Rocher, Georges
[Bibliographie]
Frissons et caresses (1897).
OPINION.
Paul-Henri Tessyl
M. G. Rocher s’inspire directement des Romantiques et des Parnassiens. Il respecte scrupuleusement les règles de la Prosodie… Sa Muse aime les paysages tendres et roses… Ce ne sont, dans ses vers, que liserons, papillons dorés :
Près du ruisseau paisible où les nénufars d’orFlirtent avec les libellules.
Et même la tristesse des heures mélancoliques s’empreint dans les poésies de M. Rocher d’une câline et caressante douceur.
[L’Essor (mars ).]