Millien, Achille (1838-1927)
[Bibliographie]
La Moisson (1860). — Chants agrestes (1862). — Premières poésies (1859-1863). — Les Poèmes de la Nuit (1864). — Musettes et clairons (1866). — Légendes d’aujourd’hui (1870). — Nouvelles poésies (1864-1873). — Voix des ruines (1874). — Poèmes et sonnets (1879). — Chez nous (1896).
OPINIONS.
Sainte-Beuve
Parmi ceux que la Bourgogne revendique, M. Achille Millien est, ce me semble, un des plus sincères, des plus franchement agrestes.
Alphonse Lemerre
Dans ses poèmes descriptifs, bien que rentrant un peu trop dans le travail technique de la flore agreste et des travaux divers de la campagne, il a cependant bien rendu les scènes de la vie rurale, parfois avec émotion, toujours avec sincérité.