, si on brûle
Paris
, faudra le rebâtir en chalets… en chalets… le Par
de choses qu’on n’aurait jamais pensé devoir devenir la nourriture du
Paris
riche. Les industries sont toutes transformées ;
quand tout gamin, j’y faisais fondre un morceau de plomb. Je regagne
Paris
sur l’impériale de l’omnibus américain, obligé de
un canon, d’une main amoureuse, qui semble peloter de la chair aimée.
Paris
est agité, Paris est inquiet de sa pitance ordina
ain amoureuse, qui semble peloter de la chair aimée. Paris est agité,
Paris
est inquiet de sa pitance ordinaire. Çà et là des
8 septembre Les vifs et colorés tableaux, composés, à tout coin de
Paris
, par le siège : tableaux que la peinture oubliera
les chèvres se promènent sur le trottoir, et l’on se croirait dans le
Paris
d’hier, si un futur prix de Rome n’esquissait pas
lessés qu’on a vus passer. Le soleil d’un dimanche a tout emporté, et
Paris
, en gaieté et en joie, se presse à toutes ses por
à pied, le long des quais, dans le léger crépuscule de six heures. Le
Paris
, dans la vapeur chaude qu’il garde du jour brûlan
bourgeoise de Danton ? ……………………………………………………………………………………………………… Jamais
Paris
n’a eu un mois d’octobre pareil. La nuit claire,
ouant avec la marquise de l’une d’elles. En montant dans l’omnibus de
Paris
, une jeune fille vient prendre place à côté de mo
barque pour Saint-Denis, dans la tapissière classique des environs de
Paris
, une tapissière recouverte des lambeaux d’une anc
t au bout d’une heure, tout le monde désappointé se décide à regagner
Paris
, après une sieste sur le talus. Partout la même d
f de partisans, surprenant des convois, décimant l’ennemi, débloquant
Paris
, — vivant ainsi de longs moments, transporté dans
te chose brutale et monotone : la guerre, — le Parisien est pris dans
Paris
, d’un ennui semblable à l’ennui d’une ville de pr
é la ficelle. Cette chose qui tue au loin, est un vrai spectacle pour
Paris
, qui, comme aux beaux jours du lac, a des calèche
la mort — des pensionnaires du Jardin d’Acclimatation, que la faim de
Paris
va se disputer demain. Sous le ciel sans lune et
de becs de lumière : ce noir, ces ténèbres toutes nouvelles, changent
Paris
, impriment à ses quartiers les plus neufs un cara
demande si ce n’a pas été le grand bureau de l’espionnage prussien, à
Paris
. Ce soir, au-dessus de la rue Saint-Lazare, au-de
ute pleine de mirages singuliers. C’est ainsi qu’au-delà de Grenelle,
Paris
se terminait par une chaîne de montagnes avec l’a
de douze cents… c’était tout ce que j’avais… puis mes sœurs étaient à
Paris
, au bout de leur rouleau… et voilà pourquoi je su
Au-dessus, un écusson représentant le navire d’argent de la ville de
Paris
, est surmonté d’un faisceau de drapeaux, que cour
ieu d’une foule, comme les journées de fête en jettent sur le pavé de
Paris
. Par extraordinaire, on est très nombreux ce soir
un ami de Trochu que le général se vante d’obtenir le débloquement de
Paris
dans quatorze jours. Tout le monde de rire, et ce
e monde de rire, et ceux qui connaissent la personne du gouverneur de
Paris
, de le peindre, comme une petite intelligence, ap
r le chimérique abonde, et il se trouve des gens qui veulent défendre
Paris
au moyen de chiens, auxquels on donnerait la rage
es acclamations de la foule et un cortège de gamins, le gouverneur de
Paris
. Une figure jeune, douce, plaisante avec une gran
lanchisserie est, à ce qu’il paraît, en désarroi, par la rentrée dans
Paris
des blanchisseurs de Boulogne, de Neuilly, etc.,
, d’un œil noir, noir, noir. Comme je lui demande s’il se retrouve, à
Paris
, il me dit à peu près ceci : « Oui, j’aime le Par
il se retrouve, à Paris, il me dit à peu près ceci : « Oui, j’aime le
Paris
actuel, je n’aurais pas voulu voir le bois de Bou
nd ! Ne croyez pas cependant que je condamne tout ce qui a été fait à
Paris
. Je suis le premier à reconnaître l’intelligente
» Et sur ce que je lui dis, que le Parisien se trouve dépaysé dans ce
Paris
qui n’est plus parisien, il me répond : « Oui, c’
s qui n’est plus parisien, il me répond : « Oui, c’est vrai, c’est un
Paris
anglaisé, mais qui possède, Dieu merci, pour ne p
délicats sous-entendus, comme lorsqu’il parle des embellissements de
Paris
, et qu’il cite Notre-Dame. On lui est reconnaissa
de tableaux vendent des couvre-képis en toile cirée. Les officines de
Paris
pour les courses, actuellement sans ouvrage, sont
besoin instant de tranquillité d’âme, de repos d’esprit, de fuite de
Paris
. Tous disent : « Aussitôt ce que ça va être fini,
n désigne un coin de France, un morceau de campagne vague, où loin de
Paris
et de tout ce qui le rappelle, l’on pourra, de lo
e sais quoi de réconfortant, à marcher comme dans une résurrection de
Paris
. Mercredi 16 novembre Le plaisir chez les f
re Aujourd’hui, c’est le dernier jour des portes ouvertes. Demain,
Paris
finit aux remparts, et le bois de Boulogne ne ser
arouchés et en demi-envolées colères. On pêche le bassin pour nourrir
Paris
, et bientôt apparaît, au fond du filet, à la surf
Montparnasse est sillonné de canons et de caissons, qui rentrent dans
Paris
, tandis que des femmes maladives, ayant des figur
ande mer. Je suis un peu souffrant. Je n’ai pu aller cet après-midi à
Paris
. Je prête l’oreille au bruit de la rue, qui vous
e hommes seuls, n’ont pas été touchés. Vendredi 2 décembre Tout
Paris
est aujourd’hui dans l’avenue du Trône. Et le spe
! Ces jours-ci, nous avions traversé les lignes ennemies, l’armée de
Paris
donnait la main à l’armée de la Loire. Aujourd’hu
qu’il paraît, il y a un individu qui achète toutes les chandelles de
Paris
, avec lesquelles, en mettant un peu de couleur, i
e. Il semble vraiment que M. de Bismarck ait enfermé, au secret, tout
Paris
, dans la cellule d’une prison pénitentiaire. Pour
igure pas, à l’heure présente, l’aspect provincial d’un grand café de
Paris
. À quoi cela tient-il ? Peut-être à la rareté des
s, et qu’attendaient, dehors, le plaisir et les mille distractions de
Paris
. Tout le monde fond, tout le monde maigrit. On n’
t, — et il cite toujours, quand il parle d’un monument, Notre-Dame de
Paris
— on aurait dû l’apercevoir comme un point. Maint
’ai une autorité sur mes collègues… mais ils ne sont dans ce moment à
Paris
que treize, et pour une élection, il faut vingt e
re Pélagie a reçu aujourd’hui la visite d’un neveu, d’un mobile de
Paris
, campé dans ce moment, au plateau d’Avron. Il lui
ats, raidis par la gelée dans leur dépiotage. Jeudi 22 décembre
Paris
tout entier est une foire, et l’on vend de tout s
entier est une foire, et l’on vend de tout sur tous les trottoirs de
Paris
. On y vend des légumes, on y vend des manchons, o
houx, dont il demande 45 francs aux passants. En dépit des Prussiens,
Paris
commence à élever ses baraques du jour de l’an. Q
rmaille coassante, de ces petits stentors de la criée des journaux de
Paris
, qui, tout en gaminant, font le compte des exempl
s œufs frais enveloppés de ouate. En ce moment une grande mortalité à
Paris
. Elle n’est pas absolument produite par la faim.
chez soi, du coin de soleil que possédaient les gens des environs de
Paris
. Dans la petite émigration de Croissy-Beaubourg (
ée dans leur poche. Si ce terrible hiver continue, tous les arbres de
Paris
tomberont, sous le besoin urgent de calorique.
à pied, en une nuit noire, où ne s’élèvent dans le sommeil de mort de
Paris
que deux bruits : le geignement lointain de la Ma
eures avancées de la nuit, quand maintenant on frôle les murailles de
Paris
, on est surpris d’y entendre, enfermé comme derri
gayer. La douleur que j’en ressentais me réveillait. Dans les rues de
Paris
, la mort croise la mort : le fourgon des pompes f
tombée, dès aujourd’hui, à neuf cents milliards. » Le jour de l’an de
Paris
de cette année, il réside dans une douzaine de mi
ais bien tout ce qui me manquait, et je décidai ma mère à m’envoyer à
Paris
, quoique ce fût un grand sacrifice pour elle en r
grand sacrifice pour elle en raison de son peu de fortune. Je vins à
Paris
pour la première fois en septembre 1818, et depui
oût décidé pour l’étude de la médecine. Ma mère vint alors demeurer à
Paris
, et, logé chez elle, je suivais les cours de l’Éc
ai Joseph Delorme. C’est vers ce temps que M. Véron fonda la Revue de
Paris
. Je fis dans le premier numéro le premier article
nellement et tout de suite fort intimement dans un voyage qu’il fit à
Paris
. Quelques biographes veulent bien ajouter que c’e
ement ; il essayait de faire une Revue qui l’emportât sur la Revue de
Paris
. Il avait le mérite dès lors de concevoir l’idée
s hommes fort distingués, dont M. Vinet était le premier. Je revins à
Paris
dans l’été de 1838, n’ayant plus à donner aux leç
ouges. J’assistai en observateur attentif à tout ce qui se passa dans
Paris
pendant les six premiers mois13. Ce n’est qu’alor
Tout cela est expliqué dans la Préface de mon Chateaubriand. Revenu à
Paris
en septembre 1849, j’entrai presque aussitôt au C
t achevé cette rhétorique à treize ans et demi, il aspirait à venir à
Paris
recommencer en partie et fortifier ses études ; i
s ; il y décida sa mère, toute dévouée à l’avenir de son fils. Venu à
Paris
en septembre 1818, entré à l’institution de M. La
itique de la Poésie française et du Théâtre français au xvie siècle (
Paris
, in-8°). L’ouvrage avait deux volumes ; mais le s
elui de Joseph Delorme. « Dès le mois d’avril 1829, dans la Revue de
Paris
, fondée par le docteur Véron, M. Sainte-Beuve ins
. Ces articles critiques de M. Sainte-Beuve, tant ceux de la Revue de
Paris
que de la Revue des Deux Mondes, furent recueilli
é, mais ayant sa mère plus qu’octogénaire17, M. Sainte-Beuve revint à
Paris
en septembre 1849, sous la présidence du prince L
aternels : c’était la première personne qu’il avait vue en arrivant à
Paris
, en 1818. Cet oncle demeurait place Dauphiné ; il
un séjour forcé à Londres pour échapper à une accusation de complot à
Paris
sous cette même Restauration, où, lui dit son pèr
essait les journaux du temps (le Courrier de l’Égalité, le Journal de
Paris
) et un grand nombre de brochures. Un exemplaire d
ançaises au XIXe siècle, publié sous la direction de M. Victor Frond,
Paris
, Lemercier, rue de Seine, 57.) 2. « La remarque
après ma philosophie pour faire mes études de médecine. S.-B. » : « (
Paris
, 19 juin 1823.) Madame, je n’ai point écrit en ré
— Nous avons appris avec grand plaisir que vous venez vous établir à
Paris
auprès de ce cher fils ; et vous espérez, dites-v
ent raconté que, pendant l’insurrection de Juin, il se promenait dans
Paris
son parapluie à la main (c’est la seule arme qui
quillité de la Chambre qui siégeait pendant que l’on s’égorgeait dans
Paris
, il rappelait l’effroyable mot de Sylla au Sénat
: « Sainte-Beuve, 1er mai 1818 » ; c’était l’année de son départ pour
Paris
; — « Sainte-Beuve. 19 janvier 1822 » ; il était
: « 1820. Année de la naissance de M. le duc de Bordeaux. La ville de
Paris
décerna un prix cette année-là. Je l’obtins surto
, un nouveau prix de semestre, offert l’année d’après par la ville de
Paris
, et cette fois à l’occasion du baptême de M. le d
La Tour du Pin (mor depuis colonel) 17. Mme Sainte-Beuve est morte à
Paris
, dans sa maison de la rue Montparnasse, où est mo
dernier né de la famille. Sa qualité de marchand de vin, demeurant à
Paris
, me le fait reconnaître. — Nous savons aussi par
issent toujours plus d’impression dans les souvenirs provinciaux qu’à
Paris
. À Paris, le pavé est vite lavé et le souvenir sa
ujours plus d’impression dans les souvenirs provinciaux qu’à Paris. À
Paris
, le pavé est vite lavé et le souvenir sanglant s’
alons littéraires, depuis Aspasie à Athènes jusqu’à madame Récamier à
Paris
, font certainement partie de la littérature ; ces
able beauté de madame Récamier ; une parente de ma mère, qui vivait à
Paris
dans la familiarité intime de M. Récamier, m’avai
us le hasard heureux de la voir ; voici comment. En passant un jour à
Paris
pour aller de Rome à Londres, j’appris que la duc
e à Londres, j’appris que la duchesse de Devonshire était elle-même à
Paris
, à l’hôtel Meurice, allant en sens inverse de Lon
e aux artistes, lui donnait le rôle d’un Mécène européen à Londres, à
Paris
, à Rome. Elle habitait Rome ; son palais était un
trastaient tellement avec la vivacité un peu turbulente des femmes de
Paris
que j’en conclus sur-le-champ que cette belle per
e je l’eusse jamais aperçue dans les salons ou dans les spectacles de
Paris
? — Comment ! me répondit la duchesse de Devonshi
sa maturité ! Je n’ai jamais rien vu d’aussi angélique sur la boue de
Paris
. J’ai été souvent plus incendié par une beauté de
France et de l’Europe, quand elle apparut, à seize ans, au milieu de
Paris
encore souillé de sang et muet de terreur, comme
re chose ; je fus dix ans sans revoir madame Récamier. À mon retour à
Paris
, en 1829, ces dix années avaient non pas détruit,
reçut en homme attendu depuis dix ans ; un mot d’elle sur moi courait
Paris
et venait de m’être répété par Ballanche, son con
d’invitation à cette mystérieuse soirée. Toutes les grandes dames de
Paris
, tous les poètes, tous les orateurs, tous les étr
lasphème contre le dieu des femmes. Je me trouvais accidentellement à
Paris
avec ma mère et ma sœur ; je ne songeais nullemen
Gay, mère de l’illustre Delphine (madame de Girardin), que j’étais à
Paris
avec ma mère. Bien qu’elle ne sortît plus de l’Ab
des hameaux. Il y avait des années et des années qu’elle n’avait revu
Paris
, les palais, les jardins, les parcs de Saint-Clou
tes, à cet entretien, comme deux cariatides grecques dans un salon de
Paris
, ne nuisirent pas à l’impression reçue ce jour-là
avaient pullulé ; il y en avait dans tous les quartiers patriciens de
Paris
et pour toutes les nuances de l’opinion. La séve
ême, favori de son cœur, très assidu et très familier quand j’étais à
Paris
. À ces amitiés près, madame de Montcalm rechercha
tait un lieu d’asile inviolable à la colère des opinions au milieu de
Paris
. L’esprit éclectique du ministère de M. Decazes,
on se sentait aimé. J’y allais moi-même toutes les fois que j’étais à
Paris
. Il y régnait cette liberté complète qui ne recon
les cours elles-mêmes jalouses d’une pauvre cellule d’un monastère de
Paris
? Nous allons vous le dire, non pas seulement d’a
e liaison avec M. de Calonne, ministre de Louis XVI, appela de Lyon à
Paris
le père et la mère de madame Récamier en 1784 ; u
; je me trouvai dans une voiture avec ma tante, et nous partîmes pour
Paris
. — Je quitte à regret une époque si calme et si p
ncore enfant, maîtresse adorée de la maison alors la plus opulente de
Paris
, elle commença à éblouir, non pas les salons d’un
de l’avoir abattu ; ils étaient empressés de trouver dans un salon de
Paris
, autour de la plus belle des femmes de l’époque,
ordinaire des générations : la guillotine avait rajeuni les salons de
Paris
. XXXIV Celui de madame Récamier était, par
e du Mont-Blanc et sa villa de Clichy rappelaient presque seules dans
Paris
l’élégance et l’opulence des palais princiers dém
de cette cour : elle restaurait l’empire de la société détruite dans
Paris
. On se précipitait à l’envi dans cette société ;
de Sainte-Aulaire, alors ambassadeur à Vienne, était à cette époque à
Paris
; il désirait vivement être ambassadeur à Londres
te et aimable famille ; je ne veux ni de Londres, ni de Vienne, ni de
Paris
; je suis décidé à ne jamais m’engager avec cette
on goût pour la société. Montaigne a dit jadis : Je suis Français par
Paris
, et s’il pensait ainsi il y a trois siècles, que
lupart des exilés, habitués dès leur enfance aux charmes de la vie de
Paris
. « La veille du jour où Benjamin Constant devait
ur cette fille l’indulgence du consul, et l’autorisation de résider à
Paris
, où ses talents, dit M. Necker, ne pourraient que
consul voyait avec un juste ombrage les liaisons de madame de Staël à
Paris
avec un homme ambigu qu’elle cherchait à lui susc
dans un état très-pénible d’accablement et d’anxiété. Des lettres de
Paris
m’apprirent qu’après mon départ le premier consul
it insinuer à madame de Staël qu’elle ferait bien de ne pas revenir à
Paris
. Cette insinuation fut un coup de foudre pour une
de son importance et de ses sentiments dans la capitale de la France.
Paris
était la patrie de ses talents, de son génie, de
ns ; la France était son public ; l’univers n’existait pour elle qu’à
Paris
. Cette faiblesse puérile et presque maladive de s
et d’habiter à son gré tout l’univers, excepté l’étroite enceinte de
Paris
. Une telle proscription, qui fait sourire plus qu
piration nouvelle avec les Jacobins et avec Bernadotte. L’éloigner de
Paris
, c’était la destituer à jamais de toute influence
e par le succès de Delphine, elle crut pouvoir se rapprocher assez de
Paris
pour entendre le bruit de sa gloire. Regnault de
offrit l’asile d’une de ses maisons de campagne à quelques lieues de
Paris
. Elle n’accepta pas l’hospitalité, de peur de com
xprimait avec vérité toute ma tristesse. Une retraite à dix lieues de
Paris
était l’unique objet de mon ambition, et je senta
oser de venir demeurer à sa campagne, à Saint-Brice, à deux lieues de
Paris
. J’acceptai, car je ne savais pas alors que je po
de Bonaparte, qui portait l’ordre de m’éloigner à quarante lieues de
Paris
, et enjoignait de me faire partir dans les vingt-
t à des enfants, et en conséquence je lui proposai de m’accompagner à
Paris
, où j’avais besoin de passer trois jours pour fai
gés de maintenir l’esclavage en s’y soutenant eux-mêmes. « J’arrive à
Paris
dans une maison nouvellement louée, et que je n’a
, ses enfants, sa patrie attendent, et qui se cramponne aux portes de
Paris
, comme si la terre et la vie allaient lui échappe
mission militaire, et fusillé vingt-quatre heures après son arrivée à
Paris
? » — « Quelle folie ! lui répondis-je ; ne voyez
vis. » On voit que l’impatience de madame de Staël pour le séjour de
Paris
l’emportait encore dans son âme sur l’horreur du
n de l’ostentation et du ridicule que de la vraie gloire. Éloignée de
Paris
, madame de Staël avait besoin de changer de scène
Auxerre, enfin dans une terre de M. de Castellane, à douze lieues de
Paris
, sans oser s’en rapprocher davantage. Le bruit qu
tint avec peine l’autorisation de se rapprocher de quarante lieues de
Paris
pour en surveiller l’impression. Elle croyait que
isé, le ridicule n’eût pas été complet, si j’avais réussi à revenir à
Paris
, par quelque moyen que ce pût être. Il fallait, p
te, coalisa l’Europe soulevée contre lui et vengea, par l’invasion de
Paris
, l’invasion de tant de capitales. XLIII Ces
Ces représailles déplorables, mais ordinaires, du sort rouvrirent
Paris
à madame de Staël. Elle y rentra avec les Bourbon
oléon dans tout l’univers ; elle n’était rentrée que par la brèche de
Paris
dans Paris ; elle y retrouvait la patrie, la fort
tout l’univers ; elle n’était rentrée que par la brèche de Paris dans
Paris
; elle y retrouvait la patrie, la fortune, la lib
tes les opinions et de toutes les nations réunies par la coalition de
Paris
, devint la tribune du monde. Jamais elle ne régna
La France devait à son père deux millions, que M. Necker en fuyant de
Paris
avait laissés en gage au trésor public. Ces deux
i savant, était donc abbé mitré et avait titre monseigneur. Il vint à
Paris
en 1759 en qualité de secrétaire d’ambassade, et,
ue. Cette pétulance gesticulante qui paraissait d’abord si curieuse à
Paris
, et qui le distinguait aussitôt, était vulgaire d
irons ; Galiani manquait d’écouteurs et de cercle à lui tout seul : «
Paris
, s’écriait-il souvent avec l’accent du désespoir
s’écriait-il souvent avec l’accent du désespoir après l’avoir quitté,
Paris
est le seul pays où l’on m’écoutait. » Une fois r
virtuose napolitain, mais qui ne pouvait se passer de l’auditoire de
Paris
. Aussi, comme il y était goûté ! Que l’on soit à
s dés, je ne dis pas dans un tripot, mais dans la meilleure maison de
Paris
, et son antagoniste amenant une fois, deux fois,
le sage et fin David Hume à l’abbé Morellet ; il fait bien de quitter
Paris
avant que j’y aille, car je l’aurais certainement
e rien, au sein de l’universalité des choses ». L’abbé Galiani quitta
Paris
, pour n’y plus revenir, dans l’été de 1769, et c’
par elle dès lors qu’il se rattache presque uniquement à ses amis de
Paris
, et il aura l’occasion de lui répéter bien souven
siens (il se calomniait lui-même), pleurait et sanglotait en quittant
Paris
, en quittant « cette nation aimable, disait-il, e
ec les années. Apprenant par Mme d’Épinay la mort d’un de ses amis de
Paris
, le marquis de Croismare, il s’étonne de n’en pas
is à présent quelles sont les personnes qui m’ont le plus intéressé à
Paris
; dans les premières années je ne les distinguais
rt avec elle, le Galiani napolitain continue de végéter. Une femme de
Paris
, Mme Du Bocage, lui avait proposé de remplacer au
ani, qui, en écrivant, songeait certainement au cercle de ses amis de
Paris
, et qui recommande sans cesse à Mme d’Épinay de g
ieux jugée que l’abbé Galiani ; il faut l’entendre expliquer pourquoi
Paris
est la « capitale de la curiosité » ; comme quoi
r pourquoi Paris est la « capitale de la curiosité » ; comme quoi « à
Paris
il n’y a que l’à-propos » ; comment nous parlons
t. Nous avouons humblement n’avoir pu le découvrir dans ces Mémoires (
Paris
, 1821, 2 vol. in-8o). » — Eh bien ! répondrai-je
vec le même appareil, si vous ouvrez les Mémoires de l’abbé Morellet (
Paris
, 1821, 2 vol. in-8º), à la page 131 et suiv. du t
dre, chanoine de Notre-Dame secrétaire de M. de Harlay, archevêque de
Paris
(suite et fin). Lundi 22 juin 1863. I. Son ambi
s’inquiétant que les prêtres étrangers ou les religieux en passage à
Paris
n’y vécussent que convenablement à leur caractère
op lointains et trop vagues ; mais, depuis sa translation au siège de
Paris
, depuis qu’il avait changé de théâtre, comme il l
it pas changé de jeu, et les chansons n’avaient cessé de pleuvoir : À
Paris
comme à Rouen, il fait tout ce qu’il défend ; et
û être doublement irréprochable. L’histoire suivante se répandit dans
Paris
et courut sur la fin de 1679. Un gentilhomme nomm
nes fêtes. De telles historiettes à la Tallemant qui circulaient dans
Paris
, et que chacun brodait à plaisir, arrivaient à l’
’incomparable seigneur Messire François de Champvallon, archevêque de
Paris
, duc de Saint-Cloud ; Proviseur des collèges de L
ux libelles, fut condamné à faire amende honorable devant l’église de
Paris
, nu, en chemise, la corde au cou, la torche au po
lle de l’archevêché qui, après celle du Palais, est la plus grande de
Paris
. Toute vaste qu’elle est, elle était trop petite
ique à mettre l’Imitation en vers français. À peine promu au siège de
Paris
, l’Académie française l’avait appelé en son sein
un dédommagement du roi. Le roi, ayant voulu acquérir les justices de
Paris
appartenant à l’archevêque, on avait proposé à ce
tion et de la finesse ; car c’est très probablement à l’archevêque de
Paris
qu’il pensait lorsqu’il a tracé ce Caractère : «
bé Legendre, qui devait à M. de Harlay d’être chanoine de l’Église de
Paris
, eut, des premiers, à son égard, le courage de la
bons amis, et il nomma le chevalier de Cluitillon et l’archevêque de
Paris
. « Elle est donc revenue, nous dit un contemporai
que voici d’original ; je la tire d’une lettre particulière écrite de
Paris
à M. de Pontchâteau et insérée dans un Journal ma
Harlay, intitulée : Éloges historiques des Évêques et Archevêques de
Paris
, etc., par Martignac, l’un des serviteurs et des
Retz, pour plus de sûreté, avait fondé à ses frais, dans l’église de
Paris
, un service complet et perpétuel pour y faire rec
ers rapportées de Milly et récitées par mes amis dans les sociétés de
Paris
, je jouissais déjà d’une sorte de renommée à demi
parlait de moi comme d’un jeune homme bien né et bien pensant, venu à
Paris
avec les jeunes gentilshommes de sa province pour
André, que j’avais connu dans mes courses en Dauphiné ; il débutait à
Paris
dans la magistrature et dans les lettres ; il dev
mille. Après avoir terminé ses études en Dauphiné, il fut recueilli à
Paris
, je ne sais sous quelle dénomination, dans la mai
s-profanes, et cela le faisait accepter par les hautes notabilités de
Paris
comme un futur ministre de l’Église. Mais, soit n
onnu et que je le priais de m’avouer son subterfuge ; on m’écrivit de
Paris
quelques jours après, pour me nommer l’auteur de
n en sensibilité, mais en éloquence. M. de Genoude, lui ayant parlé à
Paris
de mon admiration pour son talent, lui inspira le
colytes dans une espèce de couvent rural et religieux ; il revenait à
Paris
l’hiver. Il n’était rien moins que partisan de l’
ouvrage parut au tocsin de la révolution de Juillet. Je n’étais pas à
Paris
. Rentré en France quelques jours après, je me hât
ris. Rentré en France quelques jours après, je me hâtai, en passant à
Paris
pour me rendre en Angleterre, de remettre à M. Go
qu’on lui avait montré. Aigri et humilié, il écrivit, à son retour à
Paris
, une brochure irritée et irritante contre le cath
I Je partis pour l’Italie quelques jours après, et, à mon retour à
Paris
, au mois de novembre, j’entendis beaucoup parler
ant de M. de Genoude. XII Le bruit se répandit tout à coup dans
Paris
qu’il avait renoncé au sacerdoce et qu’il allait
nné ou prêté son nom était digne de ce patronage. Le mariage se fit à
Paris
. Dès ce jour, M. de Genoude fut considéré comme u
mpagnaient, quoique nous soyons si loin des nouvelles de Nantes et de
Paris
, je puis par hasard vous dire le nom de ces deux
mis de M. de Genoude. Ces dames se lièrent intimement. En repassant à
Paris
, il y a deux ans, mademoiselle de Fauveau, ardent
our ces dames, rendit leur cause retentissante. Madame de L… revint à
Paris
. J’y étais alors et je l’appris par Janvier, à la
fils de son mariage ; l’aîné mourut en bas âge pendant que j’étais à
Paris
. C’est la sensibilité plus qu’humaine d’une chien
onner le courage de porter son nom sous ses haillons dans les rues de
Paris
. — Et que fait-il ? repris-je avec une tendre pit
où nous nous soyons trouvés depuis 1830. Mais j’ai un généreux ami à
Paris
dont je puis emprunter la main pour recommander l
llant, gentilhomme de mon pays, ruiné par quelque folie de jeunesse à
Paris
. Il avait épousé l’actrice d’un petit théâtre, ob
6. 478. Biographie : Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, né à
Paris
en 1688. Il se lie avec Fontenelle, fréquente che
bliographie de Larroumet, p. 596-620), Oeuvres complètes de Marivaux,
Paris
, 1825-30, 10 vol. in-8. — A consulter : E. Gossot
, 10 vol. in-8. — A consulter : E. Gossot, Marivaux moraliste, in-12,
Paris
, 1881 ; G. Larroumet, Marivaux, sa vie et ses œuv
e, in-12, Paris, 1881 ; G. Larroumet, Marivaux, sa vie et ses œuvres,
Paris
, 1882, in-8 (2e éd., 1893, in-12) ; F. Brunetière
x, et dans les Fils ingrats. 483. P.-C. Nivelle de la Chaussée, né à
Paris
en 4691 ou 1692, d’une famille de financiers, fit
ellevue). Il mourut le 14 mars 1754. — Édition : 1762, 5 vol. in-12 ;
Paris
, Prault. — A consulter : G. Lanson, Nivelle de la
nsulter : G. Lanson, Nivelle de la Chaussée et la comédie larmoyante,
Paris
, 1887, in-12 ; F. Brunetière, Époq. du th. fr., 1
. À consulter : Frères Parfait, Histoire de l’ancien théâtre italien,
Paris
, 1153, in-12 ; Desboulmiers, Histoire du théâtre
1728, 2 vol. in-12. Recueil des parodies du nouveau théâtre italien,
Paris
, 1738, 4 vol. in-12. 491. À consulter : Frères P
10 vol. in-12 ; Brazier, Chronique des petits théâtres, éd. d’Heylli,
Paris
, 1883, 2 vol. in-16 ; M. Drack, le Théâtre de la
ux xviie et xviiie s., in-8, 1894. 492. Charles Simon Favart, né à
Paris
(1710), fils d’un pâtissier, auteur, puis directe
vol. in-12 (théâtre choisi) : Mémoires et correspondance littéraires,
Paris
, 1808, 3 vol. in-8. 493. La Fileuse, parodie d’
Sidney drame moral, et du Méchant (1745) ; il mourut en 1777. Œuvres,
Paris
, Lecointe, 1829, 2 vol. in-12. 495. Charles Pali
taire. Ses Courtisanes sont de 1782. — Édition : Œuvres, 4 vol. in-8,
Paris
, 1788. 496. À consulter, outre les ouvrages déjà
ndiqués : G. Desnoiresterres, la Comédie satirique au xviiie siècle,
Paris
, 1885, in-8 ; L. Fontaine, le Théâtre et la philo
ophie au xviiie siècle ; A. Jullien, Histoire du costume au théâtre,
Paris
, 1880, gr. in-8.
nsulter : Philipson, la Contre-Révolution religieuse au xvie siècle,
Paris
et Bruxelles, 1883. Dejob, De l’Influence du conc
’Influence du concile de Trente sur la littérature et les beaux-arts,
Paris
, 1884. 205. N. du Fail (vers 1520-1591) fut juge
our du massacre de la Saint-Barthélemv. Éditions : Dialectique. in-4,
Paris
, 1555 ; Gramere (grammaire), Paris, 1562. — À con
emv. Éditions : Dialectique. in-4, Paris, 1555 ; Gramere (grammaire),
Paris
, 1562. — À consulter : Ch. Waddington, Ramus, Par
mere (grammaire), Paris, 1562. — À consulter : Ch. Waddington, Ramus,
Paris
, 1856. 207. Biographie. Henri Estienne (152S-15
. Biographie. Étienne Pasquier, né en 1529, eut pour maîtres Hotman à
Paris
, Cujas à Toulouse, Aleiat et Socin en Italie, déb
guerre civile : la Ligue emprisonna sa femme, et il ne put rentrer à
Paris
qu’avec Henri IV. Il mourut, en 1615. Éditions :
l., Amsterdam, 1723. Œuvres choisies, éd. Léon Feugère, 2 vol. in-12,
Paris
. 1849. 209. Ambroise Paré (vers 1510-1590). — É
(vers 1510-1590). — Éditions : Œuvres, édit. Malgaigne, 3 vol. in-4,
Paris
, 1840-1841. 210. Biographie : Bernard Palissy (
trouva au bout de vingt ans d’essais le secret de son émail. Il fit à
Paris
, en 1575 et 1576, des conférences scientifiques.
s sels et salines, des pierres, des terres, du feu et des émaux, etc,
Paris
, 1580. OEuvres, éd. Cap, Paris, 1844 ; éd. Franco
des terres, du feu et des émaux, etc, Paris, 1580. OEuvres, éd. Cap,
Paris
, 1844 ; éd. Franco, 1880 ; éd. B. Fillon, 1888. —
es connaisseurs en ces matières, quand le ministre Tanucci l’envoya à
Paris
comme secrétaire de l’ambassade Napolitaine. Chos
apolitaine. Chose singulière ! le ton qu’on avait, en ce moment-là, à
Paris
, et qu’il prit bientôt, comme Alcibiade — cet aut
et Parisien, et tellement Parisien que quand il fut obligé de quitter
Paris
il eut le mal du pays d’un pays qui n’était pas l
emporta dans le sien pour lui gâter éternellement sa patrie ! C’est à
Paris
, en effet, que cet Italien, naturalisé Français p
mme un cœur ! Il est bien probable que sans ce regret inconsolable de
Paris
nous ne connaîtrions l’abbé Galiani que par ses l
nd rarement, Madame d’Épinay, qui répond toujours. Si la nostalgie de
Paris
n’avait pas poussé le pauvre Galiani à jeter des
une capacité supérieure qui aurait stupéfié les aimables frivoles de
Paris
. Une fois à Naples, il entra dans la gravité du m
t jamais été que gai d’une gaieté étincelante s’il n’avait pas quitté
Paris
. La pensée qu’il pouvait ne jamais revenir à Pari
n’avait pas quitté Paris. La pensée qu’il pouvait ne jamais revenir à
Paris
fut la paille de son joyeux acier… Comme l’esprit
irs publics, il ne put l’écrire. L’aurait-il écrite s’il fût revenu à
Paris
? Je ne le crois pas. Les salons qui l’adoraient
et de princes. Ainsi, quand Charles VII fait son entrée solennelle à
Paris
en 1437, de la porte de la ville, par la rue Sain
immédiate : lorsque la Confrérie de la Passion, qu’on aperçoit déjà à
Paris
en 1380, a obtenu la fameuse ordonnance royale de
droit de jouer leurs mystères, d’interdire à tous autres d’en jouer à
Paris
ou dans sa banlieue, établis à l’Hôpital de l’Hôt
t des scènes dialoguées, et divers genres de pièces. Il y en a deux à
Paris
, qui se sont fait une tradition et comme un privi
Basoche était la corporation des clercs de procureurs au parlement de
Paris
: les clercs de procureurs au Châtelet en formaie
Lyon, Poitiers, Toulouse, avaient leur basoche. La grande basoche de
Paris
, dès le début du xvie siècle, était un corps con
nombre de sociétés joyeuses, comme Mère folle à Dijon, et les Sots de
Paris
. Ceux-ci étaient gouvernés par le Prince des Sots
it amuser les gens du Palais. Agnelet parle en paysan des environs de
Paris
, et la pièce est sans doute parisienne. Il est vi
comédie nationale. 150. Éditions : A. Jubinal, Mystères inédits,
Paris
, 1837, 2 vol. in-8 : ces mystères paraissent repr
l Testament, publ. par J. de Rothschild (Société des Anc. textes),
Paris
, 6 vol., 1878-1891 ; Gréban, le Mystère de la Pas
; Gréban, le Mystère de la Passion, publ. par G. Paris et G. Raynaud,
Paris
, Vieweg. in-8, 1878 ; le Mystère du siège d’Orléa
78 ; le Mystère du siège d’Orléans, publ. par Guessard et de Certain,
Paris
, Impr. Nat., 1862 ; Gringore, Vie de saint Louis,
862 ; Gringore, Vie de saint Louis, t. II des OEuvres (Bibl. elzév.),
Paris
, 1877. À consulter : Petit de Julleville. les Mys
lzév.), Paris, 1877. À consulter : Petit de Julleville. les Mystères,
Paris
, 2 vol. in-8. 151. Cf. Jubinal, ouvr. cité, t.
rd, à Lyon. Recueil de Copenhague, Lyon, 1619. Recueil de U. Rousset,
Paris
, 1612. — Éditions : Ancien Théâtre français Bibl.
Museum. Recueil de farces, etc., par Le Roulx de Lincy et F. Michel,
Paris
, Techener, 1837, 4 vol. in-8. Recueil Picot et Ny
. Michel, Paris, Techener, 1837, 4 vol. in-8. Recueil Picot et Nyrop,
Paris
, 1880, in-16 : c’est le recueil de Copenhague. E.
de Copenhague. E. Fournier, le Théâtre français avant la Renaissance,
Paris
, gr. in-3, 1872. À consulter : Petit de Jullevill
éâtre français, t. I. 158. Éditions : Pathelin le grand et le petit,
Paris
, G. Beneaut, 1490 ; 4 autres édit. non datées ant
lle était à dîner au Raincy, château du prince. En revenant le soir à
Paris
pour aller à la Comédie-Italienne, on trouve la v
s. Que va faire le duc d’Orléans, placé ainsi entre l’insurrection de
Paris
, dont on le croit complice, et les périls de la C
uis d’Arenberg pour juger par elle-même de la physionomie des rues de
Paris
et de ce qui s’y disait, revint à Monceaux, et, d
’avoir pas manqué de l’avertir depuis le premier jour des troubles de
Paris
, et de lui avoir annoncé comment tout ceci finira
lui, prince du sang, il se figurait qu’il allait continuer de vivre à
Paris
à son aise, dans les plaisirs et en riche citoyen
lendemain au Carrousel : Au milieu de ces arrestations, disait-elle,
Paris
est calme pour ceux qui ne tripotent point. — J’o
; je roule cependant avec mon cocher qui chatouille les lanternes de
Paris
avec son chapeau. J’ai été hier à l’Opéra ; les a
s’il se défendra avec une partie de son armée, ou s’il sera ramené à
Paris
… La fourberie de ce général prouvera en faveur du
au bout de la rue de Miroménil. Elle avait trouvé moyen de sortir de
Paris
dans la nuit du 10 au 11 août, en escaladant le m
d’avis d’une dame anglaise de ses amies, qui l’engageait à revenir à
Paris
, parce qu’elle pourrait y être fort utile à un ma
venait promptement en aide. Mme Elliott n’hésita point et rentra dans
Paris
au jour et à l’heure même où tous eussent voulu s
nger. À cette époque, le duc de Biron n’avait ni maison ni domicile à
Paris
; il avait été dénoncé à l’armée par un des génér
la guerre, et il logeait, pour le peu de temps qu’il devait rester à
Paris
dans cet hôtel garniu. J’y arrivai à sept heures
la prison de Versailles, et quelle soigne comme un père. Transférée à
Paris
aux Carmes, elle est fort surprise de voir arrive
de mon ami. u. [1re éd.] pour le peu de temps qu’il devait passer à
Paris
dans cet hôtel garni. v. [1re éd.] ce qu’il lui
magne. — 2. La vie de société en France et en Europe. Les étrangers à
Paris
. Les Correspondances littéraires : Melchior Grimm
ersations ! Je ne citerai qu’Horace Walpole, l’ami de Mme du Deffand.
Paris
attirait les étrangers, qui ne venaient pas seule
pe connaissait, et dont ils gardaient toute leur vie l’éblouissement.
Paris
leur faisait fête au reste : un large cosmopoliti
publications importantes, le journal détaillé en un mot de la vie de
Paris
, avec laquelle ils restaient ainsi en communicati
vait les correspondances intimes : tous ces étrangers qui passaient à
Paris
y laissaient des amis avec qui le commerce ne se
t, ce badinage aisé, cette grâce piquante qui séduisaient tour à tour
Paris
, Versailles, Joseph II, Frédéric II, Catherine. S
de l’Allemagne avant 1789. L. Lévy-Bruhl, l’Allemagne depuis Leibniz,
Paris
, 1890, in-12 ; la Philosophie de Jacobi, in-8, 18
, tr. de Suckau, in-8 ; Théâtre de Lessing, tr. de Baranle et Franck,
Paris
, 1870, in-8. 589. Traduit en 1776. — N. de Bonne
x, Garnier, in-8, 1877 et suiv. — À consulter : E. Scherer. M. Grimm,
Paris
, 1887, in-8. 591. Œuvres, éd. de l’Acad. de Ber
Ferdinand Galiani (1728-1787), né à Chieti, secrétaire d’ambassade à
Paris
, écrivit contre les économistes ses Dialogues sur
inay, Mme Necker, etc., publ. p. L. Perey et G. Maugras, 2 vol. in-8,
Paris
, 1884.
veuses et menacée d’une maladie de poitrine, Mme de Krüdner part pour
Paris
au mois de mai 1789 ; elle n’y était venue que to
se, son cœur parle ; à Copenhague, sa vanité s’éveille ; mais c’est à
Paris
que son intelligence semble réclamer ses droits.
. Eynard, quand celui-ci le rencontra à l’improviste dans un salon de
Paris
. « Je fus présenté au général, dit M. Eynard ; je
bite le Nord pendant quelques années, et ne revient en Suisse, puis à
Paris
, que vers 1801, à cette époque d’une renaissance
anser cette danse du schall qu’elle dansait si bien, et ressongeait à
Paris
, son vrai théâtre. Mais elle ne voulait pas y rev
opre au manège qu’elle désirait. Il s’agissait pour elle de revenir à
Paris
le plus tôt possible, sans plus tenir compte de s
onter à souhait celle rentrée en scène, elle imagina de faire faire à
Paris
, par les soins du docteur Gay, des vers à sa loua
e trouver insérés comme par hasard dans quelque journal de Lyon ou de
Paris
. Voici, au reste, la lettre qu’elle adressait à l
e-t-elle tes grâces, ton esprit ? Tes succès ne t’appellent-ils pas à
Paris
? Tes grâces, tes talents y seront admirés comme
ers, et bientôt : dites surtout qu’elle est dans la retraite, et qu’à
Paris
seulement on est apprécié. Tâchez qu’on ne vous d
bien y travailler ; j’attends avec impatience le moment où, rendue à
Paris
, mon temps, mes soins et mon zèle vous seront con
ieu prodigue ses biens A ceux qui font vœu d’être siens. Ce voyage à
Paris
, qu’elle désire de toute son âme et qu’elle vient
ouvrage qui peut âtre utile (son roman), et voilà comme mon voyage à
Paris
devient un devoir, tandis que mon cœur, mon imagi
raîne au bord de votre lac où je brûle d’aller, dégoûtée du séjour de
Paris
, blasée sur ses succès, n’aimant que le repos et
et automne de 1802, entre autres manières de se rappeler au public de
Paris
, elle eut soin de faire insérer (peut-être par l’
passage d’une lettre d’Ymbert Galloix, jeune homme de Genève, mort à
Paris
en 1828, et il le proclame un jeune poète plein d
rtal et son procédé si souvent raconté pour se créer, à son arrivée à
Paris
, une réputation et une clientèle ; mais, en rappo
874). — Printemps passé (1875). — Au fil de l’eau (1877). — Poèmes de
Paris
(1880). — Poésies d’Albert Mérat (1898). OPINI
(28 mars 1873).] Théodore de Banville Sous ce titre : Poèmes de
Paris
, M. Albert Mérat vient de publier un nouveau volu
pour qui tout doit être spirituel ! M. Albert Mérat sait par cœur le
Paris
vivant, élégant, gracieux, élégiaque, amoureux, p
reux, pittoresque ; si j’avais à lui adresser un reproche à propos de
Paris
, ce serait de n’en avoir pas assez vu le côté ino
française orna de son vert laurier, Au fil de l’eau et les Poèmes de
Paris
. Ce sont, à mon gré, deux livres tout à fait exqu
des « honnêtes gens » de sa connaissance, dans la rue. M. Mérat aime
Paris
à la folie. Comme il l’aime et comme il le connaî
dans l’admirable imprimerie de Beaumarchais ; puis ses deux voyages à
Paris
, son installation avec la comtesse dans une maiso
rent suffire. Mais quand plus tard je m’occupai de ma réimpression de
Paris
, je les trouvai plus qu’insuffisants, et il fallu
e était partie de Bologne et avait pris, au mois d’avril, la route de
Paris
. Décidée à ne plus retourner à Rome, elle ne pouv
e avait des parents, des relations, des intérêts. Après être restée à
Paris
jusque vers la fin du mois d’août, elle revint en
e pouvait guère durer que deux mois, mon amie devant passer l’hiver à
Paris
. Au mois de décembre, je l’accompagnai jusqu’à St
elle et de la quitter une troisième fois. Elle continua sa route vers
Paris
, et je retournai à notre maison de campagne ; j’a
le milieu de décembre, époque à laquelle nous partîmes ensemble pour
Paris
, je me trouvai avoir versifié l’Agis, la Sophonis
a carrière, sinon de la parcourir. Je fis aussi, avant de partir pour
Paris
, une revue générale de mes poésies, dictées et ac
s de leur séjour et de leur vie, les deux amants partirent enfin pour
Paris
. « Dès que nous fûmes à Paris, où l’engagement p
, les deux amants partirent enfin pour Paris. « Dès que nous fûmes à
Paris
, où l’engagement pris de mon édition commencée me
rois et des reines qui pensionnaient son amie, Alfieri, flagornait à
Paris
le peuple qui devait bientôt les traîner à l’écha
selle, ayant vendu tous les autres à son ami pour monter sa maison à
Paris
; En règle enfin avec le bonheur, puisqu’il allai
jour en jour, par ses mouvements insurrectionnels qui éclataient dans
Paris
depuis la convocation des états généraux et la pr
l’empêcher de terminer ses éditions qui touchaient à leur fin, soit à
Paris
chez Didot, soit à Kehl chez Beaumarchais, et qu’
el. » — Les intérêts de mon amie, ajoute-t-il, me retiennent seuls à
Paris
. — Quels pouvaient être ces intérêts, si ce n’est
poque. On a vu dans ces deux derniers mois le pape brûlé en effigie à
Paris
, madame du Barry invitée à dîner chez le lord-mai
comtesse, sans avoir eu le temps de pourvoir à tout ce qu’il laisse à
Paris
. « Après avoir employé ou perdu environ deux moi
ncertaine, mon amie et moi, comme aussi tous ceux qui alors étaient à
Paris
et en France, et que leurs intérêts y retenaient,
avais laissés en 1783, et le nombre s’en était fort augmenté, tant à
Paris
que dans ce dernier voyage en Angleterre et en Ho
e le traducteur de Virgile et de Térence. Pendant ce dernier séjour à
Paris
, non plus que dans le précédent, je ne voulus jam
lus grande difficulté ; il nous fallait des passeports pour sortir de
Paris
et du royaume ; nous fîmes si bien pendant ces de
nous servir, s’écrièrent que tous les riches voulaient s’échapper de
Paris
avec toutes leurs richesses, et les laisser, eux,
ûmes depuis que nous étions les premiers étrangers qui eussent quitté
Paris
et le royaume, depuis la catastrophe du 10 août.
t effacé le nom du roi. On était peu ou mal informé des événements de
Paris
, et on tremblait. Voilà sous quels auspices je so
ère. Là nous apprîmes, par ceux de nos gens que nous avions laissés à
Paris
, que, ce même lundi 20 août fixé d’abord pour not
e la même manière, la catastrophe et les horreurs qui ensanglantèrent
Paris
le 2 septembre, et nous remerciâmes, nous bénîmes
sérieux que sa vie avait perdu depuis tant de variations éclatantes à
Paris
et à Londres. Le Piémont, conquis par la Républiq
paternel de son ancien ennemi ! XV Pendant qu’on s’égorgeait à
Paris
et que le monde avait les yeux sur ces catastroph
ci-devant royale, en un institut national, sur le modèle de celui de
Paris
, où se trouvaient réunis les belles-lettres et le
II, sous le ministère de Mazarin, les troupes italiennes affluèrent à
Paris
. Ces troupes étaient à cette époque moitié improv
e. » Les principaux comédiens faisant partie de la troupe qui vint à
Paris
en 1645, étaient Tiberio Fiurelli jouant le perso
des faisaient grand plaisir à Leurs Majestés. Scaramouche fut mandé à
Paris
toutes les fois qu’on y appelait une troupe itali
irituelles et lettrées que nous envoyait l’Italie. Elle était venue à
Paris
en 1639 et 1640, comme nous l’avons vu dans le ré
conquis les bonnes grâces de la reine mère. Elle composa et publia à
Paris
, en 1659, une comédie intitulée : L’Inganno fortu
de musique, les décors et les machines du célèbre Torelli, firent, à
Paris
comme à Venise, le principal attrait de la représ
yant, à l’aide de ses amis, payé ses dettes, il se résolut de quitter
Paris
avec ses associés, laissant le champ libre aux tr
au front. La troupe italienne ne fit pas cette fois un long séjour à
Paris
; elle partit à la fin de l’année 1647 ou au comm
, journée des Barricades, jusqu’au 7 février 1653 où Mazarin rentra à
Paris
, il n’aurait peut-être pas fait très bon dans cet
un titre pour l’autre et parlaient de L’Amour malade, de Molière, que
Paris
allait voir en foule. Pendant ces années qui préc
ndant ces années qui précédèrent immédiatement le retour de Molière à
Paris
, les Italiens eurent une grande vogue ; ils étaie
’aviez-vous pas dit, continua Monsieur, que le roi ne viendrait pas à
Paris
sans prendre des mesures avec moi ? — Je vous ava
andement de la Reine mère du roi Très Chrétien (Louis XIV). Imprimé à
Paris
en novembre 1645. » Dans l’extrait du privilège
pas été fait de piéces rapportées. Le Tableau de l’Histoire moderne,
Paris
1766. trois vol. in-12., par le Chevalier de Mehe
istoire générale de Puffendorf, revue & corrigée par M. de Grace,
Paris
1753. 8. vol. in-4°. Ce livre est très-propre à f
oup de sel. Dacier a traduit les vies de Plutarque en 8. vol. in-4°. (
Paris
1721.) avec plus de fidélité que d’agrément. Arr
ux hommes illustres de Plutarque, par l’Abbé Seran de la Tour, in-12.
Paris
1730. C’est ce que l’Abbé de la Tour, homme de mé
Grand, par M. Olivier de l’Académie des Belles-Lettres de Marseille,
Paris
1740. deux vol. Nul Ecrivain n’a si bien développ
riginaux. L’histoire des Amazones, par l’Abbé Guyon, deux vol. in-12.
Paris
1741. : livre exact & savant sur une matiere
duction en dix vol. in-12., par Guerin, professeur de l’Université de
Paris
. On en trouve plusieurs morceaux mieux traduits d
de Rome jusqu’à la bataille d’Actium, par M. Rollin, in-4°. huit vol.
Paris
1752. & continuée par Crevier son disciple. C
ec un traité du luxe des Dames romaines, par M. l’Abbé Nadal, in-12.,
Paris
1725. : ouvrage délicat & curieux. L’excellen
Montesquieu sur la Cause de la grandeur de la décadence des Romains,
Paris
1734., in-12. L’illustre auteur ne s’appesantit p
3.) traduite par M. Cousin, Président de la Cour des Monnoies, in-4°.
Paris
1672. huit vol. : collection importante qui renfe
donna une Histoire générale de France depuis Pharamond jusqu’en 1646.
Paris
1648, 1650, 1654, 1663. six vol. in-fol. Quoique
vantage dans son histoire de France jusqu’à la mort de Louis XIII., à
Paris
1718. en trois vol. in-fol. & en huit vol. in
puis Clovis jusqu’à Louis XV. par M. l’Abbé Millot, en 2. vol. in-12.
Paris
1758. “Nos meilleurs historiens modernes, dit l’a
ui demandoit une érudition peu commune. Il a été réimprimé en 1770. à
Paris
en 3. vol. Traité de la Religion des anciens Gau
tfaucon, Religieux Bénédictin de la Congrégation de St. Maur, in-fol.
Paris
1729. cinq vol. Cet ouvrage amuse l’imagination d
dans les différens tems de la Monarchie, par l’Abbé le Gendre, in-12.
Paris
1712. petit livre assez curieux, & qui se tro
Pape Boniface VIII. & Philippe le Bel, par Adrien Baillet, in-12.
Paris
1717. Cet auteur glace l’esprit par la froideur d
histoire de la vie & du regne de Philippe Auguste, Roi de France,
Paris
1702. 2. vol. ; celle de Charles VI. 1753. trois
V. a trouvé plusieurs historiens. Hardouin de Perefixe, Archevêque de
Paris
, publia une histoire de ce Prince, plusieurs fois
en un vol. in-12. La derniere & la meilleure édition est celle de
Paris
1749. Cette histoire n’est qu’un abrégé ; mais el
ant de lecteurs & fait tant d’ennemis. L’histoire du Parlement de
Paris
par le même auteur, offre les mêmes défauts &
Mémoires particuliers sur chaque Prince. Ceux de du Bellai imprimés à
Paris
en 1570. in-8°. nous donnent tout le regne de Fra
Villars, sur les guerres d’Italie, depuis 1550. jusqu’en 1559. in-8°.
Paris
1630. : ouvrage estimé pour les anecdotes curieus
eres guerres de la Gaule Belgique, depuis 1551. jusqu’en 1562. in-8°.
Paris
1574. bonne édition d’un livre estimé & peu c
de François II., & Charles IX., nouvelle édition in-4°. Londres (
Paris
) 1743. six volumes in-4°. : ouvrage curieux &
ires curieux & utiles d’un habile Officier. On les a réimprimés à
Paris
, il y a quelques années, en 4. vol. in-12. Les Mé
moires du Duc de Bouillon, depuis l’an 1560. jusques en 1586. in-12.,
Paris
1666. : ouvrage peu commun. Mémoires de M. le Du
mun. Mémoires de M. le Duc de Nevers, par M. de Gomberville, in-fol.
Paris
1665. deux vol. Cet ouvrage, dont le style vaux m
remarques historiques & politiques, par M. C. B. in-8°. la Haye (
Paris
) 1741. quatre volumes : b n édition ; mais dans l
a guerre sous le regne d’Henri IV. depuis 1589. jusqu’en 1598. in-8°.
Paris
1608. Ce bon ouvrage, du Docteur Caiet, avoit été
ms mêmorables. Mémoires de M. de Villeroi, Secrétaire d’Etat, in-8°.
Paris
1624., 4. vol. in-12. 1665. très-bons. Mémoires
in-fol. à Amsterdam, deux vol. gros caractère & la suite in-fol.
Paris
1662. deux vol. bons, mais ennuyeux avant que l’A
fol., Maillé 1616. trois vol. in-fol. Amsterdam 1626. Le Parlement de
Paris
fit brûler cette derniere histoire comme une prod
amp; gigantesque. Mémoires de la Régence de Marie de Médicis, in-12.
Paris
1666. Ces mémoires, qui sont du Maréchal d’Estrée
ressans arrivés depuis l’origine de la Monarchie jusqu’à nos jours, à
Paris
, chez Vincent, rue St. Severin, 1767. en 3. vol.
Jacques le Long, Prêtre de l’Oratoire, Bibliothécaire de la Maison de
Paris
: nouvelle édition revue, corrigée, & considé
s une traduction françoise par le Pere Charenton, Jésuite, imprimée à
Paris
en 1725. en 6. volumes in-4°. sous ce titre : His
en quatre vol. in-fol. 1735. Quoique ce Jésuite ne fut point sorti de
Paris
, sa description n’en est pas moins exacte & l
n lui pardonne quelque chose. a. In-12. Paris, 1737. sept vol. b.
Paris
, cramoist, in-4°. & in-12. 1681. *. Il y en
l’achever. L’ouvrage a été imprimé à Strasbourg, au lieu de l’être à
Paris
. *. Il y en a actuellement 20. vol. in-12. Le 19
t partie Franklin, Lavoisier, et de savants médecins de la faculté de
Paris
, Bailly montra toute la sagesse et la mesure de s
té où j’ai été élevé, et que je n’y ai contribué en rien. Nul homme à
Paris
ne peut dire que je lui aie demandé ou fait deman
s de tous les districts devaient se réunir pour nommer les députés de
Paris
. Et ici commence pour Bailly un nouvel âge d’or q
lus tard, et le lendemain du 14 Juillet, quand les mêmes électeurs de
Paris
vont recevoir une députation de l’Assemblée natio
d’entraînement où l’on était alors, fut de le faire nommer député de
Paris
, et le premier de tous. Il échappa même à un dépu
s la salle des États généraux à Versailles avec les autres députés de
Paris
, il sentit qu’il changeait de milieu et comme de
me rappelais la manière dont M. Target avait présidé le tiers état de
Paris
(c’est-à-dire la réunion des électeurs) ; je me r
ider le tiers état du royaume était jadis un privilège des députés de
Paris
; que, s’il décline cette charge, il peut priver
ivé lors de sa nomination de député dans l’assemblée des électeurs de
Paris
: un nouvel et soudain honneur vient le saisir de
uillet, il fut au nombre des députés qui se rendirent de Versailles à
Paris
. Mme Bailly, plus prudente, aurait autant aimé qu
op naturel pour être blâmé… Le voilà donc partant de Versailles pour
Paris
(15 juillet) avec les autres députés, en grande p
ême genre proclame M. Bailly prévôt des marchands, ou plutôt maire de
Paris
; et le digne homme, toujours modeste, mais toujo
uet, et vos étrennes, hommage offert à Mme Bailly, épouse du maire de
Paris
, par M. Debure et M. Mérard de Saint-Just ; avec
e des écrits et pamphlets qui insultent et calomnient Bailly maire de
Paris
lui prénom Olivier, était fils d’un commis au greffe du Parlement de
Paris
, et ne s’appelait d’abord que Lejèvre ; sa mère,
eine Gaudard, était fille d’un procureur en la Chambre des comptes de
Paris
. Olivier, après de courtes études au collège de N
emeurait lorsque l’empereur Charles Quint fit son entrée solennelle à
Paris
, en 1539, entre les deux enfants de François Ier.
ges, il s’était dit qu’il achèverait paisiblement ses jours, tantôt à
Paris
, tantôt dans ses maisons des champs, qu’il embell
clate : il faut opter. M. d’Ormesson ne jugea pas à propos de quitter
Paris
; il fut même choisi par le duc de Mayenne pour ê
on quartier. Ce furent des temps difficiles ; on mourait de faim dans
Paris
; ce n’est pas une métaphore ; « M. d’Ormesson fu
us dit son fils, il choisit le moindre ; autrement on l’eût chassé de
Paris
, pillé ses meubles et confisqué ses biens ». Henr
vait besoin de ligueurs aussi tièdes que d’Ormesson pour rentrer dans
Paris
: c’étaient ses amis et auxiliaires du dedans, qu
de bonne grâce : « Sans M. d’Ormesson on ne se réjouirait point dans
Paris
, dit un jour Henri IV en entrant ; c’est le père
plaisirs. Il mourut en mai 1600, d’une chute de mulet, en revenant à
Paris
de sa maison d’Ormesson. Dans le récit domestique
uccessivement conseiller au Grand Conseil, conseiller au Parlement de
Paris
, maître des requêtes et conseiller d’État ; ayant
n, sur les prédications auxquelles il donna sujet dans les chaires de
Paris
, sur les sentiments de messieurs du Parlement à l
, dont chacun espérait beaucoup de fruit lorsqu’il sera archevêque de
Paris
. Il y prêcha l’Avent. » — Un historien du barreau
e, ou plutôt il traîne et achève de mourir : on craint une sédition à
Paris
(27 avril 1643), « parce que le menu peuple murmu
et les jésuites. — Louis-Philippe et M. Villemain. — Les Mystères de
Paris
61 XVI. — Polyniaiserie. — Discours de Lamar
esse de Berry. — Madame Louise Colet. — Eugène Sue. — Les Mystères de
Paris
. — Départ de Balzac pour Saint-Pétersbourg. — Ale
Dumas. — Eugène Sue. — Théodore Burette 95 XXV. — Les Mystères de
Paris
. — Lamartine vise à l’O'Connell. — Sa liste civil
de la reine d’Angleterre. — Réponse d’Edgar Quinet à l’archevêque de
Paris
109 XXVIII. — Madame Sand dans son Berry. — D
. — Insuccès de Lucrèce à sa reprise 129 XXXII. — Les Mystères de
Paris
131 XXXIII. — Le duc de Bordeaux. — Chateaub
— Année stérile. — Article de M. Paulin Limayrac sur les Mystères de
Paris
. — Brochure de l’abbé Combalot sur la liberté de
estion de l’enseignement universitaire. — Discours de l’archevêque de
Paris
. — Le roi en conçoit de l’humeur. — Discours de M
acqueline Pascal et M. Cousin. — L'éclectisme. — Port-Royal de mode à
Paris
. — Œuvres de Nicole avec une Introduction de M. J
t l’art, avec André Chénier. 470. Antoine Houdar de la Motte, né à
Paris
en 1672, composa des opéras, des tragédies et des
e du Maine. — Éditions : Œuvres, 10 vol. en en 11 tomes, in-12, 1754,
Paris
; Paradoxes littéraires de La Motte, éd. Jullien,
ques de La Motte). 471. J.-B. Rousseau, Œuvres lyriques, éd. Manuel,
Paris
, in-12 (1852), 1876. — Lebrun, Œuvres, Paris, 181
es lyriques, éd. Manuel, Paris, in-12 (1852), 1876. — Lebrun, Œuvres,
Paris
, 1811, in-8, 4 vol. — Thomas. Œuvres complètes, 1
Œuvres complètes, 20 vol. in-8, 1764-1780. — Parny, Œuvres complètes,
Paris
, 5 vol. in-18. 1808. — Saint-Lambert, les Saisons
ons, 1769. — Roucher, les Mois, 1779, 2 vol. in-4. — Gilbert, Œuvres,
Paris
, in-8, 1823. — Piron, Œuvres complètes, éd. Rigol
Paris, in-8, 1823. — Piron, Œuvres complètes, éd. Rigoley de Juvigny,
Paris
, 1777, 8 vol. in-8. — Delille, les Jardins, 1782
gny, Paris, 1777, 8 vol. in-8. — Delille, les Jardins, 1782 ; Œuvres,
Paris
, 1824, 16 vol. in-8. — Lefranc de Pompignan, Œuvr
des du 1er donne un très-bon et judicieux article sur les Mystères de
Paris
par M. Paulin Limayrac. La Revue suisse voit avec
icle n’était pas venu, il n’y en aurait eu aucun dans les journaux de
Paris
qui méritât de compter. Tant il n’y a plus de vér
orité de la réflexion, oui, l’inspiration essentielle des Mystères de
Paris
, c’est un fond de crapule : l’odeur en circule pa
crivain, est, assure-t-on, gravement malade ; toute la littérature de
Paris
en est émue : on court à l’extrémité de Paris, à
toute la littérature de Paris en est émue : on court à l’extrémité de
Paris
, à l’Arsenal, où il demeure, pour le voir, pour s
de tous pour l’esprit, pour le talent et la grâce ! 34. Il y a eu à
Paris
une fabrique de bière Combalot, d’un parent de l’
vilège de l’Olive et de la Défense est daté du 20 mars 1548.) Œuvres,
Paris
, 1569 et 1573 ; Rouen, 1592 ; éd. Martv-Laveaux,
uety, Bulletin du bibliophile, 1864. Léon Séché, J. du Bellay, in-12,
Paris
, 1880. De Nolhac, Lettres de J. du Bellay, Paris,
J. du Bellay, in-12, Paris, 1880. De Nolhac, Lettres de J. du Bellay,
Paris
, 18S3. Faguet, XVIe siècle. Brunetière, Évoluti
le livre de B. Aneau. 195. Éditions : Odes (41), et Bocage, in-8°,
Paris
, 1550. (Privilège du 10 janvier 1549) ; Amours, e
2e livre, 1559. Œuvres (Amours, Odes, Poèmes, Hymnes), 4 vol. in-16,
Paris
, P. G. Buon, 1560. Élégie sur les troubles d’Ambr
calomnies, etc., 1563. Franciade (4 1.), 1572. Œuvres, 1 vol. in-f°,
Paris
, G. Buon, 1584 ; N. Buon, 2 vol. in-f°, 1623 ; de
18S7 et suiv. À consulter : A. de Rochambeau, la Famille de Ronsard,
Paris
, 1868 ; P. de Nolhac. le Dernier Amour de R., Par
mille de Ronsard, Paris, 1868 ; P. de Nolhac. le Dernier Amour de R.,
Paris
, 1882 ; Abbé Froger, R. ecclésiastique, 1882, in-
mère et de Pindare ; Faguet, xvie siècle ; Mellerio, Lexique de R.,
Paris
, 1895, in-16. 196. C’est le rythme de l’Avril d
elzév., 3 v. in-16, 1867. — À consulter : O. de Magny, par J. Favre,
Paris
, 1885. 201. Les Amours et Échanges des pierres
is, 1885. 201. Les Amours et Échanges des pierres précieuses, in-4,
Paris
, 1576. 202. Philippe Desportes, né en 1546, fut
vres de Philippe Des Portes, R. Estienne, in-4°, 1573 ; les Psaumes,
Paris
, 1603. Éd. A. Michiels, Paris, 1858. 203. Jean
. Estienne, in-4°, 1573 ; les Psaumes, Paris, 1603. Éd. A. Michiels,
Paris
, 1858. 203. Jean Passerat, de Troyes (1534-1602
cale. Ce sont, par exemple, les juges, les avocats, les procureurs de
Paris
, qui sont en cause et cruellement fustigés. L’avo
us êtes, voilà trois hameçons capables de prendre toutes les dupes de
Paris
. Car, enfin que vous l’entendiez, quand on veut f
meilleurs amis que j’aie au monde et les trois plus riches hommes de
Paris
. PERSILLET. Que puis-je faire pour leur service ?
ise que nous ayons cette pensée-là ! ARLEQUIN. On sait trop bien dans
Paris
que vous avez de l’argent par-dessus les yeux, et
s personnes ont entrepris d’amener à leurs dépens la rivière d’Ourq à
Paris
, dans la vue de vendre l’eau bien cher à ceux qui
petits collets fort peu demandés en hiver : Heureux les bourgeois de
Paris
, Quand le plumet court à la gloire ! Du beau sexe
éris, Sans combattre ils chantent victoire ; Heureux les bourgeois de
Paris
! L’été, les dames de Paris dirigent de préféren
tent victoire ; Heureux les bourgeois de Paris ! L’été, les dames de
Paris
dirigent de préférence leurs promenades vers la P
ilosophiquement cette idée : « Il ne serait pas mauvais qu’il y eût à
Paris
un pareil marché aux maris. Ce sont des pestes d’
la fin de ce siècle et de ce règne62. La scène italienne se releva à
Paris
, en 1716, sous le Régent ; elle recommença alors
82. 57. C’est-à-dire à vingt-cinq pour cent. 58. Les Promenades de
Paris
, comédie en trois actes, par Mongin, 6 juin 1695.
trois actes, par Boisfranc, 12 juillet 1696. 60. Les Promenades de
Paris
, acte II, scène iv. 61. Les Bains de la Porte S
-Bernard, acte III, scène ii. 62. Voyez les Annales de la Cour et de
Paris
pour les années 1697 et 1698, par Sandras de Cour
ts qu’il a choisis. Il tâcha dans ses premières années de s’établir à
Paris
avec plusieurs enfants de famille, qui par son ex
Dépit amoureux. En 1658, ses amis lui conseillèrent de s’approcher de
Paris
, en faisant venir sa Troupe dans une Ville voisin
n. Il y séjourna pendant l’Été, et après quelques voyages qu’il fit à
Paris
secrètement, il eut l’avantage de faire agréer se
ande estime, que sa Majesté donna ses Ordres pour établir sa Troupe à
Paris
. La Salle du Petit Bourbon lui fut accordée pour
utés L’Étourdi et Le Dépit amoureux, qui n’avaient jamais été joués à
Paris
. En 1659 Monsieur de Molière fit la Comédie des P
c une exactitude qui avait été inconnue jusques-là sur les Théâtre de
Paris
. Sa mort dont on a parlé diversement, fit inconti
Acteurs et Actrices des autres Troupes de Comédiens qui étaient dans
Paris
, pour n’en faire qu’une seule Compagnie. Ceux du
après la mort de Monsieur de Molière. Il n’y a plus présentement dans
Paris
que cette seule Compagnie de Comédiens du Roi ent
roupe est si nombreuse que fort souvent il y a Comédie à la Cour et à
Paris
en même jour sans que la Cour ni la Ville s’aperç
re ici les événements les plus marqués qui nous ont le plus frappés à
Paris
… Les habitants de la campagne ne sont plus que de
e profonde conviction que les princes et les courtisans, pour affamer
Paris
, font jeter les farines dans la Seine ». Là-dessu
manière plus leste que si vous étiez leur camarade » Aux environs de
Paris
, même attitude chez les paysans, et Mme Vigée-Leb
andits Mendiants et vagabonds Apparition des brigands Le peuple de
Paris
. Gens sans aveu, réfractaires de tout genre, g
bravent des lois terribles et sont armés. Déjà en 1752749, autour de
Paris
, on en voit « des rassemblements de cinquante à s
ondation, « les deux tiers des habitants sont dans la misère770 » ; à
Paris
, sur 650 000 habitants, le recensement de 1791 co
n aux dernières violences775 ». Après le sac de la maison Réveillon à
Paris
, on remarque que, « sur une quarantaine de mutins
ans leurs bouges. Ils en sortent par troupes, et tout d’un coup, dans
Paris
, quelles figures777 « On ne se souvient pas d’en
e, à six francs par tête, derrière lesquels le peuple va marcher. « À
Paris
, dit Mercier778, il est mou, pâle, petit, rabougr
cier s’inquiète en face de ce populaire immense. « Il y a peut-être à
Paris
deux cent mille individus qui n’ont pas en propri
ux ou trois mutins. » — Néanmoins, « si l’on abandonnait le peuple de
Paris
à son premier transport, s’il ne sentait plus der
s sont sans maîtres d’école ni presbytères » En 1778, le courrier de
Paris
n’arrive à Toulouse que trois fois par semaine ;
ainsi dire dans la solitude et dans l’exil. » En 1789, le courrier de
Paris
n’arrive à Besançon que trois fois par semaine (A
Gouverneur Morris, II, 69 (29 avril 1789). 739. Mercier, Tableau de
Paris
, XII, 83. 740. Vaublanc, 209. 741. Arthur Young
t en quelques endroits réveillé que des soupçons. » 746. Tableau de
Paris
, XII, 186. 747. Mme Vigée-Lebrun, I, 158 (1788),
n du 9 Thermidor. — Période de l’an III, — Les articles du Journal de
Paris
. — Madame de Staël. — Le général Bonaparte. — Vei
t pas de suite. En reparaissant vers le même temps dans le Journal de
Paris
(janvier 1795), Roederer eut à parler plus d’une
aite après la Terreur, qu’avant même de reparaître dans le Journal de
Paris
, il aidait activement de sa plume au réveil de l’
l ne reparut en son nom qu’au commencement de 1795 dans le Journal de
Paris
. La suite des articles intitulés « Esprit public
nt. Roederer n’eut pas seulement à donner son avis dans le Journal de
Paris
et dans un petit écrit de celle date intitulé Du
de recourir plus tôt qu’on ne pense à l’unité physique ». (Journal de
Paris
, 16 août 1795.) — Dès qu’il a vu la Convention so
li plus tard en trois volumes plusieurs de ses articles du Journal de
Paris
; mais il en est de cette date plus ancienne et q
ne presse, une imprimerie à lui, il en usait largement. Le Journal de
Paris
dont il était propriétaire, ne suffisant point à
heur. Elle était alors en Suisse, en grand désir de pouvoir revenir à
Paris
; elle souhaitait qu’on y parlât d’elle et de son
sérieux dans le Journal d’économie publique, mais pour le Journal de
Paris
elle désire plus et demande tout naïvement à être
esoin pour ce qui est de sa situation en France : Dans le Journal de
Paris
il m’importerait extrêmement qu’on saisît cette o
Roederer allait au-devant de son désir et donnait dans le Journal de
Paris
une analyse bienveillante qui se terminait en ces
’un tel ouvrage ne pouvaient être mieux faites qu’en Suisse : c’est à
Paris
que les amis du goût et de la philosophie sollici
le auquel Bonaparte faisait allusion, et qui était dans le Journal de
Paris
du 25 juillet 1796, avait pour but de signaler le
Sans doute il avait coopéré par de bons conseils, car il n’avait dans
Paris
aucune influence, et par son caractère il était h
e gouvernement et de Constitution, il ne cessait, dans son Journal de
Paris
, de soigner l’opinion du dehors, de l’éclairer et
ture ; c’est le Journal d’économie publique. 57. [NdA] Le Journal de
Paris
. 58. [NdA] Au tome IV, p. 240 et 360 du Mercure
il montrait avec un goût curieux de réalité certains lieux connus de
Paris
, la galerie du Palais avec ses marchands, ses bou
douze ans, était riche en déboires et en fatigues. Une fois établi à
Paris
, une fois en possession de la gloire et du succès
Versailles, à Saint-Germain, à Chambord, dans les ballets ; il joue à
Paris
dans ses pièces, dans celles des autres auteurs,
gne même pas l’Académie ni son Vaugelas. Né près du peuple, absent de
Paris
pendant douze années, il est resté à l’écart du t
du bel air, et qui singe grotesquement les manières de la cour et de
Paris
. Voici enfin la noblesse de Paris et de la cour :
ement les manières de la cour et de Paris. Voici enfin la noblesse de
Paris
et de la cour : le noble ruiné, qui se fait escro
e, etc. E. Fournier, le Théâtre français aux xvie et xviie siècles,
Paris
, in-8. Viollet-le-Duc, Anc. Théâtre français, Bib
ent Larivey). — À consulter : E. Chasles, la Comédie au xvie siècle,
Paris
, 1862. 378. On trouvera une farce de l’Hôtel de
Corneille (t. I et II) ; Thomas Corneille, Scarron, Rotrou, Quinault (
Paris
, 1739, 5 vol. in-12), Cyrano (Paris, 1858) ; E. F
eille, Scarron, Rotrou, Quinault (Paris, 1739, 5 vol. in-12), Cyrano (
Paris
, 1858) ; E. Fournier, recueil cité ; Viollet-le-D
laume et des Turlupin. 386. Biographie. Jean-Baptiste Poquelin, né à
Paris
, le 15 janvier 1622, fils de Jean Poquelin, tapis
Théâtre, qui tombe en déconfiture. A la fin de 1646, la troupe quitte
Paris
. Elle est signalée en 1648 à Nantes, Limoges, Bor
es, Bordeaux, Toulouse, en 1650 à Narbonne ; en 1651, Molière vient à
Paris
; en 1653, il est à Lyon, où il fait jouer l’Étou
lques semaines sans jouer. En 1668, il donne le Tartufe chez Condé, à
Paris
et à Chantilly. Enfin, 1669, le 5 février, la déf
février, la défense est levée, et Tartufe est représenté librement à
Paris
. Pendant ces cinq années de lutte, Molière avait
Amphitryon (1668) ; Georges Dandin (juil. 1668 à Versailles ; nov. à
Paris
) ; l’Avare (sept. 166S). Après le succès de la ca
du Tartufe, Monsieur de Pourceaugnac (sept. 1669 à Chambord ; nov. à
Paris
) ; en 1670. à Saint-Germain, dans le Divertisseme
ertissement royal, les Amants magnifiques ; à Chambord (octobre) et à
Paris
(novembre), le Bourgeois gentilhomme. En 1670 par
. 1671, à Saint-Germain, dans le Ballet des ballets ; juillet 1670, à
Paris
) ; les Femmes savantes (mars 1672) ; le Malade im
nçais sous Louis XIV, in-18. Dr Nivelet, Molière et Guy Patin, in-12,
Paris
, 18S0. H. Becque, Molière et l’Ecole des femmes (
-8, 1893. Don Juan et la Critique espagnole, tr. par Magnabal, in-18,
Paris
, 1893. Brunetière, Études critiques, t. 1 et IV ;
aron d’Albikrac, Don César d’Avalos. — Édition : Œuvres, vol. in-12,
Paris
, 1722. — À consulter : G. Reynier, Th. Corneille,
ctère est d’un très honnête homme. — Édition : Théâtre, 3 vol. in-12,
Paris
, 1694 et 1725. 397. La Devineresse (1679) qui e
Esope à la cour, de Boursault. 399. J.-F. Regnard (1655-1709), né à
Paris
, fils d’un riche bourgeois, voyagea en Italie, en
on et à Baveux, l’Assomption à Bayeux, la Résurrection à Cambrai et à
Paris
, un Jeu de sainte Catherine à Lille ; on atteint
t ravi et si vite lassé, comment il veut se démarier, et s’en aller à
Paris
étudier : écoutez ces propos salés et mordants de
ries. Éditions : Hilarii versus et ludi, pub. p. Champollion-Figeac,
Paris
. 1838. Conssemaker. Drames liturgiques, Rennes, 1
rois Maries). Fr. Michel et Monmerqué, Théâtre français au moyen âge,
Paris
, 1839 (Vierges folles ; Prophètes du Christ (lati
de Jean Bodel, etc.). Adam, mystère du xiie siècle, éd. L. Palustre,
Paris
, 1877 ; éd. K. Grass (Rom. Biblioth., vi), 1891.
, publ. par G. Paris et U. Robert, 8 vol. in-8, Soc. des Anc. textes,
Paris
, 1879 et suiv. ; les neuf dernières pièces du rec
Cangé. À consulter : Petit de Julleville, les Mystères, 2 vol. in-8,
Paris
, 1880. On y trouvera une bibliographie très compl
Gautier, Histoire de la poésie liturgique au moyen âge : les tropes,
Paris
, 1886. W. Creizenach, Geschichte des neueren Dram
146. Éditions : Adam de la Halle, Œuvres complètes, éd. Coussemaker,
Paris
. 1872. Fr. Michel et Monmerqué, Théâtre français
I. VII, p. 135-193 (Soc. des Anc. textes). Le Mystère de Griselidis,
Paris
, 1832, in-4 gothique. À consulter : Petit de Jull
hique. À consulter : Petit de Julleville, les Comédiens au moyen âge,
Paris
, in-12, 1335 ; la Comédie et les mœurs en France
Paris, in-12, 1335 ; la Comédie et les mœurs en France au moyen tige,
Paris
, in-12. 1886 ; Répertoire comique eu France au mo
tige, Paris, in-12. 1886 ; Répertoire comique eu France au moyen âge,
Paris
, in-8, 1886. Bédier, les Commencements du théâtre
r être clerc, se maria, le regretta, fit au moins le projet d’aller à
Paris
reprendre ses études, et composa à cette occasion
e d’horloger, jusqu’à sa tombe, dans le jardin d’un grand seigneur de
Paris
. Âme cynique dans son enfance, vicieuse dans sa j
naïveté pour la corrompre ; ils rappellent ces théâtres licencieux de
Paris
, au dernier siècle, où l’on faisait jouer à l’inn
our sa jeunesse, et lui donne de l’argent et des recommandations pour
Paris
; il arrive à Lyon, reçoit des nouvelles de madam
n idée évanouie, quitte pour jamais sa malheureuse amie, et accourt à
Paris
chargé de rêves et d’un système pour écrire la mu
vait sollicitées à Lyon de cette famille obligeante, l’introduisent à
Paris
dans la société de quelques hommes de lettres et
ciété le lance de plein saut dans le cercle le plus aristocratique de
Paris
, au milieu de femmes de cour et d’hommes de lettr
il consommait ses derniers quinze louis dans une presque indigence à
Paris
. XIV Arrivé à Venise, il dénigre ouvertemen
xes d’intérieur, les seules traces de sa résidence à Venise. Rentré à
Paris
, il s’acharne sur le caractère et sur l’ineptie d
salaire des mains de M. de Montaigu quelque temps après son retour à
Paris
. Les invectives de Rousseau contre l’ambassadeur
rencontra une jeune ouvrière de province, nièce de l’hôtesse, venue à
Paris
pour y vivre de son aiguille. Il s’attache à elle
ressemble à une idylle dans les faubourgs et dans les guinguettes de
Paris
, refuse cependant de le consacrer par le mariage
a musique le jettent dans la société artiste, lettrée, licencieuse de
Paris
. Il joue chez madame la marquise d’Épinay, femme
l’opéra du Devin du village donné à Fontainebleau devant le roi, et à
Paris
l’année suivante, fit éclater de nouveau le nom d
é et subalternisé la renommée du Génevois, l’en éloigne. Il revient à
Paris
, et accepte un ermitage d’opéra dans le coin du j
indigence toutefois plus ostentatoire que réelle. Il avait renvoyé à
Paris
, assez durement, la mère octogénaire de Thérèse.
cour ; il affectait des principes austères de Romain, et il tenait à
Paris
ou à l’Île-Adam, près de Montmorency, une cour de
et sa maison pour l’abriter contre les persécutions et les exils dont
Paris
menace l’écrivain d’Émile et d’Héloïse. XXIV
la vertu de l’intelligence. XXV À la première rumeur produite à
Paris
par l’apparition de son livre, il se sauve à Moti
Suisse. XXVI Un nouveau caprice de son imagination le rejette à
Paris
. Son costume d’Arménien le fait suivre dans les r
: il s’éloigne en le plaignant et en le méprisant. Rousseau revient à
Paris
, y continue une vie inquiète et inexplicable, moi
fortune de cette femme baisser, épuise sa pauvre bourse pour aller à
Paris
chercher quelque autre fortune de hasard, sans se
sa dégradation ! Voilà un soi-disant sage qui s’insinue en arrivant à
Paris
, comme Socrate chez Aspasie, parmi les femmes de
en fait justement congédier, et qui revient calomnier et invectiver à
Paris
le caractère de son maître et de son protecteur,
s protectrices et de tous ses protecteurs dans la société opulente de
Paris
; qui renonce forcément, par suite de ce soulèvem
n convertisseur, et qui revient faire des constitutions de commande à
Paris
, pour la Pologne et pour la Corse, dont il ne con
! Victor Hugo, au lieu de signer ce livre : Mes premières années de
Paris
42, fastueusement Victor Hugo, comme tous les aut
rie, sous le déguisement de son nom. Personne donc, personne, dans ce
Paris
d’esprit, n’a reconnu le front immense et légenda
péré, un sobre, un vrai, un naïf ; mais, dans les Premières années de
Paris
, il est certainement moins fou, moins échevelé et
ens donc Victor Hugo pour l’auteur du livre : Mes premières années de
Paris
, d’abord par respect pour lui, et ensuite parce q
Mais cela n’est pas seul. Vous pouvez prendre Mes premières années de
Paris
pièce par pièce, page par page, vers par vers, mo
le Hugo des derniers temps, le Hugo sans fierté, à plat ventre devant
Paris
, quoique Paris, pour lui, ce soit surtout Hugo !
niers temps, le Hugo sans fierté, à plat ventre devant Paris, quoique
Paris
, pour lui, ce soit surtout Hugo ! Que suis-je po
ugo qui a pensé, écrit, rimé, enjambé ce livre des Premières années à
Paris
, publié sous le nom de Vacquerie. Si Auguste Vacq
que Vacquerie, si c’est lui qui, en ce livre des Premières années de
Paris
, hugotise avec cette perfection, ébréche sa divin
s complètement pendant leur cohabitation à Florence, à leur retour de
Paris
et de Londres en 1793. Son sonnet licencieux sur
à l’aristocratie européenne ; elle l’emmena dans tous ses voyages, à
Paris
en 1810, à Naples en 1812 ; elle vécut enfin sans
vale plus débordante de feu que Mlle Rachel, Mme Ristori, est venue à
Paris
et à Londres représenter devant le pays de Racine
ciété de Fabre la vie élégante et princière qu’elle avait commencée à
Paris
avant la révolution. Elle recevait des amis assid
tard l’impératrice Joséphine Beauharnais. Joséphine lui répondit : «
Paris
, 1801. « Combien je vous remercie, ma chère amie,
princesse. » Mme de Staël, qui l’avait beaucoup connue et cultivée à
Paris
, de 1789 à 1793, lui écrivit un billet de condolé
roce, malgré la véhémente réclamation du clergé. Mme d’Albany était à
Paris
et conversait avec Bonaparte, auprès de qui elle
ait point rompre avec les connaissances de Mme de Staël à Coppet et à
Paris
, et elle voulait moins encore se déclarer en host
l eût assez de fermeté dans le caractère pour renoncer complètement à
Paris
et ne faire plus aucune démarche pour s’en approc
ne lui reste que peu d’attachements intimes sur la terre, et hors de
Paris
elle se trouve exilée de ce qui remplace pour ell
Révolution. On nous annonce pour l’été la plus brillante compagnie de
Paris
: à la bonne heure, je ne suis curieux de rien, e
. » IX En 1810, l’empereur sachant l’arrivée de Mme d’Albany à
Paris
, la reçut bien, et lui parla en souverain qui veu
oïque chez la reine d’Angleterre. Elle arriva donc avec Fabre dans ce
Paris
qu’elle avait quitté dix-sept années auparavant,
e de changements dans sa destinée ! Que de différences aussi entre le
Paris
du 10 août et le Paris de 1809 ! Une seule ressem
a destinée ! Que de différences aussi entre le Paris du 10 août et le
Paris
de 1809 ! Une seule ressemblance rapprochait les
les Toscans et les Français. C’est pour cela que je vous ai appelée à
Paris
, où vous pourrez tout à loisir satisfaire votre g
pparence, nous marchons rapidement au dénouement. Le sénat assemblé à
Paris
sous les yeux des armées étrangères déposera l’em
u’ils en soient à beaucoup d’égards très affligés ! J’ai dit, quand à
Paris
la nouvelle de cet affreux débarquement de Bonapa
te dans une solitude opulente de l’Alsace. Son mari meurt. Ils vont à
Paris
pour soigner leurs intérêts royaux auprès du gouv
btenir une pension pour la veuve des Stuarts. Il réussit et revient à
Paris
. Le peuple révolutionné triomphe au 10 août. Il
i a chanté le 14 juillet invective le 10 août ! Menacé à sa sortie de
Paris
par la populace, il devient sans pudeur l’ennemi
jure ne risque pas de mourir avec lui. Et pendant que le sang coule à
Paris
, il joue à Florence ses rôles de tragédie. Except
t des conférences de La Fère, il s’était passé de graves événements à
Paris
. Les Seize et la faction des zélés, déjoués d’abo
t du président Brisson et des conseillers Larcher et Tardif, courut à
Paris
, se saisit des coupables, en fit pendre quatre de
ns reprit décidément courage ; les colonels de la garde bourgeoise de
Paris
, dont la grande majorité était modérée, s’entendi
positivement la plus directe influence, ce fut le choix qu’on fit de
Paris
plutôt que de toute autre ville, pour la tenue de
te autre ville, pour la tenue des États généraux de 1593. L’esprit de
Paris
, et les variations qu’il subit durant les quatre
ce sentiment qu’à un petit nombre, et se montre disposé à croire que
Paris
, en cette circonstance, soutint et supporta ce si
rter la Terreur. Quoi qu’il en soit de cette explication, l’esprit de
Paris
s’était fort modifié depuis lors ; les Seize et l
rs, « le reste de la ville était las d’eux et de la guerre ». Choisir
Paris
pour le lieu de la tenue des États était donc un
ats siégeaient et de les tenir en sujétion ; c’était à la fois brider
Paris
, en y étant présent, et pouvoir aviser à tout. L’
que le duc de Mayenne et ses adhérents venaient de prêter derechef à
Paris
sur les saints Évangiles, le 23 juillet 1593, dev
osa être un vaincu. Chacun faisait sa paix ; le roi était converti ;
Paris
était rendu. Villeroi était à la veille de redeve
oir aujourd’hui, après quelques-uns de ses vers, ce sont ses lettres.
M. Louis Paris
, estimable frère du spirituel académicien, vient
eau-Thierry ses études, et certainement les continua et les termina à
Paris
. Au sortir des écoles, il se trouva être de la fl
ait pour la chicane le dégoûtèrent bientôt de son métier. » Il quitta
Paris
d’assez bonne heure pour aller à Reims et y être
x. Mlle de Joyeuse devint la marquise de Brosses, et Maucroix, soit à
Paris
où il était allé se distraire, soit de retour à R
ien réfléchi. Qu’une grave maladie le prenne, comme cela lui arriva à
Paris
, où il se trouvait au printemps de 1682 en qualit
t si naturellement rendu a bien du prix : Le 13 avril 1695, mourut à
Paris
mon très cher et très fidèle ami M. de La Fontain
sposition. Ses vers portent le cachet de la date à laquelle il quitta
Paris
. Règle générale : pour les poètes et gens de lett
s lettres de Maucroix, publiées aujourd’hui pour la première fois par
M. Louis Paris
, nous apprend tout ce qu’on peut désirer, sinon s
ite d’être rappelé un peu plus au long, c’est le rôle qu’il remplit à
Paris
à la fameuse Assemblée du clergé de 1682, laquell
et conducteur Bossuet, et, on peut dire, pour meneurs l’archevêque de
Paris
M. de Harlay, et l’archevêque de Reims M. Le Tell
avec élégance. Les lettres qu’il écrit durant le temps de ce séjour à
Paris
à son ami le chanoine Favart nous peignent à ravi
tion ne me regardent pas : je n’ai qu’à m’énoncer. S’il avait vécu à
Paris
, sa plume élégante et qui cherchait des sujets où
es. (Voir ce rapport dans l’Appendice à la fin du volume.) 45. [NdA]
M. Louis Paris
paraît croire qu’il faut écrire hombre le jeu de
rsqu’ils représentent des intérêts opposés dans l’affaire des eaux de
Paris
. En quelques mois, sous la direction de Panchaud
ns tous les débats auxquels les élections donnèrent lieu. Il arriva à
Paris
précédé d’une réputation que justifièrent ses déb
626. A consulter : A. Chabrier, les Orateurs politiques de la France,
Paris
, in-12, 1888 ; F. A. Aulard, les Orateurs de l’As
en 1791.Éditions : Lettres originales écrites du Donjon de Vincennes,
Paris
, 1792, 4 vol. in-8 ; Corr. de M. avec Cerutti, 17
e major Mauvillon), Brunswick, 1792, in-8 ; Lettres de M. à Chamfort,
Paris
, 1790, in-8 ; Lettres inédites, etc., 1806, in-8
tres inédites, etc., 1806, in-8 ; Corr. de M. et du comte de la Mark,
Paris
, 1854, 3 vol. in-8 ; Œuvres oratoires de M., Pari
comte de la Mark, Paris, 1854, 3 vol. in-8 ; Œuvres oratoires de M.,
Paris
, 1819, 2 vol. in-8. — A consulter : Lucas Montign
; L. de Loménie (continué par Ch. de L.), les Mirabeau, 5 vol. in-8,
Paris
, 1889-1892. Guibal, Mirabeau et la Provence, Pari
beau, 5 vol. in-8, Paris, 1889-1892. Guibal, Mirabeau et la Provence,
Paris
, 1891, 2 vol. E. Faguet, xviiie siècle. 628.
tituante, émigré, rentre en 1804, est fait par Napoléon archevêque de
Paris
, et meurt à Rome. — J.-A. de Cazalès (1752-1805),
Gironde à la Législative et à la Convention, fut arrêté et exécuté à
Paris
en 1793. — Isnard, né à Draguignan entre 1750 et
député de Marseille à la Convention, décapité en 1794. — Louvet, né à
Paris
en 1700, publia son Faublas de 1787 à 1790, fut d
député du Loiret à la Convention, se cacha dans le Jura, et rentra à
Paris
après le 9 Thermidor ; il fut élu aux Cinq-Cents,
’il parut présenter assez de surface, il fut soumis à l’archevêque de
Paris
qui, un an plus tard, l’approuva officiellement e
s malheurs de la France, nous promettons de contribuer à l’érection à
Paris
d’un sanctuaire dédié au Sacré-Cœur de Jésus. »
mes, au cours d’une lettre en date du cinq mars 1873, l’archevêque de
Paris
présenta la demande au ministre des cultes, M. Ju
ble objet : « 1° D’approuver la proposition faite par l’archevêque de
Paris
d’ériger sur la colline de Montmartre en un point
avoir à établir une église à Montmartre… Lorsqu’il s’agit d’établir à
Paris
, dans ce grand foyer de la Révolution et de la li
nsée ? Ce que vous cherchez à éteindre dans la population en masse de
Paris
, c’est ce que vous appelez, ce que le parti milit
tre, conformément à la demande qui en a été faite par l’archevêque de
Paris
dans sa lettre du 5 mars 1873, adressée au minist
2. — L’emplacement de cet édifice sera déterminé par l’archevêque de
Paris
, de concert avec le préfet de la Seine, avant l’e
par le titre ii de la loi du 3 mai 1841. « Art. 3. — L’archevêque de
Paris
, tant en son nom qu’au nom de ses successeurs, es
dait que de déclarer « d’utilité publique » l’érection d’une église à
Paris
, eut la faiblesse coupable de voter. L’utilité pu
ù se fondaient les fumées blanches essaimées de toitures, enveloppait
Paris
d’un vague et radieux frémissement qui noyait les
ière a disparu de nos regards ; nous ne voyons plus que l’ensemble de
Paris
, sa personne collective, pareille à un Océan de l
e race glorifiée. En face de cette clarté et de cet horizon, dominant
Paris
prodigieux et comme porté sur ses vagues, au lieu
Paris
, 8 février 1885. Chronique de Janvier Dram
onsidérable ; l’œuvre de Wagner accapare toute l’attention ; ainsi, à
Paris
, chacun s’occupe de ses drames que nul théâtre ne
le drame. Wagnérisme La publication d’une Revue wagnérienne, à
Paris
, est chose assurément utile et qui vient à son te
evé en 1859, à Venise ; Wagner ne l’emporta pas à Rio-Janeiro, mais à
Paris
. Au mois de février 1860, il donna ses concerts d
Camille Benoit (Souvenirs de Richard Wagner). Aux concerts de 1860, à
Paris
, il paraît que l’impression générale fut bonne ;
le drame nouveau de Richard Wagner. C’est dans la Revue Populaire de
Paris
de 1867 qu’on peut lire les deux articles où Tiss
and pour la première fois par Camille Benoîtac (Charpentier, éditeur,
Paris
(1884)). Dans ce volume se trouvent rassemblés di
nirs sur Spontini ; 5. Lettre au sujet de l’exécution de Tannhæuser à
Paris
(1861) ; 6. Souvenirs sur Schnorr (le créateur de
d festival à Vienne et, sans doute, aussi — le projet est étudié, — à
Paris
. Mlle Augusta Holmèsag, l’auteur de Lutèce et des
mie à 5 heures et demie. 2. Un volume in-8°, chez Didier, éditeur,
Paris
, 1861. [NdA] 3. Iseult, par Judith Gautier, un
eult, par Judith Gautier, un volume in-18, chez Marpon et Flammarion,
Paris
, 1885. [NdA] y. Le premier article de la Revue w
d’histoire de l’art à l’école nationale supérieure des Beaux-Arts de
Paris
. Il publia de nombreux articles dans Le Figaro et
apes de sa vie, de sa pensée et de son temps, paru de façon posthume (
Paris
, hachette, 1923). Il connut Wagner et Mathilde We
légende du Parnasse contemporain (Bruxelles, 1884) ; Richard Wagner, (
Paris
, 1886), ainsi que Le roi vierge (Paris, 1881). Co
lles, 1884) ; Richard Wagner, (Paris, 1886), ainsi que Le roi vierge (
Paris
, 1881). Compositeur et musicographe, Camille Beno
aîtres chanteurs. Il publia en 1885 ses souvenirs sur le compositeur (
Paris
, Charpentier). Paul Scudo (1806-1864) était un cr
l’article fondateur de Baudelaire : « Richard Wagner et Tannhäuser à
Paris
» (Revue européenne, 1er avril 1861) et celui de
en 1860. Son ouvrage La nouvelle Allemagne musicale. Richard Wagner (
Paris
, 1866) est capital en ce qui concerne les théorie
on Cécile Leblanc (Wagnérisme et création en France, Honoré Champion,
Paris
2005), l’aspect le plus moderne des travaux de la
uterie et des charcutiers dans le livre de M. Zola, dans ce Ventre de
Paris
qui est la Halle, sans métaphore. Tous les genres
le société française : le Matérialisme et la Démocratie. Le Ventre de
Paris
(je parle du livre de M. Zola) est la dernière ex
nt à son heure dans la suite des temps. Il y a entre la Notre-Dame de
Paris
, dont l’idée première a frappé certainement la tê
rappé certainement la tête de M. Zola ; il y a entre la Notre-Dame de
Paris
et Le Ventre de Paris assez d’espace pour qu’on y
tête de M. Zola ; il y a entre la Notre-Dame de Paris et Le Ventre de
Paris
assez d’espace pour qu’on y ait vu passer bien de
scendre ! M. Zola peut se nommer après ces noms fameux. Son Ventre de
Paris
est l’œuvre à présent la plus avancée (et vous po
gique affreux (le tragique dans l’immonde !) que n’a pas Le Ventre de
Paris
. Il était encore, en ce temps de Thérèse Raquin,
dis-je ? tout charcutier qu’il soit de préférence (dans son Ventre de
Paris
la seule femme un peu intéressante qu’il y ait es
des idées. Le drame humain qui se noue et se dénoue dans ce Ventre de
Paris
, où il n’y a, comme dans le ventre de l’homme, qu
vre revenir de Cayenne, d’où il s’est sauvé, pour vivre caché dans ce
Paris
qui engouffre également tous les crimes et toutes
ent tous les crimes et toutes les misères. Mais l’auteur du Ventre de
Paris
n’avait inventé son héros que pour les besoins de
Halle tout entière. Nous n’aurions pas eu l’intérieur de ce Ventre de
Paris
, avec toutes les industries qui en sont comme le
e talent que Dieu, peut-être, leur avait donné. L’auteur du Ventre de
Paris
, dont la chair, pour parler comme lui, est faite
… VI18 Nous en étions restés sur le joli souvenir du Ventre de
Paris
, cette haute pièce montée de charcuterie, que M.
ien autres choses que les quelques porcheries innocentes du Ventre de
Paris
. Elles n’étaient que de la fantaisie, — grossière
de l’abbé Mouret n’est plus une farce nauséabonde comme Le Ventre de
Paris
, avec sa fameuse description de fromages dont on
re, La Faute de l’abbé Mouret est de la même famille que Le Ventre de
Paris
. La sœur de l’abbé Mouret est une grande et forte
st que l’enseigne d’un des mille abominables cabarets de ce splendide
Paris
que Victor Hugo appelle la Cité-Lumière, et le th
it à descendre ?… La boue, ce n’est pas infini ! 17. Le Ventre de
Paris
(Constitutionnel, 14 juillet 1873). 18. La Faut
Goschler, ancien directeur ecclésiastique d’une grande institution de
Paris
. C’est la triple correspondance du père de Mozart
Rhin sans plus de succès, s’arrêtent à Bruxelles, et viennent enfin à
Paris
. Leur réputation les y avait devancés ; ils sont
u l’en retirer. Je veille sur lui tellement qu’être à Salzbourg, ou à
Paris
, ou en voyage, c’est pour lui même chose ; c’est
nstruit et un grand philanthrope. Aucune des lettres que j’avais pour
Paris
ne m’aurait absolument servi à rien, ni les lettr
e France à Vienne, ni l’intervention de l’ambassadeur de l’empereur à
Paris
, ni les recommandations du ministre de Bruxelles,
n bon cœur ! Il est de Ratisbonne, mais il y a quinze ans qu’il est à
Paris
; il sait tout mettre en train et faire réussir l
a froideur des Anglais pour son art, revient en Hollande, repasse par
Paris
, rentre en Allemagne par la Suisse, est arrêtée à
la famille. La mère renvoie sa fille à son père et emmène son fils à
Paris
; ils y passent deux ans à chercher et à attendre
olent, s’entraînent, se confient à travers la distance de Salzbourg à
Paris
et de Paris à Salzbourg. C’est le poème intime de
raînent, se confient à travers la distance de Salzbourg à Paris et de
Paris
à Salzbourg. C’est le poème intime de la douleur,
la maison auprès de son père. La mère et le fils allaient partir pour
Paris
. Léopold Mozart à sa Femme et à son fils, à Mun
mandation de l’âme à son fils pour le préserver contre les dangers de
Paris
, et pour faire en même temps devant Dieu, devant
si parfait. « Tous ceux qui disent que tes compositions réussiront à
Paris
ont raison, et tu es convaincu comme moi que tu e
dans tous les genres. Tu n’as pas à t’inquiéter des leçons à donner à
Paris
. D’abord, personne n’ira dès ton arrivée renvoyer
btenir des souscriptions pour tes compositions. Les dames sont tout à
Paris
: elles sont grands amateurs du clavecin, et il y
chose de toi. Relis les témoignages de nos anciennes connaissances à
Paris
. Ce sont tous, ou du moins la plupart, les plus g
t il ne faut pas que tu t’imagines que c’est par préjugé que je tiens
Paris
pour une ville si dangereuse ; au contraire, je n
ntraire, je n’ai, par ma propre expérience, aucun motif de considérer
Paris
comme dangereux ; mais ma situation d’alors et ta
eurs, d’imposteurs, jeunes ou vieux, qu’on rencontre dans le monde de
Paris
. On se laisse entraîner on ne sait comment, et on
re qui était devenue pour lui tout un univers pendant son isolement à
Paris
. Il avait trouvé à Paris quelques leçons à donne
lui tout un univers pendant son isolement à Paris. Il avait trouvé à
Paris
quelques leçons à donner et quelques concerts pou
’histoire de tous les siècles. Lisez celle-ci : Le fils au père. «
Paris
, le 1er mai 1778. « Nous avons reçu votre lettre
yen d’aller à pied ; tout est trop loin, et il y a trop de boue ; car
Paris
est une ville horriblement boueuse, et pour aller
es gens ! On ne croit pas de loin combien cela est fatal. En général,
Paris
a beaucoup changé. » Quand on pense que ce pauvre
de, le plus amer c’est l’ignorance de ses juges. « S’il y avait ici à
Paris
, s’écrie-t-il en versant tous ces déboires dans l
pas au monde, ne croyez pas que j’exagère, une ville plus sourde que
Paris
. Je remercierai le Dieu tout-puissant si j’en rev
ire accepter sans mourir. Wolfgang Mozart à M. l’abbé Bullinger. «
Paris
, 3 juillet 1778. « Excellent ami (pour vous tout
vide de sa mère, dans une chambre haute et sombre d’une hôtellerie à
Paris
; et, pour comble de contraste entre son cœur et
s régions de la France où la langue française est indigène ; ainsi, à
Paris
). Vaugelas, très positif et très utilitaire, donn
ivet, Histoire de l’Académie française, édit. Ch. Livet, 2 vol. in-8,
Paris
, Didier, 1838 ; H. Kerviler, la Bretagne à l’Acad
n du duc d’Orléans.Éditions :Remarques sur la langue française, in-4,
Paris
, 1647 ; Quinte-Curce (traduction), in-4. Paris, 1
angue française, in-4, Paris, 1647 ; Quinte-Curce (traduction), in-4.
Paris
, 1653, édit. de Conrart et Chapelain ;, 1659 (édi
Patru). 300. Éditions : Dictionnaire de l’Académie, 2 vol. in-fol.,
Paris
, 1694 ; Furetière, Dictionnaire universel, 2 vol.
té, in-4, 1651 ; Ménage, Observations sur la langue française, in-12,
Paris
, 1673 ; Bouhours, Doutes sur la langue française,
in-12, Paris, 1673 ; Bouhours, Doutes sur la langue française, in-12,
Paris
, 1674 ; Th. Corneille, Observations sur les remar
ille, Observations sur les remarques de M. de Vaugelas, 2 vol. in-12,
Paris
, 1705 ; Opuscules sur la litt. fr. par divers Aca
es sur la litt. fr. par divers Académiciens (Dangeau, Choisy), in-12,
Paris
, 1754. — Pour la suite du travail académique au x
que. L’oratoire leur est, en partie, redevable de son établissement à
Paris
: leur fameux P. Coton le facilita. Ce jésuite, c
ts particuliers qui révoltent. Le cardinal de Noailles, archevêque de
Paris
, ne voulut pas qu’on eut à lui reprocher une pare
ssi les regarda-t-il toujours comme son ouvrage. Devenu archevêque de
Paris
, il les vanta. Les ennemis de ce livre lui parure
eurent sa confiance. Il les dédommagea de tout ce que l’archevêque de
Paris
, M. de Harlai, leur avoit fait souffrir. On a par
momens, est remarquable. « Je, soussigné, Pasquier Quesnel, natif de
Paris
, prêtre de l’oratoire de France, me trouvant au l
morales ; mais ce décret ne fut point reçu en France. Le parlement de
Paris
y trouva des nullités. D’ailleurs on avoit à se p
ue la bulle « n’eût pas été reçue avec plus d’indignité à Genève qu’à
Paris
». L’autre, étant évêque de Fréjus, s’écrioit, da
orale la plus pure. Une nombreuse assemblée d’évêques fut convoquée à
Paris
. Les uns acceptèrent la bulle, moyennant quelques
: leur respect est un ménagement pour votre personne. L’archevêque de
Paris
, ayant défense de paroître à Versailles, acquit u
t du siècle. Ils triomphoient d’avoir subjugué le pieux archevêque de
Paris
; mais on observa qu’il étoit alors avancé en âge
t imprimés. Un prédicateur les débitoit, il n’y a pas longtemps, dans
Paris
, avec la même confiance que s’ils eussent été de
de. Des personnes bien instruites assurent qu’il vivoit obscurément à
Paris
dans la pénitence, tout entier aux bonnes œuvres,
nce & la fourberie, il ne faut point omettre l’histoire du diacre
Paris
, appellant & réappellant, enterré dans le cim
les. Bientôt saint Médard ne fut plus rien dans son église. Le diacre
Paris
étoit appellé Saint Paris : on ne parloit que de
édard ne fut plus rien dans son église. Le diacre Paris étoit appellé
Saint Paris
: on ne parloit que de ses guérisons. Quelques fe
ais ils furent pénétrés. L’enthousiasme baissa : le tombeau du diacre
Paris
devint le tombeau du jansénisme. Il ne subsista g
it procéder contr’eux, lorsqu’ils prirent la suite. Les oratoriens de
Paris
n’étoient pas à couvert de l’orage ; on les frapp
fourni le collège de Louis-le-Grand & la maison de l’oratoire de
Paris
. Malgré toutes les secousses violentes pour faire
les jésuites. C e séminaire est une société de prêtres établis à
Paris
, pour aller, de-là, prêcher l’évangile dans toute
au pape, signée du supérieur & du directeur de leur séminaire de
Paris
. Pourquoi faut-il que le zèle s’exprime avec tant
dente. La revoquer en doute, c’étoit contester que « la seine passe à
Paris
, & qu’il y a un collège appellé la Sorbonne »
toit en France principalement qu’on cherchoit à les perdre : c’est de
Paris
qu’on souffloit le feu de la discorde. On y repré
à Oxfort. D’autres prétendent qu’elle avoit auparavant été proposée à
Paris
. On trouve la manière de la faire dans les journa
ournaux d’Angleterre & de France de l’année 1667. Le parlement de
Paris
vit des abus, & défendit, cette même année, p
lus ou moins admirables. Vers la fin du siècle passé, les médecins de
Paris
eurent ensemble beaucoup d’autres contestations,
ette défense. Au lieu de prendre du petit pain chez les boulangers de
Paris
, il en achetoit de ceux de Gonesse. De fort honnê
usoient ainsi. L’ordre de la police étoit troublé. Les boulangers de
Paris
se plaignirent, & dirent qu’ils avoient seuls
langers de se servir de levure, à condition qu’elle seroit prise dans
Paris
, fraîche & non corrompue. Ces détails paroîtr
s qui nous ont été faites par les chirurgiens de notre bonne ville de
Paris
, sur la nécessité d’exiger la qualité de maître-è
n de ses ouvrages, Andry, docteur régent de la faculté de médecine de
Paris
, & journaliste des sçavans. « Les médecins, d
leur mort. Dans le préambule de la même ordonnance, que la faculté de
Paris
n’a eu garde d’enregistrer, il est dit que les mé
est comme les aveugles provinciaux qui ne sçavent point les êtres de
Paris
. Les quinze-vingt vont à tâtons par les rues, &am
hés aux arts libéraux, & dont jouissent les notables bourgeois de
Paris
. Cependant elle n’entend point que les titres d’é
ribuent aucun des droits des membres & suppôts de l’université de
Paris
. Ainsi le collège de chirurgie doit être considér
les Sixte-quint ; les plus célèbres universités de l’Europe, celle de
Paris
, d’Oxford & de Cologne ; la dernière, accompa
hique, ils l’auroient dit au philosophe & non pas à l’auteur ». A
Paris
, le cri général fut contre M. d’Alembert. Ses par
isme. Son premier soin est d’établir, dans les différens quartiers de
Paris
, des espions secrets, pour lui rendre un compte e
Il les y crayonne ainsi : … Je sçais tant de juges coupables Dedans
Paris
, que, par pécune prinse, Ou par amis ou par leur
revenir donques à mon propos, Rhadamantus aveques ses suppots, Dedans
Paris
, combien que fusse à Blois, Encontre moi fait ses
n royaume, rappella l’illustre exilé. Marot vécut très-agréablement à
Paris
depuis ce temps jusqu’à l’année 1543, qu’il voulu
e. On mit ceux de Marot en musique : ils acquirent un nouveau mérite.
Paris
, Genève & Londres retentirent de ces chants.
e au mois de février 1506. A l’âge de quatorze ans, il vint étudier à
Paris
. La misère & des maladies l’obligèrent de ret
donna dès son arrivée, le firent connoître dans toute l’université de
Paris
. Il fut professeur au collège de sainte Barbe, de
n le jeune, préféroit cette paraphrase des pseaumes à l’archevêché de
Paris
, ainsi que Passerat préféroit au duché de Milan l
courtisannes publiques. Sans mœurs, il étoit encore sans principes. A
Paris
, il se fit luthérien. Sponde assure qu’on le trou
religion. Il revient en France, passe ensuite en Portugal, retourne à
Paris
, ne fait qu’aller par inquiétude d’un royaume en
is elle amusera. « Ce libertin ayant passé sa jeunesse débauchée dans
Paris
& dans Bordeaux, plus soigneux du lierre, des
ge à Jean Gerson, docteur célèbre & chancelier de l’université de
Paris
; les autres en ont fait honneur à l’abbé Gersen
nné celui-là. Théophraste Renaudot, avec la faculté de médecine de
Paris
. T héophraste Renaudot, né à Loudun, étoit un
dégrés de docteur dans la faculté de médecine de Montpellier, vint à
Paris
en 1612 : il commença par se munir d’un brevet de
pulaire qu’il avoit obtenue, indisposèrent contre lui les médecins de
Paris
, & leur donnèrent de l’ombrage. Ils crièrent
ui, à tous ses adhérans & adjoints, non médecins de la faculté de
Paris
, d’exercer à l’avenir la médecine, de donner des
s le bureau d’adresse ou autres lieux de la ville & fauxbourgs de
Paris
. Renaudot en appelle au parlement : il demande d’
s pour parvenir à la qualité de docteurs en médecine de la faculté de
Paris
, cette même faculté leur refusoit le bonnet par a
decin de Montpellier, on n’avoit pas le droit d’exercer la médecine à
Paris
. Sur quoi l’ancienneté & la prééminence des d
eté & la prééminence des deux facultés furent examinées. Celle de
Paris
eut tous les éloges. On rapporta le nombre d’acte
& le droit des évêques ne le souffrent pas. Ainsi l’université de
Paris
ne reconnoît que les sujets qu’elle a formés ou a
qualité de commissaire général des pauvres valides & invalides de
Paris
. « Il s’est vanté, disoit-on, de réformer les hôp
nduire un malade, sans avoir été honorées du bonnet doctoral, soit de
Paris
, soit des provinces ; mais l’on ajouta que les ex
ec les bénédictins. C et effrayant réformateur de la Trappe, né à
Paris
le 9 janvier 1626, est un des plus grands exemple
e de Veret trois cent mille livres, pour les donner à l’Hôtel-Dieu de
Paris
: il se démit de presque tous ses bénéfices : il
qui ne tient presqu’à rien. Le père Mabillon, né Champenois, mourut à
Paris
, à l’abbaye de saint Germain-des-prés, le 27 déce
ints dont il a fait des hymnes admirables, les fontaines publiques de
Paris
, chargées de ses inscriptions, celles encore qu’o
lèrent ; celui de l’Académie fut allarmé. Les moindres colporteurs de
Paris
sçavoient que Furetiere avoit embrassé, dans son
n du privilège mit Furetiere au désespoir. Ses factums amusèrent tout
Paris
: il s’y moquoit de la lenteur de l’Académie à do
Tallemant repliqua à Charpentier qu’il étoit fils d’un cabaretier de
Paris
. En même temps, Charpentier jetta à la tête de Ta
’on avoit pour la salle où se tient le conseil du roi, quand il est à
Paris
, & pour le portrait de sa majesté qui est à l
el : cet homme, fait pour mener une vie agréable, mourut de douleur à
Paris
, le 14 mai 1688, dans la soixante-huitième année.
iocèse de Montauban, il y commença ses études, & vint les finir à
Paris
. Des idées de fortune lui firent prendre, comme à
La dissension se mit dans l’assemblée. Le bruit s’en répand dans tout
Paris
. La Sorbonne, qui se voit compromise, s’assemble
elle est ma déclaration. Dugard, syndic de la faculté de théologie de
Paris
». Là-dessus, il fut arrêté que les gens du roi
« Monsieur, « Je connoissois trop bien la faculté de théologie de
Paris
& le zèle qu’elle a toujours eu à maintenir l
lle, 7 février 1752. La faculté de Caen écrivit en corps à celle de
Paris
, pour la féliciter sur son zèle pour la religion.
st successivement anathématisé par différens prélats. L’archevêque de
Paris
lui retire les pouvoirs, charge son promoteur de
Tamponet, tantôt à l’évêque de Mirepoix, tantôt à M. l’archevêque de
Paris
. « On m’attaque sur ma foi, mandoit-il fiérement
une colonne, sur laquelle étoit la vérité ; au pied, l’archevêque de
Paris
s’adressant à elle ; sur le devant, la religion a
plaires de sa Rétractation, l’un au syndic, l’autre à l’archevêque de
Paris
, le troisième à l’évêque de Montauban, & qu’e
marquées. Il écrivit à l’évêque de Montauban & à l’archevêque de
Paris
. La dernière de ces lettres étoit conçue en ces t
é informé, monsieur, que le pape a écrit à la faculté de théologie de
Paris
, pour l’engager à rétablir le sieur de Prades dan
avoit fait donner audit sieur de Prades de se retirer de la ville de
Paris
, la faculté déférât au desir & à la recommand
lettre du 27 août, étoit jointe celle que la faculté de théologie de
Paris
nous a écrite. Nous en avons été très-contens, &a
énédictins. 205 Théophraste Renaudot avec la faculté de médecine de
Paris
. 211 Dom Armand-Jean Le Bouthillier de Rancé, a
e ce qu’il fit révoquer un arrêt donné contr’elle par le parlement de
Paris
, à la sollicitation du chancelier Duprat, qui vou
ervir d’introduction à l’Histoire Ecclésiastique de M. Fleuri, in-4°.
Paris
1715. quatre vol. & in-12. cinq vol. Ce savan
e Josephe, traduites en françois, par M. Arnauld d’Andilli, in-folio,
Paris
1667. deux volumes. Il y en a une autre traductio
707. M. l’Abbé Dupin l’accommoda à ses idées, & le fit paroître à
Paris
en sept vol comme si ce livre lui avoit appartenu
s ne trouvassiez l’Histoire évangelique par le P. Paul Pezron, in-12.
Paris
1696. deux vol. Cet ouvrage, qui n’est pas commun
s le commencement du monde jusqu’à la fin du neuviéme siècle, in-fol.
Paris
1663., trois vol. réimprimés à Bruxelles & à
s pourront lire l’histoire que le P. Benoit, Dominicain en a donné, à
Paris
1691. deux vol. & l’Histoire des Croisades co
s Croisades contre les Albigeois, par le P. Langlois, Jésuite, in-12.
Paris
1703. Ouvrage fait avec élégance & écrit avec
e l’Eglise, nous trouvons l’Histoire du Calvinisme, par Solier in-4°.
Paris
1686. Histoire meilleure que celle du Père Maimbo
ptistes depuis 1521. jusqu’en 1536. par le P. Catrou, Jésuite, in-4°.
Paris
: ouvrage curieux mais d’une élégance un peu affe
oint à son adversaire. Peu de tems après, M. de Harlai, Archevêque de
Paris
, obligea ce Docteur de donner une rétractation d’
r M. Tricalet, Directeur du Séminaire de St. Nicolas du Chardonnet, à
Paris
chez Lotin en 9. vol. in-8°. Cet ouvrage, le plus
r les Apôtres à Jérusalem jusques & au-delà du Concile de Trente,
Paris
1758. in-8°. par M. Alletz, vaut mieux que l’ouvr
e Sixte V. traduite de l’italien de Gregorio Leti en françois, in-12.
Paris
1685. deux vol. C’est un des meilleurs ouvrages d
plus châtié & plus élégant. On prétend que de savans Religieux de
Paris
travaillent à un ouvrage du même genre qui éclips
lem, aujourd’hui de Malthe, par l’Abbé de Vertot, en sept vol. in-12.
Paris
1724. L’auteur avoit plus de soixante & dix a
es familles chrétiennes. Vies des Saints du P. Giri, Minime, in-fol.
Paris
1681. deux vol. & 1700. trois vol. Cet auteur
mais il écrit avec une simplicité onctueuse. Vies des Saints, in-8°.
Paris
chez Roulland & Robustel 1683. 4. vol. : ouvr
mont et Langres, d’où, réunies, elles doivent se porter en masse vers
Paris
, droit au cœur et à la tête de l’Empire. Sur cett
nt à grand effort, faisaient face en reculant. Napoléon, au centre, à
Paris
, crée à toute force des ressources, hâte la réorg
ient encore plus que les bras. Enfin, parti le 25 janvier au matin de
Paris
, il arrive le même jour à Châlons-sur-Marne, où i
, plus fertile en combinaisons et en ressources, ayant comme laissé à
Paris
tous les soucis amers, serein de visage et l’étoi
nte bataille de la Rothière, qui finirait fatalement sous les murs de
Paris
et serait tôt ou tard perdue. Dans une telle situ
fanes comme nous et les ignorants dans l’art de la guerre : c’est que
Paris
, pendant ce temps, tiendra ferme, c’est que le po
ra pas. Or, pour que cette clef fût solide, il eût été nécessaire que
Paris
fût fortifié. C’est ce souvenir toujours présent
e qui a amené, vingt-six ans plus tard, la détermination de fortifier
Paris
. M. Thiers, qui revient plus d’une fois sur ce no
opinions sur la grande mesure : Faut-il, ou ne faut-il pas fortifier
Paris
? Chacun était subitement revenu à ses origines :
core M. Thiers, qu’une dernière bataille livrée et gagnée jusque dans
Paris
, une victoire qui eût rétabli d’un seul coup la F
te grandeur, n’eût pas été trop payée, même au prix des splendeurs du
Paris
d’alors ; tous ceux qui, l’année suivante, avaien
n’en a pas vu de plus magnifique. Suivons la file de voitures qui, de
Paris
à Versailles, roule incessamment comme un fleuve.
Pontchartrain : l’énumération ne finirait pas. Ajoutez-y tous ceux de
Paris
, tous ceux qui, à dix lieues à la ronde, à Sceaux
e spectacle est magnifique quand le roi sort en carrosse pour aller à
Paris
ou à Fontainebleau. Quatre trompettes sonnent à l
412 livres pour celle des chiens. Tout le territoire, à dix lieues de
Paris
, est chasse gardée ; « on n’y saurait tirer un co
s princes jusqu’à Villers-Cotterets et Orléans ; cela fait, autour de
Paris
, un cercle presque continu, ayant trente lieues d
, car en plus de quarante ans il n’a jamais couché vingt fois hors de
Paris
, mais pour aller dîner hors de la cour et ne pas
l’art social peut élaborer d’exquis. Si polie que soit la société de
Paris
, elle n’en approche pas174 ; comparée à la cour,
par les événements ; aller et retour à cheval. 6 octobre, départ pour
Paris
à midi et demi, visite à l’hôtel de ville, soupé
îner. 8, rien… 12, rien, le cerf chassait à Port-Royal. » — Enfermé à
Paris
, captif de la multitude, son cœur suit toujours s
tation qu’il rédigera avant de partir pour Varennes : transporté dans
Paris
, sédentaire aux Tuileries, « où, loin de trouver
de Paris ou de Versailles, et dans leur château à quelques lieues de
Paris
. De tous côtés, dans les Mémoires, on aperçoit en
e du duc de Gesvres, premier gentilhomme de la chambre, gouverneur de
Paris
et de l’Ile-de-France, ayant en outre les gouvern
Il écrivait, dictait au milieu d’une compagnie nombreuse… Sa maison à
Paris
et son appartement à Versailles ne désemplissaien
veillé jusqu’à ce qu’il se couchât. » — Deux ou trois cents maisons à
Paris
, à Versailles et aux environs présentent un spect
uvent guère s’enrichir dans leur place ; ils ont tous table ouverte à
Paris
au moins trois fois par semaine, et à Versailles,
tenu a coûté 6 000 livres, et il lui faut toujours à Versailles et à
Paris
une table d’environ vingt couverts » À Chambord2
ovince, et souvent ce nombre est augmenté par celles de la cour et de
Paris
» « Le soir à neuf heures tout le monde soupait
n Champagne sont deux des châteaux les mieux habités. « Il y vient de
Paris
des personnes considérables, des hommes de lettre
semaine, un mois, trois mois, étalant leur ramage et leur plumage. De
Paris
à l’Isle-Adam, à Villers-Cotterets, au Frétoy, à
s pour faire ou repousser un coup de main. 141. Mercier, Tableau de
Paris
, IX, 3. 142. Leroi, Histoire de Versailles, II,
15. 144. Il y avait alors, presque chaque jour, des passants roués à
Paris
par les voitures à la mode, et c’était l’habitude
ait 150 pages, sans compter ceux des princes du sang qui résidaient à
Paris
. Un seul habit de page de la chambre coûtait 1 50
e 1760 à 1792 et notamment rapport de 1786. 156. Mercier, Tableau de
Paris
, I, 11 ; V, 62. — Comte d’Hézecques, ib., 253. —
68) « M. de V. remercia Madame comme si elle l’eût fait duc. » 171.
Paris
, Versailles et les provinces au dix-huitième sièc
provinces au dix-huitième siècle, II, 160, 168. — Mercier, Tableau de
Paris
, IV, 150. — Comte de Ségur, Mémoires, I, 16. 172
ble entre le ton, le langage de la cour et celui de la ville qu’entre
Paris
et les provinces. » (Comte de Tilly, Mémoires, I,
iettes de vermeil. 14 chevaux en relais apportaient tous les jours de
Paris
les liqueurs et les fruits ; chaque jour des expr
V
Paris
le 15 juin 1887. Question wagnérienne et questi
les fameux projets, et comment ils ont amené la ruine du wagnérisme à
Paris
, maintenant que la chose est claire, au nom du wa
reux a groupé autour de lui à peu près tout le wagnérisme militant de
Paris
qu’ont encore rapproché son amitié et son allianc
tes nobles et courageuses, le wagnérisme aura honteusement succombé à
Paris
. E. D. Nouvelles Nous apprenons que les Maî
z ! — motivera quelques explications. Il y a encore des survivants, à
Paris
, de la meute qui pourchassa si gaillardement Berl
ner et le Roi de Bavière, lettres traduites par Jacques Saini-Cère, à
Paris
, un franc ; c’est le recueil des lettres publiées
e mes propres idées, de mes propres désirs. La lettre était datée : «
Paris
, le 7 mai 1841 » et on y voyait entre autres chos
ite proportion, ce qu’il est pour moi si infiniment. Lohengrin à
Paris
(printemps 1887) Complément aux documents39
87) Complément aux documents39 Publications illustrées parues à
Paris
, concernant la première représentation de Lohengr
Le Grelot du 8 : gravure de tête, dyptique, « l’oubli des injures :
Paris
vaincu est outragé par Wagner — Paris acclame le
ptique, « l’oubli des injures : Paris vaincu est outragé par Wagner —
Paris
acclame le Lohengrin de Wagner. » Le Triboulet du
revue du duc de Massa qu’elle fit jouer à l’Opéra-Comique, le Cœur de
Paris
, la Valkyrie personnifiée par Mlle Desclauzas. Er
ussot, porte la date d’achèvement du 5 mars 1847. Mois wagnérien à
Paris
3 mai : Eden-Théâtre : Lohengrin. 30 mai : Con
ur la vie du sculpteur et orfèvre florentin. Il fut créé à l’Opéra de
Paris
en 1838. Quant aux Troyens, il s’agit d’une grand
auteur pour plaire à la cour et à la masse corrompue de la société de
Paris
. L’incontinence générale ne pouvait souffrir pati
es faits. En 1654, pendant que la satire de l’abbé d’Aubignac courait
Paris
et répandait le ridicule sur les précieuses, Moli
ns des précieuses ridicules, qui s’y étaient façonnées à l’exemple de
Paris
. Il était alors avec sa troupe à Béziers. Les rom
ce des Précieuses ridicules est la même que Molière fit représenter à
Paris
cinq ans plus tard, en 1659, et qui fit tant de b
e contre des femmes de province : ils affirment qu’elle a été faite à
Paris
, contre l’hôtel de Rambouillet qui n’existait plu
et tout ensemble, on a besoin de persuader que la pièce a été faite à
Paris
, pour Paris, et non en province, pour la province
mble, on a besoin de persuader que la pièce a été faite à Paris, pour
Paris
, et non en province, pour la province. Mais la re
écieuses aient été représentées à Béziers, cinq ans avant de l’être à
Paris
. Quand nous parlerons de cette comédie à la date
elui des personnes qu’il désigne. En 1656, l’abbé de Pure fit jouer à
Paris
une comédie des Précieuses, qui donna lieu à des
9, où Les Précieuses ridicules de Molière furent mises sur la scène à
Paris
, recueillons dans le roman de La Précieuse, ou du
echerchées des sociétés de la capitale. « Il n’est plus de femme dans
Paris
qui ne veuille avoir une précieuse dans sa sociét
r les précieuses en général : je ne dois pas oublier les quartiers de
Paris
qu’elles habitaient. Le Dictionnaire de Somaise n
ommée des précieuses fut l’objet de tous les entretiens d’Athènes (de
Paris
), les nouvelles précieuses voyant que chacune d’e
es de François II, Charles IX et Henri III. Les Italiens affluaient à
Paris
, et il devint à la mode d’aller visiter Rome et l
tion. Elles voient les plus coquettes et les plus évaporées femmes de
Paris
. Pour la cour, elles y vont rarement, parce qu’el
s années 1656 et, suivantes, jusqu’à l’année 1659, où Molière donna à
Paris
la première représentation des Précieuses ridicul
et, qu’elle n’ait pas débuté en province cinq ans avant de paraître à
Paris
. Quoique la pièce entière résiste à l’application
-là ? L’air précieux », dit-il plus loin, « n’a pas seulement infecté
Paris
, il s’est aussi répandu dans les provinces ; et n
aisait plus autorité ni bruit dans le monde, quand Molière est venu à
Paris
; mais il avait entendu parler d’elle, comme de l
elles, je vous dirai un mot des miennes. Le jour que je suis arrivé à
Paris
, j’ai eu le malheur de perdre mon père. Je me sui
ssant serviteur, De Saint-Pierre. P.-S. Adressez-moi vos lettres à
Paris
, à l’hôtel de Grenelle, rue de Grenelle-Saint-Hon
e avec le grade de capitaine et 100 louis d’appointements. Je pars de
Paris
à la fin du mois, et de Lorient pour les Indes le
de quelque chose qui vous intéresse. Mais quoi ! vous connaissez peu
Paris
. Quand la fortune nous aura réunis, je vous entre
eureux. Adieu, mon cher ami, je pars avec joie. Je me voyais fondre à
Paris
à vue d’œil. Je serai plus heureux dans ce nouvea
, Votre très humble et très obéissant serviteur, De Saint-Pierre. À
Paris
, ce 24 novembre 1767. Huitième lettre. Enfin, mon
nt vos lettres à quelqu’un qui les remette à la Compagnie des Indes à
Paris
), je recevrai la vôtre à peu près dans un an, car
in de ses amis. Une petite terre et une petite maison aux environs de
Paris
suffiraient à mon ambition. Les hommes ne valent
Je suis, avec une amitié inaltérable, Votre ami, De Saint-Pierre. À
Paris
, ce 29 juillet 1772. À l’hôtel de Bourbon, rue de
mettrai sur-le-champ le montant à la personne que vous en chargerez à
Paris
, avec un exemplaire pour vous de la seconde éditi
, Votre très humble et très obéissant serviteur, De Saint-Pierre. À
Paris
, ce 7 janvier 1786. Rue Neuve-Saint-Étienne, près
rd de Conichard, adjoint intendant général des Postes, en son hôtel à
Paris
. Donnez-moi des nouvelles de la personne que j’ai
mptant dans l’acquisition d’une petite maison avec un petit jardin, à
Paris
, rue de la Reine-Blanche, près de la rue des Gobe
t vous vous déferez aisément à 10 livres pièce, qui est leur valeur à
Paris
: ainsi ces 100 livres, jointes aux 900 livres re
on, qui ont inondé les provinces méridionales et refluent jusque dans
Paris
. Cette 2e édition s’écoule donc un peu lentement,
, Votre très humble et très obéissant serviteur, De Saint-Pierre. À
Paris
, ce 10 juin 1786. P.-S. Adressez-moi vos lettres
moignage de l’envoi, ainsi que le connaissement du consul de Suède. À
Paris
, ce 15 juillet 1786. De Saint-Pierre. Treizième
très humble et très obéissant serviteur et ami, De Saint-Pierre. À
Paris
, ce 23 décembre 1786. Rue de la Reine-Blanche, pr
pe de M. Mesnard de Conichard, adjoint intendant général des Postes à
Paris
. Je vous souhaite une bonne année ainsi qu’à votr
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