Rivet, Gustave (1848-1936)
[Bibliographie]
Les Voix perdues (1873).
OPINION.
Philippe Gille
Je tiens à signaler une très remarquable pièce, je devrais dire un poème, que M. Gustave Rivet vient de publier dans un journal où se sont produits tant de véritables poètes : le Chat Noir… qui vient de publier le Petit Testament d’Hector Lestraz, escholier de Paris, par M. Gustave Rivet. En quarante strophes, l’auteur nous a fait passer par toutes les sensations de l’homme qui, lassé de la vie, s’est décidé à en trancher le fil lui-même. Et cela sans contorsions de vers, de rimes pauvres par leur richesse, rien qu’en laissant parler en lui la nature.
[La Bataille littéraire ().]