Reboux, Paul (1877-1963)
[Bibliographie]
Matinales (1897). — Les Iris noirs (1898).
OPINION.
André Theuriet
Je tiens à signaler, comme nous apportant une charmante espérance, les poésies de M. Paul Reboux, un harmonieux enfant qui n’a pas encore atteint sa vingtième année, et qu’il a gracieusement appelées Matinales. Elles ont, dans leur fraîcheur juvénile, mieux et plus que la beauté du diable qui, comme on le sait, passe très vite. En bien des pages, déjà, apparaît l’inspiration originale.
[Le Journal (7 octobre ).]