Maddus, Jean
[Bibliographie]
Jours gris et jours bleus (1900).
OPINION.
Armand Silvestre
Maddus se présente avec une auréole lumineuse de sincérité dans les impressions et de tendresse pour les êtres et pour les, choses. Je me le représente sous la robe blanche d’Orphée, l’iris hiératique, cueilli sur le tombeau d’Eurydice, à la main, de cette Eurydice éternelle qui fut le rêve chaste, éperdu et ensoleillé de nos vingt ans.
Il m’a été doux de rendre hommage à cette Muse simple, croyante et toujours inspirée, éprise de tout ce qui mérite, seul, un regret de la vie : l’Amour et les fleurs.
[Préface (novembre ).]