Rency, Georges (1875-1951)
[Bibliographie]
Vie (1896). — Madeleine (1898).
OPINION.
Albert Fleury
Si M. Rency ne nous donne point l’impression de la vie, il nous clame réellement des hymnes de vie, d’un horizon de joie immense. Et cela est d’accord en tout avec soi-même du commencement à la fin du recueil. Des vers, certes, et de forts beaux, qui sans être absolument libres, ne s’embarrassent pas d’un « art poétique » de congrégation. La phrase est vibrante et il y a telles strophes qu’on peut, sans audace, estimer d’une absolue beauté. Je voudrais en citer presque tous les vers, tant je trouve en chacun une grâce particulière.
[Revue naturiste ().]