Ségalas, Anaïs (1819-1895)
[Bibliographie]
Les Algériennes (1831). — Les Oiseaux de passage (1836). — Enfantines (1844). — La Femme (1847). — Nos bons Parisiens (1865). — Les Mystères de la maison (1865). — Poésies pour tous (1866). — Les Magiciennes d’aujourd’hui (1869). — La Vie de feu (1875). — Les Mariages dangereux (1878). — Les Rieurs de Paris (1880). — Les Romans du wagon (1883). — Les Jeunes Gens à marier (1886).
OPINION.
Auguste Desplaces
Le vers de Mme Ségalas a pour qualité distinctive qu’il ne respire pas du tout le métier ; c’est un vers chanté bien plus qu’un vers écrit. Quoiqu’elle ait dans sa manière du précieux, du brillanté et peut-être aussi du clinquant, ses strophes se déroulent avec une facilité d’allure qui donne souvent le change à l’esprit et fait croire au naturel.