Redonnel, Paul (1860-1935) [Bibliographie] Les Chansons
éternelles
(1895). OPINIONS. Louis-Xavier de Ricard
ion, c’est parmi les premières œuvres qu’on doit classer les Chansons
éternelles
. Les Chansons éternelles forment une ligne parab
ères œuvres qu’on doit classer les Chansons éternelles. Les Chansons
éternelles
forment une ligne parabolique dont les deux côtés
i en remonte. [La Plume (1898).] Henry Davray Dans les Chansons
éternelles
, M. Paul Redonnel donne l’ensemble de son œuvre ;
urer imprudemment à la poursuite d’un motif fragmentaire des Chansons
éternelles
, alors qu’il me suffît d’ouvrir mes oreilles de b
, les lois qu’elle lui a données, n’en sont pas moins universelles et
éternelles
. Dans la contemplation de cette Providence éterne
universelles et éternelles. Dans la contemplation de cette Providence
éternelle
et infinie la Science nouvelle trouve des preuves
s maux éprouvés par les hommes ; voilà les preuves que nous fournit l’
éternelle
bonté de Dieu. — Ces trois sortes de preuves peuv
rrer selon la folie de ses caprices, et aux Stoïciens que leur chaîne
éternelle
des causes à laquelle ils veulent attacher le mon
ication de leur nature se confirmera par l’observation des propriétés
éternelles
qu’elles conservent ; lesquelles propriétés ne pe
x nécessités ou utilités de la vie sociale, qui sont les deux sources
éternelles
du droit naturel des gens (axiome 11). Ainsi cons
blement fausse. De cette manière, la Science nouvelle trace le cercle
éternel
d’une histoire idéale, sur lequel tournent dans l
s amplifiée par l’inévitable grossissement de l’illusion humaine. « L’
Eternel
m’a nommé dès ma naissance, s’écriait le grand po
l dit : Je t’établis pour être la lumière des nations ; ainsi parle l’
Eternel
à celui qu’on méprise. » On peut dire de la haute
parce qu’il demeure toujours insaisissable à la science : le mystère
éternel
et universel, qui reparaît toujours à la fin, env
entre pas dans l’étroite prunelle. Quelle heure contiendrait la durée
éternelle
? Nul œilde l’infini n’a touché les deux bords :
le monde est l’émanation, Tout ce qu’il a créé n’est qu’aspiration. L’
éternel
mouvement qui régit la nature N’est rien que cet
’est rien que cet élan de toute créature Pour conformer sa marche à l’
éternel
dessein, Et s’abîmer toujours plus avant dans son
ce que la mort, ouvrant son aile immense, Engloutisse à jamais dans l’
éternel
silence L’éternelle douleur. Lamartine repre
t son aile immense, Engloutisse à jamais dans l’éternel silence L’
éternelle
douleur. Lamartine reprend plus tard la question
té entière abandonnée de son Dieu. Dieu est muet ; il est pour nous l’
éternel
silence et l’éternelle absence ; répondons-lui pa
de son Dieu. Dieu est muet ; il est pour nous l’éternel silence et l’
éternelle
absence ; répondons-lui par le même silence, marq
à l’absence, Et ne répondra plus que par un froid silence Au silence
éternel
de la Divinité. Lamartine, lui, était de ceux qu
riginales et les plus profondes qui résultent de cette vision du Tout
éternel
et éternellement indifférent : c’est que ce n’est
rnel et éternellement indifférent : c’est que ce n’est pas ce qui est
éternel
qu’il faut aimer, mais ce qui passe, parce que c’
te d’élans, de cris et de sanglots ; et après tout, c’est peut-être l’
éternelle
philosophie, celle qui est assurée de ne point pa
lque façon qu’on t’appelle, Bramah, Jupiter ou Jésus, Vérité, justice
éternelle
, Vers toi tous les bras sont tendus. . . . . . .
res avec trop d’empressement les biens présents, tu perdras les biens
éternels
et célestes. Use des biens temporels, et désire c
ternels et célestes. Use des biens temporels, et désire ceux qui sont
éternels
. Aucun bien temporel ne peut te rassasier, parce
omplissement de votre volonté sur lui, et l’exécution de vos desseins
éternels
; il doit en être content et consolé au point de
erchez du repos en cette vie, comment arriverez-vous un jour au repos
éternel
? Préparez-vous, non à beaucoup de repos, mais à
i lui forme une couronne dans le ciel. Je lui donnerai une récompense
éternelle
pour un travail de peu de durée, et une gloire qu
ez le silence, priez, souffrez courageusement les adversités ; la vie
éternelle
mérite bien tout cela et des combats encore plus
te de la moindre parole injurieuse ; mais la grâce envisage les biens
éternels
, ne s’attache point aux choses temporelles, ne se
lus nécessaires, que ce qui peut lui servir à l’acquisition des biens
éternels
. La nature se fait un plaisir d’avoir beaucoup d’
s elle soumet tous ses sentiments et toutes ses lumières à la sagesse
éternelle
et au jugement de Dieu. La nature cherche à savoi
spécial de Dieu, et proprement le sceau des élus et le gage du salut
éternel
, puisqu’elle élève l’homme des choses de la terre
on dit sur les genres et sur les espèces ? Celui à qui parle le Verbe
éternel
est délivré de bien des opinions. Tout vient de c
Ô vérité, qui êtes Dieu ! faites que je sois avec vous, dans un amour
éternel
. Souvent j’éprouve un grand ennui à force de lire
temps ; toute leur espérance, tous leurs désirs, aspiraient aux biens
éternels
. Tout leur cœur s’élevait vers les biens invisibl
ez la paix. Laissez là tout ce qui passe ; ne cherchez que ce qui est
éternel
…… XXII La vérité parle au-dedans de nous
nce. Que Moïse donc ne me parle point : mais vous, Seigneur mon Dieu,
éternelle
vérité ! parlez-moi, de peur que je ne meure, et
r, parce que votre serviteur écoute : vous avez les paroles de la vie
éternelle
. Parlez-moi pour consoler un peu mon âme, pour m’
à réformer ma vie ; parlez-moi pour la louange, la gloire, l’honneur
éternel
de votre nom. XXIII Qu’il faut marcher en
dmirable, élevé, digne d’être estimé, loué, recherché, que ce qui est
éternel
. Aimez, par-dessus toutes choses, l’éternelle vér
recherché, que ce qui est éternel. Aimez, par-dessus toutes choses, l’
éternelle
vérité, et n’ayez jamais que du mépris pour votre
, éclairés et purifiés intérieurement, ne cessent d’aspirer aux biens
éternels
, ont à dégoût les entretiens de la terre et ne s’
mais le plus sublime monument de l’âme humaine. Voici le grand drame
éternel
à trois acteurs qui résume tout ; mais quels acte
sse ses victimes, Ne formez qu’un soupir ! Qu’une plainte
éternelle
accuse la nature, Et que la douleur donne à toute
ce que la Mort, ouvrant son aile immense, Engloutisse à jamais dans l’
éternel
silence L’éternelle douleur ! VII
le immense, Engloutisse à jamais dans l’éternel silence L’
éternelle
douleur ! VIII Ceci n’est que la poésie du
La mort nourrissant la vie, et la vie nourrissant la mort ! La guerre
éternelle
entre tout ce qui respire, pour se disputer un at
a rage ? Et si cela est ainsi, qui l’emportera ?… Le combat serait-il
éternel
? ou bien n’y a-t-il rien qu’un mauvais rêve ? et
de soleil de cet océan de vie !… Il y a de quoi faire rire les êtres
éternels
, ou pleurer de pitié même les rochers. XII
rès sensible à qui contemple de très haut et des sommets de la vérité
éternelle
ces deux conditions de l’espèce humaine. Du crépu
ême toile et à poursuivre le même vent pour rapporter, au prix de son
éternelle
absence, à sa famille, une pincée d’or convertie
qui pense non plus une mort future, mais une mort présente, une mort
éternelle
, une mort vivante, s’il est permis d’employer ce
proviste par la mort arrive, nous nous retournons avec anxiété vers l’
éternel
contemporain de nos âmes, vers Dieu, et nous cher
n rêve fugitif dans ses bras désespérés, en croyant embrasser enfin l’
éternelle
réalité d’où il émane et à laquelle il retourne !
a pensée à se plonger dans cet espace, et qui fait monter son âme à l’
éternelle
poursuite de l’infini, d’astres en astres, de voi
e en partie double, se balançant par profits et pertes à la fin d’une
éternelle
association de fabrique liquidée par l’éternité.
pas ?… « Suis-je opaque, ô mortels ! pour vous donner une ombre ? «
Éternelle
unité, suis-je un produit du nombre ? « Suis-je u
eux pôles, « Éleva ses tréteaux dans le temple indien, « Transforma l’
Éternel
en vil comédien, « Qui, changeant à sa voix de rô
Et dans qui rentre en toi jamais moins, toujours plus, L’Être au flux
éternel
, à l’éternel reflux ! ………………………………………………………… ………
entre en toi jamais moins, toujours plus, L’Être au flux éternel, à l’
éternel
reflux ! ………………………………………………………… …………………………………………
§ II. Les sociétés politiques sont nées toutes de certains principes
éternels
des fiefs Conformément aux principes éternels
certains principes éternels des fiefs Conformément aux principes
éternels
des fiefs que nous avons placés dans nos axiomes
rte d’instinct, cette formation des républiques d’après les principes
éternels
des fiefs. Nous en avons la preuve dans la formul
une foule de peuples. De l’opposition de ces éléments résulta une loi
éternelle
, c’est que les plébéiens veulent toujours changer
ls ils avaient donné asile. Les héros, selon Aristote, juraient une
éternelle
inimitié aux plébéiens, hôtes des cités héroïque
eurent lieu au moyen âge, en vertu des lois qui dérivent de la nature
éternelle
des fiefs. Prenons pour exemple le royaume de Fra
iées devant les plébéiens, plebi scita ou nota, telle que la loi de l’
éternelle
expulsion des Tarquins, promulguée par Junius Bru
ssièreté. Les plébéiens représentèrent le corps. Aussi est-ce une loi
éternelle
dans les sociétés, que les uns y doivent tourner
ue nous avons observé plus haut. Les étrangers étaient à leurs yeux d’
éternels
ennemis, et ils faisaient consister l’honneur de
l ; la guerre elle-même, πόλεμος, tira son nom de πόλις, cité… Cette
éternelle
inimitié des peuples jeta beaucoup de jour sur le
aient exercé entre elles de continuelles hostilités77 78. Les guerres
éternelles
des cités anciennes, leur éloignement pour former
omaine, on appréciera les héros qu’elle vante, si l’on réfléchit à l’
éternelle
inimitié que, selon Aristote, les nobles ou hér
De cette faculté originaire de l’esprit humain, il est resté une loi
éternelle
: les esprits une fois frappés de terreur, fingu
e qui nous prouve que la poésie a dû naître ainsi, c’est ce caractère
éternel
et singulier qui lui est propre : le sujet propre
critique philologique. 5. Le cinquième aspect est une histoire idéale
éternelle
dans laquelle tournent les histoires réelles de t
ogiens, et sur quelques-unes de celles des jurisconsultes, et qui est
éternel
dans son idée abstraite, a dû être aussi éternel
onsultes, et qui est éternel dans son idée abstraite, a dû être aussi
éternel
dans l’usage et dans la pratique des nations. Les
onsidérant ce droit naturel comme ordonné par la Providence, et comme
éternel
en ce sens, que sorti des mêmes origines que les
ner et le compléter par des théories fondées sur l’idée de la justice
éternelle
. « 2. Leurs systèmes n’embrassent pas la moitié d
Gayda, Joseph [Bibliographie] L’
Éternel
féminin, poésies (1881). — La Soif d’aimer (1886)
de son talent n’échappera à aucun de ceux qui ouvriront son livre (L’
Éternel
féminin). Elle se peut définir en deux mois : l’a
oètes français du xixe siècle (1887-1888).] Marcel Fouquier L’
Éternel
féminin, de M. Joseph Gayda, est le premier livre
l’antiquité, la Science nouvelle ne mériterait pas le nom d’histoire
éternelle
de l’humanité, si l’auteur ne montrait que les ca
de nouveau la carrière qu’elles ont fournie conformément à la nature
éternelle
des fiefs. Que l’ancien droit politique des romai
sque plus d’aristocraties. Chapitre IV. Conclusion. D’une république
éternelle
fondée dans la nature par la Providence divine, e
t, ses vers, en une fluente et grise monotonie, ni vers ni prose, une
éternelle
mélopée, un peu falote, coupée de soupirs : par q
on ne peut se passer d’Eden ! » quand a été proclamée sur ce siècle l’
éternelle
loi de l’Évolution des êtres, du Transformisme ré
essence même du Transformisme, celle de Hégel : que la Matière est en
éternel
devenir. La Matière devient. Mais quel est le mou
lon, oui, un dessin elliptique. Tout est elliptique. La matière étant
éternelle
et illimitée est représentée virtuellement par le
du cercle, elle évolue avec progrès — elle va vers l’affranchissement
éternel
et infini de la ligne droite, l’ellipse s’allonge
Hors que, se transformant équivalente du cercle virtuel virtuellement
éternel
et infini, à la suprême transformation de l’ellip
ra pas : et l’ellipse, de l’infinie fatalité ne pouvant avoir la fin,
éternelle
et infinie se transforme. ……………………………………………………………
lité qui devient égalité — : éternellement (d’où le progrès infini et
éternel
!), tel est mon principe social… Ceci dit : que l
s grande histoire, ce n’était pas seulement que cette grande histoire
éternelle
avait la plus grande inscription temporelle, mais
où il y a du temporel sous tout cela, au sens et dans la mesure où l’
éternel
même est inséré, raciné dans tout ce temporel. Ce
refaire, de ne pas me laisser redevenir un paysan de chez nous. Tout
éternel
est tenu, est requis de prendre une naissance, un
rendre une naissance, une inscription charnelle, tout spirituel, tout
éternel
est tenu de prendre une insertion, un racinement,
plus qu’une infloraison : une placentation temporelle. J’entends tout
éternel
humain. Mais cette grande histoire éternelle, cet
temporelle. J’entends tout éternel humain. Mais cette grande histoire
éternelle
, cette histoire d’éternelle sainteté est venue au
ternel humain. Mais cette grande histoire éternelle, cette histoire d’
éternelle
sainteté est venue au monde dans notre pays, cett
le sainteté est venue au monde dans notre pays, cette grande histoire
éternelle
est une histoire de chez nous. Le temporel est la
rel est la terre et le temps, la matière, le terroir, le terreau de l’
éternel
. Mais cette grande sainte était une fille de chez
uple entier les berce en leur tombeau ! Gloire à notre France
éternelle
! Gloire à ceux qui sont morts pour elle !
e soleil levant redore tous les jours ! Gloire à notre France
éternelle
! Gloire à ceux qui sont morts pour elle !
ire leur mémoire et redore leurs noms ! Gloire à notre France
éternelle
! Gloire à ceux qui sont morts pour elle !
qui pieusement sont morts pour la patrie , ou Gloire à notre France
éternelle
! Gloire à ceux qui sont morts pour elle ! — L’Ex
à Charlemagne, à Mahomet l’Asie ; Mais tu ne prendras pas demain à l’
Éternel
! III Ô revers ! ô leçon ! — Quand l’enfant de ce
ier contrat, cette sorte de bail plus que viager, cette sorte de bail
éternel
par lequel Victor Hugo s’était assuré la propriét
e Cid et Horace représentent deux héroïsmes temporels qui, portés à l’
éternel
, donnent Polyeucte, qui transférés sur le plan de
ortés à l’éternel, donnent Polyeucte, qui transférés sur le plan de l’
éternel
, dans le registre de l’éternel, avec tous leurs r
eucte, qui transférés sur le plan de l’éternel, dans le registre de l’
éternel
, avec tous leurs racinements temporels, se recoup
; y représentant en achèvement, en couronnement non point un héroïsme
éternel
, un héroïsme du salut, un héroïsme de la sainteté
la sainteté en l’air, (ce qui est l’immense danger), mais un héroïsme
éternel
encore pourvu précisément de toute son origine te
ion de ceux qui sont partis pour ceux qui restent. Ainsi cet héroïsme
éternel
est éternellement de provenance temporelle, cet h
fait, exactement, chrétien. Cette insertion, cette articulation de l’
éternel
dans le temporel, du spirituel dans le charnel, d
sont littéralement les deux vers d’Horace transférés dans le registre
éternel
, par une opération organique et ensemble par une
rant l’œil à moitié sous ses voiles, Quel dieu, quel moissonneur de l’
éternel
été. Avait, en s’en allant, négligemment jeté Cet
, c’est-à-dire littéralement de la mise en chair, de l’insertion de l’
éternel
dans le temporel. Il a bien senti que d’un coup,
elle, et même, par là, même l’entrée, l’inscription, l’insertion de l’
éternel
dans le temporel, de l’éternel dans le charnel, d
ntrée, l’inscription, l’insertion de l’éternel dans le temporel, de l’
éternel
dans le charnel, de la vie éternelle dans la vie
e l’éternel dans le temporel, de l’éternel dans le charnel, de la vie
éternelle
dans la vie charnelle. Et homo factus est. Les
ment et même mystiquement ils ne la considèrent guère que venant de l’
éternel
, du côté de l’éternel, procédant de l’éternel, ab
ent ils ne la considèrent guère que venant de l’éternel, du côté de l’
éternel
, procédant de l’éternel, ab aeterno, ab aeternita
t guère que venant de l’éternel, du côté de l’éternel, procédant de l’
éternel
, ab aeterno, ab aeternitate. Ce qui fait la valeu
perpétuelle inscription, de cette (toute) mystérieuse insertion de l’
éternel
dans le temporel, du spirituel dans le charnel qu
la considérer. Les chrétiens la considèrent généralement du côté de l’
éternel
, du lieu de l’éternel, venant de l’éternel, se pl
étiens la considèrent généralement du côté de l’éternel, du lieu de l’
éternel
, venant de l’éternel, se plaçant de l’éternel, (e
généralement du côté de l’éternel, du lieu de l’éternel, venant de l’
éternel
, se plaçant de l’éternel, (et mon Dieu c’est bien
l’éternel, du lieu de l’éternel, venant de l’éternel, se plaçant de l’
éternel
, (et mon Dieu c’est bien un peu leur office). C’e
te, ce point de reconcentration, ce ramassement en un point de tout l’
éternel
dans tout le temporel. Tel est généralement leur
s. Et homo factus est. L’éternité a été faite, est devenue temps. L’
éternel
a été fait, est devenu temporel. Le spirituel a é
arnel. C’est (surtout) une histoire qui est arrivée à l’éternité, à l’
éternel
, au spirituel, à Jésus, à Dieu. Pour avoir la con
; de l’autre côté ; pour contempler, pour considérer l’insertion de l’
éternel
dans le temporel, du spirituel dans le corporel,
comme un accueil, comme un accueillement, comme un recueillement de l’
Éternel
dans la chair, comme un achèvement d’une série ch
génération charnelle spirituelle ; charnelle d’élection ; temporelle
éternelle
. Luc fait au contraire une extraction. Au con
r de la race temporelle. Du sang temporel, du sang charnel et du sang
éternel
. Ut putabatur filius Joseph , du même un seul co
JÉSUS-CHRIST. C’est toujours l’avènement charnel spirituel, temporel
éternel
, chrétien de Jésus-Christ. Ce sont toujours, ce s
tion du côté du miracle, du côté de l’éternité ; cette insertion de l’
éternel
dans le temporel, du spirituel dans le charnel, c
nt deux chrétiens qui la considèrent, qui la contemplent du côté de l’
éternel
, du côté du spirituel, se situant dans l’éternel,
emplent du côté de l’éternel, du côté du spirituel, se situant dans l’
éternel
, dans le spirituel, venant de l’éternel, du spiri
spirituel, se situant dans l’éternel, dans le spirituel, venant de l’
éternel
, du spirituel ; faisant en un mot leur métier, le
emble, à la fois faite et jaillie : Quel dieu, quel moissonneur de l’
éternel
été Et ensuite, en deuxième, en subsidiaire : A
rant l’œil à moitié sous ses voiles, Quel dieu, quel moissonneur de l’
éternel
été Avait, en s’en allant, négligemment jeté U
ulminants, les quatre vers de Bérénice font entendre une protestation
éternelle
; ils sont même sept : Pour jamais ! Ah ! Seigne
res s’achèvent, se promeuvent, se couronnent dans Polyeucte en palmes
éternelles
. L’événement même est pur dans une tragédie de Co
te avance, tant d’exactitude, une totale exactitude et ensemble cette
éternelle
avancée. C’est déjà, c’est dedans, c’est d’avance
éjà fait ; que c’est une réalité ; la saisie de la main d’une réalité
éternelle
; que son martyre est déjà une chose entendue ; q
roïsme, toute la chevalerie du Cid promue dans Polyeucte, en jeunesse
éternelle
, en héroïsme et comme en chevalerie de sainteté.
e temporelle, toute cette jeunesse charnelle muée, promue en jeunesse
éternelle
. Tout cet héroïsme de guerre promu en héroïsme de
Tout cet héroïsme temporel promu en héroïsme de sainteté, en héroïsme
éternel
, en héroïsme de martyre. Tout cet héroïsme de rac
cet héroïsme de race (temporelle) promu en héroïsme de grâce, de race
éternelle
. Toute cette générosité jeune et chevalière promu
la grâce même, comme cette jeune race charnelle et temporelle dans l’
éternel
même, cette race à part de saints, si différente,
re, du registre héroïque au registre sacré. Qui montent. Du temps à l’
éternel
. D’autre part, de la deuxième, d’une deuxième p
de la Cité intemporelle, de la Cité spirituelle, de la charnelle Cité
éternelle
. C’est toute une proposition, c’est tout un regis
ne, toute la grandeur temporelle, tout ce qui porte le spirituel et l’
éternel
de Polyeucte, la province romaine, Gendre du gou
L’un par l’autre. D’avoir été pris dans le même piège. Dans le piège
éternel
. Alors on n’est plus brave. On est comme deux pri
au long du beau terre-plein, derrière le fossé, comme pour une parade
éternelle
, avaient l’air de commander le défilé. Ils passai
ce poussée par un grand écrivain dans les profondeurs de l’esthétique
éternelle
. Sans aucun appareil dogmatique, sans aucun gross
eux de voir les peintres entrer dans le domaine de la poésie avec cet
éternel
souci de la couleur qui peut leur devenir en litt
s menhirs gigantesques, les vieilles églises romanes, comme la poésie
éternelle
et l’éternelle menace de la nature. En somme, voi
tesques, les vieilles églises romanes, comme la poésie éternelle et l’
éternelle
menace de la nature. En somme, voilà une œuvre si
l’avenir toujours prêt à renaître, et toujours trompeur, la jeunesse
éternelle
de ce sang italien qui roule toutes sortes de roy
à un plus grand qu’eux. Tous chantaient exclusivement l’amour, cette
éternelle
inspiration du cœur. L’amour fut aussi le premier
des intérêts terrestres, s’était absorbée dans l’intérêt de son salut
éternel
. Des cieux, des enfers, des purgatoires sans cess
n ce temps, puis, par anticipation, dans l’éternité, de cette justice
éternelle
qui sera à la fois ma félicité et ma vengeance. G
st l’âme ; et dans l’âme, c’est la destinée passée, présente, future,
éternelle
, de ce principe immatériel, intelligent, aimant,
on qu’il vole en haut ou en bas dans la sphère infinie de sa carrière
éternelle
, jusqu’au jour où il s’unit enfin, par la foi cro
et d’Horace ; ils y ont incorporé leurs noms comme des illustrations
éternelles
de l’homme sur ces pages de la nature. C’était le
modes de leur vie renouvelée. Je les suivis d’un regard surnaturel et
éternel
dans les principales transfigurations angéliques
térêt, dans leur Divine Comédie, à travers la vie, la mort, jusqu’à l’
éternelle
vie ! XV Ce poème avait quelque analogie lo
verses ne se rompait qu’à leur réunion définitive et à leur béatitude
éternelle
. Il ne manquait, je le répète, à mon épopée qu’un
leau est étroit, la peinture est sobre de couleurs ; l’impression est
éternelle
! C’est que l’émotion et la beauté y sont complèt
deux coupables, mais qui les emporte ensemble, échangeant l’amère et
éternelle
confidence de leur repentir, buvant leurs larmes,
ces deux modèles étrangers et d’écrire leurs noms sur les piédestaux
éternels
de Milton et de Dante ; mais le système de traduc
omme un corps glorieux sous lequel la pensée demeure incorruptible et
éternelle
. Immortalité et popularité, ce sont les deux dons
es les habitudes littéraires contemporaines nous montrent les régions
éternelles
comme la patrie de l’âme, comme le lien naturel d
nt par la voie lactée, Scipion écoute les sept notes de cette musique
éternelle
que forment les astres ; il contemple les espaces
durant long temps avant que de parvenir à peindre la majesté du pere
éternel
avec ce caractere de fierté divine qu’il a sçû lu
efforts réïterez plusieurs fois. Mais Raphaël voit un moment le pere
éternel
peint par Michel-Ange : frappé par la noblesse de
n jour de mettre dans les figures qu’il fait pour représenter le pere
éternel
le caractere de grandeur, de fierté et de divinit
oble que Michel-Ange faisoit sentir dans le caractere de tête du pere
éternel
, qu’on voit en differens endroits de la chapelle
nt, et il prit celle de son concurrent. Raphaël a représenté le pere
éternel
dans le dernier tableau de la premiere loge, avec
nie ; et tout en restant fidèle à notre admiration pour les principes
éternels
de l’art classique, nous avons défendu la liberté
avons défendu la liberté de l’invention en littérature ; car ces lois
éternelles
elles-mêmes ne sont que l’expression des grandes
uveauté et de changement peut-il se concilier avec les principes de l’
éternelle
vérité ? S’il n’y a pas quelque chose qui ne chan
monde de ténèbres et de tourments 780. Ce nouvel ordre de choses sera
éternel
. Le paradis et la Géhenne n’auront pas de fin. Un
rrection. Jésus y échappait en déclarant formellement que dans la vie
éternelle
la différence de sexe n’existerait plus, et que l
ant, Jésus veut que la résurrection s’applique aux méchants pour leur
éternelle
confusion 808. Rien, on le voit, dans toutes ces
enveloppe fabuleuse, dans le sein de l’humanité, y a porté des fruits
éternels
. Et ne dites pas que c’est là une interprétation
ette morale prétendue des derniers jours s’est trouvée être la morale
éternelle
, celle qui a sauvé l’humanité. Jésus lui-même, da
n’a pas su y atteindre. Le mot favori de Jésus reste donc plein d’une
éternelle
beauté. Une sorte de divination grandiose semble
s dans les espaces célestes, et c’est lui qui maintient la régularité
éternelle
de leurs révolutions, de même qu’il leur a imprim
Dieu n’est pas l’éternité plus qu’il n’est l’infinitude ; mais il est
éternel
et infini. Le temps n’existe pas pour lui ; le te
sujet, et il recherche comment on peut concevoir qu’un mouvement soit
éternel
. Il s’appuie d’abord sur ce fait d’observation év
tablie, il conclut à l’éternité du premier moteur. Le mouvement étant
éternel
selon Aristote, le premier moteur doit être étern
e mouvement étant éternel selon Aristote, le premier moteur doit être
éternel
comme le mouvement même qu’il produit éternelleme
ions sur le premier moteur immobile ; car nous savons qu’il est un et
éternel
, et que le mouvement qu’il crée est le mouvement
vement circulaire, le seul de tous les mouvements qui puisse être un,
éternel
, continu, régulier et uniforme. Aristote ajoute s
et une grandeur finie ne peut jamais produire un mouvement infini et
éternel
, pas plus qu’elle ne peut avoir une puissance inf
r ? En quel lieu réside-t-il, si toutefois on peut, sur l’infini et l’
éternel
, élever une telle question ? Est-ce au centre ? O
génieuse de Boyle, et où rien ne gêne ni n’entrave leurs immuables et
éternelles
révolutions. Mais les lois du mouvement, quelque
tion d’un être spirituel qui le constitue ce qu’il est. Dieu est donc
éternel
, infini, parfait, vivant, tout-puissant ; il sait
il est partout. Il n’est pas l’éternité et l’infinitude, mais il est
éternel
et infini ; il n’est pas la durée et l’espace, ma
ans le cœur de l’homme ; et celui qui a créé les mondes avec les lois
éternelles
qui les régissent, n’a rien fait d’aussi grand qu
la politique, c’est de se conformer le plus qu’elle peut à la morale
éternelle
, et de diminuer chaque jour, en montant jusqu’à e
chons avec vous les modèles de la raison élégante et les secrets de l’
éternelle
beauté. Dieu merci, vous n’êtes pas encore rebell
u plus au-dessus duquel il faut gravir pour vous conformer à ces lois
éternelles
entrevues par Platon, fixées par une théodicée pl
objet de croyance se gardent bien de ménager le culte du génie : race
éternelle
des iconoclastes en qui je reconnais ces soldats
aveu du peu que nous sommes, toute soumission devant les supériorités
éternelles
, tout acte de foi sincère agrandit le cœur en mêm
au est étroit, la peinture est sobre de couleurs, et l’impression est
éternelle
. Je me demande : Pourquoi cela est-il si beau ? C
, et qui leur laisse au moins, à travers leur expiation rigoureuse, l’
éternelle
consolation de ne faire qu’un dans la douleur, co
e encore enlacés dans les bras l’un de l’autre, se faisant l’amère et
éternelle
confidence de leur repentir, buvant leurs larmes,
sixième chant, nous retombons à froid dans les supplices de la pluie
éternelle
et glaciale où les noyés sont, pour comble d’ennu
douloureuse de la présence et de la lumière de Dieu dans des climats
éternels
toujours chargés de nuages ; beaucoup d’autres éc
écrivains ou prédicateurs religieux ont déclaré ne comprendre le mot
éternel
appliqué à ce supplice que comme expression d’une
pour devenir l’angélique papillon qui vole invincible au-devant de l’
éternelle
justice ?… » XVII Après plusieurs autres c
ui accompagnaient toujours de leur harmonie les évolutions des astres
éternels
. Mais, après que j’eus compris que ces esprits cé
ntre avec elle dans la première étoile. Écoutez le poète. « La perle
éternelle
nous reçut dans son sein, comme l’eau reçoit, san
lque chose d’humain et de réel l’esprit du lecteur. Ces vers seront l’
éternelle
complainte et l’éternelle consolation des exilés.
réel l’esprit du lecteur. Ces vers seront l’éternelle complainte et l’
éternelle
consolation des exilés. « Tel qu’Hippolyte sorti
de la Trinité dans ces trois vers : « Et je crois en trois personnes
éternelles
; et je les crois si triples et si une à la fois
cob, Moïse, sainte Lucie, patronne de Palerme, y chantent des Hosanna
éternels
. La tête du poète se trouble, les paroles lui man
ces convulsions aériennes, mais demeure calme et impassible dans une
éternelle
sérénité. C’est ainsi que l’esprit des philosophe
tout entière qui s’appelle Italie, ce n’est pas la maison de Savoie,
éternelle
alliée de la maison d’Autriche. Dieu veuille que
ome ; il faisait abstraction des temps pour s’absorber dans les idées
éternelles
. Faisons comme lui, et suivons-le jusqu’à son der
I La belle définition de la vertu, santé de l’âme, n’est pas moins
éternelle
!… Une qualité permanente de l’âme, qui est la ra
uvrage, intitulé de la Divination, dans lequel il livre à un ridicule
éternel
tous les aruspices, toutes les prédictions et tou
losophie, l’unité et l’immatérialité de Dieu. On voit que ce problème
éternel
de la toute-puissance de la providence divine et
s destinées suprêmes, le songe de Scipion, excursion dans les régions
éternelles
. Lisez-le tout entier : c’est Cicéron dieu après
terminées, enlèveraient toujours à notre gloire d’être, je ne dis pas
éternelle
, mais durable. Et que t’importe d’ailleurs d’être
orter tes regards en haut, et les fixer sur ton séjour naturel et ton
éternelle
patrie, ne donne aucun empire sur toi aux discour
ché, comme le Dieu véritable gouverne ses mondes. Semblable à ce Dieu
éternel
qui meut l’univers en partie corruptible, l’âme i
que par hasard votre Athènes aurait pu conserver dans la citadelle un
éternel
olivier ? Ou montrerait-on encore aujourd’hui à D
Qu’est-ce que la vieillesse, quand l’âme se voit à l’aurore d’un jour
éternel
? Tel est en substance ce traité de la Vieillesse
d. Vous aurez inséré une pierre de prix dans les assises de l’édifice
éternel
de la vérité. Parmi ceux qui s’adonnent aux autre
juste. Hésitation qui implique un culte mille fois plus délicat de l’
éternel
idéal que les téméraires solutions qui satisfont
nous ne nous attachons qu’à deux choses qui, nous l’espérons, seront
éternelles
en France : l’esprit et le génie. Nous respectons
morales. Si je vois la vertu songer trop à ses placements sur une vie
éternelle
, je suis tenté de lui insinuer discrètement la po
et de l’humanité. Mais sa haute vie l’a mis en rapport avec l’esprit
éternel
qui agit et se continue à travers les siècles ; i
-même, la vertu, dont il fit la règle de sa conduite, sont des choses
éternelles
. Nous entendrons toujours ces sages paroles qui s
de devenir ainsi, par la pensée et par le cœur, membre de la société
éternelle
, et de trouver en cette association profonde, mal
âtre historique, idéaliste, idéologique, vivant conflit de sentiments
éternels
, différent néanmoins du théâtre classique. M. Gab
ble, parce qu’il paraît trop plein de pensées ou de paroles neuves et
éternelles
aux frivolités de notre public. Nous ne partageon
composition d’Albert Durer et le rire énorme de Rabelais. Satire des
éternels
retours de l’appétit populaire, satire des vices,
M. Henry Bataille. Il débuta par Ton Sang qui qui posait un problème
éternel
et moderne et la Lépreuse, évocation de légende e
ssayait le drame moderne le plus simple et le plus émouvant, parce qu’
éternel
, la révolte du sang et l’orgueil du sacrifice. On
ges, les roses, toutes banales vérités qui ont cependant la sublimité
éternelle
de Dieu et qui sont les prototypes primitifs des
is il ne faudrait le regretter que si l’œuvre était moins belle : les
éternels
chefs-d’œuvre sont au-dessus de la critique ; ils
’ils la regardent. La Souffrance des eaux est un de ces chefs-d’œuvre
éternels
devant lesquels on reste ébloui, presque aveuglé…
acés ; là tout s’éteint sous des marbres insensibles ; là des flammes
éternelles
, ou des récompenses sans fin, attendent sa chute
la vierge sans tache qui oublie le monde, et que le monde oublie ! L’
éternelle
joie de son âme est de sentir que toutes ses priè
au son des harpes célestes, et s’évanouit dans les visions d’un jour
éternel
. Nous sommes encore à comprendre comment un poèt
la plus féline. La bourde tudesque empâterait Arlequin lui-même d’une
éternelle
épaisseur. Pour M. Ferrari, le mal a commencé déj
a contradiction d’Hegel, que cette dualité qui n’est qu’une évolution
éternelle
, sans point de départ et sans but. M. Ferrari va
à double entente qui répondent au sourire de Démocrite et aux pleurs
éternels
d’Héraclite sur cette scène du monde livrée aux d
u’un mensonge. En effet, si la fatalité est la reine du monde, la loi
éternelle
, pourquoi le philosophe est-il triste lorsqu’il p
se. Il n’a oublié ni une action ni une réaction de ces temps de crise
éternelle
. C’est d’abord l’histoire des tyrans, dans les ré
re affirmé, doit, s’il est conséquent, s’ensevelir dans le néant d’un
éternel
silence, et auquel il n’y a pas à faire même le m
me. Il déclare, à toute page, que le monde est la proie d’une dualité
éternelle
. Selon lui, l’univers se partage et se partagera
e plus. Tout pour lui s’y passe et y revient dans d’intraitables et d’
éternelles
combinaisons. Il y groupe les époques comme il gr
à sa fantaisie, quitte à prendre, dans une suprême duperie, pour une
éternelle
vérité, cette forte fantaisie qu’il a imprimée su
de la substance spirituelle, ils sont indivisibles, et par conséquent
éternels
; car la corruption n’est autre chose que la divi
vendi juris ; en effet le temps ne peut commencer ni finir ce qui est
éternel
. Dans les usucapions, dans les prescriptions, le
orollaires de la plus haute importance. Premièrement les droits étant
éternels
dans l’intelligence, autrement dit dans leur idéa
d’après les circonstances les plus particulières des faits ; formule
éternelle
qui n’est sujette à aucune forme particulière, ma
Toi, poème (1894). OPINION. Edmond Haraucourt C’est l’
éternel
refrain d’amour, mais qui, dans sa forme, apparaî
, de cette synthèse qui sont devenues le besoin moderne… Toi, c’est l’
éternelle
fiancée, celle qui meurt avec chacun de nos baise
nce trouve à la fois son « éclipse » et sa « preuve » dans le mystère
éternel
, qu’elle ne peut pénétrer et que cependant elle c
uoi est occupé ce tumulte ? Le flux et le reflux de ces questions est
éternel
comme la marée. » Gilliatt, lui, savait ce qu’il
’air chasse au vent de son aile . Nous sommes les flocons de la neige
éternelle
Dans l’éternelle obscurité. Ainsi, de tout
son aile . Nous sommes les flocons de la neige éternelle Dans l’
éternelle
obscurité. Ainsi, de toutes parts, la nuit nous
e la Foi. Enfin, comme Aristote, Hugo identifie la beauté, l’harmonie
éternelle
des choses, avec une volonté élémentaire du bien
la possède, et rien ne pourrait la saisir ; Elle s’offre immobile à l’
éternel
désir, Et toujours se refuse et sans cesse se don
te148. La nature s’engage envers la destinée ; L’aube est une parole
éternelle
donnée. ………………………………………………………… Marche au vrai. Le
t s’explique ou paraît explicable, tout reflète l’infinie vérité : L’
éternel
est écrit dans ce qui dure peu ; Toute l’immensit
grand151. L’homme, parfois, voudrait faire intervenir directement l’
éternelle
justice au milieu de nos injustices ; il oublie q
buisson, la ronce où croit la mûre, Et qu’il n’aurait rien mis dans l’
éternel
murmure ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
fin d’en être ! Si tu veux l’infini, c’est pour y reparaître. L’homme
éternel
, voilà ce que l’homme comprend. Dieu n’est pas ;
les cultes ne sont, à Memphis comme à Rome, Que des réductions de l’
éternel
sur l’homme 173. Et pourtant il faut une croyanc
es fois qu’elle est sublime. ………………………………………… S’il s’agit du principe
éternel
, simple, immense, Qui pense puisqu’il est, qui de
, Pourquoi, sous l’immense suaire De l’infini, Enfouir vos lois
éternelles
Et vos clartés ? Vous savez bien que j’ai de
lière de sentir, et qui se trouve prêter ainsi aux lieux communs, à l’
éternelle
vie, la fraîcheur et la nouveauté de ce qui passe
». 159. Cf. Spinoza : Nous sentons, nous éprouvons que nous sommes
éternels
. 160. Les Travailleurs de la mer. 161. Les Mis
ontient les beaux vers suivants, qui en marquent le vrai sens : Et l’
éternelle
harmonie, Pèse comme une ironie Surtout ce tumult
Beauclair, Henri (1860-1919) [Bibliographie] L’
Éternelle
Chanson (1884). — Les Horizontales (1884). — Pent
réface (1885).] Rodolphe Darzens Il débuta par une plaquette, l’
Éternelle
chanson (1884), qui contient des triolets d’une j
vis aux Cieux, je vois les légions aîlées qui entourent le trône de l’
Eternel
; il parle, tout s’ébranle ; les milices du Dieu
combat terrible ; mais quel moment formidable ; le char du fils de l’
Eternel
franchit les plaines de l’immensité ; les carreau
ommandoit à son ame de franchir ces murs épais, elle méditoit l’ordre
éternel
de l’Univers, le mélange inévitable de bien &
tendris par vos leçons, ils ne deviendroient sensibles qu’aux charmes
éternels
du beau. Est-il rien deplus délicieux que de pouv
utes prêtes pour chaque espece de mérite. Doit-on être l’objet de vos
éternelles
vengeance pour oser courir la même carrière ou vo
de la perfection comique. Avant la création du monde, Dieu, principe
éternel
des choses, s’ignorait lui-même au sein de la mat
Seuls, ces sentiments sont pathétiques, et seuls, ils sont les motifs
éternels
de la tragédie177. Oreste et Hamlet, Antigone et
ux sont unis dans l’Olympe, où Hébé leur verse, avec l’ambroisie et l’
éternelle
jeunesse, l’éternelle sérénité. Le cœur de l’homm
ympe, où Hébé leur verse, avec l’ambroisie et l’éternelle jeunesse, l’
éternelle
sérénité. Le cœur de l’homme peut être aussi le l
ls tombèrent dans le scepticisme, et les idées, qui sont le fondement
éternel
de la Famille et de la Société, furent analysées,
is tombé, il ne peut pas tomber en contradiction avec cette Substance
éternelle
, manifestée par lui d’une manière plus pure et pl
es débris de tout ce qui s’enfle pour singer ou parodier sa puissance
éternelle
. Ainsi, tandis qu’un État organisé selon son type
désespoir sérieux après la défaite. Sottement révolté contre l’ordre
éternel
des choses, il est nécessaire qu’il soit vaincu ;
ur le carreau, ce n’est pas eux, et ce ne sont pas non plus les idées
éternelles
de la morale, de la religion, de l’art et de la p
ent avec le but qu’ils poursuivent, du néant de leur absurdité avec l’
éternelle
vertu de la morale, ne pourrait jamais suffire qu
19. 177. Les grands motifs de l’art dramatique sont les principes
éternels
de la religion et de la morale, la Famille, la Pa
l’harmonie que la tragédie maintient en laissant entrevoir la justice
éternelle
qui, dans sa domination absolue, brise la justice
ispenser de lire notre développement : Dans la tragédie, le principe
éternel
et substantiel des choses apparaît victorieux dan
os mères qui tomba sur tous nos berceaux ; et voilà que, lassé et des
éternels
marbres de Paros et de toutes les rondeurs païenn
corde chrétienne qui est la fibre universelle maintenant et désormais
éternelle
, n’est pas encore le poète qui tire une note à lu
le poète, — l’originalité, la vitalité, l’éternité du poète (s’il est
éternel
!). Or, pour juger cette inspiration, ne faut-il
de sur lequel le poète opère, existait et avait son prix (et son prix
éternel
) avant d’être pétri par la main du poète, avant d
res ; Je suis le grand aïeul qui n’a pas eu d’ancêtres, Dans mon rêve
éternel
flottent sans fin les deux ; Je vois naître en mo
us de lui : il n’y a donc que le Tout qui puisse avoir plaisir à être
éternel
. Mais nous, les accidents, félicitons-nous d’être
s-moi donc, sois donc bien mon tombeau ; Et, si je participe à ta vie
éternelle
, Que ce soit sans penser, tel que la goutte d’eau
nt perdus : la religion les reçoit dans son urne, et les présente à l’
Éternel
. Les pas du vrai croyant ne sont jamais solitaire
étonnant d’oser trouver des conformités entre nos jours mortels et l’
éternelle
existence du Maître du monde ! Nous ne parlerons
emblera dans un cimetière où il aura gravé que la mort est un sommeil
éternel
; et, en affectant de mépriser la puissance divin
à lui, dès cette vie, il veut réaliser son rêve : il fera du passé un
éternel
présent par la force du souvenir, et il se déclar
livre à deux amours cette immense poussière, Et le repos y naît d’un
éternel
conflit. Phérécyde a crié : « Je ne suis pas une
u’il soit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les types
éternels
des formes éphémères, Qu’avait dans l’absolu vus
dieu ! L’éternité du sage est dans les lois qu’il trouve. Le délice
éternel
que le poète éprouve. C’est un soir de durée au c
tour, la première chante le passé, car elle est la vieille Urda, « l’
éternel
souvenir », la seconde chante le présent solennel
isième Norne, dont le regard perce l’avenir, répond : Hélas ! rien d’
éternel
ne fleurit sous les cieux, Il n’est rien d’immuab
tra à son tour, et le ciel entier, avec ses étoiles, s’abîmera dans l’
éternelle
nuit. Voilà ce que j’ai vu par-delà les années,
penser : Je suis ! pour que la fange vive, Ai-je troublé la paix de l’
éternel
sommeil ? Ai-je dit à l’argile inerte : Souffre
flet perdu des espaces meilleurs ! C’est ton rapide éclair, Espérance
éternelle
, Qui l’éveille en sa tombe et le convie ailleurs.
ois goutte. Tout est pour le mieux. A mes désirs de poète J’ai dit d’
éternels
adieux. J’ai du ventre et je suis bête Tout est p
il est sincère et il nous appelle au spectacle de sa victoire sur cet
éternel
absent ; mais comment peut-il être sincère lorsqu
te large des forts, à la volée, le bon grain d’où naîtront des fleurs
éternelles
comme les pierreries. Et, d’avoir lu ces pages de
Vie ; puis la Vie elle-même renaît de la Mort, et c’est le spectacle
éternel
de Faust à Axël ! Œuvre touffue, ardente, éloquen
erçoit qu’il s’agit au fond de choses très simples dans le décor de l’
éternelle
poésie. L’homme s’appelle Magnus ; la femme, iden
ées de tous les poètes, ont-elles appelé Alfred de Vigny le printemps
éternel
en voyant ses cheveux si longtemps d’un blond inv
hristianisme dans lequel elle a été si longtemps plongée : Notre mot
éternel
est-il : C’était écrit ? se dit le poète, et il
andiose encore que celui des vers que je viens de citer : Ce Sisyphe
éternel
est beau, seul, tout meurtri, Brûlé, précipité, s
n à l’absence Et ne répondra plus que par un froid silence Au silence
éternel
de la Divinité. IV Telle donc est l’inspir
des fiefs, par les guerres sacrées des croisades, et par les combats
éternels
du sacerdoce et de l’empire. Il y eut pourtant, à
seule éloquence qui régna d’un bout de l’Europe à l’autre. Le besoin
éternel
que l’on a de flatter et d’être flatté, fit bient
qualité de reine pût autoriser un assassinat : mais elle fut l’objet
éternel
des hommages des savants et des gens de lettres.
t riche que de ce qu’il invente. On connaît d’ailleurs la malédiction
éternelle
dont est frappé l’esprit d’imitation ; et cet esp
enant la portée que prend, dans l’Art poétique, après la Satire II, l’
éternel
débat de la rime et de la raison. Sacrifier la ra
ont exprimé ce qu’il y a dans la nature d’immuable, d’universel et d’
éternel
. Et voilà ce que nous devons nous proposer aussi
t avisé parfois de croire que Boileau enfermait la littérature dans l’
éternelle
redite des mêmes lieux communs ; et c’est bien ai
rueux ». La poésie en effet, depuis l’origine, peint l’homme, le type
éternel
de l’homme : qui n’en veut plus, et veut du nouve
des mêmes choses que nous : c’est celui qui a crié plus hautement les
éternels
lieux communs dont la pensée obscure opprime notr
ne sont que des symboles, où tout le monde aperçoit immédiatement les
éternelles
vérités de l’ordre moral. Par ce détour, Boileau
me des exemplaires également authentiques, inaltérés et complets de l’
éternelle
vérité et de la raison universelle. Et naturellem
cœur de leur face immortellement immobile). Il est vrai (très) que l’
éternel
est recelé en chaque particulier, que chaque part
ternel est recelé en chaque particulier, que chaque particulier est l’
éternel
avec quelque épiderme de masque, et que j’aime mi
lque épiderme de masque, et que j’aime mieux l’artiste qui, au lieu d’
éternel
abstrait offert, se contente d’accentuer — si peu
lieu d’éternel abstrait offert, se contente d’accentuer — si peu — l’
éternel
âme versé : du ciel et de la mémoire ; dans ces t
blables, jusqu’à la peine d’atteindre la réalité de Rêve. » Des deux
éternels
qui ne peuvent être l’un sans l’autre, Filiger n’
Eiffel, « qu’on retrouvera toujours, impérissable », indestructible,
éternelle
comme la Science qui l’a édifiée ». Il croit tout
i sait lire y voit le sens caché exprès pour lui, reconnaît le fleuve
éternel
et invisible et l’appelle Anna Peranna. La toile
Avare, l’Hésitant, l’Avide entassant les crimes… Et si le caractère
éternel
du personnage est inclus au masque, il y a un moy
présenté ; fait, comme l’a dit excellemment M. Catulle Mendès, « de l’
éternelle
imbécillité humaine, de l’éternelle luxure, de l’
lemment M. Catulle Mendès, « de l’éternelle imbécillité humaine, de l’
éternelle
luxure, de l’éternelle goinfrerie, de la bassesse
ès, « de l’éternelle imbécillité humaine, de l’éternelle luxure, de l’
éternelle
goinfrerie, de la bassesse de l’instinct érigée e
us tard au poète, l’un l’asile de ses derniers beaux jours, l’autre l’
éternel
asile de son tombeau. Le Tasse, à son réveil, all
hée par la torture, n’aurait-elle pas été au contraire la flétrissure
éternelle
d’Alphonse, devenu le bourreau de son poète ? Les
ligent ces élus de l’avenir : les infortunes des grands hommes sont l’
éternelle
accusation des nations ou des souverains. V
re le cardinal d’Este au cardinal Albano. Vous pouvez être sûr de son
éternelle
félicité dans le séjour de la bonté et de la piét
ribue au duc de Ferrare, d’avoir voulu faire mourir le Tasse dans une
éternelle
captivité, de peur que ce grand homme ne portât s
t que traverser cette ville ; il se rendit à Naples pour y suivre son
éternel
procès. Le pape Aldobrandini, qui, sous le nom de
anso, de plus en plus détachée du monde, et absorbée dans les pensées
éternelles
, voyait trop le néant de toutes choses pour croir
ueillirent en homme dont la vie ou la mort devait également porter un
éternel
honneur à leur maison. Ils le logèrent dans une c
ns au ciel pour remercier Dieu, et ne s’entretint plus que des choses
éternelles
. La foi était si jeune et si vive en ce siècle à
me il aurait reçu de son Créateur lui-même son assurance de béatitude
éternelle
. « Voilà », s’écria-t-il en joignant les mains, «
effet, n’avait préparé aux poètes futurs une plus saisissante et plus
éternelle
image de la déception des pensées humaines, que d
es yeux éteints sous les lourdes paupières, les lèvres scellées par l’
éternel
silence, et le front chauve couronné d’un funèbre
ubstance même de l’Œuvre « une et composée » du poète, s’opposait aux
éternels
et amoindris recommencements Romantiques et Parna
ues de l’Orient, le poète trouve les formes des vérités naturelles et
éternelles
, qu’il accorde avec les données de notre science
têtes ainsi que de la tornade stellaire dont éternellement devient l’
éternelle
Fluence : voilà que, sans savoir que les apports
uvement. Hors que, se transportant en rapport du Cercle virtuellement
éternel
et illimité, à la suprême équivalence de l’ellipt
t de l’amorphe état de ne se pas savoir ne pouvant se toute extraire,
éternelle
et illimitée se transmue au Plus et au Mieux, ver
transmue la Matière en mouvement de meilleur devenir… Dans un laps d’
éternel
: quand, suite de sa suite, luèrent en point d’il
Tout nous a paru devenir selon un Rythme elliptique. La Matière étant
éternelle
et illimitée est virtuellement représentée par le
qui, de la Matière sensitive et sentimentale ou seulement agitée de l’
éternelle
propension d’inorganiques Forces, l’interprète, i
la Nature, les rend vivantes comme l’homme et chante passionnément l’
éternelle
vigueur de l’existence universelle. [Cité dans l’
la Nature, les rend vivantes comme l’homme et chante passionnément l’
éternelle
vigueur de l’existence universelle. [Anthologie d
as une vertu intrinsèque, une espèce de force divine, quelque chose d’
éternel
comme un principe ? (Je parle en platonicien) ».
on la plus personnelle n’est pas si neuve ; au moins a-t-elle un fond
éternel
; notre cœur même a déjà servi à la nature, comme
e plus universellement sympathique est celui qui vit de la vie une et
éternelle
des êtres, celui qui s’appuie, sur le vieux fond
de la société humaine sont de deux sortes : il y en a quelques-unes d’
éternelles
, qu’on trouve réalisées même dans les sociétés le
le de la vie. Mais ce centre où l’individu se confond avec l’humanité
éternelle
n’est qu’un point de la vie mentale ; il ne peut
ui garde en face du monde une certaine nouveauté de cœur et comme une
éternelle
fraîcheur de sensation. Par sa puissance à briser
illes momies égyptiennes, dormaient d’un sommeil qu’on pouvait croire
éternel
, sous leurs tristes pyramides de cartons incommun
ouvernement de drôlesses. Ce formidable duc, aux mœurs sévères et aux
éternelles
écritures, qui avait passé toute sa vie à écrire,
xtrême où je suis… de vous vouer une reconnaissance et un attachement
éternels
, — ne pouvant cesser de vous rapporter la grandeu
ent à ces deux pièces de procédure, à ces deux Mémoires d’occasion, l’
éternelle
solidité de l’Histoire. Il faudra désormais compt
chose est légitime ou elle ne l’est pas. On ne touche pas aux choses
éternelles
! Or, oser et vouloir légitimer des bâtards, c’ét
qui menaient le monde et de l’hérédité qui les rendait inamovibles et
éternelles
, encore une fois, c’était la fin ! La Révolution
Chapitre v Les israélites Une grande affaire d’Israël dans son
éternelle
pérégrination, c’est de se choisir une patrie. Il
frisson, et mon esprit se complaît à la pensée de dormir mon sommeil
éternel
à l’ombre du symbole de Sion ». Le 18 août 1916,
, et nous leur enfoncerons nos baïonnettes dans le ventre au cri de l’
Éternel
». Le cri est superbe et emmène notre imaginatio
s terre, sont d’un grand lyrique. Écoutez avec piété ce fragment de l’
éternelle
poésie : Splendeur du jour naissant, aucun hymn
eur fils ; elle portait l’inscription traditionnelle ; « Tu aimeras l’
Éternel
. » Sur le papier qu’il avait préparé avant son dé
i, et de vous réunir à lui, quand le temps sera venu pour une réunion
éternelle
et heureuse… Puisse cette parole d’un ministre de
C’est notre Credo pris à rebours et fondé sur la pluralité des mondes
éternels
, sans royaume des cieux et sans enfer ! Telle, en
e de l’homme, où le récit de la Genèse est culbuté par l’hypothèse, l’
éternelle
hypothèse du développement progressif de la vie e
nos dogmes sans exception, sous l’idée chimérique des transformations
éternelles
et successives de l’humanité et sous un panthéism
d on a lu cet immense volume d’hypothèses sur la pluralité des mondes
éternels
, savez-vous à quoi l’on retourne pour se délasser
l ils sont condamnés, pour toute gloire et pour tout génie, à faire d’
éternelles
variations ! Malheureusement ce sont ces variatio
raison qui juge les œuvres, ou, du moins, s’inquiète de leur vraie et
éternelle
beauté, a remplacé, dans nos esprits, les entraîn
ner même en dehors de ce monde, comme le Dante, et de cette promenade
éternelle
, le but est de nous dérouler toute l’histoire, lé
oète de Merlin l’Enchanteur reste toujours l’esclave de la répétition
éternelle
, la victime de cette mémoire, qui est son vautour
fisant qu’il soit, on ne peut lui interdire, en présence des pures et
éternelles
conditions de la gloire, cette contemplation qui
saurait qu’il passe les nuits et les jours à étudier dans les choses
éternelles
le texte des codes divins. Rien ne le troublerait
son organisation propre et des pensées qui lui viennent de la vérité
éternelle
, doit contenir la somme des idées de son temps. Q
e et de chaux, mais de chair et de sang Et de vie
éternelle
!… ……………………………………………………… Pan m’a dit : « Sois la
nnu que font les pluies nouvelles, Nous avons fait monter de la terre
éternelle
, Le blé divin, le pain dont vit l’humanité… (La G
ois les lys dans les ombres brillantes Et la pâle clarté des glaciers
éternels
. M. Henri Muchart. — Dans la Revue Périgourdine
re en marchant Le bas du ciel rougi par le soleil couchant. Dans « l’
éternel
duel qui se livre en lui, entre les ardeurs d’une
ng a voilé mes yeux, et rien ne luit Dans ces antres de pourpre, où l’
éternelle
nuit Du Sort à jamais se prolonge. Antig
ec orgueil ; mais souvent aussi il raille, il sourit, il conseille. L’
éternel
bon sens de sa race l’empêche de se croire la dup
tés instables, elle lui a montré l’ombre prochaine et lui a murmuré l’
éternel
« carpe diem ! » C’est la poésie de l’amour et de
e-moi dans tes prunelles Et fais danser mon souvenir Entre les ombres
éternelles
. Va et dis à ces morts pensifs À qui mes jeux au
idèle, inguérissable du mal de ne pouvoir se taire, a retrouvé l’amie
éternelle
: Toute seule devant ton flot pendant des heures
, et je cherchais à me fuir moi-même dans la contemplation de l’œuvre
éternelle
: je cherchais l’impossible ! Lorsque j’étais par
c’était ainsi que je l’éprouvais alors. » René ! Manfred ! Oberman !
éternelles
variations sur des airs connus ! On se dit en lis
commune destinée ; tant il est vrai que la nature même, ce poëme de l’
Éternel
, n’a qu’un chant de désolation pour l’âme qui s’e
n bruit des vivants ; Sur quelque Sinaï, sur un Horeb en flamme, Où l’
Éternel
descend, pour se montrer à l’âme, Vêtu de la foud
ne doit plus sortir, Il fut pris dans son cœur d’un amer repentir ; L’
éternelle
patrie, à ses yeux pleins de larmes, Apparaissait
ainsi des hommes de génie : c’est le même Dieu, c’est le Dieu unique,
éternel
, qui parle par leur voix sur des modes divers. Il
exactement le même : c’est l’amour infini, absolu, tout-puissant de l’
éternel
Dieu, attirant à soi, du sein des réalités périss
r objet de ramener par la certitude des récompenses et des châtiments
éternels
, par une salutaire frayeur et par une espérance v
s d’ici-bas, l’amour contemplatif, mystique et visionnaire des choses
éternelles
. Les dissensions civiles ne faisaient pas de trêv
oniques, vous m’avez infligé le nom. C’était l’adoration de la beauté
éternelle
, dans sa plus exquise représentation ici-bas, la
isme christianisé à qui l’on a donné le nom de mysticisme, et le Père
éternel
que l’on se figurait vieux, et le Saint-Esprit qu
Allighieri, et selon l’opinion la plus répandue de son temps, l’ordre
éternel
et parfait. Selon ces opinions, le règne d’August
ngeance, la joie, l’amour, toutes les passions de la vie réelle, et l’
éternelle
jeunesse d’un cœur héroïque. Songez donc, Viviane
que Pierre d’Abano tirait de leurs destinées futures, et cet Évangile
Éternel
qui annonçait une troisième révélation supérieure
pparaîtra ; et, à sa suite, Dante montera jusqu’au pied du trône de l’
Éternel
. En entendant le nom de Béatrice, Dante, qui s’ét
ni Paul », qu’une faveur extraordinaire lui permît la vue des choses
éternelles
, s’incline. Et le cœur enhardi, il entre avec Vir
Salvatio Romæ. Il plante des jardins enchantés où règne un printemps
éternel
. Il s’en va vers Babylone où il épouse la fille d
le plus grand des païens ne saurait être admis, au pied du trône de l’
Éternel
. Et, ce qui semble bien étrange, dès que Béatrice
ente, Par moi l’on va dans la cité dolente, Par moi l’on va dans l’
éternelle
douleur, Par moi l’on va chez la race perdue. La
le premier amour. Avant moi il n’y eut point de choses créées, Sinon
éternelles
; et éternellement je dure : Laissez toute espéra
ieds. La passion terrible, le meurtre, la colère divine, le châtiment
éternel
, tout est là, dans ce livre qui tombe à terre, et
âme, c’était une manière poétique de tourner le dogme de la damnation
éternelle
, inacceptable pour tous les grands cœurs. MARCEL.
ible. La grande raison de Bossuet n’hésite pas à punir des châtiments
éternels
un Socrate, un Scipion, un Marc-Aurèle. Le grand
tion. J’ai dit que, aujourd’hui, personne ne croyait plus aux flammes
éternelles
. DIOTIME. Rappelez-vous donc, c’est d’hier, le co
qui se produit partout à cette heure contre le dogme de la damnation
éternelle
? L’Église reste en cela invariable, Marcel. Le c
libre et parfaite des esprits et des destinées aux lois de la sagesse
éternelle
, Io che era al divino dall’ umano. Ed all’ etern
e. Eh bien, Viviane, cette union parfaite de toutes choses, cet ordre
éternel
au sein de Dieu, Dante les symbolise sous l’image
tant son âme en était remplie, dans cet affreux séjour des vengeances
éternelles
. J’aurais voulu insister sur l’art accompli avec
idéal, selon que le génie de Dante l’a conçu, a pour principe l’amour
éternel
, considéré comme le premier moteur et la fin supr
t à tous les autres et n’a au-dessus de lui que l’empyrée, siège de l’
Éternel
. ÉLIE. Cet empyrée figure dans la cosmogonie pyth
e l’amour platonique ; il rend sensible la puissance abstraite de cet
Éternel
féminin que chante le chœur mystique, à la fin du
l’avènement du troisième Testament, le règne de l’Esprit, l’Évangile
éternel
. Ils oseront dire que Jésus-Christ n’a pas été pa
aire ou révéler à son retour ici-bas la vision qu’il a eue des choses
éternelles
. Dante craint, s’il redit ce qu’il a appris « dan
e triomphal d’âmes bienheureuses. Tout ce chant n’est qu’un hymne à l’
éternelle
beauté. Arrivé presque au terme de sa longue carr
re, Béatrice répond par un sourire ; puis elle relève les yeux vers l’
éternel
foyer de tout amour. Alors saint Bernard explique
tombe ; le saint proclame les noms des grands patriciens de l’empire
éternel
, I gran patrici Di questo imperio giustissimo e
, sa volonté, attirés invinciblement dans l’immense orbite de l’amour
éternel
« qui meut le soleil et les étoiles. » Ma già vo
ivine dont l’humanité est à la fois le sujet, l’acteur principal et l’
éternel
auditoire. Telle est la fin de cette œuvre unique
porte toute science, toute sagesse, toute vertu, toute béatitude, cet
Éternel
féminin que lui révèle Béatrice et qu’il chante c
ajestueux cortège, et qui s’y étaient entretenues avec lui des choses
éternelles
. Qui pourrait dire ce qu’eussent été pour le chan
éométrique de Spinosa, il chante, dans son second Faust, à la sagesse
éternelle
, l’hymne de l’éternel amour. ÉLIE. Votre explicat
l chante, dans son second Faust, à la sagesse éternelle, l’hymne de l’
éternel
amour. ÉLIE. Votre explication est très-belle, ma
erai, ô monstre, réprouvé, noir malfaiteur ! Sauve-moi ! je souffre l’
éternel
tourment de la mort vengeresse ! Autrefois j’ai p
le, il en appelle de la lettre des Écritures à l’esprit de l’Évangile
éternel
. Dédaigneux des Genèses, des miracles puérils et
qu’à nier la vertu pratiquée en vue des récompenses ou des châtiments
éternels
. On la voudra supérieure à toute sanction, et tro
e certitude, quelle qu’elle soit (fût-ce la certitude de la damnation
éternelle
), sans pouvoir lui en substituer aussitôt une aut
e où prendre pied dans l’insaisissable abstraction de la métamorphose
éternelle
. Sollicité de tous côtés à la fois, en plein rati
point de démonstration, autrement qu’insuffisante. Sur ces problèmes
éternels
, avait-il coutume de dire, les philosophes ne nou
les que Voltaire, Machiavel ou Spinosa n’eussent aucun rapport avec l’
éternel
foyer de toute lumière. Gœthe était disciple de S
l’Évangile, mon cher Marcel ; à ce Christ en qui, selon Spinosa, « l’
éternelle
sagesse de Dieu s’est manifestée plus qu’en aucun
able loi du talion imposée par la barbarie des temps à la miséricorde
éternelle
et infinie. VIVIANE. Mettriez-vous au-dessus de l
quant au salut de Faust, mais encore quant au châtiment du démon, le
Père Éternel
voulant la confusion de Méphistophélès, non sa ré
négligé, tout dédaigné pour se vouer sans réserve à l’étude des lois
éternelles
, à la pénétration des causes. S’il a vieilli prém
ces du soleil couchant ; son inquiétude renaît, sa soif de la lumière
éternelle
. Il voudrait suivre les rayons de l’astre qui va
, Charles Martel, à le revoir au ciel de Vénus, c’est la protestation
éternelle
du cœur humain qui repousse l’indifférence dogmat
ille ; l’amour qu’elle lui inspire, il le sent « inexprimable, divin,
éternel
. » La fin d’un tel amour, s’écrie-t-il exalté, ce
a paupière l’avertit que l’œil mortel n’est pas fait pour les clartés
éternelles
. Il détourne sa vue et la ramène vers la terre, o
acles, décrit le centre, le foyer de l’univers, le Champ de la Vérité
éternelle
, où résident les causes, les types, les formes pr
ent-elles pas, dans la pensée de Gœthe, exactement le même sens que l’
Eternel
féminin par qui Faust, à la fin du poëme, s’élève
s vagues en lueurs phosphorescentes, célèbrent symboliquement l’union
éternelle
de l’amour et de la beauté. Le chœur chante le rè
feu ; Et plus loin, par-delà le bouillonnement, J’aperçois, dans son
éternelle
ardeur, la cité des flammes. On a dit qu’en fais
régions suprêmes, où l’on aime, où l’on connaît davantage la sagesse
éternelle
. Al cerchio che più ama, r che più sape. Ils en
’impénétrable Ici s’accomplit : L’indescriptible Ici se manifeste ; L’
Éternel
féminin Nous attire en haut. Alles vergængliche
ressé l’esprit humain au mystère de sa propre destinée, temporelle et
éternelle
. Ils se sont faits apôtres et confesseurs d’une f
on. — 5-15. Fondements du vrai. Méditer le monde social dans son idée
éternelle
. — 16-22. Fondements du certain. Apercevoir le mo
une démonstration historique de la Providence ; elle trace le cercle
éternel
d’une histoire idéale dans lequel tourne l’histoi
hoses de la vie, point de question trop pressante adressée aux doutes
éternels
de l’âme, point de retour douloureux et prolongé
rre, au fracas des flots ; L’homme en vain ferme sa paupière, L’hymne
éternel
de la prière Trouvera partout des échos ! Ne cra
ndre ; Le souffle d’un enfant là-haut peut-il éteindre L’astre dont l’
Éternel
a mesuré les pas ? Elle était avant nous, elle su
jours : ils seront réduits à l’état d’un manteau usé , que la parole
éternelle
sera encore la parole éternelle. Le sacrifice de
état d’un manteau usé , que la parole éternelle sera encore la parole
éternelle
. Le sacrifice de l’amour ne peut être ni un symbo
qui venait les épouvanter et leur annoncer, les oracles de la justice
éternelle
, une puissance qui venait leur dire : Ce sceptre
e poète. « Glorifiez Jéhovah, car il est bon ; car sa miséricorde est
éternelle
! Le chœur. « Glorifiez le Dieu des dieux, car il
Glorifiez le Dieu des dieux, car il est bon ; car sa miséricorde est
éternelle
! Le poète. « À celui qui a été l’architecte inte
hitecte intelligent du firmament ! Le chœur. « Car sa miséricorde est
éternelle
! Le poète. « À celui qui a couché la terre sur
i a couché la terre sur les eaux ! Le chœur. « Car sa miséricorde est
éternelle
! Le poète. « À celui qui allume les grandes lamp
les grandes lampes du firmament ! Le chœur. « Car sa miséricorde est
éternelle
! Le poète. « À celui qui a fait le soleil pour l
ui a fait le soleil pour le jour ! Le chœur. « Car sa miséricorde est
éternelle
! Le poète. « À celui qui a fait la lune et les é
ne et les étoiles pour les nuits ! Le chœur. « Car sa miséricorde est
éternelle
! Le poète. « À celui qui a fendu en blocs la me
s la mer de joncs (la mer Rouge) ! Le chœur. « Car sa miséricorde est
éternelle
! » Et ainsi de suite pour toutes les phases de
et vous lui retirez ce qui est la vie même de l’Univers : l’amour, l’
éternel
amour. La nature matérielle, la science, la philo
t. Il ne se demande pas alors si un beau vers est une illusion dans l’
éternelle
illusion et si les images qu’il forme au moyen de
l forme au moyen des mots et de leurs sons rentrent dans le sein de l’
éternelle
Maïa avant même d’en être sortis. Il ne raisonne
elle révèle un effort héroïque pour projeter dans l’infini et dans l’
éternel
ce qui fut auparavant le tressaillement momentané
lle de Rome au pape pour le conjurer de rapatrier l’Église à la ville
éternelle
. Le poète reçut de Benoît XII, en récompense de c
la Péninsule : de Pétrarque à Alfieri ou à Monti, il n’y a qu’un écho
éternel
; les mêmes circonstances produisent le même cri
ment sa douleur en apprenant la nouvelle de cette longue et peut-être
éternelle
absence. Le cinquante-septième sonnet laisse entr
qu’il vit Laure avant ce départ fut pour lui comme un pressentiment d’
éternelle
séparation. « Elle était assise, dit-il, au mili
moment. De ce jour il ne songe plus qu’aux lettres, dont l’empire est
éternel
, et à l’amour qui ne meurt pas avec la beauté mor
le lui parle longuement de leur chaste amour sur la terre, et de leur
éternelle
réunion dans le monde des âmes. Ce songe était pr
amoureuse des sonnets de Pétrarque revêtit, pour ainsi dire, le deuil
éternel
de son âme : ses chants devinrent des cantiques,
il faut pleurer, moi dont les jours en mourant se changèrent en jours
éternels
, et dont les yeux, quand je parus les fermer à ce
dont les yeux, quand je parus les fermer à ce monde, s’ouvrirent à l’
éternelle
lumière ! » Plus loin, on le voit tenté, par la
prose ce Sursum corda d’un amant vers l’image et vers le séjour de l’
éternelle
beauté ; car, nous le répétons, Laure ne fut pour
ous montre l’effort de toute sa vie pour « s’élever de l’éphémère à l’
éternel
». Dans les prairies de Barnes et sur les bords d
iode accomplie. Réjouissez-vous si vous m’aimez, je suis entré dans l’
Éternel
. « J’ai secoué les credo de la terre, j’ai pris m
lle est, et je l’adore telle qu’elle doit être : je suis entré dans l’
Éternel
. « Je souffrirai peut-être encore, mais si dure p
plein de pitié pour leur contraste nécessaire : je suis entré dans l’
Éternel
. « Après ma mort, je ferai mon ascension dans les
sterai debout sur les sommets que j’ai conquis : je suis entré dans l’
Éternel
. « … Et maintenant là-haut, c’est l’empire de l’a
eposer sur les vagues de l’éther ou les fendre : je suis entré dans l’
Éternel
. » Dans la Montée, ce qui s’affirme c’est un sou
sera-ce surtout si les poètes, conscients aujourd’hui de l’Évolution
éternelle
, sentent que chaque âme individuelle est une form
es avons trop entendues. Les points de vue sont déplacés et la poésie
éternelle
a besoin de nouveaux modes d’expression. Il faut
mbinaisons de forces n’existant pour le philosophe que dans le rythme
éternel
de la Durée. Des expériences récentes comme celle
beauté de la forme n’est et ne reste belle que par ce souffle de vie
éternelle
qui relie ensemble, d’un mystérieux et indissolub
dire que Dieu est créateur, si on appelle Dieu la force permanente et
éternelle
qui organise durablement l’univers, qui maintient
ont fait entendre la grande voix de la Raison supérieure et de l’Âme
éternelle
, ont exercé une action féconde et utile sur leur
s ne voulons pas être écrasés ; les morts sont morts. Marchons vers l’
Éternel
Vivant. » Léon Vannoz. 1. À noter une très
nfortuné se décide à prier Dieu, et à se recommander à la miséricorde
éternelle
. Il se prosterne et élève un cœur et une voix hum
ui réjouissent les esprits célestes, ces larmes qui sont offertes à l’
Éternel
par le Rédempteur du genre humain, ces larmes qui
quand on la voit envelopper dans ses conséquences jusqu’au Fils de l’
Éternel
. Nonobstant ces beautés, qui appartiennent au fon
Non ; car il est possible de concevoir des pays plongés dans une nuit
éternelle
, étant donné un autre système du monde. Les lois
té absolue ? L’homme borné et passager aperçoit la vérité nécessaire,
éternelle
, infinie ; c’est là pour lui un assez beau privil
s raisons immuables des choses ; elles ne sont pas créées, elles sont
éternelles
et toujours les mêmes : elles sont contenues dans
elligence divine, et s’il n’y a rien dans l’intelligence divine que d’
éternel
et d’immuable, les raisons des choses que Platon
les raisons des choses que Platon appelle des Idées sont les vérités
éternelles
et immuables par la participation desquelles tout
ner et se surpasser infiniment lui-même. Ses idées sont universelles,
éternelles
et immuables… » — Chap. liv. « Outre l’idée de l’
t commune à tous les hommes, et supérieure à eux ; elle est parfaite,
éternelle
, immuable, toujours prête à se communiquer en tou
sujet, des qualités à l’être, des lois à un législateur, des vérités
éternelles
à un esprit éternel qui les comprend et les possè
l’être, des lois à un législateur, des vérités éternelles à un esprit
éternel
qui les comprend et les possède éternellement. Bo
ble, et par conséquent les idées qui me représentent ces vérités sont
éternelles
. Quand il n’y aurait dans la nature aucun triangl
entendement, il verra ces vérités comme manifestes ; elles sont donc
éternelles
. Bien plus, comme ce n’est pas l’entendement qui
bsisteraient immuablement… » Chap. xxxvii. « Comme il n’y a rien d’
éternel
, ni d’immuable, ni d’indépendant que dieu seul, i
e subsistent pas en elles-mêmes, mais en dieu seul, et dans ses idées
éternelles
qui ne sont autre chose que lui-même. « Il y en a
autre chose que lui-même. « Il y en a qui, pour vérifier ces vérités
éternelles
que nous avons proposées, et les autres de même n
les autres de même nature, se sont figuré, hors de Dieu, des essences
éternelles
: pure illusion, qui vient de n’entendre pas qu’a
des maisons bâties sur ce modèle intérieur ; et si l’architecte était
éternel
, l’idée et la raison de maison le seraient aussi.
on, en un mot toute vérité, se trouve dans son origine. « Ces vérités
éternelles
que nos idées représentent sont le vrai objet des
dèle immuable de ce grand ouvrage. Ce sont donc là ces idées simples,
éternelles
, immuables, ingénérables et incorruptibles, auxqu
n à les former dans notre esprit. Car si, sans avoir jamais vu rien d’
éternel
, nous avons une idée si claire de l’éternel, c’es
ns avoir jamais vu rien d’éternel, nous avons une idée si claire de l’
éternel
, c’est-à-dire d’être toujours le même ; si, sans
e soi-même 54. Chap. iv, § 5. L‘intelligence a pour objet les vérités
éternelles
qui ne sont autre chose que Dieu même, où elles s
« Nous avons déjà remarqué que l’entendement a pour objet des vérités
éternelles
. Les règles des proportions par lesquelles nous m
ègles des proportions par lesquelles nous mesurons toutes choses sont
éternelles
et invariables. Nous connaissons clairement que t
ez pour connaître que ces proportions se rapportent à des principes d’
éternelle
vérité. Tout ce qui se démontre en mathématique,
émontre en mathématique, et en quelque autre science que ce soit, est
éternel
et immuable, puisque l’effet de la démonstration
e qui nous touche de plus près, j’entends par ces principes de vérité
éternelle
, que, quand aucun homme et moi-même ne serions pa
este. « Si je cherche maintenant où et en quel sujet elles subsistent
éternelles
et immuables, comme elles sont, je suis obligé d’
est incompréhensible55, c’est en lui, dis-je, que je vois ces vérités
éternelles
; et les voir, c’est me tourner à celui qui est i
est immuablement toute vérité, et recevoir ses lumières. « Cet objet
éternel
, c’est Dieu éternellement subsistant, éternelleme
éternellement véritable, éternellement la vérité même… C’est dans cet
éternel
que ces vérités éternelles subsistent. C’est là a
éternellement la vérité même… C’est dans cet éternel que ces vérités
éternelles
subsistent. C’est là aussi que je les vois. Tous
je les vois. Tous les autres hommes les voient comme moi, ces vérités
éternelles
, et nous les voyons toujours les mêmes, et nous l
ements variables de leur nature, il leur donne pour règle ces vérités
éternelles
. « Ces vérités éternelles que tout entendement ap
ature, il leur donne pour règle ces vérités éternelles. « Ces vérités
éternelles
que tout entendement aperçoit toujours les mêmes,
parfaitement entendues, et il voit qu’il faut reconnaître une sagesse
éternelle
où toute loi, tout ordre, toute proportion ait sa
figures et des mouvements ? D’où lui viennent, en un mot, ces vérités
éternelles
que j’ai tant considérées ? Sont-ce les triangles
est la vérité originale, et que tout est vrai par rapport à son idée
éternelle
, que cherchant la vérité nous le cherchons, et qu
principis Eugenii. « L’intelligence de Dieu est la région des vérités
éternelles
et des idées qui en dépendent57. » Théodicée,
18458. « Il ne faut pas dire avec quelques scotistes que les vérités
éternelles
subsisteraient quand il n’y aurait point d’entend
c’est à mon avis l’entendement divin qui fait la réalité des vérités
éternelles
. » Nouveaux essais sur l’entendement humain, liv
ue deviendrait alors le fondement réel de cette certitude des vérités
éternelles
? Cela nous mène enfin au dernier fondement des v
d’exister, dont l’entendement, à dire vrai, est la région des vérités
éternelles
, comme saint Augustin la reconnu et l’exprime d’u
le appartient à une tout autre raison, à savoir cette raison suprême,
éternelle
, incréée, qui est Dieu même. La vérité en nous es
u est ; en tant qu’il est, il pense, et ses pensées sont les vérités,
éternelles
comme lui, qui se réfléchissent dans les lois de
’atteindre. La vérité est la fille, la parole, j’allais dire le verbe
éternel
de Dieu, si la philosophie peut emprunter ce divi
s et nécessaires qui nous environnent de toutes parts à leur principe
éternel
et nécessaire. Telle est la portée naturelle et l
elle est réellement, tant qu’elle ne l’a pas assise sur son fondement
éternel
; parvenue là, elle s’arrête comme devant sa born
n rapport avec Dieu. Tout ce qu’il y a de grand, de beau, d’infini, d’
éternel
, c’est l’amour seul qui nous le révèle. La raison
en une juste communication avec lui par l’intermédiaire de la vérité
éternelle
et infinie. L’erreur fondamentale du mysticisme e
és que la raison nous avait révélées nous ont elles-mêmes révélé leur
éternel
principe, Dieu. Enfin, ce spiritualisme raisonnab
a grâce ineffable de la nature visible et finie, il s’appelle aussi l’
éternel
, l’invisible, l’infini, l’immense, l’absolue unit
entrevue et qu’elle peint ainsi à Socrate dans le Banquet : « Beauté
éternelle
, non engendrée et non périssable, exempte de déca
qui peut donner du prix à cette vie, c’est le spectacle de la beauté
éternelle
… Quelle ne serait pas la destinée d’un mortel à q
loi, à son propre génie, il exprime partout dans ses œuvres la beauté
éternelle
. Enchaîné de toutes parts à la matière par d’infl
temps la religion du cœur ; elle excelle à transporter aux pieds de l’
éternelle
miséricorde l’âme tremblante sur les ailes du rep
t Paul montrent à saint Benoît le séjour où sa sœur va goûter la paix
éternelle
. Un léger rayon de soleil perce la nue. Saint Ben
les gravures : car Les Sept Sacrements ne sont plus en France. Honte
éternelle
du xviiie siècle ! Il a fallu du moins enlever a
les plus variés, sur la terre, sur les eaux, dans les cieux, dans son
éternel
foyer. Les scènes humaines jetées dans un coin n’
ses institutions. Les lois sont légitimes par leur rapport à ces lois
éternelles
. La plus sûre puissance des institutions réside d
utes ces choses. Ici l’égalité est contre la nature et contre l’ordre
éternel
; car la diversité et la différence est, tout aus
fanatiques de philosophie, se faisant forts de connaître les intérêts
éternels
de l’humanité, se sont portés à des actes abomina
volonté, puisque sa volonté est elle-même l’expression de la justice
éternelle
et absolue qui réside en lui. Dieu veut sans dout
uppose le sacrifice, c’est-à-dire la souffrance, il est de la justice
éternelle
que le sacrifice généreusement accepté et courage
r récompense le bonheur même qui a été sacrifié. De même, il est de l’
éternelle
justice que le crime soit puni par le malheur du
plus grand nombre ; on livre à la volonté mobile de la foule les lois
éternelles
de la justice et les droits inaliénables de la pe
mes sociales et les institutions qui réalisent le mieux ces principes
éternels
. Oui, ils sont éternels, parce qu’ils ne sont tir
itutions qui réalisent le mieux ces principes éternels. Oui, ils sont
éternels
, parce qu’ils ne sont tirés d’aucune hypothèse ar
fin que tous ses instincts proclament, serait un monstre dans l’ordre
éternel
: problème bien autrement difficile à résoudre qu
existence imparfaite il nous élève vers un autre monde, le monde de l’
éternel
, de l’infini, de l’absolu. Cette grande philosoph
us sommes nous-mêmes une personne, et à la raison un Dieu nécessaire,
éternel
, infini. En présence de deux systèmes opposés, l’
et qui pourtant se complaît dans le monde et dans l’homme, substance
éternelle
et cause inépuisable, impénétrable et partout sen
ravit à la terre pour nous transporter dans les régions sereines de l’
éternelle
beauté ; mais les côtés douloureux de la vie ou l
’homme, et son attitude annonce la grandeur divine qui le remplit. Un
éternel
printemps, tel que celui qui règne dans les champ
n pauvre coûte mille fois moins au cœur et pèse moins dans la justice
éternelle
qu’un seul désir étouffé ou combattu. » Voyez aus
esclavage, que la tyrannie n’en serait pas plus légitime ; la justice
éternelle
protesterait contre un contrat qui, fût-il appuyé
e universelle et y laissant paraître à peine une ombre de son essence
éternelle
, se communiquant sans cesse et demeurant incommun
stinctif de l’homme. Il cherche Dieu dans la nature comme le grand et
éternel
secret des mondes ; il croit, il adore, il prie.
es, les statues, les médailles, les vases étrusques nous répondent. L’
éternel
effort de nos arts modernes est de remonter à ces
à tout le progrès. Enfin est-ce en félicité publique ? Demandez à cet
éternel
gémissement qui sort du sein des masses. La même
prochain et inévitable ? Changer en fête et en joie cette procession
éternelle
vers la mort, c’est plus que se tromper ; c’est s
, limité ou illimité, fini ou indéfini, local ou universel, viager ou
éternel
de ses semblables, c’est donc le devoir, c’est do
us conduit, en nous trompant, au perfectionnement moral et au bonheur
éternel
. XV Nous le disions il y a quelques jours :
la vie. » Elle dit : « Ce Dieu, Être des êtres, est infini, parfait,
éternel
. Sa nature le prouve ; l’infini, l’éternité, la p
nouillant, et s’enivrant, à quatre mille ans de distance, de ce Verbe
éternel
et répercuté qui vit autant que l’âme, et qui d’u
penses qu’elle meurt avec le corps, soit que tu la croies, comme moi,
éternelle
, ne t’afflige pas : toutes les choses qui ont un
ce l’un après l’autre parmi les chefs-d’œuvre classiques qui seront l’
éternel
honneur du genre humain. Après Hernani, voici Ruy
Et l’espoir des aubes prochaines, Tu tomberas vaincu, sous le bras
éternel
Qui brise tout, même les chênes ; Nous s
éodore de Banville Ô Père des odes sans nombre. Ton œuvre murmure,
éternelle
, Comme une forêt pleine d’ombre ; Et dans ta pens
otester contre ceux qui l’ont hué autrefois ; c’est croire à la force
éternelle
et triomphante du génie. [Quatre-vingt-troisième
rempli, Soleil illuminant le vol des météores, Lampe vivante au seuil
éternel
de l’oubli, Couchant dont la splendeur fait pâlir
Mendès (1885).] Eugène Guillaume Au Génie, qui, comme un témoin
éternel
et comme un prophète, a évoqué la nature et les t
e. Il semble qu’il fut créé par un décret supérieur et nominatif de l’
Éternel
. Toutes les catégories de l’histoire littéraire s
les milliers d’êtres que la nature immole à ce qu’elle fait de grand.
Éternel
honneur de notre race ! Partis des deux pôles opp
Un enfant de trois ans, qui sait balbutier le nom de l’Infini et de l’
Éternel
, en sait un million de fois plus. Le hasard a déc
e tout ! océan sans rivage et sans fond, qui, dans ton flux et reflux
éternel
, laisse écouler, sans jamais t’épuiser, ces myria
un jour de plus ajouté et surajouté à leur durée formerait leur durée
éternelle
, car l’éternité n’est qu’un jour éternellement aj
t oublié qu’à côté et au-dessus de la matière il existe une puissance
éternelle
, la pensée, la pensée qu’ils reconnaissent en eux
ieu ! La pensée qui a tout conçu avant d’avoir rien créé ; La pensée
éternelle
du Cosmos, qui est Dieu ! La matière n’est pas Di
a matière n’est pas Dieu, mais c’est l’esclave organisé dont les lois
éternelles
ou périssables sont créées pour recevoir et subir
que nous traversons. Ici, c’est dans une contrée fertile, parée d’une
éternelle
verdure, que nous cherchons en vain une trace du
acine se coupent ainsi : Oui je viens | dans son temple | adorer | l’
Eternel
Je viens | selon l’usage | antique | et solennel
r ainsi les vers de Racine : Oui | je viens dans son temple adorer l’
Éternel
Je viens | selon l’usage antique et solennel Pou
aque membre de phrase ? Est-ce que Je viens dans son temple adorer l’
Éternel
mis pour Je viens adorer l’Eternel dans son tem
e viens dans son temple adorer l’Éternel mis pour Je viens adorer l’
Eternel
dans son temple ne forme pas une phrase « indéch
’un seul mot, — Oui — je — viens — dans — son — temple — adorer — l’
Éternel
car il est un vers, et s’il n’était pas un seul
ne, du mot, de la pensée, jusqu’à l’infini. C’est l’écho universel et
éternel
du monde pensant. L’homme est un être expressif.
er sur ce néant d’espace et de temps ce qu’ils appellent des mémoires
éternelles
. L’homme considéré comme être corporel n’est donc
ondamnée à ne pouvoir jamais remonter. Le monde est un renouvellement
éternel
, et, par la même loi, un anéantissement perpétuel
ait Et l’humanité désespère ! Pour tous et pour chacun l’épreuve est
éternelle
. C’est le creuset, le crible où l’homme doit pass
rtance, L’horizon paraît s’élargir, On entend à large distance La mer
éternelle
mugir Sur les rives de l’existence ! De secrets
angent bientôt en certitude Les sinistres pressentiments. Par l’aube
éternelle
guidée, Entrevoyant d’autres beautés, L’âme, au s
sa beauté : il semble qu’il eût contemplé et vu de près cette beauté
éternelle
dont il parle sans cesse, et que, par une méditat
ffrages pour m’absoudre… Ô Athéniens ! vous venez de fournir un sujet
éternel
à ceux qui voudront blâmer Athènes ; on lui repro
e déjà il ne sent plus, et sa dernière parole, et son dernier, et son
éternel
silence au milieu de ses amis qui restent seuls.
Chapitre IV. Conclusion. — D’une république
éternelle
fondée dans la nature par la providence divine, e
t les bases naturelles de la justice, et qui font la beauté, la grâce
éternelle
de l’ordre établi par la Providence. Après l’obse
par la grâce aux actions vertueuses pour atteindre un bien infini et
éternel
, qui ne peut tomber sous les sens ; c’est ici l’i
ain est un La Fontaine. Selon que cet esprit est passager, séculaire,
éternel
, l’oeuvre est passagère, séculaire, éternelle, et
est passager, séculaire, éternel, l’oeuvre est passagère, séculaire,
éternelle
, et l’on exprimera bien le génie poétique, sa dig
où l’ancienne Nuit et le Chaos, aïeux de la nature, maintiennent une
éternelle
anarchie au milieu d’une éternelle guerre, et règ
eux de la nature, maintiennent une éternelle anarchie au milieu d’une
éternelle
guerre, et règnent par la confusion. Satan, arrêt
rds, impuissants, mutilés ; il s’est fait Dieu, tout simplement, Dieu
éternel
, Dieu absolu, Dieu tout puissant, tout juste et o
et la meilleure humanité, que tout allait se figer dans la béatitude
éternelle
d’une humanité Dieu. Si je voulais chercher dans
est fait à l’idéal, et l’être sacrifié a sa petite place dans l’œuvre
éternelle
, ce que tant d’autres êtres n’ont pas. La belle a
personnes venaient six ou huit fois par jour chanter des psaumes à l’
Éternel
. Cela constituait une assez belle façon d’adorer,
ira l’œuvre divine accomplie, et verra la part qu’il y a eue. Alors l’
éternelle
inégalité des êtres sera scellée pour jamais. Cel
u’elle garde de lui, voilà la vraie vie du juste, et cette vie-là est
éternelle
. Sans doute il y a de l’anthropomorphisme à prête
u moi et du non-moi, qui est la négation même de l’infini. Ce qui est
éternel
, c’est l’idée. La matière est chose toute relativ
rale, voilà ce qui n’a aucun lien avec un organisme, voilà ce qui est
éternel
. La conscience a un rapport avec l’espace, non qu
r ; ni le temps ni la mort ne peuvent rien sur elle. L’idéal seul est
éternel
; rien ne reste que lui et ce qui y sert. « Conso
néant ? L’abîme initial fut resté à tout jamais en repos, si le Père
éternel
ne l’eût fécondé. À côté du fieri, il faut donc c
ain est un La Fontaine. Selon que cet esprit est passager, séculaire,
éternel
, l’œuvre est passagère, séculaire, éternelle, et
t est passager, séculaire, éternel, l’œuvre est passagère, séculaire,
éternelle
, et l’on exprimera bien le génie poétique, sa dig
culée nécessaire, nous savons qu’il estime des colonnes de l’humanité
éternelle
, quelle inintelligence et quelle hérésie, quelle
’un homme. Qui répondra de demain ; comme dit ce gigantesque Hugo, si
éternel
toutes les fois qu’il n’essaie pas d’avoir une id
41) [Bibliographie] La Richesse de la Muse (1882). — L’Idylle
éternelle
(1884). — Livret de vers anciens (1884). — Pierro
il lui doit préférer, de beaucoup, la note émue et tendre de l’idylle
éternelle
, mais de là à en faire fi et à ne point la faire
archies, de toutes les prospérités, de toutes les passions humaines ;
éternel
ennemi de tout ce qui est en haut ; changeant de
tir le passé dans le présent et le présent dans le passé, à l’élément
éternel
l’élément humain, à l’élément social, un élément
ttaient aux portes de la mort, et sentaient que leur séparation était
éternelle
; le comble de la félicité pour les Grecs et pour
leur union intime, et leurs âmes vont se confondre dans le sein de l’
Éternel
. Ne croyons pas toutefois qu’en nous découvrant l
re fois son empire : « Adieu, champs fortunés, qu’habitent les joies
éternelles
. Horreurs ! je vous salue ! je vous salue, monde
me déchargerait en un moment de la dette immense d’une reconnaissance
éternelle
… Oh ! pourquoi sa volonté toute-puissante ne me c
-il pas l’horizon essentiel vers quoi s’achemine toute philosophie. L’
éternelle
poursuite de la formule magique, de cette unité f
ait des brèches et, par ces meurtrières, ont aperçu le ciel et la mer
éternelle
. Encore que l’école dite du Parnasse se soit bie
dans les précipices de la conscience, soutenir l’éclat des firmaments
éternels
que bleutent les neiges immaculées de l’être. « M
me, car une pensée qu’aucun sentiment ne vivifie demeure dans la nuit
éternelle
et les limbes de l’être, sans emploi effectif. Av
poésie définit le poème : « l’image même de la vie, exprimée dans son
éternelle
vérité ». 16. « Eh bien ! une métaphysique, c’e
e au prophète Élie : « Une voix lui dit : “Sors et tiens-toi devant l’
Éternel
” ; et en effet l’Éternel passa. Il s’éleva, un ve
e voix lui dit : “Sors et tiens-toi devant l’Éternel” ; et en effet l’
Éternel
passa. Il s’éleva, un vent furieux et puissant à
nt à renverser les montagnes, à briser les rochers devant lui, mais l’
Éternel
ne fut pas dans ce vent ; après le vent ce fut un
s dans ce vent ; après le vent ce fut un tremblement de terre, mais l’
Éternel
ne fut pas dans ce tremblement de terre ; alors c
e fut pas dans ce tremblement de terre ; alors ce fut le feu ; mais l’
Éternel
n’était pas dans ce feu. Mais après le feu, il se
raison d’écrire : « Dans ces petits tableaux l’homme fait des gestes
éternels
». Art religieux du xiiie siècle en France, p. 9
s et les cris ! Quel mélange ! Du même geste il adore et il maudit. L’
éternelle
illusion, l’invincible expérience sont en lui côt
l’amour, le Surgit amari aliquid du vieux Lucrèce, et aussi dans l’
éternel
inassouvissement du désir, l’éternelle illusion r
u vieux Lucrèce, et aussi dans l’éternel inassouvissement du désir, l’
éternelle
illusion renaissante ; ou encore que la mélancoli
n auge, avaler cette auge elle-même ! C’est toujours le marché de cet
éternel
volé avec le maquignon infernal auquel il vend so
me, et que j’aime, non pas seulement parce que c’est le dévouement, l’
éternel
honneur de l’âme, qui tue l’égoïsme, qui en est l
t, l’éternel honneur de l’âme, qui tue l’égoïsme, qui en est la honte
éternelle
; mais aussi parce que je vois ici comme une apot
telligence, c’est-à-dire la raison, reçoit de Dieu la lumière du vrai
éternel
. Toute science vient de Dieu, retourne à Dieu, es
générales qui régissent les premiers ; tracer l’histoire universelle,
éternelle
, qui se produit dans le temps sous la forme des h
s théories pour élever les faits au caractère de vérités universelles
éternelles
. Quelle philosophie sera féconde ? celle qui relè
anquilles. Les anciens nobles, dit Aristote (Politique), juraient une
éternelle
inimitié aux plébéiens. L’histoire romaine nous l
quelles est fondée la justice, et qui font toute la beauté de l’ordre
éternel
établi par la Providence. C’est après ces épura
seignée par les philosophes est fondée sur un petit nombre de vérités
éternelles
, dictées par une justice métaphysique qui est com
« Celle du second conduit à reconnaître pour principe physique l’idée
éternelle
qui tire d’elle-même et crée la matière. Conformé
éveilla dans l’esprit de Vico la première conception d’un droit idéal
éternel
, en vigueur dans la cité universelle, qui est ren
rable du monde social, à pénétrer dans l’abîme de sa sagesse les lois
éternelles
par lesquelles elle gouverne l’humanité. Et grâce
ont elles dérivent. Ce sont à peu près les mêmes idées sur l’Histoire
éternelle
, sur l’Histoire romaine en particulier sur les do
ne poursuite impie, l’implorent d’un dieu différent. — « Ta droite, ô
Éternel
! est une main formidable, ta droite, ô Éternel !
ent. — « Ta droite, ô Éternel ! est une main formidable, ta droite, ô
Éternel
! brise l’ennemi. — Au souffle de tes narines, le
réter. Nées sous la verge des Pharaons, dans la vallée de l’esclavage
éternel
, les Danaïdes ne comprennent rien aux scrupules h
. Qu’est-ce pour lui que ce Zeus grec né d’hier, auprès d’Ammon-Ra, l’
Éternel
qui vogue sur les eaux célestes, « debout dans la
que boit le désert ; et la procession désolée tourne dans ce circuit
éternel
. Dante n’a pas de châtiment si terrible que celui
goût français pour le laisser définitivement au bon sens, cette école
éternelle
, succède à ces vers à Ulric Guttinger. C’était,
es. Grèce, ô mère des arts, terre d’idolâtrie, De mes vœux insensés
éternelle
patrie, J’étais né pour ces temps où les fleurs d
leste chaîne y restes prisonnier ! Toi, dont le bras puissant, dans l’
éternelle
plaine, Parmi les astres d’or la soulève et l’ent
me toi son sein renferme une étincelle De ce foyer de vie et de force
éternelle
, Vers lequel en tremblant le monde étend les bras
uisse y clouer la trace de mes pas ! Rien qui puisse crier d’une voix
éternelle
À ceux qui téteront la commune mamelle : Moi, vot
e de beauté, que son père immortel De ses phalanges d’or en fit l’âge
éternel
! Oh ! la fleur de l’Éden, pourquoi l’as-tu fané
re et dernier soupir que poussera la terre, Quand elle tombera dans l’
éternelle
nuit Oh ! vous le murmurez dans vos sphères sacr
ique mes yeux fussent en larmes, la plénitude de mon amour, désormais
éternel
comme son repos, était tellement sensible en moi
m divin des espérances infinies, qui donnent, dès ici-bas, les songes
éternels
? Enfin, tu as changé de temps en temps de corde
ment leurs propres malheurs. Pour éviter la froideur qui résulte de l’
éternelle
et toujours semblable félicité des justes, on pou
t une constitution plus sublime, entre nos fins rapides et les choses
éternelles
: nous serions moins portés à regarder comme une
toi ; car il vaut mieux que tu entres boiteux ou manchot dans la vie
éternelle
, que d’être jeté avec tes deux pieds et tes deux
et jette-le loin de toi ; car il vaut mieux entrer borgne dans la vie
éternelle
que d’avoir ses deux yeux, et d’être jeté dans la
u, recevra le centuple en ce monde, et, dans le monde à venir, la vie
éternelle
876. » Les instructions que Jésus est censé avoir
mes pédantesques du Dr Strauss. Cette rage, vieille comme le monde et
éternelle
comme lui, et qui n’est, en fin de compte, que la
, la philosophie nie aujourd’hui en histoire. Elle continue son œuvre
éternelle
. Elle se sait de ce vieux xixe siècle, profondém
ésus-Christ ne s’est pas contenté de ces noms anciens et illustres, l’
éternel
honneur des premiers temps. On trouve, à côté, de
e dans ses contradictions, ses passions, ses travers et ses ridicules
éternels
. L’Alceste de Molière n’est donc ni un Montausier
er ce qu’il devrait haïr le plus : une coquette. C’est le misanthrope
éternel
, qui aime la coquette éternelle ! Mais cela ne su
us : une coquette. C’est le misanthrope éternel, qui aime la coquette
éternelle
! Mais cela ne suffit pas aux chasseurs de mouche
pareils, au point qu’on eût pu les superposer : c’étaient les traits
éternels
de la France. Je n’ai cité que des faits éclatan
i, fidèle secrétaire de la France, à préparer les versets d’une Bible
éternelle
de notre nation, je veux raconter ce qui advint à
nt été payées par la gloire, dont, Français, nous serons toujours les
éternels
amoureux. (H. B., de Lille.) 24. Ayant lu mon
fait entrer au conseil ; le cardinal lui jure sur l’hostie une amitié
éternelle
; le cardinal, six mois après, le fait arrêter. L
strie d’une nation, et qui d’une richesse d’un moment fait sortir une
éternelle
pauvreté. L’état, sous Richelieu, paya communémen
es. Qu’on les adore de leur vivant, cela est juste ; c’est le contrat
éternel
du faible avec le puissant ; mais la postérité, s
dans un récit. Un tel art est l’art tout entier, l’art primordial et
éternel
, et une littérature délivrée de ce souci serait i
ou plutôt contre sa prétention ; revenant aux nécessités antérieures,
éternelles
, de l’art, les révoltés crurent affirmer des véri
s encore, des états d’humanité, des moments, des minutes qui seraient
éternelles
: en somme ils sont réels, à force d’irréalité. U
de si maladroites ou de si grossières mains qu’on souhaiterait qu’un
éternel
silence eût été conjuré autour d’un trésor mainte
le maître d’un jardin royal et d’un peuple odorant de fleurs, Fleurs
éternelles
, fleurs égales aux dieux ! A.-Ferdinand Herol
de mes seins. Je suis toujours debout et forte dans l’épreuve, Moi, l’
éternelle
vierge et l’éternelle veuve, Gloire d’Hellas, par
toujours debout et forte dans l’épreuve, Moi, l’éternelle vierge et l’
éternelle
veuve, Gloire d’Hellas, parmi la guerre aux noirs
a seule femme qu’il aime ; l’autre, il l’ironisé de ce mot leste, « l’
éternelle
madame ». Corbière a beaucoup d’esprit, de l’espr
as un rêve ne bouge. C’est la vie : écoutez, la source vive chante L’
éternelle
chanson sur la tête gluante D’un dieu marin tiran
, Immense casserole où le bon Dieu fait cuire La manne, l’arlequin, l’
éternel
plat du jour ; C’est trempé de sueur et c’est tre
Christ apparaît ici-bas la plus aimante, la plus absorbée figure de l’
éternelle
substance, elle embaume de toutes les vertus ; el
que la faculté terrible de redire en phrases qui semblent belles les
éternelles
clameurs de la médiocre humanité ; des génies mêm
vre. Le moyen âge ne connut pas nos hypocrisies. Il n’ignora rien des
éternelles
turpitudes, mais, dit Ozanam, il sut les haïr. Il
closes… ont la grâce triste, mais tout de même consolante, des aveux
éternels
: l’éternellement la même chose, Laforgue la redi
oix seule, très douce et très amoureuse, dans un décor verlainen, — ô
éternel
Verlaine ! Ô bel avril épanoui. Qu’importe ta ch
ficiel, par la simple impulsion intérieure de leur nature, abordent l’
éternel
problème sous sa forme véritable, une ingénuité,
pourra le détruire, que le monument auquel il a ajouté une pierre est
éternel
, qu’il a sa garantie, comme la morale, dans les i
le, la propriété individuelle par exemple. Le vrai, c’est qu’avec les
éternels
principes de sa nature l’homme peut réformer l’éd
ut être pensant, existant ou à venir. Si je pouvais croire l’humanité
éternelle
, je conclurais sans hésiter qu’elle atteindrait l
t la plus avancée que nous connaissions. Pour trouver le parfait et l’
éternel
, il faut dépasser l’humanité et plonger dans la g
es cascades m’inondaient de leur épais brouillard ; tantôt un torrent
éternel
ouvrait à mes côtés un abîme, etc. » Cette peintu
es, des gazons robustes », au bord et dans les interstices des neiges
éternelles
. Ces hautes régions furent en quelque sorte la dé
dins surtout ; l’aspect si rapproché de la mort, de la solitude, de l’
éternel
silence ; notre existence si frêle, si passagère,
evoit comme à nu l’incomparable faiblesse de l’homme, sa prochaine et
éternelle
destruction si, pour un instant seulement, la div
d’une passion qui ressemble à une maladie dont les rechutes seraient
éternelles
! Madame Sand, qui faisait un livre, a traité ce
nages importants de ce ou de ces romans ! L’impresario Giskel est cet
éternel
vieillard qui aime, et qui également fait pleurer
vous avez, bien entendu, la première représentation ; puis un duel, l’
éternel
duel dont la cause est un potage de bisque renver
comment se maintiennent toutes les sociétés, principes universels et
éternels
, comme doivent l’être ceux de toute science. Obse
e nouvelles forêts. C’est pourquoi nous avons pris ces trois coutumes
éternelles
et universelles pour les trois premiers principes
par ses légitimes rejetons, et jouit ainsi que son divin amant d’une
éternelle
jeunesse. Dans l’état de famille, les fruits spon
t la découverte la plus sublime de la philosophie, savoir, que l’idée
éternelle
est engendrée en Dieu par Dieu même, tandis que l
histoire des idées humaines, critique philosophique, histoire idéale
éternelle
, système du droit naturel des gens, origines de l
§ II. Les sociétés politiques sont nées toutes de certains principes
éternels
des fiefs. Différence des domaines bonitaire, qui
puisqu’elle a le bonheur envié de posséder la vérité indiscutable et
éternelle
. Je sais encore que si cette même vérité la condu
ait-il pas pour l’humanité une autre vie possible, en dehors de cette
éternelle
soumission d’esprit et de corps à une poignée de
ais comprenant enfin que tout désormais les menace, qu’ils seront les
éternelles
victimes de la mauvaise foi et de la trahison, s’
dans un mouvement d’éloquence vraiment digne de servir de modèle à l’
éternel
jésuitisme, feignant de confondre l’œuvre des dra
mmes sa nature intime, elles suffiraient, je pense, pour couvrir d’un
éternel
ridicule les biographes effrontés qui s’efforcent
par son contradicteur Jurieu ? Il lui oppose le dogme catholique, les
éternels
arguments pourris de la scolastique, les affirmat
vres, que demeure-t-il pour nous de vivant, d’humain, de véridique, d’
éternel
, de sincère ou de grand ? Laquelle de ses faculté
rs l’humanité future. Bossuet et ses émules symbolisent à merveille l’
éternelle
rhétorique catholique et latine, se payant des mo
n Prusse et détermina l’hégémonie de ce royaume. « Qu’en pensez-vous,
éternels
ignorants ? Si vous considérez Bossuet comme l’un
815 pour la jeter dans les mains ouvertes de la maison de Savoie, son
éternelle
rivale. Cette maison de Savoie, qui n’avait pas l
endez-lui donc la Corse, qu’elle vous vendait naguère comme un gage d’
éternelle
protection de la France sur sa république presque
s aux retours offensifs de l’Autriche ? Croyez plutôt que ce sera une
éternelle
tentation, une éternelle excitation, un éternel p
e l’Autriche ? Croyez plutôt que ce sera une éternelle tentation, une
éternelle
excitation, un éternel prétexte à des hostilités
tôt que ce sera une éternelle tentation, une éternelle excitation, un
éternel
prétexte à des hostilités contre l’Italie représe
alie est dans une confédération italique sous l’alliance naturelle et
éternelle
de la France. Italiens ! que d’autres vous flatte
classe que l’on appartienne, n’est pas et ne peut pas être un sourire
éternel
de l’âme entre la faim, le travail et la mort ; é
mêmes dans tous les siècles, et n’attendant d’eux dans l’avenir que l’
éternelle
vicissitude de leur nature, qui naît, qui se remu
voix du trépassé, que nous croyons muette, A commencé l’hymne
éternel
. II Plus tôt que je n’ai dû, je reviens dans la
ant sa venue, « Le clairon de l’archange entrouvrira la nue. « Jour d’
éternels
tourments ! jour d’éternel bonheur ! « Resplendis
e l’archange entrouvrira la nue. « Jour d’éternels tourments ! jour d’
éternel
bonheur ! « Resplendissant d’éclairs, de rayons,
t. Un hasard l’arrache au bourreau ; sa peine est commuée en un bagne
éternel
. Voilà le misérable ! Voilà l’injustice de la soc
. Ce poème de Kaïn traduit, sous une forme saisissante, un sentiment
éternel
(aujourd’hui plus intense que jamais) et profondé
ifférent et vieux, Se coucher et dormir en blasphémant les dieux4. L’
éternel
cri : « Je souffre, qu’ai-je fait ? » est une pla
onte de la terre et roule dans la nue ; Soupir du globe errant dans l’
éternel
chemin, Mais effacé toujours par le soupir humain
out simplement, c’est qu’ils voient en eux des âmes appelées au salut
éternel
et qu’en s’occupant de ces âmes ils assureront le
de la Bernica. Le poète m’a si bien prévenu contre les mensonges de l’
éternelle
Mâya que je ne puis croire qu’il s’y laisse prend
qu’on s’y associe ? Savez-vous bien que cela suppose deux sentiments
éternels
et très humains, portés l’un et l’autre au plus h
on dans la chambre des électeurs, lui sont un thème de reconnaissance
éternelle
qu’il varie en mille façons. Mais que le tour de
édiatement après lui. » Tantôt il est en fureur et en rage contre les
éternels
ennemis qu’on lui connaît, contre l’abbé Desfonta
ges que Cicéron et le plus sage des Scipions ne désavoueraient pas, «
éternels
admirateurs du jeu de la nature et spectateurs in
▲