Saint-Cyr, Charles de (1875-1940)
[Bibliographie]
Les Frissons (1897).
OPINION.
Yves Berthou
Les Frissons sont réellement ceux d’une âme noble qui vit intensément. Vivre c’est souffrir. La tristesse de M. de Saint-Cyr est celle que l’on aime. Le poète ne geint pas dans les carrefours, en s’accompagnant d’une guitare, la chanson de tout le monde. Dans une salle inaccessible d’un château solitaire et ruiné, un inconnu fait encore sangloter les cordes d’un instrument exténué.
[La Trêve-Dieu ().]