Chapitre II. Rapports des fonctions des centres nerveux et des
événements
moraux Sommaire. I. Distinction du physique e
éments derniers doivent différer du tout au tout. — Hypothèse de deux
événements
hétérogènes. — Hypothèse d’un seul et même événem
pothèse de deux événements hétérogènes. — Hypothèse d’un seul et même
événement
connu sous deux aspects. — Conséquences de la pre
xtérieure indirect. — Le mouvement moléculaire n’est qu’un signe de l’
événement
moral. — Confirmation directe et notable de la se
e la seconde hypothèse. — La sensation et ses éléments sont les seuls
événements
réels de la nature. — Sensations rudimentaires et
qu’un appareil de complication et de perfectionnement. — Présence des
événements
moraux élémentaires dans tout le monde organique.
hysiologistes oublient volontiers la seconde vérité et disent : « Les
événements
mentaux sont une fonction des centres nerveux, co
philosophes oublient volontiers la première vérité et disent : « Les
événements
moraux n’ont rien de commun avec les mouvements m
ervateurs prudents interviennent et concluent : « Il est vrai que les
événements
mentaux et les mouvements moléculaires des centre
us aperçus par la conscience ; qu’ainsi la sensation est un composé d’
événements
rudimentaires capables de dégradations indéfinies
ée ; il ne s’agit plus maintenant que de comprendre la liaison de ces
événements
et d’un mouvement moléculaire. — L’obscurité deme
meure toujours très grande ; car nous ne pouvons jamais concevoir ces
événements
que d’après le type des sensations ordinaires, et
II Posons d’abord la difficulté dans toute sa force. Puisque les
événements
mentaux ne sont que des sensations plus ou moins
convertir aucune des deux conceptions en l’autre, et partant les deux
événements
semblent être de qualité absolument différente ;
s tourner d’un autre. À la vérité, nous ne pouvons concevoir les deux
événements
que comme irréductibles l’un à l’autre ; mais cel
ourant électrique. — Il a fallu faire l’acoustique pour montrer que l’
événement
qui éveille en nous, par nos nerfs tactiles, les
’irréductibilité mutuelle des deux représentations. Un même et unique
événement
, connu par ces deux voies, paraîtra double, et qu
t intestin des centres nerveux ne soient au fond qu’un même et unique
événement
condamné, par les deux façons dont il est connu,
insi l’objection fondamentale est levée. Si nos deux conceptions de l’
événement
mental et de l’événement cérébral sont irréductib
tale est levée. Si nos deux conceptions de l’événement mental et de l’
événement
cérébral sont irréductibles entre elles, cela peu
réductibles entre elles, cela peut tenir sans doute à ce que les deux
événements
sont en effet irréductibles entre eux, mais cela
réductibles entre eux, mais cela peut tenir aussi, d’abord à ce que l’
événement
, étant unique, nous est connu par deux voies abso
est connu par deux voies absolument contraires, et ensuite à ce que l’
événement
mental et ses éléments derniers doivent forcément
c place, et place égale, pour les deux hypothèses, pour celle de deux
événements
hétérogènes, et pour celle d’un seul et même évén
celle de deux événements hétérogènes, et pour celle d’un seul et même
événement
connu sous deux aspects. Laquelle choisir ? Si no
on non seulement inexpliquée, mais encore inexplicable. Car, les deux
événements
étant irréductibles entre eux par nature, ils for
forment deux mondes à part, isolés ; nous excluons par hypothèse tout
événement
plus général dont ils seraient des formes distinc
pothétique que possible. Enfin elle montre non seulement que les deux
événements
peuvent être liés entre eux, mais encore que touj
ement celle de l’autre. — Nous sommes donc autorisés à admettre que l’
événement
cérébral et l’événement mental ne sont au fond qu
— Nous sommes donc autorisés à admettre que l’événement cérébral et l’
événement
mental ne sont au fond qu’un seul et même événeme
ent cérébral et l’événement mental ne sont au fond qu’un seul et même
événement
à deux faces, l’une mentale, l’autre physique, l’
de vue, et que faut-il en défalquer pour dégager la vraie nature de l’
événement
? — Nous sommes arrivés ici au point de jonction
nt de plus en plus à chaque station. On voit par là l’importance de l’
événement
central ; quel qu’il soit, il communique son cara
sensations et des images : c’est la sensation, c’est l’image, c’est l’
événement
moral interne. Dès lors, tout s’accorde. Cet évén
image, c’est l’événement moral interne. Dès lors, tout s’accorde. Cet
événement
moral qu’atteint directement la conscience ne peu
notable de l’hypothèse admise, et l’on comprend maintenant pourquoi l’
événement
moral, étant un, nous paraît forcément double ; l
énement moral, étant un, nous paraît forcément double ; le signe et l’
événement
signifié sont deux choses qui ne peuvent pas plus
s cette distinction et dans cette liaison, tout l’avantage est pour l’
événement
mental ; lui seul existe ; l’événement physique n
on, tout l’avantage est pour l’événement mental ; lui seul existe ; l’
événement
physique n’est que la façon dont il affecte ou po
matériaux ? On a vu que la sensation proprement dite est un composé d’
événements
successifs et simultanés de même qualité, eux-mêm
’analyse, l’expérience indirecte et les analogies montrent encore des
événements
de même qualité, successifs et simultanés, tous s
e et à la fin infinitésimaux ; que les actions réflexes indiquent des
événements
rudimentaires analogues et qu’on les suit jusqu’a
« le système nerveux n’est qu’un appareil de perfectionnement », et l’
événement
moral, dont il est la condition et dont son mouve
ontrecoup la même dégradation et la même réduction s’opèrent dans les
événements
moraux ; au plus haut degré de complication, ils
ue dénote l’action réflexe ; aux degrés suivants, ils sont encore des
événements
de la même espèce, mais moins composés, et ainsi
du mouvement moléculaire, tant qu’enfin, au degré le plus simple de l’
événement
physique, correspond le degré le plus simple de l
mple de l’événement physique, correspond le degré le plus simple de l’
événement
moral. V La nature a donc deux faces, et le
ple de l’événement moral. V La nature a donc deux faces, et les
événements
successifs et simultanés qui la constituent peuve
autre à la même hauteur. Vue d’un côté, la nature a pour éléments des
événements
que nous ne pouvons connaître qu’à l’état de comp
ous nommons sensations. Vue de l’autre côté, elle a pour éléments des
événements
que nous ne concevons clairement qu’à l’état de s
vements moléculaires. Au premier point de vue, elle est une échelle d’
événements
moraux, successifs et simultanés, dont la complic
’avons pas conscience. Au second point de vue, elle est une échelle d’
événements
physiques, successifs et simultanés, dont la comp
gré de complication égal. Des deux côtés, à la base de l’échelle, les
événements
sont infinitésimaux ; on a vu dans les sensations
t pousser un peu loin l’analyse, celles de l’ouïe et de la vue, que l’
événement
moral, comme l’événement physique, passe dans un
nalyse, celles de l’ouïe et de la vue, que l’événement moral, comme l’
événement
physique, passe dans un temps très court par une
sommet, la correspondance est parfaite. Phrase à phrase, mot à mot, l’
événement
physique, tel que nous le représentons, traduit l
à mot, l’événement physique, tel que nous le représentons, traduit l’
événement
moral. Que le lecteur suive la comparaison jusqu’
ion interlinéaire ; le livre est la nature, la langue originale est l’
événement
moral, la traduction interlinéaire est l’événemen
ue originale est l’événement moral, la traduction interlinéaire est l’
événement
physique, et l’ordre des chapitres est l’ordre de
vie mentale. — Sa présence presque incessante. — Le moi comparé à ses
événements
. II. Idées dont se compose l’idée du moi. — Entre
cité et de faculté. — Ils ne désignent que la possibilité de certains
événements
sous telles conditions et la nécessité des mêmes
certains événements sous telles conditions et la nécessité des mêmes
événements
sous les mêmes conditions, plus une condition com
leur idée provoque. — Les seuls éléments réels de notre être sont nos
événements
. IV. Le caractère distinctif, commun à tous ces é
e sont nos événements. IV. Le caractère distinctif, commun à tous ces
événements
, est d’apparaître comme internes. — Exemples. — M
ations que nous localisons hors de notre corps apparaissent comme des
événements
étrangers à nous ou comme des propriétés de corps
ers à nous ou comme des propriétés de corps étrangers à nous. V. Nos
événements
passés, aussi bien que nos événements présents, a
corps étrangers à nous. V. Nos événements passés, aussi bien que nos
événements
présents, apparaissent comme internes. — La série
s événements présents, apparaissent comme internes. — La série de cas
événements
apparaît comme une chaîne. — Mécanisme de la mémo
aînon. — Par la loi de la renaissance des images, l’image d’un de nos
événements
évoque celles du précédent et du suivant. — Procé
pacités et facultés permanentes. — Opposition finale du moi et de ses
événements
. VI. À quel composé réel correspond effectivement
d’erreur. — Diverses classes d’erreurs au sujet du moi. — Cas où des
événements
étrangers sont introduits dans l’idée du moi. — E
cultes. — En rêve. — Chez les fous. — Dans l’hypnotisme. — Cas où des
événements
qui appartiennent au moi sont attribués à autrui.
chique à l’hallucination sensorielle. — Cas où la série totale de nos
événements
passés, présents et possibles est remplacée par u
l’avenir. — Dans la majorité des cas, notre prévision concorde avec l’
événement
prévu. — Correspondance ordinaire de la loi menta
mêmes, auquel, par un retour perpétuel, nous rattachons chacun de nos
événements
incessants, est beaucoup plus étendu que chacun d
œil, et comme en un raccourci d’éclair. C’est pourquoi, comparé à nos
événements
passagers, ce moi prend à nos yeux une importance
nt elle se forme en nous, pourquoi elle est évoquée par chacun de nos
événements
, quelle chose lui correspond, et par quel ajustem
orps provoquent directement en moi telles sensations, et que certains
événements
en moi, émotions, voûtions, provoquent directemen
, ce mot ne fait jamais que poser comme présentes les conditions d’un
événement
ou d’une classe d’événements. — Rien de plus util
poser comme présentes les conditions d’un événement ou d’une classe d’
événements
. — Rien de plus utile que la connaissance de pare
onnaissance de pareilles conditions ; elle nous permet de prévoir les
événements
, ceux d’autrui comme les nôtres. Partant, nous at
s stable, une source indépendante et productrice d’où s’épanchent les
événements
. — La vérité est pourtant qu’en soi un pouvoir n’
rien, sauf un point de vue, un extrait, une particularité de certains
événements
, la particularité qu’ils ont d’être possibles par
ont d’être possibles parce que leurs conditions sont données. Si ces
événements
sont miens ou une suite des miens, le pouvoir m’a
isant que j’ai tel pouvoir, je ne fais qu’annoncer comme possible tel
événement
, sensation, perception, émotion, volition, qui fe
, émotion, volition, qui fera peut-être partie de mon être, tel autre
événement
, contraction musculaire, transport d’un fardeau,
ui suivra, de près ou de loin, un état possible de mon être. Mais ces
événements
et ces états sont supposés et non donnés ; ils ne
ériaux positifs, je ne trouve donc, pour constituer mon être, que mes
événements
et mes états, futurs, présents, passés. Ce qu’il
’effectif en moi, c’est leur série ou trame. Je suis donc une série d’
événements
et d’états successifs, sensations, images, idées,
nts de mon corps et des autres corps. Et comme, visiblement, tous mes
événements
passés, futurs ou possibles sont plus ou moins an
énements passés, futurs ou possibles sont plus ou moins analogues aux
événements
quotidiens que je puis saisir au moment ou presqu
r savoir ce qui constitue le moi. IV Considérons donc un de ces
événements
ou groupe d’événements présents, telle sensation
ue le moi. IV Considérons donc un de ces événements ou groupe d’
événements
présents, telle sensation de douleur ou de plaisi
é ou égayé par une idée, je me décide à faire une démarche. Voilà les
événements
que je trouve en moi ; actifs ou passifs, volonta
ils constituent mon être présent, et je me les attribue. Or, tous les
événements
que je m’attribue ont un caractère commun ; ils m
mêmes et que, de l’objet, nous revenons au sujet ; c’est donc le même
événement
ou groupe d’événements qui, selon ses états succe
et, nous revenons au sujet ; c’est donc le même événement ou groupe d’
événements
qui, selon ses états successifs, constitue d’abor
irs, volitions ; ma conception de mon être actuel ne comprend que ces
événements
, et, à l’analyse, ces événements présentent tous
mon être actuel ne comprend que ces événements, et, à l’analyse, ces
événements
présentent tous ce caractère commun qu’ils sont d
oment précédent, le sujet, étant tout semblable, ne contenait que des
événements
du même genre ; même remarque pour chacun des mom
ais, je désirais, je voulais, comme en ce moment. Par conséquent, mes
événements
passés, comme mes événements présents, ont tous c
comme en ce moment. Par conséquent, mes événements passés, comme mes
événements
présents, ont tous ce caractère qu’ils apparaisse
ou sensations répressives, ce qui la joint à elles ; en sorte que nos
événements
nous apparaissent comme une ligne continue d’élém
re période de notre vie. En effet, si, pour nous souvenir d’un de nos
événements
un peu lointains, il nous fallait évoquer les ima
emploierait autant de temps qu’il y aurait de temps écoulé entre cet
événement
et le moment présent. Car tout le détail et toute
veraient dans les images qui nous conduiraient en arrière jusqu’à cet
événement
; il nous faudrait donc vingt-quatre heures pour
usqu’à un incident séparé par dix heures du moment où je suis. Plus l’
événement
est antérieur, plus l’effacement des images est g
es. — Ma journée d’hier ou d’avant-hier ne subsiste en moi que par un
événement
saillant, telle visite que j’ai reçue, tel accide
er cette distance. Grâce à une association d’images, nous logeons nos
événements
dans la série des jours et des mois que fournit l
us précisons, par ces atlas auxiliaires, l’emplacement que nos divers
événements
occupent dans la durée les uns par rapport aux au
t aux autres, et nous pouvons non seulement revoir en une seconde nos
événements
les plus lointains, mais encore évaluer l’interva
de notre être en un instant et pour ainsi dire d’un seul regard. Les
événements
distincts dont la succession l’a constitué pendan
ance supérieure et qui se rattache, comme des accessoires, les divers
événements
passagers. Ce dedans stable est ce que chacun de
table est ce que chacun de nous appelle je ou moi 67. — Comparé à ses
événements
qui passent tandis qu’il persiste, il est une sub
qu’il est incessamment répété ; qu’en soi il n’est qu’un extrait des
événements
internes ; qu’il tire d’eux tout son être ; que c
nt compléter son être et achever son isolement. Nous avons classé ses
événements
et les faits que ses événements provoquent selon
son isolement. Nous avons classé ses événements et les faits que ses
événements
provoquent selon leurs ressemblances et leurs dif
état présent, nous savons ou nous supposons que les conditions de ces
événements
sont présentes, en d’autres termes, que ces événe
ditions de ces événements sont présentes, en d’autres termes, que ces
événements
sont possibles ; ce que nous exprimons en disant
s, nous les trouvons tous plus ou moins permanents. Ils précèdent les
événements
, et d’ordinaire ils leur survivent. Ils durent in
elques-uns pendant toute notre vie. Ils font ainsi contraste avec les
événements
qui sont transitoires, et ils semblent la portion
ne chose complète, indépendante, toujours la même sous le flux de ses
événements
. VI Telle est donc la notion du moi. Illuso
des corps. Ce quelque chose est la possibilité permanente de certains
événements
sous certaines conditions, et la nécessité perman
ments sous certaines conditions, et la nécessité permanente des mêmes
événements
sous les mêmes conditions plus une complémentaire
vénements sous les mêmes conditions plus une complémentaire, tous ces
événements
ayant un caractère commun et distinctif, celui d’
les moments de ma vie, je suis un dedans qui est capable de certains
événements
sous certaines conditions, et dont les événements
capable de certains événements sous certaines conditions, et dont les
événements
sous certaines conditions sont capables d’en prov
exacts. Il faut de plus que, par l’emboîtement de nos souvenirs, nos
événements
nous apparaissent comme une file continue. Il fau
que, grâce aux abréviations de la mémoire, les particularités de nos
événements
s’effacent, qu’un caractère commun à tous les élé
ités ou facultés de cette substance ; partant, que nous classions nos
événements
selon leurs diverses espèces ; que, par l’expérie
nstatant ou présumant la présence des conditions, nous concevions ces
événements
comme possibles, et enfin que, isolant cette poss
l’idée que nous avons de lui. Il y a des circonstances où une série d’
événements
imaginaires s’insère dans la série des événements
nces où une série d’événements imaginaires s’insère dans la série des
événements
réels ; nous nous attribuons alors ce que nous n’
ui va s’emboîter exactement entre tel et tel anneau dans la série des
événements
qui sont notre vie. Quand ce recul et cet emboîte
tion, mais par retranchement ; au lieu d’insérer dans notre série des
événements
qui ne nous appartiennent pas, nous projetons hor
qui ne nous appartiennent pas, nous projetons hors de notre série des
événements
qui nous appartiennent. — Telle est l’erreur dans
tachées de nous ; par cette aliénation, le son nous apparaît comme un
événement
étranger et la couleur comme une qualité d’un cor
des illusions partielles ; il y en a de totales, où, la série de nos
événements
étant remplacée par une série étrangère, Pierre s
que en moi, par association, son équivalent, à savoir la série de mes
événements
actuels et antérieurs, jointe aux nombreuses séri
mes événements actuels et antérieurs, jointe aux nombreuses séries d’
événements
possibles dont je suis effectivement capable. Mai
on nom celui d’un autre ; désormais celui-ci, avec toute la série des
événements
dont il est l’équivalent, est évoqué en moi sitôt
effectivement elles ont occupée ; que presque jamais la chaîne de nos
événements
n’aliène un de ses chaînons propres ou ne reçoive
u ne reçoive un chaînon étranger ; que presque toujours le groupe des
événements
passés, présents et possibles dont nous composons
sibles dont nous composons notre personne soit en effet le groupe des
événements
qui nous sont arrivés, qui se passent en nous et
l’autre est l’écho. Ainsi se forme dans notre mémoire la file de nos
événements
; à chaque minute, nous en revoyons un morceau ;
dans la chaîne, parfois, grâce aux procédés abréviatifs, jusqu’à des
événements
séparés du moment présent par plusieurs mois et p
nous lassons pas de repasser à l’encre et de rafraîchir. — Parmi ces
événements
, des classes s’établissent ; ils se groupent spon
ux à chaque heure reforgés et fortifiés. — Ajoutez au souvenir de mes
événements
et à l’idée de mes pouvoirs une dernière idée éga
els eux-mêmes les ont tissés. L’esprit ressemble à un métier ; chaque
événement
est une secousse qui le met en branle, et l’étoff
n contradictoire, la représentation de la bille paraît chose interne,
événement
passé ; et, à ce titre, elle éveille d’autres rep
parmi lesquelles elle s’emboîte pour constituer avec elles une file d’
événements
internes ; cette file s’oppose aux autres groupes
nom de sujet et de moi. — Dans cette chaîne immense, chaque classe d’
événements
internes, sensations, perceptions, émotions, chaq
analogues à celles par lesquelles nous nous représentons nos propres
événements
; ce qui fait un dernier composé, le plus vaste d
tes leurs attaches mutuelles et toutes les attaches qui soudent leurs
événements
aux événements d’autrui. — Ainsi, dans notre espr
hes mutuelles et toutes les attaches qui soudent leurs événements aux
événements
d’autrui. — Ainsi, dans notre esprit, tout compos
s’il est bien fait dans notre esprit, correspond à un couple dans les
événements
, et chaque couple mental, quand son premier terme
présent. Or, en fait, la majorité de ces prévisions concorde avec les
événements
prévus, et, dans la vie courante, notre attente n
araît entièrement. — Il y a donc une quantité prodigieuse de cas où l’
événement
justifie la prévision, et, dans tous ces cas, le
notre pensée animale prennent un nouvel aspect, et, sous le flot des
événements
passagers et compliqués, nous apercevons le monde
désignent aucun être occulte. — Ils ne désignent qu’un caractère d’un
événement
, à savoir, la particularité qu’il a d’être suivi
qui fait du moi une substance distincte. — Sens du verbe être. — Nos
événements
successifs sont les composants successifs de notr
que des atomes. — Une substance réelle n’est qu’une série distincte d’
événements
. — Une force n’est que la propriété pour un de ce
incte d’événements. — Une force n’est que la propriété pour un de ces
événements
d’être suivi par un autre de la même série ou d’u
— Point de vue psychologique. — Ordre et complication croissante des
événements
moraux indiqués eu constatés dans les divers cent
main n’est qu’un système. I Jusqu’ici, nous avons considéré nos
événements
, sans nous occuper de l’être auquel ils appartien
pour qualités distinctives certaines facultés, et, au-dessous de nos
événements
, on pose deux sortes d’êtres explicatifs, d’abord
d telle liaison existe ; elle manque quand cette liaison manque. Deux
événements
étant liés, le second, comparé à d’autres semblab
, on dit que la force a telle grandeur. Quand la grandeur du second :
événement
est double, la grandeur de la forcé est double. L
étendue, incorporelle, bref spirituelle164. — En second lieu, comme l’
événement
ne naît que par elle, il manque, si elle manque ;
r dans la région des mots la substance une, permanente, distincte des
événements
. Il ne reste de nous que nos événements, sensatio
ne, permanente, distincte des événements. Il ne reste de nous que nos
événements
, sensations, images, souvenirs, idées, résolution
du concert sont des éléments, des fragments, des extraits du moi. Nos
événements
successifs sont donc les composants successifs de
t, c’est seulement pour la commodité de l’étude que nous séparons nos
événements
les uns des autres ; ils forment effectivement un
emeure un et continu ; on ne peut pas dire qu’il soit la série de ses
événements
ajoutés bout à bout, puisqu’il n’est divisé en év
érie de ses événements ajoutés bout à bout, puisqu’il n’est divisé en
événements
que pour l’observation ; et cependant il équivaut
s que pour l’observation ; et cependant il équivaut à la série de ses
événements
; eux ôtés, il ne serait plus rien ; ils le const
isions successives, de même le moi n’est que la trame continue de ses
événements
successifs. Si on le considère à un moment donné,
en qu’une tranche interceptée dans la trame, c’est-à-dire un groupe d’
événements
simultanés, en train de se faire et de se défaire
’est donc rien d’autre ni de plus Que maintenant on classe ces divers
événements
, sensations, images, idées, résolutions ; qu’à ch
dans la trame qui le constitue il y a une liaison constante entre tel
événement
intérieur ou extérieur. — J’ai le pouvoir de me r
appartiennent à la trame ne sont donc rien que la propriété qu’a tel
événement
de la trame d’être constamment suivi, sous divers
amment suivi, sous diverses conditions, externes ou internes, par tel
événement
interne ou externe. Il n’y a donc rien dans la tr
vénement interne ou externe. Il n’y a donc rien dans la trame que ses
événements
et les liaisons plus ou moins lointaines qu’ils o
es liaisons plus ou moins lointaines qu’ils ont entre eux ou avec les
événements
externes ; et le moi qui est la trame ne contient
ternes ; et le moi qui est la trame ne contient rien en dehors de ses
événements
et de leurs liaisons. La destruction de ce fantôm
ué ou dissimulé de la philosophie scolastique, on imaginait, sous les
événements
, une quantité d’êtres chimériques, principe vital
tre fait. Au plus haut de leurs théories167, ils posent des couples d’
événements
très généraux, l’un antécédent, l’autre conséquen
onnaissances, les couples auxquels se ramènent tels et tels groupes d’
événements
ne peuvent pas être ramenés l’un à l’autre ni à d
qu’une chaîne peinte sur le mur. » Laissons là les mots, étudions les
événements
, seuls réels, leurs conditions, leurs dépendances
lus fidèles sectateurs de l’expérience ont admis, au fond de tous les
événements
corporels, une substance primitive, la matière do
ommunément par substance et force ; tout ce qui subsiste, ce sont les
événements
, leurs conditions et leurs dépendances, les uns m
es physiques ou conçus sur le type du mouvement. La notion de fait ou
événement
correspond seule à des choses réelles. À ce titre
moi, ce qu’on appelle un ; être, c’est toujours une série distincte d’
événements
; ce qui constitue les forces d’un être, c’est la
ui constitue les forces d’un être, c’est la propriété pour tel ou tel
événement
de sa série d’être suivi constamment par tel évén
our tel ou tel événement de sa série d’être suivi constamment par tel
événement
de sa série ou d’une autre série ; ce qui constit
pensée, nous n’apercevons dans le monde que des séries simultanées d’
événements
successifs, chaque événement étant la condition d
s le monde que des séries simultanées d’événements successifs, chaque
événement
étant la condition d’un autre et en ayant un autr
s qui les suggèrent. Nous n’avons plus devant les yeux qu’une série d’
événements
appelée moi, liée à d’autres qui sont sa conditio
’elle produit sur nos sens. — À côté des idées, images et sensations,
événements
fort composés dont nous avons conscience et que c
nous avons conscience et que cette particularité distingue des autres
événements
analogues, sont d’autres événements rudimentaires
articularité distingue des autres événements analogues, sont d’autres
événements
rudimentaires et élémentaires du même genre, dont
tales. — D’après le premier, il y a dans l’animal plusieurs groupes d’
événements
moraux, idées, images, sensations proprement dite
s de l’animal primitif. Le lecteur voit maintenant comment la trame d’
événements
qui est nous-mêmes et dont nous avons conscience
t un duplicata du système S, car le contenu du système, la nature des
événements
qui s’y déroulent, n’entrent pas en ligne de comp
cela dit, il choisira l’un des deux, car il ne peut pas rapporter les
événements
de l’univers, en même temps, à deux systèmes d’ax
conserve sa forme, à quelque système de référence qu’on rapporte les
événements
. Mais cela veut simplement dire que, se plaçant à
’admet nécessairement, puisque c’est par elle qu’il note l’heure d’un
événement
. On peut donner de la simultanéité les définition
que, si l’on compare des horloges, c’est pour déterminer l’heure des
événements
: or, la simultanéité d’un événement avec l’indic
est pour déterminer l’heure des événements : or, la simultanéité d’un
événement
avec l’indication de l’horloge qui en donne l’heu
ation de l’horloge qui en donne l’heure ne dépend d’aucun réglage des
événements
sur les horloges ; elle est absolue 30. Si elle n
i, et avant tout, correspondance entre une indication d’horloge et un
événement
, on ne construirait pas d’horloges, ou personne n
. Mais « savoir l’heure qu’il est », c’est noter la simultanéité d’un
événement
, d’un moment de notre vie ou du monde extérieur,
yeux, embrasser de là dans un acte unique de vision instantanée deux
événements
quelconques qui se passent respectivement aux poi
cordantes des deux horloges, — indications qui sont, elles aussi, des
événements
. Toute simultanéité indiquée par des horloges pou
bservateurs, et que c’est justement la raison pour laquelle les mêmes
événements
du système S′ peuvent être dits simultanés ou suc
système, nullement de son contenu. Ceci posé, il est clair que si des
événements
A, B, C, D du système S sont simultanés pour l’ob
A, B, C, D du système S sont simultanés pour l’observateur en S, les
événements
identiques A′, B′, C′, D′ du système S′ seront si
s deux groupes A, B, C, D et A′, B′, C′, D′, dont chacun se compose d’
événements
simultanés les uns aux autres pour un observateur
orrespondante de l’autre système. Si le moment M où se produisent les
événements
simultanés A, B, C, D se trouve être l’extrémité
ut toujours s’arranger pour qu’il en soit ainsi), le moment M′ où les
événements
simultanés A′, B′, C′, D′ se produisent dans le s
il sera nécessairement simultané à M. Et dès lors les deux groupes d’
événements
simultanés A, B, C, D et A′, B′, C′, D′ seront bi
coupes instantanées d’un Temps unique et des simultanéités absolues d’
événements
. Seulement, du point de vue de la physique, le ra
ultanéité, deux espèces de succession. La première est intérieure aux
événements
, elle fait partie de leur matérialité, elle vient
supposé immobile. J’y note intuitivement des simultanéités entre deux
événements
O′ et A′ éloignés l’un de l’autre dans l’espace,
convient de traduire toutes les relations temporelles entre tous les
événements
du système dans un langage tel qu’il faille en ch
antes, je vois croître l’inégalité entre P et Q. Je dis alors que les
événements
qui étaient tout à l’heure simultanés deviennent
statation d’une « simultanéité » entre une indication d’horloge et un
événement
« voisin d’elle » (voisin pour vous, voisin pour
eur en S′ se trompait en qualifiant ces lignes d’égales, comme si les
événements
du système matériel S′ s’étaient disloqués réelle
sidérer ce train comme système de référence ; ils rapportent tous les
événements
au train. Tout événement qui a lieu en un point d
tème de référence ; ils rapportent tous les événements au train. Tout
événement
qui a lieu en un point de la voie a lieu aussi en
rapport à la voie. Mais il se pose alors la question suivante : deux
événements
(par exemple deux éclairs A et B) simultanés par
nt au milieu M de la distance AB comptée le long de la voie. Mais aux
événements
À et B correspondent aussi des points A et B sur
térieur à l’éclair A. Nous arrivons donc au fait capital suivant. Des
événements
simultanés par rapport à la voie ne le sont plus
e en N′. En chacun des trois points M′, N′, P′ se déroule une série d’
événements
qui constitue l’histoire du lieu. À un moment dét
istoire du lieu. À un moment déterminé le personnage perçoit en N′ un
événement
parfaitement déterminé. Mais les événements conte
ersonnage perçoit en N′ un événement parfaitement déterminé. Mais les
événements
contemporains de celui-là, qui se passent en M′ e
que le système S′ a une vitesse ou une autre, ce ne sera pas le même
événement
en M′, ni le même événement en P′, qui sera conte
esse ou une autre, ce ne sera pas le même événement en M′, ni le même
événement
en P′, qui sera contemporain de l’événement en N′
énement en M′, ni le même événement en P′, qui sera contemporain de l’
événement
en N′. Si donc nous considérons le présent du per
du personnage en N′, à un moment donné, comme constitué par tous les
événements
simultanés qui se produisent à ce moment en tous
s de son système, un fragment seulement en sera déterminé : ce sera l’
événement
qui s’accomplit au point N′ où le personnage se t
u point N′ où le personnage se trouve. Le reste sera indéterminé. Les
événements
en M′ et P′, qui font aussi bien partie du présen
osées, les perpendiculaires M′ H′ et P′ K′, et supposons que tous les
événements
de l’histoire passée du lieu M′ soient échelonnés
éité la droite, passant par le point N′, qui joint l’un à l’autre les
événements
E′ et F′ situés, pour l’observateur extérieur au
résent du personnage. Il prédirait ainsi à un habitant du lieu P′ les
événements
dont celui-ci sera témoin. Sans doute, se dit-on,
moments successifs du passé et de l’avenir seront contemporains de l’
événement
en N′, si l’on veut ; il suffira d’attribuer au s
D’après la théorie de la Relativité, les relations temporelles entre
événements
qui se déroulent dans un système dépendent unique
niquement de la vitesse de ce système, et non pas de la nature de ces
événements
. Les relations resteront donc les mêmes si nous f
tiques, assistent chacun à la même histoire du lieu, au même défilé d’
événements
s’y accomplissant. De même pour les deux observat
ïncidait avec S, était également déterminé : c’étaient les deux mêmes
événements
qui, en M et en P, étaient simultanés au présent
a alors par définition, selon le relativisme, simultanéité entre les
événements
s’accomplissant en ces points, il en est de même
de S′ et il y a alors, par définition encore, simultanéité entre les
événements
qui s’accomplissent en M′, N′, P′, — événements q
imultanéité entre les événements qui s’accomplissent en M′, N′, P′, —
événements
qui sont respectivement identiques aux premiers.
t la même heure dans le système S′ ne soulignent pas, à ses yeux, des
événements
contemporains. Ce sont bien des événements qui so
gnent pas, à ses yeux, des événements contemporains. Ce sont bien des
événements
qui sont contemporains pour lui, dans son système
rains pour lui, dans son système à lui ; comme aussi ce sont bien des
événements
qui sont contemporains, pour l’observateur en N′,
n dans l’avenir du point P′ — par les numéros qu’il leur marque — les
événements
, s’accomplissant en ces points, qui sont contempo
du lieu M′, comme de plus en plus avancé dans l’avenir du lieu P′, l’
événement
toujours le même qui, soit en M′ soit en P′, fera
ur en N′ et par conséquent fait partie du sien. Il n’y a donc pas des
événements
divers du lieu P′, par exemple, qui entreraient t
du système, dans le présent réel de l’observateur en N′. Mais le même
événement
du lieu P′, qui fait partie du présent de l’obser
le nom de S′ son système S immobile, d’incurver la simultanéité entre
événements
. C’est toujours la même simultanéité ; elle appar
refaire de lui un être conscient et surtout un physicien, sans que l’
événement
du lieu P′, que nous venons de classer dans le fu
faut qu’il se démontre à lui-même qu’en numérotant comme il le fait l’
événement
du point P′, en le localisant dans l’avenir de ce
es observateurs, etc., l’oblige à classer dans l’avenir du lieu P′ un
événement
qui fait partie du présent de l’observateur en N′
eu P. Strictement parlant, il devrait s’exprimer ainsi : « Je place l’
événement
dans l’avenir du lieu P′, mais du moment que je l
rait au mot le physicien. Il n’y a donc pas, en M′ et en P′, à côté d’
événements
que l’on consent à laisser dans le « passé absolu
dans l’« avenir absolu » pour l’observateur en N′, tout un ensemble d’
événements
qui, passés et futurs en ces deux points, entrera
me S′ la vitesse appropriée. Il y a, en chacun de ces points, un seul
événement
faisant partie du présent réel de l’observateur e
ui, en M et P, fait partie du présent de l’observateur en N. Mais cet
événement
sera noté par le physicien comme situé plus ou mo
ttribuée au système. C’est toujours, en M′ et en P′, le même couple d’
événements
qui forme avec un certain événement en N′ le prés
en M′ et en P′, le même couple d’événements qui forme avec un certain
événement
en N′ le présent de Paul situé en ce dernier poin
t de Paul situé en ce dernier point. Mais cette simultanéité de trois
événements
paraît incurvée en passé-présent-avenir quand ell
que la dissociation des deux systèmes s’effectue à l’instant même) un
événement
situé dans l’avenir du lieu P′, Pierre assisterai
un événement situé dans l’avenir du lieu P′, Pierre assisterait à un
événement
futur du lieu P, événement qui n’entrera dans le
avenir du lieu P′, Pierre assisterait à un événement futur du lieu P,
événement
qui n’entrera dans le présent dudit Pierre que to
nt même vitesse ; car, encore une fois, les relations temporelles des
événements
intérieurs à S′ sont affectées, d’après la théori
era ainsi : « Considérons votre simultanéité « intuitive » entre deux
événements
très voisins A et B. Ou bien c’est une simultanéi
ffisante eu égard à la distance énormément plus grande qui sépare les
événements
entre lesquels vous allez établir une simultanéit
ues. 33. Exception faite, bien entendu, de celles qui concernent des
événements
situés dans un même plan perpendiculaire à la dir
raisonnement, nous supposerons dans tout ce qui va suivre que le même
événement
est en train de s’accomplir aux points N et N′ da
un saut brusque, sans passer par les vitesses intermédiaires. Sur cet
événement
constituant le présent commun des deux personnage
s faisons de nouveau assister les personnages en N et en N′ à un même
événement
, et qu’alors nous dissocions les deux systèmes en
un corps. — Ces pouvoirs ne sont jamais définis que par rapport à des
événements
du sujet sentant, du corps lui-même ou d’un autre
ces pouvoirs, il y en a auxquels se réduisent les autres. — Parmi ces
événements
, il y en a un, le mouvement, que l’on peut substi
s, si j’analyse ma croyance, tout ce que j’y trouve, c’est que si ces
événements
avaient lieu, la possibilité permanente de sensat
orce ou nécessité, ces deux termes s’équivalent ; ils indiquent que l’
événement
en question doit s’accomplir ; l’une et l’autre s
t l’autre sont des particularités, des manières d’être extraites de l’
événement
et isolées par une fiction mentale. Mais, comme l
et isolées par une fiction mentale. Mais, comme la loi qui prédit cet
événement
sous telles conditions est générale et, partant,
tes et se trouvent ainsi érigées en substances, ce qui les oppose aux
événements
passagers et les classe à part. — À présent, sous
nôtre, nous posons son histoire en face de la nôtre comme une série d’
événements
en face d’une série d’événements. Dès lors deux s
n face de la nôtre comme une série d’événements en face d’une série d’
événements
. Dès lors deux séries nouvelles de propriétés vie
ux, être échauffé, refroidi, etc. Nous le concevons par rapport à ses
événements
possibles, comme nous l’avons conçu par rapport à
n associons un second. — D’autre part, nous remarquons que tel de ses
événements
provoque tel changement dans un autre corps. La b
ns d’autres corps, et nous le définissons, non plus par rapport à nos
événements
, non plus par rapport à ses événements, mais par
ns, non plus par rapport à nos événements, non plus par rapport à ses
événements
, mais par rapport aux événements des autres corps
énements, non plus par rapport à ses événements, mais par rapport aux
événements
des autres corps. À ce troisième titre, il est en
aux autres. — Toutes ces propriétés n’existent que par rapport à des
événements
; les poser, c’est prédire tel événement de nous,
stent que par rapport à des événements ; les poser, c’est prédire tel
événement
de nous, du corps, d’un autre corps, l’énoncer co
s, plus une complémentaire, bref poser une loi générale ; et tous ces
événements
, les nôtres, ceux du corps, ceux des autres corps
ps, ceux des autres corps, se définissent en dernière analyse par nos
événements
. La scène change, lorsque nous essayons de démêle
êtres distincts que nous observons ou devinons dans la nature, et nos
événements
ne sont qu’une quantité minime dans la masse mons
énements ne sont qu’une quantité minime dans la masse monstrueuse des
événements
. Le moi est un réactif entre cent millions d’autr
entes, et nous définissons les propriétés des corps, non plus par nos
événements
, mais par certains de leurs événements. Au lieu d
és des corps, non plus par nos événements, mais par certains de leurs
événements
. Au lieu de notre sensation de température, nous
dice l’élévation ou l’abaissement du plateau de la balance. Parmi ces
événements
indicateurs, il en est un très simple et plus uni
s aux corps organisés des sensations, perceptions, émotions et autres
événements
semblables aux nôtres, nous attribuons à tous les
la masse sont des points de vue équivalents. De cette façon, tous les
événements
de la nature physique sont des mouvements, chacun
jourd’hui l’idée mécanique de la nature. Entre les diverses classes d’
événements
par lesquels on peut définir les choses, l’homme
qui constitue un être distinct, c’est une série distincte de faits ou
événements
. Partant, pour que cette pierre soit, non pas la
és34, il faut qu’elle soit en outre une série distincte de faits ou d’
événements
réels ou possibles, événements qui se produiraien
utre une série distincte de faits ou d’événements réels ou possibles,
événements
qui se produiraient encore si tous les êtres sent
ns analogues aux nôtres, et nous transportons légitimement en lui des
événements
qui se passent en nous. Par cette translation, de
issons une existence distincte, indépendante de la nôtre, puisque les
événements
qui la constituent, quoique constatés par nous, n
i la constituent, quoique constatés par nous, n’ont pas besoin de nos
événements
pour se produire et se succéder. Y a-t-il quelque
événements pour se produire et se succéder. Y a-t-il quelque série d’
événements
internes que nous puissions, aussi par induction
res, et en lui-même. — Par rapport aux autres, il est une condition d’
événements
pour les autres, et, notamment par rapport à nous
sensations pour nous. — D’autre part, en lui-même, il est une série d’
événements
qui, à certaines conditions, tendent à s’effectue
tat d’atténuation et d’amoindrissement suprême, la série continue des
événements
successifs qui constituent le mouvement d’une pie
différence intrinsèques ; considérez-les abstraitement, comme de purs
événements
successifs, déterminés seulement par leur ordre r
à un point mobile, serait précisément la série la plus simple de ces
événements
moraux élémentaires dont nous avons vu les formes
es dégradées se prolonger, en se dégradant davantage encore, sous les
événements
moraux composés, sensations et images, dont nous
embrasser la nature par une vue d’ensemble. Les séries simultanées d’
événements
successifs qui la composent seraient toutes homog
par la grandeur de l’effet consécutif. À ce titre, tous les faits ou
événements
de la nature pourraient se ramener à des mouvemen
trait le plus mince, et, directement, le type de l’existence serait l’
événement
mental, sensation ou image, tel que la conscience
’agit de comparer directement des horloges voisines, de constater des
événements
voisins, d’observer une simultanéité d’indication
ologique de la simultanéité, car, suivant votre propre expression, un
événement
E s’accomplissant à côté de l’horloge H est donné
e H dans le sens que le psychologue attribue au mot simultanéité. À l’
événement
« départ du boulet », l’horloge de Pierre marque
aux coordonnées d’espace et de temps mesurées par Paul, pour un même
événement
. Ici l’événement est la rencontre du boulet et de
d’espace et de temps mesurées par Paul, pour un même événement. Ici l’
événement
est la rencontre du boulet et de l’horloge du sys
conque, que cette portion de matière, la distance spatiale entre deux
événements
concernant la portion de matière est toujours nul
ème qui lui est lié. Le temps propre équation d écoulé entre deux
événements
A et B est le temps que mesurera un observateur,
d, dans l’Espace-Temps, une ligne d’Univers formée par l’ensemble des
événements
qui représentent les diverses positions successiv
un système quelconque. Sur la ligne d’Univers de M₁, choisissons deux
événements
déterminés A et B… Entre ces événements nous pouv
ivers de M₁, choisissons deux événements déterminés A et B… Entre ces
événements
nous pouvons imaginer dans l’Espace-Temps une inf
s ; il suffit pour cela de considérer un second mobile M₂, parti de l’
événement
A, qui, après avoir parcouru, avec une vitesse pl
un système en translation uniforme lié à M₁ rejoint ce mobile M₁, à l’
événement
B. En résumé, nos données sont les suivantes : le
ivantes : les deux mobiles M₁, et M₂, sont en coïncidence absolue aux
événements
A et B ; entre ces événements, leurs lignes d’Uni
et M₂, sont en coïncidence absolue aux événements A et B ; entre ces
événements
, leurs lignes d’Univers sont différentes ; M₁, es
es ; M₁, est supposé en translation uniforme. Enfin nous repérons les
événements
dans un système S lié à M₁. Il importe de remarqu
pour y passer en B), a nécessairement subi une accélération entre les
événements
A et B. Prenons deux époques t et t + dt du temps
tB auxquelles se produisent, toujours dans le système S lié à M₁, les
événements
A et B. Aux époques t et t + dt, le second mobile
e S ; ces coordonnées déterminent, sur la ligne d’Univers de M₂, deux
événements
C et D infiniment voisins, dont l’intervalle est
quation , ce qui signifie : le temps propre d’un mobile M2 entre deux
événements
de sa ligne d’Univers est plus court que le temps
sa ligne d’Univers est plus court que le temps mesuré entre les mêmes
événements
dans un système en translation uniforme ; il est
mobiles M₁ (en translation uniforme) et M₂ (mouvement quelconque) aux
événements
A et B. Intégrons [1] équation , plus le mouve
Intégrons [1] équation , plus le mouvement du mobile M₂, entre les
événements
A et B communs aux deux mobiles différera d’un mo
lus le temps propre total sera court. En d’autres termes : entre deux
événements
déterminés, la plus LONGUE ligne d’Univers est ce
rriverait dans le cas le plus fréquent, celui où la distance des deux
événements
dans l’espace est plus petite que le chemin parco
a théorie de la Relativité, une action soit possible de l’un des deux
événements
sur l’autre. Telle est précisément l’hypothèse où
humainement irrationnels, qui viennent déranger toute la logique des
événements
, tuent un grand homme au moment où son action all
atisée, dans laquelle on a restreint au strict nécessaire la part des
événements
de hasard, aboutissant à stériliser la volonté hu
une tendance unique, — passion, vice ou vertu, — aux prises avec les
événements
variés de la vie. Là est l’erreur. En réalité il
actère tout entier. Il n’est pas nécessaire pour cela qu’il y ait des
événements
très nombreux, très divers et très saillants. « V
nombreux, très divers et très saillants. « Vous vous plaignez que les
événements
(de mon sujet) ne sont pas variés, répondait Flau
oint de vue, et tout est le même à un autre. La valeur littéraire des
événements
est dans leurs conséquences psychologiques, moral
renferme rien en soi. Ainsi en devrait-il être dans le roman : chaque
événement
, tout en intéressant par lui-même (cela est de pr
emière nécessité), serait une préparation, une explication des grands
événements
à venir. Le roman ne serait qu’une chaîne ininter
événements à venir. Le roman ne serait qu’une chaîne ininterrompue d’
événements
qui s’emboîtent étroitement les uns dans les autr
tent étroitement les uns dans les autres et viennent tous aboutir à l’
événement
final. Un des traits caractéristiques du roman ps
er la catastrophe morale : nous voulons parler de ces scènes où aucun
événement
grave ne se passe d’une manière visible, et où po
au théâtre, parce que tout ou presque tout s’y passe en dedans : les
événements
extérieurs sont des symptômes insignifiants, non
extérieurs sont des symptômes insignifiants, non pas des causes. Ces
événements
constituent de simples moyens empiriques de mesur
out vient aboutir à cette scène ; on s’attend donc à une action, à un
événement
, à un heurt de forces et d’hommes : il n’y a rien
le marin, qui tarde à revenir, — ne se compose pour ainsi dire que d’
événements
psychologiques : des espérances qui tombent l’une
rtée sociale de l’œuvre subsiste. Dans une monographie parfaite, tout
événement
qui se produit influence les événements suivants,
une monographie parfaite, tout événement qui se produit influence les
événements
suivants, et lui-même est influencé par les événe
influence les événements suivants, et lui-même est influencé par les
événements
précédents ; d’autre part, toute la suite des évé
encé par les événements précédents ; d’autre part, toute la suite des
événements
gravite autour du caractère et l’enveloppe. En d’
n ce genre, est celui qui fait ressortir les actions et réactions des
événements
sur le caractère, du caractère sur les événements
ns et réactions des événements sur le caractère, du caractère sur les
événements
, tout en liant ces événements entre eux au moyen
sur le caractère, du caractère sur les événements, tout en liant ces
événements
entre eux au moyen du caractère ; ce qui forme un
orte d’équation mathématique. Dans la vie réelle, le hasard amène des
événements
: une situation est constituée, aux caractères de
e, conséquences déterminées par les caractères des héros. Lorsque les
événements
et le caractère sont liés ensemble, il y a contin
il faut aussi qu’il y ait progression. Dans la réalité, l’action des
événements
sur le caractère produit des effets accumulés : l
ménager la progression dans toutes les phases de l’action ; quant aux
événements
divers, ils se trouvent liés par la trame une du
est-il pas indifférent que je compte des pois ou des lentilles ? » Un
événement
très simple se produit, le retour d’Albert, fianc
iculière, mais non isolée, qui retentisse ensuite sur l’autre. Chaque
événement
doit, après avoir pour ainsi dire traversé le pre
la croyais : c’était plus fort que moi. » A partir de ce moment, les
événements
très simples de l’action se suivent avec la rigue
t, qui est admirable parce est contenu à l’avance qu’il dans tous les
événements
qui précèdent comme une conséquence dans ses prém
ctor Hugo n’a aucun souci du réel dans la trame et l’enchaînement des
événements
; il considère tous les petits événements de la v
trame et l’enchaînement des événements ; il considère tous les petits
événements
de la vie, toutes les vraisemblances des événemen
e tous les petits événements de la vie, toutes les vraisemblances des
événements
comme des choses sans importance. Son roman et so
érir cette réalité qui lui manque tout à fait dans l’enchaînement des
événements
et dans la logique habituelle des caractères. 55
explosion finale d’une série d’antécédents qui tous la préparent ; un
événement
aussi sur et aussi fatal que la mort de la fleur
dans son esprit, c’est qu’elle a droit à l’amour de Yann. Un premier
événement
psychologique se produit : c’est sa visite à la f
de de Sylvestre intervient. Puis l’intrigue principale se renoue à un
événement
insignifiant qui amène la déclaration de Yann. Au
fermé, il n’est qu’une esquisse ; pourquoi ? parce qu’il n’y a pas d’
événement
psychologique. Il part pour la guerre, il est ble
c’est-à-dire comme simple représentation et pur fantôme, tantôt comme
événement
passé ou futur, c’est-à-dire comme souvenir ou pr
se transformer en sensation. Dans cet état, elle constitue d’abord un
événement
d’importance majeure, qu’on nomme le souvenir. Qu
t présent, c’est seulement en apparence qu’il est chose extérieure ou
événement
passé. Tant qu’on n’a pas fait cette remarque, on
ragment du temps, possède deux bouts, l’un antérieur, plus voisin des
événements
précédents, l’autre postérieur, plus voisin des é
voisin des événements précédents, l’autre postérieur, plus voisin des
événements
ultérieurs, le premier contigu au passé, le secon
sont posées bout à bout ; et cette merveilleuse illusion qui, de deux
événements
réellement simultanés, fait deux événements en ap
use illusion qui, de deux événements réellement simultanés, fait deux
événements
en apparence postérieurs ou antérieurs l’un à l’a
image, et la rectification est complète. — De ce genre sont tous ces
événements
intérieurs que l’on nomme pures conceptions, pure
mon raisonnement prononcé à haute voix, l’image des gestes, émotions,
événements
que provoquerait en moi et hors de moi ma démarch
confonde et coïncide avec le bout postérieur ou antérieur d’un autre
événement
déterminé. Elle roule ainsi, banale ; si je lui d
et qui nous semble l’œuvre d’une force étrangère. — En soi, les deux
événements
sont pareils. Mais ils se font contraste par leur
sont, c’est-à-dire, non plus comme des objets extérieurs ou comme des
événements
futurs et passés, mais comme des événements doués
s extérieurs ou comme des événements futurs et passés, mais comme des
événements
doués à tort de cette fausse apparence, effective
; on se la figure comme le regard d’un œil intérieur appliqué sur un
événement
présent et interne, de même qu’on s’est figuré la
figuré la mémoire comme le regard d’un œil intérieur appliqué sur un
événement
passé. Les métaphores y aident ; en effet, les ps
filent devant elle. — La vérité est qu’alors il n’y a pas en moi deux
événements
, d’un côté ma conception, de l’autre l’acte par l
conception, de l’autre l’acte par lequel je la connais, mais un seul
événement
, ma conception elle-même. Nous la dédoublons parc
deux moments, le premier, dans lequel elle paraît objet extérieur ou
événement
passé, rideau de peupliers ou sensation visuelle
elle antérieure, le second, dans lequel, étant rectifiée, elle paraît
événement
interne et présent, fantôme optique actuel et inc
eption extérieure et de la mémoire. — En somme, ici comme ailleurs, l’
événement
intérieur se réduit à la conception, représentati
ormal, ces fantômes correspondent ordinairement à des choses et à des
événements
réels, et constituent ainsi des connaissances, te
mps T qui s’écoule pour moi, transporté dans le système S, entre deux
événements
se passant respectivement en A′ et B′ qui m’appar
roît à partir de zéro, l’intervalle de temps T grandit entre les deux
événements
qui se passent aux points A′ et B′ et qui sont do
e S′ une certaine longueur A′ B′, c’est-à-dire la distance entre deux
événements
instantanés et simultanés se produisant respectiv
ulons maintenant généraliser la question. Supposons donc que les deux
événements
soient successifs pour l’observateur en S′. Si l’
inction entre le cas où l’observateur en S′ apercevait simultanés les
événements
A′ et B′, et le cas où il les note successifs. Ce
le long de cette histoire donnée tout d’un coup dans l’éternité : les
événements
ne défileraient plus devant nous, c’est nous qui
alignées ; nous passons le long du front. Ne disons donc pas que les
événements
ou accidents nous arrivent ; c’est nous qui leur
tas qui est en avant (en cela consiste le calcul ou la prévision d’un
événement
), le mouvement qui vous obligerait à passer d’abo
sur laquelle nous reviendrons tout à l’heure) ; 2° notre expérience d’
événements
successifs ne fait qu’illuminer un à un les point
t à certains passages du livre déjà classique de M. Eddington : « Les
événements
n’arrivent pas ; ils sont là, et nous les rencont
eur, dans son voyage d’exploration, a passé dans le futur absolu de l’
événement
en question, et elle est sans grande importance 4
tervalle de temps équation qui est venu s’intercaler entre les deux
événements
A′ et B′ perçus à l’intérieur du système S′ comme
B′, perçue par un observateur placé en S′, joint l’un à l’autre deux
événements
A′ et B′ donnés dans ce système comme simultanés.
insi ramenés à nos conclusions antérieures. On nous montrait que deux
événements
, simultanés pour le personnage qui les observe à
ordions, mais nous faisions remarquer que l’intervalle entre les deux
événements
devenus successifs aurait beau s’appeler du temps
cessifs aurait beau s’appeler du temps, il ne pourrait contenir aucun
événement
: c’est, disions-nous, du « néant dilaté ». Ici n
’optique dans le miroir du mouvement. La pensée ne saurait y loger un
événement
, si court fût-il, pas plus qu’on ne pousserait un
’une glace. Mais nous avons envisagé un cas particulier, celui où les
événements
en A′ et B′ sont aperçus, à l’intérieur du systèm
éorie de la Relativité. Prenons maintenant le cas plus général où les
événements
A′ et B′ se passent à des moments différents pour
à notre première notation : nous appellerons équation le temps de l’
événement
A′ et équation celui de l’événement B′ ; nous d
lerons équation le temps de l’événement A′ et équation celui de l’
événement
B′ ; nous désignerons par équation la distance d
ion et le mouvement moléculaire des cellules considérés comme un seul
événement
à double aspect, sur les facultés, les forces et
s’aperçoit qu’il n’y a rien de réel dans le moi, sauf la file de ses
événements
; que ces événements, divers d’aspect, sont les m
a rien de réel dans le moi, sauf la file de ses événements ; que ces
événements
, divers d’aspect, sont les mêmes en nature et se
ien de réel en eux que leurs mouvements ; à cela se ramènent tous les
événements
physiques. Mais le mouvement, considéré directeme
continue de sensations infiniment simplifiées et réduites. Ainsi les
événements
physiques ne sont qu’une forme rudimentaire des é
Ainsi les événements physiques ne sont qu’une forme rudimentaire des
événements
moraux, et nous arrivons à concevoir le corps sur
le corps sur le modèle de l’esprit. L’un et l’autre sont un courant d’
événements
homogènes que la conscience appelle des sensation
ilà les êtres physiques et moraux ; chacun d’eux n’est qu’une ligne d’
événements
dont rien ne dure que la forme, et l’on peut se r
urée à l’éclosion incessante des individus et au flux inépuisable des
événements
. Très probablement, la nouvelle loi mécanique sur
r le même sujet. 3. On a ajouté ici l’impulsion, parce qu’elle est l’
événement
élémentaire dont les composés forment les émotion
és forment les émotions et la volonté, de même que la sensation est l’
événement
élémentaire dont les composés forment les idées e
elle conscience saisirait dans une seule perception, instantanée, des
événements
multiples situés en des points divers de l’espace
simultanéité serait précisément la possibilité pour deux ou plusieurs
événements
d’entrer dans une perception unique et instantané
proche en proche, une même durée va ramasser le long de sa route les
événements
de la totalité du monde matériel ; et nous pourro
, — nous verrons à quelle condition. Mais par là elle reconnaît qu’un
événement
E, s’accomplissant à côté de l’horloge H, est don
ue attribue au mot simultanéité. Et de même pour la simultanéité de l’
événement
E′ avec l’indication de l’horloge « voisine » H′.
r les unes aux autres ; elles ne seraient pas employées à classer des
événements
; bref, elles existeraient pour elles et non pas
il ne les fait intervenir, lui aussi, que pour marquer le temps d’un
événement
. Maintenant, il est très vrai que la simultanéité
résent, ont étendu a priori cette conception de la simultanéité à des
événements
que séparerait n’importe quelle distance. Ils se
une conscience coextensive à l’univers, capable d’embrasser les deux
événements
dans une perception unique et instantanée. Mais i
d’horloges, indépendamment de tout point de vue, quand il s’agit d’un
événement
et d’une horloge peu distants l’un de l’autre, on
aussi bien le droit quand la distance est grande entre l’horloge et l’
événement
, ou entre les deux horloges. Il n’y a pas de phys
ultanéité, après l’avoir puisée en effet dans la constatation de deux
événements
« voisins ». Cette analyse, qui n’a guère été ten
facilité d’une petite distance à une grande, de la simultanéité entre
événements
voisins à la simultanéité entre événements lointa
, de la simultanéité entre événements voisins à la simultanéité entre
événements
lointains, s’il étend au second cas le caractère
int, toujours on pourra convertir la succession indéfinie de tous ses
événements
en juxtaposition instantanée ou éternelle par le
errer et s’appauvrir son domaine ; une sorte de monotonie l’envahit ;
événements
, passions, caractères, tous les trésors naturels
aisirs et des amis. Cependant, au milieu de ces grotesques folies, un
événement
sérieux trouve sa place, le mariage de Shakespear
t genre, les occupations quelconques que lui imposait la nécessité. L’
événement
qui détermina Shakespeare à quitter Stratford, et
tre foi vers le plus étrange, nous dispose en général à chercher, aux
événements
importants, une cause accidentelle dans ce que no
contrée la poésie s’unit, dans l’ancienne histoire d’Angleterre, aux
événements
importants : elle introduit Alfred sous les tente
, les moines et les grands seigneurs. Leur arrivée était à la fois un
événement
et une habitude, leur intervention un luxe et un
e marche précipitée à travers des scènes sans développements vers des
événements
sans intérêt, ce sont là les signes auxquels, dan
ature de l’homme, ses passions et ses affaires, les caractères et les
événements
, tout en nous et autour de nous a son côté sérieu
ères sont soutenus et simples ; le pouvoir surnaturel qui dispose des
événements
se charge de répondre à toutes les nécessités de
amentale qui distingue les deux genres de pièces : dans les unes, les
événements
suivent leur cours, et le poëte les accompagne ;
suivent leur cours, et le poëte les accompagne ; dans les autres, les
événements
se groupent autour d’un homme et ne semblent serv
âtre n’est qu’une partie, et souvent la moindre partie du tableau des
événements
de leur temps. C’est que les événements ne sont p
moindre partie du tableau des événements de leur temps. C’est que les
événements
ne sont pas ce qui préoccupe Shakespeare ; il ne
— Comment es-tu fait ? D’où est née la part que tu as prise dans les
événements
où je te rencontre ? Que cherchais-tu ? Que pouva
us national que dramatique, écrites d’avance en quelque sorte par des
événements
connus dans leurs détails, et déjà même en posses
istoire. Chaque homme est d’ordinaire pour bien peu de chose dans les
événements
où il a pris place ; et la situation brillante qu
inés moins à faire marcher l’action qu’à la remplir. À mesure que les
événements
passent devant lui, Shakespeare les arrête pour e
t dans leurs résultats pratiques et familiers qu’il va les puiser. Un
événement
historique peut partir de très haut, mais il atte
ment répandu et manifeste. C’est là que Shakespeare semble attendre l’
événement
; c’est là qu’il le prend pour le peindre. L’inte
l’histoire privée ou populaire, placés bien loin derrière les grands
événements
, Shakespeare les attire sur le devant de la scène
ine avec Henri. Dans les Henri IV, le comique se lie de plus près aux
événements
; cependant ce n’est pas de là qu’il émane ; Fals
ranger au fond même du drame ; aucun lien n’est léger ou fortuit. Les
événements
groupés autour du personnage principal se présent
librement vers un but qu’il n’a pas choisi. Mais l’homme en butte aux
événements
ne tombe point sous leur servitude ; si l’impuiss
fait le monde ; ainsi Shakespeare a conçu la tragédie. Donnez-lui un
événement
obscur, éloigné ; qu’à travers une série d’incide
re, et met dans la main de sa créature tous les fils de l’action. Les
événements
suivent leur route, l’homme entre dans la sienne
s le temps a fourni sa carrière ; la Providence est à son terme ; les
événements
que Hamlet a préparés se précipitent sans son con
fet, on va le voir commander en vainqueur aux chances de sa vie ; les
événements
naîtront de ses mains, portant l’empreinte de ses
, attirent de même sur eux, avec la force d’une volonté passionnée, l’
événement
qui doit les écraser. Brutus meurt de la mort de
êt, tous les sentiments qui la peuvent modifier pendant la durée d’un
événement
toujours compliqué, voilà les nombreux et mobiles
est le théâtre. Son âme est la scène où viennent jouer leur rôle les
événements
de ce monde ; ce n’est point par leur propre vert
eurs rapports avec l’être moral dont la destinée nous occupe, que les
événements
prennent part à l’action ; tout caractère dramati
occupe la scène ; son existence s’y déploie animée, agrandie par les
événements
qui s’y rapportent, et qui doivent à ce rapport s
comédie, plus petits que la passion qu’ils excitent dans l’homme, les
événements
empruntent de cette passion une importance risibl
r son art est de faire naître, de l’homme même et de ses travers, les
événements
dont l’homme s’agite. Cette invention est raremen
e est de démêler et de faire éclater l’homme et son âme au milieu des
événements
qu’il subit. S’il faut en général que le fond de
e du théâtre ; ainsi, à travers l’âme qui en reçoit l’impression, les
événements
nous atteignent par la sympathie, source de l’ill
e canon qui devait tuer au côté opposé le duc de Bedford, et ce grand
événement
ne les frappait pas avec moins de vivacité ; et i
il y a six mois ? » de même que, rencontrant un ami six mois après l’
événement
qui l’a plongé dans la douleur, nous commençons p
te, sans peine d’un temps à un autre ; notre pensée se préoccupe de l’
événement
qu’on nous a promis, et ne voit rien dans l’inter
l’assaut d’armes où doit périr Hamlet, entre ce moment et celui de l’
événement
on ne s’inquiète guère de savoir si deux heures o
ées par cette unité d’impression qui nous fait dire, à la pensée d’un
événement
consommé depuis longtemps, mais dont rien encore
’abord exposés à nos yeux ; nous suivons, nous prévenons le cours des
événements
; aucune hâte ne nous coûte pour arriver à ce que
remplir ; une seule succession se marque dans notre esprit, celle des
événements
dont se compose le spectacle entraînant qui nous
son efficacité ; la rapidité d’une grande action exécutée, d’un grand
événement
accompli dans l’espace de quelques heures, saisit
is peu d’actions comportent en réalité une action si soudaine ; peu d’
événements
se composent de parties si exactement rapprochées
bravant les temps et les distances, renferme toutes les parties d’un
événement
dans une action compacte où ne se laissent plus a
n l’empêcherait peut-être de consommer. De même le simple tableau des
événements
, si la présence d’un grand caractère individuel n
ette unité théâtrale, que le temps romprait trop facilement entre des
événements
que ne lie point un principe uniforme. La scène o
e. On passe en Angleterre ; on y voit arriver Macduff ; les terribles
événements
qu’il ignore ont rempli, pour nous, l’intervalle
pas été consulté sur le temps qu’il y a employé. De même, entre deux
événements
évidemment séparés par un intervalle assez long p
akespeare. Comment la maintenir, se demande-t-on, au milieu de tant d’
événements
si mobiles et si compliqués, dans ce champ immens
rtant tout ce qui se passe sous ses yeux, attentif à se soumettre les
événements
pour la servir et la satisfaire ; Hermione seule
re, toujours le même, fera sa destinée toujours changeante, alors les
événements
qui s’agitent autour d’un tel homme ne nous frapp
enée à un centre unique d’où émanent et auquel se rapportent tous les
événements
du drame, toutes les impressions du spectateur. T
t plus vive, mais aussi plus véridique. C’est tromper l’esprit sur un
événement
que de lui en présenter une partie saillante et r
besoin d’une apparition surnaturelle pour se déterminer à agir, d’un
événement
fortuit pour accomplir son projet. Sans cesse pla
lontiers le mouvement de notre esprit dans l’espace étroit de quelque
événement
de famille, ou dans les agitations d’une passion
été plus vivement présente à tous les esprits ; et l’importance d’un
événement
peut maintenant éclater dans ses plus petits déta
alyse psychologique. — Commencement de l’analyse physiologique. II. L’
événement
physique extérieur est une condition accessoire e
leurs éléments invisibles à la conscience. — Caractères et signes des
événements
moraux élémentaires. — Phénomènes réflexes. — Exp
— Expériences de Vulpian, Landry, Dugès, Claude Bernard. — Indices d’
événements
moraux dans les centres nerveux inférieurs et sec
secondaires. — Les segments de la moelle. — Analogie probable de ces
événements
et des sensations élémentaires. — Degrés successi
ndance constante du mouvement moléculaire d’un centre nerveux et de l’
événement
moral. VIII. Géographie et mécanique des centres
ays. II Cherchons donc les données physiques dont dépendent nos
événements
moraux et d’abord les conditions de la sensation.
ant le dernier anneau. Suivons cette chaîne. En premier lieu il y a l’
événement
physique extérieur, ondulation aérienne ou éthéré
ue107 ne nous donne jamais que des sensations de son, quel que soit l’
événement
extérieur qui le mette en branle, ondulation aéri
vent être mis en expérience ; car ils sont excités par une quantité d’
événements
extérieurs différents, contact et pression mécani
on jeu propre, mais le jeu de chaque espèce de nerfs est différent. L’
événement
extérieur a beau être le même : s’il met en mouve
, c’est l’action ou mouvement moléculaire du nerf ; peu importent les
événements
du dehors, ou les autres événements intérieurs du
laire du nerf ; peu importent les événements du dehors, ou les autres
événements
intérieurs du corps vivant ; ils n’agissent que p
’image pendant quelques secondes à ce poste privilégié. En ce cas, un
événement
singulier se produit : tout de suite elle se tran
onnaissons maintenant avec exactitude les conditions physiques de nos
événements
moraux ; pour nos sensations brutes144, c’est une
e l’écorce grise cérébrale. De ce mouvement moléculaire dépendent les
événements
que nous rapportons à notre personne ; s’il est d
moléculaire déterminé dans les cellules cérébrales. — Mais, outre les
événements
moraux perceptibles à la conscience, le mouvement
ence, le mouvement moléculaire des centres nerveux éveille encore des
événements
moraux imperceptibles à la conscience. Ceux-ci so
au-delà des limites qu’on lui assignait. On le limite d’habitude aux
événements
dont nous avons conscience ; mais il est clair ma
pacité d’apparaître à la conscience n’est propre qu’à certains de ces
événements
; la majorité ne l’a pas. Au-delà d’un petit cerc
x est une grande pénombre, et plus loin une nuit indéfinie ; mais les
événements
de la nuit et de la pénombre sont réels au même t
nements de la nuit et de la pénombre sont réels au même titre que les
événements
du petit cercle lumineux. D’où il suit que, si no
toutes les indications physiques que nous avons rencontrés autour des
événements
moraux dont nous avons conscience, nous aurons le
conscience, nous aurons le droit de conclure là aussi à la présence d’
événements
moraux que notre conscience n’atteint pas. Tel es
analogies, éveille, comme le mouvement moléculaire de l’encéphale, un
événement
de l’ordre moral. — D’ailleurs, l’action des nerf
, dans la protubérance et les lobes cérébraux, son action éveille des
événements
moraux, tous de la même espèce, sensations tempor
viviscentes. On doit donc admettre que son action éveille partout des
événements
moraux d’espèce voisine ; et puisque d’ailleurs,
urs, même dans la protubérance et les lobes, la majeure partie de ces
événements
n’apparaît pas à la conscience, rien n’empêche qu
e, rien n’empêche que, dans la moelle, son action n’éveille aussi des
événements
moraux analogues à la sensation, situés, cette fo
— On conçoit ainsi, pour l’action des centres nerveux comme pour les
événements
moraux, trois étages de transmission et d’élabora
ouvements moléculaires des centres nerveux ; de l’autre côté sont les
événements
moraux, tous plus ou moins analogues à la sensati
nous connaissons par la conscience, descendre une échelle indéfinie d’
événements
moraux analogues, de plus en plus imparfaits, de
anguine. — Mais, par tous ces points de vue, nous n’atteignons dans l’
événement
que des caractères abstraits et des effets d’ense
s, on comprend en quoi consiste le souvenir, surtout le souvenir d’un
événement
ancien, notamment le souvenir qui semble avoir pé
sation de lumière est présente. Mais la conscience connaît si mal nos
événements
intérieurs, qu’elle range sur la même ligne, à ti
nerf olfactif ou gustatif, et, pour y parvenir, il faut déterminer l’
événement
extérieur à la suite immédiate duquel il entre en
re en action. Rien de plus facile que de savoir les précédents de cet
événement
; mais l’événement lui-même est difficile à préci
de plus facile que de savoir les précédents de cet événement ; mais l’
événement
lui-même est difficile à préciser. Nous voyons, d
l’intermédiaire par lequel agit le premier. — Cherchons pourtant cet
événement
dernier et immédiat à la suite directe duquel le
siens ; il faut attendre qu’elle puisse, comme sa rivale, figurer les
événements
prodigieusement petits dont elle ne sait que l’ef
très petite durée, dont le rhythme correspond au rhythme spécial d’un
événement
extérieur, à une ondulation aérienne ou éthérée,
ondes subissent des condensations plus fortes. — Pareillement un même
événement
extérieur, l’ondulation éthérée, est traduit de d
spond, trait pour trait, à l’élément dont la répétition constitue tel
événement
extérieur ; en ce cas, la sensation élémentaire t
trait pour trait, à l’élément dont la répétition constitue tel ou tel
événement
extérieur, et ne transcrit point, une à une, les
int, une à une, les variations de cet élément ; mais, quel que soit l’
événement
extérieur, il éveille une somme de sensations élé
des autres sens, ses sensations élémentaires ne correspondent à aucun
événement
élémentaire extérieur et partant ne peuvent être
voici donc en face d’une difficulté nouvelle. Nous n’avons pas ici d’
événement
spécial qui, comme auparavant, nous serve de guid
déduction au but que nous indiquait l’analogie. — Au fond de tous les
événements
corporels, on découvre un événement infinitésimal
’analogie. — Au fond de tous les événements corporels, on découvre un
événement
infinitésimal, imperceptible aux sens, le mouveme
hénomènes physiques, chimiques et physiologiques. Au fond de tous les
événements
moraux, on devine un événement infinitésimal, imp
t physiologiques. Au fond de tous les événements moraux, on devine un
événement
infinitésimal, imperceptible à la conscience, don
constituent le reste, sensations, images et idées. Quel est ce second
événement
, et l’un de ces événements est-il réductible à l’
ations, images et idées. Quel est ce second événement, et l’un de ces
événements
est-il réductible à l’autre ? En attendant, nous
t dont elle est le substitut intérieur. Par cette correspondance, les
événements
du dedans cadrent avec ceux du dehors, et les sen
re se soit donné à tâche d’instituer en nous des représentants de ses
événements
, et qu’elle y soit parvenue par les voies les plu
eprésentants internes, et ce représentant mental est toujours le même
événement
interne plus ou moins composé, répété et déguisé.
de vaudeville en général : Est comique tout arrangement d’actes et d’
événements
qui nous donne, insérées l’une dans l’autre, l’il
particulier, parce qu’il est comme une distraction de la vie. Si les
événements
pouvaient être sans cesse attentifs à leur propre
de la personne par lequel elle ressemble à une chose, cet aspect des
événements
humains qui imite, par sa raideur d’un genre tout
uligne et réprime une certaine distraction spéciale des hommes et des
événements
. Mais ceci même nous invite à chercher plus loin
t variables du théâtre comique. Ce théâtre, disions-nous, combine les
événements
de manière à insinuer un mécanisme dans les forme
r rire ensemble de la « coïncidence ». Figurez-vous alors une série d’
événements
imaginaires qui vous donne suffisamment l’illusio
e renaître dans des circonstances toujours nouvelles une même série d’
événements
ou de mésaventures qui se correspondent symétriqu
ment. Plusieurs pièces de Molière nous offrent une même composition d’
événements
qui se répète d’un bout de la comédie à l’autre.
la comédie classique et le théâtre contemporain. Introduire dans les
événements
un certain ordre mathématique en leur conservant
toujours comique quand elle appartient en même temps à deux séries d’
événements
absolument indépendantes, et qu’elle peut s’inter
iproquo, en effet, chacun des personnages est inséré dans une série d’
événements
qui le concernent, dont il a la représentation ex
eux séries contemporaines, on pourrait aussi bien prendre une série d’
événements
anciens et une autre actuelle : si les deux série
ïncidence des deux séries se rétablit. Tantôt enfin c’est une série d’
événements
tout idéale qu’il intercalera dans la série réell
ogrès irréversible, unité indivisée. Et c’est pourquoi le comique des
événements
peut se définir une distraction des choses, de mê
e distraction fondamentale de la personne. Mais cette distraction des
événements
est exceptionnelle. Les effets en sont légers. Et
de du langage, certaines distractions particulières des hommes ou des
événements
. Il souligne les distractions du langage lui-même
rales de notre dernier chapitre. Nous avons montré que des « séries d’
événements
» pouvaient devenir comiques soit par répétition,
ns voir qu’il en est de même des séries de mots. Prendre des séries d’
événements
et les répéter dans un nouveau ton ou dans un nou
procédé favori de la comédie classique. Elle consiste à disposer les
événements
de manière qu’une scène se reproduise, soit entre
J. Fiévée : Causes et conséquences des
événements
du mois de Juillet 183021 31 août 1830. Voilà
ôle d’infatigable observateur politique ; le voilà après ces brusques
événements
qui ont ébranlé bien des esprits réputés solides,
en apparence aux questions politiques tranchées ou soulevées par les
événements
de juillet, il y a des gens d’esprit qui ont une
ait été possible qu’un pays, dans l’état où était le nôtre, après les
événements
qui l’avaient modifié et non fixé, n’ayant plus n
apport. Malheureusement, il était trop jeune pour la destinée que les
événements
lui avaient faite. Il n’avait vu que l’empire. Co
eune. « Sortis des malheurs attachés à la caducité des rois par des
événements
que nous n’avons pas provoqués, on nous a offert
i le gouvernement et l’administration publique avaient disparu par un
événement
surnaturel. Des trois pouvoirs qui composent le g
nes saisons, et une retraite de plusieurs mois à Hambourg pendant les
événements
de 1848 ; mais c’est à Venise qu’il est revenu vi
it autre chose sinon qu’on apprît au fils de Napoléon, sur ces grands
événements
historiques, la vérité tout entière. Avant la fin
té de l’impression. Il termina cette espèce de cours par un récit des
événements
de 1830. Les réflexions du jeune prince se mêlaie
avait des pensées originales et nées de lui seul. En envisageant ces
événements
de 1830, le sentiment de sa destinée et de son dr
l, doit avoir trop de grandeur pour servir d’instrument, et, dans des
événements
de cette nature, je ne veux pas être une avant-ga
avec Napoléon avant Leipzig, à Düben, le 11 octobre 1813, et que les
événements
subséquents avaient gravée en traits brûlants dan
es de voyages est surtout relatif au temps où ils s’exécutent, et les
événements
qui surviennent leur ôtent de cette nouveauté et
position de combattre le préjugé populaire qui régnait encore sur les
événements
de 1814, et particulièrement sur ceux de 1830, do
n et d’intelligence, vécut assez pour apprendre et juger les derniers
événements
qui ont changé le régime de la France. Il serait
de la part de mes amis pour moi, l’occasion d’une provocation. Ces
événements
du 2 Décembre, qu’il jugeait en homme qui considè
evant l’énigme divine posée par la Providence, qui a seule le mot des
événements
), mais par une de ces intelligences les plus lumi
u grand historien. Sans cela vous avez un annaliste, un compilateur d’
événements
et de dates, mais un historien, non. Son histoire
age de ses grands capitaines, de ses grands orateurs ou de ses grands
événements
. Mais M. Thiers a prodigieusement grandi depuis c
s se mouvoir sous mes yeux… « L’observation assidue des hommes et des
événements
, ou, comme disent les peintres, l’observation de
iscret, pénètre d’un œil auquel rien n’échappe dans la profondeur des
événements
humains, et les éclaire d’une éternelle clarté. D
rier, l’œuvre qu’on lui donne à exécuter ; s’il est homme d’État, les
événements
, leurs causes, leurs conséquences ; devine les ca
quel il faut les présenter, on le trouve dans l’enchaînement même des
événements
; car celui qui a su saisir le lien mystérieux qu
souvent s’empare de nous et nous entraîne à rapporter aux autres les
événements
qui nous ont touché et il pourra enfanter des che
nt par le premier venu, qui ne connaissait ni les personnages, ni les
événements
, ni les questions sur lesquelles il prononçait en
orie historique de l’intelligence supérieure à tout dans le récit des
événements
humains. L’intelligence, selon nous, n’est ni sup
ontredisent nécessairement par la logique brutale des passions et des
événements
, qui n’obéit point à la logique des écoles. Il n’
se former entre Genève et Dijon, et attendre là l’issue des premiers
événements
, prête à secourir Moreau s’il en avait besoin. Ma
poésie, est un grand poète, d’autant plus grand qu’il fait parler les
événements
au lieu de parler lui-même. Il n’y a pas de parol
ant pour le récit, soit insuffisant pour la majesté de l’histoire ; l’
événement
y est tout entier, mais le contrecoup de l’événem
e l’histoire ; l’événement y est tout entier, mais le contrecoup de l’
événement
sur l’âme n’y est pas assez senti ou du moins pas
rète. C’est ici qu’on regrette un Tacite, ce grand lyrique des grands
événements
; mais dès qu’on reprend le récit avec M. Thiers
i il les grandit à dessein très au-dessus des proportions vraies de l’
événement
. On croirait, à lire ce passage des Alpes par qua
éloges qu’on lui doit, court à travers le siècle avec la rapidité des
événements
. « Kléber était le plus bel homme de l’armée. S
XXI L’historien est déjà rentré en France avec l’intérêt réel des
événements
. Ici ce n’est plus le peintre de batailles, c’est
sont la partie faible de ce long récit. M. Thiers est l’historien des
événements
; il les prépare, il les éclaire, il les groupe,
ire, il les groupe, il les accomplit avec un art sans égal ; mais les
événements
sous sa main ressemblent un peu trop à des abstra
abstractions ; l’homme y manque, et l’homme cependant est l’âme de l’
événement
. Ôtez l’homme, qu’est-ce qu’une chose ? Le portra
e ses adversaires venait se joindre la voix plus puissante encore des
événements
; quand la Révolution française, déconcertant san
rompa souvent sur les forces relatives de l’Europe, sur la marche des
événements
; mais il joignit aux talents d’un grand orateur
e cette route immense où M. Thiers conduit son lecteur par le fil des
événements
avec une clarté de vue, une sûreté de marche et u
haînement de pensées pures, comme le chroniqueur fait voir la suite d’
événements
historiques. C’est donc seulement dans le récit q
sés était de se rendre directement de Venise dans la terre sainte. Un
événement
singulier les fit changer de dessein, et les cond
tion encyclopédique de Vincent de Beauvais. On connaît les principaux
événements
de cette épopée, le rétablissement d’Isaac l’Ange
se trahissent. Il ne se préoccupe guère des causes et des suites des
événements
, et il ne paraît pas se douter que les croisés ne
e entre les mémoires de Villehardouin et ceux de Joinville. De grands
événements
remplissent ce siècle. Un grand roi et un grand p
science, dut être touché de ces diverses influences. La grandeur des
événements
et des hommes, et la délicatesse relative des mœu
différence du maréchal de Champagne, qui va toujours en avant, où les
événements
le mènent ne se recueillant pas un moment pour le
mémoires sont les souvenirs personnels d’un homme qui a été mêlé aux
événements
qu’il raconte ; les chroniques peuvent être l’ouv
ion. Déjà, cependant, Joinville avait donné l’exemple de raconter des
événements
auxquels il n’avait pas pris part ; mais il en ti
u. Mais il ne porte pas la vraisemblance dans les causes secrètes des
événements
, ni dans l’appréciation des motifs qui ont fait a
à la fois le vraisemblable et le vrai ; qui non-seulement raconte les
événements
, mais qui les explique ; qui pénètre les causes e
un certain goût de pénétrer dans les causes et de tirer la morale des
événements
. Au commencement de ses chroniques, il s’était na
ivé, et le chargea, sous le titre d’Indiciaire, de chroniser tous les
événements
de cette époque. La chronique de George Chastelai
le les portraits des grands personnages, faire des réflexions sur les
événements
et les caractères des peuples, comparer leurs ins
ui avait, comme on l’a dit, son conseil dans sa tête, et laissait aux
événements
à faire connaître ses desseins. L’art des histori
is un siècle, tenaient en échec leur suzerain. Ses réflexions sur cet
événement
, le plus considérable du xve siècle, sont graves
ise en scène, qui n’y eût pas beaucoup servi. Indiquer les causes des
événements
et les motifs des actions entre ces causes distin
nsée secrète sous le rôle enfin, par une réserve admirable, quand les
événements
ont été trop grands ou trop soudains pour que l’h
campagnes, les guerres, les révoltes, puis l’histoire intérieure, les
événements
du palais impérial, et les affaires du sénat, enf
é, et tirer, pour ainsi dire, d’une seule source, tous les principaux
événements
qui en dépendent : par là il instruit utilement s
entant plus tard, il viendra plus à propos pour faire naître d’autres
événements
. C’est ce que Cicéron compare au soin qu’un homme
er de bons tableaux dans un jour avantageux. » On combinera donc les
événements
moins selon leur place sensible dans le temps et
eut du temps et de la patience on ne rejoigne les tronçons épars de l’
événement
démembré par la chronologie. D’autre part, à lire
e aux prises ces personnages et ces caractères, en rappelant tous les
événements
antérieurs qu’il est nécessaire de connaître pour
u’on dirait dans la réalité. Le dialogue que demandent la logique des
événements
et la nature intime des individus, n’est pas celu
nation. I Le lecteur vient de suivre, dans toutes ses formes, l’
événement
intérieur qui constitue nos connaissances. Nos id
e. On peut donc, faute d’un meilleur nom, dire, avec Condillac, que l’
événement
intérieur primordial qui constitue nos connaissan
res rudimentaires également inaccessibles à la conscience, qu’ainsi l’
événement
intérieur primordial va se simplifiant et se dégr
aphysiques, qu’il n’y a rien de réel dans la nature sauf des trames d’
événements
liés entre eux et à d’autres, qu’il n’y a rien de
e valeur, c’est-à-dire morale à l’endroit et physique à l’envers. — L’
événement
primordial ainsi dégagé et déterminé, il faut mai
un être composé comme on l’a dit peut-il les accomplir ? Comment des
événements
intérieurs comme ceux qu’on a décrits parviennent
t de leur combinaison. Or les éléments de toute connaissance sont les
événements
que nous avons étudiés, signes, images, sensation
ottoirs et des passants. Seulement, dans notre cas, des objets et des
événements
extérieurs, indépendants de nous et réels, consta
erception extérieure est une hallucination vraie. La maladie dégage l’
événement
interne et le montre tel qu’il est, à l’état de s
vec des êtres étendus différents de lui-même, avec lui-même, avec des
événements
passés, avec des lois ou vérités supérieures. La
situées dans les centres sensitifs, il y a en nous une autre série d’
événements
absolument analogues, lesquels, de leur nature, s
x après s’être endormie. Ses idées roulaient presque toujours sur les
événements
de la journée ; si on l’encourageait par des ques
e l’histoire, et principalement de la Révolution française, l’immense
événement
moderne dont tous les esprits contemporains sont
on qui lui a donné naissance, la Révolution française, qu’on nomme un
événement
aux racines éternelles, et dont l’horrible fleur
par ce triple charme, ils avaient presque consenti à reconnaître aux
événements
et aux hommes de ce temps de perdition je ne sais
’éclairer par en-dessous, qui nous la montre sous le vrai jour de ses
événements
intérieurs, et non à la lumière trompeuse et rétr
squ’elle n’est plus nécessaire, providentielle, inévitable. Après les
événements
, les hommes ; c’était la marche naturelle de l’hi
de l’homme tout-puissant de volonté, de liberté, quand il s’agit des
événements
qui paraissent le moins à sa charge, et même tout
nt qu’il l’a pu ce phare de ténèbres qui redouble la grande ombre des
événements
passés, au lieu de la dissiper. Et voilà, pour mo
utiler l’histoire, distraire la personnalité de ces hommes du cadre d’
événements
surhumains dans lequel ils se sont mus et qu’ils
cles, ce qu’on appelle la Révolution Française, comme tous les grands
événements
, se résumera en quelques noms propres, — le seul
la Révolution, par ceux-là qui la croyaient une vérité sociale et un
événement
providentiel, il n’a point demandé aux ennemis, à
e de Cassagnac une importance d’opportunité qui tient réellement de l’
événement
politique. Quand la moitié du monde connu croit à
e et inépuisable. Si l’homme a sa voix, si la nature a la sienne, les
événements
ont aussi la leur. L’auteur a toujours pensé que
ups de fouet des partis, cet embarras de charrettes qu’on appelle les
événements
politiques. Et, disons-le en passant, dans cette
e, c’est à lui qu’il appartient d’élever, lorsqu’ils le méritent, les
événements
politiques à la dignité d’événements historiques.
ver, lorsqu’ils le méritent, les événements politiques à la dignité d’
événements
historiques. Il faut, pour cela, qu’il jette sur
re, je ne sais rien. On a traversé le tuf même. Prenez, en effet, les
événements
, les péripéties, les grands chocs, les causes mys
n somme, ni moins importantes, ni moins nécessaires, que le récit des
événements
avec leur développement grandiose, et que là surt
à surtout, au contraire, était l’interprétation la plus intime de ces
événements
, le secret de l’humaine et divine comédie. Je ne
re jusque dans ses détails cette Révolution d’Angleterre, de tous les
événements
humains celui peut-être qui a le plus influé sur
faut chercher la raison de l’intérêt de cet écrit de Guizot. Avec les
événements
et les préoccupations actuelles, que serait un li
e rattachait pas aux préoccupations qui nous tiennent asservis et aux
événements
qui nous poussent ? Heureusement, le livre de Gui
ubjugue ; dans l’entraînement du récit on a peine à concevoir que les
événements
aient pu tourner d’une autre façon, et à leur ima
phie de son histoire. Or, cette disposition du lecteur à accepter les
événements
comme des effets inévitables de causes connues, e
n historique. Mais d’ordinaire tant de causes nous échappent dans les
événements
humains ; et de celles que nous entrevoyons, un s
dont il est susceptible, peut à tout moment faire intervenir dans les
événements
auxquels il prend part une force nouvelle, imprév
cette disposition morale, désormais ordonnatrice toute-puissante des
événements
, la mêler à chaque ligne de ses récits, et les pé
historien en tout genre. L’historien politique juge les hommes et les
événements
, l’historien des lettres ou des arts juge les œuv
que l’accident prend ici la valeur d’un fait général. En effet, tout
événement
n’est pas historique, tout homme n’est pas histor
rique, tout homme n’est pas historique. L’histoire ne choisit que les
événements
et les lieux qui ont un certain caractère de géné
récits oratoires et politiques ; puis on est arrivé à penser que les
événements
intérieurs de la vie d’un peuple ont un intérêt n
térieurs de la vie d’un peuple ont un intérêt non moins grand que les
événements
plus palpables de la politique et de la guerre. A
il est insignifiant de savoir ce qu’Aristote a pensé ? Sans doute les
événements
extérieurs ont un éclat qui frappe tous les yeux
tous les yeux ; mais pour ceux qui aiment la pensée, quel plus grand
événement
qu’une grande idée, une vue originale sur la natu
ué à éclaircir les textes et à jeter du jour sur l’origine des grands
événements
religieux ; mais après tout, ce qu’il y a de plus
mmortaliser les récits, les leçons et les moralités de ces mémorables
événements
. L’homme a beau se guinder, il ne peut ajouter un
tous les grands historiens anciens ou modernes. L’homme m’explique l’
événement
, le visage m’explique l’homme, les traits me révè
physionomie des choses et des hommes pendant qu’elle lit le récit des
événements
où ces hommes sont en scène dans le livre. C’est
mille, de corps, d’esprit, de passion il arrivait pour participer à l’
événement
. On comprend alors, dès qu’il apparaît, dès qu’il
icienne de l’école de Dieu. Quand la nature veut nous intéresser à un
événement
où figure un homme ou une femme quelconque, que f
onque, que fait-elle ? Elle commence par nous montrer la place où cet
événement
va se passer, un site, un paysage, une ville, une
ublique, un peuple en ébullition ou en silence, mêlé ou attentif à un
événement
: puis elle nous montre un personnage qui arrive
D’abord le lieu, puis l’homme, puis les accessoires, les indices de l’
événement
qui va se passer. Quand la nature a jeté ainsi le
actes de vertu, de politique, ou des forfaits d’ambition à travers l’
événement
qui se déroule. On suit le personnage, on le pres
t beaucoup plus en scène que les choses. J’ai personnifié partout les
événements
dans les acteurs ; c’est le moyen d’être toujours
’enseignements pour les peuples. Jamais peut-être autant de tragiques
événements
ne furent pressés dans un espace de temps aussi c
hacun des partis ou des hommes mêlés dès le premier jour à ces grands
événements
eût pris leur vertu au lieu de leur passion pour
ante est devenue une date de l’esprit humain, et non pas seulement un
événement
de l’histoire d’un peuple. Les hommes de cette As
e nos diverses images. — La loi de sélection naturelle s’applique aux
événements
mentaux. — Autre circonstance qui augmente l’apti
ison paternelle ou dans le village natal, une multitude d’objets et d’
événements
oubliés reparaissent à l’improviste. L’esprit, su
nce sont si persistantes ; l’âme étant toute neuve, les objets et les
événements
ordinaires y sont surprenants. Aujourd’hui que j’
volontaire, elle opère toujours de même ; l’image d’un objet ou d’un
événement
est d’autant plus capable de résurrection et de r
urrection et de résurrection complète, qu’on a considéré l’objet ou l’
événement
avec une attention plus grande. À chaque instant,
une prépondérance qui aboutit. IV Les mêmes lois expliquent l’
événement
contraire ; en supprimant ou en affaiblissant les
ement, on a vu en Russie un célèbre astronome oublier tour à tour les
événements
de la veille, puis ceux de l’année, puis ceux des
nant toujours, tant qu’enfin il ne lui resta plus que le souvenir des
événements
de son enfance ; on le croyait perdu ; mais, par
oudain et un retour imprévu, la lacune se combla en sens inverse, les
événements
de la jeunesse redevenant visibles, puis ceux de
chée. L’individu aura deux mémoires, la première ne rappelant que les
événements
du premier état, et la seconde ne rappelant que l
ue les événements du premier état, et la seconde ne rappelant que les
événements
du second état62. « Une jeune dame américaine63,
us avons appelée l’aptitude à renaître ; elle assemble en groupes nos
événements
internes, et, par-dessus la continuité de l’être
e ; mais on ignore la conduite, non moins admirable de son journal, l’
Événement
fondé le 30 juillet 1848, avec le concours de Vac
e Théophile Gautier, et de ses fils ; elle mérite d’être signalée. L’
Événement
prenait cette devise, qui, après juin, était de s
sur le sens de la deuxième sentence, le numéro spécimen disait que L’
Événement
« vient parler au pauvre des droits du riche, à c
se à l’aristocratie de la République se donne pour 15 centimes, que l’
Événement
qui veut parler au pauvre se vende pour un sou ».
rs de la rue de Poitiers, car Victor Hugo imita toujours quelqu’un, l’
Événement
endoctrine le peuple, répand dans les masses ouvr
’épaule l’ignorance et qu’on n’essaie de réhabiliter à tout prix ». L’
Événement
lui rive son clou avec cette frappante réplique :
es, de ses colères et de ses dénonciations les vaincus de juin, que l’
Événement
donne la mesure de son profond amour pour la Répu
es rêves insensés, des théories perfides… et des idées de révolte ». (
Événement
du 3 novembre). L’insurrection abattue, la Chambr
mmandait « silence aux pauvres ! » selon l’expression de Lamennais. L’
Événement
s’empressa, ainsi que les Débats, le Constitution
tuelles contre l’éditeur responsable du coup d’État. Dans son livre l’
événement
semble n’être qu’un coup de foudre dans un ciel s
faire sentir jusque dans la punition la fraternité de l’assemblée ». (
Événement
, nº 14). — Et dans presque tous les numéros, l’Év
ssemblée ». (Événement, nº 14). — Et dans presque tous les numéros, l’
Événement
continuait à exciter les colères et les peurs con
et les plus brillants contrastes de sa poétique. Bien au contraire, l’
Événement
du 9 septembre 1848 prenait la défense du « luxe
isive. Jamais le luxe n’a été plus magnifiquement glorifié. Lorsque l’
Événement
, l’organe de la Fraternité hugoïste, publia son a
ait réussi, elle n’aurait pas consacré le travail, mais le pillage » (
Événement
, nº 94), que cet homme avait déserté la cause de
in de sa vie. Vol. 1. 147. Première édition. 4. De 1817 à 1826 aucun
événement
heureux ou malheureux ne pouvait arriver à la fam
in » un prix de 1 300 francs que venait de lui accorder l’Académie. L’
Événement
du 23 août commentait ainsi l’acte : « qu’il nous
ix-septième siècle. — § II. La Rochefoucauld, spéculatif jeté par les
événements
dans l’action. — Ses Mémoires. — § III. Des Maxim
au genre humain. § II. La Rochefoucauld, spéculatif jeté par les
événements
dans l'action. Ce que j’ai dit ailleurs des co
’il y ait là une vocation de moraliste contrariée et retardée par les
événements
. Rien de plus vrai pourtant. La Rochefoucauld n’e
nc que La Rochefoucauld ? Je l’ai dit : un esprit spéculatif, que des
événements
plus forts que ses penchants, des passions plus f
êlé, La Rochefoucauld se travaille pour leur donner les proportions d’
événements
généraux et il écrit des mémoires sur le ton de l
et sont remplacées par des vérités impersonnelles. En s’éloignant des
événements
, La Rochefoucauld s’élève tout à la fois et devie
par ce côté extérieur et local, cette longue échauffourée n’est qu’un
événement
particulier. Plongez les yeux plus avant, et rega
essemble à celle de la tragédie, dont les héros sont des rois, et les
événements
des catastrophes. C’est là le secret de ce grand
ore, la suite de ces explications. Ils y verront par quelles séries d’
événements
et de dégoût de la monarchie d’Orléans et du gouv
répond aux besoins de conservation ou de progrès dans la nation ? Les
événements
le disent assez, la perfection idéale d’un gouver
de Bourgogne à Paris, en vérité, me disais-je, ce résultat de tant d’
événements
n’en vaut ni le temps perdu, ni le sang versé, ni
e voulais être, si cela m’était possible, le dramaturge du plus vaste
événement
des temps modernes, le Thucydide d’une autre Athè
peuple par l’opinion avant de l’y ramener un jour par le fait, si les
événements
échappaient à l’ambitieuse et intrigante faction
informé. Quant au style, je ne m’en occupai pas ; j’étais sûr que les
événements
eux-mêmes m’inspireraient, malgré mon peu d’habit
crivis pour lui demander si les circonstances de sa participation aux
événements
du 31 mai étaient vraies, et si, dans le cas où c
re et me dirait tout ce que sa mémoire lui rappelait de ces tragiques
événements
. Je pris la poste, accompagné d’un jeune homme de
il était plus importuné qu’empressé d’être cité en témoignage sur ces
événements
qui lui rappelaient une faute d’orthodoxie sacerd
ambiante de l’imagination populaire qui enveloppe toujours les grands
événements
, comme elle enveloppe dans la nature les grands h
publique ou la vie intime. C’est en approchant de l’homme témoin des
événements
qu’on approche le plus près de la vérité des acte
n l’a bien vu, quand, porté un moment, par le hasard de ma vie et des
événements
, à la place même où Robespierre avait reçu le cou
d sommaire sous lequel il embrassait et resserrait une longue suite d’
événements
, il arrivait à y saisir les points fixes, les nœu
mplissent de nécessité, et se servent des hommes comme moyens, et des
événements
comme occasions. » Après avoir montré dans saint
’Histoire de la Révolution française : ce fut un immense succès et un
événement
. On n’avait pas eu jusque-là dans un livre la rév
eul qu’elle est possible. Reportez en idée la méthode de M ignet à un
événement
déjà ancien et reculé dans les siècles, rien ne p
la Réforme. Il avait poussé assez avant ce grand travail, lorsque les
événements
politiques de 1829-1830 le vinrent distraire et a
t de la succession féminine. Cette excursion exceptée, les principaux
événements
de sa vie sont tout littéraires : nommé de l’Acad
livre de la Révolution, et par l’admirable tableau qu’il a donné des
événements
de Hollande et de la mort des frères de Witt dans
uefois ses intérêts ; mais les circonstances déterminantes des grands
événements
sont ailleurs, et elles ne dépendent pas de si pe
u lecteur admet difficilement dans la suite, même providentielle, des
événements
humains une manœuvre si exacte et si concertée. O
nt plus du tout dans les beaux récits de M.Mignet, tels que celui des
événements
de Hollande sous les frères de Witt ; nous osons
eut considérer ce qui fait l’objet propre des études historiques, les
événements
politiques et sociaux, tels que guerres, traités,
Partout et toujours la force des choses est la vraie cause des grands
événements
. Seulement l’historien, qui ne s’en doute pas, fa
destin. Voyez la manière dont Hérodote raconte et explique les grands
événements
qui font la matière de son histoire. Le récit des
eaux et de harangues ayant pour but l’explication toute politique des
événements
, comme chez Thucydide. C’est pour enseigner la ve
s choses du dehors, c’est à la partie individuelle et personnelle des
événements
historiques que s’attache Plutarque, et il est fa
ttéraire, la représentation toute personnelle et toute dramatique des
événements
. Machiavel est peut-être l’historien qui a poussé
de dire les choses qui n’appartient qu’à Bossuet. Dans ce tableau des
événements
tracé à si grands traits, où il veut montrer comm
ent et les soutiennent sur la scène qu’ils occupent. Qu’il s’agisse d’
événements
politiques ou d’œuvres d’art et de littérature, l
ssant de la méthode historique des modernes, on peut prendre le grand
événement
de notre révolution. Pour un observateur superfic
de la diriger ou de la déchaîner. Ce n’est pas seulement la force des
événements
, c’est aussi la force des sentiments et des impre
s faits dont il n’est pas plus permis de douter que de la réalité des
événements
politiques ou des œuvres esthétiques elles-mêmes.
i, sans aller aussi loin, accepte et justifie généralement les grands
événements
et les grandes institutions du passé avec la très
ofond et général de nos sociétés actuelles, où l’expérience de tant d’
événements
historiques contraires à la sagesse et à la consc
sont pas non plus très-propres à nous intéresser, comme acteurs, aux
événements
. Il est certain que, sur les grands théâtres où s
récit se suffit, pour ainsi dire, à lui-même. Ensuite, parce que les
événements
que l’histoire raconte ont par eux-mêmes un attra
ens caché qui est en eux, ou la sagesse des choses humaines ; car les
événements
ne sont pas une vaine accumulation de faits et de
nt dans son cours les religions, les institutions et les empires. Ces
événements
, bien vus, bien écoutés, bien compris, ont un lan
Il faut que l’historien, profondément sage, comprenne ce langage des
événements
pour l’interpréter aux autres hommes. Un véritabl
ferme dans la solitude de son âme pour recueillir, avant sa mort, les
événements
de son temps, les expériences, les jugements qu’i
on présente, des sentences brèves, mais succulentes, jaillissant de l’
événement
comme le cri des choses, enfin une philosophie à
el et sur la terre, les avertissements de la foudre, les présages des
événements
futurs, présages heureux, sinistres, ambigus, évi
r des concitoyens. « Nous avions pour consolation, dans ces derniers
événements
de Rome, que la capitale n’avait pas été ensangla
ivait, au commencement du siècle : « Il faut nous tenir prêts pour un
événement
immense dans l’ordre divin, vers lequel nous marc
ofonde que le génie. Oui ! Joseph de Maistre avait raison. Un immense
événement
se prépare. La certitude de cet événement, lointa
re avait raison. Un immense événement se prépare. La certitude de cet
événement
, lointain encore, qui s’annonçait, il y a quarant
attestent. L’histoire contemporaine récrit à toutes ses pages, et cet
événement
, plus perceptible maintenant que mystérieux, auqu
dans l’Université5. En 1832, le British Magazine fut fondé. Ce fut un
événement
. On découvrait ses batteries ; car le but avoué d
» ? Depuis quelque temps, le Dr Pusey semble s’être placé à côté des
événements
; il est abîmé dans une étude persévérante et sév
me, les conséquences religieuses et politiques pour l’Angleterre d’un
événement
aussi capital, voilà ce que nous devons maintenan
anquillité. On ne rompt pas ; on avait rompu : on renoue. L’ordre des
événements
n’est troublé ni interverti ; au contraire, c’est
nements n’est troublé ni interverti ; au contraire, c’est l’ordre des
événements
qui s’achève par ces conversions et qui se complè
a grâce est la clef qui ouvre le mieux aux regards de nos esprits les
événements
les plus fermés, les plus incompréhensibles, de l
nne pas parler des conquêtes de l’homme, de ses assurances contre les
événements
; nous ne sommes rien. — On attend la reine d’Ang
rre, qui n’est qu’un caprice de jeune femme, devient et sera un grand
événement
politique. Cette jeune reine s’est prise d’une tr
’air de l’attendre ici. — Suivez cela dans les Débats. C'est le grand
événement
de la chronique. — Je vous le répète, elle a pris
té ; à observer la dignité des personnages ; à montrer les causes des
événements
; à faire voir qu’on a eu le moyen, l’occasion, l
arités. Rien ne sert en effet de noter exactement tout le détail d’un
événement
, si l’on n’en a en soi-même une représentation im
usqu’à ce qu’on atteigne par ces actions et réactions successives à l’
événement
final Dans Racine, des faits de conscience engend
es exemples de ces diverses erreurs. On attribue par superstition des
événements
à des causes imaginaires :
amener les légendes merveilleuses des mythologies aux proportions des
événements
purement humains. C’est par trop simplifier les q
on Temps coule plus lentement. Si, dans un même intervalle entre deux
événements
une horloge compte un moins grand nombre de secon
succession dans le système S′. Seuls restent contemporains en S′ les
événements
, contemporains en S, qui sont situés dans un même
un même plan perpendiculaire à la direction du mouvement. Deux autres
événements
quelconques, contemporains en S, sont séparés en
dans le temps, a disloqué en succession toute simultanéité entre deux
événements
dont la distance s’est rétrécie dans l’espace. Ma
même heure, il se passe aux points, H₁′, H₂,′ H₃′ de mon système des
événements
qui, dans le système S, étaient marqués légitimem
r ne pas avoir à envisager d’une manière nouvelle les rapports de ces
événements
entre eux d’abord, et ensuite avec tous les autre
nsions d’espace et de temps étaient restées ce qu’elles étaient ! Ces
événements
ne sont pas entraînés, eux, dans le mouvement de
mise. Or, dans cet éther, devant ces faits optiques, au milieu de ces
événements
électro-magnétiques, tu sièges, toi, immobile. Ma
t uniforme, à suppléer à tout par la pensée, à voir en elle les seuls
événements
qui ne dépendent ni du sort, ni des hommes. Lorsq
e toute la destinée ? Vous le pouvez facilement ; et lorsqu’aucun des
événements
de la vie n’est précédé, ni suivi par de brûlants
pour se regarder penser et vivre ; et comme on ne veut dominer aucun
événement
, on les considère tous comme des modifications de
forme à sa nature. L’idée qui la domine, laissée stationnaire par les
événements
, se diversifie de mille manières par le travail d
au-dessus était le paradis, au-dessous l’enfer, le monde au milieu. L’
événement
se passait dans le compartiment du milieu, le dén
tragédie moderne. L’idéal que nous cherchons dans la représentation d’
événements
tragiques, nos pères le cherchaient dans la mise
sonnages illustres, animés de passions dont la lutte doit produire un
événement
funeste ; si la comédie est une action où le cont
ous cherchons l’idéal de la tragédie au-dessus de nos têtes, dans les
événements
considérables qui affectent directement des perso
personnes illustres. On ne la fait pas descendre impunément jusqu’aux
événements
et aux mœurs des personnes de condition privée ;
n. Quoi de plus semblable d’ailleurs à la vie que cette maturité de l’
événement
, qui fait que, dès les premières scènes, le spect
’histoire, soit aux traditions religieuses ; il les place au milieu d’
événements
vrais ou vraisemblables, avec des passions et des
nature pour la scène, dont les passions, très compliquées au milieu d’
événements
très simples, ont assujetti à leur empire ou empl
e stériles efforts pour tirer des situations médiocres d’un fond sans
événements
et sans caractères. Les ténèbres du plan et de la
er à Mairet ; tant il est vrai qu’il voyait dans le sujet, non pas un
événement
vrai ou vraisemblable qui s’accomplit par un ench
rs de comédie. Dans la tragédie de caractère l’action est si forte, l’
événement
marche d’un pas si rapide, que les personnages ne
d la tragédie plus semblable à la vie, où l’amour est mêlé à tous les
événements
, comme cause ou comme nœud. Alors il peut recevoi
ance dans l’ambition ; ses chagrins et ses plaisirs sont soumis à des
événements
déterminés ; l’imagination a peu d’empire sur la
uveau, d’écarter un nom trop répété, d’éprouver l’émotion d’un nouvel
événement
: enfin, la multitude, composée d’hommes obscurs,
t qu’il devance le vœu populaire, qu’il lui obéisse en répondant de l’
événement
; qu’il joue chaque jour toute sa destinée, et n’
oins, car que sont les destinées sans l’âme qui les caractérise ? Les
événements
sont l’extérieur de la vie ; sa véritable source
peuple commande au lieu de juger ; jouant un rôle actif dans tous les
événements
, il prend parti pour ou contre tel ou tel homme.
erdre, et le moindre pas rétrograde renverse l’homme sans détourner l’
événement
. Il n’est rien de plus insensé que de se mêler da
gneurs et de leurs écuyers, fut de s’enquérir avec détail de tous les
événements
mémorables et de toutes les particularités qui po
emporains et à la postérité en conservant ainsi la mémoire des grands
événements
et des nobles prouesses. Il n’y a pas de plus amp
prose qui pût suffire à embrasser ainsi et à porter à l’aise tous ces
événements
, et, malgré la facilité tout ovidienne qu’il avai
gtemps je me suis occupé, laquelle traite et propose les faits et les
événements
des guerres de France et d’Angleterre, et de tous
dès l’âge de vingt ans ; je suis venu au monde avec les faits et les
événements
, et y ai toujours pris grand’plaisance plus qu’à
erroger et questionner quiconque le saura compléter sur une branche d’
événements
qu’il ignore. Aussi est-il partout presque à la f
ever. Il s’est laissé aller un peu longuement, dit-il, à raconter les
événements
et les choses nouvelles qui étaient voisines de l
’elle-même à sa fin, mais qui néanmoins se trouve interrompue par des
événements
que le pur hasard paraît avoir amenés. Cette sort
nt, et parvenir à celle qui fait l’objet de ses désirs. Ici, tous les
événements
sont produits par des personnages qui ont dessein
t dessein de les faire naître ; et souvent le spectateur prévient ces
événements
: ce qui diminue infiniment son plaisir. Mais de
ures conventions théâtrales, indépendantes des lois qui président aux
événements
tragiques, et qui les font sortir des passions de
, au théâtre, étaient produits par l’application de ces règles à tout
événement
tragique, plutôt que par une action qui, en se dé
onnages de ses deux premières pièces des traits invraisemblables, aux
événements
des causes de caprice, et de sacrifier le fond à
e. Sous une fable brillante et populaire, il vient de reconnaître des
événements
de la vie réelle. Sous les noms de la Grèce héroï
e irrésistible de leur caractère et de leur passion, ils marchent à l’
événement
sans langueur, sans relâchement, sans une parole
uiète, agitée, au milieu de toutes ces embûches des caractères et des
événements
dont elle est entourée, un seul moment la voit ra
et peut-être des années ? La véritable invention, c’est de trouver un
événement
tragique qui s’accomplisse sur la scène en aussi
lité ; c’est de ne lever la toile que sur des personnages mûrs pour l’
événement
, que leur vie antérieure, leurs intérêts, leurs p
res, faire sortir de cette lutte des situations vraisemblables, et un
événement
suprême qui punît ou récompensât chacun selon ses
it pas ; que, là où chaque sentiment, chaque pensée est un pas vers l’
événement
, la langue ne dit rien qui ne soit nécessaire et
nt rigoureux, et presque à un syllogisme d’école ; de même, dans tout
événement
tragique produit par des caractères, des intérêts
nités, non comme cause, mais comme effet. Il verra que le propre d’un
événement
de ce genre est d’agiter à la fois tous les perso
ien sacré. L’invention, ç’a été de trouver dans un des plus tragiques
événements
de l’Histoire sainte une tragédie aux conditions
Joas. Dès lors il faut que Joas lui soit livré, ou qu’il périsse. Cet
événement
agite et absorbe tous les personnages de la pièce
rsonnages secondaires autour d’Athalie et de Joad sont engagés dans l’
événement
par des causes proportionnées à leurs rôles : Mat
; c’est un officier subalterne de la cour d’Athalie, qui voit dans l’
événement
un coup à faire. Les confidents ne sont si froids
deux mois, de lire un matin (7 juin 1866), dans le journal intitulé l’
Événement
et qui n’est censé s’occuper que de sujets à l’or
ournal quotidien, de telle sorte qu’il ne tenait qu’aux lecteurs de l’
Événement
, ce jour-là, de croire que je m’étais rendu coupa
et qui a fait l’objet d’une dénonciation, assurément tardive, dans l’
Événement
du 7 juin 4 866. Nécrologie. — Le docteur Armand
il reçut dans cette cité patriotique et guerrière le coup direct des
événements
de 1814 de l’invasion. Son cœur saigna, et il com
tte intéressante période. Les impressions journalières des mémorables
événements
d’alors, fidèlement transmises coup sur coup par
ns un autre excès. Absente du foyer principal, éloignée du détail des
événements
dont le spectacle réel, depuis le 5 octobre, aura
ssants pour l’histoire de Lyon à cette époque. En les rapprochant des
événements
récents (et on ne peut s’empêcher de le faire en
s si pleins, si effervescents, qui comprennent la fuite du roi et les
événements
du Champ-de-Mars, nous voyons ses dispositions ag
« Je crois que les plus sages sont ceux qui avouent que le calcul des
événements
futurs est devenu presque impossible. » Elle s’ét
orcément à cette grande école des vertus publiques. Exaspérée par les
événements
du Champ-de-Mars, elle en vient, dit-elle, à appl
berté s’allumer dans mon pays, il ne saurait s’éteindre. Les derniers
événements
l’ont alimenté ; les lumières de la raison se son
ais maintenant de beaux écrits, explique en philosophe les causes des
événements
, les passions, les erreurs qui les ont accompagné
; oui, un roman de cœur, dont, à travers les distractions des grands
événements
et la discrétion du langage, on poursuit çà et là
un peuple déterminé. Il pourrait étudier, décrire, raconter tous les
événements
, toutes les transformations, toutes les révolutio
des faits de premier ordre. On a vu qu’elles tenaient aux plus grands
événements
; qu’elles les expliquaient, qu’elles étaient exp
n sorte que la structure générale des choses et les grands traits des
événements
sont leur œuvre, et que les religions, les philos
trevoir qu’à demi et sous un jour douteux l’origine des espèces1, les
événements
de l’histoire éclairent assez les événements anté
rigine des espèces1, les événements de l’histoire éclairent assez les
événements
antérieurs à l’histoire, pour expliquer la solidi
et la plus riche source de ces facultés maîtresses d’où dérivent les
événements
historiques ; et l’on voit d’abord que si elle es
de ce réseau. Pareillement, si l’on dresse la carte psychologique des
événements
et des sentiments d’une civilisation humaine, on
et commencer à chercher les lois générales qui régissent non plus des
événements
, mais des classes d’événements, non plus telle re
s générales qui régissent non plus des événements, mais des classes d’
événements
, non plus telle religion ou telle littérature, ma
cher vers la connaissance des lois psychologiques, d’où dépendent les
événements
. J’entreprends ici d’écrire l’histoire d’une litt
th, agissaient en cela en philosophes, et non en grands politiques. L’
événement
l’a prouvé. Ils crurent la Révolution achevée aus
Avant d’avoir participé moi-même, non aux conspirations, mais aux
événements
d’une révolution, il m’était impossible de croire
événements d’une révolution, il m’était impossible de croire que des
événements
aussi capitaux que les massacres de septembre pus
éméditation. J’étais dans l’erreur, je l’avoue de bonne foi. Les deux
événements
les plus saillants de l’année révolutionnaire de
oique les ayant interrogés dans la chaleur et dans la confidence de l’
événement
, il m’a été impossible de découvrir la moindre lu
te historique sans trouver ni conjuration, ni plan, ni meneurs de cet
événement
inexpliqué. Si l’on me demandait un nom seulement
en conscience qu’il me serait impossible de le prononcer. Il y a des
événements
qui sortent du ciel, comme des bouches de volcan,
ions ; elles ont plus de mystères que de secrets. VII Le second
événement
, et malheureusement le plus saillant de la révolu
habile d’un esprit consommé. On eût dit qu’il savait d’avance que les
événements
brisent ceux qui leur résistent, mais que les rév
cause française cette partie immense des populations qui ne juge les
événements
humains que par le cœur. La nature humaine est pa
rconstances de cette mort et de cette chute ; ce sont autant de menus
événements
découpés dans l’événement total. Et chacun de ces
t de cette chute ; ce sont autant de menus événements découpés dans l’
événement
total. Et chacun de ces petits événements est déc
s événements découpés dans l’événement total. Et chacun de ces petits
événements
est décomposé en ses détails par les divers membr
l’art de choisir les mots. Il faut qu’ayant l’idée d’un objet et d’un
événement
il trouve d’abord, non pas le mot exact, mais le
naire est trop faible, il a bien fallu le laisser là. On agrandit les
événements
par des images violentes ; on dit d’un richard qu
les exprimer un drame figuratif et une pantomime ; ils ont imité les
événements
avec leurs attitudes, avec leurs cris, avec leurs
s mètres, remarquer les graves alexandrins employés à représenter les
événements
et les idées graves, puis deux petits vers au mil
té pratique et de connaissance des détails, il avait l’œil aux grands
événements
qui se déroulaient et qu’il considérait de haut e
ais, et, dans un souper à Berne entre officiers, il fit un pari que l’
événement
, cinq mois après, justifia. Jomini eut de bonne h
er ce qu’il y introduisit de tout à fait neuf, et qui mérita de faire
événement
. Si l’on se reporte au xvie siècle, et en choisi
taient inspirés dans le cours même de la campagne par la tournure des
événements
; qu’il était plutôt l’homme des expédients et de
ux autant qu’habile introduisit, quarante ans après, par la force des
événements
qui l’entraînait ! Je reconnaîtrai même que Frédé
ni, j’ai plus d’une fois entendu de sa bouche le récit des principaux
événements
qu’il avait à cœur d’éclaircir, et il le faisait
e votre esprit peut influer sur beaucoup de destinées ; que de grands
événements
se développent au-dedans de soi, et commandent, a
toujours renaissantes, car les guerres d’opinions, finissent avec les
événements
qui les décident, avec les discussions qui les éc
mais il faut dans l’effet actuel voir la cause future, pour juger un
événement
tout entier. Celui qui n’aperçoit dans les mines
ité, détruit le bonheur présent qui est exposé de tous les coups. Les
événements
du hasard, ceux qu’aucune des puissances de la pe
s auraient pris eût été meilleur ! que de lumières ils puisent dans l’
événement
! que de retours satisfaisants dans la critique d
outumé à compter avec l’histoire, ne peut plus être intéressé par les
événements
d’une existence commune ; on ne retrouve en lui a
trale, je parle d’un appareil, d’une cérémonie, d’une assemblée, d’un
événement
nécessaire à la pièce, et non pas de ces vains sp
pour occuper la scène, que le danger de Tancrède et l’incertitude des
événements
. Argyre envoie les chevaliers le secourir. Aménaï
t déchiré par ses chevaux, parce que, si on eût voulu représenter cet
événement
plutôt que le raconter, il y aurait eu une infini
hommes de différents caractères sont tous les jours exposés à un même
événement
. Celui qui sacrifie sa fille peut être ambitieux,
e mieux. Roman. C’est le nom qu’on donne quelquefois au tissu d’
événements
qui entrent dans l’action. Ce mot sert aussi quel
tus, l’un devient heureux et l’autre malheureux, l’impression de deux
événements
opposés se contrarie et se détruit. On ne sait pl
de Jérusalem, se détachant, par le côté individuel et humain, sur des
événements
plus grands que l’homme, des événements de la Pro
individuel et humain, sur des événements plus grands que l’homme, des
événements
de la Providence ! Ces figures, dignes de son bur
dée qu’il exprime, il la bégaye. La conclusion qui doit sortir de ces
événements
et de ces récits, prémisses du raisonnement que t
cepte en fait la lettre des prophéties et prend sous cette dictée les
événements
qui se sont produits, depuis la venue de Jésus-Ch
une ère nouvelle pour le monde intellectuel. Peut-être n’est-ce qu’un
événement
terrible ! peut-être l’empire d’anciennes habitud
e ! peut-être l’empire d’anciennes habitudes ne permet-il pas que cet
événement
puisse amener de long temps ni une institution fé
t considérer comme tout à fait en dehors du cercle que parcourent les
événements
de la vie, comme un phénomène monstrueux que rien
tc., exécutèrent des pirouettes tout aussi prestes : les mœurs et les
événements
imposaient de semblables virements de conscience.
s, plus timorés, René était de ceux-là, hésitèrent et attendirent les
événements
. Les uns purent échapper aux réquisitions militai
n 1800 Mme de Staël, épouvantés des vicissitudes effroyables dont les
événements
politiques nous ont offert l’exemple, ont perdu m
epuis deux ans ne pouvaient s’intéresser qu’à des romans surchargés d’
événements
imprévus, de scènes atroces et de passions au vit
hes en descriptions du soleil et de la lune, en sites romantiques, en
événements
romanesques, enfin que nous ne sommes pas moins e
de railler était une maladie passagère des esprits, surmenés par les
événements
révolutionnaires ; il n’en est rien, elle est con
s qu’on ne savait quoi inventer pour les empêcher de changer avec les
événements
, d’opinion, de principes, de sentiments et de con
s, il ne recourait pas à la Fatalité pour expliquer leur actions. Les
événements
de la révolution avaient été si imprévus, leur su
d’Orléans, à des causes tenant du miracle. L’homme était le jouet des
événements
terribles, qui n’obéissaient qu’à l’aveugle et in
usement ridicule au lecteur de 1896 ; mais en 1802 elle rappelait des
événements
récents. D’ailleurs, elle n’est pas de l’inventio
ns historiques et les horreurs de l’époque féodale pour s’occuper des
événements
du jour : Zola, le lendemain des épouvantables ma
vés dans une situation embarrassante. — S’agissait-il de raconter des
événements
relativement récents, dont tous les témoins n’éta
rters, pour leur soutirer des conversations25. — Mais s’agissait-il d’
événements
anciens, qu’aucun homme vivant n’avait pu voir et
en indirectement, en étudiant les traces qu’ils ont laissées. Soit un
événement
tel qu’un tremblement de terre, par exemple : j’e
ue serait-il arrivé, cependant, si l’on ne s’en était pas aperçu ? Un
événement
est attesté trois fois, par trois chroniqueurs ;
mes choses dans les mêmes termes. A cause de l’extrême complexité des
événements
historiques, il est tout à fait invraisemblable q
d’ensemble sur le caractère d’un homme, d’un groupe, d’un usage, d’un
événement
. — Ce sont là des sommes ou des conséquences d’ob
es civilisées le peuple continue à avoir sa légende populaire sur les
événements
qui le frappent163. La légende, c’est la traditio
a peine de les noter, les actes intimes, les paroles, les détails des
événements
. C’est l’anecdote ; on l’a surnommée « la légend
s de toute origine qui se fixent sur quelques personnages ou quelques
événements
. Légendes et anecdotes ne sont au fond que des cr
’on l’ait vu souvent (par exemple un monument, un homme, un usage, un
événement
de longue durée) ? — 2° A-t-il été très étendu, d
ar le seul Grégoire de Tours sont moins sujettes à discussion que les
événements
de la Révolution, décrits par des centaines de co
oments, les mêmes lieux, les mêmes personnes, les mêmes épisodes d’un
événement
, et elles peuvent être exactes toutes deux175. Il
elés parfois faits généraux), usages, doctrines, institutions, grands
événements
; ils ont été plus faciles à observer et sont plu
des faits d’écriture, de langue, de style, de doctrines, d’usages, d’
événements
. L’inscription de Mesha fournit des faits d’écrit
stinguer mentalement les différents détails de ce fait (épisodes d’un
événement
, caractères d’une institution), pour fixer son at
de sa branche, doit regarder par-dessus sa cloison dans le champ des
événements
communs. C’est le mérite de Taine d’avoir déclaré
de la littérature anglaise, que l’évolution littéraire dépend, non d’
événements
littéraires, mais de faits généraux. L’histoire g
le cadre de l’histoire on doit faire une place aux personnages et aux
événements
. VI. C’est un besoin, dans toute étude de faits s
ne durée assez longue pour que l’évolution soit sensible. Ce sont les
événements
qui fournissent le moyen de les délimiter. Pour l
dopte comme marquant une date dans l’évolution ; puis on cherche quel
événement
les a produits. L’événement qui a produit la form
e dans l’évolution ; puis on cherche quel événement les a produits. L’
événement
qui a produit la formation ou un changement de l’
nt de l’habitude devient le commencement ou la fin d’une période. Ces
événements
marquants sont parfois de même espèce que les fai
ées d’après l’évolution de plusieurs espèces de faits ; on trouve des
événements
qui marquent une période à la fois dans plusieurs
ériodes communes à plusieurs branches de l’évolution, et dont un même
événement
marque le commencement et la fin. Ainsi s’est opé
s changements secondaires. Les périodes construites ainsi d’après les
événements
sont de durée inégale. Il ne faut pas s’inquiéter
mposer le tableau complet des états de société, des évolutions ou des
événements
. On sent le besoin irrésistible de combler ces la
s’applique à toute sorte de faits, usages de tout genre, évolutions,
événements
. Il repose sur une impression qui dans la vie s’e
er les faits généraux (habitudes et évolutions) et les faits uniques (
événements
). III. Les faits généraux consistent dans des act
euvent créer des préférences pour des personnages sympathiques ou des
événements
locaux ; mais le seul principe de choix qui puiss
olution des choses humaines. On doit conserver les personnages et les
événements
qui ont agi visiblement sur la marche de l’évolut
urs d’un mouvement, chefs d’États, de partis, d’armées. — Ce sont les
événements
qui ont amené un changement dans les habitudes ou
us logiques que nos contemporains. Comment construire la formule d’un
événement
? Un besoin irrésistible de simplification nous f
couru à un même résultat. Voilà comment se forme la notion vulgaire d’
événement
, et nous n’en avons pas de plus scientifique. Il
sparaissent, les autres se fondent en quelques ensembles qui sont les
événements
. Pour décrire un événement il faut préciser 1° so
ondent en quelques ensembles qui sont les événements. Pour décrire un
événement
il faut préciser 1° son caractère, 2° son étendue
tes décrits sans motif resteraient inintelligibles. 2° L’étendue de l’
événement
sera indiquée dans le lieu (la région où il s’est
és dans le même cadre — une espèce de faits, un pays, une période, un
événement
— et on résumera les résultats de la critique des
ls anneaux manquent à la chaîne des changements successifs ; pour les
événements
quels épisodes, quels groupes d’acteurs, quels mo
es. On forme ainsi un ensemble (d’institutions, de groupes humains, d’
événements
). On en détermine — suivant la méthode indiquée p
un art, une organisation économique, une société, un gouvernement, un
événement
complexe (comme l’Invasion ou la Réforme). Tant q
n de cause, indispensable, on l’a montré plus haut, pour formuler les
événements
et construire les périodes. C’est qu’ils connaiss
causes actuelles que chacun de nous a observées. Toute l’histoire des
événements
est un enchaînement évident et incontesté d’accid
différences héréditaires moindres ont dû contribuer à déterminer les
événements
. L’évolution historique serait en partie produite
ntemporain. I. L’histoire a été conçue d’abord comme la narration des
événements
mémorables. Garder le souvenir et propager la con
philosophes » conçurent alors l’histoire comme l’étude, non plus des
événements
pour eux-mêmes, mais des habitudes des hommes. Il
istoire ainsi comprise. On continua de regarder le récit détaillé des
événements
politiques et militaires comme le fond de l’histo
faits, par exemple une portion de la vie ou la vie d’un individu, un
événement
ou une série d’événements entre deux dates rappro
ortion de la vie ou la vie d’un individu, un événement ou une série d’
événements
entre deux dates rapprochées, etc. — Les types de
es « Annales » de l’histoire d’Allemagne où la mention très brève des
événements
, rangés d’après leur date, est accompagnée des te
t ou disparaissent. Les histoires, destinées à présenter le récit des
événements
qui ne se sont produits qu’une fois et des faits
continueront à transformer l’image qu’on se fera des sociétés et des
événements
du passé235. II. C’est une illusion surannée de c
emple, l’étude des witangemot anglo-saxons est sans valeur, celle des
événements
du XVIIIe et du xixe siècle est capitale. L’évo
que) et à l’histoire générale ? Aux institutions ou aux usages et aux
événements
? A l’évolution des usages matériels, à l’histoir
Doit-on commencer par décrire des états de choses ou par raconter des
événements
? 4° Procédés d’enseignement . — Faut-il donner
iques et des graphiques ? — Comment faire comprendre le caractère des
événements
et des coutumes ? Les motifs des actes ? Les cond
es ? Les conditions d’une coutume ? Comment choisir les épisodes d’un
événement
? Et les exemples d’une coutume ? — Comment faire
res de ces usages, leur variété et leurs ressemblances. — L’étude des
événements
et des évolutions le familiarise avec l’idée de l
tenir les traits caractéristiques nécessaires pour se représenter les
événements
, les motifs, les habitudes, les institutions ; il
Tours (voir Lœbell, Gregor von Tours, Leipzig, 1868, in-8). 163. Les
événements
qui frappent le peuple et se transmettent par la
riquement. — Les chants épiques bretons se rapportent, non aux grands
événements
historiques, comme l’avait fait croire le recueil
écisive par M. Cournot, Considérations sur la marche des idées et des
événements
dans les temps modernes, Paris, 1872, 2 vol. in-8
on antique, remplir encore une autre fonction, si elle doit juger les
événements
et les hommes, c’est-à-dire accompagner la descri
. L’habitude de joindre aux « histoires », c’est-à-dire au récit des
événements
politiques, un résumé des résultats obtenus par l
naturelle, tout ce qui n’arrive pas, les combinaisons trop ajustées d’
événements
, les rencontres trop heureuses du hasard, les cou
faut rejeter ou accepter, et où l’on doit diriger son invention. Les
événements
ordinaires de la vie, les situations sans nombre
t à l’invention romanesque : on ignore trop le détail particulier des
événements
réels, les ressorts cachés, les causes secrètes,
r, dans une situation différente, le sentirait-il ? Comment les mêmes
événements
affectent-ils des tempéraments différents ? Comme
Pouvoir chrétien. Du reste, une telle nouveauté était justifiée. Les
événements
qui se sont accomplis dans le monde moderne ont é
n a certainement plus de deux ! Il y a plus que du temps, il y a de l’
événement
, il y a la révolution française et les Napoléon,
e-là, s’était illustré dans de très puissantes polémiques, mais que l’
événement
et le choix de l’Empereur mettaient en demeure de
table, le publiciste sacré, après avoir fait la part de Dieu dans cet
événement
, arrive à la part de l’homme, à ce quelque chose
ns, et de la police et des révolutions, et des moines violeurs et des
événements
à la manière noire d’Anne Radcliffe ou de Mathuri
nant ce qui est dans la société ou dans la nature qu’en inventant des
événements
et leurs tintamarres de complications. Ajouter de
ue de la vraisemblance, de nous et de lui-même, avec un entassement d’
événements
impossibles et en nous ouvrant sous le nez trente
et l’imagination de l’arc-en-ciel. M. Charles Didier est un conteur à
événements
qui a l’habitude de la plume, mais il n’a jamais
pour la première fois était de revenir sur le passé, de raconter les
événements
principaux de sa carrière active, et surtout la c
publication de papiers originaux, le jour qui s’est fait sur bien des
événements
controversés, toutes ces révélations, comme on di
re, que je suis forcé de passer tous les instants que je consacre aux
événements
antérieurs. Si, par hasard, un de ces aimables ou
e la guerre. « Ses idées devaient se développer selon la tournure des
événements
: c’était à la fois l’homme le plus décidé et le
ndes préoccupations. Une rupture entre la Russie et la France était l’
événement
qui pouvait l’affecter le plus ; car une entente
es traits de lumière sur quelques-uns des grands faits d’armes et des
événements
historiques auxquels il avait pris part ou assist
très-approximative de la manière dont Jomini appréciait les derniers
événements
en eux-mêmes et dans leurs conséquences relatives
arrachent le sourire ou les larmes aux spectateurs ou aux acteurs des
événements
dont se compose notre existence. L’événement n’e
urs ou aux acteurs des événements dont se compose notre existence. L’
événement
n’est rien : l’impression est tout. Que l’événeme
tre existence. L’événement n’est rien : l’impression est tout. Que l’
événement
soit une chute d’un trône dans le cachot, ou qu’i
ayla, avec les modifications que l’âge, les circonstances, les petits
événements
intérieurs apportaient dans ces habitudes. XI
à tout cela croqué par un chat ! Que de mécomptes dans la vie ! « Cet
événement
et tous ceux du jour se sont passés à la cuisine
ons heureux. » XVIII Le 25, la nuit est superbe ; c’est un des
événements
de cette solitude. Voyez comme elle en jouit : «
cration du foyer dont la pierre ne gardera point de trace. « C’est un
événement
ici que ce foyer, comme à peu près un nouvel aute
haud ou froid, voilà la température de ces âmes qui n’ont pas d’autre
événement
que l’influence du ciel sur elles. Le 9 mars. «
nous, relisons ses notes, ses reliques épistolaires, avant et après l’
événement
qui l’a privée de ce frère, et introduisons-nous
est trop tard à présent, mais je n’ai pu dormir sans marquer ici cet
événement
de ma journée et de ma vie. » Le 19 avril. « Me
uelle admirable imagination ! et quelle beauté dans la simplicité des
événements
, toujours les mêmes ! et quelle variété dans la m
s les mêmes ! et quelle variété dans la monotonie ! Mais est-ce que l’
événement
, quelque semblable qu’il soit à lui-même, est jam
leurs romans, cet immense déroulement d’êtres, d’aspects, d’actes, d’
événements
, de houles humaines, de méditations solitaires, d
nglant accouchement du monde moderne, que pour ce temps rendu par ses
événements
et ses personnages marquants, l’auteur entreprend
toutes les scènes du paysage, aux grands actes humains du dehors, aux
événements
plus discrets des maisons closes, aux agitations
tes d’âge, de condition, de situation, les réactions instantanées aux
événements
, les crises à prolongés retentissements, et enfin
erdu par le dédale de croyances abandonnées et reprises, mêlé à mille
événements
historiques et intimes, agité de pensées et d’émo
ition, la succession des chapitres, leur nombre, le développement des
événements
, toute cette mise en œuvre extérieure de l’expres
scription, au développement des situations ou des idées, au narré des
événements
, on est en présence d’une série de longueurs et d
ls en embrassent et le contenu moyen et les extrêmes de conditions, d’
événements
, de caractères, de scènes, d’âge ; ils la reprodu
ions de carrières diverses, d’âmes changeantes de visages nouveaux, d’
événements
successifs, finit d’entraîner mystérieusement le
mans forcent impérieusement à aller aux personnages, à participer aux
événements
, à ce qu’on se sente touchant à toutes ces existe
es humeurs, tous les ordres d’intelligence et de moralité, les grands
événements
et les petits faits journaliers, ce n’est pas tel
de ses âmes, dispose la terre où elles vivent, entrelace le cours des
événements
, et cette tâche de géant imparfaitement, lentemen
ploi. Insuffisants et impuissants aux premiers rôles où le hasard des
événements
les avait portés, on les retrouve, à peu d’années
lammant au foyer du cœur et au souffle de la passion, marcha avec les
événements
sans les devancer de beaucoup, et il est de ceux
t mûri, assagi, et que, son premier feu jeté, il eût bientôt jugé les
événements
d’un autre œil. Au lieu de cela, il resta dans sa
cés d’être sacrifiés aux fureurs du parti contre-révolutionnaire. Cet
événement
avait soulevé d’indignation la ville de Bordeaux
ces locales qui enflammaient et attisaient les passions. La suite des
événements
, de 1789 à 1792, dans ces villes du Midi, nous éc
peut se flatter d’avoir une idée nette et précise de la série de ces
événements
tour à tour glorieux et déplorables, fruits du gé
traditions qui existaient lorsqu’il a vécu, et l’histoire de tous les
événements
principaux était alors très poétique en elle-même
ers nécessaires à la sécurité individuelle de leurs concitoyens ; les
événements
publics ayant une influence directe sur la destin
dans la nature. Quelque sublime que soit Homère par l’ordonnance des
événements
et la grandeur des personnages, il arrive souvent
rnes ; et chez les Grecs ces coutumes ajoutaient toutes à l’effet des
événements
et à la dignité des hommes. On faisait précéder l
és à toutes les places éminentes, portait les esprits à s’occuper des
événements
publics. Néanmoins les Athéniens aimaient et cult
talent a très peu orné son histoire ; l’opinion qui y interprète les
événements
et veut y marquer le sens des choses et des homme
et les ruses de la pensée, l’Histoire, avec l’intérêt poignant de ses
événements
, et malgré tous les efforts de l’historien pour e
ume a souvent éprouvé que ses idées n’allaient pas aussi vite que les
événements
… On doit donc s’attendre à trouver, dans ce livre
ets !) » Et plus bas encore il ajoute : « N’allons pas en vouloir aux
événements
pour avoir fait triompher d’un côté de la Manche
r toute analyse de ce roman, bien sûrs qu’ils étaient d’y trouver des
événements
tout aussi insignifiants que les sentiments, les
de M. Gautier, pour avoir une juste idée de sa magie, les prodigieux
événements
de son roman d’aventure. Or, précisément c’est ce
oute la conscience dont je suis capable, et, en fait d’aventures et d’
événements
créés par une imagination souveraine, voici exact
aventure allaient naître, mais je n’ai vu rien suivre de plus que ces
événements
assez vulgaires : quelques représentations de la
ans les détails de l’amitié, je vous raconterai brièvement les petits
événements
de mon voyage. Après m’être séparé de vous avec u
sans vous donner de mes nouvelles68. Cette lettre a été brûlée ; les
événements
ont changé tout à fait. Le ciel, qui veillait sur
qui ne se battront pas encore longtemps. Je serais exposé à tous les
événements
de ces petites guerres qui sont presque toujours
pouvoir de ceux contre lesquels j’allais faire la guerre, et que cet
événement
, loin de me faire tort dans leur esprit, m’ait at
, moins comme un gage de ma dette que comme une précaution contre les
événements
qui ne dépendent point de nous. Faites-moi part d
un coup de tonnerre. Là nous passerions dans notre souvenir tous les
événements
qui ont changé la face des nations. Un jardin, de
voyé comme capitaine-ingénieur. Je vais vous instruire des principaux
événements
de ma navigation. Nous partîmes du Port-Louis le
orens ? J’imagine pour vous que vous devez être heureux, dans quelque
événement
que vous puissiez vous trouver. Assurez Mme Duval
j’ai apporté à m’acquitter envers vous ; car j’ai éprouvé une suite d’
événements
si fâcheux, ou par les amis où j’avais mis ma con
ait un lit, fut-ce un lit de torrent. » « — Ce qui me frappe dans ces
événements
si étonnants, c’est, à travers tout, un caractère
« Ordinairement la littérature et le théâtre s’emparaient des grands
événements
historiques pour les célébrer, pour les exprimer
Girondins. On y voit mille perspectives éclairées aujourd’hui par les
événements
. Lamartine s’y dessine à l’avance à tout moment,
t il me dit que cette lecture rétrospective, éclairée par le jour des
événements
récents, est d’un intérêt tout nouveau. Mille éch
ui doit éclairer les esprits de tous les siècles, est indépendant des
événements
; ils ne changeront jamais rien à l’ordre des vér
iberté, et qui fait naître des questions d’un tout autre ordre et des
événements
d’une plus terrible nature, le sentiment de l’éga
on l’émotion que les autres hommes ne pourraient éprouver que par les
événements
de leur propre vie. Les plus beaux morceaux de pr
iels qui peuvent exister entre nos circonstances particulières et les
événements
de notre temps.
vaste, dont le Temps lui-même a tracé le cadre avec des dates et des
événements
. Si Ernest Moret n’avait aucun talent, nous ne fe
es quinze années qu’il a choisies pour en raconter et en pénétrer les
événements
sont les dernières années du règne de Louis XIV.
plus tard, on sait si ces quatre années furent pleines de choses et d’
événements
! Le xviie siècle venait d’expirer, et celui-là
, un de ces points fixes et lumineux que les hommes qui fécondent les
événements
par la méditation allument dans l’esprit avec une
laquelle manquerait la lumière ? Dans ces journaux, qui prennent aux
événements
leur contour, leur passion, leur être, il n’y a p
soit le temps auquel on appartienne, quelle que soit la grandeur des
événements
qu’on représente dans les mille facettes d’une po
nêtre ou sur la borne, et qui préférait la fenêtre encore ! Quant aux
événements
contemporains qui viennent se mirer dans ces page
les tonnerres de l’Empire il nous a fallu entendre tomber, voilà les
événements
que Carrel jauge, interprète, éclaire, et sur les
Danseuse 39, tout d’une haleine ; qu’il en ait inventé ou combiné les
événements
à tête reposée et de longue main ; ou, comme tant
qui avait servi la première fois à la confection de ce type, un tas d’
événements
en arabesques qui sont des prétextes à feuilleton
à tous les coins des rues et des livres ! Restent donc les faits, les
événements
, les aventures, toute cette danse macabre des fai
reste, qui se succèdent aussi bêtement (il faut être exact !) que les
événements
de la vie, et qui donnent à l’œuvre de l’art tout
istoire romaine par le génie des affaires. Machiavel y suit Tite-Live
événement
par événement, comme la lampe suit les contours d
e par le génie des affaires. Machiavel y suit Tite-Live événement par
événement
, comme la lampe suit les contours d’une statue po
ssitudes dans les destinées du peuple romain ; il montre comment de l’
événement
accompli devait nécessairement découler tel autre
ment de l’événement accompli devait nécessairement découler tel autre
événement
par la seule fatalité des grands esprits, la fata
tique à lire Machiavel. C’est lui qui est le véritable traducteur des
événements
et qui les interprète en homme d’État ; il en ext
e livre, quand on est capable de comprendre la logique historique des
événements
et la nature des nations. Son modèle fut Tacite,
ul homme. Tel est Machiavel dans ce récit. Sans nous étendre sur les
événements
trop souvent microscopiques qui composent l’histo
e dualité, tantôt concordante, tantôt rivale, est la clef de tous les
événements
de l’Italie jusqu’à nos jours. La France et l’Esp
, de clarté, de récit, surtout de réflexions politiques découlant des
événements
qu’il retrace ; mais le sujet est trop exclusivem
ion espagnole au vieux roi Ferdinand. Nous assistâmes nous-même à ces
événements
. Le roi plia sous la volonté de l’armée. L’aristo
le nom de lois historiques, et des anecdotes douteuses sous le nom d’
événements
attestés. Nous voyons trop souvent des systèmes e
ans tous les cœurs, s’affermir, se fixer, les préparatifs se faire, l’
événement
s’approcher, devenir imminent, puis tout d’un cou
nt par l’émotion, qui reproduit par l’unité de la passion l’unité des
événements
, qui répète le mouvement et l’enchaînement des fa
ui montre aux objets connus qu’il voit tous les jours, rapprocher les
événements
anciens des événements contemporains. Macaulay a
nnus qu’il voit tous les jours, rapprocher les événements anciens des
événements
contemporains. Macaulay a toujours devant les yeu
par lesquelles il essaye de rendre sensibles à un public anglais les
événements
de l’Inde : « Au temps de Warren Hastings, dit-il
sur le front de ses nobles sœurs. La Réforme, dit-il ailleurs, est un
événement
depuis longtemps accompli ; ce volcan a épuisé sa
tion anglaise, et concentré tout le reste de l’histoire autour de cet
événement
unique, « le plus beau qu’il y ait au monde1381 »
tte histoire est universelle et n’est point brisée. Elle comprend les
événements
de tout genre et les mène de front. Les uns ont r
faire. Ils mettent ici les affaires religieuses, un peu plus loin les
événements
politiques, ensuite des détails littéraires, à la
ru, et a bien fait. Quoique Anglais, il a l’esprit d’ensemble. Tant d’
événements
amassés font chez lui non un total, mais un tout.
s, dissertations, anecdotes, peintures, rapprochements, allusions aux
événements
modernes, tout se tient dans son livre. C’est que
des causes ; et ce sont les causes qui lient les faits. Par elles les
événements
épars se rassemblent en un événement unique ; ell
lient les faits. Par elles les événements épars se rassemblent en un
événement
unique ; elles les unissent parce qu’elles les pr
ants. L’histoire des mœurs se trouve ainsi rattachée à l’histoire des
événements
; les uns causent les autres, et la description e
pas assez de voir des causes ; il faut encore en voir beaucoup. Tout
événement
en a une multitude. Me suffit-il, pour comprendre
es actions d’un homme ou d’un parti, il revoit en une minute tous les
événements
de son histoire, et toutes les maximes de sa cond
près avoir préparé son âme à attendre avec calme ce grand et terrible
événement
, ses inquiétudes se portèrent sur le bonheur des
les dissensions qui allaient probablement être la suite de ce triste
événement
. IX Côme, en mourant, laissa son héritage à
fut la poésie qui fit naître l’amour. Voici les circonstances de cet
événement
, telles qu’il les a rapportées lui-même : « Une j
etus memoria facti. — Mort amère, éternelle mémoire ! le bruit de cet
événement
subsistera à jamais ! Après ces paroles, les bour
on pour changer cet empire volontaire en sceptre. Il ne fallait qu’un
événement
pour passionner l’enthousiasme de ce peuple et du
de ce peuple et du sang pour sacrer cette monarchie de l’opinion. Cet
événement
se préparait dans l’ombre. La jalousie des grande
a. La jeunesse florentine, un peu revenue de la première terreur de l’
événement
, se forma d’elle-même en escorte autour de Lauren
uveau degré d’intérêt, ce n’est pas la faute de l’auteur. Ce sont les
événements
qui se sont arrangés pour le livre, et non le liv
énements qui se sont arrangés pour le livre, et non le livre pour les
événements
. Quoi qu’il en soit, l’auteur ne songeait pas à t
a vie, déclare avoir vu défiler devant lui, en peu de temps, tous les
événements
oubliés de son histoire, avec leurs plus infimes
moire (page 181) où se dessinent dans leurs moindres détails tous les
événements
de notre vie écoulée. Une conscience qui, détaché
ailleurs, une fois le souvenir relié à la perception, une multitude d’
événements
contigus au souvenir se rattacheraient du même co
a pas de souvenir qui ne soit lié, par contiguïté, à la totalité des
événements
qui le précèdent et aussi de ceux qui le suivent.
s pussent s’adosser. Tel choc brusque, telle émotion violente, sera l’
événement
décisif auquel ils s’attacheront : et si cet évén
olente, sera l’événement décisif auquel ils s’attacheront : et si cet
événement
, en raison de son caractère soudain, se détache d
nc que l’oubli consécutif à un choc, physique ou moral, comprenne les
événements
immédiatement antérieurs, — phénomène bien diffic
s, le travail normal de la mémoire deviendra inintelligible. Car tout
événement
dont le souvenir s’est imprimé dans la mémoire, s
ient donc véritablement « en l’air » tant que la partie décisive de l’
événement
n’était pas encore produite. Entre la disparition
ograde, d’un nombre plus ou moins grand de souvenirs antérieure, à un
événement
donné, il y a donc une simple différence de degré
xtrême de la vie mentale, pointe sans cesse insérée dans le tissu des
événements
, et qui, attribuant ainsi au corps l’unique fonct
l’âme ont donc une cause durable qui subit peu de changements par les
événements
politiques, tandis qu’à plusieurs égards la gaiet
e morale, c’est le développement des caractères et la combinaison des
événements
naturels qui produisent un semblable effet au thé
ut, en général, que les intérêts des nations soient compromis dans un
événement
, pour qu’il puisse devenir le sujet d’une tragédi
aux circonstances communes, et de peindre avec simplicité les grands
événements
. Le théâtre est la vie noble ; mais il doit être
otre être en dedans de nous-mêmes, comme si chaque instant amenait un
événement
nouveau. Quelle inépuisable source de réflexions
emplissant un but philosophique. Les romans qui n’offriraient que des
événements
extraordinaires, seraient bientôt délaissés67. La
t longtemps se prolonger. Il lui promit dès lors sa protection à tout
événement
, et il tint parole. On peut croire que cela ne dé
lté, qui tient à l’énergie du cœur, de ne jamais oublier. Lorsque les
événements
vinrent changer la face de la France et la remire
de ma part, c’est l’affection que je vous porte, etc. Mais d’autres
événements
, bien imprévus, se précipitèrent : en moins d’un
amitiés ont été plutôt suspendues et interrompues que brisées par les
événements
qui suivirent, et qui jetèrent dans le mécontente
s des Anglais ne sont point fondés sur des faits merveilleux, sur des
événements
extraordinaires, tels que les contes arabes ou pe
s historiques, fondés seulement sur l’invention des caractères et des
événements
de la vie privée. L’amour a été jusqu’à présent l
s peignent des aventures de chevalerie, qui ne rappellent en rien les
événements
de la vie. La Nouvelle Héloïse est un écrit éloqu
des personnages, ni l’importance des intérêts, ni le merveilleux des
événements
n’étaient nécessaires pour captiver l’imagination
tinuité ; et, s’il faut le dire d’une manière sévère, les déplorables
événements
de 1792 et 1793 ont prononcé un divorce éternel,
mais longue par l’intensité du despotisme et par la multiplicité des
événements
, avait été sur le point de revêtir du manteau lég
l’être, parce que des institutions ne peuvent pas s’improviser : les
événements
alors sont venus rouler sur les événements comme
ent pas s’improviser : les événements alors sont venus rouler sur les
événements
comme des vagues furieuses. Oui, j’en suis persua
apport analogique intellectuel ; s’est presque totalement perdue. Cet
événement
avait eu lieu dans les langues primitives ; mais
re intellectuel le sentiment de l’analogie physique du mot. » Or cet
événement
que, dans une telle hypothèse, j’aurais confondu
hèse, j’aurais confondu avec celui que j’ai voulu signaler, c’est cet
événement
que j’aurais pris pour l’émancipation de la pensé
rend sous sa sauvegarde ; la patience échapperait, car c’est encore l’
événement
que j’ai retracé, mais mal saisi, mal raconté, ma
rait être le fond de ce roman, y tient fort peu de place. Ce sont les
événements
qui y prennent tout et les événements y sont comm
fort peu de place. Ce sont les événements qui y prennent tout et les
événements
y sont communs et incohérents, particulièrement i
er d’une loi souveraine en matière de roman, c’est qu’il faut que les
événements
sortent des développements et du choc des passion
es y soient, comme dans les sots hasards de la vie, emboîtés dans les
événements
… III Quant aux passions et aux caractères q
rétrospective, l’éminente qualité c’est de voir toute la portée d’un
événement
, et, qu’elle soit épuisée ou non, cette portée, d
té pendant le xve siècle, par l’abbé Christophe, vaut, avec d’autres
événements
et des personnalités différentes, son Histoire de
le prouvent-ils pas ?… La prise de Constantinople par Mahomet II, cet
événement
énorme, se rattache elle-même au concile de Bâle
Rien dans son livre de nouveau et de révélateur sur les hommes et les
événements
du temps qu’il parcourt. Alexandre VI, par le pon
é de donner à l’homme en lui faisant épeler, syllabe par syllabe, les
événements
. Celui qui n’a pas changé n’a pas vécu, puisqu’il
st-il étonnant, dis-je, que je relise sévèrement ce livre (qui fut un
événement
, j’en conviens, et qui vit encore d’une forte vie
plutôt l’excès de sévérité. La vie m’a appris à être modeste, et les
événements
publics, comme les événements privés, qui m’ont é
a vie m’a appris à être modeste, et les événements publics, comme les
événements
privés, qui m’ont écrasé sans m’aplatir, ne me la
nné encore à son esprit ce sens de la moralité ou de l’immoralité des
événements
et des caractères qui est la vertu de l’histoire.
une popularité de parti. Plus j’ai étudié les faits, les hommes, les
événements
de la Révolution française, plus ce livre a baiss
s ; Que la Providence était aussi logique que la conscience ; Que les
événements
ne pardonnaient pas plus que Dieu l’emploi des mo
rvoyance la Révolution française, le plus vaste et le plus confus des
événements
modernes, on trouverait toujours infailliblement
s jeunes et plus véritablement doués que moi ; je chercherai dans les
événements
passés ou contemporains un sujet d’histoire, le p
dans l’acception privée de ce mot, mais non honnête parent, comme les
événements
ne l’ont que trop démontré depuis. Malgré mon res
re-vérités. J’en donnerai d’étranges exemples, en ce qui concerne les
événements
et les hommes de 1848, dans mes Mémoires politiqu
mplice que dupe du duc d’Orléans. Royaliste conditionnel le jour de l’
événement
au Palais-Royal et à l’hôtel de ville, républicai
pas, mais on commençait à me soupçonner d’une utilité future dans les
événements
que le temps amène avec lui. Le roi surtout ne s’
elle qui a préoccupé tous les esprits, depuis quelques jours, a été l’
événement
fatal arrivé à l’homme le plus littéraire de Fran
ans un temps où l’on n’a plus d’oraisons funèbres de Bossuet, de tels
événements
en tiennent lieu et disent assez lequel est le se
n composer un tissu intéressant, et de choisir chaque fois un ordre d’
événements
et d’actions personnifié dans une ou deux princip
aussi est différent. Tous ces grands noms, en effet, tous ces grands
événements
du monde romain, du monde oriental ancien, à cett
gé par des réflexions courtes, qui sont comme le corollaire de chaque
événement
; dont les portraits nécessaires pour l’intellige
ef-d’œuvre dont la première partie offre un tableau chronologique des
événements
mémorables depuis la Création jusqu’à Charlemagne
deux autres. » Cette première partie ainsi expliquée, et les grands
événements
de l’histoire ancienne étant une fois distribués
nt l’histoire, il me semble qu’on acquiert la conviction que tous les
événements
principaux tendent au même but, la civilisation u
es avantages. Ainsi le temps nous découvre un dessein dans la suite d’
événements
qui semblaient n’être que le pur effet du hasard
raines de cette révolution ; mais les lumières se propagèrent par cet
événement
même. Les habitants énervés du Midi, se mêlant av
humaines aient produit ; mais la guerre, mais la leçon éclatante des
événements
peut quelquefois faire adopter de certaines idées
e que la plupart des hommes et des nations se confondent dans un seul
événement
, la guerre. Mais les exploits militaires ne conse
stitutions politiques et religieuses, l’analyse des caractères et des
événements
historiques, enfin l’étude du cœur humain, et des
e Midi. Dans le Nord, l’esprit de chevalerie donnait souvent lieu aux
événements
extraordinaires ; et pour intéresser les guerrier
de l’apologue. Le talent s’exerça bientôt à supposer et à peindre des
événements
fabuleux. Les esclaves doivent aimer à se réfugie
naient avec l’Espagne ont enrichi la poésie d’une foule d’images et d’
événements
tirés des contes arabes. C’est à ce mélange heure
our être d’accord avec l’impression profonde que doit produire un tel
événement
. La foule d’improvisateurs assez distingués qui f
développé. Il faut dans cet examen reconnaître d’abord, combien, des
événements
semblables en apparence, diffèrent, selon le cara
alheur sans exemple avant lui, et ne s’attache qu’à lutter contre les
événements
; je lui dis : parcourez avec moi toutes les chan
our acquérir et conserver la gloire, votre esprit peut s’attacher à l’
événement
qui, tout à coup, a interrompu votre carrière, et
lque chose où se prendre, et votre âme est moins flétrie que si, sans
événements
malheureux, sans obstacles insurmontables, sans d
er à la bonté ; les rapports avec les autres sont si peu étendus, les
événements
qui offrent quelque bien à faire, sont dépendants
science, intermédiaires entre le moment du souvenir et le moment où l’
événement
s’est produit, et c’est par ce mouvement rapide q
s cas de croyance peuvent se classer sous trois titres : croyance aux
événements
ou aux existences réelles ; croyance au témoignag
u témoignage ; croyance à la vérité des propositions. La croyance aux
événements
ou existences réelles peut avoir pour objet le pr
lle l’incendie du théâtre de Drury-Lane ; dire que je me rappelle cet
événement
et que j’y crois, c’est dire la même chose : ce s
de nuit est suivie par celle de matin ; l’idée de matin par celle des
événements
du matin (les voilures dans les rues de Londres)
onie de ses parents. Elle a raconté l’histoire de sa captivité et des
événements
arrivés au Temple depuis le jour où elle y entra
et aux méchants : peut-on s’en étonner ? Le récit qu’elle a tracé des
événements
du Temple fut écrit au Temple même dans les derni
atteignit évidemment en rien, et le récit qu’elle a tracé en 1795 des
événements
du Temple serait la critique de tous ces autres r
déclarée parmi les prisonniers français amenés à Mittau par suite des
événements
de la guerre. L’abbé Edgeworth, en leur donnant s
se pourtant, si elle en ressentit quelque chose, ne résista point aux
événements
de Bordeaux, et à cette nouvelle épreuve si amère
des leçons pour les sociétés futures. Il a adopté, pour consacrer ces
événements
, la forme de l’Ode, parce que c’était sous cette
loppement s’appuyât dans toutes ses parties sur le développement de l’
événement
qu’elle raconterait, en substituant aux couleurs
llait plus que ces deux sentiments pour décrire et pour expliquer les
événements
étranges et sans précédents qui se produisent, co
blie et on croit à la force causatrice des hommes. Il ne s’agit que d’
événements
communs, de règlements de chancelleries, de diplo
ube. C’est là qu’il apprit la guerre, et que, mêlé de bonne heure aux
événements
du monde européen, il connut le jeune Aétius, ota
à tous les troubles et tous les rapetissements qu’il y fait subir aux
événements
et aux hommes. C’est un rabougrissement complet.
’a été M. Amédée Thierry, dans des histoires plus opulentes encore en
événements
, en contrastes, en choses grandioses, fauves et t
l n’en a pas. Où le premier diminue la poésie de ces hommes et de ces
événements
hors des proportions des temps actuels, le second
de l’amélioration future ; cette chaîne peut être interrompue par des
événements
accidentels qui contrarient les progrès à venir,
ges philosophiques et littéraires n’avaient point d’influence sur les
événements
publics. On ne trouve donc point, dans les écrits
ts polémiques, ceux qui doivent agir sur l’opinion du moment et sur l’
événement
du jour, n’auraient jamais pu être d’aucune utili
ont été de grands écrivains. Tous les deux ont raconté les principaux
événements
du règne de Louis XIV, en mettant au premier plan
ontrer assez178. Ses lettres sont une agréable gazette, où les grands
événements
sont touchés comme les nouvelles de cour et les n
comme les nouvelles de cour et les nouvelles de cour comme les grands
événements
. C’est le dix-septième siècle dans une correspond
s exemples, de l’histoire narrative. Les anciens ne racontent que les
événements
publics, la vie publique, soit au pied de la trib
ls sont donnés à la négociation, aux conseils, aux causes cachées des
événements
. S’ils en parlent, c’est par conjecture plutôt qu
es reçoivent des situations et des caractères. Quant à l’histoire des
événements
publics, des campagnes militaires, par exemple, i
qui a su se rendre présents, par l’imagination et la sensibilité, des
événements
si loin de lui, et qui nous émeut de morts arrivé
ut, au naturalisme, à l’histoire, à la philosophie, aux hommes et aux
événements
, et doit toujours être prête à aborder les questi
moment où l’impression de ce livre se terminait, il s’est aperçu des
événements
tout récents et qui, à l’instant même où nous som
aient un sens, ce ne sont pas elles qui sont venues se superposer aux
événements
, ce sont les événements qui sont venus se ranger
t pas elles qui sont venues se superposer aux événements, ce sont les
événements
qui sont venus se ranger sous elles. Il n’est pas
, aux approches de 1848, comme si la tranquillité un peu monotone des
événements
était une excitation à désirer autre chose, à sou
e tout ce qui intéressait alors la jeunesse intelligente, de tous les
événements
littéraires et politiques des assemblées, des clu
autre courant et une direction toute nouvelle, grâce à un assez grave
événement
; ce fut une crise religieuse qui, vers la seiziè
blessure. Mais, en aucun cas, il ne faut l’avilir dans le hasard des
événements
; il faut qu’il meure ou triomphe, et on ne doit
récits si riches, si variés, qui souvent s’altèrent dans la suite des
événements
, mais qui toujours ont des commencements merveill
dans les mouvements de la rue, se laissent avilir et souiller par les
événements
. Ce grand esprit, qui a l’horreur de la violence,
s des situations fictives et se développant, dans cette combinaison d’
événements
imaginaires, au gré de l’auteur, observateur ou p
l’imagination puisse rêver ! Et plus tard, quand, aux prises avec des
événements
terribles, triste fiancée de la mort, sous le cou
lon, amitié de fils de la part de Champi, mais qui se change avec les
événements
et les années en une tendresse bien vive et qui l
ges ! Que de larmes mêlées de sourires, un peu par contraste avec les
événements
, firent couler l’amitié des deux bessons de la Be
occasion favorable, une excitation venue du dehors, une combinaison d’
événements
qui les élève au-dessus de leur manière ordinaire
s plus ou moins chimériques, au conflit des passions idéales avec des
événements
imaginaires ; elle s’y complaisait délicieusement
la scène, de même que dans tout le roman il craindra de troubler les
événements
par sa modeste personnalité, jusqu’à ce que les é
oubler les événements par sa modeste personnalité, jusqu’à ce que les
événements
lui imposent un rôle d’héroïsme qui le trouvera p
n de dire que l’on aime), à la manière de concevoir et d’imaginer les
événements
, à la manière plus ou moins agitée et surexcitée
à chaque occasion, le rôle de Mirabeau, conduisant par sa parole les
événements
, nouant et dénouant l’action ? N’est-ce pas le fa
st heureux ; il boit par les yeux le poison fatal dont il mourra. Les
événements
se développent ; mais déjà peu à peu quelques-uns
aimer beaucoup, disait-elle dans le préface de Lucrezia Floriani, les
événements
romanesques, l’imprévu, l’intrigue, l’action dans
it à la fatalité de son art, comme la vie les livre à la fatalité des
événements
. De là ce contraste saillant dans ses œuvres : l’
u. Quand le chimérique s’introduit ainsi dans ses œuvres, forçant les
événements
et les caractères, c’est une preuve que chez elle
t idéal, où tout succède au vœu de l’auteur avec une complaisance des
événements
et une docilité des personnages qu’on ne trouve p
faction de la petite cour fabuleuse et agitée où il débarque comme un
événement
, puis montant en grade et en faveur avec une rapi
oi crier à l’invraisemblance quand on voit s’organiser, au hasard des
événements
, cette jolie caravane de voyage, dans la villa de
is ne serait-il pas aisé de noter, en regard de l’invraisemblance des
événements
que l’on peut signaler chez elle, le défaut de lo
dans les descriptions, soit dans les analyses, soit dans la suite des
événements
, il suit l’idée d’un mouvement continu, il l’expr
timents ou l’invention des situations, l’invraisemblance exagérée des
événements
, l’emportement des thèses, la déclamation surabon
s et des laideurs, craindre avant tout de l’avilir dans le hasard des
événements
, qu’est-ce que cela, sinon chercher par tous les
t la gouverne, « qui la soustrait, autant que possible, au hasard des
événements
ou au caprice des affections ». Suivons-la, quand
Bulletins de la République émanés du ministère de l’Intérieur. Tant d’
événements
n’ont pas été perdus pour elle, ni en politique,
it cependant beaucoup fait pour améliorer sa nature, et voilà que les
événements
de Paris remettent tout en question à ses yeux :
u’on puisse dire de George Sand, de ses aventures de toute sorte, des
événements
d’idée ou autres, où l’a jetée la fougue de son i
duelles, il n’était jamais privé de l’exercice de sa raison par aucun
événement
de la vie humaine. Les Romains avaient commencé p
t si loin la destinée, que toutes les passions sont absorbées par les
événements
contemporains. Le gouvernement aristocratique off
ies grossières d’Aristophane ; ils n’auraient jamais souffert que les
événements
contemporains, les personnages publics fussent ai
e louanges, en osant abandonner les traces des Grecs, et célébrer des
événements
domestiques, soit dans le genre tragique, soit da
’ont point encouragé les tragédies qui avaient pour sujet les propres
événements
de leur histoire. Il ne nous est resté ni un titr
ui ont l’air de lutter, de s’accoupler, et d’agir bien au-dessous des
événements
dans un bas-fond obscur. Tirez-les au jour, et vo
plus net. On voit le vieux petit volume, la reliure de parchemin, les
événements
racontés, tout le détail des cinq ou six cents pa
phie, religion, famille, société, gouvernement, tout établissement ou
événement
extérieur nécessite et dévoile un ensemble d’habi
événement extérieur nécessite et dévoile un ensemble d’habitudes et d’
événements
intérieurs. Le dehors exprime le dedans, l’histoi
e. L’analyse ajoute le monde moral au monde physique, et complète les
événements
par les sentiments. Mais vous voyez qu’ici, comme
▲