Montégut, Maurice (1855-1911)
[Bibliographie]
La Bohème sentimentale (1874). — Le Roman tragique, 1re partie (1875). — Lady Tempest, drame en vers (1879). — Les Noces noires, drame en vers (1880). — Poésies complètes (1882). — L’Arétin, drame en vers (1886). — La Faute des autres (1886). — L’Île muette (1887). — L’Œuvre du Mal (1888). — Romantique folie (1889). — Les Dix Monsieur Dubois (1890). — Déjeuners de soleil (1891). — Don Juan à Lesbos (1892). — Le Mur (1892). — Le Bouchon de paille (1893). — Madame Tout le Monde (1893). — Feuilles à l’envers (1894). — Mademoiselle Personne (1894). — Dernier cri (1895). — Les Contes de la chandelle (1896). — Le Geste (1896). — Les Détraqués (1897). — La Fraude (1900).
OPINION.
Maxime Gaucher
Il y a dans les vers de M. Montégut un talent réel, de l’énergie, du souffle, une voix qui a son accent personnel alors même qu’elle exprime, elle aussi, des idées et des sentiments d’emprunt. Les défauts sont de ceux qui disparaissent avec les années ; les qualités sont de celles que l’art et l’effort seraient impuissants à acquérir, un don des privilégiés et la marque des élus.