e de M. de Tocqueville, il importe d’abord de le placer au milieu des
écoles
politiques de son temps. C’est un tableau dont le
essiné dans toutes ses parties avec toute la précision désirable. Les
écoles
politiques du xixe siècle ont ce caractère génér
ixe siècle ont ce caractère général d’être plutôt des partis que des
écoles
: nées des événements et mêlées aux événements, e
d’importantes idées. On peut les ramener à quatre principales : 1° l’
école
aristocratique et royaliste ; 2° l’école constitu
à quatre principales : 1° l’école aristocratique et royaliste ; 2° l’
école
constitutionnelle et libérale ; 3° l’école démocr
atique et royaliste ; 2° l’école constitutionnelle et libérale ; 3° l’
école
démocratique ; 4° l’école socialiste. Mais chacun
’école constitutionnelle et libérale ; 3° l’école démocratique ; 4° l’
école
socialiste. Mais chacune de ces écoles se partage
3° l’école démocratique ; 4° l’école socialiste. Mais chacune de ces
écoles
se partagent en nuances diverses qui servent de t
question, les emprunts réciproques que peuvent se faire les diverses
écoles
et les combinaisons sans limites que les esprits
esprits compliqués font avec les principes des unes et des autres. L’
école
royaliste défend en général l’ancien régime contr
re M. de Bonald et M. de Chateaubriand, ces deux termes extrêmes de l’
école
royaliste, se placent Joseph de Maistre et M. de
e la maison aristocratique. Tels sont les principaux personnages de l’
école
royaliste de la Restauration, tous remarquables à
nde nouveau, dans le monde de la Révolution, représenté d’abord par l’
école
constitutionnelle. Cette école se divise à son to
a Révolution, représenté d’abord par l’école constitutionnelle. Cette
école
se divise à son tour en plusieurs branches, qui s
e. Cette école se divise à son tour en plusieurs branches, qui sont l’
école
doctrinaire, l’école libérale et l’école des écon
ise à son tour en plusieurs branches, qui sont l’école doctrinaire, l’
école
libérale et l’école des économistes : ces trois é
usieurs branches, qui sont l’école doctrinaire, l’école libérale et l’
école
des économistes : ces trois écoles, liées par des
doctrinaire, l’école libérale et l’école des économistes : ces trois
écoles
, liées par des principes communs, se distinguent
se distinguent par des nuances assez importantes. La première de ces
écoles
et la plus illustre était représentée par M. Roye
ne devînt pas l’abaissement de tous. Telles étaient les pensées de l’
école
doctrinaire. Celles du libéralisme pur ne paraiss
du libéralisme pur ne paraissaient pas en différer essentiellement. L’
école
libérale admettait comme l’école doctrinaire la n
t pas en différer essentiellement. L’école libérale admettait comme l’
école
doctrinaire la nécessité de la royauté, le partag
jour, et dont il fallait réduire la part de plus en plus. De ces deux
écoles
, la première se rattachait donc à l’école royalis
plus en plus. De ces deux écoles, la première se rattachait donc à l’
école
royaliste et aristocratique ; la seconde donnait
l’école royaliste et aristocratique ; la seconde donnait la main à l’
école
démocratique. Une des branches importantes du lib
ole démocratique. Une des branches importantes du libéralisme était l’
école
des économistes. Les économistes pensaient que le
es qu’aux partisans du pouvoir absolu. Enfin, le trait principal de l’
école
économiste est de proposer partout la substitutio
uine la liberté et la propriété4. » Telles étaient les doctrines de l’
école
économiste, telles qu’on les trouve exposées dans
Charles Comte, et surtout dans la Liberté du travail de M. Dunoyer. L’
école
démocratique au xixe siècle a eu deux phases. Da
, elle n’est que le dernier écho de la Révolution expirante : c’est l’
école
des idéologues, dont le maître est M. de Tracy. C
: c’est l’école des idéologues, dont le maître est M. de Tracy. Cette
école
se rattache, non à 93, mais à 95. Elle reste fidè
llon de cette constitution toute spéculative. On voit dans ce livre l’
école
démocratique s’affranchir peu à peu du joug de Ro
besoin d’ordre et de liberté, et non de lois somptuaires. Au reste, l’
école
des idéologues finit, à la Restauration, par se r
, l’école des idéologues finit, à la Restauration, par se rallier à l’
école
libérale. M. Daunou. qui était de la même école,
n, par se rallier à l’école libérale. M. Daunou. qui était de la même
école
, se montre dans son livre des Garanties individue
able à l’esprit d’empiétement des assemblées. Mais il se rattache à l’
école
des économistes en ce qu’il insiste surtout sur l
ports et peu de liens entre ces derniers débris de la Révolution et l’
école
démocratique issue de la Restauration. La premièr
ils n’osaient pas toujours les dire. En général, elle était moins une
école
qu’un parti. Elle était plus propre à combattre q
aient un peu de corps dans ces écrits sont celles qu’il emprunte à l’
école
socialiste, école plus riche en penseurs que l’éc
orps dans ces écrits sont celles qu’il emprunte à l’école socialiste,
école
plus riche en penseurs que l’école démocratique,
’il emprunte à l’école socialiste, école plus riche en penseurs que l’
école
démocratique, et qui précisément à cette époque c
tante dans l’histoire des idées politiques au xixe siècle. Quant à l’
école
socialiste, elle a traversé les phases les plus c
s des premiers écrits de Saint-Simon5. Dans cette première période, l’
école
socialiste n’est qu’un démembrement de l’école éc
te première période, l’école socialiste n’est qu’un démembrement de l’
école
économiste. Saint-Simon invoque l’autorité de Smi
cants, commerçants, financiers, voilà quel a été le premier rêve de l’
école
saint-simonienne : c’était une ploutocratie. Le s
uses sur les forces individuelles. Mais dans cette seconde période, l’
école
socialiste s’est encore renfermée dans des constr
en dehors des partis politiques : Saint-Simon se disait royaliste ; l’
école
phalanstérienne était conservatrice en politique.
érienne était conservatrice en politique. Mais il vint un moment où l’
école
socialiste et l’école démocratique se rencontrère
trice en politique. Mais il vint un moment où l’école socialiste et l’
école
démocratique se rencontrèrent, se reconnurent et
es événements les plus graves du siècle. Séparées l’une de l’autre, l’
école
de la révolution sociale, et l’école de la révolu
le. Séparées l’une de l’autre, l’école de la révolution sociale, et l’
école
de la révolution politique n’offraient qu’un médi
alisme anarchique. Telles sont les principales phases de ces diverses
écoles
de 1817 à 1848. Mais tandis que les sectes et les
ces diverses écoles de 1817 à 1848. Mais tandis que les sectes et les
écoles
se partageaient comme je viens de le dire, quelqu
ossi, M. de Sismondi, M. de Tocqueville, le premier se rattachant à l’
école
doctrinaire, le second à l’école libérale, le tro
eville, le premier se rattachant à l’école doctrinaire, le second à l’
école
libérale, le troisième à l’école démocratique, ma
à l’école doctrinaire, le second à l’école libérale, le troisième à l’
école
démocratique, mais tous trois avec indépendance,
aler les tendances générales, à indiquer les conclusions des diverses
écoles
qui se sont partagé le travail psychologique de n
t ce qui a fait dire, à tort selon nous, à certains psychologues de l’
école
historique, que la moindre observation sur la vie
temps ? Faut-il réduire, ainsi que le veulent M. de Quatrefages et l’
école
des naturalistes, tout problème psychologique à u
ner une juste idée de la supériorité sur l’animal. N’y a-t-il pas une
école
qui soutient encore aujourd’hui que le langage es
raiment constitutives de la nature humaine. II Il est une autre
école
de psychologues qui, sans voyager ailleurs que da
ition à chacun de ces phénomènes de la vie morale, voilà ce que cette
école
cherche à expliquer en s’appuyant sur un genre d’
ue la pratiquent Maine de Biran, Jouffroy et les psychologues de leur
école
. C’est du dehors que l’école dont nous parlons ob
an, Jouffroy et les psychologues de leur école. C’est du dehors que l’
école
dont nous parlons observe ce qui se passe à l’int
rt Spencer, Alexandre Bain ; en France, E. Littré et les savants de l’
école
positiviste qui veulent bien s’occuper de psychol
tte méthode par ses résultats. Si l’on recherche les antécédents de l’
école
dont nous venons de citer les noms les plus connu
e jusqu’à Bacon. Mais ce n’est là qu’une origine commune à toutes les
écoles
expérimentales, qu’elles portent les noms d’Adam
entham, de Stuart Mill ou de Littré. Le véritable père de la nouvelle
école
psychologique, c’est Hume. Si elle tient sa métho
tes volontaires auxquels on attribue le caractère de libre arbitre. L’
école
tout expérimentale de Stuart Mill, Bain et Spence
ications qui lui appartiennent. Que presque tous les philosophes de l’
école
expérimentale se soient rencontrés dans la théori
i la raison n’est que l’écho de l’expérience, ainsi que le professe l’
école
expérimentale ? Déjà Hume avait cru mettre ce poi
C’est une thèse démontrée pour tous les philosophes anglais de cette
école
; ils n’imaginent pas qu’on puisse scientifiqueme
et transformée par l’habitude en cette disposition de l’esprit dont l’
école
de l’à priori fait une loi propre de la raison. S
ionnelle, comme l’idée de l’infini dans le temps ou dans l’espace ? L’
école
expérimentale ne trouve pas qu’il soit nécessaire
lement l’autre, absolument comme dans le jeu des forces naturelles. L’
école
expérimentale fait du problème du libre arbitre u
idées d’un individu au sujet des choses qui le concernent. Pour cette
école
, la volonté libre est un effet sans cause, c’est-
action les mobiles internes19. » Stuart Mill en appelle, avec toute l’
école
qui nie le libre arbitre, à l’observation que cha
communes à tous20. Voilà la méthode, la théorie, les conclusions de l’
école
psychologique qui se personnifie surtout dans les
le et à en dégager les lois, abstraction faite des causes, dont cette
école
n’entend s’occuper en aucune façon. La théorie, p
oint de départ de la vie morale, tout s’explique par l’habitude, et l’
école
psychologique dont on vient de parler pourrait pr
st rien que l’habitude. A ne considérer que les conclusions de cette
école
, on serait tenté de regretter que la psychologie
onde en résultats positifs ; ce serait méconnaître les services d’une
école
qui répond à un point de vue nouveau, dans l’étud
ble définition. Il en est de même de la méthode des psychologues de l’
école
de Stuart Mill et de Littré. Il est vrai qu’ils n
science, et que, par parenthèse, le genre d’observation usité dans l’
école
spiritualiste de Maine de Biran et de Jouffroy n’
Bain, de Spencer, comme de tous les psychologues physiologistes de l’
école
anglaise, ont puissamment contribué aux progrès d
ion de l’exercice de toutes nos facultés, de même la psychologie de l’
école
expérimentale conserve sa part de vérité, abstrac
alutaire à certains égards contre les tendances peu scientifiques des
écoles
qui l’ont précédée, soit en Angleterre, soit en F
qui l’ont précédée, soit en Angleterre, soit en France. D’une part, l’
école
dite rationaliste, l’école de l’a priori, ainsi q
Angleterre, soit en France. D’une part, l’école dite rationaliste, l’
école
de l’a priori, ainsi que l’appelle Stuart Mill, a
de faculté révélatrice qu’elle nomme raison. Un jeune philosophe de l’
école
expérimentale, qui porte dans les recherches de c
de ces jugements dits synthétiques a priori, pour lesquels toutes les
écoles
rationalistes, depuis Kant jusqu’à Victor Cousin,
tés et certains procédés irréductibles à l’expérience. De son côté, l’
école
de Reid, bien que plus circonspecte et se rapproc
qu’une analyse incomplète ou superficielle ne pouvait dénouer, cette
école
tendait à énerver l’esprit de recherche et à fair
lyses et les explications de la science. Sous ce rapport, la nouvelle
école
a rendu un service signalé à la philosophie de l’
nnées, de ces vérités dites à priori, pour l’explication desquelles l’
école
spiritualiste tient encore aujourd’hui à ses myst
mystérieux procédés et à ses facultés transcendantes. III Où l’
école
expérimentale montre sa faiblesse et son insuffis
ne. Ainsi, qu’il soit possible d’expliquer autrement que ne le fait l’
école
rationaliste les caractères de nécessité et d’uni
nomènes de la sensibilité ne résistent pas moins à l’explication de l’
école
expérimentale. Que certaines affections résultent
ntécédents. Comme l’a fort bien montré un philosophe d’une tout autre
école
, Théodore Jouffroy, ce n’est pas la sensation ell
tion de l’activité volontaire. Encore ici il est facile de voir que l’
école
expérimentale confond les conditions des phénomèn
être qui ne serait qu’une machine, et soumettez les aux procédés de l’
école
expérimentale. Il est évident que la scène extéri
des mouvements de ces deux agents. Mais c’est en cela que se trompe l’
école
expérimentale. L’observateur des phénomènes physi
e autre situation. S’il se borne, comme le font les psychologues de l’
école
expérimentale, à observer ces phénomènes du dehor
dans les principaux traits qui la caractérisent. Voilà une loi dont l’
école
expérimentale se fait une arme qu’elle croit invi
la loi du sage. En est-il moins libre pour cela ? Les moralistes de l’
école
expérimentale diraient oui. La conscience du genr
fond des choses, le fond de l’être humain, tandis que la science de l’
école
expérimentale n’en saisit que les manifestations
ême de la physiologie23. » Maine de Biran était trop sévère pour une
école
psychologique qui a donné de précieux résultats ;
; mais ce sera toujours l’invincible force et l’immortel honneur de l’
école
dont il est le père, d’avoir rappelé les observat
rvateurs de la nature humaine aux enseignements de la conscience. Aux
écoles
française, anglaise, écossaise, qui toutes pratiq
iberté en l’homme ? Il n’a recours ni aux ingénieuses inductions de l’
école
expérimentale, ni aux savantes démonstrations des
ductions de l’école expérimentale, ni aux savantes démonstrations des
écoles
spéculatives ; il tranche la difficulté par une s
cception, il faut avoir pénétré, avec Maine de Biran, Leibniz et leur
école
, dans les enseignements de cette expérience intim
chologues. Maine de Biran, Jouffroy et bien d’autres philosophes de l’
école
spiritualiste, après Platon, Aristote, Leibniz, o
sive sur certains phénomènes moraux que la science expérimentale de l’
école
dont on vient de parler. Avec de tels observateur
cts, d’affections dont la nature l’a si abondamment pourvu, et dont l’
école
de Hume l’avait dépouillé. Il retrouve enfin cet
e son être29 ? Que nous font alors les ingénieuses explications d’une
école
qui ne tient compte d’aucune de ces révélations ?
de la conscience, psychologie de l’expérience, voilà les deux grandes
écoles
auxquelles peut être ramené tout le mouvement des
anchissent pas les limites de leur domaine propre. Si, par exemple, l’
école
de l’expérience nie le libre arbitre, c’est une c
bitre, c’est une conclusion qui dépasse la portée de sa méthode. Si l’
école
de la conscience soutient la liberté d’indifféren
a renaissance des lettres en Italie, la bonne culture, les meilleures
écoles
se sont établies dans les pays protestants, de pr
la jeunesse4. II. On a raison de dire qu’il faut trois sortes d’
écoles
dans un pays bien policé. III. Les première
is sortes d’écoles dans un pays bien policé. III. Les premières
écoles
sont les basses, les écoles à lire, à écrire et à
ays bien policé. III. Les premières écoles sont les basses, les
écoles
à lire, à écrire et à compter. En Allemagne on le
r. En Allemagne on les appelle Lese-Schreib und Rechen-Schulen 5. Ces
écoles
y sont même séparées. On envoie d’abord les enfan
5. Ces écoles y sont même séparées. On envoie d’abord les enfants à l’
école
à lire. Les unes de ces écoles sont pour les garç
rées. On envoie d’abord les enfants à l’école à lire. Les unes de ces
écoles
sont pour les garçons, les autres pour les filles
r les filles. Quand un enfant sait parfaitement lire, on l’envoie à l’
école
à écrire et à compter. On n’y apprend que les règ
’arithmétique ; mais suffisamment pour qu’un enfant, au sortir de ces
écoles
, sache tous les calculs nécessaires dans le coura
e les calculs plus compliqués des marchands et négociants. Ces basses
écoles
sont pour le peuple en général, parce que, depuis
ments, ne sont pas, peut-être, calculables. On apprend aussi dans ces
écoles
son catéchisme, c’est-àdire les premiers principe
aître, etc. Il n’est pas nécessaire d’ajouter que dans un pays où ces
écoles
ne seraient pas encore multipliées, il faudrait l
cole est de droit l’aide de camp du curé ; et comme l’institution des
écoles
est justement comptée parmi les œuvres pies, leur
ns particuliers une modique rétribution. IV. La seconde sorte d’
écoles
sont ce qu’on appelle en Allemagne, dans les pays
e qu’on appelle en Allemagne, dans les pays protestants, gymnasia, ou
écoles
illustres, écoles supérieures. Dans les pays cath
Allemagne, dans les pays protestants, gymnasia, ou écoles illustres,
écoles
supérieures. Dans les pays catholiques, ces école
écoles illustres, écoles supérieures. Dans les pays catholiques, ces
écoles
appartiennent déjà aux universités. Dans les pays
mois ; dans les plus basses, moins longtemps que dans les hautes. Ces
écoles
sont pour les enfants de la noblesse et des citoy
arti, chacun dans sa profession et dans son ménage. On reste dans ces
écoles
illustres jusqu’à douze années en Allemagne, aprè
tes, ni médecins, se contentent de passer cinq ou six années dans ces
écoles
, à fréquenter les trois ou quatre premières basse
sia de classe en classe avec beaucoup de solennité. Ordinairement les
écoles
sont sous l’inspection immédiate du magistrat de
soin. On les appelle scolarches. Ils doivent présider à la visite des
écoles
, et veiller au maintien de l’ordre et de l’instru
motion, à laquelle, comme à tous les actes publics, on donne dans ces
écoles
un grand air d’importance et de publicité, ce qui
durée de sa gloire6. VI. Mais qu’apprend-on proprement dans ces
écoles
illustres ? Pas autre chose que le latin et un pe
eaucoup de connaissances utiles. En général, dans l’établissement des
écoles
, on a donné trop d’importance et d’espace à l’étu
jourd’hui l’étude des choses7. Je pense qu’on devrait donner dans les
écoles
une idée de toutes les connaissances nécessaires
ntrer l’absurdité de l’esprit humain. J’oubliais de dire que dans ces
écoles
on cultive aussi la musique, et qu’elle est parti
eur séjour et de leurs études. J’oubliais encore de dire que dans ces
écoles
on étudie aussi les éléments de l’histoire, de la
sités ont une manière d’enseigner différente de celle des préfets des
écoles
ou collèges. Dans les écoles, l’écolier travaille
gner différente de celle des préfets des écoles ou collèges. Dans les
écoles
, l’écolier travaille sous l’inspection immédiate
sa vie occupé de l’éducation de la jeunesse dans toutes les espèces d’
écoles
, est plus capable que qui que ce soit de dresser
tion ! Eh bien, un des devoirs de ces magistrats sera de présider aux
écoles
publiques, et d’y faire la fonction de scolarche.
aut introduire en Russie l’étude du grec et du latin, ou destiner les
écoles
illustres, les gymnasia, à d’autres études : elle
— Gourmantié de Fada. YAMBA, fils d’Oyempâgo. — Elève gourmantié de l’
école
de Fada. TALATA. — Elève gourmantié de l’école de
Elève gourmantié de l’école de Fada. TALATA. — Elève gourmantié de l’
école
de Fada. SANKAGO, fils d’Abdou. — Elève gourmanti
ié de l’école de Fada. SANKAGO, fils d’Abdou. — Elève gourmantié de l’
école
de Fada. IBRAHIMA GUIRÉ. — Elève gourmantié de l’
ourmantié de l’école de Fada. IBRAHIMA GUIRÉ. — Elève gourmantié de l’
école
de Fada. MOPO. — Elève gourmantié de l’école de F
— Elève gourmantié de l’école de Fada. MOPO. — Elève gourmantié de l’
école
de Fada. TANKOUA, fils de Papandia. — Elève gourm
e l’école de Fada. TANKOUA, fils de Papandia. — Elève gourmantié de l’
école
de Fada. HAMANN TOURÉ. — Elève rimâdio de l’école
ève gourmantié de l’école de Fada. HAMANN TOURÉ. — Elève rimâdio de l’
école
de Bandiagara. MAKI TAL. — Elève rimâdio de l’éco
lève rimâdio de l’école de Bandiagara. MAKI TAL. — Elève rimâdio de l’
école
de Bandiagara. AMADOU BA. — Elève rimâdio de l’éc
ève rimâdio de l’école de Bandiagara. AMADOU BA. — Elève rimâdio de l’
école
de Bandiagara. BILALI TAMBOURA. — Elève rimâdio d
mâdio de l’école de Bandiagara. BILALI TAMBOURA. — Elève rimâdio de l’
école
de Bandiagara. SAGOU KÉLÉPILI. — Elève kâdo de l’
e rimâdio de l’école de Bandiagara. SAGOU KÉLÉPILI. — Elève kâdo de l’
école
de Bandiagara. MAKI KARAMBÉ. — Elève kâdo de l’éc
Elève kâdo de l’école de Bandiagara. MAKI KARAMBÉ. — Elève kâdo de l’
école
de Bandiagara. BAKRARI KAMARA. — Elève malinké de
e kâdo de l’école de Bandiagara. BAKRARI KAMARA. — Elève malinké de l’
école
de Bandiagara. NGADA KAREMBÉ. — Rimâdio de Bandia
de ces vérités, Sa Majesté demande le plan d’une université ou d’une
école
publique de toutes les sciences. L’objet est de l
artialité. Qu’est-ce qu’une Université ? Une université est une
école
dont la porte est ouverte indistinctement à tous
utile sévérité pour les enfants des pauvres. A proprement parler, une
école
publique n’est instituée que pour les enfants des
d’une éducation publique. La manière d’élever cent étudiants dans une
école
est précisément l’inverse de la manière d’en ense
rance sous Charlemagne, l’Angleterre sous Alfred ? Celui-ci fonda les
écoles
d’Oxford et de Cambridge, qui se sont successivem
rains d’études. De notre Faculté des arts. C’est dans les mêmes
écoles
qu’on étudie encore aujourd’hui, sous le nom de b
Le seul avantage qu’on n’avait point en vue et qu’on remporte de nos
écoles
, c’est l’habitude de s’appliquer, et de s’appliqu
s que les nôtres. La méthode barbare de Wolf y a perdu le bon goût. L’
école
de Leyde, autrefois si vantée pour ses Vitriarius
la nuée des incrédules modernes. Elle est, elle-même, une excellente
école
d’incrédulité ; il y a peu de sorbonistes qui ne
énomène singulier. N’est-ce pas un phénomène bien étonnant que des
écoles
d’éducation publique barbares et gothiques, se so
e la Sorbonne. C’est la jurisprudence romaine qu’on professe dans nos
écoles
de droit. Tant il est important d’instituer les c
ents ; et il serait bien singulier, pour ne rien dire de plus, qu’une
école
publique, une école où l’on recevrait indistincte
bien singulier, pour ne rien dire de plus, qu’une école publique, une
école
où l’on recevrait indistinctement tous les sujets
aires, suppose donc qu’il s’est avancé fort loin dans la carrière des
écoles
publiques. Le nombre des élèves s’éclaircissant à
hommes de loi que d’orateurs, presque point de poëtes. Objet d’une
école
publique. L’objet d’une école publique n’est p
sque point de poëtes. Objet d’une école publique. L’objet d’une
école
publique n’est point de faire un homme profond en
eux qu’il se connût mal en véritable éloquence. On entre ignorant à l’
école
, on en sort écolier ; on se fait maître soi-même
son application sur un objet particulier. Que doit-on remporter d’une
école
publique ? De bons éléments. Objection et répo
tier. Différence de l’ordre des études dans un ouvrage ou dans une
école
. La distribution de l’ordre des études dans un
ou dans une école. La distribution de l’ordre des études dans une
école
n’est point du tout celle qui conviendrait dans u
e de nos travaux, serait insensée si on l’appliquait aux leçons d’une
école
, où tout se réduirait à quatre professeurs et à q
n lequel j’estime que les sciences devraient être enseignées dans une
école
publique. J’en donnerai le plan aussi vaste qu’il
e principe d’utilité, et je finirai par quelques observations sur les
écoles
en général, la police, les maîtres, les élèves, l
oit avoir appris ou dans la maison de ses parents ou dans les petites
écoles
. Je suppose que son esprit n’est pas assez avancé
grès de l’entendement qu’il faut admettre ou éloigner un enfant d’une
école
publique des sciences. Les enfants ne sont pas t
cine. 3e Faculté La jurisprudence. 4e Faculté De théologie.
École
politique ou des affaires publiques. École de g
Faculté De théologie. École politique ou des affaires publiques.
École
de génie ou art militaire. École de marine. É
tique ou des affaires publiques. École de génie ou art militaire.
École
de marine. École d’agriculture et de commerce.
es publiques. École de génie ou art militaire. École de marine.
École
d’agriculture et de commerce. École de perspect
militaire. École de marine. École d’agriculture et de commerce.
École
de perspective. de dessin. de peinture. de sculp
nous ne voyons aux étudiants que la soutane et le froc. Je supprime l’
école
de politique ou des affaires étrangères, quoiqu’e
es cours étrangères où ils achèvent leur apprentissage. Je supprime l’
école
de génie ou de l’art militaire, parce que S. M. I
école de génie ou de l’art militaire, parce que S. M. Impériale a une
école
de cadets où je présume que la jeunesse destinée
ttendant qu’elle aille se perfectionner dans les camps. Je supprime l’
école
de marine, parce que de même qu’elle a ses cadets
faut que je sois étrangement subjugué par la routine pour supprimer l’
école
de l’agriculture et du commerce, les deux objets
de citoyen à citoyen et aux échanges de société à société. Toutes ces
écoles
supprimées sont plus ou moins nécessaires. Qu’ell
héoriciens et bons logiciens, nous l’appellerons tout naturellement l’
école
dogmatique. Une petite famille de douteurs (ceux
, surtout en littérature), une petite famille de douteurs tourmente l’
école
dogmatique. — Nous vous mettons au défi, lui dise
oivent être de petite dimension. C’est ainsi que les adversaires de l’
école
dogmatique justifient ou croient justifier leur a
que de ce qu’ils ne croient pas, nous l’appellerons sans difficulté l’
école
critique proprement dite. L’école critique n’a pa
ous l’appellerons sans difficulté l’école critique proprement dite. L’
école
critique n’a pas le dernier mot. Une école bien c
ritique proprement dite. L’école critique n’a pas le dernier mot. Une
école
bien connue reprend et termine son œuvre qu’elle
es, dit-elle à sa devancière, fort habile à détruire. Grâce à vous, l’
école
dogmatique est morte et bien morte. N’en parlons
qui lui a imprimé son cachet particulier. Ainsi parle cette troisième
école
qui, ai-je dit, est bien connue. Tout le monde lu
en connue. Tout le monde lui a déjà donné son vrai nom et l’appelle l’
école
historique. Mettre en présence ces trois écoles,
rai nom et l’appelle l’école historique. Mettre en présence ces trois
écoles
, mettre aux prises des représentants de chacune d
par lui-même, pour lui-même : tel est l’objet de ce livre.. Nos trois
écoles
sont les grandes divisions de la critique littéra
ur citer seulement ici deux noms bien originaux, M. Taine, sorti de l’
école
historique, prétend réduire toutes les facultés d
dées de la morale et même de la religion les principes absolu ? que l’
école
dogmatique sent lui échapper. Entre ses mains la
ur appartenir exclusivement à l’une ou à l’autre de nos trois grandes
écoles
. Dans quelle catégorie les incorrigibles amateurs
essions. Se figure-t-on que M. Taine soit un représentant fidèle de l’
école
historique ? L’école historique le renie comme le
on que M. Taine soit un représentant fidèle de l’école historique ? L’
école
historique le renie comme le plus passionné et le
op superflus dans l’histoire littéraire. Il faut l’avouer : nos trois
écoles
sont un peu artificielles. Ce sont moins des écol
vouer : nos trois écoles sont un peu artificielles. Ce sont moins des
écoles
que trois différents esprits de la critique, et,
ître les acteurs de ma petite comédie. Je vais, suivant la règle de l’
école
dogmatique française, disparaître moi-même derriè
Une nouvelle
École
13 septembre 1891. Le besoin se faisant senti
ole 13 septembre 1891. Le besoin se faisant sentir d’une nouvelle
École
, l’École Romanitas va se former, qui affirme que
septembre 1891. Le besoin se faisant sentir d’une nouvelle École, l’
École
Romanitas va se former, qui affirme que notre lan
mbolisme et de tant de choses surprenantes, est le fondateur de cette
École
nouvelle. M. Jean Moréas a dit à un de nos amis q
je ne veux plus me compromettre avec ces insignifiances ! Je fonde l’
École
romane française, où viendront ceux à qui l’amour
os 14 septembre 1891. M. Jean Moréas, le fondateur de la nouvelle
École
dont nous annoncions hier l’apparition, adresse l
Monsieur le Rédacteur, Le Figaro de ce matin m’attribue au sujet de l’
École
romane française une conversation dont je ne saur
ez donc de donner en quelques mots les éclaircissements que voici : L’
École
romane française revendique le principe gréco-lat
treizième siècles avec nos trouvères, au seizième avec Ronsard et son
école
, au dix-septième avec Racine et La Fontaine. Aux
avantage sur cela dans cette courte lettre ; je dirai seulement que l’
École
romane française renoue la « chaîne gallique » ro
s l’unité de ce mouvement n’était qu’apparente et devait durer peu. L’
école
décadente, négative de sa nature, n’existait que
ssir dans ma tentative, j’avais fait naître une cause de divisions. L’
École
se partagea presque aussitôt en deux parties adve
carrément l’amour. Exagérant ou dénaturant en cela les doctrines de l’
École
décadente, il ne trouve rien d’exquis comme les a
temps que ces derniers, les Instrumentistes aussi se constituèrent en
école
. Ils ne sont d’ailleurs qu’une variété de Symboli
t la facilité avec laquelle il accommode ses théories aux différentes
écoles
littéraires où il passe successivement. On se sou
semaines après, à la suite de divisions dans ce groupe, il passe à l’
École
romane. Dans sa Dédicace à Apollodore, il proclam
i, selon sa pittoresque expression, est plutôt une « caserne » qu’une
école
littéraire. Il va faire paraître prochainement, d
a publication de ce livre le forcera-t-elle à rester dans la nouvelle
école
et à s’y fixer définitivement ? C’est fort possib
Je n’ai rien à changer à ces lignes. Quoique Raynaud ait abandonné l’
École
décadente, il n’est point pour cela devenu mon en
ait bien près de constituer un nouveau groupe lorsque l’éclosion de l’
École
romane déjoua toutes ses combinaisons. Désespéran
ésespérant de réussir, il lâcha le Symbolisme, comme il avait lâché l’
École
décadente, et devint avec du Plessys un des disci
e satellite, il fomenta les divisions qui ont amené la naissance de l’
École
romane. Quatre poètes le gênaient : Ernest Raynau
es annonces ronflantes de la presse disaient entre eux : « C’est ça l’
École
symboliste ? vraiment ce n’est pas très nouveau ;
ui lui manquait et le voilà à son tour chef incontesté d’une nouvelle
école
. J’ai voulu connaître l’essence de cette littérat
el Batilliat, Marcel Legay (m’assure-t-on), etc… Le Romanisme L’
École
romane est le groupe le plus important qui soit s
nt, sophistique, bourgeois. Le Romanisme n’a que les apparences d’une
école
littéraire ; au fond il n’y a rien — qu’une préoc
oète français ». Néo-Décadents et Symbolistes Aujourd’hui que l’
École
décadente n’existe plus à Paris qu’à l’état de so
e des idées bien vagues et des théories poétiques empruntées aux deux
écoles
. Michel Abadie, qui vient de publier les Sanglots
il y a une quantité de littérateurs qu’on ne peut rattacher à aucune
école
, soit qu’ils aient une esthétique particulière, s
groupements particuliers. Qu’on le veuille ou non, il y aura donc des
écoles
et tout littérateur qui, sous prétexte d’indépend
du « Faits divers » contemporain. Mais si nombreuses que soient leurs
écoles
, elles peuvent facilement se ramener à deux : l’u
e passé, sous quelque forme que ce soit. Quelle est donc celle de ces
écoles
qui est appelée à prédominer, ou plutôt en quelle
gion de poètes latents est prête à affirmer avec eux l’existence de l’
école
socialiste. » Mais si le succès du socialisme se
, on ne peut pas dire que cela soit vrai pour l’heure présente. Cette
école
littéraire n’a pas toute l’homogénéité désirable
il n’y en a plus. Presque personne aujourd’hui ne se réclame de cette
école
que le ridicule paraît avoir tuée. Il n’y a guère
es vers datés de Broussais, Saint-Antoine ou Lariboisière. Les autres
écoles
n’ont pas une situation beaucoup plus florissante
dées spiritualistes Les idées spiritualistes, représentées par une
école
puissante et à peu près sans rivale dans la premi
mière a été une phase d’invention, d’investigation et de promesses. L’
école
nouvelle, victorieuse (elle le croyait du moins)
n’a jamais varié, et qui est la vraie conquête scientifique de cette
école
: c’est que la psychologie est distincte de la ph
t, l’histoire et la critique des systèmes de philosophie. Les grandes
écoles
furent d’abord mises en lumière. L’antiquité fut
itiqué cette prédominance de l’esprit historique, et l’on a dit que l’
école
spiritualiste, en se consumant à découvrir ce que
duire quelques regrettables résultats. Il est certain que la nouvelle
école
à son origine avait beaucoup promis : elle sembla
écédentes à l’enthousiasme et à l’admiration, n’ayant vu d’ailleurs l’
école
spiritualiste qu’au gouvernement et non dans l’op
s décevantes du panthéisme. En un mot, il est inutile de le cacher, l’
école
spiritualiste a subi depuis dix ou quinze ans un
enfin une crise redoutable. Après tout, s’il ne s’agissait que d’une
école
, on pourrait s’en consoler : nulle école n’est ét
s’il ne s’agissait que d’une école, on pourrait s’en consoler : nulle
école
n’est éternelle ni absolument nécessaire, mais il
n’est éternelle ni absolument nécessaire, mais il y a ici plus qu’une
école
, il y a une idée, idée spiritualiste. C’est cette
contradictions à nos contradicteurs. Parmi les disciples de la jeune
école
spiritualiste, celui qui s’est le plus vivement p
vement sur le sens des critiques que nous croyons devoir adresser aux
écoles
nouvelles. Ici, et dans l’ordre de la pure philos
ophie, nous sommes avec M. Caro dans la lutte qu’il engage contre ces
écoles
. Peut-être, en nous plaçant au point de vue de la
rovoquer contre soi ; en second lieu, il levait le drapeau contre une
école
que les uns jugeaient rétrograde, et que les autr
ons ajoutez-en une cinquième, plus générale, qui est dirigée contre l’
école
tout entière, et voilà toute la partie critique d
siennes propres. Comme l’une de ses principales objections est que l’
école
qu’il combat n’a rien inventé, il se doit à lui-m
son budget philosophique. L’objection générale dirigée contre toute l’
école
spiritualiste est que cette école n’a jamais eu e
ion générale dirigée contre toute l’école spiritualiste est que cette
école
n’a jamais eu en vue la vérité elle-même, mais qu
? Enfin ce n’est là qu’un accident individuel, qui ne touche pas à l’
école
entière, car en général elle ne pèche pas par le
règle ? Ce phénomène ne s’est-il pas produit dans toutes les grandes
écoles
de philosophie, chez celles-là mêmes où il paraît
se trouvait chez eux la foi chrétienne. Cependant on remarque dans l’
école
de Spinoza quelque chose de semblable. Le panthéi
l’ignorance du public, il a repris simplement toutes les thèses de l’
école
condillacienne, telles qu’on les exposait il y a
des idées sensibles par le moyen de l’analyse et de l’abstraction. L’
école
spiritualiste soutient-elle qu’il y a des causes
tion de phénomènes, et qu’une cause est une relation de phénomènes. L’
école
de Maine de Biran assure-t-elle qu’il y a dans l’
ibre est tenue de coopérer : M. Taine, reprenant la vieille thèse des
écoles
empiriques (seulement en l’exposant d’une manière
a théorie de la raison, ou des idées à priori empruntées à Kant par l’
école
française, et que M. Taine combat avec une grande
evoirs, et enfin le principe suprême, l’être absolu. Condillac et son
école
expliquent ce passage, si difficile à franchir, p
gel, ou bien avec Condillac, de Tracy, Cabanis, tous les maîtres de l’
école
idéologique, y compris Mill que M. Taine a si bie
viendront plus tard. Il est vrai que M. Taine reproche à Mill et à l’
école
condillacienne de ne pas avoir aperçu le rôle et
l’abstraction. J’avoue que je suis étonné d’un tel reproche : aucune
école
, plus que l’école empirique, n’a fait la part de
avoue que je suis étonné d’un tel reproche : aucune école, plus que l’
école
empirique, n’a fait la part de l’abstraction dans
Kant et Hegel, sont des notions absolues, sont pour Condillac et son
école
des notions abstraites. En outre, l’idée que M. T
’idée que M. Taine se fait de la définition est exactement celle de l’
école
empirique : c’est l’opération par laquelle l’espr
logique, que M. Taine compte placer plus tard ce qu’il empruntera à l’
école
hégélienne ; mais il ne nous a donné encore que l
contradiction avec la théorie des grands hommes, telle que la donne l’
école
hégélienne. Suivant les hégéliens, un grand homme
’interprète à peu près de la même manière, et transforme volontiers l’
école
hégélienne en école historique. Il me semble que
ès de la même manière, et transforme volontiers l’école hégélienne en
école
historique. Il me semble que le véritable hégélia
ces deux points de vue que la polémique soulevée en Allemagne entre l’
école
hégélienne et l’école historique sur les principe
que la polémique soulevée en Allemagne entre l’école hégélienne et l’
école
historique sur les principes et les fondements du
ue et du rationnel. M. Renan ne dissimule point ses sympathies pour l’
école
historique, et en toutes choses il préfère le poi
n est de même de la loi des antinomies ou des contradictoires. Dans l’
école
du relatif, les antinomies ne sont que les points
ille logomachie scolastique ? M. Taine, qui a essayé de réhabiliter l’
école
empirique et sensualiste (ce qui, dans une certai
utilité), devrait bien se souvenir de la règle fondamentale de cette
école
; ne pas réaliser d’abstractions. Si l’école de L
le fondamentale de cette école ; ne pas réaliser d’abstractions. Si l’
école
de Locke, de Condillac, de Destutt de Tracy, de M
ujourd’hui, il faut le dire, de la part des sciences (au moins dans l’
école
positive), une prétention exorbitante, contre laq
xaminer les choses de près, que ce sont là les défauts habituels de l’
école
positiviste, qui pourrait rendre les plus grands
de a également uni la science de la nature à la métaphysique. Enfin l’
école
écossaise elle-même, qui a commencé cette séparat
i nous sont adressées, non-seulement par les savants et par certaines
écoles
matérialistes, un peu suspectes en cette affaire,
ême a eu la sienne, Schelling et Hegel à plus forte raison. Seules, l’
école
de Locke, l’école écossaise et l’école spirituali
, Schelling et Hegel à plus forte raison. Seules, l’école de Locke, l’
école
écossaise et l’école spiritualiste contemporaine7
à plus forte raison. Seules, l’école de Locke, l’école écossaise et l’
école
spiritualiste contemporaine7 sont restées à l’éca
donc là une place à prendre dans le domaine de la spéculation. Que l’
école
positive ait essayé de prendre cette place, c’éta
ient devant les yeux les écueils et les difficultés. Pour revenir à l’
école
positive, cette école, en niant toute espèce de m
es écueils et les difficultés. Pour revenir à l’école positive, cette
école
, en niant toute espèce de métaphysique, s’est con
x idées, et montrer que le positivisme, désintéressé entre toutes les
écoles
spéculatives, n’est pas moins indifférent au maté
Littré parmi les matérialistes et les athées ; mais est-il vrai que l’
école
positive a toujours été aussi sage ? S’est-elle t
ces matières ? C’est ce dont il est permis de douter. Je demande à l’
école
positiviste une définition de l’âme. Si cette éco
r. Je demande à l’école positiviste une définition de l’âme. Si cette
école
est fidèle à ses principes, si elle veut se dégag
le qui existe entre une telle définition et la prétendue méthode de l’
école
positive. Si vous ne savez rien de l’essence des
n peu plus la philosophie, de prendre une assez belle place parmi les
écoles
que le scepticisme de Kant a enfantées ; mais tro
, c’est la matière organisée elle-même (ce qui est le lieu commun des
écoles
matérialistes). La contradiction est éclatante ;
rialistes). La contradiction est éclatante ; ici, comme pour l’âme, l’
école
positive se réfute elle-même, et l’on peut lui di
urtant combattu avec une éloquente vivacité la vertu médicatrice de l’
école
hippocratique. En quoi est-il plus absurde d’adme
le positivisme doit se dégager, s’il veut compter parmi les sérieuses
écoles
philosophiques de notre temps. Le second point su
coles philosophiques de notre temps. Le second point sur lequel cette
école
me paraît manquer d’esprit philosophique est sa n
grande nouveauté à faire remarquer que la philosophie est divisée en
écoles
et en systèmes, tandis que dans les sciences prop
t c’est là un fait si remarquable, si important, si fâcheux, que si l’
école
positive s’était contentée d’y insister, et de ti
nie : solution négative et stérile, qui se contredit elle-même, car l’
école
positive est après tout une de ces écoles qui par
e contredit elle-même, car l’école positive est après tout une de ces
écoles
qui partagent la philosophie. Si elle critique, e
lle est au nombre des combattants. Elle-même a déjà ses sectes et ses
écoles
. Si M. Littré voulait aller jusqu’au bout de sa p
uxiliaire indépendant. Ayant vécu pendant longtemps dans le sein de l’
école
spiritualiste, il a conservé quelques-uns de ses
lard, M. Cousin, M. Jouffroy ? N’est-ce pas par ce principe que cette
école
se distingue et se caractérise entre toutes les é
ncipe que cette école se distingue et se caractérise entre toutes les
écoles
du siècle ? M. Vacherot est aussi opposé que poss
nous essayerons d’expliquer. Il est un point de doctrine qui, dans l’
école
cartésienne et dans l’école spiritualiste contemp
. Il est un point de doctrine qui, dans l’école cartésienne et dans l’
école
spiritualiste contemporaine, n’a jamais été mis e
un doute dans le monde cartésien. Elle a été également adoptée dans l’
école
spiritualiste contemporaine. Dans cette école, c’
galement adoptée dans l’école spiritualiste contemporaine. Dans cette
école
, c’est un principe hors de toute contestation, qu
aphysique de M. Vacherot a pour objet de séparer les deux idées que l’
école
cartésienne et le spiritualisme contemporain unis
doctrine qui se concilie avec le plus pur spiritualisme. Un déisme d’
école
qui trouve tout clair dans la nature divine et se
l’infini au fini, est un passage difficile et obscur dans toutes les
écoles
. M. Vacherot est très dur pour la doctrine de la
t alors renoncer à tout espoir et à toute pensée de se distinguer des
écoles
empiriques, car le réel, sévèrement étudié, sera
indifféremment. Voici enfin une dernière difficulté14. Les anciennes
écoles
athées se contentaient d’admettre un principe que
propre activité. Ce n’est rien proposer de téméraire que de convier l’
école
spiritualiste à s’imiter elle-même, à se rappeler
peler ses commencements obscurs et glorieux, où, dans le silence de l’
École
normale, elle étudiait avec passion les lois de l
e doit s’en prendre qu’à soi, si elle se voit supplanter par d’autres
écoles
plus entreprenantes. Ce sont là des vérités qu’il
aut signaler toutefois, dans un ordre d’idées analogues à celles de l’
école
positive, mais plus circonspectes et plus élevées
es », et l’administration étant intervenue pour y mettre fin, toute l’
École
, en guise de protestation, s’est consignée deux d
prochaine. Ces « brimades » sont symboliques. Elles signifient que l’
École
est un corps si sacré et d’une si prodigieuse exc
onc, en somme, à relever le « prestige » de l’X à ses propres yeux. L’
École
abrite plus de trois cents élèves. Il en est de t
e le fantasque hasard des examens a favorisé ; voilà tout. Sorti de l’
École
, il continuerait à ne briller, par lui-même, que
es, tous les polytechniciens ensemble sont infiniment imposants, et l’
École
elle-même est une chose immense. Et, avec le cost
endaient durement leurs privilèges et leur coin de cour. L’entrée à l’
École
achève de les gonfler. Ces « brimades », ces souf
es pieusement par les autres déposent en eux tous la conviction que l’
École
est un grand mystère. Elles scellent entre eux l’
taire. Ce serait beau en son genre, si ce n’était funeste. L’esprit d’
école
me semble, ici, mauvais, parce que c’est, ici, l’
oute la vie, des écoliers, — tout flambants du prestige emprunté de l’
École
, mais des écoliers. Les brimades de l’X, qui sont
hnique en maintient seule l’odieuse tradition. * * * On m’objectera l’
École
normale. Je tâche de n’en avoir pas la superstiti
e Banville est le poète du rhythme. Il est le dernier venu dans cette
école
qui a relevé l’enclume de la Renaissance pour y b
pre, mais dans les idées de l’auteur. C’est la tentative suprême de l’
école
de la Forme par la main d’un de ses meilleurs ; s
l est bien grand, puisque la poésie comme l’entendent Banville et son
école
ne peut captiver le regard grossier de la société
l en a le besoin d’idéal vague et tourmenté. Défauts inévitables de l’
école
tout entière, mais qualités de ceux qui la dominè
tte le charme perdu. Banville, qui n’est pas, certes ! un regain de l’
école
romantique, qui ne l’abaisse point dans ses œuvre
sse point dans ses œuvres, nous apprend mieux qu’un autre comment les
écoles
finissent. S’il était un homme sans talent, sa mé
montre, à travers l’éloquence de son talent et par elle, pourquoi les
écoles
meurent et pourquoi elles doivent mourir. III
ent mourir. III Elles meurent justement parce qu’elles sont des
écoles
, parce que la poésie collective, la poésie analog
facultés poétiques d’un ordre très élevé peuvent apparaître dans une
école
, mais elles s’y fourvoient toujours un peu et s’y
re. Les aigles et les lions vont seuls. Un poète individuel fonde une
école
parce que le succès ou l’admiration déduit une po
in où s’enfoncent ses racines ; mais si un poète individuel fonde une
école
malgré lui, ou s’il accepte cet orgueilleux et da
gré lui, ou s’il accepte cet orgueilleux et dangereux titre de chef d’
école
, il s’y énerve, y expose et finit par y perdre l’
, et Wordsworth aussi, en Angleterre. Que sont-ils devenus ?… Chefs d’
école
et s’acceptant pour tels, ils ont endoctriné au l
dée poétique, le sentiment poétique, la sensation poétique que de son
école
, — et le compte de cela est bientôt fait ! Le vou
lez-vous savoir à quel point un poète très loin, et avec raison, de l’
école
du bon sens et des idées bourgeoises dans les art
oyen de les couvrir de sa poussière et de les effacer. Si, de toute l’
école
romantique emportée des bibliothèques de l’avenir
ontrainte font tout. Des quatre institutions sociales : la famille, l’
école
, l’usine, l’État, qui, d’après cet auteur, élabor
et morale (jouant en cela le rôle des catégories a priori de Kant), l’
École
est celle dont la discipline est la plus décisive
systèmes d’éducation que nous venons de passer en revue, c’est que l’
école
est un moyen d’imposer plus ou moins sournoisemen
ères, extrascolaires et postscolaires qui combattent l’influence de l’
école
. L’enfant apporte des dispositions innées que l’é
’influence de l’école. L’enfant apporte des dispositions innées que l’
école
ne peut modifier que dans une mesure fort limitée
scent en serre chaude, en vase clos ; par exemple au séminaire ou à l’
école
normale d’instituteurs. Vous aurez chance de lui
omme se rendra compte que la morale n’est pas la même ici et là ; à l’
école
et dans le monde ; au village, dans la petite vil
triompher une tout autre échelle des valeurs que celle du mérite. À l’
école
, on s’élève contre la ruse, l’intrigue, la roubla
olaires ou postscolaires qui limitent ou même détruisent l’œuvre de l’
école
. Les moyens d’action de l’éducateur sont : la not
famille, etc.), l’éducateur ne peut guère trancher ces questions à l’
école
. Et s’il les tranche indiscrètement, la vie en év
oles. 67. Ce philosophe définit de la manière suivante le rôle de l’
école
: « On va à l’école pour chaque jour assimiler u
ophe définit de la manière suivante le rôle de l’école : « On va à l’
école
pour chaque jour assimiler une quantité donnée d’
vous avez retenu l’ordre logique ou chronologique exact des idées… L’
école
vous traitera selon que votre esprit sera plus ou
: repetitio mater studiorum. Comme l’attention elle est l’œuvre de l’
école
. Elle non plus ne dépend ni des différences, ni d
différences, ni des ressemblances des idées, mais des sanctions que l’
école
applique à ceux qui n’ont pas gardé les idées ass
s assimilées dans leur ordre essentiel, précis ; et c’est ainsi que l’
école
fixe peu à peu les formes de notre pensée et nous
er par catégories bien précises et bien nettes. L’Église à laquelle l’
école
d’aujourd’hui se substitue et dont on apprend par
ses fidèles ; les liens sont de nature fort voisine ici et là. » « L’
école
nous demande non de nous enquérir de ce que sont
il n’est professeur. La science ne doit pas sortir du collège ou de l’
école
spéciale ; le public n’a rien à faire avec elle.
i, par un étrange renversement, la science n’est chez nous que pour l’
école
, tandis que l’école ne devrait être que pour la s
nversement, la science n’est chez nous que pour l’école, tandis que l’
école
ne devrait être que pour la science. Sans doute,
dis que l’école ne devrait être que pour la science. Sans doute, si l’
école
était dans les temps modernes ce qu’elle était da
de philosopher, on permettrait à la science de s’y renfermer. Mais l’
école
ayant en général chez nous un but pédagogique ou
e danger que la science devien-drait trop exclusivement une affaire d’
écoles
. Elle y prendrait des habitudes de pédantisme qui
s, demi-mondaines. La vraie science est celle qui n’appartient ni à l’
école
, ni au salon, mais qui correspond directement à u
de coutume factice ; celle, en un mot, qui rappelle de plus près les
écoles
de la Grèce antique, qui, en ceci comme en tout,
ège. Comparez les Analytiques aux Logiques scolastiques de la vieille
école
, vous retrouverez le même contraste. En défendant
s retrouverez le même contraste. En défendant à la science les airs d’
école
, nous ne faisons donc point une concession à l’es
ce rapport à autant de précautions. Elle peut se permettre des airs d’
école
et s’entourer d’un parfum de scolasticité qui, ch
dessein leur expression incomplète, plutôt que d’employer le mot de l’
école
, alors qu’il était le mot propre. Le jargon scola
eu raisonnable. Kant et Hegel, ou même des esprits aussi dégagés de l’
école
que Herder, Schiller et Gœthe, n’échapperaient po
il faut le dire, leur seraient moins nuisibles qu’à nous. Chez eux, l’
école
et la science se touchent ; chez nous, tout ensei
me et un chapelain. Le préfet ne surveille les étudiants que hors des
écoles
, c’est une espèce de lieutenant de police. Je ne
Des élèves. Il n’y aura point d’âge fixe pour être reçu dans les
écoles
. L’éducation de nos ancêtres ne précédait guère l
on doit avoir appris ou dans la maison paternelle ou dans les petites
écoles
. On examinera s’il sait bien lire, si son caractè
u’instruits. Ils sortent de la maison de leurs parents pour venir aux
écoles
, et au sortir des écoles ils retourneront chez le
de la maison de leurs parents pour venir aux écoles, et au sortir des
écoles
ils retourneront chez leurs parents. Les boursier
ra leurs offres, ou ils renonceront à un privilége qui remplirait une
école
d’ineptes protégés. Ces bourses seront mises au c
êtement particulier, de crainte que, dans le tumulte de la sortie des
écoles
, les premiers, confondus avec ceux-ci, ne trompen
que ceux-ci leur indiquent les sujets ineptes qu’il faut chasser de l’
école
et renvoyer à leurs parents. J’entends par un suj
leçon bien apprise. Dans la législation des peuples et dans celle des
écoles
, on dirait que la vertu n’est rien. Il faut surto
retourneront de l’exercice public avec quelque consolation. Dans nos
écoles
où l’on n’enseigne pendant cinq ou six ans de sui
stimer réciproquement. Des maîtres. Un moyen sûr de juger d’une
école
, c’est de voir si les élèves qu’on y fait promett
onne nature. Entre les maîtres point de prêtres, si ce n’est dans les
écoles
de la faculté de théologie. Ils sont rivaux par é
’on exige de tout citoyen, que les lumières que l’enseignement de son
école
suppose, et qu’un peu de patience qu’il aura, s’i
s, à chasser les répétiteurs ou maîtres de quartier, et à exclure des
écoles
les enfants ineptes ou vicieux. Si l’Université é
’avenir les circonstances de la nation. La facilité d’entrer dans les
écoles
publiques, l’ambition des parents, leur avarice q
Deuxième partie. — L’
école
critique L’école dogmatique a parlé. Voici mai
Deuxième partie. — L’école critique L’
école
dogmatique a parlé. Voici maintenant l’école crit
— L’école critique L’école dogmatique a parlé. Voici maintenant l’
école
critique et l’école historique. Nous n’avons trou
L’école dogmatique a parlé. Voici maintenant l’école critique et l’
école
historique. Nous n’avons trouvé ni en France, ni
ues : le Chevalier Dorante et Monsieur Lysidas. Dans La Critique de l’
École
des femmes, Dorante est un homme du monde, et Lys
ujourd’hui et applique dans la critique littéraire les doctrines de l’
école
historique. N. B. Dans l’Étude qu’on va lire, Do
s de renvoyer notre lecteur purement et simplement à La Critique de l’
École
des femmes, s’il a oublié qui sont trois personna
ien de bon, sans le congé de messieurs les experts. La Critique de l’
École
des femmes, scène vii. En quoi le dogmatisme
eux efforts de dialectique, au prix desquels son escarmouche contre L’
École
des femmes n’était qu’une parade. Au dix-septième
me je me croyais engagé d’honneur à soutenir contre M. Lysidas, que L’
École
des femmes ne péchait contre aucune des règles tr
je me souciais assez peu des règles accréditées et consacrées par son
école
. Mais je n’avais garde de leur rompre en visière,
par les anciens. Il ne prouve plus, par Aristote et par Horace, que L’
École
des femmes pèche contre ces règles éternelles. Il
remettent en mémoire celles d’un autre maître, et les comédies d’une
école
celles de son chef. Nous pouvons établir une hiér
une remarque bien fine et bien juste que faisait Uranie, le jour où L’
École
des femmes était si habilement attaquée, et si vi
aisonnements pour nous empêcher d’avoir du plaisir. La Critique de l’
École
des femmes, scène vii. La critique littéraire
et la spirituelle Uranie, assistant en 1862 à une représentation de L’
École
des femmes, juste deux siècles après la première.
ois que le parterre rit ; il se donne la peine d’écouter. Il écoute L’
École
des Femmes, mais il bâille ; car il n’y trouve to
e au nez, ces bonnes plaisanteries lui épanouiraient la rate ; mais L’
École
des femmes n’en offre pas de pareilles. Il rit, à
eau, et sa définition ne lui interdit-elle pas absolument d’admirer L’
École
des femmes ? Voilà la fin du spectacle. On sort.
anie s’abandonne, au contraire, et se fie à tous les sentiments que L’
École
des femmes excite en elle. Aucun préjugé ne la ro
Agnès ou Horace. À cette critique spécieuse, Uranie répond que dans L’
École
des femmes les récits sont des actions, suivant l
ions voir, si la chose se passait sur le théâtre ? J’avoue que dans L’
École
des femmes tout est récit ; mais avouez que tout
comme des traits de caractère. Du reste, elle ne professe pas pour L’
École
des femmes une admiration sans mesure, et systéma
r entre l’impression profonde qui lui fait trouver comique ou belle L’
École
des femmes, et les remarques pleines de sens et d
d’être émue et d’admirer. Pourquoi ce bon Marquis ne goûte-t-il pas L’
École
des femmes, et pourquoi M. Lysidas, avec infinime
sent toujours si fort au Marquis, la charmaient mille fois plus que L’
École
des femmes. Elle a voyagé en pays étranger, et el
ère, parce que ses comédies la touchent ; elle croit à la beauté de L’
École
des femmes, parce qu’elle la sent, et ce sentimen
Il explique pourquoi le Marquis et M. Lysidas lui-même n’aiment pas L’
École
des femmes, à supposer que M. Lysidas, bon logici
i l’âme ne fût devenue belle, jamais elle n’eût vu la beauté. » L’
école
dogmatique et Molière Soyez de bonne foi, mons
autre toutes ses métaphores ; Hegel, sans le savoir, s’instruit à son
école
. 275. Voyez l’Introduction, p. 14 et 16. 276
4 et 16. 276. Date de la première représentation de La Critique de l’
École
des femmes. 277. Boileau s’étonne que l’on ose
ui n’en a point. » (Préface de Don Sanche.) 278. La Critique de l’
École
des femmes, scène vii. 279. La Critique de l’Éc
La Critique de l’École des femmes, scène vii. 279. La Critique de l’
École
des femmes, scène vii. 280. Corneille appelle la
Chœur des Français dans la première partie. 290. La Critique de l’
École
des femmes, scène vii. 291. À propos de la criti
. — Douzième leçon. 303. Notre philosophe est ici le précurseur de l’
école
historique. Voyez toute la fin du c. ier de la I
nneuil est un village à trois lieues de Paris. Voyez La Critique de l’
École
des femmes, scène ire . 306. Voyez p. 158, note
tre la personnification de la critique telle que l’entend la présente
école
. Au lieu de lire Uranie, lisez donc, si cela vous
mbassade de Jean prisonnier vers Jésus Mort de Jean Rapports de son
école
avec celle de Jésus. Pendant que la joyeuse Gal
succès du jeune maître qu’il avait vu quelques mois auparavant à son
école
arrivèrent jusqu’à lui. On disait que le Messie p
la mission de Jésus ? Rien ne nous l’apprend. En voyant cependant son
école
se continuer assez longtemps encore parallèlement
ean avait faite auprès de Jésus avait achevé d’établir entre les deux
écoles
des liens étroits. Jésus, craignant de la part d’
traça la voie sanglante où tant d’autres devaient passer après lui. L’
école
de Jean ne mourut pas avec son fondateur. Elle vé
er du baptême de Jean. Certaines personnes étaient à la fois des deux
écoles
; par exemple, le célèbre Apollos, le rival de sa
un bon nombre de chrétiens d’Éphèse 577. Josèphe se mit (l’an 53) à l’
école
d’un ascète nommé Banou 578, qui offre avec Jean-
n-Baptiste la plus grande ressemblance, et qui était peut-être de son
école
. Ce Banou 579 vivait dans le désert, vêtu de feui
n détournée 581. Un des poèmes sibyllins 582 semble provenir de cette
école
. Quant aux sectes d’Hémérobaptistes, de Baptistes
plutôt qu’elles ne sont la descendance authentique de Jean. La vraie
école
de celui-ci, à demi fondue avec le christianisme,
es psychologues dont nous venons de parler constituent proprement une
École
. Ce mot n’est exact qu’autant qu’il exprime une c
mportant dans les plus récents travaux. On ne peut guère séparer de l’
école
qui nous occupe le docteur Maudsley dont la Physi
pellent introspective : (l’observation intérieure de Jouffroy et de l’
école
spiritualiste). On y trouvera un bon exposé de la
question de l’instinct sous un nouveau jour. Au lieu d’y voir, avec l’
école
de Cuvier, un principe inné et invariable, il l’e
istes ou psychologistes, il ajoute qu’il renvoie aussi le lecteur à l’
école
contemporaine de psychologie allemande, et en par
e, de leur combinaison en groupes, en séries, etc. En dehors de cette
école
, il cite Georges (de Rostock), Lazarus (de Berne)
nt à leur jugement : « que ses traités sont des plus suggestifs que l’
École
de l’expérience ait publiés en Angleterre, dans c
re qu’en France. Nous ne dirons rien non plus des critiques que notre
Ecole
a soulevées dans son propre pays288, car ceci est
accordent, ce sera donner le résumé des travaux et des résultats de l’
Ecole
expérimentale, en psychologie. Nous essayerons de
ent parler, qu’un procédé de vérification. Sur l’origine des idées, l’
École
qui nous occupe n’est ni avec les sensualistes (L
un esprit adulte et complètement constitué. Ces solutions écartées, l’
école
donne la sienne. Elle reconnaît à l’esprit une sp
on se rattache une notion importante, celle de cause, ou, comme dit l’
École
, de séquence ; elle n’en est qu’un cas particulie
n imaginaire, en tant qu’on s’en tient aux causes phénomènes, comme l’
École
entend le faire. L’ensemble des rapports de succe
s, émotions, sentiments, est assez incomplète, avons-nous dit, dans l’
école
expérimentale d’Angleterre. Voici le petit nombre
sique. Ce divorce est chose grave assurément, en ce qu’il a suscité l’
école
et la méthode dites positivistes, qui relèguent l
gue, Maine de Biran, qui est resté obscur d’abord et qui n’a pas fait
école
, et un grand professeur de psychologie, Théodore
t cette méthode d’observation indirecte et d’induction que pratique l’
école
de Bacon, négligeant de plus en plus l’observatio
nique de tous les phénomènes de la vie physique. Au siècle dernier, l’
école
de la sensation, qu’elle admette ou non la spirit
et toutes les passions à la vie organique. Enfin le dernier mot de l’
école
de la sensation sur la question des rapports du p
’autorité des noms qui la représentaient et le talent littéraire de l’
école
qui la soutint, n’arrêta point l’ardeur des reche
, Magendie, Flourens, s’engager plus avant dans la voie ouverte par l’
école
de Buffon, de Bonnet et de Cabanis, mais avec des
s une véritable science. La tentative phrénologique de Gall et de son
école
eut ceci de scientifique qu’elle avait pour but d
ents ? C’est donc derrière une objection vaine que se retrancherait l’
école
spiritualiste. II Si la physiologie s’en te
tifique, les autres par attachement à une doctrine spiritualiste. Une
école
cependant pousse la nouvelle science physiologiqu
anchent ainsi déjà, sans le vouloir, la grave question qui divise les
écoles
spiritualiste et matérialiste. Tout cela n’est pe
lications qu’il faut chercher la vraie pensée des physiologistes de l’
école
dont nous parlons. La phrénologie de Gall et de S
rit trop observateur pour s’en tenir à la doctrine de Cabanis et de l’
école
de la sensation, qui ne reconnaissait aucune espè
ir autrement que comme les actes d’un cerveau vivant4. » La nouvelle
école
physiologique n’a point de ces allures ; elle lai
an n’a fait qu’indiquer la méthode, un autre physiologiste de la même
école
, M. Lhuys, essaye de la développer dans un systèm
pe d’explication comme au dernier mot de la science6. Voilà comment l’
école
nouvelle entend l’explication des grands phénomèn
opre ni à M. Lhuys, ni à M. Vulpian, ni aux physiologistes de la même
école
; c’est la méthode de presque tous les physiologi
st le résultat net des expériences faites par les physiologistes de l’
école
de Flourens. Des observations nombreuses sur le d
spontanéité des premières : M. Bain12 est un disciple trop fidèle à l’
école
expérimentale pour ne pas reconnaître les efforts
iompher. Si de toutes ses observations et de toutes ses expériences l’
école
des physiologistes dont on vient de parler conclu
n’y aurait pas lieu à contestation. Mais faut-il accepter avec cette
école
comme choses démontrées expérimentalement, que la
ur qu’on n’aille point en prêter une autre tout à fait impossible à l’
école
physiologique dont nous venons de résumer la doct
dictoire au témoignage de la conscience qu’une pareille conclusion. L’
école
dont nous parlons oublie l’être de la conscience,
ar excellence qu’on nomme le cerveau. Telle est la grande erreur de l’
école
physiologique. Pour elle, le moi n’est qu’un mot
son essor et borner le domaine de ses recherches. Pourquoi toute une
école
de physiologistes, parmi lesquels on compte M. Li
né par une nécessité de la pensée et même de la science. Les vieilles
écoles
, les vieilles doctrines métaphysiques, peuvent êt
dans le domaine de la philosophie la plus sévère, quoi qu’en disent l’
école
critique de Kant et l’école positiviste de Comte.
ophie la plus sévère, quoi qu’en disent l’école critique de Kant et l’
école
positiviste de Comte. Quel est ce problème ? Dans
vitale dont la composition élémentaire n’est que la condition. Déjà l’
école
des animistes avait eu l’intuition de cette vérit
. Ainsi se trouvent réconciliées dans une science supérieure les deux
écoles
, le vitalisme et l’organicisme, qui ont tant occu
vous en tenir à la matérielle et grossière doctrine de cette brutale
école
historique. On en est las. Une réaction commence,
e assez basse, l’esprit assez court pour en rester à la doctrine de l’
école
historique. Expliquez donc votre pensée, car nous
mais, si vous voulez bien, n’entreprenons pas d’en faire davantage. L’
école
historique, cela est évident, annule la critique
l’arbre indique la profondeur des racines465. » Quoi qu’il en soit, l’
école
historique, je dis l’école historique idéale, à l
ur des racines465. » Quoi qu’il en soit, l’école historique, je dis l’
école
historique idéale, à la considérer dans l’unité e
e la vie, l’intensité de l’intérêt ! C’est une erreur de croire que l’
école
historique ait accompli tout le bien qu’elle avai
e la petitesse des jugements qu’on entend prononcer tous les jours. L’
école
historique a découvert deux vérités, qui, bien qu
relever, et l’on enviera la plume d’un Sainte-Beuve ou d’un Vitet. L’
école
historique ayant fait de la critique une science,
travail un bon livre, intéressant et utile, dans le système de cette
école
. Elle a conquis et gardera toujours dans la criti
ittéraire la part du lion. Seulement, je souhaiterai à cette terrible
école
un peu moins de férocité. Sa froide insensibilité
mieux finir, et nous ferons bien d’en demeurer là. La Critique de l’
École
des femmes, scène dernière.
663 (continuation de la septième période). — Molière met au théâtre L’
École
des femmes. — Observations sur cette pièce. En
— Observations sur cette pièce. En 1663, Molière mit au théâtre L’
École
des femmes. Il n’entre pas dans mon sujet d’exami
r sa mère et son espouse. Pour divertir seigneurs et dames, On joua L’
École
des femmes, Qui fit rire leurs majestés Jusqu’à s
ut. Molière, soutenu de ces autorités, donna bientôt La Critique de l’
École
des femmes, c’est-à-dire mit en scène et livra au
autres et avait au plus haut degré leur confiance. La Critique de l’
École
des femmes, qui avait été plus justement intitulé
cole des femmes, qui avait été plus justement intitulée Apologie de l’
École
des femmes contre la critique, porte sur une étra
s sont punissables, les indécences sont blâmables. Dans le temps de L’
École
des femmes, la bonne compagnie n’avait d’autre to
il prenait avec le public. Le 1er juin 1663, jour où La Critique de l’
École
des femmes fut jouée à Paris, n’était pas loin du
lui était né quelque temps auparavant. 59. Uranie, La Critique de l’
École
des Femmes, scène iii.
coup d’œil. Il marche et procède à pas sûrs, à pas lents. Sorti de l’
École
normale, agrégé des Lettres et admis au premier r
normale, agrégé des Lettres et admis au premier rang, puis élève de l’
École
française d’Athènes, puis à son retour professeur
n province, puis enfin revenu à Paris et délégué comme maître à cette
École
normale dont il avait été l’un des meilleurs élèv
n originalité, pourrait exactement s’intituler Gandar, ou la Parfaite
École
du professeur, de celui qui se destine à l’être.
Rinn ; il y fit sa philosophie sous M. Barni. En 1844, il entrait à l’
École
normale, où M. Dubois était directeur et où M. Va
et encore Eugène Fallex, le traducteur d’Aristophane. Il sortit de l’
École
avec le titre d’agrégé des Lettres, et le premier
, et le premier à la tête du concours. Dès le temps de son séjour à l’
École
, nous assistons à ses préoccupations, à ses pensé
me fasse réussir avec le même bonheur au concours d’agrégation ! » L’
École
normale, ce savant séminaire intellectuel, a été
n fécond que je préfère à tout autre157. » Nommé en 1847 membre de l’
École
d’Athènes, Gandar partait pour la Grèce au commen
harme souverain du grand art sévère, se faisant presque un élève de l’
École
de Rome avant de l’être de celle d’Athènes, lorsq
Là, de sa chambre provisoire et de ce qu’il appelle son grenier de l’
École
d’Athènes, il put, dès le premier jour, rassasier
classique digne de ce nom. Gandar était de la seconde promotion de l’
École
d’Athènes, une espèce de promotion extraordinaire
s’était voué. Gandar est l’homme qui, même en voyage, fait le moins l’
école
buissonnière ; il est déjà à l’avance le professe
r une Thèbes idéale approximative et suffisante pour l’imagination. L’
École
d’Athènes, à l’époque où il en faisait partie, n’
iers à des impressions et à des résultats purement littéraires : « L’
École
française jusqu’à ce jour, écrivait-il à M. Guign
trop peu, c’était par trop restreindre la portée de l’institution. L’
École
d’Athènes depuis a voulu davantage ; elle a élarg
et du sentiment littéraires. Ce renouvellement des plus sensibles, l’
École
d’Athènes et son influence l’ont déjà opéré en pa
s, par la participation très vive qu’il prit au mouvement des arts. L’
école
messine comptait dès lors parmi ses peintres dist
s belle journée qu’avait eue encore le printemps. Gandar retrouvait l’
École
bien en progrès, la bibliothèque agrandie et comp
plus de trois ans, et que de tous les membres qui se sont succédé à l’
École
, c’est lui surtout que la Grèce aura fait ce qu’i
partant, laissait Gandar aux soins d’un jeune et nouveau membre de l’
École
, dont le coup d’essai brillant, le premier exploi
es ruines, de ses paisibles lectures dans la petite bibliothèque de l’
École
, de tout ce qui ne lui laissait guère à désirer d
hez M. Daveluy, à la Légation, ou dans la société du seul membre de l’
École
qui l’habite encore porte à porte avec moi, M. Ab
ocher au moral et de les opposer. Gandar et About, c’est à mes yeux l’
École
normale dans ses produits les plus distingués et
mple de Lucien ne respectant ni les hommes ni les dieux : chez l’un l’
École
normale en plein exercice et développement de son
large de la tradition régulière et directe ; chez l’autre cette même
École
en rupture de ban, en pleine dissipation et feu d
à l’insistance qu’il y met, Gandar nous rappelle un autre élève de l’
École
normale, un très estimable transfuge : avec plus
ieux aimé que tu entendisses hier soir cette spirituelle comédie de l’
École
de la Médisance, très joliment jouée à Hay-Market
sède, vous le savez, le Sposalizio du Pérugin et une bonne copie de l’
École
d’Athènes. La bibliothèque m’a fourni plus d’esta
t l’écueil de ces sortes d’apologies autobiographiques auxquelles son
école
s’est complue, poursuivant son analyse chez Goeth
à Paris depuis un an. Chargé d’abord d’une Conférence de français à l’
École
normale, ce qui lui était un cadre un peu neuf, i
isserai ici parler M. Jacquinet, directeur des études littéraires à l’
École
normale : « Cet enseignement de nos conférences t
ur de son savoir et de son ardeur : il fut, en somme, très estimé à l’
École
. » Les élèves, juges très fins et qui savent fort
ent de le juger sans complaisance, avec la précision habituelle à nos
écoles
, rend témoignage de ses progrès en des termes qui
ière des trois qui ont été imprimées) fit un jour beaucoup d’effet. L’
École
normale, qui était restée un peu froide pour lui
cordante : « J’ai connu en effet, dès le temps où il était élève de l’
École
, le regretté M. Gandar ! le souvenir qui m’est re
bon humaniste, solide, complet, déjà professeur (chose plus rare à l’
École
qu’on ne pense) par l’air, le ton, l’aplomb de la
taient naturels, son âme élevée, son cœur excellent. Je l’ai revu à l’
École
quatorze ans après, chargé d’une Conférence de fr
é depuis dans cette voie. 162. Dans une lettre à sa mère, datée de l’
École
française d’Athènes, à son second voyage (7 juin
bourgeoisie, tandis que le mouvement, avec les réformateurs de toutes
écoles
, avec l’opposition constitutionnelle d’Odilon Bar
t de contact de la mystique et de la politique, sera le problème de l’
école
: notons même dans l’usage et dans l’opposition d
ation venue des bancs de bois de la laïque, un acte et une crise de l’
école
. République des écoliers, République des professe
le, et que les enfants sont à gauche des pères. La fonction même de l’
école
laïque consiste à maintenir ce sinistrisme immane
maintenir ce sinistrisme immanent. À le maintenir, au contraire de l’
école
confessionnelle, dont la fonction est de réagir c
onfessionnelle, dont la fonction est de réagir contre lui. Dans cette
école
, ce n’est pas la déviation des enfants par rappor
, par le maintien, eût dit Quinton, de leur température originelle. L’
école
confessionnelle est l’instrument de la tradition,
radition, que beaucoup de pères incroyants envoient leurs enfants à l’
école
confessionnelle. Il y avait une singulière illusi
ules Ferry à un député qui lui demandait quelle morale enseignerait l’
école
laïque : « Mais elle enseignera la vieille morale
e pouvait se développer que sous celle du changement. La morale que l’
école
laïque enseigne n’a pas seulement échappé au cont
cibles phalanges. La République est un mouvement, et la fonction de l’
école
laïque est de placer presque automatiquement à ga
ment à gauche de la génération qui s’en va la génération qui vient. L’
école
est donc la principale ouvrière du mouvement vers
une exception apparente au temps du boulangisme, où les opinions de l’
école
étaient très divisées, pour et contre le général,
re le sabre, le bâton de craie contre le goupillon, le mouvement de l’
École
contre le traditionalisme national, devenu, sous
dans d’autres signes du zodiaque : aujourd’hui la constellation de l’
École
Unique ! Si la tradition a été éliminée de plus e
ération lente et régulière du spirituel républicain matérialisé par l’
école
. L’école pierre angulaire de la République, ce n’
ente et régulière du spirituel républicain matérialisé par l’école. L’
école
pierre angulaire de la République, ce n’est pas u
stratégiques de la presse et de l’édition. Ils ne touchent que peu l’
école
et la politique. Les lettres, la presse, les acad
erté d’enseignement reste exposée au mouvement à longue échéance de l’
école
unique, actuellement la plus grave menace contre
e échelle, une alliance avec l’intelligence, recruté une jeunesse à l’
École
normale, organisé et contrôlé une presse, fourni
omme le commerce tend à revenir au troc, assaut de la politique par l’
École
Unique, triomphe du boursier, on pourrait même di
es, soit dans la paysannerie et la toute petite bourgeoisie. Dans les
écoles
normales les futurs instituteurs sont boursiers d
l en va ainsi pour l’Église. Au village, l’instituteur recrute pour l’
école
normale, demain pour l’école unique, le curé pour
Au village, l’instituteur recrute pour l’école normale, demain pour l’
école
unique, le curé pour le séminaire. Numériquement
mps de la Congrégation. Comme l’autre, ce cléricalisme (qui sait si l’
École
Unique ne lui fournira pas un bouillon de culture
ités populaires, une démocratie pratique du personnel doublant dans l’
école
la démocratie théorique de la doctrine, telles fu
e fait même de leur recrutement populaire, avait jeté les boursiers d’
École
et de Faculté (à bien des exceptions près, évidem
sa génération, Sarrien, Lockroy, Bourgeois. Cet état-major, issu de l’
école
des cadres, laissa passer les quarante-huit heure
nique, et, pour la grande part d’entre eux, animés du même esprit : l’
École
laïque. L’École laïque des maîtres. Mais les enfa
la grande part d’entre eux, animés du même esprit : l’École laïque. L’
École
laïque des maîtres. Mais les enfants qu’élève l’é
École laïque. L’École laïque des maîtres. Mais les enfants qu’élève l’
école
forment eux aussi, par position, une société de p
exclut l’enfant des sociétés d’intérêt, où il n’a rien à faire, et l’
école
l’inclut dans une société de pensée ; l’école obl
n’a rien à faire, et l’école l’inclut dans une société de pensée ; l’
école
oblige, en l’enfant, l’homme à faire un stage dan
ensée qui ont fait ou défendu la République radicale converger vers l’
École
, et ces fleuves se perdre dans cette mer. Nous sa
ploie ce mot : laïque, qu’à une seule occasion : quand il s’agit de l’
école
. L’école laïque, ou la laïque, c’est l’école de l
mot : laïque, qu’à une seule occasion : quand il s’agit de l’école. L’
école
laïque, ou la laïque, c’est l’école de l’institut
n : quand il s’agit de l’école. L’école laïque, ou la laïque, c’est l’
école
de l’instituteur et de l’institutrice. On dit la
t la laïque, quand il y a une concurrence de Frères ou de Sœurs, et l’
école
tout court, quand il n’y en a pas. En dehors de c
omme le clérical c’est le curé. C’est seulement dès qu’il s’agit de l’
École
que la laïcité importe, devient vivante, urgente.
ient vivante, urgente. La laïcité est la défense et illustration de l’
École
laïque, dans son personnel, dans ses traitements,
n fort de Vauban. Elle consiste dans la volonté de faire progresser l’
école
laïque contre l’école chrétienne, c’est-à-dire un
consiste dans la volonté de faire progresser l’école laïque contre l’
école
chrétienne, c’est-à-dire un système d’idées contr
ait aux catholiques des espérances. La proportionnelle scolaire ! les
écoles
religieuses subventionnées ! Il n’en fallait pas
action répondit à la « réaction » : à la proportionnelle scolaire, l’
École
Unique. Telle est l’idée propre au radicalisme d’
que. Telle est l’idée propre au radicalisme d’aujourd’hui. Il y a une
école
primaire laïque, gratuite et obligatoire. Il y au
école primaire laïque, gratuite et obligatoire. Il y aura demain une
école
secondaire laïque, gratuite et sélectionnée. La g
chaque année une classe de plus, n’est pas une fin, c’est un moyen. L’
école
unique porte la marque exclusive et originale de
xactement à la tradition de la Révolution française, créatrice de ces
Écoles
du Gouvernement, dont le prestige sur la bourgeoi
nera point que le champion et le père nourricier, sinon naturel, de l’
école
unique, soit un éminent boursier normalien, M. He
boursier normalien, M. Herriot, promu dans l’élite par la bourse et l’
École
normale, et qui milite pour ouvrir largement au p
’ai pas eu de bourse ! » de M. Laval. Dans trente ans les exclus de l’
école
unique mèneront peut-être la vie dure aux inclus
ondition d’une société de pensée, de cette société de pensée qu’est l’
école
, qu’est par position toute école. De même que l’é
de cette société de pensée qu’est l’école, qu’est par position toute
école
. De même que l’école laïque oppose sa conception
pensée qu’est l’école, qu’est par position toute école. De même que l’
école
laïque oppose sa conception du monde à celle de l
De même que l’école laïque oppose sa conception du monde à celle de l’
école
religieuse, de même l’école unique oppose sa conc
ppose sa conception du monde à celle de l’école religieuse, de même l’
école
unique oppose sa conception de la société à celle
rait réussir. Émanation, loi et forme même de la société de pensée, l’
école
unique demeure la chose et le but de sociétés de
it hostile. Il ne sait pas bien ce que c’est. Jusqu’à présent, dans l’
école
unique il voit surtout le lycée gratuit. Le bourg
e à sucre qui vous tombent, et qu’on n’a pas le sentiment de payer. L’
école
unique, grande pensée d’en haut, il semble qu’ell
omme elle l’a été en Suisse : c’est la loi des assurances sociales. L’
école
unique passerait-elle au référendum ? C’est extrê
t en voie de progrès par ce concret, M. de Fels leur a donné le nom d’
École
dirigeante. Oui. Mais autant qu’école dirigeante,
. de Fels leur a donné le nom d’École dirigeante. Oui. Mais autant qu’
école
dirigeante, direction par l’école. Si, sous les c
ole dirigeante. Oui. Mais autant qu’école dirigeante, direction par l’
école
. Si, sous les courants d’idées que nous avons jus
al dans l’esprit de l’Évangile, et pour le radicalisme jacobin dans l’
École
laïque. Jacobin… Quand il s’agit de l’École, la G
adicalisme jacobin dans l’École laïque. Jacobin… Quand il s’agit de l’
École
, la Gironde disparaît, et, chez les radicaux, le
es radicaux, le jacobinisme est seul, le jacobinisme est le maître, l’
école
dirigeante dirige. Le ministre doctrinaire le plu
licat, de climat girondin, comme M. Herriot. Dès qu’il pense et parle
école
, la pure doctrine jacobine apparaît. Il pose en p
» C’est la pure doctrine du fascisme et la pure doctrine de Moscou. L’
école
unique actuelle doit-elle suivre ce rail ? L’Éduc
vient, devra porter cet enfant sur les bras. Le nom de l’enfant ? À l’
école
de l’unité par l’unité de l’école. En 1890, le m
les bras. Le nom de l’enfant ? À l’école de l’unité par l’unité de l’
école
. En 1890, le même Léon Bourgeois, ministre de l’
Français de demain est devenu un des vieux Français d’aujourd’hui ; l’
École
dirigeante, ou le maître d’école dirigeant de not
Mais nos yeux à nous lui seraient peut-être plus bienveillants, si l’
École
Unique ne risquait d’en faire le Français unique.
urd’hui qui dirait à Barrès : « Pardon ! le radicalisme a un idéal, l’
école
unique ! » provoquerait sans doute, à tort ou à r
l réalise, comme parti, la paix, de même que le radicalisme réalise l’
école
. Et l’idée socialiste s’oppose ici, de trois mani
ution ? » La Révolution tient l’homme pour naturellement bon : d’où l’
école
laïque. L’Église le tient pour naturellement mauv
ion », sont les idées du Français moyen. Elles le sont devenues par l’
école
, et la phrase consacrée sur l’école laïque, pierr
yen. Elles le sont devenues par l’école, et la phrase consacrée sur l’
école
laïque, pierre angulaire de la République, reste
rançaise, c’est une autre révolution... Pareillement le problème de l’
école
, qui est par excellence le problème radical, devi
icat national des Instituteurs. Il y a une conception socialiste de l’
école
où le syndicalisme universitaire tient une place
inquiète fort les radicaux jacobins. Mais il ne faut pas confondre l’
école
et la culture. La culture est liberté, l’école es
e faut pas confondre l’école et la culture. La culture est liberté, l’
école
est discipline. La culture est individualiste, l’
est liberté, l’école est discipline. La culture est individualiste, l’
école
est conformiste, l’école, toute école, est un sys
discipline. La culture est individualiste, l’école est conformiste, l’
école
, toute école, est un système de conformisme. L’ex
a culture est individualiste, l’école est conformiste, l’école, toute
école
, est un système de conformisme. L’expérience d’un
rmisme. L’expérience d’un conformisme socialiste par le monopole et l’
école
unique et syndicatocratique, une éducation nation
nt, un journal qui, avec moins d’éclat et d’influence, suivit, dans l’
école
religieuse et royaliste, une ligne assez analogue
gieuse et royaliste, une ligne assez analogue à celle du Globe dans l’
école
libérale et philosophique. Un grand bon sens, joi
euses : tels étaient les mérites et la physionomie bien rare de cette
école
du Correspondant, qui poursuit encore aujourd’hui
point constituait, à proprement parler, le seul but pratique de cette
école
. Elle ne s’adressait pas au gros du siècle, à la
ce, même dans des voies un peu nouvelles. Sous la Restauration, cette
école
, on le conçoit, dut avoir une bien insensible inf
ques autres jeunes hommes comme eux. Depuis Juillet, la position de l’
école
du Correspondant est devenue meilleure et plus vr
nastique qui nuisent, sans y tenir, à la réalité des doctrines. Cette
école
, dans sa nuance exacte, ne se rattache directemen
sées politiques, les jugements, les espérances et les doutes de cette
école
dont il est l’un des principaux soutiens. Nous ai
ons finales et l’espèce d’équation sans issue où s’est enfermée cette
école
. Son christianisme actif le sauve peut-être en ce
xclusifs. 89. Les noms propres définiront encore mieux ces nuances d’
écoles
et d’opinions. Le principal rédacteur du Correspo
ce reproche : « On a, dit-il, restauré Shakespeare sans le suivre. L’
école
romantique n’a point imité Shakespeare. C’est là
onde. Fixons le sens de ce mot. Qu’est-ce que le profane vulgaire ? L’
école
dit : C’est le peuple. Et nous, nous disons : C’e
gaire ? L’école dit : C’est le peuple. Et nous, nous disons : C’est l’
école
. Mais d’abord définissons cette expression, l’éco
disons : C’est l’école. Mais d’abord définissons cette expression, l’
école
. Quand nous disons l’école, que faut-il sous-ente
is d’abord définissons cette expression, l’école. Quand nous disons l’
école
, que faut-il sous-entendre ? Indiquons-le. L’écol
uand nous disons l’école, que faut-il sous-entendre ? Indiquons-le. L’
école
, c’est la résultante des pédantismes ; l’école, c
ndre ? Indiquons-le. L’école, c’est la résultante des pédantismes ; l’
école
, c’est l’excroissance littéraire du budget ; l’éc
pédantismes ; l’école, c’est l’excroissance littéraire du budget ; l’
école
, c’est le mandarinat intellectuel dominant dans l
parfois, raffinement, par des républicains agréables à la police ; l’
école
, c’est l’orthodoxie classique et scolastique à en
fonctionnaires et patentés, une espèce de Chine soi-disant Grèce ; l’
école
, c’est, résumées dans une concrétion qui fait par
domestiques, toute la certitude des vues basses et des âmes basses. L’
école
hait Shakespeare. Elle le prend en flagrant délit
t du travail et de la fatigue. Le drame de Shakespeare est peuple ; l’
école
s’indigne et dit : Odi profanum vulgus. Il y a de
Corrige-la, avertis-la, instruis-la, guide-la, élève-la. Mets-la à l’
école
de l’honnête. Fais-lui épeler la vérité, montre-l
est-à-dire en un lieu riant et champêtre qui a eu son influence sur l’
école
poétique moderne, et dans lequel cette école à so
a eu son influence sur l’école poétique moderne, et dans lequel cette
école
à son tour a trouvé des échos aussi : redituraque
pour les uns, le rêve et l’étude calme pour les autres. Vers 1828, l’
école
nouvelle perçait avec vivacité, avec ensemble ; l
t, les uns ont mieux réussi. Avec les avantages et les richesses de l’
école
moderne, les défauts s’y marquent. Il y a des mot
ces vers qui, bien que venus tard, se rattachent au beau moment de l’
école
, à son berceau même, et nous reportent à bien des
aturelle d’en repasser d’un coup d’œil toute la carrière. Dès 1819, l’
école
nouvelle en poésie éclôt et s’essaye ; de grands
grands noms se dessinent déjà. Mais ce n’est que vers 1828 que cette
école
(j’emploie souvent ce vilain mot pour abréger) a
du milieu existant, n’ont guère réussi : on peut dire que, pour cette
école
et son développement, la formule de la courbe est
ffet que nos vieux adversaires, bon gré mal gré, le reconnaissent ? l’
école
poétique moderne a réussi. Hélas ! on peut l’acco
t-il qu’à cet égard les hautes espérances des débuts ont peu donné. L’
école
moderne n’a pas non plus résolu cette question de
aucoup de cigales. » Mais les cigales sont harmonieuses. — Eh bien, l’
école
poétique moderne, au pis, peut se dire comme ce c
germanique de son nom, et qui, à cette distance, s’occupe à fond de l’
école
et de la question poétique moderne, comme pourrai
l est ingénieux, il fait penser. Et puis, rien n’est singulier pour l’
école
moderne comme de se voir dans ce miroir-là, qui e
disposé à accueillir cette histoire du peintre Louis David et de son
école
. L’admiration pour les ouvrages de cet illustre a
ses contemporains, mais encore sur les maîtres anciens, comme chef d’
école
. Aussi, malgré le reproche qu’on lui a si fréquem
ar un génie si différent ? On ne craint pas de l’affirmer, aucune des
écoles
des plus célèbres maîtres modernes n’offre un par
voir fondé et entretenu, pendant plus d’un demi-siècle, une véritable
école
, peut-être la dernière qui ait pu être constituée
porains les plus célèbres, répandent sur l’histoire de la vie et de l’
école
de ce maître un intérêt que, bien loin de le négl
ropre de David et les principes que ce grand artiste a transmis à son
école
. Ils feront connaître premièrement le caractère d
par les artistes français, et en particulier par David devenu chef d’
école
; puis les modifications apportées à ces principe
placé plus favorablement que d’autres, pour retracer l’histoire d’une
école
aux travaux de laquelle il n’est pas resté complé
dessin près d’eux. Étienne eut donc pour premier maître un élève de l’
école
de David, contemporain et condisciple de Fabre, d
de 1796, il témoigna ouvertement à ses parents le désir d’entrer à l’
école
de David. Jusqu’à cette époque, le caractère et l
certaine habileté à employer avec goût ce qu’il avait appris dans les
écoles
, ne répondit qu’imparfaitement à ce que l’on atte
elier des Horaces, a été trop célèbre et se trouvait trop voisin de l’
école
où David enseignait ses élèves, pour n’en point f
élève, surtout, comme il arrivait souvent, quand les jeunes gens de l’
école
de David, réunis à l’étage inférieur, lui faisaie
isite annoncée d’avance que David devait faire à Moreau. Le chef de l’
école
avait effectivement promis à son disciple de veni
de sueur qui se détachaient de son front ; et enfin en artiste chef d’
école
, en homme plein de politesse et de bienveillance,
eurs camarades. Les premières paroles amicales qu’il reçut dans cette
école
lui furent adressées par Ducis, le neveu du poète
les élèves de David. On savait d’ailleurs qu’il devait entrer dans l’
école
, où l’on était disposé à le bien recevoir, et on
y regardait déjà comme admis. De temps en temps, les jeunes gens de l’
école
de David se cotisaient pour offrir un modeste rep
nneur qu’on lui avait fait, en le regardant comme faisant partie de l’
école
. L’apprenti peintre, tout vif et étourdi qu’il fû
ements étaient décorés des tableaux de plusieurs jeunes peintres de l’
école
nouvelle. Mais quelles pouvaient être la figure e
avid, des progrès que ce maître s’attendait à lui voir faire dans son
école
, des pièces nouvelles que l’on donnait au Théâtre
ujours des habitudes contraires que l’on prend ordinairement dans les
écoles
. Rarement Mme de Noailles se rendait à l’atelier
naissance et était même déjà lié avec la plupart des jeunes gens de l’
école
, en sorte que, lorsqu’il y entra la première fois
ansmis des détails sur la vie des peintres et sur l’histoire de leurs
écoles
ont omis de faire connaître certaines petites cir
rard date de 1795, et que l’époque vers laquelle Étienne est entrée l’
école
de David se rapporte à la fin de 1796 et au comme
rimée qu’on ne manquait jamais d’ajouter à son nom, selon l’usage des
écoles
, où l’on dit la vérité crûment. Mulard était un d
congé et venir chercher un asile dans l’atelier du restaurateur de l’
école
. En politique, la réaction contre le jacobinisme,
t une idée de la manière bruyante et dissipée dont on étudiait dans l’
école
de David, ainsi que dans toutes les autres d’aill
es élèves au milieu d’un tel désordre. Ordinairement quelqu’un de son
école
, ou même les élèves des autres maîtres établis da
ère conventionnelle que David reprochait non sans raison à la vieille
école
, ou à ceux des élèves qui en suivaient les princi
sage qui ne cessa que quand ces deux artistes ne fréquentèrent plus l’
école
. Quoi qu’il en soit, le respect que les élèves po
e peau neuve ! » C’est ainsi qu’il apostropha Granger, transfuge de l’
école
rivale de Regnault dans celle de David. « Voilà c
s un autre élève, mais poursuivant toujours son idée : « Une mauvaise
école
, dit-il, est comme une boutique de perruquier2, d
appelé par ses dispositions. Cet homme, depuis qu’il était entré à l’
école
de David, travaillait jour et nuit pour regagner
de modeler en terre et avait à cœur de former des statuaires dans son
école
. Sur soixante jeunes gens au moins qui étaient in
élèves de David, la moitié à peu près fréquentait habituellement son
école
. Jusqu’en 1800 environ, la rétribution du maître
s enrôlés au commencement de la révolution, fit peu de prosélytes à l’
école
. Une autre secte, qui par la suite mérita mieux c
lent faisait déjà remarquer et qui tenaient les premiers rangs dans l’
école
, depuis que Girodet, Gérard et Gros en étaient so
prit des autres, aussi devint-il bientôt un véritable sectaire dans l’
école
de David, qu’il abandonna enfin en entraînant ave
es vases dits étrusques. On sait ce qui arrive ordinairement dans une
école
, et que les opinions du maître, exagérées par ses
liens, y compris le plus célèbre même, étaient entachés des vices des
écoles
modernes ; qu’il était indispensable de s’absteni
dans ce qu’osa dire Maurice dans un lieu à peu près public tel que l’
école
de David, il faut se reporter à l’an 1797, alors
répandues d’ailleurs pendant la révolution, que parmi les élèves de l’
école
, si on ne regardait pas comme un crime de parler
’ailleurs tout l’entraînement généreux qui rend bon camarade dans une
école
, et ce qui achevait de le faire accueillir très-a
pour bien faire connaître tous les éléments dont se composait alors l’
école
de David. Mais l’âme de cette portion des élèves
d’Hautpoul qui, après avoir étudié pendant trois ans avec passion à l’
école
de David, prit tout à coup le parti des armes et
rite. Il n’en est pas ainsi d’un autre élève que David reçut dans son
école
à cette époque et qui non-seulement se fit distin
r le pinceau, lorsque David se chargea du soin de l’enseigner. Dans l’
école
, il était un des plus studieux, et cette disposit
ent de la course pour jouer et polissonner avec les rapins des autres
écoles
, dans les immenses corridors du Louvre. Parmi tou
ses adeptes, ne tardèrent pas à produire une anarchie complète dans l’
école
de David. Bientôt ce ne fut point assez pour Maur
remontant jusqu’à Phidias exclusivement, seraient soufferts dans les
écoles
, il n’y avait pas lieu d’espérer qu’aucune amélio
on constante au travail et le peu de temps d’ailleurs qu’il passa à l’
école
de David, portent à croire que les idées singuliè
rances, hélas ! après avoir gaspillé sa vie à Paris, a été fonder une
école
de dessin à la Havane, où il est mort malheureuse
arable de Vermay, car toutes les grandes espiègleries des élèves de l’
école
étaient combinées et dirigées par eux ; Poussin,
a musique au moyen âge, était alors élève de David et fréquentait son
école
. Népomucène Lemercier, le poëte, ainsi que Letron
ocation d’un élève de David, d’un âge déjà mûr lorsqu’il entra dans l’
école
, assez habile peintre, mais entraîné invincibleme
nt le goût des études classiques et même de l’érudition s’empara de l’
école
de David à cette époque. V. David jusqu’en 178
id à cette époque. V. David jusqu’en 1789. Dans l’histoire de l’
école
de David, il y a deux choses qu’il ne faut pas pe
élèves ont-ils cherché à établir un corps de doctrine pour fonder une
école
? Ces questions sont importantes, et la diversité
ecours d’une analyse approfondie des productions principales de cette
école
, et avant tout par l’examen de la première partie
exerçait déjà une influence salutaire sur les élèves réunis dans son
école
, et sur ceux même de l’Académie de peinture, dont
s l’année 1775 que Vien ayant été nommé académicien et directeur de l’
École
française à Rome proposa à son élève de l’accompa
sé par un exemple pour se soumettre à reconnaître la supériorité de l’
école
italienne sur l’école française. » L’exécution d
se soumettre à reconnaître la supériorité de l’école italienne sur l’
école
française. » L’exécution de cette copie de la Cè
jourd’hui de le confondre avec les productions dites académiques de l’
école
française, dont David s’est efforcé depuis de com
n excepte quelques restes de cette teinte jaunâtre et uniforme dont l’
école
française conservait si fidèlement la tradition d
rme que David cherchait toujours à introduire dans les habitudes de l’
école
française. La tête de Brutus est fidèlement copié
les traditions de l’ancien art italien étaient perdues ; celles de l’
école
des Carraches avaient été complétement épuisées,
nsultant avec sagacité leurs monuments littéraires. Si l’on excepte l’
école
des érudits de Florence, qui avaient entrepris l’
érite de David en présentant cet homme comme le seul réformateur de l’
école
de peinture en Europe, vers la fin du xviiie siè
quer et enseigner la peinture, et de déterminer le but que lui et son
école
se proposaient dans l’exercice de cet art. Cette
oix, un artiste peintre d’histoire, en remplacement du directeur de l’
école
de Rome, Ménageot, qui venait de donner sa démiss
ot, qui venait de donner sa démission. Or, la place de directeur de l’
école
de Rome était enviée par ceux même des académicie
après, il faisait d’abord supprimer officiellement le directeur de l’
école
de Rome, puis enfin l’académie elle-même. Les élè
ole de Rome, puis enfin l’académie elle-même. Les élèves français à l’
école
de Rome étaient, ainsi que leurs maîtres les acad
is sous la surveillance de l’agent de France ; que le régime de cette
école
serait changé, pour y substituer les principes de
lement d’objets de luxe et de frivolités ; il faut qu’il devienne une
école
importante, et à la vue des productions du génie,
onées, étaient détruites. Dès l’an III (5 pluviôse) on avait essayé l’
École
normale, au sein de laquelle devaient se former d
re, étudiait et commençait même à peindre dans l’atelier de Gérard. L’
école
de David, comme on l’a vu plus haut, était devenu
avenir immense, ce petit événement n’eut de retentissement que dans l’
école
du peintre David, qui se remit bientôt à travaill
prodigieusement et tout à coup l’influence de cette secte. Toutes les
écoles
tenues dans le Louvre s’en ressentirent, et celle
Trois ans auparavant, P. Guérin, élève de Regnault, chef de l’une des
écoles
rivales de celle de David, avait remporté le gran
e lui44. Naturellement les artistes qui n’aimaient point David et son
école
ne virent pas sans plaisir surgir un peintre dont
s que David employa à l’achever, eut pour effet d’introduire dans les
écoles
l’étude presque exclusive du nu, et de faire pren
osées d’après ce système. Bien plus, la Dispute du Saint-Sacrement, l’
École
d’Athènes, la Vierge aux poissons, la Vierge de F
s élèves à s’exercer eux-mêmes à la composition, il institua dans son
école
un concours mensuel. On choisissait cinq ou six s
de leurs mouvements que par les traits de leur visage. Les élèves des
écoles
de peinture se distinguaient entre tous, et dans
et la coupe se rapprochaient de celles de l’uniforme des élèves de l’
École
de Mars. Mais ce projet n’eut pas plus de succès
n civile ou des armées. Marmont et bien d’autres de nos camarades à l’
École
militaire m’ont vivement sollicité d’accepter que
nement, l’un de ses chefs-d’œuvre. IX. Élèves célèbres de David. —
Écoles
rivales. — 1805-1810. Depuis Poussin et Lesueu
e, puisqu’elle est le complément indispensable de l’histoire de cette
école
célèbre. De tous les disciples de David dont les
résolution française éclata en 1789, la plupart des pensionnaires à l’
école
de Rome y adhérèrent par leurs vœux, et quelques-
e usage plus tard. Confié ensuite aux soins de David, il fit dans son
école
des progrès rapides, et ne tarda pas à devenir un
its par sa manière, cherchaient à l’imiter, car il commençait à faire
école
. Souvent le maître, au milieu de ses disciples, f
uvrage par les amis et les élèves de Girodet, devenu alors chef d’une
école
, le tableau d’Ossian n’eut pas plus de succès aup
naturellement et de très-bonne heure. Il fréquenta successivement les
écoles
de Pajou, habile statuaire, de Brennet, peintre e
nombre des hommes appelés à soutenir et à augmenter la gloire de leur
école
. L’Endymion, cette composition gracieuse, avait p
coliques aux politesses que lui adressaient tous les jeunes gens de l’
école
nouvelle, dont au fond il redoutait le jugement.
ordre de Saint-Michel, membre de l’Institut de France, professeur à l’
École
royale des beaux-arts, membre de l’Institut de Ho
ec ses qualités solides, produirait un bon effet sur les travaux de l’
école
de Paris, où l’on négligeait trop le coloris. Gir
ita cette composition fut si générale, que les peintres de toutes les
écoles
en réputation alors se réunirent pour porter au L
nt pour objet le mérite du mort et la perte irréparable que faisait l’
école
dans un moment où elle avait besoin d’une main pu
in puissante qui la retint sur la pente où elle était entraînée par l’
école
dite romantique. Gérard, malgré la tristesse dont
itôt l’un de ses confrères, et que ne vous levez-vous pour remettre l’
école
dans la bonne voie, puisque David est exilé ? — C
altérée, non-seulement je n’ai point assez d’autorité pour diriger l’
école
, mais je dois m’accuser encore d’avoir été l’un d
alités si différentes de celles qui régnaient depuis dix ans dans les
écoles
de Paris, parurent tout à coup à un grand nombre
ès l’exil de son maître, et à la mort de Girodet, lorsque la nouvelle
école
, dite romantique, avait déjà fait des progrès si
urs si brillants de si gloire, et les succès menaçants de la nouvelle
école
romantique ; et enfin, ce qui n’est que trop cert
èves de David, furent aussi des rivaux pour leur maître. Deux chefs d’
écoles
, contemporains de David, Regnault60 et Vincent61,
t une flexibilité de pinceau qui feraient honneur à un bon élève de l’
école
des Carrache. Ces ouvrages furent loués comme ils
rvirent de titre à leur auteur pour entrer à l’Académie et ouvrir une
école
de peinture, mais ils n’exercèrent aucune influen
disputé les prix académiques à ceux plus nombreux qui sortaient de l’
école
de David. Mais de tous les soldats que Vincent a
devenues des conditions si impérieuses depuis que les doctrines de l’
école
de David avaient été généralement adoptées, que l
ne peut produire aucun mauvais effet aujourd’hui dans l’état où est l’
école
. Il se trompe, mais il n’est pas donné à tous de
chaient avec la teinte grisâtre et peu transparente des tableaux de l’
école
sévère. Il n’est pas jusqu’aux procédés matériels
ves habiles, aucun cependant n’a contribué à augmenter l’éclat de son
école
. Mais il n’en fut pas de même d’un peintre de la
, par ses élèves et ses imitateurs : c’est Pierre Guérin62, formé à l’
école
de Regnault. Lauréat à l’Académie en 1794, ce pei
de six ou sept années à sa gloire. Cependant, considéré comme chef d’
école
, et directeur de l’Académie de France à Rome, Gué
Robert, on la retrouve encore, quoique affaiblie, dans Guérin, dont l’
école
a produit Géricault, MM. P. Delaroche, E. Delacro
années précédentes par les artistes en renom, y compris le chef de l’
école
. Ce décret impérial qui agita vivement la républi
re connaître Vivant Denon, dont l’influence sur les vicissitudes de l’
école
pendant près de quatorze ans mérite d’être signal
r par ses ordres, n’ont été rien moins que favorables à l’avenir de l’
école
française. L’expérience aurait dû apprendre depui
des aigles, fut le premier présage de l’affaiblissement du chef de l’
école
. Si l’institution des prix décennaux ne put prend
rages d’art faits depuis 1800 jusqu’à 1810, décade pendant laquelle l’
école
française a donné les témoignages les plus éclata
endant la période de temps qu’il a employée à les faire que ce chef d’
école
a formé les meilleurs élèves. À l’exception de Gr
d’autres que nous avons déjà fait connaître. Ordinairement, dans les
écoles
, les plus jeunes élèves se font un point d’honneu
solution d’étudier la peinture chez David. Lorsqu’il entra dans cette
école
, il se ressentait encore des habitudes de sa prem
rés dans la vie commune, et complétement désabusés. Mais tandis que l’
école
de David réunissait une foule de jeunes gens dont
espèce, doués de plus ou moins de talent manuel, qui, en sortant de l’
école
de David, recueillirent les couronnes académiques
s, et qui préparèrent la réaction qui se manifesta plus tard contre l’
école
de David. Pour signaler cette décadence pédantesq
econnaissance pour son maître, porta cependant un coup terrible à son
école
. Avant de terminer les détails relatifs aux élève
s’est plu à consigner dans ce livre. Rien n’est si fréquent, dans les
écoles
, que de rencontrer des êtres organisés à demi, le
hute grave. Ceux qui ont passé leur jeunesse dans les collèges et les
écoles
savent que les camarades qui s’aiment et s’estime
ter à Étienne, en lui rappelant le temps où ils fréquentaient la même
école
, ces recueils de sentences sur le mépris de la vi
la puissance de Napoléon avait replacé dans le monde ; pour le chef d’
école
dont l’influence sur les artistes était une sorte
l’instant de son déjeuner, que ses élèves et les artistes des autres
écoles
étaient reçus par lui. Ordinairement on venait po
s à Paris, qui ne voyaient en lui que le grand artiste, le chef d’une
école
célèbre. L’année 1815 ne lui fut pas plus favorab
que des copies de ce tableau ne tarderont pas à être placées dans les
écoles
militaires ; elles rappelleront aux jeunes élèves
tre lorsque, après les avoir corrigés, il s’éloignait de l’atelier. L’
école
et les principes de David étaient presque univers
que universellement rejetés. XII. Temps d’exil. — Mort de David. —
École
nouvelle. — 1816-1825. Rien n’est plus dangere
s avantages et des honneurs dus à ce titre ; allez à Berlin créer une
école
de peinture, soyez-en le directeur ; la reconnais
aris, avec beaucoup d’autres tableaux du maître, fut pour la nouvelle
école
, qui allait renverser momentanément celle de Davi
t se sentant pressés, menacés même par l’assurance orgueilleuse d’une
école
nouvelle, ne se soient reproché intérieurement d’
ce des quarante ans de gloire et d’influence acquise par David et son
école
fut contestée, puis niée, et devint enfin un suje
ntiquité, ce n’était qu’un fanatisme au moyen duquel le maître et son
école
dissimulaient l’aridité de leur imagination et l’
’alors ne pénétraient pas le sens. De la critique du maître et de son
école
, ils remontaient à celle de leur doctrine et des
endance et impatients de l’augmenter encore, avancèrent que l’unité d’
école
, quel que fût son principe, était une donnée fâch
u assez d’influence sur la jeunesse qui menaçait depuis longtemps son
école
pour arrêter ou même pour tempérer la violence de
re de louanges, cet artiste a dû penser que sa gloire et celle de son
école
étaient demeurées intactes à Paris comme à Bruxel
d’avoir survécu à sa gloire. De tous les griefs imputés à David par l’
école
romantique, car tel fut le nom qu’elle se donna,
ins fondé est sans doute l’influence tyrannique reprochée à ce chef d’
école
. Si l’autorité qu’a pu prendre un artiste sur l’e
ui leur était propre et dans des genres souvent opposés, et enfin une
école
qui pendant quarante ans a donné une forte impuls
ieuse suffiraient pour constater l’importance qu’ont eue David et son
école
, si, comme on le verra, le mérite de trois de ses
convient à des moyens que Géricault avait empruntés aux peintres de l’
école
des Carraches et à quelques artistes français, à
nte des jeunes artistes qui voulaient détrôner David et renverser son
école
. On reprochait au peintre des Sabines le choix de
tre, il arriva que la Méduse de Géricault, mise en avant par la jeune
école
comme l’expression la plus nette et la plus énerg
ition à celle de David, on ne peut plus y voir qu’une rénovation de l’
école
et de la manière de Jouvenet, en sorte que l’on e
fin à l’époque où nous sommes arrivés, vers 1819, la révolte contre l’
école
de David fut encore excitée par une influence étr
de la peinture. C’est de cette époque à peu près que date la nouvelle
école
allemande dont Cornelius et Overbeck peuvent pass
eux archéologues. Enhardie par la tentative de Géricault, la nouvelle
école
de peinture, travaillée bientôt par la triple inf
ais d’accord au moins pour mettre l’antiquité hors de cause, la jeune
école
se sentit assez forte pour jeter définitivement l
nations septentrionales, devint l’artiste de prédilection de la jeune
école
française, qui, à l’instar des jeunes peintres al
e romantique en France, a reçu et transmis l’influence de la nouvelle
école
de Cornélius et d’Overbeck. D’un esprit plus témé
ur la toile par les mille et un imitateurs des trois peintres à qui l’
école
allemande, Byron ou Walter Scott avaient servi d’
l s’aperçut, vers 1824 et 1825, qu’en dernière analyse cette nouvelle
école
, qui promettait tant de variété dans ses producti
ble et le laid ; on rabattit un peu des espérances qu’avait données l’
école
romantique, et deux de ses chefs, MM. Delaroche e
que la partie était engagée parmi les jeunes peintres de la nouvelle
école
, lorsque les ouvrages d’un élève de David, qui, s
attention de tous les spectateurs quels que fussent leur goût et leur
école
. Les sujets n’étaient que des scènes familières e
et des formes, et par une certaine pureté de dessin qui trahissait l’
école
où le peintre avait été enseigné. M. V. Schnetz,
Ingres, destiné par le sort à rester le dernier rejeton brillant de l’
école
de David, y était entré fort jeune, en 1796, et s
dans ses doctrines et sa manière, que cette espèce d’épuisement de l’
école
dite classique, combiné avec le renouvellement co
l’énergie, la pureté et le bon goût de l’exécution, toute la nouvelle
école
applaudit au talent de M. Ingres, et ce que Girod
surmonter : c’était la répugnance, poussée jusqu’au fanatisme, que l’
école
romantique exprimait sans cesse pour l’antiquité
héose d’Homère marque la limite où s’arrête pour nous l’histoire de l’
école
de David. Par ce grand et bel ouvrage, M. Ingres
même les leçons. Voilà soixante-quatorze ans que l’influence de cette
école
règne (1780-1854) en France, et c’est M. Ingres q
disposition, qu’après avoir suivi assez longtemps les principes de l’
école
académique, au sein de laquelle il avait été élev
t reçu au Salon de 1785, et comment, à partir de ce moment, David fit
école
. Deux ans après (1787) paraissait la Mort de Socr
la première manière de David. On n’y trouve plus trace de la vieille
école
académique ; mais l’œil exercé du connaisseur peu
ite et sa gloire, car il a droit à une place très-élevée comme chef d’
école
. A cet égard on ne peut mieux résumer ses titres
mment de Chaudet et Dejoux, qui le consultaient souvent, c’est de son
école
que sont sortis plusieurs sculpteurs habiles, ent
u jour où ce livre est publié (1854), M. Schnetz étant directeur de l’
école
de France à Rome, et M. Ingres exerçant son art à
lé soixante-cinq années, pendant lesquelles les grands principes de l’
école
de David ont été observés sans interruption, malg
système vicieux d’imitation suivi en Europe depuis la décadence de l’
école
des Carraches jusqu’aux faibles successeurs de C.
personne ne faisait plus avant lui, il y a soixante ans. Comme chef d’
école
, il doit donc être placé au rang des grands maîtr
ue par son goût et ses instincts, qui étaient élevés, fit prendre à l’
école
française la fausse route ouverte par Carle Marot
de plus exacte et plus profonde de l’art des anciens, à l’instar de l’
école
grecque, il mit toute son application à chercher
pté, selon toute apparence, au nombre des premiers chefs-d’œuvre de l’
école
française. Liste des élèves de Louis David, de
pléter autant qu’il est possible ce qui se rattache à l’histoire de l’
école
de David, et en particulier à celle de la secte d
souffrir que l’on exerçât de pareilles critiques contre lui, dans son
école
même. Sans faire d’éclat, il trouva moyen de donn
contre l’usage de tous les penseurs et primitifs, ses imitateurs. À l’
école
de David, il a fait une assez grande quantité d’é
religieusement la cathédrale de Cologne, les peintures de la première
école
allemande et les vignettes des plus anciens manus
ntemplation, d’une vie intérieure toute spiritualisme, imposèrent à l’
école
entière (je ne crois pas exagérer ce sentiment) u
? Ch. NODIER. 1. Poser le modèle, expression consacrée dans les
écoles
de peinture. Dans celle de David, on posait le mo
ant fait d’espiègleries et de tapage, que David l’avait chassé de son
école
. Il l’y reçut de nouveau par l’intervention d’Éti
. 53. L’Hippocrate était destiné à M. Triozon, qui en a fait don à l’
École
de médecine. 54. Alors directeur de l’Académie d
d, neveu de Mme Récamier, fait partie aujourd’hui du musée du Louvre,
école
française. 58. Quatorze ans avant que Gros se fi
convient le mieux aux sujets nationaux ; ses défauts sont ceux de son
école
, et son école n’aura pas son génie ; accoutumée à
eux aux sujets nationaux ; ses défauts sont ceux de son école, et son
école
n’aura pas son génie ; accoutumée à ne chercher q
Introduction L’
école
du « document humain » Vers le milieu du siècle
le mieux et le plus significativement le mode nouveau de travail de l’
école
qui a succédé au romantisme : l’école du document
le mode nouveau de travail de l’école qui a succédé au romantisme : l’
école
du document humain » 3. Ce désir du vrai avait dé
ment les termes. Puisque, dirons-nous donc, la technique de toute une
école
littéraire s’est réclamée des « libertés et des f
placé à la science médicale d’apprécier la mesure dans laquelle cette
école
a tenu ses promesses, compris ses devoirs profess
vons donc point voulu faire de cette étude un répertoire médical de l’
école
naturaliste et prétendre en détailler — à titre d
et organisateurs de cette philosophie ont disparu, que de nombreuses
écoles
se sont élevées en dehors d’elle, que l’opinion e
e de fanatisme en sens inverse qui éclate aujourd’hui dans les jeunes
écoles
matérialistes. L’intolérance athée est la plus ab
affranchie de la Sorbonne pour se soumettre au joug de telle ou telle
école
. Nous protestons contre l’orthodoxie aveugle de l
ce et d’aveuglement fanatique qui se rencontre dans les bas-fonds des
écoles
nouvelles, il faut reconnaître que tout grand mou
se compléter, il faut qu’elle s’assimile ce qu’il y a de bon dans les
écoles
adverses, il faut qu’elle ne craigne pas trop une
r ces éléments divers, on verrait que, malgré le préjugé contraire, l’
école
spiritualiste est encore la plus active, la plus
lus active, la plus féconde, et je dirai même la plus progressive des
écoles
contemporaines. Tandis que nous marchons et que n
ant avec une haute impartialité les services rendus par les nouvelles
écoles
, il montre que toutes, même les plus hostiles, qu
haînons entre ce qui tombe et ce qui s’élève ; mais qu’importe qu’une
école
périsse, si l’idée qui repose en elle renaît plus
e tarderont pas à l’être : M. Lachelier, qui professe avec succès à l’
École
normale ; M. Fouillée, dont l’Académie des scienc
Le Comte Walewski. L’
École
du Monde39 1er février 1840. Il est fort ques
après une dédicace à Victor Hugo ; car elle est cavalière et de cette
école
autocratique, avec un certain parfum singulier d’
ux bravo, sera celle qui n’inquiétera jamais sa gloire. L’auteur de l’
École
du Monde, de cette pièce si usagée, en est-il don
ainsi ; celui des gens du monde l’est tout autrement. La comédie de L’
École
du Monde est assez agréable à la lecture ; elle n
ontesté la réalité de ce grand beau monde, comme dans sa lettre sur l’
École
des Journalistes, il avait contesté la réalité du
Revue de Buloz, critiqué — oui, critiqué de ma plume sa comédie de l’
École
du Monde ! De plus, j’ai quitté le Moniteur pour
is ce ne sont point des titres à être un bon recommandeur. » 40. L’
École
du Monde ou la Coquette sans le savoir, comédie e
en rhétorique, et les deux seconds prix en philosophie. Il entra à l’
École
normale en 1848, le premier de sa promotion ; M.
ent un moment dans le cercle des trois années d’études que comprend l’
École
. M. Taine pourrait seul raconter tout ce que lui
vèrent moyen de faire tenir en ces trois ans. On jouissait alors, à l’
École
, d’une grande liberté pour l’ordre et le détail d
is (de la Loire-Inférieure), directeur en chef et administrateur de l’
École
, M. Va-cherot, directeur plus spécial des études
nt aussitôt sentir : on n’est pas impunément élevé dans les cris de l’
École
; on y prend le goût de l’hyperbole, comme disait
t plus d’honneur à la sévérité de ses origines. Lorsqu’il sortit de l’
École
, en 1851, de grands changements pourtant, et qui
l’autre ; on entrait en pleine réaction. Un honorable directeur de l’
École
, M. Michelle, était occupé à apaiser, à éteindre
qui a manqué à tous les demi-savants, si distingués d’ailleurs, de l’
école
éclectique. Il se mit donc, durant trois années,
pourtant qu’il n’aurait voulu), et à suivre assidûment les cours de l’
École
de médecine, en y joignant ceux du Muséum17. A ce
assez vu les hommes eux-mêmes des diverses générations, des diverses
écoles
et des régimes contraires, et ne s’est pas rendu
s plus vives. Lorsqu’au sortir de cette fournaise intellectuelle de l’
École
normale il retournait dans ses Ardennes en automn
ces froides années, — l’israélite Bréal, l’ingénieux mythologue de l’
école
de Renan ; le protestant George Perrot, savant ar
à l’Appendice, à la fin du volume, une lettre d’un ancien élève sur l’
École
normale de ce temps ; j’aime à noter et à recueil
rigue. — L’Étourdi. — § III. La comédie de caractère et de mœurs. — L’
École
des maris. — L’École des femmes. — § IV. La haute
§ III. La comédie de caractère et de mœurs. — L’École des maris. — L’
École
des femmes. — § IV. La haute comédie. — Le Misant
te. Le Menteur nous met bien loin de Mélite, et nous fait toucher à l’
École
des maris. Le Menteur. C’est encore le théât
issait de peindre. C’est là ce que fit Molière. Sa cinquième pièce, l’
École
des maris, donnait à la France la comédie. §
comédie durable48. § III. La comédie de caractère et de mœurs. — L’
École
des maris. — L’École des femmes. Le second pas
§ III. La comédie de caractère et de mœurs. — L’École des maris. — L’
École
des femmes. Le second pas de ce géant le mène
ttaché aux travers n’est jamais assez dur pour nous en corriger. L’
École
des maris. L’École des maris, représentée en
t jamais assez dur pour nous en corriger. L’École des maris. L’
École
des maris, représentée en 1661, marque ce grand c
Sganarelle est le vrai père d’Isabelle ; de même qu’Arnolphe, dans l’
École
des femmes, en voulant faire d’Agnès une sotte, e
ur qu’elles savent y garder, et par le mariage qui est au bout. L’
École
des femmes. Arnolphe, c’est le Sganarelle de b
r une fille d’esprit, choisit une ingénue pour duper Arnolphe. Dans l’
École
des femmes, comme dans l’École des maris, chaque
ne ingénue pour duper Arnolphe. Dans l’École des femmes, comme dans l’
École
des maris, chaque situation est l’effet du caract
e impertinence. La Dorine du Tartuffe en est le type. Lisette, dans l’
École
des maris, et cet honnête couple auquel Arnolphe
dans ces chefs-d’œuvre de la comédie de caractère. Le dénoûment de l’
École
des femmes ne sort pas naturellement des caractèr
dans l’action, y sont trop nombreux. On en compte jusqu’à huit dans l’
École
des femmes ; et quoique chacun soit un pas vers l
opulaire. Molière, en créant la chose, a donné l’idée du mot. Après l’
École
des maris, après l’École des femmes, que restait-
ant la chose, a donné l’idée du mot. Après l’École des maris, après l’
École
des femmes, que restait-il à faire à la comédie d
rme plaisante. Plus d’un homme de goût, tout en battant des mains à l’
École
des maris, demandait à Molière le Misanthrope et
ir qu’aux ouvrages légers ? S’il se résigna enfin à faire mieux que l’
École
des maris, remercions-en Boileau, qui eut plus d’
eilles, n’eut plus que Boileau le secret. Moins de quatre ans après l’
École
des femmes, Molière avait écrit le Tartufe et le
de la peinture certaines têtes de Raphaël, qui, selon les termes do l’
école
, sont faites avec rien. Quand le plus habile copi
son chef-d’œuvre en prose ; dans l’Amphitryon, qui est écrit comme l’
École
des maris ; dans ces impromptus d’un homme qui, l
n art. On reconnaissait Molière, même de son temps, dans Ariste, de l’
École
des maris, Ariste, homme déjà mûr, qui doit épous
indulgent jusqu’à la faiblesse. Le contraste est plus piquant dans l’
École
des maris. Déméa, qui est fort en colère, mais qu
ravaillé. Ce petit enfant, qui sera un grand ministre, va d’abord à l’
école
communale de la rue du Pot-de-Fer. En même temps
e national s’en va au collège Louis-le-Grand faire ses compositions d’
École
normale. Il s’était dit : « Professeur ou soldat
male. Il s’était dit : « Professeur ou soldat ! Si je suis refusé à l’
École
, je m’engage dans l’armée d’Afrique. » Il ne fut
ldat. Deux de ses fils devaient l’être pour lui. Entré le dernier à l’
École
normale, il en sortit, en septembre 1833, premier
deux. En février 1861, M. Duruy était nommé maître de conférences à l’
École
normale et inspecteur de l’Académie de Paris ; en
des capacités peuvent encore se réjouir en voyant la faiblesse de nos
écoles
primaires. » — Et c’est pourquoi il posa tout au
lus de six mille communes à voter la gratuité absolue, créa dix mille
écoles
nouvelles ; fonda les cours d’adultes, les biblio
fonda les cours d’adultes, les bibliothèques scolaires, la caisse des
écoles
; réforma les études dans les écoles normales d’i
thèques scolaires, la caisse des écoles ; réforma les études dans les
écoles
normales d’instituteurs ; essaya d’accommoder l’e
lieux et aux régions ; introduisit des notions industrielles dans les
écoles
de villes, agricoles dans les écoles de campagne
s notions industrielles dans les écoles de villes, agricoles dans les
écoles
de campagne ; mit un peu de maternité dans les sa
l fit tout ce qu’il put : mais assurément il fit beaucoup en créant l’
École
pratique des hautes études, si féconde et si vite
colier. Jamais il ne troubla par une taquinerie la vie religieuse des
écoles
, où l’on apprenait encore, de son temps, le catéc
a mort : « Il y a plus d’un demi-siècle, élève de troisième année à l’
École
normale, j’avais, avec l’ambition ordinaire à cet
choses. De là une intolérance naturelle qui fait que chaque nouvelle
école
, se croyant en possession de la vérité absolue, c
e la vérité absolue, chasse et extermine autant qu’il est en elle les
écoles
antérieures, excommunie même les écoles rivales :
autant qu’il est en elle les écoles antérieures, excommunie même les
écoles
rivales : chacune recommence éternellement la phi
’avait été à l’égard de la philosophie ancienne. La timide et modeste
école
écossaise elle-même manifeste un égal dédain à l’
és partielles sont le gain le plus solide et le meilleur héritage des
écoles
et des systèmes. Le doute méthodique de Descartes
ents moraux ont été analysés par les Écossais d’une manière que toute
école
peut admettre ; ainsi de la méthode inductive dan
perpétuelle, perennis philosophia. Elle démontre que dans toutes les
écoles
, même les moins bonnes, il y a quelque chose à em
a quelque chose à emprunter, car il est difficile d’admettre que des
écoles
sérieuses puissent avoir eu des sectateurs et dur
évoltes et les coups d’État, les anarchies et les dictatures (car les
écoles
passent par les mêmes crises que les États), ce t
indépendantes du système lui-même, et qui sont bonnes pour toutes les
écoles
: ces vérités courent plus risque de se perdre en
cela peut s’appliquer à quelque jeune téméraire sorti des bancs de l’
école
; mais j’avoue que j’ai bien de la peine à expliq
reproche précisément aujourd’hui, avec la même violence, à l’ancienne
école
éclectique, devenue l’école spiritualiste, c’est
’hui, avec la même violence, à l’ancienne école éclectique, devenue l’
école
spiritualiste, c’est au contraire un certain excè
’orgueil, d’ignorer ce qu’ils savent ; ils s’instruisent à toutes les
écoles
, demandent des lumières à leurs adversaires autan
phie dans le sens purement moderne, comme l’a entendu, par exemple, l’
école
de M. Cousin, c’est-à-dire une école qui dans ses
omme l’a entendu, par exemple, l’école de M. Cousin, c’est-à-dire une
école
qui dans ses analyses intellectuelles est restée
cours sur l’histoire universelle, après avoir énuméré les principales
écoles
philosophiques de la Grèce, celles de Platon, d’A
e un reproche aux jeunes gens de 1813, à ceux qui entrèrent alors à l’
École
normale, que M. Mûtnet a appelé un vrai séminaire
aisonnable et mieux démontré. On ne sait pas bien l’histoire de notre
école
éclectique moderne. Quand il y a eu un éclat inté
is de le lui représenter. Mais c’est qu’autrefois, dans une leçon à l’
École
normale, vers le temps où M. Royer-Collard cessa
avait fait verser. De loin tout cela s’efface, quand il y a un chef d’
école
, actif, entreprenant, et qui, amoureux du gouvern
n ne peut saisir son caractère distinctif entre les hommes de la même
école
? Pourquoi M. Mignet n’en a point parlé, ne le co
eunesse qui est survenue depuis, et qui, chaque année, se versait des
écoles
dans la société, n’a plus trouvé, à son entrée, d
sympathique et indulgente. Ce n’était plus le jeune enthousiaste de l’
École
normale, rompant douloureusement avec le Dieu de
y a longtemps que je l’ai été ! » — Un jour que M. Cousin allait à l’
École
normale présider une conférence, voulant exprimer
remond ; mais ces allures servent beaucoup quand on prétend faire une
école
de philosophie et qu’on en met l’enseigne : dès q
istrature au Journal des Débats ; qui y a défendu les traditions de l’
École
de David contre toutes les tentatives d’innovatio
tistes, celui du dictateur suprême, il ambitionnait d’entrer dans son
École
, de travailler dans son atelier. Ce bonheur, tant
oute sa carrière. Critique d’art, M. Delécluze ; qui va entrer dans l’
École
de David et y travailler longtemps aura en peintu
nées s’écoulent, que de nouveaux courants s’élèvent dans l’air, que l’
École
de David, en se prolongeant, se fige comme toutes
ir, que l’École de David, en se prolongeant, se fige comme toutes les
écoles
, qu’elle ait besoin d’être secouée, refondue, ren
autrement dit l’atelier des Horaces, et comme dans le vestibule de l’
École
de David. ; le second chapitre nous fait franchir
dessin à la plume de l’atelier du maître21. Delécluze n’est pas de l’
école
dont il croit être et dont il a été beaucoup trop
peu grasse23. Il n’a rien fait de mieux. Il n’est pas un peintre de l’
école
de David, il n’est pas un élève de la race de Dav
e Directoire et le mélange alors avait un caractère particulier : les
écoles
, comme la société, offraient de violents contrast
t. Le sentiment moral ici approche du talent. 18. Louis David, son
École
et son Temps, Souvenirs par M. E.-J. Delécluze ;
s le même journal (5 octobre 1855), à la peinture d’Overbeck et à son
école
, il concluait ainsi : « L’école allemande moderne
5), à la peinture d’Overbeck et à son école, il concluait ainsi : « L’
école
allemande moderne, ainsi que l’ancienne, n’a donc
se font sentir dans ceux de Raphaël et du Poussin. Les tableaux de l’
école
lombarde sont admirez, bien que les peintres s’y
tombent d’accord qu’il manque une grande beauté aux tableaux de cette
école
, et que ceux du Titien, par exemple, seroient enc
des sujets touchans, et s’il eut joint plus souvent les talens de son
école
aux talens de l’école romaine. Le tableau de ce g
t s’il eut joint plus souvent les talens de son école aux talens de l’
école
romaine. Le tableau de ce grand peintre qui répre
ependant de l’aveu du cavalier Ridolfi, l’historien des peintres de l’
école
de Venise, c’est celui qui est le plus connu et l
ner. De ces tentatives sont nées une science nouvelle et une nouvelle
école
: la science a reçu le nom assez mal choisi d’Est
école : la science a reçu le nom assez mal choisi d’Esthétique11 ; l’
école
, plus malheureuse encore dans sa dénomination, s’
t aux principes élevés de sa philosophie, et jeté ainsi, en face de l’
école
empirique et réaliste d’Aristote, les bases d’une
dées sur la sensation pure. Elle s’en détachait avec prudence par son
école
écossaise. Aux disciples de Locke, à Hume, à Shaf
e croyez pas que de telles considérations soient de vaines arguties d’
école
, indifférentes aux destinées réelles de l’art et
our l’art, mais l’art pour le beau, l’art pour le sublime20. La jeune
école
littéraire devait confondre bientôt le pathétique
vue incomplète du philosophe la source possible d’une des fautes de l’
école
romantique ? ouvrez encore le Cours de 1818 ; dem
usin, l’un de ses élèves, Th. Jouffroy, répétiteur de philosophie à l’
École
normale, est contraint, par la fermeture de cette
ité des principes, avec toute la netteté de la démonstration, entre l’
école
de l’idéal qui efface la forme, et l’école du rée
la démonstration, entre l’école de l’idéal qui efface la forme, et l’
école
du réel qui l’exagère. En un mot, du haut de leur
ande bataille littéraire dont le bruit commençait à leurs pieds. L’
école
romantique Il n’est ni dans mon sujet ni dans
res souvent admirables qu’elle a produites, les colères de la vieille
école
, l’enivrement superbe de celle qui fut nouvelle,
ritier naturel de l’exagération, c’est le bon sens. L’idée juste de l’
école
moderne avait été posée en silence par les philos
ur. La réforme littéraire était faite : il restait à la proclamer ; l’
école
romantique fut la fanfare. Mettons en regard l’un
e bien grands hommes ! La langue française a été trop clarifiée par l’
école
de Voltaire ; « on l’a gênée et appauvrie depuis
oul is fair. Chose étrange et pourtant vraie, le vice originel de l’
école
romantique ce fut de rester attachée au principe
xviiie siècle, semblait vouée à l’imitation et à la médiocrité : une
école
de théoriciens se forme au pied des Alpes37, et b
itivæ . 12. Le Phèdre, le Philèbe, le Banquet, l’Hippias. 13. Cette
école
fut continuée par Plotin, Cicéron, saint Augustin
ntinuée par Plotin, Cicéron, saint Augustin, Boèce. 14. La première
école
esthétique de l’Allemagne (Baumgarten, Meiers, Me
Krug, Fries, Maimon, Schiller ne firent que marcher sur ses traces. L’
école
de Schelling (ce philosophe, pas plus que Fichte,
té et ouvrit à la fantaisie indéterminée une trop libre carrière. À l’
école
de Schelling se rattachent Herder, les frères Sch
ur des rivales plus jeunes et plus brillantes ; elle est renvoyée aux
écoles
et abandonnée aux savants. Tel a été le sort de l
ons qu’ils n’ont point connues, ce qui a été quelquefois le tort de l’
école
française. Le second défaut de cette méthode, avo
on des doctrines, de l’autre la discussion et la critique, toutes les
écoles
pourraient à la rigueur avoir une même histoire d
n des textes, la détermination précise des vrais caractères de chaque
école
, une intelligence de plus en plus exacte des théo
ences historiques. Un illustre érudit du xviiie siècle, le chef de l’
école
de Leyde, Tibère Hemsterhuys, se plaignait que de
e tout entière, en revanche nous avons sur presque toutes les grandes
écoles
philosophiques des travaux étendus et approfondis
ntants. Par ses travaux sur Proclus et sur Olympiodore, il a révélé l’
école
presque inconnue du néoplatonisme d’Alexandrie ;
rit sur la philosophie moderne, ses livres sur Locke, sur Kant, sur l’
école
écossaise, qui sont des travaux de controverse ph
’en ont pas moins contribué à répandre parmi nous la connaissance des
écoles
modernes. Pour achever de rappeler tout ce que M.
sai sur la Métaphysique d’Aristote, de M. Ravaisson ; l’Histoire de l’
Ecole
d’Alexandrie, de M. Vacherot ; la Kabbale, de M.
e vie ; mais maintenant que les sources sont connues, que les grandes
écoles
ont été approfondies, une multitude de points par
e. On y saisit bien à son point de départ et à son origine la moderne
école
philosophique qui est devenue plus tard l’éclecti
lté des Lettres, prit position sur une question très-particulière à l’
école
écossaise, et il en tira parti pour renouveler l’
a fait fortune avec les années, et son nom est devenu celui même de l’
école
philosophique moderne. J’ai paru regretter précéd
roduit de positifs et féconds résultats. L’antiquité dans ses grandes
écoles
, le Moyen-Age et la Scolastique, la Renaissance e
ier siècle, mais avec des préventions exclusives dans les différentes
écoles
qui s’étaient alors partagé l’Angleterre, la Fran
usin commença de l’appliquer dans toute son étendue aux trois grandes
écoles
du xviiie siècle, aux Écossais, à Condillac, à K
ent purgés de quelques expressions trop spéciales, et qui sentaient l’
école
. Les premiers Fragments philosophiques n’étaient
représenté dans ces expositions premières ; je ne sais quel mélange d’
école
y nuisait. La publication présente a des portions
ans les jours laborieux d’alors, maintinrent à eux trois, au cœur des
écoles
, l’indépendance et la dignité de la pensée, il en
rraient bien tenir en grande partie au caractère qu’avaient alors les
écoles
. La lenteur que les esprits mettent à faire des a
le style et la composition littéraire souffrirent des habitudes de l’
École
. L’Université enseignait à parler, fort peu à écr
der ce qui se passa quand ce même moyen âge fut à l’agonie. Collèges,
écoles
, universités même ont toujours eu la fonction de
e la Renaissance, les écrivains travaillèrent ainsi à faire avancer l’
école
qui demeurait attardée et embourbée. Clément Maro
de ressemblance, ont des physionomies distinctes. Au xixe siècle, l’
École
normale supérieure et l’École des Chartes n’ont c
ionomies distinctes. Au xixe siècle, l’École normale supérieure et l’
École
des Chartes n’ont certes pas imprimé à ceux qui o
ome. Mably écrit153 : « L’histoire de ces deux peuples est une grande
école
de morale et de politique. » Rollin dit à son tou
er. Ecoutez l’un d’entre eux161 : « On nous élevait, dit-il, dans les
écoles
de Rome et d’Athènes et dans la fierté de la Répu
pes par lesquelles le français, relégué d’abord avec mépris hors de l’
école
, finit par y pénétrer en vainqueur. L’Oratoire co
risée Chapelain, Cotin et les autres petits grands hommes de la même
école
, l’Académie garde tant qu’elle peut son admiratio
jour. Il est permis de dire que c’est un symptôme inquiétant pour une
école
littéraire, quand ses représentants les plus sail
à ces réunions éphémères qui sous des noms divers, pléiade, cénacle,
école
, ne sont pas moins dignes d’être regardées de prè
nt pas moins dignes d’être regardées de près. §3. Les cénacles, les
écoles
littéraires pourraient être définis : le contrair
e temps. On peut aisément calculer l’écart qui les sépare. Toutes les
écoles
littéraires qui se succèdent ont, malgré la diver
s ces vieilleries qui ne meurent pas assez vite. On l’a dit, pour une
école
littéraire « l’insurrection est le plus saint des
, il valait mieux effacer le tout. C’était l’avènement d’une nouvelle
école
. C’était le déblayage obligatoire que les dernier
n possession de la faveur générale. Il a fait une guerre acharnée à l’
école
précieuse ; il a criblé de railleries Chapelain,
d’être pédant, s’est plu à multiplier les théories sur l’art. Chaque
école
a pris soin de condenser en corps de doctrines se
illusionisme, etc., ont pullulé avec surabondance. Or, chacune de ces
écoles
aux drapeaux si divers a débuté par accabler cell
. George Sand est foulée aux pieds par M. Zola. Pour les adeptes de l’
école
du vrai à tout prix, dire d’un roman qu’il est ro
la pensée son allure franche et digne. Péril plus grave encore ! Une
école
littéraire, comme toute école, contient beaucoup
et digne. Péril plus grave encore ! Une école littéraire, comme toute
école
, contient beaucoup d’écoliers pour un maître, ou,
s pour redevenir eux-mêmes ! En dirai-je davantage ? A quoi bon ? Les
écoles
littéraires se recommandent à l’historien par leu
ir d’un profond et nouveau sommeil. On nous a habitués à considérer l’
École
Parnassienne — disons plus familièrement le Parna
e — de même que nous dirons tout à l’heure le Symbolisme au lieu de l’
École
Symboliste — comme une réaction contre le Romanti
ce. Grâce à eux, par eux et en eux, le Romantisme évita le déclin des
écoles
vieillies et énervées. Ce furent de bons fils, ca
oque dont je parle, fut d’avoir voulu être exclusif. Oui, vraiment, l’
École
des Romanciers naturalistes de 1875 manqua de rés
rtaine injustice juvénile qui lui fit répudier trop catégoriquement l’
École
précédente. Le réel mérite des poètes parnassiens
ité relative à une célébrité universelle et à la situation de chefs d’
école
qu’ils occupèrent l’un et l’autre. Non. Une génér
ouveau serait forcément stérile. De siècle en siècle, d’âge en âge, d’
école
en école, on a cherché, comme dit Gautier, à recu
rait forcément stérile. De siècle en siècle, d’âge en âge, d’école en
école
, on a cherché, comme dit Gautier, à reculer les b
e dans l’artifice démodé et l’obstination stérile. Si les Poètes de l’
École
Décadente en étaient restés à ces premières excen
t subtile, mais de la ramener à son devoir éternel ; c’est pourquoi l’
École
Décadente prit peu à peu une importance qu’on peu
physique de la plupart des esprits de la génération qui composèrent l’
École
Symboliste. C’est cet idéalisme que nous trouvons
stes que j’ai déjà signalées et qui sont un des traits marquants de l’
école
actuelle. Il semble que ce mot d’École soit en co
t un des traits marquants de l’école actuelle. Il semble que ce mot d’
École
soit en contradiction avec ce goût d’individualis
dividualisme que j’ai relevé aussi chez nos poètes. En effet, qui dit
école
dit communauté de but et de moyens. À ce compte,
M. de Tocqueville aborda la science politique, un très-grand nombre d’
écoles
ou plutôt de partis contraires et hostiles se par
ut d’abord par son désintéressement et sa neutralité entre toutes ces
écoles
opposées. Nulle part il n’en gage de polémique co
ces propositions, M. de Tocqueville les entend différemment. Ce que l’
école
libérale appelait le despotisme de la démocratie,
manqué d’adversaires, mais elle les avait jusque-là rencontrés dans l’
école
aristocratique. Au contraire, l’école démocratiqu
ait jusque-là rencontrés dans l’école aristocratique. Au contraire, l’
école
démocratique et libérale lui était très-favorable
c’est ce qu’il est facile d’expliquer. Comme le débat entre les deux
écoles
portait sur la révolution et ses conquêtes, ceux
ses et en même temps pour limites toutes les libertés. Tandis que les
écoles
politiques de son époque combattaient pour ou con
Les institutions communales, disait-il, sont à la liberté ce que les
écoles
primaires sont à la science : elles la mettent à
étés démocratiques, c’est encore la liberté politique. Tandis que les
écoles
démocratiques et humanitaires s’enivraient elles-
semblait être l’œuvre isolée d’un penseur. Aujourd’hui il a formé une
école
. Parmi les écrivains qui depuis une vingtaine d’a
de l’État et même contre la toute-puissance des masses, si chère à l’
école
humanitaire. Le double avertissement du socialism
rquable de philosophie politique6. Ce cri d’alarme indique bien que l’
école
démocratique elle-même est aujourd’hui ébranlée d
enquête auprès des maîtres du vers, auprès des chefs des différentes
écoles
, et partout, académiques, romantiques, indépendan
s d’Adam de Saint-Victor, requiert la rime, et riche ; une précédente
école
, celle de Notker, se contentait de l’assonance. L
dans l’ancienne prosodie, aérée en tout cas. De même, en peinture, l’
école
du Pointillé, n’a pu disqualifier les autres faço
umblement scientifique, n’a pas été admis sans doute par les récentes
écoles
de poésie, car elles n’ont pas même daigné discut
uteur de Mireille est un poète. Voyez cependant les poètes, ceux de l’
école
romantique, si vous voulez. En ont-ils fait rimer
écadents, les trouvez-vous raisonnables ? — Ah ! oui, la question des
écoles
! Eh ! bien, connais pas ! Il y a pour moi deux s
e poètes : ceux qui ont du talent et ceux qui n’en ont pas. Quant aux
écoles
, je m’en fiche comme d’un syndicat de garanties.
, Retté, Moréas, Tailhade et quelques autres sont ou ne sont pas de l’
école
nouvelle ; je les ai lus, je sais qu’ils m’ont ém
a. — Peste, quelle mélancolie ! — Un original de talent, le chef de l’
école
des Magnifiques — encore une école ! — Saint-Pol-
n original de talent, le chef de l’école des Magnifiques — encore une
école
! — Saint-Pol-Roux, m’appelait un jour le bon vie
quêteur : (Il tousse légèrement et, lentement, prononce :) Quant aux
Écoles
, ne pourrait-on pas dire qu’elles ne font que des
as, l’un des chefs du Symbolisme de la jeunesse contemporaine (et des
Écoles
) ? Sa silhouette de reître et de Palikare parisia
né, Ériphyle, etc. Voici donc la lettre que nous adresse le chef de l’
École
Romane, cette école qui veut, par des archaïsmes
oici donc la lettre que nous adresse le chef de l’École Romane, cette
école
qui veut, par des archaïsmes de forme, de mots et
instant à quelques personnes d’un goût bizarre. Ainsi, les nouvelles
écoles
poétiques sont-elles, en effet, susceptibles de r
’œuvre poétique. Il me paraît que dans ce qu’on appelle les nouvelles
écoles
, lesquelles, soit dit en passant, n’ont rien réno
uci de clarté, de pureté et de calme, chose plutôt rare en les jeunes
écoles
. L’Arone, en Languedoc. Monsieur et cher confrè
tes l’honneur de me consulter, je vous parlerai, si vous voulez, de l’
École
Romane plus spécialement ; et ce sera une sorte d
ue M. Moréas, se séparant ouvertement de ses anciens amis, institua l’
École
Romane. Je sais combien on a abusé de ce mot d’Éc
amis, institua l’École Romane. Je sais combien on a abusé de ce mot d’
École
, qui fournit toujours aisément de quoi rire à que
’exerce aux arts et aux lettres, ils se sont naturellement groupés en
Écoles
. (Et, fort brillamment, M. de La Tailhède fait l’
coles. (Et, fort brillamment, M. de La Tailhède fait l’historique des
écoles
poétiques, de Ronsard au parnassisme et au symbol
isme et au symbolisme, gardant toute son admiration pour la véritable
école
de bonne poésie, celle qui avait pour disciples L
art comme d’ailleurs en philosophie et en tout le reste, il n’y a qu’
École
; et quant à ceux qui se donnent le titre d’indiv
te qu’ils ont de ne pas être le premier de la leur. Mais revenons à l’
École
Romane. Elle dit : 1º Que depuis la Renaissance l
nous sauver de la barbarie. Tels sont, en résumé, les principes de l’
École
Romane, et les écrivains qui la composent les ont
et autres soi-disant novateurs, les Parnassiens et la queue de cette
École
, louant Racine et La Fontaine, mais beaucoup plus
ymond de La Tailhède. Cette lettre, si complète en ce qui concerne l’
École
Romane (que de méchantes langues affectent de dir
s, en réalité, que le naturalisme des Grecs. Précisons au résumé. Les
Écoles
contemporaines expriment toutes des besoins sincè
nçaise, car je considère le provençal plutôt comme un dialecte. 2º. L’
école
parnassienne, contrairement à la loi d’évolution
curité de ses concepts et l’incorrection de sa langue. De sorte que l’
école
parnassienne, issue du procédé, meurt par le proc
écouter son âme — sa propre sensibilité. Quant aux « diverses jeunes
écoles
poétiques », je ne vois pas trop qu’il y ait actu
s poétiques », je ne vois pas trop qu’il y ait actuellement, hormis l’
école
romane, de groupement qui réponde à ce terme : Éc
lement, hormis l’école romane, de groupement qui réponde à ce terme :
École
. L’École implique un maître édictant une philosop
ormis l’école romane, de groupement qui réponde à ce terme : École. L’
École
implique un maître édictant une philosophie et de
fait, de cette émotion, de cette idée, constitue le symbole. La seule
école
de quelque intérêt qui ait survécu aux tentatives
intérêt qui ait survécu aux tentatives dogmatiques de ce temps est l’
école
romane. Elle présente surtout un intérêt de curio
. Ils ont tous raison ceux qui ont du talent. » Adversaire de toutes
écoles
ou chapelles, il espère que les poètes vont se me
tait le hazzan ou lecteur des synagogues 125. Jésus fréquenta peu les
écoles
plus relevées des scribes ou soferim (Nazareth n’
e de notre vie isolée et tout individuelle, celui qui n’a pas été aux
écoles
est inconnu dans ces sociétés, où la culture mora
, est souvent néanmoins très distingué ; car la tente est une sorte d’
école
toujours ouverte, où, de la rencontre des gens bi
n en Orient avec ce que nous appelons éducation. Ce sont les hommes d’
école
au contraire qui passent pour pédants et mal élev
s Juifs avaient déjà embrassé la culture hellénique. Sans parler de l’
école
juive d’Égypte, ou les tentatives pour amalgamer
clare avoir été parmi ses contemporains une exception 130, et toute l’
école
schismatique d’Égypte s’était détachée de Jérusal
, de l’autre, les beaux essais de philosophie religieuse tentés par l’
école
juive d’Alexandrie, et dont Philon, son contempor
es supérieurs n’a aucune part, était de droit commun dans les grandes
écoles
de tous les pays qui avaient reçu la science grec
rature de 1825… En avant, mes amis. Sus au romantisme ! Voltaire et l’
École
normale ! » Sarcey de Suttières. I Monsie
des mêmes dieux que les Réalistes ! Vous vous croisez pour Racine, l’
École
normale et Voltaire, qui sont en très mauvais ter
on tire sur l’obstacle, — c’est-à-dire sur Hugo. Les brasseries et l’
École
normale font cause commune, on se passe fraternel
douloureux pour un écrivain d’un style pur, pour un ancien élève de l’
École
normale. Mais le fait est là, — manifeste et brut
e traiter Notre-Dame de bicoque ? — M. Edmond About, votre camarade d’
École
normale, écrit La Grèce contemporaine et Le Roi d
ement et de crier « Aux armes ! » sous les fenêtres des dortoirs de l’
École
normale… à propos de quoi ? À propos d’un article
oyée, — au rebord de ma fenêtre, — en voyant passer le bataillon de l’
École
normale allant délivrer la Littérature des mains
ique. Mais ne serait-on pas en droit d’exiger qu’un ancien élève de l’
École
normale, un homme qui vient de se nommer à l’unan
rsonne — pas même leur talent. Si Henry… Schaunard ne sort point de l’
École
normale, il n’est jamais entré au bagne. Et, s’il
esne écrivit un jour qu’Henry d’Audigier avait manqué ses classes à l’
École
normale, et que, vu sa faiblesse notoire, il se f
la craie, en majuscules insolentes, ces mots sur la grand-porte de l’
École
normale : M. DE SUTTIÈRES PASSE, LE ROMANTISME R
, éreintement des œuvres consacrées ; — ce qui m’amenait à offrir aux
écoles
assaillies l’occasion de se défendre et d’injurie
ses maîtres et amis du symbolisme aux prémices de sa dernière-née, l’
École
Romane, tenue, m’assure-t-on, sur les fonts bapti
ment, quand j’ai vu, au lieu de la lutte courtoise où je conviais les
écoles
, ces pugilats et ces estafilades d’assommeurs et
la justification de leurs procédés esthétiques ; si contrairement aux
écoles
parnassienne et réaliste, qui traduisaient la vie
turalisme au théâtre. Des Indépendants je voulais tirer le procès des
Écoles
en général, et des théories sur l’individualité o
Les psychologues J’ai cru devoir commencer cette enquête par les
écoles
, qui attirent présentement l’attention générale.
l’attention générale. Je me suis tout d’abord adressé à celle de ces
écoles
qui a le plus de véritable action sur le public,
ailleurs, le mouvement est si bien marqué que même les disciples de l’
école
qui finit se mettent à la psychologie ! Maupassan
us vivant ? Ce qui m’a fait, en somme, prendre la défense de la jeune
école
, c’est ce bizarre et peu généreux parti-pris que
lerin passionné, de Jean Moréas, qu’on nous présente comme un livre d’
école
en quelque sorte, c’est en grande partie incompré
absolument réservée. Dans le gâchis des opinions contradictoires, des
écoles
tâtonnantes, de toutes les idées qui se remuent d
auté qu’elle a innovée devient une formule, et fait des adeptes ; une
école
est née, elle vit, s’épanouit ; puis, les discipl
leur roman La Faustin ne peut être rapproché d’aucune des œuvres de l’
école
. Et pourtant j’ai la conviction que l’œuvre de Zo
acques Blanche. — Puisque vous le voulez bien, nous allons parler des
Écoles
… — Pardon, nous admettons d’abord, n’est-ce pas ?
don, nous admettons d’abord, n’est-ce pas ? que toute préoccupation d’
école
reste en dehors de l’esthétique ? Le rôle de l’éc
préoccupation d’école reste en dehors de l’esthétique ? Le rôle de l’
école
est de servir comme de nationalité protectrice à
lamer un appui solidaire à l’occasion. En somme, ce qu’on appelle une
École
devrait porter le nom du chef qui l’a proclamée o
les représentent ont une action relative mais indéniable sur la jeune
école
, leur avis prend donc ici tout naturellement sa p
u dix-neuvième siècle est terminée. Réaction contre l’hypocrisie de l’
École
du bon sens de Feuillet et d’Ohnet, le naturalism
s et de sentiments, la vie restreinte et intérieure. Chacune des deux
écoles
accomplit une œuvre parallèle, analytique et docu
les aspérités des réalités sociales. Le réalisme de l’une et l’autre
école
est intense ; les analyses d’Adolphe sont aussi r
du psychologue, et le masque conventionnel, avec ses influences de l’
école
du bon sens. Évidemment ce sont là des théories q
és. L’occultisme agit encore par un second élément : le Symbole. Et l’
école
symboliste n’a rien à y voir. Dans l’occulte le s
à une série de vérités religieuses, psychologiques, idéales ; dans l’
école
symboliste, il n’est que l’obscurcissement superf
ent à une réaction nécessaire contre le positivisme, dont est issue l’
école
naturaliste. Joséphin Péladan, le premier écrivai
, demandai-je, — qui avez créé le mouvement nouveau ? — J’abomine les
écoles
, dit-il, et tout ce qui y ressemble ; je répugne
ur sculpter son propre tombeau. Ce qui m’a donné l’attitude de chef d’
école
, c’est, d’abord, que je me suis toujours intéress
lleurs), et il y a des mauvaises langues qui prétendent que j’ai fait
école
de serins. C’est faux. Les symbolistes aussi sont
érie de mes consultations près des jeunes représentants des nouvelles
écoles
poétiques. — Oui, je sais, me dit-il d’abord, le
s, ils sont trop illettrés et trop absurdes, à la vérité. — C’est une
école
n’est-ce pas, que vous entendez faire ? — Entendo
st-ce pas, que vous entendez faire ? — Entendons-nous. Il n’y a pas d’
école
dans le sens strict du mot. Chacun garde son indi
un garde son individualité. On ne se dit pas : Nous allons former une
école
; mais il y a, fatalement, convergence d’individu
n collective qui produit les bons poètes ; ce sont elles, ce sont ces
écoles
(pourquoi pas !) qui renouvellent la création poé
poétique. L’histoire littéraire est là pour le prouver : nous avons l’
école
de Marot, l’école de Ronsard, puis l’école de Mal
re littéraire est là pour le prouver : nous avons l’école de Marot, l’
école
de Ronsard, puis l’école de Malherbe, puis Cornei
le prouver : nous avons l’école de Marot, l’école de Ronsard, puis l’
école
de Malherbe, puis Corneille et Rotrou, c’est enco
puis l’école de Malherbe, puis Corneille et Rotrou, c’est encore une
école
! puis Racine, Boileau, La Fontaine, toujours une
st encore une école ! puis Racine, Boileau, La Fontaine, toujours une
école
! Nous avons (je passe sur le dix-huitième siècle
avons (je passe sur le dix-huitième siècle, qui n’a pas de poésie) l’
école
romantique et l’école parnassienne. Nous avons ma
e dix-huitième siècle, qui n’a pas de poésie) l’école romantique et l’
école
parnassienne. Nous avons maintenant l’école symbo
) l’école romantique et l’école parnassienne. Nous avons maintenant l’
école
symboliste qui est une école comme toutes les aut
le parnassienne. Nous avons maintenant l’école symboliste qui est une
école
comme toutes les autres écoles d’où sortirent tan
intenant l’école symboliste qui est une école comme toutes les autres
écoles
d’où sortirent tant de poètes dont les Muses fran
solé comme Chénier, mais cela ne prouve rien. Maintenant, dans chaque
école
il y a quelques poètes qui ont du talent, ce qui
de l’esprit créateur en art ; appelez ça mouvement, manifestation ou
école
, c’est indifférent. Mais appelons ça École, c’est
ouvement, manifestation ou école, c’est indifférent. Mais appelons ça
École
, c’est plus court et plus net. Et puis n’est-ce p
! Quand je demande à M. Charles Morice s’il entend être classé dans l’
École
symboliste, il répond vivement : — Il faudrait d’
l nous faut une langue nouvelle, — suprême. Si Moréas croit faire une
école
, il se trompe de date. Les classiques se sont gro
Sully-Prudhomme : si vous étiez un poète ! À Richepin : vous faites l’
École
normale buissonnière, normale tout de même ! À Da
ues de la conversation de M. de Régnier. Selon lui ce qu’on appelle l’
École
symboliste doit plutôt être considéré comme une s
ialités, selon les goûts, les aptitudes et compétences de chacun. Les
écoles
littéraires ne profitent qu’à ceux pour qui l’iso
mirables. Il n’en existerait pas moins si le symbolisme, — en tant qu’
école
, — n’existait pas. La beauté des vers de M. de He
i je suis symboliste, ce n’est pas, — croyez-le bien, — par amour des
écoles
et des classements. J’ajoute l’épithète, parce qu
ue !) le dilettantisme, les psychologues fins, fins, et les gris de l’
École
normale, des gens de valeur et d’étude analytique
gnace de Loyola. Qui encore, là ? M. Anatole France qui fréquente aux
écoles
d’Alexandrie, au fond un poète-analyste pénétrant
ate que l’isolement s’est aggravé. Permettez-moi de ne pas croire aux
Écoles
, symbolistes ou autres. M. René Ghil C’est
Écoles, symbolistes ou autres. M. René Ghil C’est le chef d’une
école
dite : évolutive-instrumentiste, qui professe à l
es et frappées d’impuissance, et qu’on décore improprement du titre d’
École
. Symbolisme ! mais qu’on regarde ce qu’ont écrit
on écrit ça, on est un ignorant pas même digne d’être le premier à l’
école
primaire, ou un mystificateur, et ceux qui prônen
utres : Laurent Tailhade, Gustave Kahn, Charles Morice : tous chefs d’
école
! vous savez, et de la même façon… Je pourrais di
sonnalité, luttant avec moi pour la Méthode évolutive, en formant « l’
École
évolutive instrumentiste », tous de vingt à vingt
non : ce qui en train de mourir, ce n’est pas le naturalisme, c’est l’
École
naturaliste et l’inconcevable engouement du publi
est un charmant poète, mais qu’il fut singulier de l’ériger en chef d’
école
! Il fallait, pour nous jouer ce tour, le formida
au lieu d’appartenir aux France, aux Lemaître, à tous les ratés de l’
École
normale, — Villiers n’aurait pas dû, pour vivre,
ie de celle d’Elisabeth. Comme présentement, c’était en Angleterre, l’
école
déliquescente ; y paradaient l’euphuiste Lyly et
égnier, Viellé-Griffin, Gabriel Randon, Stuart-Merrill. Instituer une
école
symboliste — c’est fonder une Suisse de la Poésie
s nouvelles fournées de la gloire me semblent se rattacher encore à l’
école
naturaliste. Et, tenez, à ce propos, je veux vous
dans les vers, Verlaine, Mallarmé qui demeure isolé, avec une fausse
école
derrière lui, une queue lamentable qui n’a d’aill
Aussi le naturalisme n’est-il nullement une secte, une confrérie, une
école
, un clan, une franc-maçonnerie, une chapelle. On
urent être joliment étonnés tout de même de se voir bombardés chefs d’
école
. Ils se laissèrent faire, parbleu ! Mais l’école
ir bombardés chefs d’école. Ils se laissèrent faire, parbleu ! Mais l’
école
était piteuse. Sauf Paul Adam, un garçon de mérit
lisibles — décadents, symbolistes, déliquescents — et un tas d’autres
écoles
et sous-écoles fumistes, auront disparu. Au vingt
umistes, auront disparu. Au vingtième siècle, il n’y aura même plus d’
écoles
du tout. Car le naturalisme est le contraire d’un
même plus d’écoles du tout. Car le naturalisme est le contraire d’une
école
. Il est la fin de toutes les écoles, mais l’affra
naturalisme est le contraire d’une école. Il est la fin de toutes les
écoles
, mais l’affranchissement des individualités, l’ép
, avait été saturé jusqu’au dégoût des subtilités enseignées dans les
écoles
, aussi c’est pour s’en venger et rendre à la natu
qu’elles soient. Nos préférences ne signifient rien. Les querelles d’
école
n’ont que l’intérêt de la circonstance, il faut l
re cette négation de tout idéal, qui auront marqué d’une tache bête l’
école
naturaliste. Et tout le mouvement actuel est auss
ien qu’il fût l’un des plus remarquables parmi les continuateurs de l’
École
réaliste. Il a publié jusqu’ici deux volumes : le
ment la complaisance des artistes de la quarantaine. Or, à peine si l’
école
du non-sens a conquis les pleutres de la « compré
et le naturalisme, c’est la difficulté des moyens esthétiques de ces
écoles
, notamment la savante complication de la langue,
le plus souvent leur effort à des conquêtes isolées, que les odieuses
écoles
classiques, — la nôtre plus que toutes, — se comp
rent, il y a deux ou trois ans, de rompre un peu théâtralement avec l’
école
de Médan, à l’occasion « des ordures » de la Terr
’était l’application médiocre d’une théorie étroite et mesquine, de l’
école
. Je dis de l’école car il ne faut pas rendre resp
n médiocre d’une théorie étroite et mesquine, de l’école. Je dis de l’
école
car il ne faut pas rendre responsables de ce résu
sultat les figures du naturalisme, mais bien ceux qui ont constitué l’
école
. Il faut bien distinguer entre les créateurs du r
aphores à mettre en circulation… Y a-t-il seulement, dans toute cette
école
, deux personnalités réellement convaincues de que
Gustave Geffroy est le critique officiel, reconnu et très dévoué de l’
École
naturaliste. C’est aussi le critique d’art très d
s’anime, il se laisse doucement aller à dire : — Pourquoi faire, des
Écoles
? Cela ne signifie rien, et le temps fait bon mar
siècle, le nôtre, c’est identique ! Non, à vrai dire, il n’y a pas d’
École
, il n’y a que des individus ; une École suppose d
, à vrai dire, il n’y a pas d’École, il n’y a que des individus ; une
École
suppose des élèves, des imitateurs, et ceux-là ne
i récompensent mal d’un pareil labeur. L’orientation littéraire ? Les
Écoles
nouvelles ? Comment prévoir ? On s’embarque, mais
qui le firent remarquer parmi l’un des plus brillants disciples de l’
École
naturaliste. Il fut, ensuite, l’un des signataire
’un des signataires de la protestation des Cinq, et sa rupture avec l’
École
ne se borna pas à cette manifestation de combativ
des alexandrins. Avec quel plaisir rare on s’abstrait de toute idée d’
école
! Comme il est agréable d’admirer les œuvres en e
de Régnier, Vielé-Griffin, Jean Lorrain, Gustave Kahn ? Cette idée d’
école
tend à disparaître. Les groupes, en effet, ne ces
M. Abel Mermant L’enfant chéri du Naturalisme, ce transfuge de l’
École
normale qui fut singulièrement choyé, justement o
ature si différentes des brutalités voulues et alors exubérantes de l’
École
à son apogée. Dès ses débuts, en effet, il fut ac
nt déjà vaincu dans le public d’élite. Il m’a dit : — Les querelles d’
écoles
me laissent absolument froid ; je crois que l’art
uête, en appelant à la Revue tous les littérateurs sans distinction d’
écoles
contre l’ennemi commun ; un bien petit nombre de
iens. Les jugements qu’ils porteraient, sur les partisans de la jeune
école
et sur son avenir, seraient, en outre, d’un intér
plupart de mes morceaux plusieurs fois. Eux, font du tâtonnement une
école
, et ils veulent l’imposer au monde ! C’est un peu
tout ce que j’ai retenu de notre conversation : — Ne me parlez pas d’
écoles
, c’est horripilant ! il n’y a rien de misérable,
ntisme ? Et le Parnasse ? M. Mendès s’écrie : — Ça n’a jamais été des
écoles
! ou du moins, ce qui équivaut, les plus grands r
Et, justement, celui qui prétendit faire du mouvement romantique une
école
, et qui, en effet, à l’époque jouissait après Hug
es qui soient… Puis il reprit : — Mais si le Symbolisme veut être une
école
révolutionnaire, avec une philosophie, une esthét
yez-vous, tout cela c’est de la mauvaise plaisanterie. Il n’y a pas d’
école
et il n’en faut pas. On a du talent ou on n’en a
souvent, lui, par exemple. — Croyez-vous que le symbolisme en tant qu’
école
, ait quelque avenir ? — Je crois… je crois qu’à n
délicieux, le déferlement d’une belle lame ! Mais pour notre nouvelle
école
tout cela ne compte pas ! Ils mêlent arbitraireme
e, vous savez ! Il ne suffit pas de prendre des inscriptions dans une
école
de brasserie… Faire des vers, parbleu, ce n’est p
et derrière les précurseurs Mallarmé et Verlaine, posé les bases de l’
école
alors dite décadente. Dans le temps, quand Moréas
s l’instrumentation de M. Ghil, les schismes divers qui déchirèrent l’
école
décadente et les démêlés de Verlaine avec Anatole
s dont je vous parlais tantôt. — Quel avenir accordez-vous à ces deux
écoles
nouvelles : les psychologues et les symbolistes ?
a langue savamment préparée par nos devanciers du Parnasse et par les
écoles
contemporaines, exprimera simplement une émotion
ologues, MM. Bourget et Barrès ayant contracté d’opulents mariages, l’
école
a certainement accompli sa destinée, tout aussi b
guèrent la Bible et le Paganisme, sinon des symboles ? Il n’y a pas d’
école
symboliste. Il y a un parti de mécontents et de g
r clair. Tout ceci nous vient ou nous revient de l’étranger. Dans les
écoles
en question, on est volontiers Belge ou Roumain,
l touchait déjà à la gloire. Il me le fallait donc consulter ici. — L’
école
symboliste ! me dit M. Pierre Quillard en commenç
Pierre Quillard en commençant. Mais vous savez bien qu’il n’y a pas d’
école
symboliste, et que, sous ce nom, on a réuni, bien
ont-ils pas tous leur autonomie et leur caractère propre ? Être d’une
école
, c’est se nier toute originalité, n’être pas un p
leurs Et même le bonheur ne te fait pas joyeuse. Il n’était d’aucune
école
, mais il proclamait — et c’est là ce qui distingu
ouver de classification commune, comment voulez-vous admettre que les
écoles
signifient quelque chose, et quelle peut bien en
La liberté absolue ! c’est la seule formule, encore une fois ; pas d’
école
. Et puis, il ne faut pas qu’on oublie que c’est à
lut : — Et je continuerai à boire ma gouttelette, sans me soucier des
écoles
et des vocables ! Je m’en allais ; mais je me sen
pourrais inventer (puisque nous avons dit tout cela en marchant), une
école
nouvelle — la critique marchée, l’école péripatét
t tout cela en marchant), une école nouvelle — la critique marchée, l’
école
péripatéticienne ! M. Victor Cherbuliez M.
as très bien saisi ma pensée. Que diable voulez-vous que je fasse des
écoles
? Regardez si Zola, Maupassant, Huysmans, etc., s
ais, après, chacun suit son tempérament. Est-ce qu’on peut être d’une
école
quand on se sent quelque chose dans la tête et da
beaucoup d’idées… Mais, en somme, voyez-vous, toutes ces questions d’
école
et de hiérarchie littéraire sont insignifiantes.
ns : Le Naturalisme n’est plus le préféré ; il a fait son temps comme
école
dominante ; il a eu tout l’espace qu’il fallait p
our les artistes supérieurs, même pour ceux qui, chefs actuels de son
école
, auront les muscles assez forts et le souffle ass
ère concentrée, cette sourde fureur avec lesquelles les adeptes d’une
école
parlent de l’école voisine. Quoi ! vous avez cett
te sourde fureur avec lesquelles les adeptes d’une école parlent de l’
école
voisine. Quoi ! vous avez cette chance, grâce à l
ent ayant l’unité et la puissance du Romantisme et du Naturalisme : l’
École
nouvelle ! encore mystérieuse. Jusqu’ici c’est l’
aturalisme : l’École nouvelle ! encore mystérieuse. Jusqu’ici c’est l’
école
de peloton, chaque sergent, avec ses hommes, dans
reproche de le pasticher. Il y a des groupes, chez nous, mais guère d’
écoles
. Les plus disparates fraient, n’ayant de commun q
l’importance énorme qu’attachent nos littérateurs aux dénominations d’
écoles
; et combien sont peu rationnelles ces étiquettes
l’avenir du psychologisme ou du naturalisme, ni, en général, de toute
école
réaliste. Je crois au contraire à l’avènement plu
oyez les épopées et les chansons d’amour du douzième siècle ; voyez l’
école
de Ronsard, les tragédies de Racine et les Contes
ute s’il finit par se prendre au sérieux. Cela s’appelle : fonder une
École
. « Garde-toi des Écoles, garde-toi des serres où
rendre au sérieux. Cela s’appelle : fonder une École. « Garde-toi des
Écoles
, garde-toi des serres où un horticulteur abusé ou
monstres. À chaque pas, tu les rencontreras, les serres ! « Il y a l’
École
romane on l’on t’apprendrait à tisser des tapisse
deviendrais un néo-grec douteux et un gracculus véritable. « Il y a l’
école
traditionnelle. On y défend la Tradition, on y re
sez laide. — Mais ce n’est pas un vers. « Il existe beaucoup d’autres
écoles
; il en naît tous les jours de nouvelles. Et tel
voix innée en eux pour psalmodier à l’imitation d’un Maître. Puis les
Écoles
se querellent entre elles : on voit pousser comme
, j’ai subi l’Éducation, moi aussi j’ai prôné les Dogmes et suivi les
Écoles
. Ne retiens de mes paroles que les notions simple
înement presque inévitable des événements. Presque au même instant, l’
école
religieuse et monarchique, qui avait subi comme u
avait subi comme une longue éclipse pendant la marche ascendante de l’
école
philosophique et révolutionnaire du dix-huitième
ches couleurs d’une aurore mêlée aux tons plus sévères du couchant. L’
école
religieuse et politique, qui regardait la victoir
uand on songe qu’à l’époque même où il écrivait, il y avait toute une
école
qui, mettant son orgueil à abaisser la nature hum
ons de cette puissance intelligente que Dieu a mise en nous, et que l’
école
scolastique appelle très bien l’entendement agiss
es empêcher d’aller trop loin, et qu’il laisserait à chacune des deux
écoles
la pensée qu’il était son rempart contre l’hostil
es se disputaient autrefois l’opinion publique. II. Lutte des deux
écoles
constatée dans l’histoire d’un journal. On peu
losophie, et poursuivre le parti révolutionnaire sous les traits de l’
école
de Voltaire. De son côté, le philosophisme, qui a
, et à irriter l’empereur contre le Journal des Débats. Il accusait l’
école
religieuse et sociale à laquelle ses écrivains ap
audacieux Georges Cadoudal. La position de l’empereur entre les deux
écoles
finit par devenir embarrassante. D’un côté, on lu
ines de pouvoir, et c’étaient autant de liens qui le rattachaient à l’
école
religieuse et sociale ; mais il ne pouvait complé
espondance qui lève tous les voiles, les efforts prodigieux que fit l’
école
philosophique et révolutionnaire pour enlever à l
eux que fit l’école philosophique et révolutionnaire pour enlever à l’
école
religieuse et sociale l’appui de l’empereur, et l
de Napoléon, contradictoires comme sa position, les défiances dont l’
école
religieuse et sociale était l’objet, les conditio
u’il prit à la fin. M. Étienne, qui appartenait par ses tendances à l’
école
philosophique, et par son dévouement à l’empereur
ult et Hoffmann. Après avoir tenté d’opposer l’une à l’autre les deux
écoles
dans des journaux différents, l’empereur leur don
. L’un vient en droite ligne de la civilisation antique : il est de l’
école
d’Horace, il a frayé avec la philosophie ; l’autr
des reprirent leur cours et la philosophie commença à reparaître. Les
écoles
normales fondées, l’Institut établi, lui ouvriren
a d’abord avec le drapeau de Condillac, le plus modéré des chefs de l’
école
sensualiste dans les conséquences qu’il tire de s
nner. Garat, qui le premier ouvrit un cours public de philosophie à l’
École
normale, développa la théorie des sensations tell
gnît. En outre, il faut se rappeler que la plupart des chefs de cette
école
avaient été dans les rangs des conducteurs d’idée
losophique, il se fit chez plusieurs des esprits les plus élevés de l’
école
sensualiste un travail qui prépara la décadence d
s de l’école sensualiste un travail qui prépara la décadence de cette
école
. Ce qui avait surtout séduit dans le système de C
manifeste dans ses travaux subséquents, où il achève de rompre avec l’
école
de Condillac, et le Traité de l’aperception imméd
la nature, sont autant de degrés par lesquels l’auteur remonte vers l’
école
spiritualiste, qu’il atteindra plus tard. M. de L
grande réserve que faisait Leibnitz contre le célèbre aphorisme de l’
école
: Nihil est in intellectu quod non prius fuerit i
stauration, sans entrer dans quelques détails et sur l’homme et sur l’
école
philosophique qu’il inaugura et qui devait, en se
charmés. Il était né d’une famille janséniste et dans un village où l’
école
de Port-Royal avait traditionnellement conservé s
’idéal de sa propre philosophie : c’était Thomas Reid32, ce chef de l’
école
écossaise, alors inconnu en France, quoiqu’une tr
siècles et, fidèle en cela encore à l’exemple donné par le chef de l’
école
écossaise, il concentra toute la puissance de cet
ommentaires vifs et pressants, contre Condillac, le dominateur de nos
écoles
, les armes aiguisées par la philosophie écossaise
ns environnantes, dégagé et distingué de la sensation avec laquelle l’
école
de Condillac, comme celle de Locke, l’avait confo
, non seulement la jeunesse studieuse qui abonde dans le quartier des
écoles
, mais celle encore qui, plus adonnée aux plaisirs
il consent à les prendre pour juges42 ». La jeunesse appartenant aux
écoles
philosophiques les plus opposées accourut avec se
s les plus assidus du catéchiste, M. Portes, plus tard professeur à l’
École
de droit de Paris. D’autres adressaient leurs obj
dans la région des faits fut préparé dans la région des idées. II.
École
catholique et monarchique ; ses prosateurs, ses p
passé, et qui vont prendre la physionomie plus caractérisée de trois
écoles
littéraires, philosophiques et politiques. Le pre
de ruines entassées : voilà les caractères les plus généraux de cette
école
. MM. de Maistre et de Bonald, et avec eux, quoiqu
aissent sur le seuil de la restauration, comme les représentants de l’
école
catholique et monarchique, MM. Chateaubriand, Bon
té d’eux, M. de La Mennais. Les poëtes ne manqueront pas plus à cette
école
que les grands prosateurs. On remarque déjà parmi
életz, Dussault, Hoffman, tiennent le sceptre de la critique. III.
École
du dix-huitième siècle : ses prosateurs, ses poët
du dix-huitième siècle : ses prosateurs, ses poëtes. En face de l’
école
catholique et monarchique qui va se manifester av
manifester avec l’éclat de ces grands talents dans la littérature, l’
école
du dix-huitième siècle est prête à relever sa ban
est prête à relever sa bannière. Quelques esprits appartenant à cette
école
se sont maintenus, sous l’empire, dans une situat
xpression. Au fond, et sauf de rares exceptions, pour les hommes de l’
école
matérialiste et révolutionnaire, la liberté n’a j
ions, à délibérer, et il était un des plus rudes discoureurs de cette
école
renouvelée des clubs ! Avant de dire ce que M. de
loge railleur qui, en chantant la paix, chansonnait la guerre. IV.
École
du rationalisme spiritualiste et monarchique : se
On a vu se former, dans les derniers temps de l’empire, la troisième
école
qui, sous le nouveau gouvernement, va se dessiner
ériale, et publié seulement sous la restauration. En politique, cette
école
a une tendance naturelle à se rattacher aux idées
t déjà l’envie et les espérances du grave Montesquieu, avec qui cette
école
, issue des constitutionnels de 1789, a de secrète
n jeune poëte qui se ralliera, au début de la restauration, à la même
école
. Né au Havre, le 3 avril 1793, M. Casimir Delavig
r à le conduire, avaient des affiliations secrètes avec une des trois
écoles
que nous avons indiquées : l’école monarchique et
tions secrètes avec une des trois écoles que nous avons indiquées : l’
école
monarchique et catholique ; l’école du dix-huitiè
oles que nous avons indiquées : l’école monarchique et catholique ; l’
école
du dix-huitième siècle, avec sa philosophie matér
sophie matérialiste et sceptique, et sa politique révolutionnaire ; l’
école
intermédiaire, fondée sur un rationalisme qui inc
ou d’inspirations sublimes pour les écrivains qui se rattachaient à l’
école
religieuse et monarchique. Ceux qui, étant encore
ublic restreint mais passionné, qui pouvait se recruter ; car, dans l’
école
matérialiste ou sceptique en philosophie et révol
er ses embuscades. Ce qui ajoutait aux chances que les écrivains de l’
école
matérialiste et révolutionnaire pouvaient avoir d
eau du silence était levé, et que la parole était rendue à toutes les
écoles
, à tous les systèmes, à toutes les espérances, co
s esprits pouvait avoir de graves conséquences que les écrivains de l’
école
opposée aux principes de la restauration ne devai
es catholiques contre l’incrédulité et le scepticisme dogmatique de l’
école
du dix-huitième siècle, une transformation s’opér
ets furent mortels. De tous ces désenchantements amers cultivés par l’
école
que l’influence des écrits de lord Byron contribu
ençait à se produire : Le renouvellement de la scène du monde ; Trois
écoles
qui se subdivisaient chacune en nuances particuli
rois écoles qui se subdivisaient chacune en nuances particulières : l’
école
catholique et monarchique ; l’école sensualiste e
cune en nuances particulières : l’école catholique et monarchique ; l’
école
sensualiste et révolutionnaire, continuant la tra
t révolutionnaire, continuant la tradition du dix-huitième siècle ; l’
école
intermédiaire, qui tenait par la politique au con
ne lui fussent pas communes avec plusieurs des hommes engagés dans l’
école
purement catholique et monarchique ; La lutte des
s, formés par des éducations profondément opposées, appartenant à des
écoles
ennemies, mus par des esprits différents ou contr
moindres racines à mesure qu’il en germait sous leurs pas, dans leurs
écoles
, dans leurs lycées, dans leurs gymnases, surtout
emières années de la restauration, on pourra étudier le mouvement des
écoles
philosophiques et littéraires sorties des trois c
fort. Toutes ses affections, toutes ses sympathies, sont du côté de l’
école
religieuse et monarchique. Il est un des membres
s par un jeune professeur qui renouait sa tradition philosophique à l’
école
spiritualiste de Platon. C’est un des caractères
s. M. Casimir Delavigne, quoique dans un autre camp et dans une autre
école
, ne lui témoignait ni moins de sympathie, ni moin
or Hugo en 1824, et le point où en étaient les idées littéraires de l’
école
naissante qui marchait avec lui : « L’auteur ign
vernement. Indécis au début, l’auteur devient peu à peu le poëte de l’
école
libérale, non pas dans sa nuance la plus avancée,
t celle d’Espagne, comme il avait salué la délivrance de la Grèce ; l’
école
politique dont il était le poëte marchait dans ce
révolution : par ses opinions philosophiques, il se rapprochait de l’
école
du dix-huitième siècle. Sans doute, il n’avait pa
insistait, plus particulièrement sur les souvenirs et les faits que l’
école
du dix-huitième siècle a coutume d’exploiter cont
la littérature de la restauration, nous dirions qu’il appartenait à l’
école
intermédiaire, en se rapprochant cependant beauco
rtine et Victor Hugo, et en étant, vers 1830, beaucoup plus près de l’
école
littéraire, politique et religieuse du dix-huitiè
u dix-huitième siècle, que ne l’étaient la plupart des écrivains de l’
école
dans laquelle nous le rangeons. V. Béranger. —
rer ; ce qui restait des scandales du Directoire, les sectateurs de l’
école
sceptique, les décombres du monde voltairien, en
ou les invectives d’Émile. Il donne aux ateliers, aux mansardes, aux
écoles
, aux casernes, la monnaie poétique de la prose de
e Béranger, ce poëte païen par la pensée et le style, se rattache à l’
école
du dix-huitième siècle, et, par elle, à la littér
poésie personnelle de Lamartine, par les idées et les sentiments de l’
école
catholique et monarchique ; Casimir Delavigne, da
ans la poésie politique, dominée par les idées et les sentiments de l’
école
intermédiaire, mais avec une tendance marquée ver
le représentant le plus avancé fut Béranger, en qui se personnifia l’
école
révolutionnaire. Ces poëtes, si différents par la
ar la langue poétique, MM. Delavigne et de Béranger se rattachent à l’
école
dans laquelle domine l’élément antique de notre l
Victor Hugo se rattachent, au contraire, par leur langue poétique à l’
école
dans laquelle dominent l’élément chrétien et l’él
n 1816. La poésie fleurit ainsi, sous la restauration, dans plusieurs
écoles
, et chaque école a ses poëtes. La religion, la mo
fleurit ainsi, sous la restauration, dans plusieurs écoles, et chaque
école
a ses poëtes. La religion, la monarchie, la liber
même à la politique, pour étudier le développement des trois grandes
écoles
dont les doctrines, s’épanouissant dans les vers
de Broglie, de Barante, Villemain, Cousin, Kératry et toute une jeune
école
qui, marchant derrière eux, devait arriver aux af
ournal des Débats qui devint un événement. On peut dire que les trois
écoles
qu’on retrouve dans la littérature politique, com
e tour donné à la pensée et dans le choix des mots. Les journaux de l’
école
intermédiaire avaient quelque chose de dogmatique
langue politique de ce journal. II. Écrivains polémiques des deux
écoles
monarchiques. — Chateaubriand. Pour bien compr
e rôle que jouèrent, dans la littérature politique, les trois grandes
écoles
d’idées qui devaient lutter aussi les unes contre
laçait le nouvel ordre de choses qui venait de s’établir en France. L’
école
catholique et monarchique rencontrait devant elle
ppé par MM. de Bonald, de Maistre et la plupart des écrivains de leur
école
, était contraire aux principes contenus dans la c
15, avait précisément fait le contraire de ce que ces deux chefs de l’
école
monarchique et catholique demandaient. Il avait p
a situation de sujets. Il résultait de là que, si les deux chefs de l’
école
catholique et monarchique avaient vu reparaître,
très graves qu’il faut indiquer. D’abord une scission s’opéra dans l’
école
catholique et monarchique. La prolongation des bo
e la monarchie représentative128. » Les trois autres chefs de la même
école
veulent le fond, subissent la forme ; mais, chez
sson Rémora. » Cette antipathie raisonnée d’une portion notable de l’
école
catholique et monarchique contre la charte, cette
, cette incrédulité qu’elle professait quant à sa durée, scindaient l’
école
en deux et diminuaient par conséquent sa puissanc
t grave qui s’aggrava encore lorsque la marche des événements amena l’
école
catholique et monarchique tout entière sur ce ter
nèrent ce résultat doivent être ici rappelées. Celle des nuances de l’
école
qui avait accepté la charte, avait, en commun ave
depuis tant d’années exercé un si grand ascendant. Ici la nuance de l’
école
catholique et monarchique dont M. de Chateaubrian
la Monarchie selon la charte, se trouva en dissidence complète avec l’
école
intermédiaire, qu’on aurait pu appeler l’école du
idence complète avec l’école intermédiaire, qu’on aurait pu appeler l’
école
du rationalisme monarchique, et qui, au fond, ava
a restauration était sortie des premières crises de son retour. Cette
école
, dont M. Royer-Collard fut le philosophe, M. Guiz
la plus grande partie de la centralisation impériale. Au fond, cette
école
, issue de celle de Montesquieu, était guidée par
mbre de 1815 et la loi d’élection de 1817 eurent donné l’avantage à l’
école
du rationalisme monarchique sur toutes les nuance
age à l’école du rationalisme monarchique sur toutes les nuances de l’
école
catholique et monarchique, celle-ci se trouva réu
nirent, à l’époque où la censure fut établie, toutes les nuances de l’
école
catholique et monarchique. Ce fut M. de Chateaubr
t catholiques, la politique royale. Du reste, toutes les nuances de l’
école
y parurent : le cardinal de la Luzerne, comme M.
itionnelle et très chrétienne et les écrivains les plus éminents de l’
école
catholique et monarchique. En même temps, cette f
narchique. En même temps, cette fausse situation engagea cette grande
école
plus avant qu’elle n’eût voulu peut-être dans deu
effet en quelque sorte des armes de guerre civile. Les écrivains de l’
école
monarchique et catholique, par la nécessité où il
ges particuliers qu’ils publièrent à cette époque, les écrivains de l’
école
catholique et monarchique donnaient la mesure des
fatalité des situations prises au début de la restauration, c’était l’
école
catholique et monarchique qui se trouvait amenée
on passage, quand elle occuperait elle-même le gouvernement. Ainsi, l’
école
de l’autorité accréditait la première, dans la sp
e anomalie est le trait le plus frappant de la polémique des diverses
écoles
politiques qu’il est impossible d’analyser, mais
s avons dû indiquer le fond. Il faut ajouter que plus tard, lorsque l’
école
du rationalisme monarchique, qui, placée plus prè
r droit, à forcer les prérogatives royales, il y eut toujours une des
écoles
monarchiques. Ce fut un des malheurs de cette épo
c de Berry produisit une réaction d’opinion qui donna la majorité à l’
école
monarchique et catholique dans la chambre des dép
onarchique et catholique dans la chambre des députés, les hommes de l’
école
du rationalisme monarchique, contre lesquels on s
révolution calquée sur celle de 1688. En même temps, une portion de l’
école
catholique et monarchique, celle qui avait été co
la presse le gouvernement royal représenté par des hommes sortis de l’
école
catholique et monarchique. M. de Chateaubriand, q
ent dans sa retraite. Dans cette polémique incessante, universelle, l’
école
catholique et monarchique s’émietta de plus en pl
’émietta de plus en plus. Il y eut d’abord la grande division entre l’
école
monarchique sortie du rationalisme philosophique
n entre l’école monarchique sortie du rationalisme philosophique et l’
école
monarchique sortie du catholicisme. Puis cette de
passionnée qui côtoyaient l’invective ; M. Royer-Collard, qui fut à l’
école
philosophique et monarchique ce que M. de Bonald
à l’école philosophique et monarchique ce que M. de Bonald était à l’
école
monarchique et catholique, et dont les opinions,
fut moins un journal qu’un terrain commun où toutes les nuances de l’
école
catholique et monarchique venaient, chacune à son
nt, centralisa, du 5 octobre 1818 jusqu’en 1820, les efforts de cette
école
. Jusqu’au moment où le Globe devint un journal po
tte école. Jusqu’au moment où le Globe devint un journal politique, l’
école
du rationalisme monarchique exposa surtout ses do
Originaire de Ham133, issu d’une famille de la bourgeoisie, élevé à l’
école
d’artillerie de la Fère pour la carrière des arme
latante de l’intelligence nationale. IV. Écrivains polémiques de l’
école
révolutionnaire. — Le pamphlet ; Paul-Louis Couri
l-Louis Courier. À la faveur de la guerre civile allumée entre les
écoles
monarchiques, soit dans la presse, soit à la trib
charger le pont de manière à le faire crouler. Nous retrouvons ici l’
école
que l’on rencontre dans tous les embranchements i
dant la restauration, et que, faute d’autre nom, nous avons appelée l’
école
révolutionnaire ; école formée de provenances div
que, faute d’autre nom, nous avons appelée l’école révolutionnaire ;
école
formée de provenances diverses, ayant souvent des
éfensive autorisée par les traités. Les écrivains polémiques de cette
école
étaient des rhétoriciens diserts, élégants, ornés
e style. Un écrivain qui datait de plus loin, puisqu’il remontait à l’
école
constitutionnelle de madame de Staël, et dont la
x une différence essentielle. Béranger mariait ensemble, on l’a vu, l’
école
du Portique et celle d’Épicure ; il empruntait se
plus violente, qu’à l’imitation d’un grand nombre d’écrivains de son
école
il regardait le clergé comme un usurpateur danger
loquence de la tribune, la haute influence sur les esprits. Les trois
écoles
qui se disputaient la direction des idées employè
olitiques qui se rattachaient par des liens étroits aux trois grandes
écoles
qui nous sont partout apparues, trouvaient à Pari
ns le monde des idées. C’était un rendez-vous commun où chaque grande
école
philosophique, littéraire et politique tenait ses
ulaire, deux amies, ouvraient leurs salons surtout aux écrivains de l’
école
intermédiaire : là commencèrent à briller MM. le
politique, la philosophie, la littérature, la morale de la troisième
école
, mélangée de l’école intermédiaire, dans la perso
ophie, la littérature, la morale de la troisième école, mélangée de l’
école
intermédiaire, dans la personne du général Foy, d
et le quatrième volume des Œuvres complètes de Thomas Reid, chef de l’
école
écossaise, publiées en 1828 par M. Th. Jouffroy.
t quelques hommes qui suivent de loin vos traces, vous avez fondé une
école
impérissable de haute philosophie et de politique
desquels ils ont bien voulu m’admettre ; ces messieurs, tous de votre
école
et selon votre cœur, osent vous prier de détacher
où se forment les jeunes clercs. La transformation fut profonde. De l’
école
de ces grands maîtres de la vie spirituelle sort
unirent leurs prêtres en communautés et ces communautés devinrent des
écoles
de cléricature, des espèces de pensions où se for
e organisation rappelait beaucoup, on le voit, le système actuel de l’
École
normale et de ses relations avec la Sorbonne. Dep
sympathiques. L’ignorance dogmatique et l’extrême faiblesse de cette
école
, en fait de raisonnement, les choquaient. Ils vir
s contempteurs de la scolastique et de l’Église gallicane sortis de l’
école
de Lamennais. Saint-Sulpice n’a jamais trouvé sûr
envahi, de nos jours, l’apologétique chrétienne, s’est conservée une
école
de solide doctrine, répudiant l’éclat, abhorrant
int-Sulpice, où l’on méprise la littérature, est ainsi une excellente
école
de style ; car la règle fondamentale du style est
it bien mieux que la rhétorique de M. Dupanloup et le gongorisme de l’
école
néo-catholique. Saint-Sulpice ne se préoccupe que
es, M. Garnier et surtout M. Le Hir, les seuls maîtres éminents que l’
école
catholique en France ait produits dans le champ d
pieux éducateurs veulent être loués. Saint-Sulpice est avant tout une
école
de vertu. C’est principalement par la vertu que S
connu un sulpicien. Les autres ne sauront jamais ce que ces vieilles
écoles
de silence, de sérieux et de respect renferment d
aient en être faites aux services de l’instruction publique, et que l’
École
normale, en particulier, devrait, sur certains po
leur directeur à tous ; cela faisait une coterie à part, une sorte d’
école
d’où les profanes étaient exclus et qui avait ses
fait honnête homme, dont les opinions se rapprochaient de celles de l’
école
universitaire modérée, si décriée alors dans le c
la base de l’enseignement dans les séminaires, au grand scandale de l’
école
néo-catholique, qui trouvait le livre dangereux e
Manier mêlait à ces vieilles thèses les analyses psychologiques de l’
école
écossaise. Il devait à la fréquentation de Thomas
sez étendues, nous disait Augustin Thierry ; un troisième venait de l’
école
de MM. de Montalembert et Lacordaire. Il nous pla
le carrière a d’honorable, et plus d’une fois il prononça le nom de l’
École
normale. Je ne parlai pas de cette ouverture à M.
in, car, certainement, la seule pensée de quitter le séminaire pour l’
École
normale lui eût paru une idée de perdition. Il fu
mer la riche diversité des phénomènes et des êtres de la nature. Ni l’
école
critique ni l’école positiviste, qui se réunissen
té des phénomènes et des êtres de la nature. Ni l’école critique ni l’
école
positiviste, qui se réunissent dans une commune r
voie de l’imité. Et les actions organiques elle-même, que toutes les
écoles
de biologie avaient attribuées à des forces propr
a liberté et à l’individualité que le mécanisme de Spinoza. Des trois
écoles
philosophiques qui se partagent les esprits voués
ouver et à dégager la personnalité et la liberté humaines. Il est une
école
de théologiens qui résiste, il est vrai, à ces en
soutenir une hypothèse spéculative contre un fait d’expérience. Ici l’
école
critique intervient. Que parle-t-on de réalité à
ent ce témoignage peut être infirmé par la critique de Kant et de son
école
. Cette critique se résume dans les deux arguments
ne le témoignage de la conscience, nous trouvons que la critique de l’
école
de Kant a son principe dans une fausse idée de ce
là donc le terrible noumène évanoui. Maine de Biran a raison contre l’
école
de Kant, parce qu’il a raison contre l’école de B
Biran a raison contre l’école de Kant, parce qu’il a raison contre l’
école
de Bacon. Kant avait admis, sur la foi d’une méth
nale dont la conscience est le miroir. Depuis que Maine de Biran et l’
école
psychologique ont comme soufflé sur le spectre on
même du système. La mauvaise physique et la mauvaise psychologie de l’
école
cartésienne ont conduit la philosophie de l’unité
. Ce point est d’une importance capitale dans l’histoire critique des
écoles
mystiques. Au premier abord et à s’en tenir aux m
au plus vraiment divin de la nature humaine. C’est le mysticisme de l’
école
d’une sainte Thérèse et d’un Fénelon. Quand saint
oire privée des révélations de conscience, le règne de la fatalité, l’
école
du succès partout et toujours glorifié. Il serait
e au déterminisme soit générale, et qu’on la retrouve chez toutes les
écoles
de philosophie naturelle et même de philosophie m
mérite de l’être, M. Charles Renouvier, vient de porter, à propos des
écoles
de Saint-Simon, de Fourier et d’Auguste Comte, un
re43. » Nous avons cité de préférence deux écrivains appartenant à l’
école
critique, parce qu’ils ne sont pas suspects de sp
a croisade contre les fausses et dangereuses conclusions de certaines
écoles
arborant le drapeau de la science. Quoi qu’il arr
la tient à plus d’une cause, et surtout à ce revirement perpétuel des
écoles
poétiques qui se succèdent en s’efforçant de se d
efforçant de se détruire les unes les autres. Et non seulement chaque
école
qui s’élève en veut à mort à l’école qui a précéd
autres. Et non seulement chaque école qui s’élève en veut à mort à l’
école
qui a précédé, mais les branches d’une même école
en veut à mort à l’école qui a précédé, mais les branches d’une même
école
n’ont rien de plus pressé que de se fractionner e
re sa proclamation. Il mérite d’être examiné. Et un mot d’abord sur l’
école
à laquelle il appartient et d’où il est sorti. Un
r, devenu chef d’un démembrement et d’une subdivision importante de l’
école
de Hugo, est de ceux qui n’ont pas craint à l’ori
avec moins de fini, se rattache par le côté de Théophile Gautier à l’
école
de Victor Hugo ; il aime et cultive la descriptio
ore une fois, à qui donc s’en prend ici M. du Camp ? Quelle est cette
école
de l’art pour l’art à laquelle il fait tout d’un
laquelle il fait tout d’un coup une si rude guerre ? C’est sa propre
école
d’hier, et pas une autre qu’elle. Car enfin si j’
ion, avec quel désir de trouver le bien, sans acception de genre ni d’
école
, on écoutait jusqu’au bout des choses qui, à nous
patible avec la fondation décisive de l’astronomie mathématique par l’
école
de Thalès. L’étude rationnelle d’une telle opposi
tisfaire également, de manière à rendre enfin pareillement inutiles l’
école
rétrograde et l’école négative, dont chacune est
manière à rendre enfin pareillement inutiles l’école rétrograde et l’
école
négative, dont chacune est surtout destinée aujou
ces inséparables du grand problème social. En effet, chacune des deux
écoles
, en vertu de son exclusive préoccupation, n’est p
ns inverses de son antagoniste. Malgré sa tendance anti-anarchique, l’
école
théologique s’est montrée, de nos jours, radicale
stiques. Semblablement, quel que soit l’instinct anti-rétrograde de l’
école
métaphysique, elle n’a plus aujourd’hui toute la
éteindre qu’à la fois, devait susciter le développement d’une sorte d’
école
intermédiaire, essentiellement stationnaire, dest
semble de notre situation révolutionnaire procure momentanément à une
école
essentiellement empirique, qui, sous l’aspect thé
rande crise moderne. Restée encore étrangère à de telles questions, l’
école
positive s’y est graduellement préparée en consti
cale. Il est aisé de reconnaître que les discussions ontologiques des
écoles
grecques se sont essentiellement reproduites sous
ion perturbatrice. Or c’est ainsi que la supériorité nécessaire. de l’
école
positive sur les diverses écoles actuelles peut a
i que la supériorité nécessaire. de l’école positive sur les diverses
écoles
actuelles peut aussi être le plus nettement appré
duelle ou collective, est donc nécessairement impossible aux diverses
écoles
absolues qui dominent encore ; aucune d’elles, en
ontraire taxée, à cet égard, d’incompétence radicale par les diverses
écoles
actuelles, depuis les vrais catholiques jusqu’aux
haine révolution théologique. Les déclamations actuelles des diverses
écoles
monothéiques n’empêcheront pas davantage l’esprit
que dans les aveugles déclamations trop souvent émanées des diverses
écoles
actuelles, théologiques ou métaphysiques, contre
ment un immense mouvement mental à une stérile agitation politique, l’
école
positive explique et sanctionne, d’après un exame
ental, par les seules voies qui puissent le surmonter, cette nouvelle
école
a besoin, avant tout, du maintien continu de l’or
au milieu d’un profond désordre moral. Outre ses travaux d’avenir, l’
école
positive s’associe immédiatement à cette importan
ation par sa tendance directe à discréditer radicalement les diverses
écoles
actuelles, en remplissant déjà mieux que chacune
ine spontanément, de façon à se montrer aussitôt plus organique que l’
école
théologique et plus progressive que l’école métap
itôt plus organique que l’école théologique et plus progressive que l’
école
métaphysique, sans pouvoir jamais comporter les d
c’est-à-dire liberté et attention. Sous ces conditions naturelles, l’
école
positive tend, d’un côté, à consolider tous les p
fatalité aisément explicable, c’est de ceux-là mêmes que la nouvelle
école
doit peut-être attendre le moins d’assistance et
que lui présente aujourd’hui la masse spéculative proprement dite, l’
école
positive ne saurait trouver d’autre ressource gén
tion des connaissances réelles : le public rendra ainsi à la nouvelle
école
un plein équivalent des services que cette organi
hrétienne. Il importe donc beaucoup que, dès son origine, la nouvelle
école
philosophique développe, autant que possible, ce
i spécialement instituer aujourd’hui avec les prolétaires la nouvelle
école
philosophique, sans toutefois que son enseignemen
les, qui se rattachent essentiellement à l’École Polytechnique ou aux
écoles
de médecine. Il n’y a donc rien là qui soit vraim
, des résultats plus prochains, et des conditions plus impérieuses. L’
école
positive y devra donc trouver naturellement un ac
igences populaires à seconder aujourd’hui l’action philosophique de l’
école
positive par leur ardeur continue pour l’universe
vant tout, une réorganisation spirituelle. Mais on peut assurer que l’
école
positive aura beaucoup plus de facilité à faire p
nt, le caractère spontané de la doctrine sociale propre à la nouvelle
école
philosophique ; nos explications antérieures doiv
une incohérente accumulation de spécialités superficielles. Ainsi, l’
école
positive, résultée d’un actif concours volontaire
xposition et de discussion, équivalente à celle dont jouissent déjà l’
école
théologique et l’école métaphysique. L’une peut,
ion, équivalente à celle dont jouissent déjà l’école théologique et l’
école
métaphysique. L’une peut, chaque jour, dans ses m
ans prétendre à de tels avantages, que le temps doit seul procurer, l’
école
positive ne demande essentiellement aujourd’hui q
hique envers les nombreux et puissants organes, même réunis, des deux
écoles
anciennes. Or, il n’est plus à craindre que désor
de plus en plus inhérente à leur propre indifférence spéculative : l’
école
positive a même lieu de compter, sous ce rapport,
vagues ou sophistiques. Mais, à ce sujet, les besoins essentiels de l’
école
positive concourent directement avec les devoirs
sulté du culte des astres. Sa première ébauche mathématique, dans les
écoles
de Thalès et de Pythagore, a constitué ensuite la
cea. Voici la lettre que j’ai reçue de l’un des anciens élèves de l’
École
normale, contemporain de MM. Taine, About, et qui
male, contemporain de MM. Taine, About, et qui se trouvait encore à l’
École
après la retraite de M. Dubois, directeur, et sou
avec une grande émotion votre très vive et très exacte peinture de l’
École
normale de 1849 à 1852. C’est une période vraimen
nt classiques et romantiques. Les exercices les plus pacifiques de l’
École
devenaient des armes de guerre aux mains des deux
onsieur, à moi qui n’ai pas d’autre titre que mes obscurs souvenirs d’
École
, et dont la réputation est restée intra muros, de
tte petite salle anglaise me parut un indice de la décadence de cette
école
d’art à la renommée retentissante, dont il ne me
et réaliste, et qu’il dépasse, à notre avis, sans conteste ; toute l’
école
dont il prépara et glorifia les œuvres et les idé
tte illusion s’efface et cette renaissance se transforme en déclin. L’
école
qui semble au début basée sur la scrupuleuse rech
hardiment qualifier d’art nouveau. Aux principes de cet art nouveau l’
école
mystique anglaise resta toujours étrangère. Le mo
se de la réalité, qui fut à l’origine l’une des règles capitales de l’
école
, ne produisit dans la pratique que des résultats
lemagne et en Suisse, Böcklin, le peintre de la joie ; c’est encore l’
école
de Worpswede, où quelques artistes travaillant en
préraphaélite est un art éminemment artificiel ; et c’est pourquoi l’
école
a rapidement dégénéré. Aussi lorsque nous comparo
pourrir, et dont elle peut assumer la paternité. En nous bornant à l’
école
elle-même, nous pouvons constater qu’elle n’a pas
ater qu’elle n’a pas produit un grand homme, à proprement parler. « L’
école
sèche » disait Delacroix, c’est-à-dire contraire
ue les préraphaélites « jetteraient en Angleterre les fondations de l’
école
d’art la plus noble qu’on ait vue depuis trois ce
préraphaélites, bien qu’il n’ait jamais appartenu proprement à cette
école
; comme le dit M. Robert de la Sizeranne (La pein
urageaient les convictions esthétiques et préparaient le désarroi des
écoles
, il est naturel qu’un esprit philosophique comme
que chose1. L’administration française, postes, télégraphes, bureaux,
écoles
ou fonctionnarisme politique, la grande plaie de
s places dépeuple même les campagnes. Le cultivateur qui est allé à l’
école
court à la ville se mettre derrière un guichet. M
Montépin, Boisgobey et leurs innombrables sous-ordres, sans compter l’
école
pornographique qui a ses Journaux et ses suppléme
blic, et corrigé la médiocrité du goût ? Hélas ! non. Flaubert et son
école
ont eu beau perfectionner les procédés d’observat
l ne sont pas les seules causes de cette épidémie. L’importance que l’
école
réaliste a accordée aux choses vécues a funesteme
t. C’est par la sensibilité forte et simple et non par les procédés d’
école
qu’on atteint l’art. Comparez notre civilisation
Goncourt, et Homère aussi moderne que M. Zola. Lisez les livres de l’
école
de Goncourt, sauf quelques ouvrages admirables, i
s surprendront ; vous n’aurez pas de peine à constater que lui et son
école
sont contenus dans Chateaubriand, dans Bernardin
ssons-en avec les étiquettes menteuses et les injurieuses négations d’
école
et arrachons-nous enfin à l’influence de la multi
itale. C’est du fond de sa province que Lamartine a créé notre grande
école
de poésie personnelle. C’est au milieu des solitu
uvé les œuvres qui ont modifié l’état d’esprit de toute une époque. L’
école
contemporaine d’observation réaliste a été fondée
nd monde de la capitale. Mais en dehors des rares survivants de cette
école
, dont M. Ohnet a précipité la décadence, tout ce
ilibre d’imagination qui faisaient jusqu’ici de notre littérature une
école
de sincérité et de bon goût. Au lieu de signaler
n localisée à Paris, desserrer l’étau qui comprime notre organisme. L’
école
musicale française nous a donné des exemples dont
laquelle on se remet à lire des hommes que la réaction des dernières
écoles
nous avait un peu trop fait oublier. Les écoles s
éaction des dernières écoles nous avait un peu trop fait oublier. Les
écoles
sont comme les fleuves, qui dans leur débordement
avons eu le bonheur de voir peu à peu disparaître les antagonismes d’
école
qui nous divisaient, et le naturalisme nous paraî
é : Chateaubriand est le précurseur et, on peut le dire, le père de l’
école
réaliste contemporaine. Nous entendons ici par ré
d’esprit, son pessimisme. C’est de Chateaubriand enfin que procède l’
école
coloriste et sensationniste, de Théophile Gautier
qu’il pouvait en sortir une littérature nouvelle, comme on pressent l’
école
réaliste contemporaine lorsqu’on lit pour la prem
ptions de Flaubert et que n’ont jamais dépassé les efforts de toute l’
école
réaliste contemporaine. S’il veut peindre l’auror
Connaissez-vous quelque chose de plus contemporain, de plus nouvelle
école
que cette description de la fin du jour dans les
à cinquante lignes qui dépassent tout ce qu’ont écrit Flaubert et son
école
, cinquante lignes plastiques qui resteront le mod
de Pêcheur d’Islande, l’œuvre de Pierre Loti, le dernier en date de l’
école
Flaubert-Goncourt. M. Paul Bourget a donc grand t
réservait pour ses descriptions de nature, l’évolution était faite, l’
école
réaliste fondée, Flaubert devenait inutile ; mais
même et la tradition de notre langue, il a vraiment fondé la nouvelle
école
plastique en germe dans Chateaubriand et universe
é en avance de cinquante ans sur son siècle et de contenir en germe l’
école
littéraire actuelle. La gloire de Flaubert sera d
eaubriand est donc le père de Flaubert et par suite le vrai père de l’
école
contemporaine fondée par l’auteur de Madame Bovar
De l’avenir du roman contemporain Les écrits de Spencer et de l’
école
positiviste anglaise, en propageant le goût des i
ommencent à frapper tous les esprits. On a voulu combattre l’ancienne
école
et élargir l’analyse, sans remarquer qu’on allait
ique rigoureuse, technique, renouant en littérature la tradition de l’
école
de Fromentin, ce peintre exquis et cet étonnant a
e certitude enfin de filiation et de descendance commune à toutes les
écoles
et élucidant toutes les productions. Nous avons e
e et les résultats de leur direction esthétique, en tenant compte des
écoles
étrangères et des exigences du goût public, qui n
élever laborieusement une œuvre colossale, qui eût suffi à fonder une
école
si elle avait eu des principes de durée : il a ét
it silencieusement dans son cabinet sans songer à se proclamer chef d’
école
. Le fameux Roman expérimental de M. Zola, la clas
hauteur où se placera la postérité, c’est l’avortement complet d’une
école
monstrueuse, qui a fini par décourager ses propre
et positif, poète de sentiment et photographe réel, le premier de son
école
il a introduit dans le roman l’angoisse, l’émotio
ût pas dépassé celle de M. Xavier Marmier, un prosateur de l’ancienne
école
, qui a fait à peu près les mêmes œuvres que l’aut
lir les ressorts de l’âme. Ce n’est plus la psychologie de l’ancienne
école
, une synthèse banale, une revue d’hypothèses auto
umaine et plus ingénieuse que profonde. Soit impuissance ou dédain, l’
école
réaliste semblait s’être interdit l’analyse des p
Il serait intéressant de remarquer la façon dont s’est transformée l’
école
réaliste et la valeur nouvelle qu’ont prise les t
ions et les attaques, pour constater sans répugnance le triomphe de l’
école
réaliste d’observation. Classique avec Flaubert,
phe de l’école réaliste d’observation. Classique avec Flaubert, cette
école
a vraiment continué la tradition française ; elle
débarrasser nos discussions, mettons-nous bien dans l’idée que cette
école
n’est au fond pas plus réaliste qu’idéaliste. C’e
que cette école n’est au fond pas plus réaliste qu’idéaliste. C’est l’
école
de toutes les époques et de tous les temps. Elle
et La Bruyère, et La Fontaine, avec Shakespeare et Cervantès. C’est l’
école
de Virgile et d’Homère, et n’a qu’à retire l’Ilia
entir Gœthe dans une lettre datée d’Italie à Schiller. En dehors de l’
école
d’observation il ne peut donc rien exister de lit
a fallu l’autorité d’Octave Feuillet pour retarder la décadence d’une
école
qui nous a trouvé précisément de belles choses to
r ; ce n’est pas lui seul qui a été mis en déroute : c’est un peu son
école
, il n’est, lui, que le dernier anneau d’une longu
érence et les mêmes haines. Nous devons donc retourner loyalement à l’
école
réaliste exacte, qui a gardé du talent jusque dan
érale après Balzac et Stendhal, et victorieuse depuis Flaubert, cette
école
représente la valeur et le noyau de notre littéra
ra remonter sans cesse, parce qu’il fait partie du grand courant sans
école
d’où l’art ruisselle inépuisablement depuis Homèr
grossissement. Non seulement nous nous éloignons aujourd’hui de cette
école
, mais on signale depuis quelques années un retour
s et de l’esthétique ancienne que ne l’avaient cru nos désillusions d’
école
. Il y avait là un malentendu à dissiper. C’est al
ins de pérennité et de force. Souvenons-nous bien pour cela, malgré l’
école
indépendante, que la forme ne fait qu’un avec le
roman contemporain sans discuter les modifications qu’apporteront les
écoles
étrangères et en particulier les romanciers russe
écouverte. Ce fut une révélation qui, en détruisant nos partis pris d’
école
, a affranchi nos idées et dégagé les esprits de l
lance et cette filiation. Il est curieux, on le voit, que ce soit une
école
étrangère qui ait développé les conséquences des
nous stériliser dans les limites d’un modèle unique. Sortons de notre
école
française ; agrandissons nos ateliers de purs cis
u’il exerçait sa dictature de salon, n’a-t-il pas vu éclore certaines
écoles
aujourd’hui triomphantes ? Qu’a-t-il pensé de ces
re certaines écoles aujourd’hui triomphantes ? Qu’a-t-il pensé de ces
écoles
? Comment a-t-il envisagé les questions esthétiqu
ster contre les abus de la littérature. L’épanouissement de toute une
école
pornographique ayant ses journaux et ses suppléme
e complètement dérouté par les premières productions originales d’une
école
dont il approuvait les tendances, et qui devait n
uations et les personnages de Madame Bovary : ses admirations pour l’
école
idéaliste de George Sand le tenaient fermé aux be
! s’écrie quelque part M. Zola. Constatez l’avènement de la nouvelle
école
! » La perspicacité de Sainte-Beuve n’est pas all
oser sa sévérité à l’égard des œuvres d’où est sortie notre brillante
école
actuelle. Il serait aujourd’hui étonné, s’il voya
zac et Flaubert continuaient et allaient définitivement établir cette
école
d’observation classique. Il semble n’avoir aimé l
en voir que les abus. Ses faveurs vont aux élégances bourgeoises de l’
école
idéaliste. Le vieux fond d’idéalisme qui persista
leurs premiers ouvrages, en tant que symptômes d’une transformation d’
école
, n’aurait pas dû échapper à Sainte-Beuve, qui se
parti pris, il n’a pas été attiré par l’écrivain qui n’était d’aucune
école
. Il n’a apprécié ni la nouveauté de ses procédés,
». Il croit au rapide épuisement et à la prochaine disparition de son
école
, où il fait entrer Charles de Bernard, Soulié, Du
ut que sous la forme employée par Sandeau, George Sand, Feuillet et l’
école
idéaliste, qui est justement celle qui s’est le p
eviné la véritable place qu’ils devaient prendre. Il n’a prévu ni les
écoles
ni les conséquences, ni les évolutions des œuvres
l’âme. Une indifférence esthétique absolue distingue Pierre Loti de l’
école
essentiellement amoureuse de la forme dont Flaube
vouloir être original. Je crois que les poètes, quelle que soit leur
école
, sont un peu comme les littératures : il en est q
e antique ; M. Sully-Prudhomme résume la sensibilité douloureuse et l’
école
philosophique lamartinienne ; Banville, c’est la
qu’il voit. L’auteur des Poèmes de Provence n’a rien de commun avec l’
école
parnassienne, en quête d’intensité et toujours ha
forts isolés, sans pouvoir constater un mouvement d’ensemble vers une
école
définitive. Nous avons beaucoup discuté, mais nou
nel recommencement des situations, dramatiques dont a vécu l’ancienne
école
, d’ailleurs admirable dans ses derniers représent
première étude, que l’auteur des Martyrs était le vrai père de notre
école
réaliste contemporaine et que les procédés plasti
core à l’heure actuelle, par les maîtres qui nous restent et la jeune
école
nouvelle, une place considérable dans notre litté
it, en danger de rester au-dessous de la réputation des ouvrages de l’
école
indépendante ? Au nom même de l’esthétique réalis
n expression littéraire. Mais je crois que ce sont toujours les mêmes
écoles
qui se renouvellent à des époques différentes. Da
sa généralité, exclusivement physiologique et plastique. Une certaine
école
contemporaine ne se contente plus d’exalter l’ima
modèles et ses portraits. Si la Clélie discrédita momentanément cette
école
, le genre persista, et madame de La Fayette, à qu
s qu’il cesse pour cela d’être observé et vécu. C’est le parti pris d’
école
, et non la vérité esthétique, qui pousse, par exe
s procédés a embrouillé les genres et violenté les règles. A côté des
écoles
où l’on réhabilite l’obscurité et l’extravagance,
urerait qu’on ne tient une plume que pour forcer son originalité. Une
école
amoureuse de ténèbres s’est fait un mérite d’appl
les efforts du talent sont devenus des bizarreries. C’est ainsi que l’
école
des imitateurs des de Goncourt a misérablement éc
peintre traduit avec la couleur. Tout ce qu’on peut dire, c’est que l’
école
contemporaine à eu le tort d’exagérer ces théorie
s. Bien qu’il soit après Chateaubriand le premier initiateur de notre
école
plastique, Flaubert avait une esthétique beaucoup
employées bien avant nous. Toute la gloire de Flaubert, le chef de l’
école
Goncourt-Zola, est d’être un pur classique et d’a
orce plastique dans Homère et la construction de sa phrase dans notre
école
française officielle. C’est ici que vient naturel
riginalité se dégage. Malgré l’hostilité ultra-moderniste de quelques
écoles
, la connaissance approfondie des classiques grecs
sée de longtemps. On trouve en lui tous les titres d’originalité de l’
école
dont M. E. de Goncourt voudrait se faire le chef
loin, on le voit, de la méthode rhétoricienne et monotone propre à l’
école
idéaliste. L’école réaliste s’est complètement tr
de la méthode rhétoricienne et monotone propre à l’école idéaliste. L’
école
réaliste s’est complètement transformée depuis Ba
te s’est complètement transformée depuis Balzac. Depuis George Sand l’
école
idéaliste est restée la même. La langue d’Octave
ne partage pas servilement l’aveugle admiration dont les entoure une
école
qui n’a guère imité que leurs défauts. Le bouleve
L’exagération de son maniérisme a désillusionné les lecteurs et, son
école
exagérant encore ses défauts, il a bien fallu rec
poque, c’est d’en revenir aux classiques. Voulez-vous n’être d’aucune
école
? Soyez de la grande école française. Celle-là se
ux classiques. Voulez-vous n’être d’aucune école ? Soyez de la grande
école
française. Celle-là se prête à toutes les exigenc
ux classiques, Flaubert s’est créé une esthétique d’où est sortie une
école
très moderne et très féconde. Ce qu’il est essent
’il conduira à la première de Lohengrin deux cents jeunes hommes de l’
École
des Beaux-Arts, élèves et modèles, vêtus de toges
èves et modèles, vêtus de toges et armés de sifflets. La Jeunesse des
Écoles
organise, dans quelques sous-sols, des conciliabu
éfaite de toute rénovation artistique. Si donc nous voulons avoir une
école
musicale française, il faut que nos jeunes compos
déjà produits. Je ferai connaître, de mon mieux, à vos lecteurs notre
école
Wagnérienne russe ; encore que les exigences d’un
je voudrais vous dire dans cette première lettre quelques mots sur l’
école
musicale dite Nationale, et qui a la prétention,
fait différents. Je crois bien que les noms des compositeurs de cette
école
, fort connus chez nous, ne sont plus étrangers au
ar Cui 2, qui furent les fondateurs et qui restent les chefs de cette
école
musicale. Mais ces artistes ont apporté dans leur
été reprise, avec plus de perfection, par les représentants de cette
école
nationale russe dont je vous ai cité les noms pri
x musiques n’est pas seulement dans la langue : nos compositeurs de l’
école
Nationale ont sur deux points principaux de la th
personnages, surla scène, parlent et agissent ? Les compositeurs de l’
école
Nationale Russe ont cru que la première alternati
erse de moqueries et d’injures. Aujourd’hui les compositeurs de notre
école
Nationale ne raillent plus Wagner ; mais ils pers
os journaux nous ont appris que vous aviez une nombreuse et brillante
école
de compositeurs Wagnéristes : MM. Benjamin Godard
wagnériennes sur le drame musical. Chez nous d’ailleurs, à côté de l’
école
musicale Nationale, il y a quelques artistes plus
ays. Dans une prochaine lettre je vous enverrai des détails sur notre
école
Wagnérienne russe, et notamment sur Séroff c, cri
tre. Le reste, ce qui est mauvais en Bellini, chacun de vos maîtres d’
école
de village peut le faire mieux ; cela est connu ;
, sans que, pour autant, ils se réclament directement de lui ou d’une
école
wagnérienne. L’important répertoire des anciennes
ne réaction de discipline classique. Il souffle une brise nouvelle. L’
École
romane se fonde. Fernand Gregh prépare l’Humanism
se fonde. Fernand Gregh prépare l’Humanisme. Charles Morice médite l’
École
française et M. Henri de Régnier lui-même va préc
scène avec Paul Fort, qui crée le Théâtre d’Art. Les poètes de cette
école
ont chacun leur conception particulière du Symbol
eux, cette diversité que l’on retrouve chez les poètes de toutes les
écoles
. Vigny et Hugo, si dissemblables, sont tout de mê
Sur l’
École
française d’Athènes On a récemment parlé d’un p
horizons. En un mot, si Rome est justement le foyer tout trouvé d’une
école
de peinture, le centre le plus naturel pour l’arc
ue le résultat indiqué par ces considérations diverses, c’est qu’une
École
française , instituée à Athènes pour un certain n
rchitecture, ne joindrait-on pas quelques-uns des élèves sortant de l’
École
normale, qui auraient également mérité cette dist
t toutefois, il y a une pensée supérieure qui doit dominer. Une telle
école
d’art et de langue instituée à Athènes serait ava
u qu’il exprimait s’est réalisé. L’Ordonnance royale qui instituait l’
École
Française d’Athènes parut peu de temps après (13
emps accumulées. Il s’est créé depuis une douzaine d’années une jeune
école
d’érudits laborieux, appliqués, ardents, enthousi
our en extraire les moindres filons non encore exploités. Cette jeune
école
de travailleurs, plus épris de l’étude et de l’ho
t au procédé négatif, répulsif et commodément paresseux de l’ancienne
école
, dite l’école du goût ! — Non pas au moins que je
égatif, répulsif et commodément paresseux de l’ancienne école, dite l’
école
du goût ! — Non pas au moins que je veuille sacri
ite l’école du goût ! — Non pas au moins que je veuille sacrifier une
école
à l’autre : mon désir et mon vœu serait de les as
arles V, réagissant en littérature et en poésie, avait créé toute une
école
ayant son cachet à part de science, de prudence,
re Des Périers, les Brodeau. Ce qui manquait à Marot et à sa gentille
école
, c’estla force, la vigueur, la couleur, l’élévati
le qui le sépare de Ronsard et de Du Bellay, une nouvelle décadence d’
école
(car les écoles se succèdent vite en France) se f
e de Ronsard et de Du Bellay, une nouvelle décadence d’école (car les
écoles
se succèdent vite en France) se faisait déjà sent
insuffisants, de la part de Maurice Sève, et dans la petite et docte
école
de Lyon, pour atteindre aux parties élevées de la
revenir en étendant la main par-dessus deux siècles. » Cependant l’
école
de Ronsard avait fait son temps, avait suivi et a
esse des accents ; il est à la fois le Racine et le Quinault de celle
école
si hâtive de Ronsard. Les guerres civiles survena
it très-bien passé ; je crois qu’il était urgent qu’un nouveau chef d’
école
redonnât un coup d’archet décisif, et marquât sév
isposition du réformateur. En France, le procédé invariable de chaque
école
poétique à son début est de rompre net avec celle
Malherbe l’était du passé. Neveu de Des Portes, il se croyait de son
école
et de celle de Ronsard : il était surtout de la f
égnier et nous font perdre la trace. C’est son Tartufe, à lui, et son
École
des Femmes à la fois. On a par-là l’idée de tout
ils ont La Fontaine pour faire toute la semaine, s’ils le veulent, l’
école
buissonnière, et Racine pour maître de chant, aux
tre cela tient-il en partie à ce que le dernier mot de Moréas : « les
écoles
, c’est des bêtises » (il le savait, en ayant fond
ux symbolistes comprend trois divisions, les cercles, les revues, les
écoles
. Or, ni les hydropathes, ni les hirsutes, ni le C
eaucoup plus heureusement que des poètes plus notoires les idées de l’
école
. Il fallait surtout faire une différence entre de
néralement mauvais, où il essaie naïvement de se plier aux modes de l’
école
qui reconnaissait en lui son père : c’est ainsi q
-Griffin, Dujardin, Retté, De Régnier). 3. Néo-classiques, divisés en
école
romane (Raynaud, Du Plessis, De La Tailhède) et i
l’exemple et même de l’influence de Mallarmé. Que Ghil ait été chef d’
école
, soit ; mais les vers du délicat poète Mockel nou
st le genre commun, la plate-forme populaire où se fait connaître une
école
poétique. On sait même à quel point les nécessité
tre au compte de la poésie symboliste ni les fantaisies ingénues de l’
école
romane, ni l’archaïsme dont M. Tailhade s’est bie
t un sens que lorsqu’un nouveau mouvement poétique (je n’ose dire une
école
) lui aura succédé, lorsqu’il sera possible de le
ôtez lui son bonnet, et regardez ! Ôtez-lui l’uniforme dans lequel l’
École
normale boutonne ses vélites, ôtez-lui enfin les
toire, puisqu’il se rabat sur l’histoire, M. Lenient a le bagage de l’
école
, ni plus ni moins. C’est un dégrossi de l’enseign
cès non vidé qu’il ne videra pas, mais, toujours dans ses errements d’
école
, il reprend en sous-œuvre l’opinion de ses maître
à lui. Or, comme il n’est pas d’idée plus familière et plus chère à l’
école
historique, qui a fondé la théorie des classes mo
ience est là. Le livre de M. Lenient est un niveau. Avec des hommes d’
école
n’ayant que l’individualité de leur école, vous p
n niveau. Avec des hommes d’école n’ayant que l’individualité de leur
école
, vous pouvez avoir au-dessous, mais vous n’aurez
rite étant identiquement le même professeur moyen, le même élève de l’
École
normale du milieu de la classe, qui pouvait l’écr
, et un réaliste militant. Il fut le plus chaud des chaleureux de son
école
. Il a soutenu des thèses, fait la poétique de cet
ait bien conseillé, s’élancer et quitter le plat terre-à-terre de son
école
. Mais, Dieu soit loué ! le Ménechme d’imitation q
vais être sévère tout à l’heure. C’est un écrivain rencontré dans une
École
qui ne sait pas écrire et qui, pour cette raison-
squ’il est réaliste, et puisque, sur ce point, il ne distance pas son
école
, mais va d’un même pas avec elle. Le crime littér
son école, mais va d’un même pas avec elle. Le crime littéraire de l’
école
de M. Duranty est de méconnaître l’idéal. Son réa
mmun que tous les autres, mené qu’il est par la misérable idée de son
école
que, plus on est commun, plus on est vrai. Du res
l’idéal ! L’auteur du Malheur d’Henriette Gérard, avec l’amour de son
école
pour la trivialité, s’est cru très-profond et trè
bé, comme il le voudrait établir, sous les attaques intolérables de l’
école
nouvelle, mais qui a péri très justement par l’ab
imé ces vérités immortelles dans un style ferme, net, franc, de bonne
école
et de bonne race, d’avoir fait circuler dans les
crivant, n’eût pas senti peser sur lui sa précoce gloire de chef de l’
école
de bon sens ? Charlotte Corday : Ce n’est pas se
vir. Ce fut une erreur de croire, quand sonna son heure, qu’un chef d’
école
était venu. Mais on le crut, et comme nous sommes
e mauvais tour de l’opposer à Victor Hugo et de le sacrer chef de l’«
école
du bon sens ». C’était un peu ridicule, et pourta
tendri du sentiment moral qui spiritualise et poétise cette couleur d’
école
hollandaise appliquée sur des sujets allemands, e
r ce talent que nous tenons à voir s’épanouir. Il est une tradition d’
école
qui fait accuser le Père Malebranche d’avoir, dan
ui si mal à propos de cet auteur, peut-on le dire plus justement de l’
école
à laquelle Champfleury appartient ? Cette école,
e plus justement de l’école à laquelle Champfleury appartient ? Cette
école
, qui a sa petite cohérence, mettrait-elle de l’im
qui observe devait voir plus clair. N’était-ce pas la prétention de l’
École
? Mais, malgré cette prétention et le nom qu’il p
s avez touché en m’écrivant. Je ne veux et ne crois rien accorder à l’
école
positiviste quand je dis que ce qui dépasse le mo
ni dépasse le domaine de la science humaine. Au-delà du monde fini, l’
école
positiviste nie qu’il y ait quelque chose. Ce n’e
nce et respect humain. Le matérialisme est le fond des idées de cette
école
, et quand elle ne se dit pas matérialiste, c’est
erfection morale, qu’il ne peut atteindre. Je ne désarme donc point l’
école
spiritualiste dans ses efforts pour prouver, comm
r, comme vous le dites, l’existence d’un ordre invisible. Cette noble
école
poursuit et saisit l’existence du monde invisible
nous avions cru remarquer entre la pensée de M. Guizot et celle de l’
école
positiviste à propos de la nature et des limites
ouver par un très-grand nombre de passages empruntés aux maîtres de l’
école
. Je n’en citerai qu’un, qui est explicite et déci
inaccessibles, et que le milieu seul, ce que l’on appelle en style d’
école
le relatif, nous appartient43. » Devant une décla
ble caractère, la réalité et l’inaccessibilité. » Mais, dira-t-on, l’
école
positiviste rejette Dieu et l’âme comme des hypot
es rejetez vous-même, puisqu’il n’y a de science que du monde fini. L’
école
positiviste ne rejette pas ou ne peut pas rejeter
donc réfuter ceux qui le nient. D’ailleurs, nous venons de le voir, l’
école
positive ne nie pas l’infini. M. Littré l’affirme
u le voir réfuter les preuves de l’existence de Dieu données dans les
écoles
spiritualistes, les preuves de la Providence donn
d’arrêter l’illustre penseur. Quand il s’agit d’opinions humaines, d’
écoles
philosophiques, de partis politiques, je comprend
renoncé à ce second argument ; mais il continue à être donné dans les
écoles
catholiques, on l’enseigne même aux petits enfant
édies qui ont suivi L’Avare, Les Femmes savantes, Le Misanthrope et L’
École
des femmes, le relief des soupers de de la petite
e remarque ingénieuse et vraie à coup sûr, d’un très habile élève des
écoles
d’Athènes, qui s’appelle saint Augustin. Quant au
» Les païens eux-mêmes, ces grands hommes, insultés naguère dans nos
écoles
de morale étroite et de rhétorique mesquine, ils
erait un ouvrage exquis et délicieux. » Le Jour du feuilleton. — L’
École
des femmes. — L’Épreuve nouvelle. — Mademoiselle
vont très loin. — Je parlerai, lui dis-je, et tout naturellement de L’
École
des femmes. Vous avez beau crier, une comédie don
Ceci fait, j’aurais suivi l’enfant dans sa seconde entreprise ; de L’
École
des femmes, je passais à L’Épreuve nouvelle, de M
l’art de la comédie, j’aurais terminé mon histoire par ces vers de L’
École
des femmes : Il faut qu’on vous ait mise à quelq
de L’École des femmes : Il faut qu’on vous ait mise à quelque bonne
école
. Qui, diantre, tout d’un coup vous en a tant appr
n convenant avec vous de l’esprit et de la gaieté de cette comédie, L’
École
des femmes, convenez avec moi que le fond en est
dire à la même heure, et sans transition, vous la faites passer de L’
École
des femmes à L’Épreuve nouvelle, de l’Agnès qui s
fin de compte, à la critique et à l’histoire ! Dans La Critique de l’
École
des femmes, un chef-d’œuvre de sarcasme et d’espr
cher d’avoir du plaisir. » Pendant tout cet acte de La Critique de l’
École
des femmes, Molière se raille à plaisir de ces ra
éâtre, se pourrait contenter d’étudier et de méditer La Critique de l’
École
des femmes ; il y trouverait les meilleurs et les
t profiteras. En profitant délecteras. Pour quitter La Critique de l’
École
des femmes, et pour revenir à cette comédie heure
t pas, par exemple, être trop professeur et maître de conférences à l’
École
normale, il ne faudrait pas être trop digne d’un
mporté. Or, M. Jules Girard a cette position et a eu cette fortune. L’
École
normale a ses traditions ; l’Académie, les sienne
sse « traditions ». Ces traditions, qui sont les mêmes à peu près à l’
École
normale et à l’Académie, et que comme professeur,
rits, qui à leur tour en seront les débardeurs sur tous les quais des
écoles
de France, ne sont pas des garanties d’indépendan
ication de la gloire qu’ont faite et conservée à l’historien grec les
Écoles
et les Académies. Au contraire, c’en est forcémen
son expression la plus pure, la plus haute, la plus complète (style d’
école
normale), abordant l’histoire, il l’aborde nécess
e qu’il est allé à Athènes et en est revenu faire des conférences à l’
École
normale, les us et coutumes littéraires des Grecs
rt de Marot. Mellin de Saint-Gelais. — § II. Manifeste d’une nouvelle
école
poétique. Illustration de la langue française, pa
e la langue française, par Joachim du Bellay. — § III. Ronsard et son
école
. § I. État de la poésie française après la mor
il avait composés lui-même84, de jeunes esprits se formaient dans les
écoles
restaurées par là Renaissance, et retrouvaient l’
ue leur outrecuidance juvénile qualifia tout d’abord d’épiceries de l’
école
de Marot, ils levèrent l’étendard de la révolte c
, ces biens de l’esprit dont la possession enthousiasmait la nouvelle
école
. Il se défendit d’abord avec tout le crédit que l
’il avait de la tenaille de Mellin. § II. Manifeste d’une nouvelle
école
poétique. Illustration de la langue française, pa
gue françoyse, par Joachim Du Bellay, fut le manifeste de la nouvelle
école
. Il parut cinq ans après la mort de Marot, et deu
ilshommes et Damoyselles d’où on les a empruntées ! » Les poëtes de l’
école
de Marot, le maître compris, ne sont pas traités
à cause de Marot, qui y avait excellé. Il conseille aux poëtes de son
école
de se retirer au bagage avec les pages et les laq
la comédie. Il n’y avait pas de genre si haut chez les anciens dont l’
école
de Ronsard ne voulût doter notre poésie. En même
ar leur savant familier. L’imitation des anciens, dans Ronsard et son
école
, n’est le plus souvent qu’une traduction si épris
a langue que se faisait voir cette confusion qui est le propre de son
école
. Après avoir pris aux poëtes grecs et latins l’or
tes sortes de mestiers pour apprendre leurs termes102. » La nouvelle
école
était engagée d’honneur à prouver aux cicéroniens
; la prouver par des exemples, ce fut l’ambition de Ronsard et de son
école
. Tous ces moyens d’enrichir la langue sont matéri
est plus vrai que le reproche d’orgueil qu’on fait à Ronsard et à son
école
, ni plus mérité que l’épithète de poëte orgueille
ui contenait en sa vaste confusion tous les éléments dont la nouvelle
école
allait s’emparer pour le détruire et le nier : el
e se réalisait alors naturellement sous forme de religion : le chef d’
école
était un prêtre, l’École une Église839. Vers 1850
rellement sous forme de religion : le chef d’école était un prêtre, l’
École
une Église839. Vers 1850, les âmes se dessèchent.
n France. Il est le plus remarquable de tous ces libéraux, sortis des
écoles
, qui combattirent par la presse le régime impéria
anv. 1894. 841. Biographie : Prévost-Paradol (1829-1870), sort de l’
Ecole
Normale en 1851. Un de ses articles fait supprime
ces. 843. Biographie : E. About (1828-1885), Lorrain, au sortir de l’
École
Normale alla à l’École d’Athènes, d’où il a rappo
E. About (1828-1885), Lorrain, au sortir de l’École Normale alla à l’
École
d’Athènes, d’où il a rapporté cette satire plus a
. 852. Depuis 1891. 853. Francisque Sarcey (né en 1828). sorti de l’
École
Normale en 1851. professeur de 1851 à 1858, puis
tous les souvenirs du monde moderne. Conservez une bibliothèque, une
école
, un monument tant soit peu significatif, vous con
l’irréformable. Il y a une ligne très délicate au-delà de laquelle l’
école
philosophique devient secte : malheur à qui la fr
elles, la rêverie se mêle à la science dans un indiscernable tissu. L’
école
d’Alexandrie offre le plus curieux exemple de cet
-simonisme l’a renouvelé de nos jours. Je suis persuadé que, si cette
école
célèbre fût restée dans la ligne de Saint-Simon,
y prennent le dessus, les scories de la superstition apparaissent, l’
école
tourne à la religion, n’excite plus que le rire e
s entraîneront l’humanité. Les temples de cette doctrine, ce sont les
écoles
, non pas, comme aujourd’hui, enfantines, étriquée
qu’à la Sorbonne ou au Collège de France, que ce seront en un mot des
écoles
dépouillées de leur vernis pédagogique. L’école e
seront en un mot des écoles dépouillées de leur vernis pédagogique. L’
école
est la vraie concurrence du temple. Si vous éleve
mpris que d’un comité. Le bon sens a fait justice de cette singulière
école
esthétique de l’ironie, mise en vogue par Schlege
celles de Louis Feuerbach, un des représentants les plus avancés de l’
école
ultra-hégélienne (Souvenirs de ma vie religieuse,
acités, pour ses défauts mêmes, nés d’un surcroît du cœur. Sorti de l’
École
normale et destiné aux sciences, envoyé comme pro
u 7 juin 4 866. Nécrologie. — Le docteur Armand Paulin, médecin de l’
École
normale supérieure, chevalier de la Légion d’honn
produit des hommes supérieurs ou distingués en tout genre, élève de l’
École
normale dans la première ferveur de la création,
reuse amitié de quelques-uns ; rattaché en qualité de médecin à cette
École
normale dont le seul nom lui était cher, il y ret
ère dont il s’agit. Tel est l’usage ; et c’est ainsi qu’à propos de l’
École
normale dans sa première nouveauté, j’ai été cond
encore un grammairien (puisque grammairien il y a) qui n’est pas de l’
École
de Vaugelas. 78. Les curieux en matière de quer
uchement cette action, avec ses deux bras en haut, sur l’estrade de l’
école
? Qu’a de commun celui qui fait semblant de mouri
s son lit, ou qu’on assomme dans la rue ? Qu’a de commun ce lutteur d’
école
avec celui de mon carrefour ? Cet homme qui implo
la vérité est étrangère, accusez-en l’éternelle étude du modèle de l’
école
. Ce n’est pas dans l’école qu’on apprend la consp
ccusez-en l’éternelle étude du modèle de l’école. Ce n’est pas dans l’
école
qu’on apprend la conspiration générale des mouvem
iment et du sentiment exquis. Voici donc comment je désirerais qu’une
école
de dessin fût conduite. Lorsque l’élève sait dess
uleusement la nature. La manière vient du maître, de l’Académie, de l’
école
et même de l’antique.
n peintre. Il a obéi à de bien autres préoccupations. Il est de cette
école
historique qui n’a pas de nom encore, — car un no
ès puissante dans l’éducation et la littérature contemporaines. Cette
école
, dont Augustin Thierry, revenu à la Vérité, se sé
la gloire de sa vie (Histoire de la conquête de l’Angleterre), cette
école
, qui n’eut jamais d’ailleurs l’insouciante hardie
mblez doucette ! du poète comique, semble avoir été écrit pour cette
école
, dont Labutte, obscur disciple, est le soldat zél
t le comprendrait-il ? A-t-il pour cela les facultés qui dominent les
écoles
, leurs mots d’ordre et leurs préjugés ? Est-il as
es mots bien vite dits de Barbarie et de Féodalité. Labutte est d’une
école
dont nous connaissons les perversités et les mani
ale au lecteur, se réduirait, si on la dépouillait de sa logomachie d’
école
, à une de ces inutilités logiques qu’un enfant de
e) de saint Augustin, dont le génie, comme on le sait, élevé dans les
écoles
, oscilla plus d’une fois aux souffles de son temp
bi, bo, bu, et nous ne croyons pas qu’il l’eût apprise. Philosophie d’
école
buissonnière, bonne pour les paresseux superbes !
le-même, et M. Taine le lettré, le docteur ès lettres et l’élève de l’
École
Normale, avec son livre des Philosophes français
i ont adorés depuis quarante ans. M. Taine a parfaitement appris, à l’
école
d’où il est sorti, le défaut de l’armure de ses m
d’ailleurs, avant tout, même avant les convenances et les respects d’
école
, la vérité ! Mais ce que nous ne pouvons nous emp
Il consiste dans le programme assez bien étudié de la philosophie à l’
École
normale et dans cette fausse élégance qui joue au
son cœur qui donne le branle à l’univers ! Je sais bien qu’il est une
École
qui conteste assez hautainement la supériorité de
te assez hautainement la supériorité de cette poésie spirituelle, une
École
puissante et qui mérite de l’être, _ car elle a r
ds services à la langue poétique de ce temps. On pourrait l’appeler l’
École
des Ciseleurs, mais moi je l’appellerai l’École d
pourrait l’appeler l’École des Ciseleurs, mais moi je l’appellerai l’
École
des Matériels, parce que ce mot dit mieux en disa
des Matériels, parce que ce mot dit mieux en disant davantage. Cette
école
en plastique, et, qu’on me passe le jeu de mots,
e mouvement et ce rythme charmant : J’appris à chanter en allant à l’
école
, Les enfants joyeux aiment tant les chansons ! Il
eaux l’attirent pour pleurer. J’appris tous ces chants en allant à l’
école
, Les enfants joyeux aiment tant les chansons ! et
eur de Lamartine ou de Victor Hugo ; rien ne le rattache non plus à l’
école
gauloise de Béranger, à l’école aristocratique d’
go ; rien ne le rattache non plus à l’école gauloise de Béranger, à l’
école
aristocratique d’Alfred de Vigny, à l’école humai
gauloise de Béranger, à l’école aristocratique d’Alfred de Vigny, à l’
école
humaine de Barbier ou de Brizeux. Le seul des maî
. [La Revue de Paris (1868).] Paul Mariéton Il est le seul de l’
école
dite « plastique » qui ne soit jamais tombé dans
ux pour qui reste morte la « notion rédemptrice de l’art », chère à l’
école
allemande. Flaubert, qui voulait que « l’émotion
té de leur expression artistique. Ceci, je crois, est la théorie de l’
école
? Mais cette école présente ceci de particulier q
on artistique. Ceci, je crois, est la théorie de l’école ? Mais cette
école
présente ceci de particulier que, si elle existe,
mpassible est impuissant et reste inférieur. Au théâtre, où la petite
école
des Impassibles a voulu transporter son action, e
fférentes catégories d’éléments. Ainsi se constituent les différentes
écoles
. Cette sélection fut, par principe, réduite à peu
vait au moins plus de méthode et plus de vraisemblance que celle de l’
école
, et n’en avait pas la barbarie. Poquelin continu
province le Docteur amoureux, les Trois Docteurs rivaux, le Maître d’
école
: ouvrages dont il ne reste que le titre. Quelque
eçus ; voilà pourquoi l’Avare, le Misanthrope, les Femmes savantes, l’
École
des Femmes n’eurent d’abord aucun succès. Louis X
e temps. Don Garcie ne fut imprimé qu’après la mort de l’auteur. L’
ÉCOLE
DES MARIS, Comédie en vers et en trois actes,
ces déjà préparés, puisqu’elles se succédèrent en si peu de temps. L’
École
des maris affermit pour jamais la réputation de M
ge, il eût pu passer pour un excellent auteur comique. On a dit que l’
École
des maris était une copie des Adelphes de Térence
érobé sa pièce. Mais les Adelphes ont fourni tout au plus l’idée de l’
École
des maris. Il y a dans les Adelphes deux vieillar
ucation différente aux enfants qu’ils élèvent ; il y a de même dans l’
École
des maris deux tuteurs, dont l’un est sévère, et
nce. Il n’y a presque point d’intrigue dans les Adelphes ; celle de l’
École
des maris est fine, intéressante et comique. Une
devienne tout à coup gai, complaisant et libéral. Le dénouement de l’
École
des maris est le meilleur de toutes les pièces de
t lui-même, de lui indiquer les termes dont il devait se servir. L’
ÉCOLE
DES FEMMES, Comédie en vers et en cinq actes,
ans réserve à ces farces monstrueuses, se rendirent difficiles pour l’
École
des femmes, pièce d’un genre tout nouveau, laquel
e voir n’en attira tant. Elle passe pour être inférieure en tout à l’
École
des maris, et surtout dans le dénouement, qui est
s maris, et surtout dans le dénouement, qui est aussi postiche dans l’
École
des femmes, qu’il est bien amené dans l’École des
t aussi postiche dans l’École des femmes, qu’il est bien amené dans l’
École
des maris. On se révolta généralement contre quel
le grand art des tragédies de l’admirable Racine. LA CRITIQUE DE L’
ÉCOLE
DES FEMMES, Petite pièce en un acte et en pros
la satire de ses censeurs, qu’il ne défend les endroits faibles de l’
École
des femmes. On convient qu’il avait tort de voulo
’hôtel de Bourgogne une petite pièce dans le goût de la Critique de l’
École
des femmes, intitulée : Le Portrait du peintre, o
es étroites d’un système qu’à notre époque, où à côté d’une brillante
école
de romanciers uniquement épris de réalités, s’est
te école de romanciers uniquement épris de réalités, s’est formée une
école
de poètes réfugiés, comme le savant de Hawthorne
om ironique de décadents. Baudelaire est leur père direct, et toute l’
école
danse et voltige sur le rayon macabre qu’il a ajo
endent et nous ne voulons point les affliger. D’après les œuvres de l’
école
, et Floupette nous venant en aide, voici comment
er une scélératesse bien noire avec des mots sacrés ? Les œuvres de l’
école
font briller plus d’ostensoirs et resplendir plus
et bizarre. C’est sûrement une décadence, mais seulement celle d’une
école
qui se meurt. Les essais que font ces poètes sur
t leurs opinions. Cependant voilà longtemps déjà qu’en Angleterre une
école
célèbre cherche dans les mots une musique, des co
rrespond exactement à la décrépitude sénile, à l’inéluctable fin de l’
école
immédiatement antérieure. Deux exemples suffiront
décadence. Et que peut-on reprocher, que reproche-t-on à la nouvelle
école
? L’abus de la pompe, l’étrangeté de la métaphore
de divergences ; ainsi, pour suivre l’exacte filiation de la nouvelle
école
, il faudrait remonter jusques à certains poèmes d
Les personnages qui parlent dans la pièce sont : Un Détracteur de l’
École
symbolique M. Théodore de Banville Érato Sc
décadence. Et que peut-on reprocher, que reproche-t-on à la nouvelle
école
? L’abus de la pompe, l’étrangeté de la métaphore
que n’a pas trop souffert de cet esprit d’imitation qui inspirait ses
écoles
. La plupart des statues antiques que nous admiron
s Loyson a été assez particulière. Cet élève distingué de la première
École
normale, ce contemporain et ami intime de Victor
renommée dans le domaine de la poésie. Un critique de cette nouvelle
école
, — moi-même, — après vingt ans écoulés, je m’avis
éau, et devenu déjà professeur, obtint en 1811 la faveur d’entrer à l’
École
normale pour y fortifier et y compléter son éduca
eait alors, je crois, à la place Louis XV. Annoncés comme élèves de l’
École
normale, ils furent accueillis avec politesse et
ursuivre. La semaine ne se passa point sans que lui-même fût venu à l’
École
normale, alors au collège du Plessis, déposer sa
ité qui a singulièrement grandi en ces toutes dernières années dans l’
école
philosophique universitaire, représentée par MM.
s Loyson, etc. » 128. Loyson, comme la plupart de ses camarades de l’
École
normale, était sous l’impression des guerres épui
Empire. Plus d’un de ceux qui se trouvaient en même temps que lui à l’
École
n’y étaient même entrés que pour éviter la conscr
on fût mort à Paris, il n’avait pas été donné à ses anciens amis de l’
Ecole
normale de l’approcher dans sa maladie dernière e
eur de Spallanzani, et lui-même naturaliste distingué de cette grande
école
de Genève qui a produit les Réaumur, les Trembley
ance qu’ont prise les faits limitrophes en anatomie comparée. Toute l’
école
de M. Darwin est aujourd’hui à la poursuite des f
siècle s’est élevé contre l’usage des hypothèses ; on sait que dans l’
école
de Bacon il n’y avait en quelque sorte qu’un cri
s quelque intérêt que cette question de méthode a été agitée dans une
école
toute récente à laquelle on n’a pas l’habitude de
n’a pas l’habitude de demander des règles de logique : je veux dire l’
école
saint-simonienne. Elle défendit l’usage des hypot
int-simonienne. Elle défendit l’usage des hypothèses contre une autre
école
, sortie d’elle et qui devait faire plus tard beau
elle et qui devait faire plus tard beaucoup de bruit dans le monde, l’
école
de M. Auguste Comte. Celui-ci avait dit que l’hyp
ilité de l’hypothèse dans les sciences expérimentales est passée de l’
école
saint-simonienne dans l’école de M. Bûchez, qui l
sciences expérimentales est passée de l’école saint-simonienne dans l’
école
de M. Bûchez, qui l’a fort bien développée dans u
la honte de l’académie de peinture. Vous savez que nous avons ici une
école
de peinture, de sculpture et d’architecture dont
t curieux d’avoir de grands artistes. On demeure trois ans dans cette
école
, on y est logé, nourri, chauffé, éclairé, instrui
Quand on a fini son triennat, on passe à Rome où nous avons une autre
école
. Les élèves y jouissent des mêmes prérogatives qu
is et ils y ont cent francs de plus par an. Il sort tous les ans de l’
école
de Paris trois élèves qui vont à l’école de Rome
n. Il sort tous les ans de l’école de Paris trois élèves qui vont à l’
école
de Rome et qui font place ici à trois nouveaux en
’académie, refusa d’assister à cette délibération. Van Loo, chef de l’
école
, représenta qu’ils étaient tous innocens ou coupa
plus redoutable que la raillerie voltairienne ; venant d’un élève des
écoles
ecclésiastiques, le sacrilège à ses yeux était do
renant le latin avec son père, tout en suivant les cours d’une petite
école
, dirigée par un M. Pierson. Il avait déjà, à l’âg
lus cesser jusqu’au mariage de Taine, sauf pendant ses trois années d’
École
normale et les deux qui suivirent, cette vie comm
vie : Prévost-Paradol, qui se décida, sur ses instances, à entrer à l’
École
normale, et qui fut pendant plusieurs années l’in
ux baccalauréats ès-lettres et ès-sciences et fut reçu le premier à l’
École
normale. Il y voyait entrer avec lui presque tous
la témérité de refaire, après M. Sarcey13, le tableau de ce que fut l’
École
normale sous la seconde République, pendant ces a
son intelligence, un sentiment que des jeunes gens, enfermés dans une
école
, éprouvent rarement pour un compagnon d’études :
d’unique, qui le mettait à part et au-dessus de tous. Il arrivait à l’
École
avec une érudition auprès de laquelle tous se sen
t de les exprimer avec une rigueur presque mathématique. Il avait à l’
École
des registres où ses réflexions, ses lectures, se
el et plus puissant absorbant. Personne n’a jamais joui du séjour à l’
École
normale au même degré que Taine. Il éprouva jusqu
e me suis fait un grand plan d’étude et je destine mes trois années d’
École
à le remplir en partie ; plus tard, je le complét
ans toutes sortes de recherches et me forcera, quand je sortirai de l’
École
, à étudier en outre les sciences sociales, l’écon
soutenir des discussions courtoises avec l’abbé Gratry, aumônier de l’
École
, ou pour y causer avec le jeune médecin, M. Guéne
lui plus qu’un élève, un savant qui devait un jour faire honneur à l’
École
. Ils éprouvaient pour lui ce même sentiment de re
: « L’élève le plus laborieux, le plus distingué que j’aie connu à l’
École
. Instruction prodigieuse pour son âge. Ardeur et
grand. La réputation du jeune philosophe avait franchi les murs de l’
École
. Tout le monde lui décernait d’avance la première
» Ici nous pouvons dire presque avec certitude, grâce à un travail d’
école
, quelle idée il a développée : c’est que Xénophon
ce brusque éloignement de sa famille, de ses amis, de Paris, de cette
École
normale qu’il appelait « la chère patrie de l’int
re patrie de l’intelligence18 », lui fut cruel. « J’ai été gâté par l’
École
, écrivait-il à Paradol, le 30 octobre 1851, nous
Je suis comme mort. Plus de conversations ni de pensées… Éloigné de l’
École
, je languis loin de la liberté et de la science.
r qui ne fût pas pris dans le xviie siècle ou l’antiquité, réfuter l’
École
des femmes, lire à ses élèves le Traité de Bossue
res, le consolateur de la solitude et de tous les déboires. Comme à l’
École
, Taine fait marcher de front les devoirs professi
10 avril 1852, paraît le décret qui exige trois ans de stage après l’
École
normale pour pouvoir se présenter à l’agrégation,
u’il trouvait à enseigner. Plus tard, sa nomination de professeur à l’
École
des beaux-arts fut une des grandes joies de sa vi
trop peu respectueux à l’égard des grands hommes, trop de goût pour l’
école
historique moderne, pour Michelet en particulier
t savant début » et souhaitait « de tels maîtres à la jeunesse de nos
Écoles
». L’Académie, oublieuse de ses propres scrupules
ert28 et Paradol, qui avait recruté dans les récentes promotions de l’
École
normale toute une élite de collaborateurs pour sa
it aussi. Sa thèse se ressentait encore des souvenirs de collège et d’
école
, des élégances apprêtées des devoirs de rhétoriqu
amicales avec M. E. Havet qui avait été trois mois son professeur à l’
École
normale, et qui lui témoignait le plus affectueux
agissait moins de réfuter des idées que de détruire la tyrannie d’une
école
et qu’il voulait se faire entendre du grand publi
taquait ensemble dans son article sur « l’Idée de Dieu dans une jeune
école
», article habile et éloquent, violent sous des f
t sous des formes courtoises, qui fut considéré comme la réponse de l’
école
éclectique, et fut reproduit tout entier dans le
rnières années du second Empire. Taine était devenu presque un chef d’
école
; les jeunes gens allaient lui demander des direc
ollet-le-Duc comme professeur d’esthétique et d’histoire de l’art à l’
École
des beaux-arts. Il était bien vengé des persécuti
faisant causer, suivant sa coutume, bourgeois, ouvriers et paysans. L’
École
des beaux-arts, où il devait professer vingt ans,
es et, par une heureuse coïncidence, l’année même où il fut nommé à l’
École
des beaux-arts, il y avait passé trois mois, de f
s. Il prit une part active et un intérêt passionné à la création de l’
École
des sciences politiques, fondée par son ami E. Bo
pétence d’un spécialiste. En 1884, il renonça à son enseignement de l’
École
des beaux-arts pour pouvoir se consacrer plus ent
ilosophie de l’âge précédent. Aux formules étroites et immuables de l’
école
classique de la décadence, elle opposa le princip
dans les tableaux de Meissonier, de Millet, de Bastien-Lepage et de l’
école
du plein air comme dans les drames d’Augier ; dan
êter l’expression d’une conviction sérieuse. Il avait, au sortir de l’
École
normale, sans aucun désir de bravade, compromis s
ait à Musset sur Hugo et Lamartine. L’enseignement universitaire et l’
École
normale développèrent encore en lui certains côté
que nous admirons en lui ne lui était pas naturel, qu’en entrant à l’
École
normale on lui reprochait son style terne et abst
incipe littéraire. Le profond mépris de l’humanité, qui caractérise l’
école
physiologiste, et l’intrusion de la technologie d
e de sa méthode et un talent aussi constamment égal à lui-même. Dès l’
École
normale, nous l’avons vu, Taine pratiquait déjà s
par intuition et par divination. Le génie ne s’enseigne pas. Même à l’
École
normale, il fut surtout un merveilleux excitateur
té de plan et d’idées qui sont nécessaires pour devenir le chef d’une
école
historique. La préface qu’il a mise en tête du se
Vico. Lorsqu’en 1826, monseigneur Frayssinous rétablit, sous le nom d’
École
préparatoire, l’École normale qui avait été suppr
monseigneur Frayssinous rétablit, sous le nom d’École préparatoire, l’
École
normale qui avait été supprimée en 1822, et résol
es vinrent encore ici disposer de lui. Après la Révolution de 1830, l’
École
normale fut rétablie sur son plan primitif, avec
s que sortit son histoire de France. Cette période d’enseignement à l’
École
normale qui dura jusqu’à 1836 et à laquelle Miche
ui entraînaient sa génération. En 1836, il se fit mettre en congé à l’
École
normale, soumise à l’énergique mais étroite direc
re, « l’universelle patrie ». Par qui doit-il les apprendre ? Par les
écoles
, sans doute, mais avant tout par la famille, par
mblait le plus beau, le plus utile des enseignements. Il rêvait « une
école
vraiment commune où les enfants de toute classe,
é, ce n’est pas en vertu d’une déduction logique, d’un raisonnement d’
école
, c’est par un sentiment ; par une violente aspira
ssorat, ç’a été par contrainte et avec déchirement de cœur. C’est à l’
École
normale que son enseignement fut le plus fécond ;
nce. Aussi Michelet fait-il une critique sévère de l’enseignement des
écoles
catholiques, aussi bien des écoles des janséniste
tique sévère de l’enseignement des écoles catholiques, aussi bien des
écoles
des jansénistes que de celles des jésuites, qui p
ntellectuel, un enseignement qui réunît l’agriculture, le métier et l’
école
. Enfin, dans ses vues de réformes pour l’Universi
on développe l’homme physique, qu’on mette en rapport le collège, les
écoles
industrielles, les écoles agricoles. Il est diffi
que, qu’on mette en rapport le collège, les écoles industrielles, les
écoles
agricoles. Il est difficile de tirer des idées pr
tent de ces derniers points, ainsi que de ceux qui sont consacrés aux
écoles
de droit et de médecine ; mais on peut dire en ré
n entre les classes en s’occupant de l’instruction populaire, que les
écoles
, devenues écoles libres, dépendant seulement des
es en s’occupant de l’instruction populaire, que les écoles, devenues
écoles
libres, dépendant seulement des communes, fussent
; il enseigne d’abord la philosophie en même temps que l’histoire à l’
École
normale et son rêve est d’allier « la science de
t Havet ; à M. Paul Dupuy, qui a consulté pour nous les archives de l’
École
normale. On lira avec fruit les articles sur Tain
es sur Taine publiés, en 1893, par M. E. Boutmy dans les Annales de l’
École
des sciences politiques, par M. Th. Froment dans
« M. Taine est un esprit distingué qui, tôt ou tard, fera honneur à l’
École
par des publications d’un ordre sérieux. Son trav
s l’histoire », 1er avril 1857. 39. « L’idée de Dieu dans une jeune
école
», 15 juin 1857. 40. « M. Taine et la critique
homme qui apprend à lire. C’est pourquoi ils établissent partout des
écoles
communales. Les Italiens s’instruisent très vite.
res publiques de leur temps. C’est dans ce but que nous avons fondé l’
École
des sciences politiques. Visiblement une pareille
aient pas nouvelles chez lui. Nous les retrouvons dans des notes de l’
École
normale de 1831. Il faut renoncer à la légende qu
emier appendice sur le Journal intime de Michelet. Il appartenait à l’
école
libérale de la Restauration, tout en se défiant p
moires de Luther, préface. 79. Page 361. 80. Chose curieuse ; à l’
École
normale, en 1830, il montrait dans l’avènement du
in espagnol. Madame Emilia Pardo Bazan est, en effet, le chef d’une
école
: son Naturalisme catholique ne peut avoir les mê
tout naturellement des adversaires, le Naturalisme scientifique de l’
école
de Médan ne saurait être accepté tel quel. Ceux q
ent des bases philosophiques sur lesquelles reposent les dogmes d’une
école
littéraire. Ils préfèrent les œuvres que ils ont
do Bazan ; parmi les adversaires, MM. Polo y Peyrolon, romancier de l’
école
de Trueba, Diaz Carmona, universitaire distingué,
ins, Madame Emilia Pardo Bazan demeure incontestablement le chef de l’
école
naturaliste catholique. Ses nombreux romans, ses
l tumulte que le théâtre en branla. Alfred de Vigny appartenait à une
école
littéraire, naissante à cette heure, qui venait i
e la critique du Réalisme par un Idéaliste. D’après les Classiques, l’
école
romantique recherchait tout spécialement le laid,
appartiennent pas complètement, et sont à la rigueur les hommes d’une
école
différente, il lui reste une telle quantité de no
re, poésie, roman, histoire, tout fut créé, régénéré et agrandi par l’
école
romantique. Nous gens d’au-delà les Pyrénées, sat
turalisme, se fondent et s’appuient sur des principes proclamés par l’
école
Romantique. II Intensité et brièveté de l’
n’est ni classique ni romantique, mais qui tire son origine des deux
écoles
et tend à les équilibrer dans une juste proportio
le Grand Tacaño, c’est comme une peinture de la meilleure époque de l’
école
espagnole. Ce fut sans doute Velázquez qui détach
e, sa variété et son caractère pittoresque. Rabelais ne forma pas une
école
de romanciers, comme l’auteur de Don Quichotte. G
e Staël l’avait été de Chateaubriand Son génie était de ceux qui font
école
et tracent un sillon resplendissant et profond. A
liste nous sont connus, il nous importe de lier amitié avec ceux de l’
école
contraire. Diderot est le patriarche de l’église
est à noter, en effet, que pour Flaubert, disciple enthousiaste de l’
école
romantique, admirateur fervent d’Hugo, de Dumas e
industrie et les libertés. C’est une face de Flaubert que Zola et son
école
n’ont pas négligé de lui emprunter. Seulement Fla
ation. Il ne manque pas de gens qui placent Alphonse Daudet hors de l’
école
réaliste et naturaliste, en se fondant sur certai
Daudet est providentiellement destiné à réconcilier le public avec l’
école
naturaliste, grâce aux qualités par lesquelles il
cent Daudet pour franchir les obstacles. Daudet appartient à la même
école
que Zola, c’est certain ; mais il se contente d’a
où commence la vérité ? X Émile Zola. — Sa position de chef d’
école
. — Sa vie par Paul Alexis. — Méthode de travail.
r en Zola. J’ai tout exprès réservé la dernière place au chef de l’
école
naturaliste et j’ai parlé d’abord de Flaubert, de
formule en pages belliqueuses. Il refuse, en vain, le titre de chef d’
école
, assurant que le naturalisme est ancien, que ce n
ritiques se rient de l’appareil scientifique déployé par le chef de l’
école
naturaliste. Ceci me semble une légèreté évidente
es œuvres, attirée par l’odeur des idées dont on l’a nourrie dans les
écoles
, dans les amphithéâtres, dans les athénées et dan
jet. Zola reconnaît et avoue cette propension qui se communique à son
école
. Il la considère comme un défaut grave, héritage
chez d’autres romanciers. On a reproché, et l’on reproche encore à l’
école
naturaliste, la longueur des descriptions ; mais
es, ce qui pullule maintenant, ce sont des romanciers idéalistes de l’
école
de Cherbuliez et de Feuillet, de ceux qui imagine
le talent ; une autre que les licences, les écarts, les erreurs d’une
école
. Dans son pays même, Zola est détesté. Gambetta l
e Zola l’avait discuté comme écrivain et comme orateur. L’Académie, l’
École
normale, tous les romanciers idéalistes, tous les
éclaircie, de la morale dans l’art littéraire, et spécialement dans l’
école
réaliste. Avant tout, tâchons d’éviter de faire d
Pour en venir maintenant aux relations de la morale et des nouvelles
écoles
littéraires, je commencerai par observer que c’es
listes tout le poids de la faute ? C’est chose étrange de voir chaque
école
passer une indulgente éponge sur ses propres immo
contenter de ces excuses, c’est bien sa faute ! Les défenseurs de ces
écoles
me diront que ce n’est pas à cause de ces taches,
eurs, d’en diminuer les attirances. De Madame Bovary à Pot-Bouille, l’
école
ne fait que répéter avec un accent fatidique que
s>12. Selgas ne décrit pas les campagnards et n’appartient pas à l’
école
des paysagistes. C’était un Alphonse Karr, un vio
era, quoique idéaliste, est un romancier à part, qui ne formera pas d’
école
, parce qu’il est difficile à imiter, comme on le
et perspicaces peintres de mœurs. Il fit franchement adhésion à leur
école
, mais il la transporta des villes à la campagne,
e qu’en Espagne la lutte est engagée, comme en France, entre les deux
écoles
. Il est vrai qu’ici la bataille ne fait pas grand
ance, ni les réalistes ne chargent autant le tableau. Aucune des deux
écoles
n’exagère pour se différencier de l’autre. Peut-ê
Pourquoi il se tait sur le naturalisme au théâtre. — La question des
écoles
. — Réponse aux réclamations cha uvinistes que l’a
mplexion littéraire, sans s’astreindre à obéir aux préceptes d’aucune
école
. Telle est la protestation de l’illustre Pereda d
le sache pas, qu’il le veuille ou ne le veuille pas, appartient à une
école
, à laquelle la postérité l’affiliera, sans tenir
parce qu’il en a toujours été de même. Malheur à l’écrivain qu’aucune
école
ne réclame comme lui appartenant ! Les plus illus
e. Zola juge fort bien que le Naturalisme est plus une méthode qu’une
école
: méthode d’observation et d’expérimentation que
blent aujourd’hui deux romanciers par exemple. Je pense qu’avant, les
écoles
étaient plus tyranniques et le jeu des registres
des couleurs est le plus grand peintre ou le plus grand sculpteur. L’
école
matérialiste moderne, qui parle de l’art pour l’a
ollon du Belvédère, qui admire autant un Téniers qu’un Raphaël, cette
école
ment à la morale autant qu’elle ment à l’art ; el
; mais Michel-Ange n’est qu’un prodige de la nature, il n’est pas une
école
. Depuis Jean Goujon en France et Canova en Italie
me niveau dans les mêmes siècles, il est probable que de très grandes
écoles
de peinture étaient contemporaines de ces grandes
très grandes écoles de peinture étaient contemporaines de ces grandes
écoles
de sculpture à Athènes, au siècle de Périclès. La
a sculpture avec Michel-Ange, de la peinture avec Raphaël et avec son
école
. L’art entra dans le ciel chrétien avec eux ; il
Vélasquez et les Murillo ; d’Espagne en Flandre et en Hollande avec l’
école
des Rubens, des paysagistes et des peintres de ma
s villes ou de ces nations, prit non seulement le caractère du chef d’
école
, mais elle prit le caractère de l’école et du peu
lement le caractère du chef d’école, mais elle prit le caractère de l’
école
et du peuple où elle fut cultivée par ces grands
nt sa palette des Psychés, des saintes familles, des philosophes de l’
école
d’Athènes, le Dieu-homme se transfigurant dans le
vénitienne, française de toutes les dates avec vingt autres maîtres d’
écoles
indépendantes, mais transcendantes ; Vaste manufa
exprimée, en dehors de toute convention de religion, d’histoire ou d’
école
, par le pinceau d’un berger du Jura. XI Mai
la au chalet ; il avait néanmoins dévoré les livres classiques de son
école
; on le livra à sa nature. Il entra comme élève d
David. XX Léopold Robert concourut pour le prix de gravure à l’
École
des beaux-arts de Paris ; sa naissance étrangère
s années de solitude, ingrates en apparence, fécondes en réalité. Une
école
n’aurait créé qu’un disciple, l’isolement et la p
Robert s’il était resté un élève froid et compassé de David dans une
école
des beaux-arts à Paris ? Il lui fallait pour maît
la création de toiles ou de fresques magiques sous le pinceau de dix
écoles
de peintres de toutes les nations, presque tous h
eintre français Schnetz, ami de Léopold Robert, directeur depuis de l’
école
de France à Rome, la protégeait et lui donnait as
que moderne, initiatrice généralement, puis qui traversa les diverses
Écoles
, qu’elle répudiait alors même qu’elles s’en assim
onnurent ; ou reconnurent en eux trois s’en éloignèrent en départs d’
Ecoles
, l’âpreté des luttes entraîna dès négations intér
assez long : lectures des Œuvres et des Revues, organes des diverses
Ecoles
, prise exacte des dates, comparaison des document
t dès lors le mardi soir, le premier groupement s’opéra, avant toutes
Ecoles
. Le charme, l’ascendant vitalement doux qui émana
la connaissance du grand public un premier historique des naissantes
Ecoles
: « Les trois chefs de ce mouvement sont : MM. Pa
ère d’art générale, il sied plutôt de le regarder, en dehors de toute
Ecole
, comme exerçant presque inconsciemment, mais néce
et de leur âme ardente, ils répondaient aux attaques : « Sait-on si l’
école
poétique qui tuera la bêtise idéaliste et sa revi
ns. C’est Villiers chez les naturalistes20. » Le Symbolisme et ses
écoles
Les luttes devaient commencer en l’année 1888,
s points de la sensibilité, de l’intuition et de la connaissance. Les
Ecoles
Symbolistes allaient lutter entre elles, non pour
rant en puissance, disons-nous, alors que l’action créatrice de cette
Ecole
à divers modes est virtuellement terminée, alors
ode ou tels ou tels de mes livres ont exercée primordialement sur les
Ecoles
adverses en général, ou sur certaines individuali
ment trop étroite et avec une documentation imprécise ou erronée, aux
écoles
poétiques d’hier. Et avec intention et en soulign
inscrites au programme ». 7. Nous aurons à parler tout à l’heure des
Ecoles
« Symbolistes » Mais, l’un des plus notoires en
l’idée de Symbole, de Mallarmé, n’étant point encore représentative d’
Ecole
soutiennent également l’art de Mallarmé : de Rég
la Musique verbale. » (Vers 1888, le Symbole étant devenu principe d’
Ecole
et d’Ecoles, on me voit rompre, pour garder intac
verbale. » (Vers 1888, le Symbole étant devenu principe d’Ecole et d’
Ecoles
, on me voit rompre, pour garder intacte la pensée
lay (1905). 35. « Les poèmes de M. René Ghil ont convaincu la jeune
Ecole
de : la nécessité d’enrichi y de science l’inspir
rticulier, par la science biologique. « Il est adversaire ardent de l’
Ecole
Symboliste, et il a pris une part prédominante da
, et il se tourna vers la carrière du professorat. Il ne fut reçu à l’
École
normale que le second : ce fut un pur accident. I
suis pas de ceux qui ne savent donner que des éloges sans ombre : à l’
École
et parmi ses condisciples, il était plus admiré p
épreuves qui consacrent et couronnent les trois années d’études de l’
École
normale. On me raconte deux petits faits qui le m
en province, puis placé à Paris, puis désigné pour faire partie de l’
École
d’Athènes à sa fondation, et retenu au moment du
onck, venait à pied de Malines à Paris pour être admis à cette sévère
école
, travaillait le jour sans relâche, et la nuit mon
mis de Rigault en ont pu faire de lui. Plus tard, hors du cercle de l’
école
; dans la page écrite pour le public, ce soin con
nde » ; et sur sa traduction du Tasse : « C’est le vers de l’ancienne
école
, solide, plein, harmonieux… Le poëme ressemble à
de l’universitaire pur. Je m’explique : il possédait les traditions d’
école
dans leur étendue et dans leur exacte mesure, et,
rmain, 77. 35. Un volume in-18, bibliothèque Charpentier, quai de l’
École
, 28. 36. M. Veuillot. 37. La comtesse d’Hausso
service, et d’être jetés, sans transition, du milieu intelligent des
écoles
à la crudité rustique des chambrées et de la vie
nts, ceux qui ont échappé, par miracle, au Mal-né, à la contagion des
écoles
, aux épidémies des villes, ceux qui, par miracle,
nche, récite sa leçon. Ainsi fait le professeur, passant en revue les
écoles
de littérature et de philosophie sur lesquelles i
chaos de formules. De rien on ne dégage la substance et la moelle. L’
école
est un cinéma morne. Les films s’y déroulent avec
n de nos professeurs de rhétorique, M. de la Coulonge, idéaliste de l’
école
de Cousin et de Villemain, avait à peine achevé d
ons commencé l’année avec M. Lebègue, sorte de mystagogue, nourri à l’
école
de Plotin, qui nous entraînait, éperdus à sa suit
sses. Les conseillers municipaux visés n’osent sévir. Les élèves de l’
École
de Saint-Cyr crient « Vive le Roy » et, lacérant
ent « Vive le Roy » et, lacérant le drapeau tricolore planté sur leur
école
, en enlèvent les bandes rouge et bleue pour n’en
et veut mettre l’hôtel à sac. On commente encore, çà et là, dans les
écoles
, les vers de Lamartine : L’homme est un dieu déc
lutionniste ». Puisque tu honores pour chefs les philosophes de cette
école
, que n’as-tu appris d’eux au moins que rien n’est
se moqua pas ouvertement, du moins n’en fut-il jamais question dans l’
école
; et il est bien sûr, en effet, qu’on prenait tou
L’aveu est à retenir, aujourd’hui que ces mêmes éphèbes, espoir de l’
école
, par besoin d’expansion, vagabondage, caprice, et
rébral de M. Zola, et firent savoir à l’Europe que le grand chef de l’
école
naturaliste était affligé d’une maladie lombaire
conservaient pas moins dans leurs livres tous les vieux procédés de l’
école
, s’attardaient au moule suranné de la phrase natu
uelques écrivains plus âgés, et dont les débuts ont précédé ceux de l’
école
ou qui se sont rangés sur le tard à son éthique :
ce19. » Reste M. Hennique. Celui-ci est un mâle, comme on dit dans l’
école
, et qui porte allègrement un bagage déjà lourd. J
Et à mesure qu’il avance, il lui sacrifie les descriptions chères à l’
école
, ou ne s’y laisse aller qu’avec réserve et par pe
ent un peu aussi, net et bref, et sans panache. Par quoi il sort de l’
école
une fois de plus. Nouvelliste, sa réputation fut
re de M. Mirabeau. Et admirez tout de même comme les petites choses d’
école
se fondent dans le talent : voici un naturaliste,
onie éloignée sur la corde d’un violon qui eût pleuré24. » Vienne une
école
plus hardie qui, supprimant la pensée ou le senti
t, à M. Loti, à M. de Goncourt et à tous les impressionnistes de leur
école
. Il reste maintenant à pénétrer dans l’intimité d
gesse moderne : Reid et Dugald-Stewart, les illustres fondateurs de l’
École
écossaise, les ennemis de la méthode analytique e
e écossaise, les ennemis de la méthode analytique et hypothétique des
écoles
anciennes. Après avoir traversé tout le scepticis
e dans la composition, et qui est devenue, après eux, un procédé de l’
école
, et aussi et surtout par le relief d’une langue m
tus marquantes, font de M. Jean Lorrain un impressionniste de la même
école
. Son style est un fouillis de choses heurtées, co
sont plus fainéants les uns que les autres. Ils ne veulent point de l’
école
; ils n’y sont point allés ; leur marmaille n’y v
ourné contre sa nourrice, c’est par une fatalité d’ingratitude où les
écoles
n’échappent pas plus que les hommes. Après cela,
nt su se renfermer en lui-même et rester le naturalisme tout court, l’
école
de l’observation nette et précise. Ces raisons-ci
symbolistes, M. Zola « manque de style ». C’est la préoccupation de l’
école
. La phrase plus qu’assouplie, disloquée ; les règ
e réduit « l’écriture symboliste ». Mais de philosophie ou d’idées, l’
école
n’en a pas ou n’en a que d’emprunt. Elle en est r
en est restée au nihilisme de Flaubert et de Zola. Tout le thème de l’
école
est, à bien prendre, dans le vers du pauvre Lafor
s dans le style qu’on sait45. Le seul, ou presque, qui pense de cette
école
, car je n’y range point M. Barrès, bien que l’éco
ui pense de cette école, car je n’y range point M. Barrès, bien que l’
école
se réclame de lui plus que lui-même ne se réclame
en que l’école se réclame de lui plus que lui-même ne se réclame de l’
école
, le seul qui pense, dis-je, qui ait raisonné sur
nes, n’aurai-je point fait tout le possible pour m’acquitter envers l’
école
symboliste ? Non, pourtant. Ouvrez l’Officlel de
lleure critique qu’on ait faite et qu’on fera du symbolisme, de cette
école
prétentieuse et vide, toute en dehors, excellant,
inintelligibles les plus simples notions de l’expérience53, véritable
école
normale de jongleurs et d’avaleurs d’étoupes enfl
qu’il y avait de romanesque dans l’œuvre des idéalistes de la vieille
école
(M. Feuillet, Sandeau, George Sand même), et ce q
qu’il reste de romanesque encore dans les disciples attardés de cette
école
(M. Duruy, M. Droz) a disparu ici presque entière
se résumeraient en dix mots. Serrer la réalité au plus près, les deux
écoles
y prétendent également ; c’est sur l’explication
abord, soucieux d’une vérité plus étroite, et l’influence (par-delà l’
école
de M. Feuillet, Sandeau, etc.) de quelques devanc
nge de la rude simplicité calviniste et de la recherche des nouvelles
écoles
; on voudrait qu’il fût mieux fondu, ou qu’il res
ncore. Ce conseil d’une philosophie agréable, un moraliste de la même
école
, M. Octave Uzanne, l’appuierait, je crois, très v
es œuvres diversement estimables et qui font bien augurer de la jeune
école
. Chapitre VI. Les Mondains Gyp. — Octave
e sa littérature130. On m’affirme que M. Duruy, pour avoir traversé l’
école
normale, se fait figure d’un psychologue, et on m
adel met à cette besogne une candeur de petit garçon épelant dans une
école
primaire la leçon de son instituteur. Il n’est po
emies. Malheureusement, il n’est pas que cette littérature n’ait fait
école
. M. Clovis Hugues, qui fut mieux inspiré, jadis,
et M. de Souillac, avec Zé Boïm, pourraient bien appartenir à la même
école
d’indécence et de préciosité. III Avec MM.
Ohnet. Les écrivains que voici n’appartiennent, je crois, à aucune
école
bien déterminée. Ce ne sont ni des idéalistes, ni
des romanciers, et comme on était romancier avant tous ces pugilats d’
écoles
, c’est-à-dire avec l’unique préoccupation d’intér
dis point que ceux-là soient restés étrangers à toute préoccupation d’
école
. Le courant a réagi certainement sur eux dans un
leurs débuts y avaient poussés d’abord font retraite. Les querelles d’
écoles
recommencent, plus âpres et mieux armées, et c’es
omme va passer l’heure du réalisme, et c’est la fortune de toutes les
écoles
que ce continuel déclin et cette continuelle rena
re, partout le spectacle se ressemble. Il y a encore des maîtres, des
écoles
, des systèmes, et personne pour les suivre. Où va
on désirerait. Mais M. Margueritte était bien jeune et enfoncé dans l’
école
. 10. Voir L’Immolation, Le Bilatéral, Les Corne
t serviles… Et que peut-on reprocher, que reproche-t-on à la nouvelle
école
? L’abus de la pompe, l’étrangeté de la métaphore
y aurait joint deux contes qu’il caressait dans sa tête : Le Maître d’
école
de Ravenne et Le Voyage du rhéteur Epidius. Le li
s le roman, la tendance à mêler tous les genres et à s’affranchir des
écoles
, n’a cessé d’aller en s’accentuant. Quelques obs
bservateurs hâtifs en ont conclu à une riche et nombreuse diffusion d’
écoles
: n’en faudrait-il pas plutôt déduire l’absence d
diffusion d’écoles : n’en faudrait-il pas plutôt déduire l’absence d’
école
maîtresse, ou même une sorte d’anarchie confuse à
uille réfléchir, on sera bien forcé de reconnaître qu’il n’y a plus d’
écoles
aujourd’hui, mais bien des influences et des imit
, mais bien des influences et des imitations, et que les apparences d’
écoles
encore subsistantes répondent seulement à quelque
our le roman de psychologie pure, né lui-même d’une réaction contre l’
école
antérieure. Il y a vingt ans, le roman naturalist
; ils sont vite devenus ennuyeux. Toutefois, ni le naturalisme, ni l’
école
psychologique ne disparurent sans laisser des tra
s violemment attaqué l’organisme du roman moderne depuis le jour où l’
école
de Médan parvint à triompher. Je veux parler de l
ment caduque des naturalistes exagérés. Et, d’abord, n’est-ce pas à l’
école
de M. Paul Bourget qu’il faut attribuer l’honneur
herchées autrefois ? * * * S’il n’existe plus à proprement parler d’
écoles
ou, du moins, s’il est vrai de dire qu’aucune éco
prement parler d’écoles ou, du moins, s’il est vrai de dire qu’aucune
école
ne peut prétendre conduire le mouvement actuel, i
on le constate dans les romans socialistes de M. Jean Grave et de son
école
, — que par un penchant secret et irrésistible ver
indiqué, le roman social, tel que l’entendent M. Paul Bourget et son
école
, se préoccupe avant tout de la lutte entre le pas
ontrer. M. Bourget a voulu établir, d’après Bonald et d’après toute l’
école
traditionaliste, la nécessité des règles à suivre
conventionnel. Mais n’est-ce pas une curieuse peinture que celle de l’
École
Tolstoï ? Où trouver un type plus représentatif q
à la Grèce, ne se retrouve dans la littérature française que depuis l’
école
moderne. Avant l’Homère d’André Chénier, les Mart
la littérature française : il y eut comme engorgement au confluent. L’
école
de Ronsard et de Baïf se fît grecque en français
n de Plutarque, semble préluder à La Fontaine et à Fénelon. 2º Avec l’
école
de Malherbe et de ses successeurs classiques, la
tait né, et par lui la veine grecque est retrouvée. 4º Au moment où l’
école
de David essaie, un peu en tâtonnant et en se gui
et de l’affranchir de certaines règles convenues. Mme de Staël et son
école
, tous ces esprits distingués qui concoururent à i
emper son style ou son goût. C’est ainsi que M. Ingres se sépare de l’
école
de David. Ainsi André Chénier se sépare de Delill
qui ont été contestés ; je veux parler de l’importante division de l’
école
romantique qui se rattachait à l’étendard de Vict
ause et par réussir. Il paraît généralement accordé aujourd’hui que l’
école
moderne a étendu ou renouvelé la poésie dans les
étrangères modernes, si nous n’avions pas eu notre poésie, cette même
école
poétique tant raillée. Vous vous en moquez à votr
ardé le scrupule de la forme, qui savent, pour l’avoir appris à forte
école
, le métier des vers, qui les font de main d’ouvri
té amenée de plus loin et de force. Et c’est ainsi qu’au déclin d’une
école
et quand dès longtemps on a pu la croire finissan
pérée par Malherbe, parle ainsi de Desportes, comparé aux poètes de l’
école
de Ronsard Lorsque du plus haut ciel les Muses d
oisses ; il n’y a ni relâche ni congé dans ce que les poëtes de cette
école
appellent le service de l’amour. Du reste, ces dé
ée à se faire sa part. On n’a pas oublié quels étaient les excès de l’
école
de Ronsard, timidement corrigée par Desportes et
principe de Du Bellay sur l’imitation des modernes, il avait payé à l’
école
d’Italie un tribut de sept cents sonnets. Quant a
lait devenir le tyran des syllabes comme l’appelèrent les poëtes de l’
école
de Ronsard, d’avoir porté l’épée honorablement. M
ice grotesque élevé par Ronsard, et il les brisa. Le travers de cette
école
avait été d’imiter les formes mêmes de la poésie
ns modernes et des divinités païennes. De même, dans la langue, cette
école
avait choisi, parmi les tours et les combinaisons
Grecs, moitié par esprit de réaction contre la trop grande part que l’
école
de Ronsard avait faite à ceux-ci, moitié par un i
ris le plus excellent, Montaigne120. Rien ne paraissait plus beau à l’
école
de Ronsard que l’érudition recherchée et raffinée
nd, que la théorie de Malherbe frappe également la poésie facile de l’
école
de Ronsard et certains imitateurs de la poésie di
l’appui de sa discipline. Les exemples laissés par Ronsard et son
école
avaient brouillé tout ce que leurs théories avaie
ême et dernière convenance d’un style qui réunit toutes les autres. L’
école
de Ronsard se croyait supérieure à Virgile, pour
Bourgelat, [N.] Directeur & Inspecteur Général des
Ecoles
Vétérinaires, Correspondant & Membre de plusi
ue le Roi ne pouvoit mieux confier qu’à M. Bourgelat la direction des
Ecoles
établies pour cette partie essentielle de l’écono
coles établies pour cette partie essentielle de l’économie publique ;
Ecoles
préférables à ces Sociétés oiseuses, qui ne s’att
et. — rémusat sur jouffroy. — sainte-beuve sur daunou. — histoire des
écoles
d’alexandrie, par m. jules simon. — jasmin. Nous
té. — Parmi les publications sérieuses, il faut noter l’Histoire de l’
Ecole
d’Alexandrie, par M. Jules Simon, le suppléant de
ses airs d’improvisation, travaille beaucoup ses poëmes : il est de l’
école
qui fait difficilement des vers faciles, et qui r
nger en lui. Je ne sais qui a dit qu’il était plus véritablement de l’
école
d’Horace que M. de Lamartine : ce n’est que vrai.
nous attendions avec impatience cette occasion de parler du chef de l’
école
éclectique, — mort depuis longtemps comme express
de Longueville. Jusqu’ici nous n’avions à juger que les écoliers de l’
École
, les Saisset et les Simon, les minces qui bégaien
ces et les mots d’ordre, ce qui frappe d’abord dans Cousin, le chef d’
école
et le philosophe, et ce qui sape, du premier coup
st, à cette, heure, revenu à son point de départ, au sens commun de l’
école
écossaise, qui n’est, après tout, que l’école pri
rt, au sens commun de l’école écossaise, qui n’est, après tout, que l’
école
primaire en philosophie. Il fait pénitence d’avoi
sition, sa renommée, l’enseignement qu’il a fait peser sur toutes les
Écoles
de France pendant tant d’années, malgré, enfin, l
te que spontanée de M. Joséphin Soulary. Naturellement, il était de l’
école
des Émailleurs et des Volontaires, car il n’y a q
t de l’école des Émailleurs et des Volontaires, car il n’y a que deux
Écoles
ou, pour mieux parler, que deux Vocations en poés
tions en poésie, les Volontaires et les Inspirés. M. Soulary est de l’
École
des Baudelaire, des Grammont, des Banville, qui r
point de se glacer, M. Joséphin Soulary fut un des plus acharnés de l’
École
, puisqu’il se moula en sonnets, tout entier, et q
nt d’emblée, du reste, M. Joséphin Soulary au premier rang dans cette
École
, aux préoccupations mauvaises, qui, confondant l’
ait M. Joséphin Soulary bien supérieur à tous les autres poètes d’une
École
qui ne se soucie que de l’expression, c’est le fo
roguier ordonné comme nous l’avons prescrit. Un hôpital adjacent aux
écoles
de médecine. Un séminaire adjacent aux écoles de
n hôpital adjacent aux écoles de médecine. Un séminaire adjacent aux
écoles
de théologie. Voilà tout ce que je sais de mieux
ur ses bienfaits. Des idées bonnes ou mauvaises qui forment ce plan d’
écoles
publiques, je n’en dois aucune à personne, c’est
une profession dont elles ne comprennent pas l’importance sociale. L’
école
de Saint-Cyr n’a guère eu que le rebut de la jeun
e Castlereagh, de Wellington. Que cette pacifique et toute chrétienne
école
d’économistes est loin de la passion des hommes d
la philosophie, furent à peu près supprimés. L’École polytechnique, l’
École
normale étaient découronnées. Quelques efforts d’
oie que nous, voie de paix, d’industrie, de commerce, présentée par l’
école
des économistes et par la plupart des hommes d’Ét
yauté n’est nullement, comme affecte de le croire notre superficielle
école
constitutionnelle, une présidence héréditaire. Le
e. Les universités, centres de haute culture intellectuelle, la cour,
école
de mœurs brillantes, Paris, résidence du souverai
la voie de toute chair. Cela ne se fera pas aussi vite que le croit l’
école
socialiste, toujours persuadée que les questions
ens des mœurs, les surveillants des deniers publics ; ils tiendraient
école
de gravité et de sérieux. Les conseils généraux d
ssence impalpable, a donné une importance hors de ligne à la maison d’
école
; l’illettré a presque été chassé du christianism
le salut en des sacrements et en des croyances surnaturelles, tient l’
école
pour chose secondaire. Excommunier celui qui ne s
Excommunier celui qui ne sait ni lire ni écrire nous paraît impie. L’
école
n’étant pas l’annexe de l’église est la rivale de
e cléricale. Or, sans la collaboration et la bonne volonté du curé, l’
école
de village ne prospérera jamais. Que ne pouvons-n
dans chaque village le type d’une famille bien réglée, surveillant l’
école
, presque maître d’école lui-même, donnant à l’édu
fastidieuses répétitions de son bréviaire ! En réalité, l’église et l’
école
sont également nécessaires ; une nation ne peut p
peut pas plus se passer de l’une que de l’autre ; quand l’église et l’
école
se contrarient, tout va mal. Nous touchons ici à
cier susceptible d’être opposé à un officier prussien ; un élève, des
écoles
élémentaires catholiques ne pourra jamais faire l
l’université, à l’académie, et nous vous abandonnerons sans partage l’
école
de campagne. L’esprit humain est une échelle où c
surtout dans l’enseignement supérieur qu’une reforme est urgente. Les
écoles
spéciales, imaginées par la Révolution, les chéti
établies, indépendantes du clergé. Il faut supprimer du même coup les
écoles
spéciales, École polytechnique, École normale, et
aut supprimer du même coup les écoles spéciales, École polytechnique,
École
normale, etc., institutions inutiles quand on pos
d’universités, et qui empêchent les universités de se développer. Ces
écoles
ne sont, en effet, que des prélèvements funestes
et s’embrassent. À côte des universités, il peut, il doit y avoir des
écoles
d’application ; il ne peut y avoir des écoles d’É
ut, il doit y avoir des écoles d’application ; il ne peut y avoir des
écoles
d’État fermées et faisant concurrence aux univers
lèves assidus. Quoi de surprenant ? Leurs auditeurs naturels sont à l’
École
normale, à l’École polytechnique, où ils reçoiven
le meilleur moyen de réveiller l’esprit français. Elles seraient des
écoles
de sérieux, d’honnêteté, de patriotisme. Là se fo
fait qui donne bien à réfléchir est celui-ci. Il est reconnu que nos
écoles
sont des foyers d’esprit démocratique peu réfléch
on pourrait alors se reposer en cette philosophie de l’histoire de l’
école
républicaine, selon laquelle le type social améri
er, — qui représentent assez bien dans l’art les adeptes de la fausse
école
romantique en poésie, — nous ne voulons pas non p
ocrate refusant les présents d’Artaxerce, de Girodet, est revenu de l’
École
de médecine faire admirer sa superbe ordonnance,
et sont restés, débris inébranlables et invulnérables de cette grande
école
, et Gérard n’a laissé que la réputation d’un homm
vement que si MM. les commissaires n’avaient pas associé le chef de l’
école
actuelle à cette fête artistique, c’est que ne co
ue, c’est que ne comprenant pas la parenté mystérieuse qui l’unit à l’
école
révolutionnaire dont il sort, ils voulaient surto
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