Siefert, Louisa (1845-1877)
[Bibliographie]
Rayons perdus (1868). — Les Stoïques (1870). — Les Saintes Colères (1871). — Comédies romanesques (1872).
OPINIONS.
Charles Asselineau
C’est un poète sincère et nous l’en félicitons, car cette sincérité est la marque d’une âme fière et loyale, de la chaleur du cœur et de l’innocence de l’esprit.
[Bibliographie romantique.]
Paul Mariéton
Une existence douloureuse secouée d’exaltations, de déceptions sans nombre faiblement compensées par la vision lointaine d’une gloire désirée et qui tarde à venir, voilà la vie, voilà la poésie de Louisa Sieffert.
[La Pléiade lyonnaise ().]