Marlow, Georges (1872-1947)
[Bibliographie]
L’Âme en exil (1895).
OPINION.
Edmond Pilon
M. Georges Marlow est un poète de vieilles cloches et de nuances éteintes ; il est l’halluciné veilleur de lampes et le doux faiseur de guirlandes. Il aime la tiédeur des dentelles, et le charme conventuel des monastères l’attire. Ce n’est pas un rude et un sonore, comme le Verhaeren des Moines, mais un méditatif délicat et sensible, comme le sont un peu Max Elskamp, , Paul Alériel, Victor Remouchamps… M. Marlow a su tirer un parti peu banal et très charmant de l’octosyllabique.
[L’Ermitage ().]