ce cas, l’intermédiaire est un caractère général répété dans tous les
éléments
de la première donnée. — Exemple en zoologie. — L
ue. — Rôle des axiomes. — Ils énoncent les propriétés des facteurs ou
éléments
primitifs qui sont les plus généraux et les plus
aux et les plus simples de tous. — L’analyse doit donc porter sur les
éléments
primitifs. — Éléments primitifs de la ligne. — Dé
s de tous. — L’analyse doit donc porter sur les éléments primitifs. —
Éléments
primitifs de la ligne. — Découverte d’un caractèr
primitifs de la ligne. — Découverte d’un caractère commun à tous les
éléments
ou points d’une ligne. — Définition d’une ligne p
le rapport constant de ses coordonnées. — La géométrie analytique. —
Éléments
primitifs d’une grandeur. — Le calcul infinitésim
la dernière raison de la loi est un caractère général inclus dans les
éléments
de la première donnée de la loi. II. Méthode dans
une nation ou d’une race. — La psychologie. — Caractères généraux des
éléments
de la connaissance. — Tous ces caractères générau
lit. — La formation d’un composé s’explique par les propriétés de ses
éléments
et par les caractères des circonstances antécéden
une partie dans un tout, comme un fragment dans un ensemble, comme un
élément
dans une somme. Au lieu de lier comme ses devanci
nd groupe total, il liait la pesanteur et la tendance centripète à un
élément
qui se trouvait le même dans les deux. — Par cet
ation que les autres. Il serait donc comme les autres une portion, un
élément
, un extrait du précédent, et on le trouverait com
qu’il faut étudier avec toutes ses circonstances, pour en extraire l’
élément
qui est la raison de la loi. — À présent, pourquo
différence grave. Dans le premier, le caractère explicatif est un des
éléments
les moins stables de l’antécédent ; que la vibrat
Dans le second cas, au contraire, le caractère explicatif est un des
éléments
les plus stables de l’antécédent ; quand même la
servons d’abord le nombre ; les unités de divers ordres, qui sont ses
éléments
, sont déjà toutes dégagées, préparées, offertes à
Ici l’intermédiaire explicatif est un caractère inclus dans tous les
éléments
du nombre, sauf le premier, et commun à toutes le
lygone ; quand on nous le donne, les portions de surface qui sont ses
éléments
ne sont pas encore distinguées et séparées ; nous
ci, l’intermédiaire explicatif est un caractère compris dans tous les
éléments
du polygone, c’est-à-dire commun à tous les trian
nstatons leur connexion obligatoire. Chaque organe, bien plus, chaque
élément
physique ou moral de l’animal vivant, renferme, i
même espèce et se ramènent au même intermédiaire répété dans tous les
éléments
de l’objet. Ce dernier cas lui-même se ramifie en
t. Ce dernier cas lui-même se ramifie en deux branches. — Ou bien les
éléments
dans lesquels l’intermédiaire est répété sont sem
ou du même intermédiaire répété, du même intermédiaire répété par des
éléments
semblables ou du même intermédiaire répété par de
é par des éléments semblables ou du même intermédiaire répété par des
éléments
dissemblables, l’intermédiaire explicatif s’est t
ien de plus en lui que ce qu’on y a mis, et on n’y a mis que certains
éléments
groupés dans un certain ordre, lesquels, ainsi qu
propriété, c’est par l’entremise de quelque caractère inclus dans ses
éléments
ou dans leur mode d’assemblage, tels que la défin
hées grâce aux propriétés des deux couples de parallèles qui sont ses
éléments
. On verrait de même que les propriétés de la sphè
et tous les fleuves de la science. Telle est la vertu des facteurs ou
éléments
primitifs, lorsqu’ils sont aussi simples, aussi a
te forme en bloc. Mais la ligne est composée de facteurs primitifs ou
éléments
qui sont ses points, et sa forme n’est qu’un ense
igne et dans sa forme, et que cet intermédiaire se rencontre dans les
éléments
de la ligne et de sa forme, c’est-à-dire dans les
nt entièrement définies, et définies par un caractère commun de leurs
éléments
. Ainsi, pour ne prendre que les exemples les plus
l’analyse d’une ligne ou d’une surface et qui, la décomposant en ses
éléments
, dégage en eux un caractère algébrique commun à t
équation qui est sa définition. On voit combien la considération des
éléments
est importante ; en effet, il a fallu l’employer
grandeurs, accroissements qui sont leurs facteurs composants et leurs
éléments
primitifs112. « On aurait tort, dit un mathématic
ation ou d’extinction des grandeurs, qui croissent ou décroissent par
éléments
plus petits que toute grandeur finie. Ainsi, quan
ouve qu’il est un caractère inclus dans la définition des facteurs ou
éléments
primitifs, dont la première donnée n’est que l’en
our se laisser saisir à la fin dans quelques facteurs très simples ou
éléments
primitifs dont ils sont les propriétés. En effet,
intermédiaires qui sont les propriétés de ses facteurs, composants ou
éléments
: telle est la règle universelle. Ce sont donc ce
osants ou éléments : telle est la règle universelle. Ce sont donc ces
éléments
qu’il faut surtout dégager, et ce sont leurs prop
squelles nous devons porter toute notre attention. Partant, quand ces
éléments
tomberont plus aisément sous notre observation, n
de ses associés, expliquent les caractères du corps dont ils sont les
éléments
. — Deux propriétés sont communes à tous les organ
ons de l’animal complet. De cette façon, deux propriétés communes aux
éléments
de l’ensemble expliquent presque tous les caractè
nt les caractères fixes ou changeants sont l’objet de l’histoire, les
éléments
, aisément saisis, nous font comprendre l’ensemble
s éléments, aisément saisis, nous font comprendre l’ensemble. Car ces
éléments
sont les individus humains dont une société à une
’analyse circonstanciée de son milieu physique et social, puis de ces
éléments
passer à des éléments plus simples encore, démêle
e de son milieu physique et social, puis de ces éléments passer à des
éléments
plus simples encore, démêler les aptitudes et les
lui a reconnus115. Partout où l’on peut ainsi isoler et observer les
éléments
d’un composé, on peut, par les propriétés des élé
t observer les éléments d’un composé, on peut, par les propriétés des
éléments
, expliquer les propriétés du composé, et, de quel
ci même ; nous sommes d’abord descendus par degrés jusqu’aux derniers
éléments
de la connaissance, pour remonter ensuite d’étage
notre conscience, nos sens et nos instruments ne peuvent démêler les
éléments
plus simples, l’explication s’arrête et se réduit
, le physiologiste et l’embryogéniste résolvent les tissus vivants en
éléments
anatomiques, petits corps qui sont le plus souven
erses formes et diversement groupées ; mais ils ne saisissent pas les
éléments
de la cellule, ils ignorent leurs propriétés, du
ystème analogue à notre système solaire, sorte de tourbillon dont les
éléments
grossièrement semblables réclameront une décompos
r leurs propriétés que par les propriétés toutes différentes de leurs
éléments
, ceux-ci de même, et ainsi de suite, par un recul
r est toujours relative ; rien n’empêche que nos molécules aient pour
éléments
des molécules différentes, aussi petites par rapp
és du composé, nous connaîtrions par cela même celles de ses derniers
éléments
. En ce cas, les couches successives des facteurs
ou une somme de caractères, différents ou semblables, inclus dans les
éléments
du composé. IV Reste un surcroît d’exigenc
n’est-il pas possible ; mais cela est indifférent. Nous supposons ses
éléments
assemblés suivant la façon requise, et nous expli
ous sommes tenus d’expliquer ses propriétés par les propriétés de ses
éléments
, et, en outre, d’expliquer la rencontre de ses él
riétés de ses éléments, et, en outre, d’expliquer la rencontre de ses
éléments
. Alors se posent les questions d’origine, les plu
nné un composé, ses caractères s’expliquent par les propriétés de ses
éléments
réunis. Étant donnée cette réunion, elle s’expliq
donnée cette réunion, elle s’explique par les propriétés de ces mêmes
éléments
et par les circonstances antécédentes. Elle n’est
explicatif et démonstratif comme dans les autres ; que la réunion des
éléments
a sa raison d’être, comme les caractères du compo
u de caractères plus généraux et plus simples qui appartiennent à ses
éléments
, et qui sont les masses, les distances, les mouve
première donnée du couple, il est inclus en elle, il appartient à ses
éléments
, et les propriétés de cette première donnée, auss
ière raison d’être les caractères et l’état antérieur de ses derniers
éléments
. Sur ces indices, notre pensée s’emporte jusqu’à
omme le graphite, il faut que nous connaissions les propriétés de ses
éléments
, les molécules du carbone. Pour démêler la raison
organique, il faut que nous connaissions, outre les propriétés de ses
éléments
, les circonstances primordiales dans lesquelles i
semblable. Dans le premier aussi bien que dans le second, il y a des
éléments
et des composés, des éléments d’éléments et des c
ssi bien que dans le second, il y a des éléments et des composés, des
éléments
d’éléments et des composés de composés, des objet
e dans le second, il y a des éléments et des composés, des éléments d’
éléments
et des composés de composés, des objets capables
aptent l’un à l’autre, sauf cette différence que le second, outre les
éléments
constitutifs du premier, renferme des éléments su
e le second, outre les éléments constitutifs du premier, renferme des
éléments
supplémentaires et perturbateurs, ce qui rend le
fférence subsidiaire, nous introduisons peu à peu dans notre idée les
éléments
supplémentaires et perturbateurs qui dans la natu
écanique, et ne résistera à la solution que si la complication de ses
éléments
est trop grande pour que nos formules, encore tro
niverselle. Car, en tant que les composés réels sont formés des mêmes
éléments
que les composés mentaux, ils sont soumis aux mêm
ous la concevons, est absolument uniforme. En d’autres termes, chaque
élément
de l’espace est rigoureusement substituable aux a
ent de l’espace est rigoureusement substituable aux autres, et chaque
élément
de la durée est rigoureusement substituable aux a
roupe ou fragment efficace est un composé, c’est-à-dire un ensemble d’
éléments
successifs ou simultanés, ceux-ci de même, et ain
imultanés, ceux-ci de même, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’enfin, d’
éléments
en éléments, on arrive aux plus simples qui sont
eux-ci de même, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’enfin, d’éléments en
éléments
, on arrive aux plus simples qui sont les éléments
nfin, d’éléments en éléments, on arrive aux plus simples qui sont les
éléments
premiers. En ce cas, le composé n’étant que l’ens
léments premiers. En ce cas, le composé n’étant que l’ensemble de ces
éléments
arrangés dans un certain ordre, nous savons d’ava
certain ordre, nous savons d’avance que l’efficacité appartient à ces
éléments
ou à leur ordre. Que ce dernier fond de la chose
fragment est un composé, que par ce nom de composé nous désignons des
éléments
plus simples assemblés dans un certain ordre, nou
finition finale, le groupe ne contiendra plus d’autres termes que des
éléments
premiers assemblés dans un certain ordre, et nous
n cas de la quantité imaginaire, cas particulier et singulier, où les
éléments
de la quantité imaginaire présentent certaines co
’un cas de l’existence possible, cas particulier et singulier, où les
éléments
de l’existence possible présentent certaines cond
uent dans les autres cas ? Cela posé, ne pourrait-on pas chercher ces
éléments
et ces conditions ? — Ici, nous sommes au seuil d
ébrales. — Par ces décompositions successives, on arrive aux derniers
éléments
de la connaissance, et dès lors il est aisé de vo
t ils s’ajustent ensemble. De même, dans une cathédrale, les derniers
éléments
sont des grains de sable ou de silex agglutinés e
té d’une part d’imitation et d’une part d’instinct. Si ces différents
éléments
du fait s’opposent l’un à l’autre, c’est que, com
produite. Elle est une systématisation nouvelle d’un certain nombre d’
éléments
psychiques. Par elle l’esprit s’adapte à des circ
qu’elle reçoit. Mais une sorte de désir abstrait l’a précédée et ses
éléments
, à elle, existaient déjà, engagés dans des combin
ndances anciennes et former un composé nouveau par la combinaison des
éléments
qu’elle leur emprunte avec le nouvel élément offe
par la combinaison des éléments qu’elle leur emprunte avec le nouvel
élément
offert par l’occasion. Il s’agit en somme, ici, d
, doit favoriser, on le conçoit aisément, l’activité indépendante des
éléments
psychiques. En effet, nous pourrons souvent le re
iques. En effet, nous pourrons souvent le remarquer, le jeu libre des
éléments
tient une place importante dans l’invention. Il e
tirer de l’activité relativement libre et parfois capricieuse de ses
éléments
. L’invention et son développement ont été comparé
’éclosion d’une idée synthétique formée par la combinaison nouvelle d’
éléments
existant déjà, au moins en partie, dans l’esprit.
éléments existant déjà, au moins en partie, dans l’esprit. Souvent un
élément
nouveau est l’occasion et parfois il est la cause
nventer et à former des synthèses nouvelles parce qu’elle aura plus d’
éléments
à sa disposition, et ces synthèses seront le plus
la tendance qui travaille à se compléter, l’idée confuse cherchant l’
élément
qui la précisera ; l’autre signale l’occasion ven
hant l’élément qui la précisera ; l’autre signale l’occasion venue, l’
élément
nouveau qui se présente engagé dans la perception
détermine la synthèse nouvelle, la création intellectuelle. Ces deux
éléments
, nous les retrouverons sous un aspect un peu moin
on, est le grand facteur de la transformation. Un nouvel et important
élément
vient donc s’offrir au système ébauché, pour en a
n naturelle était enfin constituée de toutes pièces. Cette synthèse d’
éléments
déjà existants, déjà vaguement systématisés, avec
thèse d’éléments déjà existants, déjà vaguement systématisés, avec un
élément
nouveau qui vient parfaire leur organisation et q
t la durée du phénomène, en en séparant les phases, en en isolant les
éléments
, ils nous permettent de l’étudier plus en détail.
ses restent stériles, jusqu’à ce qu’un fait décisif vienne apporter l’
élément
qui manque, déterminer une sorte de cristallisati
s une synthèse nouvelle se produit, qui élimine certaines parties des
éléments
en présence pour unir les autres et se trouve pre
occasion de se coordonner, d’arriver à l’existence et de combiner les
éléments
qui échappaient aux premières dominatrices. Elles
e tout dérive logiquement. Elle ne se borne pas à prendre de nouveaux
éléments
dans les perceptions qui se présentent ; elle cré
veaux éléments dans les perceptions qui se présentent ; elle crée ces
éléments
en transformant ces perceptions, comme un nerf op
us le choc extérieur, mais en produisant ainsi et en s’assimilant des
éléments
nouveaux pour la formation desquels elle utilise
tème moins imparfait, en lui apportant, dans une certaine mesure, les
éléments
qui lui manquent, comme une idée suggérée par l’e
de trouble. Chapitre IV. La création intellectuelle et le jeu des
éléments
psychiques Les principales conditions de l’in
compléter, des conditions qu’elle rencontre. Elle synthétise avec les
éléments
psychiques qui la constituent certains autres élé
étise avec les éléments psychiques qui la constituent certains autres
éléments
qu’elle dégage soit des sensations et des percept
nnements en bien des cas, comment le jeu personnel et indépendant des
éléments
psychiques intervient ici, et reste souvent une c
t pour les cas un peu compliqués, que par l’activité indépendante des
éléments
psychiques. Nous nous rendrons mieux compte encor
ctrice générale intervient pour choisir, pour accepter ou rejeter les
éléments
qui lui sont offerts, mais, ces éléments, ce n’es
pour accepter ou rejeter les éléments qui lui sont offerts, mais, ces
éléments
, ce n’est généralement pas elle qui les évoque. I
ulsion donnée par celle-ci et qui resterait vaine sans le travail des
éléments
, images ou idées, qu’elle permet, qu’elle provoqu
pté, inconscience, etc.) » Ces notes nous renseignent sur le jeu des
éléments
. Elles nous montrent les souvenirs, les images, l
on, et, une fois conquis, travaillant pour lui, suscitant de nouveaux
éléments
sur lesquels s’exercera la même activité. En même
née et rapide sont le plus souvent des cas très simples. L’action des
éléments
est alors si bien unifiée que le jeu des divers é
L’action des éléments est alors si bien unifiée que le jeu des divers
éléments
ne se distingue plus, l’ensemble de la tendance a
stingue plus, l’ensemble de la tendance agissante est devenue un seul
élément
, et l’unité de son action est seule perçue. Mais
ément, et l’unité de son action est seule perçue. Mais en général les
éléments
, les petits systèmes opèrent avec une certaine in
ui viennent essayer d’entrer dans le système principal, mais d’autres
éléments
en suscitent aussi qui viennent lutter avec les p
eurs tâtonnements, de modifications successives qui en ont écarté les
éléments
réfractaires, et en ont appelé d’autres à leur pl
ébauché mais imparfait dont la force est déjà considérable, — divers
éléments
s’essaient à des combinaisons diverses, se combat
a tendance dominante, de l’idée directrice, et le jeu indépendant des
éléments
sont en bien des cas également utiles. Si l’ensem
également utiles. Si l’ensemble n’exerçait un contrôle sur le jeu des
éléments
et ne faisait un choix parmi les produits de ce j
ens, mais des inventions de rêveur ou d’aliéné. — En revanche, si les
éléments
ne s’affranchissaient parfois quelque peu, s’ils
, non parce qu’ils n’en ont pas. Chez eux l’activité indépendante des
éléments
psychiques n’est pas supprimée, mais les produits
n réalité il inventera beaucoup moins. Si l’activité indépendante des
éléments
, apparente ou non, est par elle-même un désordre,
ginale, la plus haute et la plus rare. Elle comprend une bonne part d’
éléments
fournis par l’habitude, par l’instinct, par la ro
de ses ancêtres, de ses éducateurs, de la civilisation dont il est un
élément
. Il n’y a rien en nous qui nous appartienne absol
as la même force de coordination, la même ampleur, la même richesse d’
éléments
; c’est que les éléments dominants varient d’une
ination, la même ampleur, la même richesse d’éléments ; c’est que les
éléments
dominants varient d’une intelligence à l’autre, e
tellectuelle. Il n’est donc pas surprenant que, rencontrant partout l’
élément
infinitésimal du génie, nous rencontrions si rare
té des idées, à leur « non-conformisme » général. La nouveauté est un
élément
nécessaire de l’idée géniale, mais ce n’est pas l
d’invention, une part d’imitation, et une part de routine. Ces trois
éléments
y peuvent entrer en proportion, très diverses. Il
s dans aucun cas, et cela est assez aisément visible, aucun des trois
éléments
n’est complètement absent. Ne les considérons pas
enue nécessaire, et satisfaire le désir qui y correspond, trouver des
éléments
appropriés, et, en se les annexant, former une co
e nous avons vu se développer un désir intellectuel auquel manquait l’
élément
qui devait, en le satisfaisant, donner au système
ec les mêmes caractères que la synthèse des idées : systématisation d’
éléments
plus ou moins épars, rejet d’éléments disparates,
e des idées : systématisation d’éléments plus ou moins épars, rejet d’
éléments
disparates, triage des parties de sentiments et d
la volonté comme dans celui de l’invention, nous retrouvons les trois
éléments
parallèles, et si nous descendions aux détails de
réation intellectuelle avec la volition. Si la forme est la même, les
éléments
de la synthèse diffèrent dans les deux cas et cel
t sur certains points. Elles utilisent aussi, bien souvent, les mêmes
éléments
psychiques. La même idée peut entrer dans une cro
, cela dépend de l’accueil qui lui sera fait par l’esprit, des autres
éléments
qui viendront s’adapter à elle40. On comprend ais
te synthèse inventive que nous venons d’étudier n’est, en somme qu’un
élément
dans un long enchaînement de faits. Nous comprend
onner. D’autres fois, au contraire, c’est à peine si quelques-uns des
éléments
du processus paraissent dépasser les autres en im
utes les formes intermédiaires. Et l’invention se trouve être ainsi l’
élément
d’une évolution assez complexe, dont les autres é
être ainsi l’élément d’une évolution assez complexe, dont les autres
éléments
sont encore — à certain degré au moins — des inve
z lui, tous les jours, il prend des notes sur ce qu’il a observé. Des
éléments
de description, des physionomies, des scènes vues
’est dans sa mémoire qu’il cherche les types vrais ou qu’il prend les
éléments
de ses types imaginaires… Il en est de même des s
bien systématisée non seulement avec celle qui la précède, ou avec l’
élément
qui la provoque, mais avec l’ensemble de la série
ique, à évoquer des idées qui s’adaptent à elles et les achèvent. Les
éléments
du raisonnement cherchent, chacun pris à part, à
raisonnement, s’il est bien systématisé, agit lui-même comme un seul
élément
et tend aussi à faire naître des états de conscie
elative à l’esprit même de l’inventeur. Les tendances dominantes, les
éléments
psychiques que ces tendances peuvent mettre en je
est trop. Dans l’évolution d’une invention il y a toujours beaucoup d’
éléments
qui ne sont ni voulus ni sentis. Mais en certains
la seule logique de l’esprit considéré comme un ensemble. Les divers
éléments
de l’esprit, les différents systèmes qui s’y ébau
ntraider, se remplacer, se dissoudre ou se fortifier, et profiter des
éléments
les uns des autres. Cela est d’une expérience de
t une perfection des tendances directrices, une libre disposition des
éléments
, des chances heureuses et souvent même une médioc
a nouveauté au moins, qui ne se rencontrent pas toujours. Souvent les
éléments
dont le germe doit profiter et qu’il s’assimilera
qu’elle est recherchée. Le jeu de l’ensemble est moins sûr, celui des
éléments
capricieux, le principe directeur se forme peu à
nous passons aisément à l’évolution spontanée en supposant le jeu des
éléments
un peu plus systématique, de même nous passerions
ous passerions, en sens inverse, en relâchant un peu le jeu des mêmes
éléments
, en les combinant un peu différemment, aux cas où
en même temps, dans le même fait, les précautions prises pour que des
éléments
parasites ne viennent prendre la place de celui q
intrus qui se faufilent aisément, si l’on n’y prend garde, grâce à un
élément
quelconque de la perception ou des images auquel
roduites toujours par le même procédé. Le jeu plus ou moins libre des
éléments
, et l’influence du principe directeur (sentiment
e Eliot qu’une histoire que sa tante lui avait racontée serait un bon
élément
pour une œuvre d’imagination : il lui fit modifie
Il (G. Lewes) fit la remarque que la scène de la prison serait un bel
élément
pour une œuvre d’imagination, et je commençai ens
n de nouvelles combinaisons. Quand je commençai à l’écrire, les seuls
éléments
sur lesquels j’étais fixée étaient, outre le cara
de Siegfried étaient rappelées sous forme de récit. Il y avait là des
éléments
qui aspiraient à vivre d’une vie plus déterminée,
es circonstances. Dans un système bien lié, où tout doit se tenir, un
élément
, quel qu’il soit, doit plus ou moins bien suscite
binaison des circonstances et de la tendance directrice et le jeu des
éléments
psychiques et sociaux56. V En somme, l’évol
se manifeste par deux grands caractères, l’augmentation du nombre des
éléments
du système et l’harmonie plus grande des relation
ssent. Ces deux caractères entraînent naturellement l’élimination des
éléments
qui ne peuvent s’harmoniser avec la direction gén
ourbillon psychique se former et s’accroître en englobant un nombre d’
éléments
de plus en plus considérable, et en conservant ou
ible et qui doit aboutir fatalement à tel résultat. Les affinités des
éléments
qui le composent font naître à chaque moment, et
me ses produits. Quand elle arrive à ce degré, on voit l’ensemble des
éléments
de l’invention se souder parfois assez bien et as
s assez bien et assez vite pour pouvoir être considérés comme un seul
élément
et agir de la même façon pour évoquer les élément
dérés comme un seul élément et agir de la même façon pour évoquer les
éléments
nouveaux, et aussi pour empêcher l’activité désor
tre très sensiblement changée, comme un enfant qui devient homme. Les
éléments
unis par l’idée maîtresse jouissaient de plus d’i
relâche encore, que la vie indépendante, le caractère individuel des
éléments
se marquent davantage, on prévoit ce qui doit arr
léments se marquent davantage, on prévoit ce qui doit arriver. Un des
éléments
que les circonstances ou ses qualités propres aur
d’une direction forte et de la vie individuelle trop indépendante des
éléments
, elle arrête l’évolution de l’invention. C’est un
s’associer à lui et de l’aider à grandir régulièrement, puis l’un des
éléments
ainsi attirés et formés va se développer, entrer
La scène achevée, vinrent peu à peu se grouper autour d’elle tous les
éléments
du drame, tel que je le concevais, et, après un a
é brusquement retranchée à cause de son incompatibilité avec un autre
élément
du drame qui est demeuré prépondérant. Et la pièc
ntent successivement. C’est pour continuer à s’accorder avec l’un des
éléments
principaux du désir complexe qui est à l’origine
e du désir primitif qui inspirait l’œuvre sans en être précisément un
élément
. La transformation peut être plus marquée encore.
ent en est souvent plus ou moins troublé. Dans l’immense quantité des
éléments
qui interviennent et qui composent soit la tendan
rmeront. Cela peut arriver de plusieurs manières. Tantôt c’est un des
éléments
de l’œuvre qui se développera de façon à finir pa
peu près telle quelle, une œuvre nouvelle se forme autour d’un de ses
éléments
, finit par constituer un organisme distinct et se
e par une sorte de bourgeonnement ; tantôt encore ce sont de nouveaux
éléments
qui, assimilés par l’œuvre en évolution, réagisse
et qui se remplacent. C’est souvent l’évolution particulière d’un des
éléments
de l’œuvre qui vient troubler l’évolution de l’en
la continuation de l’évolution nouvelle et l’élimination des premiers
éléments
qui ne peuvent y trouver leur place. C’est cette
s dirige le mouvement général et devient l’évolution de l’œuvre, où l’
élément
d’abord secondaire a pris le rôle prépondérant, à
er l’œuvre et changer le sens de l’évolution, si l’œuvre ou un de ses
éléments
arrive, en se développant, à se trouver par trop
dans l’invention et son développement, à l’activité indépendante des
éléments
psychiques, et l’irrégularité presque constante d
ion qui se trouve à la base de la transformation. C’est ainsi le même
élément
que nous retrouvons partout. Selon la façon dont
ransformation avortée. Si la transformation ébauchée s’arrête, si les
éléments
discordants qui se développent dans une œuvre, au
Elles sont dues le plus souvent au développement excessif de certains
éléments
qui viennent prendre dans l’ensemble une place ex
que parfois l’œuvre ressemble un peu à un monstre double. Le jeu des
éléments
psychiques, pour peu qu’il reste indépendant, ent
nvention suppose presque fatalement une assez grande indépendance des
éléments
. Il faut donc prévoir que la déviation sera presq
s de développement greffé sur un autre, d’évolution indépendante d’un
élément
de l’œuvre primitive, une transformation d’espèce
sent toujours en favorisant la vie distincte et indépendante d’un des
éléments
de l’œuvre. Parfois on peut les prendre sur le fa
ression un peu vive venant faire entrer dans l’œuvre en évolution les
éléments
qui l’ont provoquée, l’éveil par un élément de l’
l’œuvre en évolution les éléments qui l’ont provoquée, l’éveil par un
élément
de l’œuvre d’un sentiment déjà puissant, une occa
rimitif » est fécond en déviations étranges dues à l’indépendance des
éléments
, à leur incohérence, au développement exagéré de
ce sens et juxtaposent des détails qui ne peuvent s’accorder. Un des
éléments
de l’œuvre devrait en éliminer d’autres, mais ils
’invention de l’artiste devait subir continuellement la pression. Les
éléments
d’une œuvre, dans de pareils cas, sont traités à
ses met souvent en contact avec l’ancienne, avec l’idée première, des
éléments
mal disciplinés qui se développent irrégulièremen
, aussi peu réel que possible, il ne comprend guère, parfois, que des
éléments
peu nombreux, mais très étroitement liés, sans al
oppe, il est obligé de s’allier à d’autres systèmes, de s’annexer des
éléments
qui, presque fatalement, le surchargent de scorie
des projets, des sentiments qui naissent mal conformés, surchargés d’
éléments
discordants, se régulariser, au contraire au fur
détruire le germe d’idée qui vient de naître, et d’en éparpiller les
éléments
, à moins que des circonstances exceptionnelles ne
se transforment par les associations que provoque tel ou tel de leurs
éléments
ou que suscite la pression de l’habitude et de la
ment conscient et voulu, une sorte de méthode. Le jeu indépendant des
éléments
psychiques est très favorable à l’invention, bien
e grandes analogies, s’ils se mêlent toujours et se combinent, si les
éléments
y sont peut-être identiques, le dosage et la comb
ments y sont peut-être identiques, le dosage et la combinaison de ces
éléments
et de leurs composés mêmes y varient assez pour q
réussit quelquefois. Lorsqu’il réussit, le système qui a accueilli l’
élément
et qui le rend ensuite fortifié, qui lui a servi
le de la déviation. Nous y prenons sur le vif la vie indépendante des
éléments
psychiques, nous voyons comment elle produit à ch
ns incessantes, entraînées par le développement anormal de tel ou tel
élément
, écartent l’esprit du sujet de ses réflexions, pu
cela seul est généralement durable qui peut être utilisé, les autres
éléments
sont insensiblement éliminés ; après avoir fait d
ceptions. Nous avons reconnu que le hasard fournissait à l’esprit des
éléments
, qui, saisis par l’idée directrice, vont produire
t pour que l’idée directrice finisse par trouver dans l’une d’elles l’
élément
dont elle a besoin. C’est à cela que répond l’act
nt elle a besoin. C’est à cela que répond l’activité indépendante des
éléments
, et c’est ce que réalise la rêverie voulue de M.
ce sont les images et les idées éveillées par le jeu indépendant des
éléments
psychiques qui remplacent les perceptions données
s la même opération qui se produit. D’une part le jeu indépendant des
éléments
psychiques n’est pas complètement annulé dans le
Chacun de ses progrès est marqué soit par l’harmonie plus grande des
éléments
, soit par l’augmentation de leur nombre. Dans tou
mes, par le non-accroissement ou par la diminution soit du nombre des
éléments
, soit de la systématisation de leurs rapports. So
s s’associent plus étroitement et plus régulièrement et éliminent les
éléments
gênants et parasites est encore une invention où
’invention : la tendance dominante et sa combinaison nouvelle avec un
élément
qu’elle rencontre. Ici la rencontre est préparée
moins, mais la discipline imposée dès l’enfance aux idées, à tous les
éléments
de l’intelligence, leur a ôté toute initiative. E
il nous paraît être une conséquence forcée de ce jeu indépendant des
éléments
psychiques que nous avons reconnu pour une des co
paraisse d’un bloc ou qu’elle résulte d’un travail latent, toujours l’
élément
primitif est quelque chose d’analogue à l’ovule e
ice de l’esprit, mais nous trouvons aussi généralement l’activité des
éléments
qui s’oppose nettement à l’instinct et a la vie o
isément l’invention comme tout état nouveau en général, c’est que ces
éléments
s’opposent et luttent et que l’harmonie générale
ge généralement une certaine activité indépendante et irrégulière des
éléments
psychiques, tout ce qui favorise ce genre d’activ
ofiter de ses divagations et y puiser, au hasard de la rencontre, des
éléments
qu’il transformera en germes d’invention, en créa
re et le désordre, soit parce que le jeu relativement indépendant des
éléments
est naturellement assez marqué chez lui et qu’il
peut donner de l’originalité en transformant le caractère général des
éléments
de l’esprit, en leur imprimant le cachet de l’alc
umis à tous égards, à des lois absolues de finalité. Les rapports des
éléments
de l’esprit montrent parfois de l’incohérence, et
nécessite, dans la synthèse qu’elle produit, presque toujours quelque
élément
disparaît qui devrait rester, quelque autre s’imp
’en ajoute une autre : ses rapports avec le monde extérieur. Tous les
éléments
sur lesquels l’esprit travaille ont des condition
s de phénomènes et spécialement de phénomènes sociaux, à relâcher les
éléments
psychiques, à mettre en jeu leurs affinités spéci
n désordre et qui peut en engendrer d’autres. La vie indépendante des
éléments
est une condition de la fécondité de l’esprit, ma
dmettre maintenant, de petits systèmes relativement simples. Mais ces
éléments
derniers — ou supposés tels — et qui sont les mêm
e leur influence, et à s’accroître en s’annexant toujours de nouveaux
éléments
. Considérée au point de vue abstrait, l’invention
n naît dans un cerveau, il ne trouble guère et ne reconstitue que les
éléments
psychiques qu’il y rencontre, mais en se développ
qu’elle est une organisation nouvelle d’une partie au moins de leurs
éléments
. Elle peut être un mal si le gain ne compense pas
Souriau : La Préface de Cromwell. 7. Dans L’Activité mentale et les
éléments
de l’esprit. 8. Voir Ch. Richet, Les Poisons de
La spécificité des sensations implique-t-elle leur simplicité ? — V.
Elément
relationnel des sensations. — VI. Rapport nécessa
. De plus, outre les hasards des circonstances extérieures, il est un
élément
qui a joué le rôle capital dans le développement
qui, dans une liqueur complexe, discerne l’arôme subtil de tel ou tel
élément
. Si nous étions sensibles à toutes choses d’une s
oir. C’est que, dans nos sensations, nous ne faisons attention qu’aux
éléments
ou ingrédients qui sont pour nous des signes d’ob
n. De même, nous sommes restés sans vision et sans yeux pour tous les
éléments
de la réalité qui ne nous intéressaient pas, qui
s, c’est-à-dire des perceptions plus relevées, ayant elles-mêmes pour
éléments
de petites perceptions non distinguées à part. A
se demander si le sourd est bien absolument sourd et s’il n’y a aucun
élément
sonore dans l’ensemble de ses sensations confuses
. Nous nommons donc sensation tout état complexe dans lequel domine l’
élément
de réceptivité, quoiqu’il y ait toujours en même
arable peut-être de certains plaisirs, quoique contenant encore comme
éléments
essentiels des jouissances subtilement combinées,
entre eux et avec les peines, s’il n’y avait pas dans chacun, outre l’
élément
quantitatif, un élément qualitatif 9. Existe-t-il
ines, s’il n’y avait pas dans chacun, outre l’élément quantitatif, un
élément
qualitatif 9. Existe-t-il un élément primordial a
outre l’élément quantitatif, un élément qualitatif 9. Existe-t-il un
élément
primordial auquel se ramènent toutes les qualités
rature, d’après certaines expériences, semblent se ramener dans leurs
éléments
primitifs à des sensations de contact. De fait, p
e métal échauffé : les deux sensations, ainsi limitées à ce minimum d’
éléments
nerveux, sont si semblables, que souvent on prend
en un ensemble de petits coups faibles qui seraient, selon Spencer, l’
élément
primordial de la sensation. De même que, dans le
, Spencer et Taine ont montré qu’il y a dans toutes les sensations un
élément
quantitatif et un élément dynamique, mais ils n’o
tré qu’il y a dans toutes les sensations un élément quantitatif et un
élément
dynamique, mais ils n’ont nullement montré que le
ment prouvé que la sensation, dans le processus mental, présuppose un
élément
quelconque d’appétition, d’action, de vouloir, de
ment qualitative ? Il y a dans la résistance et dans le choc, outre l’
élément
intensif et quantitatif, qui est prédominant, une
ion des muscles soutenant un poids résistant ; mais peut-on, avec cet
élément
, avec des sensations musculaires ou même prémuscu
s les autres sensations ; qu’il y a même sous toutes les sensations l’
élément
sensoriel répondant au choc, au conflit, à l’oppo
n de forces. Allons plus loin : il y a sous toutes les sensations des
éléments
de motion : en sentant, on se sent mu et mouvant,
t changeant dans la durée avec un rapport vague à l’espace ; mais cet
élément
sensoriel, même en ce qu’il a de qualitatif, ne p
unes à toutes, sur certains concomitants communs et même sur certains
éléments
communs ; mais elles ne peuvent pas porter sur ce
n considère les sensations comme des unités élémentaires qui sont les
éléments
de l’esprit ; on méconnaît le continuum sensitif
t au fond une négation : nous voulons dire que nous ne voyons pas les
éléments
de cette sensation, s’ils existent, que nous ne l
des sensations où la conscience ne saisit pas une certaine quantité d’
éléments
multiples, peuvent fort bien cependant être compl
infailliblement des quantités, à analyser des composés, à saisir des
éléments
absolument simples. Son impuissance n’est pas la
uent un rôle important dans l’appréciation des distances. Une foule d’
éléments
vibrent donc à la fois dans la plus simple excita
brent donc à la fois dans la plus simple excitation lumineuse, et les
éléments
de la sensation, ici, sont présents à la conscien
nscience, et même quand vous ne pouvez discerner, décomposer tous les
éléments
, vous sentez leur présence, vous sentez que chaqu
somme de sensations semblables ; 2° elle saisit aussi une pluralité d’
éléments
qualitatifs, les uns communs à toutes les sensati
Ainsi il y a certains parfums qui nous paraissent composés de trop d’
éléments
pour que nous puissions en faire l’analyse et la
t tellement bien lié et continu que l’analyse n’en distingue plus les
éléments
. Si nous avions un microscope capable de produire
inq sens, qui sont des organes si complexes, se résoudre en plusieurs
éléments
, les uns de qualité semblable, les autres de qual
, mal fondues, se laissent analyser par la conscience, comme certains
éléments
se laissent discerner par le dégustateur dans un
a conscience, et des matérialistes qui veulent tout expliquer par des
éléments
simples de quantité, ou par une qualité prétendue
ce de la réduire en points et en atomes, comme aussi en monades. V
Élément
relationnel des sensations Par cela même que l
ctions en des rapports déterminés, elles renferment nécessairement un
élément
relationnel ; de plus, elles sont toujours saisie
ns de James Ward, nous irons plus loin que lui, et nous admettrons un
élément
sensitif, mais moins caractérisé, jusque dans les
n domaine dans l’autre, sans mesure possible. Mais il y a toujours un
élément
sensitif, avec cette différence que, dans un cas,
les conditions et les causes, dont nous ne pouvons même discerner les
éléments
, mais qui cependant sont immédiatement saisies pa
mais qui cependant sont immédiatement saisies par la conscience. Ces
éléments
, que nous ne pouvons séparer et rendre discontinu
l en soit du passage à l’objectif, la sensation ne peut être formée d’
éléments
inconscients, même combinés avec des éléments con
n ne peut être formée d’éléments inconscients, même combinés avec des
éléments
conscients, ni consister dans de simples rapports
ients, ni consister dans de simples rapports. Les relations entre les
éléments
sensitifs de la conscience sont des conditions de
obable, d’après les indications tirées de la psychologie, c’est que l’
élément
sensationnel existe déjà jusque dans les mouvemen
cher. Dans cette hypothèse, le mouvement serait une transposition des
éléments
sensationnels et appétitifs en langage visuel et
écieux nous répondrons : — Pour qu’il y ait synthèse, il faut que les
éléments
des sensations du bleu, du vert, etc., persistent
la sensation du blanc, laquelle est une autre combinaison de certains
éléments
primordiaux de la sensation lumineuse. Vous n’ave
vert, le bleu et le blanc » : car il y a simplement unité de certains
éléments
communs ; ni de conclure que « le bleu et le vert
ue « le bleu et le vert sont du blanc » ; mais seulement que certains
éléments
primordiaux du bleu et du vert sont aussi les élé
t que certains éléments primordiaux du bleu et du vert sont aussi les
éléments
primordiaux du blanc, diversement combinés, fondu
u contraire leur complexité, qui empêche de les réduire à un de leurs
éléments
pris arbitrairement comme le seul, quand il n’est
es des propriétés des corps simples inorganiques. C’est donc dans les
éléments
organiques, c’est-à-dire dans les parties les plu
sa totalité ; mais il porte son action toxique et paralysante sur un
élément
organique essentiel à la vie. Ensuite il amène la
cation de l’édifice vital par un mécanisme qui variera en raison de l’
élément
primitivement atteint, de la nature et de l’impor
définies qui ne persistent pas après la division ou l’altération de l’
élément
. Telle est en quelques mots l’idée qu’on doit se
roscopiques de notre corps, auxquelles il convient de donner le nom d’
éléments
anatomiques ou peut-être mieux celui d’organismes
ues ou peut-être mieux celui d’organismes élémentaires. En effet, les
éléments
anatomiques sont de véritables organismes élément
nt plus élevé dans l’organisation que la variété physiologique de ses
éléments
se montre plus grande. Nous pouvons donc considér
comme les globules du sang ; mais la plupart sont unis et soudés. Les
éléments
de même espèce se réunissent pour constituer nos
nos tissus, et nos tissus se mélangent pour former nos organes ; les
éléments
d’espèce différente se soudent entre eux afin de
physiologique. Néanmoins, dans toutes ces réunions ou soudures, aucun
élément
ne se confond avec son voisin ; ils s’unissent et
istincts comme des hommes qui se donneraient la main. Chaque espèce d’
éléments
représente ainsi une véritable espèce d’individus
péciale de mourir. Enfin, comme on peut le dire d’un seul mot, chaque
élément
a son autonomie, mais autonomie inconsciente et e
onditions physico-chimiques du milieu organique intérieur. À part les
éléments
organiques qu’on peut appeler passifs, parce que,
sticité et la cohésion à nos organes, il existe deux autres classes d’
éléments
organiques qui nous manifestent une activité cons
tante et nécessaire. Dans la première classe, nous placerons tous les
éléments
organiques qui, sous la forme de vésicules ou de
es tissus glandulaires, muqueux et épithéliaux. Les propriétés de ces
éléments
groupés en tissus se manifestent plus particulièr
omènes de la vie nutritive. Nous placerons dans la seconde classe les
éléments
organiques qui, généralement sous la forme de fib
s musculaires et nerveux. En raison de leurs propriétés, ces derniers
éléments
président aux fonctions de sensibilité et de mouv
que fonction et chaque acte de l’économie, afin de les ramener à leur
élément
organique. Le phénomène de la respiration, malgré
entes, se réduit finalement pour tous les animaux à la propriété de l’
élément
ou globule sanguin qui, au contact de l’air, abso
ue. La digestion, avec les sécrétions qui y concourent, se ramène à l’
élément
glandulaire ou épithélial, qui, sous l’influence
ies auxquelles il est fixé. Nous trouvons dans le système nerveux des
éléments
producteurs et conducteurs, les uns pour la sensi
ulaire en présentant une nouvelle intumescence particulière. Tous ces
éléments
organiques qui composent notre corps sont d’une g
ments, ils ne sont jamais exprimés que par l’activité vitale de trois
éléments
organiques formant une chaîne à anneaux distincts
pendant physiologiquement et hiérarchiquement subordonnées. Ces trois
éléments
sont l’élément nerveux sensitif, l’élément nerveu
giquement et hiérarchiquement subordonnées. Ces trois éléments sont l’
élément
nerveux sensitif, l’élément nerveux moteur, et l’
t subordonnées. Ces trois éléments sont l’élément nerveux sensitif, l’
élément
nerveux moteur, et l’élément musculaire. Le point
ments sont l’élément nerveux sensitif, l’élément nerveux moteur, et l’
élément
musculaire. Le point de départ de l’action physio
ulaire. Le point de départ de l’action physiologique se trouve dans l’
élément
nerveux sensitif ou intellectuel ; sa vibration s
rme en vibration motrice. Cette dernière se propage à son tour dans l’
élément
nerveux moteur, et, arrivée à son extrémité périp
ropriété élémentaire, opère la contraction ou le mouvement. Ces trois
éléments
organiques jouent ainsi le rôle d’excitant les un
es jouent ainsi le rôle d’excitant les uns par rapport aux autres ; l’
élément
nerveux sensitif excite l’élément nerveux moteur,
les uns par rapport aux autres ; l’élément nerveux sensitif excite l’
élément
nerveux moteur, et l’élément nerveux moteur excit
es ; l’élément nerveux sensitif excite l’élément nerveux moteur, et l’
élément
nerveux moteur excite la fibre musculaire, d’où r
ù résulte finalement la contraction. Dans leur action d’ensemble, ces
éléments
ont des relations tellement connexes que, les uns
s sans les autres, ils n’auraient point de raison d’être. En effet, l’
élément
sensitif n’a pas de raison d’être sans l’élément
d’être. En effet, l’élément sensitif n’a pas de raison d’être sans l’
élément
moteur qui indique sa présence, et l’élément mote
de raison d’être sans l’élément moteur qui indique sa présence, et l’
élément
moteur n’aurait pas de raison d’être sans l’éléme
sa présence, et l’élément moteur n’aurait pas de raison d’être sans l’
élément
musculaire sur lequel son influence doit se manif
ois, malgré cette connexion intime et nécessaire, chacun de ces trois
éléments
n’en reste pas moins indépendant et distinct orga
léments n’en reste pas moins indépendant et distinct organiquement. L’
élément
sensitif vit et meurt à sa manière, il a ses pois
f vit et meurt à sa manière, il a ses poisons qui lui sont propres. L’
élément
moteur peut vivre et mourir séparément, il a égal
re et mourir séparément, il a également ses poisons spéciaux. Enfin l’
élément
musculaire a de même des conditions de vie et de
Si cette indépendance organique est réelle pour la vie nutritive des
éléments
, elle n’est plus qu’une illusion au point de vue
ités diverses, elles exigent le concours de toutes. Si l’un des trois
éléments
, sensitif, moteur et musculaire, vient à être sup
ps entier ou notre organisme n’est, nous le répétons, qu’un agrégat d’
éléments
organiques, ou mieux d’organismes élémentaires in
i que ceux d’autres animaux, peuvent vivre dans l’air ; mais tous les
éléments
actifs de leurs fonctions vivent sans exception,
semble de canaux destinés à conduire l’eau, l’air et les aliments aux
éléments
organiques de notre corps, de même que des routes
pas, à proprement parler, de rapports physiologiques actifs avec les
éléments
organiques ; ils ne leur portent rien, ils ne fon
ns les intestins, ainsi que d’autres liquides interstitiels. Tous ces
éléments
constitutifs du milieu intérieur sont ensuite por
stances capables de réagir sur eux. Le sang artériel porte la vie aux
éléments
organiques, parce qu’il contient en dissolution d
iques, parce qu’il contient en dissolution de l’oxygène et les autres
éléments
d’un milieu organique propre à entretenir la vie
jusqu’au cœur ; troisièmement, il doit être amené en contact avec les
éléments
organiques au moyen du système artériel. Ce n’est
s ce cas le poison ne parvient pas jusqu’aux voies qui conduisent aux
éléments
organiques. Trois ans après le retour de Watterto
œur, il peut se répandre par les artères, et arriver ainsi à tous les
éléments
organiques ; mais là encore nous pouvons, à l’aid
bre par exemple, nous empêcherons le sang empoisonné d’être porté aux
éléments
organiques de ce membre, et nous leur conserveron
effets du poison américain. Nous aurons à rechercher d’abord sur quel
élément
organique particulier du corps il a porté son act
xique, et à déterminer ensuite le mécanisme par lequel la mort de cet
élément
a pu amener la mort de tout l’organisme. IV
s est mort à la fois, mais seulement parce que un ou plusieurs de ses
éléments
organiques ont perdu leurs propriétés vitales. En
opsie au moment même de la mort, on doit donc toujours rencontrer des
éléments
organiques qui ont perdu leurs propriétés physiol
nd on pratique l’autopsie vingt-quatre heures après la mort, tous les
éléments
organiques sont éteints, rigides et froids. On ne
convenable pour réveiller et provoquer la réaction physiologique des
éléments
nerveux et musculaires. En agissant directement s
les composent, étaient donc complètement morts, tandis que les autres
éléments
organiques des muscles, du sang, des muqueuses, e
d. Il est maintenant facile de comprendre que l’extinction vitale des
éléments
nerveux qui font contracter les muscles doive ame
l’aération, qui est indispensable pour entretenir la vie de tous les
éléments
organiques qui nous composent. Si le cœur conserv
tration de cette action nette et caractéristique du curare, qui tue l’
élément
nerveux et respecte l’élément musculaire, a résol
et caractéristique du curare, qui tue l’élément nerveux et respecte l’
élément
musculaire, a résolu la question de ce qu’on appe
t l’autopsie physiologique me montra que, comme chez la grenouille, l’
élément
nerveux moteur avait été seul atteint par le cura
ux moteur avait été seul atteint par le curare, tandis que les autres
éléments
organiques avaient conservé leurs propriétés phys
e qu’après avoir été porté par les artères et mis en contact avec nos
éléments
organiques. Rappelons-nous encore qu’en liant ou
la sensibilité. De plus, nous avons prouvé qu’il n’atteint qu’un des
éléments
efficaces du mouvement, le nerf moteur, car le cœ
sion physiologique qui ressort de ces expériences est très-claire : l’
élément
nerveux sensitif, l’élément nerveux moteur et l’é
rt de ces expériences est très-claire : l’élément nerveux sensitif, l’
élément
nerveux moteur et l’élément musculaire ont chacun
ès-claire : l’élément nerveux sensitif, l’élément nerveux moteur et l’
élément
musculaire ont chacun leur autonomie, puisque le
entre eux. Rappelons-nous pourtant que, malgré leur indépendance, les
éléments
organiques n’ont d’effet physiologique que par l’
e chez l’homme ou chez un animal exige le concours de trois termes ou
éléments
anatomiques. L’élément nerveux, sensitif ou volon
n animal exige le concours de trois termes ou éléments anatomiques. L’
élément
nerveux, sensitif ou volontaire est le point de d
ontaire est le point de départ de la détermination motrice. Ensuite l’
élément
nerveux moteur transmet cette détermination au mu
sibilité d’exécution du mouvement existent ; mais par cela seul que l’
élément
nerveux moteur qui forme le trait d’union de la s
e, nous sommes arrivés à localiser l’action du poison américain sur l’
élément
nerveux moteur et déterminer, comme conséquence,
de modification physique ou chimique la substance toxique imprime à l’
élément
organique pour en paralyser l’action. Quant à pré
oduire une altération toxique définitive qui détruise pour toujours l’
élément
organique, ainsi que le font beaucoup de poisons,
curare ne détermine qu’une sorte d’inertie ou d’engourdissement de l’
élément
nerveux moteur. Il en résulte une paralysie de ce
ement de l’élément nerveux moteur. Il en résulte une paralysie de cet
élément
qui dure tant que le curare reste dans le sang en
re. Le curare introduit avec le sang va se mettre en contact avec les
éléments
organiques et paralyser d’une manière successive
iennent à cesser que la mort réelle de l’organisme commence. Tous les
éléments
organiques du corps vont alors être atteints, par
es éléments organiques du corps vont alors être atteints, parce qu’un
élément
indispensable à tous, l’air ou l’oxygène, va manq
plus d’oxygène dans les poumons paralysés, et l’asphyxie de tous les
éléments
organiques arrivera avec une rapidité plus ou moi
ière infaillible pour tous. Nous voyons ainsi que la destruction de l’
élément
nerveux moteur ne tue pas directement, comme si c
tion de l’élément nerveux moteur ne tue pas directement, comme si cet
élément
seul représentait le principe de la vie. La soust
élément seul représentait le principe de la vie. La soustraction de l’
élément
nerveux moteur tue parce que, les autres éléments
La soustraction de l’élément nerveux moteur tue parce que, les autres
éléments
qui avaient des rapports avec lui ne pouvant plus
era donc à circuler et à se charger d’oxygène : de cette manière, les
éléments
organiques que le curare n’a pas atteints continu
e qu’après un temps suffisant tout le curare sera sorti du sang, et l’
élément
nerveux moteur, qui n’avait été qu’engourdi par s
royé et meurt instantanément. Ceci nous prouve en outre qu’il y a des
éléments
nerveux moteurs qui sont plus accessibles à l’act
es à l’action du curare que d’autres. En effet, bien qu’il s’agisse d’
éléments
organiques de même nature, il y a entre eux une h
ues, mais d’un autre côté cette différence dans la susceptibilité des
éléments
pour le poison coïncide avec une vibration moins
loi que toute substance qui, à haute dose, éteint les propriétés d’un
élément
organique, les excite à petite dose. Quand l’acti
édicamenteuse n’est au fond qu’un empoisonnement incomplet. C’est aux
éléments
intimes de notre organisation qu’il faut remonter
, et nous ne cherchons pas à connaître l’origine première de tous ces
éléments
organiques, pas plus que le physicien et le chimi
’eau, et de même qu’il faut renouveler l’eau qui s’altère et perd ses
éléments
nutritifs, de même il faut renouveler, au moyen d
rps animal. Chez l’oiseau, le cœur va chercher les matériaux dans les
éléments
de l’œuf : chez le mammifère, il les puise dans l
dans les éléments de l’œuf : chez le mammifère, il les puise dans les
éléments
du sang maternel. Pendant que cet organe sert ain
lles sont toujours la résultante des propriétés intimes d’une foule d’
éléments
organiques dont l’activité est liée aux condition
ial aux êtres vivants. Ce dernier milieu, qui est en rapport avec nos
éléments
organiques actifs (muscles, nerfs, glandes, etc.)
ssous dans l’eau, car, ainsi que nous l’avons dit ailleurs7, tous les
éléments
organiques actifs qui composent notre organisme s
manière plus précise l’action des substances toxiques sur les divers
éléments
de notre corps8; mais en outre il en résulte des
-chimiques précisés survenues dans notre milieu intérieur ou dans les
éléments
histologiques de nos tissus. Autrefois Buffon ava
fon avait cru qu’il devait exister dans le corps des êtres vivants un
élément
organique particulier qui ne se retrouverait pas
la machine, une fois créée, fonctionne en vertu des propriétés de ses
éléments
constituants et sous l’influence des conditions p
ct physique et chimique du sang, à une certaine température, avec les
éléments
nerveux cérébraux sont nécessaires pour manifeste
sant, jusqu’à l’heure où le dérangement ou la cessation d’action d’un
élément
organique nécessaire amène un trouble dans le jeu
pour déterminisme initial l’action physico-chimique du poison sur un
élément
organisé, bien qu’il puisse ensuite, dans les dét
influence individuelle puisse suffire à les faire avancer lorsque les
éléments
du progrès ne sont pas dans le sol scientifique l
plus délicate et la plus complexe de tous les appareils nerveux. Les
éléments
anatomiques qui le composent sont des éléments ne
appareils nerveux. Les éléments anatomiques qui le composent sont des
éléments
nerveux sous la forme de tubes et de cellules com
sous la forme de tubes et de cellules combinés et unis entre eux. Ces
éléments
sont semblables dans tous les animaux par leurs p
, le cerveau suit encore la loi générale, car dans tous les organes l’
élément
anatomique garde des caractères fixes qui le font
perfectionnement organique consiste surtout dans l’arrangement de ces
éléments
, qui, dans chaque espèce animale, offre une forme
spécifique. Chaque organe serait donc en réalité un appareil dont les
éléments
constitutifs restent identiques, mais dont le gro
ans le cerveau que dans tous les autres organes. Le sang agit sur les
éléments
anatomiques de tous les tissus en leur apportant
e les fonctions sont anéanties. Il en est absolument de même pour les
éléments
anatomiques du cerveau. Dès que le sang cesse d’y
in pénètre dans tous les replis de l’organe, et s’accumule autour des
éléments
anatomiques pour réveiller et exciter leur mode d
s substances toxiques diverses destinées à porter leur action sur les
éléments
anatomiques des organes laissés en place et conse
cette méthode, on peut éteindre isolément les propriétés de certains
éléments
nerveux et cérébraux de la même manière qu’on iso
nerveux et cérébraux de la même manière qu’on isole aussi les autres
éléments
organiques musculaires ou sanguins. Les anesthési
oxydante du globule sanguin sans modifier en rien les propriétés des
éléments
nerveux. Comme on le voit, par cette méthode d’in
péciaux ont été respectés. Peu à peu, le cerveau se régénère avec ses
éléments
anatomiques spéciaux, et, à mesure que cette régé
ellement. Ils ne considèrent qu’une seule espèce de matière, dont les
éléments
, grâce à leurs figures, jouissent de la propriété
l ne reste plus que quelques principes terreux et salins ; les autres
éléments
se sont dispersés dans les airs et dans les eaux
elle a sa cause dans l’attraction élective des divers agents pour les
éléments
qui le composaient. Cependant ce corps en était é
s propriétés des corps vivants et celles des corps bruts, puisque les
éléments
constituants de ces deux ordres de corps sont les
se en prouvant que tous les corps vivants sont exclusivement formés d’
éléments
minéraux empruntés au milieu cosmique. Le corps d
e des corps vivants, est matériellement constitué par quatorze de ces
éléments
. On comprend bien que ces quatorze corps simples
n faire des principes nutritifs, tantôt elle en forme directement les
éléments
des tissus. C’est ainsi que nous voyons, à côté d
ution par lesquels l’embryon constitue à l’origine ses organes et ses
éléments
anatomiques. L’être vivant est donc caractérisé à
ritifs spéciaux destinés aux combustions fonctionnelles de chacun des
éléments
de nos tissus ou de nos organes. Lorsque des phén
xtrémité nerveuse motrice retentit successivement sur tous les autres
éléments
vitaux, et amène des déterminismes secondaires qu
Chapitre premier. Les sensations totales de l’ouïe et leurs
éléments
Sommaire. I. Réduction des idées à une classe
fèrent des autres faits également classés. — Nous ne démêlons pas les
éléments
des sensations. — Les sciences physiques et physi
ns. — Les sciences physiques et physiologiques ne peuvent démêler ces
éléments
, mais seulement les conditions des sensations tot
otent les divers états du corps sain ou malade, et qui sont moins des
éléments
de connaissance que des stimulants d’action ; on
die de notre corps, et qui sont moins des stimulants d’action que des
éléments
de connaissance. On les nomme sensations de la vi
e réduit notre connaissance. Nous ne pouvons énumérer et préciser ses
éléments
comme lorsqu’il s’agit de deux espèces minérales
’agit de deux espèces minérales ou végétales ; nous n’avons pas ici d’
éléments
comparables, capables de s’additionner ou de s’or
les sciences morales nous manquent aussi. Nous n’avons point ici ces
éléments
communs, images, représentations, idées générales
a plante entière. — Mais, justement parce que nos sensations sont les
éléments
dont se compose le reste, nous ne pouvons les déc
ous ne pouvons les décomposer comme le reste ; nous ne trouvons pas d’
éléments
à ces éléments. Nous pouvons montrer comment avec
les décomposer comme le reste ; nous ne trouvons pas d’éléments à ces
éléments
. Nous pouvons montrer comment avec elles nous for
. Je saurai les circonstances où elle naît ; je ne connaîtrai pas ses
éléments
, ni même si elle en a. Tout au plus trouverai-je
ologie, les différences et les ressemblances sont constituées par des
éléments
homogènes et précis, le nombre, la force et la fo
le nombre, la force et la forme, tandis que, dans les sensations, nul
élément
pareil ne pouvant être isolé, nous sommes réduits
sables en nombre indéfini. III Cependant les sensations ont des
éléments
, et on va s’en assurer par divers exemples. Chacu
saisit que des composés ; son affaire est de les décomposer en leurs
éléments
, de montrer les divers groupements dont les mêmes
r en leurs éléments, de montrer les divers groupements dont les mêmes
éléments
sont capables, et de construire avec eux les dive
ant que par la durée, la proximité, la grandeur et le nombre de leurs
éléments
. Or il est un groupe de sensations dans lequel la
être perceptibles, de s’agglutiner deux à deux en un total. Voilà les
éléments
de la sensation qui dure une seconde et les éléme
total. Voilà les éléments de la sensation qui dure une seconde et les
éléments
de ses éléments. Maintenant, dans le passage du g
éléments de la sensation qui dure une seconde et les éléments de ses
éléments
. Maintenant, dans le passage du grave à l’aigu, q
emblables, le son est un bruit. — Si, dans le couple ainsi formé, les
éléments
sont de durée plus longue, le son est plus grave
ons distinctes. Elles sont des composés et des totaux. Pour que leurs
éléments
soient perceptibles à la conscience, il faut que,
seuls nous sont connus, et ne nous sont connus qu’en gros. Quant aux
éléments
et aux éléments des éléments, la conscience ne le
connus, et ne nous sont connus qu’en gros. Quant aux éléments et aux
éléments
des éléments, la conscience ne les atteint pas, l
e nous sont connus qu’en gros. Quant aux éléments et aux éléments des
éléments
, la conscience ne les atteint pas, le raisonnemen
ée, mais punie14. L’État ne tient pas compte de l’infinie variété des
éléments
humains qui étaient aux prises dans la confusion
; elle est la dernière victoire de la pensée sur toute forme et tout
élément
étranger ; elle est le plus haut degré de la libe
la conscience, et qui par conséquent peuvent être regardés comme des
éléments
réels de la nature humaine ; 2º qu’il n’y a pas d
des éléments réels de la nature humaine ; 2º qu’il n’y a pas d’autres
éléments
, et que ceux-là épuisent la capacité de la nature
d éternel de l’humanité ; 5º que dans l’ordre de leur développement l’
élément
philosophique vient nécessairement le dernier ; 6
l’espèce. Il n’y a et il ne peut y avoir dans l’espèce que les mêmes
éléments
qui sont dans l’individu, avec cette différence q
e l’espèce humaine dans l’histoire ? la civilisation. Autant il y a d’
éléments
dans la nature humaine et dans l’individu, autant
dans l’unité de la nature humaine ; ses variétés, dans la variété des
éléments
de l’humanité. Tout ce qui est dans la nature hum
que. Par exemple, si par l’analyse psychologique vous aviez trouvé un
élément
humain dans la conscience individuelle que vous n
mille ans, je vous conseillerais fort de douter de la réalité de cet
élément
: ou si vous trouviez dans l’histoire un élément
de la réalité de cet élément : ou si vous trouviez dans l’histoire un
élément
que ne vous eût pas donné l’analyse psychologique
oire la philosophie a toujours eu son existence comme tous les autres
éléments
de la nature humaine ; si elle s’y développe exac
me manière que dans la conscience, si elle y soutient avec les autres
éléments
de la civilisation le même rapport que nous l’avo
isation le même rapport que nous l’avons vue soutenir avec les autres
éléments
de la conscience, alors nous serons certains que
armonie, et l’Orient, pris en masse, a son caractère propre. Tous les
éléments
de la nature humaine sont dans l’Orient, mais ils
le devait subir la condition commune, être enveloppée dans les autres
éléments
que nous avons signalés, et particulièrement dans
éments que nous avons signalés, et particulièrement dans celui de ces
éléments
qui dominait tous les autres, l’élément religieux
ulièrement dans celui de ces éléments qui dominait tous les autres, l’
élément
religieux. Il ne semble pas que dans l’Égypte et
ie. Si dans le monde oriental la condition de l’existence de tous les
éléments
de la nature humaine était leur enveloppement, la
Orient, nous l’avons dit, la philosophie existe comme tous les autres
éléments
de l’humanité, mais sous la condition de l’envelo
e ; avec elle commence la liberté en tout genre. En Grèce, les divers
éléments
de la nature humaine se rencontrent comme dans l’
t suivre nécessairement, en Grèce, la même marche que tous les autres
éléments
de la civilisation. Puisqu’il y avait plus de lib
ivilisation. Puisqu’il y avait plus de liberté dans le jeu des autres
éléments
, il dut y avoir dans la philosophie une liberté b
comme dans l’Orient, étaient et ne pouvaient pas ne pas être tous les
éléments
de la nature humaine ; car le moyen âge appartien
oyen âge appartient à l’humanité comme la Grèce et l’Orient. Tous les
éléments
humains y étaient donc, mais confondus dans l’élé
ient. Tous les éléments humains y étaient donc, mais confondus dans l’
élément
dominant du moyen âge ; car dans toute époque il
yen âge ; car dans toute époque il y a et il doit toujours y avoir un
élément
dominant, qui n’exclut pas les autres, mais les e
élément dominant, qui n’exclut pas les autres, mais les enveloppe. L’
élément
dominant du moyen âge est l’Église. L’Église a mi
été dit de la philosophie. 1º Que l’histoire de la philosophie est un
élément
réel de l’histoire universelle, comme l’histoire
image visible de la nature humaine, renferme à toutes ses époques un
élément
philosophique, qui a son rôle aussi sur la scène
rselle les mêmes rapports que soutient la philosophie avec les autres
éléments
de la civilisation et de la nature humaine. Cette
conséquence des prémisses que nous avons posées. S’il est vrai que l’
élément
philosophique dans la pensée soit supérieur à tou
élément philosophique dans la pensée soit supérieur à tous les autres
éléments
, je le dis avec un peu d’embarras, mais je suis f
Je me hâte d’arriver à l’histoire. Dans l’histoire aussi il y a deux
éléments
. Il y a les développements plus ou moins considér
princes et la plupart du temps sur les champs de bataille. C’est là l’
élément
extérieur et pour ainsi dire concret d’une époque
pour elle-même comme si elle n’était point. La philosophie est donc l’
élément
interne, l’élément abstrait, l’élément idéal, l’é
e si elle n’était point. La philosophie est donc l’élément interne, l’
élément
abstrait, l’élément idéal, l’élément réfléchi, et
int. La philosophie est donc l’élément interne, l’élément abstrait, l’
élément
idéal, l’élément réfléchi, et par conséquent l’ex
ie est donc l’élément interne, l’élément abstrait, l’élément idéal, l’
élément
réfléchi, et par conséquent l’expression la plus
présidé à la formation de cette époque et à l’organisation des divers
éléments
dont elle se compose ; Que de choses alors vous c
ssisteraient aux assemblées politiques. Je ne prétends pas que sans l’
élément
philosophique le siècle de Périclès soit incompré
umineux. D’abord, en général, dans le progrès de la civilisation, les
éléments
extérieurs de chaque siècle, et, si vous me perme
prendre à volonté un certain nombre de siècles, et vous proposer, les
éléments
extérieurs de chacun de ces siècles étant donnés,
donnée, de déterminer d’une manière générale le caractère de tous les
éléments
extérieurs de cette époque. Je me bornerai au dix
sentiment et la pensée manquent de grandeur. Parcourez ainsi tous les
éléments
du dix-huitième siècle, vous en pourrez d’avance
gnante. On peut, je le répète, faire ces deux opérations : partir des
éléments
extérieurs d’une époque et remonter à sa philosop
ilosophie, ou bien aller de la philosophie de cette époque aux autres
éléments
contemporains ; avec cette différence qu’en se pl
n s’établit au centre même de l’époque, tandis qu’en prenant un autre
élément
, quel qu’il soit, on reste à l’un des points de l
eulement que l’humanité se connaît elle-même pleinement avec tous ses
éléments
, portés pour ainsi dire à leur plus haute puissan
à où il n’y a point d’histoire ou presque point d’histoire des autres
éléments
de la civilisation, n’attendez pas une histoire d
deux méthodes en une seule, qui, partant de la raison humaine, de ses
éléments
, de leurs rapports et de leurs lois, chercherait
s points que la méthode doit embrasser : 1º rémunération complète des
éléments
de la raison ; 2º leur réduction ; 3º leur rappor
herche. Aristote et Kant. Vices de leur théorie. — 1º Énumération des
éléments
de la raison ; 2º réduction à deux, l’unité et la
t générale. Elle est spéciale, car elle retrace le développement d’un
élément
particulier de la nature humaine, la réflexion ;
le développement de la réflexion présuppose celui de tous les autres
éléments
de la nature humaine, ainsi l’histoire de la phil
ntelligence de cet ordre à sa source unique, dans la connaissance des
éléments
constitutifs de la nature humaine. Il ne faudrait
s parties de l’histoire ; car s’il y a dans la nature humaine un seul
élément
qui vous soit à charge, pour lequel vous éprouvie
personnage historique ? Évidemment, c’est l’homme. Il y a beaucoup d’
éléments
divers dans l’histoire. Quels peuvent être ces él
a beaucoup d’éléments divers dans l’histoire. Quels peuvent être ces
éléments
? Évidemment encore, les éléments de la nature hu
l’histoire. Quels peuvent être ces éléments ? Évidemment encore, les
éléments
de la nature humaine. Maintenant, quelle est la p
quelle succombe la méthode expérimentale ? C’est le nombre infini des
éléments
possibles de l’histoire dans lesquels cette métho
écessairement. Mais s’il ne peut pas y avoir dans l’histoire d’autres
éléments
que ceux de l’humanité, et si nous pouvions d’ava
vance, avant d’entrer dans l’histoire, être en possession de tous les
éléments
de l’humanité, nous aurions beaucoup gagné ; car
histoire, nous saurions qu’il ne peut s’y rencontrer que tels et tels
éléments
: nous aurions déjà entre les mains toutes les pi
pièces ; sans quoi le jeu de la machine échappe. Une fois donnés les
éléments
de l’histoire j’entends leurs éléments essentiels
e échappe. Une fois donnés les éléments de l’histoire j’entends leurs
éléments
essentiels, il s’agit de déterminer leurs rapport
s’agit de déterminer leurs rapports, rapports essentiels comme leurs
éléments
eux-mêmes. Or, qu’est-ce que les rapports essenti
storique du dernier siècle s’est adressé à la nature des choses ; les
éléments
essentiels déterminés, il a saisi leurs rapports
ure des choses ne changeât en se développant, il fallait bien que ces
éléments
se retrouvassent dans l’histoire avec leurs rappo
econde méthode : je sais qu’il est possible de croire avoir saisi les
éléments
essentiels de la nature humaine, et de n’avoir qu
ans le labyrinthe de l’histoire. Il faut commencer par rechercher les
éléments
essentiels de l’humanité ; puis de la nature de c
cher les éléments essentiels de l’humanité ; puis de la nature de ces
éléments
tirer leurs rapports fondamentaux ; de leurs rapp
raison humaine, c’est le fond même de la philosophie. Les différents
éléments
de la raison humaine avec leurs rapports et avec
istoire de la philosophie sera la philosophie elle-même avec tous ses
éléments
, avec tous leurs rapports, avec toutes leurs lois
la méthode qui vient d’être exposée, il faut d’abord reconnaître les
éléments
de la raison humaine. Quels sont les éléments de
d’abord reconnaître les éléments de la raison humaine. Quels sont les
éléments
de la raison humaine, c’est-à-dire quelles sont l
ts. Il faut premièrement constater et énumérer dans leur totalité les
éléments
ou idées essentielles de la raison ; il faut les
t que nous n’en omettons aucun ; car si nous en imaginons un seul, un
élément
hypothétique nous conduirait à des rapports hypot
mération complète. La seconde est un examen si approfondi de tous ces
éléments
qu’il aboutisse à leur réduction, et que nous fin
t que nous finissions par avoir entre les mains le nombre déterminé d’
éléments
simples et indécomposables qui sont la borne de l
oisième loi de la méthode est l’examen des différents rapports de ces
éléments
entre eux ; je dis des différents rapports, car c
s de ces éléments entre eux ; je dis des différents rapports, car ces
éléments
peuvent soutenir un grand nombre de rapports diff
ais il n’en faudrait négliger aucun. C’est quand nous aurons tous ces
éléments
, quand nous les aurons réduits, quand nous aurons
se mon premier enseignement, j’ai plus d’une fois tenté l’analyse des
éléments
essentiels de la raison humaine, dans la métaphys
es sont de longues études48. L’analyse rigoureuse et scientifique des
éléments
de la raison humaine a été deux fois sérieusement
ndeurs de la raison humaine, d’en rechercher et d’en décrire tous les
éléments
. Il y a environ cinquante ans, celui de tous les
ristote, Kant, a renouvelé ce grand travail. Aristote avait donné aux
éléments
de la raison humaine le titre célèbre de catégori
, il s’agit de faits. Je pense qu’après Aristote et Kant la liste des
éléments
de la raison doit être fermée, et que ces deux gr
Mais je suis loin de penser que la réduction qu’ils ont faite de ces
éléments
soit la borne de l’analyse, ni qu’ils aient disce
l’analyse, ni qu’ils aient discerné les rapports fondamentaux de ces
éléments
. Quels sont ces éléments légitimes ? Quelle est l
nt discerné les rapports fondamentaux de ces éléments. Quels sont ces
éléments
légitimes ? Quelle est leur réduction ? Quels son
édais analytiquement, je vous énumérerais l’un après l’autre tous les
éléments
de la raison ; je vous démontrerais leur réalité,
votre conscience aussi clairement que dans la mienne, quand tous ces
éléments
seraient énumérés, constatés, décrits, je procéde
utant vaut que cette synthèse soit rapide. Voilà, selon moi, tous les
éléments
de la raison humaine. Monde extérieur, monde inte
omme le néant de l’existence. La réalité est dans l’union de ces deux
éléments
, quoiqu’essentiellement l’un soit supérieur et an
e fait ; leur seule différence vient de la prédominance de tel ou tel
élément
de ce fait, selon l’attention plus ou moins grand
du genre humain : son identité est dans l’égale possession des trois
éléments
de la conscience ; ses différences viennent de la
e le second du premier et qui l’y rapporte sans cesse, sont les trois
éléments
intégrants de l’intelligence. Il n’est pas au pou
a vie de l’intelligence divine, vous avez cette intelligence avec les
éléments
divers et harmonieux qui lui sont nécessaires pou
vraie intelligence. Résumons-nous. Il y a dans la raison humaine deux
éléments
distincts avec leur rapport, c’est-à-dire trois é
humaine deux éléments distincts avec leur rapport, c’est-à-dire trois
éléments
, trois idées. Ces trois idées ne sont pas un prod
n même temps cette unité périrait tout entière dans un seul des trois
éléments
qui lui sont nécessaires ; ils ont donc tous la m
hange. De même si Dieu est dans le monde, si Dieu y est avec tous les
éléments
qui constituent son être, il n’y est ni absorbé n
a pas de contrepoids, tout se divise et se subdivise infiniment ; les
éléments
qui résultent de cette subdivision infinie se sub
ntiguïté dans l’espace, ni continuité dans le temps ; il n’y a plus d’
éléments
distincts, il n’y a plus que des quantités indéfi
ité, c’est tout cela, plus la connaissance de tout cela ; ce sont les
éléments
constitutifs de toute existence amenés sous les y
le plus ou moins de clarté dans la manière de se rendre compte de ces
éléments
. Il en est de même du genre humain. Le genre huma
nération comme dans la dernière, possède, ni plus ni moins, les trois
éléments
que nous avons signalés. Il n’est pas au pouvoir
n’y a d’histoire que de ce qui change. La variété dans l’unité est l’
élément
de l’histoire. La puissance de la variété, entre
de la sienne. Le genre humain, qui a toujours en permanence les trois
éléments
fondamentaux de la conscience, admet aussi des di
aison humaine dans l’aperception spontanée de la vérité. — Réflexion,
élément
de différence. — Nécessité et utilité de la réfle
et du non-moi, c’est-à-dire du fini à l’infini ; ce sont là les trois
éléments
du fait de conscience. Ce fait, transporté de l’i
plie sur lui-même et rentre dans sa conscience, il y trouve les trois
éléments
que nous avons signalés. D’abord, vous vous trouv
par l’analyse, c’est-à-dire par la réflexion. Or, la réflexion a pour
élément
nécessaire la volonté, et la volonté c’est la per
oderne, après avoir séparé les catégories d’avec la sensation et tout
élément
empirique, après les avoir énumérées et classées,
t-il mémoire ? à la condition du temps. La réflexion ne considère les
éléments
de la pensée que successivement et non pas tous à
onsidère, pour un moment au moins, isolément ; et comme chacun de ces
éléments
est important en lui-même, l’effet qu’il produit
effet qu’il produit sur la réflexion peut être tel qu’elle prenne cet
élément
particulier du phénomène complexe de la pensée po
onscience exige qu’il y ait toujours dans la conscience quelqu’un des
éléments
nécessaires de la conscience. Ne perdez pas cela
, même avec aberration, il faut au moins la présence de quelqu’un des
éléments
de la conscience ; il faut qu’il y ait aperceptio
eté. Soit ; mais la conscience n’est pas détruite, et tous les autres
éléments
subsistent : à côté de cette erreur il y aura la
chargerai ainsi, avec Descartes, de rétablir successivement tous les
éléments
de la croyance universelle. La réflexion, dans se
e partielles : il y a toujours de la ressource là où il reste quelque
élément
de vérité ; et il reste nécessairement quelque él
reste quelque élément de vérité ; et il reste nécessairement quelque
élément
de vérité dans la pensée, même pour le scepticism
la réflexion la plus bornée, la plus sceptique, subsiste toujours un
élément
considérable de foi et des croyances assez étendu
que partielle ; elle vient de la succession nécessaire des différents
éléments
de la vérité et de la pensée sous l’œil pénétrant
écessaires, qui grandissent en proportion de la scène. Les différents
éléments
dont se compose la conscience du genre humain ne
sa faiblesse, n’aperçoit que celui-là. Il a raison de croire que cet
élément
existe, mais il a tort de croire que celui-là seu
De là l’erreur. Ici encore l’erreur n’est qu’une vue incomplète. Tout
élément
particulier qui passe sur le théâtre de l’histoir
en vérités incomplètes le cercle des vérités s’étende, les différents
éléments
de la pensée se manifestent et arrivent à leur en
dévorent. Cela même est un bien, puisqu’à cette condition seule, les
éléments
fondamentaux de l’humanité se développent. Encore
a laissé une trace lumineuse ? n’a-t-il pas déposé dans l’histoire un
élément
immortel ? Aristote et le péripatétisme y ont dép
élément immortel ? Aristote et le péripatétisme y ont déposé un autre
élément
; et c’est d’éléments en éléments ajoutés les uns
istote et le péripatétisme y ont déposé un autre élément ; et c’est d’
éléments
en éléments ajoutés les uns aux autres que s’est
péripatétisme y ont déposé un autre élément ; et c’est d’éléments en
éléments
ajoutés les uns aux autres que s’est enrichi le t
mme prendra une autre nature, que cette nature contiendra de nouveaux
éléments
, lesquels engendreront de nouveaux rapports, des
y peut découvrir autre chose que ce qui y est, c’est-à-dire ces trois
éléments
diversement combinés. Et les combinaisons ne sont
les modes. Comme la réflexion ne peut ajouter à la conscience un seul
élément
, ainsi l’histoire ne peut pas ajouter un seul élé
science un seul élément, ainsi l’histoire ne peut pas ajouter un seul
élément
à la nature humaine : elle la développe et rien d
e en vue incomplète, à la connaissance complète d’elle et de tous ses
éléments
essentiels successivement dégagés, éclaircis par
llions d’années, l’humanité ni l’individu ne se donneront pas un seul
élément
nouveau. L’individu naîtra ; s’il naît, il mourra
’histoire, qui est celui de la pensée. Maintenant, combien y a-t-il d’
éléments
dans la pensée ? Vous l’avez vu : trois, ni plus
i, en brisant cette unité, dissipe les nuages qui couvrent ses divers
éléments
, et les éclaircit en les distinguant. Le but dern
but dernier de la réflexion est, en considérant à part chacun de ces
éléments
, de les bien connaître tous, et d’arriver ainsi à
ainsi à la recomposition d’une unité nouvelle, dans laquelle tous les
éléments
primitifs se retrouvent, mais environnés de la ha
donc consentir à ce qui seul peut y conduire, à la décomposition des
éléments
primitifs et à l’examen spécial de chacun d’eux.
nguer pour éclaircir : elle distingue, elle sépare, elle prend chaque
élément
un à un ; pendant qu’elle s’attache à l’un, l’aut
rer ce qui passe présentement sous son regard comme le seul et unique
élément
réel. De là non pas seulement, comme je l’ai dit
n, la possibilité, mais la nécessité de l’erreur. L’erreur est un des
éléments
de la pensée pris pour la pensée tout entière, un
u pouvoir de la pensée, si elle est, de ne pas posséder quelqu’un des
éléments
qui la constituent ; sans quoi, tout élément de r
posséder quelqu’un des éléments qui la constituent ; sans quoi, tout
élément
de réalité manquant, toute pensée, même extravaga
n’admet ni erreur ni différence ; mais la réflexion, en divisant les
éléments
de la pensée, en les considérant à l’exclusion l’
xion. On peut, en se repliant sur soi-même, être frappé de tel ou tel
élément
de sa pensée ; tous, étant vrais, peuvent égaleme
t que l’erreur prenne la forme de la vérité pour se faire admettre. L’
élément
que nous considérons à part, doit être réel pour
rer notre attention ; mais tout réel qu’il est, par cela qu’il est un
élément
particulier, il ne suffit point à la capacité de
ous-mêmes à toute préoccupation exclusive, c’est d’embrasser tous les
éléments
de la pensée, et de reconstruire ainsi en vous l’
t pas autre chose, quel que soit son objet, que la préoccupation d’un
élément
de la pensée, dans l’ignorance ou le dédain de to
, l’histoire l’est au genre humain. L’histoire fait paraître tous les
éléments
essentiels de l’humanité au moyen du temps ; la c
ps, c’est la succession ; et la succession suppose qu’au moment où un
élément
se développe, les autres ne se développent pas en
re humain. Une époque du genre humain n’est pas autre chose qu’un des
éléments
de l’humanité développé à part, et occupant sur l
ine. Si une époque n’est pas autre chose que la prédominance d’un des
éléments
de l’humanité pendant le temps nécessaire pour qu
n des éléments de l’humanité pendant le temps nécessaire pour que cet
élément
parcoure tout son développement, il y a nécessair
ent, il y a nécessairement plusieurs époques, puisqu’il y a plusieurs
éléments
. Mais combien y a-t-il d’époques ? Il est clair q
poques ? Il est clair qu’il doit y avoir autant d’époques qu’il y a d’
éléments
; et s’il n’y a que trois éléments, il n’y a et i
avoir autant d’époques qu’il y a d’éléments ; et s’il n’y a que trois
éléments
, il n’y a et il ne peut y avoir que trois grandes
n l’humanité ? et que peut-elle développer dans l’humanité, sinon les
éléments
qui la constituent ? Par conséquent quels caractè
ond et la loi de l’esprit humain ? Par exemple, l’idée du fini est un
élément
nécessaire de la pensée. Il faudra donc que cet é
u fini est un élément nécessaire de la pensée. Il faudra donc que cet
élément
ait son développement historique complet, c’est-à
les prenant toutes76. Enfin, comme je vous ai fait voir que ces deux
éléments
du fini et de l’infini ne sont pas seuls, qu’il y
de vie que dans la complexité ; mais sur ce fonds commun se détache l’
élément
dont l’heure est venue, et qui, dans son contrast
nt l’heure est venue, et qui, dans son contraste avec tous les autres
éléments
et dans sa supériorité sur eux tous, donne son no
es il doit y avoir, aussitôt qu’on est sorti de l’unité primitive, un
élément
dominant. Et comme cet élément en se développant
’on est sorti de l’unité primitive, un élément dominant. Et comme cet
élément
en se développant rencontre nécessairement les au
mme cet élément en se développant rencontre nécessairement les autres
éléments
qui aspirent aussi à jouer le rôle principal, de
se succèdent qu’en se faisant la guerre, ainsi le développement d’un
élément
dans une époque particulière n’a lieu que par la
lément dans une époque particulière n’a lieu que par la guerre de cet
élément
avec tous les autres. Tout est dans tout : les tr
e de cet élément avec tous les autres. Tout est dans tout : les trois
éléments
sont dans chaque époque ; mais chacun d’eux, pour
éveloppement, doit avoir une époque à soi. Si donc il n’y a que trois
éléments
, il ne peut y avoir que trois époques. Essayez de
sant que deux, vous ôtez le plein et entier développement de l’un des
éléments
constitutifs de l’humanité. Est-il possible, si l
ments constitutifs de l’humanité. Est-il possible, si l’infini est un
élément
considérable de la pensée, qu’il n’occupe pas tou
Consultez le monde extérieur. Y voyez-vous autre chose que les trois
éléments
qui nous occupent ? L’harmonie qui y règne suppos
variété et de l’unité. Enfin dans Dieu aussi nous avons reconnu trois
éléments
, la sainte et immortelle triplicité dans laquelle
e l’humanité se succèdent, recherchons dans quel ordre les différents
éléments
de la pensée se succèdent dans la réflexion. L’hi
i : Dans la conscience nous sont donnés ensemble et confusément trois
éléments
, le moi et le non-moi ou le fini, l’infini et leu
s’y appliquant les divise pour les éclaircir ; quel est celui de ces
éléments
qui le premier la sollicite ? Il est impossible q
dans l’histoire, l’époque réservée à la tentative de réunir ces deux
éléments
contraires devra venir la dernière. Nous avons do
e, sous la forme de puissances substantielles et éternelles, tous les
éléments
qui plus tard, tombés dans le temps et dans l’esp
. — Idée d’un peuple ; développement de cette idée à travers tous les
éléments
constitutifs de ce peuple, et d’abord dans l’indu
lois, l’art et la religion. — La philosophie, réfléchissant tous les
éléments
de la civilisation d’un peuple, en est l’expressi
s peuples, parce que si chaque époque est une en ce sens qu’il y a un
élément
de la nature humaine qui y prévaut sur les autres
u’il y a un élément de la nature humaine qui y prévaut sur les autres
éléments
, une idée qui, dominant sur toutes les autres idé
ins vrai qu’il existe, à côté ou au-dessous, d’autres idées, d’autres
éléments
qui jouent dans cette même époque des rôles secon
essivement, doit rechercher et suivre ce progrès dans chacun des cinq
éléments
que nous venons de rappeler, et d’abord dans l’in
doit pas suffire à la philosophie de l’histoire d’examiner ces quatre
éléments
les uns après les autres, il faut qu’elle les com
sont loin d’être indifférents. Il faut qu’elle examine si tel ou tel
élément
précède les autres ou les suit, lequel domine, le
sont subordonnés ; il faut qu’elle recherche surtout le rapport de l’
élément
religieux et de l’élément politique, si la religi
t qu’elle recherche surtout le rapport de l’élément religieux et de l’
élément
politique, si la religion précède et domine les a
t de l’élément politique, si la religion précède et domine les autres
éléments
, qui alors se groupent en quelque sorte autour d’
e groupent en quelque sorte autour d’elle, ou si au contraire c’est l’
élément
politique qui domine d’abord ou qui finit par dom
lier, par exemple, de l’intérêt politique, considère dans un peuple l’
élément
politique presque exclusivement ; ou, préoccupé d
t ; ou, préoccupé de l’intérêt de la religion, il considère surtout l’
élément
religieux ; et alors ou il néglige tous les autre
s négliger, il leur impose à tous le caractère qu’il emprunte au seul
élément
qu’il considère, et s’il ne mutile pas l’histoire
métaphysique est resté le même, à savoir, de rappeler la pensée à ses
éléments
essentiels ; et ces éléments, toujours les mêmes,
e, à savoir, de rappeler la pensée à ses éléments essentiels ; et ces
éléments
, toujours les mêmes, affectent toujours à peu prè
de systèmes, sans rapport avec l’esprit du temps, ni avec les autres
éléments
de la civilisation d’un peuple ; ou, si vous n’os
ophiques des différents peuples d’une époque, elle verra que tous ces
éléments
ont entre eux des ressemblances merveilleuses. Le
décrit ces rapports avec le calme de la philosophie. Mais ces divers
éléments
ne le prennent point ainsi ; nul ne veut se subor
anité qui n’avance et ne peut avancer que par le retranchement de ses
éléments
corrompus. Puisqu’on parle de victimes, qu’on sac
militaire d’une nation, je me fais fort de retrouver tous les autres
éléments
de son histoire, car tout tient à tout, et tout s
La philosophie de l’histoire doit considérer dans un peuple tous ses
éléments
intérieurs, l’agriculture, le commerce, l’industr
l’État, la philosophie : il faut qu’elle saisisse l’idée que tous ces
éléments
renferment et développent ; ensuite il faut qu’el
uple qu’à la condition d’exprimer une idée qui, passant dans tous les
éléments
dont se compose la vie intérieure de ce peuple, d
galement le grand homme. D’un côté l’individualité toute seule est un
élément
de misère et de petitesse ; car la particularité,
prit d’un peuple. Quand l’esprit d’un peuple a pénétré les différents
éléments
dont la vie de ce peuple se compose, qu’il les a
alité ; or, nous l’avons vu, c’est précisément l’alliance de ces deux
éléments
qui constitue le grand homme. Enfin rappelez-vous
Difficultés de l’histoire universelle. Ses lois : 1º N’omettre aucun
élément
de l’humanité ; 2º n’omettre aucun siècle. — Que
toutes les difficultés d’une histoire universelle. D’abord, tous les
éléments
de l’humanité doivent y entrer, et ces éléments s
le. D’abord, tous les éléments de l’humanité doivent y entrer, et ces
éléments
sont divers et nombreux ; ce sont l’industrie, le
non seulement une histoire de l’humanité ne doit exclure aucun de ces
éléments
, mais elle doit suivre chacun d’eux et tous ensem
dans tous les temps. Il ne faut pas qu’elle retranche un seul de ces
éléments
, car alors ce n’est plus l’histoire complète de l
cle, car alors elle méconnaît le développement particulier de quelque
élément
, un côté peut-être important de l’humanité. Les d
deux lois d’une histoire universelle sont donc de n’omettre aucun des
éléments
fondamentaux de l’humanité et de n’omettre aucun
r l’humanité tout entière, et elles porteront sur quelques-uns de ses
éléments
, dont elles suivront le développement dans certai
ait être absurde pour s’attacher à une pure chimère. On prend donc un
élément
réel ; mais cet élément, tout réel qu’il est, n’e
attacher à une pure chimère. On prend donc un élément réel ; mais cet
élément
, tout réel qu’il est, n’est qu’un élément particu
un élément réel ; mais cet élément, tout réel qu’il est, n’est qu’un
élément
particulier ; il rend compte d’une multitude de p
lui manque, il est bon aussi qu’un esprit supérieur se préoccupe d’un
élément
particulier de l’humanité et lui sacrifie tous le
ille, en effet, vous met en possession de l’entier développement d’un
élément
réel et particulier. Si chaque histoire prétendue
toire prétendue universelle vous rend le même service pour les autres
éléments
, ces histoires qui se disent universelles et qui
ceront par être incomplètes et donneront d’abord l’histoire d’un seul
élément
réel de l’humanité. Reconnaissons maintenant quel
seul élément réel de l’humanité. Reconnaissons maintenant quel est l’
élément
qui doit frapper davantage et préoccuper l’attent
ligion une très grande place. Or, comme il est dans la nature de tout
élément
qui mérite une grande place de s’en faire une bea
mesure et pour but. Il s’ensuit qu’il a dû sacrifier tous les autres
éléments
ou les subordonner au moins à celui-là ; il s’ens
nous n’y insisterons point. Bossuet ne voit guère partout qu’un seul
élément
, la religion, et par conséquent sur le premier pl
ois, les institutions politiques, les gouvernements. Ajoutez que tout
élément
important tendant à devenir exclusif, le point de
sa renommée. Le vice de la Science nouvelle est la prépondérance de l’
élément
politique, et l’omission presque entière de l’art
et de la philosophie. Il était naturel aussi que celui qui parmi les
éléments
de l’histoire avait vu surtout l’élément politiqu
ssi que celui qui parmi les éléments de l’histoire avait vu surtout l’
élément
politique, considérât surtout les époques où cet
vu surtout l’élément politique, considérât surtout les époques où cet
élément
joue un rôle important, et négligeât celle que do
t les deux points de vue de la religion et de l’État, avec les autres
éléments
que Bossuet et Vico avaient un peu sacrifiés. De
e fondamentale de Herder est précisément de rendre compte de tous les
éléments
de l’humanité, ainsi que de tous les temps. C’est
çue Herder. Et non seulement il présente l’histoire de ces différents
éléments
aux époques les plus célèbres de la civilisation,
miers pas. Mais son principal honneur est d’avoir établi que tous les
éléments
de l’humanité se développent harmonieusement et p
qu’il avait tracée ; on se livra à l’étude approfondie de chacun des
éléments
de l’humanité et de chacune de ses grandes époque
phie, qui représente la réflexion, se développe après tous les autres
éléments
de ce peuple et de cette époque, il faut en tirer
e de la conscience ; mais au lieu de voir dans la conscience tous les
éléments
qu’elle comprend, sans rejeter entièrement l’élém
cience tous les éléments qu’elle comprend, sans rejeter entièrement l’
élément
intérieur, la liberté et l’intelligence, il consi
r, la liberté et l’intelligence, il considère plus particulièrement l’
élément
extérieur ; il est surtout frappé de ce qui nous
s à des modes divers de la sensation, de sorte que la sensation est l’
élément
unique et même l’unique instrument de la connaiss
logie ; il part de l’analyse de la conscience : mais il s’attache à l’
élément
opposé à celui que Locke a particulièrement consi
effet que la philosophie que j’enseigne, sinon le respect de tous les
éléments
de l’humanité ? Notre philosophie n’est point une
es choses, ni en nous-mêmes ni dans la nature ni dans Dieu, aucun des
éléments
réels qui s’y rencontrent, on n’a dans l’histoire
et défectueux qu’ils soient, sont nécessairement empruntés à quelque
élément
réel ; car il n’y a pas, il ne peut pas y avoir d
s devoirs en ce monde et la fin de cette vie. Voilà dans la Charte un
élément
qui ne sort pas de la Révolution française. Il y
sans cesse et du respect et de la puissance. Mais n’y a-t-il que cet
élément
dans la Charte ? Non. Je vois à côté du trône une
r village de France où la chambre des députés n’ait la main. Voilà un
élément
tout nouveau. J’en entrevois auparavant l’image d
eureux de la Révolution française. Nous avons donc ici, d’une part un
élément
de l’ancien régime, et de l’autre un élément de l
donc ici, d’une part un élément de l’ancien régime, et de l’autre un
élément
de la démocratie révolutionnaire. Comment ces élé
t de l’autre un élément de la démocratie révolutionnaire. Comment ces
éléments
sont-ils dans la Charte ? De fait ils y sont, et
out le reste ; il en est d’autres qui gémissent de l’introduction des
éléments
démocratiques et tournent contre eux la partie mo
ocratie, l’ordre et la liberté, l’aristocratie et l’égalité, tous les
éléments
de l’histoire, de la pensée et des choses154. De
tire cette conséquence, que si la charte française contient tous les
éléments
opposés fondus dans une harmonie plus ou moins pa
il pénètre jusque dans notre littérature, qui contient elle-même deux
éléments
qui peuvent et qui doivent aller ensemble, la lég
ts caractéristiques. Tout ce qui est tel ou tel. La différence est un
élément
aussi essentiel à l’être que l’unité même. Si don
r les autres comme le font, conformément à la formule précédente, les
éléments
du continu physique. Le continu physique est pour
Mais on trouverait toujours entre A et B et entre B et C de nouveaux
éléments
D et E tels que : A = D, D = B, A < B ; B =
ues. Nous avons vu ce qui caractérise le continu physique, chacun des
éléments
de ce continu consiste en un ensemble d’impressio
siste en un ensemble d’impressions ; et il peut arriver ou bien qu’un
élément
ne peut pas être discerné d’un autre élément du m
ut arriver ou bien qu’un élément ne peut pas être discerné d’un autre
élément
du même continu, si ce nouvel élément correspond
ut pas être discerné d’un autre élément du même continu, si ce nouvel
élément
correspond à un ensemble d’impressions trop peu d
ire que la distinction est possible ; enfin il peut se faire que deux
éléments
, indiscernables d’un même troisième, peuvent néan
nmoins être discernés l’un de l’autre. Cela posé, si A et B sont deux
éléments
discernables d’un continu C, on pourra trouver un
x éléments discernables d’un continu C, on pourra trouver une série d’
éléments
E1, E2, ....., En appartenant tous à ce même cont
n continu et sans quitter C. Si cette condition est remplie pour deux
éléments
quelconques A et B du continu C, nous pourrons di
ntinu C est d’un seul tenant. Distinguons maintenant quelques-uns des
éléments
de C qui pourront ou bien être tous discernables
autres, ou former eux-mêmes un ou plusieurs continus. L’ensemble des
éléments
ainsi choisis arbitrairement parmi tous ceux de C
formera ce que j’appellerai la ou les coupures. Reprenons sur C deux
éléments
quelconques A et B. Ou bien nous pourrons encore
quelconques A et B. Ou bien nous pourrons encore trouver une série d’
éléments
E1, E2, ....., En tels : 1° qu’ils appartiennent
vant ; E1 indiscernable de A et En de B ; 3° et en outre qu’aucun des
éléments
E ne soit indiscernable d’aucun des éléments de l
et en outre qu’aucun des éléments E ne soit indiscernable d’aucun des
éléments
de la coupure. Ou bien au contraire dans toutes l
2, ....., En satisfaisant aux deux premières conditions, il y aura un
élément
E indiscernable de l’un des éléments de la coupur
remières conditions, il y aura un élément E indiscernable de l’un des
éléments
de la coupure. Dans le 1er cas, nous pouvons alle
coupures ; dans le second cas cela est impossible. Si alors pour deux
éléments
quelconques A et B du continu C, c’est toujours l
n continu, il suffit de considérer comme coupures un certain nombre d’
éléments
tous discernables les uns des autres, on dit que
continu, il est nécessaire de considérer comme coupures un système d’
éléments
formant eux-mêmes un ou plusieurs continus, nous
mbre de ses dimensions, nous devons nous appuyer sur ce fait que deux
éléments
de ce continu tantôt peuvent et tantôt ne peuvent
Il faut donc que nous sachions dans certains cas nous représenter tel
élément
et le distinguer d’un autre élément. La question
certains cas nous représenter tel élément et le distinguer d’un autre
élément
. La question est de savoir si le point que je me
ne étaient regardées comme identiques, la coupure C se réduisant à un
élément
unique aurait 0 dimension, et l’espace visuel en
ue, suivant la formule célèbre d’Aristote, […]260 38; mais, comme cet
élément
empirique ne paraît pas être toute la pensée, on
plus complexe et plus direct, qui, à l’analyse, se décompose dans les
éléments
suivants : la forme visible de l’animal, le bruit
la loi de la pensée, ou plutôt qui est la pensée même, car, parmi les
éléments
constitutifs des pensées particulières, seul il n
e pas de l’expérience, seul il n’est pas une image, et, si les autres
éléments
, si les images deviennent des pensées, c’est parc
sert de la raison sans la connaître et sans chercher à la dégager des
éléments
successifs où elle est impliquée ; pour lui, il n
l’image soi-disant générale est toujours une image particulière ; ses
éléments
quantitatifs sont des moyennes, or une moyenne es
ifs sont des moyennes, or une moyenne est un nombre particulier ; ses
éléments
qualitatifs sont les qualités qui se rencontrent
e sonores, dix-sept sont presque exclusivement sonores, ou du moins l’
élément
visible-tangible peut y être considéré comme négl
, par cela même qu’ils sont des phénomènes sonores, expriment mieux l’
élément
sonore, soit d’une idée particulière, soit d’une
nore, soit d’une idée particulière, soit d’une idée générale, que son
élément
visuel-tactile, qui, d’ordinaire, est le plus imp
ainsi par approximation les bruits de la nature ; il suffit qu’un des
éléments
du bruit réel soit reproduit dans la phrase pour
sée une nouvelle source d’erreurs. Néanmoins, quand, par exception, l’
élément
visible-tangible d’un phénomène est négligeable,
cordants que ce mot est appelé à désigner ; dans croquer et claque, l’
élément
tactile, fort important dans l’objet, est absent
tant dans l’objet, est absent du signe ; de même, dans bouffissure, l’
élément
visible, qui est l’élément principal de l’idée. E
nt du signe ; de même, dans bouffissure, l’élément visible, qui est l’
élément
principal de l’idée. Enfin un animal, un oiseau,
s l’onomatopée n’est pas possible, aucun son n’y figurant, même comme
élément
accessoire. Ces idées sont de trois sortes : 1° l
nter l’hétérogénéité ou la diversité interne de l’idée générale : aux
éléments
légitimes dont cette idée se compose logiquement
ents légitimes dont cette idée se compose logiquement elle ajoute des
éléments
étrangers, des idées accessoires et parasites, as
est un obstacle à sa généralité ; elle ne peut être purifiée de tout
élément
particulier que si elle change de nom et s’attach
dées, imparfaitement générales, trompent l’esprit qui s’en sert : les
éléments
généraux et particuliers rattachés à un même nom
ste préférence, soit pour un individu ou une espèce, soit pour un des
éléments
empiriques dont le genre est composé. VI. Comm
rôle et un des caractères du signe appartiennent en effet à celui des
éléments
constitutifs de l’idée phénoménale qui sert le mi
cité ; en d’autres termes, le signe naturel d’un phénomène, c’est son
élément
le plus important et le plus distinct. Une préfér
u annihilés [§ 9], a pour signe naturel, mais imparfait, celui de ses
éléments
qui peut être imité par les organes du corps, pou
e absolument particulière, quelque nombreux que soient d’ailleurs ses
éléments
constitutifs, est un simple datum de l’expérience
it. Une pensée donnée a donc pour signe donné le plus saillant de ses
éléments
; une pensée factice demande, et d’autant plus im
e est plus factice, un signe également factice, un signe étranger aux
éléments
donnés dont elle est le groupement artificiel ; l
n, soit par son intensité, soit par les contrastes que présentent ses
éléments
juxtaposés ; si l’image est rigoureusement contem
l’idée se trouvent dénaturées, et, en même temps, le signe, mélangé d’
éléments
parasites empruntés à tort à l’idée, n’est plus i
s homogène encore en apparence qu’en réalité, car les différences des
éléments
échappent à la conscience [§ 9] ; aucun ne se dét
rimitives, simples souvenirs de nos premières expériences, les divers
éléments
sont naturellement d’intensités inégales ; le plu
nscience est pour notre esprit le signe de l’ensemble, c’est-à-dire l’
élément
essentiel, principal, caractéristique, celui qui
, un tel signe une fois perçu par notre semblable, celui-ci possède l’
élément
essentiel de la pensée que nous voulons lui commu
aturelles de l’idée, à fixer de préférence notre attention sur un des
éléments
que la nature des choses reléguait au second plan
la pensée, dirigeait les préférences de notre attention sur ceux des
éléments
de nos idées que nos organes pouvaient le plus fa
organes pouvaient le plus facilement reproduire, c’est-à-dire sur les
éléments
sonores. L’avènement du langage conventionnel n’a
u’il est la matière naturelle du meilleur de nos systèmes de signes l’
élément
sonore de la pensée prend à nos yeux une valeur t
plus fugitive, donneront au signe le premier rang, parce qu’il est l’
élément
le plus fort et le plus distinct ; il sera noté l
le souvenir soit impossible sans les mots : le mot n’est jamais qu’un
élément
du souvenir, remémoré au même titre et suivant le
in d’un groupe quelconque de phénomènes analogues, il y a toujours un
élément
dont l’intensité se trouve prépondérante ; cette
à une autre, est disposé à reconnaître un groupe à la vue d’un de ses
éléments
; au premier qui se présente bien distinct, il do
du langage dans la pensée consiste à fixer les idées générales : les
éléments
semblables, séparés des groupes concrets par l’ab
u même l’anéantir, mais non pas le modifier ou le diviser ; quant aux
éléments
individuels, opposés les uns aux autres, qui cara
ogènes, ils ne peuvent se fondre les uns dans les autres et former un
élément
unique, équivalent à la somme de chacun d’eux ; e
aibles, et rien ne saurait leur rendre la force évanouie ; enfin, les
éléments
identiques, désormais confondus et indiscernables
rtial, il assure la pureté logique de l’idée générale en fixant à ses
éléments
la hiérarchie qu’ils doivent garder ; une pensée
se particularise fatalement quand elle s’exprime elle-même par un des
éléments
qui la composent ; pour acquérir et garder intact
son égard le rôle de signe ; alors le signe est seul en lumière ; les
éléments
constitutifs de l’idée, étant tous également faib
er et traduire sa pensée dans un nouveau langage ; en même temps, les
éléments
caractéristiques de l’idée n’étant plus distincts
détache un peu sur cette trame grise et incolore, qui est pourtant l’
élément
capital de notre existence intérieure, qui est no
sons continus et homogènes, bien qu’ils soient en réalité composés d’
éléments
plus ou moins hétérogènes, qui, s’ils étaient plu
d’être présente à la conscience ; mais, par cela même qu’aucun de ses
éléments
, tout à l’heure, n’était distinct, nous ne les re
citement contenus dans l’idée et conscients avec elle ; s’il s’agit d’
éléments
vraiment spécifiques, nous jugeons qu’ils font lé
e fondée elle-même sur un raisonnement. Et ce qui prouve bien que les
éléments
de l’idée dégagés par la puissance évocatrice de
aurions distinguer la part du souvenir et celle de l’imagination, les
éléments
anciens qui ont servi à la construire, mais que l
qui ont servi à la construire, mais que l’habitude a effacés, et les
éléments
nouveaux, inventés au moment même, seulement vrai
ue ce qui n’échappe pas au souvenir ; mais certains états ou certains
éléments
de nos états, après avoir été faiblement donnés à
onscience était faible et indistincte, rien ne saurait conférer à ses
éléments
la spécificité absente ; une telle série doit con
à un mode unique d’expression ; il la conçoit à part comme le lien, l’
élément
commun de deux formes sensibles hétérogènes302. L
e l’évolution du signe : 1° représente une idée particulière dont les
éléments
sont inégalement distincts. 2° représente une idé
représente une idée particulière ou générale, exprimée par un de ses
éléments
ou par un signe analogique ; le signe est en avan
bruit de la mer — auquel fait allusion Egger — comme somme confuse d’
éléments
infiniment petits indissociables : « D’ailleurs i
. Autre, série de raisons. — L’aspect de la sensation et celui de ses
éléments
derniers doivent différer du tout au tout. — Hypo
ion directe et notable de la seconde hypothèse. — La sensation et ses
éléments
sont les seuls événements réels de la nature. — S
totaux, en apparence irréductibles entre eux, peuvent être composés d’
éléments
semblables ; qu’à un certain degré de simplicité
sés d’éléments semblables ; qu’à un certain degré de simplicité leurs
éléments
ne sont plus aperçus par la conscience ; qu’ainsi
ons que la sensation ordinaire est un composé, qu’elle diffère de ses
éléments
, que ces éléments échappent à la conscience, qu’i
on ordinaire est un composé, qu’elle diffère de ses éléments, que ces
éléments
échappent à la conscience, qu’ils n’en sont pas m
nique qui représente la masse, la vitesse, et la position de tous les
éléments
des fibres et des cellules à un moment quelconque
e total se présente à nous avec un aspect tout autre que celui de ses
éléments
, que par conséquent, plus ses éléments sont simpl
ct tout autre que celui de ses éléments, que par conséquent, plus ses
éléments
sont simples et reculés loin des prises de la con
r nous du total accessible à la conscience, en sorte que l’aspect des
éléments
infinitésimaux au bas de l’échelle et celui de la
Partant, rien n’empêche que les mouvements moléculaires ne soient les
éléments
infinitésimaux de la sensation totale. — Ainsi l’
absolument contraires, et ensuite à ce que l’événement mental et ses
éléments
derniers doivent forcément se présenter à nous so
; en elle-même, elle est autre chose, elle ne se définit que par ses
éléments
propres, et, si elle revêt l’apparence physiologi
mouvement est le signe, est un groupe compliqué et organisé dont les
éléments
et les rudiments peuvent aussi se rencontrer aill
; ce que nous appelons la vie est une action chimique plus délicate d’
éléments
chimiques plus composés. — Ainsi, en poursuivant
’une coupe l’autre à la même hauteur. Vue d’un côté, la nature a pour
éléments
des événements que nous ne pouvons connaître qu’à
en cet état nous nommons sensations. Vue de l’autre côté, elle a pour
éléments
des événements que nous ne concevons clairement q
0. Berthelot, Chimie organique, tome II. Conclusion. Bérard et Robin,
Éléments
de physiologie, II, 65. Saigey, De l’unité des ph
. Avant la création de l’anatomie générale, on ne connaissait pas les
éléments
microscopiques des organes et des tissus, et il n
nts de manifestations vitales les propriétés physico-chimiques de ces
éléments
. Une force vitale mystérieuse suffisait à tout ex
côtés on se rend à l’évidence, et cette transformation est devenue un
élément
considérable de progrès. Dans mon rapport de 1867
âce à cet artifice, le milieu intérieur ne change pas autour de leurs
éléments
actifs et vivants. En réalité il y a toujours, ch
iante s’assimile aux tissus, soit comme principe nutritif, soit comme
élément
essentiel. L’organe est créé, il l’est au point d
eul l’histologiste, l’embryogéniste, en suivant le développement de l’
élément
ou de l’être vivant, saisit des changements, des
les conditions intrinsèques ou extrinsèques nécessaires à la vie des
éléments
. — Eau. — Chaleur animale. — Respiration. — Oxygè
l tombe en état d’engourdissement ou d’hibernation parce que tous ses
éléments
organiques sont entourés d’un milieu refroidi dan
l à sang froid ou hibernant, d’un mécanisme qui maintienne autour des
éléments
un milieu constant en dépit des variations atmosp
c’est-à-dire l’ensemble des liquides circulants se refroidit, chaque
élément
en contact avec le sang s’engourdit pour son prop
s de son activité propre. En un mot, chaque système organique, chaque
élément
est de lui-même influencé par le froid comme l’in
eur qui reçoit l’influence du milieu extérieur et qui réveille chaque
élément
d’une manière successive selon sa sensibilité ou
successivement. C’est le sang réchauffé qui a créé autour de tous les
éléments
la condition physique de température nécessaire a
éalité le milieu intérieur qui enveloppe les organes, les tissus, les
éléments
des tissus, ne change pas ; les variations atmosp
est placé l’organisme, et un milieu intérieur dans lequel vivent les
éléments
des tissus. L’existence de l’être se passe, non p
rmé par le liquide organique circulant qui entoure et baigne tous les
éléments
anatomiques des tissus ; c’est la lymphe ou le pl
xe doit être considéré comme une réunion d’êtres simples qui sont les
éléments
anatomiques et qui vivent dans le milieu liquide
térieur le maintien de toutes les conditions nécessaires à la vie des
éléments
. Ceci nous fait comprendre qu’il ne saurait y avo
y avoir de vie libre, indépendante, pour les êtres simples, dont les
éléments
constitutifs sont en contact direct avec le milie
a plus sensible des balances. Les conditions nécessaires à la vie des
éléments
qui doivent être rassemblées et maintenues consta
à régler l’harmonie entre toutes ces conditions. 1° L’eau. — C’est un
élément
indispensable, qualitativement et quantitativemen
tivement, à la constitution du milieu où évoluent et fonctionnent les
éléments
vivants. Chez les animaux à vie libre il doit exi
sensiblement fixe dans le milieu intérieur au sein duquel vivent les
éléments
organiques auxquels il nous faut toujours, en déf
péciaux : c’est là une manière de voir que nous devons combattre. Les
éléments
d’une différenciation entre les modes de la vie c
position de leurs tissus. On a dit, par exemple, que l’azote était un
élément
caractéristique de l’organisme animal, tandis qu’
lasma animal : c’est une substance azotée. L’azote, au lieu d’être un
élément
accessoire, est donc essentiel et fondamental dan
cessoire, est donc essentiel et fondamental dans les deux règnes. Les
éléments
anatomiques des plantes, cellules, fibres et vais
uivie directement dans les organes, dans les tissus, et même dans les
éléments
de tissus, nous a conduit à des découvertes fécon
ement qui, par la perturbation d’équilibre, s’imprime à leurs propres
éléments
, se communique également aux éléments des corps q
ibre, s’imprime à leurs propres éléments, se communique également aux
éléments
des corps qui se trouvent en contact avec elles.
ne et de l’hydrogène serait une véritable synthèse, une combinaison d’
éléments
séparés ; tandis que le phénomène qui se produit
in que ce gaz est fixé dans l’organisme et qu’il devient ainsi un des
éléments
de la constitution ou de la création organique. M
tions putrides, les autres dans lesquelles l’oxygène intervient comme
élément
essentiel ; les unes et les autres étant d’ailleu
rmentation alcoolique de la levure, que d’autres cellules ou d’autres
éléments
de l’organisme se comportassent de la même façon.
bel, R. Brown, Schleiden, Schwann. — Théorie cellulaire. — Le dernier
élément
morphologique des êtres vivants est la cellule, m
détruits dans une seconde période ; tantôt elle forme directement les
éléments
des tissus. Il y a donc à distinguer la formation
nt le plan ou le dessin de l’individu, des tissus qui le forment, des
éléments
de ces tissus, c’est-à-dire la synthèse morpholog
urs tissus très différents de nature et qui forment véritablement les
éléments
de ces organes. » Bichat distinguait 21 espèces
ie réside, en effet, non pas seulement dans les tissus, mais dans les
éléments
figurés de ces tissus, et même plus profondément
ssus, et même plus profondément dans le substratum sans figure de ces
éléments
eux-mêmes, dans le protoplasma. En 1819, Mayer s’
ux-mêmes, dans le protoplasma. En 1819, Mayer s’occupe de classer les
éléments
des tissus ; il emploie le premier le nom d’histo
ce moment on commence à se préoccuper non seulement de connaître les
éléments
des tissus divers, mais de plus, de pénétrer leur
nent tous d’un tissu identique, le tissu cellulaire ; qu’ils ont pour
élément
la cellule. R. Brown découvre le noyau de la cell
nt la Théorie cellulaire. Th. Schwann, en 1839, fit voir que tous les
éléments
de l’organisme, quel qu’en soit l’état actuel, on
vait ramenée à cet organite simple, la cellule. La cellule est donc l’
élément
anatomique végétal et animal, l’organisme morphol
e nous venons de voir à propos des végétaux est vrai des animaux. Les
éléments
de tous les tissus ont été ramenés par les histol
du tissu conjonctif embryonnaire, les corps pigmentaires étoilés, les
éléments
de la glande hépatique, les fibres lisses, les my
ues différents. On reconnut (Remak, 1852 ; Max. Schultze, 1861) que l’
élément
musculaire volontaire, la fibre striée, se dévelo
r au Collège de France, M. Ranvier, rapprochait du type cellulaire un
élément
qui semblait y échapper, la fibre nerveuse. Il mo
divers, associées, assemblées de différentes manières. Ainsi, aux 21
éléments
de Bichat, aux 21 tissus qui formaient pour lui l
t pour lui les matériaux de l’organisme, nous avons substitué un seul
élément
, la cellule, identique dans les deux règnes, chez
en un mot, serait le premier représentant de la vie. C’est donc à cet
élément
, la cellule, que nous devrions maintenant rattach
ure. En cela l’analogie est complète avec les tissus végétaux, où les
éléments
nouveaux ont toujours des antécédents de même for
Cet anatomiste observa les zoospores et les anthérozoïdes des algues,
éléments
plus simples que la cellule, en ce sens qu’ils so
asse de substance de protoplasma, nue, sans enveloppe. Cette notion d’
éléments
sans enveloppe passa aussitôt dans le domaine du
laquelle existe un noyau. En 1861, Max. Schultze ramène à ce type les
éléments
qui au premier abord s’en écartaient davantage, à
ient davantage, à savoir les fibres musculaires. Il regarde comme des
éléments
individuels les corps que l’on appelle encore noy
a même interprétation s’étend bientôt après aux cellules nerveuses. L’
élément
dernier où s’incarne la vie n’est plus alors une
vésicule germinative, avant de recevoir l’action de la fécondation. L’
élément
anatomique que l’on trouve à la base de toute org
at, qui est le plus simple et le plus jeune sous lequel se présente l’
élément
, ne persiste pas ordinairement. C’est, ainsi que
ères, les corps irréductibles auxquels l’analyse puisse conduire. Cet
élément
serait actif, et jouirait de mouvements vibratoir
titution des noyaux cellulaires leur ont dévoilé la complexité de cet
élément
considéré à tort comme simple. N. Auerbach distin
veloppe ; Le suc nucléaire ; Les nucléoles ; Les granulations. De ces
éléments
, celui dont l’importance est la plus grande, c’es
qium, et d’un Myriapode, le Geophilus longicornis. Le nucléole est un
élément
à peu près constant du noyau. L’absence de nucléo
vent ; c’est ce qui arrive pendant la segmentation de l’œuf. Quelques
éléments
n’ont qu’un seul nucléole : les cellules nerveuse
édiats, matières albuminoïdes et autres, mal connus, renfermant comme
éléments
principaux le carbone, l’hydrogène, l’azote et l’
ts principaux le carbone, l’hydrogène, l’azote et l’oxygène, et comme
éléments
accessoires quelques autres corps simples. Il fau
tassium, Le calcium, Le magnésium, Le silicium, Le fer. Tels sont les
éléments
que met en jeu la synthèse chimique, et qui, par
binaisons successives, arrivent à former le substratum de la vie. Ces
éléments
se réunissent en effet pour constituer des combin
é, les matériaux prennent un caractère morphologique et constituent l’
élément
anatomique, la cellule ; plus loin encore, les or
bumine se fasse dans l’organisme par la combinaison successive de ces
éléments
? En aucune façon. La nature semble procéder par
nt d’oxygène. En même temps le carbone se trouve combiné à différents
éléments
et constitue des matières hydrocarbonées ou combu
ylle. Mais le protoplasma peut rester incolore dans un grand nombre d’
éléments
végétaux. Le protoplasma incolore est, moins enco
if de l’un des règnes. Les animaux et les végétaux le possèdent comme
élément
essentiel, primordial, formateur et générateur de
nces qui existent dans les animaux et les plantes, mais avec d’autres
éléments
comme point de départ, et avec une autre force vi
sée, ainsi que l’a montré M. Berthelot, de toutes pièces au moyen des
éléments
empruntés au règne minéral. Dans ce milieu à cons
one, et par conséquent de créer les principes immédiats, à l’aide des
éléments
inertes, minéraux, empruntés à l’air, à l’eau, à
’une façon générale, l’irritabilité est la propriété que possède tout
élément
anatomique (c’est-à-dire le protoplasma qui entre
e la contraction volontaire et du mouvement volontaire. Il sépare des
éléments
normalement unis, il détruit leur harmonie, tout
alement unis, il détruit leur harmonie, tout en ne détruisant pas les
éléments
eux-mêmes. En résumé, toutes ces recherches entre
nous dirons, quant à nous, que « l’irritabilité est la propriété de l’
élément
vivant d’agir suivant sa nature sous une provocat
n alimentaire du milieu ambiant en s’en nourrissant. En outre, chaque
élément
a la possibilité de manifester ses propriétés par
riété d’un tissu de s’entretenir par des générations de cellules ou d’
éléments
anatomiques qui se succèdent ; en une irritabilit
s qui se succèdent ; en une irritabilité d’agrégation, propriété de l’
élément
de s’incorporer les substances alimentaires conve
lle-même par une intensité relative devenue plus grande dans certains
éléments
organiques. Ainsi l’autonomie des tissus n’est au
t infinies, il faudrait pour les connaître faire l’histoire de chaque
élément
cellulaire en particulier. Mais pour nous en teni
à l’exercice de l’irritabilité, à la vie, sont précisément les quatre
éléments
que les anciens considéraient comme formant le mo
que le protoplasma des nerfs, des muscles, des glandes et des autres
éléments
anatomiques n’est pas encore atteint. Cela nous e
t alors sans péril pour la vie ; car, si les protoplasmas de tous les
éléments
anatomiques dans tous les tissus étaient frappés
nc une anesthésie essentiellement incomplète ; elle n’atteint que les
éléments
nerveux les plus délicats, qui sont le siège des
ans le sang et vient baigner tous les organes, tous les tissus et les
éléments
anatomiques. On explique ordinairement l’action d
ement l’action de la substance anesthésique en disant que de tous les
éléments
organiques avec lesquels il est mis en contact, u
en contact, un seul d’entre eux, spécial à l’animal, est atteint : l’
élément
sensitif, l’élément cérébral du système nerveux c
d’entre eux, spécial à l’animal, est atteint : l’élément sensitif, l’
élément
cérébral du système nerveux central. D’où il résu
en réalité son action sur tous les tissus animaux : il atteint chaque
élément
, à son heure, suivant sa susceptibilité. De même
us. C’est là ce qui explique comment l’influence anesthésique sur cet
élément
est la première en date. Ainsi tous les tissus ré
En résumé, l’agent anesthésique atteint l’activité commune à tous les
éléments
; il atteint, suspend ou détruit l’irritabilité g
e que nous disons ici est vrai non seulement pour l’irritabilité de l’
élément
nerveux sensitif, mais pour l’irritabilité de l’é
tabilité de l’élément nerveux sensitif, mais pour l’irritabilité de l’
élément
moteur et de tous les éléments vivants du corps.
sensitif, mais pour l’irritabilité de l’élément moteur et de tous les
éléments
vivants du corps. La preuve expérimentale est fac
disparaître l’éthérisation. Comment l’irritabilité des tissus ou des
éléments
de tissus se trouve-t-elle atteinte par l’éther ?
que le poison anesthésique aura déterminé dans la substance même de l’
élément
. D’après des expériences que j’ai faites autrefoi
iste en une sorte de coagulation. L’éther coagule le protoplasma de l’
élément
nerveux : il coagule le contenu de la fibre muscu
la rigidité cadavérique. Dans l’état physiologique, les tissus et les
éléments
de tissus ne peuvent manifester leur activité que
ère organisée, bien que passagères, finissent par amener la mort de l’
élément
, lorsqu’on les reproduit successivement un certai
successivement un certain nombre de fois, parce qu’alors sans doute l’
élément
n’a pas le temps de se reconstituer suffisamment
s de repos. L’expérience directe nous a montré cette coagulation de l’
élément
musculaire déterminée par l’action de l’éther59.
rmal : la coagulation de son contenu, la rigidité, disparaîtront de l’
élément
anatomique baigné sans cesse et lavé par le coura
ue. Mais ce n’est pas seulement sur l’irritabilité du protoplasma des
éléments
organiques, sensitif et moteur, que les agents an
ésiques portent leur action ; ils atteignent aussi le protoplasma des
éléments
organiques qui agissent dans les synthèses chimiq
ent est visible dans toutes les masses protoplasmiques nues, dans les
éléments
embryonnaires du tissu conjonctif, les globules b
té, c’est-à-dire la propriété commune à tous les tissus et à tous les
éléments
de réagir suivant leur nature aux stimulants étra
ibilité sont, en réalité, des actes complexes auxquels concourent des
éléments
secondaires nombreux. Chez l’homme, et au plus ha
érieurs. Le système nerveux, en un mot, répond à un besoin qu’ont les
éléments
organiques d’être influencés les uns par les autr
ils respiratoire et circulatoire répondent au besoin qu’éprouvent les
éléments
anatomiques d’être influencés par l’oxygène, etc.
; si elles font défaut, nous ne pouvons plus rien affirmer. Ainsi, l’
élément
le plus général, et par conséquent le plus import
écanique, tantôt physico-chimique. Ce n’est pas toujours, en effet, l’
élément
moteur qui répond à l’excitation. Il y a souvent
stimulation produite en un point, de manière à provoquer dans chaque
élément
organique l’entrée en jeu de son activité propre.
scle, comme la propriété de sécrétion est l’irritabilité spéciale à l’
élément
glandulaire. Ainsi, ces propriétés sur lesquelles
à l’état libre dans le milieu cosmique, peuvent également vivre comme
élément
en quelque sorte du milieu intérieur chez d’autre
ous n’admettons de morphologie réelle que lorsque nous voyons le même
élément
organique partir d’un point fixe et suivre réguli
le. I. Morphologie générale La constitution du protoplasma en un
élément
anatomique doué d’une morphologie évolutive certa
morphologique, commun à tous les êtres vivants. Comment se forme cet
élément
anatomique primordial, la cellule ? Nous savons q
genèse cellulaire dans lequel il y a production de deux ou plusieurs
éléments
aux dépens d’un seul. Il peut arriver qu’une port
un seul. Il peut arriver qu’une portion seulement du protoplasma de l’
élément
originel participe à la formation des éléments no
ent du protoplasma de l’élément originel participe à la formation des
éléments
nouveaux. C’est alors ce qu’on a appelé la format
it des cellules nouvelles (voy. fig. 30). Si tout le protoplasma de l’
élément
originel est employé à la constitution des cellul
édé de division est le plus général de tous. Le plus grand nombre des
éléments
végétaux se produit de cette façon. Quant aux élé
and nombre des éléments végétaux se produit de cette façon. Quant aux
éléments
animaux, on a admis depuis un certain nombre d’an
vise et en donne deux nouvelles. Il peut y avoir deux cas : ou bien l’
élément
primitif n’a point d’enveloppe épaisse, ou bien i
fusion de deux ou plusieurs masses protoplasmiques en une seule. Deux
éléments
participent à la formation de l’élément nouveau,
lasmiques en une seule. Deux éléments participent à la formation de l’
élément
nouveau, et cela peut se faire de deux manières :
uant à la conjugaison sexuelle ou fécondation, dans laquelle les deux
éléments
sont différenciés, on en a des exemples dans les
et, ne reste pas indéfiniment à l’état d’ovule primordial : il est un
élément
essentiellement doué de la faculté d’évolution, q
in encore l’origine de l’ovule. — Pour lui, l’œuf n’est pas un simple
élément
anatomique, c’est déjà un organisme : il est cons
jà un organisme : il est constitué par l’union ou conjugaison de deux
éléments
, l’un jouant le rôle d’élément mâle, l’autre le r
ué par l’union ou conjugaison de deux éléments, l’un jouant le rôle d’
élément
mâle, l’autre le rôle d’élément femelle ; ces deu
deux éléments, l’un jouant le rôle d’élément mâle, l’autre le rôle d’
élément
femelle ; ces deux corps, dont l’union constitue
ort cet organisme maternel. Il y aurait donc dans l’œuf de la mère un
élément
essentiel de l’œuf du rejeton. Cet élément ovulai
c dans l’œuf de la mère un élément essentiel de l’œuf du rejeton. Cet
élément
ovulaire se transmet, persiste, non plus comme un
un organe appartenant à l’individu qui en est porteur, mais comme un
élément
appartenant à l’ancêtre et qui dans l’économie de
uf antérieur, et ainsi de suite, en remontant. L’œuf contient donc un
élément
essentiel des œufs des générations successives, é
tient donc un élément essentiel des œufs des générations successives,
élément
spécifique et non individuel. Cette doctrine de M
t en puissance, mais sous une forme figurée et substantielle, quelque
élément
des générations successives, c’est cette partie d
at de maturité, reçoit l’impulsion nouvelle résultant du contact de l’
élément
mâle ; 3° Enfin la période embryogénique, la plus
à l’état où il doit être pour subir efficacement l’imprégnation de l’
élément
mâle, c’est-à-dire à l’état d’œuf mûr. Ce dévelop
s principaux : la formation d’une enveloppe limitant extérieurement l’
élément
, ou enveloppe vitelline ; l’accroissement de la m
accroissement de la masse protoplasmique primitive par l’adjonction d’
éléments
nouveaux constituant le vitellus secondaire, ou v
réparent ou s’y rattachent. L’œuf, ainsi que nous l’avons dit, est un
élément
plastique très énergique, centre d’attraction chi
d’attraction chimique et morphologique. Le processus évolutif de cet
élément
est renforcé d’une manière encore inconnue par l’
nt est renforcé d’une manière encore inconnue par l’intervention de l’
élément
mâle, c’est-à-dire par la fécondation. Une fois l
pelle blastula, vésicule blastodermique ; la paroi, blastoderme ; ses
éléments
, cellules du blastoderme. La vésicule blastodermi
stinales, le poumon, le foie (voy. fig. 40). Comment se disposent ces
éléments
, suivant quel dessin et quel plan ? On peut répon
ue ce dessin et ce plan sont caractérisés dès le début, et que si ces
éléments
constituent des matériaux de même nature et de mê
a contempler, puisque son facteur essentiel, l’hérédité, n’est pas un
élément
que nous ayons en notre pouvoir et dont nous soyo
é la nécessité du conflit ou de la collaboration de ces deux ordres d’
éléments
, en examinant les trois formes que présente la vi
organisme peut être à lui seul un être distinct72 ; elle peut être l’
élément
individuel dont l’animal ou la plante sont une so
u la plante sont une société. Qu’elle soit un être indépendant, ou un
élément
anatomique des êtres supérieurs, la cellule est d
ganismes élémentaires, dans lequel les conditions de la vie de chaque
élément
sont respectées et dans lequel le fonctionnement
ependant subordonné à l’ensemble. Il y a donc à la fois autonomie des
éléments
anatomiques et subordination de ces éléments à l’
à la fois autonomie des éléments anatomiques et subordination de ces
éléments
à l’ensemble morphologique, ou, en d’autres terme
es par lesquels sont réalisées ces deux conditions de l’autonomie des
éléments
anatomiques et de leur subordination à l’ensemble
ination à l’ensemble. — D’une façon générale, nous pouvons dire que l’
élément
est autonome en ce qu’il possède en lui-même et p
stingue de tout autre. Les habitants de cette cité y représentent les
éléments
anatomiques dans l’organisme ; tous ces habitants
avons dit que l’organisme vivant est une association de cellules ou d’
éléments
plus ou moins modifiés et groupés en tissus, orga
xistent pas pour eux-mêmes ; ils existent pour les cellules, pour les
éléments
anatomiques innombrables qui forment l’édifice or
audage histologique se complique, de manière à créer autour de chaque
élément
le milieu et les conditions qui sont nécessaires
chaque élément le milieu et les conditions qui sont nécessaires à cet
élément
, afin de lui dispenser, dans la mesure convenable
stitution du milieu intérieur. Ainsi différenciés et spécialisés, les
éléments
anatomiques vivent d’une vie propre dans le lieu
nature. L’action des poisons, qui porte primitivement sur tel ou tel
élément
, en épargnant tel ou tel autre, comme je l’ai mon
de carbone, est l’une des nombreuses preuves de cette autonomie. Les
éléments
anatomiques se comportent dans l’association comm
ême milieu. C’est en cela que consiste le principe de l’autonomie des
éléments
anatomiques ; il affirme l’identité de la vie lib
e contre-coup des phénomènes qui s’accomplissent dans les autres. Les
éléments
voisins créent à celui que l’on considère une cer
ci vivrait en liberté exactement comme en société. Subordination des
éléments
à l’ensemble. — Mais cette condition de l’identit
e naturelle que la réalisation du plan morphologique assigne à chaque
élément
. Les organismes élémentaires ne les rencontrent q
emples feront comprendre ces conditions de la vie associée, où chaque
élément
est à la fois libre et dépendant : On sait aujour
n sait aujourd’hui que les os se forment et se renouvellent grâce aux
éléments
cellulaires de la couche interne du périoste. Les
qui ont été invoquées pour mettre en évidence l’autonomie absolue des
éléments
anatomiques ont donc abouti au résultat contraire
evait cette autonomie. Elles ont révélé l’influence que la place de l’
élément
dans le plan total exerce sur son fonctionnement.
fonctionnement. Il y a donc une autre condition qui ne tient plus à l’
élément
lui-même, mais qui tient au plan morphologique, à
rations. — La subordination, condition restrictive de l’autonomie des
éléments
, est plus ou moins marquée. Moins l’organisme est
s réserves que nous venons d’indiquer, le principe de l’autonomie des
éléments
anatomiques doit être considéré comme l’un des pl
es ou spéciales. Les anesthésiques, par exemple, influencent tous les
éléments
, parce qu’ils agissent sur le protoplasma, qui es
, qui est commun à tous. La plupart des poisons n’influencent que des
éléments
spéciaux, parce qu’ils agissent sur des produits
le muscle. En résumé, la vie réside dans chaque cellule, dans chaque
élément
organique, qui fonctionne pour son propre compte.
lésion ou la dislocation du mécanisme a retenti en définitive sur les
éléments
, qui ne reçoivent plus le milieu extérieur conven
mme ce qui vit, c’est, en définitive, la cellule. Tout est fait par l’
élément
anatomique et pour l’élément anatomique. L’appare
initive, la cellule. Tout est fait par l’élément anatomique et pour l’
élément
anatomique. L’appareil respiratoire apporte l’oxy
ues ou êtres vivants, il y a à la fois autonomie et subordination des
éléments
anatomiques. L’autonomie des éléments et leur dif
autonomie et subordination des éléments anatomiques. L’autonomie des
éléments
et leur différenciation nous expliquent la variét
ux points. À mesure que l’être vivant s’élève et se perfectionne, ses
éléments
cellulaires se différencient davantage : ils se s
utres, contrairement à ce qui se dit généralement. Les propriétés des
éléments
s’exagèrent dans les tissus, ainsi que nous venon
xécution de la fonction interviennent les activités d’une multitude d’
éléments
anatomiques ; mais la fonction n’est pas la somme
but assigné à des efforts multiples, d’un résultat où tendraient les
éléments
en action, on sort de la réalité objective, et l’
énomènes matériels, simultanés ou successifs éparpillés dans tous les
éléments
. C’est l’intelligence qui saisit ou établit leur
n respiratoire, une fonction circulatoire, mais il n’y a pas dans les
éléments
contractiles qui y concourent une propriété circu
se propose la physiologie générale. La vie est véritablement dans les
éléments
organiques ; c’est toujours là que nous devons pl
e la vie. C’est par le déterminisme appliqué à la connaissance de ces
éléments
organiques que nous pouvons arriver à atteindre l
entre eux des êtres divers, s’il s’agit d’organismes élémentaires, d’
éléments
, nous admettons la réalité de cette loi. Nous avo
ou se spécialisent progressivement dans des cellules différentes. Les
éléments
cellulaires, avons-nous dit plus haut, se différe
vision du travail physiologique ; division incomplète, puisque chaque
élément
, en manifestant avec exagération une propriété, p
un mot, il faut bien distinguer les propriétés qui appartiennent aux
éléments
et qu’enseigne la physiologie générale, et les fo
t, l’animal a passé par l’état de cellule-œuf, qui elle-même était un
élément
vivant, une cellule épithéliale de l’organisme ma
tinue. Une impulsion immanente renforcée par la fécondation conduit l’
élément
à travers toutes ses métamorphoses, à travers la
à chacune de ses parties. C’est une loi élémentaire. Elle gouverne l’
élément
anatomique comme l’être tout entier, et cela étai
nt. Mais la nutrition, c’est-à-dire la perpétuelle communication de l’
élément
anatomique avec le milieu qui l’entoure, cette co
dans lequel le milieu reçoit moins, autant ou plus qu’il ne donne à l’
élément
. Il est donc impossible de séparer la propriété d
ière directe la synthèse d’aucune substance organique au moyen de ses
éléments
constituants. On n’a pu produire jusqu’ici que de
ques, éther ou chloroforme, amenant la suppression de la faculté, des
éléments
et des tissus de réagir sous l’influence de leurs
nsations totales de la vue, de l’odorat, du goût, du toucher et leurs
éléments
Sommaire. I. Les sensations totales de la vue
u noir ou manque de la sensation rétinienne. — Elle fournit un nouvel
élément
pour composer les diverses sensations totales de
s exemples. — Résumé. — Nous ne pouvons démêler par la conscience les
éléments
des sensations élémentaires de couleur. — Pourquo
ntaires et des sensations élémentaires du son. — Preuve qu’il y a des
éléments
dans les unes comme dans les autres. — Expérience
omme dans les autres. — Expérience de Wheatstone. — Nombre énorme des
éléments
successifs qui composent une sensation élémentair
mentaire de couleur. — Indices et conjectures sur les derniers de ces
éléments
. — La conscience n’aperçoit que des totaux. III.
ouge, le vert sont faiblement lumineux. » Cela établi, on a tous les
éléments
nécessaires pour expliquer toutes les sensations
res pour expliquer toutes les sensations de couleur, et l’on voit les
éléments
de la sensation former des composés qui, s’unissa
ou tout autre mouvement ; nous n’avons pas la plus petite idée de ses
éléments
; nous ne pouvons nous servir de cette idée pour
haud ou de froid ; on connaît la sensation de chaleur qui entre comme
élément
dans la saveur des liqueurs fortes, et la sensati
eur des liqueurs fortes, et la sensation de fraîcheur qui entre comme
élément
dans la saveur de plusieurs bonbons. — Enfin les
Il suit de là qu’une sensation ordinaire de saveur, outre les quatre
éléments
qui peuvent lui être fournis par les sensations a
s par les sensations adjointes, peut posséder par elle-même plusieurs
éléments
distincts. Car, outre les nerfs non gustatifs, de
ement petits et rapides dont nous ne pouvons aujourd’hui indiquer les
éléments
ni préciser le type93. Voilà l’antécédent immédia
ptique, sauf cette différence que, dans le second cas, le type et les
éléments
de l’antécédent sont connus. En effet, dans une v
ntaires excitées par l’entremise du nerf acoustique correspondent aux
éléments
de l’ondulation aérienne, ce qui n’a pas lieu pou
ur. Tantôt la sensation élémentaire correspond, trait pour trait, à l’
élément
dont la répétition constitue tel événement extéri
à une, avec leur ordre et leur grandeur, toutes les variations de cet
élément
; mais, si on la met en rapport avec des éléments
es variations de cet élément ; mais, si on la met en rapport avec des
éléments
d’une autre espèce, elle est nulle, ou confuse, o
t la sensation élémentaire ne correspond point, trait pour trait, à l’
élément
dont la répétition constitue tel ou tel événement
nt extérieur, et ne transcrit point, une à une, les variations de cet
élément
; mais, quel que soit l’événement extérieur, il é
et le degré de leur intensité100. Nous n’y découvrons point d’autres
éléments
, et, par cette première réduction, nous ramenons
de filets pris ensemble. On peut supposer que la chaleur atteint les
éléments
nerveux dans un autre ordre que la pression. » —
métal échauffé » ; les deux sensations, ainsi limitées à ce minimum d’
éléments
nerveux, sont si semblables que très souvent le p
de chaleur est une sensation de contact. — Au contraire, lorsque les
éléments
nerveux sont en grand nombre, c’est-à-dire lorsqu
euvent être en apparence irréductibles l’une à l’autre, quoique leurs
éléments
soient les mêmes ; il suffit pour cela que les pe
es différents de déplacements moléculaires transmissibles. Composés d’
éléments
semblables, ils constituent des types ou rhythmes
issables en eux-mêmes par la vitesse, la grandeur et l’ordre de leurs
éléments
; et nous pouvons admettre que, selon l’ordre de
leurs éléments ; et nous pouvons admettre que, selon l’ordre de leurs
éléments
, ils éveillent en nous tantôt la sensation de tem
ui diffèrent seulement par la grandeur, l’ordre et le nombre de leurs
éléments
, apparaissent à la conscience comme irréductibles
s, sont, comme les divers timbres, des totaux qui, composés des mêmes
éléments
, ne diffèrent que par la grandeur, l’ordre et le
ents, ne diffèrent que par la grandeur, l’ordre et le nombre de leurs
éléments
. Nous concluons de même à l’endroit des saveurs e
des cinq sens peuvent être elles-mêmes des totaux composés des mêmes
éléments
, sans autre différence que celle du nombre, de l’
e différence que celle du nombre, de l’ordre et de la grandeur de ces
éléments
, et que, partant, comme les diverses sensations d
u dedans cadrent avec ceux du dehors, et les sensations, qui sont les
éléments
de nos idées, se trouvent naturellement et d’avan
de nos classifications. IV. Caractères généraux qui appartiennent aux
éléments
des individus classés. — Idée de la feuille en bo
. — La propriété d’être une unité n’est que l’aptitude à entrer comme
élément
dans une collection. — Tous les faits ou individu
oles. — Diversité et nombre indéfini des composés construits avec ces
éléments
. — Aux plus simples de ces constructions mentales
pour avoir chance de convenir aux choses. — Trois conditions. — Leurs
éléments
doivent être calqués sur les éléments des choses.
es. — Trois conditions. — Leurs éléments doivent être calqués sur les
éléments
des choses. — Leurs éléments doivent être le plus
rs éléments doivent être calqués sur les éléments des choses. — Leurs
éléments
doivent être le plus généraux qu’il se pourra. —
Leurs éléments doivent être le plus généraux qu’il se pourra. — Leurs
éléments
doivent être combinés le plus simplement possible
rtes, bref, un vaste édifice compliqué. Nous allons examiner de quels
éléments
cet édifice mental se compose, comment il se cons
ries qui tranchent fortement sur les séries environnantes et dont les
éléments
sont très semblables entre eux, font ce que l’on
es caractères précédents et acquiert des représentants nouveaux ; ses
éléments
sont plus restreints, mais son domaine est plus l
bas est le fait momentané, absolument singulier et distinct qui est l’
élément
du reste ; chaque moment, acte, état ou fait est
es généraux, il y en a de plus généraux encore, qui appartiennent aux
éléments
des individus classés et qui, universellement rép
ence vulgaire, n’est plus que l’idée presque géométrique d’un cycle d’
éléments
végétaux qui, à travers toutes les formes et tous
uisons. Suivons le détail de cette construction, et voyons avec quels
éléments
nous fabriquons ces nouvelles idées. — Les plus s
nstruction mentale coïncide avec quelque construction réelle. Car aux
éléments
dont mon idée est faite correspondent des élément
on réelle. Car aux éléments dont mon idée est faite correspondent des
éléments
inclus dans les choses. En effet, ce que j’ai app
remplir ; et le contenu s’ajuste au contenant, d’abord parce que les
éléments
mentaux de l’un sont calqués sur les éléments rée
, d’abord parce que les éléments mentaux de l’un sont calqués sur les
éléments
réels de l’autre, ensuite parce que la structure
e. De cette espèce sont les idées géométriques. Cherchons d’abord les
éléments
avec lesquels nous les construisons ; tout le mon
étique des cailloux et des doigts remplaçaient de pures unités. À ces
éléments
ainsi représentés, ajoutez-en un autre, le mouvem
ipse, la parabole et l’hyperbole ; avec des combinaisons diverses des
éléments
primitifs et de ces premiers composés, toutes les
ère est plus compliquée et la seconde plus simple. Débarrassée de ses
éléments
accessoires et réduite à ses éléments principaux,
plus simple. Débarrassée de ses éléments accessoires et réduite à ses
éléments
principaux, la première copierait exactement la s
t la seconde ; et, de fait, elle s’en rapproche d’autant plus que ses
éléments
ultérieurs ou accessoires, plus faibles, laissent
érieurs ou accessoires, plus faibles, laissent plus d’ascendant à ses
éléments
primitifs ou principaux. — Ainsi, en géométrie, c
par une abstraction, c’est-à-dire par l’omission mentale de certains
éléments
des faits ; de cette façon, les faits réduits se
travail inverse, c’est-à-dire par l’introduction dans les cadres des
éléments
que la construction préalable y avait omis ; à la
açon, les cadres complétés s’ajusteront aux faits. III D’autres
éléments
, calqués comme les précédents sur des caractères
r la grandeur de la vitesse qu’elle imprime à telle masse. — Avec ces
éléments
, notés au moyen de lignes, de chiffres et de mots
iniment ; car il suffit, pour former cette conception, d’un minimum d’
éléments
mentaux. En premier lieu, il n’y a pas de ligne p
s moules aient chance de convenir aux choses. Il faut d’abord que les
éléments
mentaux avec lesquels ils sont fabriqués soient c
ux avec lesquels ils sont fabriqués soient calqués exactement sur les
éléments
des choses réelles ; car alors les éléments de no
alqués exactement sur les éléments des choses réelles ; car alors les
éléments
de notre moule se retrouveront dans la nature. —
s la nature, puisqu’il suffit alors, pour la produire, d’un minimum d’
éléments
et de conditions. IV On comprend que ce pro
état. Or, des états ainsi définis on peut dire qu’ils ne sont pas des
éléments
distincts. Ils se continuent les uns les autres e
e qui agissait sur moi tout à l’heure. Je n’y trouverais pas d’autres
éléments
en l’analysant. Mais une intelligence, même surhu
maine, n’eût pu prévoir la forme simple, indivisible, qui donne à ces
éléments
tout abstraits leur organisation concrète. Car pr
ésenter pour plus tard un nouvel assemblage, dans un autre ordre, des
éléments
déjà perçus. Mais ce qui n’a jamais été perçu, et
a quitté sa position, rien ne l’empêche de la reprendre. Un groupe d’
éléments
qui a passé par un état peut donc toujours y reve
de la « continuité du plasma germinatif », soutenue par Weismann, les
éléments
sexuels de l’organisme générateur transmettraient
organisme générateur transmettraient directement leurs propriétés aux
éléments
sexuels de l’organisme engendré. Sous cette forme
gmentation de l’ovule fécondé. Mais, si les cellules génératrices des
éléments
sexuels n’apparaissent pas, en général, dès le dé
bryonnaire, et se ressaisissant le plus tôt possible dans de nouveaux
éléments
sexuels où, encore une fois, elle attendra son he
nir que ce qui ressemble au passé ou ce qui est recomposable avec des
éléments
semblables à ceux du passé. Tel est le cas des fa
us ceux qui font partie d’un système où se juxtaposent simplement des
éléments
censés immuables, où il ne se produit que des cha
tion originale, qui communique quelque chose de son originalité à ses
éléments
, c’est-à-dire aux vues partielles qu’on prend sur
ce qu’on peut dire est qu’elle s’explique, une fois produite, par les
éléments
que l’analyse y découvre. Mais ce qui est vrai de
épétition. Si le tout est original, elle s’arrange pour l’analyser en
éléments
ou en aspects qui soient à peu près la reproducti
vous appelez une forme imprévisible n’est qu’un arrangement nouveau d’
éléments
anciens. Les causes élémentaires dont l’ensemble
nes qui se répètent en adoptant un ordre nouveau. La connaissance des
éléments
et des causes élémentaires eût permis de dessiner
larez arbitrairement que la matière vivante n’est pas faite des mêmes
éléments
que l’autre. — Nous répondrons que nous ne contes
la chimie et la physique doivent nous donner la clef de la vie. Un
élément
très petit d’une courbe est presque une ligne dro
nt générateur de la courbe. En réalité, la vie n’est pas plus faite d’
éléments
physico-chimiques qu’une courbe n’est composée de
nes des autres par une constante, ainsi, peut-être, l’intégration des
éléments
physico-chimiques d’une action proprement vitale
en effet l’organisme le plus complexe et le plus harmonieux. Tous les
éléments
, nous dit-on, conspirent pour le plus grand bien
us grand bien de l’ensemble. Soit, mais n’oublions pas que chacun des
éléments
peut être lui-même, dans certains cas, un organis
certaine indépendance. A la rigueur, si la subordination de tous les
éléments
de l’individu à l’individu lui-même était complèt
ividu, et ne parler que de finalité interne. Mais chacun sait que ces
éléments
peuvent posséder une véritable autonomie. Sans pa
omatiques, il suffit de mentionner les faits de régénération : ici un
élément
ou un groupe d’éléments manifeste soudain que si,
mentionner les faits de régénération : ici un élément ou un groupe d’
éléments
manifeste soudain que si, en temps normal, il s’a
ment interne ni individualité absolument tranchée dans la nature. Les
éléments
organisés qui entrent dans la composition de l’in
ente, elle procède ou s’imagine procéder par un arrangement nouveau d’
éléments
connus. Son principe est qu’« il faut le même pou
duelle à des actes que l’intelligence pourra résoudre indéfiniment en
éléments
intelligibles sans y arriver jamais complètement
roit de naissance ou par droit de conquête, innés ou appris, tous les
éléments
essentiels de la connaissance de la vérité. Là mê
intelligence en particulier, la Vie a dû abandonner en route bien des
éléments
incompatibles avec ce mode particulier d’organisa
trerons, a d’autres lignes de développement, c’est la totalité de ces
éléments
que nous devrons rechercher et fondre avec l’inte
ue autre point terminus de l’évolution. Et il faudrait considérer ces
éléments
divers et divergents comme autant d’extraits qui
rcations ont eu beau se produire, des voies latérales s’ouvrir où les
éléments
dissociés se déroulaient d’une manière indépendan
s. Quelque chose du tout doit donc subsister dans les parties. Et cet
élément
commun pourra se rendre sensible aux yeux d’une c
es demeurent visibles dans l’effet qu’elles produisent et en sont les
éléments
constitutifs. Que deux promeneurs partis de point
on réintroduira, et une finalité beaucoup trop chargée, cette fois, d’
éléments
anthropomorphiques. En un mot, si l’adaptation do
t de suite après, équivalents l’un à l’autre, mais la préparation des
éléments
sexuels se poursuit des deux côtés dans des condi
s eu de peine à montrer que, dans cet appareil si compliqué, tous les
éléments
sont merveilleusement coordonnés les uns aux autr
n effet, si l’on considère un œil tel que le nôtre, où des milliers d’
éléments
sont coordonnés à l’unité de la fonction. Mais il
ans l’un et dans l’autre, les mêmes parties essentielles, composées d’
éléments
analogues. L’œil du Peigne présente une rétine, u
nôtre. On remarque chez lui jusqu’à cette inversion particulière des
éléments
rétiniens qui ne se rencontre pas, en général, da
mêmes, dans le même ordre, impliquant chaque fois un accord parfait d’
éléments
de plus en plus nombreux et complexes, le long de
lé du dehors, aboutisse, dans les deux cas, à la même juxtaposition d’
éléments
coordonnés de la même manière. Mais il n’en serai
ssus nerveux, et qui transmettraient la maladie en pénétrant dans les
éléments
sexuels 41. Cette objection a été écartée par Bro
générale de la nutrition susceptible de le priver de certains de ses
éléments
, elle n’aura aucun effet sur la descendance de l’
ue de la rétine, on sait qu’elle comprend trois couches superposées d’
éléments
nerveux, — cellules multipolaires, cellules bipol
end tout autrement. Elle ne procède pas par association et addition d’
éléments
mais par dissociation et dédoublement. Il faut d
s ou notre intelligence nous le représentent, plus généralement à des
éléments
d’ordre différent avec lesquels nous essayons de
s, plus nombreux, plus variés de ton. Mais il faudrait une infinité d’
éléments
infiniment petits, présentant une infinité de nua
humain du mot, et ce n’est pas un assemblage, car il n’est pas fait d’
éléments
. De même pour le rapport de l’œil à la vision. Il
ant qu’elle ait haussé jusqu’à l’acte simple de vision une infinité d’
éléments
infiniment compliqués, alors que la nature n’a pa
main. Son acte simple s’est divisé automatiquement en une infinité d’
éléments
qu’on trouvera coordonnés à une même idée, comme
ux élémentaires, qui ont organisé les parties, seront censés être les
éléments
réels du travail qui a organisé le tout. Voilà le
n de l’appareil visuel ne s’explique pas plus par l’assemblage de ses
éléments
anatomiques que le percement d’un canal ne s’expl
ialité de l’organe est faite d’un nombre plus ou moins considérable d’
éléments
coordonnés entre eux, mais l’ordre est nécessaire
faut-il entendre par création, comme le fait l’auteur, un synthèse d’
éléments
? Là où les éléments préexistent, la synthèse qui
création, comme le fait l’auteur, un synthèse d’éléments ? Là où les
éléments
préexistent, la synthèse qui s’en fera est virtue
aient. Nous estimons au contraire que, dans le domaine de la vie, les
éléments
n’ont pas d’existence réelle et séparée. Ce sont
st immédiatement donnée, c’est-à-dire les idées, et il y découvre des
éléments
dont le caractère propre est d’être évidents au r
opre est d’être évidents au regard de l’intuition intellectuelle. Ces
éléments
sont, selon lui, les principes cherchés. Et de pl
aies absolument ou d’une manière simplement relative ? Sont-elles des
éléments
ou seulement des symboles de la réalité ? 3° A le
ncipe de contradiction tel que l’a formulé Aristote : il contient des
éléments
qui ne sont pas visiblement inclus dans les lois
ramène le divers à l’unité. Il représente donc une certaine liaison d’
éléments
intelligibles, une relation d’hétérogénéité, au m
plicité est en puissance dans le concept, on introduit visiblement un
élément
obscur. Si l’on dit que le concept contient ses p
s’en faire une idée claire, parce qu’on n’y voit qu’une collection d’
éléments
. Mais où l’unité a disparu, il n’y a plus de conc
ept dont elle se propose l’analyse ; elle admet, dans ce concept, des
éléments
juxtaposés, et ne détermine pas le lien qui les u
présenteraient une parfaite intelligibilité. Or, elles impliquent des
éléments
impénétrables à la pensée. On est forcé de les ad
A est A, et que le concept, le jugement, le syllogisme impliquent un
élément
nouveau, à savoir le multiple comme contenu dans
icite à l’implicite. Les mathématiques introduisent, elles aussi, des
éléments
nouveaux que l’esprit n’arrive pas à s’assimiler
plus voisines des relations mathématiques sont les lois mécaniques. L’
élément
essentiel et caractéristique de ces lois est la n
uit-elle à une notion purement mathématique, ou contient-elle quelque
élément
nouveau ? Sans doute, la mécanique abstraite ne d
principes mathématiques de sa philosophie naturelle. Or, quel est cet
élément
qui ne se trouve pas dans les mathématiques et qu
t entre des choses extérieures l’une à l’autre. Donc il s’y trouve un
élément
extra-mathématique. Mais ne peut-on pas dire que
ion et complication des mathématiques ; en effet, elles impliquent un
élément
nouveau, qui ne peut être ramené à l’intuition ma
l’on se rappelle que ces concepts, soumis à l’analyse, présentent des
éléments
réfractaires à la pensée. Une troisième forme du
l serre le problème de plus près, il est réduit à admettre en lui des
éléments
destructeurs. En principe, l’idéalisme consiste à
s pour nous. La distinction des lois ou rapports et des phénomènes ou
éléments
, calquée sur celle des préceptes et de la volonté
es lois physiques Nous avons vu que l’expérience intervient comme
élément
essentiel dans l’établissement des lois mécanique
exprimeraient un déterminisme véritablement nécessaire. Mais les deux
éléments
y sont moins fondus que juxtaposés : ce qu’il y a
ns de la science actuelle, il semble y avoir dans la physique quelque
élément
irréductible à la mécanique, ou bien s’il n’y a,
parable de la condition primitive. Cette loi introduit en physique un
élément
différent des éléments mécaniques. En mécanique,
n primitive. Cette loi introduit en physique un élément différent des
éléments
mécaniques. En mécanique, on considère une force
es lois physiques ne peuvent donc se ramener aux lois mécaniques ; un
élément
nouveau intervient : la qualité. Ce n’est plus, s
Ce n’est plus, sans doute, la qualité scolastique, mais c’est déjà un
élément
de différenciation et d’hétérogénéité. Demandons-
e n’est obtenue qu’en éliminant l’hétérogène pour ne considérer que l’
élément
homogène des choses. Le physicien écarte, pour la
ature qui se suffit, qui ne subit pas l’influence du reste ? Tous ces
éléments
de la réalité, qualités et formes de l’être, qu’i
, non moins que le sens du réel, ne demande-t-elle pas que les divers
éléments
du monde se conditionnent les uns les autres, pou
atura a natura vincitur. Leur théorie est la suivante. D’une part les
éléments
corporels sont susceptibles de transmutation ; d’
, la dureté, l’inertie de l’atome, lesquelles entrent cependant comme
éléments
essentiels dans sa définition. Les chimistes nous
ut lui fournir. D’une manière générale, ou soutient que l’atome est l’
élément
qui présente au plus haut degré possible la réuni
ques. VIII. Les lois biologiques M. Beaunis, dans ses Nouveaux
Éléments
de Physiologie humaine, ramène les lois biologiqu
ste essentiellement cette réduction, nous allons nous appuyer sur les
Éléments
de Physiologie de M. Beaunis et sur le remarquabl
° il n’y a pas de spontanéité, 2° la réaction est égale à l’action. L’
élément
commun de tous les tissus est le protoplasma, leq
u tel excitant mécanique, physique ou chimique : ce qui est vrai de l’
élément
doit être vrai des composés. De plus, chez les êt
’une excitation provenant du milieu ambiant, réagit, il approprie ses
éléments
à cette réaction, car il faut, sous peine de déch
onditions d’existence ». Ces paroles ne semblent-elles pas dire que l’
élément
vivant tend à subsister dans son individualité, e
utre part un je ne sais quoi qui ressemble à la finalité : ce dernier
élément
est renvoyé à la psychologie ou à la métaphysique
lusoire, si le mécanisme est le vrai, parce que pour le mécanisme les
éléments
seuls existent et leur rapprochement n’est rien.
e. Or le monde, selon la doctrine aristotélicienne, est formé de deux
éléments
: une matière dont la nature propre est la mobili
s, comme modèles à réaliser dans la mesure que comporte la nature des
éléments
. De ce principe résulte la gradation des êtres vi
extérieurs, structure anatomique, facultés, genre de vie, et, de ces
éléments
, former les types irréductibles réalisés par la n
ues proprement dites, reliant, d’une manière nécessaire, non plus les
éléments
simples des choses, mais les phases qu’elles prés
étaphysique, ou si elles impliquent, plus ou moins enveloppé, quelque
élément
irréductible au mécanisme expérimental. Certaines
a discontinuité par la discontinuité : le degré seul diffère dans les
éléments
et dans les composés. Mais, quand il s’agit du mo
r des principes dépourvus en eux-mêmes de ces deux caractères. Mais l’
élément
est déjà un individu, et, par l’hérédité, reprodu
caractères que l’on se propose d’expliquer sont présupposés dans les
éléments
mêmes que l’on prend pour donnés. La différence n
humaine, que de voir dans l’homme, issu de la nature, un assemblage d’
éléments
matériels. Si donc, avec la biologie, le détermin
u production idéale, estime que la science exacte consiste à partir d’
éléments
rationnellement simples et à composer, avec ces é
e à partir d’éléments rationnellement simples et à composer, avec ces
éléments
, suivant une déduction rationnelle, des touts sem
, d’autres philosophes cherchaient dans l’âme, considérée à part, les
éléments
d’une psychologie scientifique. Ce sont les Angla
principes cartésiens. Locke place à la base de la science de l’âme un
élément
proprement psychique, l’idée. Les idées sont le p
cte. Dans son développement, cette philosophie s’est scindée aux deux
éléments
de la connaissance, distingués par Locke, corresp
u donné, l’idée des idéologues, n’y trouve-t-on pas toujours, avec un
élément
venu du dehors, cette activité même de l’esprit q
Locke voyait des idées simples, Reid démêle, par introspection, trois
éléments
: la sensation, la conception d’un objet extérieu
r le fait psychique dans sa totalité naturelle, et ne jamais isoler l’
élément
interne de ses concomitants physiologiques et phy
la psychologie physiologique expérimentale. Selon cette discipline, l’
élément
psychique n’est et ne sera de longtemps encore sa
dt, sans parler de Fechner, ne prétendent pas à l’élimination de tout
élément
à priori. Helmholtz admet la causalité en un sens
d’une manière tout à fait artificielle. Ces faits sont, pour eux, des
éléments
indivisibles liés entre eux du dehors comme les é
our eux, des éléments indivisibles liés entre eux du dehors comme les
éléments
de la matière dans l’atomisme. Mais comment se re
re dans l’atomisme. Mais comment se représenter, comment concevoir un
élément
psychique indivisible ? Où, dans ce domaine, trou
La psychologie associationniste prend les données du langage pour les
éléments
de la vie intérieure, dont ils ne sont qu’une gro
scriptive, en étudiant le phénomène psychique dans la totalité de ses
éléments
et conditions, et en cherchant dans la mécanique
entes ont dû éliminer pour devenir positives, à savoir l’ensemble des
éléments
subjectifs, voilà ce que la psychologie physique
r se reproduire tels quels. S’ils recèlent des lois, c’est dans leurs
éléments
, non dans leur forme concrète, qu’il les faut che
métaphysique de la puissance et de l’acte. Si la logique contient des
éléments
irréductibles, les mathématiques en contiennent d
nce, on a supposé que tout ce qui nous est donné se décompose en deux
éléments
impénétrables l’un à l’autre : des mouvements et
utre : des mouvements et des états de conscience, et que, de ces deux
éléments
, le premier est, par rapport à la connaissance, l
ui doit être la base de toutes les autres, la mécanique, présente des
éléments
irréductibles aux pures déterminations mathématiq
té. La chimie repose sur ce postulat, qu’il existe et se conserve des
éléments
de différentes espèces. L’acte réflexe de la biol
és ; elle paraît moins une parole ou quelque chose de la parole qu’un
élément
ou une détermination de la pensée ; son rapport a
le nom de parole et de l’appeler, par exemple, la pensée parlée ou l’
élément
phonoïde de la pensée. Mais, malgré tout, cet élé
sée parlée ou l’élément phonoïde de la pensée. Mais, malgré tout, cet
élément
de la pensée est bien une parole ; s’il a perdu l
itre de transition, de moyen terme, entre la parole extérieure et cet
élément
vocal de la pensée réfléchie qui est la vraie par
ns pourront dire que j’imagine, car l’ensemble conçu est nouveau, les
éléments
seuls sont anciens ; les autres pourront soutenir
souvenir mêlé d’imagination ; le moindre changement dans l’ordre des
éléments
du souvenir est une œuvre de l’imagination. La mé
uissance à la fois matérielle et formelle ; elle fournit toujours les
éléments
de l’activité expérimentale, et souvent elle suff
roduit dans mon analyse l’idée toute métaphysique du phénomène-atome,
élément
indivisible des phénomènes divisibles ; mais je p
le, car je ne puis me répéter deux heures durant sans glisser quelque
élément
nouveau dans la reproduction de mon passé ; la mé
oujours morbide, et surtout elle implique toujours une illusion : son
élément
caractéristique est le jugement d’extériorité que
nternes237. Il faudrait alors considérer l’hallucination comme un des
éléments
essentiels de la vie psychique normale, comme la
division est nécessairement un peu vague, parce qu’elle porte sur un
élément
quantitatif et, partant, continu. Les états forts
ce serait dire que la faiblesse des images est ou la durée ou un des
éléments
de l’idée de durée, que la force des images est o
e l’idée de durée, que la force des images est ou l’étendue ou un des
éléments
de l’idée d’étendue, propositions qui se réfutent
aiblies par l’habitude, mélanges où la faiblesse et la complexité des
éléments
réunis par l’association rendent ceux-ci presque
de renouvellement, qui introduisent sans cesse dans la succession des
éléments
nouveaux, doués, avant tout effet de l’habitude,
est la dispersion dans le temps, en introduisant dans son devenir des
éléments
de permanence, d’unité relative, d’harmonie. Et,
l’écho de la parole, et à l’élever au rôle de compagnon, d’associé, d’
élément
inséparable de la succession psychique ; celle-ci
ion la plus attentive pour distinguer dans cette intime association l’
élément
fondamental, et l’élément emprunté qui lui sert d
distinguer dans cette intime association l’élément fondamental, et l’
élément
emprunté qui lui sert d’auxiliaire, l’âme elle-mê
re. Le jeu des représentations est-il le même dans les deux cas ? Les
éléments
intellectuels sont-ils de même espèce et entretie
traces jusque dans l’attention sensorielle elle-même, encore que cet
élément
n’y joue plus qu’un rôle accessoire et effacé. Po
armi des images de sons ou d’articulations, sans qu’interviennent des
éléments
plus abstraits, extérieurs au plan des sensations
souvenir complexe serait donc en raison directe de la tendance de ses
éléments
à s’étaler sur un même plan de conscience. Et en
ur, un effort de reconstitution. Quel est cet effort ? Quels sont les
éléments
effectivement présents à la mémoire ? C’est ici q
ion du tout qui lui permet, à un moment quelconque, de visualiser les
éléments
. Cette représentation abstraite est d’ailleurs un
d’ailleurs une. Elle implique une pénétration réciproque de tous les
éléments
les uns dans les autres. Ce qui le prouve, c’est
e représentation où vous sentez que sont donnés l’un dans l’autre des
éléments
dynamiques très différents. Cette implication réc
velopper un schéma sinon simple, du moins concentré, en une image aux
éléments
distincts et plus ou moins indépendants les uns d
rappel consiste à convertir une représentation schématique, dont les
éléments
s’entrepénètrent, en une représentation imagée do
écisément ici de l’attention machinale en ce qu’elle met en œuvre des
éléments
psychologiques situés sur des plans de conscience
percevoir et à la relation probable de cette perception avec certains
éléments
de l’expérience passée. On a discuté sur le sens
certain effet obtenu, et l’on cherche alors par quelle composition d’
éléments
cet effet s’obtiendra. On se transporte d’un bond
, et le résultat est obtenu quand on arrive à une image distincte des
éléments
. M. Paulhan a montré sur des exemples du plus hau
d’une forme d’organisation, variable sans doute, mais antérieure aux
éléments
qui doivent s’organiser, puis d’une concurrence e
ux éléments qui doivent s’organiser, puis d’une concurrence entre les
éléments
eux-mêmes, enfin, si l’invention aboutit, d’un éq
les unes aux autres. Il n’y a donc effort mental que là où il y a des
éléments
intellectuels en voie d’organisation. En ce sens,
. C’est l’unité d’une « idée directrice » commune à un grand nombre d’
éléments
organisés. C’est l’unité même de la vie. D’un mal
e même, par une certaine composition ou une certaine interférence des
éléments
intellectuels entre eux. Au contraire, si l’on co
essairement alors que cette représentation est un composé, et que les
éléments
de la représentation n’ont pas, dans les deux cas
, pourquoi ne pas commencer par là ? Et si le mouvement intérieur des
éléments
de la représentation rend compte, dans l’effort i
é du schéma et de l’image, en même temps qu’une action de l’un de ces
éléments
sur l’autre ? Mais, d’abord, le schéma dont nous
re ne pourrait que, recommencer son passé tel quel, ou en prendre les
éléments
figés pour les recomposer dans un autre ordre, pa
forme un continu physique C. Et chacun de ces systèmes s’appellera un
élément
du continu C. Combien ce continu a-t-il de dimens
inu C. Combien ce continu a-t-il de dimensions ? Prenons d’abord deux
éléments
A et B de C, et supposons qu’il existe une suite
rd deux éléments A et B de C, et supposons qu’il existe une suite Σ d’
éléments
, appartenant tous au continu C, de telle façon qu
le suite Σ, nous dirons que A et B sont reliés entre eux ; et si deux
éléments
quelconques de C sont reliés entre eux, nous diro
l tenant. Choisissons maintenant sur le continu C un certain nombre d’
éléments
d’une manière tout à fait arbitraire. L’ensemble
re d’éléments d’une manière tout à fait arbitraire. L’ensemble de ces
éléments
s’appellera une coupure. Parmi les suites Σ qui r
rmi les suites Σ qui relient A à B, nous distinguerons celles dont un
élément
est indiscernable d’un des éléments de la coupure
nous distinguerons celles dont un élément est indiscernable d’un des
éléments
de la coupure (nous dirons que ce sont celles qui
ns que ce sont celles qui coupent la coupure) et celles dont tous les
éléments
sont discernables de tous ceux de la coupure. Si
ure, et que la coupure divise C. Si on ne peut pas trouver sur C deux
éléments
qui soient séparés par la coupure, nous dirons qu
à l’espace, de telle façon qu’à tout point de l’espace corresponde un
élément
de ce continu, et qu’à des points de l’espace trè
points de l’espace très voisins les uns des autres, correspondent des
éléments
indiscernables. L’espace aura alors autant de dim
eprésenter que des continus physiques et des objets finis. Les divers
éléments
de l’espace, que nous appelons points, sont tous
r appliquer notre définition, il faut que nous sachions discerner les
éléments
les uns des autres, au moins s’ils ne sont pas tr
upe des déplacements et que nous définirons de la façon suivante. Les
éléments
de ce continu seront les changements internes sus
ntinu est maintenant entièrement défini, puisque nous connaissons ses
éléments
et que nous avons précisé dans quelles conditions
eux continus physiques ont l’un et l’autre trois dimensions. À chaque
élément
du continu C, ou si l’on aime mieux s’exprimer ai
t nous savons qu’elle ne fait pas bouger le doigt D. De même à chaque
élément
du continu C′, ou à chaque point du second espace
a vie tournât ce nouvel obstacle. Elle obtint d’un nombre croissant d’
éléments
, prêts à se dédoubler, qu’ils restassent unis. Pa
ue le végétal emprunte directement à l’air, à l’eau et à la terre les
éléments
nécessaires à l’entretien de la vie, en particuli
forme minérale. Au contraire, l’animal ne peut s’emparer de ces mêmes
éléments
que s’ils ont déjà été fixés pour lui dans les su
animaux par le pouvoir de créer de la matière organique aux dépens d’
éléments
minéraux qu’ils tirent directement de l’atmosphèr
gé de chercher, pour s’en nourrir, les végétaux qui ont déjà fixé ces
éléments
ou les animaux qui les ont empruntés eux-mêmes au
ans l’atmosphère, dans l’eau et dans la terre où elle est placée, les
éléments
minéraux qu’elle s’approprie directement. Certes,
simplifient et se séparent aussi les uns des autres ; finalement, les
éléments
nerveux disparaissent, noyés dans l’ensemble d’un
Mais il en est ainsi de tous les autres appareils, de tous les autres
éléments
anatomiques ; et il serait aussi absurde de refus
écision. Mais, là où ne s’est pas encore produite une canalisation en
éléments
nerveux, encore moins une concentration des éléme
canalisation en éléments nerveux, encore moins une concentration des
éléments
nerveux en un système, il y a quelque chose d’où
nt besoin. Les premiers, continuellement et machinalement, tirent ces
éléments
d’un milieu qui les leur fournit sans cesse. Les
e. Aussi nous paraît-il douteux qu’on découvre jamais à la plante des
éléments
nerveux, si rudimentaires qu’on les suppose. Ce q
de l’amidon. Ce qui revient à dire que la plante ne doit pas avoir d’
éléments
nerveux, et que le même élan qui a porté l’animal
trouve difficile de maintenir unis dans le même être vivant les deux
éléments
qui, à l’état rudimentaire, sont impliqués l’un d
lémentaires qu’ils étaient confondus. Il s’en faut d’ailleurs que les
éléments
en lesquels une tendance se dissocie aient tous l
roviennent pas directement de la tendance primitive, mais de l’un des
éléments
en lesquels elle s’est divisée : ce sont des déve
e originelle dont elles représentent les directions élémentaires. Les
éléments
d’une tendance ne sont pas comparables, en effet,
ng des autres lignes, nous devons conclure que nous avons affaire aux
éléments
dissociés d’une même tendance originelle. En ce s
inera l’énergie. Ces directions sont marquées par autant de chaînes d’
éléments
nerveux placés bout à bout. Or, l’élément nerveux
es par autant de chaînes d’éléments nerveux placés bout à bout. Or, l’
élément
nerveux s’est dégagé peu à peu de la masse à pein
utient l’organisme où le système nerveux est inséré et sur lequel les
éléments
nerveux doivent vivre. Mais ces éléments nerveux
est inséré et sur lequel les éléments nerveux doivent vivre. Mais ces
éléments
nerveux n’auraient aucune raison d’être si cet or
stances alimentaires. Bien des faits nous paraissent indiquer que les
éléments
nerveux et musculaires occupent cette place vis-à
d’œil sur la répartition des substances alimentaires entre les divers
éléments
du corps vivant. Ces substances se divisent en de
de l’organisme s’employait à approvisionner d’énergie potentielle les
éléments
du tissu musculaire et aussi ceux du tissu nerveu
ssus. Au contraire, dans le tissu nerveux, la réserve est faible (les
éléments
nerveux, dont le rôle est simplement de libérer l
en à tout. Ce cercle n’en a pas moins un centre, qui est le système d’
éléments
nerveux tendus entre les organes sensoriels et l’
d’abord diffuse dans la masse protoplasmique. Mais, d’autre part, les
éléments
qui la composent sont probablement discontinus ;
e. Torpeur végétative, instinct et intelligence, voilà donc enfin les
éléments
qui coïncidaient dans l’impulsion vitale commune
ion présente, de tenir l’objet réel auquel nous avons affaire, ou les
éléments
réels en lesquels nous l’avons résolu, pour provi
bilité qu’elle part toujours, comme si c’était la réalité ultime ou l’
élément
; quand elle veut se représenter le mouvement, el
ble par ses caractères essentiels au monde des solides, mais dont les
éléments
sont plus légers, plus diaphanes, plus faciles à
vantage. Plus la science avance, plus elle voit croître le nombre des
éléments
hétérogènes qui se juxtaposent, extérieurs les un
son mouvement naturel. Elle implique, à la fois, la multiplicité des
éléments
et la pénétration réciproque de tous par tous, de
re, penser consiste à reconstituer, et, naturellement, c’est avec des
éléments
donnés, avec des éléments stables par conséquent,
nstituer, et, naturellement, c’est avec des éléments donnés, avec des
éléments
stables par conséquent, que nous reconstituons. D
dustrie, où nous recomposons indéfiniment le même tout avec les mêmes
éléments
, où nous répétons les mêmes mouvements pour obten
vaille sur un modèle donné d’avance, c’est-à-dire ancien ou composé d’
éléments
connus. Quant à l’invention proprement dite, qui
iquer consiste toujours à la résoudre, elle imprévisible et neuve, en
éléments
connus ou anciens, arrangés dans un ordre différe
? Et pourtant ce sont là des fonctions naturelles de la cellule, les
éléments
constitutifs de sa vitalité. Réciproquement, quan
iale. Mais la même diversité se retrouverait dans le fonctionnement d’
éléments
histologiques appartenant à des tissus différents
Or elles ne se produiront que si, dans certains cas, l’addition d’un
élément
nouveau amène le changement corrélatif de tous le
ition d’un élément nouveau amène le changement corrélatif de tous les
éléments
anciens. Personne ne soutiendra que le hasard pui
rs celle que nous donnerait une complexité croissante obtenue par des
éléments
ajoutés successivement les uns aux autres, ou une
verses sociétés ne tient pas à un nombre plus ou moins considérable d’
éléments
additionnés. Nous nous trouvons bien plutôt devan
la paralysie vienne sans entraîner la mort, comment supposer que les
éléments
si spéciaux d’une connaissance si précise se soie
ormes à peu près pures. Pourquoi l’instinct se résoudrait-il alors en
éléments
intelligents ? Pourquoi même en termes tout à fai
it qu’écarter l’un de l’autre, pour les développer jusqu’au bout, des
éléments
qui se compénétraient à l’origine. Plus préciséme
ommune. Mais, d’autre part, en appuyant sur cette opposition des deux
éléments
et sur cette communauté d’origine, nous dégageron
ue, puisque, dans cette hypothèse, elle n’est en rien sentie dans ses
éléments
primordiaux ? Un simple symbole de l’intensité et
par réaction, augmentée en vue de surmonter la résistance. Ce premier
élément
de la force, l’intensité, a donc sa racine dans l
plus ou moins intense et réaction plus ou moins intense. C’est à cet
élément
que se lie d’une manière intime le ton de la sens
ront à nous donner la notion d’étendue, dont ils ne contiennent pas l’
élément
. Nous serons comme en présence d’une langue impos
e qualité différente, mais de même extensivité. On voit qu’il y a un
élément
spécifique et irréductible dans la représentation
représentation de l’étendue ; on ne peut donc la construire avec des
éléments
tous intensifs et temporels, non extensifs. C’est
quent, postuler la direction, c’est postuler non pas l’espace, mais l’
élément
dont la notion d’espace est formée. » — Cette rép
’état de conscience particulier qui répond à l’extension, il y ait un
élément
irréductible, un mode de représentation et comme
à l’activité de l’intellect ? De même, dans les sensations, outre les
éléments
irréductibles propres à chacune, il y a un caract
ucher et de la vue que chez les autres, l’extensivité, c’est-à-dire l’
élément
de l’étendue, de cette juxtaposition de parties é
pur concept que nous ne commençons pas par avoir et qui contient des
éléments
tout intellectuels, parce qu’il exprime de purs p
tés purement mathématiques do l’espace ; mais la propriété qu’ont les
éléments
de l’espace d’être l’un en dehors de l’autre est-
tionnisme, sont, au fond, des théories atomistes. Elles supposent des
éléments
particuliers et détachés, tels que les sensations
l’association des idées supposent d’abord, comme nous l’avons vu, des
éléments
tout intensifs, — sentiments d’effort, a, b, c, d
g h, i, sensations tactuelles, r, s, t, u, v ; puis ils associent ces
éléments
soit par association ordinaire, soit par synthèse
au même, par chimie mentale ; et ils concluent que le résultat de ces
éléments
intensifs est quelque chose d’extensif. Pure hypo
ractère indéfini, La détermination et le détachement, qui en font des
éléments
possibles pour un groupement intellectuel, appart
tantes et constamment coexistantes. 2° Toutefois, il manque encore un
élément
caractéristique : l’extériorité des parties par r
tion que la sensation du blanc ou celle de l’odeur de rose. Outre les
éléments
qui précèdent, il ne faut pas oublier, dans la fo
l’ordre est invariable, pour acquérir, en y ajoutant tous les autres
éléments
précités, la notion de distance : la distance, en
composants. Tous ces cléments sensitifs étant donnés, nous avons les
éléments
nécessaires pour la représentation de l’étendue à
la « profondeur » soit « un produit spontané de notre pensée118 ». Un
élément
important, quoique trop négligé, dans la genèse d
caractère extensif de la direction est la combinaison de ces premiers
éléments
avec le sentiment constant d’extensivité provenan
qu’une représentation plus complexe formée par l’addition de nouveaux
éléments
, sans aucune représentation d’un nouvel objet, ni
essifs de réaction qui nous permet de nous représenter le rapport des
éléments
sensitifs transmis sous la forme passive de pures
, qui réfléchit sur la conscience sensible et affirme l’existence des
éléments
qui la constituent. » Ainsi naissent les formes à
ous allons distinguer par elle, par son mode de réalisation, quelques
éléments
essentiels de la vie, quelques forces dont l’acti
ablit des catégories factices ; elle énumère, l’un après l’autre, des
éléments
qui sont partout coexistants. Il faut en prendre
espace. Je modifie expressément la formule de Taine, en combinant ses
éléments
d’une autre façon. Il disait : « la race, le mili
eu importe qu’il ne soit qu’un recommencement ou qu’une combinaison d’
éléments
déjà connus ; rien ne se répète absolument dans l
éternel. — Dès que le principe est à peu près réalisé, il devient un
élément
constitutif du groupe, et perd peu à peu sa puiss
us intelligible de nos aspirations intimes) est à même de fournir les
éléments
d’une pareille connaissance, d’une prise de consc
on du principe, l’individu agit lui-même sur l’évolution ; grâce à un
élément
psychologique qui lui est particulier, et dont je
érience donnée et connaît-il avec précision les réactions de certains
éléments
; tel n’est pas le cas, hélas, de l’historien, du
bonne partie illusoires, parce qu’elle isole, pour sa commodité, des
éléments
qui ne sont jamais isolés dans la vie. Dès qu’on
erd dans un infini de possibilités. Quand nous avons analysé tous les
éléments
de la Divine Comédie ou de Phèdre, avons-nous pro
ourquoi ne savons-nous jamais prévoir l’œuvre de demain ? C’est qu’un
élément
nous échappe, qui est précisément l’élément essen
e de demain ? C’est qu’un élément nous échappe, qui est précisément l’
élément
essentiel ; est-il de même ordre que les autres ?
la puissance des individualités, la combinaison nouvelle, x ou y, des
éléments
déjà connus dans les combinaisons a et b. Ceux qu
il n’y a pas de création ; il n’y a que des combinaisons nouvelles d’
éléments
déjà connus. Sur le degré et la valeur de cette n
saurait se soustraire au relatif. Or cherchons à préciser quel est l’
élément
relatif dans une œuvre d’art. À première vue, il
e Dante, de Gœthe ? Nullement ; elles sont au contraire dans tous les
éléments
de leur époque et de leur milieu qu’ils ont subis
d’un certain point de vue ; et quand d’autres retrouvent ailleurs les
éléments
constitutifs du christianisme, ils ont raison aus
. Procéder ainsi, c’est faire de l’acrobatie, dans l’absolu, avec des
éléments
disjoints et méconnaître à la fois l’importance d
? Le mot nous manque pour exprimer cet état intellectuel, où tous les
éléments
de la nature humaine se réuniraient dans une harm
mitives de l’esprit humain. Tout était dans une seule œuvre, tous les
éléments
de l’humanité s’y recueillaient en une unité, qui
livre sacré des peuples primitifs, est l’amas syncrétique de tous les
éléments
humains de la nation. Tout y est dans une confuse
l’individu ne sait bien que l’ensemble dont il connaît séparément les
éléments
divers, en même temps qu’il perçoit le rôle de ce
ément les éléments divers, en même temps qu’il perçoit le rôle de ces
éléments
dans le tout. L’humanité ne sera savante que quan
ent moins exactement que nous, et ils avaient moins de critique ; ces
éléments
qu’ils mêlaient, ils ne savaient d’où ils venaien
’analyse est, à sa manière, un progrès. Dans le syncrétisme, tous les
éléments
étaient entassés sans cette exacte distinction qu
t ; car l’esprit n’est que la résultante unique d’un certain nombre d’
éléments
multiples. L’histoire de l’être ne sera complète
qui sera Dieu, comme dans l’homme l’âme est la résultante de tous les
éléments
qui le composent. Dieu sera alors l’âme de l’univ
, parce qu’une grande vie centrale résulte chez celui-ci de plusieurs
éléments
parfaitement distincts. La France est la première
ur eux un système des choses plutôt qu’à recueillir pour l’avenir les
éléments
de la solution. Notre méthode est par excellence
ses, ce que ne font jamais les savants analystes, qui ne voient que l’
élément
inanimé. La plupart des catégories de la science
ue. Dans la poésie primitive, tous les genres étaient confondus ; les
éléments
lyrique, élégiatique, didactique, épique y coexis
us effets de l’attention en sont les facteurs indispensable- ; et les
éléments
constitutifs. — L’attention n’est que l’aspect su
ire nos tendances contrariées ou satisfaites. L’intensité n’est qu’un
élément
, souvent le moindre. Aussi qu’on remarque combien
e d’application jusqu’à l’âge de treize ans : alors il est initié aux
éléments
des mathématiques et devient un autre homme. Male
nsitif et moteur. Dès qu’une immobilité absolue élimine l’un des deux
éléments
(la motilité), la fonction de l’autre est bientôt
l’esprit que comme ses conditions nécessaires, souvent même comme ses
éléments
constitutifs. Cette étude, loin d’être accessoire
des signes ? Sont-ils, au contraire, les conditions nécessaires, les
éléments
constitutifs, les facteurs indispensables de l’at
lle), aux images et aux idées (dans la réflexion). Par hypothèse, les
éléments
nerveux qui fonctionnent fournissent un travail s
entre enjeu. « Une idée en activité, dit Maudsley, engendre dans les
éléments
nerveux un changement moléculaire qui se propage
s en se dirigeant du centre à la périphérie12 ». Mais il y a un autre
élément
et non le moins important. 2° Comme organe moteur
manifestation motrices ne sont ni des effets ni des causes, mais des
éléments
: avec l’état de conscience qui en est le côté su
tenant compte de quelque différence de langage, que presque tous les
éléments
que nous nous sommes efforcé de montrer dans le m
ire un monoïdéisme ajusté : l’adaptation a eu le temps de se faire. L’
élément
intellectuel reprend le dessus sur l’élément émot
le temps de se faire. L’élément intellectuel reprend le dessus sur l’
élément
émotionnel. Il est très vraisemblable que, dans l
ories. — L’attention n’agit que sur des muscles et par des muscles. —
Éléments
moteurs dans les perceptions, émotions, images et
s frontaux. Le rappel d’une idée, dit-il, dépend de l’excitation de l’
élément
moteur qui entre dans sa composition ; l’attentio
tenons, il faut que dans tous les cas d’attention il y ait en jeu des
éléments
musculaires, des mouvements réels ou à l’élut nai
e la volonté. Il faut donc de deux choses l’une : ou bien trouver des
éléments
musculaires dans toutes les manifestations de l’a
d’idées, adaptées à un but posé d’avance. Nous avons à déterminer les
éléments
moteurs qui se rencontrent dans ces trois cas. 1°
t pauvre, plus, leur sensibilité est obtuse Ce n’est pas tout ; sans
éléments
moteurs, la perception est impossible. Rappelons,
l nous faut donc trouver dans ces deux groupes d’états psychiques des
éléments
moteurs. 2° « Il ne semble pas évident à première
me nerveux la même place que la sensation originelle. Comme il y a un
élément
musculaire dans nos sensations, spécialement dans
ialement dans celle de l’ordre le plus élevé, toucher, vue, ouïe, cet
élément
doit, d’une façon ou d’une autre, trouver sa plac
degré. L’image n’est pas une photographie, mais une réviviscence des
éléments
sensoriels et moteurs qui ont constitué la percep
e départ et tend il devenir une hallucination. Pour nous en tenir aux
éléments
moteurs de l’image qui seuls nous intéressent, il
ntaire, que toute image contient une tendance au mouvement. Certes, l’
élément
moteur n’a pas toujours ces proportions énormes,
uissée dans la conscience. * 3° S’il est aisé d’établir l’existence d’
éléments
moteurs dans les images, la question des idées gé
ait trop loin. Voyons si chacune de ces trois catégories renferme des
éléments
moteurs sur lesquels l’attention puisse agir. a)
r de grosses ressemblances Ces images génériques renferment-elles un
élément
moteur ? Il est bien difficile de le dire et, en
it, quand nous pensons ces idées générales ? D’abord un mot qui est l’
élément
fixe : avec lui, une image de moins en moins comp
ordre. Il se forme ainsi un noyau commun autour duquel oscillent des
éléments
vagues et obscurs. Ma conception générale d’homme
elle devient un blanc ou un nègre, un épagneul ou un boule-dogue. — L’
élément
moteur est représenté surtout par le mot ; nous y
, chèque, etc.), offrant la même utilité et les mêmes dangers. Ici, l’
élément
moteur ne peut se trouver que dans le mot. Les ré
u écrits28. Ce sont les visuels. Chez la plupart des hommes, tous ces
éléments
agissent à doses inégales. Mais partout et toujou
quelque forme de perception primitive et par conséquent renferme des
éléments
moteurs. Que les éléments moteurs inclus dans les
on primitive et par conséquent renferme des éléments moteurs. Que les
éléments
moteurs inclus dans les idées générales de toute
iques29. Mais plus d’un lecteur dira : « Nous admettons qu’il y a des
éléments
moteurs dans les perceptions, les images et, à pl
ongtemps sans fatigue. Ils ne mettent en jeu dans l’organisme que les
éléments
nécessaires à leur exécution, et leur adaptation
toute explication ou bien admettre une action d’arrêt exercée sur les
éléments
moteurs de ces états de conscience. Nous avons, e
s perpétuels changements de la conscience. À l’état morbide, quelques
éléments
nerveux sont seuls actifs, ou du moins leur état
st placée en dehors de ses conditions nécessaires d’existence, et les
éléments
nerveux qui sont les supports et les agents de ce
urs sont, ainsi que nous le soutenons, non des concomitants, mais des
éléments
, des parties intégrantes de l’attention qui donne
ention dépend toujours d’états affectifs, elle implique in radice des
éléments
moteurs. Ainsi notre thèse principale sera justif
à-dire le souvenir de celles qu’il a dévorées, traverse son esprit, l’
élément
moteur est très peu intense, à l’état naissant, e
e ces quatre degrés il y a continuité et qu’il y a toujours en jeu un
élément
moteur, avec une simple différence du plus au moi
ou inconsciente, l’innervation motrice n’en persiste pas moins comme
élément
fondamental. Voici donc à quelle conclusion nous
mme une région localisée ou, ce qui est plus probable, comme formée d’
éléments
divers, répandus dans la masse de l’encéphale et
st-à-dire traditionnelle, et il ne pouvait emprunter au latin que des
éléments
assimilables à sa propre nature . Dès l’origine i
sque aussi ancienne que le vers latin syllabique ; c’est le troisième
élément
. Dès le XIIe siècle, Benoît de Sainte-More rime t
acacias se mêle au jeu et tous les sens sont pris et charmés. De ces
éléments
la poésie en a dédaigné un, tout d’abord, celui q
s coeurs | et le plus sûr || Les vents. (Contemplations) De tous les
éléments
du vers français, la césure fixe est le plus cadu
vers. Pour nous qui considérons, non la finale rimée, mais les divers
éléments
assonances et allitérés qui constituent le vers,
s n’avons aucune raison de ne pas le considérer comme final de chaque
élément
et de le scander alors comme à la fin d’un vers r
égulier. Qu’on veuille bien remarquer que, sauf le cas d’élision, cet
élément
, l’e muet, ne disparaît jamais même à la fin du v
désire, etc. Si, selon le système de M. Kahn, on décompose le vers en
éléments
, chaque élément terminé par une muette perdra une
selon le système de M. Kahn, on décompose le vers en éléments, chaque
élément
terminé par une muette perdra une syllabe. Il n’y
ment M. Kahn groupe les périodes de pensée musicale qu’il appelle les
éléments
du vers. Nous avons déjà le vers à nombre décrois
rs. Nous avons déjà le vers à nombre décroissant. En voici un à trois
éléments
égaux : Les allégresses | ô sœurs si pâles | s’a
s si pâles | s’appellent et meurent. Un autre, formé encore de trois
éléments
, six, quatre et quatre, ce qui donne l’impression
’assonance achèvent de la différencier d’avec la prose ordinaire. Ses
éléments
sont donc, je ne dis pas, le vers libre, mais un
de cas analogues ; notre grande affaire est de savoir quels sont ses
éléments
, comment ils naissent, en quelles façons et à que
de suivre dans cet ouvrage. Dans la première partie, on a dégagé les
éléments
de la connaissance ; de réduction en réduction, o
de leur assemblage, puis, appliquant la loi trouvée, on a examiné les
éléments
, la formation, la certitude et la portée de nos p
erte présuppose deux conditions. — En premier lieu, dans les derniers
éléments
mobiles, il faut qu’il y ait une autre force que
roissement égal de la force disponible. Il y a donc dans les derniers
éléments
mobiles une ou plusieurs forces capables de deven
ertir en force disponible, si la nature ou l’arrangement des derniers
éléments
mobiles étaient tels que la transformation des ef
s fait. Il y a donc dans l’arrangement ou dans la nature des derniers
éléments
mobiles quelque particularité ou circonstance qui
adventice, aussi petite que l’on voudra, introduite ou innée dans les
éléments
d’ailleurs aussi homogènes que l’on voudra. En to
ut une. — Voilà donc deux conditions que doivent remplir les derniers
éléments
mobiles. Si la première n’était pas remplie, la p
iaque, décrite par le Dr Krishaber, jette sur la formation et sur les
éléments
de la notion du moi. Le somnambulisme et l’hypnot
ition. Répétiteurs et multiplicateurs, ils contiennent des myriades d’
éléments
similaires et mutuellement excitables : c’est pou
ions. Considération oiseuse, pensera-t-on peut-être : la quantité des
éléments
n’est, dans les êtres sociaux comme dans tous les
out ne serait nullement modifiée par l’accroissement du nombre de ses
éléments
si cet accroissement même ne devait rien changer
celle-ci doit s’expliquer, en dernière analyse, par les rapports des
éléments
biologiques, par les actions et réactions physico
ngent, quoi d’étonnant à ce que l’accroissement de la quantité de ces
éléments
, multipliant ces rapports et permettant par suite
A fortiori s’il s’agit d’une société : les rapports qui unissent ses
éléments
pouvant être infiniment plus nombreux, plus compl
s psychiques, — il s’ensuit qu’un accroissement de la quantité de ces
éléments
, devant redoubler le nombre, la complexité et la
d’une société par le rapport qui unit la surface qu’elle recouvre aux
éléments
qu’elle contient : mesure singulièrement imparfai
tingue, mais de la vitesse et de la fréquence des mouvements dont ces
éléments
sont animés. A fortiori, pour expliquer la nature
stituent, la sociologie ne doit pas négliger les mouvements mêmes des
éléments
sociaux : toutes choses égales d’ailleurs, la qua
r compte de l’augmentation de leur densité ou de la mobilité de leurs
éléments
, — phénomènes qui se rencontrent justement, nous
mpensation. L’individu, dont l’influence personnelle n’est plus qu’un
élément
imperceptible de la volonté sociale qui imprime a
rs, nous les ressentons en nous-mêmes, puisque nous sommes nous-mêmes
éléments
constituants de l’ensemble, à la fois acteurs et
actions qu’il s’agit de comparer. En ce sens le grand nombre même des
éléments
sociaux nous pousse naturellement à leur réserver
er a priori certaines classes. La densité des sociétés fusionne leurs
éléments
. Par leur mobilité enfin, les diverses circonstan
’est encore qu’un « phénomène », et il est toujours formé pour nous d’
éléments
subjectifs. Qu’est-ce en effet qu’une vibration d
me l’idée d’absolu. Cette idée est donc tout entière réductible à des
éléments
de conscience que nous combinons et auxquels nous
stons trop dans la pure passivité des sensations ; il faut rétablir l’
élément
de réaction, d’appétition, d’effort, de puissance
à-dire un bien d’une grandeur infinie. Il faut donc, pour expliquer l’
élément
qualitatif qui, dans l’idée de perfection, se joi
uer l’élément qualitatif qui, dans l’idée de perfection, se joint à l’
élément
quantitatif, distinguer ce qui est bon et ce qui
sphère. Dans cette construction de la pensée, il n’y a toujours aucun
élément
et aucune combinaison d’éléments qui ne soient em
de la pensée, il n’y a toujours aucun élément et aucune combinaison d’
éléments
qui ne soient empruntés à la conscience. L’argume
nt raison de dire qu’on ne peut engendrer la conscience même avec des
éléments
sans pensée, ou du moins sans volonté, et qu’en c
in le mouvement ne peut manquer d’en être un, puisqu’il se ramène aux
éléments
qui précèdent et, en définitive, à un certain ord
de la force, en ce qu’elle a d’intelligible et de scientifique, à des
éléments
plus primordiaux. Ce principe prétendu a priori e
que Spencer aurait dû déterminer, en réunissant et en complétant les
éléments
fournis soit par le kantisme, soit par la psychol
matérialiste se figure un monde complet en soi indépendamment de tout
élément
d’ordre mental, de tout rudiment de conscience, d
nivers ? Le matérialisme aboutit au dualisme d’une matière sans aucun
élément
psychique d’où sort cependant le sentiment, la pe
et ce sont celles dont je veux spécialement m’occuper, contiennent un
élément
mystérieux, durable, éternel, qui les recommande
hose curieuse et vraiment digne d’attention que l’introduction de cet
élément
insaisissable du beau jusque dans les œuvres dest
ux yeux du philosophe ? À coup sûr ce sera, moins que tout autre, cet
élément
profond et mystérieux qu’aucune philosophie n’a j
ysé à fond. Nous allons donc nous occuper de l’essence du rire et des
éléments
constitutifs de la caricature. Plus tard, nous ex
hées de l’a priori du mysticisme. Essayons, puisque le comique est un
élément
damnable et d’origine diabolique, de mettre en fa
’idée : le dessin violent, l’idée mordante et voilée ; complication d’
éléments
pénibles pour un esprit naïf, accoutumé à compren
tra leur supériorité. Mais aussi le comique change de nature. Ainsi l’
élément
angélique et l’élément diabolique fonctionnent pa
ais aussi le comique change de nature. Ainsi l’élément angélique et l’
élément
diabolique fonctionnent parallèlement. L’humanité
antiques, nous, disciples favorisés de Jésus, nous possédions plus d’
éléments
comiques que la païenne antiquité. Cela même est
esque, qui est une création mêlée d’une certaine faculté imitatrice d’
éléments
préexistants dans la nature. Je veux dire que dan
à comprendre pour le vulgaire, et surtout plus facile à analyser, son
élément
étant visiblement double : l’art et l’idée morale
me est l’épuration de la comédie ; c’en est la quintessence ; c’est l’
élément
comique pur, dégagé et concentré. Aussi, avec le
ature. Les artistes créent le comique ; ayant étudié et rassemblé les
éléments
du comique, ils savent que tel être est comique,
portée de l’axiome des causes. VIII. Il est possible de connaître les
éléments
premiers. — Erreur de la métaphysique allemande.
de. On peut les analyser comme on analyse les faits, rechercher leurs
éléments
, leur composition, leur ordre, leurs rapports et
n point par lequel se ressemblent toutes nos connaissances. Il y a un
élément
commun qui, perpétuellement répété, compose toute
chose n’est pour nous qu’un amas de phénomènes. Ce sont là les seuls
éléments
de notre science : partant, tout l’effort de notr
c’est dire ce que sont les êtres, de quoi ils se composent, en quels
éléments
ils se réduisent. Voilà le mérite de ces spéculat
qu’aux instincts chasseurs et aux facultés correspondantes. Voilà les
éléments
qui composent sa nature. Ce sont des faits liés l
aux expériences primitives, c’est-à-dire aux faits qui leur servent d’
éléments
. S’il s’agit d’êtres, comme dans les propositions
dents, l’autre de conséquents, chacun d’eux contenant plus ou moins d’
éléments
: dix, par exemple. À quel antécédent chaque cons
, étant produit par un concours de causes, ne peut être divisé en ses
éléments
. Les méthodes d’isolement sont alors impraticable
la diagonale ; chaque partie, chaque moment, chaque position, chaque
élément
de son mouvement est l’effet combiné de deux forc
t ; elle nous donne aussi nos limites. Nous n’avons qu’à regarder les
éléments
qui la composent et les événements dont elle part
sensations distinctes au fond de toutes nos connaissances, comme des
éléments
simples, indécomposables, absolument séparés les
onde physique, l’autre au début du monde moral ; l’une comprenant les
éléments
de l’être, l’autre renfermant les éléments de l’e
ral ; l’une comprenant les éléments de l’être, l’autre renfermant les
éléments
de l’expérience ; l’une contenant les sensations
petits : je veux dire l’abstraction, qui est le pouvoir d’isoler les
éléments
des faits et de les considérer à part. Mes yeux s
touchent la surface d’un cylindre, et l’abstraction en isole les deux
éléments
générateurs, la notion de rectangle et la révolut
formule génératrice. On réduit une donnée infiniment complexe à deux
éléments
. On transforme la donnée sensible en données abst
éent pas sous nos yeux, elles ne montrent pas sa nature intime et ses
éléments
irréductibles. La définition est la proposition q
tions abstraites. Nous nous efforçons d’atteindre en chaque objet les
éléments
générateurs, comme nous les atteignons dans la sp
comme nous réduisons les corps géométriques à deux ou trois sortes d’
éléments
, le point, le mouvement, la ligne, et nous jugeon
on image ou sa définition. On peut l’étudier en elle-même ou dans les
éléments
générateurs. Je puis me représenter une droite to
udre en ses facteurs. Je puis assister à sa formation, et dégager les
éléments
abstraits qui l’engendrent, comme j’ai assisté à
e sont des portions de phénomènes, des extraits de cas complexes, des
éléments
simples enfermés dans des ensembles plus composés
action ; il y a deux royaumes, celui des faits complexes et celui des
éléments
simples. Le premier est l’effet, le second la cau
vie incessante infiniment variée et multiple, se réduisent à quelques
éléments
et à leurs rapports. Tout notre effort consiste à
llement de son entourage naturel, et je le compose artificiellement d’
éléments
qui ne sont point un assemblage naturel. Quand je
nt effectivement distincts de leur entourage et qui soient composés d’
éléments
effectivement unis. Nous découvrons des couples,
les unit. Il y a lieu pour eux, comme pour les faits, de chercher les
éléments
générateurs en qui ils peuvent se résoudre et de
ire, et l’opération doit continuer jusqu’à ce qu’on soit arrivé à des
éléments
tout à fait simples, c’est-à-dire tels que leur d
l’axiome des causes serait démenti, s’ils manquaient. Il y a donc des
éléments
indécomposables, desquels dérivent les lois les p
ailles d’acier de la nécessité. VIII Pouvons-nous connaître ces
éléments
premiers ? Pour mon compte, je le pense, et la ra
on ne descende point dans le détail, que l’on considère seulement les
éléments
les plus simples de l’être et les tendances les p
auquel la nature est tout entière suspendue ; si ensuite, isolant les
éléments
de ces données, il montrait qu’ils doivent se com
és, et non autrement ; s’il prouvait enfin qu’il n’y a point d’autres
éléments
, et qu’il ne peut y en avoir d’autres, il aurait
a chaleur que développe la condensation de chaque onde sonore, et cet
élément
nouveau introduit dans le calcul le rendit parfai
urs et les déviations, les dégradations mêmes. Le jeu indépendant des
éléments
sociaux, des éléments de l’esprit, des éléments d
les dégradations mêmes. Le jeu indépendant des éléments sociaux, des
éléments
de l’esprit, des éléments du monde s’y traduit sa
e jeu indépendant des éléments sociaux, des éléments de l’esprit, des
éléments
du monde s’y traduit sans cesse par des arrêts et
battent souvent, car la société n’existe pas réellement encore et ses
éléments
de divers ordres restent assez indépendants. La f
éviations des idées et des sentiments, en une activité indépendante d’
éléments
dont la coordination serait requise. Il importe,
e sorte de valeur morale et de caractère obligatoire. § 5 Les
éléments
d’un même tout peuvent ainsi vouloir dominer, dev
le moteur du système. Et comme les esprits ne se ressemblent pas, les
éléments
d’une même doctrine, établie dans différents espr
selon les moments, selon les groupes, selon les individus, tel ou tel
élément
s’affirmera avec plus de force, apparaîtra comme
, à peu près partout ? Il y a une lutte déclarée ou latente entre les
éléments
d’une même doctrine, comme entre les disciples d’
pliqué, à cause de quel jeu indépendant des phénomènes sociaux et des
éléments
psychiques, la société en vient à marcher contre
norme, sont toujours le résultat d’une activité trop indépendante des
éléments
, qui vivent pour eux-mêmes et persistent sans se
constatons des déviations qui manifestent l’activité indépendante des
éléments
: hommes ou groupes. Le public apprend de temps e
petites déviations où se traduit l’influence excessive de tel ou tel
élément
et la mauvaise coordination de l’ensemble. L’hist
ise. Les rôles sont bien distribués dans la comédie de la vie. Chaque
élément
sait comment il doit tenir le sien. L’égoïsme tri
e même chose, ou bien ils indiquent des déviations, l’usurpation d’un
élément
d’importance variable, qui prend la première plac
hercherai pas ici comment doivent se coordonner et se subordonner les
éléments
de la bonne conduite, mais le fait qu’on entend l
mécanisme social, si fragile, étant faussé et ralenti, on en voit les
éléments
s’agiter convulsivement sans arriver à se rejoind
les divergences essentielles, les luttes possibles de ses principaux
éléments
, les troubles dont son évolution s’accompagne, le
un de nous. L’homme est une contradiction vivante par la lutte de ses
éléments
, la société est plus contradictoire encore. Voulo
sir. Comment le désir produit la réalisation approximative des divers
éléments
de la liberté. Le terme du développement volonta
rez-vous liberté ? L’idée de liberté implique nécessairement, outre l’
élément
d’activité, un élément d’intelligence ; elle impl
ée de liberté implique nécessairement, outre l’élément d’activité, un
élément
d’intelligence ; elle implique une causalité d’or
i bien que je ne le connais moi-même ni dans son origine, ni dans ses
éléments
intimes, ni dans son action et ses effets. Etre d
e intensité et une direction toujours identiques, il y a encore là un
élément
d’indétermination par rapport à notre connaissanc
notre choix résulte. Et ce n’est pas tout encore : il faut ajouter l’
élément
essentiel que nous avons restauré dans la psychol
té, non telle que l’imaginent les auteurs de systèmes, quels sont les
éléments
réalisables selon les lois psychologiques et phys
sé le problème. Il consiste à rechercher, dans l’idée de liberté, les
éléments
conciliables avec le déterminisme, soit sur le te
ui influent sur sa volonté ? Définition qui n’exclut pas à priori des
éléments
compatibles avec le déterminisme. En tout cas, c’
, alors que, tout au contraire, nous rétablissons dans la question un
élément
capital négligé à la fois par les déterministes e
pour le moi, peut et doit être un objet de désir. En effet, tous les
éléments
qui entrent dans l’idée de liberté sont pour nous
des biens, des fins possibles et même nécessaires. Le premier de ces
éléments
, c’est la puissance, qui est un bien pour nous, p
être à notre service comme le monde du dehors. L’indépendance, second
élément
de la liberté, est désirable pour les mêmes raiso
force des idées est donc, non pas la définition adéquate, mais un des
éléments
de l’idée de liberté. Je ne suis point libre si m
est ce qu’on exprime par le nom de contingence. Et c’est le quatrième
élément
de la liberté. Notre puissance n’est pas pour cel
ance absolue n’est pas sans entraîner certains effets, par le reste d’
éléments
admissibles qu’elle renferme encore à côté des él
ar le reste d’éléments admissibles qu’elle renferme encore à côté des
éléments
inadmissibles, à plus forte raison l’idée d’indép
’accroissement de l’idée et du désir. Nous avons dit que le troisième
élément
de l’idée de liberté est l’idée de spontanéité, c
l’idée de l’indétermination de la volonté n’en contient pas moins des
éléments
réalisables par l’effet même que cette idée exerc
de le mouvoir à droite ou à gauche, etc. Mon action a donc ici, comme
éléments
déterminés : 1° la fin de vouloir et de manifeste
de. On peut les analyser comme on analyse les faits, rechercher leurs
éléments
, leur composition, leur ordre, leurs rapports et
n point par lequel se ressemblent toutes nos connaissances. Il y a un
élément
commun qui, perpétuellement répété, compose toute
chose n’est pour nous qu’un amas de phénomènes. Ce sont là les seuls
éléments
de notre science : partant, tout l’effort de notr
c’est dire ce que sont les êtres, de quoi ils se composent, en quels
éléments
ils se réduisent. Voilà le mérite de ces spéculat
qu’aux instincts chasseurs et aux facultés correspondantes. Voilà les
éléments
qui composent sa nature. Ce sont des faits liés l
aux expériences primitives, c’est-à-dire aux faits qui leur servent d’
éléments
. S’il s’agit d’êtres, comme dans les propositions
dents, l’autre de conséquents, chacun d’eux contenant plus ou moins d’
éléments
: dix, par exemple. A quel antécédent chaque cons
, étant produit par un concours de causes, ne peut être divisé en ses
éléments
. Les méthodes d’isolement sont alors impraticable
la diagonale ; chaque partie, chaque moment, chaque position, chaque
élément
de son mouvement est l’effet combiné des deux for
t ; elle nous donne aussi nos limites. Nous n’avons qu’à regarder les
éléments
qui la composent et les événements dont elle part
sensations distinctes au fond de toutes nos connaissances, comme des
éléments
simples, indécomposables, absolument séparés les
onde physique, l’autre au début du monde moral ; l’une comprenant les
éléments
de l’être, l’autre renfermant les éléments de l’e
ral ; l’une comprenant les éléments de l’être, l’autre renfermant les
éléments
de l’expérience ; l’une contenant les sensations
petits : je veux dire l’abstraction, qui est le pouvoir d’isoler les
éléments
des faits et de les considérer à part. Mes yeux s
touchent la surface d’un cylindre, et l’abstraction en isole les deux
éléments
générateurs, la notion de rectangle et la révolut
formule génératrice. On réduit une donnée infiniment complexe à deux
éléments
. On transforme la donnée sensible en données abst
éent pas sous nos yeux, elles ne montrent pas sa nature intime et ses
éléments
irréductibles. La définition est la proposition q
tions abstraites. Nous nous efforçons d’atteindre en chaque objet les
éléments
générateurs, comme nous les atteignons dans la sp
comme nous réduisons les corps géométriques à deux ou trois sortes d’
éléments
, le point, le mouvement, la ligne, et nous jugeon
on image ou sa définition. On peut l’étudier en elle-même ou dans les
éléments
générateurs. Je puis me représenter une droite to
udre en ses facteurs. Je puis assister à sa formation, et dégager les
éléments
abstraits qui l’engendrent, comme j’ai assisté à
e sont des portions de phénomènes, des extraits de cas complexes, des
éléments
simples enfermés dans des ensembles plus composés
action ; il y a deux royaumes, celui des faits complexes et celui des
éléments
simples. Le premier est l’effet, le second la cau
vie incessante infiniment variée et multiple, se réduisent à quelques
éléments
et à leurs rapports. Tout notre effort consiste à
llement de son entourage naturel, et je le compose artificiellement d’
éléments
qui ne font point un assemblage naturel. Quand je
nt effectivement distincts de leur entourage et qui soient composés d’
éléments
effectivement unis. Nous découvrons des couples,
les unit. Il y a lieu pour eux, comme pour les faits, de chercher les
éléments
générateurs en qui ils peuvent se résoudre et de
ire, et l’opération doit continuer jusqu’à ce qu’on soit arrivé à des
éléments
tout à fait simples, c’est-à-dire tels que leur d
l’axiome des causes serait démenti, s’ils manquaient. Il y a donc des
éléments
indécomposables, desquels dérivent les lois les p
ailles d’acier de la nécessité. VIII Pouvons-nous connaître ces
éléments
premiers ? Pour mon compte, je le pense, et la ra
on ne descende point dans le détail, que l’on considère seulement les
éléments
les plus simples de l’être et les tendances les p
auquel la nature est tout entière suspendue ; si ensuite, isolant les
éléments
de ces données, il montrait qu’ils doivent se com
, et non autrement ; s’il prouvait enfin qu’il n’y a point d’autres d’
éléments
, et qu’il ne peut y en avoir d’autres, il aurait
a chaleur que développe la condensation de chaque onde sonore, et cet
élément
nouveau introduit dans le calcul le rendit parfai
incipes toujours les mêmes, en ce qui concerne tant la formation de l’
élément
mélodique que la constitution rythmique et le dév
ndances sous cette apparente diversité, à retrouver au fond les mêmes
éléments
constitutifs obéissant toujours aux mêmes lois, a
variété infinie de combinaisons, ainsi que, dans la nature, les mêmes
éléments
servent à former des corps multiples. L’erreur de
évèle incessamment des aspects nouveaux de la vie ; il crée ainsi les
éléments
des croyances plus belles et des aspirations plus
et rectifier son idée. Oui, la nouveauté des sentiments est l’un des
éléments
dont dépend la valeur d’une œuvre d’art, c’est-à-
s’extériorise en paroles et en actions. Il n’y a pas superposition d’
éléments
distincts, il y a procréation de l’un par l’autre
lus subtile coordination des rapports que doivent avoir entre eux les
éléments
de la composition. On peut appliquer à chacune de
stoï. — Schopenhauer et son « objectivation de la Volonté ». — L’Art,
élément
libérateur ; R. Wagner et Bayreuth. — La contagio
tion de l’Être. C’est dans ce sens que Wagner a pu voir dans l’Art un
élément
libérateur, c’est-à-dire un élément susceptible d
ue Wagner a pu voir dans l’Art un élément libérateur, c’est-à-dire un
élément
susceptible d’arracher passagèrement l’homme à la
e sa contrefaçon. » Ce principe est faux. Certes, la contagion est un
élément
important d’appréciation, mais il s’en faut, et d
ciation, mais il s’en faut, et de beaucoup, qu’on la puisse ériger en
élément
essentiel, en critère absolu. L’émotion unissant
uer. — Comment Nietzsche dérive la tragédie grecque de la musique ; l’
élément
apollinien et l’élément dionysien ; fusion nature
dérive la tragédie grecque de la musique ; l’élément apollinien et l’
élément
dionysien ; fusion naturelle, puis séparation des
tache la décadence de la tragédie hellénique à la séparation des deux
éléments
dont elle se composait, l’élément musical et l’él
ellénique à la séparation des deux éléments dont elle se composait, l’
élément
musical et l’élément purement littéraire ; et sa
tion des deux éléments dont elle se composait, l’élément musical et l’
élément
purement littéraire ; et sa conclusion était que
r de l’Art, dit-il, est lié à l’union de deux principes distincts : l’
élément
apollinien et l’élément dionysien a ; il en dépen
lié à l’union de deux principes distincts : l’élément apollinien et l’
élément
dionysien a ; il en dépend comme la génération de
s, périodiquement unis malgré leur antagonisme irréductible. Ces deux
éléments
, — d’où le nom que Nietzsche leur donne, — les Gr
nt personnifiés en Apollon et Dionysos, les deux dieux de l’Art ». L’
élément
apollinien correspond à l’état de rêve, l’élément
ieux de l’Art ». L’élément apollinien correspond à l’état de rêve, l’
élément
dionysien à l’état d’ivresse. C’est dans l’état d
-dire du principe de l’individualité, de la conscience personnelle. L’
élément
dionysien est justement l’opposé de ce principe.
on entière satisfaction dans cet état d’exaltation. » Voilà les deux
éléments
que Nietzsche oppose l’un à l’autre et dont l’uni
dont l’union intime peut seule constituer l’œuvre d’art absolue. À l’
élément
dionysien se rattachent toutes les symboliques qu
celle du corps humain mis en mouvement par le rythme de la danse. À l’
élément
apollinien se rattachent les principes d’ordre, d
tout d’harmonie et de beauté, d’où la souffrance est bannie. Ces deux
éléments
sont les instincts créateurs d’art (Kunsttriebe).
mordiale, une répétition, un surmoulage en quelque sorte du monde ; l’
élément
apollinien, qui transformait cette musique en une
rter plusieurs objectivations dans plusieurs textes. La mélodie est l’
élément
le plus important et le plus nécessaire dans la n
n’est pas l’expression réflexe de l’action ; il est, au contraire, l’
élément
actif et propulsif de la tragédie. Le chœur, aux
me grec. L’action est l’accessoire ; elle n’est qu’une simple vision (
élément
apollinien) ; le chœur est, lui, la réalité (élém
e simple vision (élément apollinien) ; le chœur est, lui, la réalité (
élément
dionysien). C’est le chœur, nous dit-il, qui est
, est complète. Avec Sophocle et Euripide, la séparation commence ; l’
élément
dionysien tend de plus en plus à être relégué et
issance de la tragédie s’opère inversement à mesure que la musique, l’
élément
dionysien pénètre de nouveau le drame. C’est à Wa
drame. C’est à Wagner que nous devons le retour à la fusion des deux
éléments
. Voilà la thèse générale, l’idée du livre de Niet
nner la musique aux paroles. Ils renversent le rapport exact des deux
éléments
l’un vis-à-vis de l’autre. La Musique n’est pas l
t des deux éléments l’un vis-à-vis de l’autre. La Musique n’est pas l’
élément
secondaire de l’expression, elle en est le généra
ttéraires, de drames parlés. Il nous manque la musique qui en était l’
élément
essentiel, car la Musique a précisément le pouvoi
re synthétique de son génie. Eh bien, d’instinct, Wagner retrouve les
éléments
sur lesquels s’était développée la tragédie antiq
rrésistiblement, il se sent poussé vers la Musique, et celle-ci est l’
élément
le plus spécifique de son génie. Non moins irrési
géniosité certes intéressante, mais dénuée de tout sens poétique, des
éléments
qui ne varient guère ? C’est que le grand, on pou
e et mélodie se comportent déjà d’une façon toute nouvelle. Ces trois
éléments
fondamentaux de notre musique se combinent chez l
e négation de la musique, puisque c’est la parole qui redevient ici l’
élément
prédominant, que dans leurs prétendus drames ils
des faces du poète. Comme Wagner lui-même l’a dit, le musicien est l’
élément
féminin, et par sa nature même, cet élément, s’il
’a dit, le musicien est l’élément féminin, et par sa nature même, cet
élément
, s’il n’est pas secondaire, est du moins subordon
du moins subordonné ; il ne crée qu’autant qu’il a été fécondé par l’
élément
mâle : le poète. C’est donc le poète, le poète dr
extériorisées de ce que la Musique exprime. » La Musique est ainsi l’
élément
premier, c’est elle l’idée mère, la forme primair
la fois dans tous les langages et qui se révèle dans ses plus intimes
éléments
avec une clarté parfaite. L’apparition de Wagner
, car l’homme à théories est tout juste aussi capable de comprendre l’
élément
poétique, le mythe, qu’un sourd de comprendre la
e aux pâles rayons de la lune, découvrant partout le désir secret des
éléments
d’avoir une voix et leur donnant cette voix qu’il
tout d’une venue, sur une pareille étendue, sans répétition de leurs
éléments
mélismatiques ? Dans l’œuvre de Wagner, il s’en r
sentimentalité, qui, comme on vient de le dire, est le plus essentiel
élément
du plaisir que fait éprouver la musique à quiconq
re à perdre le contact certain avec le sol et en se livrant enfin à l’
élément
mouvant sans réserve : il faut nager. Dans la mus
de mesure et qui par conséquent ne peuvent imprimer aucune mesure à l’
élément
qui se joint à eux, à l’essence par trop féminine
on Définition de la musique : Tolstoï. Schopenhauer, Herder. — Les
éléments
constitutifs de l’art musical : le son (mélodie),
re. Nous ne pouvons saisir ces musiques par intuition. Il n’y a qu’un
élément
dans la musique qui semble véritablement posséder
classement. Beaucoup d’esthéticiens considèrent le son en soi comme l’
élément
premier ; or, comme le son comprend également l’h
galement l’harmonie, ils établissent la hiérarchie suivante des trois
éléments
: 1º la mélodie comme résultat immédiat du son ;
º l’harmonie, résultante ou génératrice de la mélodie ; 3º le rythme,
élément
ordonnateur des deux autres. Dans un certain sens
ller plus au fond des choses, ni la mélodie ni l’harmonie ne sont des
éléments
créateurs. Un son continu n’est pas de la musique
hme les anime. Le rythme est le mouvement, il est la vie. C’est lui l’
élément
fécondant. Ainsi, le rythme est l’élément fondame
il est la vie. C’est lui l’élément fécondant. Ainsi, le rythme est l’
élément
fondamental et essentiel de la musique. « Au comm
nuances de race à race et d’individu à individu, sont invariables. L’
élément
mélodique aurait son analogie dans le sang et la
s silence. L’harmonie est donc, elle aussi, une combinaison factice d’
éléments
naturels ; elle est plus même, elle est si conven
l’Orient dont la variété est immense. Tout cela fournira de nouveaux
éléments
à la mélodie épuisée qui recommencera une ère nou
ut-être, des effets nouveaux ou piquants, mais non s’en assimiler les
éléments
essentiels ; ceux-ci correspondent à une autre se
balbutiements, jusqu’à ce que nous possédions seulement les premiers
éléments
de notre langue maternelle ! Il en est de même en
norme qu’ils ont pour l’art musical. La musique populaire fournit les
éléments
premiers, mélodiques et rythmiques, de la langue
our la musique savante une source inépuisable de rajeunissement ; ses
éléments
sont analogues de tout point aux locutions, aux a
a vitalité. Les œuvres musicales qui se composeraient exclusivement d’
éléments
empruntés à des mœurs, à une langue ou à une cult
roissante. En d’autres termes, mélodie, harmonie et rythme, les trois
éléments
constitutifs de toute musique, ont été tour à tou
mélopées prosodiques des premiers âges chrétiens ; développement des
éléments
rythmiques européens dans la chanson populaire du
e-même, chez les premiers dramatistes italiens ; combinaison des deux
éléments
(harmonie et mélodie) par les maîtres du xviie s
iècle ; prodigieuse efflorescence du rythme surajouté aux deux autres
éléments
dans l’œuvre colossale de Bach ; nouvelle spécial
oncentrique, reconstitutif du tout. L’évolution actuelle porte sur un
élément
qui était demeuré à peu près fixe depuis deux siè
lémentaires de la symétrie et des proportions purement musicales. Des
éléments
psychologiques y interviennent. D’autre part, en
urs se préoccupent de nouvelles proportions rythmiques, car les trois
éléments
restent intimement unis et réagissent constamment
logies explicatives, destinées à faire saisir les rapports des divers
éléments
les uns à l’égard des autres. Je prie mes lecteur
pée. Il y a tout dans tout ; seulement il existe dans chaque chose un
élément
générateur auquel se subordonnent tous les autres
ins une tendance à dialoguer fortement leurs romans ; d’autre part, l’
élément
romantique et lyrique me frappait de plus en plus
s dupes de nos catégories ; efforçons-nous de concevoir à la fois les
éléments
essentiels, durables, et les combinaisons innombr
urables, et les combinaisons innombrables, toujours nouvelles, de ces
éléments
; respectons l’infinie variété de l’analyse, mais
o, « il y a tout dans tout ; seulement il existe dans chaque chose un
élément
générateur auquel se subordonnent tous les autres
er leur individualité, en expliquant leur genèse par la combinaison d’
éléments
divers. On pourrait aller plus loin, et, sans tom
l’histoire littéraire, c’est que l’esprit critique s’y est enrichi d’
éléments
positifs ; il s’élève ainsi, par des transitions
— La satire n’est pas un genre au sens vrai du mot, elle n’est qu’un
élément
; pour lui donner la forme et la durée, il faut l
avec le rôle que joua la pastorale, d’abord lyrique, puis enrichie d’
éléments
romanesques. Ce qui importe avant tout, dans l’ét
qui importe avant tout, dans l’étude d’une œuvre littéraire, c’est l’
élément
générateur ; qu’on ne se laisse dérouter ni par l
, c’est l’élément générateur ; qu’on ne se laisse dérouter ni par les
éléments
accessoires ni par la forme qui, souvent, n’est p
int que tout ce qui se passe en nous soit une combinaison de certains
éléments
de conscience qui resteraient toujours les mêmes,
non plus de simples reflets, puisque les faits de conscience sont des
éléments
intégrants et des facteurs de la réalité complète
tions est une construction ultérieure de notre intelligence, dont les
éléments
sont empruntés au sens du tact et de la vue, au l
concevons simplement des phénomènes concomitants, d’autres parties ou
éléments
du processus total, avec d’autres rapports à d’au
el de la douleur même. Ici encore on confond les antécédents avec les
éléments
constitutifs du phénomène réel et concret, qui ne
el ou virtuel, n’est-ce en définitive qu’une unité apparente dont les
éléments
constitutifs seraient variables ? Les individus s
la fausse conception des idées-forces, où on les considère comme des
éléments
isolés et des sortes d’atomes. On n’échappe pas p
raire, souffrance spontanément et immédiatement consciente, mais sans
élément
objectif. La thèse se retourne ainsi contre ceux
tant à elle-même comme objet. Quelle est, d’après cela, la part de l’
élément
objectif et de l’élément subjectif dans l’observa
jet. Quelle est, d’après cela, la part de l’élément objectif et de l’
élément
subjectif dans l’observation psychologique ? — Le
la perception offre une grande analogie avec la perception externe. L’
élément
vraiment interne, nous l’avons vu, est constitué,
e, c’est l’essentielle intensité des états psychiques, qui est un des
éléments
principaux de leur force. Nous nous plaçons à l’a
’est que l’écarlate, mais il peut d’avance se figurer, grosso modo, l’
élément
intensif de l’écarlate, abstraction faite de son
osso modo, l’élément intensif de l’écarlate, abstraction faite de son
élément
qualitatif, si on lui dit que c’est une couleur p
re activité propre. En un mot, il y a dans tout état de conscience un
élément
dynamique distinct de l’élément qualitatif. Et ce
l y a dans tout état de conscience un élément dynamique distinct de l’
élément
qualitatif. Et cela tient, en dernière analyse, à
ré plus spécialement à ce qu’on nomme la vie intellectuelle. Tous les
éléments
qu’on trouve dans la connaissance sont des élémen
ctuelle. Tous les éléments qu’on trouve dans la connaissance sont des
éléments
qu’on trouve dans l’esprit, et, sous ce rapport,
des phénomènes mentaux et, au sens strict du mot, des idées, dont les
éléments
et la composition doivent être expliqués du point
nde, supplée le reste. — Application des données psychologiques. — Un
élément
des hémisphères répète l’action des centres sensi
hères répète l’action des centres sensitifs et la transmet aux autres
éléments
. — Pourquoi la grandeur des hémisphères et le dév
ésumé. — Au-dessous des totaux observables à la conscience sont leurs
éléments
invisibles à la conscience. — Caractères et signe
phie et mécanique des centres nerveux. — Difficulté des recherches. —
Éléments
d’un centre nerveux. — Type simplifié. — Type rée
conscience, n’en est pas moins réelle et se trouve constituée par des
éléments
infinitésimaux. Ainsi, par-delà le monde psycholo
est toujours la même. Le cerveau est une sorte de polypier, dont les
éléments
ont les mêmes fonctions. Combien faut-il de cellu
ctions. Combien faut-il de cellules et de fibres pour faire un de ces
éléments
, nous ne pouvons le dire avec précision ; mais ch
éléments, nous ne pouvons le dire avec précision ; mais chacun de ces
éléments
, par son action, suffit à susciter toutes les ima
. Une action exactement semblable se développe par contrecoup dans un
élément
cortical des lobes cérébraux et y éveille la sens
ître spontanément. Plus l’écorce cérébrale est étendue, plus elle a d’
éléments
capables de se mettre en action les uns les autre
nts capables de se mettre en action les uns les autres. Plus elle a d’
éléments
capables de se mettre en action les uns les autre
titude à durer et à renaître. Comme l’écorce cérébrale est composée d’
éléments
similaires mutuellement excitables, l’action de l
et, en général, des centres sensitifs, une fois répétée par un de ces
éléments
, se transmet tour à tour aux autres et peut ainsi
exemple est grossier, mais clair. Telle est l’action qui parcourt les
éléments
similaires de l’écorce cérébrale ; elle dure ains
res sensitifs, une action différente vienne à se produire dans un des
éléments
corticaux ; selon la loi de communication, elle d
a loi de communication, elle devra passer tour à tour dans les autres
éléments
, et nous devrons avoir une image différente qui,
durer en s’affaiblissant et en se reformant tour à tour. Mais le même
élément
cortical ne peut pas être à la fois dans deux éta
fférents, ni partant produire à la fois deux actions différentes. Les
éléments
corticaux seront donc sollicités en deux sens dif
st la même action ou mouvement moléculaire répété et propagé dans les
éléments
de l’écorce grise cérébrale. De ce mouvement molé
une seconde fois transmise, est répétée indéfiniment par la série des
éléments
cérébraux mutuellement excitables, et provoque al
e en cellule, depuis leur commencement jusqu’à leur terminaison : les
éléments
de l’appareil sont trop menus, trop délicats ; le
ope nous fournit. Quoique l’appareil nerveux soit très compliqué, les
éléments
dont il se compose sont très peu nombreux, puisqu
filet nerveux et la cellule. De plus, l’arrangement primordial de ces
éléments
est très simple, car il consiste en une cellule e
supposent un mécanisme analogue ; car toutes comprennent parmi leurs
éléments
une action réflexe, et dans presque toutes l’acti
nous pouvions le suivre, du commencement à la fin, à travers tous ses
éléments
et d’un bout à l’autre de son histoire. À ce poin
état de nous représenter plusieurs détails de la figure de danse. Aux
éléments
de la sensation correspondent les éléments de la
de la figure de danse. Aux éléments de la sensation correspondent les
éléments
de la danse ; par conséquent, si, dans une sensat
groupes mentaux associés, si divers et si multipliés que soient leurs
éléments
, c’est toujours ainsi que leur association s’étab
me espèce ; car, quelle que soit l’opération cérébrale, elle n’a pour
éléments
que les courants qui cheminent dans les fibres et
ent que dans tout acte de pensée, même le plus élémentaire, il y a un
élément
qui n’est pas donné à l’esprit, mais qui est four
les phénomènes, une sensation extérieure, a besoin, selon elle, d’un
élément
mental pour être une perception, et pour devenir
borant les impressions que nous recevons du dehors : elle contient un
élément
mental ainsi qu’un élément externe. L’expérience,
nous recevons du dehors : elle contient un élément mental ainsi qu’un
élément
externe. L’expérience, qu’on invoque en vain pour
ie à posteriori, au contraire, tout en reconnaissant l’existence d’un
élément
mental dans nos idées, tout en admettant que nos
te. Elle pense, au contraire, que cela est possible. Elle pense que l’
élément
mental est un fait, mais non un fait ultime. Elle
Les produits sont tout autant une partie de la nature humaine que les
éléments
qui la composent. L’eau est tout aussi bien une s
phénomènes, mais aux phénomènes complexes eux-mêmes, et les résout en
éléments
simples, comme cela se fait en chimie pour tout c
llectuelle que M. Croce a protesté ; avec raison. — Il a prouvé que l’
élément
essentiel dans toute création artistique est un é
prouvé que l’élément essentiel dans toute création artistique est un
élément
personnel, qui échappe aux définitions exactes et
arler de spontanéité, pour opposer, au processus certain des quelques
éléments
que le chimiste combine dans une cornue, le mystè
mettent de les grouper. Ces groupes embrassent les individus dont les
éléments
essentiels sont semblables ; la diversité est dan
tiels sont semblables ; la diversité est dans les combinaisons de ces
éléments
. M. Croce s’en tient à la synthèse de l’être viva
; le positivisme s’en tient à l’analyse et ne voit que l’identité des
éléments
. De l’homme, le positivisme ne nous montre que le
udence exige, l’analyse et la synthèse, en distinguant d’une part les
éléments
communs et d’autre part les combinaisons individu
éléments communs et d’autre part les combinaisons individuelles ? Les
éléments
sont constants, sans avoir de vie propre ; les co
it être adéquate à cette façon de sentir, c’est-à-dire personnelle. L’
élément
essentiel, générateur est dans le tempérament, da
que, ou au dramatique, et il y a tout dans tout, mais il y a aussi un
élément
qui domine. Parce que Chevreul a distingué vingt-
mbinaison particulière, unique en son genre et passagère, de certains
éléments
généraux et durables ; les deux éléments principa
re et passagère, de certains éléments généraux et durables ; les deux
éléments
principaux sont l’esprit de l’époque (principe di
bert mêlait aussi le lyrisme à l’épopée, mais sans confondre ces deux
éléments
! Il faut citer une fois de plus, d’une façon plu
c’est que le créateur, atteint d’un mal secret, a capitulé devant les
éléments
. La volupté féroce, sanguinaire, avec arrière-goû
Morte aujourd’hui, elle peut renaître demain. La tragédie est faite d’
éléments
très divers ; les uns ne subsistent que par la tr
mi-chemin ; à plusieurs reprises, faute de distinguer assez entre les
éléments
traditionnels et la création individuelle, il a e
e ne sont pas des conditions nécessaires à l’esthétique ; ce sont des
éléments
historiques, de valeur relative. Et l’on sait com
historiques, de valeur relative. Et l’on sait combien le rôle de ces
éléments
est diminué chez Euripide, qui est en quelque sor
te anarchie il y a un essai de régénération intime ; l’importance des
éléments
traditionnels s’en trouve diminuée. Par un effort
ent de leur époque ; comment pourraient-ils ne pas en être ? mais cet
élément
relatif est presque insignifiant dans leur œuvre
inaisons possibles sont trop nombreuses. Pour ne citer qu’un seul des
éléments
importants du problème : l’usage des vers reviend
offrent une probabilité du même genre : le christianisme, qui fut un
élément
essentiel du moyen Âge, semble étranger au princi
i que nous nommons parole ou langage : il se compose de deux sortes d’
éléments
, des voyelles et des articulations ; ces voyelles
on ; ils se retrouvent tous dans la parole intérieure. Ce sont là des
éléments
communs à toutes les langues ; elles s’en servent
, constituée principalement par le timbre, est complétée par d’autres
éléments
: une certaine intensité habituelle, — des intona
ue, suivant Bain, la sensation tactile-musculaire ou son image est un
élément
nécessaire de tous les faits intellectuels139: no
roles intérieures les plus récentes, je les ai trouvées pures de tout
élément
tactile. Le souvenir immédiat des paroles extérie
immédiat des paroles extérieures, au contraire, contient toujours cet
élément
. On dira peut-être qu’il disparaît du souvenir de
porte uniquement, durant la production de la parole intérieure, sur l’
élément
sonore. Notre attention le néglige en effet ; mai
oindre force, il n’échapperait pas pour cela au souvenir immédiat ; l’
élément
tactile de la parole extérieure est remémoré, en
accompagnent. Mais cette concentration exclusive de l’attention sur l’
élément
sonore ne peut avoir le même effet sur les deux p
paroles : la parole extérieure étant un phénomène physique, les deux
éléments
qui la composent sont incessamment donnés à notre
el à la somme de l’attention que chaque homme porte d’ordinaire à cet
élément
secondaire de sa parole intérieure. Les hommes qu
ation n’est pas inséparable : l’attention dissocie lentement les deux
éléments
en se portant exclusivement ou presque exclusivem
’était pas encore, chez les auteurs de cette invention, purifiée de l’
élément
tactile. Il représente un homme accroupi ; le bra
déduire d’abord elle-même comme condition immédiate, puis déduire ses
éléments
comme condition indirecte et première. L’idée que
parallèle, bien que plus lente encore, des consonnes, prouvent que l’
élément
tactile de la parole intérieure est bien loin d’a
agné l’image sonore. Ce que je nie, c’est que l’image tactile soit un
élément
nécessaire de la parole intérieure et doive, en c
us les hommes considèrent naturellement la parole intérieure comme un
élément
de leur âme, un état du moi, à tel point que d’or
l’une et l’intériorité de l’autre ne nous sont pas données avec leurs
éléments
constitutifs ; l’extériorité ne fait pas partie d
isation générale de cette série des états intérieurs dont elle est un
élément
perpétuel et important. Mais ce n’est pas là ce q
lle produit conjointement avec les rapports d’analogie, tels sont les
éléments
constitutifs de l’idée du moi ; la faiblesse et l
elui qui lui fait pendant n’est pas la perception interne ; c’est cet
élément
du souvenir complet que la plupart des psychologu
ence passée, le mot est sans valeur ; il ne vaut à mes yeux que comme
élément
d’un fait psychique nouveau, en cours d’exécution
mot intérieur est pourtant, dans le groupe qu’il forme avec l’idée, l’
élément
le plus fort et le plus distinct [ch. VI, § 8 et
contre Bain sur la parole intérieure, nous ne l’affirmerions pas des
éléments
constitutifs des idées ; les deux questions doive
ation particulière peut se formuler ainsi : l’attention opère sur les
éléments
des habitudes complexes une sélection analytique.
s vous donnez le système d’images qui n’a pas de centre, et où chaque
élément
possède sa grandeur et sa valeur absolues, je ne
plus dans les centres supérieurs de l’écorce que dans la moelle, les
éléments
nerveux ne travaillent en vue de la connaissance
st la totalité des images du monde matériel avec la totalité de leurs
éléments
intérieurs. Mais si vous supposez des centres d’a
nt perçues. La réalité de la matière consiste dans la totalité de ses
éléments
et de leurs actions de tout genre. Notre représen
ent à des mécanismes moteurs, tantôt les arrêtent provisoirement. Les
éléments
nerveux intéressés sont donc bien ce qui donne à
ité dépend cette indétermination ; et, par suite, toute lésion de ces
éléments
, en diminuant notre action possible, diminuera d’
échappe à l’expérimentation et au calcul, il n’en est pas de même des
éléments
nerveux sur lesquels l’impression est recueillie
lesquels l’impression est recueillie et transmise. C’est donc de ces
éléments
que devront s’occuper physiologistes et psycholog
e, si l’on veut, que l’excitation, après avoir cheminé le long de ces
éléments
, après avoir gagné le centre, s’y convertit en un
La vérité est que le point P, les rayons qu’il émet, la rétine et les
éléments
nerveux intéressés forment un tout solidaire, que
lle une perception. Aussi la perception est-elle diminuée d’un de ses
éléments
chaque fois qu’un des fils dits sensitifs est cou
le cerveau un nouvel arrangement ; les expansions protoplasmiques des
éléments
nerveux moteurs, dans l’écorce, seront en rapport
nt en rapport avec un nombre beaucoup moins grand, cette fois, de ces
éléments
nerveux qu’on appelle sensoriels. Mon activité es
perception, ils en concluent que la perception est localisée dans les
éléments
nerveux dits sensoriels. Mais la vérité est qu’el
destination de notre corps, comme nous allons voir, que chacun de ses
éléments
dits sensitifs a son action réelle propre, qui do
mplique, le travail se divise, les fonctions se différencient, et les
éléments
anatomiques ainsi constitués aliènent leur indépe
citations à une région centrale d’où l’ébranlement se propagera à des
éléments
moteurs. Il semble donc qu’elles aient renoncé à
é de se mouvoir pour échapper au danger ou pour réparer ses pertes, l’
élément
sensitif conserve l’immobilité relative à laquell
leur, laquelle n’est point autre chose, selon nous, qu’un effort de l’
élément
lésé pour remettre les choses en place, — une esp
e suite inextensive, et il fait dès lors de la sensation en général l’
élément
simple avec lequel nous obtenons par voie de comp
derniers sont faits pour agir ; ils ont pour type simple une chaîne d’
éléments
nerveux, tendue entre deux extrémités dont l’une
; mais la perception naît de la même cause qui a suscité la chaîne d’
éléments
nerveux avec les organes qui la soutiennent et av
division des images qui entourent notre corps ; et comme la chaîne d’
éléments
nerveux qui reçoit, arrête et transmet des mouvem
ivra tout le détail et paraîtra exprimer toutes les variations de ces
éléments
nerveux eux-mêmes. Notre perception, à l’état pur
faire naître la conscience avec toutes ses fonctions du seul jeu des
éléments
matériels. Par là il est conduit à considérer déj
ité pure doit se définir plus aisément dans ces cas simples, où aucun
élément
extensif ne semble intervenir. Nous allons voir,
e vie interne. Mais petit à petit il a pénétré un plus grand nombre d’
éléments
psychiques, les teignant pour ainsi dire de sa pr
es exemples plus frappants encore de cette intervention progressive d’
éléments
nouveaux, visibles dans l’émotion fondamentale, e
a marche du temps, et de tenir l’avenir dans le présent. Un troisième
élément
intervient quand les mouvements gracieux obéissen
mpathie morale, dont elle vous suggère subtilement l’idée. Ce dernier
élément
, où les autres viennent se fondre après l’avoir e
ue ce sentiment d’horreur se trouve à l’origine de la pitié ; mais un
élément
nouveau ne tarde pas à s’y joindre, un besoin d’a
e contractions musculaires et de sensations périphériques. Tantôt ces
éléments
superficiels sont coordonnés entre eux par une id
de ces sensations organiques — il entrera toujours dans la colère un
élément
psychique irréductible, quand ce ne serait que ce
r en profondeur, les sensations périphériques céderont la place à des
éléments
internes : ce ne seront plus nos mouvements extér
qu’ils se projettent au dehors, qu’ils rayonnent à la surface, qu’aux
éléments
internes se substituent des sensations périphériq
e on passe graduellement des unes aux autres ; sans doute il entre un
élément
affectif dans la plupart de nos représentations s
re les poids et les températures, on devinera sans peine qu’un nouvel
élément
d’appréciation doit entrer ici en jeu. La nature
ouvel élément d’appréciation doit entrer ici en jeu. La nature de cet
élément
est d’ailleurs aisée à déterminer. À mesure, en e
e tient à ce qu’on mettait la cause dans l’effet, et l’intensité de l’
élément
affectif à ce qu’on introduisait dans la sensatio
té de la lumière ? On n’a peut-être pas assez remarqué la multitude d’
éléments
très différents qui concourent, dans la vie journ
stion unique, selon nous, est de savoir si un contraste AB, formé des
éléments
A et B, est réellement égal à un contraste BC, co
t l’un à l’autre, et de s’identifier ensemble par conséquent. Or, cet
élément
qualitatif, que l’on commence par éliminer des ch
différence, l’excitation comme une quantité, le saut brusque comme un
élément
d’égalité, combinant ces trois facteurs ensemble,
isse réussir par quelque procédé indirect, soit par une intégration d’
éléments
infiniment petits, comme le propose Fechner, soit
s, pp. 154-159. 19. Optique physiologique, trad. fr., p. 423. 20.
Éléments
de psychophysique, Paris, 1883. 21. Voir le com
vue philosophique, 1887, tome I., page 71 et tome II, page 180. 22.
Éléments
de psychophysique, pages 61 et 69. 23. Dans le
Force-immanente (c’est-à-dire la propension à l’harmonie de tous les
éléments
et toutes propriétés), l’Amour meut la Matière. L
ance. Et toute son évolution tend donc à opérer l’analyse de tous ses
éléments
et toutes ses propriétés et déterminer leurs rela
pour l’entière assimilation, est-il nécessaire que ne viennent pas en
éléments
étrangers à nos vues instrumentales, mais qu’elle
t être une sanction à l’inattention apportée au premier et générateur
élément
des langues, sinon à sa presque suppression. Il s
lé. L’expression de la voix humaine se ramène essentiellement à trois
éléments
: d’émotivité instinctive, d’imitation (phonétiqu
s ne peuvent avoir de musique, parce que leur langue ne possède pas d’
éléments
musicaux. L’on ne peut mieux exprimer que toute o
ite avec les lettres l’essence de tout ? Est-ce que, s’il emploie les
éléments
appropriés, il ne créera pas une précieuse image
essentiellement générateurs, respectivement : pour encore apporter un
élément
voisin, nous parlerons succinctement de l’auditio
quantitatives et qualitatives des sons, scinda la mesure générale en
éléments
équidistants : d’où l’on pensa posséder le Rythme
: montante et descendante. Mais, on ne prit pas garde que deux de ses
éléments
s’opposent à d’égales divisions, à intervalles éq
é de couleur et de timbre, il sied dire de « l’e muet » quel précieux
élément
instrumental il est, — qui peut toutes nuances se
ssence, — quand, dans le vers, sans l’élider, ils ne tiennent ni pour
élément
numérique, ni pour élément musical, l’« e muet ».
rs, sans l’élider, ils ne tiennent ni pour élément numérique, ni pour
élément
musical, l’« e muet ». Leur prononciation le supp
i la veut musique de mots en lui rapportant son naturel et primordial
élément
de phonalité, Qui est graphique et Plastique, par
on dans la nature de leur objet. Ajoutez à une théorie métaphysique l’
élément
vérifiable, vous en faites une théorie scientifiq
es une théorie scientifique ; retranchez d’une théorie scientifique l’
élément
vérifiable, vous en faites une théorie métaphysiq
e des actions des objets sur la conscience. Cette somme comprend deux
éléments
: les matériaux que les sens apportent à la consc
ou conditions de la pensée sont le résultat d’un développement, non d’
éléments
préexistants. Kant ressemble à un homme qui dirai
ubjectives. Il omet, par exemple, le plaisir et la peine qui sont les
éléments
inséparables de toute sensation, et déterminent t
omme le temps et l’espace qu’il donne seuls. La distinction entre les
éléments
objectifs et les éléments subjectifs de la pensée
qu’il donne seuls. La distinction entre les éléments objectifs et les
éléments
subjectifs de la pensée est considérée avec raiso
nt au fond elle cache une erreur parce qu’elle s’efforce d’isoler les
éléments
d’un acte indissoluble. « Il est tout différent d
de conditions objectives et subjectives, — et de dire : voici le pur
élément
à priori de toute expérience, la forme que l’espr
second une fiction. » Le psychologiste ne peut point séparer les deux
éléments
de la pensée, comme le chimiste sépare un acide d
n à part, peut les séparer quand il les trouve séparés. Mais avec les
éléments
de la pensée, cette synthèse et cette analyse son
sée, cette synthèse et cette analyse sont impossibles. Aucun des deux
éléments
n’est donné seul. La matière pure et la pensée pu
nier la certitude des sens était l’incapacité de distinguer tous les
éléments
objectifs réels dont les choses sont composées. A
’émotion sensible, elle ferait partie de ses conditions mêmes, de ses
éléments
, de ses causes. Sans nier que quelque perception
signé du nom de douleur, mais il importe de ne pas confondre les deux
éléments
qui le composent, perception et douleur propremen
gir, de sentir et d’avoir conscience ; mais, de ce qu’il y a ainsi un
élément
commun qui nous permet de comparer les divers pla
e mesure. On ne peut pas composer des plaisirs et des peines avec des
éléments
indifférents, les perceptions, et un autre élémen
s peines avec des éléments indifférents, les perceptions, et un autre
élément
qui est aussi indifférent par lui-même, l’intensi
nismes, on voit aujourd’hui se produire les résultats suivants : 1° l’
élément
affectif du plaisir ou de la douleur s’ajoute aux
é dans la multiplicité, accord dans la discordance, harmonie dans des
éléments
antagoniques. C’est aussi en ce sens qu’on peut d
ique : aussi les sensations organiques sont-elles, pour l’artiste, un
élément
essentiel de la vraie et vivante beauté ; tout ce
les peines et les plaisirs, est une activité mêlée de passivité, où l’
élément
agréable lié à l’action efficace est continuellem
action efficace est continuellement contrarié et contrebalancé par un
élément
pénible, à savoir le sentiment d’usure et de manq
it tout entière faite de représentations, on nous accusa d’éliminer l’
élément
mental de la sociologie. On alla même jusqu’à res
ramment admis des autres règnes de la nature. Toutes les fois que des
éléments
quelconques, en se combinant, dégagent, par le fa
, il faut bien concevoir que ces phénomènes sont situés, non dans les
éléments
, mais dans le tout formé par leur union. La cellu
ar comment les mouvements vitaux pourraient-ils se produire au sein d’
éléments
non vivants ? Comment, d’ailleurs, les propriétés
ailleurs, les propriétés biologiques se répartiraient-elles entre ces
éléments
? Elles ne sauraient se retrouver également chez
nérales qui composent l’être vivant. On ne peut les résorber dans les
éléments
sans se contredire, puisque, par définition, ils
par définition, ils supposent autre chose que ce que contiennent ces
éléments
. Ainsi se trouve justifiée, par une raison nouvel
llement exacte. ― Outre les individus, il y a les choses qui sont des
éléments
intégrants de la société. Il est vrai seulement q
la société. Il est vrai seulement que les individus en sont les seuls
éléments
actifs. 5. Il est inutile de montrer comment, d
t et dans l’émotion esthétique ? Dans quelle mesure ces deux sortes d’
éléments
se concilient-ils ? Dans quelle mesure la société
estes, qui forment une même masse dansante41… » Pour établir que les
éléments
communaux prédominent dans la poésie primitive, M
le ? Parce que l’idée de beauté renferme, qu’on le veuille ou non, un
élément
de jouissance égoïste ; un élément de distinction
ferme, qu’on le veuille ou non, un élément de jouissance égoïste ; un
élément
de distinction et de suprématie égoïste, une volo
ncement à la personnalité. Ajoutons à cela, dans l’idée de beauté, un
élément
de subjectivisme et d’illusion par où elle alarme
igne l’époux de l’épouse légitime. L’idée de beauté renferme enfin un
élément
de fantaisie, de liberté individuelle intolérable
Tolstoï. — Quant à Guyau, il oublie que si l’art est, en un sens, un
élément
de sympathie humaine, il est aussi, en un autre s
ire54, une diminution de la solidarité sociale ; une dissociation des
éléments
sociaux, une volonté d’indépendance, de différenc
vénal, par exemple, elle est forcée d’envahir successivement tous les
éléments
de la pensée. Dès que la déclamation s’est résolu
peuvent se comparer au Pianto ; mais il manque au poème de Lazare un
élément
indispensable, un élément sans lequel il n’y a pa
anto ; mais il manque au poème de Lazare un élément indispensable, un
élément
sans lequel il n’y a pas de véritable poème : cet
ensable, un élément sans lequel il n’y a pas de véritable poème : cet
élément
, c’est l’unité. Pour que Lazare fût un poème et n
volonté a manqué à M. Barbier ; c’est dans la combinaison de ces deux
éléments
que se trouve la gloire. Que M. Barbier parte pou
Or, nous avons vu avec regret le caractère de Louis XIV réduit à deux
éléments
fort simples assurément, et enregistrés par l’his
ar conséquent, les parties elles-mêmes sont réduites à l’état de purs
éléments
et attendent, pour mériter le nom de parties, une
n les lois poétiques, demeure perpétuellement à l’état d’embryon, les
éléments
dramatiques sont triés avec soin. Si le drame n’e
biographie d’une nation, dès qu’il cherche dans cette biographie les
éléments
d’un poème ou d’un roman, il ne peut, sans manque
’une valeur vraiment littéraire. En examinant successivement tous les
éléments
de ce livre, en discutant le choix et l’ordonnanc
es éléments de ce livre, en discutant le choix et l’ordonnance de ces
éléments
, elle fait preuve d’impartialité. Mais, bien qu’e
’une histoire ainsi faite conciliât la science et l’art, qui sont les
éléments
indispensables d’une véritable histoire : les fra
x qui étudient notre histoire ; M. Guizot n’a pas songé à revêtir les
éléments
qu’il avait recueillis d’une forme littéraire. Av
mais ce talent ne s’applique pas avec le même empressement à tous les
éléments
d’une époque donnée, ou plutôt il prend plaisir à
ir à circonscrire le champ de ses études, en déterminant a priori les
éléments
qu’il se propose d’interroger. L’esprit de l’aute
, et, de cette manière, il arrive naturellement à supprimer plusieurs
éléments
de la réalité. Entre l’histoire, telle que la con
rit éminent, n’est ni orateur ni écrivain, et ne possède pas même les
éléments
de l’éloquence ou du style. M. Guizot avait à pei
tériser ses travaux philosophiques. S’il eût entrepris d’analyser les
Éléments
d’idéologie de M. de Tracy, il y aurait eu contra
rité. Une pareille poétique ne va pas à moins qu’à supprimer tous les
éléments
élevés de notre nature, c’est-à-dire la meilleure
ileté, et mérite d’être étudiée, ne fût-ce que pour découvrir à quels
éléments
du goût public le poète s’est adressé, quel but i
n reconnaissant dans la tragédie française du xviie siècle plusieurs
éléments
périssables qui s’expliquent par le milieu où ils
iquent par le milieu où ils se sont produits, il n’aurait pas nié les
éléments
immortels de cette même tragédie, qui ne relèvent
roposé de copier l’homme tel qu’il est, et n’a copié de l’homme que l’
élément
physiologique. Il a voulu peindre la passion rame
e puissance poétique ; mais il aurait mis sous les yeux de la foule l’
élément
que la poésie dégage et idéalise, plus un élément
yeux de la foule l’élément que la poésie dégage et idéalise, plus un
élément
inutile et importun dans l’ordre littéraire, que
néglige sans le méconnaître, et la foule, sans avoir conscience de l’
élément
inutile, aurait dû à M. Dumas des émotions d’un o
Hernani et Triboulet sont voués plus nettement au développement de l’
élément
lyrique. Assurément cette tentative n’est pas san
uisent n’est pas une émotion dramatique. Je suis loin de penser que l’
élément
lyrique n’ait aucun rôle à jouer dans la composit
se montrer, que l’action proprement dite fasse une halte naturelle. L’
élément
lyrique ainsi compris a rendu d’éminents services
Ils chantent leur passion et oublient d’être passionnés. Cependant l’
élément
lyrique ne régit pas avec une égale puissance les
se que dans Hernani ; dans Triboulet, elle commence à plier devant un
élément
nouveau que M. Hugo n’avait pas annoncé en écriva
nouveau que M. Hugo n’avait pas annoncé en écrivant sa poétique. Cet
élément
, que la préface de Cromwell avait négligé de sign
t parce que l’antithèse, prise en elle-même, est fort au-dessous de l’
élément
lyrique, mais encore parce que l’antithèse, une f
u à l’élégie, et c’est de l’élégie seule qu’il a voulu tirer tous les
éléments
qu’il se proposait de mettre en œuvre. Nous n’avo
trois de quoi féconder l’imagination des deux autres. Quels sont les
éléments
de la poésie dramatique ? Ramenés à leur plus hau
généralité, dégagés de toutes leurs formes passagères et locales, ces
éléments
ne sont-ils pas l’histoire et la société ? Nous n
s pas possible d’apercevoir au-delà de l’histoire et de la société un
élément
mis en œuvre par la poésie dramatique. Mais à que
vérité, quelle qu’elle soit, c’est évidemment en développer tous les
éléments
, en montrer toutes les faces, toutes les origines
istons, reproduits littéralement, ne sont et ne seront jamais que les
éléments
d’un poème dramatique. Mais pour combiner ces élé
jamais que les éléments d’un poème dramatique. Mais pour combiner ces
éléments
, pour les ordonner selon les conditions de la poé
parfaitement l’humanité, et il veut, par la mise en œuvre de tous les
éléments
de la réalité, s’élever jusqu’à la vérité général
accomplir la tâche plus vaste qu’il préfère, est obligé de trier les
éléments
ridicules et passionnés qu’il met en œuvre, et d’
léments ridicules et passionnés qu’il met en œuvre, et d’agrandir ces
éléments
avant de les combiner. S’il méconnaît cette condi
ue chose de titanien, et d’ailleurs il ne paraît pas avoir entrevu un
élément
que Sophocle a mis en œuvre avec une habileté tou
ocle a mis en œuvre avec une habileté toute-puissante, je veux dire l’
élément
féminin. S’il était possible de croire un instant
connaître qu’il a fait faire un grand pas à la tragédie, en mettant l’
élément
divin et l’élément humain en regard de l’élément
ait faire un grand pas à la tragédie, en mettant l’élément divin et l’
élément
humain en regard de l’élément fatal, au lieu de m
agédie, en mettant l’élément divin et l’élément humain en regard de l’
élément
fatal, au lieu de mettre les dieux et les hommes
vant laquelle s’agenouillait le peuple d’Athènes se compose des mêmes
éléments
que la beauté dramatique applaudie par la cour d’
le trouble des sens, ni la pompe du spectacle ne peuvent remplacer l’
élément
humain, l’élément auquel Sophocle et Shakespeare
ns, ni la pompe du spectacle ne peuvent remplacer l’élément humain, l’
élément
auquel Sophocle et Shakespeare doivent leur immor
aine le type de ses créations, il ne sera jamais dispensé de mettre l’
élément
humain au-dessus de l’élément historique ou anecd
il ne sera jamais dispensé de mettre l’élément humain au-dessus de l’
élément
historique ou anecdotique. Dès que la nécessité d
est, dans les monuments glorieux de la statuaire et de la peinture, l’
élément
qui domine tous les autres ? n’est-ce pas l’éléme
de la peinture, l’élément qui domine tous les autres ? n’est-ce pas l’
élément
humain ? Pourquoi les parques du Parthénon et les
leurs élèves ; souvent la critique ne saurait où prendre les premiers
éléments
de la discussion ; sans leurs leçons bienveillant
ondition intellectuelle que j’essaye de peindre en la réduisant à ses
éléments
les plus généraux, prépare au poète et au critiqu
ou d’injustice ; il comprendra que l’équité, réduite à ses véritables
éléments
, n’implique pas nécessairement une approbation sa
ours sentir le passé dans le présent et le présent dans le passé, à l’
élément
éternel l’élément humain, à l’élément social, un
sé dans le présent et le présent dans le passé, à l’élément éternel l’
élément
humain, à l’élément social, un élément historique
t le présent dans le passé, à l’élément éternel l’élément humain, à l’
élément
social, un élément historique. Peindre, chemin fa
e passé, à l’élément éternel l’élément humain, à l’élément social, un
élément
historique. Peindre, chemin faisant, à l’occasion
lui communiquer le timbre du plaisir ou celui de la peine, selon les
éléments
auxquels reste la victoire. Nos peines et nos pla
es du soir et sa fraîcheur ont un effet psychologique qui entre comme
élément
dans notre émotion ; nos souvenirs personnels y s
esthétiques, aujourd’hui désintéressés, enveloppent ainsi une foule d’
éléments
sensitifs et de tendances à l’action renaissantes
le mécanisme extérieur des choses déjà existantes, sur les rapports d’
éléments
une fois donnés. On comprend fort bien que le has
ent de ce genre, comme une nouveauté due à une combinaison fortuite d’
éléments
insensibles ? N’y a-t-il là que des éléments qui
e combinaison fortuite d’éléments insensibles ? N’y a-t-il là que des
éléments
qui se rencontrent comme les atomes de Démocrite
de la peine, pour s’étendre ensuite à l’ensemble du corps vivant. Les
éléments
nerveux, tubes ou cellules, sont constamment le t
le plaisir ou la douleur, et il suffît d’augmenter l’intensité de cet
élément
agréable ou pénible pour le rendre évident à la c
’une manière automatique tendait à s’établir. Il en est résulté que l’
élément
de plaisir ou de peine allait diminuant, s’élimin
sir ou de peine allait diminuant, s’éliminant peu à peu au profit des
éléments
moteurs. La fonction, accomplie d’abord avec de g
qu’elles produisent une pulsation voisine de l’indifférence. Alors l’
élément
affectif s’efface, et il reste une simple percept
caractère agréable ou pénible du résultat dépend de la proportion des
éléments
. Supposez que les deux aspects, l’un pénible, l’a
énible, tantôt indifférent. Mais, outre qu’il y a dans la surprise un
élément
intellectuel, — à savoir la claire conscience d’u
t le rayon était déjà présent dans la lumière blanche comme un de ses
éléments
constitutifs, se trouve maintenant présenté sépar
intenant présenté séparément à votre œil par l’élimination des autres
éléments
lumineux ; or, votre plaisir est instantanément a
diffusion est une série de mouvements où l’endosmose, qui absorbe les
éléments
favorables, l’emporte sur l’exosmose, et cette di
a peine. Leibniz, lui, va jusque-là. Il introduit dans la question un
élément
nouveau, celui des perceptions infiniment petites
us purs de tout mélange avec la peine n’enveloppent pas encore, comme
éléments
, des peines infinitésimales et « imperceptibles »
musique à la plastique. M. de Régnier et M. Vielé-Griffin : harmonie.
Éléments
de la strophe : analyse logique, rythme et mesure
e j’ai dit : l’Harmonie, au sens musical le plus large, comprend deux
éléments
: les timbres, élément adventice, et les harmonie
au sens musical le plus large, comprend deux éléments : les timbres,
élément
adventice, et les harmonies proprement dites, rap
mes et, de même que dans le Rythme (au sens large) les rythmes sont l’
élément
le plus subjectif, de même les harmonies sont l’é
ythmes sont l’élément le plus subjectif, de même les harmonies sont l’
élément
le plus objectif de l’Harmonie. — Forme virile de
osent nous les révèle étrangères. Nous avons vu que l’attitude est l’
élément
objectif des « lignes », que le geste en est l’él
attitude est l’élément objectif des « lignes », que le geste en est l’
élément
subjectif. Mais l’analogie ne peut s’établir dire
nnes : — elle n’influence donc que le rythme, — et en vérité tous les
éléments
du vers paraissent se subordonner, en tant que mu
lassiques est basée uniquement sur la conjonction précise de ces deux
éléments
du vers. Mais la rigide mesure forçait à ne pense
a plastique et par tout ce qu’il suggère — et de son importance comme
élément
musical : il est désormais logiquement conçu. Tou
ges et les formes musicales qui en sont le naturel support. Ces trois
éléments
doivent rester dans une dépendance réciproque et
sentiment de la consistance parfaite des formes, de l’Eurythmie, de l’
élément
objectif de l’art, se fût à ce point fortifié che
encore, le défaut de ces vers c’est qu’ils négligent dans la forme l’
élément
objectif de l’Art, et telle est malheureusement l
ante pour établir une strophe musicale fermement équilibrée. Les deux
éléments
de Rythme et d’Harmonie que Pindare et Sapho juxt
du scepticisme et de montrer comment le doute scientifique devient un
élément
de plus grande certitude. Le sceptique est celui
complexes, ils sont la résultante d’une foule de propriétés intimes d’
éléments
organiques dont les manifestations sont liées aux
es particules les plus ténues et les plus déliées qui constituent les
éléments
organiques du corps. Cette idée, émise en biologi
médiat avec les manifestations vitales, normales ou pathologiques des
éléments
organiques. À mesure qu’on s’élève dans l’échelle
ve dans l’échelle des êtres vivants, l’organisation se complique, les
éléments
organiques deviennent plus délicats et ont besoin
nt également sur cette base commune. C’est par l’activité normale des
éléments
organiques que la vie se manifeste à l’état de sa
ste à l’état de santé ; c’est par la manifestation anormale des mêmes
éléments
que se caractérisent les maladies, et enfin c’est
es toxiques ou médicamenteuses que la thérapeutique peut agir sur les
éléments
organiques. Pour arriver à résoudre ces divers pr
es ; ce qui veut dire, qu’avant d’arriver à l’expérimentation sur les
éléments
, il faut expérimenter d’abord sur les appareils e
qu’elle est en rapport avec le système digestif, et que parce que ses
éléments
histologiques sont dans certains rapports entre e
le sang ; supprimez toutes ces relations en isolant par la pensée les
éléments
de l’organe les uns des autres, la glande salivai
tains organes, et l’action de ceux-ci à des propriétés de tissus ou d’
éléments
organiques bien définis. L’analyse expérimentale
u but. Quoiqu’on puisse parvenir à décomposer les parties vivantes en
éléments
chimiques ou corps simples, ce ne sont pourtant p
ont pourtant pas ces corps élémentaires chimiques qui constituent les
éléments
du physiologiste. Sous ce rapport, le biologue re
s, quoique bien définis dans leurs propriétés, ne sont pas encore les
éléments
actifs des phénomènes physiologiques ; comme les
; comme les matières minérales, ils ne sont en quelque sorte que des
éléments
passifs de l’organisme. Les vrais éléments actifs
t en quelque sorte que des éléments passifs de l’organisme. Les vrais
éléments
actifs pour le physiologiste sont ce qu’on appell
vrais éléments actifs pour le physiologiste sont ce qu’on appelle les
éléments
anatomiques ou histologiques. Ceux-ci, de même qu
mentaire organisée. Du reste, toutes les idées que nous avons sur ces
éléments
sont relatives à l’état actuel de nos connaissanc
ves à l’état actuel de nos connaissances ; car il est certain que ces
éléments
histologiques, à l’état de cellules ou de fibres,
est pourquoi divers naturalistes n’ont pas voulu leur donner le nom d’
éléments
, et ont proposé de les appeler organismes élément
ont arrivés, par une analyse expérimentale successive, à déterminer l’
élément
irréductible des phénomènes dans l’état actuel de
e, parce que c’est par son intermédiaire qu’ils pourront agir sur les
éléments
histologiques qui sont les seuls agents effectifs
t les seuls agents effectifs des phénomènes de la vie, Néanmoins, ces
éléments
, quoique profondément situés, communiquent avec l
érieur organique, et, d’autre part, qu’il y a des fonctions prote des
éléments
organiques pour mettre les matériaux de la vie en
ce mécanisme qui règle l’arrivée des excitants vitaux au contact des
éléments
organiques. L’atmosphère extérieure viciée, les p
uisibles soient portées dans le milieu intérieur, en contact avec les
éléments
organiques. En un mot, les phénomènes vitaux ne s
n mot, les phénomènes vitaux ne sont que les résultats du contact des
éléments
organiques du corps avec le milieu intérieur phys
tions normales et anormales de manifestation de l’activité vitale des
éléments
organiques, le physiologiste et le médecin se ren
l’étude de la vie comprend deux choses : 1º étude des propriétés des
éléments
organisés ; 2º étude du milieu organique, c’est-à
ples ; 2º des principes immédiats organiques et inorganiques ; 3º des
éléments
anatomiques organisés. Sur les 70 corps simples e
s (sels terreux, phosphates, chlorures, sulfates, etc.) entrent comme
éléments
constitutifs essentiels dans la Composition des c
et tout formés. Les principes immédiats organiques sont également des
éléments
constitutifs du corps vivant, mais ils ne sont po
nt vivants ; ce sont des produits organiques, mais non organisés. Les
éléments
anatomiques sont les seules parties organisées et
issant par un excitant physico-chimique qui lui est extérieur. Chaque
élément
défini minéral, organique ou organisé est autonom
s seront influencés par des agents placés en dehors d’eux. Enfin, les
éléments
anatomiques eux-mêmes, qui sont les principes les
enir soit du sang, soit d’un nerf. On peut en dire autant de tous les
éléments
histologiques, des éléments nerveux, des éléments
nerf. On peut en dire autant de tous les éléments histologiques, des
éléments
nerveux, des éléments glandulaires, des éléments
autant de tous les éléments histologiques, des éléments nerveux, des
éléments
glandulaires, des éléments sanguins, etc. Les div
s histologiques, des éléments nerveux, des éléments glandulaires, des
éléments
sanguins, etc. Les divers éléments vivants jouent
ux, des éléments glandulaires, des éléments sanguins, etc. Les divers
éléments
vivants jouent ainsi le rôle d’excitants les uns
t que l’expression de leurs relations harmoniques et réciproques. Les
éléments
histologiques réagissent soit séparément, soit le
uand nous savons que le contact physique et chimique du sang avec les
éléments
nerveux cérébraux est nécessaire pour produire le
e parce que la substance active va se mettre en contact avec certains
éléments
organiques qu’elle modifie. La connaissance de ce
amener une cause identique et un déterminisme unique pour la mort des
éléments
histologiques, soit, par exemple, la coagulation
perpétuel jusqu’à ce que le dérangement ou la cessation d’action d’un
élément
vital nécessaire ait rompu l’équilibre ou amené u
trémité nerveuse motrice, retentit successivement sur tous les autres
éléments
vitaux pour amener des déterminismes secondaires
ud en animaux à sang froid pour mieux étudier les propriétés de leurs
éléments
histologiques ; j’ai réussi à empoisonner des gla
se manifester que par la vie sociale. En un mot, quand on réunit les
éléments
physiologiques, on voit apparaître des propriétés
oit apparaître des propriétés qui n’étaient pas appréciables dans ces
éléments
séparés. Il faut donc toujours procéder expérimen
résultat de l’union ou de l’association de plus en plus complexe des
éléments
organisés. Tout cela prouve que ces éléments, quo
lus en plus complexe des éléments organisés. Tout cela prouve que ces
éléments
, quoique distincts et autonomes, ne jouent pas po
ionne nécessairement en vertu des propriétés physico-chimiques de ses
éléments
constituants. Nous distinguons aujourd’hui trois
ce n’est point la formation du corps animal, en tant que groupement d’
éléments
chimiques, qui caractérise essentiellement la for
tres lois ou à d’autres causes. En effet, nous savons que ce sont les
éléments
histologiques de nos organes qui expriment les ph
es de nos organes qui expriment les phénomènes de la vie ; or, si ces
éléments
ne subissent pas de variations dans leurs fonctio
ue l’organisme, c’est-à-dire la machine vivante, se perfectionne, ses
éléments
organisés devenant plus délicats, elle crée les c
eils organiques, soit sur les organes, soit sur les tissus ou sur les
éléments
histologiques eux-mêmes. Il y a des vivisections
circulation et qui vont porter leur action spécifique sur tel ou tel
élément
histologique. Les empoisonnements localisés, ains
ie ; des instruments d’une délicatesse extrême qui vont disséquer les
éléments
vitaux. Je crois avoir été le premier à considére
de la pathologie et de la thérapeutique. En effet, c’est toujours aux
éléments
organiques qu’il faut remonter pour trouver les e
e chlorure de sodium et le fer qui se trouvent dans le corps sont des
éléments
anatomiques de l’organisme. Des tentatives de ce
, ne sont que de véritables instruments de mécanique animale ; 2º les
éléments
actifs ou vitaux qui mettent en jeu ces divers ap
que des leviers sont destinés à mouvoir. Mais quand nous arrivons aux
éléments
actifs ou vitaux qui mettent en jeu tous ces inst
s anatomiques déterminées, il a établi un rapport entre la forme de l’
élément
anatomique et ses fonctions ; de telle sorte que,
ues constatées en rapport avec les formes anatomiques déterminées des
éléments
. Je dois en outre faire remarquer que, dans ses l
ni mouvement. La physiologie expérimentale a prouvé, en effet, que l’
élément
contractile a des formes variées parmi lesquelles
e-même sur leurs propriétés vitales. Comment, en effet, la forme d’un
élément
nerveux nous indiquerait-elle les propriétés nerv
nous montrerait-elle qu’il s’y fait du sucre ? Comment la forme d’un
élément
musculaire nous ferait-elle connaître la contract
nt imperceptibles à nos moyens d’investigation et résidaient dans les
éléments
organiques. Alors, ne pouvant plus établir de rap
vant et souvent depuis longtemps, la mort n’est pas expliquée par les
éléments
du tubercule ni par ceux des plaques intestinales
rbides ; la mort ne peut être en effet comprise que parce que quelque
élément
histologique a perdu ses propriétés physiologique
s propriétés physiologiques des tissus, ainsi que les altérations des
éléments
ou des milieux. Quand l’animal mourra, il faudra
imaux aériens ; mais cette distinction ne peut plus se faire pour les
éléments
histologiques ; plongés dans le milieu intérieur,
nts amène invariablement la mort chez les grands organismes pourvus d’
éléments
histologiques délicats ; mais il est bien connu q
ts. Mais les animaux à sang chaud maintiennent en quelque sorte leurs
éléments
organiques en serre chaude ; aussi ne sentent-ils
e carbonique, sont en dissolution dans les liquides organiques où les
éléments
histologiques respirent directement comme les poi
ure, à peu près 150mm, mais cela n’indique pas nécessairement que les
éléments
histologiques supportent réellement cette pressio
uence des variations de pression sur les manifestations de la vie des
éléments
organiques est d’ailleurs peu connue. On sait tou
ns laquelle il nage. Dans le milieu organique des animaux élevés, les
éléments
histologiques sont comme de véritables infusoires
pondent à l’évolution ou aux modifications des propriétés vitales des
éléments
organiques. Les variations de ces conditions amèn
sont relatifs à des degrés différents dans les propriétés de certains
éléments
histologiques particulièrement du système nerveux
iennent encore à des variations spéciales de propriétés dans certains
éléments
histologiques. C’est ce qu’on appelle alors des i
érer dans les phénomènes de la vie : les propriétés fondamentales des
éléments
vitaux qui sont générales, puis des arrangements
r la manifestation normale des propriétés d’un ou de plusieurs de ses
éléments
vitaux, de même l’organisme ne peut devenir malad
la manifestation anormale des propriétés d’un ou de plusieurs de ses
éléments
vitaux. Or, les éléments vitaux étant de nature s
e des propriétés d’un ou de plusieurs de ses éléments vitaux. Or, les
éléments
vitaux étant de nature semblable dans tous les êt
s à l’infini. Un poison ou une condition morbide qui agiraient sur un
élément
histologique déterminé, devrait l’atteindre dans
irconstances chez tous les animaux qui en sont pourvus, sans cela ces
éléments
ne seraient plus de même nature ; et si l’on cont
nature ; et si l’on continuait à considérer comme de même nature des
éléments
vitaux qui réagiraient d’une manière opposée ou d
anismes sains ou malades. Les organismes inférieurs possèdent moins d’
éléments
vitaux distincts que les organismes supérieurs ;
lo du corps de l’animal, pris en masse, mais par kilo du sang et de l’
élément
sur lequel agit le poison ; sans cela on ne saura
l’étude de toutes les conditions physico-chimiques qui entrent comme
éléments
nécessaires des manifestations vitales, normales
besoin de vérification expérimentale. C’est donc à cause des nouveaux
éléments
variables et imprévus, qui peuvent s’introduire d
t pas sur les autres. Cela devenait impossible ; car admettre que des
éléments
organiques identiques quant à leur structure et à
ns, à de simples modifications physiologiques dans les propriétés des
éléments
histologiques de nos tissus. En un mot, la physio
ologique le permettent, isole peu à peu, et par voie d’élimination, l’
élément
essentiel de la maladie, en saisit plus exactemen
e influence individuelle puisse suffire à les faire avancer quand les
éléments
du progrès ne sont pas dans le sol scientifique l
d’autres vies et produire ainsi une émotion d’un caractère social. —
Eléments
de l’émotion artistique. 1° Plaisir intellectuel
et de sociabilité entre toutes les parties de notre être et tous les
éléments
de notre conscience, à mesure qu’il est plus attr
on faisceau ; de clarté en forme de papillon, — beauté associée à des
éléments
désagréables, a des lignes anguleuses et rigides,
ons franchement désagréables. En résumé, l’utile n’est beau que par l’
élément
intellectuel de finalité aperçue et par l’élément
’est beau que par l’élément intellectuel de finalité aperçue et par l’
élément
sensible de satisfaction éprouvée d’avance ; il e
vie collective. Analysons le plaisir que nous cause, dans l’art, cet
élément
essentiel qui est l’imitation de la vie. Le premi
’art, cet élément essentiel qui est l’imitation de la vie. Le premier
élément
est le plaisir intellectuel de reconnaître les ob
sir sensitif « égotiste », comme dit Comte en son jargon. Le deuxième
élément
est le plaisir de sympathiser avec l’auteur de l’
pour l’artiste, inséparable de tout jugement sur l’art. Le troisième
élément
est le plaisir de sympathiser avec les êtres repr
vec les êtres représentés par l’artiste. Il y a aussi, dans l’art, un
élément
de plaisir tiré d’une antipathie mêlée parfois de
jours la sensation. II. En quoi consiste le simulacre. — Entre autres
éléments
, il renferme la conception affirmative d’une chos
l’essentiel de la notion de corps. — Elles sont des composés dont les
éléments
sont les notions de distance. — Analyse de Bain.
face, du volume, de la force, définis par rapport au mouvement. — Les
éléments
de toutes ces idées ne sont jamais que des sensat
mploi des noms. — Intervention de l’illusion métaphysique. — Premiers
éléments
du simulacre hallucinatoire. I Commençons p
main. II En quoi consiste ce fantôme interne ? — Entre autres
éléments
, il est manifeste qu’il renferme une conception a
n d’un arbre absent ou d’une boule absente prononce de même. Voilà un
élément
essentiel du simulacre interne ; point de percept
parce que cette durée est elle-même divisible à l’infini. Quoique les
éléments
de notre sensation soient successifs, les élément
nfini. Quoique les éléments de notre sensation soient successifs, les
éléments
du corps nous apparaissent comme simultanés ; en
de notre tendance à croire qu’une relation, qui subsiste entre chaque
élément
individuel de notre expérience et quelque autre é
entre chaque élément individuel de notre expérience et quelque autre
élément
, subsiste aussi entre la totalité de notre expéri
épart et d’arrivée ; par ce retranchement, l’espèce et la qualité des
éléments
qui composent la série sont omises ; il ne reste
ses sensations de locomotion, de contact et de résistance étaient les
éléments
; il définit maintenant la ligne par le mouvement
Mais, si l’on analyse celui qu’il a choisi, on découvre que tous les
éléments
originels et constitutifs de sa définition, comme
us attribuons aux corps le mouvement, c’est après avoir dépouillé ses
éléments
de toute qualité humaine, après leur avoir ôté to
et analogie, à la pierre que notre main emporte avec elle. — Or, les
éléments
de cette série abstraite, étant ainsi amenés au m
t la sensation musculaire de locomotion, qui fournit à cette idée ses
éléments
. — Cela admis, on pourrait embrasser la nature pa
ouvements, et nos sciences, ayant toutes pour objet le dégagement des
éléments
simples, pourraient toutes, comme en effet elles
ent impuissants, ainsi qu’on peut le constater surtout à l’égard de l’
élément
mâle, soit chez les plantes, soit chez les animau
e microscope peut aider à s’en assurer. Dans le premier cas, les deux
éléments
sexuels qui concourent à former l’embryon sont en
s croisements réciproques entre deux espèces, il arrive souvent que l’
élément
mâle de l’une agisse aisément sur l’élément femel
, il arrive souvent que l’élément mâle de l’une agisse aisément sur l’
élément
femelle de l’autre, sans que l’alliance contraire
fectuer l’alliance est bien loin d’être égale chez les deux couples d’
éléments
sexuels, aussi deux espèces réciproquement greffé
amentale entre la simple adhérence d’une tige greffée, et l’union des
éléments
mâle et femelle dans l’acte de la reproduction, c
ous venons de le voir, dans l’alliance de deux espèces pures les deux
éléments
sexuels sont en parfait état, tandis que chez les
s causes distinctes. Il y a parfois impossibilité physique à ce que l’
élément
mâle atteigne l’ovule : tel serait le cas où une
etés sur la surface stigmatique, cependant ils ne la pénètrent pas. L’
élément
mâle peut encore atteindre l’élément femelle, mai
ndant ils ne la pénètrent pas. L’élément mâle peut encore atteindre l’
élément
femelle, mais il est impuissant à produire le dév
ns l’un et l’autre cas, la stérilité est plus ou moins complète, et l’
élément
mâle est le plus sujet à être affecté ; quelquefo
âle est le plus sujet à être affecté ; quelquefois cependant, c’est l’
élément
femelle. Dans l’un et l’autre cas, la tendance à
cotiana glutinosa, une seule d’entre elles, qu’elle ait fourni soit l’
élément
mâle, soit l’élément femelle, donna toujours des
e seule d’entre elles, qu’elle ait fourni soit l’élément mâle, soit l’
élément
femelle, donna toujours des hybrides moins stéril
u’on peut en ressentir est sans suites pratiques. Que l’artiste use d’
éléments
choisis dans le réel et agissant par leur vérité,
use d’éléments choisis dans le réel et agissant par leur vérité, ou d’
éléments
empruntés de même, mais de valeur émotionnelle ac
— en ce que la première de ces émotions, tout en conservant intact l’
élément
excitation, laisse à son minimum d’intensité l’él
rvant intact l’élément excitation, laisse à son minimum d’intensité l’
élément
, éveil des images de douleur ou de plaisir qui s’
tiste. Cette opération accomplie, il faut entreprendre de dégager les
éléments
de l’œuvre qui produisent plus particulièrement c
jugement littéraire, du moins d’introduire dans ses constatations un
élément
personnel, par le fait même qu’il admettra que te
allemand Wilhelm Wundt (1832-1920), professeur à Leipzig, auteur des
Eléments
de psychologie physiologique (1874). Ce dernier,
trouvera juste cette définition du beau donnée par M. Véron, et où l’
élément
émotionnel, sur lequel nous insistons, se trouve
s, en permettant de doser, pour ainsi dire, ce qu’elles contiennent d’
éléments
de peine et de plaisir physique pour les sens de
ents à la fois dans la conscience, et ils n’y sont que des parties ou
éléments
d’un ensemble complexe à développement continu. V
résultent du déploiement ou de l’arrêt des fonctions vitales, que cet
élément
dynamique est le plus visible ; la souffrance ou
t contrarié est la conscience d’une opposition entre deux forces. Cet
élément
dynamique, qui, selon nous, existe jusque dans le
pplique à des objets plus indifférents, mais il conserve toujours cet
élément
actif d’une énergie facilement déployée, qui va e
rsel de la réalité. Dans la mémoire comme ailleurs, nous admettons un
élément
irréductible au pur mécanisme et au pur intellect
ment irréductible au pur mécanisme et au pur intellectualisme, et cet
élément
est toujours le même : le désir, inséparable du s
ce de la sensation, et la reconnaissance de la sensation. Dès lors, l’
élément
mental ne peut être considéré, avec Maudsley et T
nir : en serait-il plus près de comprendre la sensation même, premier
élément
de la conscience et du souvenir ? Non, car toutes
en sentant une brûlure, en voyant une couleur, en entendant un son. L’
élément
irréductible à l’analyse, c’est donc la sensation
sistance. L’automatisme est un mode d’action et de réaction entre des
éléments
dont nous ne pouvons nous figurer la nature intim
ient bien supérieures à ce qu’elles sont maintenant. Étant donnés les
éléments
d’un problème, l’intelligence le résoudrait avec
stitueront encore, en tant qu’elles serviront à former ce nombre, des
éléments
provisoirement indivisibles, et c’est toujours pa
ement. Ainsi un sentiment complexe contiendra un assez grand nombre d’
éléments
plus simples ; mais, tant que ces éléments ne se
ra un assez grand nombre d’éléments plus simples ; mais, tant que ces
éléments
ne se dégageront pas avec une netteté parfaite, o
nées ne sont jamais identiques, et que, par suite de la diversité des
éléments
organiques qu’ils influencent, il n’y a pas deux
e une pénétration mutuelle, une solidarité, une organisation intime d’
éléments
, dont chacun, représentatif du tout, ne s’en dist
e, tant qu’on n’aura pas songé à l’espace parcouru. Bref, il y a deux
éléments
à distinguer dans le mouvement, l’espace parcouru
itions successives et la synthèse de ces positions. Le premier de ces
éléments
est une quantité homogène ; le second n’a de réal
pas, c’est-à-dire l’espace, où s’alignent les simultanéités, ainsi l’
élément
homogène du mouvement est ce qui lui appartient l
ur le temps et le mouvement qu’à la condition d’en éliminer d’abord l’
élément
essentiel et qualitatif — du temps la durée, et d
espace et de simultanéité. — Reste le mouvement varié, celui dont les
éléments
AM, MN, NP, …, ont été reconnus inégaux entre eux
iolent, une mélancolie profonde envahissent notre âme : ce sont mille
éléments
divers qui se fondent, qui se pénètrent, sans con
on d’états inertes, traduisibles en mots, et qui constituent chacun l’
élément
commun, le résidu par conséquent impersonnel, des
u’il déroule notre sentiment dans un temps homogène et en exprime les
éléments
par des mots, il ne nous en présente qu’une ombre
tion, de cette pénétration mutuelle, qui constitue l’essence même des
éléments
exprimés. Encouragés par lui, nous avons écarté p
e de l’obsession de l’espace, les apercevrait. Cette dissociation des
éléments
constitutifs de l’idée, qui aboutit à l’abstracti
la discussion philosophique. Mais lorsque nous nous figurons que les
éléments
dissociés sont précisément ceux qui entraient dan
e devenir, qui est la réalité vivante, une multiplicité discontinue d’
éléments
inertes et juxtaposés. Justement parce que chacun
inue d’éléments inertes et juxtaposés. Justement parce que chacun des
éléments
ainsi constitués contient, en raison de son origi
ionnisme veut que tout état psychologique soit une espèce d’atome, un
élément
simple. De là la nécessité de sacrifier, dans cha
nir pur. La vie psychologique se ramène alors tout entière à ces deux
éléments
, la sensation et l’image. Et comme, d’une part, o
nir que je tends, et si je pouvais fixer cet indivisible présent, cet
élément
infinitésimal de la courbe du temps, c’est la dir
lie, car l’objet matériel, justement en raison de la multiplicité des
éléments
inaperçus qui le rattachent à tous les autres obj
hoses. Plutôt que d’admettre la présence, dans tous les cas, des deux
éléments
mêlés dans des proportions diverses, il aime mieu
mêlés dans des proportions diverses, il aime mieux dissocier ces deux
éléments
, et attribuer ainsi aux objets extérieurs d’une p
instantanée soit-elle, consiste donc en une incalculable multitude d’
éléments
remémorés, et, à vrai dire, toute perception est
t du présent que part l’appel auquel le souvenir répond, et c’est aux
éléments
sensori-moteurs de l’action présente que le souve
trait récemment dans le sommeil une interruption de contact entre les
éléments
nerveux, sensoriels et moteurs 84. Même si l’on n
plante qui extrait invariablement des sols les plus divers les mêmes
éléments
qui doivent lui servir de nourriture. Faites main
des souvenirs différents, ce n’est pas par une adjonction mécanique d’
éléments
de plus en plus nombreux qu’elle attirerait, immo
. Cet équilibre ne sera évidemment faussé que par la perturbation des
éléments
qui lui servent de matière. Il ne saurait être qu
que cette détente du système nerveux est due à l’intoxication de ses
éléments
par les produits non éliminés de leur activité no
normale, par l’accumulation de certains poisons spécifiques dans les
éléments
du système nerveux 86. On sait que l’aliénation e
isa, comment Flaubert froissa ; et je ne cite que des nouveautés où l’
élément
d’art était le seul en question, admettant que le
qu’on a négligé de s’enquérir de son unité principale (analogue de l’
élément
organique) et que si on perçut quelquefois cette
usage — antique — et solennel soit un premier vers composé de quatre
éléments
de trois pieds ternaires, et un second vers scand
ers. Pour nous, qui considérons, non la finale rimée, mais les divers
éléments
assonancés et allitérés qui constituent le vers,
n’avons aucune raison de ne pas le considérer comme finale de chaque
élément
et de le scander alors, comme à la fin d’un vers
égulier. Qu’on veuille bien remarquer que, sauf le cas d’élision, cet
élément
, l’e muet, ne disparaît jamais même à la fin du v
tue dès qu’elle se met d’accord avec l’accent d’impulsion qui est son
élément
de variation, et l’intonation poétique, subordonn
our avertir le poète, on peut grouper en un seul vers trois ou quatre
éléments
ayant intérêt à ce que leur jaillissement soit re
nue déjà dans l’histoire un commencement d’exagération, et bientôt un
élément
merveilleux ou fabuleux. On prête aux Roland, aux
andal », on met l’autre à cheval sur « Bayard ». Comme d’ailleurs cet
élément
fabuleux flatte plus agréablement les imagination
ablement les imaginations des hommes, il ne tarde pas à usurper sur l’
élément
historique, auquel même on le voit servir d’expli
en est proprement que l’occasion ; ainsi, dans nos grands Mystères, l’
élément
principal, capital et caractéristique, c’est le s
pour l’ancien français. 2º Les Él éments successifs du français. A. L’
élément
celtique ; — et de la difficulté d’en déterminer
celtiques ; et Zeuss, Grammatica celtica]. — Que, si l’influence de l’
élément
celtique se retrouve dans le français, il semble
a différenciation du français, et de l’italien ou de l’espagnol. B. L’
élément
latin. — Latin littéraire et latin vulgaire ; — c
eul effet du temps. — Parlers provinciaux : dialectes et patois. C. L’
élément
germanique ; — et d’abord, dans quelles condition
itable origine de l’épopée romanesque est dans la différenciation des
éléments
de l’épopée nationale ; — dont l’élément authenti
dans la différenciation des éléments de l’épopée nationale ; — dont l’
élément
authentique est devenu de l’histoire ; — et l’élé
nale ; — dont l’élément authentique est devenu de l’histoire ; — et l’
élément
merveilleux, symbolique et mythique est devenu le
dont ils usent toujours en pareil cas] ; — enfin l’indistinction des
éléments
épique, lyrique, et même dramatique. — L’élément
l’indistinction des éléments épique, lyrique, et même dramatique. — L’
élément
épique domine dans les Chansons d’histoire propre
ent épique domine dans les Chansons d’histoire proprement dites ; — l’
élément
dramatique se dégage dans les Pastourelles et Cha
eu de Robin et Marion, d’Adam de la Halle, 1260 ; — mais le second, l’
élément
lyrique ou personnel, n’apparaît qu’au contact de
es. Les exemples d’enfants initiés à l’âge de quinze ou seize ans aux
éléments
de la géométrie transcendante et du calcul infini
nos projets de fortune et de gloire, et à nos amusements, et que les
éléments
n’en sont pas plus difficiles que ceux de l’arith
assiques de cette première classe. (L’arithmétique.) Il y a tant d’
éléments
d’arithmétique, qu’on n’aura que l’embarras du ch
usage de nos collèges. (L’algèbre.) Le même auteur a publié aussi des
Eléments
d’algèbre qu’on enseigne dans nos écoles. Ceux d
Clairaut22 sont peut-être un peu trop forts. (La géométrie.) Pour les
Eléments
de géométrie 23 où cet habile mathématicien s’est
es maîtres, la savante Dynamique de D’Alembert28. Pour les élèves les
Éléments
de mécanique de Trabaud29 ; ouvrage à l’usage de
de Trabaud29 ; ouvrage à l’usage de nos écoles. (L’hydraulique.) Les
Éléments
d’hydraulique, du même auteur30, sont enseignés p
les édifices particuliers, on ne trace ni méridienne ni cadrans sans
éléments
d’astronomie ; il est cependant plus important de
que nous ayons de connaître ; art dont on pourrait faire d’excellents
éléments
, préliminaires de toute espèce d’enseignement. La
Livres classiques de la cinquième classe. (La chimie.) Il y a des
éléments
de chimie sans nombre ; il y en a en français, il
de importance dont il n’y a pas encore la première page d’écrite. Les
éléments
de la logique et de la critique conduisent à l’ét
ation à l’idiome qui nous est familier, et dont nous avons appris les
éléments
de nos parents, lorsqu’ils environnaient notre be
mémoire des enfants ; qu’ils ont plus de raison que n’en exigent des
éléments
d’arithmétique, de géométrie et d’histoire ; qu’i
atin par Schooten, sous ce titre : De ratiociniis in ludo aleæ. 21.
Éléments
de géométrie, avec un Abrégé d’arithmétique. Pari
étrie, avec un Abrégé d’arithmétique. Paris, 1732. 1750, in-4°. 22.
Éléments
d’algèbre, 1re édition, 1746 ; 3e , 1760. 23. 1
e » avec la race « biologique », ils se font forts de reconnaître les
éléments
anthropologiquement différents, jusque dans les s
, leur progrès ou leur décadence s’expliquent par la prédominance des
éléments
« eugéniques » ou des éléments inférieurs, des do
e s’expliquent par la prédominance des éléments « eugéniques » ou des
éléments
inférieurs, des dolichocéphales ou des brachycéph
est-ce parce que les sociétés où ils se rencontrent sont composées d’
éléments
individuellement hétérogènes que l’idée de l’égal
le. Et sans doute une de ces raisons peut être l’homogénéité même des
éléments
qui composent notre groupe ; et cette homogénéité
sommes obligés de considérer d’abord l’effet qu’elle produit sur les
éléments
sociaux, qu’elle assimile, puis l’effet que produ
be, De l’Histoire considérée comme science, p. 326. 39. V. Topinard,
Éléments
d’anthropologie générale, p. 200-215. 40. Essai
matiquement les images concrètes — terrifiantes à l’état d’image — en
éléments
abstraits de diagnostic, éléments intéressants ma
terrifiantes à l’état d’image — en éléments abstraits de diagnostic,
éléments
intéressants mais non plus émouvants. Ce passage
ofane accepte telle que l’image perçue, le praticien la transforme en
éléments
de diagnostic et en projets thérapeutiques. Ce n’
t sélection. Cette sélection peut porter sur différentes catégories d’
éléments
. Ainsi se constituent les différentes écoles. Cet
oluble. Le plus que puisse faire l’analyse, c’est d’arriver à quelque
élément
ultime, qui, dans les limites de l’expérience, no
physiciens et notamment sur la décomposition des sensations de leurs
éléments
primitifs, M. Herbert Spencer pense que toute sen
ion prochaine, nous trouverons qu’il est composé de deux catégories d’
éléments
: les feelings (ce qui est senti) et les rapports
e, a pour but de ramener chaque espèce de connaissance à ses derniers
éléments
. Elle examine d’abord les raisonnements les plus
s conquêtes successives ; il ne reste plus qu’à coordonner ces divers
éléments
. La coordination des correspondances parcourt tou
es d’étendue tangible, de résistance, de texture, de poids ; tous ces
éléments
divers se sont, par la répétition, mariés, associ
effets d’une complication qui, par degrés insensibles, est sortie des
éléments
les plus simples. « Évidemment donc, les classifi
omposé et par conséquent le plus puissant de tous les sentiments. Aux
éléments
purement physiques qu’il renferme, il faut ajoute
e à cette conclusion négative qu’en tenant compte d’un grand nombre d’
éléments
et de rapports déterminés, de plusieurs lois préc
ynamiques et statico-dynamiques aux attributs statiques, qui sont les
éléments
fondamentaux de la perception. Il montre que la f
damentale. Par des décompositions successives de nos connaissances en
éléments
de plus en plus simples, nous devons arriver fina
s en plus simples, nous devons arriver finalement au plus simple, à l’
élément
matériel ultime ou substratum. Qu’est-ce que ce s
e que ce substratum ? C’est l’impression de la résistance. C’est là l’
élément
de conscience primordial, universel, toujours pré
de conscience qui se produisent successivement ne peuvent devenir des
éléments
de pensée, qu’autant qu’ils sont connus comme sem
alité, en généralité, en complexité ; elle coordonne enfin ses divers
éléments
et produit ainsi une intégration, c’est-à-dire un
éléments et produit ainsi une intégration, c’est-à-dire une fusion d’
éléments
originairement séparés. Telles sont les périodes
tre de la vie psychologique, nous la résolvons par l’analyse dans ses
éléments
, allant du très composé au moins composé, du comp
nt au christianisme ; ce livre, qui contient, quoi qu’il en soit, les
éléments
de la philosophie hermétique, fait de la pensée e
le langage seul ne peut pas être successif dans la combinaison de ses
éléments
primordiaux. Les langues se perfectionnent par l’
s formes du langage. Elles ne changent point sous le rapport de leurs
éléments
constitutifs, c’est-à-dire sous le rapport de ce
e, de demander, puisque toutes les langues sont fondées sur les mêmes
éléments
, pourquoi, si l’homme les a inventées, il n’y a p
entées. Il s’agit encore de savoir si elles sont fondées sur d’autres
éléments
que les langues primitives ; et n’est-il pas démo
à l’évidence que non seulement elles ne sont pas fondées sur d’autres
éléments
, mais même que les éléments qui forment la base d
nt elles ne sont pas fondées sur d’autres éléments, mais même que les
éléments
qui forment la base de nos langues actuelles sont
vention du langage par l’homme, car elles n’excluent point les autres
éléments
constitutifs de la parole : or c’est toujours là
rigée en doctrine, est tout à fait moderne. Cette révolution dans les
éléments
primitifs de la philosophie présageait l’ère de l
it pas trop susceptible de se perfectionner, parce qu’il manquait des
éléments
mêmes du langage. Cependant des hommes d’un génie
e l’Inde ou de l’Egypte ont pu fabriquer des langues avec les chétifs
éléments
qu’ils avaient, pourquoi n’en composerions-nous p
ls avaient, pourquoi n’en composerions-nous pas à notre tour avec les
éléments
comparés des langues de l’Orient et de celles de
s ; mais ceci marque le point de raccord avec la tradition. Parmi les
éléments
du vers libre, celui-ci existe, il en contient d’
qu’on a négligé de s’enquérir de son unité principale (analogue de l’
élément
organique) et que si on perçut quelquefois cette
usage — antique — et solennel soit un premier vers composé de quatre
éléments
de trois pieds ternaires, et un second vers scand
ers. Pour nous, qui considérons, non la finale rimée, mais les divers
éléments
assonancés et allitérés qui constituent le vers,
s n’avons aucune raison de ne pas le considérer comme final de chaque
élément
et de le scander alors, comme à la fin d’un vers
égulier. Qu’on veuille bien remarquer que, sauf le cas d’élision, cet
élément
, l’e muet, ne disparaît jamais même à la fin du v
tue dès qu’elle se met d’accord avec l’accent d’impulsion qui est son
élément
de variation, et l’intonation poétique, subordonn
our avertir le poète, on peut grouper en un seul vers trois ou quatre
éléments
ayant intérêt à ce que leur jaillissement soit re
poursuivant l’examen, en abordant la structure de l’œuvre, les divers
éléments
apparaissent successivement, complétant et renfor
le, demeure apparente dans l’édifice de Horta et devient elle-même un
élément
de beauté. La science et l’art se combinent, de s
n élément de beauté. La science et l’art se combinent, de sorte que l’
élément
nécessaire à la stabilité de l’édifice contribue
seleur et le peintre-verrier firent de même. Jamais, entre les divers
éléments
qui concourent à la décoration, le malentendu ne
.39 Ce qui fait la grandeur de l’artiste, c’est d’avoir coordonné les
éléments
épars, de les avoir refondus dans son cerveau, d’
conque de ses œuvres tout est lié, tout concourt à l’unité : tous les
éléments
sont organiquement liés, les matières entre elles
de l’univers ? Ne serait-ce point un tort égal ou de trop négliger l’
élément
physiologique de la mémoire ou d’en méconnaître l
négliger l’élément physiologique de la mémoire ou d’en méconnaître l’
élément
psychologique, qui d’ailleurs, selon nous, est la
. Puis nous rechercherons si ce mécanisme n’a point sa limite dans un
élément
qu’on n’y saurait réduire : non pas l’esprit pur,
sourde sensibilité, un bien-être et un malaise rudimentaires. Voilà l’
élément
« psychique » qui nous semble nécessaire à la bas
orme de chaleur. Les physiologistes croient se dispenser d’admettre l’
élément
psychologique en attribuant comme propriété à la
e est la vraie explication de la loi physique elle-même. En un mot, l’
élément
fondamental en germe dans toutes les cellules viv
on nous, on peut aussi reproduire incomplètement dans la conscience l’
élément
pénible du mal de dents. Pour cela, il faut emplo
nt de dents peut aisément provoquer l’émotion même ; c’est qu’ici les
éléments
moteurs sont plus distincts. L’idée d’un objet qu
vomissement. Ce sont surtout, comme on voit, les idées motrices et à
éléments
moteurs qui sont des idées-forces, c’est-à-dire c
irs, parce qu’elles impliquent une désorganisation et un trouble de l’
élément
nerveux ; de plus, Maudsley remarque que, chez un
dans des cas très rares, les gestes. On reconnaît encore là les deux
éléments
essentiels : émotion et motion. Parmi les mots, l
anuel, rangé l’épopée dans la littérature religieuse. Étant donné cet
élément
clérical, on a peine à comprendre comment les cle
Église et couronnaient leur vie héroïque par un édifiant moniage. Cet
élément
clérical, Joseph Bédier vient de le prouver et de
e, dans les chansons de toile, dans les romances, mais il n’est pas l’
élément
principal. Pour le genre dramatique, il faut supp
toise. Elle fait mieux d’ailleurs : elle apporte à la littérature ses
éléments
à elle : le réalisme, la satire, la discussion. S
jusque dans le théâtre religieux, où nous voyons trop exclusivement l’
élément
clérical. Les Miracles de Notre Dame (xive siècl
l’Angleterre), sous des formes diverses résultant de la combinaison d’
éléments
divers ; nulle part le développement n’est aussi
français, les progrès nécessaires de l’idée nationale contiennent les
éléments
d’une transformation ; cependant cette transforma
rance accepte d’abord en bloc la Renaissance italienne, dont tous les
éléments
ne convenaient pas également à son génie ; elle t
mais il a su aussi, par la fusion harmonieuse et infiniment variée d’
éléments
divers, s’élever jusqu’aux Femmes savantes, et in
lui qui a pris tant de libertés avec les formes et les combinaisons d’
éléments
, s’il y avait été encouragé. Mais, devant ce publ
Providence les avait voulues telles ! Nous combinons savamment leurs
éléments
les plus visibles, en une équation toujours juste
action et par réaction ; chacune d’elles, d’abord vague et mélangée d’
éléments
hétérogènes, dégage peu à peu son principe essent
réduite à la sécheresse matérialiste ; et d’autre part le sentiment,
élément
nouveau, positif, qui annonce l’avenir. Ces deux
tait pourtant un vrai dramaturge, concède une place trop grande à des
éléments
contraires à l’action dramatique. Tout ce théâtre
se gênent ; ou l’individu périt, ou le symbole s’obscurcit. L’un des
éléments
fait obstacle à l’autre, si le poète n’intervient
onnue ; et, au lieu de races, parlons de nations ; ici nous avons des
éléments
matériels qu’il est plus aisé d’évaluer à peu prè
Quelle que soit donc, en France, l’inconnue celtique, voici quelques
éléments
plus sûrs : une colonisation romaine intense, d’o
et ses montagnes, où les provinces semblaient se faire d’elles-mêmes,
éléments
futurs d’une plus grande unité ; non point isolé
e, c’est une collaboration de circonstances naturelles, un ensemble d’
éléments
durables, dont les effets sont nécessaires ; d’où
t serrée : le don de représenter par une simplification lumineuse les
éléments
essentiels de la réalité, et celui de suivre à l’
raît comme un bloc, combien d’étapes diverses par où s’expliquent les
éléments
lyriques et épiques ! M. Wilamowitz en donne un r
ttachons. — Illusion métaphysique que leur idée provoque. — Les seuls
éléments
réels de notre être sont nos événements. IV. Le c
de ce parcours rapide. — Dégagement d’un caractère commun à tous les
éléments
successifs de la série. — Idée d’un dedans stable
ncessante la contrôle, la rectifie et la consolide. — Cohésion de ses
éléments
. — Il faut des circonstances exceptionnelles pour
uveraine. — Il nous faut chercher quelle idée nous en avons, de quels
éléments
cette idée se compose, comment elle se forme en n
ierre, Paul, ou nous-mêmes, quelle idée y a-t-il en nous, et de quels
éléments
se compose cette idée ? — Ce que nous affirmons,
e privilégié, entrera seul et fera seul partie de moi-même. En fait d’
éléments
réels et de matériaux positifs, je ne trouve donc
sorte que nos événements nous apparaissent comme une ligne continue d’
éléments
contigus. Nous passons sans difficulté d’un chaîn
e ; rien ne surnage du parcours, sinon un caractère commun à tous les
éléments
parcourus, la particularité qu’ils ont d’être int
que ce n’est pas là une notion primitive. Elle a des précédents, des
éléments
, une histoire, et l’on peut compter tous les pas
rités de nos événements s’effacent, qu’un caractère commun à tous les
éléments
de la file prédomine, se dégage, s’isole et soit
aut certains matériaux et une certaine élaboration ; pour peu que les
éléments
soient altérés et que le travail soit dérangé, la
histoire vraie. — Ainsi notre idée de notre personne est un groupe d’
éléments
coordonnés dont les associations mutuelles, sans
ils à lui. IX Toutes ces connaissances sont composées des mêmes
éléments
soudés ensemble selon la même loi. Qu’il s’agisse
internes ; cette file s’oppose aux autres groupes, parce que tous ses
éléments
présentent un caractère constant qui, étant toujo
ement irrémédiable de l’être, ces sortes de caractères sont les seuls
éléments
qui soient partout les mêmes et renaissent toujou
propriété de pondre ses petits vivants ; c’est ce groupe entier ou un
élément
de ce groupe, entre autres le dernier, qui est vi
édrique, la structure cristalline. C’est donc ce groupe entier, ou un
élément
de ce groupe, notamment le dernier, qui est l’acc
produit par un concours d’antécédents, ne peut pas être divisé en ses
éléments
. Les méthodes d’isolement sont alors impraticable
la diagonale ; chaque partie, chaque moment, chaque position, chaque
élément
de son mouvement est l’effet combiné des deux for
ngle et des parallèles, il en note les cléments, il suit du doigt ces
éléments
dans le tracé approximatif, il rencontre en l’un
re à membre, deux grandeurs artificielles, ou nous faisons coïncider,
élément
à élément, deux grandeurs naturelles ; si cette c
e, deux grandeurs artificielles, ou nous faisons coïncider, élément à
élément
, deux grandeurs naturelles ; si cette corresponda
assister à sa naissance et nous démêlons son fonds ; elle renferme un
élément
plus simple et se ramène à l’idée du même ; en ef
t, en la pensant, à la génération de la ligne ; on ne possède pas les
éléments
de la construction mentale ; on ne tient qu’une d
ait d’Alembert104, sont l’écueil et, pour ainsi dire, le scandale des
éléments
de géométrie. » Si je ne me trompe, on vient de v
ite, se trouve la plus simple des lignes. À ce double titre, il est l’
élément
dont les combinaisons constituent les autres mouv
fit maintenant de faire entrer, dans la mesure des forces, son second
élément
, la masse, et nous avons montré comment cette idé
de l’espace. — Tout l’artifice de la preuve consiste à observer deux
éléments
d’une grandeur donnée, à remarquer qu’ils sont le
ence sur leur nature ; que, partant, l’accroissement donné au premier
élément
par le second peut être donné à leur ensemble par
ur. Ce qui crée l’infinité de la série, ce sont les propriétés de ses
éléments
. Aussi est-ce en comparant entre eux les éléments
s propriétés de ses éléments. Aussi est-ce en comparant entre eux les
éléments
des séries infinies qu’on compare entre elles les
vons écarté tout autre point de vue. Si nous cherchons maintenant les
éléments
d’un fragment quelconque de ce réceptacle, nous n
dues encore moindres, et ainsi de suite à l’infini, tellement que les
éléments
de tout fragment, si petit qu’il soit, sont néces
en lui, et cela de par notre fait, que de pures grandeurs ayant pour
éléments
de pures grandeurs. Mais cela ne prouve pas que,
ar, si nous avons créé le fantôme interne, nous l’avons créé avec des
éléments
empruntés à la réalité externe, avec les éléments
avons créé avec des éléments empruntés à la réalité externe, avec les
éléments
les plus simples et combinés de la façon la plus
eur fabrication et leur génération, dans leurs facteurs et dans leurs
éléments
. On peut assister à leur formation et dégager l’a
, est une ligne uniforme. 104. Mélanges. — Éclaircissements sur les
éléments
de philosophie. Tome V, 207. 105. Voici le déta
je le comprends ? Ce monde est un chaos de systèmes, une poussière d’
éléments
plus ou moins importants, plus ou moins compliqué
ou moins importants, plus ou moins compliqués, depuis l’atome et les
éléments
de l’atome, jusqu’aux systèmes stellaires, jusqu’
égulier. Bien qu’il y ait certains liens de dépendance entre tous ces
éléments
du monde, ils restent souvent assez mal coordonné
isation, à la fortifier, même à l’agrandir en y employant de nouveaux
éléments
. Cet élargissement progressif du système, l’organ
ation progressive qui y correspond, l’accroissement de l’harmonie des
éléments
, c’est ce que nous appelons évolution. Il n’y a p
té, nous en arrivons à ne considérer dans l’individu que sa qualité d’
élément
cosmique ou d’élément social. Mais il est autre c
ne considérer dans l’individu que sa qualité d’élément cosmique ou d’
élément
social. Mais il est autre chose. Il est un monde
ique ou vain. Il indique seulement une pression de l’ensemble sur les
éléments
. Il tâche de les amener à une sorte de suicide. T
n’existe et ne vaut que par la société, qu’il en est un produit et un
élément
, qu’il n’a qu’en elle sa raison d’être et qu’elle
usciter une humanité pacifique, moins industrielle qu’artiste, où les
éléments
seraient un peu plus libres, seraient moins press
e égalitaire de quelques-unes d’entre elles, que la quantité de leurs
éléments
; ce n’est nullement à dire que nous déprécions a
u club, les sociétés ont ce caractère commun qu’il existe entre leurs
éléments
plus ou moins de ressemblances ou de différences.
s suivant les mêmes lois. Mais disons avec M. Simmel 104 que plus les
éléments
d’un groupe sont semblables entre eux, plus ils o
mblables entre eux, plus ils ont de chances de différer, en bloc, des
éléments
d’un autre groupe ; moins ils en ont, par suite,
oppement devait être déterminé par l’accession dans la cité romaine d’
éléments
de toutes provenances123. À combien de types diss
ges de races universellement reconnus. On sait en effet que, plus les
éléments
générateurs diffèrent, plus il y a de chances pou
combien le nombre des variations probables n’augmente-t-il pas si les
éléments
générateurs sont eux-mêmes les produits de races
le modèle de la démocratie, l’un rapportera l’impression que tous les
éléments
d’une foule américaine se rassemblent145, l’autre
s de l’imitation, 2e éd., p, 342 et 335, en note. 120. Cf. Topinard,
Éléments
d’anthropologie générale, p. 199. V. de Lapouge,
Les Sélections sociales, p. 121. 130. Les Sociétés, p. 193. 131.
Éléments
d’anthropologie, p. 618. 132. Bulletins de la S
ement de leur propre personnalité. A d’autres, l’admission loyale des
éléments
extérieurs paraît pratiquement impossible. « Vous
rieurs paraît pratiquement impossible. « Vous ne ferez jamais que des
éléments
hétérogènes se combinent, nous disent-ils ; il ne
de à force d’irréalité — mais une entente par voie cordiale entre les
éléments
homogènes épars dans le monde, en dehors de toute
part de cette solidarité dont nous allons envisager quelques-uns des
éléments
. Ce sont des rapports d’une très différente sorte
nous nommerons des liens matériels, se subdivisant en une multitude d’
éléments
. Les rapports commerciaux et industriels notammen
ez-vous que son jugement soit équitable s’il méconnaît une moitié des
éléments
en jeu ? Assurément il y a ressemblance entre les
s, sans le concours plus ou moins conscient, plus ou moins actif, des
éléments
du dehors ? De même qu’à la vie organique se supe
n avec l’homme pour reconstituer, avec une solidarité plus grande des
éléments
et une complexité plus riche de l’ensemble, tout
a véritable nature du souvenir. Au lieu de dissocier d’abord les deux
éléments
, image-souvenir et mouvement, pour chercher ensui
e ressemblance définie et perçue qui consiste dans la communauté d’un
élément
saisi et dégagé par l’esprit, il y a une ressembl
ire des centres, à des excitations sensibles, et la discontinuité des
éléments
nerveux, la multiplicité de leurs arborisations t
e la cécité psychique, le malade pourra encore, peut-être, tracer des
éléments
de ligne qu’il raccordera tant bien que mal entre
au contraire que la perception réfléchie est un circuit, où tous les
éléments
, y compris l’objet perçu lui-même, se tiennent en
essives. À chaque moment d’une perception attentive, par exemple, des
éléments
nouveaux, émanant d’une région plus profonde de l
ant d’une région plus profonde de l’esprit, pourraient se joindre aux
éléments
anciens sans créer une perturbation générale, san
ience où elle pénétrera. Au fond, c’est pour n’avoir pas démêlé ici l’
élément
moteur de la mémoire qu’on a tantôt méconnu, tant
lerons le schème moteur de la parole entendue. Former son oreille aux
éléments
d’une langue nouvelle ne consisterait alors ni à
e conséquence nécessaire, introduit dans chaque terme de la série des
éléments
qui ne se réalisent qu’après lui. Ce n’est pas im
nir emmagasiné, ce ne peut être que comme une disposition acquise des
éléments
mêmes que la perception a impressionnés : comment
tendre 81. Il faudra donc assigner à la perception et au souvenir des
éléments
nerveux distincts. Mais cette hypothèse aura alor
opère et où l’on puisse dire, par conséquent, qu’il se transporte des
éléments
imaginatifs aux éléments sensoriels. Ainsi ces de
ire, par conséquent, qu’il se transporte des éléments imaginatifs aux
éléments
sensoriels. Ainsi ces deux hypothèses contraires,
. Ainsi ces deux hypothèses contraires, la première qui identifie les
éléments
de perception avec les éléments de mémoire, la se
raires, la première qui identifie les éléments de perception avec les
éléments
de mémoire, la seconde qui les distingue, sont de
d’une part, que l’image auditive remémorée mette en branle les mêmes
éléments
nerveux que la perception première, et que le sou
ale, la somme des changements doit demeurer inférieure à la somme des
éléments
fixes : c’était ce point que la langue avait atte
rbe que Ronsard de Villon. Enfin Vaugelas avait très bien déterminé l’
élément
stable d’une langue, celui que tous les efforts d
se dépouillant. » De quoi s’était-elle dépouillée en effet ? De ses
éléments
concrets, colorés, pittoresques, succulents : ell
s, pittoresques, succulents : elle avait gardé, aiguisé, fortifié les
éléments
rationnels, abstraits et pour ainsi dire algébriq
e, et qui, pour épancher leur riche imagination, iront rechercher les
éléments
d’un plus copieux et substantiel langage. Le Dict
de quelques formes spirituelles simples. Les uns s’expliquent par un
élément
géométrique primitif, comme les autres par un élé
pliquent par un élément géométrique primitif, comme les autres par un
élément
psychologique primitif. Pour saisir l’ensemble de
double développement primordial. Si petites qu’elles soient dans les
éléments
, elles sont énormes dans la masse, et la moindre
’est pas que la loi soit fausse, c’est qu’elle n’a pas seule agi. Des
éléments
nouveaux sont venus se mêler aux éléments anciens
elle n’a pas seule agi. Des éléments nouveaux sont venus se mêler aux
éléments
anciens ; de grandes forces étrangères sont venue
ent se distribuent les effets d’une cause primordiale. Communauté des
éléments
. Composition des groupes. Loi des dépendances mut
idées pures. Il y a donc au centre de chacun de ces trois groupes un
élément
commun, la conception du monde et de son principe
incipe, et s’ils diffèrent entre eux, c’est que chacun combine avec l’
élément
commun, un élément distinct : ici la puissance d’
ffèrent entre eux, c’est que chacun combine avec l’élément commun, un
élément
distinct : ici la puissance d’abstraire, là la fa
ondamentale qui les rapproche et les unit. À présent supposez que cet
élément
commun reçoive du milieu, du moment ou de la race
ilisation, c’est la présence dans chaque grande création humaine d’un
élément
producteur également présent dans les autres créa
nt détaillé, évident et intuitif, par la démonstration répétée de ses
éléments
. La description des lieux dans le Double assassin
omposition, il est utile de considérer les caractères généraux de ces
éléments
, les propriétés par lesquelles ils concordent et
age discret et presque imperceptible que fait Poe du fantastique. Cet
élément
, qui se compose chez lui d’un peu d’impossible un
ente à ne pas s’en éloigner Sans cesse il en dérange et recombine les
éléments
. Les incidents nécessaires à la vraisemblance son
Scarabée et Eurêka, Poe parvient à susciter un intérêt dénué de tout
élément
émotionnel. Il revêt d’une forme littéraire ce fr
aucune phrase cordiale la rationalité de ses plus longues œuvres. Cet
élément
de curiosité pure qui constitue les romans judici
eur diabolisme et leur cruauté, leurs monstres et leurs grotesques, l’
élément
qui accompagnent les grylles de toutes les époque
r. III Nous avons analysé l’œuvre d’Edgar Poe. Ayant séparé les
éléments
de son esthétique et les composants des émotions
s’élever aux passions idéales et graves des poèmes. En cette suite d’
éléments
, il en est de simples et de complexes. L’original
émotions, et même de certaines vérités scientifiques. Analysée en ses
éléments
, l’idée d’originalité se résout en l’accolement d
d’une volonté, d’une pleine conscience qui en constitue le troisième
élément
primitif. Nous avons montré avec quel calme supér
e l’ensemble des œuvres du comique français, on discerne sans peine l’
élément
important que lui a transmis la double veine, lit
transmis la double veine, littéraire et populaire, de l’art italien ;
élément
important, non par le fonds des idées satiriques
satiriques et morales, mais par l’abondance des moyens d’expression ;
élément
en quelque sorte matériel, artificiel, mis à la d
général, les conditions d’une longue durée, qui sait pourtant si les
éléments
comiques qu’elles renferment sont destinés à péri
modifié le tempérament de la race, où s’étaient déjà mêlés plusieurs
éléments
. César et Strabon nous font un portrait des Gaulo
omain. Ils agirent comme un puissant réactif, ajoutant sans doute aux
éléments
celtique et latin, mais surtout les forçant à se
t serrée : le don de représenter par une simplification lumineuse les
éléments
essentiels de la réalité, et celui de suivre à l’
ée. Gaulois, Étrusques, Pélasges, Grecs, sans parler de bien d’autres
éléments
, s’y croisent dans un indéchiffrable mélange. Les
re où, sous la présidence du roi de France, ont fermenté ensemble les
éléments
les plus divers. Un habitant de Jersey ou de Guer
gagés tant d’intérêts. Soyez sûrs que, si on la charge de fournir des
éléments
à la diplomatie, on la surprendra bien des fois e
n’existe plus. La religion, qui, il y a cinquante-deux ans, était un
élément
si considérable dans la formation de la Belgique,
s services rendus aux Sciences historiques par la Philologie. 3. Les
éléments
germaniques ne sont pas beaucoup plus considérabl
ne tendance à achever l’acte commencé, et alors cette tendance est un
élément
nouveau que vous avez introduit subrepticement et
é sentie comme pénible ; 3° le conflit de l’idée contre la réalité. L’
élément
moteur, dans le désir, est double. Il y a d’abord
ne peuvent recevoir une explication adéquate sans l’introduction des
éléments
psychiques. On nous dit bien que, si nous ne souf
totalité et dans son unité sont obligés d’attribuer l’activité à ses
éléments
, de dire que ces éléments « luttent » ensemble, q
é sont obligés d’attribuer l’activité à ses éléments, de dire que ces
éléments
« luttent » ensemble, qu’ils agissent et réagisse
e ou sous une autre, admettre quelque part une activité. Il y a là un
élément
ultime qui est la limite de la connaissance propr
nck insiste sur l’utilité et même la nécessité de tenir compte de cet
élément
à l’égard de quelques groupes d’oiseaux, et plusi
t de nature tout naturaliste fait toujours intervenir plus ou moins l’
élément
généalogique dans ses classifications ; car, dans
modifications, et parfois même des modifications profondes ; ce même
élément
généalogique ne peut-il avoir également dirigé à
ils aient parfois peu de caractères communs. Nous employons de même l’
élément
généalogique dans la classification des variétés,
es qu’elles soient de leurs parents ; et j’ai la croyance que ce même
élément
généalogique est le lien de connexion caché que l
relations de connexité entre les organes homologues. Leurs différents
éléments
anatomiques peuvent varier et changer presque à l
ontinué de ces modifications, se sera emparée d’un certain nombre des
éléments
similaires primitifs, plusieurs fois répétés, et
anes en l’autre, mais comme formés, les uns et les autres, de quelque
élément
commun primordial. Il est vrai que les naturalist
a formation de l’embryon, et la variation peut provenir de ce que les
éléments
sexuels, mâle et femelle, ont été affectés par le
paraît seulement dans la vieillesse, est communiquée à l’enfant par l’
élément
reproducteur d’un de ses parents. C’est encore ai
férences de structure et d’organisation. Si l’on étend l’usage de cet
élément
généalogique, seule cause connue des ressemblance
ent à la classification minéralogique, ne sont que des combinaisons d’
éléments
premiers, et de l’une de ces formes on peut toujo
classification, depuis Aristote jusqu’à nous, il y a toujours eu deux
éléments
distincts, l’élément purement verbal ou lui logiq
Aristote jusqu’à nous, il y a toujours eu deux éléments distincts, l’
élément
purement verbal ou lui logique, servant à désigne
hoses par des noms exprimant autant que possible leur nature : puis l’
élément
réel ou loi sériaire, qui a pour objet de rapproc
étuer les caractères acquis, un parallélisme presque parfait des deux
éléments
hostiles de toute classification. Car il est de t
ntemporaine pénètre davantage dans l’étude des sensations et de leurs
éléments
organiques. Quand j’ouvre les yeux et que je vois
s une certaine modification de la conscience ; celle-ci, pour être un
élément
indispensable et interne, n’est pas pour cela spo
forme est l’œuvre d’une activité originale de l’esprit contenant des
éléments
supra-sensibles : par exemple, en éprouvant une s
ne surface blanche trace une ligne et dissocie pour mes yeux certains
éléments
; encore bien mieux mon doigt qui se meut sur une
nt dite et ses combinaisons, introduire dans le problème trois autres
éléments
: l’émotion agréable ou pénible, la réaction inte
ent action subie et réaction exercée ; il s’y trouve donc toujours un
élément
moteur en même temps que sensitif ; que le phénom
mène se répète, de cette répétition se dégagera pour la conscience un
élément
sensitif, intellectuel et moteur commun à tous le
sidus et dans l’attention qui en résulte, il y a là, dis-je, tous les
éléments
nécessaires pour produire un sentiment d’égalité,
. Le tort de Platon et de ses modernes sectateurs est de rechercher l’
élément
supérieur à la matière, soit dans des objets inte
, dont nous avons montré plus haut l’importance. C’est l’oubli de cet
élément
qui rend inexplicable à la fois pour l’intellectu
istence même. Il y a en définitive, dans tout acte de l’esprit, trois
éléments
dus à la conscience et inexplicables par l’influe
ive-quelques vibrations sonores, un peu d’air battu-ne saurait être l’
élément
principal, encore moins unique, d’une expérience
le vide. Nécessairement elle s’applique, elle s’ajoute à de certains
éléments
, elle traverse, elle pénètre un certain milieu, l
ès qu’elle paraît, elle poétise, si l’on peut dire, elle divinise les
éléments
impurs qu’il faut bien qu’elle s’annexe : idées,
e aurore, avant cette sorte de transmutation ou de mainmise, tous ces
éléments
appartiennent à la prose ; après, ils sont poésie
ction unifiante du courant poétique vient à s’interrompre, ces divers
éléments
retombent aussitôt dans leur impureté congénitale
mplifient trop à diviser et à juxtaposer au lieu d’ entrepénétrer les
éléments
de leur analyse, m’offrent la première belle occa
réparation de poésie à l’état pur », il faut dissocier et écarter les
éléments
qui sont aussi ceux de la prose : narration, dram
usqu’à un certain point de la musique verbale elle-même. Aucun de ces
éléments
, pris en soi, et séparé du courant poétique, n’es
gré toute la volonté d’une raison qui se croit maîtresse des moindres
éléments
d’une œuvre, l’inspiration sauve de ses griffes n
’il nous gêne et qu’il nous séduit. Bizarre prestige, composé de deux
éléments
qui s’enchevêtrent l’un dans l’autre : la pervers
lexe où cette poésie se trouve réalisée. Il y a, dans tout poème, des
éléments
divers-pensées, images, sentiments-qui, pris en s
les aime pour leur esthétique personnelle, dont la rareté est un des
éléments
, la sonorité un autre…ceux que j’adore sont « ceu
teurs sont pleins de ces passages qui distinguent l’un ou l’autre des
éléments
dont la poésie pure se compose. M. Robert de Souz
rant souterrain », le rôle fondamental du silence. le silence est l’
élément
dans lequel toutes les grandes choses se forment
ème est à moi, dira la prose, l’analyse n’y retrouvera jamais que des
éléments
qui m’appartiennent, des idées, des images, des s
écrire une poésie, ce que je vois le plus souvent devant moi, c’est l’
élément
musical du poème, « et non pas le concept clair d
il me semble que vos contradicteurs font en général bon marché d’un
élément
essentiel à mes yeux : la poésie ne me touche que
us les arts et de la musique même. Il y a dans une page de Wagner des
éléments
qui ne sont pas moins abstraits, en quelque maniè
nature mystique, vivifiant, coordonnant, cristallisant, unifiant les
éléments
épars de la science analytique…. etc : il y a pla
autour d’une œuvre. les arts dynamiques sont caractérisés parce que l’
élément
« temps » intervient dans le plan…etc : je suis b
ions ineffables. On court le danger de trop dissocier, et à faux, les
éléments
de l’élaboration poétique. Je n’accorde pas à M.
« fondé » d’envisager dans la poésie, comme je l’ai fait, surtout des
éléments
esthétiques, c’est-à-dire des éléments agissant s
omme je l’ai fait, surtout des éléments esthétiques, c’est-à-dire des
éléments
agissant sur nos systèmes nerveux par un dynamism
ont le dynamisme est « impulsif », (au sens mécanique), la morale par
éléments
de sympathie, est une autre force psychique dont
sé le dualisme à l’extrême, notre analyse en a peut-être dissocié les
éléments
contradictoires. La théorie de la perception pure
nterne, est celle d’une continuité indivisée. Nous la fractionnons en
éléments
juxtaposés, qui répondent, ici à des mots distinc
l’aube de notre expérience humaine, il reste à reconstituer, avec les
éléments
infiniment petits que nous apercevons ainsi de la
déterminée et pour ainsi dire physique qui assurerait la cohésion des
éléments
. De là les deux points de vue opposés sur la ques
éterminisme, l’acte est la résultante d’une composition mécanique des
éléments
entre eux ; pour ses adversaires, s’ils étaient r
, et où il est utile que nous nous regardions, est une durée dont les
éléments
se dissocient et se juxtaposent ; mais la durée o
es, nous voyons s’évanouir, à mesure que nous approchons des derniers
éléments
de la matière, la discontinuité que notre percept
u rapprochement, c’est l’habitude prise d’attacher le mouvement à des
éléments
, — atomes ou autres, — qui interposeraient leur s
une loi de notre représentation que le stable y déplace l’instable, l’
élément
important et central devient pour nous l’atome, d
découvre, sous l’hétérogénéité apparente des qualités sensibles, des
éléments
homogènes et calculables. Mais, d’autre part, si
es, des éléments homogènes et calculables. Mais, d’autre part, si ces
éléments
sont extérieurs aux qualités dont ils doivent exp
éduire les données de l’un des données de l’autre ; elles n’ont pas d’
élément
commun. Et il n’y a rien de commun non plus, par
tion présente peut compliquer cette perception en l’enrichissant d’un
élément
connu, mais non pas créer un nouveau genre d’impr
la tenant pour décomposable en systèmes isolés, en lui attribuant des
éléments
bien distincts qui changent les uns par rapport a
rable me paraîtra l’ordre qui continue à régner, inébranlé, entre les
éléments
. Pourtant cette complication et cette extension n
ion du tout réel continue à planer sur la multiplicité croissante des
éléments
symboliques en laquelle l’éparpillement de l’atte
ébullition de l’eau, j’admets que, si je me donne un certain nombre d’
éléments
du système, cela suffit pour que le système soit
s créations qui se succèdent. On devine alors que la complication des
éléments
matériels, et l’ordre mathématique qui les relie
tendre pour que l’ordre mathématique qui préside à la disposition des
éléments
ainsi distingués, et le déterminisme inflexible q
mènerait à l’extension, à la détermination réciproque nécessaire des
éléments
extériorisés les uns par rapport aux autres, enfi
meraient dans une résultante identique. Quand on pense à l’infinité d’
éléments
infinitésimaux et de causes infinitésimales qui c
r la raison très simple qu’il n’y a pas d’ouvriers. Les causes et les
éléments
que l’analyse physico-chimique découvre sont des
éments que l’analyse physico-chimique découvre sont des causes et des
éléments
réels, sans doute, pour les faits de destruction
ective d’un progrès à l’infini : d’où l’on peut inférer que causes et
éléments
multiples ne sont ici que des vues de l’esprit s’
réunit dans son extension et dans sa compréhension des objets et des
éléments
incompatibles entre eux. Dans l’une et dans l’aut
sard, proche parente de l’idée de désordre, on y trouverait les mêmes
éléments
. Que le jeu tout mécanique des causes qui arrêten
trait de crayon d’un grand artiste ?), il n’y en a pas moins ici des
éléments
qui préexistent et survivent à leur organisation.
nce incompréhensible d’une force extérieure qui en aurait groupé, les
éléments
. Mais cette complication est l’œuvre de l’entende
mplication des organismes supérieurs : point n’est besoin ici que des
éléments
auxiliaires passent à des éléments moteurs de l’é
s : point n’est besoin ici que des éléments auxiliaires passent à des
éléments
moteurs de l’énergie à dépenser ; l’animal indivi
fficultés d’exécution peut-être insurmontables) lui proposer d’autres
éléments
chimiques, qu’il aurait dès lors fallu associer o
ocier ou dissocier par des moyens physiques tout différents. Et, si l’
élément
caractéristique des substances énergétiques de l’
ubstances énergétiques de l’organisme eût été autre que le carbone, l’
élément
caractéristique des substances plastiques eût pro
n mots distincts, on pourra dire qu’il contenait cette multiplicité d’
éléments
individués et que pourtant c’est la matérialité d
ne pouvait se développer qu’à la condition de scinder sa substance en
éléments
ayant eux-mêmes une apparence d’individualité et
é de voix unies en un concert. En fait, nous ne pouvons saisir, comme
élément
du temps, qu’une durée ayant déjà une grandeur. L
élément du temps, qu’une durée ayant déjà une grandeur. Le plus petit
élément
de durée consciente n’est pas un présent réel, ma
e fractions de seconde, ayant déjà un passé. Tel est du moins le seul
élément
temporel que la conscience puisse apercevoir, dis
la réalité de la représentation ; il est donc, par rapport à elle, un
élément
, une unité de composition. Il est l’actuel, parce
vivacité de son image devenue hallucinatoire. L’intensité est donc un
élément
capital, mais elle n’est pas le seul : il faut en
u passé et l’image anticipée de l’avenir. Cette différence est un des
éléments
qui servent à nous faire distinguer le passé de l
ment, quoiqu’elles agissent simultanément et solidairement. Outre les
éléments
mécaniques et dynamiques, sensitifs et appétitifs
étitifs, qu’on découvre dans la conception du temps, il y a aussi des
éléments
logiques, que Spinoza avait entrevus et sur lesqu
s selon un certain ordre et sur divers plans. Joint à tous les autres
éléments
que nous avons déjà indiqués, ce phénomène de méc
de l’avenir, en nous permettant de « nous donner tout d’un coup » les
éléments
constitutifs et successifs de la durée, ne nous é
une « pénétration mutuelle, une solidarité, une organisation intime d’
éléments
, dont chacun, représentatif du tout, ne s’en dist
ur Kant, le temps est bien l’objet d’une intuition, mais pure de tout
élément
sensible ; il n’est pas une simple loi de notre e
interne du changement et à un sentiment de la direction prise par les
éléments
successifs de ce changement. Mais alors, encore u
ue avec de l’étendue. On n’a besoin ni du temps ni du mouvement comme
éléments
de cette comparaison. Au contraire, le temps et l
elle que tous exercent sur chacun. Mais, dira-t-on, puisque les seuls
éléments
dont est formée la société sont des individus, l’
e et dont il est impossible de retrouver même le germe dans aucun des
éléments
associés. C’est qu’un tout n’est pas identique à
d’association ? Tous ces êtres, en dernière analyse, se résolvent en
éléments
de même nature ; mais ces éléments sont, ici, jux
dernière analyse, se résolvent en éléments de même nature ; mais ces
éléments
sont, ici, juxtaposés, là, associés ; ici, associ
chaque conscience individuelle et qui transforme progressivement les
éléments
primaires (sensations, réflexes, instincts) dont
d’autre part, l’ensemble déterminé que forment, par leur réunion, les
éléments
de toute nature qui entrent dans la composition d
e société, en constitue le milieu interne, de même que l’ensemble des
éléments
anatomiques, avec la manière dont ils sont dispos
al interne. Il est même possible de préciser davantage. En effet, les
éléments
qui composent ce milieu sont de deux sortes : il
produit spontané de la réalité ; et ce qui relie logiquement ces deux
éléments
, contradictoires en apparence, c’est que cette ré
ette spécificité leur vient de ce qu’ils ne sont pas formés des mêmes
éléments
. Les uns, en effet, résultent de la nature de l’ê
étique, c’est-à-dire éprise de la combinaison harmonieuse de tous les
éléments
qui constituent la vie. Et la vie d’une œuvre d’a
ui constituent la vie. Et la vie d’une œuvre d’art comprend les mêmes
éléments
que la vie d’un homme. À qui peut-elle s’adresser
s le deuxième fascicule de Psyché, M. Léon Bazalgette recherchait les
éléments
constitutifs du mage, il notait qu’à mesure que l
conventions. Ou bien, s’il en est autrement, nous cessons d’être des
éléments
sociaux, au moins des éléments de la société dont
est autrement, nous cessons d’être des éléments sociaux, au moins des
éléments
de la société dont nous faisions partie. L’instin
le « doit », cela veut dire que c’est cela qu’il fera s’il est un bon
élément
, que c’est cela qui est nécessaire à la vie régul
de façon à ce que la vie de l’ensemble en ait le plus grand profit. L’
élément
qui remplit bien sa fonction sera mis en état de
satisfaction, l’harmonie sociale en serait troublée. L’ensemble et l’
élément
sont en conflit, et, dans l’individu, le nous se
à la nature double et contradictoire de l’individu. L’individu est un
élément
social, sans doute, et pour cela, il doit subordo
son mieux, et le « devoir » de ses idées, de ses désirs, de tous les
éléments
psychiques et organiques qui le forment est de co
doubles, opposés et contradictoires selon que nous regardons en lui l’
élément
social ou la nature individuelle, selon que nous
ociale, tant qu’elle n’est pas suffisamment organisée pour que chaque
élément
y fasse spontanément son office. Et ceci ne saura
ément son office. Et ceci ne saurait être le cas d’une société où les
éléments
sont distincts et relativement indépendants autan
ivisent, se développent, se désagrègent, meurent, cependant que leurs
éléments
s’engagent, plus ou moins transformés, en de nouv
1885) La vie humaine, que l’Art Wagnérien doit recréer, est faite d’
éléments
en apparence très divers, mais issus tous de la s
s, un afflux si dense et tumultueux que l’âme n’en peut discerner les
éléments
, toute à sentir l’impression totale. Parfois l’ém
le réalisme : au monde de la réalité habituelle doivent être pris les
éléments
de la réalité artistique. L’artiste peut seulemen
mélodie est une musique produisant l’émotion par les rapports ce ses
éléments
: l’harmonie véritable est la reconnaissance, en
ses éléments : l’harmonie véritable est la reconnaissance, en chaque
élément
, d’un sens émotionnel distinct. Ainsi le langage
este, dit le Palestrina, transmit à la musique scolastique mourante l’
élément
vivifiant de la mélodie expressive. Son œuvre dem
Il a, dans la bonne inconscience de son génie novateur, donné à tels
éléments
de la musique des valeurs émotionnelles qu’elles
d’une œuvre d’art complète, en laquelle s’identifient absolument les
éléments
dramatiques, lyriques et symphoniques. L’orchestr
r un accord vraiment amical, et je m’efforce pour cela d’exclure tout
élément
étranger, hostile ou nuisible, Personne ne sera a
i une unité dans un organisme social. Sa vie individuelle entre comme
élément
dans une vie collective. De là deux espèces de mo
ne identité commune : les différences ne pouvant venir que des divers
éléments
(muscles, glandes, etc.) sur lesquels agit la név
liqué à la psychologie ; quoique pour le moment, ajoute M. Lewes, les
éléments
ne puissent être donnés sous une forme adaptée au
chaque organe est composé de tissus constituants, chaque tissu a ses
éléments
constitutifs, chaque élément, chaque tissu a ses
tissus constituants, chaque tissu a ses éléments constitutifs, chaque
élément
, chaque tissu a ses propriétés spécifiques, l’act
ions est une sensation, et que toutes ces sensations doivent être les
éléments
de la conscience. On admet aussi que parmi ces ex
phénomènes sensitifs deviennent nécessairement plus complexes, et les
éléments
de la conscience générale plus nombreux. Ceci con
ght-G.)249. » La conscience du système, qui nous donne les principaux
éléments
du sens de l’existence, renferme toutes les sensa
d’une équivoque de langage, qui leur fait supposer qu’il y a quelque
élément
de pensée renfermé dans la conscience et même dan
impulsion se sentant elle-même, non un mouvement de rouage inerte. L’
élément
primordial du développement volontaire, sans lequ
mouvement en ce sens. C’est le réflexe psychique. Un pas de plus et l’
élément
psychique disparaît, ou du moins devient indistin
nées de sensations et d’appétitions obscures dans chaque cellule. Les
éléments
de l’animal se sont donc arrangés dans la positio
en germe tous les talents qu’elles transmettent à leurs larves157. Un
élément
important a été rétabli dans la question des inst
de facilité, de non-résistance161. Il y a donc dans tout jugement un
élément
sensitif. En même temps il y a un élément actif e
donc dans tout jugement un élément sensitif. En même temps il y a un
élément
actif et moteur. Affirmer, nous l’avons vu, c’est
otre liberté. La volition, en définitive, est la synthèse de tous les
éléments
psychiques et physiques, conscients, subconscient
te divisée à l’infini, notre organisme doit envelopper une infinité d’
éléments
. D’autre part, la conscience enveloppe une infini
iginale. Quel calcul infinitésimal pourra mettre en équation tous ces
éléments
? Si on y parvenait et qu’on trouvât un reste abs
trale, remontant aux époques les plus reculées, nous fait voir dans l’
élément
viril le traditionnel symbole de toute vigueur, p
matières où le goût personnel tient une telle place et représente un
élément
déformateur propre à celui qui écrit. Mais on ne
tion française, pouvons discerner chez cette Française d’adoption des
éléments
inassimilables. Ravivons des souvenirs : images e
natif, aboutissement logique, il en faut convenir, puisque ces divers
éléments
composent l’unité d’une âme et sont entre eux dan
devoir d’élève ou du pastiche prémédité, il faut toujours chercher un
élément
de sincérité dans cette ouverture sur l’âme humai
ormandie : circonstance qu’il faut se garder de négliger, puisque tel
élément
, d’apparence extérieur à l’être, par la suite dev
n’avoir pas su nous rendre un compte exact ou du moins suffisant, des
éléments
qui composent le génie de ces hommes, véritables
nance, où viennent collaborer, suivant une succession méthodique, les
éléments
constitutifs de cette beauté. A mainte reprise, d
réalité précise des choses vues que Mme Lucie Delarue tire ce premier
élément
de sincérité qui s’affirme en ses vers. Tâchons d
Elle accomplira donc ce miracle de transformer, en art d’émotion, les
éléments
d’un talent qui semblait tout d’abord se restrein
respondent à l’émotion directe et nous rendent un compte exact de ces
éléments
de sincérité qu’il faut reconnaître à l’origine d
r amertume, et la force de l’imagination lui permet de recomposer les
éléments
de cette prescience. Donc ici je la vois pleineme
n de dire que nous trouverions dans les origines de la Femme tous les
éléments
de sincérité qui s’affirment chez le Poète. Une m
en son ambition, Se sente déborder de dieux et de royaumes. Suprême
élément
de sincérité, voici donc la marque de l’amour. Et
qualifier à son gré heureuse ou malheureuse, mais qui n’est qu’un des
éléments
d’une destinée, l’auteur d’Esclave eût pu compose
traits qui composent sa physionomie, déjà nous avons admis que leurs
éléments
essentiels en doivent être recherchés plus haut,
, comme on devine la lune argentée sous le nuage qui passe. » Voilà l’
élément
intellectuel qui vient s’ajouter au sensible, en
ler ainsi : toute grande œuvre apparaît comme la combinaison des deux
éléments
qui créent la personne humaine : Intelligence et
mblance des crises passionnelles qui vont se succéder, données où les
éléments
intellectuels font équilibre à ceux de la sensibi
lèvres muettes, La langueur des lys. C’est bien comme un tout aux
éléments
indissociables qu’il faut envisager cette concept
conçu dans leur œuvre comme une servitude, comme une domination, où l’
élément
viril exerce une sorte de main-mise dont l’unique
la conception moderne issue d’une culture où se rencontrèrent tant d’
éléments
divers empruntés aux Littératures et aux Religion
ré peu à peu, à mesure de l’analyse qui le décompose en ses multiples
éléments
. Car ce serait une pauvre analyse, bien vaine et
er le geste, mais toujours, en définitive, il pourra se ramener à ces
éléments
essentiels. Un vague instinct lui révéla que, pou
miné mon effort de synthèse, en recomposant le monstre. Mais déjà les
éléments
épars que nous fournit l’analyse ne furent-ils pa
fausse et plus facilement admise que celle de la séparation des deux
éléments
qui contribuent à tout événement historique, — le
litaire, religieuse, politique, industrielle, comprend donc les mêmes
éléments
, le même accord entre esprits supérieurs et infér
lasse de ses membres énergiques. Dans chacun de ces couples, les deux
éléments
sont importants, nécessaires absolument tous deux
emier au second et qui constitue l’énergie même de ce couple dont les
éléments
séparés resteraient impuissants, dont le premier
rime ; d’une hypothèse psycho-physiologique construisant au moyen des
éléments
précédemment dégagés, l’image, la représentation
ers de notions. La première, en décomposant les œuvres d’art en leurs
éléments
, et en étudiant le jeu des bons moyens d’expressi
citation physique et sensation psychique. Il est surtout l’auteur des
Eléments
de psycho-physique (1860), qui font de lui le pèr
nt des produits nécessaires dont une bonne méthode peut expliquer les
éléments
et la formation. Sainte-Beuve a fait des « cahier
trine a le défaut de tout expliquer : elle ne fait pas apparaître les
éléments
encore inexplicables de l’œuvre littéraire. Elle
de l’ouvrage ; et cette formule s’est retrouvée à chaque siècle comme
élément
de tous les écrivains. Le fond de l’homme, c’est,
mme aux temps préhistoriques, « le gorille féroce et lubrique » : des
éléments
multiples se sont superposés à celui-là, mais ne
l’art flamand et de l’art hollandais ; il voit dans chaque groupe les
éléments
communs, ce qui rapproche, par exemple, Paul Pott
ment bien par des causes différentes, c’est que l’on n’a pas aperçu l’
élément
commun qui se retrouve dans tous ces antécédents
ue antécédent connu. Cependant, quoique l’élimination absolue de tout
élément
adventice soit une limite idéale qui ne peut être
transmis. C’est, d’ailleurs, la condition de tout progrès. Ainsi, les
éléments
nouveaux que nous avons introduits dans le droit
., il faudrait connaître quelles en sont les origines, quels sont les
éléments
simples dont ces institutions sont composées et,
hénomène. Car, d’une part, elle nous montrerait à l’état dissocié les
éléments
qui le composent, par cela seul qu’elle nous les
inimaginable, inconcevable. Sans doute il entre dans toute mesure un
élément
de convention, et il est rare que deux grandeurs,
créé des points de vue nouveaux d’où l’envisager et, par là même, des
éléments
multiples en lesquels l’analyser idéalement. Elle
n lesquels l’analyser idéalement. Elle ne veut pas croire que, si ces
éléments
n’avaient pas surgi comme réalités, ils n’auraien
amais (sauf le cas où cette chose est un arrangement tout mécanique d’
éléments
préexistants) que le mirage, dans le passé indéfi
restant ce qu’elle est, comprendra un nombre indéfiniment croissant d’
éléments
, à mesure qu’apparaîtront dans le monde les nouve
se représente ordinairement le nouveau comme un nouvel arrangement d’
éléments
préexistants ; pour elle rien ne se perd, rien ne
u moins une intuition. Comme nous ne pouvons la reconstituer avec des
éléments
préexistants, puisqu’elle n’a pas d’éléments, et
la reconstituer avec des éléments préexistants, puisqu’elle n’a pas d’
éléments
, et comme, d’autre part, comprendre sans effort c
le « lourd » et le « léger », le « sec » et l’« humide » étaient les
éléments
dont on se servait pour l’explication des phénomè
dans les substances ou les objets les plus divers, les parties ou les
éléments
qui pourront satisfaire tel ou tel de ses besoins
des qualités, telles que les couleurs, les saveurs, les odeurs ; des
éléments
ou des combinaisons, tels que l’oxygène, l’hydrog
mbre. D’ailleurs, à tort ou à raison, nous nous sentons marcher à des
éléments
ou à des événements identiques à mesure que nous
action, était faite pour l’ordre de grandeur auquel correspondent les
éléments
, ou plutôt les événements, constitutifs de sa mat
ancer. La difficulté doit être résolue, et le problème analysé en ses
éléments
. Où sera-t-on conduit ? Nul ne le sait. Nul ne di
tions de changement, perçues alors comme des qualités, fût composée d’
éléments
solides comme elle. On avait beau s’abstenir de t
stenir de toute représentation imagée de l’atome, du corpuscule, de l’
élément
ultime quel qu’il fût : c’était pourtant une chos
du solide. L’inévitable propension de notre esprit à se représenter l’
élément
comme fixe était légitime dans d’autres domaines,
, pensions-nous, la physique serait amenée à voir dans la fixité de l’
élément
une forme de la mobilité. Ce jour-là, il est vrai
l’ensemble m’apporte du nouveau, c’est qu’il me fournit un surcroît d’
éléments
. Mais j’ai la même impression de nouveauté devant
prévoir n’importe quel état d’ensemble : en posant un nombre défini d’
éléments
stables, on s’en donne implicitement, par avance,
e au réel, ne réduisait pas le nouveau à n’être qu’un réarrangement d’
éléments
anciens ! comme si elle ne devait pas être amenée
s croyons retrouver, arrangés ou dérangés, mais à peine modifiés, les
éléments
des philosophies antérieures ou contemporaines. T
connaît. Mais ce serait se tromper étrangement que de prendre pour un
élément
constitutif de la doctrine ce qui n’en fut que le
Descartes et Hobbes, auxquels on pourra adjoindre Locke, on aura les
éléments
nécessaires à la reconstitution extérieure de la
stance et la couleur, jamais vous ne tirerez des données de la vue un
élément
qui leur soit commun avec celles du toucher. Que
role. Là, elle s’exprime par une phrase, c’est-à-dire par un groupe d’
éléments
préexistants ; mais elle peut choisir presque arb
xistants ; mais elle peut choisir presque arbitrairement les premiers
éléments
du groupe pourvu que les autres en soient complém
voisines de la perception, puisque c’est par les transformations d’un
élément
sensible, comme l’eau, l’air ou le feu, qu’elles
ication consiste à reconstruire idéalement notre vie mentale avec des
éléments
simples, puis à supposer que la composition entre
éléments simples, puis à supposer que la composition entre eux de ces
éléments
a réellement produit notre vie mentale. Si les ch
naissance, bien loin de se constituer par une association graduelle d’
éléments
simples, est l’effet d’une dissociation brusque :
le changement consiste ici dans une série de teintes qui seraient les
éléments
constitutifs du changement et qui, elles, ne chan
uelque chose qui s’y surajoute, la seconde parce qui elle est faite d’
éléments
qui ne changent pas — pourraient-elles constituer
ble. Au contraire, l’analyse est l’opération qui ramène l’objet à des
éléments
déjà connus, c’est-à-dire communs à cet objet et
nent à la forme visible des êtres vivants, de leurs organes, de leurs
éléments
anatomiques. Elles comparent les formes les unes
moins solidement liées à ces perceptions et à ces souvenirs. Tous ces
éléments
aux formes bien arrêtées me paraissent d’autant p
ns-nous alors que la durée a de l’unité ? Sans doute une continuité d’
éléments
qui se prolongent les uns dans les autres partici
c., qu’elle étudie séparément. Elle substitue donc au moi une série d’
éléments
qui sont les faits psychologiques. Mais ces éléme
moi une série d’éléments qui sont les faits psychologiques. Mais ces
éléments
sont-ils des parties ? Toute la question est là,
ement et qu’on a pris soin de noter. Ce n’est pas une partie, mais un
élément
. Il n’a pas été obtenu par fragmentation, mais pa
e même de reconstituer la chose par des opérations pratiquées sur des
éléments
symboliques tout seuls implique une telle absurdi
de est analogue dans les deux cas : elle consiste à raisonner sur les
éléments
de la traduction comme si c’étaient des parties d
manière, je pourrai, en poussant l’analyse assez loin, arriver à des
éléments
que je tiendrai pour immuables. C’est là, et là s
vécu, le concret, à ce qu’il est la variabilité même. On reconnaît l’
élément
à ce qu’il est invariable. Et il est invariable p
la variabilité, parce qu’elles n’en étaient pas des parties, mais des
éléments
, ce qui est tout autre chose. Considérons par exe
es, encore une fois, ne sont pas des parties de la chose, ce sont des
éléments
du symbole. Les positions du mobile, encore une f
nons-nous à dire que l’entendement, dont le rôle est d’opérer sur des
éléments
stables, peut chercher la stabilité soit dans des
» intervenait, qui rend compte de l’ordre dans lequel se groupent les
éléments
. Cette idée n’est d’ailleurs pas une force, mais
e somme possible de travail. Elle se donne donc juste ce qu’il faut d’
éléments
ou de principes pour recomposer avec eux la série
loin de là à cet univers sec, que les philosophes composent avec des
éléments
bien découpés, bien arrangés, et où chaque partie
au le même chemin, avançant toujours un peu plus loin. Quels sont les
éléments
impliqués dans la pensée ou dans l’existence ? Qu
La philosophie grecque, dit-il, expliqua d’abord toutes choses par un
élément
matériel, l’eau, l’air, le feu, ou quelque matièr
tion, et si savante que soit la manipulation à laquelle on soumet ces
éléments
, on reste dans l’abstrait. L’intelligence, émerve
er. La première procède par analyse ; elle résout les choses en leurs
éléments
inertes ; de simplification en simplification ell
st du matérialisme. L’autre méthode ne tient pas seulement compte des
éléments
, mais de leur ordre, de leur entente entre eux et
abord comme si le jeu des forces mécaniques nous fournissait tous les
éléments
d’une explication universelle. Mais lorsque, sort
est-ce pas aussi un état de fascination que nous devons attribuer aux
éléments
matériels quand ils s’organisent en êtres vivants
ourraient au contraire jeter sur celles-ci quelque lumière ? Tous les
éléments
de la théorie se trouvent déjà dans l’Essai sur l
as philosophiques, aux maîtres que le tout doit s’enseigner avant les
éléments
, aux écoliers qu’il faut commencer par la perfect
e, comme la géométrie le fait pour l’espace, gràce à l’introduction d’
éléments
invariants et à la constitution d’un langage appr
es), l’univers d’Einstein n’est plus qu’un ensemble de relations. Les
éléments
invariants que l’on tient ici pour constitutifs d
distincts qu’ils l’étaient il y a huit cents ans. Loin de fondre les
éléments
divers de ses domaines, la maison de Habsbourg le
a tenus distincts et souvent opposés les uns aux autres. En Bohême, l’
élément
tchèque et l’élément allemand sont superposés com
souvent opposés les uns aux autres. En Bohême, l’élément tchèque et l’
élément
allemand sont superposés comme l’huile et l’eau d
d’analyse. Le besoin de résoudre les idées et même les sentiments en
éléments
clairs et distincts, qui trouvent leurs moyens d’
le jeu, un tournoi entre dialecticiens. Remarquons qu’une idée est un
élément
de notre intelligence, et que notre intelligence
ent de notre intelligence, et que notre intelligence elle-même est un
élément
de la réalité : comment donc une idée, qui n’est
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